HARVARD UNIVERSITY. LEBRARY OF THE MUSEUM OF COMPARATIVE ZOOLOGY. 24038 7, JOS, OTERIA REVISTA DE SGIENCIAS nd DO COLLEGIO DE 8. FIEL Birigida PEUO,PROFESSOR Joaquim da Silva Tavares VOLUME MI 1907 y, | PARTE SERIE ZOOLOGICA Com tres estampas e duas figuras (Publicada em 10 de Dezembro) Dépôt exclusif pour 'étranger THEODOR OSWALD WEIGEL [ ” Kônigstrasse, 1, Leipzig, Allemagne. E a ço pé PA Cara - o emite R = TPI do . l y BROTÉRIA TIP. A VAPOR DE AUGUSTO COSTA & MATTOS se 4 » Barão de S. Martinho — Braga e o o e f f be! tú q « « do 4 ds f +, qr a “a” , . E E ars É ” a 7 a VE EE 4”. e ad ' BROTERIA E e rod Ç | REVISTA DE SEJENCIAS NATURÃES DO COLLEGIO DE S. FIEL PBirigida Joaquim da Silva Tavares ES ART 1777 A, DAS o + sm ret; ora E E + Po "Suas A das! Edgar da 9 aà pi A ; Es ta Lo a) pa PAS 2 RAE SG, - lie Ho * ; E co 9) Ro gro Mo [it Ea o / , Ens es Frabs PE dE ão re der qe E me : + otegd es Ro na q8 A e, E ÇA E US Ê PE EN ; : ; A. a : . tu“ “ 2 Eua a Vega » a n% 0.45%: | 28 pe dr gi Paiao PE , E o HE [Dstrto R dpi as Sã É No NO res E) E DR a / da ist x RA a ar Sea feição Es Do a : es “Ra io Es BEE 5 vchem BR dr, Pal dg Ê seco y k SA e is . — pia É Bass Ro, A x q E é f DA x A SA Ec ER 4 o E 5 RR ERR e * E “gy e * ge sz sides 6 (ud) Ea: E 58 | ag RR o ns bi *; É E é apro, o E A e VOLUME MI 1907 y ECOS 3, cm 20 to ENE cn a rm ci, SAS | PARTE SERIE ZOOLOGICA Com tres estampas e duas figuras Pera o er rp 4 pm pr Description de nouveaux Belytides de la Faune paléaretique PAR 'abbé J. J. Kieffer Docteur ês sciences, Professeur à Bitche Genre Oxylabis Fórst. Caractêres génériques. — Tête aussi large que le thorax, ra- rement subglobuleuse, ordina'rement transversale étant vue d'en haut, deux fois aussi large que longue, triangulaire étant vue de côté, plus haute que longue, lisse, brillante, plus ou moins velue ; face déclive obliquement d'avant en arriére, depuis Iinsertion des antennes jusqu'a la bouche; yeux velus, ordina'rement deux fois aussi longs que les joues, qui sont séparées de la face par un pro- fond sillon ; ocelles en triangle. Antennes du male filiformes, avec une pubescence três fine et a peine distincte, composées de I4 articles; premier article à peine plus court que les deux suivants réunis, cylindrique, faiblement ar- qué; 2º à peine plus long que gros; 3º distinctement plus long que le 4º, presque trois fois aussi long que gros, faiblement échancré à la base, un peu élargi avant le milieu; 4 à 13 três faiblement raccour- cis, le 13º encore au moins deux fois aussi long que gros, un peu plus court que le 14º. Antennes de la femelle ordinairement de 15 articles, graduellement mais faiblement épaissies apicalement; 1º article égal aux trois ou quatre suivants réunis; 2º à peine plus long que gros; 3º de 1 1/, à 3 fois aussi long que gros, les suivants graduellement raccourcis; 7 à I4 arrondis, aussi gros ou plus gros que longs; 15º ovoidal. Thorax assez fortement velu sur le dessus, segment médian et pleures glabres. Sillons parapsidaux profonds, — | faibtement convergents en arriére. Scutellum séparé du mesonotum par un sillon transversal, derriêre lequel se trouve une grande fos- sette. Metanotum avec une épine plus ou moins longue. Segment mé- Dr BROTÉRIA : SERIE ZÓOLOGICA dian faiblement déclive, presque horizontal, lisse, brillant, transver- sal, traversé par trois arêtes longitudinales, marginé postérieurement, les arêtes latérales, prês du bord, se prolongeant postérieurement en une minime dent; bord postérieur découpé en arc. Ailes velues et ciliées; 2º partie de la nervute sous-costale dis- tinctement plus longue que la nervure basale; nervure marginale grosse, environ de moitié plus longue que la stigmatique; postmar- ginale environ égale à la stigmatique; celle-ci courte et oblique ; radius plus ou moins distinct, ordinairement prolongé jusqu'à pro- ximité du bord alaire, qu'il n'atteint que rarement; nervure récur- rente continuant la direction du radius, dirigée vers le milieu de la basale; prolongement de la nervure médiane et discoidale atteignant le bord postérieur, cette derniére oblitérée à sa base. Trois crochets frénaux. Métatarse postérieur égal aux articles 2 et 3 réunis; 2-4 graduellement raccourcis, le 4º encore distinctement plus long que gros, plus court que le 5º. Pétiole 1 1/, à 2 fois aussi long que gros, avec 4 arêtes paralléles sur le dessus; abdomen en ellipse allongé, ou ovoidal, incurvé à lextrémité dans les deux sexes, fai- blement déprimé, plus ou moins velu, surtout latéralement et api- calement; 2º segment occupant les trois premiers quarts, muni dans sa base d'une impression longitudinale et médiane; le reste du grand segment souvent ponctué chez la femelle, toujours lisse chez le mále; 3-6 transversaux et subégaux; 7º un peu plus long. Les espéces paléarctiques peuvent être groupées comme il suit : ? 1. Antennes de I4 articles; 3º article antennaire plus de 2 fois aussi long que gros; pétiole presque 2 fois aussi long que gros; grand segment non ponctué et à sillon nul ou peu distinct, brievement strié à la base. 1 O. Marshalli n. sp. — Antennes de 15 articles; grand segment à sillon basal bien MáFQUÊ a 2 cario j talo» 6a SR REA É uia Aide Us E SPEA DRE SL DS 4. Grand segment à sillon basal três large, profond, occupant les deux tiers basaux, tiers apical assez densément ponctué ; 3º article antennaire plus de 2 fois aussi long que gros, presque double du, 4º. sá «cara - 2 O. canaliculata n. sp. J. J. KIREFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES E — Sillon du grand segment étroit et n'occupant que le tiers ep? Pax iaio SA ERA 3. Radius nul, ou seulement indiqué par un vestige égal à la nervure stigmatique; base et extrémité de l'abdomen rou- RE CSS RC RENO dg Pv a ee ja 7 3 O. haemorrhoidalis n. sp. ed — Radius distinct, ol beaucoup plus long que la nervure stigmatique.......c.ciccccsecto cores crer cansado 4 4 4, Second segment abdominal non strié; abdomen gréêle, en elli- : - pse allongé, trois fois aussi long que gros.............. º TE AP OEER DDR Ro NADO cj TO RE CONS 11 O. graciliventris n. sp. E — Second segment abdominal plus ou moins strié à sa base; abdomen tastement dvoidal =. .s 2, pues ash gema os cao 5 9. Tête et thorax finement pointillés..... 5 O. punctulata n. sp. REP LE MEDULA PANE Gogo ara erra Pen dp ima draw esa 6 6 Second segment abdominal avec de gros points épars sur tout E le dessus, en outre distinctement strié à sa base, roux brun a dans son tiers basal ou en entier; ailes avec une tache sous Ê le stigma, cellule radiale presque fermée. . 4 O. maculata n. sp. : — Second segment abdominal non ponctué ou ponctué seule- ; RC ane Cd north apicále ss caco ms dates fi e 7 - , 1 3 1. Abdomen d'un roux brun, plus clair sur le dessous; non E ponctué ; 3º article antennaire presque double du 2º; 4-6 de moitié plus longs que gros; nervure récurrente plus lon- e sqnete adia 7 O. erythropyga Fórst. — Abdomen entiêrement noir, avec une ponctuation grosse et EVT Er. Dt a al nd Es éparse sur la moitié postérieure du second segment...... 8 8. Antennes entitrement rouges; 3º article double du 2º; 4º et 5º de moitié plus longs que gros; 9-I4 aussi longs que gros; nervure récurrente plus longue que la marginale... RS pa asa a DR Sist iaa a ae PRO Td à 10 O. afra n. sp. — Antennes avec les 6 ou 7 derniers articles noirs; 3º article de moitié plus long que le 2º; 4º et 5º seulement un peu plus longs que gros; 9-I4 transversaux; nervure récurrente pas plus longue que la marginale..... 6 O. lusitanica n. sp. BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA 00, ó Abdomen non ponctué 1, Cellule radiale completement close; épine du scutellum pas plus longue que large à la base, en forme de tubercule pointu. 2 — Cellule radiale ouverte à lextrémité; épine du scutellum forte, beaucoup plus longue que large à la base. ........ 3 4. Base du grand segment abdominal non striée; abdomen mar- FOR sogra e ie ra E RR E O RAR 12 O. leviventris n. sp. — Base du grand segment fortement striée ; abdomen noir.... o o Toi oa ES CR RO Sed Ra 13 O. tuberculata n. sp. 3. Grand segment non strié à sa base; abdomen rouge ou d'un FOUX: MaFrÓM MS A Ra as PR SSD dra do DES Pa 4 — Grand segment strié fortement à sa base, ces stries parfois presque aussi longues que le sillon médian; pétiole de moi- tié plus long que-gros > E:< sws Artes põe q Rica RR 5 4 Abdomen rouge; pétiole noir, deux fois aussi long que gros.' O o TO FE a A 7 O. erythropyga Fórst. — Abdomen d'un brun marron sombre; pétiole noir, de moi- tié pls long que. gros- 4 Sa dupãs 8 O. variabilis n. sp. 3. Ailes avec une tache brune sous le stigma; abdomen noir en entier;% 567565 Pe ais NI SR 4 O. maculata n. sp. — Ailes sans tache; abdomen roux ou marron, au moins en parties =: 205 dA o Parada des RE TO E E 6 6. Base du 2º segment roux marron, le reste de I'abdomen noir. aU EI Ni nO, À Ta GU RR A DR g O. carinata n. sp. — Abdomen brun marron sombre, sauf le pétiole........... Gb DERA o do ago E ARO AS ART - 8 O, variabilis n. sp. Espêces, qui n'ont pu trouver place dans ce tableau : armata Curt., bisulca Nees, Furinei Nees, picipes Nees. 1. Oxylabis Marshalli n. sp. q. Noir; écaillettes, hanches, pattes, base et extrémité du scape Ed gleacá a J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 9 dn d'un jaune faiblement brunátre ; reste des antennes et abdomen d'un brun sombre. Tête un peu transversale; yeux velus comme chez TO VN A E a les suivants; antennes de I4 articles; scape légeérement arqué, égal aux 3 articles suivants réunis; 2º article un peu plus long que gros; 3º 2 a PR 4º et 5º encore 2 fois aussi longs que gros; 6-8 dis- tinctement plus longs que gros; 9-13 subglobuleux; 14º ovoidal; les derniers articles légêrement grossis. Tête et thorax non pon- ctués. Metanotum armé d'une dent obtuse et courte; segment mé- dian à angles postérieurs spinuleux, avec 3 arêtes simples. Ailes légerement brunies; nervure basale presque perpendicu- laire, égale à la partie apicale de la sous-costale; marginale deux fois aussi longue que la stigmatique, qui est presque perpendicu- laire; cellule radiale fermée, un peu plus longue que la nervure ro DE ROS. QUO TO EE nisi cn e ba ion É ds ) marginale, dépassée par une postmarginale égale à la moitié de sa longueur; récurrente arquée, égale à la marginale, dirigée vers la discoidale. Pétiole fortement strié, presque 2 fois aussi long que gros; abdomen déprimé; grand segment strié à l'extrêms base, sans ponctuation, à sillon basal indistinct. Taille: 3,6 mm. a did id cid ee Des de . o 4 Europe, probablement Angleterre (Collection de MaRrsHALL, OU cet insecte porte le nom de Oxyladis armata Curt.). 2. Oxylabis canaliculata n. sp. q. Noir; mandibules, antennes, écaillettes, hanches et pattes d'un jaune rougeatre. Tête deux fois aussi large que longue; an- tennes de 15 articles, comme chez tous les suivants. Scape un peu plus long que les trois articles suivants réunis; 2º un peu plus long que gros; 3º un peu plus de 2 fois aussi long que gros; 4º de la longueur du 2º; 5º et 6º à psine plus longs que gros; les suivants légerement grossis, globuleux, sauf le 15º, qui est ovoidal. Tête et thorax non ponctués. Spinule du metanotum aiguéê, presque aussi longue que le sezment médian, dont les angles postérieurs sont spi- nuleux et les 3 arêtes simples. | Ailes un peu brunies; cellule sous-costale graduellement élargie Ê “de la base au sommet; nervure basale perpendiculaire, de moitié E plus courte que la partie apicale de la sous-costale; marginale A — presque double de la stigmatique, qui est à peine oblique; cellule IO BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA radiale presque 2 fois aussi longue que la nervure marginale, dé- passée par la postmarginale, qui s'évanouit graduellement ; radius atteignant presque le bord; récurrente égale à la marginale, droite, dirigée vers le milieu de la basale; discoidale et prolongement de la médiane bien marqués. Pétiole un peu plus long que gros, forte- ment strié; grand segment briévement strié basalement, assez den- sément ponctué au tiers apical, avec un sillon três large, profond et occupant les deux tiers basaux. Taille: 3,5 mm. Italie: Ucciani (Collection de MarsHaLL). 3. Oxylabis haemorrhoidalis n. sp. q. Noir; mandibules, antennes, écaillettes, hanches, pattes, des- . sous du pétiole, bords latéraux et tiers basal du 2º segment, et tous les segments suivants roux. (Ocelles postérieurs presque deux fois plus éloignés des yeux que lun de I'autre. Scape aussi long que les quatre articles suivants réunis; 3º article un peu plus long que le 2º, de moitié plus long que gros; 4º pas distinctement plus long que gros; 5-I4 au moins aussi gros que longs; 15º ovoidal. Epine beaucoup plus longue que large. Ailes hyalines, avec une tache triangulaire brunatre sous la stigmatique, radius nul, ou à peine in- diqué par un vestige visible par transparence et pas plus long que | la nervure stigmatique ; nervure récurrente à peine plus longue que la marginale; postmarginale égale à la stigmatique. Pétiole de moi- tié plus long que gros; base du 2º segment fortement striée. Tail- le: 3,5 mm. Autriche: Trieste (Dr. GRAEFFE). 4. Oxylabis maculata n. sp. q. Noir; mandibules, antennes, écaillettes, hanches et pattes d'un roux jaune; tiers ou quart basal du 2º segment abdominal d'un roux marron; sept derniers articles antennaires d'un brun noir; chez le male, le flagellum ou parfois encore les 2 premiers articles sont bruns, abdomen noir. Une arête médiane, entourée d'un es- pace mat et coriacé, s étend depuis le clypeus jusque entre les an- tennes; clypeus fortement convexe; ocelles postérieurs distinctement PODER + PE PEN é dd A. - De À | É , A , 4 : q 4 - , | J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DES NOUVEAUX BELYTIDES II plus rapprochés Iun de Pautre que des yeux. Scape un peu plus long que les trois articles suivants réunis; 3º article presque deux fois aussi long que gros; 4º à peine égal au 2º, pas distinctement plus long que gros; 5-14 subglobuleux. Antennes du mále presque de la longueur du corps; scape à peine plus long que le 3º article, qui est 3 fois aussi long que gros; 4º 2 ?/, fois, 13º encore plus de 2 fois. Epine du metanotum forte. Ailes hyalines avec une tache triangulaire brune, sous la ner- vure stigmatique; nervure postmarginale à peine égale à la sti- gmatique, puis graduellement oblitérée ; nervure récurrente un peu plus longue que la marginale. Pétiole de moitié plus long que gros dans les deux sexes; abdomen ovoidal, de moitié plus long que gros ; extrême base du second segment striée dans les deux sexes; chez la femelle, tout le segment avec une ponctuation. éparse et bien distincte, sauf au 1/. basal. Taille: 3-3,5 mm. France: Mesnil-le-Rois, Meudon, en septembre (Dz GAULLE); Angleterre, en octobre: Exeter, Cwty, Botus fleming, Bfm., B. T. (Collection de MarsHaLL); Allemagne: Bitche; Autriche: Trieste (Dr. GRAEFFE). 4a. O. maculata, var. semirufa n. var. É 2. Les sept derniers articles antennaires à peine brunis; abdo- men entiérement d'un roux marron, sauf le dessus du pétiole. Front coriacé, mais dépourvu d'arête; 3º article antennaire au moins deux fois aussi long que gros; 4º au moins égal au 2º. Taille: 3,5 mm. Pour tout le reste, semblable au type. Allemagne: Aix-la-Chapelle (FórsTER). 5. Oxylabis punctulata n. sp. 2. Noir brillant; sept premiers articles antennaires, écaillettes, hanches et pattes d'un roux clair; huit derniers articles antennai- res bruns. Tête três finement ponctuée, transversale, aussi large que le thorax, à pilosité plus dense mais plus courte que celle du thorax. Scape cylindrique, égal aux quatre articles suivants réunis ; 2º article pas ou à peine plus long que gros; 3º presque deux fois aussi long que gros; 4-I14 subglobuleux, 15º ovoidal, les derniers I2 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA + pas distinctement épaissis. Mesonotum três finement ponctué. Fos- sette du scutellum transversale. Epine du metanotum forte. Seg- ment médian lisse, parcouru par trois arêtes longitudinales. Ailes brunies, plus sombres sous la nervure stigmatique; mar- ginale deux fois aussi longue que la stigmatique, qui est égale à la postmarginale et oblique; récurrente un peu plus longue que la marginale; radius égal à la marginale, n'atteignant pas le bord. Tibias postérieurs à poils longs et épars au côté postérieur, courts et denses au côté antérieur. Pétiole un peu plus long que gros; abdomen en ovoide court, un peu déprimé, arrondi en arriére; grand segment muni, à l'extrême base, de stries plus courtes que le sillon médian, avec une ponctuation assez forte, éparse sur toute sa surface. Taille: 3,5 mm. | Angleterre (P. CAMERON). 6. Oxylabis lusitanica n. sp. q. Noir; mandibules, antennes, sauf les 6 ou 7 derniers articles, '“écaillettes, hanches et pattes rousses; hanches postérieures noires dans leur moitié basale. Tête subglobuleuse et velue; joues éga- lant les deux tiers des yeux. Antennes insérées vis à vis du milieu des yeux; scape égal aux quatre articles suivants réunis; 2º article . distinctement plus long que gros; 3º de moitié plus long que le 2º, presque double du 4º; celui-ci à peine plus court que le 2º; 5-8 aussi gros que longs; les sept derniers faiblement épaissis, plus gros que longs, sauf le dernier, qui est ovoidal. Thorax velu comme la tête. Fossette du scutellum circulaire. Epine du metanotum forte, droite et dressée. | Ailes subhyalines; nervure postmarginale plus courte que la stigmatique; récurrente à peine plus longue que la marginale. Pé- tiole un peu plus long que gros; abdomen obovalaire, un peu dé- primé; second segment finement strié à l'extrême base, densé- ment pubescent et finement pointillé dans sa moitié apicale. Taille: 3 mm. Portugal: Gerez (J. S. TavaRES). ade DO da ma. À J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 13 a uses 7. Oxylabis erythropyga Fórst. 93. Noir; mandibules, antennes, écaillettes, hanches, pattes, et chez la femelle, l'extrémité de abdomen ferrugineuse; abdomen roux, sauf le pétiole; sept derniers articles antennaires à peine bru- natres, chez la femelle; flagellum du mále faiblement bruni. Ocel- les postérieurs un peu plus prês Iun de l'autre que des yeux. Front coriacé sur une ligne médiane. 3º article antennaire de la femelle un peu plus de deux fois aussi long que gros; 4-6 distinctement plus longs que gros; 7-14 subglobuleux. Epine du metanotum forte. Ailes légêrement teintées, à base blanchatre; nervure postmar- ginale deux fois aussi longue que la stigmatique; récurrente un peu plus longue que la marginale. Pétiole au moins deux fois aussi long que gros, dans les deux sexes; abdomen ovoidal, de moitié plus long que gros; second segment non ponctué, faiblement strié à lextrême base chez la femelle, non strié chez le male. Taille: 2,5-3 mm. Allemagne: Aix-la-Chapelle (Collection de FórsTER). 8. Oxylabis variabilis n. sp. à. Noir; mandibules, hanches et pattes ferrugineuses; antennes, base des hanches, écaillettes, partie renflée des fémurs et des ti- bias d'un roux brunâtre; abdomen d'un roux marron sombre, sauf le pétiole. Ocelles postérieurs un peu plus prês I'un de I'autre que des yeux. Front coriacé sur une ligne médiane. Epine du metano- tum forte. Ailes subhyalines; nervure postmarginale deux fois aussi longue que la stigmatique; récurrente un peu plus longue que la marginale. Pétiole de moitié plus long que gros; second segment lisse, faiblement strié à sa base. Taille: 3 mm. Allemagne: Aix-la-Chapelle (Collection de FórsTER). 9. Oxylabis carinata n. sp. d. Noir; mandibules, antennes, écaillettes, hanches et pattes ferrugineuses; base du second segment abdominal d'un roux mar- ron. Front coriacé sur une ligne médiane; ocelles postérieurs un f I4 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA peu plus prês un de I'autre que des yeux. Epine du metanotum forte. Ailes subhyalines; nervure postmarginale un peu plus longue que la stigmatique. Pétiole de moitié plus long que gros; second segment abdominal lisse, fortement strié à sa base. Taille: 2,5 mm. Allemagne: Aix-la-Chapelle (Collection de FórsTER). 10. Oxylabis afra n. sp. o. Noir; mandibules, antennes, écaillettes, hanches et pattes d'un roux brunatre. Ocelles postéricurs presque deux fois plus rap- prochés I'un de Iautre que des yeux. Scape un peu plus long que les trois articles suivants réunis; 3º article presque double du 2º, deux fois et demie à trois fois aussi long que gros; 4-6 graduelle- ment raccourcis; 4º presque deux fois aussi long que gros; 7-I4 subglobuleux; 15º ovoidal. Epine du metanotum forte. Ailes un peu teintées; postmarginale presque nulle, distincte- ment plus courte que la stigmatique; récurrente un peu plus lon- gue que la marginale. Pétiole au moins de moitié plus long que gros; abdomen ovoidal; second segment três briêvement strié à sa base, avec une ponctuation éparse dans sa moitié apicale. Taille: 3,5 mm. Nord de "' Afrique: Teniet (Dz GAULLE). 11. Oxylabis graciliventris n. sp. q. Noir; six premiers articles antennaires, hanches, pattes, tiers antérieur du 2º segment abdominal, et ['extrémité de l'abdomen (segments 5-7) d'un jaune rougeátre; 7º article antennaire brun, les 8 suivants d'un brun noir; écaillettes et abdomen d'un brun marron plus ou moins sombre. (Ocelles postérieurs distinctement plus rapprochés Iun de Iautre que des yeux. Le 3º article anten- naire distinctement plus de 2 fois aussi long que gros, à peu prês double du 2º ou du 4º, ceux-ci à peine plus longs que gros; 5º et 6º aussi longs que-gros; les suivants transversaux, sauf le dernier. Epine du metanotum pas plus longue que large à sa base, grosse et droite. Aies à peine teintées, nervures jaunes, radius bien marqué, sis ai id J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES IS deux fois aussi long que la stigmatique; postmarginale égale au radius; cellule radiale presque fermée. Pétiole presque deux fois aussi long que gros; abdomen grêle, en ellipse allongée, à peine aussi large que le thorax, au moins deux fois aussi long que lar- ge; 2º segment non strié à sa base, mais n'ayant que le sillon or- dinaire, ponctué au tiers médian seulement. Taille: 3 mm. Allemagne : Bitche., 12. Oxylabis leviventris n. sp. d. Noir; écaillettes, hanches et pattes d'un jaune rougeatre clair; deux premiers articles antennaires jaune brunátre, les autres d'un brun sombre; abdomen d'un roux marron, plus sombre en arriére. Antennes un peu plus courtes que le corps; scape un peu plus long que le 3º article, qui est faiblement émarginé et presque 3 fois aussi long que gros; 4º un peu plus de 2 fois, 13º encore 2 fois. Epine du metanotum en forme de tubercule pointu et pas plus long que gros. Ailes à peine teintées; basale arquée, aussi longue que la par- tie apicale de la sous-costale; cellule radiale fermée complete- ment, dépassée un peu par la nervure postmarginale; marginale pas plus longue que la stigmatique; celle-ci longue, três oblique, égalant presque la moitié de la cellule radiale; récurrente pas plus longue que la marginale. Pétiole rugueux, à peine aussi long que gros; grand segment non strié à sa base; sillon occupant le tiers basal. Taille; 3,5 mm. Angleterre: Bfm. (Collection de MarsHALL). 13. Oxylabis tuberculata n. sp. é. Noir; antennes brun sombre; hanches et pattes d'un brun jaunátre, articulations plus claires. Antennes de la longueur du corps, conformées comme chez le précédent. Epine du metanotum pas plus longue que grosse à la base, en forme de tubercule pointu. Ailes à peine teintées; nervure basale presque perpendiculaire, droite; la partie apicale de la sous-costale de moitié plus longue que la basale; marginale presque deux fois aussi longue que la I6 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA stigmatique, qui est três oblique et qui égale le tiers de la cellule ra- diale; celle-ci complétement fermée; récurrente égale à la margi- nale. Pétiole de moitié plus long que gros, fortement strié; grand segment fortement strié à sa base, ces stries presque aussi longues que le sillon médian. Taille: 3 mm. Angleterre (Collection de MarsHALL). Genre Paroxylabis n. g. Ce genre diifére de Oxylabis principalement par le pétiole qui est strié et quatre fois aussi long que gros dans les deux sexes, et par la forme de !abdomen qui est fusiforme, trois fois aussi long que gros au milieu, terminé en pointe conique, non incurvée. Cel- lule radiale fermée. Paroxylabis semirufa n. sp. óq. Tête noire; deux premiers articles antennaires, écaillettes, hanches, pattes, abdomen, sauf le pétiole, d'un roux jaunatre ; fla- gellum, thorax et pétiole d'un brun sombre ou presque noir. Tête transversale; yeux velus; une des deux mandibules est bidentée, la dent terminale falciforme et aussi longue que le reste de la man- dibule, I'autre courte et triangulaire. Scape de la femelle un peu plus longue que les 4 articles sui- vants réunis, faiblement arqué, aminci au tiers apical; 2º article | pas ou à peine plus long que gros; 3º au moins deux fois aussi long que gros; le 4º de moitié plus long que gros; les suivants graduellement raccourcis; IO-I4 aussi gros que longs; 15º ovoi- dal; flagellum non épaissi apicalement. Scape du male conformé comme chez la femelle, mais plus court, un peu plus long que les articles 2 et 3 réunis; 2º article globuleux; 3º échancré dans la moitié basale, trois fois aussi long que gros; les suivants graduel- lement raccourcis et amincis, 13º encore au moins deux fois aussi long que gros, un peu plus court que le 14º. Epine du metanotum courte, triangulaire, dressée, pas plus longue que large à la base. Segment médian inerme, arête médiane non bifurquée. Ailes légérement brunies; basale distinctement plus courte que j. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 17 la partie apicale de la sous-costale ; marginale double de la stigma- tique, qui est perpendiculaire; cellule radiale presque triple de la nervure marginale, dépassée par la postmarginale du tiers de sa longueur ; récurrente à peine plus longue que la marginale, légê- rement arquée à W'extrémité libre; discoidale et prolongement de la médiane bien marqués. Pétiole gréle, deux fois aussi long que le segment médian, quatre fois aussi long que gros, traversé par 4 arêtes; abdomen faiblement déprimé, le tiers apical un peu com- primé; grand segment occupant les deux tiers antérieurs, avec un minime sillon à sa base et des stries encore plus courtes; 3º se- gment aussi long que le 4º; les deux ou trois suivants peu distin- ctement séparés et graduellement amiíncis comme le 3º et le 4º. Taille: 3,5-3,8 mm. Angleterre (Collection de MarsHAaLL, ou cet insecte porte le nom de Xenotoma bicolor Nees). Genre Leptorhaptus Fórst. (Miota Fórst.) 1. Corps d'un brun marron, antennes et pattes d'un jaune clair. Rs A REP S ESR e R AR TA 4 L. abbreviatus n. sp. 2. Articles antennaires 10-14 transversaux................. ERRO, e se A e RE A à 3 L. heterocerus n. sp. — Articles antennaires IO-I4 plus longs que gros........... 3 d. Pétiole de moitié plus long que gros; abdomen roux mar- rón, un peu comprimé............. 2 L, rufiventris n. sp. — Pétiole 2-4 fois plus long que gros; abdomen noir ou d'un DEE NUS = Ra E ato OR o o E 1 L. compressus n. sp. I. Leptorhaptus compressus n. sp. 9. Noir; mandibules, antennes, écaillettes, hanches et pattes — Jaunes; derniers articles antennaires un peu brunis. Tête subar- - rondie vue d'en haut, poilue comme le thorax; yeux plus longs - que gros, pubescents; antennes un peu plus courtes que le corps; scape inséré vis à vis du quart basal des yeux, cylindrique, un peu 18 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA peu plus court que le 3º article; 2º article à peine plus long que gros; 3º au moins 4 fois aussi long que le 2º; les suivants graduel- lement raccourcis, les deux derniers faiblement grossis, 13º encore 2 fois aussi long que gros, 14º de moitié plus long que gros, dis- tinctement plus court que le 15º qui est ellipsoidal. Ailes hyalines; cellule sous-costale graduellement élargie de la base au sommet; nervure basale à peine oblique, égale à la partie apicale de la sous-costale, un peu plus courte que la marginale; celle-ci 3-4 fois aussi longue que la stigmatique, qui est presque perpendiculaire ; cellule radiale un peu plus courte que la nervure marginale, dépassée par la postmarginale de deux tiers de sa lon- gueur; récurrente égale à la marginale; arquée, dirigée vers la dis- coidale ; celle-ci presque percurrente, ainsi que le prolongement de la médiane. Pétiole presque deux fois aussi long que le segment médian, au moins 4 fois aussi long que gros, presque lisse, traver- sé par deux fines arêtes; abdomen de la longueur du thorax, com- primé; grand segment strié à sa base, avec un court sillon, subfu- siforme vu de côté; 3º ou dernier segment três court et triangu- laire. Taille: 4 mm. ' Europe (Collection de MARSHALL). 2. Leptorhaptus rufiventris n. sp. 2. Noir brillant; palpes blanchátres; deux premiers articles an- tennaires, hanches et pattes d'un jaune rougeatre clair; abdomen d'un roux marron. Palpes maxillaires grêles, de cinq articles. Scape un peu plus court que les articles 2 et 3 réunis; 2º article pas plus long que gros; 3º quatre fois aussi long que gros; les suivants graduellement raccourcis; I4º un peu plus long que gros, plus court que le 15º; flagellum mince et filiforme. Ailes subhyalines; nervure basale au moins aussi longue que la partie apicale de la sous-costale, qui est égale à la marginale; sti- gmatique égalant le quart de la marginale, perpendiculaire ; cellule radiale fermée, petite, plus courte que la nervure marginale, dé- passée par une postmarginale presque aussi longue qu'elle; récur- rente arquée en arriére, plus longue que la marginale, aboutissant à la discoidale, qui est bien marquée, ainsi que le prolongement de J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES tg la médiane. Pétiole de moitié plus long que gros, faiblement strié ; abdomen un peu comprimé; grand segment strié à l'extrême base, avec un sillon longitudinal et court; les 3 autres segments occu- pent un peu plus du quart apical de abdomen; 3º et 4º égaux; 5º arqué par en haut. Taille: 2 mm. Angleterre (P. CamERON). -3. Leptorhaptus heterocerus n. sp. - Q. Noir brillant; palpes blanchatres et longs; trois premiers ar- ticles antennaires, écaillettes, hanches et pattes d'un jaune rougea- tre; reste des antennes brun. Scape cylindrique, un peu plus long que les trois articles suivants réunis; 2º article obconique, un peu plus long que gros; 3º un peu plus de deux fois aussi long que gros; 4-6 distinctement plus longs que gros; 7-I4 graduellement mais três faiblemennt épaissis, d'abord aussi gros, puis plus gros que longs; 15º ovoidal. Ailes subhyalines; nervure sous-costale prês du bord; basale égale à la partie apicale de la sous-costale, qui est aussi longue que la marginale; celle-ci égale à la cellule radiale ; stigmatique perpendiculaire, dépassant un peu le tiers de la marginale; récur- rente un peu plus longue que la marginale, arquée, dirigée vers la discoidaie ; postmarginale dépassant la cellule radiale de la longueur de la stigmatique. Pétiole strié, deux fois et demie aussi long que gros, de moitié plus long que le segment médian; abdomen sub- fusiforme, pas distinctement déprimé; grand segment atteignant presque l'extrémité, strié à lextrême base, avec un court sillon ; les segments 3 et 4 formant une pointe pas distinctement compri- mée, subégaux, le 4º en tube droit; le grand segment fait un angle avec le pétiole. Taille: 2,8 mm. Angleterre (P. CaMERON). Remarque. Ces deux derniêres espéces different des espéces typiques par le pétiole et le nombre des segments abdominaux. 4. Leptorhaptus abbreviatus n. sp. 9. Brun marron, lisse et brillant, mandibules, palpes, antennes, 20 BROTÉRIA : SERIE ZOOLÓGICA écaillettes, hanches, pattes et dernier segment de I'abdomen d'un jaune clair. Tête transversale; yeux velus, de la longueur des joues; mandibules inégales, I'une subtriangulaire et tridentée, dent ter- minale la plus longue, la 2º petite et triangulaire, la 3º obtuse et éloignée de la 2º; Iautre mandibule est bidentée, dent terminale forte et triangulaire, la 2º courte, large et tronquée. Palpes maxil- laires longs et grêles, les labiaux courts et composés de 3 articles. Antennes subfiliformes ; scape cylindrique, aussi long que les deux articles suivants réunis; 2º article à peine plus long que gros; 3º un peu plus de 3 fois aussi long que gros; 4º deux fois; les sui- vants graduellement raccourcis; IO-I4 pas plus longs que gros; 15º ovoidal. . Ailes hyalines; basale, partie apicale de la sous-costale, margi- nale, cellule radiale et nervure récurrente d'égale longueur; cel- lule radiale dépassée par la postmarginale de la moitié de sa lon- gueur; stigmaticale perpendiculaire, n atteignant pas la moitié de la marginale. Pétiole lisse, presque deux fois aussi long que le se- gment médian, trois fois aussi long que gros; abdomen fusiforme; grand segment non comprimé, aussi haut que large; 3º ou dernier segment triangulaire et faiblement comprimé. Taille: 3 mm. Allemagne: Aix-la-Chapelle (Collection de Fórsrer; j'aí con- servé le nom que porte cet insecte dans la collection indiquée; | c'est sans doute à cause de la briéveté des articles antennaires que Fórsrer lui a donné ce nom). Cinetus cilipes n. sp. 2. Noir brillant et lisse, antennes rousses, brunies apicalement; écaillettes, hanches, sauf les postérieures, et pattes rousses; hanches postérieures et partie renflée des fémurs postérieurs brunes. Tête vue d'en haut, à peine plus longue que large. Antennes de 15 ar- ticles; scape presque égal aux articles 3 et 4 réunis; 2º article de moitié plus long que gros; 3º au moins trois fois aussi long que le 2º, quatre à cinq fois aussi long que gros; 4º distinctement plus court que le 3º; les suivants graduellement raccourcis et amincis, 13º encore deux fois aussi long que gros, égal au 15º, le 14º de moitié plus long que gros; tous cylindriques. Sillons parapsidaux J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 21 profonds, presque paralléles; fossette du scutellum occupant la moitié basale; metanotum avec une arête médiane; segment mé- dian mat, avec trois arêtes longitudinales et paralléles. Ailes longues, subhyalines, ciliées, à nervures d'un brun clair; basale un peu plus longue que la partie apicale de la sous-costale ; nervure stigmatique três courte, seulement de moitié plus longue que large, perpendiculaire; partie de la postmarginale dépassant la cellule radiale três courte, de moitié plus longue que la stigmati- que; récurrente paralléle a la basale et un peu plus longue qu'elle, s'arrêtant vis à vis de Iorigine de la discoidale qui atteint le bord postérieur de laile; médiane percurrente. Cellule radiale distincte- ment plus courte que la nervure marginale. Tibia et métatarse des pattes postérieures densément ciliés sur le dessous. Pétiole grossiê- rement strié, au moins quatre fois aussi long que gros, à poils longs et assez abondants; abdomen fusiforme, plan sur le dessus, conve- xe sur le dessous; 2º segment occupant au moins les deux tiers antérieurs de labdomen, avec quelques stries longitudinales à sa base; 3º segment égal aux deux suivants réunis; 5º en forme de minime tube; entre le 3º et le 4º se trouvent parfois encore I ou 2 segments três courts. Taille: 4 mm. Portugal: Gerez (9 exemplaires recueillis par M. pa Sicva Ta- VARES). Miota lusitanica n. sp. q. Ne différe du précédent que par les caractéres suivants: Toutes les hanches noires. Scape plus long que les articles 3 et 4, mais plus court que 3-5; 2º article presque deux fois aussi long que gros; 3º double du 2º, trois fois aussi long que gros; les sui- vants décroissant; 13º et 14º encore de moitié plus longs que gros, 15º plus long que le 14º. Cellule radiale à peine plus courte que la nervure marginale, qui est égale à la partie apicale de la sous- costale. Pétiole deux fois aussi long que gros; abdomen faiblement convexe sur le dessus, fortement convexe sur le dessous; 2º se- gment strié à 'extrême base et atteignant presque Vextrémité de abdomen, ou il est rétréci en tube; 3º ou dernier en forme de minime tube. Taille: 3,5 mm. a Gerez (TAvARES). 22 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA Genre Xenotoma Fórst. (Acorctus Hal.) Le caractêre le plus distinctif de ce genre est la forme des: mandibules, dont Fórsrer ne fait aucune mention. HaLiDAY en parle d'abord, et dit qu'elles sont falciformes et croisées; C. G. Twomson et AsHMEAD se sont servis plus tard de la même expres- sion. En réalité, les deux mandibules sont inégales, croisées, I'une bidentée, l'autre tridentée; celle qui est bidentée, a la dent termi- nale falciforme et plus longue que le reste de la mandibule, I'autre dent est courte, large, tronquée obliquement ou subquadrangulai- re; celle qui est tridentée, a la dent terminale également falcifor- me, mais moins longue ou à peine aussi longue que le reste de la mandibule, les deux autres dents sont triangulaires, se touchant par leur base, divariquées ou paralléles, et atteignant environ le tiers de la longueur de la dent terminale. Les espéces européennes peuvent être groupées de la façon suivante. 4; Antennes de 15 articles (0). « its; 6 tio ati Dio RR 2 + Antennes de 14 articles (6) Rs es muais 28 praia e I6 -2, Le 3º segment abdominal plus long que les suivants réunis. 3 — Le 3º segment abdominal: égal au 4º (9). «mia lanao po vi I$| BC orps noir au moins en. partie... vai ASMoA ora dE da 4 — Corps testacé ou d'un roux marron, avec les pattes et sou- vent les antennes plus claires; pétiole 2 à 3 fois aussi long CR a E E E RREO SÉ ERRAR PS RE RES ESP om Eb, 4 Thorax testacé ou d'un roux marron; tête noire.......... 5 — “Thorax noir, sauf parfois les pleures; pétiole 2 ou 2 1/, fois ahEsL lona QUe pros... am a wa o mig amo a iço Rota CR 6 d. Pétiole de moitié plus long que gros; thorax et abdomen d'un roux marron, antennes et pattes jaunes............ PAT CRETa SAE AREA 610 bio MPR AL e é UR IO X, nigriceps n. sp. (*) A cause de ce caractêre, les espêéces en question sont probablement à exclure du genre Xexotoma. À J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 23 ! O CD d — Pétiole quatre fois aussi long que gros; thorax roux mar- ron; antennes, pattes et abdomen jaune rougeatre....... Emo pç a PAD UR 9 X. rufopetiolata Nees. b, Pleures et pétiole roux, abdomen d'un brun marron; 2 pre- miers articles antennaires, hanches et pattes d'un jaune O a E Ap VAU A DP I X. pleuralis n. sp. — Thorax et abdomen, sauf parfois le pétiole, entiêrement noirs RR nie RODA ME A SIA Siri ra OR Ma nte Se seio 6 6 66, 7 q, Le 3º article antennaire presque 3 fois aussi long que gros, le 4º deux fois; tête subglobuleuse.... 13 X. rufipes n. sp. — 3º article de moitié plus long que gros, le 4º un peu plus long que gros; tête fortement transversale.............. o 8. Noir brunátre; devant de la tête et pétiole d'un roux mar- ron; 2 premiers articles antennaires, hanches et pattes d'un DO EL VENTO o TT ADI ARS SA ESA DARE 2 X. nigrescens n. sp. — Noir; 3 premiers articles antennaires d'un brun clair; han- ches et pattes d'un roux brunátre... .... 3 X. nigra mn. sp. 9, Pétiole strié fortement, 2 fois aussi long que gros; tête, sur- tout le verter, plus sombre que le thorax;..s.cecsoe.. ER to pe ia A TA DSR 11 X. pallida Thoms. — Pétiole pas distinctement strié; tête pas plus sombre que le 5 cg EO RE o nao qdo ae ND E A EA To) 40. Pétiole 3 fois aussi long que gros; 3º article antennaire de | moitié plus long que gros............ — 4 X. gracilis n. sp. — Pétiole au maximum 2 1/, fois plus long que gros........ LI 11. Le 3º article antennaire 2 fois aussi long que gros; partie apicale de la sous-costale de moitié plus longue que la ner- ORE A o OS 7 ae SRA 5 X, procera n. sp. — 3º article à peine de moitié plus long que gros; partie api- cale de la sous-costale de moitié plus longue que la ner- CRE PE NTE O DR A 8 X. proxima n. sp. — 3º article pas ou à peine plus long que gros; partie apicale - de la sous-costale à peine plus longue que la nervure basale. 12 * Gio Ra fia cd a ii oa 24 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA 12. Pétiole 2 1/, fois aussi long que gros. 6 X. leptogaster n. sp. — Pétiole 2 fois aussi long que gros.... 7 X. brevicornis n. sp. W “Front sans sillons........ 20002005 + 0 E RA I4 —— Front avec -2 sillons courts. . . «v-iwsz aipim = o nda rs Aa IS 14, Nervure marginale double de la stigmatique, un peu plus courte que la cellule tadiale, eau na X. boops Thoms. — Nervure marginale un peu plus longue que la stigmatique, égale à la moitié de la cellule radiale... X. alticollis Thoms. 15. Brun, abdomen plus clair, pattes jaunes.. X. striolata Thoms. — Noir, 2 premiers articles antennaires, hanches et pattes jau- DESA 1.0 y crai ade ae Toro (a saco Andre aAA aco RR X. flavicoxis Thoms. 16, Pétiole à peu prês lisse, 2 fois aussi long que gros; noir, scape, hanches et pattes roux...... .... 12 X. Góttei Kieff. = Pétiole fortementstrié (*). 2. us as dpi o 5 ques Rios a I7 fl, Scútellum três Elevé.. ci ii core DEDO: a a I8 — Scutellum normal, hanches noires, pattes d'un roux sombre. Gaio 6a 0/0 o el BE a o a 14 Si é im RA RUE X. nigricoxis Fórst. 18. Base du grand segment avec un sillon dépassant les stries.. Sega mr oa ap à SRS A SP AR X. scutellaris Thoms. — Base du grand segment sans sillon..... X. elevatus Thoms. I. Xenotoma pleuralis n. sp. q. Noir; flagellum brun; deux premiers articles antennaires, écaillettes, hanches et pattes d'un jaune clair; pleures et pétiole roux; abdomen d'un roux marron sombre. Scape un peu arqué, aussi long que les 4 articles suivants réunis; 2º article globuleux ; 3º de moitié plus long que gros; les suivants cylindriques, à peine (*) Les espéces qui suivent sont peut être à éliminer du genre Xenoto-. ma, qui, d'aprês FORSTER, se distingue de Cinetus par le pétiole lisse et les antennes à articles plus courts; il est pour le moins étonnant que la seule espéce décrite par FórsrER ait le pétiole fortement strié. J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 25 plus longs que gros, sauf le 15º, qui est un peu plus long que le 14º et ovoidal; flagellum filiforme. Ailes subhyalines; nervure sous-costale peu distante du bord; basale un peu plus courte que la partie apicale de la sous-costale ; marginale guére plus longue que la stigmatique, qui est perpendi- culaire; récurrente un peu plus longue que la marginale, arquée en arriére, dirigée vers la discoidale; cellule radiale fermée, au moins 2 1/, fois aussi longue que la marginale, un peu dépassée par la postmarginale ; discoidale et prolongement de la médiane distincts. Segment médian peu anguleux en arriére. Pétiole presque deux fois aussi long que gros, presque lisse; abdomen déprimé, subfusifor- me; grand segment strié à la base; 3º segment plus long que le 4º ou dernier, qui est en forme de stylet. Taille: 2,5 mm. Angleterre (P. CAMERON). 2. Xenotoma nigrescens n. sp. 2. Noir brunátre, devant de la tête et pétiole d'un roux mar- ron; deux premiers articles antennaires, écaillettes, hanches et pat- tes d'un jaune clair; funicule brun noir. Scape plus long que les 4 articles suivants réunis ; 3º article de moitié plus long que gros; 4º un peu plus long que gros; 5-I4 pas plus longs que gros;, 15º ovoidal. Cellule radiale deux fois aussi longue que la nervure mar- ginale. Taille: 1,8 mm. Pour tout le reste, semblable au précédent. Angleterre (P. CamERON). | 3. Xenotoma nigra n. sp. q. Noir; palpes blanchátres et longs; 3 premiers articles an- tennaires d'un brun clair, écaillettes et pattes d'un roux brunátre ; hanches et partie renflée des fémurs plus sombres. Antennes comme chez le précédent. Nervure marginale de moitié plus longue que la stigmatique; cellule radiale seulement de moitié plus longue que la nervure marginale; postmarginale nulle; récurrente deux fois aussi longue que la marginale. Entre le 3º segment et le stylet se voit encore un autre segment court, le 3º aussi long que le 4º et “Je 5º réunis; pétiole faiblement strié. Taille: 2 mm. “Angleterre (P. CamERON). 26 BROTÉRIA: SERIE ZOOLOGICA 4. Xenotoma gracilis n. sp. q. D'un marron clair; palpes, antennes, écaillettes, hanches, pattes et parfois le pétiole d'un jaune roussatre; flagellum parfois brunatre. Tête três transversale; la mandibule tridentée a les deux petites dents divariquées; 2º article des palpes maxillaires large ; scape cylindrique, un peu plus long que les 3 articles suivants réu- nis; 2º pas plus long que gros; 3º de moitié plus long que gros; 4º à peine plus court que le 3º, égal au 5º; 6-8 graduellement rac- courcis; 9-13 à peine plus longs que gros; 15º ovoidal. Ailes hyalines; basale à peine oblique; partie apicale de la sous-costale de moitié plus longue que la nervure basale; marginale a peine plus longue que la stigmatique, qui est presque perpendi- culaire; cellule radiale trois fois aussi longue que la marginale, à peine dépassée par la postmarginale; récurrente arquée, presque deux fois aussi longue que la marginale. Pétiole presque lisse, in- distinctement strié, 2 fois aussi long que le segment médian, 3 fois aussi long que gros; abdomen fusiforme, assez déprimé, grand se- gment occupant les 2 tiers antérieurs, avec trois courts sillons à sa base; 3º plus long que les 2 suivants, qui forment ensemble un mi- nime tube. Taille: 2,2-2,5 mm. Allemagne (Collection de Fórsrer et dénommé par FORSTER). 5. Xenotoma procera n. sp. 2. Dessous du corps plus clair que le dessus; 3º article anten- j naire 2 fois aussi long que gros; 4-I2 graduellement raccourcis, plus longs que gros; 13 et I4 pas plus longs que gros; 15º ovoi- dal. Nervure marginale un peu plus longue que la stigmatique ; récurrente de moitié plus longue que la marginale. Pétiole 2 1/, fois aussi long que gros. Taille: 2,5 mm. Pour tout le reste, sem- blable au précédent, dont il n'est probablement qu'une variété. Allemagne (Collection de Fórsrer et dénommé ainsi par cet auteur). | 6. Xenotoma leptogaster n. sp. 2. Scape égal aux 4 articles suivants réunis; 2º article égal au 4 Viga ET ER. 4." € J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES ay d 3º, qui est lui-même égal au 4º, à peine plus long que gros; les sui- vants à peine plus courts que le 3º. Nervure basale à peine plus courte que la partie apicale de la sous-costale ; marginale presque ponctiforme, plus courte que la stigmatique; récurrente un peu plus longue que la marginale. Pétiole 2 1/, fois aussi long que gros. Taille: 1,5 mm. Pour tout le reste, semblable à gracilis, dont il n'est probablement qu'une variété. Allemagne (Collection de Fôrsrer, et dénommé ainsi par cet auteur). | 7. Xenotoma brevicornis n. sp. 9. Nervure marginale à peine aussi longue que la stigmatique, de moitié aussi longue que la récurrente. Pétiole à peine 2 fois aussi long que gros, seulement un peu plus long que le segment médian. Taille: 1,8 mm. Pour le reste, semblable à gyacilis, dont il n'est peut-être qu'une variété. Allemagne (Collection de Fórsrer, et dénommé ainsi par cet auteur). 8. Xenotoma proxima n. sp. q. 3º et 4º articles antennaires égaux, à peine de moitié plus “longs que gros. Nervure marginale égale à la stigmatique, de moi- tié aussi longue que la récurrente. Pétiole 2 !/, fois aussi long que “gros. Taille: 2,5 mm. Probablement seulement une variété de gra- cilis, auquel il ressemble pour tout le reste. Allemagne (Collection de FórsrEr, ou cet insecte porte le nom de rufopetiolata Nees). 9. Xenotoma rufopetiolata Nees q. Tête noire; thorax roux marron; abdomen d'un roux jau- natre; antennes, écaillettes, hanches et pattes d'un jaune rougeátre, extrémité des antennes un peu brunie. Tête três transversale. An- tennes filiformes et três minces; scape égal aux 3 articles suivants réunis; 2º article de moitié plus long que gros; 3º 2 1/, fois aussi long que gros; les suivants graduellement raccourcis, tous plus 28 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA Ailes subhyalines; basale à peine oblique, plus courte que la partie apicale de la sous-costale; marginale double de la stigmati- que, qui est perpendiculaire; cellule radiale 3 2/, fois aussi longue que la nervure marginale, dépassée par la postmarginale du tiers de sa longueur ; récurrente arquée, double de la marginale. Pétiole deux fois aussi long que le segment médian, quatre fois aussi long que gros, faiblement strié; abdomen un peu déprimé; base du grand segment non strié, avec un minime sillon; 3º segment égal aux deux suivants réunis; 5º en minime tube. Taille: 3 mm. Angleterre (Collection de MarsHaLL, dans laquelle cet insecte porte le nom de X. pallida Thoms.). 10. Xenotoma nigriceps n. sp. q. D'un roux marron; tête noire; antennes, sauf I'extrémité qui est plus ou moins brunie, écaillettes, hanches et pattes d'un jaune rougeatre. Antennes plus grosses que chez le précédent ; scape lé- gerement arqué, égal aux 3 articles suivants réunis; 2º obconique, d'un tiers plus long que gros; 3º presque trois fois aussi long que gros; 4º un peu plus de deux fois; les suivants graduellement rac- courcis, les derniers pas plus longs que gros, sauf le 15º. Ailes hyalines; cellule radiale 3 fois aussi longue que la mar- ginale; quant au reste, semblables à celles du précédent. Pétiole strié fortement, seulement de moitié plus long que gros, guére plus long que le segment médian; abdomen déprimé; grand segment fortement strié à sa base, le sillon deux fois aussi long que les stries; 3º segment plus long que les deux suivants réunis; 5º en minime tube; 3-5 un peu recourbés par en haut. Taille: 2-8 mm. Angleterre (Collection de MarsHaLL, oú cet insecte porte le nom de X. rufopetiolata Nees). 11. Xenotoma pallida Thoms. 2. Différe du précédent par la couleur de la tête, qui est d'un roux marron plus sombre que le thorax, surtout en arriére; an- tennes minces; scape égal aux quatre articles suivants réunis; 2º article pas plus long que gros; 3º presque deux fois aussi long que DEDO o LS RO ed A VA j. J. KIEFFER: DESCRIPTION DES NOUVEÁAUX BELYTIDES 29 gros; 4-6 a peine plus longs que gros; 7-I4 pas plus longs que gros; 15º ovoidal. Cellule radiale plus courte, 2 1/, fois aussi lon- gue que la nervure marginale, qui est seulement de moitié plus longue que la stigmatique. Pétiole strié, deux fois aussi long que gros; base du grand segment avec un sillon médian assez long, et de chaque côté, avec un três petit sillon, mais sans stries distinctes; segments 3-5 droits, comme d'ordinaire. Taille: 2,8 mm. Angleterre (Collection de MarsHaLL, dans laquelle un exem- plaire porte le nom de zufopetiolata Nees, et I'autre celui de fla- vicoxis Thoms.). 12. Xenotoma Góttei Kief. Cfr. Mittheil. des Philomat. Vereins, Strassburg, I907, vol. 111, p. 416. 13. Xenotoma rufipes n. sp. q. Noir; les deux premiers articles antennaires, écaillettes, han- ches et pattes d'un jaune rouge; dernier article tarsal brun; des- sous du pétiole et parfois la moitié supérieure du dessus d'un roux marron. Tête subglobuleuse vue d'en haut, à peine plus large que longue, lisse et brillante comme tout le corps; mandibules confor- mées comme chez Xeuotoma, c'est à dire, inégales, I'une tridentée, a dent terminale de moitié aussi longue que le reste de la mandi- bule, les deux autres dents triangulaires et petites; I'autre bidentée, a dent terminale três longue et grêle, un peu plus longue que le reste de la mandibule, I'autre subquadrangulaire et large. (D'aprês examen microscopique de trois exemplaires). Palpes maxillaires de 5 articles grêles, cylindriques et graduel- lement plus longs, les labiaux de 3 articles, dont le 2º est le plus court, le 3º en ellipse allongée. Scape un peu aminci aux deux bouts, égal aux 3 articles suivants réunis; 2º article obconique, de moitié plus long que gros; 3º double du 2º, presque 3 fois plus long que gros; 4º encore 2 fois aussi long que gros, cylindrique comme les suivants; ceux-ci d'égale épaisseur, graduellement rac- courcis, le 14º à peine plus long que gros; tous cylindriques, sauf le dernier, qui est en ovoide allongé. Thorax moins large que la ps beaucoup plus élevé que la tête et abdomen, à poils assez 30 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA longs, mais peu denses. Sillons parapsidaux divergents en avant: Fossette du scutellum un peu transversale. Segment médian subs glabre, sans dents, avec 3 arêtes peu fortes. Ailes hyalines, velues et ciliées; cellule radiale fermée, étroite, trois fois aussi longue que la nervure marginale, dépassée par une nervure postmarginale égale à la marginale; stigmatique presque perpendiculaire, un peu plus courte que la marginale; basale à peine arquée, distinctement plus courte que la partie apicale de la sous-costale; récurrente égale aux deux tiers du radius, arquée, dirigée vers le prolongement de la médiane qui est presque per- currente, comme la discoidale. Ailes antérieures avec 3 crochets frénaux. Pétiole abdominal deux fois et demie aussi long que gros, un peu arqué par en haut au milieu, à poils épars et longs; abdo- men fortement comprimé; 2º segment occupant les deux tiers basaux, avec quelques courtes stries à sa base; 3º segment ayant a peine le tiers du 2º; 4º três petit, à peine visible; 5º en forme de minime tube. Taille: 3 mm. Bitche, capturé en octobre sur les herbes, dans les clairiêres des forêts. | Genre Paníeelis Foórst. Ce genre comprend des insectes d'Amérique et d'Europe; ces ' derniers peuvent être groupés comme il suit: 1, Cellule radiale plus courte que la nervure marginale; radius plus ou moins effacé............. - IP, obliterata n. sp. — Cellule radiale aussi longue ou plus longue que la nervure marginale ; radius bien marqué et atteignant le bord alaire. 2 4, Nervure postmarginale n'atteignant pas 'extrémité de la cel- lule radiale, qui est par suite ouverte au bord... ........ BB q ço A AME de VA Rr CAD READER je 2 P, soluta n. sp. — Nervure postmarginale atteignant ou dépassant Jextrémité | de la cellule radiale, qui est ainsi close de toutes parts... 3. 9. Cellule radiale aussi longue ou un peu plus longue que la nervire- mardianes gui ss sis pp tulbta apa o 5 6 Ler 4 — Cellule radiale 2-4 fois aussi longue que la nervure marginale. 6 te a. J. J. KIEPFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 31 4, Pattes d'un jaune rougeatre; nervure basale plus longue que sa distance de la marginale........ 3 P, fusciventris n. sp. — Pattes brunes; nervure basale aussi longue que sa distance de li marpinale.. = ques esemesis 5. Abdomen noir; 13º article antennaire du male 3 fois aussi long que gros; cellule radiale égale à la nervure margi- “e 4 P, fuscipes n. sp. — Abdomen d'un roux marron sombre; 13º article antennaire du male 2 fois aussi long que gros; cellule radiale de moi- tié plus longue que la nervure marginale. 5 P, proxima n. sp. 6. Abdomen noir ou brun noir... ...... — Abdomen d'un roux marron........ 7, Antennes de I4 articles (9)... ...... — Antennes de I5 articles (9)... ...... 8. Scape pas plus long que le 3º article; 13º article au moins trois fois aussi long que gros; cellule radiale trois fois aussi longue que la nervure marginale... 6 P. gracilicornis n. sp. — Scape au moins aussi long que les articles 2 et 3 réunis; 13º article au maximum deux fois aussi long que gros.... OQ 9, Le 13º article antennaire à peine plus long que gros; cellule radiale deux fois aussi longue que la nervure marginale... “.... .... ............ ........Y<. - 7 P, neglecta n. sp. — Le 13º article 2 fois aussi long que gros................ IO 10, Cellule radiale 3 fois aussi longue que la nervure marginale; stigmatique perpendiculaire, à peine plus courte que la E REED ioia tao 20d 4 o tacos mus REA .. 8 P. similis n. sp. — Cellule radiale 2 fois aussi longue que la nervure marginale; celle-ci de moitié plus longue que la stigmatique, qui est un peu oblique; base du grand segment striée.......... ... “9 P. cilipes n. sp. — Base du grand segment non striée, stigmatique perpendicu- laire, cellule radiale double de la nervure marginale...... 17 P. monticola Kieff, 32 BROTÉRIA : SÉRIE Z0OLOCICA 1, Antennes filiformes, à articles 8-14 au moins aussi longs que gros; cellule radiale 2 1/, fois aussi longue que la nervure aiarpiniale: ecc idese cdr Pio EEN 13 P, filicornis n. sp. — Antennes à articles 8-14 transversaux....... O Go DS a PRESS 12, Cellule radiale 3 7/, à 4 fois aussi longue que la nervure MARGIndO , é «ss o alo sie a 11 P, Cameroni n. sp. — Cellule radiale au maximum 2 fois aussi longue que la ner- vure marginale. . «se ces emos jedi rim queiram NOTA RO RR I3. 18, Base du grand segment abdominal striée et avec un sillon longitudinal; nervure basale égale à sa distance de la mar- plhale.qi ss. o als si por mira pio e SA nd Ni AU I4 — Base du grand segment abdominal non striée, avec 3 sillons longitudinaux ; nervure basale plus courte que sa distance de-la marpinale. . 50.0; onipoAaa I4 P. trisulcata n. sp. 14, Cellule radiale non dépassée par la postmarginale....... ca E QUA RD ED PAM Vi Up OS «. 6 P, nigriventris n. sp. — Cellule radiale notablement dépassée par la postmarginale.. A Sd RS TE o Em 2 ja SRT AR I5 P. prolongata n. sp. 19, Pattes d'un brun clair ; cellule radiale 3 fois aussi longue que la nervure marginale; 13º article antennaire du mãle de moitié plus long que gros......... IO P, obscuripes n. sp. — Pattes rousses ou d'un jaune rougeâtre; 13º article du mále 2 fois aussi long que pros. . «sz. as >». vino pio ARE RR IÓ 146. Cellule radiale 3-4 fois aussi longue que la nervure margi- nale.; stigmatique. perpendiculaire: ... cueca sa med aaa ê “a À NERDS CARR AAA 11 P,. Cameroni var. castaneiventris n. var. — Cellule radiale un peu plus de 2 fois aussi longue que large; stigmatique três oblique........... 12 P. rufiventris n. sp. Espéce insuffisamment décrite: P. barycera Fórst. Remarque. Il est probable que parmi les espêces décrites, plu- sieurs ne sont que l'autre sexe d'autres especes, mais il m'a été im- possible de trouver quelles sont celles qu'il faudrait réunir. Il me semble aussi que ce genre n'est pas suffisamment distinct de Aclista, qui ne différe que par la cellule radiale ouverte à I'extrémité. J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 33 1. Pantoclis obliterata n. sp. 3. Noir; antennes brunes; écaillettes, extrémité des hanches, et — pattes d'un roux brunátre; partie renflée des quatre tibias anté- mitos À rieurs et de tous les fémurs plus sombre. Tête à peine transver- sale; yeux velus, comme chez tous les suivants. Scape cylindrique, pas ou à peine plus long que le 3º article; 2º article globuleux ; 3º échancré fortement dans sa moitié basale, à peine plus long que le 4º, qui est deux fois et demie aussi long que gros; les suivants fai- blement raccourcis et amincis; 13º encore deux fois aussi long que * gros. Segment médian à angles peu proéminents. Ailes subhyalines; sous-costale peu éloignée du bord; basale égale à sa distance de la marginale, qui est peu épaissie et deux fois aussi longue que la stigmatique; celle-ci courte et três oblique ; radius plus ou moins effacé, ainsi que la récurrente, atteignant le bord, seulement un peu plus long que la nervure stigmatique; on peut donc considérer la cellule radiale comme fermée ou comme ouverte, le radius étant peu distinct; postmarginale prolongée au dela de la cellule radiale jusqu'a une distance égalant deux fois la longueur de la cellule, ce prolongement peu marqué; discoidale et prolongement de la médiane médiocrement marqués. Pétiole de moitié plus long que gros, strié fortement; abdomen un peu dé- primé; grand segment strié à 'extrême base et avec un sillon assez long. Taille: 2,6 mm. Angleterre (P. CAMERON). 2. Pantoclis soluta n. sp. 3. Noir; mandibules, trois articles basaux des antennes, palpes, ' hanches et pattes d'un jaune clair; abdomen d'un roux marron, pétiole plus sombre. Antennes de 14 articles; scape subcylindrique, un peu plus long que les deux articles suivants réunis; 2º article à peine plus long que gros; 3º presque double du 2º, profondément excavé dans ses deux tiers basaux, distinctement plus long que le 4º, qui est deux fois aussi long que gros, les suivants à peine plus petits que le 4º, sauf le 14º qui est de moitié plus long que le 13º. Ailes à peine teintées; basale oblique, plus courte que sa dis- 34 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA — o tance de la marginale; celle-ci pas ou à peine plus longue que la " stigmatique, qui est três oblique; récurrente oblique, égale à la marginale; cellule radiale deux fois et demie aussi longue que la marginale, fermée à l'extrémité, ouverte en partie à la marge, la postmarginale étant évanouie un peu avant Vextrémité de la cel- lule radiale. Pétiole strié, de moitié plus long que gros; extrême base du grand segment striée; 7º segment ou pointe triangulaire un peu incurvé et divisé en deux parties égales. Angleterre (P. CamERON). 3. Pantoclis fusciventris n. sp. - 4. Noir; deux premiers articles antennaires, base du 3º, han- ches et pattes d'un jaune rougeátre; écaillettes et abdomen d'un brun sombre. Tête transversale vue d'en haut, triangulaire vue de côté, pubescente comme le thorax. Scape inséré vis a vis du tiers basal des yeux, à peine plus long que le 3º article; 2º article glo- buleux; 3º échancré dans sa moitié basale, un peu plus long que le 4º, qui est trois fo's aussi long que gros; 13º de moitié plus long que gros. Segment médian inerme comme chez les suivants. Ailes subhyalines; basale un peu plus longue que la partie api- cale de la sous-costale, qui est égale à la marginale ; celle-ci presque triple de la stigmatique, qui est perpendiculaire ; cellule radiale fer- mée complétement, comme chez tous les suivants, de moitié plus longue que la nervure marginale, un peu dépassée par la postmar- ginale; récurrente arquée et paralléle à la basale, dont elle atteint presque la longueur; discoidale et prolongement de la médiane bien marqués, comme chez tous les suivants. Pétiole presque deux fois aussi long que gros, strié en long; abdomen subfusiforme, un peu incurvé au bout; grand segment strié à lextrême base, avec un court sillon. Taille: 3 mm. Angleterre (P. CamERON). 4. Pantoclis fuscipes n. sp. à. Noir; mandibules, trois premiers articles antennaires, extré- mité des hanches et pattes d'un brun jaunátre; le reste des anten- . = J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 35 nes et des hanches, tibias et tarses postérieurs d'un brun sombre. Tête comme chez le précédent; yeux un peu plus longs que gros, plus longs que les joues. Scape distinctement plus long que les ar- ticles 2 et 3 réunis; 2º article globuleux; 3º un peu plus long que le 4º, arqué fortement sur le dessus, d'abord droit sur le dessous, puis profondément découpé en arc jusqu'au dela du milieu, partie apicale élargie; 4º un peu plus de 3 fois aussi long que gros; les suivants graduellement amincis et raccourcis; 13º encore 3 fois aussi long que gros. Ailes faiblement teintées; nervure sous-costale éloignée de la costale dans sa moitié apicale; basale un peu arquée, égale à la partie apicale de la sous-costale; celle-ci égale à la marginale, qui atteint la longueur de la cellule radiale; stigmatique perpendiculaire, atteignant le tiers de la marginale; postmarginale dépassant la cel- lule radiale de la moitié de cette derniére; récurrente arquée, un peu plus longue que le radius, paralléle à la basale. Pétiole strié, de moitié plus long que le segment médian, 2 !/, fois aussi long que gros; abdomen comme chez le précédent, Taille: 2,5 mm, Angleterre (P. CaMERON). 5. Pantoclis proxima n. sp. ô. Noir; antennes brunes, les 2 ou 3 premiers articles plus clairs; mandibules, écaillettes, hanches et pattes d'un brun clair, articulations plus jaunátres. Tête comme chez le précédent. Scape à peine plus long que le 3º article; 2º article globuleux; 3º trois fois aussi long que gros, assez fortement excavé dans sa moitié ba- sale, les suivants graduellement et fa'blement raccourcis, le 13º en- core deux fois aussi long que gros. Ailes brunies; sous-costale peu distante du bord; basale égale à la partie apicale de la sous-costale ; marginale à peine double de la stigmatique, qui est oblique; récurrente égale à la marginale, oblique, dirigée vers la discoidale; cellule radiale de moitié plus longue que la nervure marginale, dépassée par la postmarginale du tiers de sa longueur. Pétiole strié, d'un tiers plus long que le segment médian, 2 1/, fois plus long que gros; abdomen comme chez fusciventris, Angleterre (P. CamERON). 36 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA 6. Pantoclis gracilicornis n. sp. à. Noir; antennes brunes, les trois premiers articles et les écail- lettes d'un roux marron; mandíbules, hanches et pattes d'un jaune rougeatre ; abdomen avec un reflet brun marron vers sa base. Tête comme chez les précédents; yeux globuleux, distinctement plus courts que les joues. Antennes insérées vis à vis du milieu des veux; scape égal au 3º article; 2º article globuleux ; 3º quatre fois aussi long que gros, fortement arqué sur le dessus dans sa base, profondément excavé sur le dessous dans moins de la moitié ba- sale; les suivants graduellement un peu raccourcis, l'avant-dernier encore au moins trois fois aussi long que gros. Ailes un peu brunies; sous-costale éloignée du bord dans pres- que toute sa moitié apicale; basale à peine arquée, égale à la par- tie apicale de la sous-costale; marginale grosse, deux fois aussi longue que la stigmatique, qui est perpendiculaire; cellule radiale trois fois aussi longue que la nervure marginale, dépassée par la postmarginale du tiers de sa longueur; récurrente arquée, double de la marginale. Abdomen y compris le pétiole, comme chez le précédent. Taille: 3,8 mm. Angleterre (P. CamERON). 7. Pantoclis neglecta n. sp. à. Noir; écaillettes, extrémité des hanches et pattes rousses; antennes et hanches brunes, base du 3º article antennaire plus clai- re. Scape un peu plus long que les articles 2 et 3 réunis; 3º article échancré dans sa moitié basale, 2 1/, fois aussi long que gros; les suivants graduellement raccourcis; 13º à peine plus long que gros. Nervure sous-costale un peu plus distante dans sa moitié apicale; basale un peu plus courte que la partie apicale de la sous-costale ; marginale de moitié plus longue que la stigmatique, qui est per- pendiculaire; cellúle radiale presque 2 fois aussi longue que la ner- vure marginale, à peine dépassée par la postmarginale. Pétiole strié; presque 2 fois aussi long que gros; abdomen non incurvé au bout. Quant au reste, semblable à 470xima. Taille: 3 mm. Angleterre (P. CaMERON). J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 37 8. Pantoclis similis n. sp. 3. Noir; trois premiers articles antennaires, écaillettes, hanches et pattes d'un jaune rougeatre; base des hanches un peu assom- brie; le reste des antennes brun. Scape égal aux articles 2 et 3 réunis. Cellule radiale un peu plus de 3 fois aussi longue que la nervure marginale. Abdomen court, pas deux fois aussi long que gros, ovoidal; pétiole un peu ridé longitudinalement, deux fois aussi long que gros. Pour tout le reste, semblable à P. Cameroni var. castaneiventris. Taille: 2,5 mm. Angleterre (P. CAMERON). 9. Pantoclis cilipes n. sp. 3. Noir; trois premiers articles antennaires, écaillettes, extré- mité des hanches et pattes d'un roux clair; le reste des antennes et des hanches d'un brun noir. Scape un peu plus long que les ar- ticles 2 et 3 réunis; 3º article fortement excavé jusqu'au delàã du milieu, droit à lextrême base, un peu plus long que le 4º, qui est 2 1), fois aussi long que gros; les suivants à peine amincis, I'avant- dernier encore un peu plus de 2 fois aussi long que gros. Ailes subhyalines; sous-costale presque également distante du bord sur toute son étendue; basale égale à la partie apicale de la sous-costale ; marginale de moitié plus longue que la stigmatique, qui est un peu oblique; cellule radiale 2 fois aussi longue que la nervure marginale, dépassée par la postmarginale de toute sa lon- gueur; récurrente arquée, paralléle à la basale et aussi longue qu'elle. Tibias postérieurs plus densément ciliés en dedans que d'or- dinaire. Pétiole faiblement strié, de moitié plus long que le segment médian, 2 1/, fois aussi long que gros; abdomen subfusiforme, base du grand segment striée, avec un sillon court. Pour le reste, sem- blable à proxima. Taille: 2 mm. Angleterre (P. CamERON). 10. Pantoclis obscuripes n. sp. à. Noir; antennes d'un brun noir; hanches et pattes d'un brun 38 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA clair; articulations plus claires; abdomen d'un roux marron. Scape un peu plus long que le 3º article; celui-ci trois fois aussi long que gros, échancré dans moins de sa moitié basale; 4º article 2 2/, fois aussi long que gros; les suivants graduellement amincis et raccour- cis; le 13º de moitié plus long que gros. Ailes hyalines, irrisées; basale un peu plus courte que la partie apicale de la sous-costale; marginale égale à la stigmatique, qui est un peu arquée, à peine oblique; cellule radiale 3 fois aussi lon- gue que la nervure marginale, un peu dépassée par la postmargi- nale; récurrento peu marquée, égale à la marginale. Pétiole strié, pas ou à peine plus long que gros. Pour le reste, semblable au pré- cédent. Taille: 2 mm. Angleterre (P. CamERON). 11. Pantoclis Cameroni n. sp. 3. Noir; antennes, écaillettes, hanches et pattes rousses; abdo- men brun noir, ou noir. Tête subtriangulaire vue de côté, trans- versale vue d'en haut, pubescente comme le thorax. Scape un peu plus long que les trois articles suivants réunis; 2º article obconi- que, un peu plus long que gros; 3º plus de 2 fois aussi long que gros; 4º et 5º un peu plus longs que gros; les suivants à peine transversaux, le 15º ovoidal. Angles du segment médian spinuleux. Ailes subhyalines; basale plus courte que la partie apicale de la sous-costale ; marginale épaissie, un peu plus longue que la sti- gmatique, qui est presque perpendiculaire; cellule radiale 3 1/,-4 fois aussi longue que la marginale; récurrente à peine tracée; post- marginale dépassant un peu la cellule radiale. Pétiole un peu plus long que gros, avec des arétes longitudinales; abdomen un peu dé- primé, plus fortement convexe ventralement, un peu aminci aux deux bouts; grand segment occupant les deux tiers basaux, strié à l'extrême base, et muni en outre de trois sillons basaux, dont les externes sont três courts; segments 3-6 également longs; 7º dé- primé, triangulaire, égal aux 4 précédents réunis, divisé par une suture transversale située avant le tiers apical. Taille: 3,6 mm, Angleterre (P. CAMERON). à J. J. KIBEFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 39 114. P. Cameroni var. castaneiventris n. var. 3. Noir; mandibules, les longs palpes, deux premiers articles antennaires, hanches et pattes d'un jaune rougeatre, flagellum d'un jaune brunâtre; écaillettes et abdomen d'un roux marron. Yeux plus longs que larges, plus longs que les joues. Scape inséré vis à vis du tiers basal des yeux, pas plus gros que le flagellum, plus long que les articles 2 et 3 réunis; 2º article globuleux ; 3º échan- cré dans sa moitié basale, mais peu fortement; trois fois aussi long que gros; les suivants graduellement raccourcis; 13º encore 2 fois aussi long que gros, un peu plus court que le 14º. Segment médian inerme. Ailes un peu teintées; sous-costale pas plus distante du bord apicalement que basalement; basale distinctement plus courte que la partie apicale de la sous-costale; marginale à peine plus longue que la stigmatique, qui est perpendiculaire; récurrente arquée, pa- ralléle à la basale et aussi longue qu'elle; cellule radiale 3-4 fois aussi longue que la marginale, non dépassée par la postmarginale. Pétiole à peu prês lisse, 2 fois aussi long que gros; abdomen elli- psoidal, plus de deux fois aussi long que large au milieu, un peu incurvé au bout; base du grand segment striée et avec un sillon court. Taille: 2,2 mm. Angleterre (P. CamERON). 12. Pantoclis rufiventris n. sp. 9. Noir; antennes, écaillettes, hanches et pattes rousses; abdo- men d'un roux marron clair. Le 3º article antennaire deux fois aussi long que gros. Nervure stigmatique três oblique, à peine plus longue que la marginale; cellule radiale fermée, pointue, un peu plus de deux fois aussi longue que la marginale; la postmarginale prolongée un peu au dela de l'extrémité de la cellule radiale; ré- currente à peine indiquée par un vestige. Pétiole un peu plus long “que gros, avec des arêtes longitudinales; base du grand segment abdominal encore striée brigvement entre les trois sillons. Pour tout le reste, semblable au précédent. Taille: 2,8-3 mm. Angleterre (P. CaMERON). 40 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA a a Aa > 13. Pantoclis filicornis n. sp. 9. Noir; trois premiers articles antennaires, écaillettes, hanches et pattes d'un jaune clair; le reste des antennes brun. Antennes filiformes; scape un peu plus long que les trois articles suivants réunis; 3º article presque 2 fois aussi long que gros; 4º et 5º un peu plus longs que gros; les suivants à peine plus longs que gros; I4º pas plus long que gros, dépassant à peine la moitié du 15º. Ailes subhyalines; basale égale à la partie apicale de la sous- costale; marginale égale à la stigmatique, qui est presque perpen- diculaire; cellule radiale 2 ?/, fois ausssi longue que la nervure marginale; récurrente arquée, égale à la basale; postmarginale dé- passant la cellule radiale de la longueur de la marginale. Pétiole 2 1/, fois aussi long que gros, faiblement strié; abdomen subfusi- forme; base du grand segment striée et munie d'un sillon court ; segments 3-5 d égale longueur; 6º un peu plus long; 7º en forme de tube. Pour le reste, semblable à Cameroni. Taille: 2,8 mm. Angleterre (P. CamERON). 14. Pantoclis trisulcata n. sp. 2. Noir; antennes, écaillettes, hanches et pattes rousses; abdo- men dun brun noir; scape et partie renflée des fémurs et des ti- bias bruns. Article 3º des antennes presque deux fois aussi long -que gros; 4º et 5º aussi gros que longs; 6-I4 transversaux et un peu plus gros que le 5º; 15º ovoidal. Ailes subhyalines; basale plus courte que la partie apicale de la sous-costale; marginale égale à la stigmatique, qui est três obli- que; cellule radiale à peine 2 fois aussi longue que la nervure mar- ginale; récurrente faiblement indiquée; postmarginale dépassant la cellule radiale de la moitié de celle-ci. Pétiole avec des arêtes lon- gitudinales; base du grand segment avec 3 sillons, non striée. Quant au reste, semblable à Cameroni. Taille: 3-3,2 mm. Angleterre (P. CamERON). 15. Pantoclis prolongata n. sp. 2. Noir; antennes, écaillettes, hanches et pattes rousses; 2 ou 3. J. J. KIEFFER: DESCRIPTION DE NOUVEAUX BELYTIDES 41 derniers articles antennaires et base des hanches obscurcis. Scape égal aux quatre articles suivants réunis; 2º article obconique, un peu plus long que gros; les suivants au moins aussi gros que le 2º; 3º de moitié plus long que gros; 4º et 5º un peu plus longs que gros; les autres d'égale grosseur, transversaux, sauf le 15º, qui est en ovoide court. Ailes subhyalines; basale égale à sa distance de la marginale; celle-ci de moitié plus longue que la stigmatique; cellule radiale fermée, deux fois aussi longue que la nervure marginale; stigmati- que presque perpendiculaire ; postmarginale dépassant la cellule radiale de la moitié de la longueur de celle-ci; récurrente arquée, paralléle à la basale, plus longue que la marginale. Pétiole un peu plus long que gros, strié; grand segment strié à I'extrême base, avec un sillon court. Taille: 2,8 mm. Angleterre (P. CaMERON). 16. Pantoclis nigriventris n. sp. q. Noir; quatre premiers articles antennaires d'un brun rouge; écaillettes, extrémité des hanches antérieures, et pattes rousses. Tête globuleuse vue d'en haut, subtriangulaire vue de côté; yeux velus comme chez toutes les espéces de ce genre, dépassant d'un quart la longueur des joues. Antennes insérées au-dessus du milieu des yeux, composées de 15 articles; scape cylindrique, égal aux quatre articles suivants réunis; 2º article à peine plus long que gros, égal au 4º; 3º au moins double du 2º; 5º et 6º aussi longs que gros; les suivants transversaux, sauf le dernier, qui est ovoidal; le 3º un peu plus étroit que les derniers. Sillons parapsidaux un peu divergents en avant. Fossette du scutellum grande et profon- de. Segment médian presque horizontal, aussi long que le pétiole, avec 3 arêtes longitudinales et simples, les latérales prolongées en une courte épine, bord postérieur découpé en arc, sans pubescence. Ailes subhyalines, à nervures brunes; cellule radiale fermée, presque deux fois aussi longue que large, non dépassée par la post- marginale, presque deux fois aussi longue que la nervure marginale; stigmatique oblique, égale à la marginale; radius de moitié plus long que la stigmatique; récurrente égale à la stigmatique, dirigée 42 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA vers la base de la basale; celle-ci arquée en dedans, aussi longue que la partie apicale de la sous-costale, qui est éloignée du bord ; médiane percurrente; discoidale atteignant presque le bord, obli- térée à la base. Parties renflées des fémurs roux sombre; éperon antérieur bifurqué ; crochets simples. Pétiole un peu plus long que gros, grossiêérement strié, avec des poils épars ; abdomen médiocre- ment déprimé, graduellement aminci en pointe à l'extrémité;, 2º segment occupant les deux tiers antéricurs de I'abdomen, strié à Vextrême base, avec un sillon longitudinal dans son tiers basal; les 5 segments suivants égaux, sauf le dernier qui est conique et plus long. Taille: 3 mm. Portugal (TavaRES). Neurópteros de Espada y Portugal POR Longinos Navás (Zaragoza) (Continuado de la pag. 184, vol. v, 1906) 1. Cordulegaster annulata Latr. Long. 80 mm. Occipucio amarillo. Frente amarilla con una mancha negra (tipo septentrio- nal) ó sin ella (var. inmaculifrons Sel.). Costal amarilla y un punto amarillo junto á ella en la base del ala. Abdomen con faja negra en los ocho primeros segmentos. Cerco superior del & con un diente en la base. El typo se encuentra en Portugal, Cea (Mac Lachlan) y Setú- bal! (Cordeiro) en Béjar y Piedrahita (Mac -Lachlan), Cangas de Tineo! (Flórez), Ortigosa ! (Vicente), Sierra de Guara! Moncayo ! Montseny ! Sierra Nevada ! La variedad immaculifrons Selys en Tarrasa! (Ventall6), Cabacés! Tragacete, Bronchales, Cuenca (Mac Lachlan), Muro! (P. Barnola S. J.). | En algunos ejemplares típicos la mancha está casi borrada, lo cual quita valor á la variedad. 2. Cordulegaster bidentata Sel. Long. 60 mm. Occipucio negro. Costal apenas amarilla en el dg, negra en la q. Cerco supe- rior del d con dos dientes, visto de perfil. No se ha citado de la península ibérica. Género Gomphus Leach Ojos globosos, muy separados. Triángulo del ala anterior con los lados anterior é interno iguales, resultando casí equilátero. Base "del ala posterior puntiaguda en el 4. Octavo y nono segmentos del abdomen iguales, el décimo más corto. Cercos superiores del d de la longitud del décimo segmento, los inferiores distantes en la ba- se, divergentes. Abdomen con faja dorsal amarilla, 44 BROTÉRIA: SERIE ZOOLOGICA [44 | 4. Costal negra por fuera... .<.cce cisnes aa pad pin TA Rae fz —'Costal amarilla por fuera... . ...... ce csva seculo va as RR 2. Estigma pardo. Tórax amarillo, con seis rayas negras enci- ma rectas, las medianas gruesas, contíguas, con una pro- longación hacia el protórax. Abdomen con banda dorsal amarilla prolongada hasta el extremo. Patas amarillas lista- das de negro; tarsos negros... ......... simillimus Selys — Estigma rojizo. Patas amarillas listadas de negro ; tarsos ne- gros, los posteriores amarillos por detrás. Tórax amarillo con seis lineas negras encima rectas, muy delgadas, las me- dianas con prolongación poco marcada hacia el protórax.. AE RS RESP a ERPIDR GRSA Nr a MPR RS SR ap pulchellus Sel. 3, Costal apenas amarilla por fuera. Estigma pardo. Patas ne- gras con dos líneas amarillas en el fémur. Seis líneas ne- gras gruesas en el tórax, las medianas contiguas, con pro- longación anterior, las humeral y antehumeral muy cerca- nas, confluentes hacia arriba antes del extremo... ...... E NS ER aaa ES Dial OT “.... Graslini Ramb. 4, Estigma pardo obscuro. Patas negras, fémures del primer par con una faja pálida interna, á veces borrada. Tórax con seis líneas negras en el dorso, las medianas contiguas, con prolongación mediana hacia el protórax, más delgadas que la humeral y antehumeral, las cuales, son muy gruesas, muy próximas y aun confluentes en lo alto. Abdomen con faja dorsal amarilla hasta el séptimo segmento ; el octavo y el nono notablemente dilatados.......... vulgatissimus L. — Estigma pardo amarillento. Patas amarillas, con el fémur li- geramente listado de negro; tibias negras interiormente. Tórax con seis líneas dorsales negras, las medianas sin pro- longación hacia el protórax. Abdomen con faja dorsal ama- rilta hasta el extremo ss cair cinimaçhos flavipes Charp. I. Gomphus simillimus Sel. Frecuente. S. Fiel! (Silvano) Zaragoza ! Graus! (Romero), Barcelona! (P. Barnola), Chamartin ! Pozuelo ! (La Fuente), Segorbe! (Pau), etc, [45 | L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 45 2. Gomphus pulchellus Sel. Frecuente como y con el an- terior. Madrid! (Vázquez), Villalba! Gandía (P. Barnola S. J.), El Barco (Mac Lachlan), São Marcos da Serra (M. L.). 3. Gomphus Graslini Ramb. Cea (Mac Lachlan). 4. Gomphus vulgatissimus L. No lo he visto aún de Es- pafia. 5. Gomphus flavipes Charp. Citado de otros sitios de Eu- ropa. Género Ophiogomphus Sel. Tórax amarillo con seis líneas dorsales negras, estrechas, las dos medianas lineales. Abdomen negro, con manchas lanceoladas amarillas. Cercos tan largos como el IO.º segmento, el cual es la mitad del 9.º Occipucio en la 9 con dos pequefos cuernos. Ophiogomphus serpentinus Charp. Cerco inferior del à amarillo, apenas orlado de pardo exteriormente. Cuernos del occi- pucio de la q distantes, obtusos. Citado de-Europa. Género Onychogomphus Sel. Últimos tres segmentos del abdomen decrecientes en longitud ; cercos superiores del $ largos como los segmentos 9.º y I0.º, los inferiores contiguos en la base. Lo demás como Gomphus. 1, Estigma amarillo, el cual color, mezclado de rojizo, domina en todo el cuerpo. Bandas del tórax rojizas poco definidas. Abdomen marcado de puntitos pardos (dos pequeãos en cada segmento y otros casi microscópicos). Patas casi total- DR a O» Ra persa ne GR Sa Genei Sel. — Estigma pardo obscuro ó negro. Fajas negras del tórax muy ORA E PUC e pa SS RD dO DRM 005 0 0 2,05 0078 - — 2. Patas negras; todos los fémures con una lista amarilla. Fajas medianas dorsales del tórax con prolongación sobre la qui- la, que alcanza el borde anterior; la antehumeral en su extremo superior aislada, no confluente con la humeral ni con la mediana. Cerco superior del dg entero en el ápice.. AR ORE DEP RR e Pd TP RENT uncatus Charp. 46 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [46] - — Patas negras, la mitad de los fémures amarilla. Fajas media- | nas del tórax interrumpidas por la parte inferior, sin pro- longación sobre la quilla, no confluentes ó apenas con la antehumeral; ésta arqueada, confluente con la mediana por la parte superior. Cerco superior del d bífido en el extre- BÃO asus cn me bora Ego e Esp ço dee DADE O forcipatus L. 1. Onychogomphus Genei Sel. Especie rarísima, no en- contrada hasta ahora er nuestra península sino en Portugal (Gi- rard) Zaragoza! Sobradiel! Alcolea de Cinca! (Huesca), Sijena (Ib.). Orihuela (P. Saz S. J.) y Madrid (Sanz). 2. Onychogomphus uncatus Charp. Bastante frecuente. Montseny ! (P. Saz), Graus! (Romero), Manresa ! (Guitart), Béjar y Cuenca (Mac Lachlan), etc. 3. Onychogomphus forcipatus L. Común. São Marcos da Serra y Ponte de Morcellos (Mac Lachlan), Condeixa (Mattozo), Bronchales (M' L.). Lo poseo de Madríd, Chamartín, Ormáiztegui (Dusmet), Calahorra (Tutor) Ramales (Iriarte), Montseny, Muro (P. Barnola S. J.), São Marcos da Serra y Ponte de Morcellos (Mac Lachlan); Condeixa (Mattozo); Avila, Bronchales (Mac Lachlan); etc. 3.º Familia — AGRIÓNIDOS De mediano y pequefio tamafio, delgados y débiles. Alas ver- ticales durante el reposo (excepto el género Lestes), semejantes entre sf, estrechas en la base, sin triángulo discoidal, con cuadrilá- tero en su lugar, sin membranilla. Cabeza transversa ; ojos globo- sos, muy separados. Cuatro cercos en el é, dos superiores y dos inferiores. CUADRO DE LOS GÉNEROS 1. Alas sentadas, es decir, ensanchadas gradualmente desde la base (Tribu Calopteriginos); los dos sectores del ar- quillo nacen casi de la mitad de éste. G.º Calopteryx Leach. | — Alas pecioladas, es decir, estrechas en la base y luégo dila- tadas súbitamente ; dos venillas antecubitales (Tribu Agrio- nn sa Ses PSC AR os DES Spade e ii o e A [47] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 47 2. Gran número de celdillas del disco pentagonales. Estigma alargado por espacio de dos ó más celdillas, rectangular. . 3 — “Todas las celdillas del disco de las alas cuadradas. Estigma Ea oRo tina celdillas 6 menos! x. sie resets cerecs 4 VALE ADE A, 1 E A, da 3. Alas horizontales durante el reposo. Cuerpo verde, con refle- jos metálicos. Cercos de la q tan cortos ó más que el últi- mo segmento abdominal. ............. G.º Lestes Leach. — Alas verticales durante el reposo. Estigma rojizo ó pardo. Color del cuerpo rojizo, con manchas bronceadas en el abdomen. Sin brillo metálico. Cercos de la q tan largos 6 4 más que el último segmento del abdomen............. ed q ARE Rd Rato, pa a na ns eo Cc Oympecma Charp. 4, Con las tibias posteriores dilatadas, al menos en el 3. Abdo- men mediano, tercer segmento doble más largo que el se- DRE e E SA UCS oca Sua a G.º Platycnemis Charp. — Sin dilatación laminar en las tibias posteriores. .......... é E 9, Sin manchas postoculares circunscritas.................. 6 | — Con manchas postoculares de color más claro... ......... 7 ; 8. Color rojo. Ojos pardos ó amarillentos. G.º Pyrrhosoma Charp. — Color bronceado en fondo azul ó amarillento. Ojos rojos 6 ERES nen a AGA SS G.º Erythromma Charp. 7. Sin espina en el extremo del octavo segmento abdominal en e la Qeconcor recua sc rca ana Ca aa oc soros ss e v0.0 9 4 — Con espina en el extremo del octavo segmento abdominal q RR RO A el 7 maia QUE aa GUS e SAMI E err eis e ad 8 E É - &, Segmento décimo del à normal, sin eminencia posterior en 4 RR us ele aracasS a ai qa « G.º Enallagma Charp. — — Segmento décimo abdominal del 2 terminado posteriormente E ERRO CENSO DES a ÁS Le SO ao é 0% G.º Ischnura Charp. r Y 9, Abdomen muy delgado; color verde metálico; dibujos pa- ) É. fecidos, eacambos Sexos... cce scso. G.º Nehalennia Sel. | — Abdomen menos delgado; con menos brillo metálico, de di- bujo y colores designales según el sexo..........c..... IO sema Cita do e caia o dá 48 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [48] 10, Manchas postoculares prolongadas, casi lineales, con otra lí- nea transversa entre ellas; dos manchitas claras entre los estemas. Dibujos del segundo segmento abdominal seme- jantes en ambos sexos. Cercos superiores del 8 más largos que el último segmento abdominal, arqueados.......... E SER E PT nd aa ad so Ss ND E G.º Cercion nov. — Manchas postoculares cuneiformes ó redondeadas, sin man- chitas entre los estemas. Dibujos diversos en ambos sexos. Cercos superiores del 3 cortos, rectos.... G.º Agrion Fabr. Género Calopteryx Leach Alas sentadas, ó sea ensanchadas gradualmente desde la base, el À sin estigma, la q con falso estigma, ó sea una mancha no cir- cunscrita claramente por venillas. Malla de las alas abundantísima. Colores metálicos, verde la q, azul ó negruzco el &. 1, Costal parda. Patas negras, tibias rojizas exteriormente. Alas estrechas, con malla clara, las del d& de color de café ex- cepto un espacio hialino en la base y en el ápice (éste á veces nulo), las de la q con falso estigma grande, blanco ; con una faja transversal detrás de él y sombra hasta el ápice. Abdomen bronceado (d), con los últimos anillos san- guíneos inferiormente en el adulto, ó verde (9)... ....... o quo o A SS qnto E ORAR -.. haemorrhoidalis V. d. L. — Costal metálica, malla densa... ....c.ccccrcecs dA EN 2 2. Alas anchas, sombreadas levemente de pardo (À joven y 9), en el d adulto tenidas de azul obscuro, á excepción de un - breve espacio de la base hialino ........ ....... virgo L. — Alas estrechas con reticulación brillante, hialinas en la 9, tefidas de pardo obscuro desde el nodo al ápice en el &.. CE DIV ACUSADOS CP UA O EE Gidro 4a Sesi Ta splendens Harr. | 1. Calopteryx haemorrhoidalis Van der Linden. Comuní- sima en los valles, arroyos, acequias y canales en todas partes. 2. Calopteryx splendens Harris. La var. xanthostoma Charp. ó raza meridional. Casi tan común como la anterior en mo- [49] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 49 deradas alturas. Su ninfa está representada en la fig.* 18 (lám. x1 del tomo v). 3. Calopteryx virgo L. La var. meridionalis Sel. En Es- pafia parece mucho menos frecuente, subiendo más hacia los mon- tes y sitios frescos. La he visto de Orense (Taboada), Cangas de Tineo (Flórez), Covadonga, Ramales (Iriarte de la Banda), Arecha- valeta (Zuazo), Ortigosa (Vicente), Moncayo, San Hilario, San Fiel, Setúbal, Gerez, y se ha citado de otros sitios. Género Lestes Leach. Alas horizontales durante el reposo. El sector nodal nace 3-5 celdillas después del nodo. Estigma de 3 á 4 veces más largo que ancho, ocupando 2-4 celdillas. Cuadrilátero con el lado interno la tercera ó cuarta parte del inferior. Con muchas celdillas pentago- nales. Cercos de la q cilíndricos, aleznados, más cortos que el últi- mo segmento del abdomen. Color verde brillante. 1. Parte posterior de la cabeza bronceada ó negruzca....... CRER — Parte posterior de la cabeza amarilla ó amarillenta........ 5 2, Cercos inferiores del 8 cortos. Color verde ó bronceado. Las líneas amarillas de delante del tórax muy estrechas ó bo- O op EST Sa a ER A A o E NE A A SR SS — Cercos inferiores del $ largos. Color por encima verde 6 pardo bronceado. Estigma de un solo color, pardo ó negro. 4 à Estigma negro, muy largo..... ago bia macrostigma Eversm. — Estigma rojizo, ancho............ ego CA viridis V. d. L. k Estigma negruzco (amarillento en los jóvenes), un poco más pálido en los extremos, ancho, dilatado en medio, abarcando dos células poco más ó menos. Alas bastante redondeadas. Primer segmento del abdomen marcado por encima con una mancha bronceada, recta anteriormente... Dryas Kirby — Estigma negruzco (amarillento en los jóvenes), un poco más pálido en los extremos, estrecho, abarcando unas dos cel- dillas. Alas bastante estrechas. Primer segmento abdomi- nal con una mancha bronceada, redondeada por delante... DRA E a A RÃS RA nica So dio 076 Aid d 6 070.61: OpON0A. Haga 50 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [50] ô, Estigma rojizo, más claro en los extremos, un poco dilatado, abarcando dos celdillas. Segundo artejo de las antenas no adelgazado en la base. Pleuras amarillas, con una manchita negra, á veces doble, detrás de las patas posteriores...... a e ai CP aà E RA Dra a ATA PU Ce PRA O virens Charp. — Estigma francamente de dos colores, pardo por dentro, ama- rillo en la mitad exterior. Segundo artejo de las antenas adelgazado en la Bases: su » adido Puta PRA ENS barbara Fabr. 1. Lestes macrostigma Eversm. No la he visto sino de Pozuelo de Calatrava (La Fuente) y Setubal (Cordeiro). 2. Lestes viridis Van der Linden. Común en todas partes, cerca de acequias y en sotos de sitios pantanosos. 3. Lestes Dryas Kirby (nympha Sel.) Acá y allá. Serra da Estrella (Mattozo), Béjar, Piedrahita, El Barco (Mac Lachlan), So- bradiel! Zaragoza ! 4. Lestes sponsa Hans. No la conozco aún de la península, pero es posible se halle en ella. 5. Lestes virens Charp. Acá y allá, no abundante. Cádiz! Chamartín, ! Veruela,! Zaragoza, | etc. | 6. Lestes barbara Fabr. Por toda la península, no escasa. Género Sympecma Charp. Color rojizo, con manchas bronceadas en el abdomen. Estigma rojizo, alargado. Muchas celdillas pentagonales. La Sympecma fusca Van der Linden, especie europea no es escasa en nuestra península. Por ser invernante la he hallado en Zaragoza en casi todos los meses del aíio. Género Platycnemis Charp. Estigma de la extensión de una celdilla, rombal. Patas provis- tas de largas cerdas y al menos las posteriores del d, dilatadas la- teralmente en lámina. Celdillas de las alas cuadradas. Antenas con artejos 1.º y 2.º cortos, gruesos, casi iguales, el 3.º delgado, tan E. [51] L. NAVÁS: NEURÓPTFROS DE ESPANA Y PORTUGAL 51 largo como los dos primeros juntos. Abdomen mediano, con el ter- cer segmento doble del segundo. 4, Las cuatro tibias posteriores dilatadas solamente en el É; éste con el abdomen anaranjado.......... acutipennis Sel. — Las cuatro tibias posteriores dilatadas en ambos sexos. .... 2 4. Tibias menos dilatadas, con línea dorsal negra. Abdomen blanquecino, verdoso, azul, ordinariamente con doble línea longitudinal en el dorso de los segmentos 2-6. Cercos su- periores del d bífidos. Protórax de la q con bordes latera- les levantados y dirigidos hacia delante..... pennipes Pall. — Tibias más dilatadas, sin línea externa negra. Estigma pe- y * (vide. queão, un poco reniforme. Abdomen del d con los segmen- tos 2-6 blancos sin manchas; cercos superiores enteros. Protórax de la q con lóbulos laterales redondeados, no le- vantados ni dirigidos hacia delante......... latipes Ramb. EA o ade dd edi ia Te Em sa e I. Platycnemis latipes Ramb. Sin duda común en todas partes y abundantísima en ribazos de ríos y pantanos, en acequias, etc. Se ha citado de Portugal y Madrid (Selys), Churriana (Ed. Pi- ctet), Batalha, Alcobaça, etc. (Mattozo) y la he visto de San Fiel (Tavares, Silvano), Gijón, Ormáiztegui y Poveda (Dusmet), Pozuelo (La Fuente), Chamartín, Orihuela (P. Saz), Gandía (P. Barnola), Zaragoza, Alcolea de Cinca, Sijena, Manresa (Guitart), Cabacés, La Gleva (Maluquer), Barcelona, etc. 2. Platycnemis pennipes Pail. Se ha citado de Espaãa y Portugal (Selys). Habita con la Zatipes, con la que es fácil se haya confundido algunas veces. 3. Platycnemis acutipennis Sel. Portugal (Girard) São - Marcos da Serra (Mac Lachlan); Béjar (Id.); Churriana (E. Pict.); — Madrid], Pardo! La Guardia ! (P. Rodeles S. J.) Setúbal (Cordeiro), -* Pozuelo! (La Fuente); Villalba ! (Dusmet), etc. Género Pyrrhosoma Charp. Color del cuerpo rojo. Ojos pardos ó amarillentos. Sin manchas postoculares. 52 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [52] 1. Pyrrhosoma nymphula Sulz. (minium Harris). Abdo- men rojo hasta el sexto segmento en el Q, los restantes con-man-. chas negras posteriores, las cuales existen en todos los segmentos, de la q. Patas negras. Es seguramente abundante. Se ha citado de Madrid (Selys), Sierra de Alfacar y San Ildefonso (Eduardo Pictet), Portugal (Gi- rard), Serra da Estrella (Mattozo), Béjar, Picota, Ponte de Morcel- los, Cuenca, Tragacete, Bronchales y Albarracín (Mac Lachlan). Lo he visto de San Fiel (Tavares), São Martinho d'Anta (Correa de Barros), Setúbal (Silvano), Escorial (Zuazo), Burgos (Fernández Duro), Ortigosa (Vicente), Veruela, Sierra de Guara, Barcelona (P. Barnola), Calella (Cuní), Montseny y San Hilario. 2. Pyrrhosoma tenellum Villers. Abdomen totalmente rojo en el é, en la 9 negro por encima desde el extremo del tercer se- gmento (var. melanogastra Sel.). Patas rojas. Parece menos frecuente que el anterior. Espaíia (Selys), Chu- rriana (Ed. Pictet), Condeixa (Mattozo), Portugal (Girard), El Barco (Mac Lachlan), Gijón !, Ormáiztegui ! (Dusmet), La Guardia! (P. Ro-- deles), La Almunia!, Zaragoza ! | Género Erythromma Charp. Color bronceado por encima en fondo azul (d) 6 bien verde amarillento (9). Ojos rojos. Casi siempre dos series de celdillas en el ápice del ala después del estigma. I. Erythromma Najas Hans. Con cuatro ó cinco celdillas antenodales. Labio superior y cara rojizos, con una mancha negra basilar en aquél. Antenas negras, primer artejo rojizo. Borde pos- terior del protórax claramente trilobado, con el lóbulo posterior saliente en medio en ángulo obtuso, los laterales levantados. Tórax del d con una raya superior negra, de la q con una raya antehu- meral inferior verde, que no llega sino á la mitad de la altura. Tar- sos negros. Citado de Portugal con duda y de Espana (Selys, E. Pictet). 2. Erythromma viridulum Charp. Con tres celdillas ante- nodales. Sin mancha basilar negra en el labio superior. Borde pos- “ po Ática À pd OA [53] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 53 terior del protórax redondeado, ligeramente elevado en medio en la q, pero redondeado y no trilobado. Tórax con una línea ante- humeral rojiza incompleta en el &, completa, pero verde ó ama- rilla en la q. Tarsos amarillentos, sólo la base negruzca. Pozuelo de Calatrava! (La Fuente). Género Nehalennia Selys Tamaão pequeno. Color verde brillante metálico en ambos se- xos. Occipucio negro con una línea postocular completa azul claro, que no alcanza á los ojos, en la q con frecuencia amarillenta. An- tenas negras, con el extremo de los artejos 1.º y 2.º amarillo, el 3.º muy largo. Abdomen muy delgado. Sin tubérculo superior en el extremo del 10.º segmento del abdomen en el Q, y sin espina inferior en el segmento 8.º de la q. Nehalennia speciosa Charp. — El más pequefo Odonato de Europa. No citado de Espana, y es probable no se encuentre de este lado de los Pirineos.. Género Agrion Fabr. Abdomen delgado ó mediano, cilindráceo, sin elevación corni- cular en el extremo ni espina en el 8.º segmento. Color y dibujos diferentes en ambos sexos, azul en el Q, verde ó bronceado en la q. Cabeza con manchas postoculares circunscritas; parte posterior de la misma negra. Estigma rombal, del tamafio de una celdilla ó me- nor. — Cercos superiores del 9 más cortos-que el décimo segmento abdominal (gen. restr.). 1. Una mancha superior cuadrada en la base del primer se- gmento abdominal. Manchas terminales de los segmentos 3-6 del dg prolongadas en líneas laterales hacia la base. Es- tigma negro, cercado de blanquecino.................. 2 — Manchas negras terminales de los segmentos 3-6 del à no prolongadas en líneas laterales hacia la base. Mancha negra dorsal del primer segmento abdominal alcanzando los dos DR RR E SE prato a DOS é duo sala 6 ad drO E PO 3 4. Faja antehumeral azul del 4 completa, ancha; borde poste- 5 54 BROTÉRIA : SERIÉ ZOOLOGICA [54] rior del protórax ceniido de azul; rama lateral de la man- cha del tercer segmento del abdomen interrumpida en su principio (t..v, lám. 'x1fp. B).vae coa fo Neide die puella L. — Faja antehumeral del 4 interrumpida antes de la parte su- perior, donde reaparece en forma de punto, afectando el todo un signo de admiración 1. Borde posterior del pronoto en tres festones, no cefiidos de azul; rama lateral más gruesa, entera (t. v, lám. xr, fig. 9)... . pulchellum V. d. L. 9%. Estigma pardo amarillento, con el lado inferior notablemente más corto que la celdilla en que se apoya y casi continua- do en curva con el externo, con lo que el estigma afecta la forma de triángulo alargado. Borde posterior del protó- rax en el d ligeramente escotado en medio, con un peque- no tubérculo, en la q prolongado en medio en dos grandes lóbulos ú orejetas, triangulares, encorvadas y divergentes (Ev, Té, 24, De CDS e na ceerulescens Fonsc. — Estigma visiblemente en rombo alargado, pardo ó negro, más claro en €LCOGLOLHO Seria ae SS qe A a e PER 4 4. Estigma en rombo alargado, más agudo exteriormente, de base (ó lado posterior) más corta que la celdilla en que se apoya, pardo, más pálido en el contorno. Margen posterior del protórax dividido en tres lóbulos ó festones poco pro- fundos, el mediano sinuoso ($) ó saliente y escotado (9) (Esvpdâm 3, BP. IS sa pe A «... Scitulum Ramb. — Estigma de base igual á la mitad de la celdilla que lo sostie- ne, reunida en curva con el lado externo que es oblicuo ; bordeado de blanquecino, con el fondo negro (4) 6 ahu- mado (9). Manchas postoculares redondeadas, con línea occipital entre ellas (t. v, lám. xr, fig. 10). mercuriale Charp. 1. Agrion puella L. — Long. del abdomen, 23-29 mm.; del ala posterior, 17-23 mm. Tórax azul (d) 6 verde; segundo se- gmento abdominal del é con una mancha en forma de U angulosa aislada (1. c. fig. 8); los de la q con banda dorsal bronceada, el 2.º y los 8-10 con los lados azules. ——— pm [55] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 55 Frecuente. São Marcos da Serra (Mac Lachlan), Albarracín ! Montseny !, etc. 2. Agrion pulchellum Van der Linden. — Abd. 23-32; ala post. 16-22 (fig. 9). Sobradiel! Es de creer que se halle en otros sitios. 3. Agrion caerulescens Fonsc. — Long. del abd. 18-25 mm.; del ala posterior, 14-19 mm. Mancha del segundo segmento abdo- minal en el 9 en forma de U angulosa, con ancho soporte (fig. 12). No parece muy abundante. Albarracín (Mac Lachlan), Zarago- za! Sobradiel! Pozuelo! (La Fuente), Villafranca de los Barros!, etc. 4. Agrion scitulum Ramb. — Long. del abd. 20-25 mm.; del ala posterior 14-19 mm. Mancha del segundo segmento abdominal en el d en forma de U angulosa, con estrecho soporte, como una Y de eje corto (fig. 13). Segmentos 3-5 negros en su mitad pos- terior, casi como en el carulescens. Raro. Cabacés! (Tarragona). 5. Agrion mercuriale Charp. — Long. del abd. 21-27 mm.; del ala post. 15-21 mm. Mancha dorsal del segmento 2.º abdomi- nal en el d en forma de tridente, como el signo del planeta Mer- curio (fig. 10). Hallado casi donde quiera se haya encontrado el género. Género Cercion (1) gen. nov. Sunilis Agrioni. Macule postoculares oblonge, haud cuneate. Macule due inter ocellos. Pterostigma elongatum, subtriangulare. Abdomen primo segmento macula dorsali utrumque marginem attin- gente, secundo macula cyathiformi in utroque sexu. Cerci in 8 lon- &t, decimo segmento longiores, superiores graciles, arcuati, fere ut im genere Lestes. (1) Nombre formado por la fusión de las palabras cerco (xºguos) y Agrioa, para designar la semejanza con el Agriom y la longitud de los cercos supe- riores. 56 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [56] Cercion Lindeni Sel. — Parte posterior de la cabeza amarilla. La raya postocular es recta posteriormente, convexa por delante, con tendencia á la forma triangular. El estigma amarillo uniforme, alargado, casi triangular, porque el lado externo es muy oblicuo. Los dibujos del abdomen son: en el primer segmento una mancha negra que alcanza los dos extremos, en el segundo una banda ne- gra completa, ensanchada cerca del extremo, afectando el todo la forma de jarro (fig. 11). Los siguientes dibujos varían según los se- xos: en la 9 prosigue una faja bronceada con un anillo claro en la base de los segmentos y en el extremo de los 8.º y 9.º; en el 8; 3-6 con una mancha ensanchada antes del extremo, en punta fina hacia la base (fig. 11), alcanzando la mitad ó los dos tercios; 7.º y 8.º negros, excepto un anillo basilar; 9.º y 10.º azules, y en éste una banda dorsal negra, cóncava á los lados. El color del fondo es azul en el À, amarillento en la q. Long. del abd. 24-30 mm.; del ala post. 16-21 mm. | Bastante frecuente. Portugal (Girard), Setubal! S. Fiel! (Silva- no), Madrid! Pozuelo! Zaragoza! Barcelona! Segorbe ! (Pau), etc. Var. exilis nov. — Long. abd. 21-23 mm.; al. post. 14-17 mm. Minor, paliidior, gracilior, macula dorsali obliterata in decimo segmento abdominali À, in tribus ultimis q. à. La mancha dorsal del último segmento del abdomen se es- trecha súbitamente en el ápice, ofreciendo una concavidad muy pronunciada. El negro del décimo segmento está reducido á dos puntitos basilares separados y á una motita central terminal. En la q el bronceado dorsal desaparece en los tres últimos segmentos, que ofrecen un color rojizo y se rebaja hacia el fin del séptimo segmento, Villafranca de los Barros! (Badajoz), La Guardia ! (P. Rodeles). Género Enallagma Charp. | Cabeza con manchas postoculares cuneiformes. Abdomen cilín- drico, mediano, con el extremo escotado y sin tubérculo cornicu- lar (d) y con espina aguda en el 8.º segmento (9). En el dg el es- tigma es negro, apenas orlado de una línea blanquecina,.en la q amarillo, más obscuro en medio, [57] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 57 Enallagma cyathigerum Charp. — La única especie euro- pea. Abdomen del dg pintado de negro sobre fondo azul vivo de esta forma: 1.º” segmento con una mancha rectangular basilar transver- sa; 2.º con mancha hachiforme compuesta de una media luna trans- versa y un mango que la une al extremo (fig. 14); 3.º-5.º con mancha orbicular aguda hacia la base, con mango más ancho ; 6.º el negro ocupa la mitad apical; 7.º todo negro excepto un anillo basilar; 8.º y 9.º azules; I10.º todo negro por encima. Abdomen de la q con dibujos bronceados sobre fondo amari- lento, como sigue: 1.º segmento, mancha basilar cuadrada mayor ; 2.º, banda dorsal completa, ensanchada antes del término; 3.º-5.º, banda dorsal completa excepto un anillo basilar, á su vez interrum- pido en la quilla dorsal; 6.º, banda dorsal no estrechada en el ex- tremo; 7.º como el 6.º, pero el anillo basilar entero; 8.º-10.º bron- ceados por encima. Frecuente. Serra da Estrella (Mattozo), Lago de Uia (Mac La- chlan), Madrid! Montseny ! Gerona! (H. Boldá S. J.), etc. Género Ischnura Charp. Abdomen delgado ; el del 8 terminado en tubérculo en el borde posterior; 8.º segmento de la q con espina. Cabeza con manchas postoculares claras, redondeadas. Estigma rombal, mayor y de dos colores en el ala anterior, más pequeão y más uniforme en la pos- terior, semejante en ambas alas en la q. Las hembras son dimorfas, con la coloración normal del tipo 6 “con el fondo amarillo, var. aurantiaca Rb. 1, Segmento 8.º del abdomen azul en el extremo, 9.º por en- AS SRS PRB da dp OR JR ITR e NE AD A pumilio Charp. 2. Borde posterior del protórax en el à con una cresta mediana súbitamente elevada, casi vertical, más alta que ancha, cón- cava por delante; en la q cresta un poco más delgada, es- qotala à Feces em el ânice. e. cinsosi ros elegans Charp. — Borde posterior del protórax elevado y algo engrosado en el centro, sin cresta, pero en forma de lóbulo redondeado, algo más estrecho y largo en la q......... Graellsi Ramb, 58 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [58] 1. Ischnura pumilio Charp. — Abd. 18-24, al. post. 12-19. Rara. Zaragoza! Albarracín ! Pozuelo ! (La Fuente). Var. aurantiaca Sel. — Tórax anaranjado, con línea dorsal bronceada. Abdomen con los segmentos I.º y 2.º, tercio ó cuarto basilar del 3.º y lados de los demás anaranjados. Con el tipo.. 2. Ischnura elegans Charp. — Abd. 22-26 mm.; ala post. 14-20 mm. Rara. Pozuelo! (La Fuente), Orihuela! (P. Saz S. J.), Tortosa (P. Canongía S. J.), Barcelona ! 3. Ischnura Graellsi Ramb. — Abd. 20-23 mm.; al. post. 12-16 mm. Comunísima como la que más entre las especies de Odonatos peninsulares. La var. aurantiaca acá y allá con el tipo. 2* SECCIÓN Oxinatos Para muchos autores constituyen estos insectos (6 casi todos ellos) los Neurópteros verdaderos, caracterizados por lo completo de la metamorfosis. Por su aspecto general son fáciles de distinguir de los demás. Sus alas están bien provistas de venas y venillas (estas últimas faltan en los Termítidos) y sus mandíbulas carecen de los fuertes dientes que caracterizan á los Odonatos. Sus tarsos poseen dos artejos al menos, con frecuencia cinco. Varios autores, restringiendo el concepto de Orden mucho más que nosotros hacemos, dividen en varios órdenes los insectos en- cerrados en esta Sección. Así elevan á la categoría de orden va- rias de las familias que aquí estudiaremos como tales: los Efeme- rópteros (Efeméridos), Plecopteros (Pérlidos), Isópteros (Termítidos), Embidiodes (Embidos), Panorpados (Panórpidos), Mecoópteros e moptéridos), Copeonatos (Sócidos). ! [59] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL o) CUADRO DE LAS FAMILIAS 1. Cabeza no prolongada en forma de pico; antenas diversifor- mes (Primera Legión: Braquistomios)....... «cuco. 2 — Cabeza prolongada anteriormente en forma de pico; antenas filiformes; alas estrechas (Segunda Legión: Prosostomios). 16 %. Ala anterior y posterior desiguales en figura y tamafo, ó casi iguales (Embidos), siempre con venas y venillas (1.º TE RESTO EE PRO GRATA 20 E SR O POD 3 — Alas iguales, sin venillas, tarsos de cuatro artejos (2.º tur- DEI LOGIN RE a é RR RAD CTA a Fam. 14.º- Termítidos 3 Antenas aleznadas, de tres artejos. Alas muy desiguales, las posteriores al menos la mitad más pequefas que las ante- riores. Abdomen terminado en dos largos cercos filiformes y á veces un urodio mediano..... Fam. 1.º - Efeméridos — Antenas no aleznadas; de muchos artejos. ........ ..... 4 4. Antenas filiformes. Alas posteriores más anchas que las an- teriores, plegadas á lo largo en forma de abanico durante el reposo. De ordinario dos cercos largos, á veces un uro- d dio mediano (Plecópteros) .. . cc... Fam. 2.º- Pérlidos — — Antenas diversiformes. Alas posteriores siempre extendidas DR e Mrs ra e Ud AOL TREs Dem Da Go do 5 à Antenas en maza....... RR ARO e asd ge RE firo — Antenas filiformes ó moniliformes................0..... 7 — 6. Antenas largas, terminadas en maza oval 6 piriforme...... AS Pa SIT PÇS A dr TR AO Fam. 3.º — Ascaláfidos — Antenas cortas, engrosadas hacia la punta en masa elíptica RIDER ads SÁ SO qro Fam. 4.º- Mirmeleónidos RR SOR GE CINCO, arttjos ROC. cempeicani censo cerã 8 RR Tarsos de menos de cinco artejos... -. cc. .cc.c...ccro.. I5 & Alas y patas normales, aquéllas hialinas, éstas semejantes en- : tre sí, como también los artejos de los tarsos........... 9 60 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [60] — Alas 6 patas anormales, éstas diferentes entre sí 6 en sus artejos, aquéllas con escamillas....... DR e Ms ação QE REA 12 9. Con ojos y sin estemas. Alas sin manchita pupiliforme en el THSCOS qa ana o É acata ia ad Ae de a O PR IO — Con ojos y con estemas. Alas con mancha pupiliforme. Ve- nillas -costales ahorquilladas. «< + 2 Leis sds VAR IH 10. Ufias ensanchadas notablemente en la base. Ojos de color de oro en vida, lívidos ó parduscos en seco. Venillas cos- tales sencillas. Otras venillas gradiformes en el disco del ala. Antenas largas, filiformes. Color dominante verde 6 BOJO OZ qalic a Rr cd Sad RSS AR D N aç Fam. 5.º - Crisópidos — Ufias sencillas, no ensanchadas en la base. Venillas costales sencillas, ahorquilladas ó ramificadas. Antenas filiformes, más bien moniliformes por lo corto de sus artejos. Color dominante pardo usa sos pise eai Fam. 6.º- Hemeróbidos 1, Alas con manchitas pequefas, sobre todo las anteriores. Antenas pectinadas en el é, dentadas en la 9; ésta con lar- go oviscaphd.s ess Açã xe Fam. 7.º - Diláridos — Alas anteriores con manchas aisladas. Antenas filiformes. o sin. largo Oviscapto.us = KEÉS so gas Fam. 8.º - Osmílidos 12, Alas recubiertas de escamillas. Cuarto artejo de los tarsos bilobado. Insectos muy pequeãos.........cccicececeoo di SP da SE, pd Fam. 9.º - Coniopterígidos — Ae notimales, sin escamillas: .w.> 2.5 coa aa 13 13. Protórax corto. Alas algo ahumadas, con pocas venillas. Cuarto artejo de los tarsos cordiforme, ó ensanchado en dos lóbulos redondeados............ 10. Fam. 10.º- Siálidos — Protórax muy alargado. Alas hialinas, con pocas venillas.. 14 14, Patas anteriores normales. Tercer artejo de los tarsos, cor- diforme ó ensanchado en dos lóbulos redondeados. Ovis- capto largo y fot). ese. Fam. 11.º- Rafídidos — Patas anteriores prensoras, á la manera de los Mántidos (Or- — Jór] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 61 tópteros). Venas costal y subcostal confluentes en la mitad del borde anterior. Sin oviscapto. Fam. 12.º- Mantíspidos 45. Tarsos de dos 6 tres artejos. Alas posteriores más cortas que las anteriores, ambas con pocas venillas; ó nulas. An- tenas largas, filiformes. Pequefitos.... Fam. 13.º-Sócidos — Tarsos de tres artejos. Alas iguales membranosas, ó ápteros. Antenas moniliformes...... o pi O PA A Embidos 40. Alas muy desiguales, las anteriores anchas, las posteriores muy largas, muy estrechas, acintadas ó filiformes....... Ei na a o o aid sds ar DO? é - Nemoptéridos — Alas RE Ciade estrechas y alargadas, las posteriores más cortas que las anteriores; á veces con alas rudimentarias ó nulas (Género Boreus).......... Fam. 17º-Panórpidos Bibliografia AvusserER (Carl). Neuroptera tirolensia. Insbruck, 1866. Hacen (Dr. H.). Die Neuropteren Spaniens nach Ed. Pictet's Synopsis. Stettin, 1866. Mac LacmLan (Robert). Trichoptera, Planipennia and Odonata collected by lord Walsingham in the vicinity of Granada (Spain) in 1901. London, 1902. — An annotated List of Neuroptera Planipennia collected in central Spain by Dr. T. A. Chapman and Mr. G. €. Champion. London, 1902. — An annotated List of Neuroptera Planipennia collected in | West central Spain by Dr. T. A. Chapman and Mr. G. C. Cham- pion in June and July 1902. London, 1903. * Scmoca (Dr. Gustav). Neuroptera Helvetia. Neuroptera plani- pennia. Schaffhausen, 1885. — Zusátze und Berichtigungen zur Fauna Neuropterorum hel- “vetica. Schaffhausen, 1885. 62 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA | [63] 1.2 Familia — EFEMÉRIDOS Sus largos cercos y lo pequeiio de las alas posteriores los distin- gue al momento de los demás Neurópteros. Con frecuencia poseen un urodio mediano semejante á los cercos, por lo cual los tres pue- den llamarse urodios y así lo he hecho en trabajos anteriores, re- servando el nombre de cercos para otros apéndices del extremo del abdomen, los cuales se Ilamarán fórceps. Las antenas son alez- nadas, cortas, parecidas á las de los Odonatos, pero compuestas de tres artejos, dos basilares cortos y gruesos y una hebra larga y delgada. Los órganos bucales están atrofiados. Las alas anteriores son grandes, triangulares, con venación abundante de ordinario ; las posteriores notablemente pequeiias y á veces atrofiadas. Las | patas largas y delgadas, las anteriores del à mucho más. Sus larvas ó ninfas (pues no se distingue bien el período lar- var) son acuáticas, hallándose debajo de las piedras, en aguas de poco fondo. Respiran por tráqueas externas que agitan sin cesar. Al adquirir las alas se transforman en subimago, pues es peculiar de estos insectos sufrir otra muda de piel en el estado alado, para transformarse definitivamente en imago. Por esto se dice que po- seen hzpermetamorfosis. El imago vive poco tiempo; y por haberse supuesto que su existencia duraba un solo día, se los llamó desde antiguo êqúpeçoy, esto es, de un dia. Bibliografia Eaton (Rev. A. E.). A Revisional Monograph of Recent Ephe- meridae or Mayflies. London, 1883. — New species of Ephemeridae from the Tennasserim Valley. London, 1892. JoLy (Dr. Emile). Contributions pour servir à lhistoire naturelle des Ephémérines. N.º 1, 2, 3. Toulouse, 1871. — Sur le Prosopistoma. Paris. - — Nouvelles recherches sur le nom de Prosopistoma. Montpel- lier, 1875. k E 3 & + r li cin VR MET], Pra [63] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 63 Vaysmkre (A.). Recherches sur Iorganisation des larves des Ephémérines. Paris, 1882. — Monographie zoologique et anatomique du genre Prosopistoma. Paris, 1890. CUADRO DE LOS GÉNEROS 1, Sin alas posteriores (Tribu 3.º Cloeoninos)............ I6 — Con alas posteriores, á veces muy pequeías............. 2 4, Con urodio, ó sea con cerco central ó mediano, á veces muy corto y poco visible (Tribu 1.º Efemerinos).......... 3 — Sin urodio, quedando por consiguiente en el extremo del abdomen dos cercos laterales filiformes (Tribu 2.º Ecdiu- RR once Re aro ida Ss ais aii side da E aa II à Alas anteriores con solas siete venas no ramificadas, las pos- teriores con cinco; las primeras con pocas venillas, las se- gundas sin ninguna. Patas poco desarrolladas. Alas y cuer- po blanco (Lám. 1, fig. 1)........ «e. IT. Oligoneuria Pict. — Alas anteriores con más de siete venas, con ramos en ellas; venillas más ó menos numerosas en ambas alas......... 4 4, Cuerpo y alas blancas, immaculadas. Patas posteriores muy REA E TIGRE ca saio uia bd bina 2. Polymitarcys Etn. — Cuerpo y alas no enteramente blancas; patas posteriores MES DCI CICRMECONMIAS. s nego ncnquoc caco senuboss 5 d. Disco de las alas anteriores con algunas manchas pardas E RR O da ERRADA Re PRO PR ADA '3. Ephemera L. — Sin manchas discoidales en el ala anterior... ....... CERA E 6. Campo costal del ala anterior coloreado, ó sea de diferente color -que lo restante del ala. 2. sscsecsc correr e cess 7 — Campo costal incoloro, hialino...... .......cccccccccero 8 1, Campo costal del ala anterior teíido de amarillo.......... Dad A Dna ldcd a pro Mudo cs; 9 «. 4. Potamanthus Pict. ” — Campo costal del ala anterior tefido de pardo ó negruzco. DRM RD SR A SS cminie é ac cvit 5. Choroterpes Etn. 64 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA - [64] A 8. Urodio y cercos próximamente iguales en longitud, bien de- | sarrotlados av cas sid o cce a dra do Po e, ODE 9 — Urodio muy corto, abortado; cercos largos. 10. Siphlurus Etn. 9. Las venas divisoria y axilar 1.º? (8 y 9! de Eaton) del ala an- terior son paralelas en la base ó raíz del ala. ........... IO — Las mismas venas del ala anterior son convergentes en la base ó raíz, donde se unen, estando aisladas de la postcu- bital y 2.º axilar (7 y 9º de Eaton); una venilla que las une forma la base de un triángulo alargado (Lám. 1, fig. 3). ACAO ro dna nO mao a UR aà -«.. OQ. Ephemerella Walsh. 10, Artejo basilar ó primero del fórceps del & más largo que IE otra gd ES ra Grs O TE a DID Ee o Dr 6. Thraulus Etn. — Artejo basilar del fórceps del & próximamente tan largo co- mo los restantes juntos... ........ - 7. Habrophlebia Etn. — Artejo basilar del fórceps del é mucho más largo que lo restante “del: mimos trate LAS 8. Calliarcys Etn. tl. Alas posteriores anchas, normales, con más de tres venas.. 12 -— Alas posteriores estrechas, cortas, acintadas, con solas 3 6 2 VENAS ese oe bi aro plo RES ERR de “ir o inca TR IS 12, Primer artejo del tarso anterior igual al segundo. Primer ar- tejo del tarso posterior más largo que el segundo, éste más que el tercerD 4. 5, cs N Ta RS np Rad II. Epeorus Etn. — Artejos de los tarsos dispuestos de otra forma........... I3 Ed 13. Primer artejo del tarso posterior igual al segundo ó más lar- go; primer artejo del tarso anterior ordinariamente más corto que el segundo. Órgano copulador con lóbulos an- chos, ovales, divergentes (Lám. 1, fig. 4). 12. Ecdyurus Etn. — Primer artejo del tarso posterior igual al segundo ó más corto, el segundo más largo que el tercero ó igual....... I4 14, Copulador alargado, con lóbulos estrechos y á manera de clavo (Lábio FS) sa qe dean Pics 13. Rhithrogena Etn. — Copulador más corto, con lóbulos ensanchados, divergentes, reco gi s qro o (AGR E DO AUD MR O 14. Heptagenia Walsh. [65] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 65 “45. Alas posteriores oblongas, obtusas en el ápice, con expan- sión aguda en el espacio costal, con tres venas. Alas ante- riores con dos venas marginales intercalares (Lám. 1, fig. E ERA PRE AT PP NE ER 15. Baetis Leach. — Alas posteriores estrechas, acintadas, agudas en el ápice, con expansión aleznada en el margen costal, con dos ve- nas. Alas anteriores con una vena intercalar en el margen MR DR Piionort: Sym So pn 16. Centroptilum Etn. 16. Alas traslácidas, pestafiosas en el borde posterior; venas in- tercalares dos ó ninguna; con urodio....... 17. Canis St. — Alas hialinas, lampinas (en el imago) en el margen poste- rior, con una vena marginal intercalar ; sin urodio....... Sed Pe SE ER a A 18. Cloeon Leach. Nota. Por la pequefiez, delicadeza y fácil deterioro de estos in- sectos no han obtenido la atención que merecían en nuestra pe- ninsula. Creo que existen en ella más géneros de Efeméridos, so- bre todo muchas más especies que las enumeradas á continuación ; mas he preferido cefiirme á las citas que me son conocidas que traerlas problemáticas. I. Género Oligoneuria Pict. Caracterizado por la escasez de venas y venillas. Las primeras son siete solamente en el ala anterior, simples, no ramificadas; las venillas son pocas, poco visibles, en el ala anterior. La especie Oligoneuria rhenana Pict. (Lám. 1, fig. 1), de cuerpo amarillento, meloso en el tórax, alas blancas poco diáfanas, cercos y urodio no muy largos, debe de existir en toda la penín- sula. Se ha citado de Portugal, Ponte de Morcellos, Beira Baixa (Eaton). La tengo de Veruela (Zaragoza) y de Zaragoza (8 de Junio de 1898) cogida en mi aposento, donde entró por la ventana atraí- da por la luz. 2. Género Polymitarcys Etn. Cuerpo y alas blancas, éstas con numerosas venas y venillas blancas, resultando poco transparentes; son negruzcas las del cam- po costal. Urodio en el d muy corto, cercos muy largos, en la q 66 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [66] casi igual á los cercos, que son de mediana longitud. Patas poste- riores poco desarrolladas. La especie Polymitarcys virgo Oliv., algunos aos es abun- dantísima, volando en enjambres de muchos miles. Madrid (Eaton), Córdoba! (Hernández Pacheco), Zaragoza! Vitoria! (López Zua- z0), etc. 3. Género Ephemera L. Urodio largo como los cercos. Alas con numerosas venas y ve- nillas, con algunas manchas pardas discoidales. f. Con manchas discoidales bien marcadas en ambas alas, dis- puestas como en dos fajas transversas incompletas (Lám. 1, fig. 2). Venas y venillas pardas. Long. 14-22 mm.; ala ant. LDA Into 2.2 de ao SD o e A -. vulgata L. — Sin manchas discoidales en el ala posterior, ó reducidas á un punto ó á la reticulación parda......... EO e Ed 4, Mancha discoidal del ala posterior puntiforme ó casi borra- da. Abdomen blanco ebúrneo, con un par de rayas dorsa- les pardas, anchas en los segmentos posteriores y unidas. Long. 16-23 mm.; ala ant. 16-22 mm....... . danica Mill. — Mancha discoidal del ala posterior nula. Reticulación pardo CONIZA 4 a. acao SME AS EST A o e cada E aprendo RR Da 3 ô. Campo costal y subcostal del ala anterior incoloro, borde posterior de la misma apenas sombreado. Abdomen de co- lor de miel pálido, con un par de líneas dorsales negras á cada lado en los primeros segmentos, apareciendo otras dos intercaladas en el medio en las posteriores. Long. 15-25 im; “ala ant LOS mm: 20 SA dra lineata Etn. — Campo costal y subcostal del ala anterior tenidos de ama- rillo, sobre todo la región estigmática; borde posterior de ambas alas con ancha faja pardusca. Abdomen de color de miel pálido, con una línea fina negra á cada lado en el dorso de los primeros segmentos, apareciendo otras dos intercalares en los últimos, en medio. Long. II-I7 mm.; ala ant. JO-I6. mm. São sitaras otra lyo Na SU glaucops Pict. [67] L. NAVÁS! NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 67 I. Ephemera vulgata L. (E. hispanica Nav.) — Se encuentra en toda Europa. San Fiel! (Silvano); Hurdes! (Sanz); Madrid ! (Dusmet, Vázquez), Burgos! (Fernández Duro, López Zuazo); San Ildefonso? (Ed. Pictet), etc. cep tipstd pit 2. Ephemera danica Miill. (E. hispanica Rbr.). — Probable- mente en toda la península. San Fiel! (Tavares); Serra do Cara- mullo ! (Mus. de Lisboa) ; Madrid (Rambur); Escorial! (Lauffer) ; Cangas de Tineo! (Flórez); Ortigosa! (Vicente); Albarracín ! (Te- ruel); Biescas ! (Huesca); Sierra de Guara ! (Huesca); San Hilario ! (Gerona), etc. ne A fer Snes E PS da 3. Ephemera lineata Etn. —- Villa Velha de Ródam! (Portugal) (Silvano); Tudela! Veruela! (Zaragoza), Sobradiel! Za- ragoza !, etc. | 4. Ephemera glaucops Pict. — Algarve, São Marcos da Serra (Eaton); Montarco ! Madrid (Cabrera). 4. Género Potamanthus Pict. Alas hialinas, las anteriores en su campo costal tefiidas de amarillo pálido. Venas y venillas pardo-rojizas. Cuerpo amarillo. Cercos y urodio iguales, más largos que el cuerpo. Especie única: Potamanthus luteus L. — Long. 9-13 mm.; ala ant. 12-15 mm. Madrid ! (Vázquez). E - 5. Género Choroterpes Etn. | Alas hialinas, las anteriores con el campo costal teíiido de par- do obscuro en toda la membrana. Cuerpo pardo, con urodio y cercos del mismo color, iguales. Especie única: Choroterpes Picteti Etn. — Long. 10 mm.; ala anterior I0 mm. | Portugal (Eaton); Gandía! (P. Barnola); Zaragoza ! ad 6. Género Thraulus Pict. Pequeiio, con alas diáfanas y reticulación parda; venas diviso- 68 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [68] ria y axilar paralelas en la base. Artejo primero del fórceps del à más largo que cada uno de los restantes. Urodio y cercos casi iguales. Especie única: Thraulus bellus Etn. — Long. 7-8 mm. Portugal, cerca de Cintra (Eaton). 7. Género Habrophlebia Etn. Pequefio. Alas diáfanas con reticulación pálida; el ala poste- rior con expansión triangular obtusa hacia la mitad del margen costal entre la base y el ápice. Urodio y cercos iguales en longi- tud, casi tres veces más largos que el cuerpo. Fórceps del 8 con + el primer segmento casi tan largo como los demás juntos. I. Habrophlebia fusca Curt. -- Long. 5-7 mm.; ala anterior 6-7 mm. Cuerpo, fémur anterior y ambos extremos de la tibia del mismo par, pardos. Alas vitreas; venas y las venillas de la región estigmática (4-8) bien definidas, pardas. Gijón! (Oviedo); Sarriá! (P. Saz); PER Barcelona (P. Saz); San Hilario! (Gerona). 2. Habrophlebia nervulosa Etn. — Long. 7-8 mm.; ala ant. 7-9 mm. Venillas pardas, bien marcadas en ambas alas. Región es- tigmática con 7-I2 venillas simples. Patas anteriores pardas. Fé- mures posteriores obscuros en el extremo. Algarve, Cintra, Ponte de Morcellos, Villa Real (Eaton); Sierra de Guara ! (Huesca). 8. Género Calliarcys Etn. Ala anterior con abundante venulación, bien visible en la re-. gión estigmática, en la cual existen IO ó más venillas inclinadas, curvas. Vena divisoria y primera axilar paralelas hacia la base. Ala posterior con moderada dilatación costal hacia la mitad. Fór- ceps del $ con el primer artejo mucho más largo que los restantes juntos. Cercos y urodio casi iguales, vez y media más largos que el cuerpo. Especie única: Calliarcys humilis Etn. — Long. 7-9 mm.; ala ant. 7-9 mm. Pardo. Alas hialinas, con malla de un pardo claro. [69] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 69 Algarve, cerca de Monchique; Estrella, cerca de Sabugueiro (Eaton); Madrid! (Vázquez); Ortigosa ! (Vicente). 9. Género Ephemerella Walsh. Ala anterior con las venillas de la región estigmática reticula- das (Lám. 1, fig. 3, a); las venas divisoria y axilar 1.º convergen- tes en la base, aisladas de las immediatas y unidas entre sí por una venilla que forma la base de un triángulo alargado. Ala pos- terior de figura normal; con el margen costal sinuoso á causa de un seno ó escotadura hacia la mitad (Lám. 1, fig. 3, b). Urodio y cercos casi iguales, de la longitud del cuerpo. Especie única: Ephemerella ignita Poda. — Long. 6-10 mm.; ala ant. 7-II mm. Portugal, cerca de Cintra, Madrid (Eaton). 10. Género Siphlurus Etn. Espacio estigmático del ala anterior reticulado. Dilatación cos- tal del ala posterior obtusa, cercana á la base. Urodio muy corto, abortado, cercos largos. Especie única: Siphlurus flavidus Ed. Pict. — Long. 12 mm.; ala ant. 12,5-14,5 mm. Cuerpo amarillento, con tinte páli- do, del mismo color en el ala anterior, especialmente en la base y en el estigma. San Ildefonso (Ed. Pictet). II. Género Epeorus Etn. Artejos del tarso posterior decrecientes gradualmente ; los dos primeros del tarso anterior iguales. Cercos más de dos veces más largos que el cuerpo. Alas posteriores normales. Especie única: Epeorus silvicola Ed. Pict. (E. geminus Etn.). — Long. 12-15 mm.; ala ant. 15-16 mm. Alas transparen- tes, tenidas de amarillo rojizo en la región estigmática. Venas pí- ceas, excepto la porción basilar de la costal y de las posteriores al radio en el ala anterior. - Estrella, S. de Sabugueiro (Eaton); San Ildefonso (Ed. Pictet). Ene 70 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [70] 12. Género Ecdyurus Etn. Primer artejo del tarso posterior más largo que el segundo ó igual, en el tarso anterior más corto. Ala anterior alargada, con venas y venillas bien visibles, pardas (orilladas de pardo en el subi- mago); ala posterior ancha, obtusa en el ápice, con dilatación cos- tal angular cerca de la base. Organo copulador del é con lóbulos prominentes, ensanchados ú ovales (lateralis), divergentes (Lám. I, fig. 4). 1, Tórax negro píceo. Abdomen con los segmentos 2-6 más pálidos que los restantes (3) ó más uniforme (9), pardo ro- jizo, con mancha lateral oblicua parda. Pata anterior pícea, más pálida hacia la base del fémur. Ala anterior transpa- rente, con el campo costal no tenido. Cercos pálidos, ani- llados de negro. Long. 5-9 mm.; ala ant. Ó-10 mm...... mo e p Mig RÉ BE SA pro aja GU A A lateralis Curt. — Membrana del campo costal en el ala anterior coloreada más ó menos. Tórax pardo Ó rojizo.....escsaseusanpos 2 4. Campo costal levemente tefido de amarillo, no más intenso en la región estigmática. Venas costal, subcostal y radio amarillentas, las demás pardas. Venillas estigmáticas for- mando malla, no simples. Abdomen rojizo, con el margen posterior de cada segmento y una estría oblicua lateral (y un punto ó línea dorsal en la 9) pardos. Long. 8-12 mm.; ala -ahê Ó-IA Ini ss É mo DE a o o o + 5H PICO — Campo costal y subcostal del ala anterior ordinariamente más obscuro en la región estigmática. Todas las venas par- daB. Ss bel citsssis Do Apis SS E e Wpcd E ela Re quado 3 ô. Espacio estigmático del ala anterior con venillas simples (d) ó reticulado (9). Abdomen rojizo, con línea oblicua ó man- cha triangular parda en cada segmento. Primer artejo del tarso anterior en el d */, del segundo. Cercos pálidos, dis- tintamente anillados de negro. Long. 10-12 mm.; ala ant. 11-18 Tnzs sand o tpm DRE Ds AR io rs dA venosus Fabr. — Espacio estigmático del ala anterior en el campo costal y [71] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 71 subcostal visiblemente obscurecido, en la q con venillas simples, no reticulado. Abdomen rojizo ó amarillento ; seg- mentos obscuros en el extremo, con manchas laterales triangulares pardas poco definidas. Cercos pardos, no dis- tintamente anillados de negro, unas tres veces más largos que el cuerpo. Long. 9-12 mm.; ala ant. IO-I3 mm..... forcipula Kollar I. Ecdyurus lateralis Curt. (Betis obscura Pict., Cloe brun- nea Ramb.). — Mediodía de Espaia (Rambur). Es probable la cita de Montseny (Navás). 2. Ecdyurus fluminum Pict. — Seguramente muy extendido y abundante en la península. Serra de Caramullo ! (Museu de Lis- boa); Cangas de Tineo! (Flórez); Madrid (Rambur); Escorial! (Dusmet, Lauffer); Ortigosa! (Vicente); Pozuelo de Calatrava ! (La Fuente); Gandía! (P. Barnola); Moncayo! (Zaragoza), Zaragoza, muy común; Calella! (Cuníf); Montseny ! (Barcelona); Campro- dón |! (Gerona), etc. 3. Ecdyurus venosus F. — San Fiel! (Tavares); Escorial ! (Dusmet, Lauffer); Espinar! (Lauffer); Ortigosa! (Vicente); Bur- gos! (Fernández Duro, López Zuazo); Cangas de Tineo! (Flórez) ; Orihuela ! (P. Saz); Montseny !, etc. 4. Ecdyurus forcipula Kollar. — Val Anzasca, cerca de Ponte Grande (Eaton); Gijón ! (Oviedo); Biescas! (Huesca). 13. Género Rhithrogena Etn. Primer artejo del tarso posterior igual al segundo y algo más largo que el tercero. En el tarso anterior el primer artejo es mu- cho más corto que el segundo. Alas posteriores de forma normal. Copulador prolongado, con lóbulos estrechos, á manera de clavos, contiguos con frecuencia en seco (Lám. 1, fig. 5). I. Rhithrogena aurantiaca Burm. — Long. 6,5-9 mm.; ala ant. 7-10 mm. Color pardo claro. Alas hialinas; venas rojizas, ve- nillas incoloras. Fémures anteriores con marca negra lateral muy 72 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [72] visible. Abdomen con línea castafia terminal en cada segmento y un trazo lateral oblicuo bien marcado. Ponte de Morcellos, Beira Baixa (Eaton); Albarracín! (Te- ruel); Zaragoza ! q 2. Rhithrogena ferruginea Nav. (Bol. Soc. Arag. de Cienc. Nat. 1905). — Long. 8 mm.; ala ant. 10 mm. Rojiza. Alas hiali- nas; en la anterior el campo costal y subcostal con levísimo tinte amarillo. Venas y venillas ferruginosas, bien marcadas, especial- mente las de la región estigmática. Patas de un pardo pálido; fé- mur anterior con estría negra muy poco marcada. Abdomen del color general con los segmentos algo obscuros en el ápice, excepto el último. Tramacastilla ! (Teruel). I4. Género Heptagenia Walsh. Primer artejo del tarso posterior más corto que el segundo; éste igual al tercero ó algo más largo; iguales proporciones en los tarsos intermedios; en el tarso anterior el primer artejo mucho más corto que el segundo, éste igual al tercero ó poco más largo (9). Alas posteriores de forma normal. Copulador como truncado en el extremo, de lóbulos anchos, divergentes. Especie única: Heptagenia sulphurea Miill. — Long. 7-11 mm.: ala ant. 9-13 mm. Amarillenta. Alas hialinas, con el campo subcostal y el costal al menos en la región estigmática, tefidos de amarillo. Venas pardas, algunas amarillas de ámbar hacia la base ; venillas pardas, bien marcadas. Norte de Portugal (Eaton); Sierra Nevada! Albarracín! Zara- goza! Vich!, etc. Se encuentra en toda Europa. 15. Género Baetis Leach Alas hialinas, las anteriores con dos venas marginales interca- lares (Lám. 1, fig. 6, a); alas posteriores pequefias, estrechas, oblon- gas, obtusas en el ápice, con tres venas á lo más, la tercera más corta; expansión costal del ala posterior aguda, dentiforme (Lám. t, fig. 6, b). De pequefo tamafio. REA Apa pç, E Maga a DE mp GA Ar [73] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL Ea 1. Abdomen pardo grisáceo en los segmentos 2-6, con dos cor- tas líneas basilares dorsales pardas en cada uno; pardo- amarillo en los segmentos 7-10. Alas hialinas, con las venas subcostal y radial del ala anterior y otras hacia la base, amarillas. Long. 10 mm.; ala ant. 10 mm.... Bocagei Etn. — Abdomen más uniforme, pardusco ; alas diferentes... ..... 2 4. Venas y venillas pardas; campo costal algo obscuro ; región estigmática con reticulación irregular; segunda vena del ala posterior sencilla. Long. 4-8 mm.; ala ant. 6-8 mm... Rec e RR AO CNC ps ÃO O binoculatus L. — Venas y venillas pálidas; alas hialinas; región estigmática con venas simples; ala posterior con la segunda vena bifur- cada. Long. 5-7 mm.; ala ant. 4-8 mm..... pumilus Burm. I. Baetis Bocagei Etn. — Cerca de Bemfica, Lisboa (Eaton). 2. Baetis binoculatus L. — Toda Europa (Eaton); Burgos ! (López de Zuazo!); Gandía ! (P. Barnola). 3. Baetis pumilus Burm. — Cintra, Cea en Estrella, Villa Real, Traz-os-Montes (Eaton); Pozuelo de Calatrava! (La Fuente), Zaragoza ! 16. Género Centroptilum Etn. Alas posteriores estrechas, acintadas, con expansión aleznada en el campo costal, con dos venas en el disco. Alas anteriores con una vena intercalar en el margen (Lám. 1, fig. 7). Insectos pequehos. Especie única: Centroptilum luteolum Mill. — Long. 5-7 mm.; ala ant. 6-7,5 mm. Abdomen amarillento de ocre (0), más pálido en la q. Alas hialinas, con venación parda. Patas blanqueci- nas ó amarillentes. Especie de vasta área. Portugal (Eaton); Ricla!; La Almunia!; Zaragoza | 17. Género Caenis Steph. Muy pequefios; en su aspecto cortos y gruesos. Alas traslúci- das, con pocas venillas, pestafosas posteriormente, con dos venas - intercalares marginales, ó sin ninguna. Sin alas posteriores. Tarsos 74 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [74] de cinco artejos. Cercos y urodio muy largos en el dg, muy cortos en la q. 1, Abdomen y cercos blancos, tórax blanco amarillento. Venas amarillentas, la costal y la subcostal negras. Envergadura DM 2) ques Vetor Rudi ap a a je E ad A AR RR lacteella Etn. 4. Abdomen y cercos grisáceos, aquél con manchitas laterales negras. Tórax negro. Alas cenicientas, con las venas costal y subcostal de un negro violado. Envergadura I0-I2 mm. ORA O O MS ca ralo AURA US ORE ANP E A cc. halterata F. —- Abdomen y cercos pardos. Cabeza y tórax negros. Venas de las alas grisáceas, subcostal y radial de un negro píceo. Enverrada O tn o sr DM na Ep harrisella Curt. 1. Caenis lacteella Etn. (Zactea Pict.). — Pozuelo de Calatra- va! (La Fuente). 2. Canis halterata F. — Portugal Sae Gijón! (Agosto, Eae 3. Ceenis harrisella Curt. (luctuosa Burm.). — Gandía! (P. Barnola); Montseny ! (P. Saz); Zaragoza ! t8. Género Cloeon Leach Con solas dos alas; sin urodio. Alas hialinas, con pocas veni- llas; una intercalar marginal. Tarsos de tres artejos. Ojos del & dobles, á manera de turbante (1). De pequefio tamafio. 1, Alas hialinas, con el campo costal en la q manchado de par- do verdoso claro, en el é sin venillas hasta la región es- tigmática, que contiene 3-5. Cercos blancos, finamente anillados de negro. Long. 5-II mm.; ala 6-I2 mm...... a! A eco Mo RA 3 Tt) nd de OA AD A TSE no ASR A dipterum L. — Alas hialinas, sin manchas en el campo costal en la gy con más venillas en la región estigmática en el d........... 2 (1) De semejante manera están en los géneros Potamanthus, Epheme- rella, Habrophlebia, Betis. — [7 5] L. NAVÁS: NEURÓPTFROS DE ESPANA Y PORTUGAL 75 4. Dorso negro píceo; abdomen del mismo color (dó) ó pardo claro (9). Región estigmática del d con 9-I1 venillas algo irregulares. Cercos blancos anillados de rojizo. Long. 9-I0 Cod ROO STE o, 14 AR AI E SPU MO DR simile Etn. — Abdomen con los anillos intermedios blancos............ 3 3. Segmentos 2-5 del abdomen de un blanco sucio, los 6-I0 amarillentos, como el dorso del tórax. Espacio estigmático en el con 11-13 venillas irregulares, formando malla; en la 9 10-12, rara vez 8, sencillas. Cercos blanquizcos. Long. RPA po OSS É SS, bio ss eres ad concinnum Etn. — Segmentos 2-6 ó 7 del abdomen blancos translúcidos, con átomos rojizos; los 7 ú 8-10 obscuros por encima; fórceps y cercos blancos. Alas transparentes; región estigmática con 6-8 venillas oblicuas (d). Long. 5-9 mm.; ala 6-8 mm. o RX pt Ro E sad e go se cre RS PU) 0 2 E ADE rufulum Mill. 1. Cloeon dipterum L. — Tan común que es casi ocioso el citar localidades. Solamente consignaré aquellas de que veo ejem- plares en mi colección. Albarracín, Barcelona (P. Barnola, P. Saz), Burgos (Fernández Duro), Cangas de Tineo (Flórez), Chamartín, Escorial (Lauffer), Covadonga, Gandía (P. Barnola), Granada, Sierra de Guara, Sierra Mariola (P. Barnola), Guadarrama (Lauffer), Mon- * cayo, Montserrat (P. Marcet), Pozuelo de Calatrava (La Fuente), Sarriá (P. Saz), Sobradiel, Zaragoza. Además los he visto de San Fiel (Tavares), de Cintra y de Lisboa (Mus. de Lisboa). Se intro- ducen con frecuencia en las habitaciones, donde pueden sufrir la hipermetamorfosis. Varias veces se han observado en ellos casos de viviparismo. 2. Cloeon simile Etn. — Madrid! (Vázquez); Villafranca de los Barros! (Badajoz); Veruela! (Zaragoza). 3. Cloeon concinnum Etn. — Cerca de Porcalhota, entre Lisboa y Cintra (Eaton). 4. Cloeon rufulum Miill. — Sobradiel ! (Zaragoza). 76 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [76] 22 Familia — PÉRLIDOS De mediaio y pequefio tamaio. Alas posteriores plegadas en . forma de abanico, lo cual les ha valido el nombre de Plecópteros con que se los designa al considerarlos como orden ó suborden ; á veces abortadas. Alas anteriores oblongas, bien venadas (Lám. 1, fig. 8). Cabeza con tres estemas dispuestos en triángulo y antenas largas, pluriarticuladas, filiformes. Abdomen terminado en dos cer- cos ordinariamente largos, á veces muy cortos, otras nulos. Patas normales; tarsos de tres artejos semejantes. Larvas acuáticas. Me- tamorfosis completas. É M Suelen prepararse con las alas extendidas, ó solamente las de | un lado, á fin de que se vean en ambas posiciones, extendidas so- bre el abdomen y para el vuelo. Bibliografia AzBarDA (Herman). Notes sur les Perlides décrites par le Dr. Rambur. Bruselas, 1889. Banks (Nathan). Notes on the Classification of the Perlida. The Canad. Entom., Jul., 1906. Kempny (Dr. Peter). Uber Nemura. Wien, 1897. — Neue und ungeniigend bekannte Leuctra-Arten. 1, um, m Theil. Wien, 1898. — Úber die Perliden-Fauna Norwegens. Wien, 1900. — Nachtrag zur Perliden-Fauna Norwegens. Wien, I9oI. — Úber Capnia pygmaa. Wien, 1902. KzapáLEK (Prof. Franz). Nemura subtilis n. sp. Prag, 1895. — Plecopterologische Studien. Prag, I900. — Beitráge zur Kenntniss der Trichopteren und Nenidipira fauna von Bosnien und Hercegovina. Wien, 1900. — Beitrag zur Kenntniss der Neuropteroiden von Krain und Kãrnthen. Prag, 1900. — ÚUber neue und wenig bekannte Arten der palãarktischen Neuropteroiden. Prag, I9OI. — Tres Pérlidos de Espana. Madrid, 1902. f [77] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL DA — Zur Kenntniss der Neuropteroiden von Ungarn, Bosnien — und Hercegovina. Budapest, 1902. — Kin Beitrag zur Kenntniss der Neuropteroiden von Ober- Steiermark. Prag, 1903. | — Úber die europáischen Arten der Fam. Dictyopterygid>e. Budapest, 1904. — Conspectus Plecopterorum Bohemia. Prag, 1905. — Revision und Synopsis der europáischen Dictyopterygiden. Prag, 1906. Kozzr (H. J.). Beitrag zur Kenntniss der Pseudoneuroptera Al- geriens und der Ostpyrenzen. Berlin, 1885. Morton (Kenneth John). Palxartic Nemurae. London, 1894. — New and little-known Palzartic Perlida. London, 1896. -— Isopteryx torrentium and I. Burmeisteri. London, 1898. — Perlida taken in Norway. London, Igor. Prcrer (F. J.). Histoire Naturelle des Insectes Névropteres. Per- lides. Texte et Planches. Geneve, 1842. Ris (Dr. F.). Die schweizerischen Arten der Perliden Gattung Nemura. Entom. Gesellsch. Bd. x, Heft 9. | —- Zwei Notizen iúber schweizerische Perliden. Schw. entom. Gesellsch. Bd. xr, Heft 2. Rostock (M.). Capnodes Schilleri. Berlin, 1892. CUADRO DE LOS GÉNEROS 1. Con cercos largos, segundo artejo de los tarsos muy corto.. 2 — Con cercos muy cortos ó nulos. Palpos cortos, filiformes... 7 2. Palpos alargados, setáceos....... ERNÇES Dos SM ao o rio 3 —- Palpos cortos, filiformes (3.º Tribu, Capninos).......... RR ris oa RAS dal amo Emis qt é 6. Capnia Pict. 3. Dos ó más venillas costales entre el extremo de la vena sub- RR eLdae del aa ouris Cics ne crio o pe ei cie 4 RR Una sola venilla costal en el ápice del ala, después de la terminación de la vena subcostal. Alas bien desarrolladas, á veces amarillo-verdosas. ............. 4. Isoperla Banks O Eu E A . s o E. E. . 78 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [78] . 4. Sector del radio ramificado con irregularidad más de tres A veces (1.º Tribu, Perlodinos) ..«=:2 cio Sa — Sector del radio con bifurcaciones regulares insertas en án- gulo agudo, tres á lo más (2.º Tribu, Perlinos)........ 6 à. En el ala anterior, entre el radio y su sector existen varias venillas, á veces irregulares, de suerte que el ápice del ala. apareçe” retiêuiado: - (= ts im ap 1. Perlodes Banks — Ápice del ala no reticulado, por no existir más que una ve- nilla entre el radio y su sector; pero éste muy irregular- mente ramificado (cinco veces). ....... 2. Isogenus Newm. 6. Alas posteriores mucho más anchas que las anteriores; á ve- ces acortadas ambas. Pronoto rectangular. . 3. Perla Geoffr. — Alas posteriores apenas más anchas que las anteriores. Pro- » noto casi elíptico. Pequenos y verdes. 5. Chloroperla Newm. 1, Cercos cortos, ordinariamente de tres artejos. larsos con ar- tejos iguales entre sí. Campo costal del ala anterior sin venillas, ó solamente con la del estigma. Venillas en x co- mo en el género Nemura. (4.º Tribu, Teniopteriginos). 8: —-- Cercos nulos ó de un artejo. Segundo artejo de los tarsos más corto que. los demãs: 1... (us css a e oa e ERAS (o) 8. Sin venilla costal en el ápice del ala después de la terminación de la subcostal. Sector del radio una ó dos veces bifurcado. Cúbito con varias ramas ó bifurcaciones en el extremo (Eat, hp: DJs E PES atra TR 7. Teeniopteryx Pict. — Con una venilla costal después de la confluencia de las ve- nas costal y subcostal. Sector del radio bifurcado una sola vez. Cúbito con una sola rama ó bifurcación en el extremo. O VARRER E ER Rei A (03 pera SET A 8. Nephelopteryx Klap. 9. Alas planas durante el reposo. Tercera célula apical del ala anterior ensanchada en la base. Una venilla entre el radio y su sector, la cual es el centro de una y cuyas dos ra- mas. superiores las forman la venilla que une el radio al extremo de la subcostal y otra que va á parar á la costal; y las ramas inferiores son la base de la 3.º célula apical y [79] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 79 * E Leal E. su ramo anterior, ó ramo del sector del radio (Lám. 1, fig. 8, X). Vena axilar bifurcada, formando una célula alargada en el margen posterior del ala (5.º Tribu, Nemurinos).. PED 2 Do a AGR RN OR O 9. Nemura Latr. — Alas semicilíndricas durante el reposo. 3.º célula apical del ala anterior no ensanchada en la base. Venillas estigmales | q no dispuestas en figura de y. à con apéndices córneos en el extremo del abdomen (6.º Tribu, Leuctrinos)....... ao aU + SEMA o TE CER Ea Po TO. - E suctra: Steph. 1. Género Perlodes Banks (= Dictyopteryx Pict., nombre empleado previamente para Lepidópteros). Caracterizado por el extremo del ala anterior, donde se nota ” cierta reticulación ó malla, merced á las varias venillas costales ex- teriores al estigma y á otras radiales, ya enlazadas entre sí irregu- larmente, ya aisladas. Cercos largos. Alas posteriores anchas. Una raya anaranjada á lo largo del protórax. 1. Periodes intricata Pict. — Venillas radiales de ambas alas - enlazadas en malla irregular abundante. Sallent ! (Huesca). Pirineo Catalán ! (Gerona). Un ejemplar im- E perfecto cogido por el Rdo. Font en Setcasas, 1.700 ms. « ad E 2. Perlodes rectangula Pict. (Perla hispanica Ramb.). — Venillas radiales en ambas alas libres entre sí, paralelas. San Ildefonso (Albarda); Navacerrada (Bolívar; Museo Nacio- nal (1)); Escorial! (Lauffer); Veruela ! (Zaragoza). E 2. Género Isogenus Newm. - Parecido al género Perlodes, del cual se distingue por la exis-- - tencia de una sola venilla entre el radio y su sector. No lo he visto de Espana; mas el Sr. Bolívar (Véase la nota anterior) cita una especie no determinada del género Tsosymus, (1) Los Pérlidos existentes en el Museo Nacional de Madrid no los he visto, pero han sido estudiados por el Prof. Klapálek, de Praga, á quien los — envió el Sr. Bolívar, Director de aquel establecimiento. Los citaré transcri- - biendo lo dicho por el Sr. Bolívar en un artículo «Apuntes para el estudio : e de los Pérlidos de Espaiia» (Bol. Soc. Esp. Hist. Nat., 1902, p. 204). a RE” 80 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [80] | nombre que presumo error de pluma y que deba ser Isogenus. Almadenejos (Boscá). | 3. Género Perla Geofrr. Alas posteriores más anchas que las anteriores; éstas con varias venillas costales exteriores al estigma y una sola (2 por anomalía) entre el radio y su sector. Algunos Q tienen las alas muy cortas. Cercos largos. 1, Cuerpo marcadamente de dos colores, la mitad anterior ne- gruzca, el abdomen amarillo — Los colores del cuerpo varios, pero no intensos, predomi- nando el pardo, -Seva tro vi aaa DA iai ER CEA Made: MOR 4. Ambas alas ahumadas ó de tinte pardo grisáceo intenso. Abdomen anaranjado. Envergadura 27 mm... .......... Epa o a Nica READ O NNE NA 1 SERES SRA flaviventris Hoffm. — Alas parduscas, con venación distinta; abdomen amarillo ocráceo ; cercos negros, más largos que el abdomen. En- vergadura 36-41 mm............ :-.. abdominalis Burm. d. Alas anteriores con el campo costal más pálido que lo res- tante del ala; venas costal y subcostal amarillas, radial ne- gruzca. Tinte general pardusco verdoso. Cercos amarillen- tos, anillados de pardo. Envergadura 36-46 mm. Selysi Pict. — Alas anteriores de color uniforme en el disco y en el cam- po costal. Color dominante pardo......... E 208 o ES e 4 4 Cabeza no más ancha que el protórax. Color pardo claro, especialmente en el abdomen. Cabeza rojiza. Protórax casi cuadrado, orillado de negro, dividido en dos cuadriláteros por una raya negra mediana longitudinal. Alas con venas y venillas de color pardo claro. Envergadura 47-65 mm.. RPE 6 ag OR RS pe eg Dong] AS E marginata Panz. — Cabeza (sin contar los ojos) más ancha que el borde ante- rior del protórax ; éste transverso, ó más ancho que largo, estrechado posteriormente. Alas del d siempre cortas, de- jando al descubierto parte del abdomen. Color general E [81] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 81 pardo. Patas marcadas de negro en el extremo de los fé- mures y base de las tibias. Envergadura: d 22 mm., 9 55 EM CRE to Rs dy Do a dB a map ES é cephalotes Curt. 1. Perla flaviventris Hoffm. — Portugal (Pictet); Almodó- var y São Bernabé (Eaton); Málaga (Rambur, Perla malacensis); Córdoba (Bolívar); Pozuelo de Calatrava! (La Fuente). 2. Perla abdominalis Burm. — Espaãa (Brullé); Cangas (Flórez ap. Boliv.) 3. Perla Selysi Pict. — Madrid (Ed. Pictet, Cabrera !); Ori- huela ! (P. Saz); Gandía! (P. Barnola); Tudela!; Moncayo!; So- bradiel!; Zaragoza ! 4. Perla marginata Panz. — Parece la más frecuente de Es- pafia. Se ha citado con varios nombres: P. matritensis Rb., P. barcinonensis Rb., P. Hageni E. Pict. Villa Real, Portugal (Eaton); Madrid, Escorial! (Lauffer), (Rambur, el é con alas cortas); Nava- cerrada (Bolívar); San Ildefonso (Ed. Pictet); Granada (Idem); Sierra Nevada! Navas! (Sanz); Burgos! (López de Zuazo); Ortigo- sa! (Vicente); Valvanera (P. Marcet); Cangas de Tineo! (Flórez); Albarracín! Sierra de Guara! Veruela! Montseny ! (Barcelona); Camino de Nuria!, Gerona (E. Ferrer), etc. 5. Perla cephalotes Curt. (Perla betica Ramb.). — Málaga (Rambur); San Ildefonso (Ed. Pictet, Bolívar); Panticosa (Escale- ra); Cangas de Tineo! (Flórez); Ortigosa! (Vicente); Veruela! (Za- ragoza). 4. Género Isoperla Banks (= Chloróperla auct.) Tamafio mediano. Color verdoso. Alas posteriores mucho más anchas que las anteriores; éstas con una sola venilla en el campo costal después de la región estigmática, ó sea dos después de la terminación de la vena subcostal. Una sola venilla radial (entre el radio y su sector). El Sr. Banks ha creado este nombre porque las verdaderas Choroperlas primitivas son las que se Ilamaron posteriormente Zso- peryx. 82 - BROTÉRIA: SERIE ZOOLOGICA (82] I. Isoperla grammatica Scop. (Chloroperia virescens Pict., Perla chlorella Ramb.). — Cabeza con una mancha central negruzca | en forma de herradura en la región de los estemas, con la conve- | xidad dirigida hacia delante; occipucio pardusco. Antenas pardo |. verdosas, con el primer artejo y los últimos más obscuros. Patas | verdosas, con una raya negra externa en los fémures; tarsos ne- gros. Cercos leonados en la base, pardos en el extremo. Alas te- nidas de verdoso, sobre todo en la región costal; venas costal y » po pr ta a E Ta subcostal pardas, menos en la base, donde son amarillentas. Enver- gadura, 22-27 mm. Madrid y mediodía de Espana (Rambur); Panticosa y Naval- peral (Mazarredo); Quero (Bolívar). Debe de ser abundante en la península. La tengo en mi colección de las localidades siguientes: San Fiel (Silvano); Ortigosa (Vicente); Pozuelo de Calatrava (La Fuente); Fuencaliente (Id.); Escorial (Lauffer); Calella (Cuní), Cangas de Tineo (Flórez), Moncayo, Albarracín, Sierra de Guara, Zaragoza. 2. Isoperla affinis Pict. — Cabeza negruzca en toda la re- gión mediana, con una mancha amarilla en el centro y otra en el borde occipital. Alas apenas tefidas de amarillo verdoso, casi in- coloras, reticulación parda. Patas amarillentas, pardas en el exterior. Cercos amarillentos, anillados de pardo. Envergadura 13-29 mm. Más escasa. Portugal (Pictet); Granada y San Ildefonso (E. Pictet); Escorial (Laguna, Lauffer!); Córdoba (Bolívar); Hurdes! (Sanz); Moncayo! 5. Género Chloroperla Newm. (= Isopteryx auct.) Insectos pequenos, de color verdoso. Alas anteriores v poste- riores casi iguales en anchura; campo costal con una sola venilla | después de la terminación de la vena subcostal. Peg de már-. genes curvos, resultando elíptico. 1. Protórax alargado, no orillado de negro. Antenas negras ex- cepto en el cuarto basilar. Cercos amarillos. Envergadura 13. HMA SO EO E RS E RA AA apicalis Newm. E — 4 a ' [83] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 83 — — Protórax corto, transverso, con los márgenes laterales ne- gros. Antenas negras excepto en el tercio basilar... ...... 2 à. Sin línea negra mediana en el protórax, mas con una curva en cada lado de la línea mediana. Cercos amarillos anilla- dos de negro en el extremo de cada artejo. Envergadura ARRECADA aa Da A, torrentium Pict. — Con línea negra longitudinal ordinariamente bien marcada en medio del pronoto. Mancha negra entre los estemas. Enverpadura 160 Tom... .csnsgonanararo Burmeisteri Pict. ; 1. Chloroperla apicalis Newm. — Portugal (Pictet). Se ha — citado también de Espaãa. És la más pequefia del género. 2. Chloroperla torrentium Pict. — Abundante en algunos - riachuelos y ríos. Granada y Pefialara (Ed. Pictet); Cercedilla (Bo- — Jívar); San Fiel! (Tavares, Martins); Cangas de Tineo! (Flórez); Escorial! (Lauffer); Ortigosa! (Vicente); Albarracín! Moncayo ! —* Sierra Nevada! Biescas! Sierra de Guara! Vallvidrera ! (P. Barno- — Ja); San Hilario! Camprodón ! 3. Chioroperia Burmeisteri Pictet. — Panticosa (Maza- - rredo); Villa Rutis en Coruãa (Bolívar); Zaragoza ! | 6. Género Capnia Pict. A Palpos cortos, filiformes. Cercos largos, pluriarticulados. Alas 4 posteriores anchas. Una ó á lo más dos veniilas en el campo cos- “tal después del estigma. Insectos pequefios. - Capnia nigra Pict. — Enverg. 16 mm. Negra; alas hialinas * tefidas de pardo ; venación parda. Zaragoza | | 7. Género Taeniopteryx Pict. Ala anterior atravesada por fajas nebulosas. Depués de la con- - fluencia de la subcostal con la costal no hay ninguna venilla en el - ápice del ala. Sector del radio una 6 dos veces bifurcado. Cúbito * Con varias ramas en el extremo. Palpos cortos, filiformes. Cercos y — cortos, de tres artejos. Alas posteriores anchas. Venillas en forma « de x en la anterior (Lám. 1, fig. 8.º, X). Tamafio mediano. 84 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [84] 1. Teeniopteryx Braueri Klap. (Dusmeti, matritensis, ornata Navás. Las diferencias de estas formas no parecen específicas al Sr. Klapálek). — Cabeza negra con manchas ó espacios rojizos. Fajas transversas nebulosas ó parduscas del ala anterior muy mar- | cadas, sobre todo la que precede y la que sigue á la y, cóncavas |. hacia el ápice, éste también nebuloso. Entre la mancha apical y la. . última faja transversa existe una mancha ó sombra elíptica, oceli- forme. Extremo del lóbulo supraanal en el $ oval, ancho, en el ápice hendido hasta más de la mitad. Ribas! (Dusmet), Madrid |! (Lauffer), Chamartín ! Alcalá de He- nares (Escalera), Burgos ! (López de Zuazo), Zaragoza | 2. Taeeniopteryx Kempnyi Klap. — Cabeza negra, algo amarillenta entre los ojos, con una elevación en forma de quilla entre las antenas, ensanchada hacia delante. Extremo del lóbulo supraanal del é oblongo, con el ápice hendido, llegando la hendi- | 4 dura á 1/, de su longitud. Sombras del ala anterior parecidas á las de la especie precedente ; fajas más estrechas y menos marcadas. Zaragoza | 3. Taeniopteryx Risi Morton. — Cabeza, tórax, abdomen negros. Tres fajas transversas del ala anterior muy anchas, pero poco distintas; la faja apical (á veces desvanecida) llega casi á la y. Lóbulo supraanal del Q simplemente lobado en el ápice, no hen- dido. Lámina subgenital del mismo fuertemente doblada hacia arriba en el extremo, cuyo borde es entero. Ortigosa ! (Vicente), Cangas de Tineo! (Flórez), Sarriá! (P. Barnola, S. J.). 4. Taeniopteryx arcuata Klap. — Parecida á la anterior. Vértex de la cabeza y pronoto rugosos longitudinalmente. Lámina subgenital del é muy prolongada, encorvada hacia arriba, con el | ápice apretado hacia atrás, de modo que la punta, vista por detrás, parece truncada. Tres fajas transversas del ala anterior muy visi- bles, arqueadas hacia fuera, con un ligero viso obscuro en el ápice del ala. Río Moro (Bolívar). . [85] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL . 85 8. Género Nephelopteryx Klap. Parecido al anterior. Ala anterior sin [fajas transversas bien marcadas, con una ligera sombra vaga. Una venilla más afuera de la confluencia de la subcostal con la costal. Sector del radio bifur- cado una sola vez. Cúbito con un solo ramo dirigido hacia delante, ó sea simplemente bifurcado en el extremo. La especie Nephelopteryx nebulosa L. la he hallado en Zaragoza. 9. Género Nemura Latr. Pequefios. Alas anteriores planas durante el reposo. Tarsos con el segundo artejo más corto que los demás. Venillas visiblemente en x (Lám. 1, fig. 8). Tercera célula apical del ala anterior ensan- chada en la base. Cercos de un solo artejo. 1. Algunas ó todas las venas y venillas del ala anterior más ó menos orilladas de pardo, resultando sombras fuliginosas.. 2 — Venas y venillas pardas, sin sombra que se extienda lateral- mente sobre la membrana, la cual es hialina en su totali- dad ó con ligero tinte pardo........ TRA RA Pad RR 5 4. Todas las venas y venillas del ala anterior anchamente ori- lladas de pardo, de suerte que vienen á encerrar en las cel- dillas uno ó varios espacios hialinos que parecen blancos. Ramo inferior del sector del radio y vena procubital bas- tante encorvados ó flexuosos. Envergadura 15,5-24 mm... yo AR e e RA PR a De e GAS Ad +... Meyeri Pict. — No todas las venas y venillas pardas en los bordes. Ramo posterior del sector del radio y vena procubital apenas E ARCA CE Ar Eri e ensaia a ses e 3 ô, Radio encorvado hacia delante al alcanzar el margen ante- rior del ala (Lám. 1, fig. 8). Venas y venillas pardas, va- rias de ellas orilladas de pardo, especialmente la venilla basilar de la tercera célula apical, que tiene nube á uno y otro lado, de figura triangular en su conjunto. Cuarta cé- lula apical biangulosa en la base. Antenas negras, con el artejo basilar amarillento. Cercos muy largos y fuertes, 9 - 86 BROTÉRIA : SERIÉ ZOOLOGICA [86] - mucho más largos que la placa subanal. Envergadura LOS DD MR iss E TS» TR variegata Ol. — Radio recto en el extremo, ó á veces ligeramente dirigido hacia atrás. Cabeza rojiza ó parda... .............. 4 Cabeza rojiza, con mancha semilunar negra en la frente, que llena el área de entre los estemas y se extiende por am- bos lados hacia las antenas. Alas con venación parda bien distinta; membrana casi totalmente hialina, con una som- bra parda en la bifurcación del procúbito. Envergadura BAR EO DR Ta PPP PMS q E o Reasa ge Sr fulviceps Klap. — Cabeza parda, sin mancha negra semilunar. Aspecto del ala anterior gris pardusco, especialmente en el campo costal, que está tefiido visiblemente de pardo en la base y en el extremo. Algunas venas y venillas orilladas estrechamente de pardo. Patas de pardo claro; extremidad de las tibias y los tarsos más obscuros. Envergadura I6 mm......... Ea vo dicad E Noçã EE RÃR R E R ES lacustris E. Pict. ô. Alas hialinas, con venación bastante manifiesta. Cercos muy asimétricos, el derecho sencillamente cilíndrico, un poco curvo, el izquierdo algo más corto, truncado en la punta y excavado en el lado interno en forma de pala. Patas lar- gas, fémures del 1.º y 2.º par con quilla obscura. Enver- fatia Pass racao AR EA ERRA be Das ce Bolivari Klap. 6. Ala anterior pálida en la base, con venación fuerte. Cabeza y antenas pardas, brillantes. Protórax transverso, negruzco, . con márgenes laterales algo pálidos. Patas bayas, extremo de los fémures posteriores y de los tarsos pardos. Enver- gadura SO miss s= ab voa cio REA af lateralis Pict. — Ala anterior hialina, con venación tenue, ligero tinte pálido hacia la base en el espacio costal. Cabeza, antenas y tórax negros, brillantes. Abdomen pardo. Enverg. 16 mm...... É Cad e EE Ra A a E UPA ad à Cedo És CA 1. Nemura Meyeri Pict. — Moncayo ! (Zaragoza). f Sá 4 A E [87] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 87 e 2. Nemura variegata Oliv. — Pefialara (E. Pict.), Escorial! y Madrid ! (Lauffer), Montarco ! (Dusmet), Moncayo ! Sarriá | (Ven- ; “ talló), Matta do Fundão | (Silvano), etc. 3. Nemura fulviceps Klap. — Madrid! (Lauffer, Vázquez), Aranjuez! y Ribas! (Dusmet), Ortigosa ! (Vicente), Pozuelo de Ca- latrava ! (La Fuente), Albarracín |, Moncayo !, etc. 4. Nemura lacustris E. Pict. — Peialara (E. Pict.), Nava- cerrada (Bolívar), Escorial! (Lauffer), Hurdes! (Sanz), Cangas de Tineo! (Flórez), Pozuelo ! (La Fuente), Sierra de Guara!, Sallent | (Huesca), Montseny !, etc. 5. Nemura Bolivari Klap. — Río Moro (Bolívar). 6. Nemura lateralis Pict. — Moncayo! Sierra Nevada!, etc. 7. Nemura humeralis Pict. Asia ga (Vicente), Mon- cayo!, El Run! (Huesca). 10. Género Leuctra Steph. Sin venillas en x. Tercera célula apical del ala anterior no di- latada en la base. La misma ala cilíndrica 6 arrollada durante el reposo. Cercos cortos, uniarticulados. 1, Antenas híspidas, de aspecto singular, con artejos cortos, casi globulosos, erizados de pelos perpendiculares. Cuerpo ERRO, más pálidas las antenas. Enverg. 22-25 mm....... DOR ostra eo ie car no Su Ãi PIO Neo a geniculata Steph. — — Antenas simplemente vellosas, delgadas, de artejos alargados. 2 — & Tamafio mayor. Cuerpo y antenas pardo negruzcos, patas más pálidas. Alas de un tinte pardusco, venación muy marcada, parda. Envergadura 24 mm... cylindrica De Geer DRE on Era a eia e epa s ares Terraço 3 3. Color castaio ó más claro. Las dos venillas subcostales (entre las venas subcostal y radio) y radial (entre el radio y su sector) se encuentran formando un ángulo muy obtuso. Alas apenas teíidas de pardo; venación pardo-amarillenta. 88 “ BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [88] Patas pardo-amarillentas, con el extremo del fémur, de las tibias y los tarsos algo más obscuros. Enverg. 15-I9 mm. GR isto ds é o epa ro DE a ARE Braueri Kpn. — Color castafio obscuro, incluso las patas y antenas. Alas te- nidas ligeramente de pardo, con venación bien marcada, parda. Las dos venillas situadas en la región del estigma, la subcostal y la radial, sensiblemente paralelas. Enverg. 12-16 mm...... RR LES RREO o o cingulata Kpn. I. Leuctra geniculata Steph. — Pozuelo de Calatrava ! (La Fuente). É 2. Leuctra cylindrica De Geer. —- Cangas de Tineo! (Fló- rez), Escorial ? (Lauffer). 3. Leuctra Braueri Kempny. — Moncayo! (Zaragoza). 4. Leuctra cingulata Kempny. — Benasque! (Huesca). 3.º Familia — ASCALÁFIDOS dr. Antenas largas terminadas en maza ó más bien en lámina arti- culada de forma oval, orbicular ó piriforme. Ojos grandes, dividi- dos (en las especies espafiolas) por un surco transversal. Alas alar- gadas, la posterior de figura triangular, de ordinario coloreadas. Tamafio mediano. Bibliografia EpuaRDUS EvERSMANN. De Ascalaphis nonnullis Rossiam inco- lentibus. Mosque, 1850. A. LeresyrE. G. Ascalaphe. Paris, 1342. Mac LacHLaN. An Attempt towards a Systematic Classification of the Family Ascalaphidae. London, 1871. Navás. Notas neuropterológicas, 1 y 11. Barcelona, I9OI. SeLYs-LoNccHAMPS. Sur une race de I' Ascalaphus baticus. Bru- | xelles, 1880. H. W. Van per WeeLE. Theleproctophylla variegata Klug and barbara L. are distinct species. Leyden, I904. z — Note on the Ascalaphida Co nego described by Lin- neus. Leyden, 1906, & [89] L. NAVÁS: NEURÓPTFROS DE ESPANA Y PORTUGAL 89 CUADRO DE LOS GÉNEROS 1. Alas en parte opacas, coloreadas; espacio costal fusiforme, ó sea ensanchado cerca de la base y estrechado hacia el áp:- ce. Cercos del 3 simples........... «1. G.º Ascalaphus F. — Alas hialinas, con el campo costal de bordes sensiblemente paralelos; cercos ramosos........ o ARS CAR E 2 2, División superior de los ojos algo mayor que la inferior. Alas RECEIO MORSE des 2 pia na nl Pao 2. G.º Bubopsis Mac Lachl. — División superior de los ojos de doble longitud que la infe- rior. Alas anteriores sin manchas, las posteriores con una BranoEA parda detras del estigmas. cs esirinsa we a K RE a ipa at ima ini ca lr A ndtéproctophvyila Lefeb. I. Género Ascalaphus Fabr. Se distingue al momento por sus alas pintadas, lo que le da mucha semejanza con los lepidópteros, con los que se ha confun- dido frecuentemente. 1, Alas posteriores con una faja estrecha semilunar de conca- vidad exterior, terminando las ramas en el estigma y en la mitad del borde externo. Pelos rojizos en el occipucio.... a qo AE Te RR OI n/d E Pu pi Cê longicornis L. — Alas posteriores sin faja semilunar obscura en el tercio apical. 2 à, Ala posterior opaca hasta la mitad, con mancha parda en la base y mancha amarilla en medio.......... Ra ie Sa 4 — Ala posterior hialina en el fondo, con manchas obscuras ; reticulación amarillenta en su mayor parte. ............ 3 d Dos manchas obscuras en el ala posterior, una más intensa en la base y otra oval antes del ápice..... ictericus Charp. — Tres manchas obscuras en el ala anterior, la de la base bífi- da; las del disco llegan hasta el borde externo... ....... RR E qo SO OR E dio comeca.» o Nispanicus Ramb: 4 Espacio amarillo del ala posterior interrumpido; ó sea dos manchas amarillas, una mayor en medio trífida y otra me-. nor gutiforme antes del ápice............ coccajus W. V, 90 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [90] — Espacio amarillo no interrumpido. Pelos de la frente y occi- pucio grises 6 blanquecinoss.. ama é dai smenirro VR 5 9. Espacio amarillo de ambas alas de color uniforme, terminan- do mucho antes del estigma; tarsos posteriores totalmente DEPTO Ao 025» sigo Ge 25% 627 SA o a PR ER Cunii Sel. — Espacio amarillo de las alas blanco lechoso exteriormente, avanzando hasta el estigma en el ala posterior; primer ar- tejo de los tarsos posteriores amarillo por encima........ a e ia edi de npbom deE avi PA E a - baeticus Ramb. 1. Ascalaphus longicornis L. — Muy extendido por la pe- nínsula. Espafia (Rambur y Costa), Sierra Nevada (E. Pictet), Ma- drid y Ciudad Rodrigo (Mus. Nac.), Gerez! (Dr. F. Santos), Serra do Caramulo! Serra da Estrella, Beira Alta !, Benavente! (Mus. de Lisboa), Escorial! y Guadarrama (Lauffer), Guadalajara | (Vázquez), Navas! (Sanz), Cangas de Tineo! (Flórez), Biescas!, Sierra de Guara! Sipán (Huesca), Montseny ! Béjar (Mac Lachlan), etc. 2. Ascalaphus ictericus Charp. (barbarus Ramb. nec Latr.). — Andalucía y Portugal (Burmeister, Charpentier y Hagen), Gra- nada (E. Pictet), Serra de Monsanto, Beira alta! (Mus. de Lisboa), Setúbal! (Silvano), Algarve! (Mus. de Coimbra), Madrid ! (Lauffer, Vázquez, Mus. Nac.), Chamartín! Tarrasa ! (Bofill). 3. Ascalaphus hispanicus Ramb. — Madrid (Graélls, Ram- bur), San Ildefonso! (Ed. Pictet, Escalera), Sierra de Guara! (Huesca). 4. Ascalaphus coccajus W. V. (meridionalis Ramb.). — Espafia (Burmeister, Charpentier y Hagen), Camprodón (Cunf). No lo he visto de Espafia. 5. Ascalaphus Cunii Sélys. — Montserrat! (Cuní, Malu- quer, P. Marcet, O. S. B.), Gavá (Cuní), Cabacés (Seró), Sierra de Guara! Por la figura, aunque tosca, de Asso (Introductio in Ory- ctographiam et Zoologiam Aragonize, lám. n, fig. II) no dudo que. 58 se refiera á esta especie la que él cita con duda «An Papilio Ma- caronius Scopoli Ent, Carn. p. 168? Legi, dice, circa Castellum Sora, » [91] - L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 91 6. Ascalaphus baeticus Ramb. (Mizegi Graélls). — Andalu- cia (Hagen y Rambur), Guadarrama | (Graélls, Lauffer), Escorial ! (Lauffer), Guadalajara ! (Vázquez), Brihuega!, Pozuelo de Calatra- va! (La Fuente, Mus. Nac.), Albarracín ! (Zapater), Ciudad Rodri- go! (Sanz, Mus. de Madrid), Sandinha! (Mus. de Lisboa), Silves (Mac Lachlan), Algarve (Mus. de Coimbra). 2. Género Bubopsis Mac. Lachl. La especie Bubopsis agrioides Ramb. se ha citado de An- dalucía (Rambur), Málaga ! (Walker, P. Risco S. J.), Granada!, Va- lencia (Boscá), Cuenca (Mac Lachlan) y Montseny ! - 3. Género Theleproctophylla Lefebvre La q tiene la particularidad de poseer dos apéndices foliáceos amarillentos en el extremo del abdomen. La especie única de la península, Theleproctophylla au- stralis Fabr. se ha encontrado en Montarco! (Dusmet, Vázquez), Granada ! y Leciniena! (Zaragoza). 4.º Familia — MIRMELEÓNIDOS Antenas cortas, ensanchadas hacia el extremo en forma de maza oval ó elíptica (Lám. 1, fig. 10). Alas alargadas, estrechas, | semejantes entre sí, hialinas, con densa malla, trecuentemente con manchas pardas. Tarsos de cinco artejos semejantes cilíndricos. Larvas terrestres, carniceras (Lám. 1, fig. 11). Metamorfosis com- pletas. Bibliografia Dr. H. Hacen. Die Larven von Myrmeleon. Leipzig, 1873. C. Janer. Sur les prétendus ceuís des Fourmilions. Paris, 1894. W. P. Lucas. On the emergence of Myrmeleon. London, 1905. Fr. Meixerr. Contribution à [Anatomie des Fourmilions. Co- Ms shagus, 1889. L. Navás, S. J. Mirmeleónidos de Espana. Barcelona, 1904. E. Paque, S. J. Le Fourmi-lion. Namur, 1903. “e a À 02 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [92] CUADRO DE LOS GÉNEROS 1. Tibias desprovistas de espolones ; primer artejo de los tarsos más largo que el quinto; patas bastante delgadas... ..... DADO RE DR o 1. G.º Gymnocnemia Schn. — Tibias con dos espolones en su extremo; primer artejo de los tarsos siempre más corto ó no más largo que el quinto; patas de mediano. grosof .. 2.114 ws% Sula qo RR 2 4, Espolones rectos ó poco encorvados hacia el extremo, pero no doblados en ángulo recto. Espacio costal con una serie de celdillas, con sus venillas simples ó algunas ahorquilla- — Espolones fuertes, doblados casi en ángulo recto. Espacio costal reticulado, constituyendo dos series de celdillas.... APRCUDR OPINE ea IE Sia pe aos, E As 8. G.º Acanthaclisis Ramb. 3. Tamafio grande. Los cuatro primeros artejos de los tarsos casi iguales, muy cortos, graniformes, el quinto muy largo. Espolones tan largos como los dos primeros artejos, ó más. Alas con muchas y grandes manchas. Palpos labiales muy largos: 8 spa e al pa E 9. G.º Palpares Ramb. — Tamafo mediano. Los cuatro primeros artejos de los tarsos desiguales, siendo más largos el primero y el último. .... 4. 4. Primer artejo de los tarsos anteriores largo, algo menor que los 2.º y 3.º juntos, que son iguales; el 4.º el más corto; el 5.º el más largo, erizado por debajo de pelos tiesos. Es- polones iguales al primer artejo. Tarsos flexuosos. Ala an- terior con una mancha hacia la mitad del borde posterior. ESPE SAAE ASP rbd CA 2. G.º Megistopus Ramb. — Tarsos no flexuosos; su quinto artejo algo más corto, el 1.º largo, á veces igual al 5.º, siempre más largo que cualquie- ra de los tres siguientes, los cuales son casi iguales...... 5 ô. Espolones de las tibias anteriores más cortos e los tres pri- meros artejos de los tarsos................ Sbt AN SE dA E — Espolones más ee que los tres primeros artejos de los tarsos TORndDS ig pics usos apetite Cia 475 0 SER epa 8 193] L. NAVÁS: NEURÓPTFROS DE ESPANA Y PORTUGAL 93 6. Espolones anteriores de ordinario más cortos que los dos pri- meros artejos de los tarsos. Abdomen no terminado en lar- gos apéndices. Cercos cortos y poco visibles. Antenas más cortas que la cabeza y tórax juntos. Alas por lo común salpicadas de algunas manchas pequefias, pardas......... DARE do ti o 16 A io 0 Do 3. G.º Myrmeleon L. — Espolones más largos que los dos primeros artejos de los tarsos. Abdomen del 3 con dos ó cuatro apéndices largos, DRE REPRESA Ro Copia alã ro mcg a 0 mo Das 7, Color dominante pardo. Alas con reticulación parda man- chada de leonado. Estigma blanquizco, con punto pardo interno. Abdomen del 9 más largo que las alas, terminado en dos largos apêndices caudiformes.. . si.» iii come as Rd RE Ro ND CPE E GT 6. G.º Macronemurus Costa — Color dominante amarillo. Reticulación de las alas amarilla manchada de pardo. Estigma amarillo. Abdomen del d más corto que las alas, provisto de dos pinceles de pelos á cada lado antes de su extremo posterior... ............ a PRE PR ds aaa do e o co ado anipo: .Myrmeceslurus Costa | 8 Primer ramo del cúbito (6 de la vena 5.º) dirigido oblicua- mente al margen posterior. Alas salpicadas de manchas poco grandes, pero bien manifiestas.... 4. G.º Formicaleo Brau. — Ramo de la vena cubital PIS ARAL à sea paralelo por largo FREAO al ra posterior del ala. Alas casi sin manchas, ó con una ó dos poco sensibles.............. ÁS GD SOR DR 5. G.º Creagris Hag. I. Género Gymnocnemia Schn. — Se distingue al momento por la falta de espolones en las tibias. Patas y antenas largas y delgadas. Alas anteriores salpicadas de manchitas pardas; una mayor en la anastomosis del ramo del cúbito. 94 " BROTÉRIA: SERIE ZOOLOGICA [94] 2. Género Megistopus Ramb. Tarsos largos, flexuosos, el quinto artejo de los mismos, el más largo, provisto de un cepillo de pelos por debajo. Especie única: Megistopus flavicornis Rossi (bisignatus Ramb.). — Ala anterior con una mancha parda muy visible, á la mitad del borde posterior, en la anastomosis del ramo cubital. Zaragoza |, Orihuela ! (P. Saz, S. J.), Aranjuez! (Mus. Nac.). 3. Género Myrmeleon L. Antenas más cortas que la cabeza y tórax juntos. Espolones de las tibias anteriores por lo común apenas más largos que el primer artejo de los tarsos. Alas de ordinario salpicadas de motitas pardas. 4. Alas sin manchas, á lo más con la reticulación manchada de blanquizco; el pardo de la reticulación no invade la membrana, si no es en el lado interno del estigma, espe- cialmente en el ala anterior, formando una manchita parda. 2 . — Alas con algunas manchas ó sombras pequefas, debidas á que el pardo de la malla invade la región vecina de la membrana; ia co ae mo a nr Tp io e CA ANE 4 4 Alas del todo inmaculadas. Reticulación muy pálida, ama- rillenta; estigma apenas visible, amarillento, no limitado interiormente por sombra parda. Abdomen pardo por en- cima y por debajo, amarillento por los lados, como en el borde posterior de cada segmento. ... distinguendus Ramb. — Estigma visible, blanco, limitado interiormente por una som- bra parda. Reticulación de las alas parda y blanquizca.... 3 3. Estigma del ala posterior apenas visible, el de la anterior alargado y poco obscurecido por el borde interno. Color general, pardo. Casi todos los segmentos del abdomen mar- cados de una mancha dorsal pálida que llega de la base hacia la mitad de los mismos......... inconspicuus Ramb. | — Abdomen enteramente pardo, sin manchas pálidas. Estigma bien visible en ambas alas, especialmente en la anterior, ancho, limitado interiormente por una sombra parda y con vestigios de ella en el lado externo......... formicarius L. a ) , - [95] L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 95 4 Color dominante leonado. Una faja longitudinal parda divi- dida en dos en el tórax recorre todo el cuerpo por encima. 2 Alas posteriores sin manchas, las anteriores con motitas , pardas poco sensibles, notándose una en el último, quinto ; del procúbito (4.º vena), con vestigios de serie en las ve- - nillas discoidales y otra más sensible marginal posterior en la anastomosis del ramo 1.º del cúbito...... arenarius Navy. — Color dominante pardo. Manchas de las alas bien visibles, á : veces enlazadas entre sf, formando en el disco dos series ó estrías oblicuas, una marginal posterior mediana y otra discoidal paralela al borde externo... ......scxcereccce 5 4 d. Alas posteriores sin manchas. Las anteriores con dos man- chas principales oblicuas, la 2.º ó anteterminal á veces in- terrumpida ó poco visible; además á veces otras pequefií- simas manchas orlando algunas venillas ó llenando las bi- DITRARIORER O 6 dus ua a elebesté dE Ro des Sao EE ta PRETO — Alas posteriores con algunas manchas más ó menos sensi- bles. Las anteriores con varias manchas que no forman se- nes ano es la marginal antemediana. ctz ice crentes O 6. Abdomen con fondo leonado y faja dorsal parda ensanchada É dos veces en cada segmento, en la base y hacia el medio, | desvanecida en el extremo. Ala anterior con dos estrías oblicuas pardas, la antemarginal casi interrumpida. Tibias SE del é erizadas de pelos muy largos, negros... ER TR A ag irao PAGE dades 0... Ocreatus Nav. — Pior con onda pardo y algunas manchas leonadas la- Ê terales en el dorso. Patas con pelos de regular longitud.. 7 ” ê 7 à É º 1, Ultimo artejo de los palpos labiales alargado, aguzado suave- E mente, tefiido de pardo pálido por fuera. Reticulación de RR RE RB iAniquizoa no a, pru é usina ses teem sedan d 8 — — Ultimo artejo de los palpos labiales fusiforme, hinchado, — aguzado rápidamente en la punta, casi del todo negro bril- lante. Abdomen pardo con doble mancha leonada dorsal en varios segmentos del medio (3-6). Reticulación de las alas parda y blanca, dominando el pardo. Además de las ea Eta. x e , 96 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [96] dos estrías oblicuas, algunas venillas y la horquilla de las marginales están orilladas de pardo. El radio tiene 8 ó IO rasgos negros alternando con los blancos desde el arranque del sector ó ramo hasta el estigma, que es blanco cefido de pardo. Espolones anteriores tan largos como los dos am primeros artejos.... ..csex ecc sc evo nemausiensis Borkh. + 8. Pocas venillas enteramente blancas, ofreciendo un tinte ro- sado, especialmente el blanco de la vena radial, en la cual se cuentan 8 rasgos pardos desde su sector al estigma (am- bos inclusive), el cual es marcadamente rosado. Abdomen con mancha doble á cada lado en los segmentos 2-4. Es- tría anteterminal bien visible, y las horquillas de las veni- llas marginales de tal manera sombreadas de pardo, que vienen á formar otra estría paralela al margen externo, po- co 'mátedda 2.7 PBS À ERC e pd ITR PEA distichus Nav. — Muchas venillas son enteramente blancas, especialmente las que anteceden á las estrías oblicuas, de suerte que mirando oblicuamente el ala anterior, aparece con algunas manchas blanquecinas. Radio con 6 rasgos pardos desde el sector al estigma; éste blanco, como el del radio; bien cefiido de ag pardo. Estría antemarginal poco acentuada, especialmente en el é, y algo orilladas de pardo dos 6 tres venillas ra- diales: 2. . 202% cm tga is ED RS q nad PRP A sticticus Nav. 9. Alas anteriores con una pequeia mancha oblicua en medio del margen posterior sin tocarlo, y otra puntiforme aislada cerca del mismo borde antes de la extremidad; otras man- chitas entre una y otra y hacia el extremo del ala. Alas posteriores con átomos pardos. ........... notatus Ramb. — Alas posteriores con dos venillas radiales sensiblemente ori- lladas de pardo, algunas otras menos visiblemente. En las anteriores, además de dos ó tres radiales, varias procubita- à , les, la anastomosis del ramo cubital y algunas venillas dis- y coidales anteterminales.. ................. nostras Fourc. 2 - s * 08 1. Myrmeleon distinguendus Ramb. — Málaga (Ramb.), E Valencia ! (Mus. Nac.), Sueca ! (Valencia), Puerto de Santa María! x E. q =” [97 | L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 97 (Cádiz), Villafranca de los Barros! (Badajoz), Alcolea de Cinca! (Huesca), etc. 2. Myrmeleon inconspicuus Ramb. — Bilbao! y Madrid! y Pozuelo de Calatrava ! (Mus. Nac.), Alcolea de Cinca! (Huesca), Montserrat ! (P. Marcet), Zaragoza ! Gandía | (P. Barnola), Orihuela ! (P. Saz). 3. Myrmeleon formicarius L. (innonatus Ramb., formica- lynx auct.). — Serra do Caramulo! (Mus. de Lisboa), San Fiel! y Gerez ! (Tavares), San Ildefonso ! (Mus. de Madrid), Navacerrada |! y Escorial! (Lauffer), Urbión! (Vicente), Bronchales (Chapman), Sierra de Guara! (Huesca), Cabacés! Tarragona! Barcelona ! (P. Saz). 4. Myrmeleon arenarius Navás (variegatus Ramb. nec Klug). — Puerto de Santa María! Málaga! Granada! Alicante! (P. Saz), Cabacés! Barcelona! (Soler), Alcolea de Cinca!, Sijena! (Hues- ca), Calatayud !, Moncayo!, Zaragoza ! 5. Myrmeleon ocreatus Navás. — Puerto de Santa María ! La Guardia ! (P. Rodeles S. J.), Sobradiel! Zaragoza ! 6. Myrmeleon nemausiensis Borkh. (submaculosus Rb.). — Setubal! (Silvano, Tavares), Málaga!, Granada !, Orihuela! (P. Saz), Escorial! (Lauffer), Cuenca (Chapman), Moncayo!, Alcolea de Cinca !, Sierra de Guara! (Huesca), Gracia! (P. Saz), Barcelona ! (Mus. Nac.). 7. Myrmeleon distichus Navás. — Moncayo! (Zaragoza). Talvez pueda referirse como variedad á la especie anterior. 8. Myrmeleon sticticus Navás. — Chamartín! (Madrid), Escorial ! (Lauffer), San Juan de Alicante! (P. Saz). o. Myrmeleon notatus Ramb. — Málaga (Rambur), Gra- nada (Rosenhauer). ol 98 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [98778 10. Myrmeleon nostras Fourcr. (formicarius auct., euro- peus Mac Lachlan). — Se halla en Francia. Creo haberlo visto de . la provincia de Huesca (Arias, Mus. Nac.). E 4. Género Formicaleo Brau. Espolones de las tibias anteriores más largos que los tres pri- meros artejos del tarso correspondiente. Alas salpicadas de varias | E manchitas. En la anterior, ramo del cúbito dirigido oblicuamente al borde posterior. 1. Formicaleo tetragrammicus Pall. — Abdomen negro, con doble mancha leonada en los segmentos 4-6. Alas salpicadas de manchas pardas, siendo mayores y muy visibles una en el ala anterior en la anastomosis, hacia la mitad del margen posterior y otra en el ala posterior hacia los dos tercios, ó sea en el ángulo del margen. | Serra do Caramulo ! (Mus. de Lisboa), La Guardia ! (P. Rodeles S. J.), Gijon!, Bilbao! (Fernández Duro, y Seebold, Mus. de Ma- drid), Ortigosa! (Vicente), Veruela!, Zaragoza!, Montserrat! (P. Marcet O. S. B.), etc. 2. Formicaleo annulatus Klug. — Abdomen pardo rojizo, con una gran mancha leonada en la mayor parte de los segmen- tos; la primera lo ocupa todo. Alas transparentes, con reticulación parda y leonada, con numerosas manchitas que las hacen aparecer pulverulentas. Andalucía (Rambur), Orihuela! y Tortosa! (P. Saz S. J.), Cór- doba! (Mus. Nac.), San Fiel! (Silvano). 5. Género Creagris Hag. Espolones anteriores largos como los tres primeros artejos de los tarsos. Alas puntiagudas, apenas manchadas de motitas pardas.. Ramo del cúbito en la anterior dirigido paralelamente al margen posterior. 1. Creagris plumbeus Oliv. (M. pallidipennis Rambo). — “Malla de las alas parda y leonada, dominando éste, con la vena Êer. [99| L. NAVÁS: NEURÓPTEROS DE ESPANA Y PORTUGAL 99 subcostal casi toda del último color, sobre todo en su mitad exter- na. Membrana casi del todo inmaculada, con sola una manchita en el último quinto ó sexto de la vena procubital, casi del todo invi- sible en la posterior. Es excusado citar localidades, ya que esta especie es de las más frecuentes en toda la península. 2. Creagris V-nigrum Ramb. — Malla parda y leonada, dominando el pardo, casi negro. Algunas venillas orilladas de par- do. En el ala anterior es visible la manchita situada en el último sexto de la procubital, con otra más pequefia encima, y la mancha en V situada antes de la mitad del borde posterior en la anasto- mosis de la postcubital en el ramo posterior del cúbito. San Fiel! (Tavares), Setúbal! (Silvano), Puerto de Santa María!, Málaga (Rambur), Ribas! (Dusmet), Chamartín | 6. Género Macronemurus Costa La especie espafiola Macronemurus appendiculatus Latr. es abundantísima y fácilmente se encontrará donde quiera se hallen Mirmeleónidos, lo cual excusa citar localidades. Es bastante variable en el tamaíio. La longitud del ala anterior en los ejemplares de mi colección oscilla entre 17,5 y 25 mm. A pesar de sus muchas diferencias en el tamafo, librea, anchura de las alas, etc., no puedo separar estas formas. 7. Género Myrmecaelurus Costa Una especie: Myrmeccelurus trigrammus Pall. (favus Ramb.). Centro y Mediodía. Vallecas! (Mus. de Madrid), Cuenca (Chap- man), Madrid ! (Lauffer), Ribas! y Villaverde! (Dusmet), Chamar- tín | Uclés! (Bolívar, Mus. Nac.), Villafranca de los Barros !, Cór- doba! (Mus. Nac.), Sevilla! (Barras, Sánchez Navarro), Puerto de Santa María !, Málaga! (P. Risco), Cartagena ! (Cáceres), San Fiel! (Tavares), etc. 8. Género Acanthaclisis Ramb. Alas casi del todo hialinas. Campo costal reticulado. Espolones en las tibias anteriores fuertes, doblados casi en ángulo recto. a É IOO BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [100] | 1. Acanthaclisis occitanica Vill. — Palpos de un pardo | rojizo. Cúbito (5.º vena) del ala anterior marcada á lo largo de cinco rasgos negros bien visibles, antes del ramo, siendo más largo | y ancho el basilar. Portugal ! (Walker, Mus. de Lisboa), Castilla ! (Mus. de Madrid), Tarrasa |! (Ventalló). 2. Acanthaclisis baetica Ramb. — Palpos maxilares y frente | a amarillos. Vena cubital marcada á lo largo de muchas líneas ne- gras (unas 8 pequeias, en la base, antes del ramo), que alternan con el amarillento de la misma. Andalucía, Málaga (Rambur), Sarriá (P. Guimerá S. J.), Mont- seny (P. Barnola S. J.). 9. Género Palpares Ramb. Son los gigantes de la familia, midiendo un decímetro y más de punta á labiales muy largos y delgados. 1. Palpares libelluloides L. — Abdomen amarillo, marcado en el dorso de tres fajas longitudinales pardas, una central y dos laterales más estrechas. Ala posterior con muchas manchitas en la región marginal externa, desde el ángulo al ápice, de las cuales unas I2 tocan el margen mismo. Málaga (Rosenhauer), Sipán! (Huesca), Graus ! (Romero), Bar- celona ! (P. Barnola), Calella ! (Cuní). 2. Palpares hispanus Hag. — Abdomen amarillo, con faja parda transversal en la base de cada segmento, extendiéndose va- gamente hacia el medio en algunos. Ala posterior con pocas man- chas marginales, de las cuales solas 8 tocan el mismo margen ex- terno, desde el ángulo al ápice. Andalucía (Hagen), Granada! y Cuenca (Mac Lachlan), Mála- ga! (P. Risco), Puerto de Santa María ! Nr Sa (Mus. de Lisboa), Setúbal ! (Silvano). (Continuará). punta de ala. Alas muy manchadas de pardo. Palpos Une fourmi terrible envahissant "Europe (Iridomyrmex humilis Mayr) IH y aura environ 25 ans, un terrible fléau mit en émoi les ha- bitants de la Madêre. C'était un tout petit insecte, 1'Zridomyrmex humilis, fourmi presque microscopique, venue probablement du Brésil ou de la Guyane anglaise, qui envahissait Pile, et par ses ra- vages désolait les Madériens, impuissants de se défendre contre les attaques de ce redoutable ennemi, et ne trouvant aucun reméde à opposer à sa rapide propagation. La présence de 1'Jridomyrmex n'avait pas encore été dénoncée en Europe; cependant M. Forel ne cachait point ses appréhen- sions de la voir dans un bref délai se répandre dans toute Europe méridionale. Il n'est que trop vrai aujourd'hui que les craintes de M. Forel étaient justifiées. Notre fourmi existe en Portugal et peu à peu parait vouloir s'étendre dans tout le royaume. Nos deux principales villes, Lisbonne et Porto, en sont parti- culiêrement infestées. Il est vrai qu'elles préfêrent vivre auprês des habitations de lhomme, mais les champs eux-mêmes ne sont pas épargnés par ces ravageuses importunes. ; On ne se fait pas une idée des ennuis et dommages causés par ces petites bêtes. Choisissant de préférence nos demeures et surtout les cuisines, elles s'établissent en maitresses dans ces lieux, ou rien n'échappe à leur voracité. Elles deviennent alors les ennuyeuses et habituelles commensales de "homme. | Se frayant un passage par un petit trou, par un chemin in- connu, elles pénetrent partout, dans les chambres, dans les cuisi- nes, dans toute la maison, et y volent à leur aise tout ce qui sert à lalimentation de l'homme, sans qu'il y ait moyen de s'en dé- fendre. La viande fraiche et les confitures font surtout leurs déli- ces. D'une sociabilité admirable et d'une extrême sensibilité, quel- “ques heures leur suffisent pour les attirer en masse sur ces mets re- cherchés. - I02 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA Elles sont en particulier un vrai fléau pour les collections d'his-. toire naturelle. Un de mes collégues vit une belle collection de . Chrysops dévorée en 24 heures, par ces terribles fourmis. Moi- même je n'ai pu défendre á Lisbonne un bon nombre de coléo- ptéres, que j'avais ramassés avec beaucoup de peine. A Madêére on n'a pas pu louer quelques maisons bâáties à grands frais, à cause des mauvais instincts de cet insecte, qui ne pardonne a rien. Devant cette bestiole disparaissent d'autres fourmis plus gran- des, et bien d'autres représentants de la faune. Prês de Lisbonne jai vu les murs et les champs envahis par ces fourmis redoutables. Je connais des fermes, qui ont perdu beaucoup de leur valeur par- ce que toute leur végétation est détruite par une multitude innom- brable de ces insectes. A ce nouveau fléau ne pourra-t-on pas opposer encore une barriére en Europe ! M. N. MARTINS. Contribution à la Connaissance des Cécidies du Kent (Angleterre) PAR Ch. Zimmermann F. R.M.sS. Pendant mon séjour à Canterbury en Angleterre, j ai remarqué dans mes promenades que les cécidies étaient partout três abon- dantes. Sans les chercher, j ai recueilli celles que je trouvais par hasard. Je n'avais alors nullement Vintention de publier la liste de mes récoltes. Mais, ayant trouvé un assez bon nombre d'espéces, et les cécidies anglaises étant encore assez peu connues, je crois ren- dre quelque service aux cécidologues, si je fais connaitre les noms des cécidies que j'ai trouvées. Le terrain de mes récoltes a été três restreint. La plus grande partie des cécidies ont été recueillies dans le magnifique parc du St. Mary's College, nommé aussi Hales Pla- ce. Un fort petit nombre est des environs immédiats de la ville. J'exprime ici mes remerciements les plus sincéres à M. J. Ta- vares, professeur au Collége de S. Fiel eta M. le Dr. C. Houard, préparateur de botanique à luniversité de Paris, qui ont bien voulu rectifier la classification de mes cécidies. S. Fiel, Aoút 1906. Abies (Picea) excelsa Bi: I. Chermes abietis L. — Três commun. Abies pectinata DC. 2. Chermes abietis L. — Três commun. Acer campestre L. "3. Eriophyes macrorrhincus Nal. — Três commun. 4. Eriophyes macrochelus Nal. — Assez commun. a IO4 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [2] y Brachypodium sylvaticum R. S. | 4 5. La cécidie produite par un diptére a été trouvée pour la premiére fois par M. Houard dans le Parc du Chateau de Fon- tainebleau en 1903. Je ai rencontrée en grande abondance dans É le parc du St. Mary's College. Malheureusement, je n'ai pu obtenir Vimago. Voici la description de cette intéressante cécidie d'aprês M. Houard (1). Elle consiste, au-dessus d'un noeud, en deux À bourrelets enveloppés par la gaine et qui font un peu saillie au de- + hors; entre la gaine et la tige, dans la petite dépression ovalaire limitée aux deux extrémités de son axe, c'est-à-dire en haut et en. bas, par les deux bourrelets, se trouve une larve de Dipteére, de 4 mm. de long, placée verticalement. Quelquefois deux larves vi- vent ensemble dans la même déformation. 08 Le bourrelet supérieur a de 4 à 5 mm. de diamêtre et Vinfé- rieur est un peu plus petit; leur-teinte est marron dês le début et va en s'accentuant au fur et à mesure que la galle vieillit, jusqu'a devenir presque noire en septembre. A ce moment, leur surface est bien plus fortement striée que quand la galle était jeune et le bourrelet supérieur est presque sphérique. En somme, cette cécidie a l'aspect d'une selle minuscule et rappelle fort la galle en selle que le Clinodiplosis equestris Wagner | produit sur le chaume du Tr:ticum repens Lamk. A Yendroit ou la larve est en contact avec la tige, la surface est blanchâtre; à Iopposé, suivant une génératrice verticale, la galle est presque plane et une dizaine de fines rayures vertes con- | tinuent celle de la tige normale. Buxus sempervirens L. 6. Psylla buxi L. — Assez commun. Castanea vulgaris Lam. 7. Cécidomye? — Cette nouvelle cécidie foliaire se trouve tou-. Sm (1) Recherches anatomiques sur les galles des tiges: Pleurocécidies. Pa- ris, 1903. [3] CH. ZIMMERMANN: CÉCIDIES DU KENT IOS jours entre deux nervures secondaires, plus au moins rapprochée du bord de la feuille. Elle forme une petite lentille ronde, três peu saillante sur les deux faces de la feuille, d'un vert beaucoup plus clair que le limbe. Son diametre est à peu prês de 1 mm. Il sem- ble bien que I'insecte pique la feuille, quand celle-ci est encore dans le bouton, et quand les nervures secondaires sont encore três rap- prochées les unes des autres. Cela explique pourquoi le contour de la petite cécidie est toujours formé par les deux nervures entre les- quelles Vinsecte a piqué la feuille, de façon que par le développe- ment du reste du limbe entre les deux nervures, il se forme néces- - sairement un pli. J'ai trouvé cette cécidie en grande abondance dans le parc de St. Mary's College. Malgré tous mes efforts pour obtenir Vimago, je n'y ai pas réussi. | Chenopodivm album L. 8. Aphis atriplicis L. — Assez rare. Corylus avellana L. 9. Eriophyes avellanae Nal. — Três commun. Crataegus oxyacantha L. Io. Eriophyes goniothorax Nal. — Três commun. II. Eriophyes crataegi Can. — Assez commun. I2. Aphis pyri Boyer (4. crataegi Kalt.) — Rare. I3. Aphis pomi Deg. — Assez rare. I4. Perrisia crataegi Winn. — Três commun. Fagus sylvatica L. 15. Cécidomye. — Pustule arrondie formée par un Cpaississe- ment du parenchyme. Fraxinus excelsior L. I6. Psyllopsis fraxini L. — Três commun. 17. Eriophyes fraxini (Karp.) Nal. — Commun. 18. Perrisia fraxini Kieff. — Commun. I9. Perrisia acrophila Winn. — Três commun. 106 BROTÉRIA: SERIE ZOOLOGICA [4] “HM Galium aparine L. 20. Eriophyes galii Karp. — Assez commun. Galium mollugo L. 21. Eriophyes galii Karp. Geum urbanum L. 22. Cécidomye. — Limbe crispé et plissé. Larves grégaires rouges. (lechoma hederacea L. 23. Perrisia glechomae Kieff. — Assez rare. 24. Oligotrophus bursarius Bremi — Assez commun. 25. Aulax glechomae L. — Três commun. luglans regia L. 26. Eriophyes tristriatus, var. erinea Nal. — Três commun. Populus nigra L. 27. Pemphigus affinis Kalt. — Três commun. Prunus spinosa L. 28. Eriophyes similis Nal. — Três commun. 29. Aphis pruni Fabr. — Assez commun. Pyrus communis L. 30. Eriophyes pyri Nal. — Assez commun. 31. Myzoxylus laniger Hausm. — Assez rare. Quercus Sp. 32. Neuroterus numismatis Oliv. — Três commun. Quercus sessiliflora Salisb. 33. Andricus giraudi Wachtl — Assez rare. CH. ZIMMERMANN : CÉCIDIES DU KENT 107 . Andricus curvator Hart. — Três commun. . Andricus fecundator Hart. — Assez commun. . Andricus ostreus Gir. — Três commun. . Neuroterus baccarum L. — Três commun. . Neuroterus fumipennis Hart. — Três commun. . Neuroterus laeviusculus Schenck — Assez commun. . Neuroterus lenticularis Oliv. — Três commun. . Neuroterus saltans Gir. — Assez commun. . Phylloxera coccinea Heyd. — Assez rare. . Macrodiplosis dryobia F. Lów — Rare. . Macrodiplosis volvens Kieff. — Rare. Rosa canina L. - Rhodites rosarum Gir. — Assez commun. . Rhodites rosae L. — Assez commun. - Rhodites eglanteriae Hart. — Commun. - Blennocampa pusilla Klug — Assez rare. . Perrisia rosarum Hardy — Três commun. Salix alba L., var. vitellina L. - Rhabdophaga rosaria H. Lów — Três commun. Salix caprea L. . Oligotrophus capreae Winn. — Assez commun. Salix fragilis L. . Pontania salicis Christ — Assez commun. - Eriophyes truncatus Nal. — Assez commun. . Perrisia terminalis H. Lów — Assez commun. Salix viminalis L. - Perrisia marginemtorquens Winn. — Três commun. Spiraea ulmaria 1. . Perrisia ulmariae Bremi — Três commun.:. - Perrisia Engstfeldi Rúbs. — Assez rare. 108 66. - Oligotrophus taxi Inchb. — Três commun. . Eriophyes exilis Nal. — Assez commun. . Eriophyes liosoma Nal. — Três commun. . Contarinia tiliarum Kieff. — Três commun. . Perrisia thomasiana Kieff. — Assez commun. . Sehizoneura ulmi L. — Três commun. . Tetraneura ulmi De Geer — Assez commun. . Perrisia urticae Perris — Assez commun. . Aphis viburni Scop. — Três commun. BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA Taxus baccata L. Tilia grandiflora Ebrh. Ulmus campestris Tá Urtica dioica L. “Veronica chamaedrys L. Perrisia veronicae Vallot — Três commun. Viburnum opulus L. PRIMEIRO APPENDICE A! Synopse das Zooeeeidias Portuguezas PELO PROF. J. S. TAVARES Neste Appendice vão descriptas as cecidias que encontrei no nosso Paiz, depois de publicada a minha Synopse das Zoocecidias Portuguezas (Cfr. Brotéria, vol. Iv, 1905, p. 1-123, I4 estampas). ' São em pequeno numero, por causa das poucas explorações que a minha saude melindrosa me tem permittido fazer : entretanto, va- rias são novas para a sciencia. Entre ellas abundam as Aphideoce- cidias a que tinha, a principio, prestado menos attenção. Às cecidias novas para a sciencia vão notadas com dois «x, os cecidozoides novos para Portugal com um x, é os substratos novos marcados com uma 7. A disposição é a mesma que foi adoptada na Synopse. a Duas estampas phototypicas em que são representadas algumas cecidias interessantes illustram o presente trabalho. S. Fiel, Agosto, I907. O Auctor. 1 Fé í lio BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [4] k Angelica silvestris L. (angélica) — Foliolos muito atrophiados, crespos, curvos para baixo. O pulgão branco-amarellado vive em todas as partes do limbo. Gerez (matta de Soutellinho), agosto de I907.-.... Aphideo | Artemísia Absinthium L. (Zosna) A Sá — Folhas novas com umas covinhas e com a margem dos fo- k liolos (só nalguns pontos) dobrada para baixo ou para ci- ma. Cecidia pouco apparente. Os pulgões verdes vivem em É todas as partes do limbo. E Braga (num jardim), setembro de I907........... Aphideo | Artemísia crithmifolia L. — Gommo terminal augmentado em volume, com as bainhas das folhas proximas um tanto hypertrophiadas. As lagar- tas (uma ou duas) vivem no eixo do caule ou dos ramos, na parte correspondente ao engrossamento que é pouco visivel. App. em julho do 1.º anno. F Figueira da Foz (á beira mar), julho de 1905. Microlepidoptero | Beta vulgaris L., 2. rapacea Wk. (betarrada) E — Cecidia já descripta na .Synopse, pag. 6, com respeito á var. + a. Cyrela Wk. E So Pielao pes SA e RR NR Apa ER sr Aphis rumicis La - Bougainvillea brasiliensis Willd. (buganvil) Es — 44 Limbo das folhas novas arqueado para baixo e ás vezes enrolado em helice em torno da nervura média. O pulgão vive na pagina inferior do limbo. A Coimbra (Jardim Botanico), julho de 1905......... Aphideo | Brassica oleracea L. (couve) E — 4% Covinhas amarellas, situadas na parte superior ou infe- rior do limbo nos pontos em que está pousado o pulgão E (5) J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS IIÍ que segrega uma substancia pulverulenta, branco-acizenta- da. E” prejudicial ás couves. Vergão, S. Bento, Cardigos, setembro de 1905..... Psyllideo -— Cecidias já descriptas na Synopse, pag. 7, n.º 4 da B. napi o O ES Ri PA ND PI (Dipt.) — Dasyneura raphanistri Kieff. Brunelia vulgaris L. (1) (herva ferrea, prunella) — Botões floraes deformados (Est. 1, fig. I7, 18, I9), de sorte que a inflorescencia não alonga, nem as flores de ordinario chegam a desabrochar. As bracteas, principalmente as in- feriores, hypertrophiam-se, curvam-se a abrigar a cecidia e cobrem-se de pilosidade branca, muito mais densa do que no estado normal. As folhas proximas do botão floral tam- bem ás vezes se modificam, bem como o eixo do raminho que engrossa bastante. A fórma typica da cecidia é oval alongada; muitas vezes, porém, não ha fórma definida. As larvas, brancas a principio e depois alaranjadas, vivem em sociedade entre as bracteas e flores. Met. em terra. App: em setembro do 1.º Gerez (matta de E SRD DESDE E TEM Si Ra daria dio E E SAUM (Dipt.) — Macrolabis brunellae n. sp. Ô9 Coloris lutei, practer tres vitas mesonoti, et fascias transver- sas abdominis, squamis nigris tectas, brunei coloris. Oculis con- — fwentibus, large sectis, valde angustis m parte superiore, ubi dimi- — dium latitudinis basis non aequant. Palpis compositis 4 articulis, “quorum tres ultimi subaequales, 3-4 longiores quam crassiores. An- — tennis 24-10 articulis, acqualibus in 29, articulis flagelli subcylin- — dricis, saltem sesquilongioribus quam crassioribus, sine collo con- a spicuo. Alarum ora antica squamis nigris obducta, cubito longe ab extremitate alae desmente. E (1) A Br. vulgaris L. é muito parecida com a Br. hastaefolia Brot. que — é mais abundante no Gerez. Bem póde ser que a cecidia se crie em ambas — estas especies. Creio não a ter visto senão na Br. vulgaris. iiz BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA - [688 Unguiculis tarsalibus bifidis, vix longioribus empodio. Forcipe anali crassissima, articulis basalibus quater longioribus articulis. terminalibus, qui sunt graciles; lamellula superiore ad modum ar- cus secta, lamellula intermedia divisa in duos lobulos lineares, lon- : giore superiore, sed longe breviore inferiore. Ovipositore longe pro- tractili, cavitate longa (ter-quater longiore quam crassiore). Longitudo corporis à9: 1,5 mm. Pupa. Bruviis hyalinis; spinulis dorsalibus parvis, vix luteo-. lis; aculeis frontalibus luteis, triangularibus, crassioribus quam longioribus. Stigmatibus thoracalibus bruneis, parum incurvis, de- . cies longioribus quam crassioribus ; setis cervicalibus sesquilongio- ribus stigmaticis. Larvae initio albae, tandem aurantiacae, gregariae inter folia cecidii ; sed eas ultra describere non possum, cum omnes quas vidi | (paucissimas) ad statum pupae et imaginis (intra quindecim dies, . forsitan etiam minus) perduxerim. Buxus sempervirens L. (buxo) — «+ Folhas novas arqueadas para a pagina inferior, na qual vive o pulgão, bem como nas partes mais tenras dos rami- , nhos. O pulgão é preto com as pernas brancas. | Castello Branco, julho de 1905............0..... Aphideo Calluna vulgaris Sal. (172º) — 44 Raminhos atrophiados (Est. mr, fig. 13), curtos, quasi sem entre-nós, recurvados por diversas fórmas, com tendencia a formar uma cecidia globosa. As folhas cobrem a cecidia em grande numero e umas vezes conservam-se normaes, outras modificam-se mais ou menos, chegando a soldar-se numa só massa de côr tirante a vermelho, que fórma uma camada sobre o raminho, ficando livres tão sómente as pontas do limbo. Gerez (Joaquim Guilherme !), na encosta fronteira ao Obser- vatorio, Agosto/dle 1905 Fcis qua a Te " Eriophydeo | [7] J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS 113 Centaurea sempervirens L. — x Receptaculos das flores engrossados, durissimos e com varias cavidades larvaes. Em cada uma d'estas cria-se e me- tamorphoseia-se uma larva. App. em junho do 2.º a. Quinta de Pancas (Alemquer), agosto de I904............ E Ed + (Dipt.) — 4 Urophora algira Macquart (1) Centranthus calcitrapa DC. — 4 Folhas arqueadas para baixo; ás vezes tambem os rami- nhos novos se curvam. O pulgão, de côr negra, vive na face: inferior das folhas e na parte mais tenra dos ramos. Monte das Lameiras, na margem da Ocresa, junho de 1905. RE e Ed DR da RA AT LC Aphideo Chrysanthemum sp. — a Folhas arqueadas para a pagina inferior, onde vive em grande quantidade o pulgão de côr negra. MEC Sie del TUibocÃE LOOPS Css ancioso menes» Aphideo Cistus Tourn. — as Folhas novas arqueadas para baixo, ás vezes um tanto enroladas em helice em torno da nervura média, e não raro com reíégos. Os pulgões apteros, de côr verde, vivem na parte inferior das folhas e tambem nas hastes novas onde não produzem cecidia. No €. hirsutus Lam. — Gerez (acima das Thermas), maio de Igo7. No €. crispus L. — Matta de S. Fiel, junho e julho de RR RR DER 2 sra ngm CA SE E ao a ima ais Aphideo (1) Esta especie determinada pelo sr. dr. Bezzi é nova para a fauna europea, pois só se conhecia da Argelia. EIA BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [8] + Citrus myrtifolia Rafinesque-Schmaltz — Folhas um tanto crespas e arqueadas para baixo, perpendi- cularmente á nervura média. a Coimbra (Jardim Botanico), julho de 1905 22d Adi rã + IME O REC do at o data a (Aphideo) — Toxoptera aurantii Koch | E Clematis viticelia L., 0. campaniflora Wk. — Foliolos hypertrophiados, com refêégos, muitas vezes em fór- ma de cristas, os quaes avultam na face inferior, não raro com laivos arroxeados. O limbo do foliolo é frequentemente atacado em toda a extensão e deformado, enrolando-se não raro em helice em volta da nervura média; a margem está muitas vezes arqueada para cima, ficando não raras ve- zes applicada. A's vezes são tambem atacadas as flores, apparecendo na parte exterior do periantho umas salien- cias verdes de fórma variavel. Nas cecidias em vez de pê- los, como costuma haver em muitas eriophydeocecidias, vêem-se umas como granulações, entre as quaes devem vi- ver Os acaros. Entre o Fundão e Alcaria, julho de 1905...... Eriophydeo | ; Cornus sanguinea L. (sanguinho) — 4 Folhas novas um tanto crespas, arqueadas para baixo e com tendencia a se enrolarem em helice, em volta da ner- vura média. O pulgão, de côr verde escura, vive na face in- ferior do limbo e na parte tenra dos raminhos. Castello Novo e Soalheira, junho de 1905; Vergão (Proen- q çaa Nova), setembro de 1905... ..... =... . 0... Aphideo 4 Digitalis purpurea L. (dedaleira) — 44 Limbo arqueado para baixo perpendicularmente á ner- vura média. O pulgão, de côr preta, vive na pagina inferior do limbo e tambem no caule. E Matta do Fundão e Gardunha, maio de I905...... Aphideo [9] J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS IIS Erica L. (urze) -— Raminhos com uns engrossamentos fusiformes, pequenos, com os entre-nós ordinariamente mais curtos, ficando as fo- lhas mais proximas que no estado normal. Os raminhos curvam-se tambem de differentes modos e ás vezes até se enrolam em helice larga. + Na E. scoparia L. — Setubal (J. Moraes!), maio de I9os5. + Na E. arborea L. — Margem do Zezere (entre Sernache e Ferreira do Zezere), setembro de 1905. + Na EB. australis L. — Vergão (Proença a Nova), setem- bro de Igos. + Na E. umbellata L. — Gerez (abaixo das Thermas), maio ERC tea ie SO e eai E ET EUA np A EA A a Coccideo — Cecidias mal visiveis, situadas no topo dos raminhos (Est. Im, fig. 18, I9, 20, 21), mais ou menos ellipsoides (compri- mento até 4 mm., grossura uns 2 mm.). São formadas por uma cecidia central, rodeada de uma roseta de escamas ou folhas modificadas, um tanto arqueadas, mais compridas e mais largas que as normaes, de côr verde, amarellada ou avermelhada. O numero d'estas escamas é variavel e póde chegar a 12. A cecidia central está fixa pela base ao topo do raminho, tem exactamente a fórma d'uma garrafa e é amarella ou vermelha, ou então parte amarella, parte ver- melha. Comprimento até 2,5 mm., grossura na base 1 mm.; parede muito fina, sublenhosa, tendo ás vezes na parte su- perior alguns pêlos. Larvas Pomarias, côr de limão. Met. na terra. App. em maio do 2.º Gerez, agosto de I905.. Digit) — Perrisia elegans Tav. (1) Filago gallica L. — 4% Pedunculos das flores dobrados ou então arqueados. Pul- gão de côr verde-brunea, não lanigero. Louriçal (perto da Ocresa), julho de I907......... Aphideo (1) Esta especie foi communicada á Sociedade Portuguesa de Sciencias Naturais, na sessão de 16 de Julho de 1907, e publicada no Vol. 1, fasc. 2, do Boletim da mesma Sociedade. E % "R é Rm IIÓ BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [10] — as À mesma cecidia, porém menos clara e produzida por um pulgão de côr verde que segrega grande quantidade de cotão alvissimo com que se cobre. Ibidem, julho de 1907. 1.05 102040» 48 0 Aphideo Galium erectum Huds. — Eixo da inflorescencia um tanto curvo em differentes direc- ções pela acção dum pulgão aptero de côr verde. “Sd Castello Novo, junho de 1909... 2... 2.22 cs codado Aphideo | Genista falcata Brot. (1) (tojo molar) — Vagem um tanto mais resaltada do que no estado normal, de ambos os lados. Larva solitaria na cavidade da vagem. Vergão (Proença a Nova), setembro de I905.......... APIS ie gg > (Dipt.) — Provavelmente Asphondylia sp. Hedera helix L. (hzra) — Limbo da folha com uns como refegos e arqueado para cima em quasi toda a extensão, de sorte que a folha fica imitando uma especie de colhér. Encontrei poucos exemplares. Ocresa (Torre), julho de I907..... (Provavelmente) Coccideo 7 Heracleum sphondylium L. (cannafrecha, canabrasz, branca ursina) —. Engrossamentos das umbellas mais ou menos esphericos e bastante grandes, ordinariamente nos pontos onde nascem os eixos secundarios. O interior é formado pela medulla “A muito hypertrophiada e contendo varias cavidades larvaes. App. no 2.º a. Muito semelhante á cecidia de Margotia gum- (1) Tenho alguma duvida sobre a determinação d'esta planta de que. = não pude conservar exemplar nenhum ; se porém a especie não é a G. fal. : cata, é com certeza G. triacanthos Brot. [II] J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS 117 mifera Lge. (Cfr. Synopse das Zooc. Port., pag. 37, Est. 1, fig. 17). Matta do Fundão (Outeiro) (C. Mendes!), agosto de 1906... cc corro ce... (Dipt.) — Lasioptera carophila Fr. Lów + Inula viscosa Ait. — Folhas rachiticas, com a margem arqueada para baixo, de modo que o limbo fica imitando um bote. O pulgão apte- ro, verde-claro, vive na pagina inferior da folha. Coimbra (margem do Mondego), julho de 1905..... Aphideo Lathyrus silvestris L. (ervilhaca) — Cecidia já descripta no n.º 4, pag. 32 da Synopse das Zooc. Port. A! descripção ahi feita póde-se junctar que os folio- los ficam um tanto crespos. App. fim de maio do 1.º a., 1905. Fundão....... (Dipt.) — Perrisia silvestris Kieff. (1. 1.) (1) Lavandula stoechas L. (rosmaninho) — 44 Corolla transformada numa cecidia unilocular, mais ou menos aval, de parede delgada e encerrada dentro do ca- lix que fica normal. Na parte superior da cecidia vêem-se não raro uns rudimentos do limbo das petalas. Os estames | e carpellos abortam. As flores, claro está, não chegam a desabrochar. Larvas solitarias. Metamorphose na cecidia. App. em julho, agosto e setembro do 1.º a. Vergão (Proença a Nova), setembro de 1904. Região de S. DR CR TORO REI POL E usuario Ses bras aê Ep AD CRU RE a (Dipt.) — Asphondylia [serpylli Kieff.] (2) Leucanthemum silvaticum Híffgg. Lk. — 4 Inflorescencias deformadas e muitas vezes rachiticas; pe- (1) Esta especie, segundo o sr. dr. Kieffer, até agora só tinha sido encontrada nas flores desta planta. (2) Não tenho a descripção da Asghondylia serpylli Kieff. e assim não me é possivel, por agora, identificar esta especie. II8 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [12] dunculos floraes curvos em fórma de helice (Est. 1, fig. 26), e folhas superiores tambem ás vezes rachiticas. Não se nota pilosidade anormal. Gerez (perto das Thermas), agosto de I907.... Eriophydeo Lotus corniculatus L. — * Limbo ligeiramente arqueado para baixo, ou então para cima (mais raras vezes). O pulgão, de côr negra e com as pernas e antennas brancas, vive no limbo e na parte mais tenra dos raminhos. Gerez (perto das Thermas), agosto de I1907........ Aphideo Lycium europaeum L. (cambroeira, espinheiro alvar) — Pustulas roxas nas folhas, de contórno quasi circular, resal- tadas em ambas as paginas do limbo, quasi semi-espheri- cas em ambas as faces do mesmo limbo, tendo no centro uma pequena elevação formada de pêlos dourados ou pra- teados. Este tufo de pêlos, que ás vezes não existe na pa- gina inferior, parece fechar um orifício que se não distingue bem. No resto a cecidia é glabra como o limbo que mui- tas vezes está deformado com o grande numero de ceci- dias. Estas soldam-se, quando proximas, ficando comtudo mais ou menos distinctas. A altura da cecidia em cada pa- gina pode chegar a 2 mm., e o diametro que é variavel attinge até uns 3 mm. Os acaros vivem numa cavidade irre- gular que ha no interior das cecidias. Algarve: Lagoa, maio de 1906. Eriophyes eucricotes Nal. (1) Melampyrum sp. — 44 Limbo arqueado para a pagina inferior, onde vive o pul- gão de côr negra brilhante e antennas claras. Gerez (á beira da estrada), agosto de 1905........ Aphideo (1) Desta cecidia falei já na .Synopse das Zooc. Port. pag. 36. Se della torno a tractar é para completar a descripção, que antes não pude acabar por me faltarem exemplares. ae god do ad pI ai o PE A Pi SÊ à ci É cd Ácido A E a ad à | [13] J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS IIO Mentha L. (mentrastos, pocjos) — Botões floraes engrossados (Est. 11, fig. 5, 6, 20), chegando o calix ao dobro do normal em grossura e comprimento; co- rolla mais larga do que a normal, sem chegar a desabro- char, desapparecendo o androceu e gyneceu (ao menos muitas vezes). A larva cria-se e metamorphoseia-se dentro da corolla que lhe serve de cavidade larval. App. em agosto e setembro do 1.º a. + Na Mentha rotundifolia 1. (mentrastos). — Odcresa, en- tre o Louriçal e a Torre, agosto, 1907................ corres... (Dipt.) — 4 Asphondylia [menthae Pierre] (1) — 4% Folhas com o limbo arqueado para cima, em fórma de te- lha, e com refegos ou covinhas na face superior cuja parte convexa avulta na pagina inferior, com a apparencia de sa- liencias arredondadas. Pulgões apteros verdes, os alados com o thorax, cabeça e antennas de côr negra. Vivem na pagina superior das folhas novas e na parte mais tenra dos raminhos. Na M. pulegium L. (poejo). — Gerez, maio de 1907. Aphideo Myosotis Welwitschii Bss. et Reut., 8. stolonifera P. Cout. (myosotis, orelha de rato) — Folhas muitas vezes rachiticas, ordinariamente não patentes, antes mais ou menos applicadas, e sempre com pequenos refegos. O pulgão, de côr esverdeada e muito pequeno, vive na pagina superior do limbo e nas hastesinhas tenras. Gerez (á beira do ribeiro, acima das Thermas), agosto de E Ao to pa ES do ND e A PN ANA pa Aphideo Periploca graeca L. — + Limbo muito crespo, arqueado ou enrolado para baixo perpendicularmente á nervura média, não raro com ten- (1) Fide cl. Kieffer, Synopse des Zóocécidies d Europe, p. 365. 120 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [14] em nm ————.—.————— Dm dencia a enrolar-se em helice. O pulgão aptero, de côr verde, vive na pagina inferior da folha. Coimbra (Jardim Botanico), julho de 1905... ..... Aphideo Persia indica Lpr. — *% Folhas crespas e com as duas metades do limbo um tanto dobradas ao longo da nervura média, umas vezes para bai- | xo, outras para cima. O cecidozoide vive junto da nervura média, na pagina inferior. Coimbra (Jardim Botanico), julho de 1905. (Coccideo) — As- pidiotus (Diaspidiotus) ancylus (Putnam) Berl. et Leon. (1) Petroselinum sativum Hffm. (salsa) — Fructos engrossados, metamorphose na terra. Não obtive o insecto. Gerez, agosto de' LOSS as PG a Mo os a RO E E sera (Dipt.) — [Sehizomyia pimpinellae F. Lôw] Phillyrea angustifolia L. (Zentisco, lentrisca) — Fructos não redondos (Est. mr, fig. 17), terminados num co- | mo bico e muitas vezes curvados. No interior ha uma ca- vidade onde vive a larva amarella. Met. em terra. App. em fevereiro do 2.º a. Vergão (Proença a Nova), S. Bento, Cardigos, setembro de TODOS epi td (Dipt.) — Sehizomyia phillyreae Tav. PES 2) Picris longifolia Bss. et Reut. — 44 Limbo ordinariamente atrophiado, arqueado em fórma de bote para a pagina inferior, ao que parece em razão de umas camadas de pêlos espessos, enfeltrados, a principio (1) Esta especie foi determinada pelo Sr. M. de Sousa da Camara. (2) Esta especie foi commanicada na sessão de 16 de Julho de 1907 á Sociedade Portuguesa de Sciencias Naturais e publicada no Vol. 1, fasc. 2, do Boletim da mesma Sociedade. | [15] J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS I21 É amarellados, depois bruneos, que se desenvolvem na pagina , superior, em toda a superficie ou só nalguns pontos (or- | dinariamente só ao longo da nervura média). Estes pêlos, + muito diversos dos normaes, téem na ponta dois ganchinhos, um de cada lado. A's vezes podem crescer mesmo no pe-. ciolo, nos gommos, na haste, nos ramos, nas inflorescencias que ficam deformadas (Est. n, fig. 2, 3), de sorte que as flores não chegam a desabrochar. A haste e raminhos, quando atacados, ás vezes engrossam, podendo os entre- nós encurtar-se, ficando as folhas conchegadas. Nalguns en- grossamentos encontrei uma camara larval pequena, natu- ralmente de alguma cecidomyia. Gerez (quinta do Parque), agosto de 1905...... Eriophydeo Pittosporum coriaceum Ait. — w* Limbo enrolado em helice, para baixo, em torno da ner- vura média. O pulgão, de côr preta, vive na pagina inferior. Coimbra (Jardim Botanico), julho de I905......... Aphideo Piantago sp. (tanchagem) — Botões floraes muito hypertrophiados (Est. ur, fig. I, 2), com os involucros floraes deformados, verdes, não soldados numa só massa, mas independentes, cobertos de cotão basto, com- prido, branco-acinzentado. As cecidias estão de ordinario na parte superior da espiga, todas juntas e formando mas- sas sem fórma determinada. Cada uma d'ellas ao principio é de fórma um tanto conica. Algarve: Lagõa, maio de 1906. x Eriophyes Barroisi Fockeu Populus alba L. (faia) — 4 Limbo crespo, arqueado para baixo e ás vezes rachitico (principalmente nas folhas novas). Os cecidozoides vivem em grande numero na pagina inferior do limbo, emquanto são larvas, e depois de metamorphoseados voam de folha 122 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [16] em folha. São de côr esverdeada, com listas pretas trans- versaes na parte superior do corpo. Gerez (num viveiro do Observatorio), agosto de 1905...... PS es AE as ds (Homopt.) — « Idiocerus ustulatus M. Populus nigra L. (choupo) — Cecidia situada no peciolo da folha, imitando mais ou me- nos a fórma de uma pera, ou então um tanto conica, mais ou menos cylindrica e ainda fusiforme, de côr escura ou avermelhada. No interior ha uma cavidade em que vivem os pulgões, abrindo-se superiormente por um orifício cir- cular ou alongado (Estampa vir, fig. II da Synopse), cuja borda quasi se dobra para dentro, de fórma que o orificio parece ordinariamente situado numa depressão. A cecidia póde estar collocada na base ou no apice do peciolo, em- bora commummente fique situada no meio. O peciolo de ordinario engrossa junto da cecidia, como se vê na Est. vm, fig. 11 da Synopse. Arredores de Setubal (Almelão), Rodam; Alemtejo: Villa Fernando (Fausto d'Oliveira); Região de S. Fiel: Oledo, Castellejo; Coimbra (A. Moller ); Barca d'Alva (G. Sam- paio!)... (Aphideo) — « Pemphigus pyriformis Licht. Potentilla tormentilla Sibth. (scte-cm-rama) — 4 Raminhos e pedunculos floraes dobrados e curvos de dif- ferentes modos. Pulgão negro. Gerez (abaixo das Thermas, á beira da estrada), maio de (1) 100? ve Rosa A PRP e SR ICE a RR ROD a DR RP Aphideo (1) A cecidia do Pemphigus bursarius L. tambem póde estar situada no peciolo e é tão semelhante á do Pemphigus pyriformis Licht. que mal se po- dem distinguir pelos caracteres morphologicos (a do P. bursarius é mais unilateral em razão do peciolo engrossar menos, e abre-se por um orifício circular, não situado em depressão). Por esta causa as duas especies foram confundidas na Syxopse (p. 47, n.º 7), sendo tambem do Pemphigus pyrifor- mis as cecidias representadas na Est. vi, fig. 11. e. ” MPE“ Sr [17] J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS 123 Portulaca oleracea L. (se/drocga) — 44 Folhas arqueadas para baixo e enroladas em helice em torno da nervura média. (Os raminhos novos tambem ás vezes ficam arqueados. O pulgão, de côr negra, vive na pagina inferior do limbo. Castello Branco, julho de 1905; S. Fiel, julho de 1907.... ção CARO] DESSE RR Po ARES A RIR O PA RT PA Aphideo Raphanus sativus L., «. Radicula Wk. (radano) — Cecidias já descriptas no R vaphanistrum L., Synopse, pag. 85. S. Fiel, junho de 1905. (Dipt.) — Dasyneura raphanistri Kieff. Quercus pedunculata Ehrh. (carvalheira), Quercus Tozza Bosc (carvalho pardo da Beira, carvalho cerquinho). 4. Cecidia sem fórma bem determinada, um tanto ovalar (fig. I), constituida como por duas metades, em cuja união ha uma saliencia longitudinal ao modo de quilha, pouco re- saltada. Em cada uma das metades erguem-se umas salien- cias longitudinaes mal visiveis. A cecidia é verde, com pê- | los prateados applicados á superficie, e voltados para a base da cecidia, os quaes são raros, salvo na saliencia longitudi- | nal e mais que tudo no apice onde são espessos por tal fórma que cobrem essa parte totalmente. | Altura 4 mm., largura 3 mm. Parede molle, carnuda, e del- | gada, em volta de uma vasta cavidade. O cynipide ao sair | fura a cecidia lateralmente, a quasi meia altura acima da base. Nasce num gommo adventicio que cresce num rami- / nho do anno precedente. 7 Não encontrei senão um exemplar e já vazio, não me sendo | por isso possivel classificar o cynipide. E” provavel seja a Dryophanta flosculi Gir., segundo se crê fórma sexual da Dryophanta pubescentis Mayr que é commum na Região de S. Fiel, embora os caracteres da cecidia discordem em parte iz4 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [18] dos da cecidia da Dy. flosculi até agora só encontrada na Austria e Hungria. Na Q. Tozza Bosc. — Monte Barriga (margem da Ocresa), outubro de 1907. (Cynipide) — «a [Dryophanta floseuli Gir.) — Cecidias das folhas. . > ..és - gu. - = A ER TA Fig. 1 — Raminho de Quercus Tozza Bosc, com a cecidia de [Dryophanta fiosculi Gir.|, em tamanho natural. 9, Cecidias dó: parenchyma foliar, 4 Cura ço Ls vera — Cecídias da marpemeda folha; .Usssxe- se ps PAS AR Ra à, *s* Cecidias do parenchyma do limbo elegantemente alinha- das junto da margem, fig. 2, resaltadas em ambas as pagi- nas (mais na inferior), de fórma ellipsoidal, sendo o eixo maior quasi parallelo á margem do limbo. Comprimento do 2 3 4 “ 44 E a > o o O um acido Sa ad DO a Êo sao +! o to J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS 128 eixo maior 4 mm., do eixo menor 2 mm, A cavidade lar- val está cavada no interior do parenchyma, como se fosse formada de duas laminas que nesse ponto se arqueassem para fóra limitando a camara. A larva, ao sair para a terra onde se metamorphoseia, não fura a parede da cecidia nem Fig. 2 — Cecidias (novas) numa folha de Quercus pedunculata Ebrh., em tamanho natural. “superior nem inferiormente, mas atravessa o pequenissimo espaço que a separa da margem, desviando as duas como laminas do parenchyma e deixando aberta a fenda por onde “sae. À parede exterior da cecidia é glabra e verde, como o resto do limbo. Não encontrei senão um exemplar com as cecidias já vazias. 12 "a , 4 126 BROTÉRIA : SÉRIE ZOOLOGICA [20) 8 Na Q. pedunculata Ehrh. — Gerez (abaixo das Thermas, á beira da estrada), setembro de 1906.... Cecidomyia (nova) |. 4, Estreito enrolamento marginal (Est. rr, fig. II) para a pagina superior, ordinariamente situado no logar de um recórte, um tanto hypertrophiado, e mais ou menos amarellado. Larvas grandes, alaranjadas, em sociedade no interior da cecidia. Met. em terra. + Na Q. Tozza Bosc. — Monte Barriga (margem da Ocresa), maio de 1905; Castello Novo (C. Mendes!), novembro de I9O7. Na Q. pedunculata Ehrh. — Gerez, maio de I907......... Ed E (Dipt.) — « Macrodiplosis volvens Kieff. (1) — Margem do limbo não enrolada, mas tão sómente arqueada ou dobrada: Doi sa feio e E as ad Nat? ni Sd a == d. «* Margem do limbo, no logar dum recórte, estreitamente arqueada para a pagina inferior, ondeada, quasi enrolada e um tanto hypertrophiada. Differe da cecidia da Phylloxera coccinea Heyd., em que o rebordo é estreito, arqueado e não dobrado nem applicado. Alem d'isso, a folha fica mui- tas vezes atrophiada e mais ou menos curva, o que tam- bem não acontece na cecidia da Phylloxera coccinca. Na Q. pedunculata Ehrh. — Gerez (abaixo das Thermas, á beira-da: estrada). . eis sa AA Eriophydeo ou Aphideo — Lobulos da folha dobrados para baixo (não arqueados) e applicados á pagina inferior do limbo (Est. mr, fig. 12). A parte dobrada está commummente hypertrophiada e descórada. Encontrei muito poucos exemplares e já sem as larvas. - Na Q. pedunculata Ehrh. — Gerez (acima das Thermas, na marvem da ribeira) as dps pm a Ad 4 adota A RS Ka MA PU cr (Dipt.) — « [Macrodiplosis dryobia F. Lôw] | — Margem do limbo, as mais das vezes num recórte ou junto delle, dobrada e um tanto arqueada para a pagina infe- (1) Não obtive ainda a imago, mas é com certeza esta especie, como se | vê pelos caracteres da larva. [21] J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS 127 rior, na extensão de I cm. ou mais (Est. 1, fig. 14, 15). À cecidia é em fórma de gola ou de meia lua, e parecida com a da Phylloxera coccinea, mas é mais comprida, mais cur- va, e a borda dobrada não está applicada ou assente senão na margem, sendo o resto um tanto arqueado. Na Q. pedunculata. — Gerez (perto da cascata de Palas), RRORRE GE STO PI es Cu RS pe pia asi e A ada Cecidomyia Salix L. (salgueiro, vimiciro) SE aa CUTE o PESOS La no RE a A qu GP ERP CR RR 2 CS MA GNR doe Catão bat q o RSA e RP ER PRE RR 4 à *: Folhas novas um tanto arqueadas para baixo parallela- mente (raro perpendicularmente) á nervura média. O pul- gão aptero é verde, o alado preto ou castanho, excepto o abdomen que é de côr verde. Vive na parte inferior do limbo e tambem nos raminhos novos. Na Salix cinerea L. — Matta do Fundão (junto da estrada), Cida E TEN O ONUOS GR a SD DE Pa DO ERR Aphideo — a Folhas novas com a margem arqueada para a pagina in- ferior, ás vezes com tendencia a se enrolar em helice, em torno da nervura média. O pulgão aptero, de côr verde, vive na pagina inferior da folha. Na Salix viminalis L. — Coimbra (Choupal), julho de 1905. IRA SOR E PQ EN DR Aphideo 3. Cecidias já descriptas na Synopse das Zooc. Port., pag. OI, Es Nas ermeres == Matta do Fundão; .».csscscsc css. GALA ND (Tenthredinidae) — Pontania bella Zadd. — Cecidias ordinariamente bastante maiores que as preceden- tes, tendo muitas vezes um prolongamento conico e recur- vado que se ergue no meio da cecidia. App. no outono do I.º a. e na primavera do 2.º a. Na S. cinerea L. — Gerez (abaixo de Leonte e em todo o valle das Thermas), agosto de 1905. Pontania bella Zadd. 128 BROTÉRIA : SERIE ZOOLÓGICA [22] 4, Cecidias já descriptas na Kcds das Zo0c. Port., pag. 95; n.º 14. App. em fevereiro do 1.º Na S. cinerea L. — Castello Novo, enero Creed o dera de Novas “+++ (Dipt.) — Rhabdophaga Pierrei Kieff. (1) Scrophularia Tourn. (cscrofularia) — Cecidia (Est. n, fig. 4) já descripta na Synopse, pag. IOI. Lar-. vas a principio brancas, depois alaranjadas. App. junho à fo PR UP | Na S. scorodonia L. — Matta do Fundão............ ) Ls A (Dipt.) — Macrolabis serophulariae. Tav. (2) — Botões floraes engrossados (Est. im, fig. 3), sem chegarem a desabrochar, e em que os envolucros floraes todos estão soldados numa só massa molle e verde. Só ficam distinctas a parte superior das petalas e o calix que não é modifica- do. A cecidia é globosa ou ovoide, de côr verde, ás vezes - tirante a roxo na parte superior. Diametro, quando globo- sa, uns 7 mm., quando ovoide comprimento uns 12 mm., grossura 7 mm. Camara larval unica, elliptica, sem paredes proprias, situada no centro da cecidia e disposta obliqua- mente, de fórma que o seu eixo não coincide com o da cecidia. App. em principios de abril do 1.º Na S. canina L., Db. pinnatifida Bss. — Algarve: Cabo Car- voeiro e dades de. Lavirasw ss e ca SR REP O, siga (Dipt.) — Asphondylia serophulariae Ceres Es É Silene longicilia Otth. (— Cucubalus longacilius Brot.) — as Cecidias bastante parecidas ás da Perrisia teucrii Tay. Folhas terminaes hypertrophiadas, mais peludas que as normaes, crespas, de ordinario com uma saliencia ao modo (1) Esta especie por erro typographico é mencionada, na Synopse, 1 c., como Perrisia Pierrei, em vez de Ahabdophaga Pierrei. (2) Esta especie foi descripta no vol. v da Brotéria, pag. 77. a (3) Esta especie foi communicada na sessão de 16 de julho ultimo go Sociedade Portuguesa de Sciencias Naturais e publicada no Vol. 1, fasc. 2, do Boletim da mesma Sociedade. [23] J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS 129 de quilha na pagina inferior, todas unidas a formar um como botão terminal, ás vezes de grandes dimensões (Est. “1, fig. 10, 21). Larvas brancas, em sociedade na pagina su- perior das folhas. A's vezes depois da maturação, como succede tambem no Oligotrophus origani Tav., na Perrisia veronicae Val., etc., o gomo da cecidia continúa a crescer ficando as folhas mais ou menos modificadas a alguma di- stancia da ponta da haste. Rn houparl :-Julhotde IOOS. - creme serena ress RS PORCA SA “9. ASIM “-. Cecidomyia (provavelmente nova). Solanum dulcamara L. (doce-amarga, dulcamára, uva de cão) — Folhas novas rachiticas depois de completo desenvolvimento. Parte superior dos raminhos tambem rachitica. Côr verde normal. Coimbra (Choupal), julho EA ODE vs ea oo age a as Eriophydeo Solidago Virga-aurea L. (vara d'oiro, virganrea) — Folhas um tanto crespas, e arqueadas para a pagina inferior onde vive o pulgão que é de côr negra. Gardunha a mais de 1.000 m. (junto da Pedra Sellada).... SS ES Pa AR o RA VR LA TO DN Aphideo (1) Sonchus [oleraceus L.] (serralha) — Larvas alaranjadas em sociedade na axilla das folhas, cuja bainha é hypertrophiada, curvando-se tambem ahi o caule. Metamorphose em terra. Setubal, abril de 1905.... Cecidomyia (provavelmente nova). + Spinacia oleracea Mill. (cspinafre) — Folhas crespas enroladas em helice em torno da nervura média. Pulgão preto na pagina inferior do limbo. S. Fiel, abril de I905........ EA «-.. Aphis rumicis L. (1) Na cecidia não encontrei senão o Macrosiphum solidaginis Fb., mas é provavel que este aphideo não seja o auctor da cecidia. Só pesquizas ul- teriores poderão verificar se isto é verdade. 130 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [24] Fr Teucrium scorodonia L. — 4% Folhas arqueadas para baixo ao longo da nervura média, ás vezes atrophiadas e com refegos. Hastesinhas novas um tanto curvas. O pulgão aptero, de côr verde, vive na pagina inferior das folhas e na parte mais tenra dos ramos. Gerez: “mãio de 1007.» «js wish pias a oia AR «- Aphideo | Thymus serpyllum L. (serpão) — 44 Limbo curvo para baixo com tendencia a se enrolar em helice. Os pulgões estão na parte inferior. Gerez (Quinta de Soutellinho), maio de I907...... Aphideo + Tilia platyphylla Scop. (2:/74) — Cecidias conicas ou corniformes (Est. mm, fig. 23), ás vezes com uma pequena contracção na base, de ordinario mais ou menos curvas, quasi glabras, carnudas, de côr verde clara, não raro com laivos côr de rosa. Erguem-se na pa- gina superior do limbo, atravessando a base o parenchyma foliar e indo abrir-se na pagina inferior do mesmo limbo, num orifício coberto de pêlos e situado no centro de uma pequena elevação. No eixo da cecidia ha uma cavidade longitudinal toda forrada de pêlos bastos. O comprimento anda por uns 9 mm. e o diametro na parte mais larga por I mm. Coimbra (Choupal), julho de 1905; Gerez (A. Moller!), 1906. Do E E cola Di E E o NR - * Eriophyes tiliae Nal. Umbellifera desconhecida — x Folhas e flores deformadas e um tanto hypertrophiadas. Os foliolos ficam mais pequenos que no estado normal com a margem arqueada e enrolada, parallelamente á nervura principal, para a parte superior e de modo que o foliolo toma a fórma de uma vagemzinha de papilionacea. As um- . bellas das flores pouco crescem, ficando os pedunculos muito curtos e as flores muito proximas, de côr roxa e sem [25 | J. S. TAVARES: AS ZOOCECIDIAS PORTUGUEZAS I31 chegarem a desabrochar. A pilosidade dos orgãos atacados pelo eriophydeo é maior que no estado normal, Gerez (junto do Observatorio), maio de 1907. Da planta foi encontrado um só exemplar que se erguia a uns IO cm. de alto e com as flores todas atacadas, de fórma que não foi BID E cesta is soa cas ao Dad Resina o Eriophydeo Urtica dioica L. (urtigão, urtiga maior) — Limbo muito crespo, todo ou só em parte arqueado para baixo, parallelamente á nervura média, ficando não raro parecido a um bote. Umas vezes só uma das metades do limbo é que se modifica, imitando uma meia lua, outras o limbo, alem de se dobrar ou arquear, póde ainda enrolar-se em helice em volta da nervura média. Psyllideos de côr amarellada com laivos escuros, não faltando alguns esver- deados. Vivem na pagina inferior da folha, ás vezes de mis- tura com os Aphis urticae Fabr. os quaes são verdes com veios de côr mais clara. DER Eneida de POOS ss sineira e ECOS la SEP e SD (Psyllideo) — + Trioza urticae L. Verbascum sp. (barbasco, verbasco) — a* Limbo crespo, arqueado para baixo, ao longo da nervura média, e tambem perpendicularmente á mesma nervura. Quando os pulgões são muitos, seccam as folhas e mal se desenvolve a haste. Os pulgões apteros são verdes, os ala- dos téem o abdomen verde, o thorax, cabeça e corniculos pretos, os pés brancos. Vivem na pagina inferior do limbo. ERRA RE de TOO Saida ss ver ameno co > Aphideo Veronica anagallis L. — Capsula muito hypertrophiada, globosa, glabra, verde e car- nuda (grossura da parede 1 mm.). Camara larval grande no centro da cecidia em que vive uma só larva branca. O dia- Es e fa. E PE De APRE dg = Da Re SRD UR 132 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA [26] aaa mesm EE metro da a hypertrophiada póde attingir 6 mm. App. em julho do 1.º Fundão (M. N. Er ), julho-de 19055 sa ai dd Eq (Coleopt.) — Gymnetron villosulus Schônh. 0 Vicia angustifolia All., 6. Bobartii Koch. — Cecidia já descripta na Syxopse, pag. 112, n.º 2. App. nã primavera do 2.º anno. e Matta do Fundão...... (Dipt.) — Perrisia viciicola Tav. (2) . Viola tricolor L., y. hortensis DC. (amores perfeitos) — 44 Margem da folha arqueada para baixo, e ás vezes tam- bem o limbo um tanto crespo. O pulgão, de côr verde, vive na pagina inferior das folhas, ás vezes tambem na superior e até nas flores. S. Fiel, maio de- [905/2020 h 2 sta qo e eia Aphideo Vinca media L. (congossa) — Folhas rachiticas, dobradas para cima, ao longo da nervura média. A's vezes o limbo tem o tamanho normal, e só uma parte do mesmo limbo se dobra para cima ou para baixo, não sendo raro que se enrole tambem. O cecidozoide vive geralmente junto das nervuras, tanto na pagina superior, como na cede: : (1) Esta especie já tinha sido encontrada perto de Coimbra na mesma . planta pelo sr. A. Moller e foi citada pelo sr. dr. Trotter: Terza comu- - nicazione intorno alle galle (Zoocecidi) del Portogallo. Boletim da Soc. Bro- E teriana, XVII, 1901, pag. 162. oa (2) Esta especie foi descripta na Brotéria, vol. Iv, 1905, pag. 260. (3) Esta especie foi determinada pelo sr. M. Sousa da Camara. o“ (“a ; w Amores perfeitos. . ...... ERC a A ES e ata a md DPRANCO RE aces Na ari! ab 97 o SD RPE RR RR Doc do( PERNDO NRO R E S CE o e RU AC rca Compro sp re ds ess o E ARS POR RR Canna a E e a Rs CRER A a epi 5 Carvalho cerquinho . ..... Carvalho pardo da Beira .... PEA es Rg PUDEREM vp CR EEE Sao 1 ao ama dele e: EE US q SD DRC SENT O io sr E to ga É Doceaminda —. Ze. e, SAE 7 PERA ERRAR Sa é at si ESCSOBabNia sm Di 4 DDS tapado 3H, à Espinheiro alvar . . ...... INDICE DOS NOMES PORTUGUEZES DOS SUBSTRATOS RR o is dc e 120 DRM Ss a e sá go. 120 ADERGERE ARS etdo, Ea esa a ta IIO DERA SANTOS sn) poeta mami o css IIQ DECIR 6 o O og e pa O a 119 ED eeiba de Tato ps. cas mis "TÃO RR EÇR Too E O 2 1 5 Cata ads 8 dois II9 Cias E ro Upa ape SRI Ti e A III A a E DO RE DE te 123 ns = da Dept 117 REINO ist Ta SOL A el a 127 1, [a PS PR 120 ARES; A dbera sdia dota co aero II4 DD ERERNS o: lirtao dq RS nie va ,13 130 CREA a GT mino dam» e to 129 SCE em PER rs e 122 anebaceam o sis sita > 121 RAT o E 130 READ MR op soa o Bo ci To = aà 116 IREIE A anE: asd a é 131 RR OR o asa ee e e, a 131 io A O a FRZ TIS DIR dE Ea ss sam sntiw Ter 129 AEE QL ce oo e nro a aro 129 pls o 5 5 AEE SOR RR E NA A I31 DORME EE ecorig ds voo dote AO cia a 127 “open Ce VERA UERR CRIE ro 129 INDICE DOS CECIDOZOIDES | —- Hymenopteros [Dryophanta flosculi Gir.| ... 124 | Pontania bella Zadd. . ..... || — Dipteros Asphondylia [menthae Pierre]. 119 scrophulariae Tav. ..... 128 jserpyls Eied a ha 117 Anphonáylia sp; 2 Susa 4 Ir6 Dasyneura raphanistri Kieff.. PPERERAE, e 7aE Do pe vd A Tosa Lasioptera carophila F. Lôw. . 116 [MacrodiplosisdryobiaF.Lôw] 126 tolyens Bach: seia 126 Macrolabis brunellae n. sp... scrophulariae Tav...... Perrisia elegans Tav. ..... silvestris Rick, 5 a vicicóla Tay: Ra Rhabdophaga Pierrei Kieff. .. Schizomyia phillyreae Tav... [pimpinellae F. Lôw].... Urophora algira Macquart. .. HI — Hemipteros (1) Aphis rumos L.- . > IIO, 129 Aspidiotus ancylus Berl. et ELO ESA arado ARA 120 Idiocerus ustulatus M. R. ... 122 Lecanium hesperidum (L.). .. Pemphigus pyriformis Licht.. Toxoptera aurantii Koch. ... Trióza- urticão Lx> Ja IV — Eriophydeos (2) Eriophyes Barroisi Fockeu. .. Gucricotes Mal 2 CA sore I21 118 Eriophyes tiliae Nal. ...... V — Coleopteros Gymnetron villosulus Schônh. .. Mm TE O DO ao, NC a E DO o (1) Alem d'estes mais 30 especies não classificadas. (2) Alem d'estes mais 7 especies não classificadas. III 128 IIS 117 132 128 A BARBOSA DU BOCAGE Le 3 novembre dernier, expirait à Lisbonne Joseph Vincent Barbosa du Bocage, bien connu en Portugal et à V'étranger, ou un juste renom était la digne récompense d'une longue vie illustrée par de nombreux travaux scientifiques. Ce n'est donc pas seule- ment le Portugal, qui vient de perdre un de ses plus grands hommes, et, peut-être, son meilleur zoologiste, c'est tout le monde scientifique, qui regrette, en ce moment, le naturaliste éminent et le travailleur infatigable. Kt certainement, s'iil est hors de doute que Brotero a été, en Portugal, linitiateur d'une période florissante pour les études de botanique, nous pouvons aussi dire en toute vérité, que Barbosa du Bocage a donné, chez nous, à la zoologie, cet essor, dont nous commençons à voir les heureux résultats. Et c'est sous ce point de vue que la Rédaction de la Brotéria, regrettant la perte presque irréparable, que vient de faire la zoologie, en Portugal, est heureuse de sassocier aux hommages, que tous les centres scientifiques du pays rendent en ce moment à Barbosa du Bocage,et de mani- fester à ses lecteurs toute son admiration pour la personne et les savants travaux du regretté octogénaire. Nous nous réservons d'écrire plus tard une biographie com- pléte, autant que possible, de notre savant compatriote; en atten- dant, nous ne pouvons nous empêcher, dês maintenant, de jeter un rapide coup d'oeil sur ensemble de cette vie, toute consacrée à la science et à la patrie. “Barbosa du Bocage étudia la Médecine à [Université de Coimbre, et fut nommé peu aprês Professeur de Zoologie à IEcole polytechnique de Lisbonne et Directeur du Musée. Le docte pro- fesseur vit alors s'ouvrir, devant luí, un nouvel horizon. C'est à peine si le Musée possédait quelques exemplaires, lorsqu'il en prit possession. Le nouveau directeur résolut de doter la capitale du 136 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA royaume d'un grand Musée national. S'il réussit dans sa tâche, le Musée, tel qu'il le laisse à sa mort, V'atteste suffisamment. Le Musée national peut rivaliser avec bcaucoup de Musées célebres de I'étran- ger. La partie ornithologique, en particulier, peut être facilement comparée à n'importe quel Musée similaire des autres pays. En 1880, aprês 50 années passées dans I'enseignement, on lui donna la retraite comme Professeur. Il tint cependant à conserver la direction du Musée, auquel il voua toute son énergie et toute sa bonne volonté. Entre temps, il étudiait, à fond, les Mammifêres, les Oiseaux et les Reptiles du Portugal et de 1' Afrique, et publiait pres de deux cents travaux sur cette spécialité, dans des revues portugaises et étrangêres. Ces travaux sont consultés à [Vétranger, et s'ils nous témoignent de son grand amour pour le travail, ils placent à coup súr sa patrie, que Barbosa du Bocage a tant aimée, parmi les nations, ou le culte des sciences naturelles est en honneur. Le Portugal lui est en partie redevable de cette gloire, que Barbosa du Bocage lui a acquise au prix de labeurs incessants. Qu'il nous suffise de dire qu'a un àge, ou les forces perdues lui conseillaient un repos bien mérité, il ne cessa jamais de travailler. Et dans ses derniéres années, quand la vue fatiguée ne luí per- mettait plus de lire ou d'écrire, il dictait à I'épouse chérie le ré- sultat de ses études, et celle-ci lisait, écrivait et faisait même des observations. La patrie qu'il a honorée, et qu'il a toujours servie comme bon portugais, n'a pas été ingrate et |'a honoré à son tour. Elle lui a con- féré tous les titres, auxquels avait droit une vie si bien employée. Il était Conseiller d'Etat, Pair du Royaume, Ministre d'Etat hono- raire, Membre effectif de 1 Académie Royale des Sciences, Membre et Président honoraire de la Société de Géographie. Elle est restée célebre, la session de la Société de Géographie, dans laquelle il re- gut la médaille d'honneur des mains de Sa Magesté le Roi de Por- tugal, en juin 1903. Un de ses disciples, grand admirateur et ami, M. le Dr. Edouard Burnay, dans un discours plein d'affectueux enthousiasme, démontra alors, jusqu'a Iévidence, comme elle était bien méritée cette médaille d'honneur, et comme elle disait bien, sur une poitrine si devouée à la science et à la patrie. Il ne sera pas BARBOSA DU BOCAGÉ 137 inutile d'ajouter que la Société ne confére que três rarement cette récompense, et ne la donne qu'à des mérites exceptionnels. Une nouvelle preuve d'estime lui a été donnéce cette année par la nouvelle «Société Portugaise de Sciences Naturelles», qui le nom- ma son premier Membre honoraire à cause des éminents services qu'il avait rendus aux Sciences Naturelles, en Portugal. Barbosa du Bocage appartenait aussi à des Sociétés savan- tes étrangeres, et ses travaux étaient hautement estimés par les na- turalistes des autres pays. Qu'il nous suffise de rappeler à peine le télégramme collectif que lui envoyerent les naturalistes du Musée de Berlin, lors de son quatre-vingtitme anniversaire. Barbosa du Bocage, dont la carriére dans Venseignement a été longue, laisse de nombreux disciples. Notre plus ardent désir est qu'ils suivent les traces du maitre respecté, et qu'ils illustrent de leurs travaux, la patrie si bien servie par le savant, que tous nous admirons et regrettons. La Rédaction dela Brotéria dépose respectucusement aux pieds de la veuve désolée et de Iillustre colonel du génie, M. Charles Roma du Bocage, fils du vénéré défunt, ses plus vives condo- léances et ses respectueux hommages. BIBLIOGRAPHIA Cytologia 308. CeLestTINO DA CosrTA (A.). — Glandulas suprarenaes e suas ho- mologas. Laboratorio de Histologia da Escola Medico-cirurgica de Lisboa. Lisboa, 1905. 129 pag. in 8.º com 3 est. As funcções das capsulas suprarenaes, cuja importancia foi desconhe- cida por muito tempo, têem sido ultimamente muito discutidas. Foi em 1885 pela primeira vez que Thomas Addison lhes attribuiu funcções importantes, suggerindo o estudo d'este autôr a Brown Sequard a ideia da ablação uni ou bilateral das mesmas capsulas em certos Mam- miferos. Estas e outras experiencias levaram os physiologistas ao conheci- mento das funcções glandulares de secreção interna nas capsulas suprarenaes. Trabalhos subsequentes provaram que têem acção antitoxica na des- truição das toxinas do trabalho muscular, e que o seu extracto injectado na corrente sanguinea provoca um augmento de pressão arterial. As capsulas suprarenaes dos Mammiferos estam claramente divididas em duas regiões: cortical (externa), e medullar (interna). | A cortical é formada de cordões compactos de cellulas epitheliaes di- versamente dispostos, que levam a distinguir tres zonas no cortex: g/ome- rular, fasciculada, reticulada, denominações que indicam a disposição das cellulas componentes. A medullar é tambem constituida por cordões cellulares reunidos por anastomoses, deixando malhas occupadas por vasos sanguineos, de cujas pa- redes partem prolongamentos em fórma de rêde, que constituem o esqueleto connectivo do tecido. A existencia d'este ultimo é negada por alguns autô- res, mas affirmada pelo A., que em preparações realisadas por uma delicada technica distingue claramente os feixes connectivos. | Noutros vertebrados — Aves, Reptis, Amphibios, Peixes, esta estru- ctura é mais ou menos alterada. As duas zonas, que se distinguem por meio de certos reagentes (a 7n€- dullar é composta de cellulas chromaffins), segundo os trabalhos de varios especialistas têem uma origem differente. Os primeiros rudimentos da sub- stancia cortical apparecem na zona do epithelio celomatico, emquanto a substancia medullar tem origem no systema xervoso sympathico. Além d'isso, as funcções physiologicas tambem se distinguem. Muitos estudos levam a concluir que é a medulla que produz a hypertensão san- guinea, e não o cortex, que sob este ponto de vista é inactivo. À maior proporção relativa de substancia medullar nas Aves explicaria porque nellas a pressão sanguinea é mais elevada que em outros Vertebrados. E' o cortex que exerceria as funcções antitoxicas. — PRI DEN E E A E” q “ BIBLIOGRAPHIA 139 O A. demonstra, sob o ponto de vista cytologico, a natureza glandular secretora das capsulas suprarenaes. Num capitulo descreve a estructura d'uma cellula glandular em geral, cuja caracteristica são os productos de secreção, contendo ao mesmo tem- po muito frequentemente varias formações intracytarias, como os parani- cleos, especie de nucleolos derivados do nucleo, e o ergastoplasma, forma- ções filamentosas, orgãos que são muito provavelmente agentes de secreção. Cellulas do Cortex. — E' evidente que nestas, sobretudo na zona fascicular, se encontram varios granulos ou gottas de gordura, que muitos pretendem ser a lecithina. Pela dissolução da gordura, reductora do acido osmico, a zona em que ella se encontra torna-se esponjosa, o que provoca a formação de certos vacuolos, que levaram alguns autôres a distinguir no cortex uma quarta zona, a zona esponjosa. Em 1904 publicou o A. um trabalho sobre este ponto, em que affirmava nas cellulas corticaes em geral a presença d'uma substancia adiposa. Sobre a especificidade d'esta gordura não póde poróra formar-se juizo seguro. E' até provavel que esta seja multipla, ou então que se transforme em varios productos adiposos. O A. emittiu a opinião, confirmada por Bonnamour, de que a es- tructura alveolar do protoplasma é justamente devida á presença das mate- rias adiposas. Seria nos alveolos ou vacuolos d'estas materias que se jun- tariam as substancias toxicas que hão de ser eliminadas. Com efeito, a lecithina neutralisa varias substancias toxicas. Ha outro elemento bastante constante na zona cortical, pelo menos nos individuos adultos, — é o Sigmento, que toma uma côr mais ou menos escura com os diversos reactivos, e que teria por substrato granulações al- buminoides, oriundas provavelmente do nucleo. Além d'isso, muitos autôres citados pelo A. descrevem nas cellulas corticaes certas zxclwusões, granulos siderophilos, que outros pretendem ser formações artificiaes devidas aos reagentes e fixadores, Em todo o caso, ainda não temos dados inteiramente seguros sobre a significação d'estas formações. Pelo contrario, parece averiguada a existencia de canaliculos inter e endocellulares, que communicariam com os vasos do systema arterial. As suas funcções não parecem ser secretorias. Quanto ao gyucleo das cellulas corticaes, ha apenas a notar que ao lado de divisões directas (stenose), se vêem bellas figuras de divisões cineticas (mitose). Nos casos de hyperfuncção natural ou artificial (injecção de pilocarpi- na) das glandulas suprarenaes, a camada cortical é como que estimulada e reage, como no caso de exaggero de productos toxicos, pelo augmento de gordura, Resta agora fallar das observações pessoaes do A. 140 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA Depois d'uma breve exposição da morphologia externa das tres zonas corticaes e de suas relações mutuas e com os capillares, o A. observa com maior frequencia no protoplasma dos Mammiferos (gato, cão, cobaia, coe- lho, ouriço) e na rã, uma disposição alveolar, que em certos casos só póde ser observada com as maiores ampliações microscopicas, e noutros não é possivel observar estructura alguma, parecendo homogeneo o protoplasma. Os alveolos estam occupados pelas substancias adiposas, productos da . actividade chimica do cytoplasma, motivo que leva o A. a substituir o ter- mo estructura pelo de architectura, o qual indicaria apenas as relações que o protoplasma tem com as substancias nelle contidas; por outras palavras, o protoplasma toma a disposição alveolar pela influencia das substancias, adiposas ou outras, que elabora, ou ainda com o fim de as conter nos seus alveolos. Quanto á verdadeira estructura, na accepção usual da palavra, isto é, a estructura Srimitiva do protoplasma, o A. não emitte opinião, por não ter sido possivel observál-a em cellulas vivas. Em outros termos só acceita a conhecida theoria de Biútschli que mostra a morphologia in- . terna do cytoplasma, e não a sua estructura intima. Não me parecem forçados estes aspectos alveolares, que o podiam ser mesmo no caso de estructura reticulada, porém a difficuldade de observa- ção da verdadeira estrnctura nestes casos particulares, não poderá infir- mar a generalidade da estructura zeticulada. Esta é affirmada pelos grandes cytologistas modernos, que interpretam como reticular a estructura que se manifesta como tal na maioria dos casos. Assim, não ha duvida que o fuso das divisões cineticas seja natural. A sua formação por fibrilhas em perfeita continuidade com o protoplasma não orientado, assim como a circulação de certos corpusculos no enchylema cytoplasmico, difficilmente se expli- cariam na hypothese de verdadeira estructura alveolar. A presença de fi- guras cineticas nas zonas corticaes não poderia pois concordar com ontra estructura que não fosse a reticulada. Esta difficuldade levou muitos autô- res, a exemplo de Strasburger (93 e 97), a distinguir duas partes no cy- toplasma: o kinoplasma encarregado da formação das fibras fusoriaes, e o trophoplasma que possuiria estructura alveolar. Allen (03) considera como kinoplasma as trabeculas das malhas do protoplasma, e o conteúdo como trophoplasma. Este modo de vêr poderia talvez accomodar-se ás ideias do A., considerando como estructura verdadeira a visivel ao microscopio, e como rêde verdadeira o que o A. toma como córte optico dos alveolos. Os casos em que o protoplasma parece homogeneo ou só difficilmente deixa vêr uma estructura, não seriam antes a confirmação da estructura reticu- lar, cujos elementos não coloridos possuiriam um indice de refracção appro- ximado do do enchylema? Se as malhas fossem alveolares e não reticula- res, o seu desapparecimento seria tão completo, mesmo no caso de indice identico? E' no reino vegetal sobretudo que a estructura reticulada é ge- ralmente tida como certa. Porém, estes factos fundamentaes poderão va- riar no reino animal? BIBLIOGRAPHIA I4gi Pelo que toca aos tão discutidos corpos siderophilos — massas alveolares que sob varias formas se encontram nos pólos das cellulas ou na periphe- ria d'estas, ou ainda em volta do nucleo — alguns autôres tomam-nos como formações zaturaes, ou artificiaes devidas á má fixação. O A. encontra-as exclusivamente na cobaia, e só na zona interna cortical, o que.o leva a não admittir a formação artificial, pronunciando-se pela existencia d'uma substancia especial ao protoplasma da cobaia. é Os canaliculos intercellulares seriam devidos ao não contacto mutuo das cellulas da zona interna, communicando-se os espaços livres, de modo que formam canaes separados dos capillares pelo endothelio, mas sem pa- redes proprias. | Os canaes endocellulares não seriam mais, numa hypothese emittida pelo A., do que o caminho aberto pelas substancias adiposas segregadas, que talvez em outros casos viriam a ser occupados por outra substancia. Além de divisões directas, o À. encontra muitas cineticas, que não obstam á elaboração de varias granulações de secreção. Nestas é certa a existencia do centrosoma, e provavel nas primeiras. Finalmente, quanto ás modificações produzidas pela hyperfuncção na- tural ou artificial, o A. só poude observar que ella accelera a accumulação dos granulos adiposos numa gotta unica. Cellulas da meduilla, chromaffins. — A origem da medulla das ca- psulas suprarenaes é zervoso-sympathica, como provam os trabalhos em- bryologicos de varios autôres, pela grande analogia entre as cellulas gan- glionares sympathicas e as cellulas chromaffins medullares. Porém, a sua estructura nos adultos distingue-as completamente das cellulas nervosas, que adquiriram o caracter das cellulas epitheliaes glandulares. No protoplasma vêem-se-lhes varias granulações que serão talvez o producto de secreção. A sua natureza chimica é poróra duvidosa, inclinan- do-se alguns autôres a que seja a adrenalina. Isto confirma-se pela applicação do methodo de Ramon y Cajal na reducção do nitrato de prata, em que o protoplasma apparece cheio de fi- nas granulações escuras. Este reagente que deu ao A. muito bom resulta- do, foi applicado com egual exito aos rins do ouriço, devendo portanto approximar-se as funcções secretorias d'estes dois orgãos. Entre as trabeculas do protoplasma, de architectura semelhante á do cortex, encontram-se granulações siderophilas, talvez simples microsomas, porém nos vasos capillares ha outra especie de granulações, provavelmente de secreção, de funcção hypertensiva. Nos Batracios esta substancia encon- tra-se no protoplasma cellular. “Em resumo, as cellulas corticaes accumulam substancias adiposas, que, segundo certos auctores, têem funcções antitoxicas, ou são productos de secreção. Sob o ponto de vista cytologico, os nucleos corticaes são activos, e as 13 i42 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA - suas divisões por mitose parecem indicar uma forte acção elaboradora, adi- pogenica. Que essa substancia seja segregada, os dados cytologicos não são a isso contrarios, antes mostram que a estructura das cellulas corticaes é identica á das glandulares. Pelo que respeita a porção medullar, as cellulas chromaffins segregam, em forma de granulações cytoplasmicas, uma substancia (provavelmente a adrenalina) de propriedades hypertensivas, que passando para os vasos medullares ahi exerceria essa funcção. Posteriormente a este trabalho, por occasião do Congresso internacio- nal de Medicina em Lisboa (1906) publicou o Snr. Celestino da Costa uma pequena nota em francez: «Votes Cytologiques sur les cellules corticales des glandes surrenales», em que confirma a maior parte dos factos acima expostos, accentuando alguns que o estudo ulterior lhe mostrou mais cla- ramente. A constancia dos corpos siderophilos na cobaia fazem pensar ao A. que estes serão um estado preliminar da formação da gordura. Noutros Mam-. miferos não se encontra a siderophilia, mas as zonas correspondentes có- ram-se mais intensamente e serão provavelmente o equivalente das side- rophilas. Pela mesma occasião, o Snr. Celestino da Costa resumiu em outra breve nota: «Quelgues vues sur la structure des cellules glandulaires», as tres grandes theorias cellulares relativamente ao cytoplasma. O A. rejeita naturalmente a de Altmann (granular), admittindo a alveolar só no sentido de architectura (que neste caso não é a theoria de Bútschli). O protoplasma parece-lhe homogeneo, tendo no seu seio gra- nulações adiposas (lecithina) e outras inclusões, differenciações cellulares de forma filamentosa, o ergastoplasma de alguns autôres. Estes aturados estudos, que o Snr. Celestino da Costa ainda pro- segue, concorrem para o esclarecimento das até aqui tão hypotheticas funcções das capsulas suprarenaes, e honram grandemente o seu autôr, di-. gno do maior elogio por vir levantar o nivel dos estudos cytologicos, entre nós tão pouco cultivados. 309. MarécHaL (J.). — Sur POvogéntse des Sélaciens et de quelques autres Chordates. Extrait de la Revue Za Cellule, t. xx1v, 1.ºer fascicule. Louvain, 1906. 239 pag. in 4.º, 11 pl. doubles. Entre todas as questões cytologicas as da ovogenese, espermatogenese e esporogenese têem attrahido as attenções pela sua importancia. À da ovo- genese é particularmente difficil. Um dos pontos mais discutidos é a persistencia dos chromosomas du- rante o periodo de crescimento do ovocyto. A escola de Lovaina (Instituto Carnoy) tem-se distinguido no estudo d'estas intrincadas questões, avultando entre as varias memorias appareci- das sobre este assumpto a de J. Maréchal. BIBLIOGRAPHIA 143 O autôr parte, para maior segurança, não do ovocyto, mas da ultima ovogonia. Foi neste caminho que encontrou estados novos, semelhantes aos da esparmatogenese e esporogenese vegetal, que, por comparação, fa- cilitaram este trabalho. O objecto de estudo foi tomado de entre varios chordados, sobretudo .Scy/lium canicula e Pristiurus melanostomais. Nas primeiras phases da differenciação da ovogonia topa-se com a ce- lebre questão da reducção de numero dos chromosomas. e em seguida a da persistencia d'estes no periodo de crescimento, bem como as suas re- lações com o nucleolo durante o mesmo periodo. O autôr deixa este estudo no momento em que os chromosomas do Ovocyto T estam promptos para a 1.º cinese de maturação. Na impossibili- dade de resumir toda esta memoria, indicaremos as conclusões mais im- portantes. O ovocyto proveniente das ultimas ovogonias, distribuidas geralmente em ainhos cellulares, têem um pequeno repouso inicial, reformando-se em seguida os filamentos (chromosomas) do nucleo, que se preparam logo para o estado de synapsis o mais importante e por tanto tempo enigmatico em todas as geneses, em que os filamentos tendem a ir occupar um só lado do nucleo, depois de se collecarem mais ou menos parallelamente uns aos ou- tros, orientando-se em dougret. Este estado foi tido por diversos autôres, hoje raros, como artificial devido aos reagentes, ou pathologico. Maréchal mostra em optimas pre- parações que o phenomeno é natural e até normal, ainda que nalguns ca- sos a retracção synaptica possa ser accentuada pelos reactivos. Qual a significação d'este estado de synapsis, peculiar unicamente ás cineses de maturação? Está quasi perfeitamente demonstrado, concorrendo grandemente para isso o trabalho de J. Maréchal, que a synapsis é uma preparação para a reducção do numero normal de chromosomas em "/, chromosomas nas Cineses de maturação. Efectivamente, os chromosomas em formação nesta phase collocam-se parallelamente dois a dois, collando-se longitudinalmente. A reducção aqui effectuada é só apparente, porque estas dualidades separam-se de novo mais tarde depois de constituirem o espirema grosso, que desdobran- do-se longitudinalmente e engrossando progressivamente ao mesmo tempo que se encurta consideravelmente, constitue os chromosomas definitivos de numero n/,. E' sabido que nas divisões somaticas cada chromosoma se divide longitudinalmente em dois, e que por conseguinte os definitivos são metades longitudinaes do precedente. Pelo contrario, nas cineses de ma- turação, nos Cytos I, os chromosomas definitivos são os que se conjugaram no estado de synapsis, ou um pouco antes ou depois. E' na 2.º parte d'esta memoria que Maréchal estuda o periodo de crescimento do ovocyto, periodo em que estuda a questão da persisten- cia e individualidade dos chromosomas. I44 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA 2 Dm Em preparações perfeitamente executadas de Scyllium canicula e Pristiurus melanostomus, Trigla hirundo, Gasterosteus aculeatus, Amphioxuws, etc., observam-se nitidamente os chromosomas, se bem que consideravel- mente differentes do que são noutros momentos, diversamente filamento- sos, formando laços lateraes de formas variadas em todo o comprimento e geralmente pouco coloridos. A chromatina ou abandona esta estructura fi- lamentosa, ou pode transformar-se chimicamente como admitte Rue- ckert, ou talvez com maior probabilidade, segundo Born, descondensando- se, como o proprio supporte, o chromosoma filamentoso. A sua persistencia individual na phase de crescimento do auxocyto deve ser affirmada não relativamente a uma estructura chromatica, que é, como se vê, ephemera, mas como uma certa estructura independente, im- pregnada de chromatina em certas phases da actividade nuclear. Esta es- tructura deve persistir atravez de todas as vicissitudes cellulares. O traba- lho de Maréchal prova que assim succede na phase mais critica, a do crescimento do ovocyto 1. De certos phenomenos de relação entre o nucléolo e a rede chroma- tica, quiz-se tirar argumento contra a persistencia dos chromosomas. O nu- cléolo no auxocyto, sobretudo dos .Selaceos, resolve-se em certos filamentos chromaticos, imitando chromosomas. Estes filamentos, porém, são apenas pequenos alinhamentos de esphe-. rulas chromaticas, depositadas sobre um filamento qualquer reticular, ou | são pequenas bandas ou fitas chromaticas. Não obstante estas formações poderem imitar os chromosomas de cer- tas phases cineticas, differem totalmente dos da phase actual, e d'ellas não se poderá tirar argumento contra a persistencia chromosomica no auxocyto. Relativamente ao phenomeno, descripto por varios autôres, do trans- porte de chromatina dos chromosomas para o nucleolo e vice-versa, as observações de Maréchal não apoiam este modo de vêr, e se elle é pos- sivel em virtude d'um contacto mutuo, etc., o phenomeno não é de certo permanente, nem total, nem geral. Ha uma coincidencia entre a decondensação dos chromosomas e o augmento do cytoplasma no ovocyto, sem que porém se tenha provado a passagem de materias figuradas de um elemento para o outro. Mas já não se nota a mesma coincidencia na reconcentração chromosomica. E' muito provavel que o crescimento dos chromosomas se faça não só pela diminuição de densidade, mas por um real augmento da massa, Este excesso é abandonado de novo no momento da reconcentração, não Sob a forma de chromatina, mas com a propria estructura chromosomica. Em conclusão, Maré chal deduz que o chromosoma não pode ser con- siderado, como o foi por varios autôres, como um aggregado de granulos ou microsomas ou de chromatina, pelo menos como estructura permanente, E' uma unidade estructural independente da coloração, que pode variar se- gundo as phases, unidade que persiste atravez das divisões cellulares, BIBLIOGRAPHIA - I45 — Acceite este conceito de chromosoma, é forçoso rejeitar a identidade, segundo Weismann, de S/asma germinal, de substancia chromosomica e de chromatina, e ainda a identificação mais geralmente admittida de plas- ma germinal ou idioplasma e chromatina. À importancia d'esta questão reside principalmente no problema de hereditariedade, que depende; segundo muitos autôres, da chromatina, sob a forma de microsomas ou outra qualquer. Não sendo constantes e permanentes estes elementos, ou, pelo menos, não podendo ser sempre descobertos pelos reagentes conhecidos, poderia ainda, segundo as ideias de Maréchal, admittir-se que a chromatina não é incompativel com a ausencia de reacções basichromaticas, não obstante isso repugnar provavelmente á maior parte dos autóôres. Mas á vista dos eclipses da chromatina, como identificál-a com o idio- plasma? Por outro lado, como as razões de Weismann provam apenas que o idioplasma, se existe, está iocalisado nas estructuras chromosomi- cas, deve ser a estas que incumbe pelo menos uma parte das funcções morphologicas ou hereditarias attribuidas á chromatina. A persistencia chromosomica durante as phases mais criticas, a con- stancia do numero especifico e participação preponderante no phenomeno capital da divisão cellular, a reducção de numero e a sua restauração pela união dos gametas, a apparatosa preparação, com tanta antecipação, das cellulas sexuaes, e os seus ordenados movimentos, parecem affirmar a im- portancia das estructuras chromosomicas nos phenomenos de heredita- riedade. — O nosso ardente desejo é que o A. possa continuar este estudo, como elle tambem espera, na certeza de que contribuirá para a elucidação d'este importante problema, e para a unificação de pareceres. 310. MarécHaL (J.). — Ontogénêse et Phyllogéntse. Extrait de la Xe- vue des Questions Scientifiques (janvier et avril 1907). Bruxelles. 75 pag. in 8.º Neste artigo que é um estudo scientifico-philosophico da theoria evo- lucionista, sobre a qual tanto se tem escripto e se continuará a escrever, manifesta o autôr o seu esclarecido criterio sobre questão tão attrahente como importante, e o criterio de que devem munir-se os que pretendem contribuir para taes estudos. A theoria da descendencia, no estado actual dos nossos conhecimen- tos, não é completamente applicavel, nem completamente explicavel, como diz Marécha]l. Tão dignos de critica são os adversarios d'um transformis- mo moderado e razoavel, como certos vulgarizadores que servem ao pu- blico, com o rotulo de sciencia, os productos mais equivocos da phantasia individual. Todo o homem de sciencia, naturalista ou philosopho, achará muito que meditar neste judicioso estudo de Mar échal. 311. PantTEL ET De Syxéri. — Les Cellules de la lignée mãle chez 146 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA le Notonecta glauca L. Extr. de Za Cellule, tom. xx, 1906, 217 pag. in 4.º, 8 planches doubles. Nesta memoria que os autôres longamente prepararam auxiliados d'uma technica em que são especialistas, descrevem-se os quatro grandes periodos da espermiogenese : multiplicação, crescimento, maturação e trans- formação. A vantagem da Notonecta está não só na abundancia do material, mas sobretudo no grande tamanho das cellulas sexuaes. No periodo de multiplicação, provam os AA. que as espermatogonias secundarias (divisões synchronicas do 2.º subperiodo de multiplicação) pos- suem um numero especifico dobrado do das espermatogonias primarias (1.º subperiodo). — Estas diversas gonias, ao contrario do que succede nas ovogonias, são todas semelhantes entre si, não obstante a homologia que existe entre as duas sortes de cellulas, que o destino especial das ovogo- nias torna heterogeneas (degenerescencia vitellogenea), a não ser que se queira vêr um phenomeno anologo na existencia do chromosoma accesso- rio, que parece não faltar nas espermatogonias physiologicas. A marcha dos phenomenos no periodo de crescimento toma proporções differentes do que succcede na ovogenese d'outros objectos. Parece aos AA. que a substancia chromosomica se separa em duas porções, das quaes uma é rejeitada (achromophila), reunindo-se a outra, activa, em volta do nucleolo. Na cariosphera assim formada apparecem em seguida os primei- ros phenomenos da resolução da substancia nuclear. Esta consiste na trans-. formação da cariosphera em corpusculos chromaticos em forma de cordões, ao mesmo tempo que o nucleolo soffre egualmente uma transformação em pequenas espheras. Os AA. não observaram na Notonecta a synapsis reductóra, que deve provavelmente ter-se effectuado na telophase anterior. A esphera (centrosoma) toma um aspecto especial devido á massa de pseudochromosomas applicados a um lado do nucleo. Esta materia, depois de se ter transformado por expansão numa como massa esponjosa consi- deravel, acaba por desapparecer completamente passando por formas di- versas. — O protoplasma é reticulado com grandes malhas durante o crescimento, mas desle o começo da prophase o zeticulum é muito fino, excepto na peripheria. Nelle se destacam corpusculos archoplasmicos e. algum material periaxil constituindo os primeiros rudimentos procephali- cos e periaxis do espermatozoide (espermatide). Os phenomenos da divisão cinetica começam pela transformação em pequenas argolas chromaticas dos cordões que vimos formarem-se da re- solução da cariosphera. Parece aos AA. que estas argolas são constituidas por um agrupamento de corpusculos que se soldariam em linha. A forma definitiva adquirida pelos chromosomas é um duplo granulo denominado diplosoma por Bouin e outros, isto é, os chromosomas-filhos. Além d'estes, que são ordinariamente [11 ou 12, ha sempre um chro- BIBLIOGRAPHIA 47 mosoma especial de forma differente e mais massiço que os diplosomas, de evolução em atrazo, e que toma parte nas duas divisões. Talvez seja d'este que dependa a futura acção espermatica. O seu tamanho anormal produz a deformação d'um lado do fuso achromatico. Segundo os AA. é muito provavel que este ultimo possua uma origem nuclear, porque o aster, notavelmente desenvolvido, é formado á custa de todo ou quasi todo o protoplasma que rodeia o nucleo. Os raios do as- ter penetram neste, logo que é destruida a membrana, e parecem trans- formar a substancia fundamental do nucleo em fibras fusoriaes. A figura achromatica repelle para a peripheria o material periaxil sim- ples que persiste durante a metaphase. Da anaphase passa-se immediatamente á prophase II, sem haver telo- phase nem repouso. E' o mesmo fuso que se alongou consideravelmente, distendendo-se os seus elementos, certamente pelo desdobramento do centro cinetico, cujo corpusculo central (centriolo) se bipartiu, separando- se os centriolos-filhos e refazendo-se em volta d'elles.a centrosphera e os raios asterianos. À figura II assim formada é em tudo semelhante á I, tendo o fuso um corpo intermediario. O chromosoma excepcional divide-se, dando dois V abertos para os polos. E' no estudo do periodo de transformação que -os AA. são mais diffusos. Os 5 capitulos d'esse estudo não são para se resumirem. Expõem a recons- tituição do nucleo e suas transformações, a formação de capacetes (callotes) sobrepostos ao nucleo que têem provavelmente funcções nutritivas, a for- mação e desenvolvimento da armadura procephalica (apical), formação caudal e corpo cellular propriamente dito, etc. À nutação é um movimento muito caracteristico na Notonecta, que con- siste no abaixamento da armadura procephalica para o lado da formação periaxil, e em seguida no seu levantamento, com os phenomenos nucleares concomitantes. Os phenomenos procephalicos consistem na desapparição do grande archosoma, e formação e evolução do amphisoma, termo proposto pelos AA. para designar um organito que está sobre a armadura procepha- lica, constituido por partes que podem ser diversamente córadas, cujo destino é provavelmente o de provocar o alongamento d'essa armadura e de toda a região anterior da espermatide. Entre as transformações no polo pesterior do nucleo ha o desenvolvi- mento do collo, ou antes, no sentido dos AA., da coleira, e formação dos cilios. Em seguida a um estudo minucioso do desenvolvimento da armadura procephalica, alongamento e desenvolvimento da cabeça, colleira e blepha- roplastas, etc., tratam os AA. da cauda da espermatide, e finalmente da mesma em estado adulto. Esta é um filamento de comprimento relativa- mente enorme, cerca de um centimetro é meio, e um pouco mais de 2 q de diametro. As variações de chromaticidade das diversas partes da espermatide 148 — BROTÉRIA: SERIÉ ZOOLOGICA parecem estar em relação com a plasticidade morphogenica das mes-. mas. Em appendice expõem os AA, alguns phenomenos cyto-teratologicos que encontraram, como a presença de corpusculos chromosomicos nas me- taphases I, provavelmente granulos que escaparam á condensação chromo- somica, nucleos duplos eguaes e multiplos deseguaes, syzxcitia espermatocy- ticos, isto é, formação de figuras pluripolares devidas aos deslocamentos dos cyto-centros que reagem sobre cellulas vizinhas, e finalmente complexos espermatoidaes plurinucleados, provenientes de fusões antigas ou recentes ou de irregularidades cineticas, degenerescencia, etc. | Ao contrario do que parece provavel sobretudo na ovogenese de va- rios objectos, cuidam os AA. que a individualidade chromosomica não é conservada atravez das evoluções espermatoidaes descriptas. TH. MARTINS MANO. Cecidologia 1) — Biologia, anatomia 312. AsBÉ PrerRE. — Sur la ponte d'un Névroptêre Cécidozoon — Lestes viridis van d. Lind. Extr. de la Revue Scient. du Bourbonnais. 1902. In 8.º, 14 pag. Moulins, 1902. 3 Esta memoria apresenta-nos uma descoberta notavel do A. — um ne- vroptero cecidogenico, unico até agora conhecido. Com a postura do ovo debaixo da casca, produz pequenas elevações nos ramos de plantas muito varias que vegetam á beira dos lagos e tanques onde voa o insecto. . 313. AsBÉ PrerRrE. — L'éclosion des oeufs de Lestes viridis. Extr. des Ann. Soc. Ent. Fr., vol. 73. Paris, 1904. 8 pag., 1 PL 314. Assé PrerrE. — Biologie de Tettigonia viridis L. et de Anagrus. atomos L. Remarques cécidologiques. Extrait de la Revue Sc. du Bour- bonnais et du Centre de la France. In 8.º, 11 pag. avec 22 fig. Moulins, 1906. O A. estuda a postura do homoptero Tettigonia viridis L. em diversas plantas, a evolução do ovo, a evolução da larva, bem como o seu parasita — Anagrus atomos L., o mais pequeno (comprimento o,5 mm.) e um dos . mais elegantes hymenopteros. A postura é feita debaixo da casca de rami- nhos novos de diversas plantas, mórmente do axticiro. Apezar da casca ficar um pouco levantada, o À, é de opinião que isso não constitue cecidia, Ta visto faltar a proliferação do tecido que se produz nas verdadeiras cecidias. 315. Houarp (C.). — Les Galles latérales des Tiges. Estr. dalla Mar cellia, vol. 11, 1904. In 8.º, 23 pag., 40 fig. Este trabalho é a these, expodta oralmente pelo A. para o seu douta BÍBLIOGRAPHIA I4O9 ramento na Sorbonna (Junho, 1903). Depois das noções geraes apresenta o A. a anatomia pormenorisada das cecidias do. Xestophanes potentillae, do Nanophyes telephii, da Contarinia tiliarum, do Aulax glechomae, do Eriophyes abietis e do Chermes abietis. Como se vê, são alguns typos escolhidos do - magistral trabalho feito pelo A. — Recherches Anatomiques sur les Galles des Tiges : Pleurocécidies ; Paris, 1903, de que já me occupei noutro logar (Bro- téria, vol. II, pag. 203, 1903). 316. Hovarp (Dr. C.). — Sur la Gaile du fruit de Veronica anagalis L. Extr. dalla Marcellia, vol. 1v, 1905. In 8.º, 11 pag., 16 fig. Depois de descrever a cecidia produzida por Mecinus villosulus Schônh., o À. apresenta a anatomia da mesma cecidia, que é constituida quasi ex- clusivamente pela hypertrophia e pela hyperplasia dos elementos cellulares. 317. Houvarp (Dr. C.). — Sur nne Lépidoptérocécidie intéressante du Scabiosa columbaria L. Estr. dalla Marcellia, vol. iv, 1906. In 8.º, 5 pag,, 4 fig. Descripção e anatomia da cecidia já conhecida da .Scabiosa e que pro- vavelmente é causada pela Oraecodes (Alucita) Húbneri Wallgr. Esta especie tambem foi já citada de Portugal. 318. Hovarp (Dr. C.). — Variation Ges caracttres histologiques des feuilles dans les galles dn Juniperus oxycedrus L. du Midi de la France et de VAlgérie. Comptes Rendus à | Acad. des Scienc., 22 Mai 1905. In 4.º,3 pag. 319. HovarD (Dr. C.). — Moedifications histologiques produites par des Copium dans les fleurs des Teucrium. Estr. dalla Marcellia, vol. v, 1906. 19 pag., 27 fig. E' sabido que em deformações bastantes semelhantes das flores de di- versos Teucrium se criam dois hemipteros heteropteros muito parecidos — o Copium clavicorne Fourcr. e o Copium teucrii Host. O A. estuda as modi- ficações histologicas produzidas nas flores por estes dois cecidozoides. 320. Houarp (Dr. C.). — Sur Videntité de structure des galles involu- crales et des galles des pousses feuillées chez les Euphorbes. C. Rez- dus à V Ac. des Sc., 18 juin, 1904. In 4.º, 3 pag. As cecidias da Dasyneura capsulae Kieff. podem ser formadas, em di- versas Euphorbias, seja pela reunião das bracteas floraes, seja pela das fo- lhas normaes no apice do raminho. O A. mostra que a estructura histolo- gica é a mesma em ambos os casos. 321. REyNVvAAN (].), LeguwmEN (W. D. van). — Aulax papaveris Perris. Its biology and the development and structure of the gall, wich it pro- duces. Estr. dalla Marcellia, vol. v, 1906. 13 pag. 3 fig. Em seguida á historia da cecidia, occupam-se os AA., em artigos espe- ares do cynipide e da anatomia e desenvolvimento da cecidia. I5o BROTÉRIA : SERIE ZÓOLOGICA 322. TroTTER (Dr. A.). — Nuove richerche sui micromiceti delle Galle e sulla natura dei loro rapporti ecologici. Estr. dagli Aunales My- cologici. Vol. w1, n.º 6, 1905. In 8.º, 27 pag., 8 fig. Proseguindo os seus estudos sobre os micromycetas das cecidias, fala . o À. primeiramente dos fungos saprophytas das cecidias, logo dos antibio- ticos ou seja parasitas, tanto do cecidozoide como da cecidia, e por ultimo dos que vivem nas cecidias sem lhes destruirem os tecidos, nem fazerem mal aos cecidozoides, fungos a que dá o nome de symbioticos. Estes são em pequeno numero, e, por emquanto, mal estudados. As relações dos fungos (sobretudo inferiores) e as cecidias de todas as qualidades são, portanto, variadissimas desde o saprophytismo até á sym- biose e quiçá ao mutualismo. D'estes fungos só puderam, até hoje, ser de- terminadas scientificamente umas 75 especies. O A. descreve duas novas — um Glocosporium cecidophilum, saprophyta das cecidias dos Neuroterus bac- carum e vesicator, e a Oospora necans, parasita do Pemphigus bursarius. Conclue o A. com o catalogo dos fungos gallicolas conhecidos. 323. TrorTER (Dr. A.). — Sulla struttura istologica di un micogeci- dio prosoplastico. Estr. dal Malpighia, vol. x1x, 1906. In 8.º, 10 pag., 4 fig. Nesta memoria, apresenta o A. a anatomia de uma mycocecidia alta- mente differenciada, e por isso mesmo parecida com as zoocecidias, o con- . trario do que costuma succeder, pois até agora não se conheciam senão 3 micocecidias 2rosoplasticas, i. e. de elementos cellulares muito differencia- dos. A especie de que o À. se occupa é Ustilago Grewiae (Pass.) Henn., que se desenvolve, na Abyssinia, na Grewia venusta Fres. J. S. Tavares. 2) — Systematica 324. AspÉ PrerrE. — Nouvelles cécidiologiques. Estr. de la Revue Scient. du Bourbonnais, 1901. In 8.º, 3 pag. O A, descreve uma cecidia nova de Salix cinerea L., que consiste num engrossamento dos ramos novos com uma só cavidade onde vivem as lar- vas vermelhas em sociedade, e cuja imago não foi obtida. Fala em seguida das cecidias de Gymmnetron netum (Germ., Gymnetron collinum (Gyll. e de duas coleopterocecidias da Arabis thaliana L., causadas pelo Ceuthorrhyncus gri- seus Ch. Bris. e C. atomus Boh. 325. AspÉ PrerRE. — Nonvelles Cécidologiques du Centre de la Fran- ce. Estr. dalla Marcellia, vol. 1, 1902. In 8.º, 3 pag. Nesta breve memoria descreve o A. a cecidia nova da Sibinia aurcola Ries. (Coleopt.) que se cria nas vagens de Medicago media Pers. e a defor- mação produzida em varias plantas por um coccideo não determinado | pelo A. BIBLIOGRAPHIA I51I 326. Assé PrerrE. — Déformation de Jasione montana L. par Phy- tomyza affinis Fall. Estr. dalla Marcellia, vol. 1, 1902. In 8.º, 2 pag. 327. Assé Prerre. — Nouvelles cécidologiques du centre de la Fran- ce (2.º série). Estr. dalla Marcellia, vol. 1v, 19058. 1 fasc. in 8.º, 30 pag. Avellino, 1905. E' este um trabalho que se lê e consulta com interesse, pelo acertado methodo e disposição de que o A. usa. Seguindo a ordem dos substratos, descreve varias cecidias novas (pelo menos a respeito das plantas em que se criam). Em cada especie, o A., depois de indicar o cecidozoide, descreve em italico a cecidia, aponta a epoca em que o insecto apparece, o habitat e tempo da colheita, e, por ultimo, faz as observações que julga convenien- tes para completo conhecimento da cecidia ou da biologia do insecto. Mas tudo isto muito ordenadamente e com um methodo que quasi se póde di- zer novo. : A idéa com que se fica depois de lido este trabalho é que o A. é um observador perspicaz e um cecidologista estimavel. Oxalá elle continue a enriquecer a cecidologia com trabalhos d'esta ordem e logre descobrir os cecidozoides que não encontrou em varias cecidias que descreve. 328. Cook (Mel. T.). — The Insect Galis of Indiana. From the 29th An. Report. of the Department of Geology and Natural Resources of Indiana. 1904, pp. 801-367. In 8.º, Indianopolis, 1905. Depois de algumas paginas sobre a morphologia das cecidias e biolo- gia dos cecidozoides, o A. enumera e descreve brevemente 25 hymeno- pterocecidias, 13 dipterocecidias, 15 hemipterocecidias, 1 lepidopteroceci- dia, e 12 eriophydeocecidias, todas do Estado da Indiana e já conhecidas de outras partes da America do Norte. Quasi todas as cecidias são repre- “sentadas em figuras, umas desenhadas, outras photographadas do natural e reproduzidas em photogravura. 329. Cook (Mel. T.). — Algunas Agallas de Cuba producidas por in- sectos. Tomado del Primer Informe Anual de la Estacion Central Agronó- mica de Cuba. In 8.º, 6 pag., 3 estampas. 1906. O A. descreve 10 especies de Eriophyes e 5 de Cecidomyias, fundando- se tão sómente nos caracteres morphologicos das cecidias, e sem descrever os cecidozoides, o gue evidentemente não basta para a formação de espe- cies autonomas. 3 estampas representam 8 cecidias novas. 330. Corri (Dr. A.). — Eriofidi nuovi o poco noti. Sonderabdruck aus dem Zoologischen Anzeiger. Bd. 28, nr. 23, 1905. 8 pag.; 2 fig. Descreve o A. duas especies: Eriophyes cynarae que, na Tunisia, se cria na face inferior das folhas da Cynara cardunculus, que ficam mais pe- quenas e com abundante pilosidade branca; e o Eriophyes pseudoplatani, auctor do Phyllerium pseudoplatani Schm. no Acer pseudoplatanus (Valtelli- 152 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA na, Italia). Alem d'isso, completa o A. a descripção do E. achilleae Corti que vive em cecidias das Ackillea nana e moschata. 331. Grupitra MaARIANI (Dott.). — Primo Contributo allo Studio della Cecidiologia Valdostana. Estr. dal Bol. della Soc. La Flore Valdótaine, n.º 4. Agosto, 1907. In 8.º 15 pag. A principal notabilidade d'este trabalho é ser feito por uma senhora, que se deu ao trabalho de recolher grande numero de cecidias nas imme- diações de Aosta. Nem é a primeira vez que em Italia as senhoras se occu- pam de taes explorações que fariam rir muita gente ignorante em Portu- gal. Enumera a A. 60 especies, duas das quaes novas para a Italia — Erio- Zhyes hippocastani Fock. e a Dryophanta agama Hart. Promette-nos ella “estudar em futuras explorações a cecidologia de toda a provincia. Esses resultados, podemos assegural-o á À., serão de certo recebidos com toda a benevolencia pelos cecidologistas italianos e estrangeiros. 332. Hovarp (Dr. C.). — Les Cécidies et les Cécidozoaires des Bruyê- res. Extr. des Comptes rendus de Assoc. Française pour [' Avancement des Sciences. Congrês de Cherbourg, 1905. In 8.º, 4 pag., 10 fig. O A., ao mesmo tempo que promette para trabalho ulterior estudo mais profundo, descreve brevemente as diversas especies de cecidias en- contradas até agora nas urzes (Erica), varias proprias de Portugal. A essas especies é preciso ajuntar outras já descriptas neste volume da Brotéria, e entre ellas a da Perrisia elegans Tav. 333. Hovarp (Dr. C.). — Glanures cécidologiques. Estr. dalla Marcel- lia, vol. v, 1906. 6 pag., 5 fig. Trata o A. de 5 cecidias, já conhecidas, umas europeias, outras exoticas. 334. KigrFER (]. J.). — Description de nouvelles Cécidomyes gallico- les d'Europe. Extrait du Bulletin de la Soc. dº Hist. Nat. de Metz. 13 pag. in 8.º Metz, 1904. Nesta breve memoria descreve o A. 6 especies novas: Perrisia Geisen- heyneri, cujas larvas vivem em sociedade nos botões floraes engrossados de Hippocrepis comosa, em Kreuznach; Fanetiella fallax, cuja cecidia con- siste em engrossamentos dos raminhos de Alyssum arenarium, em Kreuz- nach; Oligotrophus Leméei, cujas larvas habitam em pequeninas cecidias da nervura média de Ulmus campestris, observadas em França, Italia, Allema- nha e Austria; Mycodiplosis gymnosporangii, cujas larvas estão em sociedade numa mycocecidia de Funiperus sabina; Contarinia melanocera que produz cecidias pluriloculares nas hastes de Genista tinctoria, na Allemanha e França; Lestodiplosis (2) rhopalothrix nos botões floraes engrossados de Ku- mex acetosella, nos arredores de Bitche., BIBLIOGRAPHIA 153 335. KrgrreR (J. J.). — Description d'un Cynipide formant nn genre nouveau. Estr. de la Rev. Chilena de Fist. Nat. Valparaiso, 1904. Descreve o A. o Paraulax perplexus, cuja biologia se desconhece e que differe de todos os Cynipides conhecidos, pela fórma das antennas. 336. KrgrFER (J. J.). — Etude sur do nouveaux insectes et phytopti- des gallicoles du Bengale. Extr. des Anna/. de la Soc. Scient. de Bruxelles. 1 fasc. in 8.º de 58 pag., 1 pl. et 15 fig. Bruxelles, 1905. Este importante trabalho do abalisado Professor de Bitche compre- hende a descripção minuciosa de 5 generos novos -— Daphmnephila, Cecido- psylla, Ozotrioza, Neotriza, Anectadius, e varias especies egualmente novas para a sciencia. As que pertencem ás cecidomyias são: Daphnephila Haasi, Daphnephila glandifex, D. linderae (todas tres produzem cecidias em plan- tas da familia das Lauraceas), Rkhopalomyia Haasi, Lasioptera textor e Pero- myia bengalensis. Com respeito aos Psyllideos apresenta o A. a tabella dichotomica dos generos das Psyllinae, e descreve, em seguida, a Cecidopsylla schimae, cu- jas cecidias crescem na .Sckhima Vallichii D. C., a Pauropsylla ficicola e P. globuli que produzem cecidias nas folhas de uma figueira (Ficus Fookeri), Psylla cedrellae, Neotriza Machili, Ozotrioza styracearum e O. laurinearum. As especies novas de parasitas obtidos das cecidias das especies pre- cedentes são: Bracon daphnephilae, Br. cecidobius, Anectadius striolatus, A. bengalensis, Platigaster tibialis, Eurytoma sulcata, Eupelmus tenuicornis, E. carinatus e Hlyperteles longicauda. Uma estampa em que estão representadas algumas cecidias e os or- gãos reproductores das especies novas, realçam este trabalho, cujos mate- Tiaes foram fornecidos da India pelo R. P. HaassS. J. 337. Mayr (Dr. G.). — Eine neue Gallenerzengender Perilampiden- gattung aus Paraguay. Estr. dalla Marceliia, vol. 1v, 1905. Estabelece o A. o genero Monopleurothrix, vizinho de Trichilogaster e descreve o M. Kieferi, proveniente do Paraguay. 338. Massaronco (Dr. C.). — Contribnzione alia Conoscenza dei Zoo- cecidii del Nizzardo. In 3.º, 9 pag. Ferrara, 1906. O illustre A. descreve brevemente 17 cecidias, recolhidas pelo bota- nico Prof. A. Goiran, nos arredores de Nizza (Italia) sua patria. Entre as cecidias interessantes que menciona, citarei o Aulax Latreillei Kieff. encon- trado na Centaurea aspera L., substrato até agora só conhecido de Portu- gal e Hespanha ; e a Contarinia cocciferae Tav., que julgo não era ainda co- nhecida da Italia. 339. Nacepa (Dr. A.). — Neue Gallmilben (23. 24. 25. 26. Fortset- I54 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA zungen). Sonderabdruck aus dem akad. Anzeiger, Nr. 25 (1903), 13 (1904), 23 (1904), 7 (1905). Communicações em que o A. descreve as seguintes especies novas de acaros: Hriophyes Pampaninii, que se cria em deformações das flores de Weinmannia hirta Sw. (Antilhas), Z. Rechingeri, que produz virescencia nas flores de Cretis biennis L., Phyllocoptes oligostictus que vive em botões en- grossados da mesma planta, Eriophyes Morrisi que produz pequenissimas cecidias nos peciolos de Acacia sp. (em Montserrat, na India Occidental), E. bucidae que se cria em Erineum na pagina inferior das folhas de Bucida buceros L. (Barbados), Phyllocoptes azaleae que enrola as folhas de Azalea indica hybrida, e E. carlinae que causa uma pilosidade anormal na Carlina gummifera Less. 340. NaLepPA (Dr. A.). — Neue Galimilben (28. Fortsetzung). Sonderab- druck aus dem akad. Anzeiger, n.º 25, 1905. Descreve o A. dois Eriophydeos novos: Epitrimerus vitis que torna bruneas as folhas da videira (Lausannia) e Zriophyes striatus que vive nas folhas de Eupatorium odoratum (Barbados). 341. Nazera (Dr. A). — Beitrâge zur Systematik der Eriophyiden. Besonders Abgedruckt aus d. 77. Bd. d. Denkschriften d. Malt.-Nat. KI. d. k. Akad. d. Wiss. In 4.º, 13 S. 3 Taf. Wien, 1904. Magnifico trabalho em que o A. descreve minuciosamente 14 especies de Acaros, reproduzindo-lhes as figuras em 3 bellissimas estampas. Estas especies não são novas, mas haviam sido descriptas summariamente pouco antes pelo A., afóra 3 de Canestrini, cujas descripções completa e corrige. Com trabalhos magistraes como este facilita-se extraordinariamente o es- tudo de grupo tão difficil como o dos Eriophydeos. 342. NaLePA (Dr. A.). — Ueber das Praeparieren und Konservicren der Gallmilben. Estr. dalla Marcellia, vol. v, 1906. 343. NazePA (Prof. Dr. A.). — Vorlinfige Mitteilung úber Neue Gallbill- men (29. Fotssetzung). Sonderabdruck aus dem akad. Anzeiger, nr. vi, 1906. 1 pag. Descreve o distincto naturalista o Eriophyes bartschiae n. sp. que se cria nas folhas de Bartschia alpina L. | 344. NazepA (Prof. Dr. A.). — Bemerkungen zu H. T. Giissow's Arbeit «Eriopkyes - (Phytoplus -) Knospengallen und Hexenbesen der Birke.> Estr. dalla Marcellia, vol. v, 1906 3 pag. | 345. Nrgzasirrowskr (Dr. E. L.). — Materyaly do Zoocecidiologii Galicyi (Materiaes para a Cecidologia da Galicia). Extr. du Bull. de | Académie des Sc. de Cracovie. In 8.º, 16 pag. Cracovie, 1905. Breve descripção de 110 Zoocecidias, colhidas na Galicia e quasi todas | BIBLIOGRAPHIA ISS novas para essa região. As mais notaveis são a que produz o Anthonomus cinctus Koll. nos botões floraes da Zirus communis, que não chegam a des- abrochar (apparecimento em junho do 1.º anno); e o engrossamento cau- sado por uma Cecidomyia, naturalmente nova, na base dos raminhos de um anno de 2Zirus salicifolia Pall. Ambas estas cecidias eram desconhecidas e foram encontradas no Jardim Botanico de Cracovia. 346. RiBaca (Dr. Constantino). — Di una peculiare Alterazione delle foglie di Gelso dovuta ad un omottero. Estr. dal Media, vol. Iv, 1907. 7 pag. 1 tavola, Descreve o A. as modificações produzidas nas folhas da amoreira por um hemiptero homoptero — Flisteropterum grylloides Wabr., modificações que consistem principalmente em que o limbo se torna muito crespo junto da nervura média, de sorte que na pagina superior ha umas elevações, a que correspondem depressões na inferior. Esta cecidia foi descoberta na Italia e não era ainda conhecida, 347. Rússaamen (Ew. H.). — Pteromaliden. In 8.º, 7 S. 1 Taf. Ham- burg, 1902. O A. estabelece um novo genero e especie nova com um Pteromalideo notavel, descoberto na Terra do Fogo pelo Dr. Michaelsen. Nas folhas de Zagus antarctica produz cecidias redondas, muito parecidas com as dos cynipides. O A. representa a imago, a pupa e as cecidias numa estampa magnifica, como elle as sabe desenhar. 348. Rússaamen (Ew. H.). — Nachtrag zu den Zoocecidien von der Balkan-Halbinsel. Sonderdruck aus n.º 1, Bd. 7 der A//gemeinen Zeitschrift fiúr Entomologie. Neudamm, 1902. 3 pag. Neste breve apendice enumera o À. 27 cecidias. 349. Rússaamen (Ew. H.). — Ucber Zoocecidien den Canarischen In- seln und Madeira. Vorlâufige Mitteilung. Estr. dalla Marcellia, vol. 1, 1902. Na occasião em que o À. imprimiu esta breve memoria nada se conhe- cia sobre a cecidologia das Canarias e da Madeira. As 25 cecidias que o A. descreve foram colhidas e enviadas por Bornmiiller. Na Globularia sali- cina Lk. dos arredores do Funchal encontrou o À. duas eecidias, cujos au- ctores são duas especies novas de Coccideos, cujas descripções promette publicar mais tarde. Depois da publicação d'este trabalho, já foram publi- cadas, na Brotéria, duas contribuições para o conhecimento das zooceci- dias da Madeira. 350. Rússaamen (Ew. H.). —Beitrâge zur Kenntnis ânssereuropáischen Zoocecidien. I. Beitrag. Gallen vom Bismarck-Archipel. Estr. dalla Ma7- cellia, vol. Iv, 1905. 21 pag. As 30 cecidias descriptas neste trabalho foram colhidas, em 1896 e 1897, por Dahl e communicadas ao sr. Prof. Dr. Rúbsaamen pelo Museu de 156 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA Berlim. Como succede com a maior parte das cecidias que são enviadas para a Europa, estas vinham quasi todas vazias e assim o À. não encontrou nellas senão duas especies de cecidozoides — um Coccideo que foi deno- minado por Cockerell Crvptophyllaspis Riibsaameni, e um Psyllideo que ficou com o nome de Aphalara Dakhli. O primeiro desenvolve-se em peque- nas cavidades das folhas de Cerdera lactaria Hamilt., e o segundo em de- formações das folhas da Thespesia macrophyila Blume, semelhantes ás que produz a Trioza alacris nos Laurus. Alem d'isso, encontrou nas folhas de Plyllanthus philippensis Múll. Arg. um Aphideo não cecidogenico, com que formou um genero novo — .Schoutedenia, chamando a especie .Schoutedenia ralumensis. 351. Rúzpsaamen (Ew. H.). — Ueber Bildungsabweichungen bei Vitis vinifera L. und anf dieser Pflanze lebende Cecidomyiden. Sonderdruck aus der Zeitschr. fiúir wiss. Insencktenbiologie. Bd. m. In 8.º, 36 S., 41 fig. Usum, 1906. De ha tempos eram conhecidas, em França e na Allemanha, umas de- formações de configuração muito variada nas flores da videira, mas era desconhecida a cecidomvyia que as causava. Neste trabalho descreve o A. minuciosamente essa especie com o nome de Contarinia viticola. Alem d'es- ta, é conhecida, de ha muito, a Fanetiella oenophila Haimh., que é cecido- genica nas folhas da parra. Criam-se ainda na videira, não em cecidias, mas como mycophagas ou zoophagas, a Clinodiplosis vitis Lústn., Arthrocnodax vitis Rúbs., e tres especies que o À. descreve pela primeira vez — Clinodi- plosis acinorum, Lestodiplosis parricida e Micodiplosis plasmoparae. 352. De Srerani (T P.). — Nota su due Cecidii inediti. Estr. dalla Mar- cellia, vol. II, 1904. Nesta nota descreve o A. as cecidias novas e o insecto de duas espe- cies — Tephritis megacephala Meigen e Mecinus barbarus Gyll., a primeira das quaes se cria em engrossamentos mal visiveis de Zuula crithmoides, e a segundo em cecidias da Plantago serraria. 3 53. De Srerant (T. P.). — Nota biologica sull" Apion violaceum Kirby. Estr. dal Naturalista Siciliano, n.º 7, 1905. 354. De Srerant (T. P.). — Cecidii e substrati inediti per la Sicilia. Estr. dal Nat. Sicil., n.º 8, 1905. 355. De Srerant (T. P.). — Una nota su tre cecidii siciliani. Estr. dal Nat. Sicil., n.º 12, 1905. 356. De Srerant (T. P.). — Contributo all" Entomofauna dei cecidii. I e II Nota. Estr. dalla 1/arcellia, vol. Iv, 1905. Estas duas breves memorias representam uma somma notavel de tra- balho da parte do A. Apresenta elle a lista das commensaes, parasitas e io di cá E E O E Pe q a, BIBLIOGRAPHIA 157 locatarios de cecidias da Sicilia. Como se sabe, estas especies custam muito a determinar, mórmente as da familia Chalcididae, em razão do pequeno ta- manho, pela pobreza da bibliographia e por exigirem conhecimentos muito variados em differentes ramos da Entomologia. 357. De SreraNI (T. Perez). — À proposito della galla di Mangifera indica L., recentemente descritta. Osservazione. Estr. dalla Marcellia, vol. v. 2 pag. 1906. 358. De Srerani (T. P.). — Contributo alla Conoscenza degli Zo0ce- cidii della Colonia Eritrea. Estr. dalla Marcellia, vol. vr, 1907. In 8.º, 16 pag., 16 fig. O egregio A. descreve 26 cecidias que lhe foram ultimamente enviadas da colonia Eritrea, pelo dr. R. Senni, elevando por esta fórma a 55 o nu- mero de deformações cecidologicas conhecidas d'essa região. Se o A. não logrou receber nenhum cecidozoide, encontrou ao menos numa cecidia um Pteromalus albitarsis n. sp. e outro parasita de genero novo que dedicou ao dr. Senni, com o nome de Sexnia acaciae n. sp. Digno de elogio É 0 A. pelo cuidado com que estudou e representou em figuras a maior parte d'essas cecidias d'uma região tão pouco explorada. 359. DE SrEFaNI (T. P.). — Breve desecrizione dei Zoocecidii Siciliani sino ad oggi conosciuti. Estr. dal Naturalista Siciliano, an. xvrir, 1906. In 8.º gr., 45 pag. Palermo, 1906. O A. faz uma Synopse das Zoocecidias Sicilianas, cujo conhecimento sé lhe deve quasi exclusivamente a elle. Está disposta por ordem alphabe- tica dos substratos. Pena é que nas plantas que criam grande numero de cecidiás, como são as Quercus, o A. não usasse de claves dichotomicas, o que facilitaria muito a classificação das especies. 360. DE SrteranI (T. P.). — Miscelianea cecidologica. Estr. dalla Mar- cellia, vol. v, 1906. 4 pag. Descreve o A. o Cynips trinacriae n. sp., cujas cecidias na extremidade dos raminhos de Quercus pubescens Willd. são algo parecidas com as da Cynips polycera var. subterranea Gir. Apresenta em seguida a descripção da cecidia de Oecocecis guyonella Guenée, lepidoptero que era só conhecido da Árgelia, enumerando ainda outras cecidias da Sicilia. 361. De Srerani (T. P.) — Contributo all' Entomofauna dei cecidii. rr Nota. Estr. dalla Marcellia, vol. v, 1906, 4 pag. 362. Vaccari (F.). — Di un nuovo Entomocecidio che determina la sterelitá dei fiori pistilliferi della Canapa. Estr. dal Bul/. della Soc. bot. it. Marzo, 1905. In 8.º, 8 pag., 15 fig. bra Phorodon Cannabis Pass. ataca na Italia o canhamo, tornando estereis 158 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA as plantas femininas, que por isso não dão fructo. Essa esterilidade é de- vida aos engrossamentos produzidos pelo Aphideo no pistillo da flor, que tornam a fecundação impossivel. Essas modificações, que constituem verda- deira cecidia, foram observadas pela primeira vez pelo A., sendo muito notavel que passassem despercebidas a Passerini, que foi quem descre- veu o Aphideo, por elle encontrado no canhamo. J. S. Tavares. Entomologia I. Dipteros 363. Bezzi (Dr. Mario). — Ditteri Eritrei, raccolti dal Dott. Andreini e dal Prof. Tellini. Estr. dal Bull. Soc. Ent. Italiana. In 8.º, 110 p. Fi- renze, 1906. Com este trabalho prestou o A. um notavel serviço aos entomologis- tas, pois comprehendeu nelle não só os Dipteros Eritreos, como o titulo indica, mas ainda os de toda a Africa, que se elevam a 1733 especies, com a indicação das localidades de que foram mencionados. Mas estas indica- ções, com que tão bem mereceu da sciencia, devem-lhe ter custado ao A. uma somma de extraordinario trabalho. As especies da Colonia Eritrea, de que o A. trata de um modo parti- cular, foram colhidas por Andreinie Tellini nos annos de 1901-02. As especies novas descriptas são : Sciara speculum, Sc. trileucarthra, Sciophila Andreinii, Dilophus ery- thraeus, Trimicra annuliplena, Tipula dichroa, Odontomyia xanthopus, O. poecilopoda, O. impar, Oxycera abyssinica, Clitellaria argenteofasciata, Bom- bylius appendiculatus, Dischistus cylindricus, Exoprosopa Alula, E. erythraca, Thereva aecthiopica, Leptogaster bicingulata, Spanurus Tellinii, Sisyrnodytes ni- ger, Promachus argyropus, Lophonotus leucotaenia, L. nanus, Feligmoneura nuda, Ommatius macroscelis, Rhagoneurus aecthiopicus, Fercostomus melanole- pis, Chrysotus xanthoprasius, e Thinophilus setulipalpis. Trabalhos d'esta ordem honram os naturalistas que os fazem e o paiz que os viu nascer. 364. Pasoro (Dr. Guido). — Lasioptera Berlesiana Paoli n. sp. Estr. dal Redia, vol. Iv, 1906. 3 pag., 2 fig. Descreve o A. uma cecidomyia que julga nova e se cria na azeitona, onde produz um laivo bruneo, circular (diam. 2-3 mm.), em ligeira depressão. 365. De Srerani (T. P.) — À proposito de la mosca olearia (Dacus oleac Rossi). E canoni del Prof. Berlesi. Estr. dal Nazuralista Siciliano, an. x1x, n.º 8-9, 1907. In 8.º 3 pag. Combate o A. a idéa do Prof. Berlese, de que a mosca da oliveira, | mt co cabra à do hda ae ici co di a cd * og dada Ra no a ri ie fios Se a É + ey BIBLIOGRAPHIA IS9 introduzida na Europa com esta planta (provavelmente 600 annos a. Chr.), se não ha-de ainda considerar como insecto indigena, antes deve ser tido na conta de exotico. J. S. Tavares. II. Coleopteros 366. Ossr (Dr. P.). — Drei Neue Anthia-Arten. Extr. des 4un. de la Soc. Ent. de Belgique. Tom. so, 1906. 4 pag. Descreve o A. a Anthia csikii, de Kubub (Africa), a 4. gilosa, da mar- gem do Nyassa, e 4. Oberthiiri, da mesma localidade. 367. Ossr (Dr. P.). — Buprestiden von Deutsch Siidwest-Africa. Ex- trait des Axnales de la Soc. Ent. de Belgique, t. L, 1906. 7 pag. in 8.º O A. descreve tres Buprestidios novos que são: Fulodis bennigseni, 7. bicolor, J. vitticollis e a variedade Polycesta damarana var. macula. Foram recolhidos e mandados pelo proprio Governador da possessão allemã R. von Bennigsen. ! 368. Ossr (Dr. P.). — Die Buprestiden-Ausbeute ans Deutsch und Englisch Ost-Africa. Abdruck aus den Zoologischen Jahrbiichern, Zweiund- zwanzigster Band, Heft 4, 1905. 12 pag. in 8.º Dos materiaes recolhidos por O. Neumann em sua viagem pela Africa oriental em 1893 foram os Buprestidios estudados pelo A. Entre elles dá por novos Psiloptera sexnotata, Sphenoptera aliena, Psiloptera albo- vittata, Antaxia mnyassica e Acmaeodera angustata nova subspecies. 369. PrerrE (Abbé). — Sur levolution de Lixus iridis Oliv. et de Chalcidides parasites de 1'Oeuf, de la Larve et de "Imago. Extrait de la Revue Linnécenne, nn. 220, 221, 223, 224. Moulins, 1903. E' este um curioso estudo sobre ós instinctos do Lixus, que é bastante frequente em Portugal e mais curiosas são as observações feitas num ecto- parasita do mesmo insecto, o KRkopalicus brevicornis. São dignas de se le- rem e estudarem aquellas poucas paginas, não só pelas noticias que nos dão d'aquelle parasita, mas tambem para servirem de modelo neste genero de investigações. 370. SEABRA (A. F.). — Esboço monographico sobre os Scarabacideos em Portugal. Lisboa, 1907. 176 pag. in 8.º, com 7 estampas coloridas. E' uma publicação com tabellas dichotomicas para a distincção gene- rica e especifica. Tracta apenas ainda dos Coprinos; e porisso reservamos só para depois o dar noticia pormenorizada desta obra, a primeira no seu genero em Portugal. Apenas diremos agora que, quanto a gravuras, a acompanhar o texto, não conhecemos cousa egual. Oxalá que o incançavel A. a possa levar ao seu desejado termo. M. N. MARTINS. 160 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA II. Hemipteros 371. LamBERTIE (Maurice). — Note sur divers Hémiptêéres nonveaunx ou rares pour la Gironde. Extr. des Zrocês- Verbaux de la Soc. Linn. de Bordeaux, 1906. In 8.º 4 pag. 372. LamBeRTIE (M.). — Notules Hémiptérologiques. Ibid. 3 pag. 1906. 373. LamBeRTIE (M.). — Note sur I'Aphodius conjugatus Panz. Ibid. 1 pag. 1906. IV. Hymenopteros 374. Konow (Fr. W.). — Note sur une nouvelle espêce d'Hyménoptêre de la Famille des Tenthredinidés provenant de la Tunisie Septentrio- nale. Extr. du Bull. Soc. des Amis des Sc. Nat. de Rouen. Séance du 4 octo- bre, 1906. 2 pag. Rouen, 1906. Descreve o A. o Allantus Kervillei, caçado por Gadeau de Kerville. 375. MacRrerTTI (Dr. Paolo). — Materiali per la Conoscenza della Fau- na Eritrea. Insetti. Imenotteri — Parte I — Mutillidi. Estr. dal Bull. della Soc. Ent. Italiana. An. xxxvil, 1905. In 8.º, 96 pag., 14 fig. Em 1900 fez o A. uma viagem á Colonia Eritrea, em que juntou ri- quissimos materiaes de estudo. Entre elles abundam os Hymenopteros, es- pecialidade do A. Com esses materiaes e com os que recolheram noutras occasiões alguns seus amigos, emprehendeu o A. um estudo aprofundado, começando pelos Mutillidos, de que apresenta, logo a seguir ao prologo, a clave analytica das 43 especies, em latim, vindo depois a enumeração das mesmas especies com a descripção de 16 novas. Termina o trabalho por um quadro da distribuição geographica das especies enumeradas, e pela bibliographia. As especies novas são: j Odontomutilla Tellinii, Mutilla tricuspidocarinulata, Mutilla Vigonio- rum, M. sabargumae, M. thoraco-sulcata, M. samharica, M. hoplocephaloides, M. Martinii, M. adi-ugrina, M. Andreini, M. Bellii, M. nasicornis, M. Sen- nae, M. clypearis, M. atrocyanea, D. subconspicua, e Stenomutilla pseudoborõe. Com este trabalho e com os outros que o A. publicará em seguida en- riquecer-se-hão os conhecimentos sobre a fauna da Colonia Eritrea, co- nhecimentos que se vão alargando cada vez mais, mercê da actividade dos naturalistas italianos. J. S. Tavares. V. Lepidopteros 376. CHAPMAN (T. A.) — À few weeks” entomologising in Spain. Re- printed from the Zutomologist's Record, vol. x1v, n.º 3, 4, 5. 17 pag. in 8.º. Descreve o A. a viagem entomologica, mas principalmente lepidopte- . À 4 as o iii di ditos Alialho d o pb a da A a BIBLIOGRAPHIA 161 rica, que fez á Hespanha em companhia do Sr. Champion no verão de 1901. Com destino à Serra de Albarracin, onde era o centro da sua excur- são, fez de caminho boas caçadas em Cuenca e Tragacete. Termina com uma longa lista das especies encontradas, não faltando a Ercbia zapateri e Satyrus prieuri, proprias da Serra de Albarracin, onde as descobrira o Rev. Zapater. 377. CHapMaN (T. A.). — Contributions to the Fauna of Spain: Be- jar, Avila, etc. Reprinted from the Zuntomologist's Record, vol. xv, n.º 1, 2, 3. 1903. 8 pag. in 8.º. Satisfeito da excursão de 1901 fez o A. outra em 1902 a Hespanha, desta vez a Bejar, nos confins de Castella e Extremadura. Expõe o resul- tado das suas colheitas neste centro, bem como o de excursões parciaes a Avila, Burgos, San Juan de Luz e Piedrahita. 378. CHAPMAN (T. A.). — Notes (chiefly on lepidoptera) of a trip to the Sierra de la Demanda and Moncayo (Burgos and Soria) Spain. Re- printed from the Zutomologist's Record, vol. xvr, n.º 4-6. 14 pag. in 8.º. Encantado de Hespanha, como região entomologica, voltou o A. 3.º vez no verão de 1903 com o mesmo companheiro, e pela lista final vê-se que foi abundante a colheita, principalmente em Moncayo e Canales. Um mappa da região percorrida e tres photogravuras de Moncayo, Canales de la Sierra e Soria pôem deante dos olhos o habitat das especies citadas. 379. CHampiON (G. C.) e CHapMaN (T. A.). — Another entomological excursion to Spain, with descriptions of twe new species of Hemiptera by Prof. O. M. Reuter. From the 7ransactions of the entomological Society “of London, May 20 th, 1905. 18 pag. in 8.º e 1 est. A excursão de 1904 foi dirigida a Puerto de Pajares e La Granja (San Ildefonso). Enumeram-se nesta memoria os Lepidopteros, Hemipteros, He- teropteros e Coleopteros encontrados. Termina com a descripção de dois Hemipteros novos Taphropeltus championi n. sp. de La Granja (Sierra de Guadarrama) e Pachytomella cursitans n. sp. de Puerto de Pajares (Montes Cantabricos). “380. CHAPMAN (T. A.). — On Erebia palarica, n. sp., and Erehia Sty- gnes chiefly in regard to its association with E. evias, in Spain. From the Transactions of the Entomological Society of London, May 20 th, r9os. 27 pag. in 8.º, Estudo comparado destas tres Zrebias e das suas variedades, todas re- presentadas em tres estampas, duas das quaes a cores. Um mappa mostra a distribuição dellas pela Hespanha. 381. CHAPMAN (T. A.). — A new Phalacropterygid species and genus from Spain — Pyropsyche moncaunella. Reprinted from the Zxtomologis!'s Record, Vol. x1v, xv, N.º 12, 3. 7 pag. in 8.º 162 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA Numa bella estampa representa o A. lagartas com suas bainhas, chry- salidas e a imago, a cores, e as nervuras da nova especie com que forma um novo genero. No texto descreve por miudo todos os estados do insecto que apanhara em Moncayo. 382. CHAPMAN (T. A.). — Some Remarks on Heterogyna penella, Se- parata das Zrans. Ent. Soc. Lôndon, 1898. Part nm. 10 pag. in 8.º. 383. CHapman (T. A.) — On Heterogynis paradoxa, Rmbr., an ins- tance of variation by segregation. Separata das 7zans. Ent. Soc. Lond., 1902. Part Iv. 12 pag. in 8º e 1 est. 384. CHapMaN (T. A.). — Notes on Heterogynis canalensis, n. sp. Se- parata das Z7ans. Ent. Soc. Lond., 1904. Part 1,9 pag. in 8.º. com 4 estam- pas. 385. Cmapman (T. A.) — On the matrivorous habit of the species of Heterogynis, Rmbr. Separata das 7rans. Ent. Soc. Lond., 1905. Parti. 8 pag. in 8.º. Quatro artigos do laborioso A. sobre especies do gen. Heterogynis. No segundo descreve tres variedades de HH. paradoxa trazidas de Hespanha (Bejar, Candelario e Piedrahita), ás quaes deu respectivamente os nomes de Bejarensis, Candelariae, Piedrahitae. No terceiro descreve uma nova es- pecie de Canales de la Sierra comparando-a cuidadosamente com as espe- cies mais vizinhas. - 386. CHapman (T. A.). — Notes on the habits and life-history of Or- gyia splendida. Reprinted from the Zutomologist's Record, vol. x1v, n.º 2. 5 pag. in 8.º com 1 est. 387. CHapMaN (T. A.). — On Orgyia aurolimbata, Gn., at Bejar. Re- printed from The Entomologist's Record, vol. xv, n.º 5,6 pag. in 8.º com duas estampas. 388. CHapman (T. A.). — The European Orgyias: Their Specialisation in Habits and Structure. Reprinted from The Entomologist's Record, vol. Xv, n.º' 7, 8. 9 pag. in 8.º com duas estampas. De Hespanha é tambem a Orgyia dubia var. splendida que o A. caçou numa das suas excursões em Cuenca, Tragacete e Albarracin. De Hespa- nha outrosim é a O. aurolimbata, caçada em Bejar na excursão de 1902. As estampas são todas anatomicas. 389. CHapMaAN (T. A.) — On the Pupal suspension of Thais. Separata das Trans. Ent. Soc. Lond., 1905. Part 11, 16 pag. in 8.º com uma estampa. 390. CHapman (T. A.). — On Crinopteryx familiella, De Peyerimhoff. BIBLIOGRAPHIA 163 Reprinted from The Entomologist's Monthly Magazine, Second Series, vol. XIII, to pag. in 8.º com uma estampa. 391. Cmapman (T. A.) — Some observations on Hastula Hycrana, Mill. Separata de Znt. Mo. Mag., 1905, Maio. 16 pag. in 8.º com seis estam- pas. Estudo minucioso desta especie que se cria em Hyêres (França), no Asphodelus microcarpus. Uma das estampas representa as variações da es- pecie em numerosas figuras a cores. 392. CHAPMAN (T. A.). — Progressive Melanism on the Riviera (Hyt- res), being further notes on Hastula hyerana, Mill. From the Zraznsa- ctions of the Entomological Society of London, Spt. 22nd, 1906. 14 pag. in Ber est. Outra estampa colorida representa com muita perfeição as var. e ab. desta especie estudada no texto. 393. CHAPMAN (T. A.) — The Genus Acronycta and its allies. London, 1893. O conteúdo de todo o livrinho de 116 pag. expõem-no bem as poucas palavras, que se seguem ao titulo: «Estudo dos primeiros estadios das es- pecies inglezas em relação ás affinidades das especies entre si e com outros grupos». Nove estampas representando ovos, lagartas e pupas completam o estudo. 394. GiaNELLI (Giacinto). — La «Polychrosis botrana» Schiffermuller nella Valle d'Aosta. Estr. dagli Aznali della R. Accademia d' Agric. di Tori- no, vol. xLvi. Torino, 1904. 20 pag. in 8.º. Quem dissera que numa formosa borboletinha, com 12 mm. apenas de envergadura, se occulta um insecto tão damninho, que só um casal basta para destruir 40 kg. de uva na primavera, quando os cachos estão em flor ? Bem empregados são pois os estudos do Sr. G. Gianelli para debellar este inimigo da vinha. Eram grandes os estragos que ia causando em Don- naz, no Valle d'Aosta, onde antes era desconhecida, quando o A. a foi lá estudar. Tres gerações tem o insecto, em todas tres nocivo ás uvas. À pri- meira na primavera devora as flores, a segunda em julho come os bagos ainda verdes, a terceira em setembro sustenta-se já dos maduros. Para o fim de setembro deixam os cachos, escondem-se nas cepas e nas estacas, onde, chrysalidas, aguardam a primavera seguinte para recomeçar a mesma devastação. As perdas são causadas pela lagarta que não passa de 10 ou 12 mm., mas o ataque pode-se dirigir com proveito contra o insecto em qual- quer dos seus estados: ovo, lagarta, chrysalida, borboleta. Meio efficaz de atalhar de todo o flagello não ha; mas pode-se diminuir caçando de noite com lampadas proprias as borboletas, principalmente no principio de julho e meado de agosto; attraíndo as lagartas a abrigos diversos das cepas; 164 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA quando no outomno deixam os cachos, e matando-as depois nesses abri- gos; recolhendo os restos de insectos parasitados em caixas de rede aper- tada e espalhando-os depois pelos sitios mais infestados, para que esses parasitas vão destruir as novas lagartas; borrifando logo depois da vindima, com agua a ferver, os muros, estacas e mais abrigos a que se tiverem acolhido as lagartas. Emfim valerá até a pena sacrificar na primavera todos os cachos atacados, para impedir ao insecto outras gerações. Descreve mais o A. a Oenophthira pilleriana Schiff. e a Conchylis ambi- guella Hb. outras duas pragas da vinha, ainda que não tão nocivas como a botrana. A pilleriana prefere a parra aos cachos e porisso o prejuizo não é tamanho. Mas ha annos em que se propaga tanto, que nalgumas terras de França e da Allemanha instituiram procissões contra o flagello. E' conhe- cida pelo nome de Pyrale da virha. No estado de borboleta é inteiramente innocua, pois não toma alimento algum, nem póde, por causa do atrophia- mento da tromba. Morre pouco depois de pôr os ovos, o que póde succe- der logo nos primeiros dias de borboleta. 395. SpuLER (Prof. Dr. Arnold). — Die Raupen der Schmetterlinge Ea- ropas. Stuttgart. 60 est. in 4.º A's so estampas da primeira edição de Hoffmann ajuntou agora o A. mais to comprehendendo assim na obra mais de 2000 figuras. E' este o terceiro volume da” grande obra que o A. está editando em nova edição, com o texto inteiramente refundido e sob o titulo de «Die Schmetterlinge Europas». O texto vem todo nos dois primeiros volumes onde se descreve cada especie, neste só vêem as estampas das lagartas com a sua explica- ção. As figuras são todas a cores, executadas com grande perfeição. Repre- sentam na maior parte a lagarta sobre a planta de que se alimenta, e na est. L ovos de muitas especies. 396. STEFANELLI (Pietro). — Appunti sulla Yanessa egea Cr. Estr. dai Resoconti delle Adunanze della Soc. Entomol. Jtal., marzo 1895. Firenze, 4 pag. in 8.º 397. STEFANELLI (Pietro). — Nuove Osservazioni sulla Rhodocera (Go- nepteryx) Cleopatra L. var. italica Gerh. Estr. dal Bullett. della Soc. En- tom. Ital. xxxv, 1903. Firenze, 7 pag. in 8.º. Destas observações conclúe o A. que a var. italica é provavelmente só dos dá, que na geração estival não substitue o typo na Italia, mas se en- contra misturada com elle. Por fim a area desta variedade é mais extensa do que o parece indicar o nome, pois o A. viu-a de Portugal (Porto), de Marrocos, Tunisia e Marselha. 398. SreraNELLI (Pietro). — Nota sopra alcuni lepidotteri nuovi per VItalia o per la Toscana. Estr. dal Bullett. della Soc. Entom. ltal. xxxvi, 1904. Firenze, 2 pag. in 8.º, BIBLIOGRAPHIA 165 " 399. SreraNELLI (Pietro). — Nuovo Catalogo illustrativo dei Lepidot- teri Ropaloceri della Toscaná. Estr. dal Bullett. della Soc. Entom. ltal. XXXII, 1900. Firenze, 1901, 103 pag. in 8.º. O presente catalogo é o fructo de quem apaixonadamente estudou du- rante a sua longa vida a fauna lepidopterica do seu bello paiz, a formosa Toscana. Já em 1869 o A. tinha publicado um catalogo homonymo. Sae agora de novo muito augmentado, apresentando 135 especies de lepidopte- ros diurnos da Toscana, e principalmente enriquecido com numerosas cbservações pessoaes, que dão a este catalogo um interesse especial. E verdadeiramente um catalogo modelo, saido de mão de mestre que discute o valor das especies e variedades que cita e contribúe com observações biologicas, systematicas e historicas para o completo conhecimento das es- pecies enumeradas. Mas catalogos destes só os póde fazer quem permane- ceu longos annos no estudo aturado duma região. Oxalá que o A. tenha ainda vida e forças para completar o seu trabalho com as figuras das fór- mas novas ou menos conhecidas, como faz esperar no prefacio. 400. Turari (Conte Comm. Emilio). — Alceune Nuove Forme di Lepi- dotteri. Estr. dal Naturalista Siciliano, Anno xvrrr, n.º 2-3, 1905. Palermo. Con 9 tavole. Descreve o A. quatro especies novas: Augiades Faunus dos Pyrineus, Parascotia Nisseni da Argelia, Acidalia tabianaria da Prov. de Parma, Aci- dalia Gianellaria de Donnaz, e torna a descripção mais viva pondo deante dos olhos as fórmas descriptas em numerosas phototypias. Descreve tam- bem muitas var. e ab. de outras especies, sempre com figuras á vista, entre as quaes sobresáem as estampas que representam a nova var. Augusta de Aporia Crataegi L. as var. tambem novas Matutia, Kreugeri, Trinacriae de Euchloê Belia Cr. e a var. Perlinii de Melitaea Aetherie Hb. Téem tambem seu interesse as fórmas gynandras de Melitaea didyma O. e de Argynnis Pa- phia L.; esta ultima é mais notavel por apresentar o q typico nas azas es- querdas e a ab. 9 Valesina nas direitas. C. MENDES. VI. Nevropteros 401. Pujiwia (R. P. Jaime J.). — Los termitos de los alrededores de Tortosa. Separata do Boletín de la Sociedad Aragonesa de Ciencias naturales. Tom. rm, 1904. Propõe-se o A. dar uma ideia geral das termitas, guardando para occa- sião mais opportuna uma memoria mais extensa em que se descrevam os caracteres morphologicos que servem de base para a classificação dos ge- neros e especies. Começa pelos caracteres geraes das Termitas, e, a meu ver, de tal for- ma caraterisa todas as partes principaes dos insectos, que, depois de lido 166 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA este trabalho, poderia qualquer conhecer uma termita por mais profano que fosse na materia. Passa depois a enumerar os caracteres dos quatro individuos que for- mam as colonias das termitas, e tambem com grande exactidão. Inclue, como faz Claus, esta familia na ordem dos Orthopteros, chamando-lhes Ortho- ptero-pseudonevropteros. Falla depois o A. das duas especies Calotermes Jlavicollis Fabr. e Termes lucifugus Ross. unicas termitas encontradas na re- gião de Tortosa, descrevendo tambem os caracteres de cada uma; e é de opinião que os individuos apteros carecem inteiramente de olhos ou de quaesquer outros orgãos visuaes, não admittindo como o Sr. Vilanova na obra «La Creacion» que a larva obreira do C. fiavicollis tenha olhos, ainda que pouco visiveis, nem tambem como o Sr. Silvestri(r) que os soldados dos Calotermes estejam guarnecidos de olhos pequenos. Acerca do modo como se transportam de um ponto para outro afim de se propagarem e fundarem novas colonias, pergunta se o transporte se faz por baixo da terra, pela superficie, ou pelo ar. E responde admittindo os tres modos de propagação para a formação das novas colonias, demo- rando-se porem de um modo especial a descrever a passagem através das diversas camadas de terra, facto este comprovado pelo A. numa serie de experiencias muito interessantes feitas para o mesmo fim. Passa logo a descrever os costumes das quatro classes de individuos que formam as sociedades. Os soldados lá estão de guarda junto da porta do ninho, para defender a colonia dos inimigos ; as obreiras sempre afano- sas correndo com todo o trabalho da colonia, e attendendo sobretudo á crea- ção das nymphas; finalmente o zei e a rainha são destinados à propagação da especie. Trata depois dos reis e rainhas de substituição, nymphas ordi- narias que as obreiras transformaram em individuos fecundos, afim de sub- stituirem o zei e a rainha, que por qualquer accidente faltaram na colonia. Quanto aos ninhos, são sempre na madeira, podendo o do Zermes lucifugus encontrar-se tambem na terra. Aqui faz o A. uma linda descripção do ninho de C. flavicollis cujas galerias correm sempre parallelas ao tronco desde a raiz até ás extremidades dos ramos, continuando depois com as galerias do T. lucifugus nas madeiras velhas, descrevendo tudo isto não como quem o aprendeu nos livros, mas como quem fez experiencias proprias. D'aqui passa a alimentação das termitas, demonstrando com experien- cias que o C. flavicollis se alimenta unica e exclusivamente da propria ma- deira onde construe os ninhos, ao passo que o 7. lucifugus se pode alimen- tar tambem de larvas, de insectos e de outras muitas substancias organicas. Depois descreve o curioso modo de communicação de umas com as outras, estando o A. pelo parecer de Silvestri, isto é, que os Calotermi- tas se communicam por meio de um som produzido por um movimento (1) Ergebnisse biologischer an siidamerikanischen Termiten von Dr. F. Silvestri. — Sonderdruk aus n.º 9, Bd. 7 ff. (1902) der Allgemeinen Zeitschrift fúr Entomologie. » o BIBLIOGRAPHIA 167 rapido ou sacudidela de todo o corpo de deante para traz; e que as Zer- mitas, alem deste, usam tambem de outro modo de communicação, que consiste no friccionamento da borda posterior da enorme cabeça com a borda anterior do Zronoto. Finalmente tracta dos perigos e damnos que causam ou podem causar as termitas e juntamente dos meios para as combater, meios que desgra- çadamente são poucos e faltos de efficacia. A, SILVANO. VII. Miscellanea - 402. Lemér (E.). — Les Ennemis des Plantes. 3.º Série. — Plantes Potagêres. In 8.º, 51 pag. Alençon, 1907. As duas primeiras partes d'este trabalho, de muita utilidade para o agricultor, foi analysada noutra parte d'esta Revista. A presente memoria enumera grande numero de parasitas animaes e vegetaes, nocivos ás hortaliças, indicando ao mesmo tempo o meio de os destruir. Ao principio occupa-se o A. dos insectos e outros animalculos que vivem das differentes hortaliças; em seguida enumera, em cada uma d'estas, os parasitas especiaes que as accomettem. J. S. Tavares. 403. De SreranI-PEREZ (T.). — Noterelle sparse de Entomologia. Estr. dal Nuturalista Siciliano, n.º 6, 1904. 5 pag. in 8.º gr. Estas notas versam sobre uma curiosa caça do .Sceliphron distillatorius var. gensilis, sobre a domesticidade dalguns hymenopteros parasitas, sobre a posição de repouso de Aspicera scutellata D. T. Descreve uma os estragos que as lagartas da Mecyna polygonalis Hb. (Lepid.) causaram nas giestas — Spartium junceum L. — do novo bosque de Monte Pellegrino. Trata a ultima da acção mortifera que o vento forte do poente exerce sobre a mosca do- mestica. O facto foi observado na Sicilia, nos ultimos dias de agosto. 404. SiLvesTRI (F.). — Contribuzioni alla conoscenza degli insetti dannosi allolivo e di quelli che con essi hanno rapporti. Estr. dal Bol- lettino del Laboratorio di Zoologia generale e agraria, vol. 11. Portici, 1907. 82 pag. in 8.º gr. Em 1905 fora o Sr. Silvestri encarregado pelo Ministerio da Agri- cultura de estudar o modo de combater a mosca das azeitonas na Italia me- ridional. Com este fim fundou um laboratorio em S. Vito dei Normanni (Prov. de Lecce), que depois transferiu para Catanzaro, e confiou-o ao cui- dado do Dr. João Martelli, emquanto elle em Portici continuava o mes- mo estudo com outros collegas. Ao Dr. Gustavo Leonardi encarregou ' do estudo das Cochonilhas da oliveira pertencentes á subfamilia Diaspinac; ao Dr. Luiz Masi da determinação dos Hymenopteros Chalcididos para- sitas dos insectos nocivos, juntamente com o estudo dos insectos gallicolas. 168 BROTÉRIA : SERIE ZOOLOGICA o Neste folheto apresentam-se os estudos pessoaes de cada membro desta commissão, a saber: I — Notas dictologicas sobre a mosca das azeitonas pelo Dr. J. Martelli; II — Gerações da mosca das azeitonas pelo Prof. F. Silvestri; III — Sobre os Hymenopteros parasitas ectophagos da mosca das azeitonas até agora observados na Italia Meridional e sobre a sua im- portancia em combater a dicta mosca, pelo Prof. F. Silvestri em collabo- ração com os Drs. J. Martelli e L. Masi. C. MENDES. Vertebrados " 405. BETHENÇOURT FERREIRA (J.). — Especies novas ou pouco conheci- das de Epi e reptis de Angola. Jornal de Sciencias Math. am e Nat., 0.º xxvil, p. 159, abril 1906. Incançavel continúa o distincto Clinico lisbonense ; a repartir tambem uma parte do seu tempo no estudo da Herpetologia das nossas Colonias. Nesta nova contribuição vêem descriptas 5 especies e duas variedades que são Rana bivittata, R. Osorioi, R. Seabrai, R. fasciata, Arthroleptis Carquejai e Rana Bocagei var. maculta e R. platyceps var. angolensis. Uma formosa estampa acompanha o presente trabalho. Foi fructuoso, pois, o estudo a que o nome do A. fica para sempre ligado. 406. De Srerani-PerEZ (T.). — Note su Alcuni Batraci della Sicilia. Estr. dal Naturalista Siciliano, n. 11, An. XvII, 1905. 5 pag. in 8.º gr. . Referem-se as notas a tres das sete especies de batracios sicilianos. Deram assumpto para ellas as observações que o A. fez sobre algumas va- riedades de Hyla arborea e sobre os gyrinos de Discoglossus pictus e Bufo vulgaris. 407. Osorio (Balthasar). — Description d'un poisson appartenant à un nouveau genre et trouvé sur les côtes du Portugal. 7o7nal de Sijenias Math. Phys, e Nat. p. 172, n. xxvrr, abril 1906. Com gosto especial annunciamos as novidades scientificas descobertas por naturalistas portugueses, infelizmente raras. A do Lophocephalus antrax feita pelo Snr. Balthasar Osorio é bem curiosa e forma um genero novo affim do Melamphaêis Lowe, do qual se distingue pelo operculo e preoper- culo ornados de espinhos. Foi encontrado pelo Snr. L. do Nascimento em uma das regiões entomologicamente mais ricas da Europa, a de Setubal. 408. ScHmirz (P. Ernesto). — Besuch einer Brutstátte des Teufels- sturmvogels Oestrelata feae Salv. Separat-Abdruck aus Ornithol. Jarhb. xvir, 1906. Heft 5, 6. 6 pag. in 8.º E” a descripção de um passeio a um dos pontos mais elevados da Ma- deira, onde longe dos homens nidifica uma das mais curiosas aves daquella ilha; e um estudo dos seus ninhos, sobretudo, com noticias que apreciam principalmente os extrangeiros. BIBLIOGRAPHIA 169 409. Scumirz (P. Ernesto). — On the birds of Madeira. From the Zro- ceedings of the 1Vth International Ornithological Congress, 1905. Ninguem podia ser mais bem escolhido pela Junta Geral do Districto do Funchal, como Delegado, ao sobredito Congresso ornithologico que o R. P. Ernesto Schmitz. E' o melhor conhecedor da interessante orni- thologia Madeirense como o é de outros ramos da Sciencia local. O A. nota a riqueza da Madeira, de que até agora se conhecem 185 es- pecies,ao passo que nos Açores e Canarias que téem uma superficie 5 vezes maior existem apenas respectivamente 120 e 170 especies; refere-se de passagem ás especiaes áquella ilha e sua nidificação curiosa, passando de- pois uma vista d'olhos á fauna atlantica ou dos tres archipelagos acima no- meados, e rematando finalmente com a emigração ou relações que têem as aves entre a ilha e o continente a 400 milhas de distancia. À conclusão é que a Madeira, mesmo ornithologicamente fallando, é a perola do Oceano. M. N. MARTINS. =—— ESSE ICS = Description de nouveaux Belitides de la Faune paléarctique, RAR REP ROLE RS a selema ss oca cada aa a Neurópteros de Espafia y Portugal, por Longinos Navás. Une fourmi terrible envahissant "Europe, por M. N. Mar- Contribution à la Connaissance des Cécidies du Kent, par Enstimmermant, FORM Su... E e Primeiro Appendice á Synopse das Zoocecidias Portugue- RR a RES ao 0 sem ans Necrologie — Barbosa du Bocage.................. DERIRRERENASR seaaR o seis e ee viss o e rnin Dotada Fig. Fig. Fig. : Fig. Fig. “+. Fig. Fig. LÁMINA | 1 — Alas de Oligoneuria rhenana Pict. 2 — Ala anterior de Ephemera vulgata 1. 3 — Ephemerella ignita Poda. — a. Ala anterior. — b. Ala posterior. 4 — Copulador de Eedyurus venosus Fabr. s — Copulador de Rhithrogena ferruginea Nav. 6 — Betis binoculatus L. — a. Ala anterior. — b. Ala pos- terior. 7 — Centroptilum luteolum Mill. — a. Ala anterior. — b. Ala posterior. Venas (los números son comunes en todas las figuras): 1. Costal. Fig. Fig. — 2. Subcostal. — 3. Radio. — 4, 4', 5. Procúbito. — 6, 6!. Cúbito. — 7. Postcubital. — 8. Divisoria ó Mar- ginal. — 9. Axilar, 1.º y 2.º 8 — Ala anterior de Nemura variegata Oliv. — c. Vena costal. — sc. Vena subcostal. — r. Vena radial. — s. r. Sector del radio. — pc. Vena procubital. — cu. Vena cubital. — r. s. r. Ramo superior del radio. — r. i. r. Ramo inferior del radio. — r. s. p. Ramo superior del procúbito. — r. i. p. Su ramo inferior. — r. c. Ramo del cúbito. — v. c. Venillas costales. — v. r. Venillas radiales. — v. cu. Venillas cubitales. — v. sc. Venillas subcubitales. — X. Venillas en forma de X 6 7. — I, 2, 3, 4, 5, 6. Células apicales. — v. b. Venilla basi- lar de la tercera celdilla apical. 9 — Alas de Taeniopteryx Braueri Klap. Iguales letras. — d. Vena divisoria. — a. Venas axilares. Fig. 10 — Cabeza de la larva de Myrmeleon inconspicuus Rb. Fig. II — Extremo de la antena de Creagris plumbeus Oliv. E: ea é Mis , a MERAS » do di Ea q v Er , > RPE O EE DES ERES Ba + , E. p wo? a + 774 a dE nie Le”, “as + E FE A dé. PANA + - tao AA a o MÉ o Sd * +” SA, , : Mi A RD | AUIMÃS soil smagagda sirusnogilO sb aslA. — 1 gid | giggluv stomsdga sb voinstos sh — c. al x. 2% sl£. d — oinsdns slA. 5 — sbol siimgi alloromodgã — E. E aonsjzoq “Mm | ads aueonsv avtuyboa sb 1obslugo) — 28 R 5; aoirot d— oinsins siA 5 — Hull mulosdul mulitgorinso — va aoinsdeog sIA. F A Ef Js320) .1 eia asi asbo3 na z9mumoo noz go19min 2ol) 289) E — osidooo1T .2 “pp — .oibsà .g — Istzaooduê .s — «158 à sivoaivi(l .8 — po .otido) *O O ia cyêtaslizÃ.o— lsnig BR snsV o — vilO ddagomav siumsM sb voirsins AB. 1 à 2 — Jsibs sn9V 1 — Istzoodua enoV 22 — Isdooo snsV vo — Istidusorq snsV oq — .oibsr lab 103o9€ 1 414-— oibsr Isb toinsque omsà à 2 1— Ístiduo lab 1oirsquz omsà .q 2 à — .oibsr Isb toinsini omsà omsi . 1-— donsini oms1 VC .q À .1— .olidddong | asllinsV à .v — 29lsl2002 esllino'V .2 w — .oliddo lab. 26llins / .92 .y — .eslgiiduo esllins V «ua .v — .2slsibsa — x O X 9b smol no asllinsV .X — eslsiiduodue -iasd sllinoV .d.v — 2slsoigs aslub) O à pe sd. Asoiqs slliblso s159193 sl 9b a81 — «esta! eslsugl .qslA ingusiã xyasigoiasT sb. par asmelixs 28097 5 — .sinoeivib snsV bo EE A dA enuoiganooni mosismayM sb syisl sl ob E vHO ansdemula airgest) ab a: ad ab « oms BROTÉRIA, SERIE ZOOLOGICA, VOL. VI, 190 LÁMINA | Cu dt cad ” “ Ego O 4 MO TO muies PAES 4 Po A! A Es A.8 via ido o é o RE CARS a E eb CH AQMAT23. - , “ pe es f rm mu e peido 2 a q RR RA 9h Sie) E art Eu Ed 200X 28b segonve 11) NA en esibipsdosby dgoiri Euir A A “ apbsemolob sionssagmoRal O! a Bisladagei? oh, siongsesmoRinT EE Nº OE qi : | BilybnodgA sb Bibios) — 2 . a 33 Er Re E — +omaid, sgrlinom 4 gilybnongzh ab sib Edi s8intooilsa Bitaiblsf sb esibios) a bestido or seca o “a SEA meotil, sisrtos “es Je aa 1304 ,000X 25b dagonve E) Leva! É. Eae “HÃO ESTAS to, ob ommos on sibiossordqil or ego BoA “enovlov. | é ob asibioso coyF — 11 * emibioso esbo a at Çê Re BRA uereo : sds aa ç1 ne am aa 2 [bi ESQUI “eunssonuah sb Bibi) — O! ia + a O dido 4 ESPE asllonune feira RM ob esibios) = QI 81441 DO ps sas 3 tresgius gás tina ah sions22510finl — or n Sm “silybnorigaa ab Ea A 18 E api) E: PSA E ce Frans sb ea e -gà VA Fem EO! Ani bri. -—-Oc | add AA VS mg o ECA ab: siana929m0Rn] e Ô 3 gl 9] ar coro or Bia QUI "ai BIA gu] EST! nes D ZEN onlgerrmas ESTAMPA II Fig. 1 — Cecidia de Contarinia n. sp., no Lamium maculatum L. Cfr. Synopse das Zooc. Port., p. 32. Fig. 2, 3 — Eriophydeocecidia, na Picris longifolia Bss. et Reut. Inflorescencia deformada. Fig. 4 — Inflorescencia de Scrophularia scorodonia L.. deformada pela Macrolabis scrophulariae Tav. Fig. 5 — Cecidia da Asphondylia 'menthae Pierre). Fig. 6 — Inflorescencia de Mentha rotundifolia 1.., com uma ceci- dia de Asphondylia (menthae Pierre. Fig. 7, 8, 9 — Cecidias da Baldratia salicorniae Kieff., na Sali- cornia fruticosa L. Na fig. 9 vê-se o córte da camara larval. Cfr. Synopse das Zooc. Port., p. gl. Fig. 10 — Dipterocecidia no gommo de Szlene longicilia Otth. Fig. 11 — Tres cecidias de Macrodiplosis volvens Kieff., no limbo de Quercus pedunculata Ehrh. Uma das cecidias está um pouco separada do limbo, artificialmente. Fig. 12 — Cecidia de [Macrodiplosis dryobia Fr. Lów], na folha de Q. pedunculata Ehrh. Fig. 13 — Cecidia de Neuroterus vesicator Schl., na folha de Q. pe- dunculata Ehrh. Cfr. Synopse, p. 74, n.º 39. Fig. 14, 15 — Dipterocecidia nas folhas de Q. pedunculata Ehrh. Fig. 16 — Cecidia de Neuroterus albipes Schk, na folha de Q. pedunculata Ehrh. Cfr. Synopse, p. 7Ô, n.º 45. Fig. 17, 18, 19 — Cecidias de Macrolabis brunellae Tav., na Brunella vulgaris L.. Fig. 20 — Inflorescencia de Mentha rotundifolia [.. com 4 cecidias de Asphondylia 'me nthae Pierre. F1g:21 = 10. Fig. 22, 23, 24, 25 — Cecidias de Nanophyes pallidus Oliv., nas capsulas de Tamarix africana Poir. Cfr. Synopse, p. 103, n.º 1. Na fig. 23 cecidia separada. Na fig. 24 eixo da inflorescencia com as capsulas normaes, de que se vê uma separada na fig. 25. Fig. 26 — Eriophydeocecidia nas flores e folhas de Leucanthemum silvaticum Hfigg. Lk. N. B. As cecidias d'esta estampa e seguinte estão photographadas em tamanho natural. BROTÉRIA, SERIE ZOOLOGICA, VOL. VI, 1907 cLicHé po Prof. J. S. Tavares ESTAMPA II pHOTOTYPIA DE E. Biel & C.º — Porto sm Fig. ESTAMPA III - 1, 2 — Cecidias de Eriophyes Barroisi Fockeu, na Planta- go sp. - 3 — Cecidias de Asphondylia scrophulariae Tav., na inflo- rescencia de Scrophularia canina L. Cecidias seccas e achatadas pela pressão. - 4, 5, 6, 8 — Cecidias de Cecidomyia nova, na pagina inferior do limbo de Quercus coccifera L.. e um tanto parecidas ás da Contarinia subulifex Kieff. Cfr. Synopse das Zoocecidias Portuguezas, Brotéria, vol. 1v, Igo5, p. 50, n.º 9º. -7, 9, IO — À mesma cecidia na pagina superior da mesma Quercus. - II e 12 — Cecidia da [Stephaniella brevipalpis Kieff.), na Atriples halimus L. Cfr. Synopse das Zooc. Port. p. 6. - 13 — Eriophydeocecidia, na Calluna vulgaris Sal. - 14, 15 — Cecidia de Apion sp., no Sarothamnus patens Webb. Cfr. Synopse das Zooc. Port., pag. 99, n.º 5. 16 — Cecidias da Biorrhiza aptera Bosc, nas raizes de Quer- cus Toza Bosc. Cfr. Synopse das Zooc. Port., pag. AG HT 2. 17 Cecidias da Schizomyia phillyreae Tav., nos fructos de Phillyrea angustifolia L. . 18, 19, 20, 21 — Cecidias da Perrisia elegans Tav., nos gommos de Erica umbellata 1. . 22 — Cecidia de Eriophyes laevis Nal., nas folhas de Alnus glutinosa Gártn. Cfr. Synopse das Zooc. Port., pag. Dodi“ D. - 23 — Cecidia de Eriophies tiliae Pagenst., na Tilia platy- ghylla Scop. Cecidias seccas e achatadas pela pressão. Hi AIMATES -piuiS sm vsdoo1 IelomiBd esviigoinã 9b esibios) — s/l. qe Va -ofimi sn .vsT 9g8iysluiqorma silybnorigaA ab esibios) ao E 250092 asibioo) | guimmo nrenisdgoro 9b sion9929 .oBeesiq sloq asbsisdos 9 toirolni snigsq sm svon siymobios) ab asibios) — 8 0 2 ds esbiosisq ong mu 5 | gsÃtgo inarsaQD sb odmil ob esb segonvye DO Basil xotiludua sinirginod) sb 25 v1 lov sirãjord cessovuguiiol esibizs200N “O “nm ,O2 q «200 emeom sb 1oitoque snigsq sn sibioso smesm À OL OR. ras mn. AoA algleqivord slisinsdqoie! sb sibiosD — cris tr. 310] .200X 2sb segonye DO 1 vita sstarah O q Isê rações sunita) sm isibiosoosbydgonH — 1. ddsW ensina cnnmendiorno om ..qe Moigà sb sibios) — RI al. 2 ºm 00 .9sq «J10oT .200N esb segonve MD) -.32O 9b 2ozisr 28n 220 gr9iqs Buidrioid sb esibioso — Or. -98q «J10T 2003 esb segonye MD .o208 nest mm £ “mn 00 cojoutt con «.vsT 989wyllidq siymosine sb esibiosd — q1. À adegas nsvuaa sh 2on ,vsl ensgols BiarmoY9 sb esibiosD — I€ ,0€ QI ,81 .oi T ntaltatmes nai sb commog sb. ob asdlol 2sn . Is eiva8l esvilgoinã sb sibios) — €º. -96q «J10T .2008 2sb sagonye MD nho) eatanhe, Rr. anta miNT sm ,JanogsT g8ili zaislgoinã 9b sibios) — Ec agito .obazo1q sloq esbeisdos 9 260992 asibios) .qoae stivãa 3 BROTÉRIA, SERIE ZOOLOGICA, VOL. VI, 1907 ESTAMPA III 3 cLICHÉ DO Prof. J. S. Tavares pHoOroTYPIA DE E. Biel & C.* — Porto ra Ç 4 ay sf gue bs? ra Pta | o MR À commencer du vie vol. (1907), la Revue «Brotéria», dédiée à Bro- | tero (1744-1827) le plus célêbre botaniste Portugais, est divisée en trois. séries indépendantes — Zoologique, Botanique et Populaire ou. (sa leis psi “a scientifique. On peut s'abonner à chaque série séparément. Toutes les séries ont des planches d'une grande perfection. Série Zoologique : 7 Marcs =7 Sh. = 8,75 fr. Série Botanique : 7 Marcs=-7 Sh. = 8,75 fr. Les deux Séries: 12 Marcs= 12 Sh.= 15 fr. Série Populaire: 8 Marcs = 8'Sh. = 10 fr. S'adresser à M. WerceL, Leipzig, Allemagne. Pour le Brésil: Série Zoologique : 18000 rs. fortes ou 48000 rs. fracos. Série Botanique : 18000 rs. fortes ou 48000 rs. fracos. Série Populaire : 18500 rs. fortes ou 6%000 rs. fracos. Les trois séries: 38000 rs. fortes ou 128000 rs. fracos. S'adresser à Mr. le Docteur J. Rrcx, Gymnasio N.º S.? da Conceição, S. Leopoldo, Rio Grande do Sul. ão 2 TSE TST Sá Pes W. JUNK Ro á | N ÉDITEUR ET LIBRAIRIE ANCIENNE. | POUR LES | | 14 SCIENCES NATURELLES RR LHS pi ) Le plus grand magasin, Envoi de catalogues sur demande directe F q KURFURSTENDAMM 201, BERLIN W, 15 (9) Asa ” en 3 q f - e > 7 Bt o PRN