æ“ …_— So 1275 . As a Ce , LE LT Le Le Lai ns € 4 . u Et : a r , : J . L à —_ L 2 Le À - # wo > lat 3 . a” L > "ae —_ ] n = at g: ne) J _ à ‘ '( Es [nl = S 1 ‘ ——. k : - (a e Ê _ ’ . “ : « , - com DT on Los ACADÉMIE DE LA ROCHELLE SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-JNFÉRIEURE ANNALES DE 1891. RFA: LA ROCHELLE à AS Type. E. MARTIN, S' DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ESCALE, 20. 4892. ANNALES SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES LA CHARENTE-INFÉRIEURE 5-95. A.IS. La Société des Sciences naturelles a été reconnue établissement d'utilité publique par décret du 4 septembre 1852. ACADÉMIE DE LA ROCHELLE SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES PE LA CHARENTE-]JNFÉRIEURE ANNALES DE 1391. No 28, LA ROCHELLE Typ. E. MARTIN, S' DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ESCALE, 20. 1892. COR" 2) AL PC Eu Ci Ye a L F 4 ES ÉEN PU rate Le 4 COMPTE-RENDU DES TRAVAUX DE LA SOCIETÉ DES SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE PENDANT L'ANNÉE 1891. — 0 <— MESSIEURS, Les découvertes enregistrées dans le champ si vaste de la nature, et principalement dans la botanique, dues aux laborieuses investigations des auteurs de la nou- velle Flore française, sont des victoires sur un terrain pacifique, et votre Secrétaire n’a pas à vous demander grâce pour leur longue énumération. Ces constatations de phénomènes météorologiques, ces explorations des infiniment petits, dont les résultats agrandis sont fixés par la photographie, ces types nou- veaux qui viennent remplir des lacunes dans les séries paléontologiques, ces considérations élevées qu', des phénomènes transitoires, dégagent les lois et les prin- cipes immuables, ces analyses, ces RS ee qui F A animent vos séances et affirment la vie et le progrès, sont des victoires pacifiques et modestes, mais des vic- toires sur ce sphynx de la nature qui, siècle à siècle, livre ses Secrets. Encouragements donnés à la vulgarisation des sciences, accroissements de vos musées et de votre bibliothèque, prix offerts au lycée, séance solennelle de l’Académie, vous avez continué, pendant le dernier exercice, les traditions, qui ont valu à la société les subventions de l'Etat et les sufirages des savants les plus autorisés de la France et de l’étranger. Permettez-moi de résumer brièvement les communi- cations variées, qui ont rempli vos séances. Il est de toute justice de commencer par celles de votre Président, qui est aussi le conservateur de votre muséum. M. Ed. Beltremieux vous a entretenus: des colonnes basaltiques d'Auvergne, qu’il a visitées lors du congrès de l’association françaises pour. l’avancement des sciences tenu à Clermont-Ferrand en 1876 et qui ont donné lieu depuis à une description de M. Stanislas Meunier ; — de l’utilisation de la ramie en sériciculture ; — de l’origine de la rose et du chrysanthème ; — des ravages de la loutre dans les rivières et les étangs; — des dégâts faits dans les ruches par les crapauds ; — du prix des légumes en l’an 300 et du salaire d’un ouvrier agricole, correspondant à 50 centimes par jour de notre monnaie actuelle ; — des questions proposées au congrès national des sociétés françaises de géographie, session de Rochefort ; — des chenilles processionnaires et de la nécessité de préserver les nids d’oiseaux des chenilles à : poils urticants ; — des travaux de notre regretté collègue Albert Fournier. — I vous a lu une lettre de dE EUR Brongniart à C. d'Orbigny père, du 19 novembre 1823, relative aux foraminifères. — Il vous a parlé de la valeur des objets d'industrie humaine comme éléments de classification des terrains quaternaires et des époques préhistoriques. La classification adoptée par la plupart des añthropologistes français est la suivante : Temps quaternaires. Epoque chelléenne. Id. moustérienne. Id. solutréenne. Id. magdalénienne. Période néolithique. Epoque robenhausienne. Période éolithique. Mais la valeur d’une classification dépend en grande partie, des matériaux qui lui servent de base, il y a lieu de provoquer, sur ce point, des observatigns nettes et précises, faites sans idées préconçues. On demande donc au congrès de Marseille de 1891 de déterminer, par des observations nouvelles et précises l’ordre d’in- vention, d'apparition, d'usage habituel et d'abandon des divers types d'armes ou d’outils en pierre et en os utilisés par les populations primitives. Le classement observé, notamment dans les vallées de la Charente et de la Dordogne, est-il uniforme pour toute la France ? Quelle est son extension géographique ? Observations personnelles faites dans les fouilles ; indiquer par des coupes précises les couches d’où les objets recueillis ont été retirés et la faune qui les accompagnait. M. Beltremieux a analysé l’ouvrage intitulé les Mammifères de la France par M A. Bouvier, directeur du Musée pratique d'histoire naturelle appliquée de SHOT Paris, étude de vulgarisation utilitaire, honorée des souscriptions des ministres et de plusieurs municipa- lités. Cette analyse était accompagnée d’une compa- raison avec les animaux collectionnés dans le muséum Fleuriau. Il a offert au muséum La Faille un scincus officinalis, que M. F. Droin lui a rapporté d’Algérie, et a lu un mémoire sur les propriétés médicinales de ce saurien qui vit dans les sables de l'Arabie, de l’Abys- sinie, de l'Egypte, et de la Barbarie. — Il a entretenu la société du projet d’ériger une statue à Hanoi, à Doudart de Lagrée, premier explorateur du Mékong, — et de l'aquarium construit au Hâvre en 1869 par M. Lennier ; aquarium, dont l'existence avait été menacée et qui a rendu en outre de grands services grâce au laboratoire de bactériologie qui y était annexé. — Le président vous a fait l’analyse de diverses publi- cations des Annales du Musée Guimet, et notamment : des symboles, emblèmes et accessoires du culte chez les Annamites par G. Dumoustier et les Hétéens, histoire d'un empire oublié par A. H. Sayce; — ensuite des principales publications reçues des sociétés correspon- dantes de la France et de l'Etranger et dans ces der- nières, du Canada, de Missouri, du British muséum et de nos correspondants MM. Jouan, G. Rouy, Fournier, Odin, et une notice sur le prince Albert de Monaco, envisagé comme naturaliste et directeur des explo- rations sous-marines des Acores. — Il donne des détails sur les mœurs du corbeau, d’après le Naturaliste, et sur la possibilité d’enrayer les dévastations des acridiens en leur opposant des crapauds, à raison d’un par are. M. Charles Basset a mis à la disposition de ses collègues et de la société, ses appareils photogra- NN ee phiques au moyen desquels il obtient d’excellentes reproductions de micrographie, d'anatomie comparée, de botanique, de sphragistique. de paléographie, qui élucident les observations de ses confrères, donnent du charme à nos séances privées et publiques, et impriment un cachet artistique aux Annales. Il a continué ses études sur les diatomées, sur les foraminifères et sur la paléontologie et ajouté un vif intérêt à nos réunions mensuelles par l’examen d'épreuves merveilleusement exactes, obtenues avec des grossissements considérables d’une netteté parfaite. Il présente des objectifs et des oculaires spécialement construits pour la microphoto- graphie, montre des épreuves photographiquesobtenues par leur emploi puis, avec des miscroscopes munis d'objectifs et d’oculaires de divers constructeurs, il fait d'apprécier leurs différences, en faisant voir diverses préparations microscopiques, telles que : Amphipleura pellucida, pleurosigma angulatum, holothuries et forami- nifères, sur lesquels il donne d’intéressants détails. M. A. Couilliaux vous a donné lecture d’un mémoire, dont il est l’auteur, sur la graphologie appliquée à l’édu- cation et a fait hommage à la société d’un projet de fondation d’une société d'instruction mutuelle. M. Cassagneaud a donné des détails sur l’ostréiculture et la mytiliculture et sur les mœurs de la baudroie (lophius piscatorius) à l’occasion d’un échantillon de ce poisson offert au muséum Fleuriau. M. Dollot, qui possède une riche collection paléonto- logique, offre au muséum de beaux échantillons de fossiles, il rend compte ainsi que M. Boissellier des excursions géologiques faites par la société qui les avait désignés comme rapporteurs. MM. Jousset et Foucaud qui ont pris part à toutes nos excursions scientifiques donnent lecture des rapports dont ils ont été chargés sur la partie botanique. M. J. Foucaud a entretenu la société de la flore qu’il publie, sous ses auspices, avec M. G. Rouy. Il a pré- senté le compte-rendu de la société botanique de France à la Rochelle et insisté sur l'importance des découvertes botaniques faites dans notre région. Il a communiqué avec M. Jousset, une plante qu’ils ont retrouvée dans les landes de Cadeuil, fris sibirica, et signale également les plantes suivantes : Gentiana campestris var. subflava Foucaud. Dactylis glomerata, var. hirsuta Foucaud. Avena sulcata, var. pauciflora Foucaud. Linaria alpina var. hirsuta Foucaud. Agrostis olivetorum G. et G. nouveau pour l’ouest de la France. Agrostis olivetorum, var. aristata Foucaud. Chara galioides, var. Foucaudi, F. Hy. Cerastium arvense St-Genis (Courjault). M J. Lusson a présenté le rapport sur le laboratoire municipal de chimie, qu’il dirige avec tant de zèle etde distinction, et il a ajouté: « Monsieur le Président, une » personne qui désire demeurer anonyme, m'a fait » remettre une somme de cinq cents francs destinés à » l’acquisition d'instruments et appareils de chimie » pour le laboratoire municipal. J'ai été d'autant plus » touché de cette gracieuse pensée que le travail » toujours croissant du laboratoire exige précisément » des instruments nouveaux, dont le prix dépasse bien » souvent nos ressources. Je ne puis m'empêcher de Lg Cite » rappeler, à cette occasion, que la fondation du labo- » ratoire est due à l'initiative éclairée de M. Gabriel » Admyrauld, qui nous fit, en 1877, un don de mille » francs. Je vous prie de vouloir bien exprimer, par un » vote, notre gratitude profonde pour le donateur géné- » reux et modeste qui a songé à nous aider, de nouveau, » pour nous permettre de travailler plus encore et dans » de meilleures conditions. » A l’unanimité, la société vote des remerciements à ce généreux donateur et décide la publication du procès-verbal dans les jour- naux de la Rochelle. M. J. Lusson a résumé et rapproché les faits les plus saillants exposés dans les comptes-rendus de l’Académie des sciences : analyse des alcools ; — fermentation alcoolique ; — distillation des liquides; — intensité des efïets du téléphone ; — intoxication par les moules ; — mélanges des huiles de graines oléagineuses à l'huile d'olive ; — emplois du bois d'eucalyptus ; — variation du bassin chezle cachalot ; — vibrations dans le plan de polarisation de la lumière ; — influence des froids rigoureux sur les animaux du muséum de Paris ; — photographie des couleurs ; — influence de l’état hygro- métrique de l’air sur la position et les fonctions des feuilles ; — olfactometre ; variabilité du nombre de vibrations des notes musicales selon leurs fonctions ; — observations sur le bourgeonnement de quelques ascidies composées ; — essais d’ostréiculture dans le vivier d'expérience du laboratoire de Roscoff, — cons- truction de vis de précision pour les appareils de mesure de la carte du ciel; — dextrorsité de certains gastéro- podes dits sénestres. — Structure microscopique des roches phosphatées du Dekma (département de Cons- tantine) etc., — nouvel appareil destiné à élever l’eau, au moyen d’un syphon, etc. M. Michau a communiqué un mémoire de M. le docteur Laffon, de Sainte-Soulle, à l’occasion d’un article de M. Guétier, qui fait remarquer que le crapaud est depuis longtemps signalé par les agriculteurs, comme un ennemi dangereux des abeilles et que la perte d’une abeille pour une ruche, en hiver, par le fait de la grande charbonnière, qui fait sortir les insectes de leur ruche pour les saisir au passage, a plus d’im- portance que celle de quarante abeilles, au moment où le crapaud fait ses sorties. M. Eugène Meyer a présidé la séance publique de l’académie des belles-lettres, sciences et arts, en qualité de vice-président de la Société des sciences naturelles et il a présenté à ce titre, le compte-rendu des travaux des cinq sections. Il à analysé à nos séances les publications des sociétés étrangères adressées à notre compagnie et a signalé un procédé d’un chimiste d’outre-Rhin pour obtenir de la musique, au moyen de divers mélanges et préparations. M. Odin a lu un intéressant mémoire sur le Malarmat, poisson océanique indiqué jusqu'ici comme spécial à la Méditerranée, ainsi que le Phycis blennoïdes. Ces deux poissons, pris dans notre rade, existent au muséum Fleuriau. M. Odin a signalé également la Cas- tagnole et le Cycloptère lumpe, qui appartiennent au golfe de Gascogne. Il fait don au muséum d’une Caryo- phyllie. M. de Richemond, indépendamment des rapports qu'il a présentés comme secrétaire, sur les travaux de la société, a communiqué le programme du dernier concours agricole de Saintes entre les instituteurs de cet arrondissement : carte agricole du phylloxéra, situation avant 1789, comparaison des prix des difié- rentes substances alimentaires, renseignements divers. Il demande si la société, entrant dans les vues du minis- tère de l’Instruction publique, questions économiques soumises aux Congrès annuels de la Sorbonne, jugerait à propos de fonder un prix, soit par canton, soit pour l’arrondissement chef-lieu, sur des questionsanalogues. La société a confié l’étude de cette proposition à une commission composée de MM. Beltremieux, Foucaud, Lusson et de Richemond. M. de Richemond a lu un mémoire qu’il a fait à la demande de M. le Ministre de l’Instruction publique sur les pêcheries de Terre-Neuve et les droits de la France sur cette île, depuis 1487 jusqu’à nos jours, — il a également écrit en réponse à une dépêche de M. le Ministre de l'Agriculture, une étude sur l’agriculture en 1789, d’après les documents des archives départe- mentales. Il a communiqué l’autobiographie du docteur Ami Boué, membre de l’Académie des sciences de Vienne, deux fois président de la société géologique de France, né à Hambourg d’une famille française, représentée à la Rochelle, le 16 mars 1794, décédé à Vienne, où il s'était fixé, à la suite de son mariage. Il à lu, à la séance publique de l’Académie, un travail sur les explorations des grandes profondeurs sous- marines et les plus récentes découvertes. A cette séance, M. Dupuy, membre de la section des sciences naturelles, a fait une lecture sur la Tunisie, au nom de la société — 14 — de géographie, dont il est le secrétaire. Ces deux lec- tures avaient été accompagnées de projections à la lumière oxhydrique, grâce à de nombreuses photo- graphies dont plusieurs étaient les œuvres de nos collègues MM. Charles Basset et Ach. Corbineau. M. le docteur Termonia vous a signalé le rumex buce- phalophorus, plante nouvelle pour le département, trouvée par lui en 1891 à Gemozac, il a analysé la Revue scientifique et il a appelé l’attention de la Société sur la psychologie des lézards par M. Delbœuf et les différences de caractères qu’il a constatés entre le lézard ocellé espagnol et un lézard français, le second plus entre- prenant et plus hardi que le premier, et la répulsion du caméléon d'Afrique pour les lézards européens, répul- sion qui cessait, lorsqu'on cachait au caméléon la tête du lézard ; — les variations de la natalité en France et en Angleterre ; — la nécessité de rendre obligatoire la vaccination et la revaccination des adultes ; — l’étude de M. de Tolstoï sur les abus du vin et du tabac ; — l’influenza endémiqne en Russie; — le discours de M. de Quatrefages, de l’Institut, sur l’avenir des sociétés de géographie ; — les moyens proposés pour combattre la dépopulation de la France ; — la vaccination obli- gatoire des chiens ; — l’application de ja ramie à l’éle- vage des vers à soie ; — la ponte des insectes ; — le rôle de la chimie et de la physiologie en agronomie ; — l’exposition française de Moscou; — le soi-disant vol des araignées ; — Ja droiterie et la gaucherie ; — le choléra en Espagne en 1890. M. Couneau qui a représenté la société au congrès de l'association française pour l'avancement des sciences réuni à Marseille, a donné un intéressant compte-rendu de cette session, il vous a offert le volume publié à cette occasion. M. Alfred Vivier a représenté la société au congrès annuel des sociétés savantes des départements réuni à la Sorbonne, sous la présidence du ministre de l’Ins- truction publique et des Beaux-Arts. Vos collections se sont enrichies pendant le dernier exercice d’un assez grand nombre d'objets qui ont pris place dans les vitrines du Muséum, de la salle de séologie et de celle de zoologie. Plusieurs de ces objets vous ont été donnés, d’autres ont été acquis par la Société. Votre Bibliothèque s’est également enrichie de nom- breux ouvrages qui lui ont été offerts ; Par le Ministère de l’Instruction publique : Expédition scientifique du Travailleur et du Talisman pendant les années 1880 à 1833, sous la direction de M. A. Milne-Edwards ; texte et planches, in-4°. Bibliographie des Travaux historiques et archéolo- giques publiés par les Sociétés savantes de France, sous les auspices du Ministre de l’Instruction publique, in-40. Chroniques d’Amadi et de Strambaldi, publié par M. R. de Mas Lastrie, in-40. Annales du Musée Guimet, grand in-S8o. Revue de l’histoire des religions (Musée Guimet), in-8°. Les symboles et les emblèmes (Musée Guimet), in-12. Revue des travaux scientifiques des Sociétés savantes, in-80. Discours prononcés à la Sorbonne (Congrès des Sociétés savantes), in-80. D | Éei Numismatique de la France, par A. de Barthélemy, in-80. Par l'Association française pour l’Avancement des sciences : Recherches anthropologiques dans le Caucase, par E. Chantre, texte et atlas, in-4°. Recherches de Zooéthiques sur les mammifères de l’ordre des rongeurs, par Lataste, in-8°. Explorations arctiques, par Ch. Rabot, in-8. Essai sur la constitution de la saline d’Arzew, par Péquinot, in-8°. Astronomie pratique pour tous, par G. Towne, in-12. Par le British Muséum : Catalogues avec planches, des oiseaux, des poissons, des céphalopodes, des mollusques fossiles et des hymé- noptères vivants du Muséum, in-8°. Par la Société des naturalistes Luxembourgeois : Faune du Luxembourg, in-8°. Par M. Bouvier : Les Mammifères de France, avec planches, in-8’. Par M. Merriam, d. c. Hart, Washington : La Faune du Nord de l'Amérique, in-8°. Par M. Boissellier : Carte géologique de la région de la Rochelle, partie de la nouvelle carte de la France. Par M. H. Jouan : La Dispersion des espèces végétales par les courants marins, in-8°. Les hypéroodons de Goury, in-8°. Par M. G. Rouy : Annotations aux plantes Europææ de Karl Richter, in-8°. LR se nf ais Par M. Fournier : Etudes géologiques des lignes de chemins de fer. Par M. Ed. Beltremieux : Rapport du Congrès de Limoges en 1890, géologie, de M. G. Cotteau, in-8°. Les Délégués des Sociétés savantes à la Sorbonne en 1891, de M. G. Cotteau, in-8°. Carte géologique, Tertiaire du sud-ouest. — Docu- ments d’une flore turonienne, Bouches-du-Rhône. — Existence du dépôt marin pliocène en Vendée, de M. Vasseur, in-8°. — Formation tongrienne du bassin de la Gironde, de MM. Potier et Vasseur, in-8. Par M. À. Papier : La Mosquée de Bône, in-80. Par M. Cossmann : Extrait de l'Annuaire géologique universel, in-8°. Par le Muséum de Washington : Smithsonian report, national Muséum, in-80. Par acquisition : Prodromus flora hispanicæ, par Wilkemm et J. Lange, in-80. Médaille frappée à l’occasion du congrès de l’asso- ciation française tenu à Marseille en 1891. Vous avez reçu enfin, par échanges, les publications des Sociétés avec lesquelles vous êtes en correspon- dance en France et à l'étranger. Le bureau de la société élu à la séance de décembre dernier pour 1892 est composé de la manière suivante : Président : M. Ed. Beltremieux. Vice-Présidents : MM. E. Meyer et F. Lusson. Secrétaire : M. L. de Richemond. Secrétaire-adjoint : M. Ch. Basset. Ce “Us Directeur-conservateur du muséum : M. Ed Beltre- mieux. Conservateur-adjoint : M Ch. Basset. Bibliothécaire : M. L. de Richemond. Trésorier : M. P. Cassagneaud. Sont élus, pour 1892, délégués de la société au conseil d'administration du laboratoire, MM. Condamy, Michau et Basset. Les nouveaux membres reçus en 1891, sont MM. CI. Poirault, Simon, 0. Bernard, F. Xambeu. Le Secrétaire, DE RICHEMOND. —— + || à——————— J.-L.-A. de QUATREFAGES de BRÉAU Membre de l’Institut, Professeur au Museum, Membre de l'Académie de Médecine et de la Société Nationale d’Agricullure, Président de la Socièté de Géographie, etc., Membre de | Académie des Belles-Lettres, Sciences et Arts de la Rochelle, etc., Commandeur de la Légion d'Honneur, Officier de l'Instruction publique, Grand'Croix de Saint-Stanislas de Russie, etc., Né le ro Février 1810, Décédé le 12 Janvier 1892. 1. All La science française vient de faire une nouvelle perte dans la personne de M. de Quatrefages de Bréau, grand naturaliste et homme de bien. Membre de notre Société des Sciences naturelles, depuis 1852, M. A. de Quatrefages a fait deux séjours prolongés à la Rochelle ; pendant le premier, en 1852, qu’il a raconté dans les Souvenirs d’un naturaliste, il se mit en relations avec MM. C. d’Orbigny père, D' Sauvé, Th. Vivier, Ed. Beltremieux, et écrivit une histoire des deux sièges de la Rochelle, souvent réimprimée et qui fixa l’attention et mérita les éloges de M. Guizot. Pendant le second, en 1882, il ne négligzea aucune occa- sion de témoigner sa sympathie aux membres de notre Compagnie, prit part aux travaux du Congrès de l’As- sociation française pour l’Avancement des sciences et dirigea l’excursion aux buttes coquillières de Saint- Michel-en-l'Herm. By RE Il à publié un grand nombre de mémoires dans les Annales des Sciences naturelles, le Journal des savants, dont il a été directeur, la Revue des Deux-Mondes, les grands dictionnaires encyclopédiques. Il a ensuite publié dans le domaine de l'anthropologie: Crania Ethica, les crânes des races humaines. — Rapport sur les progrès de l’anthropologie. — L'espèce humaine (trad. en anglais, en allemand, en italien). — Unité de l’espèce humaine (trad. en russe). — Conférences sur l’histoire naturelle de l’homme (trad. en italien, en hollandais, en suédois et en anglais). — Introduction à l'étude des races humaines. — Hommes fossiles et hommes sauvages, études d'anthropologie. — Les pygmées des anciens devant la science moderne. — Les Polynésiens et leurs migrations. — La Race prussienne (trad. en anglais). — Charles Darwin et ses précurseurs français. En zoologie, on lui doit: Mélamorphoses de l’homme et des animaux (trad. en anglais et en russe). — Recherches anatomiques et zoologiques faites pendant un voyage en Sicile, avec MM. Henri Milne Edwards et E. Blanchard. — Histoire naturelle des annélides et des géphyriens. — Etudes sur les maladies actuelles des vers à soie. — Essai sur l’histoire de la sériciculture (trad. en italien). — Souvenirs d’un naturaliste (trad. en an- glais), etc. Fa (Extrait de l’Ulustration) DISCOURS PRONONCÉ AUX OBSÈQUES DE M. DE QUATREFAGES Par M. MILNE EDWARDS Au nom du Muséum d'histoire naturelle. MESSIEURS, C'est le cœur douloureusement ému que je viens, au nom du Muséum d'histoire naturelle, rendre ici un dernier hommage au savant illustre que l1 mort nous a pris. M. de Quatrefages a été l’élève et l’ami fidèle de mon père et, aussi loin que mes souvenirs puissent remonter, je le vois venant, chaque jour, parler de ses travaux et de ses espérances au maître qui l’aimait et l’appréciait. Dès mon enfance, j'ai appris ainsi à vénérer celui que nous pleurons aujourd’hui ; il fut, au collège Henri IV, mon premier professeur d'histoire naturelle, et ses leçons, si claires, si pleines d’attrait, me donnèrent le goût de la science qu’il enseignait. Le sentiment tout personnel que je me permets d'exprimer est donccelui de ma vie entière, et mes regrets pour l’homme qui, à son tour, m'honorait de son amitié, viennent se con- fondre avec ceux que m’inspire la perte du travailleur infatigable, dont nous avons tous admiré la noble car- rière. Issu de cette forte race cévenole qui savait tout sacri- fier à ce qu’elle croyait être le vrai et le bien. M. de Quatrefages avait hérité de ses pères, d’une âme droite et loyale, un grand désintéressement etune simplicité de mœurs qui devient chaque jour plus rare. Sa famille, fort ancienne, avait pris parti pour la Réforme et resta toujours très attaché à la religion protestante; elle vivait, entourée d’une population rustique, dont l’organisation avait quelque rapport avec celle des clans écossais, etle grand’père d’Armand de Quatrefages fut le premier qui, dans cette contrée, substitua les müriers aux châtaigners et, par là, augmenta beaucoup la richesse de son pays. C’est en pleine montagne, au pied de l’Aigonal, à Berthezène, petit village des Cévennes, que, le 10 fé- vrier 1810, Armand de Quatrefages est né. Son édu- cation fut d’abord confiée à un jeune pasteur protestant et, lorsqu'il entra plus tard au collège de Tournon, il se fit de suite remarquer et aimer de ses maïîtres. L’un d’eux, M. Sornin, qui venait d’être nommé professeur d'astronomie à la Faculté des scieuces de Strasbourg, proposa d’y emmener son jeune élève ; celui-ci le suivit avec joie et entra dans la classe de philosophie du collège de cette ville. Mais tout en terminant ses huma- nités, il pensa que la meilleure marque de reconnais- sance qu’il put donner à son professeur était de s’occuper de mathématiques, et se mettant à l’œuvre avec courage, il se fit recevoir successivement bache- lier, licencié, et à dix-neuf ans docteur-ès-sciences mathématiques. Il commençait en même temps ses 90. = études médicales, selon le vœu de sa famille. À cette époque, une place de préparateur de chimie et de physique se trouva libre à la Faculté de médecine, et ses amis l’engagèrent à se présenter. D'abord il hésita, car il n'avait jamais fréquenté un laboratoire, et ses concurrents avaient pour eux une longue préparation. Cependant il se rassura, et bientôt, à force de travail, il put soutenir un très brillant concours et affirmer aux yeux de tous sa supériorité. Enfin, en 1832, il passait sa thèse de docteur en médecine et allait rejoindre les siens pour se fixer avec eux à Toulouse, où sa sœur venait de se marier. Grâce aux relations de sa famille, M. de Quatrefages y fut bien accueilli et, malgré des difficultés qu’il n'avait pu prévoir, l’ardeur qu’il déployait dans sa nouvelle profession lui en assura le succès. Il fonda à Toulouse le Journal de médecine et de chirurgie, et, malgré sa jeunesse, fut appelé à faire partie du conseil de salubrité. Mais les sciences naturelles le passionnaient, et il ne tarda pas à abandonner une carrière déjà lucrative pour accepter le modeste emploi de chargé du cours de zoologie à la Faculté des sciences. Là, tout était à faire, il n’avait aucune ressource: pas de collection, pas de préparateur, pas même de garçon de laboratoire et un crédit de 90 francs pour frais de cours. Il ne se laissa pas effrayer et il réussit à créer un petit musée, touten s’occupant activement de ses fonctions et en publiant son premier mémoire sur l’Embryologie des Anodontes. Son plus grand désir était d'aller à Paris; il avait conscience de ses forces et sentait qu’il ne pourraitpas à Toulouse, atteindre le but qu’il ambitionnait ; mais Le ONE sa mère, son père surtout s’y opposaient de tout le pouvoir de leur affection. Enfin on céda à ses instances et M. de Quatrefages vint s'installer près de ce Jardin des Plantes dont il devait être plus tard l’une des gloires. Il se lia avec Agassiz, Vogt, Straus, Durckheim, avec Milne Edwards, qui reconnut vite la valeur exception- nelle de ce jeune savant, et se plaisait à l’aider de ses conseils et de ses encouragements. Depuis cette époque, 1840, où il conquit son troi- sième doctorat, celui des sciences naturelles, jusqu’à son dernier jour, M. de Quatrelages a travaillé sans relâche et son nom n’a pas cessé de grandir. En 1852, il était élu par l’Académie des sciences, et trois ans plus tard, il prenait possession, au Muséum, de la chaire d'anthropologie où son enseignement devint si justement célèbre. Il donna à ce cours une direction toute différente de celle qu’avaient suivie ses prédé- cesseurs, M. Serres et M. Flourens ; ceux-ci considé- raient l'homme plutôt au point de vue du médecin, du physiologiste, de l’anatomiste, tandis que M. de Quatre- fages, prenant pour seuls guides l’expérience et l’ob- servation, appliqua à son enseignement la méthode des naturalistes, et fit de ses leçons un admirable résumé de tout ce que l’on savait sur l’histoire naturelle de l’homme. Il a défendu là, comme dans ses livres, la théorie de l’unité de l’espèce humaine en s'appuyant sur les raisons les plus hautes. Il était spiritualiste convaincu, et c'est dans toute la sincérité de son esprit qu’il cherchait ia vérité. Non-seulement il imprima une impulsion nouvelle à la science qu’il professait, mais encore on peut dire SEE Re qu’il créa la belle collection d'anthropologie que le Muséum possède aujourd’hui, collection supérieure à toutes celles qui existent en Europe. Ilrencontra pour- tant de grandes difficultés d'installation, disposant uniquement de mansardes situées au-dessus des gale- ries d'anatomie comparée. On donnait enfin satisfaction, il y a quelques semaines, au désir qu’il avait si souvent exprimé, et la construction de nouvelles galeries d’an- thropologie était décidée. Il n’aura pas la joie d’y voir rangés en bon ordre, les trésors qu’il avait amassés pendant sa longue vie, mais, en les admirant, nous nous souviendrons tous de celui à qui nous les devons. Le laboratoire de M. de Quatrefages était devenu le centre de réunion de tous les voyageurs s’occupant d'histoire naturelle ; ils y trouvaient les meilleurs con- seils, la direction la plus sûre et souventaussi, malgré l’étroitesse de l’espace, l'emplacement nécessaire pour exposer les collections qu’ils avaient faites pendant leurs voyages ; car jamais M. de Quatrefages ne reculait devant la peine ou devant la perte de temps que pou- vait entraîner pour lui le soin des intérêts d'autrui. Je ne puis énumérer tous les travaux qui ont rendu célèbre notre illustre confrère, la liste en serait trop longue. Depuis son premier ouvrage sur les types infé- rieurs de l’embranchement des annelés jusqu’à sa der- nière publication sur les races humaines, il a embrassé un nombre considérable d’études différentes, portant dans chacune la même méthode sûre et consciencieuse, la même vivacité d'intelligence, il ne s’était pas can- tonné dans une région étroite, et toutes les sciences l’intéressaient. « L'esprit de l’homme, disait-il, ne se » contente pas de connaître ce qui est, il veut en outre DEC » l'expliquer, et la profondeur, l’immensité des pro- » blèmes sont pour lui un attrait de plus ». Aussi a-t-il été mêlé à toutes les grandes discussions scientifiques de son temps ; partout et toujours il y a mis en pra- tique cette belle pensée qui était sienne: « Que la » science doit élargir les intelligences et rapprocher » les esprits et les cœurs. » Sa bonne foi parfaite, son aménité, sa déférence pour les opinions qu’il ne par- tageait pas, tout en le rendant redoutable par sa grande science, faisaient de lui un polémiste, dont Darwin a pu dire : « qu’il aimait mieux être critiqué par M. de » Quatrefages que loué par tout autre. » Il se refusait à croire au mal, sa bienveillance était inépuisable et rayonnait autour de lui; la limpide sérénité de son âme apportait le calmeet l’apaisement, et l’on devenait meilleur en causant avec lui. M. de Quatrefages écrivait avec beaucoup d’élégance et de charme. Ses Souvenirs d'un naturaliste, où il raconte les longs séjours qu’il faisait au bord de l'Océan et de la Méditerranée pour y étudier les animaux infé- rieurs, ont été dans toutes les mains, et les beaux tra- vaux qu'il a publiés sur la nature et l’origine de l’homme montrent, dans le meilleur des langages, toute l’élévation et l’ampleur de son esprit. Il parlait aussi fort bien et de tous les côtés on recherchait son concours ; il savait admirablement, lorsqu'il présidait un congrès, une assemblée, condenser les idées géné- rales, et ses discours, tout en restant dans le domaine de la science, étaient des modèles de bonne grâce et de courtoisie. La vie de M. de Quatrefages est une vie enviable, toute de {ravail, de dignité et de simplicité. Se 97 = Certainement il a connu les efforts, les décourage- ments, la lutte, mais il en est sorti vainqueur et depuis longtemps, il était reconnu pour un Maître dans toute l’acception de ce mot qui dit tant de choses. Nous le reverrons souvent en pensée, dans cette maison où il a vécu de si longues années, heureux d'être au centre de ses occupations les plus chères et aimant à rappeler les souvenirs de Buffon, de Flourens, qui l’avaient habitée autrefois ; dans cette maison où l’on était accueilli avec une bonté si aimable et si vraie. Un des plus grands chagrins de M. de Quatrefages, si ce n’est son plus grand, a été, en 1870, la perte de l'Alsace. Il l’aimait comme français, puis pour les laborieuses années de jeunesse, qu’il y avait passées, et enfin, marié à une alsacienne, Mle Ubersaal, qui a été pour lui la plus dévouée et la meilleure des com- pagnes, il s’y était encore plus attaché. La pensée que l’Université de Strasbourg était ger- manisée lui était cruelle ; il ne pardonna jamais à la Prusse d’avoir dirigé des obus sur les galeries du Muséum d'histoire naturelle, et dans un livre, où res- pire une généreuse indignation, il dénonce au monde entier ces procédés dignes d’un âge barbare. Il y a quelques jours à peine, M. de Quatrefages me disait qu’il commencerait prochainement son cours, il me parlait des nouvelles publications qu’il voulait en- treprendre, de son projet d’aller, cet été, au Congrès de Moscou. « Ma femme, ajoutait-il en souriant, vou- » drait m’en dissuader, mais je me sens si plein de » force encore, que j'irais volontiers jusqu’au Caucase. » Nous devions faire ce voyage ensemble! IL avait compté sans la mort, si prompte à frapper. Le M. de Quatrefages, du moins, n’aura pas eu la grande tristesse de sentir ses forces décliner pendant de longs mois et ne plus répondre aux exigences de son esprit. C’est un bonheur pour lui d’avoir ainsi passé, de la vie intelligente et active, au repos de la tombe, entouré de tous ceux qu’il chérissait, soutenn jusqu’au dernier moment par un fils qui a toujours été sa joie et la main dans celle de sa femme bien aimée. Le deuil de sa famille sera partagé par le pays tout entier, car il perd en M. de Quatrefages un grand savant et un homme de bien (1). (1) M. À. Milne Edwards a bien voulu nous autoriser à pu- blier dans nos Annales ce bel hommage à la mémoire de M. de Quatrefages, par sa lettre du 27 janvier 1892. Ed EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 26 avril 1891 A ANGOULINS. RaPPORT DE M. Cu. BASSET. L’excursion organisée par notre Société pour le dimanche 26 avril 1891, réunissait à 8 heures 1/2 du matin, à la station d’Angoulins, une cinquantaine d’ex- cursionnistes venant de Rochefort et de la Rochelle. Les botanistes. sous la direction de M. Foucaud, se dirigent vers le sud de la côte tandis que MM. Beltre- mieux, Boissellier, Welsch, Dollot, Couneau, Gatau, Courcelle-Seneuil, Basset et trois élèves de l’école normale de Lagord, composant le groupe des géo- logues se dirigent sur la pointe du Ché qu'ils se pro- posent d'explorer. Après une marche d’une demi-heure à travers les marais, puis sur les cailloux roulés bordant la plage, nous arrivons à l’extrémité nord de la pointe du Ché ; on s'arrête quelques instants à regarder les masses de polypiers enchassées dans les couches de cette extré- ed mité de la falaise et les recherches commencent, mal- heureusement la mer a enlevé une grande partie des blocs et des déblais du pied de la falaise, il en résulte que notre récolte est fort maigre, mais elle comprend cependant quelques exemplaires bien conservés d’échi- nides parmi lesquels nous citerons : Cidaris marginata, Pseudocidaris Thurmani, Acrocidaris nobilis, Pseudo- diadema mamillanum, Pseudodiadema pseudodiadema ? Holectypus corallinus ; des radioles diverses, puis des Rhynchonelles, térébratules et autres bivalves ainsi que des gasteropodes très ordinaires, mais aucun calice de crinoide n’a été rencontré. A midi 3/4, nous arrivons au village d’Angoulins où les botanistes et un bon déjeuner nous attendent. LC OR OT EXCURSION BOTANIQUE Du 26 avril 1891 A ANGOULINS. MO ON Rapport DE M. LE Docteur TERMONIA. Plusieurs herborisations ont été faites, l’année der- nière, dans notre région, par la Société botanique de France. Comprises dans le programme de ses travaux dont la durée était très limitée, elles ont eu lieu coup sur Coup, en un court espace de temps, et ont été toutes ou en partie, suivies par plusieurs de nos col- lègues auxquels elles offraient un intérêt exceptionnel. Telle a été sans doute une des causes pour lesquelles uotre Société locale a dû renoncer en 1890 à ses excur- sions habit :elles du printemps, qui ont été ainsi inter- rompues pendant une année entière. L'accueil fait, dans notre séance du 10 avril, à la proposition de M. le Président, relative à la réorgani- sation, pour la saison actuelle, d’excursions d'ensemble réunissant, comme par le passé, géologues et bota- uistes, témoignait déjà du désir de tous les intéressés x de revenir le plus tôt possible à nos vieilles et excel- lentes traditions. Ce témoignage a été confirmé quelques jours après, le 26 avril, par le nombre même des excursionnistes qui se trouvaient réunis, à 8 heures 45 minutes du matin, à la gare d’Angoulins. A MM. Beltremieux, président ; Basset, Boissellier, Coindon, Couneau, Creuzé, Dollot, Foucaud, Er. Bro- chet, Gatau, Jousset, Meyer et Termonia, tous habitués de ces attrayantes réunions, s'étaient joints MM. Welsch, professeur de géologie à la Faculté des sciences de Poitiers ; Courcelle-Seneuil, lieutenant de vaisseau ; Simon, surnuméraire de l’enregistrement ; Delignon, directeur de l’école normale de Lagord ; Dubarry, pro- fesseur à la même école, et un grand nombre de leurs élèves (30). A 9 heures, les botanistes, suivant un chemin qui traverse des marais salants exploités ou abandonnés, se dirigent vers la pointe du Ché, pour atteindre ensuite les pelouses sablonneuses du platin d’Angoulins, leur principal objectif. Moins favorisés que nos collègues les géologues qui n’ont pas, dans leurs recherches, à tenir compte des saisons, nous n’espérions pas trouver beaucoup d’es- pèces bonnes à noter, en raison du retard de la végé- tation, après un si long hiver et un commencement de printemps aussi sec. Nos prévisions n'étaient que trop fondées et la no- menclature des plantes intéressantes que nous avons rencontrées ne sera pas longue. Déjà, dès le début de l’excursion, une de celles que nousétions plus particulièrement désireux de retrouver, 260 JE Althenia filiformis, nous fait absolument défaut; c’est en vain que nous l’avons cherchée dans les marais salants où elle avait été vue, les années précédentes, et dont la plupart sont à sec en ce moment. Après avoir marché assez longtemps sans rien voir de plus curieux que Triglochin maritinum L., nous remarquons, dans un champ de luzerne, Pterotheca nemausensis Cass. qui se répand de plus en plus, que je trouve, depuis quelques années, assez commun dans les environs de Saintes et dont il n’y a déjà plus lieu de citer les localités, tant elles sont maintenant nom- breuses. Plus loin, ayant atteint le platin d’Angoulins vers son extrémité sud, nous récoltons sur les pelouses rases et sablonneuses du bord de la mer Cochlearia danica L. et Hutchinsia procumbens Desv.; on y voit aussi des touftes de feuilles de Plantago media L., d Echium pyra- midale Lapeyr. et d’Aira canescens L. Puis, se présentent, sur les dunes minuscules et un peu herbeuses du platin, Carex mnitida Host., Vicia lathyroïdes L., Myosotis hispida, Potentilla chaubardiana T. Lagr., Viola nana DC. En nous éloignant de la plage, pour rentrer à An- goulins par le chemin du Pont-de-la-Pierre, nous rencontrons dans un bas-fond un peu marécageux Taraxacum palustre DC. et Carex distans L., mêlé à Carex glauca Scop., qui croit dans les stations les plus diverses. Enfin, au fond d’un fossé plein d’eau stagnante, qui aboutit au chemin, M. Foucaud reconnaît d’assez loin la présence de Nitella glomerata Desv., déjà trouvé plu- sieurs fois au même endroit, dernière espèce récoltée ar IE dans cette excursion qui, ainsi qu’on en peut Juger maintenant, n’a pas été des plus fructaeuses. A midi et demie, heure fixée pour le déjeuner, nous arrivions tous ensemble à l'auberge où les géologues nous rejoignent un peu plus tard en ordre dispersé. A une heure, nous étions assis à une table plus copieusement et mieux servie que nous ne pouvions l’espérer dans un village dont les ressources sont assez restreintes et où nous n’étions pas attendus en aussi grand nombre. L’appétit des convives a contribué au succès de l’hôtelière ; leur satisfaction de se trouver réunis de nouveau, après une si longue interruption de leurs excursions traditionnelles, s’est traduite par une gaieté franche et cordiale ; le déjeuner, en un mot, a été réconfortant, à tous les points de vue. Avant de se séparer, les excursionnistes ont fixé au 10 mai, sur la proposition de M. le Président, la date . de la prochaine excursion qui aura lieu au Port-des- Barques. AL AR mm EXCURSION BOTANIQUE Du 10 mai 1891 AU PORT-DES-BARQUES. RaAPPorT PAR M. E. JOUSSET. Le 10 mai, la Société des Sciences a fait la seconde de ses excursions annuelles. Malgré les pluies torrentielles des jours précédents, et un ciel couvert de gros nuages noirs, présages de nouvelles averses, douze excursionistes, réunis à Roche- fort, MM. Beltremieux, Bestion, Boissellier, Couneau, Collot, Foucaud, Gatau, Lefèvre, Millot, Poirault, Ter- monia et Jousset, se dirigent vers le Port-des-Barques, le lieu choisi pour l’exploration tant géologique que botanique. Une bonne heure de voiture nous est nécessaire pour arriver snr le champ de notre herborisation. Nous commençons notre récolte par la variété seti- folia du Carex divisa, que nous rencontrons à l’extré- mité de la falaise descendant à la Garenne. Cette forme méridionale a déjà été signalée sur d’autres points de nos environs, à Echillais, par exemple, où elle est abondante. De la falaise à la Garenne, sur la pelouse maritime, parmi les éphédres, nous cueillons de beaux spécimens de Viola nana à délicate fleur entièrement violette, d’Ophrys atrata, forme élégante de l’Ophrys aranifera, déjà trouvée à Châtelaillon et à Chef-de-Baie. Au revers de talus sablonneux croissent : Lysimachia Linum stel- latum en fruit, Trigonella monspeliaca en fleurs à peine écloses, Alsine mediterranea, très rare, Senecio vulgaris à fleurs radiées. Telle est la faible récolte que nous a permis de faire la rigueur de l'hiver passé. Nous observons les mèmes espèces de la Garenne à la pointe Chagneau. Abandonnant alors les lèdes, centre habituel de nos recherches au Port-des-Barques, nous nous dirigeons vers le fort du Peu, qui surplombe la falaise visitée par les géologues. Nous gravissons la colline qui monte aux batteries, lorsque dans un champ de blé s’ofire à nos yeux une plante inattendue, la variété pinnatifidum Lmtte. du Papaver argemone connue jusqu’à ce jour en Auvergne seulement, et dont les pétales tout à fait curieux, sont laciniés en longues bandes. Du fort du Peu, nous regagnons le village pour retrouver à l’hôtel, les géologues, qu’est venu rejoindre M. Courcelle-Seneuil. Dans l'après-midi, après une courte promenade. autour du Port-des-Barques, nous songeons au retour, la végétation tardive ne laissant plus espérer de nou- velles récoltes. Avant de traverser la Charente nous admirons à Sou- bise, une charmante habitation de la Renaissance ainsi que les ruines du château des seigneurs de Rohan- Soubise, que l’instituteur de la localité est heureux de nous faire visiter. A Rochefort nous nous séparons de nos excellents collègues qui vont regagner, soit la Rochelle, soit Saintes, non sans avoir pris rendez-vous avec eux pour une prochaine excursion à Cadeuil. EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 10 mar 1891 AU PORT-DES-BARQUES. —54#© — Rapport PAR M. BOISSELLIER. La Société des Sciences naturelles de la Charente- Inférieure a fait une excursion géologique et botanique, le 10 mai 1891, aux environs du Port-des-Barques. Le groupe des géologues était composé de MM. Bel- tremieux, Millot, Dollot, Gatau, Bestion et Bois- sellier. Le terrain qu’ils ont exploré est situé à l’extrémité d’une longue colline, formée par un plissement du sol (fig. 1 et 4), qui sépare le marais de Brouage des marais de la basse Charente et se termine en pointe, entre le Port-des-Barques et Piédemont. L'ile Madame et les Palles sont la continuation de cette colline qui se prolonge très loin sous la mer, en formant une bande de hauts fonds nommée la Longe-de- Boyard, laquelle sépare la rade des Trousses de la rade de l’île d’Aix. Dans les rades, comme sur le continent, les flancs de cette colline présentent des pentes très raides et des falaises abruptes. ue 7 re Depuis bien des siècles la mer a cessé de battre les falaises du marais ; mais elle s’élève encore, à toutes les marées, jusqu’au pied des falaises de l’île Madame, de Piédemont et du Port-des-Barques, renouvelant sans cesse la surface de leurs roches fossilifères. Aussi ces deux dernières falaises, qui avaient été fouillées avec soin, en 1887, par plus de 40 géologues, lors de la réunion extraordinaire de la Société géologique de France, et que l’on croyait en conséquence épuisées pour long- temps, nous ont-elles donné une bonne provision d’échinides et de brachiopodes, c’est-à-dire de ces fos- siles intéressants que les géologues ne négligent jamais de ramasser. On a beaucoup discuté pour savoir si ces deux falaises appartenaient à l'étage Cénomanien. Cela n’est pas douteux pour Piédemont, car on voit à partir de sa base (fig. 2) : a. Les sables ferrugineux par lesquels débute cet étage dans la région. b. Les sables fins micacis et les argiles noires ligni- tifères et pyriteuses qui les accompagnent, contenant souvent des nodules lenticulaires de sanguine et des cristaux de gypse. c. L’assise des grès, formée par une alternance de sable, d'argile et de bancs de grès calcarifères plus ou moins durs, et caractérisée par : Exogyra minima, Orbi- tolina plana, concava, mamillata, Alveolina ovum, Sphærulites Fleuriausi, pattes de Callianassa. Cette assise contient en outre de nombreux échinodermes, Archiacia gigantea et Santonensis en particulier, des brachiopodes et un 4° horizon à Ichthyosarcolites. AN d. Les sables glauconieux à Exogyra Reaumuri et Terebratula biplicata avec lignite et pyrite. e. Les calcaires blancs à Caprina adversa, Sphxrulites foliaceus, Caprinella triangularis, etc. (2° horizon à Ichthyosarcolites). Cette dernière assise n’apparaît qu’à l'extrémité de la falaise où elle correspond aux bancs de même nature qui constituent la partie sud de l’île Madame. Elle n’est représentée que par quelques bancs, peu épais, de calcaire à Sphærulites foliaceus, fortement inclinés au N.-E., alors que sa puissance atteint ailleurs une vingtaine de mètres environ. La partie la plus importante de cette assise est ici dissimulée sous une couche de limon rouge caillouteux, très épaisse, qui recouvre le coteau entre Piédemont et le Port-des-Barques. Il en est ainsi des deux dernières assises du Cénomanien, savoir : f. Les sables à Ostrea biauriculata, 0. columba, 0. flabella ; g.Lescalcaires marneux à Ichthyosarcolites(3*horizon), dont on retrouve cependant quelques fossiles dans le vallon qui précède le chemin de Soubise à l'ile Madame. Au-dessus de ces assises franchement cénomaniennes, on voit, sur les bords de la Charente, 16 à 18 mètres de marne et de calcaire marneux que l’on rapporte au Turonien et plus particulièrement au sous-étage Ligé- rien de Coquand ; mais qui renferment deux fois plus de fossiles ayant apparu dans le Cénomanien que d’es- pèces nouvelles. : Nous avons observé les trois premières assises de cet étage dans la falaise du Port-des-Barques, savoir : = 49 — h. Calcaire marneux à ostracées, visible sur 3 mètres, contenant plusieurs bancs très durs pétris d'Ostrea columba minor et d'Ostrea carinata. L'un de ces bancs épais de 50 centimètres forme un cordon très étendu. i. Calcaire gris, noduleux, à Ostrea Taillebourgensis, échinodermes, brachiopodes, céphalopodes, etc., visible sur 2 mètres. j. Marnes vertes, argilo-sableuses , à Terebratella carentonensis, avec petites concrétions crayeuses, dissé- minées, visibles sur 5 mètres et se terminant par un lit d’Ostrea columba major. Voici la liste des fossiles qu'a donnés cette falaise, avec l’indication des étages auxquels ils appartiennent, et le nom des auteurs qui les ont signalés au Port-des- Barques. ÉCHINODERMES. Pseudodiadema tenue {Des.). Cénomanien. Porbdes-Barques fu een =: 2 AA BALE Pseudodiadema variolare (Cott.). Céno- manien. Port-des-Barques ........... À. BR . Arnaud. — Mémoire sur la craie du sud-ouest. Beltremieux. — Faune fossile de la Charente-Inférieure. Cotteau. — Echinides du sud-ouest. Coquand. —- Synopsis des fossiles des Deux-Charentes. . Hébert. — Bulletin de la Société géologique de France. 2 mai 1864. . D’Archiac. -— Histoire des progrès de la géologie. . Manès. — Description géologique de la Charente-Inférieure. . D Orbigny. — Prodrome. Collection Boissellier, . Arnaud. — Tranchée du chemin de fer de Saint-Jean d’An- gély, près Taillebourg. Bulletin de la Société géologique de France, du 3 mai 1879, Hoerr .. >HmOZx PAIE 0 RER Cyphosoma cenomanense (Cott.). Céno- manien. Port-des-Barques... ........ Cottaldia Benettiæ (Cott.). Cénomanien. POnEdeS banques tie, nie ne. Discoïdea infera (Des.). Cénomanien. Port- des-Barques........ ARE à Cidaris vesiculosa (Goldf.). Cénomanien, DE deS barques... 1, nes. Cidaris Ligeriensis (Cott.). Turonien. Port- LITRES TES PAR RP Goniopygus Menardi (Ag.). Cénomanien. Andes banques. ne neue. Gonyopigus major (Ag.). Cénomanien. Pont des Barques. 2... 060,0. Anorthopygus Michelini (Cott.) Cénoma- mens Port-des-Bairques...2........... Orthopygus miliaris (Cott.). Cénomanien. MOPEUeSHArQUES LL nie see Orthopygus granulosis (Cott.). Turonien. MECS BATQUES tee ge ne 4 ee Micraster Michelini (Ag.). Turonien. Port- A MMS enter Ue à à ere oo Hemiaster Lymeriei (Des.). Turonien. URSS BATQUES 2. 22e inde Hemiaster Verneuilli (Linthia) (Des.). Tu- ronien:"Port-des-Barques, ...:,......, Pyryna Desmoulinsi (D’Arch.). Turonien. Port-des-Barques .......... A PRE GASTROPODES. Strombus inornatus(d’Orb.). Cénomanien. Portsdés-Barques Mec. :. OH VOST SPAS EE Pleurotomaria Gallieni (d’Orb.). Turonien. Port-UesBarqUes:. :: ..: Late in Pleurotomaria Maillei (d’Orb.). Turorien. Port-des-BATQUES.. 50 20502 ee Nés PÉLÉCYPODES. Arca Taillebourgensis (d’Orb.). Turonien. Portdes-Barqnes ss és eue ent Arca Montaniana (d’Orb.). Turonien. Port- Aés-BArES LU. Meter. Cyprina Noueli (d’Orb.). Turonien. Port- des-Darques. 1... LR LORERRR RE Arcopagia numismalis (d’Orb.). Turonien. Port Hes-BarTques : 25 ee 15 CCE Spondylus hystrix (Goldf.)}. Cénomanien. Pontudes-Barques .:: 44.201. 4/00 E Pecten subacutus (Lam.). Cénomanien. Bort-désBarques .:.ussss te nvatt -Ostrea columba (Goldf.). Cénomanien. POTL-HES BATQUES ir oder Ostrea carinata (d’Orb.). Cénomanien. Portdes Barqués.. 2.44... 0er Ostrea biauriculata (Lam.). Cénomanien. Porl'Hes-Darquesr.e 1, 0 SET Ostrea hippopodium (d’Orb.). Cénoma- mensPort-dés Barquess sh uote, Janira phaseola (d’Orb.). Cénomanien. Pont-désParques rire rtattad Janira quinquecostata (d’Orb.). Cénoma- nien.Port-des-Banques. LRU, Janira OŒEquicosta (d’Orb.). Cénomanien. Port-des-BATques er tunes PR Lima granulata (Duj.). Turonien. Port- ERNEST B: Lima Reischeinbachi (Geinitz). Cénoma- nien. Port-des-Barques........... RENE BRACHIOPODES. Terebratella carentonensis. Cénomanien. Bondues -DArQUESL. 10.02.4200... A. B. D. O. Terebratula biplicata (Defranc). Cénoma- uen Pardes-Birques.-. 1..." 0... A. B. O. Rynchonella Lamarki (d’Orb.). Cénoma- men. Port-des-Barques.:...4.:....... B. O. Rynchonella concorta (d’Orb.). Cénoma- nien. Port-des-Barques...-........... B. 0. Ainsi dans tous les groupes de fossiles le nombre des espèces cénomaniennes domine. Il est de 10 sur 16 pour les échinodermes. — 1 — 3 — _ gastropodes, — 9 — 15 — pélécypodes. — 4 — 4 — brachiopodes. —— — Au total.. 24 sur 28, soit près des 2/3. Cette proportion est encore plus élevée par rapport aux Céphalopodes attribués au Port-des-Barques ; mais comme les échantillons de cette localité sont rares et toujours frustres, il est permis de douter de leur détermination. Ces espèces sont au nombre de quatre : Nautilus triangularis. Cénomanien. Ammonites Requini. Turonien, PC Ammonites Mantelli. Cénomanien. Ammonites Sarthacencis. Cénomanien, auxquelles il faut ajouter une autre ammonite céno- manienne voisine de l’Acanthoceras Rothomagensis que possédait M. le lieutenant de vaisseau Bergevin, du Port-des-Barques, et qu’il a bien voulu nous offrir pen- dant l’excursion du 10 mai. Nous lui renouvelons, ici, tous nos remerciements pour ce bel échantillon, qui mesure 30 centimètres de diamètre sur 15 centimètres d'épaisseur et que l’on parviendra sans doute à bien déterminer. Si l’on s’en rapportait exclusivement aux Ammo- nites, il faudrait donc ranger la falaise du Port-des- Barques dans le Cénomanien. Mais on serait alors bien embarrassé pour fixer la limite supérieure de cet étage, à travers les assises considérées jusqu’à ce jour comme ligérienne ; car le mélange des faunes s’observe dans toute l’épaisseur du Ligérien et, dans sa dernière assise, là où les ammonites sont nombreuses, on-ren- contre encore les espèces cénomaniennes de la base : Am. Rothomagensis, Am. navicularis, Am. Mantelli, d’après MM. Arnaud, Manès et Coquand. Nous donnons ci-après la liste de tous les Cépha- lopodes signalés dans le Ligérien du sud-ouest, avec indication des localités de la Charente-Inférieure où ils ont été trouvés. Nautilus sublevigatus (d’Orb.). Turonien. Martrou, B. Soubise, B. Taillebourg, A’. R. Nautilus Sowerbyi(d’Orb.). Turonien. Taillebourg, B. Nautilus triangularis (d'Orb.). Cénomuanien. Taille- bourg, À”. B. Port-des-Barques, R. ne en da nn D 6 . An. Am. LME CEE Ammonites cénomaniennes, d’après d’Orbigny. Rothomagensis (Sow.). Martrau, B. M. Port-des- Barques, R. Mantelli (Sow.). Taillebourg, A’. B. Port-des- Barques, B. Martrou et Soubise, M. Largillierti (d’Orb.). Annepont, B. navicularis ‘Sow.). Pons, D. Geslini (d’Orb.). A Ammonites turoniennes, d’après d’Orbigny. . Woolgari (Sow.\. Taillebourg, R. Martrou, B. 0. D. M. Monthérault, R. Soubise, M. KR. Deverianus (d’Orb.). Taillebourg, B. R. papalis (d’Orb.). Taillebourg, B. Requieni (d’Orb.). Saint-Nazaire, H. Taillebourg, R. Port-des-Barques, R. Fleuriaui (d’Orb.). Soubise, B. Martrou, D. 0. M. Vielbancii d’Orb.).Taillebourg, A’. Martrou, D. O. Monthérault, R. peramplus (Mantell.). Taillebourg, A’. Rochebrunei (Coq.|. Taillebourg. A’. B. R. Mar- trou, B. R. Soubise, B. R. Près le Mung, R. Galliennei ‘d’Orb ). Taillebourg, A’. Lewesiensis (Sow.). Taillebourg, A’. B. R. Ammonites turoniennes, d’après MM. Coquand, Arnaud et Beltremieux. Coralinus (d’Orb.'. Taillebourg, B. Martrou, B. D. subdeveri®æ !{ }. Taillebourg, A’. Boucheroni (Coq.). Martrou, B. LOUE Am. Sarthacensis (Bayle). Taiïllebourg, B. Port-des- Barques, B. — Engolismensis {Coq.). D. Dans son ensemble le Ligérien du sud-ouest appar- tient donc au Turonien, par la prédominence des ammonites de cet étage, et les assises du Port-des- Barques ne peuvent en être détachées. Toutefois, il est à remarquer qu'aucune ammonite turonienne n’a été signalée dans les calcaires marneux à Ostrea columba minor et Ostrea carinata et que parmi les Echinodermes et les Brachiopodes, les espèces nou- velles n’apparaissent qu'avec l’assise à Arca Taillebour- gensis. En outre, dans plusieurs localités, cette assise débute par des marnes à Terebratella carentonensis et repose sur des calcaires où les ostrea columba minor et cari- nata sont si bien associées aux Ichthyosarcolites qu’on ne peut placer la séparation des étages qu’à la limite inférieure des marnes. C’est donc là que commence le Ligérien et que finissent les Ichthyosancolites, c’est-à-dire les rudistes caractéristiques du Cénomanien. Ce qui confirme cette opinion, c’est l’absence d’ostrea columba major dans les couches dont il s’agit. Les huitres du groupe de l’Ostrea columba peuvent servir à caractériser les assises du Cénomanien et du Ligérien ; car dans chacune d’elles, cette Ostrea prend une forme particulière, comme une espèce qui aurait évolué dans le temps, sa taille devient de plus en plus grande et son crochet de moins en moins développé. Dans les grès c, c’est la forme connue sous le nom d'Exogyra minima que l’on rencontre exclusivement, RAS Son crochet très épais s’enroule au-dessous de l’ou- verture de la valve. Sa taille souvent très petite ne dépasse pas 18 millimètres. Cependant les bancs supé- rieurs de cette assise, contiennent quelquefois des échantillons de 35 millimètres dont le crochet un peu moins fort tend déjà à dépasser le bord de la coquille. Dans les sables glauconieux d, cette forme est rem- placée par une autre que Coquand a nommée Exogyra Reaumuri, dont le crochet plus petit, souvent strié, s'élève au-dessus du bord de l’ouverture et dont la taille ne dépasse pas également 35 millimètres. Les Ostrea columba que l’on rencontre dans les cal- caires à Sphœærulites foliaceus e, atteignent 45 milli- mètres et dans les sables à Ost. biauriculata f, 50 mil- limètres. Leur forme plus ronde et l’absence de sinus lesont fait désigner sous le nom d’Ostrea Chaperi(Bayle). Enfin dans la dernière assise du Cénomanien, nous voyons apparaître l’Ostrea columba minor avec son sinus caractéristique, mais sa taille ne dépasse pas 65 milli- mètres ; tandis que, plus haut, la même variété atteint 85 millimètres (exceptionnellement 100 et 113 milli- mètres), prend le nom d’Ostrea columba major, et paraît cantonnée dans le Ligérien. Quel que soit l’étage auquel se rattache, en totalité ou en partie, la falaise du Port-des-Barques, il n’en est pas moins certain, d’après Hébert, d’Archiac et M. Arnaud, que les calcaires à Ostrea columba et cari- nata reposent sur des bancs à Ichthyosarcolites, visibles seulement à marée basse « quand la plage n’est pas envasée ? » Nous n’avons jamais pu apercevoir ce substratum ; mais on peut se rendre compte par la coupe suivante en en (fig. 4), que c’est exactement là que doivent affleurer les bancs à rudistes du 3° horizon qui n’ont pas été détruits par l’érosion. Cette coupe, dressée d’après les sondages exécutés par la Mission hydrologique de la Charente, montre en effet que les calcaires rencontrés, de la cote — 10m à la cote — 19m {zéro des cartes marines), dans la partie de la rivière nommée La Fosse du Port-des- Barques, ne peuvent appartenir qu’à l’assise e du Céno- manien ; qu'ils reposent sur des sables correspondant aux sables d du même étage, lesquels ont été traversés de la cote — 19m à la cote — 25, et que la sonde a dû s'arrêter dans le voisinage des grès calcarilères c. Or les calcaires e ayant 20 mètres d’épaisseur, les salles f et les calcaires g 6 mètres, on devrait rencon- trer la base du Ligérien, c’est-à-dire les calcaires à Ost. columba et carinata, sur les bords de la Charente, s’il n’y avait pas eu de dénudation, à 26 mètres au-dessus de la cote — 19, cest-à-dire à + 7 du zéro d’Enet (+ 3,74 du zéro Bourdaloue). Comme c’est à la cote + 5 d’Enet que ces calcaires alfleurent au pied de la falaise du Port-des-Barques, la concordance est aussi exacte que possible, en tenant compte de l’inclinaison normale des terrains, au sud- ouest, pour l'intervalle de 4 à 500 mètres qui sépare les deux points observés. Nous avons prolongé la coupe n° 4, au-delà de la Charente, pour montrer cet inclinaison des terrains et leur recouvrement successif au sud-ouest. Les derniers bancs du Ptérocérien, caractérisés par des calcaires à oolites glauconieuses sont bien visibles au Petit-Agère. Le Virgulien qui les recouvre avec une up puissance de 100 mètres, est dissimulé dans le marais d'Yves, sous des alluvions marines nommées bri, dont l'épaisseur atteint souvent 17 à 18 mètres dans ce marais ; mais il apparaît à la Perrière, caractérisé par une lumachelle d’Exogyra virgula (pierre chenine), et plus bas, à la Barre, par la Pholadomia multicostata. A la station de Saint-Laurent-Fouras, les tranchées donnent de très petites Exogir a virgula dans des marnes par lesquelles débute le Portlandien à Am. gigas. Cet étage et le Purbeckien à Cerbula inflexa sont, ici, en- tièrement recouverts par le Cénomanien, qui, dans les localités voisines, a transgressé jusque sur le Virgulien. Les sables a et b du Cénomanien s’observent, sur 25 mètres d'épaisseur, de la voie ferrée au sommet du coteau de Saint-Laurent-de-la-Prée, où les grès c leur succèdent (7 mètres). Viennent ensuite, sur 6 à 8 mètres, les sables glauconieux d que recouvrent les calcaires e à Sphærulites fuliaceus des coteaux de Charenton et de Basse-Motte. Au pied de ces coteaux, s’éterd l’estuaire dela Cha- rente. Il existe dans cet endroit, au-dessus du bri, un cordon de graviers et de cailloux roulés apportés récemment par la mer. L’estuaire à été profondément raviné jusqu’au Port- des-Barques, pendant l’époque quaternaire, car la sonde n’a traversé que du bri, sur 30 mètres d'épaisseur, dans un sondage opéré près du Fort-la-Pointe. La puissante assise des calcaires e a complètement disparu sur ce point, ainsi qu’au-dessous du lit actuel de la Charente, rive droite; tandis que sous la rive gauche on la rencontre avec 9 mètres d'épaisseur (fig. 4.) Il existait une cassure dans cet endroit que la mer 24 Hors a élargie, puis remplie de limon, après avoir laissé près d'un mètre de graviers, sur le fond, à la cote — 19 (220 26 Bourdaloue), et sur un talus du rocher à la cote — 15n, Un réseau de cassures comme celle-ci, parallèles et perpendiculaires entre elles, couvre toute la région. On y rattache la faille du Port-des-Barques, les crevasses des Lauriers, de Soubise, de l’'Orange, du Four-du- Diable, de Martrou ; les sinuosités de la Charente et les nombreux ilots de son estuaire. Mais la réapparition du Cénomanien à la surface du sol dans la falaise de Piédemont, après le dépôt du Ligérien du Port-des-Barques, est dù à un plissement du sol, postérieur au dépôt du terrain crétacé. Ce pli, dirigé du S.-E. au N.-0, s’observe dans le département sur plus de 100 kilomètres, jusqu’à la pointe de Chassiron. La coupe fig. 5, qui est parallèle à celle de Piédemont au Petit-Agère, a pour but d'indiquer les lignes prin- cipales de ce plissement et l’ensemble des terrains qui ont été soulevés jusqu’à la craie à Radiolites lumbricalis de la Cotinière. On y voit pourquoi les étages Portlan- dien et Purbeckien sont si bien apparents dans l’île d’Oleron alors que le Cénomanien les recouvre à l’île d'Aix. On voit aussi que la Longe de Boyard n’est que le prolongement sous-marin de la colline que nous venons de visiter, entre Piédemont et le Port-des-Barques, et qu’elle doit être plissée comme elle. a | ÿ en 4 AE A alles » ° 4 £ Amal es cle Secièle des Suionces nat = de Lx Chormte int | - LET LA F0SSE ou roRT ves Barques CD k NORD- EST nten Cite fer Canal de 7 (ai ent LaPerrière k Charras FWAgère Zee Mecrens d'Yves Eh IA | AE 4 Te lei Te CA Prat TE] heRe ilercs ne 500 1 DS SE NE onSgucurs TL || ORÉREEE a 7106 000 : LR = AA Pa ET LES RADES DU PERTUIS DANTIOCHE AB NORD-EST Virus Choelollor tre Île d'Aix ! sPheure Fonte de Coudlopont =. 4: ER RE 2 VE De Roule des Bus ques AT RSS mr LEE hr Fr. PTIT pp SUD "EST mL LL | LU lttiitts D EE Liens ei œ > c ? lo, @ — des Cou DR Lane te — RD SO NET EE LL [Le lernaies (D), Dunes ( L'ÉTAGE < Exrusion cx Port des Bostomes 1891 par ss Baselier. Amoles di de La Secièle des Séionces nat re La Charente tft S.4 courE DU PERTUIS DE MAUMUSSON AUX AGÈRES, PAR PIEDEMONT, LA FALAISE ET LA FOSSE DU PORT DES BARQUES CD SUD-OUEST ee Lys here, Péketenten gta, sa NORD-EST : d ë rt la Pour Trde HiLouceut rire Muse nya de Lame Ce se we HEcns st se ana FORT _— SN CUT ÊS.S coupe 0ë LA COTINIÈRE [ILE . AU VIEUX CHATELAILLON, PAR L'ILE D'AIX ET LES RADES DU PERTUIS D ANTIOCHE .. SUD-OUEST D. se ne Rad LAmAULRnNeeS Île LAS con en " Ko maroli sale) MS Tae qe F he TR k luxe CH Rae des Bosques dos Trousses D Re FALAISE DU PORT DES BARQUES fis 5 EST OUEST eu | f du E i GLOGIQUE unes _ Gharente Abe FALAISE DE PIÈDEMONT nee +3 ; Se na Rohalle 1,147] 19.2 NORD-OUEST db Lai re fa PTE. See RE fs RU LIT rc Efelle de ve Ha] add æren CNET tqu es 5 ES Hé e + Légende Plages at at vachers [T1 Echelle deslntme te des longueurs nue es Re des Coupes = Qiluvioirs moine inc aualeiraues =, Dunes A) iCalcaires & er mr ? (RER PE ) En (E Aug Sante Mauronte Calcuue & 72: 0 EU Cale. à Dex cartral Lier. TE RG LOS ELLX à Ayorarcoles | Les & grise ie CE nes à CA InE adpersæ Ca GE Lacercs “ee “ rene DES pô à ge Dies . Diareatbhes Ce) = a} CET) uw mricaces | )S ables Jeruguieux A 7] aluvienÿ = f} mederile> £ Corte tiflexa- | Radeon Erin & Cyprine Brongriark Portlomdier & rer EL Bonn & Œnmontéss pue, Déoerss, 2 Zee Ter, = higalien(Kimmendien & Anunonteæs CA les, Gyroaoce CE Die A DA Delle EXCURSION GEOLOGIQUE Du 21 juin 1891 A BROU, PRÈS SAINT-SORNIN. — SPL TE—— RaPpPORT DE M. DOLLOT. Al dll Le 21 juin 1891, notre Société des Sciences naturelles se rendait en Saintonge pour explorer la lande de Cadeuil et les anciennes falaises crétacées de Brou, entre Saint-Symphorien et Saint-Sornin. Au grand regret de tous, MM. Couneau, Dubarry, Millot et Dollot, de la Rochelle, prenaient seuls part à l’excursion, notre Président, M. Beltremieux, étant empêché. Partis de la Rochelle à 5 heures 52 minutes du matin, nous trouvions à la gare de Rochefort M. Foucaud qui nous emmenait chez M. Jousset, où nous attendaient MM. Boissellier, Boutegourd, Courcelle-Seneuil, Dau- bisse, Deniel, Gentelet, Henry et Lefèvre. Après une collation offerte gracieusement par M. Jousset à tous, nous prenions place dans un om- nibus et quittions Rochefort par la route de Royan. Arrivés à la Charente nous mettions pied à terre et franchissions le fleuve sur l’antique bac de ns De là nous traversions tout l’étage Turonien qui com- mence à Martrou et finit au canal de Brouage, près Saint-Agnant-les-Marais. À Martrou se voit le Ligérien, aux carrières du Pinier ou des Erouelles, près d’Echil- lais, l’'Angoumien très fossilifère, et prie du pont du canal le Provencien. Sur la gauche du pont du canal le Turonien se pro- longe vers le S.-E., tandis que sur la droite, derrière la gare du chemin de fer de Marennes se voit une tranchée qui représente tous les étages du Cénomanien que nous allons ne plus quitter. Jusqu’à la Griperie, à 2 kilomètres sud du village de Saint-Jean d’Angle nous suivons la route de Royan, puis nous obliquons à droite et abandonnons notre voiture à Saint-Symphorien, petit village situé au pied des coteaux boisés et en bordure du marais de Brouage. Après une courte visite à l’église que l’on dit être la plus ancienne du département, nous nous séparons du groupe des botanistes, MM. Foucaud, Jousset, Daubisse, Deniel, Dubarry, Gentelet et Henry ; tandis que le nôtre composé de MM. Boissellier, Millot, Couneau, Courcelle- Seneuil, Boutegourd, Lefèvre et Dollot, géologues, se rendait à la falaise de Brou. Après avoir quitté le village de Saint-Symphorien nous laissons à gauche une carrière de sable fin jau- nâtre et stérile et un peu au-delà, sur le bord du chemin de la Chataignerie un affleurement des argiles formant la base du Cénomanien. En traversant le marais dans la direction de la Tour de Brou nous apercevons au lieu dit Le Talut une autre carrière de sable fin jaunâtre, semblable à celle de _Saint-Symphorien. Arrivés au pied du coteau que dominent les ruines éparses d’un vieux château dont il ne reste du donjon qu’un pan de muraille élevé, entouré de lierres sécu- laires, nous gravissons la pente et rencontrons à mi- hauteur les graviers ferrugineux qui recouvrent les argiles bariolés de la première assise du Cénomanien. Au-dessus se présente une ancienne carrière qui parait avoir fourni les matériaux du vieux château et dont les bancs de calcaires plus ou moins friables, formant le sommet du coteau, nous ont permis de voir Alveolina ovum, Orbitolina concava, Conoïda et des Rudistes. Ces mêmes bancs, en affleurement à l’ouest, renfermant la couche à Exogyra minima nous étions donc en pré- sence de la troisième assise cénomanienne au-dessous des bancs à échinodermes. A mi-hauteur au nord du donjon nous avons retrouvé, comme au-dessous de la carrière, les couches de gravier ferrugineux, passer au poudingue, reposer sur celles de sable fin jaunâtre, mais séparées de ces dernières par des veinules graveleuses d'apparence pyriteuses. La falaise de Brou est une ancienne presqu'île étroite, orientée du N.-0. au S.-E. avec talus fortement in- clinés de ces côtés. Elle domine le marais de 20 à 30 mètres. A la base apparaissent les argiles rouges, blanches vu bariolées, qui reposent directement sur le portlan- dien dont les affleurements ne se voient qu'entre Saint- Froult et Saint-Agnant. C’est dans un conglomérat calcaire, très ferrugineux, existant dans ces argiles que M. Boissellier a trouvé, entre Saint-Agnant et Villeneuve, au bord du marais, une vertèbre antero-postérieure ayant 0,15 de diamètre en M et un fémur de 050 de circonférence, signalés en 1880-81 au Congrès d'Alger et reconnus comme ayant appartenu à un Mégalosaure gigantesque. Entre Brou et la Mauvinière, sur le plateau, nous ne voyons, à la hauteur du Talut qu’un affleurement de bancs calcaires stériles, très durs et employés à l’en- tretien des routes. En quittant la Mauvinière, la tran- Chée du chemin de Saint-Sornin nous montre la deuxième assise cénomanienne, c’est-à-dire les bancs calcaires reposant sur les sables et argiles feuilletées noirâtres, pyriteuses et divisées en lits très minces. En raison du peu de temps dont nous disposions et des distances à parcourir, il nous a été impossible de nous livrer à la recherche minutieuse des fossiles. À Saint-Sornin, où nous arrivions seulement à midi 45 minutes, nous donnions un coup d’æil rapide à l’in- térieur de l’église, remarquable par la perspective de ses nefs et ses chapiteaux romans; puis montant en voiture, nous nous dirigions sur l’auberge de Cadeuil, située à la jonction des routes de Rochefort à Royan et de Marennes à Saintes, où les botanistes sont venus nous rejoindre pour le déjeuner. L'heure du retour approchant, les botanistes com- plétèrent leurs recherches dans la lande, pendant que les géologues allaient les attendre à la Massone, an- cienne maison forte, remarquable et où nous retrou- vions les grès calcaires. En attendant le ralliement, M. Couneau, dont les goûts artistiques sont bien connus et qui ne perd aucune occasion de prendre des croquis intéressants, muni de son appareil photographique, utilisait ses deux HAE PE äernières glaces en faisant un groupe de tous les membres présents. À 6 heures toute la caravane remontait en voiture et revenait directement à Rochefort où l’on se séparait. A 8 heures, les excursionnistes de la Rochelle étaient de retour, après une journée instructive et agréable. EXCURSION BOTANIQUE Du 21 juin 1691 A CADEUIL.: RaPPORT PAR M. E. JOUSSET. Le 21 juin, la Société des Sciences naturelles dirige sur Cadeuil l’excursion décidée lors de la course du Port-des-Barques. Sont au rendez-vous, à Rochefort : MM. Boissellier, Boutegourd, Couneau, Courcelle-Seneuil, Daubisse, Deniel, Dollot, Dubarry, Foucaud, Gentelet, Henry, Lefèvre, Millot et Jousset. Vers sept heures et demie, après avoir franchi la Charente au bac de Martrou, notre voiture entraînée par deux vigoureux chevaux suit la route de Royan, bordée de grands ormeaux, qui, par endroits, forment comme un berceau au-dessus du chemin. La campagne est superbe. Les récoltes encore verdoyantes, les vignes nouvellement reconstituées ou anciennes, toutes culti- vées avec soin, les longs rideaux des bois, reposent si agréablement la vue, que nous nous apercevons à peine du long trajet à effectuer avant d'atteindre le lieu de eh ee, notre excursion. Nous traversons le Pont, Villeneuve, Saint-Jean d’Angle, la Gripperie, et nous abandonnons la route de Royan pour nous engager dans le pitto- resque chemin qui descend à Saint-Symphorien-des- Bois, où nous ne tardons pas à arriver. = Les deux groupes, géologues et botanistes, se sont à peine séparés et organisés, comme nous avons l’habi- tude de le faire, que M. Couneau, aussi habile photo- graphe qu’excellent dessinateur, a déjà pris plusieurs épreuves de l’intéressante église de Saint-Symphorien, monument du xx ou du x siècle, avec une belle façade et un portail décoré de sculptures fantastiques. Tandis que les géologues gagnent la tour de Brou, nous longeons le bord est du marais et nous com- mençons notre récolte en centuriant, entre la Chatai- gneraie et Coupe-Gorge, lé rare Carex HMairii, puis Carex punctata à forme stérile. Ces deux plantes sont là en société de toute la flore des lieux humides et tourbeux : Anagallis tenella, Epipactis palustris, Pin- gquicula lasitanica, Carex flava, Carex Hornschuchiana. De Coupe-Gorge à la grande-Maçonne, nous nous arrêtons pour centurier Vulpia agrestis Duv.-Jouv., espèce nouvelle pour le département, pendant que M. Foucaud, à l'œil duquel rien ne sait échapper, découvre une bien intéressante graminée, qui doit faire l’objet d’une note spéciale de la part de notre collègue. Nous traversons la route de Saint-Sornin pour péné- trer dans un bois s'étendant de la Grande-Maconne à la Butte-aux-Martres. Près des fossés, sur la lisière du bois, Equisetum occidentale, que nous sommes venus centurier quelques jours avant ; dans le bois, presque inextricable : Carex binervis, Carex punctata, et enfin, le magnifique 1ris sibirica, dont la hampe atteint par fois plus d’un mètre. Dans une séance précédente nous vous avons an- noncé, M. Foucaud et moi, qu’en 1879, nous avions retrouvé à Cadeuil l’Jris sibirica, L'existence de cette plante dans l'Ouest est d'autant plus intéressante que depuis la perte de l'Alsace elle n'avait plus de localité française. | ‘À Cadeuil, on peut bien lui assigner, comme aire de dispersion, plus d’une lieue carrée. La fragilité de cette plante est si grande, que la ré- colte en nombre, dans le but de la publier, nousretient de longs instants, et va nous causer une bonne heure de retard lorsqu'il nous faudra rejoindre les géologues. Notre travail achevé, nous faisons diligence et nous coupons à travers la lande en prenant en chemin Tillæa muscosa, non encore signalé dans cette contrée. De si loin qu’ils nous aperçoivent, nos collègues nous font de tels signes de détresse que nous n’osons nous arrêter pour cueillir une plante nouvelle, le Poly- gala involutiflora Lmtte., indiquée en Auvergüe seule- ment. Dans une course récente, nous l’avons trouvée assez abondante sur le rebord des fossés de la grande route, en arrivant à Cadeuil. Nous sommes enfin rassemblés autour d’un plantu- reux déjeuner. Nos forces sérieusement réparées, nous avons tout le loisir de causer des différents incidents d’une matinée bien employée, mais pour laquelle cependant, notre satisfaction n’est pas complète, car nous sommes privés de l’âme de nos cordiales et gaies réunions, M 0 NE l'absence de notre cher Président provoquant parmi nous d’unanimes regrets. Les heures s’écoulent rapidement; nous allons en hâte chercher quelques Iris qui manquent à notre cen- turie, puis, nous rejoignons nos collègues qui nous attendent à la Grande-Macçconne, où M. Couneau nous groupe devant son objectif. Le soir nous nous séparons à Rocheîort, emportant tous un bien charmant souvenir de cette bonne journée. EXCURSION BOTANIQUE Du 5 juillet 1891 AIRE D'OLERON, FLE 97 RAPPORT PAR M. E. JOUSSET. Plusieurs membres de notre Société, dans le but de parcourir une partie mal connue et à peine explorée de la côte S.-0. d’Oleron, décidèrent de faire une ex- cursion vers Saint-Trojan. Le 5 juillet, MM. Foucaud, Ménager, Simon et Jousset, auxquels ont bien voulu se joindre MM. de Bergevin, Daubisse, Deniel et Grassin, viennent débarquer au Château, où les attend M. Reau, de Saint-Georges. Un break nous emporte vers Saint-Trojan et par- court d’une allure rapide les interminables sinuosités d’une route qui va se déroulant parmi les champs d'orge et les salines avant d’atteindre la forêt doma- niale dont nous devons suivre la lisière pendant plu- sieurs kilomètres. Dans les dunes de cette forêt, nous cueillons Orobranche Artemisiæw, sur l’Artemisia crithmi- folia DC, Parvenus près de Saint-Trojan, que nous laissons sur la droite, nous prenons la route forestière conduisant à la côte sauvage. Peu de plantes sous les pins; nous y notons seule- ment: Epipactis rubra, Epipactis viridiflora, Lotus cor- niculatus, forme à feuilles épaisses. Enfin nous débouchons dans le marais des Serpents, limité d’un côté par la forêt, et, de l’autre, par des dunes assez élevées. Ce vaste terrain de sables mouillés, une des localités qui nous amènent dans l'ile, nous offre les espèces intéressantes suivantes : Spergula no- dosa, Orchis palustris en spécimens géants, Scirpus ma- riltimus présentant anormalement tantôt un, tantôt deux épis, Carex extensa, Scirpus Holoschænus, Scirpus pungens, indiqué avec doute en Oleron, une seconde station de Chara baltica, enfin Chlora perfoliata, variété lanceolata, plante peu connue, dont M. Foucaud se propose de vous entretenir. Après une bonne récolte, nous reprenons la route forestière, à la recherche de notre véhicule et de son conducteur attardé dans quelque cabaret de Saint- Trojan dont c’est la frairie. Nous finissons par retrouver l’un et l’autre à l'entrée de la forêt. Nous nous diri- geons alors sur Availles, où nous parvenons sans en- combre, mais non sans inquiétude, sur les moyens à employer pour explorer un marais, en déjouant la mau- vaise volonté d’un propriétaire intraitable, que l’arrivée d’une voiture va prévenir de notre présence. Pour lui donner le change sur nos projets, nous pénétrons dans un taillis où nous sommes tout heureux de rencontrer Verbascum subviride Foucaud, plante abondante dans. les Landes, mais très rare chez nous et signalée seule- BE TVEs ment à Saint-Mariens et à Montendre. Dans le même bois : Helianthemum eriocaulon. Après un long détour, nous entrons, sans bruit, dans le lieu défendu où nous recherchons en vain Juncus hybridus, rencontré il y a deux ans, lors de la décou- verte dans ce même lieu de la première station fran- çaise de Chara baltica. Nos collègues se mettent en devoir de cueillir l’intéressante Characée lorsqu'ap- paraît un homme furieux, armé d’une fault. Comme cet incident a été prévu, la récolte n’en continue pas moins, tandis que tout en parlementant avec lui, M. Ménager tient en respect le brave Oleronais dont la colère arrive à son paroxysme. D’Availles, nous allons terminer notre excursion sur la plage de Vert-Bois, où l’on essaie de créer une station balnéaire. Nous récoltons dans la dune Silene Thorei, Erodium pilosum, que nous centurions. Il est près de six heures. Ilne nous reste que le temps nécessaire pour retourner au Château et prendre le dernier vapeur à destination du Chapus, station extrème de la ligne ferrée. GLANULES MYCOLOGIQUES © HERBORISATIONS DE 1891 DANS LA CHARENTE-INFÉRIEURE PAR PAUL BRUNAUD. © E CHAMPIGNONS DÉJA SIGNALÉS DANS LA CHARENTE-INFÉRIEURE MAIS TROUVÉS DANS DES LOCALITÉS NOUVELLES. G HYMÉNOMYCÈTES Fr. Amanita phalloides Fr., var. citrata. — Dans les bois. — Fouras. A. verna Fr. — Dans les bois. — Fouras. A. citrina Schæfi., var. alba. — Dans les bois. — Fouras. Form. exannulata. — Complètement dépourvu d’anneau. — Dans les bois. — Fouras. TE A. rubescens Fr., var. albo-rubens. — Entière- ment blanc. — Dans les bois. — Fouras. Lepiota Carcharias Pers. — Sous les pins, dans les bois, les friches. — Fouras. L. amianthina Scop. — Dans les friches. — Les Essards de Saint-Porchaire. L.seminuda Lasch, form. incarnata.— Chapeau légèrement incarnat. — Dans les bois. — Fouras. Tricholoma argyracea Bull., var. albata Quél., Ass. fr. 1889, Î. 2. — Sous les pins. — Jardin du Mail, la Rochelle. Clitocyhbe dealbata Sow. — Dans les endroits sablonneux, les friches. — Ile de Ré. Cl. squamulosa Pers. — Sous les pins. — Fouras. Cl. Gatinus Fr. — Sous les pins. — Saint-Trojan. CI. metashroa Fr. — Sous les pins. — St-Trojan. C1. tortilis Bolt. — Dans les bois, les allées sablées. — Fouras, Saintes, Fontcouverte. Collyhia ingrata Schm. — Sous les pins. — Fouras. GC. extuberans Fr. — Dans les bois. — Fouras. Mycena Seynesii Quél. — Isolé ou cespiteux sur les cônes des pins, des épiceas, les vieilles souches, les branches tombées. — Fontcouverte, Fouras, Les Essards de Saint-Porchaire. EN. VERRE M. pura Pers., var. lilacea. — Dans les bois. — Fouras. M. vitilis Fr., form. alba. — Dans les bois, — Fouras. Russula delica Fr., form. gracilis. — Dans les bois. — Fouras. R. depallens Fr., var. vinosa Quél. — Dans les bois. — Fouras. R. lactea {Pers.) Fr. — Dans les bois. — Fouras. R. rubra Fr. — Dans les bois. — Fouras. R. amoœæna Quél., form. alba. — Espèce entière- ment blanche. — Dans les bois. — Fouras. Cantharellus aurantiacus (Wulf.) Fr. — Dans les bois, sous les pins. — Fouras, Saint-Trojan. Marasmius erythropus (Pers.) Fr. — Dans les bois. — Saintes. Annularia levis Krombh. — Dans les prés, les lieux cultivés. — Pessines, ile de Ré. Volvaria murinella Quél. — Sous les pins. — Saintes. Pluteus semibulbosus Lasch. — Sur les branches tombées. — Fouras. Entoloma rhodopolium Fr. — Dans les bois. — Fouras. - Leptonia chalyhbæa Pers. — Dans les bois, les friches. — Saintes, Fontcouverte. ENT ec Nolanea pascua Pers., var. umbonata Quél. — Dans les bois, les friches. — Saint-Porchaire. Inocybe corydalina Quél. — Aux bords des chemins, dans les friches. — Fouras. I. tomentella Fr.— Sous les pins. — Jardin du Mail, la Rochelle. I. scabella Fr. — Dans les bois. — Fouras. Flammula spumosa Fr. — Dans les bois. — Fouras. Naucoria melinoides Fr. — Dans les friches. — Saint-Porchaire. Galera pygmæo-affinis Fr. — Dans les bois, les friches. — Fouras. G. Hypnorum Batsch, var. Bryorum ; 49. Bryo- rum Pers. — Dans les mousses. — Saint-Porchaire. Tubaria pellucida Bull. — Dans les prés, les friches, aux bords des allées. — Les Essards de Saint- Porchaire. Cortinarius multiformis Fr. — Dans les bois. — Saint-Porchaire. GC. rapaceus Fr. — Dans les bois. — Saint-Por- chaire. C. purpurascens Fr. — Dans les bois. — Fouras. GC. Lebretonii Quél. — Dans les bois. — Fontcou- verte. nm E Agaricus augustus Fr. — Dans les bois. — Fouras. A. Bernardii Quél., form. alba. — Chapeau d’un blanc pur. — Dans les prés. — Fouras. A. silvaticus Schæff. — Dans les bois. — Saintes, Fontcouverte. Stropharia melasperma Bull. — Dans les en- droits fumés, les champs. — Ile de Ré. Psilocybe spadicea Fr.— Dansles bois. — Font- couverte, Taillebourg. Coprinus radiatus Bolt., var. ocraceus. — Sur des tiges pourries des Dahlias. — Saintes. GC. rapidus Fr. — Dans les bois, les endroits fumés. — Saintes, Fouras. Panæolus campanulatus L. - Surles crottins. — Taillebourg, Saint-Jean d’Angély. Form. excoriata — Chapeau hérissé d’écailles. — Sur les terreaux. — Saintes. Anellaria fimiputris (Bull.) Karst. -- Sur les fumiers. — Saintes, Psathyrella trepida Fr. — Dans les bois, les endroits humides. — Saintes. Polyporus epileucus Fr. — Sur les vieux troncs des noyers. — Saintes. P. spumeus (Sow.) Fr. — Sur un vieux tronc de Quercus Ilex. — Saint-Porchaire. Per. Merulius molluscus Fr. — Sur des branches tombées. — Fouras. M. serpens Tode.— Sur des vieux troncs de chênes abattus. — Les Essards de Saint-Porchaire. Merulius crispatus Müll. — Sur les branches tombées des chênes. — Les Essards de Saint-Porchaire. Irpex paradoxus (Schrad.) Fr. — Sur les vieux troncs, les arbres abattus. — Les Essards de Saint- Porchaire. Corticium lacteum Fr.— Sur les feuilles pourries des chênes. — Fouras. C. calceum Fr. — Sur des vieux troncs de chênes et de pommiers. — Les Essards de Saint-Porchaire. G. lividum Pers. — Sur du bois de chêne pourri. — Les Essards de Saint-Porchaire. Excidia glandulosa (Bull.)Fr.— Sur les branches tombées des noyers. — Les Essards de Saint-Porchaire. Clavaria cinerea Bull., var. fimbriata. — Ra- meaux fimbriés à l’extrémité. — Dans les bois. — Fouras. GASTÉROMYCÈTES Willd. Ithyphallus impudicus (L.) Fr. — Dans les bois. — Saint-Trojan (île d’Oleron). Clathrus cancellatus Tournef. — Dans les lieux secs. — Bussac. — 73 — Lycoperdon hirtum Mart. —- Dans les prés, les pelouses. — Fouras, Saintes. L. piriforme Schæfi. — Dans les bois, les mousses. — Saint-Porchaire, Fontcouverte. USTILAGINÉES Tul. Ustilago utriculosa (Nees.) Tul. — Dans les ovaires du Polygonum Hydropiper. — Saintes, Roche- fort. URÉDINÉES Brongn. Puccinia coronata Cord. — Sur les feuilles du Dactylis glomerata et de l’Agrostis alba. — Saintes. P. Rubigo-vera (D.C.) Wint. — Sur les feuilles du Dactylis glumerata et de l’Holcus mollis. — Saintes. P. Hieracii (Schm.) Mart. — Sur les feuilles du Centaurea scabiosa, du Centaurea aspera, du Cirsium bul- bosum et du Cirsium anglicum. — Fouras, Châtelaillon, Saintes, Pessines. P. Cerasi Béreng. — Sur les feuilles du Persica vulgaris. — Pessines. C'est par erreur que j'ai donné /Liste des Ustilag. et des Ured. p. 14], cette Puccinie, sous le nom de P. Pruni. P. Circææ Pers. — Sous les feuilles du Circæa lutetiana. — La Rochecourbon, près Saint-Porchaire. P. Asteris Duby. — Sur les feuilles de l’Artemisia campestris, de sa var. maritima, de l’Artemisia vulgaris. — Châtelaillon, Fouras. Lee PYRÉNOMYCÈTES Fr. em. ; de Not. Lophiotrema præmorsum (Lasch) Sacc. — Sur les branches mortes de l’Ulex europœus et sur les tiges mortes du Spiræa Ulmaria. — Fouras, Saintes. Lophiostoma Desmazierii Sacc. et Speg. — Sur les branches mortes du Phillyrea media et du Rosa canina. — Saint-Porchaire, Saintes. DISCOMYCÈTES Fr. . Helvella crispa (Scop.) Fr., car. alba Fr. — Dans les bois. — Saintes, Fontcouverte. Lachnea lanuginosa Bull. — Sous les pins. — Jardin du Mail, la Rochelle. SPHÆROPSIDÉES Lév. reform. ; Sacc. Coniothyrium olivaceum Bon. — Sur les branches mortes de l’Ulex europœus. — Fouras. Ascochyta Garryæ Sacc. — Sur les feuilles du Garrya elliptica. — Rochefort, Fouras, la Rochelle. Septoria Lactucæ Passer. — Sur les feuilles du Lactuca virosa. — Fouras. HYPHOMYCÈTES Mart. p. m. part. Sporotrichum sulphureum Grev. — Sur une corde pourrie. — Saintes. Goniosporium puccinioides (Kze. et Schm.) rs Link. — Sur les feuilles mortes du Carex glauca. — Fouras. Macrosporium commune Rabh. — Sous les feuilles du Cynanchum acutum. — Fouras. Alternaria Brassicæ (Berk.”?) Sacc. — Conidies 11-septées. — Sous les feuilles du Cynanchum acutum. — Fouras. Epicoccum neglectum Desm. — Sur les feuilles desséchées du Potamogeton natans. — Saintes. IE CHAMPIGNONS NOUVELLEMENT RÉCOLTÉS DANS LA CHARENTE-INFÉRIEURE ET TROUVÉS POUR LA PREMIÈRE FOIS DANS CE DÉPARTEMENT. HYMÉNOMYCÈTES Fr. Tricholoma sudum Fr. — Dans les bois. — Fouras. T. nudum Bull., var. lilacea Quél. — Dans les bois. — Saint-Porchaire. Mycena elegans Pers. — Sous les pins. — Saintes. M. sudora Fr. — Sur les vieux troncs d'arbres, les vieux frênes. — Fouras, Saint-Porchaire. ER, a M. filipes Bull., form. oculata Quél., in litt. — Chapeau à mamelon bistre-noir sur fond blanc de lait. — Dans les bois. — Saintes. M. tenella Er. — Sur les vieux troncs moussus. — Les Essards de Saint-Porchaire. M. cyanorhiza Quél. — Sur les vieux troncs moussus des ormeaux et des chênes. — Les Essards de Saint-Porchaire, Saintes. Pleurotus dryinus Pers. — Sur un vieux tronc d’ormeau. — Saintes. Hygrophorus irrigatus (Pers.) Fr. — Dans les prés. — Saintes. H. nitratus Fr.(1). — Dans les bois de pins, aux bords des bois. — Saintes. Lactarius hysginus Fr. — Dans les bois — Fouras. L. argematus Fr. — Dans les bois. — Fouras. Volvaria plumulosa Lasch; Quél., FI. myc., p. 190. — Dans les prés, les friches. — Fouras, Saintes. Entoloma jubatum Fr. — Dans les bois humides de la Rochecourbon, près Saint-Porchaire. (1) N'ayant pas retrouvé cette espèce depuis 1874, j'avais cru pouvoir la rayer provisoirement de la flore mycologique de la Charente-Inférieure (Mat. fl. myc.Ch.-Inf., p.6-8).— Plusieurs champignons qui m’avaient paru, autrefois, devoir disparaître de la flore mycologique du département, ont été retrouvés depuis. Je les ai signalés au fur et à mesure.— En revanche, Trametes gallica Fr., doit, au moins provisoirement, ne plus être compté parmi nos Hyménomycètes, re Ve Eccilia parkensis Fr. — Dans les bois, aux bords des chemins. — Fouras. Pholiota blattaria Fr. — Dans les jardins, l’été. — Saintes. Ph. mycenoïides Fr.; Galera mycenoides (Fr.) Quél., F1. myc., p. 81. — Dans le bois devant La Gord, près Saintes. Naucoria cidaris Fr. — Dans les prés, les friches. — Fouras. N. temulenta Fr. — Dans les bois humides de la Rochecourbon, près Saint-Porchaire. N. escharoides Fr. — Dans les bois humides de Ia Rochecourbon, près Saint-Porchaire. Cortinarius dibaphus Fr. — Dans les bois de la Grève, près Saintes. GC. muricinus Fr. — Dans les bois de la Grève, près Saintes. Agaricus semotus Fr.— Dansles bois. — Fouras. Stropharia luteo-nitens Vahl. — Dans les prés, les friches, sur les excréments. — Fouras. Psilocybe uda Pers. — Dans les endroits humides ou marécageux. — Fouras. P. callosa Fr. — Dans les endroits fumés, sur les bouses. — Fouras. Coprinus eburneus Quél. — Dans les bois, les lieux stercoraires. — Fouras. Ds AN En C. roris Quél. — Sur les crottins, dans les prés. — Fouras, Saintes. C. diaphanus Quél. — Dans les endroits PRES, sur les crottins. — Fouras. Panæolus sphinctrinus Fr., var. pumila Buxb. — Sur les crottins. — Saintes. Boletus armeniacus Quél. — Dans les bois, sous les pins. — Fouras. Trametes inodora Fr. — Sur les branches tom- bées des chênes. — Fouras. T. campestris Quél. — Sur les écorces du Quercus Ilex. — Fouras. Hydnum papyraceum Wuli. — Sur les branches tombées. — Saint-Porchaire. Tremella violacea Relh. — Sur les branches tombées des tilleuls, des pommiers, etc. — Saintes, Pessines. GASTÉROMYCÈTES Wild. Bovista ammophila Lév. — A terre, au pied des vieux arbres. — Fouras. Lycoperion cruciatum Rostk. — Sur lestrones des vieux pins. — Fouras. L. dermoxanthum Vitt. — Dans les prés, les friches, les endroits sablonneux. — Fouras. D 1e es USTILAGINÉES Tul. Doassansia Alismatis (Nees.) Cornu. — Sur les feuilles de l’Alisma Plantago. — Fouras. URÉDINÉES Brongn. Uromyces Salicorniæ (D. C.) de Bary. — Sur les feuilles et les tiges du Sueda maritima et du Salicornia herbacea. — Fouras. Puccinia Girsii-lanceolati Schroet. — Sous les feuilles du Cirsium lanceolatum. — Saintes, Fouras. C’est par erreur que j'ai donné (Liste des Ustilag. et des Ured. p. 12}, cette Puccinie sous le nom de P. Hieracü. P. cancellata (Dur. et Mont.). Sacc. et Roum. ; P. junci P. Brun., non Strauss. — Sur les chaumes du Juncus conglomeratus. — A. C. DISCOMYCÉTES Fr. Helvella elastica Bull. — Dans les bois, les allées couvertes, les endroits gramineux. — Saintes, Font- couverte. Geoglossum ophioglossoides (L.) Sacc.; G. glabrum Pers. — Dans les prés. — Saintes. Peziza umbrina Boud. — Sur les détritus végé- taux. — Fouras. Discina repanda Wahl. — Sur les bois pourris. — Fouras. OÙ Phialea alhida (Rob. et Desm.) Gill. — Sur les branches tombées, les bois pourris. — La Rochecourbon, près Saint-Porchaire. SPHÆROPSIDÉES Lév : reform. ; Sacc. Phyllosticta Phillyreæ Sacc. — Sur les feuilles du Phillyrea media. — La Rochecourbon, commune de Saint-Porchaire. Septoria Globulariæ Sacc. — Sur les feuilles du Globularia vulgaris. — La Rochecourbon, commune de Saint-Porchaire. MELANCONIÉES Berk. Steganosporium compactum Sacc. — Sur les branches tombées du Phillyrea media. — La Roche- courbon, commune de Saint-Porchaire. HYPHOMYCÈTES Mart. p. m. part. Trichosporium collæ (Link) Sacc. — Sur de la colle de pain desséchée, sur des papiers collés moisis. — À. C. Sporodesinmium myrianum Desm. — Sur les tiges et les feuilles sèches du Calamagrostis arenaria. — Fouras. Stemphylium botryosum Wallr., var. domes- ticum Sacc. — Sur des papiers collés et des tdiles tendues, exposées à l'humidité. — Saintes. Ha — II. STATISTIQUE MYCOLOGIQUE DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE. SR 9 7— J’ai récolté jusqu’à ce jour, dans ce département : Bpnenomycèles.s. 532... 2.44. 1,270 espèces. OM YCÈLES". Le ie onu 39 — BAMIABMÉC 2 Lire ds 22 — PRUNNÉGS LA er re das nee 121 — Urédimées inlérienres.....:.:...., 9 — MAMCDIDN CR LES LE al ue à ne deu de 97 — EMRÉROMYCÉLES 2. a su nn dote à 0 997 — Biscomycèle: &. 4.2... ONE 198 — Onygénacées..... PRE ERERE CPR Lt À ARR 1 — LEON CESSE Re fl — Saccharomycétacées..:........... 4 — Schizomycétacées..... Me et 27 — PAIN ECIeS une bec use 91 — RP IDDSIdé RS. Ja de. des 1,001 _ MANCQHIÉES ne. Ve D Le ne 76 — MHDOMYCÈLÉS 2... acte eve 261 _— CAMERA NT: «> Le 2 3 Û va #, TT ME | à 4 2 ee te 2316 À Ce ce + . L nl c 220 Le À l a Re * a0ÿ Spor. "2 - # ES ML da 4 F ‘ T2 Ë MAS L'EC DE id nl 1 Des Mes 5h a" Fa TR Me VERS SUR LES Plantes distribuées par la Société Botanique Rochelaise et diagnoses des espèces nouvelles ou peu connues >C< Anemone præcox et À serotina Coste. — Les Anémones de la Flore française qui ont été décrites, il y a près d’un demi-siècle, par Grenier, sous les noms d'A. Pulsatilla L. et A. montana Hoppe, sont encore enveloppées d’une grande obscurité et offrent de sérieuses difficultés de détermination. Cela tient, à mon avis, à la description concise et trop élastique de ces deux espèces dans la Flore de France, et à la multi- plicité des formes qu’ofire le sous-genre Pulsatilla. Plusieurs de ces formes, qui sont souvent de bonnes variétés ou des races stationnelles remarquables, ont été étudiées avec soin dans ces dernières années. Des botanistes observateurs les ont nommées et décrites, et leurs noms se trouvent aujourd’hui imprimés dans maintes Flores locales, Catalogues et autres ouvrages consciencieux. Partisan résolu de la dénomination de toutes ces sous-espèces ou races stationnelles, je n’au- rais garde de blâmer ces savants qui s’eflorcent de faire la lumière dans des questions obscures et litigieuses. C’est même là l’idée qui a présidé à la dénomination . des deux Anémones de l’Aveyron que j’ai déjà signalées à la Société botanique de France, et que je suis heureux SES de distribuer cette année à la Société Rochelaise. En leur imposant des noms nouveaux, je n’ai point la pré- tention de me prononcer sur leur valeur spécifique, mais seulement d'attirer sur elles l’attention des bota- nistes soucieux de la distinction des espèces, en faisant ressortir les caractères qui les différencient. L’une et l’autre croisent très abondamment sur les causses de l’Aveyron, dela Lozère, du Gard et de l'Hérault, souvent côte-à-côte, sur le même sol, à la même altitude, mais à des mois tout différents, avec des traits et des carac- tères diflérentiels propres à chacune d'elles. L’Anemone que j'ai nommé præcox est bien digne de porter ce nom. C’est, en effet, la première fleur qui fait son apparition, souvent au milieu des neiges, vers le 15 mars, sur le glacial plateau du Larzac. Elle nous montre sa plus brillante parure en avril, mais ses feuilles ne commencent à se développer qu'après la chute des sépales, au mois de mai, alors que les arêtes plumeuses des carpelles ont pris la place des fleurs. Dès le mois de juin, toute trace de fleurs et de fruits disparaît, les hampes se dessèchent el les feuilles seules continuent leur développement. Voici, du reste, une courte diagnose de cette plante : Fleur grande (7-9 cent. de diam, étalée sur le papier), d’un violet clair, très pâle ou décolorée par la dessication, toujours dressée au soleil, à la fin ouverte en étoile; sépales elliptiques oblongs, aigus ou subobtus, fortement velus extérieure- ment ; styles droits ou à peine arqués au sommet, vio- lacés, dépassant assez longuement les étamines ; hampes florifères épaisses, basses, courtes (3-10 cent.), presque entièrement cachées dans un duvet soyeux très abon- dant, les fructifères longues de 2-3 décim., velues- ré séltie, PRE soyeuses jusqu'à la maturité; feuilles adultes velues, nombreuses, dressées-étalées, à limbe ovale, plus court que le pétiole, tripennatiséqué, à lanières très nom- breuses, rapprochées, étalées-dressées, se crispant rapide- ment, étroitement linéaires et insensiblement atténucées au sommet ; souche érès épaisse, émettant dès le commen- cement de l’automne de gros bourgeons d’un blanc argenté. L’A. prœcox végète abondamment sur les rochers et pelouses rocailleuses du Larzac situés entre Montclarat et l’Hospitalet, et çà et là dans les devizes de Lapanouse et de Sainte-Eulalie-de-Cernon. Je lai observé aussi sur le causse Noir à Montpellier-le-Vieux, et sur le flanc du causse Méjean, près de Meyrueis. Toutes ces stations sont comprises entre 750 et 900 mètres d'altitude. Il doit exister pareillement sur les hauts plateaux des autres causses, partout où la maigre pelouse recouvre la roche dolomitique. L’Anemone serotina a un facies et des mœurs tout autres. C’est, comme l'indique son nom, une plante tardive, étalant ses fleurs en mai et juin, et mürissant ses graines en juillet. Ses feuilles apparaissent en même temps que les fleurs et sont complètement développées quand celles-ci cèdent la place aux arrêtes plumeuses des carpelles. Examinéecomparativement avec l’A. præcox, voici les caractères qui permettent de la distinguer de sa congénère : fleur moyenne (5-7 cent. de diam. étalée), d’un beau violet clair, ne pâlissant point par la dessi- cation, plus ou moins penchée et ouverte en cloche au soleil: sépales ovales-elliptiques, ordinairement obtus, velus extérieurement ; styles violacés, droits ou presque droits, dépassant un peu les étamines ; hampesflorifères grêles, élancées, longues de 8-20 cent., couvertes d’un : 6 duvet soyeux peu serré et bien moins abondant, les fruc- tifères longues de 2-4 décim., à la fin presque glabres ; feuilles adultes glabrescentes, peu nombreuses, couchées- étalées, à limbe ovale-oblong, beaucoup plus court que le pétiole, tripennatiséqué, à lanières moins nom- breuses, écartées, divariquées et étalées presque à angle droit, restant planes, linéaires, mais plus larges et plus brusquement atténuées au sommet ; souche peu épaisse, n’émettant des bourgeons qu’à la fin de l'hiver. Cette Anémone est assez répandue sur les plateaux rocaïlleux ou herbeux du Larzac, du Causse Noir, du Causse Central à l’Est de Rodez et probablement sur tous les grands causses, entre 600 et 900 mètres d'altitude. Sur les montagnes granitiques et basaltiques du Nord del’Aveyron, qui confinent à l'Auvergne, croissent deux Anémones remarquables, bien distinctes de l’4. præcox, mais voisines de l’A. serotina, dont elles ont le port et le mode de végétation. Ce sont les A. rubra Lamk. et A. montana Hoppe. L’A. serotina diffère néan- moins de l’A. rubra : 4° Par sa fleur d’un violet clair et lilas, non d’un rouge brun un peu jaunâtre à la base des sépales ; 2° par ses styles violacés et mon bruns, droits et non arqués au sommet ; 3° par ses feuilles à lanières plus larges, plus divariquées, plus brusquement atténuées au sommet. Il s'éloigne pareïllement de l’A. montana: 1° par sa fleur plus grande, d’un er et lilas, non d’un violet foncé et noirâtre ; 2 par ses styles violacés, non moirâtres ; 3 par ses hampes et ses feuilles moins velues ; 4° enfin par sa floraison plus tardive, bien qu'il végète dans des stations moins élevées et plus méridionales. H. CosTe. CN au LES 7 AUS Iris sibirica L. — Cette plante croît dans la lande de Cadeuil (Char.-Inf.), où M. Jousset et moi nous en avons trouvé quelques touffes en août 1889. Afin de pouvoir l’étudier, j’en ai pris des pieds pour la cultiver au Jardin botanique de Rochefort. En mai dernier cette plante a fleuri et j'ai été agréablement surpris de constater que nous avions affaire à l’Zros sibirica. Quelques jours après, M. Jousset et moi nous retrouvions notre plante en pleine floraison à plus d’un kilomètre de l’endroit où nous l’avions observée et nous constations sa dispersion sur une étendue de plus de quatre kilomètres carrés. Ses belles fleurs bleues, sup- portées par des hampes de près d’un mètre de hauteur, s’apercevaient de loin et il nous a été facile de la cen- turier pour la Société Rochelaise. Cette plante avait déjà été signalée à Cadeuil dès 1850 par Léon Faye (Catalogue des plantes de la Cha- rente-Inférieure) mais n’y avait pas été observée depuis. Cette indication paraissant douteuse, la plante n’a pas été mentionnée dans la Flore de l'Ouest de la France et ce doute paraissait d'autant plus fondé que cet Zris ne figure pas dans l’herbier Léon Faye et que le Catalogue de ce botaniste renferme un grand nombre d'indications erronées. L'existence de l’/ris sibirica dans la Charente-Inié- rieure ofire d'autant plus d'intérêt que depuis 1870 cette plante n’avait plus de localité française. J. Foucaun. Re Chlora imperfoliata, var. lanceolata Koch. — Cette variété diffère du type par ses tiges ordinai- rement simples, grèêles et uniflores, par ses feuilles lancéolées et surtout par son calice dont les divisions, au nombre de 6-8, sont plus courtes que la corolle ou l’égalent. | Cette plante n’est pas rare dans les lètes de l’île . d'Oleron, entre Saint-Trojan et la Remigeasse, ainsi que dans les environs de la Coubre, localités où elle a été découverte, l’an passé, par mon ami M. Jousset. Il y a deux ans, je l’ai recueillie à Saint-Christophe et à Cadeuil (Charente-Inférieure), et cette année, je l’ai reçue de Montpellier où elle a été découverte par M. Mandon, botaniste infatigable, qui m’a procuré les principales raretés de ses environs et à qui je suis heureux de témoigner toute ma reconnaissance. J. FoucAUD. —— Genre Hedypnois. — Après avoir réuni et étudié toutes les formes du genre Hedypnois, qui croissent dans les environs de Solliès-Toucas, j'ai pensé qu'un travail d’ensemble présenterait peut-être quelque utilité. C’est dans ce but que je présente cet essai de Monographie. Tige unique dressée ; involucre à folioles presque toujours glabres et assez longuement dépassées par less rene PR 1. Tiges plus ou moins nombreuses, non dressées ; pédoncules fortement renflés au sommet; ne dé- passant pas les folioles de l’involucre......... 2. ES OR 4 Pédoncules à peine renflés ; involucre fructi- fère à folioles droites, s’étalant à la maturité ; tige mince, peu feuillée et à feuilles 4 presque entières. ...:..:.: mauritanicus Willd. Pédoncules renflés ; involucre fructifère à folioles légèrement arquées ; plante plus feuillée, un peu MS On nb 28 dune sous pendula DC. ? Tiges couchées appliquées en cercle sur le sol ; involucre à folioles glabres ; feuilles étroites, les inférieures sinuées-dentées, à dents obtuses...... cretica Willd. H. coronopifolia Ten. Tiges étalées dressées, un peu difluses ; feuilles 2 ( aiguës, presque entières; involucre à folioles fortement hérissées scabres sur Lontédeursurface. 1 25 241.0 tubæformis Ten. Tiges faibles, arquées décombantes; feuilles étroitement oblongues, presque entières ; involucre à foliolesglabres...... -...... decumbens Albert. ALBERT. Hutchinsia procumbens Desv. var. crassifolia Corb. — Se distingue surtout des formes ordinaires de l’espèce par ses feuilles inférieures très charnues, généralement rougeâtres, à segments très obtus, cylindracés, aussi épais (1 millim.) que larges. De plus, la tige est nettement dressée (2-5 cent.), ordi- nairement simple ; quand elle se ramifie, les rameaux s'étalent sur le sol, mais l’axe principal reste droit. Les loges du fruit renferment chacune 6-10 graines. Station : vases salées à la limite des dunes de Port- bail (Manche) ; floraison, en juin. LOVE La carnosité si remarquable des feuilles — qui dis- paraît malheureusement par la dessication — est sans nul doute le résultat de l’action saline de la mer ; ilest toutefois à remarquer que rien de semblable ne se pro- duit chez l’espèce congénère H. petræa, commune dans nos dunes. Des semis successifs, faits dans une terre ordinaire, m'apprendront plus tard le degré de stabi- lité que présente cette curieuse modification dans le tissu des feuilles. : Hutchinsia procumbens Desv. n’avait pas encore été signalé en Normandie. Notre station de Portbail marque la limite septentrionale de cette plante en France et peut-être aussi en Europe. L. CORBIÈRE. Iberis collina Jord. et I. Prostii Soy.-Willm. — Ces deux Iberis, récoltés au centre de la région des causses, dans le riche bassin de la Dourbie, ne man- quent pas de ressemblance. Voici les caractères qui leur sont communs : Plantes bisannuelles, glabres, à racine pivotante, ra- meuse, ordinairement fortueuse ; tige dressée, souvent flexueuse, dure, sillonnée, lisse, rameuse au moins dans le haut ; feuilles minces, atténuées à la base, les radi- cales oblongues ou lancéolées, bordées de 2 ou 3 dents calleuses, ainsi que le sommet, les caulinaires linéaires, très entières ; fleurs d’un beau lilas, en petits corymbes à l'extrémité des rameaux; pédicelles fructifères grêles, pubérulents en dessus, plus ou moins étalés, écartés les uns des autres et disposés en grappe courie ; silicule arrondie et non ailée à la base, rétrécie au raie sommet, terminée par deux dents aiguës, séparées par le style saillant, dépassant plus ou moins l’échancrure. Bien que très voisines, ces deux espèces ne sauraient être confondues. L’I. collina est une plante printanière, qui donne ses fleurs et ses fruits en mai-juillet. Ses tiges sont assez basses (2-4 décim.), épaisses, presque toujours divisées à la base, arameaux nombreux, courts et robustes ; ses feuilles d’un beau vert, nombreuses, rapprochées inférieurement, les caulinaires largement linéaires, subobtuses, les radicales oblongues, souvent persistantes à la floraison ; sa grappe fructiière un peu allongée, à pédicelles éfalés à angle droit ou les infé- rieurs réfléchis; ses silicules assez grandes, à peine rétrécies et presque aussi larges à leur sommet qu’à leur milieu. L'I. Prostit est, au contraire, une plante automnale qui épanouit, chez nous, ses premières fleurs fin août, et ne mürit ses fruits qu’en octobre. Sa tige, haute de 4-8 décimètres, est élancée, grêle, simple inférieurement, rameuse dans le haut, à rameaux minces et allongés ; feuilles ordinairement glauques, peu nombreuses, écar- tées, les caulinaires étroitement linéaires, aiguës, les radicales lancéolées, toujours détruites à la floraison ; grappe fructifère plus courte, à pédicelles plus grêles, moins étalés ; silicules d’un tiers plus petites, presque toujours fortement rétrécies au sommet. Non loin du bois du Roi et des limites du départe- ment de l'Aveyron, l’I. collina végèteabondamment sur les pentes boisées de la Virenque (Gard) et au sommet de la Séranne (Hérault). Les auteurs de la Flore de Montpellier, tout en iden- = 9% — tifiant la plante de la Séranne avec la nôtre, lui ont donné, pour éviter, disent-ils, des divergences irrémé- diables, le nom princeps de maialis Jord. (C£ Lor. et Barr., FL de Montp.; éd. 2, p. 45). «Une étroite ressem- blance, dit M. le Dr B. Martin (Bull. soc. bot. de Fr., t. 35, p. 35), relie entr’eux les échantillons d’I. collina fournis par les trois départements limitrophes. Les uns et les autres sont aussi tout à fait conformes aux exemplaires de la même plante recueillis par M. Jordan, à Serrières (Ain), et que le botaniste lyonnais a fait servir de types pour l'établissement et la description de son espèce. » L’Iberis des Cévennes n’est pas distinct, à mon avis, de l’Iberis de Leyrieu, près Crémieu (Isère), que M. Jordan a nommé 1. Timeroyi. Les nombreux exem- plaires que j'ai vus de cette localité ne laissent pas de doute : ils sont seulement un peu plus élevés que notre plante, et à tige plus flexueuse et comme en zigzag, caractère de faible importance et produit par le milieu, car la plante végète dans les broussailles. À la même espèce il faut rattacher encore l’Iberis du Mont, près Nantua (Ain), que la Flore de France attribue à PJ. Violetti Soy.-Willm. Ce dernier, qui n’est connu jusqu’à présent que sur trois points du département de la Meuse, à Commercy, à Saint-Mihiel et près de Vaucou- leurs, diffère de l’f. collina Jord : 1° par son port bas, son aspect rabougri, d’un vert sombre; 2 par sa tige courte (2 décim. au plus), rude et comme tuberculeuse, à cause des cicatrices saillantes et rapprochées, produites par la chute des feuilles ; 3° par ses feuilles charnues, convexes, courtes, très nombreuses et très rapprochées ; 4° par ses pédicelles fructifères épais et courts (2-4 mil- Der gore limètres, au lieu de 5,7): enfin par sa floraison plus tardive (août-septembre). C’est à tort que Godron donne dans la F1. de Fr. I, p. 139, une durée annuelle à l’JI. Prostii. Cette espèce, aussi bien que les I. collina et Violetti, est bisannuelle. Les nombreuses petites rosettes que l’on observe aux mêmes lieux, pendant toute la durée de la floraison et de la fructification, ne sauraient laisser place au doute. L’I. Prosti est assez répandu sur les causses, dans les vallées de la Viaenque, de la Dourbie, de la Jonte, du Tarn et du Lot. « La plante de Sainte-Enimie (vallée du Tarn), nommée par Prost I. linifolia L., dit Loret (F1. de Montp., éd. 2, p. 45, en note), n’est pas, comme l’ont cru Soyer-Willemet et M. Jordan, leur I. Prostii; mais il vaut mieux, selon moi, maintenir ce nom quoique faussement appliqué, que de donner lieu, en le chan- geant, à des dissidences interminables. Cette espèce est la même que M. Jordan a nommée depuis I. deflexi- folia, et l’on peut dire : I. Prostii Soy.-Willm. (compr. 1. Prostii et I. deflexifolia Jord.). J’adhère d’autant plus volontiers à cette nomenclature d’un botaniste judi- cieux, que le prétendu /. deflexifolia n’est, pour moi, qu’un J. Prosti végétant dans les buissons, les brous- sailles, les lieux couverts et un peu frais. On le ren- contre, en effet, dans les causses, presque partout où se montre le type, dont il se distingue à peine par sa taille encore plus élevée (1-8 décim.), ses rameaux plus allongés et plus divisés, ses feuilles d'un vert clair, plus larges, plus longues, défléchies sur la tige. Ce dernier caractère s’observe fréquemment chez tous les Iberis que je viens de mentionner. H. CosTe. TROIS FÊTES ROCHELAISES 1372-1615-1796. Comme Venise, la Rochelle a toujours aimé à affirmer sa prospérité commerciale par la splendeur de ses fêtes. En venant inaugurer le port de la Pallice, M. le Président de la République a fait l’expérience de l’accueil qu’il est dans les traditions de notre ville de réserver à ses visiteurs et au plus grand de tous, à celui qui incarne la noble Patrie française. En évoquant les souvenirs du passé, que de brillantes réceptions, que d’anniversaires glorieux, que de circonstances solennelles dans lesquelles les Rochelais ont montré « qu’ils n'avaient pas oublié la forme de leurs anciens » banquets ». Nous avons eu l’occasion de retracer la fête de la délivrance d'Orléans par Jeanne la Lorraine, consignée dans le « Livre noir », nous avons rappelé l’entrée de Sully à la Rochelle. Il faudrait un burin de l’école flamande pour faire revivre ces scènes qui ne paraissent pas indignes, par leurs contrastes, d'arrêter votre attention. Froissart nous redira le repas mémorable qui permit aux Rochelais de 1372 de redevenir français et de secouer le joug de l'Angleterre, Ter Merlin nous reportera à une fête militaire de l’Ascen- sion en 1615, et une lettre de 1796 à la fête de l’agricul- ture, sous le Directoire. Comment la Rochelle affirma son patriotisme au temps de Chauldrier, comment elle entretint ce patriotisme sous la mairie de Jacques David, comment elle le manifesta sous l’administration républicaine de Samuel Demissy. Un repas fournit aux Rochelais l’occasion de déchirer le traité de Brétigny qui avait fait de leur ville la rançon du roi Jean ; une Ascension leur permit de prouver que les divisions in- testines s'arrêtent devant l’intérêt supérieur du pays; un anniversaire les mit en mesure de montrer à «l’or- ganisateur de la victoire » que s'ils ont toujours des « braves Rondeau » à envoyer à la frontière, ils honorent aussi le travail des champs, fondement de la prospérité nationale. Tels sont les souvenirs évoqués par ces trois grandes dates 1372, 1615, 1796. Le siège de 1224 fit passer la Rochelle du joug de l’Angleterre au roi de France Louis VIII, qui mitgarnison dans le Château, mais confirma les privilèges de la commune. Le roi Jean livra pour sa rançon la Rochelle aux Anglais par le traité de Brétigny, 8 mai 1360. Les Rochelais déclarèrent, suivant Froissart, qu’ils sup- pliaient le Roi de ne pas les donner à un autre maitre « et qu’il ne les voulust mie quitter de leur foi et » mettre ès mains des étrangers, et qu'ils avoient plus » cher à être taillés tous les ans de la moitié de leurs » chevances, que ce ils fussent ès mains des Anglois ». Le Roi dit qu’il fallait obéir. « Nous serons, répon- dirent les députés rochelais, et nous obéirons aux Anglois des lèvres, mais nos cœurs ne s’en mouveront », = gg À Edouard eut beau confirmer les privilèges de la Rochelle, la ville n’attendit qu’une occasion favorable pour rede- venir française. L’amiral anglais comte de Pembrock fut battu le 22 juin 1371 par la flotte du roi de Castille allié de Charles V. On trouva dans un vaisseau dix mille gré- sillons, ou liens de fer pour garroter les Rochelais, les chasser de leur demeure et faire de leur ville une colonie anglaise, dont le duc de Pembrock serait gou- verneur. Les Rochelais donnèrent à Duguesclin cin- quante mille livres. Le général anglais qui tenait le Château avec une centaine d'hommes, Philippe Mancel, n’était pas fort malicieux, dit Froissart. Il ne savait point refuser un bon repas. Jean Chauldrier, qui avait été quatre fois élevé à la première magistrature, suggéra au Maire un artifice, car ses concitoyens « ne se pouvoient tourner françois tant que le chastel fust en la possession des Anglois ». Ecoutons le chroniqueur Froissart. Chauldrier «manda ledit Philippe et luy donna à dîner bien et grandement, et à aulcun des plus grans bourgeois de la ville qui estoyent de son accord, et y parlèrent des besongnes du roy d'Angleterre. Après disner, fit le Maire apporter une belle lettre, scellée du grand scel du roy d’Angle- terre, pour mieux faire croire ledit Philippe, qui point ne scavoit lire, mais bien cogneut le scel. Si lisoit le Maire la lettre et ordonnoit paroles à sa volonté, qui point n’y estoient escriptes ; puis dit à Philippe : Chas- telain, vous voyez et oyez comme le roy, nostre sire, me mande que je vous ordonne, de par luy, que vous fassiez demain vostre monstre (revue) et qu’aussy nous fassions la nostre. Celuy chastelain qui n’y entendoit ne que tout bien, dit qu’il le feroit très voulentiers et se partist ». Le lendemain, quinze août, les troupes an- glaises, en descendantsur la place, rencontrèrent celles de la ville. Elles ne se demandèrent pas si des masures abandonnées entre la place et le Château, ne cachaient point d’autres milices. Bientôt des bourgeois armés en sortent et leur coupent le chemin. Surpris, entourés par des gens plus nombreux, mieux préparés, plus résolus qu’eux, les soldats anglais ne songent pas à se défendre, encore moins quelques hommes demeurés dans le Château. Les Rochelais, maîtres chez eux, commencent aussitôt la démolition du Château, puis annoncent à Duguesclin et aux frères du roi à quelles conditions ils redeviennent Français. « La Rochelle se donna, dit Michelet, mais avec bonnes réserves et sous condition, de manière à rester une république sous le roi. Et auroient en leurs villes coins pour forger florins et monnoie blanche et noire, de telle forme et aloi comme ont ceux de Paris » (Froissart). Ce grand évène- ment entraîna tout le Poitou. La Bretagne suivit. Charles V accorda tout ce que demandaient les Rochelais. Ils reçurent dans leur ville avec de grandes fêtes et de grands cris de joie, les princes et le conné- table. « Savoir est que les princes et ducs de Berry, de Bourgongne, de Bourbon, le connestable, le comte de Sancerre, les sires de Clisson, de Rochefort, messire Jehan de Lestré, de Rancy, Jehan de Vienne, accom- pagnés de deux mille hommes d’armes, rangés en bataille, vinrent armés jusqu'aux portes de ladite ville, les enseignes déployées » (Amos Barbot). Avec hautbois et flûtes, le Maire et le Corps-de-ville sans 4 aucunes armes se portèrent à leur rencontre. Le 200 = seuil de la porte était traversé d’un cordon de soie. Le premier magistrat présenta les privilèges de la com- mune, les princes firent serment, au nom du Roi, d’en conserver les franchises, et de ne faire sur les habitants d'autre levée de deniers que celle qui avait été établie par Louis IX. Le Pape releva les Rochelois de leurs serments envers le roi d'Angleterre. Le cordon fut coupé, les cheîs de l’armée introduits dans la ville, au bruit joyeux des acclamations. « Et s’enquerrant ledit connestable pour quoy ledit fil de soie avoit esté tendu au devant d’eulx, (selon qu’il est accoustumé de faire aux entrées des roys en ladite ville, jusqu’à ce qu’ils ayent faict serment de conserver les privilèges), le Maire ne représentant point ce qui estoit de la vraye cause et signification d’y celuy, mais le voulant adapter ès la nouvelle obéissance, fidélité ou subjection en laquelle la ville entroit vers le roy, fit response que c'estoit une démonstration que cette ville et les habitants, de bonne foy et sans dissi- mulation, se soubmettoient au roy et quecontre luy on ne doibt fermer portes ni hausser pont ; que si male- ment on faisoit, il est en sa puissance de les rompre tout de mesme comme le filet, de quoy ledit connes- table et dits seigneurs les princes furent extrêsmement contens » (A. Barbot). « Ils furent d’advantage esjouis entrant en ladite ville, de voir que sur les portes publicques et rues d’ycelle les fleurs de lys, qui sont les armes de France, avoient esté desjà remises, etle léopard des Anglois, pris et renversé par terre » (A. Barbot). Les princes et connétable séjournèrent en cette ville l’espace de quatre jours entiers. — 100 — Ronsard s’honorait de descendre de Chauldrier. Du costé maternel, j’ay tiré mon lignage De ceux de la Trémouille et de ceux du Bouchage, Et de ceux des Réaux et de ceux des Chauldriers, Qui furent en tout temps si vertueux guerriers, Que leur noble vertu, que Mars rend éternelle, Reprind sur les Anglois les murs de la Rochelle, Où l’un de mes ayeux fust si preux qu’aujourd’huy Une rue à son los porte le nom de luy (Elégie XXX). L'accord consacré par trois siècles de dévouement d’une part, de bienveillance de l’autre est rompu, le jour où l’épée de Montmorency tranche le cordon de soie qu’avaient respecté tant de rois. Vaillamment défendues par Jacques Henri et La Noûe, les libertés rochelaises résistèrent à l’assaut plus dangereux encore des divisions intestines. L’Ascension du 28 mai 1615 fut joyeusement célébrée par les Rochelais «afin de rendre à tout le monde témoignage de leur bonne union et concorde ». A la fête religieuse du Grand Temple succéda une joûte militaire, le simulacre de la prise d’une forteresse avec combat naval, c’est-à-dire la réunion des réjouissances de 1567 et de 1602. Une ville blanche s'élève sur la place du Château, flanquée de onze tours, défendue par la compagnie de Gendraut et Guillemin, costume espagnol, casaques et croix rouges. Douze cents hommes l’assaillent. Colonel Berger l’ainé, capitaine Chalmot, roi de l’arquebuse, Beguel marié à la fille d'Antoine Macquain, roi de l'artillerie Michée. Loysi et Lacoste conduisent les Wallons, chapeau et — 101 — habit gris. Piguenit mène les Napolitains, chapeau et habit bleu. Holton, l’ainé, l’hôte des trois marchands, commande les Hollandais, pourpoint blanc et haut de chausse noir. Fief Coutret et Maubec guidentles Anglais, habits de diverses couleurs. Les Suisses mènent l’artil- lerie, un charriot est réservé aux femmes qui suivent leurs maris à l’armée ; l’autre destiné aux hautbois et cornemuses. Défilent successivement les carabins, mandille feuille- morte chamarrée de passements d'argent ; les gens d'armes, casaque blanche de satin de damas, conduits par Lousme l’ainé, Jean Torterue et Berandy. Des enfants de bonne maison costumés en sauvages, en- seignes au vent, tambour battant, des cavaliers avec cornette rouge ferment la marche. La ville blanche est attaquée par les carabins, puis par les autres troupes. Les ouvrages extérieurs sont enlevés le premier jour et le siège continue le lendemain. Sur la pointe de la petite rive, seconde ville blanche défendue par des Turcs richement costumés et armés, le maire David à cheval est entouré de pages, hautbois, trompettes et clairons. Lieutenant Abraham de Hinsse. Le faubourg de Saint-Nicolas a formé cette compagnie. Le fort attenant à la ville blanche est enlevé après plusieurs escarmouches. Les Turcs poursuivis jusque dans leurs galères et soumis, malgré l’aide des Anglais. L’assaut fini, la fête se termine sans aucun accident, malgré l’ardeur des combattants et l’affluence des spectateurs. Le soir promenade de la Tarasque au son des trompettes et des hautbois, des fanfares et fanfa- rillons. La fête coûta aux particuliers cinquante mille écus. 7 — 4102 — Le duc de Rohan et Loudrières étaient parmi les spectateurs. Les libertés communales sombrent avec la famine et le blocus de 1627 et 169 ans s’écoulent avant que la France entière puisse reconquérir ses libertés politiques, et, suivant l’heureuseexpression de Bernardin de Saint- Pierre, entrer dans l’âge mûr. Il y eut des idylles au milieu de l’héroïque épopée. Un arrêté du Directoire, signé Carnot, en date du 20 prairial an IV de la République, trace le programme de la fête que nous avons à décrire, la fête de l’Agricul- ture. | « Les administrateurs, le commissaire du Directoire exécutif, les autorités constituées, la garde nationale sédentaire et en activité, enfin tous les citoyens et citoyennes convoqués au son du tambour et des fan- fares se rangeront en ordre sur la place publique. À quelques pas devant l’autel de la Patrie, on placera une charrue ornée de feuillages et de fleurs et attelée de bœufs ou chevaux. Dans les communes où l’on pourra se procurer un Char, il suivra la charrue et sera sur- monté d’une statue de la Liberté, tenant d’une main une corne d’abondance et montrant de l’autre les usten- siles du labourage entassés sur le devant du char. La charrue sera précédée d’un groupe de 24 laboureurs, choisis parmi les plus anciens du canton et recomman- dables par la constance et le succès de leurs travaux ; ils seront précédés de leurs femmes et de leurs enfants. Tous tiendront d’une main un des ustensiles du labou- rage et de l’autre un bouquet d’épis et de fleurs. Les chapeaux seront ornés de feuillages et de rubans tri- colores. L'administration municipale désignera celui des — 103 — laboureurs, dont l'intelligence, la bonne conduite et l’activité auront mérité d’être proposées pour exemple; son nom sera proclamé à haute voix, et pendant toute la cérémonie il sera placé à côté du président. Le pré- sident prononcera un discours analogue à l’objet de la fête. Au son d’une musique instrumentale entremêlée d'hymnes, le cortège s’avancera dans la campagne et se rangera en ordre dans un champ dont la municipalité pourra disposer. Les laboureurs se mêleront parmi les citoyens armés, et à un signal donné, ils feront l’échange momentané des ustensiles du labourage contre les fusils. Au son des fanfares et des hymnes, le président enfoncera dans la terre le soc de la charrue et com- mencera un sillon. Les laboureurs rendront les fusils ornés d’épis et de fleurs, et reprendront les ustensiles, en haut desquels flotteront des rubans tricolores. Le cortège reviendra sur la place publique, le président et le laboureur honoré du prix, déposeront sur l'autel de la patrie tous les ustensiles et les couvriront d’épis, de fleurs et des diverses productions de la terre, cette cérémonie se fera également au son des fanfares et des chants. La fête sera terminée par des danses. » Une lettre du 13 messidor an IV (juillet 1796), adressée aux Affiches, annonces et avis divers de la Rochelle, nous prouve que ce programme fut littéralement exécuté dans notre ville. « C’est surtout lorsque le cortège a eu quitté l’en- ceinte de la ville que la ville a pris son véritable carac- tère ; la voûte des cieux était devenue le temple où tout un peuple adressait ses vœux et sa reconnaissance à Celui qui donne la rosée ; le doux zéphir inclinait légè- rement les moissons ; on eût dit que l’épi surchargé de — 104 — son fardeau venait nous inviter à nous enrichir de ses dons. Parvenus au lieu de la station, un beau désordre a rapproché, confondu tous les spectateurs..., placé près de l’autel de la Patrie, j'ai été à portée d'entendre célébrer dans le discours de notre président les bien- faits de la Providence et proclamer la solide gloire dans la personne d’un cultivateur qui avait été désigné pour être l’objet de l'estime générale ; je l’ai vu ce respec- table et honnète laboureur recevoir avec une tranquille émotion la couronne destinée aux vertus champêtres et les affectueux embrassements des présidents et des deux administrateurs. » J’ai vu ensuite tracer le sillon que des mains plus accoutumées à ce rude travail devaient approfondir... j'aurais désiré t’envoyer une description plus pitto- resque, mais il manque à ton ami le pinceau de Théocrite et les grâces de Deshoulières. » , B. Le citoyen Magnier aîné, capitaine de sapeurs, avait adressé à l'administration quelques couplets relatifs à cette fête, ils furent imprimés. Les affiches de la Rochelle, du 6 messidor an IV, reproduisent l’hymne de P.-J.-B. Desforges. En voici quelques strophes : Tandis que versé pour la gloire, Le sang de nos braves guerriers, Du noble champ de la victoire Fait une forêt de lauriers, Du laboureur la main prépare Les moissons, leurs riches bienfaits : C'est ainsi que le soc répare Bien des maux que le glaive a faits. — 105 — Elle approche l’heure si chère Qu’appellent tous les cœurs français Où Mars éteignant son tonnerre Disparaitra devant la paix. Ouvrez-vous, âmes paternelles A l'espoir de voir vos enfants Que la gloire alors sur ses ailes Vous ramènera triomphants ! Elie-Louis Seignette était alors président du district; Demissy, Maire, Danglade, Bon, Desbois, Garnault, Garnier, Jousseaume et Raboteau, administrateurs de la ville. Les cultivateurs couronnés avaient été en l’an IIT: Héraudeau, de la Flotte, Reigner, d’Angoulins, et Petit, de Liversay. Il est facile de saisir l’évolution de l’idée qui a inspiré ces trois fêtes rochelaises, trois faces du patriotisme, le retour à la nationalité française, les exercices mili- taires, la prospérité nationale fondée sur la prospérité agricole. Au dix-septième siècle, un professeur saintongeais, Elie Merlat, avait l'habitude, chaque fois qu’il réunis- sait quelques amis autour de sa modeste table, de dis- tribuer aux indigents une somme égale au prix de ce repas. De nos jours, le noble souci d’alléger les souf- frances est inséparable de toutes nos joies. A l’inauguration du port de la Pallice, nous avons vu le Président de la République distraire d’une journée si bien remplie quelques instants pour les consacrer à nos deux hôpitaux militaire et civil. La Rochelle a toujours eu, à toutes les époques de son histoire, la plus sympathique sollicitude pour les déshérités, les — 106 — pauvres, le plus grand zèle pour toutes les manifes- tations de la charité. Ce n’est pas dans notre ville que le russe Tolstoï aurait été autorisé à dire: « Qui que vous soyez, quel que soit votre caractère, quelle que soit votre position sociale, pouvez-vous prendre votre repas l’âme au repos, pouvez-vous vous occuper de politique, de poésie, descience, d'enseignement, quand vous apercevez à votre porte un homme exténué et mourant de faim ? » La mémoire d'Alexandre Aufrédi (1) et de Pernelle a toujours enfanté les plusgrands dévoue- ments et la plus large bienfaisance. (1) Dans la Bibliothèque de l'Ecole des chartes (janvier-avril 1892,) M. Léon Legrand fait justement remarquer, avec M. Delayant et nous, qu’on peut regretter l’adoption à la Rochelle pour désigner l'hôpital de la forme Aufredi, génitif du nom latin du fondateur au lieu de la forme vulgaire Ofroy ou Ofrey, fournie par les textes du Moyen Age. LABORATOIRE MUNICIPAL PAR LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES REPORT -AÆNNTIRTI. Par M. F. LUSSON, DIRECTEUR. MONSIEUR LE PRÉSIDENT, J'ai l'honneur de vous adresser le compte-rendu des opérations faites au laboratoire municipal pendant le courant de l’année 1891. Le nombre des échantillons analysés s’élève à 1,360 avec une augmentation de 443 sur l’année précédente. Cette différence considérable est due en partie, comme le montre le détail suivant, à des analyses de vins mais surtout aux engrais, et enfin aux industries nouvelle- ment établies. — 108 — 1891. 1890 VINS eus Las 040 443 LAS RAREMENT 22 72 FAURE RENE Een 34 97 Huiles et graisses........ 28 34 DAMON see TER ee 21 7 Vinalenes "x. SU EU 3 3 Pétroles ee" CPR. he 28 » ÉMIS ARE x Re 3) » DIVBIS RE Tr. CNE 89 47 Analyses agricoles....... 560 274 1360 917 Les analyses agricoles, ainsi que je le pressentais il y à un ap, ont pris une importance très grande. Elles sont loin cependant d’avoir atteint leur maximum. L'emploi des engrais chimiques devient général et la surveillance à exercer est d'autant plus grande que la concurrence et la fabrication plus étendue abaissent les prix et forcent l’industrie à se montrer moins large sur le titre garanti. Au point de vue du travail de laboratoire, le grand nombre d’essais semblables à faire en même temps et presque journellement a nécessité des aménagements destinés à nous soustraire à l’action prolongée des va- peurs tantôt acides, tantôt ammoniacales. C’est dans ce but que nous avons demandé la fermeture de nos hottes de tirage par des vitrages à grandes portes. Cette amé- lioration à laquelle la Ville a bien voulu consentir nous rend les plus grands services. D'autre part l’administration des douanes nousayant confié l’analyse des pétroles qui arrivent maintenant à UN. la Pallice pour la raffinerie française, nous avons dû acquérir des appareils nouveaux et spéciaux. Appareil de Régnault pour la distillation fractionnée des pétroles. — Appareil Granier pour le degré d’inflam- mabilité des pétroles. Ces achats auraient assez lourde- ment grevé notre budget, si un donateur généreux n’était venu, ainsi que vous le savez, nous remettre une somme de cinq cents francs précisément destinée à des acquisitions semblables. C’est par sa volonté expresse que je dois taire son nom, malgré la recon- naissance que nous lui devons. Sur cette même somme, nous avons également acquis une série de poids de haute précision allant jusqu’au kilogramme. Les analyses de vins ont été considérables à la fin de 1891 par suite des approvisionnements faits en prévi- sion des nouveaux tarifs douaniers. Actuellement les arrivages ont naturellement cessé. Les échantillons de lait prélevés en ville par le ser- vice de M. le commissaire central nous sont remis plus fréquemment et d’une façon plus rationnelle. La fraude qui consiste à enlever une partie de la crème pour faire du beurre et tirer ainsi double profit d’une même subs- tance est toujours la plus commune. Il est facile ce- pendant de reconnaître que le nombre des laits, abso- lument purs, et donnant à cette époque de l’année de 45 à 60 grammes de beurre par litre, tend à augmenter. La surveillance plus active et plus continue est certai- nement pour beaucoup dans ce résultat. Le personnel du laboratoire est resté le même heu- reusement. Habitués à travailler ensemble et à travailler beaucoup, nous avons pu, sans retard préjudiciable, — 4110 — depuis cinq mois, faire toutes les analyses qui nous ont été confiées au nombre de plus de deux cents par mois. J'étais donc bien fondé en vous assurant l’année der- nière du dévouement entier de mes collaborateurs. OBSERVATIONS THERMOMÉTRIQUES ET PLUVIOMÉTRIQUES FRADES A LA ROCFELLE ee ANNÉE 1891 — GPO ——— (LABORATOIRE MUNICIPAL. — PONTS ET CHAUSSÉES.) — | — DATES. © © © x gt © © SR NelErS) CO O0 I Où OT CO RO = (de) © PAS ape Fe 00 OT © Où O1 Où à & © © À Co © 00 I CO Or & © ND = El 4 : HEURES S à 5 HAUTEURS Se 8 © a © ec S = des mEsor ne EL 2 A S2s mesurées SELE = CRE EA.9 ©:= S observa-| & 2 Sd au Le Æ 229 2 , CRE =] ; . pue = = tions. M © pluviomètre, = © = Le] Où © © © Mois de Janvier. 10.00! Midi. 1 jour. » » » 16 m/m » » 3.00 » 8 m/m neige et pluie. | Zm/m » 3 m/m neige, 0 T1 » » » 6 m /m » 24. » 20. » 4. » | 6. » » HeseRSr SSI IP a SE I SI PONTE P S PE S A 0 SE LL el TL SET QI AR 111 m/m » Mois de Février. 12,50 Midi. 1 jour. 10 m/m » 2 » (eù 1 OL | (ep) © © [En PUR TEE a Peel) HQE D D = © © D I CO OT CO NO = Minima. Maxima. HEURES des observa- tions, PÉRIODES observations consécutives #4 =] © T do ee + = © un d se = a © © HAUTEURS mesurées au pluviomètre, Mois de Février. (Suile.) PE I Sete On ES AS Mois de Mars. Midi. Ed IR ONE NN et BIS ES 1 jour. PAPER PRE EP SE 4 jour. PR LAN ENV LOIRE ER RSA STORES » m/m » » » » » » » » » » » » » » » » » » » » 149 m/m » » » » » » » » 6 m fm » 32 » 4 » 2 » 12 » 8 » 4 » 15 » 6 » 10 » HAUTEURS d’eau correspondantes (en millimètres.) N = © = NN © © = 00 DATES. © O0 I © OT = CO ND == Minima. S S 80 DOVE OOORERSES OR OCOII I : O9 © Maxima, "A 5 © ) HEURES ed Do ao IE AS des RESTE Ov0Ss | C4 D] observa-| & 2 sv rs ee n = © tons. d. © & “5 [e] © HAUTEURS mesurées au HAUTEURS d’eau pluviomètre. correspondantes (en millimètres Mois de Mars. (Suite.] Midi. NPA ES eg PL Midi. À MONTANT AIG 4 ee AE 1 EE PS PS ANS RS D 1 jour. 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Midi. 4 jour. » » 13,50 28.50 _ _— » » 14.10 28.00 — — » » 14.00 23.00 — — » » 10.60 24.50 — — » » 12.00 23.00 —— — » » 10.50 20.00 == — ») » 13.00 22.40 — — » » 9.00 95.30 — _— » » 13.930 23.10 — — » » 13.00 23.00 — — » » 13.00 28.00 —— — » » 16.50 29.50 — — 10 mym » 2m/m50 15.00 32.20 — — » » 15,50 33.50 — — » » 16,50 24.50 — — » » 27:10 22,60 — — » » 15 00 292,80 — — 30 » 7° 5:50 14.40 23.00 — _— » » 14.90 29.40 — — 923 » D 13 15.00 29.50 — _— 20 » 5 » 12,50 20.50 _— — 12 » 3 » 14.00 QE Bari — _— » » 10.80 23.10 — = » » 10.50 25.00 — — 6 » 10150 20.20 25.80 — — » » 17.00 27.00 — — 4 » 1 » 16.00 24.40 — — » » | 4 = un () D — HEURES B' HAUTEURS PME D 2 © à ©? LÉ à 2 & mÉsor 2e T0 eo) = Go] des SANTE mesurées Pro _ = = OS ss DB STE (Ss = w Sie ES AN < is S observa-| & 2 &.o au DS ÈS s 4 = A x £u ET a RE : 5 ass nu tions. D © pluviomètre. a © É te O4 © © © Mois d'Août. (Suile.) 291 12.00, 20.00! Midi. 4 jour. » » 30 11.90 20 .10 — — 4 » 4 »| 91 11.30 25.50 — — 2 » 01-50 | 111 m/m » 27m/m75 Mois de Septembre. 1 12.50 23.50! Midi. 4 jour. » » 2 15.00 DAS — — » » 3 15.00 20.40 — = » » 4 1%.5)| 20.901 — — 8 m/m » 2m/m » D 9.00 20.50 — _ » » 6 8.60 JA 19 = = » » 7 8.10 22,90 — — » » 8 10.50 25210 — _— » » 9 12.40 29.60 — — » » 10 16.50 29.60 — _— » » 1) 14.00 29.30 — — » » 12 16.00 29,75 — — » » 13 16.00 95.40 — _ » » 14 16.00 23.50 — _— 26 » 6.50 15 12.00 20.00 — — 4 » | D 16 11.60 20.60 = — » » A A0: 0DL CHR SDIOM EE = » » 18 9.00 20.80 — — » » 19 9.20 21.80 — — » » 2() 10.50 91.50 — — » » 21 9.80 292,50 — — 16 » n » 29 9.10 13.00 — — 8 » 2 » 23 9.00 19.30 — _ » » Per 24 8.00 20.20 — — » » 25 11.10 22.00 — — » » 26 9.80 29.60 — — » » 7 43.20 21.40 — — 2 » 0: 50 98] 9.10) 91.95) — ie 2 OL 29 9.10 21.50 — — » » 30 11.60 22,50 — — » » 68 m/m » 47m /m » du. DATES, OXMAIODTERU De © DID OT CO ND — © & NN © © © = N Minima. Se] © Maxima. | HEURES des observa- tions. PÉRIODES comprises entre deux observations consécutives. HAUTEURS mesurées au pluviomètre. Mois d'Octobre. Midi. 4 jour. » — — 4 m/m » — » = . » — — » = — » — — 18 » = — 94 » — — 6 » = — 7 » eee == ) LT = 15 » = — 48 » — — 19 » — — 2) » me » == — 2 » = — » EE — » —= — 15 » — — H2S » == = 32 » — — 15 » — 19 » == — 74 » — — » — — 2 » > —- 4 » TS = » re — » Sen = » 398 m /m » Mois de Novembre. Midi 1 jour. » 11 ee a er Tr IT as un d'Al = co % Æ = d un © ee © tt » {m/m » » » » » 4. 50 6 » 160 1 75 » | É RPN E 12 | 3 ù OMR Fe DES 0 » » D. 19 7 » 8 » SR) | 4 18 50 » 1 » 0,750 » » » 82m/m » mn a m| £ E.. LE = Re 10 4.50 sal 5.10 12 5.00 13 7.60 14 5.00 15 8.00 16 6.00 17 8.00 18! 11.00 19! 10.00 20 7.00 91 10.20 2? 1.00 29-4100 24 00 1 8.30 2 8.90 3 6.00 4 11.60 5 8.90 6 9.90 7 9.20 8 5.90 9 6.50 10 8.75 11 7.60 12 6.00 13 7.00 14 8.80 5 10.00 16 10.30 17 2,50 RES 19| — 4,60 Maxima. HEURES des observa- tions. PÉRIODES comprises entre deux observations consécutives. HAUTEURS mesurées au pluviomètre. Mois de Novembre. (Suite.) Midi. DM bn RE ON AIR a PA A LEE La PS AAA El AE EE Cl 1 jour. M EI A INA AMEL" al 1 jour. ai) T SAIS EREIER LA EN Ge A PR 8 m 41 m }» 42 » 10 » 12 » 16 » 42 » 16 » 10 » 12 » » D » » » » » ) À » » » 2 » 8 » 184 m/m » » 44 m /n » » 4 » 6 » 3 » D) » 48 » 119 » 92 » 14 » 40 » 14 » 6 » 5 » un SS É OS D 5 T2 AH Ss£s —— Y uw SE ea É SE TS .© A3AE n2°= O2 © » » » » DNS 2 » » 1 50 2 » 21-1200 SUR OÙ) 1 50! Pres 1 QOnsONse © . Calme. . Légère brise. . Petite brise. . Jolie brise ; bonne brise. . Bon frais. . Grand frais ; coup de vent. . Tempête ; ouragan. INDICATION des NUITS. © 00 -1 © O1 &- CN 2 [en 1ETae0: AUD: au 4. au 1er, Totaux. Moyennes. à 9 h. du soir : A Lecture corrigée de l'erreur du zéro de l'échelle. Hauteur barométrique cor- rigée de l’altitude — 2e r 0 =} OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES à" Calme. A Vent faible. a Vent modéré. Er) Ventassez fort. 3 Vent fort. % See sh Net violent. Arrondissement, Ouragan. 89 BAROMÈTRE Em — — à minuit : —— © à 3 h. du matin : —— # S | hauteur | Lecture | £ | hauteur Lecture | © | hauteurlh £ | ramenée corrigée | & | ramenée | CONTISEE | 2 | ramené} S sa [del’erreur £ a la (delerreur, £ à 1 = tempé- | dU Lu 0 | & | tempé- du a A tempé=M} 5 rature O0. rédees S rature 00. l'échelle rature ‘4 Mois di | 31 787.91 758.9) 3.1 158.7] 94830 VE 4 O1 T0, D 763.0 764.41: 4 763.6} 4 766.4 O7 TL 765.2 764.9| 4 764.24 5 10024) 24700-21085 759.5 759%91% 5 5 759.2 160.4 5 759 .:1 760.1! 5 4 10142 760.4l 4 759.9 760.1! 4 » 760.9 1017 51e 761.0 1614 5 o TETE 758.4| 3 Foro 151.49 À 702.4 103.109 762.9 2) 2 767.2 Too ? 767.2 16879102 & 770.7 TA1TS NE NAS 1114819 1 770.8 769.6| 1 169.3 We LA ie À 9 769.1 769.9! 92 769.6! 769.9] 2 2 769.0 769.7| 2 769.4 769.3| 92 2 768.4 766.6| 2 766,5| 41687007 2 15925 761.4, 9 O2. 169-0162 1 762.5 76331241 763.1 TÉR TI T 1 763.5 762:8| 24 762,6 1022871 1 766.5 TGS 761.0!" 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NM DER Le Noter ARCS ENS MENT TO PET Re TOM OME = mm 21 O9 OÙ 4 et QU = HO R ONIOMYHOEBOE D 20 Lili | cie). Las lose Lis sttutal dre 4, D 2e al Es Calme. Légère brise. Petite brise. Jolie brise ; bonne brise. Bon frais. Grand frais ; coup de vent. Tempête ; ouragan. INDICATION des NUITS stretele Cp 0 a à SESSS © 00 1 OT Co N LT 2 à » © ESS © © =3 Où O1 à Co DO Du 28 auler, Totaux, Moyennes. Hauteur barométrique cor- rigée de l'altitude... ... + TTL | É | = | D: % ‘ OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES Calme. Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. Vent fort. Vent violent. Ouragan. à 9 h. du soir : Lecture corrigée de l'erreur du zéro de l'échelle. 21516.1 768.4 “hauteur ramenée à la tempé- | Température. CO CO O0 =1 I I © Où Où O7 OÙ ON ES O1 OT CD mi «I -3 00 O0 O0 CO 1 © (dæ)} et 1 > { Oostoswetre=omigvEe (OR I 20 00 © 00e O rature (°. BAROMÈTRE Lecture corrigée de l'erreur du zéro de l'échelle. 21519.8 768.5 — ——" à minuit : D UE | Température. CO CO LO O0 I I 1 Où D Or ON ON ON Où ON O1 Où I I I CO CO O0 OO hauteur ramenée à la tempé- rature (Oo, 1 1 = HuibvbovorR Oo mOuIORCtOOoeLORRNCERIS ; Arrondissemet ! àco%h4 "du ati 2 4 : | Cecareqtee | hauteur | corrigée ! E |! ramenéell de l'erreur S En du ae = tempé- e [2 l'échelle. | & rares | RP Mois dél 714.9] 8 7132 | 110%)" 8 7154 704 7 113.4] 714.810 8 7 188 774.8 7 773 À 110 F7 769 4 100:b|127 765. 165.7| 6 765. 7101404105 766.4 71204105 769.0} 768.2) 5 767 À 768.3! 5 767.0} 115-2145 772.8 18 ASS 712.4) 771.3] 5 | 770% 11020) 770.0 7102606 769 | 765.8| 6 765. 169.817 171 | 764.9! 7 4 763.6, 8 AN | 766.2| 9 11 768.3| 9 ad) 764.3| 9 1 101000 758.4| 10 763.0! 10 768.6! 11 24515.1 1199 716820 U PHARE DES BALEINES. a — Rens ( e la Rochelle. 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CO © =1 TD O1 À CO 19 au 40. au 16. au au 18. au 19. au 20, au 21, au22. au 23. au 24 au 20 au 20. Aie au 2%. | au 21). | Du 21 Du 22 Du 23 Du 24 Du 25 Du 26 Du 77 Du 23 Du 29 Du 30 Du 31 au 30. | auto le au 10r.| Totaux Moyennes. | Hauteur barométrique cor- risgée de l’altitude . Jolie brise ; bonne brise. . Grand frais ; coup de vent. . Tempête ; ouragan. Calme. Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. Vent fort. Vent violent. Ouragan. à 9 h du soir : EE Lecture corrigée de l'erreur du zéro de l'échelle. 7012 TOP 774. AR TO 766. 755: Ts 742 741. 7249. HU 749. 758. 746. 749. 746. 749. 152 749, 59: 758. 761. 7159 X 701. 762. 760. Ho 759. TE 758. 23451. DD. DE EN Ge CAIN OO Me RL IOR SG ES CO ON N CO Qt © CCC] d = hauteur = .|ramenée = à la = | tempé- & lrature 0. 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SEE 4% = © © 6 ho 6 0 Lo Er mi © Go © UT © UT UE Ge 19 RO Où NO 1 RO 19 be | OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES l E | A — | Lecture corrigée | de l'erreur du zéro de l'échelle. | à 3-h. du matin: il | & | hauteur = ramMenÉENII 5 a | | & | tempé— = te Oo, a | Mois d | 4 Li 767 2) 11 765.8 10] 7738) 10 7 741 | 10 168 4h 10 756 0} 14 752 8} 11 748 OR du 740 8 10 740 3} 10| 7438 10 1424 40 749 9) 10 756.8} 10 7434 10 7414 10 745% 10 7149 10 752% 10| 749% 9 75 440 8 7584 9 9 9 10 10 10 10 10 {0 309 D PHARE DES BALEINES. > la Rochelle. | & OJI0F ] ss PT ERP ETS AN LE PSE GNT AE Pie MERE Fi D Sem CRM = ASTON AU = Rae EMA Mr RO) Tr ARC) Oa © SPAS AA Ce) =» e = TS 2 PERDU TRE nm Zéro À 9910] I GTA EN 29 1 GI EN CD 92 10 D CD = EN ED D GI GI MD ED ND = = 1 EN ED OP ND 4 GUN GI AVE Un S\ So emO Or Ni ONE rs Perros 7 EUTE Ee Or, mn DRE O TE ALERT UNION TE — -e 1 PA ZZZoù au Z 2) AAA NA ARE Œ -O940] ï GT GI ON D SN EN = EN OP D ED QD EN GI 219 D EN EN M ED D EN — GI ED MD M II GI I ‘© A . . - . . = | è ES — LÉ = à O06.::BB010.:10L:0 LÉPFELE == 0.4 = - RME e R ue) nn oz , DZ © CAN: a TS Ed AA Zzoû Z À aZ 2 Zz FN 7 -& 2 | St = D A OS S md S95 : ALARAARARA ADN AO 8 ARmORARAR RARE A OQGR A A À hQ A =D! — La Dr Ss2- a M n£o £ °c x De-DaORLONMNDODOSHDOIUE SH EN MM CE NOSr | = TT er DIS SCSrE SR wmorINmnmHODnRLMHEE eee) O À eo = . LANONSrRLOMLOHDOMOLTNOTDOODNINIMSNINOOGDO IS EN £cre : Où © © M = QU NI GI GI © it mn OO En © en GI = ED I0 DS SHNINOSNON IS = ei PEUT AE at CE er SL He eee NY re) el d 4 © le; ES) & £ FE < See de AT POSE EE SO 19 GX © GIMP © NII D © © GI M D ID O GIE | 00 SANTA LE CS a . + 0 0 M OÙ 10 00 20 O ON 10 SH 40 10 18 A ED D 4 FT = O0 OÙ AD DD ON | A = MERS _ Ye) EUR CT D ET | % ee [=] = CM 09 17% THIN TIAIDOOONONONMOMONrXMNS-MESNISS D Sad n ire RE MR Rd CEE © .— — Zn Ps ä IC | | | | | OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES ï | | 0. Calme. Calme. 1. Légère brise. Vent faible. = | 2. Fetite brise. Vent modéré. por | à FR RSNERS bonne brise. en fort. à 5. Grand frais ; coup de vent. vent Se Arrondissemetr LL} 6. Tempête ; ouragan. Ouragan. Ê | BAROMÈTRE | RON à 9 h. du soir : à minuil : à 3h. du matin: | À des | Lecture | S | hauteur | Lecture | $ | hauteur | Lecture | © | bauteutil corrigée | & |'ramenée | ,C0!rigée | Æ | ramenée | COrrISée | E | ranenéelh de l'erreur] £ ala (Idelerreur) € la (delerreur: £ à l1 NUITS. d PA Ê tempé- + = tempé- ne = ter pé=Mlh | l'échelle. |. S jraure OP. a) 2e Rate Re a en rate % l EE ER 1 Fee LAN, Ce Re | | | Mois : Du {eau 2. 752.61 10 751.4 151.2] 40 750.0 151.6] 10 750 2h Du 2 au 3: 191 | LT 750 .1 150.21 44 149.5 1301) 11 748 h Du 3 au 4. HO A: 752.0 154.3| 11 152.0 198-210 11 75408 Du 4 au 5. 154.9\ 41 152,9 105. 4| 14 Top 1988014 75223h urban 6. 1504411044 754.6 150 5)#418 109.0 7159044 754 0} Bux6: au 7 1507511 149 #4 749.9! 41 148.5 150:210 471 TAB N | Du 27. au: 8: Toad 1 754.2 140:31 142 754.8 756.8| 11 754 | Duran 9: 157:8 11 156.3 TT ue EM 756.38 156.2| 41 754 L Du 9 au10. 1582610 157.3 159.511 158.53 HOME A1 158: || Du 10 au 11 TONI EAN 159,9 161-0111 760.1 160.4, 11 15922} Du11. au 12 758.111 156.6 Ta 1 RCA 15622 104.15 41 756:2h Du 12 au 13. 1629 1mL 760.8 162.411 760.9 TOR 1594 Du 13 au 11. 19922110 158.0 160.5! 10 15929 760.3| 11 199 AY Du 14 au 15. 164.5] 11 753.9 165: 91 11 764.1 764.5] 11 7638} Bu 15 -au 16. #66.2|041 765.0 766.8| 11 765,6 767,6! 11 766 .4# Dir 16: au-17 70612) :114 164.7 165.8! 11 764.3 109-144 7634 | Du.17 au 18. 102 2)M42 761 7 163.2| 12 10120 1615118412 7159%0h Du 13 au 19. 1910 412 150.1 158.1 12 755.6 150-4112 7540} Du 19 au 20. 19620119 154.5 15641712 754.6 150-0102 754148 Du 20 au 21. 1012 ELS 159.8 161.6| 13 760.1 160.7| 12 -759 2 | Du 21 au 22 159.31 418 10140 198:81" 415 To | 158.4| 13 756 gl | Du 22;-au:23. 120.948 754.8 199, 1IA13 754.0 7154.4| 13 7521 | Du 23 au 24. 199.918 1924 FÉPATME: 15142 1519113 750.8] | Du 24 au 25. 198 4 13 757.0 197-949 155.8 759.3] 13 757.0 | Du25 au20. 190-1143 154.4 Hole 154,0 754.8| 13 153% Du 20 au 27. 750.3| 14 748.6 150.3! 14 748.6 148.9) 14 747) Du 27 au 28. 147.9) 14 746.2 147,9| 14 746.2 748.5| 14 746,8 Du 28 .au 29, 199. .1041€ 753.4 196.4! 44 154.4 757.1| 14 7564 | h. Du 29 au 30. 159:8| 415 15851 159.5! 15 757.8 758.7] 15 757 1, Du 30 au 1er, 159,210 191,40 158.4| 15 150,1 136. 1145 1554 : Totaux.| 22722 ,4/360 | 22678.0| 22719.9) 360 | 22675.6| 22709.4| 360 | 226654 Moyennes. 14. 4] 42 155 29 191,81319 755.8 756,9|-"12 755 Hauteur barométrique cor- El | nigée.de l'altitude}... 760.2 760.1 1594 U PHARE DES BALEINES. e Ja Rochelle. QD PP CNED M NI CD OÙ A OO ON A ON SR GT OT HONG (= =) ur: SU D D PAT RE TRE AE me 1e SR Eee (ea) ARE a = Re NOSOOCLRE Étoile per M ee EE € — = hs 2 es Pa Z PAT ATA m2 99107 Î OÙ CD MOINE = NON GA = mt ON SN GI = GI OD D MD GI OÙ ON = |Z Ai ee. P< 1) j . . . . . . Cu A OMS ŒNRE CR he ae to DO RE DE OS ER MAS SA NP TE) ÉmS ACOSCOMMAE NE COR ET NEC e 5 A 4 CZ AA AA PA) Fe JUIF l GN M QD O9 M MD GI EN FI GI = GA QU GI GNU SN GI ED à GI NI GNU SN C9 D M 1 D CN = an ® S [2 CL] e LJ e . . ee D TR Re Datsun He iamos e £ HOCOCO ..22 .4 .42 . .ZzEM ..uwuz m©Q . .. Fe F CA AN Le AA AA AA ACORLE, FOR de CSM ES Sr ce ie cs = 10 Ë = ? = 4 NS RENE mm D EN El EN RE MAN LA A A A ss A ana en ao + [æ) | 5 SDS D des À Pa Pres Æ BAS = SO OS © + © I 10 M M 00 D = D I D > = Fe 10 = CO 00 00 CP 1N = =) PRTILIPFRORDNPLOCC S-—--SNNNniwma | RO I OO &= UT = U 00 => 00 Ps 20 RO À UT HS CO 00 HS € | Température. 22795 .5 759.8 OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES Arrondisse mer Fi { = —— "000 à 3h. du matin: | hauteur Lecture. | 2 | hauteur ramenée alone £ | ramenéehl jh e l'erreur £ à la tempé- me É tCnpÉ=h rature Oo. l'échelle. | £ rature 4 . Mois d | 754.9 155 9110 7583 | 1954 75081016 7543) 749.6 pes DE 748 9h} 155.7] 757.1) 17] 7548 159,2 195.448 7538 | "Ho0"8 134-648 749 4h 750.2 751.4) 18 749 M 754.0 756.9] 18 754 756.4 158.44: 18 755 9 760.1 761.4| 18 7544 | 1Uore 76548018 4 767.6 1100718 | 766.9 767.5] 18 | 762.6 163 AIVAS 1 760.1 762.9| : 19 | 764.6 1619" 19 | 764.0 106.91m0419 HS) 164.8] 20 761.9 763.31 21 759.8 102 00 757.0 1592801021 10840 754.3| 921 752.4 155.921 153.5 194.162 756 0 191,517" 241 15842 161-01Pe71 757.8 109 14021 15941 756.0] 22 756.5 759.41 22 152,:2 754.4] 22 227923.9| 22782.6| 578 757.4 159.4 761.6 U PHARE DES BALEINES. —— e la Rochelle. | TEMPÉRATURE VENT = e TT es me: = PLUIE. à 9h.dusoir:| à minuit: | à3h. du m. de 1 air minima maxima ES RS ie | Le | Hauteur 19 heures| 2PServée | Gbservée observée | à 9 heures moyenne.là 9 heures| direc- s |. direc- S direc— * 3 matin. tion. Con. ©] tion. £ malin. matin. soir. in 4891. 4%.5 12.8 47:6 45:9 HA OTQILS. 010119) S20 2 16.0 10.2 49.8 150 » SEE S ES LS" à 20.9 14.0 18.4 16.2 HAS rs oO) ENe-O0:2:) 9 NE 020 14.6 41.0 20.0 15.5 ON: 0.419 N. 1 E. 1 15.8 14479 A18:5 159 » NPLSE 12179 10 LL SO NES 19.2 NES) 203 17.4 » 0: DEN VO) 1 N. 1 1.0 14.2 18.5 1085 0.1 S. 2 O. 2 S. 2 un 14.6 13.0 17.8 15.4 CPRANÉE OLIS O. J O. 3 n15.2 11:7 47.9 14.8 0.5 O: 1 O. À FE. 1 n17.0 15.5 49:5 16.5 » N. 2 N. 2 N. 2 D 15.1 124 19.4 15.6 » No0:: 169 Na 3 N. 2 17.1 13:0 20.0 161.5 » N'a.) P29 N° DEN PAS 20 49.5 11.8 20.8 16 3 » N. 2 N. DNS Re) 11 20.0 13.0 24,7 AT » N10 2 Ne 2 N° 2 de. 1 13.8 19.6 16.7 » NO JaNee OS" ns N. 3 19.0 13.9 24: 4171 » N. 2 N. 2) NE: 1082 20.2 14.8 24.0 17.9 » E. » E. 2 E. 2 2,9 15.8 26.0 20.9 » NS POINT He. 19 E: 2 21.5 16.8 24.6 20.7 » NE TIENNE (UD ENT 2 17.8 13.2 20.7 16.9 » N: E JUN Be Mas SRE 3 19.0 44.6 22:0 18.3 » Ne BIS END. NOIRND EE OIrS 19.3 14.7 21.4 18:01: » N. JENTP.- 1:92 N. > M0 12.0! 20.2! 46.5 » DETTE PRES 1 19.0] 15.8 29250 17.9 » NesrO:t |A O. 1 0. À 21.0 16.4 25.0 JUS DA AU) 1 SE 1 S\ 2 21.8 16.4 29.9 19.6 » O d O. 2 O. 2 24.0 15.6 26.4 2:0 » N RANCE, 2 E. 4, 19.0 16.8 22.6 197 » [0] 2 N. OUEN. RIRE 21.9 10:41 2213 19 2 0.8 O 2 O. 2 O. 2 24.9 18.1 Val 21.6 » N ai N. SONO RER 555.3 491 .4 632.8 526.3 12.8 18.5 14.0 21.1 1475 » " OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQU 0. Calme. Calme. 4. Légère brise. Vent faible. = 2. Petite brise. Vent modéré. 3. see ; bonne brise. Nue sn fort. j +1 _. due ; coup de vent. den ioleut Arrondissemen qe 6. Tempête ; ouragan. Ouragan. “$ BAROMÈTRE | e e ER en INDICATION à 9h. du soir : à minuit : à 3h. du malin: | ————————_— (de des Lecture | & | hauteur | Lecture | & | hauteur | Lecture | 2 | pauteus ÿ corrigée | 5 | ramenée | ,C0rri8ée | Æ | ramenée | C0rrigée | 5 | : menée de l'erreur] & an (delerreur £ àla (delerreur!, & eu | (| ne du ep È He A & tempé- À tempé- {| l'échelle | 2 (roture Ole us rature OR RIRERIEES “ ï | 7 | Mois Du 1erau 2. 761.41 22 758.7 761.0! 22 758.3 760.5| 22 Du#925 aurt3. 762.1| 2 94 762.1| 22 759 .4 16120172? Du 3 au 4. 761.6! 21 758.9 162.3 | 24 759.6 703.1| 21 Dust, au, 95 765.1| 21 762.4 765.2| 921 762.5 763.5| 21 Du eat: 763.4| 21 760.7 763.1! 21 760.4 769,2| 91 DireOauvie 16121121 758.7 160.8| 21 758.3 760.2| 21 Dumau er 761.0! 20 758.5 761.2! 20 758.7 761.3] 20 FE 761.6! 20 759.1 101.9: 920 199.4 761::2| 20 u- 9 au 10. 767.2] 20 764.1 161.290 764.7 162.1| 20 Du 10 au 11. 762.1| 21 759.6 762.4| 20 759,9 762.3] * Du1t au 12. 1607191 758.2 760.4! 21 751:9 760.2| 21 Du 12 au 13. 761.0! 21 758.c 761.0| 21 758.3 161.1, 21 Du 13 au 14 162.1 | 92 760.0 162.2| 22 7595 762.0] 22 Du 14 au 15 159,41%929 756.4 198.11#90 755.4 158.1| 22 Du 15 au 16 756.9| 23 754.2 756.3| 93 19986 755.4| 93 Du 16 au 17 751.4| 93 754.7 101491029 19582 157:91:93 Du 17 au 18 162.1| 23 759.2 762.3| 93 759.6 761.7! 93 Du 13 au 19 764.4| 22 761.7 765.2| 929 762.5 765%5| 92 Du 19 au 20. 167.3| 22 164 6 767.2, 22 764.5 766.7| 22 u 20 au 21. 765.3| 22 762.6 765.3 |.99 762.6 164.1| 22 Du 21 au 22 105-9222 760.8 104: 1128 764.8 763.5] 22 Du 22 au 23 103:1..21 760.4 163:11724 760.4 16341| 91 Du 23 au 24 764 7| 21 762.0 765.2| 21 762.5 164.7| 21 Du 24 au 25 7017.7| 24 765.0 167..44091 765.0 767.4| 21 Du 25 au 26 104.7) 2 762.0 704.1 "94 761.4 16312) A Du 26 au 27 15609 22 754.2 15111022 154.4 756.1! 22 Du 27 au 28 161.9) 22 759.2 760.4! 99 151%41 759.9! 22 Du 28 au 29 758.9! 921 190.2 759.2, 94 1967 759:9| 94 Du 29 au 30 198). 7721 756.0 191.2 /1"94 754.5 754.9| 21 Du 30 au 31 751.31" 20 754.8 757.6 | 20 13071 757.9) 20 Du 31 aulter 760.9! 21 758.4 761.6| 20 159.1 762.3| 20 Totaux.| 23621.91663 | 23539.6| 23623.8 662 | 23541.9] 23603.0/661 Moyennes. one 21 759.3] 762.0| 21 759.4] 761.4] 921 Hauteur barométrique cor- rigée de l'altitude. ....... 763.5 163.6 U PHARE DES BALEINES. ——— le la Rochelle. TEMPÉRATURE : AU À : PLUIE. |; 9 h.qdusoir: de l'air | minima | maxima A er — | s Hauteur 9 heures| °PSCrvée | Gbservée observée à 9 heures moyenne.}à 9 heures! direc- | : du du le du ; 5 ‘ matin. tion. © matin. | matin. soir. uillet 1894. 19.6 15.8 24.0 142 » O. 2 20.2 157 22.2 18.9 » NEC O2 18.0 45.5 21.2 47:3 4.2 O. 2 17.1 14.8 20.5 47.6 0.4/ N. O.-]| 2 19.0 16.7 21.8 192 0.5 O0. 2 18.0 16.1 2251 191 029 O. 9 16.7 14.8 21.8 18.3 » O. 3 17.0 14.9 20.5 Aet O5IENT O0 3 17.2 14.5 22.9 18.7 » N. 2 DS) 213, 195 D NE Et 21.1 15.9 25.4 20.6 » Ne O4 29.9 AS 25.0 212 » Nbr 2 21.2 17.0 26.0 24.5 » Nue. na 21.0 11:0 25.0 21.4 » Ne Et 102 20.9 17.3 2451 20.2 » Ni ON 23.6 17.8 PEN | 2167 » O! 2 49.1 15.8 19.8 1738 0.6 0. 1 22,0 15.0 23.8 19.4 19.0 (QE 3 20.3 14.5 22.9 18.7 » (0 2 20.2 17.4 29.1 20.5 2.5 SL 4 17.1 17.0 20.8 18.9 3.0! N. O 1 18.6 15.0 21.8 18.4 2.0] N. O 3 17.2 110 20.0 140 » N:#0 3 20.5 16.0 21.8 189 » L'EN) 2 923 2 16.1 29.0 22.5 » NO 1 16.2 16.0 23.8 19.8 0.1 O 3 19.5 15/9 21.6! 18.7 » N. O 3 16.4 13.8 29,0 449 » O. 3 11.8 44.0 16 16.8 4.6 O. 3 20.1 14.0 20.5 47.2 » Née E4 1119 19:92 14.7 20 0, 47.3 » N. 2 600,5 485 .1 102.:6|- " 593.1 36.7 49.3) 15.6| 92.6 19.1 » VENT à minuit : direc— - es tion. |S O. 1 N.O 2 NarO 142 O. 2 O. 2) (D 2 QE 5) NesO 112 N. 2 N.R. | 2 E. 1 NB 182 NE" 105 N 280,110 NaE, LA O. 3 O. il N::0: 1118 Nr: Où il 0. 2 O. 2 N.20: 1:38 N. 2 N. O 2 N. 1 O. 4 NE LOC 182 N. 3 Où 4 N. 3 N. 2 à 3 h. du m. direc— 5 tion. |S O. 1 O. 2 N:-0::1F#1 Se Of 2 0. 2 O. 2 N..-0: 3 N Osez NB 4104 E. 2 E. |2 N 3 E. ! Ni 5 Ée | O. SR | O. Sas 0 | O. @: Na Of N. E. Na QE E. O. N- 0% N. | Oo N. N. 2 N > CN He NO RO NO CE RO NO > NO == NO == Co C0 a | |A ME OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES ONE N ER © . Calme. Calme. . Légère brise. Vent faible. - Petite brise. Vent modéré. de É Lu Nes brise. se gssez fort. . (M = Grand frais ; coup de vent. Vent violent. Arrondisseme Lu Ë . Tempête ; ouragan. Ouragan. 48 | BAROMÈTRE di DiC SRE: - are —" d INDICATION à 9h. du soir : à minuit : à 3 h. du matin : 71 } EE EEE Se des Lecture £ | hauteur Lecture | $ | hauteur | Lecture £ | hauteur ji corrigée | 5 | ramenée | C0rI8Ée | Æ | ramenée | COTrISée | E | ramenées de l'erreur £ ue de l'erreur £ AA de l'erreur E à HR NUITS. 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TON 758.6 761.1| 21 758.6 760.4! 21 Du 25 au 26. 759.6! 21 756.9 759.1! 21 756.4 19128022 Du 26 au 27. 755 4| 921 524 754.5| 21 151238 752,6! 21 Dur amas" T4) 151.8 755.9| 21 15302 757.4| 21 Du 28 au 29. 763.6!) 21. 760.9 763.7| 21 761.0 762.9| 21 Du29 au20.| 763.1| 21 760.4), 762.3), 241/| 7596) 561 9/21 Du 30 au 31. 760.1| 21 ADR 759.91 21 757.2 799 41 21 Du 31 auier. 760.4! 21 191.1 759.7| 21 757.0 758.0| 21 Totaux, | 23579.7630 | 23470.5| 23569.81637 | 23489.8| 23550.4/685 | 234748 Moyennes.| ; 760.6| 20 | 758.0] 760.3] 20 757.1| 759.7) 20 | : 791 Hauteur barométrique cor- | rigée de l'altitude. ....:.. tr 762.1 761.8 7612) J PHARE DES BALEINES. L la Rochelle. TEMPÉRATURE VENT CR —— ER ©" me , : PLUIE. à 9h.dusoir:| à minuit: | à 3h.du m. e l'air | minima | maxima — Re en CE ets ere 5 Hauteur :heures| 0PServée | Gbse-vée observée à 9 heures moyenne.là 9 heures] direc- | :| direc- || direc- : du du le du k Fe ; = à 8 : matin. tion. £|. ton. ‘ |) tion” |£ aatin. malin. soir. L. 2PERRN 4 RD PSN Août 1891. 20.8 15.6 21 .4 18.5 » (Or 7 O. 2 O. 2 16.0 15,2 904 1726 1.5) ®:. 1 O. 2 O. 3 16.2 15,8 19.4 17.6 0,5 O. o O. 4 O. 4 20.4 13.8 91 .4 17.6 14 O. 3 QE 3 O. 2 47:93 11.8 20.5! 16.1 1LANNSRO AO!" SAME | 9 Er ? 47:5 14.3 1979 116287 » NO: 102 N. 2 N. 2 16.8 14.7 19.8 17182 » NERO ESUUNS OS NE ME 19.3 à 4 JS 16.3 » N-0.:/) 2 O. 1 19e | 18.7 16.0 21.8 18.9 » 0. 2 O. 2 O. 2 19.0 45:0 20.4 17007 OPEN COLIN: ON | 2 N. a 19.0 46.5 21.0 TS » DO ANENT OX |.2 O. 3 19.5 16.8 22.0 19.4 » 10; Nes: O0 O. 3 22,6 10.2 25.0 20.1 » N. 2 N. 2 E. 2 22.0 18.3 26::2 22:29 » E. > E 2 E. 2 20.5 17.0 214 19.1 21 NY AO ANTON IS N. 2 19.0 14.8 JA:.5 18.1 » NO 112 N. 2 N. 1 27.5 14.7 19.3 V3 10 LS O0 AAST Où 21.5. NONS 18.8 14.0 21.8 17.9 509 0. o O. 8 0. 3 17.8 1349 20.8 17.1 9ùG 0! 3 (QE 4 N. 61 18.9 16.2 20.2 1922 Dr SON AIS. Où 4 0. n 18.0 13:48 201 46:74 2:2 OF 3 (GE 3. S. O. | & 16.1 14.9 19.5 16.8 (DÉS: Où 2 (QE 7 O. 2 17.8 14.4 19.0 16.7 1 EN S#O:. 5 2 N. ? N. 2 19.9 42: 0 29.4 1722 » O. 1 N. 1 10 Il 21.0 18.1 21.4 19.7 » DU OSEO | S11S Er: 3 21.5 17.0 23.9 20.4 » E. 9 E. 1 S,. 9 20.5 16.6 21.8 19.2 0-7 O. 4 (3 2 19210: 5) 20.2 16.2 2476 18.9 » 0. 2 O. 2 O. 2 17.9 15.0 22 1 18.1 » N. 2 NICE 2 E: 3 DD 15.8 - 21.61 18.7 TN 0. EMUN OT 0) 1 49.0 iris) 20.5) 19.0 el OU 3 O, 4:85 0: 6E >90 © 472.5 53.5) 564.3 DH 49.0 15%:2 20:92 18.2 » 12 rigée de l'altitude OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES fl A HE SE \t} : 1 "| ; RE — 0. Calme. Calme. 1. Légère brise. Vent faible. 2. Petite brise. Vent modéré. 3. Jolie brise ; bonne brise, Vent assez fort. &, Bon frais. Vent fort. 5. Grand frais ; coup de vent. Vent violent. 6. Tempête ; ouragan. Ouragan. BAROMÈTRE INDICATION 3 0h du soirl: à minuit : Te nn des Lecture = | hauteur Lecture = | hauteur corrigée | Æ | ramenée | COITI8e | Æ | ramenée de l'erreur É on de l'erreur £ ue NUITS. pe Æ | tempé- du is = | tempé- léchelle ae Ten" cie SANTE Du 1erau 92. 7692%| +94 1519 1509] 2 756.8 Dur aus. 758.9| 21 190 -2 158: 9|:124 756 2 Du3 aux: 762.4, 20 759.9 762 5| 020 760.0 Durs ‘air 5: 766.2| 921 708.1 766.4) 921 763.9 Du 5 au 6. 765251. 20 763.0 169.8 020 762.8 Du: 16 au 7. 102-310" 20 759.81: -4761.9|2820 759.4 [Du 7 au 8. 762.491 760.0 702.5| "21 760.0 Du 8 au 9. 162200) 760.0 102.7) MON 760.0 [Du 9 au 10. 1616412922 758.4 00:21:09? TOS Du 10 aù 11. 759.747 128 757.0 160.2] "22 F5 Dali ut: 759.4| 93 1060 1997422025 756.5 Du 42 2aurt3: 198-829 755.6 Ho 1:91 23 155%0 Du 13 au 14. 199.511 198 752.6 50.411025 1532 Du 14 au15. 764.8\. 23 762.1 166.01".25 763.38 {Du 15 au 16. 769.8, 22 TOR 169.5] 1092 766.8 Du 16 au17. 769.41 922 1064 169:2| 92 766.5 Du 17 au 18. HOLA| CO 764.7 101:2| 1424 764.5 Du 18 au 19. 164.9| 921 762.4 1054-2291 762.6 Du 19 au 20. 1061581721 759.1 100 0121 758.1 Du 20 au 21. 759,91 20 751.4 7159.9| 20 pire Du 21 au 22. 758.9| 19 756.4 109 -2 09 To Du 22 au 23 76041. 19 1169 7100:21P%419 758.0 Du 23 au 24 706.549 764.0 161.:4|: 1419 74.6 Du 24 au 25 T6TA0;E19 764.5 106-219 764.0 Du 25 rau 26. 16511849 762.6 70452 1849 AOÛT Du 26 ‘au 27. 763.8! 920 761.3 163.8| 19 761%9 Du 27 au 28 766.9 7 19 764.4 1067-41" 049 764.9 Du.28 : au 29. 764.2|- 20 1017 10931910 761.0 Du 29 au 30. 764 41" 290 158.9 7007914428 758.4 Du 30 auicer 7549) 20 755.4 191 :3| 220 754.8 Totaux. | 22884.2| 623] 22806.5) 22880.9| 621| 22803.4 Moyennes. | dl 20 760.2 762.6! 20 760.1 Hauteur barométrique cor- ÉMIS 764.4 764.3 | “| : à 3 h. du matin : CR SN. | Lecture | o hauteur corrigée | 5 de l'erreur| & ramené] | da HN e tempé= | l'échelle. | © jure | Mois 159.97 21 759.2 21 162,6! 21 766,2| 20 765 4| 20 761.4, 20 762.6| 21 T6%4: 21 159:8|; 22 20049122 159.1| 23 756.9, 23 156.7! 23 167.1 23 769.0! 22 168.,8| 22 166.221 765,3| 21 199.5" 21 761.1, 20 THB:S TA 1610} 19 766.2| 19 16591640 763:5° 49 7163.3| 19 106.9/119 701,91" "20 760 8! 20 156.5| 20 29875.9) 621 162.5 [PHARE DES BALEINES. Bla Rochelle. de l'air 9 heures du matin. TEMPÉRATURE E Il minima | Maxima observée à 9 heures du le matin. observée soir. eptembre 1891. 1 16.8 99:3 16.2 185 15:9 M9 14.1 19.8 13.8 24.2 14.0 290 45: 21.8 45.5 29.0 1520 29.5 14.8 28.4 16.2 28.9 17.9 QU'A 16.8 294 14.0 19.7 14.0 20.0 14.4 20.2 43:19 24 .0 12:6 DA di. 91.5 1901" 210.0 12.6 19.4 12.8 18.2 10.2 19.0 13.7 29,7 13.0 29 .1 14.5 19.3 10.7 20.3 11.9 20.4 14.9 19.0 16.8 20.0 A8. "661,5 14.0 DA"E7 CE moyenne. = > 1 O Co) Ot OH Ye 0H © Ro NN © © UT PLUIE. Hauteur observée à 9 heures du matin. à 9 h.dusoir: direc— tion. S SEOL re N::0:/ 9 O. 2 O. 1 NtOzL2 N. 1 N. 4 N. 2 E. 2 E: A 1e à SE: 1 SOS 1 0! NO :21 112 NE 1 N. 2 N. 7 IN: 1 N. 1 O. 3 (0% 4 N° 2 NEVO A NE 194 SO OP Nr 0:22 NarO: x el E. { 0. 2 Pa EL E 0 | direc- tion. Z RCE 2 . are A 212 220 S s| MPOLz CZ conzon ss ot VENT RQ nn. — — * à minuit : EL DON= ON =ReNEN = = DN EE = NN NON ENS E rs ET à 3 h. du m. direc- . 3 tion. |S O. 3, Nr, ne N. il N. 1 Ne Eee NÉE | NE PAIE 1078 2 E. 2 SEE 2] E. 2 SAR. 2 Où 2 N. 1 N. ® NME Te INPRYET 1, N, À; EF: 4. N. 9 N'AD IE N. 2 170 a K. 2 S. 2 O. 2 E. 9 E. 2 O. 1. O. 2 D. Dr à l 2 ÿ ON \!| d à a OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES 0. Calme. Calme. : 1. Légère brise. Vent faible. - 2, Petite brise. Vent modéré. * RS dissemenl 5. Grand frais ; coup de vent. Vent violent. Arron ISSN 6. Tempête ; ouragan. Ouragan. 2 BAROMÈTRE | CH% — ES NO EUR EE e INDICATION à 9h. du soir : à minuit : à 3h. du matin: L A EE ES CC Lecture | & Lecture | S ; Lecture | © | hauteur à corrigée | 5 Le à corrigée | Z MIA COTTIBée | & | ranenèl | de l'erreur S à La de l'erreur = à la de l'erreur! £ à la 4, NUITS. ee = tempé- Ne: = tempé- es = ro | l'échelle. | je jrature OP. eee | Matane te SES (il | | | Mois|} Du Aerau 2.1 756.8] 20 754.31 757.8] 49 755.3| 758.5] 19 756 20] Du 2 SAdu rs: 764 9| 19 762.4 765.4| 19 762.9| 765.7| 19 763, | Du 3 au 4| 765.2] 19 | 762.7| 765.6) 19 | 763.1} 164.7) 19 | 7623 Du 4 au 5.|- 763.6] 19 | 764.1] 760.6] 49 | 758.4] 759.4] 19 | 57 Du 5 au 6.| 754.1| 19 751.7| 753.1) 49 750.7, 751.2] 19 749 .0] Du 6 au 7.| 749.0| 19 746 6] 750.6| 19 748.2] 752,1! 19 749 1] Du 7 au 8.| 757.2] 19 754.7| 756.8] 19 | 754.3] 757.5) 19 | 755% Du,8 au 9.1: 1758.21 19 | 755.7| 2757.3|,19 1 754.8) M0 2 MOI Du 9 aut0| 758.3] 19 | 755.8 758.419 | 755.9] 156.9] 49 | 7544)] Du10 au11.| 757.4| 19 754.9| 756.3 49 753.81 755.4] 19 759 91h Duit au12.| 747.9] 19 745.5| 747.3| 49 744.9) 741,9) 19 745.7} Du 12 au 13.1 749.5) 18 741.3] 750.9) 18 | 748.1) 751:6| 18 | 74928 Du 413 au1%| 749.9! 48 747.7 750.91 18 | 748.0| 751.7| 48 | - 749°8B Du 14 au 15.1 759.2] 48 757.0| 757.7| 18 755.5| 756.3] 48 754 AI Du 45 au 16.1 757.1) 48 754.9] 755.4| 48 | 7532 753.7|.18 | - 751-8B) Du 16 au 17.| 757.1) 148 754.9| 756.9| 18 754.7| 758.6] 18 756.41} Du17 au18.| 765.0) 18 | 762.8) 766.1| 18 | 763.9] 765.2) 18 | 763-0]} Du 18 au 19.) 760.1! 18 757.9| 761.2) 17 759.0] 758.5| 18 756.8lh: Du 19 au 20.| 753.1) 48 | 750.91 753.9l 48 | 751 0l 7592 18 | 75048 Du 20 au 21.) 748.3] 47 | 746.1] 746.9) 417 | 744.0] 744.9] 18 | 7428) Du 21 au 22| 746 1| 17 743.9] 746.6] 17 | 744.4] 745.4| 17 | 7430 Du 22 au 23.) 745.3] 47 | 713.1| 7443 47 | 74.41 4661 17 | 7440 Du 23 au 24 753.3| 17 751.1 153.2 417 751.0] 752.3! 17 750.41 Du 24 au 25 751.3! 17 749.4) 750,5] 47 748.61 747.9) 17 746.04 Du 25 au 26 743.3| 16 741.4) 742.6| 16 740.7| 744.9) 16 742.8)N Du 26 au 27.| 749.7| 16 747.8| 750.6! 16 748.7| 750.1| 46 Du 27 au 28.1 750.7! 16 748.8) 752.5] 16 750.6 %52.9| A6 Du 28 au 29.) 756.2! 15 754.9) 756.2] 45 754.9] 757.9| 15 Du 29 au 30. 764.2 14 | 7625 764.7) 14 | 763.0 763 5! 14 Du 20 au 31.| 763.4| 13 761.9! «764 4| 49 762.9] 764.5] 19 u31 auder,| 765.1| 11 762.6! 764.7! 11 763.2] 765.1| 11 Totaux.| 23420.5/540 | 253592.6| 23417.51537 | 23350.0| 23401.9 Moyennes. 755.5| 17 153.3| ‘“7155.4| 17 153.211, 755% Hauteur barométrique cor- re rigée de l'altitude... ..... 757.5|| 757.4 U PHARE DES BALEINES. :e la Rochelle. TEMPÉRATURE VENT PDO En 07 OR de l’air | minima | maxima — Re PU AE Ro 24 : Hauteur 9 heures observée observée observée à 9 heures moyenne.|à 9 heures) direc- | :| direc- -| direc- : du du le du : A ; Ô : Ê à malin. HO KO NA Mon. | ST Homer JS matin. matin. soir. | | Octobre 1891. 15.9 3.0 29.8 17.9 » O. 4 0. DEN UOE m0 214 NX) 16.9 13.9 » N. 2 N. 2| N. E 2 13.0 10.9 1932 1540 » INR "1e? ID 2 1516 2 14.0 9.8 479 159 » NME NS NE A DIR NERE 2 18.8 13.8 21.0 17.4 » S. DUREE SC 3 47.5] 12.3] 19.5] 15.9 NÉE E PO di 102 1 17.8 1220 19.92 15.6 1159189 PO: "4 (a & O. à 18.2 16.0 19.1 15 » S; o S. 9 S. 18.8 15:93 924 18.8 » Sh ASE L'ASIE 2 16.8 45:6 49.6 1736 Do SE ON? SE 2 S. 2 15.8 150 170 4540 RIMSUAS ER UE 4 O. 4 (DA à 16.4 11.0 17.4 14.9 POS O LINE O7: 4 œŒ 2 16.8 14.4 18.8 16.6 LAS O: 4 S. 4 O. X 17.8 15.0 18.5 16.7 » Se 2 S, 3 S. 2 26.7 9.4 17.0 1522 1n24 S. 3 S. 3 S. 3 15.8 12.0 17.4 4457 OMS SOMS EST ON. |4 O0. 4 195 5 8.9 1545 122 » N. 4 E. JENPRE TA IR? 16.5 12.0 18.0 15.0 » SE OTIES De 2 S. 3 15.8 12.6 16.4 14.5 MAS :O :|.4 O. il S, 1 15.0 12.4 16.8 14.6 DCS ROME SE Ok |TS S. d 17.0 12:39 19.0 1570 PHIMS SORA SSL0% |'Al-ST OA 25.0 13.6 16.5 1540 0 3 QE 4 S. 4 0. cs} 13.0 9.7 15.0 42:38 ON O0) ares ES JUNE En Ie2 10.9 9.9 159 1279 14.0 N. 3 N. 3 N. 4 13.0 10.4 1520 1271 » S'tres :|r 2 E- 3 Fr 2 9,9 4 152:0 11.0 » Se AAC | RSA D 2 E. 2 12.4 12.0 12.8 124 A E. DIN O1 9 NIMES IR 6.5 5:0 10.8 79 » E. SON: RO IPNÈNEN ES »2:6 5.0 95 1.2 » INR ANR LAS NE RARE 9.9 1.6 8.0 4.8 » 124 5 E. 5 F7 5 3.0 20 4:92 526 » 1e 5 E. 5 E. D 437.5 339.0 516.4 497 .2 83.4 -141.1 10.9 16.6 13.8 » OBSERVATIONS HÉTÉOROLOGQUE 0. Calme. Calme. 1. Légère brise. Vent faible. D Pétite brise. Vent modéré. 3. URSS: bonne brise. Ne fort. ! . ee: ; coup de vent. Vent lent. Arrondissemei 6. RpAte ouragan. Ouragan. 4 BAROMÈTRE :| A > INDICATION à 9 h. du soir : à minuit : à 3 h. du matin : 11 A, RE À Lecture o Lecture eo Lecture o des He = | hauteur AE = | hauteur : De = | hauteurMhil corrigée | 3 4, | Corrigée | 5 4, | COTrIgée | 5 pue! de l'erseur s Es de l'erreur S er del'erreur| # Mon NUITS. ch nl = ti itempe du ae & | tempé- | du cad = tempéM l'échelle, | & |raturé ®.| pechere, | 5 Jrature E.) pepene. | 5 rturefs | Mois delo re Acrau 2. 766.8] 11 169.9 10140) 765.51 766-4111 7649 DA. 70972 | 44 761 .7 103.244 1017 1022; 414 760% . AURA. 760.5! 11 759.0 759.8| 44 758.6 759.4] 11 7584 pa ANA. 763.7| 10 10245 165 2/10 764.0 7652410 76440 brau- 6! 27659) Mt0 764.7 765.7| 10 764.5 16311510 764% Fe OMAN 106,b14 9 765.3 765.4| 9 764.2 16201109 763.4 Du Ados 7104 9) 9 1032 764.1! 9 762.9 1032). 9 76941 Du 8 au 9. 758.8 9 19128 H58 21 F4 TETE Toad 9 75641! Du 9, au 10. 752,9|":.9 rise 752-810 751.6 753.9| 10 7 Du 10 au 11. 743.3| 10 747 1 741.9! 10 740.7 739.1! 10 7318 Du 11 au? 747.9! 11 746.7 749.5| 41 748.3 749.8| 11 748 Du 12#auvts: 739.01 11 To 10 Has ent 736,0 737.8l 11 Ô. Dul8t au 14. TANT 139.8 746.7| 11 745.3 Ab add 74% Du :au 45: Ha 191 11 7e A 791 LM Fee 7 139.9| 142 37 Du45 au16 GLS 745.7 746.8| 12 745.5 TAN Z DudioMau 17e 1074612 754.8 151.4} 42 15926 75121119 Du 17 au 48. 760.4! 12 758.9 7162.5| 48 761.0 762.5| 12 Du 18 au 19. 762.3| 13 760.6 162.4! 13 760.7 101 61 "43 Du. au 20, 16211413 760.4 1017513 759 .8 760.9) 13 Du 20 au 21. 756.01"13 fev: 00.410413 154.7 1564149 Du 21 au 22. 756.9| 13 755.4 756.7| 13 Fan 756.4| 13 Du292 au 23. 754.8| 13 753.4 753.4| 13 752.0 752 8| 12 Du 23 au 24. 1501 12 749.3 15141412 749.7 15484 M Du 24 au 25. 755 4| 10 754.2 1554010 75428 154.4| 10 Du 25maui20 po: 21410 754.0 759.210 754.0 755.210 Du 26 au 27. 1Ha0i\n 9 756.1 758.1! 9 756.9 fast TA RES: Du 27 au % 729.31:40 758.1 jose 10 756.9 756.8] 10 Du 28 au 29. 1520e10 750.9 1524 "40 750 9 Hole o| 10 Du 29 au 40. 753.8| 10 752.6 155.340 754.1 755.6| 10 Du 50 auder 758.9! 10 LEON 75911140 757.9 758.4| 10 | Totaux.| 22666.31324 | 22626.2| 22674.8132 22634.8| 22665.01325 22623 1 Moyennes. 199.910 40 154.2 755.8| 10 754.5 755251 "10 754 ] Hauteur barométrique .cor- A rigée de l’altitude.…...... 15810 758.8 758. U PHARE DES BALEINES. e la Rochelle. VENT à minuit : à 9 h. dusoir: TH 25 à C9 (D 0 GI LD CD 10 GT SR GNT LD MD GI ED GI GE = SI EN RH = = EN GN D = EN direc- tion er a rn num SH M CO M M CD GI ON CD A = SH GT 10 MD GI ON GN = ON = ON SH = 1 GI GN O9 = = ; 6© LE: eve AAA . .. AREA . On LE Sas pl Er. nOun ZZZA Zn un D ZA'Zu es M OS M HN M NM ANIDNIOMNMNNN Mae Me aa ; BAR AA EE. SO: NUITS © Mobid oise en be OAnACui , ZZZ ZZ un A mn PLUIE. Hauteur observée Sn ANA LA A ALAIN D ABD=aMARLI 55.3 » TEMPÉRATURE ES minima | Maxima de l'air observée ere 19 heures moyenne.|à 9 heures le à 9 heures du matin. du matin. soir. +30 1891. 10 1010 SN NN OM O9 1 = > GI 10 OM 10 © © SH D © GI 1 NN M © 10 OQ)N 1 © M SN undlde Ni: in lie. ee de heat ie dre RE sue sil a rs Re Re gene 10 OTROMMMOmOO0O0O0O=MM=R OS <# =& 00 00 20 GO 00 A 6 el is 7e Us SUV A Te) LE day oies le eee Re En Ne re OT TR AR EE RES Ne PE SRE Te SHssd iso RS ct Les Lo à — ———— 716.4 316.7 8.2 10.5 Ham SSSR —S SH 00 0 0 01 010 NE O GUY = 00 D © 1e EN 20 Où 4 SH SH GI D D ©) © € © © D M O0 FI Où “+ 10 A O9 GI MS 00 5 M GI it © ns ONON RS AN RES 00 PRES SELS HS — Cote 5 Te > 20e —o) 174,7 9.9 8.6 OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUE ) 0. Calme. Calme. 1. Légère brise. Vent faible. = 2. Petite brise. Vent modéré. À 2 SR eu bonne brise. ee fort. | . à Irals. ’ 2 JE | 5. Grand frais ; coup de vent. ee. Arrondisseme Ir 6. Tempête ; ouragan. Ouragan. | BAROMÈTRE DIPICA TION à 9 h. du soir : à minuit : à 3h. du matin: 1 6 lee | S | auteur | Latue | 5 | troc | de | 2 de l'erreur = Fe de l'erreur E me de l'erreur S NUITS. du ao È iempé- | du ri ÿ = tempé- du on É l'échelle. | £ future 0? psc bene. | An ®.| échelle. 4 rafuté TRS œmcœce | cms EE cernes | osmmeesmmcemes | cms Mois d Du ferau 2.1 754.9] 40 153-014 LA AO 11.21% 76102)M0 Du aus. tot Med 15520 198.144 MDSDEÔ 758.6| 11 JE Du 3 au 4. 163.6| 11 702.1 765.2] 12 763.7 10581042 k Du 4 au 5. 768.2| 12 166 7 101-2141 765.7 757.0) 12 . 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Du 27 au 28. 763.0] 8 762.0 162.4| 8 761.4 761.4| 8 760.4 Du 28 au 29. 164.1, 8 763.1 10%.8|:,29 761.8 102:b|009 761. Du 29 au 30. 766.2] 9 765 .0 103:91 049 1627 162.6| 9 7624 Du 30 au 31 762.2] 10 761.0 763.0! 10 761.8 762.6| 10 761.4 Du 31 aulcr 760.7| 10 759.5 709.711 758.5 759.8] 11 7584 Totaux. | 23678.3[317 | 23639.5| 23065.2| 320 | 23626.5| 23660.8,318 | 2362298 Moyennes. 763.8| 10 162.5 163.4| 10 762.1 763.2] 10 762.4 Hauteur barométrique cor- 766.8 766.4 rigée de l’altitude........ IU PHARE DES BALEINES. ntrmernenmmnene ee le la Rochelle. s 9910} I =] 5 ( = © À s SNS m 5 + -S 99107 1 ME ee 2 l E ( 2 # Fou 5 à CS FT | 9910] l "o a =] | : = CIE = EN ME) en = = -G un ONE = 25 = a h |SS$ES = E) = 5 =] @ Er à -S © [=| a 2 EL = [= CT al Es À Le fl ‘= A Da EME NE MERE ES LS l = © (= a se (es) à sS © o . £ À S LE) = pe 5 DL a EE a = © S | Ex 5 2 © | © - an + 2 5 EME a 2 [D] Le | 4 ui LS ED 8 TT (er) [=] Décembre 1891. SE GN OD = = CD D D SH = D 10 D SIGN D SH SH O9 GI GI ED GNT GNOND OD D M UN SuoBr cos ] Rr A CPE OZ DOS: n Any Zn on un A TOO 4 = D OÙ D TH I1O = EH 10 O9 EN GN M9 D = O9 EN EN ED GI GN D OS M M A M JSAbeS = ÈS un kr ee ACOOZAAAAEAATDT . .000O ui A Z Z PA O9 en D = GN EN SH GN 10 D OM 10 D M ON D M = O9 OÙ MD M EN ED M 9 NI Mo = M AO NRE CPC Satis Be: L'URL O000© .. nn nonOnO OnOOCOREEAANAEN PSI) mn un anñn 10 M GN 10 Ye © 10 © + = RSS Se eo 2 NN A OR GN ADRATARARAAAOSMAANE » À | À a eisgs Be Not psi ENS mecs Lie Due ie NS TR Ne ET ER AR NAS Ta fe De ME SU ARRET Its Er NM IDON 010 GX OO AN 10 O9 Oo] ON AC PIS RS Se SSSR Œ © = mm Le DONC Q TD —-INQ— BNOONIANONOOMECON— YA > «FT dei, de TD dt re an Le Vie NI Ooretins Deer et ie Di ARMES is TRE T ENT ON Re Cie re) re DRNBSIODOCASTTTD SONIA © 0 D D © 00 —"e Se — | | F no > 00 n DO PDO NO DOMOHOMAOMBMOCNOS DODHO0ROOON 1 GT — HO © © GT OM = MD QUAI GI QT © et et UNE ES ES 00 it = Où re HS — — — — — ke ÉTIENNE Éd FES LR nt : — CCS È 1% a l'or J s ‘ hi LAN 4 È L- ‘ SE EE 2 ME > ‘# E. © OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES : an. 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Humidité relative de 1 à 100. 88 FRS RENE ETIENNE PO ET ET RS RE PERRET ET AE ASE ICE PME RER CIO ER EC TE A AE EE RE TEE DE D DUT COOPER LC SR SRE EE | Direction. (QE) Si 1 N°20: al S. À NE 0 : 1 NU: 1 N. 2 N. 1 N. 2 E. 2 N. 2 N. E. 1 NE 1 N. 1 N. 1 N. 2 O. 2 N. 2 N. Î N. 1 N. 1 O. 1 Ok | 4 O: | 1 SO: | 1 N. 1 N. j N. 2 IDE 2 Se on 1 S. 2 S. 1.03 2 0 1 N 01 8 N°0: ) N. 1 N. E. 2 N.E 1 N. = SE : = Cp : ER ue © 00 1 © COTE C0 NO > BAROMÈTRE à 9 heures du matin. THERMOMÈTRE. HYGROMÉTRIE. Humidité relative de 4 à 100. er [er Maxima Minima. Moyenne Mois de Février. (Suite). 6.00! — 4.02 0.09 92 | 2 4.03| — 9.01 1.01 91 9 4.03| — 4.00 0:15 » » 5 OT 4507 0.35 96 » D: 08 = 2"03 0.75 96 10 5,09! — 1.00 DAS) 98 10 101070 ;:06: 3:20 93 » 6.00! — 1.00 2,05 50 » 120b|7—= 4:07 2,95 79 » 8.05 0.04 4.45 80 » 11.05 à MAN IE 6.05 8? » 12.08 0.08 6.08 87 3 11.01 1.07 6.04 8! » 43.05 0.00 6.75 83 » 14.04 1.00 7.07 79 » 14 0110.02 6.09 79 » 13:08" 0209 6.45 70 » 14.04 1.03 6.55 74 » 13.09 1.04 6.25 77 » 14.07 0.09 7.08 65 » 13.08 41.05 7:69 12 » 0524.04 1925 83 2e 5 © Ed un Q (eo) = 9 F$ E 15.08 1.08 8.08 81 0 15.02 0.08 8.00 95 10 10.03 2.08 6.55 89 3 11.05 1.03 6.04 82 0 14.07 3.08 119 81 5) 13.03 0.07 7.00 82 0 14.04 3.00 8.07 81 D) 14.05 1-01: 11:00 84 10 12.01 7 08 9.95 96 7 17.05 9061404355 80 5) 13.09 4.08 9.35 63 7 9.05 4.00 5.65 71 5) 12.08 4.07 8.7 99 7 49-04 4.06 8.05 84 3 14.00 2.00 8.00 81 10 11.06 6.00 8.08 87 10 9.09 2.05 6.02 82 3 12.05 rs 8.65 74 7 . -S O e Direction. S S Les 1 N°1. 1 NE. D) Ne 1 No. 2 NPaO7 9 O. 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(Suite). 2.03 3.00 SAIUDD ICONS CO = © 7.09 84 8.39 79 1125 66 4.45 67 1.06 70 3 08 87 6.65 81 71:05 78 9.06 81 9.00 80 6.95 78 8.09 70 8.04 2 7.85 79 Mois d'Avril. 6.00 fl 1219 77 9.01 94 1039 81 11.09 79 4.00 85 10.95 81 9.06 78 7.08 80 8.05 55 8.15 70 9 00 63 8.45 84 Het 79 8.04 70 8.175 76 7.95 71 9.06 53 11202 59 15:02 61 12209 56 19-01 79 19.08 TTÉ 12.48 65 10525 75 11278 42 1989 fi S CA & © Ct OCT OL TO S Ÿ DeNre = EN ON = NN À NN N 19 = = Ne 19 ND = —= ND N9 VENTS. : = 2 Direction. ë É ef 1 O. 1 INR 2 NRC 3 NPA 9 N. O. 5] N. if O, Ë S. Or 9 O. 1 Où 3 IN CO) 2 N. OU 2 INFNE TA LA HAN os AT 2 THERMOMÈTRE. Æ VENTS. = e : = ÉTAT = Le À "© . = = E = 10 BALE T AS -& | Zy 2 d ZE du : EN eo E £ = 25 © © ‘5 = 2 5 = = D GE 2 |Direction. = S = © e os : © 2 = = = Fe ciel. 3 e $. 2 Mois d'Avril. (Suite). 28] 758 19.00 11.01 15.05 65 o À 29| 767 18.00 7.08 12.09 73 5 | O 30| 768 19.08 7.09 19210 53 8 | 765 14.09 5.08 10:39 74 5 61:1:05 Mois de Mai. 11 763 21.01 12.09 17.00 65 5 2 S. 21 764 22.08 13.03 18.05 84 7 Ge) @: 3| 768 16.00 9.08 12.09 64 3 2 Na 0: 41 768 15.04 1.02 13.03 62 5 2 N. 5! 767 16.07 9,01 12.09 67 À 1 Net 6! 768 18.07 11.05 15.01 51 10 1 (QE || 7] 767 19.02 7.02 13.02 67 9 sl O: | 3! 76! 18.05 10.04 14.45 OI 10 2 SH 07 | 9) 755 16.08 CONO A MRS E ETES 96 5 1 (9 “110! 759 21.00 8 00 14.05 91 10 4 Ne "OZ E 41, 765 16.00 11.09 13.95 86 10 1 NE TOE 112) 770 18.00 11:05 14.75 7 8 2 N:10% 113 769 241.05 13.03 17.04 79 » A1 N. 14| 768 25,08 143.06 19,07 73 » 1 N. E. 5| 765 23.00 44/07 47.35 86 2 2 N\. 16! 764 19.08 8.05 14.15 82 3 1 ((: 17! 766 47:01 6.00 41.59 39 » 2 NérOË Î 8| 758 15.06 9.00 12.03 19 10 3 SAT OE 119! 762 16.07 9.08 13.25] 95 Quels SARA 90! 761 41:07 9.09 13.08 86 10 2 O. 21, 754 21.00 207 16.85 86 5 D. 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Minima Moyenne. 20.01! 14.08] 17.45 «9.05. 16.00! 19.95 99.00| 13.04 17.07 99.00| 1300! 17.05 91.05] 13.06| 17.55 921.04] 11.06| 16 05 92.08| 12.09] 17.85 95.05| 14.08] 90.15 97.05] 14.09] 91.02 91.051 12.02] 16.85 91,00! 13.08| 18.04 99.07| 13.05, 18.01 23.02] 14.01] 18.65 920312415704) 1848"85 22,00 15.07 18.85 24.06 16.04, 20.05 24.02| 15.05 18.25 18.0R 9.05 14.15 19.00 9.08| 14.04 21.00 10.05 19: 15 22.07 11.00 15:85 Dale DGA OT DT O0 PAS 0310062015 21:02) #48, 01 20.15 27.03 17.05 20.09 25,061 16.03: 020.95 24.07 16.05 20.06 28.05| 14.07 17.06 JOAUL 15:03 2016705 20:08] 410.07! 15.75 20.00 9.01 14.55 20.04, 10.03 15.35 23,001%241"00| : 17:00 21.021010 05/1585 18.00 10.07, 14.35 18.05 9.01 13.08 15.08 7 OI 16.45 18.07 8-05). 13.06 18.06 9:09/ 1425 HYGROMÉTRIE. Humidité relative de 1 à 100. Y DOI O © À © «JC y (CA VENTS. RES À 10 -o =) Ke Direction. [sb] 2 © ef 2) O. 2 SCO 4 Sat O: 2 O. il O. 2 Si 0" 2 3. 1 S. À) O. 2 O. Il O. 2 IN: 0 1.05 3 2 S. 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L 763 92.00! 14.00! 18.00] 80 40 | 1 E. 1 2| 763 91.03] 12.00] 16.651 89 2 | 1 Si 0! 3| 774 47.05. 1 6.00! 11.75 7 0 ET S, E. 4] 770 17.051 7.00! 12.951 67 » 1 NiDE 5| 764 45.06. 4.07| 10.15] 84 » 1 E. 115, 758 19.02) G6.U3| 12.751 69 ES &. | 7| 764 93.00! 8.02 15.06 83 ; 9 S. 1 S| 767 HU 79.011: 143.031 787 I Si 10: 19! 765 18.09/ 10.04 14.651 85 ON es ho! 763 20.07! 13.00! 16.85] nt |. 9 Sa fil 761 29.00! 13.04 17.071 83 fou li:3 of M2) 797 19.04 9.08l 14061 79 10 | 1 0. A13| 759 48.05| 9.07! 14.01 84 FA LE S Mal 765 16.04) 1202 14.031 88 +1 0 O. 115! 765 49.00! 12.09/ 15.95] 79 DIN T SO: 116! 762 19.06 13.02| 16.041 82 3 | 1 A M7! 768 20.00! 11.09! 145.05 32 EP VE SENOR As! 773 19.09! 5.02! 142.551 80 » 1 0. A9! 76% 15.02] 6.00! 10.061 76 » 2 SM Du! 758 17.03 6.07 42.00 85 2 1 S: 1P1| 753 18.08 9.02! 14.001 94 A ET 0. D9| 755 45.081 9.07 142.75] 72 se LE SD b3| 758 48.04| 10.05! 144.45 8: 8 | 1 … 1D2| 761 17.06| 10.02! 13.091 86 110 N. E. D5| 750 13.02] 10.03l 11.75 88 10 | 3 N. 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(Suite ) 18.00 6.00 12,00 87 10 2 Se Ur 14.03 9.09 42.0t 69 10 2 O. 13.01 10.03 11707 89 10 1 SA Ur 13.08 10.04 12.01 86 9 2 O. 13.00 4.00 8.05 93 3 1 N. 42.05 0.00 6.25 84 » 2 E. 8.06) — 3.04 2.06 » » 1 NE 9.06! — 3.03 es 05 » » 2 N'AE 3.00! — 4.09] — 0.95 » » 7 E. 9.09 — 5.02! — 1:15 » » 1 NE 320212—,5 :001—"0.90 » » À N. E. 7.05! — 4.08 1.35 82 7 4 E. 8.04 2.00 5.02 94 7 1 E. 8.08 2,00 9.04 81 » 2 SE 9.02 2.09 6.05 85 9 4 O0. 9.07 3.02 6.45 87 10 À S. 10.09 5.05 8.02 95 10 9 SION 41.08 7.07 978 96 10 1 S. 12.09 6.06 975 94 10 1 OF 11.02 5.06 8.04 90 6.4] 1.04 Résumé des observations pluviométriques faites en 1891 aux stations de Saintes, Jonzac et Montguyon. RENE PC CE I LE EE RE ON OT EI SE SEL D SON EEE 7 ! | ) - STATION STATION STATION MOIS DE L ANNEE. DE SAINTES. DE JONZAC. DE MONTGUYON. LES DOM SRE EE 0.0225 m 0.038 nm. 0.050 ". D NU. au 0.010 0.009 0.003 ee tre 0.0499 0 033 0.031 En na 0.0630 0.072 0.077 MS EX. : LR RCE 0.0625 0.113 0.076 LS RENE 0.0325 0.063 0.069 M he ee Dao 0.0294 0.062 0.050 F0 LÉO RE re 0.0557 0.049 0.025 MNT Nate ETS 0.0305 0.037 0.029 A ue Sous à da 0.0985 0.092" 0.091 PA LR date dre à 0.0916 0.113 0.089 Re Dee re de à 0.0670 0.059 0.072 Four a." 0.6131 0.740 0.662 1 lef de o 1S C chal-des-log Moyennes. Mnmarec Janvier... lévrier... MATS Cr ANDILEEERS tes dans la commune de Courcon RÉSUMÉ Année 1894. : AOTLD ER seat Septembre. Octobre .... Novembre. Vécembre . : » » .1776.05125 .1714.05/14 .1785.25127|1782.05 gendarmerie, en retraite. par M. ROUSSELOT, Des observations fa D 7 2 PRESSION atmosphérique. Minima. 21778.00 261780 .05 16[768.05 27|771.0Ù 211769.05 4|732.05 30|777.00 271772.05 D] 767.05 765.00 Maxima. TEMPÉRATURE. Moyennes. Nord-I 26, — 4.59|15 VENTS. Nombre de jours par mois. ASIE 2|s 2 2ls le = =) u2 a UD RE en rs | es D) CP ec 1e 51131 »l 11 5! 41! 41 4 LISTE 2) 4106 |") alt 5 line) 89 »| 8| 9] 2! 8| 1| 3] » APE AR) Er A 9156!#9)05 1012) De OA AE Dm) >) )))1 D) )A ES) 20) 1) 1ILSIS | 221007 | ET EALIEN » 1122 ST RSI Pr 2 SE 0 PS AS | Eau tombée. Clair. Nuageux. Couvert. Orageux. (e2 — [= OD U9 RO CC I ON Y VOIRE œ = © C9 CO Q5 00 & OT OT = = x, IDOOS Re 2 Qt Y ÆÆ (og 2}tæ) D © © lé, Des observations failes dans la commune de Nuai RÉSUMÉ par M. THAYARDA. Année 1891. DAS) 1 ES) PO) D] TR TA PRESSION TEMPÉRATURE. VENTS. ETAT atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. : == 2 = | = Does ® | Minima. | Maxima. £ Minima. | Maxima. | : PRE : ae LE a ÉR = = mn [s|5159 4%, 12155 /|5)S| 5 5 5 D SE NÉE RE “M à S 5 (£|TS © S rS À en ÈS = È Le) LE 2 à à S à SE CS 2 À ER 4 OS DS RE) Q MOIS. Janvier... Février .. Mars ce ASIE LIEUE TEE nes ete Juillet..., ATOUT er Septembre . Octobre... Novembre... Décembre. PRESSION atmosphérique. Moyennes. Moyennes. IDates. Dates. = sl LA INORIDCDOLR CIN HO © 15.00131|— 1.08F8|— 7.09/22| — TEMPÉRATURE. Maxima. Ot © to © OIOuS © ND = OR 0/19 4 © © 0 Nombre de jours par mois. Eau. tombée. Nord. Nord-Ouest. Ouest, Sud-Ouest. Clair. Pluvieux. Nord-Est, Couvert. Orageux. —_ & © À& © 20 Où Or S A a O&— LS > = © © © -1t © Or | re 2 ŸD CO I Or Y IO an = © © SE, OnIUTE O7 O0 me D NO D I co ET = OT © RO 1 RESUME Des observations faites dans la commune des Mathes, par M. BOINEAU, garde-forestier. Année 1891. PRESSION VENTS. TEMPÉRATURE. atmosphérique. Nombre de jours par mois. MOIS. Moyennes. | Moyennes. Minima. | Maxima. Minima. | Maxima. || || |2| |: HÉAHAESE | ABAEEMEI: É £ £ É NET Las (as) Le] < =) (= =) A Janvier...... » |» » » » »y _|20l— 1.501311+13.05]14| 2| 4| 3| 4] 20 4 Février..... : » » » » » » » » » » »| »| »| »| »| »| »| » Mats Le tn » » » » » 7.06123|— 9.00! 6! 18.00! 3| 7113| 3| 7| 4! 3| & ANT er TE » » » » » 9.091151— 3.00121! 24.001 9! 5112] 4| 7! »| 5| 9 Male » » » » » 13.07! 9/— 41.00131| 928.051 1| 61201121 6! »| 1! 1 Juin. » [ol » [ol » | 18.0413/+ 4.00/19| 35.00) 511013) 6) 4) 1] 3) 4 Nuillet, 22528 » » » » » 49.07| 5 4.001261 38.051 5! 3122! 3] 2! »| i| 2} AOÛ ANS » » » » » 19.01! 1 6.00!14| 40.001 1! 5124110] 4! 1! »| 2F Septembre... » » » » » 18.001118 4.001101 36.051 5! 9114! 2! 1| »|10! 8f Octobre ..... » » » » » 13.051211— 3.05! 7! 26 O0! 6! 2| 5| 7110] 4] 4! 9 Novembre ... » » » » » 7.00! 8l— 9.008! 18.00! 9] 3! 3| 3| 6| 3 10) 6 Décembre ... » » » » » 7.021221—- 8.05113| 17.00! 5| »| 9 11 4! 9 À fi Eau tombée. Clair. Pluvieux. Orageux. D DOTÉ O ES Cr SERIE ROSE PP EE CRE ET PS NE SOC 2 | > PRESSION 2 VENTS. d & TEMPÉRATURE. ea Pre | atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. à Ê — | É LETÉ où ; = re Lo gi Minima. | Maxima. a Minima. | Maxima. | mile dE ns ll Te vd Ÿ = = Œ] Ssslsl || . sis |£ls ee = = T'ESISÉ EEE) SE £ & > [= = Salle le | SIS|SIS|É à > = $ 2 pa 5 8 A Z A ‘2 &|2 | 1© tre & = S = H © O — (=) a a ES Q 00 FE =. mA NET rene ess em Loterie m /u1 5 © © |" [janvier » lol » |» » Î1.05/18|—13.00/25/+10.0) 8h11! 11 11 2! 2] 6] »] »| 6] 14/11! »1959.7 un © R: S Février. #0 » » » » » » » » » » »| »1 »1 >! »! »1 »| >] »| » »| »| » » ‘CL = ss a [Mars >: » ) » » » » » » » » »| »1 »| »1 »[ »! »!l »l »|l » DS IS) LES re =. & lavril... » » » » » 1+9.05/18|+ 3.00 26| 16.010! 71 2} 4! 3] »| 2] 21 9] 7] 24! »| »1278 0 $ D < [Mai......... » » » » » 13.001923 3.00114; 93.01 4| »| 4112] 9} 9] »| »! »116, 14! »| 11399.9 ÿ Haine > Lol s |»): » | 00.25) 0! 6.05 à 34.01 8) »| 3) 1) 8) 2) 5] 5] 5] 5) 451 »! 55285 = Juillet. ...... » » » » » 27.00! 6 16.00 26 38.01 41 »! 2115] 8] »| 4] 41 3, 7] 17! 2] 21193.4 CARRE AGDE ET » » » » » 25.001927] 12.00,14| 38.01 1| 2! 31 8| 9] 4] 3] 31 4112] 23] 1! 18324.1 = à Septembre. » » » » » 92.00/27 42.00 11! 36.01 »| »| 1] 9431 3] 2] 21 6| 7| 16| 1} »1271.3 > & Oetobres. » » » » » 12.00)31 0.00, 18] 24.0) 8] »| 2] »11! 7! 3] 3] »10| 19] 1| 11560.4 S Novembre ..…. » » » » » 6.05] 81— 4.00 19] 17.0! 9! 4! 5! 41 4] 1] 3] 81 4! 9] 11} 4) 21617.0 a Décembre ..…. » » » » » 5.05,21/— 7.00 11| 18.0! 6] 11 »| 4! 4] 3] 1! 11 »|11| 141.5] 11375.4 E | | £ | à | | “e » » » » | » » »| »| »| »| »| »] »| »f »| » »| »| » à | | RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune de Trizay, par M. BENOIST, instituteur. née 1891. Sr OU>—eEpErz— NN LT GS LT S— = -. mn << PDRrS ET. . rass = DEN Ne © = ES c = 2 s dE 4 state = : SO tn HU + ÿ YÉVE ES Y Ÿ S y ÿ Moyennes. a ; - = IN MR RE RCI [ Dates. = = +9 ra | ET © Bo | 5 A Ln pe Lei 14 | 5 NE 1d?) Ÿ CANCER ECS RTE CRETE & EE . 5 4 Se Dr tontioroe pale Dates. = S 2 SNS RME CRE Er ENS = = ES, = c e © LEE SCIE ET = ES Ÿ DENT ENS SO CI SIC ST Moyennes. = RER RO RTS = = ET = = Er est e LUE CR PR CCR D > é a = CROSS TE CIC CE NE RST [ Dates.fl = ne g PPS. CRT RE EC 200 3 D. NN SAINTE NS ASE NON NA EE NE d SR RE AE RS EN RE Or ENS — — Le 19 — 7 nl 2 Y onu unoy oceu | Nord-Est. é È 0 r RENE RES LR | Nord. Es S à @ _— > — de ee jee : : ÿ Metro ero eme ee dles Nord-Ouest. RENE 5 LL ose we s mrv%ios mn | Ouest. =. = = f => M = _ - | Guagpéezwunmss-s | Sud-Ouest. Re LIN EME RANE TEE ee) Sud. E Y = CENT Y Ney TO | Sud-Est. 5 Ë | CEE RE CR A CIC | Est si RCE PRE EEE 2 9 CO D à OCT ORNE TE CET CO PE EE SMEMSNEENNEN = = SR on EL na # SO OUT = =1 00 OT Æ O0 20 I] | Clair. _ "Juvieux = Es | Te RE de Re PE Fluvieux. F # ee D = EN > Nu: s ee ee meotes | Nuageux. 2. = — = > * ES — ÿ | = SDS UVILE EN & NO Ï Couvert. = Y | > DY 2 ND IO = = Y ÿ | Orageux. | Re Me SSP Eau tombée. DIQCOULLREDE À = © DOS OO O ee RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune du Mung, par M. NIVET, instituteur public. OZOUE=—-s+=T— DO CID OTE. ED Sn 0 (TRS UE EE LES Do —-T AUS, S = BLEU oeS = CRE . TE M ART LED 4 ee I Me . Ë 7 eue : : ..: . . ... . C2 IR RTS CRT Moyennes. EE MR Ne D'ELE Re PSP EE NL ONE AL RER PRE > COR TR RR RER RER TS = Bu =] n eo ee Re) A L S & SHRERTE =: =» DA DANSE MA CP ARS ET YO Y © = LA © e £ RS PE LEP Eure PEN PL ET AN 16m BURN" RE eee US LEVE Y S É Y SE » ÿ | Dates. nd = 2 RE + MES UE uit rte à + Ch OOMIUUUS ES pv] , r4 de = ÿ | SSI S SYS % SE ÿ S Re UE 5 CS ns ipsee pr Net} ÿY SGISLS ESS Ÿ S SSH S Moyennes. = É SE ŸÉ Ÿ Y Y ES b { Dates. æ = 5. Œ y LASER Re OR CRT CT CA =) Y STE INRA SEEN EN NE CERN = Les - = ECC CERN | Dates. = D S >| 4 . 4 ÿ STIS SES SNS SIT € 5 2 = | È Z v | oOnws ÿ Wy UTer co Nord-Est. malle: Ÿ | ÈS OOUNDOS DE S À 00 À | Nord. = HOUR CN ES CT ro Nord-Ouest. HAE Le de ju : ce CA ol + | œrecweroenweæo=seo Î Ouest. S 2 % | RS Ÿ RE 2 POS | Sud-Ouest. a mn ER EEE ET. sud. 5 ue œ y | ve mons wmey s = | Sud-Est. 5 . Te me CRE RE l ist. F2 | CP > 19 — = = Ex y | 1SomRSnwSwemsr Î Clair. C2 | RO CT O7 y QE WDnIORES NO | Pluvieux. œ Hi | = = Nuageux. HE = bo CO ©: À 9 I CO CO 1 Or Où CO ®. = ÿ | SeoNNaitonire @r 2 | Couvert. y | gewsetcaossvs | Orageux. Eau tombée. ( (( ui / ut RESUME Des observations faites dans la commune de Berneuil, par M. DESCHAMPS, instituteur. Année 1891. ES La . û 4h PRESSION TEMPÉRATURE. VENTS ETAT atmosphérique. Nombre de jours par mois. du ciel. ; Here 2 E RES ü Minima. | Maxima. di Minima. | Maxima, | al. z gs RENE 2 =] RS HE NEA ES Se EAU ITR) LR = < 2 ER ESEEGEÉ) SES & Eee = S s [ASS |S "15 fpIs|5/e1E = Es S = a a Z S 2 mn ANS IS & E & = Æ A [AR A _ ns = | CORTE PES — nes |oumuv | CON | eue | Au | ous | ce | mm À cs | me | some | us | ur “m/m Janvier... [769.001211758.00|12/780.00]— 1.50/18/—14.00|31/+11.00! 8/14] 1] 41 4110 1] 5Ÿ 4] 6] 21! »| »! » Février. ....|775.10126|767.00| 21783.20|+ 3.90! 8|— 8.00122| 15.00! 131 9} 11 2! 1} 4! 51 7117) 3] 7] 1| » » Mars........1768.10/12/754.20| 4 782.00 6.50122|— 4.00! 7| 17.001 .5,13| 7| 3| 9110) »| 24 2! 6) 22] {| » » Avril........1766.00127,757.00116/775.00 9,40! 1|— 1.80130| 920.001 9112! 2| 6! 8| 81 1! 81 2110! 16| 2| » » Mai.........1763.40/2i/755.80|12]771 .00 3.101171+ 1.201183) 95.00! 6115110! 8/10!10! »! 51 »|10| 15| 3) 3 » Ninar er 769.00! 81761.00/13]777.00! 16.601 3 6.00/28|/ 927.901 41117! 4! 8| 7113| »| 21 5] 2] 13] »|10 » Juillet... ....1770.00/30/765.00/19/775.00! 19.60110 9.40115| 29.801 8110! 9115113 5| »| 41 4] 2] 21] 1| 3 » AOU TES » » » ) » » » » » » DIET DID ED ED >| »| » » Septembre... : » » » » » » » » »| »| »| »| »| »[ »| »f >| » »| »| » » Octobre ...../761.60 25 750. °00 31773.20 9.20131— 4.00! 6] 22.401 7! 5| »| 38/12/18! »| 21 6) 7| 18| »| » D) Novembre...f762.50|131752.00| 11773.00 3.10! 8/— 7.00/20| 13.201 10! 71 3! 1! 3/11] 1! 11 4| 6] 143] 3] v » Décembre...1770.80| 21763.2012217:8.40— 2.70! 2}— 9.00! 4] 14.40! 5! 2] 4] 7111114] 2] 2] 6/14] 8] 2| » » { » | » » » » » D| D] D| »!1 »] »| D] »E »| » »| »| » RÉSUMÉ Des observations faites dans la commune de Beauvais, par M. ROUCHET, instituteur public. Année 1891. MOIS. Janvier... Février ... NTALS ENT Eanllee 20e NOUS Septembre. RC PRESSION Moyennes. 169.051 5 1775.00 18 CC Mae 20 JtiNe #22 JULIE ter Octobre .... Novembre... Décembre... 763 00/14 16:3.00/27 761.00! 9 767.05|10 764.05130 764 .00/22 767.05/13 758.05|24 162.05/14 164.00! 3 Minima. atmosphérique. Maxima. 1635.00 770.00 756.00 199.00 754.00 762.00 760.00 758.00 763.00 12 ) (a) ( 16 (0 18 D 13 16 714.00 781.00 780.00 771.00 768.00 779.00 169,00 770.00 772.00 748.00! 31769.00 159.00! 1170.00 756.00|20|772.00 TEMPÉRAT URE. VENTS Nombre de jours par mois. | H 2 , Maxima. = dealer + — Œ = SOS |+ == e Yi . = TERRE é),z 2 ==) AAHEACEIR à | | 1.0518/—15.0,31/-118.01 6! 71 41 1] 4! 5! 7] » 1.051 "9100/05/924)90 0116165107 16109160 470 8.05! 6! 1.00! 6! 46.01 8! 7! 41 4! 7! »| 9! » 141.25| 1 2.001916 90:51 21.5)-5| 8l 5 »| 31 9 14.05! 11 6.00/20! 93.0! 6! »| 5114! 5! 1! »| » 1900 4 0 OU ED ON OMIS IS MAI 9 SES 21.05|11| 13.00/12! 30.01 3! 910! 9! »| »| »! » 21.001923! 11.001141 31.01 »| 31 51151 4f 5| 9! » 20.50| 7| 11.00! 9! 20. 0! 3! »| 51 3! 41 9! 6! » 11.50131| 0.00! 21 21.0! 4! 6 »| 2)°0|FG\F AIS 7.00! 71—4.00!19! 48.01 31 6! »1 11 6! 61 4l 4 3.00|22 —7.00 1] 19-0918) A Ir7 | Sel): ETAT du ciel. LE à M AÉARÉ d | S | En] = | &p S|s|135131£ ea S) le) 2 DE PEN 8 OS 23 » 3 2) » 4| 71920! »| » ei 7I| #0 > MAS I20 MAI TIPAHENMNEES sl DMBIROIRE 118 HSM OEM) 9! G16! »| » 1Q10! 8! 2! » 6! 6|13| 6! » Eau tombée. RÉSUMÉ DES Observations des orages dans le département. Année 1891. un = e B © MOIS. em & SA A © S Le HAnVvier..." +. » Révrier.…. x » AS ne 1 | a (IL RRR » L LOTIR ERA a LÿI | | UT. 2. … 58 | Il Huiliet:.. .... 411 MOUÉ 2... 7 Septembre 3 Ectobre ..... 10 Novembre | 15 Décembre 9 Totaux 120 Ê : un u2 u | m| & |= 2 D | Er JE oO 2 [9% OBSERVATIONS. _ © e [ef] SE EE eee 5 ES SZ 1e » » »| Le 28 juin, la foudre est tombée sur 4 poteaux télégraphiques dans la commune de Beauvais. » » »| Le 28 juin, la foudre est tombée sur un peuplier dans la commune de La Vallée. » » 1| Le 18 juillet, la foudre est tombée dans un pré dans la commune de Geay, a tué une vache et » | » »' deux bœufs d'un an. | Le 15 novembre, la foudre est tombée dans la 7 9 1 commune de La Rochelle, | Le 14 novembre, la foudre est tombée sur des 20] A 5) 3 arbres dans la commune du Mung. US ; 3 »| 9) 1 | 4 6 » 1 8 6 | 1 » 1 IP USLT 4 Do PO de. SJ AS PA A 7 à LISTE DES MEMBRES De la Société des Sciences naturelles DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE. (DÉCEMBRE 1892) FEAR 7 6 Bureau. Président, M. En. BELTREMIEUX, (3%, | 6ÿ). . L.-E. MEYER, (A &ÿ). Vice- dents) Secrétaire, M. A. DoLLor. | M. F. Lusson, (I é?). Bibliothécaire et Secrétaire-adjoint, M. CH. BAsSET. Directeur-Conservateur, M. En. BELTREMIEUX, (%, [ €). Conservateur-Adjoint, M. Ch. BASSET. Trésorier, M. P. CASSAGNEAUD, (A Éÿ). Le Directeur-Conservateur est chargé du Muséum Fleuriau (Sciences naturelles et paléoethnologie du département), et du musée d’ostéologie. Membres Titulaires. Î ANDRAULT, cons. à la cour d’appel, Alger. AUCAPITAINE, (Baronne Suzanne). Bagur, E., fils, m. de l’ass. fr. av. des sc. BARBEDETTE, H., sénateur, cons. général, rue Faubourg Saint-Honoré 140 à Paris. BARTHE, ($), docteur en médecine. BassEeT,Ch.,nég., m. du L. av.dessc. BELTREMIEUX, Ed., ($, I &ÿ), m. de la Soc. géol. deFr. v. -P. +. cons. de Préf. BERGERAT, pharmacien. BerteauD, E. (%), dir. des contr. direct. BoISSELLIER, À. (R)ag. princ. adm. mar. m. de l’ass. fr. avanc. sc. c Rochefort. BouriroN, M. doct.-méd., à St-Xandre. BraRp, Er., (%, À €ÿ,) doct.-méd., m. de l’ass. fr. avanc. des sciences, BRoSSARD, À. pharmacien. BRuNAUD, P., m. de la Société bot. de France, à Saintes. CASSAGNEAUD, (À 6ÿ), Muséum La Faille. CHEVALLIER, Cam., négociant. ES à COINDON, A., employé de l’adm. ponts et chaussées. ConpamyY, Ad., m. de l’assoc. fr. avanc. des sciences. CORBINEAU, A., préposé chef, octroi. CORBINEAU, P. architecte de la ville. CounEau, Em. (fe, À 6h), gref. au Trib. civ. m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. GousrToLLe, Et. (#), ing. ponts et chaus- sées. conservateur du des — 170 — CREUZÉ, À., (%), dir. des contr. direct., en retraite. CuxaAuUD, G., pharmacien. DAvELUY, Ch., adm. des contr. directes, à Paris, Ministère des finances. DEFORGE, AÀ., avocat. DELAGE, (À &ÿ), professeur au Lycée. DELMAS, J., m. assoc. fr. avanc. des sciences. DoLLoT, A. entrepreneur-directeur des travaux du port de la Pallice. DrouEr (%), ingénieur en chef des ponts et chaussées, à Pau, Duany-SoLEr, doct. en médecine. Dupuy, L., (A &ÿ), prof. d’hist. au Lycée, membre de l’assoc. fr. avanc. des sc. Dusser, (#) commissaire de la marine. FAUSTIN, G., ($, %), armat., consul de Portugal. FLEURY, P. (A., &ÿ), pharm. à Marans. GARNIER, Fr., (% À &ÿ), maire de Royan, député, conseiller général, rue de la Trémoille, n° 7, Paris. GATAU, René, courtier maritime. GILLET, C., contr. princ. des contr. dir. à Joinville. GUILLEMOT, Ch., quai de la Mégisserie, 20, Paris. HiczcatrAUD, F., docteur en médecine. JOUSSET, pharmacien à Rochefort, m. de la soc. bot. de France. LAURENT, Gh., doct. en médecine. LECOQ DE BolISBAUDRAN, (%, À &ÿ), corresp. de l’Acad. des scien., m. de l’assoc. fran. av. des sc., Paris, rue de Prosny, 36. LÉRIDON, G., négociant, armateur. L’'EVÊQUE, Ed., négociant. LouvEz, G., (%, L &ÿ), préfet, à Blois, (Loir-et-Cher). Lusson, Fr., (I £ÿ), prof. phys. et chim. Lycée, dir. du laboratoire de chimie, m. de l’ass. fr. av. sciences. MarécuaLz, Gaston, répétiteur au col- lège Rollin, à Paris. MarsiLzy , A. de Commines de, à Paris, m. de l’assoc. fr. av. des sc. MarrTiN, Eug., imprimeur. MARTRE, E., Dir. des contr. dir., en retr., à Perpignan. Massiou, E. (I £ÿ), architecte, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. MENUT, À., (A &ÿ),contrôleur des douanes, enrefr, MESCHINET DE RICHEMOND, L., (I £ÿ, %), archiviste du département. MESNIER, Marcellin, pharmacien. MEYER, L.-E., (A &ÿ), courtier maritime. MicHAU, pharmacien. MiLLoOT, (A £ÿ), professeur au Lycée. MopELski, (#), ing. en chef des ponts et chaussées. Moreau, À., (0 %#), colonel, directeur du génie, à Bordeaux. MoreLay, L., bot., membre de l’associa- tion française, avanc. des sc., cours de Gourgues, 5, Bordeaux. OpiN, Amédée, pharmacien, aux Sables- d'Olonne. D'ORBIGNY, Alcide, (A &ÿ, %), armateur, m. de l’assoc. fran. avanc. sc., consul d'Italie. PÉRIER, Aug., courtier, m. de l’ass. fr. av. des sc. PIETTRE, professeur de sciences au Lycée. PizLOT, M., nég., m. de l’assoc. fr. av. des sc., à Montmorillon. Pouueray, L., sous-Préfet, à Jonzac. Purrey, doct. méd., inspec. du service des enfants assistés, à Digne. RepEUILH, N., (%) dir. des contr. direct., retraité, à Paris. RouviER , P. (%&) Conseiller général, à Surgères. RUBINO, AÀ., rentier. TERMONIA, (O %), docteur méd.-major dre cl. retr., place Champ de foire, 9, à Saintes. THURNINGER, Alb., (3%), ingén. chef ponts et ch., m. de l’ass. fr. avance. sciences. VIENNOT, Ing. des ponts et chaussées, Vivier, Alfred, (L &ÿ), juge hon., m. ass. fr. av. sc., boulevard Haussmann, 92, Paris. — A — Membres BERNARD, O., inst. Bois (ile de Ré). BoLLON, v. p. de la com. adm. des hos- pices, à Rochefort. - BouCHERIE, Michel, à Chez-Merlet, com. | de Bresdon, canton de Matha. BouRoN, nat. prép. Rochefort. Bourru, (0 %&), Dr méd., en chef, prof., Rochefort. BouscassE, (K), ing. civil, à Puilboreau. BouyEr , docteur-médecin , Cheray (Oleron). Buisson, prép. hist. nat. Châtel-Aillon. Buror, P., Dr méd., prof. à l’école de médecine, à Rochefort. CAILLAUD, naturaliste, à Châtel-Aillon. CoMBes, Dr, maire, Pons, cons. gén., sénateur. CourLLiaux, greffier de la just. de paix, Tonnay-Charente. DELABARRE, rec.-bural. des douanes, Saujon. DE SAINT-MATHURIN, St-Jean d’Angély. Agrégés. Foucaup, J., (A &ÿ), Jard. chef bot. mar., Rochefort, m. de la Soc. bot. de Fr. ESPAILLAC , conducteur des ponts et chaussées, St-Denis (Oleron). LAMOUREUX, méd. vétér. à Saintes. Maxës, Ad., (&), cap. retr. Saujon. Mure, Edm., négociant, à Surgères. NormAND-D’AUTHON ; P., la Martière (Oleron). PicHEez, docteur-médecin. PINEAU, Emm., Dr-m., Château-d’Oleron. RiGAuD, Ch. docteur-médecin, Pons. RomtEux, O, (&), capitaine de frégate, Rochefort. SIMON, receveur de l’enr. à Rochefort. TESSERON, instituteur en retraite, à Cra- zannes. THIBAUDEAU, lieutenant des douanes, à la Pallice. Vivier, Alph., avocat, à Rochefort. XAMBEU, ( L £ÿ, »K), directeur du labo- ratoire de chimie de Saintes. ! Membres Correspondants. ALLENET, lieutenant de vaisseau. ALLENET, chef de bataillon. ArNoux, Sosthène, professeur, Orléans. BARINE, Arvède, (madame Ch. Vincens, lauréat de l’Institut), à Paris. BAUDOUIN, pharmacien, Cognac, m. de l’assoc. fr. av. des sc. BayLe, (%), ing. en chef des mines, en retraite, à Paris. BéparT, doct. méd., Bordeaux. BÉNÉDEN, Van, docteur, prof. à l’Uni- versité, Louvain. BERCHON, (%, X, À £D), méd. princ. de 4re cl. de la mar., en retr., Pauillac. BERGERET, past. à Baussais, Deux-Sèvres. BERNARD, Aug., à Poitiers. BERNARD, Georges, ($), ph.-maj., m. de l’as. fr. av. des sc., Paris. BERNARD, Gabriel, contr. princ. des contr. directes, au Hâvre. BERTHAUD, prof. de physique, Mâcon. Borzor ((I £ÿ), prov. du Lycée, Mâcon. BonJEAN, Félix, à Lyon, économiste. BorRDAGE, Edm., boursier à la Faculté des Sc., à Lyon. BoREAU, géologue, Parthenäy. BOULANGIER, ing. des ponts et chaussées. BouLLAND, H., doct. en méd., à Limoges, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. BouQUET DE LA GRYE, (O0 %&), ing. hyd. en chef, m. de l’assoc. fr. av. des sc., m. de l’Institut, Paris. BouRGUIGNON, O., pasteur à la Mothe Ste-Héraye. Bover, Alfred, prés. de la société d’ému- lation, Montbéliard. CamPEAU, J. R. E., président de l’insti- tut français-canadien à Ottawa. Camus, pharm., boul. St-Marcel, Paris. CASTAN, officier d'artillerie. CHABERT, ÀA., (%), médecin principal de re classe, à Lille. CHAMPENOIS, inspecteur des forêts. CHARLET, Bernard, à Luze (Basses-Pyr.) GHARTRON, recev. de l’enr. Luçon. CHASTEIGNER, (Cte Alexis de), Bordeaux, membre de l'association française pour l’avancement des scienges. CHAUVET, not. à Ruffec, m. de l’assoc. fr. av. des sc. CLARET, docteur-médecin, Vannes. ConNDAMY, ex-pharmacien , Angoulême. CONTEJEAN, (%), doct. ès-sc., prof., à la Faculté, retr., à Montbellhard. CoTTEAU, (%, I ÉD), juge hon., Auxerre, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc., anc. prés. de la Soc. géol. de France. COURÇONNAIS, Ch., (I £ÿ), insp. d’acad. en ret., à Limoges. CRAHAY DE FRANCHIMONT, (X) ing. Bor- deaux. DaNGiBAUD, (0 %#), sous-direct. au min. de la marine, à Paris. Dassy, Ferd., préparateur de physiologie à la faculté de médecine, Paris. DAUBRÉE, (C $, I &ÿ), insp. gén. des min. membre de l’Institut, Paris, m. de l’assoc. fr. av. des sc. - DE GREssoT, (0 &), général d'artillerie. Deravaup, (0 %,16ÿ,>%), Insp., hon. ser. santé, rue de la Boëtie, 5, à Paris. DELFORTRIE, prés. de la Soc. linnéenne, Bordeaux. DELHOMEL, rue de Verneuil, 40, à Paris. DocTEUR, A., négociant, Bordeaux. D'Ounous, à Saverdun (Ariège). Drougr, m. de la Soc. acad. Troyes. DRoOUINEAU, G., (A £ÿ), Dr, insp. génér. de l’assistance publique, r. de Navarin, 15, à Paris. DuFFoRT, pharm., à Angoulême. Dupré, (%, I. {ÿ), inspecteur de l’Aca- démie, Paris. DuvaL-LAGUIERCE (%), colonel du génie au ministère de la guerre, Paris. Ecx, André, pharm. Nogent-sur-Marne. ENSCHÉDÉ, A.-I., (O ©), arch. bibl. à Haarlem. Fée, F., (%), méd. prince. de re cl. dir. du service de santé, 11e corps. Fixes, Dr., dir. de l’obser. météor, Per- pignan, m. de l’ass. fr. av. des sc. FOURNIER, À., préposé aux collections d'histoire nat. à Niort. GagoriT, pharmacien, Nantes. GALLES, ancien conseiller de préfecture. GAMIN, instituteur, à Piedblane, près Niort. GARNAULT, (A &ÿ), prof. d’hydro. Brest. GauprY, Albert, (%), membre de l’Instit., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. GAUTIER, L., doct. en médecine, Melle. GARD, pr.zool., m. de l’as. fr. av. des sc. GIRAUDEAU, Ed., D'-m., ex-int. deshôpit., Paris. Goop, Paul, médecin de la Marine. GourRUT, docteur ès-sciences, Niort. GuiLLAUD, Dr., prof., fac.méd., Bordeaux, m. de l’assoc. fr. av. des sciences. GuiLLon, (), dir. Cont. indir., en re- traite, Angoulême. Gyoux, doct. en médecine, Bordeaux. HuGues, Edm. (0 %, I £ÿ), sous-Préfet aux Andelys. Hy, F., abbé, membre de la Soc. bot. de France, Angers. JAY, HON, JoHN, anc. ministre plénip., à New-York. Jouan, (0 %, I £ÿ), cap. vaisseau, en retraite, Cherbourg. JouRDAIN, doct. ès-sc., Paris. Jousser, docteur-médecin, Lille, rue de l’Orphéon, 16. JOUSSET DE BELLESME, dir. des établiss. piscicult. Paris, m. de l’ass. fr. av. sc. LABEYRIE, insp. prim. à Tulle. LABOULBÈNE, (O0 %, À &ÿ), pr. à la fac. de méd. de Paris, m. de l’Acad. de méd., à Paris. LALANDE, Philibert, secr. gén. Soc. sc., hist. et arch. de la Corrèze, Brives. LATASTE, Fernand, secr. géné. de la soc. scientifique du Chili, Santiago. Lecouts, prof. de zool,, éc. norm. Paris. LEMOINE, doct. prof., école méd. Reims, m. de Pass. fr. av. des sc. LETELLIER, prof. Alençon. LIÉNARD, secrétaire perpétuel de la Soc. d’émulation de Verdun. 76 : — 173 — LorioL (de), géol. chalet des Bois, près Genève et à Frontenex, Suisse, m de l’assoc. fr. av. des sciences. LupAwski, (Cte Alex. de), (G CG 5), aca- démicien à Viazma, province de Smo- lenska, Russie. LOURDE, pasteur, à Espérausses (Tarn). Ly-CHA0-PÉE, (A &ÿ, 2%), mandarin et lettré chinois, attaché à la mission scient. en Europe. MaLINvaUD, Er., secr. général de la Soc. bot. de France, à Paris, rue Linnée, 8. ManTovant, Paul, naturaliste, Rome. ManTovaANI, G., naturaliste, Rome. Marçais, Ed., secrétaire général de la société française de botanique, rue Ninau, 19, Toulouse. Maurras, Em. Villegouge, par Castelnau de Médoc, Gironde. MazuRE (%, I &), insp. d’acad., retraite. Mica DE CABARIEU, H. (0 %&, I £ÿ), ancien préfet, Cabarieu (Tarn-et-Garonne). Mizxe-Epwarps, ($%) Alph. m.de l’inst., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr., avanc. des sc. MOULLADE, Alb., pharmacien major de re classe, à Alger. MOULLADE, pharmacien au Puy. PAPIER, A., prés. de l’acad. d'Hippone. PERRIER, Fdm. , prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. DE PorTaz, Louis, à Montauban. RaGonA, Domenico, (CG. %), dir. obser- vatoire, royal Modène. RAMONET, ag. ad. de la Marine, Ruelle. ROCHEBRUNE, A. (de) doct., aide-nat. au muséum, à Paris. Rousseau, Philéas instit., à La Verrière de Bruffieric (Vendée). RouxEL, prof. de physique. Rouy, G. ($), memb. de la Soc. bot. de France, Paris, rue Condorcet, 66. S'ehelin, L. (0 %, I £&ÿ,) Préfet à Nancy (Meurthe-et-Moselle. SURINGAR, W. E. R. (0 X,) prof. uni- versité, Leyden. SILVA, le ‘commandeur J. da, (0 %, I €), arch. du roi de Portugal, m. de l'Ins- titut de France, Lisbonne. TASLÉ, (#), ancien notaire, Vannes. TILLET, Paul, professeur d'histoire natu- relle, à Villeneuve-sur-Saône. TRIGANT-BEAUMONT, (Madame), botaniste. VENDRIËS, employé au ministère de l’ins- truction publique, Paris. Viaup-GRanp-Marais, docteur-médecin, Nantes. VILANOVA, J., prof. paléont. à l’univer- sité de Madrid, m. de l’as. fr. av. des sciences. VINCENT , (I Éÿ), insp. prim., Paris. VINCENT, pharmac., à Angoulême. WŒLFFLE,agent-voyer d'arrondissement Civray. LABORATOIRE MUNICIPAL DE CHIMIE AGRICOLE, INDUSTRIELLE, MÉDICALE, ETC. CONSEIL D’'ADMINISTRATION : MM. BELTREMIEUX, Ed., (%, [ €), prés. de la Soc. des Sc. nat., Président. Lussow, F. (I £è), prof. agrégé des sciences au Lycée, v.-prés. de la Soc. des Sc. nat., Chimiste, Directeur-Conservateur ; PIETTRE, prof. agrégé sc. Lycée, m. de la Soc. des Sc. nat., Chimiste-Adyt. Conpamy, Ad., m. de la Soc. des Sc. nat. Micaau, pharm. de 1re classe, m. de la Soc. des Se. nat. GREEN DE SAINT-MarsauLT (Cte Edm.), Président de la Soc. d’Agricul. LAURENT, Ch., vice-président de la Soc. de Méd. COMITÉ DE BOTANIQUE SOCIÉTÉ ROCHELAISE POUR L'ÉCHANGE DES PLANTES FRANÇAISES. EAAS MM. BELTREMIEUX, Ed., (%, I £), v.-prés. du conseil de préfec., Président. Lusson, F. (I &ÿ), prof. de sciences au Lycée, Secrétaire-Trésorier. CREUZÉ, Am. (%,) dir. des contr. dir. en retraite. Foucaup, J. (A &},) jardinier chef botaniste de la marine, à Rochefort. JOUSSET, pharmacien, à Rochefort. MESNIER, M., pharmacien. MicHAU, pharmacien. TERMONIA, (O0 $&), doct. méd. major, 1re classe en retr., Saintes. THIBAUDEAU, lieutenant de douanes. SOCIÉTÉS CORRESPONDANTES. >O<— FRANCE. LIRE NN Ministère de l’instr. publ., comité des trav. sc. et soc. savantes. (Envoi de 5 volumes d’annales. eo de Minist. de l’instr. publ., musée Guimet. (Envoi de 1 vol, annales). ... Académie des se., agric., arts et b.-lettres, Bouches-du-Rhône, RSR... ... …. Société scientifique et littéraire. Amiens. ........... . Société linnéenne du nord de la France. PADDeES. ............. Société d’études scientifiques. A 1... Société nationale d'agriculture, sciences et arts. -.…. ... Société industrielle et agricole d'Angers et du Maine-et-Loire, nn Juuunue . Société d’horticulture du Maine-et-Loire. DUR... Société d'histoire naturelle. Muxerre......... ….. Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne. ReYONDC........... . Société des sciences et arts. Meaune............. Société d'histoire, d'archéologie et de littérature. DOMOrt ......... .. Société Belfortaine d’émulation. BEZIers ...... ... ... Société scientifique, archéologique et littéraire. . Académie d'Hippône. pordeaux. .......... Académie nationale des belles-lettres, sciences et arts. M Lt... Société linnéenne. a .… Société des sciences physiques et naturelles. Re .,.... Société d'anthropologie de Bordeaux et du Sud-Ouest. M. .... .. Société archéologique. . Société académique. RE , .. Société scientifique, histor. et archéo. de la Corrèze. Châlons-sur-Marne. Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne. Chambéry .......... Académie des sciences, lettres et arts de Savoie. Cherbourg........ . Société des sciences naturelles. .. Société de Borda. Draguignan......... Société d’études scientifiques et archéologiques. Hrenoble............ Académie delphinale. RE .. Société des sciences naturelles et archéol. de la Creuse. De Havre ........... Société nationale hâvraise d’études diverses. LES ... .. Société des sciences et arts, agricoles et horticoles. D OUTeS. .......... Société historique et archéologique. ........ Société d'agriculture, sciences, arts et commerce. $ .... …. Société agricole et scientifique de la Haute-Loire. | CMOMCLONONCNCIE à CRC SCENE Lille. RE Marseille............ Montauban Montbéliard. Montpellier......... Nantes Ne else e ns verse OCR REC etage {a clap ss tee CCC CCC CE OCR RCE Perpignan .. Privas... ...... eos vo su sv eltie _...... Rochechouart .. TA. Fe Rochefort. CCC Toulon ... Toulouse ne CCC ed ve shoes ss... Verdun ...... id. . Société archéologique. | Société d'histoire naturelle. — 176 — Société géologique du Nord. Société Gay-Lussac. Société de botanique du Limousin. Société d'agriculture, d'histoire naturelle et des arts utiles. Société littéraire, historique et archéologique. Société historique et archéologique du Maine. Société scientifique flammarion. Académie des sc., belles-lettres et arts du Tarn-et-Garonne. .. Société d’'émulation. Académie des sciences et lettres. Société académique. Société des sciences naturelles de l’Ouest et muséum. Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes. Académie nationale du Gard. Société d’études des sciences naturelles. | Société de statistiques, sciences, lettres et arts. | Société de botanique des Deux-Sèvres. | Bibliothèque scientifique de l'Ouest. | Association française pour l’av. des sc., rue Serpente, 28. Ecole polytechnique. Société géologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. Société zoologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. Société botanique de France , rue Grenelle-Saint-Germain, 84. Société académ. indo-chin. de France, rue du 4-septembre, n° 9. Société de la Revue des sc. nat., de l'Ouest, boul. St-Germain, 14. Société des sciences, lettres et arts. Société agricole, scientifique et littér., Pyrénées-Orientales. Société d’agr., industrie, sciences, arts et lettres de l’Ardèche. Académie nationale. Société d'étude des sciences naturelles. Société des amis des sciences et arts. Société de géographie. Société des amis des sciences. Soc. d’agric., indust., sciences, arts et b.-lettres de la Loire. Académie du Var. Académie des sciences, incriptions et belles-lettres. archéologique du Midi de la France. académique Franco-Hispano-Portugaise. des sciences physiques et naturelles. Société française de botanique, rue Ninau. Société acad. d’agric. des sc., arts et belles-lettres de l'Aube. Société polymathique du Morbihan. Société philomatique. Société des sciences naturelles et médicales, de Seine-et-Oise. Société des sc. morales, des lettres et des arts de S.-et-Oise: Société Société Société . Société d'agriculture, sciences et arts de la Haute-Saône. . Société des sciences et arts. ALSACE-LORRAINE. Société d'histoire naturelle. Société d'histoire naturelle de la Moselle. Société d’horticulture de la Basse-Alsace. .. Société des sciences, agriculture et arts de la Basse-Alsace. , ALLEMAGNE. 5... Société des sciences naturelles, naturwissenschaftlichen vereine. Brunswick...... ... Société d'histoire naturelle. Rensen ....... ..... Société d'histoire naturelle et méd. de la Hesse sup. Oberhessis- chen Gesellschaft fur natur-und Heilkunde. Kœnisberg.......... Société physico-économique , Koniglichen physikalich-okono- mischen Gesellschaft. Halle-sur-Saale..... Académie imp. Léopoldino-Carolina des naturalistes. (Prusse.) BLandshut........... Société botanique. (Bavière). * ANGLETERRE. Houdres............. British museum (natural history), Cromwell road. -Manchester....... . Sociétélittéraire et philosoph., litterary and philosophical sociéty. AUTRICHE. Vienne .............. Musée d'histoire naturelle impérial et Royal, 1, Burgriny, natur- # historischen hofmuseums. BELGIQUE. k Bruxelles ........... Société royale malacologique de Belgique. 5 | SÉRIE ..... ... Société royale de botanique de Belgique. | CANADA. HORDE Société d'histoire naturelle. CRE Société historique de Montréal. ... Institut Canadien-français. .. Université Laval. .. Canadian institute. re Nova scotian institute of sciences. CHILI. PRET AE . Société scientifique du Chili. ETATS-UNIS. .. Académie des sciences naturelles, academy of natural sciences. .. Académie des arts et des sciences de conneticut ; academy of arts and sciences. ... Société philosophique américaine, américan philosophical sociéty. te ROCK 0e m6 eee Société historique de l’état du Kansas ; State historical of the Kansas. CIE EN RS RE .... Académie des sciences du Kansas ; académie of sciences of the Kansas. St-Louis, M O...... Missouri botanical Garden. Washington. ...... Société géologique des Etats-Unis ; Smithsonian institution. id. D. G...... Société des régents de l'institution Smithsonienne ; united, states géological Survey. id. D. GC...... Bureau d’éthnologie; bureau of ethnology. LUXEMBOURG. Luxembourg........ Société de botanique du grand duché. ARE. Dites ARR: . Société des naturalistes luxembourgeois. MEXIQUE. HACUDAVAL A Tee Observatoire astronomique national ; observatorio astronomico. NORWÈGE. Christiania ... ..... Université royale de Norwège, PORTUGAL. | PORÉOS ASE ... -. Société de géographie commerciale ; sociedade de geographia commercial. RUSSIE. Helsingiors ...... ... Société zool. et bot. Finlande ; pro fauna et pro flora Fennica. Hievw, ct. ........... Société des naturalistesà l’université impériale de Saint-Wladimir ; Kievskoie Obschestvo Estestvo Ispytateley. Moscou.............. Société impériale des naturalistes. SUÈDE. Stockholm ...... .... Académie royale des belles-lettres, d'histoire et des antiquités | Kongl. Vitterhets historie och antiquitets akademien. SUISSE. Berne ...... s.0..... SOCiété des sciences naturelles. ie CSN ne ...... Société des naturalistes ; naturforschende Gesellschaft. | HERVE SEUL. .. Société de physique et d'histoire naturelle, Lausanne ........... Société vaudoise des sciences naturelles. | Neuchätel.......... . Société des sciences naturelles. | Compte-rendu de la Société des Sciences naturelles, par M. DE RICHEMOND......... Din dt TA EEE ee JA de Quaitrefages de Bréau.n. "1e... Discours prononcé aux obsèques de M. de Quatrefages, PAM NENE D DWARDS MER Re Le coke. Excursion géologique à Angoulins ; rapport par M. Ch. LEA ERS PARA RE Pr EE SR OPEE : Gers QE Excursion botanique à Angoulins ; rapport par M. TER- LL ONE Ho SE RE RER EEE Er ne Excursion botanique au Port-des-Barques ; rapport par PAMOUSSET, 1... CARE RTE ANCIENS SAR Excursion géologique au Port-des-Barques ; rapport par PROS ERETER A unten np es cie no o4 « Excursion géologique à Brou, près St-Sornin ; rapport RE DOLLOT ES, MUR DEN RP SAN TES Excursion botanique à (Gadeuil ; rapport par M. E. SELS ST RM Eee DUO CRT CPR Excursion botanique à l’île d’Oleron ; rapport par M. E. JOUSSET:. mr ae NC D neue SO ÉERE Pages. 19 53 59 63 Pages. Glanules mycologiques. — Herborisation dans la Cha- rente-Inférieure, par M. Paul BRUNAUD............. 67 Notes sur les plantes distribuées par la Société de bota- nique Rochelaises. #44 1. 7.00. ST TO Sa TOUR 83 Trois fêtes Rochelaises, par M. DE RICHEMOND......... 95 Laboratoire municipal ; rapport par M. Lusson......... 107 Observations météorologiques. ......,... sARRES ce UE Liste des membres et des Sociétés correspondantes, . ... 169 : ï ? J ÿ { js : v 0 ag sa + ‘ AL CUT NE Ce ni x RPPERL AU NE k À Re 4 RNA \ f np LME #7 Fe SOCIÉTÉ DES | SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-JNFÉRIEURE 2 ANNALES DE 18598. LA ROCHELLE Typ. E. MARTIN, S' DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ESCALE, 20. 1893 ANNALES SOCIÈTÉ DES SCIENCES NATURELLES LA CHARENTE-INFÉRIEURE ne 1 et La Société des Sciences naturelles a été reconnue établissement d'utilité publique par décret du 4 septembre 1852. ACADÉMIE DE LA ROCHELLE SOCIETE DES SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-]NFÉRIEURE 20 ANNALES DE 182%. : LA ROCHELLE Type. E/MaARTIN, S' DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ESCALE, 20. 1893. 8 en, L " vu N \ , d où pe ere ape PTE PE / | d % r # PC 1 1 | FA | le te 0 Je Le . \ ww # © 2 2e 7 [1 2 F : 2 + f: L fi toi ET NI ANS ALTE Ll'aTTETOE AT AR eee - SE EN TS. Lie - 2 HV DRE x nt os 1 F x, de Le: T à ès FACE , B ir 1: tte 2 Lt RE ANT COMPTE-RENDU DES TRAVAUX DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE PENDANT L'ANNÉE 1892. MESSIEURS, Avant de vous lire le compte-rendu des travaux de notre Société, permettez-moi d’adresser à M. de Riche- mond, en notre nom à tous, nos remerciments les plus sincères pour le concours dévoué qu’il a toujours apporté à notre Société et l’expression de tous nos regrets de le voir contraint d'abandonner, pour cause de santé, ses fonctions de secrétaire. Et maintenant, Messieurs, je tiens à vous remercier de l'honneur que vous venez de me faire en me dési- gnant pour lui succéder. Ce n’est pas sans une certaine appréhension que j’entreprends pour la première fois le compte-rendu annuel de vos travaux, aussi, Je viens PART en conséquence, réclamer toute votre indulgence pour la sécheresse inévitable de mon récit. J’appellerai d'abord votre attention sur les travaux remarquables, terminés ou en préparation, qui font le plus grand honneur, non seulement à leurs auteurs, mais aussi à notre Société. M. Boissellier, consacrant tous ses loisirs et ses veilles à la révision de la carte géologique du département, nous à fait hommage, cette année, de la feuille au 1 ‘ S0:000 de La Rochelle. Il vient de terminer celle de Fontenay, qui complétait ainsi, avec les cartes de la Tour de Chassiron et des Sables, que nous possédons déjà, un rectangle de 128 kilomètres de longueur sur 80 de largeur, soit environ 5,000 kilomètres carrés de terrains étudiés ; sans compter les périmètres relevés pour raccords avec les feuilles voisines et les documents inédits. M. Foucaud ajoute chaque année à nos herbiers de nouvelles plantes. Il vient d'entreprendre, avec M.Rouy, la publication d’une nouvelle Flore française, au cou- rant de toutes les découvertes. Les premiers fascicules paraitront dans nos prochaines annales, aujourd’hui sous presse. | M. Charles Basset vient d'obtenir pour ses impor- tants travaux microphotographiques appliqués aux sciences naturelles, une médaille d’or à l'exposition du Palais des Beaux-Arts, à Paris. Ses remarquables séries d'épreuves ne laissent aucun doute sur la supériorité des microscopes français, considérés si longtemps comme inférieurs aux étrangers. Enfin, M. le docteur Brard vous a entretenu de ses Ds experiences et des résultats thérapeutiques extraordi- naires qu'il vient d'obtenir à l'hôpital civil de La Rochelle par les injections hypodermiques des liquides extraits d'organes animaux selon la méthode du doc- teur Brown-Séquard. Indépendamment des ouvrages périodiques sur la séologie, la botanique et la zoologie qui nous parvien- nent chaque année, des sociétés françaises ou étran- gères, ou par abonnement, nous avons reçu en don ; De la société de Stockholm : 4° Teckningar ur Svenska statens historiska Museum. par Hildebrand. Atlas, séries IV, V, VI, in-folio. 20 Kongl Vitterhets historie och Antiquitets Acadé- miens, Mânadsblad Stockholim, 1885 à 1889, 5 vol. in -8°. Le monde des plantes, par H. Léveillé et M. A. Sada. Mémoires de la Société de physique et d'histoire naturelle de Genève. Séance de la célébration du Cen- lenaire de sa fondation, 1891, in-4°. Revue des travaux scientifiques : Musée Guimet. Annales, in-4°, tomes 19-20-21, 1891 et 1892. Musée Guimet. Revue de l’histoire des religions, tomes XIV, XV, n° 2 et 3, XVI, n° 1, 1891. Musée Guimet. Introduction au catalogue. Aperçu sommaire de l’histoire des religions des anciens peuples civilisés, par M. de Milloué, 1891. Le Reg-veda, grand in-8°, tome [, {re partie. La Faune de la Société des Naturalistes Luxembour- weois, janvier 1892, ne 1. Documents relatifs à l’unification de l’heure, Ottava, 1891. ER Discours Janssen et L. Bourgeois au Congrès des Sociétés savantes, juin 1892. De M. Beltremieux : Etudes sur les mollusques des-couches coralligènes inférieures du jura Bernois, avec planches, 3° partie, par M. de Loriol. Les plissements des terrains secondaires dans les environs de Poitiers, par M. J. Welsch. Profil géologique du chemin de fer d’Angoulème à Marmande, par M. H. Arnaud, géologue à Angoulème. Et nous avons acquis : Muscologia Gallica (mousses de France) de Husnot, 10e livraison, 1892. Eléments d'anatomie comparée par Rémy Perrier. Paléontologie des terrains tertiaires éocènes de Paris, par M. Maurice Cossmann, 5° et dernier vol. M. Couneau, qui nous représentait au Congrès des Sociétés savantes, à Pau, a remis, pour la bibliothèque, l’ouvrage que cette ville offrait à tous les membres de l’association. Notre président, M. Beltremieux, a donné lecture de la circulaire ministérielle relative aux réunions de la Sorbonne en juin dernier. M. Foucaud a bien voulu accepter notre délégation. Nous avons admis avec empressement la demande de M. F. Lataste, secrétaire général de la Société scientifique du Chili, à Santiago, d’entrer en corres- pondance et de faire l'échange des publications. M. Lataste, Erpétologiste distingué, est venu à La Rochelle, visiter le Musée Fleuriau. I! est l’un des fondateurs de la Société zoologique de France. ES Répondant à l'invitation qui nous a été faite au nom de la Société de géographie, nous avons assisté à l’in- téressante conférence de M. Harry Allis sur la conquête du lac Tchad. Sur la proposition de notre Président, nous avons choisi cette année pour encourager l’étude des sciences naturelles au lycée, les mammifères, par Carl Vogt, à décerner comme prix au meilleur élève. M. Beltremieux énumérant les ouvrages reçus, nous . en a signalé les passages les plus marquants et nous a donné notamment d’intéressants détails sur les sujets suivants : |; Recherches anthropologiques dans le Caucase, par M. Chantre. Dans son traité, M. Chantre aborde d’abord l’époque paléolithiques ; il recherche l’origine de l’homme. Bien que l’anthropopithèque appartienne à l’époque tertiaire on en trouve des traces dans es dépôts lacustres du Caucase. [1 donne des coupes de la région, indique la présence d’Elephas primigenius d’ursus spelœus, de cerf, etc. La forme des dolmens y est très variée ; dans l’un d’eux on a trouvé des fragments de squelette. Le pays est riche en minerais de fer et de cuivre. Il semble démontré que c’est dans la période néolithique qu’ap- paraissent les animaux domestiques et simultanément comme plante textile : le lin. M. Chantre consacre aussi un chapitre à l’âge de bronze, accompagné d’un atlas des objets trouvés, et termine par des considérations sur la civilisation du premier âge, tome IIT, période historique, époque secythobyzantine, tome IV, population actuelle du Caucase. = 10 Revue des sciences de l'Ouest. Note sur les chevaux polydactyles. Correction du calendrier par M. Boutigny. Perte des fusains par les gelées. Le Courevite Isabelle, oiseau de passage accidentel, originaire des déserts de l'Egypte. M. Beltremieux nous a montré cet oiseau qui fait partie depuis longtemps du Muséum Fleuriau. Il à rappelé qu’il existe également au musée un squale gris et semblable, mais plus petit, que celui capturé aux environs de Rochebonne. Ce dernier, que l’on montrait comme curiosité sur la place d’Armes, mesurait 3°65 en longueur. M. de Richemond nous a fait une lecture fort inté- ressante des Trois fêtes rochelaises en 1372, 1615, 1796. A la demande de notre Président, l'impression de ce document dans les Annales de La Rochelle a été votée à l'unanimité. Le compte-rendu des travaux de la Société pendant l’année 1891, n'ayant subi aucune objection, son inser- tion dans les Annales a été également décidée. M. Foucaud, dont les recherches sont rarement infructueuses, nous a montré deux plantes nouvelles qu'il a découvertes dans la Charente-Inférieure ; l’une que M. Hackel lui a dédiée est le Glyceria Foucaudi. Ce glyceria croit aux bords de la Charente, dans les envi- rons de Rochefort et entre Fouras et Yves; l’autre est un agrostis nouveau pour la France, l’A. Castellana, V. mixta Hackel. | | Au sujet d’un projet de Réforme de la nomenclature botanique adressé à notre Société par M. Alfred Régnier, de Marseille, M. Foucaud, à la demande de notre Pré- sident, nous en a fait une analyse complète. M. Régnier propose comme types les dénominations linnéennes qui NU = ont été conservées jusqu’à nos jours et remplace par des désinences grecques les désinences actuelles. Nous avons été unanimes à partager l’opinion de M. Régnier sur la nécessité d’une simplification de la nomenclature et de la suppression progressive de la synonymie, mais nous n'avons pas trouvé suffisantes les raisons données par M. Régnier, pour rompre quant à présent, l’état de choses uaiversellement admis jusqu'alors. M. Foucaud nous a démontré que l'Œnanthe, signalé sous le nom d’Œn, peucedanifolia (Poll.) dans quelques départements de l'Ouest, appartient indubitablement à l'espèce Œ. Silaïfolia (Biel). Pour faire cesser la confusion qui a dù avoir lieu sur bien d’autres points de la France, il a prié divers cor- respondants de lui procurer les OEnanthes de leurs environs dans le but de connaître l’aire de dispersion de cet Œnanthe Silaïifolia et de publier une note à ce sujet. Les dessins et plantes desséchées mises sous nos yeux, ne nous ont laissé aucun doute sur ces deux espèces bien différentes que l’on rencontre partout en France. M. Lusson, dès le début de l’année, a appelé notre attention sur les analyses agricoles d’engrais, entre- prises au compte de divers syndicats et les augmenta- tions des chiffres du laboratoire de La Rochelle, com- parés à celui de Saintes. Le nombre, sans cesse crois- sant des analyses, justifie de plus en plus les services rendus par notre laboratoire. Passant en revue les comptes-rendus de l’Académie des sciences, M. Lusson nous à toujours vivement ui 19e intéressés par les nombreuses communications qu’il serait bien long d’énumérer ici. Je vais cependant vous en indiquer quelques-unes : Régimeanormal de la sardine en 1890, par M. Georges Pouchet. La pêche a été très variée sur nos côtes, par- ticulièrement en Bretagne, où elle s’est continuée jusqu’en décembre. La Flore pélagique des îles Feroë (par Georges Pou- chet). | Sur un échouement de cétacé dans la 113e Olympiade (par M. G. Pouchet). Contribution à la connaissance des climats Sahariens (G. Rolland). j Sur un passage de Strabon relatif à un traitement de la vigne (Aubley). Le système nerveux des néritides Nerita plexa, Chemnits, nerita polita Linn. Nerita Petiti Reclus et Navicella Janelli Reclus. : Sur les caractères ostéologiques d’un Mesoplodon Sowerbyensis mâle, échoué récemment sur le littoral de la France (P. Fischer). Sur la détermination de la densité des gaz liquifiés et de leurs vapeurs saturées (E. H. Amagat). Méthode d’analyse immédiate des extraits chloro- phylliens. Nature de la chlorophyllane (A. Etard). Influence de la nature du terrain sur la végétation (J. Raulin). Présence de la fumarine dans une Papaveracée (J.-A. Battandier,. Sur quelques anomalies musculaires chez l’homme (Fernand Delisle). — 13 — + Sur l’immobilité des eaux océaniques profondes (J. Thouler). Sur le Bramus, nouveau type de rongeur (Pomel). Fossiles des phosphorites quaternaires de la Berberie sur la glacière du Creux-Perré (Côte-d'Or). (E. A. Martel). Observations météorologiques sur l’édicule placé au sommet du Mont-Blanc (par M. Janssen). Superficies absolues et relatives des divers groupes de terrains géologiques étudiés dans les diverses parties du monde (Al. de Tillo). : Perturbations magnétiques des 13 et 14 février 1892 (Moureaux). Le criquet pèlerin et ses changements de coloration (Kunkel d'Herculaïs). * Recherches sur l’adhérence aux feuilles des plantes et notamment aux feuilles de la pomme de terre, des composés cuivriques destinés à combattre leurs mala- dies (Aimé Girard). Sur une nouvelle carte des courants de l'Atlantique Nord (Prince Albert de Monaco). Sur une tache solaire observée à l'Observatoire de Meudon du 5 au 17 février (Janssen). Sur la vitalité des germes des organismes microsco- piques des eaux douces et salées (Certes). Culture artificielle des diatomées (par M. Micquel). M. le docteur Termonia qui a toujours eu un culte pour la botanique, nous à montré quelques plantes des plus intéressantes, recueillies par lui dans le Var, aux environs de Toulon et Hyères. Ce sont des plantaginées, Astragalus tragacantha, L; Thrincia tuberosa, D. C; Arabis muralis (gorges d'Ollioules) ; Saxifraga hypnoi- des ; Bisereulla pelecinus; Specularia pentagonia, D. C.; Echium creticum L.; Viola palescens ; Biscutella cicho- riifolia (Var) hispida ; Hesperis laciniata, D. C. ; Allium triquetrum, L. ; Serapias neglecta ; Papaver setigerum, D. C.; pied du mont Fenouiller, près la Crau d’Hyères (Var); Linaria Simplex, D. C.; Anemone hortensis, L. : v. a. Stellata, etc. Nos séances ont été souvent remplies par les lectures d'extraits choisis par M. le docteur Termonia dans la Revue scientifique. Voici quelques-uns des sujets analysés : Régime végétal (Transformisme), Biologie de la sole, Explications de la droiterie et de la gaucherie, par M. de Beuzé. Pourquoi l’on est droitier, par M. Mazel. L'instinct pour défendre le cœur porte à se servir du bras droit plus que du bras gauche. Traitement de la morsure des serpents à sonnettes. La production du carbonate de chaux par les ani- maux, d’après MM. Hirine et Sims Woodheat. Conditions de développement des plantes et des animaux suivant le milieu dans lequel ils vivent. La nature des feux follets, par M. Durand Gréville, leur durée, leur inflammabilité, l'impossibilité actuelle de les reproduire artificiellement. Les époques géologiques. Discours d'ouverture du cours de géologie au Muséum d'histoire naturelle, par M. Stanislas Meunier. — La question des anciens glaciers. Divergences de vues entre M. Stanislas Meu- nier et M. de Lapparent. La stérilisation de l’eau. M. Babin Daremberg préco- nise les réactions chimiques précipitant les microbes. LUS ee Il recommande l'emploi du sulfate de chaux, du sulfate de fer, de l'oxyde de fer hydraté ou de l’alun. Après 3 jours on décante, et sur 1,200 grammes par €. ©., il n’en reste pas 20. Les microbes des eaux minérales. — MM. Colin et Toman ont constaté dans l’eau de Vichy 572,000 germes par centilitre à la source de la Grande-Grille, 694,000 à celle de l'Hôpital. Les sources les plus chaudes en contiennent le plus. Les eaux tièdes et froides n’en renferment que quelques milliers. Vaccinations anti-rabiques à l’Institut Pasteur. En 1886, sur 2,671 personnes traitées, la mortalité a été de 0,94 pour cent. En 1891, sur 1,559 personnes traitées, elle n’a été que de 0,25 pour cent, soit une moyenne, 0,57 pour cent. Nouvelles expériences de vaccination contre le cho- léra. M. Ferran, médecin à Barcelone, revendique la priorité des découvertes au sujet de la prophylaxie du choléra. Il à obtenu des résultats concluants, soit par inoculation, soit par absorption de quelques gouttes du bacile virgule. M. W. Hafikim, médecin russe, a fait avec succès des expériences de vaccination sur des pigeons et des cobayes. Il à renouvelé les injections du virus exalté sur des personnes et sur lui-même. Il a conclu à l’im- munité présumable de l'organisme humain en 6 jours. M. Klemperer a constaté que les baciles cholériques, même très virulents, n'étaient dangereux que dans l'intestin de l’homme et qu'ils étaient inoffensifs en inoculations sous-cutanées. M. G. Daremberg conseille pour se préserver du choléra de stériliser toute l’eau employée dans le ET | rs ménage par une petite quantité d'acide lactique, tar- trique, citrique et chlorhydrique. La Fertilisation des plantes. M. Riley, entomologiste américain, décrit le phénomène de la fécondation croisée des plantes par les insectes, notamment du Yucca filamentosa par un phalène nommé Pronuba Yuccasella. Voyage scientifique aux iles Galapagos, par M. H. de Varigny-Galapagos, nom emprunté à celui des nom- breuses tortues terrestres qui l’habitent. Six îles prin- cipales instituées à 600 milles marins du fort de Quito et Gayaquil, Amérique du Sud ; Faune et flore intéres- santes ; Iles volcaniques. La pêche des tortues en Amérique se fait sur 50 kilo- mètres le long des côtes de la Floride et à l'embouchure de l’Indian-River. — Cinq espèces: La verte, la plus comestible, poids moyen, 485 à 200 kil., parfois 450 à 500 kil. La tortue à bec de faucon qui fournit l’écaille pour peignes, n’atteint pas 100 kil. La tortue bâtarde, qui ne pèse que 40 à 50 kil. La tortue Trunck-Bock, ia plus grosse, pèse souvent 700 kil. Quatre modes de captures, par des plongeurs, à l’aide d’un harpon; pendant la pondaison ou avec un filet. M. Fournier, de Niort, nous à donné des détails sur la formation du bassin de la Sèvre, qui a été de sa part . l’objet de plusieurs publications, et il a décrit les trans- formations successives du marais, du littoral, du lit du fleuve et des alluvions. Il espère formuler bientôt des conclusions définitives qu’il serait intéressant de rapprocher des études sur le lit et les alluvions de la Charente. M. Lusson a présenté quelques observations sur AT — le cordon littoral de l’ancienne mare à la Besse, aujourd’hui disparu par la création du bassin de la Pallice ; M. Beltremieux et M. Basset ont constaté un phénomène analogue à Port-Neuf. M. Fournier a conclu en nous montrant tout l'intérêt qu’il y aurait à faire une étude d'ensemble sur la côte. Il nous a également signalé le recouvrement des schistes des Deux-Sèvres par de la granulite; ce qui peut être constaté sur la carte qu’il a dressée des abords du chemin de fer. MM. Dusser et Delorge ont appelé notre attention sur la présence de harengs dans le bassin de la Pallice en 1892. M. Dollot nous a confirmé cette nouvelle en ajoutant que dès 1890, lors de la mise en eau du bassin, on en a pêché de grandes quantités. Cela tend à démontrer que depuis un certain temps les migrations des harengs s’étendaient jusqu’à nos côtes de l'Ouest. M. Meyer, qui a bien voulu se charger d’analyser les publications en langues étrangères, nous a signalé particulièrement la Revue du National Museum de Washington. M. le docteur Brard, après avoir fait connaitre les observations qu’il a faites, à Paris, sur les cas d’ataxie locomotrice traités au Val-de-Grâce par M. Brown- Séquard, nous a indiqué les résultats thérapeutiques extraordinaires qu’il a obtenus depuis quelque temps par les injections hypodermiques des liquides extraits d'organes animaux, selon la méthode du docteur Brown-Séquard et en employant le liquide particulier (l'orchidine) qu’il a préparé. Il nous a lw ensuite un mémoire sur la DESrere Ei RE": SR observation clinique faite à La Rochelle avec ce nou- veau mode de traitement appliqué à l’hôpital Saint- Louis, à trois sujets d’âges différents, dont le traitement a commencé le 11 juin. Le relèvement de la contraction musculaire et de l’innervation a été rapide. Dès le 8 juillet, les trois sujets ont présenté des symptômes de guérison tels qu’ils ont pu circuler et agir. La vertu dynamogène de la nouvelle méthode est donc incontestable. Ce vieillard de 74 ans, M. Brown- Séquard, par l’emploi de sa méthode, lui-même a retrouvé une facilité de prolonger son travail le soir, qui pendant quelque temps lui avait fait défaut. M. Basset, chargé de nous représenter à la séance de l’Académie, présidée par la section de Médecine, nous à lu son travail sur la photographie et la micro- photographie appliquées aux sciences naturelles. Il nous à montré ensuite une série de projections fort bien réussies, parmi les cent épreuves préparées, notam- ment des diatomées qui seront représentées au public. Vous avez écouté avec beaucoup d'intérêt la lecture des rapports des excursions scientifiques qui ont eu lieu le 13 avril à Angoulins, le 15 mai, au Thou, Ardil- lières, le 29 mai, à Soubize, Moëze, Hiers-Brouage, Marennes, et le 26 juin à Moëze, Beaugeay, Saint-Jean d’Angle. M. Dollot nous a parlé des observations géologiques faites à Angoulins (pointe du Ché) et-au Thou, Ardil- lières. A la pointe du Ché, en novembre 1891, il a eu la bonne fortune de découvrir le second spécimen du Pantagonaster Basseti, trouvé pour la première fois, 2-R40: au même point, par notre collègue, M. Basset, en 1886, et décrit dans nos Annales par le savant M. P. de Loriol. M. Boissellier nous a fait connaître les curieux plisse- ments du Cénomanien et du Turonien, de Soubize à Moëze; les îlots portlandien, purbeckien à Corbula inflexa, à Mazeray, Beaugeay, les marnes bariolées, près de Saint-Jean d’Angle et les argiles rouges, dans lesquelles il a trouvé, au contact du marais, des débris d’ossements d’un grand Mégalosaure. M. Foucaud a énuméré les plantes récoltées à Angou- lins, Soubize, Moëze, Hiers-Brouage, et M. le docteur Termonia, celles du marais de Saint-Jean d’Angle. Ces divers comptes-rendus seront reproduits in extenso dans nos Annales. Afin de perpétuer le souvenir de ces excursions, tou- jours si instructives, M. Couneau a eu l’heureuse idée de réunir dans un album les croquis, dessins, vues, photographies, qu’il avait faites des falaises et monu- ments visités, ainsi que les photographies de MM. Basset et Dollot. Notre musée départemental, le Muséum Fleuriau s’enrichit de plus en plus de pièces nouvelles, soit par dons, soit par acquisitions. Nous avons reçu: De M. Lamoureux, médecin vétérinaire à Saintes : Un Gros-bee, une Sitelle d'Europe, un Proyet d’Eu- rope Miliaria Europea, un Tarin vulgaire Pratincola rubicola, un Cochevis huppé Galerita cristata. Notre Président et conservateur du Musée nous a montré une série d'oiseaux fort bien préparés, acquis RD pour remplacer ceux moins frais des collections, ainsi qu’un OŒEdichnème criard, oiseau de passage assez rare, décrit dans son ouvrage La Faune vivante et un Lam- pris chrysostose, poisson très rare, originaire des mers du Nord, pêché près de La Flotte (Ile de Ré). Ce poisson, remarquable par sa forme, ses splendides couleurs, a le dos d’un bleu d’acier, qui passe sur les flancs au lilas et devient sous le ventre du plus beau rose. Des taches nombreuses ovales, quelquefois d’un blanc de lait, d’autres fois, du plus bel éclat d’argent, sont semées partout sur le fond du corps. Il y en a de plus petites sur la tête. Les opercules sont très brillants, et le grand œil a l’iris couleur d’or, quelquefois écarlate. Enfin toutes les nageoires et la queue sont d’un rouge vermillon. Le Lampris qui mesure environ 060 en longueur pesait 7 kilogr. Il est classé dans la famille des Scom- béroïdes. Sa chair est très bonne. C’est le troisième spécimen pris sur les côtes de La Rochelle : le premier en 1839, le deuxième en 1844; ce dernier placé au Musée Fleuriau. Il y en a deux au Muséum de Paris: l’un pêché en 1804 sur les côtes du Hâvre; l’autre en 1810 dans le golfe de Gascogne. Le Lampris atteint parfois 165 de longueur. C’est sa belle parure qui a fait employer à un des correspon- dants de Buffon cette expression que le Lampris semble un seigneur de Neptune en habit de gala. M. Dollot a offert pour les collections plusieurs fossiles -assez rares, entre autres un ammonite de grande dimension ayant 0,52 de longueur, 0,12 d'épaisseur ; ASS deux Ammonites Cymodoce, un Radiolite crateriforme et deux gros fragments de lignite de Châtelaillon. La grande Ammonite, Ammonites Achilles vient de l’île de la Dive (Vendée), à la limite du département. Cette île, considérée par d’Orbigny comme oxfor- dienne, paraît être la base de Corallien faisant suite aux falaises d’Esnandes. Les deux Ammonites Cymodoce ont été trouvées à La Rochelle, au Fort Louis. Cette espèce très commune dans le kimmeridien de Châtelaillon, n’avait été signalée par d’Orbigny, que dans les tranchées coralliennes du canal de Rompsay. Le Radiolites crateriformis provient des falaises du crétacé supérieur de Royan, au nord de Pontaillac étage Danien (Senomien d’après d’Orbigny). I nous a été envoyé par M. Droin, d'Alger, un reptile algérien, le fouette-queue. Ce reptile étant exo- tique a été placé au Musée Laffaille. La collection d’ostéologie s’est augmentée d’ossements d’Antilope, d’une tête de loup et d’une tête de bouc. Notre Société, avant de procéder au renouvellement de son bureau pour l’année 1893, a tenu à affirmer de nouveau sa confiance et ses sympathies à M. Cassa- gneaud, qui demandait en raison de son grand âge, a être relevé de ses fonctions de Trésorier. Cédant à vos instances, il a bien voulu consentir à faire partie du bureau. Les comptes de l’exercice 1892 se résument ainsi : ÉPSPETEESS PARU ORRCRE STUNT LE LiC 2,379 18 RÉ HENSES CPE CPC MRRANS TIC 2,010 36 Encaisse à fin d’exercice............... 368 82 = ÉS Sur la proposition de notre Président, le projet de budget à été ainsi voté pour 1893: Recettes : Reste à recouvrer sur 1892.... 745 10 Rtcettes 18995 53 HIDE EN 2,115 00 Total des recettes........ 2,860 10 Dépenses : Reste à payer sur 1892....... 1,257 55 Dépenses de 1893..........., 1,602 55 Total des dépenses...... 2,860 10 Voilà un budget bien modeste, j'ose dire bien insuf- fisant, en raison de l’importance de nos travaux et de l'accroissement continuel de notre Musée. Frappés du peu d’élasticité de ce budget, nous avons été unanimes à manifester le désir de voir la Ville intervenir chaque année pour en augmenter l’impor- tance, et nous avons prié notre Président de faire près du Maire une démarche dans ce sens, objectant avec juste raison, que notre Musée a été offert à la Ville, et que, seule jusqu'alors, notre Société en a fait les frais. Ont été élus pour l’année 1893 : Président : M. Edouard Beltremieux. Vice-Présidents : MM. Eug. Meyer et F. Lusson. Secrétaire : M. Aug. Dollot. ._ Bibliothécaire et Secrétaire-adjoint : M. Ch. Basset. Trésorier : M. Cassagneaud. | Les délégués de la Commission du Laboratoire sont comme précédemment MM. Condamy, Michauet Basset, de même que MM. Foucaud, Jousset, Lusson, Creuzé, Mesnier, Michau, Termonia, Thibaudeau, sont réélus délégués de la Commission de botanique. 2% - La vitalité de notre Société se manifeste de plus en plus. Je n’en veux pour preuve que le nombre toujours croissant des membres adhérents, et je crois être l'in- terprète de vos sentiments en affirmant que ces heureux résultats sont dus surtout au dévouement et à la grande sympathie qu’inspire à tous notre distingué Président. Nous comptons désormais dans nos rangs treize membres nouveaux ; ce sont MM. A. Brossard, pharmacien à La Rochelle. P. Corbineau, architecte à La Rochelle. E. Martin, imprimeur à La Rochelle. Deforge, avocat à La Rochelle. Dusser, commissaire de la marine à La Rochelle. Daveluy, administrateur des contributions directes au Ministère des finances. Redeuilh, directeur des contributions directes en retraite, à Paris. Y Pommeray, sous-préfet à Jonzac. Viennot, ingénieur des ponts et chaussées. Gamain, instituteur à Piedblanc (Deux-Sèvres). D' Boutiron, à Saint-Xandre. G. Leridon, à La Rochelle. Ainsi que M. Alph. Milne-Edwards, qui a bien voulu accepter le diplôme de membre correspondant que nous lui avions offert. | Mais la mort ne veut pas être oubliée. Bien peu d’an- nées se sont succédé sans qu’un vide nouveau ne se - soit produit dans nos rangs. Le grand deuil universel causé par la perte de M. de Quatrefages, membre de l’Institut, ne pouvait nous laisser indifférents, puisque nous avions l’honneur de ser compter ce savant parmi nos membres correspondants les plus distingués. - Répondant à la demande qui lui avait été faite par notre Président, l’éminent membre de l’Institut, M. Milne-Edwards a bien voulu nous autoriser à publier dans nos Annales le discours qu'il venait de prononcer aux obsèques de son regretté collègue. En tête de ce discours figure le portrait de M. de Quatrefages, en tenue de membre de l’Institut, d’après un cliché prêté obligeamment par l’Illustration. Madame de Quatrefages, tant en son nom qu’en celui de son fils, a écrit à notre Président pour exprimer combien elle avait été profondément touchée de ces marques d’estime données à La Rochelle et par notre Société, à la mémoire de son regretté mari. La Rochelle à eu l’honneur de recevoir deux fois M. de Quatrefages ; la première fois, en 1852. C’est à la suite de cette visite qu'il publia: Souvenirs d’un natu- raliste. La seconde fois, ce fut en 1882, à l’occasion de la réunion du Congrès de l’Association française pour . l'avancement des sciences. Sur votre invitation, un volume contenant les divers renseignements qui pou- vaient éclairer le visiteur sur les particularités locales à connaître, fut offert à tous les membres de l’Asso- ciation, et c’est en tête de ce volume que figure un précis historique dans lequel M. de Quatrefages a retracé le glorieux passé de notre ville. Quelques mots seulement, Messieurs, pour terminer mon compte-rendu. Notre Société n’a pas eu uniquement pour but de vous tenir au courant des progrès incessants de la science, elle a voulu conserver son rang parmi les = 3 QT Sociétés similaires, et maintenir le titre en vertu duquel elle s’est constituée. Plus que jamais, en 1892, notre Société, par ses travaux, a su maintenir ses traditions et affirmer le droit de se dire d'utilité publique. Le Secrétaire, Auc. DOLLOT. Lu] LABORATOIRE MUNICIPAL FONDÉ RArFPORT: ANNUEL. Par M. F. LUSSON, DIRECTEUR. — Monsieur le Président, J’ai l'honneur de vous adresser le compte-rendu des opérations faites au laboratoire municipal pendant l’année 1892. Le chiffre total des échantillons analysés s’élève à 1779 avec une augmentation de 419 sur l’année précé- dente. Notre chiffre d'analyses se trouve ainsi presque doublé depuis deux ans. En groupant les échantillons de HE nature, la comparaison des chiffres correspondants aux deux dernières années rend bien compte de cet accroisse- ment. 1892. 1891. Ninon llés. L:e8 ae 337 040 TATSUEREQUON PUS RAR ART: 142 22 Peurres A femalLins HSLUBERTS 3 » Faut PAL 2LAD Lire La. 29724 27 94 Hnilesetigraissesao. ils ae 16 28 DS ANONS er 2 er DA A 9 21 VNimaigrest. Me 00 DSL eRNISEEe. £E 6 3 PELLE NQU. 200. Lan Slt LE 129 28 EVAILESO 00 COL. à). 2H CAIN o1 39 Analyscscagmtoles: 242 RRQ 26 981 960 TOLAUXS EEE 1,779 1,360 Les analyses de vins ont diminué de plus d’un cin- quième, c’est une conséquence directe de la modifi- cation de nos relations avec l'Espagne. Ainsi que je le prévoyais, il y a un an, les analyses d'engrais au contraire ont à peu près doublé. Elles constituent maintenant, et de beaucoup, la plus grosse partie de nos travaux. Cette progression résulte de la fabrication des engrais chimiques et du commerce de ces engrais qui se fait à La Rochelle, aussi bien que des arrivages par bateaux des phosphates, superphos- phates, nitrates et autres engrais étrangers. Les essais de pétrole datent de l’établissement de la raffinerie française à La Pallice. Les analyses de lait sont devenues bien plus iré- quentes parce que les beurreries des environs sont ‘forcées de surveiller les livraisons de lait qui leur sont faites. Ces analyses nous ont permis de constater que la moyenne du beurre contenu dans les laits purs de nos contrées est remarquablement élevée. Elle atteint RE DO 55 grammes par litre à certaines époques de l'année. Or l’essai des laits vendus en ville ne nous donne rare- ment plus de 40 grammes. L’habitude déshonnète d’en - lever une partie de la crème du lait est donc bien géné- rale et nos efforts parviennent seulement à modérer ces soustractions en les maintenant dans des limites où le lait reste encore de qualité ordinaire alors qu’il devrait toujours être excellent. Enfin de nouvelles analyses s'imposent par suite de l'introduction et de la vente dans nos contrées des graisses animales connues sous le nom de beurre de margarine. Tout en reconnaissant que ces graisses alimentaires peuvent rendre des services parce qu’elles ne sont pas nuisibles à la santé, il est nécessaire de veiller à ce qu’elles ne soient pas vendues comme -beurres ou mélangées au beurre dont la valeur est de beaucoup supérieure. En résumé nous nous trouvons en présence d’un accroissement considérable du nombre des analyses et d’une diversité plus grande des produits soumis à nos essais. Pour répondre à ces besoins nouveaux, le laboratoire a dù acquérir des appareils spéciaux destinés à faci- liter le travail. Les analyses qui se présentaient acci- dentellement autrefois deviennent aujourd’hui cou- rantes. Dans ces conditions chaque genre d’analyse exige son installation spéciale avec ses appareils à poste fixe, sa verrerie, ses produits à portée du chimiste. Une semblable organisation s’impose de plus en plus, nous nous efforcerons de l’établir afin que le labora- toire soit toujours à même de rendre les services qu’on peut lui demander. 4 4 \ Ko ae 44) sr RATE n° ee F7 pi :+ # pu is su der à EXCURSION BOTANIQUE Du 18 avril 1899 A ANGOULINS. RaAPPORT PAR M. J. FOUCAUD. Le 24 avril dernier la Société des Sciences Naturelles faisait à Angoulins la première de ses excursions publiques de cette année. Prenaient part à cette excursion MM. Beltremieux, Dollot, Termonia, Coindon, Gatau, Escoff, Simon et Foucaud. Aussitôt après l’arrivée du train, deux groupes se forment ; les géologues vont explorer les falaises de la pointe du Ché, où il y a toujours des fossiles à re- cueillir, et les botanistes se dirigent vers les marais salants dans le but de faire une ample provision de l’intéressant Arthemisia piliformis et d’un curieux Nitella, qui croit dans les aires de ces marais. L’A/- thenia est peu avancé mais le Nitella est de toute beauté et il nous est facile de le centurier pour la Société Rochelaise. M. Simon dont nous admirons le DR A zèle tout en blâmant l’imprudence, se met malgré nous, pieds nus dans l’eau glacée pour recueillir de beaux échantillons de cette plante que l’on ne peut atteindre du bord. Cet intéressant Nitella, que j'ai signalé dans une note de la 4e édition de la flore de l’Ouest de la France, croît çà et là dans ces marais en compagnie du Chara alope- curoides, autre rareté, et de l’Althenia filiformis : ses tiges atteignent ordinairement moins d’un décimètre de hauteur, l’eau de ces marais étant peu profonde, et chaque tige porte une longue bractée qui dépasse de beaucoup les glomérules de sporanges et d’anthérodiés. Il ressemble beaucoup au N. stenbramariana, plante du Nord, dont il a l’aspect, mais lorsqu'on l’examine attentivement on constate qu’il ne constitue qu’une forme du très variable N. glomerata. Quant à sa teinte vert foncé à l’état vivant et noirâtre après dessication, elle est due à sa station dans une eau fortement sau- mâtre. Cette récolte nous ayant pris passablement de temps, nous ne pouvons aller jusqu’à la pointe du Ché, où d’ailleurs nous trouverions peu de plantes en fleurs, la végétation étant encore peu avancée. Nous arrivons bientôt, après avoir traversé le marais, sur le platin d’Angoulins où nous récoltons Cochelearia danica, Hutchinsia procumbens et Myosotis hispida. Ce myosotis, que je tenais beaucoup à recueillir, m’a permis de m’assurer de nouveau que ses calices fruc- tifères inférieurs sont ordinairement bien plus courts que leurs pédicelles et non plus longs ou les égalant comme le disent notamment Boreau dans sa flore du Centre et Grenier et Godron dans leur flore de France. 4 J'ai constaté aussi que les grappes sont quelquefois munies de fruits jusqu'au dessous des fleurs infé- rieures. | L’'Hutchinsia procumbens déjà avancé, croît çà et là du platin d’Angoulins à la pointe du Ché où il a été confondu par Hubert avec le Draba muralis. Cette con- fusion n’est pas douteuse puisque le Draba muralis est indiqué sur ce point et que pourtant on ne trouve que Hutchinsia procumbens. Un peu plus loin nous décou- vrons parmi les Nitella glomerata fortement incrustés, un autre Vitella à rameaux nombreux, allongés et im- briqués dont l'aspect rappelle celui du Nitella imbr'icata mais il en diffère par ses feüilles aiguës et non obtuses et peut-être aussi par ses sporanges que j'étudierai lorsqu'ils seront plus avancés. A l’heure fixée pour le rendez-vous nous sommes à Angoulins, où nous devançons, comme à l’ordinaire, MM. les géologues qui nous plaisantent sur notre exac- titude. A une heure et demie nous accompagnons à la gare M. Beltremieux et M. Termonia qui partent par le premier train. Quant à nous, nous nous décidons à aller prendre le train à Aytré afin de pouvoir herboriser toute la soirée et explorer la dune et les marais qui séparent Angou- lins de cette localité. MM. Dollot, Gatau et Escoff qui à l’occasion s'occupent de botanique se joignent, à nous. Dans un champ argilo-calcaire nous cueillons Valeria- nella et Viola Foucaudi petite plante que Sauze et Maillard (flore des Deux-Sèvres), ont confondue avec le Viola nana DC., et que Loret et Barraudon (flore Montp., éd. 2 p.) ont alors réuni au V. nemauserisis lequel en OT est très différent comme je m'en suis assuré l’an passé dans les environs de Collioure (Pyr.-Orient.), où cette espèce Jordanienne est assez répandue. A l’entrée de la dune nous recueillons Viola manoc et au bord du chemin une belle touffe de Poa annua dont les fleurs sont for- tement velues. Nous traversons ensuite des vignes dont quelques bourgeons ont été détruits par les gelées des nuits précédentes. Dans le marais de grands fossés nous offrent le Ra- nunculus Drouetii vulgaire qui a été longtemps mé- connu et confondu avec le Ranunculus trichophyllus. Pour bien comprendre ces deux plantes il faut surtout les étudier comparativement à l’état vivant. 1 A quatre heures nous sommes à la gare d’Aytré, mais comme il faudrait attendre le train pendant deux heures nous partons avec nos collègues pour La Rochelle. Notre guide, M. Gatau, qui, nous dit-il, con- naît parfaitement la route, nous fait prendre un chemin d’écoliers qui ne nous offre rien d’intéressant, mais qui en revanche nous éloigne beaucoup de La Rochelle, et nous conduit au bord d’un marais tout près de Périgny. Toujours sous la conduite de M. Gatau nous nous en- gageons dans ce marais, mais comme nous ne trou- vons pas d’issue, nous sommes forcés de retourner sur nos pas. Après quelques hésitations, mais sans être dirigés cette fois par notre guide, nous prenons un chemin de traverse qui nous conduit après quelques détours à l’extrémité de Tasdon. Nous sommes enfin sauvés et nous ne manquerons pas le train. À six heures nous sommes à La Rochelle et avant le départ du train nous assistons au défilé d’une caval- LIFE Eu cade bien réussie, nous dit-on, quise dirige vers Aytré, son point de départ. A six heures quarante nous roulons vers Rochefort, très satisfaits d’avoir passé avec nos collègues une belle et bonne journée et recueilli des raretés que nos correspondants seront très heureux de recevoir. 0 —— 0 l \ * = . o] = ré * « Lire z Û ] ; * Le cl des le k ‘ : ai 5 È { ï # Dee,)] a 2 de ‘A4 \ à À . LY ce { S “ és i E NOVS 2 Salt ? Î an î ST he » \ . RE LANG (] & NS re eme ds | " ‘ jrs PARIS ET ; 3 J Sr es | 1 TE Ÿ CA * - = À ‘ : t LT. . r El ve 7 An, 0 ’ : _ s Le js [l * : “ Î £ A ' r f \ ï ; > 0 | * [a | ÿ _ t ct DÉS UE ‘ L u r % 8 LE 0 ! = : x ee _ V t db EXCURSION GÉOLOGIQUE E. Du 18 avril 1892 A ANGOULINS. RapportT PAR M. DOLLOT. La Société des Sciences Naturelles ayant décidé de commencer ses excursions par la pointe du Ché, le 18 avril, arrivaient à la gare d’Angoulins MM. Beltre- mieux, Gatau, Brochet, Dollot, de La Rochelle, le doc- teur Termonia, de Saintes, et MM. Foucaud, Simon, Escofi, de Rochefort. Pendant que MM. Foucaud, Termonia, Simon, Bro- chet, botanistes, commencaient leurs recherches dans le marais, MM. Beltremieux, Gatau, Escoff, Dollot, géologues, se dirigeaient vers la pointe du Ché. Après avoir examiné rapidement les bancs calcaires blancs, régulièrement stratifiés, peu riches en fossiles, qui forment le nord de la falaise et jeté un coup d’æil sur les remarquables polypiers qui résistent aux in- tempéries, nous avons franchi la faille du nord et en- trepris nos explorations. EUR Bien que le Ché soit toujours, de l'étage corallien- séquanien des environs de La Rochelle, le pointle plus attrayant pour les paléontologistes, il semblerait que depuis plusieurs années les beaux fossiles sont moins abondants ; comme en 1891 nos recherches n’ont pas été couronnées de succès. Entre la faille nord et celle ouest, sur 200 mètres environ de longueur, nous n’avons trouvé que quelques tests d’échinides. Pseudocidaris mammosa, Cidaris mar- ginata, un débris de Cidaris de grandes dimensions, Pygurus Blumenbachi Ag., divers radioles. Les bancs inférieurs très durs et remplis de térébra- tules et rhynchonelles, notamment : Terebratula sub- sella, Zeilleria, Rhynchonella inconstans dans lesquels on trouvait de nombreux cidaris tels que: Cidaris mar- ginata, Polycyphus distinctus, Holectypus corallinus ne nous ont rien révélé, pas plus que ceux qui les recou- vrent et forment une masse compacte, véritable luma- éhelle d’huîtres, Ptérocères, Pholadomies, Céromies, Natices, Diceras et qui se superposent jusqu’au som- met où nous avons aperçu cependant un Nautilus giganteus. Entre la faille de l’ouest, milieu de la falaise et le sud de la pointe, sur une longueur de 300 mètres en- viron, le facies changeant complètement, nous pou- vions espérer trouver soit dans les bancs inférieurs très durs, soit dans les marnes blanches qui les re- couvrent, des crinoïdes ; il n’en a rien été. Nous avons vu seulement quelques débris de tiges d’encrines et de calices d’Apiocrinus Royssianus et dans les massifs remarquables des calcaires à polypiers reposant sur les marnes jusqu’au sommet de la falaise, de nombreux radioles de Cidaris mammosa. Vers l’extrémité sud, les polypiers disparaissent presque entièrement. Ils sont remplacés par des bancs calcaires durs, épais, à grains fins, jaunâtres ou rous- satres, reposant sur les marnes désagrégées à Céro- mies et renfermant beaucoup de débris de fossiles, notamment des radioles de plusieurs espèces, des tests de Cidaris marginata, mammosa, Acrocidaris nobilis et des fragments d’encrines. Nous avons dû y laisser deux beaux tests de Cidaris mummosa et Acrocidaris nobilis étant dans l’impossibilité de les atteindre. Nous avons examiné avec soin deux éboulements qui se trouvaient l’un au nord où les massifs à Pinni- gena Saussurii dominent, l’autre à l’ouest et formé de débris des calcaires à polypiers renversés sur les marnes. Trop récents ces amas n'avaient pas encore été lavés par la mer : nous n’y avons rien découvert. A midi et demi géologues et botanistes se rejoignaient à Angoulins pour le déjeüner et pendant que quelques excursionnistes reprenaient les trains pour La Rochelle et Rochefort dans l’après-midi, les autres revenaient à pied par le marais à La Rochelle. Les paléontologistes feront bien de visiter souvent la pointe du Ché s’ils veulent enrichir leurs collections, car les tempêtes enlèvent très rapidement pendant l'hiver les éboulements fréquents qui se produisent. Il ne reste guère, pendant l'été, au pied de la falaise, que quelques blocs plus ou moins résistants des bancs in- férieurs : encore ces blocs sont-ils exposés au frotte- ment continu des galets. Il ne faut pas négliger non plus de visiter attentive- EN TE ment les calcaires à polypiers. C’est dans ces roches que M. Basset a découvert une nouvelle espèce d’as- iérie Pentagonaster Basseti déterminée par M. P. de Loriol et décrite, avec figures, dans nos annales de 1886... En excursion le 21 novembre dernier, après une tempête, je suis arrivé à temps pour recueillir, à la base du banc de calcaire à polypiers un fragment de roche qui allait disparaître et auquel adhéraïit un Pen- taganoster Basseli en parfait état. C’est le second spé- cimen provenant de la pointe du Ché. EXCURSION GEOLOGIQUE Du 15 Mai 1892 A BANERDIII LIPEES, . RaAPPORT PAR M. DOLLOT. La Société des Sciences Naturelles a fait le 15 mai 1892 sa seconde excursion aux environs d’Ardillières dans la zone corallienne-séquanienne faisant suite à celle visitée le 18 avril à Angoulins. Ont pris part à l’excursion MM. Beltremieux, Bois- sellier, Brochet, Gatau, Millot, Escofi, Dollot. Partis de La Rochelle par le train de 5 heures 34 m. du matin, MM. Beltremieux, Brochet, Gatau, Millot, Dollot arrivaient à 6 h. 18 m. à la gare de Ciré où M. Boissellier les attendait. La section de botanique ne comptant qu’un seul membre, les autres étant empêchés, toute la caravane partit à pied pour Ciré et Ardillières et de là vers le Thou. Jusque-là rien de marquant à signaler, mais au Thou nous étions en plein massif coralligène. D Des carrières nombreuses, mais peu profondes, ou- vertes pour l'extraction des matériaux de construction, des moëllons principalement, ont mis à découvert de nombreux polypiers formant îlot en cet endroit. Ces récifs madréporiques se trouvent signalés dans la légende annexée à la carte géologique au 1/80,000€ révisée par M. Boissellier (feuille 152, La Rochelle 1891). Ils forment un cordon littoral qui commence à Angoulins, pointe du Ché, passe par les carrières d’An- goulins, se montre à l’ouest de Salles, au sud du châ- teau de Cramahé et se dirige vers les communes de Thou, Forges, Ardillières, Landraïis, dans la zone que nous nous proposons d'explorer. Entre le Thou et Forges aux abords du chemin de fer se trouve un bloc volumineux de polypiers. Un autre moins remarquable gît avec des débris intéressants dans les carrières au lieu dit « La Pierrière », au S.-E. du Thou. | Nous avons pu constater que dans ces carrières, par les fossiles plus ou moins intacts trouvés par les ou- vriers, toute la faune d’Angoulins devait s’y rencon- trer. Nous n'avons vu aucun oursin, mais il y avait des radioles de Cidaris mammosa, de nombreux Diceras ariebinum, ainsi que Nautilus giganteus, Natica rupel- lensis, Plagiostoma lœviusculum, Ceromya. excentrica, C.obovata; Natica hemispherica, Tellina incerta, Cyprina. Du Thou nous dirigeant vers Landrais nous voyons dans les talus du chemin et par places, de nombreux polypiers. Arrivés à la jonction des chemins du Thou à Lan- drais et d’Ardillières à Chambon, nous revenons sur 0 TO Ardillières et à mi-chemin nous nous arrêtons aux carrières: principal but de l’excursion. Là, M. Escoft nous attendait. Commençant notre visite par les exploitations au sud de la route, nous ramassons daus les déblais de la partie rocailleuse feuilletée qui recouvre à l’ouest les bancs stratifiés exploités de nombreuses Natica rupel- lensis possédant leurs coquilles. Au-dessous de ce découvert de carrières dont l’épais- seur est de 2 mètres environ se trouve une masse cal- caire oolithique en bancs épais demi-dur, dont on extrait quelques blocs de pierres de taille ou des moëllons propres à la construction. Dans ces bancs généralement stratifiés, exploités sur 2 à 3 mètres de hauteur on aperçoit quelques traces de Nérinées et de Natica rupellensis (moulage intérieur seulement). A l'Est de cette carrière nous avons trouvé des débris d’Acrocidaris nobilis dans une partie marneuse. Les carrières au nord de la route sont actuellement plus importantes qu’au sud. Dans la masse on y a trouvé plusieurs fois des dents de ganoïdes et nous en voyons des échantillons au Muséum Fleuriau ; elle ren- ferme des Natica rupellensis (moulage intérieur seu- lement) des Diceras arietinum. La rocaille ou plaquettes du découvert contient notamment des radioles de Cidaris mammosa, des Pholadomies, Nérinées, Trigonies, Diceras, Céromies, Cardium, Arches, Tellines, Terebratules, Rhynchonelles, Pecten, débris d’encrines ; nous y avons recueilli une tige et la base d’un calice. Ces quelques fossiles se trouvent tous à la pointe du SN Ché à Angoulins ; il n’y a donc aucun doute sur la classification admise pour ces carrières. A midi et demi nous arrivions à Ardillières où le déjeûner était préparé. Ensuite le train qui devait nous ramener à Aigrefeuille ne passant qu’à 5 heures 22 m. à Ciré, nous avons utilisé le temps qui nous restait pour visiter les deux monuments mégalithiques qui se trouvent aux environs. Le premier dit « Pierre Levée », d’un bel effet, se voit de loin sur un petit mamelon à un kilomètre S. E. d’Ardillières. Il se compose d’une large dalle de 0,30 à 0,40 cen- timètres d'épaisseur ayant 280 de longueur sur 2m50 de largeur, reposant sur trois dalles verticales, d’égales hauteurs, à 1% 50 du sol. Deux de ces dalles sont paral- lèles et orientées N.-S. La troisième transversale ferme imparfaitement l’ouverture nord. Au sud aucune trace de fermeture. : Descendant vers le hameau le Bois des Mothes, que nous traversons, nous arrivons, après avoir franchi le ruisseau, à un autre dolmen connu sous le nom de « Pierre Fouquerée » et situé à environ 200 mètres à l’ouest du Bois des Mothes, un kilomètre sud d’Ardil- lières. Il se compose d’une dalle ayant 320 de longueur sur 2225 de largeur, 0,55 d'épaisseur renversée vers le nord suivant une inclinaison d'environ 40 et reposant à son sommet à 159 du sol, sur la dalle ouest restée debout et sur celle du nord et de l’est brisées et cou- chées. La dalle verticale E. n’a plus que moitié de sa hauteur ; au sud l'ouverture est libre. Comme pour le précédent dolmen l’orientation est N.-S. Sp CI SE Ces deux dolmens sont formés de calcaires à po- lypiers. On en voit des dessins au Muséum Fleuriau où se trouvent, provenant de la « Pierre Fouquerée » de nombreux débris d’ossements, quelques silex, des fragments de dentales et l’agrafe en terre cuite d’un collier. L'heure du train nous rappelant nous nous rendons à la gare de Ciré. A Aigrefeuille nous nous séparons de MM. Boissellier et Escoff qui retournent à Rochefort, puis nous rentrons à La Rochelle où nous arrivons à 6 heures, après une belle journée bien employée. 4 |e— mn] En "A " , ve HET # NIUE UT LT SE + 2 ù EXCURSION BOTANIQUE Du 29 mai 1892 ENTRE SOUBISE ET MARENINES. © Rapport PAR M. J. FOUCAUD. @ La troisième excursion de la Société des Sciences Naturelles a eu lieu le 29 mai dernier, de Soubise à Brouage. Prenaient part à cette excursion MM. Beltremieux, Couneau, Dollot, Gatau, Venassier, Escoff, Foucaud, Lefèvre et Millot. A 6 heures 42 m. nos collègues de La Rochelle arrivent en gare de Rochefort et aussitôt après une voiture nous conduit à Soubise où géologues et bota- nistes commencent leurs recherches. Au bord de la Charente nous cueillons sur la vase desséchée le Glyceria maritima et procumbens. A Soubise nous admirons l’ancien château des seigneurs de Rohan-Soubise, dont l’instituteur s’em- presse de nous faire les honneurs. Pendant ce temps, M. Couneau photographie la façade de ce monument PRE ainsi que nous tous et juste au moment où retentit, partant du fond du cœur, un vive M. Beltremieux des plus sympathiques. À la sortie de Soubise nous explorons des prés mouillés au bord des fossés desquels nous récoltons de gigantesques échantillons de Carex paludosa et de Glyceria airoides. Au bord d’une carrière, où retentissent les coups de marteau des géologues, nous notons les Orobanche amethystea et minor. Ce dernier qui est commun dans le département croît sur un grand nombre de plantes et offre une forme intéressante qui mérite peut-être d’être élevée au rang de variété. Cette forme croît çà et là, toujours sur le Glechoma hederacea et présente cette particularité de former des touffes de 2 à 5tiges, tandis que le type croit presque toujours par pieds isolés. De plus elle est plus grêle et plus colorée. Si je l'élève au rang de variété J'en ferai la variété Glechomæ. Plus loin nous apercevons le Tragopogon porrifolius et pra- tensis et nous cherchons vainement le bel hybride à fleur lie de vin avec couronne jaune au centre qui s’est formé au Jardin botanique de Rochefort, il y a quelques années et que j'ai ensuite observé dans la prairie de Rhosne, près Rochefort. Depuis, j'ai constaté que les Tragopogon s’hybrident facilement dans les cultures et que les individus qui ont cette origine sont non seulement plus robustes, mais encore vivaces et difficiles à détruire. Leurs racines fusiformes s’en- foncent à une profondeur de 40 à 50 centimètres et lorsqu'on ne les enlève pas complètement elles ne tardent pas à donner naissance à des tiges qui forment bientôt une grosse touffe. Dans les environs de Moëze OPEN 2 nous rencontrons çà et là dans les cultures et dans les lieux vagues la petite asperge qu’on vend sur le marché de Rochefort sous le nom d’asperge de Moëze et dont le goût est fortement amer. Cette forme qu'on trouve également à Saint-Froult, Marennes, Saint-Just, Beau- geay et probablement dans tous les environs, constitue la variété 5. campestris Gren. et Godr. de l’asperge officinalis. Pendant que nos collègues photographiaient le clo- cher et le monument du cimetière de Moëze, nous allons dans le marais et nous recueillons dans de grands fossés les Potamogeton per foliatus et crispus et à peu de distance les Chara baltica, fœtida, fragilis et aspera var. capillata. Nous traversons Brouage, pays décimé par les fièvres paludéennes, sans nous y arrêter et au milieu du bourg dont les maisons paraissent abandonnées, nous apercevons la statue du navigateur Champlain dominant ces ruines. Près de Hiers-Brouage, des marais salants attirent notre attention, nous y trouvons en abondance l’Al- thenia filiformis en bon état, ainsi qu’une forme de Ruppia à podogynes très courts. Sans nous arrêter nous allons rejoindre notre voiture et chemin faisant nous notons près d’une ferme Scolymus hispanicus, plante dont la culture tend à se répandre et dont la racine, longue, grosse et tendre remplace avec avan- tage celle des salsifis. A Marennes, où nous déjeunons, nous admirons l'église et son superbe clocher dont M. Dollot prend une photographie. A trois heures nous reprenons la route suivie le matin et nous ne nousarrêtons qu’à l’entrée de DRE Si) ee où MM. les photographes prennent des vues des rem- parts qui peu à peu tombent en ruines. À G heures 1/2 nous sommes à la gare de Roche- fort et à la hâte nous serrons la main à nos collègues qui, quelques minutes après, roulent vers La Rochelle. © EXCURSION BOTANIQUE Du 3 juillet 1892 e Soubise et Saint-Jean-d’Angle. — NL RapporT PAR M. TERMONIA. Le 3 juillet a eu lieu, entre Soubise et Saint-Jean- d’Angle, en passant par Beaugeay et Saint-Agnant, la quatrième excursion de la Société des Sciences natu- relles, à laquelle ont pris part MM. Beltremieux, pré- sident ; Boissellier, Couneau, Delavoye, Dollot, Fou- caud, Gatau, Giraud, Heurtel, Venassier et Termonia. Les préparatifs en avaient été confiés à M. Boissellier qui a rempli cette mission avec autant de succès que d’obligeance. La haute température de la veille n’avait provoqué aucune défection parmi ceux qui avaient pris d'avance l’engagement d’y assister ; elle n’a même pas arrêté l'élan de trois bonnes recrues de la dernière heure, dont la présence, agréable surprise pour les premiers, porte de 8 à 11le nombre des excursionnistes qui se trouvent réunis, à 8 heures du matin, à la gare de Rochetort. Le ciel est couvert et la chaleur modérée, temps inespéré, après la journée du 2, et aussi favorable que l'ipses dans cette saison. Se Chacun ayant pris place dans un omnibus loué pour l’excursion, on part aussitôt dans la direction de Sou- bise où, bientôt après, s'effectue sans trop de retard le passage de la Charente. De là nous nous dirigeons sur Beaugeay à travers une plaine légèrement ondulée et bien cultivée, surtout en céréales dont l’apparence est assez belle. Quelques vignes tranchent çà et là par leur feuillage vert foncé sur la teinte dorée des épis mürs et ont aussi assez bon aspeci. À quelque distance de Soubise, M. Foucaud, ayant remarqué dans un champ de nombreux pieds d’Allium sphærocephalum, fait arrêter la voiture pour chercher au milieu d'eux Allium sphærocephaloïdes qu’il n’y trouve pas. Il n’y a là d’ailleurs aucune autre plante intéressante. Un peu plus loin, les géologues, fascinés à distance par les premiers tas de pierres qu’ils aperçoivent sur les côtés de la route, veulent s'arrêter à leur tour pour en faire l’examen. Pendant qu’ils procèdent à coups de marteau à cette investigation, les botanistes cherchent en vain des plantes dignes d’être récoltées parmi les vulgarités qu’il est inutile de mentionner. Quelques pieds du genre Œnanthe s'étant montrés à la lisière d’un bois, M. Foucaud que préoccupe la recherche d’une espèce italienne qui n’a pas encore été décou- verte en France, Œnanthe angulosa les passe rapide- ment en revue; mais nous ne rencontrons hélas! qu'Œnanthe pimpinelloïdes L. L’omnibus dans lequel tout le monde est remonté se remet en marche, mais pour s'arrêter encore, après quelques tours de roues, à la demande des géologues état rat d'à De: ER qui semblent, heureusement, plus favorisés que nous. Bientôt ces arrêts deviennent plus fréquents ; mais, en raison de leur courte durée réglée sur la longueur du trajet, le temps et l’espace manquent aux botanistes pour faire une herborisation sérieuse. Aussi n’avons-nous à signaler, entre Soubise et Saint-Agnant, que trois plantes rares. La meilleure des trois, Plantago serpentina Vill., que la Flore de l’Ouest ne mentionne pas dans la Charente-Inférieure, a été trouvée par M. Foucaud, sur le talus d’un fossé de la route, à l’endroit où le plateau commence à s’abaisser vers Beaugeay. Entre ce village et Saint-Agnant, nous rencontrons, au bord des champs et des fossés, une autre plante moins rare, mais néanmoins fortintéressante, eu égard au petit nombre de ses localités dans notre départe- ment, Peucedanum ofjicinale L., déjà signalé à Beaugeay par M. Parat. Enfin, la troisième et dernière, Torilis heterophylla Guss., croit à Saint-Agnant sur le bord d un fossé qui longe le canal, en aval du pont, mêlé à de plus nom- breux pieds de Torilis helvetia Gmel., parmi lesquels les yeux exercés de M. Foucaud ont su découvrir l’es- pèce rare. Nous avons déjà mentionné en passant Allium sphæ- rocephalum et Œnanthe pimpinelloïides. Si nous y ajou- tons Xeranthemum cylindraceum Smith, qui n’est commun que par localités et notamment aux environs de Beaugeay, et Butomus umbellatus aperçu au fond d’un fossé desséché, notre liste sera encore bien courte. Telle a été notre récolte dans l’herborisation du matin, faite forcément à bâtons rompus. Quoiqu'elle ne com- ee 64 = prenne qu’un très petit nombre de plantes intéres- santes, l’une d'elles, Plantago serpentina, nous a presque dédommagés de cette pénurie par l’importance de sa découverte. Les géologues nous ayant rejoints, à midi et demi, au pont de Saint-Agnant, il ne fallait plus songer qu’à franchir le plus rapidement possible la distance qui nous séparait encore de Saint-Jean-d’Angle où nous arrivons enfin à une heure. Un quart d'heure après, nous étions à table et dans les meilleures dispositions pour faire honneur à un déjeuner d’auberge dont le menu composé exclusive- ment de plats gras eut scandalisé et mis à une rude épreuve des végétariens à jeun; mais il n ’y avait, heureusement, parmi nous aucun représentant de leur secte, et personne n’a été forcé, pour satisfaire son appétit, de transiger avec ses principes. Le repas terminé, M. Couneau a photographié le groupe des excursionnistes avec son merveilleux petit appareil pour photographies instantanées. À 3 heures, MM. Beltremieux, Heurtel et Termonia ne pouvant prendre part à l’excursion du soir; se séparent à regret de leurs compagnons de voyagè et se ont conduire en voiture à la gare de Saint-Agnant. M. Foucaud a bien voulu me faire connaître, le 8 juillet, le résultat de l’herborisation faite dans la soirée du 3, une seule plante digne d’être notée a été trouvée dans le marais de Saint-Jean-d’Angle, Cyperus badius Desf. | on. 1 EXCURSIONS GÉOLOGIQUES Des 29 mai et 3 juillet 1892 A Marennes et à Saint-Jean-d’Angle, La Société des Sciences Naturelles de la Charente- Inférieure était allée l’année dernière du Port-des- Barques à Piédemont, pour observer le versant nord du grand pli anticlinal du S.-E. qui traverse la Saintonge jusqu’à l'Océan. Continuant ses recherches dans la même région elle a fait cette année deux excursions, de Soubise à Marennes et de Saint-Aignan à Saint-Jean d’Angle, pour voir les deux versants du même pli ainsi que la vallée anticlinale de Moëze dans laquelle le Purbeckien se montre entouré par le Cénomanien. La première de ces excursions a été faite le 29 mai 1892 par MM. Beltremieux, Couneau, Dollot, Millot, Gatau, Coindon et Boissellier, membres de la Société, auxquels s'étaient joints M. Escoff et le docteur Le- febvre. Les excursionnistes sont partis de la gare de Roche- fort en voiture. Ils ont suivi la rue des Dix-Moulins et se sont arrêtés près de Sainte-Sophie pour examiner des bancs calcaires cénomaniens dans lesquels ils ont recueilli quelques fragments des fossiles caractéris- ER ne tiques de l’assise e de cet étage : Caprina adversa, Sphæru lites foliaceus, etc. Ces calcaires qui sont inclinés au S.-0., disparaissent, aussitôt après Sainte-Sophie, sous des alluvions ma- rines nommées bri, qui s’étendent jusqu’à la Charente ; mais ils constituent dans cette rivière, un seuil impor- tant que l’on a dérasé récemment en aval de Soubise. Sur certains points du seuil dérasé, l’assise des cal- caires à Sphærulites foliaceus était recouverte par l’assise () des sables à Ostracées ; aussi la drague a-t-elle ar- raché, avant d'entamer les bancs calcaires, des quan- tités considérables d’Ostrea biauriculata, Ostrea flabella, Ostrea columba, qui sont répandues dans les prairies voisines de la rivière, et dont la Société avait précédemment recueilli de bons échantillons. En arrivant aux falaises de Soubise nous reconnais- sons le Ligérien. La base de cet étage est au-dessous du bri ainsi que la dernière assise du Cénomanien qui a été rencontré dans un sondage à 2 m. de profondeur. Jusque-là, les terrains se sont succédé normalement plongeant au S.-0. En suivant la route de Marennes, nous voyons la série continuer avec le même plonge- ment, savoir : dans le vallon des Lauriers, des bancs de calcaire celluleux à nodules qui terminent le Ligé- rien ; au moulin de Bec-de-Lièvre, des calcaires com- pactes, caverneux à Radiolites lumbricalis, / Chama Archiacia et divers échinides, appartenant à l’Angou- mien. Mais à 1,500 mètres plus loin le Ligérien reparaît, ainsi que le Cénomanien. Le Purbeckien se montre ensuite pour la première fois ; car au N.-0. de la Cha- rente cet étage comme le Portlandien sont recouverts CNET NS DIN PR rte par le Cénomanien, lequel transgresse jusque sur la zone à Ammonites longispinus du Kimméridien. Dans une carrière située à gauche, avant le moulin démoli que les cartes appellent le Moulin-Neuf, le Ligérien contient des Ostrea columba écrasées et ses assises sont redressées de 65° au N.-E. MM. Millot et Gatau ont la bonne fortune d’y ramasser une patte et un fragment de carapace d’un crustacé très rare. Après le Moulin-Neuf, le plongement au N.-E. qui vient de commencer est bien mieux visible, notam- ment dans la tranchée de la route. Nous y rencontrons les bancs inférieurs du Cénomanien, avec Ostrea Reau- muri, Alveolina ovum; puis un peu plus bas les grès calcarifères du même étage reposant sur des sables fins, blonds ou blancs, micacés, dits sables de Charras. Les grès nous donnent comme partout ailleurs : Exogyra minima, . Orbitolina concava et mamillata, Terebratula biplicata. Janira, pecten, etc. Les couches plongent encore de 500 au N.-E. Un peu plus loin, les plaquettes du Purbeckien appa- raissent ; mais pour bien observer cet étage il faudrait explorer le terrain à droite et à gauche de Moëze. Le temps nous manque, parce que les’ géologues qui sont aussi des photographes quand l’occasion se présente de reproduire la vue d’une tranchée ou d’un monument, ne peuvent pas laisser passer le clocher de Moëze, ni la croix hosannaire, sans en faire quelques bons clichés pour l’album de la Société. Néanmoins nous trouvons sur le coteau des Collants, les plaquettes lithographiques violettes et les calcaires oolithiques à Corbula inflexra qui recouvrent les argiles gypsifères du Purbeck. 2 BR Ces argiles s'étendent au-dessous du bourg de Moëze jusqu’à celui de Saint-Froult. Le gypse était exploité dans cette dernière locakté il y a 50 ans. Des puits creusés depuis peu au milieu du bourg ont rencontré une couche de gypse peu épaisse, à 9 mètres de pro- fondeur, au-dessous de marnes grises avec plaquettes que recouvre un calcaire jaune actuellement exploité à la surface du sol. A Brouage, l’enceinte fortifiée retient à juste titre nos photographes. Nous avions vu jusque-là le crétacé fortement redressé au N.-E., sur les bords du coteau de Soubise, et le jurassique étalant, au pied de ce coteau, les assises supérieures du Purbeckien. Cependant nous n'avions pas rencontré la dernière assise de cet étage, celle des argiles rouges à Mégalosaure; bien que nous en soyons passés très près, car du Moulin-Neuf on aurait pu Fapercevoir sur le coteau de la Mingolière. Ces argiles se voient après avoir traversé Brouage, au pied du coteau de la Guilletrie, en suivant le chemin de Maison-Salée. Ce sont des argiles plas- tiques rouges, violettes ou blanches qui se terminent par ‘une couche de sable fin très ferrugineux. Sur d’autres points du marais, le sable est remplacé par des plaquettes de grès verdâtres micacés, formées de feuillets très minces, ou de grès calcaire scoriacé brun- verdâtre. Ici le sable est recouvert par une couche de petits graviers blancs, jaunes, noirs, rouges ou gris fumée, mesurant 3 à 4 mètres d'épaisseur, avec des bandes de sable jaune intercalées. Au-dessus de ces sables nous retrouvons les sables de Charras, précédemment observés dans la tranchée du Moulin-Neuf, mais présentant ici une forte incli- TT La pbm LRO = naison en sens contraire, c’est-à-dire au S.-0. Puis viennent les grès calcarifères à Orbitolines et Ichthyo- sarcolithes qui couronnent le plateau de la Guilletrie. Avant de rejoindre la route de Marennes les sables cénomaniens reparaisseut sur 9 à 6 mètres d'épaisseur. Entre l’ilot de Hiers-Brouage et la colline de Marennes on n’aperçoit que du bri; mais si l’on allait au bord de la mer, à la pointe des Chardons que les sens du pays appellent la pointe de Derre, comme le rocher qui découvre plus loin à marée basse (lequel rocher est nommé d’Erre sur la carte de l'état-major et d’Her sur celle du ministère de l’intérieur) on rencon- trerait des bancs de calcaire oolithiques à Corbula inflexa, Cyrena rugosa, dents de poisson, etc., activement exploités qui constituent la 3 assise du purbeckien de notre région. Les argiles rouges à Mégalosaure occupent sans doute le fond du marais et de la baie du Chapus, si elles n’ont pas été ravinées complètement. Dès que nous abordons la colline de Marennes nous rencontrons les sables inférieurs du Cénomanien que les grès calcarifères à orbitolines recouvrent ; puis viennent les sables glauconieux et les calcaires blancs à Caprina adversa et Sphœrulites foliaccus que l’on peut observer au sommet du coteau et sur le ver- sant sud-ouest dans la tranchée du chemin de fer. Le Cénomanien ne reparait pas entièrement au sud de Marennes. Les sables à Ostrea biauriculata sont au-dessous du bri du marais, on les a rencontrés dans le puits de la Cayenne. Le Ligérien se trouve dans les mêmes conditions, mais l’Angoumien que nous avons vu en sortant de Soubise, affleure à marée basse à Ronce-les-Bains. A la pointe de Manson, près Saint-Trojan, les galets plats du rivage contiennent des Radiolites lumbricalis indiquant que le rocher de La Palette, d’où ils proviennent sans doute, et qui est à la cote-1, appartient également à l’étage Angoumien. Le plongement au sud-ouest du jurassique et du crétacé est donc bien évident depuis le coteau de Moëze. Mais il est à remarquer que l’inclinaison est plus prononcée dans les ilots des Collants, de la Guil- letrie et de Hiers-Brouage que dans la colline de Marennes. Il existe entre ces îlots des failles parallèles au pli principal. On en voit sur le bord du marais, au nord de la Gripperie par exemple, qui présentent des plongements tantôt au N.-E. et tantôt au S.-0., comme des plis secondaires. Ces onudulations ont pour consé- quence de maintenir les argiles rouges du Purbeck à un niveau à peu près le même sur tout le pourtour du marais et dans les îlots de l’intérieur : Malaigre, les Deux-Ecus, Hiers, Hérablais, etc. Nous avions vu ces argiies rouges à Broue et à Saint-Symphorien, dans une excursion précédente, nous les retrouverons à la Maingolière et à Saint-Jean d’Angle dans l’excursion du 3 juillet. Les membres de la Société qui prirent part à cette excursion furent MM. Beltremieux, Couneau, Dollot, Gatau et Boissellier auxquels s'était joint M. le com- mandant Heurtel. L’itinéraire suivi lutexactementlemêmequele29 mai, de Rochefort: à Soubise ct à la route de Saint-Aignan. Après avoir reconnu la base l’Angoumien, nous quit- tons cette route à la Marnétrie, pour prendre le chemin de la Mingolière, afin de recouper le Ligérien et le NN PT OT UE PT ET CT PP AE RGAN- Cénomanien comme nous l’avions fait au Moulin-Neui. Plusieurs carrières nous donnent des fossiles indéter- minables. Des limons rouges très épais masquent en- suite les assises redressées du Cénomanien. Ce n’est qu’au bord du marais que nous voyons les sables infé- rieurs de cet étage reposer sur les argiles rouges du Purbeckien. Un lit de graviers, avec cristaux de gypse rose, n'ayant que quelques centimètres d’épaisseur, sépare les deux étages. Nous retrouvons dans les ar- giles rouges les grès feuilletés, verts, micacés, etc., le calcaire scoriacé qui recouvraient aux Fontaines, près Saint-Aignan, le grand Mégalosaure de M. Roy. Les ossements que l’on possède de cet animal sont : une vertèbre caudale de la partie moyenne ou antérieure de la queue, mesurant 015 de diamètre antéro-posté- rieur; un fémur dont la partie inférieure a 050 de circonférence ; deux fibias, un os en V et un os long indéterminable. De la Mingolière aux Deux-Moulins nous ne faisons qu'une station pour examiner des plaquettes feuille- tées tabulaires, de 1 à 2 centimètres d'épaisseur alter- nant avec des couches de marne grise. Ces plaquettes généralement calcaires sont parfois très siliceuses. Le sommet du coteau des Deux-Moulins donne des bancs oolithiques à Corbula inflexa de 30 à 40 centimètres d'épaisseur. Nous suivons cette assise jusqu’au delà de Beaugey et nous recueillons de nombreuses Corbula inflexa sur un petit monticule près de Saint-Martin. Entre ce monticule et le coteau qui borde le marais des alluvions modernes dissimulent les argiles rouges du Purbeck ; mais les sables cénomaniens sont bien visibles, en montant le coteau de Saint-Martin, ainsi or di que les grès calcarifères dont nous constatons le plon- gement au nord-est. Dans la tranchée de la gare de Saint-Aïgnan ce plon- gement au N.-E. est très remarquable. On y peut observer toute la série des assises du Cénomanien jusqu'aux sables à Ostrea biauriculata que l’on ren- contre en sortant de la gare. Malgré les wagons et les piles de traverses qui masquaient en partie cette tran- chée, M. Couneau à pu en faire deux clichés que l’on peut consulter dans l’album de la Société. Nous traversons Saint-Aignan et Villeneuve sans nous arrêter sur le gisement du Mégalosaure. À Saint- Jean d’Angle, toutes les plaques et les pelicules sont impressionnées par la vue de l’église et du vieux chà- teau ; puis nous descendons au port, par Bourgnouveau, où nous rencontrons à mi-coteau les argiles rouges plongeant au sud-ouest, de 5° environ. Elles y sont recouverts par des sables micacés, des sables jaunes et des grès cénomaniens. Ces argiles sont généralement rouges avec des parties violettes ou blanches, comme à Broue et à la Guilletrie. On nous dit qu’elles ont été exploitées sur 8 mètres d'épaisseur. - Dans les excursions des 29 mai et 3 juillet 1892 nous avons vu entre Rochefort et le marais de Brouage une bande de terrain crétacé, ayant plus de 100 mètres d'épaisseur, inclinée d’abord au S.-0., puis redressée au N.-E. sous un angle de 60 degrés. Cette bande de terrain constitue une longue colline qui borde, au nord, le marais de Brouage ; tandis qu’au sud le même ter- rain crétacé se montre, dans la colline de Marennes, plongeant au S.-0. SLR Entre ces deux collines parallèles, aux plongements convergents comme les jambages d’un A, c’est-à-dire formant un pli anticlinal, s'étend une vallée anticlinale également où des ilots jurassiques émergent à travers des alluvions marines récentes. La partie du jurassique qui apparaît dans cette vallée, devenue le marais de Brouage, appartient aux dernières couches de la série, c'est-à-dire à l'étage Purbeckien. Sans le plissement du sol dont nous par- lons et le ravinement du terrain crétacé qui en fut la conséquence, on ne soupçonnerait pas l’existence du Purbeckien dans cet endroit. En effet, au nord de Rochefort, là où commence le crétacé, sa première assise, formée de sables argileux, se trouve en contact avec la zone à Ammonites ortho- ceras du Kimméridien. La zone à Ammonites longispi- nus, du même étage, l'étage Portlandien et le Purbec- kien qui viennent ensuite, sont recouverts par la série crétacée commençant par le Cénomanien. Ce phénomène de transgression n’est. pas particulier à notre région. On l’observe dans tout l’Ouest de la France. Sur le littoral de la Vendée, à Challans, la mer cénomanienne a laissé ses dépôts sur des micaschistes. A Mazeray au contraire elle n’a recouvert que la partie inférieure du Purbeckien. La mer qui s'était retirée de nos parages, après la période jurassique, est donc revenue, plus ou moins, au-delà de ses anciennes limites, et, sans le pli que nous avons vu, et que nous devrions appeler sain- tongeais parce qu’il traverse toute la Saintonge, nous ne connaîtrions pas les étages jurassiques que le Céno- manien recouvre. Pour ne parler aujourd’hui que du Purbeckien, que nous venons de visiter en partie, voici ce que nous savons de sa composition. Après l’avoir observé dans l’île d’Oleron et dans le pays bas de Matha, nous l’avons divisé sur la feuille géologique au 41/80,000 de La Rochelle en quatre assises, savoir, de haut en bas: Argiles rouges ou bariolées à Mégalosaure. Calcaire oolithique à Corbula inflexa. Plaquettes lithographiques violettes et argiles noires gypsifères. Calcaire feuilletée à Corbula inflexa et blocs arrondis pélris de serpules. Le Purbeckien des Charentes a beaucoup d’analogie avec celui de la Haute-Marne. Parmi les fossiles com- muns aux deux localités nous citerons : Cerithium crenulatum ? (De Loriol). Patella vassiacensis (De Loriol). | Corbula inflexa (Dunker). Cyrena rugosa (Sow). Mytilus subreniformis (Cornuel). Anomid suprajurensis (Buvigier). Serpula coacervata ? (Blum). Pycnodus Mantelli ? (Agassis). Indépendamment de ces espèces on en rencontre d’autres qui sont spéciales à notre pays, comme le Mégalosaure des Fontaines de Saint-Aignan et la petite Néritine (foraminifère) du Château d’Oleron. sdb. on... LA PHOTOGRAPHIE ET LA MICROPHOTOGRAPHIE APPLIQUÉES A L’HISTOIRE NATURELLE Foraminifères, Diatomées, Microbes. Par M. Charles BASSET,. Parmi les découvertes de ce siècle, la photographie est certainement l’une des plus importantes, l’une des plus merveilleuses et le rôle qu’elle joue de nos jours est considérable. Ses perfectionnements sans cesse croissants et la simplification de ses procédés favorisent son développement en la rendant accessible à tous; pour les uns, elle est un passe temps agréable, une distraction intelligente ; pour les autres elle est un auxiliaire indispensable, offrant de grandes ressources à leurs études et à leurs travaux. Presque toutes les branches des sciences utilisent la photographie et les services qu’elle leur rend sont exces- sivement précieux. Je me propose d'indiquer le profit que l’histoire naturelle peut en retirer en l’employant seule ou combinée avec le microscope, de HosRe par NPC quelques planches les résultats que l’on obtient, puis de faire une courte description des ioraminifères, des diatomées et des microbes pour l’étude desquels la mi- crophotographie est pour ainsi dire indispensable. Les naturalistes sont aujourd’hui tenus d’apporter dans leurs études une précision rigoureuse ; il ne suffit pas de bien voir, il faut faire voir aux autres ce que l’on à vu soi-même et une description risque souvent de passer inaperçue si elle n’est accompagnée de figures. Ces figures doivent être exécutées avec une grande perfection et représenter avec une exactitude mi- nutieuse le sujet, tel qu’il est, sans modifier en rien sa forme générale ni le moindre de ses détails’; malheu- reusement ces conditions ne sont pas toujours remplies, outre qu’il est très facile de voir ou de croire voir ce qu’on désire, souvent, en voyage principalement, le peu de temps dont on dispose, oblige à se contenter de dessins faits à la hâte et manquañt d’exactitude ; dans d’autres circonstances, pour les diatomées par exemple, une précision mathématique devient nécessaire et dès lors nul dessin ne peut prétendre à l’atteindre. La méthode qui peut donner toutes ces garanties c'est la photographie ; par elle on obtient des images d’une exactitude absolue et des documents d’une autorité indiscutable. Le seul reproche qu’on puisse lui faire, c’est qu’elle reproduit, avec la même fidélité, avec la même perfection, les parties accessoires ou inutiles que les parties principales et alors de ne pas faire ressortir ces dernières d’une façon aussi saisissante que par le dessin. Malgré cela il est incontestable que dans une infinité de circonstances elle rendra de réels et inap- préciables services aux zoologistes, aux botanistes et ET surtout aux anatomistes, soit qu'ils utilisent, telle quelle, l’image qu’elle fournira ou qu’elle serve de canevas pour le dessin. Les sujets à photographier sont de deux sortes : 1° Ceux qui demandent à être diminués à cause de leur grandeur ; 20 Ceux qui demandent à être augmentés à cause de leur petitesse. Pour les premiers on se sert des appareils ordinaires dont disposent tous les photographes pour faire des portraits, des vues, etc.; la manière d'opérer étant exactement la même, il est superflu de la décrire. Les sujets trop petits pour être photographiés de la façon qui précède, sont placés sur un microscope que l’on réunit à une chambre noire en le mettant à la place de l’objectif ordinaire. En amenant l'objectif du micros- cope à une distance voulue de l’objet on obtient sur la glace dépolie une image réelle de celui-ci ; plus on éloi- gnera la glace dépolie, plus l’image sera grande, mais alors, l'objectif devra être rapproché de la préparation. On conçoit aisément que si l’on substitue à la glace dépolie une plaque sensible, l’image de la préparation s’imprimera sur cette dernière; cette opération n’est pas autre chose que la microphotographie. De même que la découverte de la photographie est dûe à un français, à Daguerre, l'application de la pho- tographie aux objets microscopiques est également dûe à un français, à Vincent Chevalier, l’opticien bien connu, qui, dès 1840, c’est-à-dire un an après que la découverte du daguerréotype fut rendue publique, présentait à l’Académie des sciences, une série d’épreu- ves amplifiées, obtenues sur plaques métalliques, par == l’emploi combiné du microscope solaire et du daguer- réotype. Aucun instrument n’a été aussi utile à la science que le microscope; aucun n’a étendu d’une manière aussi considérable le champ de nos connaissances. Sa puis- sance d'investigation est telle, que rien ne semble devoir lui résister ; on lui doit la révélation d’un monde inconnu jusqu’à lui : les infiniment petits et bien des branches des sciences comme l’embryogénie et la bac- tériologie, n’existent que par les travaux de microgra- phes. En dehors des applications scientifiques, le microscope est très peu répandu en France, il n’en est pas de même chez quelques nations voisines, notam- ment en Angleterre, où il figure parfois au salon, au même titre que chez nous a longtemps paru le stéréos- cope, aussi les opticiens de ce pays ont-ils des modèles de luxe pourvus de toutes sortes d’accessoires et de mouvements. Les microscopes françajs sont beaucoup plus simples et plus pratiques ; à leurs formes précises et géométriques on voit que ce sont des instruments destinés au travail. Tout microscope peut servir pour photographier, on le dispose, à ceteffet, verticalement ou horizontalement; la première disposition est employée surtout lorsque le microscope n’est pas inclinant ; la seconde beaucoup plus commode, est, lorsqu'on peut l’utiliser, préférable pour un travail suivi. Les sujets à photographier étant très variables dans leur nature et leurs dimensions, on emploie diverses sortes d'objectifs suivant les circonstances. On aug- mentele grossissement par l'emploi d’oculaires spéciaux et par l’allongement de la chambre noire ; ces grossis- NE UE sements peuvent être poussés très loin, cependant, en pratique, on ne va guère au-delà de 3,000 fois en diamètre, soit 9 millions de fois en surface, comme grossissement direct. Pour chaque objet il y a du reste une limite qu’il ne faut pas dépasser car un plus fort grossissement ne fait voir rien de plus et il nuit à la netteté de l’image. Tous ces objectifs sont fabriqués, d’une façon remarquable, par nos opticiens français ; ceux si réputés des allemands et des anglais ne leur sont pas supérieurs ; leur succès tient souvent à leur prix élevé et à l’engouement qu’on a, en France, pour tout ce qui vient de l’étranger. Les systèmes optiques, dont le microscope se com- pose, absorbant beaucoup de lumière, il faut, pour photographier avec cet instrument, une lumière très vive et d’une intensité d'autant plus grande que le grossissement est plus considérable ; pour cela on con- centre la lumière sur la préparation au moyen de lentilles, plus ou moins puissantes, placées sous la platine du microscope. La lumière du soleil est la meilleure, sous tous les rapports, mais comme elle fait quelquelois défaut dans nos climats, on peut la rem- placer par des lumières artificielles surtout pour les faibles grossissements. Comme pour la photographie ordinaire, l'éclairage est un point des plus importants; il faut le graduer suivant la nature de la préparation et le grossissement employé afin d'obtenir le meilleur eflet possible. Quant aux procédés opératoires ils ne diffèrent en rien de ceux pratiqués ordinairement, et la microphotographie est aussi facilement accessible aux personnes se livrant à l’étude de l’histoire naturelle qu’à celles s’occupant déjà de photographie, je puis met VAR leur assurer que les résultats qu’elles obtiendront les dédommageront largement de la peine qu’elles auront prise. Au bas de l’échelle du règne animal se trouve un groupe de coquilles microscopiques très élégantes de formes et très intéressantes à observer; ce sont les foraminifères. Alcide d’Orbigny, le célèbre naturaliste que La Rochelle est fière de compter au nombre de ses enfants et qui mourut trop tôt pour la science, a repré- senté les types principaux par des modèles en plâtre mesurant 4 à 5 centimètres dans leur plus grande dimension (PI. IL, fig. 5). C’est sur nos côtes qu’il observa les petits organismes qu’ils représentent. « Pour mieux » réussir dans ce genre de recherches, dit M. de Fé- » russac, et pour mettre tout le monde à portée de véri- » fier ce qu’il découvrait avec tant de peine, et enfin » pour rendre sensible à tous les yeux, les caractères de » ces petits tests qu’il étudiait, d’Orbigny conçut le » projet, après avoir examiné cent et cent fois les » mêmes objets et les avoir dessinés, sous toutes leurs » faces, de sculpter, en grand, les types principaux de » toute la série des polythalames microscopiques, et, » au moyen des matrices qu’il exécutait, de multiplier, » par le moulage, la représentation de ces corps singu- » liers, qu'il livra ensuite au public. » Les deux premières livraisons de ces types, c’est-à- dire la moitié, furent publiées à La Rochelle, mais d’Orbigny les termina à Paris où il fut attiré par les pressantes sollicitations de M. de Férussac, dont il fut le collaborateur actif et dévoué. Ils publièrent ensemble le « Prodrome des Céphalopodes » ; ce travail, présenté LTÉE à l’Académie des sciences le 7 novembre 1825, attira l’attention du monde savant sur notre concitoyen, alors âgé d’une vingtaine d’années ; ce fut le point de départ de sa brillante carrière. Les foraminifères furent d’abord considérés comme des mollusques céphalopodes, dont ils affectent les formes, mais après les travaux du célèbre micrographe Dujardin, en 1835, ils furent classés près des polypiers. Ce savant démontra que leur corps logé dans d’aussi élégantes coquilles ne contient aucun organe autre que les expressions sarcodiques très fines, ou pseudopodes, qu'ils émettent et à l’aide desquelles ils se meuvent en même temps qu’ils recherchent leur nourriture. « Qui ne s’effraierait, dit Alcide d’Orbigny, en son- » geant que le sable de tout le littoral des mers est » tellement rempli de ces coquilles microscopiques si » élégantes de forme, qu’on peut dire qu’il en est » souvent à moitié composé? Plaucus en a compté » 6,000 dans une once de sable de l’Adriatique, et nous » en avons compté jusqu'à 480,000 par trois grammes » (un seul gros) de sable choisi des Antilles ou 3,840,000 » dans une once. Ces proportions multipliées dans un » mètre cube, par exemple, dépassent toutes les prévi- » sions humaines et grossissent tellement le nombre » des décimales qu’on a de la peine à le saisir, » Ces petites coquilles se composent d’une loge unique, ou d’une série de loges fermées communiquant les unes avec les autres par une petite ouverture et affectent les formes les plus diverses ; les unes ont l’apparence de la porcelaine, d’autres du verre, enfin quelques espèces peuvent construire leurs loges avec diverses matières ; PR VA le sable, par exemple, cimenté par une secrétion propre à l’animal. « Il n’est rien, il me semble, dit Carpenter, de plus » admirable dans la nature que la construction de ces » édifices symétriques et difficiles pour ces « atomes » gélatineux » qui ne présentent nulle part une trace » de cette organisation définie que nous sommes habi- » tués à regarder comme nécessaire aux besoins de la » vie consciente. Supposez que l’on place un maçon » humain devant une pile de pierres de toutes formes » et de toutes tailles et qu’on lui dise de bâtir un dôme » poli sur ces deux surfaces avec ces pierres, et la plus » petite quantité possible d’un mortier très tenace et » très coûteux pour les cimenter. S'il y réussit il sera » renommé pour sa grande intelligence et son adresse. » Cependant c’est exactement ce que font en petit ces » chétifs atomes de gelée. Les tests qu’ils construisent, » quand la lentille les à grossis, supportent la compa- » raison avec la plus belle maçonnerie humaine. Dans » le même fond de sable, une espèce choisit les plus » gros grains, les cimente avec du phosphate de fer, » secrété de sa propre substance, etconstruitunecoquille » en forme de bouteille percée d’un seul et large orifice. » Une autre ramasse les grains plus fins et, à l’aide du » même ciment, en fait une sphère parfaite, d’un fini » extraordinaire et percée de nombreux petits pores à » des distances régulières. Cette autre choisit les plus » petits grains et les extrémités des spicules d’éponges » et les réunit, à ce qu’il semble, sans aucun ciment, » mais par les pointes des spicules, en une petite sphère » blanche, comme un globule homœæopathique, percée » d’une seule fente. Un autre enfin, qui construit une — 73 — ; » coquille droite à plusieurs chambres, l'extrémité co- » nique de chaque chambre pénétrant dans la cavité de » la chambre suivante, forme les parois de chacune » d'elles avec des grains de sable ordinaire assez peu » serrés, et maçonne le bec des différentes chambres » successives en cimentant solidement les grains qui le » bordent. Donner à ces actions le nom « d’instinctives » » ne nous en rend aucun compte; car ce qui nous » manque c’est de savoir le mécanisme à l’aide duquel » elles sont exécutées, et il nous est bien difficile de » concevoir comment un choix de matériaux aussi » appropriés peut être fait par des êtres aussi simples. » Le rôle que jouent les foraminifères, dans la nature, est considérable ; dès l’époque carbonifère ils forment en Russie des bancs calcaires d’une grande épaisseur ; les terrains crétacés en montrent une immense quantité dans ses couches répandues un peu partout, notamment à l’Ile d’Aix où certaines espèces sont typiques, les terrains tertiaires en contiennent des quantités plus grandes encore, par exemple, dans les calcaires gros- siers du bassin parisien, dans le calcaire naummulitique avec lequel est bâtie la plus grande des pyramides d'Egypte ; enfin de nos jours, outre les sables des rivages et des plages, les récents dragages eflectués dans l’Océan Atlantique ont montré des couches énor- mes de foraminiières vivants dans des profondeurs de 3 à 4,000 mètres. De tous les êtres organisés que le microscope nous a révélés, il n’en est aucun qui soit plus attrayant à observer que les diatomées ; leurs formes si diverses, si régulières et la délicate structure de leurs valves She provoquent la plus profonde admiration. C’est à elles que le microscope doit en grande partie ses perfection- nements, c’est pour arriver à résoudre les fines stries de plusieurs d’entre elles que les objectifs sont arrivés à un point si voisin de la perfection. Les diatomées sont des algues microscopiques formées d’une seule cellule appelée frustule, qui est renfermée dansuneenveloppesiliceuse, rigideetgénéralementcom- posée de deux valves semblables entre lesquelles règne une bande, appeléebandeconnective,quidiviselecorpus- cule en deux parties opposées, et leur donne l’apparence d’une boîte dont les deux valves feraient le fond et le cou- vercle (PI. IV, fig. 3). A l’intérieur est renfermé un endo- chrôme ayant la plus grandeanalogieavecla chlorophylle des végétaux supérieurs, cet endochrôme est de nuance verte ou beaucoup plus souvent, d’un brun jaunâtre, contenant quelques gouttelettes d'apparence huileuse. Ces singulières algues revêtent toujours une forme régulière et géométrique, non seulement dans leur aspect général, mais encore dans le détail des stries, lignes, points, sculptures qui décorent leurs frustules. Les unes sont exactement circulaires, les autres ellip- tiques, d’autres encore disposés en triangle, en carré, en trapèze, en parallélogrammes divers. Certaines sont douées de mouvement ce qui les fit prendre tout d’abord pour des infusoires. Rien n’est plus curieux que de voir une série de ces petits bâtonnets empilés les uns sur les autres, glisser tout-à-coup à droite ou à gauche pour former un filament plus ou moins long ou figurer les marches d’un escalier ; d’autres se réunissent par leurs angles alternes et produisent des zigzags capri- cieux, d’autres se déploient comme des éventails, ou De TE s’arrangent en cercle, ou figurent une étoile, enfin d’autres ayant la forme de petites nacelles, vont et viennent isolément, en tous sens, sans que l’on ait pu, jusqu'ici, leur reconnaître d'organes locomoteurs. Les dimensions des diatomées sont encore inférieures à celles des foraminifères, qui auprès d’elles semblent des géants ; en effet on a calculé que dans un millimètre cube, il y aurait plus de deux millions des plusgros de ces corpuscules ; qu’il pourrait en contenir 27,000,000 de certaines espèces et 40,000,000 de plus petites encore. Les diatomées se multiplient par division et se repro- duisent par conjugaison, généralement de la façon suivante ; la bande connective s’élargit de manière à doubler la largeur du frustule, bientôt après on voit se former, sous cette bande, deux nouvelles valves oppo- sées dos à dos, de sorte que la cellule primitive se trouve divisée en deux nouvelles qui se séparent en éliminant la bande connective (PI. V, fig. 5). Cette opé- ration recommence successivement sur les nouveaux frustules et s’arrête à un certain moment. On comprend que les individus se multipliant à l’intérieur les uns des autres, les valves nouvelles deviennent de plus en plus petites et finiraient, par la suite, à disparaitre, c’est pourquoi cette division a une limite. Deux frus- tules donnent alors naissance à une spore d’un grand volume, que pour cette raison on appelle auxospore, laquelle se transforme en un frustule semblable aux parents, mais plus grand ; celui-ci renouvelle le type de l’espèce et la multiplication recommence. Ces corps d’une si grande ténuité croissent le plus souvent dans les eaux douces, saumâtres ou salées, jamais dans les RE de eaux corrompues. Elles forment parois sur le fond de l’eau une croûte uniforme d’un brun jaunûtre ; c’est ce qu'on peut apercevoir dans notre port, en été surtout, lorsque la mer se retire, la vase se recouvre, au bout de peu de temps, d’un enduit jaune brun, exclusivement composé de diatomées. D’autres fois on les trouve adhérentes aux plantes aquatiques, on en trouve sur le bois qui séjourne dans l’eau, sur les pierres humides, parmi les mousses et les hépatiques ; on les trouve encore dans l'estomac de beaucoup de poissons comme la sole, le mulet, etc.; dans beaucoup de mollusques : les huîtres, les moules, les pétoncles, etc.; la mousse de Corse en renferme de grandes quantités et de belles espèces ; le guano du Pérou formé par les excréments d'oiseaux aquatiques en contient également de grandes quantités. Malgré leur extrême petitesse, les diatomées forment aussi des couches géologiques importantes en Europe, en Amérique, au Japon, etc., elles atteignent parfois jusqu’à 40 mètres d’épaisseur et s'étendent sur de grands espaces. Dans beaucoup de contrées, ces dépôts que l’on appelle : farine fossile, sont exploités car ils ne sont pas autre chose que le tripoli qui sert au polis- sage des métaux. Les microbes, ces si infiniment petits qui sont arrivés à faire un aussi infiniment grand tapage, sont des cryptogames que l’on rencontre partout en très grande abondance: dans notre organisme, dans l'air, dans l’eau, dans nos aliments, etc. M. Miquel à calculé qu’un homme en absorbe en vingt-quatre heures 262,302,500 par la respiration; l’eau A — de la Vanne, réputée la meilleure de Paris, en con- tient, d’après M. Proust, 41,000 par centimètre cube ou 2,750,000 par verre d’eau et 11,000,060 par litre; le pain n’est pas moins richement pourvu, il y en aurait d’après un autre bactériologiste 500,000 par gramme ou 250,000,000 par demi kilogramme !.. Leur petitesse est excessive ; les individus de l’espèce la plus commune de bactéries en baguette présente la forme d’un court cylindre d’un millième de millimètre de diamètre et d’environ 1 /300 de millimètre de longueur, d’après ces mesures un cube d’un millimètre de côté en contien- drait 650,000,000 sans espace vide. Le rôle des microbes n’est pas encore parlaitement défini ; les uns, c’est le plus grand nombre, veulent que le microbe soit spécifique, c’est-à-dire que chaque maladie ait un microbe particulier ; les autres veulent au contraire qu'il ne soit actif que parce qu'il est imprégné de venin, qu’il secrète ou qu’il fait naître par son contact avec la matière organique sous certaines conditions. L'étude de ces infiniment petits étant surtout du domaine de la médecine je me bornerai à ces quelques citations en vous faisant remarquer la part considérable qui revient à nos savants français dans les progrès de la bactériologie et en vous rappelant la cérémonie pleine de grandeur dans laquelle on a célébré récem- ment le 70 anniversaire de Pasteur ; tous nos cœurs ont ressenti une patriotique émotion en voyant l’hom- mage rendu par les savants les plus illustres de tous les pays à l’homme qui personnifie le travail et le génie scientifique de la France. CREED D Fig. 1 AUD DS - DL » 5. » 6. DAME D US. Fig. 1 ). D DD: » À, SY MST D 0: » 7e » 8. hr Explication des planches. PLANCHE I. Ixode de Good, parasite du serpent Python Séba : grossissement 1 fois 1/2. Trompe de la mouche domestique : grossissement 16 fois. Hanneton vulgaire. Attachus grand paon. Cerambix heros. Lamie tisserand. Mouche vivipare. Cornée de la mouche domestique. PLANCHE II. Langue de littorine vulgaire (vulgo : bigorneau ou guignette) : grossissement 50 fois. Coupe de radiole d’oursin (Echinotrix Petersii). Coupe de radiole d’oursin (Paratalinia gratiosa). Plaques et ancres de synaptes : grossissement 35 fois. Types de Foraminifères modelés par Alcide d’Orbigny. Coupe de Fabularia discolithes, forarninifère du bassin parisien : grossissement 12 fois. Ammonites achilles, d’Orb., réduite au dixième. Natica rupellensis, d’Orb., demi grandeur. » 9/10. Pentagonaster Basseti de Loriol: Séquanien d’Angoulins. » 41. Astropecten Gataui, de Loriol : » » ge ho DRE ER L DHuIBUE LS RE a > Eu) 70 — PLANCHE III. Coupe de tige de blé : grossissement 8 fois. Coupe de nénuphar : grossissement 10 fois. Cèdre du Liban de la rue Réaumur, à La Rochelle. Bacillus anthracis : grossissement 125 fois. Bacillus tuberculosis : grossissement 250 fois. PLANCHE IV. Navicula lyra, Ehr. gross. » aspera, Ehr. » Surirella gemma, Ehr. » » fastuosa, Ehr. » Navicula nobilis, Kutz. » Vanheurckia rhomboides, Bréb. » Navicula bomboides, A. S. » 945 diamètres. 395 800 380 190 526 365 Amphipleura pellucida, Kutz. » 1000 Pleurosigma angulatum, W.S. » PLANCHE V. Cocconeis splendida, Grev. gross. Heliopelta mettii, Ehr. » Auliscus sculptus, Ralfs » Triceratium pentacrinus, Wall. » Biddulphia pulchella, Gray. » Coscinodiscus oculus-iridis, Ehr. _ » Triceratium favus, Ehr. » Triceratium pseudo-nervatum, Gr. et St. Terpsinæ musica, Ehr. » Arachnoidiscus Ehrenbergïi, Bail. » Isthmia nervosa, Kutz. » 275 300 diamètres. 200 à ef Co ARS | 0 Ps ed A°ELr "© DR PERRET EPL 6e "TE, À 2 a ere LÉCVE AVE PAL AS Cat + L ( TE Me rails ; € hd à 1 4 = Len « _ re L , x | | ï à 3 $ £ n $ à À < : sd 4 V br, me Ra NT ni nb sk f:6e etais dus té de NEC } 4e Cole : SP WA AÉRUIES pe PLANCHE I. Clichés Ravet et Ch. Basset Phototypie J. Royer. . INSECTES preneur È PLANCHE Il. «2,0 0 11h AN ATTE Le KW DNS NE 22H \oyer. l Phototypie J, Basset Clichés Ravet et Ch. > ZOOLOGIE — GEOLOGIE PLANCHE Ill. Clichés Ravet et Ch. Basset Phototypie J. Royer. BOTANIQUE. — MICROBES PLANCHE IV. Phototypie J. Royer. Clichés Ch. Basset. s DIATOMEES PLANCHE V. ’ La c Q go Fo 00% "#0 EEE PAIN Clichés Ch. Basset, Phototypie J. Royer. DIATOMÉES AGARICINÉES RÉCOLTÉES A FOURAS (Charente-Inférieure) Principalement dans le bois de Pins et dans le parc du Casino 1888-1892 Pan raut BRUNAUD. Amanita phalloides Fr. Var. citrata P. Brun., Glan. myc. I, p. 1. A. verna Fr. A. Mappa Fr. A. citrina Schæfi. Var. alba P. Brun., Liste Hym., p. 3. Form. exannulata P. Brun., Glan. myc. I, p. 1. A. pantherina D. C. À. echinocephala Viti. À. rubescens Fr. Far. albo-rubens P. Brun., Glan. myc. I, p. 2. A. spissa Fr. A. aspera Fr. Amanitopsis vaginata (Bull.) Roz. Var. fulva ; Ag. fulvus Schæff. A. baccata (Fr.) Sacc. Lepiota procera Scop. ee O0 ES L. rhacodes Vitt. L. excoriata Schæfi. Var. curta P. Brun., Liste Hym., p. 5. L. clypeolaria Bull. L. helveola Bres. L. cristata Alb. et Schw. L. erminea Fr. Var.coustrictaQuél.; Armillaria constricta Fr. L. Carcharias Pers. L. littoralis Menier. L. seminuda Lasch. Form. incarnata P. Brun., Glan. S, L'pe L. serena Fr. L. lenticularis Lasch. Armillaria mellea Wahl. Tricholoma sejunctum Sow. T. albo-brunneum Pers. T. ustale Fr. T. scalpturatum Fr. T. terreum Schæî. Var. argyracea ; Ag. argyraceus Bull. T. triste Fr. T. sudum Fr. T. sulphureum Bull. Var. bufonia ; Ag. bufonius Pers. . inamœnum Fr. . albellum Fr. . album Schæfi. .nudum (Bull.) Fr. . sordidum Fr. Clitocybe nebularis Batsch. C1. virens Scop. er dt Der er ar Mure. ER Vues Form. grisea P. Brun., Liste Hym., p. 10. CL. odora Bull. C1. rivulosa Pers. C1. candicans Pers. C1. infundibuliformis Schæfl. C1. squamulosa Pers. CI. catinus Fr. CI. ericetorum Bull. C1. cyathiformis Fr. Var. expallens ; Ag. expallens Pers. C1. brumalis Fr. CI. diatreta Fr. CI. fragans Sow. C1. sandicina Fr. C1. laccata Scop. C1. tortilis Bolt. Collyhbia radicata Relh. . longipes Bull. . platyphylla Fr. . fusipes Bull. . butyracea (Bull.) Fr. . velutipes Curt. . Stipitaria Fr. . hariolorum D. C. .ingrata Schm. . dryophila (Bull.) Fr. Var. œdipus Quél. C. extuberans Fr. C. rancida Fr. C. atrata Fr. Mycena rubro-marginata Fr. M. Seynesii Quél. PHoNr EF -MrEsÉrhRe eg) pu M. pura Pers. Var. lilacea P. Brun., Glan. myc. I, p. 3. . luteo-alba Bolt. . flavo-alba Fr. . lactea (Pers.) Fr. gypsea Fr. rugosa Fr. sudora Fr. galericulata Scop. polygramma Bull. inclinata Fr. alcalina Fr. ammoniaca Fr. metata Fr. . filipes Bull. . Supina Fr. . vitilis Fr. rm. alba P. Brun., Glan. myc. I, p. 3. . acicula Schæff. . hæmatopoda (Pers.) Fr. M. clavicularis Fr. M. echinulata Quél. Omphalia setipes Fr. ©. fibala Bull. Pleurotus corticatus Fr. P. Eryngii D. C. Hygrophorus eburneus (Bull.) Fr. . cossus (Sow.) Fr. . discoideus (Pers.) Fr. . virgineus (Wulf.) Fr. . niveus (Scop.) Fr. . conicus (Scop.) Fr. SJRRERERERERERRREE = HDMI HQE H. chlorophanus Fr. Lactarius insulsus Fr. .Zonarius (Bull.) Fr. . hysginus Fr. argematus Fr. . acer (Bolt.) Fr. . violascens (Otto) Fr. piperatus (Scop.) Fr. . deliciosus (L.) Fr. . thejogalus Bull.) Fr. Var.chrysorrhea; Lactarius chrysorrheus Fr. L. vietus Fr. L. fuliginosus Fr. ; L. azonites Bull. L. volemus Fr. Var. œdematopus Fr. ; 49. lactifluus Schæff. L. serifluus (D. C.) Fr. L. subdulcis (Bull.) Fr. L. subumbonatus Lindger. L. tabidus Fr. Russula nigricans (Bull.) Fr. . adusta (Pers.) Fr. . albo-nigra (Krombh.) Fr . delica Fr. . furcata (Pers.) Fr. . Sanguinea (Bull.) Fr. . rosacea Fr. . Sardonia Fr. . depallens Fr, Var. vinosa Quél. R. maculata Fr. R. lactea (Pers.) Fr. KR. rubra Fr. PRRBDEEE CREER EE: AT ae R. amœæna Fr. Form. alba P. Brun., Glan. myc. I, p. 3. Form. virescens P. Brun., Liste Hym., p. 27, Form. incarnata Quél. Form. lilacina Quél. R. suavis Schulz. ; R. palumbina Quél. R. xerampelina (Schæff.) Fr. — T. C. R. violacea Quél. R. olivacea (Schæfl.) Fr. R. vesca Fr.; R. rosea (Schæf.) Fr. KR. lilacea Quél. R. cyanoxantha (Schæf.) Fr. R. heterophyila Fr. Var. galochroa ; R. galachroa Fr. KR. consobrina Fr. Var. sororia Fr. . fœtens (Pers.) Fr. fellea Fr. Queletii Fr. emetica (Harz.) Fr. pectinata (Bull.) Fr. ochroleuca (Pers.) Fr. æruginea Fr.; R. graminicolor (Sow.) Quél. smaragdina Quél. { veternosa Fr. | Barlæ Quél. . integra (L.) Fr. mollis Quél. Var. æruginascens Quél. Var. eburnea Quél. KR. nitida (Pers.) Fr. R. lateritia Quél. ÉÉRÉEEEEECE PES R. alutacea Fr. R. nauseosa (Pers.) Fr. R. chamæleontina Fr. Cantharellus cibarius Fr. GC. aurantiacus (Wuli.) Fr. GC. glaucus Fr. Marasmius urens Fr. M. oreades Fr. M. globularis Fr. M. languidus (Lasch) Fr. M. ramealis (Bull.) Fr. M. rotula (Scop.) Fr. Lentinus tigrinus (Bull.) Fr. Panus stipticus (Bull.) Fr. Schizophyllum commune Fr. Volvaria plumulosa (Lasch) Quél. V. parvula Weinm. Pluteus semibulbosus Lasch. Entoloma repandum Bull. E. sericellum Fr. E. rhodopolium Fr. E. sericeum Bull. E. nidorosum Fr. E. speculum Fr. Var. conocephala P. Brun., Misc. myc. L p. 4. Leptonia lampropoda Fr. L. chalybæa Fr. Nolanea pascua Pers. Var. umbhonata Quél. N. mammosa L. N. juncea Fr. N.incarnata Quél. 2 Rn E Form. littoralis Quél. Eccilia Parkensis Fr. Claudopus variabilis Pers. Pholiota Ægerita Port.; Quél.; Brig. Ph. spectabilis Fr. Inocybe dulcamara Alb. et Schw. . plumosa (Bolt.) Fr. . corydalina Quél. . Scabra Müll. . capucina Fr. . rimosa Bull. . maculata Boud. . descissa Fr. . fastigiata Schæfi. . astepopora Quél. . grammata Quél. et Le Bret. . prætervisa Quél. . cæsariata Fr. . tomentella Fr. . umbratica Quél. . Scabella Fr. Hebeloma versipelle Fr. H. crustuliniforme Bull. H. elatum Batsch. H. longicaudum Pers. EH. circinans Quél. Flammula muricella Fr. F. spumosa Fr. Naucoria cidaris Fr. N. cucumis Pers. : N. cerodes Fr. N. melinoides Fr. Bof ef Hoi Het ei el eg ei Ge bed el ed ei bei ri an N. vervacti Fr. N. pediades Fr. N. semiorbicularis Bull. N. conspersa Pers. Galera hapala Fr. . tenera Schæfi. . Siliginea Fr. . spartea Fr. . pygmæo-affinis Fr. . vittiformis Fr. . hypnorum Batsch. .mycenopsis Fr. Tubaria furiuracea Pers. T. paludosa Fr. T. pellucida Bull. Crepidotus mollis Schæff. Cr. applanatus Pers. Cortinarius sebaceus Fr. . anfractus Fr. . multiformis Fr. . rapaceus Fr. . calochrous (Pers.) Fr. . purpurascens Fr. . causticus Fr. . crystallinus Fr. mucifluus Fr. elatior Fr. . Stillatitius Fr. . argentatus (Pers.) Fr. . violaceus (L.) Fr. . albo-violaceus (Pers.) Fr. . pholideus Fr. PARA QAQGER fannaoononsecnn Derop es . azureus Fr. . venetus Fr. impennis Fr. . scutulatus Fr. hæmatochelis (Bull.) Fr. hinnuleus (Sow.) Fr. . glandicolor Fr. . biformis Fr. . incisus (Pers.) Fr. . palaceus (Weinm.) Fr. tortuosus Fr. rigens Fr. leucopus (Pers.) Fr. erythrinus Fr. . decipiens (Pers.) Fr. germanus Fr. . Saniosus Fr. . oObtusus Fr. . fasciatus Fr. Paxillus atro-tomentosus (Batsch) Fr. Agaricus augustus Fr. A. arvensis Schæfi. Var. xanthoderma Genev. A. pratensis Schæfi. A. campestris L. Var. villatica; 4. villaticus Brond. Var. silvicola ; 4. silvicola Vitt. À. Bernardii Quél. Form. alba P. Brun., Glan. myc. [, p. 5. A. comtulus Fr. A. amethystinus Quél. A. semotus Fr. Donna econsonanons RO Stropharia coronilla Bull. S. luteo-nitens Vahl. S. semiglobata Fr. Hypholoma sublateritium Schæf. H. fasciculare Huds. Var. elæodes ; H. elæodes Fr. H. lacrymabundum Fr. H. velutinum Pers. H. Candolleanum Fr. ‘H. appendiculatum Bull. H. hydrophilum Bull. Psilocyhbe sarcocephala Fr. P. uda Pers. P. callosa Fr. P. semilanceata Fr. P. spadicea Fr. Form. arenicola P. Brun,, Liste Hym., p. 52. P. cernua Fr. Deconica coprophila Bull. Psathyra conopilea Fr. _P. corrugis Pers. P. torpens Fr. P. gyroîflexa Fr. Coprinus atramentarius (Bull.) Fr. .fuscescens (Schæfi.) Fr. . picaceus (Bull.) Fr. . flocculosus (D. C.) Fr. . extinctorius (Bull.) Fr. . eburneus Quél. . fimetarius Fr. Var. cinerea ; Ag. cinereus Schæfl. C. niveus (Pers.) Fr. non nn LPO . micaceus (Bull.) Fr. . radians (Desm.) Fr. . congregatus (Bull.) Fr. ephemeroides (Bull.) Fr. Brunaudii Quél. . narcoticus (Batsch) Fr. nycthemerus Fr. . radiatus (Bolt.) Fr. domesticus (Pers.) Fr. . plicatilis (Curt.) Fr . roris Quél. . tuberosus Quél. . hemerobius Fr. . rapidus Fr. . diaphanus Quél. . mutabilis Quél. Panæolus retirugis Fr. P. sphinctrinus Fr. P. campanulatus L. P. fimicola Fr. Anellaria fimiputris (Bull.) Karst. Psathyrella gracilis Fr. Ps. caudata Fr. Ps. prona Fr. Ps. atomata Fr. Ps. disseminata Pers. Gomphidius viscidus (L.) Fr. Var. testacea; G. testaceus Fr. chebeNoloie coloc Loleterchene © GLANULES MYCOLOGIQUES > SÉRIE HERBORISATIONS DE 1892 DANS LA CHARENTE-INFÉRIEURE PAR PAUL BRUNAUD. HYMÉNOMYCÈTES Fr. Amanita echinocephala Vitt. — Dans les bois. — Fouras. Lepiota littoralis Ménier. — Dans les friches qui avoisinent la mer. — Fouras. Tricholoma pessundatum Fr. — Dans les bois de chênes. — Thenac, Gemozac. Collybia stipitaria Fr.; Marasmius scabellus Quél., F1. myc., p. 315. — Sur des racines de grami- nées. — Genouillé. Mycena sudora Fr. — A la base des vieux troncs _ d’ormeaux. — Saintes. M. supina Fr. — Sur les vieux troncs moussus des robiniers. — Saintes. 7 ENQUETE Omphalia Fibula Bull, form. alba. — Parmi les mousses. — Saintes. Russula lactea (Pers.) Fr. — Dans les bois. — Saintes. R. amæna Quél., form. incarnata. — Dans les bois. — Fouras. Form. lilacina. — Dans les bois. — Fouras. R. vesca Fr.; R. rosea (Schæff.) Fr. — Dans les bois. — Fouras. R. mollis Quél., form. eburnea. — Espèce entiè- rement blanche. — Dans les bois. — Fouras. R. lateritia Quél. — Dansles bois. — Fouras. Inocybe dulcamara Alb. et Schw. — Dans les bois de chênes. — Saintes, Saint-Georges-des-Coteaux, Fontcouverte. I. tricholoma (Alb. et Schw.) Fr. — Dans les prés. — Saintes. Tubaria autochthona Berk. et Br. — Sur les bords des fossés, dans les haies. — Saint-Georges-des-Coteaux, Thenac. Etait très abondant à Saintes, automne 1892. T. inquilina Fr. — Sur les éclats de bois, les brin- dilles, dans les endroits où l’on a équarri des pièces de bois, notamment des noyers. — Saintes. Cortinarius fasciatus Fr. — Dans les bois. — Saintes, Saint-Georges-des-Coteaux. TO. Agaricus campestris L., var. villatica. — Dans les prés. — Thenac, Tesson. À. silvaticus Schæff. — Dans les prés, les friches. — Saint-Georges-des-Coteaux, Thenac. Psilocybe semilanceata Fr. — Aux bords des haies, dans les friches, les endroits fumés. — Fouras. Psathyra pennata Fr., var. fimicola Bernard. — Sur les crottins. — Ile de Ré, Saintes. Coprinus radiatus (Bolt.) Fr. — Sur les crottins. — Fouras. Var. ocracea P. Brun., Glan. myc. I, p. 5. — Sur des brindilles. — Saintes. Cette variété est plus grande que le type et se rapproche assez du C. stellaris Quél. C. ephemerus Fr. — Dans les endroits fumés. — Genouillé. C. diaphanus Quél. — Sur les crottins. — Saintes. C. mutabilis Quél. — Sur les crottins. — Fouras. Panæolus remotus Schæfi. — Sur les crottins. — Saintes. P. acuminatus. — Sur les crottins. — Saintes. Boletus pachypus Fr., var. candicans Fr. — Dans les bois, les friches. — Saintes, Pessines, Varzay. B. Rostkovii Fr.; B. lividus Rostk., t. 18, non Bull. — Dans les bois, les friches, sous les pins, aux pieds des chênes. — Fouras. Parait n’être qu’une variété du Boletus chrysenteron Fr. ER: LS Polyporus spumeus (Sow.) Fr. — Sur un vieux tronc d’ormeau. — Saintes. Poria bombycina Fr. — Sur des vieilles souches d’ormeau. — Saintes. Hymenochæte fuliginosa (Pers.) Lév.— Sur du bois pourri de sapin. — Saintes. Corticium lacteum Fr. — Sur les branches tom- bées. — Fontcouverte. C. calceum Fr. — Sur du bois pourri de Berberis vulgaris. — Saintes. Clavaria cinerea Bull — Dans les bois. — Gemozac. URÉDINÉES Brongn. Puccinia Porri(Sow.) Wint. — Sur les feuilles de V’Allium vineale. — Châtelaillon. P. Malvacearum Mont. — Sur les feuilles du Malope trifida. — Saintes. PYRÉNOMYCÉTES Fr., em. ; de Not. : Valsa Lauro-Cerasi Tul. — Sur les branches mortes du Prunus Lauro-Cerasus. — Saintes. Botryosphæria Pruni spinosæ Delacroix, Rev. myc. Tome VII, p. 191, pl. 17, Ï. 11. — Sur les branches desséchées du Prunus spinosa. — Environs de la Rochelle. es 7 = Sphærella microscopica Passer. — Sur les feuilles mortes du Typha angustifolia et du Typha lati- folia. — Saintes, Fouras. Diaporthe cryptica Nke. — Sur les sarments morts du Lonicera Periclymenum. — Fouras. Sphærulina Scirpi Passer., in litt. ad P. Brun. — Périthèces petits, rapprochés, bruns, membraneux. Thèques globuleuses, diam. 10-12 ou obovoïdes-piri- formes, long. 20, larg. 10, sans paraphyses, octospores. Sporidies subdistiques, cylindriques, droites, 3-septées, hyalines, long. 8, larg. 2-2 1/2. — Sur les tiges mortes du Scirpus lacustris. — Saintes. Pleospora infectoria Fuck., var. Maydis. — Sporidies long. 14-16, larg. 5-7. — Sur les feuilles mortes du Zea Mays. — Saintes. Ostropa cinerea Pers. — Sur les tiges mortes du Ruscus aculeatus. — Fouras. DISCOMYCÈTES Fr. Peziza isochroa Fr. — Sur la terre fumée, dans les bois. — Fouras. P. cochleata L. ; Bull. — Dans les interstices des pierres d’une cour humide. — Saintes. Humaria fimetaria Schm. ; Quél.. Ench. p. 277. — Sur les crottins. — Saintes. Phialea cyathoidea (Bull.) Gill. — Sur les tiges mortes du Ruscus aculeatus. — Fouras. sie P. culmicola (Desm.) Gill. — Sur les chaumes des grandes graminées, les tiges mortes des Galium. — Saintes, Genouillé. Dascyscypha patula (Pers.) Sacc. — Sur les tiges mortes de l’Arundo Phragmites. — Saintes, Fouras. Ascobolus incolor Quél. —- Sur les troncs pourris des choux. — Fouras. Calloria straminea Quél. — Sur les branches tombées des pins. — Fouras. Fabræa litigiosa (Rob. et Desm.) Sacc. — Sous les feuilles du Ranunculus repens. — Saintes. MYXOMYCÈTES Walir. Didymium squamulosum (Alb. et Schw.) Fr. — Sur les mousses (Brachythecium velutinum). — Genouillé. D. farinaceum Schrad. — Sur lestiges mortes du Phragmites communis. — Fouras. SPHÆROPSIDÉES Lév. reform. ; Sacc. Phyllosticta Cynanchi P. Brun. — Taches am- phigènes, blanchissant par la dessication, arrondies ou subanguleuses, non bordées de brun. Périthèces épi- hypophylles, petits, noirs, subglobuleux, érumpents. Sporules ovales-oblongues, hyalines, long. 7-8, larg. 3, biguttulées. — Sur les feuilles du Cynanchum acutum. — Fouras. =. 100)! == Ph. Alismatis Sacc. et Speg., form. santonensis P. Brun. — Tachesamphigènes, blanchâtres, oblongues ou irrégulières, non bordées de brun. Périthèces épi- hypophylles. Sporules ovales, long. 7-8, larg. 3, bigut- tulées, hyalines. — Sur les feuilles de l’Alisma Plan- tago. — Saintes. Phoma Lindleyana Sacc.; P. Brun., Champ. obs. VI, p. 2, et Sphærops. Charente-Inférieure, p. 23. — Sur les branches mortes du Buddleia Lindleyana. — Fouras. P. Celtidis Cooke. — Sur les branches mortes du Celtis australis cultivé. — Saintes. P. subcomplanata Cooke et Mass. — Sur les tiges mortes de l’Heracleum Sphondylium. — Fouras. P. herbarum West. — Sur les tiges mortes du Campanula Rapunculus, du Cynanchum acutum, du Rosmarinus officinalis, du Tetragonolobus siliquosus. — Fouras. P. acuta Fuck., var. amplior $. et R. — Sur les tiges mortes du Fæniculum officinale. — Saintes. P. arenaria Sacc. — Sur les feuilles mortes du Carex arenaria. — Fouras. P. siliquastrum Desm. — Sur les siliques des choux cultivés. — Fouras. Cytospora Ampelopsidis C. Mass. — Sur les tiges mortes de l’Ampelopsis hederacea. — Saintes. Asteroma confervoides Grogn.— Sur les jeunes pousses vivantes du Lycium barbarum. — Saintes. — 100 — Diplodia Emeri Sacc. — Sur les branches mortes du Coronilla Emerus. — Saintes. Septoria daucina P. Brun.— Taches amphigènes, nombreuses, éparses ou rapprochées, parfois con- fluentes, brunes, subarrondies, oblongues ou irrégu- lières, plus päles au centre, à bordure brune légère- ment élevée. Périthèces très petits, noirs. Sporules filiformes, droites ou flexueuses, hyalines, guttulées, long. 25-50, larg. 1-1 1/2. — Sur les feuilles du Daucus Carota cultivé. — Saint-Laurent-de-la-Prée. S. caricina P. Brun., Misc. myc. II, p. 38. — Taches nulles ou indéterminées et dans ce cas formées par l'extrémité desséchée de la feuille. Périthèces le plus souvent hypophylles. Sporules hyalines, droites ou légèrement courbées, long. 30, larg. 1. — Sur les feuilles du Carex arenaria. — Châtelaillon. Leptostromella cladopoda Sacc. — Sur les feuilles mortes du Typha angustifolia. — Fouras. HYPHOMYCËTES Mart., p. m. part. Cylindrium griseum (Ditm. ?) Bon. — Sous les feuilles tombées des chênes. — Fouras. Penicillium candidum Link. — Sur les péri- thèces du Valsa Lauro-Cerasi. — Saintes. Cladosporium herbarum (Pers.) Link. — Sur les tiges mortes du Campanula Rapunculus et du Ros- marinus officinalis. — Fouras. C. caricicolum Cord. — Conidies oblongues, d’un — 101 — brun-jaune très clair, long. 18, 1-septées. — Sur les tiges mortes du Cyperus longus. — Fouras. C. Typharum Desm. — Sur les feuilles desséchées du Typha latifolia. — Fouras. Triposporium Sarcinula Sacc. — Sur les branches mortes du Prunus armeniaca, du Prunus Padus et de l’Æsculus Hippocastanum. — Saintes. GLANULES MYCOLOGIQUES > SÉRIE HERBORISATIONS DE 1892-1893 DANS LA CHARENTE-INFÉRIEURE PAR PAUL BRUNAUD. .) Collyhbia velutipes Curt., form. nana. — Chapeau jaune d’œuf, diam. 1 cent., au plus. Pied grêle, long. 1 1/2-2 cent. — Sur les troncs des vieux tilleuls, au milieu des mousses en société avec Mycena supina et M. echinipes. — Rochefort. Panæolus campanulatus L., form. elatior. — Chapeau campanulé-étalé, légèrement mamelonné, d’un gris argenté, diam. 6-8 cent. Pied élancé, long. 12-15 cent., annulé. — Aux bords des chemins, dans les prés, quelquefois en touffes aux pieds des vieux arbres. — Rochefort, Saintes, Pessines. Polystictus undatus Pers. — Sur des vieilles planches pourries de sapin. — Saintes. Lycoperdon furfuraceum Schæf. ; L. cepiforme Bull. — Dans les prés, les bois, les friches. — Fouras. — 104 — Scleroderma verrucosum (Bull.) Pers. — J’en ai trouvé, à Fouras, une variété remarquable par sa chair blanche prenant une teinte rosée à l’air. Uromyces Scillarum (Grev.) Wint. — Sur les feuilles du Muscari compactum cultivé. — Saintes. Pilobolus roridus (Bolt.) Pers. — Sur du crottin de cheval. — Saintes, Genouillé. Cystopus candidus (Pers.) Lév. — Sous les feuilles du Thlaspi perfoliatum. — Saintes. Plasmopara nivea (Unger) Schroet. — Sous les feuilles du Tordylium maximum. — Saintes. Peronospora Dianthi de Bary. — Sous les feuilles de l’Agrostemma Githago. — Saintes. Dans mes échantillons, les conidies ne sont pas franchement violacées, cependant elles sont colorées. S’agirait-il d’une variété ? Valsa punica S. et S. — Sur les branches mortes du Punica Granatum. — Saintes. Cryptovalsa Nitschkeiïi Fuck.— Sur les branches mortes du Pirus Malus. — Fontcouverte, Saintes. Chætomium comatum (Tode) Fr. — Sur les tiges mortes du Calystegia sepium, du Spiræa Ulmaria, les écailles de l’involucre du Cynara Scolymus, les aiguilles des pins, les papiers exposés à l'humidité. — Saintes, Fouras. Poronia punctata (L.) Fr. — Sur les crottins d’âne et de cheval. — Fouras. 106 = Sphærella Rubiæ P. Brun. — Périthèces très petits, épars, couverts, à ostiole à peine érumpent. Thèques octospores, claviformes, long. 40, larg. 10-12. Sporidies distiques, oblongues, 1Î-septées, droites, hyalines, long. 7-10, larg. 3. — Sur les tiges mortes du Rubia tinctoria. — Saintes. Sphærella microscopica Passer. — Sur les feuilles mortes du Typha latifolia. — Fouras. Sphærella tædiosa Passer. — Sur les tiges mortes du Sparganium ramosum. — Le Port d'Envaux. Diaporthe retecta Nke., form. fructicola P. Brun. — Sur les fruits desséchés du Buxus semper- virens. — Saintes. Nectria cinnabarina (Tode) Fr. — Sur les branches mortes du Cratægus monogyna. — Saintes. Phyllachora Cynodontis (Sacc.) Niessi. — Sur les feuilles desséchées du Cynodon Dactylon. — Fouras. Lophiotrema præmorsum (Lasch) Sacc., var. Rubi Idæi Sacc., Fung. ital. t. 253. — Sur les sarments morts du Rubus cæsius. — Saintes. Cyathicula coronata (Bull.) de Not. — Sur les tiges desséchées des Brachypodium. — Saintes. Phialea clavata (Pers.) Gill — Sur les tiges mortes du Clematis Vitalba. — Saintes. Phialea fructigena (Bull.) Gill. — Sur les glands du Quercus Ilexr. — Fouras. Didymium microcarpum (Fr.) Rost. — Sur des — 106 — brindilles, des branches tombées, du bois pourri, des crottins de cheval. — Saintes. Phyllosticta Hederæ Sacc. et Roum. — Sur les feuilles des var. chrysocarpa, variegata et canariensis de l’Hedera Helix. — Saintes. Phoma spartiicola P. Brun., Esp. Sphærops., p. 1. — Sur les petites tiges mortes du Spurtium junceum. — Fouras. Paoma sambucina Sacc. — Sur les jeunes branches mortes du Sambucus nigra. — Saintes. Phoma incarcerata (Nke.)Sacc. — Sur les épines du Rosa Banksiæ. — Saintes. Phoma diplodioides Sacc. — Sur les branches mortes de l’Æsculus Hippocastanum. — Saintes. Phoma æsculana Sacc.; Phoma Hippocastanti Passer., non Arch.; P. Brun, Misc. myc. I p. 15. — Sur les jeunes branches mortes de l’Æsculus Hippo- castanum. — Pessines. Phoma Limonis Thüm. et Boll. — Sur les petites branches mortes des citronniers. — Saintes. Phoma mixta B. et C., form. santonensis P. Brun. — Périthèces épars ou rapprochés, globuleux, noirs, couverts, à ostiole seul érumpent. Sporules subfusiformes, long. 7-8, larg. 3, biguitulées. — Sur les branches mortes du Liriodendron tulipiferum. — Saintes. rot Phoma Elæagni Sacc., form. ramulicola P. Brun. — Sporules oblongues, hyalines, biguttulées, long. 7-8, larg. 3. — Sur les branches mortes de l'Elæœagnus reflexa. — Saintes. Phoma Glaucii P. Brun. — Périthèces épars, globuleux, d’un brun-clair, à ostiole érumpent. Spo- rules oblongues, très obtuses aux extrémités, hyalines ou un peu subhyalines, non guttulées, long. 7, larg. 3. — Sur les siliques desséchées du Glaucium luteum. — Fouras. Phoma raphanicola P. Brun. — Périthèces épars ou rapprochés, petits, presque coniques, noirs ou bruns-noirs, érumpents à peine. Sporules ovoides- oblongues, hyalines, biguttulées, long. 5-7, larg. 3. — Sur les siliques du Raphanus sativus. — Saintes. Phoma sepium P. Brun.— Périthècesépars, petits, globuleux, noirs, érumpents, Sporules oblongues- allongées, hyalines, continues, biguttulées, long. 19-12, larg. 4. — Sur les tiges mortes du Calystegia sepium. — Fouras. Diplodia photiniæcola P. Brun., Sphærops. p. 5, form. minor. — Sporules oblongues, fuligineuses, rétrécies à la cloison, long. 22-24, larg. 12. — Sur les branches mortes du Photinia serrulata. — Saintes. Diplodia Cydoniæ Sacc. — Sur les branches mortes du Cydonia vulgaris. — Corme-Royal. Diplodia Elæagni Passer., form. ramulicola P. Brun. — Sporules oblongues, rétrécies à la cloison, M0 = fuligineuses, long. 26-28, larg. 12. — Sur les branches mortes de l’Elæagnus reflexa. — Saintes. Diplodia Liriodendri Peck. — Sporules oblongues, d’abord continues, hyalines, granuleuses, et alors long. 28-30, larg. 12, puis 1-septées, brunes. — Sur les tiges mortes du Liriodendron tulipiferum. — Saintes. Ascochyta Elæagni Sacc. — Sur les feuilles de l’Elœæagnus reflexa. — Saintes. Diplodina Photiniæ P. Brun. — Périthèces épars, globuleux, noirs, à peine érumpents. Sporules oblongues, arrondies aux extrémités, 1-septées, rétrécies à la cloison, hyalines ou subhyalines, long. 14, larg. 4. — Sur les branches mortes du Photinia serrulata. — Saintes. Diplodina Ligustri G. Delacr.— Sur les branches mortes du Ligustrum vulgare. — Saintes. Diplodina Elæagni P. Brun. — Périthèces épars, globuleux, noirs, érumpents. Sporules oblongues ou subfusoïdes, hyalines, 1-septées, non rétrécies à la cloison, long. 12-15, larg. 5. — Sur les branches mortes de l’Elæagnus reflexa. — Saintes. Hendersonia culmicola Sacc., var. minor Sacc. — Sur les feuilles desséchées du Brachypodium pinnatum. — Saintes. Leptostroma herbarum (Fr.) Link, var. spiræinum Sacc. et Br. — Sur les tiges desséchées du Spiræa Ulmaria. — Saintes. — 109 — Var. Rumicis P. Brun. — Sporules oblongues, arrondies aux extrémités, hyalines, biguttulées, long. 7-10, larg. 3 1/2-4. — Sur les tiges mortes du Rumex conglomeratus, du R. obtusifolius et du R. palustris. — Fouras. Oospora Bonordenii Sacc. et Vogl. — Sur les branches mortes du Sambucus niyra. — Saintes. Oidium Cydoniæ Passer. — Sur les feuilles vivantes du Cydonia vulgaris. — Saintes, Rochefort. C'est pas erreur que dans ma liste des Hyphomycètes, etc., p. 9, et dans mes Miscellanées mycologiques, p. 44, j'ai confondu cette espèce avec Oidium leucoconium Desm. Penicillium glaucurm Link. — Sur de la colle de pain gâtée. — Saintes. Hormiscium laxum Wallr. — Sur les tiges pourries des choux. — Saintes, Fontcouverte. Cladosporium macrocarpum Preuss. — Sur les feuilles du Spinacia oleracea. — Saintes. Cladosporium compactum B. et C. — Sur les cladodes desséchés du Ruscus aculeatus. — Kouras. Speira toruloides Cord. — Sur les tiges mortes du Scirpus Holoschænus. — Corme-Royal. Fusarium pyrochroum (Desm.) Sace. — Sur les branches mortes du Sambucus nigra. — Saintes. Fusarium Equisetorum (Lib.) Desm. — Sur les tiges mortes de l’Equisetum limosum. — Saintes. — 110 — Fusarium roseum Link. — Sur les tiges mortes du Rubia tinctoria. — Saintes. Var. Rusci Sacc. — Sur les cladodes desséchés du Ruscus aculeatus. — Fouras. Epicoccum neglectum Desm. — Sur les tiges mortes du Rubia tinctoria. — Saintes. © RÉECTRRGEES SUR QUELQUES ŒNANTHE Par M. J. FOUCAUD. L'Œnanthe peucedanifolia (1) a été décrit, comme on le sait, par Pollich dans son Historia plantarum in (4) ŒNANTHE PEUCEDANIFOLIA foliis omnibus linaaribus, ra- dicalibus bipinnatis, caulinis pinnatis, involucro universali nullo, radicum napulis ovatis sessilibus. Circa Lanteren in pratis humidis passim, retro sembach versus die lange meil in pratis siccioribus circa Gusel in pratis: Floret junio. Umbellæ radiatæ. Flores albissimi in radio valde irregulares sunt, ultra duas lineas in diametro habent. Petala cordata semi- bifida in centro majorem regularitatem habent. Calyx evidens quinquedentatus germen coronat. Antheræ subrotundæ flavæ. Stigmata alba obtura. Napuli ex cylindrico-ovati, plurimi albi sessiles, in fasciculum congesti radicem constituunt, singuli basi in fibram albam terminantur. Caulis erectus, cubitalis, basi rubellus,,cæterum læte veridis, glaber, sulcatus, dichotomus, geniculatus. . Folia alterna, vaginantia triangularia, quatuor quinque pollices longa, tres pollices lato inferiora bipinnata, suprema simpliciter primata sunt, segmentis omnibus lineari- lanceolatis integerrimis, in supremis foliis longioribus et ad unum latus directis, omnia læte viridis glabra. Vaginæ striatæ glabræ. Umbella universalis plana ex radiis compositis septem decem constat ; umbellam partialem convexiusculam ultra tri- genta radii efformant. Involucrum universale nullum, rarissime unicum foliolum adest. Partiale polyphyllum, foliolis subulato- cetaceis umbellata brevioribus (Pollich, Historia plantarum in Polatinatu 1, p. 289 (1776). — 112 — Palatinatu (1776) et l’'OE. silaifolia (1), par Marschal Bieberstein, dans son Flora Taurico-caucasica (1808- 1819). Pollich, dans la description de sa plante, ne dit rien des fruits où résident des caractères spécifiques très importants ; quant à Bieberstein, qui compare la sienne à celle de Pollich, il passe également sous silence les caractères principaux, ceux des rayons de l’ombelle et ceux des fruits, qui la différencient de l’OE. peuceda- nifolia. L'insuffisance de ces descriptions devait contribuer à faire confondre ces deux plantes. Les caractères décrits par Pollich et par Bieberstein sont peu constants et, dans beaucoup de cas, ils s’appli- quent aussi bien à l'OE. silaifolia qu’à l'O. peucedant- folia ; mais il n’en est pas ainsi de ceux fournis par les rayons de l’ombelle et par les fruits qui permettent si facilement de distinguer ces deux plantes. (1} ŒNANTHE SILAIFOLIA foliis subconformibus : laciniis infe- riorum lanceolatis, superiorum linearibus ; involucro nullo, tuberibus radicalibus fusiformibus. Œ. (peucedanifolia) foliolis omnibus linearibus, involucro nullo, tuberibus radicalibus ellipticis sessilibus Sm. Brit, 1, p. 318. Engl. bot. 348. Habitat in Tauria maxima meridionali, circa Nikitam occu- rens. Facies et statura Œ. peucedanifoliæ Pollichii à qua differt foliorum laciniis in universum brevioribus et præsertim in folis fnferioribus valde abbreviatis atque dilatatis; umbellis 3-6 radiatis, nec 7-10 radiatis, corollis æqualibus denique radicis tuberibus non ovatis sessilibus fibra oblongata terminatis, sed oblongis utrinque attenuatis. Invollucella polyphylla brevissima: foliolis lanceolatis, albido-marginatis. Fructus subsessiles obtuse costati. Solet una alterave umbellula vel in totum, vel filosculis ambitus longius pedicellatis sterilis esse. (Marschal von Biebers- tein. Flora Taurico-caucasica Suppl. p. 231). — 113 — Les caractères de l'OE. silaifolia ont été parfaitement compris par Godron (F1. Fr. 1, p. 714) qui a donné de cette plante une bonne description, mais il en est autrement pour ceux de l’OE. peucedanifolia, car les fruits de cet Œnanthe ne sont pas munis à la maturité de côtes en nombre double de ceux des espèces voisines et les rayons de l’ombelle ne sont pas toujours grêles, comme le dit cet auteur. C’est également à tort qu’il indique la base des fruits comme étant dépourvue d’un anneau Calleux. Smith (Engl. Bot. 5, p. 348 (1796) ), l’un des premiers confondit avec l’OE. peucedanifolia V'OE. silaifolia qui ne fut distingué que longtemps après par Bieberstein et il donna de cette plante une figure qui représente exactement l’OE. silaifolia Sprengel (Syst. végétal 1, p. 889 (1825) ) reconnut cette erreur et rapporta la plante de Smith à celle de Bieberstein. Quelques auteurs, tels que de Candolle (Prodr. 4, p. 137 (1830) ), Reichenbach (F{.excurs. p. 463 (1820-1832) ), Bertoloni (F1. ital. 3, p.241 (1837) ) citèrent la synonymie de Sprengel, mais d’autres, et en particulier Koch (Syn. ed. 2, p. 322 (1843) }), Ledebour (F4, ross. 2, p. 269 (1844) ), Godron (F1. Fr. 1, p. 714 (1848) ) n’en firent aucune mention. Ces derniers auteurs ont probablement pensé que la plante de l’Europe occidentale différait de celle de Bieberstein. Godron rapporta cependant la plante des environs de Narbonne, dont il a vu des spécimens, à celle distribuée, en 1836, par Hohenacker (Unio itiner.) des environs de Lankoran. La plante publiée par Hohenacker et dont j'ai étudié des spécimens authentiques dans plusieurs herbiers, — 114 — diffère en effet de notre plante la plus répandue par ses feuilles à segments plus élargis, mais cette forme, ainsi que des intermédiaires, existe aussi en France. Je l’ai reçue notamment des départements de Maine-et- Loire, de l’Aisne et de la Nièvre, et, dans la Charente- Inférieure, j'en ai recueilli des exemplaires qui s’en rap- prochent beaucoup. Je dois, de plus, ajouter qu'ayant cultivé de semis l’OE. silaifolia des environs de Mont- pellier, jai obtenu des échantillons dont les feuilles des repousses n’ont offert aucune différence avec celles de la plante de Lankoran ; quant aux feuilles du prin- temps, elles étaient en tout semblables à celles de notre plante, laquelle est identique à celles de Montpellier et de Narbonne et à l’OE silaifolia de Pise'publié par Savi (Bill. exs. n° 3393). L’OE. silaifolia difière de l'OE. peucedanifolia par sa glaucescence, par les rayons de l’ombelle très épais à la maturité, par ses fruits non contractés sous le limbe du calice, non atténués à la base, mais comme tron- qués et munis d’un anneau calleux. Par suite de cette forme des fruits, les ombellules sont compactes, ce qui les éloigne beaucoup de celle de l'OE. peucedanifolia qui sont làches, les fruits étant atténués aux deux extré- mités. Les autres caractères de l’OE. silaifolia sont peu cons- tants : ainsi les segments des feuilles offrent différentes formes qui les relient à ceux des feuilles de l’OE. peuce- danifolia, les fibres radicales ne présentent le plus sou- vent aucune différence avec celles de ce dernier et les rayons de l’ombelle sont plus ou moins nombreux (5-10), plus ou moins allongés et plus ou moins épais à la maturité ; lorsqu'ils sont nombreux, ils sont moins — 115 — épais, mais ils le sont toujours plus, même à l’état jeune, que ceux de l’OE. peucedanifolia. L'OE. silaifolia n'avait encore été signalé par nos Flores qu’à la Rouquette près Narbonne et à Mireval près Montpellier (Godron, F1. Fr. 4, p. 714), à Roque- haute (Loret et Barraud. Fl. Montp., éd. 2. p. 207), à Seurre et à Maison-Dieu (Royer. F1. Côte-d'Or, p. 200 et 624). Cette plante m’a été envoyée des départements ci- après par divers correspondants que j'avais priés de me communiquer les Œnanthe de leurs environs: Basses-P yrénées, Gironde, Landes, Charente-Inférieure, Charente, Deux-Sèvres, Vienne, Haute-Vienne, Sarthe, Côtes-du-Nord, Manche, Calvados, Indre-et-Loire, Marne, Meuse, Cher, Aude et Hérault. Dans divers herbiers, où elle se trouve sous différents noms, je l’ai vue de plusieurs autres départements et notamment des suivants: Loire-[Inférieure, Loiret, Eure-et-Loir, Seine-et-Oise, Seine-et-Marne, Seine- Inférieure, Somme, Aisne, Marne, Yonne, Côte-d'Or, Nièvre, Allier, Rhône, Dordogne et Creuse. Comme on le voit, cette plante est très répandue en France et c’est à cette espèce qu’il faut rapporter l’OE. peucedanifolia de la plupart de nos Flores et de nos Catalogues de l'Ouest, du Centre et du Nord de la France. Indépendamment des caractères cités plus haut, l’OE. peucedanifolia se distingue de l'OE. silaifolia par sa teinte verte, par ses fruits oblongs-cylindriques, ovoï- des ou ovoïdes-oblongs et par les rayons de l’ombelle qui sont grèles ou légèrement épais à la maturité, mais — 116 — toujours beaucoup moins que ceux de l’OE. silaifolia, lors même que ceux-ci sont peu développés. Lorsque les fruits de l’OE. peucedanifolia sont oblongs- cylindriques, les méricarpes sont le plus souvent un peu renflés à la base à la maturité, ce qui constitue un anneau Calleux, et lorsqu'ils sont ovoides ou ovoïdes- oblongs. ou qu’ils présentent des formes intermédiaires, cet anneau n'existe ordinairement pas. Dans ce cas, ils ressemblent beaucoup aux fruits de l’OE. Lachenalii et quelquefois même ne peuvent en être séparés. L’OE. peucedanifolia paraît moins répandu en France . que l’OE. silaifolia ; je ne l’ai en effet reçu ou vu dans les herbiers, que des départements suivants: Vendée, Loiret, Eure, Aube, Yonne, Côte-d'Or, Vosges, Haute- Saône, Cher, Haute-Vienne, Puy-de-Dôme, Hérault et Gard. La plante à fruits oblongs-cylindriques est la plus répandue et, c’est à cette forme qu’appartiennent les exemplaires que j'ai vus de l’'OE, peucedanifolia de Bitche publiés par Schultz (exsicc. n° 74). L’Œnanthe du Palatinat distribué par Koch (Bill. exsic. n° 371) a des fruits moins allongés que ceux de cette forme, et des échantillons dépourvus de fibres radicales, à tiges dures à peine fistuleuses et à fruits ovoiïdes ou oblongs ne peuvent être séparés de l’espèce OE. Lachenalii Gmel. Lorsque les fruits des OEnanthe du groupe de l’OE. peucedanifolia sont peu avancés, les côtes secondaires sont aussi développées que les côtes primaires et l’an- neau calleux qui s’observe le plus souvent à la maturité dans les fruits oblongs-cylindriques de l’OE. peucedani- folia n’existe ordinairement pas à l’état jeune. C’est sans aucun doute ce jeune fruit que Godron — 117 — (FL. Fr. 1, p. 714) a décrit, puisqu'il l’indique comme étant oblong-cylindrique à base dépourvue d’anneau calleux et muni de côtes en nombre double de ceux des espèces voisines. A l’OE. peucedanifolia doit être rapporté l'O. media Bor. (F1. cent. éd. 5, p. 277 (non Gris.) Boreau ayant confondu l’OE. silaifolia avec V'OE. peu- cedanifolia, prit ce dernier pour une espèce inédite lorsqu'il le découvrit au bois de Marmagne, près Bourges. Plus tard, il le rapporta, mais avec doute, à V’OE. media Gris., plante que je n’ai encore pu sufi- samment étudier, mais qui, d’après des échantillons. publiés de Smyrne, en 1853, par Balansa et de Grèce, en 1880, par M. de Heldreich, n’offre aucune différence avec l’OE. siluifolia. En 1853, l'Œnanthe du bois de Marmagne a été publié par Déséglise dansles centuries de Billot (exsic. n° 1205), et dans l’herbier Boreau, il existe de nombreuses parts de cet Œnanthe provenant du bois de Marmagne, de la forêt de Galembert près Cerbois, des prés secs des environs de la forêt d’Allo- gny, des bois de Contremaret près Bourges, de Charron près Marmagne, etc. Dans le cours de mes recherches, j’ai constaté aussi que l’OE. Lachenalii a été quelquefois confondu avec V’OE. peucedanifolia. Les fruits de ces plantes, comme je l’ai dit, n’offrent parfois aucune différence entre eux, mais les caractères des fibres radicales, des tiges, des feuilles et des ombelles permettent presque toujours de les distinguer facilement. Dans l’OE. Lachenalii, les fibres radicales sont char- nues, allongées, filiformes ou renflées à leur extrémité en massue allongée, les tiges sont dures, très peu ou — 118 — pas fistuleuses, les feuilles inférieures ont les segments plus larges que ceux des feuilles supérieures et les ombelles ont de 10 à 15 rayons, tandis que dans l’OE. peucedanifolia les fibres radicales sont renflées dès leur base en tubercules napiformes ou un peu allongés, la tige est très fistuleuse et faiblement compressible, les feuilles sont toutes semblables et les ombelles ont de 5 à 10 rayons. L’OE. Lachenalii n’est pas rare en France et quelques ‘auteurs ont signalé l’'OE. peucedanifolia sur certains points d’où je n’ai pu recevoir, malgré des recherches réitérées, que l’Œ. Lachenalii. En terminant, je suis heureux d’exprimer toute ma gratitude à M. Franchet, dont la complaisance est iné- puisable et qui a rendu si faciles mes recherches dans les herbiers du Museum. Je ne saurais également trop remercier mes honorables correspondants qui m'ont communiqué les Œnanthe de leurs environs ou qui ont si généreusement mis à ma disposition leurs précieuses collections. Qu'ils me permettent de leur exprimer, à tous, mes sentiments de plus sincère et de plus vive reconnaissance. | Jardin botanique de Rochelort, le 15 septembre 1892. OBSERVATIONS THERMOMÉTRIQUES ET MÉTÉOROLOGIQUES AIRES AE A ROCHELLE RUN ———— ANNÉE 1892 ——_——" + _ — (JARDIN DES PLANTES. — PONTS ET CHAUSSÉES. MC <- | | | !. OBSERV ATION 1.4: ROCHOTSURS Mn Ann! ‘ | Janvier. Février. Mars. | Avril. Mai. Juin. Mi- | Ma- | Mi | Ma- | Mi | Ma | Mi. Mi- | Ma- | Mi- | Ma} nima. | xima. | nima. | xina. | nima. | xima. | nima. | xima. |nima. | xima. 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Août. Septembre. Octobre. Novembre. Décembre. Mi- Ma- Mi- Ma- Mi- Ma- Mi- Ma- Mi- Ma- anima. | xima. | nima. | xima. | nima. | xima. | nima. | xima. | nima. | xima. 40.00| 26.50] 13.00! 24.501 12.50! 21.70] 12.60! 16.201 10.00 13.45 1.0! 1-00! 32.00! 14 30| 924.50] 12.30] 22 50 9.40! 18.50 6.925] 16.50 ile 16-50! 25.60! 10.00! 24.50| 13.20| 21.90 9:50" 19/60! 13.201: 17.50 8.20 44.50! 28.00! 15.00! 26.00 9ÉÉOIMO TA EUIADA OO | NE "I 8.08, 17.10 8. 42.40! 26.90] 12.40! 27.60 7.50! 21.101 12.80] 17.70 8.50] 16.90 D 15 90! 26.90! 12.40| 24.2 6.20! 22.00 8.50| 17.50 90 PUIE O0: D 40 25.75| 11.00! 27.75 7.00! 22.90 8.60| 16.50 DA O0 IS 0 OZ 12.80! 28-00! 15.75, 25.00 6.70! 22.10 6.501 15.90 69014157) 0; ; 14.00! 26.50! 15.00! 26.20 8.00, 22.95 SALUE) M0 5 MTS) EE ; 22/00. 31.50! 13.60! 25.30 20 O2 MIO 1112010 18:50): 10:90. 1527512 5! ; 1%:80| 38.80] 12.90] 21.50! 10.20! 25.60! 11.60! 18.35 10.10! 15.55 4. : 12:90| 25.00! 10.30] 27.00! 10.90! 28.40! 12.25! 16.50 8230 ML5S0 8. 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Calme. 4. Légère brise. 2. Petite brise. Jolie brise ; bonne brise. Bon frais. Grand frais ; coup de vent. 8. &e be 6. Tempête ; ouragan. OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. k Vent fort. Arrondisseme Vent violent. 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Tempête ; ouragan. Ouragan,. INDICATION à 9 heures du matin. a des Lecture | © | hauteur | Lecture corrigée | 5 | menée | (0rrigée de l'erreur s UE de l'erreur ee du Fe È tempé- du PU téchelles [Ne orerare 0e ec : CARS PER € ON An Mel 770: À |") THIL CS RE VS TA 768.0! 14 769.3 768.0 ALTER cle 8 765.6| 14 163:9 766.0 an Re 16140 418 766.1 768.3 DÉS ous NE 764.11 14 762.4 162,1 DÉS RER 759.4| 15 157.6 759.5 MEANS PE TOOLS GAS 757.4 HEAS Bree tre DE 758.5| 16 1505 758.4 RESTES EN ol 14 755.6 757.4 ILE AP RA er 759.3) 16 757.3 759 5 1 CRE CARACA 160 41) 143 758.3 760.0 PAM Me 19021 10 754.7 756.6 ES RIRE TRE 15291 16 750.9 15920 AAC SAS 15 UR LD he 1102 Ke FAN RS CNE 160.0! 13 758.4 759,0 AOL UE 198.410412 756,9 759.0 RER 158 41413 756.8 109% MR AAC TER 769.4! : 12 767 .6 770.4 ik: ARR MEN Are 2 12-6112 Art fl FFE DIR ST MTS AT LA À 1706-1 TS DAME Ltd 715.0! 14 3e 775.0 LORIE TT 716.6! 15 774.8 776.8 DEP Se NÈM 2 TA ONATTS 11908 1122 PAL HE SE 7174.4| 14 AT 774.1 DOLELENREEL 768.7| 14 767.0 767.9 DOUAI NEe 764.7) 14 763.0 764.6 DTA EE UNE 764.0! 414 762.3 764.0 DOS 168-044 762.0 764.4 DOTE ARS 761.1! 14 159.4 760.5 DD SLR 161.0) 042 766.1 769.6 Totaux..| 22945.8| 123) 29894.1| 22950.7 Moyennes. 764.9, 14) 763.1 765.0 Hauteur barométrique cor- rigée de l’altitude........ 763.1 PRESS LITERIE PRE IEEE NES LATE ERIC NIQUE DIN PRIEDT ESS LS PODENEEET CORCTR. OU SOS IT TOEENIES LRMSNEERECE PRE | OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES! & Arrondisseme hauteur _ OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. à 3 heures du soir. M Lecture corrigée de l’erreur du zéro de | échelle. "22898.3 763.2 762.2 ——— 22934.2 764.5 | Température. mm | — hauteu | ramené à la ! tempé- rature 01 22810, #1 762 | | | 1 | @! L | À Ni 1 Ni | a eh Ph DU PHARE DE ROCHEBONNE. le la Rochelle. = | 99107 | de u RNA NC <= 1 4 © ! É D £ | si | EURE en | Re PR METROPOLE \ 9JJO] NAME Ce En A En REMOTE ET & = FN Ë£ © -& | "5 = \ ë 20 |. rs) RE af EE RARE Dar -& *uIJUUI np ‘U 6 % 2219840 AN9JNCJ] "A1A'Td = *JI0S np ‘"U £ Y a =) ES <'a LE *IPIU Y ea & d Lil F2 | © |ugeu np ‘y 6 v [ *sainauy & ® Æ ,:| dI0S of 99A19$q{0) = S d DE " 2 SO) Je 2 = ('IPIU ® 99A195q0 Real a à © Es 2 En “UTCU NP ‘U 6 Y avril 14892. 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INDICATION des JOURS. es CPC CRC CET CRC EC soso te ess ss... tres Elfe le nes. elle le se CRC sinte eéteteuss shell a eee ne sishe te ee à 0: se. CCC CE ..... 0... eee gp ieharatnts © ........ _ Totaux.. Moyennes. . Grand frais ; coup de vent. . Tempête ; ouragan. Lecture corrigée del’erreur du zéro de l'échelle. 768. 756. 750. 753. 760. 165. YH RES 769. 765. 765. 767. 770 7170. T0 710. 7067. 769. IT: 773. 773. AO 765 765. 765. 760. 760. 761. 760. 769. 768. 762. 23740.0| 528 765.8 Hauteur barométrique cor- rigée de l'altitude Æ © ND 00 © Ot CO © OT D D © © CO NO O0 CO NO C0 © À CO CO TT OO E Œ I NO I © OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUEM] Calme. Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. Vent fort. Vent violent. Ouragan. a — — à 9 heures du matin. 2 | hauteur | = ramenée = à 19 2 | tempé- = rature 00. = 5 766.4 13 751.4 19 748.6 45 751.9 16 758.8 16 163.4 14 769.6 45 761.7 16 763.6 ie 763.3 18 HboR 17 761.9 17 768.7 18 768.0 18 768.1 17 1091 119 614 117 369.2 18 770.8 17 710.9 if 768.7 47 763.9 18 163.3 18 762.8 20 75138 20 758.0 20 759.4 18 758.6 19 766.9 20 766.3 19 760.1 23675 .9 117 7103.41 à midi. A ——— [ie l'erreur! 15 AMPÈCES he E à la du a 0 2 tempé- l'échelle. | & RENE FL A06 NS 765.3 756.0| 14 754.3 To SZ 749.6 7548) 45 THE 761.2] 16 1599 766.4! 16 764 4. FL. 9 ets 769.5 769.2| 16 1012 765.4| 16 763.4 765 4| 18 7163.92 768.0! 18 165.8] M0 S | AE 768.1 710.8) 18 768.6 7110:6| 18 768 4 710.8! 19 768.5 768.0! 18 765.8 16988) 47 16101 AT ER) EAT 769.7 113-8| 48 11170 LES CA LE 770.8 110%01 17 768.5 164:5| 2.47 762.4 1 2766711 48 764.2 763.6| 18 761.4 700.8! 20 1582 760.0! 19 LE 760.8) 19 758.5 764.0| ‘19 761.7 770.2] 90 767.7! 108:9| 12D 165.8 163.3] 20! 760.8 23746.8| 539! 23680.6 106,.0| 417 763.9 | | | | | Arrondissemerik _ OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. à 3 heures du soir. TT ——— "| Lie | à | hante de l'erreur FE AS Qu È tempé-W l'échelle. | & |rature 0 Mois d 165.11 14] 7634 755.2|. A4| 7521 752.0! 15), 7504 7109211416 153% 761 8| 17] 7594 767.1| 16! 765: 770.7] 15] 7684 767.8| 17| 7654 165:0!" 47 762. 765.41 18 1034 768.2 18 766 A 769.8) 18 767. 770.0] 19! : 7674 7170.41 18 768. 710-5119 768 O1 SNS 765. 11001648 767 772.0) 181 7694 773.8l 19! 7748 772.6 419) 770 769.9! 17 7614 164.0] 17] 7614 766.6) 18] 764% 761.5) 419] 7594 7160 21820 757.4 759.4| - 20 756.4 759.8! 19 7578 765.0] 19! 762. 710.4|. 94 767. 166.8] 20] 7644 764.4) 90] 761% 23738.3| 553) 23670 705.110 165% | Qu PHARE DE ROCHEBONNE. = He la Rochelle. * TEMPÉRATURE TEMPÉRATURE de l’eau de mer. de l'air. ‘ CRE De D SRE £ ENS à ne Æ (RE ie 8 = ‘5 E - ce A = É = a 5 om = < = nt, % <« © = < < Lai 1892 D 01" 11.1), 10.0! 12.0 11 10.5! 11.0 11.0; 1006 AH 5 EM 09 41.7) 141.0! 12.2 13 DO 2414), 12.5, 13,3) 12 10124 42.5, 14.5|, 18 10:6| 11.3 14:51 TO 0RHIEO M? Mb: 11.8, 12.1] ME TT0]| 12 DAT II GNU 1158 *12.0" 13.4) 14 D 001253) 19.5) 15.0! 17 010125" 43.0| 15.6, 15.2) 16 D42/510492:5, 45.8 14.41. 14 00125 42.6, 14.2, 14.8, 15 24118-01392) «14.61. 15.8|: 17 ON 71" 13.8 15.0! 16.91 16 oo 045.9/413.9| 14.9] 14.9] 14 D 010018.7|. 1449) 414:7|- 14 24m 43.4| 135] 13.6] 14.9| 14 0600143) 145) 16.0) 17 Ro0oM29114:3| 15.92; 16.0) 16 M8" 14.3, 14.1! 14.7, 15:6| 16 DO 14.5): 14.81 14.81 15.2] 14 2 445.1 15.4, 16.0! 18 45 91 15.0] 16.0]. 16.8! 17 D 045:0,15.4| 16.8) 17.9! 47 M 21045.81 16.2! . 16.9| 18.9] 17 D 115.7" 15.9|: 18.0] 18.8! 18 M9-0/15.8, 15.4, 17.,5| 18.3! 16 15.5 Mro415.31-16:0| 16.8). 17 MD:5: 15:8| 16.2) 17.2) 17.7| 19.0 M8). 16.2|, 16.7| 17.8] 18.4) 18.8 2016.17! 16.9! -17.4| 17.5! 18.3 208.3| 420.41 497.4| 443.41 472.5] 489.9 D2015.6| 13.81 14.3) 15.2! 15.8 PLUIE: Hauteur observée à 9 h. du matin. — © © © © CO I I VENT Tate à 3 h. dusoir. TR à 9 h. du m. direc- | E tion. Æ NUE 1 S. oA Se 1 SO). 2 S. 1 N.E. : N.'E. d E. d dr 3 Net" NS EME PT N. E. 2 NP. N. 2 NeE1r9 O. 2 Nr re O. 1 QD 2 Nr ON N. 9 E. 3 O0, 2 E. 2 Nos E: 122 E. 1 SSI S. 9 E. 2 N. 2 à midi. direc- Fe tion. S = Calme. Sie Es oO: S. Se: N. N. E. E. E. N. NÈNE, N. N. N. N. (Ë o: Of O. 410): NO: NBME: (2% 1e INSEE NPA N. O. SO 1e 9 D NN D = EN D NN NN = YONNE = EN NN NN = N © 27e v 22222 2 222 2 F6 ‘0e: oo a un AZ E o°=° m3 GTS F © : Chic cco LEE rS) ae ND NO 69 CO ND = — NO NI > ND NO ND — C0 C9 19 NO N 19 NN = ND ONeN= Calme. . Légère brise. - Petite brise. . Jolie brise ; bonne brise. . Bon frais. . Grand frais ; coup de vent. . Tempête ; ouragan. | INDICATION | | | | Lecture | corrigée ide l'erreur | du zéro d des JOURS. e | L échelle. 713 22996.8 766.6 Totaux. Moyennes. Hauteur barométrique rigée de l'altitude a 9 sn du matin. FUOOEIES OO E 00 8 © 10 10 Ur Ut Ge Ur Ro 1e = Ur Ut Go do UT 21 00 € k OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. Vent fort. Vent violent. Ouragan. Ayrrondissemet| sis OBSE RVATIONS DU BARUMÈTRE LE JOUR à midi, à 3 heures du soir. £ | hauteur : £ | hauteur Un E | haute = Œ Pr de l'erreur & HR del'erreur| # | 8 | tempé- | du Zéro | À, | tempé- | du zéro | À, tempé £ [rature 0. V'é de £ rature 0°.|.,, de £ ature _ échelcu| LE l'échelle. | & Mois € 19 764.9 767.0, 20 764.5 767.0; 20 7644 19 761.5 165.8). 0 161.3 163-8|:"2D 7614 19 764.4 401.5) 049 166% 767.8| 20 7654! 18 768.3 770.6] 18 768.4 1740-24}: 19 7671 18 765.6 768.6! 18 766 4 6925: 19 767 195#10:5 112.91 49 770.6 7112:1| + 149 7704 19 769.2 411.2)" "720 768.7 710 2| 920 762! 20 167.0 769.0| 20 766,5 767.8| 920 765! 20 4b5-2 767.3| 20 764.8 766.3, 20 1631 29] 761.5|- 764.0] 22) 761.3|. 6868102) CS 21 761.6 763.5| 22 101. 163.4| 22 760: 91| 759.9] 762.4| 92 759.7! 761.3, 23; 5 21 760.2 1062.7| 921 760. 1 161-2|. ° 22 759% si 757.6 401-0/ 149 758.6 16025| 18 7584 18 760.3 763.0! 18 760.8 163.2} 18 761 49 764.1 767.0! 19 164.6 1011119 7648 19 765.8 768.5] 19 766.1 768.5| 19 766,0 49 764.8 767.6| 20 765.1 767.4| 20 7648 19 762.6 765.0! 2u 162.5 764.7| 20 162%M 20 1619 764.5| 20 762.0 764.7| 21 762.4 21 762.2 765.0| 21 762.4 165.8| 22 7631 21 762.8 764.61 22 761.9 76281028 760.M 21 1930 761.5| 22 758.8 763.0] 921 76 0. 21 163.4 765 4| 21 762.8 16841] : 21 762.N 20 761.9 7167.4| 20 164.9 767.4| 21 764. 20 768.9 771.4| 921 768.8 11122) 023 768 W 21 167.4 769.8| 21 767.2 768.5| 22 769. 22 763.3 766.0! 93 1692 765 4| 23 762. 21 767.9 TASSE 768.8 714:5) 2228 768. 21 710.8 713.4| 91 170,8 120-822 770.8 598! 229922 8| 23003.4| 610] 22927.9| 22994.5| 619] 229190 20 764.1 766.8! 20 764.3 766:9|-.221 764. cor- U PHARE DE ROCHEBONNE. ss 5 la Rochelle. EPP PRE ET EDEN RTS RE NPA EUEC EEE PI TOMEPENET TEE TEMPÉRATURE TEMPÉRATURE = gs de l’eau de mer. de l’air. © VENT | — -S D RQ E = = = > BE à 9 h. du m.| à midi. |à3 h. dusoir. = = D a œ o 4 Ve RS PR. E -à se É = DRE E CARE E É Fo |Més) dire || dire | :| dire |; S Sc < < = & ti pe à = ; 2 = a 2. o cn 5 10N. © üon. = tion Æ © © < < ee] | tin 1892. 0 100165 16.91: 17.51 18.7 24 S. O. DS OAI MS /0 à M 162/46.6, 16.2| 18.7| 49.0) 0.8l :S. LCR 2HOS. AR IE M0 416.846:8| 16.2| 17.0| 16.4 » N. 1 N. TANGO PLU. 016.8 17.91 16.8! 16.8 » O. 1 0. 1IMSAO;: 2 0 0N016:2| ° 45.8): 17.3, 17:5 & S. O. 4 O. 4 O. 4 201040500106! 16.2! 16:91 17.3 » N. D) N. LINE TOR 2 1010.80 175, 17.6] 17.8) 19.6 » E. DUINSE. TENMOE 1 0012200176, 18.2! 18:8| 19.7 » E. 3 E. 1 N. 1 MO 17.4, 17.5) 19.0] 18.4| 19.8 » N°"F: 2 IN? DEN 107 5) M0101620016:8) 19.4, 19.9) 18.4, » N. 2 N. DEN SO NES D Oo?) 18:29) 18.8! 189 » NAOPDPO NS D SO ENE | He 00) 17.9) 18.5) 17.8 » N. > N. 2 N 3 0" 472, 17.6, 16.8 18.5l 18.6 9.5 N. 8 N. 3 NO 3 MT 16-0010:0 10.5! 11.5) 41.5 » N. DONNE. ES NE ail D1/-16:01m16.0, 12.9) 14.0] 14.0 » N°. 3 N. su N 3 01001164 13.2] 18.2) 15.8 » N. ORENT 9| N.O 9 D /10:2/0010.0! 145.5! 16.5! 16.2 » O. L'NTO: DONC AO! 2 1 500017:0! 15.811 16.0) 16.5}: 1.5! N. O. 2|, N. O. 9 O. äl 0 16.4/016:0| 15.8! 17.29! 16.6 » O. 2 O. 2 O. ai MID OMU1C.8| 15.8) 17.5] 19.2 » S. LONSE: TS: 0; d D 10950047:2! 16.0! 19/7] 19.9 1431NS.0; 3 O. 9 O. 3 RO IT6| 18.0| 18.8) 20.2! 18.2 4.4 S. 2 ESNIO. dl S. À M0016:8| 417.0) 16.4, 16.5] 16.6 » O. 4 O. 4| N. O. 3 105 0160:5| 17.4, 17.0) 15.4 0SASCE. LIRSUE 1 S. 2 D 1700417:0 17.9|, 16.5, 17.2 » O. 3 O. 2848130: 3 OM 172, 17.8) 18 O| 19.0! 18.7 » N Or? O. 9 O. 2 M 15.0! 18.0! 18.5! 18.4] 19.9 » INPI 2 N. LAN O: | 07000195), 11.5, 22.0] 92.0 » Calme. | 0! S: E. El ASAU) 1 818.0! 17.6, 17.2| 18.2| 18.0 » N. O. | 3] N. O 3 O. al m2, 17.5] 18.0 17.0; 18211 190 » N. 2] N.O L'ON. OMR 1,2 50651541:5,-502.4| 530.1| 531.1 » 0e 17:14) 16.7| 17.7| 17.7 » Calme. Légère brise. Petite brise. Jolie brise ; bonne brise. Bon frais. Grand frais ; coup de vent. Tempête ; ouragan. INDICATION des JOURS. DA OO ICO sr... CHOC RE TONC ses 60e" Je 5e ss. st. sos. ts... Sn e 6,105 © © » » or... “sitio oiple el ene 0... e a\s te © vel lee claiersire etale TT CUT ON ON nie) s'est ee ss... ss... st. CRCECRCECECECR ss... ss ss... we os aueïs 161? Totaux. Moyennes. OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUEN Calme. Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. Vent fort. Vent violent. Ouragan. à 9 heures du matin. A —— Lecture corrigée del’erreur du zéro de l'échelle. 764.4 23712.9| 650 764.9] 21 & | hauteur Z | ramenée = à la & | tempé- & rature 0. Ex 21 770.0 21 763.8 929 761.0 29 763.6 92? HO 29 766.3 DD 764.1 21 766.1 21 763 .1 21 764.7 29 ONE 21 754.8 21 19452 20 760.5 20 163.4 21 HAD AE 21 754.9 20 761.3 20 764.1 20 702.4 20 1011 20 765.8 19 765.9 20 763.8 2 760.4 21 759.9 22 760.3 22 760.9 21 761.8 921 763.6 22 762.9 ‘23632.5 762.3 Hauteur barométrique cor- rigée de l’altitude Lecture corrigée de l'erreur du zéro e l'échelle. TRUE 764. 764. 767. 769. 769. 766. 768. At, 761. 760. 758 756 764. 765. 758. 7158. 764. 767. 765 769. 768. 768. 766. 763. 7092. 163. 764. 764. 766. 765. © N9 00 © © O1 OÙ NO Où © © N = © © © O1 NO & CO 1 I © N9 © © ND À © ÿ A] 765.0 à midi. EE —— | Température. | 23716. Arrondisse mêle OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. EEE mm — — — | hauteur ramenée | a 12 tempé- rature 0°. 1] Q 9 «© 23631 .8 762.4 URI © te CO CO © CO = me YU OUT Vo U' OUT = À GO UT UE NI GO à 3 heures du soir, Lecture corrigée de l'erreur du zéro de l'échelle. ! 23713.6| 667 764.9 Hhionneonieonœou | Ë hautet f Z | rameni}: = à la î e | tempéh S lratureh EE 1 i Mois dll 22] 168) 93) 760) 23| 104 23 sal 23| 7658 23 765 | 22| 168 21) 766) 21 765: 21| 764} 92) 7561 ! 99 755) . 21! 753h 20! 762 762 | 15) J DU PHARE DE ROCHEBONNE. = le la Rochelle. TEMPÉRATURE TEMPÉRATURE N—e = = NN NN É O9 RO O9 NO 1O C0 À O0 19 RO RO NO CO CO NO CO ND = de l’eau de mer. de l'air. FA VENT ne NE + EE _ £ Ent = E VU a |.8la9h.dum., àmidi. |à3h.dusoir. S & er: ë AE a pero lee Ne OU 1 £ SA re A = n [RÈÉ = 8 Es = = S |& LS digec= #5) direc-. ||, direc-P ; £ Ft eo 5 = 5 pe È o _ 2 8 = Fe : ë bone MS lition. | "tien EE < © S < < = Ù Juillet 1892. Du 16221019.0! 417.8) 20.2] 19.2 5» Ne SA ANE. 2) NE RS O9 :0! 49.4) 24.0! 21.5) L1» E. 22) RE à ES 1 E. PARIS 215.6) , 19.0; : 20 0! 19.5}, » 0. NO RS EU} AIS 20 18.6,718.5| : 19.8) 20.2! » O. Jr PAR à OMS 4104182), 20.8) 148.9) 19.010 » | Calme. | 0: S. VAS NO 2101907418 :8|, 185: 19.4, .20.0| : » O. SUN 021 091" © O0 18 012190) 18.6| 19.41. 19:8! °05.0) S. 0. | 3: -0. al 0 RS SI D 1870 17:38 48 2 N: 0.) 2) .N. O: | 2}: N. 0: 49 /50519.5) 20.8 19.6/- 20:0| ‘> NA AE RE" AIR" AIO 001971, 19.7) 19.0) :20.0! » NÉE 0) V2) AUUNT 2) NO 00 20-0049:8) 20.8! 21.5] 20.8, 2.4) E. AOSRE et Of 10 00 18.8), 19:07 18 0, 17.2 r 4:8|. _ O. DL Or0O a ON 5 247-810016.5| 147.8): 17.31: : 4.01 :O. Ame 0; Aire RO: D MS 5 0U8.G6| 018.0) ‘18.0! 18.0! » NO RS ANS O. "|. 8) 'UNA0; 016821921761 18.7) 18.8) 41.0! S. NES An: 75e 08 70417.310026.8h 149.610 7.1/S. E. | 1| Calme. | O| O: DUMAS O1S8.8) 16.7|. 18.6| 19.0! » CMD Re) 201 | 5180 9 092 48.0 418.17| 19.5} 0 92:0! N°: 0. | 2}, N. O. | 2! N. 0. BI90)18.6| 16.4) 17.2, 18.0] » NO. 15310 :0: 3| NO: OT SN A5 8) "16.201665 0) IN: O. | 4! N. O. | 4! N. O. Da 8017.8| 165) 16.5} 17.4). » N. UNE O2 NO DOM 70618.2| 14.5) 415.8] 418.2! .» E. A IC: 2] E. 0018.01 218.7| 16.8] .17.7| -19,5| . » E. AN EE. LI CN 0; 18 5008 8) 17.81. 19.3) 20.200 3.0//N. E. | 2| N°: E. | 2] N. O. RS 508 :5| 18.3) 20.8] 18:51,43,0| N. E. ! 21 N. LS LAINE D 1#80292| 18.2! 19.0), 20/5}, 1.8| N.E. | 1| N. HSEN E D 15-861049,5) 17.9), 24:2|, 26.5) 13.6] O. 2 NE ie CA MINOREE D 1901220:0! 49.5. 149:01°19.8|) 4.9) N.E. | 2| N. E. | 1] N: 0. D 15 08.8) 18.7: 148.2), -20.3) « 5.9) N. O0. | 1]. N. LLLUEr DH 501931.120.0| 19.4) 91,8] 24.92|/ » NSO% 2 LUN- OR NO R0/19:0! 19.0! 48.01 18.0! 19.2] » N. AN N. 2IHNIOE 907.1| 577.2] 585.4| 563.5] 583.2] 603.4] » 18-517 18.6| 18.9| 18.2] 18.8| 19.5] » Calme. Légère brise. Petite brise. Jolie brise ; bonne brise. Bon frais. Grand frais ; coup de vent. Tempête ; ouragan. 0. 4. 2. 3. L. 5. 6. TES © RL NE RRR-g— — - | H | | | D Î | OBSERVATIONS MÉTÉOROL OGIQUESIL Calme. Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. L Vent fort. Arrondissemeniff Vent violent. | Ouragan. | OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. INDICATION à 9 heures du matin. à midi. à 3 heures du soir. D. NE. EE CU Lecture o Lecture o Lecture o | . corrigée | 3 | corrigée | 5 De corrigée | 5 ane | del’erreur! & A la Idelerreur| & à la (del'erreur| & à fa JOURS. re È tempé- | du zéro É tempé- | du ee = tempé-f l'échelle. | à |'èture | pécpere. | & fraturé O.| pécpere. | £ |rature 0 Mois} 1600817121 103.2 16881091 763.2 766.2. 91 763. 7068.91 921 765.6 767.8| 22 765.1 108.210 02 765 768.8| 22 766.1 768.7] 22 766.0 768.8| 22 766 164-01/022 764.3 766.8] 22 764 .1 766.8| 22 764 161-8191 16n.2 167.5| 922 164.8 766.8| 92 764.4 769.2| 91 766.6 1697911621 766.7 169 .210r21 766 .( 168.8| 21 766.2 101.4) 21 164.8 766.8| 22 164% 102-5022 759.8 163.5! 22 760.8 763.4| 22 760 7163.4| 22 760.7 764.41 93 761.6 164.5] 93 761 10152128 764.5 767.6| 93 764.8 1014617923 764 769.8| 23 167.0 769.8| 923 767.0 769.0! 24 766 768.8| 923 766.0 108.9, 93 765.4 766.6, 923 76: 10300028 760.7 164.5| 93 761.7 165.6| 23 762 1651948525 163.1 105 :811028 163.0 165.5| 24 762 766.8| 23 764.0 167.2| 93 764.4 767.2] 24 764 764.0! 923 761.2 164.6| 23 761.8 764.0| 24 761 764.8| 24 40119 764 5| 24 701.6 764.3| 24 761 199:0| 24 156,1 158.6| 24 795.1 7158.8| 24 755 760.0] 23 1512 16110 PES 758.2 10128102 7598 108,8 29 766.1 769.4, 292|: 766.7 769.4| 93| ‘766 710:5|". 22 767.8 10975022 766.8 768 6| :23 765 764.0! 23 10162 7162.8| 93 760.0 762.8|. 93 760. 159:8| 93 15780 760.0! 24 T1 160.2) 7 24/7751 766.8| 93 758.0 760.8| 22 758.1 760.5| 23 791 164.5] 21 761.9 765.8| 22 103.4 766.0| 22 763 768.5|. 22 165.8 769.7| 22 167.0 169.0| 22 766.38 766.41 922 763.7 766.0] 22 763.38 164.8| 22 762.1 761.2] 22 758.5 761.5] 22]. 758.8 762.0| 93 759.2 759.8| 23] 757.0] 759.6| 93| 756.8] 759.6), 24/50 761.0! 23 158.2 761.0) 23 758.2 161.i| 23 758.61 163:4|. 22, 760.7 105.0|. 22 762.3 765.4| 22 1225 | Totaux..| 23720.1| 693) 23635 3! 23724.1| 697| 23638.9| 23720.7| 707| 236342 Moyennes. 765.21 22| -:762.4 165,3|. 22 762.5 765.2) 23 762. sh Hauteur barométrique rigée de l'altitude. ... «... cor- DU PHARE DE ROCHEBONNE. ———_— OESE TER le la Rochelle. TEMPERATURE TEMPERATURE a de l’eau de mer. de l'air. GE VENT E TT ES | = lu | 84 là9h.dum. àmidi. [à3h.dusoir. = = Ars c = = 5 = ES, | ME, | — E 8 ne E = ss D2È = NE 2 ® = = lee = dire. 5) :diréc- sl direc- |. a Des < | à | ST É Ê Ë La É Be = = tome ttion. 2 7e | tonte lle < © © < « = | l’août 1892. 210188119291 18.9, 18.31 19.0 » NEO RAR PO I OR NT ON RS AU AS.50 19.9) 18.0| 148.5] 19.4 » NO Ars N. SIN O0::: RS 28 2, 19.0!" 19.0| 19.0! 19.2! 19.2 » -:N. NO IS LIN AO 18/2, 18.0| 18.41 18.0! 18.2] 18.0 » N. DEN: JEUNE 3 D 50186) 49,0) 20.0! 19.0! 21.5 » N. DANS ENT ICOIREENE 1 DU 18711 18:4| 47.0! 17.92| 48.0 » N. SNOL MS IAN OMS 21 18.8! 49.0! 18.6! 18 8 920.4 » E. 3 E. SLARINE 9 220“ 19.0| 19.0! 19.0! 19.0! 19.2 15) N7:.0::)2 Ô: 91.-.N: OLA 18.0! 19.0] 19.2} 18.0! 20.5 20.5 » SOA) ES AO 9 O. 9 19.0! 19.6| 19.2! 920.0! 20.5| 19.4 » O. LS AE AIN TONI MO 0| 19.6: 19.8 20%0!.929:0; m29:0 » N. D'EANE DANONE 07190" 19.5 20.0! 20.5! 920:5 » He DNS te MOT SERIE 29/51" 19.5] 19.2! 91.5] 920.5! 19.8 0.9! O. 2} SO: 3 O. à D 2m 4199) 19.6) 19.2] 921.2| 22.0 » O DlrraOL al: SOS 0000200 20.0!.205) 225), » le 0, | 9] SO. | 2 0. 1 720.0" 20:2, 91.5 22.0| 92.0 » 210 SES. Les SLEMNe M2 ON O2T.0, 92,5! 98.1! 99,9 » SR BAIE Ne OT Ne: 1 D 01 20:0| 21.0! 21.7| 21.0| 21.0 AA! NN. DEN O0 91:70: 2 925): 920.0! 20.0! 18.5! 18 8! 19.29 EN LOGS EN RON | 3 O. : 18.8 RD 0 478 ,21.8m9p62 052 0 nùr 0: | 9 N.-0. | 4l O0. 14 M5! 20.0! 20.0! 20.2! 920.0! 20.4 » N. DIRISCE. AS EE AMI DD41" 21.0 921.0] 21.8! 921.0| 21.5 OSIANANE C0 SUE. 19] KE: 1 MPOM00.5|, 920.0! 22.5! 921.0| 920.0 09% 0;: DLSRrO HITS OMR 22. 20.0| 20.0! 19 O0! 19.2! 19.0 » NMOEMO CNT. 2) eur IN 2 20.0] 20.0! 20 0! 18.0! 19.4! 20.0 13 O. 3 O. 3| N. O. | 3 M0" 20:0| 19.8| 17.5| 18.5| 19.8 » NAPOS AISNE Of. | 8) eNL:O NS 20.0} 20.0! 20.0! 19.4! 920 0! 21.0 » O. 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Arrondissemenkk _ OBSERV.; TIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. | EE — matin. à midi. à 3 heures du soir. 4 E | hauteur Re 8 | hauteur ne E | hauteur 8 RE PRE de l'erreur! & TES delerreur| à | 3 È tempé- | du Er È tempé- | du te à tempé=W 5 rature 0°. l'échelle. | & rature 0, échelle. |. © ue 0% Mois a f 941 768.5] 771.0] 21| 768.4] 771.2) 21| 768 21| 765.2) 766.8| 21) 764.2] 765.4] 99) 762 94| 760.5 763.7 21| 761.1] 763.7, 91| 764 20| 766.5) 769.3), 20) 766.8) 769.3) 20] 766. 49| 770,5! 773.8) 90] 711.3| 173.8} 90° UT 20] 769,5! 771.5| 201 769.0] 770.5 20 768 20| 766.9| 769.4) 20| 766.9] 769.4) 90| 766 20] 768.5] 770.5 20] 768.0] 710.4| 920! : 761 20| 762.8 766.0! 20! 763.5] 766:3| 20| 768 94| 766.4 769.3) 21| 766.7| 769.5. 21| 76648! 91! - 7617:7|/: 770.3) 21\ 761.7: M0) COEUR 211 765.5) 767.8, 2) 765.2) 766.3 21, 7638 21|1.-764.1| 763.1, 24] 761.1] 764.7 O1) "OU 20 766.0] 768.8| 201 766.3] 768.5) 920| 76048 20] 764.3| 765.0 21|. 762.4| 763.0] 21| 7608! 91| 759.4 762 3| 21! 759.7| 762.3| 922) 7598 20| 764.9] 767.0) 21| 764.4) 67.0| 21| 764 24| 764.3] 767.0] 21| 764.4] 767.0) 21| ON 91] 762.7| 765.3] 29) 762.6 1765 SIND 23] 762.9) 765.5) 92] 762.8] 765.5 22] 7628! 22| 762.8| 766.9] 92] 764.2) 766.9 92| 764 21| 764.41 766.8) 21| 764.9) 766.5] 922| 7688 29] 761.5) -764.2| 92) 761.5) 764.9| 922| 0 29] 761.3! 764.0] 92] 761.3) 76i.5| 22|) Y76PR 29) 761.4) 764.1| 92] 761.4) 764.1| 22) "76PRI 29| 761.0| 763 7| 22) 761.0 763.7| 22| “NOR 29] 759.8 762.3] 922] 759.6] 762.0] 29| "T5 29| 759.0] 763.0] 241| 760.4] 763.8| 21| 6NR! 49] 764.2] 766.5| 19| 764.2] 766.0| 20! 763 20! 759.5! 761.7| 20| 759.2] 761 0| 20] 758 626| 29917 6| 22997.2| 698| 22919.5| 22992.1| 632) 22918 M 21| 763.9| 766.5! 21| 763.9| 766.4] 21| 63h Ü PHARE DE ROCHEBONNE. e la Rochelle. TEMPÉRATURE TEMPÉRATURE lL de l’eau de mer. de l'air. D VENT À — “ SR £ 5 |£& £ 5 |:84/29h.dum.| à midi. |à3h.dusoir. = & CE a "o Le HS ES, |, | me E -3 ae = = miens = Se co = = E 3° 5 | direc- -:| direc- +| direc- : É > = b . che a : D = & Sc = < = 2 : = À = : E CS 2 2. © en 5 tion. © lion. © tion © Li © © « < ss | | ieptembre 1892. DOM 20:01" 20.01 18.21 19.31 19.0 » O. 2 O? 9 OË 3 602000 149.8, 19.2! - 49.7! 920.3 3 S. O. 210.5: O: 2) MAS CO! 9 92520490! 17.8! 17.5] °.17.8 02)n N.-O: 9 O. DS IINCTOE 3 ROMEO! 2188, 15.2): 16.0! 16.6 » N. 4, N. O0. 3 N. 3 M651- 19/0 19.6 17.2) 18.4) 19.4 » N°. APRINSE 1| Calme. | 0 4817 19:0) 47.4, 16.0! 17.5 » E. 2 E. 4 Er il MG 048.8)18.5, 91.9) 17.5! 17.2 » Calme 0 N. 2ENSO 9 018.8): 18.5! 16.0! 16.7! 16.2 460 N. 0 2 ANR O; SUN O0 p) 20182185) 15.0! 16.5! -16.5 0:2 N de N. E. 2 N\. 9 | 1e 18,810 18.8 47.6| 19.0! 19.0 » N L'MNEOE 1 N. 1 18.0] 18.8) 19.0! 16.6! 20.2| 19.4 » N.E 1! Calme, | 0! 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Re. 0 RS direc- |, 2 tion. |£ 3 A Ok 0. SO; N. O. N. O. ER O: NU: O. 0. 0. SAUCE N. NTIOù S 40. N. N. N. N. E. E. N. N. O. 0. N. SAS À N. E. S. S. 5:10: E. Re C9 9 RO U9 CO CO HS RO O9 CS RO NO CD CO CO ID LE CO He 19 C9 C0 CO À ID © C0 CO HS CO à midi. à 3 h. dusoir. direc- se direc- |; hons Le Aton.cuee | O. 2 O. 2 0. 4 O. 4 O. 3 Ge 3 S. O. 8 D 3 NO 9 N. | N. O. 0 O. 3 SAID 4 O0. "1 N. 0. 9 O. 3 ; 4 O. 4 O. ae oO ENS à 3 O. 3 NE. 1 E. 9 N. E. 4 N. 3 O. 3 O. d Sr 10: 3 O. 3 N. J-N--01 Pa N. 3 NE 00e NME )29l0N NET Not RS SI NE, Vie N. E. 2 FE. 9 NEO 51 0. 4 N. 3| -N 01173 N. O. 7 O. 2 N. DLNASOR il 0. n O. 4 E. 31 SES S. 9 S. 4 S. 31251 07 3 S. 1| S.E. 1 N°E: 3 E. o S. E. 3 S. 3 l Hauteur barométrique cor- rigée de Paltitude OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES] | | | | | Arrondissemenik] OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. . Calme. Calme. . Légère brise. Vent faible. . Petite brise. Vent modéré. . Jolie brise ; bonne brise. Vent assez foft. . Bon frais. Vent fort. . Grand frais ; coup de vent. Vent violent. . Tempête ; ouragan. Ouragan. INDICATION à 9 heures du matin. ST NE des Lecture ® | hauteur COTUEPE |: | ramenée del'erreur! & Sfr JOURS. Te 8 | tempé- Pelle ne RIOte 0 1 ARTS. 8 A 760.9747 1084 Das ie Se 102.217 160,1 D MP OR 763:0/:- 17 760.9 Me AUS 764.41 17 762,3 OP SR Re à 163.91. 18 761,3 SERRE: Fabre 765.81. 17 037: ME ASE CRT fo oh) Pi 766.4 SAS EMPLOIE 767.3| 16 105.3 DE re CR 766.4| 15 764.6 | RO ENTER F0660) ‘1 163.9 : RU RE 766 O0! 18 763.8 LA RRE TRE 763.5| 18 761.3 RARE 61:14:18 758.) | PET NAS 759 8| 18 757.6 RENE REN INR 761.7! 18 19919 OR RTE 20 758.0) 18 15318 PSN ARE 709.0! 17 760.9 den. 763.81, 17 761.2 (CARRE RE Does OIT 47 752 0 EDne nue 763.8| 16 761.8 CR : 766.5! 16 764.5 AR RS ACTE 767.0) 16 765 .U DD a spa dat 104.91. 4 765 .4 PH NS à he à 41.0) 447 768.9 DA SR aide « 092 0/1 1005 PONS TR ANS 366 7| 17 764.6 PTS M254)4 MO 770.4 Det PS LS TR 718.0|: 5 716.2 ATOM ASE 2 8 119.1. A6 SLT DOS net ee 11401216 169.0 Totaux..! 22963.9! 506! 22901 6 Moyennes.| 765.4 16] 763.4 à midi. ange | à | auteur de l'erreur É ne sas = tempé- l'échelle | É LE 760.6, 17 158.5 102.0 |: 47 759.9 168.0! 47 760.9 764.0! 18 761.8 103.3). -18 10171 766.0, 17 163.9 769.0! 16 767.0 769.2! 16 767.2 766.1, 16 164.1 106.2 MAT 764.4 705.5| 18 10919 763.3 18 2614 761.1! 18 758.9 760 3| 18] 7581 A01 Al 16 759.5 758.4| 18 156 .2 169.417 A 761.6 210222 "71 760.1 195:0| 46 753.0 1644! - 16 762.1 16025! ‘10 104:5 762:0/" 40! 76540 768.6! 17 766 5 AA 101, 768.9 168 2148. 166.1 1014212714 765.1 112,4. 16 710.4 148%0 | 7.415 7102 413 0) 40 771.0 T433| F 40 769,3 22968.2| 506] 22905.7 169:0!: “7 763.5 à 3 heures du soir. PTIT RTC : Lecture ss . Re = | hauteur t = 2.15 del'erreur| à | "menée ee E tempé-h l'échelle. | © |'ature Ou Mois d 762.0! 17 F59.8|-:11 10320117 763.4| 18 163:3| 148 169 8) M1 768.2] 16 768.8| 16 166.1| 16 AGHRONEMAMT 162 5118 702.8, 17 161 O!| 19 160.3, 18 760.3! 18 158.4| 18 164.0| 17 TOO 156.71" 16 16102 TG 766.0! 16 161.0)"+ 46 168.6! 17 10) AT OLA AT 168:517.M 712.41 16 7118-0146 49 11222) :96 11158100 22963.9| 505 765.4) 16 U PHARE + 11 la Rochelle. TEMPÉRATURE ; À 3 h. du soir. | de l’eau de mer. TEMPÉRATURE = = = _ RHME | eS | À = £ Re = . > > = à E LEE EE « o |6 D | ovembre 1892. 1607. 46:01: 16.2 11.8 46:21 46.5! 16.2| 14.6 16:01 116.2, 16.2) 11.0 1641 016,5|" 16.0! -16.2 26.0! 16.0! 16.2! ‘14.0 21602) 46.0! 13.5 50 15.8, 46.0! 11.0 24045:51 15.0! 105 51 16:0| 16-0| 12.0 50 /16.0, 15.8! 13.4 D 6141462] 16.2) 14.0 0016022145 .:7: 145:5 15.8 1012416 :21."15:0 16.0! 16.2! 16.0! 16.5 DM4062210016.2 |: 16.4 M7 145.6). 145:4| 13.8 D 1520 45:3| 1°. 51 15:23 15.4|, 12.4 M0 15.0! 45-0| 10.7 DM 45.310151, 12.7 M2 15:2, 45.0| 11.9 D): 45.1, 12.4 DS 15.5, 15.7) 13.8 00 15:6| 15.2| .12.7 0 15:015.0; 13.5 0415.71 :15.1| 412.4 M2 45:01::15.0| - 10.7 14,6, 15.0) 14.8 9.4 30 1%.5, 14.9) 10.6 Al, "14,7 10.0 62.8, 469.7| 465.9) 388.3 DS, 145.6|/ 15.5 12.9 de l'air. = Æ ( Los oe voue usovoswououuubortoc: De be pe D pe pe OU — & OT Or LE ho Ur D üc à © ir à © do © 00 2 1e 0 © © Lo © RO Me 9 UT UT 9 © (ES 2 Le) [LS er 408.0! 396.5 13.6 13.3 DE ROCHEGONNE. PLUIE. Hauteur observée à 9 h. du matin. D Or 1 VENT RS RQ RS à 9 h. du m.| à midi. direc- sh odire- : D = lion. 2 tion. © N. 5 N. 3 O. 21: S.:0. 3 S. O. ar. 0. 3 S. E. 3 S. 3 Calme. | 0! S. O. g N. O. o O. 9 N. 2] N.E: y E. 2 ID 3 N. E. AUVNCT,. ? N. 1 N. l SH 2 E. 1 S. ES PP En Eo- S. LS: 1 Se ANS A LE. dr? S. 2 5, D) SRE D SE re N. à N. o SO: 1 S. 2 O. 2 Q. ® D: DS AE. 3 LS. Er. 3 E. 3 S. KE. 8 E. 3 ne: LUS. Ni, il 2N 10. 2 O. 9 CH. DRSAOË 2 NE. LA NN. { : 4 N. 4 NUE: HONTE, Î N. O. LIRINO: { N. SN O: 3 Du à” à 3 bh. dusoir. RO RO RO —— RO CE 0 Hs RO RO LE RO RO RO RO => > RO 9 RO UD RO C2 LI CO LO CO 19 = à O0 ho À © CRE TUE EEE CPU SEE DC) LIEN EAEES CECE LANDE DE 2 TA RER SE EE RO PR A INDICATION des JOURS. CHOC PORTE RO LT see SH UDUe ue ehatin le RONA RON IC es o1e eo id © 51 CRC RCE CCC CET soute ste ss enie las ons ne Oh OL IOEOIET MO ss se tresse Te ete siete se CCC ECC ss. CCC CCC ss OSION CCE NERO viol siehe else os V'étuiers els faqrie e enoïg one y ete Sao. ati ets +9 CRC ss... ss .. sers sse ss Totaux.. Moyennes. OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUE) . Calme. Calme. | . Légère brise. Vent faible. . Petite brise. Vent modéré. . Jolie brise ; bonne brise. Vent assez fort, | . Bon frais. Vent fort. Arrondissemel . Grand frais ; coup de vent. Vent violent. : 3 ee . Tempête ; ouragan. Ouragan. ir OBSERVATIONS’ DU mm — —— + à 9 heures du matin. A — Lecture corrigée 5 del’erreur| & du zéro Ne de = l'échelle. | & | 1100115] 766.0! 16 764.4, 16! 100: 11145 762.0| 14 10528) 2 15 164.8| 14 1690148 1690! 49 167.0! 12 759.81 2414 163.21 15414 709,91 45 113.6| 14 TS d5 166.4] 16 714.8| 15 114.0| 115 0 A5, 766.0! 15 105-010 44 O2) 15 162.2! 45 758.8| 14 756.0) 14 1592210713 766.5! 11 162.7| 12 1120) RMS 153.9/=.13 190 ,9|:415 23707.4| 435 764.8| 14 Hauteur barométrique cor- rigée de l’altitude à midi. . I EE hauteur | Lecture | © | hauteur ramenée mu Z | ramenée à Ja elerreur, £ à la tempé- | du Zéro | À | {empé- rature O.| dé | £ lrature de. échelle. | À 769.0 110:012145 768.2 764.0 765.5] 16 763.5 762.4 106 ef à ES 159.7 758.9 102-2045 760.4 760.3 161.4, 14 Tage 164.2 166 :5 "es 764 9 763.1 764.8| 14 10931 108 .1 T0 2 768.6 761.5 760.0! 12 758.5] 765.5 767.4) 19 16049 758.1 759.8| 13 192,2 761,5 761.8) 14 760.1 763.7 HOMO! 765 3 114:9 1422) 14 770.5 772,0 1131811415 772.0 774.4 716.0| 15 774 2 713.0 714 ALES T2 712.2 11322} 44 11129 168.1. 708.8| "45|" - 762.0 764 :2 766.2] 15 164.4 764.0 765.0! 14 763.3 760.4 1014:2)"%45 759.4 760.4 16420 #18 159.4 11e. 198,2) 414 756.8 154531: 646-0151 1762:8 757.6 160,4! 14) 275807 0912 16020 42 764.4 761 .1 762%9 018 760.6 199,9 1H619 419 755.4 10200 199: db 751.8 749,3 1AQ ETS 741.6 23654.3| '23691.5| 434| 23678.5 763.2 764.2) 14 763.8 163.1 762.5 à 3 heures du so:r.M@: 1 | | Lecture corrigée de l'erreur du zéro | de l'échelle. | RE DO O1 OI DOUTE SW DO ESDACOWRLNDOOEMRODHDOR OC 759. 762. 761. 766. 763. 110% 758. 767 759. jo 767. 173. 7173. 776. 774. 773. 768. 1692 764. 761. 761. 1517. 753. 761. 766. 761. 2790; 753. 748. 23678. 763. O0 Or Z | ramené = à lan x | tempé 5 |raturel( Era | Mois d 15 766, 16 7631} 16 751 15 760: 14 759% 14 164) 14 764) 13 168, 13] - 75% 12 765 à Ke) 752, 14 7518 14 766: 15 774 15 7122 15| 71 15 112: 14/ 178 15| 766, ES) 763. 14 762. 15 759. 15 759. 14] 756, 15 758 14 799) T2 1765. 13 759. 43| 158 13 751: 12 747, 431| 23025: 14 762. 762. | Me BAROMÈTRE LE JOUR. hauteu: DÙ PHARE DE ROCHEBONNE. He la Rochelle. | | 99107 | RE un lé 4 8 « Ê=| = (æ) :S \ 940 | # 2 DES = |5) 3 « > EF © CS =, das, : 9910 = 9107 | =) TD : SE = Étte | a + = -S ‘uUIJeUI np ‘I 6 R 29A19$q0 AN9JNCFF "ATN'Td [ 0 FA] "JCS UP UE Y a = E à ), archiviste du département. MEesnier, Marcellin, banquier. MEYER, L.-E., (A &ÿ), courtier maritime. MicHAU, pharmacien. MiLLoT, (À &ÿ), professeur au Lycée. MopELski, (%), Ing. en chef des ponts et chaussées. Moreau, À., (0 $), général, gouverneur de Grenoble. MorTELAY, L., bot., avanc. des sc., cours de Gourgues, 5, Bordeaux. NADREAU, médecin-vétérinaire. OpiN, Amédée, pharmacien, aux Sables- d'Olonne. D'OrBIGNY, Alcide, (A &ÿ, 5%), arm. m. de l’assoc. fran. avanc. sc., Maire de la Rochelle. PÉRIER, Aug., courtier, m. de l’ass. fr. av. des sc. PIETTRE, prof. de sciences au Lycée. Picot, M., nég., m. de l’assoc. fr. av. des sc., à Montmorillon. PoumeraY, L., sous-Préfet, à Jonzac. RepeuILx, N., (%) dir. des contr. direct., retraité, à Paris. REIGNIER, docteur, à la Rochelle et Surgères. RouILLÉ, père, rentier à Tours. RouILLÉ, Louis, prop., chalet Bois- marjac, Fouras. Rouvier, P. (%) cons. gén.,à Surgères. Rouy, G. ($), membre de la soc. bot. de France, Asnières. RUBINO, À., rentier. TErMoniA, (O %), docteur méd.-major dre el. retr., place Champ de foire, 9, à Saintes. THURNINGER, Alb., (%), ingén. chef ponts et ch., m. de l’ass. fr. avanc. sciences. VIENNOT, Ing. des ponts et chaussées, « VIVIER, Alfred, ([ £ÿ), juge hon., m. ass. « fr. av. sc., boul. Haussmann, 92, Paris. M = 149 Membres PEerNaRD, O., inst. Bois (ile de Ré). BOLLON, v. p. de la com. adm. des hos- pices, à Rochefort. BoucHerIE, Michel, à Chez-Merlet, com. de Bresdon, canton de Matha. BoURoN, nat. prép. Rochefort. Bourru, (O0 &), Dr méd., en chef, prof., Rochefort. Bouscasse, (%), ing. civil, à Puilboreau. BouyEr , docteur-médecin , Cheray (Oleron). Buisson, prép. hist. nat. Châtel-Aillon. BurorT, P., Dr méd., prof. à l’école de médecine, à Rochefort. CAILLAUD, naturaliste, à Châtel-Aïllon. ComBEs, Dr, maire, Pons, cons. gén., sénateur. CouiLLraAux, greffier de la just. de paix, Tonnay-Charente. DELABARRE, rec.-bural. des douanes, Saujon. Agrégés. DE SAINT-MATHURIN, St-Jean d’Angély. ESPAILLAG , conducteur des ponts et chaussées, St-Denis (Oleron). LAMOUREUX, méd. vétér. à Saintes. Maxës, Ad., (%), cap. retr. Saujon. MuURE, Edm., négociant, à Surgères. NOoRMAND-D’AUTHON , P., la Martière (Oleron). Picxez, docteur-médecin. PixEAU, Emm., D'-m., Château-d’Oleron. RicauD, Ch. docteur-médecin, Pons. RomIEUX, O, (&), capitaine de frégate, Rochefort. SIMON, receveur de l’enr. à Rochefort, TESSERON, instituteur en retraite, à Cra- zannes. THIBAUDEAU, lieutenant des douanes, à la Pallice. Vivier, Alph., avocat, à Rochefort. XAMBEU, ( I Éÿ, »H), directeur du labo- ratoire de chimie de Saintes. Membres Correspondants. ALLENET, lieutenant de vaisseau. ALLENET, chef de bataillon. ARrNOUx, Sosthène, professeur, Orléans. BARINE, Arvède, (madame Ch. Vincens, lauréat de l’Institut), à Paris. BAUDOUIN, pharmacien, Cognac, m. de l’assoc. fr. av. des sc. BAYLE, ($&), ing. en chef des mines, en retraite, à Paris. BÉDarT, doct. méd., Bordeaux. BÉNÉDEN, Van, docteur, prof. à l’Uni- versité, Louvain. BERCHON, (%, 2, À &ÿ), méd. prince. de re cl. de la mar., en retr., Pauillac. . BERGERET, past. à Baussais, Deux-Sèvres. BERNARD, Aug., à Poitiers. BERNARD, Georges, (#), ph.-maj., m. de l’as. fr. av. des sc., Paris. BERNARD, Gabriel, contr. princ. des contr. directes, au Hävre. BERTHAUD, prof. de physique, Mâcon. Borzor ((1 £ÿ), prov. du Lycée, Mâcon. BonJEAN, Félix, à Lyon, économiste. BORDAGE, Edm. BOREAU, géologue, Parthenay. BOULANGIER, ing. des ponts et chaussées. BouLLanD, H., doct. en méd., à Limoges, . .m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. BOUQUET DE LA GRYE, (0 &), ing. hyd. en chef, m. de l’assoc. fr. av. des sc., m. de l’Institut, Paris. BOURGUIGNON, O., pasteur à la Mothe Ste-Héraye. BoverT, Alfred, prés. de la société d’ému- lation, Montbéliard. CAMPEAU, J. R. E., président de l’insti- tut français-canadien à Ottawa. Camus, pharm., boul. St-Marcel, Paris. CASTAN, officier d'artillerie. CHABERT, À., (%), médecin principal de re classe, à Lille. CHAMPENOIS, inspecteur des forêts. CHAPLEAU, Lt-souverneur de Québec. CHARLET, Bernard, à Luze (Basses-Pyr.) — 150 — GHARTRON, recev. de l’enr. Lucon. CHASTEIGNER, (Cte Alexis de), Bordeaux, membre de lassociation française pour l’avancement des scienges. CHAUVET, not. à Ruffec, m. de l’assoc. fr. av. des sc. CONTEJEAN, (%), doct. ës-sc., prof., à la Faculté, retr., à Montbelliard. COTTEAU, ($, I Éÿ), juge hon., Auxerre, m. de l’assoc. fr. avanc. des sce., anc. prés. de la Soc. géol. de France. COURÇONNAIS, Ch., (I &ÿ), insp. d’acad. en ret., à Limoges. CRAHAY DE FRANCHIMONT, (%), ing. en chef, Bordeaux. DANGIBAUD, (0 #), sous-direct. au min. de la marine, à Paris. Dassy, Ferd., préparateur de physiologie à la faculté de médecine, Paris. DAUBRÉE, (C %, I £ÿ), insp. gén. des min. membre de lInstitut, Paris, m. de l’assoc. fr. av. des sc. DErAvauUD, (O% ,[6ÿ,2%), Insp., hon. ser. santé, rue de la Boëtie, 5, à Paris. DELFORTRIE, prés. de la Soc. linnéenne, Bordeaux. DELHOMEL, rue de Verneuil, 40, à Paris. DocTEUR, A., négociant, Bordeaux. D’Ouxous, à Saverdun (Ariège). DrouEr, m. de la Soc. acad. Troyes. DROUINEAU, G., (A &), Dr, insp. génér. de l’assistance publique, r. de Navarin, 15, à Paris. DurFORT, pharm., à Angoulême. Dupré, ( #, [. €ÿ), inspecteur de l’Aca- démie, Paris. DuvaL-LAGUIERCE ($), colonel du génie Eck, André, pharm. Nogent-sur-Marne. ENSCHÉDÉ, A.-L., (O %), arch. bibl. à Haarlem. FABRE, Hector, commissaire du Canada, à Paris, FÉE, F., (%), méd. prince. de Are cl. dir. du service de santé, 11e corps. Fixes, Dr., dir. de l’obser. météor, Per- pignan, m. de l’ass. fr. av. des sc. FOURNIER, À., préposé aux collections d'histoire nat, à Niort. GABORIT, pharmacien, Nantes. GALLES, ancien conseiller de préfecture. GAMIN, instit., à Piedblanc, près Niort. GARNAULT, (A &ÿ), prof. d’hydro. en retraite, Brest. GAUDRY, Albert, ($), membre de l’Instit., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc, GAUTIER, L., doct. en médecine, : Melle. GIARD, pr. zool., m. de l’assoc. fr. avanc. des sciences. GIRAUDEAU, Ed., D'-m., ex-int. des hôpit., Paris. Goop, Paul, médecin de la Marine. Goop, Arthur, publiciste, Paris. GOURRUT, docteur ès-sciences, Niort. GUILLAUD, Dr., prof., fac. méd., Bordeaux, m. de l’assoc. fr. av. des sciences. GUILLON, (%), dir. Cont. indir., en re- traite, Angoulême. Gvoux, doct. en médecine, Bordeaux. HUGUES, Edm. (O0 %X, I £ÿ), sous-Préfet aux Andelys. Hy, F., abbé, membre de la Soc. bot. de France, Angers. JAY, HON, JOHN, anc. ministre plénip., à New-York. JOUAN, (O0 %, I ÿ), cap. vaisseau, en retraite, Cherbourg. JOURDAIN, doct. ès-sc., Paris. JoUSsET, docteur-médecin, Lille, rue de l’Orphéon, 16. JOUSSET DE BELLESME, dir. des établiss. piscicult. Paris, m. de l’ass. fr. av. sc. LABEYRIE, insp. prim. à Tulle. LABOULBÈNE, (0 %, À &D), pr. à la fac. de méd. de Paris, m. de l’Acad. de méd., à Paris. LALANDE, Philibert, secr. gén. Soc. sc., hist. et arch. de la Corrèze, Brives. LATASTE, Fernand, secr. géné. de la soc. scientifique du Chili, Santiago. LEGouIs, prof. de zool,, éc. norm. Paris. LEMOINE, doct. prof., école méd. Reims, m. de l’ass. fr. av. des sc. LETELLIER, prof. Alençon. LIÉNARD, secrétaire perpétuel de la Soc. d’émulation de Verdun. — 151 — LorioL (de), géol. chalet des Bois, près Genève et à Frontenex, Suisse, m. de l’assoc. fr. av. des sciences. LuBawskr, (Gte Alex. de), (GG %X), aca- démicien à Viazma, province de Smo- lenska, Russie. LOURDE, pasteur, à Espérausses (Tarn). Ly-CHA0-PÉE, (À &ÿ, XX), mandarin et lettré chinois, attaché à la mission seient. en Europe. MALINVAUD, Er., secr. général de la Soc. bot. de France, à Paris, rue Linnée, 8. MaxTovani, Paul, naturaliste, Rome. ManTOvANI, G., naturaliste, Rome. Marçais, Ed., secrétaire général de la société française de botanique, rue Ninau, 19, Toulouse. MARÉCHAL, Gaston, répétiteur au col- lèce Rollin, à Paris. MAUFRAS, Em. Villegouge, par Castelnau de Médoc, Gironde. MAZURE (He, I £), insp. d’acad., retraite. MiLA DE CABARIEU, H. (0 &, I &ÿ), ancien préfet, Cabarieu (Tarn-et-Garonne). Mine-EpwarDs, (%) Alph. m.de l’inst., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc, fr., avanc. des sc. MOULLADE, Alb., pharmacien major de re classe, à Alger. MOULLADE, pharmacien au Puy. PAPIER, À., prés. de J’acad. d’'Hippone. - PERRIER, Edm., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avance. des sc. PorraL (de), Louis, à Montauban. RAGONA, Domenico, (CG. 5%), dir. obser- vatoire, royal Modène. RAMONET, ag. ad. de la Marine, ROCHEBRUNE, À. (de) doct., muséum, à Paris. ROUSSEAU, Philéas instit.,à La Verrière de Bruffieric (Vendée). RouxEL, prof. de physique. SARRAU, Em. (%), membre de l’institut, à Paris. Stehelin, (O &, I éÿ.) Nancy (Meurthe-et-Moselle. SURINGAR, W. E. R. (O0 >.) prof. uni- versité, Leyden. SILVA, le ‘commandeur J. da, (0 %, I &ÿ), arch. du rôi de Portugal, : de l'Ins- titut de France, Lisbonne. TASLÉ, (%), ancien notaire, Vannes. TiLLET, Paul, professeur d'histoire natu- relle, à Villeneuve-sur-Saône. TRIGANT-BEAUMONT, (Madame), botaniste. VENDRIÉS, employé au ministère de l’ins- truction publique, Paris. Viaup-GRAND-Marais, docteur-médecin, Nantes. VILANOVA, J., prof. paléont. à l’univer- sité de Madrid, m. de l’as. fr. av. des sciences. VINCENT, pharmac., à Angoulême. WŒLFFLE,agent-voyer d'arrondissement Civray. Ruelle. aide: nat. au Préfet à LABORATOIRE MUNICIPAL DE CHIMIE AGRICOLE, INDUSTRIELLE, MÉDICALE, ETC. CONSEIL D’'ADMINISTRATION : MM. BëzTremIEUx, Ed., (%, I &Ÿ), prés. de la Soc. des Sc. nat., Président. Lusson, F. (I £), prof. agrégé des sciences au Lycée, v.-prés. de la Soc. des Se. na‘, Chimiste, Directeur-Conservateur ; PIETTRE, prof. agrégé sc. Lycée, m. de la Soc. des Sc. nat., Chimiste-Adjt. Conpauy, Ad., m. de la Soc. des Sc. nat. MicHAU, pharm. de 1re classe, m. de la Soc. des Sc. nat. GREEN DE SAINT-MarsaULT (Gite Edm.), Président de la Soc. d’Agricul. LAURENT, Ch., vice-président de la Soc. de Méd. COMITÉ DE BOTANIQUE SOCIÉTÉ ROCHELAISE POUR L'ÉCHANGE DES PLANTES FRANÇAISES. FEÉSAODT— MM. Bezrremieux, Ed., ($%, I &), v.-prés. du conseil de préfec., Président. Lusson, F. (I #ÿ), prof. de sciences au Lycée, Secrétaire-Trésorier. CREUZÉ, Am. (%,) dir. des contr. dir. en retraite. Foucaup, J. (A £},) chef botaniste du jardin de la marine, à Rochefort. JOUSSET, pharmacien, à Rochefort. MicHAU, pharmacien. TEerRMONIA, (O0 %), doct. méd. major, 1'e classe en retr., Saintes. ACADÉMIES ET SOCIÉTÉS CORRESPONDANTES. > 0-<< FRANCE. LEE E CANNES Ministère de l’instr. publ., comité des trav. sc. et soc. savantes. (Envoi de 5 volumes d’annales.) LITE 2 COINS Académie des sc., agric., arts et b.-lettres, Bouches-du-Rhône. A nu re. Société scientifique et littéraire. MIHIENS.. -.: -......... Société linnéenne du nord de la France. BODerS..-........... Société d’études scientifiques. . ... Société nationale d'agriculture, sciences et arts. 15 TA RENRSEREE Société industrielle et agricole d'Angers et du Maine-et-Loire, OR u .. .. . Société d’horticulture du Maine-et-Loire. MOD... ...... Société d'histoire naturelle. BUXErrE 0 .-.:..... Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne, Bayonne ............ Société des sciences et arts. RAA. :...<..... Société d'histoire, d'archéologie et de littérature. Ont. ............ Société Belfortaine d’émulation. RAILS... ...... Société scientifique, archéologique et littéraire. A Académie d'Hippône. Bordeaux. .......... Académie nationale des belles-lettres, sciences et arts. LE ORNE Société linnéenne. | D Re. Le. Société des sciences physiques et naturelles. OT ee - .... Société d'anthropologie de Bordeaux et du Sud-Ouest. LE ORNE .... .. Société archéologique. | ES PR AMRSEAMARRESRS Société académique. DRAVES .....:........ Société scientifique, histor. et archéo. de la Corrèze. “Châlons-sur-Marne. Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne. Chambéry .......... Académie des sciences, lettres et arts de Savoie. Cherbourg........ . Société des sciences naturelles. ) ...... Société de Borda. Draguignan......... Société d’études scientifiques et archéologiques. Mc n0DIe............ Académie delphinale. MIE TEC. ............. Société des sciences naturelles et archéol. de la Creuse. be Havre ........... Société nationale hâvraise d’études diverses. a... .. Société des sciences et arts, agricoles et horticoles. MAAUreEsS.. .......... Société historique et archéologique. UT Société d'agriculture, sciences, arts et commerce. LL METRE Société agricole et scientifique de la Haute-Loire. tn. Société géologique du Nord. — 154 — LiMONES Five LUE Société Gay-Lussac. LV Run ATOS CAD Société de botanique du Limousin. LPO ne NRA DONS Société d'agriculture, d'histoire naturelle et des arts utiles. 140) RSR EN a OU AFS Société littéraire, historique et archéologique. Le Mans... Titus Société historique et archéologique du Maine. Marseiïlle............ Société scientifique flammarion. Montauban ......... Académie des sc., belles-lettres et arts du Tarn-et-Garonne. Montbéliard........ Société d’émulation. Montpellier......... Académie des sciences et lettres. Blanbes tee Société académique. LS PEAR PERTE BA Société des sciences naturelles de l'Ouest et muséum. NIET RNA EN A ARTE ETES Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes. Nimes. .... Académie nationale du Gard. F0 EEE M Te nn .. Société d’études des sciences naturelles. NioPt.. Er Société de statistiques, sciences, lettres et arts. Lite FRS COPA .. Société de botanique des Deux-Sèvres. LT EN SE I CRI Bibliothèque scientifique de l'Ouest. Paris, her Musée Guimet, au ministère de l’instruction publique. LITE ANDRE TR *........ Association française pour l’av. des se., rue Serpente, 98. LU ee EME El Ecole polytechnique. 116 RSA none: Société géologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. LE RNTS Eece MEN DUR Société zoologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. Ant De LR EN 7 . Société botanique de France, rue Grenelle-Saint-Germain, 84 A AN So Tite Société académ. indo-chin. de France, rue du 4-septembre, n° 9 1e RAA OMR en 1e Société de la Revue des sc. nat., de l'Ouest, boul. St-Germain, 14 Paie: Cet ..... Société des sciences, lettres et arts. = Perpignan.::....:... Société agricole, scientifique et littér., Pyrénées-Orientales. PrIVAS. MER Société d’agr., industrie, sciences, arts et lettres de l'Ardèche Reims... Sn Académie nationale, Reims.. ............ Société d'étude des sciences naturelles. Rochechouart ...... Société des amis des sciences et arts. Rocheïort........... Société de géographie. Roue RE tree Société des amis des sciences. Sens..........!...... Société archéologique. ‘St-Etienne...... ... Soc. d’agric., indust., sciences, arts et b.-lettres de la Loire. LOUION PE .. Académie du Var. - Toulouse........ .... Académie des sciences, incriptions et belles-lettres. LS RSR OST Société d'histoire naturelle. 115 SERRES ALAN Société archéologique du Midi de la France. dieu. à s Net ES Société académique Franco-Hispano-Portugaise. LL RON PE PUR SRE Société des sciences physiques et naturelles. 10 ANA APR ERES Société française de botanique, rue Ninau. ATOPES VIA UE Société acad. d’agric. des sc., arts et belles-lettres de l'Aube MAMRES: TN 7 Ua AR, Société polymathique du Morbihan. NErdun re lue. Société philomatique. Versailes.:10.07.. Société des sciences naturelles et médicales, de Seine-et-Oise. LA ne ..... Société des sc. morales, des lettres et des arts de S.-et-Oisé Valenciennes....... Société d'agriculture, sciences et arts. esoul ..... En Halle-sur-Saale.... Landshut.......... MnnE:........... HDavenport......... New-Haven........ L (à itry-le-Français. Lé Strasbourg.......... 112: 1 AR ENERSRRERRR — 155 — Société d'agriculture, sciences et arts de la Haute-Saône. Société des sciences et arts. ALSACE-LORRAINE. Société d'histoire naturelle. Société d'histoire naturelle de la Moselle. Société d’horticulture de la Basse-Alsace. Société des sciences, agriculture et arts de la Basse-Alsace. ALLEMAGNE. . Société des sciences naturelles, naturwissenschaftlichen vereine. ÉONArES 0 .......... . . Société littéraire et philosoph. litterary and philosophical sociéty. .. Société d'histoire naturelle. Société des sciences naturelles, Naturforschende Gesellschaft. Société d'histoire naturelle et méd. de la Hesse sup. Oberhessis- chen Gesellschaft fur natur-und Heilkunde. Société physico-économique , Koniglichen physikalich-okono- mischen Gesellschaft. Académie imp. Léopoldino-Carolina des naturalistes. (Prusse.) Société botanique. (Bavière). ANGLETERRE. British museum (natural history), Cromwell road. AUTRICHE. Musée d'histoire naturelle impérial et Royal, 1, Burgriny, natur- historischen hofmuseums. BELGIQUE. Société royale malacologique de Belgique. Société royale de botanique de Belgique. CANADA. Société d'histoire naturelle. Société historique de Montréal. Institut Canadien-français. Université Laval. . Canadian institute. Nova scotian institute of sciences. CHILI. Société scientifique du Chili. ETATS-UNIS. Académie des sciences naturelles, academy of natural sciences, Académie des arts et des sciences de conneticut ; academy of arts and sciences. Société philosophique américaine, américan philosophical sociéty. St-Louis, M O...... Washington. ...... id. D: C5 id. Dress 15 TRES PE CIRE EST PTIT Tacubayad... {2 CGharnstiania.:....7. POrPEO MN ar He 0 TER PEN OR ET ET R Moscou......... ea — 156 — Société historique de l’état du Kansas ; State historical of thd Kansas. Académie des sciences du Kansas ; académie of sciences of the Kansas. Missouri botanical Garden. Société géoloique des Etats-Unis ; Smithsonian institution. Société des ré zents de l'institution Snuthsonienne ; united, statesh géological Survey. Bureau d’éthnologie ; bureau of ethnology. LUXEMBOURG. Société de botanique du grand duché. Société des naturalistes luxembourgeois. MEXIQUE. | Observatoire astronomique national ; observatorio astronomicos NORWÈGE. Université royale de Norwège. PÉROU. Société de géographie; Sociedad Geographica. PORTUGAL. Société de géographie commerciale ; sociedade de geographial commercial. | RUSSIE. Société zool. et bot. Finlande ;-pro fauna et pro flora Fennica Société des naturalistes à l’université impériale de Saint-Wladimir 4 Kievskoie Obschestvo Estestvo Ispytateley. Société impériale des naturalistes. SUÈDE. Académie royale des belles-lettres, d'histoire et des antiquités M Kongl. Vitterhets historie och antiquitets akademien. SUISSE. Société des sciences naturelles. Société des naturalistes ; naturforschende Gesellschaft. Société de physique et d'histoire naturelle, Société vaudoise des sciences naturelles. Société des sciences naturelles. ES Horde) El Pages. Compte-rendu de la Société des Sciences naturelles, par MAL DOLLOT... 4. Se De de nai A dde e Van d 0/0 5 Laboratoire municipal ; rapport par M. LussoN..... . 27 Excursion botanique à Angoulins ; rapport par M. J. FoUcAUD...... ee oem eet bee te 31 Excursion géologique à Angoulins ; rapport par M. DoLLor. 97 Excursion géologique à Ardillières ; rapport par NIMRIDÉLOT. LS. ae 0 SE SCOR EE TUE LA Excursion botanique entre Soubise et Marennes ; rapport par M. J. Foucaun....... SRE M RE a 47 Excursion botanique entre Soubise et Saint-Jean d’Angle ; rapport par M. TERMONIA......... Se Excursions géologiques à Marennes et à Saint-Jean d’Angle ; rapport par M. BoISSELLIER...,........... 55 La photographie et la microphotographie; rapport par M Gharles-BASSET. ........ ; . . © Qt Pages. Agaricinées récoltées à Fouras, par M. Paul BRUNAUD... 81 Glanules mycologiques (2e série). — Herborisations dans la Charente-Inférieure, par M. Paul BRUNAUD........ 93 Glanules mycologiques (3e série). — Herborisations dans la Charente-[nférieure, par M. Paul BRuNAuD........ 103 Recherches sur quelques Œnanthe ; rapport par M. J. POUPAU AE UT ne SO RS RARE AL à A LL Observations météorologiques. .... D (ANRT MA ne AA LE Liste des membres et des Sociétés correspondantes. ... 147 RAR MIN 9 TT ACADÉME DE LA ROCHELLE SOCIÉTÉ DES SUIENCES NATURELLES PE LA CHARENTE-]NFÉRIEURE ANNALES DE 18953. N° 30 (TOME I.) LA ROCHELLE Type. E. MARTIN, St DE G. MARESCHAL, RUE DE L’ESCALE, 20. 1894 AN UE = ei ne LE ts Or ST LCRE. 2 REA LAN Re I PRE TEE) LL TRE certe CN Let AE TA LP pl ANNALES SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES LA CHARENTE-INFÉRIEURE La Société des Sciences naturelles a été reconnue établissement d'utilité publique par décret du 4 septembre 1852. ACADÉME DE LA ROCHELLE SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES DE LA CHARENTE-]JNFÉRIEURE ANNALES DE 1893. N° 30 (TOME I.) LA ROCHELLE Typ. E. MARTIN, S' DE G. MARESCHAL, RUE DE L'ESCALE, 20. 1894 COMBEE RENDU DES TRAVAUX DE LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLE DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE PENDANT L'ANNÉE 18953. MESSIEURS, Le compte-rendu des travaux de notre Société pen- . dant l’année 1893 montre, ‘une fois de plus, le rôle prépondérant qu’elle a su acquérir dansle monde dela science et fait apprécier, à leur valeur réelle, Les œuvres nouvelles dont elle a entrepris la publication. La géologie, la botanique et la microphotographie ont été, cette année encore, l’objet d’études spéciales, dues à l'initiative de plusieurs membres de notre Société, dont l'éloge n’est plus à faire, C’est à leur zèle et leur persévérance que l’on doit de posséder aujourd’hui la carte géologique de nos environs ; le premier fascicule d’une nouvelle Flore de France et de nombreuses reproductions d’objets d’his- toire naturelle par la microphotographie. SC Nos séances, toujours trop courtes, continuent à être régulièrement suivies et sont l’objet constant de com- munications aussi instructives qu'intéressantes. Ces résultats sont dus en partie à l’importance des publi- cations que nous recevons chaque année, soit des sociétés correspondantes, soit par abonnement ou par achat, mais surtout à l’empressement que notre Com- pagnie met à vulgariser et faciliter l'étude des sciences naturelles ; aussi le nombre de ses membres va-t-il toujours en grandissant. Nous comptons aujourd’hui, en dehors des 132 sociétés correspondantes avec lesquelles nous fai- sons l’échange de nos Annales: 80 membres titu- laires, 28 membres agrégés et 120 membres corres- pondants. Ces chiffres n’ont pas besoin de commentaires. La situation topographique de notre ville contribue aussi bien largement à entraîner à l’étude des sciences natu- relles. Dans un rayon de moins de deux cents kilomètres, tous les niveaux géologiques sont représentés et peu- vent être visités. La Flore des mers et des continents offre double ressource aux botanistes et la faune marine et terrestre permet aux zoologistes de multiplier leurs connaïs- sances. De cet ensemble de productions, il résulte que notre Musée, bien que fondé depuis moins de soixante ans, se trouve déjà trop petit pour recevoir toutes les mer- veilles qui ne proviennent cependant que du départe- ment seul. Ces richesses, qu’on ne se lasse pas d'admirer, vien- En nent d’être mises plus en relief par une heureuse restauration des locaux, due à l'initiative de notre Président. Plusieurs excursions scientifiques, organisées dans les limites de notre département, ont eu lieu le {9 avril à Charras-L’Houmée, Fouras ; le 14 mai à l'Ile Madame; le 4 juin à Mazeray, Fenioux, Saint-Jean-d’Angély, Ebéon, et le 9 juillet aux environs de Saintes, à Font- couverte, Saint-Georges-des-Côteaux, Nieul-les-Saintes. Vous en trouverez les rapports détaillés dans nos Annales par MM. Boissellier, Foucaud, D'Termonia et Dollot. L’Aunis et la Saintonge, si riches en souvenirs archéologiques, possèdentencore, malgré de regrettables mutilations, des chefs-d’œuvre d'architecture, romane surtout, et quelques monuments mégalithiques qui deviennent, malheureusement, de plus en plus rares. Notre Société ne manque jamais, dans ses prome- nades, de visiter ces remarquables vestiges des ancien- nes civilisations et d’en prendre des vues photogra- phiques conservées en albums. En dehors des recherches géologiques et botaniques qui contribuent à l’accroissement des collections, le Musée Fleuriau a reçu en don cette année : De M. Foucaup, un dragonneau aquatique, Gordius aquaticus Linnée, provenant des marais de Virollet. C’est un Nemathelminthes, ver rond filiforme allongé, Nematode parasite de l'intestin des poissons qu'il abandonne pour continuer à vivre dans l’eau son milieu normal. De M. Lamoureux, médecin-vétérinaire à Saintes : — 8 — plusieurs oiseaux fort bien préparés, parmi lesquels : un gros bec et un pinson des Ardennes. De M. Larappy, percepteur à Sainte-Soulle, une her- mine roselet, tuée en décembre 1892 à Angliers. De M. Riveau, à la Groie près Genouillé: une curieuse femelle d’Anas boschas. Ce spécimen à plumage blan- châtre, fort rare, est sans doute une métise provenant de l’accouplement d’une cane et d’un canard domes- tique. De M. DE BoNNEFONp, curé à Authon, quelques oiseaux préparés par lui. De M. Deravoye, entomologiste à Rochefort, de jolis insectes destinés à remplacer ceux avariés des vitrines. De M. DorLor: quelques fossiles provenant de nos falaises ou de La Pallice et une collection presque complète de vues photographiques qu’il a prises des monuments mégalithiques qui subsistent encore dans notre département et qui tendent, malheureusement, à disparaitre rapidement. Il n’est que temps de prendre des mesures pour conserver aux générations futures les quelques types qui nous restent. M. THiBAUDEAU nous a offert également un bel échan- tillon de carbonate de chaux cristallisé avec sulfure de plomb argentifère, provenant de Philadelphie, échan- tillon destiné au Musée Lafaille. M. AuGER, notaire à Champagné-les-Marais, a envoyé pour le musée d’ostéologie un squelette humain, à peu près complet, mais brisé, trouvé dans les sables du cordon littoral de cette commune, au contact des calcaires. Le Dr PINEAU, au Château-d’Oleron, à découvert un MERE cellier gallo-romain, proche le Château. Il à envoyé pour les collections d'objets préhistoriques quelques ossements à peu près entiers et deux frontaux de ruminants qu'il a trouvés ainsi que des échantillons d’une matière présentant quelque analogie avec la pouzzolane et des nodules vitrifiés paraissant résulter d’un atelier céramique. Enfin, sur la proposition de notre Président, M. Bel- tremieux, l’acquisition a été faite d’une collection de plus de cinq mille pièces d'objets préhistoriques pro- venant du département et classés par M. Vieuille, à Thénac, près Saintes. Notre Président a également fait l’acquisition d’un poisson fort rare, l’Echeneis naucrate dont il n’existait au Musée que deux spécimens petits conservés dans l’alcool. Cet échénéïde a été capturé dans le port de La Ro- chelle contre un des murs de quai auquel il adhérait par une ventouse en forme de bouclier elliptique ayant quinze centimètres de longueur sur soixante-cinq millimètres de largeur, recouvrant la tête et une partie du dos de ce poisson qui a 040 de longueur. Il appartient à la famille des scombéridés. IL y a quatre espèces d’échénéides parmi lesquels l’Echencis remora, l’'Echeneïis naucrate, V'Echeneïs lineata. Echeneïs remora Lin. dont le Musée possède déjà deux petits spécimens, atteint rarement trois décimètres ; la peau est molle et visqueuse, le museau arrondi. Les lames du disque arrangées par paires sont au nombre de 18 ; la couleur est noirâtre. Suivant Commerson, l’Echeneïs remora s'attache aux cétacés, aux poissons de grande taille, tels que les A squales, y adhère fortement par le moyen des lames de son bouclier dont les petites dents lui servent de crochets pour se cramponner et voyage ainsi sans peine. Les remoras s’attachent également à la carène des vaisseaux et aux rochers. L'Echeneis naucrate, Lin. atteint parlois 23 déci- mètres ; son nom grec signifie conducteur de vaisseaux. Le bouclier placé au-dessus de la tête présente 22 à 26 paires de lames transversales et dentelées. La queue, au lieu d’être fourchue comme celle du remora, est généralement arrondie ; les nageoires sont en propor- tion plus longues que celles du remora dont il a du reste les habitudes. Il se fixe aux rochers, aux squales comme le remora. Ce poisson fréquente les côtes de Mozambique, les rivages de l’île Maurice, etc. L’Echeneis lineata, originaire des mers de l'Inde, a moins de 12 paires de lames à son bouclier. Depuis des siècles l’Echeneïis est connu. Pline en a fait une description qui ne manque pas d’originalité. « L’Echeneïs, dit Pline, est un petit poisson accou- » tumé à vivre au milieu des rochers ; on croit que » lorsqu'il s'attache à la carène des vaisseaux, il en » retarde la marche ; de là son nom formé de deux mots » grecs, dont l’un signifie : je retiens, et l’autre navire. » I] sert à composer un poison capable d’arrêter les » feux de l’amour. Doué d’une puissance bien plus » étonnante, agissant par une faculté morale, il arrête » l’action de la justice et la marche des tribunaux. » Compensant cependant les qualités funestes par des » qualités utiles. il délivre les femmes enceintes des » accidents qui pourraient trop hâter la naissance de » leurs enfants, et lorsqu'on le conserve dans le sel, » son approche suffit pour retirer du fond des puits » les plus profonds l’or qui peut y être placé. » Notre Bibliothèque s’accroit aussi progressivement. Elle a reçu en dons: Duo MinisTÈRE: Annales du Musée Guimet, tomes XXII- XXIII. Une plaquette réunissant les discours prononcés à la séance générale du Congrès des Sociétés savantes le 8 avril 1893, par M. E.-T. Hamy, membre de l’Insti- tut, professeur d'anthropologie au Museum et M. Poin- caré, Ministre de l’Instruction publique, des Beaux-arts et des Cultes. De M. BELTREMIEUX, une brochure assez rare intitulée Lamarck, par un groupe de transformistes, ses disciples, Paris 1887. De Mme pe QuarreraGes : Un volume publié à la mémoire de son mari. De M. L’ABBÉ Hy, professeur à la faculté catholique d'Angers: Les Lichens de l’Anjou. De M. l’abbé JuLIEN LAFERRIÈRE, Etudes sur les co- léoptères, par M. A. Chevrolat (32 fascicules.) De M. L. RouizLÉ: L’Elevage, revue illustrée dont il est le directeur. | De M. BoissELLiER : Une quatrième feuille de la carte géologique révisée par lui (n° 141, Fontenay), éditée cette année. De M. LaTasre, secrétaire de la Société scientifique du Chili, la {re livraison bi-trimestrielle intitulée : Actes de la Société scientifique du Chili, fondée par un groupe de Français. LS CR De M. Counrau: Un nouvel album réunissant les photographies faites par lui, M. Basset et M. Dollot, des falaises, monuments archéologiques et préhisto- riques visités pendant les excursions. De M. Omer BERNARD, instituteur, un dessin dontil est l’auteur, représentant en plan et projection le dolmen du Bois (Ile de Ré.) Les ouvrages acquis sont les suivants : Anatomie comparée, de Rémy Perrier. Traité de zoologie, d'Edmond Perrier (second fascicule.) La terre, les mers et les conlinents, par Priem. Traité de botanique, de Van Tieghem. Enumération des plantes, par Kunth (5 vol.) Sylloge, par Tenore. Ajoutons à cette nomenclature le tome I de la Flore de France, par MM. G. Rouy et J. Foucaud, annexé à nos Annales de 1893. C’est à la Société des Sciences naturelles, malgré son budget restreint, que reviendra l’honneur de cette remarquable publication dont elle fait les frais et qui se composera de cinq volumes édités chaque année par fascicule de 300 pages. L'Association française, en échange de cette publi- cation, a bien voulu nous accorder, cette année, une subvention de 250 francs. Je n’entreprendrai pas de vous résumer toutes les nombreuses communications qui vous ont été faites pendant le cours de vos séances ; permettez-moi cepen- dant de vous en rappeler quelques-unes. M. Beltremieux, notre Président, nous a analysé le Compte-rendu sommaire du Congrès zoologique de Moscou Pre par le Dr Raphaël Blanchard et publié dans le Bulletin de la Société zoologique de France pour l’année 1892. C’est la seconde session du Congrès fondé et réuni pour la première fois à Paris, sous la présidence de Milne-Edwards. Malgré l'épidémie, le succès a été complet à Moscou; deux cents congressistes y ont pris part. La France y était représentée par M. Milne-Edwards, nommé président honoraire, M. et Mme E. Chantre, de Lyon; Barthélemy, de Nancy ; Ed. Blanc; R. Blan- chard ; J. de Guerne ; Janet, ingénieur de la marine; Dr Poussié ; C. Schlumberger. S. À. I. le grand duc Serge Alexandrowitz, frère de S. M. l’empereur et gouverneur général de Moscou, honore de sa présence la séance du 14-26 août et visite ensuite l’exposition zoologique réunie à l’Université. La langue française a été employée à l'exclusion de toute autre. De chaleureuses ovations ont été faites aux savants étrangers, particulièrement aux Français. S. M. l’empereur, Alexandre IIT, a accordé au Con- grès 60,000 fr. ; le tzarewitz, 40,000 fr. Enfin, il a été décidé que la langue française serait seule admise pour toutes les affaires du Congrès, no- tamment pour la correspondance et pour les travaux manuscrits ou imprimés. Au sujet de l’ouvrage intitulé Lamarck, par un groupe de transformistes, ses disciples, M. Beltremieux a invoqué bien des souvenirs effacés. C’est à la France que revient l’honneur de la décou- verte du transformisme et à l’illustre Lamarck celui d’avoir eu le courage d'émettre, le premier, une théorie D dt aussi hardie, en face d’une opposition qui a duré tant que la science a été obligée de se courber en France devant un enseignement officiel dont on n’a été affranchi qu'après 1870. Il y a quelques années, pour donner suite à un désir de notre Société, des recherches ont été faites par M. Daveluy, l’un de nos membres, pour découvrir un buste de Lamarck. Elles ont été vaines. En 1887, une société s'était formée pour en faire éta- blir une ; mais la maquette construite à cette époque n’est pas arrivée à exécution définitive. Toutefois, les promoteurs ont publié une brochure, assez rare aujour- d’hui (in-8, 31 pages), intitulée: Lamarck, par un groupe de transformistes, ses disciples, Paris 1887, en vue de lui ériger un monument pour le centenaire de 1889. Cette brochure, mise à la disposition de M. Daveluy, administrateur des contributions directes au Ministère des finances, par M. Adrien de Mortillet, secrétaire de la rédaction de L'Homme, a été offerte à M. Beltremieux qui en a fait don à la bibliothèque. S'il pouvait, aujourd’hui, subsister un doute sur la priorité de la découverte du transformisme par Lamarck, cette brochure le ferait disparaître. En 1882, le physiologiste Haeckel, quoique allemand, lui a rendu justice. Au Congrès des savants et des naturalistes allemands, Haeckel, dans sa conférence sur Lamarck, Darwin et Goëthe, dit qu’il faut, pour réparer une injustice, placer le savant Lamarck à côté de Darwin et de Goëthe. Lamarck est en effet le véritable fondateur de la doc- Rire trine du transformisme qui, par un malentendu, porte le nom d’un autre, le nom d’un anglais, Ch. Darwin. Lamarck fut oublié. Survint Darwin qui reprit ses idées pour son compte et en recueillit toute la gloire. C’est en 1807 que Lamarck émit le premier les idées du transformisme. En 1828-1829 Geofiroy-Saint-Hilaire publie les idées philosophiques qu’il avait exposées à la fin du siècle dernier sur la théorie de la descen- dance et la métamorphose des espèces. Ce ne fut qu’en 1859 que Darwin publia la théorie de la sélection. Jean-Baptiste-Pierre-Antoine de Monet, chevalier de Lamarck, né le {er avril 1744, à Bazentin (Somme), est mort aveugle, le 148 décembre 1829, à l’âge de 85 ans, à Paris. Lamarckfutcontemporain de Buffon, Linnée, Jussieu. Il publia une Flore française en 1773 et peut, avec raison, être considéré comme le vrai créateur de la nomenclature zoologique moderne. C’est à Lamarck que le jardin des plantes doit son nom et sa transformation en un établissement d’ins- truction supérieure. Ce savant n’a pas seulement accompli un labeur qui peut paraître colossal, il a tenté hardiment de remon- ter à l’origine naturelle des êtres, plantes et animaux qu’il a si bien classés et décrits. Cette tentative, consi- dérée généralement comme une audacieuse et blâmable témérité par ses contemporains, est devenue la théorie du transiormisme, avec laquelle les études sérieuses de nos jours se voient obligées de compter. La théorie de Lamarck apporte à la pensée humaine une orientation nouvelle. Elle ouvre à la science une ère de rénovation. LE MOSS Parmi les autres publications sur lesquelles M. Bel- tremieux a appelé notre attention, je citerai encore la Revue des sciences naturelles appliquées, où se trouve l’éloge de Priem, auteur de La terre, les mers et les con- tinents ; la Revue maritime qui traite de la coloration des eaux des mers et de l’apparition des harengs dans le bassin de la Pallice en 1891-1892: c’est le hareng commun (clupea harengus L.) que l’on pêche de temps en temps à Noirmoutiers, à l’île de Ré, à Arcachon ; à propos des baleines de l’Atlantique nord par un de nos membres correspondants, M. Henri Jouan, capi- taine de vaisseau en retraite ; Faune ornithologique, par M. Granger, etc. M. Lusson nous a présenté le compte-rendu des opé- rations faites pendant l’année 1893 au Laboratoire municipal. Le chiffre des analyses qui était de 1,360 en 1891 est devenu 1,779 en 1892, soit en augmentation de 419. Cependant le nombre des échantillons a diminué pour les vins en raison de la modification des relations avec l'Espagne, mais il s’est considérablement aug- menté pour le lait, le pétrole et les engrais. Permettez-moi d'ajouter que ces résultats, si con- cluants, sont dus uniquement au zèle et dévouement de MM. Lusson, directeur, et Piettre, sous-directeur, dont les travaux sont si appréciés. M. Lusson nous a entretenus, d’après les comptes- rendus de l’Académie des sciences, d’un grand nombre de travaux parmi lesquels nous citerons : Les recherches de M. Dehérain sur la nitrification et l'importance, au point de vue des pratiques agricoles qui ont, pour effet, l’ameublissement du sol et sa péné- tration plus facile par l’atmosphère. Les constatations de MM. Muntz et Girard sur la déperdition d'azote éprouvée par le fumier avant sa mise en tas et l'avantage de l’emploi des terres tour- beuses ajoutées en faible quantité à la paille de litière pour diminuer cette déperdition. Les recherches de M. Joannès Chatin sur le verdisse- ment des huîtres qui est dù à la coloration de grandes cellules ou macroblastes et non à la présence d’algues unicellulaires vivant en symbiose avec ce mollusque. Les travaux importants qui ont permis à M. Moissan d'obtenir de petits cristaux de diamantartificielainsique la préparation sur l'emploi des fours électriques, des mé- taux pursainsique du boreà peu prèschimiquementpur. De l'emploi des sels de potasse, au lieu des sels de soude, pour l’alimentation par les peuplades riveraines de l’Oubangui et de l’innocuité de ces sels formées surtout de sulfate et de chlorure de potassium. Les observations de M. Lucaze-Duthiers sur le déve- loppement rapide et la reproduction des huitres dans les viviers du laboratoire de Roscoff. La découverte près de Villeneuve-de-Raho d’un nou- veau mammifère de la faune pliocène du Roussillon. C’est un proboscidien qui a les principaux caractères du Mastodon Borsoni, etc., etc. M. MEYER qui avait accepté la mission d'examiner les publications qui nous parviennent en langues étran- gères, en a donné quelques extraits et a signalé notam- ment l’organisation du jardin du Missouri. M. DE RICHEMOND dans ses laborieuses recherches, a découvert plusieurs lettres inédites de Sander Rang, = DR malacologiste, et s’est empressé de nous en donner lecture. Sander Rang est un naturaliste rochelais, né en 1793, mort en 1844. Il a publié le Manuel de conchyliologie, 1 vol.,1829, et d’autres ouvrages sur les ptéropodes, céphalopodes, cryptodibranches, les mollusques de l'Inde. etc. Officier de marine, il a été l’un des rares survivants de la Méduse. M. Basser, que nous avions chargé d'examiner la pos- sibilité de reproduire aussi économiquement que pos- sible, par la photocollographie, les types principaux de ses nombreuses épreuves microphotographiques, nous les a présentés groupés en cinq planches finement réussies, par M. Royer, lithographe à Nancy. Nous pouvons les examiner dans nos Annales de 1893. M. BolssELLIER nous a lu son rapport des excursions géologiques, en 1892, le 29 mai, à Soubise, Moëze, Brouage, et le 3 juillet, a Soubise, Beaugeay, Saint- Jean-d’Angle. Le 12 mai il déposait en séance la Notice explicative de la feuille géologique qu’il venait d’achever (Fonte- nay, n° 141), et le 11 août suivant, il nous faisait hom- mage de cette nouvelle carte. La réunion de cette feuille avec celles de La Rochelle, Chassiron et les Sables, déjà publiées, forme un en- semble dont La Rochelle occupe le centre. Nous pouvons donc désormais étudier à notre aise la géologie de nos environs et nous rendre compte de la somme considérable de travail qu’il a fallu dépenser pour obtenir cette belle carte, si bien placée dans cette salle. st LUI Nous avons écouté avec le plus grand intérêt les com- munications que nous a faites M. Boissellier sur les monuments mégalithiques de Charras-L’Houmée, La Sausaie et l’île d’Oleron. Il nous a indiqué la nature des roches dont ils sont formés, leurs provenances, et a appelé notre attention sur les aflaissements du sol sur lequel reposent ces monuments à Charras et à Oleron. Il a comblé une lacune en signalant, avec M. Cour- cel-Seneuil, en mai dernier, les deux pierres-closes de Loire, près Breuil-Magné, restées dans l’oubli jus- qu’alors. Nous trouverons dans nos Annales lescomptes- rendus détaillés de ces diverses lectures. M. Foucaup nous a entretenu quelquefois de ses travaux devant être publiés dans la Nouvelle Flore de France et nous a fait connaître une plante nouvelle pour la France, découverte par lui, en 1892, dans les Pyrénées. C’est une variété (qu’il nomme glandulosa) du Saginu fasciculata. Boïss. Cette plante, qu’il cultive au jardin botanique de Rochefort, a été recueillie près de l’hôtellerie du lac de Gaube, à peu de distance du lac bleu de Cauterets et dans la prairie du pic de Lhéris, près Bagnères-de- Bigorre. Elle existe avec le type par touffes cachées par les autres plantes et n’est perceptible que lorsque ses peti- tes fleurs blanches, rappelant celles du Spergula subu- lata, sont bien ouvertes. M. Richter, de Saint-Jean-Pied-de-Port, l’a également observée (20 juin 1892) aux monts Orisson et dans la EnbDe plaine d’Aphanie, près du mont Behorléguy (Basses- Pyrénées.) M. Férat avait recueilli cette même plante en 1828 dans l’une de ces localités et environs, mais il l’avait désignée sous le nom de Spergula Saginoïdes. Le Sagina fasciculata type et variété doit être assez ré- pandu dans les prairies élevées des Pyrénées. Dans les environs de Saint-Jean-Pied-de-Port, il existe à une altitude de 1,200 à 1,400 mètres, et dans les Pyrénées centrales jusqu’à près de 2,000 mètres. IL n'avait été signalé qu’en Espagne et paraît avoir été confondu, en France, avec le Sagina Linnœi. M. le Dr TERMONIA nous a remis un compte-rendu de l’excursion botanique faite aux environs de Saintes. Passant en revue les travaux publiés dans la Revue scientifique, il a appelé notre attention sur les sujets les plus intéressants et a analysé une série d'articles des plus variés dont voici un aperçu : Epuisement et maladie parasitaire de la canne à sucre, par M. E. Raoul. — M. Raoul combat le mode de cul- ture de la canne à sucre dont les racines trop vieilles deviennent la nourriture des parasites animaux ou végétaux. Il conseille les semis qui permettraient de mieux utiliser le terrain que l’on épuise en immobili- sant trop longtemps les touffes au même point. La Tubaïine légumineuse de Malaisie. Diluée au mil- lionième, elle devient un poison dangereux. Les Chi- nois s’en servent comme insecticide sur les plantes; ils l’utilisaient jadis pour la pêche. Le poisson ne l’absorbant que par les branchies, ne perd rien de ses qualités nutritives, après la cuisson. Curieuse habitude d’un lézard américain, le Phryno- EN ER soma coronatum. Les phrynosomes ont une certaine ressemblance avec les caméléons. Leur aire de répar- tition est assez étendue. On les rencontre au Sud des Etats-Unis, dans la basse Californie, lenouveau Mexique, les déserts du Colorado, le Mexique, etc. Sir J. Wallace, l’émule de Darwin et savant natura- liste, avait déjà raconté, il y a plus de vingt ans, que les phrynosomes étaient doués de la singulière propriété de faire jaillir du sang de leurs yeux. Les phrynosomes, pendant la mue particulièrement, ont la propriété, si on les taquine, de projeter par leurs yeux, plusieurs centimètres cubes de sang, légè- rement musqué, qui atteint parfois ceux de l’observa- teur et cause une sensation douloureuse. us Extraction du caoutchouc de la térébenthine (isoprène), sans différence appréciable avec le caoutchouc pur. Rend les mêmes services. La voracité des mantes. À l'exemple de certaines espèces d'araignées dont la femelle dévore le mâle pen- dant l’accouplement, les mantes possèdent les mêmes appétits et se prêtent à de curieuses observations. Le fait est intéressant à signaler comme exemple de la moindre importance, pour certaines fonctions, du moins, des centres nerveux chez les insectes et du rôle fonctionnel considérable par contre de la chaîne gan- glionnaire. Il est également curieux de noter l'attitude passive du mâle qui semble n’avoir point d’oabjection au trépas qui lui est infligé. Les lapins grimpeurs et nageurs d'Australie. Sur le continent australien, les lapins se trouvent forcés, par suite de circonstances locales, de modifier leur genre de vie. On voit souvent ces animaux grimper 5 les one arbres, en quête d'aliments et y mourir, le sol ne leur offrant pas une nourriture suffisante. On a observé également que, poursuivis, ils traversent les fleuves à la nage. Les origines de la vie, par Luciani. Illusions d'optique, par Jastrou. Phénomènes observés en août 1892, dans les Alpes, sur des sapins qui parais- saient couverts de givre, dans toute l’étendue de la montagne. De la tuberculose, moyen de la combattre. Valeur vaccinale du lait de chèvre vaccinée contre le choléra, résultats concluants. Phénomènes d’une opération de la cataracte observés par M. Boens. Note de M. Richet en réponse à Tolstoï au sujet de l'alimentation. Si la viande est utile, elle n’est pas indispensable. Comme exemple, on pourrait citer le chien et l’ours blanc qui vivent très bien en ne se nourrissant que de pain. La consommation de l'alcool en France. L'accroissement de la population au Japon. Pointes de paratonnerre en charbon de cornue. Steamer brise-glaces traversant, avec une vitesse de 8 à 12 nœuds, des épaisseurs de glace atteignant soixante- dix centimètres, etc. M. le D' Bouriron nous a donné des détails sur l'Actynomices, algue parasite des graminées et sur les accidents graves qu’elle détermine chez les animaux de la race bovine et quelquefois chez l’homme. C’est en Autriche que ce dernier cas a été observé. L’Actynomices répandu dans l'air, pénétrant dans les voies respiratoires ou étant absorbé avec les ali- SA, US ments, produit d'énormes tumeurs appelées ac{ynomi- coses, qui amènent la mort des sujets qui en sont atteints. L’Actynomices est une bactériacée pathogène de la tribu des Leptotriches. Elle croit en abondance, no- tamment dans les marais de La Rochelle et de Roche- fort et cause de fréquents accidents aux animaux qui y paissent. M. RouILLÉ, qui s’occupe d’une façon toute spéciale d’études zoologiques, nous a résumé une conférence faite à Paris, le 4 février dernier, par M. Devaux, sur l’acidification des couveuses artificielles causée par la présence et la concentration du gaz acide carbonique dégagé par les œufs, dans des étuves ou des tiroirs sans aération suifisante, ce qui rend ces appareils in- serviables au bout d’un an ou deux. Le conférencier indique comme remède une aération de toutes les parties de la couveuse pendant huit jours au moins pour celles perforées et de six semaines au moins pour celles fermées. M. L. Rouillé estime que l’on devrait tenir compte de ces observations pour les couveuses ou éleveuses d'enfants, que l’on fait servir à la Maternité ou à la clinique d’accouchements, sans autre interruption qu’un lavage au savon et au phénol dans la plupart des cas où une stérilisation rapide à l’étuve en cas de contagion. M. DoLLor vous a donné lecture du compte-rendu général de vos travaux, pendant l’année 1892, et de ceux des excursions géologiques et archéologiques qui ont eu lieu le 9 avril à Charras-L’Houmée, Fouras ; le 14 mai à l’île Madame, et Le 9 juillet aux environs de oTR Saintes, à Fontcouverte, Saint-Georges-des-Côteaux, Nieul:les-Saintes. Il vous a signalé : un article de M. de Parville sur la découverte d’un éléphant fossile dans les cendres du volcan de Senèze (Haute-Loire), à 16 kilomètres au S.-E. de Brioude. L’éléphant de Senèze, trouvé par MM. Marcellin Boule et Albert Gaudry, près de la station de Frugière- le-Pin, permet de mieux préciser l’âge géologique des petits volcans basaltiques de la vallée de l’Allier, con- sidérés antérieurement comme quaternaires tandis qu’ils sont pliocènes. L’Elephas meridionalis découvert, a conservé certains caractères du mastodonteet représente un type plus an- cien que celui de l'éléphant de Durfort, dont on pos- -sède un squelette énorme au Museum de Paris. Il vous a parlé des conséquences désastreuses de la présence d’un champignon saprophyte dans les bois neuïs de construction et de l’emploi satisfaisant d’un ciment particulier pour la fermeture hermétique des flacons à collection. Les champignons saprophytes ont ‘fait parler d’eux depuis plusieurs années, en occasionnant dans un grand nombre de villes, des ruptures d’échafaudages, de planchers, etc., par son développement dans les bois neufs de construction et la destruction rapide des tissus ligneux internes. M. Crié, le savant professeur de la Faculté des sciences de Rennes, s’est occupé spécialement du rôle de ces champignons. Dès 1891, il a signalé le Polyporus vaporarius de Hartig, qui, d’un bois neuf et d'apparence saine, avait LEE fait un bois intérieurement vermoulu, et en 1893 il a signalé le Merulius lacrymans. Ce parasite microsco- pique détermine la pourriture rousse des bois. M. Crié reconnaît à cette maladie le caractère contagieux et conseille l’incinération de tous les bois qui en sont atteints. Dans la publication intitulée Actes de la Société du Chili à Santiago, 1892, M. Lataste donne la formule et préconise l’emploi d’un ciment qu’il a composé pour la fermeture hermétique des flacons à collection ou autres. Ce mastic qu’il nomme Emzed s'emploie à chaud et paraît devoir donner de bons résultats. On l’obtient en faisant fondre dans un vase en cuivre, à feu nu (une lampe à alcool suffit), une partie de caoutchouc de Para dans deux à trois parties de paraf- fine solide. Le résultat des expériences qui viennent d’être faites pour le Musée par MM. Beltremieux et Dollot, parais- sent concluantes et seront renouvelées pendant le cours de cette année pour mesurer exactement la quan- tité d’alcool évaporé. Comme les années précédentes, nous avons offert un prix au Lycée, pour être décerné à l’élève qui s’est le plus distingué dans l’étude des sciences naturelles. L'ouvrage choisi a été le Traité de géologie, par M. A. de Lapparent. M. CASSAGNEAUD, trésorier, nous a présenté les comptes de l’exercice 1893, se résumant comme suit : ROMC DES NI REC RTe ARARR NE Et LE 0 DOTELATO DS RS Sete ele 1,692 05 Encaisse, ...…. 1,282 70 pe te et notre Président nous a soumis un projet de budget que vous avez admis pour 1894 et qui s’établit ainsi : Fneaisse-14899 4. nes 421048288040 Recettes. Récettes AS. 6 ruée 3,124 00 Total des recettes..... 4,406 70 Reste à payer de 1893....:.:: 100 00 Dé Dépenses 16047... 2e 4,009 75 EPERÉS- ) Excédent de recettes.......... 296 95 Total des dépenses.... 4,406 70 Voulant donner à M. Cassagneaud une nouvelle marque de sympathie, vous avez décidé de le main- tenir dans ses fonctions avec le titre de trésorier hono- raire. En conséquence, notre bureau, pour l’année 1894, a été ainsi formé : Président : M. Edouard Beltremieux. Vice-présidents : MM. Eugène Meyer et F. Lusson. Secrétaire : M. Aug. Dollot. Bibliothécaire et secrétaire-adjoint: M. Charles Basset. Directeur-conservateur du museum : M. Ed. Beltre- mieux. Trésorier honoraire : M. P. Cassagneaud. Trésorier : M. E. Couneau. Les délégués de la Commission du Laboratoire: MM. Condamy, Michau et Basset sont réélus ainsi que MM. Foucaud, Jousset, Lusson, Creuzé, Michau, Ter- monia, Comme membres de la commission de bota- nique. OT Prenant en considération les observations de M. L. Rouillé, sur les inconvénients de la production des Annales en une seule publication, nous avons, après avis conforme de la Commission chargée d’examiner cette proposition, adopté un projet de réforme ainsi libellé : Art. I. A partir du 1 janvier 1894, les Annales seront publiées quatre fois par an, après l’échéance de chaque trimestre et dans le mois qui suivra chaque trimestre. Art. II. Un comité de rédaction, composé du Prési- dent de la Société ou de l’un des Vice-présidents, du Secrétaire, du Trésorier et de trois membres : un géo- logue, un botaniste, un zoologiste, sera chargé de la publication du volume d’Annales ; les trois membres faisant partie de ce comité seront nommés à la séance de décembre. Art. III. Les Annales contiendront : 1° Le compte-rendu succinct mais précis des séances du trimestre. 20 Le compte-rendu des excursions. 3° Les observations météorologistes du trimestre. 4° Un ou plusieurs travaux originaux sur les sciences qui font l’objet des études de la Société, sur une décou- verte. Aucun de ces travaux ne devra, autant que pos- sible, dépasser 16 pages par numéro. 5° Un bulletin bibliographique. Un mois, au minimum, sera donné au membre chargé du compte-rendu ; un des deux exemplaires du livre analysé, deviendra sa propriété, le second restera à la bibliothèque de la Société. ABC ES Art. IV. Les Annales feront trimestriellement quatre feuilles ou mémoires, le Comité fixera le maximum. Art. V. Les Annales seront brochées. Art. VI. La liste des membres sera insérée dans le quatrième trimestre. | | Conformément à l’art. II du projet ci-devant, le Comité de rédaction est ainsi composé pour 1894 : Le Président ou l’un des Vice-présidents, le Secré- taire et le Trésorier, qui en font partie de droit; MM. Boissellier et Basset, géologues ; Foucaud et Dr Ter- monia, botanistes ; Lusson et Louis Rouïllé, zoologistes. Dans la séance du 9 juin 1893, notre Président nous a informé que le secrétaire perpétuel de l’Académie l'avait avisé que deux délégués canadiens seraient sous peu, de passage à La Rochelle, en revenant des fêtes données à Saintes, en l’honneur de Champlain, né à Brouage. Par suite des rapports de La Rochelle avec le Canada et des relations particulières de notre Société avec celles similaires de ce pays, nous avons décidé de parti- ciper à l'érection de la statue de Champlain à Québec et voté une somme de cinquante francs. Notre Président, parlant de la visite faite à La Ro- chelle par les Canadiens, et particulièrement M. Hector Fabre, commissaire général du Canada, à Paris, nous l’a présenté comme membre correspondant, ainsi que M. Chapleau, lieutenant-gouverneur de Québec, retenu à cette époque, à Paris, pour cause de maladie. Ces Messieurs ont été très flattés de notre accueil sympathique et en ont adressé leurs remerciments à M. Beltremieux. Nous comptons désormais dans nos rangs comme membres titulaires : M. Hélitas, préfet de la Charente-Inférieure. M. le Dr Reïignier, à Surgères. MM. Rouillé-Ladevèze et Louis Rouillé, à Fouras. M. Baron, receveur d’enregistrement en retraite, à La Rochelle. M. Nadreau, médecin-vétérinaire, à La Rochelle. MM. Foucaud et Rouy, précédemment membres agrégés. Et comme membres correspondants : MM. Chapleau, lieutenant-gouverneur de Québec. Hector Fabre, commissaire général du Canada, à Paris. Emile Sarrau fils, membre de l’Institut, à Paris. Good, Arthur, ingénieur des arts et manufactures Par reconnaissance de la cession faite par M. Vieuille, à Thénac, de sa riche collection paléolithique pour notre musée, nous avons décidé de lui offrir un diplôme de membre correspondant de notre Société. Notre Compagnie est toujours très heureuse quand plusieurs de ses membres sont l’objet de distinctions particulières. C’est ainsi qu’elle a accueilli avec satisfaction la no- mination au grade de général et gouverneur de Gre- noble, de notre sympathique collègue M. Moreau, colonel du génie à Bordeaux, et à l’élévation au grade d'ingénieur en chef de M. Coustolle, à Alger. L'année qui vient de se terminer a été, vousle voyez, Messieurs, aussi bien remplie que les précédentes. Les Annales de notre Société resteront le témoi- gnage de l'importance de nos travaux et montreront à RTL ER nos successeurs avec quelle somme de labeurs nous avons atteint notre 884 séance. Si je me suis parfois un peu étendu dans mon récit c’est avec la pensée de ne rien omettre et de faire mieux ressortir que c’est avec la collaboration de tous ceux qui ont bien voulu prêter leur concours à l’étude des sciences naturelles que sous avez su maintenir, à toute époque, l’intégrité de vos traditions. Je voudrais pouvoir, Messieurs, arrêter maintenant mon compte-rendu, mais la reconnaissance de notre Société envers la fille d’un de ses fondateurs, m’impose le devoir de rappeler ici le souvenir de Mike Estelle d’Orbigny. Née avec le siècle, elle vient de s’éteindre à 93 ans, sans infirmité, en conservant jusqu’à la fin toutes ses facultés et son aimable caractère. Mie d’Orbigny avait apporté à son père un précieux concours dans ses travaux et ses observations scienti- fiques, à Esnandes d’abord, où cette honorable famille s'était installée en 1815, et à La Rochelle ensuite; et l’aînée de cinq enfants, elle s’était chargée de l’éduca- tion de ses quatre frères. Le souvenir des d’Orbigny, du savant né en 1770 à bord du navire qui l’amenait en France ; d’Alcide, l’il- lustre professeur du Museum de Paris, le fondateur de la paléontologie ; de Charles et d’Estelle, sera toujours conservé parmi nous; aucun n'oubliera les services qu’ils ont rendus à notre Cité en y développant le goût des études scientifiques. Le Secrétaire, AuG. DOLLOT. LABORATOIRE MUNICIPAL FONDÉ PAR LA SOCIÉTÉ DES SCIENCES NATURELLES © RPC TT ANNITEL Par M. F. LUSSON, DIRECTEUR. 3 ———————————— MONSIEUR LE PRÉSIDENT, J’ai l'honneur de vous adresser le compte-rendu des travaux du laboratoire municipal pour l’année 1893. Le nombre des échantillons qui nous ont été remis s'élève à 1,648. Ces analyses peuvent être classées ainsi qu’il suit: ANS Er PRET ET DR PP ENT 460 Re nl Ne Net md ae due 83 OEM PA RE EEE RS 18 em en Shine deb sole dde c'e 29 HOMeS PR MAISSRS A Ale slee de ve de « c 50 ATOME ARE LR is ee 47 RÉRDIE ON ERR RR UL eu Les. 107 PONS RE M DR die M ie 6 à à à e à à 15 Engrais chimiques et terres............. 721 ne de ue ce os. 142 on Er Les analyses de vins, nombreuses dans le premier semestre, indiquent encore une importation assez active à cette époque. Elle a dû fléchir nécessairement pendant le second semestre, grâce à l’abondance de la récolte en France. Les divers genres d’analyses déjà demandés précé- demment ont continué à se présenter. De plus, nous avons dû nous occuper également des alcools d’indus- trie ainsi que des betteraves, pulpes et jus fermentés des distilleries. La multiplicité et la diversité des analyses exigent des aménagements spéciaux que l’espace restreint de nos deux salles de travail effectif ne nous permettent pas d'établir. En conséquence, j’ai dû prier M.le Maire de vouloir bien faire rechercher s’il ne serait pas pos- sible d'agrandir le laboratoire par une construction légère au-dessus des hangars situés à droite de nos salles du côté du jardin. Sur un plan, avec devis, dressé par M. l’Architecte de la ville, M. Delmas a demandé et obtenu du Conseil général la promesse ferme de contribuer pour une somme de 3,000 francs à l’agrandissement nécessaire. Cette somme sera portée seulement au budget de 1895, et la ville doit contribuer à la dépense pour une somme égale ; Monsieur le Maire estime que, dans ces con- ditions, et si la ville veut bien en faire l’avance, les travaux pourront être exécutés dans le second semestre de 1894. | Des changements ont été apportés aussi dans le personnel attaché à votre laboratoire. M. Catté qui nous consacrait tout son temps en dehors de son service au Lycée, nous à quittés. Il a été remplacé par M. Boisson, LE Me aide-chimiste attaché entièrement au laboratoire et dont la présence constante donne plus de facilité au public pour le dépôt des échantillons et les demandes de renseignements. Ce n’est pas sans regrets que nous nous sommes séparés de M. Catté, qui nous a rendu longtemps bien des services, mais la nouvelle organisation a des avan- tages sérieux qui nous ont permis, pendant les premiers mois de l’année 1894, de donner par mois et sans retard les résultats de plus de 250 analyses d'engrais et autres. En m'efforçant d'agrandir le laboratoire et d’amé- liorer ses services, J'ai conscience, Monsieur le Pré- sident, d'agir pleinement dans l'esprit de notre Société qui l’a fondé. re \ z CHU 5 . "y NS Apr æ: 44 EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 9 avril 1893 A CHARRAS, L'HOUMÉE ET FOURAS. Rapport PAR M. Au. DOLLOT. 1 | L’attrait toujours nouveau des excursions scienti- fiques organisées par la Société des Sciences Naturelles avait provoqué de la part de ses membres, de nom- breuses adhésions pour commencer la série des explo- rations en 1893. Quatorze membres, sur dix-neuf inscrits, ont répondu à l'invitation de notre Président et se sont trouvés réunis le dimanche 9 avril à Fouras, dernier point de ralliement. De La Rochelle étaient venus: MM. Beltremieux président, Brochet, Dollot, Gatau, Millot, Périer, Simon. De Rochefort : MM. Boissellier, Courcel-Seneuil, Escoff, Foucaud, Rouy, Regelsperges. De Saintes : M. le Dr Termonia, et de Fouras : M. Rouillé. Le but des géologues étant de parcourir l’ilot de Charras-L’Houmée et de se rendre compte de la trans- gression de la première assise du Cénomanien sur le PROS Kimméridien-Virgulien, dès 6 heures et demie, à la halte de Charras; MM. Beltremieux, Boissellier, Courcel-Seneuil, Dollot, Escoff, Gatau, Millot, Regels- perges, Rouillé, commençaient leurs recherches par l’examen de la carrière de sable exploitée au niveau de la voie, près du passage à niveau. Cette carrière, formée de sable fin, blanc et blond micacé, sur une hauteur de 6 mètres environ, repré- sente l’assise inférieure du crétacé moyen: Etage Cénomanien qui repose directement sur le Kimmé- ridien. Les sables ferrugineux stériles contenant des couches de graviers, de poudingues et des grès siliceux plus ou moins friables que nous avons vus au-dessous decetteassise à l’ouest de la presqu’ile de Brouen contact avec les argiles rouges, blanches et bariolées du Pur- beckien au niveau du marais n’existent pas dans cette région. Dans les sables fins nous avons trouvé quelques fragments de bois pyriteux et silicifiés. Au-dessus, une couche d’argile feuilletée, grisâtre, d'environ deux mètres d’épaisseur, se prolonge vers l’anse de Fouras et l’ile d'Aix au pied des falaises. Elle devient noirâtre, renferme des pyrites et du gypse, jamais de fossiles. Sur cette couche d'argile feuilletée commencent les bancs de grès calcaires, d’une puissance de 6 à 7 mètres, donnant des bancs compacts à échinodermes Anortho- pygus orbicularis et alternant souvent avec des couches de marne ou de sable fin dans lesquels on trouve Orbi- tolina concava, Exogyra minima, Alveolinum ovum. C’est le premier niveau à Ichthyosarcolites qui est appa- rent dans la tranchée du chemin de fer. De Ve Des fouilles récentes dans les sables jaunâtres nous ont permis de recueillir quelques orbitolines. Les deux assises qui viennent d'être indiquées s’in- clinent doucement vers le S.-0. de Charras vers Fouras, où on les voit au Sémaphore ; elles s’enfoncent ensuite dans la mer sous les sables verts qui constituent la base de la falaise sur laquelle reposent toutes les villas qui regardent la Charente. Dans l’ilot de Charras, le Cénomanien disparaît vers le N.-E. en faibles ondulations, s'appuyant sur le Kimméridien-Virgulien, qui lui, au contraire, s’arrête brusquement dans le marais où il forme un talus escarpé de 6 à 7 mètres de hauteur: autrefois falaise à pic quand la mer baignait ces parages. Ce lambeau du Kimméridien, en alignement avec la falaise d'Yves et Breuil-Magné, Loiré CPE en ilot au N.-E. dans le marais. On peut se rendre compte très facilement de ces mouvements du sol, : l'on consulte la carte géologique de La Rochelle au sx révisée par M. Boissellier en 1891 et si l’on jette un coup-d’œil sur les coupes qu’il a publiées dans nos Annales de 1891, à l’appui de son rapport de l’excursion au Port-des-Barques. Contournant le hameau de Charras, nous nous diri- geons vers la ferme de L'Houmée, près de laquelle nous apercevons une excavation de sables cénomaniens, sans intérêt pour nous, puis nous redescendons vers l'Est où se trouvent orientés de l'Est à l'Ouest deux dolmens fort remarquables que nous ne manquons pas de visiter. Dans une seconde excursion, le mardi suivant, avec 3 TUE M. Beltremieux, j'en ai pris plusieurs vues photogra- phiques pour le Musée. Ce ne sont plus des Pierres levées ni des Allées cou- vertes, mais des Pierres couvertes qui révèlent une autre origine et doivent être moins anciennes que les monuments du bois de la Sauzaie, près Saint-Agnant ou d’Ardillières, leurs plus proches voisines. A un kilomètre N.-E. de la halte de Charras, au niveau du marais et au bord d’un iossé de dessèche- ment, repose au niveau de l’eau le plus complet de ces dolmens. Tous deux n'étaient composés que de deux blocs : la base creusée en forme d’auge et le couvercle. Celui près du marais est intact. Sa base dont le volume peut être évalué à 7 mètres et son poids à 45 tonnes, évidement non déduit, mesure 230 en longueur, 2m20 en largeur, 1"50 en épaisseur. Son excavation, pyramide tronquée, renversée avec arêtes arrondies au fond, mesure en moyenne 1"75 en lon- gueur, 415 en largeur, 0"75 en profondeur. Le cou- vercle échancré à l’une de ses extrémités permet de s’introduire dans l’excavation ; il n’a pas moins de 060 d'épaisseur, 3220 de longueur, 250 de largeur. Le second dolmen a été brisé. Il se trouve à environ 200 mètres à l’ouest de celui qui vient d’être décrit. Sa base actuellement en trois pièces avait 2M30 de lon- gueur, 22 de largeur, 1m50 d'épaisseur et l’excavation, en moyenne, 430 de longueur, 1"10 de largeur, 080 d'épaisseur. Le couvercle, curieux en raison de sa faible épaisseur, se trouve dans la cour de la ferme de L’Houmée. Il a 2»75 de longueur, 255 de largeur et seulement 0m20 à 0m25 d'épaisseur. TETE D'où venaient ces pierres et à quoi étaient-elles des- tinées : ce sont des questions controversées. Cependant, si l’on en examine la nature, on peut admettre, sans aucun doute, que les bases proviennent des terrains crétacés au sud de la Charente, étage angoumien probablement, puisque nous y avons cons- taté la présence de Radiolites lumbricalis, et les cou- vercles, de l’étage Cénomanien de Charras, Fouras, ou du sommet du Ligérien de Martrou (Turonien). Ces deux monuments reposent sur Le jurassique Kim- méridien-Virgulien. Dans leur prolongement, au sud- ouest de L’'Houmée, se voit un petit mamelon. La coutume étant d’élever les monuments mégali- thiques sur les hauteurs, on se demande si ce n’est pas accidentellement que les deux pierres closes ne sont pas arrivées au sommet. | M. Courcel-Seneuil, qui consacre ses loisirs à l’étude des sciences préhistoriques, nous a fait à ce sujet une conférence des plus intéressantes. M. Tessier, fermier à L’Houmée, nous disait qu’on avait, en labourant, mis à nu un cercueil en pierre, sur le mamelon, en prolongement des dolmens. Il est probable qu’il existe d’autres sarcophages en cet en- droit, mais leur origine ne doit remonter qu’à l’époque où Charras était une habitation seigneuriale. Lesson, dans son ouvrage archéologique publié en 1847 à Rochefort, et intitulé: Ere celtique de la Sain- tonge, donne sur les Pierres couvertes de Charras quelques détails intéressants. Il en fait la description, les place à 18 mètres sur le côté droit de l’ancienne voie romaine qui, de la capitale des Santons, se dirigeait Up, Ge sur le bord de la mer vers Fouras, Châtelaillon, An- goulins. Cette chaussée que l’on a traversée en creusant le canal de tions existait encore en partie il y a un siècle, époque à laquelle le chemin royal de Rochefort à La Rochelle a été créé. La coutume des gaulois de brüler ou d’enterrer leurs morts ferait supposer que les pierres creuses étaient simplement des tombeaux dans lesquels auraient été déposées les cendres des guerriers. Dès le ve siècle, l’usage de brûler les cadavres cessa complètement. Ce serait donc par des gallo-romains que ces pierres auraient été creusées et dans un intervalle qui peut varier entre l’occupation de la Saintonge par Crassus, lieutenant de Jules César, 50 ans avant Jésus-Christ, jusqu’au 1v° siècle de notre ère. On n’a rien trouvé dans l’intérieur des pierres cou- vertes fouillées depuis longtemps qui puisse jeter quelque lumière sur leur destination. Il se pourrait donc que leur origine fut scandinave et ne remontât pas au-delà du vi ou vue siècle de notre ère. Dans son compte-rendu des travaux du Congrès de géographie, M. Musset rappelle qu’il a recueilli ainsi que M. Duplais-Destouches, de nombreux silex de l’époque néolithique au pied même des deux pierres closes de Charras. M. Courcel-Seneuil qui avait photographié la carrière de Charras à pris également plusieurs vues de ces dolmens, puis la caravane s’est remise en marche vers L'houmée et le Grand-Four. Là, M. Boissellier avait espéré nous faire recueillir dans les calcaires cénoma- niens désagrégés de nombreux fossiles qu’il y avait vus dans le cours de ses études, mais depuis cette SUN. OS époque les excavations ont été comblées et rendues à la culture. | Près du Grand-Four les carrières cénomaniennes existantes sont formées de couches alternatives de roches et de marne en bancs minces mais stériles. Revenant à la route de Rochefort, M. Boissellier, bien que la végétation ait recouvert les talus de la tranchée, a pu nous montrer, au passage à niveau de la gare de Saint-Laurent-de-la-Prée, le contact du Céno- manien et du Kimméridien. A 11 heures 16 nous partions avec le train pour Fouras où les botanistes, qui avaient terminé leurs recherches, nous attendaient. Après le déjeuner, pendant que M. Boissellier prenait avec M. Courcel-Seneuil la photographie des roches du Sémaphore, M. Rouillé nous faisait, avec la plus grande courtoisie, les honneurs de sa propriété trans- formée en véritable jardin d’acclimatation. C’est avec le plus vif intérêt que nous avons examiné les résultats multiples acquis par un travail considé- rable et digne du plus grand éloge ; aussi les félici- tations n’ont-elles pas manqué à M. Rouillé. A 3 heures 23 nous prenions congé de M. Rouillé qui avait si bien complété notre excursion ; puis à la gare de Saint-Laurent-de-la-Prée, Rochelais et Roche- fortais se disaient au revoir jusqu'à la prochaine excursion. NET Me "Ar if MS lé ” Ts EL EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 14 mar 1893 A. L'ILE MADAME. Rapport par M. Auc. DOLLOT. Les rives de la Charente ont toujours offert aux géologues et aux botanistes un charme tout particulier. Le champ des études y est vaste et n’a cessé de donner d’abondantes récoltes ; aussi lorsque la Société des Sciences Naturelles a décidé pour sa seconde excur- sion de revoir l’ile Madame, qui n'avait pas été visitée depuis sept ans, le nombre des adhérents a-t-il été assez élevé. Dès 7 heures du matin MM. Beltremieux, Basset, Couneau, Dollot, Gatau,-Giraudeau, Meyer, Simon de La Rochelle ; D' Boutiron, de Saint-Xandre ; Rouillé, de Fouras, et Boissellier, Escoff, Foucaud, Gobert, Heurtel et son fils, Venassier de Rochefort, réunis à la gare de Rochefort montaient en voiture. A la Charente, nous entrons dans le bac légendaire que les étrangers ne manquent jamais de visiter. Rapi- dement MM. Basset et Couneau prennent une vue pho- Es: tographique des appareils flottants et de leur charge- ment, puis le fleuve franchi, nous gravissons la rampe qui conduit à Soubise pendant que notre cocher répare une première avarie à son attelage. Vers 8 heures et demie, au Port-des- Barques, nous abandonnons notre omnibus qui se rend à l’île Madame avec les déjeuners et commençons la course en suivant le sommet de la falaise. Sans nous arrêter, non sans regrets, nous jetons un coup d’œil sur les couches fos- silifères du Turonien inférieur, calcaires et marnes: visités en 1891 et qui contiennent abondamment : Ostrea columba, O. carinata, des échinides, Arca taille- burgensis, Terebratella carentonensis, etc.; puis nous arrivons à la Passe-aux-Bœufs qui n’est pas précisé- ment sèche. En file indienne nous en faisons la traversée, utili- sant le mieux possible les moëllons parfois trop dis- tants, qui émergent des vases sur une centaine de mètres de longueur et que les riverains ont placé pour leur usage personnel. Dh Au-delà de ce mauvais pas nous trouvons jusqu’à l’île, latéralement au chemin frayé dans les galets par les voitures, une digue naturelle très sèche, formée de sable fin et de graviers, que la mer maintient sur une largeur d’environ 10 mètres avec un bombement de 0m50 à 1 mètre. À la pointe de Surgères les botanistes s’éloignent vers le sud pendant que le groupe des géologues repré- senté par MM. Beltremieux, Basset, Boissellier, Dr Bou- tiron, Couneau, Dollot, Escof, Gatau, Giraudeau, Heurtel et son fils, Meyer, Périer, se livrent à leurs recherches, A Sar la pointe de Surgères, côté de la Charente, bien avant le monticule de l’île Madame, entre les vases et le cordon littoral de cailloux roulés, nous trouvons de nombreux fossiles, mais avariés. Ce sont : Ostreu biau- racularis en abondance, Ostrea flabella, Ostrea Hippopo- dium, Caprina adversa, Sphærulites foliaceus, Sphæœru- lites Villeyi, Radiolites Polycolynites, Strombus nornatus, Janira quinquecosta. Il semble tout d’abord que l’on soit en présence d’une désagrégation du rocher en place, mais l’examen de l’inclinaison des couches de la falaise indiquerait plutôt qu’il n’en est pas ainsi. Les escarpements qui font face à la Charente sont orientés du N.-0. au S.-E. Les vents dominants étant du S.-0. et du N.-0., on s’explique très bien que les courants entrainent fréquemment vers le S.-E. toutes les roches désagrégées avec leurs fossiles et y entre- tiennent le dépôt que la pointe de Surgères et la petite digue Sableuse empêchent de disparaitre. La partie la plus saillante de l’île, en forme de tra- pèze dont les bases E.-0. ont respectivement 1 kilo- mètre et 500 mètres, la hauteur 500 mètres, se compose des couches supérieures de l'étage Cénomanien du crétacé, recouvertes par quelques limons. Les falaises du N.-E. et du N. permettent de les étudier facilement ainsi que les affleurements des roches au S.-0. de l'île et sur les Palles. Au S.-E. apparaît l’assise supérieure du Cénomanien (C1 de la carte), d’une puissance de 2 mètres : calcaires marneux, 9e horizon à Ichthyosarcolites, que l’on retrouve à Saint-Savinien, Charras, le Mungs, île d’Oleron et dans lesquels nous apercevons quelques MO CE ostrea de petites dimensions : O. columba var. minor ou Reaumuri. Viennent ensuite au-dessous, sur 3 à 4 mètres d’épais- seur, les sables glauconieux jaunâtres ou verdâtres, en bancs lumachellaires très durs à la base et au sommet, avec Ostrea biauricularis très abondantes et quelques O. columba, O. flabella. Dans la partie moyenne sableuse nous récoltons d’excellents échantillons d’ostrea, notamment d’Ostrea biauricularis la caractéristique de ce niveau et qu’on ne voit nulle part ailleurs. Cette assise se perd dans une petite crique au nord de la batterie, près d’une tourelle abritant un puits et repose sur des calcaires blancs ou jaunâtres de 20 mètres d'épaisseur avec Caprina adversa, Sphærulites foliaceus (assise C°c de la carte). En face du puits cette couche se voit sur 1 à 2 mètres au-dessus du niveau de la plage, tandis qu’au nord de l’ile elle présente un escarpement de 6 mètres environ de hauteur. Nous y faisons une abondante récolte de foramini- fères indiqués et si bien décrits par d’Orbigny, et recueil- lons également quelques Oursins, des Rhynchonelles, des Cardium, des Pleurotomaires, des Nérinées de tailles diverses, Terebratella Menardi et y laissons de gros échantillons de Caprina adversa, Nautilus trian- gularis, etc. Là se sont terminées nos recherches de fossiles, n'ayant plus de falaises à l’ouest ni au sud. Il nous a été possible cependant, en contournant l’ile dans ces. directions, de visiter les parties hautes des bancs de la plage avant que la mer ne soit venue les recouvrir et de constater que les bancs, toujours dirigés du N.-0. au S.-E., passent sous l’île en s’enfonçant vers la Cha- RUUIR n rente avec un prolongement N.-E. considérable. Nous y avons vu de nombreux débris d’Ichthyosarcolites, de Caprines et de Sphærulites. La marée montante ne nous permettant plus de con- tinuer au-delà nos investigations, nous rallions le campement improvisé pour le déjeuner ; les botanistes venaient d’y arriver. En Robinsons d’un jour, favorisés par le temps, nous attendons patiemment notre délivrance, c’est-à-dire le dessèchement de la passe, en admirant le paysage : les uns dessinant ou photographiant, les autres se repo- sant des fatigues du matin. Dans une excursion à Fouras en 1890, nous avions étudié la partie moyenne du Cénomanien et le 9 avril de cette année nous en avons vu la base à Charras. Notre exploration à l’île Madame complète donc l’étude de cet étage. Dans son rapport de l’excursion du 10 mai 1891 au Port-des-Barques, M. Boissellier nous a fait connaître, avec un plan et des coupes passant par le travers de l’île d’Oleron à l’île d'Aix et à l'embouchure de la Cha- rente, les plissements du sol et les stratifications du Cénomanien. Il a démontré que l’île Madame, recou- verte seulement d’une faible couche de limons, se trouve dans le nrolongement d’une colline formée par un plissement du sol, postérieure au dépôt du terrain crétacé, à pentes raides ou à falaises escarpées se ter- minant en pointe entre le Port-des-Barques et Piéde- mont. Il nous à appris que ce pli dirigé du S.-E. au N.-0. s’observe dans le département sur plus de 100 kilo- mètres jusqu’à la tour de Chassiron. ro Dans l’île d’Oleron, les couches supérieures que nous venons d'observer forment une bande parallèle à la côte S.-0., plongent dans cette direction en disparais- sant sous les dunes. Elles constituent la partie supérieure de la Longe de Boyard et affleurent à l’île d’Aix. De la falaise de Piédemont au Port-des-Barques elles sont recouvertes par le fort du Peu, les limons et les couches turoniennes ; elles n’affleurent qu’au pied de la falaise du Port-des -Barques sous les vases. Rive droite de la Charente on les retrouve sous Cha- renton, puis en raison de leurs inclinaisons elles se perdent entre ce point et le Moulin de Saint-Laurent. Voilà par rapport à l’ile Madame les couches simi- laires les plus voisines. C’est seulement après 5 heures qu'il a été possible de revenir sur le continent. Les botanistes qui pensaient avoir le temps d'explorer rapidement, au retour, le marais de Saint-Froult, par- taient les premiers à Saint-Nazaire où le reste de la caravane devait les reprendre. Une partie du groupe des géologues les suivait à distance et s’arrêtait au Port-des-Barques, tandis que l’autre ne quittait l’ile qu'après s'être assurée que la voiture avait quitté son stationnement. Mais ce n’était pas pour longtemps, car à peine le véhicule avait-il franchi une centaine de mètres qu'il s’écartait du chemin frayé et s’enfonçait dans un sol meuble d’où les chevaux ne l’en sortaient qu'après une heure d’ef- forts. Enfin notre équipage se remettait en marche et rejoignait, au Port-des-Barques, les deux groupes de ESS es sgéologues. Deux chevaux seulement étaient en coupe, le troisième suivait par derrière ; l’une des flèches s'étant rompue. Dans l'incertitude où nous nous trouvions d'arriver encore à temps pour le train de 8 heures 58, trois d’entre nous, les plus pressés, avaient pris place dans la voiture qui fait le service de Rochelort pendant que nous nous installions dans notre omnibus allégé. A Saint-Nazaire point de botanistes. Nous station- nons un instant, explorons les horizons ; aucun d’eux n’apparait. Convaincus, qu’en raison de notre retard, ces Messieurs sont en avant, nous nous remettons en marche pour ne pas manquer le second train, :mais* quelle n’est pas notre stupéfaction lorsqu’en arrivant à la gare de Rochefort nous n’y trouvons que nos trois collègues qui nous avaient laissés au Port-des-Barques. Enfin M. Rouillé qui s'était joint aux botanistes arrive à temps pour ne pas manquer la correspondance de Fouras et nous donne le mot de l'énigme. Les quatre botanistes absorbés par leurs recherches ne s'étaient pas rendu compte de l’heure ; revenaient seulement à Saint-Nazaire après notre passage et faisaient à pied les 7 à 8 kilomètres qui les sépa- raient de Rochefort. EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 28 mai 1893 SE OTEEÉ: RapporT PAR M. A. BOISSELLIER. ae E —— Dimanche dernier, plusieurs membres de la Société des Sciences naturelles de la Charente-[nférieure sont allés dans la commune de Loire, canton et arrondis- sement de Rochefort, pour photographier deux méga- lithes, très rares, que ne mentionne aucun ouvrage d'archéologie. Ce sont deux tombes gallo-romaines? comme celle que l’on voit à l’Houmée, près de la station de Charras ; mais de plus grandes dimensions. Ces tombes sont formées de deux pierres superpo- sées : la principale est creusée comme une auge à parois incurvées, l’autre est une dalle épaisse servant de cou- vercle. A l’Houmée, l’un des couvercles est en place, l’autre a été transporté, malgré son poids, dans la cour d’une ferme voisine. À Loire les couvercles ont été brisés et l’on n’en voit que les débris ; mais les auges, quoique be 0). brisées d’un côté, constituent encore des monolithes remarquables. La pierre située au nord de Loire, sur le plateau de Bel-Air, n’a pas moins de 3" de longueur, 2270 de lar- geur et 4"50 de hauteur. Sa cavité mesure 190 sur 1950 et 1» de profondeur. Elle est orientée du couchant au levant. A son extrémité orientale, elle présente une ouverture ou porte latérale de 70 centimètres de lar- geur, faisant face au midi. Son poids était de 30 ton- neaux environ, quand elle fut extraite de la carrière et de 22 tonneaux après avoir été travaillée. La seconde pierre de Loire qui est située à 300m au sud du bourg a été en partie brisée, il y a 60 ans, par ordre d’un propriétaire qui en mourut, dit-on, trois jours après. Elle mesure encore 320, sur 2" et 1m. Ces pierres, de mème que celles de Charras, n’ont pas été extrailes du terrain jurassique sur lequel elles reposent. Malgré leur poids considérable, elles ont été transportées par eau, d’assez loin ; carelles proviennent du terrain crétacé, étage Angoumien, comme l’indiquent bien les fossiles qu’elles contiennent et notamment le Radiolites lumbricalis. Le point le plus rapproché de Loire où l’on rencontre l’Angoumien à Radiolites lumbricalis est situé sur les bords de la Charente, entre Martrou et Soubise, dans une crique nommée le Four du Diable, dont le fond est actuellement comblé par des alluvions marines ; mais qui, à l’époque gauloise, était très favorables pour l’ex- traction et l’embarquement des mégalithes.-Il est à remarquer que les grands dolmens du bois de la Sauzaie ne sont situés qu’à deux kilomètres du Four du Diable, et que les auges de Charras ont la même origine géolo- DOC — gique que celle de Loire. Cette crique fut peut-être la carrière d'où sortirent bien des monuments préhisto- riques. Cependant les couvercles des tombes de Cliarras et de Loire n’en proviennent pas; ils contiennent des Alveolina ovum, caractéristiques de l’étage cénomanien, indiquant que ces pierres n’ont dû parcourir que 4 à 5 kilomètres par terre pour arriver à pied d'œuvre. Quant aux pierres principales, qui pesaient de 15 à 90,000 kilogrammes, il a fallu nécessairement leur faire traverser la Charente, en raison de leur provenance angoumienne, pour les transporter dans les îles où sont Charras et Loire. Ler juin 1893. LEE. La re EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 17 juin 1893 A LA SAUZAIE. RaPpPpoRT PAR M. À. BOISSELLIER. Nous avons dit en parlant des mégalithes de Loire qu'ils étaient formés de deux pierres, comme les tombes gallo-romaines de Charras, dont la plus épaisse creusée en forme d’auge, devait provenir d’une crique nommée le Four du Diable, qui débouche dans la Cha- rente entre Soubise et Martrou. Nous ajoutions que cette carrière naturelle avait dû fournir les matériaux de bien des monuments préhistoriques de notre région et nous citions les dolmens de la Sauzaie qui n’en sont éloignés que de deux kilomètres. Nous pouvons aujourd’hui compléter ces renseigne- ments : b Les dalles de recouvrement du grand dolmen de la Sauzaie, celles qui ont 3"60 sur 2m et {1m d'épaisseur proviennent bien de l’Angoumien à Radiolites lumbri- calis, comme les auges de Charras et de Loire. Les unes et les autres ont été tirées, vraisemblablement de la ia ER crique du Four du Diable ; parce que c’est l’endroit le plus près où l'en rencontre des calcaires à Radiolites lumbricalis et parce qu'ils s’y trouvent des dalles ayant les dimensions voulues. La plupart des dalles de 2m50 sur 2 et Om60 d'épaisseur, qui sont posées sur champ, dans les deux dolmens, sont sorties du même endroit. Les autres ont diverses provenances assez remar- quables. Le deuxième pilier, du côté Est, du grand dolmen, par exemple, a été pris dans l’ancien ilot qui s'étend de Beaugeay à Moëze. Il ne peut venir que de là, du Château d’Oleron ou du rocher d’Erre situé au sud du Château, sur l’autre rive du pertuis de Maumusson. Pour retrouver ailleurs l'assise du Purbeckien à Corbula inflexra qui l’a produit, il faudrait faire plus de 50 kilomètres à l'Est et tout porte à croire que, dans le pays-bas de Matha, où reparaît cette assise, on n’y rencontrerait pas des dalles, de calcaire ooli- thique à Corbula inflexa ayant les dimensions de celles de la Sauzaie. En admettant la possibilité de son trans- port par mer, le pilier dont il s’agit serait plutôt venu du Château d’Oleron. Le troisième pilier du même dolmen ne vient pas non plus du Four du Diable. Il appartient à la partie supérieure de l’Angoumien, celle que l’on a nommée lé Provencien. On à pu l’extraire d’une bande de terrain qui va des Grolièrës aux Rivières. La table qui est en place, sur le second dolmen, a la même origine géologique que les tables ou couvercles des tombes de Charras et de Loire. Elle est cénoma- nienne. comme l'attestent de nombreuses Alveolina svum. On a dû la détacher des bancs les plus rappro- rm, chés de la Sauzaie, de ceux qui couronnent le coteau entre le Peu et Saint-Agnant. Cependant tout le pour- tour du marais de Brouage jusqu’à la pointe du Chapus, peut en fournir de pareilles, sans beaucoup plus de main-d'œuvre, en opérant le transport par eau. A cette époque l’anse de Brouage était occupée par la mer. On voit encore des dépôts d’huitres (ostrea edulis) très épais auprès de Saint-Agnant et de gros galets de roches cristallines autour des ilots du maraisde Brouage. En résumé, toutes les pierres des dolmens de la Sauzaie peuvent avoir été prises autour de ces monu- ments dans un rayon qui ne dépasse pas 2 kilomètres. La crique du Four du Diable aurait pu fournir toutes celles dont on avait besoin. Il eût été très avantageux de n’employer que les pierres de cetendroit : la distance était plus courte, l’extraction plus facile, la pierre plus dure, toute taillée en dalle par des joints, le chemin meilleur car le sol est rocheux et plat ; tandis que pour venir de Beaugeay il fallait passer sur des terrains marneux et sableux, peu favorables au transport de blocs pesant 7 à 8,000 kilogrammes. D'autre part, le calcaire oolithique qui vient de Beaugeay ou du Château d’Oleron est friable et poreux. La pluie a creusé verticalement des cannelures sur la surface du pilier resté en place. Des dalles brisées témoignent autour du grand dolmen que sa destruction partielle pourrait être attribuée au peu de résistance de la pierre de Beaugeay, à l’action des agents atmos- phériques. Quels sont donc les motifs qui ont conduit les hommes des dolmens à prendre des matériaux sur diflérents . points pour construire les monuments funéraires de la LR TRES Sauzaie, alors qu’ils avaient tout intérêt à faire autre- ment ? Chaque pierre serait-elle une offrande rappelant le lieu habité par un groupe de la population qui construisit les dolmens ? Les piliers en calcaires oolithique purbeckien dont il existe des carrières au Château d’Oleron, auraient-ils été offerts par les habitants de l’île d’Oleron ? Cette ile possède encore plusieurs dolmens et de nombreux débris de l’industrie humaine des temps préhisto- riques. EXCURSION GÉOLOGIQUE Du 9 jullet 1893 SAINTES PT HONTCOLUVERTE, LS Rapport PAR M. DOLLOT. Par une de ces belles matinées qui appellent à la campagne, la Société des Sciences naturelles entre- prenait sa quatrième excursion. Dès 5 heures 45, MM. Beltremieux, président; Cou- neau, Gatau, Périer et Dollot partaient de la Rochelle vers la vallée de la Charente où devait se faire l’explo- ration. Jusqu'à Rochefort le trajet s’accomplit sans incident et grâce à l’heureuse idée que les compagnies du chemin de fer ont eue d'éviter le plus possible les lignes droites, nous suivons le littoral, longeant parfois la mer dont la vue rompt la monotonie du voyage. A Rocheïort, se joignent à nous, MM. Boissellier et Foucaud, puis nous continuons jusqu’à Saintes, terme du voyage à grande vitesse. Le Dr Termonia nous attendait. De Rochefort à Saintes, la voie du chemin de fer, établie d’après les mêmes principes que celle de la DE Rochelle à Rochefort, se perd en ondulations le long des coteaux qu’elle entame sur la rive droite de la Charente, franchissant au milieu de la verdure les nombreux affluents et offrantaux regards des voyageurs toutes les curiosités de la vallée. Nous jetons un coup d'œil rapide sur les coupes géologiques que les tranchées nous montrent et après avoir quitté le Jurassique à la Rochelle, le Cénomanien à Rochefortet Saint-Savinien, le Turonien à Saint-Vaize, nous entrons, dans le crétacé supérieur : Sénonien de d'Orbigny. De la gare de Saintes, contournant le faubourg, nous revenons sur nos pas jusqu’au Bas-Lormont, où nous traversons la voie, puis après un repos de quelques minutes à l'ombre nous affrontons l’ardeur du soleil en gravissant par le chemin de Fontcouverte le côteau de Haut-Lormont. Nous sommes à la base du Sénonien, sous-étage Coniacien de Coquand et ne tardons pas à nous en assurer. | Ce sont à profusion les Ostrea auricularis caractéris- tiques de ce niveau, qui se présentent à la vue, puisen examinant attentivement les roches, nous reconnais- sons les spongiaires et les bryosoaires. Nous recueil- lons aes pectens, des rhynconelles et un silex auquel adhérait une janire avec bryozoaires. Du Haut-Lormont à Fontcouverte même terrain, nous y retrouvons les mêmes fossiles et nous rendons compte des phénomènes d’exudation en cassant des silex creux Gu druzes qui renfermaient principalement un sable fin jaunâtre. Les couches géologiques que nous étudions occupent — 01 — une surface assez étendue dans cette partie du bassin Girondin. Si l’on jette les yeux sur la carte géologique au millionième on voit que des îles de Ré et d’Oleron, le crétacé en une large bande d'environ cinquante kilomètres s'étend vers le sud-ouest sur plus de 260 kilomètres de longueur jusqu'à la Dordogne. La région que nous parcourons a pour limites au S.-0. la Gironde et au N.-0. une ligne à peu près droite partant de Saint-Savinien vers Angoulème et touchant à Saint-Hilaire, Burie, Cognac et la Charente. Dans son traité de géologie, M. A. de Lapparent attribue au Santonien des Charentes une puissance de 110 mètres. Les hauteurs que nous franchissons ne dépassant pas 50 mètres au-dessus de la vallée et les carrières faisant défaut, nous ne pouvons recueillir que fort peu de fossiles en assez mauvais état. M. Boissellier, dans sa Notice de la feuille n° 152, 1 Muse a 1891, au énouc: la Rochelle, indique que le Coniacien (c') (craie de Cognac, de Coquand), débute par des grès glauconieux généralement friables, pétris de bryozoaires auxquels succèdent des calcaires blancs en bancs épais ou schistoïdes, caractérisés par Exogyra &uricularis et Rynchonella Baugasi. Cet étage très étendu sur les feuilles de Saintes et d'Angoulême, forme deux bandes qui se réunissent près des Essarts et se terminent par une pointe que coupe le canal de Pont-l’Abbé à partir de l’Eguille. De Haut-Lormont nous descendons dans la vallée de Fontcouverte vers sa jonction avec celle de Naudrie, Lafond-à-l’eau ou encore vallée des Ars, à mi-distance du village à la Charente. ee Laissant à gauche celle de Fontcouverte nous nous dirigeons vers les ruines de l’ancien aqueduc romain dont il ne reste plus à flanc de coteau, d’une série d’arcades, que trois piles et une arche complète rive droite, et deux piles avec l’arceau les rejoignant rive gauche. | Autrefois 27 arches supportaient l’aqueduc à une vingtaine de mètres au-dessus du fond du vallon; les deux piles les plus élevées qui restent n’atteignent pas, voûte comprise, quinze mètres de hauteur. Après avoir pris quelques vues de ces ruines remar- quables, évoquant bien des souvenirs, nous montons sur le promontoire qui sépare les deux vallées et aper- cevons, dans celle de Fontcouverte, sur le revers de la colline, quelques vestiges, mais peu importants, d’an- ciennes piles du viaduc qui se trouvait en prolonæ- ment de celui que nous venons de visiter. Nous dirigeant vers le village de Fontcouverte, situé à moins d’un kilomètre à l'Est, nous prenons en passant l’image de l’abside de l’église remontant au xi° siècle ; examinons près du cimetière des alluvions qui pa- raissent tertiaires, puis par la route de Saint-Jean d’Angély, nous revenons à Saintes sans avoir eu le temps de rechercher le long du chemin les limites du Coniacien. Voici en quelques mots le jalonnement, d’après Lesson, de l’aqueduc romain qui conduisait les eaux du Douhet à Saintes et dont il reste bien peu de ves- tiges. A Fond-Giraud, près d’Ecoyeux, on voit encore les restes imposants d’un Castellum aquæ taillé dans le roc. D'’Ecoyeux, l’aqueduc passait aux Richards, la Roul- lerie, la Grand-Fond, les Pérods, le château du Douhet, les Brissons, la Foucherie, à gauche des Siquets, le vallon de la Tonne, Puy Gibaut avec branche de la source de Vénérand, Font-de-l’Echole, milieu de la vallée des Pendants, entre les Ménards et les Guillots où l’on voit un trou, Font-Morillon, Montignac, La Grémoderie, Fontcouverte, Plantis des Neuf-Puits, des Puits au bois de la Tonne, vers le Chaïllot, enfin tra- versait la vallée de la Charente sur une longue série d’arcades jusqu’à Saintes. | M. l’abbé Laïferrière a relevé avec soin tousles points de passage encore existants de cet aqueduc que les exploitations de carrières, au Douhet notamment, ferontdisparaître totalement siles sociétés d'archéologie n’interviennent pas. Au nombre de cinq seulement, MM. Beltremieux, Foucaud et le D' Termonia ayant été obligés de nous quitter aussitôt après le déjeuner, nous partons en voiture vers Saint-Georges-des-Côteaux, où nous met- tons pied à terre après avoir reconnu le long du chemin des affleurements du Santonien et du Campanien. Les églises romanes de Saint-Georges-des-Côteaux et de Nieul-les-Saintes étant fort remarquables, nous ne manquons pas d’en prendre des vues photographiques ainsi que du manoir de Chadignac, situé à un kilo- mètre à l’ouest de Nieulles-Saintes et bâti sur l’em- placement d’une villa romaine. De Nieul nous rejoignons la route de Marennes à Saintes. Arrivés au champ de tir de la garnison nous en visi- tons les déblais et constatons par la présence de M quelques fossiles que nous sommes dans les couches supérieures du crétacé: l’étage Campanien de Coquand. Nous recueillons une ostrea de grande taille, un clypeolampas, des pleurcetomaires et une ammonite ; même faune qu’à Royan. A huit heures nous étions de retour à Saintes et vers onze heures le train nous ramenait à Rochefort et la Rochelle après une journée bien instructive passée au centre de cette Saintonge si riche en souvenirs. Nous pouvions dire avec de la Mairie, au sujet de la Charente qui coulait près de nous, mais que la nuit couvrait de son voile: : Tes bords ont vu de célèbres batailles, Des vieux temps les fabuleux exploits, Mais les antiques tours, mais les vieilles murailles Ne sont plus que débris voilés par les broussailles Et tu coules comme autrefois. EXCURSION BOTANIQUE Du 9 juillet 1893 Entre SAINTES et TAILLEBOURG RaPPorT PAR M. LE Docreur TERMONIA. Le 9 juillet a eu lieu, entre Saintes et Taillebourg, une excursion de la Société, à laquelle ont pris part MM. Beltremieux, président ; Boissellier, Couneau, Dollot, Foucaud, Gatau, Périer et Termonia. Aussitôt après l’arrivée à la gare de Saintes du pre- mier train de la Rochelle, les excursionnistes partent à pied et franchissent le plus vite possible sur la route de Taillebourg la distance de 1,500 mètres qui sépare la gare du hameau de Bas-Lormont où, après avoir tra- versé la voie ferrée au passage à niveau, ils atteignent le pied des coteaux qui dominent la Charente. A quelques mètres de ce passage, débouche sur la route de Taillebourg un chemin qui monte sur le pla- teau, le traverse à l’ouest et à l’est et descend en pente douce sur le versant opposé jusqu’au fond du vallon de Fontcouverte. C’est à l’entrée de ce chemin que géolagues et bota- nistes commencent leurs recherches. Ces derniers, au nombre de deux seulement, se. dirigent, avant de gravir le coteau, vers un petit marais sur la droite. Heureuse inspiration sans laquelle les plus simples éléments d’un compte-rendu botanique eussent fait absolument défaut. Après avoir foulé, pendant quelques instants, l'herbe desséchée de ce marais, sans y trouver rien d’intéres- sant, nous nous disposions à en sortir, lorsque M. Fou- caud me montre un échantillon de luzerne sur lequel il venait de reconnaître à la loupe les caractères de Medicago Willdenowii Bænninghausen, nouveau pour la Flore de l'Ouest. C’est un Medicago lupulina L. dont les gousses sont velues-glanduleuses, au lieu d’être glabres ou simplement pubescentes comme celles du type. En ayant cherché vainement d’autres exemplaires, M. Fou- caud ‘a bien voulu partager avec moi sa trouvaille et m'a ainsi fourni l’occasion de faire plus tard chez moi, au sujet de cette plante que je ne connaissais pas, quelques remarques qui seront consignées dans une note à part. Je dois dire, avant d’aller plus loin, que ce Medicago est la seule plante vraiment intéressante qui ait été trouvée au cours de cette excursion. Faut-il donc l’ins- crire seule sur ma liste ? j'avoue que j'aurais quelque peine à m'y résigner, je ne voudrais pas non plus l’y faire figurer en trop mauvaise compagnie, mais je crois pouvoir, en dehors des trivialités, mentionner aussi les espèces suivantes : Cyperus longus L. dont nous avons récolté, dans le même marais, des échantillons remarquables par leur élégance et leur belle venue ; Galium parisiense L., cueilli par M. Foucaud sur la voûte d’une fontaine murée ; Quercus ilex L. qui croit vigoureusement sur le ver- sant du coteau exposé à l'ouest, du côté de la Charente; Teucrium chamædry L. et Andropogon ischæmum L., que nous avons rencontrés sur les talus pierreux du chemin ; Xeranthemum cylindraceum Sm., dont quelques pieds se montrent sur le plateau, plante qui ne croit que çà et là dans notre département, mais qui est très abon- dante dans quelques localités des environs de Saintes; elle paraît l’être beaucoup moins ici. Cette liste est bien courte; mais il eut été difficile, peut-être même impossible, de l’allonger davantage, les champs dépouillés de leurs récoltes étaient calcinés par le soleil, et il suffisait d’y jeter un coup d’æil,en passant, pour se convaincre qu'il n’y avait rien à y chercher. | Tel a été Le résultat, d’ailleurs prévu, d’une herbo- risation entreprise à une. époque aussi avancée de la saison et après 4 mois d’une sécheresse ininterrompue. Tous les excursionnistes s’étant réunis sur le plateau continuent leur marche sur Fontcouverte qui est le point extrême à atteindre. Le chemin qu’ils ont suivi jusqu'ici descend directement dars le vallon où se trouve ce village. Mais on est tenté de s’en écarter en apercevant un coin des ruines de l’aqueduc romain qui amenait à Saintes l’eau de la fontaine du Douhet. Tous désirent les voir ou les revoir ; MM. Couneau et Dollot qui ont apporté leurs appareils photographiques, au prix d’un surcroît de fatigue, ne peuvent laisser échapper une aussi belle occasion de s’en servir. Personne n’hé- site donc à faire à droite un léger détour qui conduit au fond du petit vallon que traversait l'aqueduc, il n’en reste plus — et d’un côté seulement — qu’une arche brisée faisant suite à une maçonnerie qui s'appuie sur le flanc du coteau où sa base est enfouie. Les traces du caniveau où coulait l’eau y sont encore très visibles. En quittant ces ruines, encore imposantes dans leur délabrement, nous escaladons non sans peine, la pente abrupte et boisée d’où elles émergent et atteignons bientôt, de l’autre côté de la colline, un sentier om- bragé aboutissant au petit village qui doit son nom à une source voisine dont les eaux ont été captées et pro- tégées par une voûte sur une longueur de 4 à 5 mètres. Un coup d’æil à cette bienfaisante fontaine — ou font — couverte, qui ne tarit jamais, et nous entrons enfin dans le village, pour y prendre quelques instants de repos, pendant que les instruments de nos artistes sont braqués sur les murs de la vieille église dont l’archi- tecture romane est d’ailleurs réduite à sa plus simple expression : après quoi, l'heure du retour ayant sonné, nous nous acheminons vers la route de Saint-Jean d’Angély que nous suivons sans arrêt jusqu’à la gare de Saintes où le déjeuner est servi à midi et demi. Une heure après, les excursionnistes se séparaient, les plus ardents pour visiter d’autres curiosités des environs, les autres, en plus petit nombre dont je faisais partie, pour rentrer directement chez eux, tous empor- tant au moins le souvenir d’une promenade agréable à travers un coin de la suisse saintongeaise. REMARQUES AU SUJET DU MEDICAGO DÉCOUVERT PAR M. FOUCAUD Dans l'excursion botanique du 9 juillet 1895 Aux environs de Saintes. RaPPORT PAR M. ze Docteur TERMONIA. M. Foucaud ayant eu l’obligeance de me donner un fragment de l’unique exemplaire de Medicago Willde- noiwii BOENNINGHANSEN qu’il a trouvé dans le marais de Bas-Lormont, plante nouvelle pour la Flore de l'Ouest, je l’ai plusieurs fois et très attentivement examiné chez moi, en le comparant à de nombreux échantillons de Medicago lupulina L. type, récoltés depuis l’excursion du 9 juillet. Cet examen comparatif m’a permis de faire les obser- vations suivantes : Les gousses de Medicago Willdenowii sont velues- glanduleuses, celles de Hedicago lupulina, ainsi que l’indiqüent les auteurs de la Flore de France et de la Flore de l'Ouest, sont tantôt glabres, tantôt pubescentes. J’ajouterai qu’elles présentent souvent ces deux aspects sur le même pied, la pubescence y est plus ou moins marquée, ordinairement constituée par quelques poils y TD. = courts et rares, quelquefois par des poils plus appa- rents et plus nombreux, surtout sur le pédoncule commun. Mais, dans ce dernier cas même, je n’ai ren- contré encore aucun exemplaire où les gousses fussent aussi velues que celles de l'échantillon de M. Foucaud. Jusqu'ici, la différence entre celui-ci et le type paraît donc bien tranchée, mais elle ne l’est que sur les jeunes gousses ; elle l’est de moins en moins au fur et à mesure qu’elles mürissent et finit par disparaître sur les gousses tout à fait müres qui deviennent glabres sur l’une et l’autre plante. Voilà donc un caractère distinctif qui ne résiste pas au développement complet du fruit. Quand on songe en outre qu’il n’y a pas loin de la pubescence à la villosité, qu’un peu plus de l’une et un peu moins de l’autre entraîneraient la similitude, ne peut-on se demander si ce caractère, d’ailleurs caduc, a une importance réelle et s’il suffit pour créer même une simple variété ? Je chercherai, toutes les fois que j’en trouverai l'oc- casion, les intermédiaires que je m’imagine, à tort ou à raison, devoir exister, entre les deux plantes en question. En attendant, je réserve mes conclusions, me bor- nant à livrer telles quelles les remarques précédentes à l’appréciation des botanistes plus compétents que moi, de M. Foucaud en particulier. LE PALET DE GARGANTUA ET LES OSCILLATIONS DU RIVAGE DE LA MER. Par M. A. BOISSELLIER. Après les mégalithes de Charras, de Loire et de la Sauzaie, nous avons visité ceux de l’île d’Oleron : la Cuillère, la Galoche et le Palet de Gargantua. Tous les mégalithes de l’île, à l’exception de l’Affûtoir d’Ors, sont en calcaire à Radiolites lumbricalis. Malgré cela, ils ne proviennent peut-être pas du continent, parce que sur la plage méridionale de l’île, des bancs de ce calcaire Angoumien affleurent à marée basse, près de la Cotinière. Cependant ces bancs ne pourraient pas fournir actuellement des dalles de 16 mètres de pour- tour, sur 50 centimètres d'épaisseur, comme la table du dolmen d’Ors, dite Palet de Gargantua. L’Affütoir d’Ors est un bloc mesurant 3 mètres sur 2m20 > 120 et pesant de 15 à 20,000 kilogrammes. Il est situé sur la plage auprès du dolmen, dans un endroit où les éclats de silex sont très abondants. Grâce aux indications de M. le docteur Pineau du Château d’Oleron, nous avons recueilli tout auprès une trentaine de grattoirs tout neufs, bien taillés, des fragments de haches polies, des ossements, des cendres, du charbon, et des poteries faites à la main. Ce bloc qui porte les rayures d’un affütoir est en grès siliceux très dur, étranger à la localité et dont la pro- venance ne peut être indiquée quant à présent. Il en est de même des silex dont sont faites les haches polies et des nombreux galets quartzeux que l’on voit un peu plus loin et qui seraient, dit-on, d’ancien lest de navires. Quant aux grattoirs, ils sontensilex noir dela craieet paraissent avoir été importés ; car l’ile n’en fournit que très peu. On suppose qu’à l’époque Robenhausienne, l’île d’Oleron tenait au continent par la pointe du Chapus. Ce qui autorise cette supposition, c’est que la station dont nous venons de parler est submergée à toutes les marées. La mer s’élève jusqu’au pied du dolmen d’Ors et s’est élevée plus haut, puisqu'il est presque entière- ment enterré dans un cordon littoral de galets calcaires. Quand ce monument funéraire fut érigé, le niveau des hautes mers devait être en contrebas de la surface du rocher sur lequel il est bâti. L'une des tombes de Charras se trouve dans une situation semblable. Elle est placée tout à fait au niveau et au bord du marais, c’est-à-dire à la limite du terrain jurassique sur lequel elle repose et des alluvions ma- rines qui entourent l’ilot de Fouras. A Noirmoutiers, la table d’un dolmen est submergée pendant les hautes mers. 7 = Dans l’île d’Oleron, sur la plage méridionale, entre Rémigeas et la Perroche et vis-à-vis Domino, il existe des dépôts de tourbe formée de plantes marines et d’eau douce, dans lesquels M. le docteur Pineau a trouvé des lymnées et des planorbes, qui sont situés à 2 ou 3" au- dessous des hautes mers de mortes eaux. Ces observations montrent que depuis l’époque néoli- thique, il s’est produit, sur les côtes de la Vendée, de l'Aunis et de la Saintonge, des oscillations du rivage, antérieurement auxquelles la mer s'était peut-être retirée complètement du pertuis de Maumusson, entre la pointe d’Ors et la pointe du Chapus. En tous cas, certains points du rivage qui étaient habités à l’époque Robenhausienne, dans l’ile d’Oleron, à Noirmoutiers et dans l’ilot de Fouras sontaujourd’hui submergés. Au fond de l'estuaire de la Charente, sur le rocher de Saint-Hippolyte-de-Biard, des armes et des poteries de l’âge du bronze ont été trouvées à la base d’une couche d’alluvions marines (bri) de 4 mètres d’épais- seur. Ce n’est probablement qu’à l’époque gauloise que la mer est rentrée dans les pertuis et les anciens golfes. Elle a laissé alors, pour marquer ses limites, un cordon de graviers et de coquilles marines dans le marais Poitevin, et dans les marais de la Charente et de Brouage, à 10, 12 et 16 Kilomètres du rivage actuel. Après avoir déposé des sables et des graviers coquil- lers à la cote + 5, la mer s’est retirée et se retire encore ne laissant plus, dans les anses, que des atterrissements limoneux, entre les cotes + 1 et — 1 du nivellement général de la France, ET UE Ces oscillations du rivage de la mer sont-elles causées par des mouvements du sol, comme celles de la période quaternaire, dont les bancs d’huîtres de Saint-Michel- en-l’Herm sont des témoins si remarquables ? Ne doit-on pas les attribuer à des variations du niveau de la mer ? EXTRAIT DU COMPTE-RENDU DES Excursions faites pendant l'année 1893, pour le service 1 80,000 vaux publics. (Feuilles de Saint-Jean d’Angély et d'Angoulême). de la Carte géologique au du Ministère des Tra- Par M. A. BOISSELLIER. SYSTÈME JURASSIQUE. Callovien. Le Callovien ne se montre pas toujours sur la feuille de Saint-Jean d’Angély, avec les mêmes caractères que sur celles de Fontenay. Je n’ai pas rencontré l’Ammo- nites macrocephalus dans toute la région située au sud de l’anticlinal de Montalembert; tandis que sur le versant nord, près de Saint-Coutant et de Limalonge, j'en ai trouvé plusieurs exemplaires associés à l’Am- moniles anceps. Dans les tranchées du chemin de fer de Ruftec à Raix et de Chef-Boutonne, dans les carrières de Lugée à Pioussay, l’Ammonites anceps n’est pas rare ; mais les fossiles les plus communs sont l’Ammoniles hecticus et les formes voisines de cette espèce. Rp EE Argovien. C’est sur cette assise callovienne que reposent direc- tement les marnes à spongiaires, de Chef-Boutonnè à Loubillé et à Payzay-le-Naudoin. L’Oxfordien propre- ment dit manquerait donc complètement dans cette partie de la feuille de Saint-Jean d’Angély ; ainsi que les marnes et Calcaires à Ammonites pyriteuses et à Am- monites athleta du Callovien. Les marnes à spongiaires ont une épaisseur de 20 à 930 mètres. On y rencontre fréquemment l’Ammonites canaliculatus, l'Ammonites Henrici, le Belemnitrs has- tatus et surtout l’Ammonites plicatilis, avec plusieurs espèces de polypiers et quelques rares exemplaires des Ammonites crenatus et ocutalus. Au sud de Paizay-le-Naudouin les marnes deviennent en grande partie des calcaires marneux grisàtres, gélifs, dans lesquels s’intercalent des bancs d’un calcaire rouge, très dur, ou des blocs de calcaires à entroques semblables à ceux qui divisent en plusieurs couches les marnes à spongiaires de Hauc, Loubillé, Paizay, Villefagnan, etc. Les fossiles que renferment les calcaires marneux sont presque toujours indéterminables, rappelant vaguement l’Ammonites oculatus ; mais les gros blocs de calcaire à entroques m'ont donné des Ammoniles plicatilis bien caractérisées. Rauracien. — Séquanien. Les calcaires rouges de l’Argovien sont recouverts par des calcaires grisâtres, gélifs, contenant Ammonites bimammatus, Ammoniles Marantianus, avec les petites Pr + ammonites qui les accompagnent ordinairement et qui sont beaucoup plus communes qu’elles: Ammonites tricristatus, Aurolicus, Oculatus, Eucharis, etc., etc. Ces calcaires font partie d’une bande de terrains de 15 kil. de largeur environ qui traverse toute la feuille de Saint-Jean d’Angély et dans laquelle on rencontre successivement : 10 Des calcaires à Ammonites bimammatus tricris- fatus, etc. ; 2° Des calcaires subcompacts stériles ; 3° Des calcaires à nérinées, trigonia, pinna, des récifs de polypiers et des calcaires oolithiques à Cardium corallinum, Diceras arietina ; Crinoides, Echinides, Bra- chiopodes, etc., sans qu’on puisse séparer sûrement le Séquanien du Rauracien. Ptérocérien. _Le Ptérocérien qui vient ensuite se détache beaucoup mieux des assises précédentes, malgré que des bancs carolligènes avec leur faune habituelle y soient inter- calés. Il forme une bande de 2 kil. environ, se raccordant avec celle qui traverse la feuille de la Rochelle, de Châtelaillon à Migré. Les fossiles les plus communs entre Migré et Fontaine-Chalandray sont : Pholadomia protei, Pterocera oceani, Thracia suprajurensis- Ceromya excentrica, Terebratula subsella, Nautilus giganteus, Ammonites cymodoce. On retrouve également dans cette région le calcaire à oolithes glauconieuses de la falaise de Châtelaillon. & == Tee Virgulien L'Exogyra virgula de grande taillese montre dans les couches supérieures du Ptérocérien. Les argiles virgu- liennes et leur lumachelle caractéristique à Exogyra cirgula apparaissent aussitôt après ; ainsi que l’Ammo- nites Orthocera; laquelle ne se trouve jamais dans la zone à Ammoniles cymodoce. Réciproquement l’'Ammo- nites cymodoce et la plupart des fossiles ptérocériens ne persistent pas dans le virgulien à Ammonites orthocera. La zone à Ammonites longispinus et la zone portlan- dienne à Ammonites gigas existent sur la feuille de Saint- Jean d’Angély. Portlandien. — Purbeckien. Le Purbeckien se voit également au sud de cette ville. Les coteaux de la Rue et du Puits d’Asnières m'ont donné des calcaires à Serpula coacervata (amas de serpules filiformes de 1 centimètre de longueur environ), avec Mytilus subreniformis, Patella vassia- censis, Corbula inflexa, dents de poissons, etc. ; c’est-à- dire des espèces qui caractérisent le Pubeckien dans le département de la Haute-Marne. Dans l’ile d'Oleron, les Serpula coacervata et Corbula inflexa forment des blocs isolés sur la plage, à la base des falaises purbeckiennes de la Morelière. Sur les feuilles de Saint-Jean d’Angély et d'Angoulême on retrouve également les calcaires tabulaires lithogra- phiques, violets, et les argiles noires et vertes qui cons- tituent ces falaises de l’ile d'Oleron. Cette formation argileuse, qui occupe toute la vallée du Pays bas jusqu’au delà de Cognac, repose évidem- ment, à partir de Nantilly, sur les calcaires à Serpula coacervata, Corbula inflexa, etc., de la Rue et du Puits d’Asnières ; car ceux-ci reparaissent sur le bord opposé de la vallée synclinale du Pays bas, entre Saint-Hilaire et Brizambourg. Le gypse a été rencontré à Nantilly et à Blanzac (feuille de Saint-Jean d’Angély) dans les argiles pur- beckiennes. Tous les bancs de gypse exploités dans le Pays bas y compris ceux des Moulidards près de Châteauneuf, sont situés dans ces argiles noires et vertes à plaquettes lithographiques violettes. L’assise gypsifère se termine par des plaquettes de calcaire oolithique à Corbula inflexa {2e niveau), Cyrena rugosa et petits gastropodes, dont l’épaisseur atteint parfois 2 mètres et que recouvrent des sables, avec argile rouge ou bariolée, dans lesquels on a trouvé des ossements de Mégalosaure. Ces deux dernières assises du Purbeckien, ont été ravinées profondément dans beaucoup d’endroits et des couches épaisses de graviers les dérobent, dans le nord-ouest de la vallée principa- lement. dre 31 VESTE OBSERVATIONS THERMOMÉTRIQUES ET MÉTÉOROLOGIQUES FAITES A LA ROCHELLE ANNÉE 18983. EE ————— (JARDIN DES PLANTES. — PONTS ET CHAUSSÉES.) >= OBSERVATA La-Rocshell 4 | Janvier. Février. Mars. Avril. Mai. | Mi- Ma- Mi- | Ma- Mi- Ma Mi- Ma- Mi- Ma- nima. | xima. | nima. xima. | nima. | xima. | nima. | xima. | nima. xima. | nima. | | 16.00 "90 60 4.590, 12.50 6.60! 13.50| 6.00! 418.20 4.50| 19.75 —10.60 — €.90 5H0B 12760 8.00! 14.30 8.101 18.00 7.00! 22.40 "7.101000 DÉCO AE 00 8220415590 9.00 22.00! 10.001 922.35 — 8.90 1.50 229 0 050 5,00! 14.70 7.00! 22.00 9,00! 25.00 — 6.00 — 0.60 — 2.60 L.1D| 21304695 7.00| 21.00! 10.50! 927.50 — 6.90) 2,60 3-20]. 10.40] &.00|: 13.30 8.50] 21.00! 14.501 24.00 — 3.00, 2,50 3.10! * 11.00 9.80! 15.50 6.50! 22.60 6.90! 20.50 4.40 11.00 SCIE T5) 4.60] 16.00 HRODIMMAOMDE 4.30| 16.9 5.00| 14.50 3.50! 12.00 500700 7 60! 24.80) 6.30! 20.00 6.09 8.75 3.30| 12.00 6.00! 14.80 7.00| 9%.40' 6.401 21.99 43:50 10:00 6.00] 12.40 1.91! 16.00 8.50| 921.00 HAO0 DS TS — 5,60 0.80 &.30| 10.60 2.65|. 18.90 8.00] 20.10 9.00! 24.50 — 6.60 2,50 3.00] 10 50 7480] A7 95 2.00] 14.00! 42 00! 27.45 — 5.950 7,50 6.001 13.10 7.601 16.10 1.50! 16.70] 41.90! 25.80 — 1,50 0.75 4.00| 14.30 9.30| 16.75 2.50| 19.50] 12.09! 22.60 — 8.70 — 1.0) ADMIN 4,00! 14.40 5.60] 19.90| 10.50! 26.75 — 3,.50|— 41.89 4.00! 13.00 4:10|. 14.10 7.00] 920.8)| 13.50! 920.50 — 9.30 4.00 4.00 14. 30) O0 15075 6.30] 35.09] 11.90| 21.70 — 3.50 5.00 5.101. 14,90 070 9.30] 12.00! 24.80! 1410.20! 21.51 DD 6.00 5.00! 14.80! 0.00 14.15! 11.90) 27.50! 12.00! 20.00 — 0.50 6.70 5.00| 15.42 2.15] 16.50! 13.40] 28.30| 10.20! 17.75 1.00 8.00 4.50] 12.95 3.00! 15.00! 14.00! 926.30 7.10]. 19.75 3.20| 10.00 4.09! 12 25 4.00] 17.00! 11.00! 23.50 8.20! 20.80 4.00! 10.25 5.00! 10.60 4.50! 19.00 8.00! 26.30 8.10! 26.50 3.00! 10.50 SHOT 3.00! 20.00) 12.50| 26.75! 42.10| 22.70 1.30! 10.50 4. 80) 41.70 4.50! 13.00] 13.50! 25.20 9.00! 22.75 1.20 9.50 6.30, 12.40 3.10| 20.50] 12.10! 25.50 9.00|. 22.25 0100419250 6.00, 13.90 5.90] 25.00! 10.00! 19.60 7.50|°°20;.70 4.00! 12.50 4.09! 18.40 7.00! 20.15 7.00! 28.00 4.00! 12.95 2.80| 18.60 7.00! 20.35) 10.00! 25.90 4.60| "412,09 D O00MS 70 11 80] 292.59 PHERMOMÉTRIQU à 2 N “ Juillet. Mi | M- mima. | xima. ; Ma- Xima. _ NO Dee jee jen pe — © O2 À Se RE = > — © Où Où O0 OI 1 1 O ea ma © Octobre. Ma- Xima. Novembre. Décembre. CE Mi- | Mo- | Mi- | Ma- nima. | Xima. | nima. | xima. a 16.09] 0:5 9.70 1.00, 13.50| 2.20] 6.40 2.00, 18.50|— 0.50 2,20 1.10) 45.75l— 4.00) 6.90 5.00 14.00 0.00 7.00 6.00, 13.00 0.60 3.50 1.20 8.00 1.00 6.80 AN OD 720$ 2.50| 10.00 PE DNS 80 5.00! 11.00 = 0.80 515 4,301 11.80 = 8:39): 6.50. 3-20| 9:75 0.00 11870 der 13.00) 2.20) 14 19 1.00! 12:80) 8.00, 14.00 9,00! 13.00 11.00, 19.70 0.60 9.90 8.50, 16.00 0.00 7.50 11.70) 16.50 0.00 5.80 3.00! 10.00!— 0,50 7.80 1.90 6.80 19019750 1250 8:00 6.80| 13.00 1.00 7.10 .H0 18720 — 9,90 Dr 20 A0 A0 0.00 DADIEN GE OTDAON — 0.50! 10.50 4.20 » CHIMIE U » 10.00, GUILDE MAO 7.50 2.80 T0 0.00 8.00) — 1.00 TRUE) 4.00 0.10 6.80|— 2 00 3.00 0.60 9.00|— 4.00 3.00 — 4.90 4,80 . Calme. Calme. OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES 1. Légère brise. Vent faible. 2. Petite brise. Vent modéré. | € 4 joue puise ; bonne brise. ee Fe fort. 4 LR | 5. Grand frais ; coup de vent. Vent violent. Arrondisseme - 6. Tempête ; ouragan. Ouragan. ; ; OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. INDICATION à 9 heures du matin. à midi. à 3 heures du soir. Lecture o Lecture o Lect 5 des ani 2 | hauteur PAU: | 2 | hauteur ECUTe | © | hauteur corrigée 5 ,, | corrigée 5 ,, | Corrigée 5 Pal de l'erreur & one de l'erreur E TS deléen 8 FF Li JOURS. du Fa £ A tempé- | du 0 Ë tempé- | du de | È tempé- Réchelle ee |rM0Te 0 LEA 1 te HET | Mois d Dieter es 152-414 19 750.6 152.0) EE 791.0 15936492 752. | LITE APR 163.3 |#"10 762.1 705.8." 162.5 765.0! 11 763. Durs Erne Lie 710450 19 769.0 110:8|-#411 769.5 HAE O| 12 770 418 DATA SR 144-:0|241 172281 142.9|0412 771.4 Kio.) 415 7110 LITRES ce rar EE 710.2 14:22 769.7 MO:0/ 1542 768. 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Légère brise. . Petite brise. Bon frais. OUEN = © . Jolie brise ; bonne brise. . Grand frais ; coup de vent. Tempête ; ouragan. Calme. Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. Vent fort. Vent violent. Ouragan. | | | OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES | Arrondisseme { INDICATION à 9 heures du matin. des Lecture | © | hauteur COTES |, || ramenée del'erreur! & EP JOURS. du AS ä tempé- l'échelle. |, [rature 0°: 1 h IE RASE LOTO SI HA -708, 1 TORRE 714.4) 44] 772.7 DNRORE ENT HA SR A4)" 416058 BUREAU 109818 43| 1707.71 Lait NS RU 771.0| 12 169.5 Up ON or au TAN SN OTI2ES L'OTAN TES AO ASE, 51229 DURS Eee 10/6 14) 0176879 BU ON AT LE, HAE 92 4210 76987 ETES TAR PR TORALEHS), 7027 ITEM ARTE 161.6|; A44| 765.9 DIPNENPEANT CE 161201 481: 716554 Du 13 rc 165.12 42) %763%0 Dallas EU: 1824 191) 1509 DUPAS RS. D HMROMAS "NT 150 DUO: CEE. 116811.-43|. 67002 DT 02. 2 à HOME 12) 76726 Dur 182... 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U PHARE DE ROCHEBONNE le la Rochelle. *ulJeU np "I 6 8 29AJ9S{0 IN9JNCFI "4TN'Id s'r'e) Ka Fate Peter Reda fi AT RTE PS ee re ire 4e Mes CS RAIRARR AOmOONOGN 2e — AO NI ODOONO <— » » D OR NON DES NID OGIOQIY 0 10 | AsorowsrorsoonrnrnnonmnwaoS nl al PNR ES TL EE O © 0 00 © © © DM © 10 M D NN — OO OOMNOOOSHDO—HD ‘110$ np ‘U € V D Ne "TNT ls te Ne Ps Re Le te vies ie ele Ca Us ls tte Lis Me VOIE AM ANR Us Ten SSNEPORERETUTS eee OO — se — Ras hrs “IPIU — SE OTDMNORNOGIOT 10 © © DO © = O0 © =D = © 10 | TEMPÉRATURE de l'air Sséovaococcwmosowcrrarorwesses — — 1 ‘uneu NP ‘U 6 V OMNAIO NI ND DS 101 0 0 © © © D 10 10 0 OI © | OUR O ee C'nat entt). 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Lecture corrigée del’erreur [«] La =} …— a > En du ,zér0. | €, = À En de l'échelle. —————_— | ——— | ———— | —————— | ———— | ———__—— | ———————— 109 1e 44 771.4, 14 1120/2124 168.7| 14 171.9] 14 714.4] 14 119325] 12 714.2] 13 769.5] 14 770.0! 14 171.3] 14 7162.8| 14 159.0] 15 101261" 15 765.5! 16 764.8| 15 766.2] 15 171.8] 14 1111188713 169.0] 12 168.5| 13 107:0|"715 769.0! 16 71121046 710.8): 15 10740 1e,15 162.5] 15 162.0) 415 161-1145 763.0! 15 761.0! 16 23799.3| 446 767.7] 14 Hauteur barométrique corrigée de l'altitude: meteo hauteur tempé- 23745 .0 166.0 OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUEÏ Arrondissemerk U BAROMÈTRE LE JOUR. — KO (LG Gr Î à 3 heures du soir. RL à midi. Lecture | 8 | hauteur | Lecture corrigée | 5 | mence |COrmEEe del'erreur! & A4 de l'erreur. HU V/ZÉT ONE. tempé- du zéro e = A0 e ‘| l'échelle. | $ |"ature 0! espere, | 166.204 764.4 766.4 771.3] 14 769.6 770.8 142,8] 14 LTD. TIR 1 169.4] 15 767.6 768.3 7119.4| 414 770.4 17129 7174.91 13 772.6 713.1 113 :61n 418 1120 173.3 7174.31 14 11940 713.3 160.5) 15 1074 769.0 771.01 14 769.3 770.8 110,5) 44 768 8 170.2 762.0| 14 760.3 760.5 759.0] 15 1541 7589 762.8! 16 760.8 162.2 765.5| 16 763.5 765 0 764.8] 15 163.0 764.3 768.0! 15 766.2 768.2 771.8| 14 17071 770.6 771.0] 15 769.4 169.8 10970 412 1015 768.0 768.5| 14 766.8 768.0 101:2| 15 765.4 767.2 169,5 11%40 107.5 16975 714.9) 16 769.3 771.0 710.017 15 768.7 769.3 766.0! 15 764.2 765.0 102.9100415 760.5 761.7 161.5) "15 109:1 761.0 101.714 1590 161.4 762.5! 16 760.5 762.0 161.0! 16 759.0 760.5 23800.8| 453| 23745.6| 23782.5 767.7| 14 766.0 767.1 & | hauteuR £ | ramenéd} 5 à la“ 4 |, tempé-h E rature Ù ÿ = || Mois di 16! 764 14 169. 15 769, 15 766. 151 769% 14 7744 13 77458 14] 7740 115 767.8] 45! 769.0 1lS) 768.4 15 758. 15 756BI 16 760, êh 16 763.(N 15 762. 15| 766% 14 768. 14/ 768: 13 766.4N ALS 766.2N 16 765 4] 417 767.4! 16 769.0 15 767.5 16 763.0 16 759% 16 759.0 16 759.4 16 760.0 16 798. 9}] 169| 23725) 45 765.31 _| | U PHARE DE ROCHEBONNE. —— e la Rochelle. | d TEMPÉRATURE TEMPÉRATURE | = se de l’eau de mer. de l'air. = VENT nn ee a RE Ur E = = = ce nd a Qu mn. midis À Se dusoir a = A 7 = £ o É DE ES | | © tt -s ee a = a SE v= 2 RE = = = |= = = | direc- : | direc- :| direc- : ï De = ; . ch S £ do + S Sc = < = 2 , = ; = À È a 2 Le a De) = tion. © tion. © tion. © se 1e © < < au! E En: Iars 1893. DD 410:91% 40:91 11:01 12.01 11.8 8:01:-S. O. ais Or Se OS | 4 403, 10.9) 10.5) 10.4| 11.0! 140 8 OS TO AAA SAOË à RES PA O 2 DO 0409! 410.81 11.7! 122 » S. AS MO" MS AO! 2 MO:8| 10.8: 10.9) 140.7 Sen O » EP EN MEN N. 9 M0.5| 10.8) 11.0 MOT AOL AND » NAME IE S IRAN ol eNe ? M5) 10.3: 10.6 8.8 9.5 9,7 » N. 2] N. 9 N. 9 MAO O 114-0! 40.0! 11.6|, 12.0 OLAIEN His 2 Nan "19 N. 9 BR Oh S, 10.9!- 12.4) 13.0 » Not) 2Nr 2 N. 2 Ds aS) 120, 11.4) 12.5) 43.8 » | N.°E. |3N.E. |3 N. 9 AUS! 11.6, 11.8 Je 1056! - 11.8 » NES CONNUE 51-81 NAS 9 MD:2 11.0, 11.2 bien AIS 19,9 » E. 4 Fr, S E 3 D AE OP MEP.O0! 12.9): 12.7, 153.2 » Se re b-2 E MAPS MR 9 OS 1 11.8N 12 6! : 12.3 » S. 2 SE. 2 S. Ga 2 GAMES, - 11.8: 14.0, 14.0 » Calme! OO: 1 0. 1 en 1:5|. 41.5) -.11.6) 14:5 » O. DENON EE TNANSORSEE IS AdS6). 11.71 13:6! 14.0 » NOR? (OX 2 O. D) O2: 0! 10:92}: 10:21 10.0 » N. 20 ANT 2 N. 2 Do ES d1-6) 10:0!. 11.2] 10.5 » N. 2e. Ne Nr OSAS M0! 10.0! 10.5 6.0 185 8.6 » E. ZEN 4 192 4 9.8| 10.2] 10.8 7.0 JS 4148 » E. 5 E, 5 E. 4 m4 410:8| 11,1 J'elr141:96 019.8 » IÈE 3 IDE 3 Fe 3 DOM I1:921-11:4, 12.41 13.9| 13,5 » E. JTE ASE 9 nes LA O0! 12.6! 16.5! 195 » Calme. | O0! Calme. | CU] Calme. | 0 M20043:0/012:5) 12.9) 12.8! 12.5 » N. LRNTOe I0T N. 2 M5112:11: 12.6 11.71 13.3| 14.0 » NE: N. JINN FE 2 M 61012:5| 11.6! 13.0: 13.4 » N. E. DrNom Er I 2 lLNUE 9 70 12:5) 1492.8|, 13.71 184.2 » E. DNA Le 2 E. 1 0128) 19.41 143 91 44.5 » See D SE ASE ve ME) DRE 9 D091412:2| 11.5! 13.31 13.7 » SAR DE a E. 2 on Be 9 M9 411:5) 12.0! 11.5! 12.81 14.9 » E. 2 E. 91: 5: E: 1 01201196, 14.0]: 17.0! :19.9 » E Lin SE: 1| Calme. |; O 16.2| 351.7! 358.9! 336.9] 373.6| 395.6 » AS :01156) 10,9! 12.1! 12.8 » OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUE | © Calme. Calme. 4. Légère brise. Vent faible. 2. Petite brise. Vent modéré, 3. Jolie brise ; bonne brise. Vent assez fort. 4. Bon frais. Vent fort. Arrondisseme 5. Grand frais ; coup de vent. Vent violent. 6. Tempête ; ouragan. Ouragan. s | OBSERVATIONS DU BARUMÈTRE LE JOUR. | INDICATION à 9 heures du matin. à midi. à 3 heures du soir. | ———— | des Lecture ® | hauteur | Lecture | © | hauteur | Lecture 2 | hauteul corrigée | © | ramenée | COTISÉE | © | ramenée | COITISEE | E | ramené. del'erreur! & at ldelerreur| à la (del'erreur £ à (00 JOURS. du Na = | tempé- du He É tempé- | du ns 2 É tempé-ÿ. l'échelle, | & |rature (| péehene | & Jrature O:| péchone. | 5 TAtUTOSE Moi LD VIRE FE Re aeE re 10201417 759.9 O2 SIEINT 760.7 [ic ete) RE 760%, Du Dern 200 IST 763.6 766.0! 1: 763.9 766.0! 17 763 LME TRSS TEE ni ete NN 0) 761.8 1603950417 161.4 102.01. x 160! | DD RE 764.0! 17 761.9 764.9| 17 702% 164.0! 18 761%, DIE ERA 164.41 17 702.3 765.0| 17 762.9 769.0! 18 762 M DEN DireE EE 100 28:11eEleT 164.7 HOT 9) 765 .4 soir. 217 7681 DUREE SEE 769.8, 16 767.8 769.0\: 16 767.0 768.6! 17 766 | DEAN ASE 102216 A6 768.2 OMS IAE 168.4 109.7k :47 767 DRAC RUERRS À 10101147 164.9 766.4] 17 754.3 765.6| 18 1634 DRE PATES 504191: 17 762.92 1639647. 761.8 763.6: 18 761! | IDR T OMR 764.7| 17 762.6 Doro li 10962 165.4) 18 763 1 Dundee r 1612891017 705.7 167:61-224 10325 166.8, 18 764 Durs ri 10 D) A TS TOTT 769.1, 16 oral 768.5! 16 766! DIM Are Os A5 769 ,1 110 6 | 410 768 .7 769.8, 16 767 Duslons er x, avale A5) 768.8 710.4| 16 168.4 769:.5| «16 767. Ib) ete CRE 771.0] 161 769.0] 770.9) 16| 768.9] 7:0.4| 17) 168k Durs et AO ALI T 768.3 410 /0|. 217 1619 768.8| 18 766}, DES Een . 102 017 762.8 1042:0|-217 761 9 762.4| 18 760%, IDhat CS EEE 1594810647 151:2 10081) A7 758.0 759.9! 17 797 DIN POEE NE! 9 103 AY 761.0 103:6| (417 JO4ES 762.8, 18 760! 1 Dares AR DE E 110910 10041;7 10175 764.0! 18 761. 763.6! : 48 761 DURS TN, 762.6! 18 760.0 109325]. TTR 761.3 163.41 :18 761 | (RFA MAT ESS 100 et 764.6 767.0! 18 764.8 166.6! 18 764! | IMPR S 102 Wu 761.0 16211218 759.9 761.1! :18| 00708) 1 ENST RARES JELISEUTS 759.0 161418 759 .1 1602617480 158 I} DEL DD FEU - EL TIES Pl os) 760.0! 19 Tor 15928) 249 791 }} Dia 27 Eee 156450 754.2 1084119 F5840 155:1) 920 702 | D 'HADS LES PERS ES DS LAS 756.2 758.4) 18 #510) D 758.4| 18 7561} LU M RARE TEE 764.9! 17 702.8 Hs all 763.92 705 21045 763}, LIRE Tee 7692) A7 TOM 769.4| 17 767.3 769.5| 47 767 |}, Totaux.| 22955.9! 506! 22593.4| 22957.5| 514] 2928y4.1| 22942.7) 518 99877 | | Moyennes.. 10922001 763.1 65-21) PEUT 763.1 T64 EAN 762 | | ! {| Hauteur barométrique corrigée | | de Paltitude. Ron 763 0 763.0 762 ÿ 4 € OR PQ EE LL = » = TEMPÉRATURE TEMPÉRATURE = “ de l'eau de mer. de l'air. RE . CON. 4 nm Com F NC led -S — = = S £ Do = | | © |#2e = = = “= < = ® VS a 22 (ep) ae) E E< © © <« < = | | | Avril 1893. M0 1257 428) 15.8) 15 2] 16.5, » MD31012.9) 13.5, 19.7) 15.0] 15.5 » M2 012.3 12.8| 13.8) 14.81 37:5l » 012.0 12.3| 12.8) 13.2) 15.0] 15.3 » M24 12.8) 198 {5.4 14.3) 143.6| 0.1 2.5) 13.1| 43.9) 14.0 145.4) 155) » M0) 12.7 130! 13.31 14.8! 4190) » M9 9 12.8| 13 0) 14.0 15.9| 46.5! » M2.7| 13.3| 14.0) 15.1| 16.6) 17.4] » MD) 1392) 13.8] 13.2 150) 46.2 » 3010432) 43.7) 15.5) 16.2) 15.5] » M9 8| 013.9] 13.2] 43.0 14.7| 16.2 » M2 0 13.0) 13.4] 8.0 9.4) 419 » 120 12.81 13.2) 9.7) 10.5) 13.0] » 42.3| 43.5) 14.0| 14.4 16.5 17.6, » 3.01 13.8 13.4) 15.0 16.1| 16.9) » 13.3) 41.41) 13.5) 16.4 17.8) 19.1! » M3.5) 14.0] 43.6] 15.7! 16.0] 16.0] MS0| 13.8) 12.8) 14.3 15.0) 45.2 » M 0013510120) 485! 159) 1460, » MS6 144) 14.0) 15.7) 46.9] 17.0| » M5.3| 4411 14.7) 45.5! 18.5, 16.9) » 4.5) 15.0| 15.1) 15.5! 19.0] 17.4) » M4.0| 14.9) 15.0| 15.5 17.9) 18.4 » M2.8) 15.0) 15.41 16.8 47,4) 17.7) » M48| 45.0 16.0| 17.0 19.5) 47.3] 2.6 M5 01 45.0!. 15.9| 17.2, 18.7| 18.4) 3.1 MA51014.9) 14.5| 12.2! 144.0] 146.0) » UD 0! 44.8| 4935 15.0, 414.5 » MA.0| 14.7) 14.9) 19.4! 44.3) 448) » 394.1) 409.8) 417 0) 429.0 ie 488.1) 9 13. 13.9] 414.3 15.7| 16.3 A | hi | la Rochelle. JU PHARE DE ROCHEBONNE. VENT nn . direc- tion. à 9 h. du m. à midi. direc- | S'\mdirec-n |, : = 2 tion. = tion. 2 | SU.) À S. [l C. 0 C. 0 E. 2 10 2 SALE 0e Re 2 Sn Er TL SEE (Ga DIN O nad Na Het 1221 TN. 1| 1 21 NE: Il Ne AT NUS il NUE lun E. 2 Se MISE: 1 1e SJ 'NATE, 1 NEIL N: 3 LE HONTE: 2 E. ? C. 0 NOM |A Sie ‘L C. OÙNT E:. 1 Fe 2 E. 2 Sr = fre 3 S. 3. SF, RAS M LA 7 SIN DS 9 E. 9 S. À Se 1 C. 0 C. (9) E. 5] E. 2 S. PSE Î Om | O0. 1 Fe D N. 21 N. BIANEME: 3! N. 2). :N. 7 N. 2) PNR OBUITE là 3 h. dusoir. EYNNeeRO = NONORSDeUORR = ONE = © © O OT O2 D = © . Calme. . Légère brise. . Petite brise. . Jolie brise ; bonne brise. . Bon frais. . Grand frais ; coup de vent. Tempête ; ouragan. OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUES Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. Vent fort. Avrrondissemetïh Vent violent. | INDICATION des JOURS. _...... pUataie /alnte e core on. afets ie » RPr 0 1e etes CCC ._..,. 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RE ne | des Lecture | © | hauteur | Lecture | © | hauteur | Lecture | 2 | hauteur. corrigée | © | ramenée | COMIEe,| © | ramenée | COMMISE Sri men del'erreur! & sh ldelerreur|) & à JD) [del’erreunin & à 00 JOURS. du ei 8 | tempé- | du 7 4 Ê tempé- | du der e tempé-@ l'échelle. | à |'9ture | éenene | 5 |rature +) vécherte. | & [re LS FE FR | Mois di Dur 1e. 12, 103-118 19 761.4 763 6] "219 761.3 102-561. 19 160 OR à 1018 11219 ti 00) 160 SUP 758.5 359-8)h 19 151% LES NPA 1614::21%- 19 758.9 162.61. "19 760.3 7163.8| 19 761. UP, est à 1124414 19 A0 113:01 49 771.3 eee let 7118] Du"... sh 711-018 19 1318 1115581040 113.9 11554)": T9 1138 AU DA ee. 1486616 .19 771.3 113; 49 114.28 TROIE 10 770. Due 77e He e 19 1092 110 :9) : 20 708.4 769,7|, 91 167. LIENS 767.2] 20| 764.7| 766 6| 20] 64.1] 166.2] 90) 764 DITES 767.8]. 20 765.3 167:9| . 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Vent violent. Arrondissemell Ouragan. | - ___ OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. des JOURS. ... .. sie lo late /nfe)le ss ee ....... Se CCE 0. .._..... res CCC …...... ....... es... 0 ......….. 0... ... or 0... tes ss. ss. 0... 0... Totaux. Moyennes. Hauteur barométrique corrigée de l’altitude à 9 heures du matin. à midi. à 3 heures du soir. 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J … TEMPÉRATURE — de l’eau de mer. EE TEMPÉRATURE de l'air. M d6 tiiis Li ' À 9 h. du matin. Observée à midi Observée le soir à 3 heures. PLUIE. Hauteur observée à9 h. | h luillet 1893. 20.0 20.0 90,1 20.1 19.7 19.7 20.0 19.8 19.9 19.8 19.3 19.0 19.0 19.8 19.0 19.0 19.8 90.0 90.5 19.3 N to ; Ca JR NIOIE DE > N N + no — Co 0 OT 00 00 Go RO Ut W O0 19 Go > b © ae = cc [le © ©t -1 ON © ot Doounoumot ho à ur | CO — IT IAORO©OSOC© O0 (1 Ve) [SE] (=) [ep] > du matin. VENT ER TS CR ni" D à 3 h. dusoir. TR direc- tion. Œ 9 NO © CE CO HS NO RO CO KO À RO NO NO CO à 9 h. du m. TT, | force. AL re, N © = CO 9 NO NO NO © RO CO CO 19 à midi. direc- & = tion. 2 o 2 N. 2 N. 2 O. 4 NAIOLAME NO M9 S. 1} SD. 9 SEA 2 Su O: D SO; 3 où 4 0 5 N. O 3 NO. S SD. 3 Où 2 O. 2 (O2 2 Se 070110 SO 3 N:707 be Calme, | O NO TIR (35 2 (DE 2 NO: 2 N. ? NerO IE? O. 4 SL À À 1 FMI SALE © ASE": SIC ©: . O So OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUE | 0. Calme. Calme. 1. Légère brise. Vent faible. 2. Petite brise. Vent modéré. 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Arrondissemeril INDICATION | : à 9 heures du OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. | Em — à 3 heures du soir. matin. à midi. des de 2 | hauteur ee 2 | hauteur Lee = | hauteur del'erreurl & PR del'erreur| & os de l'erreur| PES | JOURS. du RER E tempé- | du ie Ë tempé- du FA E tempé-W Péchelle. | 5 jrature 0°. peche. | 5 rature 0) ne DETTE Moi Lait 755.61 181 753.4) 756.41 191 754.11 757.0] 19| 75408 FONTS CES 760.0! 19) 757.7] 759.0) 48) 756.8| 756.0| 18] 7534 ee ce 156.5] 18| 754.3] 753.9) 18] 751.1] 751.5| 48 7498 mt 152.7| 18 750.5] 752 0| 18 749.81 751.5| 181 74988 751.0] 181 748.8| 751.41 18| 749.9] * 750,41 18) 740 "0 756.5| 19] 753.7) 726.3| 19] 754.0] 756.9) 19) 7538 sure ES 755.7| 48]. 753.5] 755.7| 18) 752.5] 754.6| 18] 7524 PT: 757.5] 49) 755.9) 757.9] 19] 7549) 756.1| 419, 753% EE 753.9] 19) 750.9 758.5| 18 751.3] 753.2) 18) 7510 à DÉCRET 767.5] 19] 765.9) 767.5) 18, 765.3| 768.0, 18) 7651 de lt 766.5] 19]. 764.9) 765.0] 19) 762.71 763.3) 19| 761 765.3] 19] 763.0] 766.0| 20] 763.6l 766.0) 20] 76341R Dent 770.6] 19] 768.3] 771.0) 49! 768.7] 771.0] 19, 7688 manie 774.0! 19| 768.7) 771.0| 49) - 768.7| 774.0) 19] (76 LPS 770.5] 20) 767.1] 769.6| 920] 767.2 769.5) 20] 61h NAS 769.6] 920! 767.2] 770.0] 20] 767.6| 769.5) 20] 76% US ES 770.6| 920| 768.2] 770.8| 20] 768.4| 769.0) 20] 7661 RE 765.5| 21| .763.0] 766 5| 20] 764.1| 767.0] 20] 7688 SERRE 778.0] 19) 770.7| 713.3] 19| 771.0] 773.0] 19, 770 PEN ES 778.5] 19) 771.2) 773.0] 19] 770.7| 713.0) 19] US AT 712.0] 18) 769.8] 772.0) 18] 769.8] 771.0) 18| 7684 771.0] 19) 768.7) 770.6) 19] 768.3| 770.6) 19| 7684 ES PNG 173.0] 149) 770.7| 773.0) 49] 710.7] 772.8] 19| 0 DR res 174.2, 48/ 712.0] 774.2) 148] 772.0] 773.5). 19| ARS 770.5) 18| 768.3] 710.0) 18/ 767.8] 769.0! 19/70 FEU 767.0] 19| 764.7] 767.0] 19) 64.7] 766.5] 19] V6 PSS US 766.2] 18] 764.0] 766.8) 18) 764.6] 767.0| 18| 1644 Re 769.8| 171 767.7] 769.8 18| 767.6l 769.0) 17| 766.4 766.0] 18] 763.8] 765.2] 18| 763.0] 764.0! 417| "700 ART 759.2] 18] 757.0] 759.0) 17| 756.9] 759 6| 47/00 763.8| 16] 761.8] 764.2] 16| 762.2] 764.2| 16| 762% 23715.0| 578] 23643.3| 23710.9) 556) 23641.3) 23692.0| 556| 236224) Moyennes, 765.0118.6] 762.3) 764.8/17.9] 762.6) 764.3117.9)] 162 Hauteur barométrique corrigée de Yaltitude. 75.560 = DU PHARE DE ROCHEBONNE. EE de la Rochelle. DR RCE ECC TEe nRE TEMPÉRATURE TEMPÉRATURE VENT de l’eau de mer. de l'air. NT a — — ; à 9h. du m. à midi. à 3 h. dusoir. CR. 0 OR SR ES direc- :| direc- tion. Observée le soir à 3 heures. À 9h. du matin. Observée à midi du soir PLUIE Hauteur observée à9 h. du matin À 9 h. du matin. A midi © [e cc O © #5 @ à 00 (de) (ee) ae © RESTO à 45.2| 159 O Or Or St AN > de CL 1 © =) be e HN (ep) © Q0 = de Æ © E=; [Se] > De be ee mb jee à [=p] D © © DE © Ot © © Dr D © 00 Or Où NO «O res [en] © ras © Mol are. 171 {7 ZAR Un n° nrRpnnnaA (eo HPCe-Ceeeet mn 6 2202227, En .. . 5 EH . = RER LS Fe NE. © AE LO 0 © © NO 00 WI Oo CO nRrz ee): SR UT © GO =1 00 CL RO CO PZ pnnnmun A 6 ES RTE Soi HOCOQ©Q @X Zum EN 22° . 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Arrondissement Vent violent. . Ouragan. OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. LETTRES ARR "ur ad lat DÉS UE . à 9 heures du matin. Lecture corrigée del’erreur du zéro e l'échelle. 22913.8 763.8 Hauteur barométrique corrigée de l'altitude je mel ee se als" pas e Te ns à midi. à 3 heures du sorr. WW ® | hauteur | Lecture © | hauteur | Lecture ® | hauteur #: Z | ramenée 2 | ramenée | (OMISEE | Z | ramenée: £ te e l'erreur È SIT de l'erreur, & FAT. Ë 2 tempé- | du AA 2 | tempé- | du APR. & | tempé- 5 rature O. l'échelle É rature 0°. l'échelle. | Ë rature 0e. 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TATON 49] 754.71 756.0) 12) 7545) 755.7| 12| 7510818 49| 757.1| 758.3) 12| 756.8| 758.3| 12) 56) 49] 767.5] 769.0) 12] 767.5] 769.3] 12} 176788. 19] 770.0] 770.7] 12] 769.2] 769.0] 12} 70188 49! - 761.3] 762.8| 11] 761.5| 763.7) 1111" 70088 411 768.5. 770.0) 11| 768.7| 769.5), 12! 7680: 1431 767.9| 769.9] 13! 767.6, 767:.7| 13|: 7668 141 755.5] 758.3l 414] 756.6! 759.0)! 141 7578 19| 770.8 773.3) 49] 771.8| 773.5] 43/0070 43| 776.6] 778.6) 13] 777.0) 711.6) 45] MONS 431 773.9) 773.9] 441 771.5 772.0| 14| 710,8k| 14] 763.3] 163.8) 14] 762.1] 762.9) 14] 161: 417| 29862.6| 22907.9| 419| 22855.8) 22893.0| 495 LU : 4 441 762.1| 763.5l 14] 761.8| 763.1! 14| 764 4] ni À * 7 ‘O0 | SOS SN ON 9 10 109 SF 9 9 D ON M9 EN 0 10 LD 1 D CD et eh ei CD NT ON GT ON EEE ZA CÉSAR Eco, SC de Fe 0 RTE ME DA OR, OI LOS Pere NDNZ Z ZA ZA pu | "on40p | EN D == GI EN ED 10 10 FD M MD = ND EN ED 10 LD 10 CO CD 10 7 D JF CU ON CN \ | ms A .On eee of cesse. cer RME MERS ON ROUEN ET RE NS ch ri PP RE ie AA GIE SIGN GI M 10 DO + M MM AN MNIDLIDOLNSNMSLANSE —— VENT A On nadéné do d.0. dadds. & . A 2e Te ue TO SNS M PE PE OZ .Aw A AP ALAN AOC PAC PEN LE PAPA AVAL PA ‘urjeu np ‘U 6 R 29A19$q0 IN9JNCH "4114 DR MR MR EURO SR RUN RMDIGINSS sera a 725 CE CA PCR CE RE NRA ER PTE m4 DU, Se A 9. TN Eee rte ee) ES nl Te ME US AO VS PS Cr TU LE A Rs UE NE PE D LEE ŒIL Nr tee ne 2 TEMPERATURE | SHARE SEE JU PHARE DE ROCHEBONNE. le la Rochelle. ap] + (ni (ap) © — ou ST ER AE Pre UT DO EE RE En Ce ee PS NN OR 10 ne "Sono £ J10S 9[ 224195q{) | diétre ef" "et Sn ERA UE 4 IPIUL % 99A10qQ tm — eau de mer. citisssestasl 10 a: ee DOUQINDONSDMOI-MDENNIDNOOHMERI-I9S er Y RC PR DE OP NC SO OR TR D Le ste or. SAS SE ASH NL C9 2. cA TONI GI NI GNU et mt mm GI 179 re s Ses TEMPERATURE de l’ fovembre 1893 6.0 Les Calme. . Légère brise. . Petite brise. . Jolie brise ; bonne brise. Bon frais. INDICATION des JOURS. ..... snleloïe ste njeie. os (nn …....... ....…... detre rsietels Jesse ss... nos 5 epiain …... Totaux. Moyennes. de l'altitude ... .….. _.. ss... mie eee. es; Aa ss... _. __......s CCC ss... . Grand frais ; coup de vent. . Tempête ; ouragan. ee TN moe "7" OBSERVATIONS MÉTÉOROLOGIQUEÏ Calme. Vent faible. Vent modéré. Vent assez fort. Vent fort. Vent violent. Ouragan. Arrondissemer d OBSERVATIONS DU BAROMÈTRE LE JOUR. à 9 heures du matin. RE re | de CO Ql Lecture corrigée de l'erreur du zéro de l'échelle. ONSsSswmonouseussoosodowreoceau 23766.5 766.6 Hauteur barométrique corrigée = | hauteur = ramenée AE = | tempé- E [rature OP. Ex TAC 419 765.0 11 765.6 9 768.9 19 168.5 12 769.8 13 762.7 14 758.3 14 10980 14 For 14 149.7 13) To140 14) 22075281 14 fl). 1 3 177.4 12 nr 0) 12 Ale) 13 764.9 14 15929 14 749.5 13 756.4 14 766.1 14) 759.6 14 ny 3: 15 11182 14 776.5 à 11e 4154 774.5 11 776.1 ail 774.6 11 TRS) 413.2) 23717.1 13.0 765.0 à midi. Lecture © | hauteur corrigée | E | ramenée del'erreur| & ae ART à tempé- e 0 l'échelle. | & |"ature ®. | 758.8] 14 1914 766.3 "13 164.1 766.8| 10 765.6 770.0 à 168.9 440-5144 169.2 211: 02 766.5 163.8) 13 7102242 759 0| 14 797.3 156.8| 14 155.1 752.6, 1à 750.9 153.6| 14 15400 156" \0ME 154.9 156.0| 144 754.3 160:0| 14° 758.3 180.0) 13 118.4 1180). 42 777.0 712.0) 13 770.4 766.0! 13 764.4 15290| ‘14 750.3 749.0! 14 747.3 760.0! 13 158.4 767.0| 14 165.3 11320) 049 TA 713.0! 14 77173 175.41 15 773.0 777.0| 14 11979 1180) 45 773.4 119 0045 175.4 111.8| M2! 776.8 715,0 4 174.1 773.41 11 772,0 23763.8| 403| 23714.0 766.5| 13 764.9 à 3 heures du soir. | Lecture oO RE Fa hauteu corrigee = F de l'erreur 8 US du Re es ee tempé= l'échelle. El PARTIES Mois dŸ 759.41 141 75% 765.8 12 7644) 766.41 10! 765. 769.0] 10! 767 770.5): 12| 769. 769.5) 12] 768$ 762.8| 131 7614 757.7) 14] 7564 757.0] 13 7534 752.6| 14! 750.h! 755.5 13° 7534h 754.8 13 753.h 755.1| 414) 7588 762.8| 14! TG 771.5) 13) 70 718.0 12) 71771! 771.0] 14] 760 165.0| 14 7634 752 0) 13] 7504 749.5| 143 744 761.0) 13! 7594 767.0| 14] 765.M 771.5! 45! 769% 773.0| 14) TRS 716.0! 15) TI 777.2) 14| M9 774.5) 13| 178.1 777.5) 43| "715.4 771.0) 12) 75 775.5 11! 7744 773.5) 41| ‘M2 23757.17| 402| 23108-@: 766.3112.9| 764.1 DU PHARE DE ROCHEBONNE. de la Rochelle. = HU RE O6 4.80 «O0 Sue AOS OA .E .02 © Fr .E A AA ARE NE nc De ZOzZn AANZ PSNINONMANNITISOCMeNNNITOSNANNENTOLE Pare ES SR 0 SMS 4 da A RE GSAAAg . © © … .A9400 . Sa On LE ere rt etien OA SOL Pré trames DATE A ñ ann su à 3 h. dusoir. 0 à midi. A ÉD FAO 10 EN GI GI D HS D IDD NII MIO TOOANCINNNANSA e. a ————_—_—_—_—__—_—————_ ORASES . . ; © AggEeo = % = “eA < E 5 OTO%Zu © O OZ É \ DAAAZZ A ANR % ‘UTJUUI np © SM own S—— ‘I 6 % 29A498q0 ANOJNUF] A RAD Ames AHOSM À À À À 2 GuN0 ‘41974 ; à 9 h. du m. S19 MITOSMD. UC «© 00 © IPTU de l'air, ei PE ne ne pepe) : TI TEMPÉRATURE "Sainauy £ JI0S 9[ 29AJ95q() ‘IPIUU © o9A405q0 TEMPÉRATURE de l’eau de mer “UQUU NP ‘4 G V k pe : 7 Li 10 , ar ï Les Ÿs ®. Li st he 4 Dr: LISTE DES MEMBRES De la Société des Sciences naturelles DE LA CHARENTE-INFÉRIEURE. 1894. En “cs Bureau. Président, M. En. BELTREMIEUX, (%, I &ÿ). Vice- Présidents. | Secrétaire, M. A. DoLLOT. M. L.-E. MEYER, (A £ÿ). M. F. Lussow, (I &ÿ). Bibliothécaire et Secrétaire-adjoint, M. CH. BAssET. Directeur-Conservateur, M. En. BELTREMIEUX, (%, I €D). Conservateur-Adjoint, M. Ch. BASSET. Trésorier, M. E. CounEau, (%, À à). Membres Titulaires. ANDRAULT, cons. à la cour d'appel, Alger. AUCAPITAINE, (Baronne Suzanne). BABuT, E., fils, m. de l’ass. fr. av. des sc. BARBEDETTE, H., sénateur, cons. général, rue Faubourg Saint-Honoré140 à Paris. BaroN, receveur de l’enreg., en retraite. BARTHE, (%), docteur en médecine. Basser,Ch.,nég., m. de l'as. fr.av.dessc. BELTREMIEUX, Ed., (%, I &ÿ), m. de la Soc. géol. de Fr., v.-p.du cons. de Préf. BERGERAT, pharmacien. BERTEAUD, E. ($), dir. contr. direct. retr. BoISSELLIER, À. ($)ag. princ. adm. mar., m. de l’ass. fr. avanc. sc., Rochefort. BourTiRoN, M. doct.-méd., à St-Xandre. BraRD, Er., (%, À &ÿ,) doct.-méd., m. de l’ass. fr. avanc. des sciences. BRosSARD, A. pharmacien. Brunaup, P., m. de la Société bot. de France, à Saintes. BuxEL, Ch., (A &ÿ), architecte du dépar- tement. CASSAGNEAUD, (A £ÿ), conservateur du Muséum La Faille. CHEVALLIER, Cam., négociant. COINDON, AÀ., employé de l’adm. des ponts et chaussées. ConpAMy, Ad., m. de l’assoc. fr. avanc. des sciences. CORBINEAU, AÀ., préposé chef, octroi. CoRBINEAU, P. architecte de la ville. CouNEAU, Em. (%, À &b), gref. au Trib. civ. m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. CREUZÉ, AÀ., (%), dir. des contr. direct., en retraite. CuNAUD, G., pharmacien. Davezuy, Ch, adm. des contr. directes, à Paris, Ministère des finances et bou- levard Brune, 107, Paris. — 110 — DEFORGE, AÀ., avocat. DELAGE, (A &ÿ), professeur au Lycée. DELMAS, J., m. assoc. fr. avance. des sc. DoLLorT, À. entrepreneur-directeur des travaux du port de la Pallice. Duany-SoLer, doct. en médecine. Dupuy, L., (A &ÿ), prof. d’hist. au Lycée, membre de l’assoc. fr. avanc. des sc. DussER, ($) commissaire de la marine. FARRAN, maire d’Aytré. FAUSTIN, G., (%, %), armat., consul. de Portugal. FLEURY, P. (A., #ÿ), pharm. à Marans. Foucaup, J. (A., €ÿ), bot. au jardin de la marine, Rochefort. FROGER, pharmacien. GARNIER, Fr.,(% A £ÿ), maire de Royan, député, conseiller général, rue de la Trémoïlle, no 7, Paris. GATAU, René, courtier maritime. GILLET, C., contr. princ. des contr. dir. à Joinville. GuiLLaup, docteur, prof. à la faculté des sciences de Bordeaux, aven. Gambetta, 71, à Saintes. GUILLEMOT, Ch., quai de la Mégisserie, 20 Paris. HéLciras, Em. ( $&, I £ÿ), préfet. HiLLAIRAUD, F., docteur en médecine. JOUSSET, pharmacien à Rochefort, m. de la soc. bot. de France. LAMOUREUX, méd.-vétér., Saintes. LAURENT, Ch., doct. en médecine. LECOQ DE BolISBAUDRAN, (%, A 6), corresp. de l’Acad. des scien., m. de l’assoc. fran. av. des sc., Paris, rue de Prosny, 36. LÉRIDON, G., négociant, armateur. LouvEL, CG. ds I &ÿ), préfet, à Blois. Lussow, Fr., ([ &ÿ), prof. phys. et chim. Lycée, dir. du laboratoire de chimie, m. de l’ass. fr. av. sciences. MarCHAIS, ancien pharmacien. MarsiLLy, A. de Commines de, à Saint-Lô, m. de l’assoc. fr. av. des sc. MarTiN, Eug., imprimeur. MARTRE, E., Dir. des contr. dir., en retr., à Perpignan, Massiou, E. (I £ÿ), architecte, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. MENUT, A., (A &ÿ), contr. des douanes, en retraite. MESCHINET DE RICHEMOND, L., (I £, K), archiviste du département. MEsniEr, Marcellin, banquier. MEYER, L.-E., (A &ÿ), courtier maritime. MicHAU, pharmacien. MiLLOT, (A &ÿ), professeur au Lycée. MopELsKki, (%), ing. en chef des ponts et chaussées. MorEAU, À., (0 $#), général, gouverneur de Grenoble. MoreLay, L., bot., avanc. des sc., cours de Gourgues, 5, Bordeaux. "NADREAU, médecin-vétérinaire. OpiN, Amédée, pharmacien, aux Sables- d'Olonne. D'ORBIGNY, Alcide, (A &ÿ, 5%), arm. m. de l’assoc. fran. avanc. sc., Maire de la Rochelle. PÉRIER, Aug., courtier, in. de l’ass. fr. av. des sc. PIETTRE, prof. de sciences au Lycée. PizLor, M., nég., m. de l’assoc. fr. av. des sc., à Montmorillon. PoumEraAY, L., sous-Préfet, à Jonzac. RepEuIzH, N., (%) dir. des contr. direct., retraité, à Paris. REIGNIER , docteur, à la Rochelle et Surgères. RouILLÉ, père, rentier à Tours. RouiLLÉé, Louis, prop., chalet Bois- marjac, Fouras. Rouvier, P. (&) cons. gén.,à Surgères. Rouy, G. ($&), membre de la soc. bot. de France, Asnières. RUBINO, AÀ., rentier. TERMONIA, (O %), docteur méd.-major re cl. retr., place Champ de foire, 9, à Saintes. THURNINGER, Alb., (%), ingén. chef ponts et ch., m. de l’ass. fr. avanc. sciences. VIENNOT, Ing. des ponts et chaussées. VIvViER, Alfred, ([ &ÿ), juge hon., m. ass. fr. av. sc., boul. Haussmann, 92, Paris. L — 111 — Membres BERNARD, O., inst. Bois (ile de Ré). BoLLoN, v. p. de la com. adm. des hos- pices, à Rochefort. BoucHERIE, Michel, à Chez-Merlet, com. de Bresdon, canton de Matha. BOURON, nat. prép. Rochefort. Bourru, (O0 &), Dr méd., en chef, prof., Rochefort. BouscassE, (X), ing. civil, à Puilboreau. BouyER , docteur-médecin , Cheray (Oleron). Buisson, prép. hist. nat. Châtel-Aillon. BuroT, P., Dr méd., prof. à l’école de médecine, à Rochefort. CAILLAUD, naturaliste, à Châtel-Aïllon. CoMBES, Dr, maire, Pons, cons. gén., sénateur. COUILLIAUX, juge de paix, Aigrefeuille. DELABARRE, rec.-bur., douanes, Saujon. DELAVOIE, conducteur des ponts et chaus- sées, Rochefort. Agrégés. DE SAINT-MATHURIN, St-Jean d’Angély. ESPAILLAG , conducteur des ponts et chaussées, St-Denis (Oleron). Mans, Ad., (%), cap. retr. Saujon. MuRE, Edm., négociant, à Surgères. NORMAND-D’AUTHON , P., la Martière (Oleron). PIcHEz, docteur-médecin. PINEAU, Emm., Dr-m., Château-d’Oleron. RiGAuD, Ch. docteur-médecin, Pons. RomIEUXx, O, (k), capitaine de frégate, Rochefort. SIMON, receveur de l’enr. à Rochefort. TESSERON, instituteur en retraite, à Cra- zannes. THIBAUDEAU, lieutenant des douanes, à la Pallice. VIEUILLES, secrét. de la mairie, Thenac. VIviER, Alph., avocat, à Rochefort. XAMBEU, ( IL Eÿ, FH), directeur du labo- ratoire de chimie de Saintes. Membres Correspondants. ALLENET, lieutenant de vaisseau. ALLENET, chef de bataillon. ARNOUX, Sosthène, professeur, Orléans. BARINE, Arvède, (madame Ch. Vincens, lauréat de l’Institut), à Paris. BAUDOUIN, pharmacien, Cognac, m. de Passoc. fr. av. des sc. BAYLE, (%), ing. en chef des mines, en retraite, à Paris. BÉDART, doct. méd., Bordeaux. BERCHON, (%, %, À €ÿ), méd. prince. de re cl. de la mar., en retr., Pauillac. BERGERET, past. à Baussais, Deux-Sèvres. BERNARD, Aug., à Poitiers. BERNARD, Georges, (#), ph.-maj., m. de l’as. fr. av. des sc., Paris. BERNARD, Gabriel, contr. princ. des contr. directes, au Hâvre. BERTHAUD, prof. de physique, Mâcon. Bo1zor ((I &ÿ), prov. du Lycée, Mâcon. » - BoNJEAN, Félix, à Lyon, économiste, BORDAGE, Edm. BoREAU, géologue, Parthenay. BOULANGIER, ing. des ponts et chaussées. BouLLaAND, H., doct. en méd., à Limoges, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. BOUQUET DE LA GRYE, (O0 %&), ing. hyd. en chef, m. de l’assoc. fr..av. des sc., m. de l’Institut, Paris. BoURGUIGNON, O., pasteur à la Mothe Ste-Héraye. Bover, Alfred, prés. de la société d’ému- lation, Montbéliard. CamPEAU, J. R. E., président de l’insti- tut français-canadien à Ottawa. Camus, pharm., boul. St-Marcel, Paris. CASTAN, officier d'artillerie. CHABERT, AÀ., (#&), médecin principal de re classe, à Lille. CHAMPENOIS, inspecteur des forêts. CHAPLEAU, Lt-gouverneur de Québec. CHARLET, Bernard, à Luze (Basses-Pyr.) — 112 — GHARTRON, recev. de l’enr. Lucon. CHASTEIGNER, (Gite Alexis de), Bordeaux, membre de l'association française pour l’avancement des scienges. CHAUVET, not. à Ruffec, m. de l’assoc. fr. av. des se. CONTEJEAN, (3%), doct. ës-sc., prof., à la Faculté, retr., à Montbellhard. COTTEAU, (k, 1 Éÿ), juge hon., Auxerre, m. de l’assoc. fr. avance. des se., anc. prés. de la Soc. géol. de France. COURÇONNAIS, Ch., (I £ÿ), insp. d’acad. en ret., à Limoges. CousTOoLLE, ingénieur en chef des ponts et chaussées, Alger. CRAHAY DE FRANCHIMONT, (%}), ing. en chef, Bordeaux. DANGIBAUD, (0 %), sous-direct. au min, de la marine, à Paris. Dassy, Ferd., préparateur de physiologie à la faculté de médecine, Paris. DAUBRÉE, (C $e, I D), insp. gén. des min. membre de l’Institut, Paris, m. de l’assoc. fr. av. des sc. DEcAvauU», (O% ,I£ÿ,%), Insp., hon. ser. santé, rue de la Boëtie, 5, à Paris. DELFORTRIE, prés. de la Soc. linnéenne, Bordeaux. DELHOMEL, rue de Verneuil, 40, à Paris. DOCTEUR, A., négociant, Bordeaux. D’Ouxous, à Saverdun (Ariège). DRroUET, m. de la Soc. acad. Troyes. DROUINEAU, G., (A £ÿ), Dr, insp. génér. de l’assistance publique, r. de Navarin, 45, à Paris. DuFFORT, pharm., à Angoulême. DuPré, ( #, [. £ÿ), inspecteur de l’Aca- démie, Paris. DuvaL-LAGUIERCE (%), colonel du génie ECx, André, pharm. Nogent-sur-Marne. ENSCHÉDÉ, A.-I., (O >), arch. bibl. à Haarlem. FABRE, Hector, commissaire du Canada, à Paris. FÉE, F., ($), méd. princ. de 4re cl. dir. du service de santé, 11e corps. Fins, Dr., dir. de l’obser. météor, Per- pignan, m. de l’ass. fr. av. des sc. FOURNIER, AÀ., préposé aux collections d'histoire nat. à Niort. GABORIT, pharmacien, Nantes. GALLES, ancien conseiller de préfecture. GAMIN, instit., à Piedblanc, près Niort. GARNAULT, : (A £ÿ), prof. d’hydro. en retraite, Brest. GAUDRY, Albert, ($), membre de l’Instit., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. GAUTIER, L., doct. en médecine, Melle. GIARD, pr. zool., m. de l’assoc. fr. avance. des sciences. F GIRAUDEAU, Ed., D'-m., ex-int. deshôpit., Paris. Goop, Paul, médecin de la Marine. Goop, Arthur, publiciste, Paris. GOURRUT, docteur ès-sciences, Niort. GUILLON, ($), dir. Cont. indir., en re- traite, Angoulême. Gyoux, doct. en médecine, Bordeaux. HuGuEs, Edm. (0 >X, I &ÿ), sous-Préfet aux Andelys. Hy, F., abbé, membre de la Soc. bot. de France, Angers. JAY, HON, JOHN, anc. ministre plénip., à New-York. JouaN, (0 %, I £ÿ), cap. vaisseau, en retraite, Cherbourg. JOURDAIN, doct. ès-sc., Paris. JoussET, docteur-médecin, Lille, rue de l’Orphéon, 16. JOUSSET DE BELLESME, dir. des établiss. piscicult. Paris, m. de l’ass. fr. av. sc. LABEYRIE, insp. prim. à Tulle. LABOULBÈNE, (O0 %, À &ÿ), pr. à la fac. de méd. de Paris, m. de l’Acad. de méd., à Paris. LALANDE, Philibert, secr. gén. Soc. sc., hist. et arch. de la Corrèze, Brives. LATASTE, Fernand, secr. géné. de la soc. scientifique du Chili, Santiago. LeGouis, prof. de zool,, éc. norm. Paris. LEMOINE, doct. prof., école méd. Reims, m. de l’ass. fr. av. des sc. LETELLIER, prof. Alençon. — 113 — LorioL (de), géol. chalet des Bois, près Genève et à Frontenex, Suisse, m. de l’assoc. fr. av. des sciences. LuBawski, (Gte Alex. de), (GG X), aca- démicien à Viazma, province de Smo- lenska, Russie. LOURDE, pasteur, à Espérausses (Tarn). Ly-CHa0o-PÉE, (À &ÿ, %), mandarin et lettré chinois, attaché à la mission scient. en Europe. MALINVAUD, Er., secr. général de la Soc. bot. de France, à Paris, rue Linnée, 8. ManTovant, Paul, naturaliste, Rome. ManTovant, G., naturaliste, Rome. Marçais, Ed., secrétaire général de la société française de botanique, rue Ninau, 19, Toulouse. MARÉCHAL, Gaston, répétiteur au col- lège Rollin, à Paris. Maurras, Em. Villegouge, par Castelnau de Médoc, Gironde. MazURE (%, I &ÿ), insp. d’acad., retraite. MiLa DE CABARIEU, H. (O $, I €), ancien préfet, Cabarieu (Tarn-et-Garonne). Mine-Enwarps, (%) Alph. m.de l’inst., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr., avanc. des sc. MouLLaADE, Alb., pharmacien major de re classe, à Alger. MOULLADE, pharmacien au Puy. PAPIER, À., prés. de l’acad. d'Hippone. PERRIER, Edm., prof. au muséum, Paris, m. de l’assoc. fr. avanc. des sc. PorTaL (de), Louis, à Montauban. RAGONA, Domenico, (G. 3%), dir. obser- vatoire, royal Modène. RAMONET, ag. ad. de la Marine, Ruélle. ROCHEBRUNE, A. (de) doct., aide-nat. au muséum, à Paris. Rousseau, Philéas instit., à La Verrière de Bruffieric (Vendée). RouxEL, prof. de physique. SARRAU, Em. (%), membre de l'institut, à Paris. Stehelin, L. (0 %, I £&ÿ,) Préfet à Nancy (Meurthe-et-Moselle. SURINGAR, W. E. R. (O0 %,) prof. uni- versité, Leyden. SILVA, le commandeur J. da, (0 %, I &ÿ), arch. du roi de Portugal, m. de l’Ins- titut de France, Lisbonne. TAsLÉ, (%), ancien notaire, Vannes. TiLLeT, Paul, professeur d'histoire natu- relle, à Villeneuve-sur-Saône. TRIGANT-BEAUMONT, (Madame), botaniste. VENDRIÈS, employé au ministère de l’ins- truction publique, Paris. Vraup-GRAND-MaraIs, docteur-médecin, Nantes. ViLAnoOvA, J., prof. paléont. à l’univer- sité de Madrid, m. de l’as. fr. av. des sciences. VINCENT, pharmac., à Angoulême. W@æLFFLE, agent-voyer d'arrondissement Civray. LABORATOIRE MUNICIPAL DE CHIMIE AGRICOLE, INDUSTRIELLE, MÉDICALE, ETC. CONSEIL D’'ADMINISTRATION : MM. BELTREMIEUX, Ed., (%, I €ÿ), prés. de la Soc. des Sc. nat., Président. Lusson, F. (I &), prof. agrégé des sciences au Lycée, v.-prés. de la Soc. des Sc. nat., Chimiste, Directeur-Conservateur ; PIETTRE, prof. agrégé sc. Lycée, m. de la Soc. des Sc. nat., Chimiste-Adijt. CoxpaMy, Ad., m. de la Soc. des Sc. nat. MicHauU, pharm. de {re classe, m. de la Soc. des Sc. nat. COMITÉ DE BOTANIQUE SOCIÉTÉ ROCHELAISE POUR L'ÉCHANGE DES PLANTES FRANÇAISES. MM. BELTREMIEUX, Ed., (%, I &ÿ), v.-prés. du conseil de préfec., Président. Lusson, F. (I &ÿ), prof. de sciences au Lycée, Secrétaire-Trésorier. CREUZÉ, Am. ($%,) dir. des contr. dir. en retraite. Foucaup, J. (A &ÿ,) chef botaniste du jardin de la marine, à Rochefort. JOUSSET, pharmacien, à Rochefort. MicHau, pharmacien. TErmonia, (O0 %), doct, méd. major, 1re classe en retr., Saintes. ACADÉMIES ET SOCIÉTÉS CORRESPONDANTES. — >< FRANCE. D... ........ Ministère de l’instr. publ., comité des trav. sc. et soc. savantes. (Envoi de 5 volumes d’annales.) ! Ve RP ETS ONE Académie des sc., agric., arts et b.-lettres, Bouches-du-Rhône, LL LE TE NSNNARENRRRRSS Société scientifique et littéraire. BIENS... ........... Société linnéenne du nord de la France. GERS 0, Société d’études scientifiques. 0 A. Re t Société nationale d'agriculture, sciences et arts. LL... Société industrielle et agricole d'Angers et du Maine-et-Loire, DC. AASEMARENERR .... Société d’horticulture du Maine-et-Loire. NT: DRE RUETAE Société d'histoire naturelle. Auxerre...... tre Société des sciencés historiques et naturelles de l'Yonne. Bayonne ............ Société des sciences et arts. Beaune........ dus Société d'histoire, d'archéologie et de littérature. Meort...:....... . Société Belfortaine d’émulation. LT EN EIMETNEERRRES Société scientifique, archéologique et littéraire. Bedel:.:....... .. Académie d’'Hippône. Bordeaux. ..... ..... Académie nationale des belles-lettres, sciences et arts. 115 ONE :.*-.... Société linnéenne. 1: SERRE TRE ... Société des sciences physiques et naturelles. 25 SSP ......... Société d'anthropologie de Bordeaux et du Sud-Ouest. A... rte de Société archéologique. OT nee - à Société des sciences naturelles de l'Ain. Brest. Gin ..... Société académique. DES... ....... Société scientifique, histor. et archéo. de la Corrèze. A Société linnéenne de Normandie. Châlons-sur-Marne. Société d'agriculture, commerce, sciences et arts de la Marne. Dhambéry .......... Académie des sciences, lettres et arts de Savoie. Cherbourg........ . Société des sciences naturelles. RE . . Société de Borda. Draguignan......... Société d’études scientifiques et archéologiques. DoeEnoDle......:.:..: Académie delphinale. Muéret ...........,., Société des sciences naturelles et archéol. de la Creuse. Le Hävre ........... Société nationale hâvraise d’études diverses. T5 PONT PR ET RUIT . Société des sciences et arts, agricoles et horticoles. Rangres........,.... Société historique et archéologique. UT... ..... Société d'agriculture, sciences, arts et commerce. [2 CORPANPPEPREEP Société agricole et scientifique de la Haute-Loire. Mille... 5.::::.... Société géologique du Nord. — 116 — Eamodges...2 1.1.0: Société Gay-Lussac. RE se Lace Société de botanique du Limousin. OR de. Société d'agriculture, d'histoire naturelle et des arts utiles. VON: eu nc Société littéraire, historique et archéologique. He Mans... Société historique et archéologique du Maine. Marserlle,:....,::.... Société scientifique flammarion. Montauban ......... Académie des sc., belles-lettres et arts du Tarn-et-Garonne. Montbéliard........ Société d’émulation. Montpellier......... Académie des sciences et lettres. Moulins :.::.:7.4102. Société de la revue scientifique du Bourbonnais. Names net Menu. Société académique. 15 PS ER EME Société des sciences naturelles de l'Ouest et muséum. Nibers serons Société des lettres, sciences et arts des Alpes-Maritimes. NIMES...) 200. | Académie nationale du Gard. 1; 0 FALSE Age DEA . Société d’études des sciences naturelles. LH Pc Lg ARRETE EME EAU Société de statistiques, sciences, lettres et arts. LC ENS Er RCE Société de botanique des Deux-Sèvres. AM UT UR sa Bibliothèque scientifique de l'Ouest. Past. LR de Musée Guimet, au ministère de l'instruction publique. LAS SN ANR IA UE Association française pour l’av. des sc., rue Serpente, 98. 110 PEN TPE en Ecole polytechnique. M PTS Nr ee Société géologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. 115 FR LE ie re Société zoologique de France, rue des Grands-Augustins, 7. A RER NE Société botanique de France , rue Grenelle-Saint-Germain, 84. OMR ER UETATIIS ER Société académ. indo-chin, de France, rue du 4-septembre, n° 9. 1110 ROBES EEE AAA RR Société de la Revue des sc. nat., de l'Ouest, boul. St-Germain, 14. AU de se le Société des sciences, lettres et arts. Perpignan ....... .. Société agricole, scientifique et littér., Pyrénées-Orientales. PrIVASM. muse Société d’agr., industrie, sciences, arts et lettres de l’Ardèche. BEST a: Académie nationale. Reims..... ira ere Société d'étude des sciences naturelles. Rochechouart ..... . Société des amis des sciences et arts. Rocheñfort ........... Société de géographie. Roueb..L.-h tu. Société des amis des sciences. SENS Rs TEE Société archéologique. St-Etienne.......... Soc. d’agric., indust., sciences, arts et b.-lettres de la Loire. TOULON: :...::.4410. Académie du Var. Toulouse: ..::,...,... Académie des sciences, incriptions et belles-lettres. 6 PAR NN A Société d'histoire naturelle. DE ES ERNST Société archéologique du Midi de la France. ÉANRE AARCRS Société académique Franco-Hispano-Portugaise. Hi ESP RP Société des sciences physiques et naturelles. 10 EUROS CIC RE A ne Société française de botanique, rue Ninau. PO MES 4 dame nu déc Société acad. d’agric. des sc., arts et belles-lettres de l'Aube, MANRES Lt... Société polymathique du Morbihan. Verdun {ends Société philomatique. Versailles. :..u2.2 Société des sciences naturelles et médicales, de Seine-et-Oise. rose ........ SOCIété des sc. morales, des lettres et des arts de S,-et-Oise. Valenciennes.... Vitry-le-Françai Mo . Société d'agriculture, sciences et arts. Société d'agriculture, scienceset arts de la Haute-Saône. Société des sciences et arts. . ALSACE-LORRAINE. Société d'histoire naturelle. Société d'histoire naturelle de la Moselle. Société d’horticulture de la Basse-Alsace. Société des sciences, agriculture et arts de la Basse-Alsace. ALLEMAGNE. .. Société des sciences naturelles, naturwissenschaftlichen vereine. 6. Kœnisberg. Halle-sur-Saale Montréal. Fe, . Société d'histoire naturelle. . Société des sciences naturelles, Naturforschende Gesellschaft. Société d'histoire naturelle et méd. de la Hesse sup. Oberhessis- chen Gesellschaft fur natur-und Heilkunde. Société physico-économique , Koniglichen physikalich-okono- mischen Gesellschaft. Académie imp. Léopoldino-Carolina des naturalistes. (Prusse.) Société botanique. (Bavière). ANGLETERRE. British museum (natural history), Cromwell road. . Société littéraire et philosoph., litterary and philosophical sociéty. AUTRICHE. .. Musée d'histoire naturelle impérial et Royal, 1, Burgriny, natur- historischen hofmuseums. BELGIQUE. Société royale malacologique de Belgique, Société royale de botanique de Belgique. CANADA. Société d'histoire naturelle. Société historique de Montréal. Institut Canadien-français. .. Université Laval. Halifax ......... Davenport. ne New-Haven.... . Canadian institute. Nova scotian institute of sciences. CHILI. Société scientifique du Chili. ETATS-UNIS. Académie des sciences naturelles, academy of natural sciences. -. Académie des arts et des sciences de conneticut ; academy of arts Philadelphie... and sciences. Société philosophique américaine, américan philosophical sociéty. — 118 — Topeka.............. Société historique de l’état du Kansas ; State historical of the ; Kansas. 6 PRE .... Académie des sciences du Kansas ; académie of sciences of the Kansas. St-Louis, M O...... Missouri botanical Garden. Washington........ Société géologique des Etats-Unis ; Smithsonian institution. id. DCE Société des régents de l'institution Smithsonienne ; united, states | géological Survey. id. DC. Bureau d’éthnologie ; bureau of ethnology. LUXEMBOURG. Luxembourg........ Société de botanique du grand duché. RG Sun de MR me Société des naturalistes luxembourgeois. MEXIQUE. Hacubaiya..: "7 Observatoire astronomique national ; observatorio astronomico. NORWÈGE, Christiania ... ..... Université royale de Norwège. PÉROU. DA ren or Société de géographie; Sociedad Geographica. PORTUGAL. Porto............. .. Société de géographie commerciale ; sociedade de geographia commercial. RUSSIE. | Helsingifors......... Société zool. et bot. Finlande ; pro fauna et pro flora Fennica: RUE... Je ... Société des naturalistes à l’université impériale de Saint-Wladimirs Kievskoie Obschestvo Estestvo Ispytateley. Moscou......... ..... Société impériale des naturalistes. SUÈDE. | Stockholm ...... .... Académie royale des belles-lettres, d'histoire et des antiquités Kongl. Vitterhets historie och antiquitets akademien. SUISSE. Berne ete Société des sciences naturelles. ad ebe Dre tes Société des naturalistes ; naturforschende Gesellschaft. Chambrézy ......... Herbier Boissier. Genève.:.........1. Société de physique et d'histoire naturelle, Lausanne ........... Société vaudoise des sciences naturelles. Neuchâtel.......51., Société des sciences naturelles. —————————————#XK+———— — — TABLE Pages. Compte-rendu de la Société des Sciences naturelles, par M Au aDOLEOT. .... 7. une. E ÉCONOONÉ see 6) Laboratoire municipal ; rapport par M. LussoN. ....... 31 Excursion géologique à Charras, Lhoumée et Fouras ; rapport.par M. Aus. Dorzor.,.............. MERS 35 Excursion géologique à l’île Madame ; rapport par M. Ras» Dozeor."..61,1 24 Tate TOO 43 Excursion géologique à Loire ; rapport par M. BoISSELLIER. 51 Excursion géologique à la Sauzaie ; rapport par M. Bors- SÉLÉIER nee Sie de sine noirs PRE TEs ce KA CA 99 Excursion géologique à Saintes et Fontcouverte ; rapport Par. DOoLLOT...ri entire. sets gere Rite 99 Excursion botanique entre Saintes et Taillebourg ; rapport Par MS TE NON A a le ce 2 o oo true 65 Remarques au sujet du Medicago découvert par M. Foucaud ; rapport par M. TERMONIA.......,....,.,.. 69 Pages. Le Palet de Gargantua et les oscillations du rivage de la mer ; rapport par M. BOISSELLIER. ......... 24... 71 Extrait du compte-rendu des excursions faites pendant l’année 1893 pour le service de la carte géologique ; rapport.par. M: :BOISSELEIER.. ne ne RAS 75 Observations météorologiques. ...,....... RE arc 81 Liste des membres et des Sociétés correspondantes. . ... 109 “IN OR ZE LEE À nt Î >, LIBRAIRIE J.-B. BAILLIÈRE ET FILS 19, rue Hautefeuille, (près du boulevard St-Germain), à Paris. La Terre avant l'apparition de l'Homme, périodes géologiques, faunes et flores fossiles, géologie régionale de la France, par F. PRIEM. 1 vol. gr. in-8 de 760 pages à 2 colonnes, illustré de 700 figures. .............. 42 Îr: La rédaction de ce nouveau volume de la série des Merveilles de la nature de BREHM a été confiée à M. Fernand PRIEM, professeur au lycée Henri IV, déjà connu du grand public par le beau livre qu'il a publié l’année dernière, dans la même collection, sous le titre de La Terre, les Mers et les Continents. Dans ce premier ouvrage, l’auteur étudiait notre planète dans son état actuel, il passait en revue les divers phénomènes dont la Terre est aujourd’hui le théâtre, il s’oc- cupait des minéraux et des roches, en indiquait les principales appli- cations, et étudiait la distribution géographique des organismes animaux et végétaux. Mais notre globe a subi de nombreux change- ments dans le cours des périodes géologiques. L'étude de ces trans- formations si intéressantes est l’objet du nouveau livre qu'il publie aujourd’hui sous le titre de La Terre avant l'apparition de l'Homme. Dans ce nouveau volume, M. Priem fait connaître la distribution des terres et des mers pendant les diverses périodes géologiques: il s’oc- cupe particulièrement de l’étude des faunes et des flores d'autrefois, en faisant ressortir les liens qui les rattachent aux faunes et aux flores actuelles. Il a cherché à exposer d’une manière attrayante la géologie de toutes les régions du globe. Dans ‘une série de chapitres qui complètent l'ouvrage et qui n° "enbrmeut pas la partie la moins inté- ressante, l’auteur s’est attaché à Vétude détaillée de notre sol, tracant ainsi une esquisse de la géologie régionale de la France, que l’on trouverait difficilement ailleurs. L'ouvrage est au courant des travaux les plus récents des géologues et des paléontologistes. De très nombreuses figures l’accompagnent : représentations de fossiles, coupes géologiques, vues pittoresques, etc. En tout, ce volume est digne de prendre place dans la collection des Merveilles de la Nature, de BREHM, si apprécié du grand public. Le livre est écrit très clairement ; la lecture en sera facile aux per- sonnes les moins familiarisées avec les études scientifiques. D’ailleurs le volume, parfaitement illustré, est bien supérieur aux ouvrages de vulgarisation déjà publiés en France. On peut recevoir une livraison spécimen de 32 pages contre l’envoi de trois timbres-poste de quinze centimes. EE er EE = AC POCHE CO DL IT RE D LR DER QE EI ER D RS I VE EE TE “ORGUE PR CP PR ee 0