I*- j QM ¥ I , ' te ^ANNALES " HISTORXCONATURALES MUSEI NA TM »N A US HUNGARICI. VOJL. V. 1907. 4^ A MAGYAR NEMZETI MUZEUM TERMÉSZETRAJZI OSZTÁLYAINAK FOLYÓIRATA. I ' V. KÖTET. 1907. TIZENHÁROM TÁBLÁVAL. A MAGYAR TUDOMÁNYOS AKADÉMIA TÁMOGATÁSÁVAL KIADJA A MAGYAR NEMZETI MUZEUM. ! SZERKESZTI HORVÁTH GÉZA. £02,1^0 franklin-társulat Nyomdája, CONSPECTUS MATERIARUM. — TARTALOMJEGYZÉK. Pag. Becker Th., Die Dipteren-Gruppe Milichinæ. (Taf. XII. und 2 Textfiguren.) . . ... ™ .... .... .... „„507 Bezzi M., Leptidæ et Empididæ in insula Formosa a dar. H. Sauter collectæ. „„ .... „„ „„ „„ „„ 564 Brues Charles T., Some new exotic Phoridæ. (Plate Vili.) .„. „„ 400 Csiki E., Calosominarum species nova æthiopica. .... .... 98 « « Coleoptera nova in Museo Nationali Hungarico. I. 574 Enderlein G. Br., Eine neue Copeognathe aus Süd-Tunis. (Taf. IX.) 428 Forel A., Formicides du Musée National Hongrois. „„ „„ 1 Gestro K„, Materiali per lo studio delle Hispidae. XXXI. Sopra alcune Hispidæ del Museo Nazionale di Buda¬ pest.,,,. ™ .... „„ _. 67 Hollós László Dr., Új gombák Kecskemét vidékéről. II. — Fungi novi regionis Kecskemétiensis. IL . 43 « « « Pöffetegeken termő új gombák. (Fungi novi in Gasteromycetis habitantes.) II. . . 278 « « « Új gombák Kecskemét vidékéről, IV. — Fungi novi regionis Kecskemétiensis. IV. .... .... . . 452 Horváth G. Br., Hemiptera nova vel minus cognita e regione palæarctica. I. ..„ . .... . „ ' .... .... 289 « « « Pótlék a Magyar Birodalom Hemiptera-faunájá- hoz. — Supplementum ad FaunamHemipterorum Regni Hungariæ. ..„ .... .... .... .... .... ..„ .... 500 Kertész K. Br., Über die Dipterengattung Gobertina Big . .„. 285 « « « Ein neuer Dipteren- Gattungsname. . „„ 499 « « « Vier neue Pipunculus-Arten. .... „„ _ .... 579 Kuthy B., Orthoptera ex Asia-Minore. .„ .... . . .... 430 « « Insectorum messis in insula Creta a Lud. Biro congregata. I. Orthoptera. .... .... .„. .... 551 Loczka Josef, Über Mineralchemie. . . .... .... .... .... 433 Matsumura S. Br., Monographie der Homopteren-Gattung Tropidoce- phala Stai. (Taf. I— IL) .... ..„ .„. .... „.. .... 56 L. V. Méhely, Zur Lösung der «muralis »-Frage. (Taf. III.) 84 « « Archaeo- und Neolacerten. (Taf. X.) .... .... 469 Moesz Gusztáv, Adatok az Aldrovanda vesiculosa L. ismeretéhez. (V — VII. tábla.) — Ueber Aldrovanda vesiculosa L. (Taf. V— VII.) . (g 324 Pag. .Montandoli A. L., Nouveaux genres et espèces du groupe des Geo- corinæ. „„ . „„ „„ . . 89 « « « Notes sur les Holoptilidæ. „„ „„ m ~~ „„ 410 Koeschke Hans Dr., Monographie der Carabiden-Tribus Cychrini. (Taf. IY.) „„ _ M ™ „„ . . 9 99 « « « Nachtrag zur Monographie der Cychrini. ™ 569 Toborff’y Zoltán Di%, Kristálytani közlemények. (XI. tábla.) . ™ 494 Zimányi Károly Dr., Két. gömörvármegyei barytról. (XIII. tábla.) — Über zwei Baryte vom Comitate Gömör. (Taf. XIII.) . . 'jj. „„ „„ „„ :̧ 556 Pars prima (pag. 1 — 416) edita die 30. Junii 1907. Pars secunda (pag. 417 — 583) edita die 10. Decembris 1907. A MAGYAR NEMZETI MUZEUM TERMÉSZETRAJZI OSZTÁLYAINAK FOLYÓIRATA. V. KÖTET. 1907. — ELSŐ RÉSZ. A MAGYAR TUDOMÁNYOS AKADÉMIA TAMOGATASAVAL KIADJA A MAGYAR NEMZETI MUZEUM. SZERKESZTI HORVÁTH GÉZA, Editum die SO. Jmxii 1907 . Megjelent 1907 . j zirbi us 30-án. ANNALES HISTORICO-NATURALES MUSEI NATIONALS HUNGARICI. VOL. V. 1907. — PARS PRIMA. BUDAPEST. CONSPECTUS MATERIARUM. — TARTALOMJEGYZÉK. Pag, A. Poréi, Formicides du Musée National Hongrois. .... 1 Dr. Hollós László, Új gombák Kecskemét vidékéről. II. — Fungi novi regionis Kecskemétiensis. II. . ... .... .... ,'.... 43 Dr. S. Matsumura, Monographie der Homopteren- Gattung Tropido- cephala Stai. (Taf. I.— II.) .... ....' ..... .... . _ . .56 R. Gestro, Materiali per lo studio delle Hispidæ. XXXI. Sopra alcune Hispidæ del Museo Nazionale di Budapest. ^ _ .... .... .... .... .... ... .... 67 L. V. Méhely, Zur Lösung der «muralis »-Frage. (Taf. III.) ... 84 A. L. Montandoli, Nouveaux genres et espèces du groupe des G-eocorinæ. 89 ‘E. Csiki, Galosominarum species nova æthiopica. . . 98 Dr. Hans JRoeschke, Monographie der Carabidén - Tribus Cyclirini. (Taf. IV.) .... .../ 1' X . 99 Dr. Hollós Laszlo, Pöffetegeken termő új gombák. (Fungi novi in Gasteromycetis habitantes.) II . .... .... .... 278 Dr. K. Kertész, Über die Dipterengattung Gobertina Big . 285 Dr. G. Horváth, Hemiptera nova vel minus cognita e regione palæarctica. L .... .„. .... .... .... .... .... .... .... 289 Moesz Gusztáv, Adatok az Aldrovanda vesiculosa L. ismeretéhez. (V — VII. tábla.) — Ueber Aldrovanda vesiculosa L. (Taf. V— VII.) . .... .... .„. .... 324 Charles T. Brues, Some new exotic Phoridæ. (Piate Vili.) .... 400 A. L. Montandon, Notes sur les Holoptilidæ. .... . .... .... .... .... 410 í Y. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGABICL 1907. FOEMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGEOIS déterminés et décrits par A. Forel. Prionopelta Mocsáryi n. sp. Ç. Long. 17 mm. Extrêmement voi¬ sine de l’opaca Emery de la Nouvelle Guinée, elle en diffère comme suit : Mandibules comme chez l’opaca. Tête plus allongée, à côtés bien moins convexes, rectangulaire, largement échancrée derrière. Les yeux très plats, très petits, atrophiés, sont situés au milieu des côtés de la tête (plutôt en arrière qu’en avant). Le sillon frontal atteint le cin¬ quième postérieur de la tête. Le pronotum a les côtés plus convexes ; il est distinctement un peu plus long que sa largeur postérieure (un peu plus court chez l’opaca). Du reste absolument les mêmes caractères de forme. La sculpture est moins forte, et plutôt ridée-réticulée que densé¬ ment ponctuée-réticulée comme c’est le cas chez l’opaca. En outre la pubescence est plus forte, ce qui rend la sculptuie moins distincte. D’un roux ferrugineux, avec les pattes, les antennes et les mandi¬ bules d’un jaune roussâtre. La face déclive est bordée et creusée, comme chez l’opaca ou plus encore. Paraguay: Asuncion (Anisits). Anochetus africanus Mayr. Afrique orientale allemande : Kibosho (Katona). Anochetus Grandidieri Forel var. Katonae n. var. Ç. Long. 3*5 mill. Les scapes sont plus longs que chez le type de l’espèce ; ils atteignent franchement le bord occipital et le dépassent même légère¬ ment vers son milieu. A l’occiput, la tête est distinctement plus étroite qu’à la hauteur des yeux (pas chez le type). Les dents du métanotum sont un peu plus aiguës et l’écaille est bien plus rétrécie au sommet, où son bord supérieur très court est à peu près rectiligne. Du reste identique au type, avec la même sculpture, la même pilosité et la même couleur. Afrique orientale allemande : Moshi (Katona). Ectatomma (Rhytidoponera) metallicum Smith subsp. cristulatum Forel Ç. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 1 2 A. FOREL cf . (Nondum descriptus.) Long. 6 mill. Occiput subtronqué derrière les ocelles. D’un angle occipital à l’autre, passant derrière les ocelles, se trouve une très petite arête ou crête transversale peu distincte et irrégulière. Pronotum un peu plus étroit que chez le type de l’espèce; du reste identique à ce dernier. Ectatomma ( Rhytidoponera) araneoicles Le Guillou subsp. stri¬ gosum Emery 9 . Nouvelle Guinée : Sattelberg, Huon Golf (Bjro). Ectatomma quadridens Koger 9- Paraguay: Asuncion (Vezényi). Platythyrea cribrino dis Gerst. 9 . Afrique orientale allemande : Montagne Lettema (Katona\ Platythyrea angusta Forel 9 . Brésil : Tonantins. Mcgoloponera foetens F. 9- Afrique orientale: Kilimandjaro (Bornemisza). Megaloponera crassicornis Gerst. 9 . Afrique orientale : Moshi (Katona). Cfyptopone testacea Motschulski 9 . Malacca : Kwala Lumpur (Biró). Ponera ergatandria Forel Ç. Paraguay: Asuncion (Anisits). Ponera Ra gasai Emery 9 . Afrique orientale allemande: Borna Gombé (Katona). Ponera coat data Latr. subsp. boerorum Forel 9. Variété de couleur brune assez foncée, tandis que Je type de la boerorum est roussâtre ou roux jaunâtre. Cette différence de couleur ne me paraît pas légitimer une variété nommée. La sous-espèce ou race boerorum est plus étroite que la co arctat a typique d’Europe et se distingue encore d’elle par le premier segment de l’abdomen proprement dit qui est plus court, plus haut que long (plutôt plus long que haut chez la coarctata typique). Afrique orientale : Kibosho (Katona). Ponera dulcis n. sp. 9. Long. 2*5 mill. Mandibules luisantes, triangulaires, très finement ponctuées et pubescentes, finement denti- culées à leur bord terminal. Épistome plus court que chez la coarctata, avec une élévation longitudinale obtuse au milieu, au lieu de carène. Tête plus rétrécie devant que chez la coarctata, à bord postérieur légè¬ rement, mais distinctement concave. Les yeux très petits, mais fort distincts (environ deux facettes) sont situés vers le quart antérieur de la tête. Lobes antérieurs des arêtes frontales étroits. Le scape atteint le bord occipital. Le thorax a les sutures très distinctes ; il est semblable à celui de la race boerorum de la coarctata , mais moins convexe et encore plus étroit. Le métanotum est nettement et obliquement tronqué, avec la face déclive franchement bordée sur les côtés et en haut d’une arête très petite, mais distincte (chez la coarctata et ses races, il n’y a FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 3 que deux bourrelets latéraux obtus, plus ou moins distincts). L’écaille est bien plus mince que chez la coarctata, au moins aussi mince que chez la trigona Mayr (trois ou quatre fois plus haute qu’épaisse), mais bien moins large et moins haute que chez cette dernière, ne dépassant pas le sommet de l’abdomen. Le premier segment de l’abdomen plus haut que long (comme chez la boérorum ), mais beaucoup moins rétréci derrière que chez elle (que chez la co arctat a si ses races); la constric¬ tion abdominale est à peine marquée. Très luisante. Ponctuation très fine, assez abondante sur l’abdo¬ men, plus espacée sur la tête, très éparse sur le thorax, aussi sur le métanotum; du reste lisse. Pubescence fine, jaunâtre, assez abondante sur l’abdomen et les membres, moins ailleurs. Pilosité dressée presque nulle; quelques poils dressés jaunâtres assez courts sur l’abdomen et sur le devant de la tête. Roussâtre ou d’un roux jaunâtre ; tête et massue des antennes d’un roux plutôt brunâtre. Abdomen d’un brun jaunâtre. Afrique orientale allemande : Arusha- chini (Katona). Ressemble par sa forme à la P. Mocsâryv Emery de Nouvelle Guinée. Ponera lumpurensis n. sp. Ç. Long. 2*5 mill. Mandibules plus pointues que chez la précédente, à bord terminal irrégulièrement den¬ telé, sauf trois ou quatre dents plus fortes vers l’extrémité, luisantes, avec des points épars. Lobes antérieurs des arêtes frontales larges. Tête allongée, lVa fois plus longue que large, à côtés subparallèles, un peu comprimés, à peine convexes, sauf devant, où la tête est rétrécie. Der¬ rière la tête est fortement échancrée (chez la P. Bírói Emery, la tête est à peine échancrée derrière et a les côtés convexes). Vers le sixième antérieur de la tête (un peu en arrière) on découvre avec peine une facette atrophiée qui représente l’œil. Articles du funicule transversaux, sauf le 1er et le dernier. De chaque côté de l’occiput, devant, vers le tiers latéral à partir du milieu, une dépression longitudinale peu apparente qui se perd sur le vertex. Le scape n’atteint pas le bord occipital. Le pronotum est fort convexe, en long et en travers ; à ses angles antérieurs inférieurs, il porte un angle triangulaire, subdentiforme et translucide très distinct (lamelleux), plus marqué que chez la P : papuana Emery. Suture promésonotale très disctincte. Suture méso- métanotale nulle. Le profil dorsal du mésométanotum est subrectiligne, même légèrement concave au milieu. La face déclive du métanotum est concave, obliquement tronquée, bordée latéralement et en haut d’une arête plus élevée que chez la dulcis . Ecaille épaisse, un peu plus épaisse que chez la coarctata , haute comme l’abdomen, nettement tronquée et 4 A. FOREL bordée derrière, obtusément tronquée devant. En dessous, le pédicule a un lobe longitudinal arrondi et un peu translucide. Premier segment de l’abdomen un peu plus haut que long, distinctement rétréci derrière. Densément et finement réticulée-ponctuée et mate, membres in¬ clus. Abdomen et écaille densément ponctués et subopaques. Face déclive du métanotum et face postérieure tronquée de l’écaille lisses et luisantes. Finement pubescente. Antennes et pattes sans poils dressés. Sur le corps des poils dressés jaunâtres très courts et épars. Brune ; antennes, pattes et mandibules d’un jaune roussâtre ; tarses jaunes. Malacca: Kwala Lumpur (Biró). Voisine de Birói Emery, mais plus petite et bien distincte par la forme de la tête et par l’angle dentiforme et lamelliforme du pronotum. Le défaut de suture mésométanotale et l’écaille épaisse rattacheraient cette espèce, comme la ceylonensis aux Bothroponera. Ponera lamellosa n. sp. £. Long. 2*7 mill. Mandibules plus longues que chez les deux précédentes, à bord terminal finement denti- culé, luisantes, finement et assez densément ponctuées. Épistome très court, subtronqué et subbicaréné au milieu. Lobes des arêtes frontales larges. Tête à peine plus longue que large, fortement rétrécie devant et un peu derrière, à côtés fort convexes, à bord postérieur largement et faiblement échancré. Yeux plats, petits, situés un peu en avant du tiers antérieur et composés de 4 à 5 facettes. Articles 2 à 10 des funicules faiblement transversaux. Les scapes dépassent légèrement le bord occipital. Thorax comme chez la confinis Roger ; angles antérieurs inférieurs du pronotum arrondis, sans dent translucide. Sutures forte¬ ment enfoncées, surtout la mésométanotale. Mais le métanotum est obliquement tronqué derrière et bordé latéralement et en haut d’une forte arête lamelliforme qui est translucide, du moins tout le long des côtés. Ecaille et abdomen comme chez la confinis; ce dernier à très faible constriction. Luisante, finement ponctuée, comme la confinis. Finement pubes¬ cente ; pubescence courte et peu dense. Pilosité dressée éparse sur le corps, jaunâtre, nulle sur les membres. D’un jaune brunâtre passant au brun jaunâtre. Mandibules et pattes jaunâtres, ainsi que le milieu de l’épistome. Malacca : Kwala Lumpur (Biró). Voisine de confinis , mais bien distincte de toutes ses voisines par le rebord lamelleux du métanotum et par la forme courte de la tête. Ponera pygmæa n. sp. Long 1*4 mill. Mandibules lisses, luisantes, aves quelques points, une forte dent devant et 7 à 8 denti- FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. •cules en arrière. Lobes des arêts frontales médiocres. Oeil situé vers le quart antérieur et composé d’une facette. Tête rectangulaire, d51A en¬ viron plus longue que large, peu rétrécie devant, faiblement concave derrière. Les scapes n’atteignent pas le bord occipital. Dernier article des antennes très grand et épais, aussi long que les 9 précédents en¬ semble. Sutures du thorax très distinctes ; seule la mésométanotale fait un léger enfoncement du profil qui est du reste régulièrement et médio¬ crement convexe. Face déclive obliquement tronquée, aussi longue que la basale et bordée comme chez la P. dulcis d’une petite arête. Écaille d’épaisseur moyenne, 2 Va fois plus haute qu’épaisse, tronquée sur sa face postérieure, convexe devant. Un lobe translucide sous le pédicule. Premier segment de l’abdomen un peu plus haut que long, médiocre¬ ment rétréci derrière. Sculpture, pubescence, pilosité et couleur comme chez la P. dulcis, mais un peu plus ponctuée, et un peu plus pubescente, surtout l’abdo¬ men. Les mandibules et les pattes sont d’un jarune pâle et la massue des antennes d’un jaune brunâtre, le corps plus jaunâtre, plus terne que chez la dulcis. Malacca: Kwala Lumpur (Biró). Distincte de toutes les autres espèces connues du genre par son uxtrême petitesse, ainsi que par la massue des antennes. Kuponéra ( Brachyponera ) sennaar ensis Mayr Ç. Arabie: Muscat (Biró). Kuponéra (Pseudoponera) Darwini Forel var. indica Emery ç . Malacca: Kwala Lumpur (Bíró). Kuponéra (Pseudoponera) stigma F. Ç. Brésil: Fonteboa. Kuponéra ( Pseudoponera ) stigma F. var. attrita Forel Ç. Paraguay: Asuncion (Anisits). Euponera (Mesoponera) Chyzeri n. sp. $?. Long. 13 mill. Mandi¬ bules plus longues et plus étroites que chez la Kauveli Emery, à bord externe légèrement concave, luisantes, avec de gros points espacés allongés, un peu effacés, et quelques rides vagues. Elles ont 11 à 12 dents irrégulières. Tête ovale-rectangulaire, a côtés fort convexes, à bord postérieur faiblement concave, un peu plus longue que large, un peu plus large devant que derrière. Les yeux médiocres sont situés un peu en arrière du tiers antérieur. Épistome sans carène, à bord antérieur arqué (convexe) et largement échancré au milieu. Deux petites arêtes médianes longitudinales entre les deux arêtes frontales. Les premiers articles du funicule sont trois fois plus longs qu’épais, le second aussi long que le 2me. Le scape dépasse l’occiput d’un quart de sa longueur. Nettement, quoique obtusément bordé latéralement (subbordé), le prono- 6 A. FOREL turn forme un disque aussi large que long. A la hauteur du bord antérieur du mésonotum, son bord forme un angle et se dirige vers le bas de chaque côté du mésonotum qu’il entoure. Les côtés du pronotum sont aussi comprimés. Sutures distinctes. Mésonotum en disque légère¬ ment transversal. Fort étroite et subhorizontale, la face basale du métanotum est aussi longue que le pronotum et le mésonotum réunis. Entre elle et le mésonotum, le profil du thorax est largement concave. La face basale passe par une courbe arrondie à la face déclive qui est subbordée latéralement, de moitié plus courte et beaucoup plus large. Écaille analogue à celle de la Fauveli, mais beaucoup plus épaisse à sa base, bien plus trièdrique et plus convexe derrière dans le sens longitudinal, avec la face postérieure large et fortement quoique obtusé- ment bordée. Elle est très amincie devant et sa face antérieure se réduit presque à un bord vertical obtus. Joues et milieu de l’épistome densément striés en long. Le reste de la tête densément et finement ponctué-réticulé et subopaque ou presque, mat. Pronotum, mésonotum, face basale du métanotum, pattes et scapes plus ou moins faiblement et finement ponctués-réticulés, passant à une ponctuation dense et oblique, plutôt luisants. Côtés du mésonotum et du métanotum obliquement et finement ridés. Face dé¬ clive du métanotum finement et transversalement ridée. Écaille et abdo¬ men finement et abondamment ponctués, luisants. Tout le corps recou¬ vert d’une belle pubescence dorée (un peu mordorée), assez longue et épaisse, formant de petits faisceaux entre lesquels on peut voir la sculpture. Sur les membres, la pubescence est grise ou jaunâtre, fine et courte. Pilosité dressée jaunâtre éparse sur tout le corps, les pattes et les scapes. Noire. Mandibules, funicules et tarses bruns ; le reste des pattes et les scapes d’un noir brunâtre. Colombie: Yallée du Cauca. Bien plus grande que la Fauveli Emery, sa plus proche parente, cette espèce s’en distingue surtout par la forme de la tête et du pro¬ notum, ainsi que par ses yeux plus petits et moins convexes et par sa belle pubescence dorée. Celle de la Fauveli est bien plus faible, plus fine et beaucoup moins apparente. La tête de la M. Chyzeri est aussi plus grande, surtout plus large en proportion. Pachycondyla striata Smith. £ et cf . Brésil : Sta Catharina, Blumen au. Pachycondyla (Bothroponera) tesserinoda Mayr £. cf. Inde orien¬ tale : Bombay, Trichinopoly, Matheran (Biró). Pachycondyla (Bothroponera) sulcata Mayr cf. Bombay (Bíró). F0RMICIDE3 DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 7 Pachycondyla (Bothroponem) fugax n. sp. Ç. Long 6*5 à 7 mill. Mandibules armées de six dents distinctes, striées vers leur extrémité, lisses vers leur base, avec de gros points épars. Epistome très court, sans carène, avec le bord antérieur avancé devant, au milieu, en arc assez convexe. Lobes antérieurs des arêtes frontales larges, presque contigus et fort peu dépassés devant par l’épistome. Situés plutôt en arrière du quart antérieur des côtés de la tête, les yeux, fort petits, se composent d’environ 45 facettes et sont moins larges que la base du scape. Tête carrée, à peine plus longue que large (sans les mandibules), faiblement et largement concave derrière. Les scapes n’atteignent pas le bord occipital. Antennes épaisses. Articles 3 à 7 du funicule deux fois plus épais que longs. Ecaille comme chez les B. Mayri et rufipes , convexe devant et concave derrière, 13A fois plus large qu’épaisse, rétrécie devant, élargie et bordée derrière, un peu plus épaisse au sommet qu’à la base. Constriction de l’abdomen bien nette, comme chez la B. crassa Em. Face déclive du métanotum tronquée et subbordée ou bordée. Tout le corps densément et assez finement réticulé et mat ou un peu subopaque (abdomen et écaille) ; au sommet de l’écaille, les réticu¬ lations se changent en rides longitudinales. Membres densément ponctués et subopaques, plutôt luisants, du moins les pattes. En outre tout le corps est régulièrement parsemé de grosses fossettes espacées, dont le fond est aussi réticulé que les intervalles;- Sauf ces grosses fossettes qui y sont aussi, la face déclive du métanotum est lisse et luisante. Finement et peu densément pubescente ; la pubescence est rous- sâtre. Pilosité dressée nulle, sauf vers la bouche et sous le corps. L’un brun assez foncé ; scapes et pattes d’un brun roussâtre ou rougeâtre. Afrique orientale: Arusha-chini, Lac Djipé (Katona). Voisine de B. talpa ; André,' mais plus petite, avec l’écaille plus large, les yeux situés plus en arrière et une sculpture et une pilosité fort différentes. Chez la B. talpa, le métanotum n’est pas nettement tronqué selon André. Neoponera tarsata Latr. Ç et j. Brésil : Fonteboa et Tonantins. Neoponera villosa F. Ç et ÿ . Paraguay : Asuncion (ànisits, Vezényi). Neoponera pallipes Smith Ç. Brésil. Diacamma rugosum Le Guillou subsp. vagans Smith var. birmana Emery . Singapore (Csíki). Leptogenys (Lobopelta) Peuqueti André. ?. Ceylon: Colombo (Bíró). Cerapachis ( Sy saia ) Bírói n. sp. Ç. Long. 2*4 à 3 mill. Mandi¬ bules triangulaires, tranchantes sans dents, luisantes, lisses, avec de gros points enfoncés. Les arêtes frontales atteignent le bord antérieur 8 À. FOREL de la tête, se recourbent autour de l’articulation des antennes et remon¬ tent latéralement en arrière, parallèlement aux arêtes des joues qui sont élevées et convergent légèrement vers le front sans l’atteindre. Pas d’yeux. Tête convexe, ovale-rectangulaire, médiocrement concave derrière, à côtés médiocrement convexes, d’un quart à peine plus longue que large. Antennes de 9 articles. Scapes très courts, fortement clavés, n’atteignant pas le milieu de la tête. Dernier articlé gonflé, formant seul la massue, aussi long que les six précédents ensemble. Thorax subcylindrique, sans sutures, à profil dorsal peu convexe. Métanotum subverticalement tronqué; sa face déclive est bordée d’une petite arête, vive sur les côtés, moins forte en haut, au milieu. Le pédicule a deux nœuds subcubiques. Le premier est un peu plus étroit que le métano¬ tum, aussi haut devant que large et que long, avec les angles très arrondis. Vu de dessus, le second est plus anguleux, rétréci devant (en trapèze), où il est aussi large que le métanotum. Derrière, il est lVs fois plus large que le 1er nœud et un peu plus large que long. Il est moins haut que large et a dessous un lobe longitudinal très épais (provenant de la plaque ventrale atrophiée du segment abdominal rétréci que représente le nœud). Le premier segment de l’abdomen proprement dit est plus de deux fois plus large que la largeur postérieure du 2me nœud ; il recouvre les a/3 antérieurs de l’abdomen, à peu près comme chez Y australis. Subopaque, densément et assez grossièrement ponctuée. Abdomen plus luisant et plus finement, mais abondamment ponctué, de même que les pattes. Abondamment pourvue partout d’une pubescence jaunâtre un peu laineuse, soulevée, ne cachant pas la sculpture. Pas de poils dressés, sauf aux extrémités du corps. D’un roux ferrugineux; pattes et antennes d’un roux jaunâtre. Singapore (Bíró). Bien distincte de la typhia qui n’a qu’un nœud au pédicule, c’est à dire dont le 2me nœud prend le caractère d’un premier segment ab¬ dominal. Non moins différente de Y australis qui a les mandibules den¬ telées, les téguments lisses et luisants, et un 2me nœud bien plus large, sans avoir encore le caractère d’un segment abdominal. C’est avec raison que M. Emery a rattaché les Sysçia et les Ooçeraea comme sous-genres aux Cerapachys. Roger avait séparé les O o cerasa des Syscia, les premières ayant deux articles au pédicule et 10 aux antennes, les secondes un article au pédicule et 9 aux antennes. Mais tandis que les S. Bírói Forel et australi s Forel ont 9 articles aux antennes, elles en ont deux au pédicule. Néanmoins il est clair que dans ce groupe le 2me nœud ou 2me article de l’abdomen primitif a FORMI CIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 9 une grande tendance à varier entre le type Ponerhiae et le type Dorylinae ou Myrmicinae ; la S. australis montre déjà cette tendance. On ne peut donc se servir de ce caractère pour établir des sous-genres, car on peut prévoir que de nouvelles espèces viendront compléter la série des transitions du type typhla au type Bírói. Par contre M. Emery a fondé un sous-genre « Cystas » pour deux espèces dont l’abdomen proprement dit est entièrement ou à peu près recouvert par son premier segment, mais qui ont deux nœuds au pédicule et 9 articles aux an¬ tennes. Je ne crois pas non plus que ce sous-genre puisse être main¬ tenu, car aussi à ce point de vue les S. Bírói et australis font une transition entre la C. typhla et les Oôceraeà. Je range donc jusqu’à nouvel ordre toutes les espèces à 9 articles dans le sous-genre Syscia. Cerapachis afer n. sp. Ç. Long. 2*4 à 3 mill. Mandibules trian¬ gulaires, lisses, luisantes, avec des points épars, à bord terminal tran¬ chant, sauf quelques denticules irréguliers vers son extrémité basale. Epistome, arêtes frontales et arêtes des joues comme chez le C. (Syscia) Bírói. Tête rectangulaire, allongée, plus étroite devant que derrière, à bord antérieur droit et postérieur concave ; côtés médiocrement con¬ vexes. La tête est plus à! PU fois (presque 17s) plus longue que large. Yeux médiocres, situés au milieu des côtés. Scapes lentement clavés. dépassant un peu le milieu de la tête. Le dernier article renflé du funi¬ cule, long comme les cinq précédents ensemble, forme seul la massue. Occiput tronqué derrière, avec ses angles un peu étirés en bas. Côtés de la tête comprimés en arrière et bordés en bas, vers la face inférieure. Angles antérieurs inférieurs du pronotum nets, triangulaires. Thorax subcylindrique 273 fois plus long que large, sans sutures, un peu rétréci et comprimé latéralement au milieu (région du mésonotum), arrondi, avec le métanotum plus large que le pronotum (forme du thorax des Phyraeaces). Face déclive du métanotum subverticalement tronquée, plus large que haute, bordée en haut et de côté d’une arête vive. Pédi¬ cule (1er nœud) un peu plus large que long, élargi derrière (vu de dessus trapéziforme), avec quatre côtés rectilignes et quatre angles nets, subdentiformes derrière, tronqué verticalement et bordé devant et derri¬ ère, avec un lobe rectangulaire longitudinal en dessous, au milieu. Premier segment de l’abdomen (2me nœud), vu de dessus, presque carré, un peu plus large que long, l1/® fois plus large que le pédicule, un peu moins large que le segment suivant de l’abdomen, beaucoup plus court que lui, et séparé de lui par un profond étranglement formant de chaque côté une forte incisure, de sorte que ce segment ressemble autant à un 2me nœud grand et iarge qu’à un 1er segment d’abdomen. Le segment suivant recouvre les 73 du reste de l’abdomen. 10 A. FOREL Lisse et luisant. Sur la tête des points épars très nets qui sont encore plus abondants et plus gros sur le thorax. Le pédicule et le premier segment de l’abdomen sont abondamment et grossièrement ponc¬ tués ; les points, plus abondants et plus gros que sur le thorax, y devien¬ nent des fossettes assez denses. La face déclive du métanotum et les sur¬ faces tronquées du pédicule sont lisses ; le reste de l’abdomen n’a qu’une ponctuation fine et éparse, piligère. Pubescence grossière, longue, diluée et soulevée. Pas de poils dressés, sauf aux extrémités du corps. Noir; pattes d’un brun jaunâtre; tarses, antennés et mandibules d’un roux jaunâtre. Ç . Long. 3*3 mill. Extrêmement semblable à l’ouvrière. Mésono- tum avec des points épars. Thorax plus étroit que la tête. Ailes hyali¬ nes, à tache marginale et nervures très pâles ; elles n’atteignent pas l’extrémité de l’abdomen. Afrique orientale allemande : Mto-ya-kifaru, Arusha-chini (Katona). Voisin du Peringueyi Emlry et du cribrinodis Emery, mais plus petit et bien distinct. Le genre Phyracaces Emery ne diffère de Cerapachys que par le dernier article bien moins renflé des funicules. Néanmoins le Ph. Tur- neri Forel d’Australie a un dernier article fortement renflé qui fait presque la transition. Les autres caractères sont encore bien plus in¬ constants, et la forme générale du corps des Ph. Kr a epelini et Turneri est très voisine de celle des Cerapachys afer, cribrinodis etc. Je ne puis pour ma part considérer les Phyracaces que comme sous-genre de Cerapachys. Aenictus Birói n. sp. Ç. Long. 2*7 à 2*9 mill. Très voisin de Y Ae. Wroughtoni Forel, mais bien distinct. Mandibules lisses, luisan¬ tes, avec des points épars et un large bord terminal, comme chez Y Ae. Wrouyhtoni. Mais ce bord est finement denticulé derrière et a deux dents devant. La tête est bien plus large que chez le Wrouyhtoni et sa var. Ságéi , plutôt plus large derrière que devant (le contraire chez Saget), d’un quart à peine plus longue que large. Le scape dépasse légèrement le bord occipital (ne l’atteint pas chez Sagei). Funicule un peu plus grêle. Le thorax a la forme du Wroughtoni, mais la 'conca¬ vité ou échancrure méso-métanotale est un peu moins accentuée. La face déclive du métanotum est bordée d’une arête vive qui forme même au sommet une petite proéminence subdenti- forme. — Un lobe longitudinal peu proéminent, mais fort distinct, sous le premier nœud. Nœuds et abdomen comme chez 1’ Ae. Wroughtoni . Métanotum et dos du mésonotum densément réticulés-ponctués et mats ; le reste lisse et luisant. Pilosité comme chez le Wroughtoni FOSMI CIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 11 typique, diluée un peu partout, moins abondante et moins longue que chez la var. Sagei. D’un rouge jaunâtre; abdomen et pattes jaunes; tête sans tache. Ceylon: Pattipola, 2000 mètres (Biró). Par son métanotum à face déclive bordée et par la sculpture du thorax, cette espèce est facile à distinguer du Wroughtoni, tandis que ses mandibules et l’échancrure du thorax la séparent des autres espèces jaunes d’Asie. Ressemble un peu au punensis Forel qui est beaucoup plus robuste du reste. M. Biró a trouvé en février 1902 près de Pattipola, dans un lieu découvert, un nid très peuplé qui était creusé dans un sol d’argile dure. Strumigenys Emiliæ n. sp. £. Long. 1*8 mill. Groupe du S. Baudueri. Mandibules subopaques, triangulaires, plus courtes que l’épi- stome, distinctement courbées en dedans, armées à leur bord terminal de 8 ou 9 dents pointues et serrées. Elles ont une pubescence diluée et brillante. Épistome un peu plus large que long, arqué devant. Tête cordiforme, plutôt plus large derrière qu’elle n’est longue jusqu’à l’épistome (sans lui), bien plus élargie en arrière que chez le S. Marga¬ ritae. Les arêtes frontales ne sont que faiblement échancrées latérale¬ ment en arrière de leur lobe antérieur. Situés au milieu des côtés de la tête, les yeux sont cachés (vue de devant) sous le scrobe antennaire. Le scape atteint le quart postérieur de la tête. Cette dernière médiocre¬ ment échancrée derrière, au milieu. Thorax très faiblement convexe ; suture pro-mésonotale indistincte ; suture méso-métanotale assez dis¬ tincte ; dos continu. Pronotum subbordé. Mésonotum et métanotum bor¬ dés. Face basale du métanotum carrée, aussi large que longue, un peu creusée derrière, terminée par deux épines presque horizontales, légère¬ ment divergentes, pointues, grêles, longues comme les % de leur inter¬ valle. Une petite lamelle aréolaire descend de chaque épine au bas de la face déclive qu’elle borde et qui a la longueur de la face basale. Premier nœud du pédicule bas, court, beaucoup plus large que long, convexe derrière, tronqué devant, pourvu d’un pétiole antérieur 2 fois au moins plus long que lui. Second nœud cupuliforme, convexe devant, élargi derrière, presque deux fois plus large que le premier. Des masses aréolaires spongieuses derrière chaque nœud et en dessous, mais pas sous le pétiole du premier nœud. Derrière le 2me nœud, elles sont interrompues au milieu, sur le dos. Densément réticulée -ponctuée et mate, pattes, scapes et face dé¬ clive du métanotum inclus. Abdomen lisse et luisant avec quelques courtes stries longitudinales à sa base. Des poils clavés, brillants, en forme de cuiller sans manche sont dispersés assez régulièrement sur la 12 A. FOEEL tête et le thorax. Sur les scapes et devant l’épistome ils forment une rangée un peu plus pédonculée. Sur l’abdomen et les pattes ils ont un manche ou pédoncule plus long et sont moins larges, faisant passage aux poils ordinaires couchés ou demi-couchés qui sont aussi dispersés sur le corps et sur les membres. Pas de poils dressés aux tibias. Sur l’abdomen, les poils clavés et pédonculés sont dressés. Entièrement d’un jaune testacé terne un peu plus foncé sur la tête et le thorax. Paraguay : Asuncion (Vezényi). Voisine de Margaritae Foeel, mais bien distincte par sa tête plus large et son abdomen lisse. Cataulacus horridus Smith Ç. Singapore (Bmó). Procryptoeerus Goldii Foeel j-. Long. 5 mill. Identique à l’ou¬ vrière. mais le mésonotum et le scutellum sont luisants, très finement chagrinés, avec de grosses fossettes très abondantes, espacées, un peu allongées (chez l’ouvrière, le mésonotum est grossièrement ridé et assez mat). Les ailes manquent. Brésil : Fonteboa. J’ai décrit autrefois cette espèce sur des Ç de Blumenau et de la Province de Bio. Cryptocerus grandinosus Smith $>. Paraguay: Asuncion (Anisits), Meranoplus Rothneyi Foeel . Inde orientale : Trichinopoly (Bieô). Meranoplus Incolor Guébin . Inde orientale : Bombay (Bieô). Meranoplus pubescens Smith var. fenestratus Smith $. N. S. Wa¬ les : Sydney (Bieô). Meranoplus nanus Andeé subsp. nanior n. subsp. Ç . Long. F9 mill. Outre sa taille exiguë, cette variété diffère du type de l’espèce par sa sculpture plus faible partout, par les dentelures plus obtuses du bord du thorax, par ses nœuds encore plus minces et plus squamifor- mes, puis par son thorax encore plus court, l3/* fois plus large que long. La tête est plus étroite que le thorax (aussi large chez le type de l’espèce). Les épines du métanotum font entièrement dé¬ faut; le métanotum est absolument inerme. La pilosité laineuse et abondante est aussi plus courte. Afrique orientale : Mto-ya-kifaru (Katona). Var. Kiboshana n. var. Long. 3*2 mill. Taille, forme et sculpture de l’espèce typique. Mais les épines métanotales font défaut, et la pilosité est comme chez la subsp. nanior . Afrique orientale : Kibosho (Katona). Sans la présence de la var. Kiboshana j’aurais pris le nanior pour une espèce nouvelle. L’absence des épines chez une simple race s’explique du fait qu’ elles sont très ténues chez le nanus typique. FOBMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 13 Du reste la parenté intime cle ces deux formes entre elles et avec l’espèce typique est manifeste. Triglyphothrix Trimeni Emery 9- Afrique orientale: Kibosho et Mto-ya-kifaru (Katona). Tetramorium ( Xiphomyrmex) Humblotü Forel var. pembensis Forel. ? et ç. Afrique orientale: Moshi, Arusha-chini, Boma-Gombe (Katona). Tetramorium guineense F. j. Java: Batavia (Biró). Tetramorium simillimum Smith 9. Afrique orientale: Kibosho (Katona) ; Egypte : Ismailia (Biró). Tetramorium pacificum Mayr 9. Malacca: Kwala Lumpur (Bíró). Tetramorium Kraepelini Forel ? . Malacca : Kwala Lumpur (Biró). Tetramorium longicorne n. sp. 9. Long. 3*8 à 4 mill. Mandi¬ bules avec 3 dents distinctes devant, peu distinctement denticulées en arrière, subopaques, très finement striées et ponctuées. Tête carrée, concave derrière, avec les angles occipitaux courbés en bas comme chez le T. Bloehmanni. Partie médiane de l’épistome plate, avec une forte impression transversale derrière le bord antérieur. Bord postérieur for¬ tement relevé sur les côtés Aire frontale ridée, indistincte. Yeux grands, convexes, situés au milieu des côtés. Arêtes frontales plus écartées l’une de l’autre à leur base que du bord de la tête, très peu divergentes, prolongées jusqu’au vertex et laissant en dehors un espace indistinct pour la base des scapes. Les scapes dépassent le bord occipital d’un bon tiers de leur longueur. Tous les articles du funicule sont plus longs qu’épais. Pronotum bordé devant et de côté, formant deux angles an¬ térieurs subdentiformes. Un peu déprimé devant, il monte en arrière, pour former la convexité promésonotale. Au sommet de cette convexité, médiocre du reste, son bord latéral forme un tubercule mousse, allongé, pour se continuer en bord obtus le long du mésonotum et du métano-- turn. Le thorax est allongé, surtout la face basale du métanotum qui est 2V2 fois plus longue que large, creusée en long sur sa moitié pos¬ térieure et terminée par deux épines grêles, peu divergentes, dirigées en arrière et un peu en haut, longues comme J Va fois leur intervalle ou comme la moitié de la face basale. Deux angles ou dents larges et obtuses à la place des épines métasternales. Suture promésonotale obso¬ lète ; suture mésométanotale visible, située au fond d’une concavité très large et très peu profonde du profil thoracique. Yu de dessus, le 1er nœud est ovale, beaucoup plus long que large ; il est verticalement tronqué devant et a un pétiole antérieur grêle et aussi long que lui. Le 2me nœud est plus court, cupuliforme, élargi derrière, presque aussi large derrière que long, avec un bourrelet transversal dessous. Pattes fort longues ; cuisses médiocrement et lentement renflées au milieu. 14 A. FOREL Finement réticulé-ponctué et mat, sauf les Vb postérieurs de l’ab¬ domen qui sont lisses et luisants. En outre grossièrement et irrégulière¬ ment ridé en long, avec des réticulations transversales : les nœuds et les côtés du métanotum, derrière, sont grossièrement réticulés. Le 1er tiers de l’abdomen a des rides longitudinales plus fines et plus serrées. Pattes et scapes finement réticulés et subopaques. Glabre, sauf quelques soies très courtes sur l’abdomen et le devant de la tête. Les membres n’ont qu’une pubescence adjacente diluée. L’un brun foncé; abdomen noirâtre, avec l’extrémité roussâtre ; pattes, antennes, mandibules et épistome d’un roux brunâtre. Afrique orientale : Mto-ya-kifaru (Katona). Espèce très remarquable et caractéristique par ses membres, la forme du thorax etc. Tetramorium pauper n. sp. Ç. Long. 1*7 à 1*8 mill. Mandibules lisses, armées de 3 dents pointues devant et d’environ 4 denticules derrière. Epistome avancé au milieu en lobe court et rectangulaire, dont le bord antérieur est droit, ou à peine évasé au milieu. Arêtes frontales courtes, faiblement divergentes. Pas trace de scrobe, ni d’espace pour les scapes. Tête rectangulaire, légèrement plus longue que large, à bord postérieur droit et à côtés à peine convexes. Yeux petits (12 à 14 facettes), situés un peu en avant du milieu des côtés. Antennes de 12 articles. Le scape est court et atteint le quart ou le cinquième postérieur de la tête. Les articles 2 à 8 du funicule bien plus épais que longs. Thorax sans sutures, 2Vs fois plus long que sa largeur an¬ térieure, avec des angles antérieurs obtus, mais assez distincts. Son dos est médiocrement convexe en long et en large, subbordé. Le métanotum a deux dents extrêmement petites ; sa face déclive est bordée et un peu concave, sa face basale nettement subbordée et assez plane, mais in¬ clinée en arrière. Leux très petites dents métasternales, et deux petits lobes derrière les hanches postérieures. Les deux nœuds sont arrondis, le premier aussi long que large, le 2me plus large que long et que le 1er qui a un pétiole long comme les 2/s du nœud. Abdomen faiblement convexe en dessus. Tête assez luisante, faiblement et lâchement ridée en long, un peu réticulée en outre sur les côtés, avec le milieu du front lisse et luisant. Côtés du thorax réticulés et subopaques (encore assez luisants). Tout le reste lisse et luisant. Pilosité dressée courte, obtuse, jaunâtre, fort dispersée sur le corps, nulle sur les tibias et les scapes qui n’ont qu’une pubescence peu dense. Cette dernière très dispersée sur le corps. Tête, antennes et thorax d’un jaune roussâtre; tout le reste d’un jaune un peu terne. FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 15 Afrique orientale : Mto-ya-kifaru (Katona). Petite espèce qui n’a rien de bien saillant, mais qui ne se rap¬ porte à aucune autre. Ressemble à certaines races du simillimum, en particulier à la race aberrante denticulatum Forel de l’Inde. Ressemble aussi beaucoup au pycjmCieum Emery ( 5 ), mais celui-ci a des épines, une sculpture et une pilosité bien plus fortes. Tetramorium pauper subsp. nigrum n. subsp. Ç. Long. 1*8 à 1*9 mill. Tête d’Vs à V 4 plus longue que large, à bord postérieur légè¬ rement concave. Les arêtes frontales se prolongent faiblement jusqu’au vertex, mais sans laisser en dehors d’espace distinct pour les scapes. Ceux-ci bien plus longs, atteignant le 7me postérieur de la tête. Les yeux bien plus grands, comptant au moins 30 facettes, situés au milieu des côtés. Dents du métanotum très obtuses, réduites à deux tubercules, mais plus larges que chez le type de l’espèce; dents métasternale s au contraire plus distinctes. Premier nœud du pédicule abrupt ou tronqué devant (plus arrondi chez le type de l’espèce). Noir, luisant, sauf les côtés du thorax qui sont subopaques ; antennes et mandibules d’un jaune roussâtre ; pattes jaunes. Tout le reste, en particulier la scul¬ pture et la pilosité, identique au type de l’espèce. Afrique orientale : Mto-ya-kifaru (Katona). Au premier abord on croit avoir affaire à une autre espèce. Mais, malgré les differences notables dans la couleur, les yeux, les arêtes frontales et la longueur des scapes, la parenté est telle que je ne puis en faire qu’une sous-espèce. Je suis persuadé qn’il existe des transitions. Tetramorium caespitum L var. calida n. var. Ç. Long. 2 '4 à 3*1 mill. Mandibules armées de 5 à 6 dents, striées, ponctuées et subopaques. Epistome convexe, avec une très petite carène médiane et le bord an¬ térieur largement et faiblement échancré au milieu. Arêtes frontales fortement divergentes, assez courtes, ne dépassant pas le front. Pas trace de scrobe, ni de place pour les scapes. Yeux médiocres, plutôt petits, situés en avant du milieu des côtés. Tête large, nettement dé¬ primé, carrée, légèrement plus longue que large, à cotés à peine con¬ vexes et à bord postérieur très peu concave. Scapes atteignant le 7? ou 7s postérieur de la tête. Articles 3 à 5 du funicule un peu plus épais que longs ; les suivants aussi longs ou plus longs qu’épais. Dos du thorax bordé devant et derrière, peu convexe (sauf devant); le profil accuse une faible, mais distincte dépression méso-métanotale. Suture promésonotale obsolète ; suture mésométanotale assez distincte. Face basale deux fois plus longue que large, terminée par deux dents poin¬ tues, plus longues que larges, subverticales, un peu divergentes. Face déclive courte, concave et bordée d’une arête, ayant en bas deux dents 16 A. FOREL de même taille que les métanotales. Premier nœud subcubique, un peu plus large que long et un peu plus long que son pétiole antérieur. Second nœud arrondi devant et un peu plus large que le premier, élargi derrière. Pattes plus grêles que chez le type. Sculpture de T. caespitum typique, mais entre les stries de la tête plutôt des points espacés que des réticulations. Les nœuds et l’abdomen lisses et luisants. Pilosité et pubescence plus faibles que chez le type de l’espèce. D’un roux jaunâtre ferrugineux. Abdomen et pédicule d3un jaune légèrement brunâtre. Pattes et antennes jaunes. Arabie : Muscat (Bieô). Wcismannia auropunctala Roger var. rugosa Forel Ç. Paraguay: Puerto Max (Vezényi). Dacryon Christæ n. sp. Ç. Long. 3 5 mill. Mandibules lisses, luisantes, avec peu de points et 5 dents, ridées vers leur base. Épistome avancé au milieu, devant, en lobe arqué, mais largement échancré au milieu de son bord antérieur. Tête rectangulaire, échancrée derrière, à côtés médiocrement convexes, légèrement plus longue que large. Yeux gros, convexes, un peu en avant du milieu. Arêtes frontales très diver¬ gentes, courtes, se perdant dans une ride. Scapes atteignant le quart postérieur de la tête. Promésonotum convexe, sans suture ni bord latéral. Une très petite dent latérale à la limite du pronotum et du mésonotum. Une échancrure large du thorax entre le mésonotum et la face basale qui est un peu convexe, située plus bas, à peine plus longue que large et terminée par deux petites épines pointues, plus courtes que leur intervalle. Face déclive creusée, bordée, plus courte que la basale. Yu de côté, le premier article du pédicule forme un cône fort bas, dans lequel on distingue mal ou à peine le nœud de son pétiole antérieur plus court que lui. Ce cône est néanmoins aigu et bidenté au sommet; vu de dessus, plus long que large. Second nœud arrondi 13A fois plus large que le premier, un peu plus large que long. Cuisses et tibias renflés. Abdomen très convexe en dessous, au milieu. Peu luisant ; très grossièrement et profondément ridé en long, avec des réticulations entre les rides. Second nœud grossièrement réti- culé-rugueux. Abdomen, pattes et antennes lisses et luisants. Quelques stries courtes à la base de l’abdomen. Pilosité dressée fine, jaunâtre, éparse sur le corps, les pattes et les scapes. Pubescence très éparse, un peu plus abondante et oblique sur les tioias, à côté de quelques soies dressées. D’un rouge brunâtre assez foncé; abdomen d’un jaune brunâtre; pattes et antennes d’un jaune roussâtre. FORMICI DES DU MUSER NATIONAL HONGROIS. 17 N. S. Wales: Sydney, Botany bay (Bíró). Bien plus grand que Y omniparens et bien distinct par les dents du 1er nœud et les épines métanotales. Il est par contre très voisin du Turneri Forel de Queensland, mais ce dernier a un scrobe pour les scapes, des dents bien plus longues au premier nœud, une sculpture moins profonde, la tête convexe derrière et l’épistome bicaréné et con¬ cave au milieu, ce qui le distingue amplement. Pristomyrmex Picteti Emery j . Malacca : Kwala Lumpur (Biró). Pristomyrmex brevispinosus Emery subsp. sulcatus Emery Ç. Malacca : Kwala Lumpur (Biró). Pristomyrmex pungens Mayr $ • Malacca : Kwala Lumpur (Bíró). Pheiclologeton diversus Jerdon Ç. Singapore (Bíró). Pheidologeton (Aneleus) perpusillus Emery subsp. spinosus n. subsp. 2J-. Long. 2*7 mill. Diffère du type de l'espèce par son métano- tum armé de deux épines courtes, guère plus longues que la moitié de leur intervalle, mais bien plus grandes que les petites dents de l’espèce typique. Puis le scape est bien plus court, n’atteignant pas le milieu de la tête (le dépassant un peu chez le type). Le front n’est pas strié latéralement. Enfin la couleur est un peu différente, roussâtre, avec l’abdomen d’un jaune brunâtre, les pattes et les antennes jaunes. Afrique orientale: Kibosho (Katona). Car dio condola nuda Mayr £. Inde orientale: Bombay (Biró). Cardiocondyla nuda Mayr subsp. minutior Forel Ç. Inde orien¬ tale : Dhond (Biró). Cardiocondyla Emeryi Forel Ç. Afrique orientale: Arusha-chini (Katona). Cardiocondyla Wroughtoni Forel Ç var. hawaiensis Forel ç . Singapore (Bíró). Cardiocondyla carbonaria n. sp. ÇL Long. L7 mill. Mandibules luisantes, ponctuées, ridées à leur base, armées de 5 dents. Epistome avancé en arc au milieu. Arêtes frontales courtes, peu divergentes. Yeux grands, plats, rapprochés de l’articulation des mandibules comme la moitié de leur diamètre et dépassant un peu derrière le tiers antérieur du côté de la tête. Tête en rectangle allongé, l Vs fois plus longue que large, à bord postérieur à peine concave et à côtés à peine convexes. Les scapes atteignent le quart postérieur de la tête. Pronotum arrondi devant, sans angles marqués. Profil dorsal du thorax peu convexe, légè¬ rement échancré vers la suture mésométanotale qui est distincte, tandis que la promésonotale est obsolète. Dents métanotales larges, pointues, un peu plus longues que larges à leur base, assez spiniformes. Face déclive concave, bien plus courte que la basale. Les nœuds sont sem- 2 Annales Musei Nationales Hungaric . V. 18 A. FOREL blables à ceux de la C. nuda , surtout de sa var. minutior , mais le premier nœud est bien plus brièvement pédonculé et le 2me plus court (plus large relativement à sa longueur, bien plus large que long) et encore plus plat. Entièrement mate, fortement, densément et finement réticulée- ponctuée. Pattes et scapes plus faiblement réticulés et subopaques. Pilo¬ sité dressée nulle. Tout le corps et les membres recouverts d’une pu¬ bescence plutôt longue, d’un jaune doré, qui, sur la tête et surtout sur l’abdomen forme un léger duvet doré qui se voit surtout obliquement et qui cache un peu la sculpture. Entièrement noire, avec les mandibules, les antennes et les pattes jaunes ; les cuisses sont d’un brun noirâtre au milieu. Inde orientale : Matheran, 800 mètres (Biró). Parente de la mula , cette espèce est bien distincte de toutes les autres par sa tête allongée, sa sculpture, sa pubescence et sa couleur. Monomorium Salomonis L. Ç. Egypte: Alexandrie (Biró). Monomorium Salomonis L. var. subopacum Smith Ç. Égypte: Suez (Biró). Monomorium. Salomonis L. subsp. indicum Forel Ç. Inde orien¬ tale : Madras, Trichinopoly (Biró). Monomorium venus l um Smith $?. Arabie: Muscat (Biró). Monomorium incolor Emery ç. Afrique orientale: Mto-ya-Hfaru (Katona). Monomorium carbonarium, Smith Ç . Arabie : Aden (Bíró). Monomorium minutum Mayr subsp. mad ecus sum Forel Ç. Afrique orientale : Mto-ya-kifaru (Katona). Monomorium minutum Mayr subsp. minimum Buckley Ç. Pa¬ raguay: Asuncion (Vezényi). Monomorium Hanneli n. sp. Ç. Long. 1*8 mill. Mandibules lisses, avec quelques points, armées de 4 dents. Épistome avancé, bicaréné et bidenté. Tête rectangulaire, un peu plus longue que large, faiblement concave derrière. Yeux plats, au tiers antérieurs de la tête. Antennes de 12 articles. Les scapes dépassent un peu le quart postérieur. Proméso- notum convexe, arrondi, large, sans suture. Profil dorsal du thorax continu, absolument sans concavité, ni échancrure. Suture mésométanotale fortement imprimée. Face basale du métanotum sur un plan un peu incliné, mais creusée d’une gouttière médiane longitudinale sur ses Va postérieurs, plus longue que la face déclive et séparée d’elle par un angle obtus. Face déclive subverticale. Nœuds semblables à ceux du minutum r. madecassum, mais plus hauts, le premier subsquami- forme, bien plus haut que le 2me, longuement pétiolé, le 2me deux fois FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. n plus large et plus haut que long. Le 1er nœud -est bien plus haut que chez le minutum, presque aussi haut que la longueur de tout le premier article du pédicule. Absolument lisse et luisant, éparsément et finement ponctué. Les points sont un peu plus forts sur la tête. Quelques stries entre les arêtes frontales. Une pilosité dressée très fine et jaune est médiocrement dispersée sur le corps. Les pattes et les scapes n’ont qu’une pubescence à peu près adjacente. D’un brun noir ou d’un noir brunâtre. Pattes, antennes et man¬ dibules jaunâtres. Afrique orientale : Mto-ya-ldfaru (Katona). Très voisin du minutum, mais distinct par la forme du métanotum. Monomorium latinodé Mayr $ . Inde orientale : Madras (Biró). Monomorium, gracillimum Smith Ç. Arabie: Muscat; Inde orientale: Matheran (Biró) ; Cochinchine : Saigon (Xántus). Monomorium gracillimum Smith subsp. Magri Forel Ç. Inde orientale : Bombay, Lonauli (Biró). Monomorium Wroughtoni Forel Ç. Inde orientale: Matheran, 800 mètres (Biró). Monomorium atomus Forel var. integrius Forel Ç. Inde orien¬ tale : Dbond (Biró). Monomorium i destructor Jerdon $ . Inde orientale : Bombay ; Cey¬ lon : Colombo (Biró). Monomorium, floricola Jerdon Ç. Nouvelle Guinée: Stepbansort, Astrolabe Bay (Bíró). Monomorium Birói n. sp. Ç. Long 1*4 à 1*5 mill. Mandibules lisses, luisantes, à points épars, avec quelques courtes stries vers l’ex¬ trémité, armées de 4 dents. Epistome subbicaréné, à peine subbidenté, mais distinctement échancré au milieu du bord antérieur. Arêtes fron¬ tales parallèles. Tête carrée, distinctement déprimée, un peu plus longue que large, faiblement éch ancrée derrière. Yeux plutôt grands, situés au tiers antérieur de la tête et composés d’une vingtaine de facettes. An¬ tennes de 12 articles, dont le dernier est long comme les 4 précédents réunis. Le scape dépasse le quart postérieur de la tête. Thorax à peine convexe, sauf devant le prono turn, à profil dorsal à peine ou pas in¬ terrompu à la suture mésométanotale qui est distincte. Suture promé- sonotale obsolète. Face basale du métanotum étroite, un peu subbordée, IVa fois plus longue que large, séparée de la face déclive plus courte par deux tubercules allongés et mousses, formant un angle très obtus. Premier nœud conique, arrondi en haut, aussi haut que long à sa base, à pan postérieur plus court que l’antérieur, brièvement pétiolé. 2me nœud 20 A. FOREL arrondi, un peu plus large que long. Abdomen déprimé dessus, convexe dessous, un peu tronqué et atténué devant. Tête, thorax et nœuds subopaques. Tête, pronotum et mésonotum extraordinairement finement et densément striés. La sculpture est d’une telle finesse qu’il faut l’objectif n° 7 de Hartnack pris comme loupe pour la voir; avec le n° 4 on ne la discerne pas ! Les stries sont lon¬ gitudinales, mais sur le pronotum elles se recourbent devant en arc et deviennent transversales. Les nœuds, les côtés du thorax et le devant du métanotum sont extrêmement finement réticulés. La face déclive et le derrière de la face basale, entre les tubercules, sont transversalement ridés. L’abdomen et les membres lisses et luisants. Une pubescence fine, adjacente, jaune et diluée recouvre le corps et les membres. Pilo¬ sité dressée à peu près nulle. D’un jaune pâle et terne; tête d’un jaune un peu roussâtre; thorax d’un jaune plus vif. Inde orientale : Trichinopoly (Biró). La finesse de la sculpture de cette curieuse espèce est digne de M. L. Biró auquel je la dédie. Monomorium Sydney ense Forel Ç. N. S. Wales: Blue Mountains, Ml Victoria (Bíró). Monomorium sordidum Forel var. nigriv entre Forel Ç. N. S. Wa¬ les : Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Monomorium siibcoecum Emery r. australicum n. subsp. Ç • Long. 1*8 mill. D’un jaune très pâle, plus pâle que chez le type de l’espèce. Un peu plus robuste que ce dernier. Les carènes de l’épistome un peu plus écartées. Echancrure mésométanotale plus profonde. Second nœud légèrement plus haut. Je ne puis du reste trouver ancune différence. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Le type du subcoecum est de l’Antille de St. Thomas ! Il est diffi¬ cile d’admettre qu’une fourmi à peu près aveugle, donc hypogée, ait été transportée par les bateaux des Antilles en Australie ou vice versa. D’un autre côté les formes de ce genre sont en général locales. S’agit-il de convergence fortuite? Monomorium (Martia) Vezényii n. sp. et n. subg. $?. Long. 1*9 mill. Mandibules fort longues, comme les % du reste de la tête, étroites, à bord terminal passant sans limite au bord interne et muni d’environ 4 à 5 dents peu distinctes, surtout les antérieures, à bord externe peu convexe, lisses, luisantes, ponctuées. Epistome avancé devant, avec deux fortes carènes aiguës, terminées chacune par une longue dent. De chaque côté de ces dents une 2me dent beaucoup plus petite. Tête ovale-rec¬ tangulaire, aussi large que longue, à côtés et bord postérieur mèdio- FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 21 crement convexes, plutôt plus large devant que derrière, fort convexe. Yeux un peu en avant du tiers antérieur. Le scape atteint le quart postérieur. Antennes de il articles. La massue, de 3 articles, est plus longue que le reste du funicule, dont les articles, sauf le premier, sont extrêmement courts et larges (les médians 2 Va fois plus épais que longs). Thorax court, à dos large, bordé devant, de côté et derrière, avec les angles antérieurs du pronotum subdentés. Promésonotum sans suture, à peine plus long que large, convexe. Profil du thorax continu, sans échancrure. Face basale rectangulaire, 17a fois plus longue que large, terminée par deux petites dents fort courtes. Face déclive creusée, bor¬ dée en haut et de chaque côté d’une crête, bien plus courte que la basale. Les deux nœuds squamiformes, très minces ; le premier incliné en arrière, avec un pétiole antérieur, de longueur médiocre et une con¬ vexité en dessous, le 2me concave devant, un peu plus épais que le 1er, mais 4 fois plus large qu’épais. Abdomen court, ovale. Métanotum ridé transversalement de six grosses rides ou stries qui traversent à la fois la face basale et les côtés, rendant le bord moins net que sur le promésonotum. Promésonotum en partie strié en long, plus ou moins lisse au milieu. Tout le reste, y compris les pattes et les scapes, lisse, luisant, avec une ponctuation piligère espacée qui est assez grosse et fort distincte sur la tête, mais qui fait défaut au milieu du front. Pilosité dressée fine, jaune, assez longue, assez abon¬ dante sur tout le corps les pattes et les scapes. Pubescence adjacente presque nulle. D’un rouge jaunâtre ; pattes, antennes derrière de l’abdomen et mandibules jaunes ; 1er segment de l’abdomen brun. Paraguay: Puerto Max (Vezényi). Cette espèce est si aberrante qu’on serait tenté d’en faire un sous- genre. Mais elle est voisine du M. rastratum Mayr (qui a la tête striée et le métanotum finement strié, et qui est plus grand). Mayr ne dit rien de la forme des mandibules chez le rastratum. Je propose par contre un sous-genre (Martia n. subg.) pour les Monomorvum dont les antennes ont 11 articles ou moins, afin de faci¬ liter le groupement des espèces de ce grand genre. Pheidole pallidula Nyl. y %. Égypte: Alexandrie (Biro). Pheidole sculpturata Mayr subsp. Katonae n. subsp. Ç. Long. 2*2 mill. Plus petite que le type de l’espèce dont elle diffère surtout par ses scapes bien plus courts, qui dépassent à peine ou ne dépassent pas le bord occipital, puis par sa sculpture entièrement réticulée ponc¬ tuée et mate, aussi sur la tête et l’abdomen. La grande sous-espèce Berthoudi Forel a une sculpture presque aussi forte, mais de longues A. FOREL épines et les scapes comme la forme typique. La subsp. Katonae a par contre les petites dents ou épines de la forme typique. Sans le ^ il est bien difficile de dire s’il s’agit d’une espèce différente, ou d’une sous-espèce, ou d’une simple variété. Afrique orientale : Borna Gombé (Katona). Pheidole spathifera Forel var. Yerburyi Forel £ . Ceylon : Kala- Wewa (Madarász) ; Inde orientale : Madras, Trichinopoly (Biró). Pheidole Phipsoni Forel Ç. Inde orientale: Matheran et Madras (Biró). Pheidole latinoda Roger subsp. angustior Forel Ç . Bombay (Biró). Pheidole rhombinoda Mayr Ç. Bombay (Biró). Pheidole plagiaria Smith $>. Malacca: Kwala Lumpur (Biró). Cremaslog aster scuiellaris Ol. var. ß Emery Ç . Moréé : Hagios Wlassis (Brenske). Cremastog aster inermis Mayr Ç . Égypte : Suez (Biró). Cremastog aster tricolor Gerst. var. rufonigra Emery Ç. Afrique orientale : Kibosho (Katona). Cremastog aster gallicola Forel var. Rauana n. var. Ç. Long. 2*7 à 3 mill. Diffère du type par ses épines plus longues comme plus de la moitié de leur intervalle, par le sillon plus profond qui partage le 2me nœud entièrement en deux, et par une sculpture plus forte, très finement et densément ridée en long sur toute la tête et le thorax (en travers sur l’occiput), sculpture qui rend l’insecte soyeux ou subopaque ; les nœuds sont aussi subopaques. Chez certains individus d’Arusha-chini, le mésonotum a en outre deux élévations latérales tuberculiformes der¬ rière et il est un peu concave entre deux. Antennes de 11 articles. Afrique orientale : Moshi près de la rivière Eau, Arusha-chini (Katona). Cremastogaster luctans n. sp. Ç. Long. 2*5 à 3*3 mill. Mandi¬ bules densément ridées et subopaques. Tête rectangulaire, un peu plus large que longue, échancrée derrière. Yeux situés un peu en avant du tiers postérieur. Les scapes atteignent ou dépassent d’une idée le bord occipital. Dos du thorax bordé. Bord antérieur du pronotum moins aigu que son bord latéral qui proémine en lobe ou feston sur le côté. Devant, le dos du pronotum tombe en marche verticale d’escalier sur son cou antérieur, comme chez le C. Kneri Mayr. Pronotum presque 3 fois plus large que long, plan dans le sens trans¬ versal. Sutures distinctes. Mésonotum aussi long que large, caréné au milieu, à bords (ou carènes latérales) un peu divergents d’arrière en avant. La suture mésométanotale constitue une échancrure étroite et profonde du profil dorsal et lateral du thorax. Face basale du méta- FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 23 notum très courte; son bord se prolonge en deux robustes épines sub- horizontales, très divergentes, aussi longues que l’intervalle de leurs bases. Face déclive très oblique, plus longue que la basale. Premier nœud en trapèze très court et très large, avec le bord antérieur droit et les angles antérieurs très arrondis. Sans la tête articulaire il est en¬ viron deux fois plus large que long. Second nœud arrondi, sans trace de sillon, à bord postérieur à peu près droit ou légèrement concave. Le nœud est d’un tiers ou de moitié plus étroit que le 1er et un peu plus large que long. Abdomen court, cordiforme. Antennes de 1 1 articles. Epistome, joues, dos et côtés du thorax longitudinalement et assez grossièrement ridés et subopaques. Quelques rides sur le front, le long des arêtes frontales. Pédicule et face déclive du métanotum finement réticulés et subopaques. Tout le reste luisant, faiblement chagriné, avec des points piligères assez abondants et apparents sur la tête et l’abdo¬ men. Une pubescence jaune, assez courte, espacée, mais apparente par¬ tout sur le corps et sur les membres. Pilosité dressée à peu près nulle. D’un roux ferrugineux un peu jaunâtre ; tête d’un roux plus foncé. Premier segment de l’abdomen brun clair, le reste d’un brun presque noir; bord des segments étroitement jaunâtre. J . Long. 7 '5 à 7*8 mill. Tête comme chez l’ouvrière, mais l’epi- stome en partie lisse. Thorax lisse, sauf le métanotum qui n’a que deux dents larges et obtuses. Premier nœud à bord antérieur arqué, du reste comme chez l’ouvrière. Second nœud presque aussi large que le premier. Ailes hyalines, avec les nervures et la tache marginale très pâles. D’un roux brunâtre terne avec l’abdomen brun noirâtre et le bord de ses segments jaunâtres. Très peu caractéristique et sans doute impossible à distinguer de ses congénères sans l’ouvrière. Afrique orientale : Mto-ya-kifaru (Katona). Voisin du Kneri Mayr, dont il diffère par son pronotum bien plus court et plus large, ses scapes plus courts, ses épines plus robustes, sa face basale bien plus courte, son premier nœud deux fois plus large, sa taille moindre (surtout chez la ) et la sculpture bien plus lisse de sa tête. La j du Kneri a des épines. Voisin aussi du striatala Emery. Cremastog aster lia g enfio feri Mayr Ç . Inde orientale : Matheran (Biró). Cremastog aster artifex Mayr subsp. luteus Emery Malacca: Kwala Lumpur (Bíró). Cremastogaster Rothncyi Mayr var. civa Forel $ . Inde orientale : Matheran (Biró). Cremastogaster subnuda Mayr subsp. contemta Mayr $?. Chine: Thinthong (Xantus). 24 A. FOREL Cremastogaster longipilosa n. sp. $?. Long. 2*7 à 2-8 mill. Man- clibnles relativement longues, lisses, luisantes, ponctuées, armées de 4 dents Tête en carré arrondi, aussi longue que large, à bord postérieur plutôt convexe. Arêtes frontales divergentes. Yeux convexes, au tiers postérieur. Les scapes dépassent l’occiput. Pronotum subbordé devant, avec une ou deux petites verrues piligères. Suture promésonotale obsolète. Mésonotum sans carène médiane, avec deux carènes latérales terminées devant par une verrue piligère, derrière par une dent pointue. Métano- tum creusé, oblique, bordé de deux épines à base large et dilatée et a extrémité ténue, longues comme la moitié de leur large intervalle. Premier nœud du pédicule rectangulaire, un peu élargi derrière, arrondi devant, à bord postérieur rectiligne, terminé de chaque côté par une verrue piligère. Second nœud en ellipse transversale, sans trace de sil¬ lon ni d’échancrure. Abdomen grand, assez allongé, très pointu et relevé derrière. Pattes assez longues. Antennes de 11 articles, massue de deux. Entièrement lisse et luisant. Thorax, pédicule et abdomen révêtus de longues et fortes soies jaunes pointues, un peu inclinées en arrière, dont quelques unes partent des verrues et dents citées plus haut. Celles des verrues du pronotum sont p. ex. presque aussi longues que le pro¬ notum et le mésonotum réunis. Ces soies sont clair-semées. Sur la tête, les pattes et les scapes, elles sont plus fines et plus courtes, sur les scapes assez abondantes, obliques et clair-semées sur les tibias. Pubescence adjacente extrêmement éparse. D’un jaune terne et sale; dessus de la tête d’un jaune brun. Abdomen, sauf le devant, d’un brun jaunâtre. Malacca : Kwala Lumpur (Biro). Caractérisé par sa pilosité, ses verrues et les dents du métanotum. Cremastogaster Ferrarli Emery subsp. lumpurensis n. subsp. Ç. Long. 3*1 mill. Diffère du type de l’espèce par le profil à peine échancré du thorax, par la face basale plane et beaucoup plus longue du méta¬ notum (convexe et très courte chez le type), enfin par les épines longues et grêles du métanotum qui sont presque aussi longues que leur inter¬ valle. La pilosité dressée est aussi plus longue. Du reste identique au Ferrarii typique de Sumatra. Malacca : Kwala Lumpur (Biró). Cremastogaster Buddháé Forel r. sic n. subsp. Ç. Long. 2 à 2°7 mill. Diffère surtout du type de l’espèce par la forme du thorax. Le Buddháé typique a au mésonotum deux carènes relevées qu’on ne voit pas chez le sic, où il n’y a qu’un bord peu visible et seulement de côté, par dessous. Puis les épines sont très grêles, subhorizontales, presque parallèles et courbées en bas chez le sic, plus robustes, diver- FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 25 gentes et dirigées vers le haut chez le Buddháé. En outre, chez le sic, le premier nœud est bien plus arrondi et non rhombiforme. Le sic est aussi plus robuste et a la tête et le thorax plus larges. Le promésono- tum est lisse et luisant (finement sculpté chez le Buddháé). Enfin le sic a sur les pattes et les scapes une pilosité dressée fine et jaune qui fait defaut au Buddháé et qui est aussi bien plus abondante sur le corps que chez lui. L’un noir à peine brunâtre, avec les mandibules, les pattes, les antennes et le 1er nœud d’un jaune brunâtre. Malacca: Kwala Lumpur (Biró). Le type du Buddháé est de l’Himalaya, de Calcutta et de Sikkim. Cremastogaster leviceps Smith 9. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Crematogaster sordidula Nyl. subsp. rogans Eorel 9. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Biró). Cremastogaster brevispinosa Mayr, subsp. tumulifera Forel 9. Paraguay : Asuncion (Vezényi et Anisits). Cremastogaster curvispinosa Mayr 9. Paraguay: Asuncion (Vezényi). Cremastogaster quadriformis Loger subsp. Vezényli n. subsp. 9- Long. 2*3 mill. Semblable à la variété gracilior Forel, mais différant du "type et des autres races ou variétés par l’absence complète de dents dans l’échancrure mésométanotale. La tête est aussi lisse et luisante, sauf l’occiput, et le profil du dos du thorax à peine interrompu à la suture mésométanotale. JDu reste comme la v. gracilior , mais encore plus petit. Paraguay : Asuncion (Vezényi). Cremastogaster longispina Emery 9- Pérou: Pebas. Cremastogaster limata Smith 9. Brésil (Sarkady). Creari asio g aster Moniezumia Smith subsp. sulcata Matr 9. Brésil: Blumenau. Cremastogaster acuta F. 9. Brésil: Eonteboa. Cremastogaster Emery! nov. nom. = Cr. Bírói Emery Termé¬ szetrajzi Füzetek XXIII. 1900 p. 332, nec Mayr Természetrajzi Füzetek XX. 1S97 p. 428. Stenamma (Messor) barbarum L. r. capitatum Ltr. var. rugosum André 9- Chine: Kiangsee Yangtzi (Xántus). Fogonomyrmex barbatus Smith var. molefaciens Buckley 9- Texas. Fscudomyrma accinthobia Emery 9. Paraguay: Asuncion (Vezényi). Ma Ps. delicatula n’est guère qu’une sous-espèce de V acanthobia, avec une forme de tête un peu différente. 26 A. FOEEL Pseudom yrrría gracilis Fobel ç ç . Brésil ; Paraguay : Asuncion (Vezényi). Pseudomyrma 9 près flavidula Smith, indéterminable sans Ç . Pa¬ raguay: Asuncion (Vezényi). Sima natalensis Smith Ç . Afrique orientale : Mto-ya-kifaru (Katona). Sima attenuata Smith var. thagatensis Fobel £ ç. Singapore (Bibó). Dolichoderus mesonotalis n. sp. ç. Long. 4*8 mill. Mandibules épaisses, luisantes, abondamment ponctuées, armées de 9 à 10 dents. L’épistome forme derrière, surtout sur les côtés, un bourrelet relevé, puis descend en pente brusque sur les fossettes antennaires. Tête plus longue que large, en trapèze, fortement échancrée derrière, à côtés peu convexes. Aire frontale triangulaire, profonde, très petite. D’abord très superficiel, le sillon frontal se prolonge et s’accentue sur le vertex pour devenir un large sillon occipital qui divise la tête en deux moitiés, comme chez le % de beaucoup de Pheidole , quoique d’une façon bien moins apparente. Tête subtronquée derrière, du vertex à l’occiput, un peu comprimée sur les côtés. Yeux un peu en arrière du milieu des côtés. Les scapes dépassent l’occiput d’un bon quart de leur longueur. Tous les articles du funicule plus longs qu’épais, le 2me de la longueur du premier et bien plus long que les suivants qui sont égaux. Prono- tum médiocrement convexe ; mésonotum et face basale du métanotum plans. Pronotum deux fois plus large que long. Mésonotum bordé, un peu plus large que long, avec une ligne transversale imprimée au tiers antérieur, et portant derrière, sur le bord, ^un tubercule dentiform e. La suture mésométanotale est profonde et détermine une courte incisure du profil dorsal du thorax. Face basale du métanotum obtusément bordée, carrée, légèrement rétrécie en avant, à peine plus longue que large. Face déclive verticale, plus longue que la basale et formant un angle droit avec elle. Ecaille très haute, ovale un peu inclinée en avant, assez mince, convexe devant, concave derrière, avec le bord supérieur non acuminé, mais légèrement recourbée en arrière. Abdomen ovale, haut devant. Irrégulièrement et densément ponctué-réticulé. Subopaque. Abdomen plus luisant, à sculpture moins profonde, plus réticulée. Une pubescence d’un jaune roussâtre assez dense recouvre tout le corps et les membres et donne à l’insecte un aspect gris. Pilosité dressée courte, d’un jaune roussâtre, assez abondante sur tout le corps, les pattes et les scapes. Noir ; bord des mandibules, extrémité des tarses et articulations bruns. Brésil : Tonantins. Espèce très caractéristique. FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 27 Iridomyrmex üinerans Lowne ç. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Biró). Iridomyrmex üinerans Lowne var. depilis Em. ç. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Puis une variété tenant le milieu entre le type et la var. depilis; même localité. Iridomyrmex anceps Roger ç . N. S. Wales : Mt. Victoria (Biró). Iridomyrmex gracilis Lowne ç. N. S. Wales: Mt. Victoria (Biró). Iridomyrmex rufoniger Lowne var. domesticus Forel ç. N. S. Wales : Mt. Victoria (Biró). Iridomyrmex rufoniger Lowne subsp. pallidus Forel £. Queens¬ land : Townsviile (Biró). Iridomyrmex rufoniger Lowne subsp. victorianus Forel ç. N. S. Wales : Mt. Victoria (Biró). Outre les caractères que j’ai déjà indiqués pour cette sous-espèce, il faut ajouter que les scapes sont plus longs, dépassant le bord occipital d’un cinquième de leur longueur, et que le métanotum est moins bossu, plus tronqué derrière (face déclive) et moins convexe dessus et devant. La tête est beaucoup plus étroite, plus allongée, à côtés beaucoup moins convexes et la taille bien plus petite. Iridomyrmex punctati s simus Em. ç. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Biró). Iridomyrmex Mattiroloi Emery subsp. parcens n. subsp. $ . Long. 2 mill. Mandibules beaucoup plus petites et plus courtes que chez le type du Mattiroloi, en partie cachées sous l’épistome, avec beaucoup moins de dents. Tête beaucoup plus courte, ovale, seulement un peu plus longue que large, seulement un peu plus rétrécie devant que der¬ rière, à côtés fort convexes. Yeux assez plats, vers le milieu. Les scapes dépassent l’occiput d’Vs de leur longueur. Face déclive du métanotum presque verticalement tronquée. Pas d’éclat métallique marqué. Tout le reste est néanmoins si identique au Mattiroloi que je n’en fais provi¬ soirement qu’une sous- espèce. Il faut un matériel plus complet pour décider s’il s’agit d’une espèce bien distincte. K S. Wales : Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Iridomyrmex longiceps n. sp. j . Long. 7 7 mill. Mandibules grandes, épaisses, à bord externe convexe, armées d’une dizaine de dents, fortement et abondamment ponctuées, finement striolées entre les points. Epistome caréné au milieu sur sa moitié postérieure, à bord antérieur droit, d’un angle de la tête à l’autre. Tête en long rectangle, deux fois plus longue que large, fortement déprimée dessus et dessous, échancrée au milieu de son bord postérieur; occiput creus.é derrière ce bord. Yeux plats, grands, ovales, obliquement situés au tiers antérieur de la tête. Les scapes n’atteignent pas le tiers postérieur de la tête / 28 A. FOEEL (à peine le 3me cinquième). Les articles 3 à 10 du funicule sont seule¬ ment légèrement plus longs qu’épais, le 2me beaucoup plus court que le 1 er. Pronotum très rétréci devant. Thorax étroit. Métanotum arrondi, à face déclive très basse. Ecaille médiocrement épaisse, assez verticale, peu élevée, à bord supérieur obtus et arrondi. Abdomen étroit et arrondi. Assez luisant, abondamment ponctué, surtout sur la tête, l’abdo¬ men et les pattes. Une pilosité dressée jaune, fine, pointue, médiocre¬ ment répandue (plutôt dispersée) sur le corps, courte et oblique sur les pattes et les scapes (passant à la pubescence). Une pubescence pruineuse jaunâtre, plutôt espacée, répandue partout. D’un noir brunâtre. Pattes, antennes, mandibules et devant de l’épistome d’un brun roussâtre. Ailes subhyalinés, un peu teintées de jaunâtre. Nervures et tache marginale brunes. Bord postérieur des seg¬ ments de l’abdomen jaune. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Brno). 11 est évident que cette espèce doit vivre dans des cavités végéta¬ les cylindriques, peut-être un peu déprimées. Sa forme trahit son genre de vie, connu pour les Azteca d’Amérique ayant un aspect semblable. Les Iridomyrmex anguliceps Fobel et Froggcitti Fobel d’Australie, dont la structure est analogue, doivent être dans le même cas. Les $ des ces trois espèces sont encore inconnues, parce qu’en Aus¬ tralie on n’a pas encore cherché leur nid en cassant les branches de végétaux à cavités médullaires vides, comme les Duroia, Cecropia et Triplaris d’Amérique. Qu’on cherche, et l’on trouvera là d’intéressantes adaptations par phylogénèse. Avis aux botanistes et entomologistes d’Australie ! Tapinoma (Doleromyrma) darwinianum n. sp. $. et n. subg. Long. 1*6 à 1*8 mill. Mandibules poilues, subopaques, très finement striées, luisantes vers le bord terminal qui a deux fortes dents devant et de petites dents derrière* Bord antérieur de l’épistome droit avec une petite échan¬ crure peu profonde au milieu. Tête rectangulaire, plus longue que large, échancrée derrière, à côtés assez convexes. Situés en avant du milieu des côtés, les yeux sont assez grands, mais assez plats. Les scapes dépassent le bord occipital d’-A de leur longueur. Les derniers articles du funicule (sauf l’article terminal) sont les plus courts, mais ils sont encore un peu plus longs qu’épais. Sutures du thorax très distinctes. Mésonotum plus long que large, rétréci derrière. Echancrure méso- métanotalè faible. Face basale du métanotum très courte, subhorizon¬ tale. Face déclive obliquement subtronquée, deux fois plus longue que la basale. Écaille petite, mince, peu élevée, un peu inclinée en avant, FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 29 mais nullement soudée au pédicule. L’orifice du cloaque n’est ni di¬ stinctement infère, ni distinctement terminal. Subopaque, finement et densément ponctué, recouvert partout d’un duvet de pubescence jaunâtre qui ne cache qu’un peu la sculpture. Pas de pilosité dressée, sauf aux extrémités du corps et dessous. Brunâtre. Pattes, antennes, mandibules et bord postérieur des segments abdominaux d’un jaune sale ou brunâtre. cT. Long. L9 mill. Mandibules armées de 4 on 5 petites dents. Épistome à bord antérieur droit, sans échancrure. Tête à bord postérieur droit ou faiblement échancré et à côtés convexes. Le scape, très court, est loin d’atteindre l’ocelle antérieur. Le mésonotum est avancé devant et surplombe le pronotum. Face basale du métanotum plus longue que la face déclive. Ecaille basse, plutôt mince, verticale. Sculpture, pubes¬ cence et pilosité de l’ouvrière. D’un jaune sale ; vertex brunâtre ; pattes, antennes et mandibules d’un jaune très pâle. Ailes faiblement jaunâtres, avec les nervures et la tache marginale pâles. Cellule radiale fermée. Une seule cellule cubitale. La nervure transverse s’unit à la nervure cubitale an point de partage de cette dernière. Cellule discoidale assez petite. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Cette espèce est fort embarrassante. J’hésite à la placer dans le genre Tapinoma , auquel son aspect général, la forme de la tête et l’ épistome la rattachent, ou dans le genre Iriclomyrmex dont elle a l’écaille. Au premier abord elle ressemble au Bothriomyrmex pusillus Mayr, mais les ailes du cf l’en séparent absolument. Il faudrait qu’un matériel plus considérable et frais permît l’examen du gésier. En atten¬ dant je propose d’en faire un sous-genre: Doleromyrma. Tapinoma minutum Mayr Ç . N. S. Wales : Mt. Victoria (Biró). Technomyrmex albipes Smith 9. N. S. Wales: Mt. Victoria (Biró). Melophorus iridescens Emery subsp. Frog gatti Eorel £. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Biró). Melophorus Bírói n. sp. 9 major. Long. 4 mill. Mandibules très- nettement coudées à leur milieu en angle, tant à leur bord externe qu’à leur bord interne ; le coude est oblique (chez les M. aeneovirens et iridescens les mandibules commencent à se couder faiblement). Elles ont 5 dents obtuses et sônt grossièrement ridées sur leur face externe, avant et après le coude ; la dent terminale est courte. Bord antérieur de l’épistome assez droit. Tête en rectangle transversal à angles arron¬ dis, l1/* fois plus large que longue (lVs chez le ludius Forel; c’est par erreur que j’avais écrit presque d’1/*). Arêtes frontales courtes, divergentes. Yeux plats, plutôt grands, situés un peu en avant du tiers 30 A. FOREL postérieur. Les scapes dépassent un peu le bord postérieur. Tous les articles du funicule bien plus longs qu’épais, le °2me plus court que le 1er et que le 3me ; mais ils sont plus épais que chez le ludius. Sutures du thorax très distinctes. Le promésonotum est très large, très convexe et très arrondi en tout sens ; le mésonotum forme un disque presque circulaire. Une forte échancrure mésométanotale qui porte au fond, de chaque côté, un stigmate dentiforme. Métanotum subcubique, mais arrondi entre les deux faces. Face basale convexe, 1 Va fois, plus large que longue ; face déclive bien plus longue, subverticalement tron¬ quée. Ecaille très mince et très tranchante, arrondie à son bord supé¬ rieur. Abdomen ovale ; pattes plutôt grêles. Lisse et très luissant ; çà et là, sur le thorax et l’abdomen des vestiges d’une sculpture chagrinée très faible. Pubescence adjacente très courte et très diluée, un peu plus abondante sur les membres. Cà et là un poil dressé jaune sur le corps, les tibias et les scapes. Des points enfoncés très épars et faibles sur la tête etc. D’un noir un peu brunâtre. Pattes, antennes, mandibules et joues rougeâtres. Un bord étroit des segments abdominaux jaunâtre. N. S. Wales : Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Cette espèce ressemble au ludius Forel par sa tête très courte et très large. Mais elle en diffère par ses mandibules coudées, par sa stature courte et robuste et par sa couleur. Il doit exister des minor que M. Biró n’a pas récoltées. Plagiolepis Brunni Mayr subsp. nilotica Mayr £. Afrique orien¬ tale : Kibosho (Katona). Plagiolepis Alluaudi Emery 9 j . Afrique orientale : Arusha- chini (Katona). J . Long. 2*7 mill. Jaune, scutellum, une tache périocellaire et une large bande sur chaque segment abdominal bruns. Tête très large et largement échancrée derrière, plutôt plus large que longue. Thorax plus large que la tête. Elle est plus pubescente et un peu plus sculptée (chagrinée) que l’ouvrière, d’un jaune plus foncé, un peu roussàtre sur la tête. Les ailes manquent. Du reste comme l’ouvrière. Prenolepis fulva Mayr $. Brésil. Prenolepis Rosàe Forel 9 5 cf. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Sur l’étiquette se trouve la notice: «Nidificat sub lapidibus in terra.» Les ailés ont été recueillis avec les ? par M. Biró le 12 Novembre 1900. Les valvules génitales des c? sont comme chez les exemplaires typiques de Sydney. Camponoius maculatus Fabr. subsp. thoracicus F. var. oasium Forel 9 cf . Tunisie : Sfax (Bedô). FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HUNGROIS. 31 Camponotus maculatus F. subsp. thoracicus F. var. Xerxes For. 9 Arabie : Muscat (Bíró). Camponotus maculatus F. subsp. barbaricus Emery 9. Tunisie: Sfax (Bedő). Camponotus maculatus F. sens, strict. 9. Afrique orientale: Kili¬ mandjaro (Bornemiszái Camponotus maculatus F. subsp. compressus F. 9. Inde orientale: Bombay et Lonauli (Biró). Camponotus erinaceus Gerst. 9. Afrique orientale: Kilimandjaro (Bornemisza). Camponotus foraminosus Forel subsp. chryso (fast er Emery. Afrique orientale : Mto-ya-kifaru (Katona). Camponotus foraminosus Forel subspecies lemma Forel var. Moshiana n. var. 9 minor. Long. 4*5 mill. Plus petite que le lemma typique, avec la face basale du métanotum un peu plus longue. La sculpture est auçsi un peu plus forte, ce qui rend la fourmi plus mate. Bords de la tête d’une idée plus convexes. L’un brun noir; pattes, an¬ tennes, mandibules, base de l’abdomen, une grande partie du thorax et un peu le devant de la tête, d’un brun ferrugineux rougeâtre. Ecaille plus petite. Afrique orientale : Moshi (Katona). Les soies et la forme typique du métanotum le rattachent avec tout le reste au lemma , mais il fau¬ drait connaître la grande 9. Camponotus akwapimensis Mayr 9 min. Afrique orientale : Mto-ya- ki fa-ru (Katona). Camponotus barbatus Roger subsp. Tumori Forel 9 . Ceylon : Pattipola, 2000 mètres (Biró). Camponotus reticulatus Roger subsp. Bedoti Emery 9. Singapore (Bíró) ; Java méridional : Palaboen (Xántus). Camponotus pseudolus nov. nom. %= Camponotus sericeus F. var. mendax Forel (Journ. Bombay Nat. Histor. Soc. 1895) = Camponotus mendax Bingham (Fauna of British India, Hymen. V., II, Ants 1903, p. 370), nec Emery (Ann. Soc. Ent. France LXIII 1894, p. 54). En 1895, j’ai nommé mendax un Camponotus de Mysore que j’ai considéré comme variété du sericeus F. En 1894 M. Emery avait appelé mendax une sous-espèce africaine du foraminosus Forel. Tant que la forme de l’Inde a été considérée comme simple variété du sericeus , le double emploi du nom était compatible avec les règles de la nomenclature. Mais M. Bingham ayant fait une espèce distincte de mon mendax en 1903, cela ne va plus, et ce nom doit tomber, la sous-espèce d’EMERY étant plus ancienne. Sans partager tout-à-fait l’opinion de 32 A. FOREL M. Bingham, le matériel ne suffisant pas encore à mon avis, je crois néanmoins que mes anciennes variétés mendax et integra du sericeus méritent de constituer au moins des sous-espèces, ce qui m’oblige à renommer la première. De toute façon cela vaut mieux pour ne pas embrouiller la nomenclature. Camponotus pallidus Smith subsp. subnudus Emery 9. Java méri¬ dional: Palaboen (Xántus). Camponotus oblongus Smith var. opaca n. var. £ minor et minor¬ media. Long. 6 à 7*5 mill. Diffère de Y oblongus typique par la tête, le thorax et l’écaille qui sont entièrement et densément réticulés- ponctués et mats, tandis que chez Voblongus typique la tête au moins est luisante ou subopaque, luisante chez la petite Ç. Les tibias sont aussi plus grêles et plus longs et n’ont pas trace de petits piquants (un ou deux chez Y oblongus). La carène de l’épistome est aussi un peu plus forte. Du reste identique. Indes orientale: Trichinopoly (Biró). Camponotus rufoglaucus Jerdon var. tenuis n. var. 5 minor. Long. 5*5 à 6 mill. Plus grêle que le type de l’espèce. La tête extrême¬ ment étroite, est environ deux fois plus longue que large (pas tout à fait iVs fois chez les 9 minima du rufoglaucus et subsp. paria). L’écaille est plus épaisse, plus convexe devant, mais plus nettement tronquée derrière. Les pattes plus grêles et plus longues ont surtout les cuisses et les tibias plus aplatis, ces derniers avec de petits piquants noirs plus dressés (plus apparents). Les scapes dépassent l’occiput de plus de la moitié de leur longueur. La pubescence est moins dense, surtout sur l’abdomen, où elle ne cache nullement la sculpture transversale¬ ment ridée. Antennes, joues, bord antérieur de l’épistome et mandibules d’un roux jaunâtre. Du reste identique à l’espèce typique. Inde orientale : Madras (Biró). J’ai cru d’abord qu’il s’agissait peut être des ouvrières extrême¬ ment ténues d’une fourmilière commençante. Je donne provisoirement un nom de varieté. Camponotus mistura Smith £ . Java : Sindanglaya (Xántus). Camponotus quadrisectus Smith subsp. hians n. subsp. *?. Long. 7*5 à 9 mill. Ç major-media. Mandibules armées d’environ 7 dents (6 ou 7), à bord externe fortement courbé, luisantes, lisses, abondamment ponc¬ tuées. L’épistome, sans carène, a un lobe rectangulaire extrêmement court. Tête un peu déprimée, subrectangulaire, faiblement élargie derrière, à côtés médiocrement convexes. Derrière, elle à l’échancrure profonde et typique, en trapèze, du quadrisectus 9. Ce qui rend cette échancrure FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 33 si spéciale, c’est que son fond est convexe. Arêtes frontales médiocre¬ ment divergentes. Les scapes dépassent le bord occipital. Les yeux sont un peu en arrière du milieu des côtés de la tête. Promesonotum médiocre¬ ment convexe. La suture promésonotale profondément enfoncée, faisant une impression. Suture mésométanotale plus faible. La partie posté¬ rieure du mésonotum et la face basale très étroite du métanotum for¬ ment un profil rectiligne. La face déclive, plane et plus longue que la basale, passe à elle par une courbe brusque subanguleuse. Ecaille moyenne, assez étroite et tranchante au sommet, épaissie en bas, bi¬ convexe. Cuisses, tibias et métatarses assez comprimés, mais non élar¬ gis; tibias sans piquants. Luisant, très faiblement et finement chagriné partout, avec des points espacés très abondants, mais effacés et très fins, plus distincts sur la tête. Thorax glabre ; quelques soies roussâtres éparses sur la tête et l’abdomen. Pattes et scapes abondamment hérissés d’une pilosité courte, rousse, assez fine. Pubescence adjacente très courte, diluée, mais bien visible partout avec une forte loupe. Noiie; tête et pronotum rougeâtres. Funicules, extrémité des tarses et articulations roussâtres ; bord postérieur des segments abdominaux jaune; scapes, mandibules et pattes d’un brun noirâtre. 9 minor media. Mandibules armées de 6 dents. Echancrure de la tête bien plus faible; les scapes dépassent un peu plus l’occiput. Du reste identique. Je ne sais s’il existe des formes plus extrêmes de l’ou¬ vrière ; c’est probable. Singapore (Bíró). Je possède, de Palawan, un C. quaclriseclus £ entièrement jaune roussâtre, avec les scapes, les mandibules et d’étroites bandes sur l’abdomen roussâtres. La tête est en outre bien plus déprimée que chez les 9 de Singapore de la subsp. hians . D’après Smith, le type ç des Philippines (examiné par Mayr) a l’abdomen brun et la tête et le thorax d'un roux brun. Smith n’attribue que 5 dents aux mandibules; il n’aura pas vu la 6me cachée sous l’épistome. Quoi qu’il en soit, au¬ cune 9 n’a été décrite jusqu’ici, et je crois bien faire en décrivant ces 9 de Singapore comme race du quaclriseclus en attendant que l’espèce soit mieux connue. Camponotus quadrisectus Sm. subsp. Margaritæ n. subsp. ? 9 minor. Long. 6 à 7 mill. Des 9 minor de Singapore, voisines du pré¬ cédent, en diffèrent par leur couleur noire, avec le thorax, les pattes, les scapes et les mandibules bruns, les funicules roussâtres, de longues et fortes soies rousses assez répandues sur la tête et le thorax, enfin par leur sculpture plus forte, surtout sur le mésonotum et le métanotum 3 Annales Musei Nationales Hungai ici. V. 34 A. FOREL qui sont réticulés-ponctués et mats. La tête est en trapèze, élargie et faiblement échancrée derrière, un peu plus longue que large. Les scapes sont plus longs (mais ce sont des 9 minor). L’écaille est acuminée au sommet. Du reste la forme du thorax, des pattes, de l’épistome et la pilosité des pattes et des scapes sont exactement les mêmes. Singapore (Bíró). C’est avec doute que je désigne ces 9 comme sous-espèce du quadrisechis . Il faudrait connaître le polymorphisme complet du quadri- sectus pour se prononcer avec certitude. Camponotus aeneopilosus Mayr 9. N. S. Wales: Blue Mountains, Mi Victoria (Bíró). Camponotus nigro aeneus Smith 9 N. S. Wales : Mt. Victoria (Biró). Camponotus nigroaeneus Smith subsp. divus n. subsp. 9 minor. Long. 6*5 mill. Plus grand et plus grêle que l’espèce typique. Mandi¬ bules plus longues, à bord externe moins courbé. Carène de l’épistome plus aiguë. Tête rectangulaire, au moins 1 1 2 fois plus longue que large (chez le type du nigroaeneus, la tête de la petite 9 est en trapèze, élargie derrière, seulement un peu plus longue que large). Pronotum moins large et moins bordé devant. Prodi de la face basale faiblement mais distinctement concave (déprimé). Plus luisant, surtout l’abdomen, l’écaille et le thorax; sculpture, ponctuation et pubescence plus faibles. Tout le reste identique : pilosité, couleur, sculpture générale, forme de l’écaille etc. N. S. Wales: Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Camponotus Low nei Forel 9 min. 'N. S. Wales: Mt. Victoria (Biro) Camponotus rlaripes Mayr 9 5 . N. S. Wales : Mt. Victoria (Biro). Camponotus innexus Forel 9. N. S. Wales: Mt. Victoria (Biro). Camponotus suffusus Smith 9. N. S. Wales: Mt. Victoria (Biró), faisant le passage à la variété bendi g ensis Forel. Camponotus senex Smith 9. Brésil (Vadona). Camponotus crassus Mayr 9. Brésil (Vadona); Paraguay: Asuncion (Vezényi). Camponotus abdominalis F. var. mediopallidus Forel. 9. Pérou: Pebas. Camponotus rufipes F. subsp. Renggeri Emery 9 . Paraguay : Asuncion (Anisits). Camponotus sexguttatus F. var. bimaculatus Sm. 9 Paraguay : Puerto Max (Vezényi). Camponotus Vezényli n. sp. minor et media 9. Long. 5*2 à 5*5 mill. Voisin du C. crassus Mayr et surtout du C. zoc Forel, dont il diffère comme suit : Épistome sans carène ; côtés de la tête nullement corn- FORMICIDES DU MUSEE NATIONAL HONGROIS. 35 primés (un peu comprimés chez le zoc, 9 minor); Tête moins convexe derrière que chez le zoc. Thorax encore plus large et plus robuste. Pronotum plus large que la tête et 3 fois plus large que long chez la Ç (de la largeur de la tête et tout au plus âVâ' fois plus large que long chez le zoc). Pronotum et métanotum bordés. Face basale du métanotum plus large que longue, passant d’une seule et même courbe fort convexe à la face déclive qui est au moins aussi longue qu’elle (chez le zoc et le pianatus les deux faces sont assez distinctes, sans toutefois former d’angle. Ecaille beaucoup plus épaisse que chez le zoc et le pianatus, verticalement tronquée derrière, avec le bord supérieur postérieur légèrement recourbé et surplombant un peu la surface tron¬ quée. Devant et surtout dessus, l’écaille est fortement convexe, sub¬ tronquée devant, sa convexité supérieure étant ascendante d’avant en arrière. Entièrement et densément réticulé-ponctué et mat, y compris l’abdomen, qui est à peine subopaque; pattes réticulées et subopaques. Des points espacés, piligères, surtout distincts sur l’abdomen. Pilosité dressée très abondante sur le corps, d’un blanc jaunâtre, longue, sur¬ tout sur le métanotum, semblable à celle du C. zoc, mais moins fine et plus abondante. Les pattes et les scapes ont une pilosité oblique. Pubescente adjacente fort diluée et très peu apparente ou presque nulle. Entièrement noir, avec les antennes, les mandibules et un bord étroit du devant de la tête d’un roussàtre plus ou moins ferrugineux (scapes mats, mandibules luisantes). Un bord jaunâtre étroit aux seg¬ ments abdominaux. Paraguay: Asuncion (Vezényi). Bien plus robuste que le crassus, proche parent de zoc et de pianatus , mais distinct. Bien plus petit et plus large que le mus qui a une longue face basale, une forte pubescence etc. Le canescens a l’écaille, la pilosité et la sculpture très différentes etc. Camponotus eurynotus n. sp. £ minor. Long. 47 mill. Parent de Saussurei Forel et d’ angulatus Mayr. Tête en trapèze, élargie en arrière, à côtés rectilignes et comprimés, à bord postérieur large et faiblement convexe, avec l’occiput subtronqué et un bord en arête de l’angle occipital à l’œil. Mandibules lisses, luisantes, ponctuées, armées de 5 ou 6 dents (?). Épistome subcaréné, à bord antérieur droit. Aire frontale indistincte. Arêtes frontales sinueuses, très fortement diver¬ gentes. Scapes grêles, dépassant l’occiput de plus de la moitié de leur longeur. Thorax bordé d’une arête aiguë devant et latéralement. Sutures très distinctes, mais pas trace d’échancrure. Le dos du thorax est faiblement convexe d’avant en arrière, plus convexe derrière vers le 3* 36 A. FOREL métanotum que devant vers le pronotum qui est presque plat. Prono- tum 2 7* fois plus large que long, un peu plus large encore que l’occiput, avec un bord lamelliforme, surplombant de côté et devant, et avec les angles antérieurs droits. Mésonotum plus large que long. Une incisure ou échancrure latérale entre son bord et ceux du pronotum et du méta¬ notum (ces échancrures se voient de dessus). Face basale du métanotum plus longue que large, formant un ovale bordé de côté, à la fois con¬ vexe et descendante. Face déclive subverticale, aussi longue que la basale, presque plane, et passant à la basale par une courbe assez brusque. Ecaille ovale, tranchante au sommet, assez large, convexe devant, assez plane derrière, épaissie vers le bas. Tibias cylindriques. Abdomen court, arrondi, sans bord. Subopaque, plutôt luisant. Tête et thorax finement réticulés dessus ; côtés de la tête luisants et presque lisses ; côtés du thorax ridés en long. Abdomen transversalement chagriné. Une pilosité dressée jaunâtre, pointue, abondante sur tout le corps, plutôt longue. Une rangée de longs poils recourbés en haut, au sommet de la face déclive du méta¬ notum, une autre autour de l’écaille. Les pattes et les scapes n’ont qu’une pubescence soulevée (poils courts et très obliques). Pubescence du reste très clair-semée sur le corps, mais un peu plus abondante, longue et jaunâtre sur l’abdomen où elle est assez régulièrement espacée. Noir; pattes et funicules, sauf le 1er article des funicules, et man¬ dibules d’un roux jaunâtre. Brésil: Tonantins. Très voisine du Saussurei Forel par la forme de la tête et du pronotum, cette curieuse espèce en diffère totalement par celle de son métanotum et de son abdomen. Du reste le rebord du pronotum est bien moins large et n’est nullement translucide. IJ angulatus Mayr est encore plus voisin, mais a le rebord du pronotum bien moins déve¬ loppé, le métanotum non bordé, une sculpture bien plus serrée, qui le rend mat, et une pilosité presque nulle. Camponotus ornatus n. sp. ^ . Long. 6*8 mill. Mandibules armées de 5 à 6 dents, courtes, épaisses, lisses, luisantes, éparsement et très finement ponctuées. Tête rectangulaire, fort convexe, un peu plus longue que large, un peu rétrécie devant, à côtés et bord postérieur médiocre¬ ment convexes, subtronquée devant, à partir du tiers postérieur de l’épistome, comme chez le Camponotus Yerburyi Forel, c’est à dire faisant assez exactement la transition au sous-genre Colobopsis Mayr. Portion moyenne de l’épistome ovale-rectangulaire, plutôt plus étroite devant que derrière, comme chez les Colobopsis, bien plus longue que FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 37 large ; ses côtés, réduits à un bourrelet caché sous le bord antérieur de la tête, comme chez les Colob op sis et chez ses voisins. Aire frontale petite, rhombiforme. Arêtes frontales d’abord très sinueuses et diver¬ gentes, ensuite subparallèles ou plutôt convexes en dehors, prolongées jusqu’à la place des ocelles postérieurs et recouvrant à moitié une fossette antennaire prolongée. Yeux un peu en avant du tiers postérieur de la tête. Les scapes dépassent légèrement l’occiput. Place de l’ocelle antérieur marquée par une dépression. Promésonotüm convexe devant et subdéprimé, presque plan en dessus. Suture promésonotale distincte. Pronotum large, mais arrondi, avec une dépression longitudinale très superficielle, peu apparente, large, mais qui lui donne une légère apparence subépaulée ou subbituberculée. Mésonotum subrectangu¬ laire, à peine plus large que long. La suture mésométanotale forme une profonde et étroite échancrure du profil dorsal du thorax. Face basale du métanotum horizontale, mais un peu convexe et sans bord distinct, rectangulaire, un peu plus longue que large, à peu près aussi, haute que le mésonotum. Face déclive un peu plus courte que la ba¬ sale, d’abord subverticale, puis concave, passant à la basale par une courbe très brusque. Écaille très large, à bord supérieur un peu échancré, très obtus et subrectiligne, épaisse, et aussi épaisse au sommet qu’à la base, avec ses faces antérieure et postérieure verticales, tronquées. Ab¬ domen très allongé, un peu atténué devant. Pattes assez courtes. Çà et là un poil jaunâtre sur le corps et les cuisses. Pubescence adjacente très courte, très espacée, difficile à voir, sauf sur les scapes et les tibias qui n’ont pas de poils dressés. D’un roux ou rougeâtre ferrugineux; écaille, métanotum, méso¬ notum, une grosse tache ronde de chaque côté du pronotum et un léger nuage sur le vertex d’un brun plus ou moins clair. Abdomen d’un noir velouté avec le dessous et une large bande longitudinale festonnée médiane sur les 2me, 3me et sur la base du 4me segments d’un jaune très clair, éclatant et à reflet doré. Sur les côtés, ]es trois angles ou festons de cette bande réjoignent par un pont étroit le jaune du dessous de l’abdomen, formant ainsi deux taches noires latérales sur les 2me et 3me segments. Les taches noires sont en partie entourées d’une bordure mordorée. Thorax mat, densément et fortement réticulé-ponctué ; tête et écaille subopaques, moins fortement réticulées-ponctuées ; pattes et scapes réticulés- chagrinés. Les parties jaunes et brillantes de l’abdomen sont transversalement chagrinées ; parfois aussi les rides chagrinées de¬ viennent contournées et même longitudinales. Les parties noires velou¬ tées sont à peu près opaques et en général très densément et extrême- 38 A. FOREL ment finement striées en long on en contours. Le rapport de la cou¬ leur à la sculpture n’est pas tout-à-fait constant; certaines parties jaunes sont subopaques et plus striées, certaines parties noires moins mates ou subopaques et plus chagrinées. En somme, l’éclat soyeux et chato¬ yant, ainsi que les stries contournées, rappellent le C. coruscus Smith d’Amérique. Amboine (Bíró). Cette espèce est splendide et singulière à la fois. Elle se place à côté des C. Yerburyi, reticulatus , Nirvánáé etc. Camponotus (Colobopsis) Gasseri Forel 9. N. S. Wales : Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Echinopla striata Smith ç. Célebes septentrional (Fruhstorfer). Polyrhachis militaris Fabr. ç. Afrique orientale: Arusha-chini (Katona). Polyrhachis militaris subsp. cupreo pub esc ens Forel Ç. Afrique orientale: Kilimandjaro (Bornemisza), Arusha-chini (Katona). Ç. (Nondum descripta.) Long. 9 mill. Pubescence cuivrée formant une belle pelisse sur l’abdomen et aussi sur le thorax et la tête. Tête et thorax striés-ridés en long. Les individus des deux localités indiquées sont bien typiques et caractéristiques pour la sous- espèce. J’ai fondé cette sous-espèce en 1879 sur une £ d’Afrique de 12*5 mill, de la Coll, de Saussure, à laquelle les Ç ci-dessus corres¬ pondent bien. Mais il existe diverses variétés, qui relient la cupreo - pubescens typique à la militaris typique. Je possède une de Ssibange, Gabon (Soyaux) dont la tête et le thorax sont fortement striés, mais qui n’a qu’une faible pubescence grise (var. ssibangensis n. var.). Une autre variété du Vieux Calabar est comme la cupreo pubescens et a sa pubescence cuivrée sur le thorax et la tête, mais l’abdomen n’a qu’une courte pubescence grise (var. calabarica n. var.). La longueur des épi¬ nes varie aussi, de même que la pilosité dressée. Polyrhachis schistacea Gerst. ç. Afrique orientale: Kilimandjaro (Bornemisza). Polyrhachis gagates Smith £. Afrique orientale: Kilimandjaro (Bornemisza). Polyrhachis simplex Mayr Ç. Inde orientale: Bombay (Biró). Polyrhachis bicolor Smith var. aurinasis Forel £ . Singapore (Bíró). Polyrhachis arcuata Le Guillou ç. Singapore (Bíró). Polyrhachis relucens Latr. subsp. Andromache Boger var. aloseana Forel ç. Nouvelle Irlande: Fissoa (Biró). Polyrhachis Orsyllus Smith ç. Singapore (Bíró). FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 39 Polyrhachis Mulieri Forel ç. Singapore (Bíró). Polyrhachis Mayri Boger var. pauperata Emery ç. Inde orien¬ tile : Calcutta (Széchenyi). Polyrhachis Solitisi Emery ç. Java: Sindanglaya (Xántus). Polyrhachis pun ctilla ta Boger ç. Java : Sindanglaya (Xántus). Polyrhachis thrinax Boger j. Célebes septentrional: Toli-Toli (Fruhstorfer). Polyrhachis cly peata Mayr var. lucidiventris n. var. ç. Diffère de la clypeata typique par ses pattes brunes et son abdomen luisant ou subopaque. Le type a les pattes jaune rouge et l’abdomen mat Cette variété trouvée dans l’Orissa et le Kanara (Inde) n’est pas con¬ stante (ma collection); la sculpture de l’abdomen est superficiellement ponctuée-réticulée. Polyrhachis Sempronia n. sp. 9. Long. 6’5 mill. Aspect de la P. clypeata Mayr, dont elle diffère comme suit : Mandibules moins luisantes, plus ponctuées. Epistome sans impression transversale, à lobe antérieur plus court, trapéziforme, ayant une petite dent à chaque angle. Tête plus longue que large, en trapèze, bien plus étroite devant que derrière, à côtés très peu convexes, légèrement comprimés, avec les angles postérieurs très marqués, quoique arrondis, et le bord posté¬ rieur convexe. Arêtes frontales parallèles, sans sinuosité au milieu. Yeux fort convexes, situés tout près des angles postérieurs. Scapes dépassant l’occiput d’un peu plus du tiers de leur longueur. Thorax conformé comme chez la clypeata , mais bien plus large et plus court. Bord an¬ térieur du pronotum bien moins convexe, avec des angles antérieurs plus droits, même dentiformes. Pronotum plus long que chez clypeata , moins de deux fois plus large que long. Mésonotum plus large que long et face basale du métanotum aussi. Cette dernière est un peu élargie derrière, fortement concave, à son bord postérieur, mais ne formant derrière que deux pyramides triangulaires, larges et plutôt obtuses, au lieu de dents lamelliformes. Face déclive longue comme la basale. Écaille munie de 4 épines subégales, dont les latérales sont situées plus bas que chez la clypeata , et dont les médianes sont plus écartées et plus divergentes. La longueur est à peu près la même. L’écaille est convexe devant et les 4 épines sont également et faible¬ ment courbées en arrière. Le premier segment recouvre un peu plus de la moitié de l’abdomen ; il est à peine ou pss subbordé à ses angles antérieurs. La sculpture est plus grossière que chez la clypeata, sauf sur l’abdomen, sur la face déclive du métanotum et sur les membres, où elle est superficiellement et finement ponctuée-réticulée, comme chez la 40 A. FOREL variété lucidiventris de la cly peata , ce qui rend ces organes assez lui¬ sants. Le reste est mat, assez finement et fort irrégulièrement réticulé ou rugueux, avec des rides longitudinales un peu plus grossières, médiocrement serrees. L’espace situé sous le rebord du thorax est lisse et luisant. L’écaille est simplement finement rugueuse. Pilosité dressée nulle, sauf sous le corps et à ses extrémités. Pubescence jaunâtre, pruineuse, comme chez la clyj cota , formant sur l’abdomen un fin duvet, comme chez cette espèce, peut-être un peu plus fort. Noire ; pattes, antennes et mandibules brunes. N. S. Wales : Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). L’affinité de cette espèce avec la cly peata me semble plus appa¬ rente que réelle, due peut-être a des phénomènes de convergence, mais elle est frappante. La sculpture du thorax et de la tête est voisine de celle de la subsp, r astrata Emery de la cly peata, mais plus irrégulière. Polyrhachis Birói n. sp. $>. Long. 7*8 à 8 mill. Mandibules assez luisantes, très finement et faiblement striées, avec des points épars, à bord externe peu courbé. Epistome faiblement caréné, avancé devant en lobe arrondi. Aire frontale grande. Arêtes frontales fort rapprochées à leur base, puis sinueuses et divergentes, mais il n’y a pas, comme chez la tabella , d’arête latérale allant de l’angle postérieur de l’épi storne au côté extérieur de l’articulation des antennes. Tête fort cenvexe, sans bord postérieur distinct, en ovale allongé, un peu comprimée latérale¬ ment, d’une idée moins large derrière que devant, à côtés très peu convexes. Yeux en avant du tiers postérieur. Scapes dépassant l’occiput de plus de leur moitié. Thorax conformé presque exactement comme chez la P. labella Smith, mais les épines pronotales sont plus diver¬ gentes, d’une idée plus longues (à peine moins longues que le prono- tum), et la face déclive du métanotum est moins verticale. Par contre cette dernière, un peu plus oblique et formant un angle plus obtus avec la face basale, est aussi longue que tout le dos du thorax qui est aussi plat, et aussi ascendant d’avant en arrière que chez la labella, aussi bordé et festonné que chez elle. La face déclive n’est ni bordée, ni même subbordée comme chez la labella; elle a vers le bas deux stigmates proéminents. L’écaille n’a que quatre dents fort obtuses et courtes ; entre les deux dents médianes, il y a au milieu une très petite, mais distincte convexité (chez la P. labella il y a deux dents latérales et deux fortes épines médianes dont l’intervalle est concave). Abdomen arrondi, sans bord. Finement, densément et irrégulièrement réticulée et longitudinale¬ ment ridée. Sur l’abdomen, les pattes et les scapes, cette sculpture est très serrée et rend ces organes mats. Sur le devant de la tête, elle FORMICIDES DU MUSÉE NATIONAL HONGROIS. 41 l’est moins, mais il y a encore beaucoup de rides et peu d’éclat. Le reste est subopaque et plutôt réticulé. Sur le pronotum, les rides sont très faibles et lâches ; il y en a quelques fortes au milieu du métano- tum. Pilosité dressée rousse, courte, fort dispersée sur le corps, plus régulière sur les tibias et les scapes. Une pubescence d’un jaune rous- sâtre, assez longue, forme sur la tête, le thorax et l’écaille un duvet plus ou moins cuivré ou mordoré qui ne cache qu’en partie la sculp¬ ture. Sur les membres, la pubescence est courte et bien moins appa¬ rente. Sur l’abdomen, elle est très diluée, à peine visible à la loupe. Noire (y compris les antennes et les mandibules). Ecaille, devant de l’abdomen, hanches, anneaux fémoraux et la majeure partie des cuisses d’un rouge ferrugineux un peu jaunâtre. Le reste des pattes est brun. Ambo ine (Bjró). Espèce très belle et très spéciale, voisine de la labella, mais bien distincte par la forme de l’écaille, par la sculpture et par la couleur. Polyrhachis Terpsichore Forel var. rufifemur n. var. Ç. Long. 5*7 mill. Tête comme chez la ç . Thorax très semblable à celui de V Er alo Forel, mais les épines du pronotum sont beaucoup plus longues (comme plus de la moitié du pronotum) ; celles du métanotum sont aussi plus longues et plus sinueuses. Le mésonotum est moins forte¬ ment bordé et la suture mésométanotale assez visible (obsolète chez YErato). Ecaille comme chez V Erato. Dos du thorax densément strié- ridé, comme la tête, et moins mat que chez YErato où sa sculpture et celle de la tête sont irrégulièrement ridées-rugueuses. La pilosité dressée (abondante sur le corps et les membres de YErato) fait défaut aux membres et est très éparse sur le corps. Un beau duvet de pubescence dorée sur le mésonotum et le métanotum, plus faible sur le pronotum, tandis que chez YEralo la pubescence est éparse sur le thorax. Ecaille et abdomen comme chez la $ ; ce dernier à duvet doré dilué et non serré comme chez YErato. Noire ; cuisses rougeâtres et reste des pattes brun. N. S. Wales: Springwood (Biró). Malgré la différence dans la couleur des pattes, je ne crois pas faire erreur en rapportant cette $ à la Terpsichore comme simple variété. Le type £ de la Terpsichore provient de l’Adelaide Kiver dans le Nord Ouest de l’Australie et a les pattes noires, avec les tibias et les tarses postérieurs d’un jaune rougeâtre. Du reste, tout concorde. Polyrhachis Phryne n. sp. Ç. Long. 5*7 mill. Ressemble beau¬ coup à Yinconspicua Emery, mais différente. Mandibules lisses et ponctuées. Lobe antérieur de l’épistome bien moins avancé, arqué, avec 42 A. FOREL deux petites dents qui ne marquent pas comme chez Y inconspicua les angles d’un trapèze. Epistome caréné. Les arêtes frontales sont parallè¬ les et bien plus écartées que chez Y inconspicua. La tête est convexe, et non déprimée comme chez Y inconspicua» trapézi'formè, médiocrement élargie en arrière, légèrement plus longue que large, avec le bord postérieur convexe, les angles occipitaux arrondis (subanguleux chez Y inconspicua). Yeux convexes, vers le 5me postérieur. Thorax comme chez Y inconspicua, mais les bords antérieurs du pronotum plus obliques et ses angles antérieurs un peu subdentiformes. Le mésonotum est plus fortement bordé et la face basale du métanotum absolument carrée et bordée en tout sens, terminée par deux petites dents en forme de pyramides triangulaires, un peu relevées et aplaties en dessus, ressemblant en petit à celles de la P. Sempronia bien plus qu’à celles de Yincon- spicua. Face déclive un peu concave. Ecaille semblable à celle de la P. cly peata Mayr, avec 4 épines tout à fait analogues, mais les épines latérales sont plus longues que les médianes qui sont fort courtes et rapprochées. Premier segment de l’abdomen obtusément subbordé à ses angles antérieurs, comme chez Y inconspicua. Tète, dos du thorax, pattes et scapes finement, densément et irré¬ gulièrement réticulés-ponctués et mats, en outre finement ridés en long, densément sur la tête, moins densément sur le thorax, pas du tout sur les membres. Cotés du thorax et écaille subopaques et densément réti- culés-ridés, les réticulations elles-mêmes devenant rides transversales sur l’écaille et longitudinales sur les côtés du thorax. Abdomen luisant, superficiellement réticulé. Pilosité dressée nulle, sauf sous le corps. Pubescence très courte, très adjacente, pruineuse, formant un léger duvet grisâtre sur l’abdomen et sur les membres, très éparse ailleurs. Noire ; cuisses, tibias, bord des mandibules et extrémité des funi- cules d’un rouge brunâtre ; antennes et tarses d’un brun foncé. N. B. Wales : Blue Mountains, Mt. Victoria (Bíró). Appartient au groupe camponotiforme des P. clypeala, inconspicua etc. Diffère de la clypeala par sa tête bien plus étroite, à côtés peu convexes, par son épistome, ses arêtes frontales etc. et de Y inconspicua par la forme de la tête. Les autres espèces australiennes du groupe : sidnica, femorata, templi , Polymnia, micans , Schwiedlandi, Hecuba, Creusa, Thalia etc. sont fort différentes. Y. ANNALES MUSEI NATION ALIS HU N GABIÜL 1907. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. Dr. Hollós LÁszLÓ-tól. II* FUNGI NOVI REGIONIS KECSKEMÉTIEN SIS descripti a Dre Lad. Hollós. IL* Jelen dolgozatomban 19 faj gazdanövényről 13 nembe tartozó, 25 új faj vagy faj változat leírását közlöm Kecskéméi vidékéről. A gazdanövényeknek és a dolgozatomban leirt új gombáiknak betű¬ rendes felsorolása : Alyssum calycinum L. Sphæronema Alyssi. Alyssum tortuosum W. K. Didymella Alyssi. Sphærella Alyssi. Sphæronema Alyssi. Baccharis halimifolia L. Stagonospora baccharidicola. Broussonetia papyrifera Yent. Ophiobolus Broussonetiæ. Bryonia dioica Jacqu. Diplodiua Bryoniæ. Carex conglobata Kit. Hendersonia caricicola. Carex praecox Schreb. Hendersonia caricicola. Carex strida Good. Hendersonia Caricis. Catalpa bignonioides Walt. „ Didymella Catalpæ. Cereis Siliquastrum L. Diplodia Siliquastri West. form, leguminibus. Deutzia crenata S. et Z. Diplodina Deutziæ. Hendersonia sarmentorum West. var. Deutziæ, Eriophorum latifolium Hoppe. Septoria eriophoricola. Gypsophila paniculata L. Phoma Gypsophilae. Leptosphæria Gypsophilæ. Sphærella gypsophilæcola. Humulus Lupulus L. Coniothyrium Humuli. Diplodina humulicola. Bhabdospora Humuli. Iris arenaria W. K. Leptosphæria Iridis. Peucedanum Cervaria (L.) Cuss. Septoria Peucedani. Phleum phleoides (L.) Simk. Coniothyrium graminum. Solidago Virga aurea L. Diplodina Solidaginis. Triglochin maritimum L. Leptosphæria maritima. * I. (Annales Musei Nationalis Hungarici. IV. 1906. p. 327 — 371.) 44 Dì HOLLÓS LÁSZLÓ Az egyes nemek a leírás sorrendjében és fajaiknak vagy fajválto- zataiknak száma : Sphærella .... — .„. .... „„ ~~ .„. .... 2 Septoria ... . . .... _. ... ... .... . 2 Leptosphæria ..„ .... .... .... .„. 3 Rhabdospora ... ... .... _ .... ... „ . 1 Ophiobolus .... .... .... ... ™ 1 Stagonospora .... .... ... .... _ ... 1. 1 Didymella . ~. A 8 2 Coniothyrium .... .... .„. .... .... . 2 Phoma .... .... .... ~~ .... .... .... .„. 1 Diplodia . .„. .... „. .... .... 1 Sphæronema .„. .... .... .... ™ ... 1 Hendersonia ™ _ A _ ... .. 3 Diplodina .... . . .... .... .... .... ... 5 Sphærella Alyssi n. sp. Peritkeciis gregariis, epidermide velatis, depresso-globosis, fuscis, punctiformibus, pertusis, 50 — 70 y diam., contextu parenchymatico ; ascis ovoideis vel clavatis, breve styp itatis, octosporis, 24 — 30X9 — 10 y . aparaphysatis ; sporidiis 2-— 3-stichis. oblongis, medio 1-septatis, non constrictis, hyalinis, 9 — 10x3— 4 y. Hab. in caulibus siccis Alyssi tortuosi , prope Kecskemét Hungariæ. Tömlőtokjai a felbőrrel fátyoloz ottan csoportokban fekvők, le- nyomott-gömbölyüek, 50 — 70 y átmérőjűnk, parenchym-szövetüek. Tömlői tojásalakuak vagy bunkósak, rövidnyelüek, nyolczspórásak, 9 — 10x24— 30 y méretűek, paraphysis nélküliek. Spórái 2 — 3 sorban fekvők, hosszú¬ kásak, közepükön egy rekeszfallal, befűzetlenek, hyalinok, 3 — 4x9 — 10 y méretűek. Terem az Alyssum tortuosum W. K. kóróján. Kecskemét mellett a Nyír-erdőben, május hóban szedtem. Sphærella gypsophilæcola n. sp. Perith eciis dense gregariis, epidermide velatis, globulosis, promi¬ nulis, nigris, punctiformibus, pertusis, 100 — 120 y diam., contextu pa¬ renchymatico ; ascis ovoideis vel oblongis, sessilibus, octosporis, 36 — 40X12—14 y, aparaphysatis; sporidiis oblongo-ellipsoideis, rectis cur- vulisve, medio 1-septatis, non constrictis, 4-guttulatis, hyalinis, 16 — 18x 4 — 5 y. Hab. in caulibus siccis Gypsophilae paniculatae, prope Kecskemét Hungariæ. Tömlőtokjai a felbőrrel fátyolozottan sűrű csoportokban fekvők, gömböcskések, kinyúlók, feketék, pontformájú ak, átfúrtak, 100 — 120 y átmérőjüek, parenchym-szövetüek. Tömlői tojásalakúak vagy hosszúkᬠsak, ülők, nyolczspórásak, 12 — 14x36 — 40 y méretűek, paraphysis nél¬ küliek. Spórái hosszúkás-ellipsoid alakúak, egyenesek vagy meggörbültek, ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉBŐL. 45 közepükön egy rekeszfallal, befűzetlenek, 4 cseppecskével, hyalinok, 4— 5x 16 — 18 p méretűek. Terem a Gypsophila paniculata L. kóróján. Kecskemét mellett a Nyír-erdőben, május hóban szedtem. A Sphaerella Gypsophilae (Lasch) Fuck. (Saccabdo, Syll. Fung. I, p. 516) tömlői 42 — 48x72 //, spórái 13X^2 p méretűek. Terem a Gypsophila Gmelini , G. muralis, Scier anthus annuus kóróján. A fönt leirt faj tömlőinek és spóráinak méreteinél fogva lényegesen különbö¬ zik tőle. Leptosphæria Gypsophilae n. sp. Peritheciis primum epidermide tectis, demum superficialibus, dense gregariis, depresso-globosis, breve papillatis, nigris, subcuticularibus, 300 — 400 p diam. ; ascis cylindraceo- clavatis, breve stipitatis, 70 — 80 X 8 — 10 p, filiformi paraphysatis ; sporidiis distichis, fusoideis, rectis sub- falcatisve, utrinque leniter attenuatis, 3-septatis, ad septum medium constrictis, pluri-guttulatis, flavidulis, 40 — 50x3—4 p. Hab. in caulibus siccis Gypsophilae paniculatae, prope Kecskemét Hungariæ. Tömlőtokjai eleinte a felbőr alatt, végre felszínesen, sűrű csopor¬ tokban fekvők, lenyomott-gömbölyüek, rövid száj szemölcscsel, feketék, bőröcskések, 300 — 400 p átmérőjüek. Tömlői hengeres-bunkóalakúak, rövid nyelüek, 8 — 10X70 — 80 p méretűek, szálalakú paraphysisekkel. Spórái két sorban fekvők, orsóalakúak, egyenesek vagy sarlócskásak, végeik felé egyenletesen elvékonyodók, 3 rekeszfallal, a középső fainál befűzöttek, több cseppecskével, sárgásak, 3 — 4x40 — 50 p méretűek. Terem a Gypsophila paniculata L. kóróján. Kecskemét mellett a Nyír-erdőben, május hóban szedtem. Leptosphæria Iridis n. sp. Peritheciis sparsis, parenchymate foliorum immersis, globulosis, nigris, ostiolo conico pertuso, 280—320 p diam., contextu parenchyma- tico ; ascis clavatis, sessilibus, 200 — 280x100 — 120 p, octosporis, para¬ physatis ; sporidiis inordinate distichis vel conglobatis, fusoideis, 4-septa- tis, ad septa constrictis, dilutissime luteolis, 76 — 86x18 — 26 p . Hab. in foliis siccis Iridis arenariae, prope Kecskemét Hungariæ. Tömlőtokjai szétszórtak, a levél szövetébe bemerültek, gömböcské- sek, feketék, kúpos, átfúrt szájjal, 280 — 320 p átmérőjüek, parenchym- szövetüek. Tömlői bunkóalakúak, ülők, 100 — 120x200 — 280 p méretűek, nyolczspórásak, paraphysisekkel. Spórái rendetlenül kétsorosak vagy 46 Dì HOLLÓS LÁSZLÓ I összegomolyodottak, orsóalakúak, 4 rekeszfallal, a falaknál befüzöttek, halvány-sárgásak, 18 — 26x76 — 86 p méretűek. Terem az Iris arenaria W. K száraz levelein. Kecskemét mellett a Nyír-erdőben, május hóban szedtem. Az Iris germanica , pumila, arenaria rhizomáján termő Lepto¬ sphaeria heterospora (de Not.) Niessl. (Saccardo, Syll. Fung. II. p. 67.) tömlői 120—125 g hosszúak, spórái 12 — 13x35—40 p méretűek, 3 rekeszfalasak. Ettől a fönt leirt faj tömlői és spóraméreteinél fogva meg spóráinak 4 rekeszfalával eltérő. Leptosphæria maritima n. sp. Peritheciis epidermide velatis, sparsis-gregariisve, depresso-globosis, fuscis, ostiolo papillato perforato, 180 — 230 p diam., contextu paren- chymatico ; ascis ellipsoideis vel clavatis, breve stipitatis, apice rotun¬ datis et incrassatis, octosporis, 80—110x26 — 32 p; spondiis 2 — 3-stiehis, fusoideis, rectis curvulisve, 3-septatis, non vel vix constrictis, flavo- brunneis, 42 — 52x10 — 14 p. Hab. in caulibus et foliis siccis Triglochinis maritimi, prope Izsák Hungariæ. Tömlőtokjai a felbőrrel fátyol ozottak, szétszórtak vagy sűrűn fek¬ vők, lenyomott-gömbölyűek, sötétbarnák, átfúrt száj szemölcscsel, 180 — 230 p átmérőjüek, parenchym-szövetüek. Tömlői ellipsoid- vagy bunkó- alalmak, rövid nyelüek, csúcsukon lekerekítettek és megvastagodottak, nyolczspórásak, 26 — 32x80- 110 p méretűek. Spórái 2 — 3 sorban fek¬ vők, orsóidom úak, egyenesek vagy meggörbültek, 3 rekeszfallal, nem vagy alig befüzöttek, sárga-barnák, 10 — -14x42 — 52 p méretűek. Terem a Triglochin maritimum L. kóróján és száraz levelein. Izsák mellett, október hóban szedtem. A Triglochin palustre L. kóróján termő Leptosphaeria- fajok: Leptosphaeria trigtochinicola (Curr.) Sacc. (Syll. Fung. II. p. 69.) spórái 35 p hosszúak, 3 rekeszfallal, sárgák. Ismeretes Angliából. Leptosphaeria Triglochinis Schrokt. (Saccardo, Syll. Fung. XI, p. 325.) tömlői 15x60 — 70 p, spórái 6 — 6\5x28 — 35 p méretűek, 5 rekeszfallal osztottak. Ismeretes Sziléziából. Ezektől a fönt leirt faj méreteivel lényegesen eltérő. Ophiobolus Broussonetiæ n. sp. Peritheciis primum epidermide tectis, demum erumpentibus, nigris, 450 — 550 p latis, ostiolo cylindrico-conico, 170- — 280x140 p; ascis ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 47 cylindraceis, apice rotundatis, atque incrassatis, breve stipitatis, octo- sporis, 150 — 160x3*5 — 4 /x, filiformi paraphysatis ; sporidiis æ qualiter filiformibus, rectis curvulisve, continuis, hyalino-luteolis, asco æqui- longis, 0*5 /x crassis. Hab. in ramulis siccis Broussonetiae papyriferae, Kecskemét Hun¬ gáriáé. Tömlőtokjai eleinte a felbőrrel fedettek, végre : előtörők, feketék, .450 — 550 y szélesek, 140x170 — 280 y méretű, hengeres-kúpos szájjal. Tömlői hengeresek, csúcsukon lekerekítettek és megvastagodottak, rövid nyelüek. nyolczspórásak, 3*5 — 4x150 — 160 y méretűek, szálalakú para- physisekkel. Spórái egyenletesen szálalakúak; egyenesek vagy meggör¬ bültek, egysejtűek, sárgás-hyalinok, a tömlővel egyenlő hosszúak, 0*5 y vastagok. Terem a Broussónetia papyrifera Yent. száraz ágacskáin. Kecs¬ keméten a Műkertben, október hóban szedtem. Didymella Alyssi n. sp. Peritheciis gregariis sparsisve, erumpentibus, globosis, ostiolatis, nigris, nitidulis, 280 — 350 y diam.; ascis clavatis, apice rotundatis et incrassatis, stipitatis, octosporis, 90 — 100x14 — 16 /x, filiformi paraphysa¬ tis ; sporidiis distichis vel oblique monostichis, oblongis, apice leniter atte¬ nuatis, rectis curvulisve, medio 1-septatis, non vel constrictis, interdum in¬ aequalibus, 4- vel pluriguttulatis, hyalinis, denique luteolis, 26 — 32x7 — 8 y. Hab. in caulibus siccis Alyssi tortuosi , prope Kecskemét Hungariæ. Tömlőtokjai csoportosan vagy szétszórtan fekvők, előtörők, göm¬ bölyűek, szájszemölcscsel, feketék, fénylők, 280 — 350 /x átmérőjüek. Tömlői bunkóalabúak, csúcsukon lekerekítettek és megvastagodottak, nyelesek, nyolczspórásak, 14 — 16x90 — 100 y méretűek, .szálalakú para- physisekkel. Spórái két sorban vagy rézsut egy sorban fekvők, hosszú¬ kásak, végeik felé egyenletesen elvékonyodók, egyenesek vagy meggör¬ bültek, közepükön egy rekeszfallal, nem vagy befűzöttek, néha egyen¬ lőtlenek, 4 vagy több cseppet, hyalinok, végre sárgásak, 7 — 8x26 — 32 /x méretűek. Terem az Alyssum tortuosum W. K. kóróján. Kecskemét mellett a Nyír- erdőben, május hóban szedtem. Didymella Catalpæ n. sp. Peritheciis dense gregariis, erumpentibus, depresso-globosis, nigris, ostiolo breve papillato, 350 — 400 /x diam. ; ascis cylindraceis, breve 48 D; HOLLÓS LÁSZLÓ stipitatis, octosporis, 100 — 120x10 — 12 g, filiformi- parapliysati s ; spori- diis monostichis, ellipsoideis, medio 1-septatis, constrictis, minute vel bi-guttulatis, hyalinis, 17 — 21x8 — 10 g. Hab. in ramis siccis, decorticatis Catalpae bignonioidis , prope Kecskemét Hungariæ. Tömlőtokjai sűrű csoportokban fekvők, előtörők, lenyomott-göm- bölyüek, feketék, rövid száj szemölcscsel, 350 — 400 g átmérőjűek. Tömlői hengeresek, rövid nyelüek, nyolczspórásak, 10 — 12x100 — 120 g mére¬ tűek, szálalakú paraphysisekkel. Spórái egy sorban fekvők, ellipsoid- alakúak, közepükön egy rekeszfallal, befűzöttek, két cseppel vagy cseppecs¬ kékkel, hyalinok, 8 — 10x17 — 21 g méretűek. Terem a Catalpa bignonioides Walt. száraz, lekérgezett ágain. Kecskemét mellett a KATONA-telepen, május hóban szedtem. Pboma Gypsophilæ n. sp. Pycnidiis epidermide atrata tectis, dense gregariis, lenticularibus, nigris, poro pertusis, 240 — 280 g diam., contextu parencbymatico ; spo- rulis oblongis, utrinque acutatis, biguttulatis, continuis, hyalinis, 6 — 9X 2*5—3 g. Hab. in caulibus siccis Gypsophilae paniculatae , prope Kecskemét Hungariæ. Terméstokjai a megfeketedett felbőrrel fedettek, sűrű csoportokban fekszenek, lencsealakúak, feketék, közepükön átfúrtak, 240 — 280 g át¬ mérőjűek, parencbym-szövetüek. Spórái hosszúkások, végeiken hegyesek, két cseppel, egysejtűek, hyalinok, 2 5 — 3x6 — 9 g méretűek. Terem a Gypsophiía paniculata L. kóróján. Kecskemét mellett a Nyír-erdőben és Izsákon, május és junius hónapokban szedtem. Sphæronema Aiyssi n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, sparsis gregariisve, globoso- conici s, ostiolo erumpente setis coronato, nigris, 140 — 210 g diam., contextu parenchymatice.; setis rigidis, fuscis, septatis, apice hyalinis, 80 — 250 X 4 — 5 g ; sporulis cylindraceis, utrinque rotundatis, curvulis, 4 — 5 guttu- latis, nonnumquam obscure 3 — 4 septatis, hyalinis, 12 — 16x2 g. Hab. in caulibus et foliis siccis Abyssi calycim et toiiuosi, prope Kecskemét Hungariæ. Terméstokjai a felbőrrel fedettek, szétszórtak vagy csoportosak, gömbölyű-kúposak, sertés szájukkal kiemelkedők, feketék, 140 — 210 g átmérőjűek, parencbym-szövetüek. Sertéi merevek, sötétbarnák, rekesz- ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 4í) falakkal osztottak, hegyökön hyalinok, 4 — 5x80 — 250 fi méretűek. Spórái hengeresek, végeiken lekerekítettek, meggörbültek, 4 — 5 cseppecskével, néha homályosan kivehető 3 — 4 rekeszfallal, hyalinok, 2x12—16 fi méretűek. Terem az Alyssum calycinum L. és tortuosum W. K. kóróján és száraz levelein. Kecskemét mellett a Nyír- és Talfáj a- erdőkben, május hóban szedtem. Diplodina Bryoniæ n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, dense gregariis, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 140- — 220 y diam., contextu parenchymatico ; sporulis initio ellipsoideis, continuis, dein cylindraceis, utrinque rotundatis, medio 1-septatis, non vel vix constrictis, pluriguttulatis, hyalinis, 8— lix 3%5t— 4 y. Hab. in caulibus siccis Bryoniae dioicae , Nagy-Kőrös Hungáriáé. Terméstokjai a felbőr alatt sűrű csoportokban fekvők, lencsealakúak, sötétbarnák, közepükön átlyukasztottak, 140—220 fi átmérőjűék, paren- chym-szövetűek. Spórái eleinte ellipsoid- alakúak, egysejtűek, aztán hen¬ geresek, lekerekített végűek, közepükön egy rekeszfallal, nem vagy alig befűzöttek, több cseppet, hyalinok, 3*5 — 4x8 — 11 a méretűek. Terem a Bryonia dioica Jcq. kóróján Nagy-Kőrösön a Mintakert¬ ben, de ez ember hóban szedtem. A Bryonia dioica Jacqu. (Br. alba L.) leveleiről leirt Ascochyta Bryoniae Bub. et Kab. (Saccardo, Syll. Fung. XVIII, p. 339) jellemzé¬ sével csaknem egyező, de az levélen termő, (Ascochyta) a fönt leirt faj száron termő (Diplodina). Diplodina Deutziæ n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, dense gregariis, lenticularibus, nigris, poro pertusis, 180 — 280 fi diam., contextu parenchymatico; sporulis oblongis, utrinque attenuatis, medio 1-septatis, non constrictis, flavi dulis, 9—11X3-5—4 fi. Hab. in ramulis siccis Deutziae crenatae , Kecskemét Hungariæ. Termóstokjai a felbőr alatt sűrű csoportokban fekvők, lencsealakúak, feketék, közepükön átfúrtak, 180 — 280 fi átmérőjűek, parenchym-szöve- tűek. Spórái hosszúkásak, végeiken elkeskenyedők, közepükön egy rekesz¬ fallal, befűzetlenek, sárgásak, 3*5 — 4x9 — 11 fi méretűek. Terem a Deutzia crenata S. et Z. száraz ágacskáin. Kecskeméten a Műkertben, junius hóban szedtem. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 4 50 DE HOLLÓS LÁSZLÓ / Diplodina Gypsophilæ n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, dense gregariis, erumpentibus, depresso- globosis, nigris, ostiolo papillato, 300 — 350 y diam., contextu parenchy- matico; sporulis cylindraceis, utrinque rotundatis, medio 1-septatis, non constrictis, biguttulatis vel granulosis, hyalinis, 16 — 18 X2: — 3*5 y. Hab. in caulibus siccis Ggj sophilae fastigialae , prope Kecskemét Hungariæ. Terméstokjai a felbőr alatt sűrű csoportokban fekvők, előtörők, le- nyomott-gömbölyűek, feketék, száj szemölcscsel, 300 — 350 y átmérőjűek, parenchym-szövetűek. Spórái hengeresek, végeiken lekerekítettek, köze¬ pükön egy rekeszfallal, be nem fűzőitek, két cseppet vagy szemcsékkel, hyalinok, 2 — 3*5x16 — 18 y méretűek. Terem a Gypsophila fadigiata L. kóróján. Kecskemét mellett a Nyír-erdőben, szeptember hóban szedtem. Diplodina humulicola n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, dense gregariis, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 140 — 210 y diam., contextu parencliymatieo ; sporulis oblongis, utrinque leniter attenuatis, medio 1-septatis, non constrictis dilute ochraceis, 8 — 10x3*5 — 4 y. Hab. in caulibus siccis Hamuli Lupuii, prope Kecskemét Hungariæ. Terméstokjai a felbőr alatt sűrűn fekvők, lencsealakúak, sötétbar¬ nák, közepükön átfúrtak, 140 — 210 y átmérőjűek, parenchym-szövetűek. Spórái hosszúkásak, végeiken egyenletesen elvékonyodók, közepükön egy rekeszfallal. befűzetlenek, világos okraszinűek, 3*5 — 4x8 — 10 y méretűek. Terem a Hurnulus Lupulus L. kóróján Kecskemét mellett a Szikrᬠban, junius hóban szedtem. A Diplodina Humuli Brun. (Saccardo, Syll. Fung. X, p. 315.) spórái 2*5 — 3x15 — 18 y méretűek, hyalinok. A fönt leirt faj spóráinak színe és mérete által eltérő. Diplodina Solidaginis n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, dense gregariis, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 140 — 180 diam., contextu parenchymatico ; sporulis oblongis, utrinque attenuatis, medio 1-septatis, non constrictis, flavidu- lis, 9—11x3 — 3*5 y. Hab. in caulibus siccis Solidaginis Virga aureae, Kecskemét Hungariæ. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 51 Terméstokjai a felbőr alatt sűrű csoportokban fekvők, lencsealakúak, sötétbarnák, közepökön átfúrtak, 140 — 180 g átmérőjűek, parenchym- szövetűek. Spórái hosszúkásak, végeiken elkeskenyedők, közepükön egy rekeszfallal, befűzetlenek, sárgásak, 3 — 3*5x9 — 11 g méretűek. Terem a Solidago Virga aurea L. kóróján. Az Uzovics-telepen, október hóban szedtem. Septoria eriophoricola n. sp. Pycnidiis sine macula inter nervos folii seriatis, epidermide tectis, lenticularibus, nigris, poro pertusis, 110 — 150 g diam., contextu paren- chymatico ; sporulis filiformibus, curvulis, continuis, granulosis, hyalinis, 30—40X1 g. Hab. in foliis Eriophori latifolii, prope Kecskemét Hungariæ. Terméstokjai folt nélkül a levélerek közt sorokban fekszenek, fel¬ bőrrel fedettek, lencsealakúak, feketék, közepükön átfúrtak, 110 — 150 g átmérőjűek, parenchym-szövetűek. Spórái szálalakúak, meggörbültek, egy¬ sejtűek, szemcsések, hyalinok, 1x30 — 40 g méretűek. Terem az Eriophorum latifolium Hoppe levelein. Kecskemét mel¬ lett Bugaczon, julius hóban szedtem. Az Eriophorum angustifolium Both leveléről Nowaja Semlja-ból leirt Septoria Eriophori Oud. terméstokja 70 u, spórái 3x70 — 75 g méretűek. Septoria Peucedani n. sp. Maculis amphigenis, numerosis, minutis, subcircularibus, pallide ochraceis, fusco marginatis; pycnidiis epiphyllis, dense gregariis, lenti¬ cularibus, fuscis, medio pertusis, demum late apertis, 100 — 120 g diam., contextu parenchymatico ; sporulis filiformibus, plerumque curvulis, con¬ tinuis, granulosis, hyalinis, 32 — 44x1 — 1*5 g. Hab. in foliis vivis Peucedani Cervariae, prope Kecskemét Hun¬ gariæ. Foltjai a levél mindkét lapján, számosak, kicsinyek, szabálytalan kerekek, halvány okraszinűek, sötétbarna szegélylyel. Terméstokjai a levél felső lapján, sűrűn fekvők, lencsealakúak, sötétbarnák, közepükön átfúrtak, végre tág nyilással, 100 — 120 g átmérőjűek, parenchym-szö¬ vetűek. Spórái szálalakúak, többnyire meggörbültek, egysejtűek, szem¬ csékkel, hyalinok, 1 — 1 '5x32—44 g méretűek. Terem a Peucedanum Cervaria (L.) Cuss, élő levelein. Kecskemét mellett a Nyír-erdőben, szeptember hóban szedtem. A Peucedanum Oreoselinum Mnch. és Schottii Bess, levelein élő 4* 52 Dì HOLLÓS LÁSZLÓ Septoria Oreoselini (Lasch.) Sacc. (Sylloge Fung. III, p. 528.) termés¬ tokjai 80 — 85 p, spórái 1*5x25 — 26 p méretűek. Ettől a fönt leirt faj terméstokjainak és spóráinak méretei által különbözik. Khabdospora Humuli n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, sparsis, globoso-depressis, fuscis, poro pertusis, 140 — 180 p diam., contextu parenchymatico ; sporulis filifor¬ mibus, rectis vel plerumque curvulis, granulosis vel obscure 7-septatis, hyalinis, 44 — 64x1*5 p. Hab. in caulibus siccis Humuli Lupuli, prope Kecskemét Hungariæ. Terméstokjai a felbőrrel fedetten szétszórtak, lenyomott gömbölyűek, sötétbarnák, közepükön átfúrtak, 140 — 180 p átmérőjűek, parenchym- szövetűek. Spórái szálalakúak, egyenesek vagy többnyire meggörbültek, szemcsékkel vagy 7 homályosan látható rekeszfallal, hyalinok, l*5x 44 — 64 p méretűek. Terem a Humulus Lupulus L. kóróján. Kecskemét mellett a Szikrᬠban, junius hóban szedtem. Stagonospora baccharidicola n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, dense gregariis, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 210 — 250 p diam., contextu parenchymatico; sporulis fusiformibus, rectis, initio continuis, 2— 3-guttulatis, dein 1-, demum 3-septatis, hyalinis, 16 — 18x3*5 — 4* p. Hab. in ramulis emortuis Bacchaiddis halimifoliae, Kecskemét Hungariæ. Terméstokjai a felbőr alatt sűrűn fekvők, lencsealakúak, sötétbar¬ nák, közepükön átlyukasztottak, 210 — 250 p méretűek, parenchym-szö- vetűek. Spórái orsóalakúak, egyenesek, eleinte egysejtűek, aztán egy — végre három — rekeszfallal osztottak, hyalinok, 3*5 — 4x16 — 18 p méretűek. Terem a Baccharis halimifolia L. vékony, elhalt ágacskáin. Kecs¬ keméten a Műkertben, november hóban szedtem. A Baccharis sp. élő leveléről Virginiából leirt Stagonospora Baccha¬ ndis Ell (Saccardo, Syll. Fung. XI, p. 534.) terméstokja 110 — 120 p átmérőjű, spórái sárgás hyalinok, 2 rekeszfallal osztottak, 6—7x25 — 30 p méretűek. A fönt leírt faj ettől teljesen eltérő. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 53 Coniothyrium Humuli n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, gregariis, globosis, nigris, ostiolo conico perforato erumpente, 240 — 280 y diam., contextu parenchymatico ; spo- rulis subglobosis vel ovoideis, fuscis, 8 — 10x5 — 6 f. i . Hab. in sarmentis Humuli Lupuli , prope Kecskemét Hungariæ. Terméstokjai a felbőrrel fedettek, csoportosak, gömbölyűek, feketék, kúpos átfúrt szájukkal előtörők, 240 — 280 y átmérőjűek, parenchym- szövetűek. Spórái gömbölydedek vagy tojásalakúak, sötétbarnák, 5 — 6X 8 — 10 y méretűek. Terem a Humulus Lupulus L. ágain. Kecskemét mellett a Nyír¬ erdőben, márczius hóban szedtem. A komló száráról leírt Coniothyrium lupulinum Bres. (Saccardo, Syll. Fung. XIY, p. 924.) spórái sárgásak, 2x3 y méretűek. Coniothyrium graminum n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, sparsis, depresso-globosis, fuscis, poro pertusis, 120 — 140 y ciiam., contextu parenchymatico; sporulis oblongo- ovoideis, initio hyalinis, dein flavidulis, demum fuscis, continuis, 10 — 14x5—7 y. Hab. in culmis Phlei phleoidis , prope Kecskemét Hungariæ. Terméstokjai felbőrrel fedettek, szétszórtan fekvők, lenyomott göm¬ bölyűek, sötétbarnák, közepükön átfúrtak, 120 — 140 y átmérőjűek, pa- renchym-szövetűek. Spórái hosszúkás-tojásidomúak, eleinte hyalinok, aztán sárgásak, végre sötétbarnák, egysejtűek, 5 — 7x10 — 14 a mé¬ retűek. Terem a Phleum phleoides (L.) Simk. ( Ph . Boehmeri Wib.) szalmᬠján. Kecskemét mellett a Nyír-erdőben, deczember hóban szedtem. A Coniothyrium Oryzae Cav. (Saccardo, Syll. Fung. X, p. 267.), mely az Oryza sativa leveléről Olaszországból van leírva, 2-cseppes, halvány olivaszínű, 5 — 6x11 — 13 y méretű spórákkal bir. Ettől a fönt leirt faj jóformán csak gazdanövénye révén különbözik. Diplodia Siliquastri West. Saccardo, Sylloge Fungorum, III. p. 336. Forma leguminibus n. f. Pycnidiis epidermide tectis, sparsis, erumpentibus, depresso-globo¬ sis, nigris, poro pertusis, 280 — 350 /z diam.; sporulis ellipsoideis, initio 54 D? HOLLÓS LÁSZLÓ continuis, hyalinis, dein flavidulis, medio 1-septatis, non vel constrictis, demum fuscis, biguttulatis, 16—24x8 — 12 p. Hab. in leguminibus Cercidis Siliquastri , Kecskemét Hungáriáé. Terméstokjai a felbőr alatt szétszórtan fekvők, előtörők, lenyomott- gömbölyűek, feketék, közepükön átfúrtak, 280 — 350 ÄT i UNG TROPIDOCEPHOLA. 65 13. Tropidocephala prasina Melich. Tropidocephala (Conicoda) prasina Melich. Ann. Mus. Zool. St. Pétersb. VI L p. 90. 28. (1902). «Der Scheitel ist stark spitz dreieckig nach vorne verlängert, doppelt so lang wie an der Basis zwischen den Augen, oben flach, mit einem Mittel¬ kiel Versehen. Der ganze Körper ist gelblichgrün, die Augen und Ocel- len braun, die Spitzen der Schienendornen schwarz. Deckflügel glashell, am Grunde bis zur Mitte grünlichgelb, die zarten Nerven mit starken weissen Körnchen besetzt. Die Apicalnerven rauchbraun umsäumt. Flügel glashell. Beine blassgrün. Von der japanischen Art T. (Conicoda) maritima Matsum.* und von den palearktischen Arten unterscheidet sich diese Art durch viel längeren vorgestreckten Scheitel. Var. lateralis. Von der 'Stammform dadurch verschieden, dass die Seiten des Kopfes, die Stirne mit Ausnahme der Kiele, die Basis der Flügeldeckenschuppen und die äussere Hälfte der Deckflügel pechbraun gefärbt sind. Die Körnchen der Nerven sind selbst im dunklen Theile der Deckflügel weiss. Der Apikaltheil der Deckflügel heller. Länge: cT £ 3 — 3V2 mm. Persien: Chun-i-kakä, Kirman, 16. VIII. 93. 3 J, 1 cf (Zarudny). » 14. Tropidocephala saccharivorella n. sp. (Taf. II. Fig. 6. und 12.) 5 . Einfarbig blassgrünlich. Scheitel 1 Vernai so lang wie das Pronotum. Fühler mit nur einem schwärzlichen Schrägstriche (auf dem zweiten Glied). In der Mitte des Clypeus befindet sich ein bräunliches Fleckchen. Deckflügel und Nerven hyalin, in der Mitte der Membran etwas getrübt ; Membran mit vier schwärzlichen Längslinien, von denen die eine den Vorderapicalrand und die übrigen drei den Hinterapical- rand berühren ; auf dem Corium befinden sich zwei hellbräunliche Schräglinien, nahe dem Ende des Coriums und an der Basis der Membran steht ebenfalls je ein bräunliches Fleckchen. Beine weisslich. Länge: 4 mm. Formosa: Wanri, Ako, Tainan, Arikan. Vom Verfasser in zahl¬ reichen Exemplaren auf Zuckerrohr gesammelt. * Soll offenbar graminea Matsum. lauten. Annales Musei Nationalis Hung arici. V. o "P DE S, MATSUMURA ERKLÄRUNG DER TAFELN. Tafel I. Fig. Tropidocephala breviceps n. sp. Ç. Scheitel, Pronotum und Scutellum. « 2. « elegans Costa « « « « <( 3. « brunnipennis Sign, cf- « « « (( « 4. « Birónis n. sp. cf- « « « « « 5. « Andropogonis Horv. cf* « « G « « 6. « festiva Dist. cf- « « « (( « 7. « breviceps n. sp. Ç . Deckflügel. « 8. « elegans Costa cf « « 9. « brunnipennis Sign, cf « « 10. « Birónis n. sp. cf « « 11. « Andropogonis Horv. cf « « 12. « festiva Dist. cf « Tafel II. Fig. 1. Tropidocephala flavovittata n. sp. cf- Scheitel, Pronotum und Scutellum, « 2. « maculosa n. sp. cf « « « « « 3. « nigra Mats, cf « « « « « 4. « gracilis n. sp. cf « « « <( « 5. « malayana n. sp. $ « « « « « 6. « saccharivorella m sp. $ « « « (( « 7. « flavovittata n. sp. cf- Deckflügel. « 8. « maculosa n. sp. cf « « 9. « nigra Mats, cf « « 10. « gracilis n. sp. cf « ! « 11. « malayana n. sp. $ « « 12. « saccharivorella n. sp. Ç « V. ANNALES MUSEI NATION ALIS HUNGARICI. 1907, t MATERIALI PER LO STUDIO DELLE HISPIDÆ di R. Gestro. XXXI. Sopra alcune Hispidae del Museo Nazionale di Budapest. Sul finire dello scorso anno il Museo Nazionale di Budapest mi ha comunicato una serie di Hispidae > provenienti dall’Africa, dalla regione Indo-malese e dalla Nuova Guinea. Ho trovato in questo materiale elementi interessanti, tanto da dar luogo ad un piccolo lavoro, in cui sono descritte le novità ed esposte alcune osservazioni intorno alle specie meno conosciute. Le specie africane sono state raccolte dai viaggiatori ungheresi Barone Paolo Bornemisza e Colomano Katona nella regione del Monte Kilimangiaro, e fra esse sono sopratutto notevoli un nuovo Crypto- nychus di forma assai spiccata e una nuova Distolaca . Le indo-malesi sono dovute per buona parte alle ricerche di L. Bíró e H. Fruhstorfer e anche esse hanno fornito parecchie novità. Infine fra le tre sole specie della Papuasia, raccolte dal Biro, due erano sconosciute. Il materiale ricevuto in esame è adunque, benché risulti soltanto di una cinquantina di specie, molto importante e sono grato alla Di¬ rezione del Museo Nazionale di Budapest per la fiducia riposta in me colTaffìdarmene lo studio. Dal Museo Civico di Genova, 26 febbrajo 1907. SPECIE AFRICANE. Cryptonychus angusticeps n. sp. Elongatus, parallelus, nitidus, rufo-ferrugineus, antennis, corpore subtus pedibusquer nigris ; capite angusto, processu frontali apice rotun¬ dato, haud dilatato, supra sulcato, sulco retrorsum angustato, subtus plano, antennis brevibus, crassiusculis ; thorace transverso, lateribus pa¬ rallelis, margine antico fortiter sinuato, postico bisinuato, angulis an¬ ticis late rotundatis, foveolis angularibus carentibus, posticis denticulatis, 6S R. GESTRO disco medio parce et sparsim punctulato, lateribus crasse et irregulariter punctatis ; elytris thorace parum latioribus, elongatis, parallelis, apice late rotundatis, crebre seriatim punctatis, interstitiis apicem versus tenue elevatis. — Long. 11 millim. Al disopra ha il colore che presentano ordinariamente le specie di questo genere; le antenne, la superfìcie inferiore del corpo ed i piedi sono neri. È allungato, parallelo, lucente. Il capo è molto stretto; il processo frontale termina arrotondato e senza alcuna dilatazione apicale ; al disopra ha un solco longitudinale mediano, che raggiunge l’apice e che alla base si assottiglia e si prolunga fino alla regione occipitale ; al disotto è piano. Il capo presenta punti estremamente fini e molto sparsi, i quali sul processo frontale si fanno più fìtti, associandosi in modo da formare finissime striole longitudinali. Il processo frontale al disotto è piano, con una breve linea impressa mediana longitudinale alla base, e con punti non fitti, ma molto più forti di quelli del di¬ sopra. Le antenne sono brevi e abbastanza robuste. Il torace è tras¬ verso, col margine anteriore profondamente sinuato, i lati paralleli, gli angoli anteriori largamente arrotondati e senza alcuna traccia di fos¬ setta angolare ; il margine basale bisinuato e gli angoli posteriori den¬ ticolati ; la scultura del disco è molto scarsa, minuta ed irregolare nel mezzo, assai più forte e fitta sui lati. Gli elitri sono un poco più di quattro volte la lunghezza del torace, poco più larghi di esso e arro¬ tondati all’apice ; la loro scultura si compone di punti grossi e fìtti, allineati in serie e gli intervalli fra le serie, verso l’apice si mostrano leggermente elevati. Il gruppo a cui questa specie, molto interessante, maggiormente si avvicina è il primo, cioè quello del cochlearius, congoensis ed exiremus'1 ; però essa è distintissima a tutta prima pel capo singolarmente stretto e per la forma del processo frontale. La descrizione è fondata sopra un solo esemplare, raccolto nel¬ l’Africa orientale germanica, ad Arusha, a S. del Monte Kilimangiaro. Distolaca variegata n. sp. Elongata, nitida, flavo- ferruginea, capite obscuriore, vertice et juxta oculos infuscato, antennis nigris, dimidio apicali fulvescentibus, thoracis margine laterali vittisque duabus discoi dalibus nigris; elytris nigro tri- 1 Gestro, Ricerche intorno alla disposizione delle specie nel genere Crypto- nychus. (Annali del Museo Civico di Storia naturale di Genova, serie 3». vol. II (XLII) 1906. p. 133.) MATERIALI PER LO STUDIO DELLE HISPIDÆ. 69 fasciatis ; subtus nigra, pedibus anticis et intermediis flavo-ferrugineis, posticis nigris, geniculis tarsisque ferrugineis ; capitis vertice lineola impressa longitudinali abbreviata; antennis validis, apicem versus in¬ crassatis ; thorace fere æque longo ac lato, antrorsum leviter angustato, angulis posticis prominulis, disco convexo, utrinque ad latera longitu- dinaliter foveato, medio longitudinaliter late bisulcato, sulcis medio constrictis, foveis et sulcis crasse et crebre punctatis ; elytris thorace latioribus, retrorsum leviter ampliatis, apice oblique rotundatis, margine apicali tenue serrulato, tricarinatis, carinis secunda medio, tertia basi, interruptis, interstitiis punctis crassis valde irregularibus, in ordinibus binis (secundi basi excepta) dispositis. — Long. 47a millim. È di un giallo- ferrugineo, lucente; il capo è alquanto più scuro, con una macchia sul vertice mal definita e i margini orbitali bruni ; le antenne sono nere, colla metà apicale tendente al fulvo. Il torace ha il margine laterale orlato di nero e due strisele nere discoidali mediane, parallele fra di loro, un poco più larghe in addietro che in avanti e con una strozzatura ben marcata nel mezzo. Gli elitri hanno tre fascie nere, comuni, a contorno mal definito. Il corpo inferiormente è nero ; le due paja anteriori di piedi sono giallo-ferruginee, i posteriori sono neri, colle ginocchia ed i tarsi ferruginei. Il capo porta sul vertice una breve lineetta impressa longitudi¬ nale ; le antenne sono robuste e gradatamente ingrossate dalla base all’apice. Il torace è quasi tanto lungo quanto largo e leggermente più stretto all’apice che alla base ; gli angoli posteriori sono alquanto spor¬ genti; il disco è molto convesso, con un’infossatura longitudinale su ciascun lato e munito nel mezzo di due solchi longitudinali, che cor¬ rispondono esattamente alle due striscie nere sopra accennate ; lungo il margine anteriore vi è una serie di grossi punti e tanto le fossette la¬ terali quanto i due solchi mediani sono scolpiti nel loro fondo di punti grossi e fitti ; gli intervalli rilevati fra le parti depresse e punteggiate sono lisci ; soltanto nel tratto che esiste fra i due solchi mediani si osserva una breve lineetta impressa. Gli elitri sono più larghi del torace, e dalla base aH’apice vanno gradatamente, ma leggermente allargandosi ; all’apice sono obliquamente arrotondati e il margine apicale è munito di denti finissimi. Ciascun elitro ha tre carene molto marcate, che ces¬ sano bruscamente poco prima del margine apicale, e alla base sono meno taglienti che nel resto del loro decorso ; la prima è intera, la seconda presenta un’interruzione dopo la metà e la terza ne ha una alla base. Gli interstizii fra le carene sono scolpiti di punti molto grossi e molto irregolari, disposti in doppia serie, eccetto che alla base del secondo, ove per breve tratto la serie è tripla. 70 ' R. GESTRO ; Questa graziosa specie proviene dall’Africa orientale germanica, e l’unico esemplare che ne rappresenta il tipo fu raccolto a sud del monte Kilimangiaro, fra Marti ed Arusha. E impossibile confonderla jcolle altre due specie africane di Disto - laca , perchè la quadripunctata Guér., oltre all’avere diverso colore, ha una scultura sul torace e sugli elitri affatto differente, e la f ossidata Guér. (bangalana Duv.) ne è pure molto lontana per la sua tinta me¬ tallica e per varii altri caratteri. Dicladispa pallidicornis n. sp. Nigra, nitida, thorace opaco, antennis, articulis duobus basalibus exceptis, flavo-ferrugineis, tarsis ferrugineis ; antennarum articulo primo apice subtus in spinam brevem producto, articulis quinque ultimis in¬ crassatis; thorace transverso, disco deplanato, irregUlariter subvariolose punctato, linea media impunctata, lateribus 5-spinosis, spinis quatuor anticis e stipite communi, brevi, valido, orientibus, quinta libera, breviore, sursum oblique directa ; scutello opaco, alutaceo ; elytris seriatim puncta¬ tis, spinis discoidalibus et lateralibus longioribus, apicalibus breviori¬ bus. — Long. 3 Va millim. Appartiene al secondo gruppo : 1 A. Prothorax lateribus spinis 5 (4,1). B. Spina postica anterioribus breviore. C. Antennis articulo primo subtus in spinam producto. E nera, colle antenne giallo-ferruginee, tolti i due primi articoli, ed i tarsi ferruginei ; il torace è opaco, il resto lucente. Il capo, in mezzo agli occhi, è longitudinalmente solcato e alutaceo ; le antenne sono ingrossate nei cinque ultimi articoli; il primo articolo è quasi uguale in lunghezza al terzo, ma più robusto, il quarto e il quinto sono alquanto più corti del terzo, il sesto più corto ancora dei due precedenti, il settimo più lungo del sesto e molto più inspessito, i quattro ultimi grossi come il settimo, ma leggermente più accorciati ; i cinque ultimi articoli, presi insieme, sono molto più lunghi che gli articoli 4 a 6. Il torace è trasverso, più largo alla base che all’apice ; il suo disco è appiattito e presenta punti quasi variolosi, irregolarmente sparsi, salvo che sulla linea mediana ; i suoi lati sono armati di cinque spine, delle quali le quattro anteriori nascono insieme da uno stelo 1 Gestro, Elenco delle Hispidae Africane. (Annali del Museo Civico di Storia naturale di Genova, serie 3a, Yol. II (XLII), Dicembre 1906, p. 553). 71 MATERIALI PER LO STUDIO DELLE HISPIDÆ. corto e robusto, e la quinta, ossia posteriore, è libera ; la più lunga delle quattro anteriori è quella rivolta aU’interno, delle altre tre una è diretta in avanti e le altre all’esterno; tutte sono volte, un poco obliquamente in alto e leggermente incurvate; la quinta spina libera è più corta delle anteriori, dritta, e rivolta obliquamente all’esterno ed in alto. Lo scudetto è opaco e alutaceo. Gli elitri sono ornati di punti piuttosto piccoli, allineati in serie, e armati di spine Itmghe tanto sul disco quanto sui lati ; solo le apicali sono alquanto più corte. Ciascun lato porta 13 spine. Appartiene allo stesso gruppo della gracilicórnis Weise, cui somi¬ glia; ma è molto più piccola, ha le antenne alquanto più corte e meno gracili, cogli ultimi cinque articoli più ingrossati e molto più lunghi nel loro insieme che gli articoli 4 a 6 ; ha gli elitri con punti più piccoli e più radi ed i piedi diversamente colorati. L’unico esemplare della D . pallidicornis da me esaminato fu preso sul Monte Kilim angiáro. La gracilicórnis in raccolta nella Guinea Por¬ toghese, nel Camerun e nell’isola Fernando Poo. SPECIE INDO-MALESI. Dactylispa dilaticornis Duviv. Hispa dilaticornis Duviv. Arm. Soc. Entom. Belg. XXXV. 1891. C. B. p. XL Vili. Questa piccola specie, caratterizzata sopratutto dalle antenne corte e molto ingrossate all’apice, fu descritta sopra un solo esemplare di Konbir (Bengala occidentale). Nel Museo Nazionale di Budapest ve ne sono tre raccolti a Bombay da L. Biro, e uno nel Museo Civico di Genova, avuto dal Barone F. de Moffarts, porta l’indicazione : « Ceylan, altit. 1200 m.» Il ritrovarsi di questa specie in tre punti così distanti non fa meraviglia, perchè è un fatto che si è verificato anche per altre Hispidae e il Duvivier osserva che non pochi dei Fitofagi del Bengala da lui esaminati si trovano ad un tempo nel Nepal, nella Birmania e anche a Ceylan e nelle isole Malesi.1 La D. dilaticornis è una specie da aggiungere al mio elenco delle Hispidae di Ceylan.2 1 Les Phytophages du Chota-Nagpore. (Ann. Soc. Entom. Belg. XXXV. 1891. C. B. p. XXV.) 2 Cenni sulle Hispidae di Ceylan. (Bull. Soc. Entom. Ital. XXXIV. 1902. p. 50.) / n E. GESTRO Dactylispa xanthopus Gestro. Hispa æcmthopus Gestro Termesz. Füzet. XXI, 1898. p. 262. Questa specie fu descritta sopra un esemplare unico del Museo di Budapest, proveniente dal Darjeeling. Essa è armata sui lati del torace di tre spine, quasi uguali fra di loro in lunghezza e impiantate sopra una larga, ma breve, base comune. Ne ho ora sott’occbio un altro dello stesso Museo, raccolto nel Sikkim da Fruhstorfer, il quale concorda benissimo col tipo tanto nella colorazione quanto negli altri caratteri, ma ha le spiné dei lati del torace in numero di due, invece di tre. Tale differenza basterebbe per allontanare questo esemplare dalla specie presente, per riferirlo al gruppo del Weise: a) Pro thorax lateribus bispinosus ; 1 però esaminandolo attentamente mi sono persuaso trattarsi di un caso di anomalia; le due spine infatti sono irregolari éd assi¬ metriche; Tanteriore del lato destro è più lunga della corrispondente a sinistra, incurvata in avanti e munita anteriormente alla base, di una breve appendice ; la posteriore dello stesso lato è più inspessita, come se risultasse dalla fusione di due spine, il che riesce anche dimostrato dalla sua biforcazione apicale. Sul lato sinistro si osserva che la spina posteriore è ugualmente, inspessita, e biforcata, ma la biforcazione invece di manifestarsi all’estremo apice, esiste circa alla metà della spina. I due esemplari appartengono dunque indubbiamente alla stessa specie e in uno di essi, per una anomalia nello sviluppo, le due spine poste¬ riori dei lati del torace si sono saldate insieme. Dactylispa furia n. sp. Nigra, elytris nitidis, capite inter oculos et antennarum articulis 4 — 6 basi rufescentibus, abdomine pedibusque flavis. Capite inter oculos longitudinaliter sulcato, antennis valde elongatis et gracilibus, articulo tertio primo angustiore et parum longiore, 4—6 gradatim decrescentibus, quinque ultimis brevioribus /et validioribus. Thorace transverso, apice angustato, lateribus pone spinas fortiter sinuatis, margine antico utrinque spinis duabus e stipite communi brevi orientibus, antica multo breviore, lateribus trispinosis, spinis duabus anticis subæque longis, e stipite communi longo et valido orientibus, extus et sursum oblique vergenti¬ bus, postica breviore et graciliore stipitis basi annexa, extus et jetror- sum vergente ; disco, pone marginem anticum magisque ante basim, - , ,-5;i? ' ' > : 1 Verzeichnis der Hispinen. (Deutsch. Entomol. Zeitschr. 1897. p. 147.) MATERIALI PER LO STUDIO DELLE HISPIDÆ. 73 transverse depresso, medio ti-ansverse elevato et lævi, cœterum punc- tulato-rugoso et albo-pilosulo. Scutello lato, triangulare, apice late rp- tundato, alutaceo. Elytris sat convexis, albo pilosis, striato-punctatis, punctis crassis et crebris, interstitiis, præcipue ad latera elevatis; spinis discoidalibus longis, validis, marginalibus longioribus cum brevioribus alternantibus, apicalibus brevioribus. — Long. 34/ö millim. Al disopra è nera, solo il capo in mezzo agli occhi e gli articoli 4' — 6 delle antenne, alla base in modo meno evidente, sono rossastri; si osserva pure una traccia di questa tinta, ma ben poco appariscente, nel mezzo dell’area liscia del disco toracico; gli elit ri sono lucenti e muniti di peli bianchi, lunghi e fini. Al disotto è nera, coll’addome ed i piedi di un giallo quasi aranciato. Il capo è solcato in mezzo agli occhi ; le antenne sono molto lunghe e sottili, col primo articolo lungo e robusto, il terzo più sottile e di poco più lungo del primo; i tre seguenti più corti e gradatamente decrescenti in lunghezza e i cinque ultimi più corti ancora e leggermente ingrossati. Il torace è trasverso, molto più stretto all’apice che alla base, coi lati fortemente sinuosi dietro l’inserzione delle spine laterali ; il disco presenta due depressioni trasversali, una dietro il margine anteriore, l’altra davanti alla base e questa è molto più profonda dell’altra; lo spazio fra le due depres¬ sioni è elevato in un’area trasversa, che non raggiunge i margini late¬ rali, e tutto attorno a questa area, che è liscia, il disco è punteggiato- rugoso e munito di piccoli peli bianchi. Le spine del margine anteriore sono sostenute da uno stelo corto ; la posteriore è quasi perpendicolare al piano del disco, l’anteriore è più corta di essa di circa la metà e si rivolge obliquamente in avanti ed in alto. Ciascun lato è armato di tre spine, due anteriori quasi ugualmente lunghe, sostenute da uno stelo comune lungo e robusto, dirette alquanto in avanti ed in alto e so¬ miglianti nel loro insieme ad una forchetta, e una posteriore, più gracile e più corta, inserita alla base, dello stelo e rivolta obliquamente all’indietro. Lo scudetto è opaco, alutaceo,. triangolare, ad apice larga¬ mente arrotondato. Gli elitri sono piuttosto stretti e si allargano legger¬ mente all’apice-; la loro scultura è meno forte presso la sutura, infatti verso i lati i punti si fanno più grossi e gli interstizii più sporgenti ; le spine discoidali sono lunghe e robuste, le marginali più lunghe di esse, ma alternanti con piccole spine e le apicali più corte. La specie cui la presente maggiormente somiglia è la pugnax dell’Alta Birmania, la quale si riconosce a tutta prima principalmente pel torace più largo, a disco più piano, punteggiato quasi per intero e per le due spine anteriori dei lati più lunghe, più divaricate e sostenute da uno stelo più corto/ e per la posteriore distante dallo stelo. 74 R. GESTRO Il tipo della D. furia, conservato nel Museo Nazionale "di Buda¬ pest, ha l’indicazione : « Java merid., 1500', 1896. H. Fruhstorfer.» Dactylispa pugnax Gestro. Hispa pugnax Gestro Ann. Mus. Civ. Genova (2) XVIII (XNXVIII) 1897. p. 134. Il tipo della specie proviene dall’Alta Birmania. Un esemplare del Museo Nazionale di Budapest, raccolto da Fruhstorfer nel Darjeeling, concorda con esso in tutto, meno nelle antenne che sono interamente nere, mentre nel tipo sono nere soltanto sui due articoli basali e fulve nel resto. 4 Dactylispa rugata n. sp. Oblonga, convexa, subnitida, capite, thorace, scutello, elytrorum basi margineque laterali obscure rufo-sanguineis, antennis nigris, arti- culo basali intus rufescente, elytrorum disco nigro; capite inter antennas carinulato, inter oculos bisulcato, tenue punctulato ; antennis gracilibus, apice leviter incrassatis ; thorace valde transverso, apice angustato, disco vix deplanato, basi transverse depresso, crebre punctato-rugoso et brevis¬ sime albo-piloso, linea media longitudinali, lævi, sulcata, utrinque ab¬ breviata, spinis brevibus validis, anticis inter se parum remotis, latera¬ libus tribus subæque longis, e basi communi angusta orientibus ; scutello alutaceo ; elytris latis, valde convexis, crasse irregulariter punctato-striatis et rugosis, spinis discoidalibus validis, longis, minoribus intermixtis, lateralibus longis cum minimis alternantibus, apicalibus brevibus, cras- siusculis. — Long. 5 millim. E abbastanza lucente. Il capo, il torace e lo scudetto sono di un rosso cupo tendente al sanguigno, gli elitri alla base e sul margine laterale hanno lo stesso colore e nel resto sono neri. Sono pure nere le antenne, ma il primo articolo è alquanto rossastro al lato interno. Il corpo inferiormente è rossastro chiaro e lo sono anche i piedi. Il capo presenta una sottile carena frontale e fra gli occhi due solchi longitudinali. Le antenne sono piuttosto lunghe e sottili ed hanno gli ultimi articoli leggermente ingrossati; il terzo articolo è un poco più corto del primo, il quarto quasi uguale al terzo, i seguenti più brevi. Il torace è molto trasverso, fortemente ristretto all’apice' ; il disco è appena appiattito, depresso trasversalmente alla base, con una linea liscia longitudinale mediana, solcata, che non raggiunge nè l’apice nè la base, densamente puntato-rugoso e con brevissimi peli bianchi ; le spine sono piuttosto corte e robuste, le due coppie del margine anteriore sono inserite relativamente da vicino l’una all’altra e quasi perpendi- MATERIALI PER LO STUDIO DELLE H1SPIDÆ. 75 (solarmente al piano del disco, per cui riescono a un dipresso parallele fra di loro ; té laterali, in numero di tré, sono quasi equilunghe e par¬ tono tutte e tre da una stretta espansione dei lati. Lo scudetto è alu- taceo. Gli elitri sono larghi e notevolmente convessi, fortemente e irre¬ golarmente striato -puntati e rugosi; le loro spine discoidali sono abba¬ stanza lunghe e robuste, miste però ad altre spine molto più piccole ; le laterali appajono alquanto più lunghe delle discoidali e alternano con altre spine esili e brevissime; le apicali sono molto corte e piuttosto robuste. Questa specie è affine a Worophila, ma è molto più piccola, ha la scultura del torace meno fìtta e le spine differenti; neìYorophila infatti1 le' spine del margine anteriore sono inserite a maggiore distanza Luna dall’ altra, e invece di essere quasi perpendicolari al piano del disco e quasi parallele fra di loro, sono dirette obliquamente all’esterno ; le la¬ terali sono notevolmente più lunghe e di esse la posteriore è più corta delle precedenti. La D. rugata , come Yorophila, proviene dal Monte Rina Balu (isola di Borneo). La descrizione è fondata sopra un solo esemplare. Dicladispa muricata Gestro. Questa specie figura nel Catalogo delle Hispidae di Donckier (pag. 608) come « muricata Gestro, Ann. Mus. Civ. Genova (2) Il (XXII) 1885, p. 174. — Gerstäck., i. litt.;» in realtà però di essa non fu mai pubblicata alcuna descrizione. Io mi sono limitato allora a citarla, forse perchè i due esemplari della collezione del Museo Civico di Genova, ambedue privi di antenne, poco mi invitavano a descriverla; ma aven¬ done avuti ora dal Museo di Budapest due perfetti, mi pare opportuno di colmare la lacuna. La D. muricata è nera, lucente, con riflessi bronzati specialmente sugli elitri; però le antenne nei primi sei articoli, ed i piedi, sono di un nero tendente al rosso. Il capo è opaco, alutaceo e solcato longi¬ tudinalmente nel mezzo fra gli occhi ; dietro a questi è levigato e lu¬ cente. Le antenne sono gracili e all’apice molto leggermente ingrossate ; l’articolo terzo è di poco più lungo del primo, il quarto e il quinto sono quasi uguali al terzo, il sesto un poco più corto del precedente e gli ultimi cinque più corti e alquanto più inspessiti. Il torace è quasi tanto lungo quanto largo, un poco ristretto all’apice e coi lati sinuosi dietro l’inserzione del fascio di spine laterali. Il disco è glabro e pre- 1 Vedi la figura: Annali del Museo Civico di Storia naturale di Genova, serie 2a, vol. XVIII (XXXVIII), 1897, p. 127. 76 R. GESTRO senta alcune striole parallele lungo il margine anteriore ; nel mezzo ha un’area corta, levigata e longitudinalmente solcata e nel resto ha punti poco profondi, irregolarmente sparsi sopra un fondo alutaceo. Ciascun lato porta un fascio di quattro spine sostenute da uno stelo comune, corto e robusto, diretto all’esterno e leggermente in avanti di queste quattro spine, che sono tutte circa della stessa lunghezza, una è interna e rivolta quasi verticalmente in alto, le altre tre sono dirette all’esterno ed in alto. Dietro al fascio delle spine e ad una certa distanza, esiste una quinta spina, molto più corta delle altre e più gracile, rivolta all’ esterno ed un poco obliquamente dal basso all’alto. La specie appartiene quindi al gruppo « prothorax glaber , lateribus spinis 5(4,1 ) armatus.)) Lo scudetto è largo, subtriangolare, ad apice largamente arrotondato, e alutaceo. Gli elitri sono alquanto più larghi all’apice che alla base, convessi e scolpiti di punti grossi e profondi, allineati in serie, cogli intervalli verso i lati e verso l’apice alquanto elevati ; le spine sono lunghe, specialmente le laterali, le apicali sono un poco più corte. Le spine marginali, in quattro esemplari da me esaminati, sono undici per ciascun lato. La lunghezza del corpo varia da 3Vä a 4Vs millim. Gli esemplari del Museo Nazionale di Budapest, raccolti da Fruhs- torfer, sono della parte meridionale di Giava; quelli del Museo Civico di Genova sono di Tcibodas e appartengono al materiale raccolto dal Dre 0. Beccari durante il 1874, nella parte occidentale di Giava. La D. muricata ha molta affinità con una specie africana, la D. quadri¬ fida Gerst. Pseudispella machetes Gestro. Pseudispella machetes Gestro Termesz. Füzet. XXI, 1898. p. 260. Non conoscevo di questa specie che l’unico esemplare tipico del Museo Nazionale di Budapest, colla semplice indicazione «India orien¬ talis», e perciò provai interesse ad esaminarne un altro proveniente da Bangalore (collezione B. Oberthür), il quale concorda perfettamente col tipo e serve a far conoscere più precisamente l’habitat della specie. Secondo la nuova classificazione degli Hispini proposta recente¬ mente dal Weise,1 la P. machetes dovrebbe essere staccata dalle Pseu¬ dispella per entrare a far parte del suo genere Rhadinosa, insieme alle reticulata Baly, Fleutiauxi Baly, nigrocyanea e parvula Motsch. Le Rhadinosa sarebbero asiatiche, le Pseudispella africane e i due generi si distinguerebbero da caratteri degli uncini tarsali. 1 Bemerkungen über Hispinen. (Deutsch. Entomol. Zeitschr. 1905, p. 318.) MATERIALI PER LO STUDIO DELLE H1SPIDÆ. 77 Monochirus mcestus Baly. Monochirus moestus Baly Ann. Mus. Ci v. Genova, 2.a Ser., VI (XXVI) 1888, p. 662. — Gestro ibid., 2.a Ser., X (XXX), p. 245 ; 2.a Ser., XVIII (XXXVIII), 1897, p. 73. Il tipo di questa specie, appartenente al Museo Civico di Genova, proviene dalla Birmania (viaggio Fé a) e questo istituto ne possédé anche esemplari della parte occidentale di Sumatra e dell’isola Nias (viaggio Modigliani). Nel Museo Nazionale di Budapest ve ne sono quattro della parte meridionale di Giava (Fruhstorfer), i quali corrispondono al tipo di Baly. Uno di essi merita di essere citato per un’anomalia nelle spine laterali del torace ; quelle del lato destro sono normali, cioè due an¬ teriori congiunte insieme alla base e una posteriore libera ; a sinistra invece, al posto delle due anteriori ve ne sono tre, sostenute da una base comune. Monochirus Horváthi n. sp. Elongatus, niger, nitidus, thorace opaco ; capite, opaco, ruguloso, medio longitudinaliter sulcato ; antennis brevibus, crassiusculis, articulis 1 — 6 longitudinaliter sulcatis, quinque apicalibus pubescentibus, spina articuli basalis sat elongata, valida; thorace transverso, apice valde angustato, basi transverse depresso, disco crebre punctato-rugoso, bre¬ viter albo-piloso, linea media longitudinali elevata, lævi, sulcata, spinis anticis retrorsum vergentibus, lateribus trispinosis, spinis duabus anticis æque longis, basi connexis, postica libera paullo longiore ; elytris elon¬ gatis, albo pilosis, striato-punctatis, punctis crassis et crebris, spinis discoidalibus validis, basi crassis, ad suturam minutis, spinis margina¬ libus numerosis (utrinque 24); femoribus subtus spinulosis. — Long. 6 millim. A M. moesio Baly statura majori, antennis brevioribus crassiori- busque, apice haud incrassatis, spinis thoracicis validioribus, anticis retrorsum vergentibus, cæterisque abunde discrepans. E nero, lucente sugli elitri, opaco sul capo e sul torace. Il capo è ruguloso e solcato longitudinalmente nel mezzo. Le antenne sono piut¬ tosto corte e robuste, coi primi sei articoli fortemente solcati pel lungo ed i cinque ultimi pubescenti ; il primo articolo è lungo e molto ro¬ busto, armato di una spina lunga e forte; il secondo è molto più corto ed un poco meno spesso ; il terzo è della lunghezza del primo, ma meno inspessito ; i seguenti sono tutti più accorciati, specialmente l’ottavo, il nono e il decimo ; i primi cinque sono nettamente staccati l’uno dall’altro, gli altri sono invece strettamente accostati ; l’ultimo è 78 C R. GESTRO un poco più lungo del penultimo, alquanto attenuato e depresso al¬ l’apice, Il torace è trasverso, fortemente ristretto all’apice, densamente puntato-rugoso e con brevi peli bianchi; nel mezzo del disco vi e una breve linea longitudinale elevata, liscia e solcata; le spine sono piut¬ tosto corte e robuste ; quelle del margine anteriore sono leggermente rivolte in addietro; delle laterali, in numero di tre, le due anteriori sono unite alla base e la posteriore è libera e un poco più lunga delle precedenti. Gli elitri, un poco più di tre volte lunghi quanto il torace, sono fortemente striato-puntati, con punti grossi e fìtti, e muniti di peli bianchi ; hanno le spine del disco robuste e inspessite alla base, ma nel primo interstizio se ne osservano alcune assai piccole; le mar¬ ginali sono a un dipresso della lunghezza delle discoidali e molto nu¬ merose ; per ciascun lato se ne contano 24. I femori al disotto sono spinulosi. Questa specie confrontata col tipo del M. moestus di Baly, ne differisce per la statura maggiore, per le antenne più corte e più ro¬ buste, non ingrossate all’apice, per le spine del torace più corte e più forti, delle quali le anteriori rivolte in addietro, per le spine degli elitri meno lunghe e meno gracili e pel numero maggiore delle spine marginali. L’unico esemplare da me descritto appartiene al Museo Nazionale di Budapest e porta l’indicazione : «Java merid., 1500', 1896. H. Fruhs- torfer. » Ho nominato la specie in onore del Dre G. Horváth, direttore di questo istituto. SPECIE PAPUANE. Nel 1876, data della pubblicazione del volume XII del Catalogo di Gemminger e Harold, si conoscevano soltanto due specie di Hispidae della Papuasia ; oggigiorno esse oltrepassano la trentina e questo aumento è dovuto principalmente alle ricerche degli Italiani Dre Odoardo Beccari, L. M. D’ Albertis e Dre Lamberto Loria e dell’Ungherese L. Biro. Il mio primo elenco delle Hispidae papuane, che comprende sedici specie, fu pubblicato nel 1892 ; 1 nel secondo, comparso nel 1897 2 ne sono enumerate ventidue ; da quell’epoca altre sono state descritte da 1 Viaggio di Lamberto Loria nella Papnasia orientale. VI. — Hispidae. (Ann. Mus. Civ. Stör. nat. Genova (2) X (XXX) 1892, p. 1020.) 2 Hispidae raccolte nella Nuova Guinea dal sig. L. Biro e conservate nel Museo Nazionale di Budapest. (Termesz. Füzet., XX, 1897, p. 453.) MATERIALI PER LO STUDIO DELLE HISPIDÆ. 79 me e dai colleghi Csíki e Weise e il Museo di Budapest mi da ora occasione di farne conoscere ancora due ; per cui mi pare che la pubbli¬ cazione di una nuova lista sia giustificata. Micrispa majuscula n. sp. Flavo-ferruginea, subnitida, antennis apice vix infuscatis, elytris utrinque maculis duabus dilutis fuscis, pedibus pallidioribus; capite im- punctato ; thorace transverso, antrorsum valde ampliato-rotundato, mar¬ ginibus lateralibus crenulatis, disco antice convexo, postice transverse profunde depresso, utrinque ad latera excavato, sulco medio longitudi¬ nali abbreviato et serie antica punctorum crassorum instructo; elytris latis, ad apicem ampliatis, marginibus laterali et apicali tenue crenu¬ latis, disco tricarinato, interstitiis crasse et crebre seriatim punctatis, punctis in ordinibus geminis dispositis, secundo basi et apice dilatato, ibique punctis in serie triplice. — Long. 4 millim. Delle Micrispa da me conosciute questa è la maggiore, ed è facil¬ mente riconoscibile anche soltanto dalla sua tinta chiara e quasi uni¬ forme. Essa è tutta di un giallo ferrugineo ; solo le antenne hanno gli ultimi articoli leggermente più scuri e sugli e litri si osservano a stento due macchie brune, sbiadite, una delle quali trovasi sulla prima carena avanti della metà e l’altra sta dopo la metà sulla seconda, estendendosi anche alquanto sulla prima. Il capo non è. punteggiato. Il torace è largo, trasverso, fortemente dilatato e arrotondato in avanti, essendo la porzione anteriore allargata e arrotondata dei lati, maggiore di quella posteriore dritta ; il margine laterale è finamente crenulato ; il posteriore è largamente troncato in corrispondenza dello scudetto e sinuato da una parte e dall’altra ; il disco dietro il margine anteriore è percorso da una serie trasversa di punti grossi e fìtti, dietro alla quale si fa con¬ vesso, e dopo la convessità si presenta fortemente depresso fino al margine basale ; su ciascun lato esiste una forte escavazione, limitata al lato interno da una carena incurvata. Sulla porzione anteriore con¬ vessa del disco si osserva un breve solco mediano longitudinale. Tolti i grossi punti dietro al margine anteriore, non si vedono altri punti nè sulle parti elevate, nè sulle depresse. Lo scudetto ha forma di un triangolo a vertice troncato, ed è liscio. Gli elitri sono larghi ed al¬ quanto dilatati all’apice, più convessi alla base e in addietro e un poco trasversalmente depressi nel mezzo ; ciascuno ha tre carene, più sporgenti alla base ed all’apice e un poco meno nel mezzo ; gli inter¬ valli fra le carene sono occupati da grossi punti disposti in doppia serie; il secondo si allarga alla base e verso l’apice e nei due tratti 80 II. GESTRO ove è più largo, i punti si trovano in serie triplice" i margini laterale ed apicale sono finamente crenulati. Il tipo di questa specie fu raccolto nel 1901, da L. Bibó, nella Nuova Guinea Germanica, a Eriedrich-Wilhelmshafen. La presente e la vulnerata sono le due sole Micrispa appartenenti alla fauna della Papuasia; la vulnerata é però molto più piccola, di¬ versamente conformata e con una colorazione ed una scultura affatto differenti. 1 Monochirus Csikii n. sp. Elongatus, niger, capite thoraceque opacis, flavo pilo sul is, elytris nitidis; antennis sat elongatis, apice paullo incrassatis, articulis 1 — 6 longitudinaliter sulcatis, quinque ultimis fulvo pubescentibus ; capite ruguloso, medio longitudinaliter sulcato ; thorace transverso, apice an¬ gustato, disco deplanato, basi transverse depresso, crebre punctato-rugoso, linea media longitudinali, bevi, sulcata, basi abbreviata, spinis sat brevi¬ bus, validis, anticis lateralibus subæque longis, antrorsum et extrorsum vergentibus, lateribus trispinosis, spinis duabus anticis æque longis, basi connexis, paullo divergentibus, postica libera præcedentibus paullo lon¬ giore, antrorsum leviter incurva ; elytris stri ato-pùnetatis, punctis crassis, spinis discoidalibus brevibus, basi incrassatis, marginalibus longioribus, numerosis (utrinque 21); femoribus subtus spinulosis. — Long, b millim. E tutto nero, col capo ed il torace opachi e gli eli tri lucenti. I] capo in mezzo agli occhi è ruguloso e percorso da un solco mediano longitudinale. Le antenne sono abbastanza lunghe e leggermente in¬ grossate all’apice; i primi sei articoli sono solcati nel senso longitudi¬ nale, gli ultimi cinque sono rivestiti d’una pubescenza fìtta, fulva ; l’ar¬ ticolo basale è lungo e robusto e la spina di cui è armato è circa della sua lunghezza ; il secondo ed il terzo sono molto corti e quasi uguali fra di loro, il quarto è alquanto più lungo del precedente, e si può dire che gli articoli 2 a 4 presi insieme uguagliano in lunghezza il primo ; il quinto è un poco più lungo del quarto, il sesto poco più lungo del quarto e alquanto più largo all’apice ; i cinque ultimi più inspessiti e più corti dei precedenti. Il torace è, come il capo, munito di brevi peli gialli ; è trasverso, ristretto all’apice, appiattito sul disco, trasver¬ salmente depresso alla base, densamente puntato-rugoso, eccetto che 1 Per le Micrispa vedi : Gestro, Le specie del sottogenere Micrispa. (Annali del Museo Civico di Storia naturale di Genova, Serie 2.a vol. XX (XL) 1899, p. 168) e Materiali per lo studio delle Hispidae. XXVIII. Descrizioni di alcune Hispidae inedite. (Ibidem, serie 3.a^ vol. II. (XLII), 1906, p. 477). MATERIALI PER LO STUDIO DELLE HISPIDÆ. 81 sopra una linea mediana longitudinale solcata, che parte dall’apice e cessa poco prima di raggiungere il margine basale; le sue spine sono piuttosto corte e robuste, le anteriori si dirigono leggermente in avanti e all’esterno ; delle laterali le due anteriori sono ugualmente lunghe, unite insieme alla base e poco divaricate, la posteriore è libera, al¬ quanto più lunga delle precedenti, parallela alla seconda e leggermente incurvata in avanti. Gli elitri sono un poco più di tre volte lunghi quanto il torace, sono striato-puntati e armati di spine, sul disco più corte e molto inspessite alla base, sui margini laterale ed apicale più lunghe e numerose, contandosene per ciascun lato 21. I femori sono inferiormente spinulosi. Ha una certa somiglianza, nell’aspetto, col M. Horvdthi , ma è diverso per molti caratteri ; le antenne infatti sono più lunghe e più gracili, inspessite all’apice e coi rapporti di lunghezza fra i diversi articoli molto differenti ; basti il dir infatti che il terzo articolo è brevissimo come il secondo, mentre nell’ Horvdthi è molto lungo. Il torace è meno trasverso, la linea mediana liscia, solcata, lo percorre quasi per intero, le spine del margine anteriore non sono rivolte in addietro, le due laterali anteriori sono molto meno divaricate. Gli elitri hanno punti più grossi e le spine dei margini laterale ed apicale sono un poco meno numerose. E pure notevolmente diverso dalle altre due specie finora trovate nella Papuasia, cioè dal multispinosus Germ, e dall ’Albertisii Gestro. Di questa specie, che ho il piacere di dedicare al Sign. E. Csíki, Conservatore del Museo Nazionale di Budapest, ho osservato un solo esemplare, proveniente dalla Nuova Guinea germanica, Stephansort, nella Baja dell’Astrolabio, e raccolto da L. Biro nel 1900. ELENCO DELLE HISPIDAE PAPUANE. 1. Euryspa Loriae Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, X (XXX), 1892, p. 1016. — Termész. Füzet. XX, 1897, p. 453. — Nuova Guinea Britannica. 2. Hispodonta Ckapuisii Gestro Ann. Mus. Civ. Genova 2.a Serie, II (XXII), 1885, p. 156. — Termész. Füzet., XX, 1897, p. 453. Nuova Guinea N. 0. 3. Hispodonta depressa Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 3.a Serie, II (XLH), 1906, p. 130 . _ „„ . . __ . £ ' . „„ * , Nuova Guinea. 4. Oxycephala speciosa Boisd. Yoy. Astro! Col., p. 535. — Nuova Guinea, Salvatti, Yaigheu, Isole Aru. var. dilutipes Weise Arch. f. Nat., 1905, I, 1, p. 95. — Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 3. a Serie, II (XLII) 1906, p. 131. Nuova Guinea Germanica. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 6 82 E. GESTRO 5. Oxycephala fasciata Weise Arch. f. Nat., 1905, I. 1, p. 95. Nuova Guinea. 6. Oxycephala tripartita Fairm. Ann. Soc. Ent. Belg., XXVII, 1883, p. 54. — Wallacci Baly Ent. Monthl. Mag., 1887, XXIII, p. 270. — Isola Duca d’York (Neulauenburg). Isole Salomone. 7. Oxycephala papuana Gestro Termész. Füzet., XX, 1897, p. 450. — Nuova Guinea Germanica. 8. Oxycephala Albertisii Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, II (XXII), 1885. p. 161. — - Termész. Füzet. XX, 1897, p. 453. Nuova Guinea Britannica. 9. Oxycephala latirostris Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, II (XXII) 1885, p. 160. — Termész. Füzet. XX, 1897, p. 453. Nuova Guinea Britannica. 10. Oxycephala obtusirostris Gestro Termész. Füzet. XXI, 1898, p. 257. Nuova Guinea Germanica. 11. Oxycephala carmirostris Csíki Termész. Füzet. XXIII, 1900, p. 196. Nuova Guinea Germanica. 12. Oxycephala metallica Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, II (XXÌI), 1885, p. 159. — Termész. Füzet. XX, 1897, p. 453. Nuova Guinea Britannica. 13. Brontispa longissima Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, II (XXII), 1885, p. 162. fig. — Termész. Füzet., XX, 1897, p. 450. — Ann. Mus. Civ. Genova, 3.a Serie, I (XLI) 1905, p. 455, fig. p. 456. Isole Aru, Nuova Guinea Germanica. 14. Brontispa longipennis Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, X (XXX), 1892, p. 1017. — 3.a Serie, I (XLI) 1905, p. 455. Nuova Guinea Britannica. 15. Brontispa Froggatti Sharp Proceed. Linn. Soc. N. S. Wales, XXVIII, Pt. 4. Nr. 112, p. 924. — Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 3.a Serie, I (XLI), 1905, p. 455. Nuova Pomerania (Nuova Britannia). 16. Ceratispa Loriae Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, XIV (XXXIV) 1895, p. 703. — Termész. Füzet. XX, 1897, p. 454. Nuova Guinea Britannica. 17. Ceratispa Birbi Gestro Termész. Füzet., XX, 1897, p. 451. Nuova Guinea Germanica. 18. Gonophora crassipes Baly Ann. Mag. Nat. Hist. 5.a Serie I, 1878, p. 43. — Gestro Termész. Füzet. XX, 1 897, p. 454. „„ „„ „„ „„ Isole Key. 19. Micrispa vulnerata Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, XIV (XXXIV), 1895, p. 705. — 2.a Serie, XVIII (XXXVHI), 1897, p. 65. — 2.a Serie, XX (XL), 1899, p. 170. Nuova Guinea Britannica. 20. Micrispa majuscula Gestro Ann. Mus. Hung. V. 1907, p. 79. Nuova Guinea Germanica. 21. Aspidispa Albertisii Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, X (XXX), 1890, p. 265, fig. p. 267. — Termész. Füzet. XX, 1897, p. 453. Nuova Guinea Britannica. 83 MATERIALI PER LO STUDIO DELLE HISPIDÆ. 22. Aspidispa Horvàthi Gestro Termesz. Füzet., XX, 1897, p. 451. Nuova Guinea Germanica. 23. Aspidispa signaticollis Gestro Termész. Füzet., XXI, 1898, p. 258. Nuova Guinea Germanica. 24. Aspidispa nigritarsis Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, X (XXX) 1890, p. 266. — Termész. Füzet., XX; 1897, p. 454. Nuova Guinea Britannica. 25. Promecotheca antiqua Weise Arch. f. Nat. 1905, I, 1, p. 97. Nuova Pomerania. 26. Promecotheca papuana Csíki Termész. Füzet., XXIII, 1900, p. 80. Nuova Guinea Germanica. 27. Promecotheca Birói Csíki Termész. Füzet., XXIII, 1900, p. 196. Nuova Guinea Germanica 28. Monochirus midtispinosus Germ. Linn. Entom., HI, 1848, p. 246. — 1 Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, X (XXX) 1892, p. 1018. — Termész. Füzet., XX, 1897, p. 454. _ „„ „„ „„ Nuova Guinea, Australia. 29. Monochirus Albertisii Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, XVIII (XXXVIII), 1897, p. 122. — Termész. Füzet. XX, 1897, p. 454. Nuova Guinea, Britannica. 30. Monochirus Csikii Gestro Ann. Mus. Hung. V. 1907. p. 80. Nuova Guiuea Germanica. 31. Dicladispa Fabricii Guér. Voy. Coq. Zool., 1830, II, p. 140. — Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, X (XXX) 1892, p. 1021. — Termész Füzet. XX, 1897, p. 454. „„ _ è Nuova Guinea. 32. Dicladispa Linnéi Weise Arch. f. Nat. 1905, I, 1, p. 101. Nuova Guinea. 33. Dactylispa cincta Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, II, (XXII) 1885, p. 177. — Termész. Füzet. XX, 1897, p. 454. Nuova Guinea N. O. 34. Dactylispa rubus Gestro Ann. Mus. Civ. Genova, 2.a Serie, X (XXX) 1892. p. 1019. — Termész. Füzet. XX. 1897, p. 454. Nuova Guinea Britannica. 35. Dactylispa plagiata Weise Deutsch. Entom. Zeitschr. 1905, p. 248. Nuova Guinea. 6* V. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICI. 1907. ZUR LÖSUNG DER «MURALIS-FRAGE.» (Vorläufige Mittheilung.) Yon L. V. Méheiy. (Taiel III.) Wie ein Alpendrücken lastet die sogenannte « muralis-Frage » auf dem Gemüthe der Herpetologen. Der von Laurenti im Jahre 1768 be¬ schriebenen und kenntlich abgebildeten 1 Lacerta muralis wurden im Laufe der letzten Decennien des verflossenen Jahrhunderts etwa 50 Un¬ terarten, Varietäten, Bassen und Localformen angereiht, so dass die als Stamm- und Sammelart aufgefasste Mauereidechse förmlich zu einer herpetologischen Herberge wurde, in welche alle Halsbandechsen Ein¬ lass fanden, die eine ziemlich gestreckte Statur, einen pyramidalen oder platycephalen Kopf, einen Schwanz von etwa doppelter Körperlänge, ungefähr bis zu den Achseln reichende Hinterbeine, nur ein Scutum nasofrenale, zwischen den Supraocularia und Supraciliaria eine mehr oder weniger entwickelte Körnerreihe, ein ganzrandiges oder schwach gezähneltes Halsband, körnerartige, schwach oder deutlich gekielte Kücken¬ schuppen, hinten gerade abgestutzte, abgerundete oder winkelig ausge¬ zogene obere Schwanzschuppen, 13 — 29 Femoralporen und einen un¬ bezahnten Gaumen besitzen. Diese, von Dr. J. v. Bedriaga inaugurierte 2 und bald darauf von 1 Specimen medicum exhibens Synopsin Reptilium. Viennæ, 1768, p. 162, tab. I, fig. IV. In Ungarn hat sich die Sage erhalten, dass dieses Werk vom ungarischen Universitäts -Professor Dr. J. Winterl geschrieben wurde. Dies finde ich in alt¬ modischer Schrift vor dem Titelblatt des im Besitze des Ungarischen National- Museums befindlichen LAURENTi’schen Buches (Nr. I. 92) vermerkt, ausserdem wird dies auch von J. Hanak in seiner Geschichte der Zoologie in Ungarn (Az állattan története és irodalma Magyarországon, 1849, p. 44) bestätigt. Ferner lesen wir auch bei Fitzinger (Über die im Erzherzogthume Österreich vorkommenden Rep¬ tilien; Archiv für Geschichte, Statistik, Literatur und Kunst, 1823, Nr. 120, 121, p. 631) : «Diese Abhandlung, welche in späteren Zeiten grosses Aufsehen erregte, wird dem Professor Winterl zugeschrieben, der dieselbe während seiner Studien¬ jahre in dürftigen Umständen an Laurenti verkauft haben soll.» 2 Beiträge zur Kenntnis der Lacertiden-Familie. (Abh. d. Senckenberg. Ges., XIV, 1886, p. 30, 176.) ZUR LOSUNG DER « MURALIS -FRAGE. » 85 G. A. Boulenger weitergesponnene 1 Auffassung beherrscht auch gegen¬ wärtig noch die Literatur, obwohl sich bei den jüngeren Forschern ein immermehr zunehmender Drang zur Zersplitterung dieses naturwidrigen Verbandes kundgibt, der sub titulo Lacerta muralis eine Anzahl scharf geschiedener, mit einander in sehr entfernter, zum Theil sogar in gar keiner Beziehung stehender Arten vereinigt. Diese Anzeichen einer neueren und zum Theil richtigeren Be¬ il rtheilung der Frage blieben jedoch erfolglos, da dieselben meist nur die Folge ganz gelegentlicher Excursionen auf dem weiten Gebiete der (anuraliS’ Systematik» waren, denen keine überzeugende Kraft inne¬ wohnte. Kein Wunder, dass diese neueren Bestrebungen von hervor ragenden Vertretern der alten Anschauung etwas missmuthig zurück¬ gewiesen wurden, so von G. A. Boulenger in seinem neuesten Werke,2 welches die westeuropäischen und nordafrikanischen Formen von « Lacerta muralis » behandelt, in welchem 18 vermeintlich hierher gehörende Varietäten beschrieben werden, die in Wahrhaftigkeit', mindestens zu sieben scharf geschiedenen Arten gerechnet werden müssen. Sonderbarer Weise werden hierbei stets nur gewisse Ähnlichkeiten des Schuppenkleides berücksichtigt, die grosse Verschiedenheit des Far¬ benkleides, der Verbreitungsverhältnisse und der Lebensweise aber gar nicht gewürdigt, wie auch die osteologische Beschaffenheit des Schädels ganz ausser Acht gelassen. Und doch ist eine Lösung der « muralis - Frage» ohne Heranziehen des Schädelbaues, in Anbetracht der so ge¬ waltig verschiedenen Kopfform der hierher gerechneten Formen, einfach undenkbar. Angesichts dessen fühle ich mich veranlasst meine einschlägigen, seit geraumer Zeit gepflogenen Untersuchungen möglichst bald abzuschliessen und eine systematisch-phylogenetische Übersicht der muralis ähnlichen Lacerten zu veröffentlichen ; da sich jedoch das Erscheinen derselben, der vielen Abbildungen wegen, noch eine Weile verzögern kann, will ich hier in aller Kürze auf einige, besonders den Schädelbau betreffende Ergebnisse meiner Untersuchungen hinweisen, um meinen verehrten Fachgenossen je eher einen Schlüssel an die Hand zu geben, der ihnen die Mysterien dieser dunklen Frage erschlossen soll. Die muralis- ähnlichen Lacerten nehmen sehr verschiedene phyle- tische Entwickelungsstufen ein, doch können im allgemeinen zwei Haupt- 1 Catal. Lizards Brit. Mus., Ill, 1887, p. 28 — 34. 2 A Contribution to our Knowledge of the Varieties of the Wall-Lizard (Lacerta muralis) in Western Europe and North Africa. (Transact. Zool. Soc. of London, XVII, 1905.) 80 L. V. MÉHELY gruppen unterschieden werden. Eine phyletisch ältere, primitivere Gruppe bilden die platycephalen, hingegen eine jüngere, mehr fortgeschrit¬ tene Gruppe die pyramidocephalen Formen. Die platycephalen Arten scheinen Relicte einer früheren Erdepoche zu sein, die sich gegenwärtig auf das Mittel- und Hochgebirge beschrän¬ ken; allem Anschein nach sind aus denselben neuerer Zeit die pyra¬ midocephalen Arten hervorgegangen, die die Niederungen und das Vor¬ gebirge bewohnen. Die platycephalen Arten sind meist unansehnlich braun, graubraun oder grünlichgrau gefärbt und schwarzbraun gefleckt, die pyramidoce¬ phalen aber bunter, oft lebhaft grün gefärbt und häufig längsgestreift. Das Jugendkleid der ersteren ist gewöhnlich reticuliert, dasjenige der letzteren aber schon mehr oder weniger längsgestreift. Da das unregel¬ mässige Fleckenkleid mit primitiven Charakteren des Schädels und de& Schuppenkleides einhergeht, das längsgestreifte 1 aber an einen hoch- entwickelten Schädel und eine fortgeschrittene Beschuppung gebunden ist, so ist es klar, dass die Längsstreifung nicht die phyleti¬ sch e Aus gangs form kennzeichnet, wie Eimer annahm,2 sondern gerade die phyletisc he' Endstufe anzeigt. Selbst im Gebaren dieser beiden Gruppen ist ein deutlicher Un¬ terschied wahrzunehmen. Die platycephalen Arten sind mehr schlaff, weniger flink, scheu aber tölpisch, wogegen die pyramidocephalen Arten elastische, hurtige, mehr aufgeweckte und rauflustige Thiere sind. Der Schädel der platycephalen Arten ist niedrig gebaut, oben platt und relativ schwach incrustiert ; die Nasenlöcher sind gross ; die Lamina superciliaris führt zeitlebens (selbst bei greisenhaften Männ¬ chen !) eine grosse, häutige Fontanelle;3 der laterale Theil des 1 Bei der Längstreifung kommt es nicht auf ein dunkles, continuirliches Temporalband, sondern auf die weissen Supraciliar- und Subocularstreifen an. Ersteres ist auch bei sehr primitiven Formen vorhanden, die letzteren findet man aber nur bei hochentwickelten. 2 Untersuchungen über das Variiren der Mauereidechse. (Arch. f. Naturgesch., XL VII, 1881, p. 310, 318, etc.) 3 Unbegreiflicher Weise ist diese häutige Fontanelle allen früheren Beobach¬ tern unbekannt geblieben, selbst der so genaue Prof. Siebenrock gedenkt nicht derselben, obwohl er auch solche Arten auf ihren Schädelbau geprüft hat, die selbst bei senilen Männchen stets durch eine grosse Fontanelle der Lamina superciliaris ausgezeichnet sind (z. B. Lacerta mozoriensis und oxycephala). Von der Anwesen¬ heit dieser hochwichtigen Fontanelle kann man sich bei einiger Übung schon am unpräparierten, noch im Fleische befindlichen Schädel überzeugen, wenn man unter dem Präpariermikroskop mit einer Lanzette den mittleren Theil des Discus palpe¬ bralis betastet. Ist die Fontanelle vorhanden, so fühlt sich der mittlere Theil des- Discus palpebralis weich an. ZUR LÖSUNG DER « MURALIS-FRAGE. » 87 grossen dreieckigen Supraorbitale liegt gewöhnlich frei,1 da es nur von dem ersten Supraoculare theilweise bedeckt wird ; gewöhnlich nur ein schwaches Supraciliare vorhanden ; die beiden Postfrontalia zeit¬ lebens getrennt und ihre Trennungslinie von oben deutlich sichtbar ; das äussere, schwach incrustierte Postfrontale bildet die Knochenunter¬ lage des ersten,, gewöhnlich keilförmigen Supratemporalschildes ; die beiden Parietalprocesse flach und in breiter Fläche an die häutige Hirn¬ kapsel angesetzt ; Proc. ascendens des Supraoccipitale schwach und nied¬ rig ; Pterygoidea vor dem Parasphenoideum stark auseinander weichend ; Schläfe selbst bei senilen Männchen ohne Hautknochen. Der Schädel der pyramidocephalen Arten ist hoch gebaut, oben mehr oder weniger gewölbt und relativ derb incrustiert ; Nasen¬ löcher eng; die Lamina superciliaris schon in früher Jugend vollkom¬ men verknöchert; Supraorbitale kleiner, gedrungener und von oben nicht sichtbar, da es ausser dem ersten Supraoculare noch von einem vorde¬ ren Supraciliare vollkommen bedeckt wird ; ein grosses, derbes, oder mehrere Supraciliaria, bei alten Männchen oft ein Supraciliare comple¬ mentare und ein oder mehrere Eetrociliaria ; die beiden Postfrontalia gehen eine festere Verbindung ein und ihre Trennungsfurche wird von der aufgelagerten Crusta calcarea bedeckt; das äussere, kräftig incrustierte Postfrontale ist mitsamt dem inneren vom Parietalschild bedeckt ; Proc. parietales gewölbt und in schmaler Fläche an die häutige Hirnkapsel angesetzt ; Proc. ascendens des Supraoccipitale hoch und kräftig ; Ptery¬ goidea vor dem Parasphenoideum mehr parallel ; Schläfe bei alten Männchen mit Hautknochen, die bei Lacerta peloponesiaca selbst den Unterkiefer bedecken. Ich möchte hierbei ausdrücklich betonen, dass die beiden Gruppen der platy- und pyramidocephalen Lauerten durchaus nicht für sich ab¬ geschlossen sind, vielmehr kenne ich eine Anzahl von Arten, die in der Beschaffenheit des Schädels eine Mittelstellung einnehmen und den Übergang zwischen den beiden Gruppen vermitteln. Bein platycephale Arten sind: Lacerta saxicola Eversm., Lac . caucasica mihi, Lac. Derjugini Nie., Lac. Horváthi Méh., Lac. moso- 1 Bekanntlich war es Prof. Siebenrock, der das wahre Supraorbitale bei den Lacertiden (und Gerrhosauriden) entdeckt und überhaupt zum erstenmal richtig gedeutet hat (Ann. d. k. k. Hofmuseums Wien, VII, 1892, p. 184, 185), doch irrt auch dieser treffliche Forscher, wenn er angibt, dass das Supraorbitale bei den Lacerici- Arten «von der Lamina superciliaris vollkommen bedeckt und daher am äusseren Bande gar nicht sichtbar» sei (Sitzungsber. Akad. Wien, CHI, 1894, p. 251), da dieser Knochen fast bei allen platycephalen Lacerten nur zum Theil von der Lamina superciliaris bedeckt wird. 88 L. V. MÉHELY riemis Kolomb., Lac. oxycephala D. & B.. Lac. hikj anica Steind. mid Apathy a 1 capi ado cica Wern. (.= Lacerta cappadocica Wern.).2 Rein pyramidoeephal sind : Lacerta ; iiliguevta Gm., Lac. fiumana Wern., Lac. jonica Lehrs, Lac. peloponcsiaca Bibr., Lac: Lilfordi Gthr, Lac. taurica Pall, und Lac. Jacksonii Blgr. Eine Mittelstellung nehmen ein : Lacerta .'{maiolica Wern., Lac. Danfordii Gthr , Lac. gr aeca- Bedr. und Lac. reticulata Bedr. (= Lac. Bedriagae Cam,), bei denen die häutige Fontanelle der Lamina super¬ ciliaris bei adulten Männchen schon nicht immer vorhanden ist, fer¬ ner: Lacerta laevis: Gray* Lac. muralis Lkuk.. Lacerta praticola Eversm., Lac. vivi} ara Jacq. und Lac. Bo eit g er i mihi, die im erwachsenen Zustand wohl eine vollkommen verknöcherte Lamina superciliaris besitzen, aber ihr Schädel doch mehr platy- als pyramidoeephal genannt werden kann. Betreffs des Schädelbaues besteht demnach eine grosse Mannig¬ faltigkeit. da die eine Art eine bereits mehr fortgeschrittene Entwicke¬ lungsstufe erreicht hat als die andere* soviel ist aber gewiss, dass eine jede Art durch unverkennbare Charaktere des Schädelbaues gekenn¬ zeichnet wird, die mitsamt den Eigenschaften des Schuppen- uud Farben¬ kleides nicht nur eine systematische Trennung der einzelnen Formen ermöglichen, sondern auch deren phyletische Herkunft und ihre Ent¬ wickelungslinien klar veranschaulichen. ERKLÄRUNG DER TAFEL III. Fig. 1. Lacerta reticulata Bedr. Schädel eines halberwachsenen cf von Vizza- vona (Corsica), von oben. Yergr. 4. Fig. 2. Lacerta fiumana Wern. var. goriciensis mihi. Schädel eines alten cf vom Monte santo bei Görz, von oben. Vergr. 4. Fig. 3. Schädel von Fig. 1, von hinten. Yergr. 6’5. Fig. 4. Schädel von Fig. 2, von hinten. Yergr. 6-5. Fig. 5. Lamina superciliaris von Fig. 1, mit dem freigelegten Supraorbitale. S0j — soIV = Supraoculare I — IV, sor — Supraorbitale, sc — Supraciliare. Vergr. 6. Fig. 6. Lamina superciliaris von Fig. 2, mit dem freigelegten Supraorbitale ; so1 — soiy = Supraoculare I — IV, sor — Supraorbitale, sc1 — sc2 = Supraciliare 1 — 2, scc = Supraciliare complementare, re = Retrociliare. Yergr. 6. Fig. 7. Die beiden Postfrontalia von Fig. 1, mit dem Paraquadratum, freige¬ legt; pf± = das innere, p/2 = das äussere Postfrontale, pqu = Paraquadratum. Vergr. 6. Fig. 8. Die freigelegten beiden Postfrontalia (pL—pfd von Fig. 2, mit dem Paraquadratum {pqu). Vergr. 6. 1 Die Diagnose dieser Gattung wurde von mir in : Pótfüzetek a Természet- tudományi Közlönyhöz, Budapest, 1907, LXXXV — LXXXVI. Heft, p. 26 publiciert. 2 Allem Anschein nach gehört in die Gruppe der platy ceplialen Arten auch Lacerta monticola Blgr ( ■== Lac. muralis var. monticola Blgr), die ich aus eigener Anschauung nicht kenne. Y. ANNALES MUSEI NATIO NA LIS HUNGARICL 1907. NOUVEAUX GENRES ET ESPÈCES DU GROUPE DES GEOCORINÆ. Par A. L. Montaxdon. Ophthalmocoris nov. gen. Tête large, avec de gros yeux pédoneulés comme chez les Henestaris , mais plus gros, à pédoncule plus robuste; non ou très peu rejetés en arrière,, non collés contre l’angle antérieur du pronotum. Tubercules antennifères saillants, visibles en regardant l’insecte en dessus, comme chez lez Henestaris , avec le premier article des antennes, court, dépas¬ sant un peu le sommet du tylus. Partie antérieure de la tête sub¬ triangulaire, très obtuse et très peu proéminente au devant des yeux ressemblant beaucoup plus à cette partie de la tête des Geoeoris qu’à celle des Henestaris chez lesquels elle est beaucoup plus proéminente au devant des yeux. Tylus très court, peu visible, non sillonné longi¬ tudinalement. Ocelles comme chez les Henestaris aussi ou presque aussi rapprochés entre eux que des yeux. Pronotum trapezoidal presque aussi long que large, parfois légère¬ ment transversal à côtés latéraux un peu sinués ou droits. Ecusson de taille moyenne comme chez les Henestaris. Glavus à côtés subparallèles ou très faiblement élargi en arrière avec la commissure assez étroite, à peine un peu plus longue ou sub¬ égale à la moitié de la longueur de l’écusson, un peu comme les espèces du genre Nivyas où l’écusson est cependant un peu plus développé. Chez les Henestaris et Engistus comme aussi chez les Epipolojjs, le clavus est très élargi en arrière et la commissure est au moins égale à la longueur de l’écusson. Chez les Germalus, Geoeoris, etc. c’est au contraire l’écusson qui est très développé et la commissure du clavus très étroite pour arriver à être presque nulle chez les Piocoris. Orifices odorifiques peu visibles, assez rapprochés des hanches intermédiaires et postérieures, suivis d’une pièce non calleuse, peu marquée légèrement courbée en avant, l’extrémité atteignant un peu au delà du milieu, le bord antérieur de la pièce métapleurale. Cette nouvelle forme est un peu intermédiaire entre les Henesta- rinae et les Geocorinae proprement dits ; elle est plus allongée que les 90 A. L MONTANDON vrais Geocoris et se rattache à une nouvelle division qu’il faudra pro¬ bablement créer en faveur du genre Germalus Stal, sous le nom de Germalinae pour ces insectes qui, avec les yeux pédonculés des Hene- starinae se rattachent au contraire par le clavus à côtés parallèles et à commissure étroite avec les vrais Geocorinae. C’est à tort je crois qu’on a rangé les Epipolops parmi les Geo¬ corinae proprement dits, car ils ont au contraire de ces derniers, les yeux longuement pédonculés et la commissure du clavus très développée des Henestarinae. Ils diffèrent cependant aussi de ces derniers, non seulement comme aspect général, mais encore par la longueur du premier article des antennes, très caractéristique, dans cette famille où ils for¬ ment à eux seuls un groupe tout à fait à part et sur le compte duquel nous aurons bientôt l’occasion de revenir. D’autre part je crois bien ne pas me tromper en affirmant que G. tristis Stal que je ne connais pas en nature et G. piceus Say de l’Amérique du Nord, dont Stâl a fait sa division bb. (En urn. Hem. 1874 p. 136) doivent être séparés des Geocoris pour être rattachés au genre Germalus dont ils ont exactement les yeux pédonculés et éloignes du pronotum qui est aussi plus allongé et plus rétréci en avant que chez les vrais Geocoris. Si le Maître Suédois ne les y a pas réunis, c’est très probable¬ ment qu’il s’est laissé influencer par des considérations géographiques auxquelles on attachait alors une trop grande importance; et que les deux espèces africaines pour lesquelles il a crée ce genre et que je n’ai pas encore pu examiner, outre leur coloration pâle, différaient aussi de ces espèces foncées américaines par une taille un peu plus élancée, moins élargie qui leur donnaient un aspect tout spécial; depuis lors d’autres espèces foncées africaines sont venues rapprocher les distances ; et à en juger par la figure donnée par M. Distant de son G . imperialis Dist. (Biol. Cent. Amer. pl. 18. fig. 18), cette claire et brillante espèce américaine doit également aussi rentrer dans le genre Germalus. O. bipunctatus n. sp. — D’un jaunâtre flave, un peu ocreux sur la tête, les cicatrices du pronotum et l’écusson, à cories transparentes, avec quelques petites taches noires sur la tête, le pronotum et les cories. Tête à peu près de la largeur du pronotum en arrière, jaunâtre avec une ligne longitudinale médiane noire, un peu élargie en croix derrière la base du tylus; deux petites taches noires de chaque côté, l’une sur le milieu du pédoncule oculaire, l’autre sur l’ocelle à la partie postérieure de la tête. Yeux assez gros, rouges, semiglobuleux, supportés par un pédoncule relevé et faiblement dirigé en avant. Pronotum presque aussi long que large en arrière, très faiblement NOUVEAUX GENEES ET ESPÈCES DES GEOCOEINÆ. 91 sinué sur le milieu des côtés, jaunâtre pâle sur le bord antérieur et sur la partie postérieure, rougeâtre ocreux sur une bande transversale couvrant les cicatrices et finement bordée en avant, plus largement sur les côtés et postérieurement d’une teinte grise noirâtre mate. Bord antérieur assez largement üsse, séparé des cicatrices par une ligne trans¬ versale de points enfoncés concolores sous la ligne noire du devant des cicatrices. Partie postérieure du pronotum avec des points enfoncés, brunâtres, bien visibles mais assez espacés et irréguliers. Pronotum traversé dans toute sa longueur par une ligne médiane d’un noir velouté et deux petites taches également noires veloutées de chaque côté près des angles postérieurs, l’une sur le côté latéral au devant de l’angle, l’autre sur le bord postérieur un peu plus éloignée de l’angle que la précédente. Écusson rougeâtre sur les côtés, noirâtre sur le milieu à la base, avec une tache en forme d’Y, lisse rougeâtre dont la branche postérieure est très faiblement relevée en carène sur le sommet de l’écusson. Cories jaunâtres pâles, transparentes, avec le clavus noir ; une nervure médiane commençant au milieu du disque pour aboutir un peu en dedans du milieu du bord postérieur, noire; le bord postérieur de la corie est aussi très étroitement noir. Membrane transparente, dé¬ passant un peu l’extrémité de l’abdomen qu’on voit par transparence jaunâtre avec une assez large bande médiane longitudinale noirâtre. Pattes, rostre et antennes jaunâtres pâles, les antennes grêles, à deuxième article le plus long de tous, presque aussi long que les deux derniers réunis; le dernier un peu rembruni. Lames rostrales réduites à une petite dent de chaque côté de la base du rostre ; ce dernier, grêle, assez long, atteignant presque les hanches postérieures, à articles subégaux en longueur. Dessous de la tête jaunâtre pâle avec l’ouverture du canal rostral très finement bordée de noir. Poitrine noire grisâtre, mate, ponctuée avec les pièces étroitement bordées de jaunâtre; hanches et cotyles jaunâtres ainsi que l’abdomen imponctué avec une bande longitudinale noirâtre de chaque côté près du connexivum, s’amincissant vers l’extré¬ mité où elle n’atteint pas les segments génitaux. Longueur: 5 — 5*2 mill.; largeur du pronotum en arrière: 1*7 mill. Malaisie : Ile Key (ma collection). C’est cette espèce que je considère comme le type du genre Oph- thalmocoris Montand. ; je l’ai dénommée bipunctatus par allusion aux deux petites taches noires des angles postérieurs du pronotum qui aideront à la distinguer d’une autre espèce assez voisine O. unipunc- tatus Montand, décrite plus loin et qui n’a qu’une seule tache noire sur l’angle postérieur du pronotum. 9 i A. L. MONTANDON 0. unicolor n. sp. - — Entièrement d’un jaune ocreux assez uni¬ forme sur tontes les parties du corps, mat, sauf les yeux, les cories et la membrane, brillants. Tète un peu plus étroite que le pronotum à la base, avec les yeux rougeâtres assez gros, un peu allongés, supportés par un large pédoncule très court ; la partie du vertex entre les pédoncules en carré, pas plus large que longue et de même largeur que la longueur de l’œil et du pédoncule réunis. Ocelles un peu plus éloignés entre eux que des' yeux, très rapprochés de la base des pédoncules. Toute la surface de la tête jaunâtre mate, sans ponctuation apparente ; tylus brillant, très court, dépassant de toute sa longueur le niveau antérieur des yeux. Partie antérieure de la tête subtri angulaire, très obtuse, sans sinuosité sur les côtés presque droits de l’œil à l’extrémité du tylus. Pronotum trapezoidal, presque aussi long sur la ligne médiane que large en arrière, avec les angles antérieurs et postérieurs assez largement arrondis; unicolore, avec quelques points enfoncés très espacés et un peu rembrunis sur le milieu du disque. Cories avec les marges clavaires, le bord externe et le bord po¬ stérieur très étroitement brunâtres ainsi que la ligne de points enfoncés, submarginale et la nervure discoidale caractéristique, aboutissant en arrière un peu en dedans du milieu du bord apical de la corie. Membrane transparente, dépassant très faiblement l’extrémité de l’abdomen, laissant voir par transparence le dos de l’abdomen assez uniformément jaunâtre, à peine rembruni au milieu et vers l’extrémité. Dessous du corps, rostre et pattes uniformément jaunâtres pâles. Longueur : 5*4 mill. Bornéo: Kinabalu. (Mus. Nat. Hung.; 1 seul exempl.) Cette espèce de taille un peu plus grande que la précédente, en diffère, outre sa taille un peu plus forte et sa coloration uniforme, par sa tête moins élargie avec les yeux conformés à peu près de même façon, non dirigés en arrière, mais sur des pédoncules plus courts et moins relevés. 0. unipunctatus n. sp. — De taille un peu plus petite (long. 4*5 — 4*7 mill.) que 0. bipunctatus Montand, décrit plus haut et à peu près avec la même disposition des dessins et couleurs, cette nouvelle espèce en diffère surtout par la tête conformée tout autrement, un peu plus élargie proportionnellement, les pédoncules des yeux plus grêles et ces derniers plus petits, les pédoncules non relevés, à peu près sur le même plan que le vertex et dirigés un peu en arrière ; par les ocel¬ les très rapprochés l’un de l’autre, très visiblement plus rapprochés entre eux que de l’œil; la base de la tête avec une assez grande tache 93 NOUVEAUX GENRES ET ESPÈCES DES GEOCOR1NÆ. noire triangulaire, médiane, se prolongeant en avant en une ligne noire étroite jusqu’à l’extrémité du tylus et une petite tache noire longitudi¬ nale de chaque côté à l’extrémité des pédoncules, derrière les yeux le long de leur moitié postérieure. Pronotum un peu transversal, avec les côtés latéraux un peu plus visiblement sinués et le dessin à peu près semblable à celui de O. bi - punctatus Montand., la ponctuation un peu plus foncée, noirâtre et à peine plus dense; les cicatrices moins apparentes ; la ligne noire mé¬ diane longitudinale un peu élargie au milieu, atteignant bien, quoique un peu atténuée aux extrémités, les bords antérieur et postérieur. Un seul point noir assez gros sur les angles postérieurs, ne recouvrant pas le sommet de l’angle. Ecusson noirâtre avec trois taches pâles, une de chaque côté près de la base et une sur le sommet, parfois étroitement réunies entre elles. Cories semblables à celles de O. bipunctatus Montand., un peu transparentes avec le clavus foncé, noirâtre ; les bords externe et posté¬ rieur étroitement noirs ainsi que la ligne de points enfoncés, submar¬ ginale et la nervure discoidale conformées d’une façon identique. Mem¬ brane dépassant largement l’extrémité de l’abdomen, transparente avec une tache noirâtre longitudinale sur le milieu à l’extrémité. Dos de l’abdomen vu par transparence, foncé noirâtre avec le connexivum pâle marqué d’un petit point noir sur la suture des segments. Dessous du corps à peu près semblable à celui de O. bipunctatus Montand., les parties noires un peu plus étendues, les bandes noires latérales de l’abdomen s’étendant jusqu’à l’extrémité où elles se réunis¬ sent sur les pièces génitales. Pattes entièrement pâles blanchâtres. Nouvelles Hébrides: Ile Mallicolo et Ile Yaté. (Dr. Joly 1902 et 1908.) Muséum de Paris et ma collection. J’ai encore examiné un autre exemplaire sans indication de pro¬ venance (coll. Van Yolxem, Mus. Belgv), bien conforme aux précédents dont il ne diffère que par la taille un peu plus forte ; la ligne longi¬ tudinale médiane du pronotum n’atteignant pas le bord antérieur; le dos de l’abdomen pâle à peine étroitement rembruni de chaque côté de la ligne médiane et que je considère, au moins momentanément, jusqu’à ce qu’on ait pu examiner d’autres individus, comme une simple variété du précédent. 0. (?) dissidens nov. sp. — Tête aussi large que le pronotum en arrière avec d’assez grands yeux allongés un peu obliques et un peu prolongés en arrière, montés sur un pédoncule très court mais bien visible jusqu’à l’extrémité postérieur du l’œil, mais ne touchant pas l’angle antérieur du pronotum. Yeux flaves ; toute la partie interoculaire 94 A. L. MONTANDON de la tête d’un noir intense, brillant, à surface du vertex légèrement ruguleuse ; partie antérieure de la tête triangulaire, très obtuse, au devant du niveau antérieur des yeux; jaunâtre sur le tylus et l’extré¬ mité des joues, tylus non sillonné. Ocelles situés tout près de la nais¬ sance des pédoncules, plus éloignés entre eux que des yeux. Canal rostral formé par une petite dent assez visible de chaque côté en avant, très évanescent en arrière ; tubercules antennifères avec une petite dent saillante au côté externe, bien visible en regardant l'insecte en dessus, un peu obliquement en avant. Premier article des antennes court, dépassant le sommet du tylus d’environ moitié de sa longueur, deuxième article grêle, aussi long que la largeur interoculaire en avant. Dessous de la tête, rostre et antennes jaunâtres pâles. Pronotum trapézoïdal, presque aussi long que large en arrière, avec les angles antérieurs arrondis, les côtés latéraux légèrement sinués. Cicatrices un peu relevées en bourrelet transversal lisse. Ponctuation faible et embrouillée sur le milieu du disque derrière les cicatrices et étroitement sur le bord antérieur devant les cicatrices, la partie postérieure du pro¬ notum assez largement lisse. Toute la surface du pronotum d'un noir brillant, sauf une tache sur le milieu des côtés latéraux et le bord postérieur très étroitement mais régulièrement dans toute sa largeur, j aunâtres. Ecusson brun noirâtre avec quelques pointes enfoncés sur le milieu de la base et des côtés latéraux ; avec un croissant lisse près de la base, prolongé au milieu en arrière par une faible carène qui atteint le sommet de l’écusson, jaunâtre à son extrémité ainsi que les deux extrémités du croissant basilaire. Clavus brun foncé, plus noirâtre sur les bords, à côtés subparal- lèies, commissure du clavus environ moitié de la longueur de l’écusson. Cories jaunâtres, opaques, entièrement lisses, brillantes avec une seule rangée submarginale de points enfoncés noirâtres, arquée en dedans sur sa moitié postérieure. Une assez grande tache brune foncée sur le milieu du bord apical de la corie, cette tache prolongée étroitement le long de la suture de la membrane et un peu élargie aussi sur l’angle apical. Membrane jaune brunâtre, brillante, opaque, dépassant un peu l’extrémité de l’abdomen. Pattes, hanches, cotyles et dessous de l’abdomen jaunâtres pâles; pièces latérales de la poitrine un peu rembrunies par la ponctuation foncée assez dense, irrégulière. Orifices odorifiques situés tout près du côté postérieur externe des cotyles intermédiaires, à bords relevés calleux, de forme subarrondie, non prolongés en canal extérieur. Longueur : 4*2 mill. ; largeur du pronotum en arrière : 1 '4 mill. NOUVEAUX GENRES ET ESPÈCES DES GEOCORINÆ. 95 Nouvelle Calédonie (ma collection). Cette espèce a bien quelques affinités de formes avec le genre Ophthcdmocoris où je la range provisoirement, mais outre le système de coloration très différent et les yeux moins bien pédonculés elle en diffère encore par l’absence de la nervure médiane du disque des cories et par la forme des orifices odorifiques. Ce ne sera que plus tard, quand on aura pu observer un plus grand nombre d’exemplaires et que nos collections seront mieux pourvues des formes voisines, qu’on pourra lui attribuer sa place exacte. Apennocoris nov. gen. Tête large avec l’extrémité des joues et le tylus assez proéminents au devant des yeux, les côtés antérieurs assez largement sinués entre l'œil et l’extrémité du tylus. Yeux gros, faiblement pédonculés. Premier article des antennes court, dépassant à peine le sommet du tylus, deuxième article aussi long que la largeur de l’espace interoculaire au milieu. Tylus non sil¬ lonné longitudinalement. Pronotum presque carré, plus étroit que la tête avec les yeux. Ecusson triangulaire subéquilateral, peu développé. • Cories élargies, assez largement subarrondies après le cinquième basilaire, avec le clavus étroit à la base, très élargi postérieurement, la commissure aussi longue que l’écusson; cories prolongées en arrière, recouvrant presque tout l’abdomen, chacune subarrondie séparément à l’extrémité, sans trace de membrane, ne laissant à découvert que l’ex¬ trémité de l’abdomen. Cette nouvelle forme, malgré son pronotum très réduit, a un peu l’aspect d’un Geocoris très étranglé, mais la forme de son clavus la rapproche beaucoup plus des Henestaris dont elle n’a cependant pas la tête aussi prolongée au devant des yeux. Elle paraît devoir former une coupe spéciale dans la petite famille qui nous occupe. A. pilosulus n. sp. — D’un gris ferrugineux assez brillant avec des taches brunâtres et une pilosité assez rare, mélangée de poils plus longs, hérissés, sur la tête, le pronotum, l’écusson et les cories. Tête lisse brillante, sans ponctuation ; marquée sur le milieu, d’une ligne brune longitudinale mal limitée. Pronotum brillant à ponctuation rare assez forte et inégalement répartie ; traversé longitudinalement sur le milieu par une bande brune assez mal limitée en partie scindée en deux postérieurement. Ecusson noirâtre avec quelques gros points enfoncés, rares , et 96 A. L. MONTANDON inégaux, et trois petites callosités un peu blanchâtres, une de chaque côté prés de la base et une sur l’extrémité. Cories claires, un peu granuleuses, irrégulièrement ponctuées de points concolores avec deux lignes subparallèles de points enfoncés assez rapprochés, limitant le clavus, ces points un peu brunâtres, mieux marqués que ceux de la surface des cories de même que la rangée for¬ mant ligne submarginale près du bord externe de la corie, s’écartant de la marge vers l’extrémité où elle se perd dans la ponctuation confuse de l’extrémité des cories. Une bande longitudinale brunâtre, étroite, mal limitée sur le disque des cories. Suture des cories derrière le som¬ met du clavus paraissant relevée en étroit bourrelet. Extrémité dorsale de l’abdomen jaunâtre avec une bande médiane brune, longitudinale. Dessous de la tête jaunâtre; pièces de la poitrine maculées de brunâtre; abdomen pâle jaunâtre avec une large bande longitudinale brunâtre de chaque côté, se rejoignant sur les pièces génitales et lais¬ sant le connexivum pâle, immaculé. Antennes, rostre et pattes grêles et flaves. Long. 3*3 mill. ; largeur du pronotum 0*7 mill., des cories au milieu 1*6 mill. Nouvelle Calédonie (ma collection). Piocoris Stal. P. superbus n. sp. — Tête médiocre, un peu plus étroite, yeux compris que la largeur du pronotum en arrière, lisse, d’un jaune ocreux brillant avec la partie antérieure un peu cintrée au devant des yeux, l’extrémité des joues et du tylus un peu proéminente. Yeux pas très saillants ni très prolongés en arrière ; espace interoculaire en avant presque deux fois plus large que le grand diamètre transversal d’un œil. Pronotum très transversal, environ deux fois plus large à la base que long sur la ligne médiane avec les côtés latéraux convergents en avant, le bord antérieur un peu en arc de cercle, accusant un angle antérieur très obtus à sa jonction avec les côtés latéraux. Surface du pronotum lisse, brillante avec quelques points enfoncés très rares et superficiels, un peu plus denses et mieux marqués sur une ligne transversale discoidale limitant en arrière les cicatrices entière¬ ment lisses et sans aucune ponctuation jusqu’au bord antérieur. D’un jaune ocreux brillant, avec une grande tache noire triangulaire sur la base, cette tache un peu plus large que l’écusson et avec le sommet s’avançant sur le disque jusque derrière les cicatrices. La ponctuation NOUVEAUX GENBES ET ESPÈCES DES GEOCOBINÆ. 97 très faible est concolore, ocrense sur les parties claires, noire sur le triangle basilaire. Ecusson un peu plus long que large à la base, entièrement noir, lisse sur la base ; à ponctuation plus forte que celle du pronotum, mais rare et inégale sur les deux tiers postérieurs. Sommet de l’écusson faiblement élargi en petite spatule, étroitement arrondi et brunâtre au sommet. Cories flaves, lisses et brillantes sur la base et sur le disque, suture du clavus avec une bande noire un peu élargie en arrière sur l’angle interne des cories ; marge et strie ponctuée submarginale étroite¬ ment noires avec une grande tache noire recouvrant l’angle apical à ponctuation assez dense mais très superficielle. Membrane jaunâtre à l’angle interne, avec un nuage brun transversal sur le milieu et trans¬ parente à l’extrémité qui dépasse sensiblement l’abdomen. Antennes mutilées ; premier article ocreux, très court, deuxième article entièrement noir. Dessous de la tête et prosternum ocreux sans taches, ce dernier à ponctuation assez dense et concolore ; mése- et métapleures noirâtres avec quelques taches claires parsemées de la ponctuation noire. Orifices, hanches et pattes jaunâtres sans taches. Dessous de l’abdomen, noir brillant avec le bord postérieur des derniers segment très étroitement ocreux. Longueur: 4*5 mill. Inde : Mandar et Barway (P. Chakdon). Musée de Bruxelles et ma collection. Cette belle grande espèce que je décris à regret sur deux exemplai¬ res assez mutilés diffère de toutes les autres, outre la coloration qui à première vue fait l’effet d’une énorme tache discoidale noire entourée de rouge en avant, de jaunâtre en arrière, par la forme de sa tête rélativement très étroite, un peu moindre que la largeur du pronotum en arrière, les yeux aussi rélativement peu proéminents, moins gros et moins allongés en arrière que chez les autres espèces du genre. L’écus¬ son est construit à peu près comme chez P. erythrocephaius Lep., c’est à dire que le sommet est beaucoup moins élargi que chez les Piocoris africains. Annales Musei Nationalis Hungarïci. V. Y. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICI. 1907. CALOSOMINARUM SPECIES NOVA ÆTHIOPICA descripta ab E. Csíki. Carabomorphus Katonæ n. sp. Niger, nitidus, elytris piceo-castaneis, impressionibus basalibus pronoti et lateribus elytrorum violaceis. Capite angusto, subtilissime coriaceo, sulcis longitudinalibus frontis distinctis, labro antice sinuato, supra impresso, ante medium setis nonnullis acervatis vestito, mandi¬ bulis supra subtilissime coriaceis punctulatisque. Antennis brevibus, longitudine Vs corporis aequalibus, articulo secundo et tertio intus com¬ pressis, articulis 5 — 11. brevissime flavo-pilosis. Articulo penultimo palporum labialium setis quatuor praedito. Pronoto subcordato, longi¬ tudine sua dimidio latiore, lateribus rotundatis, margine elevato, angulis posticis minus productis, obtuse rotundatis, superficie subtilissime co¬ riacea, basi, praecipue in impressionibus lateralibus sat profundis dense punctato. Scutello brevi, transverso, triangulari. Elytris ovalibus, pro¬ noto sesqui aliter latioribus et triplo longioribus, humeris rotundatis, quatuordecim-sulcatis, sulcis uniseriatim punctatis, interstitiis costato- elevatis, primariis interruptis, secundariis tertiariisque integris, foveolis primariis metallescentibus, antice granulo parvo instructis. Episternis metas terni paullo latioribus quam longioribus. Strigis laminarum ven¬ tralium 4. et 5. integris, striga laminæ sextæ medio obsoleta, versus latera profunda. Pedibus brevibus, tibiis rectis. Long. 23 mm. Africa orientalis : Arusha-Ju (Mus. Hung.). Feminas duas mensibus Octobris et Decembris 1905 legit C. Katona. C. brachycero Gerst., cujus specimen typicum in Museo Hammo- niensi asservatum examinavi, affinis, sed differt colore, statura minore angustioreque, impressionibus pronoti profundioribus et dense punctatis, costis elytrorum subtilioribus, interstitiis primariis regulariter inter¬ ruptis, prosterno postice impresso, immarginato. A specie altera hucus¬ que descripta hujus generis, C. Neumcmni Kolbe, statura majore, elytris costis vix convexis instructis apiceque transversim haud strigatis divergit. V. ANNALES MUSEI NATIONALIS HÜNGARICI. 1907. MONOGRAPHIE DER CARABIDEN -TRIBU S CYCHRINI von Dr. med. Hans Roeschke, mit Bemerkungen über Typen und Lokalrassen der amerikanischen Arten von Dr. med. Edwin C. Yan Dyke. (Taf. IV.) YORWORT. Seit De je an ’s «Species général des -Coléoptères» ist keine, die Car ab en und Cychren der ganzen Welt mitsamt ihren Rassen und Lokalformen umfassende Arbeit mehr erschienen, obwohl — oder viel¬ mehr aus dem Grunde weil ? — eine Unmenge von Beschreibungen und eine ganze Anzahl faunistischer und systematischer Bearbeitungen ver¬ öffentlicht wurden. Und gerade den letzteren haftet von vornherein wegen ihrer mehr oder weniger grossen Einseitigkeit mindestens der Mangel der Unvollständigkeit an, vielfach muss aber auch den Autoren der Yorwurf der Inkorrektheit gemacht werden, da sie unter Nicht¬ beachtung des nicht speziell zu ihrer Gruppendarstellung gehörigen Materials oftmals für Gattungen und Arten Charaktere aufgestellt haben, die bei Berücksichtigung der Gesamtheit völlig hinfällig werden. Um nicht in denselben Fehler zu verfallen, ziehe ich vor, meiner Arbeit keine territoralen Schranken zu setzen. Bei allem Respect vor entomo- logischen Grössen habe ich mich doch nie von blindem Autoritäts¬ glauben leiten lassen und alles, was andere gefunden und veröffentlicht hatten, einer Nachprüfung unterzogen, um mich, so weit es mir möglich war, durch den Augenschein von der Richtigkeit der Behauptungen zu überzeugen. Diese Richtschnur meiner Arbeitsweise hat mich manche Fehler der bisherigen Systematik und Charakteristik erkennen lassen, andrerseits aber auch, da ich allen Spuren — soweit ich sie wahr¬ nehmen konnte — der Vorgänger in der Bearbeitung des Stoffes nach¬ ging, auf Pfade gewiesen, die zur Entdeckung einer ganzen Reihe neuer Charaktere führten. Diese Entdeckungen waren ermöglicht an der Hand eines ver¬ hältnismässig enorm reichen Materials, wie es bisher, was die Gesamt¬ masse betrifft, in gleicher Weise wohl keinem Bearbeiter zu Gebote 7* /00 VI HANS ROESCHKE stand, und was Reichhaltigkeit der Lokalformen vieler Arten, zumal der californischen, anbelangt, zur Zeit auch schwerlich von Amerikanern selbst wird überboten werden können. Einen grossen Teil nimmt hier¬ bei die Ausbeute meines Freundes Dr. Walter Horn in Anspruch, der vom Mai bis August 1902 die verschiedensten Lokalitäten Californiens vom Süden bis zum Norden erstaunlich fleissig durchforscht und mir alles zur Verfügung gestellt hat ; ihm verdanke ich ein Material von circa 400 selbst gesammelten Cychren (Brennus) in sechs verschiedenen Arten, sowie einige drüben erstandene grosse Seltenheiten. Weiteres wichtiges Material hatte Herr Prof. Dr. Heinrich Lenz, Direktor des naturhistorischen Museums zu Lübeck, die Liebenswürdigkeit mir zu Studienzwecken zuzustellen, wichtig besonders dadurch, dass ca 150 Stück der Cychrus- Sammlung von James Behrens darunter waren, die dieser hervorragende Sammler vor mehreren Jahrzenten im nördlichen Cali¬ fornien und südlichen Oregon gesammelt und später seiner Vaterstadt vermacht hat, und die seiner Zeit von G. Horn durchgesehen waren. Auch der Güte und dem Entgegenkommen des Direktors des Kaiserlichen Zoologischen Museums zu St. -Petersburg, Herrn Georg Jacobson, danke ich die Einsendung von mehr als 100 Stück meist westamerikanischer (Alaska, Oregon, Nord-Californien) Cychren, darunter die Typen von Esch- scholtz, Mannerheim, Ménétriés und Morawitz. Ebenso bin ich verpflich¬ tet dem Custos des Ungarischen National-Museums, Herrn Ernst Csíki, der alle Cychren des Museums eingeschickt hat, ein Material hervorragend interessant, was Ausbreitung der europäischen Arten betrifft. Gern ge¬ denke ich des Wiener Museums, dessen Schätze mir Herr Direktor Gangl- bauer stets bereitwilligst zur Ein- und Durchsicht überliess. Sehr grossen Dank schulde ich Herrn Bene Oberthür in Bennes, der liebens- würdigst meiner Prüfung mehrere Typen-Unica von Arten, die bis jetzt nur in seiner Biesensammlung vertreten sind, zur Verfügung stellte. Ferner fand ich freundliche Unterstützung von folgenden Herren: Chr. Sternberg, mein alter Freund in Stralsund ; Dr. Kraatz, Berlin ; Dr. Carl Daniel und A. Hiendelmayr, München; O. Leonhard, Dresden; W. Koltze, Hamburg ; Prof. Mingazzini, Catania-Bom ; Ag. Dodero, Sturla- Genua ; Professor Jerome Schmitt, Pittsburg, jetzt verstorben; H. F. Wickham, Jowa ; L. E. Bicksecker und Ch. Fuchs, Californien. Allen diesen Herren für ihre liebenswürdige Bereitwilligkeit meinen verbindlichsten Dank hier auszusprechen ist mir eine angenehme Pflicht. Zu ganz besonderem Dank bin ich jedoch Herrn Dr. med. Edwin Cooper Van Dyke zu San-Francisco verpflichtet, der in ganz hervorragender, uneigennütziger Weise mein Werk gefördert hat, nicht allein durch Sendung von einschlägigem Material, sondern auch durch Beisen nach MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 101 den verschiedenen Museen des Ostens der Vereinigten Staaten speziell zur Prüfung der dort untergebrachten Typen Leconte’s und 0. Horn’s auf die von mir gefundenen CharakteTe hin, und ferner, last not least, durch Überlassung seiner gesammten, hochwichtigen Notizen über Rassen und Formen der verschiedenen Arten, deren verwandtschaftliche Be¬ ziehungen er in einer eigenen Spezialarbeit zu veröffentlichen schon im Begriff war. Er hat eine klaffende Lücke meiner Arbeit somit über¬ brücken können. Daher gebührt ihm mein besonderer Dank. Ich habe stets, auch in den Übersichtstabellen, mich nicht mit der Anführung eines Hauptunterschiedes begnügt, sondern gleichzeitig alle differirenden Punkte aufgeführt, damit bei etwaiger Auffindung einer neuen abweichenden Form oder Art nicht gleich die ganze An¬ ordnung umgestossen werden braucht, sondern durch Ausmerzung oder Auswechselung einzelner Charaktere leicht modificirt werden kann. Für die Begrenzung des Begriffs «Art» sind für mich folgende Gesichtspunkte massgebend: Artcharaktere müssen sein I. beide Geschlechter einer Art von allen anderen vollkommen trennend ; II. absolut konstant, wenn auch individuell relativ variabel; III. rein positiv, oder nur innerhalb derselben Art comparativ. Ad I Eine Art wird spezificirt entweder in beiden Geschlechtern zugleich durch einen gemein¬ samen Unterschied (Vollcharakter) — schon ein solcher genügt zur Art¬ charakteristik, oder in beiden Geschlechtern verschieden durch einen besonderen Unterschied (Teilcharakter) — mindestens zwei solche bedingen erst die Artcharakteristik. Wird nur für ein Geschlecht der (Teil-) Unterschied erbracht, so bleibt bis zur Entdeckung des supplementären die Artberechtigung zweifelhaft. Gegen diese Hauptregel sind namentlich in Amerika viel¬ fach Verstösse gemacht worden, aber auch in Deutschland; und diese Regelwidrigkeit kommt von einem noch nicht völlig aufgegebenen falschen Standpunkt selbst hervorragender Autoritäten. Ad II. Konstante Unterschiede können Abänderung nur erfahren durch Monstrosität oder Abnormität, welche meist sofort durch ein¬ seitiges oder beiderseitig verschiedenes Auftreten kenntlich sind. Bilateral gleiche Anomalität bei Beschränkung auf einen geringen Prozentsatz kann möglicherweise durch Bastardirung zweier nahverwandter Arten hervorgerufen sein, doch kann ein dahingehendes Urteil nur äusserst vorsichtig gefällt werden ; bei häufigerem Vorkommen hört die Anoma- 102 Di HANS ROESCHKE lität auf und es liegt reine Variabilität vor, mithin kein konstanter Charakter mehr, zumal bei lokalem Auftreten. Ad III. Der Positiv ist an und für sich bestimmt und selbst¬ ständig, der Comparativ wegen seiner Abhängigkeit von dem Vergleichs¬ object unbestimmt und unselbständig; deshalb ist der Positiv stets vorzuziehen und der Comparativ nur zulässig im Vergleich am gleichen Object, zu einem anderen jedoch nicht, da in letzterem Pall erst die Kenntnis dieses zweiten Objectes notwendige Voraussetzung ist. In der kurzen Charakteristik oder Diagnose wenigstens kann nur der Ver¬ gleich am gleichen Object, in der speziellen Beschreibung selbst¬ verständlich auch zu einem anderen Object gestattet werden. Autoren, die fast nur comparative Artbeschreibungen liefern, decken dem Kundigen sofort ihre und ihrer Arten Schwächen auf, und man thut gut, derartige Producte von vornherein misstrauisch als Formen und nicht als Arten anzusehen, bis das Gegenteil davon erwiesen ist. Das beste Beispiel hierfür liefert Th. L. Casey, der in jeder individuellen* nicht einmal lokal- spezifisch en Abänderung eine neue Art wittert. Ist es doch ganz unmöglich, einen guten Theil seiner «Arten» als Varie¬ täten unterzubringen, geschweige denn als Rassen oder Unterarten. Sie sind nichts weiter als individuelle Abänderungen oder aber synonym mit längst beschriebenen Subspezies — keine einzige seiner Arten bleibt bestehen ! Solche Beschreibungen individueller Besonderheiten als Arten bereichern nur die Synonymie, aber nicht die Wissenschaft. CYCHRINI Carabidarum Tribus II. Die Cychren bilden eine eigene Tribus in der Familie der Cara- biden, die wiederum zur Familienreihe der Adephagen gehören. Die Selbständigkeit der Gattung Cychms war zuerst von Fabricius er¬ kannt worden, die Beschreibung erfolgte 1794 ungefähr gleichzeitig in der «Entomologia systematica» vol. IV. app. p. 441 und, als besondere kleinere Arbeit «Cychrys en ny Insect Slaegt», in den «Skrivter af naturhistorie Selskabet» Band 3, Heft % p. 68 — 71, Taf. 7, f. 3. Linné, der den ersten Cychrus beschrieben (caraboides und 3 Jahre später nochmals unter dem bekannteren Namen rostratus), hielt ihn zuerst für einen Tenebrio ; De Geer erkannte als erster die Carabiden.-Natur dieses Tenebrio caraboides und taufte ihn in Carabus coadunatus um. Ein Jahr darauf zog Fabricius ebenfalls den Tenebrio rostratus L. zum Genus Carabus. Später kamen noch folgende Gattungen und Unter- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 103 gattungen hinzu: Scaphinotus und Sphaeroderus Dejean 1826, Irichroa Newman 1837, Nomar etus Leconte 1853, Brennus und Pemphus Motschulsky 1865, Cychropsis Boileau 1901. Laporte und Brulle und dann sogar Lacordaire (Genera d. Col. I p. 60) haben Cychrus > Scaphinotus und Sphaeroderus mit Damaster zu der besonderen Gruppe der Cychriden verbinden wollen, charakteri- sirt durch die getrennten Hinterbüften, den wenig verlängerten Proster- nalfortsatz und die schaufelförmigen Endglieder der Taster. Damaster bildet aber, wie Schaum richtig hervorbebt, hierin ein Mittelglied zwi¬ schen Cychren und Caraben und es wurde deshalb die Aufstellung einer eigenen Tribus der Cycbren, selbst mit Ausschliessung von Damaster , fallen gelassen, zumal da die nunmehr übriggebliebenen Charaktere : Oberlippe tief zweilappig ausgeschnitten, Mandibeln zweizähnig nahe der Spitze, Endglied der Aussenlade der Maxillen messerförmig ausge- flaeht — wohl ziemlich konstant bei den Cycbren bleiben, bei den Caraben indessen recht variable Bildung aufweisen. Später haben dann G. Horn und Beitter die Trennung in zwei Tribus wieder aufgenommen, ohne jedoch neue Momente von wirklichem Wert hierfür beizubringen. Seitdem durch die Entdeckung des stark abweichenden Cychrus sikki- mensis Fairm. (subg. Cychropsis Boil.) auch die Bifurcation der Ober¬ lippe als Trennungscharakter fortfallen muss, bleiben nur noch zwei der bisherigen Differenzpunkte : die dicht hinter der Spitze zweigezähn¬ ten Mandibeln und die messerförmige Ausflachung der Aussenlade der Maxillen. Zu diesen zwei Merkmalen kommt jetzt ein neues von grosser Wichtigkeit: Clypeus ohne Borsten in den Vorderecken. Dieser Cha¬ rakter kommt nie bei den Carabini vor und findet sich ausser bei den Cychrini noch bei den Gattungen Pamborus , Hiletus und wahrschein¬ lich auch bei der mir unbekannten Lacordairia, also mit einziger Aus¬ nahme der Carabini bei allen Carabidentribus, deren Vorderhüfthöhlen hinten offen und deren Mandibeln zugleich ohne Borste in der Aussen- furche sind. Hiletus ist von den Cychrini getrennt durch die breiten, mehrzähnigen Mandibeln und die tiefen Fühlergruben unter den Augen; und die nahverwandten Pamb orini unterscheiden sich durch die starke ringförmige Abschnürung des Kopfes hinter den Augen, durch die aussen dornförmig verlängerten, innen tief und schräg gefurchten Vorderschienen und weitere ausgezeichnete Merkmale. 104 m HANS ROESCHKE Tribus -Char akt er e. Clypeus sine setis, plerumque sine sulcis, antice et lateraliter ap- planatus, angulis anterioribus obtusis. Labrum bifidum, lobis plerumque valde productis, mandibularum basin sine impressionibus obtegentibus neque in illam insinuantibus. Mandibulæ porrectæ, raro lateribus curvatæ, planatæ ; intus sim¬ pliciter bidentatæ, dentibus labro non obtectis ; extus sine seta. Maxillæ extus sine setis, malæ exterioris articulo ultimo longe dilatato, cultriformi. Mentum profunde emarginatimi dente medio nullo ; ligula angusta subacuminata, paraglossis liberis, membranaceis, eam longe superantibus. Palpi articulo secundo elongato (labiales articulo aut bisetoso aut pluri setoso), ultimo imprimis in mare plerumque fortiter securiformi et excavato. Prosternum postice paulo productum ; acetabula anteriora postice aperta, septo intercoxali abbreviato, invisibili. Mesosternum antice carinatum; epimera mesosternalia acetabula media attingentia. Metacoxae late separatæ processu triangulari e duobus primis seg¬ mentis ventralibus formato. Alæ desunt. — Elytrorum coadunatorum epipleuræ abdomen late amplectentes. cT : Segmentum anale postice plerumque plus minusve manifeste breviter excisum. Kopf gewöhnlich lang, schmal, von den Augen ab nach vorn ver¬ längert, die Naht zwischen Clypeus und Stirn sehr fein oder erloschen, die Augen rund, massig vorspringend, in geringerer oder grösserer Ent¬ fernung unten von der Oberkiefer- Oeffnung — Apertura buccalis Eig. 5 — ; oft dicht neben und ein wenig nach hinten von der Augen¬ umrandung findet sich eine Borste, seta orbitalis — der Kürze wegen in den dichotomischen Tabellen etc. als Seta oder S 1 bezeichnet (Fig. 1). Die Fühler meist lang und dünn, unter einem schwach vortretenden Stirnrand eingelenkt; das Wurzelglied ist das grösste, bisweilen sehr lang und kräftig, zur Spitze keulenförmig verdickt; 2-tes und 4-tes Glied am kürzesten ; 4 Basalglieder chitinös, mehr oder minder glatt, manch¬ mal 2 — 4 teilweise behaart, 7 Endglieder dicht und kurz behaart. - — Clypeus ohne Borsten und fast stets ohne Längsfurchen, an den Vorder¬ ecken abgerundet und zu den Bändern abgeflacht und abgeschrägt. — Oberlippe gross, meist so lang als breit, selten nur halb so lang; tief ausgerandet, zuweilen fast bis zur Wurzel; je nach der Länge der Ober- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 105 lippe sind demnach die Seitenlappen lang und schmal oder verhältnis¬ mässig kurz und breit; und wiederum je nach der Tiefe der Ausrandung befindet sich die obere innere Umrandungslinie, concentriseli zu der tiefer liegenden äusseren Ausrandungslinie gelegen, entweder noch voll¬ ständig vor dem Vorderrande des Clypeus (Fig. 1 — 3) oder den letzteren kreuzend nimmt sie Oberlippe und Kopfschild zu ihrer Bildung in An¬ spruch (Fig. 4). Der Grund der Ausbuchtung trägt 2 oder 4 Borsten, ausserdem die Spitze jedes Seitenlappens noch eine Seta, gewöhnlich mehr oder weniger nach der Aussenseite zu. Die Mandibeln überragen die Oberlippe etwa um das Doppelte, durchschnittlich schlank, gestreckt und nur zur Spitze einwärts gekrümmt, selten kürzer, gedrungen und auch seitlich schon deutlich wie bei den Gamben gekrümmt; sie sind flach und zeigen im hinteren Teil keine Eindrücke, da die unten dicht be¬ haarten oder befilzten Seitenlappen der Oberlippe ihnen nur flach auf¬ liegen, nie eingelagert sind. Der Innenrand der Mandibeln wird aus 3 Leisten gebildet, von denen die mittelste am weitesten vorragt und vorn die beiden scharfen Zähne Prägt; die obere Leiste setzt sich noch über die Basis des hinteren Zahnes fort, um am vorderen zu enden, die untere geht bis zur Spitze. Die Furche zwischen Ober- und Mittel¬ leiste wird nach vorn bis zum Hinterzahn mit kurzem, gelbem Haarfilz ausgefüllt, diejenige zwischen Mittel- und Unterleiste ist gänzlich bis zur Spitze mit langen gelben Haarborsten besetzt. Diese Behaarung ist somit ganz verschieden von der der Caraben. Die Zunge ist ziemlich schmal, zugespitzt, überragt etwas die freiliegenden Schuppen der drei¬ gliedrigen Lippentaster und zeigt am Ende 2 Zungenborsten ; die Para¬ glossen, durch eine tiefe Bucht getrennt, sind bedeutend länger, leicht gedreht und gekrümmt, zugespitzt und aussen dicht behaart. Wie schon Schaum erwähnt, waren die Paraglossen von Erichson und Laoordaire übersehen und abgeleugnet worden, obwohl frühere Autoren sie schon richtig festgestellt und auch abgebildet hatten. Die Lippentaster haben ein kurzes Basal-, ein langes 2. Glied, innen mit 2 oder mehreren aufrechten Borsten (setæ labiales), sind also bisetos oder multisetos und vielfach auch terminal mit 1 oder 2 aber wagerechten Börstchen besetzt, das Endglied ganz wie das der Kiefertaster. Die Unterkiefer oder Maxillen überragen vielfach noch die Mandibeln, ihre Innenlade ist vorn haken¬ förmig zugespitzt, innen mit mehr oder weniger weit nach vorn reichen¬ den Wimperhaaren und im Spitzenteil mit zwischen diesen stehenden, nach rückwärts gekrümmten Borsten besetzt; an Stelle der letzteren treten bisweilen mehr oder minder starke, feste Chitindornen oder Zähnchen (Fig. 6). Die Aussenlade, welche die innere bis auf den End¬ haken völlig verdeckt, weist einen von allen übrigen Coleopteren ab- 106 Di HANS BOESCHKE weichenden Bau auf : Das breite, gerade oder leicht S-förmig ge¬ krümmte Basalglied trägt ein längeres, nach innen messerförmig er¬ weitertes, ausgeflachtes, dünnes Endglied. Die Kiefertaster sind 4 gliedrig : Glied 1 klein, 2 sehr lang, gerade oder zum leicht keulenförmig ver¬ dickten Ende gekrümmt, 3 kurz, innen vor und an der Spitze öfters beborstet, 4 schräg abgestutzt, schmal oder meist breit beilförmig, beim cT breiter als beim , concav gekrümmt und dadurch löffelartig erscheinend. Kinn tief ausgeschnitten, im Grunde ohne Spur von Zahn, die Seitenlappen gross und oft leicht zugespitzt. Die Kehle von der Form eines grossen lateinischen T, ist vorn durch deutliche Naht vom Kinn getrennt und von den Seiten der Kopfbasis; der Längsschaft ist stark nach vorn verengt, das schmale Querteil reicht seitlich bis zur Kieferöffnung (appertura buccalis) und tritt in der Mitte bogenförmig oder stumpfwinklig vor; die seitlichen Enden zeigen oft jederseits eine borstentragende Pore — seta gularis (S 2 in den synoptischen Tabellen etc.) — vide fig. 5. Das Halsschild ist sehr verschiedenartig gebaut und ebenso variabel ist die Zahl der Bandborsten ; das Prosternum ist vor und zwischen den Yorderhüften leicht kielförmig zusammengepresst und läuft hinter denselben in einen nur wenig verlängerten, abgerundeten Fort¬ satz aus, der entweder leicht dorsalwärts gekrümmt oder horizontal ge¬ streckt ist. Die Yorderhüfthöhlen sind hinten offen, das Septum pro¬ sternale zwischen ihnen verkürzt und nicht sichtbar und die teils deutlich durch Naht getrennten, teils mit den Episternen völlig nahtlos verschmolzenen Epimeren enden infolgedessen hinten frei (Fig. 7 — 9). Das Mesosternum springt vorn kielförmig vor und die beiden vorderen, bugförmigen Platten sind am Yorderrande teils gänzlich mit ihm naht¬ los verwachsen (Fig. 9), teils durch eine erhabene Leiste längs der Naht partiell oder völlig getrennt (Meso -episternalleiste — Fig. 7 — 8). Zwischen Meso- und Metasternum schiebt sich an der lateralen Seite der Mittelhüfthöhle die mesosternale Epimere. Das Metasternum hat keine getrennten Anhänge, Episternen und Epimeren sind in eine lange, schmale Platte verschmolzen. Die Mittelhüften — Mesocoxen — haben median in der Yerlängerungslinie des unteren Bandes der Schenkel ausnahmslos eine Borstenpore, hart auf der lateralen Kante zuweilen ebenfalls eine, aber nur in einem einzigen bekannten Falle findet sich diese Seta in einer stärkeren Pore dicht neben dem äusseren Seiten¬ rand (Fig. 7 — 9). Die Hinterhüften oder Metacoxen, voneinander weit ge¬ trennt durch einen abdominalen Fortsatz, dessen dreieckige Spitze leicht tuberkelartig vorragt und noch vom ersten Abdominalsegment gebildet wird, weisen stets die gewöhnliche Borste (seta metacoxalis) vor der äusseren Hinterecke auf, zuweilen eine zweite gleich hinter dem Yorder- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 107 rande (s. metacox. anterior oder S 3) nnd seltener eine dritte am me¬ dialen Rande kurz vor der inneren Hinterecke (s. metacox. posterior oder S 4) ; vide fig. 7. Das Schildchen liegt, fast ganz vom hinteren Rande des Hals¬ schildes bedeckt, grösstenteils vor der Basis der Flügeldecken, nur wenig sich zwischen diese einschiebend. Die Flügeldecken umfassen mit ihren ungewöhnlich breiten und hinter der Schulter gerundet erwei¬ terten Epipleuren den Hinterleib vollständig und sind an der Naht mit¬ einander verwachsen ; daher fehlen die Flügel gänzlich. G. Horn schreibt (Tr. Am. Ent. Soc. IX, July 1881, pag. 107) «Elytra not margined at base.» Dies stimmt wohl in Bezug auf die Arten der Gattung Cychrus , aber gar nicht auf sämtlich Arten der Gattungen Scaphinotus und Sphaero¬ derus, wiewohl auch bei diesen jener Charakter lange nicht so deutlich hervortritt, wie zum Beispiel bei den Nebriini. Bei den vorhergenannten Gattungen findet sich, bald mehr bald weniger ausgeprägt, von der winkligen Ausbuchtung des Aussenrandes kurz vor dem Ansatz der Flügeldecken — auch ein den sämtlichen Cychren Amerikas eigener Charakter, der sich nur ausnahmsweise bei europäischen Arten wieder¬ findet — ausgehend eine geschwungene, quer über die Basis der Flügel¬ decken bis zum Schildchen oder unterhalb desselben bis fast zur Naht verlaufende Leiste, die genau der sonst geraden Basalquerleiste sehr vieler Carabiden-Triben entspricht. Längs des Seitenrandes oberhalb der Flügeldeckenrinne stehen Borstenhaare — series umbilicata — teils in einfachen, fast ver¬ schwindenden Grübchen, teils in Warzen- oder ringförmigen Erhöhungen, die ziemlich gleich weit von einander entfernt oder an der Schulter und vor der Spitze näher zusammengerückt sind und in der Mitte in grösseren Abständen stehen, in selteneren Fällen hier geradezu fehlen. Die tiefe Umrandungslinie der Epipleuren parallel zum freien Rand verliert oft bei und vor der Schultererweiterung an Schärfe und Deutlichkeit ; die Epipleuren selber verengern sich nach hinten, um noch vor der Spitze gänzlich zu verschwinden. Das Abdomen besteht aus 6 freiliegenden Segmenten; die letzten 3 haben nur selten Ventralfurchen quer hinter ihrem Vorderrande — strigæ ventrales (Fig. 7) ; die Segmente 3 — 5 bei Cychrus und Scaphinotus , 4 und 5 bei Sphaeroderus zeigen jederseits der Mitte meist nur 1 Borstenpunkt, seltener 2 — 3 — puncta ordinaria. Das 6. oder Analsegment trägt jederseits neben der Spitze eine oder mehrere Borsten, deren Zahl bei den eigentlichen Cychren vielfach un¬ regelmässig schwankt, bei den Scaphinotus- und Sphaeroderus- Arten allermeist constant und oft in den Geschlechten verschieden ist: Anal- seten - — setæ anales — abgekürzt SA — siehe Fig. 7. Eine andere, 108 Dì HANS ROESCHKE sehr auffällige Geschlechtsdifferenzirung findet sich bei einigen Arten des Genus Sphaeroderus : die cf d haben in der Mitte des Analsegments neben der Mittellinie noch jederseits 1 Borstenpore. Ausserdem ist, mit geringen Ausnahmen, die Spitze des Analsegments bei den cf d bald mehr bald weniger kurz ausgeschnitten oder geschweift. Wie bei den Carabini hat das 5 noch ein meist eingestülptes, den Yaginalapparat mit den 2 Endpalpen bergendes 7. Segment. Dem entsprechen 8, re¬ spective beim ÿ 9 Dorsalsegmente, wobei immer die letzten beiden dem 6., respective 7. Ventralsegment aufgelagert sind. Die Bücken¬ segmente 1 — 6 bestehen aus sehr breiten faltigen und runzligen Mem¬ branen, hingegen 7 und 8 beim cf und 7 — 9 beim £ sind mehr hor¬ niger Natur, aber nicht so stark wie beim Tribus Carabini. Besonder¬ heiten im Bau des Penis waren nicht zu finden. Die Beine sind lang und schlank. Die Pro- und Mesotrochanteren tragen stets, die Metatrochanteren an der Innenseite in der Mehrzahl der Arten eine Borste — seta metatrochanterica, abgekürzt S 5 (Eig. 7) — ; sie fehlt nur bei den echten Cychren — Anomalien scheinen selten zu sein, da ich sie nur bei einem Cychrus-Exemplar vorfand. Die Schenkel sind gewöhnlich mehr oder minder keulenförmig, die vorderen und mittleren mehr als die hinteren, nur in selteneren Fällen sind sie fast cylindrisch. Im allgemeinen gilt, je mehr von cylindrischer Form, desto länger sind sie ; im übrigen sind sie unter sich und in beiden Ge¬ schlechtern meist von verhältnismässig gleicher Länge, nur bei wenigen Arten die hinteren auffällig länger, und in einigen Fällen erscheinen die der cf cf länger als die der 5 ç , aber dies ist meist nur ein scheinbarer Unterschied, da er im Grunde auf optischer Täuschung be¬ ruht : bei gleicher Grösse und Länge des Kopfes uud des Halsschildes von cf und $ , wird bei dem ersteren durch die Schlankheit und Kürze der Flügeldecken resp. des Leibes ein grösserer Teil der Hinter - schenke! nicht verdeckt, was hingegen durch die Breite und Länge beim £ geschieht uud so die Schenkel verkürzt erscheinen lässt. Die Schenkel, deren Unterseite bisweilen der Länge nach gefurcht sein kann, zeigen verschiedene Beborstungsweisen. Die vollständige Be- borstung der Schenkel besteht aus 5 Keihen : eine in der Mitte der Oberseite, je eine auf der Vorder- und Bückseite nahe der Oberkante und endlich je eine vorn und hinten in der Mitte des Schenkels oder etwas unterhalb derselben. Eine Borstenreihe ist bisweilen nur durch eine Borste repräsentirt ; Unregelmässigkeiten durch Verschwinden oder Auftreten einzelner Beiben gehören bei der Gattung Cychrus nicht zu •den Seltenheiten, bei den übrigen Gattungen kommen sie anscheinend nur äusserst selten vor (trotz des von mir gesichteten verhältnismässig MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 109 enorm reichen Materials) und deshalb sind diese Borstenreihen zur Art¬ kennzeichnung von grossem Wert. Die Hinterschenkel zeigen in den seltensten Fällen Beborstung: nur die Untergattung Cychropsis weist sie konstant auf, Borsten der unteren Reihe kommen auch noch bei einigen Cychrus- Arten vor, dagegen der oberen, mittleren und der hin¬ teren ganz unregelmässig und selten bei Scaphinotus. Die kurzen Börstchen, die sich hin und wieder am Ansatz der Schenkel an den Trochanteren vorn und hinten vorfinden, kommen garnicht in Betracht. Ferner scheint die untere Borstenreihe auf der Rückseite der Mittel¬ schenkel sehr selten, die gleiche an den Hinterschenkeln nie vor¬ zukommen. Spezifischer Wert für die Unterscheidung der Arten kommt nach meiner Beurteilung auch den der oberen hinteren Borstenreihe aller Schenkel kaum zu, und werden diese daher später im allgemeinen nicht erst erwähnt werden. Bei den europäischen Arten der Gattung Cychrus sind gewöhnlich die Vorderschenkel hinten unten ohne, bei den asiatischen und amerikanischen Arten meistens mit Borstenreihe. Es gilt als Regel, dass bei Vorkommen von Borsten auf den Mittel¬ schenkeln auch die Vorderschenkel die gleichen Borstenreihen auf¬ weisen; fehlen die correspondirenden am Vorderschenkel, so ist das betreffende Stück aberrant und ist das Vorhandensein ansunehmen. Solche Aberrationen sind namentlich beim Genus Cychrus verhältnis¬ mässig nicht gerade selten, dagegen sehr selten anscheinend bei Scaphi¬ notus. Bei diesem letzteren ist entweder nur die Vorderseite der Vorder¬ schenkel unten beborstet oder gleichzeitig noch deren Rückseite und die Vorderseite der Mittelschenkel, so dass z. B. bei aberrantem Fehlen einer Borstenreihe im zweiten Falle das Vorhandensein der andern so¬ fort die Aberration und somit die richtige oder normale Beborstung erkennen lässt. Eine weitere Regel bei dieser Gattung ist, dass zuerst die untere und dann erst die obere Borstenreihe verschwindet ; hin¬ gegen ist bei Cychrus nicht selten der Mittelschenkel oben borstenlos, unten dagegen beborstet. Die Schienen sind zur Spitze nur schwach erweitert und mit kleinen Börstchen und Dornen besetzt; die vorderen innen gerade ge¬ furcht, aussen und unten stets abgestumpft, nicht dornartig verlängert, die beweglichen Sporen endständig; die mittleren hinten aussen im unteren Drittel mit einer Art Bürste dicht stehender Börstchen, die im Gegensatz zu den Caraben ganz unabhängig vom Geschlecht ist; die hinteren endlich sind unten teils glatt, teils gefurcht und haben zwei ungleiche Enddornen, der innere meist länger als der äussere und, ab¬ gesehen von einzelnen Ausnahmen, stets spitz. Die Tarsen sind oben kahl oder mit Börstchen besetzt, die vorderen in beiden Geschlechtern 110 Di HANS EOESCHKE gleichbreit oder beim cf mehr oder weniger verbreitert. Die Sohle der ersten 4 Glieder ist selten fast kahl, meist in geringerer oder weiterer Ausdehnung, mindestens jedoch an der Spitze und den Rändern bei den cf cf stärker und dichter beborstet, und zwar nicht nur an den Vorder-, sondern auch vielfach an den Mittel- und Hintertarsen, jedoch von vorn nach hinten in progressiver Abstufung und Glied 1 und 4 schwächer als 2 und B. Mit der Erweiterung der ersten 2 — 4 Vorder¬ tarsenglieder der cf cf correspondit die Veränderung der Sohlen¬ bekleidung. An die Stelle der langborstigen dichten Bürstensohle tritt die kurzhaarige, noch feinere und dichtere Schwammsohle. Charakteristisch ist die merkwürdige Variabilität vieler Arten, die sich in Erweiterungs¬ form der Vordertarsen, besonders des 1. und 4. Gliedes, wie auch in der Besohlungsart in Bezug auf Dichte und Ausdehnung des Borsten¬ besatzes, namentlich beim 1., seltener beim 4. Glied zeigt. Artunter¬ schiede darin zu erblicken ist meines Erachtens nach dem mir vor¬ liegenden Materiale aus den verschiedensten Fundorten grundfalsch, da ja Artunterschiede immer constant sein müssen; ja es sind mehrfach nicht einmal Rassenunterschiede, sondern nur Lokalitätsabweichungen, und Übergangsformen liegen mir bei allen Arten bis auf zwei vor, und auch bei diesen beiden wird wohl in nicht all zu langer Zeit die Zwischenstufe entdeckt werden. Die Geschlechtsunterschiede sind aus dem obigen kurz resumirt, abgesehen natürlich vom Genitalapparat: I. constant in der ganzen Tribus : die Endglieder der Taster, beim cf stets breiter beil- und schaufelförmig. II. variabel in Gattung und Arten: Erweiterung und Besohlung der Vordertarsen (von den Mittel- und Hintertarsen ist praktischer ab¬ zusehen, da zu geringwertig) und Ausrandung und Beborstung des Anal¬ segments. Dazu kommt, vielfach weniger deutlich, die schlankere, schma¬ lere Form des cf gegenüber der breiteren, gedrungeneren des $ . Die Cychren, sagt Schaum, lassen, wenn sie beunruhigt werden, ein lautes zirpendes Geräusch hören, welches schon den älteren Ento¬ mologen bekannt war. Nach meiner Beobachtung pressen die Thiere bei diesem Zirpen Kopf- und Halsschild nach unten gegen den Meso- und Metathorax und bewegen gleichzeitig oder vielmehr unmittelbar darnach das Abdomen nach hinten unter Vorstrecken des Analsegmentes unter der Flügeldeckenspitze schräg abwärts ; nach Emporheben, das ist Streckung des Vorderkörpers, werden die ausgedehnten Bauchsegmente wieder eingezogen. Kieby glaubte nun, der Stridulationston rühre von der Reibung des Prothorax gegen die Basis der Flügeldecken her. Maeshall kam MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 111 auf die richtige Fährte (Ent. Mag. I. Lond. 1833, p. 213) und führte das Geräusch auf die Reibung der Abdominalränder innerhalb der Rinne an der Innenseite der Epipleuren zurück, in der bei Cychrus die ersten 5 Segmente ganz, vom 6. die Vorderecke wie ein Falz in einer Nute eingefügt sind und in welcher er mittels steifen Papiers ein Ge¬ räusch hervorrufen konnte. Wirkliche Stridulationsorgane gab er nicht an und Darwin, der darnach Cychrus caraboides (rostratus) einer Untersuchung unterzog, konnte Spuren von feilen* oder raspelartiger Beschaffenheit nicht entdecken. Solche Lautorgane zu finden glückte indessen einige Jahre später Westring (Kroyer Naturhistor. Tidskr. N. R. I. 1845 p. 63): Er modificirte und erweiterte das von Marshall gefundene Factum, indem er gleichzeitig noch und in erster Linie die Dorsalsegmente sich gegen die innere, quergefeilte Aussenkante der Epipleuralrinne reiben liess ; er brachte dann ein Jahr später (1. c. II. 1846, p. 345) eine noch bessere Erklärung, da, wie er selbst sagt, zur Hervorbringung des lauten Geräusches die einfache Reibung gegen jene Längsleiste nicht ausreichen kann. Als Hauptursache gab er nunmehr die Seitenrandleiste des Analsegments und die mediane Reibfläche der Schlusserweiterung der Epipleuralrinne an. In neuerer Zeit hat Gahan eine Zusammenstellung der Stridulationsorgane der Coleopteren gegeben (Trans. E. S. London 1900, p. 442 etc.), in der er erklärt — incredibile dictu — , man müsste bei Cychrus der Stärke des Tones nach einen gut ausgebildeten Stridulati onsapparat eigentlich erwarten, aber so weit er finden könne, sei nichts bis auf die jetzige Zeit be¬ schrieben, das als Stridulationsapparat hinreichend betrachtet werden kann («but so far as I can find, nothing that can satisfactorily be re¬ garded as the stridulating apparatus has up to the present time been described») ! Seines Erachtens haben die Flügeldecken keinen (!) Anteil an der Stridulation und nur die bei den Cychren stärker als bei den übrigen Carabiden vorspringenden Epimeren des Prothorax kämen für diesen Zweck in Betracht, wenn sie mit ihrer rauhen quergestreiften Innenfläche über die Seiten des Mesosternum rieben, obwohl er selber beim toten Tier hiermit nur einen schwachen Laut erzeugen könnte. Beim lebenden Insect habe Mr. Bernard Penny, ein junger Spezialist in der Biologie, der ganz derselben Ansicht wie er über den Ursprung des Tones sei, wie Gahan fortfährt, konstatieren können, dass nur beim Beugen des Oberkörpers der Laut hervorgebracht würde ; Gahan wun¬ dere sich zwar, dass das Geräusch viel lauter, das Organ an sich viel weniger ausgebildet als bei anderen Coleopteren sei! Und wenige Seiten nach obiger Notiz bringt derselbe Autor Beschreibung und Abbildung des ganz ähnlich gebauten aber viel weniger in die Augen springenden 112 Bi HANS ROESCHKE Lautorgans bei Blethisa ! Gahan?s Übersehen dieser Organe bei Cychrus und der Litteratur hierüber (confer Hagen, Biblioth. entom. II. p. 477 !) ist ganz unverständlich. Alle Cychrinen — soweit ich gefunden habe — besitzen, bald mehr bald weniger ausgeprägt, Stridulationsapparate, die auf verschie¬ denen Modificationen des Abdomens und der Flügeldeckenepipleuren beruhen, wobei beide Teile gegen einander reiben. Das Beugen des Kopfes und der Yorderbrust gegen die Mittelbrust dient dabei nur zur Fixation des Mesothorax durch Zug nach vorn, während die Muskeln die Bauchsegmente strecken und rückwärts ausdehnen. Das Stridulations- organ erstreckt sich auf folgende Körperteile : Erstens die Epipleuralrinne, die längs des Innenrandes der Epi¬ pleuren an der Schulter beginnt und bis etwas vor der Spitzeneinbuchtung ziemlich gleichbreit verläuft, hier plötzlich eine nach innen sich wöl¬ bende Erweiterung erfährt, deren Innenwandung oft bogenförmig, sel¬ tener zapfenartig (wie bei Scaphinotus, Irwhroct), bisweilen noch unter dem Aussenrand der Flügeldecken — bei Abhebung des Abdomens — hervorragt. Bei Cychrus und Scaphinotus endet mit dieser Verbreiterung die Epipleuralrinne, bei Sphaeroderus geht sie sehr schmal noch bis zur äussersten Spitze. Die Innenfläche der Rinne ist mit mehr oder minder deutlichen Querriefen oder bisweilen Raspelkörnchen besetzt, teils bis auf die Erweiterung oder auch ganz glatt. Dementsprechend kann die Abdominalkante rauh quer-gerieft ( C. carahoides) oder scabrös (Scaph. viduus) oder glatt sein. Wie schon oben erwähnt, ist der vor¬ dere vielfach vorspringende Teil der Seitenkante des Analsegments nach innen und unten umgebogen und bildet eine schmale leicht chagrinirte Leiste, neben der das 7. Dorsalsegment stark vertieft er¬ scheint, zur Aufnahme der Innenwand der Epipleuralerweiterung. Zweitens ist die mediale Aussenseite der Epipleuralrinne in ihrer ganzen Ausdehnung einschliesslich der Erweiterung fein quer oder schräg gerieft, während dem eigentlichen Spitzenrande mehrere Reihen unregelmässig gestellter Erhebungen oder Körnchen vorgelagert sind, die sich manchmal zu schwachen rauhen Leisten verdichten. Diesem passiven Stimmapparat an den Flügeldecken correspon- diren active Organe an den Dorsalsegmenten des Abdomens : Die Seg¬ mente 4 — 6 zeigen seitlich neben den Stigmen kleine kräftige, nach hinten gerichtete und oft kurze Börstchen tragende Körner, die zu¬ weilen auf dem 6. Segment in mehreren kleinen Reihen angeordnet stehen; ebensolche, aber stärkere Raspeln ziehen sich dicht gedrängt längs des hinteren Randes des 6. Segments und bedecken vollständig das ganze stärker verhornte siebente. Das 8. Segment bleibt hoch- MONOGRAPHIE DER OYGHRINI. .113 .steps bis auf den leicht scabrösen Hinterrand glatt ; ebenso das 9. beim 5 . Bei der Streckung des Hinterleibes schrapen oder kratzen einer¬ seits die Abdomina] kante in der Epipleuralrinne selbst und gleichzeitig die Seitenraspeln der Dorsalsegmente gegen die Innenleiste, jener Rinne, andrerseits stemmt sich die Seitenkante des Analsegments an die Epipleuralerweiterung und in dieser wie in einer Angel sich drehend senkt sich der Hinterrand nach unten und die stark gepressten Dorsalringe 7 und 8 reiben durch Vor- und Rückwärtsbewegung gegen die Raspeln aussen an der Erweiterung und gegen die vor der Spitze, ausserdem die umgebogene vordere Seitenleiste des Analsegments gegen den Innen¬ bord der Erweiterung. Bei den Caraben sind zwar fast alle dieselben Stridulationsapparate zu finden, nur viel weniger ausgebildet, auch ist die Epipleuralrinne hinten offen, ohne die Erweiterung und mit allmählig von der Basis nach hinten schwindender Innenleiste. Sie sind im übrigen auch nicht imstande so ergiebigen und vollkommenen Gebrauch davon zu machen, wie die Cychren, weil bei ihnen die Dorsalsegmente des Abdomens viel härter und horniger sind, während sie bei den Cychren aus weiten, faltigen membránosén Ringen bestehen. Die Contraction des vorderen Teils des Abdomens presst den gesamten Leibesinhalt so weit als möglich von vorn nach hinten und dehnt somit den hinteren Teil des Körpers aus. Das Pressen des Kopfes und des Halsschildes abwärts wider die Mittelbrust unterstützt noch die Contractur des Abdomens, ist jedoch nicht nötig zur Hervorbringung des Geräusches, denn wTenn Vorder- und Mittelbrust zwischen Finger und Daumen festgehalten werden, bewegt das Tier noch den Hinterleib vor- und rückwärts und das Geräusch ist dabei laut beim Strecken und schwach beim Zusammen¬ ziehen des Leibes. Es ist wohl nicht anzunehmen, dass das Geräusch nur hei Beunruhigung und Gefahr hervorgebracht wird, es liegt die Annahme viel näher, dass sich auch die Geschlechter dadurch anlocken. Larven der Genera Scaphinotus und Sphaeroderus blieben bisher unbekannt oder wenigstens unbeschrieben, soweit ich weiss. Die Ent¬ wicklungsstadien vom Genus Gychrus sind indessen seit langer Zeit be¬ kannt. Die Larve von Gychrus carahoides (rostratus) wurde beschrieben und abgebildet zuerst durch Heer (Observat, entom. 1836, p. 14 — 16, tab. II B) und später von Schic|)dte (Natur. Tidskr. 1867, p. 469 — 47 % ab. XVIII, f. 1— -9) vide Fig. 10, 10a und 10b. Ihre bedeutend breitere Körperform von asselartiger Gestalt unterscheidet sie sofort von den Carabenlarven : Kopf sechseckig, quer und ohne Hals allmählig verengt hinter den 6 länglichen Ocellen, Stirn vorn mit einem Höcker, Clypeus Annales Musei Nationalis Hung arici. V. 8 114 Di HANS R0E3CHKE vorn jederseits schwach ansgebuchtet mit schräg nach aussen vor¬ springenden Seitenecken und sehr kurzem abgerundeten Mittellappen, Fühler doppelt so lang als die Mandibeln, lang behaart, 2-tes Glied zweimal so lang als 1-tes, 4-tes Glied schlanker als die übrigen und kürzer als das 3-te. Mandibeln kräftig, gedrungen, zur Spitze leicht gekrümmt. Innenseite der Basis bewehrt mit sehr grossem, kammartig gezähntem Zahn. Stamm der Maxillartaster enorm entwickelt, stark und lang bewimpert, Tasterschuppe sehr kurz und breit. 3 Tasterglieder ziemlich lang mit zugespitztem Endglied; Aussenlade mit 2 fast .gleich langen Gliedern, Endglied konisch, Innenlade klein, sehr kurz, von konischer Gestalt mit starker Borste an der Spitze. Lippentaster sehr lang und sehr kräftig mit beilförmigem Endglied, Zunge kurz und an der Spitze abgerundet. Rückenplatten des Thorax und Abdomens seitlich über die Stigmen hinaus erweitert und an den Seiten scharf gerandet. Pronotum schmäler als Mesonotum, nach vorn stark schräg verengt und hier kaum balb so breit als an der Basis, mit abgerundeten Ecken und gerundet vorgezogener Mitte des Vorderrandes. Mesonotum genau wie Metanotum, quer, etwa 4-mal so breit als in der Mittellinie lang, ihre Hinterränder in der Mitte ausgeschweift mit breit abgerundeten Hinterecken. Rückenplatten des Abdomens kürzer als das Metanotum, im übrigen wie dieses gebildet, bis zur Körpermitte allmählig sich ver¬ breitend, dann von dort zur Spitze wieder allmählig sich verschmälernd ; 9-tes Dorsalsegment halb so breit als das 8-te, mit spitzigen, aus¬ gezogenen Hinterecken, diese kaum überragt von den 2 unbeweglichen, kurzen und ungezähnten Cerci oder Endfortsätzen. Beine ziemlich lang und schlank, von vorn nach hinten allmählig länger werdend, Schenkel, Schienen und Tarsen an der Unterseite mit Reihen kurzer Dornen be¬ setzt; die Hüften dreimal so lang als breit, die Schenkelfurche nur flach, die Tarsen von Schenkellänge mit 2 kräftigen, gleich langen Klauen. Färbung ist oben kastanienbraun, bräunlich gelb an den Seiten, am Pronotum breit, an den folgenden Segmenten schmäler, unten gelblichgrau. Ausgewachsen misst die Larve 20 mm. Der Puppe fehlen nach Heer die beiden Spitzen am Ende des letzten Ringes, welche die Puppen der Caraben und Calosomen am 9. Seg¬ ment aufzuweisen haben, sonst sind sie diesen ähnlich. Der Puppen¬ zustand dauerte bei C. cctraboides (rostratus) nur 4 Wochen, wie Heer beobachtete. Die 64 mir bekannten Arten der Tribus Cychrini bewohnen die nördliche gemässigte Zone und das angrenzende Nordpolargebiet der palæarktischen und nearktischen Welt, also etwa vom 22° 30' bis 70° nördlicher Breite. Die Genera Scaphinotus und Sphaeroderv s gehören MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 115 nur dem nordamerikanischen Faunengebiet an, vom Genus Cychrus kommen fast zwei Drittel aller Arten auf Europa, ein Drittel auf Asien und nur 2 Arten auf das nordwestliche Amerika. Sie leben hauptsächlich in Wäldern, in morschen Baumstümpfen, unter Moos, Holzstücken, Beisig, Steinen und trockenem Laub, auch im Anspülicht längs der Ufer fliessender Wässer, vorzugsweise im Gebirge, wo sie oft bis zu beträchtlichen Höhen emporsteigen und sich hochalpin tagsüber unter grossen tief eingebetteten Steinen aufhalten und mit gespreizten Beinen still liegen. Alle Arten sind anscheinend ausgesprochene Nacht- iiere und nähren sich hauptsächlich von Schnecken, in deren Gehäuse sie durch ihren langgestreckten schmalen Kopf und vielfach auch noch samt dem Halsschild tief einzudringen vermögen. Nur einige Arten von Scaphinotus wie Pemphus angusticollis, Irichroa Andrew sii und Guyoti , weichen in ihrer Lebensweise von den übrigen ab, indem sie hoch auf Baumstämmen sich aufhalten und auch hier unter Moos oder in Löchern, besonders wenn diese beträchtlich vom Erdboden entfernt liegen. Ein grosser Teil der Arten spritzt bei Verfolgung aus dem Anus ohne Explosionsgeräusch einen scharf ätzenden Saft. Nur eine von den 64 Arten ist bis jetzt fossil nachgewiesen, ein Bepräsentant der Gattung Cychrus : caraboides L. ( rostratus L.), nach Flach im Unterpleistocän der Hösbacher Ablagerungen in der Nähe von Aschaffenburg, also gegen Ende der Tertiärperiode ; einer nicht viel weiter zurückliegenden Periode der Tertiärzeit, dem Postpliocän, ge¬ hören 2 angebliche Vertreter der Gattung Scaphinotus an, beide sind jedoch ausgestorben (siehe Anhang). Abkürzungen : Um die Übersichtstabelle kurz und recht prägnant zu machen, habe ich für häufig wiederkehrende Ausdrücke folgende Abkürzungen eingeführt : -f- vorhanden — fehlend + variabel, bald vorhanden, bald fehlend Typen* = Typen, die von mir selbst geprüft sind. S == seta-Borste S5 = seta metatrochanterica S1 — « orbitalis SA= « analis S2 = « gularis Hlsclid = Halsschild S3 — « metacoxalis anterior Fld = Flügeldecken. S4 = « « posterior 8* 116: Dì HANS ROESCHKE Die Genera der Tribus Cy ehr i ni. 1. Obere Innenumrandung des Oberlippenansschnittes nur von der Ober¬ lippe gebildet und in ihrer ganzen Ausdehnung vor dem Clypeus gele¬ gen. Lippenfaster multisetos d. i. mit mehr als 2 Borsten. Prosternal- fortsatz an der Spitze gewöhnlich mehr oder weniger nach dem Körper zu umgebogen. Epipleuralrinne der Fld endet in ihrer Erweiterung noch vor der Eid-Spitze. 3-tes Ventralsegment mit Borstenporen. _ 2. — Obere Innenumrandung des Oberlippenausschnittes von Oberlippe und Clypeus gebildet, den letzteren deutlich durchkreuzend. Lippentaster, mit nur 2 Borsten — bisetos. Vorderbrustfortsatz wagerecht gestreckt an der Spitze. Epipleuralrinne der Fld setzt sich hinter ihrer Erweiterung als schmale Furche bis zur Fld-Spitze fort. 3-tes Ventralsegment stets ohne Borstenporen. „„ „„ _ - „„ .. ^ „„ r„: - „„ „„ _ 3. 2. Basis des Oberlippenausschnittes mit 4 Borsten. Episternen und Epime¬ ren der Vorderbrust deutlich durch Naht getrennt. Tarsenrücken mit kurzen abstehenden Härchen. Mittelhüften mit Randborste. Kopf nur selten punktirt. S1 bis 4'=F,'5-f. I. Genus: Scaphinotus Dej. — Basis des Oberlippenausschnittes mit 2 Borsten. Episternen und Epime¬ ren der Vorderbrust nahtlos mit einander verschmolzen. Tarsenrücken kahl. Mittelhüften ohne Randseta. Kopf mehr oder weniger punktirt. S1 bis 3 — ,4- und 5 ±. H. Genus : Cychrus Fabr. 3. Basis der Oberlippenausrandung mit 2 Borsten. Kopf ganz glatt. Epister¬ nen mit den Epimeren an der Vorderbrust ohne Nahtbildung verwach¬ sen; Epimeren grob punktirt. Mesosternum ohne trennende Kielleiste mit dem Episternum verwachsen. Dorsalseite der Tarsen ohne kurze Börstchen ; Mittelhüften ohne wahre Randborsten. S1 bis 4 — , 5+.. III. Genus: Sphæroderus Dej. I. Genus : SCAPHINOTUS Dej. (sensu latiore). Tabelle der Subgenera. 1. Wangen einfach, nicht erweitert und ohne Dornvorsprung oder Ein¬ kerbung vor den Augen. Clypeus ohne Seitenfurchen. Fld-Epipleuren regelrecht dicht und grob punktirt. _ „ ~~ - - — 2. Wangen vor den Augen erweitert. Fld-Epipleuren glatt oder nur schwach und spärlich punktirt. _ „„ „„ „„ ... „„ 3. 2(1). Hlschd ohne Randborsten oder mit nur 1 Borste ungefähr in der Mitte des Seitenrandes (insetos oder unisetos); S1 und 2 3 — , 4+. cf ç 2 SA. 1. Subgenus: Scaphinotus Dej. Hlschd mit 1 Borste in der Mitte und an der Basis des Seitenrandes (bisetos); S1 und 2 -f-, 3 und 4 + , cf £ 2 SA. 2. Subgenus: Irichroa Newm. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. ™ — Hlschd mit mehr als 2 Bandborsten (multisetos); SI bis 3 4-, 4 + . cf í 2 SÄ. 3. Sub genus : Nom are tus Léc. 3 (1). Wangen vor den Augen erweitert in einen mehr oder weniger vor¬ springenden Dorn, wodurch ein mehr oder weniger tiefer Einschnitt entsteht ; Clypeus ohne Seitenfurchen, cf Vordertarsen erweitert. .... 4. Wangen stark erweitert in Form einer ungeteilten Platte, die weiter als die Augen vorragt ; Clypeus mit Seitenfurchen, cf Vordertarsen nicht erweitert, einfach wie beim Ç . .... .... „„ 44 .„ 4 6. 4 (3). Hlschd mit 2 Bandborsten, in der Mitte und vor der Basis'- - bisetos ; S1 bis 3 + , 4 — . cf j 2 SA. 4. Subgenus : Pseudonomaretus m. — Hlschd mit nur 1 Bandborste und zwar in der Mitte — unisetos 5. 5 (4). Vorderseite der Schenkel ohne Borstenporen unten. Innenlade der Maxille mit langen und kräftigen Dornen oder Zähnen bewehrt. S1 bis 3 -f, 4 — . cf 1, 2 SA. 5. Subgenus : Pemphüs Mötsch. Vorderseite wenigstens der Vorderschenkel mit Borstenporen unten, gewöhnlich auch noch die der Mittelschenkel. Innenlade des Unter¬ kiefers gewöhnlich besetzt mit einigen wenigen kurzen Zähnchen und dazwischen längeren Börstchen oder weichen Haaren. S1 bis 3 + , 4 — . cf £ 1 — 2 SA. 6. Subgenus: Brennus Mötsch. 6 (3). Hlschd mit nur 1 Borste, in der Mitte des Seitenrandes. S1 und 3 4-;, 2 +, 4 — ■. cf ÿ 2 SA. 7. Subgenus : Neocychrus m. 1. Subgenus: Scaphinotus Dej. (sensu strenuo). 1. Hlschd mit medialer Bandborste ; Scheibe dicht und grob punktirt, ebenso die Epipleuren der Fld, Seiten des Meso- und Metathorax so¬ wie der ersten 4 Ventralsegmente. Sl, 2 und 4 '44 3 —4 .4 .... 2. — Hlschd ohne Bandborsten; Scheibe höchstens runzlig oder mit nur wenigen Punkten, zerstreut und seicht. Sí und 2 +, 3 • -, 4+ _ 5. 2 (1). Hlschd viel breiter als lang, gemessen von Vorder- zu Hinterwinkeln, die letzteren einwärts gerichtet und deutlich convergent, nicht paral¬ lel, daher Seitenrand ungefähr kreisförmig, hinten fast ebenso stark gebogen wie vorn, die mässig aufgebogenen Seiten schwielig verdickt, an den Hinterwinkeln viel weniger breit als die Scheibe von der Mittellinie bis zum aufgebogenen Seitenrand ; Scheibe sehr grob und dicht punktirt. .... _. . . . 44 î . .... ...r~3. — Hischdy ziemlich quadratisch, nur wenig breiter als lang von Vorder- zu Hinterwinkeln, die letzteren nach hinten fast parallel gerichtet, daher auch die Seitenränder hinten einander ziemlich parallel, kaum gekrümmt, die stark aufgebogenen Seiten nicht schwielig verdickt und an den Hinterwinkeln etwa so breit wie die Scheibe von der Mittel¬ linie bis zur Aufbiegung oder gar noch breiter; Scheibe nur = in den Eindrücken ziemlich dicht und grob punktirt. 4 '44 •_ -L .... 4. 3 (2). Hinterwinkel des Hlschd kurz und gerundet, wenig vorgezogen, doch 118 Dì HANS ROESCHKE mit der Basis einen deutlichen Kreisbogen bildend. Tief purpurviolet,. ziemlich mattglänzend. Kopf glatt. Fld suboval, nicht nach hinten erweitert, mit 14 oder 15 Streifen, die mit Ausnahme der verwirrten äusseren deutlich eingepresst sind ; Punkte derselben tief und weit¬ stehend. cf erstes Yordertarsenglied breit und ganz besohlt (Schaft ausgenommen). 1. Snowi Leg. — Hinterwinkel des herzförmigen Hlschd ziemlich spitz, weit vorragend ihr Innenrand deutlich ausgerandet bis zur eigentlichen Basis. Dunkel purpurviolet. Kopf deutlich, aber spärlich punktirt, 4. Fühlerglied mit Ausnahme der Basis dicht behaart. Fld eiförmig, relativ schmal, mit etwa 16 gut ausgeprägten Streifen, deren grobe Punkte dicht gereiht sind (crenelirt), Zwischenräume leicht gewölbt, teilweise etwas verwor¬ ren. cf 3 Tarsalglieder mässig erweitert, 1. Glied gänzlich besohlt (Schaft ausgenommen). 2. Roeschkei Van Dyke n. sp. 4 (2). Purpurviolet, ziemlich glänzend. Kopf glatt, Apicalhälfte des 4. Fühler¬ gliedes behaart. Seiten des Hlschd schwach verdickt, breit aufgebogen, mit verlängerten, aber stumpf zugespitzten Hinterwinkeln. Fld ziem¬ lich kurz eiförmig, hinten etwas verbreitert, besonders beim cj> ; Strei¬ fen mehr oder weniger schwach markirt oder ganz fehlend, Sculptur besteht aus etwa 15 Reihen grober, tiefer und weitstehender Punkte mit etwas erhabenen Zwischenräumen, cf 3 Vordertarsenglieder ver¬ breitert, 1. Glied ganz schwammig besohlt. 3. Van Dykei m., n. sp. 5 (1). Ventralstrigen scharf eingeschnitten, bisweilen in der Mitte etwas er¬ loschen. Hlschd mit deutlich abgesetztem Vorderrand, Scheibe fast glatt, höchstens spärlich punktirt, S4 +. cf 3 Vordertarsenglieder stark verbreitert, 1. Glied ganz besohlt, 1 V2X länger als breit.„„ „„ 6. Ventralstrigen auch an den Seiten kaum bemerkbar oder ganz ge¬ schwinden. Vorderrand des Hlschd nicht scharf abgesetzt, Scheibe gerunzelt, die aufgebogenen Seiten grob, aber verschwommen punktirt. S4 +. Die ersten 4 Fühlerglieder stets unbehaart, cf erstes Vorder¬ tarsenglied mehr als 2 -mal so lang als breit, unten nur zur Hälfte be¬ sohlt, 3. Glied schmal erweitert. _ -Û \ , _ „„ _ _ 8. 6 (5). 4. Fühlerglied dicht behaart, Fld lang eiförmig, Seiten des Meso- und Metathorax und der ersten Ventralsegmente glatt, die letzteren sehr schwach gerunzelt, „„ „„ „„ „„ _ „„ _ „„ 7. — 4. Fühlerglied unbehaart. Hlschd in den Eindrücken und längs des Seitenrandes zerstreut punktirt, Seiten des Meso- und Metathorax und der ersten Ventralsegmente grob punktirt. Fld kurz eiförmig, glatt, mit etwa 14 Reihen tiefer und grober Punkte, Streifen gar nicht angedeutet, cf Vordertarsen breit erweitert, 3. Glied quer, die anderen länger als breit. 4. Petersi m., n. sp. 7 (6). Pechbraun ; Fld mit Reihen äusserst feiner Punkte, Streifen gerade noch sichtbar eingeritzt, Intervalle glatt, eben, Epipleuren spärlich und nicht grob punktirt. cf Vordertarsen Glied 2 — 4 so breit als lang oder breiter, Glied 1 — 3 unten besohlt. 5. macrogonus Bates. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 119 — Blau oder purpurviolet, Kopf und Thorax matt. Fld tief crenelirt-ge- streift, Zwischenräume gewölbt. Epipleuren dicht und grob punktirt, sehr selten Thorax mit einigen tiefen Punkten, cf Yordertarsenglieder 2 und 3 quer, 4 gestreckt. 6. mexicanus Bates. 8 (5). S4+. Kopf fein und undeutlich punktirt, Hinterwinkel des Hlschd gewöhnlich spitz und stark vorspringend, Basalquereindruck sehr kurz, nicht auf die Hinterwinkel übergehend, Fld mehr oder weniger ab¬ geflacht, nicht abwärts gebogen zu den Seitenrändern, Band an den Schultern stark aufgebogen. Seiten des Meso- und Metathorax sowie die ersten Ventralsegmente grob punktirt. cf 1. Vordertarsenglied mindestens zur Hälfte besohlt. 7. elevatus Fabr. — S4 — . Kopf schwach gerunzelt, aber nicht punktirt (?). Hinterecken des Hlschd mässig verlängert und breit gerundet, kurz ; Basalquerein¬ druck weit ausgedehnt, innen und parallel zum Hinterrand der Hinter¬ ecken verlaufend. Fld leicht gewölbt, abschüssig zu den Seitenrändern, die an den Schultern nur schwach vorgezogen sind, cf 1. Vorder¬ tarsenglied nur an der Spitze pubescent. 8. unicolor Fabr. 2. Subgenus: Irichroa Newman. 1. Hlschd mit breiten, nach hinten noch breiter ausgeflachten und auf¬ gebogenen Seitenrändern und mit breit bogenförmigen, vorgezogenen Hinterecken, jede von beiden fast so breit als das dazwischenliegende Basisstück ; hintere Randborste ganz hinten im Hinterwinkel und näher zur Basis denn zum Seitenrand. Fld an den Schultern stärker ausgeflacht und bisweilen ziemlich breit aufgebogen ; Fld-Spitze stumpf und breit gerundet. S3 und 4 meist — . cf 3 Vordertarsenglieder besohlt, 1. Glied etwa nur zu ein Drittel. 1. vidua Dej. — Hlschd mit mehr oder weniger schmalen, doch mehr gleichmässig breiten und scharf aufgebogenen Seitenrändern, die hinten schräg zur Basis abfallen ohne vortretende Hinterecken ; hintere Randborste vor den Hinterwinkeln. Fld-rand schmal aufgebogen an den Schultern und etwas geschweift vor der Spitze, diese zugespitzt. S3 + (Guyoti ??), 4 +. cf 1. Vordertarsenglied mindestens zur Hälfte schwammig be¬ sohlt. 2. 2 (1). Scheibe des Hlschd matt, nicht glänzend, mehr oder weniger gerunzelt oder punktirt, besonders an den Seiten und rings um die Basalein¬ drücke herum nicht merklich gewölbt, in die aufgebogenen Seiten ge¬ wöhnlich mit sehr deutlich hervortretender Ausflachung übergehend, wenigstens nach vorn zu. Seitenrand mehr oder weniger, aber deut¬ lich erhöht, dünn und ungleich, nicht schwielig verdickt, noch ein¬ fach wulstig gerandet. _ _ _ . „„ _ _ „„ „„ ,•> _ 3. — Scheibe des Hlschd ganz glatt und glänzend, nicht gerunzelt, nur zu weilen etwas punktirt, deutlich doch mässig gewölbt bis hart an den 120 Di HANS ROESCHEE Rand, hier seitlich begrenzt meist ohne jede Ausflachung durch einen nur wenig erhöhten Rand, letzterer gleich hoch und leicht verdickt zu einem schmalen Wulst. ,1. : A „„ li ii „„ 4, 3 (2). S4 — . (S3 — ??) Hlschd beim cf länger als breit, beim ^ höchstens so - breit als lang, tief grob punktirt, auf der Scheibe (hauptsächlich hinten sowohl wie in den Eindrücken, cf Vordertarsen schwach erweitert, nur die ersten 3 Glieder besohlt, 1. höchstens etwa zu ein Drittel. 2. Guyoti Leg. — S3 und 4 -K Hlschd beim cf meist so lang als breit, beim ç immer breiter als lang; Punktirung sehr variabel, meist massig stark, selten erloschen, cf Vordertarsen breit erweitert, doch in verschiedener Stärke, die ersten 4 Glieder besohlt, Schwammsohle beim 1. Tarsalgliede schwankend von xk — fk der Länge. 3. Andrewsii Harris. 4 (2). S3 4- , 4 — . Hlschd so lang als breit oder breiter, Vorderrand stets gut abgesetzt. Fld tief und regelmässig p unktir t-ge streift . cf 3 Vorder¬ tarsenglieder schmal erweitert und besohlt, 1. Tarsalglied mit schwam¬ miger Sohlenbekleidung in fast ganzer Ausdehnung (oder zu seiner Länge). 4. Ridingsi Bland. 3. Subgenus : Nomaretus Leo. 1. Scheibe des Hlschd glatt, nicht behaart, an der Basis und vorn mehr oder weniger deutlich punktirt. v G' _ _ _ _ 2. + . Scheibe des herzförmigen Hlschd mit zahlreichen groben, Börstchen tragenden Poren, an der Basis und vorn nur einfache Punkte. Fld mit ziemlich tiefen Streifen scharf begrenzter grober Punkte. Vorder¬ brust mit Ausnahme der Mitte des Episternums, Seiten des Meso- und Metathorax und aller Ventralsegmente äusserst grob und dicht punktirt. cf 4 Vordertarsenglieder leicht verbreitert, Glied 2 und 3 etwas mehr als 1, die 3 ersten besohlt, 1. Glied mehr als 2-mal so lang als breit und nur im apicalen Drittel mit schwammiger Sohle. S4 +. 1. cavicollis Leo. 2 (1). Hlschd nur etwa FA-mal so breit als der Kopf, herzförmig, stark nach hinten verschmälert, Seiten schräg und nur sehr wenig ge¬ bogen, Hinterwinkel stumpf, Basis schwach ausgerandet, deutlich und grob punktirt wie am Vorderrande, Basallängseindrücke kräftig und punktirt. Fld mit tief eingedrückten Streifen dicht steheüder kleiner Punkte. Seiten des Prothorax samt den Epimeren, Seiten des Meso- und Metathorax und der ersten Ventralsegmente grob, doch nicht dicht punktirt. cf 4 Vordertarsenglieder mässig erweitert und besohlt, vom 1. Glied mindestens mehr als die apicale Hälfte pubescent. S4 — (? 4- Van Dyke !) 2. bilobus Say. A— .... Hlschd fast 2-mal so breit als -der Kopf, quer, Seiten vorn und hin¬ ten stark gebogen, Hinterecken ganz verrundet, nicht eckig, Basis gerade, die Quereindrücke vorn wie ganz- besonders der sehr tiefe hin- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 121 öV ten ziemlich fein und undeutlich punktirt, die basalen Längseindrücke seitlich fast fehlend. Streifen der Fld relativ schwach, mit groben Punkten, die zur Spitze seichter werden. Körper unten seitlich fein punktirt. cf 4 Yordertarsenglieder massig erweitert, 3 schwammig be¬ sohlt, 1 . Tarsalglied höchstens nur zur Hälfte pubescent. S4 — (? nach Van Dyke 4- !) 3. fissicollis Lec. 4. Subgenus : Pseudonomaretus mihi. Í, Oberfläche glatt, lackglänzend, 4. und wenigstens Spitze des 3. Fühler - gliedes dicht behaart. Beine ziemlich kurz, Schenkel stark, keulenförmig, Hinterschienen nebst Tarsen kürzer als die Fld ; nur die Vorder¬ schenkel vorn und hinten unten mit Borstenporen (bisweilen auch vorn unten kahl). |p /fg i£ VJi _ iti „„ W ™ ~~ A 2. — Oberfläche ganz fein und dicht gerunzelt, so ein Aussehen von mat¬ tem Lederglanz hervorrufend. 3. und 4. Fühlerglied kahl, höchstens Spitze des 4. mit vereinzelten Härchen. Beine ziemlich lang, Schen¬ kel schwach keulenartig, Hinterschienen nebst Tarsen mindestens so lang wie die Fld. Auch die Mittelschenkel vorn unten mit Borsten¬ poren. „„ „ _ 43 ~~ ~~ ~~ — ~ SÛ. sä _ ™ LÌ ~~ 7. 2 (1). 3. und 4. Fühlerglied völlig behaart. Fld abgeflacht, mit deutlichen Randborsten und unvollständiger Streifung, glatt an den Seiten und an der Spitze ; Aussenrand an den Schultern völlig verrundet, ohne Winkel und ohne Basalleiste. Innendorn der Hinterschienen spitz, länger als der stumpfe äussere, nur Vs so lang als das erste Hinter - tarsenglied. Hlschd so lang als breit, Seiten vorn gebogen, hinten leicht geschweift, Hinterwinkel fast rechteckig ; Quer- und Längsein¬ eindrücke tief. A A fi Jlß-rLJ L „„ 3. — Apicalhälfte des 3. und das ganze 4. Fühlerglied dicht behaart. Fld gewölbt, mit vollständiger Randborstenreihe und vollständiger Strei¬ fung, Streifen an den Seiten mehr oder weniger zusammenfliessend, Aussenrand deutlich stumpfwinklig in die Basalleiste übergehend ; Épipleuren leicht punktirt und runzlig. Innendorn der Hinterschienen stumpf, länger als der spitze äussere, wenigstens halb so lang wie das 1. Hintertarsenglied. 'A': ^ rjjj. A- : A ™ ïA íl 6. 3 (2). Schulter verrundet, Körper schlank. Fld mit unvollständiger Reihe weiter auseinander stehender Borstenporen im mittleren Teil des Randes ; Epipleuren glatt. _ A „„ „„ _ „„ „„ „„ „„ 4. — Schultern markirt, mit Neigung zu eckigem Vortreten; Körper breit cychrusförmig. Fld mit vollständiger Randborstenreihe ; Epipleuren nur mit wenigen unregelmässigen Punkten nahe den Schultern und mit einer Randreihe von Punkten.^- - A ~~ hi 5. 4 (3). Kopf mit mässig starkem Eindruck hinter den Augen, Scheitel nicht kugelig gewölbt. Fld langoval mit 3 — 4 Streifen, Zwischenräume ohne 122 D? HANS PtOESCHKE Borstenpunkte. cf Yordertarsen nicht oder kaum erweitert, Spitze des ersten Gliedes und 2. und 3. Glied besohlt. 1 . imperfectus Horn. — Kopf mit tiefem Eindruck hinter den Augen, Scheitel kugelig gewölbt. Fld oblongoval mit 5 — 6 abgekürzten Streifen ; 4. Zwischenraum mit einer Reihe Borstenpunkte, eine zweite noch lateralwärts vom letzten (äussersten) Streifen, cf 2 Yordertarsenglieder breit erweitert und besohlt. 2. Hubbardi Schwarz. 5 (3). Eindruck hinter den Augen erloschen. Fld oblongoval mit 7 hinten unvollständigen Streifen, von denen 1 — 5 grob punktirt sind, während die Punkte im 6. Streifen kleiner und undeutlicher werden und im 7. ganz fehlen, cf unbekannt. 3. incompletus Schwarz. 6 (2). Fld mit 10 tiefen Kerbstreifen, Punkte nicht grob, doch ziemlich dicht gestellt. Hlschd hinten geschweift, Hinterwinkel rechteckig, Basalquer- und Längseindrücke tief. Innendorn der Hinterschienen halb so lang als das 1. Hintertarsenglied. Schwarz oder pechbraun, glänzend, cf 3 Yordertarsenglieder schwach, aber deutlich erweitert und besohlt. 4. debilis Lec. — Fld mit etwa 10 tiefen Punktstreifen, Zwischenräume stark gewölbt, mehr oder weniger crenelirt und zuweilen zusammenfliessend. Hlschd herzförmig, hinten kaum geschweift, Hinterecken stumpfwinkelig, Basalquer- und Längseindrücke seicht und in tiefer Grube sich kreuzend. Innendorn der Hinterschienen % so lang als das 1. Hinter¬ tarsenglied. Pechschwarz, glänzend ; Fld mit dunklem Kupfererzglanz, cf 4 Yordertarsenglieder breit erweitert und besohlt. 5. Merkeli Horn. 7 (1). Aussenrand der Fld scharfwinklig in die Basalleiste übergehend; Epipleuren leicht runzlig punktirt. Innendorn der Hinterschienen stumpf und halb so lang wie das erste Glied des Hintertarsus. Schwarz, rf 3 Yordertarsenglieder breit erweitert und besohlt. 6. relictus Horn. 5. Subgenus: Pemphus Mötsch. 1. Ganz matt und sammetartig, Fld stark aufgeblasen ohne deutlich sicht¬ bare Skulptur, braun oder schwarz. Yorder- und Mittelschenkel vorn unten bald mit bald ohne Borstenporen, cf 3 Yordertarsenglieder erweitert und besohlt, bisweilen auch das 4. Glied mit geringer schwammiger Sohlenbekleidung. 1. angusticollis Mannerh. 6. Subgenus : Brennus Mötsch. 1. Oberfläche vollständig glatt, lackglänzend. Innenlade des Unterkiefers mit langen und kräftigen Dornen oder Zähnen. Hlschd stark herz¬ förmig. Fld auffallend flach, fein gestreift mit tiefen groben Punkten in 14 Reihen. Yorder- und Mittelschenkel vorn unten mit Borsten- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 123 porén. SI bis 3 +. cf 2 SA. cf 4 Yordertarsenglieder erweitert und besohlt. 1. cordatus Lec. — Oberfläche besonders von Kopf und Hlschd fein und dicht lederartig gerunzelt mit mattem Lederglanz. Innenlade des Unterkiefers mit eini¬ gen wenigen kurzen Dornen und viel längeren seidigen Haaren 2. 2 (1). Scheitel glatt oder schwach runzlig, Wangen schwach erweitert, nur mässig gekerbt, Fühlerbasalglied normal, Orbitalrand einfach.,,,. „ 3. — Scheitel mit Kamm oder Höcker, Wangen vor und unter den Augen vorragend verbreitert, Einschnitt stark und tief; Fühlerbasalglied viel stärker als normal, besonders beim cf , wo es keulenförmig wird ; Orbitalrand knotig verdickt oberhalb der Augen und der Fühlerwurzel, cf 1, cj> 2 SA. _ _ ... .... 11. 3 (2). Yorderschenkel nur vorn unten mit Borstenporen, hinten sowie Mittel¬ schenkel vorn unbeborstet. Seiten des Hlschd hinten abgeschrägt oder nur sehr schwach geschweift. Sl bis 3 + ; cf 1, 2 SA. cf 3 Yordertarsenglieder erweitert und besohlt, das 4. auch mit partieller Schwammsohle. 2. marginatus Fisch. — Yorderschenkel vorn und hinten, Mittelschenkel vorn mit Borsten¬ poren unten (Anomalie mit Fehlen der letzteren ist sehr selten),.... 4. 4 (3). Fld selten deutlich punktirt-gestreift, Streifen allgemein unregelmässig, Zwischenräume stets unterbrochen oder tuberculirt oder granulirt. S3 + . cf 1 , ç 2 SA. cf 3 bis 4 Yordertarsenglieder besohlt. _ _ _ .... 5. — Fld deutlich und regelmässig punktirt, meist auch deutlich gestreift, Zwischenräume nicht unterbrochen oder tuberculirt, höchstens an den Seiten verworren. S3 +. cf 1, ç Ibis 2 SA. cf 2 — 3 Vordertarsen¬ glieder besohlt. .„ .... .... .... .... .... „„ .... _ .... „„ 6. 5 (4). Sl -f . Hlschd mehr oder weniger deutlich geschweift vor der Basis, Oberfläche des Hlschd schwach, die der Fld deutlich glänzend mit leichtem Anflug von Blauviolet an den Bändern. Fld mit 14 bis höch¬ stens 18 ( ) Streifen, cf 3 Yordertarsenglieder erweitert und besohlt, 4. Tarsalglied bisweilen auch mit geringer Schwammsohle, 1. nur etwa zu Vs besohlt. 3. interruptus Mén. — Sl — (mit Ausnahme äusserst seltener Anomalien). Hlschd hinten gar nicht oder kaum geschweift, die ganze Oberseite deutlich matt. Fld mit mindestens 18 Streifen und ohne metallischen Schimmer an den Bändern, cf 3 Yordertarsenglieder erweitert und besohlt, 1. zu Vs bis beinahe V2 seiner Sohlenfläche pubescent. 4. obliquus Lec. 6 (4). Basis des Hlschd schwach aber deutlich bogenförmig ausgerandet, daher Hinterwinkel ein wenig vortretend ; Seiten schräg convergirend, nicht oder kaum geschweift vor der Basis ; Oberseite matt, seitliche Längseindrücke undeutlich oder fehlend. Fld-Streifen seitlich breit verworren. Sl — » 2 +, 3 ±. cf ç 1 SA (ganz ausnahmsweise ç 2 SA), cf 3 Vordertarsenglieder erweitert und besohlt, 1. Tarsalglied etwa zur Hälfte. 5. oreophilus Bivers. Í 24 D i HAIS ROESCHKE — Basis des Hlschd gerade, Hinterecken recht- oder stumpfwinklig, nicht vorragend, Oberseite mehr oder minder glänzend. „„ 4 4 % 7 . 7 (6). S3 4, 2 4-, 1 ±, doch meist 4-. cf 1, j 2 SA. Hlschd deutlich-ge¬ schweift vor der Basis, Hinterwinkel mehr oder weniger rechteckig, gar nicht vorgezogen ; Oberseite schwach glänzend, seitliche Längs¬ eindrücke deutlich markirt. Fid- Streifen nicht zusammenfliessend an den Seiten oder höchstens ein paar äussere unregelmässig verworren, cf 3 Vordertarsenglieder besohlt, das 1. Glied nur zu Vs. 6. ventricosus Dej. — S3 und S 1 — , Anomalien ausgenommen ; S2 4; . cf ç 1 SA. . . 8. 8 (7). Hlschd meist breiter als lang. Fld mit ziemlich feinen und seichten Punkten, die höchstens ein Viertel des Zwischenraumes öinnehmen. cf 2 Vordertarsenglieder erweitert und besohlt, . . .. 4 9. — Hlschd mindestens so lang wie breit ; Fld mit groben und tiefen Punkten, die ungefähr den Zwischenraum zur Hälfte einnehmen. S2 sehr häufig >4- (Anomalien mit S1 - 4- ziemlich selten). „„ 10. 9 (8); S2 4-. Fld mehr oder weniger fein aber scharf punktirt gestreift. Hlschd hinten eingeschnürt und tief geschweift, cf 1. Vordertarsen¬ glied etwa zur Hälfte besohlt. 7. striatopunctatus Chaud. — S2 — . Fld nur mit Reihen feiner Punkte, nicht gestreift. Hlschd hin¬ ten leicht geschweift, nicht eingeschnürt, cf 1. Vordertarsenglied etwa zu 43 besohlt. 8. subtilis Schaum. 10 (8). S2 meist 4 (S1 4 in sehr seltenen Anomalien), cf 2 oder 3 Vorder¬ tarsenglieder erweitert und besohlt, 1. Tarsalglied von Vs bis a/s der Sohlenfläche pubescent. -Ì 9. punctatus Léc. 11 (2). -Stirn schwach tuberculirt. • Hinterhaupt nicht eingedrückt. Hlschd mäs- sig oder schwach geschweift zur Basis, Hinterecken stumpf oder recht¬ winklig ; Vorderrand nicht schwielig verdickt. Fld-Zwischenräume unterbrochen, Punkte der Streifen wenig sichtbar, cf 3 Vordertarsen¬ glieder besohlt, 1. Glied nur an der Spitze. 10. rugiceps Horn. — Stirn kammartig erhöht, Hinterhaupt mit tiefem Quereindruck. Hlschd stark eingeschnürt vor der Basis, dahinter die Seitenränder mehr oder weniger divergent ; Vorderrand schwielig verdickt. Fld grob punktirt gestreift, Zwischenräume nicht unterbrochen, cf 3 Vordertarsenglieder besohlt, 1. Glied kaum zu Vs. 11. cristatus Harris. 7. Subgenus : Neocychrus mihi. — S2 — . Stirn kammartig erhöht, ohne Quereindruck am Hinterhaupt. Hlschd seitlich winkelförmig Vörspringend hinter dem 1. Drittel, Scheibe gewölbt, aber nicht bucklig. Fld bläulich Oder purpurn, glänzend. 1. angulatus Harris. S2 4 . Stirn schwach querrunzlig, nicht kämmartig. Hlschd winklig vorspringend hinter dem 1. Viertel, Scheibe stark gewölbt, kugelig oder bucklig. Fld tief schwarz glänzend. 2. Behrensi m., n. sp. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 125 II. Genus: CYCHRUS Fabr. (sens, latiore.) Tabelle der Sub genera. 1. S4 und 5 4-. Kopf breit und kurz, Mandibeln kurz und kräftig, fast gleichmässig gekrümmt ; Oberlippe deutlich aber nicht tief ausgeran- det, mit den breiten, kurzen Seitenlappen viel breiter als lang ; Palpenendglied sogar beim d nicht deutlich beilförmig, gut 2 -mal so lang als breit,, vorletztes Glied der Kiefertaster stets ohne Borsten. 1 . Subgenus : Cy chropsis Boileau. S4 und 5 — Kopf mit Mandibeln gestreckt, die letzteren gerade, nur an der Spitze gekrümmt ; Oberlippe tief ausgerandet mit schmalen Seitenlappen, mit diesen mindestens so lang wie breit ; Palpenendglied mehr oder weniger stark beilförmig, besonders beim d. 2. Subgenus : Cychrus Fabr. 1. Subgenus: Cychropsis Boileau. 1. Hlschd grob punktirt, herzförmig, Bandborste vor der Mitte, Seiten nach vorn zu fast gewinkelt, nach hinten eingeschnürt, Hinterwinkel zur Basis wiederum divergent. Fld ziemlich regelmässig und grob punktirt-gestreift, Zwischenräume mehr oder minder erhaben, Vorder - brust-Episternen grob punktirt ; Episternalleiste am glatten Meso- sternum fehlend. Mehrere Abdominal- und Analborstenporen jeder- seits. Sogar die Hinterschenkel oben, 'Sowie auch Vorder- und Mittel¬ schenkel unten mit Borstenporen auf der Vorderseite. cT 3 Vorder¬ tarsenglieder breit erweitert und besohlt, 1. Tarsalglied vollständig pubescent. 1. sikkimensis Fairm. 2. Subgenus : Cychrus Fabr. (sens, str.) 1. 1. Fühlerglied und Hlschd ohne Borste, Hlschd lang cylindrisch, Seitenrand sichtbar. Episternalleiste des Mesothorax zu einem kleinen Höcker zusammengeschrumpft. Ventralsegmente mit 2 oder 3 Borsten jederseits ; cf 3 SA. Vorderschenkei oben und unten beborstet, Mittel - schenke! nur unten, Hinterschenkel unten gefurcht, d Vordertarsen einfach. 1. cylindricollis Pini. — . 1. Fühlerglied und Mitte des Hlschd-Seitenrandes mit Borste. Nur 1 Ventralseta jederseits, höchstens 2 SA. „„ „„ _ _ _ 2. 2 (1). Hlschd-Seitenrand nicht aufgebogen, höchstens durch eine schwache * Nur ein einziger Fall von Anomalie wurde aufgefunden : 1 Exemplar mit S5 -j-. 126 Dl HANS ROESCHKE Randleiste von den Epipleuren getrennt, deren hinterer Teil nach unten zu mehr oder minder divergent ist und daher von oben sicht¬ bar. Fld mehr walzenförmig, cf Yordertarsen einfach. Schwarz oder pechschwarz.^. „„ „„ „„ „„ „„ li. „„ '\j „„ 3. — Hlschd-Seitenrand deutlich aufgebogen, besonders vor den Hinter¬ ecken ; Epipleuren mehr oder weniger abwärts convergent, von oben nicht sichtbar. „„ „„ „„ £Ü „„ „„ _ „„ „„ „„ _ 5. 3 (2). Hlschd von den Epipleuren nur durch eine kaum sichtbare Linie ge¬ trennt, die hinten zu öfters ganz erlischt, zerstreut und spärlich punktirt, meist nur seitlich und vor der Basis. Kopf mässig punktirt, Clypeus fast glatt. Episternen des Pro-. Meso- und Metathorax glatt. Yorderschenkel allein und nur oben mit Borsten. Ganz schwarz, glänzend. 2. angustatus Hoppe. — Hlschd seitlich begrenzt durch eine schwache aber deutliche Leiste oder einen Wulst und samt dem Prothorax dicht und grob punktirt 4. 4 (3). Kopf nebst Clypeus und die Mittel- und Hinterbrust grob und dicht punktirt. Fld lederartig gekörnt, Mundteile, Palpen, die 4 ersten Fühlerglieder, Beine nebst Trochanteren und angrenzenden Teilen der Hüften rostrot. Vorder- und Mittelschenkel walzenförmig, oben beborstet. 3. Schmidti Chaud. Kopf nur in und um die tiefen Stirnfurchen ziemlich dicht punktirt, Meso- und Metathorax kaum punktirt. Fld fein gestreift, Streifen dicht und grob punktirt. Ganz schwarz. Vorder- und Mittelschenkel etwas keulenförmig verdickt, die vorderen oben und unten beborstet, die mittleren hauptsächlich unten mit deutlichen Borstenporen. 4. thibetanus Fairm. 5 (2). Vorderbrust-Episternen ganz oder beinahe glatt; Fld-Aussenrand scharf gewinkelt, geradlinig zur Basis. Bläulich-schwarz. Kopf mit tiefem Quereindruck zwischen den Augen. Hlschd herzförmig, schwach ge¬ landet an den Seiten, undeutlich punktirt vor der Basis. Fld ziem¬ lich walzenförmig, mit etwas unregelmässigen Reihen weit gestellter Punkte, aber ohne eingedrückte Streifen ; Zwischenräume schwach runzlig und erhöht, an den Seiten und vor der Spitze leicht gekörnt. Meso-Episternalleiste bis auf ein Minimum verkürzt. Schenkel cylindrisch, unten gefurcht, die vorderen oben und unten beborstet, die mitt¬ leren nur unten, cf ç 1 SA. cf Vordertarsen einfach. 5. Hampei Gestro. — Vorderbrust-Episternen mehr oder minder grob punktirt ; Fld-Aussen¬ rand nahe der Basis nicht gewinkelt, sondern hier convex, oder nur schwach concav geschweift. Fld deutlich gekörnt, besonders in der Apicalhälfte ; im basalen Teil Körnchen häufig in feine Rippen zusammenfliessend, getrennt durch eingedrückte Streifen dicht stehender und confluir ender Punkte. ' „„ jjß. ~~ 6. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 127 6 (5). Episternalleiste der Mittelbrust vorhanden, doch zuweilen stark re- ducirt. _ _ „„ l» „„ „ „„ „„ _ 7. — Episternalleiste an der Mittelbrust völlig fehlend. Fld mit deutlich prominenten Primär- und Secundärtuberkeln, Hlschd grob punktirt, wenigstens vor der Basis. Vorder- und Mittelschenkel, besonders beim cf, deutlich keulenförmig verdickt, nur die vorderen und diese auch nur unten beborstet. Sohlen der 4 ersten Tarsenglieder aller Beinpaare zum mindesten an der Spitze dicht bürstenartig behaart, cf £ 1 SA. 23. 7 (6). Fld fein gekörnt, Körnchen zuweilen zu feinen Primärlinien zusammen- fliessend, seltener auch zu secundären, doch ohne vorragende Tu¬ berkeln „„ vi ~~ ~~ m ~~ ™ „„ _ „„ _ 8 — Fld mit deutlichen Primär- und öfters auch Secundärreihen promi¬ nenter Tuberkeln, besonders hinter der Mitte der Fld, zuweilen fast tuberkelartig punktirt-gestreift. Schultern nicht deutlich vorragend 1 1 . 8 (7). Hlschd vorn höchstens undeutlich gerandet, nicht scharf und schwie¬ lig begrenzt. Fld mit stark vorspringenden, gerundeten Schultern, Aussenrand nahe der Basis nicht concav geschweift ; Scheibe mehr oder minder fein lederartig, ohne matten Untergrund. cf ç gewöhnlich 1 SA. cf 4 Vordertarsenglieder kaum erweitert mit dichter, langer, bürstenartiger Behaarung. 7 ' ~~ ~~ ~~ 9. Hlschd vorn scharf und schwielig gerandet, gut abgesetzt. Fld-Schul- tern gerundet, doch nicht vortretend, Aussenrand einfach zur Basis gekrümmt ; Scheibe mit kleinen, ziemlich dicht gestellten, schwach glänzenden Körnchen auf deutlich mattem Untergrund, cf 3 Vorder¬ tarsenglieder erweitert und schwammig besohlt. _ . . „„ 10. 9 (8). Vorletztes Kiefertasterglied ohne Börstchen, Kopf mit Quereindruck zwischen den Augen. Hlschd-Seitenrand gleiclimässig aufgebogen, hin¬ ten kaum höher als vorn. Fld-Rand stark geknickt vor der Vereini¬ gung mit der unteren Epipleuralkante. Schenkel nicht keulenförmig verdickt, die vorderen und mittleren vorn unten ohne Borstenporen ; Vorderschienen seitlich gefurcht, Hinterschienen hinten stark gefurcht und gerunzelt. 6. italiens Bon. — Vorletztes Kiefertasterglied mit ziemlich langen Borsten, Kopf ohne Quereindruck zwischen den Augen. Hlschd-Seiten zur Basis stärker erhöht. Fld-Band nur schwach geschweift vor der Vereinigung mit der unteren Epipleuralkante. Schenkel, besonders beim cf, mehr oder weniger keulenförmig verdickt, die vorderen und mittleren mit Borsten unten, Vorderschienen nicht seitlich gefurcht, Hinterschienen hinten glatt oder nur leicht gerunzelt. 7. caraboides L. 10 (8). Stirn hoch gewölbt mit tiefen Furchen seitlich und hinten, Kiefer¬ taster unbehaart. Hlschd-Seiten gleiclimässig niedrig und schmal ge¬ randet, nach vorn wie nach hinten. Fld . ziemlich steil abfallend zur Basis, Spitze und Seiten ; Scheibe fast abgeflacht ; Aussenrand kaum geschweift vor der Spitze. Vorder- und Mittelschenkel stark keulen- 128 Di HANS ROESGHEE förmig verdickt; die vorderen oben find unter), die mittleren nur unten mit Borstenporen ; Hinterschenkel unten nicht gefurcht. cf 1 SA. 8. seriatus m., n. sp. 11 (7). Kopf abgeflacht, mit tiefem Quereindruck zwischen den Augen; Hinterschenkel unten gefurcht, Vorder- und Mittelschenkel schwach keulenförmig verdickt, ein wenig stärker beim cf. Vordertarsen der cf cf nicht erweitert und ohne bürstenartige Sohlenbekleidung. (Asiatisch-amerikanische Arten.) ' ..„ A W ...: „„12. — Kopf gewölbt, ohne Augen quer eindruck; Hinterschenkel unten nicht gefurcht. Die ersten 4 Glieder aller Tarsen bürstenartig besohlt, die vorderen und mittleren stärker als die hinteren und allé wiederum beim cf dichter als beim $ . cf $ 1 SA. (Europäische Arten.) .... 19. 12 (1 1). Vorderrand des Hlschd mehr oder minder deutlich abgesetzt, schwielig verdickt ; Aussenrand der Fld concav einwärts geschweift vor der Basis. Rückseite der Hinterschienen rauh und runzlig punktirt. (Amerika¬ nische Arten.) _ !jl. .ul' ú ™ 13. — Vorderrand des Hlschd nicht abgesetzt; Aussenrand der Fld gerundet oder höchstens leicht gewinkelt vor der Basis ; Hinterschienen hinten meist glatt. (Asiatische Arten.).u ‘ , ,u ; — ~~ — A „„ . 14. 13(12). Stirn mässig eingedrückt. Hlschd schräg zur Basis verschmälert, kaum geschweift, mit stumpfwinkligen Hinter ecken, die mehr oder weniger deutlich convergiren. Fld lederartig, glänzend, ohne matten Unter¬ grund mit unregelmässigen, groben und dichten, breiten und doch flachen Körnchen ; Spuren von 3 bis 6 Reihen grösserer und stärker prominenter Tuberkeln deutlich sichtbar, besonders hinten. Mittel¬ schenkel vorn oben und Hinterschenkel unten ohne Borstenporen, cf ? ?, ? 2 SA. 9. Hemphillii Horn. Stirn tief eingedrückt. Hlschd deutlich vor der Basis geschweift, Hinterwinkel leicht divergent. Fld auf mattem Untergrund mit kleinen entfernt stehenden, glänzenden Körnchen und mit 3 Reihen sehr grosser und stark prominenter Tuberkeln. Sehr häufig die Mittel¬ schenkel oben und die Hinterschenkel unten beborstet. cf 1 — 2 SA. 10. tuberculatus Harris. 14(12). Hlschd an den Seiten deutlich gerandet,. aber nicht aufgebogen, Scheibe mehr oder weniger gewölbt; Vorderbrust nur schwach kielförmig zusammengedrückt. Rückseite der Hinterschienen glatt. .„ _ 15. — Hlschd seitlich aufgebogen, mit ziemlich hohen Seitenrändern, Scheibe flach ; Vorderbrust deutlich kielförmig. Hinterschienen hinten rauh und runzlig punktirt. .... .... .... .... _ _J .... .... :... .„. 18. 15(14). Einschnürung hinter den Augen deutlich markirt, 4. Fühlerglied kahl an der Spitze. Hlschd lang herzförmig, Seiten vor der Basis mehr oder minder geschweift verengt, Oberfläche deutlich von vorn nach hinten gewölbt. Mittel Schenkel nur unten beborstet, Hinterschenkel unten deutlich gefurcht, cf 1, j 2 SA.. A vC- ;ul. ~~ 16. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 129 Ohne Einschnürung hinter den Augen, 4. Fühlerglied an der Spitze spärlich behaart. Hlschd kurz, breit herzförmig, fast kreisförmig, Seiten vor der Basis in leicht convexem Bogen verschmälert, Oberfläche schwach gewölbt. Mittelschenkel oben und unten beb or stet, Hinter¬ schenkel unten nur seicht gefurcht. „„ ü: ~~ A ~~ 17. 16(15). Schwarz mit undeutlichem Erzglanz. Augenquereindruck seicht, Seiten des Hlschd hinten schräg verengt, selten schwach geschweift. Fld grob gekörnt, Körnchen sehr selten confluirend, Primär- und oft auch Secundärtuberkeln deutlich prominent. 11. Morawitzi Géhin. Dunkel bronze-erzfarben. Quereindruck zwischen den Augen tief und breit. Seiten des Hlschd hinten merklich geschweift verengt. Fld runz¬ lig punktirt-gestreift, durch Zusammenfliessen der hinter und neben einander gereihten Körnchen, Primär- und Secundärtuberkeln nur wenig vortretend. 12. Koltzei m., n. sp. 17 (15). Schwarz mit sehr schwachem Metallschimmer. Quereindruck zwischen den Augen undeutlich. Hlschd-Basaleindrücke sehr tief. Fld bedeckt mit kleinen, unregelmässig gestellten Tertiärkörnchen, zwischen welchen 3 Beihen grosser Primär- und 4 Reihen kleinerer, mehr länglicher Secundärtuberkeln auftreten. cf 1, j 1 — 2 SA. 13. Yunnanus Fairm. 18 (14). Dunkel erzfarben. Augenquereindruck tief, Einschnürung hinter den Augen deutlich ; 4. Fühlerglied an der Spitze behaart. Hlschd länger als breit, Seiten fast gewinkelt, nach vorn stark gebogen, nach hin¬ ten ziemlich schräg verengt und stark eingeschnürt bis zum Basal - quereindruck, von hier an deutlich divergent. Aussenrand der Fld vor der Vereinigung mit der unteren Epipleuralkante merklich ge¬ schweift ; Oberfläche runzlig gekörnt, mit prominenten Primär- und Secundärtuberkeln. cj> ISA. Vorder- und Mittelschenkel oben und unten beborstet, Hinterschenkel unten gefurcht. 14. Davidis Fairm. 19(11). 4. Fühlerglied kahl an der Spitze. Seitenrand des Hlschd ein wenig vor der Basis mit einem auf- und rückwärts' gerichteten; Dorn be¬ wehrt. Schienen bräunlich, Schenkel schwarz, leicht keulenförmig ver¬ dickt, besonders beim cf; Borstenporen vorn oben und unten an Vorder- und Mittelschenkeln (an letzteren bisweilen auch fehlend). Tarsen mit bürstenartiger Sohlenbekleidung, Glied 2 bis 4 ganz, 1 in verschiedener Ausdehnung, beim cf etwa Vs bis Vä, beim j Ve bis Vs der Sohle einnehmend. .» „„ „„ _ _ . _ „„ „„V 20. — 4. Fühlerglied an der Spitze ziemlich dicht behaart. -Hlschd-Seiten einfach. Schienen so dunkel wie die Schenkel, diese cylindrisch, die mittleren oben ohne Borsten. 1. Tarsalglied nur an der Spitze be- bürstet, 2. in Vs, 3. in Vs und 4. in Vs der Sohlenfläche. V 21. 20 (19). Erzfarben. Hlschd länger als breit, Seiten mässig gebogen. Fld lang¬ oval, Secundärstreif fehlt neben der Naht. Mittelschenkel nur mit wenigen Borstenporen, die sich unten deutlicher markiren als oben. 15. spioicollis Duf. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 9 130 Dü HANS ROESCHEE — Schwarz. Hlschd breiter als lang, Seiten stark gekrümmt. Fld kurz¬ oval, Secundärstreif neben der Naht deutlich sichtbar. Mittelschenkel mit vielen Borstenporen oben und unten. 16. Dufouri Chaud. 21 (19). Vorder- und Mittelschenkel vorn unten heborstet. Hlschd breiter als lang, ohne schwielig verdickten Vorderrand, Seiten ziemlich breit aufgebogen und gerundet. Fld cylindrisch, Schultern markirt, Schweifung vor der Spitze kaum angedeutet, Oberfläche unregelmässig punktirt- gestreift. Kopf ohne Scheitelgrübchen. 17. angulicollis Sella. — Vorder- und Mittelschenkel vorn ohne Borstenporen. Hlschd länger als breit, herzförmig, Vorderrand schwielig verdickt, Seiten schräg ver¬ engt bis zum Basalquereindruck, Hinterecken mehr oder weniger wieder divergent. „„ _ _ _ _ _ _ „„ _ „„ _ _ _ 22. 22(21). Scheitel ohne Grübchen, vorletztes Kiefertasterglied an der Spitze mit kleinen kurzen Börstchen. Hlschd viel länger als breit, seitlich ziemlich scharf gewinkelt. Fld gestreckt, walzenförmig, etwas abgeflacht mit vor¬ tretenden Schultern, Aussenrand stumpf gewinkelt zur Basis und hin¬ ten leicht geschweift. 18. grajus Daniel. — Scheitel mit Grübchen, vorletztes Kiefertasterglied an der Spitze kahl. Hlschd kaum länger als breit, seitlich schwach gewinkelt. Fld kurz oval, ganz gewölbt, mit verrundeten Schultern, Aussenrand nicht gewinkelt vor der Basis und hinten ziemlich stark eingeknickt. 19. cordicollis Chaud. 23 (6). Vorletztes Kiefertasterglied ohne Borsten, 4. Fühlerglied nur mit weni¬ gen Härchen an der Spitze. _ _ „„ A _ „„ „„ „ 24. — Vorletztes Kiefertasterglied mit mehreren ziemlich langen Borsten an der Innenseite und der Spitze ; 4. Fühlerglied mit dicht behaarter Spitze. „„ 0 ™ ™ „„ _ „„ „„ „„ 25. 24 (23). Zwischen den Augen ohne Eindruck. Hlschd-Seitenrand hinten deut¬ lich breit aufgebogen und erhöht, Scheibe grob und dicht punktirt, ebenso die Episternen der Mittelbrust, cf 4 Vordertarsenglieder leicht erweitert, besonders Glied 1 und 2, unten mit dichter Bürstensohle. 20. rugicollis Daniel. — Zwischen den Augen mit deutlichem Eindruck. Hlschd-Seiten hinten nicht oder nur wenig stärker erhöht als vorn, Scheibe grob, doch nicht dicht punktirt, Punkte nicht runzlig zusammenfliessend. Epister¬ nen der Mittelbrust fast glatt, cf 4 Vordertarsenglieder ziemlich breit erweitert, mit kurzer, fast schwammiger Bürstensohle. 21. æneus Fisch. 25 (23). Hlschd mit ganz kurzen, aber deutlich vorgezogenen Vorder- und Hinterecken, die letzteren weiter nach rückwärts vorragend als die Basis, Seitenrand nicht schwielig verdickt, hinten breit erhöht, Basal¬ quereindruck sehr tief und scharf, Vorderbrust -Episternen nicht dicht punktirt. Schienen dunkel, die hinteren gefurcht oder runzlig, Hinter¬ schenkel unten gefurcht. „„ _ „„ _ _ m „„ 26. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 131 — Hlschd mehr oder minder oval oder kreisförmig, ohne vortretende Vor¬ der- und Hinterecken ; Seitenrand vorn wulstig verdickt, hinten breiter aufgebogen und schräg zur meist etwas vorragenden Basis abfallend ; Basalquereindruck unbestimmt, nicht tief; Vorderbrust -Episternen sehr grob und ziemlich dicht punktirt. Hinterschienen gewöhnlich glatt _ _ „„ „„ „„ „„ ™ „„ „„ ™ 27. 26 (25). Stirn glatt, nur in den Seitenfurchen und der tiefen Augenquer¬ furche fein punktirt, Scheitel ebenfalls nur spärlich fein punktirt, quergerunzelt. Hlschd breit herzförmig mit kurzen winklig vorragen¬ den, etwas abgestumpften Vorder- und Hinterecken; Vorderrand in der Mitte nicht schwielig verdickt, Seitenrand vorn niedrig und kaum ausgeflacht, kurz vor der Basis schwach doch deutlich geschweift; seitlich und vor der Basis runzlig aber nicht dicht punktirt, Scheibe spärlich und feiner, zum Teil fast glatt, basale Seiteneindrücke deut¬ lich markirt. Fid lang eiförmig, etwas zugespitzt, ohne vortretende Schultern, hinten nicht steil abfallend, mit 3 Reihen deutlich vor¬ ragender kurzer und etwas entfernt stehender Tuberkeln. Taster, be¬ haarte Fühlerglieder und Tarsen rötlich rostbraun, viel heller als die 4 ersten Fühlerglieder und die Schienen. 22. Frivaldszkyii m., n. sp. — Stirn fein punktirt, in den Seitenfurchen und der tiefen Augenquer¬ furche sowie auf dem Scheitel grob runzlig punktirt. Hlschd trapez¬ förmig, Vorder- und Hinterecken breit lappenförmig gerundet, Vorder¬ rand in der Mitte leicht verdickt, Seiten breit ausgeflacht, vorn mäs- sig aufgebogen, hinten deutlich geschweift ; Oberfläche dicht runzlig punktirt, seitlich und hinten gröber, basale Seiteneindrücke seicht. Fld oval, mit vortretenden Schultern, hinten steil abfallend, Spitze verrundet, mindestens mit 3 hervortretenden Streifen, die bis über die Mitte hinaus in lange Kettenglieder zerlegt sind und nur nach der Spitze zu schwach tuberkelartig werden, und damit etwas kürzer doch wenig prominent. Taster, Fühler und Tarsen pechbraunschwarz, kaum heller als die angrenzenden Körperteile, cf 4 Vorder tarsenglieder schwach erweitert und bebürstet, t. Glied nur an der Spitze pubescent. 23. armeniacus Chaud. 27 (25). Taster, Schienen und Tarsen so dunkel wie die Schenkel. Hlschd dicht und grob punktirt, Seiten hinten mehr oder minder breit erhöht. Primärintervalle der Fld in der basalen Hälfte rippenförmig, apical- wärts in mehr oder weniger lange Kettenglieder oder Tuberkeln zer¬ legt. Hinterschenkel unten bisweilen schwach gefurcht. cf 4 Vorder¬ tarsenglieder mässig erweitert und fast schwammig besohlt, kurz be¬ bürstet, 1. Glied in mehr als V3, meist Va seiner Länge. 24. semigranosus Palled. — Taster. Schienen und Tarsen bräunlichgelb. Hlschd zerstreut punktirt, wenigstens auf der Scheibe, Seiten hinten etwas aufgebogen. Fld mit Primär- und oft auch Secundärreihen länglicher Tuberkeln in der 9* 132 DE HANS ROESCHKE basalen wie apicalen Hälfte. Hinterschenkel unten deutlich gefurcht, cf 4 Vordertarsenglieder wenig erweitert mit kurzer bürstenförmiger Sohlenbekleidung, 1. Glied nur in V4 bis Vb seiner Länge. 25. attennatus Fabr. III. Genus: SPHAERODERUS Dej. 1. Mittelhüften mit seitlicher Borstenpore. Taster und Tarsen gelbbraun. Hlschd herzförmig, leicht geschweift vor den deutlich vorragenden, und beinahe spitzen, rechtwinkligen Hinterecken, spärlich punktirt nahe der Basis. Fld mit 11 — 12 ziemlich grob punktirten, tief einge¬ drückten Streifen, 4. Zwischenraum oft mit 1 oder 2 Borstenporen vor der Mitte. Seiten der Vorderbrust nur hinten punktirt. cf mit je einer Borstenpore jederseits mitten auf dem Analsegment. 1. canadensis Chaud. — Mittelhüften seitlich ohne Borstenpore. Taster pechschwarz, Tarsen pechbraun. Hlschd mit fast gleichmässig gerundeten Seiten, vor den breit verrundeten, stumpfwinkligen Hinterecken nicht geschweift. Fld mit 15 — 16 leicht eingedrückten und schwach punktirten Streifen,. 4. Zwischenraum stets ohne Borstenporen. „„ _ „„ 2. 2 (1). Hlschd- Vorderrand scharf abgesetzt, undeutlich oder nicht punktirt, Basaleindrücke strichförmig, nicht sehr tief, Punktirung ziemlich fein und nicht zusammenfliessend, erreicht aber nicht den Seitenrand. Vorderbrustepisternen glatt, nicht punktirt, nur die Epimeren punktirt. cf mit je einer Borstenpore jederseits mitten auf dem Analsegment. 2. stenostomus Web. — Hlschd- Vorderrand nicht scharf abgesetzt in der Mitte, hier deutlich punktirt, Basaleindrücke breit und tief, die grobe, tiefe, mehr oder weniger zusammenfliessende Punktirung geht bis an den Seitenrand. Vorderbrust-Episternen spärlich, Epimeren dicht und grob punktirt.. cf ohne Borstenporen auf der Mitte des Analsegments. 3. nitidicollis Chaud. I. Genus : SCAPHINOTUS Deje^n (sensu latiore). Kopf im vorderen Teil langgestreckt mit weit vorragender Ober¬ lippe, die auch in ihrem Basalteil hinter der tiefen Ausrandung nocn so breit dem Clypeus vorgelagert ist, dass die Umrandungslinie ganz vor diesem verläuft, ohne ihn zu schneiden. Die Basis der Ausrandung trägt 4 Borsten. Scheitel glatt, gerunzelt oder tuberculirt, aber nur äusserst selten und dann kaum wahrnehmbar punktirt; vorletztes Glied der Maxillartaster innen vor und an der Spitze mit feinen langen Borsten, fast so lang wie das letzte Glied, das, besonders beim cf, sehr MONOGRAPHIE DER GYCERINI. 133 breit löffelförmig ist; auch am verdickten Ende des Gliedes ragen 1 oder 2 Härchen aussen vor, genau wie am apicalen Ende des vorletzten Gliedes der Lippentaster, das innen mit mehr als 2 Borsten versehen ist. * — Prothoraxepimeren durch deutliche Naht von den Episternen ge¬ trennt; Epipleuren des Hlschd stets unpunktirt, sehr selten Prosternum mit Epimeren und Episternen punktirt. — Die Beihe feiner Börstchen längs des Randes der Fld ist mit mit wenigen Ausnahmen vollständig d. h. die Härchen stehen von der Basis fast bis zur Spitze in ziemlich gleichen, geringen Abständen; sie inseriren in kleinen, einfachen Grüb¬ chen ohne Erhöhung oder Umwallung. Epipleuren der Fld. reichen nicht bis zur Spitze, ihre Epipleuralrinne, zur Aufnahme des Abdomen¬ randes, geht nur bis zur leichten Ausbuchtung vor derselben. — Meso¬ thorax zeigt stets die Episternalleiste mehr oder weniger vollständig, ebenso der Mesotrochanter stets eine Randborste aussen, dagegen der Metatrochanter stets eine Borste innen. Die Abdominalsegmente 3 bis 5 haben stets nur 1 Borste jederseits der Mitte, das Analsegment 1 oder 2. Die Tarsen, besonders die der Vorderbeine, sind auf ihrer Dorsalseite spärlich aber deutlich, kurz abstehend behaart. Die 4 Borsten der Oberlippenausrandung, die Trennung der Epi¬ meren und Episternen der Vorderbrust durch vollständige Naht, die Randborste des Mittelhüfttrochanters sowie die Behaarung der Tarsen¬ oberseite — diese 4 Eigenschaften charakterisieren das Genus gemein¬ sam von Cychrus und Sphaeroderus , überdies noch die Art der Um¬ randungslinie des Oberlippenausschnittes, die Beborstung der Lippen¬ taster mit mehr als 2 Borsten, die verkürzte Epipleuralrinne der Fld. und die Beborstung des 3. Ventralsegments des Abdomens speziell von der Gattung Sphaeroderus. Das Genus Scaphinotus zerfällt wiederum in 7 Untergattungen, die sämtlich nur der nordamerikanischen Fauna angehören. I. Subgenus : SCAPHINOTUS Dejean (sensu strenuo). (Sxoccpr) = alveus = Mulde, Trog; vójtov = dorsum = thorax) 1826, Spec. Génér. d. Col. II p. 17 (erste Beschreibung). Latreille et Dejean 1822, Iconogr. d. Col. de l’Europe. 1. Livr. p. 87 ; La- treille 1825, Families naturelles du Bègne animal, p. 295 — in beiden 1. c. nur Anführung des neuen Genus, aufgestellt auf Cychrus elevatus Fabr. Latreille 1829, Cuvier; Le Règne animal, Nouv. Édition Vol. IV p. 409, 410; Harris 1839, Boston Journal Nat. Hist. II p. 190, 191 u. 203; Leconte 1853, Trans. Am. Phil. Soc. Philad. ser. 2, Vol. X, Art. XXVII p. 398; Chaudoir 1861, Bull. Soc. Imp. Nat. Moscou II p. 493 ; Horn 1878 Dec., Trans. Am. Ent. Soc. VII p. 168/9 u. 172/4. Scaphinopterus Fischer 1828, Entomogr. Ross. Ill p. 136. 134 Dr HANS ROESCHKE Kopf sehr klein im Verhältnis zum Körperumfang, mit schmalem, nicht verdicktem Nacken ; Kopf und Hlschd düster, matt, höchstens schwach glänzend und ein wenig metallisch ; Wangen einfach. — Hlschd vorn und hinten kreisförmig ausgerandet, Vorderecken rund, Hinter¬ ecken ziemlich spitzig und weit über die Basis der Fld hinüberragend, mit mehr oder minder breit aufgebogenen Seitenrändern gleich einer Mulde; Basalrandborste fehlt stets, meist auch die Kandseta nahe der Mitte. — Auch die Seitenränder der Fld scharf und hoch aufgebogen, an den Schultern noch besonders erhöht, zuweilen hier auffällig vorragend. — Vorderbrust-episternen stets glatt, Epipleuren der Fld grob punktirt. — Beine ziemlich schlank, Schenkel kaum verdickt; Vorderschenkel vom und hinten und nicht selten (doch ausnahmsweise, wie es scheint) auch die Mittelschenkel vorn mit unteren Borstenpunkten. S 1 und 2+, B — , 4 ±. cT J 2 S A. — cf 3 erweiterte Vordertarsenglieder mit schwammiger Sohlenbekleidung. Geographische Verbreitung: Ungefähr vom 23° bis 43° nördlicher Breite und vom 72° — 114° westlicher Länge von Greenwich d. h. die Grenze verläuft von Nord-Florida nordwärts bis etwas nördlich New- York, von dort in westlicher Bichtung nach Nebraska und dann südlich über Colorado, West-Arizona herunter durch Nordwest-Mexico bis etwa zur Südgrenze des Staates Durango. Scaphinotus ist von Dejean zuerst als eigenes Genus beschrieben worden, nachdem schon vorher Latreille zweimal den Namen als neues Genus aufgeführt hatte, aufgestellt auf Cychrus elevatus F., die factische Beschreibung jedoch erst 1829 in der 2-ten Auflage (Déterville) von Cuvier’s Bègne animal folgen liess. Harris kam zur Schlussfolgerung, dass Scaphinotus wie Irichroa und Sphaeroderus nur Untergattungen des Genus Cychrus bilden könnten. Leconte wiederum zog Scaphinotus vollständig zu Cychrus ein, im Gegensatz zu seinem neu aufgestellten Nomar etus, Chaudoir stimmte ihm bei. Geo. Horn endlich liess die Frage der Gattungsberechtigung offen, obwohl er eher zu einer Ver¬ neinung derselben neigte, und gebrauchte wohlweislich die Ausdrücke «divisions» statt Genus oder Subgenus; für ihn stand fest, dass, wenn eine «division» gattungsberechtigt sei, es auch alle sein müssten und nur bei Pemphus wären Zweifel berechtigt. Auch er vereinigte unter Cychrus als «generic name» alle anderen «divisions» und liess nur zwei Genera zu, Cychrus und Nomaretus, obwohl er auch hier Charaktere von wirklich generischem Wert nicht hatte beibringen können. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 135 1. Scaphinotus Snowi Leconte. 1881, Trans. Kansas Acad, of Science VII, pag. 74. Typ 1 cf in Leconte’s Sammlung, jetzt im Museum of Comparative Zoology in Cambridge, und geprüft durch Van Dyke. Ganz tief purpurviolet, nicht «schwarz ohne Purpurglanz» wie Leconte’s Originalbeschreibung besagt (Van Dyke kann sich nicht erklären, wie Leconte zu dieser falschen Angabe kommen konnte). Die Oberfläche ist indessen glanzlos oder vielmehr ziemlich matt infolge der starken Punktirung. Kopf nicht punktirt, Hlschd dicht und grob punktirt auf der ganzen Oberfläche, ungefähr Vs breiter als lang, Seiten verdickt und breit aufgebogen, besonders zur Basis hin, fast wie bei Sc. elevatus , aber mit kurzen, wenig vorragenden und breit abgerundeten Hinter¬ ecken, hinten halbkreisförmig ausgerandet, vorn weniger tief; Mittel¬ linie und Quereindruck tief, Basalseiteneindrücke undeutlich, verlieren sich in der Aufbiegung des Seitenrandes. — Fld fast eiförmig, nicht er¬ weitert nach hinten beim cf, Seitenrand stark aufgebogen, stärker noch erhöht an den abgerundeten Schultern, aber nicht in so hohem Masse wie bei elevatus; die 14 oder 15 Streifen deutlich eingedrückt mit Aus¬ nahme der äusseren, die etwas verworren zusammenfliessen, die Streifen gröber und tiefer punktirt, die Intervalle höher als es gewöhnlich bei elevatus der Fall ist. — Seiten der Mittel- und Hinterbrust sowie der ersten Bauchsegmente grob punktirt. — Art mir unbekannt. cf Vordertarsen mässig erweitert und schwammig besohlt, 1. Tar- salglied in gut 3A seiner Länge oder bis auf den Schaft gänzlich. 9 mm. Santa Fé Canon, New-Mexico, in 7000' Höhe, entdeckt auf der wissenschaftlichen Expedition der Kansas-Universität 1880. Ein zweites Exemplar sah Van Dyke vom südlichen Colorado und ferner eine Basse (??) vom nördlichen Arizona, aus der Umgegend von Flagstaff, in auch nur 2 Exemplaren im New- Yorker American Museum of Natural History. Er schreibt: «sie hat im cf die Tarsalstructur des Snoivi Lec., anderseits steht sie der Colorado-Basse des elevatus viel näher, von der sie sich durch ihre Breite unterscheidet, worin sie dem Scaph. Petersi ähnelt.» 2. Scaphinotus Roeschkei Van Dyke n. sp. Dunkel purpurviolet. Kopf klein, Seitenrand über der Fühler¬ insertion deutlich leistenförmig, vor den Augen plötzlich stark reducirt, als sehr feiner, wenig sichtbarer Supraorbitalrand sich fortsetzend, Stirn¬ furchen ziemlich tief bis hinter die Augen, Stirn, besonders zwischen den 136 Di HANS ROESCHKE Fühlern deutlich und zerstreut punktirt. 4- tes Fühlerglied mit Ausnahme der Basis dicht behaart. — Hlschd herzförmig, viel breiter als lang, vorn stark ausgeschnitten, Vorderrand schwielig verdickt, scharf abgesetzt, Vor¬ derecken breit gerundet, vorspringend. Seiten vor und hinter der Mitte stark bogenförmig gekrümmt, nach hinten leicht geschweift, in ziemlich spitze, weit vorspringende Hinterecken auslaufend, deren Innenrand bis zu der wiederum nach hinten vortretenden eigentlichen Basis, die nur etwa ein Drittel des ganzen basalen Ausschnittes einnimmt, deutlich ausgerandet ist; Oberseite merklich gewölbt. Seiten stark ausgeflacht und — für Scaphinotus — schwach aufgebogen, nach vorn nur wrenig, nach hinten stärker erhöht, mit namentlich vorn schwielig verdicktem, ziemlich scharf abgesetztem Seitenrande, neben der Mitte desselben mit einer Borstenpore ; die ganze Oberseite grob und dicht punktirt, Bückenlinie fein, wenig wahrnehmbar, hinter dem Vorderrand tief bogen¬ förmig, vor der Basis tief quer eingedrückt, mit wenig scharf aus¬ geprägten aber deutlichen, kurzen Längseindrücken oder Gräbchen bei¬ derseits. — r Fld eiförmig, verhältnismässig schmal, Aussenrand um die Schultern herum breit ausgeflacht, etwas mehr erhöht, doch ziemlich abgerundet und nicht eckig vorspringend; Oberseite mässig gewölbt mit etwra 16 ziemlich tief eingedrückten, grob und dicht punktirten Streifen, Zwischenräume gewölbt, crenelirt, teilweise durch nebeneinander zusammen - fliessende Punkte unterbrochen und leicht verworren. — Mesoepisternal¬ leiste etwas verkürzt, Prosternum und die Epimeren seicht und spärlich punktirt, ebenso Seiten der Mittel- und Hinterbrust, die Seiten des Ab¬ domens hingegen grob und dicht punktirt, etwas feiner auf dem 4. bis 6. Ventralsegment dicht hinter den seitlich deutlichen Ventralstrigen. — S 1, 2, 4 +, 3— . cf $ 2 S A. cf Tarsen mässig erweitert mit schwammiger Sohle, Glied 2 und 3 quer, 1 fast doppelt so lang als breit und bis auf den kurzen Schaft pubescent. Typ* 1 cf in coll. Van Dyke, 13 : 5 Va mm ; ausserdem 1 cf $ in coli. Snow, University of Kansas. — Humphrey’s Peak, Arizonas in 9500' Höhe, im August. 3. Scaphinotus Van Dykei mihi, n. sp. Purpurviolet, ziemlich glänzend. Kojof glatt bis auf wenige feine doch deutliche Punkte zwischen den Augen; Apicalhälfte des 4. Fühler¬ gliedes dicht behaart. — Hlschd mit deutlich abgesetztem Vorderrand, breit gerundeten, vorgezogenen Vorderecken, hoch aufgebogenen Seiten mit mässig verdicktem Bande und bis über die Basis der Fld vor- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 137 springenden, etwas abgestumpften, dreieckigen Hinterwinkeln; die ganze Oberfläche grob und tief punktirt, mit tiefer Mittellinie und kurzem Basalquereindruck ; am Bande der Scheibe, da wo sich der Seitenrand erhebt, steht eine Mittelrandborste. — Fld ziemlich kurz oval, nach hinten nur leicht verbreitert, Seitenrand scharf aufgebogen, an den vorsprin¬ genden Schultern sichtlich erhöht, wodurch die Schultern nahezu recht¬ eckig erscheinen; Scheibe flach gewölbt, mit circa 15 Beihen tiefer und grober, doch nicht dicht stehender Punkte. — Entfernung voneinander etwa von der Grösse ihres eigenen Durchmessers — , die durch meist sehr schwach markirte, leicht eingedrückte Streifen verbunden sind; vielfach verschwinden diese feinen Streifen hier und da gänzlich. Die Zwischenräume sind je nachdem nicht oder leicht gewölbt. — Epimeren der Vorder- und die Mittelbrust mässig, Metathorax und die Seiten der Ventralsegmente des Abdomens grob punktirt. Mesoepisternalleiste stark verkürzt; Ventralstrigen seitlich nicht scharf eingeschnitten, hauptsäch¬ lich durch grobe Punktirung markirt. — S 1, 2, 4 +, 3 — . cf J 2 SA. cf Vordertarsen ziemlich breit erweitert und schwammig besohlt, 1. Glied auf der ganzen Sohlenfläche bis zu dem kurzen Schaft. 15 — 16: 6Va — 7Vi mm. Arizona: St. Maria Biver (October) und Oak Creek Canon (im August in 6000' Höhe von Snow gefunden). Ich verdanke der Liebenswürdigkeit des Herrn Ch. Fuchs zu San Francisco 2 j (Typen), die als « Snowi fide M. Beyer» bezettelt waren, und benenne sie zu Ehren des Collégén Dr. Edwin Van Dyke, dessen emi¬ nenter Unterstützung ich so viel Dank schulde. 4. Scaphinotus Petersi mihi, n. sp. Tief purpurviolet, verhältnismässig glänzend und glatt. — Kopf glatt, metallisch 4- tes Fühlerglied unbehaart. — Hlschd gross und breit, ein wenig matt, indessen noch mit deutlichem Glanze, Vorderrand wulstig, nur so breit wie der Kopf, bildet mit den abgerundeten, stark vor¬ gezogenen Vorderecken des breit aufgebogenen Seitenrandes einen tiefen Ausschnitt ; Seiten seicht und runzlig punktirt, bogenförmig gekrümmt, bis über die Mitte hinaus erweitert, zu den stumpf zugespitzten, breit¬ flügelartigen und die Fld-Basis überragenden Hinterecken nur wenig convergirend ; die eigentliche Basis nur wenig breiter als der Vorder¬ rand, mit dem etwas längeren, inneren Band der Hinterecken einen mässig tiefen Kreisausschnitt bildend. Mittelfurche, Basalquereindruck und beiderseits die kurzen Längs eindrücke deutlich markirt, die letz¬ teren halbwegs zwischen Mittelfurche und Aufbiegung des Seiten¬ randes gelegen ; längs dieser Aufbiegung in ihrer hinteren Hälfte 138 Dé HANS ROESCHKE sowie innerhalb der Basallängseindrücke tiefe, grobe Punkte. Grösste Breite 6 mm. etwas hinter der Mitte, Länge vom Yorderrand zur Basis 4, von Vorderecke zu Hinterecke 6 mm. — Fld breit und kurz-oval (Länge 1 1 3A mm), flach gewölbt, an den Schultern (7 Va mm. Breite) hoch und fast rechtwinklig aufgebogen, Seitenrand nach hinten stark abfallend; Seiten bis etwas vor der Mitte erweitert, dann zur Spitze allmälilig gerundet, nur wenig vor letzterer ausgebuchtet; Scheibe glatt, mit etwa 14 Leihen tiefer, um den eigenen Durchmesser entfernt stehender Punkte ; geringe Spuren schwacher Streifeneindrücke hier und da vorhanden. — Epipleuren des Prothorax runzlig, Prosternum vorn wulstig gerandet, Epimeren deutlich punktirt. Epipleuren der Fld grob punktirt, Mesosternum glatt mit abgekürzter Episternalleiste, Metathorax und Ventralseiten des Abdomens grob punktirt ; Abdominalsegmente 4 — 6 mit scharf eingeschnittenen Venstraistrigen parallel dem Vorder¬ rande. S 1 und 2 +, 3 — , 4 +. cf £ 2 SA. cf mit breit erweiterten Vordertarsen, unten schwammig besohlt, 1. Glied vollständig bis auf den kurzen Schaft. 19 : 9 Va mm. Arizona, Pinal Mts., circa 8 englische Meilen von Tucson zuerst entdeckt von Dr. E. D. Peters, dem zu Ehren die Benennung erfolgt (Typ 1 cf), gleich darauf fand sein Eeisegefährte H. F. Wickham noch ungefähr 5 Exemplare (vide Wickham, Entomol. News III, 1892 Januar, Nr. 1, p. 6). Ferner in den Huachuca Mts. von Arizona nach Van Dyke. 5. Scaphinotus macrogonus Bates. 1891, Trans. Ent. Soc. London Part II, June No IX p. 229, tb. XIII, f. 5 ; Typ in Coll. Bates — jetzt Kéné OßERTHÜR-Kennes, Frankreich. Pechbraun bis pechschwärzlich, an den Ländern des Hlschd und der Fld mit mattem blauem Schimmer. — Kopf glatt, 4. Fühlerglied dicht behaart. Hlschd ungefähr quadratisch, grösste Breite etwas vor der Mitte des Seitenrandes einschliesslich der Hinterecken, die scharf zuge¬ spitzt, sehr weit vorragen, innen bogenförmig ausgeschnitten sind, während die eigentliche Basis convex vortritt, so dass der gesammte Hinterrand aus 3 ziemlich gleich langen Bogen besteht, von denen 2 nach vorn, der mittlere nach hinten geschweift sind ; die Vorderecken wenig vorgezogen, der Vorderrand erscheint wenig ausgeschnitten und ist kurz und schwielig aufgeworfen; Seiten breit aufgebogen, leicht verdickt, nach vorn stark gerundet, nach hinten nur wenig convergirend ; Mittellinie scharf, hin¬ terer Quereindruck und seitliche Längseindrücke deutlich ; Oberfläche nicht punktirt. — Fld gestreckt oder lang oval, meist nach hinten wenig erweitert, Seitenrand an der Schulter merklich höher aufgebogen, doch MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 139 gerundet und nicht eckig vorspringend ; Oberseite flach gewölbt, fast ganz glatt, da die etwa 15 Eeihen sehr feiner Punkte in kaum wahrnehmbar eingedrückten Streifen dem unbewaffneten Auge fast entgehen, Zwischen¬ räume völlig eben. — Die ganze Unterseite glatt bis auf die Epipleuren der Eid, die wohl deutlich, aber weder dicht noch grob punktirt sind. Abdominalsegmente 4 bis 6 mit scharf eingeprägten Yentraistrigen, die höchstens in der Mitte erloschen erscheinen. — Mittelschenkel auch vorn unten beborstet. — S 1, 2, 4 fl-, 3 —, cf £ 2 SA. cf mit sehr breit erweiterten, schwammig besohlten Vordertar¬ sen, 1. Tarsalglied bis auf den kurzen Schaft mit vollständiger Sohlen¬ bekleidung. 17 — 20 mm. Länge : 6 Va — 8 mm. Breite. Mexico : Refugio im Staat Durango. 6. Scaphinotus mexicanus Bates. 1882, Ann. Mag. Nat. Hist. Vol. IX p. 320 ; 1884, Biol. Centr. Amer. Ins. Col., Voi. I, Part. 1. Snppl. p. 263 tb. XIII f. 6 ; 1891, Trans. Ent. Soc. Lond. Part II, June No IX p. 229. — Typ in Coll. Bates, jetzt E. OßERTHÜR-Eennes. Dunkelviolet mit mattem bläulichem Schimmer auf Kopf und Hlschd, selten Fld leuchtend und hellpurpurn. — Kopf leicht gerunzelt, 4. Fühler¬ glied dicht behaart. — Hlschd mehr herzförmig als quadratisch, breiter als lang, in der Mitte am breitesten, nach vorn und hinten fast gleich stark gerundet und verengt, Yorderecken breit gerundet, wenig vor¬ gezogen und daher Ausrandung vorn wenig tief, Vorderrand schwielig verdickt, ebenso die breit aufgeworfenen Seitenränder ; Hinterwinkel mässig vorragend, ziemlich spitz, verhältnismässig klein, ihr Innenrand, kaum geschweift, ist viel kürzer als die eigentliche Basis, die nur un¬ merklich nach hinten vorspringt und fast gerade erscheint; Mittellinie, Basalquereindruck und jederseits der Längseindruck zwischen der erste- ren und der Aufbiegung des Seitenrandes mässig tief; Oberseite glatt, und nur, anscheinend sehr selten, seitlich und hinten grob aber seicht runzlig- punktirt. — Fld wenig gewölbt, gestreckt, lang- oval, bis ein wenig hinter die Mitte erweitert, Seitenrand an den stumpf gerundeten Schul¬ tern deutlich erhöht; circa 15 tief eingeschnittene Streifen, mit mehr oder minder stark eingedrückten Punkten, sodass die dazwischen lie¬ genden Intervalle erhöht und bald schwach, bald stark crenulirt er¬ scheinen. — Epipleuren der Fld runzlig dicht aber nicht tief punktirt, Unterseite im übrigen glatt ; Yentralsegmente 4 — 6 mit scharf einge¬ drückten Strigen. — Mittelschenkel vorn unten beborstet. — Sl, 2, 4+, 3—. cf £ 2 SA. cf Yordertarsen sehr breit erweitert (Glied 2 und 3 quer) und mit 140 D; HANS ROESCHKE schwammiger Sohlenbekleidung, 1 pubescent bis auf den Schaft; 4. Tarsal- glied nur dicht bebürstet. 17 — 20 mm. Lg.: 7 — 9 mm. Br. — Mexico: Milpas, Ciudad in Durango, 5900' hoch. Auch in den Vereinigten Staaten nach Van Dyke : im südlichen Arizona in den Chiri-Cahua Mts ist diese Art von E. A. Schwarz gefunden worden. 7. Scaphinotus elevatus Fabricius. 1787, Mant. Ins. I p. 198 n. 37 — Typ Mus. HuNTER-Glasgow ; Olivier 1789, Entomologie Voi. Ill No 35 p. 46, PI. VII f. 82; Enoch 1801, Neue Beiträge I p. 188 tb. 8 f. 12; Say 1825, Trans. Amer. Phil. Soc. Phil. Vol. II, New Series p. 71 ; Dejean 1826, Spéc. gén. Col. II p. 17 ; Horn 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. VII p. 172. subsp. tenebricosus mihi (nov.) — 4 J Typen in coli. mea. — unicolor Leconte (nec Eabricius-Olivier) 1853, Trans. Amer. Phil. Soc. X p. 398; Horn 1878, 1. c. — heros Leconte olim (nec Harris) 1848, Ann. Lyc. Nat. Hist. New-York IV. p.440. subsp. flammeus Haldemann 1844, Proc. Acad. Nat. Sci. Phil. II, 1884 p. 54 — Typ verloren ? ; Leconte 1.848 1. c. — dilatatus Leconte 1853 1. c. — Typ Mus. Cam¬ bridge . subsp. coloradensis Van Dyke (nov.). Farbe variabel von bläulich- schwarz bis leuchtend kupfrig; Kopf und Hlschd dunkler und matter als die Fld. — Kopf zwischen den Augen fein punktirt und leicht gerunzelt, 4. Fühlerglied unbehaart. — Hlschd auf der flachen Scheibe matt, etwas gerunzelt, Punktirung fein oder wenig deutlich, dagegen die breit aufgeworfenen Seitenränder grob doch seicht punktirt; breiter als lang, vorn wTenig ausgeschnitten, Vorderrand aufgeworfen und verdickt, Vorderecken breit gerundet, wenig vorgezogen, Seiten nach vorn stark zugerundet, nach hinten kaum convergirend, Hinterwinkel ziemlich spitz und weit vorragend, grösste Breite etwa in der Mitte, die eigentliche Basis nach hinten ein wenig bogenförmig vorgezogen, viel schmaler als der nach vorn bogenförmig ausgerandete Innenrand der Hinterecken ; Basalquereindruck kurz, nur in der Mitte, setzt sich nicht auf die flügelartigen Hinterwinkel fort. — Fld sehr varia¬ bel in der Breite, gewöhnlich nach den Schultern hin leicht verschmälert, selten nach vorn stark zugerundet, Aussenrand an den Schultern breit aufgeworfen, so dass diese stets eckig hervortreten; flach gewölbt, cre- nulirt-punktirt-gestreift, Streifen seitlich verworren, seltener (bei der breiten Form) auch auf der ganzen hinteren Hälfte, im allgemeinen regel¬ mässig, mit mässig erhöhten Zwischenräumen. — Fld- Epipleuren, Meso- und Metathorax sowie die Seiten der ersten Bauchsegmente grob punk¬ tirt ; die letzteren ohne Ventralstrigen. — Mittelschenkel gewöhnlich auch unten beborstet. — S 1, 2, 4+, 3 — . cf £ 2 SA. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 141 cf Vordertarsen nur schmal erweitert und schwammig besohlt, 1. Glied in V® bis 3A seiner SohlenÜäche. 15 — 23 mm Lg. : 7 — 12 mm Br. Die am weitesten verbreitete Art aller amerikanischen Cychren : Die Nordgrenze ihres Verbreitungsgebietes geht nördlich von New-York, westlich bis Nebraska, die Südgrenze von der Küste Nord-Florida’ s bis westlich Neu-Mexico (Van Dyke). Folgende Bassen sind zu unterscheiden : a) Stammform : * Purpur- oder dunkelviolet ; ziemlich breite, aber noch gestreckte Form; Seiten des Hlschd ganz breit aufgebogen, doch niedrig, mehr flach gedrückt, Scheibe öfters punktirt. 19 — 23: 9 — 11 Va mm. Binnenland des Küstengebietes von der Um¬ gegend New-Yorks südlich bis Süd-Carolina. b) tenebricosus mihi, n. subsp. : Vollständig schwarz oder nur mit leicht violettem Schimmer ; schlanke und gestreckte Form ; Seiten des Hlschd sehr breit und hoch aufgebogen mit sehr scharfen Hinter¬ ecken oder, besser noch, spitzen Flügeln, die weit auf die Fld hinaus¬ ragen, und mit matter, einfach granulirter, nicht oderkaum punktir- ter Scheibe. 18 — 23 : 8 — 11 mm. Eigentliche Küstenzone von New-Yersey bis Süd-Carolina. Auf diese Basse wurde unicolor Fabr. von Leconte, Horn und anderen amerikanischen Autoren gedeutet. c) subsp. flammeus Haldem. Hlschd dunkelviolett oder mit grün¬ lichem Schimmer, Fld hell-purpurn bis leuchtend kupfrig oder erz- farben. Breite, kurz gedrungene Form ; Seiten des Hlschd niedrig und ganz flach gedrückt, Hinterwinkel kürzer, stumpfer — alle diese Charak¬ tere um so ausgeprägter, je weiter südlich und westlich das Vorkommen. 18 — 22 : 9 — 12 mm. Binnenland und Südstaaten. Bei allen diesen drei Formen haben die cf cf das 1. Vordertarsal- glied gewöhnlich nur in wenig mehr als der apicalen Hälfte mit schwammiger Sohlenbekleidung. d) Coloradensis Van Dyke, n. subsp. : Diese Form nähert sich mehr dem Sc. Snowi : Meist kleiner, gestreckter als die Stammform, mehr paralleler, von mehr granulirtem Aussehen (infolge der grösseren Bauheit). Hlschd mit schmäleren, dickeren, wenig erhabenen Seiten¬ rändern, Scheibe mit undeutlicher Punktirung, die jedoch etwas stärker hervortritt als bei der flammeus- Basse und von schwärzlicher Farbe. Fld dunkelviolett mit tieferen Streifen, gröberen Punkten, daher die * Olivier’s Abbildung des Fabricius’ sehen Typs in der Sammlung Hunter’s in der Entomologie 1. c. zeigt — nach meiner Ansicht' — ein kleines Ç von 21 mm. mit rötlich-violetten Fld. 142 Vi HANS ROESCHKE Zwischenräume schmäler und gewölbter erscheinend. Seiten der Mittel¬ und Hinterbrust sowie des ersten Yentralsegments dicht punktirt. 15 — 18 mm Lg. : 7 — 8 Va mm Br. cf mit verhältnismässig ein wenig breiteren Yordertarsen als sonst bei elevatus, 1. Tarsalglied auf der ganzen Sohlenfläche schwammig behaart mit Ausnahme des Schaftes, d. h. in mehr als 3/4 seiner Länge anstatt Va ; ein sehr ähnlicher Tarsalcharakter, wie der eben beschriebene, ist indessen auch jüngst bei 2 aus Iowa und Louisiana stammendenen Exemplaren der flammeus- Basse beobachtet worden. Yan Dyke sah 4 oder 5 Exemplare dieser Rasse — mir blieb sie unbekannt. 8. Scaphinotus unicolor Fabricius. 1787, Mant. Ins. I p. 198 n. 38 — Typ Mns. Hunter, jetzt in Glasgow (vide Schaum 1848, Stett. Ent. Ztg. p. 335); Olivier 1789, Entomologie III, No 35 p. 47 pl. 6 f. 62 (nec Enoch, Say, Leconte, Horn etc.). — Sc. heros Harris 1839, Febr., Bost. Journ. Nat. Hist. Yol. II No 2 p. 196 — Typ verloren gegangen ; Leconte 1853, Trans. Amer. Phil. Soc. X. p. 398 ; 1858, Journ. Acad. Nat. Sci., Yol. IY. p. 30 tb. 4 f. 13; Horn 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. YII p. 172/3. Die Beschreibung von Fabricius lässt jede Deutung zu, dagegen ist meines Erachtens die Abbildung des Typs durch Olivier 1. c. ganz allein auf diese später von Harris als Sc. heros beschriebene Art zurückzuführen. Derselben Ansicht war auch Schaum nach Prüfung des Types in der HuNTER’schen Sammlung zu Glasgow: « Cychrus uni¬ color S. El. p. 166 ist ein prachtvoller grosser Scaphinotus. Leconte (Cat. of Geod. Col. p. 168) hat, wie ich glaube, vollkommen recht, wenn er Scaphinotus heros Harris für dieselbe Art hält.» Nur insoweit irrte Schaum, als Leconte angeführten Orts den heros falsch gedeutet hatte, nämlich auf die schwärzliche Küstenrasse des elevatus (tenebricosus m.), die ja bisweilen auch ganz stattliche Dimensionen annimmt; Leconte hat nach Prüfung des HARRis’schen Typs 1853 1. c. ihn ver¬ schieden von seinem unicolor erklärt — er hielt damals die verschie¬ denen Rassen des elevatus für eigene Arten. Dunkel violet bis schwarz, seltener Eid leuchtend kupfrig violet (1 Ex. Berliner Mus.). — Hlschd breiter wie lang, etwa 7 — 8 mm in der grössten Breite in oder gleich hinter der Mitte, vom Yorder- zum Hinterrand 4 — 5 und von Yorder- zu Hinterecke ungefähr 7 mm lang; Seiten breit, doch nur mässig aufgebogen, mit leicht verdicktem Rande, der nach vorn zu den abgerundeten Yorderecken stark, nach hinten zu den stumpf zugespitzten Hinterecken mässig bogenförmig gekrümmt ist ; die flügelartig vorgezogenen Hinterwinkel (wie bei elevatus, doch weni- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 143 ger prononcirt) am Aussenrande deutlich convergent und meist gerun¬ det (stärker als bei elevatus), ihr Innenrand abgeschrägt, nicht ge¬ schwungen (stets?), etwa so lang wie die ziemlich gerade Basis. Vorn wenig ausgerandet, Yorderrand schwach verdickt, leicht bogenförmig vorgezogen ; Punktirung seitlich und vorn seicht, an der Basis und den seitlichen Eindrücken tief; Mittellinie auf der schwach doch deutlich gewölbten Scheibe (im Gegensatz zu der stets flachen oder ausgeflach¬ ten aller übrigen Scaphinotus-Arten) scharf eingeprägt, Basalquerein¬ druck, vor der eigentlichen Basis tief, setzt sich, allmählig verflachend bis zu einer feinen Furche, parallel zum Innenrand der Hinterwinkel fast bis zum Seitenrand fort ; dieser Sulcus ist immer vorhanden und nur ausnahmweise bei elevatus kurz angedeutet (Van Dyke). — Fld mäs- sig gewölbt, meist nur wenig höher als bei den vorhergehenden Arten, auf der Scheibe abgeflacht, zum Aussenrande indessen deutlich gewölbt abfallend, nicht abgeschrägt wie bei elevatus, tief punktirt-gestreift, Zwischenräume erhaben, an den Seiten und auf der hinteren Hälfte öfters verworren ; Aussenrand an den gerundet vortretenden, nicht ecki¬ gen Schultern nur wenig erhöht, viel weniger als bei elevatus etc. — Fld-Epipleuren grob punktirt, Mittel- und Hinterbrust sowie seitlich das 1. Ventralsegment mit einigen undeutlichen Punkten. — Mittelschenkel unten mit Borsten. — S1 und 2 +, 3 und 4 — . cf 5 2 SA. cf mit mässig erweiterten, unten schwammig besohlten Vorder¬ tarsen, erstes Tarsalglied nur an der Spitze mit Schwammsohle wie bei Irichroa vidua. 25 — 29 mm. Typ misst nach Olivier’s Abbildung 29 mm in der Länge zu 14 mm in der Breite, scheint ein 5 zu sein und ist schwarz. Verschieden also von elevatus in Gestalt, Form und Wölbung des Hlschd und der Fld, besonders durch den Aussenrand an den Schul¬ tern, Fehlen von Seta 4 und durch den Tarsalcharakter beim cf. Völlig so gross wie Irichroa vidua und ebenso robust, hat die Art das Aus¬ sehen, als wenn sie aus dem Thorax des elevatus und den Fld von vidua zusammengestellt sei. Vorkommen: Washington DC., Maryland, Pennsylvania, Ohio (Bed River-LECONTE 1858) Indiana (nebst Ohio typischer Fundort für heros Harris) sowie in den Staaten südlich hiervon: Kentucky und Virginia (nach Van Dyke). Die Art scheint überall nur vereinzelt aufzutreten. Sehr selten (meiner Sammlung fehlend : sah nur 1 Ex.). 144 Dl HANS ROESCHKE IL Subgenus : IRICHROA Newman. (’Ipiç =± Iris ; ^péa — Farbe der Oberfläche, der Haut.) 1838, Ent. Mag. V, April, No 4 p. 385. Oberseite blau oder purpurviolet, bisweilen Fld leuchtend kupfrigerz- farben, grünlich oder goldig schimmernd, sehr selten schwärzlich. — Kopf normal, so metallisch glänzend wie das Hlschd, Wangen einfach. Fühler sehr lang und dünn, ungefähr von 2 s der Körperlänge ; Sl und 2 +. — Hlschd mehr oder minder herzförmig, vorn gerade mit wenig vorragenden abgerundeten Vorderecken, grösste Breite vor der Mitte, von dort zur Basis schräg verengt, Hinterwinkel gar nicht oder nur wenig vor¬ tretend ; Mittelrand- und Basalborste vorhanden. — Fld mässig gewölbt, Aussenrand gleichmässig, höchstens an den Schultern breiter ausge¬ flacht und sehr schwach erhöht, Schultern stets gerundet, mässig vortre¬ tend. — Fld-Epipleuren grob punktirt, Vorderbrust glatt; Ventralstrigen fehlen. S3 und 4 + . cf ÿ 2 SA. — Beine lang und schlank; nur die Vor¬ derschenkel vorn und hinten mit unteren Borstenporen. cT : 3 oder 4 Vordertarsenglieder erweitert und mit schwammiger Sohle. Geographische Verbreitung : Durch das ganze Gebiet der Alleghany- Gebirgskette von New-Hampshire bis Florida, von der Küste bis west¬ lich jenes Gebirges, ungefähr zwischen den 30. und 45. Grad nördli¬ cher Breite. 1. Irichroa vidua Dejean. Cychrus viduus (Say) Dej. 1826, Spec. gén. Col. II p. 12 — Typ jetzt in Coli. R. OßERTHÜR-Rennes ; Horn 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. YII p. 172/3. — C. unicolor Enoch 1801, Neue Beiträge z. Ins.-Kunde I p. 187 n. 1, tb. 8, f. 1 ; Say 1825, Trans. Amer. Phil. Soc. Phil, new series p. 71 n. 2. aberr. irregularis Beutenmüller, 1903, Bull. Amer. Mus. Nat. Hist. Voi. XX p. 513, PI. XLVIII fg. 5 — 7 — Typen New-York, Amer. Mus. subsp. Leonhardi Harris 1839, Eebr., Bost. Journ. Nat. Hist. II No 2. p. 193 — Typ verloren ; Horn 1878, 1. c. p. 173. Kopf zwischen und vor den Augen leicht gerunzelt und schwach punktirt. — Hlschd breiter als lang, sechseckig mit abgestumpften Ecken, Vorderrand verdickt, Beiten breit aufgebogen, nach vorn leicht gerundet, nach hinten schräg verengt mit breit gerundeten, lappenförmigen, aber nur wenig die Basis überragenden Hinterwinkeln, jeder ungefähr so breit als die leicht ausgerandete Basis ; Scheibe mässig gewölbt, in der Mitte fast glatt, hinter dem Vorderrand und vor der Basis, sowie in der Seitenrandaufbiegung mehr oder minder deutlich und dicht punktirt, MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 145 mit kurzem, tiefem Basalquereindruck; die Basalseta steht im Gegen¬ satz zu den übrigen Arten dieser Untergattung nicht am Seitenrande vor den Hinterecken, sondern in dem lappenförmigen Hinterwinkel selbst, mehr am Hinterrande. — Fld mehr oder weniger breit, kurzeiförmig oder bauchig, tief punktirt-gestreift, Streifen nicht selten seitlich und in der hinteren Hälfte verworren ; Seitenrand schmal aufgebogen, aber an den Schultern etwas breiter ausgeflacht. — Seiten des Meso- und Metathorax sowie der ersten Ventralsegmente zerstreut punktirt. S3 und 4 — , abgesehen von Anomalien. cT 3 Vordertarsenglieder erweitert, mit Schwammsohle, 1. Tarsal- glied ungefähr nur zu ein Drittel pubescent. April bis Ende September. In Wäldern, in der Nähe kleiner Wäs¬ ser und Seen. Sav hatte Dejean das typische Exemplar unter dem Namen C. viduus eingeschickt, nachdem er, allem Anschein nach, wie Dejean glaubt, seinen Irrtum eingesehen, dass diese Art nicht der unicolor des Fabricius sei, unter welchem Namen er diese neue Art zuerst beschrie¬ ben hatte. Zwei Bassen lassen sich leicht von einander unterscheiden : a) Stammform: vidua Dej. Kopf und Hlschd dunkel blauviolett, Fld violettpurpurn, bisweilen mit leichtem Kupferglanz. Hlschd-Bänder spärlich punktirt; Fld breit und sehr kurz oval, stark bauchig; Streifen weniger regelmässig, neigen zur Auflösung, Aussenrand an den Schul¬ tern deutlich breiter ausgeflacht. 28 — 33: 13 — 16 mm. Im ganzen Alleghanygebiet : von New- Hampshire, Ohio und Pennsylvanien (Flussbänke des Susquehana, Ori¬ ginalfundort von unicolor Say) südwärts bis Nord-Florida (Harris 1. c. p. 192) und Luisiana, in den Bergen sowohl wie im Flachland, nahe New- York und New- Jersey. Nach Knoch 1. c. kommt eine rein schwarze Varietät vor, die er ohne Zweifel mit dem schwarzen Exemplar der FABRicius’schen unicolor- Beschreibung verwechselte; ferner kommt nach Van Dyke in den Bergen von Nord-Carolina «eine sehr robuste Form von ganz tiefer, dunkler Purpurfarbe vor, bei der stark rippenartig hervortretende Intervalle der Fld abwechseln mit, ganz verworrenen». Diese Aberration wurde von Beu¬ tenmüller als irregularis beschrieben : Tief schwärzlich purpurn oder fast schwarz. Fld mit abwechselnd mehr oder minder aufgelösten Interval¬ len, die unregelmässige, erhabene Netzmaschen mit breiten, tiefen Punk¬ ten bilden. Gipfel der Black Mts. Nord-Carolina, Roan Mts. Tennessee und Clingman’s Dome, Smoky Mts. Tennessee. b) subsp. Leonardi Harris: Kopf und Hlschd violettkupfrig, Fld leuchtend kupfrig-erzfarben. Hlschd-Bänder breit grob und dicht punktirt. 10 Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 146 Dr HANS ROESCHKE Fid mehr gestreckt oval, weniger bauchig, Streifen ziemlich glatt, sei? ten verworren, Aussenrand auch an den Schultern kaum breiter aus¬ geflacht als seitwärts und nicht erhöht. 26 — 29: 12 — 14 mm. Im nördlichen Allegh any gebiet : White Mts. von New-Hampshire, Nordwesten von Massachusetts, Vermont (Original¬ fundort) ; Catskill Mts. von New-York (Van Dyke) und Westmoreland Co. in Pennsylvanien (St. -Vincent — Prof. Jerome Schmitt). 2. Irichroa Andrewsii Harris. 1839, Bost. Journ. Nat. Hist. Vol. II, Febr. No 2 p. 195 — Typ verloren ; Horn 1878, Trans^ Amer. Ent. Soc. Phil. VII p. 174; Liebeck 1899, Ent. News X p. 192/3, Pl. VI f. 4—9. var. æneicollis Beutenmüller 1903, Bull. Amer. Mus. Nat. Hist. Vol. XIX p. 513 PI. XL VIII f. 13 — Typen im New-Yorker American Museum. subsp. violacea Leconte 1863, New species p. 4 — Typ ç? im Cambridge Museum; Horn 1878, L c. p. 173. subsp. Gennari Chaudoir 1861, Bull. Mose. II p. 495 — Typ in Coll. R. OßERTHÜR-Eennes. Tief violett, doch sehr variabel in Färbung: Kopf und Hlschd öfters bläulichviolett bis bläulichgrün, Fld zuweilen bläulich oder grün¬ lich, ausnahmsweise leuchtend hellkupfrig bis erzfarben schimmernd. — Kopf glatt bis auf die Stirn zwischen und etwas vor den Fühlern, wo sich schwache Runzelung und auch Punktirung vorfinden kann. — Hlschd herzförmig doch stark wechselnd in Form, Breite, Randaufbiegung und Punktirung; Vorderrand schwach ausgerandet, bald gar nicht, bald scharf umrandet und verdickt, Vorderecken gerundet und leicht vortre¬ tend oder einfach verrundet; Seitenrand bald breit, bald schmal aufge¬ bogen, leicht gekrümmt vorn bis zur grössten Breite etwas vor der Mitte, hier stumpf gewinkelt oder fast verrundet, nach hinten zur Basis schräg verengt, nur in seltenen Fällen leicht geschweift bis vor die Basis sich verschmälernd, mit dieser fast rechtwinklig zusammenstos- send. Zur geraden Basis fällt der aufgebogene Seitenrand schräg ab und steht die Basalseta vor der nicht vorspringenden Hinterecke; Eindrücke tief, besonders vor der Basis, Punktirung, in seltenen Fällen fast ganz fehlend, meist mehr oder weniger tief hinter dem Vorder- und längs des Seitenrandes, sowie fast auf der ganzen hinteren Hälfte, besonders in und an den Eindrücken. — Fld oval, grösste Breite gewöhnlich hinter der Mitte, ziemlich gewölbt, Seitenrand sehr schmal, nicht erweitert noch erhöht an den Schultern, diese abgerundet und selten vorspringend ; oben tief gestreift, Streifen crenelirt-punktirt, auf der hinteren Hälfte einige verworren, selten beim cf , oft beim . — Episternalleiste der MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 147 Mittelb rust abgekürzt oder bis zum Epipleuralrand reichend. Körper unten ganz glatt, höchstens sehr seicht runzlig oder undeutlich punktirt seitlich am Abdomen. SB und 4 + • • cf 4 Vordertarsenglieder mit Schwammsohle. Breite der erweiter¬ ten drei ersten Glieder, sowie Soliienbekleidung des 1. Gliedes schwan¬ kend, hier etwa von Va bis 2/s der Länge. 14 — 25 : 6 — 10 1U mm. Verbreitet durch die ganze Alleghanykette von Pennsylvanien bis Nord-Carolina auf der östlichen und bis Tennes¬ see und Alabama auf der westlichen Seite. Vom Mai bis October. Lebt nach Van Dyke vorzugsweise auf Bäumen. Es sind 3 Hauptformen zu unterscheiden. a) Stammform : Andrewsii Harris. Hlschd deutlich breiter als lang, Seiten mässig ausgeflacht und mässig breit, ziemlich senkrecht auf gebogen, deutlich gewinkelt, zur Basis leicht geschweift; Punktirung gewöhnlich kräftig, ausnahmsweise jedoch fast ganz fehlend, kaum angedeutet und daher Oberseite völlig glatt erscheinend (1 Exemplar von Van Dyke in den Black Mts. von Nord -Carolina in 3300' Höhe gefunden). Mesoepisternalleiste gewöhnlich verkürzt. — d mit breit er¬ weiterten Vordertarsen, 1. Tarsalglied bis auf den kurzen Schaft mit voll¬ ständiger Schwamm sohle. 14 — 22: 6 — 9 Va mm. ; Hlschd 3 — 4 mm. Länge: 3 Va — 4 Va mm. Breite. Gebirge von Nord-Carolina und Tennessee. Nach Beutenmüller unterscheiden sich wieder Tal- und Gebirgs- form voneinander. Der echte Andrewsii ist Talform und lebt hauptsächlich auf den Abhängen am Fuss der Berge ; er variirt in der Färbung von hell- violett bis bläulich, Hlschd etwas kürzer und breiter, seitlich stumpf- oder leicht gewinkelt, Fld im allgemeinen regelmässig gestreift und fein punktirt. — 17- — 22: 8 — 9 mm. Black Mts. und Blue Ridge Mts, N. C., Gebirge in Tennessee. Der æneicollis Beutenm. ist Hochgebirgsform, kommt vor am Gipfel der Berge, sehr selten an den Abhängen mehr der Basis zu, gewöhn¬ lich unter loser Borke in den tiefen, dichten Wäldern. — Tief grün oder purpurschwärzlich, bei den Stücken vor mir ist das Hlschd bläulich¬ grün oder grün, Fld grünlich oder leuchtend erzfarben mit goldigem Glanze ; Kopf relativ länger, Hlschd schmaler, seitlich scharf gewinkelt, die Fld-Streifen mit grossen, tiefen grübchenartigen Punkten, Zwischen¬ räume unregelmässiger. 14 — 22: 6 — 9 Va mm. Mt. Klingman, Mt. Mitchell in ungefähr 6500' Höhe (Van Dyke), Black und Balsam Mts. von Nord-Carolina und Gebirge in Tennessee. 10* 148 m HANS ROESCHKE b) subsp. violacea Léc. Hlschd quer sechsekig, etwa Vs breiter als lang, Vorderecken kaum vorgezogen, breit gerundet, Seitenrand stark ausgeflacht, gleichmässig breit, hoch und schräg aufgebogen, stumpf gerundet vor der Mitte, zur Basis schräg verengt. Punktirung deutlich doch seicht. Mesoepisternalleiste gewöhnlich nicht verkürzt. — d1 Vorder¬ tarsen etwas schmäler als bei der Stammform, 1. Tarsalglied nur zur Hälfte mit schwammiger Sohle. — Dunkel bläulichviolett. 18 — 22 mm. Länge: 7 Va — 9 mm. Breite; Hlschd 3*75 mm. vom Vorder- zum Hinterrande oder 4 mm. von Vorder- zur Hinterecke, 5 mm. in der grössten Breite. — Hochgebirge von Nord-Carolina (Blue Bidge Mts.) von etwa 2000 bis 5000' Höhe ; Leconte’s Typ, ein einzel¬ nes cT, stammt aus den Bergen von Georgia. Diese Basse findet sich in der niederen Zone der südlichen Alleghany und in den gleichen Districten wie der typische Andrewsii. Mr. Beyer, der eine Anzahl Exemplare fing, schien der Ansicht zuzu¬ neigen (nach Van Dyke), sie in geringerer Höhe gefunden zu haben als Andrewsii. Van Dyke selber fing unten am Grunde nur den Andrewsii, aber nirgendswo ein Stück der andern Basse. c) subsp. German Chaud. Hlschd fast so lang wie breit, Vorder¬ ecken deutlich prominent, etwas stumpf zugespitzt, Seiten nicht ausge¬ flacht, schmal und ziemlich senkrecht aufgebogen, seitlich völlig stumpf gewinkelt, und verrundet, zur Basis nicht erheblich verengt, gar nicht geschweift ; Punktirung scharf und tief längs der Bänder, bisweilen sehr ausgedehnt, die ganze Scheibe bedeckend bis auf einen Teil vorn neben der Bückenlinie. Mesoepisternalkiel in der Begel verkürzt. — cf mit ziemlich breit erweiterten Vordertarsen, 1. Tarsalglied bis auf den Schaft mit vollständiger Schwammsohle. — Färbung der Fld varriirt bisweilen ins leuchtend erzbronzene. 21—25 mm.: 8 — IOV2 mm. Hlschd 4 — 4 Vs mm. lang: 47* — 43A mm. breit; — Pennsylvanien, Virginia und Tennessee. Ohaudoir’s Typ war aus Tennessee (24 mm.), 1 Exemplar meiner Sammlung ist, der Bezettelung nach, aus Alabama (25 mm.), doch bin ich nicht sicher, ob diese Fundortsangabe richtig ist. Liebeck hat 1899, Ent. News No 7, tab. VI f. 8, ein sehr grosses Stück aus Sawyer’s Spring in Tennessee abgebildet, das der Gestalt des Hlschd nach zur Stammform zu gehören scheint; nach Van Dyke, ist es zweifellos ein j des typischen Andrewsii , grosse Weibchen kämen in den Süd-Alleghanys vor, jedoch der Begel nach höher hinauf, als wo die Exemplare normaler Grösse leben.» MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 149 í 3. Irichroa Guyoti Leconte. 1866, Proc. Acad. Nat. Sei. Philad. p. 363 — Typ $ Museum Cambridge; Horn 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. VII p. 172/3; Liebeck 1899. Ent. News X No 7 p. 192/3 Pl. VI f. 1,2; Beutenmüller 1903, Bull. Amer. Mus. Nat. Hist. Voi. XIX p. 513, PI. XL VIII f. 1—4. Dunkel oder schwärzlich erzfarben, mehr grünlich als purpurn {Van Dyke). Kopf ziemlich glatt, Hlschd herzförmig, so lang als breit oder länger, Seiten stark gewinkelt vor der Mitte, nach vorn zu mässig gebogen, nach hinten schräg verengt oder leicht geschweift, Rand schmal aufgebogen, scharf, aber nur wenig erhöht, Basalseta vor den Hinter¬ winkeln, diese stumpf; Scheibe glatt in der Mitte, dicht und grob punktirt längs der Vorder- und der Seitenränder sowie im ganzen basalen Drittel, besonders in den Eindrücken. — Fld oval, tief punktirt-gestreift, crenelirt, Zwischenräume seitlich mässig, nach der Spitze zu deutlich verworren ; der Regel nach sind die Intervalle bei Guyoti am meisten von allen Arten der Gruppe unterbrochen und nach Beutenmüller sind der 9., 10. und 11. Zwischenraum schon von vor der Mitte bis zur Spitze mehr oder minder unregelmässig aufgelöst. — Mesoepisternalkiel nicht verkürzt, bis zu den Eld-Epipleuren reichend, die letzteren nur mit sehr schwacher Furche vorn, — S3?, 4 — . cf ungefähr so gross wie die j : 27 — 30: 11 — 13 mm.; Hlschd 4*5 mm. Länge : 4*25 mm. Breite. Typ ein immatures j. . d1 3 Vordertarsenglieder schwach erweitert, nicht so stark wie bei Andrewsn ; 1. Tarsalglied sehr lang, schmal und kaum erweitert an der Spitze (Beutenmüller) und nur an der Spitze oder höchstens im apicalen Drittel schwammig besohlt (Van Dyke), 4. Tarsalglied ohne Schwamm¬ sohle. Bisher nur auf den hohen Bergen Nord-Carolinas gefunden, an den Gipfeln der Black Mts, von Mai bis Juli. «Die grösste aller 3 Arten : Andrewsii, Guyoti und Ridingsi die¬ ses Subgenus und die gestreckteste. Abgesehen vom Umfang und der allgemeinen Form und dem Tarsalcharakter des cf, ist das hervor¬ stechendste Charakteristicum die tiefe Punktirung des Hlschd, auf der Scheibe sowohl wie in den Eindrücken» (Van Dyke). Mir unbekannt, die Beschreibung ist zusammengestellt nach Leconte, Horn, Beutenmüller und nach Van Dyke’s Specialaufzeich¬ nungen. 150 m HANS ROESCHKE 4. Irichroa Ridingsi Bland. 1863, Proc. Ent. Soc. Phil. I p. 353 — Typ Coli. Ent. Soc. Philadelphia ; Hork 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. VII p. 172/4; Liebeck 1899, Ent. News X n. 7 p. 193 PL. VI f. 10—12. Purpurviolett, bisweilen mit bläulichem Schimmer, Kopf, Hlsch el¬ und Fld-Ränder etwas dunkler blau. — Kopf auf der Stirn schwach ge¬ runzelt, undeutlich punktirt. — Hlschd ungefähr so breit wie lang, der Regel nach im Süden breiter, im Norden schmäler; Vorderrand scharf abgesetzt in Form eines nach innen gerichteten Winkels, leicht bogen¬ förmig ausgerandet, Vorderecken wenig und gerundet vorspringend ; Seiten vor der Mitte schwach stumpfgewinkelt, nach hinten zu sehr leicht geschweift, Seitenrand schmal, etwas verdickt und nur wenig aufge¬ bogen ; nicht oder kaum ausgeflacht am Seitenrand, Scheibe wenig doch deutlich gewölbt bis unmittelbar an den Rand ; alle Eindrücke tief und scharf, gar nicht oder, in seltenen Fällen, kaum punktirt, daher die Oberseite ganz glatt und wie polirt aussehend ; Basalseta vor den Hinter¬ ecken. — Fld mehr oder minder kurz oval, mässig gewölbt, tief punktirt- gestreift, Punkte eher klein aber scharf, daher die Zwischenräume breit, glatt, gewölbt, leicht crenelirt ; Streifen gewöhnlich ganz regel¬ mässig und höchstens an der Spitze etwas verworren. — Epipleuren vorn scharf umrandet; Mesoepisternalkiel verkürzt, nicht bis zu den Epi¬ pleuren reichend; Unterseite glatt. S3 +, 4—, Anomalien ausgenom¬ men (1 ÿ S4 +). cf 3 Vordertarsenglieder schmal erweitert und schwammig besohlt,. 4. Glied nur dicht behaart, 1. Tarsalglied nur bis a/3 seiner Länge schwammig besohlt. 15 — 18: 6 — 8 mm.; nach G. Horn 12‘5 mm. lang! — Nördliches Alleghanygebiek, von Pennsylvanien (Uniontown, Cresson, Jayette Co. — Wickham), West-Virginia, Virginia (Hampshire Co. — Originalfundort) und Tennessee (Liebeck); die Tennessee-Form seheint nach der Abbil¬ dung ungewöhnlich gross, breit und gedrungen zu sein. «Dies ist die kleinste unter den congenerischen Arten und hat den stärksten Glanz, den niedrigsten Hlschd-Rand und wie Andrewsii violacea Lec. schmal erweiterte Vordertarsen im cf mit höchstens in */» seiner Länge besohltem erstem Tarsalglied» (Van Dyke). MONOGEAPHI DEE CYCHEINI. 151 III. Subgenus : NOMARETUS Leconte. 1853, Trans. Amer. Phi]. Soc. Phil. X p. 399 ; Horn 1879, Brooklyn Ent. Soc. Voi. Ip, 79; Schwarz 1895, Proc. Ent. Soc. Wash. Voi. Ill No 4 p. 269 — 271. Etymologie zweifelhaft : velàio = bewegen, schwingen und wahrscheinlich vAprjç=Gott des Krieges, bildlich für Krieg, Schwert (Vergi. Nom, aspis und No- mophloeus Lec.). Bläulich oder rötlich violett, glänzend. — Kopf sehr klein, doch sehr lang gestreckt, hinter den vortretenden Augen ringförmig eingeschnürt, unmittelbar dahinter der Scheitel kugelig aufgebläht ; Fühler sehr lang, etwa von Vs der Körperlänge, 2. Glied nur an der Spitze, be¬ sonders innen und’* unten, fein behaart, 3. und 4. Glied vollständig dicht behaart; diese feine Behaarung des 2. Gliedes ist sehr auffällig, sie kommt sonst weder bei den Cychrini noch bei den Carabini vor. Wangen einfach, nicht gekerbt, noch mit kleinem Dornfortsatz unten vor den Augen. S1 und 2 +. — Hlschd mehr oder minder herzförmig, Seiten nach vorn stark gerundet, vor der Basis nicht deutlich ge¬ schweift, grösste Breite vor der Mitte, Band niedrig, wulstig verdickt, vorn schwach ausgerandet, Vorderecken breit gerundet, Hinterecken nicht vorgezogen; Mittellinie tief eingeprägt, Scheibe jederseits erheblich gewölbt, manchmal geradezu buckelförmig, Basalquereindruck tief ; längs des Seitenrandes mit mehreren vor und hinter der Mitte stehenden Borsten und einer Basalseta ziemlich weit vor den Hinterwinkeln. - — Fld mässig gewölbt, oben abgeflacht, lang eiförmig mit stark gerundeten, etwas vortretenden Schultern, scharfem, deutlich abgesetztem Bande und etwa 12 Beihen mehr oder minder grober und tiefer Punkte. — Epi¬ pleuren grob punktirt, Pro-, Meso- und Metathorax sowie die Seiten der Ventralsegmente mit meist deutlicher Punktirung; Mesoepisternalleiste etwas verkürzt; 3. bis 6. Ventralsegment seitlich mit scharfen oder höchstens durch grobe Punktirung undeutlichen Ventralstrigen. S3 +, 4 Ht. cf j 2 SA. — Beine kurz, Schenkel keulenförmig verdickt, die vorderen und mittleren vorn oben und unten mit Borstenporen. cf 3 Vordertarsenglieder erweitert, 1. und 2. Tarsalglied breiter als 3., 1 — 3 mit Schwammsohle, 4. Glied nur bürstenartig besohlt. Leconte stellte Nomaretus als eigene Gattung dem Genus Cychrus gegenüber auf, indem er letzterem alle bisher bekannten Arten, also auch die als zugehörig zu Scaphinotus und Sphaeroderus Dej. beschrie¬ benen, einverleibte, nur auf Grund der Behaarung des 3. u. 4. Fühler¬ gliedes und der geringen Streifenanzahl der Fld, obwohl er kurz vorher den «Cychrus» cordatus beschrieben, der nur einen Streifen mehr (13) 152 Dì HANS ROESCHKE aufweist, aber nicht die Zahl 14 erreicht, die nach Leconte als Mindest¬ zahl der Streifen für die Gattung Cychrus ansuselien ist: Durch Ent¬ deckung des Sphaeroderus canadensis (nur 1 1 Streifen) wurde das zweite Unterscheidungsmerkmal völlig hinfällig; trotzdem verharrte Leconte bei seiner Ansicht, der auch G. Horn beitrat. — Die beste und genaueste Zusammenstellung der Nomar etus- Gruppe lieferte bisher E. A. Schwarz. Geographische Verbreitung: Südöstliches Canada, im Süden bis New-Hampshire, westwärts durch das Seengebiet bis Minnesota, dann südlich durch Nebraska und Kansas bis Arkansas und Texas. 1. Nomar etus cavicollis Leconte. 1859, Coleopt. of Kansas and Eastern New-Mexico, p. 3 — Typ : Cambridge Museum; Horn 1879, Brookl. Ent. Soc. p. 79; Schwarz 1895, Proc. Ent. Soc. Wash. Vol. Ill Nr. 4, p. 270. Kopf glatt, schwarz mit geringem Purpurschimmer, Hlschd purpur- violet, Fld kupferviolet. — Hlschd herzförmig, vorn ziemlich tief aus¬ geschnitten, Vorderecken gerundet und nur wenig vorgezogen, Seiten nach vorn zu stark gerundet, zur Basis schräg verengt mit stumpf¬ winkligen Hinterecken, Basis schwach ausgerandet ; Vorder- und Seiten¬ rand wenig erhaben, wulstig gerandet, längs des letzteren nach vorn 5 oder mehr Bandborsten. Scheibe von vorn nach hinten viel stärker als quer gewölbt, daher die tiefe Mittellinie sagittal stark gebogen ; hinter dem Vorderrande mässig, vor der Basis stark bogenförmig ein¬ gedrückt und grobrunzlig punktirt, Poren ohne Börstchen, dagegen Scheibe nach vorn zu längs der Dorsallinie und besonders zum Quer¬ eindruck hin mit zahlreichen, nicht zusammenfliessenden, groben, je ein feines Börstchen tragenden Poren ; seitliche Längseindrücke hinten ganz undeutlich. - — Fld tief crenulirt gestreift, Punkte grob, selten zusammen- fliessend. — Punktirung der Unterseite sehr grob, das vorn nicht ge- randete Prosternum sowie die Episternen mehr seitlich, die Epimeren gänzlich, ebenso die Mittel- und Hinterbrust und die Seiten aller Ventralsegmente, besonders längs der Ventralstrigen, die hierdurch etwas verwischt werden. S 4+. cf «Vordertarsen mässig erweitert, 1-tes Tarsalglied schmal und gestreckt, schwach verbreitert an der Spitze und hier mit einem kleinen Feld schwamm artiger Sohlenbekleidung in kaum V* Gliedlänge » (Van Dyke). 11 — 13 ; 4 Va — 5 Va mm. Kansas (Fort Biles, Benedict in Wilson Co.), Arkansas, Missouri und Texas. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 153 2. Nomaretus bilobus Say. 1825, Trans. Am. Phil. Soc. Philad. Vol. II, New Series, p. 73 n. 4 — Typ ver¬ loren ; Dejean 1826, Spec. Col. II, p. 16 ; Leconte 1848, Ann. Lyc. Nat. Hist. New- York IV, p. 444; Horn 1879, Brookl. Ent. Soc. p. 79; Schwarz 1895, Proc. Ent. Soc. Wash. Voi. III. Nr. 4, p. 270. Kopf schwärzlich violet, Hlsch mehr bläulich, Fid rötlich violet. — Einschnürung hinter den Augen individuell verschieden, nicht stärker im allgemeinen als bei den anderen Arten (sehr leicht optische Täuschung durch Vorragen aus dem oder Einziehung in das Hlschd), Kopf mit den Augen deutlich breiter als die Ausrandung des Hlschd- Vorderrandes. — Hlschd herzförmig, Seiten nach vorn zu stark gerundet, zur Basis schräg verengt, fast etwas geschweift, nicht convex bogenförmig ge¬ krümmt, Basis leicht ausgerandet, Hinterecken daher beinahe recht¬ winklig, stumpf, Vorderecken nicht völlig abgerundet; Wölbung der Scheibe von vorn nach hinten nur mässig, daher die Mittellinie vertical nur wenig gekrümmt ; alle Eindrücke tief, vor dem spitzwinkligen Vordereindruck undeutlich, in dem bogenförmigen Basaleindruck deut¬ lich und grob punktirt, ebenso in und neben den kurzen, gut markirten Seitlichen Längseindrücken ; Scheibe völlig glatt, Apical- und Basal¬ punkte niemals borstentragend ; längs des vorderen Seitenrandes etwa 3 bis 4 oder mehr Borstenporen. — Fld tief punktirt gestreift, Punkte ziemlich dicht stehend und bisweilen zusammenfliessend, doch scheint die Stärke der Punkte und ihre Entfernung voneinander ziemlich zu variiren. — - Seiten des vorn deutlich gerandeten Pro sternum nebst den Epimeren, Meso- und Metasternum mit den Episternen und Epimeren, sowie die Seiten des Abdomens mit Ausnahme des Analsegments ziem¬ lich zerstreut grob punktirt, doch nicht so stark wie bei cavicollis. — S 4 — (+ nach Van Dyke !). cT Verbreiterung der ersten drei Vordertarsenglieder mässig, Be¬ sohlung des ersten Tarsalgliedes variabel, etwa in ®/s der Gliedlänge bis beinahe zur ganzen Sohlenfläche mit Ausnahme des Schaftes. 10 — 13 : 4 — 5 mm. Gebiet des Oberen- und Michigansees, südöst¬ liches Canada (St. Ignace und Michipicoten Island), Michigan (Marquette), Ohio, New-Hampshire (White Mts), Illinois (Quincy), Missouri (Mackenzie K. C. — 1 Ex. in coll, mea); Say’s Originalfundorte «Missouri» und «Nordwestliches Territorium» nach Schwarz 1. c. wahrscheinlich nördliches Nebraska und Minnesota. In Leconte’s Sammlung 1 cf mit Fundorts¬ bezeichnung «Alaska», aber wie Van Dyke wohl richtig bemerkt, irr¬ tümlich ohne Zweifel. Im Norden kommen anscheinend viel grössere und kräftigere Exemplare vor, die Südform ist schlanker und viel kleiner. 154 Dì HANS EOE SCHEE 3. Nomaretus fìssicollis Leconte. 1853, Trans. Amer. Phil. Soc. Philad. Vol. X, p. 399 — Typ: Cambridge Museum; Horn 1879, Brookl. Ent. Soc. I, p. 79; Schwarz 1895, Proe. Ent. Soc. Wash. Voi. Ill, Nr. 4, p. 270. Kopf und Hlschd bläulichviolet, Fld purpurviolet. — Hlschd fast zweimal so breit als der auffällig kleine Kopf samt Augen, quer, Seiten vorn und zur Basis stark gerundet, Yorderrand kaum ausgerandet mit vollkommen verrundeten Yorderecken, Basis gerade, Hinterecken völlig umrandet und verrundet, garnicht vorragend ; Wölbung des Hlschd von vorn nach hinten ziemlich stark, schwächer als bei cavicollis und stärker als bei bilobus, Dorsallinie tief, vertical gekrümmt, Scheibe beiderseits stark gewölbt, erheblich stärker als bei bilobus und völlig glatt. Hinter dem schwielig verdickten Yorderrande schmaler dreieckiger Eindruck, undeutlich punktirt, vor der Basis bogenförmiger Eindruck, deutlicher punktirt, seitliche Längseindrücke äusserst schwach markirt, so gut wie fehlend und ohne Punktirung ; längs des vorderen Seitenran¬ des 2 — 4 Borsten resp. Poren. — Fld mässig tief gestreift, an einzelnen Stellen nur undeutlich, Punkte grob, tief und ziemlich dicht stehend. — Seiten des vorn deutlich gerandeten Prosternum mit den Epimeren, Mittel- und Hinterbrust nebst Anhängen und Seiten der fünf ersten Yentralsegmente zerstreut, doch stark punktirt, eher noch stärker als bei bilobus. S 4 — (1 cf in coli, mea), doch + nach Van Dyke: «deut¬ lich S 4 + nach 1 Ex. der Sammlung Fuchs.» cf Tarsalverbreiterung etwa wie bei bilobus, nicht geringer, wie Schwaez angiebt; 1-tes Tarsalglied nur zur Hälfte besohlt. Van Dyke: «Vordertarsen ein wenig breiter als bei cavicollis, 1-tes Glied stärker verbreitert, seine Schwammsohle schmäler als die Gliedbreite und sich ausdehnend in mehr als Vs der Gliedlänge.» 10 — 12 : 4 — 5 mm. Illinois, JowTa (Fort Madison), Kansas und Texas. IY. Subgenus : PSEUD ONOMARETUS mihi, nov. subg. Schwarz, pechbraun oder pechschwarz oder Fld leicht bronzefarben. — Kopf verhältnismässig klein, glatt, Augen mässig vorspringend, hinter ihnen die ringförmige Einschnürung wie bei Nomaretus, nur weniger tief oder schwach, Scheitel unmittelbar dahinter etwas kugelig verdickt oder aufgeblasen; Wangen nicht erweitert, doch vorn unten, vor den Augen mit kleinem, schräg abwärts vorspringendem Dornfortsatz, der bei den kleinen Arten weniger sichtbar doch stets vorhanden ist. S 1 und MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 155 2 + ; 1-tes Fühlerglied so lang oder länger als 2. und 3. zusammen, 3-tes und 4- tes Glied teils kahl, teils fein behaart in grösserer oder geringerer Ausdehnung. — Hlschd herzförmig, mit schmal und niedrig ab¬ gesetztem, nicht aufgebogenen Seitenrande, der etwas vor der Mitte und der Basis je eine Borste trägt; Seiten nach vorn deutlich gerundet, zur Basis schräg verengt oder leicht ausgeschweift, Vorder- und Hinterrand ziemlich gerade, wenig ausgerandet, mit kaum merklich vorstehenden, fast verrundeten Vorder- und stumpfen oder rechtwinkligen Hinterecken. Oberseite glatt, nicht punktirt, Scheibe gewöhnlich etwas gewölbt jeder- seits neben der deutlich markirten Dorsallinie, die letztere vorn durch die nach hinten gewinkelte Querlinie und hinten durch den Quer¬ eindruck begrenzt, der seitlich in die kurzen Basallängseindrücke mün¬ det. — Fld ziemlich gewölbt, mehr oder weniger vollständig punktirt gestreift, Aussenrand schmal und niedrig abgesetzt,, vor der Basis völlig verrundet endend oder winklig geknickt in eine Basalquerleiste über¬ gehend ; Bandborstenreihe in ersterem Falle unvollständig, d. h. nur wenige Borsten und in grossen Abständen stehend, in letzterem Falle vollständig, d. h. Borsten ziemlich dicht gestellt, wie es bei Scaphi- notus die Regel ist. — Epipleuren glatt oder zerstreut runzlig punktirt, Punkte besonders längs der Umrandungslinie. Unterseite völlig un- punktirt, glatt, Mesoepisternalleiste meist verkürzt; Ventralstrigen teils vorhanden, teils fehlend. S 3 + ♦ 4 — . cf Ç 2 S A. — Beine gewöhnlich ziemlich kurz und kräftig, Vorder- und Mittelschenkel mehr oder min¬ der keulenförmig verdickt ; Mittelschenkel unten borstenlos bis auf eine Art ; Enddornen der Hinterschienen bisweilen artlich sehr charakteristisch in Form und Länge. cf Vordertarsen mit 3 — 4 schwach bis breit erweiterten und schwammig besohlten Gliedern. Geographische Verbreitung: Dieses Subgenus ist das Bindeglied zwischen den typisch westlichen und den typisch östlichen Unter¬ gattungen von Scaphinotus. Daher breiten sich die Alten dieses Sub¬ genus von der Alleghany-Kette, von Pennsylvanien im Norden bis herunter nach Georgien im Süden, vom Osten her westlich bis Idaho und Washington. Eine ausgestorbene Art wurde nach Scudder in Colo¬ rado gefunden. Die Arten leben nur ziemlich hoch im Gebirge. o • 1. Pseudonomaretus imperfectus Horn. 1860, Proc. Acad. Nat. Sci. Phil. p. 569, Pl. 8. f. 1 — Typ Museum Phila¬ delphia ; 1879, Brookl. Ent. Soc. I. p. 79 ; Schwarz 1895, Proc. Ent. Soc. Wash. Ill Nr. 4, p. 273; Beutenmüller 1903, Bull. Amer. Mus. Nat. Hist. Voi. XIX, p. 512, PI. XLIX, f. 2. 156 Di HANS ROESCHKE Pechbraun, Kopf und Hlschd dunkler, glatt und glänzend, Mund¬ teile, Taster und Fühler gelbbraun bis rostbraun. — Kopf mit ziemlich scharfer Einschnürung hinter den Augen und merklicher Verdickung des Scheitels ; 1. Fühlerglied fast so lang als 2. bis 4. zusammen, 3 und 4 vollständig mit feinen Härchen bedeckt ; Endglieder der Taster lang und schmal, beim cf nur mässig breiter als beim j , deutlich länger als an der Spitze breit. — Hlschd mindestens so lang als breit, gestreckt erscheinend, Vorderrand in der Mitte nicht scharf abgesetzt, Seiten nach vorn mässig gerundet, nach hinten leicht geschweift mit fast rechtwinkligen Hinterecken ; Basalquereindruck tief, endet jederseits in einer Vertiefung neben dem Seitenrande, von der eine schräge Furche zu den Hinterecken und nach vorn eine sehr kurze Basallängslinie aus¬ gehen. Durch die seitliche Ausschweifung und die sehr tiefen Basah eindrücke erhält das Hlschd ein hinten eingeschnürtes Aussehen. — Fld gestreckt eiförmig mit völlig abgerundeten Schultern und ebensolchem Aussenrande, neben dem nur 2 bis 4 entfernt stehende Marginalseten oder Poren erkennbar sind ; Basalquerleiste nicht vorhanden ; nahe der Naht gewöhnlich 3 scharf eingedrückte und 1 bis 2 schwach markirte Streifen, die nach aussen immer kürzer werden, vorn erst etwas hinter der Basis beginnen und schon weit vor der Spitze enden, da wo die Fld zur Spitze sich abwärts wölben ; die Punktirung ist in diesen 3 ersten Streifen grob, in den beiden äusseren viel schwächer und geht nach vorn wie hinten in merklicher Abschwächung etwas über die Streifen hinaus. Oberfläche sonst glatt und glänzend. — Epipleuren völlig glatt bis auf wenige, fein eingedrückte, wenig sichtbare Punkte neben der Umrandungslinie hinter der Schultererweiterung; Mesoepisternal¬ leiste nicht verkürzt, geht bis an die Epipleuren ; Abdominalsegmente 4 bis 6 mit scharf eingeschnittenen Ventralstrigen. Beine kurz. — Schen¬ kel gedrungen, keulenförmig, Mittelschenkel unten ohne Borsten. cf Vordertarsen kaum merklich erweitert, wenig breiter als beim $ ; 1-tes Glied etwa 272-mal so lang als an der Spitze breit, 2-tes Glied ein wenig länger als breit, 3 und 4 so lang als breit; 1-tes bis 4-tes Glied schwammig besohlt, 1-tes nur an der Spitze. Fld-Skulptur nicht konstant. Hier eine Notiz Van Dyke’s über eine Keihe von 10 imper ‘eetus aus dem Newyorker Naturhistorischen Museum: «In einer Beihe von 10 Exemplaren — grosse Differenz in Zahl und Länge der Streifen — in einigen 3 stark markirte und punktirte Streifen, in anderen nur 2, während in 1 oder 2 der Nahtstreif einzig und allein scharf markirt, der zweite einfach angedeutet durch einen schwachen Streif bei einem und durch wenige Punkte bei einem andern Stück.» Bei einem Exemplar aus Nord-Carolina in Frederick Blanchard’s MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 157 Sammlung zu Tyngsboro, Mass., ist, wie Van Dyke sich erinnert, nur der erste Streif gut markirt vorhanden, von den übrigen keine Spur, nicht einmal Punkte. 7 V à — 10 : 2 — 37* mm. Die gemeinste und am weitesten verbreitete unter den 4 östlichen Arten, sie kommt hoch in den Bergen der ganzen Alleghany-Kette vor, von Nord-Carolina bis Pennsylvanien nicht unter 1800': Black Mts., N. C. (Beutenmüller, Van Dyke); Bound Knob, N. C. (Hubbard und Schwarz) ; Hampshire Co. (typischer Fundort), Fort Pendle¬ ton Md. (Schwarz), Deerpark Md. (Ulke), West-Virginia; Mountain Lake, Giles Co., Va. (Ulke); St. Vincent, Westmoreland Co. (Prof. Jerome Schmitt) und Gres -on Springs, Pa. «Lebt unter abgefallenem Laub der Alpenrosenbüsche längs der Bänder langsam fliessender Gewässer, sehr selten unter Steinen gefunden. Kann gesiebt werden.» (Beutenmüller). 2. Pseudonomaretus Hubbardi Schwarz. 1895, Proc. Ent. Soc. Wash. Ill, Nr. 4, p. 272 — Typ Washington, National Museum; Beutenmüller 1903, Bull. Amer. Mus. Nat. Hist. New-York, XIX, p. 512. PI. XLIX, f. 6. Pechbraun bis schwärzlich, Mundteile, Fühler und Tarsen rost¬ braungelb, Kopf und Hlsch dunkler als die Fld, Schienen heller als die Schenkel, mehr bräunlich. Kopf mit tiefer Einschnürung hinter den Augen, doch schwächer als bei imperfectus , Scheitel mässig aufgeblasen ; 1. Fühlerglied erheblich länger als 2 und 3 zusammen, 3 und 4 völlig mit feinen Härchen bedeckt; Tasterendglieder nur wenig breiter als bei imperfectus, lang und ziemlich schmal, beim cT etwas breiter, doch noch die Innenkante der Maxillartaster merklich länger als ihre Breite an der Spitze. — Hlschd breit herzförmig, breiter als lang, nach vorn stark gerundet, nach hinten schräg verengt mit äusserst geringer, kaum merklicher Schweifung und stumpfwinkligen Hinterecken ; Vorderrand auch in der Mitte deutlich abgesetzt, Quereindrücke vorn und hinten mässig tief, der hintere endet seitlich in einer tiefen Grube neben dem Seitenrande, setzt sich dann nach hinten schräg zu den Hinterecken fort und bildet nach vorn kurze Längseindrücke parallel zur Mittellinie. Diese Basaleindrücke sind weniger tief als bei imperfectus und rufen daher nicht den Eindruck der Einschnürung hervor. — Fld verkehrt eiförmig, breiter und weniger zugespitzt als bei der vorigen Art; Schultern und Aussenrand abgerundet, vor der Basis nicht gewinkelt, ohne Basal¬ querleiste und nur mit wenigen, weit entfernt stehenden Kandseten, etwa 4 (diese fehlen nicht vollständig, wie Schwarz behauptet); Ober¬ seite mit 5 deutlichen Punktstreifen nahe der Naht, je näher der letz- 158 Dì HANS ROESCHKE teren, desto markirter, länger, tiefer und gröber punktirt; die Streifen beginnen gleich hinter der Basis, werden allmählig seichter und enden schon weit vor der Spitze; nach aussen von jenen 5 oben angeführten Streifen sind noch drei weitere angedeutet, die beiden äusseren kaum noch erkennbar, schwache Punktirung nur noch im 6. Streif; die ersten 6 Intervalle sind leicht oder mässig gewölbt, der 4. trägt etwa 5— 7, der 8. etwa 2 — 6 deutliche Borstenporen, im übrigen ist die Ober¬ fläche glatt. — Epipleuren bis auf ein paar wenig sichtbare Punkte neben der scharfen Umrandungslinie hinter der Schultererweiterung glatt ; Mesoepisternalleiste erreicht nicht die Epipleuren ; Unterseite glatt, Abdomen mit 3 scharfen Yentraistrigen. — Beine kurz und kräftig, Schenkel keulenförmig verdickt, die mittleren ohne Borstenporen unten. cf 4 Vordertarsenglieder erweitert, viel stärker als bei den anderen Arten, und mit schwammiger Soblenbekleidung, 1-tes Glied etwas länger als an der Spitze breit und bis auf den kurzen Schaft gänzlich besohlt, Glied 2 — -4 so lang als breit. 8 — 10 : 3 — 4 mm. 1893 von Hubbard entdeckt im Hochgebirge von Nord-Carolina, nahe Retreat, Haywood Co., ungefähr in 3000' Höhe; ferner in den Black-Mountains (Beutenmüller: «ein Exemplar im Tal und ein zweites an der Spitze des Mt. Mitchell, 6717' hoch». Mai- Juni. 1 Exemplar — cf — verdanke ich der Liebenswürdigkeit des Herrn Schwarz. 3. Pseudonomaretus incompletus Schwarz. 1895, Proc. Ent. Soc. Wash. Ill, Nr. 4, p. 271 — Typ: Washington National Museum. Pechschwarz, glänzend, Eid mehr pechbraun mit leicht bläulichem Hauch, Fühler, Mundteil, Schienen und Tarsen rotbraun. Kopf hinter den wenig vortretenden Augen mit schwacher Einschnürung, 3. und 4. Fühlerglied dicht behaart, Tasterendglieder schlank, schwach beilför¬ mig. — Hlschd herzförmig, etwas breiter als lang, oben ein wenig flach gedrückt, glatt, Seiten vorn stark gerundet, hinten kurz vor der Basis leicht geschweift, daher mit kurzen, fast rechtwinkligen Hinterecken, Rückenfurche, Apical- und Basalquereindruck tief, die deutlichen Basal¬ längseindrücke gehen nach hintén über den Basalquereindruck hinaus. Eid langoval, oben deutlich abgeflacht, Schultern vortretend, doch ab¬ gerundet wie der Aussenrand, neben dem sich die vollständige Rand- borstenreilie hinzieht, deutlich erkennbar von der Basis über die Mitte hinaus wie es bei Scaphinotus die Regel ist. Die breite Form der Fld mit den fast eckigen Schultern giebt dem Tier ein mehr MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 159 C3^chms-ähnliches Aussehen ; Basalquerleiste fehlt ; Scheibe gleich hinter der Basis mit 7 deutlichen Streifen, die nach hinten alle stark verkürzt sind und zwar die äusseren mehr als die inneren ; Streif 1 bis 5 tief eingeprägt mit grober doch nicht dichter Punktirung, 6. Streif weniger deutlich mit nur kleinen vagen Punkten, 7. Streif schwach markirfc und nicht punktirt, von ihm nach aussen hin bis zum Rande ein breiter und glatter Zwischenraum; Intervalle breiter als die Streifen, gewölbt und glatt. — Epipleuren neben der Umrandungs¬ linie mit einer Reihe von Punkten und ausserdem mit einigen unregel¬ mässigen seichten Punkten dicht bei der Schultererweiterung. Unter¬ seite glatt, Yentraistrigen nicht angegeben. — Beine verhältnismässig- schlank und lang, Schenkel etwas keulenförmig verdickt, die mittleren ohne Borstenporen vorn unten. 10 mm. Nur das typische Exemplar, ein j , bekannt, gefunden von Hubbard in den Cumberland-Bergen am Stone Creek, Lee Co, Ya, am 30. Juli 1879. «Dem Gesamt- Aussehen nach erinnert diese Art an einen kleinen Cychrus cordatus. Sie ist dem N. debilis nahe verwandt.» (Schwarz). Mir unbekannt. 4. Pseudonomaretus debilis Leconte. 1853, Trans. Amer. Phil. Soc. Phil. Vol. X, p. 399 — Typ : Cambridge Museum Mass.; Horn 1879, Brookl. Ent. Soc. I, p. 79; Schwarz 1895, Proc. Ent. Soc. Wash. Vol. Ill, p. 271. var. alpinus Beutenmüller 1903, Bull. Amer. Mus. Nat. Hist. New- York, Vol. XIX, p. 512, PI. XLIX, f. 3, 5 — Typen Amer. Mus. Nat. Hist, zu New-York. Pechbraun bis pechschwarz glänzend, Mundteile und Fühler rost¬ braun. — Kopf mit mässig vortretenden Augen, dahinter deutlicher Ein¬ schnürung und kugelig verdicktem Scheitel; 3-tes Fühlerglied mit Aus¬ nahme des Basaldrittels sowie das ganze 4-te Glied fein und dicht be¬ haart; Endglieder der Taster beim cf stark beilförmig erweitert. — Hlschd so lang als breit oder breiter, herzförmig, Seiten nach vorn mässig ge¬ krümmt, nach hinten deutlich geschweift in ziemlicher Entfernung von der Basis, zu dieser fast parallel verlaufend und so «lange Hinterecken» (Schwarz) bildend, die fast rechtwinklig sind; Scheibe schwach gewölbt, Rückenfurche ziemlich tief, die Basalquer- und Längseindrücke stark markirt, besonders in den seitlichen Schnittpunkten wie gefurcht («exa¬ ratis» Leconte), und von hier aus enden die seitlichen Längseindrücke schräg verlaufend in der Spitze der Hinterwinkel. — Fld lang ellip¬ tisch, etwas gewölbt, mit gewöhnlich deutlicher Basalquerleiste, Aussen- rand vor der Basis etwas gewinkelt, mit vollständiger Randborstenreihe, â 160 Dl HANS ROESCHKE d. h. Randborsten ziemlich dicht gestellt. Oberfläche mit vollständiger Streifung, die aus etwa 10 oder 11 tief crenulirten Streifen besteht, von denen die beiden äusseren etwas verworren und undeutlich sind; Punkte in den Streifen klein und ziemlich dicht gereiht. — Epipleuren längs der Umrandungslinie und vorn im Schulterteil vereinzelt runzlig punktirt, sonst glatt; Mesoepisternalleiste verkürzt. Unterseite glatt, Ventralstrigen erloschen oder schwach vorhanden an den Seiten bei einzelnen Stücken. — Beine ziemlich schlank, Schenkel etwas keulen¬ förmig, die mittleren unten ohne Borstenporen, diese zuweilen auch auf den Yorderschenkeln nicht vorhanden; innerer Enddorn der Hinter¬ schienen höchstens halb so lang wie das 1. Hinter fcarsenglied. cf 3 Vordertarsenglieder erweitert und unten mit Schwammsohle, 1 Tarsalglied 2 bis 272-mal länger als an der Spitze breit und ganz oder fast ganz schwammartig besohlt, 2-tes etwa 2-mal so lang als breit, 3-tes nur schwach erweitert, mehr denn 2-mal so lang als breit. 9—12 : 3 — 4 mm.. Südliche Alleghany, von Georgien (Fundort des Typs Habersham Co.) bis Nord-Carolina (Bound Knob, in 1800' Höhe, Ende Juni, Hubbard und Schwarz ; Black Mts, von 2500 bis über 6000', Juni und September, Beutenmüller und Van Dyke). Unter Steinen und Baumrinde. Exemplare höherer Lagen diiferiren etwas von denen niederen Grundes, so dass wir zwei Formen bei dieser Art haben : a) die Form niederer Höhe, 1800 bis 5000 Fuss, oder typische Form, hat die Fld-Streifen tief crenulirt oder punktirt und ist gewöhn¬ lich heller braun in der Färbung sowie von kleinerer und schlankerer Gestalt — und b) die Höhenform, von mehr als 5000' Höhe, oder var. alpinus Beutenmüller ist «etwas grösser und robuster», in der Regel dunkler, wahrscheinlich je höher die Regionen, desto mehr Licht und Sonne, desto reifer und entwickelter die Tiere im Gegensatz zu den weniger entwickelten aus den dunklen, lichtlosen Wäldern der Täler — und die Fld-Streifen stärker verkürzt als bei der anderen Form ; Streif 1 — 3 nur bis etwas über die Mitte undeutlich crenulirt, die übrigen Streifen glatt und ohne Punkte. 1 ö1 verdanke ich der Liebenswürdigkeit Van Dyke’s. 5. Pseudonomaretus Merkeli Horn. 1890 April, Eût. Amer. Vol. VI. Nr. 4, p. 71 — Typ: Museum zu Philadelphia. var. idaho ënsis Webb 1901, Ent. News XII, Nr. 5, Mai p. 133 — Typen Washington, Agricult. College. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 161 Schwarz, Kopf und Hlschld schwach glänzend, Fld etwas dunkel- bronzefarben, Mnndteile, Fühler, Tarsen und Unterseite pechbraun, Schenkel und Schienen mehr pechschwarz. — Kopf nur mit schwacher Einschnürung hinter den Augen, Scheitel massig verdickt; 1. Fühler¬ glied deutlich länger als 2 und 3 zusammen, 3-tes Glied in seiner api- calen Hälfte und das ganze 4-te fein und dicht behaart ; Endglieder der Taster kurz beilförmig, beim cf viel stärker als beim 5 . — Hlschd breiter als lang, herzförmig, Vorder rand scharf umrandet, Seiten nach vorn stark gerundet, zur Basis schräg und fast ohne Schweifung ver¬ engt, mit gerader Basis und stumpfwinkligen, doch ziemlich scharfen Hinterecken; Vorderecken gerundet, nur schwach vorragend; Dorsal - linie, der stumpfwinklige Apical- und der geschweifte Basalquereindruck, sowie die kurzen Seitenfurchen, die sich bis in die Hinterecken aus¬ dehnen, deutlich markirt, doch von nur geringer Tiefe ; Scheibe massig gewölbt. — Fld oblong oval mit abgerundeten Schultern, Aussenrand vor der Basis gewinkelt und in gerader Linie in die Basalquerleiste über¬ gehend ; Kandborstenreihe vollständig, ziemlich dicht. Scheibe gewölbt mit circa 13 tiefen Streifen, diese nicht oder höchstens undeutlich punktirt, die gewölbten, glatten Zwischenräume leicht und ganz unregel¬ mässig geschlängelt oder gewellt, vielfach mit einander zusammen- fliessend, besonders seitlich und hinten ; durch diese Querbrücken er¬ halten die Streifen teilweise das Ansehen von grob crenulirter Streifen- sculptur. — Epipleuren grob, doch seicht und sehr zerstreut punktirt; Meso- episternalleiste verkürzt, Unterseite glatt, keine Ventral stri gen. — Beine ziemlich kurz und kräftig, Schenkel leicht keulenförmig verdickt, die mittleren unten unbeborstet; innere Enddornen der Hinterschienen etwa Vs-'mal so lang als das erste Hintertarsalglied und mit stumpfer Spitze. cf 4 Vordertarsenglieder ziemlich breit erweitert und mit Schwamm¬ sohle, 1. Glied apical ungefähr zur halben Länge oder etwas mehr pubescent. Zwei sich sehr nahe stehende und nur in Sculptur und Grösse abweichende Formen kommen vor : a) nördliche Basse : Merkeli Horn : Grösser, kräftiger, gedrungener, mit mehr regelmässiger Sculptur, Streifen überwiegend glatt, Intervalle wenig zusammenfliessend. 11 — 13 : 3 Va — -4 Va mm. Coeur d’Alène Mts., Idaho. b) südliche Rasse : idahoënsis Webb : Kleiner, schlanker, mit sehr unregelmässiger Sculptur, Streifen vielfach unterbrochen, Intervalle durch zahlreiche Brückchen verbunden. 10 — 12 : 3 — 4 mm. Cedar Mt., Latah Co., Collins, Moscow Mts., Idaho. Juni, Juli. Horn stellte diese Art zu Sphaeroderus Dej. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 11 162 Dì HANS ROESCHKE 6. Pseudonomaretus relictus Horn. 1881, Trans. Amer. Ent. Soc. Vol. IX, p. 188 — Typ çf zu Philadelphia, Museum Ent. Soc. var. regularis Leconte 1885, Trans. Amer. Ent. Soc. Vol XII p. 2 — Typen 1 cT Ç : Museum Cambridge, Mass. ; Webb 1901, Ent. News XII, Nr. 5, Mai, p. 134-136. Schwarz, massig glänzend. Einschnürung hinter den Augen nur angedeutet oder schwach; 1. Fühlerglied ein wenig länger als 2 und 3 zusammen, 3. und 4. Glied nur mit den gewöhnlichen spärlichen Haaren versehen ; Endglieder der Taster, besonders beim cf , breit beil¬ förmig. — Hlschd kurz herzförmig, viel breiter als lang, schwach gewölbt, Vorderrand leicht ausgerandet und scharf abgesetzt ; Vorderecken gerun¬ det, vortretend, Seiten vorn stark gerundet, zur Basis stark verengt unter leichter Schweifung, Basis gerade, Hinterwinkel stumpfwinklig, gerundet ; Mittellinie und Vordereindruck mässig tief, Basalquer- und Längseindrücke stark markirt. — Fid flachgewölbt, langoval, grösste Breite hinter der Mitte, Aussenrand vor der Basis winklig geschweift in die gebogene Basalleiste übergehend, Bandboi stenreihe vollständig, mit dicht gestellten Borsten. Sculptur sehr variabel : in der entwickeltsten Form haben die Fld etwa 13 gleiche Streifen, diese sind regelmässig, tief eingedrückt und fein punktirt, die Intervalle gewölbt, glatt, der 4. und 8. durch 2 bis 6 Punkte kettenartig unterbrochen. Biese Streifen haben stark die Tendenz, sich aufzulösen in netzartig zusammen- fliessende feinere Doppelstreifen und zwar haben diese Neigung am meisten die äusseren, dann die tertiären, also ungeraden Intervalle, bei weiterem Fortschreiten der Auflösung die secundären (2, 6, 10) und schliesslich sogar die primären Intervalle (4, 8, 12), alle wiederum in ihrer hinteren Hälfte eher als in der vorderen. In der extremsten Form sind alle Streifen fast völlig aufgelöst und auf dem netzartigen Grund zeigen sich nur hie und da Beste einzelner Streifen. — Epipleuren sehr spärlich und seicht runzlig punktirt ; Mesoepisternalleiste verkürzt, erreicht nicht die Epipleuren; Unterseite glatt, keine Ventralstrigen. Beine ziemlich lang und schlank, Vorder- und Mittelschenkel nur leicht keulenförmig verdickt, die Mittelschenkel auch unten mit Borstenporen : Hinterschenkel überragen beim cf die Fld-Spitze, beim £ erreichen sie sie nicht : Schienen nebst Tarsen der Hinterbeine mindestens von der Länge der Fld ; innerer Enddorn der Hinterschienen halb so lang als das erste Hintertarsalglied und mehr oder weniger stumpf an der Spitze. cf 3 Vordertarsen breii (wie bei Sphaeroderus) erweitert und mit MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 163 •schwammiger Sohle, die am 1. Tarsalglied die ganze Unterseite bis auf den kurzen Schaft einnimmt. 16 — 20: 6 — 8 mm. Juni, Juli. Beide Sculpturformen kommen zum Teil nebeneinander in den Weststaaten Washington und Idaho vor. a) relictus Horn : Streifen mehr oder weniger aufgelöst, nie voll¬ ständig regulär : Spokane (typischer Fundort, L. E. Ricksecker) und Pullman, Washington; Coeur d’ Alène, Cedar Mt., Latah Co. in Idaho. b) var. regularis Lec.: Streifen regelmässig, nicht aufgelöst; 4 und 8 sind Kettenstreifen: Wawawai, Washington; Coeur d’Alène (typi¬ scher Fundort, L. E. Ricksecker), Collins, Cedar Mt., Latah Co. und Moscow Mts. in Idaho. Y. Subgenus: PEMPHUS Motschulsky. (ITs|j.cpd; = Blase.) 1865, Bull. Mose. II. p. 312 ; Horn, Dec. 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. VII p. 174/5 ; Casey, Mrch. 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX (Coleopt. Notices) p. 388. Der folgenden Untergattung äusserst nahe stehend und eigentlich nur eine Unterabteilung von dieser ; doch da einmal Motschulsky wegen der besonderen, von allen Cychrus- Arten des westlichen Nord- America ganz abweichenden Form, Gestalt und Sculptur, einen Namen in An¬ wendung gebracht hat, so mag dieser auch ruhig fortbestehen, zumal Horn noch einen mehr verborgenen Unterscheidungs-Charakter von fast sämmtlichen Cychren in der Bildung der Maxillarinnenlade fand. Oberseite matt, sammetartig. Kopf und Hlschd schwarz, bisweilen mit düsterem Metallschimmer, Fld braun (in dieser Färbung völlig isolirt dastehend), schwarz oder schwarz mit bläulichem Hauche. — Kopf nicht punktirt, hinter den Augen ohne Einschnürung und Nacken sich nur wenig nach hinten verdickend, gar nicht kugelig; Wangen hinten in der Höhe der Kieferwinkel begrenzt durch einen vorn unter dem Auge entspringenden Dorn, der schräg zum Kieferwinkel vorspringt und mit dem unteren Rande der Wange einen Kerb bildet; Augen nur schwach vortretend; Kehle ohne Quereindruck; Mandibeln die Seiten¬ lappen des Clypeus nur wenig überragend; Innenlade des Oberkiefers mit starken rückwärtsgekrümmten Chitinzähnchen innen besetzt, zwischen denen etwas kleinere, feine, steife Börstchen sich reihen, ein Merkmal, das bisher bei keiner Art des Subgenus Brennus beobachtet wurde ; G, Horn’s Behauptung «überall sonst in der Cychrus-Reihe haben die Innenladen der Maxille nur seidige (silken) Härchen mit einigen weni¬ gen kürzeren und steiferen Haaren» hält in Wirklichkeit nicht bei 11* Î64 Dü HANS ROESCHKE allen Arten Stich, z. B. gar nicht bei Scaph. ( Neocychrus ) angulatum Harris (confer: .Snbg. Brennus und Neocychrus). Endglieder der Palpen, besonders beim cf, deutlich beilförmig. S1 und — Hlscbd mehr oder minder herzförmig, nur mit einer einzigen Bandseta, die etwas vor der Mitte sich findet. — Fld langoval, Aussenrand vor der Basis kurz ausgeschweift, in die deutlich geschwungene Basalleiste übergehend; Bandborstenreihe vollständig; Oberfläche von der Basis bis etwa zum letzten Drittel allmählig sich wölbend, dann zur Spitze steil abfallend, Wegen ihrer sammetartigen Beschaffenheit und der fast erloschenen Sculptur homogen erscheinend und somit ein blasenartiges Aussehen bietend. Unterseite glatt, Abdomen ohne Yentraistrigen. S3 +, 4 — I cf 1, 5 2 SA. — Beine sehr lang und schlank, besonders die völlig cylin- drischen Schenkel, die Vorder- und Mittelschenkel höchstens in der oberen Beihe beborstet. Kurz resumirt, die einzigen Unterschiede zwischen diesem Subge¬ nus und dem nächsten sind die Zähnelung der Innenlade der Maxille und die unten nicht beborsteten Vorder- und Mittelschenkel. Geographische Verbreitung : Die einzige hierher gehörende Art bewohnt das Küstenwaldgebirge der Nordwestküste Nord- Amerikas von Alaska bis Californien und geht in Washington ostwärts bis an die Ostseite der Cascaden, von den niederen Tälern bis zur oberen Waldgrenze in ca 5000 ' Höhe. Das fertig entwickelte Insect findet sick selten auf dem Boden, sondern lebt hoch oben auf Baumstämmen unter Moos, Binde oder in Löchern alten morschen Holzes, hauptsächlich wenn dieses vom Erdboden recht entfernt ist. Es scheint den Boden zu meiden, ausgenommen wenn es von Stamm zu Stamm läuft (Van Dyke). Die Bewegungen sind ziemlich schwerfällig und der gespreizte Gang bedächtig (Bicksecker) während der Tageszeit, doch nachts ren¬ nen sie ganz rapide (Van Dyke). Ihr angebliches Vorkommen auf der Halbinsel Kamtschatka in Asien ist bisher nicht erwiesen. 1. Pemphus angusticollis Mannerheim.1 1824, Fischer’s Entomogr. Koss. II, p. 46 f. 2 — Typ* 1 cf Mus. Acad. Petersbg.; Fischer 1828, 1. c. III. p. 142; Dejean 1831, Spéc. Col. Y, p. 526; Mannerheim 1843, Bull. Mose. p. 187 ; Leconte 1868, Trans. Amer. EnL Soc. Phil. II, p. 60 ;. Horn 1878 Dec., 1. c. p. 175 ; Casey 1897 Mrch., Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 539. — debilis Eschscholtz i. 1. Dejean 1. c. 1 Nach Fischer’s eigenen Worten, II p. 47, der damals diese Art nicht kannte* da er die elytra obscure-sanguinea der Beschreibung Mannerheim’ s mit rouge- sanguin, foncé übersetzte und die Abbildung so colorirle — tief blutrot statt dunkel- MONOGRAPHIE DER CYCMRINI. 165 var. nigripennis mihi, velutinus Lec. 1. c. ex parte, Horn 1. c. ex parte, Casey 1. c. ; Schwarz 1900 Dec., Proc. Wash. Acad. Sci. II, p. 524. var. longipes Casey 1. c. subsp. velutinus Ménétriés 1844, Bull. Acad. Petersb. II. p. 58 — Typ* 1 ? Mus. Acad. Petersbg. ; Horn 1. c. ex parte; opacus Casey, April 1899, Ent. News X, No:. 4 p. 97. Oberseite matt sammetartig, Kopf mid Hlschd schwarz oder mit bläulich-grünlichem Metallschimmer . oder bläulich bereift, pflaumenartig ; Kid hell bis dunkelbraun oder schwarz oder bläulich schwarz, ihr Rand meist goldig grünglänzend. — - Kopf langgestreckt mit langen und tiefen seitlichen Stirnfurchen ; Fühler lang und dünn, etwa von 2/3 der Körper¬ länge, Basalglied wenig grösser als Glied 2 und 3 zusammen ; vorletz¬ tes Glied der Kiefertaster oben mehr oder minder deutlich längsgefurcht, beim d1 gewöhnlich markanter, vorletztes Glied der Lippentaster an der Spitze keulenförmig verdickt, mit der unteren Aussenecke über die Arti¬ culation des Endgliedes hinausragend. — Hlschd mehr oder weniger herzförmig, sehr variabel, flach, Seiten schmal gerandet, vorn kaum ausgerandet, Basis gerade ; alle Eindrücke nicht tief doch deutlich. — Eid vom an der Basis flach oder nur mässig gewölbt, zu den Seiten allmählig schräg nicht gewölbt abfallend; Schultern völlig verrundet, kaum angedeutet, Aussenrand schmal aber scharf aufgebogen ; Sculptur besteht aus seichten Streifen mit fast obsoleten Punkten, Zwischenräume ein wenig erhaben und schwach aciculirt, die primären zuweilen leicht hervortretend, die tertiären meist verdoppelt, so dass zwischen je 2 primären Intervallen 4 bis 5 Streifen auftreten; es können aber alle Zwischenräume fast völlig flach wrerden und bis auf die primären nur noch Serien unregelmässiger Punkte bilden. — Epipleuren sehr seicht runzlig punktirt, Mesoepisternalleiste ein wenig verkürzt, Unterseite glatt, höchstens Abdomen an den Seiten etw7as gerunzelt. — Beine auffällig lang und schlank, besonders die Schenkel ; die Hinterschenkel erreichen beim $ die Flügeldeckenspitze, beim cf überragen sie dieselbe beträchtlich, aber «diese Längendifferenz der Hinterschenkel zwischen beiden Geschlech¬ tern ist nur teilweise wirklich vorhanden und teilweise scheinbar, eine Messung von 2 Exemplaren gleicher Grösse ergiebt eine Schenkellänge beim cf von 10 mm. und beim ç von 9 mm., während beim ersteren Geschlecht sie scheinbar um wenigstens ein Drittel die Fld-Spitze über¬ blutfarben (insecti rarioris descriptionem exactam æque ac delineationem elegantem Comiti a Mannerlieim debeo — Mus. Acad. Petropolitanae !). Später erhielt Fischer von Eschscholtz auch diese Art. (1. c. III. 193. — 3 Èx, Coli. Fisc'herl in Mus: Dresdens.). 166 Di HANS ROESCHKE ragen, was von der stärkeren Abrundung und geringeren Ausdehnung der Fld- Spitze beim cf herrührt » (G. Horn 1. c. 175). Vorder- und Mittel¬ schenkel vorn unten nicht beborstet, oben in der Beborstung je nach den Bassen stark variirend. Ausser der Stammform sind drei Rassen zu unterscheiden. a) angusticollis Mannerh. Kopf und Hlschd schwärzlich mit düs¬ terem, bläulichgrünem Schimmer, hauptsächlich an den Seiten, Fld violettbraun bis ganz hellbraun, Bänder deutlich goldgrün ; 5. Fühler¬ glied kürzer als 3. — Hlschd so lang als breit oder breiter, grösste Breite etwas vor der Mitte, Seite gerundet, zur Basis leicht geschweift verengt. — Fld mit mehr oder minder verrundeten Schultern, hier verhältniss- mässig schmal, grösste Breite wenig hinter der Mitte, Oberseite von der Basis fast schräg, kaum gewölbt ansteigend ; Sculptur ziemlich regelmässig, Streifen nicht oder kaum verworren, Intervalle leicht gewölbt. — Schenkel schwarz, die vorderen und mittleren vorn oben mit deutlichen Borstenporen. c f 3 Vordertarsenglieder erweitert und schwammig besohlt, 1. Glied etwa in a/s seiner Länge d. i. fast ganz mit Ausnahme des Schaftes, bisweilen auch das 4. Glied mit teilweiser Sohlenbekleidung. Die eigentliche Stammform hat das Hlschd so breit als lang, vorn schwach gerundet und nach hinten wenig verschmälert mit einer Basis, die nicht oder nur wenig breiter als der Vorderrand ist, und langgestreckte, in den Schultern ziemlich schmale Fld von dunkelbraun violetter Farbe; das cf dieser schlankeren Form hat das erste Vordertarsal- glied kaum mehr als zur Hälfte besohlt. Diese typische Form kommt in Alaska, British Columbien, in verschiedenen Teilen West- Washingtons vor und breitet sich wahrscheinlich südlich bis nach Oregon aus. Nach Fischer (1. c. III, 142) wurde die Art von Eschscholtz auch in Kamtschatka gefunden und eins seiner drei Exemplare im Dresdener Museum ist bezettelt « debilis Eschsch. Ktch .», eine noch sehr zweifel¬ hafte Abkürzung, die eben so gut Kamtschatka bedeuten, wie eine Ver¬ drehung von Sitkha oder Sitcha sein kann. Das Museum der kaiserlichen Academie zu St. Petersburg besitzt keine Exemplare von Kamtschatka, aber das Ungarische National-Museum zu Budapest hat ein Stück, das von dorther stammen soll ; der typische Fundort ist die Insel der Aleuten Unalaschka westlich vor Alaska, die weiteren Stücke kamen gewöhnlich von der Insel Sitcha im Norfolksund. Die andere Form mit breiterem und, namentlich beim cf , kurz gedrungenem, mehr quadrati¬ schem Hlschd, dessen Basis breiter als der Vorderrand ist und mit an der Basis breiteren Fld mit mehr hervortretenden Schultern und einer ausgedehnteren Besohlung des 1. Vordertarsengliedes beim cf, bis reich- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 167 lieh 3A der Sohlenfiäche (so dass fast nur der Schaft frei bleibt), kommt auf Vancouver, im südlichen British Columbien und hauptsächlich im Staate Washington vor. Die Exemplare von der Insel Vancouver zeichnen sich vielfach durch ganz hellbraune Eid aus, obwohl die Stücke völlig entwickelt sind. — 17 — 23 : 7 Va — 10 mm. b) var. nigripennis mihi, n. var. Gänzlich schwarz, Fld-Band grün metallisch, zuweilen an den Hlschd-Bändern, seltener die ganze Ober¬ fläche des Hlschd und der Fld fein bläulich bereift. Ungefähr von der¬ selben Form und Gestalt wie die Stammform, doch scheinen Exemplare mit kurzem, breitem Hlschd, analog der Washington-Rasse, gar nicht vorzukommen, sondern nur solche mit schmalem Thorax, wie die eigent¬ liche Stammform, kommen in Alaska und in einigen südlicheren Locali- täten British Columbiens vor, während die Süd- Washington- und Oregon- Stücke stets ein noch schmäleres, gestreckteres Hlschd und ebensolche Fld aufweisen ; die Seiten des Hlschd bleiben gewöhnlich gerundet und erscheinen nur zuweilen vor der Mitte ganz schwach gewinkelt, sie ver- schmälern sich nach hinten meist nur bis zur Höhe der Basalquer¬ furche und verlaufen von dort aus parallel zur Basis mit völlig recht¬ winkligen oder beinahe spitzwinkligen Hinterecken ; der Vorderrand ist mit zunehmender Verschmälerung des Hlschd stärker ausgerandet, doch bleiben die Vorderwinkel meist nur sehr schwach vorgezogen. — Die Strei¬ fen der Fld sind deutlich, nur selten etwas verworren, die Wölbung der Oberfläche ist hinter der Basis nur ganz allmählig ansteigend. Fühler wie bei angusticollis. Beine schwärzlich, Vorder- und Mittelschenkel oben deutlich beborstet mit vollständiger Porenreihe fast in ganzer Ausdehnung. cf 1. Vordertarsalglied bis auf den kurzen Schaft völlig schwam¬ mig besohlt oder nur zu 3A seiner Sohlenfläche ; doch kommen nach Van Dyke auch Exemplare vor, deren Sohlenbekleidung nur bis zur Hälfte oder gar nur zu einem Drittel der Länge geht, also wie bei den beiden nächsten Rassen und es somit schwer hält, hiernach eine Grup¬ peneinteilung zu machen, da solche Übergangsformen sich zeigen. Von Alaska (Sitka, Yakutat, Kadiak, Saldovia und Orca sec. Schwarz) längs der Küstenzone durch British Columbien, Washington, Oregon bis Nord-Californien (1 Ex. e coll. Rivers nunc in coli, mea — Gualala, Mendocino Co.) — 17 — 24 : 7 Va- — 10 Va mm. c) var. longipes Casey : Ganz schwarz, nur die Fld-Ränder nahe den Schultern mit äusserst geringem bläulichem oder purpurnem Schim¬ mer. Unterseite und Beine ganz schwach violett glänzend. Fühler mit auffallend langen Gliedern, 5. Glied länger als 3. — Hlschd viel länger als breit, Seiten nach vorn wenig gerundet, ziemlich weit vor der Mitte 168 Dl HANS ROESCHKE leicht gewinkelt, bis zur Höhe des Quereindrucks verschmälert, dann bis zur Basis parallel mit stumpfen rechtwinkligen Hinterecken, Vorder¬ ecken indessen spitzwinklig, deutlich vorgezogen bei ziemlich tiefer Aus- randung des Vorderrandes, der breiter als die Basis ist. — Md gestreckt, Schultern weniger vortretend, stärker verrundet als bei der Stammform und bei nigripennis, grösste Breite jedoch weiter nach hinten, erst im letzten Drittel ; Oberfläche stärker gewölbt, auch nach der Basis, zu, tertiäre Streifen verworren, nur die primären Intervalle noch schwach gewölbt. - — Mittelschenkel ohne Borsten oben, Yorderschenkel indessen mit einigen wenigen Borsten mehr der Basis zu, sodass also eine merkliche Deduction der Schenkelborsten eingetreten ist. cf 1. Vordertarsalglied nur in der apicalen Hälfte mit Schwamm- solilenbekleidung. 20 — 25: 87* — 11 mm. Humboldt Co., Hydesville, Nord-Califor¬ nien. — Der Liebenswürdigkeit Dr. Van Dyke’s verdanke ich 2 cf. d) subsp. velutinus Mén. Schwarz oder leicht blau bereift, beson¬ ders längs der Seitenränder, Seiten der Vorderbrust und Schenkel dunkel¬ violett schimmernd. In Gestalt der vorigen Basse (longipes) ähnelnd, doch viel breiter, bauchiger und noch gewölbter. Fühler lang und dünn, 5. Glied höchstens so lang als 3. — Hlschd breit herzförmig, doch meist noch länger als breit, Vorderrand so breit wie die Basis, wenig aüs- gerandet mit breit gerundeten kaum vorstehenden Vorderecken ; Seiten nach vorn stark gerundet, grösste Breite kurz vor der Mitte, dann zur Basis deutlich geschweift mit rechtwinkligen, stumpfen Hinterecken. — Fld vor dem letzten Drittel am breitesten, beim cf mässig, beim stark bauchig, etwa 1 Va-mal so lang als breit, Schultern verrundet, nicht angedeutet; Oberfläche deutlich gewölbt, auch nach der Basis zu, noch stärker als bei longipes, ebenso Sculptur noch viel stärker unregel¬ mässig, Punktirung der Streifen viel seichter, nur die primären und meist auch secundären Intervalle noch deutlich, wenn auch nur schwach sichtbar, alle übrigen verworren punktirt und hinter den ersteren zurück¬ tretend. — Auch auf den Vorderschenkeln sind wie auf den Mittelschen¬ keln die oberen Borstenporen geschwunden und nur ausnahmsweise sind ganz unregelmässig hier oder dort 1 oder 2 sehr feine Börstchen stehen geblieben. cf 1. Vordertarsenglied gewöhnlich nur zu 73 besohlt, meist deut¬ lich weniger als die Apicalhälfte. 23 — 30; 97a — 127a mm. Nord- Californien : Mittleres Mendocino Co. (J. Behrens, J. Divers — Guatala, Van Dyke — Noyo Diver) und Nor¬ den von Sonoma Co. in den Dedwood Canons (L. E. Dicksecker) und an der Küste zwischen Fort Doss und Timbes love (Behrens). MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 169 Yan Dyke sali alle Übergänge von nigripennis zu longipes und behauptet, dass die noch fehlenden von longipes zu velutinus in den entomologisch noch unerforschten Gebieten des südlichen Humboldt Co. und nördlichen Mendocino Co. dem Ausbreitungsgesetz nach zu suchen und zu finden seien. Nach meiner Auffassung von Art und Rasse jedoch sind allmählige Übergänge nicht gerade absolut notwendig, da schroffe Veränderung der Lebensbedingungen, sofern nicht die Exi stenz fähigkeit selbst in Frage gestellt wird, gleich sprunghaft erhebliche Form- und Gestaltsveränderung herbeiführen kann. Leconte und G. Horn betrach¬ teten, wie wohl sie den echten velutinus kannten, wie ihre Bestimmung der Stücke in der James Behrens 'sehen Sammlung zu Lübeck beweist, alle schwarzen Formen als velutinus Mén., z. B. in ihren eigenen Sammlungen,, dagegen Casey nur die oben als nigripennis beschriebene Rasse, trotzdem die eingehende Beschreibung Ménétriés’ diese Deutung völlig ausschliesst und die liebenswürdige Einsendung des einzigen Typs Ménétriés’ ( $ ) in der alten Sammlung der Petersburger Academie von Seiten des Directors Herrn G. Jacobson bewies, dass opacus Casey Synonym von velutinus Mén. sei. VI. Subgenus: BRENNUS Motschulsky. (Brennus, nomen propr.) 1865, Bull. Mose. II, p. 311 ; Horn, Dec. 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. VII, p. 175; Casey, Mrch. 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 305 (Coleopt. Notices VII). Schwarz bis auf eine Art, deren Fid gewöhnlich kupfrig sind. — Kopf gestreckt mit sehr schwacher Einschnürung hinter den nur mässig vortretenden Augen und mit wenig erweitertem Nacken; Stirn glatt, gerunzelt oder tuberculirt doch niemals punktirt. Wangen schräg nach unten erweitert, meist nur wenig, bei zwei Arten jedoch unter und vor den Augen vorragend ; durch diese Erweiterung wird der Maxillarwinkel nicht völlig verdeckt, sondern bleibt auch, schräg von oben gesehen, sichtbar durch einen Kerb oder Einschnitt in den erweiterten Wangen, schräg von aussen vorn nach innen hinten verlaufend und so einen stumpf vorragenden Dorn vor und unter den Augen bildend. Kehle mehr oder weniger deutlich quer eingedrückt, S1 und 2 + ; Innenlade der Maxille vorn mit einigen Cliitinzähnchen und dazwischen stehenden, längeren steifen Borsten und weichen Haaren ; Palpen beim cf stark, beim 2 schwächer beilförmig endend ; Fühler schlank, länger als der halbe Körper, erste 4 Glieder kahl, 1. Glied gewöhnlich normal, nur in wenigen Arten gedrungen oder gar keulenförmig verlängert und ver- 170 Di HANS ROESCHKE dickt, sonst stets fast so lang oder länger als die beiden folgenden Glieder. — Hlschd herzförmig, in Form, Wölbung und Eindrücken sehr variirend, niemals pnnktirt, mit einer einzigen Bandborste, ungefähr in der Mitte des Seitenrandes. — Fld schmal aber scharf gerandet, mit vollständiger Bandborstenreihe, Aussenrand kurz vor der Basis einwärts geschweift und in die gekrümmte Basalleiste übergehend; Oberfläche mit mindestens 13 Beihen oder Streifen mehr oder weniger deutlich eingedrückter Punkte, Zwischenräume flach oder erhaben, ganz oder unterbrochen oder in Tuberkeln aufgelöst. — Epipleuren seicht runzlig punktirt, bisweilen fast glatt; Unterseite glatt, Mesoepisternalleiste meist etwas verkürzt, Abdomen ohne Yentraistrigen. S3 ±, 4 — . cf J 1 — 2 SA. — Vorder- und Mittelschenkel meist leicht keulenförmig verdickt, oben stets beborstet, unten ebenso bis auf eine Art, die nur an den Vorderschenkeln vorn unten Borstenporen trägt. cf 2 — 4 Vordeitarsenglieder mässig erweitert und unten schwammig besohlt, in den Bassen auffällig variabel, was Ausdehnung der Sohlen¬ bekleidung und Anzahl der Schwammsohlenglieder anbelangt. Die Körperoberfläche zeigt fast stets äusserst feine, lederartige Chagrinirung ; je stärker und dichter diese auftritt, besonders auf Kopf und Hlschd, um so matter, düsterer und sammetartiger erscheinen die betreffenden Teile. Geographische Verbreitung : Alle Arten gehören der Paciflschen Küstenfauna an, von Alaska bis nach San Diego Co., California, von der Küste im Westen östlich bis zu den Bitter Boot Mts. in Montana öst¬ lich des Staates Washington und weiter südlich nur bis zu dem hohen Sierra Nevada-Gebirge Californiens und dessen nördlichen Ausläufern. 1. Brennus cordatus Leconte. 1853, Trans Amer. Phil. Soc. Phil. X p. 399 — Typ Museum Cambridge; Horn, 1878 Dec., Trans. Amer. Ent. Soc. VII, p. 178; Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 337 n. 37. Vollkommen glatt und poliert glänzend, ohne jede Spur feiner lederartiger Chagrinirung ; tief oder pechschwarz, bisweilen mit schwachem violett-metallischem Glanze. Ziemlich langgestreckt und flach gedrückt, cf mehr parallel, j mässig bauchig. — Kopf hinter den Augen mit deutlicher doch nicht tiefer Einschnürung, Stirnfurchen enden vorn oberhalb des Auges in einer schwachen Vertiefung, Stirn hoch gewölbt, Sl und 2 + . — Hlschd kurz herzförmig, stets breiter wie lang, vorn wenig- ausgeschnitten, fein umrandet, Vorder ecken kurz und breit gerundet; Seiten nach vorn stark gekrümmt, an der Stelle der grössten Breite MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 171 gerundet oder leicht gewinkelt, mehr oder weniger schräg und stark verengt etwa bis zur Basalquerfurche und dann fast parallel, doch noch ein wenig convergent zur Basis verlaufend, Hinterwinkel stumpfwinklig und gerundet, nicht vorgezogen, oder rechtwinklig und leicht vorgezogen ; alle Eindrücke tief, auch die seitlichen basalen parallel dem Seiten¬ rande scharf bis über die Mitte nach vorn verlaufend. — Fld gestreckt eiförmig, grösste Breite dicht hinter der Mitte; Aussenrand an den stark vortretenden Schultern ziemlich hoch aufgebogen, Scheibe flach¬ gedrückt, zu den Rändern gewölbt abfallend; ungefähr 13 bis 14 Streifen schwach oder mässig eingedrückt, aber mit groben und sehr tiefen Punkten, Intervalle bei schwacher Streifung öfters zwischen den Punkten mit einander, durch kleine Querbrücken verbunden, besonders an den Seiten und an der Spitze, wo bisweilen die äusseren Streifen völlig verschwin¬ den und nur noch durch die Punkte markirt werden. — Epipleuren fein und spärlich punktirt. S3 +. cf $ 2 SA. — Vorder- und Mittelschenkel oben und unten mit Borstenporen ; vorderer Dorn der Vordertibien mindestens 2/s so lang als 1. Tarsalglied. cf 4 Vordertarsenglieder erweitert und schwammig besohlt, 1. Glied nur an der Spitze. 12 — 15: 4 Va — 6 mm. An einzelnen Stellen in den Bergen ringsum die San Francisco Bay: Lagunitas (Sammler wahrscheinlich Dünn) und Mt. Tamalpais (Ch. Fuchs), Marin Co. ; Sylvania (L. E. Ricksecker und J. Rivers), Sonoma Co. ; Irvington, Alameda Co. ; ^Crystal Springs (J. Behrens) ; San José (typischer Fundort), San Mateo (G. Horn) ; Wrights (J. Rivers), Santa Clara Co. — Mai, Juni. Sehr selten. 2. Brennus marginatus Fischer. 1822, Entomogr. Ross. I, p. 79, tb. 7, fig. 1 — Typ im Dresdener Museum ; Eschscholtz 1823, Ména. Mose. VI, p. 98 ; Germar 1825, Col. spec. nov. p. 3 n. 5 ; Dejean 1826, Spéc. Col. II, p. 12; Mannerh. 1843, Bull. Mose. p. 185; Horn 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. VII, p. 178; Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 335 n. 35. — insularis Casey, 1. c. p. 334 n. 34. — gracilis Géhin, 1885, Catal. Carab. p. 76. var. cupripennis Casey 1. c. p. 334 n. 33. var. fallax mihi, nov. var. Wickham 1890, Ent. News I, p. 33. var. confusus Casey 1. c. p. 336 n . 36. subsp. Fulleri Horn 1. c. p. 179; Casey 1. c. p. 332 n. 31 ; April 1899, Ent. News X, No 4 p. 98. Kopf und Hlschd fein lederartig chagrinirt, matt, schwarz oder mit bläulichem oder violettem Schimmer, hauptsächlich an den Rän¬ dern des Hlschd oder letzteres äusserst schwach chagrinirt, fast glatt 172 Dì HANS ROESCHKE und ziemlich glänzend ; Fld hell kupfrig bis dunkel erzbraun und völlig schwarz, mit goldigem, kupferrotem, purpurviolettem, grünem oder schwach grünlichblauem Rande. — Kopf glatt, schwach glänzend, S1 und 2 + ; Einschnürung hinter den Augen kaum bemerkbar, Stirn zwischen den Augen hoch gewölbt, glatt, nicht quergerunzelt, Stirn¬ furchen enden am Supraorbitalrand, in der Mitte über dem Auge. — Hlschd herzförmig, Vorderrand kaum ausgerandet, meist fein und deut¬ lich umrandet, Vorderecken kaum markirt, vielfach ganz verrundet, Seiten scharf aber schmal aufgebogen, nach vorn mehr oder weniger gerundet, nach hinten ohne oder mit nur schwacher Schweifung schräg zur fast geraden Basis verengt, Hinterecken stumpfwinklig; alle Ein¬ drücke sehr tief, besonders die Mittellinie und die basalen Seiten - furchen, die bis über die Mitte nach vorn deutlich sichtbar verlaufen ; Scheibe zwischen den Eindrücken deutlich gewölbt. — Fld länglich oval, eiförmig oder auch fast lang herzförmig, schwach bis stark gewölbt, mit 14 bis 16 Streifen schwach eingedrückter, grober Punkte, Zwischen¬ räume erhaben, mehr oder weniger in Granulationen oder Tuberkeln aufgelöst. — Epipleuren fast glatt, spärlich seicht punktirt ; Mesoepister¬ nalleiste verkürzt, Unterseite glatt, S3 + . cf 1, $2 SA. — Vorderschenkel unten mit Borstenporen, im allgemeinen nur auf der Vorderseite, nur bei der californischen Rasse confusus Casey (stets??) und gewöhnlich auch bei der Oregon-Rasse Fullen Horn auch auf der Rückseite. cf 4 Vordertarsenglieder schwach oder mässig erweitert und schwammig besohlt, 1. Tarsalglied nur im apicalen Drittel oder bis zur Hälfte. 12 — 19:4V4— 7Vá mm. Von Alaska und mehreren Alëutischen Inseln, südwärts in der Küstenzone und den angrenzenden Bergen der Coast-Range und der Cascades bis zum nördlichen Californien, zur Sierra Nevada; in den Breitengraden des Staates Washington, östlich bis zum Westen von Montana und Idaho in den Bitter Root Mts. ; von der Talsohle bis zur oberen Waldgrenze (des grossen Küstenwaldes), etwa bis zu einer Höhe von 5000 Fuss. Die Art zerfällt in zwei Hauptrassen, von denen die erste wiede¬ rum drei Unter formen aufweist. I. marginatus Fisch. Fld nur mit 13 deutlichen Streifen, der 14. Zwischenraum blos durch wenige Tuberkeln längs des Aussenrandes angedeutet. Typische Form : Kopf und Hlschd matt, nicht im geringsten glänzend, das letztere ein wenig breiter als lang, nach hinten stark verengt, Fld hoch gewölbt, eiförmig zugespitzt, düster kupferig oder dunkel erzfarben mit goldigem oder grünlichem Rande; Zwischenräume MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 173 fast ganz in Tuberkeln aufgelöst, die seitlich bisweilen miteinander verschmelzen, Punkte in den Streifen grob doch nicht dicht stehend, daher diese weder crenulirt noch geschlängelt erscheinen. 12— 17 : 4Vé — .6 Va mm. Alaska (Sitkha, Fort Wrangell) und die dem Continent zunächst gelegenen Inseln der Aleuten- Gruppe (Unalaschka, Kadjak etc.), British Columbien, Washington und Oregon. Eine nicht wesentlich abweichende Localform ist von Casey insili laris benannt worden und kommt auf den British Columbien vorgela¬ gerten Queen Charlottes Inseln sowie auf Vancouver vor; sie ist viel schmäler, gestreckter, selbst bei den $ j , das Hlschd erscheint ein wenig kürzer, aber nicht gedrungener, die Fld sehr lang gestreckt, stark zu¬ gespitzt ; Färbung der Stücke von den nördlichen Inseln (Queen Char¬ lottes Inseln — Casey’s typischer Fundort) wie bei dem echten margi¬ natus, bisweilen dunkler kupferbraun, düster, Bänder heller, mehr gol¬ dig, weniger grünlich (2 5 in coli, mea); dagegen Färbung der Stücke von den südlicheren Inseln (Vancouver etc.) mehr derjenigen der Washington-Basse cupripennis Casey ähnlich, mehr von einem helleren Kupferrot oder von Purpurfarbe mit grünen Bändern. 15-^18 mm. — Eine andere locale Abänderung kommt in West- und Süd- Oregon vor, ist ziemlich kräftig entwickelt, eher gedrungen, ein wenig flacher, von kupfrig braunroter Färbung und bildet deutlich einen Übergang zur Basse Fulleri Horn ; die Fld-Streifen sind regelmässiger, weniger unter¬ brochen. 12 — -16 mm. (Erhalten vom verstorbenen Prof. Jerome Sghmitt). Wohl auf eine ähnliche Form muss, meines Erachtens, gracilis Géhin bezogen werden: «kleiner, schmaler, Hlschd vorn weniger gerundet, hinten weniger geschweift, Fld dunkler mit grünen Bändern, Streifen weniger tief, Zwischenräume weniger gewölbt — - 10! : 4 Va- mm. Mexico.» Géhin’s Beschreibung ist zweifellos so voller Fehler und Ungenauig¬ keiten, dass eine sichere Deutung schwer hält : 10 : 4 Va giebt nie eine schmale Form, das Vorkommen in Mexico ganz unmöglich, doch die grün gerandeten Fld mit den seichteren Streifen und flacheren Inter¬ vallen, die infolgedessen sicher regelmässiger ausfallen, weist auf eine Zwischenstufe zur Washington-Basse hin. var. cupripennis Casey : Kopf und namentlich Hlschd viel glätter, glänzender als bei der Stammform, Fld meist hellkupferig mit leuch¬ tend grünem Bande ; Hlschd bald ziemlich klein und schmal, bald sehr breit und stark entwickelt, Seiten hinten meist schwach geschwungen, auf der Scheibe stärker gewölbt. Fld kürzer, flacher, mit stärker vor¬ tretenden Schultern und hinten schärfer zugespitzt, so dass sie gestreckt herzförmig aussehen; Streifen regelmässiger, seichter, Zwischenräume flacher und weniger unterbrochen, Punkte in den Streifen viel schwächer, 174 Di HANS ROESCHKE selten hier und da einige gröbere. — 12 — 15 mm. Washington (Easton) und nach Van Dyke auch auf Vancouver. var. fallax mihi, n. v. Kopf und Hlschd matt, Fld glänzend schwarz mit schmalem, grünlichem oder bläulichem Bande, mässig ge¬ wölbt, mehr eiförmig mit weniger vortretenden Schultern als bei cupri- pennis, Streifen und Punkte markirter, mehr crenulirt, doch auch nicht oft unterbrochen. — 13 — 17 mm. Mir liegen nur Stücke von Oregon vor, doch kommt diese Unterrasse auch in Idaho (Van Dyke) und Montana vor, wo sie von Wickham und anderen in den Bitter Boot Mountains gefangen wurde. — Abgesehen vom Hlschd, ähnelt fallax ausserordent¬ lich der interruptus MÉN.-Basse dissolutus Schaum. var. confusus Casey: Kopf und Hlschd mit mattem, bläulichem Schimmer, schwach glänzend, Fld kupfrig-erzfarben mit grünem oder blaugrünem Bande. — Hlschd merklich breiter als lang, kurz herzförmig mit breiter Basis; Fld mässig gewölbt, schwächer als bei der Stamm¬ form, doch stärker als bei cupripennis, beim cT elliptisch, beim mässig zugespitzt ; Schultern schwach vortretend, nur wenig mehr als bei der Stammform ; Streifen dicht und grob punktirt, unregelmässig crenulirt, da die Punkte bald hier bald dort regellos aus der Beibe treten, Zwischenräume erscheinen wie zerhackt, kleine Tuberkel bildend, die nicht selten schräg oder gar quer gestellt sind, so dass die Fld beinahe granulirt aussehen. — Bückseite der Vorderschenkel mit Borstenpunkten (bei allen vorliegenden Stücken, 3 Ex. meiner Sammlung aus Califor¬ nien und 2 Ex. der Sammlung der Petersburger Academie ohne Fund¬ ortsangabe). — 15 — 18 mm. II. subsp. Fulleri Horn : Kräftig entwickelte Basse mit gut ent¬ wickeltem Bandstreif und meist 15 anderen oder gar noch mehr Streifen, selten nur mit 14. — Kopf und Hlschd schwarz, schwach glänzend, Fld dunkelbraun mit leichten Purpurschimmer, Bänder purpurviolett. — Hlschd zur Basis leicht geschweift, fast so lang wie breit; Fld ziemlich stark gewölbt, oben leicht abgeflacht, beim cf fast elliptiseh mit ein wenig gerundeter Spitze, beim £ mehr gestreckt herzförmig ; Punktirung der Streifen nahe der Naht ziemlich grob und dicht, nach aussen zu fein oder verschwindend ; Zwischenräume mässig gewölbt, die primären und secundären schwach unterbrochen, die tertiären durch grobe Punkte geteilt, neigen zur Auflösung und Verdoppelung, und neben dem 11. Streif hat sich zu seinen beiden Seiten je ein neuer Streif kleinerer Tuber¬ keln gebildet oder eingeschoben, so dass nunmehr der 11. Intervall der 12. und der frühere 12. jetzt der 14. geworden ist. Selten sind nur 14 Intervalle vorhanden, dann ist jedoch der äusserste gut ent- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 175 wickelt. — Rückseite der Vorderschenkel meist unten beborstet. — 14 — 19 : 5 Va— 7 Vi' mm. Oregon. 3. Brennus interruptus Ménétriés. 1844, Bull. Acad. Petersbg. II, p. 54 — Typen *1 cf ? in coll. Acad. Peters¬ burg ; Mannerheim 1845, 1. c. IV p. 105 ; Motschulsky 1859, Bull. Mosc. Ill, p. 162, tb. 3 f. 10; Horn 1878 Dec., Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. VII, p, 180; sinuatus Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 330 n. 27 ; compositus Casey 1. c. p. 332 n. 30. var. constrictus Leconte 1853, Trans. Amer. Phil. Soc. Phil. X, p. 398 — Typ im Museum zu Cambridge ; interruptus Leconte 1868, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. II. p. 60/61 ; Horn 1. c. ; Casey 1. c. p. 333 n. 32 ; dissolutus Casey 1. c. p. 329 n. 26 ; corpulentus Casey 1. c. p. 331 n. 29. subsp. dissolutus Schaum 1863, Beri. Ent. Ztschr. p. 72 et 433 tb. 3, f. 6 — Typ* 1 cf im Kgl. Museum zu Berlin; Horn 1. c. p. 179; porcatus Casey 1. c. p. 328 n. 25. subsp. politus Casey 1. c. p. 330 n. 28. Schwarz, Fld-Ränder öfters metallisch violett, bläulich oder grün¬ lich, mehr oder weniger deutlich, ausserdem Seiten des Hlschd und der Eid vielfach mit violettem oder bläulichem Hauch; Kopf und Hlschd ziemlich matt, schwach glänzend, niemals völlig matt und rauh ehagri- nirt. — Kopf zwischen den Augen nur schwach gewölbt, deutlich quer¬ gerunzelt, seitlich mit tiefen Stirnfurchen, die bis zur Orbitalseta reichen; S1 und 2 stets +, Einschnürung hinter den Augen kaum ange¬ deutet. — Hlschd kaum so lang als breit, meistens deutlich breiter, herz¬ förmig; Vorderrand wenig ausgerandet, in der Mitte gewöhnlich nicht scharf umrandet, Vorderecken mässig vorgezogen und gerundet, Seiten nach vorn mehr oder minder gebogen, kurz vor der Mitte verrundet oder leicht gewinkelt, nach hinten sich stark verengend etwa bis zur Basalquerfurche, hier meist stark geschwungen und dann parallel zur Basis, seltener mit schwacher Schweifung, ausnahmsweise sogar convergent bis zu den stets abgerundeten Hinterecken, die nicht vorragen und längs der Basis stets deutlich gerandet sind ; Basalquer- und Mittelfurche tief, Apical- eindruck mässig, Basalseitenfurchen deutlich bis mindestens über die Mitte hinaus ; Scheibe an den Seitenrändern etwas ausgeflacht, zur Dorsallinie stets etwas gewölbt, nie ganz flach. — Fld kurz oder lang oval, hinten ziemlich zugespitzt, besonders bei den p j , gewöhnlich hochgewölbt beim cf , $ mehr abgeflacht, selten auch wie die cf cf hoch¬ gewölbt; Sculptur besteht aus 14 — 18 wenig gradlinigen Punktstreifen, Zwischenräume je näher zum Rande und zur Spitze, desto mehr unter¬ brochen oder in Tuberkeln oder Körner aufgelöst ; Tiefe und Dichte der Str eif enpunktirung zunehmend mit fortschreitender Unterbrechung und Auflösung der Intervalle.— Epipleuren schwach und spärlich punktirt, 176 V>1 HANS ROESCHKE Epistel nalleiste leicht verkürzt, S3 -j-, ausnahmsweise und dann meist nur einseitig fehlend, cf 1, J 2 SA, doch kommen nicht selten beim $ Unregelmässigkeiten vor, wo das Analsegment meist einseitig, selten bilateral unisetos ist. — Vorderschenkel vorn und hinten, Mittelschenkel nur vorn mit unterer Borstenreihe ; doch kommen auch hier Ausnahmen vor, bei denen Borstenporen am Mittelschenkel fehlen, z. B. bei Menetelés’ 5 Typ des interruptus ; die Hinterschienen sind zumeist auf der Dorsal¬ seite glatt, seltener kantig, doch niemals runzlig rauh. cf 3 — 4 Vordertarsenglieder erweitert und mit schwammiger Sohle, 1. Glied nur zu Vs bis knapp zur Hälfte, 4. Glied gänzlich kahl oder mit langen bürstenartigen Haaren, seltener kurz schwammig papillös, wie die andern Glieder. Die stärkere Besohlung des 4-ten Gliedes findet sich häufiger, aber nicht regelmässig, bei Exemplaren der nördlichen Küsten- und der Sierra-Hochgebirgsform. 12 Va — 20 : 53A — 8 mm. Californien, längs der Küste und dem Küstengebirge vom Humboldt bis Monterey Co., und längs der niederen Gebirgszüge der Sierra-Nevada vom Shasta bis Tuolumne Co. Es lassen sich drei Hauptformen aufstellen, zwei Küsten- und eine Binnenrasse. I. interruptus Mén. Form der Küste und des Küstengebirges vom Mendocino bis Monterey Co. — Hlschd gewöhnlich vor der Mitte, stark erweitert und hinten stark ausgebuchtet, in Höhe der Basalquerfurche meist am schmälsten und dann zur Basis parallel oder schwach divergi- rend. — Fld mit 14 bis 16, selten 17 oder gar 18 Streifen, diese allge¬ mein nur schwach und fein eingedrückt, punktirt, nicht crenulirt, mit ziemlich kleinen, aber deutlich markirten Punkten, zum Teil auch gröber punktirt gestreift, Streifen dann jedoch mehr grade, weniger ge¬ schlängelt, Punkte fast in gerader Linie angeordnet; Zwischenräume wenig oder mässig erhaben, nahe der Naht oft gar nicht unterbrochen, sonst einfach kettenförmig unterbrochen oder längere Tuberkeln bildend, niemals granulirt aussehend; Band deutlich bläulich-violett. a) Die Typen Ménétriés’, 1 cf , ohne genauen Fundort, wurden (Motschulsky 1859, 1. c. p. 122) von Wodsnesensky 1840/41 wahr¬ scheinlich in der Umgegend der alten russischen Kolonie Boss im Marin Co. (nicht Fort Boss im Sonoma Co.) gesammelt; beide Stücke haben langgestreckte, eiförmig zugespitzte Fld, mit 16 Streifen, alle in Tuberkeln aufgelöst, das Hlschd gross, breit und hinten stark geschweift, cf 15 Va, 5 18 Va mm. Sie gleichen ganz den Stücken von Marin, Sonoma, Lake und Napa Cos. ; sinuatus Casey gehört anscheinend hierher. In den mehr nördlich und binnenwärts gelegenen Gegenden von Sonoma und Lake-Co. geht die Küstenform in die Sierraform über. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 177 Andrerseits kommen bisweilen in Sonoma und Napa Co. Exem¬ plare vor, bei denen die Intervalle relativ wenig unterbrochen sind, besonders bei den Ç $ ; ja es können sogar die Zwischenräume nahe der Naht nur nach der Spitze zu durch schwache Querriefen unter¬ brochen sein, so dass solche Stücke bei ihrer grossen langgestreckten Form mit abgerundeten Schultern (15—20 mm) dem ventricosus Dejean auf¬ fallend ähnlich werden und es manchmal äusserst schwierig ist. beide Arten auseinander zu halten ; sie unerscheiden sich indessen von letzgenann- ter Art durch die stets vorhandene Orbit alseta, durch Kürze und Breite des Hlschd, deutlichen Metallschimmer des Fld-Bandes sowie besonders durch die Anzahl der Intervalle, durch deren gewöhnlich wenigstens seitlich und hinten, mehrfache Unterbrechung, resp. Tuberculirung, und schliesslich durch ihre glatten Hinterschienen. Auf solche Stücke be¬ zieht sich wahrscheinlich compositus Casey. b) Yon Napa Co. südwärts um die Bai herum bis nach Monterey wird der interruptus kleiner, kürzer, gedrungener, das Hlschd bleibt gewöhnlich breit, kurz, zur Basis stark geschweift, Fld breit mit vor¬ tretenden Schultern, 14 — 16 Streifen, die nach der Naht zu meist nur hier und da unterbrochen, gewöhnlich gewölbt, nicht flach sind. Dies ist die Unterrasse constrictus Lec., beschrieben nach Exemplaren mit verhältnismässig noch gestreckten Fld, aus San José, Santa Clara Co., mit denen die Stücke vom Napa und San Mateo Co. übereinstimmen. Im Alameda Co. kommt — wahrscheinlich südlich - — eine ähnliche kleinere Form mit ziemlich kleinem, schmalem Hlschd vor ; dagegen ändert die Gestalt nördlich bei Oakland und in Contra Costa Co. zum Gegenteil ab : Hlschd und Fld werden sehr breit und kurz, plump und bauchig, Fld grob punktirt gestreift — - corpulentus Casey. — 2 cf meiner Samm¬ lung, von Belfrage angeblich in Oregon gesammelt, stimmen hiermit voll¬ kommen überein und ist die Fundortsangabe höchst wahrscheinlich oder vielmehr sicher falsch. In Santa Cruz und Monterey Co. endlich herrscht diejenige Form vor, die Leconte, Horn und andere als typisch für inter¬ ruptus angesehen haben, nämlich diejenige, die nur 14, beim $ bisweilen 15 Streifen aufweist, selten 16. Die Zwischenräume sind fast flach, breit, wenig unterbrochen, die Streifen fein punktirt und fast gerade, kaum geschlängelt. Auf Exemplare von Monterey mit mehr als 14 Streifen bezieht sich dissolutus Casey, auf ein äusserst kleines cf aus Santa- Cruz Co. von nur 12*5 mm. Länge bei 6 mm. Breite mit kurzen, mehr aufgeblasenen Fld und nur 14 Streifen interruptus Casey. II. subsp. dissolutus Schaum. Form von jenseits des Küstengebirges und längs der westlichen Abhänge des Hochgebirges der Sierra Nevada, wo sie bis zu ungefähr 5000 Fuss Höhe steigt, hauptsächlich in der 12 Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 178 P? HANS ROESCHKE Sierra Nevada von Sierra, Nevada, Placer, Eldorado und Calaveras Co. und wahrscheinlich weiter südlich bis über Tuolumne Co. sich ausbreitet, nordwestlich bis in den östlichen Teil des Humboldt Co. Ziemlich gestreckt und schlank. Hlschd fast so lang als breit, nach vorn nur massig erweitert, von der Mitte bis zu den Hinterecken massig oder leicht geschweift verengt, zur Basis parallel oder leicht convergent, ausnahmsweise fast so schräg verengt wie obliquus Lec. (1 ç von Alleghany, 2 cf von Sierra City, Sierra Co., die beiden letz¬ teren zusammen mit obliquus Lec. von Dr. W. Horn gesammelt). — Fld langoval mit mindestens 16, vielfach 18 Streifen, tief und oft breit eingedrückt, stark geschlängelt, Punkte grob und nicht in gerader Beihe stehend, hierdurch oft starke Crenulirung hervorrufend; Zwi¬ schenräume hoch gewölbt, in kleine, kurze Tuberkel aufgelöst oder nahe der Naht durch grobe Crenulirung stark und dicht gekerbt oder eingeschnürt und so scheinbar unterbrochen, daher die ganze Oberfläche wie granulirt. Fld-Rand nur schwach oder bisweilen auch gar nicht blauviolett schimmernd. Die obenerwähnten Exemplare mit dem schräg verengten Hlschd fast ohne Schweifung, haben eine täuschende Ähn¬ lichkeit mit obliquus Lec., aber die stets vorhandene Orbitalseta, die flacheren, schmaleren, gestreckteren und glänzenderen Fld mit der fast stets geringeren Streifenanzahl, den breiteren Zwischenräumen und metallisch gefärbtem Band, unterscheiden sie von der gleichzeitig vor¬ kommenden typischen Form jener Art, die nie eine Orbitalseta und mindestens 18, ganz ausnahmsweise bei sehr kleinen cf cf nur 17 Fld- Streifen hat, deren Zwischenräume fast flach, schmal und deutlich chagrinirt sind. Vielleicht handelt es sich bei diesen Stücken um Kreuzungsproducte. 15 — 18 mm. Schaum’s Typ, 1 cf, stimmt völlig mit den Stücken überein, die Dr. W. Horn in Anzahl in Sierra, Nevada und Calaveras Co. gesammelt hat. Schaum giebt als Fundort Sacramento an, doch da er auch seinen subtilis als von dort stammend gleichzeitig beschreibt, was sicher falsch ist, so liegt die Wahrscheinlichkeit näher, dass er auf einer Sammel¬ tour in Calaveras oder Tuolumne Co. gefunden wurde, zumal Dr. Horn den dissolutus bei Murphys, Calaveras Co. und den subtilis nur 17 engl. Meilen weiter südlich bei Chinese Camp, Tuolumne Co. fand. Nur bei eigenartigem Zusammentreffen von Zufällen käme meines Erachtens Sacramento als Fundort in Betracht, was Van Dyke immerhin als mög¬ lich ansieht : er fand dissolutus längs der Uferbänke des American River und glaubt, dass er bei Hochwasser möglicher Weise weit abwärts bis zu jener Stadt geschwemmt sein könnte. Ebenfalls aus Calaveras und Tuolumne Co. scheint porcatus Casey zu stammen, da Casey selber — MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 179 nach Van Dyke — Formen dieser Gegenden zu seiner «Art» gehörend be¬ zeichnte ; somit wäre porcatus völlig identisch mit dissolutus Schaum. Die Exemplare von Placer Co. in der BivERs’schen Sammlung sind kleiner, kürzer und flacher. Divers’ Sammlung enthält auch ein £ «dissolutus Schaum sec. Horn», also von G. Horn so bestimmt, leider ohne Fundort — von Dünn gesammelt, auf das G. Horn’s Beschreibung von dissolutus genau passt: Hlschd kaum länger als breit, Seiten vor der Mitte nur wenig erweitert, schwach nach hinten ausgeschweift, daher mit ziemlich breiter Basis, Scheibe neben der Mittellinie sehr wenig gewölbt, am schmalen Seitenrande nicht im geringsten ausgeflacht ; Fld hochgewölbt, oval, hinten etwas zugespitzt, fast gerundet, alle Streifen stark granulirt. Die Hlschd-Bildung erinnert an obliquus vom Siskiyou Co. und zeugt deutliche Annäherung an die interruptus -Rasse des Hum¬ boldt Co. ; es stammt daher auch wahrscheinlich aus einer Gegend nördlich von Sierra Co. Was die Sohlenbekleidung des 4. Vordertarsal- gliedes beim cf betrifft, so ist dieselbe sehr variabel, wie schon Schaum 1. c. p. 433 von einem zweiten dissolutus cf seiner Sammlung mit nur drei erweiterten und besohlten Gliedern hervorgehoben : von 2 cf . beide von Murphys, Calaveras Co. stammend, hat das eine das 4. Tarsalglied gar- nicht, das andere völlig dicht schwammig bekleidet. Übergänge mit teil¬ weiser Sohlenbekleidung kommen vielfach vor. III. subsp. politus Casey. Westen des Humboldt und Nordwesten des Mendocino Co., die nördlichste Rasse und bisher ziemlich isolirt dastehend, da Zwischenformen zu beiden vorher besprochenen Haupt¬ rassen weder südlich noch südöstlich entdeckt wurden. Dem Hlschd nach nähert sich politus dem dissolutus , der Fld- Skulptur nach mehr dem echten interruptus. Seiten des Hlschd wie der Fld deutlich blauviolett. Hlschd breiter als lang, klein, Seiten nach vorn noch weniger gerundet erweitert als bei dissolutus, nach hinten noch ziemlich weit vor der Basalquerfurche leicht geschweift verengt und dann fast parallel, leicht convergent zur Basis verlaufend. Durch die hinten auf erheblich langer Strecke fast parallel verlaufenden Seiten erhält das Hlschd ein schmales, langgestrecktes Aussehen ; alle Eindrücke tief. Das beste Merkmal dieser Rasse ist indes der auffällig niedrige und schmale Hlschd-Seitenrand, der fast verschwindet und nach innen ohne jede Ausflachung ist. — Fld ziem¬ lich lang elliptisch, mit wenig vortretenden, fast verrundeten Schultern, 16 bis 18 Streifen, tief, stark geschlängelt, fein oder nur mässig punktirt, Zwischenräume ziemlich gewölbt, vielfach unterbrochen und zerrissen in längere oder kürzere Tuberkeln; das Aussehen der Fld erscheint gröber als bei interruptus tuberculirt, aber nicht so granulirt, wie disso¬ lutus. 180 m HANS ROESCHKE 14 — 17 mm. Humboldt Co.: Hupa Valley (Casey’s typischer Fund¬ ort) Mad und Van Duzen River- (Van Dyke), auch längs des Noyo River in Mendocino Co. (V. D.) cf 3 Vordertarsenglieder mit Schwammsohle. 4. Brennus obliquus Leconte. 1868, Trans. Amer. Ent. Soc. II, p. 61 — Typ im Mnsenm zu Cambridge; Horn 1878 Dec., 1. c. VII, p. 180; Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 325 n. 21. (Coleopt. Notices VII). subsp. convergens Casey 1. c. p. 326, n. 22; opacicollis Casey 1. c. 327 n. 23; sculptipennis Casey 1. c. p. 327 n» 24. Mattschwarz, bisweilen auf dem Hlschd und den Fid* Seiten schwach bläulich angehaucht. — Kopf fein aber deutlich gekörnt, matt und rauh, besonders zwischen den Augen, Stirn gewölbt, ganz schwach querrunzlig, Stirnfurchen verschwinden im allgemeinen neben der Mitte des Orbital¬ randes, Einschnürung hinter den Augen kaum angedeutet. S 1 — , 2 — Hlschd herzförmig, Seiten vorn stark gebogen, nach hinten schräg ver¬ engt, in fast gerader Linie oder mit nur geringer Schweifung zu den stumpfwinkligen Hinterecken, die jedoch infolge leichter Ausrandung der Basis oft schwach spitz vorgezogen erscheinen ; nur selten sind die Seiten hinten kurz vor der Basis nahezu eingeschnürt und zuletzt fast parallel zu den Hinterecken ; neben den niedrigen Seitenrändern nicht oder kaum ausgeflacht, Oberfläche gewöhnlich nur von vorn nach hinten gekrümmt; von Seite zu Seite teilweise völlig flach oder gar leicht aus¬ geflacht, teilweise neben der Mittellinie sehr schwach gewölbt, die letz¬ tere und die Basalquerfflrche meist scharf eingedrückt, aber nicht tief, die seitlichen Basaleindrücke völlig fehlend oder nur schwach und kurz angedeutet; Oberfläche fein gekörnt, ganz matt oder mit stumpfem Lederglanz ; seitlich fein doch merklich querrunzlig. — Fld mehr oder weniger lang oval, mässig oder stark gewölbt mit 18 — 22 bald feinen, bald ziemlich groben Punktstreifen, bei sehr kleinen cf cf ausnahms¬ weise nur 17 ; Punkte fein oder mässig stark, doch meist deutlich, Zwi¬ schenräume schmal, schwach oder stark gewölbt, mehr oder weniger in kurze Tuberkeln zerrissen, besonders seitlich und hinten. — Epipleuren seicht und wenig dicht punktirt. Mesoepisternalleiste schwach oder stark verkürzt, bisweilen um die Hälfte. S3 +, bis auf sehr wenige Aus¬ nahmen; cf 1, ? 2 SA, beim J leichte Variationen nicht selten. — Vorder- und Mittelschenkel unten mit Borstenporen, Hinterschienen auf der Rück¬ seite glatt, nicht selten leicht gefaltet, bisweilen sogar ein wenig rauh. cf 3 Vordertarsenglieder erweitert und schwammig besohlt, erstes Glied nur im apicalen Drittel. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 181 Höher hinauf in der Sierra Nevada von Siskiyou bis Eldorado Co., nach anderen Autoren von Oregon (Casaey’s opacicollis angeblich von hier, doch ist diese Eundortsangabe noch sehr zweifelhaft) bis Los An¬ geles und San Diego (G. Horn 1878, 1. c. p. 181 ; Fall, List of Coleopt. of Southern Calif. 1901, p. 39), indessen beruht diese Angabe meines Erachtens auf falscher Determination respective Verwechslung mit jounctatus Lec. Die Art zerfällt in zwei, leicht unterscheidbare Hassen : I. obliquus Lec. Kopf und Hlschd ganz rauh gekörnt, vollständig matt, Hlschd fast ganz flach, mehr lang herzförmig mit fast geraden, seltener zur Basis deutlicher geschweiften Seiten ; Fld mattschw'arz oder pechschwarz, mässig gewölbt, deutlich lederartig quergerunzelt, ziemlich grob punktirt gestreift, Streifen vielfach nahe der Naht zu fast gerade, Zwischenräume wenig erhaben, nur seitlich stark unter¬ brochen, aber kaum verwirrt, sonst nahe der Naht fast oder völlig ununterbrochen. 13 — 18 : 53A: — 8 Va mm. Von Eldorado Co. im Süden bis hinauf zum Plumas und wahr¬ scheinlich auch Shasta Co. im Norden, in einer Höhe von 3000' bis 6500' (Lake Tahoe 6000 — 6500'). Leconte’s Original-Fundort angeblich Sacra¬ mento ! Eine etwas vage Angabe. II. subsp. convergens Casey. Kopf und Hlschd matt, doch nur schwach gekörnt ; Hlschd nach vorn gewöhnlich stärker entwickelt, mehr kurz herzförmig mit leicht doch deutlich geschweiften Seiten und schwachgewölbter Oberfläche, daher Mittellinie ein wenig stärker mar¬ kirt ; Eid schwarz oder grausclrwarz, zuweilen leicht glänzend, Quer¬ strichelung kaum noch wahrnehmbar: Streifen stärker unregelmässig geschlängelt mit feineren Punkten, Zwischenräume höher gewölbt und auch nahe der Naht vielfach unterbrochen, nach den Seiten zu häufig ganz verwirrt. 1372 — 20 : 6 — 9 mm. Sikiyou und Shasta Co., 2000 — 4000'. — Nicht selten weisen Exem¬ plare dieser Basse deutlich bläulichen Schimmer besonders auf dem Hlschd aui (Upper Soda Springs und Winter, Siskiyou). Casey’s hierher gehörende «Arten» haben nicht einmal den Wert localer Unterformen, sondern sind einfach Individuum-Beschreibungen wahrscheinlich von ein und derselben Localität herkommender Exemplare — «sein grosses Binocular vergrössert eben individuale Unterschiede zu Art- Werten» wie mir ein amerikanischer Entomologist von ihm schrieb. Zwrei zu dieser Basse gehörende Exemplare, die ich von Bicksecker erhielt, stammen angeblich von Placer Co., doch liegt zweifellos ein Irrtum oder Versehen vor. Die convergens- Basse wird bisweilen der dissolutus- Basse des 182 Di HANS ROESCHKE interruptus täuschend ähnlich (vergleiche auch dort), unterscheidet sich aber leicht durch das Fehlen der S 1 — ein Merkmal, das sich bei mehr als 300 untersuchten Exemplaren constant erwies — und die meist höhere Streifenanzahl, die schmaleren und weniger unterbrochenen Zwischenräume, sowie in der weitaus grössten Anzahl der Fälle durch die Hlschdform. 5. Brennus oreophilus Rivers. 1890, Entomol. Amer. VI p. 111 — Typen* 2 cf ? jetzt in meiner Sammlung ; Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 324 n. 20 (Coleopt. Notices VII). subsp. Hoppingi mihi, n. forma. subsp. Riversi mihi, n. forma. Schwarz, Kopf und Hlschd ganz matt oder stumpf, fein und dicht gekörnt, Kopf zwischen und vor den Augen gewölbt und ohne Quer- runzelung, dahinter mit schwacher Einschnürung. S 1 — , 2 +. — Hlschd in Form und Breite ausserordentlich variirend, im allgemeinen von Nord nach Süd schmäler und länger werdend ; Apicalquerfurche ziemlich schwach, Mittellinie und Basalquerfurche tief und meist scharf markirt,, letztere seitlich in einem kleinen Grübchen neben dem Seitenrande endend, Seitenfurchen höchstens in schwachen Spuren angedeutet, Scheibe hinten neben der Dorsalfurche flach gedrückt, nicht gewölbt; vorn deutlich ausgerandet mit vortretenden gerundeten Vorderecken, Seiten vorn mehr oder weniger gerundet, nach hinten zur Basis mit geringer Schweifung ver¬ engt, letztere selten stärker vortretend, doch niemals hinten eingeschnürt und nie zuletzt zur Basis parallel, bisweilen fast in gerader Linie von der grössten Breite bis zu den Hinterecken, die gewöhnlich deutlich über die schwach bogenförmig ausgerandete Basis hervorragen; Seitenrand ziemlich schmal aufgebogen. — Fld lang oder breit oval, bisweilen bauchig, Schultern mehr oder weniger vortretend, Scheibe mässig oder stark gewölbt, matt oder schwach glänzend, mit 18 bis 21, durchschnittlich 19, kräftigen, geraden Punktstreifen, Zwischenräume erhaben bis fast flach gedrückt, im ersteren Falle Streifen stark crenulirt ähnlich punctatus Lec., im letzteren Punktirung in den Streifen etwas schwächer, doch nicht stärker als bei ventricosus Dej. oder striatopunctatus Chaud.; Oberfläche matt, quer chagrinirt, nicht glänzend, 5 — 6 äussere Streifen vielfach zusammenfliessend und ganz verworren, selten bloss häufig unterbrochen und aufgelöst, dabei die 13 bis 14 inneren Intervalle völlig intact und nie in der hinteren Hälfte alternirend durch Reihen eingestochener Punkte verdoppelt oder gar durch unregelmässige Punktirung verworren ; hierdurch unterscheidet sich oreophilus leicht von ventricosus und striatopunctatus , bei denen entweder nur cc. 3 äussere Intervalle viel- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 183 fach unterbrochen und etwas zusammenfliessend sind, die inneren da¬ gegen ganz intact oder bei 5 bis 6 unterbrochenen Zwischenräumen auch die inneren hinter der Mitte abwechselnd Punktirung aufweisen. — Epipleuren zerstreut punktirt, Mesoepi sternalleiste ein wenig verkürzt. S 3 + , meist +. cf Ç 1 SA, bei den j bisweilen einerseits, selten beiderseits 2. — Vorder- und Mittelschenkel vorn unten mit Borsten¬ poren; Hinterschienen dorsal leicht gerunzelt und rauh. cf 3 Vordertarsenglieder erweitert und unten besohlt, 1. Glied nur in der apicalen Hälfte. 14 Va — 20 : 7 — 9 mm. Sierra Nevada von Eldorado bis Kern Co. Ausser der Stammform sind noch zwei weitere Formen bisher auf¬ gefunden worden. a) oreophilus Bivers. Hlschd viel breiter als lang, Seiten vorn stark gebogen, kurz vor der Mitte ganz schwach gewinkelt, mehr ver- rundet, zur Basis deutlich doch schwach gestreift. Fld mässig gewölbt, leicht glänzend, Querchagrinirung kaum sichtbar, Intervalle schmal, leicht geschlängelt, stark gewölbt. S 3 stets +• Eldorado bis Tulare Co. : Shingle Springs (Original-Fundort), Eldorado Co., Vorberge der Sierra; Murphys, Calaveras Co., 2200 Fuss (Dr. W. Horn) ; Yo Semite, Crockers, Wawona, Mariposa Co., ungefähr 4000 bis 4200 Fuss (Dr. W. PIorn); Kaweah, Tulare Co., etwa 1000' Höhe (Hopping). 14Va — 18 mm. b) subsp. Hoppingi mihi, n. f. Ganz matt. Hlschd gestreckt, etwa so lang als breit, schmal, Seiten vor der Mitte deutlicher gewinkelt, nicht verrundet, dann leicht geschweift zur Basis. Fld hoch gewölbt, sehr ähnlich punctatus Lec., Streifen tief und gröber punktirt, Punkte dichter gestellt, deutlicher in die Augen springend, Intervalle breiter und ein wenig flacher, kaum oder nicht geschlängelt, deutlich aber fein quer- chagrinirt, daher matt seidenglänzend. S 3 meist — . Südlicher Arm des King Biver, Fresno Co., 4500 — 5500' (Mr. Hopping). Dem Entdecker zu Ehren benannt. 15 — 18 mm. c) subsp. Riversi mihi, n. f. Grosse gestreckte Form, Hlschd länger als breit, sehr schmal, vor der Mitte die Seiten gerundet, zur Basis fast gerade verengt, kaum oder gar nicht geschweift. Fld ziemlich flach gedrückt, Punkte in den Streifen kleiner, weniger sichtbar, Zwischen¬ räume fast flach, ziemlich breit, deutlich querchagrinirt. Gänzlich matt und stumpf. S 3 +. Hochgebirge der Sierra Nevada der Tulare und Kern Cos., in einer Höhe von etwa 5000 bis 8000 Fuss : Mt. Whitney, Bound Meadow, Giant Forest. 17 — 20 mm. 184 Di HANS ROESCHKE 6. Brennus ventricosus Dejean. 1831, Spéc. génér. Col. V, p. 527 — Typ 1 c? (18 : 8 min.) jetzt coll. R. Ober- THÜR-Rennes ; Echscholtz 1833, Zool. Atl. p. 21, pi. 25, f. 1; Chaudoir 1844, Bull. Mose. Ili p. 476; Motschulsky 1845, 1. c. IV, p. 338; 1850 II, p. 358; 1859 III, p. 162, pi. 3 f . 9 ; Schaum 1863, Beri. Ent. Ztschr. p. 71; Leconte 1868, Trans. Amer. Ent. Soc. Philad. II, p. 60; Horn 1878,1. c. VII, p. 181 ; striatopunctatus Lec. 1853, Trans. Amer. Philos. Soc. Philad. X. p. 398. subsp. lativentris Motsch. 1850, 1. c., Typ verloren ; strictus Casey 1897, Ann. New-York Acad. Sci. IX (Coleopt. Notices VII), p. 322 n. 17. aberr. Fuchsianus Rivers 1890, Ent. Amer. VI, p. 71 — Typ 1 Ç jetzt in coli, mea ; Casey 1. c. p. 320 n. 14 ; ventricosus Casey, 1. c. p. 321 n. 15. subsp. crenatus Motsch. 1859, 1. c. p. 161, pl. 3, f . 8 — Typ verloren; gentilis Casey 1. c. p. 322 n. 16 ; monstr. symmetricus Cas. 1. c. p. 319 n. 12. var. striatus Lec. 1859, Proc. Acad. Nat. Sci. Phil. p. 69 — Typ: Cambridge- Museum ; 1868, Trans. Am. Ent. Soc. Philad. II, p. 60; Horn 1878, 1. c. p. 181; Casey 1. c. p. 319 n. 13. Schwarz, Kopf und Hlschd matt glänzend, fein chagrinirt, aber nicht gekörnt, Fld ziemlich glänzend, Chagiinirung kaum noch erkenn¬ bar; selten Seiten des Hlschd und der Fld mit schwachem bläulichem Schimmer. — Kopf vor und zwischen den Augen deutlich quergerunzelt, hinten mit sehr schwacher Einschnürung; S 1 meist +, 2 +. Hlschd herzförmig, sehr variabel in Breite und Länge, Vorderrand scharf um¬ randet oder nur seitlich gerandet, Seiten nach vorn mehr oder minder gerundet, nach hinten deutlich geschweift verengt, von der Basalquer¬ furche zur Basis meist parallel oder leicht divergent, seltener leicht convergent ; Seitenrand gewöhnlich verhältnismässig hoch aufgebogen, selten nur schmal und niedrig ; Mittelfurche und Basalquereindruck tief, Apicaleindruck deutlich, Basalseitenfurchen stets gut markirt ; Basis fast gerade, Hinterecken stumpf, Scheibe zur Mittellinie und besonders zum Basalquereindruck deutlich wenn auch schwach gewölbt. — Fld oval, nach hinten zugespitzt, in der Breite ausserordentlich variirend, ziem¬ lich hoch gewölbt, Schultern bald stark vortretend, bald ganz verrundet; Sculptur besteht aus 17 — 18 Streifen mit mässig tiefen und eher feinen, selten gröberen Punkten, die gewöhnlich ziemlich dicht stehen ; Streifen meist gerade, seltener mässig geschlängelt, Zwischenräume schwach oder mässig gewölbt, bis auf die 3 bis 5 äusseren ziemlich glatt, nur in der hinteren Hälfte und seitlich bei tieferer Punktirung etwas höckerig; gewöhnlich nur die 3 äusseren Streifenintervalle mehr oder minder höckerig und zusammenfliessend resp. verworren. Hie ungeraden oder iertiären Intervalle haben namentlich bei den 5 5 starke Neigung sich zu verdoppeln ; dies beginnt, indem auf der apicalen Hälfte eingestochene Punkte vereinzelt oder in einer Beihe angeordnet auftreten, diese fliessen MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 185 wieder unregelmässig zusammen und lösen so die Intervalle in ein Netz kreuz und quer gestellter Maschen auf; bei stärkerer Auflösung sind meist sämtliche Intervalle vom 13-ten ab bis zum Rande verworren, und in ganz extremen Fällen bleiben nur noch die Zwischenräume 1, 2, 4, 6, 8 und zum Teil der 12-te intakt. — Epipleuren zerstreut punktirt, Meso¬ episternalleiste kaum verkürzt ; S 3 + bis auf sehr seltene Ausnahmen, in denen jedoch einseitiges Auftreten der Borsten oder die übrigen Merkmale leicht die Abnormität erkennen lassen, cf stets 1, $ 2 S A, doch sind Abweichungen hiervon unilateral nicht selten, bilateral da¬ gegen sehr selten. — Vorder- und Mittelschenkel oben und unten mit Borsten, Hinterschienen auf der Rückseite rauh und gefurcht. cf 3 Vordertarsenglieder erweitert und mit Schwammsohle, Sohle des 1. Tarsalgliedes weniger als die apicale Hälfte bedeckend. 14 — 26 : 6 — 11 mm. Längs der Küstenzone von Sonoma Co. herab bis Los Angeles Co. verbreitet, sowie in den Binnenstaaten der mittleren Sierra Nevada von Sacramento, Placerville bis Calaveras im Norden und Tulare und Kern Cos. im Süden. Ausser der typischen Form treten noch zwei sich ziemlich scharf scheidende Rassen auf. a) ventricosus Dej. Die typische Form ist bisher fast ganz un¬ beobachtet geblieben und stimmt nicht mit der überein, die von amerika¬ nischen Autoren als typisch betrachtet worden ist; ein von Eschscholtz stammendes Exemplar ( ) aus der Sammlung der Petersburger Academie, stimmt völlig überein mit den Beschreibungen, die Dejean und Motschulsky gegeben, und ebenso mit der Abbildung durch letzteren. Sehr wahr¬ scheinlich gehört das eine Exemplar der G. HoRN’schen Sammlung, das als ganz besonders abweichend von ihm (1. c. p. 181) erwähnt wird, der echten ventricosus- Form an, die dem interruptus Mén. so ausser¬ ordentlich ähnlich wTird, dass es bisweilen äusserst schwer hält, beide Arten mit Sicherheit auseinander zu halten, und so die Versuchung sehr nahe liegt, beide entweder als Formen einer Art oder als Kreuzungs- producte beider Arten anzusehen. — Gestalt langgestreckt, schmal. Hlschd fast so lang als breit, schmal und klein im Vergleich zur Gesamtlänge und Gestalt, viel schmäler und kleiner als bei gleich grossen interruptus- Stücken, Seiten mehr allmählig, nicht so plötzlich nach hinten ver¬ engt, schwacher geschweift, Scheibe feiner runzlig gekörnt, glatter. — Fld lang elliptisch, bis fast zweimal so lang als breit, daher schmal und gestreckt erscheinend, hinten mit mehr abgerundeter Spitze, nicht so eiförmig zugespitzt vrie bei interruptus } grösste Breite in oder hinter der Mitte, bei interruptus mehr nach vorn ; ziemlich hoch gewrölbt, Streifen deutlich aber nicht so tief, daher Zwischenräume weniger er- y- Löht, die Punkte der Streifen ziemlich stark eingeprägt aber weniger 186 Dì HANS ROESCHKE dicht, bei den ähnlichen interruptus -Formen gewöhnlich grob und dicht, so dass die Streifen stark crenulirt aussehen. Beim typischen ventri - cosus Streifen gerader, weniger geschlängelt, Intervalle bisweilen durch die starke Punktirung uneben, hin und wieder sogar seitlich schwach unterbrochen. Fld-Rand öfters schwach violet oder bläulich. S 1 fast immer Wahrscheinlich wurde diese Rasse von Eschscholtz in der Umgegend der ehemaligen Russischen Colonie Ross gesammelt, denn sie gleicht sehr den Exemplaren von Marin Co. ; auch in San Francisco Co. kommen ähnliche schlanke Stücke vor, nur ist die Sculptur regelmässiger und die Ränder nicht bläulich schimmernd. 17 — 20 mm. b) subsp. lativentris Mötsch., der ventricosus der amerikanischen Autoren (mit Ausnahme von Casey). Völlig schwarz, gross und kräftig.. Hlschd merklich breiter als lang, nach vorn mehr erweitert, nach hinten stärker geschwungen verengt; Fld bauchiger, Schultern deutlich vor¬ tretend, Streifen regelmässiger, Punktirung feiner, Intervalle ziemlich breit, mässig gewölbt, neigen sehr zur Auflösung und Verdoppelung. S 1 meist +. Von Sonoma rund um die Bay bis Santa Cruz Co. und durch Sacramento ostwärts die mittlere Sierra von Placerville Co. bis Calaveras Co. und merkwürdigerweise von Ch. Fuchs auch viel weiter süd¬ lich in Tulare Co. gefunden. 18—26 mm. — Das Hlschd wird zuweilen ausserordentlich breit und kurz, stark geschweift verengt, Seiten fast oder deutlich gewinkelt, häufig so breit und kurz wie bei den extremsten Stücken von striatopunctatus Chaud. 1 cT der Coll. Rivers von dieser Gestalt soll angeblich von San-Luis stammen, doch sicher wohl nicht aus San Luis Obispo, wo die crenatus- Rasse vorkommt. Th. L. Casey bezog, ohne sich um die Beschreibungen der Autoren zu kümmern oder unfähig sie zu deuten der fremden Sprache wegen, seinen ventri¬ cosus ohne jeden Grund auf Stücke mit beginnender Auflösung der Intervalle und stellte alternatus Mötsch, als Synonym dazu, obwohl Dejean nichts von dieser Eigentümlichkeit der Streifen erwähnt und die Beschreibung Motschulsky’s von alternatus «stries des élytres très fines, intervalles planes» ganz klar auf die Varietät des striatopunctatus Chaud, hinweist. Casey’s strictus ist nichts weiter als die gewöhnliche Form des ventricosus— lativentris Mötsch. Exemplare mit starker Streifenauflösung hat Rivers Fuchsianus benannt, doch ist es wohl besser, alle Abstufungen unter diesem Namen zusammenzufassen. Der eigentliche lativentris mit einfacher Streifung kommt haupt¬ sächlich an der Küste und im Küstengebirge der oben genannten Coun¬ ties vor, die Abänderung Fuchsianus indessen in den höheren Bergen des Sonoma Co. (typischer Fundort) und, wie Van Dyke, Ch. Fuchs und MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 187 Hopping zweifelsfrei festgestellt haben, in den mittleren Sierras von Placerville bis Calaveras Co. sowie auch in Tulare Co. «Am oberen Ende des Sacramento-Tales finden sich Quergebirgszüge, die einen Übergang von den östlichen Ausläufern des Küstengebirges leicht ermöglichen» (Van Dyke). c) subsp. crenatus Mötsch. Kleine oder nur mittelgrosse, Verhält¬ nis mässig schlanke Kasse. Hlschd fast so lang oder länger als breit, ziemlich schmal, daher nach vorn schwach gerundet und nach hinten wenig geschweift verengt ; Md langoval, mit völlig verrundeten Schul¬ tern, Streifen tief mit ziemlich feinen und dicht stehenden Punkten ; Zwischenräume schmal, gewölbt, nicht zur Auflösung neigend, ja meist auch die Randstreifen deutlich, nicht verworren. 14 — 20 mm. — Von Monterey bis Los Angeles, der Regel nach je weiter südlich, desto schlanker, kleiner, das Hlschd desto länger, die Md-Intervalle umso schmäler und von stärker crenulirtem Aussehen. Der eigentliche crena¬ tus kommt hauptsächlich in Los Angeles und San Luis Obispo vor, nach Exemplaren der J. BEHRENs’schen Sammlung sogar in Pescadero. San Mateo Co., also mitten im südlichen Teil des Gebietes der lati - ventris-B, asse. Doch die Fundortsangaben sollen bei Behrens in seiner letzten Zeit nicht mehr ganz zuverlässig gewesen sein. Die Exemplare von Monterey haben noch vielfach Anklänge an die nördliche Form, namentlich ist das Hlschd noch oft ein wenig kür¬ zer und breiter, Intervalle der Fld-Streifen noch ziemlich breit und nur mässig gewölbt ; Sl nicht selten — , bemerkenswerter Weise, da dies bei den südlicheren Stücken nur selten vorkommt. Casey hat diese Zwischen¬ form zur eigentlichen crenatus-Hässe gentilis benannt. Sein symme- tricus ; ist aller Wahrscheinlichkeit nach nur ein monströses cf dieser Unterform, bei dem gleichmässig auf beiden Fld die Intervalle 1 und 2, 6 und 7 «sehr unregelmässig», d. h. wohl in einander geschoben oder gedreht sind. Eine lokale Abänderung ist wegen der Form ihres Hlschd sehr be¬ merkenswert : Die Scheibe ist in der vorderen Hälfte beiderseits von der Mittelfurche ziemlich stark gewölbt, nach hinten zur basalen Querfurche abfallend und ausserdem ist der Seitenrand sehr schmal und niedrig, kaum noch erhaben; diese Hlschd-Form erinnert daher etwas an die bei rugiceps und cristatus, im übrigen stimmen das schmale Hlschd und die gestreckten Fld mit crenatus völlig überein. Diese lokale Unterrasse ist striatus Lec. und kommt in Santa Barbara Co. und weiter binnen- wärts im Kern Co. vor (Fort Tej on typischer Fundort). 188 D? HANS ROESCHKE 7, Brennus striatopunctatus Chaudoir. 1844, Bull. Mose. Ili, p. 476 — Typ in coll. OßERTHüu-Rennes ; Motschulsky 1859, 1. c. I, p. 162 ; Leconte 1853, Trans. Amer. Phil. Soc. Phil. X, p. 398 ; 1868, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. II, p. 61 ; Schaum 1863, Beri. Ent. Ztschr. p. 71 ; Horn 1878 Dec., Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. VII, p. 183 ; decipiens Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 316 n. 8 (Coleopt. Not. VII). aberr.. alternatus Mötsch. 1859, 1. c. p. 162, tab. Ill, f. 12 — Typ verloren; striatopunctatus Casey 1. c. p. 314 n. 6; ovalis Casey 1. c. p. 315 n. 7. aberr. ovalis Mötsch. 1859, 1. c. p. 162, tab. Ill, f. 11 — Typ verloren. Rein schwarz, Kopf und Hlschd matt oder schwach glänzend, Kid nur wenig stärker glänzend, sehr fein chagrinirt. — Kopf vor und zwischen den Augen fein quergerunzelt, mit ganz schwacher Einschnürung hinter den Augen, S2 stets +, S1 — bis auf äusserst seltene Ausnahmen. — Hlschd breit und kurz, Seiten nach vom stark gerundet, nach hinten gewöhnlich gleichfalls stark geschweift verengt, selten nur mässig, doch niemals schwach, dann zur Basis nur noch eine kurze Strecke parallel verlaufend, Basis gerade, Hinterecken stumpf und rechtwinklig oder etwas stumpfwinklig ; oben ma,tt, fein chagrinirt, kaum gerunzelt, Mittel¬ und Basalquerfurche tief und deutlich, Basalseitenfurchen kaum angedeu¬ tet. — Fld oval oder elliptisch, kurz oder mässig lang, ziemlich breit, Schultern nur zuweilen vortretend, sonst wie die Spitze mehr verrun- det ; Kid hoch gewölbt, mit etwa 18 Streifen, diese gerade, nicht wrellig, höchstens mässig eingedrückt, vielfach nur fein oder, besonders bei den ? ? fast gar nicht markirt, Punkte meist tief aber gewöhnlich nur klein, selten ganz schwach angedeutet, der Regel nach je feiner der Streifen, desto stärker die Punktirung, die aber niemals die Zwischenräume crenulirt oder wellig erscheinen lässt; Intervalle höchstens mässig ge¬ wölbt, meist nur schwach erhaben, bisweilen ganz flach und die 4 oder 5 Aussenstreifen sind mehr oder weniger verwirrt; die übrigen zeigen häufig die Tendenz sich zu verdoppeln, in dem in ihrer hinteren Hälfte in geringerer oder grösserer Ausdehnung und in ziemlich dichter Folge eingestochene Punkte auftreten, die öfters durch fein eingeritzte Streifen mit einander Verbunden sind und so gleichsam complementäre Punktstreifen bilden. Eine unregelmässige Auflösung in ein netzartiges Maschengeflecht wie bei ventricosus var. Fuchsianus kommt indes nie vor ; auch sind häufig nicht nur die ungeraden oder tertiären Intervalle, sondern auch die secundären schon vom Nahtsreif an von dieser complem entär en Punktirung betroffen, sodass nur die primären (4., 8., 12.) intakt übrig bleibe11* während hingegen bei var. Fuchsianus, den stärksten Grad der Auflösung vorausgesetzt, nur die Intervalle 3, 5, 7, 9 bis 11 durch diese betroffen sind und 1, 2, 4, 6 und 8 intakt bleiben. — Epipleuren MONOGRAPHIE DER CYCHR1NI. 189 zerstreut punktirt, Mesoepisternalleiste kaum verkürzt. S3 — , nur ganz ausnahmsweise + ; cf $ 1 SA. — Vorder- und Mittelschenkel vorn unten mit Borstenporen ; Hinterschienen hinten unten rauh. cf 2 Vordertarsenglieder erweitert und schwammig besohlt, 1. Tarsal- glied ungefähr nur zur Hälfte. Längs der Küste von Mendocino bis Monterey Co. 16 — 25: 7 — 10 mm. Lokale Formen sind bisher nicht beobachtet worden, es kommen nur Skulpturabänderungen vor : Die typische Form hat deutlich aus¬ geprägte Punktstreifen und ganze, mehr oder weniger erhabene Inter¬ valle; ihr Synonym ist decipiens Casey. — Ovalis Mötsch, ist ge¬ gründet auf Exemplare mit kaum oder nicht marki rten Punktstreifen oder vielmehr mit Punktreihen, Zwischenräume ganz eben. — Alternatus Mötsch, zeigt complementäre Punktreihen in den Intervallen. Casey, der sich höchstens die Abbildungen angesehen haben kann, aber sicher die Originalbeschreibungen der Autoren gänzlich ausser Acht gelassen hat, machte aus der letzten Varietät noch 2 seiner «Arten») : striato - punctatus mit deutlich gewölbten Zwischenräumen, ovalis mit ganz flachen ; aus dem alternatus machte er eine ventricosus- Form, obwohl die Intervalle ganz flach wie bei ovalis sein sollen und die Streifen ganz schwach eingedrückt. 8. Brennus subtilis Schaum. 1863, Beri. Ent. Ztschr. p. 72, Tfl. 3 f. 7 — Typ Königl. Museum Berlin ; Leconte 1868, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. II, p. 61 (dem Autor noch unbekannt); Horn 1878 Dec., 1. c. VII, p. 183; Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 318 n. 11 (dem Autor unbekannt). Schwarz, Kopf und Hlschd ganz stumpf, Fld matt bis schwach glänzend, fein chagrinirt. — Kopf fein quergerunzelt vor und zwischen den Augen, dahinter mit schwacher Einschnürung. SI — , S2 — -bis auf ganz seltene Ausnahmen. — Hlschd breiter als lang, nur zuweilen so lang als breit, Seitenrand hoch aufgebogen, Seiten nach vorn mässig bis stark bogenförmig gekrümmt, ungefähr in der Mitte verrundet oder mehr oder minder schwach gewinkelt, nach hinten leicht geschweift oder in gerader Linie schräg verengt und dann gewöhnlich convergirend zur Basis, manchmal auch parallel oder gar etwas divergirend ; Basis ge¬ rade mit stumpfwinkligen Hinterecken oder Basis leicht ausgerandet mit schwach vortretenden Hinterecken ; Mittellinie und Basalquereindruck scharf markirt, Basalseitenfurchen fehlen. — Fld breit oval, bauchig, mit ziemlich vortretenden Schultern, hinten kurz zugespitzt; blasen- 190 m HANS ROESCHKE förmig hoch gewölbt, zur Basis, Spitze und den Seiten steil abfallend, nicht gestreift, sondern nur mit Beihen feiner Punkte, die hin und wieder durch äusserst feine, nadelrissige Linien verbunden sind, sodass, wenn die Punkte dicht gestellt sind, die Fld fast schwach gestreift er¬ scheinen ; an den Seiten sind die Punkte etwas unregelmässig ver¬ worren gestellt. Zwischenräume völlig flach, nur hinten und seitlich ganz schwach erhaben. — Epipleuren zerstreut seicht punktirt, Meso¬ episternalleiste kaum verkürzt. Die ganze Unterseite, besonders seitlich, matt, nur die Mitte schwach glänzend. S3 —, cf $ 1 SA, Ausnahmen mir nicht bekannt. — Vorder- und Mittelschenkel vorn unten beborstet, Rückseite der Hinterschienen sehr rauh. cf 2 Vordertarsenglieder erweitert und besohlt, Sohle des 1. Gliedes kaum mehr als Vé pubescent. 14 — 23: 7 — 11 mm. Von Tuolumne bis Kern Co., von den west¬ lichen Vorbergen bis ganz hoch in die eigentliche Sierra hinauf, etwa von 1000 bis 8000 Fuss Höhe.1 Die typische Lokalität soll nach Schaum Sacramento sein, was jedoch sicher als ein Irrtum anzunehmen ist. Als nördlichste Grenze des Vorkommens ist bis jetzt Tuolumne Co. anzusehen, wo ihn Dr. W. Horn im Juni 1902 bei Chinese Camp in ca 1300 Fuss Höhe in wenigen Stücken erbeutete. Diese Exemplare sowie ein weiteres von Fresno Co. haben wie das typische Exemplar Schaum’s sehr feine Punkte, nament¬ lich an den Seiten, wo sie mit blossem Auge kaum noch wahrgenom¬ men werden; die Fld erscheinen glatter und ein wenig glänzender als bei den Exemplaren vom Tulare Biver, die viel matter und seitlich etwas rauher sind sowie schon mit blossem Auge deutlich wahrnehm¬ bare Punktreihen haben. Bei allen Exemplaren der Vorberge und der mittleren Sierras, also etwa 1000 bis 5000 Fuss, ist das Hlschd deut¬ lich breiter als lang, Seiten in der Mitte verrundet oder nur ganz schwach gewinkelt, nach hinten bis zur Basis schräg oder mit schwacher Schweifung verengt, nicht parallel im letzten Teil vor der Basis und meist mit stumpfwinkligen, nicht vortretenden Hinterecken. Nach Van Dyke’s Mitteilungen weichen die Exemplare der Sierra- Hochgebirge von Tulare und Kern Co. etwa 6000 bis 8000 Fuss Höhe merklich von der typischen Form ab : Sie sind grösser und haben eine gestrecktere Gestalt, das Hlschd ist wenigstens so lang als breit, die Seiten in der Mitte deutlich gewinkelt, nach hinten stärker geschweift 1 G. Horn’s Angabe, subtilis käme auch in Los Angeles und San Diego vor, scheint sehr zweifelhaft zu sein, denn Fall giebt in seinem Catalog der südcali- fornischen Fauna keine genauen Fundorte hierfür an. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 191 verengt und kurz vor der Basis parallel oder gar leicht divergent, die Hinterecken schwach vorgezogen. Ohne im Besitz solcher Stücke zu sein, kann ich keine genauere Beschreibung und Benennung geben. 9. Brennus punctatus Leconte. 1859, Proc. Acad. Nat. Sci. Phil. p. 69; 1868, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. II, p. 61 — Typ im Museum zu Cambridge; Horn 1878 Dec., Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. VII, p. 182; Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 317 n. 9; gravidus "Casey, 1. c. n. 10. subsp. catenulatus Casey 1. c. p. 324 u. 19. subsp. mimus Horn 1878 1. c. — Typ im Museum zu Philadelphia ; Casey 1. c. n. 323 n. 18. Ganz mattschwarz, auch die Fld ohne jeden Glanz, matt, deutlich cbagrinirt. — Kopf fein gekörnt, ganz matt bis auf den Clypeus, meist ohne Querrunzelung zwischen Augen und Fühlern, sehr selten Bunzeln schwach angedeutet, Einschnürung hinter den Augen kaum wahrnembar ; St — bis auf geringe Ausnahmen, S2 meist +. — Hlschd fein gekörnt, rauh, mit deutlicher Mittellinie und Basalquerfurche, Basalseiteneindrücke fehlen dagegen ganz ; Vorderrand schwach ausgerandet, Seiten nach vorn massig gebogen, nach hinten leicht geschweift verengt, zuletzt parallel zur Basis, Hinterecken stumpf, schwach vortretend, da die Basis leicht ausgerandet ist; Breite des Hlschd stark schwankend, länger als breit bis breiter als lang, doch wird stets zugleich mit zunehmender Breite vor der Mitte Yorderrand und Basis breiter, sodass die Schweifung voi¬ der Basis hierdurch wenig tangirt wird. — Fld lang oder kurzoval, massig bis stark gewölbt, mit 17 oder 18 bald schwach bald tief eingedrückten Streifen, circa 12—13 inneren, nicht unterbrochenen, mehr oder weniger gewölbten Zwischenräumen, dagegen die 5 oder 6 äusseren meist stark verworren ; Punkte in den Streifen breit und grob, namentlich seitlich und zur Spitze hin und beim cf gewöhnlich stärker und gröber als beim 5 , die Zwischenräume stark beeinflussend und vielfach bis zur Hälfte einnehmend, so dass sie wellig crenulirt erscheinen, wenigstens nach aussen und hinten zu, wo sie vielfach uneben und etwas zerhackt aus- sehen. Dem blossen Auge ercheinen die Fld kaum gestreift, nur reihig punktirt. — Epipleuren zerstreut runzlig punktirt, Mesoepisternal¬ leiste kaum verkürzt. S3 — . cf ? 1 SA. — Vorder- und Mittelschenkel unten mit Borstenreihe, Hinter schienen rauh gefurcht. cf mit 2 — 3 erweiterten und besohlten Vordertarsengliedern, 1. Tar- salglied höchstens bis zur Mitte pubescent, vielfach Schwammsohle kaum mehr als das apicale Drittel bedeckend. Hochinteressant ist das Auf- 19á DS HANS EOESCHKE treten resp. Verschwinden der Sohlenbekleidungen am 3. Tarsalgliede : Zuerst zeigt sich bei wenig erweitertem Tarsus in der Mitte der Sohle ihrer ganzen Länge nach ein schmaler, parallelseitig begrenzter Streifen von bürstenartiger Bekleidung, während der übrige Teil der Sohle völlig kahl bleibt; mit gleichzeitig fortschreitender Verbreitung des Tarsus wird der Bürstenstreif breiter, bildet jedoch mehr ein längliches Oval, das die Bänder der Sohle immer weniger breit frei lässt bis schliesslich die ganze Sohle bedeckt ist, gleichzeitig werden auch die Bürstenhaare immer kürzer und dichter und gehen so in die Schwammsohle über. 12 Va — 20 : 5 Vi — 8 mm. Von Kern Co. westlich zur Küste von Santa Barbara Co. und südlich bis San Diego. Sein Vorkommen in Calaveras Co. nach G. Hoen und in Monterey nach Casey basirt zweifellos auf falschen Informationen. 3 Formen lassen sich unterscheiden. a) punctatus Lec. Binnenform von Kern Co. (Fort Tej on — Typen¬ fundort) und San Diego Co. (Julian): Fld verhältnissmässig kurzoval bei sehr hoher Wölbung, mit starker und grober Punktirung bis zur Naht; Streifen meist scharf markirt — cf nur 2 Tarsalglieder erweitert und mit Schwamm sohle. — Gravidus Casey ist gegründet auf Exem¬ plare mit kürzerem, breiterem Hlschd und kurzen, bauchigen Fld von hoher Wölbung. b) subsp. catenülatus Casey. Kleinere Form von San Bernardino : Hlschd klein, ziemlich schmal, Fld gestreckt, sehr grob und dicht punktirt, Intervalle besonders bei den cf stark wellig crenulirt, nicht selten quer zusammenfliessend oder sich beinahe berührend, so dass die Skulptur ein kettenartiges Aussehen erhält ; Zwischenräume an den Seiten stark verworren, Streifen nahe der Naht bei den $ ÿ viel weniger wellig crenulirt. 12 Va— 15 mm. — cf 3. Vordertarsalglied nur teilweise mit Sohlenhaaren bekleidet, wie oben beschrieben. Genauer Fundort liegt nicht vor. Es bildet also diese Rasse den Übergang zu c) subsp. mimus Hoen. Von San Bernardino, doch hauptsächlich Küstenform von Los Angeles und Santa Barbara: Fld gestreckter, weniger gewölbt, Streifenpunkte wohl gross, aber doch nur massig dicht gestellt, daher im allgemeinen Punktirung weniger grob, besonders in den Strei¬ fen nächst der Naht auf der basalen Hälfte, so dass die Zwischenräume glatter, flacher, weniger oder nur schwach wellenförmig sind. 14 Va — 20 mm. — cf 3. Vordertarsalglied stets vollständig mit Schwammsohle bekleidet. 2 cf von Santa Barbara Co. — leider das einzige Material, das ich von dort zu Gesicht bekommen — haben S1 + ! Das kann zwar möglicher MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 193 Weise nur zufällig sein, eine Anomalie, andererseits ebenso gut ein neues Merkmal für eine Lokalform. Die Zukunft wird’s lehren. 10. Brennus rugiceps Horn. 1872, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. IV, p. 143; 1878 Dec., 1. c.. p. 177 — Typ im Museum dieser Gesellschaft zu Philadelphia ; Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 313 n. 4 (Coleopt. Not. VII). subsp. incipiens Casey, 1. c. n. 5. Schwarz, mattglänzend, Ränder des Hlschd und der Fld bisweilen mit schwachem bläulichem Schimmer. — Kopf mit stark vorspringenden Wangen, nicht selten bis über die Augen hinaus und mit tiefen, grossem Einschnitt ; Seitenrand der Stirn über der Fühlerwurzel stark bogen¬ förmig und knotig verdickt, Stirn dazwischen und nach dem Clypeus zu beulenartig oder schwielig aufgetrieben, zwischen Fühler und Augen mit einer unregelmässigen, rhomboiden Erhebung, die gewöhnlich aus 4 Tuberkeln besteht, 2 mehr rundliche neben einander und je einer vor und hinter diesen von mehr lang gestreckter oder kielförmiger Gestalt; doch können auch alle 4 Tuberkeln mit einander verschmel¬ zen in eine beinahe ringförmige oder oblonge Umwallung, die eine kraterförmige oder narbige Vertiefung umschliesst; hinter dem Augen nur eine schwache Einschnürung; 1. Fühlerglied mässig verdickt, kräftig, so lang als 2. und 3. zusammen; S1 und 2 +. — Hlschd teils breiter als lang, teils länger als breit, seitlich sehr schwach und niedrig gerandet, Yorderrand nur nach den Y orderecken zu umrandet, diese letzteren nur wenig vorragend, stumpf, Seiten nach vorn mehr oder weniger gerundet, vor der Mitte leicht gewinkelt, dann ziemlich schräg verengt, fast ohne Schweifung, zuletzt zur Basis fast oder ganz parallel, Hinterecken stumpf, Basis gerade ; Scheibe neben der tiefen Mittellinie deutlich gewölbt, Basalquereindruck deutlich, Apicalquereindruck stumpf¬ winklig, weit auf die Scheibe hinauf reichend, in seiner Mitte vom Yor¬ derrand viel weiter entfernt als die Mitte des hinteren Quereindrucks von der Basis. — Fld ziemlich breitoval, hinten zugespitzt, Schultern fast ver rundet, Oberseite mässig gewölbt, Scheibe leicht abgeflacht, mit ca 18 Streifen, diese nicht gerade, sondern ziemlich unregelmässig wellen¬ förmig, mässig tief mit schwachen oder deutlich markirten Punkten ; Intervalle vielfach unterbrochen, die inneren weniger, die äusseren öfter, manchmal die 9 — 10 äusseren ganz verworren und in kurze Tuberkeln aufgelöst. — Epipleuren ganz zerstreut und seicht runzlig punktirt, Mesoepisternalleiste etwas verkürzt. S3 +. cf 1, 5 2 SA. — Vorder- und Mittelschenkel unten mit Borstenporen, Hinterschienen hinten glatt. 13 Annales Musei Nationalis Hungarici. V 194 Di HANS EOESCHKE. d 3 Vordertarsenglieder erweitert und schwammig besohlt, 1. Glied nur an der Spitze pubescent oder zu Vi, höchstens zu Vs seiner Länge. 14 — 18: — Vk mm. Oregon (Portland) und Nordwest-Califor- nien (Mad Eiver, Humboldt Co. — Van DYKe). Nach dem vorliegenden Material (2 Exemplare von Oregon, 3 von Californien) können 2 wenig von einander abweichende Formen unter¬ schieden werden : a) rugiceps Horn : Clypeus normal, dicht hinter ihm zwischen den Fühlerinsertionen eine schmale quere Erhöhung, hinter welcher sich, durch eine schmale Querfurche getrennt, die ziemlich niedrigen 4 Tuberkeln erheben : die beiden lateralen nur durch eine kleine Ver¬ tiefung getrennt, die beiden medialen unregelmässig, nicht scharf kiel¬ förmig. Hlschd ziemlich glänzend, nicht stumpf, Intervalle der Fld ziemlich breit und flach, seitlich ganz verworren. 16 — 18 : 6 Va — 7 Va mm. — Oregon. b) subsp. incipiens Casey: Der ganze Clypeus aufgeblasen, kugelig, an ihn stösst unmittelbar ohne Querfurche der scharf kielförmige und stark verlängerte, vordere mediale Tuberkel, der hintere mediale gleich¬ falls kielförmig, aber sehr kurz, die beiden lateralen Tuberkel durch ein breites Grübchen getrennt. Hlschd matt, kaum oder ganz schwach schimmernd, nicht glänzend ; Intervalle der Fld deutlich schmäler, mehr gewölbt, die äusseren wohl stark zerrissen, doch nie verworren, noch im Zusammenhang erkennbar. 14 — I6V2 : 5 Va — 63A mm. — Californien, Gebirge von Ost-Humboldt Co. 11. Brennus cristatus Harris. 1839 Febr., Boston Jonrn. II, No 2 p. 200 — Typ verloren. subsp. reticulatus Motschulsky 1850, Kaef. Bussi, p. 90 — Typ verloren; Man¬ nerheim 1852, Bull. Mose. II, p. 292; 1853, 1. c. p. 120 n, 6; cristatus Leconte 1868, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. II, p. 60; Horn 1878 Dec., 1. c. VII, p. 176; Casey 1897, Ann. N. Y. Acad. Sci. IX, p. 310 n. 1; basalis Casey 1. c. p. 311 n. 2; duplicatus Casey 1. c. p. 312 n. 3. Ganz schwarz oder bläulich angehaucht an den Bändern des Hlschd und der Fld, oder sogar die ganze Oberseite, wenn auch nur gering, mit bläulichem Schimmer. — Kopf mit stark erweiterten, häufig weit vorspringenden Wangen, bis über die Augen hinaus ; vor den letz¬ teren tief ausgeschnitten ; Orbitalrand vor den Augen in hohem Bogen über die Fühlerwurzel verlängert und hier stark knotig verdickt, da¬ neben tief ausgehöhlt. In der Mitte des ganzen Vorderkopfes verläuft eine mannigfaltig variirende Crista : vorn erhebt sie sich in Form einer Pyramide, deren Vorderseite der dreieckig erscheinende Clypeus MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 195 bildet, mit einer mehr oder weniger tiefen Aushöhlung oder Einbuch¬ tung unten in der Mitte ; von der stumpfen Spitze verläuft sie nach hinten abwärts zwischen den Fühlerinsertionen und den lateralen Aus¬ buchtungen in Form einer ziemlich niedriegen Leiste, steigt dann wieder ziemlich steil empor zwischen Fühlern und Augen zu einem einfachen Gipfel oder zu einem Doppelgipfel, der aus zwei kleinen, neben einan¬ der stehenden tuberkelartigen Erhebungen mit einem. Einschnitte oder Grübchen in der Mitte besteht; von dieser zweiten Erhebung läuft der Grat nach hinten in gerader Linie oder wieder in Sattelform zur 3., letzten und meistens höchsten Erhebung, die zipfelartig nach hinten vor¬ ragt und rückwärts senkrecht zu dem tiefen Einschnitt der postocularen Einschnürung abfällt oder diesen sogar bisweilen schräg überragt. Hinter diesem Einschnitt erhebt sich der Nacken ganz steil in Form eines Kreis¬ abschnittes, dessen oberer Rand in der Mitte einen mehr oder minder grossen Einschnitt aufweist, der wiederum jederseits bisweilen durch einen kleinen Tuberkel flankirt wird. 1. Fühlerglied besonders bei den cf cf kräftig entwickelt, gedrungen oder keulenförmig, mindestens so lang als 2 und 3 zusammen, bei grossen c? cT bisweilen ganz auffällig und immens entwickelt. S1 und 2 +. — Hlschd in der Breite sehr varii rend, vom gerade abgeschnitten mit kaum vorragenden Yorderecken, Seiten schmal und niedrig gerandet, vor der Mitte stark gebogen, nach hinten schräg verengt, vor der Bas al querfurche ziemlich stark eingeschnürt, dann zur geraden Basis mehr oder weniger divergirend, Hinterecken je nachdem stärker spitzwinklig, abgestumpft; Scheibe deutlich gewölbt, unmittelbar zum Seitenrande abfallend, stets höher als dieser und neben diesem nicht ausgeflacht, Rückenlinie und Basalquerfurche sehr tief, Basal¬ seiten- und Apicalquereindruck deutlich. — Fld lang oder kurz oval, aus¬ sen fein und schmal gerandet, hinten leicht zugespitzt, Schultern nicht oder kaum vortretend, Oberseite hochgewölbt, besonders bei den j $ ; die Sculptur besteht aus eiwa 17 mässig tiefen oder erloschenen Streifen mit deutlichen, ziemlich dicht gestellten Punkten, Zwischenräume bald deutlich gewölbt, bald flach, nicht unterbrochen, die äusseren zum Teil ganz verworren; die ungeraden oder tertiären Intervalle vom 3, bis jzum 11., selten 13. zeigen besonders bei den £ starke Neigung sich zu verbreitern und netzartig aufzulösen und so Doppelst reifen zu bilden, so dass man zuweilen 22 oder 23 Zwischenräume herauszählen kann. — Epipleuren seicht und spärlich runzlig punktirt, Mesoepisternalleiste nicht oder kaum verkürzt. S3 +. cf 1, $ 2 SA (bei Ç nicht selten varriirend, nur einerseits oder gar beiderseits. — Vorder- und Mittelschenkel unten beborstet, Hinterschenkel sehr schlank, ganz cylindrisch, wegen der stark variirenden Form der Fld in beiden Geschlechtern, bald mehr bald we- 13* 196 Dì HANS ROESCHKE niger die Fld-Spitze überragend; ebenso Hinterschienen und Tarsen lang und schlank, beide zusammen beim j höchstens ein wenig länger als die Fld-Länge, beim cf dagegen bis zu 1U derselben länger. cf 3 Vordertarsenglieder erweitert und besohlt, 1. Tarsalglied nur an der Spitze in 1U oder höchstens Vs seiner Länge. 14 — 22:572— 9 mm. Im Küstengebirge von Mittel-Oregon bis unge¬ fähr Monterey Co., Californien. Die Art kommt in zwei Rassen vor : a) cristatus Harris (nec auctorum post.): Hlschd- Vorderrand ein¬ fach, nicht oder kaum gerandet, nicht schwielig oder kapuzenförmig verdickt, Hlschd mehr länger als breit, oben mässig gewölbt, Seiten meist deutlich quergerunzelt. Kid deutlich punktirt-gestreift, crenulirt, die äusseren Intervalle nicht oder ganz wenig verworren, einige tertiäre verdoppelt, gewöhnlich beim , doch wegen der tiefen Punktirung gleich¬ falls crenulirt erscheinend. Seitenränder von Hlschd und Kid deutlich blau, bisweilen die ganze Oberfläche bläulich schimmernd. — Südwest- Oregon und Nordwest-Californien (Arcata. Humboldt Co. — Van Dyke). 14 — 19 ; 5 Va — 7 Va mm. b) subsp. reticulatus Mötsch. ( cristatus auctor, post.): Hlsclid- Vorderrand breit umrandet, schwielig verdickt, kapuzenförmig, Hlschd gewöhnlich so breit als lang oder breiter, Scheibe meist stark gewölbt, Seiten nicht oder kaum quer gerunzelt. Kid seicht gestreift, Intervalle fast flach, die äusseren stark verworren, tertiäre verbreitert und unregel¬ mässig aufgelöst oder doppelte Punktreihen bildend. Seitenländer nur bisweilen mit ganz schwachem, bläulichem Schimmer, sonst einfach schwarz. — Von Mendocino bis Monterey Co., Californien, rings um die Bai von San Francisco. 16 — 22: 6 — 9 mm. Motschulsky’s Typ hatte nach Mannerheim 1853 1. c., Crista mit 3 spitzen Erhebungen und tiefem Einschnitt ("acutissime triearinatum, intra carinas profunde excavatum). Auf kleine Exemplare vom Lake Co., die inbezug auf den Vorderrand des Hlschd und die Seulptur der Fld anscheinend schon einen Übergang zur cristatus-R asse bilden und bei denen die mittlere Erhebung der Crista in einen Doppeltuberkel ausläuft, stellte Casey seine «Art» duplicatus auf. Leider ist die Bil¬ dung der Crista durchaus nicht local konstant und daher für Rassen und Unterrassen ebenso wertlos wie die Form des Oecipitaleinsclinittes. In Santa Cruz Co. kommen aussergewöhnlich grosse Exemplare mit auffallend stark entwickeltem 1. Fühlergliede vor, auf sie bezieht sich basalis Casey. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 197 VIL Subgenus : NEOCYCHRUS mihi, nov. subg. Ganz schwarz oder Fid violett. — Kopf lang gestreckt, doch ver- hältnissmässig breit und gross, hinter den kleinen, flachen, auffällig wenig vorspringenden Augen ohne jede Einschnürung oder Absetzung in den sich allmählig verdickenden Nacken übergehend; die Wangen bilden eine stark vorspringende, etwas schräg geneigte Platte, die nach hinten sich verbreitert, unterhalb und hinter der Fühlerinsertion die grösste Breite erreicht und unter den Augen weit hervorragt, dann winklig sich schräg oder geschweift verengt bis zur Mitte des unteren Augenrandes ; Supraorbitalrand niedrig, viel niedriger als die hoch¬ gewölbte Stirn, nach vorn über dei Fühlerwurzel merklich erhöht und etwas verdickt, doch nicht knotig. Stirnfurchen nach vorn bis auf den Clypeus verlängert, deutlich und scharf, im Gegensatz zu allen anderen Cychrinen. Fühler lang und schlank, die ersten 4 Glieder pechfarben, kahl, die übrigen bräunlich, dicht und fein behaart; 1. Glied merklich kürzer als 2 und 3 zusammen, normal, nicht verdickt. Endglieder der Palpen beim cf deutlich, beim ç schwach beilförmig; Innenlade der Maxille bewehrt mit starken, rückwärts gekrümmten Chitinzähnchen und feinen kürzeren Härchen dazwischen, wTie bei Pemphus Mötsch. S1 +, 9 +. — Hlschd seitlich sehr fein und niedrig gerandet, mit nur 1 Rand- seta, die vor der Mitte steht; von den kurzen oder kaum vorspringen¬ den Vorderecken divergiren die Seiten erst schräg nach hinten — grösste Breite weit vor der Mitte und hier deutlich gewinkelt — dann stark schräg verengt oder in leichter Krümmung, nahe der Basalquerfurche eingeschnürt und zuletzt zur geraden Basis meist deutlich divergirend mit spitzwinkligen Hinterecken, seltener parallel und Hinterecken recht¬ winklig; oben zwischen Apical- und Basalquerfurche jederseits von der tiefen Mittellinie hoch gewölbt, gleichsam kugelig aufgeblasen oder buckel¬ förmig, zum tiefliegenden Seitenrande ohne Ausflachung gewölbt ab¬ fallend. — Fld langoval, Aussenrand dicht vor der Basis schwach, fast unmerklich, kurz vor der Spitze deutlich ausgebuchtet, stärker als bei dem Subgenus Brennus Mötsch., dementsprechend auch das Analsegment seitlich deutlich ausgeschweift. Abdomen ohne Ventralstrigen. S3 +, S4 — . cf $ 2 SA. — Beine lang und schlank, Vorderschenkel vorn und hinten nur oben mit Borstenporen, Mittelschenkel auch vorn oben nicht beborstet, Hinterschenkel reichen beim cf ein wenig über die Fld-Spitze hinaus, beim erreichen sie die Spitze nicht ; Hinterschienen glatt auf der Dorsalseite ; Vordertarsen in beiden Geschlechtern gleich, einfach, nicht erweitert beim cf und ohne Schwammsohle, nur ist beim cf die 198 T>1 HANS ROESCHKE Sohle des 1. und 3. Tarsalgliedes an der Spitze, die des 2. Tarsal- gliedes fast in der ganzen apicalen Hälfte dichter und länger beborstet also sehr schwach bürstenförmig. — Geschlechtsunterschiede, abgesehen von den Genitalien, sind also nur die Breite der Palpenendglieder und die geringe Ausrandung des Analsegments an der Spitze beim mehr elliptisch, ungefähr in der Mitte am breitesten ; Seitenrand sehr schmal und niedrig, vor der Spitze nur schwach geschweift, an der Basis ziemlich scharf gewinkelt, dann gerade zur Eid-Wurzel; Oberseite ziemlich cyJindrisch gewölbt, Scheibe nur schwach abgeflacht, allseitig ziemlich steil abfallend, fast regel¬ mässig reihig punktirt, Streifen mehr oder weniger tief, Zwischenräume wenig oder schwach erhaben, die primären und secundären einfach und etwas stärker vorspringend, die tertiären oft doppelt angeordnet und etwas unregelmässiger ; Punktirung an den Seiten und zur Spitze seichter, Zwischenräume mehr körniger, rauher. — Vorderbrust, mit den Epimeren grob aber seicht und zerstreut punktirt, Episternen nur ganz spärlich, fast glatt; Meso- und Metathorax auch nur wenig punktirt, Mesoepisternalleiste auf ein Minimum reducirt; Abdomen fast glatt, Segment 3 bis 5 jederseits mit nur einer Borstenpore; ebenso das Anal¬ segment bei beiden Geschlechtern : cf J 1 SA. — Beine lang, schlank, Schenkel ziemlich cylindrisch, die hinteren unten gefurcht, die vorderen oben und unten beborstet, vorn wie hinten, die mittleren nur vom unten. cf Vordertarsen einfach, nur die 3 ersten Glieder an der Spitze ein wenig dichter und länger beborstet. 17 — 207* : 67s — 7Vs mm. Hercegovina: Narentatal unweit Jabla- nica, im Süden auf der Nordseite der Cvrstnica planina (Velika Cvrstniea) in einer Höhe von 1800 — 2100 m. und nördlich auf der Prenj planina (Mali Prenj) ebenfalls ca 2000 m. Höhe ; unter grossen Steinen an Gras¬ stellen, wo Schnee lagerte ; ferner angeblich in Dalmatien gefangen, ohne genaue Fundortsangabe. Die ersten Exemplare brachte Parreyss, ohne deren Herkunft bekannt zu geben ; Hampe glaubte, dass sie aus Griechenland, Gestro, dass sie aus Süditalien stammten, da nach brief¬ licher Mitteilung Chaudoir’s, Parreyss nach Rückkehr von einer Beise nach Calabrien seine wenigen Stücke dieser Art fortgab, beides sind jedoch zweifellos falsche Vermutungen. Desgleichen beruht die Angabe « Gastein » in Schilsky’s Catalog der Käfer Deutschlands 1888 auf einem Irrtum infolge Verwechselung mit intermedius Heer (attenuatus). 14* 212 Dl HANS ROESCHKE Im königlichen Museum zu Berlin ist ein von Parreyss stammendes, also typisches Stück, mit «Dalmatien» bezettelt. Die aus früheren Zeiten stammenden Exemplare (ohne genauen Fundort) sind etwas gedrungener und weniger schlank als die in neuerer Zeit in der Hercegovina von 0. Leonhard gesammelten und von Reitter als punctipennis neube¬ schriebenen, ihr Thorax ist kürzer und breiter, sonst sind keine wesent¬ lichen Unterschiede. Apfelbeck- Sarajevo benannte das erste auf der Prenj planina ge¬ fundene Exemplar, ein , var. Reiseri, da dasselbe in verschiedenen Beziehungen nicht mit Reitter’ s Beschreibung übereinstimmt. Tatsäch¬ lich ist diese Beschreibung ungenau, Apfelbeck’s Form ist identisch mit den Stücken von der Cvrstnica und dem Typ des punctipennis Reitt. 6. Cychrus italicus Bonelli. 1809, Mém. Acad. Turin p. 17 — Typ? Museum zu Turin? — Dejean 1826, Spéc. Col. II, p. 6; 1829. Iconogr. I, pl. 28, f. 2; Ghiliani 1847, Ann. France p. 101; Bertolini 1867, I Carabici del Trentino p. 11; Ganglbauer 1892, Kaef. Mit- teleurop. I. p. 90 ; Alessandrini 1897, Boll. Soc. Rom. per gli Studi Zool. Voi. VI (Coleotteri della provincia di Roma p. 12). subsp. meridionalis Chaudoir 1861, Bull. Mose. I, p. 3 ; Beri. Ztscbr. 1862 p. 301 — Typ* 1 cT jetzt Coll. R. OßERTHÜR-Rennes; Schaum 1861, Beri. Ent. Ztsclir. p. XXXVIII und 1862 1. c. p. 301 ; Gestro 1874, Ann. Mus. Civ. Stor. Nat. Genova VI, p. 538. — rostratus ? Petagna 1786, Spécim, ins. ulterioris Calabriæ p. 25 n. 121, tab. f. 21; Linné 1788, Syst. Nat., Edit. XIII Gmelin, T. I, P. IV, p. 1967 (ex parte). Schwarz, leicht grau getönt, matt oder mit schwachem Seiden¬ schimmer. — Kopf ziemlich weit vorgestreckt, Clypeus glatt, Stirn und Scheitel grobrunzlig punktirt, Stirnfurchen massig tief, besonders ver¬ tieft zwischen den Fühlerinsertionen und zwischen den Augen, hier durch deutlichen Quereindruck verbunden ; Augen ziemlich flach, merklich weniger vorragend als die erweiterten Wangen, postoculare Einschnürung kaum oder nicht vorhanden. Nacken massig sich ver¬ dickend, spärlich punktirt ; Kiefertaster völlig unbeborstet ; Fühler von mehr als halber Körperlänge, schlank, 1. Glied mit Endborste, 4. an der Spitze nicht dicht behaart. — Hlschd lang herzförmig oder fast recht¬ eckig, vorn schwach ausgerandet, nicht scharf gerandet, Vorderecken wenig vorgezogen, Seiten nach vorn wie zur Basis meist nur mässig gerundet, nach hinten ein wenig mehr verengt, grösste Breite fast in der Mitte oder mehr nach vorn, Hlschd in letzterem Falle stärker herz¬ förmig aussehend; Seitenrand wenig aber deutlich aufgebogen, hinten ein wenig stärker als vorn, aber an den stark abgerundeten, stumpf¬ winkligen Hinterecken endend, niemals die letzteren noch umfas- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 213 send und bis in die Basis sich fortsetzend, wie es stets bei caraboides der Fall ist ; Basis schwach geschweift ; Oberfläche wenig gewölbt, mehr von vorn zur Basis, ganz und gar grob und dicht runzlig punktirt, besonders an den ausgeflachten Seiten und vor der Basis quergerunzelt ; Bückenlinie scharf, Apicaleindruck schwach, Basalquer- und Seitenein¬ drücke deutlich markirt. \ — Fld mehr oder weniger langoval, grösste Breite weit hinter der Mitte, erst vor dem letzten Drittel, Schultern teils ver- rundet, teils deutlich vortretend und dann der Aussenrand von der Basis in deutlichem Bogen nach vorn abgehend, seitlich schmal aber scharf abgesetzt, vor der schwachen Ausbuchtung an der Spitze und vor der Vereinigung mit dem Epipleuralrand winklig stark eingeknickt und so hier eine noch stärkere Einbuchtung bildend ; von hieraus bis zur Spitze merklich breiter ausgeflacht. Oberseite beim cf ziemlich flach, beim 5 hoch gewölbt, hinter dem Schildchen deutlich eingedrückt, zur Spitze steil abfallend, gleichmässig fein und dicht gekörnt, viel feiner und dichter als bei C. caraboides, Körnchen meist zu 3 deutlichen feinen Primär¬ linien zusammenfliessend ; Bandseten in scharf hervortretenden wall¬ förmigen Poren. — Oberer Epipleuralrand hinten scharfwinklig geknickt und so die Epipleuren plötzlich verschmälert. Pro-, Meso- und Meta¬ thorax grob und dicht punktirt, Seiten des Abdomens fein und ziemlich zerstreut ; Mesoepisternalleiste etwa zur Hälfte verkürzt, Ventralseg¬ mente nur mit einer Borste jederseits. cf Ç meist 1 SA, nicht selten indessen 2 einseitig oder gar beiderseitig. — Vorder- und Mittelschen¬ kel in der Mitte gar nicht verdickt, ziemlich oylindrisch, Hinterschenkel unten tief gefurcht ; Borsten finden sich nur auf den Vorderschenkeln oben. Vorderschienen seitlich deutlich gefurcht, ein Charakter, der bei keiner andern Art unter den Cychrinen bisher zur Beobachtung kam ; Hinterschienen stark runzlig gefurcht. cf 4 Vordertarsenglieder dicht bürstenförmig besohlt, 1. Glied nur in V3 oder höchstens Va seiner Länge. Diese Art sieht dem C. caraboides L. äusserst ähnlich, ist aber durch ein Dutzend guter konstanter Merkmale so von ihm verschieden, wie wohl nirgend 2 ähnliche verwandte Arten; es können mit Leichtig¬ keit sogar die correspondirenden Teile beider Arten isolirt voneinander unterschieden werden, wie Kopf, Kiefertaster, Hlschd, Fld, Schenkel und Vorder- und Hinterschienen. 18 — 27: 7—11 mm. Über das ganze italienische Festland ver¬ breitet, von Calabrien bis zu den Alpen, vom Mte Viso im Westen, Mte Bosa, Corno bianco und Vaiombrosa, St. Gotthard — hier auf Schweizer Gebiet — östlich am Mte Baldo, wo er, obgleich selten, auch auf dem nördlichen österreichischen Teil des Gebirgszugës gesammelt 214 m HANS ROESCHKE wurde, häufiger jedoch im südlichen, italienischen Teil, auf der Cima di Telegrafo, und noch weiter östlich bis in das Trientiner Gebiet Oester¬ reichs hinein, am Mte Lavarone (Dodero, 1 Ex. in coli, mea), ja nach Bertolini bei Kaltem am Fusse der Mendel und am Mte Roën gefun¬ den ! — Die Schluchten der Turin vorgelagerten Hügelkette von 200 — 720 m. Höhe sind Bonelli’s typischer Fundort. Auf Feldern, unter Steinen und halbverfaultem Laub, besonders im April und September; häufig im Frühjahr im toskanischen und ligurischen Apennin (Mte Penna, Mte Fasce, M. Misurasca), nach Ghiliani im genuesischen Apennin sogar ziemlich gemein ; er ist bei Spezzia auch am Meeresufer gefunden wor¬ den (Gestro 1874 1. c. p. 540) und findet sich noch in den Cottischen Alpen in einer Höhe von 1400 m. (Ghiliani). Seine Bewegungen sind sehr schwerfällig — bei Tage, aber auch bei Nacht? Die süditalienischen Stücke sind gewöhnlich etwas kleiner (18 — 25 mm.) als die typische Form aus dem Norden (20 — 27 mm.), der Thorax meist so breit als lang, vorn und besonders hinten gewöhnlich stärker verengt, daher herzförmiger, sogar bisweilen zur Basis leicht ausgeschweift, Fld nach vorn zu erheblich verschmälert, viel kürzer, bauchiger und doch fast ebenso breit (7 — 9 Va mm.) wTie bei der typi¬ schen Form (8Va — 11), namentlich beim j viel gewölbter, kugeliger aus¬ sehend, mit ganz schmal abgesetztem Aussenrand, der auch an den verrundeten, nicht vortretenden Schultern kaum ausgeflacht und wTenig erhaben ist, im Gegensatz zu der Stammform, bei der an den Schul¬ tern der Aussenrand deutlich breiter ausgeflacht ist als seitlich und auch sichtlich stärker erhöht ; Sculp tur grobkörniger, dichter, glänzen¬ der, Körnchen nach der Basis und Naht zu öfters runzlig zusammen- fliessend, was bei der nördlichen Basse selten vorkommt. Auf diese Form ist der rostratus ? Petagna von Calabrien und der meridionalis Chaud, zu beziehen. Den Typ des letzteren (cf 20 mm.) — jetzt in der Sammlung B. Oberthür’ s und mir zur Prüfung liebenswürdigst zur Verfügung gestellt — erhielt Baron Chaudoir aus dem Königlichen Museum zu Berlin, wo sich noch 3 weitere Stücke befinden, wie s^hon Chaudoir richtig angegeben. Sie wurden von Parreyss angeblich in «Sicilien» gesammelt, worunter indes der festländische Teil des ehema¬ ligen Königreichs beider Sicilien zu verstehen ist und nicht die Insel Sicilien, die wie Sardinien und Corsica keinen Cychrus beherbergt. Meridionalis scheint nicht häufig vorzukommen und streng localisirt: Aspromonte und Silagebirge in Calabrien ; nach Paganetti-Hummler, dem ich eine Anzahl verdanke, erst von einer Höhe von 600 m. an bei Sta Eufemia und Sta Christina d’Aspromonte (Nordabhang), am Monte Alto bis zu einer Höhe von 1930 m., Mai bis Juli, in morschen MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 215 Bäumen und unter feuchtem Laub der angepÜanzten Kastanienwälder, auf Terrains, wo früher Eiche stand. — Den Übergang bilden die Stücke aus den Provinzen Neapel (Yesuv) und Born (Filettino, die nähere Um¬ gebung Borns : Acqua acetosa — von hier das von Alessandrini er¬ wähnte Stück Prof. Mingazzini’s, Dank der Liebenswürdigkeit des letz¬ teren jetzt in meiner Sammlung — , Mte Pariolì, Vallo Lucano, ferner in den Pontinischen Sümpfen nahe beim Mte Circeo und bis ungefähr 1000 m. Höhe am 1900 m. hohen Mte Fanfilii) und vom Gran Sasso (Gestro) in den Abbruzzen. 7. Cychrus caraboides Linné. I. caraboides Linné (nec Fabricius) 1758, Syst. Nat. X, p. 418 (Tenebrio) ; Typ nicht in Linné’ s Sammlung zu London, confer Motschulsky 1858, Etnd. entom. VII, p. 136, sondern wahrscheinlich in De Geer’s Sammlung (Stockholm), iden¬ tisch mit dessen coadunatus — Illiger 1798, Verzeichn, d. Kaef. Preuss. p. 216/7 (Cychrus)', Bedel 1879, Faun. Col. bass. Seine p. 127; coadunatus De Geer 1774, Mém. hist. ins. IV, p. 97 n. 7, tab. 3 f. 13 (Carabus) ; rostratus Fabricius 1775, Syst. Entom. p. 240 n. 21 (Carabus)', Olivier 1789, Entom. Ill, Genre 35, p. 44 n. 46, tab. 4 f. 37 ; Fabricius 1794, Entom. syst. IV, Appendix p. 440 (Cychrus)', Skrift. Naturh. Selskabet III, Heft 2, Tab. VII, f. 4, p. 70 ; Fischer 1822, Entomogr. Buss. I, p. 81, tab. 7, f, 2 ; 1828, 1. c. III, p. 139 ; Dejean 1826, Spéc. gén. col. II, p. 8 n. 4 ; 1829, Iconogr. I, p. 260, pl. 28, f. 4; angustatus Heer 1837, Kaef. Schweiz I, p. 9 ; 1841, Faun. helv. p. 21 ; rostratus ß Schiödte 1840, Danmarks Eleuth. p. 286; rostratus b. Schaum 1856, Ins. Dtschl. I, Lief. 1, p. 185; rostratus Kraatz 1879, Dtsch. Ent. Ztsclir. p. 60 — 62 ; elongatus Thomson anterius (ex parte) 1868, Skand. Col. X, p. 289 ; rostratus Thoms, posterius 1886, Dtsch. ent. Ztschr. p. 31 ; rostratus Ganglbauer 1892, Kaef. Mitteleuropa I, p. 90. formae minores : a) var. convexus Heer 1837 1. c. ; simplex Megerle i. 1. Dejean 1837, Catal. III, p. 20 ; Ménétriés 1849, Mém. St. Pétersbg. T. VI, p. 26 ; elongatus Thomson anterius (ex parte) 1868, 1. c. ; pygmaeus J. Sahlberg 1873, Enum. Col. Carn. Fenniæ p. 62 ; sabaudus Fauvel 1882, Faun. gallo-rhén. II, p. 30 ; lapponicus Géhin 1885, Catal. Carab. p. 74 (irrtümlich = Sahlberg pygmaeus var. b, loc. cit. steht jedoch rostratus var. b. pygmaeus]). b) var. pygmæus Chaudoir 1837, Bull. Moscou P. Ill, p. 14; alpinus Par- reyss i. 1. Chaud. 1. c. ; granosus Megerle i. 1. Dejean 1837, Catal. III, p. 20 ; Dahl i. 1. Schaum 1856, 1. c., p. 187. II. subsp. rostratus Linné 1761, Faun. suec. Edit. II, p. 226 n. 823 (Tenebrio) — Typ Mus. Linnean Soc. London; Gyllenhall 1810, Ins. suec. II, p. 71; torulosus Fischer (nec Motschulsky) 1824, Entomogr. Boss. II, p. 44, tab. XL VI, f. 1 ; prymnaeus Fischer 1828, 1. c. III, p. 143, tab. 13, f. 4 (monstr. Fld-Spitze) ; elonga¬ tus Audinet-Serville 1821, Faun. franç., livrais. 1 u. 2, p. 56, pl. 4, f. 7 ; 1830, livr. 23, p. 58 ; Dejean (ex parte) 1826, Spéc. gén. col. II, p. 7 ; rostratus a Schiödte 1840, 1. c. p. 284, tab. 12, f. A; elongatus Heer (ex parte) 1841 1. c. ; Schaum (ex parte) 1856 1. c. p. 185 ; rostratus Thomson anterius 1868, 1. c. ; elongatus Thoms. posterius 1886, 1. c. ; elongatus Kraatz (exparte) 1879, 1. c., pyrenaeus Kraatz 1879, 1. c. p. 62; intermedius et elongatus Westhoff 1881, Kaef. Westf. p. 4. 216 Di HANS EOESCHKE forma major, longior : c) Hoppéi Ganglbauer 1892, 1. c. ; elongatus Hoppe (et Hornschuch) 1825, Nov. Act. Acad. Cæs. Leopold. XII, p. 479, tab. 45, f. B ; Dejean, Heer, Schaum, Kraatz ex parte 1. c. ; Apfelbeck 1904, Kaeferfaun. Balkanhalbins. I, p. 47 ; angustatus Dahl i. 1. Dejean 1837, Catal. Ill, p. 20 ; subcarinatus Megerle, Dahl i. 1. Dejean 1826 1. c. p. 7 ; alutaceus Sturm i. 1. 1826, Catal. Käfersammlg. p. 128. forma latior, brevior; cl) Costæ Emery 1872, Boll. Soc. ent. Ital. Ill, p. 60, tab. 2, f. 1 — Typen cf ? jetzt Mns. Universit. Born; rostratus Costa 1860, Fann. Regn. Napoli, Coleotteri II, p. 36; elongatus Costa 1. c. p. 37 ; rostratus Alessandrini 1897, Coleott. prov. Roma, Carabidæ p. 13. Schwarz, matt seidenglänzend. — Kopf schon vom hinteren Teile des Clypens an ziemlich dicht und grob punktirt, Punkte jedoch nicht runzlig zusammenfii essend ; Stirn gewölbt, Stirnfurchen nur vor den Fühlerinsertionen deutlich, neben den Augen nur noch schwache Ein¬ drücke, die auch nicht deutlich quer miteinander verbunden sind ; Augen weit vorragend, weiter als die Wangen, vorletztes Glied der Kiefertaster an und vor der Spitze nach innen zu mit 3— 4 ziemlich langen Borsten besetzt, letztes Glied, besonders beim cf , breit schaufel- oder löffelförmig. Fühler reichlich von halber Körperlänge, Glieder ziemlich lang, Glied 1 mit Endborste, 4 an der Spitze spärlich behaart. — Hlschd mehr oder weniger rechteckig oder oval, kaum herzförmig, meist länger als breit; Yorderrand schwach ausgerandet, meist nicht schwielig abgesetzt noch scharf umrandet, Vorderecken gerundet, dem Nacken anliegend, Seiten schwach oder mässig gerundet, zuweilen etwas vor der Mitte neben der Kandseta deutlich gewinkelt, dahinter schwach ausgeschweift und meist nur wenig verengt, mit breit verrundeten Hinterecken und nur schmaler, eigentlicher Basis, kaum breiter als die Stirn zwischen den Augen; der Seitenrand schmal und scharf erhaben, hinten und um die Hinterecken herum gewöhnlich stärker aufgebogen; Oberseite nur wenig gewölbt, meist nur in der vorderen Hälfte, dicht und grob runzlig punktirt, hauptsächlich an den Seiten, Mittelfurche scharf, hinter dem Vorderrande schwach, vor der Basis deutlich quer eingedrückt, Basallängseindrücke kaum wahrnehmbar. Epipleuren nach unten divergent, nirgends von oben sichtbar. — Fld in der Form stark variirend, lang oder kurzoval, nach den deutlich nach vorn gerundet oder bisweilen fast eckig vortretenden Schultern hin teils stark verschmälert, teils verbreitert erscheinend, hinten bei den cf cf mehr verrundet, bei den $ j mehr zugespitzt ; Aussenrand schmal aber scharf kielförmig aufgebogen, an den Schultern deutlich breiter und höher abgesetzt, vor dem Ende der Epipleureu schwach, dahinter zur Spitze etwas stärker ausgebuchtet, nie scharf winklig eingeknickt, wie bei C. italiens; Oberseite stark gewölbt, hinter dem Schildchen MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 217 deutlich eingedrückt, lederartig dicht körnig sculptirt, nach der Basis u vielfach deutlich punktirt durch runzliges Zusammenfliessen der Körnchen ; öfters treten auch 2 oder 3 feine primäre Längslinien auf, gebildet durch Verschmelzung stärker erhöhter und reihenartig geord¬ neter Körnchen ; Randborsten hinter der Mitte in stärkeren, warzenarti¬ gen Körnern inserirend. — Vorder-, Mittel- und Hinterbrust nebst ihren Anhängen und die Hinterhüften seitlich vorn grob und dicht punktirt, Seiten des Abdomens feiner und spärlicher ; Mesoepisternalleiste fast zur Hälfte verkürzt. Abdominalsegmente 3 bis 5 mit nur einer Borstenpore jederseits, ebenso Analsegment beim cf J gewöhnlich nur 1 SA ; seitlich neben der Analseta teils glatt, teils mehr oder weni¬ ger runzlig. — Vorder- und auch Mittelschenkel, besonders beim cf, bald mehr bald minder deutlich keulenförmig verdickt, vorn oben und unten mit Borstenporen, selten die oberen an den Mittelschenkeln fehlend; Hinterschenkel unten nie scharf gefurcht; Vorderschienen seit¬ lich glatt, bald gerade, bald leicht concav einwärts oder convex auswärts gekrümmt, Hinterschienen hinten völlig oder fast glatt, nicht runzlig rauh. cf 4 V ordert arsenglieder schwach erweitert, Sohle bald lang bürsten¬ förmig und wenig dicht beborstet, bald kürzer und dichter behaart, selten ganz kurz und fast schwammig; erstes Tarsalglied nur an der Spitze in 1U oder Vs seiner Länge pubescent. Diese Sohlenbekleidung ist sehr variabel und nur teilweise für die Rassen charakteristisch, also kein konstanter Factor zur Trennung in 2 Arten (confer Roeschke 1896, Dtsch. Ent. Ztschr. p. 337). Europäischer Continent vom Nord-Cap bis Neapel, von den Pyre- næen bis in die West-Provinzen Russlands und ausserdem in Gross¬ britannien; er .fehlt in dessen auf der iberischen Halbinsel, im äus- sersten Süden Italiens, in den Balkanstaaten südlich der Donau und östlich der Drina : Serbien, Bulgarien, Türkei, Griechenland, Montenegro, ferner in der Herzegovina und Dalmatien und auf den Inseln des Mittelländischen Meeres. — 12Vâ — -23: 5 Va — 83A mm. — Fossil im UnterPleistocän bei Hösbach in Baiern gefunden (siehe Anhang). Wenn auch der Typ des camboides L. nicht in Linne’s Sammlung sich vorfindet und sich dort auch nicht vorfinden kann, aus Gründen, die unten zur Erörterung kommen, so lässt doch die Beschreibung 1758 P c. : Tenebrio apter us, thorace ovali marginato, coleoptris carinatis. — Fn. suec. 595. Tenebrio ater, coleoptris pone rotundatis, maxillis pro¬ minentibus. Habitat in Europa. — [Fn. suec. Edit. I, 1746 p. 190 n. 595: Tenebrio atra ; coleoptris pone rotundatis ; maxillis prominentibus. De Geer. — Frisch, germ. 13 p. 27. t. 22. — Habitat — — — . Descr. Minor. Thorax ut in Carabis. Femora clavata maxillae capitis longi- 218 DS HANS BOESCHKE tudine, cum in praecedenti breviora.] — schwerlich irgend eine andere- Deutung zu als auf die Gattung Cychrus und entspricht in jeder Beziehung der vorliegenden Art : die Kopfform würde auf keine Heteromere und kaum auf eine Carabicide passen, gegen letztere würde wieder die Form der Fld sprechen, die seitlich «gekielt» sein sollen, da Linné die breiten Epipleuren nicht als Appendix ansah, sondern für Seiten der Fld hielt, wie die Beschreibung des rostratus 1761 beweist: elytris uniangulatis — nec carinatis praeterquam latere. Das Citat «Frisch, germ, etc.» ist völlig verfehlt, da p. 27 Blaps mortisaga beschrieben und t. 1 1 Broscus cepha- lotes abgebildet ist, wie Linné bei den genannten Coleopteren auch ganz richtig citirt. Auch De Geeb hat den Ten. caraboides Linné schon als Synonym zu seinem Carab. coadunatus gestellt, welcher der Abbildung nach zweifelsohne zu ein und derselben Art wie rostratus L. gehört. Eine vollkommen einleuchtende Erklärung, dass De Geeb Recht hatte, wenn er beide vereinigte, hat bereits Illigeb gegeben : Die Beschreibung des caraboides in der Editio II, der Fauna Suecica ist wörtlich der Editio I entnommen, wo allein noch der «primus tenebrio» (Blaps mortisaga) mit in dieser Gattung steht, und gleich hinter der Art¬ charakteristik findet sich der Name «De Geer», ein Umstand von gröss¬ ter Wichtigkeit. In der Ratio operis dieser ersten Ausgabe führt Linné alle diejenigen auf, durch die sein Werk irgendwie gefördert worden, er hält eine grosse Lobrede auf De Geeb bezüglich dessen ganz fun¬ damentaler Insectenkenntniss nebst ausgezeichnetem Blick besonders für Artcharaktere, dem selbst er — Linné — sich öfters untergeordnet habe ; und schliesslich giebt er einen Johann Leche M. D. an, der ihm freiwillig seine Sammlung geschenkt habe. Ganz bezeichnender Weise ist nun in den allermeisten Fällen De Geer’s Name, der sehr häufig wiederkehrt, gleich hinter der Artcharakteristik oder Diagnose aufge¬ führt, ganz im Gegensatz hierzu der Name aller übrigen, hauptsächlich seine ehemaligen Schüler und sehr häufig der obengenannte Dr. Leche, ganz regelmässig und, nur in wenigen Fällen, ausnahmweise auch De Geeb, erst hinter der Yaterlandsangabe. Dieser Gegensatz ist nur so zu erklären, dass die Arten mit dem Namen De Geeb’s zum min¬ desten nicht in Linné’s Sammlung damals vorhanden waren, sondern in De Geer’s und dass Linné höchstens die Beschreibungen geliefert hat, unter Nennung des Besitzers der typischen Stücke. Wahrschein¬ lich ist sogar De GEEr auch als eigentlicher Autor dieser Beschreibun¬ gen anzusehen, wie ja vielfach Linné’s Schüler ihn bei seinen Arbeiten unterstützt haben. Dass De GEEr diese Mitarbeit und Autorschaft später¬ hin nicht kundgab, würde nur seiner von Linné so gerühmten «edlen Grossherzigkeit» entsprechen, dass «er ganz selbstlos all sein Wissen aus. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 2 19 freien Stücken dem Wissbegierigen zugänglich machte». Würde Linné auch Insecten ihm verdanken, so hätte er ganz sicher dies in der Lobrede erwähnt, aber in seinen späteren Werken spricht er bei Aufzählung der Sammlungen, die ihn besonders unterstützt haben, stets vom «Museum De Geer.» Citate gleich hinter der Artcharakteristik bezeichnen regel¬ mässig die Quelle, der Linné diese entnommen : eine frühere Arbeit Linné’s oder das Manuscript einer späteren ; in der Editio I der Fauna Suecica steht nun in gleicher Weise recht häufig «De Geer», so dass die Vermutung von dessen Autorschaft recht nahe liegt. Es ist somit anzunehmen, dass Linné, bei der Beschreibung seines rostratus nach 15 Jahren sich des caraboides nicht mehr erinnerte, da er ihn in seiner Sammlung nicht besessen, oder an ihn gar nicht dachte, da er ihn vielleicht nie gesehen; denn dass Linné seinen rostratus, den er wahrscheinlich erst nach dem Erscheinen der Syst. Nat. Ed. X. reformat, erhalten hat (weil dort nicht aufgeführt)) nicht auf den längst beschrie¬ benen caraboides bezog, will bei der Dürftigkeit der Beschreibung und dem damaligen geringen Verkehr der Autoren untereinander kein Wunder nehmen; hat doch De Geer noch 1774 den schon 1758 beschriebenen Carabus ( Procrustes ) coriaceus L. auf glabratus gedeutet und die 1761 beschriebenen Car. clathratus und hortensis L. unter den Namen aeneo- punctatus und striatus als neue Arten gebracht ! Caraboides hat natür¬ lich Priorität, da 3 Jahre vor rostratus publici rt. De Geer war auch der erste, der die Carabiden-Natur des « Tenebrio » caraboides erkannte, er nahm die Umtaufung in coadunatus vor zur Vermeidung des widersinnigen Namens Carabus caraboides ; ganz be¬ zeichnend wählte er für den Namen des neuen Carabus den Haupt¬ charakter des alten Genus Tenebrio (Linné 1748, Syst. Nat. Ed. VI, 58 : Antennæ filiformes — Elytra coadunata — Alæ nullæ). Es liegt also der Fall vor, dass Linné wirklich ein und dieselbe Art zweimal beschrieben hat. Fabricius und andere Autoren haben eine Doppelbeschreibung entweder gar nicht in Betracht gezogen oder ne¬ gieren zu müssen geglaubt, da nach ihrer Ansicht die von Linné dem caraboides zugeschriebenen Charaktere nicht auf dieselbe Art wie rostratus zutreffen. So hat Fabricius ihn auf Trogosita mauritanica bezogen, was der Beschreibung nach gänzlich ausgeschlossen ist und Ganglbauer wyar im Zweifel, ober er ihn nicht mit Stomis pumicatus iden- tificiren solle. Diese Irrtümer resultiren hauptsächlich aus der falschen Auslegung des LiNNÉ’schen Ausdrucks «coleoptris carinatis» und der Bezugnahme von «minor» auf andere, erheblich kleinere Arten, die Linné in späteren Werken zwischen mortisaga und caraboides ein¬ schob, ohne wesentliche Änderung der ersten Beschreibung vorzunneh- V>1 HANS EOESCHKE 520 men. Wie schon oben erwähnt, waren ursprünglich nur diese beiden Arten bekannt und ihre Gegenüberstellung klärt sofort die sogenannten Unstimmigkeiten jener Caraboides - Beschreibung völlig auf : daher «minor», daher «coleoptris carinatis» (latere) und «pone rotundatis» (apice, im Gegensatz zu «acuminatis» bei mòrtisaga). Andererseits sprechen beide Beschreibungen, des caraboides und des rostratus , dafür, dass ihnen beide in Schweden vorkommende For¬ men der Art zu Grunde gelegen haben; caraboides und rostratus ent¬ sprechen den beiden Hauptformen, in die die Art einzuteilen ist; jede Hauptform zerfällt dann wieder in 2 Unterrassen, I. caraboides L. (rostratus der Entomologen im allgemeinen) : Belativ kleiner als die rostratus- Basse, kürzer, gedrungener und ge¬ wölbter, Oberseite schwach glänzend, Körnelung weniger scharf aus¬ geprägt, verschwommen, Körnchen zusammenfliessend und dann dazwi¬ schen mehr oder weniger runzlig punktirt. - — Hlschd wenig oder gar- nicht länger als breit, mehr oval, Seiten vorn gerundet, vor der Mitte kaum gewinkelt, mehr verrundet, nach hinten kaum oder sehr wenig aafgebogen, an den Hinterecken einfach verrundet, Quereindruck vor der Basis mässig tief. — Fld hoch gewölbt, meist kurzoval, nur bei den cf cf bisweilen vorn stark verengt und hinten breit gerundet, bei den $ 5 mässig zugespitzt. — Analsegment neben der Analseta fast oder ganz glatt. — Vorderschenkel, besonders beim cf , deutlich keulenförmig verdickt, Vorderschienen vorn meist deutlich convex gekrümmt, seltener gerade. (Linné : thorace ovali, femora clavata. cf Vordertarsen gewöhnlich dicht bürstenförmig besohlt, Börstchen meist kurz, fein und sehr dicht, so dass sich statt der bürstenförmigen fast schwammige Besohlung vorfindet, 1. Glied in Vs oder fast Vs seiner Länge pubescent. Im mittleren und nördlichen Schweden, in Norwegen, im süd¬ lichen Dänemark, in ganz Frankreich mit Ausnahme des Nordostens, in der Schweiz — nach Heer bis zu 7000' Höhe — , in Italien, Oester¬ reich, Ungarn, Deutschland, im westlichen Bussland von Lappland bis Polen und in Bumänien. 15 Vs — 20 : 6 Vs — 8 mm. Diese Basse hat die grösste Ausbreitung und ist im allgemeinen der rostratus der deutschen und französischen Entomologen ; wohl aus Versehen hielt Thomson ihn zuerst für elongatus , denn später ver¬ besserte er selber seinen Irrtum. Exemplare mit ziemlich schmalem Hlschd bilden den angustatus Heer. Formae minores: Alle Charaktere des caraboides treten verstärkt hervor; Körnchen häufiger runzlig zusammenfliessend, daher Oberfläche glänzender, noch glatter, bei seichterer Bunzelung und feinerer Punk- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 1 tirang, dagegen rauher, granulirter, bei tieferer Runzelung und gröberer Punktirung, Runzeln und Punkte mehr oder weniger deutlich reihig angeordnet ; primäre Linien treten häufiger und stärker hervor. a) var. convexus Heer. In Gestalt ein kleiner, gedrungener cara- boides ; Hlschd breit und ziemlich kurz, vorn mässig gewölbt, nach hinten wenig eingezogen, Fld breit, kurz gedrungen, meist auch beim cT vorn ziemlich breit. Beine verhältnismässig wenig kürzer als bei cara- boides. 14 — 17 : 6 — 7 mm. Hoch in den Gebirgen Deutschlands, in den Alpen Oesterreichs (simple:*; Meg. i. 1.), besonders den Westalpen der Schweiz (Ober-Engadin, Tessin), Frankreichs (sabaudus Faüvel) und Italiens (Yal Piora, Valom- brosa etc.), aber auch in Finnland und Lappland (pygmaeus Sahlberg = lapponicus Géhin). Sabaudus Fauvel ist gegründet auf Exemplare mit ziemlich glatter, nur zerstreut punktirter und gerunzelter Scheibe des Hlschdes, ein Merkmal, das nicht an Exemplare Savoyens gebunden ist und just so bei Stücken von anderswo zur Beobachtung kommt; es ent¬ steht durch Verschmelzung sich verflachender Runzeln ; in seltenen Fällen tritt diese Glattheit mit zerstreuter Punktirung auch auf dem Kopf auf und zeigt sich in geringen Anfängen selbst auf der Scheibe der Fld. Solch Exemplar, dessen Kopf und ganzes Hlschd wie glatt polirt er¬ scheint mit zerstreuter Punktirung, befindet sich in meiner Sammlung: Hohes Rad, Riesengebirge. b) var. pygmæus Chaudoir. Klein und schlank, besonders die c? vorn an den Schultern sehr verschmälert, hinten breit und kurz ge¬ rundet ; Hlschd schmal, oval, nach vorn etwas verbreitert und hoch gewölbt, nach hinten eingezogen, Seitenrand ganz niedrig, gar nicht ausgeflacht, hinten kaum aufgebogen, Hinterecken einfach ve mindet, Basalquereindruck seicht ; Fühler und Beine oftmals sehr kurz, Schenkel stark keulenförmig. 12 Va — 16 Va : 5 — 6 Va mm. Karpathen (typischer Fundort) Ungarns, Polens, Siebenbürgens und Rumäniens, Hohe Tátra, die Alpen Oesterreichs (besonders Wiener Schneeberg), Bayerns und der Schweiz, hier jedoch seltener (Albula), ferner häufig am Glatzer Schneeberg und im Riesengebirge (Spindel¬ mühle etc.), alpin, anscheinend erst von 4000' und darüber ; ausserdem im nördlichen Schweden und Norwegen (elongatus Thoms, olim). Exem¬ plare aus den Karpathen zeichnen sich vielfach durch grobe und rauhe Granulirung der Fld aus. II. subsp. rostratus Linné. Im allgemeinen gestreckt, Oberseite ziemlich matt, mit meist gröberer, schärfer von einander getrennter Körnelung der Fld. — Hlsch meist viel länger als breit, rechteckig oder sechseckig, Seiten nach vorn schwach gerundet, leicht stumpf gewinkelt D? HANS ROESCHKE 222 vor der Mitte, nach hinten schräg mehr oder minder verengt, Eand deutlich höher, hinten mit hoch aufgebogenen Hinterecken, die bis¬ weilen schwach lappenförmig die schmale Basis überragen, vor letzterer Basalquereindruck tief und breit ; Scheibe vorn nur schwach gewölbt. — Bid lang eiförmig in beiden Geschlechtern — oder auch in der italieni¬ schen Basse bauchig — , hinten mehr oder weniger zugespitzt (Linné: « Thorax valde angustus , elytra panctis vix conspicuis confertissimis » = granulosa). — Analsegment seitlich neben der Analpore mehr oder weniger gerunzelt. — Yordertibien meistens vorn gerade oder schwach concav gekrümmt, in Ausnahmefällen jedoch auch leicht convex. — 16'Va — 21 : 6V2 — 8 mm. c? Vorderschenkel gewöhnlich nur schwach keulenförmig verdickt, Vordertarsen sehr wenig erweitert, unten mit mehr oder minder unvoll¬ kommener, nicht dichter, langer Bürstenbekleidung, 1-stes Tarsalglied nur an der Spitze dünn bebürstet. Im südlichen Schweden, Provinz Schonen, im nördlichen Däne¬ mark, in England, im nordöstlichen Frankreich, in den Pyrenäen ( pyre - naeus Krtz, beschrieben als kleiner elongatus, also = rostratus L.), in Piemont (Mte Viso, Col della Traversera), in der Schweiz (nach Heer — elongatus Heer ex parte — im Hügelland in einer Höhe von 1000 bis 2000', Dübendorf im Canton Zürich, Bern, Genf, Mte Generoso), im südlichen Ungarn (Mehadia, Siebenbürgen), Volhynien (torulosus Fischer) und stellenweis im nördlichen Deutschland (bei Münster in Westfalen und im Brieselang-Forst nordwestlich Berlin). c) var. Hoppei Ganglb. (forma major, longior — elongatus Hoppe et auctorum). Gross und lang gestreckt, alle Bassencharaktere noch schärfer ausgeprägt, Seitenrand des langen Hlschd deutlich gewinkelt, wenn auch stumpf und hinten hoch aufgebogen. Vorderschenkel des cf kaum ver¬ dickt, Tarsensohle lang und dünn bebürstet. 19 — 23 : 7 — 83A mm. . Kärnthen, Steiermark, Krain, Tirol, Istrien, selten in der Schweiz, nicht selten im südlichen Ungarn (alutaceus Sturm) und in Siebenbür¬ gen (Kerzeschora, Götzenberg), sehr selten in Bosnien (Umgebung von Sarajevo). Exemplare mit deutlichen primären Streifen sind subcarincitus Meg. i. 1. De jean. d) var. Costæ Emery. Im ersten Augenblick scheint diese Lokal¬ rasse Süditaliens ganz abweichend von der Subspezies rostratus L. zu sein und eher zu caraboicles L. zu gehören, infolge der gedrungenen und oft bauchigen Gestalt, indess die Charaktere des Hlschd und hauptsäch¬ lich der Vorderschenkel beim cf stellen sie zur ersterwähnten Subspezies. Emery glaubte eine selbständige Art vor sich zu haben, die zwischen italiens und caraboides (rostratus) stände, aber nach der Beschreibung MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 223 ist es sicher nur eine sehr breite, kurze und gedrungene Form des letzteren: ziemlich klein, gedrungen; Hlschd etwa so breit als lang oder deutlich breiter, Seiten ein wenig vor der Mitte stumpf gewinkelt, dann schräg nach hinten verengt, Seitenrand in seiner ganzen Länge aufgebogen, besonders jedoch vor der Basis, mit tiefem Basalquereindruck; Fld mehr oder minder breit und kurz, hoch gewölbt, mit scharf ab¬ gesetztem Aussenrande. Vorderschenkel «einfach» in beiden Geschlech¬ tern, d. h. beim cf nicht oder schwach verdickt. Prof. Emery fand zwei Exemplare auf einem schattigen Hügel bei Neapel, 2 weitere Stücke hatte Prof. A. Costa in den Abruzzen erbeutet. 16 — 19 mm (1 cf 3 ? ). Meine Hypothese stützt sich noch auf 3 weitere Exemplare, die mir liebenswürdigst von Herrn Dodero zu Sturla bei Genua eingesandt wurden. Dodero verdanke ich auch die Nachprüfung der beiden Typen Costa’s — leider nicht auch der beiden Typen des Costae Emery, doch hat ja Emery seine Exemplare für identisch mit denen Costa’s erklärt, die sich jetzt im Museum zu Neapel befinden; Dodero fand alle Cha¬ raktere vor, die ihm von mir als typisch für caraboides (subsp. rostratus) angegeben Avarén, im Gegensatz zu italiens. Costa unterscheidet wohl¬ weislich seine beiden Stücke nach der Ausbildung des Hlschdes und nennt das eine rostratus , das andere elongatus. Sein rostratus ist nach Dodero etwas glänzender, besonders auf den Eid., Hlschd nicht deutlich gewinkelt, hinten weniger verengt, Fld mit grober Granulirung, aber ohne Primärstreifen in der basalen Hälfte, während sein elongatus matt schwarz und sehr grob granulirt ist und das Hlschd seitlich scharf gewinkelt, die breiten Fld deutlich primär gestreift hat. Dem rostratus Costa entspricht vollkommen das Stück, von dem Alessandrini (1. c.) spricht als dem einzigen rostratus , der in der Umgegend Borns ge¬ funden sei durch Prof. Mingazzini, und der jetzt, dank des letztgenannten Liebenswürdigkeit, sich in meiner Sammlung befindet. Es ist ein kleiner rostratus (1672 mm.) mit kurzem Hlschd und kurzen Fld, der den Über¬ gang zum echten Costae Emery — elongatus Costa — vermittelt und zu dem er in demselben Verhältnis steht wie rostratus zu Hoppei. Einen eigenen Namen für diese Zwischenform aufzustellen halte ich für ganz unangebracht. Die oben erwähnten, von Dodero eingesandten drei Exemplare — alle, die ihm aus seiner und seiner Freunde grossen und reichen Sammlungen bekannt waren ! - — stimmen mit Emery’s Beschrei¬ bung gut überein. Hlschd viel breiter als bei der typischen Form, stumpf viereckig oder fast kreisrund, besonders beim 5 , Seitenrand hoch aufgebogen, hinten stärker erhöht; Fld kurz, bauchig und hoch¬ gewölbt, mit gut ausgeprägten primären Streifen oder Rippchen ; Vorder¬ schenkel des einzigen, mir vorliegenden cf, wenn auch sehr wenig, so 224 DE HANS ROESCHKE doch noch deutlich verdickt, Vordertarsen lang zottig behaart, nicht schwammig besohlt. 18 — 20Va : — 8V2 mm. — cT Nemi (Collect. Luigioni), ç mit mehr quadratischem Hlschd ; Monna Farcina (Collect. Luigioni), p mit fast kreisrundem Hlschd; Filettino Moscosa (Coli. Dodero). Nach dem sehr geringen Material zu urteilen, das bisher bekannt geworden, kommt die Basse äusserst selten vor. G. Thomson ist der Entdecker der Tibial- und Analcharaktere, aber seine Ansicht der Trennung hiernach in zwei Arten wird hinfällig durch die, wenn auch nicht häufige Inconstanz der Charaktere. Dieser Autor glaubte auch einen verschiedenen Penischarakter bei beiden Haupt¬ formen konstatiren zu können. Nach ihm ist (1. c. 1886) die Forceps- spitze bei rostratus (seinem elongatus) «kurz und breit, oben ganz eben, unten mit einer seichten Furche versehen»; caraboides (sein rostratus) «hat dieselbe Spitze länger und schmäler, mehr gebogen, oben mit einer scharf markirten, nicht breiten Furche versehen und die untere linke Seite ist etwas aufgetrieben.» Eine Anzahl Penis der verschiedenen Bassen aus verschiedenen Lokalitäten zeigt auch hierin die grösste Variabilität: Die Spitze ist bei Flachlandstücken zum Teil recht stumpf und kurz, z. B. bei der rostratus- Form von Brieselang bei Berlin, da¬ gegen bei den Gebirgsformen oft recht lang und schmal zugespitzt, bei Hoppei sowohl wie bei pygmaeus ; ebenso veränderlich ist die Furche innen an der Spitze («unten») an Länge, Breite und Tiefe, während z. B. bei rostratus von Brieselang, England und Italien etc., die Furche meist nur kurz und breit, aber bald seicht, bald tief ist, ist sie bei einem Mehadia-Exemplar seicht aber sehr lang, bei Hoppei viel länger, schmäler und tiefer, also auch schärfer, oft bis über die Hälfte der Innencurvatur reichend. Bei caraboides von Berlin ist die Furche gewöhnlich seicht, aber deutlich von der Spitze bis über die Mitte gehend, bei einem kleinen caraboides Ç von Tirol, das schon der con¬ vexus- Form angehört, scharf in der ganzen Innencurvatur; bei einem echten pygmaeus aus den Karpathen dagegen verkürzt, nui im api- calen Drittel sichtbar, aber tief und scharf, bei anderen pygmaeus - Exemplaren wieder weit über die Mitte des Penis verlängert. Also ist, wie in so vielen Fällen, der Penis-Charakter auch hier- nicht zur Arten¬ differenzierung zu gebrauchen. C. caraboides lebt wie die übrigen Arten von Schnecken, ver¬ schmäht aber keineswegs Begenwürmer, Baupen etc. Über seine Ent¬ wicklungsstadien sowie über seinen Stimmaparat siehe den allgemei¬ nen Teil. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 225 8. Cychrus seriatus mihi, n. sp. Mattschwarz, fast grau. Clypeus glatt, Stirn zwischen den Fühlern hoch gewölbt, vorn zerstreut, hinten dicht und grob punktirt, seitlich mit tiefen Stirnfurchen, die sich zwischen den Augen bogenförmig in einem tiefen Quereindruck vereinigen; keine Einschnürung hinter den Augen, Kopf in den Nacken hinein allmählig sich verdickend, grob und dicht punktirt. Kiefertaster unbeborstet. Fühler ungefähr von hal¬ ber Körperlänge, Glieder ziemlich schlank. — Hlschd trapezförmig, vorn kaum ausgerandet, Vorderrand scharf abgesetzt, schwielig verdickt, Vor¬ derwinkel gerundet, Kandseta in der Mitte vorhanden, Seiten niedrig und schmal wie bei caraboides gerandet, auch hinten nicht erhöht, noch ausgeflacht, vorn mässig gekrümmt, grösste Breite hinter dem ersten Drittel, nach hinten schräg verengt mit nur ganz schwacher Schweifung dicht vor den nur wenig stumpfwinkligen Hinterecken, die nicht gerade stumpf sind, aber auch nicht vorragen, Basis ganz gerade; Scheibe mässig gewölbt, grob und dicht runzlig punktirt, hinter dem schwieligen Vorderrande ein kleiner aber tiefer, dreieckiger Eindruck, der durch die feine tiefe Mittellinie mit dem starken Basalquereindruck ver¬ bunden ist; Basalseiteneindrücke kaum angedeutet. — Fld langgestreckt, oboval, grösste Breite vor dem letzten Drittel, in den verrundeten Schultern ziemlich schmal, Spitze völlig gerundet, Aussenrand schmal aber deutlich abgesetzt, an der Basis ohne Biegung oder Knickung, vor und nach dem hinteren Epipleuralende nur ein wenig abgeschrägt, nicht ausgeschweift; Oberfläche vorn mässig, hinten stärker gewölbt, zur Basis, Spitze und Seite ziemlich steil abfallend ; oben etwas ab¬ geflacht, allmählig von vorn nach hinten ansteigend, dicht und un¬ regelmässig gekörnt, Körnchen klein, schwach glänzend, vom ganz matten Grunde sich abhebend, mit 3 deutlichen primären feinen Streifen, zusammengesetzt aus grösseren, mehr länglichen und höheren Körn¬ chen, die indessen nicht zu Tuberkeln sich auswachsen ; secundäre Beihen schwächer und kleiner, teilweise fehlend. — Epipleuren vorn nicht umrandet, grob punktirt, wie das Prosternum, das vor und zwi¬ schen den Vorderhüften kielförmig zusammengepresst, in den stark auf¬ wärts gekrümmten Fortsatz ausläuft. Mesoepisternalleiste deutlich ver¬ kürzt ; Seiten des Meso- und Metathorax seicht und spärlich punktirt, Abdomen glatt, Segmente 3—5 jederseits mit einer Borstenpore versehen. 1 SA. — Vorderbeine auffallend kurz und kräftig im Vergleich zu den viel schlankeren und längeren Hinterbeinen; Vorder- und Mittelschenkel stark keulenförmig, die ersteren nur wenig mehr denn halb so lang als die Hinterschenkel (3% : 6 Va mm.), diese unten nicht gefurcht; Annales Musei Nationalis Hung arici. V. 15 22f> Dl HANS ROESCHKE Yorderschenkel vorn oben und unten, Mittelschenkel nur unten be- borstet. cf (Unicum) mit 3 erweiterten Vordertarsengliedern, unten be¬ sohlt, davon die ersten beiden ziemlich breit, das 3. Glied kaum breiter als das 4-te, das nur an den Bändern mit langen und dichten Borsten bekleidet ist. Thibet. 21 : 8 mm. 9. Cychrus Hemphillii Horn. 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. VII, p. 184 — Typ : Museum der Academie zu Philadelphia. subsp. Rickseckeri Leconte 1884, Nov. 4, 1. c. XII, p. 2 — Typ in Leconte’s Coll. Mus. Compar. Zoology, Cambridge, Mass. Schwarz, ziemlich glänzend. Kopf mit deutlichen Stirnfurchen, die bis zu den Augen sich hinziehen und sich hier in einer schwachen Vertiefung vereinigen; Stirn zwischen den Furchen deutlich gewölbt; Kopfschild fein und zerstreut punktirt, Stirn vor den Augen grob punktirt, Punkte in den Furchen und zwischen den Augen sehr dicht und runzlig zusammenfliessend, wodurch der schwache Eindruck zwischen den Augen tiefer erscheint; Hinterhaupt merklich verdickt, ziemlich kugelig, oben grob, aber mehr zerstreut punktirt; Wangen kaum weiter vorragend als die mässig vorspringenden Augen, Kiefertaster unbeborstet ; Fühler kaum die Mitte des Körpers erreichend, Glieder kurz und ziem¬ lich dick, 4-tes Glied an der Spitze nur spärlich behaart. — Hlschd herzförmig, breiter als lang, vorn deutlich ausgerandet, mit scharf ab¬ gesetztem, leicht schwielig verdicktem Vorderrande, der wenig schmäler ist als die schwach geschwungene, fast gerade Basis; Seiten vor der Mitte stark gebogen, nach hinten sehr schwach geschweift, fast schräg verengt, Vorderecken ziem] ich gerundet, deutlich vorspringend, Hinter¬ ecken stumpfwinklig, nicht abgestumpft, schwach vortretend ; Seiten¬ rand schmal, niedrig, vorn wie hinten gleichmässig aufgebogen, mit Mittelrandseta ; Oberseite merklich gewölbt, seitlich nicht ausgeflacht, grob und dicht runzlig punktirt, besonders an den Bändern; Mittel¬ furche schwach und nicht tief, hinter dem Vorderrande ein schwacher dreieckiger Eindruck, vor der Basis tieferer Quereindruck, der seitlich bis zu den Bändern sich ausdehnt ; Basalseiteneindrücke fehlen. — Fld verkehrt eiförmig, hinten etwas zugespitzt, grösste Breite hinter der Mitte, Aussenrand sehr schmal, vor der Basis winklig nach innen ge¬ schweift, vor der Spitze kaum ausgebuchtet; Oberseite stark gewölbt, um das Schildchen herum nicht niedergedrückt, an den Seiten und zur MONOGRAPHIE DER CYOHRINI. 227 Spitze steil abfallend, fast senkrecht ; Scheibe (beim $ ) etwas abgeflacht, Oberseite grob lederartig granulirt, ziemlich glänzend, ohne matten Grund, d. h. Körnchen flach von unregelmässiger Gestalt und Stellung, stossen hart aneinander ohne Zwischenräume; Körnchen an den Seiten und zur Spitze klein und scharf begrenzt, zur Basis und Naht grösser und vielfach zusammenfliessend in der Längsrichtung; mehr oder we¬ niger deutlich treten . 3 primäre Reihen etwas grösserer Tuberkeln her¬ vor, die gewöhnlich hinten zwischen den kleineien Körnchen sich stärker markiren ; es kommen jedoch bisweilen auch secundäre Körnchen¬ reihen teilweise zum Vorschein. — - Epipleuren vorn nicht scharf umrandet; die convergir enden Epipleuren der Vorderbrust und das ganze Proster¬ num grob und zerstreut punktirt, das letztere in der Mitte vor und zwischen den Vorderhüften kielförmig zusammengepresst, nach vorn etwas ausgefurcht. Mesoepisternalleiste merklich verkürzt, Seiten des Meso- und Metathorax ziemlich fein und wenig punktirt, dagegen die Seiten des Abdomens ziemlich dicht und grobrunzlig ; bisweilen zieht sich die Punktirung streifenförmig quer über die ganzen Abdominal¬ segmente, vorn und hinten je einen ziemlich breiten Streifen frei¬ lassend, wodurch das Vorhandensein von Ventralstrigen vorgetäuscht wird; Abdominalsegmente jederseits mit 1 Borste, aber 2 SA (nur j ge¬ prüft !). — Schenkel etwas keulenförmig verdickt, besonders die vorderen, die auf der Vorder* wie auf der Rückseite oben und unten Borsten auf¬ weisen, die mittleren dagegen nur vorn unten; Hinterschenkel unten weder scharf noch deutlich gefurcht, Hinterschienen rauh, oben punktirt, unten runzlig. cf Vordertarsen einfach. Der Beschreibung lag nur 1 $ der Rasse Rickseckeri zu Grunde, das meine Sammlung der Liebenswürdigkeit Mr. H. F. Wickham’s ver¬ dankt. Nach Di*. Van Dyke’s Ansicht und den Beschreibungen von Horn und Leconte, sind Hemphülii und Rickseckeri artlich nicht zu trennen, sondern zweifelsohne Rassen einer Art. a) Hemphülii Horn: forma minor, 15 — 18 mm. Von primären Tuberkelreihen sind nur schwache Spuren vorhanden, nur einige wenige kleine Tuberkeln an der Declivität treten deutlicher hervor, Punktirung des Abdomens anscheinend meist nur seitlich. — Wahsatch Mts bei Ogden, Utah (Originalfundort) und, nach Van Dyke, auch Wyoming. b) subsp. Rickseckeri Leg.: forma major, 17 Vs — 23 mm. Primäre Tuberkelreihen deutlicher, bisweilen auch secundäre, Punktirung des Abdomens scheint ausgedehnter zu sein, teilweise auch in der Mitte vor¬ handen, sich quer über die Segmente hinziehend. — Clarks Ford, Bitter ' Root Mts, Montana und Idaho, und Coeur d’Alene Mts, Idaho («gefun- 15* 228 DS HANS ROESCHKE den längs der Niederungen, die den Spokane River begrenzen und in dem Tal des kleinen Baches, der den Ausfluss des Trout Lake bildet» r Wickham 1897, Ent. News VIII, p. 166). Ende Juni bis Anfang August. 10. Cychrus tuber culatus Harris. 1839, Boston Journ. II, p. 200 — Typ verloren gegangen ; Walker 1866, LordV Tlie Naturalist in Vancouver Island and British Columbia, II, Appendix p. 309 ; Leconte 1857, Beports of exploration and Surveys for a railroad route from the Missisippi River to the Pacific Ocean, Vol. IX. Book II, P. Ill, No 1, p. 29, t. I,, f. 6; 1868, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. II, p. 61; Horn 1878, 1. c. VII, p. 184 C. pustulosus Casey 1905, Canad. Entomologist XXXVII. No 5, p. 160. Schwarz, ziemlich matt. Kopf mit flach gedrückter Stirn, dicht und grobrunzlig punktirt in den breiten Stirnfurchen und der breiten queren Vertiefung zwischen den Augen, die bis zum hinteren Augen - rand reicht, vorn bleibt nur der Clypeus mehr oder weniger frei und glatt, ebenso auch oft die Mitte der Stirn zwischen den Fühlerinsertionen und vor den Augen, die als schmaler und ziemlich kurzer Wulst oder gar wie ein Tuberkel vorspringt ; hinter den massig und fast so weit wie die Wangen vor springenden Augen deutliche Einschnürung, dahinter Hinterkopf und Nacken ziemlich kugelig aufgeblasen und oben grob punktirt, doch Punkte nicht runzlig zusammenfliessend ; Kiefertaster ohne längere Borsten, höchstens zuweilen an der Spitze ein ganz kurzes und kaum sichtbares Härchen ; Fühler kurz, nur von halber Körper¬ länge oder noch kürzer, die Glieder klein und ziemlich gedrungen, 4-tes Glied an der Spitze mit einigen kurzen Börstchen besetzt. - — Hlschd herzförmig, so breit als lang oder breiter, vorn ungefähr so breit wie hinten, Vorderrand schwach ausgerandet, schwielig verdickt, mehr oder weniger scharf abgesetzt, Vorderecken wenig vorgezogen, gerundet, Seiten vorn stark gebogen, nach hinten verengt mit mehr oder weniger deutlicher Schweifung, in selteneren Fällen fast schräg, zur Basis ge¬ wöhnlich parallel oder bisweilen ganz deutlich divergent, oder aber, wenn auch nur selten, convergent; je nachdem sind die leicht abwärts gebogenen Hinterwinkel rechtwinklig oder leicht spitzwinklig und nur selten stumpfwinklig; Basis schwach ausgerandet, Seitenrand niedrig,, vorn wie hinten gleichmässig aufgebogen; Randseta etwa in der Mitte; Oberseite seitlich kaum ausgeflacht, Scheibe wenig gewölbt, fast flach, äuSserst grobrunzlig punktirt, Mittelfurche schwach markirt, hinter dem Vorderrande schwach, vor der' Basis deutlicher quer eingedrückt; Epi¬ pleuren convergent, von oben nicht sichtbar. — Fld oval, hochgewölbt, Scheibe etwas abgeflacht beim $ ; auf mattem grauschwarzem Gründe A Primärreihen grosser, glänzender Tuberkeln, die besonders hinten am MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 229 Absturz der Fid stark hervorragen, zur Basis und Naht hin meist leicht abgeflacht sind; die secundären Reihen haben bedeutend kleinere, aber deutlich markirte Tuberkeln, dazwischen stehen sehr kleine, unregel¬ mässig zerstreute Körnchen, die nicht dicht gestellt, nur hin und wieder einander berühren oder gar zusammenfliessen und sich stets deutlich won dem umgebenden matten Grunde durch ihren Glanz abheben ; Aussenrand nur schmal abgesetzt, vor der Basis scharfwinklig einwärts gekrümmt,’ vor der Spitze kaum etwas geschweift. — Epipleuren an der Schultererweiterung nicht scharf umrandet, Prosternum grob aber nicht dicht punktirt, vor und zwischen den Yorderhüften mässig kielförmig .zusammengepresst und deutlich ausgeflacht oder ausgehöhlt zum Vorder¬ rande hin. Mesoepisternalleiste deutlich verkürzt; Mesothorax wenig, Metathorax deutlicher, Abdominalseiten dicht und grobrunzlig, fast bis zur Mittellinie punktirt; Abdominalsegmente jederseits mit einer Borste, cf 5 unregelmässig 1—2 SA, gewöhlich nur 1 SA. — Vorderschenkel schwach keulenförmig verdickt, oben und unten auf der Vorder- und Rückseite mit Borstenporen, Mittelschenkel gewöhnlich nur unten, manchmal auch oben beborstet; Hinterschenkel bisweilen unten be- borstet, stets unten mit scharfer Furche ; Hinterschienen runzlig rauh. cf Vordertarsen einfach; Harris’ Angabe, sie seien sehr schwach erweitert und unten dichter bedeckt mit kurzen Börstcheia, als die der ç , ist nicht zutreffend, da nach dem vorliegenden, verhältnis¬ mässig reichen Material — 7 cf, 10 Ç — die Tarsalsohle stets frei bleibt und nur die Ränder ein wenig verstärkte Beborstung aufweisen; die Verbreiterung der Tarsen beim cf ist nur rein subjectiv wahrnehm¬ bar und nicht sicher constatierbar. 17 — 27 : 7 Vs — 11 mm. West-Oregon (Portland; typischer Fundort von Harris nicht genau angegeben, nur «Oregon»), West- Washington (Seattle, Tacoma), Insel Vancouver bis Alaska; 1 Exemplar von Mr. Ricks¬ ecker gütigst überlassen, wurde gefunden im Mai 1900 bei Gualala, Mendocino Co. in Nord-Californien: der erste tuberculatus, der aus Californien bekannt ist. C. 'pustulosus Casey ist auf ein einzelnes $ von ausserordentlich geringer Grösse aufgestellt, dessen Hlschd-Seiten «schräg und fast gerade zur Basis verlaufen wie bei Hemphilli » und dessen Fld «sehr stark und weitläufig tuberculirt» sind, besonders «nach der Höhe des Ab¬ sturzes zu.» Die Körpergrösse, die Form des Hlschd., die Höhe der Tuberkeln sind zu variabel und inconstant, um in ihnen mehr als rein individuelle Verschiedenheiten zu sehen, und während Casey eine neue Art hierauf aufgestellt hat, was bei seiner Artenmacherei selbstver¬ ständlich ist, halte ich seinen pustulosus , sofern nicht weiteres Vor- 230 D5 HANS ROESCHKE kommen ähnlicher Exemplare ihm das Gepräge einer localen Eigenart oder Eorm verleiht, nicht einmal für benennenswert und ziehe ihn daher vorläufig als Synonym zu tuberculatus. 11. Cychrus Morawitzi Géhin. Í885, Catal. Carabides p. 75 ; convexus Morawitz (nec Heer nec Bergroth) 1863, Mem. Acad. Imp. St. Pétersbourg, Ser. VII, Tom. VI, No 3, p. 7, tab. inédit.1 I, f. 2 — Typ* 1 ÿ Mus. Acad. Imp. St. Pétersbourg ; Bates 1873, Trans. Ent. Soc. Lond. p. 229 ; 1883, 1. c. p. 232. Schwarz mit deutlichem Bronzeschimmer. Kopf mit Ausnahme des Clypeus grobrunzlig punktirt, Stirnfurchen zwischen den Fühlern sehr schwach, bisweilen kaum sichtbar, Quereindruck zwischen den Augen ziemlich seicht, nur neben dem Supraorbitalrande etwas stärker vertieft,, hinter den Augen deutliche Einschnürung, Hinterkopf grob aber weniger dicht punktirt, Nacken allmählig aber ziemlich kugelig verdickt ; Augen gross, vortretend, weiter als die Wangen; Kiefertaster unbeborstet; Fühler reichlich von halber Körperlänge, Glieder schlank, 4-tes an der Spitze kahl. — Hlschd lang herzförmig, so lang oder länger als breit, vorn wenig ausgerandet, nicht umrandet, Yorderecken abgerundet, kaum vor¬ tretend, Seiten schmal und niedrig aber scharf gekantet, nach vorn mässig gerundet, vor der Mitte neben der Bandseta deutlich gewinkelt,, dann schräg, selten schwach geschweift, stark verengt, entweder bis zu den Hinterecken oder nur bis zur basalen Querfurche dicht vor der Basis, in diesem Falle hier leicht ausgebuchtet und zur Basis schwach convergirend oder sogar parallel, Hinterecken scharf rechtwinklig oder leicht stumpfwinklig; Basis beinahe gerade. Oberfläche deutlich von vorn nach hinten gewölbt, seitlich nicht ausgeflacht, grobrunzlig punktirt, Mittellinie und Basalquereindruck tief, der stumpfwinklige Apical quer- eindruck und die kurzen Basalseitenfurchen mässig tief, aber deutlich. — Fld beim cf lang eiförmig, beim $ etwas kürzer oval, bisweilen sehr kurz und breit, hochgewölbt, mit groben, teils ziemlich regelmässigen und reihig angeordneten, teils unregelmässigen, vielfach zusammen- fliessenden Körnern bedeckt, zwischen welchen 3 Reihen grosser, läng¬ licher, primärer Tuberkeln (die bisweilen hintereinander zusammen- fliessen) und nicht selten auch kleine, aber deutliche secundäre Tuber- 1 Diese Tafel mit Probe-Abzug jetzt in meinem Besitz aus A. Morawitz' Nachlass; sie trägt den Vermerk: Laut Beschluss der Classe Tafel nicht ange¬ nommen, da Mr. Morawitz dieselbe nicht für gut findet. Brandt, Präsident der Gesellschaft.» L, MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 231 kein hervortreten ; nach aussen von der 3. Tuberkelreihe fallen die Fld zum Aussenrande steil ab, senkrecht oder gar leicht convergent, so dass der schmale Aussenrand von oben nur vorn sichtbar bleibt ; der letztere ist dicht vor der Basis wohl leicht geknickt, aber nicht deutlich nach einwärts gekrümmt. — Epipleuren an der Schultererweiterung nicht scharf umrandet; Mesoepisternalleiste stark verkürzt, Prosternum vor den Yorderhüften massig kielförmig zusammengepresst und wie Meso- und Metasternum samt allen Seitenstücken durchweg grob und dicht punktirt ; auch die Seiten aller Abdominalsegmente, wenn auch weniger grob und dicht, punktirt, Punktirung geht auf dem 4. und 5. Segment als breite Querbinde fast bis zur Mitte, diese Segmente sind auch seit¬ lich längs des Vorderrandes wulstig verdickt und so anscheinend mit Yentraistrigen versehen, die zwar nicht scharf eingeschnitten, sondern nur durch die tiefe Punktirung markirt sind. Jederseits 1 Yentralseta; cf 1, Ç 2 SA. — Vorder- und Mittelschenkel schwach keulenförmig, be¬ sonders beim cf, Vorderschenkel vorn oben und unten beborstet, hinten nur oben, Mittelschenkel nur mit unterer Borstenreihe, oben höchstens ausnahmsweise 1 Borste vorhanden, Hinterschenkel unten deutlich ge¬ furcht, Hinterschienen hinten glatt. Vordertarsen in beiden Geschlechtern einfach. 1 1 — 16 : 4 — 6 Va mm. Hokkaido (Yesso, Japan) vom Süden (Hakodate, Sapporo) bis Nordosten (Nemoro, C. Bost) und den benachbarten Kurilen Kunaschiri und Iturup (C. Kost), ferner auch auf Sachalin (1 Exemplar von 11 mm. Länge im Museum der Academie zu Petersburg). Nördliche Exemplare öfters sehr klein. Gefunden beim Frass an Helix pauper Gould, Bates 1883, 1. c. 12. Cychrus Koltzei mihi, n. sp. C. convexus Bergroth (nec Morawitz) 1888, Dtsch. Ent. Ztschr. p. 222. Dem C. Morawitzi sehr ähnlich, doch von ihm durch die Bildung des Kopfes, des Hlschdes und der Fld sowie durch Punktirung der Unter¬ seite verschieden. — Dunkelerzfarben. Kopf sehr klein, schmal, Augen gross, stärker vortretend als die Wangen, oben dicht runzlig punktirt, mit Ausnahme des Kopfschildes, Stirn zwischen den Fühlern und vor den Augen wenig gewölbt, Stirnfurchen tief, zwischen den Augen durch einen breiten und tiefen Quereindruck verbunden; hinter den Augen deutliche Einschnürung, unmittelbar dahinter Hinterhaupt und Nacken sehr stark und kugelig verdickt, oben zerstreut und weniger grob punktirt. Kiefertaster unbeborstet, Fühler länger als der halbe Körper, Glieder schlank, 1. Glied mit Endborste, 4. Glied kahl. — Hlschd klein, 23 2 D: HANS ROESCHKE herzförmig, ungefähr so breit wie lang, vorn wenig ausgerandet, nicht umrandet, Vorderecken wenig vorgezogen, abgerundet, Seiten schmal und ziemlich niedrig gerandet, nach vorn stark gerundet, stärker als bei Momwitzi Geh., in der Mitte neben der Eandseta deutlich etwas gewinkelt, nach hinten stark geschweift und ausgebuchtet weit vor dem Basalquereindruck und dann zur Basis mässig doch merklich divergent, Basis fast garade, Hinterecken spitzwinklig, scharf, deutlich herabgebo¬ gen ; Oberfläche von vorn nach hinten gewölbt, dicht und grob runzlig punktirt, an den Seiten nicht ausgeflacht, Mittellinie und Basalquer¬ furche tief, Apicaleindruck schwach, Basalseiteneindrücke kaum ange¬ deutet. Epipleuren verlaufen ziemlich senkrecht nach unten, ihr hin¬ terer Teil von oben deutlich sichtbar. — Fld kurz eiförmig, an den Schultern (5 5 !) sehr breit, diese fast eckig vortretend, grösste Breite in oder vor der Mitte, sehr hoch gewölbt, an den Seiten wie zum Schildchen und zur Spitze plötzlich steil abfallend; Aussenrand gar nicht ausgeflacht, bildet eine äusserst schmale und feine Kante, ohne jede Einbuchtung bis zur Basis, nur hinten ziemlich weit vor der Spitze sehr schwrach ausgebuchtet; Oberseite bedeckt mit Reihen zur Basis mehr länglicher, nach hinten mehr rundlicher, glatter und glän¬ zender Körnchen, vielfach unregelmässig quer miteinander zusammen- fliessend; im basalen Drittel sehen die Fld fast gestreift aus, in den übrigen zwei Dritteln dagegen mehr unregelmässig und flach runzlig gekörnt, die 3 primären Reihen haben etwas grössere, aber nur sehr wenig stärker hervorragende Tuberkeln, die bei weitem nicht so stark in die Augen springen als es bei C. Morawitzi der Fall ist; auch schwache Spuren secundärer Tuberkeln sind bemerkbar. Durch die hohe Wölbung mit jähem Abfall zum Aussenrande, mit sogar leicht überhängenden, nach abwärts convergenten Seiten ist der Aussenrand, von oben gesehen, bis auf einen^ganz geringen basalen Rest völlig ver¬ deckt. - — Epipleuren vorn nicht umrandet, Mesoepisternalleiste merklich verkürzt, Prosternum vor den Vorderhüften kurz kielförmig zusammen¬ gedrückt, Vorder-, Mittel- und Hinterbrust grob und ziemlich dicht punktirt, Seiten des Abdomens gerunzelt, aber nur fein und ganz zer¬ streut punktirt, 4. und 5. Segment seitlich nur mit geringen Spuren von Ventralstrigen, Analsegment fast glatt; 1 Ventralseta jederseits; (cf 1 ?), 5 gewöhnlich 2 SA. — Vorder- und Mittelschenkel leicht keulen¬ förmig verdickt, die vorderen vorn oben und unten, hinten nur oben, die mittleren nur vorn unten beborstet, die hinteren unten deutlich gefurcht, Hinterschienen glatt. cf wahrscheinlich mit einfachen Vordertarsen. 12^-13: 57* — 6 mm. Wladiwostok und Amurgebiet (Bergroth) ; MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 233 1 von Herrn W. KoLTZE-Hamburg erhalten und ihm zu Ehren be¬ nannt ; ein weiteres Exemplar in der Sammlung dieses Herrn, ein drit¬ tes im k. k. Museum zu Wien. Hie von Bergroth als convexus Moraw. aus Sibirien erwähnten Exemplare gehören ganz sicher zu dieser neuen Art. 13. Cychrus Yunnanus Fairmaire. 1887, Ann. Soc. ent. Belg. XXXI, p. 90 — Typ* Coll. René OßERTHÜR-Ren- nes ; Bates 1892, Entomologist XXV, Suppl, p. 69. Schwarz mit sehr schwachem Metallglanz. Kopf bis auf den Clypeus, grobrunzlig punktirt, vorn zwischen den Fühlern mit kurzen Stirn¬ furchen, Stirn sehr wenig gewölbt, zwischen den Augen nur flach niedergedrückt ohne deutlichen Quereindruck ; hinter den weiter als die Wangen vorspringenden Augen nicht eingeschnürt, sondern gleich ziemlich stark kugelig verdickt, Hinterhaupt grob punktirt, kaum ge¬ runzelt ; Kiefertaster ohne Borsten ; Fühler schlank, länger als der halbe Körper, 1. Glied mit Endborste, 4 Glied kurz, an der Spitze spärlich behaart. — Hlschd kurz, breit herzförmig, fast kreisförmig, vorn wenig ausgerandet, nicht umrandet, Vorderecken mässig vorgezogen und abgerundet, Seiten vorn stark gebogen, vor der Mitte neben der Randseta kaum gewinkelt, fast verrundet, nach hinten in leicht convexem Bogen (nicht geschweift !) stark verengt, erst kurz vor den stumpfwinkligen, ganz verrundeten Hinterecken ganz leicht ausgeschweift, Basis schwach gebo¬ gen, Seitenrand nur schwach aufgebogen, niedrig; Oberseite mässig gewölbt, fast flach, seitlich nicht ausgeflacht, grobrunzlig punktirt, Mittel¬ linie scharf, Basal quer- und die kurzen Seiteneindrücke sehr tief, die letzteren bis in die Hinterwinkel verlängert, Apicaleindruck gabelförmig, schwach. Epipleuren nach abwärts convergent, nicht sichtbar von oben. — Eid lang eiförmig, grösste Breite hinter der Mitte, hoch gewölbt, doch auf dem Rücken etwas flachgedrückt, zur Basis steil abfallend, um das Schildchen herum leicht eingedrückt, Seiten besonders hinten, nach unten leicht convergirend, daher die schmale Seitenkante von oben gar nicht sichtbar ist; diese Seitenkante, die auch vorn nicht rinnenförmig aus¬ geflacht ist und an der Basis ohne Knickung beginnt, erscheint hinten infolge der überhängenden Seiten ausgebuchtet, ist in Wirklichkeit aber vor der Spitze nur sehr schwach geschweift ; Oberseite mit unregel¬ mässig gestellten kleinen tertiären Körnchen bedeckt, dazwischen wech¬ seln 3 Reihen grosser primärer Tuberkeln mit 4 Reihen kleinerer, länglicher secundärer Tuberkeln ab. — Epipleuren vorn nicht ganz um¬ randet; Mesoepisternalleiste etwas verkürzt ; Prosternum vor den Vorder¬ hüften deutlich gekielt, mässig punktirt, seine Epipleuren dagegen grob 234 D; HANS ROESCHKE und dicht punktirt, Meso- und Metasternum seitlich punktirt, ihre Seiten¬ stücke fast glatt ; Seiten des Abdomens gerunzelt, schwach und zer¬ streut punktirt, nur auf dem 4. und 5. Segment etwas stärker, von Yentraistrigen höchstens Spuren vorhanden; 1 Abdominalseta jeder- seits; (cf 1 !?), ç 1—2 SA. — Vorder- und Mittelschenkel schwach keulen¬ förmig, die ersteren vorn und hinten, oben und unten, die letzteren nur vorn oben und unten beborstet; Hinterschenkel unten leicht ge¬ furcht, Hinter schien en glatt. cf Vordertarsen wahrscheinlich einfach. 12 — 15: 5 — 6 mm. Inner-China: Yunnan und Szetschwan, Ta- tsien-lu, an der Schneegrenze bis 13,000' Höhe (Bates 1. c.). 14. Cychrus D avidis Fairmaire. 1886, Ann. Soc. Ent. France p. 307 — Typ* 1 Ç Coll. René OßERTHÜR-Rennes.. Dunkelerzfarben, schwach glänzend. Kopf schmal, bis auf den glatten Clypeus grobrunzlig punktirt, Stirn ziemlich flach, kaum ge¬ wölbt, zwischen den Augen tief quer eingedrückt, Stirnfurchen nur vor den Augen tief und deutlich, dann sich allmälig bis zum und in dem Quereindruck verlierend; Augen stärker als die Wangen vortretend, hinter ihnen ziemlich tiefe Einschnüruug mit starker kugeliger Ver¬ dickung des Hinterhaupts und Nackens. Kiefertaster unbeborstet, Fühler schlank, länger als der halbe Körper, 4. Glied an der Spitze wenig behaart. — Hlschd länger als breit, vorn kaum ausgerandet, nicht um¬ randet, Vorderecken stumpf gerundet, Seiten vorn stark gebogen, vor der Mitte neben der Bandseta leicht gewinkelt, nach hinten ziemlich schräg verengt und stark eingeschnürt bis zum basalen Quereindruck, dann aber deutlich divergent zur geraden Basis, Hinterecken spitz¬ winklig; Scheibe ziemlich stark ausgehöhlt, ähnlich wie bei Scapitino- tus oder Cychrus angulicollis Sella, mit breit und hoch aufgebogenen Seiten; Oberfläche grobrunzlig punktirt, vorn hinter dem Vorderrande deutlich dreieckig quer eingedrückt, Apicaleindruck aber ganz ver¬ wischt, Mittellinie fein, sehr schwach, dagegen Basalquereindruck und die beiden kurzen Seitenfurchen tief und scharf markirt. Epipleuren abwärts stark convergent, von oben garnicht sichtbar. — Fld langoval, Seiten fast parallel, grösste Breite erst hinter der Mitte, Aussenrand sehr fein und scharf, ohne Ausflachung abgesetzt, vorn zur Basis ge¬ rundet; Oberseite hoch gewölbt, oben abgeflacht, nach hinten seitlich stark über den Aussenrand vortretend, diesen, von oben gesehen, völlig verdeckend, Seiten hinten nach abwärts convergent, vorn und zur Basis steil, fast senkrecht abfallend; Aussenrand vor der Vereinigung mit dem MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 235 unteren Epipleuralrande deutlich ausgebuchtet, Spitze nicht verrundet ; Oberseite runzlig gekörnt, feiner als hei Yunnanus, mit 3 Eeihen grosser, länglicher, primärer und 4 Reihen kleinerer secundärer Tuber¬ keln, die stellenweis verschwinden können (Fairmaire 1. c.). — Epipleu¬ ren vorn nicht umrandet, Mesoepisternalleiste merklich verkürzt ; Pro¬ sternum vor den Vorderhüften kielförmig zusammengepresst, dicht und grob punktirt, Meso- und Metathorax nur mit einzelnen groben Punkten, Seiten des Abdomens fein und ziemlich dicht punktirt; Ventralstrigen fehlen, 1 Ventralseta jederseits; cf 1, da 5 1 SA. — Beine lang und dünn, die Vorderschenkel nur spindelförmig verdickt, vorn oben und unten, hinten nur unten beborstet, Mittelschenkel vorn unten deutliche, oben nur undeutliche Poren; Hinterschenkel unten gefurcht, Hinterschienen runzlig gefurcht. cf Vordertarsen wahrscheinlich einfach. 21 : 8 mm. Yunnan. Der Typ (1 5 ) in Oberthür’s Sammlung hat abnormer Weise eine Gularseta rechts. 15. Cychrus spinicollis Dufour. 1857, Arch, entom. (J. Thomson) I, p. 382 — Typ ? ? — ; Graëlls 1858, Memor, de la Comision encargada de formar el Mapa geol. de Madrid y del Reino, traba- jos en ei ano de 1855, p. 76, Lám. I f. 3. — Typ Mus. Madrid. — acuticollis Dufour 1857, 1. c. p. 383 (Name ohne jeden Grund gewechselt, wahrscheinlich Schreib- oder Druckfehler) Pl. XY, f. 6. Dunkelbronzefarben ; Schenkel schwarz, Schienen dunkelbraun. Kopf grobrunzlig punktirt, auch der Clypeus, aber feiner und etwas spärlicher; Stirn ziemlich stark gewölbt, Stirnfurchen seicht, statt des Quereindrucks zwischen den Augen gewöhnlich ein kleines Grübchen (Scheitelgrübchen) ; keine Einschnürung hinter den kleinen, schwach vorragenden Augen, Wangen viel weiter als die Augen vorspringend; Kiefertaster unbeborstet; Fühler schlank, mindestens von halber Körper¬ länge, 1. Glied mit Endborste, 4. Glied an der Spitze spärlich behaart, die 7 letzten Glieder hellbraun. — Hlschd mindestens so lang als breit oder länger, herzförmig ; Vorderrand schwach ausgerandet, leicht ver¬ dickt aber nicht scharf umrandet; Vorderwinkel verrundet, nicht vor¬ gezogen ; Seitenrand vom mässig gebogen, vor der Mitte neben der Randseta gerundet, nach hinten lang und mässig geschweift verengt, Seitenrand schmal aufgebogen, noch vor der Basis in einen langen spitzen Dorn ausgezogen, der nach hinten aussen und etwas nach oben gerichtet ist, Seitenrand hinter dem Dorn kaum erhöht, zur geraden Basis schräg convergent; Oberseite grobrunzlig punktirt, Mittellinie schwach eingedrückt, hinter dem Vorderrande bisweilen in einer kleinen Ver- 236 Dì HANS ROESCHKE tiefnng endend, Basalquereindruck tief und nach vorn bogenförmig, seit¬ lich hinter dem Dornfortsatz beginnend, Basalseitenfurchen schwach und unbestimmt. Epipleuren nach unten convergent und von oben nicht sichtbar. — Fld mehr oder minder länglich eiförmig, hoch gewölbt, Schultern verrundet, nicht vorspringend, Aussenrand sehr schmal, nicht rinnenförmig abgesetzt, vorn zur Basis einfach gerundet, vor und hinter dem merklich vorgezogenen Epipleurenende leicht aber deutlich ausge¬ schweift ; Oberseite runzlig gekörnt, nach der Basis zu Körner teilweise wie in Beiben geordnet, dazwischen mit 3 Beihen grosser primärer Tu¬ berkeln; zwischen der 1. und 2. und auch zwischen der 2. und 3. Tuber¬ kelreihe, aber weder zur Naht noch zum Aussenrande zu finden sich, meist nur auf der basalen Hälfte deutlich, öfters auch secundäre Streifen oder Bippen, die aus etwas grösseren und stärker vortretenden Körnern als die angrenzenden tertiären durch Zusammenfliessen gebildet und mehr oder weniger unterbrochen sind. - — Epipleuren vorn nicht scharf umrandet; Mesoepisternalleiste um die Hälfte verkürzt; Prosternum vor den Yorderhüften kielförmig und wie Meso- und Metathorax grob und dicht punktirt, seine Episternen dagegen spärlicher mit einzelnen groben Punkten versehen, dazwischen glatt und glänzend; Abdomen seitlich fein und ziemlich dicht punktirt; 1 Yentralpore jederseits so¬ wie cf J 1 SA. — Yorder- und Mittelschenkel spindelförmig, vorn oben und unten beborstet, aber nur spärlich, besonders auf dem Mittel¬ schenkel meist nur mit 1 oder 2 Borsten; Hinterschenkel unten nicht gefurcht, Hinterschienen glatt. Die 4 ersten Tarsalglieder sämtlicher Beinpaare bürstenförmig besohlt, 1. Glied nur im apicalen Drittel, Pubescenz an den Yordertarsen stärker als an den Mittel- und Hinter¬ tarsen, bei diesen letzteren nur gering, und beim cf dichter und länger als beim £ . cf : 4 Vordertarsengiieder schwach erweitert und dicht bürstenförmig pubescent. 12 — 16: 5 — 7 mm. Nord-Spanien, hochalpin von den baskischen Gebirgen (typischer Fundort bei Yergara in Guipüzcoa, Dr. F. Mieg) bis zur asturi sehen Gebirgskette (zwischen Busdongo und Kloster Arwas oder Abas, Dr. von Heyden, Getschmann). 16. Cychrus Dufouri Chaudoir. 1869, Ann. Soc. Ent. France p. 47 — Typen in coli. René OßERTHÜR-Rennes ; acuticollis (Dufour) Reiche 1858 1. c. Bull. p. XCV. Dem spinico IUsDtjf. ausserordentlich nahe verwandt. Ganz schwarz, glänzend, ohne jeden metallischen Schimmer, Schienen pechbraun. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 273 Kopf grobrunzlig punktirt, Clypeus mit Ausnahme des glatten Vorder¬ randes fein punktirt, Stirn gewölbt, Stirnfurchen massig tief, ohne Querfurche zwischen den Augen, Scheitelgrübchen höchstens undeutlich, Einschnürung hinter den Augen sehr schwach, Augen gross, deutlich weiter als die Wangen vorspringend, Kiefertaster kahl, Fühler lang, 1. Glied mit Endbörste, 4. Glied kahl, die 7 letzten Glieder braunrot. - Hlschd breiter als lang, kurz herzförmig, vorn schwach ausgerandet, in der Mitte leicht schwielig verdickt, aber nicht scharf umrandet, Vorder¬ ecken gerundet, kaum vorragend, Seiten nach vorn stark gebogen, in der Mitte neben der Randseta gerundet, nach hinten kurz und ziemlich hoch aufgebogen, von vorn nach hinten erheblich höher werdend und in einen kurzen, breiten, meist nur nach oben und etwas nach hinten, aber kaum nach aussen gerichteten Dorn vor der Basis auslaufend, da¬ hinter nicht erhöht, sondern als einfache Kante zur geraden Basis con¬ vergent verlaufend; Oberseite grob runzlig punktirt, seitlich breit aus¬ geflacht, Mittellinie ziemlich scharf, Basalquerfurche sehr tief, die beiden seitlichen Längseindrücke und der gabelförmige Vordereindruck nur schwach. — Fld kurz oval mit stark vortretenden breiten Schultern, sehr hoch, fast kugelig gewölbt, um das Schildchen herum leicht eingedrückt, sonst im Bau wie bei spinicollis, Oberseite grob und scharf gekörnt, mit 3 Reihen stark prononcirter primärer Tuberkeln und 3 Reihen schwäche¬ rer und länglicherer secundärer, die mehr oder weniger unterbrochen, doch deutlich rippenförmig zusammenfliessen, wobei der 1. Streif dicht neben der Naht verläuft und stets vorhanden ist, während der 3., bis¬ weilen nur an der Basis angedeutet ist. — Epipleuren und Mesoepi¬ sternalleiste wie bei spinicollis , Pro-, Meso- und Metasternum grob und dicht punktirt, ihre Episternen viel zerstreuter ; Abdomen seitlich ziemlich fein und spärlich punktirt, sonst wie bei der vorhergehenden Art. — Beine genau wie bei spinicollis, höchstens die Beborstung der Schenkel deutlicher und stärker. 15 — 18: 6 — 7 Va mm. In den West-Pyrenæen Frankreichs bis nach Spanien: Oberhalb von Lourdes und Bagnères an Seerändern (Schaum und Reiche), bei Eaux-Bonnes, im Walde von Gabas und oberhalb von Eaux-Chaudes (typische Fundorte), zwischen Cauterets und dem See von Gaube in den Hoch-Pyrenæen und nach Chaudoir auch nicht weit von San Sebastian, Spanien, also in derselben baskischen Provinz Guipüzcoa wie spinicollis Duf. Das ist schwer glaublich. m HANS ROESCHKE 238 17. Cychrus angulicollis Sella. 1874, Bull. Soc. Ént. Ital. YI, p. 825, táv. II, f. 2, 2a — Typ in Coll. Sella — Turin ; Gestro 1874, Ann. Mus. Civ. Stor. Nat. Genova YI, p. 539 ; Ganglbauer 1892, Kaef. Mitteleurop. I, p. 92 ; Sainte Claire-Deville 1898, Abeille XXIX, p. 81 ; semigranosus Ghiliani, Camerano 1887, Elenco delle Specie di Coleotteri trovati in Piemonte di Vittore Ghiliani (opera postuma) p. 10. Dunkel erzbraun, Mundteile und die 7 behaarten Fühlerglieder rot¬ braun oder rostrot, die 4 ersten Fühlerglieder und Unterseite des Kör¬ pers samt den Beinen dunkel oder schwarzbraun. — Kopf klein und schmal, Augen massig gross, ziemlich flach, kaum soweit wie die Wan¬ gen vortretend ; Stirnfurchen tief, vorn schon an den Seiten des Clypeus und hinten neben dem oberen Augenrande, zwischen den Augen ohne tiefen Quereindruck, nur die nach vorn hin ziemlich gewölbte Stirn hier etwas flacher gedrückt ; in und neben den Stirnfurchen und zwischen den Augen dicht und etwas grob punktirt, der übrige Teil des Clypeus zwischen den Stirnfurchen und die Stirn selbst gewöhnlich feiner und zerstreuter punktirt, bisweilen ziemlich glatt, bisweilen aber auch ebenso punktiit, wie die Furchen selbst; hinter den Augen ziem¬ lich schwache, aber deutliche Einschnürung, Nacken merklich verdickt oder aufgeblasen, Hinterhaupt grob, aber nicht dicht punktirt ; Kiefer¬ taster kahl, Fühler sehr lang und schlank, 1. Glied mit Endborste, 4. Glied an der Spitze spärlich behaart. — Hlschd breiter als lang, querherzför¬ mig, vorn leicht ausgerandet, nicht scharf umrandet, Vorderecken gerun¬ det, kaum vorragend, Seiten fast in ihrer ganzen Ausdehnung sehr breit und nach hinten zu allmählig höher aufgebogen, nach vorn stark gerun¬ det, in der Mitte neben der Randseta verrundet oder stumpf gewinkelt, nach hinten stark verengt, stärker als nach vorn, schräg oder sehr leicht geschweift, ganz dicht vor der Basis plötzlich quer abgestutzt und dann zur letzteren ohne jede Aufbiegung verlaufend, Hinterecken ganz stumpf¬ winklig oder verrundet, Basis ziemlich gerade ; Scheibe ziemlich flach, kaum etwas gewölbt, seitlich breit ausgeflacht, überall sehr grob runzlig punktirt, hinter dem Vorderrande und vor der Basis tief quer einge¬ drückt oder vielmehr ausgehöhlt, Mittellinie kurz, tief aber nicht deut¬ lich markirt. — Fid lang, oval mit breiten Schultern und fast paralle¬ len Seiten, hinten vor und hinter dem schwach vorragenden Ende der Epipleuren ganz leicht geschweift; Oberseite walzenförmig flach ge¬ wölbt, höchstens zur Basis etwas steil abfallend aber hier um das Schildchen herum nicht eingedrückt; Aussenrand schmal und scharf abgesetzt, zur Basis einfach verrundet ; Sculptur besteht aus groben Körnchen, die seitlich und nach hinten ganz unregelmässig, zur Basis MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 239 und Naht hin mehr reihenförmig gestellt sind, respektive zu fast regu¬ lären Streifen zusammenfliessen, so dass die Fld an der Basis und längs der Naht fast regelmässig punktirt-gestreift erscheinen ; die 3 primären Streifen treten nur wenig stärker hervor und sind nach hin¬ ten in längere, stärker prononcierte Tuberkeln aufgelöst, besonders die beiden seitlichen Primärstreifen ; die Tertiärstreifen sind nicht verdop¬ pelt, daher zwischen je 2 Primärstreifen nur 3 Intervalle. — Mesoepister¬ nalleiste stark verkürzt ; Vorderbrust grob und dicht, die Episternen nur sehr zerstreut punktirt, Mittel- und Hinterbrust sowie die Seiten des Abdomens ziemlich dicht und stark punktirt; jederseits 1 Ventral¬ punkt; cf $ 1 SA. — Beine sehr lang, Vorder- und Mittelschenkel schwach spindelförmig, fast walzenförmig, die vorderen oben und unten auf der Vorder- und Rückseite, die mittleren nur vorn unten beborstet, die hinteren unten nicht gefurcht, Hinterschienen glatt. Die 4 ersten Glieder aller Tarsen unten an der Spitze mehr oder weniger lang und dicht bürstenförmig behaart, 1. Glied nur an der äussersten Spitze und meist nur mit einzelnen Börstchen, 2. Glied nur an der Spitze, aber schon deutlich bürstenförmig, 3. schon in Vs und 4. ungefähr zur Hälfte seiner Sohlenfläche ziemlich dicht bebürstet, aber bei weitem nicht so dicht und stark wie bei spini collis und Dufouri , Bebürstung an den Vordertarsen etwas stärker als an den Mitteltarsen und viel deutlicher als an den Hintertarsen und beim cf wiederum viel dichter und länger als beim £ . cf die 4 ersten Glieder der Vordertarsen schwach erweitert und entsprechend dichter und voller bebürstet. 14 — 16: 5 — 5 Va mm. See-Alpen Italiens : Valle del Pesio (typi¬ scher Fundort), Hochtäler von Bagni di Valdieri (semigrano sus Ghiliani) und von Entraque am Nordabhang des Col des Fenêtres (Sikora ! , Ste Claire-Deville), am Mont Clapier.1 Hochalpin am Rande des ewigen Bchnees, von Mitte Juni bis August. 18. Cychrus grajus Daniel. Î898 Dec., Coleopteren Studien II, p. 61 — ■ Typen * cf ? in Coli. Daniel- München. Diese Art hat ungefähr die Fld der vorhergehendeD und das Hlschd der folgenden Art. Dunkelbraunerzfarben, auf den Fld, im übrigen braunschwarz. — Kopf lang und schmal, Augen ziemlich flach und wenig vorragend, weniger als die Wangen; Stirnfurchen tief und lang Ms hinter den Augenrand, zwischen den Augen sich etwas ver- 1 Nach Garret, L’Échange 1906 auch im Mt. Cenis-Gebiet Î Doch wohl «ein Irrtum oder eine Verwechslung. 240 Dì HANS ROESCHKE breitérnd und nach einwärts sich biegend, aber ohne sich zu vereinigen ; Clypeus seitlich in den Furchen fein und deutlich punktirt, dazwischen gewölbt, fast glatt, mit ganz versprengten wenigen Pünktchen ; Stirn ziemlich gewölbt, grobrunzlig punktirt, ohne deutliches Scheitelgrübchen, hinter den Augen schwache Einschnürung, Nacken nur massig und allmählig verdickt, Hinterhaupt spärlich punktirt ; vorletztes Glied der Kiefertaster an der Spitze mit 1 oder 2 ganz kurzen Börstchen. Fühler lang und dünn, die 4 ersten Glieder dunkel, die übrigen hellbraun, 1. Glied mit Endborste, 4. Glied an der Spitze dicht und fein behaart. — Hlschd länger als breit, herzförmig, vorn schwach ausgerandet, schwielig verdickt und glatt, ziemlich scharf umrandet, Vorderecken stumpf, nicht vorgezogen, Seiten schmal und niedrig gerandet, wenig aufgebogen, nach vorn schwach bogenförmig aber ziemlich stark verengt, vor der Mitte neben der Bandborste ziemlich scharf gewinkelt, nach hinten schräg verengt und eingeschnürt bis kurz vor der leichtgebogenen Basis, dann zu dieser divergent mit stumpfen spitzwinkligen Hinterecken ; Oberseite fast ganz eben, nur bisweilen ganz schwach kissenförmig gewölbt, grob¬ runzlig punktirt, seitlich nicht ausgeflacht, Mittellinie fein und gewöhnlich wenig sichtbar, tiefer, breiter Quereindruck dicht hinter dem schwielig aufgeworfenen Vorderrande, der hierdurch leicht kapuzenförmig erscheint; vor der Basis an der Einschnürungsstelle bis an den Seitenrand tief quer ausgehöhlt, ohne Seiteneindrücke. Epipleuren convergent, nicht sichtbar von oben. — Fld lang eiförmig, grösste Breite hinter der Mitte, Schultern schwach vortretend, aber nicht völlig verrundet, Aussenrand schmal und fein, an der Basis einfach sich verlierend, am Epipleurenende leicht winklig eingezogen ; Oberseite mässig gewölbt, oben abgeflacht, um das Schildchen herum kaum oder nicht eingedrückt, seitlich nicht steil ab¬ fallend, grob gekörnt, Körnchen unregelmässig gestellt an den Seiten und zur Spitze, mehr reihig zusammenfliessend nach der Basis und der Naht zu, hier fast punktirt gestreift; 3 primäre Tuberkelreihen schwach erhaben, wenig auffällig und 3 secundäre, mehr rippenförmige Streifen, von denen die beiden äusseren nur an der Basis sichtbar werden, während der innere als wenig unterbrochener Längsstreif neben der Naht fast bis zur Spitze verläuft ; auch die tertiären Körnchen nach der Basis und Naht zu weniger doppelt ständig, mehr zu unregel¬ mässigen einfachen Streifen zusammenfliessend. — Epipleuren fast völlig umrandet; Mesoepisternalleiste um die Hälfte verkürzt, Prosternum vor den Vorderhüften deutlich kielförmig zusammengedrückt, grob und dicht punktirt, Episternen spärlicher, Seitenstücke des Meso- und Me¬ tasternum fast glatt, Seiten des Abdomens fein und zerstreut punktirt, nur auf dem 3. bis 5. Segment stärker und dichter ,* 1 Ventralpore MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 241 jederseits, cf j 1 SA. — Beine lang, Vorderschenkel nur ganz schwach spindelförmig verdickt und wie die Mittelschenkel nnbeborstet, Hinter¬ schenkel nicht gefurcht, Hinterschienen glatt. Die 4 ersten Glieder aller Tarsen ganz ähnlich wie bei angulicollis an der Sohle bebürstet, vor den Vorder- zu den Hintertarsen im abnehmenden, vom 1. bis zum 4. Gliede im zunehmenden Verhältniss, d. h. die Vorder- und Mitteh tarsen dichter und ausgedehnter als die Hintertarsen, bei denen die Pubescenz nur noch schwach zu bemerken ist, ebenso die 3. und 4. Glieder ausgedehnter als die 2., die ersten nur an der äussersten Spitze, und in beiden Geschlechtern ungefähr gleich, meist jedoch beim cf ein wenig stärker als beim . cf Vordertarsen nicht erweitert. 14 — 17 : 5 Va — 63/4 mm. Dem cordicollis sehr nahe verwandt, durchschnittlich grösser, gestreckter und viel flacher. — Hochalpin in den Grajischen Alpen Italiens : Valle di Stura (typischer Fundort, K. Daniel), Ceresole Beale (Dodero), Valle dei Banchi-Camporciero (K. Daniel 17. 8. 95) und Fort de Bonches am Mt Cenis. «In den westlichen penninischen Alpen sowie im Gebiete des Mt Blanc findet sich weder cordicollis noch grajus » (Daniel). Juli, August. 19. Cychrus cordicollis Chaudoir. 1835, Ann. Soc. Ent. France p. 442 n. 13 — Typ Coll. René Oberthür- Rennes ; Heer 1837, Kaefer d. Schweiz I, p. 14; 1841, Faun. hely. p. 21; Giuliani 1847, Ann. Soc. Ent. France p. 141 ; Schaum 1856, Ins. Dtschl. I, 1. Lief. p. 188 ; Gestro 1874, Mus. Civ. Stör. nat. Genova Yol. VI, p. 540 ; C. aeneus Peiroleri i. 1. Villa 1833 Catal. Col. Europ. dupl. p. 2 ; affinis Sturm i. 1. 1843, Catal. d. Käfersammlg. p. 11 ; glacialis De Cristof i. 1. Villa 1835, Suppl. Catal. Col. Europ. p. 37 ; Ghiliani 1. c. ; Heer 1. c. ; Mellyi Heer i. 1. 1836, Froebel und Heer, Mitteil, aus d. Gebiete d. theoret. Erdkunde I, p. 154 ; 1837 u. 1841 1. c. Pechschwarzbraun, Kopf und Hlschd schwarzerzfarben, Fld kupfrig- erzfarben. — Kopf gestreckt, schmal, Augen mässig gross, nicht so weit wie die Wangen vorspringend ; Stirnfurchen tief, auf dem glatten un- punktirten Clypeus und neben dem Orbitalrand besonders vertieft, Stirn gewölbt, grob und dicht punktirt, mit kleinem Scheitelgrübchen zwischen den Augen; hinter diesen sehr seicht eingeschnürt, Nacken mässig ver¬ dickt, Hinterhaupt fein und zerstreut punktirt; Kiefertaster gänzlich nnbeborstet, nur ganz ausnahmsweise findet sich einseitig ein sehr kleines Börstchen an der Spitze des vorletzten Gliedes; Fühler lang und schlank, 1. Glied mit Endborste, 4. Glied an der Spitze ziemlich dicht und fein behaart, Endglieder dunkelbraun. — Hlschd herzförmig, kaum länger als breit, dem des grajus sehr ähnlich ; vorn kaum aus- 16 Annales Musei Nationalis Hungarici V. 242 D5 HANS ROESCHKE gerandet, schwielig verdickt und ziemlich scharf umrandet, glatt; Vorder¬ ecken fast verrundet, Seiten nach vorn schwach gebogen, aber ziemlich stark verengt, vor der Mitte neben der Randseta sehr schwach gewinkelt, beinahe gerundet, nach hinten schräg verengt und eingeschnürt bis kurz vor der geraden Basis, zuletzt fast parallel oder schwach divergent mit stumpfen, recht- oder spitzwinkligen Hinterecken ; Seitenrand schmal, schwach aufgebogen, nach hinten etwas höher bis zur Einschnürung, von da an bis zur Basis kaum erhöht, nur noch gerandet ; Oberseite grob runzlig punktirt, ven vorn nach hinten leicht aber deutlich gewölbt, seit¬ lich nicht ausgeflacht, hinter dem schwielig verdickten Vorderrande leicht quergefurcht, Mittellinie gewöhnlich scharf und tief eingedrückt in die etwas kissenartig geschwellte Scheibe, seltener letztere fast eben und Rückenlinie fein und so hierin dem grajus ähnelnd ; Basalquerein¬ druck zwischen der Einschnürung breit und tief, fast ausgehöhlt, bis an den Seitenrand, mit deutlichen Seiteneindrücken; Epipleuren con¬ vergent, nicht sichtbar von oben. — Fld lang oval, doch nicht so gestreckt wie bei grajus, grösste Breite hinter der Mitte, Aussenrand schmal und scharf abgesetzt, fein rinnenförmig, an der Basis einfach verrundet, vor dem Epipleurenende deutlich aber nicht stark winklig eingebogen ; Schultern kaum angedeutet bei $ j , etwas mehr bei cf d , Oberseite hoch gewölbt, oben etwas abgeflacht, um das Schild¬ chen herum deutlich eingedrückt, grob und unregelmässig gekörnt, Körner nur an der Basis und neben der Naht leicht reihenartig zusammenfli essend und so gestreift erscheinend, mit 3 Reihen grosser, länglicher, primärer Tuberkeln und Spuren von 3 Reihen secundärer Tuberkeln, am deutlichsten und ausgedehntesten neben der Naht, die seitlichen stark verkürzt, meist nur an der Basis deutlich. — Epi¬ pleuren vorn gewöhnlich nicht scharf umrandet, Mesoepisternalleiste stark verkürzt, Pro sternum vor den Hüften kurz gekielt, grob und dicht punktirt, Episternen viel weniger dicht, Seitenstücke des Meso- und Metasternum sowie die Seiten des Abdomens höchstens seicht und spärlich punktirt, nicht selten fast glatt ; 4. und 5. Segment bisweilen seitlich mit geringen Spuren von Ventralstrigen ; 1 Ventralpore jeder- seits, d $ 1 SA. — Beine lang, Schenkel fast cylindrisch, ohne Borsten¬ poren, die hinteren unten nicht gefurcht, Hinterschienen glatt. Die 4 ersten Glieder aller Tarsen bei d und j unten bürstenartig besohlt, genau wie bei grajus, nur etwas ausgedehnter, 4. Glied ganz, 3. fast ganz, 2. ungefähr zu 2/s seiner Länge, 1. nur an der Spitze. d Vordertarsen kaum erweitert, etwas deutlicher und dichter be- bürstet. 13 — 15: 5—614 mm. In Italien und der Schweiz; hochalpin an MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 243 der oberen Yegetationsgrenze unter grossen Steinen, in 2000— 2600 m. Höhe im Monte Rosa-Gebiet der östlichen Penninischen und in den Graubündner Alpen : Monte Rosa am Wege von Macugnaga über das Weisstor, Colle del Pinter, Punta della Regina, Turlozpass, Corno bianco, Colle della Vecchia im Val d’Andorno, Mologna, Monte Bo, Mombarone, Valdobbia, Gressoney S. Jean, Berghalden der Mischabel¬ hörner um Fee, Paradis beim Rheinwaldgletscher und am Bernina (Heer). 20. Cychrus rugicollis Daniel. 1898 Dec., Coleopteren Studien II, p. 62 — Typ* 1 cf Coli. DANiEL-München. Dem Hlschd nach mit semigranosus, den Fld nach mit cordi- ■collis verwandt. Kopf und Hlschd schwarzerzfarben, Fld bronzefarben, Unterseite und Schenkel pechbraunschwarz, Schienen und Fühler rost¬ braun. — Kopf lang gestreckt, Augen gross, mindestens so weit als die Wangen vorspringend ; Stirnfurchen tief und lang, am Clypeus und längs des oberen Augenrandes stärker vertieft und runzlig ; Clypeus glatt, von der Stirn scharf abgesetzt, diese hoch gewölbt, zerstreut und seicht runzlig punktirt mit tiefem Scheitelgrübchen zwischen den Augen, hinter diesen deutlich eingeschnürt, Nacken fast kugelig verdickt, Hinterhaupt seicht und spärlich punktirt; Kiefertaster kahl, Fühler lang, 1. Glied mit Endborste, 4. an der Spitze dichter behaart. — Hlschd herzförmig, breiter als lang, vorn kaum ausgerandet, nicht schwielig verdickt und nicht umrandet, Vorderecken nicht vorgezogen, gerundet, Seiten vorn stark gebogen, in der Mitte neben der Randseta gerundet, nach hinten sehr stark verengt, fast schräg, nur ganz leicht geschweift; Seitenrand vorn niedrig, von dér Mitte ab erhöht, nach hinten stark schräg auf¬ gebogen, zur Basis plötzlich gerundet, Hinterecken nicht vorspringend, Basis gerade, etwa Vs so breit als der Vorderrand; Oberseite grob und dicht runzlig punktirt bis an den Seitenrand, der jedoch in seinem auf¬ gebogenen Teil glatt bleibt, seitlich nicht ausgeflacht, von vorn naeh hinten gewölbt, nach hinten zu deutlich ausgehöhlt, Mittellinie scharf eingeschnitten, Vordereindruck gegabelt, deutlich, vor der Basis sehr tief quer eingedrückt, Seitenfurchen unbestimmt, aber deutlich sichtbar. Epipleuren convergent, von oben nicht sichtbar. — 1 Fld oval, grösste Breite dicht hinter der Mitte ( cf !), Schultern mässig vorspringend, Aussenrand ziemlich schmal, aber deutlich rinnenförmig abgesetzt, um die Schultern herum etwas breiter als an den Seiten, vorn einfach zur Basis gerun¬ det, hinten vor und nach dem Epipleurenende sehr schwach geschweift, nicht winklig eingeknickt; Randseten in deutlich sichtbaren genabelten Grübchen; Oberseite hoch gewölbt, oben ein wenig abgeflacht um das 16* DS HANS BOESCHKE 244 Schildchen hemm eingedrückt, grob gekörnt, mit 3 Eeihen massig vor- tretender primärer Tuberkeln, secundäre Streifen durch Verschmelzung der Körnchen längs der Naht und rudimentär auch an der Basis zwischen den primären Beihen gebildet, hier an der Basis auch die Körnchen zu ganz kurzen, einfachen, nicht doppelten Tertiärstreifen vereinigt. — Epipleuren vorn nicht scharf umrandet, Mes oepi sternalleiste fehlt gänzlich, Vorder-, Mittel- und Hinterbrust dicht und grob punktirt, Seiten des Abdomens etwas feiner ; 4. und 5. Segment seitlich mit Spuren von Ventralstrigen ; 1 Ventralpore jederseits, cf 1 SA. — Vorder¬ schenkel schwach aber deutlich keulenförmig verdickt, nur mit oberer Borstenreihe, Mittelschenkel unbeborstet, Hinterschenkel unten nicht gefurcht; Vorderschienen leicht convex gekrümmt, Hinterschienen glatt. Sohle der 4 ersten Glieder aller Tarsen wenigstens an der Spitze dicht bürstenförmig behaart, ganz ähnlich sich ändernd wie bei den vorher¬ gehenden Arten. cf 4 Vordertarsenglieder leicht verbreitert, besonders das 1. und 2. Glied und unten dicht bebürstet, Glied 2 — 4 gänzlich, 1. Glied un¬ gefähr nur in seiner apicalen Hälfte. 13 : 574 mm. Nur 1 Exemplar, cf, bisher bekannt. Nach Daniel von Prof. E. Beandis auf dem Vlasic bei Travnik in Bosnien gefunden, häufige weitere Nachforschungen daselbst blieben jedoch völlig ergeb¬ nislos ; nach persönlichen Mitteilungen des Herrn Prof. Beandis hält er den Vlasic als Fundort für ausgeschlossen, glaubt vielmehr, ihn südlich von Travnik in der waldreichen Kruscicka planina gefunden zu haben. 21. Cychrus aeneus Fischeb. 1824, Entomogr. Ross. II, p. 42. t. XLYI, f. 3 ■ — Typ Coli. Steven des Museums zu Moskau; 1828, 1. c. III, p. 141; Dejean 1826, Spéc. Col. II, p. 11 ; 1829, Iconogr. I, p. 264, pl. 29, f. 1; Retowsky 1888, Wien. ent. Ztg. VII, p. 243 ; Starck 1889, Horae Ross. XXIV, p. 227 — 228 ; signatus Faldermann 1835, Faun, transcauc. I, p. 13, t. II, f. 6 — Typ in Coli. Chaudoir, jetzt OßERTHÜR-Rennes ; Chaudoir 1846, Enum. Carab. Cauc. p. 75; 1879, Le Naturaliste I, 15. Oct. No. 14 p. 100; Gilnicki 1872, Rev. et Mag, Zool. p. 475; Leder 1877, Verhdlg. naturi. Ver. Brünn XVI, p. 58; cf gr anulatus Motsuchlsky 1850, Kaef. Russld. p. 91 note 3* var. Rosti mihi, nov. forma intermedia. subsp. Starcki Reitter 1888, Wien, ent. Ztg. VII, p. 19 — Typen* cf ? in coll, mea ; Retowsky 1. c. ; Starck 1. c. var. Ballionis Retowsky 1888, 1. c. p. 244 ; Starck 1889, 1. c. p. 228. subsp. anatolicus Motschulsky (nec Reitter) 1865, Bull. Nat. Moscou P. IV,. p. 310 ; Gilnicki 1872, 1. c. Schwarz, Fid mit Bronzeglanz, bald kupfrigerzfarben von leuchtend hell, fast messingglänzend bis dunkelrotviolett oder häufiger düster erz- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 245 hraun, bald schwarzbraun oder schwarz mit geringem Erzglanz. — Kopf gross, nicht schmal, Augen massig vortretend, kaum so weit als die Wangen, Stirnfurchen nur vorn vor den Fühlerinsertionen und zwischen den Augen massig tief, zwischen den letzteren durch eine mehr oder weniger tiefe Querfurche vereinigt ; Stirn deutlich gewölbt, hinter den Augen schwache Einschnürung, dahinter Nacken und Hinter¬ haupt allmählig, nicht kugelig verdickt ; Punktirung variabel, fein oder massig stark, bald zerstreut, bald ganz dicht, hauptsächlich in den Stirn- und der Augenquerfurche und auf dem Scheitel, während die Stirn glatt oder nur fein und spärlich punktirt bleibt, so dass die ganze Oberfläche bisweilen fast glatt und kaum punktirt, bisweilen jedoch ziemlich dicht und stark punktirt erscheint ; Kiefertaster kahl, Fühler lang und dünn, mindestens von halber Körperlänge, 1. Glied mit End¬ borste, 4. an der Spitze spärlich behaart. — Hlschd mehr oder weniger herzförmig, länger als breit bis breiter als lang, Vorderrand wenig ausgeschnitten, in der Mitte leicht schwielig verdickt, doch nicht scharf umrandet, Vorderecken gerundet, etwas vorgezogen ; Seiten schmal und niedrig gerandet, hinten wenig oder merklich höher aufgebogen, nach vorn mässig bis stark gebogen, vor der Mitte neben der Kandseta meist gerundet, seltener schwach gewinkelt, nach hinten nur sehr schwach geschweift, fast schräg, bald wenig verengt, bald stark eingeschnürt, daher die leicht gebogene Basis teils breit, fast so breit als der Vorder- ausschnitt, teils erheblich schmäler ist; Hinterecken abwärts gebogen, stark gerundet oder stumpf rechtwinklig ; Oberseite nach vorn deutlich gewölbt, an den Seiten nicht oder schwach ausgeflacht und hier wie zur Basis grobrunzlig punktirt, vorn und auf der Scheibe weniger dicht und weniger grob, bisweilen überhaupt nur spärlich, dann von fast glattem Aussehen ; Vordereindruck winkelförmig, nicht scharf ein¬ geschnitten, Mittellinie tief, Basalquerfurche sehr stark eingedrückt, fast ausgehöhlt, Basalseiteneindrücke sehr deutlich, bald grübchenartig und von dem Basalquereindruck getrennt, bald strichförmig und mit der Querfurche zusammenhängend, gewöhnlich auf längerem Hlschd grübchenförmig, auf kürzerem strichförmig, doch sehr häufig auch auf beiden Seiten unsymmetrisch und deshalb nicht zur Differencirung ge¬ eignet ; Epipleuren abwärts convergent, von oben nicht sichtbar. — Fld kurz oder lang oval, bauchig bis fast cylindrisch abändernd, an der Basis teils stark verschmälert, schwach gerundet oder sogar fast schräg verengt ohne jede Andeutung von Schultern, teils mehr oder minder deutlich gerundet mit mässig bis stark vortretenden Schultern; hinten kurz zugespitzt oder Spitze verrundet; Aussenrand schmal aber deut¬ lich rinnenförmig, vorn erst kurz vor der Basis beginnend, hinten vor D? HANS ROESCHKE 246 und nach dem leicht vortretenden Ende der Epipleuren deutlich aus¬ geschweift ; Oberseite hoch gewölbt, besonders beim cf oben häufig mehr oder weniger nach vorn abgeflacht, um das Schildchen herum massig, hinten oberhalb der vorderen Epipleuralausschweifung stark einge¬ drückt, hier fast gehöhlt; Oberseite bedeckt mit groben, dicht stehen¬ den Körnchen, die nur seitlich und hinten unregelmässig gestellt sind, auf der Scheibe und besonders zur Naht zu mehr oder minder regelmässigen, erhabenen Streifen zusammenfliessen, sodass die Fld hier unregelmässig punktirt- gestreift sind. Stets 3 primäre Keihen mehr oder weniger grosser Tuberkeln vorhanden, die erste nächst der Naht vielfach rippenförmig zusammengeflossen (z. Beisp. bei Fischer’s Typ), die seitlichen indes mehr zerhackt oder zerrissen, mit kürzeren und etwas höheren Tuberkeln, besonders zum hinteren Absturz zu ; sehr häufig treten auch secundäre Streifen auf, doch mehr als unterbrochene feine Rippen denn als Tuberkelreihen. Die tertiären Körnchen sind ent¬ weder ganz unregelmässig gestellt, oder wenn zu Reihen geordnet, stets doppelständig und nur ganz in ihrem basalen Anfang zu einem Streifen vereinigt. — Epipleuren vorn bisweilen fein umrandet; Mesoepisternal¬ leiste fehlt völlig, Prosternum seitlich dicht oder zerstreut punktirt, Seiten des Meso- und Metathorax, sowie des Abdomens ziemlich glatt oder nur mässig fein punktirt ; 1 Ventralpore jederseits. cf $ 1 SA. — Vorder¬ schenkel besonders beim cf deutlich keulenförmig verdickt, vorn und hinten mit Borstenporen der oberen Reihe, Mittelschenkel ohne Borsten¬ poren, Hinterschenkel unten teils nicht gefurcht, teils mehr oder min¬ der scharf gefurcht ; Hinterschienen rauh, gerunzelt oder glatt. Sohlen der 4 ersten Glieder aller Tarsen bürstenförmig behaart, 1. Glied nur an der Spitze, 2. ungefähr zur Hälfte, 3. und 4. fast ganz, die Glieder der Vordertarsen stärker und ausgedehnter wie die der Mittel- oder gar der Hintertarsen und beim cf wieder noch stärker als beim j pubescent. cf die 4 ersten Glieder der Vordertarsen mehr oder minder er¬ weitert und fast schwammig besohlt (kaum bürstenartig!), 1. Glied variabel von 1/z bis reichlich % seiner Fläche. Die Art zerfällt in 3 anscheinend so scharf unterschiedene Sub¬ species, dass diese drei bisher als selbständige Arten galten, doch ist keines der vielen Merkmale absolut constant und was für die eine Form charakteristisch ist, kommt stets bei der andern, wenn auch teilweise sehr vereinzelt, wieder vor, oder gemeinsam in einer Zwischenrasse. Eine Trennung in 3 Arten ist daher nicht möglich, respective nicht richtig. West- und Central-Caucasus und östlicher Teil der Pontischen Alpen. Von den Tälern und Schluchten bis zur oberen Waldgrenze emporsteigend in über 2000 m. Höhe. Vom Frühjahr bis Herbst an MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 247 den feuchtesten und dunkelsten Stellen im Walde in modernden Baum¬ stämmen. — 15 — 26 Va : 6 Va — 9AA mm. I. aeneus Fischer. Hlschd gestreckt viereckig oder lang herz¬ förmig, so lang als breit oder länger, nach vorn wenig verbreitert, ebenso nach hinten wenig verschmälert, daher die Basis wenig schmäler als der Vorderrand, Seitenrand hinten nur ganz wenig oder gar nicht höher als in der Mitte, allmählig zur Basis sich senkend. — Fld eiförmig, bauchig, zur Basis stark verengt und wenig gerundet mit äusserst schwach entwickelten Schultern ; massig gewölbt, oben kaum oder wenig abgeflacht, Seiten nicht steil abfallend, hinten ziemlich zugespitzt, Tuberkeln nicht stark vortretend, vielfach nur primär vorhanden ; wenn auch secundäre Vorkommen, dann bleibt die erste Secundärreihe neben der Naht höchstens schwach und unvollständig. — Hinterschenkel ge¬ wöhnlich unten scharf gefurcht, Hinterschienen meist rauh oder gerunzelt. cf Vordertarsen gewöhnlich nur schwach erweitert, 1-tes Glied nur zu Vs bis Va seiner Sohlenfläche bebürstet. Punktirung auf Kopf, Hlschd und Unterseite spärlich und fein. Das Hlschd erscheint besonders bei den mehr talwärts vorkommenden Stücken lang und plump, weil es nach hinten sehr wenig eingezogen ist, vor der Mitte kaum erweitert, die Fld mehr lang eiförmig; dagegen sind die Stücke hoch in den Bergen meist kürzer, gedrungener und kleiner, auch ist das Hlschd etwas vor der Mitte verbreitert, zur Basis dann verengt. Färbung ist gewöhnlich kupferrötlich oder mehr dunkel kupferbräunlich, seltener leuchtend kupferviolettrot oder goldkupfrig. 18 — 26 : 7 — 9 mm. Form des centralen Kaukasus, von Abchasien, Mingrelien, Imeretien und Bussisch-Armenien im Westen, durch das südliche Terek- Gouvernement, Swanetien und Georgien bis Ossetien, Chefsuri en, Tuchetien und Kachetien im Osten, besonders nördlich des Koschtan-tau längs des Tscherek, am Kasbek bei Gudaur, Gambor (hier manchmal goldigkupferige Stücke), Tbatani, Tschergali, im Schuwana- und Kartha-Gebirgsstock, weiter westlich am Chram bei Alexanderhilf, im Suram-Gebirge, bei Borshom, auf dem Sekkar-Pass nördlich von Abas-tuman und auf dem Tschambobell bei Achalzik. Fischer’s typische Exemplare stammten aus den östlichen Ge¬ bieten und hatten nur primäre Tuberkelreihen ; Faldermann’s Typ des signatus von Abas-tuman, also der Westgrenze des Verbreitungsgebietes zu, ist dunkler und besitzt deutliche secundäre Tuberkeln in der Basal¬ hälfte, wie die Abbildung klar zeigt, die tertiären Körnchen bereits «sub seriatim», reihig angeordnet, die Basis selbst punktirt-gestreift, daher « elytrorum sculptura tota diversa ». Die zwei cf cf des gr anu¬ latus Mötsch, von Achalzik scheinen in der stärkeren Entwicklung der 248 Dl HANS ROESCHKE Sculptur mit signatus übereinzustimmen, wie auch der Autor selbst vermutete. In Mingrelien und Abchasien kommen manchmal recht grosse Exemplare vor. var. Rosti mihi, n. var. Am Kodor in Abchasien sammelte Carl Rost eine Übergangsform zum Starcki Rttr., der bisher von den meisten Autoren als eigene Art aufgefasst wurde und dem die neue Form äusserst ähnlich wird. Die langgestreckte Form des Hlschd und der Fld, die Verbreiterung des ersteren vor der Mitte und daher auch etwas stär¬ kere Verengerung nach hinten, die leicht vortretenden Schultern, die schwärzliche Bronzefärbung der Fld stimmt mit Starcki überein, ebenso die stärkere Verbreiterung der Vordertarsen beim cf mit der grösseren Ausdehnung der Bebürstung des 1. Tarsal-Gliedes ; dagegen ist die Hlschd-Basis ziemlich breit, die primären und secundären Tuberkel¬ reihen, wenn auch gut entwickelt, doch immerhin nicht so stark er¬ haben wie bei subsp. Starcki , sondern nur ungefähr wie bei den Stücken des aeneus mit fortgeschrittener Sculpturentwicklung ; auch die Hinter- tibien meist rauh gerunzelt und die Furchung der Hinterschenkel sehr variabel. 18 — 26 mm. Dem unermüdlichen entomologischen Erforscher des Kaukasus, Herrn Carl Rost, zu Ehren benannt. II. subsp. Starcki Rttr. Hlschd so lang als breit oder länger, nur ausnahmsweise umgekehrt, deutlich herzförmig, nach vorn merklich ver¬ breitert, nach hinten stark verengt, Basis viel schmäler als der Vorder¬ rand, Seitenrand hinten nicht oder kaum stärker aufgebogen als in der Mitte und allmählig zur Basis verschwindend. — Fld langgestreckt, nicht bauchig, mit nur mässig entwickelten, stets jedoch deutlich gerundeten Schultern, oben meist deutlich abgeflacht, Seiten steil abfallend; pri¬ märe und stets auch secundäre Tuberkeln stark prominent, viel stärker als bei aeneus , auch die erste Secundärreihe neben der Naht gewöhnlich in ihrer ganzen Länge deutlich sichtbar. — Hinterschenkel nicht oder nur undeutlich gefurcht, Hinterschienen meist glatt. cf Vordertarsen ziemlich erheblich erweitert, 1-stes Tarsalglied in reichlich Va bis a/s seiner Länge bebürstet. Punktirung auf Kopf, Hlschd und Fld ebenso auf der Unterseite des Körpers ausgedehnter, dichter und stärker; Seiten des Hlschd hinten leicht geschweift, basale Seiteneindrücke ungefähr ebenso häufig grübchenartig und vom Basaleindruck getrennt wie strichförmig und mit diesem verbunden (ganz genau so wie bei aeneus). Färbung schwärz¬ lich erzglänzend bis rein schwarz, selten dunkelkupfrig. 17 — 26 Va : 6 Va — 9 Va mm. Form des westlichen Kaukasus, beschrie¬ ben nach Stücken vom Fischt-Gebirge in Circassien besonders vom Abago und Atschichlio; sie kommt ferner am nordwestlichen Abhang MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 249 der Gebirge des Gouvernements Kuban bis ungefähr zum Elbrus vor, z. B. längs des Oberlaufes des grossen und kleinen Labaflusses, des grossen und kleinen Selentschuk, des Teberda und Kuban. Während die Stücke aus der eigentlichen alpinen Region verhältnismässig klein oder nur mässig gross (17 — 21 mm.) sind, entwickeln sich die Stücke der littoralen Waldregion ganz erheblich, besonders bei Novorossisk und Utsch-Dere bei Sotschi in Circassien sowie am Bsyb-Fluss in Abchasien (20 — 26*5 mm.). Auf solche Exemplare ist var. Ballionis Retowsky auf¬ gestellt; abgesehen von der Grösse, ist auch das Hlschd noch vor der Mitte stärker verbreitert und kurz herzförmig. Der Autor glaubte in dieser Form wegen der Kürze des Hlschd und der nach seiner Ansicht aenetGS-ähnlichen Gestalt der FJd — was jedoch nicht stimmt, da sie hierin von Starcki nicht abweichen — einen Übergang des letzteren zum ersteren zu sehen; in Ermangelung anderer Unterschiede kann indes Ballionis nur als eine locale Unter-Form des Starcki betrachtet werden. Die Färbung ist gewöhnlich fast ganz schwarz, kaum metallisch, obgleich auch kupferfarbige Stücke Vorkommen. III. subsp. anatolicus Mötsch. Hlschd kurz herzförmig, breiter als lang, vorn deutlich verbreitert, nach hinten stark und schräg verengt, Basis -etwas schmäler als der Vorderrand; Seitenrand nach hinten bis zu den Hinterecken erheblich höher aufgebogen, dann fast plötzlich abgeschrägt. — Fld breit und kurz oval, Schultern kräftig entwickelt, stark gerundet vortretend, Seiten hierdurch fast parallel erscheinend, hinten zur Spitze kurz abgerundet ; oben hochgewölbt, kaum abgeflacht ; Tuberkeln schwach entwickelt wie bei aeneus, secundäre nur in der basalen Hälfte vor¬ handen. — Hinterschenkel unten nur schwach gefurcht, Hinterschienen meist rauh gerunzelt. cf Vordertarsen schmal erweitert, 1-stes Tarsenglied ungefähr zur Hälfte unten bebürstet. Beschrieben nach einem sehr kleinen d von ca 15 : 6 Va mm. Dunkelkupfrig, oft beinahe schwärzlich. Kopf fast glatt, nur sehr wenig punktirt, dagegen das Hlschd ganz dicht und grobrunzlig punktirt. Dem aeneus auffallend ähnlich, weicht er jedoch durch den hinten erheblich höher aufgebogenen Seitenrand des Hlschd, der an der Basis kurz abgestutzt ist, und durch die breiten kurzgedrungenen Fld mit den voll entwickelten, stark vortretenden Schultern, in Wirklichkeit mehr als Starcki von der typischen Form ab, mit der er in der Sculp- tur völlig übereinstimmt. 15 — 20 : 6 Va- — 8 Va mm. Pontische Alpen in Türkisch-Armenien, Klein-Asien: am Kolat-Dagh südlich von Trapezunt von Herrn Carl Rost wieder aufgefunden. D; HANS ROESCHKE 250 22. Cychrus Frivaldszkyi mihi, n. sp. Typ 1 Ç : Ungarisches National-Museum zu Budapest. Dunkelerzglänzend, Kopf und Hlschd schwarz, 4 erste Fühler¬ glieder und Schienen pechbraun, Taster, Fühlerendglieder und Tarsen röt¬ lich rostbraun. — Kopf verhältnismässig breit mit grossen Augen, diese fast so weit wie die Wangen vorragend, oben glatt bis auf die runz¬ ligen Stirnfurchen und den tiefen Quereindruck zwischen den Augen, in und etwas neben dem letzteren ziemlich feine Punktirung, Stirn schwach gewölbt, hinter den Augen geringe Einschnürung, dahinter Nacken sich leicht verdickend, etwas gerunzelt und sehr spärlich und fein punktirt. Vorletztes Glied der Kiefertaster an der Spitze mit einigen feinen Borstenhaaren ; 4-tes Glied der schlanken Fühler deutlich kürzer als das 2-te und an der Spitze dicht behaart, 1-stes mit Endborste. — Hlschd breit herzförmig, vorn etwas ausgerandet, nicht umrandet, Vorder¬ ecken deutlich winklig vorragend, abgestumpft, nicht gerundet, Seiten nach vorn stark gebogen, grösste Breite vor der Mitte neben der Band- seta, nach hinten schräg und stark verengt, mit ganz schwacher Schwei¬ fung dicht vor der Basis, Seitenrand vorn niedrig, kaum ausgeflacht, hinten ziemlich hoch aufgebogen, nicht schwielig verdickt, Hinterecken stumpfwinklig und ziemlich scharf, nach hinten schwach aber deutlich vorragend, abwärts gebogen, so dass die Basis leicht ausgerandet und flach erscheint, nicht muldenförmig ausgehöhlt wie bei armeniacus und semigranosus ; Scheibe gewölbt, kräftig aber nur zerstreut punktirt, daher ziemlich glatt aussehend, nach den Seiten und zur Basis hin grobrunzlig und etwas dichter punktirt, Dorsallinie tief und scharf, der Basalquer- und die Seiteneindrücke tief und deutlich, Apicaleindruck schwach. Basalende der Epipleuren deutlich von oben sichtbar, im Gegen¬ satz zu den 2 folgenden Arten. — Fld lang oval, grösste Breite etwa in der Mitte, gestreckter als bei armeniacus und semigranosus, fast so¬ wie beim typischen aeneus, mit abgerundeten, nicht vortretenden Schul¬ tern und Fld- Spitze nicht so steil abfallend und nicht verrundet wie bei den genannten Arten, vielmehr ziemlich deutlich zugespitzt; Aussen- rand von der Basis deutlich schräg nach hinten abgehend, ziemlich breit rinnenförmig, stärker abgesetzt als bei semigranosus , hinten vor und hinter dem Epipleurenende leicht ausgebuchtet, mehr als bei den folgenden Arten ; Oberseite ziemlich hoch gewölbt, um das Schildchen herum tief eingedrückt, grob gekörnt, Körnchen im basalen Drittel mehr oder minder reihig zusammenfliessend, mit drei deutlichen primären Tuberkelreihen, die nur ganz vorn an der Basis streifenförmig zusammen- fliessen, während sie gleich hinter dieser deutlich tuberkelartig werden; MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 251 die Tuberkeln je weiter nach hinten, desto kräftiger und desto weiter von einander entfernt, nicht ganz so stark prominent wie bei aeneus , aber viel kräftiger als bei den folgenden Arten ; secundäre Tuberkeln kaum angedeutet. Umwallte Insertionen der Randborsten deutlich sicht¬ bar. — Epipleuren vorn nicht umrandet, Mesoepisternalleiste fehlt gänz¬ lich. Episternen der Vorderbrust zerstreut, Epimeren etwas dichter punktirt, Seiten der Mittel- und Hinterbrust seicht und spärlich, Seiten des Abdomens kaum punktirt. 1 Ventralpore jederseits; (cf 1) $ 1 SA. — Vorderschenkel schwach keulenförmig verdickt, vorn oben mit einigen Borstenporen, Mittelschenkel nicht beborstet, Hinterschenkel unten deut¬ lich doch nicht scharf gefurcht, Hinterschienen faltig gefurcht, nicht rauh. Hie 4 ersten Glieder aller Tarsen bebürstet, von den Vorder- zu den Hintertarsen abnehmend, von Glied 1 bis 4 zunehmend, 1. Tarsen¬ glied nur an der Spitze mit Bürstenhaaren. 21,5 : 9 mm. Von Hr. Emerich Frivaldszky in Amasia in Klein- Asien gesammelt und seinem Andenken gewidmet. Mag die beschränkte Punktirung des Hlschdes sowie die bräunlich¬ rötliche Färbung der angegebenen Kopf- und Beinteile individueller Natur d. h. ausnahmsweise vorhanden sein, so lässt die Gestalt und Form des Hlschd, wenigstens vorläufig, eine Vereinigung mit einer der folgenden Arten nicht zu. Hie Art bildet eine bemerkenswerte Zwischen¬ stufe zwischen aeneus einerseits und armeniacus und semigranosus anderseits. 23. Cychrus armeniacus Chaudoir. 1879, Le Naturaliste I, No 14, 15. Oct., p. 109 — Typ jetzt in Coll. R. Ober- THÜR-Rennes ; anatolicus Reitter (nec Motschulsky, nec Gilnicki) 1896, Bestim¬ mungs-Tab. d. europ. Col. XXXIV. Heft : Carabidæ p. 44 — Typ * in coli, mea ; balcanicus Bodemeyer (nec Hopffgarten) 1906, Dtsch. Ent. Ztschr. p. 420 — Typ * Coli. Bodemeyer. Hunkelbraun oder schwärzlich erzglänzend ; alle Kopfteile und Beine pechschwarz. — Kopf schmal mit ziemlich grossen Augen, die jedoch viel weniger vorragen als die stark erweiterten Wangen, Stirnfurchen und Augenquereindruck tief und ziemlich grobrunzlig, aber nicht dicht punktirt, Stirn gewölbt, scheinbar fast glatt, doch fein und zerstreut punktirt ; Scheitel quer gerunzelt, gröber und dichter punktirt ; hinter den Augen eingeschnürt, Nacken allmählig verdickt. Vorletztes Glied der Kiefertaster an der Spitze mit mehreren Borsten, 4-tes Glied der schlanken Fühler nicht auffällig kürzer als das 2-te und an der Spitze dicht behaart, 1-stes mit Endborste. — Hlschd breit herz- oder trapez¬ förmig, vorn schwach ausgeschnitten, nicht scharf umrandet, aber in 252 D; HANS ROESCHKE der Mitte leicht schwielig verdickt, Vorder ecken breit lappenförmig ge¬ rundet, schwach vorgezogen, Seiten vorn stark gebogen, vor der Mitte neben der Eandseta gerundet, nach hinten schräg und deutlich, wenn auch wenig, geschwungen verengt, von den Vorderecken an breit aus¬ geflacht, Seitenrand garnicht schwielig verdickt, vorn massig, hinten stark aufgebogen und in breite, kurze, lappenförmige Hinterecken aus¬ laufend, welche die Basis etwas überragen, diese samt den Hinterecken muldenförmig ausgehöhlt und ungefähr so breit wie der Vorderrand : Oberseite nach den Rändern zu grobrunzlig punktirt, auf der Scheibe ein wenig schwächer und zerstreuter, aber stets ziemlich dicht; Punk- tirung hinten auch auf dem aufgebogenen Seitenrand ; Mittelfurche scharf und tief, Vorderquereindruck undeutlich, Basalquereindruck sehr tief, Seitenfurchen seicht aber deutlich. — Fld lang oval, hinter der Mitte auch bei den j 5 wenig erweitert, Schultern vortretend, zur Basis ge¬ rundet, Aussenrand von der Basis fast rechtwinklig abgehend, breit rinnenförmig, hinten vor und hinter dem Epipleuren-Ende leicht aus¬ gebuchtet, Spitze auch bei den 5 ç verrundet, nicht vorgezogen ; Ober¬ seite hoch gewölbt, Scheibe ziemlich abgeflacht, lange nicht so lioch- gewolbt wie bei semigrcinosus, um das Schildchen herum eingedrückt, zur Spitze steil abfallend; Körnelung grob, Körnchen auf der Vorder¬ hälfte der Fld vielfach reihig angeordnet und längs zusammenfliessend, mit 3 deutlichen Primärstreifen, die durch eingestochene Punkte in -/3 ihrer Länge in lange Kettenglieder, hinten jedoch in etwas kürzere und wenig höher vorragende Tuberkeln aufgelöst sind; oft sind auch zwei deutliche Secundärstreifen zwischen den primären vorhanden, der Secundärstreif zwischen Naht und 1-stem Primärstreif scheint nur selten vorzukommen ; zwischen den primären und secundären Streifen sind die Körnchen oft zu 2 unregelmässigen, vielfach maschenartig zusammen- fliessenden Tertiärstreifen angeordnet. Längs des Aussenrandes, nach hinten deutlicher und dichter, die Umwallungen der Randborsten sicht¬ bar. — Epipleuren vorn nicht umrandet, Mesoepisternalleiste fehlt gänz¬ lich. Vorder-, Mittel- und Hinterbrust sowie die Seiten des Abdomens zer¬ streut und mässig stark punktirt. 1 Ventralpore jederseits, cf $ 1 SA. — Vorderschenkel schwach keulenförmig verdickt, vorn und meist auch hinten oben mit Borstenreihe, Mittelschenkel ohne Borsten, Hinter¬ schenkel unten gefurcht ; Vorderschienen fast gerade, kaum convex ge¬ krümmt, Hinterschienen gefurcht und rauh; 4 Glieder aller Tarsen be- bürstet, wie bei der vorigen Art, beim cf etwras stärker als beim 5 , 1-stes Glied nur an der Spitze. cf 4 Vordertarsenglieder schwach erweitert und bebürstet, 1. Glied nur im apicalen Drittel pubescent. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 253 18 — 21 : 7 — 9 mm. Klein -Asien, Typ ohne genauen Fundort, ge¬ sammelt von E. Deyrolle, jedoch höchst wahrscheinlich von der asia¬ tischen Seite des Bosporus stammend, wo er in den Schluchten des ungeheuren Küstenwaldes bei Csingeneköi (Merkl) und am Alem Dagh (Bodemeyer : balcanicus) vorkommt. Dem semigranosus ausserordentlich nahe verwandt, aber durch die constante Verschiedenheit der Hlschd- und Fld-Form (besonders durch die Hinterecken und die Breite der Basis der ersteren) artlich getrennt. 24. Cychrus semigranosus Palliardi. 1825, Beschreibg. 2 Decad. neu. Carab. p. 39, t. 4 f. 18 — Typ im Wiener Hof¬ museum ; Dejean 1826, Spéc. gén. Up. 9; 1829, Iconogr. I, p. 262, pl. 28, f. 5; Fischer 1828, Entomogr. Ross. III. p. 140, tab. XIII, f. 5 u. 6 ; Motschulsky 1850, Käf. Russi, p. 91 ; Schaum 1856, Ins. Deutsch!. I, Lief. 1., p. 188; Ganglbauer 1892, Käf. Mitteleurop. I, p. 91 ; Apfelbeck 1894, Faun. Ins. Balcan., Wiss. Mitt. Bosn. u. Herceg. II, p. 523; 1904, Käferfn. Balkanhalbins. I, p. 47; (nec semigranosus Ghi- liani) ; torulosus Motschulsky 1865, Bull. Moscou P. IV, p. 310; balcanicus Seid- litz (nec Hopffgarten) 1888, Faun. transsylv. II. Lief. 1, 2, p. 16 (Arten), var. travnikanus Apfelbeck 1904, 1. c. p. 48. var. montenegrinus Apfelbeck 1904, 1. c. p. 47. subsp. balcanicus Hopffgarten (nec Seidlitz)‘1881, Entom. Nachrichten VII, p. 21 — Typen cf ? in meiner Sammlung; Apfelbeck 1904, 1. c. p. 47. var. rhilensis mihi. Kopf und Hlschd schwarz, Fld mehr oder weniger dunkelbraun erzglänzend, selten schwarz mattglänzend, Taster, Fühler und Beine pechschwarz. — Kopf mit kaum erweiterten Wangen, die wenig mehr als die mässig grossen Augen hervortreten ; Stirnfurchen verflachen hinter den Fühlerinsertionen um einwärts vom oberen Augenrande wieder tiefer zu werden und sich hier mit einander in einem Quereindruck zu vereinigen, der meist nur mässig, bisweilen auch sehr tief ist; die Punktirung ist sehr variabel und verhältnismässig fein und wenig dicht, sie ist bisweilen sehr spärlich und undeutlich, kaum vorhanden, stets jedoch in den gerunzelten Stirnfurchen und dem Quereindruck, sowie auf dem Scheitel deutlich, geht aber auch manchmal über die ganze Stirn fort. Vor¬ letztes Glied der Kiefertaster an der Spitze mit mehreren Borsten ; Fühler schlank, 1-stes Glied mit Endborste, 4-tes auffallend klein, viel kleiner als 2-tes und auch nur wenig mehr als halb so lang als das 3-te und am Ende dicht behaart. — Hlschd fast stets breiter als lang, selten so breit als lang, schwach herzförmig oder kreisförmig, vorn schwach aus¬ geschnitten, Vorderrand nicht scharf abgesetzt, in der Mitte schwielig verdickt, Vorderecken stumpfwinklig oder verrundet, nicht vorgezogen, 354 D? HANS ROESCHKE Seiten vorn stark gebogen, vor der Mitte neben der Randseta gerundet, nach hinten gerundet, schräg oder ganz schwach geschweift verengt, mit abgerundeten, gar nicht vorgezogenen Hinterecken in die Basis übergehend, die viel schmäler als der Vorderrand ist, etwa nur ®/s so breit ; Seitenrand mehr oder weniger wulstig verdickt, vorn niedrig, hinter der Mitte merklich aufgebogen, hinten zur Basis abfallend, mit dieser mehr oder weniger muldenförmig ausgehöhlt erscheinend; Ober¬ seite vorn etwas gewölbt, nach hinten deutlich niedergedrückt oder gar ausgehöhlt, seitlich neben dem erhöhten Rande nicht ausgeflacht, hinter dem Vorderrande in der Mitte ein kleiner dreieckiger, mässig tiefer Eindruck, Rückenlinie deutlich aber nicht tief, basale Längs- und Quer¬ eindrücke meist nur unbestimmt und nicht scharf markirt in der grossen basalen Ausflachung oder Aushöhlung ; Punktirung meist dicht und grobrunzlig auf der ganzen Oberseite, bisweilen auf der Scheibe etwas zerstreuter, Epipleuren abwärts convergent, auch an der Basis von oben nicht sichtbar. — Fld lang oder kurz oval, hinten mehr oder weniger stumpf verrundet, hinter der Mitte erweitert, nach den Schultern zu verschmälert, diese ganz verrundet oder schwach markirt, kaum vor¬ tretend, Aussenrand schmal abgesetzt, doch deutlich rinnenförmig, schmäler und niedriger an den Schultern als bei den 2 vorhergehenden Arten, vor und hinter dem leicht vortretenden Epipleuren-Ende sehr schwach geschweift; Oberseite stark gewölbt, nach der Basis und be¬ sonders zur Spitze steil abfallend, um das Schildchen herum eingedrückt, grob gekörnt, mit 3 primären, vorn nur schwach markirten Streifen, die nach hinten zu sich in mehr oder minder lange spindelförmige Tuberkeln auflösen, dazwischen die Körner, besonders nach Basis und Naht zu, vielfach reihig angeordnet oder mehr oder minder regelmässige einfache Secundär- und doppelte Tertiärstreifen bildend. - — Epipleuren vorn nicht scharf umrandet, Mesoepisternalleiste fehlt gänzlich. Vorder¬ brust mehr oder weniger grob und dicht punktirt, Mittelbrust zerstreut und feiner. Seiten des Abdomens fein aber deutlich; 1 Ventralborste jederseits, cf o 1 SA. — Vorderschenkel besonders beim cf deutlich keu¬ lenförmig verdickt, vorn oben und meist auch hinten oben beborstet, Mittelschenkel glatt, Hinterschenkel unten nicht oder nicht scharf ge¬ furcht ; Vor der schienen der cf cf meist deutlich convex gekrümmt, Hinter¬ schienen glatt, ausnahmsweise ganz schwach gerunzelt oder rauh. Die 4 ersten Glieder aller Tarsen unten bebürstet wie bei den vorhergehen¬ den Arten, Bebürstung von den Vorder- zu den Hintertarsen schwächer und dünner, vom 1-sten zum 4-ten Gliede stärker und dichter werdend, beim cf deutlicher bebürstet als beim j , 1. Glied nur an der Spitze, 2 -tes etwa zur Hälfte. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 255 cf 4 Yordertarsenglieder massig erweitert und stark bebürstet, 1-stes Glied in reichlich Vs bis etwa Va seiner Länge. 1 3 Va — 25 : 5 Va— 9 Vs mm. Südöstliches Ungarn, Rumänien, Bulga¬ rien, Serbien, Bosnien-Herzegowina und Montenegro. In hochgelegenen Bergwäldern bis über 2000 m Höhe steigend, häufig in alten vermodern¬ den Baumstrünken. Frühjahr bis October. — Hie Art tritt in 2 Rassen auf, die sich nach der Bildung des Hlschd leicht unterscheiden. I. semigranosus Pall. Grosse Form mit relativ grossem Hlschd, dessen Seitenrand mässig schwielig verdickt und hinten mehr oder weniger hoch aufgebogen ist; Fld nur mit primärer oder auch mit secundärer Streifung, tertiäre Körnelung meist ganz unregelmässig ver¬ worren. Beine ziemlich lang, Hinterschenkel selten etwas gefurcht, Hinterschienen meist glatt. 17 — 25 : 7 — 9 Va mm. Südöstliches Ungarn: Banat (typischer Fund¬ ort: Mehadia) und Siebenbürgen, hauptsächlich im südlichen und öst¬ lichen Grenzgebirge (Fogarascher Gebirge, speziell Kerzeschora) aber auch in den niederen Gebirgszügen bei Kronstadt bis nördlich Mediaseli und Schässburg; Rumänien im Grenzgebiet der transsilvani sehen Alpen, Serbien (Majdanpek, Negotin, Suva planina bei Bela Palanka), Bosnien nach Westen bis in die Gebirge bei Livno (Krug planina), Herzegowina (Plasa, Cvrstnica, Gebirge bei Nevesinje und Gacko etc.), Montenegro (Durmitor, Ivanova Korito und Sutorman) und nordwestliches Albanien etwa bis zum 42. Breitengrad südwärts. Sein Vorkommen in Podolien im Süden Russlands nach Fischer und Motschulsky, ist zu wenig- verbürgt und ganz unwahrscheinlich. Palliardi’s Typ hat nur 3 Tuberkelreihen, die 3 Primären, die erst am Abfall zur Spitze tuberculiren. — Auf einem schwarzen Exemplar mit relativ schmalem Hlschd und hochgewölbten Fld basirt torulosus Mötsch., angeblich aus Podolien stammend; balcanicus Seidlitz ist ein kleiner aber typischer semigranosus mit sehr hohen Hlsehd-Seiten- rändern. Die Form des Hlschd variirt hauptsächlich in der Breite seiner Mitte wie seiner Basis, der Verengerung seiner Seiten nach hinten, bald gebogen, bald gerade, bald geschweift, der Höhe der Aufbiegung des hin¬ teren Seitenrandes, der Regel nach je höher das Vorkommen, desto nie¬ driger die Aufbiegung. Exemplare aus der Gegend von Majdanpek im nord¬ östlichen Serbien zeichnen sich nach Apfelbeck durch sehr hoch aufge¬ bogene Seitenränder und sehr schmale Basis bei bedeutender Körpergrösse aus ; dagegen sind die Seitenränder hinten gleichmässig verrundet und relativ schwach aufgebogen bei Stücken vom Durmitor (Montenegro) und von der Cvrstnica (Herzegowina), die somit der andern Rasse (balca- nicus) sich nähern, gleichzeitig auch noch in ihrer secundär und auch 256 Dì HANS ROESCHKE tertiär entwickelten Fid- Sculp tur. Bei der Lokalform von der Vlasic planina bei Travnik in Bosnien, travnikanus Apfelb., sind die Primär¬ streifen schon gleich hinter der Basis der Fld in kräftig entwickelte Tu¬ berkeln aufgelöst. Montenegrinus Apfelb., vom Sutorman-Gebirge dicht am Meere, ist sehr bemerkenswert «durch gestreckten Körperbau, wesent¬ lich längeren und schmäleren, vorn wenig ausgebauchten, zu den ziem¬ lich deutlichen» (weil weniger verrundeten) «Hinterecken fast grad¬ linig» — oder sogar schwach geschweift — «verengten, gröber runzelig punktirten Hlschd, längere und schmälere, wesentlich flachere, vorn zur Basis ganz sanft und allmählig abfallende, unregelmässig und grob ge¬ runzelte Fld und vollständig geschwundene Schultern derselben.» Die Beschreibung der Fld passt nur auf einzelne cf cf völlig, sonst und be¬ sonders bei den $ $ sind die Fld zur Basis mässig gewölbt, mässig steil abfallend mit schwach angedeuteten Schultern, primären und secun- dären Streifen. 19 — 21 mm. II. subsp. balcanicus Hopffg. Bei dieser der Stammform sehr ähnlichen, aber kleineren und meist etwas schlankeren Rasse ist das Hlschd schmäler, mehr herzförmig, grob punktirt, nach rückwärts ziem¬ lich schräg verengt, mit dicken und wulstigen, niedrigen und nur gegen die Basis schwach aufgebogenen Rändern und verrundeten Hinter¬ winkeln ; Fld mit ziemlich regelmässiger, primärer und secundärer Streifung, die tertiären Körnchen auch zu mehr oder weniger deut¬ lichen Streifen zusammengeflossen, die ganze Oberfläche oder wenigstens die basale Hälfte erscheint daher gestreift-punktirt. Beine kurz, Schenkel stärker gekeult, die hinteren unten nicht gefurcht, Hintertibien glatt. 13 Va — 18 : 5 Va — 7 Va. Westlicher und hoher Balkan in Bulgarien im Grenzgebirge mit Ostrumelien und Macédonien : typischer Fundort oberhalb des Dorfes Toples bei Gabrovo nahe am Schipka-Pass (Merkl) im hohen oder Hodja Balkan (nicht Kódja Balkan, der bei Prizren in Albanien liegt), ferner Stara planina im westlichen Balkan bei dem Dorfe Klisura zur Passhöhe (Merkl); beide Fundorte in ca 1000 m Höhe. Die Stücke vom Rhilo Dagh (var. rhilensis m.) sind bemerkens¬ wert durch gleichmässig geringe Grösse und die Gedrungenheit des Körpers, durch die bis über die Mitte fast ganz gleichmässig und tief punktirt-gestreiften Fld, deren erster Secundärstreif dicht neben der Naht verläuft und von derselben nicht durch Fragmente von tertiären Körnern getrennt ist, durch die fast eben so stark wie die primären und secundären entwickelten tertiären Intervalle, die stärker verrundeten Schultern, den sehr schmalen, kaum noch rinnenförmig abgesetzten Aussenrand, durch den besonders bei den cf häufig viel helleren Kupfer¬ glanz der Fld, sowie die äusserst kurzen und kräftigen Beine mit stärker MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 257 gekeulten Schenkeln. Die Hlschd-Charaktere der balcanicus-Ti£b88e sind bei rhüensis zur höchsten Entwicklung gekommen, die Scheibe fast ganz flach bis zur Basis, der Seitenrand hinten kaum stärker erhöht. 1 SVq« — 16 mm. Bhilo Dagh an der Grenze von Bulgarien und Macé¬ donien in circa 1400 m Höhe (Merkl). 25. Cychrus attenuatus Fabricius. 1792, Ent. syst. I, p. 131, n. 32 — Typ im Kieler Museum; Panzer 1793, Faun. Germ. II, n. 3; Fischer 1824, Entomogr. Ross. II, p. 41, t. 46, f. 4 ; Dejean 1826 Spéc. gén. II, p. 10; 1829, Iconogr. I, p. 263, pl. 28, f. 6; Schaum 1856, Ins.. Dtschl. I, Lief. 1, p. 187 ; Mingazzini 1888, Bull. Soc. Ent. Ital. XX, p. 1 ; ' Ganglbauer 1892, Käf. Mitteleurop. I, p. 91 ; Apfelbeck 1894, Faun. Ins. Bale., Wiss. Mitteil. Bosn. Herzeg. II, p. 523; 1904, Käferf. Balkanhalbins. p. 48; Alessandrini 1897, Boll. Soc. Rom. Stud. Zool. YI, Col. Prov. Rom. p. 13. — C. proboscideus Olivier 1795, Entom. III, Genre 45 n. 47, t. 11, f. 128; picipes Herbst 1806, Nat. Syst. all. bek. Ins. (Jablonsky u. Herbst) X, p. 283, t. 177, f. 10; nigricans, fulvus , rotundatus Letzner 1849, Ztschr. Entom. Breslau, p. 67. var. intermedius Heer 1837, Käf. Schweiz II, p. 9 ; 1841 Faun. helv. p. 21 — - Typ Mus. Zürich. var. carniolicus Motschulsky 1865, Bull. Soc. Moscou P. IV, p. 311 — Typ verloren. Kopf und Hlschd schwarz, bisweilen schwach erzglänzend, Fld hell kupfererzfarben bis bronzeschwarz; Mundteile, bisweilen samt Ober¬ lippe und Kopfschild, Fühler, Schienen und Tarsen gelbbraun bis rost¬ braun bis pechbraunschwarz, Fühler und Tarsen gewöhnlich viel dunkler als Mundteile und Schienen. — Kopf mit mässig, fast nur schwach vor¬ tretenden Augen, die beinahe soweit wie die nicht erweiterten Wangen vorragen ; Stirnfurchen ziemlich, Augenquerfurche sehr tief, runzlig aber ziemlich fein und zerstreut punktirt, ebenso der Scheitel, und nur bis¬ weilen sind von der Punktirung nur ganz schwache Spuren vorhanden; Stirn gewölbt, mehr oder minder glatt, Einschnürung hinter den Augen ziemlich deutlich, Nacken mässig stark verdickt. Vorletztes Glied der Kiefertaster mit mehreren Borsten an der Spitze ; Fühler reichlich von halber Körperlänge, 1-stes Glied mit Endborste, 4-tes an der Spitze dich¬ ter behaart. — Hlschd ungefähr so breit als lang oder merklich breiter, lang oval, herzförmig bis fast kreisförmig, an der Basis viel schmäler als am Vorderrand, vorn kaum ausgeschnitten, nicht scharf umrandet, höchstens in der Mitte schwach schwielig verdickt, Vorderecken nicht vorgezogen, einfach verrundet, Seiten nach vorn mässig bis stark ge¬ bogen, in oder vor der Mitte neben der Randseta gerundet, nach hinten gebogen, schräg oder sogar ein wenig geschweift, viel stärker als nach vorn verengt ; Seitenrand verdickt, scharf abgesetzt, vorn niedrig, 17 Annales Musei Nationalis Hung arici. V. D; HANS ROESCHKE 258 hinten schwach oder massig erhöht, zur geraden Basis allmählig sich senkend, diese nicht ganz oder knapp erreichend, daher ohne eigent¬ liche Hinterecken oder die letzteren sind stumpfwinklig verrundet ; Oberseite ziemlich flach, zu den Yorderecken herabgebogen, hinten zur Basis leicht ausgehöhlt, an den Seiten nicht ausgeflacht, Mittellinie scharf, oft sehr tief, Vordereindruck gegabelt, sehr schwach markirt, Basalquer- und Seiteneindrücke ziemlich tief und deutlich, aber nicht scharf; auf der Scheibe mehr oder weniger glatt, seitlich und hinten ge¬ runzelt ; Punktirung sehr variabel, bald fein und seicht, bald sehr grob, bald spärlich und zerstreut und bald wieder ganz dicht, bald nur an den Seitenrändern und in den Basaleindrücken und bald über die ganze Oberseite ausgedehnt, nur vorn neben der Kückenlinie weniger dicht und weniger stark, gewöhnlich wenigstens hier glatt und nicht punktirt. Epiplêuren von oben nur an der Basis sichtbar. - — Fld kurz oder lang oval, mässig gewölbt, vorn um das Schildchen herum kaum eingedrückt, ebenso schwach hinten oberhalb des Epipleuren-Endes, Aussenrand deutlich rinnenförmig abgesetzt, besonders vorn nach der Basis zu, an den Schultern einfach verrundet, diese kaum angedeutet, hinten ober¬ halb des Epipleuren-Endes leicht vorgezogen und verbreitert, davor schwach, dahinter kaum ausgeschweift ; Oberseite grob gekörnt mit 3 primären Keihen länglicher, mehr oder minder vortretender Tuberkeln im Basalteil der Fld in mehr oder minder grosser Ausdehnung tie, punktirt gestreift infolge Zusammenfliessens der Körnchen in ziemlich erhabene, mehr oder weniger regelmässige Intervalle, je 3 zwischen 2 primären Tuberkelreihen, so dass auch die tertiären Streifen nicht mehr doppelt auftreten ; dagegen findet sich apicalwärts ziemlich un¬ regelmässige Körnelung. — Epipleuren vorn nicht umrandet, Meso¬ episternalleiste fehlt gänzlich. Vorderbrust grob, aber namentlich auf den Epi sternen weniger dicht punktirt, Seiten der Mittel- und Hinter¬ brust, sowie des Abdomens viel feiner und spärlich punktirt 1 Ventral¬ pore jederseits, cf $ 1 SA. — Vorderschenkel, besonders beim cf keulen¬ förmig, vorn oben stets beborstet, hinten oben weniger regelmässig, Mittelschenkel vorn unbeborstet, Hinterschenkel deutlich gefurcht, Hinter¬ schienen glatt, Vorderschienen beim cf bisweilen ganz leicht gekrümmt. Wie bei den vorhergehenden Arten die 4 ersten Glieder aller Tarsen in beiden Geschlechtern unten bebürstet, beim J kaum schwächer als beim cf , Bebürstung von den Vorder- zu den Hintertarsen an Ausdehnung und Dichte abnehmend, vom 1-sten bis zum 4-ten Gliede dagegen zu¬ nehmend, Glied 1 nur an der Spitze, 2 nur zur Hälfte pubescent. cf 4 erste Vordertarsenglieder leicht erweitert und kurz bebürstet, 1 -stes Glied nur in 1U bis Vs seiner Länge. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 259 13 — 18:5 — 7 mm. In den Bergwäldern Mitteleuropas: Im öst¬ lichen und nördlichen Frankreich, im südlichen Belgien, in Mittel¬ und Süddeutschland, in der Schweiz, in Oesterreich, in Ungarn bis Bosnien (Igmän-Geb., dinarische Alpen etc.) und Herzegowina (Vran planina), im südwestlichen Russland (Kreminecz in Wolhynien, Fischer), in Nord- und Mittel-Italien bis in die östliche Umgebung Borns (Mos- cosa und Monte-Yiglio bei Filettino, Minga zzini, Alessandrini, beide Belegstücke in meiner Sammlung) und nach Schaum auch in den Pyrenæen, aber selten. Exemplare mit schwärzlichen Fld hat Letzner nigricans benannt, solche mit gelblichbraunen, also immaturen, fulvus und solche mit fast kreisrunden — kommt gar nicht vor! — rotundatus — alle 3 Namen sind völlig überflüssig und unsinnig ! Die Stücke aus den See- und Nieder-Alpen sind meist sehr gross, der Thorax häufig nach rückwärts schräg verengt und ganz grob punktirt. Var. carniolicus Mötsch, ist nine kleine Krainer Localform mit breitem Hlschd, breiten und kurzen Fld, von hellkupfriger Färbung und mit hellgelben Schienen. Heer’s inter¬ medius ist eine kleine alpine Form, viel kleiner als die Stammform, schmaler, Stirnquereindruck meist seichter, Hlschd gestreckt herzförmig, nach hinten schräg oder selbst geschweift verengt, Fld höher gewölbt. Sie kommt vor in den Centralalpen (Mt. Blanc, Urser entai, Flösstal in Canton Bünden), dann am Stubai- Gletscher (8600 Fuss), in Steiermark, im Riesengebirge (Schneekoppe), im Toskanischen Apennin und in den Sabiner Bergen ostwärts von Rom (Mte Viglio bei Filettino über 2100 m). III. Genus : SPHAERODERUS Dejean. (Scalpo; = globosus = kugelrund ; öépov = thorax.) 1826, Spec. gén. II, p. 14; 1829, Iconogr. I, p. 265; Harris 1839, Februar, Host. Journ. Nat. Hist. II, No 2, p. 190 — 192 u. 202—204; Leconte 1853, Trans. Americ. phil. Soc. Philad. ser. 2, Vol. X, Art. XXVII, p. 398; Schaum 1860, Beri. Ent. Zeitsehr. p. 176; Chaudoir 1861, Bull. Soc. Imp. Nat. Moscou P. IV, p. 493; Horn 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. VII, December, p. 168/169. Kopf gestreckt, mit mässig weit vorragender, aber so tief, fast bis zur Wurzel gespaltener Oberlippe, dass der Kopfschild zusammen mit dem Rest der Basis der Oberlippe den Grund der inneren Ausrandung bildet : der Clypeus ist vorn tief eingedrückt und die obere innere Um¬ randung des Oberlippen- Ausschnittes liegt nicht vor dem Clypeus, son¬ dern durchschneidet ihn. In der Tiefe des Ausschnittes trägt die Ober¬ lippe nur 2 Borsten ; Mandibeln gerade, mässig die Oberlippe über¬ ragend ; Wangen vor und unter den Augen dreieckig erweitert, aber 17* 260 Dl HANS ROESCHKE nicht oder kaum so weit wie die Augen vorspringend, die nach vom zusammengelegten Mandibeln geben mit der Wangenerweiterung und den ziemlich vortretenden Augen dem Kopf ein dreieckiges Aussehen ; Stirn gewölbt, glatt, nicht punktirt noch tuberculirt, Stirnfurchen tief, Einschnürung hinter den Augen deutlich, Nacken blasig verdickt, glatt. Kiefertaster stets unbeborstet, vorletztes Glied der Lippentaster nur mit 2 Borsten, an der Spitze ohne Börstchen, Endglied der Taster beim cf stark, beim £ schwach beilförmig. Fühler lang, dünn, 1-stes Glied lang, oboval, vor der Spitze, nicht an der Spitze verdickt, Endborste weit von der Spitze abgerückt, etwa in ®/s der Länge von der Basis aus, 4-tes Fühlerglied an der Spitze stets nur mit wenigen Härchen bedeckt. — Hlschd stets breiter als lang, herz- oder scheibenförmig, an den Seiten schmal und niedrig aber scharf gerandet, nicht ausgeflacht, die einzige Bandseta ungefähr in der Mitte des Bandes, der nach hinten nicht oder kaum höher aufgebogen ist; Mittelfurche mässig tief, dagegen die seitlichen Basaleindrücke sehr tief, Basalquereindruck meist schwach oder wenig bestimmt, gewöhnlich durch ein queres Band eingestochener Punkte markirt. Epipleuren nicht punktirt, Yorderbrust mit horizon¬ talem, die Hüften überragendem Fortsatz, nicht nach aufwärts ge¬ krümmt ; die Epimeren mit den Episternen stets nahtlos verschmolzen, Epimeren immer punktirt. — Fld mit breit abgesetztem und namentlich an den nach vorn vorgezogenen Schultern hoch aufgebogenem Aussen- rande, der deutlich geschweift zur Basis zieht und diese mehr oder minder deutlich leistenförmig bis zur Naht quert; Bandborstenreihe vollständig und dicht, Poren nicht umwallt. Sculptur besteht aus Punkt¬ streifen und erhöhten Intervallen, die zur Auflösung in Tuberkeln neigen, bisweilen bis zur fast vollständigen Granulirung und dazwischen mit ein¬ zelnen Tuberkelreihen. — Epipleuren dicht und grob punktirt, teilweise auch vorn scharf umrandet, erreichen nicht ganz die Fld- Spitze, ihre Innenfurche zur Aufnahme des Bandes der Abdominalsegmente, geht durch die Ausbuchtung hindurch hinten zu schmaler Binne sich verjün¬ gend, bis zur Spitze. Mesosternum ohne Episternalleiste ; Mesotrochanter ohne wahre Bandseta, zuweilen jedoch mit einer falschen, in tiefer Pore neben dem Bande ; Hinterhüfte ohne S 3 und 4, dagegen S 5 innen am Metatrochanter vorhanden. Abdominalsegmente 4 bis 6 seitlich mit höchstens ganz geringen Spuren von Yentraistrigen und nur Segment 4 und 5 mit 1 Borstenpore jederseits, cf ç 1 SA. Die cf cf einiger Arten haben auf der Scheibe des Analsegments jederseits 1 Borstenpore. — Beine kurz und kräftig, alle Schenkel mehr oder weniger keulenförmig verdickt, die vorderen am meisten, die der cf stärker als die der 5 ; die Yorder- und Mittelschenkel stets ohne untere Borstenreihe, die Yorder- MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 261 Schenkel wenigstens vorn oben beborstet ; Hinterschenkel unten nie scharf gefurcht, Hinterschienen glatt, Vorderschienen der cf cf stets deutlich gekrümmt, die der $ $ , meistens auch, aber wesentlich schwä¬ cher. Sohlen der 4 ersten Glieder aller Tarsen bebürstet, die der cf cf stärker als der £ $ , von den Vorder- zu den Hintertarsen progressiv geringer, 1-stes Tarsalglied nur an der Spitze, 2-stes Glied in reichlich der apicalen Hälfte, 3-tes und 4-tes Glied fast ganz, respective ganz pubescent; Dorsalseite aller Tarsen ohne kurze, abstehende Härchen. cf 4 Vordertarsenglieder breit erweitert und bis auf den kurzen Stiel mit vollständiger Schwammsohle, die beiden ersten Glieder sehr breit und gross. Kurz zusammengefasst, es unterscheidet sich die Gattung Sphaero¬ derus von den Gattungen Scaphinotus und Cychrus zusammen, durch 4 Charaktere: 1. die Art der oberen Umrandung des Oberlippenausschnittes; 2. durch das bisetose vorletzte Glied der Lippentaster; 3. durch die bis zur Fld-Spitze verlängerte Epipleuralrinne ; 4. durch das Fehlen der Borstenporen auf dem 3- ten Ventralsegment. — Von Scaphinotus ist Sphaeroderus noch durch folgende 6 Unterschiede getrennt: 1. nur 2 Borsten im Grunde des Oberlippenausschnittes (anstatt 4) ; 2. die Kiefertaster stets unbeborstet; 3. die nahtlose Verschmelzung der Epi¬ meren mit den Episternen der Vorderbrust; 4. das vollständige Fehlen der Mesoepisternalleiste; 5. das Fehlen der wahren Randseta der Mittel¬ hüften und 6. die unbehaarte Oberseite der Tarsen. Cychrus gegenüber kommt nur ein einziger spezieller Unterschied in Betracht : der hori¬ zontal über die Vorderhüften nach hinten verlängerte Prosternalfortsatz, der bei Cychrus stets ventralwärts gekrümmt ist. Der Gattung Sphaeroderus gehören nur 3 Arten an, die den Osten der Vereinigten Staaten und Canadas bewohnen, von Nord-Carolina im Süden nordwärts bis zur Hudson-Bay, circa zwischen 35. bis 55. Breiten¬ grad, und vom Atlantic bis zum Mississippi (Illinois und Wisconsin). Dejean hatte Sphaeroderus hauptsächlich auf Grund der breit er¬ weiterten Vordertarsen des cf als Gattung aufgestellt ; Harris wollte Sphaeroderus wie Scaphinotus nur als Untergattungen gelten lassen, Leconte ging noch weiter und zog beide gänzlich zu Cychrus ein. Schaum machte zuerst auf den verschiedenen Bau des Prosternal- fortsatzes bei Cychrus und Sphaeroderus aufmerksam und rehabilitirte Sphaeroderus von neuem als selbständige Gattung ; ihm schloss sich Chaudoir an ; Geo. Horn endlich liess die Frage, ob Gattung oder Untergattung, völlig offen. (Siehe auch bei Scaphinotus.) 262 Dl HANS ROESüHKE 1. Sphæroderus canadensis Chaudoir. 1861, Bull. Soc. Imp. Nat. Moscou P. II, p. 498 — Typ in coll. Chaud, jetzt Bene OBERTHÜR-Kennes ; Horn 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. VII, p. 170/171; 1893, Ent. News p. 7. n. 21. S. palpali* Motschulsky 1865, Bull. Soc. Imp. Nat.. Moscou P. IV, p. 312 — Typ verloren. Kopf und Hlschd kupferviolett, Stirnseiten und Hlschd-Ränder bläulich oder grünlich schimmernd, Fld kupfrig mit breiten bläulichen, seltener grünlichen Seitenrändern. Mandibelspitzen, Palpen, Fühlerenden und Tarsen hellbraun. — Kopf klein, Stirnfurchen kurz, vor den Augen endend, schwach gerunzelt, Stirn wenig gewölbt, glatt, scharfe ring¬ förmige Einschnürung nicht unmittelbar am hinteren Augenrande, son¬ dern deutlich etwas hinter demselben, Nacken dahinter ziemlich stark kugelig aufgeblasen, glatt. — Hlschd kurz herzförmig, vorn mässig aus¬ geschnitten, scharf umrandet, Vorderecken gerundet vortretend, Seiten nach vorn hin ziemlich gebogen, nach hinten leicht aber deutlich ge¬ schweift verengt, Seitenrand auch hinten so niedrig wie vorn, Hinter¬ ecken stumpfwinklig, nicht lappenförmig gerundet, leicht abgestumpft, deutlich vorspringend, Basis kaum breiter als Vorderrand; Oberseite ziemlich stark gewölbt, Mittelfurche tief, Basalseiteneindrücke scharf und tief eingeschnitten, nicht grubenartig und wie der seitliche Basal¬ teil zwischen ihnen und hinter dem schwach markirten Quereindruck spärlich und ziemlich fein, nicht grob punktirt. — Fld lang oval, in den Schultern ziemlich breit, beim cf nach hinten wenig erweitert, fast gleichmässig breit, beim 5 bis ziemlich weit hinter der Mitte erweitert, aber nur schwach ; vor der Spitze leicht ausgeschweift, Oberseite tief und regelmässig punktirt-gestreift, 12 gut ausgebildete und erhöhte- Intervalle und hinten neben der Randrinne noch ein 13-ter, wenig ent¬ wickelter, höckriger Streif, Zwischenräume ziemlich breit, im apicalen Drittel und teilweise bis zur Mitte der Fld in kürzere oder längere- Tuberkeln abgeschnürt, besonders die primären und secundären Streifen 4, 6, 8, die oft nach hinten stärker hervortreten, leicht verbreitert und erhöht auf Kosten der verkümmerten und vielfach in kleine Körner aufgelösten tertiären Intervalle ; der 4-te Zwischenraum hat öfters im basalen Teil 1 oder 2 Poren mit langen Borsten. — Vorderbrustepi Sternen glatt, Seiten der Mittel- und Hinterbrust sowie des Bauches schwach und spärlich punktirt; Mittelhüften neben dem lateralen Rande mit tiefer Borstenpore. — Vorderschenkel vorn wie hinten, Mittelschenkel nur vorn oben beborstet. cf mit centraler Borste jederseits der Mitte auf dem Analsegmenh MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 263 Penis vom flach gedrückt, in eine allmählich sich verjüngende, breit spatelförmige Spitze anslaufend, die leicht nach innen gekrümmt ist. 11 — 13 : 4 — öVé mm. In höher gelegenen Teilen der Alleghany Mts in ihrer ganzen Ausdehnung von Canada (typischer Fundort wahr¬ scheinlich Ottawa River ; Gross-Seengebiet) durch Maryland, Pennsyl- vanien (Chestnut Ridge, Cambria Co. — Prof. Jerome Schmitt) bis nach Nord-Carolina (Black Mts, Mitchell Co.). Auf Berggipfeln von 3000 bis 6000 Fuss Höhe, unter Rinde oder Moos auf Felsen, Mai bis October. Sph. palpalis Mötsch, ist sicher auf canadensis zu beziehen, da die hellgelblichen Taster, die braunen Fühler und Tarsen, der herz¬ förmige Hlschd mit der nur spärlich genarbten Basis, die 12 Reihen der tief punktirt-gestreiften Fld, deren 8-tes Intervall nur durch einige Grübchen unterbrochen sein soll, wohl nur auf diese Art zu deuten sind, aber keineswegs auf nitidicollis, wie Geo. Horn es getan hat. 2. Sphæroderus stenostomus Weber. 1801, Observat, ent. p. 43. n. 1 — Typ Museum Kiel; Knoch 1801, Neue Beitr. Ins. Kunde I, p. 190, t. 8, f. 13; Dejean 1826, Spéc. gén. Col. II, p. lb; 1829, Icono- graph. I, p. 266; Leconte 1848, Ann. Lye. Nat. Hist. New-York IY, p. 441; Horn 1878 Dec., Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. VII, p. 171; stenostomus var. Horn 1. c. subsp. Lecontei Dejean 1826. 1. c. — Typ Coll. Bené OBERTHÜR-Bennes ; 1829, Iconogr. I. 1. c. pl. 29, f . 2 ; stenostomus Say 1825, Trans. Amer. Phil. Soc. Philad. II, New ser. p. 72 n. 3, secund. Harris 1839, Bost. Journ. II, p. 198 ; niagarensis Laporte 1832, Ann. Soc. Ent. France I, p. 390 n. 7 ; Lacordaire 1859, Genera d. Coléopt. Atlas pl. 2, f. 3 ; Lecontei Leconte 1848, 1. e. p. 442 — Typ Mus. Cambridge. subsp. bicarinatus Leconte 1853, Trans. Amer. Phil. Soc. Phil. X, p. 399 — Typ Mus. Cambridge; Geo. Horn 1878 1. c. Kopf und Hlschd schwarz mit Metallschimmer oder dunkelkupfrig, leuchtend blauviolett, bisweilen in und an den Vertiefungen und längs der Ränder grünlich; Fld hell bis dunkelkupfrig, oft mit leichtem, bläu¬ lich-violettem Hauche, seltener fast schwarz, Ränder mehr oder minder leuchtend bläulich oder purpurviolett; Taster, Mandibelspitzen, die vier ersten Fühlerglieder und die Tarsen pechschwarz wie alle andern Körperteile, die behaarten Fühlerglieder dunkel braunrot. — Kopf mit mässig tiefen, leicht gerunzelten Stirnfurchen, die ungefähr bis zur Mitte des oberen Augenrandes gehen, dann nach innen biegen und hinter der Stirn in die mässig starke Einschnürung einmünden, die unmittelbar hinter dem Augenrande abwärts verläuft, aber nicht deut¬ lich ringförmig ist; Stirn ziemlich gewölbt und wie der mässig stark verdickte Nacken glatt. — Hlschd viel breiter als lang, meist ziemlich kreisförmig, Seiten vom stark gebogen, ebenso hinten, seltener schwach 264 Bl HANS ROESCHKE herzförmig, Seiten nach vorn und hinten weniger stark gebogen ver¬ engt; im ersteren Falle Basis viel breiter als der wenig ausgeschnittene Yorderrand mit den kaum vorragenden, stark gerundeten Yorderecken ; im andern Falle Basis nur etwas breiter als der merklich ausgeschnittene Yorderrand mit deutlich vortretenden runden Yorderecken; Yorderrand stets scharf umrandet, leicht schwielig verdickt, Seitenrand vorn wie hinten gleichmässig aufgebogen, vor der Basis kaum merklich geschweift, Hinterecken zur Basis einfach verrundet und nicht vortretend oder breit lappenförmig, mehr oder weniger deutlich vorgezogen, Basis äusserst schwach ausgerandet, fast gerade ; Oberseite gewölbt, grösstenteils glatt mit scharfer Mittellinie, Basalquereindruck massig tief und unbestimmt, Basalseitenfurchen tief und linear, nicht grübchenartig, in, hinter und zwischen den basalen Eindrücken bald spärlich und fein, bald dicht und grob punktirt, nicht selten finden sich auch vereinzelte Punkte vor dem Basalquereindruck und zwischen den seitlichen Längsfurchen und dem Aussenrande, welcher Baum stets bis in die Hinterecken hinein stark gewölbt ist und nicht durch die Punkte niedergedrückt oder aus¬ geflacht wird. — Fld meist breit und kurz oval, oder gestreckter oval, bis hinter die Mitte gerundet erweitert, mit deutlich, fast eckig vortretenden Schultern, vor der Spitze schwach ausgeschweift ; Oberseite stark ge¬ wölbt, zuweilen Scheibe, besonders nach vorn zu, leicht verflacht, mit ca 16 tiefen Punktstreifen, Zwischenräume hoch gewölbt, schmäler als bei canadensis , ganz oder unterbrochen oder in Tuberkeln oder Körner auf¬ gelöst. — Episternen der Yorderbrust glatt. Seiten der Mittelbrust wenig, die der Hinterbrust stärker punktirt, Abdomen seitlich leicht gerunzelt, fast glatt. Mittelhüften seitlich ohne Borstenporen. — Yorderschenkel vorn und hinten, Mittelschenkel nur vorn mit oberer Borstenreibe. cf mit centralen Borsten auf der Scheibe des Analsegments ; Penis wie bei canadensis vorn (Innenkrümmung) breit flachgedrückt, mit breit gerundeter und nach vorn gebogener Spitze. 12 — 17 : 5 — 7 mm. Südöstliches Canada bis zum Gross Seen¬ gebiet, Nordosten der Vereinigten Staaten bis zum Mississippi und südlich längs der Alleghany- Gebirgskette bis Nord- Carolina. Drei Bassen sind zu unterscheiden. I. stenostomus Web. Kleine gedrungene Form mit nicht oder höchstens im Apicalteil wenig unterbrochenen Intervallen — : stenostomus var. Geo. Horn: «ein Dritttel vor der Spitze, ohne jedoch granulirn zu werden.» — 12 — 14 mm. Form der Niederungen längs des Küsten¬ gebietes, vom Staate New-York südlich bis zur Südgrenze von Virginia und höchstens 30 bis 40 engl. Meilen landeinwärts sich ausbreitend. II. subsp. Lecontei Dej. Die geraden Intervalle, also die primären MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 265 und secundären, im ganzen apicalen Drittel, zuweilen bis über die Mitte der Fld hinaus, unterbrochen; die Punktstreifen werden unregelmässig, geschlängelt und die Intervalle zerfallen in lang gestreckte Tuberkeln, die bald vollständig getrennt, bald nur scheinbar infolge starker Ein¬ schnürung der Zwischenräume zwischen 2 zusammenhängenden, oblongen Tuberkeln ; die letzteren, besonders zur Spitze zu, verbreitern und er¬ höhen sich oft auf Kosten der zwischenliegenden tertiären oder un¬ geraden Zwischenräume, die nach vorn hin ganze, zusammenhängende Streifen bilden, zur Spitze jedoch gleichfalls Tuberkeln, meist jedoch kleinere ; die Spitze selbst und die Seiten davor dann gewöhnlich nur noch gekörnt. Je mehr sich die geraden Intervalle auf Kosten der un¬ geraden verstärken, umsomehr verkümmern diese und reduciren sich auch nach vorn zu in eine etwas weniger erhabene, niedrigere Reihe kleiner und kleinster Körnchen, so dass die Fld ein ziemlich granulirtes Aus¬ sehen erhalten können. 13 Vs — 16 mm. Canada, Nordosten der Vereinigten Staaten, west¬ lich etwa bis Wisconsin und Illinois und längs der niederen Züge des nördlichen Alleghany -Gebirges. Mehr Inlandform. Der typische Lecontei Dej., die gewöhnlichste und bekannteste Form der vorliegenden Art, ist ziemlich breit oval, tertiäre Streifen nicht oder kaum niedriger als die primären und secundären, auch zwischen 12. Streif und Aussenrand ziemlich regelmässige Streifen oder höchstens geringe Körnelung. Synonym ist niagarensis Lap., sowohl der Beschreibung (blauvioletter Rand der Fld, nicht höckrige Scul- ptur!) und Abbildung nach als auch nach Leconte 1848, der das typische Exemplar Laporte ’s vor sich gehabt hatte; dass es unmöglich zu nitidi- collis Chevr. gehören kann, geht schon aus der Angabe Leconte’s her¬ vor «Habitat Nov. Eboracis sat frequens» ; die gewöhnliche Art im Staate New-York ist aber sicher stenostomus Lecontei Dej. und nicht nitidicollis. Es ist schwer ersichtlich, wie Geo. Horn dazu kam, niaga¬ rensis Lap. Lec. zu jenem zu ziehen; leider hat Leconte später nie wieder eine berichtigende Synonymie gegeben. Der Lecontei Lec. ist dagegen eine etwas weniger häufig vorkommende, locale Unterform Canadas und der angrenzenden nördlichen Staaten : Kopf, Hlschd und Fld von mehr gestreckterer und schmälerer Form mit stärkerer Punkti- rung der Fld-Streifen und weiter vorgeschrittener, körniger Auflösung, ungerade Intervalle hauptsächlich betroffen, daher häufig niedriger als die geraden, Streifen mithin abwechselnd erhaben. Solche Stücke liegen mir vor aus New-England und Wisconsin. Besondere Benennung über¬ flüssig nach meiner Ansicht. III. subsp. bicarinatus Lec. die primären Intervalle (4, 8, 12) Bl HANS ROESCHKE 266 stärker entwickelt und erhöht als die secundären und tertiären, die ziemlich gleichmässig zurückgeblieben sind , alle Intervalle bilden mehr oder minder ganze Streifen und sind nur im apicalen Drittel und an den Seiten unterbrochen, resp. gekörnt, die Körnchen zeigen indessen ge¬ wöhnlich keine Neigung sich erheblich zu vergrössern und zu erhöhten Tuberkeln auszuwachsen. Nach aussen vom 1 2-ten Intervall bis zum Rande sind statt der Streifen Körnerreihen, ebenso vor der Spitze. Greift die Körnelung auch auf die Intervalle 9 bis 11 über, so bleibt auch die 3-te primäre Rippe (Intervall 12) nicht intact, sondern wird nach hinten unterbrochen ; bei noch weiter vorschreitender Körnelung tritt diese Unterbrechung auch bei der 2-ten Primärrippe (Intervall 8) auf, und so weiter schliesslich auch bei der 1-sten primären (Intervall 4). Leconte’s Typ hat vollständige und leicht erhöhte Primärstreifen, der 3-te (nur nach hinten etwas durch beginnende Auflösung verkürzt) ist indessen ganz scharf gekielt, somit einen 2-ten Aussenrand oder Kiel bildend — bicarinatus. 14—17 mm. Meist grosse Form, die in den höher gelegenen Teilen der Alleghany-Kette vorkommt, von Nord-Carolina im Süden an (Bel¬ mont, Black Mts), durch Georgia (Habersham Co. — typische Fundstätte) bis nach New Hampshire (White Mts) und Maine. Von allen 3 Rassen kommen sowohl heller kupfrige wie dunkel¬ bronzene, « schwarzviolette » Exemplare vor. Von Ende Februar bis November. 3. Sphæroderus nitidicollis Chevrolat. 1829, Guérin: Iconograph. Règne anim. I.p. 24, pl. 7, f. 1, a — c — Typ 1 d% jetzt - ? ; Brevoorti Leconte 1848, Ann. Lyc. Nat. Hist. IV, p. 443 ; granulosus Chaudoir 1861, Bull. Soc. Imp. Nat. Moscou P. II, p. 497. subsp. Schaumi Chaudoir 1861, 1. c. 499 — Typ Coll. R. OßERTHÜR-Rennes > nitidicollis Leconte 1848, 1. c. ; Horn 1878, Trans. Amer. Ent. Soc. Phil. VII, p. 170. Kupferviolett, Ränder des Hlschd und der Fld mehr leuchtend purpurviolett, nicht bläulich oder grünlich wie bei steno st omus ; der übrige Körper nebst Adnexen pechschwarz oder pechbraun. — Kopf mit tiefen Stirnfurchen bis an den hinteren Augenrand; in den Furchen deutlich quergerunzelt, bis auf die hochgewölbte Stirn hinauf; hinter der Stirn deutliche Einschnürung, die sich unmittelbar am hinteren Augenrande verliert, dahinter der Nacken ziemlich kugelig verdickt. — Hlschd erheblich breiter als lang, quer, nicht herzförmig, Basis beträcht¬ lich breiter als der Vorderrand, dieser mehr oder minder schwielig ver¬ dickt, häufig nicht umrandet oder nur seitlich, bisweilen auch in der Mitte scharf; Apicalteil vor dem vorderen Quereindruck oft mit einigen MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 267 unregelmässigen Punkten ; Vorderecken gerundet, deutlich vorgezogen, Seiten nach vorn stärker gebogen als nach hinten, hier fast schräg verengt, Seitenrand zur Basis wenig aber deutlich stärker und höher aufgebogen, Hinterecken einfach verrundet nicht vorspringend oder nur ganz schwach ; Oberseite gewölbt mit tiefer Mittellinie, die sich nach vorn in einen schwachen aber deutlichen Quereindruck gabelt ; vor der Basis tief quereingedrückt und wie die ebenfalls tiefen, mehr dreieckigen, nicht scharf linear eingeschnittenen, basalen Seitengruben grob und dicht runzlig punktirt; durch Zusammenfliessen der Punkte oft im ganzen Basalteil runzlig, besonders in der Nähe der Hinterecken bis hart an den aufgebogenen Seitenrand hin, und hier die Oberfläche niedergedrückt, nicht wie bei stenostomus gewölbt. — Fld ziemlich lang oval mit relativ schmalen, aber eckig vorspringenden Schultern, nach hinten bis weit über die Mitte stark verbreitert, zur Spitze kurz ge¬ rundet, fast ohne jede Schweifung ; Oberseite hoch gewölbt, nach hinten steil abfallend, mit primären und secundären Beiben zusammenhängender oder isolirter Tuberkeln, zwischen denen die tertiären Zwischenräume in der basalen Hälfte mehr oder minder dichte Unterbrechung oder nur unregelmässige Granulirung aufweisen, in der apicalen Hälfte dagegen nur noch diese Körnelung. — Vorderbrust auch auf den Episternen mit einzelnen, zerstreuten Punkten, ebenso die Seiten der Mittel- und Hinterbrust, Abdomen fast glatt oder nur schwach runzlig punktirt ; Mittelhüften seitlich ohne Borsten. — Vorderschenkel vorn oben mit Borstenreihe, hinten oben nur ausnahmsweise beborstet, Mittelschenkel ohne Borste. cf Analsegment ohne Centralborsten. Penis in der Innencurvatur zur Spitze flach und breit zusammengedrückt, diese scharf fast senk¬ recht aufgebogen und schräg abgestumpft. 12 — 19 : 5 — 7 Va mm. Von der Hudsonbay (Rupert-River) durch das südöstliche Canada, den nordöstlichen Teil der Vereinigten Staaten Maine, New Hampshire (White Mts), New-York, Washington D. C. (Charleroi) südlich bis nach Virginia, vom Atlantischen Ozean bis nach West-Virginia (Fairmont), Ohio und dem Gross-Seengebiet. August — November. Der Beschreibung lagen leider nur 3 Exemplare zu Grunde. Der Sculp tur und Grösse nach kann man 2 Formen unterscheiden, die an¬ scheinend Rassen darstellen; beide Formen wurden auch nahe einer und derselben Localität, aber nicht zusammen gefunden, z. B. bei Charleroi. a) nitidicollis Chevr. (neque auct. amer.). Kleinere Form mit ver¬ hältnismässig ziemlich vollständig entwickelter Sculptur, d. h. auch die tertiären Zwischenräume bilden, wie die andern, im Basalteil mehr oder 26 8 I)f HANS ROESCHKE minder vollständige Streifen oder Eippen und gehen in der Mitte der Fld in eine einfache, nicht doppelte Reihe kleiner Körnchen über, während die geraden Zwischenräume ungefähr von der Mitte ab sich in meist zusammenhängende, grössere Tuberkeln auflösen; am apicalen Absturz und mehr oder weniger hinten an den Seiten mit unregelmässig gekörntem Grund. 12 — 16 mm. — Hudson-Bay und Küstengebiet von Maine bis Washington D. C. — Synonym ist granulosus Chaud. ; der Autor selber war im Zweifel, ob seine Art nicht identisch mit der Chevrolat’s sei, die er nur der Beschreibung nach kannte. Da Chevrolat’s Typ nur die Grösse des C. attenuatus und 16 Fld-Streifen, aus Eippen und Tuberkel¬ reihen gebildet (16 lignes formées par des côtes ou des tubercles), haben soll, so ist schwer ersichtlich, wie Leconte und Geo. Horn dazu kom¬ men, nitidicollis auf die folgende Form zu beziehen. b) subsp. Schaumi Chaud. Grosse Form mit stark reducirter Sculptur : auf unregelmässig gekörntem Grunde 3 Reihen primärer, grosser, meist isolirter Tuberkeln und 4 Reihen kleinerer secundärer, während nur an der Basis tertiäre Rippenfragmente erhalten bleiben. 15 — 19 mm. — Canada, Ohio, West-Virginia, Virginia, Washington D. C., New-York. ANHANG. Fossile Cyckrini. Die wenigen bisher fossil gefundenen Vertreter der Tribus Cyckrini gehören dem Ende der Tertiärzeit an, dem Postpliocän oder Unter- pleistocän. Die erhaltenen Fragmente bestehen grösstenteils noch aus dem mehr oder minder veränderten Hautskelett, dem chitinösen Grundstoff (Substanz) selbst, der noch die Oberflächenskulptur in vieler Hinsicht bewahrt hat ; die übrigen Reste sind Abdrücke auf die um¬ gebenden Schichten. Da mir jegliches Material fehlt, so bringe ich im folgenden die Originalbeschreibungen der Autoren selber. 1. Scaphinotus Wheatleyi Horn. Cychrus Wheatleyi Horn 1876, Trans. Amer. Ent. Soc. V, p. 242; Scudder 1890, Tert. Ins. N. Am. p. 536/7, pi. 1, LI; 1900, Adeph. and Clavic. Col. Tért. Depos. Florissant, U. S. Geol. Surv. Vol. XL, p. 13. Horn: «Von dieser Art habe ich einen flachgedrückten Hlschd vor mir, ganz und gar noch die wirkliche Substanz der Oberseite, die sich in mässig guter Erhaltung präsentirt, und einen grossen Teil einer MONOGRAPHIE DER CYCHRINT. 269 linken Fid., von der jedoch nur ein kleiner Teil in Substanz erhalten geblieben ist. Der Hlschd, obwohl flachgedrückt, zeigt deutlich eine massig gewölbte Scheibe, die Mittellinie deutlich, Basalquereindruck ziemlich tief und die Seitenränder breit, an der Basis breiter und auf¬ gebogen. Die Hinter ecken sind stumpf und nicht verlängert, die Basis mässig ausgerandet. Die Seiten sind mässig gebogen und allmählig zur Basis verengt, die grösste Breite des Thorax liegt etwas vor der Mitte. Die Art ist somit viduus ähnlich, nur kleiner, die Durchschnittsgrösse der An drew sii- Stücke nicht überschreitend. Die Fld sind fein gestreift, die Zwischenräume mässig gewölbt und anscheinend glatt, die Streifen mit mässig starken Punkten, nicht so dicht gestellt wie bei manchen Arten auf dieser Seite des Continents» (des Ostens N.-A.). «Die Streifen sind so zahlreich wie bei viduus oder Andrewsin . Thorax-Breite 6 mm., Länge 4 mm. Fld (ergänzt) Breite 12 mm., Länge 16,5 mm. Bone Caves (Knochenhöhlen) von Port Kennedy, Pennsylvania. «Nach meiner An¬ sicht ist sehr geringer Zweifel möglich an der Verschiedenheit dieser Art von jeder gegenwärtig existirenden, doch kann man die Folgerung ziehen, dass die Art als Ahn unseres viduus anzusehen ist. Ich habe die Art zu Ehren Mr. Charles M. Wheatley’s benannt, dem wir die Er¬ forschung der Örtlichkeit verdanken, in der die fossilen Insecten ge¬ funden wurden.» Scudder 1890 p. 537 : «Mit Einschluss der Streifen nächst den Rändern der Fld scheinen 14 im ganzen vorhanden zu sein ; die zwei äusseren sind dunkel und die auf der Scheibe haben eine Durchschnitts¬ weite von 0,375 mm ; die Streifen scheinen schwach punktirt zu sein, die Punkte so weit entfernt wie die Streifen ; die Zwischenräume zwischen den Streifen sind unterbrochen durch unregelmässige eingedrückte Linien, die ein tuberculirtes, doch andererseits wieder glattes Aussehen ergeben» (d. h. wohl durch unregelmässige Querriefen höckrig sonst glatt). «Die Scheibe des Hlschd ist beträchtlich quadratischer und verhältnismässig breiter als bei den Cychrus-Arten, mit denen Dr. Horn sie vergleicht. «In der Tat war ich zuerst geneigt anzunehmen «dass die Seitenrand¬ lamelle (der aufgebogene Seitenrand) schmal und ganz gleichmässig breit war und deshalb geneigt das Insect zu den Calosomen zu stellen (in die Nachbarschaft der bisweilen zu Callisthenes gezogenen Arten); aber ein erneutes Studium in Gemeinschaft mit Dr. Horn ergiebt, dass dies ein Fehler wäre und dass der Randteil sich stark nach hinten verbreitert und eine etwas schildförmige Scheibe wie bei C. viduus freilässt.» — Postpliocän. Die Abbildung des Hlschd zeigt relativ stark vorspringende, stumpf¬ winklige Vorderecken, wie sie bei den heutigen Scaphinotus- Arten nicht 270 Dl HANS ROESCHKE entfernt Vorkommen, die Basis hat in der Mitte einen kleinen drei¬ eckigen Vorsprung, der den heutigen Arten stets fehlt, bei denen sich gewöhnlich hier ein kleiner Ausschnitt vorfindet oder die Basis ist in der Mitte leicht bogenförmig nach hintnn vorgezogen. Die Anzahl der Streifen und die nicht durch Punkte oder Grübchen unterbrochenen, noch kettenartige Gliederung aufweisenden Primärintervalle, lassen nur die Deutung auf Scaphinotus zu. 2. Scaphinotus minor Horn. Cychrus minor Horn 1876, Trans. Amer. Ent. Soc. V, p. 243; Scudder 1890, Tert. Ins. N. A. p. 537 pl. 1, f. 2; 1900, Adeph. and Clavic. Col. Tért. Depos. Flo¬ rissant, U. S. Geolog. Surv. Vol. XL, p. 13. Horn: «Zwei Fragmente von Fid geringerer Grösse als die vorher¬ gehenden bieten die einzige Grundlage für den oben vorgeschlagenen Namen. Die Streifen sind fein und mit feinen Punkten, die Intervalle schwach gewölbt, deutlich leicht gerunzelt und wahrscheinlich auch spärlich punktirt. Ein Eindruck des Schildchens besteht noch, der breit dreieckig ist und in der Form von dem bei Andrewsii nicht abweicht. » «Fld (ergänzt). Länge 13,5 mm. Breite (actuell) 3,75 mm.» «Die Form ist also fast genau die von Andrewsii .» Scudder 1890 p. 537 : «Nach meiner Prüfung findet sich ein schwacher bläulicher Farbenton an den schwarzen Chitinresten der Fld ; die Punkte der Streifen sind etwa 2/s der Breite der Zwischen¬ räume von einander entfernt, die letzteren sind 0,25 mm breit und kaum gewölbt, leicht gerunzelt und, soweit ich bestimmen kann, nicht im geringsten punktirt ; die Länge des Fragments der einen Fld ist 10,5 mm, die Breite derselben Fld 4,25 mm.» «Knochenhöhlen von Port Kennedy, Pennsylvanien. » - — Postpliocän. Der Abbildung und Beschreibung nach scheint die Art eher zur elevatus-G ruppe denn zu Andrewsii zugehören, die Fld-In terv alle sind nur sehr schwach gewölbt, der Seitenrand ist anscheinend sehr breit abgesetzt, aber wiederum an den Schultern nicht deutlich erhöht, die letzteren auch nicht eckig vorspringend. Von zwei anderen von Scudder als Cychren beschriebenen Arten hat der Autor selbst seinen früheren C. testeus (Scudd. 1878, Bull. U. S. Geogr. Surv. Terr. IV, p. 758) nach weiteren, besser erhaltenen Funden wegen der kurzen und ungezähnten Mandibeln als zu einer unter¬ gegangenen Carabinen-Gattung gehörig — Neothanes Scudder 1890, Tert. Ins. N. A. p. 535 — aufgeführt und abgebildet, 1. c. 535, pl. 7, f. 32, 39. MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 271 Sein Nomaretus serus (Scudder 1900, Adeph. and Clavic. Col. Tert. Depos. Florissant, U. S. Geol. Surv. Yol. XL, p. 13, PL 1, f. 1) kann ganz unmöglich zu den Cychrinen gehören, denn die linke Yordertibie zeigt deutlich beide Dornen übereinandergestellt, den einen als Enddorn, den andern etwa in Vs Höhe der Schiene ! Eine Aus- randung oder ein Ausschnitt lässt sich allerdings nicht mit Sicherheit erkennen, aber diese sind auch bei verschiedenen Carabiciden-Gattungen bisweilen nicht leicht erkennbar. Ausserdem ist der Kopf auffallend breit und kurz, kugelförmig wie nie bei jetzigen Cychrinen, fast doppelt so breit als die ebenfalls für eine Cychrinenform sehr kurze und verhältnis¬ mässig wenig ausgerandete Oberlippe mit den relativ kurzen, breiten, stark divergenten Seitenlappen ; ferner sind die Mandibeln stark sichel¬ förmig gekrümmt mit nur einem, aber sehr deutlichen und kräftigen Zahn, etwa in der Mitte der Mandibel und dicht vor der Spitze der Seitenlappen der Oberlippe, daher für eine Scaphinotusform viel zu weit nach hinten gelegen; zwischen ihm und der Spitze der Mandibel selbst finde ich nicht die geringste Andeutung eines zweiten Zahnes. Alles in allem, Scudder hat sich bei dieser Art in ihrer Zugehörigkeit zu den Cychrini zweifelsohne stark geirrt. 3. Cychrus caraboides L. Die einzige bisher als fossil bekannte Art der Gattung Cychrus :sens. stren. Bei Hösbach fand Flach 2 Paar Fld. (Die Käfer der Unter- pleistocänen Ablagerungen bei Hösbach unweit Aschaffenburg, Yerhdlg. phys. med. Ges. Würzburg, N. F. Bd. XYIII, No 11, p. 287, Taf. YIII, 2 — C. rostratus L.) «Während diese hier ziemlich seltene Art gegenwärtig eine Form zeigt, die zu der grösseren Piasse ( elongatus Dej.) hinneigt» — also caraboides subsp. rostratus L. — «und grobgekörnte D. (Fld) hat, gehören die vorliegenden 2 Stücke einer viel kleineren, feiner gekörnten Basse an, wie sie jetzt nur höheren Gebirgen eigentümlich ist. Das abgebildete Stück fällt durch schmale Gestalt auf. Spuren von drei Körnerreihen sind deutlich vorhanden, die Körner selbst nur wenig zusammengeflossen.» — Der Beschreibung und Abbildung nach also C. «caraboides var. convexus Heer. — Unterpleistocän. Yon der Gattung Sphæroderus ist nichts fossil bekannt. Di HANS ROESCHKE 272 SYSTEMATISCHER CATALOG. A) Scaphinotus Dej. (sens, lat.) I. Subg. Scaphinotus Dej. (sens, str.) 1. Snowi Lec. 2. Roeschkei Van Dyke 3. Van Dykei Roe. 4. Petersi Roe. 5. macrogonus Bat. 6. mexicanus Bat. 7. elevatus F. subsp. tenebricosus Roe. unicolor Leo. heros Leo. olim. subsp. flammeus Haldem. dilatatus Lec. subsp. Coloradensis Van Dyke 8. unicolor F. heros Harris II. Subg. Irichroa Newm. 1. Vidua Dej. unicolor Knoch var. irregularis Beutenm. subsp. Leonardi Harris 2. Andrewsii Harris var. æneicollis Beutenm. subsp. violacea Lec. subsp. Gennari Chaud. 3. Guyoti Lec. 4. Ridingsi Bland III. Subg. Nomaretus Lec. 1. cavicollis Lec. 2. bilobus Say. 3. flssicollis Lec. IV. Subg. Pseudonomaretus Eoe. 1. imperfectus Horn 2. Hiibbardi Schwarz 3. incompletus Schwarz 4. debilis Lec. var. alpinus Beutenm. 5. Merkeli Horn var. idahoënsis Webb 6. relictus Horn var. regularis Lec. V. Subg. Pemphus Motsch. 1. angusticollis Mannerh. debilis Eschsch. i. 1. Dej. var. nigripennis Roe. velutinns Lec., Horn ex parte* Cas., Schwarz var. longipes Cas. subsp. velutinus Mén. opacus Cas. VI. Subg. Brennus Motsch. 1. cordatus Lec. 2. marginatus Fisch. insularis Cas. gracilis Geh. var. cupripennis Cas. var. fallax Roe. var. confusus Cas. subsp. Fulleri Horn 3. interruptus Mén. sinuatus Cas. compositus Cas. var. constrictus Lec. interruptus Lec. dissolutus Cas. corpulentus Cas. subsp. dissolutus Schaum porcatus Cas. subsp. politus Cas. 4. obliquus Lec. subsp. convergens Cas. opacicollis Cas. sculptipennis Cas. 5. oreophilus Rivers subsp. Hoppingi Roe. subsp. Riversi Roe. 6. ventricosus Dej. MONOGRAPHIE DER CYOHRINI. 273 striatopunctatus Lec. olim subsp. lativentris Mötsch. r strictus Cas. aberr. Fuchsianus Rivers ventricosus Cas. subsp. crenatu s Mötsch. / gentilis Cas. monstr. symmetricus Cas, var. striatus Leo. 7. striatopunctatus Chaud. decipiens Cas. aberr. alternatus Mötsch. striatopunctatus Cas. ovalis Cas. aberr. ovalis Motsch. 8. subtilis Schaum subsp. nov. ? 9. punctatus Lec. gravidus Cas. B) Cychrus I. Subg. Cychropsis Boil. I. sikkimensis Fairm. II. Subg. Cychrus F. (sens, str.) 1. cylindricollis Pini 2. angustatus Hoppe Bovelini Heer rotundicollis Jan. i. 1. Villa 3. Sclimidti Chaud. 4. Thibetanus Fairm. 5. Hampei Gestro intermedius Hampe punctipennis Rttr. Reiseri Apfelb. 6. italicus Bon. subsp. meridionalis Chaud. rostratus ? Petagna 7. caraboides L. coadunatus De Geer rostratus F., Ol., Fisch., Dej. Kr., Thoms, post., Ganglb. rostratus /?. Schiödte rostratus b. Schaum angustatus Heer elongatus Thoms, ant. ex p. subsp. catenulatus Cas, subsp. mimus Horn 10. rugi cep s Horn subsp. incipiens Cas. — 11. cristatus Harris. ; .:v, ‘ subsp. reticulatus Motsch., cristatus Lec., Horn basalis Cas. duplicatus Cas:.: « VII. Subg. Neo cychrus Roe. 1. angulatus Harris, 2. Behrensi Roe, ,v{ Fossile Arten. Scaph. Wheatleyi Horn — minor Horn Fabr. (sens, lat.) var. convexus Heer simplex Meg. i. 1, Dej,, Mén. elongatus Thoms, ant. ex p. pygmæus Sahlbg. . lapponicus. Geh. aberr. sabaudus Fauv. var. pygmæus Chaud. alpinus Parr. i. 1. Chaud. granosus Meg. i, 1. Dej,, Dahl i. 1. Schaum subsp. rostratus L., Gyll., Thoms. ant. rostratus a. Schiödte rostratus a. Schaum torulosus Fisch. J prymnæus Fisch. elongatus Sérv., Dej. ex p., Heer ex p., Schaum ex p., Kr. ex p., Westh., Thoms, post, intermedius Westh. pyrenæus Kr. var. Hoppéi Ganglb, elongatus Hoppe elongatus exp. Dej., Heer, Schaum, Kr. angustatus Dej. subcarinatus Dej. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 18 274 Di HANS ROESCHKE alutaceus Stem. var. Costæ Emery rostratus Costa, Alessandrini elongatus Costa 8. seriatus Roe. 9. Hempliiìlii Horn subsp. Itickseckeri Leo. 10. tuberculatus Harris pustulosus Cas. 11. Morawitzi Géh. convexus Mór. 12. Koltzei Roe. convexus Bergroth 18. Yunnanus Fairm. 14. Davidi s Fairm. 15. spinicollis Due. acuticollis Duf. 1 6. Dufouri Chaud. acuticollis Reiche 17. angulicollis Sella semigranosus Ghiliani-Camerano 18. grajus Daniel 19. cordicollis Chaud. æneus (Peiroleri i. 1.) Villa affinis Sturm i. 1. glacialis (De Cristof i. 1.) Villa Mellyi Heer i. 1. 20. rugicollis Dan. 21. æneus Fisch. signatus Fald. cf gr anulatus Motscii. var. Rosti Roe. subsp. Starcki Ette. var. Ballionis Retowsk. subsp. anatolicus Mötsch. 22. Frivaldszkyi Roe. 23. armeniacus Chaud. anatolicus Ette. balcanicus Bodem. 24. semigranosus Pall. torulosus Mötsch. balcanicus Seidlitz var. travnikanus Apkelb. var. montenegrinus Apfels. subsp. balcanicus Hopffg. var. rhilensis Roe. 25. attenuatus F. proboscideus Ol. picipes Herbst. fulvus Letz. nigricans Letz. rotundatus Letz. var. intermedius Heer var. carniolicus Mötsch. C) Sphaeroderus Dej. 1. canadensis Chaud. subsp. bicarinatus Lec. pal palis Mötsch. 3. nitidicollis Chevr. 2. stenostomus Web. Brevoorti Lec. subsp. Lecontei Dej. granulosus Chaud. stenostomus Say subsp. Schaumi Chaud. niagarensis Lap. aberr. Lecontei Lec. nitidicollis Lec., Horn MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 275 REGISTER DEE AETNAMEN. Buchstabe = Genus, römische Ziffer = Subgenus, arabische Ziffer = Nummer der Art im systematischen Catalog, s. = subsp., v. = var., ab. = aberr. acuticollis Duf. B II 15. acuticollis Beiche B II. 16. æneicollis Beutenm. A II 2. aeneus Fisch. B II 21. æneus Villa B II 19. affinis Stem. B II 19. alpinus Beutenm. A IV 4. alpinus (Parr.) Chaud. B II 7. alternatus Mötsch. A VI 7. alutaceus Strm. B II 7. anatolicus Mötsch. B II 21. anatolicus Bttr. B II 23. Andre wsii Harr. A II 2. angulatus Harr. A VII 1. angulicollis Sella B II 17. angustatus Dej. B II 7, s. v1. angustatus Heer B II 7. angustatus Hoppe B II 2. angusticollis Mannerh. AVI. armeniacus Chaud. B II 23. attenuatus F. B II 25. balcanicus Bodem. B II 23. balcanicus Hopffg. B II 24, s. balcanicus Seidl. B II 24. Ballionis Betowsk. B II 21. basalis Cas. A VI 11. Behrensi Eoe. A VII 2. bicarinatus Lec. C 2. hilobus Say A III 2. Bovelini Heer B II 2. Brevoorti Lec. C 3. canadensis Chaud. C 1. caraboides L. B II 7. carniolicus Motsch. B II 25. catenulatus Cas. A VI 9. cavicollis Lec. A III 1. coadunatus De Geer B II 7. coloradensis Van Dyke A I 7. compositus Cas. A VI 3. constrictus Lec. A VI 3. convergens Cas, A VI. 4. convexus Bergroth B II 12. convexus Heer B II 7. convexus Mor. B II 11. cordatus Lec. A VI 1. cordicollis Chaud. B II 19. corpulentus Cas. A VI 3. Costæ Emery B II 7. crenatus Lec. A VI 6. cristatus Harr. A VI 11. cristatus Lec., Horn A VI 11. cupripennis Cas. A VI 2. cylindricollis Pini B II 1. Davidis Fairm. B II 14. debilis Eschsch., Dej. AVI. debilis Lec. A IV 4. decipiens Cas. A VI 7. dilatatus Lec. A I 7. diskolutus Cas. A VI 3, v. dissolutus Schaum A VI 3, s. duplicatus Cas. A VI 11. Dufouri Chaud. B II 16. elevatus F. A I 7. elongatus Costa B II 7, s. v2. elongatus Hoppe B II 7, s. yv elongatus Serv., Dej., Heer, Schaum, Kr. ex p., Westh., Thoms, post. B H 7, s. elongatus Thoms, ant. B II 7 u. vv fallax Boe. A VI 2. ffssicollis Lec. A III 3. flammeus Haldem. A I 7. Frivaldszkyi Boe. B II 22. Fuchsianus Biv. A VI 6. Fulleri Horn A VI 2. fulvus Letz. B II 25. gentilis Cas. A VI 6. German Chaud. A II 2. glacialis Villa B II 19. gracilis Géh. A VI 2. 18* 276 ■ ..B? HANS ROESCHKE , grajus Dan. B II 18. granosus Dej., Schaum: B II 7. granulatus Motsch. B II 21. granulosus Chaud. C 3. gravidus- .Gas. A VI 9. Guyoti Lec. A II 3. Hampei Gestro B II 5. Hemphillii Horn B II 9. heros Harris A I 8. heros Lec. olim A I 7. Hoppéi Ganglb. B II 7. Hoppingi Eoe. A VI 5. Hubbardi Schwarz A IV 2. idahoënsis Webb A IV 5. imperfectus Horn A IV 1. incipiens Gas. A Vi 10. incompletus Schwarz A IV 3. insularis Cas. A VI 2. intermedius Hampe B II 5. intermedius Heer B II 25. intermedius Westh. B II 7. interruptus Lec. A VI 3, v. interruptus Mén. A VI 3. irregularis Beutenm. A II 1. italicus Bon. B II 6. Koltzei Eoe. B II 12. lapponicus Géh. B II 7. lativentris Motsch. A VI 6. Lecontei Dej. C 2. Lecontei Lec. G 2 ab. Leonardi Harr. A II 1. longipes Cas. A V 1. macrogonus Bat. A I 5. marginatus Fisch. A VI 2. Mellyi Heer B II 19. meridionalis Chaud. B II 6. Merkeli Horn A IV 5. mexicanus Bat. A I 6. mimus Horn A VI 9. minor Horn A fossil 2. montenegrinus àpfelb. B II 24*. Morawitzi Géh. B II ll. niagarensis Lap. C' 2. nigricans Letz. B II 25. ; nigripennis Eoe. AVI. nitidicollis Chevr. C 3. nitidi collis Lec. C 3, s. obliquus Lec. A VI 4. opacicollis Gas. À VI 4. opacus Cas. AVI. oreophilus Eiv. A VI 5. palpalis Motsch. C 1. Petersi Eoe. A I 4. picipes Herbst B II 25. politus Cas. A VI 3. porcatus Cas. A VI 3. proboscideus Ol. B II 25. prymnæus Fiscn. B II 7. punctatus Lec. A VI 9. punctipennis Ettr. B II 5. pustulosus Cas. B II 10. pygmæus Chaud. B II 7, v2. pygmæus Sahlbg. B II 7, vr pyrenæus Kr. B II 7. regularis Lec. A IV 6. Eeiseri Apfelb. B II 5. relictus Horn A IV 6. reticulatus Motsch. A VI 11. rhilensis Eoe. B II 24. Bickseckeri Lec. B II 9. Ridingsi Bland A II 4. Eiversi Eoe. A VI 5. Roeschkei Van Dyke A I 2. Rosti Eoe. B II 21. rostratus Costa, Aless. B II 7, s. v2. rostratus F., Ol., Fisch., Dej. Kr. Thoms, post., Ganglb. B II 7. rostratus L., Gyll., Thoms, ant. B II 7, s. rostratus Pet agna B II 6. rostratus a, b. Schaum B II 7. rostratus a, ß. Schiödte B II 7. rotundatus Leiz. B II 25. rotundicollis Jan, Villa B II 2. rugiceps Horn A VI 10. rugicollis Dan. B II 20. sabaudus Fauv. B II 7. Schaumi Chaud. C 3. Schmidti Chaud. B II 3. monographie der cyohrinl’ AJ ít; A fP thibetanus Fairm. B II 4. torulosus Fisch. B II 7. torulosus Mötsch. B II 24. travnikanus Apfelb. B II 24. tubereulatus Harr. B II 10. unicolor F. A 18. T ,r unicolor Enoch A II í. unicolor Léc. A I 7. Van Dykei Eoe. A I 3. velutinus Leg., Horn ex p., Cas., Schwarz AV 1, y. velutinuís Mén. A V-l, s., yentricosus Cas. A VI 6, ab. ventricosus Dej. A Vï 6. : vidua Dej. A II t. violacea Léc. A II 1. ; Wheatleyi Horn A fossil 1, Yunnanus Fairm. B II 13. = ERKLÄRUNG ZU TAEFL IV. . . ... ..... .. • ! : .I.V '.•;!(£ Allgemlner Teil p. 104. Fig. 1. Scaphinotus Dej. « 2. Cychropsis Boil. « 3. Cychrus F. « 4. Sphæroderus Dej. — 4a : mit geschlossenen Mandibeln. « 5. Kopfunterseite von Scaphinotus, links Lippentaster und Maxille mit An¬ hang entfernt. « 6. Vorder- und Rückseite der linken Maxille. « '7. Rumpf von Scaphinotus: 1. Episternum, 2. Epimeron, I — -VI. Abdomen. — 7a : Processus prosternali bei Nomaretus Lec. « 8. Rumpf von Cychrus. « 9. « o Sphæroderus. « 10. Larve von Cychrus caraboides L. — a) Unterseite, b ) Oberseite des Lar¬ venkopfes. sculptipennis Cas. A VI 4. semigranosus Ghil.-Cam. B II 17. semigranosus Pall. B II 24. seriatus Roe. B II 8. signatus Fald. B If: 21. " ì ! Tf-r - sikkimensis Fairm. BII. simplex DÉJ., Mén. B II 7. sinuatus Cas. A VI 3. Snowi Lec. All. spinicollis Duf. B II 15. Starcki Rttr. B II 21. stenostomus Web. C 2. , stenostomus Say C 2, s. striatopunctatus Cas. A VI 7, ab. striatopunctatus Chaud. A VI 7. striatopunctatus Lec. olim A VI 6. striatus Lec. A VI 6. strictus Cas. A VI 6. subcarinatus Dej. B II 7. subtilis Schaum A VI 8. symmetricus Cas. A VI 6. tenebricosus Roe. A I 7. V. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICL 1907. PÖFFETEGEKEN TERMŐ ÚJ GOMBÁK. (FUNGI NOVI IN GASTEROMYCETIS HABITANTES.) Dr. Hollós László-íóI. IL* A jelen dolgozatban 9 faj pöffetegen élő, 8 nembe tartozó, 14 új faj gombát irok le, többnyire Kecskemét vidékéről. A gazdagombák s a rajtok termő új gombafajok betűrendben a következők : Bovista plumbea Pers. Phoma Bovistæ. Pleospora Bovistae. Calvatia candida (Roste.) Holl. Diplodina Calvatiæ. Phoma Calvatiæ. Geäster ambiguus Mont. Diplodina geasterina. Geäster fiori formis Vitt. Hendersonia geastericola. Geäster fornicatus (Huds.) Fr. p. p. Phoma Geasteris. Pyrenochæta Geasteris. Pleospora Bovistae n. sp. Peritheciis sparsis, erumpentibus, depresso-globosis, fuscis, poro pertusis, 140 — 200 ja diam., contextu parenchymatico ; ascis clavatis, apice tunica crassa integra rotundatis, astipitatis, 6-sporis, 60 — 80X40 ji; sporidiis inordinate 2 — 3-stichis, oblongo- ellipsoideis, 3 — 5-sep tatis, con- Geaster hungaricus Holl. Diplodina geastericola. Stagonospora geastericola. Geäster minimus Schwein. Stagonospora geastericola. Geäster pseudolimbatus Holl. Dinemasporium Geasteris. Leptosphæria Geasteris. Stagonospora geasterina. Geasteropsis Conrathi Holl. Phoma Geasteropsidis. * I, (Annales Musei Nationalis Hungarici. IV. 1906. pag. 532 — 536.) PÖFFETEGEKEN TERMŐ ÚJ GOMBÁK. 279 strictis, loculo duobus intermediis longitudinaliter divisis, initio hyalinis, demum fuscescentibus, 32 — 40 X 1 6 — 20 fi. Hab. in exoperidio Bovistae plumbeae, in Comitatu Máramaros (Hungária). Tömlőtokjai szétszórtan fekvők, előtörők, lenyomott-gömbölyűek, sötét-barnák, közepükön átfúrtak, 140 — 200 p átmérőjűek, parenchym- szövetűek. Tömlői bunkóalakúak, tetejökön megvastagodottak, lekerekí¬ tettek, nyéltelenek, 6-spórásak, 40X60 — 80 p méretűek. Spórái rendet¬ lenül 2 — 3-sorosak, bosszúkás-ellipsoid- alakúak, 3 — 5 rekeszfallal, befű- zöttek, a két középső fiókjuk hosszanti fallal osztott, kezdetben hyali- nok, végre megbámulnák, 16 — 20x32 — 40 p méretűek. Terem a Bovista plumbea Pees, külső burkán. Sókamara és Nagy- Bocskó mellett, Máramaros megyében találtam. Leptosphæria Geasteris n. sp. Peritheciis gregariis sparsisve, erumpentibus, depresso-globosis, fuscis, apice pertusis, 170 — 210/i diam., contextu parenchymatico ; ascis cylindraceis, breve stipitatis, 6 — 8 sporis, 60 — 70X7 — 8 /i, filiformi para- physatis; sporidiis distichis, fusoideis, rectis vel leviter curvulis, 5-sep- tatis, flavidulis, 18 — 22X3 — 4 p. Hab. in stratu interno exoperidii Geasteris pseudolimb ati, prope Kecskemét Hunganæ. Tömlőtokjai csoportosak vagy szétszórtan fekvők, előtörők, lenyomott- gömbölyűek, sötétbarnák, tetejökön átfúrtak, 170 — 210/x átmérőjűek, parenchym-szövetűek. Tömlői hengeresek, rövid nyelűek, 6— 8 -spórásak, 7 — 8X60 — 70/x méretűek, szálalakú paraphysisekkel. Spórái kétsorban fekvők, orsóalakúak, egyenesek vagy kissé meggörbültek, 5 rekeszfallal, sárgásak, 3 — 4x18 — 22 p méretűek. Terem a Geäster pseudolimb atus Holl, külső burkának belső réte¬ gén. Kecskemét mellett Bugaczon szedtem. Phoma Bovistae n. sp. Pycnidiis sparsis, lenticularibus, ochraceis, poro pertusis, 80 — 100 p diam., contextu parenchymatico; sporulis cylindraceis, utrinque rotun¬ datis, continuis, obscure biguttulatis, hyalinis, 4 — 5x1*5 — 2 p. Hab. in exoperidio Bovistae plumbeae, prope Sókamara Hun¬ gáriáé. Terméstokjai szétszórtan fekvők, lencsealakúak, okraszínüek, közepü¬ kön átfúrtak, 80 — 100 p átmérőjűek, parenchym-szövetűek. Spórái hen- 280 : DE HOLLÓS LASZLO ï MIL geresek,! végeiken 1 lekerekítettek, egysejtűek, homályosan látható két cseppel, hyalinok, 1*5 — 2X4 — 5 // méretűek. Terem a Bovista plumbea Pees, külső burkán. Sókamara mellett, Máramarosmegyében szedtem. Phoma Calvatiæ n. sp. Pycnidiis sparsis, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 100 — 120// diam., contextu parenchymatico ; sporulis oblongo-ellipsoideis, continuis, eguttulatis, hyalinis, 6^8X2— 2*5//. Hab. in endoperidio Catvátiae candidae, prope [Fehértemplom Hungariæ* Terméstokjai szétszórtan fekvők, lencsealakúak, sötétbarnák, köze¬ pükön átfúrtak, parencbym-szövetűek, 100 — 120// átmérőjűek. Spórái hosszúkás ellipsoid-alakúak, egysejtűek, cseppnélküliek, hyalinok, 2 — 2*5X6 — 8 « méretűek. . Terem ac-Gialvatid candida (Roste.) PIoll. belső burkán. Fehér- templom mellett szedtem* . -in.'ícr rrum'u , y\3~ -’CXO’C . 00 ut:- 3— X.:; : :0 ; y ‘.òr ) Phoma Geasteris n. sp. Pycnidiis gregariis, immersis, lenticularibus, ochraceis, poro per¬ tusis, 50 — 100 // diam., contextu parenchymatico : sporulis .ellipsoideis] continuis, eguttulatis biguttulatisve, hyalinis, 5—6x2 — 2*5 a. Hab. in stratu interno exoperidii Geasteris .fornicati, prope Kecs¬ kemét Hungariæ. Terméstokjai csoportosak, bemerültek, lencsealakúak, okraszínüek, közepükön átfúrtak,- 50—100// átmérőjűek, parenchym-szövetűek. Spórái ellipsoid-alakúak, egysejtűek, cseppnélküliek vagy két cseppel, hyalinok, 2— 2*5x5— 6// méretűek. Terem a Geäster fornicatus (Hubs.) Fr. p. p. külső burkának belső rétegén. Kecskemét mellett Kis-Fáiban szedtem. Phoma Geasteropsidis n. sp. Pycnidiis gregariis, lenticularibus, . ochraceis, poro pertusis, 100— 160// diam., contextu parehcbymatico ; sporulis oblongo* ellipsoideis, eguttulatis vel obscure biguttulatis, continuis, hyalinis, 6—7x2 — 8//. Hab. in stratu interno exoperidii Geasteropsidis Conrathi , prope Modderfontein Africæ meridionalis. Terméstokjai csoportosak, lencsealakúak, okraszínüek, közepükön PÖFFETEGBKEN TJERMŐ ;ÚJ GOMBÁK. 28 í átfúrtak, 100— 160 // átmérőjűek, , parenchym-szövetűek. Spórái hosszú¬ kás ellipsoid-alakúak, eseppnélküliek, vagy homályosan két cseppet, egy¬ sejtűek, .hyalinók, '2 — 3x0— 7-// méretűek. Terem a Gëàsteropsis- ■ Cö^raithi Momi, : külső- hurkának belső réte¬ gén. -Dél- Afrikából (Modderfontein, dyüamitgyár mellől) küldte Cönrath P. pozsonyi születésű mérnök. Pyrenochæta Geasteris n, sp.. Pycnidiis gregariis sparsisve, semiglobosis, ostiolo conico setis coro¬ nato. fuscis, 210 — 250/i diam., contextu parenchymatico ; setis rigidis, fiavo-brunneis, septatis, apice obtusatis, 170—250x6 — 8 //; sporulis cylin- draceis, utrinque rotundatis, rectis, continuis, hyalinis, 14 — 20x3 — 3*5 //. Hab. in stratu interno exoperidii Geasteris fornicati, prope Kecs¬ kemét Ilungariæ. Terméstokjai csoportosak vagy szétszórtak, félgömbösek, kúpos szájuk sertékkél koronázott, sötétbarnák, 210—250// átmérőjűek, paren¬ chym-szövetűek. Sertéi merevek, sárgabarnák, rekeszfalakkal tagoltak, hegyökön tompák, 6- — 8x170— 250// méretűek. Spórái hengeresek, végei¬ ken lekerekítettek, egyenesek, egysejtűek, hyalinók, 3 — 3*5x14 — -20// méretűek. Terem a Geäster fornicatus (Huds.) Fr. p. p. külső burkának belső rétegén. Kecskemét mellett Kíé-Fáiban szedtem. Diplodina Calvatiæ n. sp. Pycnidiis sparsis-gregariisve, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 140 — 160// diam., contextu parenchymatico ; sporulis oblongo-ellipsoi- deis, medio 1-septatis, non constrictis, hyalinis, 15-^20X4*5—5 //. Hab. in endoperidio Calcatici e candidae , prope Kecskemét Hun¬ gáriáé. Terméstokjai szétszórtan vagy csoportosan fekvők, lencsealakúak, sötét-barnák, közepükön átfúrtak, 140 — 160// átmérőjűek, parenchym- szövetűek. Spórái hosszúkás ellipsoid-alakúak, közepükön egy rekesz- fallal, befűzetlenek, hyalinók, 4*5—5x15 — 20// méretűek. Terem a Calvatia candida (Koste.) Holl, belső burkán. Kecs¬ kemét mellett a Szikrában szedtem. • XX.:- -Xi xíí’anéBíivX- •' x.-'.X '• i xxvx vX s ’• . : ... oxxiX r;l XXi- ől ' - ■ Ù ü'tí.l'KL : X ró ' ■ ■ . ' ■ : ' ; :: : ia on i 282 m HOLLÓS LÁSZLÓ Diplodina geastericola n. sp. Pycnidiis sparsis-gregariisve, lenticularibus, brunneis, poro pertusis, 140 — 200 //diam., contextu parenchymatico ; sporulis cylindraceis, utrinque rotundatis, medio 1-septatis, non constrictis, hyalinis, 12 — 16X2 — 2*5 //. Hab. in stratu externo internove exoperidii Geasteris hung arici , prope Nagy-Kőrös Hungariæ. Terméstokjai szétszórtan vagy csoportosan fekvők, lencsealakúak, barnák, közepükön átfúrtak, 140 — 200 // átmérőjűek, parenchym-szövetűek. Spórái hengeresek, végeiken lekerekítettek, közepükön egy rekeszfallal, befűzetlenek, hyalinok, 2—2*5X12 — 16 // méretűek. Terem a Geäster hungaricus Holl. külső burkának külső és belső rétegén. Nagy-Kőrös mellett szedtem. Diplodina geasterina n. sp. Pycnidiis sparsis, subcutaneis, oblongo-ellipsoideis, 250 — 350X 140 — 210//, fuscis, poro pertusis, contextu parenchymatico; sporulis cylindraceis, utrinque rotundatis, medio 1-septatis, non constrictis, hya¬ linis, 14 — 16X2*5 — 3 //. Hab. in stratu externo exoperidii Geasteris ambigui, prope Nagy- Kőrös Hungariæ. Terméstokjai szétszórtan a bőr alatt fekvők, hosszúkás ellipsoid- alakúak, 140 — 210x250— 350 // méretűek, sötét-barnák, közepükön átfúr¬ tak, parenchym-szövetűek. Spórái hengeresek, végeiken lekerekítettek, kö¬ zepükön egy rekeszfallal, befűzetlenek, hyalinok, 2*5 — 3X14 — 16// mé¬ retűek. Terem a Geäster ambiguus Mont. külső burkának külső rétegén. Nagy-Kőrös mellett szedtem. A Diplodina geastericolá-ió\ hosszúkás ellipsoid-alakú, igen nagy terméstokjával különbözik. Stagonospora geastericola n. sp. Pycnidiis sparsis gregariisve, depresso-globosis, fuscis, poro per¬ tusis, 100 — 140 fi diam., contextu parenchymatico ; sporulis cylindraceis, utrinque leniter attenuatis, curvulis, vermicularioidis, 3 — 5-septatis, non constrictis, hyalinis, 30 — 42X3 — 4//. Hab. in stratu interno exoperidii Geasteris minimi, in stratu in¬ terno et externo exoperidii Geasteris hung arici, Bakony- Sz ent-László et Nagy-Kőrös Hungariæ. PÖFFETEGEKEN TERMŐ ÚJ GOMBÁK. 283 Terméstokjai szétszórtan vagy csoportosan fekvők, lenyomott göm¬ bölyűek, sötétbarnák, közepükön átfúrtak, 100 — 140 g átmérőjűek, pa- renchym-szövetűek. Spórái hengeresek, végeiken egyenletesen elvéko- nyodók, meggörbültek, féregalakúak, 3 — 5 rekeszfallal, befűzetlenek, hyalinok, 3 — 4x30 — 4 2/z méretűek. Terem a Geäster minimus Schwein, külső burkának belső rétegén s a Geäster hungaricus Holl. külső burkának belső és külső rétegén. Bakony-Szent-László és Nagy-Koros mellett szedtem. Stagonospora geasterina n. sp. Pycnidiis sparsis, subcutaneis, hemisphæricis, astomis, fuscis, 250 g diam., contextu parenchymatico ; sporulis cylindraceis, utrinque rotun¬ datis, rectis vel leviter curvulis, 3-septatis, non constrictis, hyalinis, 28 — 34x2*5 — 3 g. Hab. in stratu interno exoperidii Geasteris pseudolimbati , prope Jász-Szent-László Hungáriáé. Terméstokjai szétszórtan a bőr alatt fekvők, félgömbösek, szájta- lanok, sötétbarnák, 250 g átmérőjűek, parenchym-szövetűek. Spórái hen¬ geresek, végeiken lekerekítettek, egyenesek vagy kissé meggörbültek, 3 rekeszfallal, befűzetlenek, hyalinok, 2*5 — 3X28 — 34 g méretűek. Terem a Geäster pseudolimb atus Holl, külső burkának belső rétegén. Jász-Szent-László mellett találtam. Hendersonia geastericola n. sp. Pycnidiis sparsis, erumpentibus, depresso-globosis, fuscis, poro per¬ tusis, 100 — 120 g diam., contextu parenchymatico ; sporulis cylindraceis, utrinque leniter attenuatis, acutatis, curvulis, vermicularioidis, 7-septatis, non constrictis, ochraceis, 44 — 54x4—5 g. Hab. in stratu interno exoperidii Geasteris flori formi, prope Kecs¬ kemét Hungariæ. Terméstokjai szétszórtak, előtörök, lenyomott gömbölyűek, sötét¬ barnák, közepükön átfúrtak, 100 — 120 g átmérőjűek, parenchym-szövetűek. Spórái hengeresek, mindkét végokon egyenletesen elvékonyodók, kihe¬ gyezettek, meggörbültek, féregalakúak, 7 rekeszfallal, befűzetlenek, okra- színűek, 4 — 5X44 — 54 g méretűek. Terem a Geäster floriformis Vitt. külső burkának belső rétegén. Kecskemét mellett Bugaczon szedtem. 284 Dü HOLLÓS LÁSZLÓ Dinemasporium Geasteris n. sp. Pycnidiis sparsis; superficialibus, cüpulato-hemisphæricis, 21 0 — 240 // diam. ; situlis rigidis, atris, acutis, eseptatis, 120 — 240x6— 8 // ; sporulis continuis, cylindraceis, falcato eurvulis, eguttulatis, hyalinis, 10;— 44x2— 2‘5/z, utrinque setula 10 — 14// longa oblique auctis. Hab. in stratu interno exoperidii Géant eris' ; pseudo limbati, prope Kecskemét Hungáriáé. Terméstokjai szétszórtak, felszínesek, félgömbös-csészealakúak, 210 — 240 // átmérőjűek; sertéi merevek, sötétek, hegyesek, osztatlanok, 6 — 8x120 — 240// méretűek. Spórái egysejtűek, hengeresek, sarlósán meg¬ görbültek, cseppnélküliek, hyalinok, 2—2*5x10 — 14// méretűek, mind¬ két végokon 10 — 14// hosszú, rézsűt szálacskával. Terem a Geäster pseudölimbatus ^oiAs. külső burkának belső réte¬ gén. Kecskemét mellett Bugaczon szedtem. Robillarda Geasteris Holl. ' Í&:Q.: ' ' - Annales Musei Nationalis Hungarici. IV. p. 335. (1906). Sporulis plerumque apice setis 3 instructis, nonnunquam 3-septatis. ... T-" . x • 0' . . V > ; ..'X'' . • ' ' X x Y. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGAEIGL 1907. rC‘HU- ':i.' ÜBEE DIE DIPTEREN GATTUN G GORERTINA BIG. Yon Dr. K. Kertész. Dank der Liberalität des Herrn G. H. Yerrall, der mir die typischen Exemplare Bigot’s zur Untersuchung überlassen hat, möchte ich über die Gattung Gobertina Folgendes mittheilen. Bigot stellt diese Gattung in den Annal. Soc. Ent. France, sér. 5. IX. 1879. Bull. p. LXYIH. folgenderweise auf: «Genus no vum Strati o- my darum, generis Nemoteli proximum, differt : chaeto, parum löngiore , apice obtuso ; facie perpendiculari , nec conica aut tumida ». In demselben Jahrgange der Annalen, p. 192 gibt er folgende veränderte Diagnose: « Generis Nemoteli vicinum , nec non: scutello mutico , clfiaèto longiore et apice obtuso , facie nec obliqua nec conica, oculis nudis. Hierauf beschreibt er die neuen Arten als Repräsentanten der neuen Gattung : Gobertina picticornis und argentea, beide aus Sierra- Leone. Die Gattung hat aber mit Nemotelus gar nichts gemein. Bigot’s Angabe hat natürlich auch Brauer irregeführt, der dieselbe in die Nähe von Nemotelus setzt. Wegen den drei aus der mittleren Discoidalzelle entspringenden Adern, der Stellung und Beschaffenheit der Fühler, ge¬ hört die Gattung auch schon dem Habitus nach in die nächste Nähe von Wallacea Dol. Sie kann leicht in die Tabelle Brauer’s untergebracht werden, nur darf man die mikroskopisch kleinen Dornen des Schildchens nicht übersehen. Als Haltepunkt kann die Thatsache dienen, dass der Fühlergriffel weiss und nur an seiner Basis gebräunt ist. Punkt 17 in Brauer’s Bestimmungstabelle der Notacanthen ist folgenderweise zu ändern : 17 (16). Fühler einfach, ohne kamra- oder borstenartige Fortsätze an der Seite, pfriemenförmig, mit mikroskopisch behaartem, weissem End¬ griffel. 17 a (17 fr). Schildchen 8-dornig, davon die zwei mittleren grösser, die seiD liehen (je 3) klein ; Angen deutlich und dicht behaart ; Fühler? griffet länger als die Fühler.„ _ _ _ _ _ Wallacea Dol. 17 fr (17 a). Schildchen mit vielen mikroskopisch kleinen Dörnchen, deren jede an der Spitze eine kurze Borste trägt ; Augen fast nackt, mit zerstreut stehenden, mikroskopischen Härchen ; Fühlergriffel kürzer als die Fühler _ A A A A; A A A A Gobertina Big. 286 m K. KERTÉSZ Eine ausführliche Beschreibung der Gattung gebe ich in Fol¬ genden : Kopf nicht breiter als der Thorax an der breitesten Stelle, breiter als hoch, kurz. Augen den grössten Theil des Kopfes einnehmend, sehr zerstreut mikroskopisch behaart ; die des Männchens convergiren gegen die Fühler, sind aber doch, wenn auch sehr schmal, getrennt; Facetten in beiden Geschlechtern klein, gleichgross. Die Stirn des Weibchens etwas weniger als Vs der Kopfbreite einnehmend * (7 : 26), die Seiten parallel. Am Scheitel auf der Aussenseite des normalgrossen Ocellen- höckers, der mit einigen Haaren besetzt ist, entspringt jederseits je eine Furche, die zuerst convergirend, sich am unteren Theil des Ocellen- höckers fast berühren, dann schwingen sie nach aussen und unten, so dass die Stirn in ihrer unteren Hälfte einen die ganze Stirnbreite ein¬ nehmenden Quereindruck trägt. Untergesicht zurückweichend, kurz ; Mundöffnung sehr gross, länglich viereckig, mehr als die halbe Länge des Untergesichtes einnehmend. Küssel und Taster bei sämmtlichen mir vorliegenden Exemplaren zurückgezogen. Fühler ober der Mitte des Profiles eingefügt, nach aussen divergirend ; erstes und zweites Glied sehr kurz, der Complex des dritten Gliedes pfriemenförmig, sieben rin- gelig, der letzte Ring abgeschnürt; der erste Ring IVs-mal so lang als der zweite, die übrigen unter sich fast gleichlang. Auf den Complex folgt ein weisser, an der Basis bräunlicher Griffel, der ausserordentlich fein, mikroskopisch behaart ist. Der Griffel ist kürzer als die Fühler. Schläfenrand fehlt auch beim Weibchen vollständig. Thoraxrücken ziem¬ lich stark gewölbt, die Hinterecken sind scharf abgegrenzt, pölster- förmig aufgetrieben; gegen den Hinterrand fällt der Thoraxrücken ab. Schildchen dreieckig, mit breit abgerundeter Spitze, convex, am Hinter¬ rande abgeschnürt, mit vielen ausserordentlich kleinen Dörnchen be¬ waffnet, deren jede am Ende eine kurze Borste trägt. Was die Lage des Schildchens anbetrifft, bildet es mit dem Thoraxrücken einen Winkel von ca 45°. Hinterleib ö-ringelig, beiläufig so lang als Thorax und Schildchen zusammen, im Umrisse kurz querelliptisch. Beine einfach, alle Schienen ohne Sporne ; Klauen, Haftläppchen und Empodium deut¬ lich. Letztes Tarsenglied auf der Oberseite mit längeren Borsten. Flügel weit über den Hinterleib hinausragend. Adern deutlich. Aus der mitt¬ leren Discoidalzelle entspringen 3 Adern. Hinterast der Radialis vor¬ handen; Cubitalquerader fehlt vollständig, so dass die Cubitalis der mittleren Discoidalzelle aufliegt. * Ich messe . die Stirnbreite unmittelbar unter dem vorderen Punktauge und nehme dabei die grösste Kopfbreite. ÜBER DIE DIPTEREN GATTUNG GOBERTINA BIG. 28 7 Die Gattung ist nur aus Afrika bekannt. Es lässt sich nun fragen, ob die zwei beschriebenen Arten in der That verschieden sind? Die typischen Exemplare von G. picticornis (2 cf , 6 5 ) stammen von einem Sammler, wenigstens zeigt dies die Präparation, indem sämmtliche Exemplare auf lange, weisse Nadeln gespiesst sind. Die Typen von G. argentea (3 cf , 1 5 ) stammen offenbar von einem anderen Sammler, weil diese Exemplare auf kurze, weisse Nadeln gespiesst sind. Beide Arten wurden auf keinen Fall zu derselben Zeit gesammelt. Das Ungarische National-Museum besitzt 2 Weibchen: das eine ist mit einer Etiquette «America» bezettelt und stimmt aus der Sammlung Mada- rassy’s. Dass hier in der Vaterlandsangabe ein Irrthum obwaltet, unter¬ liegt keinem Zweifel. Dieses Exemplar stimmt in Grösse und Färbung der Beine mit den typischen Exemplaren von G. picticornis. Das zweite Exemplar, gleichfalls ein $ , stammt aus Ostafrika ( Arusha- Ju, 1905. X., leg. Katona) ; es hat die Grösse von picticornis, die Färbung der Beine ist aber noch dunkler als bei argentea. Was die Grössenverhältnisse anbelangt, so ist das kleinste typische Exemplar von picticornis 3*6 mm., das grösste 4*2 mm. ; bei argentea das kleinste 31 mm., das grösste 3*5 mm. ; das Exemplar aus Ostafrika misst 3*8 mm. Das silberweisse Toment — besonders am Hinterleibe — ist bei picticornis ebenso dicht und ausgedehnt als bei argentea, nur sind die Exemplare letzterer Art viel besser erhalten und reiner. Ich bin also, da ich ausser der Grösse absolut keine plastischen Unterschiede finden kann, derzeit der Meinung, dass argentea Big. nur kleine und reine, nicht abgeflogene Exemplare von picticornis Big. sind. Nun gehe ich zur Beschreibung der Art über. Gobertina picticornis Big. Gobertina picticornis Big., Ann. S. Ent. France, (5). IX. 192. 1. (1879). Gobertina argentea Big., Ann. S. Ent. France, (5). IX. 193. 2. (1879). Schwarz. Fühler rothbraun, in gewisser Dichtung von der mikro¬ skopischen Behaarung weiss schimmernd. Basis des weissen Griffels rothbraun. Das Untergesicht ist am Augenrande vom anliegenden To¬ rnente schmal silberweiss ; dieser Saum verjüngt sich beim cf in der Höhe der Fühler sehr stark, erweitert sich aber wieder auf dem oberen Theil des Stirndreieckes in zwei dreieckige Fleckchen. Beim zieht sich der silberweisse Saum bis zum Quereindruck der Stirn hinauf und endet hier mit je einem kleinen dreieckigen Fleck. Der obere Theil 28$ :;rr .:-D^E. :KEHTÉ)SZ " der Stirn ist gleichfalls mit silberweissem, jedoch längeren und nicht so dichtem Tornente bedeckt. Der Mundrand ist mit kurzen Haaren ge¬ säumt. Thorax, Schildchen und Bauchseite des Abdomens von silber¬ weis sem oder etwas gelblichem, nicht all zu dichtem Tornente ziemlich gleichmässig bedeckt. Am vorderen Theil, in der Mittellinie des Thorax¬ rückens und auf den höchsten Stellen der pölster förmigen Anschwel¬ lungen an den Hinterecken des Thoraxrückens kann man bei gewisser Beleuchtung kleine Blecke von rothbraunen Härchen wahrnehmen. Ober¬ seite des Hinterleibes im Allgemeinen mit äusserst kurzen, anliegenden schwarzbraunen Härchen bedeckt, die aber die schwarze Grundfarbe nicht alteriren; Yorderrand und Seiten des 3. Ringes, der 4. Ring — ausgenommen eine schmale Mittellinie und den äussersten Hinterrand — j sowie der 5. Ring in ganzer Ausdehnung mit silberweissem oder etwas gelblichem Tornente dicht bedeckt. Das Toment ist beim Männchen ent¬ schieden dichter. Die Beine variiren in der Färbung sehr stark. Im Allgemeinen gilt, dass die Schenkel, ausgenommen die Spitze, von den Tarsen am ersten Beinpaar die drei letzten, an den Hinterbeinen das letzte Tarsenglied immer schwarzbraun bis schwarz erscheinen; die Schienen sind im mittleren Theil meistens in minderer oder grösserer Ausdehnung gebräunt. Aber auch bei den dunkelsten Exemplaren sind: die Spitze der Schenkel, Basis und Spitze der Schienen, Basis des Meta¬ tarsus des ersten Beinpaares, sowie der Metatarsus und die zwei fol¬ genden Tarsenglieder der Hinterbeine gelblichweiss bis röthlichbraun. Der Satz in Bigot’s Beschreibung des Weibchens von argentea: « tarsis anterioribus basi late pallidis» steht gar nicht; statt anterioribus sollte heissen posterioribus. Die Beine sind mit kurzen weissen Härchen besetzt. Flügel hyalin, die vorderen dicken Adern gelb oder pechbraun. Schwinger milchweiss, der Stiel mehr-weniger gebräunt. Länge : 3*1 — 4*2 mm. Die zwei Punkte (Sierra -Leone und Deutsch-Ostafrika), von woher Exemplare bisher bekannt sind, lassen vermuthen, dass diese Art eine grosse Verbreitung hat. :b b :• r- : n. v ".y.r-.': O: vr . : p: ízúdk ■' ür ri ' '■ . ; . ÏÏ " ' • ' . ' • ; . . . r' , Y. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNG ARICI. 1907. HEMIPTERA NOYA YEL MINUS COGNITA E REGIONE PALÆARCTICA recensuit Dr. G. Horváth. L PENTATQMIDÆ. Polyphyma nigriventre n. sp. Latissime ovale, pallide ferrugineo-testaceum ; capite obsolete punctato, apicem versus parabolico, lateribus ante oculos fortiter si¬ nuatis, tylo percurrente, jugis æquilongo ; ocellis inter se quam ab oculis duplo longius remotis; pronoto duplo latiore quam longiore, distincte rugoso, parce subtiliterque punctato, callo discoidali antico, carinam medianam percurrentem et rugas transversas anteriores irregu- lariter curvatas et confluentes emittente instructo, marginibus laterali¬ bus anticis fortiter arcuatis, integris, angulis humeralibus late rotun¬ datis; s cut elio æquilongo ac lato, distincte rugoso, parce et subtiliter nigro -punctato, medio longitrorsum carinato, pone medium angulato- ele¬ vato et basi tuberculis quatuor distinctis prædito ; elytris basin versus obtuse angulato -dilatatis, extrorsum ultra angulum humeralem pronoti prominentibus ; segmentis connexivi extus rotundatis, posterius tuber¬ culo singulo valido rotundo instructis ; pectore et pedibus fortiter nigro - punctatis ; ventre nigro, tantum spiraculis anguste flavo -cinctis, cf . Long. 6, Lat. 5 mill. Algeria: Haama in prov. Oran (Mus. Hung.). Specimen unicum legit et nobis generose donavit clariss. L. Yibert. A speciebus duabus asiaticis hucusque cognitis hujus generis sta¬ tura minore, tylo percurrente, segmentis connexivi extus haud sinuatis ventreque nigro mox distinguendum. Trigono soma Ramburi n. sp. Late obovatum, supra fusco-castaneum, minus dense subtiliter punctatum ; capite parteque dimidia antica pronoti testaceis, apicem versus nonnihil in ferrugineum vergentibus; capite brevi, latitudine sua intero culari paullo (Vs) longiore, a latere viso subperpendiculari, angulo 19 Annales Musei Nationalis Hungáriái. V. 290 Dü G. HORVÁTH faciali subrecto ; antennis flavo-testaceis ; rostro basin segmenti ventralis secundi attingente ; pronoto sulco anteapicali transverso obsoleto in¬ structo, parte anteriore abrupte declivi, a latere visa fere perpendiculari, angulis humeralibus late rotundatis, parum prominulis; scutello latitu¬ dine corporis ad basin illius distincte breviore, pone medium angustato et elytra occultante, basi vix elevato et haud fortius punctato ; margine ipso costali corii basin versus flavo-testaceo ; pectore fusco- vel rufo- ferrugineo, dense et fortiter punctato; ventre flavo-testaceo, disco plus minus ve infuscato, dense subtiliterque punctulato, segmento secundo medio sulcato ; connexivo et pedibus stramineis ; segmentis genitalibus nigro- vel fusco-castaneis ; segmento genitali maris superne medio levissime sinuato, cf. 5 . Long. 81/* — 8 Va, Lat. inter ang. humeral, pronoti 63A — 7, ad basin scutelli 6V4 — 6 Va mill. Tetyra Nigellae Ramb. Faun. And. II. p. 96. 1. (1842). Hispania: Madrid, Cuenca (Mus. Hung.), Pozuelo de Calatrava (Coll, de la Fuente), Malaga (Rambur). Species inter T. rusticum Fabr. et trigonum Kryn. quasi inter¬ media. Ab ambobus differt scutello basi vix tumido et haud fortius punctato. Ab illo præterea structura capitis et pronoti rostroque bre¬ viore, — ab hoc autem rostro longiore, angulis humeralibus minus prominulis segmento que ventrali secundo sulcato di ver git. Trigono soma trigonum Kryn. Late obovatum, supra fusco-castaneum, dense et distincte puncta¬ tum ; capite parteque dimidia antica pronoti flavo- vel ferrugineo-testa- ceis; capite brevi, latitudine sua interoculari paullo (%) longiore, a latere viso subperpendiculari, angulo faciali subrecto; antennis flavo-testaceis; rostro apicem metasterni attingente ; pronoto sulco anteapicali trans¬ verso instructo, parte anteriore abrupte declivi, a latere visa fere per¬ pendiculari, angulis humeralibus late rotundatis, sat prominulis ; scu¬ tello latitudine corporis ad basin illius distincte breviore, pone medium angustato et elytra occultante, basi transversim leviter elevato et fortius rugoso-punctato ; margine imo costali corii basin versus pallido; pectore et ventre fusco- vel rufò -ferrugineis, illo fortiter, hoc subtiliter punctatis, lateribus ventris cum connexivo et pedibus, raro ventre fere toto, strami¬ neis; segmento secundo ventris haud sulcato; segmentis genitalibus fusco- nigris; segmento genitali maris superne vix sinuato, d!. $ . Long. 7 Va — 8, Lat. inter ang. humeral, pronoti 6 Va — 7, ad basin scutelli 5 Va — 6 Va mill. Trigonosoma Nigellae Kol. Mel. ent. IV. p. 15. 134. (1846) ; Gorski Anal, ent. I. p. 46. 13. (1852). HEMIPTERA NOVA VEL MINUS COGNITA. 291 Scutellera trigona Kryn. Trudy Charkow. Univers. IV. 3. p. 6. 6. (1871). Trigonosoma aeruginosum Jak. Trudy Russk. Ent. Obshtsh. XIII. p. 144. <1882) ; Horæ Soc. Ent. Ross. XVIII. p. 220. (1884). Trigonosoma trigonum Horv. Termesz. Füzet. XXIV. p. 470. 10. (1900). Hungária ! , Serbia, Bulgaria ! , Turcia ! , Bomania ! , Bossia meridio¬ nalis !, Caucasus, Armenica rossica !, Asia minor!, Syria!, Persia! T. rustico Fabr. simile, sed structura capitis et pronoti, rostro breviore, angulis humeralibus pronoti magis prominulis et segmento ventrali secundo haud sulcato distinctum. Trigonosoma Nigellæ Fabr. Late obovatum, nigrum vel fusco-nigrum, superne minus dense subtiliter punctatum ; capite fusco-ferrugineo vel nigricante, æquilongo ac inter oculos lato, a latere viso perpendiculari, angulo faciali recto ; antennis flavo-testaceis ; rostro basin coxarum posticarum vix super¬ ante ; pronoto sulco anteapicali transverso instructo, parte anteriore abrupte declivi, a latere visa fere perpendiculari, flavo-testacea, parce subtilis simeque punctata, limbo lato apicali marginibusque lateralibus anticis fusco -ferrugineis, cicatricibus anticis nigricantibus, angulis hume¬ ralibus late rotundatis, parum prominulis ; scutello latitudine corporis ad basin illius distincte breviore, pone medium angustato et elytra occultante, basi transversim leviter elevato et fortiter rugoso-punctato ; margine imo costali corii basin versus flavo-testaceo ; pectore dense distincteque punctato ; ventre dense et subtilissime punctulato, limbis hujus lateralibus, connexivo, angulis posticis metastethii et pedibus stramineis ; segmento ventrali secundo haud sulcato ; segmento genitali maris superne medio leviter sinuato, cf. J. Long. 8V® — 9, Lat. inter ang. humeral, pronoti 7 — 7 Vi, ad basin scutelli 6Vs — :6®/s mill. Cimex Nigellae Fabr. Mant. Ins. II. p. 280. 5. (1787); Ent. syst. IV. p. 82. 8. (1794). Tetyra Nigellae Fabr. Syst. Rhyng. p. 140. 55. (1803). Trigonosoma rusticum var. anticum Put. Revue d’Ent. XV. p. 233. (1896). Algeria: Lambèze, El-Achir (Mus. Hung.), Teniet-el-Haad, Oran, Ain Beida (Coll. Montandon), Tebessa (Coll. Staudinger), Sebdou (Puton) ; Tunisia: Tunis, Teboursouk (Mus. Paris), Beja (Mus. Hung.), Carthago, Mahedia (Coll. Montandon), Kessera (Puton). Species hæc, cum T. rustico Fabr. hactenus semper confusa, capite breviore, angulo faciali recto, rostro breviore, parte anteriore pronoti fere perpendiculari, segmento ventrali secundo haud sulcato, nec non capite, limbo antico marginibusque lateralibus pronoti obscuris et ventre semper nigro bene distinguenda. 19* 292 Dì G. HORVÁTH Cel. Fabricius hanc speciem ex Africa septentrionali («Barbaria») descripsit, ubi altera sua species hujus generis, nempe T. rusticum Fabr. — uti videtur — haud occurrit. Species subgeneris Trigonosoma s. str. ( Glypheria Müls, et Rey) hoe modo dispono : 1 (10). Scutello fusco vel nigro, unicolore, macula magna pallida destituto. 2 ( 3). Parte antica pronoti et capite, a latere visis, obliquis ; capite lon¬ giusculo, latitudine sua interoculari distincte (Vt — Vs) longiore, angulo faciali acuto ; rostro usque ad apicem segmenti ventralis secundi ex¬ tenso ; segmento hoc ventrali medio sulcato. $ . Long. 8 — 9, Lat. inter ang. humeral. 6V4- — 7V4, ad basin scutelli 6 — 63/4 mill. — - Gallia merid., Italia, Dalmatia, Hercegovina, Græcia. T. rusticum Fabr. ( — aerugin osurn Cyrill. ) 3 ( 2). Parte antica pronoti et capite, a latere visis, perpendicularibus vel subperpendicularibus ; capite breviore, latitudini suæ interoculari æqui- longo vel paullo longiore, angulo faciali recto vel subrecto; rostro breviore, apicem segmenti ventralis haud attingente. 4 ( 9). Capite parteque anteriore pronoti pallidis; disco ventris pallido, plerumque plus minusve infuscato, rarissime nigro. 5 ( 6). Segmento secundo ventris medio sculcato; rostro usque ad basin segmenti hujus extenso ; scutello basi vix tumido et haud fortius punctato. — Hispania. T. R amburi n. sp. 6 ( 5). Segmento ventrali secundo haud sulcato; rostro basin ventris haud attingente. 7 ( 8). Corpore superne sat fortiter punctato ; pronoto sulco anteapicali trans¬ verso instructo ; scutello tantum pone medium angustato, basi trans- versim elevato et fortius rugoso -punctato ; ventre subtiliter, sed distincte punctato ; laminis genitalibus duabus inferioribus feminae concaviusculis. — Europa orientalis, Asia occidentalis. T. trigonum Kryn. 8(7). Corpore subtiliter punctato; pronoto sulco anteapicali destituto; scu¬ tello jam a triente basali versus apicem sensim angustato; ventre fere lævigato, nonnisi obsoletissime punctulato; laminis genitalibus duabus inferioribus feminae intus convexiusculis. $. Long. 7 V 2, Lat. inter ang. humeral. 6V4, ad basin scutelli 6 mill. — Turkestan. T. advena Horv. 9 ( 4). Capite limboque antico et marginibus lateralibus anticis pronoti nigricantibus vel fusco-ferrugineis ; ventre, lateribus exceptis, semper nigro. — Algeria, Tunisia. T. Nigellae Fabr. 10 ( 1). Scutello fusco-castaneo, macula maxima triangulari, a basi fere usque ad apicem extensa, straminea ornato ; parte antica pronoti et capite, a latere visis, perpendicularibus, cf.ç. Long. 7 — 7V4, Lat. inter ang. humeral. 53/4--6, ad basin scutelli 5V2 — 52/s mill. — Asia minor, Syria. T. Horvàthi Put. HEMIPTERA NOYA YEL MINUS COGNITA. 293 Geotomus laticollis Reut. Tylo apice setis destituto ; marginibus lateralibus pronoti setis 6 — 7 præditis ; margine costali corii poro setigero unico instructo ; membrana albido-hyalina, macula discoidali nigra magna vel maxima notata; lateribus ventris crebre punctatis, cf. 5. Long. 3 Va — 4 Va mill. Geotomus laticollis Reut. Öfv. Finsk. Vet.-Soc. Förh. XLII. p. 223, (1900). Algeria : Msila, Les Lacs ; Tunisia : Bizerta. (Mus. Hung.) Sehirus tibialis Put. Niger, nitidus, punctatus ; capite latitudine sua cum oculis Vi bre¬ viore, marginibus lateralibus et apice leviter reflexis, tylo percurrente vel subpercurrente, jugis apice subtruncatis ; antennis nigris, articulo secundo saepissime fusco-testaceo vel fusco et quam articulo tertio paullo breviore ; pronoto basi longitudine sua inter angulum apicalem et mar¬ ginem basalem fere duplo latiore, lateribus a basi usque ad trientem apicalem leviter, dein apicem versus fortiter rotundatis, disco transversim profunde impresso, elevatione transversa ante hanc impressionem im¬ puntata, lævigata ; marginibus lateralibus angulisque posticis pronoti, margine costali et gutta majuscula impunctata discoidali corii eburneis membrana fusco-hyalina, fusco-venosa ; maculis marginalibus connexi vi et ventris tibiisque (basi et apice exceptis) flavo-albidis, tarsia basi ferru- gineo-testaceis. cT. ÿ . Long. 53A — 6V2 mill. Sehirus biguttatus var. tibialis Put. Revue d’Ent. XI. p. 25. 3. (1892). Algeria : Edough. (Mus. Hung.) A S. higuttato L. corpore magis nitente, pronoto paullo breviore, iransversim fortius impresso, gutta discoidali eburnea corii maj ore, mar¬ ginibus abdominis albo -maculatis, nec non angulis posticis pronoti et tibiis albidis optime differt. Var. fallax Put. — Corio gutta discoidali eburnea destituto. Sehirus biguttatus var. fallax Put. Revue d’Ent. XIII. p. 114. 1. (1894). Algeria : Edough (Puton). Sciocoris atticus n. sp. Ovalis, flavo-testaceus, supra dense et subtiliter fusco-punctatus punctis interdum nigricantibus et hic illic acervatis ; capite parabolico, latitudine sua interoculari vix longiore, marginibus lateralibus ante oculos minime excisis ; oculis parvis, globosis, in marginem capitis fere dimidio immersis ; antennis apicem versus leviter infuscatis, articulo 294 Dl G. HORVÁTH secundo articulo tertio paullo plus quam dimidio longiore ; pronota capite parum breviore et longitudine sua media plus quam duplo latiore,, antrorsum sensim angustato, margine antico sat sinuato et capite cum oculis vix latiore, marginibus lateralibus leviter arcuatis; scutello lon¬ giore quam basi latiore, pone medium abdominis extenso, basi utrinque distincte nigro-foveolato et intus prope foveolam basalem callo minuto albido prædito, disco ruga longitudinali obsoleta instructo, apice rotun¬ dato, marginibus lateralibus rectis; corio scutello æquilongo, margina costali leviter arcuato, angulo apicali acuto; membrana hyalina, fusco- venosa, parce et obsoletissime fusco-guttulata ; segmentis connexivi basi et apice punctis acervatis nigris, maculas mentientibus præditis ; cor¬ pore subtus pallido, punctis decoloribus, tantum lateribus pectoris et femoribus plus minusve fusco-punctatis ; spiraculis angulisque basalibua segmentorum ventralium nigris, c? . ÿ . Long. 53A — 6Va mill. Græcia: Athenæ. (Mus. Hung,) S. microphthalrno Flor affinis, sed capite longiore, marginibus lateralibus ejus ante oculos vix excisis, oculis globosis, minus exsertis, scutello longiore, retrorsum magis angustato, in angulis basalibus foveola nigra distincta, intus callo minuto albido terminata instructo, corio scutello æquilongo, angulo ejus apicali acuto, punctis ventris decolori¬ bus spiraculisque nigris divergi t. Carpocoris fuscispinus Boh. var. coreamis Dist. Pallide flavus ; elytris roseo-tinctis ; marginibus lateralibus lineis¬ que duabus mediis capitis, striola externa articuli primi antennarum,, lituris quatuor parvis anticis pronoti, striola abbreviata angulorum humeralium, punctis quatuor basalibus et duobus subbasali bus mediis scutelli, maculis basali et apicali segmentorum connexivi punctisque marginalibus ad basin segmentorum ventris nigris ; angulis humeralibus, angustis, acutis. cT . $ . Long. 12 — 13 mill. Carpocoris coreanus Dist. Ann. Mag. Nat. Hist. (7) IV. p. 436. (1899). Turcomania: Askhabad (Mus. Hung.); Corea (Mus. Brit.). Specimina typica in Museo Britannico vidi. Carpocoris pusio Kol. Ovalis, flavo-virens vel pallide flavo-testaceus, dense et subtilissima decoloriter punctatus, glaber; capite latitudini suæ cum oculis æqui¬ longo, marginibus lateralibus nonnisi levissime sinuatis, plerumque an¬ guste nigro -punctatis et sæpe rufescentibus, jugis tylo paullo longioribus, HEMIPTERA NOYA VEL MINUS COGNITA. 295 tuberculis antenniferis pallidis, raro superne striola basali nigra notatis; antennarum articulo primo flavo-testaceo, articulis sequentibus rubris vel testaceis, articulis duobus apicalibus (basi excepta) nigris, raro totis rubris ; rostro apice nigro ; marginibus lateralibus anticis pronoti rectis, angulis humeralibus rotundatis, ultra latera corii paullo prominulis, prope marginem sæpe punctis nonnullis minutis nigris conspersis; scu- tello latitudine sua basali longiore, apice acuminato, lateribus levissime sinuatis ; corio scutello paullo longiore et cum clavo plerumque roseo - tincto ; membrana hyalina ; dorso abdominis nigro ; connexivo pallido, immaculato, raro ad basin et apicem segmentorum lituris parvis mar¬ ginalibus, e punctis acervatis et plerumque confluentibus nigris formatis notato ; punctis nigris utrinque tribus pectoris minutissimis vel nullis ; femoribus punctis nigris omnino destitutis ; tibiis apice et tarsis sæpis- sime rubris ; spiraculis pallidis vel fuscescentibus ; marginibus ventris in angulo postico segmentorum puncto distinctissimo nigro notatis ; segmento genitali maris superne medio profunde, utrinque versus latera leviter sinuato, d. J . Long. 8 — JO mill. Carpocoris pusio Kol. Mel. ent. IV. p. 48. 172. tab. 16. fig. 39. (1846). Carpocoris (Antheminia) bergi Jak. Revue Russe d’Ent. V. p. 102. (1905). Armenia rossica : Aralikh, Kulp ; Turcomania ; Turkestan : Ilysk ; Kashgar. (Mus. Hung.) A C. lunulato Goeze ( lynce Fabr.) corpore minus lato et superne glabro, scutello longiore, femoribus posterioribus punctis nigris desti¬ tutis, punctis marginalibus nigris ventris distinctissimis segmentoque genitali maris utrinque versus latera minus profunde emarginato differt. Scutellum maris unius e Turcomania oriundi basi nigro-bipunctatum. Mormidea pusio Fieb. (Eur. Hem. p. 336. 5.) non est species a Kolenatio descripta, sed tantum varietas magnam ad partem pallida C. lunulati Goeze. Carpocoris eurynotus n. sp. Ovalis, flavo-testaceus, dense et subtilissime punctulatus, supra glaber, punctis ibidem magnam ad partem nigris ; capite æquilongo ac cum oculis lato, marginibus lateralibus versus medium vix sinuatis, jugis totis rubris et tylo paullo longioribus, tuberculis antenniferis superne striola nigra notatis ; antennis rubris, articulis duobus apicali¬ bus, basi excepta, nigris ; rostro coxas posticas attingente, apice nigro ; pronoto anterius vittis quatuor obsoletis, e punctis nigris acervatis for¬ matis signato, marginibus lateralibus anticis leviter arcuatis, angulis humeralibus late rotundatis, ultra latera corii vix prominulis ; scutello paullo longiore quam basi lato, apice acuminato, lateribus sat distincte 296 Dì G. HORVATH sinuatis; corio sciitello paullo longiore, plus minusve roseo-tincto ; membrana hyalina; dorso abdominis nigro; connexivo subtilissime nigro - punctato, sed haud nigro-maculato ; pectore, femoribus et lateribus ventris punctis majoribus nigris omnino destitutis; spiraculis pallidis; pedibus punctis minutissimis nigris conspersis, tibiis et tarsis rubris. Ç • Long. 9 — 10 mill. Turkestan : Montes Alai. (Mus. Hung.) Præcedenti affinis, sed marginibus lateralibus anticis pronoti ar¬ cuatis, angulis humeralibus late rotundatis, lateribus scutelli sat distincte sinuatis, ventre maculis marginalibus punctiformibus nigris destituto, nec non punctis minutis partis superioris corporis magnam ad partem nigris et jugis, articulo basali antennarum tibiisque rubris diversus.* Dolycoris numidicus n. sp. Flavo-testaceus, supra dense subtiliterque punctatus, pilis erectis griseis parce vestitus, pronoto et elytris sæpissime magis minusve rubro-tinctis ; capite latitudine sua cum oculis paullo longiore ( c? ) vel æquilongo ( £ ), marginibus lateralibus rectis, jugis tylo distincte longiori¬ bus ( d ) vel sublongioribus ( $ ), dense et subtiliter nigro-punctatis, apice leviter reflexis ; antennis nigris, pilosis, articulo primo toto, dimidio basali antice et apice articuli secundi basique articulorum reliquorum albis, articulo secundo articulo tertio dimidio longiore, articulis secundo, quarto et quinto longitudine æqualibus, pilis articuli tertii diametro articuli duplo longioribus ; rostro apice nigro ; pronoto capite paullo breviore et longitudine sua media 2% latiore, utrinque versus latera fortius nigro-punctato et ruga intra-marginali obsoleta instructo, mar¬ ginibus lateralibus anticis rectis, reflexis, pallidis, lævigatis, tantum versus angulos humerales rotundatos nigro-punctatis ; scutello apice sat * Specimina sub nomine Carpocoris lynx Fabr. ex America septentrionali commemorata ad speciem novam, distinctam pertinent, quæ notis sequentibus illustratur : Carpocoris remotus n. sp. „ — Structura pronoti aliisque notis C. eurynoto maxime affinis et simillimus, sed scatello utrinque tantum levissime sinuato, apicem versus minus lato certe distinctus ; punctis partis superioris corporis decoloribus, solum marginibus lateralibus capitis anguste nigro-punctatis ; jugis, articulo primo antennarum tibiisque fere totis flavo-testaceis, tantum limbo angusto externo jugo¬ rum et tibiis apicem versus rufescentibus ; femoribus haud nigro-conspersis. Ç . Long. 9 — 10 mill. America septentrionalis: Colorado. (Mus. Hung.) Corpus interdum pallide viride et connexivum interdum nigro-maculatum esse docet cel. P. R. Uhler (Ann. Rep. U. S. Geol. Surv. Y. 1872. p. 398.). HEMIPTERA NOVA VEL MINUS COGNITA. 297 longe acuminato-producto, parte producta apicali flavo- albida, parce punctata, punctis fere omnibus decoloribus ; membrana abdomine distincte longiore, albido-hyalina, vix infuscata ; connexivo flavo, basi et apice segmentorum nigris ; corpore subtus pallido, parce punctato, punctis plerumque decoloribus, striola submarginali capitis ante oculos, punctis utrinque tribus lateralibus pectoris, spiraculis, punctis marginalibus ad basin et apicem segmentorum ventralium, puncto anteapicali femorum, striola apicali interna tibiarum posticarum et tarsis nigris, horum arti¬ culo primo basi articuloque secundo pallidis, cf . $> . Long. 10 Va — 12 mill. cf. Segmento genitali utrinque processu parviusculo subtriangulari, a latere viso, angulo laterali segmenti distincte breviore, glabro instructo. Algeria : Tlemcen, St. Charles, Tarfaia (Mus. Hung.), Méchéria, Ain- Sefra, Géry ville, Saida, Perrégaux (Coll. Puton), Tiaret, El-Achir, Oued Djedi (Coll. Vibert); Tunisia: Tunis, Gabès, Djebel Atig (Mus. Hung.), Bizerta (Coll. Yibert). A D. baccarum L., cui maxime affinis et simillimus est, et cum quo hucusque semper confusa erat, capite maris quam feminæ longiore, marginibus lateralibus capitis rectis, jugis densius nigro -punctatis, arti¬ culo primo antennarum nunquam nigro-picto et præsertim structura segmenti genitalis maris divergit. Doly coris baccarum L. (verus) in Africa septentrionali, uti vide¬ tur, haud occurrit. Menida Jakowleffi nov. nom. Menida poecila Jak. Revue Russ. d’Ent. III. p. 378. (1903). Turcomania. Quum Rhaphigaster poecilus Dall. List of Hem. I. p. 287. 38. (1851), ex Africa meridionali descriptus, etiam ad genus Menida Mötsch. pertineat, nomen speciei asiaticæ Jakowleffianæ mutandum est. Eurydema laticolle n. sp. Latiuscule ovatum, supra coccineum, nigro-variegatum, punctatum; capite cum oculis “2/s latiore quam longiore, nigro, antrorsum angustato, apice rotundato-truncato et vix inciso, macula magna utrinque ante oculos marginibusque reflexis angustis laterali et apicali jugorum cocci¬ neis; antennis et rostro nigris, illarum articulo secundo articulo tertio 1U longiore; pronoto maculis sex nigris notato, longitudine sua media 2V3 latiore, vage punctato, ante medium ruga transversali distincte ele¬ vata instructo, marginibus lateralibus fortiter dilatatis, arcuatis et levis- 298 Dì G. HORVÁTH sime reflexis, angulis anticis valde rotundatis, maculis nigris duabus anticis transversis et extus cum maculis posticis exterioribus oblongis confluentibus, maculis duabus posticis exterioribus pone rugam trans¬ versalem cum maculis posticis interioribus conjunctis ; scutello lati¬ tudine sua basali paullo longiore, dense punctato, nigro, vittis duabus basalibus marginalibus intus sinuatis et pone medium scutelli extensis maculaque apicali coccineis ornato, apice latiusculo ; elytris dense punctatis, clavo toto, endocorio (macula triangulari externa mox ante medium et macula ante apicem exceptis) vittulaque media exocorii nigris, membrana fusca, anguste albido-limbata ; segmentis connexivi basi macula nigra signatis ; pectore et pedibus nigris ; ventre coccineo, macula magna triangulari a basi usque ad apicem extensa, maculis trans¬ versis ad spiracula maculisque marginalibus rotundatis ad basin seg¬ mentorum nigris. J . Long. 9, Lat. 5 Vs mill. Persia: Montes Baktyaris. (Mus. Paris.) Var. discors n. — A typo differt colore nigro pronoti, scutelli et corii magis extenso ; ruga transversali discoidali pronoti (parte media excepta) nigra, maculis duabus anticis nigris pronoti igitur etiam cum maculis posticis interioribus confluentibus ; vittis duabus basalibus mar¬ ginalibus coccineis scutelli fere omnino deficientibus et tantum mox pone medium scutelli lineolas duas angustas introrsum curvatas rubras praebentibus ; macula triangulari externa coccinea ante medium endo- corii posita fere tota nigra. $ . Long. 81/®, Lat. 5 Vi mill. Persia. (Mus. Hung.) Var. hypoxanthum n. — Superne albido-flavum, picturis nigro- cœruleis ut in typo signatum ; striola subbasali media verticis flava ; macula anteapicali media et angulis humeralibus pronoti maculaque anteapicali corii ad partem nonnihil aurantiacis ; antennis et rostro nigris; corpore subtus albido-flavo, lineolis nonnullis marginalibus pec¬ toris, maculis ad spiracula et ad margines ventris nigris ; pedibus albido- flavis, femoribus apicem versus, basi et apice tibiarum tarsisque nigris, tibiis anticis antice totis vel fere totis nigris ; segmento genitali maris nigro-bimaculato. d\ ? . Long. 73A — 9, Lat. 43A — 573 mill. Persia : Montes Baktyaris. (Mus. Paris, et Hung.) Ab E. ornato L. et a reliquis speciebus, quæ pronoto nigro -sexmacu- lato et marginibus lateralibus ventris nigro -maculatis gaudent, statura minore, latiuscula, scutello apice obtuse rotundato et praesertim lateri¬ bus pronoti late explanatis et arcuatis mox distinguendum. Statura fere E. Fieberi Schumm., sed lateribus pronoti dilatatis et arcuatis, limbo ventris semper nigro-maculato aliisque notis distinctum. HEMIPTERA NOYA VEL MINUS COGNITA. 299 Eurydema nigriceps Eeut. var. vitticolle n. Corpore supra, etiam capite, æneo-viridi ; lateribus capitis ante oculos angustissime albidis ; marginibus lateralibus lineaque mediana, ad marginem basalem ipsum subito utrinque dilatata pronoti, apice scutelli, margine costali ultra medium fasciolaque anteapicali, extus abbreviata corii nec non marginibus ventris albis ; maculis duabus basali¬ bus capitis prope oculos, margine antico pronoti intra oculos vittaque utrinque laterali scutelli, a basi ultra medium extensa, nigricantibus ; corpore subtus cum antennis, rostro et pedibus nigro-æneo. Ç . Lorg. 8 mill. Algeria : Mons Babor. (Coli. Chobaut). A typo differt capite æneo-viridi et pronoto linea mediana alba notato. Elasmostethus humeralis Jak. Elasmostethus humeralis Jak. Revue mens. d’Ent. I. p. 15. 3. (1883); Bull. Soc. Moscou. 1883. I. p. 426. 3. Elasmostethus Matsumurae Horv. Termész. Füzet. XXII. p. 366. (1899). Sibiria orientalis : Wladiwostok (Jakowleff) ; Japonia : Sapporo (Mus. Hung.). COREIDÆ. Euthetus humilis n. sp. Flavescenti- testaceus, opacus, dense et subtilissime punctulatus ; vertice fusco-testaceo, vitta mediana pone ocellos bifida, litura utrinque pone basin antennarum, spatio postoculari parteque inferiore capitis nigris; vitta utrinque laterali hujus flavo -albi da ; antennis simplicibus, testaceis, articulis tribus basalibus apice nigris, articulo primo apicem capitis paullo superante, articulo tertio levissime incrassato, quam arti¬ culo secundo duplo longiore et quam articulo quarto Vs breviore ; rostro fusco-testaceo, articulo basali nigro ; pronoto lineis tribus longitudinali¬ bus nigricantibus obsoletis signato, margine antico maculis quatuor parvis punctiformibus nigris notato, angulis posticis subacutis et sub- prominulis ; scutello nigro, apice albido ; clavo, basi excepta, parteque interiore corii nigricantibus ; membrana dilute fusco-hyalina, fusco- venosa; corpore subtus nigro, vitta laterali prostethii maculisque pec¬ toris ad coxas flavo- albidis, angulis lateralibus posticis latissimis pro¬ stethii, margine postico meso- et metastethii, maculis marginalibus ab¬ dominis, macula utrinque laterali postica segmentorum secundi et tertii ventralium, limbo angusto postico segmenti ventralis sexti segmentoque 300 m G. HORVÁTH genitali maris flavo-testaceis ; dorso abdominis rufo-ferrugineo ; pedibus flavo-teslaceis, femoribus minute nigro fusco-conspersis, femoribus posticis subtus et apicem versus, tibiis et tarsis omnibus apice nigris, femori¬ bus posticis annulo anteapicali albido ornatis, cf. Long. 9 mill. Tunisia : Sfax. (Mus. Hung.) Prima species generis Euthetus Dall.* in regione palæarctica in¬ venta et a reliquis congenericis statura minore corporeque supra fere toto pallido distincta. Stenocephalus divulsus n. sp. Oblongus, supra sordide fusco-cinnamomeus, obsoletissime griseo - pollinosus; capite nigro, jugis lineæ fictæ a margine antico oculorum usque ad insertionem antennarum ducendæ æquilongis ; antennis nigris, albido-annulatis, articulis tribus basalibus nigro-pilosis, pilis diametro articuli secundi distincte brevioribus, annulis duobus albidis articuli secundi inter se latitudine æqualibus, articulo quarto, basi albida ex¬ cepta, infuscato, parce griseo-puberulo et quam articulo secundo distincte (Ve — Ve) breviore ; rostro albido, dimidio apicali nigro, coxas inter¬ medias superante, interdum (cf) coxas posticas attingente ; pronoto an¬ nulo collari sat distincto instructo, lobo antico nigricante, lateribus marginatis, callosis, anguste albido-limbatis ; apice imo scutelli margine¬ que costali corii basin versus callosis, albidis; membrana fusca, inter¬ stitiis venarum granulis fuscis præditis ; connexivo nigro, segmentis basi late albis ; pedibus nigris, trochanteribus omnibus, parte Vs — 1U * Aliam speciem insignem æthiopicam hujus generis hic profero : Euthetus laticornis n. sp. — Niger, opacus, creberrime et subtilissime punc- tulatus ; macula parva laterali mesostethii fasciaque obliqua laterali segmenti ven¬ tralis tertii, interdum etiam macula utrinque laterali basali capitis albidis; an¬ tennis nigris, articulis tribus basalibus basi sordide testaceis, articulo primo apicem capitis distincte superante, articulo tertio compresso-dilatato, lanceolato et latissime subsculcato, dense breviterque adpressim nigro-pilosulo, latitudine sua maxima plus quam quadruplo et quam articulo secundo duplo et dimidio longiore, articulo quarto obscure fusco et articulo praecedente fere 1/3 longiore ; articulo secundo rostri basi utrinque lineola brevi flavo-albida notato; pronoto vitta mediana holo- sericea nigra signato, angulis posticis acutis, parum prominulis ; membrana fusco- hyalina, fusco-venosa; femoribus nigris, basi ipsa annulisque duobus — uno apicali, altero anteapicali — horum, nec non tibiis et tarsis flavo-testaceis, apice tibiarum et tarsorum nigro. Ç. Long. Il3/* — 12 mill. Africa orientalis : Kilimandjaro, Mto-ya-kifaru. (Mus. Hung.) Articulo tertio antennarum compresso-dilatato ab omnibus speciebus con¬ genericis distinctissimus. HEMIPTERA NOVA VEL MINUS COGNITA. 301 basali femorum posteriorum annuloque subbasali angusto tibiarum al¬ bidis, tibiis griseo- albidis basi et apice nigris, d. ? . Long. 11 Va— 13 mill. Albania: Peristeri ; Græcia: Yeluchi. (Mus. Hung.) Specimina non¬ nulla legit clariss. Y. Apfelbeck. S. mcirginicolli Put. maxime affinis et simillimus, statura paullo minore, antennis et rostro longioribus, illarum articulis duobus inter¬ mediis brevius pilosis articuloque quarto articulo secundo distincte bre¬ viore differt. S. marginicollis Put. articulis secundo et quarto antennarum longitudine subæqualibus rostroque pone coxas intermedias haud ex¬ tenso gaudet. Corizus latus Jak. Corizus latus Jak. Bull. Soc. Moscou. 1882. II. p. 109. 6. Rhopalus (Aeschynteles) robustus Reut. Finsk. Vet.-Soc. Förh. XXXIII. p. 179. 49. (1891). Corizus Reuteri Leth. et Sev. Cat. gén. des Hém. II. p. 119. (1894). Sibiria : Raddefka (Mus. Hung.), Ussuri (Jakowleff), Osnatjennaja (Reuter). LYGÆIDÆ. Nysius cymoides Spin. Artheneis cymoides Spin. Ess. Hém. p. 252. (1837). Nysius cymoides Horv. Revue d’Ent. IX. p. 189. 5. (1890). Nysius vinitor Bergr. Ent. Month! Mag. (2) II. p. 69. (1891). Species hæc descripta est a cel. Dre E. Bergroth secundum exempla in Australia meridionali lecta, ubi vineta magno damno afficit. Specimina ex Australia (South Australia: Wallaby; Queensland: Towns¬ ville) oriunda, quæ nomine Bergrothiano signata in Museo Britannico vidi, sine ullo dubio ad speciem palæarcticam Spinolae pertinent. Quum species hæc in vitibus habitet et in vineis Algeriæ interdum sat noxia sit, eam e regione mediterranea in Australiam cum sarmentis Vitis viniferae importatam esse censeo. Geocoris erythrocephalus Lep. et Sérv. var. marginellus n. Capite, apice, scutelli et limbo costali corii pallide flavis; ceteris ut in typo. d. Hispania: Escorial. (Mus. Hung, et Coli. Melichar.) 302 Di G. HORVÁTH Oxycarenus collaris Muls. et Ret. Stenogast er collaris Muls. et Rey Ann. Soc. Linn. Lyon. 1850 — 52. p. 102. (1852). Oxycarenus roseus Leth. Ann. Soc. Ent. Belg. XX. p. 36. (1877). Animalculum a L. Lethierry ex Hispania (Gibraltar) descriptum et nunc in Museo Bruxellensi asservatum, quod examinare mihi licuit, tantummodo specimen est immaturum et baud rite coloratum Oxy- careni collaris Muls. et Rey, nihil aliud. Icus Viberti n. sp. Oblongo-elongatus, niger, opacus ; articulis duobus basalibus an¬ tennarum, apice excepto, maculis pectoris ad coxas pedibusque flavo- testaceis ; rostro fusco-testaceo ; pronoto æquilongo ac basi lato, antror- sum parum angustato, lobo postico quam antico vix latiore, lateribus pone medium leviter sinuatis, marginibus antico et postico angustissime ferrugineo-testaceis ; elytris fusco-testaceis, seriatim fusco-punctatis, corio plus quam triente apicali nigro, membrana magis minusve abbreviata, pone medium segmenti dorsalis sexti abdominis ( c? ) vel modo usque ad medium segmenti dorsalis quinti ( ) extensa, nigra, macula majuscula pone angulum apicalem corii, limbo apicali angusto limboque interno basin versus nonnihil latiore lacteis ; femoribus posterioribus superne apicem versus levissime infuscatis. cT . Ç . Long. 4 mill. Algeria : Ain-Sefra (Mus. Hung.), Ain- Aissa (Coll. Yibert). Species hæc, quam nomine egregii inventoris L. Yibert ornavi, ab L angulari Fieb. statura majore, pronoto longiore et retrorsum vix dilatato, corio apice latissime nigro membranaque alio modo picta, haud albo-venosa differt. Aphanus consimilis Reut. Ab A. vulgari Schill., cui colore pedum similis est, antennis totis nigris, pronoto minus transverso, antrorsum fortius angustato, margini¬ bus lateralibus hujus minus dilatatis, totis pallidis maculaque nigra interna corii oblonga differt; tibiis anticis apice, — intermediis basi et apice, — posticis totis nigris, cf. £. Long. 63A — 7Va mill. Aphanus (Aphanus) consimilis Reut. Revue d’Ent. XII. p. 214. 1. (1893). Turkestan: Osh, Bokhara. (Mus. Hung.) HEMIPTEEA NOYA VEL MINUS COGNITA. 303 TINGITIDÆ. Acalypta heteropepla n. sp. Ovalis, griseo-testacea, brunneo-reticulata, brachyptera; capite nigro, superne spinulis duabus erectis, validis, ariiculo primo antennarum longioribus, nigris armato, bucculis griseo-liyalinis ; antennis gracilibus, articulis duobus basalibus fuscis, articulo primo cylindrico, incrassato, articulo secundo brevissimo, articulo tertio articulo sequente paullo plus quam triplo longiore, basi haud incrassato, simplici, articulo quarto nigro ; pronoto antrorsum leviter angustato, tricarinato, vesicula antica angulato-producta, a latere visa horizontali et quam carina mediana haud altiore, membranis marginalibus ampliatis, griseo -hyalinis, biseria- tim areolatis, extus leviter rotundatis, dein apicem versus levissime sinuatis, angulo antico producto, acuto, carinis tribus discoidalibus ele¬ vatis, æque altis, uniseriatim areolatis, parallelis, lateralibus antice abbreviatis, truncatis; elytris incompletis, abdomine longioribus, margine suturali sejunctis et tantum apicem versus levissime valvantibus, spatio suturali uniseriatim areolato, mox ante apicem biseriato, spatio discoi¬ dali angusto, elongato, sulciformi, triseriatim areolato, apice acuminato, spatio laterali seriebus tribus areolarum instructo, areolis serierum harum duarum interiorum majusculis, seriei externæ autem parviusculis, membrana costæ griseo-hyalina, uniseriatim areolata, basi ipsa areolis nonnullis biseriatis prædita; corpore subtus nigro, maculis pectoris ad coxas, limbo postico pro-, meso- et metastethii limboque antico prostethii griseo-testaceis ; pedibus flavo-testaceis, femoribus medio tarsisque apice nigricantibus, ç . Long. S1/*, Lat. lVe mill. Algeria: Mons Babor. (Coll. Chobaut.) A. sejunctox Horv. angulis anticis pronoti productis, acutis elytris- que intus hiscentibus affinis, sed statura paullo minore, membranis marginalibus pronoti biseriatim areolatis, elytris magis sejunctis et areolis majoribus instructis, spatio suturali uniseriatim, spatiis discoidali et laterali triseriatim areolatis spatioque discoidali angustiore, sulciformi divergens. Ab A. acutangula Jak. spinis capitis et articulo ultimo antennarum nigris, membranis marginalibus pronoti biseriatim areolatis, vesicula antica a latere visa horizontali et cum carina mediana in eodem plano posita elytrisque incompletis margine suturali hiscentibus differre videtur. 304 DE G. HORVÁTH Urentius Chobauti n. sp. Ovalis, supra pallide flavo- vel griseo-testaceus, spinulis erectis longiusculis sat dense munitus ; capite nigro, superne spinis quinque longis pallidis armato, bucculis anguste pallido-limbatis ; antennis flavo- testaceis, articulis duobus apicalibus pilis nonnullis longis erectis prae¬ ditis, articulo quarto apicem versus clavato et levissime infuscato; rostro flavo-testaceo, apice nigro ; pronoto sat convexo, lateribus rotundatis, vesicula antica humili, apice subtruncata, membranis marginalibus totis reflexis, carinam medianam tangentibus, subtiliter reticulatis et præterea costis spiniferis altioribus, areas quinas (2, 1, 2) majores formantibus instructis, carina mediana percurrente, apice puncto minuto nigro notato, carinis duabus lateralibus valde obliquis et antrorsum usque ad mem¬ branas laterales reflexas extensis ; elytris completis, planiusculis, apicem abdominis superantibus, spatio discoidali venula obliqua obsoleta diviso, spatio laterali biseriatim areolato, membrana costæ serie unica areolarum majuscularum instructa; corpore subtus nigro; carinis sternalibus albis; pedibus flavo-testaceis, breviter pilosis. cT. £ . Long. lVa — 15/6 mill. Gallia meridionalis: Avignon, Arles (Mus. Hung, et Coll. Chobaut); Hispania : Fuencaliente (Coll, de la Fuente). Speciem hanc peculiarem in foliis Cisti albidi L. detexit cel. Hr. A. Chobaut. Urentius Hist, est genus ex India orientali descriptum, a cujus specie unica, U. echino Hist., species nostra statura minore, lateribus pronoti anterius haud sinuatis, vesicula antica apice haud producta, caput detectum relinquente membranaque costæ elytrorum uniseriatim areolata differt. MACRO CEPH ALIHÆ Phymata monstrosa Fabr. var. griseipennis n. A typo differt colore in utroque sexu pallidiore, nec non pronoto et abdomine minus dilatatis; processibus apicalibus capitis et tuberculis verticis obtusis ; marginibus lateralibus anticis pronoti haud denticulatis, angulis humeralibus rectis, in denticulum acutum haud productis ; an¬ gulis lateralibus posticis segmentorum abdominalium obtusis, parum prominulis ; parte coriacea elytrorum grisea, corio apicem versus leviter infuscato. cT . Ç . Tunisia : Mactar (Mus. Hung.) ; Algeria : St. Charles (Coll. Théry). HEMIPTERA NOYA YEL [MINUS COGNITA. 305 Phymata subinermis n. sp. Flavo-testacea, nigro- vel fnsco-variegata ; capite 7b longiore quam latiore, supra nigro, processibus apicalibus et tuberculis verticis obtusis; antennis flavo-testaceis, articulo secundo articulo tertio longiore; pro- noto longitudine sua circiter dimidio latiore, ante medium utrinque prope margines laterales longitrorsum obtuse elevato et maculis duabus parvis albidis notato, carinis duabus discoidalibus retrorsum divergenti¬ bus anterius nodulis binis obtusis instructis, marginibus lateralibus an¬ ticis reflexis, arcuatis, haud vel obtusissime denticulatis, mox ante me¬ dium leviter excisis, angulis humeralibus denticulo plerumque distincto armatis, marginibus lateralibus posticis levissime sinuatis, angulis posticis ad angulos basales scutelli in lobulum productis ; scutello ruga longi¬ tudinali granulata instructo, carinis marginalibus semper nigris; mem¬ brana hyalina; abdomine rhomboidali, utrinque reflexo, maculis margi¬ nalibus basalibus parteque apicali flavo-albidis, angulis lateralibus posticis segmentorum trium basalium sat prominentibus, obtusis, segmento quarto utrinque angulato-dilatato, marginibus lateralibus segmentorum quinti et sexti leviter sinuatis ; corpore subtus plus minusve nigro- vel fusco- variegato, apice ventris et pedibus pallide flavo-testaceis, limbis latera¬ libus illius remote granulatis, margine superiore femorum anticorum femoribusque posterioribus supra et subtus granulis longiusculis apice muricatis obtectis, cf. $ . Long. .6-Va- — 7 Va mill. cf. Articulo quarto antennarum articulis secundo et tertio simul sumtis longitudine æquali ; pronoto, scutello, elytris abdomineque su¬ perne nigris. $ . Articulo quarto antennarum articulo tertio æquilongo ; pro- noto, scutello, elytris et abdomine superne fuscis. Turkestan : Bokhara. (Mus. Hung.) Ph. monstrosae Fare, simillima, sed capite et antennis brevioribus, carinis marginalibus scutelli semper nigris et præsertim structura anten¬ narum divergi t. A forma typica hujus speciei præterea processibus api¬ calibus capitis, tuberculis verticis angulisque lateralibus posticis segmen¬ torum basalium abdominis obtusis et marginibus lateralibus anticis pro¬ noti haud vel obtusissime denticulatis distincta. Articulus quartus antennarum Ph. monstrosae Fare, apud marem articulis secundo et tertio simul sumtis, — apud feminam autem arti¬ culo tertio distincte longior est. Annales Musei Nationalis Hung arici. V. 20 306 D? G. HOEVÁTH GERRIDIDÆ. Gerris ventralis Fieb. cf . Segmento ventrali sexto apice profunde emarginato ; segmentis genitalibus brevibus, secundo leviter convexo. Long. 10 — 10% mill. £. Segmento ventrali sexto postice leviter emarginato; segmento genitali primo transverso, haud impresso. Long. 13 Va- — 15 mill. Forma • apter a: Pronoto deplanato, tuberculis humeralibus desti¬ tuto ; elytris alisque nullis, c? . $ . Turcia : Constantinopolis. (Mus. Hung.) Gerris cinereus Put. Forma macroptera : Pronoto retrorsum sensim latiore et paullo altiore, tuberculis humeralibus distinctis, lobo postico infra margines laterales linea flavo-testacea ornato ; elytris completis, apicem abdominis subattingentibus (cf) vel tantum usque ad medium segmenti dorsalis ultimi abdominis extensis ( 5 ), fumatis, venis crassis, fuscis, griseo - puberulis ; alis albido-hyalinis et quam elytris paullo brevioribus. Algeria : Constantine ; Tunisia : Ain-Hraham. (Mus. Hung.) Gerris brachynotus n. sp. Oblongus, ad coxas intermedias dilatatus, antrorsum et retrorsum fortius angustatus, apterus, niger, opacus, subtus tomento argenteo dense vestitus ; antennis mediocribus, nigris, articulo primo articulis secundo et tertio simul sumtis breviore, basi ferrugineo-flavescente, arti¬ culo secundo articulo tertio paullo longiore, articulo quarto articulo primo paullo breviore; rostro coxas anticas superante, nigro, articulo secundo dimidioque apicali articuli tertii űavo-testaceis ; pronoto de¬ planato, lobo antico lineis tribus, una mediana, duabus lateralibus, ferrugineo-testaceis notato, lobo postico lobo antico tantum ®/s longiore, apice late rotundato, fere toto obscure ferrugineo, solum carinis tiibus, una media, duabus submarginalibus, longitudinalibus obsoletis nigris, tuberculis humeralibus nullis; elytris et alis omnino deficientibus; dorso abdominis pone medium linea mediana interrupta argenteo-tomentosa ornato ; marginibus lateralibus angustis ventris segmentisque genitalibus subtus ferrugineo-testaceis ; segmento ultimo ventrali postice vix emar¬ ginato, utrinque dentato-producto ; femoribus anticis antice basin versus cum trochanteribus, striola laterali acetabulorum posteriorum nec non HEMIPTERA NOVA VEL MINUS COGNITA. 307 coxis, trochanteribus et femoribus posterioribus subtus ferrugine o-testa- ceis; pedibus intermediis pedibus posticis longioribus; tibiis intermediis tarsis intermediis fere dimidio longioribus, borúm articulo primo arti¬ culo secundo duplo longiore ; tibiis posticis tarsis posticis paullo plus quam dimidio longioribus, borúm articulo primo articulo secundo 7* lon¬ giore. $ . Long. 772, Lat. ad coxas intermedias 24/s mill. Sibiria orientalis : Gorbitza. (Mus. Hung.) Species ad subgenus Gerris s. str. (Limnotr echus Stal) referenda, corpore versus medium incrassato, antrorsum et præsertim retrorsum fortius angustato ab affinibus mox distinguenda. Gerris thoracicus Schumm. Forma brachyptera: Pronoto ut in forma macroptera constructo; elytris angustioribus, paullo abbreviatis, segmentum dorsale ultimum et trientem apicalem segmenti dorsalis penultimi abdominis haud tegentibus. . Hungária : Forró. (Mus. Hung.) Gerris argentatus Schumm. Forma brachyptera: Pronoto planiusculo, tuberculis humeralibus fere nullis; elytris brevissimis, processum posticum pronoti haud super¬ antibus, tantummodo limbum angustum detectum praebentibus ; alis nullis. d\ Turcia : J anina in Epiro. (Mus. Hung.) Species palearticæ generis Germs Fabr., quoad formas brachypteras, in •cohortes tres sequentes disponi possunt : I. Totæ apteræ, elytris nullis : apterus Betz. ( najas auch), ventralis Fieb., cinereus Put., lateralis Schumm. ( asper Fieb.), brachynotus Horv. II. Elytris brevissimis, basin segmenti dorsalis secundi abdominis haud vel vix attingentibus : odontogaster Zett., argentatus Schumm. III. Elytris saltem usque ad medium abdominis extensis : Najas De Geer ■( paludum Fabr.), thoracicus Schumm., lacustris L. Formæ brachypteræ specierum sequentium hactenus ignotae sunt: Costae H.-Sch., Jankowskii Jak., gibbifer Schumm., brevirostris Bergr., aegyptiacus Put. REDUYIIDÆ. Oncocephalus curtipennis Reut. j . Parte anteoculari capitis parti postoculari et oculis simul sumtis æquilonga ; spatio gulari interoculari basi articuli primi rostri 20* 308 D; G. HORVÁTH distincte latiore; articulo primo antennarum parte anteoculari capitis 1 5 breviore; femoribus anticis pronoto capiteque usque ad oculorum marginem anticum longitudine æqualibus et altitudine eorum maxima paullo plus quam triplo longioribus ; tibiis anticis femoribus anticis distincte brevioribus. Long. 11 Va — 12 mill. Tunisia : Ain-Hraham. (Mus. Hung.) Pasira basiptera Stal var. mystica n. Corpore fere toto nigro ; elytris basi late, connexivo lateribusque ventris totis nigris ; articulis duobus basalibus antennarum, rostro et pedibus fusco-nigris, femoribus posticis nigris, articulo secundo anten¬ narum medio, apice rostri et tibiarum tarsisque testaceis ; fascia mox ante medium elytrorum sita flavo-albida. cT. Long. 6 Va mill. Caucasus : Aresh. (Mus. Hung.) Rhaphidosoma inermiceps n. sp. Nigrum, opacum, dilute rufotestaceo- ( cT ) vel sordide flavotestaceo- ( $ ) variegatum, subtilissime albido-squamulosum ; capite pro- et mesonoto simul sumtis æquilongo, nigro, parte postoculari superne tyloque pallidis, apice haud spinoso-producto, inermi ; oculis paullo pone medium capitis sitis ; antennis flavo-testaceis, articulo primo fuscescente, capite et tho¬ race simul sumtis paullo breviore et quam articulo secundo quadruplo longiore, articulo secundo articulo tertio sublongiore, articulo quarto articulis duobus praecedentibus ad unum paullo longiore ; rostro fusco vel fusco-nigro, articulo primo usque ad basin antennarum extenso, articulo secundo articulo primo quadruplo longiore ; pronoto leviter convexo, nigro vel nigricante, carina subtili mediana limboque postico depresso testaceis ; meso- et metanoto planis, testaceis, medio longitror- sum carinatis, mesonoto metanoto 7s longiore ; pectore nigro, maculis magnis ad coxas omnes limboque postico prostethii testaceis ; coxis maculaque magna trochanterum nigris, femoribus fusco-testaceis, an- nulo anteapicali nigro notatis, tibiis et tarsis flavo-testaceis, illis basi anguste nigris, femoribus anticis articulo primo antennarum paullo longioribus ; abdomine capite et thorace simul sumtis fere duplo lon¬ giore, dorso concavo. cf. Abdomine nigro, segmentis tribus basalibus liturisque apicali¬ bus segmentorum reliquorum dorsi et vitta mediana ventris rufescenti- testaceis, dorso in medio longitrorsum carinato, sed tuberculis destituto, segmento dorsali ultimo apice in conulum compresso-elevatum retror- HEMIPTERA NOVA VEL MINUS COGNITA. 309 sum vergentem producto ; segmento genitali nigro, disco rufescenti- testaceo. Long. 22 mill. Ç . Abdomine nigro, marginibus lateralibus angustis segmentorum ventralium (basi excepta) vittaque mediana ventris sordide testaceis, dorso in medio longitrorsum subtiliter carinato, segmentis dorsalibus (segmento primo excepto) apice tuberculis binis approximatis validiu- sculis instructis. Long. 25 mill. Algeria : Ain-Sefra, Fortassa. (Mus. Hung.) Marem et feminam legit nobisque benigne dedit cel. L. Vibert. A reliquis speciebus congenericis, quæ omnes regionem æthiopicam et Asiam meridionalem inhabitant, capite apice in spinam haud pro¬ ducto distinctissimum. Vibertia nov. gen. Corpus elongatum, alatum, squamulosum et pilosum. Caput elon- gatum, cylindricum, pone oculos haud angustatum, pronoto paullo lon¬ gius. Antennae ab oculis longe remotæ, corpore distincte breviores, arti¬ culo primo articulis reliquis crassiore et capite fere dimidio longiore. Bostrum gracile, coxas anticas vix attingens, articulo primo pone insertio¬ nem antennarum distincte extenso, articulo secundo articulo basali paullo plus quam duplo longiore. Oculi parvi, paullo pone medium capitis siti. Ocelli adsunt. Pronotum subhorizontale, latitudine sua basali longius, antrorsum angustatum, mox ante medium levissime constrictum, angulis humeralibus rotundatis, haud prominentibus, margine postico late rotundato, angulis posticis nullis. Scutellum elongatum, triangulare. Elytra rite explicata, apicem abdominis haud attingentia. Acetabula antica pectoris postice aperta. Abdomen elytris vix latius. Pedes longiu¬ sculi, graciles. Genus hoc novum, quod in honorem clariss. L. Vibert de fauna Hemipterorum Barbariæ bene meriti denominavi, Lopodyti Stíl affine videtur, sed articulo primo rostri longiore, pronoto posterius haud spi¬ noso et præsertim acetabulis anticis postice haud occlusis certe differt. Vibertia cinerea n. sp. Nigricans, dense albido-squamulosa et præterea pilis erectis griseis minus dense vestita ; capite parce minutissimeque granulato, parte post- oculari superne linea longitudinali media albido-flavescente notato ; an¬ tennis dimidio corporis paullo longioribus, articulo primo basin versus sensim leviter incrassato, toto nigricante, albido-squamuloso et pilis erectis sat dense vestito, articulis reliquis flavo-testaceis, filiformibus, glabris, 310 DS G. HORVÁTH tantum articulo secundo pilis nonnullis erectis prædito, articulo hoe articulo tertio paullo plus quam duplo longiore et quam articulo primo Vs breviore, articulo quarto articulis secundo et tertio simul sumtia dimidio longiore ; rostro flavo-testaceo, articulo primo usque ad medium spatii inter basin antennarum et marginem anticum oculorum siti extenso ; pronoto levissime convexo, latitudine sua basali fere 1U lon¬ giore, basi quam apice duplo et Vs latiore, parce minutissimeque gra¬ nulato, marginibus lateralibus rectis, carinatis, lobo postico longitrorsum obsoletissime trisulcato ; elytris usque ad apicem segmenti penultimi dorsalis abdominis extensis, pilis erectis destitutis, membrana hyalina, fusco-venosa ; pedibus nigricantibus, albido- quamulosis et erecte pilosis, femoribus anticis articulo primo antennarum fere 1U longioribus, tarsis, marginibus lateralibus imis abdominis carinaque mediana ventris fusco- testaceis. 5 . Long. 19, Lat. 2 Vs mill. Algeria meridionalis : Brésina in prov. Oran. (Mus. Hung.) Feminam unicam legit et nobis generose donavit cel. L. Vibert. CIMICIDÆ. Ectemnus longirostris n. sp. Niger, nitidus, tantum clavo opaco; scutello et elytris pilis bre¬ vibus semiadpressis pallidis parce vestitis ; rostro coxas intermedias attingente, articulo primo pone insertionem antennarum extenso ; an¬ tennis nigris, articulo secundo (basi ima et apice exceptis) trienteque basali articuli tertii flavo-testaceis ; pronoto, callo antico excepto, di¬ stincte ruguloso, marginibus lateralibus latiuscule explanatis, margine basali profunde sinuato ; elytris completis, abdomine longioribus, clavo obscure fusco, corio, embolio et cuneo nigris, fascia subbasali obliqua corii et embolii alba, angulo apicali interno corii flavo-testaceo ; mem¬ brana lactea, macula apicali media maxima nigra, mox pone basin suam truncatam subito angustata, dein usque ad apicem rotundata notata ; tibiis flavo-testaceis. j . Long. 23A mill. Bulgaria : Sophia. (Mus. Hung.) Species hæe, cujus specimen unicum legit et nobis benevole dedit cl. D. JoAKiMOFF, a speciebus duabus hucusque cognitis generis Ec- temnus Fieb. pronoto toto elytrisque magnam ad partem nigris et rostro longiore distincta est. HEMIPTERA NOYA YEL MINUS COGNITA. 311 Temno stethus pusillus H. -Sch. var. gracilis n. Antennis nonnihil longioribus et gracilioribus quam in typo, arti¬ culo secundo, basi et apice exceptis, pallide flavo-testaceo ; elytris saepis¬ sime incompletis, raro completis, dimidio basali corii et embolii, basi ipsa excepta, albo, membrana griseo-byalina. cT . $ . Long. 2 — 23A mill. Hungária, Austria, Germania, Helvetia, Gallia, Fennia (Mus. Hung.) ; Livonia, Britannia. Forma macroptera bujus varietatis auctoribus hucusque ignota mansit, qua propter forma ejus brachyptera cum typo pro eadem ha- bueri solet. Forma hæc macroptera a typo speciei iisdem notis differt ut forma brachyptera. Antenæ typi paullo breviores, minus graciles, totae nigrae, elytra semper completa, corium et embolium fascia subbasali plus minusve angusta obliqua albida notata, membrana nigricans. Elatophilus pachycnemis n. sp. Niger, nitidus ; capite rufo-piceo, parte anteoculari parti post- oculari et oculis simul sumtis longitudine aequali, vertice oculo paullo plus quam duplo latiore ; antennis crassiusculis, nigris, articulo se¬ cundo basi ferrugineo-testaceo, articulo primo articulo tertio fere 7s breviore, articulo secundo latitudine capitis cum oculis 3A et arti¬ culis duobus apicalibus ad unum 7s longiore, articulo quarto articulo tertio subbreviore ; rostro nigro, medium mesosterni subattingente ; pro¬ noto capite vix breviore, postice longitudine sua media duplo latiore et late sinuato, pone medium transversim fortiter impresso, lateribus levissime sinuatis ; elytris opacis, fusco-nigris, clavo (apice excepto), embolio (apice sæpe excepto) guttaque apicali externa corii sordide flavo- testaceis, cuneo nigro, membrana apicem abdominis attingente, dimidio basali lacteo, limbo angusto interno basin versus dimidioque apicali nigris, vena externa sat fortiter extrorsum curvata; femoribus nigro- vel fusco-piceis, tibiis anterioribus rufo- vel flavo- testaceis, tibiis posticis nigro- vel fusco-piceis et quam tibiis anterioribus fere duplo crassioribus, tarsis pallide fusco-testaceis. $ . Long. 37a— 33A mill. Turcia : Halki prope Constantinopolim. (Mus. Hung.) Ab E. Pini Baer. et affinibus divergit antennis et tibiis posticis crassiusculis, corio toto fusco-nigro membranaque dimidio apicali nigra. 312 m G. HORVÁTH MIRIDÆ. Calocoris pilicornis Panz. var. Hüeberi n. Capite, pronoto, scutello, pectore et abdomine nigris; striola ver¬ ticis utrinque ad oculos, annnlo collari margineqne angusto postico pronoti et vittis duabus lateralibus scutelli flavis ; marginibus latera¬ libus abdominis aurantiacis ; antennis nigris, articulo primo, basi excepta,, rufo-testaceo ; corio apicem versus plerumque nonnihil fumato, cf . Germania meridionalis : Tuttlingen, Blaubeuren. (Mus. Hung.) Yarietas hæc, cujus specimina cel. Dr. Th. Hüeber legit et bene¬ vole misit, a C. pilicorni var. alemannico Hüeb. colore nigro adhuc magis extenso differt. Pycnopterna striata L. var. collaris n. Lobo postico pronoti fere toto aurantiaco, tantum impressione parva basali utrinque prope angulos posticos sita nigra ; scutello auran¬ tiaco, basi lineaque mediana nigris. 5 . Italia: Yallombrosa. (Mus. Hung.) Deræocoris trifasciatus L. var. rubriceps n. Capite, articulis duobus basalibus antennarum (triente apicali arti¬ culi secundi excepto), pectore, ventre et femoribus coccineis ; tibiis rufo-ferrugineis, albido-annulatis ; pronoto nigro, callis, linea longitu¬ dinali nigra separatis, lateribusque coccineis ; elytris ut in typo speciei pictis. 5 . Caucasus : Borshom. (Mus. Hung.) Deræocoris trifasciatus L. var. conviva n. Antennarum articulo primo toto dimidioque apicali articuli secundi, femoribus et pronoto nigris, lateribus hujus coccineis; parte coriacea elytrorum coccinea, maculis duabus parvis — una subbasali, altera apicali — corii apice que cunei nigris. 5 . Græcia: Corfu. (Mus. Hung.) Yarietas hæc inter typum speciei et var. regalem Horv. inter¬ media : pronoto ut in illo, elytris ut in hac coloratis. HEMIPTERA NOVA VEL MINUS COGNITA. 313 Læmoeoris facetus n. sp. Elongatus, niger, Levigatus, nitidus ; capite nutante, basi pronoti æquilato, ab antico viso latitudine sua cum oculis paullo longiore, ver¬ tice oculo paullo plus quam duplo latiore, marginato ; fronte antrorsum sensim declivi, angulo faciali recto, gula peristomio breviore ; antennis longis, gracilibus, fuscis, articulo primo flavo-testaeeo, articulo secundo articulis duobus apicalibus simul sumtis Vs longiore, articulo quarto articulo tertio % breviore ; rostro nigro-fusco, apicem coxarum posti¬ carum attingente; pronoto subcylindrico, basi vix latiore quam lon¬ giore, apice fortiter angustato, sed annulo collari destituto, disco valde convexo et capite paullo angustiore, in quarta parte basali con¬ stricto, depresso et transversim subtilissime ruguloso, margine postico leviter sinuato; scutello pone medium in conulum validum, verticalem, apice ipso obtüsum, fuscescentem elevato ; elytris incompletis, totis coriaceis, subopacis, pilis erectis albidis parce vestitis, pronoto duplo longioribus, pone medium abdominis extensis, retrorsum sensim am¬ pliatis, apice rotundato-truncatis et cuneo membranaque destitutis, clavo et corio connatis, margine scutellari incrassato rufescente, margine sutu¬ rali tota recta, macula subbasali triangulari antice, postice et intus nigro-cincta fasciaque anteapicali lacteis, limbo-apicali pone hanc fasciam nigro, spatio inter maculam subbasalem et fasciam anteapicalem flavo- testaceo, extus nigro-limbato ; abdomine ovato, basi fortiter constricto et ferrugineo ; pedibus nigro- vel fusco-piceis, apice coxarum et trochan¬ teribus flavo- albidis, apice imo femorum, tibiis apicem versus et tarsis fuscescentibus. j . Long. 24/s mill. Tunisia: Tunis. (Mus. Hung.) Species hæc insignis, ab entomographo japonico Dre S. Matsumura inventa, a reliquis congenericis statura parva, capite antrorsum sensim declivi, structura pronoti, scutello in conulum validum elevato pictu¬ risque peculiaribus elytrorum differt. Oculi orbita interiore recti, apice quam basi magis distantes, Systellonotus velox n. sp. Elongatus, niger, nitidus, subglaber; capite fusco-nigro, latitudine basali pronoti fere Vs angustiore, pone oculos in collum brevissimum constricto, vertice oculo æquilato ; oculis valde exsertis ; antennis nigris, articulo primo flavo -albi do, subtus nigricante, articulo secundo articulo primo quadruplo longiore et articulis duobus apicalibus simul sumtis V4 breviore, articulo tertio basi anguste albido et quam articulo quarto 314 Di G. HORVATH Vs longiore ; rostro fere usque ad apicem coxarum posticarum extenso ; pronoto nitidissimo, antrorsum valde angustato, postice alte convexo, basi quam apice fere 2-3/4 latiore ; scutello parte apicali tumido, niti¬ dissimo ; elytris abdomine multo longioribus, opacis, basi clavi et corii, limbo costali angusto hujus apicem versus cuneoque nitidis, corio fasciis duabus niveis ornato, fascia anteriore mox ante medium corii sita, lata, sæpe nonnihil in flavescentem vergente, margine costali quam apice duplo vel fere duplo latiore et intus cum macula media triangulari clavi nivea late confluente, macula hac triangulari clavi introrsum fere usque ad marginem commissuralem prolongata, antice usque ad mar¬ ginem anticum fasciae corii extensa, postice autem marginem posticum hujus fasciae haud attingente, fascia postica nivea ad apicem corii intus acuminata; membrana nigricante, nigro-venosa, striola ad apicem cunei et pone apicem areolarum albida ; pedibus fusco-nigris, apice imo femo¬ rum et tibiis apicem versus nonnihil fuscescentibus. cf . Long. 4 Va mill. Tunisia: Beled Segui, Oued Betaha, Gourine, Fedjedj. (Mus. Hung.) Speciem hanc olim (Bevue d’Ent. XIII. 1894. p. 192) pro & Micetti Ferr . (albo fasciato Ferr., Reut., nec Lug.) habui, a quo autem statura minore, capite pone oculos brevissimo, articulo tertio antennarum tan¬ tum basi ipsa albido, pronoto et parte apicali scutelli nitidissimis macu¬ laque nivea clavi triangulari, marginem posticum fasciæ anticæ corii haud attingente diver git. A S. Putoni Reut., cui structura capitis affinis, statura majore, articulo primo et basi articuli tertii antennarum albidis, harum articulo secundo apicem versus vix incrassato fasciaque antica elytrorum alba majore, introrsum fere usque ad marginem commissu¬ ralem clavi triangulariter producta mox distinguendus. Smicromerus saltans Reut. Mas brachypterus (hactenus ignotus): Ovatus; capite basi pronoti æquilato ; articulo secundo antennarum ferrugineo, apicem versus nigri¬ cante ; pronoto basi longitudine sua fere duplo, apice tantum dimidio latiore ; elytris incompletis, medium segmenti abdominalis sexti attin¬ gentibus, margine apicali fortiter oblique rotundato-truncatis, apice rotundatis, membrana angustissima lineari, clavo bene discreto, fractura cunei nulla ; forcipe dextra parte basali gracili, parte apicali sinistror¬ sum sub angulo recto in laminam fere quadrangularem, transversam, duplo latiorem quam longiorem producta, forcipe sinistra brevi, leviter curvata, obtusa. Long. 2 mill. Algeria: Philippeville. (Coll. Théry.) HEMIPTERA NOVA VEL MINUS COGNITA. 315 Megalocoleus satrapes n. sp. Glaucescenti-canescens (cf) vel flavus (5), supra sat dense bre- viterque nigro-pilosus, linea mediana pronoti et verticis scutelloque albidis; capite basi pronoti Vs (d) vel 2/s (5) angustiore, antrorsum longius producto, latitudine sua cum oculis fere Vs breviore, vertice oculo duplo ( d ) vel duplo et dimidio ( j ) latiore, angulo faciali acuto, gula setis nonnullis exsertis pallidis prædita ; antennis crassiusculis, flavis, dense et brevissime nigro-pilosis, articulo primo apicem tyli non¬ nihil superante, articulo secundo margine basali pronoti circiter Vs bre¬ viore et articulis duobus apicalibus simul sumtis æquilongo, articulo tertio articulo quarto duplo longiore ; rostro medium ventris attingente, apice nigro ; pronoto capite panilo breviore, basi quam apice duplo latiore, lateribus rectis, callis sat discretis ; elytris abdomine distincte ( d ) vel vix ( 5 ) longioribus, corio prope angulum apicalem internum litura obliqua fuscescente, interdum sat obsoleta notato, macula media mar¬ ginis apicalis corii cum angulo basali interno cunei albida, membrana hyalina, albo-venosa, apice areolæ majoris et areola minore fuscis vel fuscescentibus ; corpore subtus fere toto glabro ; femoribus dense bre- vissimeque nigro-pubescentibus, margine inferiore femorum anticorum et margine antico coxarum anticarum nigro- setosis, tibiis nigro-spinu- losis, tarsis apice nigris. Long, d 33A, $ 4 — 5 mill. Algeria: Ain-el-Hadjar, Hammam-bou-Hadjar, Bou-Tlelis (Mus. Hung.), Tarfaia, El-Kantour (Coll. Théry). A M. piloso ScHRK., cui margine antico coxarum anticarum setis nigris instructo affinis, mare et femina discoloribus, corpore supra brevius nigro-piloso, capite magis elongato, gula setis pallidis prædita, antennis brevioribus et crassioribus, rostro longiore, capite et pronoto linea mediana albida signatis, scutello albido, picturis elytrorum spinu- lisque nigris tibiarum brevioribus differt. Speciem hanc olim (Be vue d’Ent. XVII. 1898. p. 151) sub nomine M. pilosi Schrk. enumeravi. CORIXIDÆ. Corixa furtiva n. sp. Elongata, supra fusca, flavo-lineata ; capite flavo ; pronoto trans¬ verso, lineis transversalibus 8 flavis, partim fissis notato, posterius mo¬ dice producto, angulis lateralibus obtusis ; elytris rastratis, transversim flavo-lineatis, lineis his mtegris vel subintegris, raro fissis et confluen- 316 Dü G. HORVÁTH tibus, sulco costali fere toto nigro, pone medium et apice plus minusve pallido ; pectore fere toto nigro vel nigricante ; pedibus pallidis, ungui¬ culis intermediis tarsis intermediis longitudine æqualibus. Long. 6 Vs mill. cf . Fronte deplanata, sed haud impressa ; palis latitudine basali triplo longioribus, apicem versus sensim dilatatis, apice quam basi dimidio latioribus et truncatis, margine inferiore subrecto, basi simplici, haud angulato-producto, margine superiore levissime, tantummodo api¬ cem versus fortius arcuato ; ventre fere toto nigro. 2 . Palis anguste cultratis, subarcuatis, subtus basi haud angulato - productis, apice acutis ; ventre pallido, basi nigro, vel toto pallido. Algeria : Philipp e ville, Tarfaia (Mus. Hung, et Coll. Théry). C. infuscatae Rey affinis, sed lineis transversalibus flavis pronoti et elyt rorum angustioribus, sulco costali magnam ad partem nigro, palis totis pallidis, apice haud nigris structuraque palarum maris differt. JASSIDÆ. Typhlocyba Pandelléi Leth. var. spoliata n. Elytris vitta suturali rubra destitutis ; limbo suturali clavi toto citrino, cf . $ . Gallia meridionalis : Montpellier, Mirevai (Mus. Hung.), Avignon (Coll. Chobaut). Grypotes illyricus Kirschb. Jassus (Thamnoiettix) illyricus Kirschb. Cicád, p, 86. 8. (1868). Athy sanus pellucidus Melichar Cicád. Mittel-Eur. p. 278. 32. (1896), nec Fieb. Hungária: Budapest, Budafok, Budakesz, Deliblát, Grebenácz, Ber- zászka, Orsóvá, Vrdnik, Fiume, Orehovicza, Buccari; Serbia : Topcider, Bela-Palanka ; Austria meridionalis : Görz, Monfalcone. (Mus. Hung.) Specimina e Monfalcone oriunda a cel. Dre L. Melichar ipso acce¬ pimus. Thamnotettix paryphantus Leth. var. abalius Ferr. Thamnotettix abalia Ferr. Ann. Mus. Genov. (2) I. p. 514. 183. (1884) ; Leth. Bevue d’Ent. IV. p. 97 et 105. (1885). Thamnotettix paryphantus var. rubrostriatus Low Verh. zool.-bot. Ges. Wien. XXXV. p. 348. (1885). Tunisia : Tunis (Mus. Hung.), Quammart (Ferrari) ; Hispania : Malaga (Lethierry) ; Græcia : Attica (Low). HEMIPTERA NOVA VEL MINUS COGNITA. 317 Jassus Théryi n. sp. Oblongus, albido-testaceus, fusco-variegatus ; vertice pronoto dimi¬ dio breviore et medio quam ad latera vix longiore, postice inter oculos longitudine sua media paullo plus quam duplo latiore, punctis 6 — 8 mar¬ ginalibus anticis, lituris duabus parvis discoidalibus, linea mediana antice abbreviata punctisque duobus subbasalibus prope oculos nigris notato ; fronte latitudine sua superiore *A longiore, lineolis arcuatis transversalibus, prope lineam medianam pallidam utrinque inter se con¬ fluentibus nigris signata, lateribus subrectis ; clypeo 3 A longiore quam basi latiore, apicem versus levissime dilatato, medio nigro-vittato ; loris, apice excepto, nigro-cinctis ; temporibus ad basin antennarum nigris ; antennis albido-testaceis ; pronoto duplo latiore quam longiore, trans- versim subtiliter strigoso, punctis nigris, in vittas quatuor interdum sat obsoletas acervatis notato ; scutello punctis duobus discoidalibus nigris et maculis tribus basalibus fuscis ornato ; elytris apicem abdo¬ minis distincte superantibus, leviter infuscatis et sat dense nigrofusco- irroratis, venis longitudinalibus fere omnibus venulisque transversalibus spuriis lacteis; alis griseo-hyalinis, fusco-venosis; pedibus pallide flavo- testaceis, femoribus annulo anteapicali nigro signatis, tibiis nigro- punctatis, articulis tarsorum apice nigris; dorso abdominis nigro, late¬ ribus margineque postico segmentorum pallidis. Long. 6 Va — 63A mill. cf. Ventre et segmentis genitalibus flavo-testaceis, segmentis illius maculis singulis magnis transversis mediis nigris notatis ; valvula geni¬ tali segmento ultimo ventrali plus quam dimidio breviore, brevissime triangulari ; laminis genitalibus valvula hac quadruplo longioribus, late¬ ribus subrectis, apice obtusis, extus setosis. 5 . Ventre segmentisque genitalibus fere totis pallidis ; segmento ultimo illius segmento penultimo duplo longiore, postice utrinque pro¬ funde emarginato, medio nigro-vittato et in laminam latiusculam, retror¬ sum angustatam, apice obtusangulariter emarginatalo producto, angubs lateralibus posticis acutis; vagina segmento ultimo ventrali triplo lon¬ giore, apice paullo exserta. Algeria: Philippeville, Fil-Fila, St. Antoine (Mus. Hung, et Coll. Théry). J. mixto Fabr. valde affinis et similis, sed structura segmenti ventralis ultimi feminæ certe distinctus. Platymetopius rubrostriatus n. sp. Oblongus, pallide testaceus, pronoto et elytris glauco-viridibus, rubro -vittati s ; vertice acutangulariter producto, medio latitudine sua 318 m G. HORVÁTH interoculari duplo longiore, albido-testaceo, vittis duabus discoidalibus prope oculos striolaque minuta marginali utrinque ante oculos aurantiaco- rubris et punctis duobus apicalibus nigris notato, lateribus subrectis, apice ipso obtuso ; facie alba, parte inter et ante oculos infuscata, linea mediana posterius in ramos duos obliquos, usque ad basin antennarum extensos divisa alba lineaque marginali antica nigra signata ; fronte latitudine sua in regione antennarum fere quintuplo longiore, lateribus rectis ; clypeo latitudine basali duplo longiore, apicem versus dilatato ; genis fascia obliqua rubra ornatis, lateribus pone oculos leviter infu¬ scatis ; antennis albis, seta longissima fusca instructis ; pronoto vertice Vs breviore et longitudine sua media duplo et dimidio latiore, vittis quatuor rubris ornato ; scutello albido-testaceo, vittis duabus aurantiaco- rubris signato ; elytris abdomine distincte longioribus, apicem versus vix angustatis, apice truncatis, angulis apicalibus rotundatis, vitta media percurrente clavi interstitiisque venarum corii (area costali excepta) rubris, parte apicali elytrorum griseo-hyalina, albo-venosa, venis his plus minusve fusco-terminatis ; pectore et pedibus flavo-testaceis, coxis omnibus femoribusque anterioribus magnam ad partem nigris, tibiis nigro- punctatis ; abdomine nigro, marginibus lateralibus segmentoque ventrali ultimo flavo-testaceis, segmento hoc segmento penultimo circiter dimidio longiore, postice angulato-producto, linea mediana et lateribus nigris ; segmentis genitalibus flavo-testaceis, valvulis lateralibus nigro-punctatis, pallide setosis, vagina segmento ultimo ventrali triplo longiore, apice sat exserta. $ . Long. 6 Va mill. Caucasus : Aresh. (Mus. Hung.) Species pulcherrima, corpore supra rubro-vittato ab omnibus con- genericis hucusque cognitis distinctissima. CERCOPIDÆ. Aphrophora meridionalis n. sp. Elongato-ovata, flavo-testacea, supra nigro-variegata et punctata, subopaca, glabra, tantum vertice brevissime griseo-puberulo; capite cum oculis latitudine pronoti paullo angustiore, vertice obtusangulariter pro¬ ducto, vix punctato, antice reflexo, inter oculos longitudine sua paullo magis quam duplo latiore, fascia basali parteque anteocellari nigris, carina mediana subtili pallida, maculis utrinque binis marginalibus, una prope oculos, altera prope aream apicalem insertam, nigro-fuscis, area apicali inserta duplo latiore quam longiore, distincte punctata, pallida, tuberculo basali medio instructa, utrinque versus latera nigricante ; HEMIPTERA NOVA VEL MINUS COGNITA. 319 fronte flavo-testacea, nitidula, transversim punctato-striata, punctis his sæpe confluentibus maculisque duabus subquadratis inferioribus nigris ; clypeo transversim ruguloso, remote fusco-punctato et guttula discoidali nigro-fusca notato ; temporibus, genis et loris nigro-maculatis ; articulis duobus apicalibus antennarum apiceque articuli ultimi rostri nigris ; pronoto nigro-punctato, medio subtiliter carinato, antice angulariter pro¬ ducto, mox ante medium fascia transversa flavescente ornato, posterius dense et æqualiter punctato ; scutello leviter excavato, flavescente, disco parce nigro-punctato ; elytris nigro- et fusco-variegatis, crebre pun¬ ctatis, fascia transversa media clavi pallida, areis anteapicalibus 2— 4 apice sensim abbreviatis; alis grise o-hyalinis, fusco-venosis ; maculis pectoris, annulis binis femorum et tibiarum apiceque tarsorum nigris. 5 . Long. 9 mill. J . Segmento ultimo ventrali apice truncato ; valvulis genitalibus lateralibus cum vagina pallidis. Algeria: Teniet-el-Haad. (Mus. Hung.) A. cortieae Germ, valde affinis et similis, differt vertice areaque apicali inserta hujus minus latis, area hac et fronte haud ferrugineis, facie nigro-picta, articulis duobus apicalibus antennarum nigris, articulo ultimo rostri (apice excepto) pallido, fascia albida clavi haud obliqua, sed transversa pedibusque distincte nigro-annulatis. Ab A. exoleta Horv., quam structura capitis et facie pedibusque nigro -pictis maxime appro¬ pinquat, fronte nitidula, articulo secundo antennarum toto nigro, pro- noto et scutello glabris, parte postica illius æqualiter punctata, scutello punctato, area anteapicali quarta elytrorum minus longe quam tertia retrorsum producta vaginaque feminæ nigra divergit. CICADIDÆ. Cicadetta melanophrys n. sp. Oblongo-ovata, nigra ; capite antrorsum sat prominulo, linea media percurrente, in frontem continuata, et margine antico verticis utrinque prope oculos, marginibus lateralibus et inferiore frontis, macula media genarum basique clypei flavo-testaceis, genis griseo-pilosis ; pronoto sulco mediano antice et postice abbreviato, albido instructo, margine antico leviter arcuato et cum margine postico angustissime testaceo, marginibus lateralibus a supero visis subrectis, ante medium levissime rotundatis et testaceo-limbatis, pone medium ante lobum humeralem prominulum magis minusve emarginatis ; mesonoto vittis duabus percurrentibus me¬ diis versus medium introrsum subito dilatatis flavo-testaceis ornato, Dì G. HORVÁTH 320 marginibus lateralibus apiceque flavo-testaceis ; elytris hyalinis, abdo¬ mine multo longioribus, flavo -venosis, in triente apicali fusco-venosis, vena costali venaque terminali interna clavi fuscis vel nigro-fuscis, limbo axillari hujus * toto nigro, venis duabus ulnaribus trunco com¬ muni sat longo ex areola basali emergentibus, ramo ulnari postcostali paullo pone medium areæ apicalis primæ extenso, spatio inter venam marginalem postcostalem et ramum ulnarem postcostalem infuscato, lineari; dorso abdominis nigro, segmentis dimidii apicalis postice testaceo - limbatis ; corpore subtus flavo-testaceo, maculis mediis singulis segmen¬ torum ventralium nigris; lateribus pectoris argenteo * sericeis ; pedibus flavo-testaceis, vittis coxarum pedibusque anticis nigris, trochanteribus anticis extus apiceque ipso et vittis duabus — una superiore, altera externa - — femorum anticorum subtus trispinosorum testaceis, femoribus posterioribus (basi et apice exceptis), tibiis intermediis basi et plerumque versus medium, tibiis posticis tantum basi nigris, tarsis anterioribus nigro-fuscis. cf . Operculis totis albido-testaceis, mediocribus, transversis, postice late rotundatis, intus distantibus ; appendicibus postcoxalibus metastethii triangularibus, apice acutis, paullo supra opercula extensis ; segmento ventrali ultimo segmento penultimo duplo vel triplo longiore, apice rotundato-producto ; valvula genitali segmento ultimo ventrali æqui- longo, anguste elliptico, parce fusco-piloso ; hypopygio a latere viso superne curvato. Long. corp. I6V2, cum elytris 22 mill. 5 . Segmento ultimo ventris fere usque ad basin angulariter exciso ; valvulis genitalibus lateralibus pone medium contiguis ; vagina fusca, apice exserta. Long. corp. 18 — 19 Va, cum elytris 23 — 25 mill. Algeria: Ain-Sefra (Mus. Hung.), Mecheria (Coll. Chobaut), Ain- Touta (Coll. Théry); Tunisia: Djebel Beurda (Mus. Hung.). Limbo axillari clavi toto nigro ab affinibus mox distiguenda. C. lobulata e Fieb. affinis videtur, sed margine postico pronoti fere toto nigro, operculis totis testaceis aliisque notis differt. Mares duo ex Ain-Sefra marginibus lateralibus pronoti ante emar- ginaturam posteriorem dentato-productis gaudent. Cicadetta diminuta n. sp. Oblongo-ovata, nigra; capite antice late rotundato, medio haud prominulo, gutta basali media verticis marginibusque lateralibus frontis * Limbus axillaris clavi est limbus angustissimus coriaceus, qui apud Cica- didas marginem liberum, mesonoto contiguum clavi occupat. HEMIPTERA NOYA VEL MINUS COGNITA. 321 albido-flavescentibus, genis parce griseo-pilosis ; pronoto linea mediana antice et postice abbreviata albido-flavescente notato, margine antico fere recto, marginibus lateralibus a supero visis rectis, parallelis, vitta intramarginali flavo-testacea signatis, postice autem subito rectangula- riter extrorsum lobato-productis et totis nigris ; mesonoto basin versus angustissime pallido-limbato, apice ipso lituris duabus parvis fere semi¬ lunaribus pallidis notato ; elytris hyalinis, apicem abdominis sat longe superantibus, ante medium flavo-venosis, pone medium fusco-venosis, vena costali tota fusca, venis duabus ulnaribus basi valde approximatis, fere contiguis, sed separatim ex areola basali emergentibus, ramo ulnari postcostali fere usque ad medium areæ apicalis primæ extenso, spatio inter venam marginalem postcostalem et ramum ulnarem postcostalem infuscata, lineari, limbo axillari clavi testaceo ; segmentis dorsalibus abdo¬ minis postice anguste rubro -limbatis ; pectore cum pedibus fere toto nigro, versus latera argenteo-sericeo ; femoribus anticis supra testaceo-vittatis, subtus trispinosis, apice ipso femorum posteriorum annuloque subbasali et apice tibiarum posteriorum flavo-testaceis. c ? • Operculis flavo-albidis, basi late nigris, parvis, transversis, reni¬ formibus, postice late rotundatis, intus valde distantibus; appendicibus postcoxalibus metastethii triangularibus, apice subacutis, albidis, paullo supra opercula extensis ; ventre ferrugineo-testaceo, segmentis tribus basalibus nigris, limbo postico segmentorum 2 — 5 rubro, segmento ultimo segmento penultimo triplo longiore, parce fusco-piloso, apice rotundato- producto ; valvula genitali segmento ultimo ventrali paullo longiore, fusco-piloso; hypopygio a latere viso superne fere recto. Long. corp. IOV2, cum elytris 14 mill. Tunisia. (Mus. Hung.) Species hæc, cujus specimen unicum clariss. M. Lambertie misit, a C. mediterranea Fieb. statura minore, marginibus lateralibus imis et postico pronoti, mesonoto, operculis maris pedibusque fere totis nigris, nec non venis duabus ulnaribus elytrorum separatim ex areola basali nascen¬ tibus differt. FULGOBIDÆ. Dictyophara longirostris Walk. Dyctiophora longirostris Walk. List of Horn. II. p. 323. 40. (1851). Dictyophara iberica Fieb. Cicád. d’Eur. II. p. 214. 4. (1876). Hispania : Pozuelo de Calatrava in prov. Ciudad Beai. (Mus. Hung.) Annales Musei Nationalis Hungarìci. v. 21 pi G. HORVÁTH 322 Lamenta bosnica n. sp. Nigro-fusca ; vertice brevi, longitudine sua media fere quadruplo latiore, fusco, pallide fiavo-limbato ; fronte longitrorsum concava, deor¬ sum paullo latiore, medio haud carinata, lateribus laminato-elevatis . hujus, carinis lateralibus et media clypei laminaque obliqua genarum pallide flavis; antennis brevibus, flavo-testaceis ; pronoto brevissimo, vertici æquilongo, fusco, angustissime flavo -marginato ; mesonoto lævi- gato, nitidulo ; elytris corpore plus quam duplo longioribus, fuscis, fusco-venosis, venulis transversalibus basin arearum apicalium termi¬ nantibus albidis; alis griseo-hyalinis, fusco-venosis; incisuris pectoris et ventris anguste pallidis ; pedibus sordide flavo-testaceis, tibiis ante¬ rioribus basin versus femoribusque omnibus infuscatis, d . Long. corp. %1h, cum elytris 5 mill. Bosnia: Uvatz. (Mus. Hung.) Speciem hanc primam palæarcticam generis Lamenia Stal invenit et duos mares generose donavit pel. Dr. A. Hensch. Species reliquæ hucusque cognitæ hujus generis, lamina infraan- tennali obliqua genarum insignis, in Africa orientali, Nova Guinea et Australia, nec non in America septentrionali et meridionali vivunt. Nisia atrovenosa Leth. Meenoplus atrovenosus Leth. Ann. Mus. Genov. XXVI. p. 466. 89. (1888). Nisia atrovenosa Melich. Hóm. Faun. Ceylon, p. 53. 1. (1903); Dist. Faun. 5 Brit. Ind. Bhynch. III. p. 309. 1864. fig. 150. (1906). Mauritania : Tanger ; Madagascar : Antongil Bay ; Ceylon : Trinco¬ ni ale ; Nova Guinea : Friedrich- Wilhelmshafen, Seleo, Erima, Simbang (Mus. Hung.) ; Ins. Nias (Lethierry) ; Queensland; Ins. Viti (Kirkaldy). Genus Nisia ; Melich. hucusque tantum ex Asia meridionali et Australia cognitum erat. Lophops angustipennis Stal. Lophops angustipennis Stal Hem. Afr. IV. p. 202. 2. (1866). Speciem hanc e Senegallia descriptam in Tunisia (Fatuassa) legit clariss* L. Vibert. Genus Lophops' Spin, e regione palæarctica hactenus ignotum erat. HEMIPTERA NOYA VEL MINUS COGNITA. Trypetimorpha pilosa n. sp. Flavescenti-albida, pilis erectis albidis vestita; vertice dimidio latiore quam longiore, plerumque immaculato, ad summum apice puncto parvo obsoleto fuscescente signato ; fronte latitudine sua Va longiore, medio longitrorsum carinata, pilis erectis longiusculis, articulo secundo antennarum vix vel paullo brevioribus sat dense obtecta et lituris qua¬ tuor - — duabus superioribus, duabus inferioribus — fuscis, sæpe sat obsoletis vel evanidis notata, lateribus leviter arcuatis ; clypeo fusco- vel nigro-variegato ; maculis genarum parvis, fuscis ; articulis duobus basalibus antennarum antice anguste nigro-fasciatis, fascia articuli primi apicali, illa articuli seundi anteapicali et interdum valde diminuta, seta apicali nigra ; pronoto pallido, obsolete fusco-variegato ; elytris completis vel sæpissime incompletis ; pectore pallido, nigrofusco-maculato ; ventre nigro-fusco, segmentis postice palli do -limbatis ; pedibus flavo-albidis, maculis parvis numerosis nigris conspersis. Formem macroptera : Mesonoto plus minusve infuscato, carinis pallidis; elytris hyalinis, apicem abdominis longe superantibus, albo- venosis, disco nigro vel nigricante, gutta areæ interioris venulisque transversalibus albis prædito, venis limbi costalis, apicalis et interni anguste nigrofusco-terminatis et apice nigris, venis apicajibus secunda et tertia ex areola discoidali externa emergentibus basin versus in unam conjunctis, ibique a vena apicali prima plerumque distantibus. cT . $ > Long, corp. 3 — 4, cum elytris 41/* — 5 mill. > , s Forma brachyptera : Mesonoto flavo-testaceo, nonnisi levissime infuscato ; elytris abdomine paullo longioribus ( c? ) vel paullo breviori¬ bus ( $ ), nigris, raro venulis transversalibus nonnullis pallidis præditis, basi sæpe flavescenti-albidis, guttis duabus areæ discoidalis internæ, gutta anteapicali areæ discoidalis externæ maculisque subtriapgularibps marginalibus limbi toti lacteis, c?. Long. corp. 3— 4 mill. Dalmatia: Zupa prope Teodo (Mus. Hung.). Specimina numerosa die 23. Augusti 1906 in gramine legimus ; forma macroptera rara. T. fenestratae Costa simillima, sed corpore pilis longiusculis vestito, vertice apice haud nigro-bistrigato, maculis faciei fuscescentibus, articulo primo antennarum apice nigro-marginato, pronoto maculis nigris destituto, disco elytrorum nigro, nec non elytris rite explicatis albo-venosis, venis apicalibus secunda et tertia basin versus in unam conjunctis distincta. '.:r ,■ WÍ.A 21* Y. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGABICI. 1907. ADATOK AZ ALDROVANDA VESICULOSA L. ISMERETÉHEZ. MoESZ GuSZTAV-tÓl. (Y— VII. tábla.) UEBER ALDROYANDA VESICULOSA L. Von Gustav Moesz. (Taf. V— VII.) I. Bevezetés. Az 1901. év junius havában, moszatgyüjtés közben, nagy meg¬ lepetésemre Aldrovandá- ra akadtam a brassói Fortyogó (Ge- spreng) mocsár hínárjában. Ez idő óta állandó figyelemmel kísértem ez érdekes növény ottani előfordulását. Mivel a különben is kis terje¬ delmű Fortyogó mocsárban csak igen szűk helyen él, az a gondolat támadt bennem, hogy e növény vagy a Barczaság, vagy a három- széki Szépmező nagyobb lápjaiban, a Feketeügy vagy az Olt folyók holtágaiban bizonyára nagyobb mennyiségben is terem. Ez irány¬ ban tett számos kirándulásom egyike meghozta a várt eredményt : 1906 augusztus 9-én Háromszékmegyében, a rétyi Nyír egyik tavában csakugyan rábukkantam. A tó színét sok ezrével lepte el. Nagy része virágzott. Aug. 17-én újból fölkerestem és újból gyűjtöttem. A brassói Aldrovandá- n megkezdett vizsgálataimat kiegészíthettem az új anyag vizsgálatával. Összebasonlításúl átnéztem a Magyar Nemz. Muzeum Aldrovanda- gyűjteményét is. így jött létre jelen munkám, melyben kiterjeszkedem az Aldrovanda lehetőleg teljes irodalmára, fon¬ tosabb morfológiai bélyegeinek összehasonlítására és összes eddig isme¬ retes termőhelyeinek elősorolására is. Az Aldrovandá- ra vonatkozó irodalom összeállításával hasznos szolgálatot vélek teljesíteni mindazoknak, kik e növénynyel foglalkozni fognak. És hogy ez az összeállítás ne csak száraz elősorolás legyen, azért kevés kivétellel a munkák rövid tartalmát is közlöm. És mivel a munkák megjelenésük ideje szerint vannak csoportosítva, ez az össze¬ állítás magában foglalja az Aldrovanda egész történetét is. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 325 A fontosabb morfológiai bélyegeket összehasonlítás czéljából táblᬠzatba foglaltam. Tettem ezt egyrészt azért, hogy megkönnyítsem mᬠsoknak a kutatást, másrészt azért, mert az ilyen táblázat tanulságos áttekintést nyújt a különféle termőhelyekről származó Aldrovandá-knak egyöntetű alkotásáról. A típustól való eltérést csakis a kevesebb serté- vel ellátott var. Durieui ÖASP.-nál lehet észlelni. Végre szükségesnek tartottam az Aldr ovanda eddig ismeretessé lett összes termőhelyeinek följegyzését. Caspary ugyan 1859-ben az addig ismert termőhelyeket közölte, majd 1862-ben újabb adatokkal kiegészítette, de azóta sok idő telt el s a termőhelyek száma legalább is megkétszereződött. Némely helyről a terjeszkedő kultúra következté¬ ben végleg eltűnt. Legújabban Diels (1906) állította össze az Aldrovanda termőhelyeit, de ez a felsorolás sem teljes. Ezért a mennyire tehettem, a termőhely nevéhez még oda tettem a felfedező nevét, a fölfedezés idejét s más tudnivalót, a mi az illető termőhelyre vonatkozik. Mielőtt vizsgálataimról beszámolnék, hálás köszönetemet fejezem ki Dr. Filarszky Nándor m. nemz. múzeumi osztályigazgató úrnak, a miért többféle irányban segítségemre volt s ezáltal munkámat lényege¬ sen megkönnyítette. II. A brassói Aldrovanda. Brassó egyik külvárosának, Ó-Brassónak északi bejáratánál emel¬ kedik a kopár Fortyogóhegy (Gesprengberg). Magassága a Barczaság síkjától csak 60 m., de azért tetejéről, hol egy ősrégi erődítésnek nyo¬ mait találjuk, pompás kilátás nyílik a Barczaságot szegélyező hegyekre. Közvetetlenül a hegy nyugati lábánál terül el a Fortyogó-mocsár, az Aldrovanda vesiculosa termőhelye. Az Aldrovanda a Forty ogó-mocsárnak csak egyik medenczéjében terem. Csak az találja meg, a ki pontosan ismeri termőhelyét. A be nem avatott legfeljebb véletlenségből akad re4, mint magam is, midőn leg¬ először, moszatgyűjtés közben rábukkantam. A sűrű gyékényes közepén rejtőzködik, hová csak egy keskeny földnyelv vezet. S ha el is jutot¬ tunk ide, akkor is csak nagy nehezen találjuk meg, mert barna színe, a szintén barna színű Lenina trisulca L. tömegében észrevehetetlenné teszi. Csak csúcsán levő hajtása zöld színű. A bámulásnak oka vagy az, hogy árnyékos helyen, a sűrű gyékényesben él, vagy a víz szennyezett volta. A Fortyogó-mocsár vize ugyanis a közeli petroleumgyárak kátrᬠnyától olajos szokott lenni. Hogy az Aldrovanda gyakran piros színű, azt már a régi kutatók is följegyezték. A brassói Aldrovanda- 1 május hó első felében, és szép- 32ü ' 3Æ0ESZ GUSZTÁV ; _ tomber második felében, évről-evre, szép piros színűnek láttam. AApiros szíhl á sejtnedvben oldott állapotban jelenlevő világos karminpiros fes- : lék adja. A téli rügy levelei ellenben zöldek. Pel kell említenem azt a megfigyelésemet is, bogy a -tél közepén haza hozott zöld téli rügyek, februárius hónapban piros színű lervélörvöket fejlesztettek, melyek később, elzöldültek. A pirosodás nyilván azokra az okokra vezethető vissza, melyekre már többen rámutattak, de a melyeket csak Kny * ** és Over- ton igazoltak be kísérletileg. Szerintök ugyanis a piros festék kelet¬ kezését a hőmérséklet csökkenése idézi elő. Ezért jelentkezik az elvö¬ rösödés leginkább tavasszal, ősszel és az alpesi tájakon. A piros festék képződése szoros viszonyban van a keményítőnek czukorrá való átala¬ kulásával. Jelentősége pedig az, hogy a fénysugarakat elnyeli, hővé alakítja át. Ily módon melegmennyiséget szerez a növénynek, melyhez az a hűvösebb évszakban direkt úton nem juthat. A brassói Aldróvancla "társaságát az alámerült és úszó növények közül a Riccia fluitans L., Lemna trisulca L., Lemna minor L., Spiro - dela pölyrhiza (L.) Schleid., Ceratophyllum demersum L., Myriophyl- lum verticillatum L., Callitriche Transsüvanica Schur és az Utricu¬ laria vulgaris L. alkotják. A partot szegélyezik a következők: Carex Pseudocyperus L., Alopecurus fulvus Sm., Poci trivialis L., Cyperus fuscus L., Ranuncu¬ lus sceleratus L., Cardamine pratensis L., Calium Cruciata (L.) Scop., Galium palustre L., Asperula Aparine M. B., Scutellaria galericulata L., Myosotis scabra Simk., Ridens cernua L. A víz fenekén gyökerezve magasra kiemelkednek a következő nö¬ vények : Typha latifolia L., Typha angustifolia L., Rutomus umbcl- látus L., Ranunculus Lingua L. Caspary 1862-ben írt szép értekezése végén az Aldr ovanda ter¬ mészetrajzának nehány hézagára mutat. Kérdésekbe foglalja mindazt, a mit az Aldrovandá’ ról 1862-ben még nem ismertek. Kérdéseinek egyike : «Hogy viselkednek a téli rügyek természetes előfordulási helyükön? Úsznak-e a tél folyamán, vagy lent vannak-e a víz fenekén? Utóbbi esetben mikor és mily módon szállanak a víz felszínére ?» E kérdésekre az irodalom nem ad egybehangzó feleletet. Erre vonatkozó saját megfigyeléseimet legczélszerűbbnek vélem oly módon közölni, a mint ezeket naplószerüen annak idején följegyeztem. * Kny L. : Zur physiologischen Bedeutung des Anthocyans. (Atti del Congresso Botanico Internazionale di Genova, 1892. Genova, 1893, p. 135.) ** Overton : Beobachtungen und Versuche über das Auftreten von rothem Zellsäft bei Pflanzen. (Prinosheim’s Jahrbücher f. wiss. Botanik. 1899. Bd. XXXIII. p. 171.) AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. gr «1903 szept. 11-én a víz színén még rengeteg sok Aldrovanda úszott. 1903 szept. 25-én már jóval kevesebbet láttam. A télirügyek már jól ki voltak fejlődve, de még voltak elálló örvei is. 1903 október 10-én (hideg, ködös, esős nap) már csak igen kevés Aldro vandd- 1 láttam. Elálló örvei nem voltak, egészen téli rügyekké alakult. 1903 decz. 3-án már csak nehány téli rügyet láttam a víz színén úszni. 1904 márcz. 11-én jeget vágtak a mocsár azon részében, hol az Aldro¬ vanda terem. Figyelemmel kísértem az emberek munkáját, s a mint léket, vágtak a jégbe, azonnal megvizsgáltam a szabaddá lett vízfelületet. Nagy meglepetésemre 20 darab téli rügyet láttam a víz felszínén úszni. Színük zöld volt. Bár tömöttek voltak, mégis, midőn mélyen leszorítottam őket a vízbe, feltűnő gyorsasággal szálltak fel a víz színére, tehát könnyűek voltak. 1904 máj. 17-én már sok Aldrovanda úszott a vizen. A rügyön kívüb volt már 4 — 5 elálló örvük is. Ezek levelei pirosak. 1904 szept. 22-én csak kevés Aldrovanda- 1 láttam. Már téli rügyet fejleszt. A rügyeknek talán fele része kettős volt. 1905 márcz. 29-én nem láttam egyet sem. 1905 ápr. 18-án « « « « 1905 máj. 5- én « « « « 1905 máj. 11-én az Aldrovanda már fenn volt. A rügyön kívül volt már 4 — 5 fejlettebb levélörve is, ezek piros színűek.» Azonnal feltűnik, hogy az Aldrovanda az 1904-ik év telén más¬ képpen viselkedett, mint a következő évben. 1904-ben a rügyek egy kis része egész télen át a víz felszínén úszott. Tehát igaza van Monti- nak abban, hogy az Aldrovanda ősszel a víz fenekére sülyed és csak tavasszal száll föl ismét. De igaza van GoRSKi-nak is, a ki az orosz- országi (Pinszk város vidéke) Aldrovandá- ról azt írja, hogy téli rügyei a víz színén úsznak. Igen érdekes SEYBOLD-nak az a megfigyelése, hogy a salumi mocsarakban (Tirol) az Aldrovandá- k legnagyobb része az egész telet téli rügy képződése nélkül, teljes nyári hosszúságában tölti. Boxbourgh az indiai Aldrovandá-ió 1 mondja, hogy az egész telet a víz színén úszva tölti téli rügy képződése nélkül. A téli rügyek felszállása Brassóban 1904-ben május 17. előtt tör¬ tént, 1905-ben pedig május 6. és 10. közé esett. Mivel pedig május 10-én a növénykének már 4 — 5 elálló fiatal levélörve is volt, ennyi örv pedig a május 6. és 10. közé eső öt nap alatt aligha feslett ki, fel kell tenni, hogy a téli rügy már a víz fenekén is hozzálátott 2 — 3 levélörv fejlesztéséhez. Szobában tartott rügyek 5 nap alatt átlag csak 2’2 mm. hosszúsággal fejlesztették a növényt, a mi azt jelenti, hogy ennyi idő alatt csak egyetlen egy levélörv bontakozott ki. Beismerem azonban, 328 MOESZ aUSZTÁV hogy a nagyon kényes Aldrovandá-nak szobában való viselkedéséből nem szabad szigorú következtetést vonni a szabadban élő Aldr ovanda életére. A téli rügyek fölszállásának pontosabb idejét tudtommal csak Durieu figyelte meg, ki a lacanau-i Aldrovanda tavaszi felszállᬠsát május 20. tájára teszi. Megfigyeléseim alapján mondhatom tehát, hogy a brassói Aldro- vanda szept. vége felé, téli rügyekké alakulva a víz fenekére sülyed. Némely esztendőben azonban a rügyek kis része egész télen át a víz színén marad. A lesülyedt rügyek, miután a víz fenekén az első 2 — 3 levélörvöt kifejtették, május 10. táján felszállanak. Legnagyobb hosszúságát — 6 cm. — július és augusztus hóna¬ pokban éri el. Ilyenkor már 15 elálló örve van. Egy vagy két ágat is fejleszt. Érdekes, hogy a kifejlett ág első szártagja az összes szár¬ tagok között mindig a leghosszabb. A brassói Aldrovanda szártagjai általában rövidek. Rendesen csak 1*5 — 2 mm., ritkábban 3 mm. hosszúak. Az ág első szártagja ellenben a 4 mm.-t is el szokta érni. E jelenség oka bizonyára az, hogy az ágnak kezdetben gyors növe¬ kedése van, minek folytán az első szártag jobban nyúlik meg, mint következők. így van-e ez általában az összes Aidrovandd-knél, nem tudom megmondani. Tény, hogy a Lago di Candiá-ból (Olasz¬ ország) származó Aldrovandá- n az internodiumok rendes hosszúságát 5 mm.-nek, ritkábban 6 mm.-nek találtam, míg az ág első szártagja 7 mm., második szártagja már csak 3 mm. volt. A Kara Orman mocsárból (Duna deltája) származó Aldrovandá-nak szártagjai rende¬ sen 5 mm., ritkábban 3, 4 és 6 mm. hosszúak, míg az ág első internodiumát itt is 7 mm. hosszúnak találtam. Drude (1891) a Drosera- ceákról írt munkájában az Aldrovandá-nsik oly ábráját közli, melyen igen jól látható az ág első szártagjának hosszabb volta. Az irodalom¬ ban erre vonatkozó feljegyzést nem találtam. A levélörvben rendesen 8 levél van. Ezek a szár körül egymással tövükön összenőttek. Gyakran 7, ritkábban 6, 9, sőt 10 levelet szám¬ láltam egy örvben. A levél hossza 6 — 8 mm. A levél lemezének azaz a bogárfogó kelepczének hossza 3 mm., szélessége 2 mm. A levélnyél csúcsán rendesen 4, ritkán 5, még ritkábban 3 serte foglal helyet. ’* Hat sertét egyetlen példánynál találtam, annak is a virágörvében, melynek levélnyelein a lemez elcsökevényesedésével a serték száma gyarapodik. A serték kis száma arra enged következtetni, hogy a brassói AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 329 Aldrovanda nem a tipikus alaknak, hanem a Durieui Gasp, változat¬ nak felel meg. Bizonyítják ezt a következő számok is: 377 levél közül 14-nek volt 3 sertéje — 3*7 «/o 377 « « 333-nak « 4 « =88*3% 377 « « 30-nak « 5 « = 8*0% Caspary a Durieui változatot csakis a s érték kisebb számára ala¬ pítja. Szavai szerint : «a lacanaui és a krakkói var. Durieui- nek rendesen 4, gyakran 5 sertéje van.» Á serte hossza 5*5 mm. Feltűnt, hogy a levélnyél légtartói hosszúkás alakúak, határozot¬ tan hosszabbak, mint a rétyi Nyír Aldrovandá-jánál. Caspary 1859-ben, szembeállítva a lacanaui Durieui alakot az arles-i tipikus alakkal, azt jegyzi föl, hogy a lacanaui Aldrovanda nagy részénél a levélnyelek légtartói jóval hosszabbak, mint az arles-i növénynél. De viszont más egyéneknél a légtartók alakja mindkét hely növényeinél azonos volt, sőt másoknál a viszony éppen fordított. Miből következik, hogy a levél¬ nyél légtartóinak alakja specifikus különbségek megállapítására nem alkalmas. Caspary ezen megfigyelése elejét veszi annak, hogy a hosszabb légtartókat a Durieui változat állandó és jellemző bélyegének tekint¬ et b a A rétyi Nyir, — b a brassói Fortyogó Aldrovandá- ja levélnyelének légtartói. sem.. Annyit azonban meg kell állapítanom, hogy a brassói Aldrovandá- nak levélnyeleiben a légtartók átlag háromszor hosszabbak, mint széle¬ sek, míg a rétyi Nyír Aldrovandá- jánál csak kétszer hosszabbak, mint szélesek. Összehasonlításúl legczélszerűbb a levélnyél középső ere mentén fekvő légtartókat vizsgálat tárgyává tenni. A mint a mellékelt ábra mutatja, a brassói Durieui változat levélnyelében 6 pár, míg a rétyi Nyír tipikus Aldrovandá-] ánál 9 pár légtartó fekszik a középső ér mentén. Mindeniknek hosszát és szélességét megmérve, kiszámítottam pontosan mennyivel hosszabbak, mint szélesek. Az így nyert viszony¬ számok' összegét elosztva a légtartók számával, megkaptam az átlagos viszonyszámot, mely a brassói Aldrovandá- n : 3, a rétyi Nyír Aldro¬ vandá- jém : 2. 330 MOESZ GUSZTÁV • '■ ; A levélnyél légtartói nagyok; az alsó epidermistől á felsőig ter¬ jednek, egymástól pedig vékony, egy sejtrétegből álló választófalak által különülnek el. Kisebb légtartók csak a középső eret alkotó nyaláb fölött és alatt vannak. A légtartók alakja hosszúkás hatszög. A levélnyél csú¬ csán levő légtartók belenyúlnak a sertékbe, hol hosszú, keskeny alakot öltenek. A sertéknek tehát azonos anatómiai szerkezete van, mint a levélnyélnek. De vannak közöttük különbségek is. A sertéknek nincs nyalábjuk, a nyélnek van ; a sertéknek fürészfogakhoz hasonló kiemel¬ kedő epidermis sejtjeik vannak, a nyélen ezek nincsenek meg. Az Aldrovanda anatómiai szerkezetének részletezésére nem terjesz¬ kedem ki. Cohn (1850), Caspary (1859, 1862), Schenck (1886) és Kenner (1904) kimerítően foglalkoznak vele. A brassói Aldrovandd- 1 — bár 4 éven át figyeltem meg — virᬠgozni nem láttam. Ascherson (1883) írja, hogy a paarst ein i tó, a c y st o c h 1 e b i tó és a Lindau melletti Wasserburger Bühl Aldrovandd- ja nem virágzik. A brassói Aldrovanda is társul szegődik e nem virágzókhoz. Egy ízben mégis akadtam oly egyénre, melynek bimbója is volt. De ez a bimbó sohasem fakaszthatott volna virágot, mert a hátulsó örvök rothadása már a bimbó levélörvéhez ért. Elrot¬ hadt volna a hozzátartozó levélörvvel együtt. Az Aldrovanda , hogy fennmaradását biztosítsa, nem is szorult arra, hogy virágzás útján szaporodjék. Hiszen kedvező körülmények között örökéletűnek mondható. Gyökere nincs. A növény régebbi levélörvei a hátulsó szárral együtt elrothadnak, a szár elején azonban mindig újabb és újabb levélörvök keletkeznek. Ágakat is fejleszt. A l’Ilet-i Aldrovanda Va méter hosszú szára 7 — 8 ágat is fejleszt ! Az ágak későbben levál¬ nak az anyatörzsről és önálló életet folytatnak. Ha beköszönt a hide¬ gebb idő, a növény élete csak annyiban változik, hogy legfiatalabb levél¬ örvei szorosan egymásra borulnak, úgynevezett téli rügyet alkotnak. Mele¬ gebb éghajlat alatt nem fejleszt téli rügyet. (Seybold 1852, Boxbourgh 1832.) A mi Aldrovandd- nk tavasszal új és újabb levélörvök fejlesztése útján ismét a nyári alakot hozza létre. Érdekelt az a kérdés, mily gyorsasággal történik ez a növekedés? Jól tudom, hogy ezt a kérdést csakis a szabadban végzett megfigyelés¬ sel lehetne eldönteni. De ezt nem tehettem meg. A növekedést a szo¬ bában ugyan, de frissen haza hozott növényeken figyeltem meg, melyek¬ nek a rügyön kívül még csak 4 — 6 levélörvük volt. Öt darabbal kísérleteztem. AZ ALDROVANDA VESÏÔULOSA ISMERETÉHEZ. 331 I. számú növény 22' nap alatt 12 mm.-t, 1 nap alatt 0*54 mm.-t nőtt H. « oo « 24 « 1 « « 0*5 . j « < ■ «: Hl. « ■ « 48 « • « . 16 « co co ò : .« « IV. « « 30 « « 13 « 1 •. « « ' 0*43 . « « V. « « 30 « « ■■ 12 ' « 1 « « 0*4 • « « Egy napra tehát 0*44 mm. átlagos növekedés esik. Egy hétre 3*1 mm. átlagos növekedés esik. Mivel ezen egyének szártagjai 2 mm. hosszúak voltak, következik, hogy a növény egy hét alatt 1—2 szártaggal növekedett, illetőleg ugyan¬ annyi levélörvvel gazdagodott, A szobában tartott téli rügyek mindig a víz színén úsztak. Nem estek le akkor sem, ha a szoba napokon keresztül is fűtetlen maradt. Máskép viselkedtek azok a példányok, melyeket Budapestre, a Magy. Nemz. Muzeum növénytani osztályának küldöttem. Ezek téli rügyei, dr. Eilarszky Nándor közlése szerint, az aquarium fenekére szálltak és csak tavasz elején emelkedtek a víz színére. Az Aldrovanda igen kényes. Caspary, Schoenfeld. és Hausleutner sokat panaszkodnak, hogy növényeik, bárhogy is kedveztek nekik, rövi- debb-hosszabb idő múlva tönkre mentek. Alkalmaztak lágy és kemény vizet, czementmedenczét, a medencze aljára földet, agyagot tettek, véd¬ ték a hevesebb széltől és erősebb napfénytől — mindhiába ! Az én edényeimben is hosszabb tengődés után, 9 — 12 hónap múlva, tönkre mentek. A kultúrában lassú elsatnyulás, eltörpülés a sorsa. A leve¬ lek felényire rövidülnek, a szártagok ennek következtében hosszúaknak tűnnek fel. Bogárfogó kelepczéi elkeskenyednek, a növény színe elhala- ványodik. Ide jegyzem a kultúrában eltörpült Aldrovanda következő mé¬ reteit : Hossza: 1*5 cm. Levélhossza : 2*5 mm. Szártag hossza: 2 mm. Foglalkoztatott az a kérdés is, vájjon a brassói Aldrovanda ősrégi idők óta él-e a Eortyogó-mocsárban, vagy pedig csak újabban telepe¬ dett le? Utóbbi esetben honnan kerülhetett ide? A kérdés azért érdekes, mert sokan foglalkoztak az Aldrovanda sporadikus elterjedésének rejtélyességével. Kerner és Leunis azt állít¬ ják, hogy vízi szárnyasok terjesztik. Cohn már 1850-ben ír annak a lehetőségéről, hogy az Aldrovanda régebben jobban el lehetett terjedve. Korzschinsky (1887) a harmadkon gazdag viziflóra maradványának tekinti. A jégkorszak Déleurópába és Délázsiába szorította, majd az enyhébb alluvium beköszöntésével újból terjeszkedni kezdett észak felé. Vannak, a kik az Aldrovanda pusztulásában, és vannak, a kik ter¬ jeszkedésében hisznek. 332 MOESZ GUSZTÁV Hogy e kérdésre megfelelhessek, foglalkoznom kellett a Fortyogó¬ mocsárral részletesebben is. A Fortyogó-mocsár területe kb. Vs négyszögkilométer. Egy részét vízi növények növik be, más részének nyilt vízfelületei is vannak. A mocsár vizét a Fortyogó-hegy lábánál levő időszaki források szolgál¬ tatják. A mocsárban keringő víz mennyiségét a zernesti vasút első őr¬ házánál, az országút hídja alatt elfolyó víz mennyiségéből számítottam ki, mert a mocsárnak csakis itt van lefolyása. Az eredmény másodperczen¬ ként 60 liter víz. Ennyi víz oszlik el tehát másodperczenként Vs négy¬ szögkilométernyi területen. Bátran mondhatjuk tehát, hogy a mocsár vize álló víz. Kérdés, mily időközökben működik forrása? Hogy ezt megtudjam 6 éven át figyeltem meg működését. Saját megfigyeléseimen kívül köz¬ löm Lurtz Fér. Ede 4 évre kiterjedő följegyzéseit.* A megfigyeléseket táblázatba foglaltam, melyben a források működését és szünetelését évszakok szerint tüntettem ki. A vízszintes jel (— ) a szünetelést, a függőleges vonal (|) a működést jelenti. Az évszakot I (tavasz), II (nyár), III (ősz), IV (tél) számokkal jelzem. E tíz évre terjedő adatokból látjuk, hogy a forrás, miután 7a— SA éven át működésben állott, kiapad és IV* — 2 1k éven át száraz marad. A régi följegyzések, miután nem alapszanak pontos megfigyelésen, nem alkalmasak következtetésekre. Annyit mégis bizonyítanak, hogy a Fortyogó forrása már 200 évvel ezelőtt is kimaradozott. * Lurtz Fr. E : Die Temperatur der Quellen bei Kronstadt. (Yerhand. u. Mittheilungen des siebenbürgischen Vereines für Naturwissenschaften zu Hermann¬ stadt, 1857. p. 141.) AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 833 Lurtz Fér. Ede (1853—1856) Moesz Gusztáv (1301 — 1907) Év Évszak A forrás működése és szünetelése Hány évszakon át szünetelt? Ev Évszak A forrás működése és szünetelése Hány évszakon át szünetelt? 1853 1854 1855 1856 1709 1710 1718 1728 II. III. IV. I. II. III. IV. I. II. III. IV. I. Szünetelt 7 évszakon át Régi feljegyzések: * lm September. Das Gespreng vor Bartholomäi war ganz ansge¬ trocknet. Versiegten abermal die vor¬ nehmsten Quellen und viele wasserreiche Flüsse. Im Juni, Juli und August ist beständig warmes Wetter gewe¬ sen, davon viele Quellen und Flüsse, auch das Gesprenge ver¬ trocknet sind. Dieses ist ein trockenes Jahr ge¬ wesen, dass auch das Gesprenge kein Wasser gegeben. 1901 1902 1903 1904 1905 1906 1907 I. II. III. IV. I. II. III. IV. I. II. III. IV. I. II. III. IV. I. II. III. IV. I. II. III. IV. I. Szünetelt 5 évszakon át Szünetelt 10 évszakon át Az 1904. és 1905. években nagy szárazság volt. A mocsár külö¬ nösen 1905-ben majdnem teljesen kiszáradt. Több medenczében, a hol azelőtt szép tavacskák voltak, ez évben homokot ástak. Az Aldrovanda medenczéje, hol azelőtt a víz 1 — lVa méter mély volt, most csak alig 1 dm. mély vizet tartalmazott. * J. Teutsch : Sonderbare Begebenheiten, — Kurzgefasste Jab rgeschichte von Siebenbürgen, besonders Burzenland. (Quellen zur Geschichte der Stadt Brassó. Kronstadt 1903. IV.) 334 MOE S Z GUSZTÁV . Könnyen föltehető, hogy a Fortyogó forrása, mely úgyis 2 — 3-szor annyit pihen, mint a mennyit működik, egyszer-másszor harmadfél év¬ nél is tovább marad száraz, s akkor az az 1 dm. mélységű víz is eltű¬ nik. Ilyen esetben az Aldrovanda menthetetlenül elpusztul. És mivel: a múltban ilyen kiszáradás könnyen bekövetkezhetett, azért nem tartom valószínűnek, hogy az Aldrovanda ősi lakója volna a Fortyogó-mocsárnak. Hogyan és mikor kerülhetett mostani helyére, azt nem sejtem. Hozzá legközelebb a rétyi Nyírben és Bukarest mellett él jelenleg áz Aldrovanda. E helyeken azonban a típus él, nem pedig a Durieui vál¬ tozat. Innen tehát nem juthatott Brassóba. Lehetséges, hogy ezelőtt a Barczaság nagyobb mocsaraiban, lápjai¬ ban a Durieui változat is otthonos volt. A kultúra következtében azon¬ ban gyorsan pusztul az ősi lápi növényzet. Helyét a legelők és szántók egyhangú flórája foglalja el. III. A rétyi Nyír Aldrovanda ja. A rétyi Nyír Háromszék megyének egyik legérdekesebb területe. Geológiai szempontból is érdekes homoksziget, mely Sepsi-Szent-Gyôrgÿ- től keletre 10 km. távolságban, a Feketeügy balpartján, Béty és Komolló községek határában terül el. Nagysága kb. 5 négyszögkilométer. Homokos talajon égerfával tarkított nyírerdő, melyben körülbelül 130 kisebb-nagy óbb tavacskának vize csillog. A száraz homok flórája gyors egymásutánban változik itt a nedves homokéval. Magunk felett a nyírfa laza lombját, alattunk sok érdekes növényen kívül a kupánvirág (Nymphæa) szép rózsáit látjuk. A rétyi Nyír szépsége kedvessége oly annyira szembetűnő, hogy nem bírom a Székelyföld jeles leírójának, Orbán BALÁzs-nak * következő sorait megérteni : «.... A Feketeügyön túl kezdődik Háromszéknek Saharája, a rétyi nyír .... közel egy négyszögmértföld kiterjedésű homoksivatag, hol a humust nélkülöző földben csak beteges nyírfák tenyésznek, sivár homokbuczkák közt, melyeket a Nemere ide s tova hord, minden évben alakít, változtat s fel- felkapva gyakran utazókat, legelő nyájakat temet oda kietlen sötét ölében. A kullámzatos mozgó talajban mély üregeket vésett a zúgó fergeteg, s ott az egybegyűlt s lefolyással nem biro víz bűzhödt tavakat alkot, melyekből békák — e kietlen táj egyet¬ len állandó lakói — baljóslatú lihegése és vákogása hallszik ki.» Orbán Balázs ilyennek látta volna-e a rétyi Nyírt? És 1869 óta a sívár terület poetikus nyíressé alakúit volna ? Azt hiszem Orbán Balázs * Orbán Balázs: A Székelyföld leírása. Pest, 1869, 3-ik kötet. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 335 nem látta a rétyi Nyírt, különben nem írhatná, hogy a rétyi Nyír homokja «sötét sárga, csaknem verhenyeges színű.)) Sehol ilyennek nem láttam. Ellenkezőleg : a homok egészen világos színű ! A rétyi Nyírben nehéz az eligazodás és így nem is tudom, meg¬ mondani, a 130 tavacska közül mennyit láttam? Tény az, hogy a meg¬ vizsgált számos medencze közül csak egyetlen egyben találtam meg az Aldrovandá- 1. E tó a rétyi Nyír keleti szélén terül el. Megszámlálhatatlan mennyiségben borítá a víz felületét. Augusztus 9-ikén, mikor először akadtam reá, java része virágzásban állott. Leg¬ sűrűbben a tó partjának közelében találtam. A sás zsombékjai közt is bőven volt, még ott is, hol a víz elpárolgás következtében sekéllyé és iszapossá lett. Igen sokat a Nymphaea úszó levelén láttam heverni, mintha valami nagy hernyók lettek volna. Ezeket a fejlődő Nymphaea levél emelhette ki a vízből. Társaságában élnek a következő növények: Utricularia vulgaris L., Potamogeton natans L., Alisma graminifolium Ehrh., Nymphaea sp. Zsombékot alkotnak: Carex vesicaria L., és Carex Goode- noughii Gay. A partot szegélyezik: Sparganium ramosum Huds., Sparganium simplex Huds., Scirpus ovatus Roth, Scirpus acicularis L., Carex Oederi Ehrh., Comarum palustre L. A víz színén a Desmideaceákhoz tartozó algák lebegnek nagy szám¬ mal, úgy mint: Cosmarium, Pennini, Docidium, Sph aerozosm a, Stau- rastrum , Xanthidium- félék és mások. Az Aldrovanda színe barnás zöld. Piros színűeket is találtam, leginkább a magas zsombékok közt, azok árnyékában. Itt a víz határo¬ zottan hűvösebb volt, mint a tó nyíltabb részén. Hosszúsága általában 7 cm. A legrövidebbet 5*5 cm. és a leghosz- szabbat 11 cm.-nek találtam. Szártagjainak hosszúsága 3 mm. és 6 mm. között változik. Ren¬ desen 4 — 5 mm. hosszúak. Levélörveinek száma többnyire 16. Egy örvben rendesen 8 levél foglal helyet. Gyakran azonban 9, jóval ritkábban 7 vagy 10 és kivételesen 6 levelet is találunk. Caspary azt mondja, hogy a 9 levelű örv igen ritka. Csak egyszer látott egy ratibori növényen. A rétyi Aldrovandá- n azonban nem ritkaság. A levelek a szár körül tövükön összenőttek. A levél rendes hossza 8 mm., de változik 6 mm. és 10 mm. között. A levél lemezének hossza 3 mm., szélessége 2*5 mm. Azaz ugyan- 336 MOESZ GUSZTÁV azon hosszúság mellett valamivel szélesebb, mint a brassói Aldro- vandá-nél. A levélnyélnek általában 5 sertéje van, ritkán 6 és még ritkábban 4 sertéje. Hogy a rétyi Aldrovancla nem a Durieui változatnak, hanem a típusnak felel meg, arról a következő számok tanúskodnak. A megvizsgált 2914 levél közül: 128 levélnek volt 4 sertéje = 4'4°/o 2536 « « 5 « = 87*0% 250 « « 6 « — 8 ’6% A virághoz tartozó levélörvök levelei nem vetettek itt figyelembe. A serte hossza 5 mm., tehát valamivel rövidebb mint a brassói Aldrovandá- n. A levélnyél légtartóiról már a brassói Aldrovanda leírásánál meg¬ emlékeztem. Augusztus hónapban az Aldrovanda nagy része virágzásban volt. Némelyiknek 3 virágkocsánya is volt. A virágkocsány hossza 9 — 15 mm., vastagsága olyan mint a törzsé. Anatómiai szerkezete is egyezik a törzs szerkezetével. A kocsá- nyon mindig csak egy virág van. A kocsány eleinte egyenes, a virágot a víz színe fölé emeli, az elhervadt virágot ellenben a víz alá húzza, miközben erősen meggörbül. A csésze levelei zöld színűek, szélük pillás. A pillák csak nagyító¬ val láthatók. A csésze Eétyi Nyír Diels Marino Salumi Kara- Orman méretei szerint (Japán) mocsár (Tirol) (Duna delta) Hossza m}m> 2*7— 3-0 3—4 2-0— 2-3 2-3— 2-7 2*7 Szélessége *%, 1-2 cca 1*5 (a rajzból lemérve és számítva) — — A párta zöldes fehér színű. A szirmok igen vékonyak, kevéssel hosszabbak és szélesebbek a csésze leveleinél. Három gyönge ér húzó¬ dik bennük, de nem éri el a szirom szélét. Elvirágzáskor összezsugo¬ rodnak és odatapadnak a magházhoz. Meg kell említenem, hogy a párta színét sokan fehér színűnek, sokan zöldes fehérnek, szennyes fehérnek írták. A következő összeállí¬ tásból láthatjuk, kik tartják fehérnek és kik zöldesnek. AZ ALDEO VANDA VESICULOSA ISMEEETÉHEZ. 337 Fehér Zöldes fehér Lamarck et De Candolle 1805 Koch-Wohlfarth 1892 Monti 1747 Roemer et ScHULTESz 1820 Karsten 1895 Allioni 1785 Loiseleur 1828 Formanek 1896 Pollini 1824 Cohn 1850 Fiori-Paoletti 1896 Reichenbach 1830 Maly 1858 Garcke 1898 Ed. Spach 1836 Oborny 1881 Coste 1901 Hausmann 1854 Willkomm 1882 Thomé 1904 WOHLFARTH 1890 Leunis 1885 H. Wagner 1905 Parlatore 1890 Korzschinsky 1887 Diels 1906 Fritsch 1897 Makino 1905 Moesz 1907 Annak ellenére, hogy többen vannak a fehér szín mellett, mégis azt hiszem, hogy az Aldr ovanda pártáját zöldes fehér színűnek kell mondanunk, mely alól csak kevés kivétel lehet. Azért hiszem ezt, mert azok között, kik fehér színűnek írták le, csak egy-ketten láthatták az élő Aldrovanda virágját. Nagy részük csak egymástól vette át a köz¬ lést. A zöldes szín mellett tanúskodik a virág kleistogam természete is. Véleményem szerint fehér színűnek legfeljebb a Volga torkolat Aldro- vandá-jén&k pártája tartható (Koezschinsky), bár ennek a színe is aligha lesz hófehér. A sziromlevél Rétyi Nyír Diels Makino Salurn Kara-Orman méretei szerint (Japán) (Tirol) (Duna delta) Hossza mim 3-25—3-4 4—5 3-5—4 3-2— 3*4 3-4 Szélessége 1-65 cca 2-5 — — — A porzó hossza a tokkal együtt 1*5— 1*75 mm. A nyél lefelé lapo¬ san kiszélesedik. Alul 0*5 mm. széles. Közepén nyaláb húzódik. A por¬ tokok sohasem nyílnak fel, a pollenszemek nem hullanak ki. A porzó Rétyi Nyír Diels szerint Makino (Japán) Salurn (Tirol) Kara-Orman (Duna delta) hossza 1*5 — 1*75 3—4 a magháznál jóval hosszabb 2-0— 2-4 / 2-5 . Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 22 338 MOESZ GUSZTÁV A magház 1*7— 2*1 mm. hosszú. Diels könyvében: 2*0 — 2*5 mm. A rétyi Nyír Aidrovanclá ján a porzók rövidebbek a magháznál. Ebben tér el a rétyi Aldrovanda más, eddig jobban ismert Aldrovandá- tói, mert ezeknél (Diels, Makino, salumi és kara-ormani Aldrovanda) a porzók hosszabbak a magháznál. A magház tetején foglal helyet az öt bibeszál. Ezeknek többkarélyú kiterült bibéjük van. A bibe karélyai közt mélyen, a bibeszál % részéig érő tölcsérszerű nyílás van. A bibeszál hossza a bibével együtt 1 mm. DiELs-nél cca 2 mm. Az Aldrovandá-Yol sokan foglalkoztak, de virágjáról még sincs elég adatunk. Ennek oka, hogy élő virágát csak kevesen látták. Hogy a rétyi Aldrovanda virágjának szerkezetéről helyes képet nyújtsak, összehasonlításúl kijegyeztem Diels általános méreteit és Makino ada¬ tait a japáni Aldrovandá- ról. Többet nem találtam az irodalomban. Ezért herbáriumi példányokon lemértem még a jalurni és a kara-ormani Aldrovanda virágrészeinek méreteit is. Az összehasonlításból kitűnt, hogy a rétyi Aldrovanda porzói rövidebbek a magháznál. Erről már szóltam. Kitűnt az is, hogy a japáni Aldrovanda csészelevelei rövideb¬ bek, mint az európai Aldrovandá-é. Kár, hogy Makino éppen a csésze¬ levelek hosszát nem közli. Egymás mellé rajzolta azonban a csésze és a sziromlevelet és úgy ebből, mint egyéb rajzaiból, melyek hűek és pontosak, jól kivehető a csészelevelek rövidsége. Végre úgy látszik, hogy Diels a kelleténél nagyobbra vette az Aldrovanda virágrészeinek átlagos méreteit. Nem mondja sehol, mely növények vizsgálata alapján állapította meg a méreteket. Virágzás idejében a csésze és a párta levelei nem terülnek ki, ha¬ nem többé-kevésbbé összeborulva maradnak. (V. tábla, 11. és 13. ábra.) így figyelte ezt meg már Allioni (1785) és Pollini (1824) is. Annál érdekesebb, hogy Makino a japáni Aldrovandá- n ellenkező viselke¬ dést tapasztalt. Ugyanis 1905-ben ezt írja: «Nálunk a virág rend¬ szerint kiterül és a szirmok nincsenek süvegszerűen egymás felé bo¬ rulva. » A bibeszálak mozgását az V. táblán három ábrában mutatom be. Az 5. ábra a bibeszálaknak azt a helyzetét ábrázolja, midőn ívesen meg¬ hajolva, bibéiket egymásfelé mutatják. így találjuk őket a bimbóban. Majd kiegyenesednek és egymástól eltávolodnak. Ez a mozgás addig tart, míg egészen vízszintes helyzetbe nem kerülnek. E mozgás czélja, hogy a bibék közelebb jussanak az alacsony porzókhoz. A bibeszálak¬ nak ezt a helyzetét a 6. ábra mutatja. Majd felfelé emelkedve, erős görbüléssel egymásfelé hajlanak. A bibék mélyen lenyomva, lefelé néz- AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 339 nek. (7. ábra.) Míg azelőtt a bibék zöldes színűek voltak, most már barnásak, fonnyadtak. Bentham és Hooker, valamint Korzschinsky vizsgálatai óta tud¬ juk, hogy az Aldrovanda virága kleistogam. A magabeporzódás meg¬ történik a nélkül, hogy az antlierák kinyílnának. A pollenszemek tömlői¬ ket az anthera belsejéből bocsátják a bibe felé, Marino a japáni A Idrovanda bibeszálairól azt írja, hogy: «a mag¬ háznál rövidebbek, kiterültek, majd gyorsan és erősen fölfelé görbül¬ nek, szabálytalanul sok részre osztott bibéjük szorosan érintkezik az antherákkal. » A különbség feltűnő. A japáni Aldr ovanda porzói hosszabbak a magháznál, ennélfogva a bibeszálak fölfelé görbülnek, hogy az anthe¬ rákkal érintkezzenek. (Lásd: Marino rajzát 1893 XI. tábla.) A rétyi Aldro vanda porzói ellenben rövidebbek a magháznál, legfeljebb éppen olyan hosszúak, a bibeszálak ennélfogva lehajlanak, hogy az antherákat megközelíthessék. Az irodalomban a porzóknak erről a kétféle hosszú¬ ságáról és a bibeszálak mozgásáról nincs szó. Marino sem szól többet a fentebb idézett mondatnál. Herbáriumi példányok vizsgálata alapján meggyőződtem arról, hogy a salumi és a kara-ormani Aldr ovanda por¬ zói hosszabbak a magháznál. Sőt mindkettőnél a bibéket a portokokkal a magház fölött összetapadva találtam. A rétyi Aldrovandá-n a por¬ zók rövidsége miatt ilyen szoros érintkezés nem jöhet létre. (V. tábla, 11. ábra). S ha ezen kívül figyelembe vesszük, hogy a portokok nem nyílnak föl és hogy a virág takarólevelei nem terülnek ki, hanem többé- kevésbbé összeborulva maradnak (Y. tábla, 11. és 13. ábra), továbbá, hogy a porzók mindvégig a virágba zárvák, úgy a rétyi Aldrovanda helyét könnyen jelölhetjük ki Knuth * rendszerében a hemi - kleis¬ togam ia csoportban, mint a kleistandroecia és a kleistan- theria képviselőjét. A kleistantheriát Ascherson magyarázata szerint értelmezve.** A rétyi Aldrovanda- n a megtermékenyítés és a termésérlelés folyamatát nem vizsgálhattam meg, mert a nyár vége felé elhagyva Brassót, kutatásaimat nem folytathattam. Kultivált Aldrovandá- n ilyen vizsgálatot végezni nem lehet, mert már a bimbó is kocsányával együtt elrothad. A rétyi Aldrovanda levél lemezét, külső ingerek behatására igen érzékenynek találtam. Az elálló levelek lemezei rovarfogásra készen, . ' ' : A V * -r C. ' . t * Knuth : Handbuch der Blüthenbiologie. 1897. I. Bd. ** Ascherson : Amphikarpie bei der einheimischen Vicia angustifolia. (Be¬ richte der deutschen Bot. Ges. 1884. II. Bd.) 22* 340 MOESZ GUSZTÁV nyitva vannak. A mint a növényt kiemeljük a vízből, a kelepczék egy¬ másután, abban a sorrendben, a mint a levegőre jutnak, gyorsan be¬ zárulnak. Ennek az eleinte meglepő tüneménynek mindenesetre az az oka, hogy a nyitott lemezek a sűrűbb vízből a ritkább levegőre jutva, összecsapódnak, mint a hogy a vízben elálló örvök is a levegőn össze- csapzanak. így csapzanak össze a vízi növények sallangos levelei, ha a vízből kiemeljük. A levéllemezek eme bezáródásának tehát semmi köze az ingerlékenységhez. Érző képességre vall azonban a levéllemez két felének záró moz¬ gása arra a behatásra, melyet a kelepczébe tett tűnek ide-oda való mozgatása idéz elő. Lassus volt az első, ki 1861-ben azzal lepte meg a világot, hogy az Aldrovanda levéllemeze, melyről addig azt állították, hogy állandóan csukva van, rendes körülmények között nyitva áll és ingerlésre becsukódik. Igen terjedelmes anyagot kellene itt ismételnem, ha az Aldrovanda levelének érzékenységéről és levéllemezének szerke¬ zetéről, mirigyeinek emésztőképességéről akarnék beszámolni. E helyett utalok Caspary (1859 és 1862), Cohn (1875), Darwin (1875), Stein (1873) Schenck (1886), Goebel (1891), Fenner (1904) és Haberlandt (1906) munkáira. Megfigyeléseim újabb adatokat nem szolgáltattak. Magam is úgy láttam, hogy a záró mozdulat szakaszosan, de azért elég gyorsan tör¬ ténik. Sőt néhányszor úgy sikerült a levéllemez belső felületét érinte¬ nem, hogy hirtelen bezárult. A kultúrában tartott Aldrovanda kevésbbé érzékeny, sőt 1 — 2 hó¬ nap múlva ingerlékenységét el is veszti. A bezárt levéllemezek üregében különféle apró vízi állatkákat talál¬ tam. A legnagyobbak voltak vékonyhéjú lapos csigák és szunyog-álczák. Utóbbiak be sem fértek egészen a levél belsejébe, potrohúk egy része kint volt. Az Aldrovanda anatómiáját kimerítő részletességgel tárgyalták Cohn, Caspary, Schence és Eenner. Azért ezek munkáira utalva bátran mellőzhetem az anatómiai leírást. Csupán a fejlődés kezdetén álló virágról kívánok megemlékezni, mert erről még nem írtak. Ha az Aldrovanda legfiatalabb leveleit, melyek sűrűn egymásra borulva törpeszártagú rügyhöz hasonló hajtást alkotnak, óvatosan széjjel¬ választjuk., akkor a hajtás csúcsán, meddő növénynél tenyészőkúpot, virágot hordó növénynél ellenben az év bizonyos szakában embryonális virágot fogunk találni, (VI. tábla, 19. ábra.) Az ábra mindkét bimbóját az egymásra boruló levelek takarják, melyeket, hogy a rajz világos legyen, elhagytam. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 341 A legfiatalabb virág Fa, a fejlődésnek még igen korai szakát tárja elénk. A csészelevelek még nem záródnak össze, szélük még nem pillás, bár az epidermis sejtjei itt már kiemelkednek a sorból. A szirom¬ levelek alig emelkednek ki, kisebbek még a porzóknál is, nem is sejte¬ tik, hogy később ők lesznek a virág legkimagaslóbb részei. A porzók tokja nagyobb a porzószálnál, holott később fordítva lesz. A tok belsejét parenchymás sejtszövet tölti ki. (VI. tábla, 17. ábra.) A termőn felső és alsó részt lehet megkülönböztetni, melyek közt sekély befűződós van. A felső részből alakulnak ki a bibék, az alsóból lesz a magház. A felső rész akkora nagy, mint az alsó rósz, holott később a magház jelentékenyen megnő s a bibeszálak tőle élesen elkü¬ lönülnek. A bibeszálak eleinte csak mint apró dudorok jelentkeznek, melyeken sem a szálat, sem a bibét észrevenni még nem lehet. Az egész termő is különben csak a szár csúcsán fellépő dudor, melynek belsejét egynemű parenchymás sejtszövet tölti ki. (VI. tábla, 15. ábra.) A valamivel idősebb bimbóban (FJ a csészelevelek már egymásra borulnak, a bimbót teljesen elzárják, a párta levelei nemcsak a porzók, de már a magház felé is emelkedtek. A porzók szála, hosszabb a tok¬ nál. A tok antherái is kifejlődtek. A magház hosszanti irányban meg¬ nyúlt, belül üreges, falának befelé való dudorodásaiból magrügyek kez¬ denek — párosával — fejlődni. Nagyon érdekes a levél fejlődése. A tenyésző csúcs alatt örvösen jelentkeznek a levéldudorok. (VI. tábla, 19. ábra, T. és K) A levéldudor közepéből nemsokára egy négy sejtsorból álló nyúlvány válik ki. Ebből lesz a későbbi levéllemez, a bogárfogó kelepcze. (VI. t. 23. ábra.) E nyúl¬ vány tövén, két oldalt kisebb dudorok támadnak, melyekből a levélnyél sertéi lesznek. (VI. tábla, 24. ábra.) Ez a kép vezette CoHN-t arra a arra a gondolatra, hogy az Alclr ovanda levele tulajdonképen szárnyalt levél. A fiatal levél epidermiséből élesen emelkednek ki egyes sejtek, melyek kettóoszlásával kezdetét veszi az Aldr ovanda levélre jellemző két és négyágú szőröknek képződése. (VI. tábla 20. és 24. ábra.) Mindezekről bőven szólnak a fentebb említett szerzők. Az Aldr ovanda egyik feltűnő sajátsága, hogy a virágot viselő levélörvben mindig több a levél, miut a szár más örvében. Míg rendes örvökben leggyakrabban 8, sokszor 9, gyérebben 7 levél van, addig a virágos levélörvben 11 — 17 levél szokott lenni. Korzschinsky a Volga deltájából származó Aldrovandá- n ugyanannyi levelet talált a virág örvében. Már Korzschinsky is csodálkozik azon, hogy ezt addig az európai növényeken észre nem vették. Caspary talált egyszer 11 levelű örvöt 342 MOESZ GUSZTÁV egy keletindiai Aldrovandá- n, de ezt abnormitásnak vette. Korzschinsky vizsgálataival támogatva, hajlandó vagyok ezt a jelenséget törvényszerű¬ nek tekinteni, semmiesetre sem abnormitásnak. A rétyi Aldrovanda sok száz példányát vizsgáltam, azok virágos levélörve mindig sok levelű volt. Említém, hogy a brassói Aldrovanda nem virágzik és hogy csak egyet¬ len egyszer találtam bimbóját. Ennek a bimbónak levélörve szintén 8-nál több levelet viselt. Marino rajza után Ítélve, a japáni növénynél is így van. Caspary fent említett közléséből tudjuk, hogy a keletindiai Aldrovanda sem tesz ez alól kivételt. Láttam a Bukarest mellett (Yalea Schitului) talált Aldrovandá- 1, annak is 14 levele volt a virághoz tar¬ tozó örvben.* A virágos levélörvnek ez a különös soklevelűsége arra bírt, hogy behatóbban foglalkozzam vele. Vizsgálataim egyik eredménye az, hogy itt tulajdonképen nem is egy, hanem mindig két örvről van szó. E két örv legtöbbször szorosan egymás mellett van, úgy, hogy közöt¬ tük valóságos törpe szártag van. Gyakran azonban olyan virágos levél- örvre is akadunk, mely egészen tisztán mutatja kettős szerkezetét, a mennyiben a két örv között 1 — 2 mm. hosszú, ritkábban hosszabb szár¬ tag látható. Bövidség kedvéért ezentúl a virágos levélörvöt kettős örv- nek nevezem. E kettős örv alsó tagjának annyi levele van, a hány levele a rendes örvöknek ugyanazon a példányon szokott lenni. (Tehát ren¬ desen 8.) A felső tagnak rendesen kevesebb a levele (3—6), de a leve¬ lek mindig a virágkocsány oldalán foglalnak helyet. A felső örv tulaj¬ donképen csak félörv, csonka örv. Csak ritkán van annyi levele, mint az alsó örvnek. A kettős örv alakulásáról jó képet nyújt a következő összeállítás : _ (felső tagja: 3355666788 j also tagja :89898 9 10 989 összes levelei: 11 12 13 14 14 15 16 16 16 17 A kettős örv szerkezetéről tájékozódást nyújtanak a VI. tábla 18., 19., 21., 22. és a VII. tábla 26 — 28. ábrái is. Hogy az áttekinthetőség könnyebb legyen, azért a leveleket egyenes vonalakkal ábrázolva, sema¬ tikusan rajzoltam és ezen kívül a kettős örv két tagja között levő törpe szártagot is hosszabbnak tüotettem fel. A VI. tábla 22. ábráján látjuk, hogy az alsó virág kettős örvének alsó tagja 8, felső tagja 5 levelű. A felső virág kettős örve ugyanilyen szerkezetű. A csonka örvök a virág oldalán vannak. * E helyről Dr. Teodorescu E. C. úr volt szíves nekem Aldrovandá- 1 kül¬ deni. Fogadja érte köszönetemet ! AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 343 A VII. tábla 28. ábráján az alsó virág kettős örve 8+5, a középső virágnál 9+3, a felső virágnál 8+8 levelű. A virágos levélörvnek ezt az összetett alkotását Korzschinsky vette először észre. Oroszúl írott munkájában (1887) a következőket írja: «A virágos örv levelei nincsenek szigorúan egy síkban elhelyezve, ha¬ nem egymás alatt fekszenek . A virágörvök nemcsak megna¬ gyobbodott örvök, hanem két különálló örvnek az egyesülése.»* KoRzscHiNSEY-nak azonban kikerülte figyelmét, hogy a felső örv mindig a virág oldalán helyezkedik el. És csak abban a ritka esetben veszi körül a szárat, ha 7 — 8 levele van. Bár némi megszakítást ekkor is észre lehet venni a virággal ellentétes oldalon, a levelek tövén. Hogy a virághoz tartozó kettős örv leveleinek egy része nélkü¬ lözi a lemezt, az gyorsan szembeötlött minden vizsgálónak. A lemez helyett, a levélnyél csúcsán rövid serte nőtt. A hosszú serték száma pedig egggyel megszaporodott. Ilyen, lemez nélküli leveleket mutat az V. tábla 2. és 13. ábrája. Korzschinsky volt az első, ki e jelenségnek valószínű magyaráza¬ tát adta. Szerinte ugyanis a kettős örv leveleinek azon néhánya, mely a virág oldalán van, azért nélkülözi a lemezt, mert a növény leg¬ főbb törekvése e helyen nem a táplálék megszerzésére, hanem a virág és termés fejlesztésére irányúi. A virágoknak a száron való elhelyezkedéséről az irodalom egybe¬ hangzóan azt jegyzi fel és úgy van minden diagnosisban, hogy «a virᬠgok kocsányosak, magányosak és levélhónalj iák.» Cohn (1850-ben) azt írja, hogy: «a virágok a levelek hónaljában mint oldalágak magányosan jelennek meg, nézetem szerint minden határozott rend nélkül.» Az Aldrovanda minden leírása, a legújabbak is, a szárat tovább fejlesztő hajtást terminálisnak, a virágot pedig axillárisnak mondják. Nékem erről, mikor alkalmam volt az Aldrovandá- 1 a tó vizében hosszabb időn át szemlélgetnem, más véleményem támadt. A ki az Y. tábla 13. ábrájában feltüntetett A Idrovahdá-i (melyet természet után és csak igen kissé nagyítva rajzoltam) megtekinti, bizonyára azt a be¬ nyomást szerzi, melyet az eredeti példányok látása bennem is keltett, t. i. hogy a virág kocsánya a szár egyenes folytatását képezi, ellenben a szárat folytató hajtás laterális helyzetet foglal el. Érdekes, hogy hasonló megfigyelésről az Aldrovanda sok kutatója * E munka fordításánál segítségemre volt Sztankovics Rezső tanár úr. Szí¬ vességét e helyen köszönöm meg. 344 MOESZ GUSZTÁV es leírója közül csak Allioni számol be 1785-ben. Erre enged követ¬ keztetni az a mondata, melyet az irodalom jegyzékébe is fölvettem. Megfigyeltem azt is, hogy a szárat tovább fejlesztő hajtás, kez¬ detben mikor még rügyhöz hasonló, határozottan oldalt áll. Félre van szorítva az egyenes virágkocsány tövében és csak később változik meg a helyzet, a mennyiben a virágkocsány kerül oldalra, a szár hajtása ellenben egyenes irányba jut és a szár egyenes folytatásának tűnik fel. Ezt is láthatóvá teszi a 13. ábra, ott, ahol a lefelé görbített kocsány van. Megfigyeltem végre azt is, hogy a virágok, ha mindjárt 3 — 4 virága van is a növénynek, mindig ugyanazon az oldalon vannak. Megengedem és magam is meggyőződtem arról, hogy a herbáriumi példányok ilyen megfigyelésekre alkalmatlanok. Ezeken a növény szárát tényleg végig főtengelynek látjuk, melyből a virágkocsányok monopo- diálisan ágaznak ki, látszólag minden oldal felé. Hogy a termőhely színén megalkotott véleményemet ellenőrizhes¬ sem, részletes mikroszkopikus vizsgálatokat is végeztem, melyek néze¬ temet megerősítik. Ha az Aldrovanda felső végének egészen fiatal, még összeboruló leveleit óvatosan széjj elbontogatjuk, akkor 1 — 2 parányi bimbó válik láthatóvá. A leveleket éles késsel lemetszettem és a száron keresztül hosszanti metszést készítettem, hogy a legfiatalabb bimbó és a tenyésző csúcs állásáról meggyőződjem. Az így elkészített preparátum azt a képet mutatta, melyet a VI. tábla 19. ábráján rajzban is feltüntettem. A kép megértése érdekében meg kel] jegyeznem, hogy az ábrában feltüntetett részt úgy kell képzelni, hogy azt az egymásra boruló levelek teljesen födik. Ezeket a leveleket azonban, mivel rájok szükség nincs és a rajz áttekinthetőségét zavarnák, tőből lemetszettem. A rajzból kivehető, hogy a legfiatalabb, embryonális virágbimbó (VJ az Sz2 szár csúcsán áll, tehát terminális helyzetet foglal el. Ter¬ minális állása van az idősebb bimbónak is (VJ az Szt szár csúcsán. Látjuk azt is, hogy a szárat tovább fejlesztő legfiatalabb hajtás (T) a virágbimbó alján és oldalán lép föl, tengelyének iránya majdnem merőleges az Sz2 szár irányára. A hajtásnak és a virágkocsánynak ez az egymáshoz való hajlása később hegyesebb szöggé lesz, a mint azt ugyanazon az ábrán az Sz x és SzJ2 szárak közt is láthatjuk. Egyedül ez a hajlási szög is valószínűtlenné teszi, hogy a képen feltüntetett Szv Sz2 és Sz3 szárrészek egymásnak egyenes folytatásai legyenek. E kép világosan mutatja, hogy az esetben, ha fentartjuk a szerzők eddigi álláspontját, akkor az Aldrovanda szárát tompa és derékszögek szerint megtörtnek kell tekintenünk. Ennél elfogadhatóbb az a magyarázat, hogy az Aldrovanda : szára AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 345 tulajdonképen több egymásra következő különböző rendű oldalágakból alakult, mely oldalágakat mindig egy-egy virág tetőz be, s a legutolsó levélörvből oldalhajtás keletkezik, mely a szárat folytatja, aztán ismét virággal fejeződik be. És így tovább. Más szóval ezt az elágazást nem monopodiálisnak, hanem sympo- diálisnak kell tekintenünk. A képen magyarázva a dolgot : az Sz± szᬠrat betetőzi a Vt virág, e tengelyből mint oldalág keletkezik az Sz^ szár, terminális V2 virággal, s ebből a tengelyből ismét mint oldalág ke¬ letkezik az Sz3 ág. A méretek különbsége is a virágok terminális állása mellett szól. A virág kocsánya ott, a hol a szárból az elágazás történik, feltűnően szélesebb, mint a szárat folytató ág szélessége. A legfiatalabb bimbó (VJ szára 1*6 — 2*5-ször, az idősebb bimbó (V±) szára 1*4 — l*6-szor szélesebb, mint a mellette levő szárnak a szélessége. Celakovsky * lent idézett munkájában így szól: «Nach einem mechanischen Gesetze er¬ hält immer das kräftigere von zwei benachbarten, anfangs in einer Masse der Anlage noch vorhandenen Gebilden die Terminale, das schwächere die laterale Stellung, die morphologische Bedeutung mag sein, welche sie wolle.» Említém, hogy a virágok mindig a szár egyik oldalán jelennek meg. Ezt eddig senki sem vette észre, pedig az élő növényen rögtön feltűnik. Hogy erről bizonyítékot szerezzek, számos példányt bonczolgat- tam fel, a virágok és bimbók elhelyezését szigorúan kísértem örvről örvre. Mefigy elésem minden esetben beigazolást nyert. Helyesebben feje¬ zem ki azonban magam, ha nem a virágoknak egy oldalon való meg¬ jelenéséről szólok, hanem azt mondom, hogy az oldalágak jelennek meg mindig egy és ugyanazon az oldalon. Még pedig egv olyan levél hónaljᬠból, mely a kettős örv alsó tagjához tartozik. Ez az oka és magyarᬠzata annak, hogy a kettős örv felső tagja csak a virág oldalán jelenik meg és itt is csonka marad. Az elágazásnak ez a módja arra vall, hogy az Aldrovanda sym- po diurna kunkoros. A sympodiális elágazásnak más oldalról való megvilágítása érdeké¬ ben számos növénynek szárából kereszt és hosszmetszeteket készítettem abból a czélból, hogy a középponti nyalábnak- kettéoszlását meg¬ figyeljem. Erre vonatkozó ábrákat a VII. táblán találunk. A kék szín jelenti a középponti nyalábot, a piros vonal a középponti csatornát. A 26. ábrán láthatjuk, hogy a nyaláb a kettős örv felső, öt levelű * Celakovsky Lad. : Ueber die Blüthenwickel der Borragineen. (Flora. 1880. p. 355; 1881, p. 465.) 346 MOESZ GUSZTÁV tagjánál oszlik ketté, míg a középponti csatorna már az alsó, nyolcz levelű örvnél válik széjjel. A szár elágazása tehát a kettős örvnek már az alsó tagjánál megy végbe, bár kívülről ennek még nyomát sem lát¬ juk. Ez igen szépen egyezik azzal, a mit a YI. tábla 19. ábrájának a fejlődés szempontjából való fejtegetésénél mondottam. A 27. és 28. ábra egy és ugyanazon három virágú növényt ábrᬠzolja. A 27. ábra hason] ó viszonyokat tár elénk, de változatosabb módon. A legalsó virágnál a középponti csatorna elágazása a kettős örv alsó tag¬ jánál (KJ lép fel. A középső virágnál mélyebben történik ez az elága¬ zás, még pedig az egy szártaggal alantabb álló (0) örvnél. A felső virág¬ nál a kettős örv felső és alsó tagja (§t± és egymástól távolabb álla¬ nak, a felső örv is teljes örvöt (RJ alkot. A csatorna az alsó tagnál (föj ágazik el. A keresztmetszetekből látható az is, hogy a csatorna elágazása tulajdonképen a virágkocsányba menő csatorna felől történik. Mert az elágazás kezdetén jól látni azt, hogy a virágkocsányba menő csatorna tágasabb, a másik ellenben szűkebb. Ezt mutatják a VII. tábla 26., 32. 9 35., 36. ábrái. A 27. ábrán a 34., 35., 36., 32. számok jelzik azt a helyet, a honnan az ugyanazokkal a számokkal jelzett keresztmetszetek származnak. A szár anatómiájára nem terjeszkedem ki, írtak arról bőven mások is. Az ábrák megértése érdekében csak annyit jegyzek meg, hogy a 33. ábra az epidermist, a 31. ábra a nyaláb hosszmetszetét, a 29. ábra a középponti nyalábot és a vele határos légüregeket mutatja, melyeket egysejtréteg szélességű falak határolnak. A 35. ábra azt a metszetet mutatja, mely a kettős örv felső, csonka örvének leveleibe haladó nyalᬠbok sugarait tartalmazza. A 30. ábra ezeknek a nyaláboknak a szár középponti nyalábjából való kiágazását ábrázolja keresztmetszetben. A 36. ábrán a középponti csatornák sötétek, mert a nodusokban és a nodusok közelében a csatornák még nem üregesek, hanem sejtekkel vannak kitöltve. > Caspary mutatta ki, hogy az Aldrovanda középponti legcsator- nája a nyaláb spirálisan megvastagodott sejtjeinek felszívódása útján keletkezik. A szár elágazásának anatómiai tanulmányozása tehát arra enged következtetni, hogy az Aldrovanda sympodiális elágazása mélyebben történik, mint a hogy azt külső megjelenése után sejteni lehetne. Bátran szólhatunk congenitális összenövésről, mely rendesen egy, eset¬ leg két szártag hosszúságára terjed. A terminális és axilláris hajtásoknak kezdetben való congenitális fejlődésére analog, esetek már eléggé isme¬ retesek. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 347 Igen tanulságos esetet ír le Celakovsky, a ki a Carex arenaria tőkéjén tapasztalt az Aldrovanda sympodiumához hasonló elágazást.* Nitschke (1860), a Dr oser dk növekedési viszonyairól írván, pár¬ huzamot von a Droserák és az Aldrovanda közt. Kiemeli a közöttük levő nagy rokonságot. Szól arról is, hogy a Droserák virágzati tenge¬ lyét többen terminálisnak, míg a szár folytatását képező hajtást axil- lárisnak vették. Nézete szerint éppen fordítva áll a dolog, mert szerinte : «minden tökéletesen fejlett, többéves és több rosettát viselő egyén első pillanatra is meggyőz az ellenkezőről.» Még többet is ír erről, de sorai¬ ból kivehető, hogy sem fejlődéstani, sem anatómiai szempontból e kér¬ dést nem tanulmányozta és csakis az idősebb példányoknak szabad szem¬ mel való vizsgálgatása alapján építi föl nézetét, melyet különben a Droseraceák legújabb monográfiájában Diels is elfogad. Nitschke, a ro¬ konság kapcsán áttér az Aldrovandá- ra is, melyre fent ismertetett nézetét szintén kiterjeszti. Nitschke e téren nem volt eléggé óvatos. Mutatja ezt az a kije¬ lentése is, hogy úgy, mint a Droserá-lmél az Aldrovanda virágkocsánya is kezdetben, kifejlődése előtt bekunkorodott. A VI. tábla 19. ábrája világosan mutatja, hogy a virágkocsányok teljesen egyenesek. Caspary 1862-ben, Nitschke ez állításáról azt írja : «rein aus der Luft ge¬ griffen. » Ismét megengedem, bogy, úgy mint az Aldrovandá- n, a Droserá- k idősebb egyénein és idősebb szárrészein is nehezebben vehető észre, melyik ág legyen terminális, melyik axilláris? Kérdés, vájjon ugyanolyan eredményre jutott volna-e Nitschke, ha a Drosera rotundifolia legfiatalabb hajtásait vizsgálta volna anató¬ miájuk és fejlődésük szempontjából? Abból az el nem vitatható rokon¬ ságból következtetve, mely a két genusz közt fennál], valóban gondol¬ hatunk arra, hogy az Aldrovandá-nak és a Drosera rotundifoliá- nak lényegben megegyező alkotásuk van és hogy e megegyezés a virágnak, illetőleg a virágzatnak terminális helyzetére is vonatkozik. Az Aldrovandá-nak a sympodiumon kivül még monopodiális elága¬ zása is van. Ezek a monopodiális ágak a sympodium tengelyének bármely levélörvéből keletkezhetnek. Megjelenésükben semmiféle szabályosság nincsen. Mint apró dudorok jelentkeznek a levél hónaljában (VI. tábla, 19. ábra, R%). Kezdetben a későbben keletkező levéldudorok sincsenek meg rajta. Szerkezetét a 16. ábra mutatja. Olyan, a milyennek Caspary * Celakovsky: Morphologische Beobachtungen über eine Art extraaxillärer Sprosse am Rhizome gewisser Carices. (Sitzungsberichte der kön. Böhm. Ges. der Wiss. in Prag. 1881, p. 238.) 348 MOESZ GUSZTÁV is leírta, ezért leírását mellőzhetem. Az idősebb monopodiális rügy már az első levelek orvéit is viseli (19. ábra, RJ. Ezekből a rügyekből hosszú ágak lesznek, melyek minden tekintetben megegyeznek az anyatörzs szerkezetével. A rétyi Nyír Alclrovandá- jának legfeljebb 1 — B ága szo¬ kott lenni, de a lacanaui tóban Dubieu olyan példányokat is talált, melyeknek 7 — 8 águk is volt. Midőn az anyatörzs rothadása egészen az elágazásig jutott, akkor az oldalág leválik és önálló életet folytat. Láttuk már, hogy Cohn tévedett, midőn azt mondta, hogy az Aldrovanda virágai minden határozott rend nélkül jelennek meg a száron. Kimutattam, hogy a virágok mindig egy oldalon jelennek meg. Kimutattam, hogy ennek oka a kunkoros sympodium. A virágok elhe¬ lyezkedésében azonban, ezenkívül más rend is észlelhető, a mi a kuta¬ tók figyelmét szintén kikerülte. A rétyi Aldrovandá- n ugyanis két virág között mindig négy, vagy öt szártag van. Azért hangsúlyozom ezt, mert Lamarck 1783-ban az Encyclopédie méthodique 220. tábláján olyan Aldrovandá- 1 rajzolt, melynek négy egymásután következő örve visel virágot. Diels pedig, a Droseraceák monográfiájában (1906) olyan Aldrovanda- képet közöl, melynek két virága közé csak egyetlen levél- örv, illetőleg két szártag esik. A virágoknak ilyen közelségét herbáriumi példányokon sem láttam, azért Diels ábráját valószínűtlennek, LAMARCK-ét pedig lehetetlenségnek tartom. IV. Teratologia! megfigyelések. A brassói és a rétyi Aldrovandá- nak számtalan példánya volt szemem előtt. Nem csoda, ha ezek között itt- ott rendellenességekre is akadtam. Az Aldrovanda teratologiájának három esetét Caspary írta le. Ezeket átvették Pénzig és Master is, de újakat nem csatoltak hozzájok. Én a következő rendellenességeket figyeltem meg: 1. Y. tábla 9. ábra. Egy nyolcz levelű örvben az egyik levélnek sem lemeze, sem seriéi nem fejlődtek. Az egész levél serteszerű, hossza olyan, mint a rendes levélé. Mikroszkopikus vizsgálata azt mutatja, hogy egészben a levélnyélnek felel meg, mivel oldalain nincsenek meg a nyél seriéire jellemző, kiemelkedő hegyes epidermis-sejtek. Csupán a csúcsán visel két ilyen sejtet. (Y. tábla 1. ábra.) 2. Y. tábla 8. ábra. Egy nyolcz levelű örvben az egyik levél szin¬ tén nélkülözi a lemezt. Mivel a fogas sejtek itt is hiányoznak, azért ezt a levelet is teljes egészében nyélnek kell tartanunk, ha mindjárt két hegyben végződik is. 3. Y. tábla 10. ábra. Egy, különben rendes levélnek 5-ik sertéje AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 349 nem a nyél felső részéből, hanem oldalából, alul ered. Mivel fogas sejtjei vannak, azért valóságos sertének tekintendő. 4. Y. tábla 12. ábra. Lemez nélküli levél, mely a virághoz tar¬ tozó kettős örvből való. Ezen leveleknek — ha a lemez hiányzik — hat rendes sertéjük szokott lenni a nyél felső részén és közöttük, éppen középen, a lemez helyén, a középső ér folytatásában egy rövid serte. (Y. tábla 2. ábra.) A rendellenesség abban jelentkezik, hogy ez a középső kis serte ki nem fejlődvén, helyét a szomszédos két hosszú serte fog¬ lalta el, melyek alsó részükön egymással össze is nőttek. 5. V. tábla 2. ábra. A virág kocsányának serteszerű levele van. Rendellenesség, mert az Aldrovanda virágkocsánya levelet nem visel. Nyilván fölemelt levél, melynek rendes helye az alantabb álló örvben volna. E serteszerű levélnek sincsenek fogas sejtjei, tehát a maga egé¬ szében nyélnek tekintendő. Ehhez hasonló teratologiáról Caspary is szól 1859-ben. 6. YI. tábla 25. ábra. A kettős örv két tagja nincs külön két síkba elkülönülve, hanem spirális vonalban egymással összefüggnek. A csavarmenet szélessége 1 mm. Az első örvnek megfelelő csavarme¬ netben 9, a felsőben, mely a csonka örvnek felel meg, 6 levél van. A leveleknek spirális vonalban való elrendezkedése az Aldrovandá- nál, hol az örvös szerkezet oly tipikusan fejlett, feltűnő. Föltehetjük azon kérdést, nincs- e itt atavismussal dolgunk? Nem keletkezett-e az Aldro¬ vanda oly törzsből, melynek alakjai leveleiket spirális vonalban visel¬ ték? E kérdésre természetesen nehéz megfelelni. Utalok azonban azon nagy hasonlatosságra, mely az Aldrovanda és a Drosera rotmidifolia között van. A Drosera szárán a levelek, egymástól távol, elég lazán helyezkednek el, de ott, a hol virágfejlesztésre kerül a sor, a szár sűrűn fejleszti a leveleket, melyek rozettába terülnek el. Az Aldrovanda szár¬ tagjai is elég hosszúak, de a virág közelében a levelek összezsúfolód¬ nak, kettős örvbe rendezkednek, melyek tagjai között a szártag csak ritkán éri el a 2 mm.-t. 7. Y. tábla 14. ábra. Valamennyi között a legérdekesebb teratolo¬ gia! jelenség. Könnyebb áttekinthetőség szempontjából a levélörvöket csak egyenes vonalakkal jeleztem. A vonalakhoz írt számok az örv leve¬ leinek számát jelentik. A szár a szokottnál jóval szélesebb volt. Kereszt- metszete keskeny, úgy hogy a szár elszalagosodottnak tűnt fel. Ennek okát a mikroszkopikus vizsgálat nyomban elárulta. A szárban ugyanis — a legalsó szártagot kivéve — két, egymás mellett párhuzamosan haladó nyaláb volt, mintha, két Aldrovanda szár nőtt volna egybe. Ennek megfelelően a monopodiális rügyek és a legutolsó virágok is párosával jelentek meg. A kettős nyalábra vezethető vissza az a 350 MOESZ GUSZTÁV körülmény is, hogy a levélörvök a szokottnál több levelet tartalmaztak. 12 — 14 levelű örvök ugyanis még ritkaság gyanánt sem szoktak a ren¬ desen kifejlődött Aldrovandá- n előfordulni. Ha az irodalom ilyeneket mégis említ, az csak onnan magyarázható, hogy nem vették észre a virágos levélörvöknek kettős szerkezetét. Helyenként azt is látjuk, hogy a két nyaláb nem egy és ugyanazon síkban fejlesztette ki a levélörvö- ket. A szár közepe táján példáúl egy 9 levelű orvot és közvetlenül fölötte egy 4 levelű örvöt találunk. Alul is háromszorosan egymás fölött elhelyezett örv van, a mire példát rendesen kifejlődött növénynél nem találunk. Mindezen körülmények arról tanúskodnak, hogy itt a szár¬ tagok egész sorozatán át tartó congenitális összenövésről van szó, holott az efféle rendesen, a mint azt kimutattam, csak 1 — 2 szártag hosszúságᬠban szokott előfordulni. Az utolsó (14+8) örvnél a két nyaláb végre kettéválván, két virágkocsány támad. Hogy ezek a virágok terminális állást foglalnak el, az hamar észrevehető. V. Összefoglalás. 1. Az Aldrovanda vesiculosá- 1 megtaláltam Brassóban és Három- székmegyében, a rétyi Nyír egyik tavában. Mivel az Aldrovanda ha¬ zánk eddig ismeretessé lett termőhelyeiről kipusztult, a Dráva mellé¬ kén való előfordulásáról pedig évtizedek óta újabb értesülésünk nincs, azért napjainkban egyedüli biztos termőhelyei : Brassóban, a Fortyogó¬ mocsár és Háromszékmegyében a rétyi Nyír. 2. Brassóban a var. Dimeni Gasp., a rétyi Nyírben pedig a tipi¬ kus alak él. 3. A brassói Aldrovanda nem lehet ősi lakója a Fortyogó-mocsár- nak, mert ezt a mocsarat oly időszaki forrás táplálja, mely rövidebb működés után hosszabb ideig szünetelni szokott. Ilyenkor a mocsár majdnem teljesen kiszárad. Ez oknál fog?a e helyen az Aldrovanda fennmaradása is nagyon bizonytalan. 4. A brassói Aldrovanda szeptember vége felé téli rügyekké ala¬ kul, a víz fenekére sülyed. Némely esztendőben azonban a rügyek kis része a víz színén marad egész télen át. 5. A brassói Aldrovanda nem virágzik. 6. A rétyi Nyír Aldrovandá -ja augusztus hónapban virágzik. A virág takarólevelei nem nyílnak teljesen széjjel. A párta zöldesfehér színű. Porzói — ellentétben az eddig ismeretes adatokkal — rövidebbek a magháznál vagy legfeljebb éppen oly hosszúak. A beporzódás módja szerint a virág hemi-kleistogamos, kleistantheriás. Termését nem láttam. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 351 7. Szobában tartott Aldr ovanda naponta átlag 0 44 mm.-t nő. 8. A levéllemezek nyitva vannak, ingerlékenységük nagy. Mikrosz¬ kopikus állatkákon kívül kis héjas csigákat és szúnyogálczákat is fognak. 9. Az embryonális virágbimbóban a csészelevelek rövidek, nem záródnak össze. A szirmok kisebbek a porzóknál is. Az antherák nagyob¬ bak a porzószálnál. Az egész termő nem más, mint a szár csúcsán fel¬ lépő dudor. A magház falának befelé való dudorodásaiból keletkeznek — párosán — a magrügyek. 10. A virághoz tartozó levélörv nem egyszerű örv, hanem ket¬ tős örv. A kettős örv felső tagja csonka örv, melynek levelei a virágkocsány oldalán vannak, 11. Az Aldr övanda szárát monopodiumnak tekintik, melynek olda¬ lából, minden rend nélkül, mint axilláris hajtások a virágok keletkez¬ nek. Szerintem sympodium, melynek szárrészei virággal végződnek. Az oldalágak mindig ugyanazon az oldalon egy oly levél hónaljából kelet¬ keznek, mely a kettős örv alsó tagjához tartozik. A szárat az eddigi felfogás szerint korlátlan növekedéssel kellett képzelnünk. Nézetem sze¬ rint a szárnak fejlődését virág rekeszti be. A mit folytonos szárnak tartanak, az nézetem szerint több ágnak, mint a sympodium tagjainak a sorozata. Az Aldrovanda sympodiuma kunkoros. A terminális virágot viselő hajtás alul congenitális összenövésben van a szárat tovább folytató axilláris hajtással, mely összenövés 1 — 2 szártagon át tart, de kívülről észre nem vehető. 12. Vannak az Aldrovandá-nük azonban monopodiális hajtásai is, melyek bármely levél hónaljából keletkezhetnek. Ezekből hosszú ágak lesznek, melyek az anyatörzsről leválva, önálló életet folytatnak. 13. Két virág között 4 — 5 szártag van. 14. Néhány, eddig nem ismert teratologiás alakulásnak leírása, melyek közül kettő érdemel különösebb ügyeimet. Az egyik esetben a congenitális összenövés sok szártagon át tart, a másik esetben a ket¬ tős örv két tagja nincs külön-külön síkban, hanem spirális vonal men¬ tén egymással összefügg. VI. Az Aldro vanda összehasonlító táblázata. Annales Musei Nalionalis Hungarici. V 23 354 MOESZ GUSZTÁV VII. Az Aldrovanda földrajzi elterjedése. 0-val jelzem azokat a termőhelyeket, honnan az Aldrovanda kipusztult. ?-vel jelzem azokat a helyeket, melyeken az Aldrovanda előfordulása, napjaink¬ ban, kétes. ! azt jelenti, hogy az illető termőhelyről származó növényt láttam. EURÓPA. I. Magyarország. O l.Ecsedi láp. Egy csatornában, mely Kaplony felől a láp közepe táján levő Fürgehalom felé vezet. Pokorny fedezte fel 1859 julius 27-én. Senki azóta újból nem találta. Bizonyosra vehető, hogy a láp lecsapo- lásával az Aldrovanda is kipusztult innen. O 2. Berettyó-Sárrét ! Füzes-Gyarmatnál, annak a csatornának a köze¬ pén, a mely Füzes-Gyarmatról Nagy-Bajom felé vezet. Pokorny fedezte fel 1859-ben. Oly bőségben találta, hogy a víz színét egészen ellepte. Nem virágzott. Pokorny után gyűjtötték e helyen Veszelszky és Jermy Gusztáv. 1881-ben Borbás Yincze még elég bőven találta, de 1891-ben már nem találta. Kipusztult. O 3. Kőrös-Tarján (Biharmegye) mellett, Mezőkeresztes vasúti állomás felé, álló vízben. Felfedezője Janka Viktor. Találta 1864-ben. Simonkai 1890-ben már nem lelte. ? 4. Gordisa! (Baranyamegye). A Dráva folyó mentén, mocsarakban. Fel¬ fedezte Simonkai, 1873 julius 18-án. Azóta nincs róla hír. ? 5. Sellye! (Baranyamegye). A Dráva melletti « Kengyelrét » mocsárban. Felfedezte Simonkai 1873 augusztus 6-án. Azóta nincs róla hír. O 6. Hódmezővásárhely. A Népkert délkeleti sarkában egy kis tavacs¬ kában, melyet részben az artézi kútak vize táplált. Endrey Elemér találta 1900-ban. Az a tavacska azóta kiszáradt. (Endrey Elemér szó¬ beli és írásbeli közlése nyomán.) 7. Brassó! A Fortyogó-mocsárban. Találtam 1901-ben. Var. Durieui Casp. Sohasem virágzott. A mocsár medenczéi időnként kiszáradnak. A mocsár medenczéinek betemetése is tervbe van véve. Előre látható, hogy az Aldrovanda rövid időn belül innen is eltűnik. 8. Rétyi Nyir! (Háromszékmegye). Tóban. Bőven. Találtam 1906 augusz¬ tus 9-én. Javában virágzott. II. Olaszország. 9. Budi* io, Bologna mellett. Amadeus orvos találta még 1747 előtt a Duliogli mocsarakban. 10. Gandazolio, Bologna mellett. Bertoloni találta 1837-ben, mocsárban. O 11. Pontini mocsarak. Innen Maratti említi 1822-ben. Mivel mások nem erősítik meg Maratti közlését, azért már Caspary is kétségesnek AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 355 tartotta az Aidr ovanda itteni előfordulását. Béguinot 1899-ben hatᬠrozottan törlendőnek mondja e helyet. 12. Candiai tó Ivrea mellett. ! Említi Allioni 1785-ben. 13. Yiverone mellett a Morigna tóban és mély árkokban. Találta Bel- lardi. Említi Allioni 1785-ben. 14 Fortezza di Legnag o. ! Verona mellett, árkokban. Pollini Linia- cum-nak nevezi ezt a helyet. Felfedezője Pollini, 1824. 15. Valli Astigliese! Mantova tartományban. A térképeken Ostiglia-t találtam. Parlatore említi 1890-ben, de már 1877-ben is gyűjtötték. Árkokban. 16. Bagni dei Colli Euganei. Találta Montini, említi Bertoloni 1837- ben. Trevisan írja 1842-ben, hogy Bertoloni tévesen közli az Aldro- vandä- 1 az euganei thermákból. Ott nincs, de az euganei kerületben csakugyan terem. 17. Bientina mellett tóban. Említi Bertoloni 1837-ben. Bientina az Arno folyótól északra Pisa várostól keletre esik. 18. Lucca mellett, az Altopascio csatornában. Említi Parlatore 1890-ben. Lucca Pisá-tól északra esik. 19. Cascina mellett árkokban. Említi Parlatore 1890-ben. Cascina az Arno folyó partján van. 20. Fiuggi ásványvízforrásaitól nem messze, két kis medenczében Paliano és Acute közt. Közli Béguinot 1900-ban. 21. Chioggia-nál. Közli Bolzon 1897-ben. 22. P a V i a. Találta Bota, Cesari küldött innen Aldrovandá- 1 CASPARYmak. ? 23. Otranto. Cohn calabriai Aldrovandá- ról is szól. Ez alighanem azonos az otrantóival. Caspary is, Diels is kétségesnek mondják ezt az elő¬ fordulást. III. Franc ziaország. 24. La Can au (Gironde). Árkokban. Felfedezője Dunal. Találta 1811-ben. Majd feledésbe ment, míg 1858-ban Durieu újból megtalálta. Küldött belőle több ízben CASPARY-nak is. Durieu és Caspary révén a lacanau-i előfordulás híressé lett. Var. Durieui Casp. 25. LTlet, Porge és Hourtin mellett Girondeban, a lacanaui tótol északra. Felfedezője Durieu fia. 26. Arles! a Bhone deltában. Az Aldrovandá- 1 itt Artaud találta még 1783 előtt. 1809-ben Artaud és Bhode újból megtalálták, majd 1861-ben Duval-Jouve és Augé-Lassus is ráakadtak. 1897-ben Blanc P. találta. A raphélei és az avignoni előfordulások úgy látszik azonosak az arles-ivel. O 27. Narbonne. Találta Maire 1859-ben. Bouy és Foucaud 1897-ben írják, hogy az Aldrovandá aligha él már itt. O 28. Montpellier, a honnan az Aldrovandá- 1 Salzmann és Mutel említik, Planchon (1848), Lőrét és Barrandon (1876) szerint törlendő, mert sem ők, sem mások itt az Aldrovandá- 1 nem találták. 23* 356 MOESZ GUSZTÁV O 29. Orange, a Elione mellett, a honnan Mutel említi, nagyon kétséges. Már Caspary is annak tartotta. O 30. Moligli t, a Pyreneusokban, a honnan Lapeyrouse említi, törlendő, vagy legalább is kétséges. IV. Oroszország. 31. Pinszk és Lahishin között Litvániában. Az itteni Aldrovanda fel¬ fedezője Gorski, ki 1830-ban akadt reá a következő helyeken : a) a Pina folyó öbleiben, b) Pinszk és Horno falu között, egy csatornában, c) Horno falu körül a Siniuga árkokban, d) a Swaricewitshe folyócskában. Mindenütt virágzott. 32. Swaricewitshe folyócskában a Kowle kerületben. Találta Besser 1832-ben. 33. Ho mb rovi c a 'folyóban a Eowne kerületben. Találta Besser 1832-ben. 34. Grodno tartomány. Paczoski említi 1896-ban. Kár, hogy közelebbi termőhelye nem ismeretes. Említi Minszk tartományt is. Ezt külön nem sorolom fel, mert e tartományban van Pinszk város, a honnan az Aldrovanda már 1830 óta ismeretes. 35. Per ej aslaw körül levő tavakból mint új adatot említi Paczoski 1893 — 1894-ben. Perejaslaw Kijew-től délkeletre esik, közel a Dnjeper folyóhoz. 36. Cserig ow, Ostior mellett, árkokban. Említi Diels 1906-ban. A tér¬ képen Tshernikow és Oster, Kijewtől északra mintegy 80 kilométernyire, a Desna folyócskánál fekszik. 37. Nieshin. Említi Diels 1906-ban. Bizonyára azonos Njezin-nel, mely város Kijewtől északra mintegy 130 kilométernyire esik. 38. A V olga torkolatnak két helyén találta Korzschinsky 1883-ban, a Kolishno és a Baranovszka mocsárban. Virágzott és gyümölcsözött. 39. Kuban folyó torkolata, a Kaukázusban, az Azovi tenger partján. Albow említi 1895-ben és Badde 1899-ben. V. Németország. O 40. Pless' mellett ! a mieserau-i tóban. Találta Hausleutner 1846 augusz¬ tus 8-án. Ezt a tavat még abban az esztendőben lecsapolták. 41. Czarkov tóban! Találta Fuchs gyógyszerész 1850 julius 8-án. 42. So hr au és Wosyc közt egy tóban. 43. Eybnik mellett ! a Buda tóban. Gyűjtötte Fritze 1870 júliusban. 44. Go t tar to witz és Nie dob schütz mellett tóban. Találta Stein 1873-ban. 45. Bat i bor mellett! a Kemper tóban. (Uechtritz), a Brzesinski tóban és a lohnstock-i tóban. Lehet különben, hogy a lohnstocki tó azonos a Brzesinski tóval. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 357 46. Pros kau mellett!, a Neuhammer tóban, hol Stein gyűjtötte 1871-ben. 40 — 46. sorszámmal jelzett termőhelyek Porosz-Sziléziában vannak. 47. Menz mellett!, a Melitz és a Zeuten tavak között húzódó árokban. Winter találta 1867-ben. Innen kipusztult. Toepffer közlése szerint 1880-ban már nem volt. 1906-ban Retzdorff és Seltmann a melitzi tó¬ ban és annak környékén megtalálták. Nem virágzik. O 48. Sch ulzenhof, Menz mellett. Ascherson szerint innen tévedésből közölték az Aldrovandá- 1. 49. Anger műn de mellett a paarsteini tóban, hol Scheppig találta 1882 szeptember 10-én. Nem virágzik. 50. Tremessen mellett a Klostersee tóban. (Posen kerület.) O 51.Czystoch.leb mellett az Okunek tóban. Caspary fedezte fel 1882-ben. Nem virágzott. Innen is kipusztult. 1901-ben már hiába keresték. (Nyugat-Poroszország Briesen kerület.) 52. L i n d a u mellett Wasserburgnál. Csatornában. Watson asszony volt a felfedezője. Ascherson szerint de Bary találta 1879-ben. Nem virágzik. (Bajorország.) 53. Gostyn és Plock mellett, tóban. Diels 1906. (Posen kerület.) YI. Ausztria. O 54. Krakó mellett !, Tiniecki-Kolo-nál. Mocsárban, a Visztula mellett. Rehmann találta 1858 augusztus 30-án. Még ugyanazon évben Herbich is gyűjtötte. Caspary az innen származó Aldrovandá- 1 var. Durieui- nek ismerte fel. Herbich és Rehmann egy vignettáján, melyen évszám nem állott, olvasható, hogy e termőhelyet a Visztula áradása elöntötte és az Aldrovandá t elmosta. 55. Kan co w, a Visztula mellett. Knapp említi 1872-ben. 56. Bozen mellett !, mocsárban, az Etsch völgyében. Találta Seybold 1851 augusztus 21-én. O 57.Salurn mellett !, mocsárban, az Etsch völgyében. Találta Seybold 1852 május 9-én. Itt 1874 julius 15-én még gyűjtötték. Azóta kipusztult. 58. Laagsee mellett !, mocsárban, a Boden tó partjától Va órányira és Fussachtól 3i| órányira. Találta Custer 1847-ben. Kerner Lochsee-t ír. (Lochsee bei Bregenz in Vorarlberg.) VII. Románia. 59. Duna deltája ! A Kara-Orman mocsárban. Találta Sintenis 1874-ben. Brandza 1884-ben említi. 60. Tz igán es ti !, Valea Schitului, Ilfov kerületben, mocsárban. Buka¬ resttől északra 40 kilométernyire. Találta Pantu 1902-ben. VIII. Szerbia. 61. Makis, Belgrád mellett, mocsárban. Találta Pancic, 1884-ben. 358 MOESZ GUSZTÁV ÁZSIA. IX. Keletindia. 62. Calcutta mellett: Salt pons. Roxbourgh említi innen. Hogy Pluc’net (1696) Keletindia, mely helyéről ösmerte az Aldrovandá t, nem tudjuk. X. Japán birodalom. 63. Jód a: Koiwa-mura-ban, Musashi tartomány. Felfedezője Marino. Találta először május 11-én. 64. Nasaku-ura: Name-katagon-ban. Hitachi tartomány. Felfedezője Su¬ zuki. Találta 1902 julius 15-én. XI. Szibéria. 65. Z ej a és Búr ej a közt az Amur folyó mentén, mocsarakban. Találta Korzschinsky 1891-ben. AFRIKA. 66. Bahr-el- Ghasal. A Nilus egyik mellékfolyója az északi szélesség 9° alatt. Találta Schweinfurth 1869-ben. 67. Bahr-el-Dshebel. A Nilus folyó azon részének neve, mely a Bahr- el-Ghasal és a Bahr-el-Seraf között folyik. Innen Hope említi 1902-ben. AUSZTRÁLIA. 68. Rockhampton város mellett találta O’Shanesy. Említi Mueller 1867— 8-ban. Amerikában mind ez ideig nem találták meg. Ha a kétes termőhelyeket nem számítjuk, akkor az Aldrovanda ez idő szerint a földkerekség 51 helyéről ismeretes. VIII. Az Aldrovanda irodalma. 1696. Pluc’net Leonardus : Almagestum Botanicum, p. 211. Itt találjuk az Aldrovanda legelső leírását : «Lenticula palustris indica, foliis subrotundatis, binis capillamentis ad imum barbatis». Rajza a követ¬ kező kötetben van : Opera omnia Botanica. Phytographia. Pars. I. Londini 1691. tab. XLI. fig. 6. Az ábra igen kezdetleges. 1747. Monti Caietan : De Aldrovandia novo herbæ palustris genere. (Com¬ mentarii de Bononiensi Scientiarum et Artium Instituto atque Aca¬ demia. Bononiæ, tom. II. pars. III. p. 404. tab. 12.) A növénynek első alapvető leírása. Monti adta neki az Aldrovandia nevet is. Monti AmadeiT mondja az Aldrovanda felfedezőjének, a ki a Duglioli melletti mocsarakban találta, Bologna közelében. Látta fekete magját, meg¬ figyelte téli rügyeit. Az utóbbiakról azt mondja, hogy télen a fenékre szállanak és tavaszszal új növényt fejlesztenek. A párta zöldesfehér. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 359 175J. Chenon L. J. : Nova plantarum genera. Upsala. (Linné: Amoenitates Academicæ. Holmiæ. Yol. III. p. 22.) Linné könyvei közül itt van először az Aldrovandá- ról szó. Idézi Act. Bon.- 1 (hibásan Comrn. Bon. helyett) és PmcNET-et, de leírását nem adja. 1753. Linné C. : Species Plantarum. Holmiæ. I. p. 281. Nevét következően állapítja meg: Aldrovanda vesiculosa. Leírása nincs. 1763. Adanson : Famille des Plantes. Paris. IL p. 444. Az Aldrovanda nedve keserű és fanyar. 1779. Linné C. : Systema Plantarum. Francofurti ad Mœnum. I. p. 766. Tömlői vannak, mint az Utriculariá-nak. 1783. Lamarck: Encyclopédie méthodique. Paris. I. p. 78. Rajza a 220-ik táblán. Az ábra helytelen, mert a virágok négy, közvetet- lenül egymás után következő örvbe vannak rajzolva ; mert a virágkocsányok vékonyak és mert a csésze csak félig bemetszett. Lamarck ismeri az Aldro * vandá- 1 Olaszországból és a provencei Arles-ből. 1785. Allioni Car.: Flora Pedemontana. Augustæ Taurinorum. II. p. 87. Leírásából idézem a következő mondatot : «Flos unicus, caulis nimirum in pedunculum abire videtur, dum ex latere ramum, sive caulem producet». A szirmokat szennyes fehéreknek és összehajlóknak mondja. Az Aldrovandá- 1 a candiai és a viveronei tavakból említi. 1789. Jussieu Ant. L. : Genera Plantarum, p. 429. 1791. Jussieu Ant. L. . Genera Plantarum. Turici Helvetorum. p. 469. «Caracter ex Linnæo». 1797. Willdenow C. L. : Caroli a Linné Species Plantarum. Berolini. I. p. 1543. Tömlői vannak, mint az Utriculariá- nak. 1805. De Lamarck et De Candolle: Flore Française. Paris. IY. p. 730. Rövid leírás. « Persoon C. H. : Synopsis Plantarum. Paris. I. p. 336. 1809. Rohde : Botanische Bemerkungen auf einer Reise nach dem südlichen Frankreich. (Neues Journal für die Botanik, herausgegeben von Prof. Schrader. Erfurt, p. 54.) Arles mellől említi az Aldrovandá- 1 és a Vallisneriá- 1. 1813. Lapeyrouse : Histoire abrégée des Plantes des Pyrénées. Toulouse, p. 173. A keleti Pyreneusokból említi Molight közeléből. 1820. Roemer et Schultes: Systema vegetabilium. Stuttgartiæ. YI. p. 759. Tömlői vannak, mint az Utriculariá- nak. Yirága fehér. 1822. Maratti Giov. Fr. : Flora Romana. Romæ. Az Aldrovandá- 1 a Pontini mocsarakból említi. 360 MOESZ GUSZTÁV 1824. De Candolle : Prodromus syst, natur, regni vegetabilis. Parisiis. I. p. 319. A levélnek hat sertéje van. (Holott rendesen öt sertéje szokott lenni.) « Pollini Cyr. : Flora Veronensis. Veronæ. III. p. 789. Szirmai zöldesfeliérek, összeliajlók. Rocchetti találta először Liniacum vár környékén. A többi termőhelyet Allioni nyomán ismétli. 1828. De Candolle Pyr. : Botanicon Gallicum à J. E. Duby. Paris. I. p. 68. Eövid leírás. A levélnek hat sertéje van. « Loiseleur J. L. A. : Flora Gallica. Parisiis. I. p. 229. Virága fehér. Említi Arles vidékéről. 1830. Eichwald Ed. : Naturhistorische Skizze von Lithauen, Volhynien und Podolien. Wilna, p. 175. Gorski találta Litvániában Lahischin és Pinsk között árkokban. Juliusban virágzott, augusztusban termést hoz. A téli rügyek télen át is a víz színén úsznak. « Mutel Aug. : Flore du Dauphiné. Grenoble et Paris. II. p. 61. « Reichenbach Lud. : Flora germanica excursoria. Lipsiæ. I. p. 711. A levélnek hat sertéje van, virága zöldesfehér. 1832. Besser: Bemerkungen über Prof. Eichwald’s naturhistorische Skizze von Lithauen . . . (Flora. Beiblätter. II. p. 35.) Nemcsak Litvániában, hanem Volhyniában is él az Aldrovanda, még pedig Rowne és Kowle kerületekben, a Dombrovica és Swaricevitsche vizekben. « Roxbourgh Will. : Flora indica, or descriptions of Indian plants. Lon¬ don. II. p. 112. Az indiai növényt Aldrovanda verticillata névvel jelöli. 1834. Mutel Aug.: Flore française. Paris. I. p. 127. « Treviranus L. C. : De Aldrovandæ vesiculosae et Mesembryanthemi fo¬ liorum structura. (Abhandl. der kön. Akad. der Wissenschaften zu Ber¬ lin. p. 747.) Linné és De Candolle az Aldrovanda levelét hólyagnak tartották. Trevi¬ ranus volt az első, ki észrevette, hogy a lemez a középér mentén be van hajtva, akárcsak a Dionaea Muscipula levelénél. « Wight Robert : Prodromus floræ Peninsulae Indiae orientalis. London. I. p. 34. Az indiai Aldrovanda verticillata azonos az európai Aldrovanda vesi- culosá-vsd. « Link Heinr. : Die Urwelt und das Alterthum, erläutert durch die Natur¬ kunde. Berlin. I. p. 261. Az indiai Aldrovanda azonos az európaival. 1835. Treviranus L. C. : Physiologie der Gewächse. Bonn. I. p. 484. Az Aldrovanda levéllemezének leírása. Hasonló a Dionaea Muscipula leveléhez, de semmiesetre az Utricularia hólyagjához. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 861 1836. Spach Éd. : Histoire naturelle des végétaux. Paris. Y. p. 488. Virága zöldesfeliér. 1836 — 40. Endlicher: Genera Plantarum. Vindobonae, p. 907. Leírása. Előfordulása : Olasz- és Francziaország tavaiban és árkaiban. 1836 — 43. Meisner C. Fr. : Plantarum vascularium genera. Lipsiæ. p. 22. Bövid leírás. 1837. Bertoloni Ant. : Flora Italica. Bononiæ. III. p. 560. Leírás. Az eddig ösmert olasz termőhelyekhez mint újat a Bologna mel¬ letti Gandazollo mocsarat csatolja. 1838 — 39. Reichenbach : Icones fl. German, et Helv. Lipsiae. Tom. III. tab. XXIV. fig. 4521. Az ábra nem tünteti ki, hogy a virághoz tartozó levélörv kettős, sem azt, hogy ezen örvök leveleinek csak egy része visel lemezt. A lemez alakja sem helyes. A bibék is teljesen hibásan vannak rajzolva. 1 842. Ledebour C. Fr. : Flora Rossica. Stuttgartiæ. I. p. 262. Újat nem tartalmaz. « Trevisan V. Gr. : Prospetto della Flora Euganea. Padova. (Ismertetése : Bot. Zeit. 1843. I. p. 232.) Bertoloni tévesen közli az Aldrovandá- 1 az Euganeák tliermáiból. Itt nincs, de ebben a kerületben csakugyan előfordul. 1843 — 1870. Schnizlein Ad. : Iconographia familiarum naturalium regni vege¬ tabilis. Bonn. III. tab. 189. Feláztatott növényt rajzolt le, elég ügyesen. 1844. Trevisan Vict. Gr.: Bericht über die Arbeiten der Section für Botanik. (Flora, p. 683.) Ismerteti Parlatore előadását a vizi növényekről és az Aldrovanda ana¬ tómiájáról. 1847. Grisebach A. : Über die Vegetationslinien des nordwestlichen Deutsch¬ lands. Göttingen. Az Aldrovanda eloszlását nagyon szabályosnak mondja, a mennyiben az elterjedés területe hosszú és keskeny öv alakjában húzódik Litvániától Fran- cziaországig. Ez övbe tartoznak : Montpellier, Arles, Orange, Piemont, Padua, Oppeln és Litvánia. 1848. Grenier et Gödrön: Flore de France. Paris. I. p. 193. « Maly Car. J. : Enumeratio Plantarum phan. imp. Austriaci universi. Vindobonæ. p. 288. A felső-olaszországi előfordulásokat közli. « Planchon J. E. : Sur la famille des Droseracées. (Annales des Sciences Nat. 3-ième sér. IX. p. 304.) Az Aldrovanda franczia termőhelyei : Orange, Arles, Le Médoc. Mont¬ pellier kétes. 362 MOESZ GUSZTÁV 1850. Cohn Feed. : Über Aldrovanda vesiculosa Monti. (Jahresbericht der schles. Ges. für vaterl. Kultur, p. 108.) Cohn Calabriából is látott Aldrovandá- 1. Elszórt megjelenése növényföld¬ rajzi rejtély. Terjesztheti a szél, a madár vagy az ember. Feltehető az is, hogy régebben jobban el volt terjedve és most csak maradékai élnek. Cohn virágot nem látott. Szobában tartott növények bimbói kocsányukkal együtt elrothadnak. A levelet páratlanul szárnyalt levélnek tartja; a serték volnának a levél oldalsó szárnyai. « Cohn Férd. : Über Aldrovanda vesiculosa Monti. (Flora, p. 673.) Az Aldrovanda első beható anatómiai tárgyalása. A Pless mellett talált növényt vizsgálta. Különös gondot fordított a szőrképletek vizsgálatára. « Hausleutner : Kurze Notizen, Aldrovanda vesiculosa. (Bot. Zeit. p. 600.) 1846 augusztus 8-án ezrével találta Pless mellett a mieseraui tóban. Innen eltűnt, mert az egész tavat szántóvá alakították át. Itt sohasem virágzott. Fuchs 1850 julius 8-án Pless mellett, de más helyen újból megtalálta, még pedig virágozva. « Hausleutner: Cultur der Aldrovanda. (Bot. Zeit. p. 831.) Szereti az árnyékot és a széltől védett helyet. Árnyékban hosszabb, napon rövidebb lesz. A téli rügyeket hideg szobában vagy pinczében kell teleltetni. Január — márczius hónapokban nem jó őket a napnak kitenni, ellenben jó,, ha október — deczemberben a nap éri. Az edény vize ne melegedjék fel. 1851. Hausleutner: Über die Aldrovanda in Schlesien. (Bot. Zeit. p. 301.) A Pless melletti termőhelyekről ír. (Mieserau és Czorkov.) Azt gyanítja, hogy meszet kedvelő növény. Madarak nem terjeszthetik, mert a levegőn gyor¬ san kiszárad. 1852. — Aldrovanda vesiculosa Monti. (Őst. Bot. Wochenbl. p. 125.) Híradás arról, hogy Hausleutner az Aldrovandá-i Pless mellett a mieseraui és a czorkovi tavakon kívül még két más helyen is találta. Osztrák területen pedig Bulichnál (Teschen mellett). « Seybold Fr. : Einige neue Pflanzen der Flora Tyrols. (Flora, p. 403.) 1851 augusztus 21-én találta az Etsch jobb partján, a Bozen melletti mocsarakban. 1852 május 9-én pedig a Salurn melletti mocsarakban. Virág¬ zása 14 napon át tart, szeptember elejéig. Április végén a téli rügyek Bozen mellett még a fenéken voltak. A salumi mocsarakban a növények legnagyobb része téli rügyeket nem fejlesztett, hanem megtartották nyári hosszaságukat télen is. 1854. Garcke Aug. : Flora von Nord- und Mitteldeutschland. Berlin, p. 49. Csak a Pless melletti tavakban él. « Hausmann Fr. : Flora von Tirol. Innsbruck, p. 106. 1847-ben Custer találta Laagsee mellett, a Boden tó partja közelében. A párta zöldesfehér. « Sendtner O. : Vegetationsverhältnisse Südbayerns, p. 744. Vorarlbergben, a Laagsee partján 1847-ben Custer fedezte fel. Nagyon AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 303 valószínű, hogy bajor területen, Lindau mellett is fel lesz található. (Jóslata be is teljesedett.) 1854. Seybold Fr. : Botanische Skizzen von den Grenzen Südtirols. (Flora, p. 154.) A salumi mocsarak a kultúra következtében egyre fogynak. 1854 — 5. Nyman C. F. : Sylloge Floræ europææ. Oerebrœæ. p. 229. 1855. De Candolle Alph. : Géographie Botanique. Paris. II. p. 1000. Elősorolja a termőhelyeket. Felhívja a figyelmet a termőhelyek közt levő nagy hézagokra. Magvakkal nem terjeszkedhetik. Az ember sem terjeszti, mert haszonnélküli, fel nem tűnő növényke, mely csupán a botanikust érdekli. 1857. Hooker et Thomson: Praecursores in fi. Indicam. ( Journal of the Proceedings of the Linnean Soc. II. p. 83.) Az indiai Aldrovanda azonos az európaival. « Wimmer F. : Flora von Schlesien. 3. Ausg. p. 535. 1858. Chatin M. : Faits d’anatomie et de physiologie pour servir à l’histoire de l’ Aldrovanda. (Bull, de la Soc. Bot. de France. Y. p. 580.) A La Canau-ból származó Aldrovanda anatómiai vizsgálata, melyre Cas- PARY később kritikai megjegyzéseket tesz. « Gasp ary R. előadása az Aldrovanda- ról. (Verhandlungen des nat. -hist. Vereines der preuss. Rheinlande u. Westphalens. Bonn. Sitzungsberichte. CXVIH.) Vizsgálatainak főbb eredményeit adja elő. A lemez nem hólyagos és nem is tömlő, levegőt sem tartalmaz, hanem egyszerű redőzés (ptyxis duplicativa). Virágai levélhónaljiak. A tenyésző csúcsban nincs sem kambiumréteg, sem kambiumpalást. A szár szövetei egyszerűen a tenyészőcsúcs megfelelő sejt¬ csoportjaiból keletkeznek. Megállapítja a var. Durieui- 1. « Caspary Rob. : Ein neuer Fundort der Aldrovanda vesiculosa Monti und eine neue Varietät (var. Durieui) derselben. (Flora, p. 755.) A La Canau-ból és a Krakó melletti Tiniec-ből származó Aldrovandá-nak levélnyelén rendesen négy serte van. Ezen megfigyelés alapján állítja fel a Durieui változatot. Az internodiumok hosszúságában jelentkező eltérésről itt még nem szól. « Caspary Rob. : Sur l’Aldrovanda vesiculosa. (Bull. de la Soc. Bot. de France. V. p. 716.) Tartalom, mint előbbi munkáiban. « Herbich Fr. : Über das Vorkommen der Aldrovanda vesiculosa L. um Krakau. (Verhandl. zool. bot. Ges. in Wien. p. 113.) Tiniec mellett Rehmann találta először, majd Herbich is gyűjtött onnan. Leírja előfordulási viszonyait és némely morfológiai sajátságát. Virágot nem látott. 364 MOESZ GUSZTÁV 1858. Maly J. K. : Anleitung zur Bestimmung der Gattungen, der in Deutsch¬ land wildwachsenden phan. Pflanzen. Wien. p. 458. Felső-Szilézia, Tirol. Pártája fehér, 1859. Berd au: Flora cracoviensis. Cracoviæ. « Caspary B. : Bonnban tartott előadása az Aldrovanda vizsgálatáról. (Flora, p. 140.) Újabb adatokat nem tartalmaz. « Caspary R. : Aldrovanda vesiculosa., (Bot. Zeit. p. 117. tab. IY — Y.) Kitűnő tanulmány, mely az Aldrovanda történetét, morfológiáját, fizioló¬ giáját és fejlődéstörténetét tárgyalja, kimerítő pontossággal. « Durieu de Maisonneuve : Note sur une nouvelle espèce du genre Chara. (Bull, de la Soc. Bot. de France. YI. p. 186.) Jelenti, hogy fia LTlet-ben Le Porge mellett Aldrovandá- 1 talált. Yoltak V 2 m. hosszú példányok is, melyeknek 7—8 ága is volt. « Durieu levele, melyben arról értesít, hogy milyen állapotban találta az Aldrovandá- 1 La Canau-ban, junius hóban. (Bull. de la Soc. Bot. de France. YI. p. 399.) « Gay bejelenti az Aldrovanda előfordulását L’Ilet-ben, Le Porge mel¬ lett. (Bull. de la Soc. Bot. de France. VI. p. 447.) « S GHOENFELD bejelenti, hogy Maire Narbonne környékén is talált Aldro- vandá- 1. (Bull. de la Soc. Bot. de France. VI. p. 471.) « Rabenhorst L. : Flora des Königreichs Schlesien. Dresden, p. 248. Aldrovanda vesiculosa Lamarck. Állítólag Zittau-nál ráakadtak. 1860. Nitschke Th. : Wachsthumsverhältnisse des rLndblättrigen Sonnenthaues. (Bot. Zeit. p. 57.) Kiterjeszkedik arra a nagy rokonságra, mely az Aldrovanda és a Drosera rotundifolia közt fennáll. A szárat egyenes irányban folytató rügyet termi¬ nálisnak, a virágot pedig axillárisnak mondja. A nagy rokonság egyik jelét abban is látja, hogy az Aldrovanda fiatal virágkocsánya begörbült, akárcsak a Drosera virágzati szára. (Nitschke tévedett : mert az Aldrovanda fiatal virágkocsánya egészen egyenes.) « Durieu levele, melyben a la canaui Aldrovandá- ról ír, annak felszállᬠsát május 20-ára teszi. (Bull. de la Soc. Bot. de France. VIL p. 388.) « ScHOENFELD W. de : Sur le mode de végétation de l’Aldrovanda vesicu¬ losa en hiver et au printemps. (Bull, de la Soc. Bot. de France. VIL p. 389.) Szobában tartott téli rügyek nem szálltak le az edény fenekére. Márczius végén kezdtek kifejlődni. « Schoenfeld W. előadása a téli rügyek teleléséről. (Bull. de la Soc. Bot. de France. VIL p. 417.) AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 365 1860. Durieu levele, melyben a kultiv ált A Idrovanda úszásáról és lesüllyedésé¬ ről ír. (Bull. de la Soc. Bot de France. VII. p. 921.) « Herbich F. : Beiträge zur Flora von Galizien. (Verhandl. d. k. k. zool. bot. Ges. in Wien. X. p. 620.) Var. Durieui Kolo Tiniecki mocsárban a Visztula mellett. « Maly J. K. : Flora von Deutschland. Wien. p. 458. Új adat nincs benne. « Pokorny A. : Beitrag zur Flora des ungarischen Tieflandes. (Verhandl. d. k. k. zool. bot. Ges. Wien. X. p. 290.) Találta a Sárréten és az ecsedi lápon. Atervbe vett lecsapolás miatt az ecsedi láp kiszáradását s ezzel az Aldrovandá- nak innen való kipusztulását kilátásba helyezi. 1861. Duval-Jouve J. jelenti, hogy az Aldrovandá- 1 a Rhone deltájában Arles mellett megtalálta. (Bull. de la Soc. Bot. de France. Vni. p. 518.) « Herbich : Über die Verbreitung der in Galizien und Bukowina wild¬ wachsenden Pflanzen. (Verhandl. der zool. bot. Ges. Wien. p. 55.) Var. Durieui a wodowici kerületben. « Lassù Augé de : Analyse du mémoire de Gætan Monti sur l’Aldrovan- dia, suivie de quelques observations sur l’irritabilité des follicules de cette plante. (Bull, de la Soc. Bot. de France. Vili. p. 519.) Közli MoNTi-nak az Aldrovandá- ról szóló leírását franczia fordításban. Mun¬ kájának legjelentősebb része, melyben elsőnek ad hírt a levéllemez inger¬ lékenységéről. Szerinte a növényt helyesen Aldrovandiá-nAk kell nevezni. « Neilreich Aug. : Nachträge zur Maly’s Enumeratio plantarum phan. imper, austr. univ. Wien. p. 251. 1862. Caspary Rob. : Aldrovandia vesiculosa. (Bot. Zeit. p. 185. tab. VII.) Az 1859-ben megjelent kitűnő munkának mintegy folytatása, melyben újabb kiegészítő vizsgálatairól számol be. « Caspary Rob. : Untersuchungen über die Gefässbündel der Pflanzen. (Monatsberichte der kön. preuss. Akad. d. Wissenschaften zu Berlin. 1863. p. 448.) Az Aldrovandá- nak nincsenek edényei. Az Aldrovandá középponti nyaláb¬ ját ennélfogva nem is nevezi « Gefässbündel» -nek, e helyett a «Leitbündel» elnevezést ajánlja. « Fritsch bemutatja a Bregenz mellett gyűjtött Aldrovandá- 1. Először Custer találta itt. Leírja előfordulásának helyét, a Laagsee-t. (Verhandl. d. k. k. zool. bot. Ges. in Wien. p. 80.) 1862 — 67. Bentham G. et Hooker J. D. : Genera Plantarum. Londini I. p. 663. A rövid leírás legérdekesebb része az, melyben arról szól, hogy az indiai Aldrovandá bibéi érintkeznek a portokokkal, melyekből a pollenszemek töm- 366 MOESZ GUSZTÁV löt bocsátanak a bibébe. Az Aldrovanda virágjának magabeporzódására vonatkozó első adat. 1864. Janka Viktor: Correspondenz. (Őst. Bot. Zeitschr. p. 320.) Aldrovandá- 1 talált Kőrös-Tarján mellett, augusztus elején. Kár, hogy leírását nem adja. 1866. Neilreich Aug. : Aufzählung, der in Ungarn und Slavonien bisher be¬ obachteten Gefässpflanzen. Wien. p. 270. Az Aldrovanda termőhelyei: ecsedi láp, Berettyó- Sárrét, Kőrös-Tarján. 1867. Ascherson P. : Neue Entdeckungen in der Flora des Vereinsgebietes. (Verh. d. Bot. Ver. für d. Provinz Brandenburg. Berlin. IX. p. XVIII.) Winter 1867-hen Menz mellett a Schulzenhof és a Zeuten tavak között húzódó árkokban Aldrovandá- 1 talált. 1867 — 68. Mueller Férd. de: Fragmenta Phytographiæ Australiæ. Melbourne. Vol. VI. p. 104. Találta O’Shanesy Rockhampton mellett, Limnophila gratioloides tár¬ saságában. 1869. Masters T. Maxw. : Vegetable Teratology. London, p. 86. Az Aldrovandá- nak azt a háromféle teratologiás képződését írja le, me¬ lyeket Caspary ismertetett. 1870. Planchon J. E. : Les plantes carnivores. (Revue des deux mondes.) « Simkovics Lajos : Adatok Magyarhon edényes növényeihez. (Math, és term. -tud. Közi. XI. köt. VI. szám. p. 175.) Találta a drávamelléki mocsarakban Gordisa és Sellye mellett. 1871. Delpino F. : Sulle piante a bicchieri. (Nuove Giorn. Bot. Ital. Firenze, p. 174.) Az Aldrovanda levelei apró vízi állatkákat fognak. 1872. Grisebach : Die Vegetation der Erde nach ihrer klimatischen Anord¬ nung. Leipzig. 1^ p. 552. A magyar és a tiroli termőhelyek felfedezésével az Aldrovanda elterjedési öve szélesebb lett. Grisebach most már 100 földr. mértföld szélesre becsüli. « Hazslinszky Fr. : Magyarhon edényes növényeinek füvészeti kézikönyve. (Pest. p. 130.) Az Aldrovanda előfordulása : Szatmár-, Bihar- és Békésmegyékben. « Knapp Arm. : Die bisher bekannten Pflanzen Galiziens und der Buko¬ wina. Wien. p. 321. Az Aldrovanda vesiculosa L. ß. Duriaei Casp. előfordulása Kaniow-nál és Tiniecki Kolo-nál. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 367 1873. Stein B. : Über die Reizbarkeit der Blätter von Aldrovandia vesiculosa. (Yerhandl. d. bot. Yer. der Prov. Brandenburg. Berlin, p. XXVI.) Találta 1871-ben Proskau mellett a neuhammeri tóban és 1873-ban Ryb- nick mellett, a niedobschützi Mühlteich tóban. Mindkét helyen virágzásban. Ez értekezés legjelentékenyebb része az, melyben a levéllemezek érzékeny¬ ségéről ír. Érintésre a lemez két fele becsukódik. 24 — 36 óra kell, míg ismét széjjelnyílik. Hideg vízben a lemezek csukva maradnak. Legérzékenyebbek 27—30° R-nál. 1874. Stein B. : Über die Reizbarkeit der Blätter der Aldrovandia. (Bot. Zeit, p. 389.) Tartalma mint a megelőzőnek. 1875. Cohn Férd. : Über die Function der Blasen von Aldrovanda und Utri¬ cularia. (Beiträge zur Biologie der Pflanzen. Breslau.) Alapvető vizsgálat a levelek érzékenységéről és rovarfogó képességéről. Elősorolja azokat a parányi vízi állatkákat, melyeket az Aldrovanda levél¬ lemezében talált. A mint az Aldrovandá- 1 szűrt vízből Cyprisektől hemzsegő vízbe tette, a levéllemezek gyorsan megteltek Cyprisekkel. Hogy az Aldro¬ vanda mirigyei választanak-e ki emésztőnedvet, nem tudja megmondani. A nagyobb állatokat a levél lemeze összenyomja. Az állat elhal és végül csak pánczélja marad vissza. A kisebb állatok nem nyomódnak össze, de azért ők is elhalnak. Hogy az Aldrovanda a rovarokat táplálékul használja, valószínű, mert gyökere nincs. « Darwin Ch. : Insectivorus Plants. London. Ismerteti Cohn kísérleteit a szűrt és a Cyprisekkel telt vízbe tett Aldro- vandá-YsA. Leírja a lemez szőrképleteit. Előadja saját kísérleteit, melyeket húslével és húgyanyaggal végzett. Darwin szerint a négyágú szőrök, a miri¬ gyek és a lemez szélén álló fogak egyformán képesek a tápanyag felszívására. A hosszú ízelt szőrök, érző szőrök, érintésre ők idézik elő a lemez két felének bezáródását. Hogy a mirigyek emésztőnedvet is választanak ki, az valószínű. Leírja a var. australis-t Queenslandból és a var. verticillata-t Kalkuttából. « Kerner A. : Die Yegetationsverhältnisse des mittleren und östlichen Ungarns und angrenzenden Siebenbürgens. Innsbruck, p. 54. Új adatot nem tartalmaz. 1875 — 6. Rees und Will H. : Einige Bemerkungen über «fleischfressende» Pflanzen. (Sitzungsber. d. phys. med. Soc. zu Erlangen. Heft 8. Ref. Just’s Bot. Jahresber. 1876. p. 934.) 1876. Bâillon H. : Dictionnaire de Botanique. Paris. I. p. 93. Rövid leírás és a széthasadó termés rajza. « Duval- Jouve: Note sur quelques plantes dites insectivores. (Bull, de la Soc. Bot. de France, p. 130.) 368 MOESZ GUSZTÁV 1876. Duval- Jouve : Observations sur deux plantes carnivores l’Aldrovandia vesiculosa et l’Utricularia vulgaris. (Congrès de la Soc. savantes à la Sorbonne.) « Loret et Barrandon : Flore de Montpellier. Montpellier, p. 82. Az Aldrovancla Montpellier flórájából törlendő. « Mori A. : Nota sull’ irritabilità delle foglie dell’ Aldrovandia vesiculosa. (Nuovo Giornale bot. Ital. Pisa. Vili. p. 62.) 1876 — 77. Mueller Férd. de: Fragmenta Phytographiæ Australiæ. Melbourne. Vol. X. p. 79. A Drosera genus jellemzését kibővítve az ausztráliai Aldrovandá- 1 Drosera Aldrovanda névvel jelöli. Terem Rockhampton mellett mocsarakban. 1877. Aschmann Ed.: Les plantes insectivores. (Recueil des mémoires et des travaux publiés par la Soc. bot. du gr. d. de Luxembourg, p. 30. Refer. : Just’s Bot. Jahresber. 1877. p. 730.) Kételkedik, hogy a megemésztett rovarrészek csakugyan a növény táp¬ lálása czéljából vétetnek fel. « Batalin A. : Mechanik der Bewegungen der insektenfressenden Pflan¬ zen. (Flora, p. 33.) « Klein Gyula : A Magyarországon előforduló rovarevő növényekről. (Ter¬ mészettud. Közlöny. IX. p. 38.) Az Aldrovanda levéllemezének leírása és életműködésének vázolása. Hazai előfordulása : ecsedi láp, Füzes-Gyarmat és Kőrös-Tarján. A drávamelléki előfordulásról nincs említés. * Klein Gyula : A rovarevő növényekről. (Népszerű előadások gyűjteménye 2. füzet. Term, társ.) 1878. Koch W. D. Jos. : Taschenbuch der Deutschen und Schweitzer Flora. Leipzig, p. 276. « Nyman C. F. : Conspectus Floræ europeæ. I. p. 82. « Eichler A. W. : Blüthendiagramme. Leipzig. II. p. 225. Az Aldrovanda virágjának diagrammja. Rajz és rövid leírás. 1879. Drude Oscar: Die Insektenfressenden Pflanzen. (Encyclopædie der Natur¬ wissenschaften. Handbuch der Botanik. I. Bd. p. 113.) Újat nem tartalmaz. « Hooker J. D. : The Flora of British India. London. II. p. 425. Csupán Calcuttá-t említi. Aldrovanda verticillata Roxb. = Aldrovanda vesiculosa L. « Klein Gyula : Pinguicula alpina, mint rovarevő növény, különös tekin¬ tettel boncztani viszonyaira. (Tud. Akad. Értekezések a term. -tud. köré¬ ből. IX. köt.) Analog vonatkozás az Alclrovandá-i'Sb. Ugyanez németül is megjelent 1880-ban: Cohn, Beiträge zur Biologie der Pflanzen. III. Bd. p. 163. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 369 1879. Oels W. : Vergleichende Anatomie der Droseraceen. (Inauguration Disser¬ tation. Liegnitz.) Az Aldrovanclá- ról újat nem mond. 1880. Baenitz C. : Handbuch der Botanik. Berlin, p. 69. Az Aldrovanda hosszaságát csak 4 — 5 cm. -re teszi. 1881. Borbás V. : Békés vármegye flórája. (Értekezések a természettudományok köréből, p. 90.) Aldrovanda a Berettyó-Sárrét levezető csatornájában Füzes-Gyarmat mel¬ lett. Az Új-Kőrösben elég bőven. (1881-ben.) « Oborny Ad.: Flora von Mähren und Őst. Schlesien, Brünn. IL p. 1143. Az Aldrovanda előfordulása : Bulich, Teschen mellett és Kancow, a Visz¬ tula mellett. Szirma fehér. « Uechtritz Rúd. v. : Resultate der Durchforschung der schles. Phæro- gamen-Flora im Jahre 1881. (59. Jahresber. d. Schles. Ges. für vaterl. Cui tur. Breslau. 1882. p. 325.) Az Aldrovandá- 1 a Proskau melletti Przyschetz-ből említi. 1882. Arcangeli Giov. : Compendio della Flora Italiana. Torino, p. 79. Rövid leírás. « Brochon : Résultat d’une excursion botanique à Lacanau. (Actes de la Soc. Linn. de Bordeaux, p. XLV.) Közli, hogy La Canau-ban Aldrovandá- 1 talált. « Caspary Rob. : Bericht über die Untersuchungen der Seen der Kreise Graudenz, Kulm und Thorn. 1882. (Schriften der Phys. Öcon. Ges. zu Königsberg. 1883. Jahrgang 24. Abtheil. I. p. 83. Refer. : Just’s Jahres¬ ber. 1883. IL p. 280.) Több mint 250 tavat és tócsát vizsgált, ezek közül a czystochlebi tóban Aldrovandá- ra akadt. Nem virágzott. « Scheppig C. : Correspondenz aus Berlin. (Österr. Bot. Zeitschr. XXXII. p. 378.) Közli, hogy a paarsteini tóban Aldrovandá- 1 talált. Nem virágzott. « Willkomm Mór. : Führer in das Reich der Pflanzen Deutschlands, Österreichs und der Schweiz, p. 805. A czímben megjelölt területről már tíz termőhelyet említ. Párta fehér. 1883. Ascherson P. előadása az Aldrovanda előfordulásáról Brandenburgban és általában földrajzi elterjedéséről. (Verh. der Bot. Ver. der Prov. Bran¬ denburg. p. 58.) Miután az Aldrovandá- nak a paarsteini tóban és a czystochlebi tóban történt felfedezéséről szólt, rátér arra, hogy de Bary 1879-ben Lindau és Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 24 370 MOESZ GUSZTÁV Wasserburg között a bodeni tó közelében is megtalálta. Virága sem ekkor, sem a következő esztendőben nem volt. Menz mellől, az ottani vízépítkezések miatt kipusztult. 1880-ban már nem volt ott található. Felemlíti továbbá, hogy Schweinfürth 1869-ben Középafrikában a Bahr-el-Rhasal-ban (bizonyára : Ghasal) és Müller Ausz¬ tráliában, Rockhampton város közelében is találta. 1883. Emery A. : A növények élete. Budapest, p. 509 et 751. Az Aldrovanda magyar termőhelyei is fel vannak sorolva. A drávamelléki termőhelyről nincs említés. « Leünis J. : Synopsis der Pflanzenkunde. Hannover. I. p. 773. A szerző szerint az Aldrovandá- 1 vízi madarak terjesztik. « Schaarschmidt Gy. : Fragmenta phycologiæ Bosniaco-serbiæ. (Magyar Növ. Lapok. p. 34.) «A szerb algákat PANCSics-től gyűjtött Aldrovandia vesiculosa herbarium példányairól lemosott iszapban találtam». « Schlechtendal-Hallier : Flora von Deutschland. Gera-Untermhaus. Bd. 13. p. 142. Rövid leírás. Ugyanazon hibás ábra, mint Reichenbach Icones -ében. 1884. Brandza Demetriu : Vegetatiunea Dobrogei. Bucuresci. p. 28 et 32. A Duna deltájából Aldrovandá- 1 és Nymphaea candida Presl.-í közöl. « Gandoger Mich. : Flora Europæ, terrarum que adjacentium. Parisiis. Tomus. III. p. 173. Az Aldrovanda vesiculosa L. fajt kilencz kis fajra osztja. Csak az olasz, franczia és a szerbiai előfordulásokat ismeri. « Pancic Jós.: Dodatak «Fiori Knezevine Srbije». Beograd, p. 114. Szerbiában Makis-nál Belgrád közelében terem. 1885. Leünis J. : Synopsis der Pflanzenkunde. Hannover. IL p. 415. A párta fehér. 1886. Foucaud J.: Flore de l’Ouest de la France. Nantes. (Refer.: Just’s Jahresbericht. II. p. 450.) « Korzschinsky : Über die Samen der Aldrovandia vesiculosa. (Bot. Cen¬ tralblatt. Bd. XXVII. p. 302.) Fontos munka, mert az Aldrovanda érett magva és annak csírázása itt van legelőször leírva és lerajzolva. Vizsgálatait azon az anyagon végezte, melyet 1883 augusztus 4-én fedezett fel a Volga torkolatában a Kolisno mocsárban, Astrachantól 40 wersztnyire délkeleti irányban. Vizsgálatai alap¬ ján azt következteti, hogy az Aldrovanda genus fiatalabb a Droserá- nál, mert csirájának gyököcskéje van, míg például a hasonló viszonyok között élő Utriculariá-nsAí nincs. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 371 1886. Schenck H. : Die Biologie der Wassergewächse. Bonn. Igen jó munka, mely az Aldrovanda biológiájáról is elég részletesen szól. « Schenck H. : Vergleichende Anatomie der submer sen Gewächse. Cassel. Jeles munka, mely az Aldrovanda anatómiáját is kimerítően tárgyalja. CASPARY-val ellentétben azt állítja, hogy az Aldrovandá- nak igenis van epi- dermise és vannak rostás edényei is. « Uechteitz R. : Resultate der Durchforschung der schles. Phaneragamen- flora im Jahre 1885. (Jahresber. d. schles. Ges. vaterl. Kultur. Breslau. p. 216.) Aldrovanda vesiculosa Rybnick-en, Pohlom-nál két tóban találta Migula tanuló. Gyéren. 1887. Korzschinsky : Materiali k geografli, morfologii i biologii Aldrovandia vesiculosa L. (Trudy Obstsh. Estestv. pri lmp. Kasansk. Univers. XVII.) A szerző az Aldrovandá- 1 1883-ban találta a Volga torkolatában a Ko- lisno és a Baranovszka mocsarakban. Részletesen tárgyalja az Aldro¬ vanda előfordulási viszonyait. A harmadkori gazdag vízi flóra maradvᬠnyának tekinti. A jégkorszak Déleurópába és Ázsiába szorította, majd a mostani korszak elején újból benépesítette Európát, de jelenleg ismét pusz¬ tul, helyet engedve alkalmazkodóbb vízi növényeknek. Sporadikus előfor¬ dulását csakis így magyarázhatjuk. Nézetét analog esetekkel támogatja és különös részletességgel ismerteti a Trapa natans történetét. Nagy figyelemmel vizsgálja a különbséget, mely a virágos és a meddő levélörvök közt van. Erre vonatkozólag táblázatot is állít Össze. A virágos levélörv tulajdonképen kettős örv, melynek nem minden levelének fejlődött ki a lemeze, azaz bogárfogó kelepczéje. A lemez elsatnyulása nyilván arra vezethető vissza, hogy a virágos örvök élettevékenységének nagy része a gyümölcsözésre, szaporodásra használtatik fel, nem pedig a táplálkozásra. Megerősíti Bentham és Hooker megfigyelését, mert ő is látta, hogy a portokok érintkezésben állanak a bibékkel, a pollenszemek már az antherában csiráznak ki, még akkor, mikor a virág ki sincs nyílva. A magabeporzódás ellenére, a magrügyek legnagyobb része termékenyítetlen marad. A magrügy megdagad ugyan, de embryot nem fejleszt. így keletkeznek azok a termés¬ alakok, melyeket Caspary «hamis termés» -eknek nevez. Leírja és le is raj¬ zolja a mag szerkezetét. 1888. Bâillon: Histoire des Plantes. IX. p. 233. « — Wer hat die insektenfressenden Eigenschaften der Pflanzen ent¬ deckt, und wie viele und welche Pflanzenarten in Deutschland gehören zu den insektenfressenden ? (Naturwiss. Wochenschrift. Nr. 5. p. 39.) « — Die sporadische Verbreitung von Aldrovandia vesiculosa. (Natur. XXXVII. p. 650. Refer. : Just’s Bot. Jahresber. 1888. IL 62.) Az ismeretlen szerző Korzschinsky nézetét vallja. Az Aldrovanda ki¬ veszőben van és csak a sások és nádasok sűrűségében küzködik még a meg¬ élhetésért. 24* 372 MOESZ GUSZTÁV 1889. Müller: Note on the Probable Occurence of Aldrovanda vesiculosa in N. S. W. (Proc. Linn. Soc. New- South- Wales. 2. Ser. Yol. IY. Sydney, p. 197.) Az Aldrovanda Queenslandban jól elterjedt. Új-Dél-Walesben előjövetele kérdéses. Keresése ajánlatos. 1890. Jamamoto J. : Winter Stage of Aldrovandia vesiculosa L. (The Botanical Magazine. Tokyo. Yol. 4.) « Parlatore Fil. : Flora Italiana, continuata da Teod. Carnei. Firenze. IX. p. 217. Leírása és olasz termőhelyeinek kimerítő elősorolása. Szirmai fehéresek. « Pénzig 0. : Pflanzen Teratologie. Genua. I. p. 470. Csupán Caspary teratológiáit ismétli. « Simonkai Lajos : Nagyváradnak és vidékének növényvilága. (Bunyitay Yincze : Nagyvárad természetrajza, p. 62.) « Aldrovanda vesiculosá-t Kőrös-Tarján vizeiben nem sikerült föllelnem . . . Eltűnt.» « Wohlearth R. : Die Pflanzen des Deutschen Reichs, Deutsch-Österreichs und der Schweiz. Berlin, p. 477. Pártája zöldesfehér. 1891. Borbás Y.: Közlemények Békés és Bihar vármegyék flórájából. (Magyar orvosok és természetvizsgálók munkálatai, p. 479. ) 1877 — 81-ben Békésben még bőségben volt más ritka vízi növényekkel együtt. Manap (t. i. 1891-ben) már kipusztult. « Drude 0. : Droseraceæ. (Engler-Prantl : Die natürl. Pflanzenfamilien. III. Theil. 2. Abth. p. 268.) Az Aldrovanda rövid leírása. Az ábra elég jó. Jól látható az ág első szártagjának hosszabb volta. A virág levélörve hibás. « Goebel K. : Pflanzenbiologische Schilderungen. Marburg. II. p. 69. A szerző megfigyelte, hogy a levél már 15° C-nál is érzékeny, míg Stein azt hitte csak ennél melegebb vízben. Szép rajzai vannak. « Ludwig F. : Zur Biologie der phaner. Süsswasserflora. (Zacharias : Die Thier- und Pflanzenwelt des Süss wassers. Leipzig. Bd. II.) 1892. Koch W. D. J. : Synopsis der Deutschen und Schweitzer Flora. Leip¬ zig. p. 229. Pártája fehér. 1 893. Korzschinsky : Plantæ Amure uses in itinere anni 1891. collectae. (Acti horti Petropolitani XII.) Találta az Amur folyó mentén Seja és Bureja közt. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 373 1893. Marino T. : Notes on Japanese Plants. XIX. (Botanical Magazine VII. Tokyo, p. 285. tab. XI.) Aldrovanda vesiculosa var. verticillata Darw. = Aldrovanda verticillata Roxb. = Aldrovanda vesiculosa Hook, et Thomson. Az angol szöveg igen rövid, de a táblán számos, igen jól sikerült ábra mutatja a japán Aldrovanda különböző részleteit. Legfeltűnőbb a csésze rövidsége. Az Aldrovanda teljes képe az irodalomban található ábrák között a legjobb. « Raciborsky M. : Über die Inhaltskörper der Myriophyllum trichome. (Berichte der Deutschen Bot. Ges. Bd. XI. p. 348.) Az Aldrovanda fiatal levelének többsejtű és kétágú szőreiben közelebbről meg nem elemezhető glycosoid anyag van. 1893 — 94. Patschosky Jos. : Skizze der Flora der Umgebungen von Perejaslav, Gouv. Poltawa. (Denkschr. Natf. Ges. XIII. p. 63. Refer. : Just’s Bot. Jahresber. 1896. IL p. 208.) Orosz munka. Új adat : a tavakban Aldrovanda. 1894. Acloque A. : Flore de France, p. 129. Genuskülönbség Aldrovanda és Drosera közt : Aldrovanda virágai levél- hónaljiak, Drosera virágai nem levélhónaljiak. « Constantin P. : Le monde des Plantes. Paris. p. 755. Planchon leírását közli. « Loew E. : Blüthenbiologische Floristik. Stuttgart, p. 195. A virág magabeporzódásáról ír, de újat nem mond. « Schilling A. J. : Anatomisch-biologische Untersuchungen über die Schleimbildung der Wasserpflanzen. (Flora, p. 319.) Az Aldrovanda rövidszárú, két és négyágú szőrei nyálkát választanak ki. « Schumann K. : Lehrbuch der systematischen Botanik. Stuttgart, p. 366. Az Aldrovanda úgy látszik terjeszkedőben van. 1895. Albow N. : Enumeratio Plantarum Transcaucasiæ occidentalis. (Trudy Tifìiszkago Botanicseszkago sada. I. p. 94.) Megtalálta az Aldrovanda- 1 a Kaukázus vidékén a Kuban folyó torkolatában. « Karsten H. : Flora von Deutschland, Österreich und Schweiz. Gera- Untermhaus. II. Auflage, p. 179. Pártája fehér. 1896. Formánek Ed. : Kvëtana Moravy a rakouského Slezska. Praze. II. p. 1349. Az Aldrovanda előfordulása : Bulich, Teschen mellett és Kanców, a Visz¬ tula mellett. Szirma fehér. « Haberlandt G. : Physiologische Pflanzenanatomie. Leipzig, p. 480. 374 MOESZ GUSZTÁV Az Aldrovanda lemezének érzőszőreiről szól, főképen azoknak csuklószer¬ kezetéről. 1896. Kernbe Ant. : Pflanzenleben. Leipzig-Wien. I. p. 143. II. p. 95 et 587. Az Aldrovandá- 1 a madarak terjesztik. « Paczoski J. : 0 novych i rzadszych róslinach flory litewskiej. (Anzeiger Ac. Wiss. Krakan. p. 196.) A litvániai flóra új és ritka növényeiről. Az Aldrovandá- 1 Grodno és Minszk tartományokból említi. 1896 — 8. Adriano Fiori et Paoletti : Flora analitica d’Italia. Padova. Voi. L p. 530. Rövid leírás. Párta fehér. 1897. Béguinot A. : Di alcune piante nuove o rare per la flora romana. (Bull. Soc. Bot. Ital. p. 30.) Az Aldrovanda előfordul Latium tartományban is. « Bolzon P. : Contribuzione alla flora veneta. Nota III. (Bull. Soc. Bot. It. p. 51.) Az Aldrovanda előfordulása Chioggia-nál. « Cohn Férd. : Die Pflanze. Breslau, p. 291 et 328. Az Aldrovanda népszerűén írt biológiája. A 328-ik lapon ellenzi az újab¬ ban felkapott Aldrovandia elnevezést. Okai a következők : 1. Monti is, Linné is, Aldrovandá- nak nevezte. 2. A tudós, kitől nevét nyerte ALDR0VANDus-nak nevezte magát. Már pedig a latin nevek us végződése nem változtatható át ia végződésre. (Cohn tévedett, mert Monti Aldrovandia- nak nevezte a növényt.) « Mönkemeyer Wilh. : Die Sumpf- und Wasserpflanzen. Berlin, p. 135. Új adatot nem tartalmaz. « Pfeffer W. : Pflanzenphysiologie. Leipzig. I. 364. II. p. 433. Újat nem mond. « Rouy et Foucaud : Flore de France. Tome IY. p. 6. Elősorolása az Aldrovanda termőhelyeinek. Narbonne-ban úgy látszik nem él többé. Említi Morvaországot és Bulgáriát is. E két ország felemlítése csakis tévedésen alapulhat. 1898. Brandza D. : Flora Dobrogei. Bucuresci. p. 48. Az Aldrovanda a Duna deltájának álló vizeiben elég gyakori. « Garcke Aug. : Illustrierte Flora von Deutschland. Berlin, p. 81. Németországból hét termőhelyet említ. « Knuth P. : Handbuch der Blüthenbiologie. Leipzig. I. Bd. p. 71. II. Bd. p. 150. A virág kleistogam. Újat nem tartalmaz. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 375 1898. Weinrowsky P. : Untersuchungen über die Scheitelöffnungen bei Wasser¬ pflanzen. (Refer. : Just’s Bot. Jahresber. 1902. IL p. 24-8.) 1898 — 99. Ascherson und Graebner: Flora des Nordostdeutschen Flachlandes. Berlin, p. 376. Négy termőhelyet említ. E területen sohasem virágzott. 1899. Béguinot A. : Contribuzione allo studio di alcuni generi della flora delle paludi Pontine. (Nuovo Giornale Bot. Ital. Firenze. VI. p. 284) Az Aldrovancla a pontini mocsarakból törlendő. « Blanc P. : L’Aldrovandia vesiculosa L. pendant sa periode de repos- (Rev. hort. Bouches du Rhône.) 1897-ben találta a raphèle-i mocsárban. A rügyeknek megvan az a képes¬ ségük, hogy a vízi növényekhez könnyen odatapadnak. « Pinszka B. J. : Flora Caucasa. (Trudy Tiflisk. Bot. IV. p. 312.) Újabb adatot nem említ. « Radde G. : Grundzüge der Pflanzenverbreitung in den Kaukasusländern. Leipzig. (Die Vegetation der Erde. III. p. 166.) Aldrovanda a Kuban folyó torkolatában. « SoLEREDER H. : Systematische Anatomie der Dicotyledonen. Stuttgart, p. 366. Az Aldrovanda anatómiájának ismeretéhez nem nyújt újabb adatokat. « Woenig F. : Die Pusztenflora der ungarischen Tiefebene. Leipzig, p. 111. Az Aldrovandá-nsbk csak nevét említi. 1900. Béguinot A. : Florula di alcuni piccoli laghi inesplorati della prov. di Roma. (Bull, della Soc. Bot. Ital. Firenze, p. 56.) Az Aldrovanda előfordulása Paliano és Acute közt két medenczében Fiuggi ásványvizeitől nem messze. « Marino T. : Phan. Japan. Icon. I. pl. 38. 1901. Ade A. : Flora des bayerischen Bodenseegebietes. (Berichte der bayeri. sehen bot. Ges. VIII. p. 19 et 117.) Az Aldrovanda előfordulásáról a Boden tó partján. « Coste H.: Flore descriptive et illustrée de la France. Paris, I. p. 167. Rövid leirásában a pártát fehérnek mondja. Földrajzi elterjedését hiányo¬ san és hibásan közli. Az ábra nagyon rossz. « Haberlandt G. : Über Reizleitung im Pflanzenreich. (Bot. Centralbl. p. 369.) « Schube Th. : Beiträge zur Kenntniss der Verbreitung der Gefässpflanzen in Schlesien. Breslau, p. 27. Sziléziában való előfordulása, tekintettel a szomszédos országrészekre. 876 MOESZ GUSZTÁV 1902. CoNWENTz : Die Gefährdung der Flora der Moore. (Prometheus XIII. p. 161.) Az egykor terjedelmes lápok a kultúra következtében tünedeznek és ennek folytán sok érdekes és ritka növény már el is tűnt. így Nyugat-Poroszország- ból végleg kipusztult a Primula farinosa, a Trapa natans és a czystochlebi tóból az Aldrovanda vesiculosa , melynek felkeresésére a nyugatporoszországi bot.-zool. társaság 1901-ben expedicziót is szervezett. Az Aldrovandá-t azon¬ ban már nem találták. Az egykori tó, miután vizét lecsapolták, száraz területté kezd alakulni. 1902. Hope C. W. : The «sadd» of the upper Nile: it Botany with that of similar obstructions in Bengal and American waters. (Ann. bot. XYI. p. 495.) Khartumtól délre 435 angol mérföldre Bahr-el-Dshebel-ben nagy hajózási akadály a «sadd». Ez az akadály 250 angol mérföld hosszúságban tart. A «sadd» alkotórészei a papyrus és az «umsoof», a gyökerekhez tapadó földdel együtt. Az «umsoof» növényei : az Azolla, Utricularia, Ottelia , Vossia procera (= umsoof), Phragmites communis, Pistia, Aldrovanda, Ceratopteris, Cyperus colymbetes és Cyperus nudicaulis. « Moesz G. : Brassó állóvizeinek mikroszkopikus növényzete. Brassó, p. 31. A brassói Aldrovanda itt van először felemlítve, mint a Fortyogó-mocsár hínárjának egyik tagja. 1903. Ascherson P. : Bericht über die 78. Hauptversammlung zu Rheinsberg. (Verh. des Bot. Yer. der Prov. Brandenburg, p. YII.) A város környékén kiveszett növényekről többek közt az Aldrovandá- ról szól. Menz mellől kipusztult. « Delpino F. : Sulle piante a bicchieri. (Bull, dell Orto Bot. di Napoli. I. p. 63.) Az Aldrovanda levelének bogárfogó képességéről. « Holzner : Zur Litteratur von Aldrovandia Monti. (Mittheil. d. Bayer. Bot. Ges. p. 282.) Kimutatja, hogy MoNTi-nak az Aldrovandá- ról szóló leírása nem az Act. Bon.-ban, hanem a Commentarii Bononiensis-ben jelent meg, holott a szer¬ zők állandóan az úct. Bon.-t idézték. E hiba forrása CHENON-ig (1751) vezet¬ hető vissza, kinél csakis sajtóhiba lehetett. « Komarov Y. : Flora Manshuriæ. (Acta Horti Petropolitani. XXII. p. 389.) Az Amur folyó mocsaraiban. 1904. Fenner C. A. : Beiträge zur Kenntniss der Anatomie, Entwickelungs¬ geschichte und Biologie der Laubblätter und Drüsen einiger Insektivoren. (Flora. XCIH. p. 335.) Értékes munka, melyben részletes adatokat találunk az Aldrovanda leve¬ lének szerkezetéről, mirigyszőreinek fejlődéséről és a lemez biológiájáról. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 377 Előadását számos jó képpel magyarázza. A levélnyélen 700 — 900 kétágú szőr van. Idősebb levélnyélen ezeknek már csak nyomait találjuk. Bizonyítéka ez annak, hogy a levélnyél eredetileg épp oly szerv, mint a lemez és kezdetben az egész levél azonos szőrképleteket fejleszt, melyek csak későbben szenved¬ nek változást; vagy fölöslegesekké válván, eltűnnek. A levéllemez belső felületén öt övét, zónát különböztet meg : I. a levél¬ lemez befelé hajlott peremét, melyen mirigyszőrök nincsenek, a levél széle egysejtű sertéket visel ; II. a négyágú mirigyek övét ; III. a mirigynélküli övét ; IV. a kerekmirigyek, azaz az emésztőmirigyek övét és V. a legbelső övét, melynek a sok emésztőmirigyen kívül még csuklós érzőszervei is vannak. A lemez két fele 24 — 26° meleg vízben széjjel áll annyira, hogy közöttük 64 — 68° szög marad. Ha finom ecsettel a lemez két fele közé nyúlt és az érzőszőrök csúcsát érintette, megkezdődött a lemez becsukódása. Ha az érző¬ szőrökre gyakorolt inger abbamaradt, úgy a lemez becsukódása is megszűnt. A lemez két fele egymás felé ca 30°-nyira közeledett. Ha ellenben folytatta az érzőszőrök ingerlését, úgy a levéllemez is szakaszos mozdulatokkal foly¬ tatta becsukódását, míg végre teljesen elzáródott. A becsukódott levéllemez 20 — 30 óra múlva magától kinyílt. Másodszori ingerlésre már lassabban reagál, sőt az ismételten becsukódásra birt lemez ki se nyílik többé. Fenner ezek után részletesen leírja a lemez működését, a midőn parányi Crustaceák jutnak a kelepczébe. Szerinte kétségtelen, hogy a kerekmirigyek, emésztő¬ mirigyek, melyek emésztőnedvet választanak ki és egyúttal az oldatba került tápanyagok felszívására is képesek. Kísérletei alkalmával, midőn fogva tartott állatkákat tartalmazó becsukott lemezeket vizsgált, azok emésztő mirigyeiben, még pedig a mirigy fejecs¬ kéjének sejtjeiben mindig megtalálta a zavaros gömbös anyagot, melyet tel¬ jesen nyitott lemezek mirigy sej tjeiben hiába keresett. Nagyon érdekes Fenner azon megfigyelése, hogy az egészen fiatal levelek egész felületén, tehát a levélnyélen is, az összes szőrképletek, tápanyagok felszívására képesek. (A trichomákat, érzőszőröket nem tudta ily szempont¬ ból megvizsgálni.) Ebből következteti, hogy kezdetben az Aldrovanda minden epidermises képződése azonos képességgel rendelkezik, csak később különül¬ nek el a szőrképletek : egy részük megtartja emésztőképességét, ezek a kerek mirigyszőrök, más részük elveszíti és inkább a bogárfogásra válik alkalmatossá. Ezen az alapon Fenner a két- és négyágú szőröket is mirigyek¬ nek nevezi. 1904. Holzner und Naegele : Vorarbeiten zu einer Flora Bayerns: Die baye¬ rischen Droseraceen. (Berichte der bayer, bot. Ges. IX. p. 16.) Az Aldrovanda Bajorország egyetlen helyén él : Lindau mellett, a Boden- tónál, hol Watson asszony fedezte fel. « Hooker J. D. : The Flora of British India. (Journal of Bot. XLII. p. 221.) « Höck F. : Einarter unter den Gefässpflanzen Norddeutschlands. (Fest¬ schrift Ascherson. Leipzig, p. 43.) Az Aldrovandá-t jégkorszak előtti maradványnak tekinti. Ilyen a Me- nyanthes is. 378 MOESZ GUSZTÁV 1904. Schube Th. : Flora von Schlesien. Breslau, p. 191. Sziléziából hat termőhelyet említ. « Thomé : Flora von Deutschland, Österreich und der Schweitz. Gera- Reuss. II. p. 237. 1905. Makino T. : Observations on the Flora of Japan. (The Botanical Maga¬ zine. Tokyo, p. 24.) Jó leírása a japáni Aldrovandá- nak, mely Japán két helyén él. Virágzik julius- és augusztusban. Pártája zöldes. A virág rendszerint kinyílik és a szirmok nem hajlanak össze. Felfedezésének éve 1890. « Scholz B. Jos. : Die Pflanzengenossenschaften Westpreussens. Danzig, p. 82 et 84. A czystochlebi tó, a hol Caspary 1882-ben az Aldrovandá- 1 találta, ki¬ száradt, rétséggé alakították át. « Wagner H. : Illustrierte Deutsche Flora. Stuttgart, p. 323. 1906. Diels L. : Droseraceae. (Das Pflanzenreich. IV. Heft. 26. p. 112.) Az Aldrovandá- nak legújabb összefoglaló ismertetése. Aldrovandá- 1 ír és nem Aldrovandiá- 1. A virágkocsány levélhónalji. A párta fehér. A termő¬ helyek felsorolása kissé hiányos. (Afrikát például kifelejtette.) Az eredeti rajznak mondott habituskép hibás. Főbb hibái : a virághoz tartozó levél- örvöt nem rajzolta kettősnek ; ugyanezen örv minden levelét lemezes levél¬ nek rajzolta ; a két virágot oly közel rajzolta egymáshoz, hogy közöttük, csak egyetlen egy levélörv van. A valóságban ez nem fordul elő. A szár alsó örvei visszafelé hajlanak, holott Diels rajzában mind elállanak. A habitus¬ képen a bogárfogó lemezek is hibásak. « Francé R. : Das Pflanzenleben Deutschlands und seiner Nachbarländer. Stuttgart. I. p. 482. Az ábra hihetetlen helyzetben mutatja be az Aldrovandá- 1 : a növény ugyanis csúcsi végét teljesen kidugja a vízből ! « Glück H. : Biologische und morphologische Untersuchungen über Wasser- und Sumpfgewächse. Jena. 2-ter Theil. p. 128. Szobában kultivált Aldrovandá rügyeinek megvizsgálta fagyálló képessé¬ gét. 12 drb. Aldrovanda-rügj , miután 10 napig jégben tartotta, egytől-egyig tönkre ment. Kutatja a turioképződést siettető és hátráltató körülményeket. « Haberlandt G. : Sinnesorgane im Pflanzenreich. Leipzig, p. 129. Az Aldrovandá- nak csuklóízülettel ellátott érzőszőreiről szól. « Pantu : Vallisneria spiralis çi Wolffia arrhiza in Romania. (Analele Academiei Romane. Bucuresci. p. 311.) Bukarest flórájában 1902-ben több ritka növényt fedezett fel, ezek között említi az Aldrovandá- 1 is. AZ ALDROVANDA VESICULOSA ISMERETÉHEZ. 379 1907. Retzdorff W. : Ueber das Vorkommen der Aldrovandia vesiculosa L. in der Mark Brandenburg. (Verh. d. Bot. Ver. d. Prov. Brandenburg. Jahrg. 48. p. XXIII.) Az Aldrovandá- 1 Menz mellett utoljára 1883-ban találták. Azóta hiába keresték. Maga a felfedező Winter sem találta meg 1903-ban. Szerző 1906 őszén újból rátalált. Előfordul a Mehlitz tóban, továbbá egy gödörben és egy árokban is. Sehol sem virágzik. 1. ábra. 2. « 3. « 4. « 6. ,« 7. « 8. « 9. « 10. « 11. « 12. « 13. « 14. « 15. « 16. « 17. « 18. « 19. « A TÁBLÁK MAGYARÁZATA. V. tábla. A 9-ik ábrán lerajzolt rendellenes levél csúcsa. Rendellenesség : a virágkocsány levelet visel. A képen látható levelek a kettős örv felső tagját, a csonka örvöt alkotják. Az alsó örvöt egyszerűség szempontjából elhagytam. Téli rügyek, a milyeneknek a szobában, január hónap közepén mutatkoz¬ tak. Az egyik már kezdi az első levélörvöt szétteregetni. Csészelevél széle oly virágból, mely fejlődésének még csak legelején áll. A kiemelkedő sejtekből lesznek a későbbi pillák. . Bimbó. i Fejlett virág. > A bibeszálak háromféle helyzete. Elhervadt virág. J Rendellenesség : lemez és serték nem fejlődtek. Rendellenesség : lemez és serték nem fejlődtek. Rendellenesség : az egyik serte a levélnyél oldalából, alul ered. Fejlett virág, felülről tekintve, nagyítva. A portokok és a bibék nem érintkeznek. Virágtakaró levelek nem terülnek ki. Rendellenesség : kettős orvhoz tartozó levél, melynek középső kis sertéje ki nem fejlődött, helyén a két közbülső serte egy darabon összenőtt. Az Aldrovanda vesiculosa , a hogyan a rétyi Nyír tavában láttam. Rendellenesség. Félvázlatos rajz. Ellaposodott szár, melynek belsejében két nyaláb húzódik, ennek következtében a szárat két virág tetőzi. VI. tábla. Egészen fiatal bimbó termője. A tenyésző csúcs. Egészen fiatal bimbó porzója. Vázlatos habitus-kép. A fiatalabb hajtás összeboruló levelei itt széjjel vannak szedve, hogy a különben elrejtett bimbó és annak tövében a leg¬ fiatalabb hajtás is láthatóvá váljék. Egy fiatal hajtás hosszmetszete, erősebb nagyításnál. Sz1 szárnak ter¬ minális virága V1 (még bimbó). Sz 2 szárnak terminális virága V2 (a legfiatalabb bimbó). Szs , a legfiatalabb axilláris hajtás, mely a szárat tovább fejleszti. KXK% a Vt virághoz tartozó kettős örv ; a F2 virág- 380 MOESZ GUSZTÁV hoz tartozó kettős örv. Rx idősebb, egészen fiatal monopodiális axil- láris rügyek. 20. ábra. Egy fiatal levél részlete, melynek epidermis-sejtjei, két helyen kiemel¬ kednek, hogy kétágú szőrképleteket fejleszszenek. 21. « Habitusképe egy, a kultúra következtében, fejlődésében elmaradt Aldro- vcindá- nak. A virágkocsány rövid marad, később elrothad. 22. « Habituskép, mely a sympodium egyes tagjait és a kettős orvokét mutatja. 23. « Egészen fiatal levél, melynek felső nyúlványából a lemez, alsó részéből a nyél fejlődik ki. 24. « Valamivel idősebb, de még ki nem fejlett levél. A felső kinyúló részből alakul a lemez, tőle jobbra és balra a serték kezdetei láthatók. Oldalt a kétágú szőrök kezdetei. 25. « Rendellenesség : a kettős örv örvei nem fejlődtek ki két külön síkban, hanem spirális vonalban egymásba mennek át. VII. tábla. 26. « Az Alclr ovanda középponti nyalábjának elágazása. A kék szín jelzi a nyalábot, a piros vonal a középponti csatornát. Oldalt a szár megfelelő helyeinek keresztmetszetei vannak. A levélörvöket itt is csak vonalak jelzik s az ide írt számok az illető örv leveleinek számát mutatják. 27. « A középponti nyaláb elágazása három virágkocsányt viselő szárban. A, k és E betűk a kettős orvokét jelzik. 28. « Ama növény habitusképe, melynek középponti nyalábját a 27-ik ábra mutatja. 29. « A szár keresztmetszetének egy részlete, mely a középponti csatornát, a nyaláb egy részét és a vele szomszédos parencliymatikus sejteket tar¬ talmazza. Utóbbiak a légüregeket zárják be. 30. « A szár keresztmetszetének részlete a nodusból. 31. « A levelekbe menő nyaláb részlete a nodusból. 32. « A szár keresztmetszete az elágazás fölött (a 27-ik ábrán 32-vel jelzett helyen). 33. « A szár epidermise keresztmetszetben. 34. « A szár keresztmetszete a nyaláb elágazása előtt (a 27-ik ábrán a 34-el jelzett helyen). 35. « A szár keresztmetszete a kettős örv felső orvén keresztül. A középponti nyaláb elszélesedik, benne a csatorna is szélesebb lesz, elágazása meg¬ kezdődött. « A szár keresztmetszete közvetetlenül a nyaláb elágazása fölött. * 36. UBER ALDROVANDA VESICULOSA. 381 Im Juni 1901 entdeckte ich die Aldrovanda im Gespreng- Sumpfe zu Brassó (Kronstadt) in Ost-Ungarn. Seit jener Zeit verfolgte ich stets mit Aufmerksamkeit das dortige Vorkommen dieser interessanten Pflanze. Da dieselbe übrigens im kleinen Gespreng-Sumpfe nur an wenigen Orten vorkommt, tauchte in mir der Gedanke auf, dass sie in den grösseren Mooren der Barczaság (Burzenlandes) oder im Komitate Háromszék, in den todten Armen der Feketeügy oder des Olt viel¬ leicht in grösseren Mengen Vorkommen dürfte. Meine zahlreichen zu diesem Zweck gemachten Ausflüge führten schliesslich zum gewünschten Resultate, denn am 9. Aug. 1906 fand ich diese Pflanze wirklich in einem kleinen Teiche des Rétyi Nyir im Komitate Háromszék. Sie be¬ deckte die Oberfläche des Teiches zu Tausenden; ein grosser Theil war in Blüthe. Ich ergänzte nun meine früher begonnene Untersuchungen mit denjenigen des neuen Materials. Zur Vergleichung durchsah ich auch die Aldrovanda- Sammlung des Ungarischen National-Museums. So kam die vorliegende Arbeit zu Stande, in welchem ich nicht nur meine an den erwähnten zwei Orten gemachten Untersuchungen schildere, son¬ dern auch auf die möglichst vollständige Litteratur der Aldrovanda , auf die Vergleichung ihrer wichtigsten morphologischen Charaktere, sowie auf die Aufzählung sämmtlicher bisher bekannten Fundorte eingehe. Mit der auf pag. 358 — 378 des ungarischen Textes befindlichen Zu¬ sammenstellung der die Aldrovanda betreffenden Litteratur glaube ich allen denjenigen einen wichtigen Dienst zu leisten, die sich mit dieser Pflanze beschäftigen werden. Und damit diese Zusammenstellung keine blosse Aufzählung von Jahreszahlen, Autoren und Werken sei, so habe ich meist auch den kurzen Inhalt einer jeden Arbeit mitgetheilt. Behufs Vergleichung der wichtigeren morphologischen Charaktere habe ich auf pag. 352 — 353 eine Tabelle zusammengestellt. Dies that ich einerseits um die Forschungen Anderer zu erleichtern, da das Heraus¬ suchen einzelner Daten aus der Weltlitteratur mit nicht geringen Schwie¬ rigkeiten verbunden ist, anderentheils gibt eine solche Tabelle einen lehrreichen Überblick über die einheitliche Gestaltung der von den ver¬ schiedenen Fundorten stammenden Aldrovanden. Eine Abweichung vom Typus kann man nur bei der mit wenigeren Borsten versehenen var. Durieui Casp. beobachten. Endlich hielt ich nothwendig sämmtliche bis jetzt bekannt gewor¬ denen Fundorte der Aldrovanda zu verzeichnen (Pag. 354 — 358.). Caspary publicirte zwar im Jahre 1859 die bis dahin bekannten Fund¬ orte, aber seitdem ist eine lange Zeit verstrichen und die Zahl der 382 GUSTAV MOESZ Fundorte hat sich mindestens verdoppelt. Yon manchen Orten ist die Aldrovanda in Folge der sich ausbreitenden Kultur gänzlich verschwun¬ den. Man findet zwar in jüngster Zeit im Werke Diels (1906) das Ver¬ zeichnis der Fundorte der Aldrovanda , aber diese Zusammenstellung ist nicht vollständig. Deshalb fügte ich, soviel dies mir möglich war, dem Namen des Fundortes auch noch den Namen des Entdeckers, die Zeit der Entdeckung und andere auf den betreffenden Fundort bezüg¬ liche Anmerkungen bei. Die Aldrovanda von Brassó. Sie wächst in einem Becken des Gespreng-Sumpfes, versteckt in der Mitte eines dichten Binsenwaldes (Typha). Ihrer braunen Farbe wegen verliert sie sich in der Masse der ebenfalls braun gefärbten Lenma trisulca. Sie ist so schwer zu entdecken, dass sie nur von dem, der ihren Fundort genau kennt, bemerkt werden kann. Sonst findet man sie höchstens zufällig, wie das auch bei mir selbst der Fall war, als ich sie zum ersten Male im Juni 1901 auffand. Nur die Blätter der jüngsten Triebe sind grün gefärbt. In der ersten Hälfte des Monates Mai und im September sah ich dieselben schön roth gefärbt von Jahr zu Jahr. Ihre rothe Farbe rührt von dem im Zellensafte gelöst vor¬ kommenden hell karminrothen Farbstoff her. Die Blätter der Winter¬ knospen hingegen sind grün. Erwähnen muss ich auch noch meine Beobachtung, dass mitten im Winter heimgebrachte Winterknospen im Februar roth gefärbte Blätterquirle entwickelten, welche sich später grün färbten. Mit besonderer Sorgfalt beobachtete ich die Zeit des Hinab¬ sinkens und Aufsteigens der Winterknospen (Hibernakel oder Turio), ferner die Art der Überwinterung, da die Litteratur diesbezüglich wider¬ sprechende Daten aufweist. Caspaey wies im Jahre 1862 am Ende seiner verdienstvollen Ar¬ beit auf einige Lücken in der Naturgeschichte der Aldrovanda hin. Er fasste in Fragen zusammen, was von der Aldrovanda im Jahre 1862 noch nicht bekannt war. Eine seiner Fragen war: «Wie verhal¬ ten sich an den natürlichen Standorten die Winterknospen? Schwim¬ men sie oder sind sie im Winter auf dem Boden des Wassers? Und, wenn Letzteres, wann steigen sie in die Höhe und in welcher Weise findet dies statt?» Ich glaube diese Fragen am besten so beant¬ worten zu können, wenn ich meine diesbezüglichen Tagebuchnotizen hier mittheile : UBER ALDROVANDA VESICULOSA. 383 11. Sept. 1903. Eine grosse Menge schwamm auf der Oberfläche des Wassers. 25. Sept. 1903. Es waren schon viel weniger bemerkbar. Die Winter¬ knospen waren schon gut entwickelt, sie hatten aber noch abstehende Quirle. 10. Okt. 1903 (ein kalter, nebeliger Regentag). Ich sah nur sehr wenig Aldrovanden. Sie besassen keine abstehenden Quirle und waren ganz in Winterknospen verwandelt. 3. Dec. 1903. Ich sah bloss einige Winterknospen auf der Oberfläche des Wassers schwimmen. 11. März 1904. Man hackte eben Eis an dem Orte, wo die Aldrovanda wächst. Ich verfolgte aufmerksam die Arbeit der Leute und sobald sie ein Loch in das Eis gehauen hatten, untersuchte ich sofort die frei gewordene Wasserober¬ fläche. Zu meiner Überraschung sah ich gegen 20 Stück Winterknospen auf der Oberfläche des Wassers schwim¬ men. Ihre Farbe war grün. Obgleich sie massiv waren, stiegen sie dennoch mit auffallender Geschwindigkeit an die Oberfläche des Wassers, als ich sie tief in das Wasser hinabdrückte, sie mussten also leicht sein. 17. Mai 1904. Es schwammen schon zahlreiche Exemplare im Wasser. Die Pflanze besass ausser der Knospe auch schon 4 — 5 abstehende” Quirle. Diese Blätter waren roth gefärbt. 22. Sept. 1904. Ich sah nur wenige Aldrovanden, sie entwickelten schon Winterknospen. Etwa die Hälfte der Knospen war doppelt. 29. März 1905 sah ich keine einzige. 18. April 1905 « « « « 5. Mai 1905 « « « « 11. » 1905. Die Aldrovanda war schon an der Oberfläche. Sie be¬ sass ausser der Knospe schon 4 — 5 entwickeltere Blätter¬ quirle, diese waren roth gefärbt. Aus diesen Daten geht hervor, dass Monti Recht hat, wenn er behauptet, dass die Aldrovanda im Herbst auf den Grund des Wassers sinkt und nur im Frühjahre wieder in die Höhe steigt. Aber auch Gorski hat Recht, wenn er von der Aldrovanda Russlands (Pinszk) schreibt, dass ihre Winterknospen auf der Oberfläche des Wassers schwimmen. Im Zimmer gehalten fand ich die Winterknospen stets dicht unter der Oberfläche des Wassers schwimmend, ob das Wasser warm war, oder ob im Zimmer Tage lang nicht geheizt wurde. 384 GUSTAV MOESZ Die Zeit des Hinabsinkens kann man auf Ende September, die Zeit des Aufsteigens hingegen etwa auf den 10. Mai setzen. Die hinab¬ gesunkenen Knospen entwickelten die ersten 2 — 3 Blätterquirle noch am Grunde des Wassers. Die genauere Zeit des Emporsteigens der Winterknospen hat meines Wissens nur Durieu beobachtet, der den Frühlingsaufstieg der Alclrovancla von Lacanau auf den 20. Mai setzt. Ihre grösste Länge — : 6 cm. — erreicht sie im Juli und August. Um diese Zeit hat sie 15, gerade abstehende Quirle und entwickelt 1 — 2 Zweige. Interessant ist, dass das erste Stengelglied des entwickelten Zweiges das längste unter allen Stengelgliedern ist. Die Stengelglieder der Alclro- vanda von Brassó sind im Allgemeinen kurz, gewöhnlich nur 1*5 — -2 mm., seltener 3 mm. lang. Das erste Stengelglied des Zweiges hingegen er¬ reicht auch eine Länge von 4 mm. Der Grund dieser Erscheinung liegt gewiss darin, dass der Zweig anfangs ein schnelles Wachsthum hat, in Folge dessen das erste Stengel¬ glied sich mehr streckt als die folgenden. Ob dies im Allgemeinen bei allen Aldrovanden der Fall ist, kann ich nicht behaupten. Thatsache ist, dass ich bei den vom Lago di Candia (Italien) stammenden Aldro¬ vanden die Internodien in der Begel 5 mm., selten 6 mm. lang gefunden habe, während das erste Stengelglied des Zweiges 7 mm., das zweite hingegen nur 3 mm. lang war. Bei den aus dem Kara-Orman-Sumpfe (Donaudelta) stammenden Aldrovanden habe ich ähnliche Verhältnisse gefunden. Drude (1891) veröffentlichte eine Abbildung der Aldrovanda , auf der die grössere Länge des ersten Stengelgliedes des Zweiges gut sichtbar ist. In der Litteratur fand ich diesbezüglich keine Aufzeichnung. Im Blattquirle sind in der Regel 8 Blätter; oft fand Ich 7, sel¬ tener 6 — 9, sogar 10 Blätter in einem Blätterquirle. Die Länge der Blätter beträgt 6 — 8 mm. Die Länge der Blattspreite 3 mm., die Breite derselben 2 mm. An der Spitze des Blattstieles befinden sich gewöhnlich 4, selten 5, noch seltener 3 Borsten. 6 Borsten fand ich bei keinem einzigen Exemplare. Unter 377 Blättern hatten 14 davon 3 Borsten = 3*7% « 377 « « 333 « 4 « = 88’3 « « 377 « « 30 « 5 « = 8*0 « Daraus folgt, dass die Aldrovanda von Brassó nicht der typischen Form, sondern der Varietät Durieui Casp. entspricht. Die Länge der Borste beträgt 5*5 mm. Auffallend ist, dass die Hohlräume des Blattstieles eine längliche Gestalt haben. Sie sind entschieden länger als bei der Aldrovanda vom UBER ALDROVANDA VESICULOSA. 385 Rétyi Nyír. Auf Grund der Beobachtungen Caspary’s darf ich die schmäleren Hohlräume als keine beständigen und charakteristischen Merkmale der Varietät Durieui ansehen. So viel muss ich aber den¬ noch constatiren, dass in den Blattstielen der Aldrovanda von Brassó die Hohlräume durchschnittlich dreimal so lang, als breit sind, wäh¬ rend sie bei der Aldrovanda vom Bétyi Nyír nur doppelt so lang sind.* Obwohl ich die Aldrovanda von Brassó vier Jahre hindurch be¬ obachtete, sah ich sie nie in Blüthe. Es interessine mich auch die Frage, wie schnell die Winter¬ knospe wächst, nachdem sie an die Oberfläche gestiegen ist? Ich weiss sehr wohl, dass diese Frage nur durch Beobachtungen im Freien ent¬ schieden werden kann. Dies war mir aber nicht möglich. Ich beobachtete also das Wachsthum im Zimmer, aber an solchen Pflanzen, welche ich in frischem Zustande heimbrachte und welche ausser der Knospe bloss 4 — 7 Blattquirle besassen. Ich experimentirte mit 5 Exemplaren. Die Beobachtung ergab das folgende durchschnittliche Resultat: Das täg¬ liche Wachsen beträgt 044 mm. Auf eine Woche fällt also im Durch¬ schnitt 3*1 mm. Wachsen. Das tägliche Wachstum bewegte sich zwischen 0*33 und 0*55 mm. Es beschäftigte mich weiter die Frage, ob die Aldrovanda von Brassó seit uralten Zeiten dort lebt, oder ob sie sich erst neuerlich dort angesiedelt hat? Deshalb untersuchte ich gründlicher jene Quellen, welche den Gespreng-Sumpf mit Wasser versorgen. Ich erfuhr, dass auf dem Gebiete des Sumpfes, welches beiläufig Vs Ivm.2 beträgt, per Sekunde 60 Liter Wasser cirkulirt. Das Wasser des Sumpfes kann also getrost als stehendes Wasser betrachtet werden. Die Quelle, welche am Fusse des Gesprengberges entspringt, ist jedoch eine intennittirende Quelle. Ihre Thätigkeit habe ich sechs Jahre hindurch beobachtet. Ausser meinen eigenen Beobachtungen führe ich auch die auf vier Jahre sich erstreckenden Aufzeichnungen von Fr. Eduard Lurtz an. Die Beobachtungen habe ich in einer Tabelle zu¬ sammengefasst (pag. 333), in welcher ich die Thätigkeit und den Still¬ stand der Quelle nach den Jahreszeiten ersichtlich gemacht habe. Das horizontale (— ) Zeichen bedeutet den Stillstand, die vertikale ( | ) Linie die Thätigkeit der Quelle. Aus diesen auf zehn Jahre sich erstreckenden Daten ist ersicht¬ lich, dass die Quelle, nachdem sie 1U — 3A Jahr lang in Thätigkeit war, versiegt und 1 1U — 2 Va Jahre hindurch trocken bleibt. Die Aufzeichnungen aus dem XVIII. Jahrhunderte, da sie auf keinen * Siehe Figuren auf pag. 329 des ungarischen Textes. Annales Musei Nationalis Hunrjarici. V. 25 886 GUSTAV MOESZ genauen Beobachtungen basiren, sind zu Folgerungen ungeeignet. So viel beweisen sie aber dennoch, dass die G espr engquelle schon vor 200 Jahren hie und da ausgeblieben ist. Im Jahre 1904 und 1905 herrschte grosse Dürre. Der Sumpf trocknete, besonders im Jahre 1905, beinahe ganz aus. In mehreren seiner Becken, wo früher schöne kleine Teiche waren, grub man in diesem Jahre Sand. Das Becken der Aldrovanda., wo früher 1 — iVam. tiefes Wasser war, enthielt jetzt kaum 1 dm. tiefes Wasser. Man kann voraussehen, dass die Quelle, welche gewöhnlich 2 — 3- mal so lange ruht, als sie in Thätigkeit ist, ab und zu auch um Va — 1 Jahr länger trocken bleibt. In einem solchen Falle geht die Aldro¬ vanda unrettbar zu Grunde. Und da, im Laufe von Jahrhunderten ein derartiges vollständiges Austrocknen leicht Vorkommen konnte, halte ich es für unwahrscheinlich, dass die Aldrovanda ein Urbewohner des Gesprengsumpfes wäre. Wie und wann sie dahin gekommen ist, davon habe ich keine Ahnung. Ihr zunächst lebt die Aldrovanda, im Bétyi Nyír und bei Bukarest, aber an beiden Orten nur in der typischen Form. Möglich ist auch, dass vordem in den grösseren Mooren der Bar- czasäg ausser der typischen Form auch die Varietät Durieui stärker verbreitet war. Aber infolge der Kultur geht die Moorvegetation schnell zu Grunde und muss den Weide- und Ackerpflanzen Platz machen. Die Aldrovanda vom Bétyi JMyir. Das Bétyi Nyír ist ein mit Erlen untermischter Birkenwald, in welchem beiläufig 130 kleinere und grössere Teiche sich befinden. Diese Sandinsel liegt am linken Ufer des Feketeügy, etwa 10 km. östlich von der Stadt Sepsi-Szent-György und 1 km. südlich von der Gemeinde Béty. Unter den zahlreichen untersuchten Wasserbecken fand ich nur in einem die Aldrovanda. Sie bedeckte in unzählbarer Menge die Ober¬ fläche des Wassers. Am 9. August, als ich sie zu erstenmal entdeckte, stand der grösste Theil derselben in Blüthe. Ihre Farbe war bräunlichgrün. Ich sah auch roth gefärbte, beson¬ ders im Schatten zwischen den hohen Moorpflanzen. Hier war auch das Wasser kühler, während die Glut der Augustsonne den offenen Wasserspiegel stark erwärmt hatte. Ihre Länge betrug im Durchschnitt 7 cm., die kürzeste war 5*5 cm., die längste 11 cm. lang. Die Länge ihrer Stengelglieder variirt zwischen 3 mm. und 6 mm. ; die gewöhnliche Länge ist 4 — 5 mm. Zahl der Blattquirle meistens 16. UBER ALDROVANDA VESICULOSA. 387 In einem Quirle sind gewöhnlich 8 Blätter, oft auch 9, viel seltener 7 oder 10, ausnahmsweise findet man auch 6 Blätter. Caspary behauptet, dass die 9 blätterigen Quirle sehr selten sind. Er sah solche nur ein einzigesmal an einem Exemplare von Batibor. Bei der Aldrovanda von Béty hingegen sind sie gar nicht selten. Die gewöhnliche Länge der Blätter beträgt 8 mm., sie kann aber zwischen 6 mm. und 10 mm. variiren. Die Länge der Blattspreite ist 3 mm., ihre Breite 2*5 mm., d. h. bei derselben Länge ist sie etwas breiter als bei der Aldrovanda von Brassó. Der Blattstiel hat im Allgemeinen 5, selten 6 und noch seltener 4 Borsten. Dass die Aldrovanda von Béty dem Typus entspricht, das be¬ weisen folgende Zahlen. Unter 2914 untersuchten Blättern besassen 250 Blätter 6 Borsten == 8*6% 2536 « 5 « ‘ = 87 '0 « 128 « 4 « == 4*4 « Die Blätter der zur Blütlie gehörigen Blattquirle wurden nicht in Betracht gezogen. Die Länge der Borste beträgt 5 mm. Die Länge des Blüthenstieles beträgt 9 — 15 mm., ihre Dicke ist so gross, wie die des Stammes. Anfangs gerade hebt er die Blüthe über das Wasser; später stark gebogen, zieht er die verwelkte Blüthe unter das Wasser. Die Kelchblätter sind grün, am Bande wimperig. Die Wimpern sind nur mit dem Vergrösserungsglase sichtbar. Dimensionen der Kelchblätter Béty Diels Makino Salurn Donau delta Länge mU 2*7 — 30 1 CO 2*0 — 2*3 2-3— 2-7 2-7 Breite 1*2 cca 1*5 — — — Die Blumenkrone ist grünlichweiss ; die Ivronblätter sind sehr dünn, wenig länger und breiter als die Kelchblätter. Drei schwache Adern durchziehen jedes Kronblatt, erreichen aber den Band derselben nicht. Beim Verblühen schrumpfen sie zusammen und kleben dem Fruchtknoten an. Erwähnen muss ich, dass die Farbe der Blumenkrone von vielen als weiss, von anderen als grünlichweiss beschrieben wurde. 25* 388 GUSTAV MOESZ Auf pag. 377 des ungarischen Textes habe ich die Namen der¬ jenigen aufgezeichnet, welche die Blumenkrone für weiss und welche sie für grünlich gehalten haben. Man sieht, dass die Majorität für die weisse Farbe ist. Trotzdem glaube ich, dass die Blumenkrone der Aldrovanda , mit nur wenigen Ausnahmen, für grünlichweiss gehalten werden muss. Ich glaube dies aus dem Grunde, weil unter denjenigen, welche die Blüthe als weiss beschrieben haben, nur sehr wenige die¬ selbe im lebenden Zustande beobachten konnten. Die meisten entlehnten ihre Mittheilung von anderen. Für die grüne Farbe spricht auch die kleistogame Natur der Aldrovanda- Blüthe. Meiner xinsicht nach kann für weissfarbig höchstens die Blüthe der von der Wolgamündung stam¬ menden Aldrovanda (Angabe Korzschinsky’s) gehalten werden, obwohl auch deren Farbe kaum schneeweiss sein wird. Dimensionen der Kronblätter Réty Diels Makino Sahirn Donau delta Länge 3-25—3-4 4 — 5 3-5—4 3-2— 3-4 3-4 Breite mU 1-65 eoa 2-5 — ' — ■ — Die Länge des Staubfadens sammt Beutel beträgt D75mm., der Faden allein 1*42 mm. Der Faden verbreitet sich nach unten zu flach und ist unten 0*5 mm. breit. In der Mitte durchzieht ihn ein Bündel. Die Staubbeutel öffnen sich nie und die Blüthenstaubkörner fallen nicht aus. Länge des Staub- gefässes in Réty Diels Makino 1 Salurn Donau delta — 1-5—1-75 3—4 bedeutend länger als der Fruchtknoten -?1 1 o 2-5 Die Staubgefässe sind also kürzer als ihre Normallänge. Der Fruchtknoten ist 1*7 — 2*1 mm. lang. (Bei Diels : 2 — 2*5 mm.) Auf der Spitze des Fruchtknotens befinden sich die 5 Griffel ; diese haben eine mehrtheilige, ausgebreitete Narbe. Zwischen den Abschnitten der Narbe befindet sich eine tiefe, bis in den dritten Theil des Griffels reichende trichterförmige Öffnung. Die Länge des Griffels sammt der Narbe beträgt 1 mm. (bei Diels 2 mm. ÜBER ALDROYANDA VESICULOSA. 389 Zur Zeit der Blüthe breiten sich die Kelch- und Kronenblätter nicht aus, sondern bleiben mehr-weniger geschlossen. So beobachteten dies schon Allioni und Pollini. Umso merkwürdiger ist es, dass Marino bei der japanischen Aldr ovanda ein ganz verschiedenes Verhalten be¬ merkte. Er schreibt nämlich im Jahre 1905 : «Bei uns breitet sich die Blüthe in der Begel aus und die Kronblätter wölben sich nicht kappen¬ förmig übereinander». Die Bewegung der Griffel führe ich auf Taf. V in drei Figuren vor. Sie sind in der Knospe bogig gekrümmt, ihre Narben einander zugekehrt (Fig. 5). Darauf beginnen sie sich zu strecken und sich von ■einander zu entfernen. Diese Bewegung dauert so lange, bis die Griffel in eine vollständig horizontale Lage kommen. Der Zweck dieser Bewegung ist gewiss der, die Narben den Staubbeuteln näher zu bringen. Diese Lage der Griffel zeigt die Fig. 6 von Taf. V. Indem sie sich später in die Höhe heben, neigen sie sich in starker Krümmung wieder über¬ einander, ihre tief hinabgedrückten Narben wenden sich abwärts. (Taf. V, Fig. 7.) Während die Narben vordem grünlich gefärbt waren, sind sie jetzt bräunlich und auch ihre Abschnitte sind verwelkt. Marino (1905) schreibt über die Griffel der japanischen Aldro¬ vanda, wie folgt : «... sie sind ausgebreitet, später krümmen sie sich und stark aufwärts und ihre in viele Tlieile getheilte Narbe schmiegt sich dicht an die Antheren». Der Unterschied ist auffallend. Die japanische Aldr ovanda hat Staubgefässe, die länger sind als der Fruchtknoten, infolge dessen sich die Griffel aufwärts krümmen, um mit den Antheren in Berührung zu kommen. (Siehe die Zeichnung Marino’s 1893, plate XI.) Die Staubgefässe der Aldrovanda von Réty sind kürzer als der Fruchtknoten, höchstens eben so lang, infolge dessen neigen sich die Griffel abwärts, um den Antheren nahe zu kommen. In der Litteratur findet man keine Angaben über die zweierlei Längen der Staubgefässe und über die Bewegung der Griffel. Auch Marino sagt darüber nicht mehr, als den oben angeführten Satz. Auf Grund der Untersuchung von Herbarium-Exemplaren habe ich mich überzeugt, dass die Staubgefässe der Aldrovanda von Salurn {Tirol) und Kara-orman (Donaudelta) ebenfalls länger sind als der Fruchtknoten. Bei beiden habe ich sogar die Narben mit den Staub¬ beuteln über dem Fruchtknoten zusammengeklebt gefunden. Bei der Aldrovanda von Réty kann eine solche enge Berührung wegen der Kürze der Staubgefässe nicht zu Stande kommen. (Taf. V, Fig. 11). Und wenn man weiter in Betracht zieht, dass die Staubbeutel sich 390 GUSTAV MOESZ nicht öffnen und dass die Blätter der Blüthenhülle sich nicht aus¬ breiten, sondern mehr-weniger zusammengeschlossen bleiben (Taf. Y, Fig. 11 und 13), so kann der Platz der Aldrovanda von Réty leicht im Knuth’ sehen Systeme festgestellt werden, nämlich in der Hemi- Kleistogamiegruppe als Vertreterin der Kleistantherie. Die Kleistantherie im Sinne Ascherson’s. Die grüne Farbe der Blumenkrone findet ihre Erklärung in der Kleistogamie. Die Aldrovanda von Réty müsste in Hinsicht der Befruchtung und des Fruchtreifens einer genaueren Untersuchung unterzogen wer¬ den. Dies war mir unmöglich, da ich gegen Ende des Sommers Brassó verhess und meine diesbezüglichen Studien nicht fortsetzen konnte. An kultivirten Aldrovanden lassen sich solche Untersuchungen nicht durch¬ führen ; weil der Blüthenstiel verfault. Die Blattspreiten stehen zum Insektenfang offen; sie sind sehr empfindlich. Meine diesbezüglichen Untersuchungen gaben keine neuen Resultate. Die in Kultur gehaltene Aldrovanda ist weniger empfind¬ lich, verliert sogar nach 1 — 2 Monaten ihre Empfindlichkeit. In den Fallen der im Freien lebenden Pflanzen fand ich oft dünnschalige kleine Schnecken, sowie Mückenlarven. Erstere hatten in der Blattspreite ganz gut Platz, obwohl sie die zwei Seiten der Spreite aufschwellten, letztere hingegen, waren nur mit dem halben Körper in der Falle, ihr Schwanz war dr aussen. Die jüngsten, sich dicht übereinander legenden Blätter der Aldro¬ vanda bilden einen Spross, der einer Knospe mit ganz kurzen Stengel¬ gliedern ähnlich sieht. Wenn man diese Blätter vorsichtig trennt und die der Untersuchung im Wege stehenden ausschneidet, so findet man an der Spitze des Sprosses bei der sterilen Pflanze einen Vegetations¬ kegel, bei der Blüthen tragenden Pflanze hingegen zu bestimmten Jahres¬ zeiten eine sehr junge Blüthenknospe. Da dieses sehr primitive Stadium der Knospe noch Niemand beschrieben hat, will ich es kurz in folgen¬ den Zeilen schildern. Die Abbildung dazu befindet sich auf Taf. VI,. Fig. 19. Die Kelchblätter schliessen sich noch nicht, ihr Rand ist noch nicht bewimpert, die Epidermiszellen treten nur schwach hervor, wie dies die Fig. 4 auf Taf. V zeigt. Aus diesen hervortretenden Zellen entwickeln sich später die Wimpern. Die Kronblätter treten kaum her¬ vor, sind kleiner als die Staubgefässe und lassen es nicht ahnen, dass- später sie die hervorragendsten Theile der Blüthe bilden werden. Der Staubbeutel ist grösser als der Staubfaden, wodoch später das umgekehrte der Fall ist. Das Innere des Beutels ist nicht hohl. ÜBER ALDROVANDA VESICULOSA. 391 sondern mit homogenem parenchymatischem Zellgewebe ausgefüllt. (Taf. VI, Fig. 17.) Am Stempel kann man einen oberen und einen unteren Theil unterscheiden, zwischen welchen eine schwache Einschnürung sich befindet. Aus dem oberen Theile entwickeln sich die Griffel, aus dem unteren der Fruchtknoten. Der obere Theil ist so gross als der untere, wäh¬ rend später der Fruchtknoten beträchtlich wächst und die Griffel sich von demselben scharf absondern. Die Griffel erscheinen anfangs nur als kleine Höcker, an denen man weder den Faden, noch die Narbe bemerken kann. Der ganze Stempel ist übrigens nur ein an der Spitze des Stengels auftretender Höcker, der in seinem Inneren mit homo¬ genen Parenchymgewebe ausgefüllt ist. (Taf. VI, Fig. 15.) In der etwas älteren Blüthenknospe (Taf. VI, Fig. 19) legen sich die Kelchblätter schon übereinander und die Kronblätter erheben sich schon über den Fruchtknoten. Der Staubfaden ist länger als der Beutel. Im Beutel haben sich die Fächer entwickelt. Der Fruchtknoten hat sich in der Längsrichtung gestreckt, ist innen hohl, aus den nach innen gerichteten Anschwellungen seiner Wand beginnen sich paarweise Samen¬ knospen zu entwickeln. Eine auffallende Eigen thümlichkeit der Äldrovanda ist die, dass der Blüthen tragende Blattquirl immer mehr Blätter hat, als die übrigen Quirle des Stengels. Während in den gewöhnlichen Quirlen meistens 8, oft 9, selten 7 Blätter Vorkommen, pflegen in den Blüthen tragenden Blattquirlen 11 — 17 Blätter zu sein. Korzshinsky fand bei der aus dem Wolgadelta stammenden Äldrovanda eben so viele Blätter. Schon Korzschinsky wundert sich, dass man dies bisher an den europäischen Aldrovanden nicht vTahrgenommen hat. Caspary fand einmal an einer ostindischen Äldrovanda einen 1 1 blättrigen Quirl, aber er betrachtete dies als Abnormität. Gestützt auf die Untersuchungen Korzschinsky’s bin ich geneigt diese Erscheinung als gesetzmässig zu betrachten, auf keinen Fall als Abnormität. Ich habe viele hundert Exemplare der Äldrovanda von Réty untersucht und deren Blüthen tragenden Blattquirl stets viel¬ blättrig gefunden. Nach der Zeichnung Makino’s zu urtheilen, ist dies auch bei der japanischen Pflanze der Fall. Aus der oberwähnten Mit¬ theilung Caspary’s ist es bekannt, dass auch die indische Äldrovanda keine Ausnahme davon macht. Auch die bei Bukarest (Valea Schitului) gefundene Äldrovanda, hatte 14 Blätter im Blüthen tragenden Blatt¬ quirle. Dieser sonderbare Blattreichthum des Blüthen tragenden Blatt¬ quirls veranlasste mich zum weiteren Studium dieser Erscheinung. Das Resultat meiner Untersuchung ist, dass es sich hier eigentlich nicht 392 GUSTAV MOESZ um einen, sondern immer um zwei Quirle handelt. Diese zwei Quirle befinden sich meistens eng nebeneinander, so dass zwischen denselben ein wirkliches, kurzes Stengelglied sich befindet. Oft findet man aber auch einen solchen Blüthen tragenden Blattquirl, der ganz deutlich eine doppelte Struktur zeigt, indem zwischen den zwei Quirlen ein 1 — 2 mm. langes, manchmal auch längeres Stengelglied sichtbar ist. Der Kürze wegen nenne ich den doppelten Quirl des Blüthen tragenden Blattquirls Doppelquirl. Das untere Glied dieses Doppelquirls hat so viele Blätter, als der gewöhnliche Quirl zu haben pflegt, also in der Begel 8. Das obere Glied hat gewöhnlich weniger Blätter (3 — 6), aber die Blätter befinden sich stets an der Seite des Blüthenstiels. Der obere Quirl ist eigentlich nur ein Halbquirl. Nur selten hat er so viele Blätter als der untere Quirl ; in diesem Falle sind seine Blätter rings um den Stengel gestellt, bilden also einen vollständigen Quirl. Aus der Fig. 22 auf Taf. VI ersieht man, dass bei der untern Blüthe das untere Glied des Doppelquirls 8, das obere 5 blätterig ist ; der Doppelquirl der oberen Blüthe ist ebenso gebaut. Die Halbquirle befinden sich an der Seite de** Blüthe. Diese zusammengesetzte Gestaltung des Blüthen tragenden Blatt¬ quirls hat zuerst Kobzschinsky bemerkt, aber er fand nicht (übersah), dass der obere Quirl immer an der Seite der Blüthe Platz nimmt und nur in dem seltenen Falle den Stengel umschliesst, wenn er 7 — 8 Blätter hat. Man kann aber auch dann noch an der der Blüthe gegenüber liegenden Seite am Grunde der Blätter eine kleine Unterbrechung wahrnehmen. Über die Stellung der Blüthen am Stengel stimmt die Litteratur darin überein, dass die Blüthen gestielt, einzeln- und achselständig sind. Cohn (1850) schreibt: «Die Blüthen treten einzeln in den Blattwinkeln als Nebenachsen auf, wie ich glaube, ohne bestimmte Ordnung». Alle Beschreibungen der Äldrovanda, auch die neuesten, nennen den den Stengel weiter entwickelnden Trieb terminal, die Blüthe selbst axillar. Ich bekam darüber eine andere Meinung, als ich Gelegenheit hatte längere Zeit hindurch die Pflanze im Wasser des Teiches zu be¬ obachten. Wer die auf Taf. Y, Fig. 13 abgebildete Äldrovanda (welche ich nach der Natur zeichnete) betrachtet, erhält gewiss den Eindruck, den sie auch auf mich gemacht hat, nämlich dass der Stiel der Blüthe die directe Fortsetzung des Stengels bildet, während der den Stengel fort¬ setzende Spross eine laterale Stellung hat. Es ist interessant, dass über eine ähnliche Beobachtung unter den vielen Forschern der Äldrovanda nur Allioni (1785) Bechenschaft gibt. Darauf lässt sein Satz schliessen, den ich auch in das Litteraturverzeichniss aufgenommen habe. Ich habe auch beobachtet dass der den Stengel weiter ent- UBER ALDROVANDA VESICULOSA. 393 wickelnde Spross anfangs, wenn er noch einer Knospe ähnlich ist, ent¬ schieden seitwärts steht, er ist zur Seite gedrückt, am Grunde des geraden Blüthenstieles und erst später ändert sich diese Stellung, indem der Blüthenstiel zur Seite weicht, der Trieb des Stengels hingegen in die gerade Richtung kommt, so dass er als directe Fortsetzung des Stengels erscheint. Auch das macht die oben erwähnte Fig. 13. sicht¬ bar dort, wo sich der hinabgekrümmte Blüthenstiel befindet. Ich habe auch beobachtet, dass die Blüthen, auch wenn derer 3 — 4 an einer Pflanze sind, sich immer auf derselben Seite befinden. Ich gebe zu und habe mich selbst davon überzeugt, dass Her¬ bariumexemplare zu solchen Beobachtungen untauglich sind. An diesen sieht man den Stengel der Pflanze in der That bis an sein Ende als Hauptaxe an, aus dem sich die Blüthenstiele monopodial, scheinbar bald nach rechts, bald nach links verzweigen. Um meine an der Fundstelle gefasste Meinung controlliren zu können, machte ich auch ausführliche mikroskopische Untersuchungen, welche mich in meiner Ansicht bestärkten. Ich untersuchte die Spitze des jüngsten Sprosses, den knospen¬ artig aufeinander liegende Blätter deckten. Diese Blätter entfernte ich, sie fehlen auch bei der Figur (Taf. VI, Fig. 19). Aus dieser Figur ist ersichtlich, dass die jüngste, noch am Anfang ihrer Entwickelung stehende Blüthenknospe (VJ an der Spitze des Stengels ( Sz%) steht, mithin eine terminale Stellung hat. Eine ter¬ minale Stellung hat auch die ältere Knospe (Vt) an der Spitze des Stengels (SzJ. Man sieht auch, dass der den Stengel weiter entwickelnde jüngste Spross am Grunde und an der Seite der Blüthenknospe auftritt, die Richtung seiner Achse steht beinahe senkrecht auf der Richtung des Stengels (Sz^h Dieses Bild zeigt deutlich, dass man, wenn man den bisherigen Standpunkt der Autoren aufrechthält, den Stengel der Aldrovanda als im stumpfen und rechten Winkel gebrochen betrachten muss. Annehmbarer ist die Erklärung, dass der Stengel der Aldrovcmda eigentlich aus mehreren aufeinanderfolgenden Stengeltheilen sich ent¬ wickelt hat, welche Stengeitheile stets je eine Blüthe krönt; aus dem letzten Blattquirle entsteht ein Seitentrieb, welcher den Stengel fort¬ setzt, dann wieder mit einer Blüthe endigt u. s. w. Mit anderen Worten, diese Verzweigung der Aldrovanda ist kein Monopodium, sondern ein Sympodium. Auch der Unterschied in den Dimensionen spricht für die ter¬ minale Stellung der Blüthen. Der Stiel der Blüthe ist dort, wo die 894 GUSTAV MOESZ Verzweigung aqs dem Stengel tritt, auffallend breiter, als die Breite des den Stengel fortsetzenden Zweiges. Der Stengel der jüngsten Blüthe V2 ist 1*6 — 2*5-mal, der Stengel der älteren Knospe Vt 1*4 — D6-mal breiter, als die Breite des daneben stehenden Stengels. Celakowsky * sagt über die Blüthenwickel der Boragineen folgendes: «...Nach einem mecha¬ nischen Gesetze erhält immer das kräftigere von zwei benachbarten, anfangs in einer Masse der Anlage noch vorhandenen Gebilden die terminale, das schwächere die laterale Stellung, die morphologische Bedeutung mag sein, welche sie wolle». Ich erwähnte, dass die Blüthen immer auf einer Seite des Stengels erscheinen. Niemand hat dies bisher wahrgenommen und doch fällt dies an der lebenden Pflanze leicht auf. Um dafür Beweise zu schaffen, habe ich zahlreiche Exemplare zerlegt, die Anordnung der Blüthen und Knospen in gerader Richtung von Blüthe zu Blüthe genau verfolgt und meine Beobachtung hat sich in jedem Falle bewährt. Ich drücke mich vielleicht richtiger aus, wenn ich nicht von der einseitigen Stellung der Blüthen spreche, sondern sage, dass die Seitenzweige immer auf der einen Seite erscheinen, und zwar aus der Achsel eines solchen Blattes, welches zum unteren Glied des Doppelquirls gehört. Das ist der Grund und die Erklärung dessen, dass das obere Glied des Doppelquirls nur an der Seite der Blüthe erscheint und auch hier rudimentär bleibt. Diese Art der Verzweigung beweist, dass das Sympodium der Aldrovanda ein Wickel ist. Um diese Zweitheilung des Centralbündels zu beobachten, machte ich aus dem Stengel zahlreicher Exemplare Quer- und Längsschnitte. Die diesbezüglichen Abbildungen befinden sich auf Taf. VII. Die blaue Farbe bedeutet das Centralbündel, die rothe Linie den centralen Kanal. Als Resultat meiner Untersuchungen kann ich erklären, dass die Verzweigung des Stengels schon beim unteren Gliede des Doppelquirls stattfmdet, obwohl man von aussen keine Spur davon bemerkt. Das stimmt sehr gut damit überein, was ich bei der in Anbe¬ tracht der Entwickelung gemachten Erörterung über Taf. VI, Fig. 19 gesagt habe. Man kann hier getrost von congenitalem Zusammenwachsen reden, welches sich in der Regel auf die Länge von 1, eventuell von 4 Stengelgliedern erstreckt. Analoge Fälle zur anfänglich congenitalen Entwickelung terminaler und axillarer Sprossen sind genügend bekannt. * Celakowsky Lud. : Über die Blüthenwickel der Boragineen Flora 1888. 355 und 1881. 465. UBER ALDROVANDA VESICULOSA. 395 Einen sehr lehrreichen Fall beschreibt Celakowsky,* der am Bhizome von Carex arenaria eine dem Sympodium der Aldrovcmda ähnliche Verzweigung bemerkte. Auf Grund der engen Verwandtschaft, welche zwischen der Aldro¬ vanda und den Droseraceen besteht, ist die Frage berechtigt, ob die Bliithenaxe der Droseraceen nicht auch ein terminaler Spross sei ? Nitschke (1860) leugnet dies zwar, indem er behauptet: «Jedes voll¬ ständigere, mehrjährige und mehrere Bosetten tragende Exemplar be¬ weist auf den ersten Blick das Gegentheil». Und diese Ansicht dehnt er auch auf die Aldr ovanda aus. Nitschke war hier nicht genug vorsichtig. Das beweist so auch seine Äusserung, dass so wie bei den Droseraceen auch bei der Aldrovanda der Blüthenstiel anfangs, vor seiner Entwickelung eingerollt ist. Taf. VI, Fig. 19 zeigt deutlich, dass die Blüthenstiele vollkommen gerade sind. Caspary schreibt 1862 über diese Behauptung Nitschke’s : «Bein aus der Luft gegriffen». Ich gebe wieder zu, dass so wie bei Aldrovanda, auch bei den älteren Individuen und älteren Stengeltheilen der Droseraceen es schwerer wahrzunehmen ist, welcher Zweig terminal, welcher axillar sei. Es fragt sich, ob Nitschke zu demselben Besultat gekommen wäre, wenn er die jüngsten Sprossen von Drosera rotundifolia auf Grund ihrer Anatomie und Entwickelung untersucht hätte. Die Aldrovanda hat ausser dem Sympodium auch noch eine monopodiale Verzweigung. Diese monopodialen Zweige können aus jedem Blattquirle der Sympodiumaxe entspringen. In ihrer Erscheinung herrscht keine Begelmässigkeit. Sie erscheinen als kleine Höcker in der Blatt¬ achsel. (Taf. VI, Fig. 19, j Rs). Ihren Bau zeigt Fig. 16. Ihre Beschrei¬ bung kann ich hier übergehen, da auch Caspary dieselbe schon ab¬ gebildet und beschrieben hat. Der ältere monopodiale Spross (RJ trägt schon die ersten Blattquirle. Aus diesen Sprossen entwickeln sich lange Zweige, welche sich von der Mutterachse in keiner Beziehung unter¬ scheiden. Wenn die Fäulniss des Hauptstengels bis zur Verzweigung gelangt ist, löst sich der Nebenzweig ab und setzt seine selbstständige Existenz weiter fort. * Celakowsky Lud. : Sprosse am Rhizome gewisser Carices. (Sitzungs¬ berichte der kön. Böhm. Ges. d. Wiss. in Prag 1881 p. 238.) 396 GUSTAV MOESZ Teratologie. Ich beobachtete folgende Abnormitäten : 1. Taf. V, Fig. 9. In einem 8 blätterigen Quirle haben sich we¬ der die Spreite, noch die Borsten eines Blattes entwickelt. Das Blatt ist borstenartig, seine Länge dieselbe, wie beim regelmässigen Blatt. Da seine sägezähnigen Haargebilde fehlen, entspricht das ganze Blatt dem Blattstiele. 2. Taf. Y, Fig. 8. In einem 8 blätterigen Quirle fehlt bei einem Blatte ebenfals die Spreite. Das Blatt bat sich in zwei Borsten ge¬ teilt. Da auch liier die sägezähnigen Haargebilde fehlen, müssen wir auch dieses Blatt in seiner Gesammtheit als Blattstiel betrachten. 3. Taf. Y, Fig. 10. Die fünfte Borste eines im übrigen regel¬ mässigen Blattes entspringt nicht aus dem oberen Theile des Stieles, sondern unten an dessen Seite. Da dieselbe zahnartige Zellen besitzt, muss sie als wirkliche Borste betrachtet werden. 4. Taf. Y, Fig. 12. Ein spreitenloses Blatt, welches dem zurBlüthe gehörigen Doppelquirl entstammt. Dieses Blatt pflegt — wenn ihm die Spreite fehlt — 6 regelmässige Borsten zu besitzen ; am oberen Theile des Stieles und zwischen denselben eben in der Mitte, an der Stelle der Spreite, in der Yerlängerung der Mittelrippe befindet sich eine kurze Borste. (Taf. I, Fig. 2.) Die Abnormität besteht hier darin, dass an die Stelle dieser mitt¬ leren kleinen Borste, da sie sich nicht entwickelt hat, die benachbarten zwei Borsten getreten sind, die mit ihren unteren Theilen auch zu¬ sammengewachsen sind. 5. Taf. Y, Fig. 2. Der Blüthenstiel hat ein borstenförmiges Blatt. Eine Abnormität, weil der Blüthenstiel der Aldrovanda keine Blätter trägt. Gewiss ein aufwärts verschobenes Blatt, dessen gewöhnlicher Platz im tiefer liegenden Quirle wäre. Auch dieses borstenförmige Blatt hat keine gezähnten Haargebilde, muss deshalb in seiner Totalität als Stiel betrachtet werden. Eine ähnliche Teratologie erwähnt Caspary. (1859 Bot. Zeit.) 6. Taf. YI, Fig. 25. Die zwei Glieder des Doppelquirls sind nicht in zwei besonderen Ebenen abgesondert, sondern hängen in einer Spirallinie mit einander zusammen. In dem, dem unteren Quirl ent¬ sprechenden Schraubengang sind 9, im oberen, welcher dem rudimen¬ tären Quirl entspricht, 6 Blätter. Die Anordnung der Blätter in einer Spirallinie ist bei Aldrovanda , wo der quirlförmige Bau so typisch entwickelt ist, sehr auffallend. Man kann die Frage aufstellen, ob man es hier nicht mit Atavismus zu thun habe? Entwickelte sich Aldro- ÜBER ALDROVANDA VESICULOSA. 397 vanda nicht aus einem Stamme, dessen Formen die Blätter in einer Spirallinie trugen? Ich weise auf die grosse Ähnlichkeit hin, die zwischen der Aldrovanda und der Drosera rotundifolia vorkommt. Am Stengel der Drosera stehen die Blätter genug weit von einander ent¬ fernt, aber dort, wo es zur Blüthenentwickelung kommt, entwickelt der Stengel dicht die Blätter, welche sich in eine Rosette ausbreiten. Auch hei der Aldrovanda verkürzen sich die Stengelglieder in der Nähe der Blüthe und geben Veranlassung zur Entstehung des Doppelquirls. 7. Taf. V, Fig. 14. Eine sehr lehrreiche und unter sämmtlichen die interessanteste teratologische Erscheinung. Der , Stengel ist weit breiter als gewöhnlich. Sein Durchschnitt ist schmal, so dass er band¬ artig verbreitert erscheint. Aufklärung darüber gibt sofort die mikro¬ skopische Untersuchung. Im Stengel waren nämlich — mit Ausnahme des untersten Stengelgliedes — r zwei parallel nebeneinander gehende Bündel, als ob zwei Aldrovanda- Stengel zusammengewachsen wären. Infolge dessen erschienen auch die monopodialen Sprosse, sowie die letzten Blüthen paarweise. Auf das doppelte Bündel ist auch der Um¬ stand zurückzuführen, dass die Blattquirle mehr (12 — 14) Blätter ent¬ hielten als gewöhnlich. Hie und da bemerkt man auch, dass die zwei Bündel die Blattquirle nicht in ein und derselben Ebene entwickelten. Alle diese Umstände beweisen, dass es sich hier um ein congenitales Zusammenwachsen einer ganzen Reihe von Stengelgliedern handelt. Beim letzten doppelten 14+8 Quirl trennen sich zuletzt die zwei Bündel und es entstehen so zwei Blüthenstiele. Dass hier die Blüthen eine terminale Stellung haben, das ist in der That schon auf den ersten Blick bemerkbar. 398 GUSTAV MOESZ ERKLÄRUNG DER ABBILDUNGEN. Tafel V. Fig. 1. Die Spitze des in Fig. 9 dargestellten abnormen Blattes. « 2. Abnormität : Der Blütlienstiel trägt ein Blatt. Die auf der Abbildung sichtbaren Blätter bilden das obere Glied des Doppelquirls, den rudimentären Quirl. Den untern Quirl habe ich der Einfachheit wegen weggelassen. « 3. Wintersprosse, wie sie sich im Zimmer, in der Mitte des Monats Januar zeigten. Der eine beginnt schon seinen ersten Blattquirl auszubilden. « 4. Rand des Kelchblattes aus einer Blüthe, die erst am Anfänge ihrer Ent¬ wickelung steht. Aus den hervorragenden Zellen entstehen die späteren Wimpern. « 5. Knospe. \ « 6. Entwickelte Blüthe. 1 Die drei verschiedenen Lagen der Griffel. « 7. Verwelkte Blüthe. J « 8. Abnormität : Spreite und Borsten unentwickelt. « 9. Abnormität : Spreite und Borsten unentwickelt. « 10. Abnormität: Die eine Borste entspringt unten aus der Seite des Blattstieles. « 11. Entwickelte Blüthe von oben gesehen vergrössert. Die Staubbeutel berühren die Narben nicht. Blüthendeckblätter nicht ausgebreitet. « 12. Abnormität: Ein zum Doppelquirl gehöriges Blatt, dessen mittlere kleine Borste sich nicht entwickelte, an ihrer Stelle sind die zwei mittleren Borsten im untern Theile zusammengewachsen. « 13. Die Aldrovanda vesiculosa, wie ich sie im Teiche des Rétyi Nyír sah. « 14. Abnormität. Halbskizze. Ein verbänderter Stengel, in dessen Innerem zwei Bündel laufen, infolgedessen der Stengel mit zwei Blüthen endigt. Tafel VI. « 15. Stempel einer sehr jungen Knospe. « 16. Vegetationsspitze. « 17. Staubfaden einer ganz jungen Knospe. « 18. Skizzenhaftes Habitusbild. Die zusammenschliessenden Blätter des jungen Sprosses sind hier zerlegt, um die sonst verborgene Knospe, sowie den am Grunde derselben befindlichen Spross sichtbar zu machen. « 19. Längsschnitt eines jungen Sprosses, bei stärkerer Vergrösserung. Terminale Blüthe V1 (noch Knospe) des Stengels Szt. Terminale Blüthe V2 (jüngste Knospe) des Stengels Sz%. Sz3 der jüngste axillare Spross, welcher den Stengel weiter entwickelt. der zur Blüte V1 gehörige Doppelquirl ; k±k^ der zur Blüte V2 gehörige Doppelquirl. Rx älterer, R2 ganz junger monopodialer axillarer Spross. « 20. Theil eines jungen Blattes, dessen Epidermiszellen an zwei Stellen hervor¬ ragen um gabelige Haargebilde zu entwickeln. « 21. Habitusbild einer durch Kultur in ihrer Entwickelung gehemmten Aldro¬ vanda. Der Blüthenstiel bleibt kurz, später verfault er. UBER ALDROVANDA VESICULOSA. 399 22. Habitusbild, welches die einzelnen Glieder des Sympodiums und die Dop¬ pelquirle hervorhebt. 23. Ganz junges Blatt, aus dessen oberem Fortsatz die Spreite, aus seinem unteren Theile der Stiel sich entwickelt. 24. Ein etwas älteres, aber noch unentwickeltes Blatt. Aus dem oberen her¬ vorstehenden Theile entwickelt sich die Spreite, rechts und links davon sind die Anlagen der Borsten zu sehen. Seitlich die Anlagen der gabeligen Haare. 25. Abnormität. Die Blätter des Doppelquirls entwickelten sich nicht in zwei besonderen Ebenen, sondern gehen in einer Spirallinie in einander über. Tafel VII. 26. Verzweigung des Centralbündels der Aldr ovanda. Die blaue Farbe bedeutet das Bündel, die rothe Linie den centralen Kanal des Bündels. Seitwärts die Querschnitte der betreffenden Stellen des Stengels. Die Quirle sind auch hier nur durch Linien angedeutet und die daneben stehenden Zahlen zeigen die Zahl der Blätter des betreffenden Quirls an. 27. Verzweigung des Centralbündels in dem drei BJüthenstiele tragenden Sten¬ gel. K, k und B deuten die Doppelquirle an. 28. Habitusbild derjenigen Pflanze, deren Centralbündel Fig. 27 zeigt. 29. Theil des Stengelquerschnittes, welcher den centralen Kanal, einen Theil des Bündels und die daran grenzenden Parenchym-Zellen enthält. Letztere sehliessen die Hohlräume ein. 30. Theil des Stengelquerschnittes aus dem Nodus, wo die in die Blätter ver¬ laufenden Bündel aus dem Centralbündel entspringen. 31. Theil eines in das Blatt dringenden Bündels aus dem Nodus. 32. Querschnitt des Stengels über der Verzweigung. 33. Epidermis des Stengels im Querschnitt. 34. Stengelquerschnitt vor der Verzweigung des Bündels. 35. Stengelquerschnitt durch den oberen Quirl des Doppelquirls. Das centrale Bündel verbreitert sich, auch der Kanal in demselben wird breiter, seine Verzweigung hat begonnen. 36. Steugelquerschnitt unmittelbar über der Verzweigung des Bündels. y. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGABICL 1907. SOME NEW EXOTIC PHORIDAE. By Charles T. Brues. (Piate Vili.) The following descriptions of new species of the Dipterous family Phoridæ are based upon a very interesting though small collection recently accumulated by the Hungarian National Museum. Through the courtesy of Dr. K. Kertész in charge of the Diptera in that institution, they were sent to me for identification and descrip¬ tion of the new species. The specimens were collected in several widely separated localities, some in South America, others in German East Africa, one in India, and the remainder in New Guinea and Australia. Without doubt the most interesting ones are the three wingless species belonging to the genera PtUiciphora, Wandolleckia and Chono- cephalus from East Africa. That such forms belonging to these apterous genera recognized from widely separated continents or from the far extremity of even the same continent should occur here indicates that a great wealth of species of these remarkable creatures must still remain to be discovered, probably in all parts of the World. The types of the new species have been deposited in the Hunga¬ rian National Museum. SOUTH AMERICAN SPECIES. Phora paraguayana n. sp. (Plate VIII. fig. 9.) Female. Length 2*75 — 3*5 mm. Testaceous, abdomen above black except most of the first segment and the base of the second. Antennæ, front and proboscis more honey-yellow, tips of hind femora blackened and the legs apically blackened, darker from the black pubescence. Head of moderate size ; the front shining, with a few punctures along the sides ; a very little wider than long, without ocellar tubercle or frontal groove, but with the upper margin finely reflexed. Bristles strong ; lower pair reclinate ; next row of four a little curved, its lateral SOME NEW EXOTIC PHORIDÆ. 401 bristles closer to the median ones than to the eye-margin; two upper rows of four equidistant ones each. Space about ocelli blackened. An- tennæ small, rounded, arista nearly bare, black except at base. Palpi small, bristly only at the tips, the bristles rather weak. Proboscis stout, porrect and very heavily chitinized, but slender and not enlarged at the tip. Cheeks bare except for two strong macrochætæ. Postocular cilia strong except near the ocelli. Dorsum of thorax sub-shining, yellowish-brown anteriorly, shading to piceous behind and on the scu- tellum which is about four times as wide as long. A single pair of dorsocentral bristles and two marginal scutellar bristles. Abdomen opa¬ que, without bristles or hairs. Pleuræ pale yellow, without spots and entirely bare. Legs moderately slender, front tibiæ with a series of four nearly equidistant small bristles along the outer edge, middle ones with a pair at the basal third on the outer side and a single one just before the tip; posterior pair with a series of five or six bristles on the posterior edge; posterior metatarsus two-thirds as long as the tibia and bristly below, not broadened. Wings hyaline, with a slight yello¬ wish tinge, veins testaceous except the costal which is piceous. Costa extending far beyond the middle of the wing, its bristles extremely fine and short but thickly placed. Mediastinal vein entirely wanting, and humeral cross-vein very weak. First vein ending two-thirds of the way from the humeral cross-vein to the tip of the third vein, the furcation of the third vein very oblique, the branches nearly parallel and mee¬ ting the costa very close together; fourth vein weakly and evenly cur¬ ved, fifth almost straight, ending nearer to the wing tip than the fourth; sixth nearly straight; seventh weak but distinct, much curved and close to the wing margin. Halteres pale clear yellow. Two females, Paraguay: Asuncion (Yezényi 1905, and Anisits 1904, IX— X.). On account of its elongated proboscis, the series of four bristles on the fore tibiæ, and the similar series of six on the hind tibiæ, this species comes in the group Dorniphora Dahl, which also includes Ph. papuana Brues, Ph. incisuralis Loew, Ph. Dohrnii Dahl, Ph. divaricata Aldrich and Ph. perplexa Brues. From the first it may be distinguished by the series of five bristles on the hind tibiæ, from the second by the fact that these bristles are placed along the outer edge. In Ph. incisuralis they are on the side near the inner edge; in the other three species the tibiæ are bare, Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 26 402 CHARLES T. BRUES Aphiochæta meridionalis n. sp. (Plate VIII. fig. 10.) Female. Length 2*2 m. Luteons yellow, the legs very pale ; abdo¬ men honey-yellow, with a narrow7 black band at the apex of each seg¬ ment, that on the second segment broadest and widened a little on the sides. Front as high as broad, distinctly narrower below7 than above, yellow, the ocellar tubercle black, median frontal groove very distinct ; frontal bristles stout, four proclinate bristles, the median pair very small and close together, the larger pair equidistant from one another and the lower reclinate bristle on each side ; the upper reclinate bristle of this lower row nearly above the lower one ; next row7 of bristles slightly curved, its members equidistant; ocellar row straight. Antennæ small, oval, luteous; arista finely pubescent. Palpi luteous, with strong bristles below. Proboscis fleshy and very short. Cheeks each with a closely placed row of about ten slender macrochætæ directed downwards, the posterior twro longer than the others. Postocular cilia not enlarged below. Thoracic dorsum yellow', rather shining, with one pair of dorso- central macrochætæ. Scutellum writh only tw7o bristles, abdomen yellow7, the first six segments w7ith black posterior margins, the bands of the second and third segments widened on the sides. Seventh segment black. The sides of the second segment with a bunch of black hairs. Legs long and slender, all the coxæ with a few black bristles below7. Hind femora scarcely thickened, their tibiæ with a black line above and a series of rather long but very wTeak setulæ. Wings hyaline, tin¬ ged with yellow, especially in front; costal vein reaching well beyond the middle of the wing, its bristles short, delicate and thickly placed. First vein ending at three-fifths of the distance from the humeral cross-vein to the tip of the costa. Furcation of the third vein rather sharp, the cell thus formed small, the last section of the costa as long as the second vein. Fourth vein evenly curved and recurved at the extreme tip. Fifth vein rather sharply bent at the middle. Sixth bent back beyond the middle, so that the two converge and then rapidly diverge apically. Seventh vein nearly straight and not conforming with the anal edge of the wing. Halteres pale yellow. One specimen. Paraguay : Asuncion. (Yezényi 1905). This form is related to the West Indian Aphiockaeta obscura Brues, which it resembles in general facies. It is quite different how¬ ever, and may be distinguished by the longer costal vein that reaches considerably boyond the middle of the wing, the almost hyaline wfings, pale banded abdomen, and closely placed costal bristles. The anal vein SOME NEW EXOTIC PHORIDÆ. 403 is also much farther from the edge of the wing, and the front is pale yellow. Aphiochæta pauxilla n. sp. (Plate VIII. fig. 2.) Male. Length 1 mm. Black, including the antennæ and halteres. Palpi pale yellow; legs dusky testaceous, hind pair more or less piceous. Front about quadrate, sub-shining and faintly grayish pollinose ; four well-developed proclinate bristles, the two on each side close together but well separated from the pairs on the opposite side, the two lateral reclinate bristles of the lower row both very near to the lower corner of the front ; both middle row and ocellar row straight and regular ; ocellar tubercle well-developed and frontal groove distinctly impressed. Antennæ small, black, more distinctly ovate than usual, with an almost bare arista. Palpi rather large, with strong bristles. Postocular cilia stout, the cheeks below with a row of about five downwardly directed bristles. Dorsum of thorax subshining, with a single pair of dorsocentral macrochætæ. Scutellum twice as wide as long, with only two bristles. Abdomen small, black, the segments of equal length. Hypopygium rounded, the projecting lamella small. Legs short and robust, all the joints of the anterior tarsi enlarged; tarsi of other legs slender, the hind metatarsi not over one-half the length of the tibia. Posterior tibiæ with a row of fine setulæ on the hind margin toward the inner side where they are not very readily seen. Wings clear hyaline, the costal vein reaching to two-fifths the length of the wing, its cilia long and rather sparsely placed, there being only three between the tip of the first vein and the end of the costa, a distance equal to one-half the space between the humeral cross-vein and the tip of the first. First and third veins running close together and curving gradually to meet the costa, furcation of third very close to the tip ; second vein delicate and very weakly developed. Fourth vein slightly but evenly curved; others more nearly straight than usual. Halteres entirely black. One male. Argentine Bepublic: Lules, October 1905 (Vezényi). This is related to both A. jjygmaea Zett. and A. 'pusilla Meig. From the first it may be separated by the black halteres, longer costal vein and less approximated first and third longitudinal veins. From pusilla it differs by the less approximated first and third veins and more widely separated costal bristles, the distinctly flattened anterior tarsi do not occur in either of the two. It is undoubtedly a close re¬ lative of these two species of holarctic distribution. I think can be rendily distinguished by these characters aside from the wide geogra¬ phical separation. 26* 4-04 CHARLES T. BRUES INDO -AUSTRALIAN SPECIES. Phora nudicosta n. sp. (Plate VIII. fig. 6.) Male. Length I ‘3 mm. Thorax yellowish brown, head fuscous, pleura and legs pale testaceous, abdomen black with a testaceous band at the base which includes the entire first segment. A slender species with nonthickened legs and the habitus of Aphiochæta. Front one-half wider than high, lower row of frontal bristles consisting of four strong equidistant bristles, of which the lateral ones are close to the eye- margin. In front of these is an approximated much smaller pair of median reclinate bristles. Middle row placed rather high up ; ocellar row as usual. Ocelli not placed on a tubercle ; no trace of median frontal groove. Antennæ small, oval, yellowish fuscous, with an almost bare arista. Palpi yellow, slender, with stout bristles below, proboscis short and fleshey. Cheeks without any stout macrochætæ. Thoracic dorsum sub-shining, its hairy vestiture stronger than usual ; one pair of dorsocentral macrochætæ and only two marginal scutellar bristles. Scutellum about two times as wide as long. Abdomen black, except, the first segment which is testaceous; second and sixth segments elon¬ gate. Hypopygium with the large ventral lobe black and all the appen¬ dages testaceous. Front tibiæ with an external bristle at the basal third ; middle ones with a pair near the base and hind ones with a single bristle at the basal third. The four posterior tibiæ have each but a single spur. Wings hyaline, the veins fuscous. Costal vein extending only about two-fifths the length of the wing; entirely bare, without even any fine hairs and considerably thicker toward the tip. Third vein almost as thick as the costa, suddenly curved forward at the tip, fur¬ cate at a sharp angle very near the tip. First vein meeting the costa very obliquely just before the tip of the second. Fourth vein nearly straight basally, but broadly recurved at its apical fourth. Fifth and sixth nearly straight, seventh obsolete. Halteres pale, with a fuscous capitulum. One male. India: Matheran; 800 metres, July 8, 1902 (Biró). The present species could not be confused with any other. The peculiar configuration of the thick veins, bare costa, recurved fourth vein and slender legs with only single spurs on the four posterior tibiæ will serve to make it readily recognizable. SOME NEW EXOTIC PHORIDÆ. 405 Aphiochæta Bírói n. sp. (Plate VIII. fig. 4.) Female. Length 1*25 — 1*5 min. Dark brownish varied with black; legs testaceous. The thoracic dorsum is always brown, but the front varies from brown to black and the abdomen is principally brown. Antennæ light brown ; palpi pale yellow. Front about as wide as high, grayish pollinose, the ocellar tubercle very distinct and the median impressed line deep. Four proclinate bristles close together; lower angles of the front each with a pair of reclinate bristles inserted rather far apart. Middle row curved strongly downward medially, the inner bristles widely separated, as far from the median line as from the eye- margin. Antennæ small, the arista thickly pubescent. Palpi small, weakly bristly below, the apical bristles stronger. Proboscis very short and fleshy. Cheeks with two large downwardly directed macrochætæ and a row of smaller ones in front. Thoracic dorsum light brown or fuscous, sub-shining, with a single pair of unusually weak dorsocentral macro¬ chætæ and four equally strong marginal scutellar bristles. The scu- lellum is sub -triangular, less than two times as wide as long. Abdomen black or piceous, the posterior margins of the segments more of less distinctly margined with whitish yellow. Genitalia pale. Legs short, but not particularly stout. Spur of middle tibia short, less than one-half the length of the basal joint of the tarsus. Posterior femora delicately but distinctly ciliated below with fine yellow hairs, their tibiæ bare, without any trace of setulæ, but with a fine black line along their hind edge; with a single short, but stout spur. Wings hyaline, the veins dark fuscous ; costal vein reaching considerably beyond the middle of the wing, its cilia exceedingly short and very thickly placed. Third vein forked far from the tip, the second vein meeting the costa two-thirds the way from the tip of the first vein to the tip of the costa. First vein joining the costa three-fourths as far from the humeral cross¬ vein as from the tip of the costa. Fourth vein curved at base and straight at apex ; fifth and sixth slightly bisinuate ; seventh nearly straight, distinct. Halteres pale. Three female specimens, New Guinea (Biró). Two from Simbang, Huon Gulf 1899 and the other from Seleo, Berlinhafen 1896. This species is a close relative of A. limbata Brues from India, but the wings are hyaline and the costal vein is longer, reaching con¬ siderably beyond the middle of the wing. Otherwise the two are very much alike. CHARLES T. BRUES 406 Aphiochæta cilipes n. sp. Female . Length 2*75 mm. Brownish -yellow, head black and abdo¬ men in part black ; legs yellowish testaceous, the hind femora and also the tibiæ tipped with black. Wings pale yellowish. Front sligthly but distinctly wider than high, brownish near the lower margin. Frontal chætotaxy rather peculiar ; the ocellar row straight as usual, middle row very strongly bowed downward. Aside from these there are only four more reclinate bristles placed in a pair on each side near the lower angle, one above the other. The four proclinate bristles large and well-developed especially the upper pair which are widely sepa¬ rated and higher up than usual. Antennæ small, oval, testaceous, the arista very weakly pubescent. Palpi large, strongly bristly. Proboscis very short, fleshy. Cheeks each with a pair of very stout downwardly directed bristles and a smaller series of four or five in front of these. Post¬ ocular cilia strong. Dorsum of thorax strongly arched with a single pair of dorsocentral bristles and only two marginal scutellar ones. Abdomen mostly black, irregularly marked with yellow. First to fourth segments- each with a narrow yellow posterior border, the second yellow on the sides and the fourth on the middle. Second segment with a bunch of black bristles on each side. Legs long and very stout, the posterior femora much thickened, less than four times as long as broad and ciliated below on the apical half with a series of long curved black bristly hairs. Four posterior tibiæ strongly setulose, the bristles of tho middle pair twice as long as the width of the tibia and those of the hind pairs which are arranged in two series fully as long as the width of the tibia. Middle tibia with one very long spur and hind ones each with one long and three short ones. Wings long, the costal vein reaching distinctly beyond the middle, its cilia of moderate length. First vein attaining the costa one half the way from the humeral cross¬ vein to the tip. Furcation of third vein forming an angle of about forty-five degrees, the cell thus formed of moderate size; fourth vein curved at the base and straight at the apex ; fifth, sixth and seventh nearly straight, all of them strong. Halteres pale. One female from Sattelberg, Huon Gulf, New Guinea, May 1899 (Biró). This species is related to A. nigriceps Loew of North America and A . melanocephala v. Boser of Europe. From the first it is distin¬ guishable by the strongly bristly tibiæ the middle pair being distinctly setulose, by the shorter costal cilia, and the absence of a second pair of scutellar bristles. It differs from melanocephala which has also simi- SOME NEW EXOTIC PHORIDÆ. 407 larly bristly tibiæ by the very short costal cilia which are very long in the European form, and by the longer costal vein which extends distinctly beyond the middle of the wing. Aphiochæta fumipennis n. sp. (Plate VIII, fig. 8.) Female. Length 2 — 2*5 mm. Black, antennæ and palpi brownish- yellow ; four anterior trochanters and tibiae, and all tarsi brown. Wings strongly infuscated, dark brown. Front very shining, with a very few fine scattered hairs, distinctly higher than wide. Ocellar tubercle and median frontal groove present, well-defined. Four proclinate bristles, the lover ones much weaker than the upper pair, a pair of reclinate ones at each corner; middle row curving strongly downward medially; ocellar row straight. Antennæ small, oval, with a strongly pubescent arista. Palpi small, their bristles stout only at the tips. Postocular cilia stout, cheeks each with three downwardly curving macrochætæ. Thorax longer than usual, the mesonotum sub-shining and strongly hairy, with only one pair of dorsocentral macrochætæ. Scutellum twice as wide as long, with two marginal bristles. Abdomen slender, the second seg¬ ment elongated, nearly as long as the third and fourth together. Geni¬ talia pale. Legs stout, but not especially thickened, the posterior femora less than one-fourth as broad as long. Middle tibiæ microscopically setulose, hind ones more strongly so, the bristles about one-half as long as the width of the tibia. Middle tibiæ with a single long slender spur, hind ones with one long and one much shorter one. Wings very long and narrow, strongly infuscated, more especially so along the veins. Costal vein reaching distinctly beyond the middle of the wing; third vein near to the costa for its entire length. First vein meeting the costa closer to the humeral cross-vein than to the tip of the third. Cell formed by the furcation of the third vein, very small and short. Costal cilia very short and thickly placed; fourth vein slightly but evenly arcuate, faintly recurved at the tip. Fifth broadly bent at its middle ; sixth sligthly sinuate ; seventh distinct and nearly straight. Halteres wholly black, except the basal articulation of the pedicel which is pale. Two female specimens from Sattelberg, Huon Gulf, New Guinea, May 1899 (Biró). At first glance this species might very readily be confounded with the European Aphiochaeta minor Zeit, on account of its polished front, infuscated wings, short costal cilia and setulose hind tibiæ. It i 408 CHARLES T. BRUES may readily be known however, by the much longer costal vein which reaches well beyond the middle of the wing, the black halteres, pale antennæ and palpi and more strongly regularly arcuate fourth wing vein. It shows considerable affinity with A. planifrons Brues another species from New Guinea, but may be distinguished by the dark wings, median frontal groove and much longer first longitudinal vein in the wings. Aphiochæta manca n. sp. (Plate VIII. fig. 5.) Male. Length 1*25 mm. Slender, yellow, with pale testaceous legs, the hind femora strongly blackened at the tip. Abdomen with the third and fourth segments black. Knob of halteres piceous. Front yellow, a very little higher than wide, with a distinct black ocellar tubercle and distinct median impressed frontal line. Four well-developed proclinate bristles, the anterior pair much the smaller ; lower angles of front with two closely approximated reclinate bristles, following row nearly straight, ocellar row normal. Cheeks each with one stout downwardly directed macrochæta. Palpi slender, moderately bristly. Antennæ rounded, the arista short stout and strongly pubescent. Dorsum of thorax elongate, with a single pair of dorsocentral macrochætæ and only two scutellar bristles. Abdomen bare, with a few fine bristles along the sides; none of the segments elongated. Legs long and slender; the spur of the middle tibia three-fourths the length of the first joint of the tarsus. Hind femora moderately thickened, not ciliated ; hind tibiæ setulose, the length of the bristles over one-half the thickness of the tibia ; one long and one short apical spur. Wings hyaline, with a distinct yello¬ wish cast, the veins yellowish. Costal vein extending barely beyond the middle of the wing, its cilia very short and quite thickly placed; third vein close to the costa, not furcate at the tip although there is a slight thickening or darkening in the wing at the point where the second vein usually extends. First vein meeting the costa at a point distinctly nearer to the humeral cross-vein than to the tip of the third. Fourth vein very slightly curved ; following nearly straight, the seventh distinct. Knob of halteres piceoüs, the base of the stalk yellowish. One male from Singapore, January 26, 1902 (Biró). This is a most peculiar species which differs from all the other known species of Aphiochaeta by the absence of the second vein in the wings. The third vein is not furcate at the tip, or at least so in¬ distinctly so that there is scarcely any thickening of the wing mem¬ brane at this point. On this account it might perhaps be referred to SOME NEW EXOTIC PHORIDÆ. 409 Palicifora, but the habitus, spinose tibiæ with wel developed spurs, as well as the form and chætotaxy of the front are exactly as in certain typical species of Aphiochaeta. In color and all characters exclusive the furcation of the third vein, it approaches the European A. flava Fallen. Puliciphora matheranensis n. sp. (Plate VIII. fig. 3.) Male. Length nearly 1 mm. Piceous black, the legs, antennæ, and palpi brownish-yellow. Front about twice as wide as high, with an ocellar row of four bristles, a row of four along the anterior margin, which are porrect or slightly reclinate, and also a single one on each side about the middle near the eye-margin. Antennæ small, brown ; the arista slightly pubescent. Palpi strongly davate, bristly. Dorsum of thorax subopaque with one pair of dorsocentral macrochætæ and two scutellar bristles. Abdomen small, dull black, the genitalia but shlightly projecting; second segment slightly elongated, nearly twice as long as the third which is much longer than the fourth. Legs short and rather stout, but the tibiæ are not at all setulose. Spur of middle tibiæ minute, that of the hind tibiæ short, but quite distinct. Wings hyaline, with a very weak brownish tinge. Costal vein just attaining the middle of the wing, its cilia closely placed, microscopically fine and short. First vein meeting the costa at a point equidistant from the humeral cross-vein and the tip of the costa. Light veins closely connected with the third vein. Fourth vein straight except at the base ; fifth bent near the base, then parallel with the fourth to the tip ; sixth curved back toward the tip ; seventh distinct, nearly straight and close to the anal angle. Knob of halteres black, the stalk pale basally. One male from Matheran, India, 800 metres (Biró, 1902). The Indian species differs from Dahl’s P. lucifera and P. pulex by the apparently shorter costal vein. Unfortunately the latter two latter species have never been carefully described and I have never seen them. Chonocephalus dorsalis Wandolleck. There is one female of this species from New Guinea, Friedrich- Wilhelmshafen, June 1901, and another from the same place dated July 1901. 410 CHARLES T. BRUES AFRICAN SPECIES. Puliciphora africana n. sp. (Plate Yin. fig. 7.) Female , Length 1 — L5 mm. Pale testaceous, the abdominal scle¬ rites fuscous. Head rounded, the distance from the anterior margin of the front to the vertex two-thirds as great as the width of the head. Ocelli present, in a small triangle. Eyes oval, fully once and a half as large as the antennæ. Anterior margin of the front sloping forward to the center where it is obtusely pointed. The frontal macrochætæ are broken off in all the specimens, but there sem to have been four an¬ terior ones, another at the lower angle, and ocellar row of four. Cheeks without bristles. Palpi clavate, bristly below, especially near the tips. Proboscis large, swollen and fleshy. Antennæ small, round, the arista reaching as far as the base of the abdomen. Mesonotum about two and one-half times as wide as long, the metanotum visible behind, one-third as long as the mesonotum, no trace of scutellum. Abdomen very convex, not at all depressed, but rather circular in cross section, first dorsal plate visible as a thin strip, second large, one-half as long as wide ; third only one-half* as long as second ; fourth a little shorter; fith much shorter; sixth visible only as a small, short curved piece behind the gland opening. All of the abdominal plates are highly polished and nearly bare. Legs moderately stout, each hind tibia with a very short spur. No trace of wings or halteres. Three females from Kibosho, German East Africa, March 1903 (Katona). This is the first species of the genus to be discovered on the African continent, and it therefore widely extends the range of Pulici- phora, which is now known to occur also in the East Indies, India, the West Indies, the United Staates, and probably in Europe. The pre¬ sent form seems to be more like the occidental species than the Indo- australian ones, although all are very similar. Chonocephalus kiboshoënsis n. sp. (Plate VIII. fig. 1.) Female. Length 0*8 mm. Pale testaceous, the dorsum of the ab¬ domen fuscous, except the first segment which is light brown. Head unusually long, viewed from the side it is about one-half longer from SOME NEW EXOTIC PHOR1DÆ. 411 the occiput to the anterior edge of the front than high. Eyes very small, oval, their longest diameter only about one-half the diameter of the third antennal joint. Antennæ small, rounded, the finely pubescent arista reaching just beyond the tip of the thorax. Palpi large, swollen, projecting one-half the length of the head-height, bristly below. Pro¬ boscis very short, fleshy. The front is rather thickly hairy, but there seem to be no bristles except a row of three weak ones on the cheek, just below the eyes. Ocelli absent. The thorax is likewise without macrochætæ, about four times as vide as long. Abdomen with six dorsal sclerites, the first longer than the second; third, fourth and fifth sub¬ equal to the second but gradually lengthening ; sixth one-half longer, the first to the fifth have a line of transparent dots along the posterior margin indicating the insertion of rows of small macrochætæ. Fifth segment without a gland opening. On the venter there is a single chi- tinized plate near the apex. External genitalia small. Wings and hal¬ teres entirely wanting. Legs stout, the hind tibiæ each with a single very small spur. Hind metatarsus seriately setulose as usual. One female from Kibosho, German East Africa, March 1903 (Katona). This is the second species of Chono cephalus to be discovered in the female sex. Of the two other known species C. dorsalis Wand, from the East Indies previously mentioned is known in both sexes, while C. similis Brues from India is known only in the male sex. The disco¬ very of a third species in Africa so very similar to the East Indian form is certainly unexpected and widely extends the range of this most remarkable wingless genus. The striking similarity to C. dorsalis con¬ sists in the presence of the six heavily cbitinized contiguous dorsal plates and one ventral one, the bare front and the general habitus of the body. The absence of anterior frontal bristles in the African species may be accidental as bristles are easily broken from alcoholic specimens. Just how great the variation may be among species of these ex¬ tremely degenerate wingless females and what may constitute valid specific characters I hardly feel competent to say in view of our limi¬ ted knowledge of this group, but I think there can be no doubt of the propriety in recognizing the African and East Indian females as diffe¬ rent in absence of the male of the new species. In kiboshoënsis the head is wider than the thorax when seen from above and the com¬ parative lengths of the dorsal abdominal scelerites are different from in dorsalis. 412 CHARLES T. ERUES Wandolleckia indomita n. sp. Female. Length 0‘6 mm. Uniformly pale testaceous, only the eyes, sparse bristles and macrochætæ black. Viewed from the side the front slopes rather evenly to the vertex which is sharply rounded. Near the anterior margin are four porrect macrochætæ in two pairs, one over the other. Eyes elongate oval, their longer diameter greater than that of the antennæ. Cheeks without bristles. Palpi slender, with a few short bristles toward the tips. Proboscis swollen, fleshy. Antennæ spherical, the arista reaching to the tip of the thorax and distinctly pubescent. Thorax short, about as long as the thickness of the head, destitute of macrochætæ except for two small ones at the hind angles, one at the middle of the lateral margin and one between these. On the hind margin there is a series of four or six finer bristly hairs. Abdomen oval, distinctly depressed, nearly two times as long as the head and thorax together. Second segment long; third and fourth shorter, sub¬ equal, together but little longer than the second. Fifth shorter. Sixth longer and rounded behind. The abdomen is soft and membranous, without dorsal plates of sclerites and is covered with short, sparse, fine and bristly hairs. Legs short and moderately stout, closely and finely hairy, the hind tibiæ with a distinct apical spur. Wings and hal¬ teres entirely absent. One female fromKibosho, German East Africa, March 1 903 (Katona). Only one other species of Wandolleckia has been described, W. Cooki Brues from West Africa, collected in Liberia by Dr. O. F. Cook on large land snails of the genus Achatina, and known only in the female sex. There is in the same vial with the the present female, to¬ gether with other wingless forms a very small winged male which I strongly suspect belongs with the female described here. It is about the same size and color as the female and resembles exactly males of Aphiochaeta. The front has proclinate bristles on the anterior edge and two rows of reclinate bristles, and there is a median impressed line and an ocellar tubercle. The wings have a bristly costa with well developed first and furcate third veins. The legs have distinct spurs on the four posterior tibiæ and the hind pair is strongly setulose. If this surmised association be correct, the validity of the genus Wandolleckia becomes extremely doubtful. Public Museum, Milwaukee, U. S. A. March 31, 1907. SOME NEW EXOTIC PHOKIDÆ. EXPLANATION OF PLATE VIII. 1. Chonocephalus kiboshoënsis, female. 2. Aphiochaeta pauxilla , wing. 3. Puliciphora matheranensis , wing of male. 4. Aphiochaeta Birbi , wing. 5. Aphiochaeta manca, wing. 6. Phora nudicosta, wing. 7. Puliciphora africana , female. 8. Aphiochaeta fumipennis , wing. 9. Phora paraguayana , wing. 10. Aphiochaeta meridionalis, wing. Y. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICL 1907. NOTES SUE LES HOLOPTILIDÆ. Par A. L. Montandon. Les représentants de la famille des Holoptilidae sont encore trop rares dans les collections, et la plupart des entomologistes qui en ont décrit quelques espèces n’ont eu le plus souvent sous les yeux que des exemplaires uniques ou en nombre trop insuffisant pour leur permettre d’établir convenablement les termes de comparaison nécessaires, non seulement pour les distinguer comme espèces mais encore à titre de genres, à tel point que. même parmi ces derniers il existe aujourd’hui la plus regrettable confusion. La majorité des divers auteurs qui se sont occupés jusqu’à pré¬ sent des insectes de cette petite famille, ont donné beaucoup trop d’im¬ portance au système dispositif des nervures de la membrane très déve¬ loppée de ces insectes et en ont tiré des caractères génériques qui ne tiennent pas à l’examen d’une série d’individus. Westwood et tous ceux qui l’ont suivi, ont fait rentrer dans le genre Holoptilus des formes tout à fait disparates n’ayant pas d’autre analogie que les caractères généraux de la famille alliés à une disposition particulière d’une partie des nervures de la membrane. Stal, partant sans doute du même prin¬ cipe, a aussi de son côté identifié aux Holoptilus ses deux espèces vulpes et nebulosus qui n’ont qu’une ressemblance de famille avec le type du genre Holoptilus ursus Lep. et Sérv. 1825 dont l’aspect et la conformation sont tout différents. Plus récemment encore notre savant collègue, Mr. le Dr. Bergroth s’est laissé entraîner par l’exemple de nos prédécesseurs lorsqu’il a crée son genre Thysanopus 1893. Nous avons déjà eu l’occasion de faire remarquer (Bull. Soc. Se. Bue. 1900 p. 268 au sujet des Sphaerodema = Appasus — et d° 1906 [im¬ primé par erreur 1907] relativement à plusieurs espèces du genre Geo- coris et en particulier p. 322 [306 du tirage à part] sur les variations de la membrane chez G. lapponicus Zett.) combien ces caractères établis sur les dispositions des nervures ou du plus ou moins grand développement de la membrane sont sujets à des variations considé¬ rables que nous retrouvons, quoique à un degré moindre, parmi les in¬ sectes de la famille qui nous occupe en ce moment. On a aussi bien souvent fait une trop large part, dans la création des genres et des NOTES SUR LES HOLOPTILIDÆ. 415 espèces, à des considérations purement géographiques dont il serait oiseux de nier l’importance, mais qui n’ont cependant pas la valeur que beaucoup d’auteurs ont cherché à leur attribuer. L’étude d’une faune quelconque ne saurait se borner au seul examen des espèces qui en sont les représentants immédiats ; même étendue à d’assez vastes territoires présentant des systèmes orographiques, hydrographiques et climatériques plus ou moins indépendants en apparence seulement, car cette objectivité ainsi bornée nous détourne complètement des vues d’ensemble qui seules, peuvent faire remarquer et comprendre les points de filiation entre les formes les plus diverses. Mais que dire des faunes purement locales ou resserrées dans les limites d’états qui n’ont rien de commun avec la répartition des espèces, et des erreurs colossales auxquelles elles ont toujours entraîné ceux qui s’y sont laissé absorber d’une façon trop exclusive en ne daignant même pas s’occuper de ce qui se passe en dehors du cercle étroit où ils se sont confinés . . . Un premier examen des insectes qui composent cette petite famille, nous permet de la diviser en deux sous-familles formant des groupes bien distincts : Le premier dans lequel nous comprenons les genres à tibias posté¬ rieurs grêles et allongés et à antennes composées de quatre articles, sauf dans le genre Putoniola où les deux articles terminaux paraissent soudés en un seul article assez allongé, un peu plus long que la moitié du deuxième article. Holoptilinae. Le second où rentrent seulement des insectes à tibias postérieurs robustes et proportionnellement beaucoup plus courts que dans le groupe précédent et dont les antennes ne sont composées que de trois articles, le dernier toujours plus court que le tiers de la longueur du deuxième et quelquefois tout aussi robuste. Orth ocneminae. S. Fam. HOLOPTILINÆ. Cette sous-famille peut aussi être divisée en deux groupes bien distincts : L’un, dont les représentants ont une tête très transversale, subtronquée en avant au niveau antérieur des yeux ou très faiblement prolongée au devant des yeux et toujours très fortement rétrécie en arrière derrière les yeux avec un col très étroit, bien visible, à sa jonction au pronotum, comprenant les genres Plilocerus Gray et Ptilo- coris Montand, que je crée en faveur d’une nouvelle belle et grande espèce africaine P. Westwoodi Schouteden que l’auteur m’a obligeamment communiquée avant sa publication et que je considère comme le type 416 A. L. MONTANDON du genre Pkilocoris Montand, auquel viennent également se rattacher les Holoptilus vulpes et nebulosus de Stal. L’autre comprenant des insectes à tête subquadrangulaire, non subitement rétrécie derrière les yeux et très sensiblement prolongée rectangulairement au devant des yeux, ces derniers généralement petits et peu saillants, sauf dans le genre Putoniola Bergr. 1898 (== Putoniella Montand. 1897 préoccupé), où les yeux sont sensiblement plus gros et le deuxième article des antennes proportionnellement beaucoup plus court que chez les autres genres du groupe dans lequel se rangent les Putoniola , Plilocnemus e't Holoptilus. Je ne connais pas encore le genre Dasycnemus Bergr. et ne peux par conséquent me prononcer sur la division où il conviendra de le rattacher. Ptilocerus Gray.* Je n’ai pas encore pu examiner en nature les Holoptilus dimi¬ diatus Westw., Burmanicus Westw. et agnellus Westw., qui tous trois, au seul examen des figures publiées par l’auteur (Thés. Entom. pl. 36, fig. 8, 9 et 10) se rattachent sans aucune hésitation au genre Plilo- cerus. J’ai renoncé momentanément à identifier une forme quelconque avec les descriptions plus qu’insuffisantes de Walker pour les Maotys venosus , subannulatus = simplex et guttifer que M. Distant a con¬ firmés ensuite comme appartenant bien au genre Ptilocerus, mais sans en donner de nouvelles descriptions un peu plus détaillées qui auraient permis de les reconnaître. Je dois avouer aussi que je n’ai encore pu me faire aucune idée de ce que peut être P. affinis Westw., décrit comme Plilocnemus , mais je crois avoir assez bien reconnu P. fuscus Gray d’après la figure au trait d’une hémélytre de cet insecte donnée par Westwood (Thés. Entom. pl. 36, fig. 14), rapprochée de la bien mauvaise représentation d’AMYOT et Serville pl. YI, fig. 4. Malgré ces incertitudes je donne ci-après le signalement de quel¬ ques espèces que je crois ne devoir se rapporter à aucune des formes énumérées plus haut, dont l’identification précise ne pourra se faire que plus tard. Pour faciliter la reconnaissance de ces quelques formes bien établies et que j’ai des motifs sérieux de considérer comme nou¬ velles, je crois bien faire de les présenter sous forme de tableau synoptique : * = Maotys. Amyot et Serville proposaient ce nom pour remplacer celui de Ptilocerus préoccupé pour un genre de Diptères créé par Wiedemann, mais M. le Dr. Bergroth a fait remarquer ensuite que Wiedemann avait appelé son genre de Diptères Ptüocera et non Ptilocerus qui est donc à conserver. ANN ALE 8 HISTORICO - NAT U RALES MUSEI NATIONALIS H UNGARICI. A Magyar Nemzeti Muzeum természetrajzi osztály ainah ) oly óirata. A M. Tud. Akadémia támogatásával kiadja a Magyar Nemzeti Muzeum. A 30—40 iv terjedelmű s a szükséges táblákkal ellátott évfolyam előfizetési ára: 30 korona. A hazai nyilvános tanintézetek, múzeumok és könyvtárak 50% árengedményben részesülnek, ha megrendeléseiket egyenesen a Magyar Nemzeti Muzeum titkári hivatalához intézik. A folyóirat szellemi részét illető küldemények, valamint a cserébe küldött kiadványok a Magyar Nemzeti Muzeum állattári osztályába czímezendők. Ges Annales publiées par le Musée National Hongrois forment un volume de 30 à JfO feuilles par an, accompagné de planches. Prix d’ abonnement : 30 couronnes. On s’abonne chez M. le Secrétaire du Musée National Hongrois à Budapest. Adresser tout ce qui concerne la rédaction et les échanges, à la Section zoologique du Musée National Hongrois à Budapest. A Magyar Nemzeti Muzeum kiadásában megjelent következő természet¬ rajzi munkák megrendelhetők a Magyar Nemzeti Muzeum titkári hivatalánál : Természetrajzi Füzetek. Szerk. Herman Ottó, Schmidt Sándor és Mocsáry Sándor. Budapest, 1877 — 1902. Nagy nyolczadrét. I — XXV. köt. A 25 kötetből álló teljes sorozat ára 200 korona. Az I — IV. kötet külön nem kapható. Az V — XIX. kötet ára kötetenkint 6 korona. A XX— XXV. « « « 10 « Méhely Lajos, Magyarország' Denevéreinek Monograpliiája. Mono- graphia Chiropterorum Hungáriáé (cum appendice in lingua germanica conscripta). Budapest, 1900. Nagy nyolczadrét. XI -f- 372 lap, 22 táblával. _ _ Ára 10 korona. Dr. Madarász Gyula, Magyarország Madarai. A hazai madárvilág meg¬ ismerésének vezérfonala. Anhang: Die Vögel Ungarns. Auszug in deutscher Sprache. Budapest, 1899 — 1903. Negyedrét. XXXIII -f- 666 lap, 170 szövegrajzzal és 9 táblával. Ára 40 korona. Dr. G. Kertész, Catalogus Dipterorum hucusque descriptorum. Budapest, 1902. In 8°. Vol. I. Sci^ridæ, Bibionidæ, Chironomidæ, Stenoxenidæ, Culicidæ,Ptychopteridæ, Dixidæ, Blepharoceridæ, Simulidæ, O rphneptiilidæ, Psyeliodidæ. — 339 pag. _ _ _ „„ „„ Á ~~ ™ „„ „„ Pretium 18 coronæ. Vol. II. Cecidomyiidæ, Limnobiidæ, Tipulidæ, Cylindrotomidæ. — 359 pag. Pretium 20 coronæ. Opus completum in voluminibus 8 — 10 apparebit. Les ouvrages indiqués ei-dessus et publiés par le Musée National Hongrois sont en vente chez M. le Secrétaire du Musée National Hongrois à Budapest. FRANKLIN-TÁRSULAT NYOMDÁJA. Editum die 10. Decembris 1907 . Megjelent 1907 . deczember 10-én. ANNALES HISTORICONATURALES MUSEI NATIONALS HUNGAEICL VOL. V. 1907. — PARS SECUNDA. A MAGYAR NEMZETI MUZEUM TERMÉSZETRAJZI OSZTÁLYAINAK FOLYÓIRATA. V, KÖTET. 1907. — MÁSODIK RÉSZ. A MAGYAR TUDOMÁNYOS AKADÉMIA TAMOGATASAVAL KIADJA A MAGYAR NEMZETI MUZEUM. SZERKESZTI HORVÁTH GÉZA. czSgn A? ' BUDAPEST. 1907. CONSPECTUS MATERIARUM, — TARTALOMJEGYZÉK. Pag. A. L. Montandoli, Notes sur les Holoptilidæ. (Fin.) . ,„ „„ „„ 417 Dr. G. Enderlein, Eine neue Copeognathe aus Süd-Tunis. (Taf. IX.) 428 D. Kuthy, Orthoptera ex Asia-Minore . . „„ „„ „„ 430 Josef Loczka, Über Mineralchemie. „„ „„ „„ . . 483 Dr. Hollós László, Új gombák Kecskemét vidékéről. IV. — Fungi novi regionis Kecskemétiensis. IV. ™ . 452 L. V. Méhely, Archaeo- und Neolacerten. (Taf. X.) . . „„ 469 Dr. Toborffy Zoltán, Kristálytani közlemények. (XI. tábla. ),„ . . 494 Dr. K. Kertész, Ein neuer Dipteren-Gattungsname . 499 Dr. Horváth Géza, Pótlék a Magyar Birodalom Hemiptera-faunájá- koz. — Supplementum ad Faunam Hemipterorum Regni Hungariæ. „„ „„ „„ „„ „„ „„ „„ „„ 500 Th. Becker, Die Dipteren-Gruppe Milichinæ. (Taf. XII. und 2 Textfiguren.) . , „„ p . . . 507 D. Kuthy, Insectorum messis in insula Creta a Lud. Biro congregata. I. Ortlioptera. „„ „„ „„ „„ „„ A 551 Dr. Zimányi Károly, Két gömörvármegyei barytról. (XIII. tábla.) — Über zwei Baryte vom Comitate Gömör. (Taf. XIII.) „„ „„ . „„ „„ „„ „„ 556 M. Bezzi, Leptidæ et Empididæ in insula Formosa a dar. H. Sauter collectæ. . „„ „„ „„ „„ „„ 564 Dr. Hans Boeschke, Nachtrag zur Monographie der Cychrini . 569 E. Csiki, Coleoptera nova in Museo Nationali Hungarico. I. 574 Dr. K. Kertész, Vier neue Pipunculus- Arten . „„ „„ „„ „„ 579 NOTES SUR LES HOLOPT1L1DÆ. 417 A) Antennes à soies longues et très denses sur les deux premiers articles. Tibias postérieurs à soies longues excessivement denses sur toute leur longueur, extrémité du fémur postérieur à soies également longues se confondant avec celles des tibias qui leur font suite sans interruption. B) Cories très courtes, environ le quart de la longueur totale de rhémélytre, à cellule marginale large, translucide, vitreuse, à peu près deux fois plus longue que large ; cellule discoidale allongée très étroite et un peu moins prolongée en arrière ; la partie vitreuse de la membrane derrière la corie et devant la tache brune trans¬ versale. bien visible, assez élargie au côté interne, sinuée au bord postérieur. C) Membrane assez uniformément brunâtre avec une tache à peine plus foncée, transversale, derrière la partie vitreuse, fondue au côté interne avec la teinte de la membrane dont l’extrémité est aussi étroitement et légèrement plus foncée, nervures concolores peu visibles. Longueur : 6*5 millim. (membrane comprise). Singapore (A. Baffray); ma collection. P. unicolor n. sp. CC) Membrane pâle, à peine jaunâtre avec une bande brune foncée transversale sur la marge, interrompue au milieu, beaucoup plus visible que chez l’espèce précédente ; nervures bien visibles quoi¬ que à peu près concolores, mouchetées seulement de brun pâle par places, formant des cellules assez irrégulières ; aussi quelques petites nervures transversales sur l’espace marginal; même taille que l’espèce précédente dont elle n’est peut-être qu’une variété très caractéristique. Pulo Laout, Sumatra. Mus. Paris et ma collection. P. subreticulatus n. sp. BB) Corie plus allongée, un peu plus du tiers de la longueur totale de l’hémélytre, à cellule marginale transparente, étroite, allongée, au moins trois fois plus longue que large, guère plus large que la cellule discoidale. D) Membrane fortement rembrunie avec une assez grande tache pâle marginale située un peu après le milieu de la longueur totale de l’hémélytre et quelques petites taches pâles, arrondies, peu visibles vers le sommet. Nervures peu visibles comme chez P. uni¬ color Montand., un peu plus nettement prolongées en arrière, l’ouverture entre les nervures discoidales bien dirigée vers le bord postérieur de la membrane, en dedans de l’angle postérieur ex¬ terne, formant une cellule médiane apicale non fermée à l’extré¬ mité, la partie lisse, brillante, vitreuse de la membrane derrière Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 27 418 A. L. MONTANDON la corie plus étroite, moins transparente et moins visible que chez les espèces précédentes. Même taille que P. suhreticulatus Montand. Birmanie, ma collection. Sumatra (G. Modigliani), Mus. Civ. Gênes. Le Muséum de Paris en possède aussi trois exemplaires en assez mauvais état et sans indication de patrie. P. umbrosus n. sp. Cette espèce r < ssemble un peu à la figure que Westwood a donnée (Thés. Entom. pl. 36, fig. 9.) de son Holoptilus Burmanicus Westw. qui est très sûrement un Piilocerus , mais sur le dessin en question les nervures de la corie paraissent très foncées et se prolongent en arrière sur l’espace vitreux de la membrane derrière la corie et cet espace vitreux paraît plus élargi que chez P. umbrosus Montand, où ces nervures sont peu visibles et qui a en outre deux grandes taches pâles sur la marge tandis qu’elle est entièrement et à peu près égale¬ ment foncée chez P. Burmanicus Westw. où l’on ne voit pas non plus de petites taches claires, arrondies, vers l’extrémité. Les nervures des cories sont aussi presque concolores, peu visibles chez P. umbrosus, la cellule marginale à peine plus grande que l’interne tandis qu’elle est au contraire très écourtée et rétrécie aux deux extrémités dans la figure citée de Westwood. Il est fort possible cependant que ces figures de Wesiwood soient défectueuses, car chez ses Holoptilus Burmanicus et dimidiatus les tibias postérieurs sont plus courts que leurs fémurs, ce qui ne doit très probablement pas être exact. DD) Membrane entièrement et assez uniformément d’un jaune ocreux sur toute sa surface, à peine rembrunie vers la base et le long du bord interne, parfois aussi un peu rembrunie, formant tache vague à la base du côté interne dernière l’écusson et sur le milieu du bord externe de l’hémélytre, derrière les taches bril¬ lantes, transparentes quoique peu développées de la base de la membrane derrière les cories. Nervures de la membrane très régulières, bien marquées, formant deux »grandes cellules discoi- dales allongées, fermées, à l’extrémité desquelles une grande cel¬ lule ouverte au sommet avec les deux cellules discoidales pour base, les deux prolongements de nervures qui la limitent de chaque côté, surtout l’interne, fortement dirigés vers le côté externe de la membrane de sorte que L’ouverture entre l’extrémité des NOTES SUE LES HOLOPTILIDÆ. 419 deux nervures est franchement dirigée vers l’angle apical externe de la membrane. Cils des antennes relativement un peu plus courts et aussi un peu moins denses que chez les trois espèces précédentes ; aussi de taille un peu plus forte. Longueur : 8 3- — 8*5 millim. Bornéo : Sarawak. (Mus. Civ. Gênes.) Java occidental : Mont Gede. (Mus. Nat. Hung.) Bangkok (Haemand 1885). (Mus. Paris.) P. ochraceus n. sp. AA) Antennes avec les deux premièrs articles à soies longues mais espacées, beaucoup moins denses que chez les insectes du groupe A. Corie, assez allongée, atteignant le milieu ou presque le milieu de la marge de l’hémélytre avec la cellule marginale longue et étroite, environ de même largeur que ia cellule discoidale, cette dernière parfois très atténuée en avant et en arrière. E) Touffe des soies des tibias postérieurs n’atteignant pas tout à fait la base des tibias, ne se confondant pas avec les poils plus rudes, plus rares et plus courts de l’extrémité des fémurs et n’atteignant pas non plus l’extrémité du tibia. Membrane assez uniformément ocreuse, à peine parfois un peu brunâtre vers la base derrière les cories et vers l’angle apical externe, avec des taches plus pâles, irrégulières, allongées entre les nervures, ces dernières légèrement rembrunies bien marquées, formant deux grandes cel¬ lules allongées discoidales, fermées, et une cellule apicale formée par les prolongements des nervures externes des cellules discoidales continuées droites en arrière, subparallèles presque jusqu’au bord postérieur de la membrane ; cette cellule parfois ouverte en arrière, parfois fermée par une nervure transversale située avant l’extré¬ mité des nervures longitudinales, formant ainsi le passage à la forme de la cellule apicale chez Thysanopus lynx Beege., mais cependant moins largement arrondie à l’extrémité. Chez un exem¬ plaire du Museum de Paris la cellule apicale n’est fermée que sur une des hémélytres formant ainsi le lieu de transition entre les exemplaires à cellule fermée et ceux à cellule ouverte. Lon¬ gueur: 8 mill, jusqu’à l’extrémité de la membrane. Java. (Mus. Nat. Hung., Mus. Paris, Mus. Belg. et ma collection.) P. fuscus Geay, Westw., Am. et Seev. Parmi les exemplaires de cette espèce qui me sont passés sous les yeux, plusieurs étaient étiquetés P. affinis Westw.; j’ai dit plus haut que ce dernier m’est encore tout à fait inconnu. Plusieurs autres étaient 27* 420 A. L. MONTANDON justement nommés P. fuscus Gray, et cette dernière espèce qui est le type du genre Ptilocerus Gray 1831 est bien reconnaissable à la figure que Westwood a donnée (Thés. Entom. pl. 36, fig. 14) d’une hémélytre de cet insecte où la corie atteint presque la moitié de la longueur totale de 1’ hémélytre, à cellules longues et étroites, à nervures de la membrane assez conformes à celles de l’espèce décrite ci dessus. Cette figure de Westwood présente aussi cette particularité bien frap¬ pante de la cellule apicale formée par une petite nervure transversale d’une façon identique à celle que j’ai signalée plus haut pour quelques- uns des exemplaires examinés. EE) Touffe soyeuse des tibias postérieurs atteignant la base des tibias ; presque de même forme, teinte et dessin que P. fuscus Gray, mais de taille beaucoup plus grande, 10’8: — 11 millim. jusqu’à l’extrémité de la membrane. Soies des deux premiers articles des antennes très longues et espacées, mais cependant un peu plus denses que chez P. fuscus Gray ; lobes latéraux foliacés de la partie postérieure du pronotum un peu plus largement arrondis ; extrémité de la corie atteignant le milieu de la marge de l’hémélytre. Ner¬ vures de la membrane à peu près exactement conformées comme chez P. fuscus Gray avec la cellule apicale ouverte ou parfois fermée par une nervure transversale un peu avant l’extrémité des nervures longitudinales qui se poursuivent en arrière presque jusqu’au bord apical de la membrane. Toute la surface de la membrane entre les nervures, pâle, mouchetée de petites taches brunâtres claires subarrondies, plus ou moins denses, presque contiguës par places surtout vers la base de la membrane derrière l’écusson et formant aussi une tache subtriangulaire derrière le sommet de la corie après l’espace vitreux très rétréci ; la marge un peu plus pâle derrière ces taches qui sont situées après le milieu de la marge de l’hémélytre. Laukat, Sumatra; ma collection. P. grandis n. sp. Cette espèce facilement reconnaissable par les taches pointillées formant les macules de la membrane et par sa taille beaucoup plus grande que celle de P. fuscus Gray est cependant de dimension beau¬ coup plus petite que P. agnellus Wsstw. dont le corps seul a 9 millim. de longueur et qui atteint plus de 18 mill, dans son expansion hémé- ly traie. Je n'ai pas fait figurer dans le tableau précédent les Ptilocerus africains du type de P. ( Thysatiopu y) lynx Bergr. dont l’auteur a NOTES SUR LES HOLOPTl LIDÆ. 421 donné une excellente description. Ils ne se distinguent des Piilocerus asiatiques ou malaisiens que par leur pronotum moins fortement sinué sur les côtés latéraux antérieurs, bien qu’ également foliacé aux angles latéraux postérieurs largement arrondis; par l’espace vitreux de la membrane derrière les cories beaucoup plus développé ; mais qui con¬ servent bien la même tête transversale, à peu près les mêmes longueurs proportionnelles des tibias postérieurs et du deuxième article des an¬ tennes et le même mode d’insertion des divers articles des antennes avec le troisième s’implantant bien à l’extrémité • du second. La grande cellule apicale de la membrane, fermée tout comme chez certains exem¬ plaires de P. fuscus Gray bien qu’un peu plus largement arrondie à l’extrémité près du sommet de la membrane, présentant aussi parfois de petits prolongements des nervures de chaque côté en arrière de la cellule. Le type de T. lynx Bergr. a les touffes soyeuses des tibias postérieurs blondes, concolores, comme le reste du corps. J’ai examiné les types ainsi que plusieurs autres exemplaires du Congo, ne présen¬ tant entre eux que des différences insignifiantes dans la coloration générale plus ou moins claire, jamais fortement rembrunie, tandis que chez une autre espèce voisine, également africaine, avec le même système de nervures sur la membrane, les mêmes cories, le même espace vitreux assez élargi derrière les cories, mais d’une teinte géné¬ rale plus foncée, la membrane plus franchement rembrunie avec des taches presque noires vers l’extrémité et se distinguant en outre d’une façon très caractéristique par les touffes soyeuses foncées presque noires et paraissant formées de soies un peu plus courtes que celles de P. lynx Bergr. Cette nouvelle espèce que je distingue sous le nom de Ptilocerus fuscovenosus n. sp., provient de la côte d’ivoire et du Congo Por¬ tugais. (Mus. Paris et ma collection.) Ptilocoris nov. gen. Tête sensiblement rétrécie immédiatement derrière les yeux, avec un col bien visible, très peu proéminente, subtronquée au devant des yeux; ces derniers proportionnellement très gros, beaucoup plus gros que dans les autres genres de la famille, avec l’espace interoculaire environ deux fois plus large qu’un oeil; chez les Piilocerus , Plilocne- mus, Holoptilus les yeux sont beaucoup plus petits et l’espace inter¬ oculaire est de 3 à 4 fois plus large qu’un oeil. Vertex avec un large sillon longitudinal au milieu entre les yeux. Deuxième article des an- 422 A. L. MONTA NDON tennes très grand, assez grêle et fortement arqué avec de très longues soies pas très denses. Troisième article inséré à l’extrémité du second comme chez les Pdlocerus. Pronotum à côtés latéraux droits ou presque droits, les angles latéraux non foliacés ni explanés. Hémélytres très développées, deux fois plus longues que l’abdomen ; cories atteignant presque le milieu de la longueur de l’hémélytre. Fémurs postérieurs très longs et grêles, un peu arqués à l’extré¬ mité, à longues soies plus ou moins rapprochées mais non serrées en brosse comme chez les Plilocerus. A ce genre que je crée en faveur de l’espèce nouvelle P West- woodi Schouted., se rattachent les Holoptilus nebulosus et vulpes de Stal, qui diffèrent totalement comme conformation de la tête, des yeux et du pronotum du type Holoptilus ursus Lep. et Sérv. pour lequel le genre Holoptilus a été crée. Ils ressemblent beaucoup plus par leur tête rétrécie en arrière aux Ptilocerus, mais avec des yeux plus gros; leur pronotum sans dilatation foliacée aux angles latéraux postérieurs et l’absence de touffe soyeuse en brosse aux tibias postérieurs les en séparent à première vue. Ptilocnemus. P. sidnicus Mayr 1865, Sydney — minutus Beuter 1881, Mel¬ bourne. Je n’ai pas encore pu examiner le type de M. Reuter (Mus. Holm.), mais il n’y a pas à s’y tromper ; les deux descriptions se rappor¬ tent bien à la même espèce, notre savant collègue ne mentionnant pas l’espèce de M. G. Mayr dans sa description, c’est, sans aucun doute, qu’elle était restée ignorée pour lui. Ma collection possède aussi cette petite espèce de Victoria : Alexandra (F. L. Billinghurst). P. plumifer Horv. = P. lemur Am. et Serv., nec Westw. Le Mu¬ séum de Paris possède deux exemplaires de cette espèce, assez mutilés mais bien reconnaissables, étiquetés par Amyot P. lemur, nom qui ne leur convient pas. Nouvelle Hollande (Gory). L’observation d’ Amyot et Serville (Ins. Hém. 1843, p. 320) sur la longueur de l’abdomen d’une ÿ , à peine dépassée par la membrane est due au déplacement de cette pièce provoqué par une épingle trop grosse qui a divisé et projeté en arrière la partie postérieure de la poitrine et l’abdomen ; on comprend aussi très bien la confusion faite, à cette époque déjà lointaine, par les auteurs en attribuant à leurs insectes le nom de P. lemur avec lequel ils ont en effet une grande ressemblance, mais P. plumifer Horv. se distingue cependant assez NOTES SUR LES HOLOPTILIDÆ. 423 facilement par les trois derniers articles des antennes plus grêles et les soies dont ces antennes sont parsemées, sont aussi proportionnellement plus allongées. La couleur des antennes est variable chez P. lemur Westw. et ne saurait servir à titre de caractère distinctif. Holoptilus Lep. et Serv. H. flavus n. sp. Flave brunâtre très clair assez uniforme, à peine un peu plus foncé sous l’abdomen ; les soies et la membrane plus pâles, cette dernière blanchâtre un peu rembrunie vers la base au côté interne avec une tache subtriangulaire brunâtre peu foncé derrière le sommet' de la corie et trois ou quatre petites taches de même couleur le long du bord externe de la membrane. Tête subqua drangulaire avec les yeux très petits, situés un peu au devant du milieu des côtés latéraux; sans tubercule apparent sur le vertex; ornée d’assez longues soies pâles, peu denses, dirigées en avant; de chaque côté derrière les yeux quatre soies plus rigides dirigées laté¬ ralement en éventail. Pronotum guère plus long que la tète, assez rétréci en avant; les côtés latéraux sinués derrière le tiers antérieur au niveau d’une dé¬ pression transversale qui traverse toute la largeur du pronotum, for¬ mant comme une collerette à la partie antérieure du pronotum lisse sur les côtés, avec les angles antérieurs presque droits, faiblement arrondis au sommet; la partie postérieure du pronotum élargie et arrondie latéralement avec des soies éparses sur le disque et un peu plus denses tout autour. Écusson peu visible, caché sous une rangée de soies raides et assez longues, dirigées en arrière. Hémélytres assez fortement arquées au bord externe ; la corie occupant le tiers basilaire, très acuminée à l’extrémité, avec deux cellules allongées subtransparentes assez visibles, l’externe à peine plus large mais deux fois plus longue que l’interne, à nervures de même teinte que la tête et le pronotum. Membrane dépassant l’abdomen d’un peu plus du quart de sa longueur, blanchâtre, avec la base un peu rembrunie entre les nervures blanches surtout sur une bande longi¬ tudinale un peu élargie partant de l’angle interne de la membrane et une tache brune un peu mieux indiquée, subtriangulaire, un peu irré¬ gulière derrière l’extrémité de la corie après la bandelette claire, semi- vitreuse qui borde étroitement et assez régulièrement la base de la membrane au côté interne de la corie. Deux ou trois petites taches 424 A. L. MONTANDON brunes punctiformes sur le bord latéral externe et deux autres a peine mieux marquées et un peu allongées vers l’extrémité. Deuxième article des antennes flave pâle à pilosité assez dense mais non serrée en brosse, semblable à celle des tibias postérieurs, assez longue et plus pâle que les tégumens. Abdomen rembruni en dessous, plus clair, jaunâtre sur le milieu du disque. Longueur : 5*4 mill, du sommet de la tête à l’extrémité de la membrane. Maissour Gathes, Inde. (Mus. Paris.) Cette espèce ressemble beaucoup, comme taille et forme générale à H. ursus Lep. et Sérv. ; elle en diffère par le pronotum plus déve¬ loppé, mieux dilaté sur les côtés de la partie postérieure ; par les cories sensiblement plus longues ; les taches de la membrane bien moins accusées ; le deuxième article des antennes proportionnellement plus long, les deux derniers plus grêles et plus courts ; la longueur de ces deux derniers articles réunis est à peine le quart du deuxième tandis que chez H. ursus Lep. et Sérv. ils sont à peu près le tiers de la longueur du deuxième. Elle ne saurait être rapprochée de H. fasciatus Reuter de l’Inde, dont la membrane deux fois plus longue que l’abdomen est aussi mar¬ quée d’une tache près de l’extrémité comme H. viverra Walk., Westw. D’après la figure de Westwood (Thés. Entom. pl. 36, fig. 11) cette der¬ nière espèce a exactement le même dessin que Holopt. oraniensis Puton et ne paraît en différer que par la taille beaucoup plus petite, les nervures de la corie foncées, la pilosité antennaire plus dense et plus longue, etc. S. Fam. OETHOCNEMINÆ. Les espèces connues jusqu’à présent de ce groupe se répartissent dans deux genres bien distincts : les Orthocnemis à longues soies avec le troisième article des antennes en fuseau, très atténué à la base, ayant un faux air d’ Holoptilinae ; et les Aradellus à soies épineuses très courtes, antennes fortes, très robustes, le troisième article court mais aussi gros que le deuxième ; tous deux à tête subquadrangulaire sans col apparent. Aradellus Westw. A. distinctus n. sp. Tête subquadrangulaire, un peu plus large que longue, d’un brun marron unicolore avec les yeux très petits situés sur le milieu des côtés latéraux, le bord antérieur de la tête faiblement trilobé avec des soies éparses très courte et une touffe très visible de soies raides grosses et courtes derrière les yeux. NOTES SUR LES HOLOPTILIDÆ. 425 Pronotum trapezoidal, très transversal, deux fois plus large en arrière que long sur la ligne médiane, d’un brun marron mat, avec une tache plus claire presque pâle, mal limitée de chaque côté ; sillonné longitu¬ dinalement sur la ligne médiane; les côtés latéraux antérieurs droits garnis de soies épineuses courtes assez robustes et quelque peu recour¬ bées à l’extrémité ; le bord antérieur du pronotum en bourrelet verru- queux, pas plus large que la tête avec les yeux ; grossièrement ponctué sur toute sa surface avec quelques petites soies courtes et rares paraissant sortir de la ponctuation. Cories courtes, brunâtres, occupant environ le quart de la lon¬ gueur de l’hémélytre, avec deux cellules allongées peu visibles, non transparentes, à peu près de même largeur, l’externe plus longue que l’interne. Marge externe de la corie avec de petites soies recourbées un peu plus faibles et plus serrées que celles des côtés du pronotum. Membrane noire veloutée dépassant assez faiblement l’extrémité de l’abdomen et laissant à découvert le connexivum sur les côtés, avec une tache blanche sub triangulaire derrière l’extrémité da la corie et une grande tache blanche subquadrangulaire au sommet, cette tache blanche apicale marquée d’un gros point noir longitudinalement allongé au milieu de la cellule apicale non fermée à l’extrémité. Dessous du corps et pattes brun foncé, les pattes couvertes de soies épineuses courtes. Antennes d’un brun foncé presque noir, très grosses, le premier article environ de même longueur que la partie antérieure de la tête au devant des yeux, guère plus long que large ; deuxième article très-long, aussi long que la tête et le pronotum réunis ; troisième article subconique, inséré dans une forte encoche du sommet du deuxième, environ deux fois plus long que large au sommet; tous les trois articles couverts de petites soies rudes et couchées, peu visibles. Longueur : 4*5 millim. Victoria: Alexandra (F. Billinghurst) ; ma collection. A première vue cette petite espèce pourrait facilement être con¬ fondue avec A. cygnalis Westw. dont elle a à peu près le même dessin, mais les côtés latéraux antérieurs du pronotum sont droits, non for¬ tement arqués comme le montre la figure de l’auteur (Thés. Entom. pl. 36, fig. 7) qui, dans sa description du genre (loc. cit. p. 193) dit très précisément : « prothoracis . . . lateribus regulariter rotundatis ...» En outre la tache blanche subtriangulaire de la base de la membrane est mieux limitée chez A. distinctus Montand, à la partie située derrière les deux cellules marginale et médiane de la corie, et la tache noire apicale sur la partie blanche du sommet de la membrane est mieux marquée, plus franchement limitée, non formée de plusieurs taches 426 A. L. MONTANDON nuageuses juxtaposées comme le dit Westwood dans la description de son espèce. En outre le dessin qu’il donne, n’indique pas le mode d’insertion du troisième article des antennes et le représente comme franchement adapté à l’extrémité du second (ce qui pourrait bien n’être aussi qu’une erreur du dessin) et non comme il a été décrit plus haut pour A. distinctus Montand. A. fulvus n. sp. Environ de même taille, à peine un peu plus forte et presque de même conformation que le précédent. En diffère par sa teinte plus claire jaunâtre sur la tête, le pronotum, les cories, le connexivum et les pattes ; les antennes jaunâtres pâles avec les soies brunâtres, laissant à découvert dans toute sa longueur l’arête supérieure du deuxième article. Membrane avec les parties blanches beaucoup plus- étendues, occupant presque tout le pourtour de la membrane, avec une grande tache brune recourbée, assez large atteignant le bord externe de la membrane presque sur le milieu de la longueur de l’hémélytre ; la partie postérieure de la membrane derrière la tache moins claire que la partie antérieure derrière la corie, un peu enfumée avec une tache noire subarrondie près du sommet dans la cellule apicale. Dessous du corps brun noirâtre avec une ligne médiane longitu- din ale plus claire sur l’abdomen. Les côtés latéraux antérieurs du pro¬ notum légèrement arqués paraissant se rapprocher un peu de la forme décrite et figurée par Westwood (A. cygnalis), mais d’une façon beau¬ coup moins accentuée, l’angle latéral du pronotum presque droit à peine arrondi au sommet; les soies des côtés latéraux plus courtes et plus couchées que chez A. distinctus Montand, dont il a aussi à peu près les mêmes cories, peut-être à peine un peu plus longues occupant presque le tiers de la longueur totale de l’hémélytre. Longueur ; 4'8 mm. Sans indication de provenance (Coll. Van Volxem), Mus. Belg. A. pallidicornis n. sp. Certainement très voisin des deux espèces précédentes et surtout de A. fulvus Montand, dont il se distingue par la taille plus faible, ne dépassant pas 4 millim. (membrane comprise), avec les antennes jaunâtres ne présentant que trois rangées de soies dont deux seulement visibles en regardant l’insecte en dessus, l’une au bord antérieur du deuxième article, l’autre presque sur le bord postérieur, ces soies courtes, assez fortes et un peu recourbées mais moins denses que chez A. fulvus Montand., bien alignées sur toute la longueur de l’article, laissant bien visible le corps de l’article. Pronotum à côtés latéraux antérieurs droits comme chez A. di¬ stinctus Montand, et ciliés comme chez les deux espèces précédentes, les mêmes cils se continuant sur les bords du connexivum, plus visi¬ bles que chez les deux autres espèces. NOTES SUR LES HOLOPTILIDÆ. 427 Cories construites à peu près comme chez les deux espèces précé¬ dentes occupant environ le quart basilaire sur la marge de l’hémélytre, foncées, à cellules et nervures peu visibles. Membra ne brunâtre foncée avec une tache blanche subtriangulaire derrière les cories, tiers posté¬ rieur de la membrane un peu enfumé avec une tache arrondie plus foncée près du sommet entre les nervures apicales. Chez le cT presque tout le tiers postérieur enfumé de la membrane dépasse l’extrémité de l’abdomen ; chez la ç l’extrémité seule de la membrane dépasse l’abdomen. Pattes brunâtres avec de soies raides et pas très serrées en ran¬ gées longitudinales bien visibles sourtout aux tibias. Dessous du corps assez uniformément brunâtre foncé. New South Wales. (Mus. Nat. Hung, et ma collection.) ANNALES MUSEI NATION ALIS HUNG ARICI 1907. Y. EINE NEUE COPEOGNATHE AUS SÜD-TUNIS. Von Dr. Günther Enderlein. (Tafel IX.) Durch Herrn Director Dr. G. Horváth erhielt ich eine interessante Species der Gattung Mesopsocus Kolbe aus Süd-Tunis, die sich in der Sammlung des Ungarischen National-Museums befindet und von der ich im Folgenden eine Beschreibung gebe. Sie zeichnet sich von den übrigen Mesopsocus- Arten durch die auffällige Vorwölbung des Clypeus aus. Leider liegt nur ein weibliches Exemplar vor ; das Männchen müsste, wie bei allen Arten der Gattung, geflügelt sein. Mesopsocus nasutus n. sp. 5 . Blass ockergelblich. Kopf sehr gross, etwas aufgeblasen. Clypeus sehr stark nach vorn erweitert und die Oberlippe überwölbend, mit 12 sehr feinen braunen Längslinien, die vorn und besonders hinten verstärkt sind, die beiden mittelsten sind stärker und vereinigen sich vorn und hinten, zwischen sich nur einen kurzen und sehr schmalen gelben Streifen frei lassend, die seitlich davon stehenden vereinigen sich vorn gleichfalls. Seiten des Clypeus vorn ungezeichnet. Stirn seit¬ lich braun gefleckt, vom vorderen Ocellus geht jederseits ein schräg nach vorn laufendes, schmales, mit kurzen Seitenästen versehenes Band aus. Scheitel mit zwei concentrischen Halbkreisen von kurzen, kräftigen, braunen Strichen; die Flecken des inneren Kreises berühren die Augen, der äussere Kreis enthält 7 solcher Flecken. Mitte und Hinterrand des Scheitels gefleckt. Scheitelnaht deutlich. Augen verhältnissmässig sehr klein, kugelig, halbkugelig abstehend; unbehaart. Die 3 Ocellen vor¬ handen, nicht dicht zusammengedrängt. Schläfen sehr gross. Wangen ungefleckt. Clypeolus blass. Oberlippe schwarz. Maxillarpalpus sehr blass, äusserste Spitze des letzten Gliedes schwarzbraun. Fühler braun, die 3 ersten Glieder blass ockergelb mit Ausnahme der Spitze des 3. Glie¬ des ; 12. Glied etwas blass, erweitert; 13. Glied sehr kurz. Prothorax seitlich etwas spitz ausgezogen, oben mit einer Querreihe von 7 dunkelbiaunen Punkten. Mesothorax oben seitlich der Mittel¬ linie mit je 4 braunen Flecken, von denen 2 durch feine braune Linien verbunden sind. Vor dem Vorderflügelrudiment ein grösserer, dunkel- EINE NEUE COPEOGNATHE AUS SÜD-TUNIS 429 brauner Fleck. Metathorax oben an den Seiten breit braun, vorn und hinten fein braun gesäumt. Abdomen oben bräunlich bis schwärzlich, unten und oben hinten blass. Telson braun, Dorsalplatte etwas ver¬ breitert, Seitenplatten stark verbreitert; Sinnesfeld der letzteren klein, rundlich. 7. Sternit (Fig. 3 sfa) mit dunkelbrauner, gebogener, band¬ förmiger Zeichnung, 8. Sternit (Fig. 3 sh) als kleiner spatenförmiger Anhang am 7. Sternit ; Stiel sehr breit, Basalecken sehr spitz nach vorn (in der Körperrichtung) ausgezogen, nach hinten allmählich lang und spitz ausgezogen, sehr fein und dicht pubesciert, ohne grössere Haare dazwischen. Gonopode des 8. Segmentes (Fig. 3 gps) am Ende gerade abgestutzt. Spitze nach aussen gerichtet. Gonopode des 9. Seg¬ mentes mit innen dicht und ziemlich fein pubesciertem Lateraltheil (Fig. 3 Igpßi), Medialtheil (Fig. 3 mgp 9) breit, aussen mit kurzem, zapfen¬ förmigen Höcker, dahinter mit kurzer nach aussen ausgezogener Spitze. Beine blass ockergelb, Coxen an der Basis braun gefleckt, Schenkel unten braun mit Ausnahme der distalen Spitze oben mit 4—6 braunen Flecken. Ende der Schienen und die Tarsen schwarzbraun. Hintertarsen¬ glieder ohne Ctenidiobothrien, aber mit den entsprechenden Dornen. Klaue schwarz, mit Ausnahme des kräftigen spitzen Zahnes an der Basis des Enddrittels, der gelb ist; an der Basis mit Borstenhaar, ein zweites solches zwischen diesem und dem Klauenzahn. Länge des 1. bis 3. Hintertarsengliedes: 0*31 mm., 0’1 mm., 0*14 mm. Nur der Vorderflügel als ovales, schuppenförmiges, blass ocker¬ gelbliches Budiment ausgebildet (Fig. 1 und 2). Es sind deutlich noch Badius (r), Media (m), Cubitus (cu) und Axillaris (ax) zu erkennen, die braun gefärbt und theilweise ebenso gesäumt sind. Media und Cubitus zu kurzer Gabel vereinigt. Körperlänge ca. 3 Va — 4 mm. Kopflänge ca. 1*1 mm. Fühlerlänge ca. 47a mm. Süd-Tunis : Kambout. Ein Weibchen von L. Yibert auf Rétama gesammelt. Type im Ungarischen National-Museum. EBKLÄBUNG VON TAFEL IX. Fig. 1. Mesopsocus nasutus n. sp. Ç. Vergr. 25:1. Fig. 2. desgl. Rechtes Vorderflügelrudiment. Vergröss. 100 : 1. r — Radius ; m = Media ; cu = Cubitus ; ax — Axillaris. Fig. 3. desgl. Äusserer Genitalapparat. Vergr. 53:1. stp — 7. Sternit; sts = 8. Sternit; tgs — 8. Tergit ; gps = Gonopode des S. Segmentes; Igps = Lateraltheil der Gonopode des 9. Segmentes; mgpa = Medialtheil der Gonopode des 9. Segmentes. / Y. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNG ARICI. 1907. ORTHOPTERA EX ASPA-MINORE recensuit D. Kuthy. Clariss. Dr. A. Lendl mensibus Julio et Augusto anni 1906 iter ad varias Asiæ-Minoris provincias collectionis causa suscepit. Ex hoc itinere, inter alia, magnam insectorum copiam retulit, quæ nunc Musei Nationalis Hungarici propria sunt. Orthoptera infra enumerata ex hac collectione oriuntur. Forficulidæ. 1. Forficula auricularia, L. — Ali-Hodsha, Ivris. Blattidæ. 2. Stylopyga orientalis L. — Ulukvista, Tshifte-Chan. Mantidæ. 3. Bolivaria brachyptera Pall. — Kuzundsuk. 4. Fischeria baetica Ramb. — Bozanti. 5. Empusa pennicornis Pall. — Bulgar-Maden. Tryxalidæ. 6. Tryxalis nasuta L. — - Bozanti, Eski-Tshehir, Lacus Ak-Göl. Acridiidæ. 7. Paracinema tricolor Thunbg. — Bozanti, Lacus Ak-Göl, Sünande, Kuzundsuk. 8. Stenobothrus Fischeri Eversm. — Akaia. 9. « rufipes Zett. — Bozüjük, Lacus Ak-Göl. 10. « petraeus Bris. — Lacus Ak-Göl. 11. « bicolor Charp. — Ali-Hodsha, Lacus Ak-Göl, Ivris, Tshajan, Eregli. 12. Stenobothrus dor satus Zett. — Lacus Ak-Göl, Sünande, Kuzundsuk. 13. Stenobothrus parallelus Zett. — Lacus Ak-Göl, Ivris, Eregli. 14. Stauronotus anatolicus Krauss. — Bozanti, Ivris, Kuzundsuk. Var. castaneo -piet a Krauss. — Lacus Ak-Göl, Ivris, Kuzundsuk. ORTHOPTERA EX ASIA -MIN ORE. 431 15. Stauronot'us brevicollis Eversm. — Ali-Hodsha, Ivris, Ku- zundsuk — Bulgar-Maden, Alpuköi. 16. Stauronotus Hauensteini Bol. ■ — Fluvius Pursak, Eski-Tshehir, Eira-Tsllehir. 17. Stethophyma turcomanum Fisch. — Ivris, Fluvius Pursak. 18. Stethophyma Bolivari n. sp. j . — Statura mediocri. Colore flavo fusco-picto. Caput elongatum, pronoto æque longum. Occiput con¬ vexum, medio sutura longitudinali. Vertex foveolis impressis, crasse sparsim puntatis. Frons reclinata. Costa parce convexa et usque ad clypeum pertingens, carinis genarum distinctis. Pronotum supra pla¬ num, glabrum et carinatum, carinis lateralibus inter sulcum primum et sulcum typicum interrruptis, lineola utrinque albida, prope sulcum pri¬ mum anteriorem sinuata. Elytra abdomen bene superantia, hyalina, venis fuscis, maculis 3 — 7. nigris, area radialis media, discoidalis et ulnaris maculis fuscis insitæ. Alæ hyalinæ. Femora postica pallida, vel albido- flava, latere externo et interno maculis nigris ornata. Tibiæ albido-flavæ. Abdomen pallide flavum, apice infuscatum. Cerei perbreves, flavi. — Mas mihi ignotus. Stethophymaki tur cornano Fisch, proximum, sed statura minore, elytrorum colore et alis hyalinis (non apice fusco-maculatis) distinctum. Long, corporis 24 — 26 mm. « pronoti 4*5 mm. « elytrorum 19—21 mm. Ivris 20. VIL, Kuzundsuk 26. VIL, 5 £ . 19. Epacromia strepens Latr. — Bozanti. 20. « thalassina Fabr. — Lacus Ak-Göl, Mutalib, Eski- Tshehir, Bos-Dagh. 21. Sphing ono tus coerulans L. - — Bozanti. 22. Sphingonotus humeralis n. sp. — Statura majore. Fusco- testaceus. Antennæ maris capite et pronoto simul sumptis duplo, feminæ dimidio fere tantum longiores. Caput subferrugineum, aut plus-minusve albo- vel cinereo-pruinosum. Vertex obtusus, latiusculus, parum impressus. Costa frontalis sulcata. Pronotum leviter carinatum, rugosiusculum, antice sparsim punctatum. Elytra transversim bifasciata, fascia hume¬ rali dujdo latiore quam externa, apice hyalina. Alæ basi late roseæ, fascia fusca, ubique a margine remota, vittam radialem in parte antica, humerum versus emittente, parte apicali hyalinæ. Femora postica albido- flava, latere externo nigro-maculata, intus maculis duabus nigris ornata. Tibiæ circa medium et apice cœruleo-annulatæ. ..Species: alis in parte antica humerum versus vittam radialem emittentibus, eximia est. 432 D. KUTHY Long, corporis & 20 — 25 mm., j 28 — 35 mm. « pronoti c? 4 mm., $ 6*5 mm. « elytrorum c? 20 — 25 mm., £ 28 — 35 mm. Bozanti 7. VIII., Bulgar-Maden 31. VII., 2 cT, 3 $ . 23. Acrotyhcs insubricus Scop. — Karakói. 24. C! lavora pentagrammica Bol. — Ivris, Kuzundsuk, Tshajan. 25. Oedipoda miniata Pall. — Alis flavis et dilute roseis. — Bozanti, Konia, Bulgar-Maden, Ali-Hodsha. 26. Oedipoda gratiora Serv. — Eregli, Lacus Ak-Göl, Ivris, Ku¬ zundsuk, Bulgar-Maden. 27. Oedipoda coerulescens L. — Ivris, Ali-Hodsha, Bozanti, Tsliifte- Chan, Lacus Ak-Göl. 28. Oedipoda Schochii Br. ■— Kuzundsuk, Tshajan, Beilik, Karakói. 29. 0 e da, leur nigrofasciatus De Geer. — Bozanti, Ivris, Lacus Ak- Göl, Kuzundsuk, Bulgar-Maden, Alpuköi. 30. Pgr g oder a armata Fisch. — Ivris, Eski-Tshehir, Tshajan. 31. Eremobia Escherichi Krauss. — Eski-Tsehir, Bos-Dagh, Kara- Tshehir. 32. Eremobia Holtzi Werner. -A- Fluvius Pursak, Sünande, Ku¬ zundsuk, Tshajan, Bulgurlu, Bailik, Alpuköi, Lacus Ak-Göl. 33. Pyrgomorpha grylloides Latr. - — Kuzundsuk, Eregli. 34. Caloptenus italicus L. — Bulgar-Maden, Bozanti, Lacus Ak-Göl. Kuzundsuk, Bulgurlu, Mutalib, Alpuköi. 35. Euprepocnemis plorans Charp. — Lacus Ak-Göl. 36. Platyphyma Giornae Bossi. — Tshifte-Chan. 37. « rugulosum Stal. — Bozanti. Locustidæ. 38. Callimenus dilatatus Stal. — Tshajan. 39. Xiphidium fuscum Eabr. — Lacus Ak-Göl. 40. Locusta viridissima L. — Köktshke-Kissik, Eski-Tshehir. 4L Locusta caudata Charp. — Bozanti, Sünande, Eregli. 42. Platycleis grisea Fabr. — Ali-Hodsha. 43. « intermedia Serv. — Ivris, Kuzundsuk, Bozanti. Gryllidæ. 44. Gryllus campestris L. — Ali-Hodsha, Bulgar-Maden. 45. « desertus Pall. — Ali-Hodsha, Kuzundsuk. 46. « domesticus L. — Tshifte-Chan. 47. Gryllotalpa vulgaris Latr. — Hassan-gassi, Ali-Hodsha. Y. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICI. 1907. ÜBE R MINERALCHEMIE. Von Josef Loczka. Die hauptsächlichsten Aufgaben der Mineralchemie sind die Er¬ mittelung der empirischen Zusammensetzung der Mineralien und die Feststellung der Constitution dieser Körper, wie dieses G. Tschermak 1 ausführlich erörterte. Tschermak schreibt «... manche davon (von den Theilnehmern in der Mineralchemie) stecken sich vorläufig nur das eine Ziel, die Zusammensetzung der in den Mineralen verkörperten Verbindungen zu ermitteln, indem sie die Erforschung der näheren Gruppirung der Bestandt heile, die Ergründung der chemischen Constitution ferneren Untersuchungen überlassen. Allerdings hat die Mineralchemie noch vollauf damit zu thun, die blosse empirische Zusammensetzung bei vielen und sonst wohlbekannten Mineralien auszumitteln, aber der Fort¬ schritt der Chemie wird die Vollendung dieser Arbeit nicht abwarten bevor er an die Lösung der anderen Aufgabe schreitet». (1. c. p. 93.) «Die Veränderungen der Körper zu studieren und aus diesen die Struetur der Verbindungen zu erschliessen, ist ein Hauptziel der che¬ mischen Forschung. Bei den Mineralen haben wir aber mit ungemein grossen Schwierigkeiten zu kämpfen. Mit wenigen Ausnahmen sind sie nicht flüchtig, daher zur Bestimmung der Dampfdichte untauglich, so dass ihr Molekulargewicht nach der gegenwärtigen Methode nicht er¬ mittelt werden kann». (1. c. p. 98.) «Was bis jetzt nicht gelang, wird, so hoffen wir, später durch Anwendung anderer Mittel gelingen und die Mühe wird durch die werthvollsten Ergebnisse gekrönt werden. Insofern kann man Kolbe beistimmen, wenn er sagt2 «dass es die künftige Aufgabe der Mineral¬ chemiker sei, für die chemischen Mineralverbindungen neue Unter¬ suchungsmethoden zu schaffen und aus deren Ergebnissen die Argu¬ mente zur Beurtheilung der chemischen Constitution zu schöpfen». 1 G. Tschermak : Die Aufgaben der Mineralchemie. (Mineralogische Mit¬ theilungen. Jahrgang 1871. p. 93 — 103. Wien, 1872.) 2 Journ. f. prakt. Chemie. Neue Folge. Bd. 1, p. 1. Annales Musei Nationalis Hungarici V. 28 4-34 JOSEF LOCZKA Wer aber die Schwierigkeiten kennt, wird zugestehen, dass die Erfül¬ lung dieses Wunsches nicht all zu nahe bevorstehe ». (1. c. p. 98 — 99.) Bei dem vernachlässigten Zustande der Mineralchemie wird dieses wirklich nur in unabsehbarer Zeit eintreten. Die Mineraluntersuchung ist derzeit insofern unvollkommen, dass wegen Mangel an Chemikern öfters nur die krystallographischen Unter¬ suchungen publiciert werden ; ein Mineral ist aber nur dann völlig charakterisiert, wenn es sowohl krystallographisch, als auch chemisch untersucht ist. Den Mangel an Chemikern in der anorganischen Chemie erklärt Hillebrand 1 folgendermassen : «Die Zusammensetzung der letzten Be¬ standteile der Erdkruste, der verschiedenen darin vorkommenden und meist gesteinsbildenden Mineralien zu erforschen — dies war das Lieb¬ lingsthema der grossen Chemiker der ersten Hälfte unseres Jahrhun¬ derts. Der unverdrossenen Mühe und Gewissenhaftigkeit eines Berzelius, Wöhler und anderer gebührt der Dank der Mineralogen und Geologen der Gegenwart. Wenn man der Schwierigkeiten gedenkt, mit denen sie bei der ihnen zu Gebote stehenden Ausrüstung des Laboratoriums und der Beschaffenheit der Beagentien zu kämpfen hatten, so erscheinen ihre im allgemeinen ausgezeichneten Leistungen geradezu staunens¬ wert. In engster Beziehung zur Analyse der Mineralien steht die ihrer mehr oder weniger komplizierten Mischungen — der Gesteine. Im Dienste der Petrographie und Geologie war eine grosse Schar von Chemikern jahrzehntelang damit beschäftigt, jährlich Hunderte von Analysen aller Grade der Genauigkeit und Vollständigkeit zu liefern. Aber mit dem Anwachsen und der ausserordentlich schnellen Entfal¬ tung der sogenannten «organischen Chemie» geriet die «anorganische Chemie« sozusagen in Missgunst, In vielen, selbst den besten europäi¬ schen Laboratorien kam dem Unterricht in der Mineralanalyse, sofern er einen Theil des Studienganges bildet, eine nur untergeordnete Bolle zu ; wurde doch durch das immerfort wachsende Studium der Kohlen¬ stoffverbindungen und ihre rapide Vermehrung ein weites und geeigne¬ tes Feld für selbstständige und möglicherweise nutzbringende Unter¬ suchungen geöffnet, das dem jungen Chemiker verlockendere Aussichten bot als der oft schon abgegraste und anscheinend erschöpfte Weide¬ platz der anorganischen Chemie. Auf einen Studierenden, der sich mit schwierigeren Untersuchungen auf anorganischem Gebiet beschäftigt, 1 Dr. W. F. Hillebrand : Praktische Anleitung zur Analyse der Silikat¬ gesteine nach den Methoden der geologischen Landesanstalt der Vereinigten Staaten. Leipzig, 1899, p. 6. ÜBER MINERALCHEMIE. 435 tamen wohl fünfzig, die an dem weiteren Aufbau des jetzt so impo¬ santen Gebäudes der Kohlenstoffchemie mitarbeiteten. Der Unterricht in der Mineralanalyse beschränkte sich auf die üblichen Trennungen der gewöhnlichen Bestandteile, sofern sie in merklichen Quantitäten vorhanden sind. Auf etwa vorhandene Spuren von Elementen wurde wenig Rücksicht genommen, und noch weniger versuchte man festzu¬ stellen, ob die Analyse auch wirklich alles umfasste, was zur Zusam¬ mensetzung des Minerals oder des Gesteins gehört». Wie wir sehen, schreibt Hillebrand die Vernachlässigung der anor¬ ganischen Chemie der rapiden Entwicklung der organischen Chemie zu. Es ist Thatsache, dass die organische Chemie die Chemiker von der intensiven Pflege der anorganischen Chemie ablenkte. Man wun¬ dere sich nicht hierüber, denn die Chemie ist zugleich auch eine prak¬ tische Wissenschaft, und zur Geltendmachung dieser Wissenschaft bieten die jetzigen Verhältnisse unzählige Gelegenheit, und hier muss hervor¬ gehoben werden, dass man dieses jetzt gerade von der organischen Chemie erwarten kann ; es ist daher natürlich, wenn die Jünger der Chemie zu ihrem Lebensberuf denjenigen Zweig dieser Wissenschaft wählen, von dem sie im praktischen Leben ihr Fortkommen am besten gesichert sehen. Wir können aber die Vernachlässigung der anorganischen Chemie nicht blos der rapiden Entwicklung der organischen Chemie zur Last legen, sondern müssen auch den Umstand ins Auge fassen, dass es, einige Fabriken ausgenommen, wirklich kein geeignetes Feld gibt, wo die sich hauptsächlich in der anorganischen Chemie mit grossem Kosten- und Zeitaufwand ausgebildeten jungen Leute ihr Wissen verwerthen könnten. Also auch in diesem Umstande liegt ein Hauptgrund der Ver¬ nachlässigung der anorganischen Chemie. Wenn wir also haben wollen, dass sich die anorganische — über¬ haupt aber die Mineralchemie emporschwinge, so müssen solche Labo¬ ratorien und Stellungen geschaffen werden, in welchen die Mineral¬ chemie beständig und systematisch cultivirt werden kann. Solche Stellungen und Laboratorien wären neben den Lehrstühlen der Mineralogie an den Universitäten, technischen Hochschulen und Bergakademien, wie auch in den geologischen Anstalten und in den Landesmuseen zu creieren und zu errichten. Wir können überzeugt sein, dass alle Professoren der Mineralogie zahlreiche mineralchemische Probleme zu lösen hätten, aber Niemanden haben, den sie damit betrauen könnten. Nachdem die Culti virung, der Fortschritt der Mineralogie, die 28* 436 JOSEF LOCZKA Beobachtung, das Studium der Entstehung, der Veränderung und des Zerfalles, mit einem Worte des ganzen Lebenslaufes der Mineralien derzeit hauptsächlich in die Hände der Professoren der Mineralogie niedergelegt ist, so muss ihnen auch Gelegenheit geboten werden, ihre Ideen auf diesem Gebiete auch verwirklichen zu können. Zu diesem Zweck sollte jedem mineralogischen Lehrstuhl ein modern und vollständig eingerichtetes Laboratorium mit wenigstens zwei Chemikern zur Verfügung stehen. Nachstehend möchte ich die Nothwendigkeit der Anstellung von zwei Chemikern begründen. Die Zeit des Mineralchemikers absorbieren grössentheils solche an¬ scheinend nebensächliche, aber mit seinem Wirkungskreis sehr wesent¬ lich zusammenhängende Arbeiten, so dass er zu seiner eigentlichen Aufgabe nur den Bruchtheil seiner Zeit verwenden kann. Zu den wichtigsten und unausweichbarsten derartigen Arbeiten gehört die Untersuchung und Peinigung der Reagentien, und dieses ist eine unausbleibliche Pflicht. Die chemische Grossindustrie hat auf dem Gebiete der Reagentien-Darstellung zwar grosse Fortschritte gemacht, aber darum ist sie noch weit davon entfernt, ganz einwurfsfreie und verlässliche Fabrikate herstellen zu können; und kein Chemiker soll sich dem Glauben hingeben, dass, wenn er seine Reagentien von den verlässlichsten Quellen bezieht, dieselben ohne vorausgehende Unter¬ suchung auch gebrauchen könne. Öfters enthalten die Reagentien nicht eine, sondern mehrere Ver¬ unreinigungen, wie dieses Knorre in dem Ammoniumpersulfat nachwies.1 Man muss zwar anerkennen, dass einige Reagentien in einwurfs¬ freier Qualität dargestellt werden, aber dieser Umstand enthebt den Chemiker nicht der Pflicht der Untersuchung seiner Reagentien. Der Chemiker kann nur dann die in der Analyse vorkommenden Fehler auf Beobachtungs- oder Methodenfehler zurückführen, wenn er sich von der Reinheit der angewandten Reagentien überzeigt hat ; in einem solchen Falle kann er den Fehler entweder durch die Unter¬ suchung der Niederschläge oder durch einen neuen Versuch eliminiren ; wendet er aber ungeprüfte, verunreinigte Reagentien an, so sucht er umsonst nach der Ursache des Fehlers, ausgenommen er prüft nach¬ träglich die Reagentien. Mit der Frage der Reinheit der Reagentien befasste sich der 1 C. y. Knorre schreibt, dass das Ammoniumpersulfat immer Bleisuperoxyd, Bleisulfat, Bleisupersulfat und Arsensäure, ausserdem Chloride und Calcium ent¬ halte. (Chem. Centrbl. 1904. p. 120.) UBER MINERAL CHEMIE. 437 Wiener III. und Berliner Y. Chemiker-Congress ; der letztere brachte unter anderem den Wunsch zum Ausdruck, die Fabrikanten mögen an¬ geben welche Verunreinigungen die ausgefolgte Reagenz enthalten könne, wodurch die Untersuchung des Chemikers sehr erleichtert würde ; aber die hierauf bezüglichen Beschlüsse und Wünsche des Congresses sind bisher unberücksichtigt geblieben. Weiterhin kann man sich hinsichtlich der Reinigung und der Erhaltung in brauchbarem Zustande der heiklicheren Glas- und anderer Apparate wie auch der Platingefässe nicht auf den Diener verlassen und nach bitteren Erfahrungen muss sich der Chemiker diese Arbeiten selbst verrichten. Öfters geschieht es, dass man in den Gang der Analyse statt einer älteren eine anscheinlich sicherere und glatter ablaufende Methode einfügen muss. Es geschieht aber nicht einmal, dass, wenn solche Methoden nachgeprüft werden, es sich herausstellt, dass sie entweder unbrauchbar sind, oder nur bei Einhaltung gewisser Cautelen — welche n der Original-Beschreibung nicht enthalten waren — verlässliche iResultate geben. Nach Enttäuschungen, nach Verlust von Zeit und Analysenmaterial kommt man zu der Überzeugung, dass man eine neue Methode ohne gründliche Prüfung ebenso wenig benützen kann, wie die Reagentien. Dass übrigens eine scheinbar einfache, seit Jahren bekannte und in vielen Fällen erprobte Methode auch in den Händen hervorragender Chemiker abweichende Resultate geben kann, beweist die Methode Lunge’s 1 zur Bestimmung des Schwefels im Pyrit als Bariumsulfat. Will der Chemiker in jeder Hinsicht über das ihm anvertraute Untersuchungsmaterial Rechenschaft geben, so muss er die Vorbereitung des Minerals oder des Gesteines zur Analyse, Pulverisirung u. s. w. auch selbst verrichten. Diese vorausgehend erwähnten Arbeiten nehmen einen grossen Theil der Zeit des Chemikers in Anspruch. Wenn sich aber mit diesen Arbeiten zwei oder mehrere Chemiker befassen, so können sie bei rich¬ tiger Arbeitstheilung viel mehr Zeit und ungestörte gründliche Auf¬ merksamkeit auf die eigentlichen Aufgaben verwenden. Ich glaube mit diesem habe ich die Anstellung zweier oder nöthi- genfalls mehrerer Chemiker an den erwähnten Instituten zur Genüge begründet. Seit dem Erscheinen von Tschermak’s Arbeit sind 36 Jahre ver- 1 Bestimmung der gebundenen Schwefelsäure nach den Methoden von Lunge und Silberberger. (Zeitschr. f. angew. Chemie. 1905. p, 450 — 460.)o 438 JOSEF LOCZKA flössen, aber auf dem Gebiete der Mineralchemie sind während dieser Zeit keine tiefeingreifende Veränderungen eingetreten. Auch jetzt findet man noch dieselben Verhältnisse und die Zahl der Theilnehmer ist vielleicht sogar noch geringer als damals. Noch jetzt, und wenn sich die Verhältnisse in dieser Beziehung nicht ändern, wird Tschermak's Äusserung noch lange gelten, nämlich dass wir blos mit der Ergründung der empirischen Zusammensetzung der Mineralien noch viel zuthun haben werden. Dass wir mit den übrigens gewöhnlichen und oft vorkommenden Mineralien nicht im Beinen sind und wie wenig wir dieselben kennen, möchte ich der Kürze wegen blos zwei Beispiele anführen. Nehmen wir z. B. den Pyrrhotin. Dieses Erz kommt dicht in grossen Massen vor, ist aber auch in schönen Krystallen nicht selten. Die bisherigen Analysen ergaben Werthe, aus welchen sich nach Bam¬ melsberg die allgemeine Formel FenSn-\- 1 ableiten lässt. Nach dieser Formel wird das Mineral als aus nFeS-{-Fe^S3 oder nFeS-\-FeS% be¬ stehend aufgefasst. Wir kennen die Beschaffenheit dieses Minerales nocht nicht und wenn sich die Analysen blos auf die Gesammtbestimmung des Eisens und des Schwefels beschränken, so werden wir die Natur dieses Minerals auch nie erkennen, was wir aber vielleicht auf die Weise erreichen können, wenn wir die Analyse nach dem Verhalten des Pyrrhotins zu den Beagentien durchführen. Der Pyrrhotin enthält nach Bodewig freien Schwefel. Auf Zusatz verdünnter Säuren entwickelt er Schwefelwasserstoffgas, die Lösung trübt sich und es scheidet sich Schwefel aus. Nach diesem Verhalten müsste man meiner Meinung nach die Analyse folgendermassen durchführen. Zuerst müsste man natürlich eine sogenannte Bauschanalyse ausführen, d. h. die Gesammtmenge des Schwefels und Eisens bestimmen, Dieses würde die Basis der weite¬ ren Untersuchung bilden. Nach diesem käme die Bestimmung des freien Schwefels durch entsprechende Behandlung des fein pulverisirten Mine¬ rals mit Schwefelkohlenstoff. Die Bestimmung des Ferroeisens wäre wegen der Schwefelwasser¬ stoffentwicklung zwar schwierig, aber nicht unmöglich ; ich glaube näm¬ lich, dass man die Eisenoxydulbestimmung hemmende Wirkung1 des Schwefelwasserstoffs dadurch beheben könnte, dass man vor der Zer- 1 Enthält nämlich das Mineral auch Ferri-Eisen, so wird dieses durch den Schwefelwasserstoff zu Farro -Eisen reduciert und hiedurch die richtige Bestimmung des vielleicht ursprünglich vorhanden gewesenen Ferro Eisens illusorisch gemacht. ÜBER MINERALCHEMIE. 4-39 Setzung der Probe eine QuecksilberchJoridlösung beifügt, welche das Schwefelwasserstoffgas gleich bei seiner Entstehung binden und der richtigen Bestimmung des Eisenoxyduls kein Hinderniss mehr im Wege stehen würde. Dieses Verfahren hätte zwar den grossen Nachtheil, dass man den Schluss der Zersetzung wegen des entstandenen Quecksilber¬ sulfids nicht beobachten, aber nach einigen Versuchen auch dieses fest¬ gestellt werden könnte. Das Auflösen des Minerals müsste natürlich in einer C02 Atmosphäre vorgenommen werden. Kennen wir nun die Menge des Gesammteisens und des Ferro-Eisens, so würde die Differenz beider die Menge des Ferri-Eisens ergeben. Enthält aber das Mineral Ferri-Eisen, so wäre hiedurch auch die Schwefelausscheidung während der Zersetzung erklärt. Unser Bestreben soll auch darauf gerichtet sein, das entwickelte Schwefelwasserstoffgas und den ausgeschiedenen Schwefel für sich zu bestimmen, um so das Verhältniss beider kennen zu lernen. Ich glaube es würden sich aus den Besultaten der so durch¬ geführten Analyse einige Beziehungen für die innere Zusammensetzung dieses Minerals ergeben. Ein weiteres Beispiel ganz gewöhnlicher Minerale ist der Pyrit und Markasit. Beide haben dieselbe empirische Zusammensetzung, ihre physikalischen Eigenschaften weichen aber stark von einander ab. Diese zwei Mineralien kennen wir auch nicht chemisch, da wir mit den uns zu Gebote stehenden Methoden nicht entscheiden können, ob das Eisen hier als Ferro- oder Ferri-Eisen oder in beiden Formen zugleich enthalten ist. Mit dieser Frage haben sich schon mehrere befasst, aber mit Sicherheit konnte selbe nicht entschieden werden. Ich kann es weiterhin nicht unterlassen, die Aufmerksamkeit auf eine der schwierigsten und äusserst wichtigen Fragen der Mineralchemie zu lenken ; mit unseren heutigen Methoden stehen wir ohnmächtig dieser Frage gegenüber und dieses ist die separate und genaue Be¬ stimmung des Krystall- und Konstitutionswassers. Die genaue Bestimmung des Gesammtwassers in den Mineralen ist schon an und für sich in vielen Fällen eine schwere analytische Aufgabe, aber wir erreichen dieses doch mit genügender Schärfe. Nur die Interpretation des Besultates der Bestimmung steht auf sehr schwan¬ kender Grundlage. Mit der Bestimmung des Wassers im Minerale bestimmen wir eigentlich zweierlei Wasser von differenter Natur und Bolle, d. h. wir bestimmen in Gestalt des Wassers auf einmal zwei Bestandtheile, näm¬ lich das Krystallwasser und das Constitutionswasser. Wir nehmen an, dass das Krystallwasser als solches, d. h. als molekulares Wasser im Mineral vorhanden ist, welches mit den übrigen 440 JOSEF LOCZKA Bestandteilen des Minerales nicht nach Valenzen verbunden ist, son¬ dern dass es eine bis jetzt unbekannte chemische Energie locker bin¬ det, und dieses Wasser entweicht in den meisten Fällen schon bei niedriger Temperatur; das Constitutionswasser ist nicht als Wasser enthalten, sondern es entsteht aus den in den sauren oder basischen Mineralen enthaltenen Hydroxylgruppen. «Im allgemeinen nimmt man an, dass dasjenige Wasser, das unterhalb der Glühhitze entweicht, Krystallwasser sei, während das¬ jenige, das erst bei der Glühhitze entsteht, als hervorgegangen aus den im Mineral angenommenen Hydroxylgruppen angesehen wird. Eine scharfe Unterscheidung ist vorläufig nicht durchzuführen. In manchen Fällen kommt es auch vor, dass man den Wassergehalt eines Minerals in Folge der verschiedenartigen Temperatur, in der er flüchtig wird, theis als Constitutions-, theils als Krystallwasser auffassen muss.»1 Wie wir sehen, können wir das Krystallwasser und Constitutions¬ wasser jedes für sich nicht scharf bestimmen. Die Grenze des Ent¬ weichens der zweiartigen Wasser ist sehr willkürlich angenommen und so ist auch die Deutung der Wohingehörigkeit der durch die Erhitzung erhaltenen Wasserquantität willkürlich und dem zufolge beruht die Formel einzelner wasserhaltiger Minerale hinsichtlich des Wassergehal¬ tes nicht auf Thatsachen, sondern mehr- weniger auf willkürlicher Inter¬ pretation. Wir müssen trachten in jedem einzelnen Falle experimentell scharf festzustellen, bei welcher Temperatur alles Krystallwasser ent¬ weicht und bei welcher sich das Constitutionswasser zu bilden und zu entweichen anfängt, wenn wir für die wasserhaltigen Minerale richtige Formeln aufstellen wollen. Mit der Natur des Krystall- und Constitutionswassers und den Ver¬ änderungen, welche das successive Entweichen desselben im Krystall- molekul hervorruft, haben sich schon mehrere Forscher befasst, ins¬ besondere Mallard, Damour, Rinne u. a. Auf Grund der erhaltenen wichtigen Resultate dieser Forscher müssen Mineralogen und Chemiker Hand in Hand die Frage endgültig zu lösen suchen, ohne welche unsere Anschauungen über die Zusam¬ mensetzung der wasserhaltigen Minerale undeutlich und irrig bleiben. Ausserdem könnten mehrere noch zu lösende Fragen aufgeführt und mehrere Mineralien aufgezählt werden, deren empirische Zusam¬ mensetzung, beziehungsweise deren richtige Formeln wir noch nicht 1 Dr. F. Klockmann : Lehrbuch der Mineralogie. II. Aufl. Stuttgart, 1900. p. 221. Kapitel: Krystallwasser. UBER MINERALCHEMIE. 441 kennen, abgesehen von den ans seltenen Erden bestehenden und öfters sehr complicirten Mineralen, deren Analyse nach dem heutigen Stand unserer diesbezüglichen Kenntnisse, mehr oder weniger unsichere Resul¬ tate geben. Wenn schon die Analyse der aus den gewöhnlichsten, daher gut bekannten Elementen, ein wenig complicirter zusammengesetzten Minerale öfters auf grosse Hindernisse stösst, umso grösseren Schwierig¬ keiten begegnen wir bei den aus seltenen, noch wenig bekannten Ele¬ menten bestehenden Mineralen, und daher die auf die Analyse letzterer verwendete Zeit und Mühe mehr-weniger verloren geht. Mit noch grösseren Schwierigkeiten haben wir bei der Feststellung der Constitution der Mineralien zu kämpfen, da wir das Molekular¬ gewicht der meisten dieser Körper nicht bestimmen können, und wir daher blos auf die Kenntniss ihrer uns zugänglichen chemischen und physikalischen Eigenschaften angewiesen sind, um aus diesen auf die Constitution Schlüsse ziehen zu können. Aber trotz der Schwierigkeiten sind auch auf diesem Gebiete schon wichtige Resultate zu verzeichnen. Bezüglich der Constitution der Silikate sind in zwei Richtungen sehr wichtige Untersuchungen im Gang. Erstens gelang es Tschermak 1 aus den natürlichen Silikaten die Kieselsäuren in ihrem unveränderten Zustande abzuscheiden, da aber von der Kenntniss dieser Säuren die Kenntniss der Constitution der Silikate abhängt, so haben diese Resul¬ tate einen überaus grossen Werth. Zweitens befassen sich im Laboratorium der «United States Geo¬ logical Survey» Clarke,2 Steiger, Mc Neil schon jahrelang mit Unter¬ suchungen betreffs der Constitution der Silikate und es ergab sich, dass aus den zeolithischen Mineralien Calcium und Natrium sehr leicht entfernt und durch andere Metalle oder basische Radikale ersetzt wer¬ den können. Yon den in diesen zwei Richtungen auszuführenden Untersuchun¬ gen können wir hinsichtlich der Constitution der Silikate die glän¬ zendsten Resultate erwarten. Das genannte amerikanische Laboratorium entwickelt auf dem Gebiete der Gesteinsanalyse eine erfreuliche und nicht genug zu schäz- zende Thätigkeit; theilweise dadurch, dass es von dem alten Systeme — welches sich mit der Bestimmung von SiO^, Fe%03, FeO, Al^03f CaO , 1 G. Tschermak: Darstellung von Kieselsäuren durch Zersetzung der natür¬ lichen Silikate. (Chem. Centrbl. 1905. II. p. 1408.) 2 F. W. Clarke : Über basische Substitution in den Zeolithen. (Zeitschr. f. anorg. Chemie. 46, 197.) 442 JOSEF LOCZKA Mg 0, Á20, Na%0 und H»0 in den Silikaten begnügte — abwich, und für unumgänglich nothwendig hält, dass eine Gesteinsanalyse je vollkom¬ mener und vollständiger sei, wenn der Geologe oder Petrograph daraus wissenschaftlich bestehende Schlussfolgerungen ziehen will: theilweise durch Erproben analytischer Methoden und deren Publikation. In dem Institut werden die amerikanischen Gesteine systematisch aufgearbeitet, und aus dem so angehäuften wissenschaftlichen Material werden bezüg¬ lich der Zusammensetznng der Erde und der Yertheilung der Elemente sehr wichtige Schlussfolgerungen gezogen. Leider sind von der Nothwendigkeit der einzig massgebenden Arbeits. richtung des erwähnten amerikanischen Laboratoriums noch nicht alle betreffenden wissenschaftlichen Faktoren durchdrungen, denn es werden noch viele vielleicht auch von Anfängern herrührende Gesteinsanalysen publiciert, die noch nicht diejenige Yollständigkeit besitzen, welche man von wissenschaftlichen Zwecken dienenden Analysen verlangen muss. Sehr lehrreich und sehr zu beherzigen ist das Resultat der Arbeit, welche Prof. M. Dittrich 1 in Heidelberg und seine Schüler durchführten. Dittrich bemerkte nämlich, dass die von verschiedenen Studieren¬ den an demselben Material durchgeführten Analysen von einander sehr abweichen. Um dieser Erscheinung näher zu treten, liess Dittrich eine grös¬ sere Menge eines Gesteines pulvern und dieses gleichförmige Material analysirte er und seine zuverlässigen Schüler. Das Resultat dieser Un¬ tersuchungen zeigt nachstehende Zusammenstellung. lleldelb erger Gr emit it . Dittrich I. li. Schüler III. Maximal f Differenze. Si02 ... .„ - .... . 65*26% 65*43 % 64*76 % 0*67% TiO% .... ._ .. 0*53 « 0*24 « . (0*02) « 0*51 « . 16*68 « 17*47 « 20 80 « 4* 12s 1 FetOs _ .... .. ... .... 3*75 « 3*89 « 3*71 « 0*18 o CaO ... . 2*22 « (0*14) a 2-71 « 2*57. « MgO .... „ 1*82 « 2*41 « 1 *43 « 0*98 « KO . . . 4.18 « 605 « (1*03) « 5'02 « Na^O 4*46 « 3'20 « 3*72 « 1*26 « Glühverlust .... .... .... 1*23« 1*40 « 2*12 « 0-89 « 100*13% 100*23 % 100*30 % 1 M. Dittrich : Über Genauigkeit von Gesteinsanalysen. (Neues Jalirb. f. Min. 1903. p. 69—82.) ÜBER MINERALCHEMIE. 443 Dior it von Schriesheim . Dittrich I. Schüler II. Differenz SiO% — „„ „„ 1 40-82 % 40-26 % — 0*56 % Ti00 .... ... .... L. 4? 1-90« 2-10 « + 0-20 « AKOs L . . 1 7*55 « 16-21 .« — 1-34 « Fe^Os _ .... _ „„ 13-74 « 12-77 « — 0-97 « MnO „„ • M „„ ® 0*14 « 0-35 « + 0-21 « CaO 'Ù ™ _ „„ 10-34 « 10-11 « CO 6 1 MgO „„ -|| _ „„ _ 6-91 « 7-14 « '+ 0-23 « K,() _ _ _ 2-77 « 5*41 « ipr2-64 « Na^O $ i ■ 1 1-90 « M2! « — 0-76 « p/k, ~~ ~~ 1 . „„ 0"54 « 0-25 « — 0-29 « Glühverlust 4-25 « 4-03 « — 0-22 « 100-86 % 99-75 % Wie hieraus ersichtlich, sind die Differenzen der Schüler- Analysen sehr gross. Dittrich und seine Schüler führten als Selbstcontrolle nach Analysen an aus reinen Substanzen gemischtem Material aus und es zeigte sich, dass sich aus Dittrich’s Analysen solche Differenzen ergaben, welche sich innerhalb der Fehlergrenzen bewegen, während die seiner Schüler auch hier verhältnissmässig beträchtliche Differenzen zeigten. Die grossen Differenzen, welche die Analysen der Praktikanten zeigten, veranlassten Prof. Dittrich zu folgender Äusserung: «Wenn man sieht, welche Anforderungen heute an eine Gesteinsanalyse gestellt und welche manchmal weittragende Schlüsse durch geringe Abweichun¬ gen zweier sonst ähnlicher Analysen veranlasst werden, ist es von vorn¬ herein zu verwerfen, wenn die Analysen von Anfängern, mögen sie an¬ scheinend noch so sorgfältig arbeiten, ausgeführt werden. Wenn da nicht eine Controlle von zuverlässiger Seite gleichzeitig ausgeführt wird, hat die erste Analyse gar keinen Werth.» «Eine Gesteinsanalyse richtig auszuführen ist, wie schon Bunsen hervorhob, keine leichte Sache. Wer daher für wissenschaftliche oder praktische Zwecke Gesteins analy sen zu machen hat, für den ist es drin¬ gend erforderlich, sich erst an derartigen selbst zusammengesetzten Analysen reinster Substanzgemenge die Genauigkeit des eigenen Ar- beitens zu prüfen und sich selbst dadurch die Sicherheit zu liefern.»* Dittrich leistete der Geologie und Petrographie einen wesentlichen Dienst, indem er auf die Unzuverlässlichkeit der Erstlingsarbeit der Anfänger aufmerksam machte. 444 JOSEF LOGZKA Mit Bewunderung sehen wir die grossen Fortschritte, welche in den andern Zweigen der Naturwissenschaften gemacht werden, wogegen in diesem Zweige eine Stagnation eingetreten ist. Wir sollten und müssten uns intensive mit der Untersuchung der Gesteine und Mineralien befassen, denn sind wir nicht berechtigt von diesen Untersuchungen — abgesehen von den Aufgaben, welche mit Hilfe der Chemie die Mineralogie, Geologie und Petrographie zu lösen hat — die überraschendsten Resultate zu erwarten, deren erstes Glied gleichsam das Radium bildet? Dass diese Resultate nicht in kürzester Zeit erreicht werden, und dass man auf diesem Gebiete noch lange mit Ausdauer, Hingebung, beständig und systematisch wird arbeiten müssen, um die noch zu er¬ wartenden Wunderdinge zu entdecken, welche die Erdkruste wahrschein¬ lich noch in sich birgt, ist natürlich. Es soll die auf diesem Gebiete Beflissenen nicht abschrecken, dass ein jeder derselben nicht zu einem epochemachenden Resultat kommt, sondern es möge sich jeder damit begnügen, dass er zu diesen Ent¬ deckungen mit seiner regen Arbeit beiträgt, diese vorbereitet, mit einigen Ziegeln das Gebäude vollenden hilft, dessen Namen : «Die Erkennung der Zusammensetzung unserer Erde und der Einblick in die Geheimnisse der Schöpfung» ist. Es ist wohl wahr, dass wir hier auf grosse Schwierigkeiten stossen, denn wir können ja nur bis zu einer gewissen Tiefe in die Rinde un¬ serer Erde eindringen, das Weitere wäre für unsere Untersuchungen unzugänglich, wenn die Natur selbst uns nicht zur Hilfe käme, sie selbst giebt uns das Material in die Hände, welches wir vielleicht nie auf die Oberfläche gebracht hätten. Die Vulkane, die Gejzíre, die heissen Quellen, die Gaseruptionen u. s. w. liefern uns sehr werthvolles Unter¬ suchungsmaterial. Warum ergreifen wir nicht die Gelegenheit zur be¬ ständigen und systematischen Aufarbeitung desselben? Zur Untersuchung- des Materials der vulkanischen Ausbrüche sollte ein — nöthigenfalls ein internationales — grossangelegtes chemisches Institut errichtet werden, zu dessen Erhaltung jeder Culturstaat bei¬ tragen sollte, und dessen Aufgabe die chemische und petrographische Aufarbeitung des gesammten Materiales der vulkanischen Thätigkeit wäre. Würde es sich villeicht nicht lohnen denjenigen Zusammenhang oder Unterschied zu studieren, welcher zwischen der Lava und den üb¬ rigen Gesteinen besteht? Die Constatirung der Unterschiede zwischen der älteren und der Lava der noch gegenwärtig thätigen Vulkane ; das Studium der Mineralienbildung in der Lava, die Untersuchung der in ÜBER MINERALCHEMIE. 445 der Lava eingeschlossenen Gase würde gewiss zu sehr werthvollen wis¬ senschaftlichen Resultaten führen. Mit der Untersuchung der Produkte des letzten (1906) Vesuvaus¬ bruches haben sich zwar mehrere Forscher befasst, aber diese Unter¬ suchung sollte sich zu einer beständigen, ununterbrochenen Thätigkeit in einer vorher erwähnten und eigens zu diesem Zweck errichteten Anstalt gestalten. Zur Klärung unserer sehr lückenhaften Kenntnisse über die seltenen Erden halte ich es nicht nur für zweckmässig, sondern für dringend nothwendig, dass sich in Europa wenigstens eine Universitäts-Lehrkan¬ zel ausschliesslich mit der Chemie der seltenen Elemente und Erden befassen würde. Die betreffenden Regierungen würden durch die Errichtung der zur Entwicklung der Mineralchemie nothwendigen Laboratorien nicht nur der Wissenschaft, sondern auch dem praktischen Leben einen gros¬ sen Dienst leisten. Dass sich in diesen Mineralchemischen Laboratorien — abgesehen von den zu erreichenden wissenschaftlichen Errungenschaf¬ ten — eine auch das Gemeinwohl der Menschheit in hohem Grade berührende Thätigkeit entwickeln würde, ist ganz gewiss ; hier möchte ich mich z. B. auf das Auerlicht und auf seinen weittragenden volks- wirthschaftlichen Einfluss berufen. Ich glaube, dass mit dem im chemischen Laboratorium geborenen Auerlicht die das Wohl der Menschheit befördernden Eigenschaften der seltenen Erden noch nicht erschöpft sind. Dass die Unkenntniss der Zusammensetzung der Mineralien oder der Gesteine auch staatliche Interessen berühren kann, möchte ich mit einem Fall beleuchten. Im «Budapesti Hírlap » vom 29. Mai 1906 stand unter dem Titel: «Werthvoller Sand» folgender Fall zum lesen : «Die brasilianische Re¬ gierung kam nicht lange vorher einem interessanten Geheimniss auf die Spur. In der Hafenstadt Prado und deren Umgebung (Provinz Bahia) fiel es schon seit Jahren auf, dass sehr viele ausländische Schiffe mit besonderer Vorliebe als Ballast dortigen Meeressand aufnehmen, manche verfrachteten sogar ganze Schiffsladungen davon und zahlten auch einen bedeutenden Preis dafür. Es verbreitete sich natürlich das Gerücht, dass der Sand goldhältig sei, und die Regierung, durch den Provinz- Gouverneur auf die Sache aüfmerksam gemacht, liess den Sand analy- siren, zugleich verbot sie die Ausfuhr desselben. Die Analyse erwies, dass der Sand kaum Spuren edler Metalle enthalte. Die ausländischen Schiffe begannen wieder den Sand auszuführen, die Regierung aber, die den geheimen Werth des Sandes nicht ergründen konnte, belegte den¬ selben mit einem beträchtlichen Ausfuhrzoll. Den Sand beutete beson- 446 JOSEF LOCZKA ders ein amerikanischer Ingenieur Namens John Gordon aus ; der schloss später einen Vertrag mit der Regierung ab und hierdurch wurde das Geheimniss gelüftet. Der Sand der Umgebung von Prado enthält zwar weder Gold noch Silber, aber in ausserordentlicher Quantität einige sehr seltene Metalle, wie Didym, Cer und Thorium. Diese sind aber seit der Verbreitung des Gas- Glühlichtes ein sehr gesuchter Artikel. In der Natur kommen die Oxyde dieser seltenen Metalle gewöhnlich mit den phosphorsauren Verbindungen anderer seltener Elemente in einem Mineral, dem sogenannten Monazit vor. Der Monazit ist aber ein un¬ entbehrliches Material für die Glasglühlicht-Industrie. Der Sand von Prado enthält von dem sehr theuren Thorium auch zwanzig Procent, vom Cerium manchmal auch siebzig Procente. Gordon war der erste, welcher den derartigen Werth des Sandes bemerkte und schloss mit der Gasglühgesellschaft durch Auer einen Vertrag ab. Seit 1897 hat er nahe an drei Millionen Pfund Sand der Gesellschaft geliefert.» Nach diesem übergehe ich auf die Arbeitsordnung, welche be¬ folgt werden könnte, wenn in den erwähnten Instituten chemische Laboratorien errichtet und Chemiker in genügender Anzahl angestellt würden. Das an den Universitäten, Technischen Hochschulen und Berg¬ akademien neben den Lehrstühlen der Mineralogie, errichtete mineral¬ chemische Laboratorium würde unmittelbar zur Lösung derjenigen Pro¬ bleme und Fragen mitwirken, mit welchen sich die betreffenden Profes¬ soren befassen. Die Chemiker der geologischen Landesanstalten würden denjenigen Theil des von den Geologen des Institutes gesammelten Materiales auf¬ arbeiten, dessen Untersuchung die betreffenden Geologen zur Lösung einzelner geologischer Fragen für nothwendig erachten. Die Aufgabe der Chemiker der Landesmuseen wäre die mono¬ graphische Aufarbeitung der Mineralien des Landes, z. B. der gesammten Silikate, Sulfide, Sulfosalze u. s. w. Auf diese Weise würden nicht nur die analytischen Methoden und der Gang der Analyse der verschiedenen Mineralien sicher festgestellt werden, sondern es würde sich hieraus die vollständige Kenntniss des Mineralreiches des betreffenden Landes ent¬ falten, aber nur dann, wenn neben den Analysen zugleich die Resultate der krystallographischen Untersuchungen mitgetheilt würden, denn ohne diese wäre die Mineraluntersuchung lückenhaft und unvollständig. Mit diesem hätte ich im Allgemeinen denjenigen Wirkungskreis angedeutet, welchen die zur Hebung der Mineralchemie errichteten Laboratorien zu umfassen hätten. Nun übergehe ich auf die Frage der Qualität einer Analyse. Jeder ÜBER MINERALCHEMIE. 447 quantitativen Mineral- Analyse sollte die qualitative Untersuchung voraus¬ gehen, weil das Resultat dieser den richtigen Analysengang bestimmt. Bei der qualitativen Analyse soll mit grosser Minuziosität vor¬ gegangen werden ; es sollen nicht nur die Hauptbestandteile, sondern auch die in Spuren vorhandenen Bestandteile womöglich vollständig nachgewiesen werden. Dieses scheint vielleicht eine übertriebene Forde¬ rung zu sein, aber wir müssen immer vor Auge halten, dass wir die Naturobjecte möglichst gründlich untersuchen, denn die Natur giebt auf eine halbe Arbeit keine Antwort, oder nur eine solche, welche zu irrtümlichen Schlussfolgerungen führt. Wenn wir es jetzt vielleicht, noch nicht einsehen, warum wir die öfters auf eine schwierige und compli- cierte Art nachweisbaren Spuren an unserem Untersuchungsobjekte auf¬ zählen, so muss man bedenken, dass noch eine Zeit kommen kann, wo diese Resultate zur Erklärung der Entstehung der Erde und der Diffe¬ renzierung der Elemente benützt werden können. Die quantitative Analyse muss vollständig sein, d. h. sie soll wo¬ möglichst alle qualitativ nachgewiesenen Elemente quantitativ bestimmt enthalten. Die Bestimmung eines Bestandtheiles aus der Differenz soll nur dann angewendet werden, wenn aus einer Portion sämmtliche Bestand- theile nicht bestimmt werden können und mehr Analysenmaterial nicht zur Verfügung steht. Enthält ein Mineral Verunreinigungen, von welchen es weder auf mechanischem, nodi auf chemischen Wege befreit werden kann, so müssen selbe auch bestimmt und vom Analysenresultat abgezogen werden. Es ist nicht nur ein unrichtiges Verfahren, sondern eine direkte Entstellung der Analysenresultate, wenn von der Analyse die Verun¬ reinigung abgezogen und der Überrest auf 100% berechnet wird, ob nun die Analyse mit sammt der Verunreinigung gerade 100%, oder mehr-weniger ausmachte. Wenn z. B. das Analysenresultat die Zahl 100*75% aufwies und es sind, sagen wir, 3% Verunreinigung daraus zu eliminieren, so muss der Rest, also 97.75%, nicht auf 100%, son¬ dern wieder auf 100*75% berechnet werden, denn nur diese letztere Zahl entspricht den im Laufe der Analyse bestimmten Bestandtheil- Quantitäten; nur auf solche Weise sehen wir die guten Seiten und die Fehler der Analyse, welche durch die Berechnung auf 100% der Be¬ obachtung und richtigen Beurtheilung entzogen werden. Die Zahl 100 ist zwar ein mächtiger Faktor zur Beurtheilung der Richtigkeit einer Analyse, darin irrt sich aber jeder, wenn er glaubt, dass eine Analyse blos darum, weil sie die Zahl 100 aufweist, auch unbedingt richtig sein muss. Bei der Analyse von complicirt zusammen- 448 JOSEF LOOZKA gesetzten Mineralien können Fehler Vorkommen, welche sich gegenseitig ergänzen; die Zahl 100 kommt zwar heraus, aber diese zeigt uns in manchen Fällen doch nicht die wirkliche Zusammensetzung des Mine¬ rales an. Wollen wir uns also in wichtigen Fällen von der Richtigkeit der Analyse überzeugen, so muss sie wiederholt werden, denn nur übereinstimmende Resultate bieten uns Garantie für die Richtigkeit einer Analyse. Ausser der Analyse sollen zur Charakterisierung des Minerals noch angeführt werden : Das spezifische Gewicht, die Farbe, der Glanz, die Härte, die Spaltbarkeit, der Bruch, die Schmelzbarkeit, die Flammen¬ färbung, das Verhalten des Minerals beim Erhitzen im geschlossenen Röhrchen. Verdichtet sich bei dieser Gelegenheit Wasser?, hat das Wasser eine basische oder saure Reaktion?, zeigt sich ein Sublimat? Ist das Mineral in Wasser löslich, wie reagirt die Lösung? Wie verhält sich das Mineral Basen und Säuren gegenüber? Welche Bestandtheile werden davon gelöst und was ist der Rückstand ? Auf welche Art werden die Krystallflächen des Minerals von einzelnen Reagenzien geätzt? Ist das Mineral radioaktiv? u. s. w. Diese Beobachtungen und Untersuchungen würden mit sammt der Analyse die Elemente einer richtigen Mineralanatomie bilden. Um alle diese zur Charakterisierung des Minerals nöthigen Unter¬ suchungen ausführen zu können, muss eine gewisse Quantität von dem zu untersuchenden Mineral zur Verfügung stehen. Dem Chemiker sollte immer soviel Material übergeben werden, dass nach der Analyse und nach all den erwähnten Untersuchungen noch Reservematerial für eventuell nöthig erscheinende Nachprüfungen übrig bleibe. Die Arbeit geht viel muthiger vor sich, wenn man weiss, dass im Falle eines unvorhergesehenen Missglückes noch Material vorhanden ist. Bei knapp bemessener Substanzmenge hat man nicht nur eine fort¬ währende Besorgniss, dass die Analyse ein Unfall treffen könne und um diesem vorzubeugen die weitest gehenden Vorsichtsmassregeln trifft, sondern es verursacht geradezu eine Missstimmung, wenn alle die Untersuchungen, welche zur vollständigen Charakterisierung des Minerals nothwendig sind, nicht durchgeführt werden können. Treadwell 1 verlangt zu einer Orthoklas-Analyse 5 — 6 Grm. Sub¬ stanz und dieses ist sehr richtig. Öfters kommt es vor, dass zur Fest¬ stellung der Zusammensetzung eines Minerals eine Analyse nicht hin¬ reicht, sondern deren mehrere ausgeführt werden müssen. So führte 1 Treadwell : Kurzes Lehrbuch der analytischen Chemie. II. Bd. p. 359, 1905. Leipzig-Wien. ÜBER MINERALCHEMIE. 449 E. Ludwig, um die Zusammensetzung des Pyrosmalith zu ergründen und festzustellen, zehn Analysen aus. Betreffs des Analysenmaterials äussert sich Ludwig:1 «Es stand mir von dem Minerale soviel zur Verfügung, dass die einzelnen Bestimmungen mit so grossen Quantitä¬ ten ausgeführt werden konnten, wie sie bei den Silikatanalysen gebräuch¬ lich sind.» Zur Bestimmung der Kieselsäuren und Basen eines Silikates wird gewöhnlich 1 Gr. Substanz genommen, demgemäss muss Ludwig we¬ nigstens 10 Gr. Analysenmaterial zur Verfügung gestanden sein. Ich glaube es nicht näher motivieren zu müssen, dass zu den Analysen immer das schönste und reinste Material verwendet werde. Wenig Analysenmaterial ist nur bei selten vorkommenden Mine¬ ralen motivirt, aber von den in grösseren Mengen vorkommenden Mine¬ ralen sollen dem Chemiker immer grössere Quantitäten zur Verfügung gestellt werden. Ganz richtig bemerkt Jannasch2 über das Arbeiten mit minimaler Analysensubstanz Folgendes : «Es liegt auf der Hand, welchen Täuschun¬ gen man anheimfällt, wenn man z. B. nur von 0*1 g angewandter Sub¬ stanz und noch weniger ausgeht. In allgemein üblicher Art angestellte Versuche mit Minimalmengen haben gar keine praktische Bedeutung, cla die hierbei mit unterlaufenden Versuchsfehler, wie Wäge-, Gewichts-, Wagenfehler, Benutzung nicht absolut reiner Reagentien oder wider-, standsfähiger Gefässe, das Hineingerathen von Säuredämpfen, Staub (besonders Eisenoxyd) in die Analysen und vielerlei mehr prozentisch weit erheblicher sind, als die in einer Methode liegenden unvermeid¬ lichen Unvollkommenheiten.» Der Chemiker soll in seinen Publikationen den Analysengang, die zur Analyse angewandten Methoden, oder auch die an bekannten Metho¬ den gemachten kleinsten Veränderungen klar und verständlich und zwar aus zwei Gründen beschreiben: 1. weil die gut befundenen Ana¬ lysengänge bei gleich zusammengesetzten Mineralen auch von Andern benützt werden können und 2. kann von den befolgten Methoden und dem Analysengang auf die Richtigkeit der Analyse gefolgert werden. Die für gut befundenen Analysengänge und Methoden werden den Nachfolgern die Untersuchung des Mineralreiches erleichtern, so dass ihnen zur Erfindung und Ausführung solcher Methoden, welche die 1 E. Ludwig: Über den Pyrosmalith. (Tschermak’s Min. Mittheilungen, 1875, p. 212.) 2 Dr. P. Jannasch: Praktischer Leitfaden der Gewichtsanalyse. II. Aufl. Leipzig, 1904, p. 443. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 29 450 JOSEF LOCZKA Feststellung der Constitution der Minerale bezwecken, mehr Zeit zur Verfügung stehen wird. Mit diesem hätte ich nun das Allernothwendigste erschöpft, was ich im Rahmen dieser Abhandlung sagen wollte, nur das möchte ich noch erwähnen, in welchen Wissenschaften sich der Mineralchemiker ausbilden müsste und wie ein mineralchemisches Laboratorium beschaffen sein soll. Die Gegenstände des Studiums des Mineralchemikers bilden : All¬ gemeine, anorganische, organische, Experimental-, analytische und phy¬ sikalische Chemie ; Experimentalphysik, Mineralogie, die Elemente der Krystallographie, Optik, Petrographie und Geologie. Meiner Meinung nach würde ein nachstehend eingerichtetes Labo¬ ratorium dem Zweck entsprechen. Zu den ersten und hauptsächlichsten Erfordernissen eines Labora¬ toriums gehören sehr helle Räumlichkeiten. Jedem Chemiker soll ein grosses Zimmer mit den nöthigen Arbeits¬ tischen und wenigstens zwei gut ziehenden Kapellen zur Verfügung stehen. Weiterhin die nachstehenden gemeinsamen Räumlichkeiten. Ein Wägezimmer, ein Bibliothekzimmer, wo zugleich auch die heik- licheren Apparate untergebracht sein würden. Ein Zimmer für mikro¬ skopische und spektralanalytische Untersuchungen. Ein Zimmer für gas¬ analytische Untersuchungen. Ein Schwefelwasserstoffzimmer mit Kapellen und Arbeitstischen ist unbedingt nothwendig, denn abgesehen von der gesundheitsschädlichen Wirkung dieses Gases ist im eigentlichen Labo¬ ratorium beim Functioniren des H^S- Apparates ein gleichzeitiges Arbeiten, Lösen, Filtriren u. s. w. mit den durch Schwefelwasserstoffgas fällbaren Metallen einfach ausgeschlossen. Ein grosses Zimmer zur Reinigung der Gläser und anderer Gefässe, welches auch zur Aufbewahrung der Re- agentien dienen würde. Soviel Räumlichkeiten sind unbedingt nothwendig. Das Laboratorium soll für jede Art der spektroskopischen Unt er - suchnngen eingerichtet sein, wenn die Mineraluntersuchung auf Voll¬ ständigkeit Anspruch machen will. Die spektroskopische Untersuchung sollte bei keinem Minerale versäumt werden, da diese auch bei sonst gewöhnlichen Mineralen zu interessanten Resultaten führt. So analysirte C. Rimatosi1 fünfzehn Blenden, wo er ausser den auf gewöhnlichem Wege nachgewiesenen Bestandtheilen in acht Blenden mittelst Spektro¬ skops Indium und ausserdem in zweien Gallium nachwies. Ausserdem wäre es unbedingt nothwendig das chemische Labora- 1 C. Rimatori : Gewichtsanalytische und spektroskopische Untersuchungen neuer sardinischer Blenden. (Chem. Centrlbl. 1905. II. p. 645.) ÜBER MINERALCHEMIE. 451 tórium mit denjenigen Apparaten auszustatten, mit welchen die Mine¬ rale und Gesteine auf ihre Badio aktivität untersucht werden können. Thomson1 schliesst aus seinen Beobachtungen, dass Badiumspuren auf der Erde allgemein verbreitet sind. Strutt sagt,2 dass in den feuerentstandenen (igneous rocks) Gesteinen das Badium leicht entdeckt werden kann. Die Granite enthalten gewöhn¬ lich das meiste Badium, die basischen Gesteine das wenigste. Nun hätte ich kurz diejenigen Wege und Mittel bezeichnet, durch welche die sehr vernachlässigte Mineralchemie auf diejenige Stufe der Entwicklung gehoben werden könnte, auf welcher die übrigen Zweige der Naturwissenschaften stehen. 1 Jahrbuch der Chemie X1Y. Jahrg. 1904. p. 70. 2 E. J. Strutt : On the distribution of Eadium in the earths crust, and on the earths internal heat. (The Chemical News. Yol. 93. p. 235 — 237 and 247 — 249.) 29 V. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICL 1907. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. Dr. Hollós LÁszLÓ-tól. IV.* FUNGI NOVI REGIONIS KECSKEMÉTIEN SIS descripti a Dre Lad. Hollós. IV* Kecskemét vidékének gombáit évek során rendszeresen gyűjtöm, hogy majdan a nagy Magyar Alföld egy pontjáról a gombaflórának lehető tökéletes képét nyerjem. Kecskemét vidékéről ez idő szerint, a fajváltozatokat nem számítva, gyűjteményemben 1562 megvizsgált gomba¬ faj fekszik ; köztük több mint 200 új faj, illetőleg faj változat van. Jelen dolgozatomban 38 faj gazdanövényről, 17 nembe tartozó, 49 gomba-faj vagy fajváltozat leírását közlöm. A gazdanövényeknek és a dolgozatomban leírt új gombáiknak betű¬ rendes felsorolása : Ampélopsis quinquefolia Michx. Diplodia Ampelop sidis. Anthemis Ruthenica M. B. Ramularia Anthemidis. Aristolochia Clematitis L. Ascochyta aristolochisecola. Asperula Cynanchica L. Diplodina Asperulæ. Berteroa incana De. Gercospora Berteroæ. Centaurea Cyanus L. Septoria Cyani. Clematis integrifolia L. Hendersonia Clematidis. * I. — Annales Musei Nationalis Hungarici. IV. 1906. p. 327 — 371. II. — Ibidem. V. 1907. p. 43 — 55. III. — Növénytani Közlemények. VI. 1907. p. 59 — 67. Chrysanthemum indicum De. Phoma chrysan themicola. Cynoglossum officinale L. Diplodina Cynoglossi. Leptosphaeria Cynoglossi. Rhabdospora Cynoglossi. Dictamnus albus L. Rhabdospora Dictamni. Epipactis rubiginosa Gaud. Hendersonia pulchella Sacc. var. Epi- pactidis. Euphorbia palustris L. Coniothyrium euphorbiæcola. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 453 Galega officinalis L. Ascochyta Galegæ. Glycyrrhiza echinata L. Diplodina Glycyrrhizæ. Phoma herbarum West. form. Gly- cyrrhizæ. Rhab do spora Glycyrrhizæ. Helianthemum Fumana Mill. Didymosphæria Fumanæ. Stagonospora Fumanæ. Jurinea mollis Reichenb. Ramularia Jurineæ. Koelreuteria *paniculata Laxm. Phyllosticta Kœlreuteriæ. Lepidium crassifolium W. K. Diplodina Lepidii. ' Phoma Lepidii. Pleospora Lepidii. Linum glabrescens Roch. Hendersonia pulchella Sacc. var. Lini. Lonicera Caprifolium L. Hendersonia sarmentorum West. form, lonicericola. Lotus siliquosus L. Cercospora Loti. Lycopersicum esculentum Mill. Diplodina Lycopersici. Ly c opus europaeus L. Ramularia Lycopi. Lycopus exaltatus L. Phoma herbarum West. form. Lycopi. Muscari comosum Mill. Coniothyrium bulbicola. Phoma bulbicola. Onobrychis arenaria Kit. Rhabdospora arenariæ. Periploca graeca L. Diplodina Periplocæ, Hendersonia Periplocæ, Rhus glabra L. Diplodina rhoina. Robinia Pseudacacia L. Ascochyta robiniæcola. Sedum maximum Sut. Hendersonia pulchella Sacc. var. Sedi. Sideritis montana L. Pleospora Sideritidis. Ramularia Sideritidis. Sophora japonica L. Phyllosticta sophoraecola. Symphytum officinale L. Phoma Symphyti. Taraxacum officinale Wigg. Phyllosticta Taraxaci. Septoria Taraxaci. Thesium linophyllum L. Discosia Thesii. Vinea herbacea W. K. Rhabdospora vincæcola. Vitis vinifera L. Sphærella viticola. Weigelia rosea Lindl. Diplodina Weigeliæ. Ezeken kívül a Sphaeronema herbarum n. sp. 23 faj gazda- növényről. Az egyes nemek a leírás sorrendjében és fajaiknak vagy faj válto¬ zataiknak száma : Sphærella „„ „„ „„ „„ „„ „„ 1 Pleospora „„ „„ „„ „„ 2 Leptosphæria . . „„ „„ „„ „„ 1 Didymosphæria . _ 1 Phyllosticta . . . „„ . 1 „„ 3 Phoma A „„ „„ „„ . „„ „„ 6 Sphæronema . „„ „„ ; 1 Ascochyta . „„ „„ _ 3 Diplodina . . „„ „„ „„ _ 9 Septoria „„ „„ ~~ 2 Rhabdospora . . w. 4 Stagonospora . . „„ „„ „„ . 1 Coniothyrium „„ „„ „„ „„ 2 Hendersonia . & „„ . 6 Discosia . „„ „„ „„ 1 Ramularia „„ „„ „„ „„ 4 Cercospora . „„ „„ „„ . 2 454 D? HOLLÓS LÁSZLÓ Sphaerella viticola n. sp. Peritheciis subcutaneo-erumpentibus, gregariis-sparsisve, globù- losis, nigris, 140 — 210 p diam., ostiolo punctiformi, contextu parenchy- matico; ascis clavatis, breviter stipitaiis, 6— 8 sporis, 80 — 90x18 — 24 p, aparaphysatis ; sporidiis inordinate distichis, oblongis, utrinque rotun¬ datis, medio 1 -septatis, leniter constrictis, initio hyalinis, dein fìavidu- lis, pluriguttulatis, 26—28x9^-10 a, loculo superiore paullo crassiore. Hab. in sarmentis semivivis Vitis viniferae, prope Kecskemét Hungariæ. Terem a szőlő ( Vitis vinifera L.) félig élő, vesszőjén. Kecskemét mellett a Miklós-telepen, április hóban, Kecskeméthy Géza kir. borászati felügyelő találta, A szőlő vesszőjéről a következő Sphaere lla-í&j ok vannak leírva: Sphaerella fumaginea Catt. (Saccardo, Syll. Fung. I, p. 499): tömlő¬ tokja 40 — 60 g átm., tömlői 15—20 fi hosszúak, spórái 2X5— 6 fi mé¬ retűek. Splm er ella Manganottiana Mass, (Saccardo, Sylh Fung. XI, p. 299): tömiőtokja 70— 10Ö fi átm., tömlői 16 — 21x44—50 p,., spórái 3*5 — 4x11 — 12 // méretűek. Sphaerella mazzantoides Sacc.- (Saccardo, Syll. Fung. XIV, p. 528): tömlőtokja 0*5 mm. átm., tömlői 9—11 X 40 — 41 fi, spórái 3x14 — 15 g méretűek. Sphaerella Cuboniana F. Sacc. (Saccardo, Syll. Fung. XYI I , p. 638): tömlőtokjai 400—500 « átm., tömlői 15 — 24x50—80 a, spórák 7 — 8x20 //méretűek. A fönt leírt fáj mindegyiktől eltérő tömlőtokja, tömlői és spórái méreténél fogva. Pleospora Lepidii n. sp. cáXíQC '2 ír£* 'i(/ X.;': L")G:Í 'VX • , • . Peritheciis dense gregariis, erumpentibus, nigris, glabris, superne depressis, ostiolo breve cylindrico donatis, 320—380 // diam.; ascis cylindraceis, apice rotundatis, breve stipitatis, 2 — 4 plerumque 4-sporis? 100— 120x 12— 1 6 p, ^filiformi . paraphysatis ; sporidiis oblique., mono¬ stichis, fuso ideis, 5 — 7 septatis, ad septum medianum constrictis, longi- tudinaliter 1 — 3 septatis, flavis, 24 — 30x8 — 10 p. Hab. in caulibus siccis Lepidii crassifolii , prope Kecskemét Hungariæ. ... ^ Terem a Lepidiani cras sifoMiim W. K. kóróján. Kecskeméten a Széktó mellett, június hóban, szedtem. A Lepidium apelalum élhált száláról Goloradóból leírt Pleospora ïppidiicola Earle-Iiöz (Saccardo. Syll. Farig. XYII, p. 747) közel áll. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 455 Pleospora Sideritidis n. sp. Peritheciis sparsis, epidermide tectis, depresso-globosis, fuscis, ostiolo papillato, 150--M80 a diam.; ascis clavatis, breve stipitatis, 8-sporis, 110 — 140x40—60 g, filiformi paraphy satis ; sporidiis 2 — 3-sti- chis, oblongo ellipsoides, 7-septatis, ad septum medium validius con¬ strictis, in longitudine imperfecte uniseptatis, hyalinis, 46 — 50x20 — 22 g. Hab. in foliis languidis Sideritidis montanae , prope Kecskemét Hungariæ. e r Terem á Sideritis montana L. fonnyadt levelein. Kecskemét mel¬ lett a Nyírben, július hóban szedtem, Leptosphæria Cynoglossi n. sp. Peritheciis sparsis, superficialibus, depresso-globosis, glabris, nigris, âlO — 250 g diam., ostiolo brevi cylindrico; ascis cylindraceo-clavatis, breve stipitatis, 6 — -8 sp oris, 60 — 70x8 g, filiformi paraphysatis ; spo¬ ridiis 2 — 3-stichis, elongato fusoideis, rectis vel leviter curvulis, 3-septa- tis, flavidulis, 30 — 32x3-5 — 4 a, loculo secundo superiore plerumque panilo crassiorev ; * r > Hab. in caulibus: siccis decorticatis Cynoglossi officinalis > prope Kecskemét Hungariæ. ' , . , Terem a Cynogiössum officifiah L. kóróján. Kecskemét mellett Ballószögben; május hóbafi szedtem. X' Didymosphæria Fumanæ n. sp. Peritheciis gregariis, superficialibus, globosis, glabris, nigris, 180- 220 g diam., ostiolo conico:; ascis clavatiSv apice rotundatis, breve stipitatis, 8-öporis, 64— 74 X 14 — 1 8 g ; paraphÿsibus filiformibus septa- tis ; sporidiis: distichis, oblongis, medio l-septatis, constrictis, pluriguttu- latis, olivaceis, v20-K-24x7— 1 w*’* 1 »' Hab. in ramulis decorticatis / f e lia nthem i Fuma i i a-e, prope Kecské¬ méit- Hungariæ. i æ&îùr.ïil . »te Terem a Ilelianthemiini' Fumante Mill, lekergetett ágacskáin. Kecskemét melietfi u Nyir-erdő Osztásain, június hóban szedtem. Phyllosticta Kœlreuteriæ n. sp. Maculis oblongis, cinereis, brunneo-einctis ; pycnidiis epiphyllis, gregariis, lenticularibus, fuscis, 140 — 180 g diam., contextu paren- 456 Dl HOLLÓS LÁSZLÓ chymatico; sporulis ellipsoideis, continuis, eguttulatis, hyalinis, 5 — 6X 3—3*5 p. Hab. in foliis vivis Koelreuteriae paniculatae, Kecskemét Hungariæ. Terem a Koelreuteria paniculata Laxm. élő levelein. Kecskeméten a Műkertben, augusztus hóban szedtem. Phyllosticta sophoræcola n. sp. Maculis irregularibus, cinereis, fusco-cinctis ; pycnidiis amphigenis, dense gregariis, depresso globosis, brunneis, 80 — 100 p diam., contextu parenchymatico ; sporulis oblongo-ellipsoideis, continuis, eguttulatis, hyalinis, 7 — 8x2*5 — 3 p. Hab. in foliis vivis Sophorae Japonicae, prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Sophora Japonica L. élő levelein. Kecskemét mellett a Szikrában, augusztus hóban szedtem. Phyllosticta Taraxaci n. sp. Maculis irregularibus, cinereis, nigro-cinctis ; pycnidiis epiphyllis, sparsis, lenticularibus, brunneis, poro pertusis, 80 — 90 p diam., con¬ textu parenchymatico; sporulis ellipsoideis, biguttulatis, continuis, dilute ocbraceis, 5 — 6x1*5 — 2 p. Hab. in foliis vivis Taraxaci officinalis, prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Taraxacum officinale Wigg. élő levelein. Kecskemét mellett Koháry-Szent-Lőrinczen, október hóban szedtem. Phoma chrysanthemicola n. sp. Pycnidiis gregariis, superficialibus, depresso-globosis, fuscis, poro pertusis, 200 — 250 p diam., contextu parenchymatico ; sporulis oblongo- ellipsoideis, continuis, biguttulatis, hyalinis, 5 — 6x1*75 — 2 p. Hab. in caulibus siccis decorticatis Chrysanthemi indici culti, ad Kecskemét Hungariæ. Terem a Chrysanthemum indicum De. száraz, lekérgezett ágain. Kecskeméten a Műkertben, május hóban szedtem. Az e növényről leírt Phoma Chrysanthemi Voglino (Sacoardo, Syll. Fung. XYHI, p. 259) spórái 3 — 4x7 — 10 p, többnyire 3*5x8 p méretűek. A fönt leírt faj spóraméreteivel eltérő. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 457 Phoma herbarum West. Saccardo, Sylloge Fungorum, III. p. 133. Form. Glycyrrhizæ n. f. Pycnidiis gregariis, epidermide velatis, globoso -depressis, nigris, poro pertusis, 600 y diam., contextu parenchymatico ; sporulis ellipsoideis, continuis, biguttulatis, hyalinis, 6 — 10X3 — 3*5 y. Hab. in caulibus siccis Glycyrrhizae echinatae, prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Glycyrrhiza echinata L. kóróján. Kecskemét mellett a Szikrában, május hóban szedtem. Form. Lycopi n. f. Pycnidiis gregariis, epidermide velatis, globoso-depressis, poro per¬ tusis, fuscis, 190 — 250 y diam., contextu parenchymatico; sporulis ellipsoideis, continuis, biguttulatis, hyalinis, 8 — 10x3 — 4 y. Hab. in caulibus siccis Lycopi exaltati , prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Ly copus exaltatus L. kóróján. Kecskemét mellett a Szikrában, márczius hóban szedtem. Phoma lepidiicola n. sp. Pycnidiis epidermide velatis, gregariis, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 140 — 180 y diam., contextu parenchymatico; sporulis ovoideis, continuis, eguttulatis, hyalinis, 5 — 6x4 y. Hab. in caulibus siccis Lepidii crassifolii, prope Kecskemét Hun¬ gariæ. Terem a Lepidium crassif olium W. K. kóróján. Kecskemét mellett a Széktónál, június hóban szedtem. A Lepidium gr aminif 'olium L. kórójáról leírt Phoma Lepidii (Sacc.) Allescher (Saccardo, Syll. Fung. XVI, p. 852) spórái hengerdedek, 2 cseppel, 3x7 y méretűek. A fönt leírt faj cseppnélküli s más méretű spórái révén eltérő. Phoma bulbicola n. sp. Pycnidiis epidermide velatis, sparsis, lenticularibus, nigris, 240 — 280/i diam., contextu parenchymatico ; sporulis ellipsoideis, continuis, biguttu¬ latis, hyalinis, 4 — 5x2*5 — 3 y. Hab. in bulbis Muscari comosi , prope Kecskemét Hungariæ. 458 Di HOLLÓS LÁSZLÓ Terem a Muscari comosum Mill, hagymáján. Kecskemét mellett a Nyir-erdőben, június hóban szedtem. Fkom a, Symphyti n. sp. 'Pycnidiis epidermide velatis, gregariis, lenticularibus, nigris, poro pertusis, 100— 120 /r di am., contextu parenchymatico ; sporulis ellipsoideis, continuis, eguttulatis, hyalinis, 6— 7x3 y. Hab. in caulibus siccis Symphyti officinalis , prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Symphytum officinale L. kóróján. Kecskemét mellett a Szikrában, május hóban szedtem. Sphæronema herbarum n. sp. Pycnidiis sparsis -gregariis ve, initio epidermide tectis,, demum • super¬ ficialibus, nudis, nigris, oblongis, 400 - -700 y long., collo crasso, elon¬ gato, reetis^curvulisve, 1 00 — 1 80 X 70 — 100 y, apice aculeis rigidis, brunneis, septatis, 70 -120x4—6 y coronato, contextu ■ parenchyihatico : sporulis cylindraceis, utrinque rotundatis, rectis-curvulisve., . 3 ' 5-ple- rumque 4-guttulatis, hyalinis, 10 — 14x1*5 — 2 y, in m assa pallide rosei s. Probabiliter status pycnidicus Ophioboli. Hab. in caulibus siccis Alkannae Unci, oriae, Alyssi calycini, Anchusae officinalis, AnthyUidis polyphyllae, Astragali asperae, Cyno- glossi officinalis, Euphrasiae luteae, Galii veri, Hesperidis tristis, Hieracii Pilosellae , Lini austriaci, Lithospermi "officinalis- ''eiipurp%tott,eo- coerulei, Lycopi exaltati, Marrubii peregrini, Nonneae , pullae^ t Pòten- tiliae argenteae, Pulsa tiliae nigricanti, 4 Salviae pratensis, Stachydis rectae, Thalictri Jacquiniani, Thesii linophylli, Ver micae prostrate,, prope Kecskemét Hungariæ. v : Kecskemét vidékén márczius, április, többnyire május hóban talál¬ tam, a következő növények köróján: Alkanna Unctoria Tausch, var. parviflora Bobb., Alyssum calycinum L-, Anchusa officinalis thyilis. polyphylla Kit., Aßtragalus asper Jacqu., Cynöglossúm offici¬ náié L., Euphrasia lutea L., Galium verum L., Hesperis drislisa L., Hieracium Pilosella L., Linum austriacum L., Lithospermum offici¬ nale L. és purpur eo-coeruleurn L., Lycopus exaltatus L., Marrubium peregrinum L., Können -pallai I)o„, Polèntiüa táv genica, H, Pulsatilla nigricans SxökK, Salvia pratensis P, Stachys urecta L., Thalicimm Jacquinianum Koch, Thesium lino phy Ilum L. és Veronica prostrata ,34 459 ŰJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. Ascochyta aristolochiæcola n. sp. Pycnidiis epidermide velatis, gregariis, lenticularibus, nigris, poro pertusis, 100 — 150 y diam., contextu parenchymatico ; sporulis cylindra- ceis, utrinque leniter attenuatis et rotundatis, rectis, medio 1-septatis, non constrictis, hyalinis, 10—13x2 — 2*5 y. Hab. in fructibus dejectis Aristolochiae Clematitis, prope Kecske¬ mét Hungariæ. Terem az Aristolochia Clematitis h. lehullott termésén. Kecske¬ mét mellett a Szikrában, május hóban szedtem. Az Aristolochia Clematitis L. leveléről, Olaszországból leírt Ascochyta Aristolochiae Saco. (Syll. Fung. Ill, p. 404) terméstokja 60 — 70 y, spórái 3 — 3*5x7 — 9 y méretűek. A fönt leírt faj termés¬ tokja és spóraméreteinél fogva eltérő. •MX lOi-io x ij ;:j.x ' oo;.i:£:x y ' r '■ - ■ -'í ' ' !- ’■■■ /'■ — X Ascochyta Galegae n. sp. ■ Maculis irregularibus, fuscis; pycnidiis sparsis, epidermide velatis, brunneis, ellipsoideis, 200— 250X 120— 180 y, poro pertusis, contextu parenchymatico ; sporulis cylindraceis, utrinque rotundatis, medio l;-s,eptar tis, leviter constrictis, hyalinis, 14 — 16X4 y. Hab. in foliis vivis Galegae officinalis, prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Galega offìcmalis L. élő levelem. Kecskemét mellett a Szikrábai],,, július , hóban , szedtem. Ascochyta robiniæcola n. sp. Hycnidüs spai’sjs gregariisve, epidermide velatis, lenticularibus, brunneis, .poro pertusis, 140 — 1 60 p diam., contextu parenchymatico; sporulis oblongo-ellipsoideis, medio 1-septatis, non vel vix constrictis;, dilute ochraceis, 8 -10X3 y. Hab. in leguminibus dejectis Rohiniae Pseudacaciae , prope Kecske¬ mét Hungariæ. , Terem a. -Robinia, PseuclgcacißP • lehullott terméshüvelyén. Kecske¬ mét mellett rja Nyír erdőben, j úlius hóban szedtem. A Robinia Pseudaeacia L. leveléről leírt A§cochyta Robiniae f Baco, et Speg. (Sago. Syll. Fung. III. p. , 385)c terméstokja 180 y átrn érőjük spórái hyalinok, .5-— 6x10— 15 yjjyérpmck. 460 Dì HOLLÓS LÁSZLÓ Diplodina Ampelopsidis n. sp. Pycnidiis erumpentibus, dense gregariis, confluentibus, depresso- globosis, fuscis, poro pertusis, 160 — 210 p diam., contextu parenchymatico; sporulis oblongo-ellipsoideis vel cylindraceis, utrinque attenuatis et rotun¬ datis, medio 1-septatis, non constrictis, dilute flavidulis, 8 — 13x3 — 4 p. Hab. in ramulis emortuis Ampelopsidis quinquefoliae , Kecskemét Hungariæ. Terem az Ampélopsis quinquefolia Michx. elhalt vesszőjén. Kecske¬ méten a Műkertben, május hóban szedtem. Diplodina Asperulæ n. sp. Pycnidiis sparsis, superficialibus, depresso-globosis, fuscis, poro pertusis, 90 — 120 p diam., contextu parenchymatico; sporulis oblongo- ellipsoideis, medio 1-septatis, non constrictis, flavidulis, 8 — 10x3 — 4 p. Hab. in caulibus siccis decorticatis Asperulae cynanchieae, prope Kecskemét Hungariæ. Terem az Asperula cynanchica L. lekérgezett kóróján. Kecskemét mellett a Nyir erdőben, június hóban szedtem. Diplodina Cynoglossi n. sp. Pycnidiis semiimmersis, sparsis, lenticularibus, nigris, poro pertusis, 100 — 120 p diam., contextu parenchymatico ; sporulis oblongo-ellipsoideis, utrinque attenuatis et rotundatis, medio 1-septatis, non vel vix con¬ strictis, ochraceis, 10 — 12x2*5 — 3 p. Hab. in caulibus siccis Cynoglossi officinalis , prope Kecskemet Hung. Terem a Cynoglossum officinale L. kóróján. Kecskemét mellett Ballószögben, május hóban szedtem. Diplodina G-lycyrrhizæ n. sp. Pycnidiis dense gregariis, superficialibus, globulosis, nigris, poro pertusis, 160 — 210 p diam., contextu parenchymatico ; sporulis cylindra¬ ceis, utrinque leniter attenuatis et rotundatis, medio 1-septatis, non constrictis, flavidulis, 10 — 12X2 p. Hab. in caulibus siccis Glycyrrhizae echinatae , prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Glycyrrhiza echinata L. kóróján. Kecskemét mellett a Szikrában, június hóban szedtem. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 461 Diplodina Lepidii n. sp. Pycnidiis epidermide velatis, gregariis, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 200 — 230 p diam., contextu parenchymatico ; sporulis ellipsoi¬ deis vel plerumque cylindraceis, utrinque rotundatis, medio 1-septatis, non constrictis, flavidulis, 8 — 11x2 — 3 p. Hab. in caulibus siccis Lepidii crassi folii , prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Lepidium crassifolium W. K. kóróján. Kecskemét mel¬ lett a Széktónál, június hóban szedtem. Diplodina Lycopersici n. sp. Pycnidiis superficialibus, gregariis, globoso-depressis, fuscis, poro pertusis, 210 — 250 p diam., contextu parenchymatico; sporulis cylindra¬ ceis, utrinque rotundatis, medio 1-septatis, non vel vix constrictis, flavi¬ dulis, 10—15x3—4 p. Hab. in caulibus siccis decorticatis Lycopersici esculenti , Kecske¬ mét Hungariæ. Terem a paradicsom (Lycopersicum esculentum Mill.) kóróján. Kecskeméten kertben, május hóban szedtem. Diplodina Periplocæ n. sp. Pycnidiis semiimmersis, gregariis, lenticularibus, brunneis, poro pertusis, 180 — 250 p diam., contextu parenchymatico ; sporulis oblongo- ellipsoideis vel cylindraceis, utrinque rotundatis, medio 1-septatis, non vel vix constrictis, hyalinis, 8 — 10x3 — 3*5 p. Hab. in sarmentis decorticatis Periplocae graecae, ad Nagy-Kőrös Hungariæ. Terem a Periploca graeca L. lekérgezett vesszőjén. Nagy-Kőrösön a Mintakertben, június hóban szedtem. Diplodina rhoina n. sp. Pycnidiis semiimmersis, gregariis, depresso-globosis, nigris, poro pertusis, 120 — 140 p diam., contextu parenchymatico ; sporulis oblongo- ellipsoideis, medio 1-septatis, non vel vix constrictis, flavidulis, 10 — 12x 3*5—4 p. Hab. in ramis decorticatis Rhois glabrae, Nagy-Kőrös Hungariæ. Terem a Rhus glabra L. form, laciniata Carr, lekérgezett ágain. Nagy-Kőrösön a Mintakertben, június hóban szedtem. 462 m HOLLÓS LÁSZLÓ Diplodina Weigeliæ n. sp. Pycnidiis epidermide velatis, sparsis, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 210 — 230 y diam., contextu parenchymatico ; sporulis oblongo- ellipsoideis, medio 1-septatis, non constrictis, flavidulis, 9 — 11x3 — 4 y. Hab. in ramis emortuis Weigeliae roseae , ad Nagy-Kőrös Hungariæ. Terem a Weigelia rosea Lindl. elhalt ágain. Nagy-Kőrösön a Mintakertben, június hóban szedtem. Septoria Cyani n. sp. Maculis indeterminatis ; pycnidiis amphigenis, gregariis, depresso- globosis, fuscis, poro pertusis, 70 — 90 g diam., contextu parenchymatico ; sporulis filiformibus, flexuosis, pluriseptatis et pluriguttulatis, hyalinis, 30—40x2 y. Hab. in foliis languidis Centaureae Cyani , prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Centaurea Cyanus L. fonnyadt levelein. Kecskemét mellett Koháry-Szent-Lőrinczen, július hóban szedtem. A Centaurea Jacea L., C. nigra L. leveléről leírt Septoria Cen¬ taureae (Roum.) Sacg. (Syll. Fung. III. p. 551) spórái 2 — 4 rekeszfallal bírnak, 1*5 — 2x55 — 60 y méretűek. A Centaurea Scabiosa L. leveléről leírt Septoria centaurei cola Beun. (Sacc. Syll. Fung. X, p. 368) spórái egysejtűek, 1 — 1*5x60 — 65 y méretűek. A fönt leírt faj mindkettőtől eltér gazdanövénye és spóraméretei révén. Septoria Taraxaci n. sp. Maculis orbicularibus, cinereis, nigro-cinctis ; pycnidiis epiphyllis, sparsis, lenticularibus, olivaceis, poro pertusis, 100 — 120 y diam., con¬ textu parenchymatico ; sporulis acicularibus, rectis curvulisve, continuis, hyalinis, 16 — 24x1 y. Hab. in foliis vivis Taraxaci officinalis , prope Kecskemét Hun¬ gariæ. Terem a Taraxacum officinale Wigg. élő levelein. Kecskemét mellett Koháry-Szent-Lőrinczen, október hóban szedtem. Rhabdospora Cynoglossi n. sp. Pycnidiis epidermide tectis, gregariis, lenticularibus, fuscis, poro pertusis, 80 — 100 y diam., contextu parenchymatico ; sporulis filiformi- ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 463 Írás, rectis vel plerumque leviter curvulis, utrinque acutis, continuis, hyalinis, 40 — 54Xl*5 g. Hab. in caulibus siccis Cynoglossi officinalis 9 prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Cynoglossum officinale L. kóróján. Kecskemét mellett Ballószögben, május hóban szedtem. Rhabdospora Dictamni n. sp. Pycnidiis sparsis, erumpentibus, globoso-depressis, fuscis, poro pertusis, 80 — ‘100 g diam., contextu parenchymatico ; sporulis aciculari- bus, rectis curvulis ve, utrinque acutis, continuis, hyalinis, 16 — 22x0*5 g. Hab. in caulibus siccis Dictamni albi, prope Nagy -Kőrös Hungariæ. Terem a Dictamnus albus L. kóróján. Nagy-Kőrös mellett a Csókásban, május hóban szedtem. Rhabdospora Grlycyrrhizæ nov. nom. Rhabdospora Galegae Hollós, Annales Musei Nationalis Hungarici. IV. p. 350 (1906). Hab. in caulibus siccis Glycyrrhizae echinatae, prope Kecskemét Hungariæ. — Matrix hujus speciei est Glycyrrhiza, nec Galega , hinc mutatio nominis. Rhabdospora arenariae n. sp. Pycnidiis gregariis, epidermide tectis, depresso-globosis, nigris, poro pertusis, 80 — 100 g diam., contextu celluloso; sporulis acicularibus, rectis vel leviter flexuosis, medio 1-septatis, 20 — 26x1*5 g. Hab. in caulibus siccis Onobrychidis arenariae, prope Kecskemét Hungariæ. Terem az Onobrychis arenaria Kit. kóróján. Kecskemét mellett a Nyir erdőben, június hóban szedtem. Az Onobrychis sativa Lam. száráról, Berlin mellől leírt Rhabdo¬ spora Onobrychidis Syd. (Saccardo, Syll. Fung. XIY, p. 984) spórái sarlóalakúak, cseppekkel, 1 — 2x32 — 40 g méretűek. A fönt leírt faj kisebb, tűalakú s közepén egy rekeszfallal osztott spórái és gazda¬ növénye révén eltérő. Rhabdospora vincæcola n. sp. Pycnidiis epidermide velatis, gregariis, globosis, nigris, 140—230 g diam., ostiolo 70x50 g epidermidem perforante, contextu parenchymatico; 464 m HOLLÓS LÁSZLÓ sporulis acicularibus, rectis vel nonnunqnam leviter curvulis, continuis, hyalinis, 20 — 34x1*5 — 1*75 p. Hab. in caulibus siccis Vineae herbaceae , prope Kecskemét Hung. Terem a Vinea herbacea W. K. kóróján. Kecskemét mellett Koháry-Szent-Lőrinczen, május hóban szedtem. A Vinca minor L. kórójáról leírt Rhabdospora Vincae Oud. (Saccardo, Syll. Fung. XYIII, p. 400) spórái 1*3X40 — 50 p méretűek, terméstokja 100 p átmérőjű, bőrnemű, átlátszatlan. Stagonospora Fumanæ n. sp. Pycnidiis erumpentibus, gregariis, globulosis, fuscis, poro pertusis, 170 p diam., contextu parenchymatico ; sporulis cylindraceis, utrinque leniter attenuatis et rotundatis, rectis-curvulisve, 3-septatis, non con¬ strictis, hyalinis, 18 — 28x2 — 3 p. Hab. in ramulis siccis Helianthemi Fumanae, prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Helianthemum Fumana Mill, száraz ágacskáin. Kecske¬ mét mellett a Nyir-erdő tisztásain, június hóban szedtem. Coniothyrium euphorbiæcola n. sp. Pycnidiis superficialibus, dense gregariis, brunneis, demum nigris, globulosis, 300 — 350 p, contextu parenchymatico ; sporulis oblongo- ellipsoideis vel pyriformibus, inferne papillatis, olivaceis, biguttulatis, 11 — 12X6 — 7 p ; basidiis filiformibus 20 — 24 p longis. Hab. in caulibus siccis Euphorbiae palustris , prope Kecskemét Hungariæ. Terem az Euphorbia palustris L. kóróján. Kecskemét mellett a Szikrában, június hóban szedtem. Az Euphorbia silvatica L. leveléről Francziaországból leírt Co¬ niothyrium Euphorbiae (Eoum.) Berl. et Yogl. (Saccardo, Syll. Fung. X, p. 261) spórái 2*5x5 — 6 p méretűek, a kórójáról ismertetett Coniothy¬ rium silvaticum Sacc. et Malbr. (Sacc. Syll. Fung. III, p. 316) spórái 3*6 — 4*5 p átmérőjűek, egy cseppek A fönt leírt faj mindkettőtől eltérő. Coniothyrium bulbicola n. sp. Pycnidiis dense gregariis-sparsisve, erumpentibus, globulosis, nigris, ostiolo brevi cylindrico, 170 — 210 p diam.; sporulis sphæricis, nigris, 8 — 9*5 p diam. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 465 Hab. in bnlbis Muscari comosi , prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Muscari comosum Mill, hagymáján. Kecskemét mellett a Nyír erdőben, június hóban szedtem. A hagymák 30 — 32 cm. mélyen voltak a laza homokban. Hendersonia Clematidis n. sp. Pycnidiis sparsis, hemisphaericis, ostiolo minuto perforato erum¬ pentibus, fuscis, 280 — 350 fi diam., contextu parenchymatico ; sporulis cylindraceis, utrinque rotundatis, rectis curvulisve, 3-septatis, non vel vix constrictis, dilute brunneis, 24 — 26x2 — 2*5 fi. Hab. in caulibus siccis Clematidis integrifoliae , prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Clematis integrifolia L. kóróján. Kecskemét mellet^ Koháry-Szent-Lőrinczen, május hóban szedtem. Hendersonia pulchella Sacc. Saccardo, Sylloge Fungorum, III. p. 430. Yar. Epipactidis n. var. Pycnidiis sparsis, epidermide tectis, globulosis, atris, poro pertusis, 210 — 280 g diam., contextu parenchymatico; sporulis elongato-fusoideis, rectis, curvulisve, 11-septatis, non constrictis, guttulatis, flavo-brunneis, 42—54X6—7 g. Hab. in caulibus siccis Epipactidis rubiginosae, prope Kecskemét Hungariæ. Terem az Epipactis rubiginosa Gaud, kóróján. Kecskemét mellett a Nyír erdőben, június hóban szedtem. Yar. Lini n. var. Pycnidiis epidermide tectis, globulosis, breviter papillatis, atris, 200 — 250 g diam., contextu parenchymatico; sporulis elongato-fusoideis, rectis curvulisve, 7-septatis, non vel vix constrictis, flavidulis, demum flavo-brunneis, 32 — 40X4 — 6 p. Hab. in caulibus siccis Lini glabrescenti, prope Nagy-Kőrös Hungariæ. Terem a Linum glabrescens Roch, kóróján. Nagy-Kőrösön a Nagy-erdőben, június hóban szedtem. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 30 466 D' HOLLÓS LÁSZLÓ Var. Sedi n. var. Pycnidiis gregariis sparsisve, superficialibus, depresso-globosis, atris, poro pertusis, 250 — 300 fi diam., contextu parenchymatico ; spo- rulis elongato fusoideis, rectis curvulisve, 7 — 11 septatis, non con¬ strictis, guttulatis, flavo-brunneis, 40 — 54x5*5 — G fi. Hab. in caulibus siccis decorticatis Sedi maximi , prope Kecskemét Hungáriáé. Terem a Sedum maximum Sut. lekérgezett kóróján. Kecskemét mellett a Nvir-erdőben, június hóban szedtem. Hendersonia sarmentorum West. Saccardo, Syll. Fung. III, p. 420. Form, loniceræcola n. f. Sporulis ellipsoideis, flavo-brunneis, 3-septatis, non vel constrictis, 12—14x5-6 fi. Hab. in sarmentis emortuis Lo incera e Caprifolii, ad Nagy-Kőrös Hungariæ. Terem a Lónkéra Capri folium L. elhalt vesszőjén. Nagy-Kőrösön a Mintakertben, június hóban szedtem. Hendersonia Periplocæ n. sp. Pycnidiis semiimmersis, gregariis, depresso-globosis, fuscis, poro pertusis, 240—280 fi diam., contextu parenchymatico; sporulis fusoi¬ deis, diu 1-, demum 3-septatis, non vel vix constrictis, dilute brunneis, 16-20x3*5-4 fi. Hab. in sarmentis decorticatis Periplocae graecae, ad Nagy-Kőrös Hungariæ. Terem a Periploca graeca L. lekérgezett vesszőjén. Nagy-Kőrösön a Mintakertben, június hóban szedtem. Discosia Thesii n. sp. Pycnidiis sparsis, superficialibus, disciformibus, late apertis, fuscis, 600 — 700 fi diam., contextu celluloso; sporulis subfalcatis, vertice acutis, inferne rotundatis, biseptatis, non constrictis, granulosis vel pluriguttulatis, hyalinis, 26 — 30x3 — 4 //, vertice ex ipso setula 20 — 30 //longa aucto, deorsum sub apice breviore setula; basidiis cylindraceis, 30// longis. ÚJ GOMBÁK KECSKEMÉT VIDÉKÉRŐL. 467 Hab. in canlibns siccis Thesii linophylli , prope Nagy-Kőrös Hungariæ. Terem a Thesium UnophyUum L. kóróján. Nagy-Kőrösön a Nagy¬ erdőben. június hóban szedtem. Ramularia Anthemidis n. sp. Maculis indeterminatis ; cæspitulis hypophyllis, albidis ; eoni- diophoris fasciculatis, continuis aut raro uniseptatis, apice subramosis, hyalinis, 54—72x4 — 5 y ; coni diis cylindraceis, utrinque 'rotundatis vel obtusulis, continuis vel 1-septatis, hyalinis, 18 — 24x4 — 6 y. Hab. in foliis languidis Anthemidis Rutheni eae, prope Kecskemét et Nagy-Kőrös Hungariæ. Terem az Anthemis Ruthenied M. B. fonnyadt levelein. Kecskemét mellett a Nyh>erdőben és Nagy-Kőrösön a Nagy-erdőben, június hóban szedtem. Ramularia Jurineæ n. sp. Maculis oblongis, brunneolis, fusco marginatis ; cæspitulis epi- phyllis, albidis ; conidiophoris fasciculatis, continuis aut raro uniseptatis, nonnunquam sursum 1 — 8 denticulatis, hyalinis, 32 — 52x4 — 5 y ; coni- diis cylindraceo- clavatis, apice rotundatis, basi obtusitis, 1-septatis, hyali¬ nis, 22—32x6—8 y. Hab. in foliis vivis Jurineae mollis , prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Jurinea mollis Reichenb. élő levelein. Kecskemét mellett' a Nyir- erdőben, június hóban szedtem. Ramularia Lycopi n. sp. Maculis brunneis, nervis limitatis ; cæspitulis hypophyllis, albi¬ dis; conidiophoris fasciculatis, continuis, sursum denticulatis, hyalinis, 25 — 35x3 — 4 y; conidiis cylindraceis, utrinque obtusulis, rectis curvulisve, continuis aut raro 1-septatis, hyalinis, 16 — 28x3 — 4 y, catenulatis. Hab. in foliis vivis Lycopi europaei, prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Ly copus eur opacus L. élő levelein. Kecskemét mellett a Szikrában, szeptember hóban szedtem. Ramularia Sideritidis n. sp. Maculis brunneolis, nervis limitatis ; cæspitulis hypophyllis, albi¬ dis; conidiophoris fasciculatis, continuis, sursum 2-denticulatis, hyalinis, ?>0* 468 m HOLLÓS LÁSZLÓ 28 — 44x3 — 4 p; conidiis cylindraceis, utrinque obtusulis, rectis curvu- lisve, continuis vel bicellularibus, hyalinis, 28 — 36x3 — 4 p i. Hab. in foliis languidis Sideritidis montanae, prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Sideritis montana L. fonnyadt levelein. Kecskemét mel¬ lett a Nyir-erdőben, június hóban szedtem. Cercospora Berteroæ n. sp. Maculis rotundatis, expallentibus, griseo cinctis ; cæspitulis amphi- genis, aggregatis, brunneis; hyphis fasciculatis, simplicibus, sursum leviter nodulosis, dilute brunneis, 45 — 55x4 p; conidiis cylindraceo- clavatis, infra incrassatis, sursum leniter attenuatis, rectis curvulisve* 5-septatis, hyalinis, 60 — 74X5 — 6 p. Hab. in foliis languidis Berteroae incanae, prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Berteroa incana De. fonnyadt levelein. Kecskemét mel¬ lett Kis-fáiban, július hóban szedtem. Cercospora Loti n. sp. Maculis rotundatis, rubro-brunneis ; cæspitulis epiphyllis, aggrega¬ tis, olivaceis; hyphis fasciculatis, simplicibus, sursum leviter nodulosis, 1 — 2-septatis, pallide olivaceis, 80 — 110x4— 5 p; conidiis cylindraceo- , clavatis, infra incrassatis et obtusatis, sursum leniter attenuatis, rectis curvulisve, 10 — 11-septatis, pluriguttulatis, hyalinis, 70 — 90x4 — 5 p. Hab. in foliis languidis Loti siliquosi , prope Kecskemét Hungariæ. Terem a Lotus siliquosus L. fonnyadt levelein. Kecskemét mel¬ lett a Nyírben, május végén szedtem. V. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGARICI. 1907. ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. {Erwiderung an die Herren G. A. Boulenger, F. B. S. und Dr. F. Werner). Von L. y. Méhely. (Tafel X.) Vor Kurzem veröffentlichte ich eine vorläufige Mittheilung,* die zwar von den Fachgenossen im Allgemeinen sympathisch aufgenommen wurde, hier und dort aber auch Widerspruch erregte. Ich war hierauf vollkommen gefasst, umsomehr, als die in meiner vorläufigen Mitthei¬ lung .besprochenen Fragen cardinale Punkte der Lacerten-Phylogenie berühren und meine Erörterungen sich einerseits auf bisher völlig un¬ betretenen Pfaden bewegen, andererseits fest eingebürgerten Dogmen ■entgegentreten. Trotzdem hat mich besonders die etwas voreilige Kritik des Herrn Boulenger** überrascht, in welcher die meisten meiner Be¬ hauptungen ganz unbegründeter Weise zurückgewiesen wurden. Es wäre gewiss sachlicher gewesen, das Erscheinen meiner an¬ gekündigten grösseren Arbeit abzuwarten, die den Gegenstand mit zahl¬ reichen Abbildungen erläutern und viel ausführlicher behandeln wird, als es mir in einer knapp gefassten vorläufigen Mittheilung möglich war; da sich aber Herr Boulenger- veranlasst fühlte, schon diesen kleinen Aufsatz einer Kritik zu unterwerfen, bin ich auch genöthigt zur Abwehr zu schreiten, nicht wegen der Kritik selbst, die an und für sich nur ehrenvoll für mich sein kann, sondern weil sich Herr Boulenger sowohl der Hauptsache nach, als auch betreffs der Einzelheiten im entschiedenen Irrthum befindet, der im Interesse der Wissenschaft nicht mit Still¬ schweigen übergangen werden darf. Leider besitzen wir für die Beurtheilung der angeregten Fragen keine verlässlichen Normen in der Phylogenie, vielmehr ist dieselbe der individuellen Auffassung unterworfen und besonders vom Grade des * Zur Lösung der «Muralis -Frage.» (Ann. Mus. Hung., V, 1907, p. 84 — 88, dab. III.) ** Bemarks on Prof. L. von Méhely’ s Paper «Zur Lösung der Muralis-Frage». (Ann. & Magaz. Nat. Hist., XX, 1907, p. 39—46.) 470 L. V. MÉHELY Vertrautseins mit dem Gegenstände abhängig. Es sind eben Fragen,, über welche nur bei möglichst allseitiger, auch die Nachbargebiete be¬ rücksichtigender Vertiefung in den Gegenstand eine begründete Vor¬ stellung gewonnen werden kann, wogegen ein weniger eindringliches oder einseitiges Studium nur zu Trugschlüssen führt, wie dies Herrn Bou- lenger’s « Remarks » deutlich bekunden. Da ich meiner angezeigten Arbeit nicht' vorgreifen möchte, will ich mich hier möglichst kurz fassen und nur die wichtigsten Entgeg¬ nungen des Herrn Boulenger beleuchten. I . Platy- and pyrarnidocephale Arten. Ich theilte die muralis-à hnlichen Lacerten auf Grund ihres Schädelbaues in platy- und pyrarnidocephale ein, wobei ich eine möglichst genaue Charakteristik der beiden Gruppen entwarf. Die hier¬ bei gebrauchten Termini rühren nicht von mir, sondern von Eimer und Bedriaga her. Leider sind dieselben nicht ganz zutreffend, weil es sich manchmal nicht feststellen lässt, ob ein Schädel dieser oder jener Cate¬ gorie zugerechnet werden soll, wie ich dies in meiner vorläufigen Mit¬ theilung selbst betonte. Herr Boulenger aber findet dies anstössig und erörtert umständlich, wie unscharf diese beiden Gruppen abgegrenzt sind. Hierzu möchte ich bemerken, dass ich die oben genannten Termini in meiner vorläufigen Mittheilung blos deshalb beibehalten habe, weil sie den Herpetologen geläufig sind, anstatt derselben will ich aber für die Bezeichnung der platycephalen Gruppe : Archaeolacertae und für die pyrarnidocephale : Neolacertae einführen, da diejenige Gruppe, welche ich für die phyle tisch ältere betrachte, fast ausnahmslos platycephale Formen einschliesst, die phyletisch jüngere aber fast durchwegs pyra- midocephale Formen enthält. Die neuen Termini decken zwar nicht vollkommen die alten, da z. B. Lacerta Danfordi, eine typische Archaeo- lacerte, pvramidocephal, und Lacerta muralis, eine entschiedene Neo- lacerte, mehr platy- als pyramidoeephal ist; trotzdem sind die neuen Termini dem Begriff nach viel genauer, da es sich in allen Fällen fest¬ stellen lässt, ob eine Art zu den Archaeo- oder zu den Neolacerten gehört. Obwohl das Erkennen dieser beiden Gruppen vom phyletischen Standpunkt von der grössten Wichtigkeit ist, maass ich denselben in systematischer Beziehung doch nur eine untergeordnete Bedeutung zu, wie dies aus meinen folgenden Zeilen hervorgeht : «Betreffs des Schädel¬ baues besteht demnach eine grosse Mannigfaltigkeit, da die eine Art eine bereits mehr fortgeschrittene Entwickelungsstufe erreicht hat als die andere, soviel ist aber gewiss, dass eine jede Art durch unver- ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. 471 kennbare Charaktere des Schädelbaues gekennzeichnet wird.» Möge der Schädel einer Art wie , immer beschaffen sein, er besitzt stets ganz specifische Eigenschaften und das Erkennen derselben bleibt doch die Hauptaufgabe der Forschung. Freilich ist es nöthig von mancher Art ein Dutzend und mehr Schädel zu präparieren, um das wahrhaftig Charakteristische herauszufinden, da die Schädelknochen in demselben Maasse variiren, wie jedes andere Organ. II. Fontanelle der Supraocular decite. Ich entdeckte am Schädel der Archaeolacerten eine selbst bei grei¬ senhaften Männchen vorhandene, die Supraocularplatte (Lamina super¬ ciliaris) kennzeichnende häutige Fontanelle, der ich eine eminente Bedeutung zu messe, da ich aber selbst die Einschränkung zu machen genöthigt wrar, dass diese Fontanelle bei erwachsenen Männchen mancher Arten, so bei Lacerte anatoJica Wern., L. Danfordi Gthr., L. graecct Bedr. und L. reticulata Bede., schon nicht immer vorhan¬ den ist, meint Herr Boulenger, dass diese Entdeckung nicht von so grosser Bedeutung sei («The character is therefore not of so great im¬ portance after all»). Er beruft sich hierbei auf ein Exemplar der sardi- nischen Lacerta tüiguerta, die meiner Aussage nach eine vollkommen verknöcherte Lamina superciliaris besitzen sollte und dennoch zwischen dem 2-ten und 3-ten Supraocularknochen eine kleine, längliche Fonta¬ nelle aufweist.* Ferner sollen auch männliche Stücke von Lacerta Lilfordi und fiumana eine unvollkommen verknöcherte Supraocular- decke besitzen. Ich bezweifle keinesfalls die Richtigkeit dieser Wahrnehmung, es wundert mich nur, wTie sich Herr Bou-lenger bemühen kann, meine auf Grund eingehender Untersuchungen gewonnenen Resultate durch solche vereinzelte Ausnahmen entkräften zu wollen. Ich präparierte etwa 300 Schädel aller herangezogenen Formen und behaupte noch wie vor, dass die Neolacerten im erwachsenen Zustand die besagte Fontanelle nicht besitzen, da ihre Supraoculardecke schon in früher Jugend (spä¬ testens bei dem einjährigen Thier) vollkommen verknöchert (Taf. X, Fig. 7, 9, 11), wogegen dieselbe bei den Archaeolacerten zeitlebens beste Ft (Taf. X, Fig. 1, 3, 5). Freilich befinden sich nicht alle Archaeo¬ lacerten auf derselben Entwickelungsstufe, so dass bei den schon fort¬ geschritteneren Arten die besagte Fontanelle von manchen sehr alten Männchen aufgegeben wird, das ist aber eben ein Zeichen der fortge- * L. c., p. 42, fig. 472 L. Y. MÉHELY schrittenen Entwicklungsstufe und höchst charakteristisch für die be¬ treffende Art. Es dürfte Herrn Boulenger nicht gelingen je eine Lacerta saxicola, L. caucasica, L. Derjugini, L. Horvdthi , L. mosoriensis, L. oxycephala, L. hispanica oder Apathy a cappadocica ohne der be¬ sagten Fontanelle zu finden, während sehr alte Männchen von Lacerta maiolica, L. Danfordi, L. gr aeca und L. reticulata schon manch¬ mal eine vollkommen verknöcherte Supraoculardecke besitzen. Des¬ gleichen kann es Vorkommen, dass die durch eine vollkommen ver¬ knöcherte Supraocularplatte gekennzeichneten Neolacerten (Lacerta mu¬ ralis , tiliguerta , Lilfordi , fiumana , ionica , peloponesiaca, laurica, pra¬ tico la, vivipara, laevis, etc.) höchst ausnahmsweise* auch im erwachsenen Zustand noch die archaische Fontanelle aufweisen; solche — wohl auf Eückschlag oder auf individuelle Schwäche zurückzuführende — seltene Ausnahmen benehmen aber keineswegs das Charakteristische der regelmässigen Erscheinung. Es kommen im Thierreich manchmal noch verblüffendere Ausnahmen vor, ohne dass es jemandem einfallen würde auf Grund derselben die Eegel anfechten zu wollen,** und ich hoffe, dass Herr Boulenger nachträglich einsehen wird, wie ungerecht er meine wichtige Entdeckung beurtheilt hat. III . Phyletisch ältere und jüngere Lacerten . Ich habe die Behauptung aufgestellt, dass die platycephalen Arten (mit niedrig gebautem, schwach incrustiertem Schädel, grossen Nasen¬ löchern, häutiger Fontanelle der Lamina superciliaris, nur zum Theil bedecktem, grossem Supraorbitale, lose zusammenhängenden Postfron¬ talen, schwachem Proc. ascendens des Supraoccipitale und ohne Haut¬ knochen in der Schläfengegend) Eelicte einer früheren Erdepoche zu sein scheinen, aus denen neuerer Zeit die pyramidocephalen Arten (mit hoch gebautem, derb incrustiertem Schädel, engen Nasenlöchern, vollkommen verknöcherter Lamina superciliaris, ganz bedecktem und kleinerem Supraorbitale, fester vereinigten Postfrontalen, kräftigem Proc. * So besitze ich unter etwa 300 Stücken der typischen Lacerta muralis ein 'erwachsenes ungarisches Exemplar (Nagy- Harsány) mit deutlicher Fontanelle. ** So wird das Menschengeschlecht durch eine Zahnreihe charakterisiert, und dennoch gab es schon Menschen mit einer doppelten Reihe von Schneidezähnen (Hercules, Melanchton, Ludwig XIII.). (Siehe Mihalkovics, A leiró emberboncz- tan, Budapest, 1888, p. 673.) Für die Einhufer (Solidungula) ist der unpaare Huf charakteristisch und doch sah Dr. L. Soós im Juni dieses Jahres in der Nähe von Gracac (Komitat Lika-Krbava) ein etwa zwei Monate altes Füllen mit je zwei Hufen an den Vorderbeinen. ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. 473 ascendens des Supraoccipitale und Hautlmochen der Schläfengegend) hervorgegangen sind. Herr Boulenger glaubt, dass ich die Entwickelung der Charaktere des Schädels «missverstanden» habe, und ist der Ansicht, dass gerade die platycephalen Eidechsen von den Lacerten mit massivem Schädel entsprungen sind.* Diese Annahme unterstützt Herr Boulenger durch folgende Hinweise : 1. Hätten die Lacerten mit massivem Schädel Gaumenzähne (am Pterygoideum), die bei den von mir erwähnten «Formen von L. muralis mit supraocularer Fontanelle» ** beständig fehlen. 2. Sollen wir in den meisten Gruppen der niederen Wirbelthiere, in welchen wir einige Anzeichen für den «orthogenetischen Ursprung» der Formen besitzen, finden, dass «ein massiver Schädel zu einem schwächer verknöcherten degeneriert. » Betreffs dieser Aussage beruft sich Herr Boulenger auf die Siluroide Fischreihe Clarias — Allab enchelys — Clariallabes — Gymnallabes — Channallabes, bei der wir «Zeugnisse haben für das stufenweise Verschwinden der die Schädelseiten bedeckenden Platten, Hand in Hand mit der aalförmigen Verlängerung des Körpers, der Deduction der Schwanzflosse und der Reduction und endlichen Unterdrückung der paarigen Flossen.» «Eine sehr anmuthende Reihe — meint Herr Boulenger — deren Richtung unverkennbar ist.» «Ausser¬ dem haben unter den Characinoiden Fischen, wie Sagemehl betont, die primitiveren Typen mit grossen bezahnten Kieferknochen einen massiven Schädel und die Fontanellen erscheinen Hand in Hand mit der Reduc¬ tion des Kieferknochens.» Dasselbe soll der Fall sein auch bei Schild¬ kröten (Chelydra — Staurolypus, Emys — Cistudo) und solchen Eidechsen ( Chalcides ), bei denen wir es mit einer unverkennbaren orthogenetischen Reihe zu thun haben. Bei den letzteren soll der allgemeinere Typus einen mehr convexen, mit Hautknochenplatten mehr bedeckten Schädel besitzen. Betrachten wir nun die Stützen der von Herrn Boulenger vertre¬ tenen Meinung, die für den ersten Blick wohl schwerwiegend scheinen, bei gründlicher Analyse aber sich für lauter Trugbilder erweisen. Den ersten Punkt betreffend möchte ich betonen, dass das Vor¬ handensein oder Fehlen der Gaumenzähne in der Lacertiden-Familie * L. c., p. 43. ** Ich bemerke hier, dass ich keine einzige Form mit supraocularer Fon¬ tanelle kenne, die artlich zu L. muralis gestellt werden könnte ; dieselben sind be¬ sondere Arten, während der ganze Formenkreis von L. muralis durch eine voll¬ kommen verknöcherte Supraocularplatte charakterisiert wird. 474 L. y. MÉHELY gar keine Anhaltspunkte für die Richtung der Phylogenese liefert. Es gibt eine ganze Anzahl Formen mit hochgebautem, massivem Schädel ohne einer Spur von Gaumenzähnen (so z. B. L. quadrilineata Gray, L. nigriventris Bonap., etc.), wogegen andere extrem pyramidocephale Formen (so L. fiumana Wern.) bald Gaumenzähne besitzen, bald wieder nicht. Desgleichen gibt es rein platycephale Arten mit kräftigen Gaumen - zähnen (z. B. L. anatolica Wern., Apáthya cappadocica Wern., etc.). Die Trennung der einzelnen Formen scheint sich nur in geologisch jüngerer Zeit vollzogen zu haben, so dass betreffs der Gaumenzähne noch keine Beständigkeit erzielt wurde, doch glaube ich bei anscheinlich orthogeneti sehen Evolutionsreihen annehmen zu dürfen, dass die Stamm¬ form noch keine Gaumenzähne besass und dieselben nur allmählich erworben wurden. Hierauf scheint mir auch die Thatsache hinzuweisen, dass die primitiveren Scincoiden mit massivem, in einen förmlichen Hautknochenpanzer eingeschlossenem Schädel (z. B. die in Neu-Guinea einheimische Lygosoma jobiense Meyer) noch keine Gaumenzähne be¬ sitzen. Viel mehr Beachtung verdient Herrn Boulenger’s zweite Stütze, nämlich die aus der Phylogenese der Siluroiden Fische herbeigezogene Analogie, die, falls sie richtig gedeutet worden wäre, meine ganze Ab¬ leitung in Frage stellen würde. Leider aber kann ich derselben keine Beweiskraft zugestehen, und zwar aus folgenden Gründen. Erstens glaube ich, dass die für eine orthogenetische Evolutions¬ reihe ausgegebenen Gattungen rein willkürlich zu einer Entwickelungs¬ reihe verbunden worden sind. Diese Auffassung dürfte sich wenigstens durch nichts beweisen lassen, vielmehr scheint es mir viel wahrschein¬ licher, dass die genannten Gattungen aus einer gemeinschaftlichen Stammform ausstrahlten und mit einander nur fächerförmig zusammen¬ hängend Endpunkte von kürzeren Entwickelungsästen darstellen. Ortho¬ genetische Evolutionsreihen, soferne sie verschiedene Gattungen betreffen, dringen meiner Auffassung nach in die Tiefe der Erdschichten und haben ihre Etapen in den einzelnen, aufeinander folgenden geologi¬ schen Perioden, soferne sie sich aber auf heute lebende Formen be¬ ziehen, beschränken sich dieselben auf den engen Kreis von Unterarten und Varietäten, oder höchstens auf sehr verwandte Arten. Gesetzt aber, dass das von Herrn Boulenger herangezogene Ana¬ logie-Beispiel an und für sich richtig wäre, könnte ich demselben für die Phylogenese der Lacerten doch keine Beweiskraft zugestehen, da ich die Fische — mit Prof. Jae kel* — für einen herabgesunkenen * Einige Beiträge zur Morphologie der ältesten Wirbeltiere (Sitzungsber. Ges. Naturforsch. Freunde zu Berlin, 1906, p. 188, 189.) ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. 475 Seitenstamm der Wirbelthiere betrachte, der nur an der Wurzel, in der unbekannten Gruppe der Prototetrapoden mit dem Hauptstamme der Tetrapoden zusammenhängt. Da sich aber der Stamm der Tetra- poden durch eine aufsteigende Evolutionsrichtung aus¬ zeichnet und der Seitenstamm der Fische einer epistati¬ schen Erniedrigung seiner Organisation sein Entstehen verdankt, halte ich es für höchst unwahrscheinlich, dass die Evolutionsrichtung der Fische auch für die Lacertiden Giltigkeit hätte. Was Herr Boulenger mit den herangezogenen Schildkröten zu erklären beabsichtigte, ist mir unklar geblieben und die Berufung auf Chalcides scheint mir auch nicht viel zu sagen. Bei den Scincoiden ist der ganze Schädel samt Unterkiefer mit ziemlich gleichförmigen, Fisch¬ schuppenähnlichen Flautknochen bedeckt, die nur oben mit dem Schädel¬ dach fest verbunden sind. Es ist mir völlig unklar, in welcher Weise hier der Schädel mehr oder weniger mit Hautknochen bedeckt sein könnte. Ich glaube hiermit klargestellt zu haben, dass die Erklärung des Herrn Boulenger rein auf willkürlicher Annahme beruht, die durchaus nicht erwiesen wurde ; nun will ich meine Gründe darlegen, die mich bestimmt haben auszusprechen, dass die platycephalen Lacerten (Archaeo- lacertae) die phyletisch ältere Gruppe darstellen, aus welcher neuerer Zeit die pyramidocephalen Arten (Neolacertae) hervorgegangen sind. Diese Behauptung habe ich durchaus nicht leichtfertig aufgestellt, viel¬ mehr ist dieselbe das Ergebniss langwieriger und mühsamer Unter¬ suchungen, die mir nur nach schwerer Drangsal die Einsicht in diese verwickelten Verhältnisse eröffneten. Die Gründe, die mich zu der obi¬ gen Überzeugung drängten, sind die folgenden. 1. Die Ontogenie des Lacerten-Schädels beweist, dass der jugendliche Schädel noch glatt, nicht incrustiert ist ; die Proc. parietales gehen ununterbrochen vom Parietale aus ; die Nasenlöcher sind weit ; die Lamina superciliaris ist noch grösstentheils häutig; das Supraorbi¬ tale ist nur zum kleinen Theil bedeckt ; da der Schädel noch sehr nied¬ rig ist, legen sich die flachen Parietalfortsätze in breiter Fläche an die häutige Hirnkapsel an und der Proc. ascendens des Supraoccipitale ist ganz unscheinbar; die beiden Postfrontalia hängen nur lose zusammen und die Schläfengegend trägt keine Hautknochen. Dieser Zustand bleibt bei den Archæolacerten zeitlebens fast un¬ verändert bestehen, bei den Neolacerten hingegen erfolgen schon in den ersten Jahren namhafte Umgestaltungen. Die Schädeldecke wird mit einer derben Crusta calcarea überzogen, durch welche die Parietal¬ fortsätze vom Parietale deutlich abgegrenzt werden; die Nasenlöcher 476 L. V. MÉHELY verengern sich; die Lamina superciliaris verknöchert vollkommen; das Supraorbitale schrumpft ein und wird von der Lamina superciliaris voll¬ kommen bedeckt; die Schädeldecke wölbt sich, der Proc. accendens wird kräftiger, die beiden Postfrontalia gehen eine festere Verbindung ein und bei den alten Männchen erscheinen in der Schläfengegend mehr oder weniger Hautknochen. Der allgemeine Gang der ontogenetischen Entwickelung hat hinsichtlich einer jeden Art seine besonderen Eigen¬ tümlichkeiten, auf die ich hier nicht näher eingehen kann, die jedoch die Entwickelungsnorm nicht alterieren. Die geschilderte Dichtung der ontogenetischen Entwickelung ist dem biogenetischen Prinzip gemäss ein deutlicher Beweis dessen, dass die phyletische Entwickelung in derselben Weise erfolgte, demnach die Neolacerten von den Archaeolacerten ausgingen und nicht umgekehrt. 2. Die Eigentümlichkeiten des Schuppenkleides sprechen auch für die Dichtigkeit meiner Annahme, da die Archaeolacerten durch ein primitiveres, die Neolacerten aber durch ein fortgeschritteneres Schuppenkleid ausgezeichnet werden. Die grösste Anzahl der Archaeo¬ lacerten besitzt eine fein beschilderte Temporalgegend, kleine und zahlreiche Kehlschuppen, kleine und zahlreiche Schilder auf der Unter¬ seite des Schenkels, der Tibia und in der Analgegend, wie auch kleinere und zahlreichere Bauchschilder * und sehr zahlreiche Schen¬ kelporen, während die Neolacerten an den besagten Körperteilen viel grössere Schilder und Schuppen führen, deren Anzahl viel geringer ist. Erwägen wir nun, dass die primitiven Schuppen als winzige Horn¬ käppchen der Cutispapillen entstanden sein müssen, so ist es klar, dass sich die Träger von grösseren, durch Verschmelzung entstandenen Schuppen und Schilder auf einer fortgeschritteneren Entwickelungsstufe befinden. Sonderbarer Weise besitzen manche Archaeolacerten (so Lacerta Horváthi , mosoriensis, monticola, saxicola var. nidis, caucasica und Derjugini) auffallend grosse Bückenschuppen, wodurch man zu der An¬ nahme gedrängt werden könnte, die grossen Bücken schuppen für den primitiveren Zustand zu betrachten. Da jedoch die den äusseren Ein¬ flüssen in vollem Maasse ausgesetzte Oberseite des Körpers viel leichter eine Änderung erleidet als die untere, so betrachte ich das Verhal- * Bei manchen Formen beständig (z. B. bei Lacerta anatolica), bei anderen noch ziemlich häufig (z. B. bei Lacerta Danfordi und Apâthya cappadocica) oder wenigstens rückschlagsweise (so bei den verschiedenen Abarten von Lacerta saxicola , ferner bei L. reticulata und sardca ) acht Längsreihen, anstatt sechse der Neola¬ certen. AECHAEO- UND NEOLACEETEN. 477 ten der Unterseite für primitiver und erachte die grossen Rückenschuppen für die Folge einer durch specielle Anpassung erzwun¬ genen beschleunigten Entwickelung, umsomehr, als es eine Anzahl ganz typischer Archaeolacerten gibt (so Lacerta anatolica , Danfordi, saxicola typ., reticulata, oxycephala, hispanica, etc.) mit kleinen und sehr kleinen Rückenschuppen. 3. Selbst das Farbenkleid unterstützt meine Auffassung, da bei den Archaeolacerten sowohl die neugeborenen, als auch die jungen und alten Thiere stets dasselbe Farbenkleid führen, betreffs dessen noch gar kein Geschlechtsdimorphismus besteht. Bei den Neolacerten hingegen ist das alte Männchen stets anders gefärbt als das alte Weibchen. Es dürfte keiner näheren Erörterung erübrigen, dass das in allen Lebens- und Geschlechtsphasen einheitliche Farbenkleid das ursprünglichere ist. Das sind der triftigen Gründe wohl mehr als genug, um die An¬ nahme zu rechtfertigen, dass von den beiden Gruppen der Lacerten die Archaeolacerten die phyletisch ältere, primitivere Gruppe bilden, aus welcher die Neolacerten hervorgegangen sind. Einen Einwand gegen meine Beweisführung muss ich freilich selbst gestatten, nämlich den, dass die von mii für primitiv angesproche¬ nen Eigenschaften auch secundäre Erscheinungen sein können. In gewissen Fällen sind sie es sicher und ich werde in meinem ange¬ kündigten Werke öfters Gelegenheit haben auf solche hinzuweisen, doch möchte ich schon hier betonen, dass dieselben ganz specielle Fälle be¬ treffen und es schon a priori auszuschliessen ist, dass sich in einem so weiten Verbreitungsgebiet, bei allen Arten dieselben secundären Er¬ scheinungen einstellen könnten. IV. Die phyletische Fntwieke lang des Farbenkleides. Der unlängst verstorbene Prof. Eimee hat bekanntlich die Behauptung aufgestellt, dass die Längsstreifung die phyletische Ausgangsform kenn¬ zeichnet, wogegen ich in meiner vorläufigen Mittheilung behauptete, dass die Längs streifung gerade die phyletische Endstufe anzeigt. Eimee hat seine Anschauung durch nichts erwiesen, während ich meiner Behauptung eine positive Grundlage verleihen konnte. Meiner Begründung nach ist nämlich das unregelmässige Fleckenkleid das primitivere Farbenkleid, weil es mit primitiven Cha¬ rakteren des Schädels und des Schuppenkleides einher¬ geht, wogegen die Längsstreifung an einen hoch entwickel¬ ten Schädel und eine fortgeschrittene Beschuppung ge¬ bunden ist. 478 L. V. MÉHELY Herr Boulenger hat sich sowohl in seiner früheren Arbeit,* als auch in seinen «Remarks» ** vollkommen der EiMER’schen Ansicht an¬ geschlossen und meint, dass ich meine Behauptung durch Argumente zu stützen versuchte, die ihm «auf dem Missverstehen der Entwickelung der Charaktere des Schädels zu beruhen scheinen.» Betreffs dessen habe ich schon im vorhergehenden Abschnitt zu beweisen versucht, dass meine Anschauungen hinsichtlich der phyleti- schen Entwickelung des Lacerten-Schädels wohl begründet sind, die gegenteilige Ansicht des Herrn Boulenger aber bloss auf willkürlicher Annahme beruht. Hieraus aber ergibt sich mit zwingender Logik auch die Unhaltbarkeit der EiMER’schen Erklärung des Farbenkleides. Wir finden bei allen Archaeolacerten einen primitiveren Schädelbau, ein primitiveres Schuppenkleid, ferner sowohl bei jungen, als bei alten Thieren, ohne Rücksicht auf das Geschlecht, einen ähnlichen Typus des Farbmusters. Dieser Typus besteht der Hauptsache nach aus unregel¬ mässig gelagerten schwarzbraunen Schnörkelflecken, die sich bei den meisten Arten zu einer mehr oder weniger deutlichen Reticulation ver¬ binden. Die dunkle Reticulation schliesst meist helle Tropfenflecken ein, die schon bei sehr primitiveren Formen (so bei Lacerta (maiolica , L . Danfordi , L. saxicola , L. reticulata , L. oxycephala 9 etc.), die Ten¬ denz einer Längsreihung erkennen lassen, aber niemals zu deutlichen Supraciliar-, Subocular- und Mandibularstreifen verschmelzen. Eine Aus¬ nahme bildet nur L. hispanica , bei welcher Art die besagten Streifen, wohl zufolge der Abnahme der Körpergrösse, durch secundäre Zusam¬ menschiebung der hellen Elemente, scharf hervortreten. Die Neugebo¬ renen sind — mit Ausnahme von L. hispanica — durchwegs reticuliert. Ich betrachte demnach das unregelmässig gefleckte Farbenkleid für die phyletische Ausgangsform und werde in meiner grösseren Arbeit an einer Reihe treffender Beispiele darlegen, wie sich dieses Farbenkleid stufenweise, und zwar Hand in Hand mit dem Fortentwickeln des Schädels und des Schuppenkleides, zu einem längsgestreiften umbildete. Die tiefer stehenden, phyletisch älteren Neolacerten (z. B. Lacerta üliguerta und nigviventris) sind noch meist in beiden Geschlechtern reticuliert; die mehr fortgeschrittene L. muralis ist schon gewöhnlich nur im männlichen Geschlecht reticuliert, im weiblichen aber längs¬ gestreift; die noch mehr fortgeschrittene L. serpa ist schon in beiden Geschlechtern gestreift- gefleckt ; endlich sind bei den phyletisch jüngsten * Transact. Zool. Sog. : of London, XVII, 1905. ** L. c., p. 40. ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. 479 Formen (L. campestris , fiumana , sicula , ionica und laurica) die Männchen gestreift- gefleckt, die Weibchen hingegen schon scharf längsgestreift. Das phyletisehe Endglied der Neolacerten erblicke ich in L. peioponesiaca mit seinen extrem längsgestreiften Weibchen, den äusserst grossen Temporal¬ schildern, der vollkommen reducierten Körnerreihe zwischen den Supra - ocularen und Supraciliaren, dem sehr hoch gebauten Schädel, der voll¬ kommen verknöcherten Supraocularplatte, dem vei kümmerten Supraorbi¬ talknochen, der geschlossenen Reihe von Supraciliarknochen, einem fast geschlossenen Hautknochenpanzer der Temporalgegend und mit Haut¬ knochen bedecktem Unterkiefer. Herrn Boulenger’s Auffassung gemäss müsste freilich L. peioponesiaca für die Ausgangsform dieser Eidechsen- gruppe betrachtet werden, wonach die ganze Phylogenese einen direct entgegengesetzten Weg genommen hätte, wofür uns aber durchaus keine Beweise vorliegen. In Anbetracht der gekennzeichneten Entwickelungsweise des Far benkleides wirft sich nun die Fiage auf, wie sich der Umstand, dass bei den am meisten fortgeschrittenen Neolacerten nur die Weibchen scharf längsgestreift, die Männchen aber noch entweder reticuliert oder höchstens gestreift-gefleckt sind, mit der seit Eimer eingebürgerten und auch von Herrn Boulenger vertretenen Anschauung vereinigen lässt, dass «neue Zeichnungstypen bei den alten Männchen hervorgebiacht und dann auf die Weibchen und Jungen übertragen werden» ? Für die Beantwortung dieser Frage stehen mir zwar genügende Stützpunkte zur Verfügung, dieselben ei heischen aber eine tiefer grei¬ fende Erörterung, weshalb ich hier nur auf Folgendes hinweisen möchte. Erstens erachte ich es für eine unbegründete Annahme, dass neue Zeichnungstypen bei den alten Männchen entstehen, vielmehr glaube ich, dass ein neues Farbmuster immer zuerst von den Weib¬ chen erworben wird, wobei ich aber nicht die durch den Geschlechts¬ dimorphismus hervorgerufenen Erscheinungen des Farbenkleides, son¬ dern das phyletisehe, die Art kennzeichnende Farbmuster vor Augen halte. Bei Lacerta reticulata sind Männchen, Weibchen, junge und neu¬ geborene Thiere noch durchwegs reticuliert, mitunter kommen aber alte Weibchen vor, die schon ein neues und zwar ein gestreift- geflecktes Farbmuster tragen. Ich besitze ein derartiges Stück aus Vizzavona, bei welchem das Rücken feld von vier Längsreihen heller, vorn und hinten mit schwarzbraunen, halbmondförmigen Flecken eingefassten Tropfen¬ flecken eingenommen wird; ausserdem befinden sich auch auf den Rumpfseiten mehrere Längsreihen ähnlicher Augenflecken. Die hellen Augenflecken fallen genau in die bekannten Längszonen der längsge- 480 L. V. MÉHELY streiften Formen und es ist zweifellos, dass aus denselben durch Ver¬ schmelzung die hellen Dorsal-, Supraciliar-, Subocular- und Mandibular¬ streifen hervorgehen. Bei der ebenfalls in beiden Geschlechtern reticulierten Lacerta tiliguerta begegnen wir schon öfters solchen alten Weibchen, die die vorhin erwähnten Längsstreifen in ziemlich deutlicher Ausbildung auf- weisen. Noch häufiger stossen wir auf derartige Weibchen bei Lacerta nigriventris (Brueg g ernannt), bis schliesslich bei Lacerta muralis deut¬ lich längsgestreifte Weibchen vorherrschen und bei den jüngsten For¬ men (Lacerta campestris , fiumana , sicula , ionica , taurica und pelopo- nesiaca) alle Weibchen scharf längsgestreift sind. Da der Fortschritt und die Verallgemeinerung dieses Farbmusters mit der stufenweisen Entwickelung des Schädels und des Schuppen¬ kleides einhergeht, dürfte es ganz klar sein, dass die Längsstreifung eine spätere Errungenschaft ist, die in erster Linie von den Weib¬ chen erworben wird. Das Farbmuster der Männchen entwickelt sich in derselben Weise, nur wird das klare Bild der Entwickelung theils durch secundär aufgenommene Schmuckfarben, theils durch das rapide Anwachsen des Körpervolumens getrübt, da die bei den jungen Männ¬ chen ebenfalls vorhandene Längsstreifung im späteren Alter secundär zerzogen, respective in Flecken aufgelöst wird. Hiermit bekundet das gestreift-gefleckte Farbenkleid eines zu einem scharf längsgestreiften Weibchen gehörenden Männchens keinen phyletischen Fort¬ schritt, sondern einen secundären Bückfall, dessen Erklärung in dem Zwange mechanistischer Ursachen zu suchen ist. Der weiteren Annahme, wonach das von den alten Männchen er¬ worbene Farbmuster auf die Weibchen und Jungen übertragen werden soll, muss ich auch entschieden widersprechen, da es ganz zweiffellos ist, das gerade umgekehrt das Farbmuster der Weibchen auf die Männchen übergeht. Möge das Weibchen wie immer gezeichnet sein, die neugeborenen, jungen und halberwachsenen Männchen er¬ scheinen stets im Farbenkleid des Weibchens. Wir finden oft auch voll¬ kommen erwachsene Männchen in dem für das Weibchen charakteri¬ stischen Farbenkleid und nur im vorgerückten Alter tritt — mechani¬ schen Ursachen zufolge — eine Änderung ein, die jedoch für die Art keinen Fortschritt bedeutet. Betreffs der Phylogenese des Farbenkleides kann demnach viel eher von einer weiblichen Präponderanz, als — wie es Eimer gethan * — - von einer männlichen gesprochen werden, da der die Art * Untersuch, üb. d. Yariiren d. Mauereidech.se. (Arch. f. Naturgesch., 1881. p. 462, 441.) ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. 481 beherrschende Typus des Farbmusters von dem Weibchen ausgeht, von bemselben auch auf das Männchen überführt wird und nur bei alten Männchen eine Änderung erleidet, die aber schon einem senilen Charakter gleichkommt. Ähnliche Gedanken scheint schon auch Dr. Werner gehabt zu haben, da er sich folgendermassen ausspricht : 1 «Die Zeichnung (der Eeptilien) wird von dem mütterlichen Thiere den Jungen sehr genau überliefert, sie ist bei ihnen am deutlichsten, vollständigsten und kann im Alter höchstens gleich bleiben, aber sich weder vervollständigen noch verdeutlichen; die einzige mögliche Veränderung ist die Ver¬ schmelzung von Flecken zu Längsstreifen ...» Meine Anschauung entspricht auch dem heutigen Standpunkte der Vererbungslehre viel eher als Eimer’s Theorie, da den neuesten Unter¬ suchungen gemäss der weiblichen Keimzelle ein unbestrittenes Über¬ gewicht gegenüber der männlichen zugestanden werden muss. Laut Jacques Loeb2 unterliegt es keinem Zweifel mehr, dass «der Embryo durch das Ei bestimmt ist, und dass für die erste Entwicklung das Spermatozoon wesentlich, wenn nicht ausschliesslich, nur vermöge seiner entwicklungserregenden, aber nicht vermöge seiner vererbenden Wirkun¬ gen in Betracht kommt». Hieraus ergibt sich aber mit zwingender Nothwendigkeit, dass eine phyletische, die Art charakterisierende Ände¬ rung des vorhandenen Farbenmusters nur vom Weibchen ausgehen kann und durch physikalisch- chemische Änderungen des Eiplasmas be¬ dingt wird. Das alte Männchen erwirbt wohl gegenüber dem Weibchen mitunter sehr namhafte und ganz specielle Eigenschaften, die jedoch blos als secundäre Geschlechtsabzeichen oder als senile Charaktere auf¬ gefasst werden können, da sie weder das für die Art charakteristische Farbenmuster, noch die phyletische Entwickelung desselben beeinflussen. Hiermit habe ich in aller Kürze angedeutet, weshalb ich der auch von Herrn Boulenger befürworteten EiMER’schen Theorie keine Berech¬ tigung zuerkennen kann. Diese kurze Erörterung enthält zugleich die Antwort auf die Be¬ merkung des Herrn Dr. Werner,3 laut welcher Eimer «gerade diesmal wahrscheinlich recht haben dürfte», da «bei den extrem pyramido- cephalen Formen tritt eben Eeticulation, wenn überhaupt, spät in der 1 Untersuch, üb. d. Zeichnung d. Wirbelthiere. (Zoolog. Jahrbücher, System., VII, 1894, p. 381.) 2 Vorlesungen üb. d. Dynamik der Lebenserscheinungen, Leipzig, 1906, p. 277. 3 Recension über meine vorläufige Mittheilung im Zool. Zentralblatt, XIV, 1907, p. 317. Annales Musei Natìonalis Hungarici . V. 31 482 L. V. MÉHELY Onthogenie auf, während sie bei den platycephalen schon an den Be¬ ginn gerückt und die Längsstreifung damit verloren gegangen ist». Ich glaube es durch correlative Zustände des Schädelbaues und des Schuppen¬ kleides begründet zu haben, dass die Reticulation der platycephalen Arten nicht an den ontogenetischen Beginn gerückt ist, vielmehr auch heute noch am phylogenetischen Beginn öder wenigstens in der Nähe desselben verharrt. Wäre die Auffassung des Herrn Dr. Werner richtig, so dürften die Neugeborenen der entschieden pyram idocephalen Lacerta tiliguerta Om., oder der extrem pyramidocephalen Lacerta nigriventris Bonap. nicht reticuliert sein. Sie sind aber noch gerade so scharf reticuliert, wie diejenigen ihrer muthmasslichen Stammform, der auch im er¬ wachsenen Zustand stets reticulierten Lacerta reticulata Bede. Ich bin übrigens nicht der einzige, dem die Berechtigung der EiMER’schen Theorie fraglich erscheint. Vor Kurzem hat der gediegene amerikanische Forscher Ch. 0. Whitman darauf hingewiesen 1 und seine Aussage auch durch Experimente erhärtet, dass bei den Tauben das phyletisch ursprüngliche Farbmuster das zerstreut fleckige ist und sogar Herr Dr. Werner vertrat früher gegenüber Eimer eine An¬ schauung, die der meinigen sehr nahe steht und aus der folgenden Äusserung ganz klar hervorleuchtet : «Erstens erkenne ich die Ur¬ sprünglichkeit der Längsstreifung bei Wirbelthieren überhaupt nicht an»2 * und noch schärfer: «Die Zeichnung der Eidechsen leitet sich von einer irregulären Fleckenzeichnung ab, wie sie bei allen Wirbelthier- classen und -Ordnungen als erstes Stadium der Zeichnung auftritt».;i V. JDer Schädel von Lacerta tiliguerta Gm. In meiner vorläufigen Mittheilung habe ich Lacerta tiliguerta Gm. auf Grund ihres Schädelbaues in die pyramidocephale Gruppe einge¬ reiht. Dem gegenüber beruft sich Herr Boulenger auf sein früheres Werk,4 laut welchem die echte «Tiliguerta» von Sardinien «einen ziem¬ lich stark niedergedrückten Kopf hat, mit ganz plattem oder selbst etwas vertieftem Occiput». Er fügt ferner hinzu, dass der Kopf «ge- 1 The problem of the origin of species ; Congress of Arts and Sciences, Universal Exposition, St. Louis, V, 1904, p. 18. (Nach einem Referat von Prof. Plate im Arch. f. Rassen- u. Gesellschafts-Biologie, III, 1906, p. 868.) 2 Unters, üb. d. Zeichn. d. Wirbelth. (Zoolog. Jahrbücher, System., VII, 1894, p. 395.) :î L. c., p. 380. 4 Transact. Zool. Soc. of London, XVII, 1905, p. 409, tab. XXVIII, fig. 7. ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. 483 wohnlich mehr platycephal ist, als der der typischen Lacerta muralis », -welche letztere Art in meine platycephale Gruppe gehört.* Hierauf möchte ich mir die Bemerkung erlauben, dass ich meine Behauptung auf den Bau des Schädels gründete, der sich mit der Form des Kopfes durchaus nicht genau deckt. Es stimmt wohl, dass der ganze Kopf einen etwas platycephalen Eindruck macht, aber der Schädel ist trotzdem ganz deutlich pyramidocephal. Er ist zwar etwas niedriger als derjenige der ultrapyramidocephalen Formen (z. B. von Lacerta serpa Baf. von Neapel oder Zara), trotzdem führt er aber schon alle Charaktere der pyramidocephalen Formen (Neolacertae). Freilich glaubt Herr Boulenger mit Sicherheit annehmen zu dürfen, dass ich mit dem Schädel der echten Lacerta tiliguerta nicht vertraut bin («It is clear to me that Prof. v. Méhely is not familiar with the skull of the true L. tiliguerta , which, as staded above, he regards as pyramidocephalous»), was aber ein gewaltiger Irrthum ist. Ich kenne ganz genau den Schädel der «echten Tiliguerta» von Sardinien (Cagliari), ferner derjenigen von Sicilien (Palermo) und Süd-Italien (Bari). Die letztere Form soll laut Boulenger schon zu L. serpa gehören, ich be¬ haupte aber, dass dieselbe ebenso zu der echten L. tiliguerta gehört, als die Stücke von Sicilien und Sardinien, da die Schädel der er¬ wachsenen Männchen genau übereinstimmen, von denen der L. serpa aber deutlich abweichen. Bei L. tiliguerta nämlich ist der Schädel etwas niedriger und das knöcherne Cranium ist vom Schädeldach mehr bedeckt, so dass das obere Ende des Proc. ascendens von oben nicht sichtbar is, während bei L. serpa der Schädel höher und das knöcherne Cranium vom Schädeldach weniger bedeckt ist, so dass von oben nicht nur der ganze Proc. ascendens, sondern auch der an denselben anschliessende Knorpel¬ stab sichtbar ist. Desgleichen ist es irrthümlich, wenn Herr Boulenger behauptet, dass der Kopf der echten «Tiliguerta» gewöhnlich mehr platycephal ist, als derjenige der typischen Lacerta muralis, da der erwachsene männ¬ liche Schädel von Lacerta muralis im allgemeinen bedeutend niedriger und kleiner ist, als der von L. tiliguerta. VI. Nmne und Artbereclitigung der Lacerta reticulata Hedr . Da ich diejenige Eidechse, die von der Duméril und BiBRON’schen Lacerta oxycephala zuerst von Dr. J. v. Bedriaga als L. oxycephala 3D Remarks, p. 40. 484 L. y. MEH ELY var. reticulata unterschieden,1 dann von Camerano L. oxycephala var. Bedriagae benannt2 und nachher von Bedriaga selbst als L. Bedriagae eingehend beschrieben wurde,3 für eine selbständige, von L. muralis durchaus verschiedene Art betrachte, habe ich den Regeln der Nomen- clatur zufolge für die Bezeichnung derselben Lacerta reticulata Bedr. eingeführt. Dem entgegen bemerkt Herr Boulenger, dass dieser Name im Lacerten- Genus bereits von Schreiber und Eimer als L. muralis reticulata vergeben ist, somit consequenter Weise für L. Bedriagae nicht mehr verwendet werden dürfe. Herr Boulenger interpretiert hier die Regeln der Nomenclatur seiner speciellen Auffassung gemäss, da er L. Bedriagae nur für eine Varietät von L. muralis betrachtet,4 dieser Standpunkt ist aber aus verschiedenen Gründen unrichtig. Schreiber und Eimer bezeichneten überhaupt alle reticulierten Formen von L. maralis mit dem Namen reticulata , somit bezieht sich dieser Name nicht auf eine bestimmte morphologische Form, sondern auf eine allgemeine Stufe des Farbmusters. Schon dieser Umstand würde es zulassen, den Namen reticulata \ auf eine bestimmt charakterisierte morphologische Form von L. muralis anzuwenden, umsomehr ist aber dies der Fall, wenn mit diesem Namen eine von L. muralis abweichende, besondere Art ge¬ meint ist. Um die Artberechtigung von L. reticulata gegenüber L. muralis klar zu begründen, will ich hier einige durchgreifende Unterschiede der beiden Arten entgegenstellen. Lacerta reticulata Bede. 1. Tracht gross, robust. 2. Frontale klein, gewöhnlich kürzer als dessen Abstand von der Schnau¬ zenspitze. 3. Zwischen den Supraciliaria und Supraocularia - gewöhnlich eine volle Körnerreihe. 4. Die Naht zwischen den beiden ersten Supraciliarien vertical ge¬ richtet auf die Basis dieser Schilder. 1 Bull. Soc. Nat. Moscou, 1881, p. 82. 2 Zool. Auzeiger, 1885, p. 418 und Monogr. Saur. Ital., 1885, p. 48. 3 Abh. Senckenb. Ges., XIV, 1886, p. 284, tab. —, fig. 6 & 20. 4 Transact. Zool. Soc. of London, XVII, 1905, p. 411, tab. XXVIII, fig. 8y 8a, tab. XXIX, fig. 7. Lacerta muralis Laue. 1. Tracht kleiner, schlanker. 2. Frontale gross, gewöhnlich län¬ ger als dessen Abstand von der Schnauzenspitze. 3. Körnerreihe zwischen den Supra¬ ocularia und Supraciliaria ge¬ wöhnlich reduciert. 4. Die Naht zwischen den beiden ersten Supraciliarien schräg gerich¬ tet auf die Basis dieser Schilder. ARCHAEO UND NEOLACERTEN. 485 5= Frenooculare in der Mitte gewöhn¬ lich nur so lang wie dessen Abstand vom Hinterrand des Nasenlochs. 6 Vor dem Suboculare gewöhnlich fünf Supralabialia. 7. Die hinter dem Suboculare lie¬ genden Supralabialia kleiner und zahlreicher. 8. Temporalgegend feiner beschildert; Massetericum klein, meist fehlend. 9. In einer Querreihe um die Bumpf- mitte 62 — 84 Schuppen. 10 Bückenschuppen klein und glatt. 11. Die oberen Schuppen auf der Schwanzbasis glatt oder leicht ge¬ kielt. 12. Kehle feiner beschuppt; 25 — 37 Schuppen in der Mittellinie. 13. Auf der Unterseite des Schenkels zwischen der grössten Schilderreihe und den Femoralporen 5 — 10 (ge¬ wöhnlich 7 — 9) Schildchenreihen. 14. Femoralporen 19 — 29 auf einer Seite. 15. Schädel gross. 16. Nasenlöcher gross. 17. Lamina superciliaris bei erwachse¬ nen Stücken gewöhnlich mit einer häutigen Fontanelle. 18. Supraorbitale am lateralen Band gewöhnlich unbedeckt. 19. Gewöhnlich nur ein kleiner, dem lateralen Band des 2-ten Supraocu- lare angefügter Supraciliarknochen. 20. Temporalgegend bei alten Männ¬ chen ohne Hautknochen. 21. Farbenkleid ohne Bücksicht auf Alter und Geschlecht reticuliert. 22. Lacerta reticulata ist eine Ar- chaeolacerte. 5. Frenooculare in der Mitte gewöhn¬ lich so lang wie dessen Abstand vom Vorderrand des Nasenlochs. 6. Vor dem Suboculare gewöhnlich nur vier Supralabialia. 7. Die hinter dem Suboculare liegen¬ den Supralabialia grösser. 8. Temporalgegend gröber beschil¬ dert ; Massetericum meist gross. 9. In einer Querreihe um die Bumpf- mitte 42 — 62 Schuppen. 10. Bückenschuppen grösser, mit deut¬ lichem Scheitelkiel oder vollem Längskiel. 11. Die oberen Schuppen auf der Schwanzbasis scharf gekielt. 12. Kehle gröber beschuppt; 21 — 26 Schuppen in der Mittellinie. 13. Auf der Unterseite des Schenkels zwischen der grössten Schilder¬ reihe und den Femoralporen 5 — 6 Schildchenreihen. 14. Femoralporen 15 — 22 auf einer Seite. 15. Schädel klein. 16. Nasenlöcher klein. 17. Lamina superciliaris schon m früher Jugend vollkommen ver¬ knöchert. 1 8. Supraorbitale vollkommen bedeckt. 19. Ein langer, derber, dem lateralen Band des 1 -ten und 2-ten Supraocu- lare angefügter Supraciliarknochen. 20. Temporalgegend bei alten Männ¬ chen mit Hautknochen. 21. Farbenkleid bei den Jungen und Weibchen mehr oder weniger längsgestreift, bei alten Männchen mehr oder weniger reticuliert. 22. Lacerta muralis ist eine Neolacerte. 486 L. V. MEH ELY Diese Zusammenstellung dürfte jedermann überzeugen, dass wir¬ es in L. reticulata und L. muralis mit zwei besonderen Arten zu thun haben. L. reticulata ist eine phyletisch ältere Form, die selbst als Subspecies nicht zu L. muralis gezogen werden kann. VII. 1st Apdthya cappadocica eine Lat astia ? Ich habe für die von Dr. Werner unlängst beschriebene 1 Lacerta cappadocica die neue Gattung Apdthya aufgestellt,1 2 Herr Boulenger ist aber der Ansicht, dass diese Art zu Latastia gehört.3 Das ist ein Irrthum. Laut dem Bestimmungs-Schlüssel des Herrn Boulenger 4 müsste freilich Apdthya zu Latastia gezogen werden, bei näherer Untersuchung gewinnt man aber die Überzeugung, dass dies schon aus dem Grunde unthunlich ist, weil Apdthya viel näher zu Lacerta und Eremias als zu Latastia steht, welche letztere Gattung sich innig an Acanthodactylus anschliesst. Apdthya unterscheidet sich von Lacerta nur durch drei Haupt¬ merkmale, nämlich durch die unters eit s scharfgekielten Zehen, ferner durch die aus 5 — 9 grossen, milchweiss gefärbten und schwarz umran¬ deten Platten zusammengesetzte transparente Scheibe des unteren Augenlides, endlich durch ein winziges, unter dem Nasenloch befind¬ liches Scutum subnasale.5 Diese Charaktere genügen vollkommen, um Apdthya aus der Gattung der Lacerten auszuscheiden, wenngleich ihr Schädel ein typischer, platycephaler Lacerten-Schädel ist und besonders dem von Lacerta anatolica äusserst nahe steht. Mit Eremias hat Apdthya folgende Charaktere gemein : den dünnen, peitschenförmigen Schwanz ; das in mehrere kleine Platten gegliederte erste Supraocularsehild ; den aus mehreren grossen Platten zusammengesetzten Discus palpebralis, der bei einigen Eremias- krtcn (z. B. E. guttulata Licht, und E. pulchella Gray) in derselben Weise 1 Sitzungsber. Akad. Wien, CXI, 1902, p. 1086 und Zoolog. Jahrbücher, XIXr 1904, p. 332. 2 Pótfűz. Természettud. Közi., XXXIX, 1907, p. 26. 3 Remarks, p. 45. 4 Catal. Lizards Brit. Mus., Ill, 1887, p. 2. 5 Dieses Schildchen, das mitunter auch bei einigen Lacerten (z. B. Lacerta Horváthi Méh.) vorkommt, ist als Rudiment des grossen, alle Eremias- Arten kenn¬ zeichnenden Subnasale aufzufassen. Bei Eremias ist das Subnasale mit dem unteren Nasofrenale der Lacerten verschmolzen, aber bei einigen Eremias- Arten ist das eigentliche Subnasale entweder durch eine feine Furche (E. Przewalskii Strauch) oder durch eine deutliche Naht (E. argus Pall.) von dem unteren Nasofrenale getrennt. ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. 487 ansgebildet ist ; die hantige Fontanelle der Lamina superciliaris, die — Eremias Przewalskii Strauch ausgenommen — bei allen mir bekannten Eremias- Arten zeitlebens besteht. Die beiden Gattungen können aber dennoch nicht vereinigt werden, da bei Eremias : der Schädel sehr ab¬ weichend gebaut ist; das Nasenloch von mehreren, mehr oder weniger aufgetriebenen Nasalschildern ganz umringt, eingeengt und an den Canthus rostralis heraufgeschoben erscheint ; die Subdigitallamellen ausser dem medialen Hauptkiel noch 2 — 3 schwächere laterale Fiele führen, wogegen bei Apdthya nur ein scharfer Mediankiel vorhanden ist; ferner sind die Zehen von Apdthya ; vollkommen lejodactyl, während die von Eremias schon eine deutliche Neigung zur Fransenbildung (Pristidactylie) zeigen. Mit Latastia hat Apdthya nur das grosse, tiefgestellte, an das erste Supralabiale angrenzende Nasenloch und die ähnlichen Kopf¬ schilder gemein. Betreffs der Zehenbildung besteht ein namhafter Unter¬ schied, da die Subdigitallamellen von Apdthya nur einen medialen Längskiel führen, bei Latastia 1 aber vom Hauptkiel lateralwärts noch ein schwächerer Nebenkiel vorkommt. Noch bedeutender ist der Unter¬ schied hinsichtlich des Schädelbaues, da der Schädel von Latastia in allen Hauptzügen dem von Acanthodactylus entspricht,1 2 wogegen Apdthya ' einen echten Lacerten-Schädel besitzt. Sowohl bei Latastia, als bei Acanthodactylus ist der Schädel pyramidocephal, dabei massiv gebaut und derb inorasti ert, mit röthlich- gelblichen Knochen und grosser Übereinstimmung der Einzelheiten. Der Schädelumriss ist derselbe ; die Nasenlöcher und das Turbinale sind von ähnlichem Schnitt; Nasalia lang und schmal, vor dem Frontale vertieft ; das Frontale selbst schmal ; Parietalprocesse breit ; Postfron- talia derb ; Supraocularia dick und breit ; Supraorbitale gross, derb, dreieckig; Vomera von ähnlicher Form; Palatina in der vorderen Hälfte zusammenstossend, tief rinnenartig ausgehöhlt, mit dickem, krämpenartigen Lateralrand ; Proc. pterygoidei des Basisphenoideum stark abwärts gerichtet ; Basioccipitale kurz ; etc. etc. Bei Apdthya hingegen ist der Schädel platycephal, zart gebaut und schwach incrustiert, mit weissen Knochen. Alle Theile des Schädels sind anders geformt, namentlich ist das Supraorbitale dünn, zart, haken¬ förmig, fast wie bei Eremias. Bemerkenswerth ist noch, dass der erste Supraocularknochen bei Apdthya : sehr klein und ungegliedert, bei La - 1 Mir nur Latastia Iongicaudata Rkuss bekannt. 2 Ich habe Schädel von Latastia Iongicaudata Retjss aus dem Kilima-Ndjaro- Gebiet und Acanthodactylus Schreiben Blgr von Cypern verglichen. 488 L. V. MÉHELY tastici hingegen gross und der Länge nach in mehrere (3—4) Tlieile gegliedert ist. Hieraus erhellt zur Genüge, dass Apdthya mit Laicistici durchaus nicht vereinigt werden kann, vielmehr eine besondere Gattung bildet, die zwischen Lacerta und Eremias ungefähr die Mitte hält. VIII. Adventive und Charakter sehilder. Ich habe den Eigenthümlichkeiten des Schuppenkleides stets eine grosse Bedeutung beigemessen und bin im Laufe meiner Untersuchun¬ gen öfters auf hochwichtige Charaktere gestossen, die von anderen Beobachtern nicht erkannt oder vernachlässigt worden sind. So habe ich zum erstenmal darauf hingewiesen, dass das Zusammenstossen des obersten Postoculare mit dem Parietalschild, das Zusammentreffen des Supranasale mit dem Frenale, das Vorhandensein eines grossen, keil¬ förmigen, den Lateralrand des Parietalschildes ausschweifenden Supra¬ temporale, die Anzahl der vor den Femoralporen befindlichen Schildchen¬ reihen auf der Unterseite des Schenkels, die Anzahl und Lagerung der Tibialschilder, etc., für gewisse Arten höchst charakteristisch ist. Herr Boulenger hat die Benutzbarkeit dieser Charaktere schon öfters bean¬ standet,1 obwohl er dieselben nachträglich fast ausnamslos in seine Be¬ schreibungen aufgenommen hat.2 Auch in seinen «Bemarks» betont er,3 dass manche Charaktere des Schuppenkleides, denen ich eine besondere Wichtigkeit beimesse, hoffnungslos zusammenbrechen, wenn man grosse Serien ausgedehnter Gebiete untersucht. Er bedauert hierbei meine zu häufige Berufung auf die Phylogenie und warnt vor einer verfrühten Verallgemeinerung — seiner Ansicht nach — werthloser Charaktere. Um dies an selbsterlebten Beispielen zu demonstrieren, beruft sich Herr Boulenger auf abnorme oder adventive Eigenschaften gewisser Arten (Lacerta agilis, vivipara, praticola), die mit den von mir auf¬ gestellten Charakteren in keinen Vergleich gebracht werden können, da ((meine» Charaktere durch eine grosse Beständigkeit ausgezeichnet und sowohl in systematischer, als in phylogenetischer Hinsicht von der grössten Wichtigkeit sind. Ich behaupte noch wie vor, dass das beständige Zusammentreffen des ersten Postoculare mit dem Parietalschild für Lacerta muralis Laur. 1 Proc. Zool. Soc., 1904, II, p. 333; Nov. Zook, XII, 1905, p. 75; Transact. Zool. Soc., XVII, 1905, p. 351. 2 Transact. Zool. Soc., XVII, 1905. 3 Ann. & Magaz. Nat. Hist., XX, 1907, p. 43, 44. ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. 489 höchst charakteristisch ist, dass aber Herr Boulenger diesen Charakter bei anderen, von ihm für I. muralis betrachteten Arten vermisst, ent¬ kräftet durchaus nicht meine Behauptung. Übrigens ist zu bemerken, dass das erste Postoculare manchmal der Quere nach in zwei Schild¬ chen zerlegt ist und wenn man im solchen Fall nur das untere Schild¬ chen für das Postoculare anspricht, so vermisst man natürlich den erwähnten Charakter, diese Deutung ist aber unrichtig, da man sich bei Vergleichung normaler Stücke leicht überzeugen kann, dass die Quertheilung individueller Natur ist, und wenn man die beiden Theile zu einem Ganzen zusammenfügt, so besteht die Regel unverändert. Solche individuelle Fälle sind übrigens ziemlich selten. Ich behauptete und behaupte es noch, dass die mura lis- ähnlichen platycephalen Lacerten durch ein keilförmiges, den Lateralrand des Parietalschildes ausschweifendes Supratemporale ausgezeichnet sind, welchem Charakter eine um so grössere Bedeutung beigemessen werden muss, als demselben eine constante osteologische Eigenschaft zu Grunde liegt. Bei den Archaeolacerten bildet nämlich stets das äussere, schwach oder garnicht incrustierte Postfrontale die Knochenunterlage dieses Schildes, während bei den Neolacerten, bei denen das keilförmige Supra¬ temporalschild fehlt, die beiden, mit einander fester verbundenen oder ein¬ heitlich verschmolzenen 1 Postfrontalia gemeinschaftlich von dem Parietal¬ schild bedeckt werden. Da dieses Verhalten die beiden Gruppen scharf charakterisiert, ergibt sich von selbst eine werthvolle phylogenetische Grundlage für die Beurtheilung der Zusammengehörigkeit der einzelnen Formen. Derartige, selbstredende Charaktere in den Brennpunkt phylo¬ genetischer Betrachtungen zu stellen, ist hoffentlich kein Vergehen. Von ähnlicher Tragweite sind auch die übrigen, von mir er¬ schlossenen Charaktere des Schuppenkleides, was von den von Herrn Boulenger herangezogenen adventiven Eigenschaften nicht behauptet werden kann. IX. JEthologisciie Eigenschaften. In meiner vorläufigen Mittheilung habe ich eine kurze Skizze der ethologischen Eigenschaften der Archaeo- und Neolacerten entworfen, die Herrn Dr. Werner «nicht sehr glücklich gewählt» scheint.2 «Wenn Verfasser die platycephalen Formen weniger flink, scheu, aber tölpisch, die pyramidocephalen hurtig, mehr aufgeweckt und rauflustig nennt, so muss sich dies auf spezielle Erfahrung des Verfassers in Ungarn be- 1 So bei Lacerta vivipara Jacq. 2 Recension im Zoolog. Zentralbl., XIV, 1907, p. 317. 490 L. V. MÉH ELY ziehen» - — meint mein verehrter Referent. Ich bedauere, dieser An¬ schauung in jeder Hinsicht widersprechen zu müssen. Darin hat Herr Dr. Weener vollkommen Recht, dass der von mir gegebenen Charakterisierung meine hauptsächlich in Ungarn gesam¬ melten speziellen Erfahrungen zu Grunde liegen, ich kann aber nicht glauben, dass sie deshalb weniger werth voll wären, vielmehr werden dieselben durch Beobachtungen anderer Gewährsmänner auch für die Arten anderer Gebiete vollkommen bestätigt. Lorenz Müller, ein vorzüglicher Kenner der Lacerten, schreibt über die in Corsica einheimische platycephale Lacerta reticulata Bedr. (= L. Bedriagae Cam.) auf Grund persönlicher Erfahrung: «Die Bewe¬ gungen der Lacerta bedriagae sind nicht so behend, wie die der meisten übrigen Formen der Muralis- Gruppe, immerhin aber noch rasch genug. Was den Tieren indes an Schnelligkeit abgeht, ersetzen sie durch ihre Vorsicht doppelt und dreifach. Ist Lacerta bedriagae nicht gerade auf der Nahrungssuche, so hält sie sich mit Vorliebe in der Nähe eines Schlupfwinkels auf, in welchen sie sich bei drohender Gefahr mit einer gewissen Gelassenheit, aber stets rechtzeitig zurückzieht.» «Ein derart geschäftiges Hin- und Herrennen, wie ich es bei anderen Arten der Muralis- Gruppe schon des öfteren beobachten konnte, bemerkte ich bei Lac. bedriagae nie. Ihr ganzes Wesen atmet eine gewisse Würde.» «Indes ist Lacerta bedriagae nicht so zornmütigen Naturells, wie andere Eidechsen, z. B. Lac. peloponnesiaca oder der Erzraufbold Lac. dugesi .»* Eine. im Grunde sehr ähnliche Schilderung gab ich über die ultraplatycepbale Lacerta Horváthi Méh. der Kapela und des Velebit- gebirges,1 2 * Dr. Schreiber über die extrem platycephale Lacerta moso- riensis Kolomb.,8 ähnliche Beobachtungen machte Dr. A. Lendl in Klein- Asien betreffs der typisch platycephalen Arten Lacerta anatolica Wern, und Apdthya cappadocica Wern.4 und selbst Herr Dr. Werner unterstützt meine Schilderung, da er über die kleinasiatische, ebenfalls rein platycephale Lacerta ; saxicola var. bithynica mihi (seine L. depressa und L. chalybdea) aus persönlicher Erfahrung berichtet:5 * «Ihre Behen¬ digkeit ist nicht eben gross, so dass man bei einiger Übung und Geduld wohl fast jedes gesehene Exemplar mit der Hand erlangen kann.» Angesichts dessen ist es durchaus nicht gewagt zu behaupten, dass 1 Blätter f. Aquar, u Terrarienkunde, XV, 1904, p. 375, 376. 2 Ann. Mus. Hung., II, 1904, p. 373, 375. :J Yerh. zool.-bot. Ges. Wien, XLI, 1891, p. 578. 4 Mündliche Mittheilungen. 5 Die Reptilien- und Amphibienfauna von Kleinasien. (Sitzungsb. Akad. Wien, CXL 1902, p. 1087.) AROHAEO- UND NEOLACERTEN. 491 die platycephalen Arten mehr schlaffe, weniger flinke, scheue aber tölpische, die pyramidocephalen hingegen elastische, hurtige, mehr auf¬ geweckte und beherztere Thiere sind. Flink sind freilich auch die platycephalen Arteu, doch sind sie bei weitem nicht so hurtig, wie die pyramidocephalen. Werden die letzteren verfolgt, so rennen sie ungestüm und oft auf weitere Strecken, wobei sie manchmal 2 — 3 Meter lange Sprünge machen, wie ich dies gerade an Lacerta fiumana Wern, in Novi, an der ungarisch-kroatischen Küste, in einem zerklüfteten, mit üppigem Pflanzenwuchs bestandenen Felsenterrain beobachtete, wo ich mit meinem Präparator in der Zeit von etwa vier Stunden kaum ebensoviele Stücke erbeuten konnte. Es hat wohl den Anschein, als ob sich dieselbe Art in einem anders be¬ schaffenen Terrain anders gebaren würde, dies jedoch ist blosser Schein. So habe ich heuer Lacerta fiumana auf dem Dammweg zwischen Met- kovic und Fort Opus in Süd-Dalmatien massenhaft mit der freien Hand erbeutet, da sie im niedrigen Gras dem Gebüsche zueilend unschwer eingeholt werden konnte. Die pyramidocephale Lacerta taurica ; Pall., auf die sich Herr Dr. Werner als eine der «wenigst flinken Arten der ganzen Gattung» beruft, erscheint auch nur deshalb für weniger flink als die übrigen pyramidocephalen Arten, weil sie bei ihrer kleineren Statur schwächer ist und an ebenen Stellen, ihren Lieblingsstandorten, an welchen auch der sandige Boden ihre Flucht erschwert, leichter erhascht werden kann. Werden die platycephalen Arten verfolgt, so rennen sie nicht davon, sondern verschwinden — wie Lorenz Müller sehr treffend be¬ merkt — «mit einer gewissen Gelassenheit» in der nächsten Felsspalte. Hiervon überzeugte ich mich sehr oft an Lacerta Horvclthi und L. oxy¬ cephala, obwohl sich diese beiden Arten in dieser Beziehung ziemlich verschieden verhalten, denn L. Horvdthi ist weniger, L. oxycephala aber viel mehr misstrauisch. Von der ersteren kann mit einer weissen Bosshaarschlinge fast jedes erblickte Stück erbeutet werden, was bei L. oxycephala äusserst selten gelingt. Yon dieser Art habe ich im ver¬ flossenen Mai am Badostak bei Castelnuovo, ferner an den Garten¬ mauern von Bagusa und auf der Felseninsel Bracevac (inmitten des Narentasumpfes bei Fort Opus) nur vier Exemplare mit der Schlinge fangen können, so dass ich schliesslich zu der Bute greifen musste,* um einer grösseren Anzahl habhaft zu werden. * Dem sich ruhig sonnenden Thier wird mit einer geschmeidigen Eute ein leichter Hieb auf das Rückgrat versetzt, worauf das betäubte Thier vom Felsen herabkollert und leicht erhascht werden kann. 492 L. V. MEHELY Übrigens bin ich in der Lage die Richtigkeit meiner Charakteri¬ sierung auch durch sehr wichtige morphologische Thatsachen unter¬ stützen zu können. Der Schwanz der Archaeolacerten ist nämlich gewöhnlich zart, lang, dünn, mehr oder weniger peitschenförmig, dabei äusserst gebrech¬ lich und sehr empfindlich, da eine jede obere Schwanzschuppe in der Nähe ihres Hinterrandes mit einer — bisher unbekannten — Sinnes¬ knospe versehen ist. Am schärfsten tritt dies bei Lacerta graeca, Bede, zum Vorschein, aber die Erscheinung ist auch bei anderen platv- cephalen Arten stets deutlich wahrzunehmen. Bei den Neolacerten hingegen ist der Schwanz kräftiger, kürzer und gedrungener, mehr rübenförmig, dabei weniger gebrechlich und auch viel weniger empfindlich, da die Sinnesknospen mehr oder weniger rück¬ gebildet, öfters sogar ganz verschwunden sind. Dem gemäss werfen die Archaeolacerten ihren Schwanz mit der grössten Leichtigkeit, oft schon bei der zartesten Berührung ihrem Ver¬ folger zum Opfer hin, so z. B. Lacerta Dan f ordì und Apáthya cappa- docica, deren im Sonnenschein hellgrün glitzernder Schwanz laut Dr. A. Lendl’s Mittheilung 1 bei der leisesten Berührung und öfters in mehreren Stücken am Boden liegen bleibt. Der Schwanz der Neola¬ certen ist aber bedeutend kräftiger, so dass das Thier oft beim Schwanz erfasst aus seinem Schlupfwinkel herausgezogen werden kann, ohne dass derselbe Schaden leidet. Hieraus geht klar hervor, dass der Schwanz der Archaeolacerten ein passives Verteidigung so rgan darstellt, der der Neolacerten aber zu einem activen Bewegungsorgan geworden ist, welches beim Lauf und Sprung als Balancierstange zur Verwendung kommt, ähnlich, wie der steif ausgestreckte Schwanz des springenden Eichhörnchens.2 Diese constitutionelle Verschiedenheit spricht ebenfalls unverkenn¬ bar für die Richtigkeit meiner ethologischen Skizze, da es zweifellos sein dürfte, dass die kräftigeren, hurtigeren Arten eben infolge ihrer schnelleren Bewegung den kräftigeren, weniger gebrechlichen und weniger empfindlichen Schwanz erworben haben. * 1 Természet, Budapest, IX, 1907, p. 278. 2 Auf letztere Verwendung des Lacerten-Schwanzes hat schon Prof. Leydig in seinem classischen Werke («Die in Deutschland lebenden Arten der Saurier», 1872, p. 165) hingewiesen. ARCHAEO- UND NEOLACERTEN. 49 Hiermit glaube ich alle wichtigeren Ein wände meiner verehrten Kritiker beantwortet zu haben. Ich behaupte keinesfalls, dass alle meine Anschauungen unfehlbar richtig sind, handelt es sich doch um Fragen, deren endgültige Lösung noch die intensive Arbeit vieler Forscher er¬ heischt. Ich vertrete zum Theil auch nur individuelle, wenn auch aus in voller Hingebung gepflogenen Untersuchungen resultierende An¬ schauungen, und es würde mich durchaus nicht verdriessen, wenn man mir in objectiver Weise die Unrichtigkeit meines Standpunktes be¬ weisen könnte. Die Wissenschaft hätte auch in diesem Fall ihren Nutzen dabei, da es sich bei Feststellung wissenschaftlicher Thatsachen nicht darum handeln kann, wer Recht hat, sondern wo die Wahrheit ist. ERKLÄRUNG VON TAFEL X. A) Archaeolacertae. Fig. 1. Lacerta Horváthi Méh. Schädel von oben. (Adultes Männchen von Jasenak.) Vergr. 3. Fig. 2. Lacerta Horváthi Méh. Schädel von hinten. (Adultes Männchen von Jasenak.) Vergr. 4. Fig. 3. Lacerta mosoriensis Kolomb. Schädel von oben. (Adultes Männchen von Crkvice, Süd-Dalmatien.) Vergr. 3. Fig. 4. Lacerta mosoriensis Kolomb. Schädel von hinten. (Adultes Männchen von Crkvice, Süd-Dalmatien.) Vergr. 4. Fig. 5. Lacerta oxycephala D & B var. Tomasinii Schreib. Schädel von oben. (Adul¬ tes Männchen von Crkvice.) Vergr. 3. Fig. 6. Lacerta oxycephala D & B Schädel von hinten. (Adultes Männchen von Ragusa.) Vergr. 4. B) Neolacertae. Fig. 7. Lacerta quadriline at a Gray. Schädel von oben. (Adultes Männchen von Lanusei, Sardinien., Vergr. 3. Fig. 8. Lacerta quadrilineata Gray. Schädel von hinten. (Adultes Männchen von Lanusei, Sardinien.) Vergr. 4. Fig. 9. Lacerta nigriventris Bonap. Schädel von oben. (Adultes Männchen von Bologna.) Vergr. 3. Fig. 10. Lacerta nigriventris Bonap. Schädel von hinten. (Adultes Männchen von Bologna.) Vergr. 4. Fig. 11. J,acerta serpa Raf. Schädel von oben. (Adultes Männchen von Neapel.) Vergr. 3. Fig. 12. Lacerta serpa Raf. Schädel von hinten. (Adultes Männchen von Neapel.) Vergr. 4. V. ANNALES MUSEI NATIONALIS HÜNGARICI. 1 ' 07. KRISTÁLYTANI KÖZLEMÉNYEK. Dr. Toborffy ZoLTÁN-tól. (XI. tábla.) I. Anglesit Broken -Hillből. Hopp Ferencz érdemes hazánkfia legutóbbi utazása alkalmával Ausztráliából többek közt igen szép ásványokat hozott a Magyar Nemzeti Muzeum számára; ezek közül az anglesiteket óhajtom itt ismertetni. A szóban forgó anglesittufák Broken-Hillből (Willy ama). Dél- Ausztrália eme jelentős bányahelyéről származnak, a hol az értékes ezüstérczeknek számos féleségét nyerik. De nemcsak bányászati szem¬ pontból fontos e hely, hanem mint valóságos kincstára a legváltozato¬ sabb ásványspecieseknek is, a melyek közül G. Smith 1 egymaga mintegy negyvenet sorol fel. Az anglesit mint a galenit oxydatioterméke fordul itt elő, igen gyakran pseudomorphálva az utóbbit. A galenit azonban egyrészt cerus- sittá is alakult, a mely rendszerint — úgy a jelen esetben is — az anglesitnek alapját képezi, sőt Hammond1 2 3 nézete szerint vele keveredik is, s mintegy ólomsulfocarbonátot alkot. Röviden megemlíthetem, hogy e cerussitet részletesebben már Mügge ö ismertette. Leírása szerint az igénytelen külsejű kristályok rendesen ikrek az (130) prizma lapjai sze¬ rint, s szívalakú külsőt mutatnak. Lapokban nem nagyon gazdagok. Társásványai a vasokkeres alapon : ezüst, embolit, atakamit, azurit,4 malachit és végül anglesit, a melyről azonban bővebben Mügge nem tesz említést. A Magyar Nemzeti Muzeum tulajdonában lévő anglesit kristályai meglehetősen aprók ; a legnagyobbak is alig érik el a 3 mm.-t. Nagy részük tej fehér, zavaros, de igen sok víztiszta, tükörfényes lapoktól csillogó kristály is található. A külső megjelenés tekintetében három, habár egymástól élesen el nem választható változatot észlelhetünk. 1 Zeitschrift für Kryst. Bd 25, p. 291. 2 Zeitschrift für Kryst. Bd 30, p. 91. 3 Neues Jahrbuch für Min. 1897, II, p. 78. 4 Steiner Szilárd, Annales Musei Nat. Hung. 1906, IV. p. 293. KRISTÁLYTANI KÖZLEMÉNYEK. 495 I. Főleg a nagyobb kristályokat jellemzi az a c véglap szerint táblás kifejlődés, a mely pl. a budai baryt közönséges alakjára emlé¬ keztet, s a legegyszerűbb esetben csak az m és c combinatiójából áll. Ezekhez járulhat ezután az o (Öli) doma, gyakran úgy kifejlődve, hogy az m lapokkal egyensúlyban áll, s velük egy csúcsban találkozik. Ennek az eredménye egy piramis, a mely első tekintetre zavarba ejtheti a szemlélőt az orientálódásban. Az ilyen egyszerű combinatio azonban eléggé ritka. A legközönsé¬ gesebb alak az mcaoyzld lapokból áll, a melyekhez esetenkint a X (210) prizma igen keskeny csíkjai csatlakoznak; ezt a combinatiót tünteti fel az 1. ábra távlatilag, a 2. ábra b (OlO)-ra vetítve. II. A második változatnál már a d és l lapok jobban előtérbe lépnek az a és c rovására, s így a kristály közel elliptikus átmetszetet nyer (4. ábra). E lapok mellett , a 2(111) is, a mely az előbb csak kes¬ keny szegélyt képezett, nagyobbra fejlődik. A legállandóbb combinatio ennél a változatnál az mcaoyzldgyvX. III. A harmadik változaton az l (104) makrodoma az uralkodó alak, s ezáltal a kristály a brachjüengely irányában erősen kiékül, mint azt az 5. és 6. ábrában jeleztem. A prizma még inkább háttérbe szorul s helyette az o, y és z jutnak túlsúlyra. A g- 1, y-t ez esetben egyáltalán nem észlelhettem, s a v-t is rendesen a p pótolja. A [dz] övben is egy újabb forma, a p jelenik meg, a mely az előbbi esetekben nem szerepelt. A három féleségen észlelt összes alakokat csoportosítva tehát, a brokenhilli anglesit kristályformái a következők; c a m l l d o 9 y V (j. Q V (001) (100) (110) (210) (104) (102) (011) (111) (113) (122) (212) (124) (342) (324) j- y égi apók, J prizmák, j orthodomák, klinodoma, piramisok. E kristályalakok közül y, o, y, l, d és a a legjobb lapokat tün¬ tetik fel; főleg a kisebb egyéneken tükörfényesek, teljesen simák. A többi lap mindig érdes, s köztük m leginkább, olyannyira, hogy egyes ese¬ tekben alig ad reflexet. Kivételt csak c képez, mert ez inkább rostos a 496 Dì TOBORFFY ZOLTÁN makrotengely irányában. Hogy a mért szögértékek a Kokscharow tengely¬ arányából (a : b : c = 0*78516 : 1 : 1*28939) * számítottakkal mennyire egyeznek, annak feltüntetésére szolgáljon az alábbi néhány szögadat: Számított : Mért : cl 001 . 104 22°291/V 22°27' cd 001 . 102 39°23 Va' 39°17V2' co 001 .011 520121/*' 00 011 .0ÏÏ 75°35Va; 75°28Vsd Xk 210 . 2Ï0 42°52' 42°30' ca mm 110. 1Ï0 76° 16 Va 75°44 yy' 122 . Ï22 53°25' 53°24' zz' 111 .111 90°22' 90°26' yo 122.011 26°43' 26°47' zo 111.011 45°11' 45°16' pz 324. 111 13°33' 13°30' pm 324.110 36°48' 36°24' pl 324 . 102 24°29' 24°39' VQ 122 . 342 20°45' 21° — mg 110.342 17°10' 17°30' ca op 011 .124 26°55' 26°58' gy 113.124 11°39' 11°42' mv 110.212 13°38' 13°37' II. Sphalerit és calcit Bojezáról. Az erdélyi aranyterületre tett kirándulásom alkalmával a bojczai aranybánya igazgatóságának szívességéből néhány ásványdarabhoz ju¬ tottam, a melyek az ottani zöldkőandesit érczteléreiből származnak. Ezek közül hármat óhajtok itt ismertetni a rajtuk található csinos sphalerit- és calcit-kristályok miatt, a melyeknek feldolgozása folytán néhány újabb adattal járulhatok hazánk ásványainak ismeretéhez. Az egyik példány túlnyomóan érczekből áll. Alapja apró pirit- kristályokkal sűrűn behintett tömör quarc, a mely a felületen a pirittel egyetemben nagyobb, mintegy 2 — 3 mm. -es kristályokká fejlődött ki. Ezekre helyenkint skalenoéderes termetű, erősen rostozott s goniometrikus mérésre alkalmatlan chalkopiritek telepedtek. Az utóbbiaknál sokkal töké¬ letesebbek a velük egykorú galenit- és sphaleritkristályok, a melyek tükörfényes, jól kifejlődött lapjaikkal tűnnek ki. A galenit 2 — 3 mm.- es kristályai a közönséges hexaéder- oktaéder combinatiót mutatják, rendszerint egyensúlyban kifejlődött lapokkal. A sphalerit mennyiségre is felülmúlja a galenitet, de kristályai is nagyobbak, s helyenkint 7 — 8 mm. nagyságot érnek el. Színe a rod- * Min. Russi. 1853. KRISTÁLYTANI KÖZLEMÉNYEK. 497 naiéra emlékeztető fekete, de egyes kristályok barnák, sőt egészen gyantasárgák is találkoznak. A goniometrikus mérés adatai szerint a combinatiót hordó főalak rendszerint- a p± (lTl) negativ tetraéder, a melynek fényes lapjait az élekkel párhuzamos homályos sávok, háromszöges rajzok jellemzik. Csúcsait néha csak p (111) ellentetraëder teljesen sík lapjai tompítják le, rendszerint azonban a d (110) rhombtizenkettős, v (331) deltoiddode¬ kaéder és n (332) trigondodekaéder is résztvesz a combinatióban. Az idevonatkozó mérési adatok a következők : Számított : Mért : vp' 111 . 1Ï1 = 70°31 '44" 70°31' Pd 111 . 101 = 35°15'52" 35°13' dv 101 .313= 13°i5'52" 13°24' vp 313.111 - 22°0'0" 22°0' vn 313.322 = 18°50V2 I8V20 ca pn 111 .322 = 11°25V2 IIV20 ea A rhombtizenkettős és deltoiddodekaéder lapjai, mint a szögértékek igen jó egyezése is mutatja, simák és jól tükröznek, a háromszögtizen- kettőséi azonban erősen legömbölyödtek, s legtöbbször csak a [313.331]: és [113.133] övék metszéséből adódnak ki. A sphaleritkristályok alakját a tábla 7. rajzán ábrázoltam.* Mint utolsó képződmény a felsorolt ásványokra sárgásfehér dolomit rakódott le, az ismeretes, nyeregszerűen hajlott lapú apró rhomboé- derekben. A másik két gyűjtött darabon is ugyanezeket az ásványokat lel¬ hetjük fel, hasonló paragenetikus sorrendben, de azzal a különbséggel, hogy itt az érczek mennyisége elenyésző csekély s a kristályok zömét a quarc, dolomit s főleg az erre telepedett e altit alkotja. A calcit 10 — 12 mm. hosszú kristályai rendszerint tejfehérek, csak a csúcson átlátszók, s többnyire úgy fekszenek a dolomit rhomboéde- reken, hogy mindkét végükön kiképződhettek. A combinatiót alkotó kristályalakok a következők : M( 4041), e (0112), n (4153), r (10Ï1), £ (0445), y( 3251), (5273)? A főalak az M, a melynek lapjai mindig egyenetlenek s legöm- bölyödöttek, de azért kielégítő pontossággal mérhetők. Az e negativ rhomboëder M után a legnagyobb kiterjedésű. Mint apró tompítás mu¬ tatkozik az r, az [en] és [Mr] övék metszésében. A mindig jelen levő * A bojczai sphaleritről M. J. Ackner tesz már említést «Mineralogie Sieben¬ bürgens» czímű munkájában, de a kristály alakot nem részletezi. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 32 498 D; TOBORFFY ZOLTÁN n skalenoëderen az nr éllel párhuzamos gyenge rostozás látható. Bitkán lépnek fel az l rhomboéder fényes lapocskái, ferdén tompítva az nn' ska- lenoéder élt, valamint nem gyakori az y sem. A lépcsőzetesen tördelt skalenoëderlapok mérésekor az [nr] övben n-től mintegy 7°50'-nyire is észleltem egy esetben egy elég jó reflexet, a mely az egyszerűbb jelű alakok közül valószínűleg az (5273) skalenoëdernek felel meg. A meghatározásra szolgáló szögadatok : Számított : Mért : ee 01Ï2.Ï012 = 45°3' 45°0' er 01Ï2.0111 = 70°511/2' 70°52' rr IOTI . 0111 == 74°55' 74°55' rn 10Ï1 .4153 = 14°15' 13°53' nn 4153.5143 = 18°7' 17.V*° ca rM 10Î1.4041 =='31 ° IO1/*/ 31°3' el 01Ï2.0445 = 12°2' 12Vi° ca ny 4153.3251 = 23° 1' 22V*P ca 4153.5273 = 8°14' 7 ° 50 ca. A bojczai calcitrai az irodalomban már találunk említést és pedig Breithaupt ásványtanában,1 a hol a «4. Species, Carbonites eugnosticus» fejezetében van felsorolva e termőhely mészpátja is. E «species» jellem¬ zésében Breithaupt az jR3 (2131)-et említi mint uralkodó formát; kívüle még az J B3(2 1 34), oo R ( 1 OlO), — | R (0 1 12), f R% (7 1 89), R% (5 1 64), B4 (5382), R (lOll) és 4B (4041) vannak felsorolva. F. X. Zippe monográfiája2 a — ìfì-t (0551) említi meg, mint a bojczai mészpát uralkodó alakját, Benkő3 pedig az jR3 (2131) skalenoëdert, a mely AR (4041), — | U (01Ï2), —2 JR (2021) alakokkal van combinálva. A tőlem ismertetett cal- cit ezek egyikével sem egyezik meg. A bojczai calcit alakját a 8. ábrán tüntettem fel. 1 Vollständiges Handbuch der Mineralogie, 1841, II. Bd, p. 211. 2 Übersicht der Krystallgestalten der rhomboëdrischen Kalkhaloides. 3 Értesito az erd. Muzeumegylet orv. term. tud. szakoszt. Kolozsvár, 1883. T. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNG- ARICI. 1907. EIN NEÜEE DIPTEREN - GATTUN GSN AME. Von Dr. E Kertész. Bei der Zusammenstellung des III. Bandes meines Catalogus Dipte¬ ro mm sah ich mich in die aussergewöhnliche Lage versetzt, dass ich für diejenigen Arten, welche wir heutzutage unter Clitellaria zusammen¬ fassen, eigentlich keinen Gattungsnamen vorfinde. Was Clitellaria anbelangt, wurde dieser Name von Meigen in Illiger’s Magazin, II. 265 (1803) einzig und allein für Stra tio rugs ephippium Fabr. aufgestellt. Dass Meigen später noch mehrere Arten zu dieser Gattung gezogen hat, die nach der heutigen Auffassung mit Stratiomys ephippium nicht in einer Gattung vermengt bleiben können, hat eigentlich nichts zu sagen. Der Fehler lag darin, dass man gerade die als typische Art angegebene ephippium aus dieser Gattung aue- geschieden und den Gattungsnamen Clitellaria für andere Arten an¬ gewendet hat. Für Stratiomys ephippium Fabr. wird der älteste Name Potamida Meig. (Nouvelle Classification, 1800, pag. 22) zu verwenden sein, wozu Clitellaria Meig. als Synonym zu stellen ist. Die bis jetzt unter Clitellaria geführten Arten will Herr Speiser (Zeitschr. f. wissensch. InsektenbioL, I. 1905, pag. 407) in die Gattung Euparyphus Gerst. (nicht Bigot!) einreihen. Dies ist aber unmöglich, weil diese eine ganz andere Gattung ist, wie ich dies bei einer anderen Gelegenheit noch ausführlich darlegen werde. Es ist daher meiner Ansicht nach nichts anderes möglich, als für Clitellaria Auct. plur. einen neuen Gattungs¬ namen einzuführen, wofür ich Adoxomyia nom. nov. {adoÇoç - namenlos) vorschlage. ANNALES MUSEI NATION ALIS HUNGARICI. 1907. V. PÓTLÉK A MAGYAR BIRODALOM HEMIPTERA- FAUNÁJÁHOZ. Dr. Horváth GÉzÁ-tól. SUPPLEMENTUM AD FAUNAM HE MIPTERORU M REGNI HUNGÁRIÁÉ scripsit Dr. G. Horváth. Abban a gyűjteményes munkában, melyet a kir. magy. Természet* tudományi Társulat Magyarország ezeréves fennállásának emlékére «A Magyar Birodalom állatvilága» czím alatt kiadott, hazánk területé¬ ről 1897-ben 1540 Hemiptera-fajt soroltam fel. Ehhez a számhoz járult még az Apterák (Mallophaga és Pediculidæ) alrendjéből 10B faj, melyet ugyanott Kohaut Rezső jegyzett fel. Az 1897-ik végén e szerint a Ma¬ gyar Birodalom területéről összesen 1643 Hemiptera-faj volt ismeretes. Az azóta végzett kutatások — részint saját gyűjtéseim, részint egyes buzgó entomologusok, jelesen dr. Hensch Andor, dr. Kertész Kálmán, dr. Kiss Endre, Kuthy Dezső, dr. Langhoffer Ágost, dr. Szilády Zoltán, Újhelyi József, dr. Vángel Jenő, Wachsmann János és mások gyűjtései — évről évre újabb felfedezésekkel gyarapították Hemiptera- faunánk ismeretét. Időszerűnek tartom ennélfogva faunánknak eme gyarapodását az alábbiakban ismertetni s a faunánkra nézve új fajokat, melyekre az utolsó 10 év alatt akadtunk, termőhelyeikkel együtt felsorolni. Ezeknek az újabban felfedezett fajoknak a száma 81-et tesz ki. Ha e számot az 1897-ben kimutatott 1643 fajhoz hozzá adjuk, akkor kitűnik, hogy a Magyar Birodalom területén 1907 végéig már összesen 1724 Hemiptera-faj biztos előfordulását sikerült megállapítanunk. A faj változatok száma szintén gyarapodott, úgy hogy jelen közle¬ ményem során még 23 újabban talált fajváltozattal egészíthetem ki Hemiptera-faunánk képét. Végre befejezésül közlöm azokat a fajokat es fajváltozatokat, melyek 1897-ik évi jegyzékemben már fel vannak ugyan sorolva, de a melyek¬ ről az időközben megejtett tüzetesebb vizsgálatok alapján kiderült, hogy SUPPLEMENTUM AD FAUNAM HEMIPTERORUM HUNGÁRIÁÉ. 501 nem az ott megnevezett fajokhoz vagy faj változatokhoz tartoznak, ha¬ nem más fajoknak, illetőleg faj változatoknak a képviselői. * Anno 1897 in opere a Eegia Societate Scientiarum Naturalium Hungarica in lucem edito, quod «Fauna Regni Hungariæ» inscribitur, 1540 species Hemipterorum Hungáriám incolentes enumeravi. Quibus si adjunguntur 103 species subordinis Apterorum (Mallophaga et Pedi- culidæ), ibidem a cel. R. Kohaut prolatae, Hemipterorum species in Hungária usque ad finem anni 1897 lectae numero 1643 erant. Proximo decennio 81 species ordinis hujus innotuerunt nunc primum in terra nostra inventae, ita ut Hemipterorum species e Regno Hungariæ cognitae in praesenti numerum 1724 expleant. Species has, quibus Fauna nostra nuper aucta est, enumerabo arte dispositas, atque locos, quibus lectae sunt, profero similem in modum sicut in conspectu meo anno 1897 edito digestos secundum has octo regiones terrae nostrae : I. Regio centralis V. Regio transylvanica II. « pannonica VI. « banatica III. « septentrionali-occidentalis VII. « croatica IV. « septentrionali-orientalis Vili. « adriatica. JPe ntatomidae . 1. Trigonosoma trigonum Kryn. I. Budapest, Őr-Szent-Miklós? Péczel, Farkasd, Hatvan, Szeged, Horgos; H. Őszöd; VI. Deliblat. T. rusticum Fabr. tantum in regione nostra adriatica (Fiume, Novi) occurrit. 2. Sehirus maculipes M. R. — VIII. Fiume. 3. Neottiglossa lineolata M. R. (species propria). — VI. Orsóvá. 4. Elasmostethus minor Horv. — IV. Szádellő ; VII. Lökve, Jasenak, Ősik ; VIII. Zen gg, Carlopago. JB er y Udae» 5. Megalomerium meridionale Costa. — I. Budapest. Lygaeidae . 6. Geocoris arenarius Jak. (species propria). — • I. Budapest, Kecskemét, Szeged, Horgos ; VI. Palics. Etiam var. albidus Jak. 7. Platyplax inermis Ramb. — VII. Ogulin. 502 D? G. HORVÁTH 8. Peritrechus meridionalis Put. — VI. Pancsova, Jazova. Speciem hanc- olim sub nomine P. nubilus Fall. var. tibialis Horv. enumeravi. 9. Aphanus adspersus M. E. — V. Topánfalva. Tingitidae. 10. Dictyonota aridida Jak. — Vili. Zengg, Jablanac. 11. Galeatus decorus Jak. — I. Budapest. 12. Lasiacantha gracilis H.-Sch. (species propria). — I. Budapest, Buda¬ fok, Csepel, Bag, Peszér ; II. Baranya-Szent-Lőrincz ; IV. Torna-Almás, Szo- motor ; VII. Vinkovce, Vrdnik. 13. Physatocheila confinis Horv. — II. Sárvár, Pápa, Simontornya ; VII. Euma ; VIII. Fiume, Novi. Aradidae. 14. Aradus Kuthyi Horv. — I. Isaszeg. 15. « Krueperi Reut. - — II. Pápa. Gerrididae. 16. Hydrometra gracilenta Horv. — I. Budapest, Budaörs; IV. S.-A.~ Ujhely, Királyháza, Szatmár-Németi ; VI. Csákóvá. j Reduviidae. 17. Nabis boops Schiödte. — VH. Ruma. 18. « capsiformis Germ. — VII. Zágráb; VIH. Novi. Cimicidae. 19. Montandomela dacica Put. — I. Budapest; VII. Ruma. 20. Anthocons amplicollis Horv. — I. Budapest. 21. « pilosus Jak. — II. Tata-Tóváros ; III. Ohegy ; V. Nagy-- enyed. Miridae. 22. Phytocoris Nowickyi Fieb. — IV. S.-A.-Ujhely ; V. Hadad. 23. « exoletus Costa. — VHI. Novi. 24. Allodapus Montandoni Reut. — I. Budapest, Rákos-Palota; II. Vors; III. Pozsony ; V. Kolozs. A. rufescens H.-Sch. apud nos tantum in Carpathis centralibus (Kés¬ márk) reperitur. SUPPLEMENTUM AD FAUNAM HEMIPTERORUM HUNGÁRIÁÉ. 503 25. Macrolophus pygmaeus Ramb. — I. Ménes ; Vili. Martinscica, Buccari, Cirkvenica, Novi, Zeng g. M. nubilus H.-Sch. in regione nostra adriatica haud occurrit. 26. Dicyphus hyalinipennis Burm. — IV. Jabloncza. 27. Cyllocoris luteus H.-Sch. — I. Budapest. 28. Orthotylus tenellus Fall. — I. Budapest. 29. « Scotti Reut. — I. Budapest. 30. Psallus albicinctus Kb. I. Budapest. 31. Atractotomus oculatus Kb. — VH. Mosunje. 32. Isometopus mirificus Rey. — VII. Ruma. Saldidae. 33. Salda fucicola Sahlb. — V. Retyezát. Jÿaucoridae. 34. Aphelocheirus nigrita Horv. — VII. Pregrada. Corixidae . 35. Micronecta semilaevis Horv. — V. Mező-Czikud. 36. « griseola Horv. — V. Nagyenyed. Jassidae, 37. Chlorita prasina Fieb. — I. Heves; II. Sárbogárd; V. Szamosfalva Virágosvölgy, Tor da. 38. Typhlocyba jucunda H.-Sch. — I. Budapest. 39. « geometrica Schrk. — IV. Rankfüred. 40. « Pandelléi Leth. — VIH. Zengg. 41. Zygina costalis Ferr. — VII. Fiume. 42. Cicadula Fieberi Edw. — IV. Akna Szlatina; V. Szamosfalva, Szék, Kolozs, Virágosvölgy, Drassó. 43. Cicadula halophila Horv. — V. Szamosfalva, Kolozs, Felső-Bajom. 44. « maculosa Then I. Budapest, Csepel, Isaszeg; TV. V a- rannó ; V. Ponor ; VI. Berzászka. 45. Cicadula oyjthrocephala Ferr. — VHI. Novi. 46. Doratura exilis Horv. — I. Sat frequens ; H. Simontornya, Szilas- Balhás ; IV. Szendrő, Forró, Tarczal, Szomotor ; V. Torda ; VI. Vinga, Grebe- nácz, Duplaj, Orsova ; VII. Cserevics, Ruma. 47. Doratura paludosa Melich. —, Vili. Novi. 48. « concors Horv. — I. Budapest, Budaörs ; VH. Breze. 49. « salina Horv. — V. Szamosfalva, Szék, Kolozs, Torda. 504 Di G. HORVÁTH 50. Doratura heterophyla Horv. — I. Horgos ; VII. Pétervárad. 51. Thamnotettix fraudulentus Horv. — I. Budapest; VI. Baziás, Orsóvá, Mehádia, 52. Athysanus grisescens Zett. — V. Kudsir. 53. « Artemisiae Matsum. — H. Nezsider ; IV. S.-A. Ujhely ; VI. Szamosfalva. 54. Athysanus pellax Horv. — I. Budapest, Budafok, Hidegkút ; IV. S.-A. -Ujhely, Tarczal, Szőllőske, Salánk ; V. Szent- Go thárd. 55. Jassus alticola Horv. — IV. Trebusa. 56. Deltocephalus distinguendus Flor. — VII. Breze. 57. « neglectus Then. IH. Tátrafüred, Arvavárallya ; IV. Búdfalu ; Ar. Görgény, Retyezát. 58. Deltocephalus areatus Stal. — I. Rákos- Palota, Csepel, Gyón, Izsák. 59. « ; angulatus Then. — VIH, Martinscica, Ledenice. 60. « breviçeps Kb. — I. Budapest. 61. « brachynotus Fieb. — I. Göd, Csepel, Bugyi, Örkény, Izsák ; IV. Szomotor. 62. Anoterostemma corvinum Horv. — I. Gyón. 63. Dorycephalus Baeri Kuschak. — I. Budapest. 64. lcliocerus fulgidus Fabr. — IV. Varannó. Cercopidae. 65. Aphrophora alpina Melich. - ATI. Plitvica. Fűig oridae. 66. Ommatidiotus concinnus Horv. — I. Peszér. 67. « Follóni Stal. — I. Budapest, Budafok, Pomáz, Duna- Haraszti, Peszér, Gyoma ; II. Simontornya. 68. Mycterodus cuneiceps Melich. — VI. Orsóvá, Plavisevicza.* 69. Delphacinus mesomelas Boh. — III. Jakabfalva. 70. Eurysa maculiceps Horv. — I. Isaszeg. 71. Delphax Boldi Scott. — I. Csepel, Göd. 72. « concinna Fieb. — I. Nagyvárad; IV. frequens; V. Szó'- Demeter, Görgény ; VHP Orehovica, Martinscica, Cirkvenica, Novi, Zengg. 73. Delphax Reyi Fieb. — I. Isaszeg. 74. « pullida Boh. — VI. Pancsova. 75. Metropis laevifrons Sahlb. — IV. Varannó. 76. Stiroma moesta Boh. — HE. Csorba. * In opere dar. Dris L. Melichar (Monographie der Issiden. 1906. p. 108) nomen hujus spedei errore verisimiliter typographic cuniceps legitur. SUPPLEMENTUM AD FAUNAM HEMIPTERORU M HUNGÁRIÁÉ. 505 JPsyllidae. 77. Aphalara retili s Web. et M. — I. Isaszeg. 78. Psylla Dudái Sulc,. — : Y. Kereszténysziget : Hohe Rinne. 79. « salicicola Fest. — III. Szent-György (Pozsony). 80. Trio za viridula Zett. — III. Csorba. Aphididae. 81. Pterochlorus Rome Cholodk. — YIII. Zengg. Varietates sequentes spe cie rum jam cognitarum pro Fauna nostra novæ sunt : Odontotarsus purpureo -lineatus Rossi var. obsoletus Horv. — VIH. Fiume, Novi. Eurydema oleraceum L. var. Magdalenae Royer. — I. Szent-Endre ; VII. Mamudovac. Maccevethus lineola Fabr. var. errans Fabr. — I. Budapest ; II. Duna- Földvár ; VIH. Novi. Piesma maculata Lap. var. viridis Jak. — I. Farkasd ; Vili. Novi. « quadrata Fieb var. dilatata Jak. — I. Bugyi ; V. Szamosfalva, Kolozs, Felső-Bajom. Elasmotropis testacea H.-Sch. var. platydera Horv. — - I. Kecskemét ; VI. Deliblat, Mehádia. Tingis auriculata Costa var. Dauci Horv. — H. Simontornya ; IV. S.-A.-Ujhely, Legenye-Mihályi, Salánk, Királyháza, Verécze, Nagy-Tarna, Gyula, Halmi, Kis-Gércze. Catoplatus carthusianus Goeze var, albidus H.-Sch. — In regionibus I — IV. et VI. haud rarus. Forma typica tantum in regione nostra adriatica invenitur. Monanthia Putoni Montd. var. pulla Horv. — I. Budapest, Csepel, Isa¬ szeg ; VIH. Zengg.* Serenthia confusa Put. var. antennata Horv. — IV. Komjáti. « « « var. thoracica Horv. — I. Pakony, Nyíregyháza ; IV. Varannó; V. Nagyenyed, Felső-Bajom. Temnostethus pusillus H.-Sch. var. gracilis Horv. — I. Horgos ; HI. Lucski ; IV. Forró, Szaláncz, Bodrog-Olaszi. Actinonotus pulcher H.-Sch. var. reductus Reut. — VIL Karst: Ostri Vrh. \ * Monanthia nassata Put. apud nos hucusque tantum in regione adriatica (Zengg) reperta est. Specimina sub hoc nomine olim e regione centrali commemo¬ rata ad M. Putoni Montd. pertinent. D? G. HORVÁTH Ly gus cervinus H. -Sch. var. coccineus Horv. — II. Ugod. Capsus scutellaris Fabr. var. ventralis Beüt. — VII. Croatia. Salda variábilis H. -Sch. var. mendica Beut. — IV. Szinna-Buszka. « opacula Zett. var. albipennis Beut. — II. Simontornya ; IV. Torna, Szádellő, Mád ; VITI. Novi. Typhlocyba nitidula Fabr. var. fenestrata Melich. — IV. Bankfüred. Thamnotettix attenuatus Germ. var. ambiguus Fieb. — II. Veszprém ; IV. Forró; VII. Pétervárad ; Vili. Sv.-Jelena, Novi. Thamnotettix erythrostictus Leth. var. exemtus Löw. — I. Budapest. Triecphora sanguinolenta Scop. {mactata Germ.) var. basalis Dominique. — V. Csurgó; Vili. Zengg. Ptyelus spumarius L. var. apicalis Germ. — I. Budapest, Sziget-Csép ; ÜL Tátraháza, Dicső-Szent-Márton, Mező-Kapus, Nagyszeben ; VI. Deliblat. Dictyophara europaea L. var. rosea Melich. — I. Budapest, Tököl. Hic denique eas species indicabo, quæ in conspectu meo priore prolatæ quidem sunt, de quibus tamen postea comperimus, eas alias et aliis nominibus appellandas esse. Phimodera fumosa — Flori Fieb. var. Horváthi Beut. Odontotarsus grammicus — purpur eo-lineatus Bossi. Eurydema oleraceum var. insidiosum = oleraceum L. var. Horváthi Boyer. Cardo'postethus annulosus — Megalomerium breviceps Horv. Campylosteira Follóni — orientalis Horv. var. suspecta Horv. Serenthia femoralis = confusa Put. var. fallax Horv. Micronecta Scholtzi — capitata Horv. « distans == perplexa Horv. Eupteryx immaculatifrons = cyclops Matsum. Pediopsis virescens var. dimidiata (Fieb. in litt.) == virescens Fabr. var. latestriata Strobl. Tettig ometr a impressopunctata = varia Fieb. Hysteropterum fuscovenosum = maculipes Melich. « immaculatum — obsoletum Fieb. Y. ANNALES MUSEI NATION ALIS HUNGARICL 1907. DIE DIPTEREN - GRU PPE MILICfîlNÆ. Yon Th. Bj.cker. (Tafel XII. und 2 Textfiguren.) Über die zu den Milichinen gehörigen Gattungsformen hat Hendel in der Wien. Ent. Zeit. 1903 einige sehr richtige und wichtige An¬ merkungen bekannt gegeben, indem er einige Formen, welche bisher in den Milichinen gerechnet wurden, ausschied, zu den Agromyzinen stellte und somit die Trennung beider Gruppen näher begründete, was allerdings die Thatsache nicht ausschliesst, dass Übergangsformen be¬ stehen bleiben, wie dies nun einmal in der Natur der Sache liegt. Es verbleiben nach Hendel bei den Milichinen somit zwei grössere Gruppen, von denen die erstere sich durch eine lappenförmige Unterbrechung der Randader bei der Einmündung der Hilfsader in den Flügel- Vorder- rand auszeichnet, während bei der zweiten Gruppe diese Unterbrechung nicht in dieser Form vorhanden ist ; letztere Gruppe schliesst in sich die Gattungen Phyllomyza Fall , Desmometopa Lw., Madiza Fall., Meoneura, Rond., Leptopa Beck., Horaïsmoptera Hend. und Hypaspistomya Hend. s. Wien. Ent. Zeit. XXYI 238 u. 240 (1907). Zu der ersten Gruppe rechnet Hendel ausser der Gattung Milichia Meig. noch zwei neue Gattungen Stenoporomyia und Rhynchomilichia Hend., von denen die erstere sich als synonym zu Milichiella Giglio-Tos und Ophthalmomy in Willist. erwiesen hat. — Nachdem ich mich erst kürzlich in der Wien. Ent. Zeit, über die paläarktischen Formen der Gattung Desmometopa Lw. eingehender ausgelassen, wird man kaum erwarten, dass ich heute über diese zweite Gruppe viel Neues werde berichten können; trotzdem konnte ich von meiner letzten Reise durch Korsika in diesem Frühjahr zwei neue Arten mitbringen, von denen eine der Gattung Desmometopa, die andere der Meoneura angehört, woraus ersichtlich ist, dass auch bei uns dieser Formenkreis noch nicht ganz geschlossen ist. Wesentlich anders gestaltet sich die Sache allerdings bei eingehender Untersuchung anderer Faunengebiete ; namentlich scheint in der ersten Gruppe die Zahl der vorhandenen Arten eine weit grössere zu sein, als wie wir dies auf Grund der bisherigen Forschungen annehmen konnten. Die nachstehenden Zeilen sollen hauptsächlich der Vorführung aller bisher 508 TH. BECKER bekannten und mir zugänglich gewordenen Milichinen dieser ersten Gruppe gewidmet sein, eine Arbeit, der der Inhalt nachstehender Samm¬ lungen zu Grunde gelegt werden konnte : ZetterstedFs Sammlung in Lund, Loew’s Sammlung in Berlin. Sammlung des Budapester Museums mit Süd -Amerikanischen und Süd- Asiatischen Arten. Sammlung des Amsterdamer Museums mit Afrikanischen und Süd- Asiatischen Arten. Sammlung des Turiner Museums mit einer Süd-Asiatischen Art. Meine eigene Sammlung mit neuen Arten von den Canarischen Inseln. Sammlungen von Strobl, Bezzi, Villeneuve, Oldenberg. Sammlung von Schnuse. Letzterer hat während eines längeren Auf¬ enthaltes in Süd-Amerika eine erhebliche Anzahl von Milichinen zusammen¬ gebracht, die er mir behufs monographischer Durcharbeitung bereitwilligst zur Verfügung stellte, obgleich er ursprünglich beabsichtigt hatte, die Süd- Amerikanischen Acalypteren im Zusammenhänge zu behandeln und zu be¬ arbeiten. Da diese Sammlung einen werthvollen Zuwachs unserer bisherigen Kenntnisse darstellt, so kann Herrn Schnuse für seinen die Wissenschaft¬ lichkeit fördernden Entschluss nicht genug Dank gesagt Aver den. Verzeichnis s der bisher beschriebenen Milicliia- I Lobioptera ] - A rten . Albomaculata Strobl., Wien. Entom. Z. XIX 9. 310. (1900). Spanien. Arcuata Lw., Zeitschr. f. d. ges. Naturw. 339. (1876). N. -Amerika. Long Island. « Aldrich, Katalog N. Amerik. Dipteren (1905). Argentea Fbr., Syst. Anti. 323. 32. [Tepliritis] (1805). S. -Asien. Amboina. « Wied., Zweifl. II 596. 5. (Chlorops] (1830). « Macq., Dipt. exot. II 3. 269. (1843). Mik, Verh. zool. bot. Ges. XXXVII 180. (1887). Argyrog astra Perris, Ann. Soc. Ent. Er. 208. (1876). Frankreich. Argyrophenga Schin., Novara Beise 291. 178. (1868). S.-Amerika. Boletina Zett., Dipt. Scand. VII 2721. 3. (1848). Europa. Cinerea Coquill. Report Coll. Dipt. Puerto-Bico. Proceed. U. St. Nat. Mus* XXII 268 (1900). Puerto-Bico. Decora Lw., Zeitschr., f. d. ges. Naturw. 9. (1870). Insel Corsica. Dimidiata Wied., Zweifl. II 597. 10. [Chlorops] (1830). Surinam. « Mik, Verh. zool. bot. Ges. XXXVII 180. (1887). Formosa Lw., Stett. Entom. Z. IV 328. 2. (1843). N. u. M.-Europa. Indecora Lw., Beri. Entom. Z. XIII Cent. VIII 50. 94. (1869). Nebraska. « Co quill., Proceed. Nat. Mus. XXII 268. (1900). Porto-Bico. Lacteipennis Lw., Beri. Entom. Z. IX Cent. VI 185. 97. (1865). Cuba. « Willist., Trans. Ent. Soc. London (1896) PI. XIV Fig. 154. West- Indien. DIE DIPTEREN- GRUPPE MILICHINAE. 509 Lacteipennis Coquill., Proceed. Nat. Mus. XXII 268. (1900). [Ophthalmomyia], Porto-Rico. « Grimshaw, F. Hawaiiensis Dipt. 74. 1 Pl. III f. 21. (1901). Hawai. « Aldrich., Catal. N. Amer. Diptera 651. (1905). Leucogastra Lw., Beri. Entom. Z. XIII Cent. VIII 50. 95. (1869). Cuba. « Lw., Wien. Entom. Monatsschr. 43. (1861). Litorella var. b. Fall., Dipt. Suec. Ochthidiæ 10. 3. [Ochthiphila] (1823). N. u. M.-Europa. Ludens Wahlb., K. Vetensk. Akad. Förh. 259 — 61. Nr. 9. Taf. VII Fig. 1. (1847). N. u. M.-Europa. Margaritata Mik, Verh. zool. bot. Ges. Wien. XIV Taf. XXI. Fig. 5. (1864). Österreich. « Lw., Zeitschr. ge s. Naturw. XXXV 12. 13. (1870). Marginata Mik, Verh. zool. bot. Ges. Wien. XIV 796. (1864). Österreich. Maculata Meig., S. B. VI 132. 2. (1830). Europa. Melaleuca Lw., Wien. Entom. Monatsschr. 16. 44. [Argyrites] (1863). S. -Afrika. Minuta Walk., Proceed. Linn. Soc. Vili 129. 71. (1865). Neu-Guinea. « V. D. Wulp., Catal. S. Asia 204. (1896). Ornata Zett., Ins. Lapp. 787. 1. (1838) et Dipt. Scand. VII 2718. 1. (1848). Europa. Palposa Zett., Dipt. Scand. VII 2722. 4. (1848). Europa. Parva Macq., Dipt. exot. II 3. 269. (1843). Insel Bourbon. Picta Lw., Beri. Entom. Z. V. Cent. I 358. (1861). Georgien. Pulchra Zett., Dipt. Scand. VII 2724. (1848). Schweden. Robertsoni Coquillet, Journ. N. Y. Ent. Soc. X 187. (1902). Florida. Speciosa Meig., S. B. VI 132. Taf. LX Fig. 23. 24. (1830). M.-Europa. Tarsata Zett., Dipt. Scand. VII 2723. 5. (1848). Schweden. Tamaricis Big., Dipt, de Tunesie 10. (1884). Tunis. Tieft Mik, Verh. zool. bot. Ges. XXXVII 178. 3. (1887). Kärnthen. Unicolor Meijere, Zeitschr. Hymen, u. Dipt. VI 5. 333. (1906). Kamerun. Yon den bier genannten 31 Arten scheiden zunächst die folgen¬ den 7 : boletina, formosa , litorella, maculata, ornata, picta und pulchra als zu den Agromyzinen-Gattungen Odinia und Neoalticomerus gehörig aus ; die Art tarsata ist gleichbedeutend mit Phyllomyza securicornis Fall. Unter den so noch verbliebenen 23 Arten ist Tieft Mik. höchst¬ wahrscheinlich synonym mit argyrogastra Perris, sowie melaleuca Lw. identisch mit argentea Fbr. Ferner ist palposa Zett. nichts anderes als ludens Wähle., margaritata oder marginata Mik. = speciosa Meig. Im Speciellen kann ich über die ausscheidenden Arten, über die Synonyme und einige zweifelhafte Arten noch folgende Notizen geben : Milichia boletina und ornata Zett. Herr Hr. Simon Bengtsson in Lund hatte die Güte, mir die ZETTERSTEDT’schen Typen zugänglich zu machen. Hiernach ist M. boletina Zett. = Odinia maculata Meig. ebenso wie M. ornata ; Zett., aber auch die Beschreibung von ornata Zett. ist fast wörtlich die gleiche wie bei boletina. Das Einzige was 510 TH. BECKEE Zetterstedt bei der Beschreibung von boletina, p. 2722 hervorhebt, ist die geringere Grösse und die nicht gefleckten Queradern bei derselben ; ornata wird mit VU — 1 Va lin., boletina nur von 34 lin. Länge ange¬ geben. Bei den mir vorliegenden Exemplaren aus Zetteestedt’s Samm¬ lung messe ich bei ornata, 214, bei boletina 2mm. Länge; auch sind die Queradern bei letzteren braun umsäumt, wenngleich nicht ganz so deutlich als bei ersterer. Das Männchen von boletina entspricht auch in der Beinfärbung durchaus dem Männchen von ornata: die Beine der Männchen sind etwas heller als bei den Weibchen. Ich halte bole¬ tina für identisch mit ornata Zett. Ob die Art, welche Hendel im Wiener Museum als boletina Zett. angesehen hat, eine andere Art ist, kann ich von hieraus nicht beurtheilen. Schon Loew hat in der Stet¬ tiner Ent. Zeitung 1843, p. 324 auf die wahrscheinliche Übereinstim¬ mung von ornata Zett. mit maculata Meig. hingewiesen. Zetterstedt kritisirt zwar diese LoEw’sche Ansicht 1. c. p. 2720 observ. und ver¬ sucht seine Art aufrecht zu halten. Meiner Ansicht nach behält Loew Ptecht ; die variirende Beinfärbung ist lediglich Geschlechts-Unterschied. Milickia formosa Lw. Die Zetterstedt sehen Exemplare stimmen mit den LoEw’schen Typen überein und bilden, zusammen mit der Orktkipkila Morella var. b. Fall, (teste Zett.) die typische Form für Neoalticorn erus Hendel. Milickia picta Lw. ist der Beschreibung nach sicher eine Odinia. Milickia pulchra Zett. Das typische Exemplar habe ich zwar nicht gesehen; die Beschreibung entspricht aber so vollständig dem TSeoalticomerus formosus Lw., dass irgend ein Zweifel an der Identität nicht mehr übrig bleibt; auch Zetterstedt, siehe Dipt. Sc. VII 2724 hat dies schon vermuthet. Milickia tarsata Zett. Die Type habe ich gesehen ; sie ist zwar sehr verstaubt und eingesponnen, man sieht jedoch noch die Stellung der Frontorbitalborsten, die weit vorgeschobenen Taster und 4 Dorso- centralborsten, ausserdem Flügel und Beine. Es unterliegt keinem Zweifel, dass Zetterstedt, der das Männchen von Pkyllomyza securicornis Fall., siehe observatio p. 1957, früher nach FALLEN’schen Typen beschrieben, hier die ihm damals noch unbekannten Weibchen als solche verkannt und als neue Milickia- Art beschrieben hat. Milickia tamaricis Bigot. Was diese Art vorstellt, ist mir durch¬ aus zweifelhaft geblieben, da mir die Type leider nicht zur Ansicht zur Verfügung stand ; aus der Beschreibung alleine kann keine Schluss¬ folgerung gezogen, nicht einmal die Zugehörigkeit zur Familie gefol¬ gert werden. Milickia palposa Zett. ist, wie schon Schiner vermuthete, mit DIE DIPTEREN- GRUPPE MILICHINAE. 511 M. ludens Wahlb. identisch. Herr Dr. Simon Bengtsson hatte die Güte, die Typenvergleichung in Lund vorzunehmen und ich habe dies später durch eigene Anschauung bestätigt gefunden. Lobioptera margaritata oder marginata Mik. ist nur das Weibchen von Milichia speciosa Meig., wie Loew bei Beschreibung seiner Art decora (1870) schon angeführt. Mik hat auch selber gegen Loew’s Auf¬ fassung später niemals Einwendungen erhoben. Lobioptera Tieft Mik. Vergleicht man die Beschreibung von Milichia ärgyrogastra Perris mit der Mik sehen Art, so findet man eine so grosse Übereinstimmung, dass man auch ohne Benutzung der Perris’ sehen Type zu der Annahme gedrängt wird, dass beide Arten gleich sind. Wie ich aus einer Notiz entnehme, scheint auch Hendel der¬ selben Ansicht zu sein. Milichia minuta Walk, ist bei der kurzen Beschreibung mangels der Type nicht zu deuten. Desmometopa sordida Fall, (nec sordidum). Als Nachtrag zu der von mir in der Wien. Entom. Zeit. 1906. p. 2 gegebenen Synonymie möchte ich noch bemerken, dass mir erst jetzt in einer kleinen Sen¬ dung des Dr. Villeneuve das Männchen dieser anscheinend seltenen Fliege bekannt geworden ist und somit ist mir auch die Notiz ver¬ ständlich geworden, welche Zetterstedt 1. c. p. 2785 in seiner observ. gibt: «In litteris d. 8 Martii 1842 datis mihi scripsit Professor Wahl¬ berg: Palpalia mea forsitan est mas Madizæ sordidæ Fall. — lila (palpalia cf) differt a femina, quam antehac ut Mad. sordidam consi¬ deravi, per palpos maximos cochleariformes et tibias posticas versus apicem dilatatas.» Das Männchen hat an der Spitze nach aussen hin stark dreieckig erweiterte Hinterschienen und breite vorgestreckte Taster, die beim Weibchen erheblich kleiner sind. Wahlberg’s Vermuthung von der Zu¬ gehörigkeit beider Arten und Geschlechter ist durchaus begründet. Eine Art Agromyza palpalia Wahlberg ist aber nirgends beschrieben, der Name ist daher nur als nomen in collectione anzusehen. Tephritis argentea Fbr. Syst. Anti. 323. 32. (1805) aus S. -Asien, Amboina. Die FABRicius’sche Type befindet sich im Kieler Museum, es sind aber nur noch Beste vorhanden : der Mittelleib z. Th., Schwinger, Schüppchen, ein Flügel. Durch freundliche Vermittelung des Herrn Dr. Breckner,, Assistenten am zoologischen Institut der Universität Kiel, wurden mir diese Typenreste zur Ansicht gesandt. Schwinger und Schüppchen sind schwarzbraun, Flügel farblos, die dritte und vierte Längsader etwas convergirend, der letzte Abschnitt der vielten Längs¬ ader ungefähr doppelt so lang als der vorletzte. 512 TH. BECKER Wir begegnen einer sehr verschiedenen Auffassung dieser Art. In Kopenhagen befinden sich 2 Exemplare einer als Tephritis argentea Fbr. bestimmten Art, welche aus Amer, merid. von Schmidt gesammelt sind ; diese Thiere gehören, nach den mir von Herrn Wilh. Lundbek gesandten Anmerkungen, zur Gattung Rhynchomilichia und können hier in Frage kommen die beiden Arten argyrophenga Schin. oder leucogastra Lw. Auch in Frankfurt a/M. ist ein Thier mit dem Namen argentea Fbr. ; es stammt aus Chile, Valparaiso, von Bayerhoffer gefunden ; es ent¬ spricht der aus Chile stammenden Art aus Schnuse’s Sammlung, die ich weiter unten als Eccoptomma frontale beschrieben habe. Ferner hat Giglio- Tos 1895 auf eine als M. argentea Fbr. bestimmte Art, die von Alluaud auf den Seychellen gefunden wurde, seineGattung Milichiella gegründet. Im Museum zu Budapest fand ich ein Männchen aus Neu-Guinea, das ich identisch mit Milichiella melaleuca Lw. erklären musste ; später zeigte es sich dann, dass es auch mit argentea Fbr., soweit Beschrei¬ bung und Typenreste bezeugen können, übereinstimmte. Ich glaube daher, dass man diese Synonymie mit gutem Gewissen behaupten kann ; es ist auch an und für sich nicht unwahrscheinlich, dass Süd-Afrika und Süd-Asien einige Arten gemeinsam besitzen. Es war mir nun von Interesse, zu erfahren, ob die von Giglio-Tos als argentea Fbr. be¬ stimmte Art auch mit der Type des Fabricius übereinstimme. Bezzi hatte die Freundlichkeit, die Exemplare im Turiner Museum darauf hin zu untersuchen; er stellte aber doch verschiedene Punkte fest, welche eine wesentliche Abweichung von der Fabricius’ sehen Art darstellen : so sind die Schüppchen nicht schwarzbraun, sondern ganz weiss und weiss bewimpert; der letzte Abschnitt der vierten Längsader ist nur lVa-mal so lang als der vorletzte und die Orbiten sind oben am Scheitel nicht glänzend. Die ganz abweichende Farbe der Schüppchen scheint mir entscheidend zu sein ; die Art des Giglio-Tos ist daher wohl nahe verwandt mit argentea ; Fbr., aber doch eine andere Art, die ich Milichiella Tosi nennen will ; synonym : M. argentea ; Gigl-Tos (nec Fbr). Grosse Ähnlichkeit hat M. Tosi auch in der Hinterleibsfärbung mit M. argyro- gastra Perris = Tieft Mik; jedoch hat letztere Art abweichend dunkle Schüppchen. Erklärt man sich mit obiger Synonymie einverstanden, so bleiben von den vorhin genannten 23 Arten nach Abtrennung von zwei unbe¬ stimmbaren, M. tamaricis Big. und minuta Walk., noch 16 übrig, die man als bereits bekannt in dieser ersten Gruppe der Milichinen mit gespaltener Piandader zu berücksichtigen hat ; dazu treten dann noch die in den genannten Sammlungen vorhandenen 28 Arten, so dass die Gesammtsumme 44 beträgt. DIE DIPTEREN- GRUPPE MILICHJNAE. 513 Dieser mir vorliegende Formenkreis lässt sich nach dem Umriss der Augen zunächst in zwei Gruppen zerlegen : bei der einen haben die Augen ihre gewöhnlich länglich hohe Form ; es gehören dazu die Gattungen Milichia s. str., Rhyncliomilichia und eine abweichende Art, die ich auf die alleinige Kenntniss des weiblichen Geschlechtes hin als Gattung noch nicht einführen will. Bei der anderen Gruppe zeigt der Hinterrand der Augen in Fühlerhöhe eine Einkerbung, die auch Williston schon bei dieser Gattung Oph thalmom yia be¬ obachtet und erwähnt hat. Ich kenne 4 Gattungen mit diesem Merkmal, das also die Bedeutung eines Grupp enkarakters hat, aber doch auch einigen Variationen unterworfen ist : während sich diese Ein¬ kerbung häufig nur auf eine kleine Stelle beschränkt, (a) setzt sie sich mitunter wei¬ ter fort und verläuft als Absatz parallel zum Hinterkopfrande bis an den unteren Augenrand (b). Bei verschiedenen Gattungen findet man ferner, dass der erste stets sehr unbedeutende Hinterleibsring im männlichen Geschlecht eine besondere Form dadurch annimmt, dass er auf der Mitte seiner Oberseite blatt- oder dreieckförmig auf den zweiten Bing über¬ greift, in dessen Fortsetzung dann gewöhnlich der zweite Bing noch eine erhabene Längsfaltung zeigt. Die Bauchsegmente sind überall sehr schmal, die Hinterleibsringe vielfach breit umgebogen und hier mitunter durch besondere Färbung und Behaarung ausgezeichnet ; bei den Männchen sind in der. Begel einzelne Binge (zweiter und mitunter auch fünfter) durch besondere Länge ausgezeichnet. Tabelle der Gattungen . Hinterer Augenrand ohne Einkerbung oder ohne Absatz, in der gewöhn¬ lichen Weise verlaufend . „„ „„ „„ „„ „„ _ „„ 1. Hinterer Augenrand ungefähr in Fühlerhöhe mit einer Einkerbung oder mit einem mehr oder weniger scharfen Absatz, dér parallel zum Hinter¬ kopfrande bis nach unten verläuft. L „k '11" ~~ ‘ ' 3. 1. Mesopleuren nackt. BüSsel nicht besonders entwickelt. Milicìwa si sti*. Meig. Mesopleuren mit 3 4 starken Borsten. „ . ;J _ 2. 2. Rüssel verlängert und gekniet, mit langen zurückgeschlagenen Baugflächen, tììiynclurniiUehia Hendei, Rüssel gewöhnlich, nicht verlängert. Borsten sehr lang.; ■ k Miächia lottgi$etci (nr 8?'') . . 'IV V; i-üTviU IbÜkV IcV. :vsL,.Ü4i';lV ' Ív-í ;-uk . ..tr:::Kk^OV Annales Musei. Xationalis Hung arie i . V. 33 Fig. 1. Schema des Kopfes der zweiten Grupp en form. 514 TH. BECKER 3. Mesopleuren ohne stärkere Borsten. Erster Hinterleibsring des Männchens auf der Mitte dreieckig oder blattförmig auf den zweiten Ring über¬ greifend. . .... j . . : „„ . . . 4. Mesopleuren mit starken Borsten. Erster Hinterleibsring in beiden Ge¬ schlechtern gerade abschneidend, nicht dreieckig oder blattförmig auf den zweiten Ring übergreifend. Rüssel ohne besondere Ausbildung. Pseudomilichia nov. gen. 4. Kopf und Thorax stark runzelig genarbt, mit zarter Beborstung. Rüssel sehr lang und lang gekniet. „J B _ 3j v A Ulta nov. gon. Kopf und Thorax von der gewöhnlichen glatten Form. Borsten und Haare von der gewöhnlichen Länge. Rüssel gewöhnlich. , . . 5. 5. Arten mit 4 deutlichen Dorsocentralborsten-Paaren. Behaarung des Thorax¬ rückens sehr weitläufig und grob. „„ Eccoptomma nov. gen Arten mit 1 — 2 hinteren Dorsocentralborsten-Paaren. Behaarung des Thorax¬ rückens dicht und kurz. . . Milichiella Giglo-Tos. Milichia Meig. s. str. (S. B. VI 131. (1830). Argyrites Late,., Lw. Lobioptera Wahlb., Lw., Mik. Diese Gattung, deren bekannteste Vertreter M. speciosa Meig. und ludens Wahlb. sind, scheint auf die alte Welt beschränkt zu sein, vornehmlich auf Europa ; sie kommt aber auch auf Java vor und wurde von mir ebenfalls auf den Kanarischen Inseln gefunden, dahingegen zeigt mir das vorliegende Material keine Art aus Amerika; hier sind vielmehr die Gattungen Rhynchomilichia und Milichiella vorherrschend. Gattung skarakt er, Augenhinterrand ohne Einschnitt oder Verschmälerung von der Mitte an. Von Orbitalborsten stehen in der Regel im oberen Drittel 2 divergirende Borsten dicht nebeneinander, die obere nach hinten, die untere nach vorne geneigt; nur bei den Arten speciosa : Meig. und decora Lw. sieht man darüber noch 1 — 2 stehen. An unteren Front¬ orbitalborsten stehen entweder 2 — 3 nach Innen geneigt, oder sie fehlen auch ganz. Die unteren das Untergesicht begrenzenden Augenlinien divergieren gewöhnlich nach unten oder sie sind parallel. Die Vibrissen- leisten sind bis zur halben Gesichtshöhe mit einer Reihe von Borsten (4 — 8) besetzt. Rüssel mit kurzen Saugflächen ; Taster meist deutlich vorstehend und etwas verbreitert. Dorsocentralborsten 1 — 5 ; 4 Schild¬ borsten, die mittelsten konvergent. Mesopleuren nackt. Sternopieuren DIE DIPTEREN -GRUPPE MILICHINAE. 5 1 5 mit 3 deutlichen längeren Borsten in der oberen Reihe, mitunter mit einigen Nebenborsten. 2 Intraalar-, 2 Supraalar-, 1 Humerai-, 2 Noto- pleuralborsten. Hinterleib mit 5 deutlichen Ringen, breit oder auch von der gewöhnlichen Form ; der zweite Ring ist bei den Männchen häufig verlängert ; der erste Ring in gerader Linie vom zweiten getrennt, nicht blattförmig oder dreieckig übergreifend. Dritte und vierte Längsader parallel ; letzter Abschnitt der vierten Längsader circa 1 Va -mal so lang als der vorletzte. Hinterleib schwarz, oder auch bei dem Männchen silber¬ ach immernd. Bestimmung stai) eile für die Arten der Gattung Miliehia . Männchen. 1. Hinterleib ganz silberweiss oder wenigstens mit weissen Flecken. ._ 2. Hinterleib schwärzlich, ohne weisse Flecken. . MJ . 6. 2. Die 4 letzten Ringe silberweiss. .... . -J „.. . .... . 3. Hinterleibsringe anders gefleckt. . . . . . jjj . . . .. 4. 3. Augen sehr deutlich behaart. Stirne und Thoraxrücken weissgrau, letzterer etwas streifig bestäubt. . . decora Lw. cf. Augen undeutlich behaart. Stirne und Thoraxrücken bläulich weissgrau bestäubt. . . M .... .... speciosa Meig. cf. Augen undeutlich behaart. Stirne und der Thoraxrücken auf der Mitte breit braun gefärbt. . speciosa Meig. var. canariensis cf. 4. Fünfter Ring ganz silberweiss ; unterhalb der oberen divergirenden Front¬ orbitalborsten keine stärkere Borste. _ . 5. 5. Ausser dem fünften Ringe noch der zweite, dritte und vierte Ring auf der Mitte und an den Seiten weissgrau gefleckt . albomacidata Strobl cf. Ausser dem fünften Ringe noch die Seiten des zweiten und dritten Ringes sowie der vierte Ring ganz weissgrau. .... .... .... _ .... mixta n. sp. cf. Ausser dem fünften Ringe keiner der Ringe weiss oder weiss gefleckt. posti cat a n. sp. cf. 6. Frontorbitalborsten nur auf der oberen Stirnhälfte. Hinterleib matt asch¬ grau mit je 2 braunen behaarten Flecken auf den drei mittelsten Ringen. pubescens n. sp. cf. Frontörbitalborsten bis zu den Fühlern reichend. Hinterleib matt schwarz¬ braun, Spitze glänzend. Lunula mit 2 stärkeren Borsten, ludens Wahlb. cf. Weibchen. L 2. Hinterleib mit weissen Flecken auf den Ringen. ... jpj .... .... .... Hinterleib ohne weisse Flecken . .... .... ' . . , Zweiter Ring ganz weissgelb bestäubt ; der dritte an den Seiten und Hinterrande, der vierte am Hinterrande weisslicli. . . decora Lw. Zweiter Ring nur an den Seiten gefleckt. .. 2. 4-. am ?'■ 3. 33* 516 TH. BECKER 3. Die Seitenflecke berühren in voller Kinglänge Vorder- und Hinterrand. speciosa Meig. y Die Seitenflecke sind schmäler und liegen schräge. speciosa Meig. var. canadensis g .. 4. Hinterleib ganz mattschwarzbraun ohne Glanz. _ „„ j| 5. Hinterleib schwärzlich oder bräunlich, mehr oder weniger glänzend, mindestens die Hinterleibsspitze glänzend. 6. 5. Stirne aschgrau bis schwarzgrau, ungefähr so breit wie ein Auge. Gesicht weissgrau. Hinterleib gleichmässig schwarzbraun und schwarz behaaart. po stirata n. sp. y . Desgleichen. „„ ......... .... . pubescens n. sp. y. b. Frontorbitalborstsn nur auf der oberen Stirnhälfte. 7, Frontorbitalborsten bis zu den Fühlern hinabsteigend. . 8.. 7. Brustseiten und Thoraxrücken braun bestäubt, kaum etwas glänzend. mixta n. sp. $ . Brustseiten und Thoraxrücken rein schwarz, stark glänzend, nitens n. sp. y , 8. Thoraxrücken matt schwarzbraun bestäubt. Lunula mit stärkeren Borsten ; ganz schwarze Art. . ludens Wahlb, y , Beschreibung der Arten. 1. Milichia speciosa AIeig. cT J. Synonym: Lobiopter a inarg un¬ tata oder marginata Mik y. Vaterland: Süd-Europa. Männchen, Die etwas bläulich weissgraue Bestäubung des Thorax lässt bei gut erhaltenen Exemplaren eine schwache Streifung in 2 dunk¬ leren Mittel* und Seitenstreifen hervortreten. In der Dorsocentralborsten- Beihe stehen unter den kürzeren Haaren 4 Paare hinter und 1 Paar vor der Quernaht. Schildchen sammetschwarz. Die Augen sind nur sehr kurz behaart. Stirn und Gesicht haben die gleiche Bestäubung wie der Thoraxrücken ; oberhalb der beiden divergierenden Frontorbitalborsten steht noch mindestens eine längere; unterhalb 3 — 4 nach Innen ge¬ neigte Borsten unter kürzeren Härchen. Im er steren unteren Diittel vom Mundrande endet die Beborstung der Vibrissenleisten mit einer stärkeren Endborste. Taster breit, schwarz. Die Grundfarbe des Hinter¬ leibes ist schwarz, aber mit Ausnahme des ersten Ringes, eines Punktes auf der Mitte des zweiten Ringes und eines Seitenstreifens des letzteren silberweiss bereift ; der zweite, dritte und fünfte Ring sind annähernd gleich lang, der vierte ist etwas kürzer. Behaarung kurz, schwarz, weit¬ läufig, die Vorderränder meistens freilassend. Bauch schwarzbraun. Beine schwarz, Schenkel auf der Unter- und Aussenseite ziemlich lang be¬ haart; Schienen nur kurz bewimpert. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen braun mit dunklerem Rand und Wimpern. Die fast glashellen Flügel DIE DIPTEREN- G li VI TE 1\I ILI CHI NAE. 517 zeigen am Vorderrande einen breiten, hinter der ersten Längsader unterbrochenen braunen Saum ; die Unterbrechung beginnt in der Mitte zwischen beiden Queradern, deren Entfernung von einander ziemlich gross ist, so dass der letzte Abscnnitt der vierten Längsader nur 1 Va- mal so lang ist als der vorletzte; die dritte und vierte Längsader verlaufen parallel. 4 — 4 Vs mm. 1. Weibchen. Sie weichen ab durch gelbbräunliche Bestäubung auf der Mitte des Thoraxrückens und durch andere Hinterleibszeichnung; letzterer ist schwarzbraun mit einigem Glanze namentlich am Ende und zarten helleren Hinterrandssäumen; zweiter und fünfter Bing sind etwas verlängert ; am zweiten liegen in ganzer Binglänge 2 weissgraue Seitenflecke. 1 a. Milichia speciosa Meig. var. canariensis cf ç . Von mir auf .den Kanarischen Inseln gefunden. In insularer Abgeschlossenheit hat sich die MEiGEN’sche Art zu einer interessanten Varietät entwickelt. Männchen. Hie weissgraue Bestäubung ist auf dem Thoraxrücken reduci ert auf die Seitenränder ; die Mitte ist braun ; auch die Stirn erscheint fast ganz schwarz, weisse Bereifung ist nur in ganz schräger Stellung zu sehen ; die Augenbehaarung ist nur unter einer starken Lupe zu erkennen. Weibchen. Stirne und Thoraxrücken haben eine braune bis brann- gelbe Färbung; der kreideweisse Seitenileck des zweiten Hinterleibs¬ ringes ist etwas kleiner als bei der Stammform und hat eine schiefe Stellung, indem er von der hinteren Seitenecke schräg gegen den Vorderrand verläuft. Andere Unterschiede finde ich nicht. 2. Milichia decora Lw. cf Ç . Mit den vorigen verwandt und bisher nur auf Korsika gefunden. 5 mm. lang. Has Männchen ist dem von M. speciosa sehr ähnlich, aber die Augen sind etwas deutlicher und länger behaart: die Kopfbehaarung kommt überhaupt allenthalben reichlicher zum Vorschein, sonst ist nur noch als Unterschied zu nennen die schwächer ausgebildete Bräunung des Flügelvorderrandes, die an der Wurzelhälfte fast ganz fehlt und erst dicht vor der hinteren Querader wieder beginnt, also auch etwas kürzer ist. Hahingegen hat das Weibchen eine abweichende Zeichnung des Hinterleibes, der von schwarzbrauner glänzender Färbung ist ; der zweite Bing ist ganz weissgrau bereift, der dritte und vierte haben schmale Hinterrandssäume von gleicher Farbe, die sich am dritten Binge nach der Seite hin zu einer dreieckigen Hinterrandsbinde erweitern, 3. Milichia ludens Wähle, cf $ . Synonym: M. palposa Zeit. In Nord- und Mittel-Europa ; ich fing auch 1 Ex. auf Korsika. 518 TH. BECKER Mcinnchèn. Schmäler von Gestalt als die vorigen. Thorax matt¬ braun ; von Dorsocentralborsten ist deutlich ausgebildet nur das hinterste Paar; bei einem Exemplar sehe ich aber auch unter den kürzeren Thoraxhaaren 4 längere, welche man zur Noth als Dorsocentralborsten auffassen kann. Stirn schwarz, hellgrau bereift mit fast parallelen Augen¬ rändern, über den Fühlern etwas breiter als das halbe Auge, letztere sehr schwach pubescent. Oberhalb des divergierenden Frontorbital- Borstenpaares im oberen Drittel steht noch eine Borste, unterhalb 2 — 3 nach innen geneigte, Hauptvibrisse im unteren Gesichtsdrittel, darunter noch 2— 3 schwächere. Untergesicht bleiglänzend. Büssel wenig vor¬ tretend, Taster breit vorstehend, schwarz. Karakteristi sch für diese Art sind 2 deutliche starke Borsten auf der Lunula, welche bei den anderen Arten entweder ganz fehlen oder sich nur als schwache Börstchen zeigen. Schwinger schwarz. Schüppchen braun. Hinterleib oval^ brami bestäubt, auf der Mitte und nach der Spitze hin glänzend; zweiter und fünfter Bing nur wenig länger als die dazwischenliegenden. Beine ganz schwarz. Flügel schwach graubraun mit dicker brauner Costa; dritte und vierte_ Längsadqr parallel; letzter Abschnitt der vierten Längsader lVa-mal so lang .als- der vorletzte. Weibchen. Stirn dunkler bereift als beim Männchen, über den Fühlern ungefähr l Va-mal so breit als das Auge. Hinterleib schwarz- braun, mattglänzend. 2 Va — 3 mm. lang. 4. Milichia albomaculata Strobl. cT aus Spanien. Männchen., Thorax matt braungrau mit nur einem deutlichen hin¬ teren Dorsocentral-Borstenpaar. Stirn schwarzgrau von gleicher Breite, über den Fühlern nur von halber Augenbreite ; ausser den beiben diver¬ gierenden Frontorbitalborsten keine andere, weder oben noch unten; unter der Hauptvibrisse nur noch 2 — 3 kleinere. Schwinger schwarz. Hinterleib mattschwarz mit weisser Fleckenzeichnung auf den 3 mitt¬ leren Ringen und mit ganz matt kreideweissem bis grauem fünften Ringe, ohne Silberglanz wie bei M. speciosa ; die 3 mittleren Ringe haben kleine weisse Mittelflecken und Seitenflecken; letztere nehmen, am zweiten Ringe fast die ganze Breite ein ; am dritten liegen sie am Hinterrande und am vierten am Vorderrande, indem sie spitzdreieckig bis zur Ringmitte verlaufen. Beine schwarz. Flügel normal. 2 Va mm. lang. 5. Milichia mixta n. sp. cT Ç . Auf Teneriffe im Februar und März von mir gefunden. Männchen. Thorax von schwarzer Grundfarbe, auf dem Rücken braun bestäubt, nur mit schwachem Glanz und kurzer steifer Behaaiung nur 1 hinteres Dorsocentralborstenpaar. Schwinger schwarz, Schüppchen weisslich mit braunem Rande. Stirn und Untergesicht etwas weiss be- DIE DIPTEREN- GRUPPE MILICHINAE. 519 reift, erstere nur wenig breiter als das halbe Auge; ausser den beiden divergierenden Frontorbitalborsten keine stärkeren Borsten, nur sehr feine Härchen. Behaarung der Augen unter der Lupe kaum noch erkenn¬ bar. Fühler und Taster schwarz ; Backen schmal, so breit wie das dritte Fühlerglied. Hinterleib eiförmig, mattschwarz mit weissgrauer Zeichnung : die beiden letzten Binge sind ganz weiss ; auf dem vorletzten kommen mitunter dunklere Mittelflecke zum Vorschein, indem die Grundfarbe an den Haarwurzeln durchschimmert ; der dritte Bing hat einen breiten weissen Seitenrand und schmalen weissen Hinterrandssaum ; der zweite ist an den Hinterecken nur schmal weiss eingefasst; der erste ist ganz matt¬ schwarz ; der zweite und fünfte Bing sind 1 Va-mal so lang als der vor¬ letzte ; an den Binghinterrändern stehen längere schwarze borstenartige Haare. Bauch mattschwarz; am Yorderrande seines vierten Abschnittes liegt ein kleiner weisser Fleck. Beine schwarz, schwach bereift. Flügel farblos, Adern braunschwarz, dritte und vierte Längsader parallel. 3 — 3 Va mm. 1. Weibchen ; ein wenig grösser. Thorax gleichgefärbt, ganz matt. Stirn breiter als das Auge und noch weniger weiss bereift als beim Männchen, mehr dunkelbraungrau, matt. Untergesicht schwarzgrau. Hinterleib schwarz, auf den ersten Bingen mehr matt, auf den letzten glänzend, ohne weisse Flecken und ohne längere Bandborsten, kurz schwarz behaart. 6. Milichia pubescens n. sp. cf $ . Von mir auf Gran Canaria im Mai gefangen, auch in Aegypten ; in den Mittheilungen des Berk Mus. 1903. p. 187. 329 habe ich sie als Lobioptera ludens verzeichnet, mit der sie allerdings viel Ähnlichkeit besitzt; letztere ist zu unter¬ scheiden durch dunklere Färbung und grössere Zahl von Frontorbital¬ borsten. Männchen. Thorax ganz matt aschgrau, heller als bei M. ludens, mit nur einer hinteren Dorsocentralborste. Stirn und Gesicht hellasch- grau bestäubt, erstere gleich breit von 3A Augenbreite. Augen nur mikroskopisch pubescent; von Frontorbitalborsten sind nur die beiden oberen divergierenden vorhanden. Wangen kaum sichtbar, circa 3 Vi- brissen ; Schwinger schwarzbraun. Hinterleib dicht aschgrau bestäubt mit 2 bräunlichen nicht immer sehr deutlichen Flecken am Vorder¬ rande des zweiten, dritten und vierten Binges, welche die Seitenränder und die Mittellinie freilassen. Zweiter und fünfter Bing etwas ver¬ längert, fast doppelt so lang als die mittleren, mit nur schwachen Hinterrandsborsten. Beine schwarz. Flügel farblos mit braunen Adern, dritte und vierte Längsadern an der Spitze etwas konvergierend. Weibchot. Stirn so breit wie das Auge. Hinterleibsringe ungefähr 520 TH. BECKER von gleicher Länge, ganz matt und ohne braune Fleckenzeichnung. lVa — 23 4.mm. lang. 7. Milichia nitida n. sp. 7 . Von mir auf Gran Canaria im Mai gefunden. Weibchen. Thorax und Schildchen ohne alle Bestäubung schwarz, stark glänzend. Behaarung und Beborstung wie bei der vorigen Art. Stirn mattschwarz, über den Fühlern etwas breiter als das Auge, Unter¬ gesicht schwach weissgrau bereift; auf der oberen Stirnhälfte nur zwei divergierende Frontorbitalborsten. Büssel, Taster und Fühler schwarz ; Backen kaum von der Breite des dritten Fühlergliedes. Hinterleib glän¬ zend schwarz, ziemlich breit, schwarz behaart ; Bauch schwach glänzend. Schwinger schwarz ; Beine desgleichen. Flügel schwach bräunlich getrübt mit schwarzbraunen Adern ; dritte und vierte Längsader parallel. 2 3 '4 mm. lang, 8. Milichia posticata 11. sp. cf Ç . 1 Männchen und 2 Weib¬ chen von Java, Samarang und Poswuan. Samml. der Zoolog. Ges. in Amsterdam; mir durch Herrn Dr. de Meijere freundlichst mitgetheilt. Männchen. Thorax und Schildchen ganz matt kaffeebraun,' ersterer mit nur einer hinteren Dorsocentralborste, letzteres ganz flach und etwas scharfrandig. Brustseiten matt dunkelgrau, Kopf schwarz ; Stirn und Untergesicht nur wenig grau bestäubt, erstere in Fühlerhöhe kaum etwas breiter als am Scheitel und hier kaum breiter als das halbe Auge ; diese nur mikroskopisch pubescent. Yon Frontorbitalborsten sind nur die beiden divergierenden im oberen Stirndritte] vorhanden ; die oberste der 3 — 4 Yibrissen ist die stärkste und steht ungefähr in halber Gesichts¬ höhe. Büssel, Taster und Fühler schwarz, von gewöhnlicher Bildung mit Ausnahme der Taster, welche nicht verbreitert sind. Schwinger und Schüppchen schwarzbraun. Hinterleib matt kaffeebraun, nur der letzte Bing ist weissgrau bestäubt ; auf dem vorletzten Binge sehe ich auf der Mitte einen kleinen weissgrauen Flecken, der jedoch kaum auffällt; die 3 mittleren Binge sind gleich lang; der fünfte 1 Ja -mal so lang als der vierte. Bandbeborstung sehr schwach. Beine einfach, schwarz. Flügel farb¬ los mit blassen Adern ; dritte und vierte Längsadel parallel. 2 Va mm. lang. Weibchen. Thorax- und Hinterleibsfärbung etwas mehr in’s Grau¬ braune hinüberspielend. Stirn reichlich so breit wie das Auge. Hinter¬ leib einfarbig, ohne graue Flecken ; der fünfte Bing nur wenig länger als der vierte. Anmerkung. Diese Weibchen sind denen von M. pubescem auffal¬ lend ähnlich. Wenn die zugehörigen deutlich verschiedenen Männchen nicht da wären, würde man glauben können, dass nur eine Ait vorläge. DIE DIPTEREN -GRUPPE MILICHINAE. 521 Rhynchomilichia. Hendel, Wien. Ent. Z. XXII 250. (1903). Type : Lobioptera argyrophenga Schin. Augenhinterrand von oben bis unten ohne Ausschnitt oder Absatz verlaufend. Stirn nach den Fühlern hin nur schwach konvergierend. Untergesicht gleich breit oder nach unten schwach divergierend, unter den Fühlern etwas vertieft und am Mundrande mitunter im Profil etwas' vortretend. Augen pubescent und nackt. Vibrissen höchstens bis zur Gesichtsmitte aufsteigend. Frontorbitalborsten ausser den beiden diver¬ gierenden im oberen Drittel darüber noch mit einer, darunter noch mit 2 — 3. Taster mehr oder weniger verbreitert und vorstehend. Rüssel dünne mit längeren bis sehr langen knieartig zurückgeschlagenen Saug¬ flächen. Thorax mit 1 — 3 Paar Dorsocentralborsten, 3 bis höchstens 4 Mesopleuralborsten und mit 2 Sternopleuralborsten, denen mitunter in der vorderen Ecke noch eine schwächere dritte sich zugestellt ; die Borste in der hinteren Ecke ist stets die stärkste. Dritte und vierte Längsader parallel. Queradern nicht genähert. 9. Rhynchomilichia argyrophenga Schin. cf. 2 Exemplare aus Bolivia in der Sammlung des Budapester Museums und 2 Exemplare aus Bolivia und Peru in Schnuse’s Sammlung. Thoraxrücken etwas matt weissgrau bestäubt, kurz und dicht schwarz behaart mit 3 Paar Dorsocentralborsten ; 3 Mesopleuralborsten. Stirn und Untergesicht mattschwarz und grau, letzteres nicht vortretend, an den Fühlern von 3/4 der Augenbreite. Augen pubescent. 4 — 5 Yi- brissen. Hinterleib mit umgebogenen Seitenrändern und mit Ausnahme des ersten Ringes silberweiss bestäubt; der zweite ist an den Seiten des umgebogenen Theils schwarz gerandet, auch der letzte Ring hat einen schmalen schwarzen Hinterrandssaum : der zweite Ring ist so lang wie der dritte und vierte zusammen, der fünfte ist ein wenig ver¬ längert und hat einige Randborsten ; die sparsame Behaarung ist über die ganze Fläche vertheilt und die Haarwurzeln mitunter etwas punkt¬ artig gebräunt. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen weiss mit gelbem Randsaum und weissen Wimpern. Flügel weisslich, Adern blassgelb ; Flügelrand-Einschnitt nur kurz ; letzter Abschnitt der vierten Längsader IV* — iVs-mal so lang als der vorletzte. 3 mm. lang. 9c/ Rh. argyrophenga var. sororcula cf. 3 Exemplare von den¬ selben Orten mit den vorigen. Diese Abart unterscheidet sich durch andere Längen und etwas abweichende Behaarung der Hinterleibsringc, während alles Andere TH. BECKER 532 gleich ist ; nur ist der Hinterleib nicht an- den Seiten zusammengebo¬ gen, sondern die Ringe liegen ganz flach ; dadurch ist der Hinterleib natürlich viel breiter, von fast kreisförmiger Gestalt ; die schwarzen Seitenränder des zweiten Ringes, die bei der Rh. argyrophenga auf dem umgebogenen, dem Lichte abgewandten Theil des Ringes hervor¬ treten, sind hier nicht zu sehen. Her zweite Ring ist kaum länger als die folgenden, sie sind alle annähernd gleich lang und die Behaarunu ist auf den letzten beiden Ringen nur an den Hinterleibsrändern zg sehen, nicht auch auf der ganzen Ringfläche ; damit sind die Unter¬ schiede erschöpft. Anmerkung. Ich glaube nicht, dass das Umklappen der Ringseiten trotz der dabei stets vorkommenden Unterschiede in der Ringlänge uns heute schon berechtigt, hierin eine neue Art zu erblicken ; immerhin ist es eine merkwürdige Erscheinung. Ich deute sie mir folgendermas- sen : Wir haben es hier mit einigen Arten zu thun, die in der Um¬ formung begriffen sind ; die Umformung ist aber noch nicht vollendet ; die Exemplare mit dem kreisrunden Hinterleib sind wahrscheinlich die ursprüngliche, die mit den umgebogenen Seitenrändern die in der Um¬ formung begriffene gleiche aber spätere Form. Ich bilde mir dies Urtheil auf Grund folgender Erwägungen : Man wird sicher annehmen dürfen, dass nur die dem Lichte zugewandten, also die oberen Theile der Ringe sich ursprünglich silberweiss gefärbt haben, mag man nun diese silber- weisse Farbe als Schreck- und Schutzmittel oder als geschlechtliches Reiz- und Lockmittel auffassen; die Natur schafft nun einmal nicht um¬ sonst und verschwendet andrerseits nichts ohne Nutzen ; eine Silber¬ färbung unten am Bauche würde zwecklos sein (wenigstens so weit wir zu beurtheilen vermögen), da sie hier kaum je in Wirkung tritt; bei der ursprünglichen Form mit kreisrundem flachen Hinterleib ist die Unterseite auch ganz schwarz ; die umgebogenen Ringtheile müssen nach dieser Regel allmälig wieder ihre leuchtende Farbe verlieren und schwarz werden ; wir sehen dies auch bei fast allen in der Umformung begriffenen Arten ; die Seitenränder namentlich des zweiten Ringes sind mehr oder weniger breit schwarz. Mit ihrer theilweisen Schwärzung der umgebogenen Ringtheile stellen diese Exemplare also schon das Produkt einer Anpassung dar, die eine vollkommene noch nicht geworden ist, da dieser Zustand noch nicht lange genug so bestanden hat. Hass diese Umbiegung nicht etwa ein künstliches Produkt, etwa durch Eintrocknung entstanden ist, sieht man an der Regelmässigkeit der Umbiegung und an den theilweise scharfen Rändern der Ringseiten sehr deutlich. — Schwieriger zu erklären ist dann allerdings die bei den umgebogenen Seitenrändern fast stets auftretende Verlängerung DIE DIPTERE N -GRUPPE MILICHINAE. 523 namentlich des zweiten Binges, was allerdings nur bei den Männchen bemerkt wird und somit geschlechtlichen Ursprungs ist. 10. Rhynchomilichia indecora Lw. y . aus N.- Amerika, Nebraska. Ich verdanke die Kenntnis dieser bisher nur im weiblichen Geschlecht gefundenen Art den freundlichen Mittheilungen von Coquillet aus Washington, wo sich die LoEw’sche Type befindet. Nun sandte Bezzi mir ein Weibchen, welches bei Sondrio in Ober-Italien gefangen worden, interessant um deswillen, weil es uns zeigt, dass diese sonst lediglich amerikanische Gattung auch einen Vertreter in Europa besitzt. Das Exemplar hat, 3 deutliche Dorsocentralborsten und konnte daher nur mit Rh. argyrophenga Sohin, oder indecora Lw. verglichen werden, da alle anderen mir bekannten Arten nur 1—2 Paar besitzen. Loew’s Be¬ schreibung von Rh. indecora passt vollkommen bis auf einen Punkt ; er sagt: «frontis latæ lunula angustissima testacea.» Da ich nun bei keiner der Arten dieser Gattung eine röthliche Lunula gesehen habe, so glaube ich auch nicht, dass dies ihre natürliche Färbung ist; wahr¬ scheinlich wird es ein frisch entwickeltes, vielleicht mit einem Stirn- blasen-Keste versehenes Exemplar sein. Legt man auf diese Färbungs- Notiz aber keinen sonderlichen Werth, so hindert nichts, das Bezzi’ sehe Stück für indecora Lw. zu erklären ; es stimmt damit überein die sehr tiefe Schlitzung des Flügel Vbrderrandes, die bis zur halben Breite der Vorderrandzelle hinabreicht, und an der LoEw’sehen Type in gleicher Weise ausgebildet ist, während dieser Schlitz bei Rh. argyrophenga Sohin. nur halb so tief geht. Weibchen. Thorax mattschwarz, dunkelgrau bestäubt mit 3 Dorso¬ centralborsten. Stirn mattschwarz, Frontorbitalborsten normal; Stirn¬ breite in .Fühlerhöhe nur wenig grösser als die des halben Auges. Unter¬ gesicht schwarzgrau, Mundrand nicht vortretend mit einer stärkeren Vibrisse in halber Gesichtshöhe und 4—5 schwächeren Borsten darun¬ ter. Büssel nicht besonders lang ; Backen von Fühlerbreite. Schwinger schwarz ; Schüppchen hellbraun mit braunem Saum und Wimpern. Hin¬ terleib schwarz, etwas glänzend mit äusserst schwacher aber noch sicht¬ barer brauner Bereifung, gleichmässig schwarz behaart. Beine schwarz, ziemlich nackt. Flügel rauchgrau mit braunen Adern und tiefem Kand- schlitz; letzter Abschnitt der vierten Längsader kaum etwas länger als der vorletzte. 3 mm. lang. 11. Rhynchomilichia lencogastra Lw. cf. 1 Exemplar in Bezzi’ s Sammlung aus. Nord- Amerika, Tifton. Männchen. Thorax und Schildchen matt schwarzbraun, kaum etwas glänzend mit 2 deutlichen hinteren Dorsocentralborsten; Mesopleuren mit 4, Sternopleuren mit 2 Borsten und einer Nebenborste in der vor- 524 TH. BECKER deren Ecke. Stirn mattschwarz, in Fühlerhöhe von halber Angenbreite ; Orbiten am Scheitel kaum etwas glänzend. Das schwarzgraue Unter¬ gesicht hat dieselbe Bildung wie die vorige Art jedoch ist im Profil die untere Wölbung etw^as schwächer. 4—5 Vibrissen. Hinterleib matt schwarz¬ braun mit deutlich auf die Bauchfläche umgeschlagenen Seitenrändern; der erste Ring ist schwarz, die anderen alle silberweiss ; der zweite deutlich länger als der dritte und vierte zusammen, beinahe so lang wie die 3 folgenden. Schüppchen weiss, mit hellem Rand und Wimpern. Flügel weisslich, Adern blassbraun ; FJiigelrand-Schlitz von grösserer Tiefe; der letzte Abschnitt der vierten Längsader l1 4 -mal so lang als der vorletzte. Beine schwarz ; Hinterschienen auf ihrer Hinterseite nur kurz bewimpert. 2 Va mm. lang. 11a Rh. leucogastra var. dispar cf. 3 Exemplare in Bezzi’ s Sammlung aus derselben Gegend wie die vorige. Der Stammform durchaus gleich bis . auf die abweichende Länge der Hinterleibsringe ; diese sind annähernd alle gleich lang, mit einer Reihe zarter Härchen an den Hinterrändern, sonst haarlos. 12. Rhynchomilichia pseudodecora n. sp. cf 2 . 1 Männchen und 3 Weibchen in Bezzi’ s Sammlung aus Nord- Amerika, Ti f ton. Männchen. Thoraxrücken und Seliildchen dunkel kaffeebraun, kaum etwas glänzend ; 2 hintere Dorsocentral-, 4 Mesopleuralborsten. Stirn schmal, mattschwarz, nur wenig nach den Fühlern hin konvergierend und hier von halber Augenbreite. Untergesicht schwarzgrau, die untere Hälfte im Profil kaum etwas vortretend ; 5 Vibrissen. Schwinger schwarz¬ braun, Schüppchen weisslich. Hinterleib matt kaffeebraun mit 2 silber¬ grauen Seitenflecken am fünften Ringe ; der zweite ungefähr so lang wie der dritte und vierte zusammen. Beine schwarz. Flügel faiiblos, kaum etwas grau. Äderung normal. Randader-Einsclrnitt kurz. 21 a mm. lang. (Taf. XII. Fig. 6.) Weibchen. Stirn in Fühlerhöhe nicht ganz von Augen breite. Hinterleib ganz matt schwarzbraun. Flügel etwas weisslich. 13. Rhynchomilichia palparis n. sp. . 1 Exemplar aus Paraguay, Asuncion in der Sammlung des Budapester Museums. Die auffallend grossen schwarzen Taster dieser Art lassen es vielleicht gerechtfertigt erscheinen, diese Art auf das weibliche Geschlecht alleine hin zu be¬ schreiben. Weibchen. Thorax matt schwarzgrau mit nur einem Dorsocentral- borsten-Paar ; 4 Mesopleuralborsten. Stirn und Untergesicht schwarzgrau und weissgrau, in Fühlerhöhe etwas breiter als das Auge ; im Profil steht das Untergesicht mit der unteien Ecke kaum vor mit nur einer Hauptmundborste, unter welcher noch einige kleinere stehen. Augen D]E DIPTEUEN-GEUPPE M1LICH1NAE. 525 pubescent. Das dritte Fühlerglied ist verhältnismässig gross mit einer sehr langen feinen Borste, die ungefähr 21 'a-mal so lang ist als die Fühler. Taster auffallend breit, ungefähr so gross wie die Fühler. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen weiss und weiss gesäumt. Hinter¬ leib matt schwarzgrau ; Hinterschienen an der Hinterseite fein bewimpert, was für ein Weibchen auffällig erscheint ; überhaupt ist das Thier ver¬ hältnismässig lang behaart ; man kann annehmen, dass sich das un¬ bekannte Männchen durch lange Behaarung besonders bemerkbar macht. Flügel weiss ; Adern ganz blass und sehr zart. Randader-Einschnitt sehr kurz. 2 mm. lang. 14. Rhynchomilichia anthracina n. sp. 5. In der Sammlung des Budapester Museums aus Paraguay, Asuncion. Thorax glänzend schwarz mit nur einem Dorsocentralborsten-Paar und 4 Mesopleuralborsten. Stirn seidenartig glänzend, in Fühlerhöhe nicht ganz von der Breite eines Auges. Augen nackt. Das Untergesicht ist dem der vorigen Art ähnlich, etwas ausgehöhlt und mit der unteren Ecke etwas vorstehend, ebenfalls nur mit einer stärkeren Mundborste. Taster wie gewöhnlich schwarz und verbreitert. Rüssel lang gekniet. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen weiss. Hinterleib glänzend schwarz, alle Ringe wie gewöhnlich bei den Weibchen gleich lang. Beine schwarz. Flügel etwas gelblich mit gelben normalen Adern ; Randader- Einschnitt kurz. 2 mm. lang. 15: Rhynchomilichia praesecta n. sp. cf. 2 Männchen aus Peru, Pachitea Mündung 150 m. hoch. Nov. 1903. Sammlung von Schnüse. Männchen. Thorax dunkel kaffebraun, kaum etwas glänzend mit nur einer Dorsocentralborste und 4 Mesopleuralborsten. Stirn matt¬ schwarz, in Fühlerhöhe nur von Vs der Augenbreite. Untergesicht unten nicht vortretend, in halber Höhe mit einer starken Vibrisse, unter der nur unbedeutende feine Härchen stehen. Taster schwarz, nicht besonders gross und nur wenig vortretend. Rüssel nicht besonders lang gekniet. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen dunkelbraun. Hinterleib von matt dunkelbrauner Kaffe färbe ; die Ringe sehr breit unter den Bauch ge¬ schlagen, so dass die äussersten Seitenränder sich dort berühren; der zweite Ring ist auf der umgeschlagenen Unterseite breit silberweiss be¬ stäubt, an den Seitenrändern ausnahmsweise nicht schwarz gefärbt ; die Silberfärbung kommt auch noch auf der Oberseite zum Vorschein und verläuft von den Hinterecken schräg nach der vorderen Mitte, so dass auf dem braunen Ringe 2 dreieckige Silberflecken am V orderrande er¬ scheinen; der dritte und vierte Ring sind ganz silberweiss, desgleichen das vordere Drittel des fünften Ringes ; der zweite ist so lang wie der dritte und vierte zusammen und auf seiner braunen Mitte ebenso wie 526 TH. BECKER die braune Spitze des fünften Ringes etwas behaart. Beine schwarz. Flügel glashell mit hellbraunen normalen Adern und kurzem Randader- Einschnitt. 2% — 3 mm. lang. (Taf, XII. , Fig. 4.) 15a. Rh. præsecta Yar. cf. 1 Exemplar von demselben Orte wüe die vorigen. Der Hinterleib ist in voller Breite flach ausgebreitet und der zweite Ring kaum etwas länger als die folgenden. Denkt man sich hier die Ringseiten umgebogen, was auf hg. (5) durch eine punktierte Linie angedeutet ist, und den zweiten Ring etwas verlängert, so wird man kaum einen Unterschied von der Stammform herausfinden. (Taf. XII., Fig. 5.) 16. Rhynchomilichia excelsior n. sp. cf . 2 Exemplare aus Bolivia : Mapiri Sarampioni 700 m. hoch. Febr. Sammlung von Schnuse. Männchen. Thorax schwarz, deutlich etwas bräunlich erzfarbig glänzend mit feiner Behaarung und 2 deutlichen langen Dorsocentral- und 4 Mesopleuralborsten. Stirn und Untergesicht schmal, erstere sammetschwarz, letzteres grau, in Höhe der Fühler von nur Vs Augen¬ breite. Gesicht ausgehöhlt und am Mundrande ein wenig dreieckig vor¬ tretend ; Haupt vibrisse über demselben in Vs der Gesichtshöhe. Taster deutlich etwas verbreitert ; Rüssel deutlich verlängert und gekniet. Schwinger und Schüppchen schwarzbraun. Hinterleib: die Ringe sind deutlich umgeschlagen; der erste Ring, die Vorderecken und der Seiten¬ rand des umgeschlagenen zweiten Ringes sowie 2/o des Endtheiles des fünften Ringes sind mattschwarz, letzterer mit glänzender schwarzer Spitze ; alle übrigen Ringe und Ringtheile sind silberweiss bestäubt ; der zweite Ring ist länger als der dritte und vierte zusammen ; die Behaarung der silberbestäubten Ringe ist äusserst weitläufig und nur auf ihrer hinteren Hälfte ; an der Spitze des fünften stehen einige längere schwarze Borsten. Flügel farblos mit feinen braunen Adern ; die beiden letzten Abschnitte der vierten Längsader sind fast gleich lang. Randader-Einschnitt kurz. 4 mm. lang. (Taf. XII., Fig. 7.) 17. Rhynchomilichia Robertsoni Cöquill. cf aus Florida. Black, including the halteres ; the front angles of third abdominal segment, a fascia at base of the fourth and whole of the fifth- except its apex, silvery white pruinose ; wings hyaline, costal incision small. Length 2 mm. Mit 2 Paar Dorsocentralborsten. 18. Rhynchomilichia prominens n. sp. cf. 2 Exemplare aus Peru, Chanchamayo und aus Bolivia, Mapiri Sarampioni 700 m. hoch. Januar und März. Sammlung von Schnuse. Eine Art, bemerkenswerte durch den deutlich etwas vortretenden Mundrand, die weit vorgestreckten Taster und den sehr lang geknieten Rüssel. DIE DIPTEREN- GRUPPE MILICHINAE. 527 Männchen. Düster schwarzbraun, etwas glänzend, mit 2 hinteren Dorsocentralborsten. Stirn mattschwarz, in Fühlerhöhe von halber Augen¬ breite. Untergesicht schwarz grau, ausgehöhlt und am Mundrande etwas aufgeworfen und im Profil vor der Augenlinie etwas vortretend mit einer stärkeren Vibrisse etwas über dem Mundrande und einigen schwächeren darunter. Taster schwarz, löffelförmig vorstehend. Eüssel etwas länger als gewöhnlich, der zurückgeschlagene Theil so lang als der Kopf hoch. Frontorbitalborsten normal. Schwinger und Schüppchen schwarzbraun. Hinterleib : erster Ring, die Seitenränder des zweiten umgebogenen Ringes und der fünfte mit Ausnahme eines schmalen Vorderrandes matt schwarzbraun ; zweiter, dritter, vierter Ring und der Vorderrand des fünften silberweiss; der zweite Ring länger als der dritte und vierte zusammen ; dritter auffallend schmal, höchstens % des zweiten und Vs des vierten Ringes lang; letzter Ring an den Seiten und an der Spitze beborstet ; Behaarung der silberschimmernden Flächen äusserst sparsam. Beine schwarz. Flügel wasserklar, Adern braun ; letzter Ab¬ schnitt der vierten Längsader nicht länger als der vorletzte. Randader- Einschnitt kurz. 2 Va mm. lang. (Taf. XII., Fig. 8.). Bei einem der beiden Exemplare ist der letzte Hinterleibsring breiter und dann auf a/s seiner Länge auch noch silberweiss gefärbt, ohne sonstige Unterschiede, also auch eine Variation in der Ausdehnung des silber- wTeissen Tomentes. Eine Vereinigung dieser beiden Männchen etwa mit dem unter Uh. anthradna beschriebenen Weibchen ist trotz Übereinstimmung der Kopf- und Tasterform nicht gut möglich, da bei diesem Weibchen die Schüppchen weiss, bei unseren Männchen aber schwarzbraun sind ; ausserdem sind bei letzteren die beiden Queradern weiter auseinander gerückt als bei irgend einer anderen Art. 19. Rhynchomilichia insecta n. sp. cf. 3 Exemplare aus Bolivia: Mapiri, S. Carlos 800 m. hoch. Sammlung von Schnuse. Eine der Rh. leuco g astra Lw. nahestehende Art, aber durch andere Hinterleibszeichnung und durch stärker behaarte Beine abweichend. Männchen. Thoraxrücken etwas matt kaffebraun mit 2 deutlichen hinteren Dorsocentralborsten. Stirn und Untergesicht mattschwarz, in Fühlerhöhe von halber Augenbreite. Frontorbitalborsten normal ; 4 Vi- brissen, deren oberste bis zur Gesichtsmitte aufsteigend. Untergesicht in ganz derselben Form wie bei Rh. argyrophenga, der untere etwas ge¬ wölbt vortretende Theil im Profil jedoch nicht sichtbar. Rüssel nicht besonders lang gekniet. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen weisslicli Hinterleib nicht oder kaum an den Seiten etwas umgebogen, mit Aus¬ nahme des ersten Ringes silberweiss bestäubt, aber auf allen Ringen TH. BECKER ,528 mit einer nur durch eine schmale helle mittlere Linie getrennte drei¬ eckige schillernde Binde am Hinterrande oder mit einem Doppelfleck, der nach beiden Seiten hin allmählig ausläuft, von graubrau schillern¬ der Färbung, welche erst dann recht zur Erscheinung kommt, wenn man das Thier von hinten her schräge betrachtet ; auf dem zweiten Binge fliessen diese beiden Flecken zu einem grösseren Mittelfleck zu¬ sammen und kommt hier die braune Grundfarbe voll zur Erscheinung; die weitläufige Behaarung ist auf die dunkleren Stellen beschränkt. Alle Binge von gleicher Länge. Bei einem der 3 Exemplare haben diese Hinterleibsflecken eine unbestimmtere Begrenzung. Beine schwarz, Hinter¬ schienen auf ihrer Hinterseite lang bewimpert. Flügel farblos, Adern blassbraun; letzter Abschnitt der vierten Längsader dem vorletzten an Länge gleich. Bandader-Einschnitt auffallend tief. 3 mm. lang. 20. Bhynchomilichia fasciventris n. sp. cf $ . 4 Exemplare aus Bolivia : Mapiri Sarampioni. 700 m. hoch. März. Sammlung von Schnuse. Männchen. Thorax schwarzbraun, etwas glänzend mit 2 hinteren Dorsocentralborsten. Stirn mattschwarz, Untergesicht schwarzgrau, in Fühlerhöhe von halber Augenbreite. Mundrand dreieckig, etwas vor¬ tretend, mit einer Hauptvibrisse. Taster etwas löffelförmig vortretend und der Büssel lang knieförmig umgebogen. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen braun gesäumt mit hellbräunlichen Wimpern. Hinterleib überwiegend matt kaffebraun mit weisser Zeichnung und unter den Bauch geschlagenen Seiten ; erster Bing schwarzbraun ; auf dem zweiten liegen 2 silberweisse Seitenflecke, die sich auf der Oberseite auch noch am Vorderrande entlang ziehen und auf der Mitte verlaufen; diese Seitenflecke sind in voller Binglänge auch noch auf der Unterseite sichtbar, laufen aber nicht ganz bis zum Seitenrande, der vielmehr ziemlich breit schwarz eingefasst ist; auch der dritte und vierte Bing haben schmale, auf der Mitte und an den Seiten erweiterte silberweisse Hinterrandssäume, die auf der Bauchseite die ganze Binglänge ein¬ nehmen wie am zweiten Binge und noch etwas breiter verlaufen als an diesem, ohne jedoch die Seitenränder ganz zu erreichen; der fünfte Bing ist ohne helle Zeichnung, aber mit einigen Seiten- und Endborsten versehen; der zweite Bing ist so lang wie der dritte und vierte zu¬ sammen. Beine schwarz, Hinterschienen zart bewimpert. Flügel farblos mit braunen Adern ; die beiden letzten Abschnitte der vierten Längs¬ ader fast gleich lang. Bandader-Eipschnitt kurz. 3— 3 Va mm. lang. (Taf. XII., Fig. 3.) Weibchen. Stirn am Scheitel und an den Orbiten etwas glänzend, in Fühlerhöhe nicht ganz von der Breite eines Auges. Hinterleib schwarz, nach der Spitze hin etwas glänzend. DIE DIPTEREN - GRUPPE MILICHINAE. 529 Bestimmung stab eile für die Arten der Gattung R gnchomilichia . Arten mit 3 deutlichen Dorsocentralborsten. .... ..... .... 1. Arten mit nur 1 -2 deutlichen Dorsocentralborsten . . .... 3. 1. Randader-Einschnitt sehr kurz. . . .... ... 2. Randader-Einschnitt sehr tief. Thorax mattschwarz, schwach grau bereift. Hinterleib unbestäubt, etwas glänzend. Flügel deutlich grau gefärbt. 3 — 3* 2 mm. lang. . . . I . .... indecora Lw. ç . 2. Hinterleib mit Ausnahme des ersten Ringes silberweiss, mit umgebogenen Seitenrändern ; zweiter Ring so lang oder länger als der dritte und vierte zusammen. . . . . .... . argyrophenga Schin. cf. Hinterleib, mit Ausnahme des ersten Ringes, silberweiss, ganz flach ; alle Ringe gleich lang. ... . . . . argyrophenga var. sororcula cf . 3. Männchen . . . . \IJ ilúj .... . . ..„ A 4. Weibchen. .... . . „„ ... . . .... .... U 14. 4. Alle Ringe, mit Ausnahme des ersten, silberweiss bestäubt. .... .... 5. Nicht alle Ringe so bestäubt. . .. .... . 7. 5. Auf allen Ringen eine in der Mittellinie unterbrochene graubraun schil¬ lernde Fleckenbinde. Hinterschienen lang bewimpert. insecta n. sp. cf. Ringe ohne graubraun schillernde Fleckenbinden, einfach silberweiss. Hinterschienen nur zart bewimpert. . . ..„ .... 6. 6. Zweiter Hinterleibsring länger als der dritte und vierte zusammen. leucogastra Lw. cf. Alle Ringe annähernd gleich lang . . leucogastra var. dispar cf. 7. Dritter und vierter Ring ganz silberweiss. .... . . .... . 8. Dritter und vierter Ring nicht ganz silberweiss. .... .... .... . . 11. 8. Zweiter Hinterleibsring auf der Mitte mit grossen halbkreisförmigen schwarz¬ braunen Flecken auf silberweissem Grunde. .... .... .... .... .... .... ; .... 9. Zweiter Hinterleibsring ganz silberweiss, höchstens die Yorderecken etwas schwarzbraun. Mundrand etwas dreieckig vortretend. . .... .... 10. 9. Ringseiten unter den Bauch geschlagen ; zweiter Ring so lang wie der dritte und vierte zusammen. .... . . L praesecta n. sp. cf. Alle Ringe ganz flach ausgebreitet und annähernd gleich lang. praesecta var. cf. 10. Stirn sammetschwarz ; dritter und vierter Hinterleibsring gleich lang. Grössere Art von 4 mm. Länge. .... . . excelsior n. sp. cf. Stirn mattschwarz ; vierter Ring fast dreimal so lang als der dritte ; kleinere Art von 2^/a mm. Länge. . prominens n. sp. cf. 11. Dritter und vierter Ring ganz mattschwarz. _ .. . _ _ 12. Dritter und vierter Ring schwarz und weiss gezeichnet. . . 13. 12. Der ganze Hinterleib mattschwarz ; nur der fünfte Ring mit 2 silbergrauen Seitenflecken. . . A . . . . ... pseudodecora n. sp. cf. 13. Erster und zweiter Ring ganz schwarz; dritter, vierter und fünfter mit Annales Musei Natioualis Hungarici. V. 34 530 TH. HECKER silberweissen Vorderrandsbinden, von denen die auf dem dritten Ringe auf der Mitte unterbrochen ist. . . ... Robertsoni Coquill. cf. Erster und fünfter Ring ganz schwarz ; zweiter, dritter und vierter mit schmalen weissen, an den Seiten und auf der Mitte herabgezogenen Yorder¬ randsbinden. „„ ..... . fasciventris n, sp. cf. 14. Mundrand ein wenig dreieckig vortretend. Thoraxrücken glänzend schwarz. 15. Mundrand nicht vortretend, Thoraxrücken bestäubt, matt, .16, 15. Schüppchen schwarzbraun; mittelgrosse Art von 3 mm. Läuge, fascwfcnirjs n. sp. ç . Schüppchen weisslich ; kleine Art von 2 mm. Länge. anthracina n. sp. £ , 16. Thoraxrücken grau bestäubt. Taster und Fühler grösser als gewöhnlich Fühlerborste länger als gewöhnlich; stark behaarte Art, palparis n. sp. 9. Thoraxrücken kaffebraun. Taster und Fühler von gewöhnlicher Grösse, Fühlerborste von gewöhnlicher Länge, Stirn und Orbiten am Scheitel etwas glänzend, Behaarung nicht auffällig. ... pseudodecora n. sp. £ . 21. Milichia longiseta n. sp, £ . 1 Exemplar ans Paraguay, Asun¬ cion, Mai. Sammlung des Budapester Museum. Ich will hier die Beschreibung dieser abweichenden Form ein¬ schalten, welche wahrscheinlich den T}^pus einer neuen Gattung dar¬ stellen wird, die ich aber auf ein einziges Weibchen nicht errichten will. Man würde dasselbe zur Noth noch zu den Rhynchomilichinen rechnen können, wenn eben der Rüssel verlängert und nicht ganz kurz wäre. Augenhinterrand ist derselbe, auch Meso- und Stern opleuren sind in ähnlicher Weise beborstet ; w^as dies Thier ausser dem kurzen Rüssel noch besonders auszeichnet, ist der borstige Habitus mit allenthalben stärkeren und längeren Borsten ; dies tritt namentlich auffällig hervor an den Mesopleuren und bei der Fühlerborste ; ausserdem sind die Frontorbitalborsten von etw~as anderer Anordnung. Taster klein. Weibchen. Thorax mit Schildchen und Brustseiten matt graubraun mit rauher Behaarung und 3 starken Dorsocentralborsten wie bei Ri;, argyrophenga Schin. Mesopleuren mit 3 Borsten und mehreren feinen Haaren ; die oberste Borste ist doppelt so lang als die andern und steht senkrecht vom Körper ab. Sternopieuren mit 2 Borsten. Kopf matt grau¬ braun, Orbiten und Untergesicht mehr gelbgrau ; letzteres in Fühler¬ höhe etwas breiter als das Auge, das deutliche Pubescenz zeigt. Yon Frontorbitalborsten bemerkt man eine oberste nach hinten geneigte, dann 2 nach aussen, ferner noch 2 nach innen geneigte ; auf der Stirn¬ fläche endigen die beiden Kreuzborstenreihen mit 2 stärkeren Borsten. Fühler röthlicli mit sehr langer, feiner, nackter Borste; auch das zweite Fühlerglied ist stärker beborstet. 4 — 5 ziemlich gleich starke Yibrissen steigen bis zur Gesichtsmitte empor und stehen auf Leisten; die deut- Dili DIPTEREN -GRUPPE MILICHINAE. 531 lieh über der etwas vertieften Gesichtsfläche hervorragen. Taster klein, rostgelb. Eüssel sehr kurz. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen hell¬ braun. Hinterleib matt schwarzgrau. Schenkel rostbraun, Schienen und Tarsen rostgelb ; Hinterschienen auf der Mitte verdunkelt, desgl. das letzte Tarsenglied. Flügel deutlich graubraun gefärbt, am Vorderrande braun ; letzter Abschnitt der vierten Längsader doppelt so lang als der vorletzte. Einschnitt am Flügelvorderrande sehr lang. VU mm. lang. Milichiella. Giglio-Tos, Annal. Soc. Ent. Fr. (1895) 367 (15). Dipt, des Séchelles. Type: M. argentea G. Tos (nec Fbr.). Ophthalmomyia Willist., Trans. Ent. Soc. London (1896) 426. Type: 0. lac- teipennis Lw. Stenoporomyia Hendel, Wien. Ent. Z. XXII. 250 (1903). Type : St TiefH Mik. Gattung skarakter. In der Kopfform weicht diese Gattung zunächst von Milichia sein- stark ab insofern, als der hintere Augenrand in Fühlerhöhe einen deut¬ lichen Ausschnitt zeigt, in den die Hinterkopffläche hineindrängt und ihn so ausfüllt. Hie Augen sind als nackt zu bezeichnen. Die Meso- pleuren sind wie bei Milichia ohne Borsten ; von Sternopleuralborsten stehen 2 in der oberen Reihe, mitunter tritt noch eine schwächere dritte hinzu. Dann zeigt das Männchen noch eine bedeutsame Unter¬ scheidung insofern, als der erste Hinterleibsring auf seiner Mitte zipfelförmig über den zweiten Ring hinauswächst, welcher Zipfel dann auf dem hinteren Theil des zweiten Ringes in seiner Fortsetzung gewöhnlich als Falte oder Grat weiterläuft und sich vielfach auch noch durch besondere Färbung kenntlich macht. Dorsocentralborsten wechseln in der Zahl von 1 —2. Von den Flügeladern sind die dritte und vierte Längsader gewöhnlich deutlich konvergent, seltener parallel ; die Quer¬ adern sind einander näher gerückt als bei Milichia. Rüssel in der gewöhnlichen kurzen Form. Stirn und Untergesicht konvergieren mehr oder weniger stark nach den Fühlern hin ; erstere zeigt gewöhnlich oben nur die beiden divergierenden Frontorbitalborsten, mitunter noch eine mehr und darunter noch 2 längere nach innen geneigte. Wangen nicht hervortretend; Vibrissen hoch hinaufsteigend. Taster nicht beson¬ ders gross. -34* 532 TH. BECKER Bestimmung stab elle für die Arten dev Gattung 31 ili ehi ella* Mannáim. Schwinger weiss oder gelb, .... A. .... . \. Schwinger schwarzbraun, „„ ... 4. 1. Hinterleib schwarz, obenauf matt, an den Seiten und am fünften verlän¬ gerten Ringe metallisch glänzend ; Flügel weiss, dritte und vierte Läügs- ader stark konvergierend, .... . . . .... 2. Hinterleib schneeweiss, erster Ring schwarz. . .... .... 3. 2. Zweiter Hinterleibsring am hinteren Seitenrande mit einem silberweissen Fleck . ... .... „. híddala n. sp. rf. Zweiter Hinterleibsring ohne solchen Fleck, .... lacteipomis Lw. cf. 3. Dritte und vierte Längsader konvergierend. .... . arcuata Lw. cf. Dritte und vierte Längsader parallel. . . pärva Macq, cf. 4. Thoraxrücken und Hinterleib sammetschwarz, fünfter Ring glänzend schwarz mit 2 silberweissen Seitenflecken. . .... .... velutina n. sp. cfv Thoraxrücken stark glänzend, schwarz, unbestäubt. 5. Thoraxrücken schwarzbraun bestäubt, schwach glänzend. ... 6.. 5. Hinterleib schwarz, . seidenartig glänzend ; zweiter und fünfter Ring ver¬ längert ; fünfter Ring mit 2 silbergrauen Seitenflecken, bimaculata n. sp.cf . Hinterleib, mit Ausnahme des ersten, des Yorderrandsaumes des zweiten und der Spitze des fünften Ringes, silberweiss ; 2 Dorsocentralborsten- Paare. Schüppchen braun. .... . . argyrogastra Perris cf. Hinterleib, mit Ausnahme des ersten und zweiten Ringes, silberweiss be¬ stäubt. 1 Dorsocentralborsten-Paar. Schüppchen weiss. . tricincta n. sp. cf. 6. Beine nebst Tarsen ganz schwarz . .... .... . .... . . . 1. Tarsen rostgelb. . .... .... . ... ... ... „ . 9. 7. Hinterleib ganz mattschwarz; letzter Ring glänzend. ... aberrata n. sp. cf. Hinterleib, mit Ausnahme des ersten und der äussersten Spitze des fünften Ringes, silberweiss. . . .... . .... .... 8. 8. Schüppchen braun. Orbiten am Scheitel und das Ocellendreieck glänzend ; letzter Abschnitt der vierten Längsader zweimal so lang als der vor¬ letzte . .... . argentea Fbr. cf. Schüppchen ganz weiss. Orbiten am Scheitel und Ocellendreieck gleich- massig matt; letzter Abschnitt der vierten Längsader nur 1 Vs-mal so lang als der vorletzte. ... A . Tosi n. sp. cf. 9. Zweiter Flinterleibsring sammetschwarz ; dritter, vierter und fünfter Ring desgl. mit silberweissen Vorderrandbinden. .... ... cingulata n. sp. cf. Zweiter Hinterleibsring silberweiss, jedoch Vorderrand und Seitenrand schmal schwarz ; dritter, vierter und fünfter Ring ebenfalls silberweiss, ohne Behaarung; Spitze des fünften schwarz. Schienen schwarz, nudiventris n. sp. cf. DIE DIPTEREN- GRUPPE MILICHINAE. 533 Zweiter Hinterleibsring ganz silberweiss, auch der dritte und vierte ; der fünfte ist matt schwarzbraun ; die Einge an den Hinterrändern mit schwar¬ zen Haaren. Schienen an der Wurzel und Spitze rostgelb dimidiata Wied. cf. Weibchen. Schwinger weiss oder gelblich. „„ 1. Schwinger schwarzbraun. . . ... .... 3. 1 . Taster schwarz. . „„ . „r, l . . 2. Taster weiss. Thoraxrücken grau bestäubt mit 5 schwarzen Längslinien. Hinterleib schwarzbraun, etwas glänzend. cinerea Coquill. . 2-, Thoraxrücken glänzend schwarz. Hinterleib obenahf mattschwarz ; Seiten und der verlängerte fünfte Ring metallisch glanzend. Flügel weiss, dritte und vierte Längsader stark konvergierend. .... . ; lacteipennis Lw. 2. Thoraxrücken matt schwarzbraun, Hinterleib desgl., fünfter King verlän¬ gert. glänzend. . • unicolor Meutere $ . 3. Beine ganz schwarz. Thoraxrücken schwarz, schwach glänzend. Hinterleib matt schwarz, letzter Ring glänzend. aberrata n. sp. j . Beine schwarz, Ivniee und Tarsen rostgelb. Thorax rücken schwarz, erz¬ farbig glänzend. Hinterleib obenauf mattschwarz, Seitenränder und der fünfte Ring glänzend kupferfarbig. Erste Längsader dicht am Flügelvorder¬ rande mit einem braunen Flecken. ' vidua n. sp. 22. Milichiella lacteipennis Lw. cf Ç aus Kuba, Hawai, Porto- Ei co. Wie es scheint, eine gemeine Form von grosser Verbreitung; ich fing sie auf den Kanarischen Inseln und sah Exemplare aus Peru, Heu-Guinea und Java; sie ist also auf 3 Kontinenten heimisch. Männchen. Thorax glänzend schwarz, ohne Bestäubung, auch das Schildchen, mit feiner Behaarung und nur einer hinteren Dorsocentral- borste. Stirn schwarz, seidenartig glänzend ; das schmale Ocellendreieck stark glänzend. Frontorbitalborsten oben 2 + 1, unten 2 nach innen geneigte. Vibrissen 7 — 8 bis an den Fühlern hinaufsteigend. Unter¬ gesicht schmal, in Fühlerhöhe nur von $8 der Augenbreite. Taster, Fühler und Rüssel schwarz. Augen nur mikroskopisch pubescent. Hinter¬ leib an den Seiten deutlich etwas umgebogen, obenauf mattschwarz, an den Seiten mit dem letzten verlängerten j Ringe metallisch glänzend; der fünfte . Ring ist länger als der dritte und vierte zusammen und an den Seiten ziemlich lang behaart. Schwinger hellgelb, Schüppchen weiss. Beine schwarz, kurz behaart. Flügel milchig getrübt, Adern blass. Rand¬ ader bis zur zweiten Längsader kurz schwarz gedornt, wie auch bei al' en übrigen Arten; vierte Längsader zur dritten an der Spitze stark aufbiegend; letzter Abschnitt der vierten lV^-mal so lang als der vor¬ letzte. 2 JA — 3 mm. lang. 534 TH o BECKER Weibchen. Breite des Untergesichts in Fühlerhöhe nicht ganz. Angenbreite erreichend, sonst kein Unterschied. 23. Milichiella argyrogastra Perris cf. Synonym: Tieft Mik verisimiliter. Süd- Europa. Ich fand 3 Exemplare in der Loew’ sehen Sammlung, welche, aus Bozen stammend, von ihm als Lobioptera n. sp. argentata i. litt, be¬ zeichnet waren. Perris bescheibt seine Art wie folgt : «Un pieu m’attire, il est du tilleul; sous son écorce vermoulue je receuille 2 larves et quelques pupes de Muscides. 8 jours après j’obtiens 3 individus d’un charmant diptère acalypt. qui m’est inconnu. Il a 3 mm. de long, il est d’un beau noir luisant avec l’abdomen d’un magnifique blanc d’argent brillant et satiné, sauf l’extrémité du dernier segment qui est noir, ainsi qu’une ligne longitudinale sur le milieu du ventre; premier article des tarses fauve; ailes parfaitement limpides. Je le rapporte au genre Milichia et s’il est nouveau, je lui donne le nom d’argyrogastra. » Männchen. Thoraxrücken und Brustseiten glänzend schwarz, Schild¬ chen etwas matt, Behaarung schwarz und etwas grob. 1 — 2 hintere Dorsocentralborsten. Stirn und Untergesicht schwarz, in Fühlerhöhe nur von Vs der Augenbreite, erstere am Scheitel etwas glänzend ; ausser den beiden divergierenden Frontorbitalborsten oben keine, unterhalb 2. Augen nackt. Fühler, Taster und Schwinger schwarz, Schüppchen braun, dunkel gesäumt. Hinterleib matt schwarzbraun am ersten und zweiten Binge, jedoch ist der Hinterrand des zweiten, sowie der dritte, vierte und eine breite Yordei randbinde des fünften Ringes silberweiss ; die Seitenränder des letzteren lang schwarz behaart. Zweiter Bing etwas verlängert, so lang wie der dritte und vierte zusammen. Die Hinter¬ leibsringe sind an den Seiten umgebogen, so dass der schwarze Bauch als mittlere Längslinie erscheint, wie dies Perris wohl so aufgefasst hat. Beine schwarz. Flügel wasserklar, dritte und vierte Längsader schwach konvergierend, letzter Abschnitt der vierten zweimal so lang als der vorletzte. Adern blass gelbbraun. 27a— 3 mm. lang. Es ist hiernach sehr wahrscheinlich, dass M. argyrogastra Peer. mit Tieft Mik zusammenfällt; der einzige Unterschied in der Beschrei¬ bung von Perris besteht in den rothen Metatarsen, allein dies ist nur die Färbung bei unreifen Individuen und dass Perris solche vor sich gehabt hat, geht aus seiner Schilderung hervor. 24. Milichiella bimaculata n. sp. cf. Yon mir auf Gran-Canaria gefunden. Männchen, Thoraxrücken und Brustseiten glänzend schwarz ; 2 hin¬ tere Dorsocentralborsten-Paare. Stirn und Untergesicht mattschwarz, in DIE DIPTEREN-GRUPPE MILICHINAE. 535 Fühlerhöhe yon ungefähr halber Augenbreite; Augen nackt; Fühler und Taster schwarz, letztere ziemlich weit vorragend. Schwinger schwarz, Schüppchen braun, dunkler gesäumt. Hinterleib an den Seitenrändern kaum etwas umgebogen, mattschwarz mit sehr feinen hellen Hinter¬ rändern auf den 3 mittleren Eingen ; zweiter und fünfter Eing verlän¬ gert, ungefähr so lang wie der dritte und vierte zusammen; am fünften 2 matt silberweisse grosse Seitenfiecken. Beine schwarz, Tarsen rost¬ braun. Flügel wasserklar, Adern gelbbraun; dritte und vierte Längsadern deutlich etwas konvergierend; letzter Abschnitt der vierten Längsader fast zweimal so lang als der vorletzte. 2 i,4 mm. lang. (Taf. XII, Fig. 1.) 25. Milichiella arcuata Lw. cf. Aus Nord- Amerika. Loew beschreibt seine Art wie folgt : «Atra, nitida, pedibus concoloribus, abdomine præter segmentum primum niveo, halteribus albidis, alis albis, venæ longitudinalis quartæ segmento ultimo arcuato, ita ut cellula posterior prima anguste tantum aperta sit. Long. corp. HA lin. - — Long. al. HA lin.» Loew vergleicht M. arcuata mit der von ihm beschriebenen Rhynchomilichia leucogastra, auf deren abweichende Gattungscharaktere er damals noch nicht aufmerksam geworden. Ferner giebt Loew der Vermuthung Eaum, dass seine Lolnoptera lacteipennis villeicht nur das Weibchen von arcuata sei. Wir wissen heute, dass diese Vermuthung nicht zutreffend ist. Nach Coquillet’s mir gemachten Angaben hat M. arcuata 2 hin¬ tere Dorsocentralborsten-Paare. 26. Milichiella parva Macq. cf. Von der Insel Bourbon. «Thorace nigro. Abdomine argenteo. Alis albis (Tab. 36; fig. 1). Long. 1. lin. cf. Face très-étroite, noire. Front, antennes et thorax noirs. Abdomen d’un blanc argenté. Ventre brun, à incisions noires. Pieds noirs. Balanciers jaunâtres. Ailes entièrement hyalines.» Ich glaube, dass diese Art hier am besten neben M. arcuata Lw. aufgeführt wird ; ich würde sie für identisch mit arcuata Lw. halten, wenn Macquart’s Zeichnung von den Flügeln nicht eine auffallende Ab¬ weichung zeigte : die dritte und vierte Längsadern laufen bei Macquart’s M. parva entschieden parallel, während sie ebenso entschieden bei arcuata Lw. konvergieren. 27. Milichiella cinerea Coquillet j . Von Porto-Bico. «Head black, opaque, gray pruinose, antennae black, the lower portion of the base of the third joint yellowish, palpi yellow, proboscis black, the labella yellowish, rather robust, and only slightly prolonged ; thorax and scutellum black, opaque, gray pruinose, mesonotum marked with five black vittae, of which the median one is prolonged almost 536 TH. BECKER across the scutelhim, bristly hairs of mesonotum arising from minute black dots, front end and lower portion of the pleura almost desti¬ tute of the gray pruinosity ; abdomen subopaque, brownish black : legs brownish black, halteres light yellow, wings whitish, the costal and first veins yellowish, the others white. Length D5 mm. A single speci¬ men, collected at Bayamon in January. Although aberrant in its mar¬ kings, this species possesses all of the important structural characters of the proceding.» Diese Art hat nur 1 Paar Dorsocentralborsten. 28. Milichiella unicolor Meijere 5 . Yon Kamerun, Victoria. Weibchen. Thorax matt graubraun mit nur einem Paar Dorso¬ centralborsten. Stirn schwarz, kaum etwas grau, so breit wie das Auge. Untergesicht grauschwarz, nicht ganz so breit wie das Auge. Frontorbital¬ borsten normal. Yibrissen nur bis zur Mitte des Gesichts reichend, 4 — 5 an der Zahl und dort mit einer stärkeren abschliessend. Fühler und Taster schwarz, Schwinger und Schüppchen weiss. Hinterleib matt schwarz- braun,, letzter Bing glänzend schwarz. Beine schwarz, Tarsen rostbraun. Flügel weisslich, Adern blassgelb ; dritte und vierte Längsadern konver¬ gierend; letzter Abschnitt der vierten Längsader reichlich 1 Vs- mal so lang als der vorletzte. 2 mm. lang. Im Übrigen siehe die ausfürliche Be¬ schreibung bei Meijere. 29. Milichiella argentea Fabr. cf. Süd-Afrika, Neu-Guinea. Synonym : M. melaleuca Lw. Mit Bezug auf die Identität beider Arten verweise ich auf das, was ich darüber in der Einleitung gesagt habe. Männchen. Thorax, Schildchen und Brustseiten mattschwarz, kaum etwas glänzend mit 2 hinteren Dorsocentralborsten. Stirn und Unter¬ gesicht mattschwarz, nur das Scheiteldreieck und die Orbiten oben glän¬ zend. Untergesicht sehr schmal, von Vs der Augenbreite. Fühler, Taster und Schwinger schwarz, Schüppchen braun, dunkel gesäumt. Hinterleib mit Ausnahme des ersten Binges, des äussersten Seitenrandes des um¬ gebogenen zweiten sowie eines schmalen Hinterrandsaumes des fünften Binges silberweiss ; zweiter Bing verlängert, so lang wie der dritte und vierte zusammen. Beine schwarzbraun. Flügel farblos, Adern gelbbraun ; dritte und vierte Längsadern konvergierend ; letzter Abschnitt der vierten ungefähr zweimal so lang als der vorletzte. 2 Vs mm. lang. 30. Milichiella Tosi n. sp. cf . Synonym : M. argentea Giglio-Tos (nee Fabr.). Von den Sechellen-Inseln. Diese Art des Giglio-Tos hat in der That grosse Ähnlichkeit mit der des Fabricius. Wie Bezzi festzustellen die Güte hatte, unterscheidet sie sich durch weisse (nicht braune und braun gesäumte) Schüppchen, durch die ganz matte Stirn (nicht glänzend am Scheitel) und durch DIE DIPTEREN- GRUPPE MILICHINAE. 537 •grössere Entfernung der beiden Queradern von einander. Im Übrigen wird in der ganzen Färbung des Körpers wohl ziemliche Übereinstim¬ mung vorhanden sein. Yon M. parva Macq. ist sie durch die dunklen Schwinger geschieden. 31. Milichiella lucidula n. sp. cT. Aus Peru, Callanga, Sammlung des Budapester Museums, und aus Bolivia, Sorata, '2300 m. hoch, Dezemb. Sammlung von Schnuse. Männchen. Thorax, Schildchen und Brustseiten glänzend schwarz mit 2 hinteren Dorsocentralborsten-Paaren. Stirn mattschwarz, am Scheitel mit dem Scheiteldreieck seidenglänzend mit den normalen Frontorbital¬ borsten. Augen nackt. Untergesicht schwarzgrau, kaum von halber Augenbreite. 7 — 8 Yibrissen bis zu den Fühlern hinaufsteigend. Fühler, Taster schwarz. Schwinger hellgelb, Schüppchen weiss. Hinterleib glän¬ zend schwarz, die äussersten Seitenränder kaum etwas umgebogen mit silbergrauen Seitenflecken am Hinterrande des zweiten Binges, die mitt¬ leren Ringe obenauf matt ; zweiter und fünfter Bing je 1 Vs-mal so lang als der dritte und vierte zusammen ; die Seitenränder der Binge ziem¬ lich lang schwarz behaart. Beine schwarz. Flügel farblos, Adern gelb¬ lich, dritte und vierte Längsadern deutlich konvergierend, letzter Ab¬ schnitt der vierten fast zweimal so lang als der vorletzte, 2 Vs — 3 mm. lang. Das Thier hat recht viel Ähnlichkeit mit M. lacleipennis Lw. Die Männchen sind ja immerhin durch die Zeichnung des Hinterleibes leicht zu unterscheiden, bei den Weibchen wird es recht schwierig sein. 32. Milichiella nudiventris n. sp. c? . Ein Männchen aus Bolivia, Mapiri Sarampioni 700 m. hoch. Febr. Sammlung von Schnuse. Männchen. Thorax, Schildchen und Brustseiten matt, dunkel kaffe- braun mit 2 hinteren Dorsocentralborsten-Paaren. Stirn sammetschwarz, ganz matt auch am Scheitel. Frontorbitalborsten normal. Untergesicht dunkelgrau, sehr schmal, nur von VÏ — 1 4 der Augenbreite. 6 — 7 Yibrissen. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen braun, dunkel gesäumt. Hinterleibs¬ ringe breit unter den Bauch zusammengeschlagen ; am ersten Binge, am äussersten Yorderrande des zweiten, an dem Seitenrande des zweiten und dritten und an der letzten Hälfte des fünften Binges matt schwarz¬ braun ; zweiter, dritter, vierter und die vordere Hälfte des fünften silberweiss; zweiter Bing so lang wie der dritte und vierte zusammen, der fünfte ist kaum länger als der vierte. Was diesen Hinterleib aus¬ zeichnet, ist seine vollkommene Haarlosigkeit der silberweissen Fläche, die bei anderen Arten sonst immer etwas behaart erscheint. Beine schwärz ; Tarsen rostgelb, nur das letzte Glied verdunkelt. Flügel farblos, Adern hellbraun ; dritte und vierte Längsader kaum etwas konvergie- 538 TH. BECKER rend, der letzte Abschnitt der vierten fast doppelt so lang als der vor¬ letzte. 3 mm. lang. 33. Milichiella dimidiata Wied, cf ans Surinam, Cordua. Männchen. Die Art hat Ähnlichkeit mit der soeben beschriebenen M. nudiventris. Kopf und Thorax bieten keine Unterschiede, auch Schwinger und Schüppchen sind schwarz braun. Am Hinterleibe sind der erste und fünfte King mattschwarz, der zweite, dritte und vierte silberw7eiss ; der zweite ist so lang wie der dritte und vierte zusammen, aber auch der fünfte ist mindestens so lang wie der zweite. Die Ring¬ ränder sind alle deutlich behaart im Gegensatz zu M. nudiventris. An den Flügeln sind die dritte und vierte Längsader auch parallel, aber die Queradern liegen näher zusammen : der letzte Abschnitt der vierten Längsader ist 2Va-mal so lang als der vorletzte. Die schwarzen Beine sind an Schienen und Tarsen rostgelb, jedoch zeigen erstere auf ihrer Mitte eine bräunliche Binde. 2 mm. lang. Anmerkung. Die Type befindet sich unter Nr. 116 im Frankfurter Museum und wurde mir durch Herrn Dr. Sack zur Ansicht freundlichst vermittelt. 34. Milichiella cingulata n. sp. cf . 3 Männchen aus Peru : Pichis, Puerto Bermudes. Dezemb. 1903. Sammlung von Schnuse. Männchen. Thorax, Schildchen und Brustseiten matt schwarzbraun mit 1 — 2 Dorsocentralborsten. Stirn ganz mattschwarz, Untergesicht schwarzgrau, V* — Vs des Auges breit. 6 — 7 Vib rissen. Fühler, Taster und Schwinger schwarz, Schüppchen braun, dunkler gesäumt. Hinterleib am ersten Ringe matt schwarzbraun, die Seitenränder ein wenig um¬ geschlagen, am zweiten Ringe und den folgenden obenauf sammet¬ schwarz ; dritter, vierter und fünfter Ring am Vorderrande silberweiss, zweiter und fünfter Ring sehr lang, dritter und vierter sehr kurz. Beine schwarz ; Tarsen rostgelb mit verdunkelten Endgliedern. Flügel deutlich etwas braungrau getrübt ; Adern braun ; dritte und vierte Längsadern annähernd parallel; letzter Abschnitt der vierten '2Va-mal so lang als der vorletzte. 2 mm. lang. (Taf. XII, Fig. 2.) 35. Milichiella aberrata n. sp. cf j . Ein Pärchen in der Samm¬ lung des Herrn Schnuse, allerdings aus verschiedenen Gegenden und Zeiten, aber bei ganz gleicher Flügelbildung und den allgemeinen Fär¬ bungsverhältnissen sicher zugehörig. Das cf aus Bolivia: Sorata in 2300 m. Höhe, Dezemb. 1902; das Ç aus Peru: Rosalina, Urubambafluss, Aug. 1903. Männchen. Thorax, Brustseiten und Schildchen dunkel erzfarbig, etwas glänzend; nur eine hintere Dorsocentralborste. Stirn und Unter¬ gesicht matt schwarzbraun, in Fühlerhöhe von halber Augenbreite. 6 — 7 Yibrissen. Fühler, Taster und Schwinger schwarzbraun, Schüppchen DIE DIPTERE N - G RU PPE M1LICH1NAE. 539 hellbraun. Hinterleib an den Seiten kaum umgebogen, schwarz, auf der Oberseite matt, fast sammetartig mit etwas helleren, grau schimmernden Hinterrandssäumen, ohne bestimmte Begrenzung ; die Seitenränder der Binge und der fünfte sind metallisch glänzend ; zweiter und fünfter etwas verlängert, mit verhältnismässig langen Borstenhaaren an den Seitenrändern. Beine schwarzbraun. Flügel schwach graubräunlich, nicht ganz farblos; Adern braun; dritte und vierte Längsader schwach kon¬ vergierend; letzter Abschnitt der vierten dreimal so lang als der vor¬ letzte, ;2;Va mm. lang. Weibchen. Thoraxrücken fast ganz mattbraun. Stirn und Unter¬ gesicht in Fühlerhöhe nicht ganz von Augenbreite. Schüppchen hell¬ bräunlich. Beide Quer- und Längsadern ebenso einander genähert wie beim Männchen. Hinterleib matt schwarzbraun, letzter Bing glänzend. 36. Milichiella velutina n. sp. cf. 2 Männchen aus Peru: Bosalina, Urubambafluss, Aug. 1903. Sammlung von Schnuse. Eine sehr karakte- ristische Art. Männchen. Thoraxrücken sammetschwarz, Brustseiten etwas glän¬ zend, auch das Schildchen zeigt schwachen Glanz, nur ein Paar hin¬ terer Dorsocentralborsten. Stirn sammetschwarz, Untergesicht schwarz, in Fühlerhöhe von reichlich 1/a Augenbreite mit 7 — 8 aufsteigenden Borsten. Der Augenrand-Einschnitt am Hinterkopfe verläuft deutlich bis an die untere Augenecke. Fühler, Taster und Schwinger schwarz, Schüppchen schwarzbraun. Hinterleib an den Seiten kaum etwas um¬ gebogen, sammetschwarz; der fünfte Bing an der Spitzenhälfte metal¬ lisch glänzend und an den Seiten mit je einem grossen silbergrauen Flecken. Beine schwarz. Flügel deutlich etwas schwarzgrau gefärbt ; Adern braun, dritte und vierte Längsadern deutlich etwas konvergie¬ rend, letzter Abschnitt der vierten 2 Va — 3-mal so lang als der vorletzte. Bandader- Einschnitt, wie bei allen Arten, nur kurz. 23/4 — 3 mm. lang. 37. Milichiella vidua n. sp. . Aus Peru : Urubambafluss, Umahuan- kiali, Sept. 1903. Sammlung von Schnuse. Bei der karakteristischen Färbung des Weibchens wird das noch unbekannte Männchen leicht zu erkennen sein. Weibchen. Thorax. Brustseiten und Schildchen glänzend schwarz, erzfarbig mit nur einer hinteren Dorsocentralborste. Stirn seidenartig glänzend, schwarz mit etwas stärker glänzenden Orbiten und Scheitel¬ dreieck. Lunula und Fühler rothbraun. Untergesicht schwarzgrau, in Fühlerhöhe so breit wie das Auge, mit 4 — 5 Vibrissen. Taster rostgelb. Schwinger schwarz, Schüppchen weiss. Hinterleib glänzend kupferfarbig, die mittleren Binge obenauf etwas matt und ungefähr gleich lang; der fünfte verlängert, reichlich so lang als der dritte und vierte zusammen. 540 TH. BECKER Behaarung schwach. Beine schwarz ; Kniee, Schienenwurzeln und Tarsen mit Ausnahme des letzten Gliedes rostgelb. Flügel glasartig mit hell¬ braunen Adern ; vierte Längsader an der Spitze ziemlich stark bogen¬ förmig mit der dritten konvergierend; letzter Abschnitt der vierten doppelt so lang als der vorletzte; erste Längsader dicht vor ihi er Mün¬ dung am Bande mit braunem Fleck. 2\4 mm. lang. 38. Milichieila tricincta n. sp. d . 4 Exemplare aus Chile. Arica, Novemb. 1902. Sammlung von Schnuse, Männchen,. Thorax, Schildchen und Brustseiten ganz glänzend schwarz mit nur einer hinteren Dorsocentralborste. Stirn sammetschwarz mit deutlich glänzendem Scheiteldreieck und Orbitalleisten. Stirn- beborstung normal. Untergesicht schwarz, in Fühlerhöhe halb so breit wie das Auge, mit 4—5 Vibrissen. Fühler, Taster und Schwinger schwarz, Schüppchen weisslich. Hinterleib : erster und zweiter Bing mattschwarz, dritter, vierter und fünfter silberweiss bestäubt, Spitze des fünften Binges glänzend schwarz ; zweiter und fünfter verlängert, so lang als der dritte und vierte zusammen. Beine schwarz. Flügel weisslich, Adern blass ; dritte und vierte Längsadern an der Spitze deutlich konvergierend : letzter Abschnitt der vierten SVa — 3-mal so lang als der vorletzte. 2 mm. lang. Eccoptomma nov. gen. von r/.xÓTCTsiy, = anschneiden und ~6 = das Auge. Augenhinterrand in Fühlerhöhe mit einem Ausschnitt. Ivopf in Form und Beborstung wie bei Milichieila. Hinterleib beim Männchen ebenfalls mit dem dreieckig verlängerten ersten Binge. Die Unterschiede liegen in der Behaarung und Beborstung des Thorax, Welche einen ganz anderen Charakter angenommen haben. Die Behaarung auf dem Bücken ist sehr weitläufig und grob mit 4 deutlichen Dorsocentralborsten, die dazwischenstehenden spärlichen Akrostikalbörstchen sind annähernd ebenso lang und stark; dann haben die Mesopleuren 3 starke Borsten in der oberen Beihe, denen vielfach sich hoch eine vierte zugesellt. Die Queradern der Flügel sind genähert wie bei Milichieila, die dritte und vierte Längsader aber bei allen 3 Arten dieser Gattung parallel. Hiernach hat die Ausscheidung aus der Gattung Milichieila wohl ihre Berechtigung und darf Eccoptomma als Unter Gattung angesehen werden. ; TÍ DTE DIPTERE N - G RU P i ’IT MIL1CHINAE. 541 Bestimmung stab elle der Arten . Hinterleib ganz oder vorzugsweise schwarz. . 1. Hinterleib ganz oder fast ganz silberweiss. . 2. 1 . Hinterleib ganz matt schwarz, Spitze etwas glänzend. Thoraxrücken schwarz¬ grün, sçhwach glänzend, Flügel farblos. . „„ concavum n. sp. cj> . Hinterleib matt braunschwarz ; dritter, vierter und fünfter Eing mit einer .silberweissen Vorderrandsbinde ; der zweite Eing mit Flecken auf dem umgebogenen Seitentlieil. . . frontale n. sp. cf. 2. Hinterleib breit, Seitenränder kaum umgebogen ; erster Eing und Seiten - rand des zweiten schwarz ; zweiter Eing nicht länger als der dritte und vierte zusammen. „„ „„ . montanum n. sp. cf. Hinterleib schmal, Seitenränder umgebogen ; erster Eing, Seit'enrand des zweiten und die hintere Hälfte des fünften schwarzbraun ; zweiter Eing länger als der dritte und vierte zusammen. / ■ concavum n. sp. cf. 3d. Eccoptomma montanum n. sp. cf. Eine Beihe von Exemplaren in Schnuse’s Sammlung' aus Pein, Cuzco 3300 — 4200 m. hoch, aus Chile und Bolivia, Sorata 2300 m. hoch. Sept., Okt., Dezemb. Männchen. Thoraxrücken schwarz, matt oder wenig glänzend mit schwachem schwarzbraunen Beif; zwischen den beiden Eeihen der Dorsocentralborsten stehen längere Haare in nur 4 — 5 unregelmässigen Eeihen. Stirn sammetschwarz, ausser den beiden divergierenden Front¬ orbitalborsten oben noch eine dritte darüber, unten zwischen feinen Härchen noch 2 längere nach innen geneigte. Stirn in Höhe der Fühler von halber Augenbreite. Untergesicht mattschwarz mit 6 — 7 hoch hinauf steigenden Vibrissen. Fühler, Taster und Schwinger schwarz, Schüppchen schwarzbraun. Hinterleib flach und breit; erster Eing und Seitenrand des zweiten schwarz, die übrigen Hinge und Bingtheile silberweiss, an den Hinterrändern mit einer Beihe zarter schwarzer Börstchen ; der zweite Bing kaum so lang wie der dritte und vierte zusammen ; die 3 letzten Binge ungefähr von gleicher Länge. Hypopygium oben silber¬ weiss bestäubt. Beine schwarz. Flügel farblos, Adern braun ; dritte und vierte Längsader annähernd parallel, letzter Abschnitt der vierten 2 Va -mal so lang als der voi letzte. . SU/a — 3 mm. lang. 40. Eccoptomma concavum n. sp. cf £ . Verschiedene Exemplare in Schnuse’s Sammlung aus Chile, Santiago. Novemb. Männchen. Thorax schwarz mit matt erzfarbigem Glanze. Stirn mattschwarz, von halber Augenbreite in Höhe der Fühler. Frontorbital¬ borsten wie bei der vorigen Art. Untergesicht schwarz mit 8 — 9 Vibris¬ sen. . Drittes Fühlerglied sehr klein, schwarz, Taster und Schwinger desgl., Schüppchen braun. Hinterleib verhältnismässig schmal, da die 542 TH. BECKER Seitenränder breit nmgebogen sind ; der erste Eing und der Vorderrand des zweiten, der der Form des ersten folgend, spitz dreieckig fast bis an den Hinterrand des zweiten reicht, sind matt schwarzbraun : zweiter, dritter, vierter und die vordere Hälfte des fünften Ringes sind silber- weiss ; des letzteren hintere Hälfte schwarzbraun mit silberweisser Spitze ; der zweite Ring ist sehr lang, so lang wie die 3 folgenden zusammen ; ausser den Rändern der Ringe ist auch die" Fläche des zweiten Ringes weitläufig schwarz behaart. Beine schwarz, Flügel ähnlich so gefärbt und geadert wie bei der vorigen Art. 2 Va — 3 mm. lang. Weibchen. Stirn ungefähr von Augenbreite. Hinterleib matt¬ schwarz. Ringe von gleicher Länge. Variante aus Chile : der zweite Ring ist bis auf °2 Seitenflecken von der silberweissen Färbung entblösst und schwarzbraun. Diese Art zeichnet sich von der vorigen nicht nur durch die um¬ gebogene Form des Hinterleibes, und die verschiedene Länge der Hinterleibsringe aus, sondern auch durch die dabei Hand in Hand ge¬ hende andere Färbung und Behaarung der Ringe. Man wird daher diese Form nicht lediglich als Variante anzusehen haben. 41. Eccoptomma frontale n. sp. cf. Aus Chile, Coronei. Sept. Sammlung von Schnuse. Männchen. Thorax matt kaffebraun mit der dieser Gattung eigen- tliümlichen Bebor stung und Behaarung. Stirn sammetschwarz ; Unter - gesicht schwarz, ungefähr von halber Augenbreite. Schwinger schwarz¬ braun, Schüppchen hellbraun mit dunklem Rand und Wimpern. Hinterleib matt kaffebraun ; zweiter Ring stark verlängert ; dritter, vierter und fünfter ziemlich gleich lang und am Vorderrande mit schmalen silber¬ farbenen Säumen, die an den Seiten breiter werden und sich in ganzer Ringlänge vereinigen ; der fünfte Ring hat ferner noch eine silbergraue Spitze und auf dem unter den Bauch geschlagenen Theil des zweiten Hinterleibsringes sieht man noch einen isoliert stehenden weissen Fleck. Beine schwarz, Flügel farblos ; Adern und der Vorderrandsaum schwarz¬ braun; letzter Abschnitt der vierten Längsader dreimal so lang als der vorletzte. 2 Va mm. lang. Anmerkung. Ich sah ein Exemplar dieser Art in der Sammlung des Senckenbergischen Museums in Frankfurt a M. aus Valparaiso, als Tephritis argentea Fbr. bestimmt. Pseudomilichia nov. gen. Augenrand am Hinterkopf in Höhe der Fühler ohne Einkerbung, aber mit einer flachen Abbiegung oder Absatz, der bis an den Augen- DIE DIPTEREN- GRUPPE MILICHINAE. 543 Unterrand verläuft. Gesicht und Stirn an der Fühlerwurzel etwas ver¬ engt. Frontorbitalborsten oben 2+1, unten 3; Yibrissen bis dicht an die Fühlerspitze emporsteigend. Taster und Plüssel nicht besonders gross oder verlängert, ähnlich wie bei Milichia s. str. 4 Mesopleural¬ borsten ; 2 starke Sternopleuralborsten, neben denen mitunter noch einige Nebenborsten stehen. Der erste Hinterleibsring des Männchens ist den zweiten gegenüber grade abgegrenzt, nicht dreieckig übergrei- fend. Am nächsten verwandt in Kopf- und Flügelbildung erscheint die Gattung Milichia , von der sie die Ausbildung des hinteren Augenrandes und die Beborstung der Mesopleuren trennt. 42. Pseudomilichia Schnusei n. sp. cf. Aus Peru, Meshagua. Okt. und aus Bolivia, Mapiri, S. Antonio 1000 m. hoch. Febr. 1903. Diese grosse schöne Art sei dem verdienstvollen Erforscher so vieler neuer Süd-Amerikanischer Formenkreise zu Ehren benannt. Männchen. Thorax matt kaffebraun mit 2 hinteren Dorsocentral- borsten-Paaren. Stirn mattschwarz, an den Fühlern von halber Augen¬ breite ; Untergesicht schwarzgrau mit 5 — 6 gleichstarken Yibrissen ober¬ halb des Mundrandes ; das dritte Fühlerglied schwarz, klein, mit feiner nackter Borste. Rüssel, Taster und Schwinger schwarz, Schüppchen hell¬ braun mit dunklem Saum und hellen Wimpern. Hinterleib oben silber- weiss ; die umgebogenen Seitenränder des zweiten, dritten und vierten Ringes schwarzbraun, in gewisser Richtung auch weissgrau schimmernd und dicht schwarz behaart ; der erste Ring schwarz ; die silberfarbige Oberseite ist nur an den Hinterrändern sparsam und zart schwarz ein¬ reihig beborstet; der zweite Ring ist so lang wie der dritte und vierte zusammen. Beine schwarz ; Schenkel und Schienen etwas stärker behaart als gewöhnlich. Flügel zart gelbbräunlich gefärbt, namentlich an der Wurzel und am Yorderrande; dritte und vierte Längsadern parallel; die hintere Querader bildet mit der fünften Längsader einen ziemlich spitzen Winkel; der letzte Abschnitt der vierten Längsader ist 1 Va — l3A-mal so lang als der vorletzte. 5XA — 6 mm. lang. 43. Pseudomilichia implicata n. sp. cf. Aus Peru: Pichis, Puerto Bermudes, Dezemb. 1903. Sammlung von Schnuse. Männchen. Schwarzbraun, matt, kaum etwas glänzend mit nur einer hinteren Dorsocentralborste ; 2 starke Sternopleuralborsten ohne Nebenborsten. Stirn mattschwarz, in Fühlerhöhe von halber Augenbreite. Untergesieht matt schwarzgrau mit 6 — 7 Yibrissen. Schwinger schwarz¬ braun, Schüppchen hellbraun mit dunklerem Saum. Hinterleib am ersten und fünften Ringe matt schwarzbraun, die mittleren Ringe silberweiss, auch bis zum äussersten umgebogenen Rande am Bauche, auf dem sie zusammenstossen ; der zweite Ring ist verlängert, so lang wei die 544 TH. BECKER 3 folgenden Einge zusammen ; die mittleren an den Hinterländern fein aber weitläufig schwarz behaart. Beine mattschwarz. Flügel wasserklar; letzter Abschnitt der vierten Längsader L/k-mal so lang als der vor¬ letzte. 2 Va mm. lang. Ulia nov. gen. von oòArj '= Narbe. Augenhinterrand in Höhe der Fühler mit einem Einschnitt, der bis an die untere Augenecke verläuft. Augen nackt. Kopf beim Männ¬ chen halbkugelförmig, beim Weibchen durch grössere Längenausdehnung weit kugeliger. Thorax und Stirn stark runzelig gefurcht und punktiert. Stirn am Scheitel breit, nach den Fühlern hin erheblich verengt. Front¬ orbitalborsten oben 2 + 1, unten 2, aber alle sehr zart, nur haarförmig. Stirn lang, Untergesicht kurz : Mundrand wulstig etwas vortretend, Yibrissen bis zu den Fühlern hinaufsteigend ; Taster nur wenig vor¬ stehend. Eüssel sehr lang mit langen schmalen zurückgeschlagenen Saugflächen. Thorax kahl mit den gewöhnlichen, aber sehr zarten Börst- chen. Mesopleuren nackt; Sternopieuren mit 2 Borsten. Hinterleib kahl, nur an der Spitze des letzten Ringes mit einigen Borstenhaaren. Die Beine zeichnen sich ebenfalls durch grosse Kahlheit aus ; Hinterbeine kräftig. Flügel ganz nackt auf ihrer Fläche ; während man bei den übrigen Gattungen selbst unter, der Lupe deutlich schon Behaarung Wahrnimmt; dritte und vierte Längsader konvergierend; der erste Hin¬ terleibsring greift auf der Mitte etwas dreieckig auf den zweiten über. 44. Ulia pœcilogastra n. sp. cf 5 . Ein Pärchen in Schnuse’s Sammlung aus Peru, Pichis und Eo salina ; Oktob.. Dezemb. Mcinnhcen. Thoraxrücken und Schildchen schwarz, von seiden¬ artigem Glanz, deutlich längsgefurcht und punktiert; die Härchen sind aber so kurz, dass sie selbst mit einer scharfen Lupe nicht zu sehen sind ; nur eine hintere Dorsocentralborste. Brustseite glänzend schwarz. Stirn längsgefurcht und punktiert, metallisch glänzend, oben so breit wie ein Auge, in Fühlerhöhe aber nur 1 4 so breit. Fühler klein, in halber Augenhöhe einsetzend. Untergesicht sehr schmal, unter den Fühlern ausgehöhlt, unten breit wulstig etwas vortretend, schwarz, mit 5 — 6 Vibrissen; der lang gekniete Eüssel etwas vorstehend, das Knie fast so lang wie der Kopf hoch. Schwinger schwarzbraun, Schüppchen ausser¬ ordentlich klein, braun. Hinterleib von glänzend schwarzer Grundfarbe mit stahlblauen Reflexen und silbergrauer Zeichnung : der erste Ring ist ganz schwarz, der zweite ungefähr so lang wie der dritte und vierte zusammen; er hat in der Nähe des Vorderrandes eine silbergraue Quer- DIE DIPTEREN “GRUPPE MILICHINAE. 545 binde, die fast bis zur halben Kinglänge reichend nach den Seiten hin ausläuft; auf dem am Bauche umgeklappten Theile dieses Ringes sieht man ferner noch ein kleines weisses Fleckchen ; der dritte und vierte Ring sind mit silbergrauer Bestäubung fast ganz bedeckt, an ihren Hinterrändern stehen kleine schwarze kreisförmige Flecken, die den Hinterrand berühren ; offenbar stehen auf diesen die gewöhnlichen Randhaare, jedoch sind sie bei ihrer Kürze kaum zu sehen; auch der umgebogene Theil dieser beiden Ringe ist silbergrau bestäubt bis nahe an den Seitenrand; der fünfte Ring so lang wie die beiden vorherge¬ henden zusammen, ist glänzend schwarz mit einer silbergrauen Vorder¬ randsbinde. Die Bauchplatten sind verhältnismässig breit, glänzend schwarz und deutlich schwarz behaart. Beine glänzend schwarz und kurz behaart. (Hinterbeine fehlen.) Tarsen rothgelb, die beiden letzten Glieder verdunkelt. Flügel ganz glashell, nackt mit feinen gelblichen Adern ; der vordere Einschnitt ist nicht besonders tief, an dieser Stelle sind aber die Randader und die erste Längsader schwarz gefleckt; dritte und vierte Längsader an der Spitze deutlich konvergierend ; letzter Ab¬ schnitt der vierten Längsader l'Vi — l3A-mal so lang als der vorletzte. 3 mm. lang. (Taf. XII, Fig. 9 — 11.) Weibchen. Die Augen sind erheblich kugeliger als beim Männ¬ chen ; die Stirn hat in Fühlerhöhe nicht ganz die Breite eines Auges. Hinterleib glänzend schwarz, wie poliert, auf seiner Oberfläche ohne Haare, nur am Ende des stark verlängerten fünften Ringes, der so lang ist wie die 3 letzten Ringe zusammen, sieht man längere schwarze Haare. Von den Beinen sind die Hinter-Schenkel und Schienen etwas verdickt. Unbestimmte Arten . Milichia tamaricis Bigot, cf Ç . Long. : 2 mm. 1h. — Capite fulvido ; antennis fulvis ; vertice cine- rascente ; thorace scutelloque cinereo-flavido, pleuris obscure pictis ; abdomine modo rufo carneo, pallide cinereo-tessellato ; incisuris et apice nigris, modo cinerascente, segmentis late fusco-vittatis, vittis in medio anguste interruptis ; pedibus fulvis, femoribus pallide fusco tinctis ; alis fere hyalinis. Tête d’un jaunâtre pâle; antennes fauves; vertex grisâtre; thorax, écusson pruineux et d’un gris jaunâtre, les flancs un peu brunâtres; l’ abdomen paraît tantôt gris avec de larges bandes transversales interrompues au milieu de chaque segment, tantôt d’un gris un peu rougeâtîe, avec les incisions et l’extrémité brunâtres; pieds fauves; cuisses légèrement teintées de grisâtre; ailes presque hyalines. Gabès, juin ; abondant sur les tamarix. Tunis. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 35 546 TH, BECKER Milichia minuta Walker d\ Mas. Nigra; abdomine argenteo subtus piceo thorace valde latiori, alis cinereis. Male. Black. Head whith short black bristles. Eyes large. Antennae black, much shorter than the face, third joint round; arista simple short. Abdomen bright silvery above, piceous beneath, much broader and a little longer than the thorax. Wings cinereous ; veins and halteres black ; discal transverse vein straight, parted by nearly its length from the border and hy twice its length from the praebrachial transverse vein. Length of the body 1 1 4 line ; of the wings 2 lines. Wie schon in der Einleitung erwähnt, lässt sich Milichia tamaricis Bigot ohne Type nicht deuten ; die Beschreibung macht eher den Eindruck, als wenn eine Drosophila vorläge. Auch Milichia minuta Walker, die aber sicher in unseren Formenkreis hineingehört, ist viel zu allgemein beschrieben. Nach den mir seitens des Herrn E. E. Austen gewordenen Mittheilungen ist die Type in den Samm¬ lungen des Britischen Museums nicht mehr zu finden und wird daher auch diese Art ein Räthsel bleiben. * Nachträglich, während vorstehende Zeilen schon im Drucke waren, erhielt ich durch die Freundlichkeit des Prof. Dr. M. Bezzi Kenntnis von dei' schönen, nachstehend näher beschriebenen amerikanischen Milichine, die ich meinen Arbeiten zwar nicht mehr im Zusammen¬ hänge einreihen konnte, die mir aber doch so interessant schien, dass ich sie in Wort und Bild hier einzuschalten für werth erachte. Eusiphona Coquill. Revis. Tachin. Canad. Ent. XXX. 49 (1897). Diese Milichinen-Gattung hat Coquillet zuerst 1. c. als eine Tachine beschrieben, dann aber pag. 53 in einer Note zu den Agromyzinen gestellt. Sie ist interessant um deswillen, weil der Flügelvorderrand bei der Einmündung der Hilfsader zwar gebrochen, in der Flügelfläche selbst aber kein Einschnitt zu sehen ist, so dass diese Gattung den Übergang zwischen den von uns gebildeten beiden Abtheilungen mit geschlitztem und ungeschlitztem Flügelrand darstellt, indem sie sich im Übrigen eng an die Formen der eigentlichen Milichinen ( Lobioptera olim) anschliesst. Gattung sharaht er. Kopf im Profil stark halbkugelig mit sehr grossen nackten Augen, deren Hinterrand ohne Einschnitt verläuft. Fühler wie gewöhnlich ; das DIE DIPTERE N- GRUPPE MILICHINAE. 547 dritte Glied mit nackter, kurzer, an der Wurzel etwas verdickter Borste. Mundrand kaum etwas vortretend, hoch hinaufgezogen, bis dicht unter die Fühler. Die Yibrissenleisten sind mit kurzen Börstchen nur bis zum Mundrande versehen, die sich aber nach unten bis zur hinteren Augenecke fortsetzen. Was dem ganzen Thier sein karakteristisches Gepräge verleiht, ist der sehr lange peitschenförmig gekniete schlanke Rüssel, dessen erster und zweiter Theil gleich lang und beide erheblich länger sind als der Kopf hoch. Taster klein. Die Stirn (das mir vor¬ liegende Stück ist ein Weibchen) ist ver¬ hältnismässig schmal, kaum von der Breite des halben Auges, fast gleich breit in das nur wenig verbreiterte Untergesicht verlaufend, im Profil gewölbt und nur wenig vortretend ; ausser den Scheitel¬ borsten stehen auf jeder Seite je 10 kür¬ zere Frontorbitalborsten gleichmässig ver¬ theilt; die sogenannte Kreuzborstenreihe auf der Stirnfläche ist sehr deutlich aus¬ geprägt. Thoraxrücken mit unregelmässiger kurzer Behaarung, 2 Reihen hinterer Dorsocentral- und 4 Schildborsten. Meso¬ pleuren nackt ; Sternopieuren mit nur einer starken Borste in der hinteren Ecke. Beine gewöhnlich. Flügel in der gewöhn¬ lichen Form mit Yorderrand-Bildung wie oben angegeben ; dritte und vierte Längsadern stark konvergierend. Eusiphona mira Coquillet j . Nord- Amerika. Thoraxrücken schwarzbraun bereift, kaum etwas glänzend, schwarz behaart. Brustseiten aschgrau. Kopf schwarz ; die schmalen Orbiten und Wangen seidenartig weissgrau schillernd ; die mittlere Stirnstrieme dunkel rothbraun, bei schräg einfallendem Licht auch hell seidenartig schillernd. Fühler, Rüssel, Taster schwarz. Schüppchen blassbraun, hell bewimpert, Schwinger schwarz. Hinterleib schwarzbraun mit schwach metallischem Schimmer; der erste Ring gradlinig begrenzt; der zweite ist nur wenig verlängert, der fünfte stärker verlängert und zwar so lang als der dritte und vierte zusammen; die schwarze Behaarung ist kurz und dicht. Beine nackt, schwarz mit etwas rostrothen Tarsen. Flügel wasserklar mit feinen Adern ; der letzte Abschnitt der vierten Längsader doppelt so lang als der vorletzte. 4 mm. lang. Fig. 2. Kopf von Eusiphona mira Coquill. 35* 548 TH. BECKER In der zweiten Gruppe der Milichinen, wie ich sie in der Ein¬ leitung karakterisiert habe, kann ich noch je eine neue Art der Gattung Desmömetopci Lw. und Meoneura Rond, hinzufügen. Desmometopa fascifrons n. sp. cf 5 . 1 cf , 2 $ bei Ajaccio auf Korsika. Mit ihrer Stirnbildung gehört diese Art in die Nähe von D. latipes Meig. und simplicipes Beck; von ersterer trennen sie die einfachere Färbung der Tarsen und beim cf die einfachen, nicht ver¬ breiterten Hinterschienen : von simplicipes die graubraunen, nicht milchweissen Flügel; von allen Arten unterscheidet sie sich dann noch durch die nicht nackte, sondern deutlich pubescente Fühlerborste. cf 5 . Thorax von schwarzer Grundfarbe, auf dem Rücken durch braungraue Bestäubung matt, kurz schwarz behaart mit einem Paar hinterer Dorsocentralborsten. Kopf und Untergesicht von der gewöhn¬ lichen Form; die untere kleinere Hälfte der Stirn ist intensiv gelbroth, die obere matt schwarzbraun, an der scharfen Grenze beider Hälften liegt eine mattschwarze Querbinde. Stirn beim cf reichlich so breit wie ein Auge, beim £ U/s-mal so breit. Untergesicht und Backen gelb, weissgrau bestäubt ; Taster rostgelb, an der Spitze geschwärzt. Fühler gelb, drittes Glied klein, braunroth mit langer, deutlich pubescenter Borste. Brustseiten mattgrau. Schwinger gelb. Hinterleib durch schwarz¬ braune Bestäubung etwas matt, nach der Spitze hin allmälig etwas glänzend, kurz schwarz behaart; letzter Ring lVa-mal so lang als der vorletzte. Hypopygium des cf klein, kugelig vorstehend, schwarz. Beine nebst Vorderhüften rostgelb; Schenkel mit breiten schwarzbraunen Bin¬ den; die Vorderschienen tragen 2 sehr schmale braune Ringe auf der Mitte; die Mittelschienen sind im Ganzen dunkler, jedoch kann man die beiden dunkleren Ringe (gegen das Licht betrachtet) noch sehen ; Hinterschienen mit Ausnahme ihrer Wurzel und Spitze schwarz und nicht verbreitert; Tarsen mit verdunkeltem Endgliede alle rostgelb. In der Färbung und Zeichnung der Beine ist zwischen cf und 5 kein wesent¬ licher Unterschied. Flügel etwas bräunlich mit braunen Adern; letzter Abschnitt der vierten Längsader ziemlich dreimal so lang als die Ent¬ fernung beider Queradern von einander. 2 — 3 mm. lang. Meoneura glaberrima n. sp. cf Ç . Ein Pärchen bei Vizzavona auf Korsika. 11Ü0 m. hoch; Mitte Juni. Während unsere bekannte M. obscur ella Fall, auf dem Thorax¬ rücken durch braune Bestäubung deutlich matt ist und auch nur am Hinterleibs ende etwas Glanz zeigt, ist unsere Art an allen Körpertheilen gleich glänzend schwarz ; die einzige Ausnahme bildet die schwarze Stirnfläche, die nur matt seidenartigen Schimmer zeigt, so dass sich das glänzende Scheiteldreieck, welches auch grösser als bei D. obscurella DIE DIPTEBEN-GRUPPE MILICHINAE. 549 ist, deutlich abhebt; der äusserste Vorderrand der Stirn ist etwas gelb¬ lich. Schwinger elfenbeinweiss. An den Flügeln ist weder in Form, Äderung, noch Färbung ein Unterschied von M. obsrurella zu finden. 1 mm. lang. ERKLÄRUNG VON TAFEL XII. Fig. 1. Milichiella bimaculata cf. Hinterleib. « 2. « cingulata cf. « « 3. Rhynchomilichia fasciventris tf . Hinterleib. « 4. « praesecta cf. « « 5. (( « var \ cf. « « 6. (( pseudodecora cf • « « 7. (( excelsior cf • « « 8. « prominens cf . « « 9. Ulici poecilogastra cf- Hinterleib. « 10. « « cf. Kopf. « 11. « « cf. Flügel. ALPHABETISCHES VERZEICHNIS der bisher sichergestellten Arten mit ihren Varietäten und Synonymen. Seite aberrata Beck. .... .... „„ .... .... .... albomaculata Beck . .„. . ,. anthracina Beck. .„. .... „„ ..„ .... arcuata Lw. .„. .... .„. .... .„ .... argentea Fbk. .... .„. „„ .„ .„ . argyrogastra Perris .... .... li .... argyrophenga Schin. ™ .... bimaculata Beck . . .„. canariensis, var. speciosa Mf.ig _ cinerea Co quill. ™ __ ™ cingulata Beck.™ .... „„ „„ .... „„ .... -concavum Beck. ™ . . .... .... decora Lw. .„. .... .... .... .... - ... ... . dimidiata Wied. .... . . . dispar, var. leucogastra Lw. ..„ .... excelsior Beck . .... .... .„. .... .... fasciventris Beck. „ ..... \ .... frontale Beck.™ .... ™ .„ .... ' .... „„ implicata Beck.... .„. ._. .... .... indecora Lw. .... ™ .„. .... .... ,1, .... insecta Beck. .... .... . ... .... .... lacteipenni s Lw . „. . ... .„. . leucogastra Lw. .... „„ . .... ..„ longiseta Beck. „.. . .. ... .... .... lucidula Beck. .... .... . „. .... Indens Wahle. ™ . „ .„ Milichiella . .... .... .... ... .... 538 Milicliia . .... .... .... 518 Rhynchomilichia .... .... ™ .... 525 Milichiella .... ™ .... .... .... 535 « .„ .... .... .... .... .... ... .536 « .... .... .... .... 534 Rhynchomilichia .... .... .... .... ... 521 Milichiella . .„. „ 534 Milicliia . .... 517 Milichiella . .... .... .... 535 « . . . ™ . . 538 Eccoptomma . .„. ... 541 Milichia .... . . . .... 517 Milichiella ™ ™ .... ™ .... S 538 Rhynchomilichia _ _ _ .... 524 « .... .... .... .... ... . 526 « .... '... .... ™ .... 528 Eccoptomma . .... .... ~. 542 Pseudomilichia . . . . . 543 Rhynchomilichia . .... . 523 « .... fei .„. .527 Milichiella . .... X .„. 533 Rhynchomilichia .... .... .... .... 523 Milichia .... . .... .„. .... .... 530 Milichiella .... .... _ .... .... ..„ .... 537 Milicliia ..„ ™ . . . . 517 550 TH. BE CEE li margaritata Mik = speciosa Meig. marginata Mik - speciosa Meig. .... melaleuca Lw. = argentea Fbr. jjg „„ mira Coquill. .... .... .... .... .„. .... .„ mixta Beck. .... „„ .... „„ .... .... .... •. montanum Beck. .... .... „„ .... nitida Beck. .... .... _ .... .... nudiventris Beck. .... .... .... .... .... .... palparis Beck. .... .... 'jj. palposa Zett. == ludens Wahlb. parva Macq. . „ .... .... .... pœcilogastra Beck . .... .... .... . posticata Beck. .... .... .... .... .... .... præsecta Beck. .... . _ .... .... prominens Beck. . .... .... ^ pseudodecora Beck . .„. .... . pubescens Beck. .... .... .... .... .... .... Robertsoni Coquill. . .... .... .... .... Schnusei Beck. .... .... .... m .... .... sororcula, var. argyrophenga Schin . speciosa Meig. jL .... ..„ .... .... ..„ Tieű Mik = argyrogastra Perris . Tosi Beck. .... . _ .... .... JL tricincta Beck . ... .... .... .... .... .... unicolor Meijere .... .... .... .... .... .... velutina Beck. ..„ .... _ .... ... .... |B vidua Beck. .... .... R .... .... Seite Milichia .... L* .... .... 516 « .... ™ m ;.... 516 Milichiella . .... .... 536 Eusiphona .„. „.. ..„ -.. .... .„ 547 Milichia .... ........ .... . 518 Eccoptomma . . .... .._ .... .... 541 Milichia ‘ .... .„. .... .... .... ..„ ..„ 520 Milichiella || .... Ê X .„. J 537 Rhynchomilichia ... .„. .... .„. .... 524 Milichia.... ™ .... .... ... .... ..... 517 Milichiella . . . .... _ .... 535 Ulia... ... .... .... . . .„. .... .... 544 Milichia .„. .... .... .„. .... .... .... 520 Rhynchomilichia .... .... .... .... .... 525 « ..... . 526 « _.. .... ... 524 Milichia . .... .... .... .... .... 519 Rhynchomilichia . ..„ .... .... .... 526 Pseudomilichia .„. .... .... .... ..„ 543 Rhynchomilichia ..„ .... ' .... 521 Milichia .... „. .... .... ..„ .... .... 516 Milichiella .... „.. .„. .„. „J .... .„. 534 « .._ .... .„. ™ .... .„. 536 « .... . .... .... i .... 540 « . .„. .... .... .... _ 536 « .... .„. .... .... .... .... ..... 530 « .... .... . .... .... .„ m 530 V. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGAPJCL 1907. INSECTORUM MESSIS IN INSULA CRETA A LUI). BIRÓ CONGREGATA. I. Orthoptera recensuit D. Kuthy. Ludovicus Bíró anno 1906 inde ab initio mensis Februarii usque ad finem mensis Augusti in insula Creta Insectorum colligendi causa commoravit. Hæc Insecta nunc Musei Nationalis Hungarici propria sunt. Superficies insulæ Cretæ altitudines diversas in se complectens, oras variæ naturæ præbet. Canea (Ch ani a græcorum recentiorum), Herakleion (C a n d i a latinorum et Megaloklastron olim) cum Dhia, insula parva exadversum sita, oras littorales manifestant ; Amari , sub montibus, faciem collinam nobis ostentat, dum Antrum Jovis, locus mythologicus dei puerilis, in 1500 m. altitudine seriei Montium Idse (Ps il or iti) regionem subalpinam représentât; Omalos, planities alla parva in serie Montium Aspro-Ahma (Leuka-Ori græcorum novorum) circa 1050 m. altitudinis regionem similem seu pariter subalpinam in conspectum profert. In cacuminibus Idæ et Aspro- Yuna, in regione alpina, Orthopterorum pauca vivunt. Ex insula Creta Orthopterorum hucadusque nonnisi 29 species notæ erant, nunc vero 50 species subtus nominatæ enumerantur. Forficulidae. 1. Forficula auricularia Lin. — Ad Antrum Jovis et ad Omalos in regione subalpina sub lapidibus communis; ceterum in insula non reperta. 2. « lurida Fisch. — Herakleion, Antrum Jovis. 3. « aetolica Br. — Ad Amari specimen unicum die 6. mensis Julii. JBlattidae. 4. Aphlebia maculata Schreb. — Antrum Jovis, cum speciebus sequen¬ tibus in florenti Berberide cretica capta. 5. « sa r dea Serv. — Antrum Jovis. 552 D. KUTHY 6. Aphlebia brevipennis Fisch. — Antrum Jovis et Canea. 7. « trivittata Sérv. — Canea. 8. Ectobia livida Fabe. — Amari. 9. Blatta germanica L. — Canea, in domibus. 10. Loboptera decipiens Germ. — Canea, Ins. Dhia, Amari. In regione littorali sub lapidibus ubique frequens. 11. Periplaneta americana L. — Herakleion, in domibus. 12. Polyphag a aegyptiaca L. — Herakleion. Specimen unicum die 10. Maii nocte ad lucem volans. Mantidae . 13. Bolivaria brachyptera Pall. — Ad Caneam mense Julio (2., 18., 25.) in graminibus altis sabuleti lecta. 14. Ameles adjecta Cyrillo. — In regione littorali non rara. Usque ad finem Maii solum larvæ, mensibus Junio et Julio autem imagines repertae. In montibus insulae Dhia frequentior in arbustis spiniferis, ad Herakleion et Amari rarior. 15. « Heldreichi Br. — Prope Caneam Chalepæ montibus aridis rara. Acridi idae. 16. Tettix depressus Bris. — Canea. 17. Paratettix meridionalis Bamb. — Canea, Herakleion. 18. Tryxalis nasuta L. — Ad Caneam et Herakleion praecipue in sabu¬ letis gregatim volitans. 19. « uhguiculata Ramb. — Canea, Herakleion, Amari; in agris vitam solitariam agens. 20. Platypterna pruinosa Br. — In agris aridis Caneæ rara. 21. Stenobothrus Birbi n. sp. — In planitie subalpina ad Omalos (1050 m. altit.) inter frutices spinosos solum passim, sed gregatim saltitans. 22. « bicolor Charp. — Canea, Herakleion, Ins. Dhia, Amari- 23. Stauronotus maroccanus Thunb. — Herakleion. 24. Epacromia thalassina Fabr. — Ad Caneam solum in pratis humidis. 25. « strepens Latr. — Canea, Herakleion, locorum aridorum incola. 26. Sphingonotus coerulans L. — Herakleion, Omalos. Communis usque ad regionem subalpinam. 27. Acrotylus insubricus Scop. — In sabuletis littoralibus Caneæ jam INSECTORUM MESSIS IN INSULA CRETA CONGREGATA. 553 mense Februario imagines hibernantes, æstate autem gre- gatim, sed semper sabuletum frequentantes. 28. Arrotylus longipes Charp. — Speciem hanc meridionalem ad Caneam in sabuletis littoralibus æstate per millia tollere licet. 29. Oedipoda coerulescens L. — Canea, Omalos. Frequens usque ad regionem subalpinam. 30. « venusta Fieb. — Montium altissimorum Cretæ incola. In cacuminibus seriei montium Idæ in regione alpina (2200 m. altitudine) sparsim, in regionibus subalpinis, circum Antrum Jovis (1200 — 1500 m. altitudine) et montis Aspro-Vuna (Omalos) frequens. 31. Pachytilus danicus L. — Herakleion. 32. Pyrgomorpha grylloides Latr. — Canea, Herakleion, Ins. Dhia. 33. Pamphagus Raulinii Luc. — Speciei huius eximiæ cretensis mas et duae feminae solum in regione subalpina monsis Idæ circa Antrum Jovis in 1500 m. altitudine occurrebant. 34. Acridium aegyptium L. — Herakleion. 35. Caloptenus italicus L. — Canea, Omalos. — Cum var. marginello Serv. usque ad regionem subalpinam frequens.- 36. Pezotettix Giornae Rossi. — Omalos. Locustidae. 37. Poecilimon distinguendus n. sp. - — In arbustis spinosis occultans non rarus. Herakleion, Ins. Dhia, Antrum Jovis et cacumen montis Idæ in 2200 m. altitudine. 38. Acrometopa macropoda Burm. — Amari. 39. Tylopsis liliifolia Fabr. — Canea, Amari. 40. Niphidium fuscum Fabr. — Canea. 41. Thamnotrizon Chabrieri Charp. — Amari. 42. Platycleis intermedia Serv. — Omalos, Amari, Ins. Dhia. 43. Ephippigera Idomenaei Luc. - — Herakleion, inter frutices spinosos. Grylli dae. 44. Oecanthus pellucens Scop. — Canea, Omalos. 45. Trigonidium cicindeloides Ramb. — Ad Caneam in locis humidis. 46. Gryllus algericus Sauss. — Canea. 47. « burdigalensis Latr. — Canea. — Utræque species Gryl¬ lorum in agris inundatis sub glebis humidis vere (Martio et Aprili) acervatim inveniuntur ; postea evanescunt. 554 D. KTJTHY 48. Myrmecophila ochracea Fisch. — Herakleion. In formicetis Mono - morii Medinas Forel die 26. mensis Aprilis specimina quatuor, Monòmorii subopaci Smith die 15. Maii spe¬ cimen unicum, Teir amorii depressi Emery die 14. Maii iterum specimina quatuor inventa. 49. Ar aehno cephalus vestitus Costa. — Ad Caneam mense Augusto retis ope in Caricibus specimina nonnulla lecta. 50. Grillotalpa vulgaris Latr. — Canea, in ripis humidis. Species novae. Stenobothrus Birói n. sp. Statura minore. Colore fusco-testaceo, nigro-maculato. Antennæ maris pronoto parum tantum longiores, capite pronotoqu- simul sumptis fore æqualibus, feminæ breviores. Foveolæ verticis distinctæ. Costa frontalis sulcata, ad ocellum haud dilatata. Pronotum sulco transverso circa medium sito, carinis lateralibus albidis, antice angulato incurvis, postice divergentibus. Elytra testacea fusco-maculata, basi angustata, circa medium dilatata, apice ovato-rotundata, maris area mediastina basi parum ampliata, marginis apice dilatata, area discoidalis maculis fuscis insita, segmentum abdominis quartum non superantia, feminæ quartum haud attingentia. Alæ maris perbreves, segmentum abdominis tertium vix pertingentes, feminæ segmentum secundum haud superantes. Femora postica testacea supra fusco bimaculata, carinis inferioribus punctis parvis nigris. Tibiæ testaceæ, intus nigro-lineatæ. Abdomen testaceum, supra basi nigro-maculatum, medio et apice subferrugineum, lateribus plus-minusve nigro-maculatum. Maris lamina subgenitalis obtusa, foveo- lata, spar sim pilosa. Valvulæ ovipositoris feminæ muticæ, apice infuscatæ. Stenobothro pullo Phil, affinis, sed statura minore, elytris et alis fere dimidio brevioribus, apice late ovato-rotundatis, præsertim differt. Long, corporis c? 12 — 13 mm. ÿ 13 — 16 mm. « pronoti cT 3 « 5 4 « « elytrorum c? 6*5 « $ 6 « Omalos die 18. Augusti. 10 cf et 9 5 . Pœcilimon distinguendus n. sp. Colore variabili : flavo-viridi vel præsertim supra plus-minusve infuscato nigroque variegato, Antennæ articulis primo et secundo flavo- INSECTORUM MESSIS IN INSULA CRETA C ONGREGATA. 555 viridibus, reliquis nigro-annulatis. Pronotum lineola tenuissima mediana et utrinque vitta latiora albidis. Elytra maris fusca flavo-marginata, feminæ usque ad marginem obtecta. Femora postica flavescenti viridia, sparsim punctulata, circa medium sæpe punctis nigro-castaneis insita, valde brevia, maris abdomine parum longiora, apicem ovipositoris feminæ non attingentia. Abdomen flavo -testaceum, supra segmentis omnibus basi maculis nigris plus-minusve majoribus pictum et sparsim nigro- guttatum. Maris lamina supraanalis late rotundata. Cerei pubescentes, a medio sensim incurvi apiceque nigro-mucronati. Lamina subgenitalis maris apicem versus angustata et ipso apice truncatim emarginata, subtus medio carinulata et lateribus acute marginata. Lamina supraanalis feminæ late rotundata, basin versus leviter angulatim sulcata. Ovipositor brevis, leviter incurvus, latus, apice serrato -dentatus. Poecilimoni ionico Kollar et var. cretensi Werner, hoc ultimo mihi solum e descriptione noto, similis et affinis; sed corpore femo¬ ribusque posticis multo brevioribus et maris laminis forma diversa, species distinguenda esse videtur. Long, corporis d J4 — 15 mm. $ 16 — 17 mm. « pronoti d 5 « £ 6 « « femor. postic. d 13 « Ç 13 — 14 « Herakleion, Mons Ida, Antrum Jovis (Mons Ida), Insula Dhia, 4 d , 4 $ . Y. ANNALES MUSEI NATION ALIS HUNGARICL 1907. KÉT GÖMÖRVÁRMEGYEI BARYTRÓL Dr. Zimányi Károly- tói. (XIII. tábla.) ÜBER ZWEI BARYTE VOM COMITATE GÖMÖR. Von Dr. Karl Zimányl (Tafel XIII.) Az alábbiakban közölt megfigyeléseim Dernőről és Alsó-Sajóról való kristályodott barytra vonatkoznak ; mind a két lelethelyről a kristályok egyszerűek, szépségük sem feltűnő, de hazánk barytjain éppen nem közön¬ séges kifejlődésük miatt figyelemre méltók. Derno vasérczbányáiban általában kevés ásvány fordul elő, az iro¬ dalomban 1 pedig alig találunk nehány adatot. Schmidt2 említi, hogy 1878-ban a Nyergeskő táján (Haraszt fölött), a Clementi' bányában a repedezett vaskő üregeiben a barytnak wolnyn nevű válfaját találták. A múlt 1906. év nyarán Demon a pátvaskő-bányában szintén találtak barytot, a melynek egy példányát Krausz Nándor bányagondnok úr volt szíves nekem ottlétemkor a Magyar Nemzeti Muzeum ás vány gyűjteménye részére átadni. A szürkés- vagy sárgás-zöldszínű baryt a pátos siderit üregeiben részint közvetlenül a vasérczen, részint a quarcon ül, így az előfordulás, a mennyiben az anyakőzet ugyanaz, hasonló mint Dobsinán.3 A kisérő ásványok quare, siderit, pyrit ; az elsőnek fehér vagy színtelen kris- tálykái többnyire eltorzultak, rövid oszloposak és m {lOll}, p{lOll) és ^ {Olii] kombinácziói ; egy nagyobb (15, 10, 3 mm.), az oszloplap sze¬ rint táblás bal kristályon még s{2TTl] jellegzően rostozott lapocskái is kifejlettek, belsejében vékony hematit-pikkelvek voltak láthatók. A lencse- alakúan görbült siderit rhomboéderek közt gyéren apró (0*5 — 1*5 mm.) 1 Maderspach L.: Magyarország vasérczfekhelyei. Budapest, 1880. 57 — 741. — Melczer G. : Gömörmegye ásványai, -Rìsele G. : «Gömör és Kishont törv. egyesült vármegyék bányászati monográfiája.» Selmeczbánya 1907, czímű munka 538. lapján. 2 Természetrajzi Füzetek. 1879. III. köt. 108. 1. :i Melczer G. : Baryt Dobsináról (Földtani Közlöny 1890. XXVI. köt. 321. 1.) KÉT GÖMÖEVÁRM EGYEI BARYTROL. 557 pyrit kristálykák ülnek, vagy egyszerű pentagondodekaéderek e{210}, vagy ennek kombinácziói alárendelt hexaéder- és oktaédeilapokkal. A barytnak kristályai egyik végükkel felnőttek, néha egész hossza¬ ságukban ránőttek és ezek közt nagyon ritkán mind a két végükön ki- fejlődöttek is vannak. A kristályok méretei 1 mm. — 50 mm. közt vál¬ tozik, szélességük 0*5 mm. — 15 mm., vastagságuk 05 — 8 mm., három¬ szor, sőt nyolczszor is hosszabbak, mint szélesek. A nagy kristályok sötétebb színűek, átlátszatlanok vagy csak áttetszők, a kisebbek átlát¬ szók, világoszöldek, sárgásak, a legapróbbak csaknem teljesen színtele¬ nek; homokban óvatosan vörös izzásig hevítve, az átlátszók teljesen színtelenek lesznek, az áttetszők pedig fehérek. A kristályok mindig nyújtottak a rövid átló szerint, a kombinácziók egyszerűek, typusuk hosszúra nyúlt táblás, oszlopos vagy lándzsás, ezek az utóbbiak hason¬ lítanak némely aragonitra. (XIII. tábla 5 — 8. ábra.) Tizenhat megmért kristályon a következő alakokat állapítottam meg : a { 1 00} l {210} b {010} o {011} e {001} d {102} m {110} 2 {111} Az uralkodó c {001 ], továbbá o {01 1} és egy brachypiramis lapjai nagyok, a többi alakoké alárendelt. A véglapon az erős rostozás pár¬ huzamos a hasadási prisma lapjaival, a mi nagyon tompa viczinális piramisoktól ered, sokszor az egész lap hosszában annak közepe táján egy tompa él vonul végig, azt tulajdonképen két vicinalis brachydoma- lapra osztva. Az o (01 1} dómalapjai egyenetlenek, sokszor durván rostosak [011 . 111], vagy [011 . 110] él irányában, ezenkívül kissé görbültek is. A lapok felületének ilyen minősége mellett a mérések ingadozók és olykor tetemesen eltérnek a számított értékektől. A többi lapocska mind sík és a {100} kivételével, a mely gyöngefényű vagy egészen érdes kitűnő fényű. Méréseim a következők : mérve : n számítva : 1 d : d' = (102) : : (102) = 102° lo' 5 o S'! O a : d = (100) : : (1(2) - 51 7 1 51 8 32 o : c = (011) : : (001) = 52 20 14 52 43 8 c : b = (001) : : (010) = 90 8 1 90 0 0 m : m' — (110) : : (110) =- 78 21 2 78 22 26 : : m = (210) : : (110) - 17 40 2 1 7 0 40 z : : c = (111) : : (001) J 64 17 2 64 18 43 2 : o = (111) : : (011) U 44 15 1 44 18.20 1 Helmhacker, E. : Über Baryte des eisensteinführenden Untersilur’s etc. (Denkschriften d. k. Akad. d. Wissen. 1872. XXXII. köt. 30. 1.) 558 Dü Z IMÁN Y I KÁROLY A lándzsa-alakú kristályokon az o {0 11} lapjai lassankint egy gör¬ bült lapú, elnyúlt brachypiramisba mennek át, ezek hasonlítanak a miesi barytok Y. typusára,1 a mennyiben a különböző kristályokon más és más a jelük, az [o : c] éleket pedig többször keskeny, ugyancsak gör¬ bült dóm alapok tompítják (5. és 6. ábra), a melyek szintén egy brachy¬ piramisba mennek át és az uralkodó piramisnak a véglappal képezett éleit módosítják. Ezek a piramisok [Oil : 111 = OlT], vagy [Oil : 1 10 = T IT] övben fekszenek, a lándzsa-alakú kristályoknál elnyúltabbak, ha a táb¬ lásakon is kifejlettek, csak alárendelt szerepük van és nem annyira el¬ nyúltak (XIII. tábla, 4. ábra). Az alább közölt néhány közelítő mérés¬ ből valamely közel álló egyszerűbb piramis jelét vezettem le, mivel a komplikáltabb jeleknek, mint {4 . 13 . 13}, (2 . 11 . 11}, (3.11. 8} és (3 . 28 .25} ilyen közelítő méréseknél épen semmi jelentőségük nincs. A domák közül |025}-alakot Hamberg2 3 a harstigeni baryton figyelte meg, szintén mint keskeny tompító lapot és hajtását csak közelítően mérhette. mérve : számítva (015) : (001) = 15°22' ca. 14°43' (025) : : (001) = 28 7 « 27 43 (057) : : (001) = 43 % « 43 10 (133) : : (011) = 16 42 '« 18 1 (133) : (001) = 51 56 « 54 50 (155) : (Oil) — 10 5 « 11 3 (143) : : (001) = 62 13 ' « 61 32 (143) : : (011) ’= 10 56 « 14 6 (198) : : (102) = 113 47 « 113 32 A XIII. tábla 1 — 4. ábráin nehány jól kifejlett kristályt, az 5—8. rajzokban pedig a kombinácziók typusának feltüntetésére nehány nyárs¬ alakú kristályt a meg nem határozható brachypiramisokkal láthatunk. Kérésemre Loczka József m. nemzeti múzeumi igazgatóőr úr a barytot megvizsgálta és kevés Ca- 1 mutathatott ki benne, >Sr-t azonban spektroskoposan sem konstatálhatott, Alsó-Sajóról a cinnabaritot kisérő leveles vagy pátos baryt előfor¬ dulása eléggé ismeretes Esmark,8 Beudant4 és Cotta5 * leírásaiból; ritkán 1 Bulletin internat, de l’Académie des Sciences de Bohème. 1905. X. köt. 19. 1. 2 Geol. Fören. Förh. 1889. XI. köt. 25—32. 1. és 212—237. 1. 3 Esmark, J. : Kurze Beschreibung einer mineralog. Reise durch Ungarn etc. Freiberg, 1798. 189—190. 1. 4 Beudant, F. S. : Voyage minéral, et géol. en Hongrie. Paris, 1822. II. köt. 83—84 1. 5 Cotta, B. v. und Fellenberg, E. y.: Die Erzlagerstätten Ungarns etc. Freiberg, 1862. 121. 1. KÉT GÖMÖRVÁRMEGYEI BARYTROL. 559 azonban a telérek hasadékain magára a barytra telepedve fehér vagy víztiszta kristálykákat is találhatunk, a melyek nagysága a 2 — 3 mm.-t alig haladja meg. A megvizsgált kristálykákat egy kézipéldányról szed¬ tem le, kifejlődésük szerint három typust különböztethettem meg. Van¬ nak ugyanis rhombos táblásak, hasonlóak mint a legtöbb baryt hazánk¬ ból, de a véglap és a hasadási prizma képezte élet nem az oly közönséges z {111}, hanem v {ilo} lapjai tompítják (9. ábra). Közönségesebbek a vastagtáblás és a rövid átló irányában nyújtott kristályok, a melyek néha a véglap és a brachydoma egyenlő fejlettsége folytán oszlopos typust nyernek; ezeken is z{lll} szintén hiányzik, vagy kisebb mint v {115} (10. és 11. ábra), kifejlődésük emlékeztet némely angolországi és a miesi1 barvtokra. Végül vannak elvétve b tengely szerint megnyúlt kristályok (12. ábra), a milyenek a csehországi barytoknál nagyon közön¬ ségesek, nálunk pedig Dobsináról2 ismeretesek. A megfigyelt alakok közül a *-gal jelölt két domát Samojloff3 a baryt ismert alakjai közt még nem sorolja fel és a később megjelent dolgozatokban sem talál¬ tam, ezek tehát új alakok a barytra; {047} brachydomát a rhombos táblákon, {407} makrodomát pedig a hosszúkás táblákon, mindegyiket két-két kristályon keskeny, de fényes lapokkal figyeltem meg. A Harz- hegység barytjain4 már ismert V {307} egy szélesebb, de igen jófényű lapja (11. ábra) (Î02) és (T04) közt jelent meg, a mérés és számítás közt az eltérés a jó tükrözéshez képest nagy volt. Az összes megfigyelt alakok a következők : a {100} / {101} b {010} V {304} c {001} cl {102} m {110} * {407} n {120} u {101} * {047} v {115} o {011} z {111} A lapok általában jól tükröztek, ^{115} lapjai kissé bágyadt fényűek, a rhombos táblákon pedig a véglap a szélek felé rostozott, a hasadási prizmalapokkal párhuzamosan, csak a középső része sima. A mért és számított hajtásokat a következő táblázatban állítot¬ tam össze. 1 Bullet, internat, de l’Académie d. Sci. de Bohème, 1905. X. köt. 16. 1* 7. és 8. ábra. 2 Földt. Közi. 1896. XXVI. köt. 321. 1. 3 Bullet. Soc. Imp. Natur. Moscou. 1902. XVI. köt. 124—129. 1. 4 Zeitschr. f. d. gesammt. Naturwissen. 1888. LXI. köt. 143 — 205. 1. 560 Dl KARL ZIMANYI mérve : n számítva : m : : m' = ( HO) : (HO) - 78°20' 3 78°22'26" a : m = (100) : (110) = 39 11 1 39 11 13 b : : n = (010) : (120) = 31 37 1 31 31 22 (047) : (001) = 36 48 2 36 53 28 o : : c W (OU) : : (001) = 52 40 4 52 43 8 l : c == (104) : (001) = 21 53 2 21 56 30 V : : c = (307) : : (001) = 35 7 1 34 37 42 d : c = (102) : : (001) = 38 51 5 38 51 28 = (407) : : (001) = 42 33 42 38 18 u : : c = (101) : (001) = 58 11 5 58 10 36 V : : c = (115) : (001) = 22 37 3 22 34 37 z : c = (HD : : (001) = 64 18 2 64 18 43 0 : d = (011) : : (102) = 61 53 2 61 51 23 0 : l = (OU) : (104) = 55 51 1 55 48 58 0 : V = (OU) : : (115) = 41 10 1 41 12 28 V : v' - (115) : (1Ï5) = 28 12 1 28 4 42 * Die vorliegende Mittheilung bezieht sich auf den krystallisirten Baryt von Derno und Alsó-Sajó; von beiden Fundorten sind die Krystalle nicht flächenreich, durch Schönheit auch nicht auffallend, aber wegen bei den ungarischen Baryten seltenen Ausbildung bemerkenswerth. In den Eisensteingruben von Derno kommen sehr wenige Mine¬ ralien vor, in der Litteratur 1 findet man kaum einige Daten. Schmidt 2 erwähnt, dass im Jahre 1878 in der Clementi- Grube auf Brauneisenstein Wolnyn gefunden wurde. Im Sommer des verflossenen 1906 Jahres kam in der Spatheisensteingrube Baryt vor, von dem mir Herr Bergverwalter Ferdinand Krausz ein Exemplar für die mineralogische Sammlung des Ungarischen National-Museums übergab. Der graulich- oder gelblich¬ grüne Baryt sitzt entweder unmittelbar auf dem Spatheisenstein oder auf dem begleitenden Quarz ; das Vorkommen ist ähnlich demjenigen von Dobsina.3 Die begleitenden Minerale sind : Quarz , Eisenspath und Pyrit; die weissen oder farblosen Krystalle des Quarzes sind meistens verzerrt und kurz prismatisch, es sind Combinationen der Formen m { 1 OTO}, p { lOT 1 }, z {Olli}, an einem grösseren (15, 10, 8 mm.) nach einer Prismenfläche dicktafeligen Kry stall waren noch einige kleine Flächen von s {2lTl} mit der charakteristischen Streifung zu beobach- 1 Melczer, G. : Mineralien des Comitates Gömör ; in dem Werke : Fisele G. : Monographie des Bergbaues der vereinigten Comitate Gömör und Kishont. Selmecz- bánya, 1907. p. 538. (Ungarisch.) 2 Természetrajzi Füzetek. III. 1879. p. 291. 3 Melczer G. : Baryt von Dobsina. Földt. Közlöny XXVI. 1896. p. 357. ÜBER ZWEI BARYTE VOM COMITATE GÖMÖR. 561 ten, im inneren des Quarzkrystalles waren dünnere Eisenglanzschüpp¬ chen eingewachsen. Zwischen den sehr stumpfen, gekrümmtflächigen Eisenspathrhomboëdern sitzen kleine (0*5 — 1*5 mm.) Pyritkryställchen, welche entweder nur die Form c {210} bildet, oder es treten noch hiezu die kleinen Flächen von a {100} und o {ill}. Die Kry stalle des Barytes sind mit einem Ende aufgewachsen, selten ihrer ganzen Länge nach, in welchem Falle zuweilen beide Ende ausgebildet sind. Die Dimensionen der Krystalle variieren von 1 mm. — 50 mm., bei einer Breite von 0*5 mm. — 15 mm. und Dicke von 0*5 — 8 mm. ; ihre Länge überwiegt dreimal bis achtmal die Breite. Die grossen Krystalle sind von dünklerer Farbe, undurchsichtig oder durchscheinend, die Klei¬ neren hingegen durchsichtig lichtgrün, gelblich, manche beinahe farblos ; vorsichtig, im Sand bis zur Bothgluth erhitzt, verlieren die Krystalle ihre Farbe, die durchsichtigen werden wasserklar, die durchscheinen¬ den weiss. Der Habitus der Dernöer Krystalle ist brachydiagonal, die Combi- nationen sind einfach, nach ihrem Typus sind es langgestreckte Tafeln, brachy diagonale Säulen und spiessige Krystalle, ähnlich mancher Ara¬ gonite. (Taf. XIII, Fig. 5 — 8.) An sechzehn gemessenen Krystallen wur¬ den folgende Formen gefunden : a (10 )}  {210} b {010} o {011} c {001} d {102} rn {110} z {111} Die vorherrschende Form ist c {00 1 }, mit grossen Flächen sind entwickelt o{01l} und oft eine Brachypyramide. Die Basis ist gestreift parallel zu den Flächen des Spaltungsprismas, oder gestört durch sehr stumpfe vicinale Pyramidenflächen der Hauptreihe ; oft sieht man eine sehr stumpfe Kante ihrer ganzen Länge nach hinziehen, so dass die Basis eigentlich durch zwei vicinale Brachydomenflächen ersetzt ist. Die Flächen der Form o {Oll} sind ebenfalls gestört, gewöhnlich gestreift parallel den Kanten [011 : 111] oder [011 : 110], und auch etwas ge- krümt. Die übrigen Formen haben glatte Flächen und mit Ausnahme der Querfläche a {100}, welche oft matt ist, spiegeln sie gut. Die ge¬ messenen Normalwinkel sind : Gemessen: n Berechnet:'1 d : d’ = (102) : (102) =102° 15'- 5 102°17' 4" a : d = (100) : Í102) = 51 7 1 51 8 32 1 Denkschriften d. kais. Akad. d. Wissen. XXXII. 1872. p. 30. Annales Musei Nationalis Hung arici. V. 36 562 Dì KARL ZIMÁNYI Gemessen : n Berechnet : 0 : c =. (011) : (001) = 52 26 14 52 43 8 c : b = (001) : (010) = 90 ö 1 90 0 0 m : m' = (110) : (1Î0) = 78 21 2 78 22 26 A : : m = (210) : (110) = 17 40 2 17 0 40 z : c = (111) : (001) = 64 17 2 64 18 43 z : o = (111) : (Oll) = 44 15 1 44 18 20 An den spiessigen Krystallen übergehen die Flächen des Domas o {Oll} in gekrümmte einer langgestreckten Brachypyramide, diese Kry- stalle sind insofern ähnlich dem V. Typnsfder Mieser 1 Baryte, als an den verschiedenen Krystallen ihre Indices andere sind, und die [o : c] Kanten nicht selten von schmalen, ebenfalls gekrümmten Domenflächen abge¬ stumpft werden, diese gehen auch in Pyramidenflächen über, welche die von der dominierenden Brachypyramide und Basis gebildete Kanten modifizieren. Die grossen Brachypyramiden liegen in der Zone [Oli : 111 — Oli] oder [011 : 110 = TlT], bei den spiessigen Krystallen sind sie gestreckter, wenn an den tafeligen Krystallen ausgebildet, sind sie klein und weniger gestreckt. (Taf. XIII, Fig. 4.) Aus den in folgen¬ der Tabelle zusammengestellten annähernden Messungen leitete ich die Zeichen der nächst liegenden, einfachen Formen ab, da die kompli¬ zierten Indexe {4.13.13}, {2.11.11), {3.11.8} und {3.28.25} bei derartigen schlechten Reflexen, wie diese liefern, gar keinen Werth haben. Von den Domen wurde {025] von Hamberg2 an den Baryten von Harstigen beobachtet und durch Schimmermessung bestimmt. Gemessen : Berechnet (001) : : (015) = 15°22' ca. 14^43' : (025) = 28 7 « 27 43 : (057) -r 43 4 « 43 10 (133) : : (011) = 16 42 « 18 1 (001) = 51 56 « 54 50 (155) ; : (011) = 10 5 « 11 3 (143) : : (001) = 62 13 « 61 32 : (Oli) M, 16 56 « 14 6 (198) : : (102) = 113 47 « 11.3 32 Die Fig. 1 — 4 von Taf. XIII stellen einige gut ausgebildete Krystalle vor, die Fig. 5 — 8 einige spiessförmige Krystalle. Auf meine Bitte hatte Herr J. Loczka die Gefälligkeit diesen Baryt qualitativ zu prüfen, er konnte etwas Ca, spektroskopisch jedoch kein Sr nachweisen. Der blätterige oder späthige Baryt von Alsó- Sajó ist von den Arbeiten 1 Bullet, internat, de l’Acad. des Sciences de Bohème. X. 1905. 19. 2 Geolog. Foren. Förh. XI. 1889. p. 25—32 und 212—237. ÜBER ZWEI BARYTE VOM COMITATE GÖMÖR. 563 Esmark’s,1 Beudant’s2 * und v. Cotta’s 8 genügend bekannt ; selten findet man in den Gangspalten auf den Baryt aufgewachsen weisse oder wasserklare Kryställchen, deren grösste Dimensionen 2 — 3 mm. kaum überschreiten. Die untersuchten Krystalle stammen von einem Hand¬ exemplar, nach ihrer Ausbildung konnte ich drei verschiedene Combi- nationstypen unterscheiden. Es finden sich rhombische Tafeln, ähnlich wie die meisten ungarischen Baryte, aber die Kanten [001 : 110] wer¬ den nicht von der so häufigen Grundpyramide £ {ill}, sondern von v {115} abgestumpft. (Taf. XIII, Fig. 9.) Gewöhnlicher sind die dick- tafeligen und nach der Brachydiagonale verlängerten Krystalle, wenn das Doma {Oll} mit breiteren Flächen auftritt, werden sie prismatisch; auch an diesen Typus fehlt z {il l}, oder ist mit kleineren Flächen als v {ilo} ausgebildetí (Taf. XIII, Fig. 10 — 11.) Vereinzelt finden sich auch nach der Makrodiagonale gestreckte Krystalle mit prismatischem Habitus. (Taf. XIII, Fig. 8.) Vön den beobachteten Formen sind die zwei mit * bezeichneten neu ; das Brachydoma {047} war an den rhombischen Tafeln, das Makro doma {407} an den langen; tafelförmigen Kry stallen je zweimal mit schmalen, glänzenden Flächen ausgebildet. Die Form V {307} ist schon von den Harzer Baryten4 bekannt, an> einem Krystalle habe ich eine breite, vollkommen glänzende Fläche (Taf. XIII, Fig. 11) beobachtet, trotzdem erreichte die Differenz zwischen Berechnung und Beobachtung 1U°. i Es wurden folgende 14 Formen nachgewiesen: a {100} l {104} b {010} V CO o c {001} ■ d {102} m {110} {407} n. {120} u {101} X {047} V {US}. 0 ' {011} z {111} Die Flächen spiegelten gut, diejenigen von v {l 15} etwas schwach, an den rhombischen Tafeln war die Endfläche nahe der Peripherie gerieft, parallel zu den Flächen des Spaltungsprismas, nur in der Mitte glatt. Die gemessenen und berechneten Winkel sind auf pag. 560 des ungarischen Textes mitgetheilt. 1 y air 1 Kurze Beschreibung einer mineralog. Reise durch Ungarn, “etc, Freiberg, 171)8. p. 189—190. 2 Voyage mineral, et géol. en Hongrie. Paris, II. 1822. p. 83 — 84. :i Die Erzlagerstätten Ungarns etc. Freiberg, 1862. p. 12Í. — Vergleiche auch V. von Zepharovich: Mineral. Lexikon etc. Wien, I. p. 48Ö und II. p. 50. 4 Zeitsciir. f. d. gesammt. Naturwissen. LXT. 1888. p. 143-u205t • 36* Y. ANNALES MUSEI NATION À LIS IIUNGAEICI 1907. LEPTIDÆ ET EMPIDIDÆ IN INSULA EOEMOSA A CLAE. H. SAUTEE COLLECTÆ. Auctore prof. M. Bezzi. 1. Chrysopilus Sauteri n. sp. c? $ . Nigro-cinereus, antennis pedibusque pallide luteis, coxis atque trochanteribus nigro-cinereis tarsorumque articulis ultimis infuscatis, tuberculo ocellari elevato haud piloso, facie globosa valde prominenti, palpis parce nigro-pilosis, pilis coxarum anticarum et capitis inferis pal¬ lidis, alis cinereo-hyalinis, præter maculam magnam stigmaticam fuscam immaculatis, d1 oculis connexis, distincte bisectatis, areolis superis valde majoribus, thoracis dorso aureo tomentoso, abdomine atro basi anguste flavo-translucido. j oculis late remotis non bisectatis areolis aequalibus, thoracis dorso albo-tomentoso, abdomine obscure nigricante, albo-tomen¬ toso, fasciis atris transversis nullis, apicem versus luride fuscano. Long. corp. mm. 6, alar. mm. 5. Takao, 15. IV— 11. Y. 1907. Ex affinibus Chr. aurei Meig., a me in Bull. Soc. Eïitom. Ital., XXVII. p. 43 (1895) enumeratis; ab omnibus tamen antennarum et abdo¬ minis colore mox distinguendus. Occiput et facies grisea ; frons fœminæ valde lata, cinerea, nuda, ad verticem tantum pilis nigris brevibus crebre vestita; haustellum breve, labellis extus nigricantibus. Thoracis dorsum in parte postica et scutellum pilis brevibus nigris prædita ; pleuræ cinereæ in parte infera omnino nudæ ; scutellum aureo-vel albo-tomentosum. Halterum clava nigra, petiolus luteo-albidus ; squamæ hyalinæ margine nigro, breviter fusco ciliato. Abdomen nigro-pilosum, in foemina basi albo- pilosum; segmenti primi dimidium apicale in mare luteo translucidum. Genitalia maris parva, forcipe laterali rotundato luteo. Pedes fere nudi, calcaribus apicalibus tibiarum luteis valde elongatis. Alse iridiscentes, nervis nigricantibus, macula stigmatica ovali ; cellula submarginalis secunda pariter ac posterior secunda longa, ista contra quam tertia distincte longior. Nota. Ex Japonia duo tantum Chryso pili species adhuc innotue¬ runt, nempe dives Loew 1871 et pullatus Coquillett 1898: a primo LEPTIDAE ET EMPIDIDAE IN FORMOSA COLLECTAE. Ő65 species nostra differt præcipue halteribus nigris, a secundo alis non variegatis. Ex insulis Philippinis cel. Osten-Sacken in Berlin, entom. Zeitschr., XXVI. p. 101 102 (1882) quinque Chrysopili species enu¬ merat, quorum correcta 0. S. alas late nigro-fasciatas præbet et ferru¬ ginosa Wied, coloribus luteis gaudet; reliquæ vero tres species nec descriptæ nec nominatæ cum specie mea affinitatem magnam præbere videntur. Species orientales insularis Schin., vacillans Walk., stylata Walk, et lupina 0. S. quoque luteæ sunt; maculipennis Walk, et guttipennis Walk, alas variegatas præbent. 2. Parahybos chætoproctus n. sp. cf $ . Atro-holosericeus, antennis pedibusque luteis, coxis trochanteribus femorumque dimidio basali tamen nigris, halteribus nigris, alis cinereo- hyalinis, macula stigmatica nigricante ovali, nervis tertio et quarto extrinsecus parallelis, cf genitalibus parvis forficatis nigris, abdominis segmento ultimo lateribus setis longis 5—6 nigris utrinque penicillato. Ç terebra brevi obtusa, lamellis apicalibus parvis lutescentibus. Long. corp. mm. 5, alar. mm. 4. Takao, 18—28. VI. 1907. Oculi supra non complanati, magni, supra antennas late cohae¬ rentes subtus approximati, distincte bisectati, areolis superis majoribus rubris, inferis parvis fuscis; antennae breves, omnino luteae, articulo tertio ovato, seta longa capillari distincte præapicali. Haustellum rigi¬ dum longum acutum nigrum, subtus lutescens ; tuberculum ocellare setis 4 — 5 ciliatum; occiput nigrum, glabrum. Thoracis dorsum valde elevatum, vix tomentosum, lateribus paullo nitidum, callis praescutella- ribus lutescentibus, in parte postica nigro-pilosum ; pleuræ nigro-nitidæ, ad suturas obscure lutescentes ; scutellum semicirculare, atrum, mar¬ gine postico pilis longiusculis crebe fimbriato. Squamae fuscae. Abdomen atrum opacum, ventre tamen nigro-nitido, pilis longiusculis fuscis. Pedes validi, nitidi, pilis fuscis crebris, setis longioribus nullis ; femora postica crassiuscula, subtus prorsus inermia ; coxae posticae elongatæ, retro crebre nigro-pilosæ. Alæ normales, nervis fuscis basi lutescentibus, nervi tertii radice prope alæ basin posita. Fœmina cum mare notis omnibus convenit, abdominis segmento ultimo tamen lateribus non setoso; terebrae lamellae terminales exiguae, pallide pilosae, vix exsertae. Nota. Species ista in gen. Parahybos Kertész locata, quia femora postica subtus inermia et antennarum setam distincte præapicalem præbet; a specie unica typica longe distat statura valde majori atque 566 M. BEZZI notis plurimis. Simillima contra illæ speciei est quæ nomine Acartenis- pallipes ex India, in Ann. Mus. nat. hung. IL 335. (1904) descripsi; hæc quoque forsan in gen. Parahybos melius locanda. Apud chaeto- proctus ei pallipes antennarum articulus tertius oblongo-ovatus est, dum apud iridipennis Kert. breviter rotundatus ; species omnes a gen. Syneches femoribus posticis elongatis, plus minusve gracilibus, subtus- semper inermibus, distinguendae sunt. 3. Elaphropeza Formosæ n. sp. ç . Luteo-rufescens, thorace et scutello rubris nitidissimis, capite abdo¬ minisque medio nigris, antennis nigricantibus articulis basalibus luteis, halteribus albis, pedibus luteis tibiis quatuor anterioribus infuscatis tarsorumque omnium articulo ultimo nigro, tibiis posticis extus bisetosis apice inermibus, alis elongatis, cinereo-hyalinis immaculatis, costa longe ciliata segmento secundo tertio duplo et ultra breviore. Long. corp. mm. l1/* — lVa, alar. mm. 2. Takao, 800 met., 28—31. III. 1907. Species ista prope fulvithorax Wulp, ex India, militat; maximam tamen affinitatem cum dispar Adams habere videtur; a prima differt præcipue colore alarum et tarsorum, tibiisque posticis bisetosis ; a secunda non nisi pedum coloratione et patria ægre distinguenda. Oculi nigri, supra et subtus antennas connexi, margine externo distincte arcuato ; haustello perpendiculari luteo, palpis latis albis ;. antennæ longæ, articulo tertio duobus primis conjunctim duplo longiore, longe conico, seta fusca antennis longiore terminato ; setæ ocellares et verticales lutescentes. Thorax cum pleuris ruber nitidissimus, breviter in dorso pallido-pilosus, setulis lateralibus et posterioribus luteis; scu- tellum setis duabus apicalibus longis, decussatis, fuscioribus. Abdomen opacum, luride flavescens, segmento tertio nigro, sequentibus quoque interdum infuscatis, ventre cinereo, pilis brevibus pallidis præditum. Pedes elongati, coxis quoque luteis, tarsorum omnium articulo ultimo nigro, pallide pilosi, femoribus posticis subtus pilis longiusculis æqui- distantibus ciliatis. Alæ fere ut in subgen. Ctenodrapetis fictae, nervis fuscis, tertio et quarto parallelis vel leviter divergentibus, nervo sexto vix distinguendo. Nota. Genus Elaphropeza a Drapetis tantum articuli tertii anten¬ narum forma distinguendum : ad genus Elaphropeza nempe species refero, apud quas antennarum articulus tertius duobus praecedentibus conjunctim duplo et ultra longior est. Species adhuc cognitae sic distinguendae sunt : LEPTIDAE ET EMPIDIDAE IN FORMOSA COLLECTAE. 567 1. Alæ ad marginem anticum per totam longitudinem distincte infuscatae; nervus longitudinalis sextus spurius, sedes facile distinguendus. spuria Bezzi, Ann. Mus. Hung., IL 347. (1904). Nova Guinea. Alæ ad marginem anticum non, vel vix in medio, infuscatæ ; nervus sextus vix distinguendus. A A „„ m _ „„ 2. 2. Scutellum luteum. „„ „„ „ „„ A _ „„ 3. — Scutellum nigrum. „„ „„ „„ „„ _ „„ A _ 6. 3. Thorax omnino luteus ; metatarsi postici simplices. _ _ _ _ 4. — Thorax in parte postica maculis duabus rotundatis nigris ornatus ; meta¬ tarsi postici subtus ad basin apophysi praediti. metatarsata Bezzi, Ann. Mus. Hung., II. 348. (1904). Ceylon. 4. Alae ad marginem anticum in medio paullo fuscae ; tarsi antici infuscati. fulvithorax Wulp, Term. Füzet., XX. 138. (1897). Ceylon. — Alæ non infuscatæ ; tarsi antici lutei, apice tantum nigricante. _ 5. 5. Tibiæ omnes et femorum apices infuscata. dispar Ad., Kans. Univ. Sci. Bull., HI. 157. (1905). Rhodesia, Africa australis. — Femorum apices et tibiæ posticae omnino lutea. A _ Formosae n. sp. 6. Thorax totus vel partim luteus. -A ~ _ ~~ ~~ — — A 7. — Thorax omnino niger. A' ~~ — ~~ ~A • _ „„ _ 9. 7. Thorax luteus, partim niger, vel nigromaculatus. _ A S A 8. — Thorax luteus immaculatus ; tibiæ posticae apice longe calcaratae. calcarifera n. sp. 8. Thoracis dimidio antico luteo, postico nigro; tibiæ posticae apice breviter calcaratae. bicolor Bezzi, Ann. Mus. Hung., H. 349. (1904). Australia. — Thorax luteus, maculis duabus posticis nigris ; tibiæ posticae apice muticae. ephippiata Fall., Emp., 11. (1815).1 Europa. 9. Pedes nigri. (?) medetera Meland., Trans. Amer. Entom. Soc., XXVIII. 208. t. V. f. 22. (1902).2 America sept. — Pedes lutei _ A — "" A/ „„ _ ^ „„ |J 10. 1 0. Abdomen omnino nigrum ; oculorum margo externus arcuatus. exui O. S., Beri. Entom. Zeitschr., XXVI. 113. (1882). Ins. Philippinae. — Abdomen basi luteum ; oculorum margo rectus. basalis Bezzi, Ann. Mus. Hung., II. 349. (1904). Ceylon. 1 Tacky dromia maculata Macq., Mon. Empid., 153. (1823) inter synonyma hujus speciei locanda videtur. 2 Species ista valde dubiosa videtur, tamen ex figura a cl. Melander allata certe ad gen. Elaphropeza pertinet, ut a cl. Coquillett in Proc. Entom. Soc. Washington, V. 265. (1903) primum indicatum fuit. Cl. Melander in Entom. News, 1906. 372, spe¬ ciem suam inter synonyma Drapetis unipilae Loew locat, quod mihi immerito fictum videtur, saltem pro specimine in tab. V. f. 22 (1902) picto. — Elaphropeza montana Melander 1902, postea in 1906 ab ipso auctore ad genus Symballophthal- mus Beck, relata fuit. 4. Elaphropeza calcarifera n. sp. cT. Eufo-lutescens, thorace nitidissimo, capite scutello metanoto abdo¬ mineque præter basin nigris, antennarum basi halteribus pedibusque luteo-albidis, tarsis tibiisque anterioribus tamen infuscatis, tibiis posticis apice subtus calcari magno longo acuto fusco armatis, alis elongatis cinereo-hyalinis immaculatis, costa breviter ciliata segmento secundo tertio æquilongo. Long. corp. mm. 2, alar. mm. 2. Takao, 22. III. 1907. Oculi et caput omnino ut in præcedenti ; antennarum articulus tertius niger, duobus primis conjunctim duplo longior, seta terminali nigra antennis breviore. Thoracis dorsum etiam in parte antica pilis pallidis longiusculis tectum, setis lateralibus, posterioribus et scutella- ribus longis luteis. Abdomen nigrum opacum, basi anguste et ventre luride luteis, apice obtusum. Pedes albicantes, breviter pilosi, femoribus posterioribus apicem versus luteis, tarsis omnibus infuscatis posterioribus tamen basi pallidis ; tibiæ posticæ extus pilo unico in medio præditæ. Alarum nervi pallidi, secundo valde elongato et arcuato, tertio et quarto extus sensim divergentibus, sexto ægre distinguendo. V. ANNALES MUSEI NATION ALIS HUNGABICL 1907. NACHTBAG ZUR MONOGRAPHIE HER CYCHRINL Von. Dr. Hans Roeschke. Druckfehler. Yerbesserungen und Zusätze zu meiner in den Annalen des Ungarischen National-Museums Bd. Y, p. 99—277 (1907) erschienenen Monographie. p- 109, Zeile 12 von oben, lies : : auch der oberen mittleren und oberen hin teren Borstenreihe. •« 109, « 20 « « « anzunehmen « 113, « 6 « « « in die Epipleuralerweiterung C( « 113, 117 : C( 4 « unten, « Tab. XVni. 1. Subgenus Scaphinotus Dej. (sensu strenuo). 1. Hlschd mit medialer Randborste, Scheibe mehr oder weniger grob und dicht punktirt, ebenso die Epipleuren der Fld, Seiten des Meso- und Metathorax sowie der ersten 4 Ventralsegmente ; 4-tes Fühler¬ glied mit Ausnahme der Basis behaart. Sl, 2, 4 + , 3 — 2. Hlschd ohne Randborsten, Scheibe entweder höchstens mit wenigen Punkten zerstreut und seicht oder runzlig und ziemlich fein punktirt. Sl, 2 + , 3—, 4±. . . . 5. 2 (1). Hlschd verhältnismässig flach, viel breiter als lang etc . 3. Hlschd muldenförmig, ziemlich quadratisch etc. . 4. 3 (2). .... .... .... ... . .... ..... .... .... „„ H 1. Snowi Lec. p. 118: .... A . 2. Roeschkei Van Dyke, n. sp. Hinterwinkel mässig lang, etwas abgestumpft und wie die verhältnis¬ mässig schmalen Seitenränder flach aufgebogen, vielmehr noch flacher als diese, innen deutlich ausgerandet ; Hlschd breit quer, vorn wenig ausgerandet, Seiten ziemlich kreisförmig. Dunkelviolet. Kopf spärlich punktirt. Fld lang oval, sehr flach, auch nach hinten kaum abschüssig. Aussenrand an der Schulter mässig erweitert und völlig gerundet, voi¬ der Spitze kaum ausgebuchtet, diese daher nicht spitz vortretend ; Oberseite mit etwa 14 Reihen grober Punkte, Streifen höchstens schwach eingedrückt, Intervalle wenig erhaben. cT 3 Vordertarsen¬ glieder breit erweitert, 1 . Glied völlig besohlt. B 3. Fuchsi m., n. sp. 4 (2). . .... y . . ... i. il 4. Van Dykei m., n. sp. s (i). - _ _• _ . „ - - - _ 1 e. 570 Dì HANS ROESCHKE Ventralstrigen seitlich höchstens markirt durch schwielige Verdickung des Vorderrandes der Ventralsegmente, nicht scharf eingeschnitten. 8. 6 (5). 4. Fühlerglied dicht behaart, Fld lang eiförmig, Seiten des Meso- und Metathorax und der ersten Ventralsegmente fast oder ganz glatt, die letzteren sehr schwach gerunzelt. ..... ... 7. 4. Fühlerglied unbehaart. Hlschd quer, viel breiter als lang, vorn tief ausgerandet mit weit vorragenden, breit lappigen Vorderecken, Ober¬ fläche in den Eindrücken und längs des Seitenrandes zerstreut punk- tirt, Seiten des Meso- und, Metathorax und der ersten Ventralsegmente grob und dicht punktirt. Fld kurz eiförmig, glatt, mit etwa 14 Reihen tiefer und grober Punkte, Streifen kaum angedeutet, cf Vordertarsen mässig breit erweitert, 1. Glied fast 2-mal so lang als breit, 2. wenig länger als breit, 3. quer. . . .... .... 5. Petersi m., n. sp. 7 (6) . .... .... .... .... .... _ ... ... „ . . 6. macrogonus Bates. p. 119: .... „j, , .... _ .... . .... 7. mexicanus Bates. 8 (5). 4. Fühlerglied unbehaart. Vorderrand des Hlschd oft nicht scharf ab¬ gesetzt, Scheibe gerunzelt und fein punktirt, die aufgebogenen Seiten grob, aber verschwommen. S4±. cf erstes Vordertarsenglied mehr als 2-mal so lang als breit, unten gewöhnlich nur zur Hälfte besohlt, 3. Glied schmal erweitert. . .... . . . 9. 4. Fühlerglied in der apicalen Hälfte schwach aber deutlich behaart. Hlschd glatt, in den Eindrücken und längs der Seitenränder sehr spärlich punktirt; von Vorder- zu Hinterwinkeln höchstens wenig breiter als lang, vorn schwach ausgerandet, deutlich abgesetzt, Seiten¬ rand mässig breit aufgebogen. Fld lang oval, ziemlich glatt mit etwa 14 bis 15 Reihen tiefer und grober Punkte, vielfach Streifen schwach eingedrückt, Zwischenräume nur leicht erhaben. Seiten der Mittel- und Hinterbrust, sowie des Abdomens spärlich aber deutlich punktirt. S4 + . cf 1. Vordertarsenglied fast so breit als lang, Glied 2 und 3 quer, viel breiter als lang. .... . .... „.. ._ . . 8. Biedermani m., n. sp. 9 (8). „. .... . . . . . _ „. 9. elevatus Fabr. .... U .... . .... .... _ .... .... .... .... 10. unicolor Fabr. p. 133, Zeile 6 adde : Posternalfortsatz hinter den Vorderhüften teils völlig ventralwärts gekrümmt, teils nach mehr oder minder leichter Krümmung wieder etwas horizontal. « 134, « 10 « Prosternalfortsatz ventralwärts gekrümmt. « 136 adde : Scaphinotus Fuchsi mihi, n. sp. Purpurblauviolett, mässig glänzend. Kopf zwischen den Agen schwach punktirt, 4. Fühlerglied mit Ausnahme der Basis dicht be¬ haart. — Hlschd quer, etwa 172-mal so breit als lang, ziemlich flach, vorn wenig ausgerandet, scharf umrandet, Seitenrand deutlich verdickt, vorn verhältnismässig wenig, hinten breiter aufgebogen, aber doch nur NACHTRAG ZUR MONOPRAPHIE DER CYCHRINI. 571 flach, so dass der ganze Hlschd auch flach erscheint; Mittelrandseta vorhanden ; Seiten nach vorn stark gebogen mit breit verrundeten, wenig vorragenden Vorderecken, grösste Breite vor der Mitte, nach hinten auch ziemlich stark gebogen verengt mit ganz geringer Schweifung vor den Spitzen der Hinterwinkel, sodass der Seitenrand fast kreisförmig erscheint, Hinterwinkel deutlich etwas abwärts gebogen, massig vorspringend und abgestumpft, die ganze Basis daher nur schwach kreisförmig, die eigent¬ liche etwa so breit wie der leicht ausgerandete Innenrand der Hinter¬ winkel und ein wenig nach hinten vorgezogen ; die ganze Oberfläche grob und tief ziemlich dicht punktirt, hinter dem Vorderrand und voi¬ der Basis tief eingedrückt, Mittellinie deutlich, ebenso die Seitenein¬ drücke, die näher zur letzteren denn zum Seitenrande liegen. — Fld lang oval, sehr flach, wenig gewölbt, auch nach hinten kaum abschüssig, Aussenrand an der Schulter nur mässig erhöht und hier völlig gerun¬ det, nicht eckig vorspringend, vor der Spitze kaum ausgebuchtet, diese fast gerundet, nicht spitz vortretend wie bei Sc: Van Dykei; Oberseite mit etwa 14 Beihen tiefer grober Punkte und schwach eingedrückten Streifen, Intervalle nur wenig erhaben. — Prosternum mit Epimeren und Mesothorax nur spärlich und seicht, Seiten des Metathorax und der Ventralsegmente dichter und gröber punktirt. Mesoepisternalleiste stark verkürzt, Ventralsegmente 4 — 6 seitlich am Vorderrande wulstig gewölbt, Ventralstrigen mässig scharf eingeschnitten und punktirt. — Sl, 2, 4+, 3—. cf 5 2 SA. cf Vordertarsen ziemlich breit erweitert, 1. Glied UA-mal so lang als breit, unten völlig schwammig besohlt, Glied 2 und 3 quer. 16 — I6V2 : 6V2 — 63A mm. Arizona, Mt. Union, Cash Mine, 12. IX. 07. Typen 1 cf $ in meiner Sammlung, liebenswürdigst mitgetheilt von Herrn Ch. Fuchs zu San Francisco und ihm zu Ehren benannt. p. 137, Zeile 8: Punkte — (ohne .) « 140 adde : Scaphinotus Biedermani mihi, n. sp„ Dunkelviolett mit bläulichem oder grünlichem Schimmer auf Kopf, Hlschd und Fld-Bändern, Hlschd ziemlich düster, Fld schwach glän¬ zend. — Kopf sehr fein quer runzlig vor und hinter der Stirn ; 4-tes Fühlerglied in seiner apicalen Hälfte deutlich etwas stärker behaart, bis¬ weilen ziemlich dicht. — Hlschd fast oder völlig quadratisch, grösste Breite etwas vor der Mitte, vom mässig ausgerandet, scharf umrandet, Seiten ziemlich breit aufgebogen und etwas verdickt, nach vorn stark gebogen mit ganz verrundeten, schwach vorragenden Vorderecken, ohne Di HANS ROESCHKE 572 Eandseta in der Mitte, nach hinten leicht bogenförmig oder geschweift verengt mit weit vorragenden, ziemlich spitzen Hinterwinkeln, die innen bogenförmig ausgerandet sind, die eigentliche Basis schmal, gerade, nach hinten etwas vortretend, schwach gewölbt ; Bückenlinie scharf mit schwachem Vorder- und tiefem Basalquereindruck, seitliche Basalfurchen deutlich, Oberseite sehr fein gerunzelt mit feinen zerstreuten Punkten in den Eindrücken längs der Bänder und mit einigen stärkeren vor der Basis zwischen den Basalseitenfurchen. — Fld gestreckt oval, massig (cf cf) bis über die Mitte hinaus erweitert, Seitenränder stark aufgebo¬ gen, erheblich höher an den Schultern, hier schwach abgestumpft eckig ; Scheibe leicht gewölbt mit etwa 15 Beiben grober Punkte, häufig durch fein eingeprägte Streifen verbunden, Zwischenräume etwas gewölbt. — Fld-Epipleuren grob doch nicht dicht punktirt. Unten glatt, nur Hinter¬ brust und Abdomen seitlich grob aber seicht punktirt ; Ventralsegmente seitlich an den Vorderrändern deutlich schwielig verdickt gleichsam dort Ventralstrigen bildend, die indes nicht scharf eingeschnitten sind. Sl, 2, 4+, 3 — . cf (und zweifellos auch 5 ) 2 SA. — Mittelschenkel vorn unten ohne Borstenpunkte. cf Vordertarsen sehr breit erweitert und schwammig besohlt, 1-tes Glied kaum länger als breit, 2. und 3. deutlich quer. 18 — 18 Va : 11U — 7 Va; mm. Süd-Arizona, Cochise Co.; Typen 2 cf in coli, mea, erhalten von Mr. Biederman und ihm zu Ehren benannt. p. 140, Zeile 16 : 1884 zu streichen. « 144, « 14 adde : Prosternalfortsatz ventralwärts gekrümmt. (( 151, « 13 von unten, adde : Prosternalfortsatz leicht gekrümmt und ho¬ rizontal. « 152, « 9, « « lies : gänzlich punktirt . . . « 155, « 21 « oben, adde : Prosternalfortsatz leicht gekrümmt und mehr oder weniger horizontal bei imperfectus, Hűbb ardi, incompletus und debilis, bald schwach horizontal, bald mehr gekrümmt bei Merkeli (je * kleiner die Exemplare, desto weniger gekrümmt) und endlich ventralwärts gekrümmt bei relictus. « 157, « 19 « oben, lies : Hlschd. « 158, « 13 « unten, « Mundteile « 163, « 15 « oben, « p. 338. (Í 164, « 11 « « adde : Prosternalfortsatz ventralwärts gekrümmt. « 164, « 19 « unten, lies : Cascades. « 164, « 5 « « « p. 339. (( 170, « 10 « . oben, adde : Prosternalfortsatz ventralwärts gekrümmt. « 174, « 1 « « Easton (nicht Easton) c 185, « 20 « « lies : unbeachtet NACHTRAG ZUR MONOGRAPHIE DER CYCHRINI. 573 p- 191, Zeile 11 von oben, lies : p. 323 « 195, « 12 « ' unten, « etwa (( 197, . « 7 « « adde : Prosternalfortsatz ventralwärts gekrümmt. « 198, « 17 « « lies : gerandet. <( 204, « 15 « oben, « S4 und 5 — (Ausnahmen . . . « 205, « 4 « unten, adde : Mte Baldo Telegrafo (H. Müller VI 07). (( 206, « 7 « oben, lies : p. 120 u. 140, fl 207, « 19 «/ unten, « Latemar-Joch, . . . « 210, « 19 « « « p. 346 « 215, « 4 « « adde : rostratus a Schaum, elongatus (ex parte) Schaum « 217, « 2 « oben, lies : zu vielfach . . . « 219, « 6 « unten, « ob er ihn . . . « 220, . « 18 « « « clavata.) « 224, « , 3 u. 4 von oben, « Hlschd : <( 224*, « .. 11 von unten, « cf « 224, ■ « 2 « « « Stimmapparat « 233, 1 « « .. « Pleuren (statt Epipleuren) « 258, « 21 « « « Tuberkeln, « 258, « 20 ? « « « tief « 263, « 16 « oben « Typ Museum Berlin ? (uicht Kiel !) Y. ANNALES . MUSEI NATIONALIS HUNGARICI. 1907. COLEOPTEEA NON7 A IN MUSEO NAÏIONALI HUNGABÏCO descripsit E. Csíki. I. 1. Anophthalmus Bielzi Seidl, var. Stobieckii nov. V sly. pilose II o Mill, similis; sed differt: statura graciliore, antennis tenuioribus, articulis paulo longioribus, pronoto angustiore, angulis pos¬ ticis rectis (in var. pilosello Mill, obtusis), elytrorum striis quatuor internis fortioribus, ceteris subtilioribus. Habitat in montibus Carpathicis centralibus: Tátra (Y aliis Jawonynka, 1380 m.) et Babia-Góra (1580 m.), ubi clar. St. A. Stobiecki legit. 2. Pogonus Birói n. sp. Yiridescenti- cupreus, epipleuris antennisque rubro-testaceis, palpis pedibusque flavo -testaceis, ely tris apice testaceo-pellucidis, punctis striarum margineque laterali viridibus, subtus piceo, viridi-micante, laminis ventra¬ libus postice rubro-testaceis. Mento antice in medio dente, lobis subtrigo- nis lateralibus multo breviore, instructo. Pronoto transversim cordato, lon¬ gitudine triente latiore, antice et postice (basi) fere aequilato,r lateribus rotundatis, postice sinuato -angustatis, margine laterali anguste reflexo, ante medium et in angulis posticis seta unica instructa, in angulis anticis seta nulla, basi lateribus oblique truncatis, angulis posticis obtusis, foveolis basalibus magnis et haud profundis, lateribus carinula terminatis, basi dense punctato, linea mediana subtilissima. Elytris ovatis, lateribus parallelis, densissime et minutissime coriaceo-punctulatis, striis punctatis ad apicem et versus latera subtilioribus, punctis antice maioribus, interstitio tertio punctis quinque instucto. Long. 5*5—7 mm. India orientalis: Bombay (L. Biró, 1902). P. gilvipedi Dej. affinis ; sed differt colore, pronoto angustiore, lateribus eius postice minus sinuatis, elytris latioribus, lateribus eorum parallelis. COLEOPTERA NOVA IN MUSEO NATIONALI HUNGARICO. 575 3. Tefflus (Stictotef flus) Katonae n. sp. Anthracinus, subnitidus, supra sparsim nigro-setosus. Capite (fronte, vertice) rugoso-punctato, linea fronto-clypeali arcuata, labro punctis setigeris quatuor prædito. antice sinuato, antennarum scapo apice punctis setigeris duobus instructo, mento lobo mediano latiusculo, apice emargi¬ nato vel obtuse truncato. Pronoto longitudine paulo latiore vel aequilato, lateribus angulato-arcuatis, ad basin fortius angustatis, superficie rugoso- punctata, linea longitudinali media subtili, margine laterali angusto et reflexo. Elytris oblongo-ovalibus, humeris arcuato-rotundatis, costis an¬ gustis septem distinctis, primariis secundariisque uniformibus, ante apicem anostomosin praebentibus, secundariis antice abbreviatis, striis latis, tran>sversim plicatis, plicis medio granulo minuto exstructis. Epi- sternis vage punctatis, punctis setigeris nigris. Laminae ventris lae¬ vibus, postice utrinque puncto setigero, lamina apicali ante apicem punctis setigeris numerosis lineam transversam formantibus. Long. 31 — 36 mm. Mas differt a femina articulo ultimo palporum longiore et arti¬ culis duobus primis tarsorum anticorum dilatatis. Penis apice angustato- rotundatus. Africa orientalis : Kibosho, Mosbi, Arusha- Ju (C. Katona). T. viridano Kolbe affinis ; sed differt : corpore maiore, colore anthracino (non cyaneo- viridi et viridi), elytris oblongo-ovalibus, humeris arcuato-rotundatis. A T. violaceo Klug et T. carinato Klug fronte et vertice rugoso-punctatis distinctus. 4. Isotarsus decempustulatus n. sp. Oblongus, convexus, niger, nitidus, pilis nigris erectis hirsutus, elytris singulis pustulis quinque flavis ornatis. Capite elongato, latidudine triplo longiore, rugoso-punctato, sulcis frontalibus longis, vertice sim¬ pliciter punctato, occipite et clypeo laevibus, oculis semiglobosis. Anten¬ nis longitudine dimidio corporis, breviter pilosis, articulo tertio secundo sesquialter longiore, articulis 4 — 11 compressis. Pronoto] hexagono, latitudine paulo longiore, pone medium latissimo, rotundato-angulato, antice magis, postice minus attenuato, tenuissime marginato, conflu¬ ente!’ grosse varioloso-punctato. linea media longitudinali evanescente, sulcis basalibus longis profundisque. Scutello parvo, triangulari laevique. Elytris breviter-ovatis, pronoto fere sesquialter latioribus latitudine ses¬ quialter longioribus, humeris rotundatis, lateribus arcuato-rotundatis, apice sinuatis, fortiter punctato- sulcatis, interstitiis convexis, elevatis, 576 E. CSÍKI remote piloso-punctatis, pustulis quinque flavis ut in I. eustalacto Geest, dispositis, prima ad quintam partem anteriorem in interstitio quarto, secunda gemina ad quartam partem anteriorem in interstitio octavo et nono, tertia ante medium in interstitio sexto, quarta ad quar¬ tam partem posticam in interstitio quarto et quinta gemina ad sextam partem posticam in interstitiis septimo et octavo posita. Corpore subtus, laminarum ventris media parte vage punctata excepta, grosse varioloso- punctato. Long. 10*5 — 11 mm. Africa orientalis: Inter Marti et Arusha legit C. Katona. I. eustalacti Geest, affinis; sed differt: corpore minore, statura robustiore, lateribus pronoti magis angulato -rotundatis, elytris breviter- ovatis, humeris obtuse rotundatis. Ab I. Sommeri Chaud. ( eximio Sommee), pustuloso Kaffe, et Oberthüri Gesteo differt: statura robustiore et pustu¬ lis elytrorum aliter dislocatis. 5. Trichisia chinensis n. sp. Atro-coerulea, pilis fuscis hirsuta, capite piceo -nigra, antennarum articulo primo, palpis (articulo ultimo excepto) pedibusque rufo- ferru¬ gineis. Capite latitudine longiore, fronte impressa et punctata, oculis globosis, evanescentibus, clypeo convexo laevique. Pronoto longitudine multo latiore (2*5 : 4), grosse punctato, interdum punctis rugoso- connectis, pone medium latissimo, rotundato, lateribus antice arcua¬ tis, postice rectis angustatisque, angulis posticis rectis, margine basali utrinque emarginato. Scutello parvo, triangulari. Elytris latitudine sesquialter longioribus, ad basin rectis, humeris rotundatis, lateribus arcuatis, postice angustatis et ante apicem sinuatis, profunde punctato- striatis, interstitiis convexis, minutissime punctatis et transversim plicatis. Subtus sterno et lateribus laminarum ventris (duabus ultimis exceptis) grosse punctatis. Pedibus brevibus, tarsis simplicibus, articulo quarto tarsorum posticorum haud bilobato. Long. 11 mm. China : Tsonglok. TV. morioni Laf. affinis; sed differt: colore atro- coeruleo, pilis superficiei fuscis, antennarum solum articulo primo rufo- ferrugineo. 6. Trichisia papuana n. sp. Viridi-lazurea, nitida, fusco-pilosa, capite nigro, antennis, articulo primo brunneo excepto, piceis, palpis pedibusque rufo -ferrugineis. Capite latitudine sesquialter longiore, oculis globosis et prominentibus, clypeo toto et fronte medio convexis laevibusque, lateribus frontis longitudinaliter COLEOPTERA NOVA IN MUSEO NÁTIONALI HUNGARICO. 577 sulcato-impressis, punctis setigeris tribus instructis, vertice convexo, laevi. Antennarum articulo tertio articulis primo secundoque simul sump¬ tis paulo breviore. Pronoto longitudine latiore (2*5: 3*5), grosse rugoso- punctato, pone medium latissimo, lateribus antice arcuato-, postice sinuato-angustatis et ante angulos posticos acutos incisis, basi truncato, utrinque emarginato, linea longitudinali mediana evanescente, sulcis basalibus profundis. Scutello triangulari et laevi. Elytris obovatis, con¬ vexis, ad basin lobato-truncatis, humeris rotundatis, lateribus rectis, dein arcuato- angustatis, ante apicem sinuatis/profunde punctato-striatis, inter¬ stitiis convexis et subtiliter transve rsim plicatis. Subtus sterno toto (metas- terni parte media excepta) lateribusque laminarum ventris punctis grossis et profundis instructis, coxis posticis et laminis ventris punctatis. Pedibus brevibus, tarsis simplicibus. Long. 10*5 mm. Nova-Guinea: Friedrich-Wilhelmshafen (L. Bíró, 1896). Tr. azureae Cast., Chaud, affinis ; sed differt : statura latiore, colore supra et infra aequaliter viridi-lazureo, antennis piceis, articulo primo brunneo, palpis pedibusque rufo- ferrugineis, interstitiis elytrorum subtiliter, sed evidenter plicatis. 7. Trichisia quadrimaculata n. sp. Piceo-nigra, nitida, supra flavo-pilosa, pronoti limbo laterali postico, elytrorum maculis quatuor epipleurisque, antennis, palpis et pedibus flavo -ferrugineis. Capite latitudine sesquialter longiore, fronte punctata, vertice et clypeo laevibus, sulcis frontalibus non profundis. Pronoto longi¬ tudine latiore (3:5), convexo, rugoso-punctato, lateribus rotundatis, paulo pone medium latissimis, antice arcuatim, postice recte angustatis, angulis posticis acutis, dente parvo terminatis, limbo laterali in triente antico angustissime incipiente, dein basin versus sensim dilatato, flavo-ferru- gineo. Scutello parvo, triangulari, medio impresso. Elytris obovatis, con¬ vexis, humeris rotundatis, punctato-striatis, interstitiis convexis, punctatis, plicis transversis evanescentibus, maculis duabus flavo-ferrugineis orna¬ tis, una posthumerali subrotundata (inter striam quintam et marginem lateralem posita), altera anteapicali sublunata (inter strias 3. et 8. locata). Infra sterno et lateribus ventris grosse, medio ventris autem subtiliter punctatis. Long. 7*2 mm. Nova-Guinea: Friedrich-Wilhelmshafen (L. Bíró, 1896). A speciebus generis Trichisiae hucusque cognitis unicoloribus limbo laterali pronoti et maculis elytrorum flavo-ferrugineis faciliime distinguenda. Annales Musei Nationalis Hungarici. V. 37 578 E. CSÍKI 8. Dapsa (Phylira) Fodori n. sp. Oblongo-ovalis, convexa, pilis flavescentibus adpressis parce vestita, rufa, elytris extus pone medium et apice limbo nigro ornatis, ita ut picturae hae nigrae elytrorum duorum coniunctim figuram ferri equini mentiunt. Capite transversim quadrato, punctato, sutura trans¬ versa clypeo- frontali semicirculari, labro antice ' subsinuato. Antennis longis, gracilibus et dimidio corporis brevioribus, articulo tertio articulis quarto et quinto simul sumptis æquilongo, articulo ultimo obovato. Pronoto longitudine fere sesquialter latiore, convexo, subtilissime coriaceo et dense punctato, margine antico subrecto, angulis anticis rotundato- obtusis, lateribus subtiliter crenulatis (crenulis his sat remotis), antice rotundatis, postice, a triente antico incepto, subsinuato-angustatis, angulis posticis rectis, sulcis basalibus brevibus, haud profundis. Scutello ovali, transverso. Elytris oblongo-ovalibus, convexis, subtilissime coriaceis et dense punctatis, stria suturali nulla, sutura apicem versus profunda. Pedibus ut in congenericis, tibiis anticis intus haud spinosis. Long. 4 mm. Hungária centralis: Mária-Besnyő (Dr. J. Fodor). D. limbatae Motsch. et nigripenni Reitt. e Caucaso affinis ; sed colore iám faciliter distinguenda. A D. Horváthi Csíki (stria suturali nulla) et pallescente Mars, (stria suturali usque ad medium elytrorum bene explicata) differt: colore, marginibus lateralibus pronoti postice sinuatis et sulcis basalibus huius brevioribus. Ab omnibus ceteris speciebus sub- generis Phylirae 1 differt : pronoto antice subrecto, haud emarginato. 1 Dctpxam syriacam Pic (L’Échange, 1902, p. 33) e Syria (Beyruth) a D. inor¬ nata Gorh. (e Palaestina) separare non potui, quapropter species has duas in unam coniungendas esse censeo. V. ANNALES MUSEI NATIONALIS HUNGABICL 1 907. VIER NEUE PIPUNCULUS-ARTEN. Yon Pr. K. Kertész. Das Ungarische National-Museum, dessen Pipunculiden- Sammlung wohl eine der hervorragendsten ist, hat in neuerer Zeit sechs exotische Arten der Gattung Pipunculus erhalten. Die erste ist P. abdominalis Lw., die K. Katona in Deutsch-Ost- Afrika gesammelt hat. Die zweite wurde ebenfalls von Katona in Deutsch-Ost-Afrika gesammelt, und scheint P. claripennis Lw. zu sein. Die Beschreibung passt vollkommen auf die betreffenden Exemplare, nur ist der zweite Hinterleibsring grau bestäubt, wovon Loew keine Erwähnung macht. Es ist deshalb nicht ausgeschlossen, dass man es mit einer neuen Art zu thun hat und dass bei Vergleich der typischen Exemplare auch andere Unterschiede zum Vorschein kommen werden. Die übrigen vier Arten, deren Beschreibung hier folgt, halte ich für neu. 1. Pipunculus Horváthi n. sp. ç . Stirn und Untergesicht mit fast parallelen Seiten, die sich gegen die Fühler nur wenig verschmälern ; beide grauweiss, seidenartig. Scheiteldreieck glänzend schwarz. Die Basalglieder der Fühler schwarz, das zweite Glied auf der Ober und Unterseite mit 2 — 3 längeren Haaren. Das dritte Glied braun, nicht länger als die beiden Basal¬ glieder, kurz zugespitzt. Borste schwarz, an der Basis stark verdickt ; ihre Länge erreicht nicht ganz die halbe Länge der Stirn. Die wulsti¬ gen Hinterkopfränder seidenartig grauweiss. Thoraxrücken glänzend schwarz, der Glanz wird jedoch von dem an den Seiten grauen und in der Mitte braunen Tornente ziemlich gedämpft. Pleuren und Metanotum grau, in gewisser Richtung seidenglänzend. Schildchen glänzend schwarz. Hinterleib glänzend schwarz, mit zerstreut stehenden schneeweissen Härchen ; der erste Ring, ausgenommen den fast • halbmondförmigen Basaltheil, mit dichtem, weissgrauem Tomen le bedeckt; der zweite Ring ist an den Seiten in ganzer Ausdehnung . von grauweissem Tornente be¬ deckt; das Toment zieht sich auch auf die Oberseite des Ringes hinauf und nimmt am Vorderrand die halbe Breite des Ringes ein ; das Toment ist aber am oberen Theil des Ringes viel sparsamer, als auf den Seiten 37* 580 D; K. KERTÉSZ und fällt hauptsächlich dadurch in das Auge, dass der Yorderrand des Ringes matter erscheint, als die übrigen Ringe. An den Seiten des 3 — 5. Ringes befinden sich gegen den Hinterrand erweiterte graue Flecke, die von der Seite gesehen rechtwinkelige Dreiecke darstellen. Die Seitenflecke des 6. Ringes sind mehr halbkreisförmig. Der Lege¬ stachel ist ganz unter die Bauchseite geschlagen, weshalb nicht gut sichtbar, scheint aber ziemlich kurz und gerade zu sein. Schenkelringe, äusserste Basis und Spitze der mattgrau bestäubten, an der Unterseite glänzenden schwarzen Schenkel, rötlichgelb. Vorderschenkel auf der Unterseite am Spitzendrittel mit 5 — 6, die Mittel- und Hinterschenkel auf der Spitzenhälfte mit 10—12 kleinen Dörnchen. Schienen bräunlich¬ gelb, vor der Spitze gebräunt; die braune Farbe ist auf der Unterseite mehr ausgebreitet. Tarsen bräunlichgelb, das letzte Glied schwarz. Die Beborstung der Schienen und Tarsen besteht aus ganz kurzen, aber relativ starken schwarzen Börstchen. Klauen und Haftläppchen sehr stark entwickelt. Flügel sehr schwach gebräunt ; Randmal graubraun ; dritter Randaderabschnitt um ein Drittel kürzer als der vierte, beide zusammen fast so lang, als der fünfte. Die kleine Querader steht im ersten Drittel der Discoidalzelle, etwas hinter der Mündung der Hilfsader. Schwinger hell bräunlichgelb. Länge : 4 mm. ; Flügellänge : 4’5 mm. Ein j aus Nordamerika, Adirondack Mountains, Long Late, N. Y., von Herrn Dr. G. Horváth, Direktor der Zoologischen Abtheilung des Ungarischen National-Museums, im August 1907 gesammelt und ihm zu Ehren benannt. Diese Art gehört in die zweite Abtheilung der Pipunculus- Arten, mit gefärbtem Randmal und glänzendem Hinterleib. Sie steht in der nächsten Nähe von nitidiventris Lw., von welcher sie sich hauptsäch¬ lich durch das Fehlen der grauen Binde am dritten Hinterleibsringe, sowie durch das Vorhandensein der kleinen Dörnchen auf der Unter¬ seite der Schenkel unterscheidet. 2. Pipunculus Sauteri n. sp. d . Scheiteldreieck glänzend schwarz ; Stirn mit silberweissem Tornente dicht bedeckt. Untergesicht parallelrandig, der obere Theil flach, silber- weiss schimmernd, am unteren Drittel kammartig erhaben, mattschwarz. Die zwei Basalglieder der Fühler schwarzbraun, das dritte Glied braun, nach unten zugespitzt, weiss schillernd. Borste an der verdickten Basis schwarz, sonst braun. Hinterkopfränder grau bestäubt. Thoraxrücken schwarz, auf der vorderen Hälfte mit röthlichbrauner Pubescenz dicht VIER NEUE PIPUNCULUS-ARTEN. 581 besetzt, die besonders von der Seite gesehen, gut in das Ange fällt. Schulterbeulen, Pleuren und Metanotum grau. Schildchen schwarz, ziemlich glänzend. Hinterleib schwarz, von geringen Glanze, nackt ; •erster Eing ganz grau, der zweite mit einer grauen Binde, die nur den schmalen Hinterrand frei lässt ; am 3 — 5. Eing graue Seitenflecke, die ■sich auf die ganze Länge der Einge ausbreiten. Der 5. Eing ist etwas länger als der vierte, in der Mitte mit zwei Eindrücken. Das grosse, asymmetrische Hypopyg ist etwas breiter als der Hinterleib und etwas länger als der 5. Eing. Es ist aus zwei ungleichen Hälften zusammen¬ gesetzt, u. z. aus der grossen linken und -deren kaum den vierten Theil ausmachenden rechten. Auf der Oberseite der grösseren Hälfte, ganz am Vorderrand, ist ein nach links verlaufender Eindruck sichtbar. Das Hypopyg ist glänzend schwarz, mit fuchsrötlicher Pubescenz, die den Glanz fast garnicht alterirt. Hüften und Schenkel bis auf die äusserste Spitze, Schienen, mit Ausnahme der Basis und Spitze, schwarz, ziemlich glänzend. Knie, Schienenspitzen und Tarsen röthlichbraun, die letztén Glieder dunkler. Flügel schwach rauchbraun ; das Eandmal gelbbraun, nur wenig kürzer als der vierte Bandaderabschnitt, beide zusammen ca. lVa-mal so lang als der fünfte. Die kleine Querader steht mit dem Vorderrand des Eandmales in einer Linie, im ersten Drittel der Discoidal- zelle. Stiel der Schwinger gelbbraun, der Knopf dunkelbraun. Länge : 2*5 mm. ; Flügellänge : 2*9 mm. Ein Männchen aus Formosa, Takao, am 10. April 1907 von Herrn Hans Sauter erbeutet. Die Art gehört in die zweite Gruppe der Pi'püncukis- Arten, die ein gefärbtes Eandmal und einen glänzenden Hinterleib haben. Nach meiner Tabelle der südasiatischen Pipunculus- Arten (Annales Mus. Nat. Hung., I. 1903, pag. 465) kommt man auf fumipennis Kert., die jedoch ein stumpfes drittes Fühlerglied hat und auch in anderen Merkmalen stark abweicht. 3. Pipunculus Katonae n. sp. d1. Scheiteldreieck glänzend schwarz. Stirndreieck und Untergesicht silberweiss schimmernd. Augen in ziemlich langer Strecke zusammen- stossend. Basalglieder der Fühler schwarz, das dritte schwarzbraun, matt, mit sehr langer Spitze ; Borste schwarz, die Verdickung an der Basis länglich. Hinterkopfränder grau bestäubt. Thoraxrücken und Schildchen mit braungrauer, gleichmässiger Bestäubung, nur ein kleiner Theil hinter den Schulterbeulen und die Pleuren aschgrau. Schulter¬ beulen bräunlichgelb. Metanotum dicht grau bestäubt. Hinterleib matt¬ schwarz, am 1 — 4. Eing mit grauen Binden, die die Seiten der Einge 582 Dl K. KERTÉSZ vollständig einnehmen und gegen die Mitte der Ringe von ihrer Breite allmählig abnehmen, aber vollständig, nicht unterbrochen sind. Am vor¬ deren Rand der grauen Binden, wo sie mit der mattschwarzen Grund¬ farbe Zusammentreffen, tritt eine braungraue Farbe auf. Der fünfte Ring ist asymmetrisch, etwas nach links gebogen, ganz bräunlichgrau bestäubt, mit dunklerem Vorderrand und Mittellinie. Das asymmetrische, kleine, gleichfalls bräunlichgrau bestäubte Hypopyg ist auf seiner rechten Seite etwas länger als auf der linken ; es besteht aus zwei ungleichen Thei- len, der linke macht kaum Ve Theil des rechten aus. Spitze der schwar¬ zen Hüften und Schenkel röthlichgeib. Schienen röthlichgelb, mit einem verwaschenen braunen Ring auf der Mitte. Die Tarsen, mit Ausnahme des letzten schwarzen Gliedes, gleichfalls röthlichgelb. Schenkel matt¬ grau bestäubt, die Innenseite der Hinterschenkel glänzend. Klauen und Haftläppchen schwach entwickelt. Flügel sehr schwach gebräunt, mit braunen, an der Basis helleren Adern. Randmal hellbraun, nicht voll¬ ständig, es reicht nicht bis zur Hilfsader. Dritter Randaderabschnitt zwei Drittel des vierten, beide zusammen mehr als zwei Drittel des fünften. Kleine Querader hinter der Mündung der Hilfsader, in einer Linie mit dem Vorderrand des Randmales, an der Grenze des ersten Drittels der Discoidalzelle. Schwinger röthlichgelb, der Knopf oben braun. Länge: 3 mm. ; Flügellänge : 3 '7 mm. Ein Männchen aus Deutsch-Ost-Afrika, Moschi, im Juli 1905 von K. Katona gesammelt und nach ihm benannt. Diese Art gehört in die erste Gruppe der Pipunculus- Arten, die ein gefärbtes Randmal und matt bestäubten Hinterleib haben. Sie unter¬ scheidet sich von den übrigen bekannten afrikanischen Arten durch das Flügelgeäder, die Hinterleibszeichnung und die Form des Hypopygiums. 4. Pipunculus Coquilletti n. sp. d\ Scheiteldreieck glänzend schwarz, Stirndreieck und das parallel¬ seitige Untergesicht seidenweiss. Augen zusammenstossend. Basalglieder der Fühler schwarz, drittes Glied schwarzbraun, die ziemlich lang aus¬ gezogene Spitze gelblichweiss. Borste schwarz, an der Basis nur wenig verdickt. Die wulstigen Hinterkopfränder grau. Thoraxrücken glänzend schwarzgrün; der Glanz ist vom bräunlichen Tumente etwas gedämpft. Schulterbeulen gross, graugelb. Pleuren grau. Schildchen glänzend erz- farben. Metanotum grau. Hinterleib schwarzgrün erzfarbig, mit kurzen, aber deutlich schräg abstehenden Haaren. Erster Ring an der Basis mattschwarz, sonst von grauem Tornente bedeckt, in der Mitte einge¬ drückt. Das Toment ist schwer wahrzunehmen und fällt hauptsächlich VIER NEUE P1PUNCULUS- ARTEN. 583 dadurch in das Auge, dass der Ring matter erscheint als die übrigen. An den Seiten der übrigen Ringe ist das Toment auch sehr sparsam. Der 5. Ring ist etwas länger als der 4. Hypopyg asymmetrisch, ent¬ schieden niederer als der 5. Ring, auf der rechten Seite mit einer breiten Längsspalte. Der rechte Theil des Hypopygiums ist länger als der linke. Beine schwarz, ausgenommen die äusserste Spitze der Schenkel, das erste Drittel der Schienen und die vier ersten Tarsenglieder, die röthlich- gelb sind. Die schwarze Farbe der Beine ist mit grauem Tornente be¬ deckt, nur die Innenseite der Hinterschenkel ist glänzend. Schenkel auf der Unterseite ohne Dornen. Haftläppchen und Klauen mässig gross. Flügel sehr schwach getrübt. Dritter Randaderabschnitt nur ein Drittel des vierten, beide zusammen erreichen nur ein Drittel des fünften. Kleine Querader auf der Mitte der Discoidalzelle, vor der Mündung der zweiten Längsader. Schwinger gelb. Länge : 3 mm. ; Flügellänge : 3 mm. Ein Männchen aus Nordamerika, Adirondack Mountains, Long Lake, N. Y., von Dr. G. Horváth im August 1907 erbeutet. Die Art gehört in die dritte Gruppe der Pipuncülus- Arten, die ein ungefärbtes Randmal haben und steht mit similis Hough und sylva- ticus Meig. in nächster Verwandtschaft. Von beiden unterscheidet sie sich durch das anders gebildete Hypopyg und durch die verschiedene Pubescenz des Hinterleibes. Diese Art widme ich dem verdienstvollen nordamerikanischen Dipterologen, Herrn D. W. Coquillett. T. SMráki del. Ny. Grund V. utódai Budapesten. Tab. il. Ny. Grund V utódai Budapesten •T Shirato del. Ann. Mus. Hung. V. ( 1907 ).. ' . Rnn. Mus. Hung. V (1907). TRB. III. Rd nai del. Méhely. Ann. Mus. Hung. V, (1907.) Tab. IV. Palpi max. -labrum Palp lab < multisetosJ Ch/prns ■ Gena Mandibula' Angulus seu\ Tuberculum Maxillae\ ^ Scapus antennae Vertex Seta supra¬ orbitalis JLob. ext. max. cultri form lob. int. maxillae lob. lateralis labri \ Ariiéul ■ -Mentum. Angulus setti Tuberculum ) Maxillae Palp. lab. bisetos. Sz-Seta _ gularis [Apertura f buccalis Squama riti Idi ri 01’/, Oculus- Maxilla sinistra Prosternum / Mesoster¬ num Meso cooca I í||M Metaster¬ num MetacoxaS Strigae central. ■ S.A%K Setae anales E.Roe.scMie 'et'e.Remeck del. ily. Grimd'V. utódai Budapest. Tab. V. Ann. Mus. Hung. V. ( 1907 ). Tab. Vi . Ann Mus. Hung. V. (1907 ). Mo-e s 2 del. Hy. 0riïnd V. utódai Buda.ee sten. Ann. Mus. Hung. V. ( 1907 ). Tab. vu. Ny. 6nmd V. utódai Budapesten. ♦ . w. - Ann. Mus. Hung. V. (1907). Tab. Vili. C. T. Brues ad nat. del. . - ' â'\ > ) î: G.Enàerlem del. Tab. ix. Ann. Mus. Hung.V. (1907 ). ly. GrimdV. utódai Budapesten. v Ann. Mus. Hung. V. 11907) Tab.X I iti.. drùp-é-X-utódai Budapest. Ad nat. dei Méhely. • Ann. Mus. Hung. V. (1907). Tab. xi. c Tab. XII. Ann. Mus. Hung. V. ( 1907). 2, Tii.Becier del litk Grund V, utódai Budapest Ann. Mus. Hung. V (1907) Tab. Xi. K. Zim cLTcyi d eJ. JjíÁ. Hubert \K3%Jer ^ München. ANNALES HISTORICO -NATURALES MUSEI NATION ALIS II UNO ARICI. A Magyar Nemzeti Muzeum természetvaj zi osztályainak folyóirata. A M.Tucl. Akadémia támogatásával kiadja a Magyar Nemzeti Muzeum. A 30 — 40 iv terjedelmű s a szükséges táblákkal ellátott évfolyam előfizetési ára : 30 korona. A hazai nyilvános tanintézetek, múzeumok és ' könyvtárak 50 ó/o árengedményben részesülnek, ha megrendeléseiket egyenesen a Magyar. Nemzeti Muzeum titkári hivatalához intézik. A folyóirat szellemi részét illető küldemények, valamint a cserébe küldött kiadványok a Magyar Nemzeti Muzeum állattári osztályába czímezendők. Ges Annales -publiées par le Musée National Hongrois forment un volume de 3v à 40 feuilles par an, accompagné de planches. Prix d’ abonnement : 30 couronnes. On s’abonne chez M. le Secrétaire du Musée National Hongrois à Budapest. Adresser tout ce qui concerne la rédaction et les échanges, à la Section zoologique du Musée National Hongrois à Budapest. A Magyar Nemzeti Muzeum kiadásában megjelent következő természet¬ rajzi munkák megrendelhetők a Magyar Nemzeti Muzeum titkári hivatalánál : Természetrajzi Füzetek. Szerk. Herman Ottó, Schmidt Sándor és Mocsáry Sándor. Budapest, 1877 — 1902. Nagy nyolczadré,t. I — XXV. köt. A 25 kötetből álló teljes sorozat ára 200 korona. Az I — IV. kötet külön nem kapható. Az V — XIX. kötet ára kötetenkint 6 korona. A XX— XXV. « « « 10 « Méhely Lajos, Magyarország Denevéreinek Monographiája. Mono- graphia Chiropterorum Hungariæ (cum appendice in lingua germanica conscripta). Budapest, 1900. Nagy nyolczadrét. XI -4- 372 lap, 22 táblával. . „ Ara IO korona. Dr. Madarász Gyula, Magyar ország- Madarai. A hazai madárvilág meg¬ ismerésének vezérfonala. Anhang : Die Vögel Ungarns. Auszug in deutscher Sprache. Budapest, 1899 — 1903. Negyedrét. XXXIII -{- 666 lap, 170 szövegrajzzal és 9 táblával. Ara 40 korona. Dr. C. Kertész, Catalogus Dipterorum hucusque descriptorum. Budapest, 1902. In 8°. Vol. I. Sciaridæ, Bibionidæ, Chironomidæ, Stenoxenidæ, Culicidæ,Ptychopteridæ, Dixidæ, Blepharoceridæ, Simulidæ, Orphnephilidæ, Psycliodidæ. — 339 pag. A A — " ~~ _ _ _ ~~ ~ ~~ ~~ ~~ ~~ — Pretium 18 coronæ. Vol. II. Cecidomyiidæ, Limnobiidæ, Tipulidæ, Cylindrotomidæ. — 359 pag. Pretium 20 coronæ. Opus completum in voluminibus 8 — 10 apparebit. Les ouvrages indiqués ci-dessus et publiés par le Musée National Hongrois sont en vente chez M. le Secrétaire du Musée National Hongrois à Budapest. r . TRANKLIN-TARSULAT NYOMDÁJA, 516®« ,