RER «4 | ki. Ÿ : {} k ! Qi TE À BACH 1} à UM + + ARR FU) LAS 2 Ÿ, DT VETES HARVARD UNIVERSITY HERBARIUM. THE GIFT OF LIBRARY OF THE GRAY HERBARIUM HARVARD UNIVERSITY Nas À 1e A À EC MA BULLETIN DE © L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE S'-PÉTERSBOURG. he. TOME DIX-SEPTIÈME. : ; (Avec 9 Planches et 1 Supplément.) mp ST.-PÉTERSBOURG, 1872. Commissionnaires de l'Académie Impériale des sciences : A ST.- PÉTERSBOURG: A RIGA: A ODESSA: A LEIPZIG: MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff, >: L : M. N. Ky 2 . E. . - A Jacques Issakof e@Tacherkessoff: M. N ne A. E. Kechribardshi M. Léopold Voss Prix du volume: 2 Roub. 70 Kop. d’arg. pour la Russie, 3 Th]. de Prusse pour l'étranger. Imprimé par l'ordre de l’Académie Impériale des aciences. Juillet 1872. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie Impériale des gciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, À 12.) PT te D Joey fe lai TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. (MATHÉMATIQUES.) ASTRONOMIE. À, Sawitsch, Observations des planètes à l'Observatoire astrono- mique de l’Académie des sciences. 1—3, 495—497. A. Môller, Calculs de la comète Faye. 404—407. PHYSIQUE. M. H. Jacobi, Sur la fabrication des étalons de longue par la gal- vanoplastie. 309—314. H. Wild, Un nouvel instrument pour l'observation de l'intensité ver- ticale du magnétisme terrestre. 456—465. CHIMIE. N. Tchaïkowsky, Sur une nouvelle variété de l’hexylène. 498—500. ; ; PALEONTOLOGIE. J. F. Brandt, Sur les cétacées fossiles et subfossiles de l’Europe. 407—408. BOTANIQUE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE. À, Famintzin, Des sels anorganiques comme moyen pour l’étude du développement des organismes inférieurs contenant le chloro- phyle. (Avec trois Planches.) 31—70. Ch, Gobi, Études algologiques sur le Chroolepus. (Avec une Planche.) 124—140. . C, J. Maximowiez, Courtes diagnoses des nouvelles plantes du Japon et de la Mandjourie. Dixième décade. 142— 180. Onzième dé- cade. 417—456. —— De l'influence du pollen étranger sur la forme du fruit pro- duit. 275—985. J. Cienkowski, Les Mucédinées de la fleur de vin. 513—531. (Avec deux Planches.) N, Jeleznow, Sur les causes dont dépend la couleur de l’eau salée du lac Sak en Crimée. 557—565. (Avec une Planche.) —— Recherches microscopiques du limon des lacs Sak et Mainak en Crimée. 565—575. ZOOLOGIE, ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE. 0. Grimm, Organisation des Crinoïdes. (Avec une Planche.) 3—9. L. Levschin, Sur le développement du tissu osseux dans les extré- mités diaphysaires des os longs chez les nouveaux-nés. (Avec une Planche.) 9—13. : —— Sur les vaisseaux sanguins terminaux dans les cavités médul- laires primitives des os longs et sur leurs noyaux capillaires chez les nouveaux-nés. (Avec une Planche.) 13—920. W. Gruber, Dissection d’un bras droit ayant le pouce double. 24—31.. Ph, Owsiannikof, Un nouveau parasite dans les oeufs du sterlet. 104—108. J. F. Brandt, Une nouvelle classification des Balaenoïdes, y com- pris les espèces déjà disparues. 113—124. N. Wagner, Myxobrachiu Cienkowski n. sp. 140—142. Dr. W, Gruber, Sur un muscle tenseur de l’aponévrose surale par- tant du demi-tendineux. 289—9291. —— Sur quelques variétés du muscle palmaire grèle. 291—294. Dr. Ed, Brandt, Sur le ductus caroticus du Caïman à museau de brochet (Alligator lucius sive mississipiensis). 307—308. W. Gruber, Sur un muscle biceps huméral ayant une portion cora- coïdienne et une portion humérale anomale à la place de la portion glenoïdienne. 314—318. —— Un muscle radial interne long bicaudé chez l’homme, rempla- çant par une portion surnuméraire le palmaire grèle, qui manque. 318—5319. —— Sur les variétés du muscle radial interne court. 379—388. ——— Sur les os du carpe surnuméraire chez l’homme. 389—404. —— Sur un muscle costo-coracoïdien surnuméraire chez l’homme. 408—415. —— Sur le muscle sterno-fascial chez l’homme. 497—498. PHILOLOGIE ET HISTOIRE. B. Dorn, Rapport sur un voyage à l'étranger. 20—24. J, Minayef, Fragments buddhistiques. 70—85. A, Schicfner, La langue des lukaguires, d’après les notes recueil- lies par M. le baron Maydell. 86—1083. À. Nauck, Remarques critiques. VI. 180—275. Dr. Hi. Hildebrandt, Sur les documents historiques conservés aux archives de la ville de Réval, concernant les relations entre la Russie et la Livonie au XV° et XVI° siècles. 319—379. B. Dorn, Extraits des auteurs orientaux, relatifs à la mer Caspienne et aux pays adjacents. 466—494. —— Deux pierres avec inscriptions orientales, reçues récemment au Musée asiatique. 495. L, Stephani, Parerga archaeologica. XXVII. 500—512. — — XXVIII. 532—556. Bulletin bibliographique, 108—112, 285—288, 413—416, 512, 579 — 576. Supplément, Gr. v. Helmersen: Sir Roderick Impey Murchison 295—307. É B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) Brandt, Dr. E., Sur le ductus caroticus du Caïman à museau de | Hildebrandt, Dr. H, Sur les documents historiques conservés aux brochet (Alligator lucius sive mississipiensis). 307. Brandt, J. F,, Sur les Cétacées fossiles et subfossiles de l’Europe. 407. ___ Une nouvelle classification des Balaenoïdes y compris les espèces déjà disparues. 115. Cienkowski, J., Les Mucédinées de la fleur de vin. 513. (Avec deux Planches.) Dorn, B,, Rapport sur un voyage à l’étranger. 20. —— Extraits des auteurs orientaux, relatifs à la mer Caspienne et aux pays adjacents. 466. —— Deux pierres avec inscriptions orientales, reçues récemment au Musée asiatique. 495. Famintzin, A, Des sels anorganiques comme moyen pour l’étude du développement des organismes inférieurs contenant le chlo- rophyle. (Avec trois Planches.) 31. Gobi, Ch, Études algologiques sur le Chroolepus. (Avec une Planche.) 124. Grimm, 0., Organisation des Crinoïdes. (Avec une Planche). Gruber, W., Dissection d’un bras droit ayant le pouce double. 24. —— Sur un muscle tenseur de l’aponévrose surale partant du demi-tendineux. 289. ——— Sur quelqnes variétés du muscle palmaire grèle. 291. —— Sur un muscle biceps huméral ayant une portion coracoïdienne et une portion humérale anomale à la place de la portion gle- noïdienne. 314. ——— Un muscle radial interne long bicaude chez l’homme, rem- plaçant par une portion surnuméraire le palmaire grèle, qui manque. 318. —— Sur les variétés du muscle radial interne court. 379. -— Sur les os du carpe surnuméraire chez l’homme. 389. — Sur un muscle costo-coracoïdien surnuméraire chez l’homme. 408. —— Sur le muscle fascial chez l’homme. 947. Helmersen, Gr, v., Sir Roderick Impey Murchison. 295. 9 2, archives de la ville de Réval, concernant les relations entre la Russie et la Livonie au XV° et XVI° siècles. 319. Jacobi, M, H,, Sur la fabrication des étalons de longueur par la gal- vanoplastie. 309. Jeleznow, N., Sur les causes, dont dépend la couleur de l’eau salée du lac Sak en Crimée. 557. (Avec une Planche.) —— Recherches microscopiques du limon des lacs Sak et Mainak en Crimée. 565. Levschin, Lés:Sur le développement du tissu osseux dans les extré- mités ditphysaires des os longs chez les nouveaux-nés. (Avec une Planche.) 9. —— Sur les vaisseaux sanguins terminaux.dans les cavités mé- dullaires primitives des os longs et sur leurs noyaux capil- laires chez les nouveaux-nés. (Avec une Planche.) 13. Maximowiez, C. J., Courtes diagnoses des nouvelles plantes du Ja- pon et de Mandjourie. Dixième décade. 142. —— —— Onzième décade. 417. —— De l'influence du pollen étranger sur la forme du fruit pro- duit. 275. d Minayef, #, Fragments buddhistiques. 70. Müller, A, Calculs de la comète Faye. 404. Nauck; À,, Remarques critiques. VI. 180. Owsiannikof, Ph,, Un nouveau parasite dans les oeufs du sterlet. 104. Sawitsch, A, Observations des planètes à l'Observatoire astrono- mique de l’Académie des sciences. 1. 495. Schiefner, A, La langue des Iukaguires, d’après les notes recueil- lies par M. le baron Maydell. 86. ( Stephani, L., Parerga archacologica. XXVII. 500. XX VIII. 532. Tchaïkowsky, N., Sur une nouvelle variété de l’hexylène. 498. Wagner, N., Myxobrachia Cienkowskii n. sp. 140. Wild, H, Un nouvel instrument pour l’observation de l’intensité verticale du magnétisme terrestre. 456. T. XVIE, N° 1. BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XVEL. (Feuilles 1—7.) CONTENT: | Page. A, Savitsch, Observations des planètes à l'Observatoire astronomique de l’Académie AS CIENC ED AL M EU AU dE gt NE EN ER RUE A OR ITA A RU 1—3 0, Grimm, Organisation des Crinoïdes. (Avec une planche.)........................ 3—9 L, Levschin, Sur le développement du tissu osseux dans les extrémités diaphysaires des os longs chez les nouveaux-nés. (Avec une planche.)............... LE AR EUR 9—13 — Sur les vaisseaux sanguins terminaux dans les cavités médullaires primitives des os longs et sur leurs noyaux capillaires chez les nouveaux-nés. (Avec une RTL NS) NC OR ME EAU 2 ARE EE Re PS ES QE 13—20 PAT RADDort Sur un yoyase) 4 LétrANSER 22. 2.002 0e ace ele eee ele 20—24 D) MW. Gruber, Dissection d’un bras droit ayant le pouce double ...................... 24—31 A. Famintzin, Des sels anorganiques comme moyen pour l'étude du développemeut des organismes inférieurs contenant le chlorophyle. (Avec trois planches.) ......... 31—70 J. Minayef, Fragments buddhistiques. ...................:.4444. 2... 70—85 A. Schiefner, La langue des iukaguires, d’après les notes recueillies par M. le baron UE HAE RAR ER RL A OR RE EE PEN SPA 86—103 ” Ph, Owsiannikof, Un nouveau parasite dans les oeufs du sterlet ............. ...... 104—108 BoleaDNOS Ta QUE ANS MU AE Te Le cle .... 108—112 SE — On s’abonne: chez MM. Eggers & Ci, H. Schmitzdorff, J.Issakof et Tcherkessof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Komure1® Ilpaszenia Muneparoperkoëï Axaxemin Hayks); N. Kymmel, libraire à Riga ; A. E. Kechribardshi, libraire à Odessa, et chez M. Léopold Voss, libraire | | à Leipzig. | Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 8 rbl. arg. pour la Russie, | 3 thalers de Prusse pour l’étranger. ÿ Sa Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. | A * Décembre 1871. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. E Ke. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. 2% (4 (Vass.-Ostr., 9° ligne, N° 12.) 3 Ç& PRÈS. mi = - = _ BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSPOURG. Observations des planètes à l'Observatoire astro- nomique de l’Académie des sciences. Par A. Sawitsch. (Lu le 6 avril 1871.) Les positions des planètes ont été obtenues à l’aide du cercle méridien de l'Observatoire; l’état de la lu- nette méridienne a été verifié soit au moyen des passages des étoiles circompolaires, soit au moyen d’une mire et d’un niveau pour déterminer l’inclinai- son de l’axe de rotation de la lunette par rapport à | l'horizon. Les corrections qui dépendent des réfrac- tions et pour les planètes aussi des parallaxes ont été prises en considération. Opposition de la planète Neptune. Les étoiles de comparaison étaient & et v Piseium d’après le Nautical Almanac. 1870 Asc. droite app.| Corr. de Déclinaison | Corr. de xd observée. [Naut. Alm.| app. observée. [Naut. Alm. Sept. 20 | 1/20”18590 | —3555 | +6°36/420 | — 16/6 21 20 13,26 | —3,59 36 6,0 | —172 22 20. 7:84 | 3,36 2nD2S TE 7 23 Co ET 34 50,9 | —19,3 925 19 50,28 | — 3,66 33 38,8 | —20,3 26 19 44,95 | — 3,85 33 2,0 | —9206 29 19 26,69 | —3,64 31 9,9 | —9213 Oct. 2 119, 862 | —3,63 29 18,3 | — 21,5 3 1/19" 2558 | — 3,58 28 42,9 | —19,3 Moyenne ...... — 35600 Moyenne... — 19,42 Le milieu des temps d’observation est 1870, 26 sept. 12° 57"35°t.m.deSt.-P. Correction pour l’aberration 3 59 30 » » » Époque de la position géo- centrique 858" 5°t. m.deSt.-P. Ase. droite — 1"19"44:50; déclin. —-+6°33 322; l'inclinaison de l’écliptique sur l’équa- teur était alors et l’on trouve pour l’époque indiquée la longitude géocentr. de Neptune . 20°52/ 27/1; la latitude —1 43 44,1. Tome XVII. = 3 27 20,15: CHE TOI L FC ONCE MO ET 0 Le Nautical Almanac donne les distances de la | planète Neptune au soleil et à la terre; faisant usage de ces distances, ainsi que des longitudes, latitudes du soleil et des rayons vecteurs de la terre d’après le Nautical Almanac pour l’an 1870, nous tirons de nos observations pour le 26 sept. 1870 à 858"5° t. m. de St.-P. (ou à 6*56”59° t. m. de Greenwich). La longit. héliocentrique | compiée de l'é- > quinoxe apparent de Neptune ....... = 9207175305 /f du 26 sept. 1870. La latit. héliocentrique = — 1 40 24,25 Opposition de la planète Vesta, Les étoiles de comparaison: v Piscium d'apres le Nautical Almanac, 67 Ceti d’après le Radcliffe Cata- logue of Stars. , Asc. droite app. Correction Déclinaison Correction 1870. Reese de Berl. RSR E de Berl. un | TT JastrJahrh] PP: OPEN Astr Jahrh. | heros | S1r 0aa! 1@/+ | 7 Oct. 12 | 155 34,54 | +015 — 0°35°18,5 | --4,0 Opposition de la planète Melpomène, Les étoiles de comparaison o’ Eridani d’après le Nautical Almanac, 10 Tauri d’après le Radcliffe Cata- logue of Stars, 1860. | 1870 |Ase. droite app. Her Déclinaison RUE | observée. Astr.Jahrb.| *PP- observée. Astr.Jahrb. Dec. 4 3/47"34585 | 4m = 088764) 048 | | | 8, |l 44 36,10 | — 3,53: | — 0122570: |, —11,8 | | Opposition de la planète Pallas. Les étoiles de comparaison: &« Hydrae d'après le Nautical Almanac, p. Hydrae d’après le Radcliffe Cata- logue of Stars. 1871 Asc. droite app. FOrRETR Déclinaison FREAgA observée. |astr Jahrb.] 2PP- 0bservée. |A ste Jahrb. z 1 £ E (a ; AZ : > ET Lie TEE Mars 1 | 9/53"49505 | —1544 | | 7 | 2"| 53 5,49 | — 1,69 | —7°24981 | — 32 | | 1 Bulletin de l’Académie Hmpériale # Opposition de la planète Cérès. Les étoiles de comparaison: à et $ Leonis d’après le Nautical Almanac. 1871, |Asc. droite app. Done EnR Déclinaison COECMOR observée. Astr.Jahrb.| PP: observée. Astr.Jahrb. Mars 2 | 11/56"55595 | + 4501 | +18°59/19,1 | 9254 7 5245593 4,27 19 31 40,7 — 30,6 11 49 33,73 4,13 19 54 54,1 | —313 12 48 42,44 4,32 20° O0 15,6 — 31,9 29 40 6,49 4,24 20 42 95,2 | — 31,9 93 39 16,05 4,00 20 45 25,2 | — 97,3 24 38 26,42 4,00 920 48 6,5 | — 984 25 210931,;88 3,96 20 50 27,6 — 31,4 31 11 32 58,69 + 3,87 —+- 20 59 59,3 — 28,9 Moyenne...... + 45089 Moyenne... — 30,00 Opposition de la planète Mars. Étoiles de comparaison: b et e Virginis d’après l’ephémeride de l’opposition de cette planète, Nau- tical Almanac for 1871. 1871 Asc. droite app.| Corr. de Déclinaison Corr. de : observée. Naut. Alm.| app. observée. [Naut. Alm. Mars 22 | 11/58"295a7 | +082 | + 3°58484 | + 16 93 56 54,31 ME 0,29 4 6447 | +21 | | 250 53 59,28 | “+0,35 4 22 11,2 | <+1,1 31 | 45 33,40 | +0,27 | +5 427,2 | +22 l LARRIRNNT RE TRUE EU CPE AREES 2 Moyenne. ..... + 05308 Moyenne. ,... +- 1,75 Zum feineren Bau der Crinoiden. Von Oskar Grimm. (Lu le 9 mars 1871.) (Mit einer Tafel.) Da wir mit der Anatomie der Crinoiden, dieser in so mancher Hinsicht hôchst interessanten Thiergruppe, sehr mangelhaft bekannt sind, unternahm ich eine Untersuchung des feineren Baues der allbekannten Comatula mediterranea Liam., deren Resultate ich hier kurz zusammenfassen will. Bevor ich aber zur Besprechung meiner Funde über- gehe, muss ich mittheilen, dass ich hier,in Petersburg, natürlich nur in Alkohol aufbewahrte Exemplare zu meiner Verfügung hatte, weshalb ich auch nicht im Stande bin, ein vollständiges Bild der Anatomie des ge- sammten Thieres zu liefern, wie ich es erst im Sinne hatte; meine Untersuchungen sind vielmehr nur auf das Tegmen calyeis beschränkt, und ich mache keine An- sprüche auf wichtige Entdeckungen, sondern theile nur | mit, was ich gesehen habe, um dadurch einzig und al- lein diejenigen, welche an emem an Thierformen rei- cheren Meeresstrande leben, zu noch genauerern Un- tersuchungen der mich interessirenden Thiere zu be- wegen. Das Tegmen calycis der Comatula mediterranea Lam. stellt ein ziemlich regelmässiges Zehneck vor, in dessen Mitte der fünfeckige Mund liegt, in dem etwas seitlich von ihm die Analrühre, mit dem mehr als zwei- felhaften Athmungsorgan im Innern, sich ôffnet. Von jedem Mundwinkel geht eine Tentakelrinne aus, die von zwei erhabenen Leisten begrenzt wird; diese Rinnen theilen sich hernach dichotomisch, so dass 10 Rinnen entstehen, die auf die zehn Tentakeln verlaufen. Durch diese Rinnen sammt ihren Zweigen wird das Tegmen in 10 Interambulakralräume getheiïlt, von denen die 5 grossen fünfeckig und die 5 kleineren dreieckig sind. Das ganze Gebilde, resp. das Tegmen calycis, besteht aus einer verhältnissmässig dicken Haut, die durch Faser-und Kernsubstanz gebildet wird und von aussen mit einem dichten Täfelwerk versehen ist. Nichts ist leichter, als das Tegmen calycis mit einem Messer oder einer Nadel in zwei Lagen zu theïlen, in die obere oder äussere und in die untere oder innere. Jede dieser Lagen aber besteht ihrerseits wieder aus et- lichen dünneren Schichten, die nur theilweise von ein- auder trennbar sind. Wenn wir diese Schichten von innen zu betrachten anfangen, so finden wir zuerst eine ziemlich dicke Muskelfaserschicht; der grüsste Theil dieser Muskelfasern bildet beträchtliche Bündel, die sich unter einander ziemlich regelmässig kreuzen; ausserdem verläuft noch eine Menge Bündel und ein- zelner Muskelfasern unregelmässig in den verschieden- sten Richtungen, allerlei Schlingen bildend. Alle diese Fasern haben ein bedeutendes Lichthbrechungsvermügen und sind 0,003 mm. dick; viele von ihnen sind aber um ein Weniges dünner, nieaber dicker. Zwischen diesen Fasern sind auch noch etliche winzige Kernchen sus- pendirt, die leicht vom Carmin gefärbt werden. Die zweite Lage, auf der vorhergehenden liegend,, besteht aus zwei dünneren Schichten, die aber zusam- men die dickste Lage darstellen; es sind 1. eine fein- faserige Schicht und 2. eine Kernschicht. Die faserige Schicht, die unmittelbar auf der schon oben beschrie- benen liegt, ist aus sehr feinen und unter einander 5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 6 — —————_—_—_—_—_——…—…—”—"—…"’…"…"’”"”"—"— —"——"—"—"—’—_ << hôchst verflochtenen Fasern zusammengesetzt, so dass hier weder Bündel, noch Richtungssysteme zu un- terscheiden sind. Diese Kernschicht ist die dün- nere, und es ist unmôüglich, sie von der nun zu be- schreibenden abzutrennen, so dass man sie our durch tiefere oder hôhere Einstellung des Mikroskops, oder durch Umwenden des Häutchens gewahr wird. Die Fasern dieser Schicht scheinen mir zum Bindegewebe zu gehôren. Die zweite Schicht der beschreibenden Lage besteht aus Kernen, unter denen leicht zwei Sorten zu unterscheiden sind, — die grüberen und die feineren, die die Räume zwischen den ersteren einnehmen. Die grüberen Kerne sind heller, haben eine unbestimmte Form, sind rund, oval oder unregel- mässig, und von 0,003 bis 0,006 mm. gross: die klei- neren Kerne sind dunkler und werden viel intensiver vom Carmin gefärbt. Die grossen Kerne liegen natür- lich sehr verschieden weit von einander, von 0,003 bis 0,015 mm. und darüber. Diese mittlere Lage, die aus den soeben beschriebenen zwei Schichten zu- sammengesetzt ist, stellt sich uns als die interessan- teste dar, da in ihr das System der unten zu beschreï- benden Kanäle liegt. Diebeschriebenenzwei Hauptschichten,vondenen die zweite wiederum in zwei Lagen zerlegbar ist, bilden, so zu sagen, die innere Haut, die sehr leicht von der äusseren trennbar ist. Diese letztere besteht ihrer- seits aus einer Schicht ziemlich grosser (0,005 mm. im Durchmesser) Kerne von unregelmässiger Gestalt; diese Kerne, die verhältnissmässig schlecht vom Car- min gefärbt werden und überhaupt mit denen der vor- hergehenden Schicht identisch sind, erscheinen nah an einander und gruppenweise gelagert; diese Kern- gruppen sind von einander ungefäbr auf 0,006 mm. entfernt. Die Zwischensubstanz, die den Raum zwi- schen diesen Kernen ausfüllt, also die Grundsubstanz, ist feinkernig und erscheint dunkler als die grossen, oben beschriebenen Kerne. Augenscheinlich ist diese Schicht dem Baue nach mit der vorhergehenden iden- tisch, wenn man nicht auf die compactere Consistenz achtet: dessenungeachtet sind sie so leicht von einan- dertrennbar, dass es unmôglich erscheint, sie als eine Schicht zu betrachten; — natürlich existirt eine win- zige Zwischensubstanzschicht, die sie unter einander schwach verbindet. Die letzte Schicht endlich erscheint als eine unre- gelmässig kernige Masse, d. h. sie besteht aus einer Grundsubstanz und in ihr suspendirten Kernchen, die als eine unregelmässige Masse erscheinen. In dieser letzten äussersten Schicht liegt nun das Täfelwerk, welches aus einer Masse von runden, ovalen oder viel- eckigen Täfelchen besteht, die hüchst mannigfaltig ge- rippt und durchbrochen sind. So haben wir also in dem Tegmen calycis zwei leicht von einander trennbare Schichten, die ihrerseits wie- derum in etliche Lagen zerfallen. Der leichteren Auffassung aller hier beschriebenen Schichten halber erlaube ich mir sie in der folgenden Tabelle zusammenzustellen : {1. Dickfaserige [Muskelschicht. L InnereSchichti2. Die Schicht, finisse inde welche die Ka-{substanzschicht. {näle einbettet. \b. Kernige Schicht. 1. Gruppirte Kernschicht. 2. Die Schicht der unregel- mässig gelagerten Kerne, in der das Täfelwerk liegt. II. Aussere Schicht. Oben habe ich schon mitgetheilt, dass die mittlere Kernfaserschicht (I, 2.) durch die in ihr verlaufenden Kanäle charakterisirt wird, zu deren Besprechung ich jetzt übergehe. Wenn man diese Schicht behutsam von den anderen des Tegmens abpräparirt, so sieht man sogleich auf ihrer Fläche ziemlich bedeutende ovale oder auch runde Offnungen, deren ziemlich dicker Saum durch viele radiale Linien getheilt ist. Auf Querschnitten des Tegmens wird man gewahr, dass das Kanäle sind; wenn wir uns aber einer stärkeren Vergrüsserung be- dienen, z. B. 230 m., so wird es leicht, sich zu über- zeugen, dass sie innen mit einem Epithel ausgekleidet sind, welches aus hohen cylindrischen Zellen besteht; diese Zellen sind in ziemlich regelmässigen Reihen geordnet und stehen senkrecht, d. h. sie sind mit ihrer Längsaxe zum Centrum des Kanallumens gerichtet. Sie sind sehr zart, haben eine Hühe von 0,006 mm. und eine Dicke von 0,003 mm. Am Rande der Kanäle habe ich 40 bis 50 Zellen gesehen. Die Üffnungen dieser Kanäle sind auf der Oberfläche der bezeich- neten Hautschicht ganz unregelmässig vertheilt, so dass sie bald gruppirt, bald ziemlich weit von einander liegen. Der Verlauf der Kanäle ist natür- 1* 7 Bulletin de l’Académie Impériale s EEE lich nur an Querschnitten zu studiren; deshalb ver- fertigte ich mir eine grosse Anzahl von quer durch die Tentakelrinne geführten Schnitten. Solche Querschnitte zeigen uns, dass diese Kanäle genau in der Rich- | tung von einem Interambulakralraum zum ande- ren verlaufen. Da aber in einer Richtung, beiderseits von der Tentakelrinne, in verschiedenen Abständen wie von einander, so auch von der Rinne, mehrere Üffnungen zu sehen sind, so müssen natürlich die Kanäle, denen diese Offoungen angehôren, entweder anastomosiren oder unter einander verlaufen. Das Letzte findet auch wirklich statt. — Die Kanäle ver- laufen unter einander, indem sie allmählich an Dicke ab- nehmen, was übrigens vielleicht auch künstlich, bei der Anfertigung der Schnitte, gemacht sein konnte. Ob diese Kanäle mit einander communiciren, oder in andere Gebilde münden, konnte ich nicht ent- scheiden. Es fragt sich nun, was für eine Function diese sonderbaren Kanäle haben? Sind es Excretionsorgane, Respirationsorgane, oder gehôüren sie nicht dem Ge- schlechtsorgan an? Die letzten Organe sind uns bei den Crinoiden bis jetzt unbekannt, da die Anschwel- lungen der Pinnulae gewiss als nur provisorische anzusehen sind. Meiner Ansicht nach müssen es Respirationsorgane sein, da sie leicht vom Wasser ge- füllt werden künnen, welchem auch das Austreten wohl nicht schwer sein dürfte, da die Kanäle sich unter dem Täfelwerk üffnen, und dasselbe besitzt so viel verschiedene Offnungen, dass das umgebende Medium wohl leicht bis zu den Kanälen herantreten kann. Schon früher dachte man sich, dass bei dem Pentacri- nus das Wasser durch die Poren des Täfelwerks der Kelchdecke ins Innere gelange und also die Respiration bedinge; bei der Comatula aber hat man das Ath- mungsorgan in die Afterrühre verlegt, wozu die sich dort befindende Schleimhautfalte den Grund gab. Jedenfalls aber muss ich ausdrücklich bemerken, dass ich den gefundenen Kanälen weder diese, noch irgend eine andere Function aufbinden will ; — môügen wei- tere, ausgedehntere Untersuchungen diese Frage ent- scheiden. Noch will ich eines Kanals gedenken, der längs der Armrinne und unmittelbar unter ihr sowie auch der ihrer Function nach problematischen braunen Tüpfel- chen (die ich als Drüsen ansehen müchte) verläuft. An unseren Präparaten, wie an den Quer-, so auch den Längsschnitten, erscheint dieser Kanal als eine eben- falls mit Epithelium ansgekleidete Spalte. (Fig. 8, s) Schliesslich habe ich noch zu erwähnen, dass die Membran, welche die im Calyx liegenden Central- organe umgiebt, also den Calyx von innen auskleidet, aus drei Schichten besteht; — die innerste Schicht, in der einzelne, ziemlich beträchtliche Kerne suspen- dirt sind, besteht aus einem hôchst zarten Häutchen (Fig. 1, a); darauf folgen sehr lockere Muskelfasern (b), und endlich kommt die dickere Kernschicht, die ein dichtes T'äfelwerk enthält, Also sind die inneren Organe der Comatula, die im Calyx liegen, ausser dem starren Kalkintegument,noch mit einem dichten, aber zierlichen Täfelwerk von allen Seiten umgeben. Erklärung der Abbildungen, Fig. 1. Ein Stück der Membran, die den Calyx von innen auskleidet. «— das innere Häutchen mit den Kernchen, b — die mittlere Muskelfaser- schicht, auf der die nicht abgebildete äussere, das Täfelwerk enthaltende Schicht liegt. Fig. 2. Die innerste Schicht des Tegmen calycis, die bei lebenden Thieren vielleicht noch vom Epithel, oder einem dergleichen Häutchen, wie Fig. 1, a, bedeckt ist. Fig. 3. Inneres Faserhäutchen und Fig. 4 äusseres Kernhäutchen, die zasammen die zweite, mittlere Schicht bilden. Sie sind nicht von einander trenn- bar. Diese Schicht enthält die mit Epithel (ep.) ausgekleideten Kanäle (4). Fig. 5. Das innere Häutchen der äusseren Schicht, welches ans gruppenweise zusammengerückten Kernen besteht. Auf ihr liegt nun die letzte, äusserste, das Täfelwerk enthaltende Schicht, die wir nicht abbilden. Fig. 6. Ein Stück der mittleren Schicht (Fig. 3 und 4) vom Interambulakralraum mit den darin zer- streuten Offnungen der Kanäle. A Fig. 7. Solch eine Üffnung stark vergrüssert. Man sieht hier in der Perspective die Innenfläche des Kanälchens, die mit Epithelzellen bedeckt er- scheint. D Grimm Zum teineren Bar der Cr Bullet de/Acad Jrmp d 5e EAV PEER Jvanson eculp. Grimm del 9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 10 te Fig. 8. Ein Querschnitt des Tegmen calycis durch einen Ambulakralkanal (a,k). b—braune Drüsen, t——Täfelwerk oder Kalkstäbchen, # — Kanäle, s— die Spalte. Zur Entwickelung des Knochengewebes an den Diaphysenenden der Rôhrenknochen der Neu- geborenen von Dr. med. Leo Levschin. (Lu le 21 septembre 1871.) (Mit einer Tafel.) Im Jahre 1867 unternahm ich im Laboratorium des Herrn Prof. v. Recklinghausen eine mikrosko- pische Untersuchung der langen Knochen von rhachi- tischen Kindern ). Bei dieser Untersuchung stiess ich auf solche Schwierigkeiten, die mich zu einer ausführlichen Bear- beitung des normalen Verknôcherungsprocesses ge- zwungen haben. Ich habe mit dem Studium dieses Processes an der Ossificationszone der Diaphysenenden der Rühren- knochen der Neugeborenen begonnen. (Gleichzeitig untersuchte ich auch die Rührenknochen der Hunde und Kaninchen. Zunächst stellte ich mir zwei Fragen: 1) Ist das Markgewebe des sich entwickelnden Rüh- renknochens in einem genetischen Zusammenhange mit den sich proliferirenden Zellen des Diaphysen- knorpels”) und 2) wie verhalten sich histologisch bei diesem Processe die terminalen Blutgefässe des Mark- gewebes ? 11) Da es mir gelungen ist, schüne Injectionspräparate der Blutgefässe an langen Knochen der Neugebore- nen zu erhalten, und da die injicirten Praeparate sehr schätzhbare Objecte zur Entscheidung der Frage, ob das Markgewebe genetisch von dem Diaphysenknorpel abstammt, liefern, so erlaube ich mir hiermit, die oben erwähnte Frage üffentlich zu beantworten und die L 1) Das Centralblatt für medicinische Wissenschaften, 1867, X 38: Zur Histologie des rhachitischen Processes von Dr. L. Levschin. 2) Der Knorpel an jedem Ende eines noch wachsenden langen Knochens kann theoretisch in zweiRegionen getheilt werden: die eine dem Ende des schon verknücherten Diaphysenrohrs unmittelbar an- liegende stellt eine Scheïbe, einen kurzen Cylinder dar, die zweite hüllt den Epiphysenkern ein. Die erste kann Diaphysen-, die zweite Epiphysenknorpel genannt werden. PRE PS TR EE Gründe anzugeben, weshalb ich die Überzeugung ge- wonnen habe, dass das Markgewebe der Diaphysen der langen Knochen in keinem genetischen Zusam- menhange mit dem Diaphysenknorpel steht *). Der Diaphysenknorpel unterscheidet sich bekannt- lich von einem typischen Knorpelgewebe: erstens durch die vermehrte Quantität der Knorpelzellen (Prolife- ration), zweitens durch das vergrüsserte Volumen der Knorpelkapseln, indem die unmittelbar am Ossifica- tionsrande liegende Schicht des Diaphysenknorpels sich durch grosse, helle, meist rundliche Knorpelzel- len charakterisirt, und drittens durch eine regelmäs- sige reihenformige Anordnung der Zellen. Die beiden ersten Momente künnen nur einen Zweck haben, sie künnen nur so gedeutet werden, dass sie zur Auf- lockerung des Knorpelgewebes führen. Das dritte Mo- ment weist darauf hin, dass diese Auflockerung nur in gewissen Richtungen stattfindet, nämlich in Richtun- gen, die der Längsaxe des Knochens parallel laufen, denn die Colonnen der über einander sitzenden Knorpel- zellen liegen in denselben Richtungen. Ich muss be- sonders hervorheben, dass ich in den queren Zwischen- balken, die je zwei Knorpelzellen in einer Zellen- colonne trennen, weder ein grobkürniges Ansehen, noch andere Beweise für eine Kalkablagerung zu fin- den im Stande war. Im Gegentheil ist noch hinzu- zufügen, dass diese queren Balken in einer Zellenco- lonne progressiv dünner werden, je mebr sie sich der Ossificationslinie nähern, so dass das Minimum der Dicke dem letzten queren Zwischenbalken“) gehürt, der den Anfang des primitiven Markraumes umgrenzt. Mit besonderer Sorgfalt habe ich diese queren Grenzbalken untersucht. Wenn man nur sehr feine, wo müglich Längsschnitte”) von injicirten Objecten unter dem Im- mersionssysteme durchmustert, ist es nicht schwer, solche Stellen zu finden, wo dieser Grenzbalken sich nicht als eine vollkommene Abgrenzung von den unmittelbar 3) Dieselbe Ansicht hat bereits Prof. A. Rollet ausgesprochen in Stricker’s Handbuch der Gewebelehre, 1868, p. 98. Dr. C. Kutschin hält diese Ansicht «für die viel wahrscheinlichere ...» in den Untersuchungen aus dem Institute für Physiologie und Histolo- gie in Graz 1870. Zur Entwickelung des Knochengewebes. 4) Wir werden sie Grenzbalken nennen. 5) d. h. Schnitte, die in derselben Ebene sowohl die Colonnen der hellen Diaphysenknorpelzellen, als die entsprechenden primiti- ven Markräume getroffen haben LI) Bulletin de l’Académie Impériale 12 anstossenden primitiven Markräumen erweist, sondern es sind nur ihre Reste in Form von wandbhaltigen Fort- sätzen vorhanden. An solchen Präparaten ist daher zu sehen, wie sich eine Communication, eine Offnung gebildet hat, durch welche der Inhalt der letzten Knor- pelkapsel mit der Granulationsmasse, welche die pri- mitiven Markräume füllt, in einem directen Zusammen- hang steht. Es ist mir sogar gelungen, solche Fälle zu bekommen, in denen sich beobachten liess, wie bei der noch vorhandenen, fast intacten Knorpelzelle (ihrem Kern) der letzte quere Zwischenbalken einigermassen durchbrochen war, oder, was noch mehr beweisend ist, wie in den Räumen der letzten Knorpelhühle neben dem Knorpelzellenkern eine Blutgefässschlinge lag. Letztere liess sich verfolgen, wie sie durch eine Lücke in dem letzten Zwischenbalken aus dem primitiven Markraume in die Knorpelhühle eingedrungen war. Fig. 1,.2 und 3. Ich muss hier besonders noch das hervorheben, dass dieses Durchbrechen des letzten queren Zwischen- balkens nicht nur in der Längsrichtung, sondern auch in der Seitenrichtung stattfindet. Eine solche Erscheinung erklärt uns, warum die Contourirung der primitiven Markräume nicht ganz der allgemeinen Form der Colonnen der Diaphysen- knorpelzellen entspricht, sondern sich von ihr unter- scheidet, einerseits durch dichotomische Verzweigun- gen (die Colonnen der Knorpelzellen verlaufen nur unverästelt und ohne mit den benachbarten zu ana- stomosiren) — andererseits ist bekanntlich die Wand der primitiven Markräume mit Buchten versehen; diese Buchten sollen nur der Grôüsse und der Form nach mit denen der hellen Knorpelkapsel identisch sein, die queren Durchschnitte aber lehren, dass Colonnen sich als rundliche Inseln darstellen, während die primi- tiven Markräume stark ausgebuchtete Figuren bilden. Das Letzte geschieht so zu sagen durch ein seitliches Ausfressen der Zellen-Colonne von der Seite der fort- wachsenden Blutgefässschlingen des Markgewebes. Damit steht auch im Einklange, dass nicht sämmt- liche Längscolonnen der Knorpelzellen sich als un- mittelbare Verlängerungen der primitiven Markräume verfolgen lassen, sondern blind enden, ohne die Grrenze der primitiven Markräume zu erreichen. Nur im Zwi- chengewebe der Umgrenzung solcher blinder Enden der Colonnen, d. h. nur in solchen queren Zwischen- balken habe ich eine Kalkablagerung gesehen. Es ist auch erwähnenswerth, dass der Inhalt der letzten oder auch vorletzten Knorpelkapsel in der Regel sich nicht so hyalin darstellt, wie diejenige der weiter von der Ossificationslinie gelegenen, — sondern fein- kôrnig getrübt ist. Diese Trübung lüst sich in 35° Kali- lôsung; durch Âther und Essigsäure wird sie nur klarer, aber verschwindet nicht ganz. In diesem feinkürnigen Inhalte ist oft der Kern der Knorpelzelle noch zu ent- decken. — Wenn man zu dem oben Ausgesprochenen noch die negativen Gründe hinzufügt, dass es mir näm- iich nie gelungen ist, Übergangsformen der grossen hellen Knorpelzellen durch einen Proliferationsprocess hindurch zu den granulirten Elementen des Markge- webes an sehr verschiedenen Objecten aus den Dia- physen der Rührenknochen der Neugeborenen, wie der Hunde und Kaninchen zu finden°); ferner b) die scharfe Grenze zwischen dem Diaphysenknorpel und den primitiven Markräumen; und nun sich endlich c) erinnert, dass die ursprüngliche Verknücherung der noch ganz knorpligen Rührenknochen der Embryonen in drei Punkten: in den beiden Extremitäten (für die künftigen Epiphysen) und im Centrum stattfindet, so ist es schon natürlicher a priori anzunehmen, dass der ganze Verknôücherungsprocess einer Diaphyse in der Richtung von dem Centrum nach den Enden verläuft. Kurz, die obengenannten Facta zusammengenommen berechtigen mich dazu folgenden Satz aufzustellen: die sämmtlichen Erscheinungen, die man an den mikroskopischen Bildern von Diaphysenknor- peln der Rührenknochen bei Neugeborenen aufzufinden im Stande ist, künnen nur auf die Weiseerklärt werden, dass in dem Verknüche- rungsprocess der Diaphyse die Thätigkeit des Diaphysenknorpels eine ganz passive ist. Sie besteht in zweiMomenten:erstensineiner Auf- lockerung der Knorpelmasse in der Längsrich- tung durch eine Art von progressiver Atrophie der queren Zwischenbalken, um das Fortwach- sen des Markgewebes vorzubereiten — das 6) Prof. Dr. C. Bruch in den Denkschr. der allgem. Schweiz. Gesellsch. für Naturw., Bd. XII, 1852. Beiträge zur Entwickelungs- geschichte des Knochensystems : pag. 31 «Im bereits angelegten Knorpel bilden sich nämlich keine neuen Kôrperchen», pag. 48 «in der Nähe des Verknôcherungsrandes... sieht man niemals eine sogenannte Mutterzelle .. .» und an and. Ort. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 14 Eindringen des Markes aus den wachsenden Blutgefässschlingen sammt den sie umhüllen- den Zapfen des Granulationsgewebeszuerleich- tern. Und zweitens dienen die bleibenden Längsbalken der intercellularen Gewebe des Diaphysenknorpels als Anlage, als ein fester Boden, auf welchem sich das junge Knochen- gewebe, d. h. Osteoblastem mit der Knochen- grundsubstanz niederschlagen konnte. IL. Über die terminalen Blutgefässe in den pri- mitiven Markräumen der Rôhrenknochen der Neugeborenen und über die Capillar- kerne derselben. Von Dr. med. Leo Lev- schin. (Lu le 21 septembre 1871.) (Mit einer Tafel.) Die Beschreibung dieser Blutgefässe will ich kurz in einer Reïhe kleiner Sätze abfassen. Hierbei muss ich besonders hervorheben, dass ich sowohl die Abbildun- gen, als die Beschreibung nur solchen Injectionsprä-- paraten entnommen habe, die die Untersuchung mit dem Immersionssystem zuliessen. Die Literatur dieses Gegenstandes ist wenig bear- beitet, mir wenigstens ist nur eine einzige Arbeit über die Blutgefässe der Knochen bekannt, nämlich die von Herrn Prof. Th. Billroth in dem Langenbeck’schen Archiv, Band VI, pag. 712. Auf diese Abhandlung werde ich mich bei der Beschreibung dieser Blutge- fâsse beziehen. 1. In einem jeden primitiven Markraume liegen, nahe der Längsaxe, ein oder zwei, selten drei Blutgefässe, die fast geradlinig verlaufen. Zwei Blutcanäle sind in der Regel in ihren Enden vorhanden, d. h. unmittel- bar an dem Diaphysenknorpel, dann ist das eine Ge- füss viel dicker, als das andere. Beide divergiren all- mählich um so mehr, je mehr sie sich der Grenze des Knorpels nähern. In einer grüsseren oder geringeren Entfernung vom Knorpel confluiren beide spitzwinklig, oder enden in eine quere Brücke, die zwei Gefisse von grüsserem Durchmesser verbinden. 2. Das Kaliber dieser Blutgefässe schwankt im All- gemeinen zwischen 0,0012 und 0,0036 Millimetern, in injicirtem Zustande mit Gelatinmasse, unter einem geringen Drucke gefüllt und mit dem Hartnack’schen Micromètre mobile gemessen. Dem Durchmesser nach gehüren sie also den Blutcapillaren und dabei den allerfeinsten des menschlichen Kôrpers an.') 3. Diese Haargefässe geben wenige Anastomosen zu denen der benachbarten Markräume ab. Die Nebenzweige gehen in der Regel schief, in der Richtung von der Diaphyse zur Epiphyse. Nur nahe an der Grenze des Diaphysenknorpels kommen quere Anastomosen vor. 4. An den Enden der primitiven Markräume, in einer Entfernung von circa 0,02 mm. von dem Grenz- balken der Knorpelgrundsubstanz und fast an die Wand selbst des Markraumes angekommen, biegt sich das dickere Haargefäss rasch um, einen queren Bogen dar- stellend, und bildet eine Arcade, die einigermassen als Gewülbe eine Colonne der auf einander sitzenden Knorpelzellen unterstützt. Dieser quere Bogen kehrt sich abwärts, d. h. nach der Diaphyse, um in das feinere Gefässchen des Markraumes überzugehen. Auf solche Weise entsteht eine Gefässschlinge.?) Fig. 4. 5. Auf den Längsschnitten sind an den beiden oder an der einen Seite dieser Schlinge meist quere Nebenzweige vorhanden. Mittelst solcher Nebenzweige anastomosiren die benachbarten Gefässschlingen mit einander, folglich hat sich unmittelbar unter dem Diaphysenknorpel eine Art von Blutgefässnetz gebildet. Damit soll nicht gesagt werden, dass in-der Fläche, in welcher der Diaphysenknorpel mit der knüchernen Diaphyse zusammenstôsst, ein Flachnetz der Blutge- fisse existirt; nur das steht fest, dass diese Gefäss- schlingen gruppenweïise mit einander verbunden sind. Die Configuration dieser Anastomosen variirt sehr: bald sind auf den Längsschnitten nur zwei Schlingen verbunden, bald läuft eine Querbrücke durch 3—5 Gefässschlingen hindurch, bald laufen diese Anasto- mosen kettenweise, in Form von kleinen dicken Schlin- gen, bald ist die Verbindung eine doppelte, d. h. es 1) Siehe Külliker, Handbuch der Gewebelehre, 1868, pag. 7. Külliker giebt für den Durchmesser der allerfeinsten Haargefässe die Zah]l von 0,0045 mm. 9) Siehe Billroth I. c. pag. 716, $ 14. «Zahlreiche eng parallel laufende Gefissschlingen schieben sich in die Knorpelepiphyse hin- ein, die alle einen Knochenmantel erhalten ..... » Mebr von einer Beschreibung dieser Blutgefässe findet sich in der oben erwähnten Abhandlung nicht. 15 liegen zwischen den benachbarten Schlingen zwei Anastomosen, eine über der anderen. Fig. 5, 6, 7. 6. Es ist nicht schwer, Füälle zu finden, wo der Bo- gen der Gefässschlinge ein doppelter ist, dann ist ge- wôühnlich der eine, der dem Knorpel näher liegt, viel dünner, als der andere. Auch kommen solche Bilder vor, wo man sieht, dass ausser den Gefässschlingen, die in der Längsaxe des Knochens laufen, noch andere Schlingen an der Seite der Hauptschlinge sitzen. Fig. 9:10: 7. Sehr oft kommen auf den feinen Schnitten die oben erwähnten Anastomosen auch abgeschnitten zum Vorschein. Ausser diesen abgeschnittenen Neben- zweigen sitzen jedoch in der Regel auf dem Bogen selbst, oder auf den Seiten der Gefässschlinge noch Fortsätze, selbstverständlich bei voller Integrität der Capillarwand. Diese Fortsätze variiren zwischen kaum bemerkbaren buckligen Auftreibungen des Contours des Haargefässes und den conischen trichterformigen Aus- wüchsen der Capillarwand, wobei sich die Membran des Capillarrohrs als ein spitzer, in der Regel kern- loser, selten kernhaltiger Ausläufer verfolgen lässt. ÂAhnliche Fortsätze werden auch weiter von der Knor- pelgrenze getroffen, dann gehen sie von der Capillar- wand schief, selten nur quer ab. Fig.12,13,14,15,17. 8. Es ist mir gelungen, Füälle von solchen doppel- ten Gefässschlingen zu beobachten, wo die Schenkel des secundären Bogens mit der Injectionsmasse ge- füllt waren und in unmittelbarem Zusammenhange mit der die basale Gefässschlinge füllenden Masse stan- den, der Gipfel aber des secundären Bogens injicirt und sein Durchmesser kleiner als 0,0012 mm. war, d. i. kleiner als eine Theïlung des Micromètre mobile mit Système à immersion N° 10. 9. Die dünneren Blutgefässchen der primitiven Markräume in den verhältnissmässig vollkommenen Injectionen stellen sich in der Regel nicht so prall gefüllt, wie die dickeren; oft ist dabei noch die In- jectionsmasse der feineren Gefässchen durch Zellen unterbrochen. Da die Füllung durch Arterien gemacht war, so giebt mir diese Erscheinung das Recht, die dickeren Gefässchen für zu-, die dünneren für abfüh- rende Blutcanäle zu halten. Ein weiterer Unterschied besteht darin, dass, wenn man den Granulationszapfen, der den Raum des primitiven Markraumes ausfüllt und die Blutcapillare einschliesst, zerzupft, auspinselt, Bulletin de l’Académie Impériale 16 dreht, umwälzt u. d. g., man nicht selten auf emen Umstand stôüsst, dass nämlich das dünnere (refässchen sich viel schneller und reiner darstellen lässt, als das andere (das dickere). Die Granulationszellen des Mar- kes haften viel fester an dem letzteren. Bei solchen Manipulationen gelingt es, Biïlder zu bekommen, wo an dem dickeren Haargefäss nur wenige, stark granu- lirte, typische Markzellen festsitzen, und dann ist auch zu sehen, dass ausserhalb des Gefässes noch spindel- formige Zellen, die mit ihrem längeren Durchmesser dem Capillar parallel liegen, vorhanden sind. Die letz- ten besitzen sehr feine, fadenformige Fortsätze, mit- telst welcher sie mit einander anastomosiren und einigermaassen eine Adventitia bilden. Fig. 8. 10. Es ist erwähnenswerth, dass in der Regel der Bogen der terminalen Gefässschlingen einen grüsseren Durchmesser besitzt, als das zuführende Capillar, folg- lich mit der Umbiegung eine Auftreibung des Gefäss- robrs stattgefunden hat. Auch auf den injicirten Blut- gefässschlingen konnte ich dieselbe Erscheinung con- statiren. Noch ist zu bemerken, dass der Contour dieses Bogens, unter stärkeren Vergrüsserungen unter- sucht, sich selten rein darstellt, sondern meistens eine convexe Linie bildet, die mit buckeligen Hervortrei- bungen, mit abgeschnittenen Anastomosen und mit trichterformigen Fortsätzen versehen ist. Fig. 11. 11. Einerseits beweisen die Erscheinungen mit ei- nein progressiven Charakter, die man an den Blut- capillaren der primitiven Markräume beobachtet, näm- lich die Anwesenheit der verschiedenen Fortsätze der Capillarwand und der feinen secundären Gefässschlin- gen, andererseits die Bilder mit regressivem Charak- ter: wie die queren brückenartigen Anastomosen der grüberen Blutgefässe, die weit vom Knorpel liegen, mit einer Nachahmung von sehr verschiedenen For- men der Schlingen bis zu einer Spalte im Laufe des Gefässes, — dass in dem Ossificationsprocesse an den Diaphysenenden eine energische Gefässentwickelung stattfindet. Die Blutgefässwucherung kann so gedeutet werden, dass sie in erster Linie eine Zunahme des Volumens der Knorpelzellen, die unmittelbar den En- den der primitiven Markräume anliegen (die Schicht der hellen Knorpelzellen), hervorruft. In zweiter Linie dass, da die Durchstrômung der Säfte durch aufgetrie- bene (helle) Knorpelzellen wahrscheïnlich, ceteris pa- ribus, leichter stattfinden kann, sie die Knorpelzellen- 17 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 18 proliferation (die Colonnen der Diaphysenknorpel- zellen) verursacht. Fig. 17. 12. Was die Structur der Capillarwand selbst an- langt, so lässt sich über die matt glänzende doppelt- conturirte Grundsubstanz wenig sagen. Doch gab mir die Untersuchung dieser Capillaren im injicirten Zu- stande unter sehr starken Vergrüsserungen für die Capillarkerne ein wichtiges Resultat. Diese Kerne von der Grüsse von 0,0036 bis 0,0072 mm. sind mit ihrem langen Durchmesser in der Richtung der Längs- axe des Haargefässes in verschiedener Entfernung von einander gelagert. Bei der äusserst feinen Dicke der Wand konnte ich mich bei dem Umwälzen der isolirten Capillaren leicht überzeugen, dass diese Kerne in einer nicht gleichen Tiefe in der Capillarwand eingebettet sind. Bald er- scheinen sie unter der äusseren Contourlinie der Ca- pillarmembran, ohne sie emporzuheben, bald bedingen sie verschiedene buckelige Hervortreibungen der Wand, um sich in diesen Buchten einzulagern, end- lich sieht man, dass der Gipfel solcher Hervortreibun- gen eingerissen ist und der Kern mit mehr oder we- niger grossem Umfange seines Volumens theilweise aus- serhalb des Gefässchens liegt. Diese Erscheinungen geben mir das volle Recht, zu behaupten, dass die Capillarkerne dieser Haargefässe nicht eine stabile Lage (d. i. Tiefe) in der Wand besitzen, sondern dass sie in verschiedene Stadien der Auswanderung ge- rathen künnen; und es ist im hohen Grade als wahr- scheinlich anzunehmen, dass sie nichts anderes als extravasirende Elemente aus den Blutgefässen sind, dass demnach die Membran des Capillarrohrs aus einem kernlosen Protoplasma gebildet ist. Fig. 16. 13. Obgleich selten, werden doch solche Bilder ge- troffen, die für eine Bildung der Blutcapillaren des Markgewebes durch Zusammenfliessen von spindelfor- migen Zellen sprechen, wie sie auf der Fig. 18 dar- gestellt sind. Ich habe sie an den Capillaren der pri- mitiven Markräume nur in einer gewissen Entfernung von dem Diaphysenknorpel gesehen. 14. Ich erlaube mir, noch einen Umstand zu er- wähbnen, nämlich: Gebilde, wie auf Fig. 14 abgezeich- net sind, gaben mir Veranlassung, sie so lange für Myeloplaxen zu halten, bis ich endlich gefunden habe, dass sie in einem directen Zusammenhange mit injicir- Tome XVII. ten Gefässen standen, und dass sie nichts anderes, als uninjicirte terminale Blutgefässschlingen darstellen. Erklärung der Tafel, Sämmtliche Bilder sind mit der Camera lucida von Hartnack unter zweierlei Vergrüsserungen gezeich- net: Fig. 1, 3,13,14, 16 und 17 bei einer Vergrüsse- rung von 650 Mal und alle anderen bei Vergrüsserung von 420 Mal. Fig. 1,2 und 3 gehôren zu der Abhand- lung: «Zur Entwickelung des Knochengewebes an den Diaphysenenden der Rührenknochen der Neugebore- nen», die übrigen zu der Abhandlung: «Über die ter- minalen Blutgefässe in den primitiven Markräumen der Diaphysenenden der langen Knochen der Neugebore- nep und über die Capillarkerne derselben». Das Bild Figur 1 ist den äusserst feinen Schnitten aus der Ossification einer Diaphyse entnommen. Das À dient zur Demonstration, dass der Inhalt der letz- ten Knorpelhôhle viel kôrniger aussieht, als die — weiter gelegenen B und C' zeigen, das Durchbrechen des letzten queren Zwischenbalken, der den Diaphysen- knorpel von dem primitiven Markraume abgrenzt. In B ist das Markgewebe ausgefallen und man sieht deutlich, dass in diesem Grenzhalken eine Offnung existirt. In C'ist zu erblicken, .wie die Elemente des Markgewebes durch eine ähnliche Offnung in den Raum der letzten Knorpelkapsel eindringen. Fig. 2 ist angegeben, um zu zeigen, dass in der letzten Knorpelzelle (zunächst dem Ende des primiti- ven Markraumes) keine Spur von einer Proliferation zu finden ist. Die Knorpelzelle liegt mit dem kleinen Seg- mente ihres Umfanges schon in dem Raum des primi- tiven Markkanals. Fig. 3 stellt in einem schiefen zur Längsaxe ge- führten Schnitte das seitliche Hineinwachsen des ter- minalen Blutgefässes in den Raum der Kapsel der letzten Knorpelzelle dar. Fig. 4 sind zwei terminale Blutgefässschlingen ab- gebildet, die erste — mit buckeligen Hervortreibun- gen der Capillarwand; die zweite mit einem abgeschnit- tenen Nebenzweige, wobei der eine Schenkel viel dün- ner, als der andere ist. Fig. 5 ist eine terminale Blutgefässschlinge mit drei Schenkeln abgezeichnet. 19 Fig. 6 stellt eine complicirte terminale Blutgefäss- schlinge dar. Fig. 7 sieht man, dass in einem schiefen, zur Längs- axe geführten Schnitte eine terminale Blutgefäss- schlinge die Wand zwischen zwei benachbarten pri- mitiven Markräumen durchbrochen hat. Fig. 8 stellt eine ganze terminale Blutgefässschlinge dar; dabei ist zu bemerken, dass der eine Schenkel viel dünner, unvollständig injicirt und reiner isolirt ist, als der andere. Fig. 9 und 10 sind doppelte terminale Blutgefäss- schlingen abgebildet, In der Fig. 9 sind beide Bogen vollständig injicirt, in Fig. 10 ist der basale Bogen gefüllt, in den Neugebilden ist die Injectionsmasse in den Schenkoln nur theilweise zu sehen. Fig. 11 — die Auftreibung des Bogens der ter- minalen Blutgefässschlinge und ein stumpfer seitlicher Fortsatz der letzten. Fig. 12 und 13 sind die feinen Fortsätze der ter- minalen Blutgefässe in situ dargestellt. Fig. 14 sind zwei isolirte Bogen der terminalen Blutgefässschlingen, die keine Injectionsmasseenthalten und mit schôünen, feinen, kernlosen Fortsätzen ver- sehen sind, abgebildet. Sie sind Gefässen-entnommen, die weiter (von dem Knorpel) injicirt waren. Fig. 15 — eine terminale Blutgefässschlinge, die theilweise Injectionsmasse enthält und zwei kernhal- tige Fortsätze besitzt. Fig. 16 sind zwei Blutcapillare, um den verschie- denen Sitz der Kerne in der Capillarwand und das Extravasiren der Zellen aus den Gefässen zu demon- striren, abgezeichnet. Fig. 17 ist eine in Entwicklung begriffene termi- nale Blutgefässschlinge abgebildet. Der eine schon fertige Schenkel ist injicirt, der Bogen enthält keine Injectionsfarbe, sondern eine kürnige, mit Zellen ver- sehene Masse, ist stark aufgetrieben und besitzt einen äusserst feinen Fortsatz, der nach rückwärts sich be- giebt und mit einem ähnlichen, der aber von unten aus der Capillarwand hervorgewachsen ist. Fast in der Mitte des Gefissbogens sitzt mit breitem Halse eine Zelle, deren Zusammenhang mit der Capillarwand ein so fester war, dass verhältnissmässig grobe Manipu- lationen mit dem Deckgläschen nicht im Stande waren, sie abzureissen. Bulletin de l’Académie Impériale 20 Fig. 18. Ein injicirtes Blutgefäss, isolirt aus dem primitiven Markraum in einer Entferung von dem Diaphysenknorpel und versehen mit einem Fortsatz, der sich in einer Reihe von spindelfürmigen Zellen ver- folgen lässt. Bericht über eine Reise ins Ausland. Von B. Dorn. (Lu le 28 septembre 1871.) Es ist der Classe erinnerlich, dass ich sie im Früh- ‘jabr d. J. bat, mir die Erlaubniss zu einer Reise ins Ausland und namentlich nach England auszuwirken, um daselbst morgenländische Handschriften in Bezug auf die Geschichte des alten Russlands, das Kaspische Meer, den Kaukasus u.s.w. einzusehen. Ich habe die Reise ausgeführt und während meines Aufenthaltes in London die Arabischen und Persischen Handschriften des Britischen Museums nach Môglichkeit zu dem an- gegebenen Zweck durchgesehen. Ich hatte mich dabeï der besonderen Gefälligkeit des Herrn Dr. Rieu, des gelehrten Herausgebers des zweiten Theiles des Kata- loges der orientalischen Handschriften') der genann- ten Anstalt, von welchem ein Exemplar auch der Aka- demie im Laufe des Sommers zugekommen ist, zu er- freuen. Die im Britischen Museum befindlichen Ara- bischen und Persischen Handschriften glaube ich bis zu einem gewissen Grade für meine Zwecke erschôpft zu haben. Wer Anderes sucht, mag Anderes finden. Da ich beabsichtige, die vorliegenden Auszüge als Fortsetzung der im vorigen Jahre aus Gothaer Hand- schriften mitgetheilten derartigeu Nachrichten*) im Bulletin der Akademie zu verüffentlichen, so begnüge ich mich für jetzt damit, ihren Inhalt im Allgemeinen und kurz und ohne die gehürigen Erläuterungen nur anzudeuten. ik À. Arabische Handschriften, 1) YloM SES Liber Urbium [Regionum], geschrieben um 288 oder 289 — 901, 2; s. Rieu, X CCCLXXX und S. 772. 1) Catalogus codicum manuscriptorum orientalium, qui in Museo Britannico asservantur. Pars secunda, codices arabicos amplectens. Londini, 1846 — 1871. 2) $. Bullet., T. XVI, S. 15—41; Mél. asiat. T. VII. Ich will hier, je eher je besser, die Gelegenheit wahrnehmen, eine falsche Angabe hinsichtlich des Todesjahres Ibn el-Wardy”’s zu berichti- M fin de L Acad Jp d Sc DAVIT | | X Lewschin. Über à Bluféef d'mensch Knochen De Lewsmn del. ÿ + U { l ! We / PT Re TON 1 L \ ‘ sl (ONE; YANN f He Ar RANCE { rn 1 ( Le Ÿ une y ï tr , "un f ae sa ; | l (A & DEN 1 DATE MATE: Ge ! VX | te) idea Al PENSER, ‘ : À l'as RUE A2 FT dx { AUD IaN é t \ : HTMAMEAETIOR Pre ï % : 2 4 ; £ mn. RARES | 4 qu hi} 4 ï Af (re 2 jrs | RTE LES ONEUl : RARES Ur : p À }, É au L d l Ver ï \ Fe (n'es hr ER A ACITT ALT NET / FPONES PCT ONE MAN Er d'A TR SLI ES 2 ou we des Sciences de Saint-Pétersbourg. 2? Das Meer von Rum (der Griechen). Slaven. Der Berg Dunbawend (Demawend). Die Stadt Ray. Kaufleute der Slaven*). Fluss der Slaven. Aferidun. Biwerasp. Mehdy. Der Sohn des Mussmighan. Ersteigung des Demawend. Aserbaidschan: Warthan, Bersend, Meragha. Arme- nien: Kaukasische Lande und Orter, Berdaa, Derbend, Scherwan, Bilkan u. s. w. Ein Wasserschlund im Kaspischen Meer, welchen Anuschirwan besichtigt. Ahmed ibn Wadhih in Armenien und dessen Angaben über Kaukasische Länder — Der Kaukasus. Slaven im Kaukasus. Die Flüsse Kur und Araxes. Die Chasaren Juden. Tabaristan und dessen Geschichte. 2) dual SCI) Res pretiosae, von Abu Aly Ahmed ibn Omar ibn Dusteh (nach 290 — 903); s. ibid., X MCCCX. Das Meer von Tabaristan und Dschurdschan. Die Flüsse Araxes, Kur, Sefidrud, Dschaihun. Serir. Dschai- dan. Alanen. Bab el-Abwab (Derbend). D] 8) Ibn Serapion (Ausgang des 3. oder Anfang des 4.Jahrh. d. Flucht, A. C. 910 — 920), Tractatus geo- graphicus de arte delineandi fiquram orbis terrarum; s. ibid., X MCCCIX. Das Kaspische Meer. Der Tawil-, d. i. der Chasaren- Fluss. Der Fluss von Dschurdschan. Abeskun. Der Fluss Tabarirud. Der Sefidrud. Die Flüsse Kur und Araxes. 4) )| am] CES Index et Conspectus, von Masudy (f 346 — 957); s. ibid., À MCCXT. Meer der Slaven. Das Kaspische Meer und dessen verschiedene Benennungen. Baka (Baku). Das Nafta- land. Der Fluss Kur — der Chasaren — von Burtas, Gurgrud u. a. Der See von Chuäresm. Meer der Rus- sen. In dasselbe ergiesst sich von Norden der Fluss «Tanatin» (Don), auf welchem viele Schiffe der Sla- ven u. a. fahren. Der Russische Stamm Kudekaneh (ak3,9). 5) À SUN] äis” Donum cordium et delectus mirabi- gen; s. Bullet., $.18; Mél. as. S. 348. Tbn el-Wardy starb nicht 1349, denn er schrieb sein Werk + ] AR CIELE 1, JL. 822 — 1419. Vergl. auch über den Grund der unrichtigen Annahme, Rieu, a. a. O. S. 611, X MCCCXX. 3) S. Sprenger’s Aufsatz im Journal of the As. Soc. of Bengal, T.XIIL, S. 524 ; vergl. A catalogue of the bibliotheca orientalis Spren- geriana. Giessen. 1857, X 2. a. lium, von Abu Hamid el-Andalusy (f 565 — 1170); s. ibid., X DCCCCLXV. Handel eines christlichen Volkes von Rumija, ge- nannt Tamisch (ieL?) mit den Slaven. Sogenannte Russische Leinwand RE Die Russen gehüren zu den Slaven. Die Tabarselaner (Tabaseraner). Thiere im Kaspischen Meere. Lam b. Abir im Slaven-Land und Baschghird. Grosse Zäühne in Bulghar und Baschghird. Kaukasische Länder. Derbend. Die Sirehkaran, d. 1. Kubätschi. Das Chasaren-Meer. Dessen Inseln. Die Stadt Bulghar, welche vierzig Tage ober Saksin liegt. Handel der Bulgharen mit den Isui. Ein Riese in Bulghar. 6) glass) äis Donum Mirabilium et Elegantia Ra- rioru m, von Ibnel-Athir; s. ib., À CCCLXXXIIT und $. 613. Dschurdschan. Bailekan. Tabaristan. Berge von Dailem. See von Chuäresm. Berdaa. Slaven-Land. Bab el-Abwab (Derbend). Der Kaukasus und dessen Reiche. Land der Russen. Land der Chasaren. Stadt Itil. Burtas. Bulghar. Fluss Itil. Berg Kaukasus. 7) À) nel gb Viae Cogitationis et ÆExhilarationes Exemplorum, von Dschelaleddin Muhammed ibn Ibrahim el-Watwat, el-Warrak (+ 718 — 1318); s. ibid., M CCCLXXXII. Der See von Chuäresm. Die Flüsse Dschaihun, Saihun, Kur. Chasaren. Bulgharen. Slaven. 8) d s),u) | x Lucerna regum et via pie vivendi, von Jahja ibn Abd el-Dschelil (ibn) el-Hadschi Junus el-Dschelily el-Maussily (f 1198 — 1787); s ibid... MCCLIX. Meer von Dschurdschan u. s. w. Die Flüsse Atil und Kur. Der Berg von Tabaristan. B, Persische Handschriften, 1) cp élu] 5j, Wegevorrath der Reisenden, von Abu Muin b. Chosrau el-Kubadiany el-Merwesy (um 437 — 1045). Der Schabrud und Sefidrud. Schirwan. Der Fürst von Dailem und Gilan, Dschestan Ibrahim; der Fürst von Aserbaidschan, Wahsudan Muhammed. 2) SEUL SIL SES, Buch der Reisewege in den Kônig- 2* 23 reichen, von Abul-Hasan Ssàid (ucle) b. Aly el- Dschurdschany. Aitil. Mankischlak. Derbend. Die Einwohner von Dschil(Gilan), Tabaristan und Gurgan. Über die Benen- nung os? See, mit Bezug auf das Kaspische Meer. Abes- gun. Der Wasser(See)hund. Gefährlicher Wasserstrahl im Kaspischen Meer. Der See von Chuäresm. Dschai- hun — grosser Fluss. Atil. Masduran. Bab el-Ab- wab (Derbend). Die Mauer von Gurgan. 3) rs BY, Bilder der Klimate, ohne Namen des Ver- fassers. Das Werk ist i. J. 748 — 1347 in Kir- man verfasst. Das Meer von Chuàäresm. Abesgun. JL] /JKil, Wett-Ansichten, von Abu’i-Kasim b. net el-Dschaihany (um 913 — 942). Deileman. Gilan. Die Dschestaniden. Die Berge Ka- ren, Kadusian, Runidsch (?). Tabaristan. Dschurdschan. Abesgun. Bulghar. Suwar. Russen, drei Stämme: 1) Rus- sen, 2) Sselawijeh (Slaven, Caasaue), 3) Ertanijeh (as G) } 5) A ê D Tarich-i-Alfy, Über das Ende des Chuà- resmschahs Muhammed. 4) 6) Aus dem der K. Asiatischen Gesellschaft zu London zugehürigen i. J. 1217 — 1802 Persisch verfassten Werke Lil: 5h, Sonnen-zeigender Spiegel, von Abdurrahim Schah Nawas Chan Haschimy Banbany el-Dihlawy habe ich die Artikel Aster- abad, Bakujeh, Schirwan und die Lande der Russen ausgeschrieben. IL. Herr Dr. Steinschneider in Berlin hatte die Güte gehabt, mich auf eine Lateinische Handschrift der Wiener Hofbibliothek aufmerksam zu machen, von welcher man vermuthen konnte, dass sie vielleicht die Übersetzung Ssufy’s, dessen Werk von der Akademie gedruckt werden wird, enthalte. Die Handschrift fin- det sich verzeichnet in Tabulae codicum scriptorum ete. Vol. IV. Vindobonae, 1870, À 5318: 2) Liber de locis stellarum ficarum cum ymaginibus suis verificatus a Jeber Mosphim. Auf meine Bitte hat Herr Jos. Haupt, Scriptor der K. K. Hofbibliothek und c. Mit- Bulletin de l’Académiie Impériale 24 glied der Akademie der Wissenschaften zu Wien, die Gefälligkeit gehabt, mir eine Probe aus dem Buche (das Sternbild des kleinen Bären — Beschreibung und Nachbildung) mitzutheilen. Eine Vergleichung mit der noch handschriftlichen Übersetzung Ssufy’s durch Herrn Schjellerup”) sowie der Inhalt der Wiener Handschrift scheint mir unwiderleglich zu beweisen, dass letztere nicht das Werk Ssufy’s, sondern mehr ein astrologisches Werk enthält. Ich füge zur Unter- stützung meiner Ansicht einen Auszug bei. «Nota Ursa minor quandoque dicitur arctos Quan- doque arcturus Quandoque arctofilax Quandoque polus septentrionalis Quandoque tramontana quandoque senix quandoque eurrus uel plaustrum. Item Natus sub hoc signo id est sub ursa minori Erit valde magnificus in orbe siue fuerit clericalis ordinis siue laicalis unde beatus erit in orbe pre om- nibus de sua prole uel regione sue nacionis» etc. Diese und andere dergleichen Angaben finden sich meines Wissens in Ssufy nicht. Zergliederung eines linken Armes mit Duplici- tât des Daumens. Von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 21 septembre 1871.) Beobachtet im April 1871 bei einem Manne, wel- cher, abgesehen von der Polydactylie an der linken Hand, übrigens wohl gebildet war. Zergliedert nach vorausgeschickter Injection der Arterien. ne OS Der supernumeräre Daumen, welcher an der Radialseite der Hand sitzt, ist wie eine Kraile ge- krümmt. Er besteht aus drei Knochen: aus einem rudimentären Metacarpale und aus zwei Phalangen. Das Metacarpale ist schräg radial- und volarwärts, die Grundphalange gerade abwärts und die mit einem langen Nagel versehene Endphalange gerade ulnar- und volarwärts gerichtet. Das Metacarpale hat sich daher mit der Grundpha- lange stumpfwinklig (Winkel radial- und dorsalwärts offen) und letztere mit der Endphalange rechtwinklig 4) Description des étoiles fixes composée au milieu du dixième siècle de notre ére par l’astronome persan Abd-al-Rahman al- Sûfi. Traduction littérale etc. 25 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 26 (Winkel ulnar- und volarwärts offen) vereinigt. Das obere Ende des Metacarpale ist mit dem Metacarpale des normalen Daumens an dessen Radialseite über dem Capitulum nur durch kurze Bandmasse, nicht ge- lenkig, aber doch nach allen Richtungen ziemlich be- weglich vereinigt. Das Capitulum des Metacarpale des supernumerären Daumens besitzt eine schräg ul- narwärts gerichtete Gelenkfläche. Das Phalango- Pha- langealgelenk ist ein beschränktes Winkelgelenk, wel- ches nur eine geringe Beweglichkeit nach der Beuge- und Streckseite gestattet. Die Gelenkfläche am unte- ren Ende der Grundphalange sitzt an der Beugeseite. Das Metacarpale ist 7°” lang, am oberen Ende 22}, in der Mitte 3°”, am unteren Ende 3” dick; die Grundphalange ist 7!/" lang, am oberen Ende 3”, in der Mitte 1!/"”; am unteren Ende 2! dick; die End- phalange ist 8” lang, am oberen Ende 2?//”, in der Mitte und am unteren Ende 1” dick. Die ganze Länge des supernumerären Daumens beträgt + 2” (Par. M.). Wenn er ausgestreckt werden künnte, würde seine Spitze bis zum Phalango- Phalangealgelenke des nor- malen Daumens herabreichen. Der Winkel der ge- lenkigen Vereinigung seiner Phalangen entspricht etwa dem oberen Drittel der Grundphalange des normalen Daumens. Die übrigen Knochen des $Skeletes des betreffenden Armes und des ganzen Kürpers verhalten sich wie gewôbnlich, Muskeln. Der Palmaris longus fehlt. Die Sehne des Exten- sor pollicis longus ist in zwei Zipfel gespalten. Statt des Abductor pollicis brevis der Norm ist ein aus zwei Schichten bestehender Muskel (a, b) zuge- gen. Jede Schicht desselben endet in eine besondere Sehne. Die oberflächliche Schicht (a) ist am An- fange 6” breit und !/” dick. Die tiefe Schicht (b) ist am Anfange 9” breit. Beide sind länglich dreisei- tig. Die Sehne der oberflächlichen Schicht ist 5 — 6” lang, ?/, —/" breit, platt- rundlich und inserirt sich an die Volarseite der Grundphalange des supernume- rären Daumens. Sie hängt durch eine 14” lange und 12" breite Commissur (d) mit einem Zipfel (c) des Flexor pollicum longus zusammen. Die oberfläch- liche Schicht repräsentirt den Flexor brevis pollicis supernumerari (a). Die tiefe Schicht ist der Abduc- tor brevis pollicis normalis (b). Beide Schichten und sn Em 3 ua ii deren Sehnen decken sich. Die Sehne des Flexor pollicis longus giebt in der Gegend des Metacarpo- Phalangealgelenkes des normalen Daumens einen 1/”, später 1” breiten, plattrundlichen Zipfel (c) ab, wel- cher sich an beide Phalangen des supernumerären Daumens inserirt. Alle übrigen Muskeln sind normal. Der supernumeräre Daumen hat daher Mangel: an einem Æxtensor, Abductor und Adductor, besitzt aber zu seiner Bewegung: zwei Flexores, und zwar einen Ælexor proprius brevis und einen ihm und dem normalen Daumen gemeinschaftlich gehôrenden Fle- æor pollicum longus. Gefässe, Die Arteria axillaris, brachialis und deren Âste verhalten sich wie gewühnlich. Die Brachialis theilt sich in die: Recurrens radialis, Radialis und Interosseo-Ulnaris. 27 Bulletin de l’Académie Empériale 2s ——————————————— — — ———— — __——————————————————— Die Interosseo-Ulnaris giebt, 3” über ihrem Ende, die Recurrens ulnaris ab und theilt sich in die: Ulnaris propria, Mediana profunda und Interossea communis. Die Mediana profunda ist kurz und schwach. Die Interossea communis ist 21/, — 3°” lang. Die Interossea anterior und posterior verhalten sich wie gewôbnlich. Die Recurrens interossea geht gleich vom Anfange der I. posterior ab. Die Ulnaris propria schickt, 13°’ über dem Pisiforme, die Ulnaris dorsa- lis ab. Die Ulnaris volaris theilt sich am unteren Rande des Lig. carpi volare proprium in die U. v. su- perficialis und profunda. Die U. v. profunda geht am Rande des Hypothenar in die Tiefe und sendet die Volaris ulnaris dig. V. ab. Die U. v. superficialis bil- det den oberflächlichen Hohlhandbogen. Der ober- flächliche Hohlhandbogen sendet die Digitalis commu- nis IV., IL, IL. ab und endet als Dig. volaris ulnaris pollicis normalis. Letztere Arterie anastomosirt: la- teralwärts mit der Dig. vol. radialis pollicis normalis und medialwärts mit der Dig. vol. radialis und Dig. dors. radialis indicis, welche von der Radialis kommen. Die Radialis giebt an die Volarseite des Carpus die schwache Palmaris, welche den oberflächlichen Hobl- handbogen nicht erreicht, und an der Dorsalseite des Carpus, in der sogenannten Dose, eine supernume- räre 1” starke Arterie (e) ab. Diese steigt am Rü- cken des Metacarpale pollicis normalis zwischen den Sehnen des Extensor brevis und longus pollicis ab- wärts, wendet sich am unteren Drittel der Länge des genannten Metacarpale über dem supernumerären Daumen radialwärts und geht unter der Sehne des Extensor brevis pollicis vorbei. Sie sendet eine schwa- che Dorsalis für beide Daumen (x) ab und theilt sich, sobald sie an die Sehnen des Abductor brevis pollicis normalis gelangt ist, in zwei Endäste. Der laterale, schwächere Endast (8) ist die Dig. vol. unica pollicis supernumerarii, der mediale Endast (y) aber die Dig. vol. radialis pollicis normalis. Letztere Arterie geht unter dem Abductor brevis pollicis nor- malis und Flexor brevis pollicis supernumerarii vor- bei, empfängt darauf eine lange Anastomose vom End- aste der Ulnaris volaris superficialis, kreuzt volar- wärts den Zipfel der Sehne des Flexor pollicis lon- vol. radialis pollicis normalis. Nachdem die Radialis die Sehne des Extensor longus pollicis gekreuzt hatte, giebt sie die starke Carpea dorsalis radialis ab, die sich als Metacarpea dorsalis IT. fortsetzt. Bevor die- selbe den Interosseus externus I. durchbobrt, giebt sie eine das Interstitium metacarpeum I. durchsetzende Arterie ab, die mit der Dig. volaris ulnaris pollicis supernumerarii anastomosirt; ferner eine Arterie, wel- che sich in die Dig. dors. ulnaris pollicis normalis und Dig. dors. radialis indicis theilt, und endlich nach Durchbohrung des Interosseus externus I. die Dig. vol. radialis indicis ab. Nerven. Vom Digitalis volaris radialis pollicis normalis des Medianus kommt ein Digitalis volaris pollicis supernu- merarti (f). Etwa 2” über der Handwurzel entsteht mit einer langen Wurzel vom Cutaneus anterior externus und mit einer kurzen Wurzel vom Ramus superficialis des Radialis ein in vier Zweige getheilter Digitalis dorsa- lis pollicis supernumerarii, wovon 3 zur Haut des su- pernumerären Daumens gehen, der 4. an einen Digi- talis dorsalis pollicis normalis sich anlegt. Vergleichung, Ich habe im Februar 1865), im September 1865°) und vor Kurzem 1871 °) die Resultate der Zergliede- rung von drei anderen oberen Extremitäten mit Duplicität des Daumens an der Hand mitgetheilt. Alle diese Extremitäten waren rechte und hatten männli- chen Individuen angehürt. Vergleicht man die 3 früheren Fälle unter einander und mit dem neuen 4. Falle, so ergiebt sich: 1) Der supernumeräre Daumen sass in allen Fällen an der Radialseite der Hand und bestand im 1. und 2. Falle aus 2 Knochen (Phalangen)} im 8. und 4. Falle aus 3 Knochen (1 Metacarpale und 2 Phalangen). Die Knochen waren meistens deform und meistens zur Hand und zu einander abnorm gestellt. 1) Notiz über die Zergliederung einer rechten oberen Extremi- tät eines Mannes mit Duplicität des Daumens an der Hand. — Arch. f. pathol. Anat. u. Physiol. u. f. klin. Medicin. Bd. 32. Berlin 1865. S. 223. Taf. V. Fig. 4—5. 2) Osterr. Zeitschr. f. prakt. Heïlkunde. Wien 1865. X 37. 3) Bullet. de l’Acad. Imp. des sc. de St.-Pétersbourg. T. XVI, gus zum supernumerären Daumen und endet als Dig. | p. 486; Mélang. biolog. T. VIII, p. 181. Mit Holzschn. 29 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 30 2) Der supernumeräre Daumen war in allen Fällen mit dem Metacarpale pollicis normalis verei- nigt. Im 1. u. 2. Falle geschah diess durch ein Ge- lenk,— im 3. Falle durch ein Gelenk und ein Lig. intermetacarpeum, — im 4. Falle durch Bandmasse allein. Im 1. Falle articulirte die Grundpha- lange des supernumerären Daumens über dem Capitulum des Metacarpale I. in einer besonde- ren Metacarpo-Phalangeakapsel; — im 2. Falle die- selbe am Capitulum des Metacarpale I. selbst in einer beiden Daumen gemeinschaftlichen Me- tacarpo-Phalangeakapsel; — im 3. Falle articulirte das Metacarpale des supernumerären Daumens an der Basis des Metacarpale des normalen Dau- mens in einer besonderen Kapsel und war damit ausserdem durch ein Ligament vereinigt; — im 4. Falle war das Metacarpale des supernumerären Daumens mit dem Metacarpale des normalen Daumens nur durch Bandmasse in Zusammen- hang u.s. w. 3) Im 1.Falle schickten der Flexor und Abductor longus pollicis einen Zipfel ihrer Sehnen zum super- numerären Daumen. Die tiefe Schicht des Abductor pollicis brevis inserirte sich mit einer Partie an die Capsula metacarpo-phalangea und an die ulnare Kante der volaren Fläche der Grundphalange des super- numerären Daumens, der Opponens pollicis mit einem Fleischbündel an die genannte Kapsel und die Radial- seite der Grundphalange desselben. Der Flexor bre- vis pollicis setzte sich mit seinem Radialbauche theil- weise an die Grundphalange des supernumerären Dau- mens. Für beide Daumen war ausserdem ein super- numerärer Muskel — M. interpollicaris transversus — zugegen. — Im 2. Falle inserirten sich der Extensor brevis, ein Zipfel des Extensor longus, ein Zipfel des Flexor longus pollicis und der Abductor pollicis bre- vis an den supernumerären Daumen. Es war ausser- dem ein Abductor pollicis supernumerarii zugegen. — Im 3. Falle endete der Abductor longus pollicis mit einem Zipfel am Metacarpale des supernumerären Daumens, war der Abductor des letzteren allein und nicht auch des normalen Daumens, schickte der Ex- tensor brevis pollicis eine Schne zu beiden Phalangen des supernumerären Daumens, war der Extensor des- selben allein und nicht auch des normalen Daumens, repräsentirte die oberflächliche Schicht des dem Ab- ductor brevis pollicis der Norm entsprechenden Mus- kels, den Abductor brevis und die tiefe Schicht den Flexor brevis pollicis supernumerarii und der dem Opponens pollicis der Norm entsprechende Muskel nur den Opponens pollicis supernumerarii. Im Inter- stitium metacarpeum supernumerarium waren ausser- dem zwei sich deckende supernumeräre Muskeln zu- gegen, welche am Metacarpale pollicis supernumerarii entsprangen und an die Ossicula sesamoidea pollicis normalis sich inserirten. — Im 4. Falle hatte der supernumeräre Daumen zu seiner Bewegung nur zwei Flexoren erhalten, wovon einer ihm allein als Flexor brevis proprius, der andere aber beiden Daumen als Flexor pollicis longus angehôrte. — Der supernu- meräre Daumen war daher in den ersten 3 Fäl- len nach mehreren Richtungen, im 4. Falle nur nach einer Richtung durch Muskelwirkung be- weglich. 4) Der supernumeräre Daumen bhatte im 1. Falle nur eine Arteria volaris, deren eine Wurzel ein Ast der Princeps pollicis, deren andere Wurzel die Palmaris bildete; — im 2. Falle zwei A. volares, wovon die Radialis die Fortsetzung des Endastes der Ulnaris volaris superficialis oder des Arcus volaris superficialis manus, die Ulnaris von einem Verbin- dungsaste dieser mit der Volaris ulnaris pollicis nor- malis abgegangen war; — im 3. Falle zwei A. vola- res, in welche der laterale Endast der Mediana pro- funda, die den Arcus volaris superficialis bilden ge- holfen hatte, sich getheilt hatte, wovon die Radialis die Palmaris aufgenommen und die Ulnaris mit der Volaris radialis pollicis normalis anastomosirt hatte; — im 4. Falle endlich wie im 1. Falle eine einzige Volaris erhalten, welche der laterale Endast der un- gewühnlichen Arterie war, die von der Radialis in der Dose am Rücken der Handwurzel ihren Ursprung genommen, eine schwache Dorsalis für beide Daumen abgegeben und zuletzt in die Volaris pollicis super- numerarii und Volaris radialis pollicis normalis sich getheilt hatte. 5) Der supernumeräre Daumen hatte in allen Fällen vom N. medianus einen Ramus volaris; in den ersten 3 Fällen von einem supernumerären Aste des Ram. superficialis des N. radialis und im 4. Falle von einem supernumerären Aste, welcher mit ei- ner Wurzel vom Ram. superficialis des N. radialis, Bulletin de l’Académie Impériale 32 ee mit der anderen Wurzel von dem N. cutaneus ante- rior externus entstanden war, seine Rami dorsales erhalten. Es hatte somit jeder Fall seine Besonderhei- ten, kein Fall glich dem anderen. Der super- numeräre Daumen hätte im 1., 3. und namentlich 4. Falle ohne Nachtheil für die Hand entfernt wer- den künnen; im 2. Falle aber, in dem derselbe mit dem normalen Daumen in einer gemeinschaftlichen Kapsel am Capitulum des Metacarpale I. articulirte, wäre seine Exarticulation wohl contraindicirt gewesen. Erklärung der Abbildung, Volarseite: des unteren Unterarmendes und der Hand der linken Seite. a. Musculus flexor brevis pollicis supernumerarii. b. M. abductor brevis pollicis normalis. c. Zipfel der Sehne des Flexor longus pollicum zum supernumerären Daumen. d. Commissur zwischen der Sehne des M. f. br. poll. supern. und dem Zipfel der Sehne des M. f. I. pol- licum zum supernumerären Daumen. e. Supernumeräre in der Gegend der Dose des Car- pus von der À. radialis abgegangene Arterie. &. À. dorsalis pollicum. 6. A. volaris pollicis supernumerarii. y. À. vol. radialis pollicis normalis. f. Nervus digitalis volaris pollicis supernumerarii aus dem N. medianus. Die anorganischen Salze als ausgezeichnetes Hülfsmittel zum Studium der Entwickelung niederer chlorophyllhaltiger Organismen. Von Prof. A. Famintzin. (Lu le 21 septembre 1871.) (Mit 3 Tafeln.) Unter allen in der letzten Zeit erschienenen, ins Ge- biet der Biologie sowohl der Pflanzen als Thiere gehÿ- renden Arbeiten sind wohl die Untersuchungen Dar- win’s die hervorragendsten. Seine Theorie der Entste- hung der Arten ist gegenwärtig von den hôchsten wis- senschaftlichen Autoritäten anerkannt und durch eine Masse von Schriftstellern popularisirt worden.Das hôch- ste Verdienst Dar win’s besteht meiner Ansicht nach da- rin, dass er eine ausserordentliche Menge von Beobach- tungen über die Veränderlichkeit der domesticitirten Thiere und Pflanzen, welche von den Vieh- und Pflan- zenzüchtern gemacht worden sind, zusammenge- stellt und, sich auf dieses ausserordentlich reichhalti- ges Material stützend, die Plasticität sowohl der Pflan- zen als Thierformen bewiesen hat. Ich beabsichtige hier nicht die ganze Theorie Dar- win’s, sondern nur die Schlüsse, welche er aus ihr zur Erklärung der Entstehung hüherer Pflanzen- und Thierformen aus den niederen zieht, zu berücksichti- gen. Diese complicirte und lange Reïhe der Meta- morphosen soll nach Darwin durch den Kampf ums Dasein und die natürliche Zuchtwahl bedingt sein. Die Pflanzen und Thiere sind, in geometrischer Pro- gression an Zahl zunehmend, gezwungen einen hef- tigen Kampf mit ihren Nebenbuhlern auszustehen, und es wird dadurch nur den am meisten ihrer Umgebung angepassten Formen môüglich ihren Ent- wickelungscyclus zu vollenden und durch die Erzeu- gung einer Nachkommenschaft die Existenz ihrer Speciesform zu sichern. Die Individuen einer und derselben Species sind, nach Darwin, niemals einander vüllig gleich, indem sie sowohl in der Form als auch in der Struktur eine Menge von individuellen Abweiï- chungen zeigen, die anfänglich hôchst unbedeutend unter dem Einfluss der natürlichen Zuchtwahl zu sehr wesentlichen und auffallenden Verschiedenheiten sich heranbilden kôünnen, wenn sie nur eine Vervollkomm- nung in der Anpassung des Individuums an die äusse- ren Verhältnisse mit sich bringen. Unter dem Ein- flusse dieser Wirkung, sagt Darwin, geht die Vervoll- kommnung der Organisation vor sich, und es werden hühere Formen aus den niederen gebildet. Die am hôchsten entwickelten Formen sind nach Darwin auch die am besten angepassten und sind als Erzeugungen der natürlichen Zuchtwahl zu betrachten. Die Pflan- zen und Thiere hôren auf nach einer hôheren Organi- sation zu streben und behalten nur den von ihnen schon erlangten Grad der Vervollkommnung, wenn das weitere Differenziren ihres Organismus keine nütz- liche Anpassung an die äusseren Verhältnisse in sich birgt. Dadurch erklärt Darwin, dass sich auch die einfachsten Formen bis auf jetzt erhalten haben. Ohne den Kampf ums Dasein giebt es nach Darwin auch ‘des Sciences de Saïint-Pétershourg. 34 keinen Grund für die weitere Vervollkommnung der Organismen). Man muss aber gestehen, dass diese Ansichten ge- genwärtig noch nicht als vollkommen begründet ange- sehen werden künnen und mehrere gewichtige Ein- wendungen zulassen. Sie wurden noch nicht, für die pflanzlichen Organismen wenigstens, durch Beobach- tungen unterstützt. Im Gegentheil wollte man, auf die bis jetzt über die einfachsten Formen gemachten Unter- suchungen sich gründend, ein Urtheil über diesen Ge- genstand bilden, so würde man zu einem entgegen- gesetzten Schlusse gelangen. In keiner der neueren Arbeiten über die einfachsten Organismen lässt sich etwas auffinden, was auf eine Umwandlung niederer Pflanzenformen in hôühere hingedeutet hätte. Bis jetzt ist es im Gegentheil auch für die cinfachsten Orga- nismen gelungen, nur einen bestimmten Cyclus der Metamorphosen zu entdecken, den die Form unauf- hôürlich durchläuft, ohne über ïhn je hinauskommen zu künnen, so dass, von welchem Stadium der Ent- wickelung die Untersuchung auch beginnen mag, man wieder nach einer Reihe von Metamorphosen denjeni- gen Zustand zu beobachten bekommt, von dem man ausgegangen war. Diesen Untersuchungen zu Folge kommt also auch einer jeden cinfachen Pflanzenform ein ebenso bestimmter und unveränderlicher Cyclus von Metamorphosen, wie den phanerogamen Pflanzen zu. Die Ansichten von Kützing, Itzigson und Ande- ren, welche das (Gregentheil behaupten, werden dage- gen gegenwärtig von den besten Autoritäten für falsch erklärt. Aus diesem kurzen Umrisse der erhaltenen Resul- tate ist es einleuchtend, dass es bis jetzt nicht nur nicht gelungen ist, den Kampf ums Dasein als eine Ursache der allmählichen Vervollkommnung der Orga- nismen vüllig unzweifelhaft hinzustellen, sondern dass sogar die Umwandlung niederer Pflanzenformen in hühere noch nie sicher beobachtet worden ist. Nichtsdestoweniger kann der Mangel an Überein- stimmung der erhaltenen Resultate mit den theoreti- schen Folgerungen Dar win’s in keinem Faille als Be- weis für deren Unrichtigkeit angesehen werden, denn die Untersuchungsmethoden der Entwickelung niede- 1) Darwin. De l’origine des espèces, 27° édition augmentée d’après les notes de l’auteur. 1866. Siehe 2. Capitel: Du progrès or- ganique (p. 144) und persistance des formes inférieures (p. 147). Tome XVII. fe rer Pflanzenformen sind noch äusserst mangelhaft und der Vervollkommnung hôüchst bedürftig. Die Vervoll- kommnung der Methode der Untersuchung, insbe- sondere in Bezug auf die Algen, habe ich mir als eines der hauptsächlichsten Ziele gegenwärtiger Arbeit hin- gestellt. Vor Allem habe ich mich bemüht, eine feuchte Kammer einzurichten, mit deren Hülfe es mir müglich wäre, eine ganze Reihe von Beobachtungen an einem und demselben Individuum oder einer und derselben Zelle auszuführen. Ferner habe ich den Wassertropfen durch eine Lüsung anorganischer Salze, von bestimmter Con- centration und Zusammensetzung zu ersetzen gesucht, indem ich dadurch eine kräftigere und raschere Ent- wickelung der zubeobachtenden Pflanzen zu erzielen hoffte. Die von Knop, Stohmann und Anderen an Phanerogamen in den Lüsungen anorganischer Salze angestellten Kulturen, besonders aber die Arbeiten von Pasteur und Rolin an den niederen Pilzformen be- stärkten mich in dieser Ansicht. Die erhaltenen Resul- tate haben meine Hoffnungen vollkommen bestätigt. Diese Methode ist meiner Ansicht nach noch des- halb von grossem Interesse, weil sie es ermüglicht, durch genau ausgeführte Versuche die Darwin’schen An- sichten zu prüfen. Mit Hülfe dieser Methode ist es mir schon gelungen, bei einigen der niedersten Al- gen Abänderungen zu entdecken, welche den an Phanerogamen beobachteten vollkommen gleichen, in- dem einige von ihnen durch die äusseren Ursachen bedingt gleichzeitig in allen Individuen zu Stande kamen, andere dagegen nur an einigen wenigen Exem- plaren sich zeigten und deshalb als individuelle Ver- schiedenheiten aufgefasst werden mussten. Diese bis Jetzt noch von Niemandem beobachteten Abände- rungen werden wobl allen Anhängern der Lehre von der Umwandlung niederer Formen in hühere sehr willkommen sein, müge man der Ansicht Lamark’s, welcher die Ursache der Vervollkommnung als dem Organismus innewohnend annimmt, den Vorzug geben, oder der Darwin’schen Theorie sich anschliessend, den Kampf ums Dasein als alleinige Ursache der Ver- vollkommnung betrachten. Es wird endlich auf diese Weise müglich sein, mittelst der gewühnlich bei physio- logischen Untersuchungen gebrauchten Methode der vergleichenden Versuche zu erforschen, in welchem Grade die Vervollkommnung der Organisation durch den Kampf ums Dasein bedingt wird. In derselben 3 35 Bulletin de l’Académie Impériale Weise, wie bei der Untersuchung der Wirkung irgend eines äusseren Faktors, z. B. des Lichtes, der Wärme oder sogar irgend eines Bodenbestandtheiles verglei- chende Versuche angestellt werden, in denen die zu untersuchenden Organismen unter môglichst gleichen Verhältnissen, den einzigen Faktor, dessen Wirkung man erforschen will, ausgenommen, gebracht wer- den, so muss auch im vorliegenden Falle die Ent- wickelung der einander mglichst ähnlichen Indi- viduen verglichen werden, von denen einige dem Kampfe ums Dasein ausgesetzt, die anderen dagegen gegen ihn geschützt wären. Die letzte Bedingung lässt sich leicht ausführen, wenn nur dafür gesorgt wird, dass die zu beobachtenden Organismen reichlich ernährt werden und eine genügende Quantität Licht und Wärme bekommen, um durch einander ganz unbehindert eine môglichst üppige Entwickelung erlangen zu kônnen. Die Beobachtung wird also in diesem Falle entschei- den, ob eine Vervollkommnung der Form auch ohne den Kampf ums Dasein zu Stande gebracht werden kann oder aber, der Ansicht Darwin’s gemäss, die weitere Vervollkommnung dabei ausbleiben wird. Ich habe die feuchte Kammer aus Glas und Kau- tschuk construirt. Auf ein Objektgläschen wird ein viereckiges Kautschukstück von 1 bis 2 mil. Dicke, mit einer kreisrunden OÜffnung in der Mitte versehen, befestigt. Damit es fest an der Glasplatte hafte, ist es vortheilhaft, vorläufig über der Flamme einer Kerze oder Spirituslampe sowohl das Objektglas als das Kautschukstück zu erwärmen. Ein auf diese Art be- handeltes Stück Kautschuk haftet am Glase ausser- ordentlich fest. Über dasselbe wird ein Deckgläschen mit dem an der unteren Fläche hängenden Tropfen Flüssigkeit, in der das zu untersuchende Object sich befindet, gelest. Der in der auf diese Weise her- gestellten feuchten Kammer sich befindende Tropfen wird nur kaum merkbar durch Verdunsten vermin- dert, da der kleine Raum sehr bald mit Wasserdün- sten gesättigt wird. Die so hergestellten Präparate wurden ausserdem beständig unter einer Glasglocke in einer feuchten Atmosphäre cultivirt und nur von Zeit zu Zeit auf wenige Augenblicke für die mikro- skopische Untersuchung herausgenommen. In einigen Fällen hatte es sich als nützlich erwiesen, noch einen kleinen Tropfen Wasser in die feuchte Kammer auf die Objektplatte zu schaffen, oder aber in den capillären Raum zwischen dem Kautschuk und dem Deckgläschen einzuführen. Mit Hülfe dieser An- passungen ist es mir gelungen, nicht nur die rasche Verdunstung zu verhindern, sondern auch, wenn der Tropfen kein Wasser, sondern eine Lüsung verschiede- ner Salze war, seine Concentration in ziemlich engen Grenzen constant zu erhalten, wenigstens bis zu dem Grade, welcher mir zum Erlangen der mir vorliegen- gen Ziele vollkommen genügte. In den meisten Fällen wurde der Tropfen, wenn er aus einer Salzlüsung be- stand, täglich oder hüchstens nach 2 bis 3 Tagen ge- wechselt, und auf diese Weise wurde die gewünschte Concentration immer wieder genau hergestellt. Es ist dabei aber nothwendig, noch folgende Um- stände nicht ausser Acht zu lassen. Bei klarem Wet- ter bleibt der Tropfen eine viel kürzere Zeit erhalten als bei trübem, besonders wenn das Präparat dem Sonnenlichte direkt ausgesetzt wird. Im letzteren Falle kôünnen ganz verschiedene Veränderungen in dem Vo- lumen des Tropfens vorkommen, je nachdem ein Tro- pfen auf die Objektplatte in die feuchte Kammer eingeführt wurde oder nicht. Bei Abwesenheit dieses Tropfens wird das Volumen des beobachteten Tropfens rasch abnehmen; wenn dagegen auf dem Grunde der feuchten Kammer ein zweiter Tropfen sich befindet, so wird das Volumen des oberen Tropfens ganz un- vermindert bleiben, oder sogar zunehmen. Die auf das Präparat fallenden Sonnenstrahlen erwärmen bei ibrem Durchgange das Deckgläschen mit dem daran hängenden Tropfen viel weuiger als die verhältniss- mässig viel dickere Objektplatte und den ibr aufliegen- den Tropfen. Das vom unteren Tropfen verdunstende Wasser schlägt sich in denjenigen Theilen der feuch- ten Kammer nieder, die weniger der Erwärmung aus- gesetzt sind, also auch auf der unteren Fläche des Deckgläschens. Dadurch bekommt der obere Tropfen einen Zuwachs des Volumens, welcher nicht nur den Verlust vüllig deckt, sondern sogar einige Male ein Grüsserwerden des Tropfens bedingt. Folgende Beob- achtung mag zur Versinnlichung des Gesagten dienen. An einem klaren Sonnentage stellte ich einen meiner Apparate ins direkte Sonnenlicht. Die feuchte Kammer wurde mit 2 Tropfen versorgt, von denen der untere dem Objektglase auflag, der obere an der unteren Fläche des Deckgläschens befestigt war und mehrere Algen enthielt. Die Erwärmung und die Beleuchtung 37 waren so intensiv, dass die Algen nach kurzer Zeit schon abstarben und vollkommen entfärbt wurden, Dem ungeachtet verminderte der obere Tropfen sein Vo- lumen nicht, während der untere Tropfen an Grüsse rasch abnahm ; als er fast vülligverdunstet war, fügte ich einen zweiten Tropfen an dessen Stelle und verfuhr auf diese Weiïse während des Experiments, welches meh- rere Stunden dauerte, noch 4 bis 5 Mal. Der obere Tropfen behielt aber während der ganzen Zeit sein früheres Volumen bei. Aus dem Gesagten lässt sich mit Leichtigkeit ersehen, wie wichtig es ist, diese Umstände zu berücksichtigen, wenn die Kultur der Algen in Tropfen von Salzlüsungen von bestimmter Concentration und Zusammensetzung ausgeführt wer- den soll. Alle meine Experimente habe ich daher an einem nach Nord-Osten gekehrten Fenster ausgeführt, wel- ches von der Sonne nur bis 9 Uhr Morgens beleuch- tet wurde. An sonnigen Tagen habe ich ausserdem meine Kulturen vor der Sonne durch einen weissen Vorhang geschützt, der aber sogleich, nachdem die Sonne das Fenster verlassen hatte, weggenommen wurde. Die Kulturen habe ich meistens täglich untersucht. Ich richtete mein Augenmerk hauptsächlich auf einige wenige Zellen, die ich mir mit den ihnen angrenzen- den Gegenständen abzeichnete und ihre gegenseitige Lage genau notirte. In den meisten Fällen wurde es mir dadurch môüglich, mehrere Tage hinter einander dieselben Zellen zu beobachten und also die Ent- wickelung der durch die Kultur hervorgerufenen Ver- änderungen an einem und demselben Individuum zu ver- folgen. In der so eingerichteten feuchten Kammer ersetzte ich nun das Wasser, in dem die Algen sich befanden, durch einen Tropfen Sälzlüsung, welche nach der Vor- schrift von Knop') zubereitet wurde. Die Salz- mischung war in folgender Weise zusammengesetzt; sie enthielt auf 4 Theile von salpetersaurem Kalk 1 Theil von salpetersaurem Kali, 1 » » saurem phosphorsaurem Kali, 1 » » krystallisirter schwefelsaurer Mag- nesia. Von einem jeden dieser Salze wurde vorher eine 2) Knop, Kreislauf des Stoftes, p. 836. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 38 Lüsung von bestimmter Concentration hergestellt, und dann wurden sie alle dem Volumen nach zusam- mengemischt; dieser Mischung wurde ausserdem noch immer eine gewisse Menge phosphorsauren Eisens in unlüslicher Form als Niederschlag hinzugefügt. Die Wirkung dieser auf die oben beschriebene Weise hergestellten Salzlüsung auf verschiedene Algen hat sich, wie es auch im Voraus zu erwarten war, äusserst verschieden erwiesen. Es entwickelte sich z. B. die Spirogyra und der Pleurococcus darin nicht weiter fort; dagegen kamen Ocdogonium , Mougeotia, Stygeoclo- mèum recht gut fort; besonders üppig erwies sich aber darin die Entwickelung zweïier nicht näher bestimm- ter Arten der Conferva, einer Vaucheria, Protococcus viridis Ag. und Chorococcum infusionum Menegh. Ich habe zu meinen Untersuchungen Lôsungen von sehr verschiedener Concentration gebraucht; nämlich VOn io Vo; 2 > L Yo 2 3 3 Yo und 5 “Jo Es hat sich dabei erwiesen, dass die Algen eine viel stärkere Concentration als die phanerogamen Pflanzen vertragen kôünnen. Für letztere ist die 1/2 = Lôsung als die Grenze der Concentration, bei der noch auf eine üppige Entwickelung der Planze in den Salz- lüsungen gerechnet werden kann, zu betrachten, wäh- rend die von mir untersuchten Algen auch in einer 3,-Lüsung vortrefflich fortkamen. Sie erwiesen sich sogar als vüllig gesund nach einem mehrtägigen Verweilen in der 5°,-Lüsung, ob sie sich aber darin weiter entwickelten, kann ich noch nicht angeben. Dieses im ersten Augenblicke so sonderbar klingende Resultat verliert aber bei eingehenderer Betrach- tung dieses Verhältnisses der Algen nicht nur alles Befremdende, sondern bietet vielmehr wichtige Analo- gien mit den übrigen die Ernährung der übrigen Pflanzen betreffenden Resultaten dar. Es ist mir erstens schon vor mehreren Jahren gelungen, in äusserst con- centrirten Salzlüsungen lebende Æuglena viridis und Chlamidomonas pulvisculus zu beobachten”*). Das in der Pfütze enthaltene Wasser, in dem ich digse Orga- nismen beobachtete, war in einem so hohen Grade mit Salzen geschwängert, dass es genügte, es in einer un- bedeckten Untertasse dem direkten Sonnenlichte auszu- setzen, um, in ganz kurzer Zeit, die Entstehung einer dicken Krystallkruste auf der ganzen Oberfläche der 3) Famintzin. Die Wirkung des Lichtes auf die Bewegung der Chlamidomonas. .. Mél. Biol., T. VI, 1866, p. 75. 3* 39 Flüssigkeit hervorzurufen. Zweitens offenbarte sich darin eine vüllige Analogie der Süsswasser- und der Meeres-Algen, die auch, in den grossen Meeren wenig- stens, einer Concentration von circa 3/L°, ausgesetzt sind. Drittens endlich verschwindet sogar das in Bezug auf die Phanerogamen anscheinend widersprechende Resultat, wenn man das Verhalten der Algen zu den Salzlôsungen nicht mit dem der ganzen phaneroga- men Pflanze, sondern nur mit demjenigen Theile ver- gleicht, welcher den Algen analog ist, namentlich mit dem chlorophyllhaltigen Gewebe ihrer oberirdischen Theiïle. Nicht selten kann man während der Wasser- kultur der phanerogamen Pflanzen beobachten, dass in Folge starker Transpiration die den Wurzeln in Lüsungen dargebotenen Salze in den Blättern bis zu einem solchen Grade sich concentriren, dass sie auf der Oberfläche eine weisse, aus ganz kleinen Krystal- len bestehende Masse bilden, welche Erscheinung man mit dem Namen der Efflorescenz bezeichnet. Dessen ungeachtet bleiben die Blätter vüllig gesund und sind also wie die Algen im Stande, hohe Concentrationen zu ertragen. Als einzige unumgängliche Bedingung, um ganz sicher eine kräftige Entwickelung der Algen in concentrirten Lüsungen zu erlangen, hat sich die all- mäbliche Steigerung der Concentration der Lüsung er- wiesen. Keine von allen von mir untersuchten Algen war im Stande, eine 3%. Concentration zu ertragen, wenn sie aus dem Wasser sofort in diese Lüsung ge- bracht wurde. In den meisten Fällen zog sich der ganze Inhalt, von der Membran sich trennend, zu- sammen; sebr selten blieben die Zellen eine Zeit lang unverändert, worauf sie aber sicher alle abstarben. Im Gegentheil genügte es in einigen Fällen, die Alge während 24 Stunden in einem Tropfen /°/,. Lüsung liegen zu lassen, um sie zu befähigen, in der 3%. Lü- sung nicht nur am Leben zu bleiben, sondern sich kräftig weiter zu entwickeln. Diese Beobachtungen beziehen sich hauptsächlich auf Protococcus viridis und Chlorocoggum infusionum. In wie weit die anderen Algen in der 3°,. Lüsung fortkommen künnen, kann ich nicht mit Sicherheit angeben. Hüchst merkwürdig ist es, dass die Fähigkeit, verhältnissmässig hohe Con- centrationen der Salze zu ertragen, nicht nur den Algen allein, sondern auch den hôüheren Krypto- gamen, wenigstens während der Periode der Ent- wickelung, wo sie nur aus Chlorophyllhaltigem Ge- Bulletin de l’Académie Hmpériale 40 webe bestehen, zukommt, namentlich dem Vorkeime der Moose und dem Prothallium der Farrnkräuter. Sie künnen auch eine 5%. Lüsung ertragen, wenn man nur die Concentration ganz allmählich steigen lässt. In der Wahl des zu untersuchenden Objects liess ich micb durch die Wirkung der von mir zubereiteten Salzlüsung lenken, indem ich in eine L°/. Lüsung ver- schiedene Algen hineinbrachte und deren Entwicke- lung darin beobachtete. Die sich am üppigsten ent- wickelnden Formen habe ich hauptsächlich zum Ge- genstand meiner Untersuchung gewählt. Die meisten Beobachtungen beziehen sich auf die beiden oben ge- nannten, zu der Familie der Protococcaceen gehüren- den Formen: Chlorococcum infusionum Menegh. und Protococcus viridis Ag. Das Wenige, was wir über diese Organismen ken- nen, ist bei Nägeli‘) und Rabenhorst”) zu lesen. Über Chlorococcum, welches bei Nägeli in dem Werke über einzellige Algen als Cystococcus beschrie- ben ist, sagt er Folgendes: «Zellen der Übergangs- generationen kugelig, einzeln und frei liegend mit dün- nen Wandungen, vermittelst Theilungen in allen Rich- tungen des Raumes, durch eine transitorische Gene- rationsreihe, in eine Brutfamilie übergehend, deren Zellen frei werden, indem die Membran der Urmutter- zelle entweder platzt oder aufgelüst wird». Dann wird als Typus der Familie Cystococcus humicola beschrieben und unter Anderem bemerkt, dass «die einen dieser Formen schwärmen». Bei Rabenhorst wird derselbe Organismus als Chlorococcum auf folgende Weise be- schrieben: Cellulae sphaeroïdeae, singulae, liberae, ve- sicula chlorophyllosa et locello laterali pallidiori cavo? instructae, limbo hyalino et tegumentis saepe amplissi- mis cinctae aut plures in stratum vel acervulas cumu- latae. Propagatio fit gonidiis cytioplasmatis divisione succedanea et ultima generationis serie transitoria artis et cytiodermatis abaviae (intellige tegumentum externum) rupturis excedentibus et examinantibus. Weiter wird Chlorococcum infusionum Menegh. als: Chlorococcum aquaticum, viride mucosum; cellulis perfecte globosis, magnitudine admodum variis: cytio- dermate hyalino distincto crasso, concentrice striato (lamelloso); cytioplasmate saturate viridi, homogeneo, 4) Nägeli. Die neueren Algensysteme. 1847, p.153. — Nägeli. Gattungen einzelliger Algen. 1849, p. 84. 5) Rabenhorst. Flora Europaea Algarum. Sect. III, p. 56. 41 : des Sciences de Saint- Pétersbourg. 4? denique olivaceo fuscescente, in gonidia numerosissima elabente beschrieben. Alle von Nägeli und Raben- horst aufgezählten Merkmale passen auf den von mir als Chlorococcum infusionum beschriebenen Organis- nus, mit Ausnahme der dicken, mehrschichtigen Mem- bran; an allen von mir beobachteten Formen hat die Membran nie eine beträchtliche Dicke erreicht. Nichts- destoweniger will ich diese Form als Chlorococcum infu- sionum bezeichnen, da sie am meisten mit dieser Alge in ihren übrigen Charakteren übereinstimmt. Protococcus viridis wird von Nägeli gar nicht näher beschrieben, sondern seiner hauptsächlichsten Cha- raktere nur in der Charakteristik der Familie der Protococcaceen gedacht. Die Protococcaceen, sagt N ä- geli, sind «Zellen ohne Spitzenwachsthum, ohne Ast- bildung und ohne vegetative Zellenbildung, sie pflan- zen sich durch freie Zellenbildung in mehrere ein- zellige Individuen fort. Die Protococcaceen stimmen in ihren vegetativen Verhältnissen mit den Palmella- ceen vollkommen überein.» «Nur entstehen die Toch- terzellen auf eine andere Art.» «Sie bilder sich bei den Protococcaceen in unbestimmter Zahl frei im Zel- leninhalte aus kleinen Partien dieses Zelleninhaltes: sie haben eine kugelige Gestalt.» «Die Tochterzellen verweilen noch einige Zeit innerhalb der Mutterzelle und ernähren sich von ihrem Inhalte. Dann wird diese aufgelüst, und die Tochterindividuen werden frei.» Von der Zoosporenbildung des Protococcus wird nichts erwähnt. Protococcus viridis wurde ferner von Al. Braun‘) untersucht. Seine einzellige Natur bespre- chend, drückt er sich folgender Weise aus: «Nach der Beschreibung, welche Nägeli von seiner Familie der Protococcaceen giebt, künnte man Protococcus für den Repräsentanten dieser Stufe halten, eine Gattung, deren Individuen kugelrunde Zellen sind, die nach Beendigung ihres vegetativen Wachsthums in ihrem Inhalte freie, gleichfalls kugelige Keïmzellen erzeugen. Es ist mir jedoch zweifelhaft, ob streng genommen ein solches nach allen Seiten hin vüllig gleichgültiges Verhalten der Zellen vorkommt. Wenn Protococcus, wie es wabrscheinlich ist, bewegliche schwärmende Keimzellen besitzt, so zeigen sich die Zellen ohne Zweifel im Stadium der Bewegung nach einer Haupt- axe verlängert und mit zwei verschiedenartigen Enden 6) AI. Braun. Verjüngung, p. 133, 145, 226, 229. versehen, von denen das eine die Flimmerfäden trägt, während nach dem anderen der gefärbte Inhalt der Zelle sich zusammendrängt.» Ferner wird von Braun auf Seite 133 der Be- ziehung zwischen Cystoccocus ‘und Protococcus er- wäbnt, welche den Beobachtungen von Nägeli ent- nommen ist. Bei der ersten Gattung sollen nach Nägeli durch succedane, bei der zweiten durch si- multane Theilung neue Zellen (Sporen) gebildet werden. Endlich wird auf S. 229 der braun-rôthlichen Farbe, welche die obersten, dem Austrocknen am meisten ausgesetzten Zellen der an Mauern wachsen- den Krusten von Protococcus viridis erhalten, erwähnt. Bei Rabenhorst findet man folgende Beschrei- bung , in welcher von Zoosporenbildung bei Proto- coccus als von etwas schon Bekanntem gesprochen wird: Protococcus Ag. Cellulae sphaeroïdeae, segre- gatae, cytiodermate tenui, hyalino, absque tegumen- tis, libere natantes vel extra aquam in stratum tenue pulvereum cumulatae. Cytioplasma initio homogeneum, denique granulosum, viride vel rubellum. Gonidiorum generationes transitoriae nullae. Propagatio fit gonidiis mobilibus. Und weiter: Protococcus viridis Ag. P. cel- lulis minimis, segregatis, in stratum late expansum luteo-virens, aut pulvereum aut (coelo pluvio) humi- domucosum eumulatis. In diesem Auszuge ist Alles enthalten, was bis jetzt über die oben erwähnten Pro- tococceen - Organismen bekannt ist, nur die Angaben Kützing’s") ausgenommen, welche ich umständlich im zweiten Theile meiner Arbeit besprechen werde. Diese beiden Organismen fand ich auf der feuchten Erde, auf welcher ich eine Vaucheria, die den ganzen Winter über im Aquarium zugebracht hatte, kulti- virte. Sie entwickelten sich auf der Erde ausserordent- lich kräftig. Diese der Form nach ähnlichen Orga- nismen künnen leicht und sicher nach dem Bau ihres Zelleninhaltes unterschieden werden. Ich will hier daher kurz eine genaue Schilderung ihrer specifischen Charaktere folgen lassen. Chlorococcum infusionum (Taf. 1, Fig. 1) wird sowohl durch eine ununterbrochene, nie in einzelne Chlorophylikürner zerfallende Chloro- phyllschicht, als auch durch die Anwesenheit des grün gefärbten Bläschens und der Vakuole charakterisirt. 7) Kützing. Die Umwandlung niederer Algen in hühere. (In den Natuurkundige Verhandelingen van de Hollandsche Maatschappej der Wetenschappen te Harlem. 1. Deel. 1841.) 43 Bulletin de l’Académie Empériale A4 Ob diese Vakuole eine immer seitlich gelegene ist, wie es Nägeli für Cystococcus humicola angiebt, kann ich nicht für gewiss behaupten; im Gegentheil schien es mir, dass sie central gelegen und nichts anderes als der, von der bei Chlorococeum äusserst dicken peripherischen Plasmaschicht frei gelassene, in Ver- gleich mit dem ganzen Lumen der Zelle unangehn- liche, von Zellensaft erfüllte Raum sei. In einigen Füllen habe ich in der That gesehen, dass ein Theil der Zellenwand von grünem Wandbelege frei bleibt (Taf. 1, Fig. 9), konnte aber in diesen Füällen nie die Vakuole als etwas von dem centralen farblosen mit Zel- lensaft erfüllten Zellenlumen Gesondertes unterschei- den. Bei Protococcus viridis dagegen ist das periphe- rische Plasma als eine dünne Schicht vorhanden, in der man immer deutlich gesonderte Chlorophyllkürner beobachten kann (Fig. 36, 47, 48, 49, 51). Es fehlt dagegen immer das für Chlorococcum infusionum als bezeichnend geltende grüne Bläschen. In meine feuchte Kammer auf das Deckgläschen ge- bracht, lüsen sich die beiden Organismen in Zoosporen auf (Fig. 4, 38); die ausgeschwärmten Zoosporen bege- ben sich nach einiger Zeit zur Ruhe und verwandeln sich, an Grüsse stark zunehmend (Fig. 5, 6, 7, 39), in Zoosporangien, die sich aber von den früheren durch ibre viel geringeren Dimensionen und eine blass-grüne Farbe unterscheiden (Fig. 8). Diese Zoosporangien werden auch von ihren Zoosporen entleert, aber die letzteren hüren bald, nachdem sie zur Ruhe gekommen sind, auf, zu wachsen und entwickeln sich nicht weiter. Sie kônnen in diesem Zustande noch wochenlang ver- weilen und gehen endlich doch zu Grunde. Es genügt aber nur, das Wasser durch einen Tropfen !,-°/. Salz- lüsung zu ersetzen, um sie wieder rasch ins Leben zu rufen. Am folgenden Tage schon nehmen sie ihre frü- here schôüne grüne Farbe an und wachsen zu Zoospo- rangien heran (Fig. 1, 2, 3), die so lange unausgesetzt Zoosporen und wieder Zoosporangien und so fort er- zeugen, bis der Tropfen sie noch mit Nahrung ver- sorgen kann. Diese beiden, in dem unbeweglichen Zustande so leicht charakterisirbaren Organismen bieten im Zu- stande der sich bewegenden Zoosporen aber so viel Âbnlichkeit dar, dass sie nicht von einander zu unter- scheïden sind. Ihre Zoosporen sind von einerlei Grüsse und gewühnlich stark in die Länge gezogen (Fig. 3, 4, 37); eine jede von ibhnen ist am vorderen farblosen Ende mit zwei Cilien versehen. Aber schon beim Über- gange in den unbew eglichen Zustand bieten sie sogleich Unterscheidungsmerkmale dar. Die Zoospore von Pro- tococcus viridis rundet sich sogleich in eine mit schar- fen Conturen versehene kleine Kugel‘ab, deren Durch- messer ungefähr der Hälfte der Länge der sich bewegen- den Zoospore gleichkommt. Diese Kugel wächst, wie ich mich durch direkte Messungen überzeugt habe, wäbhrend mehrerer Tage zu bedeutender Grôsse heran. Schon mit dem Beginn ihres Wachsthums wird in ihr die Chlorophyllschicht zuerst in zwei, dann in vier Theile oder Kürner gespalten, welche fortfahren sich durch Theïlung zu vermehren, so dass sie in einer ausgewachsenen Kugel immer schon in be- trächtlicher Zahl vorhanden sind (Fig. 39, b, c; 36, 47, 48, 49 und 51). Die zur Ruhe gekommene Zoospore von Cloro- coccum humicolum behält dagegen auch während des ganzen unbeweglichen Zustandes, bis zum vôlligen Auswachsen zum reifen Zoosporangium ungefähr die verlängerte Form, welche sie während des Schwär- mens hatte, bei, und nimmt nur vor dem Entleeren der Zoosporen eine mehr oder weniger kugelige Form an (Fig. 2, 5, 6, 7, 8). Die Membran der zu Zoospo- rangien sich heranbildenden Zoosporen bleibt während der ganzen Zeit ihres Wachsthums weich und biegsam, so dass, wenn sie wie es oft geschieht, deren vielmehr am Rande des Tropfens zusammengedrängt sind, die Membran dem Drucke nachgiebt und eine polygonale Form anmimmt (Fig. 7). Diese beiden Organismen künnen, wie ich es direkt beobachtete, eine unbestimmt lange Zeit denselben Cyclus der Metamorphosen ununterbrochen wieder- holen und immer von Neuem dieselben Entwickelungs- stadien durchlaufen. Desto merkwürdiger ist es, dass es zu jeder Zeit môglich ist, nach Belieben den Entwickelungsgang dieser Organismen abzuändern. Es genügt dazu nur den °,. Tropfen Lüsung durch einen 3°. zu ersetzen. Der Austritt sowohl, als auch die Bildung der Zoosporen wird dadurch bald ganz gehemmt. Die beiden Organis- men fahren aber nichtsdestoweniger fort, sich rasch wei- ter zu entwickeln und zu vermehren, mit dem Unter- schiede aber, dass sie, statt Zoosporen, eine grosse Menge unbeweglicher Kugeln erzeugen, welche mit der 45 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 46 Zeit frei werden, heranwachsen und dann wieder sich theilend zur Vermehrung dieser Organismen dienen. Die unbeweglichen Kugeln bilden sich in den beiden Formen im Innern der ausgewachsenen bald durch secundane Theilung des ganzen Inhaltes, bald durch simultane Theilung des peripherischen Plasma, so dass die von Nägeli gemachte Beobachtung, dass einer jeden dieser Formen eine besondere Art der Theilung zukomme, sich nicht bestätigt hat. Bei der ersten Art der Entstehung der unbeweglichen Kugeln, welche bei Chlorococcum infusionum vorzuherrschen scheint, bei Protococcus vulgaris aber sehr selten von mir beob- achtet wurde, wülben sich bisweilen die neu entstan- denen Wülbungsproducte nach aussen und verleihen der ganzen Masse ein traubenartiges Ansehen. Sie fallen erst viel später auseinander und bilden bis- weilen noch eine zusammenhängende Masse, wenn sie schon aus Zellen der vierten Generation zusammen- gesetzt sind. Fig. 9, 10, 11, 12 sind Entwickelungs- zustände einer und derselben Kolonie. (Siehe die Be- schreibung der betreffenden Abbildungen.) Die durch simultane Theïlung erzeugten Kugeln be- halten ihre gegenseitige Lage nicht nur in der Mutter- zelle, sondern bisweilen auch nach dem Freiwerden bei, namentlich wenn sie bald nach ihrer Bildung, be- vor sie noch ansehnlich an Grüsse zugenommen haben, durch den Riss der Mutterzellenmembran entleert wer- den. Sie bilden in diesem Falle nach dem Freiwerden eine innen hohle, an der Oberfläche aber aus einer Masse eng an einander gelegenen, kleinen rundlichen Zellen zusammengesetzte Kugel (Fig. 50), deren Durch- messer den der leeren Membran durch das Wachsen der ihn constituirenden Zellen sehr bald um vieles übertrifft. Nehmen dagegen die neugebildeten Kugeln schon in dem Lumen der Mutterzelle beträchtlich an Grüsse zu, so werden sie durch den gegenseitig er- zeugten Druck aus ihrer früheren Lage verdrängt und füllen mit der Zeit das Volumen der ganzen Mut- terzelle aus, wobei sie dann meist in der Grüsse grosse Schwankungen unter einander wahrnehmen lassen (Fig. 40, 41). Nachdem die verschiedenartige Wirkung der ‘,°%. und 3°. Salzlüsung auf die Bildung und das Aus- schwärmen der Zoosporen sich klar herausgestellt hat, bin ich zum Studium anderer Concentrationen auf diese Phänomene übergegangen, nämlich der ‘/5%4., Le, 1%. und 2%. Salzlüsungen und bin nun zu fol- genden Resultaten gelangt, welche ich sogleich durch eine ganze Reihe von Versuchen beweisen will. Die Zoosporen von Chlorococcum infusionum und des Pro- tococcus viridis werden im Wasser in der ‘45%, 2% und 1°. Lüsung gebildet und entleert. In den Lüsun- gen von 2 ‘, und hüherer Concentration bleibt die Bildung und also auch das Ausschwärmen der Zoospo- ren aus. Wenn diese Organismen aus der 2°. Lüsung oder hüherer Concentration in eine 1°/,. oder noch mehr diluirte Lüsung versetzt werden, so tritt das Aus- schwärmen der Zoosporen wieder ein und desto schnel- ler und in grôüsserer Menge, je geringer die Concen- tration der angewandten Lüsung ist. Am meisten die Bildung und das Ausschwärmen der Zoosporen für- dernd hat sich das destillirte, sorgfältig gelüftete Was- ser erwiesen. Wird dagegen diese Lôsung durch eine 2°. oder noch mehr concentrirte ersetzt, so hürt die Zoosporenbildung sogleich auf. Durch das blosse Wech- seln der Concentration der Lüsung ist es also môglich, nach Belieben zu jeder Zeit die Zoosporenbildung oder aber das Zerfallen in unbewegliche Kugeln her- vorzurufen. Als hauptsächliches Material zu den meisten meiner Beobachtungen benutzte ich nur diejenigen Algen, welche ich am 15. April von der Erde in meinen Ap- parat in einen Tropfen Wasser hinüberpflanzte. Aus diesem Tropfen habe ich sie theilweise in andere Ap- parate in Tropfen verschiedener Salzlôsungen versetzt; da die Entwickelung dieser Algen in den Salzlüsun- gen rasch und kräftig vor sich ging, so reichte dieses Material zu allen, in Bezug auf diese Organismen spä- ter angestellten Versuchen, welche erst gegen Ende Juli abgebrochen wurden, vollkommen aus. Der Wirkung der Lüsung anorganischer Salze auf die Entwickelung der Algen wurde ich im Anfange Mai gewahr. In den ersten Mai-Tagen hôürten die vom 15. April im Tropfen Wasser kultivirten Chlorococcum infusionum und Protococcus vulgaris auf, sich weiter zu entwickeln und wurden bleich, fast farblos. Einen Theil von ihnen habe ich in einen Tropfen 4%. Lô- sung am 10. Mai versetzt, die übrigen aber im Wasser- tropfen liegen lassen. Die ersten haben sich schon am 12. Mai als vollkommen grün erwiesen (am 11. wur- den sie nicht untersucht) und begannen, sich wieder rasch weiter zu entwickeln; die letzteren dagegen 4% blieben über 2 Wochen ganz unverändert, was durch eine ganze Reïhe von Beobachtungen, die an ïhnen bis zum 27. Mai vorgenommen wurden, bestätigt wird. Solcher Versuche habe ich mehrere ausgeführt und immer mit gleichem Erfolge; das Ergrünen wurde gewühnlich aber schon am folgenden Tage wahrge- nommen. In dem L°%. Tropfen der Salzlôsung haben sowohl Chlorococcum infusionum als Protococcus viridis unun- terbrochen Zoosporen vom 15. April bis zum 10. Juli, als diese Versuche geschlossen wurden, gegeben. In der ersten Hälfte Juni habe ich einen Theil der, aus dem am 15. April bereiteten Tropfen stammenden, und eine Zeit lang in einer ‘,°,. Lüsung kultivirten Algen in zwei Tropfen der 3%. Lüsung versetzt. Zoo- sporen konnte ich schon am folgenden Tage keine wahrnehmen. In den beiden Tropfen blieben diese Organismen vollkommen gesund und begannen durch das Zerfallen in unbewegliche Kugeln sich zu vermeh- ren. An ihnen wurden folgende Experimente über die Wirkung der Concentration der Salzlôsung auf die Zoosporenbildung angestellt. Versuch 1. Aus dem am 4. Juni bereiteten Tropfen von 3°, in welchem seitdem keine cinzige Zoospore beobachtet wurde, habe ich am 21. Juni einen Theil in zwei andere Tropfen, von denen der eine aus einer 3%,. Lüsung, der andere aus destillirtem Wasser be- stand, gebracht. Im ersten wurde vor dem 21. Juni bis zum Ende des Versuchs, am 11. Juli, keine ein- zige Zoospore beobachtet; in dem zweiten dagegen wurden sie schon am Morgen des folgenden Tages, am 12. Juni, in grosser Menge entleert. Versuch 2. Am 27. Juni habe ich aus der 3%. Salzlüsung einen Theil der Algen in 4 neue Tropfen versetzt: in 2 Tropfen destillirten Wassers und in 2 Tropfen einer ‘,°/. Salzlôsung. Am 28. wurden schon Zoosporen in allen 4 Tropfen beobachtet, mit dem Unterschiede aber, dass in den beiden Tropfen destil- lirten Wassers sie schon am folgenden Tage in einer ungeheuren Menge auftraten, dagegen in der L'%. Salzlüsung sie anfangs spärlich und erst in den folgen- den Tagen an Zahl rasch zunahmen. Versuch 3. Am 29. Juni brachte ich aus den am 2, Juni bereiteten Tropfen von 3%. Lüsung einen Theil der Chlorococcum- und Protococcus-Zellen in vier neue Tropfen, von denen zwei aus destillirtem Wasser und Bulletin de l’Académie Empériale 48 zwei aus einer !/°%%. Salzlüsung bestanden. Am 30. Juni wurden schon in allen vier Tropfen Zoosporen in Menge beobachtet, die bis zum Ende des Versuchs, bis zum 18. Juli, immerwährend Zoosporangien und dann wieder Zoosporen erzeugten. Versuch 4. Am 7. Juli versetzte ich einen Theil der Algen aus dem 3°. Tropfen in zwei neue Tropfen: einer /°,. und einer 3°/. Salzlüsung. Im ersten wur- den schon am 8. Juli Zoosporen beobachtet; im zwei- ten von 7. bis zum 11. Juli war keine einzige Zoo- spore zu sehen. Am 11.Juli habe ich aus dem letzten Tropfen einen Theil der Algen in zwei neue Tropfen, von denen der eine eine 14., der andere eine 2°/,. Con- centration hatte, gebracht. Im ersten habe ich schon am folgenden Tage, am 12. Juli, Zoosporen in Menge beobachtet, in dem zweiten dagegen waren keine Zoo- sporen vom 11. bis zum 22. zu sehen. Versuch 5. Am 12. Juli habe ich einen Theil der Algen aus der 3ten Lüsung in zwei Tropfen von 1% und von 2°, versetzt. In dem ersten fand ich schon am 13. Juli eine Menge Zoosporen. In dem zweiten dagegen kamen vom 12. bis 17. Juli keine Zoosporen zum Vorschein. Indessen habe ich am 14. Juli einen Theïl der Algen aus dem 2°. Tropfen der Salzlüsung in einen Tropfen von 1%, versetzt; am 15. Juli wurde im letzteren schon das Ausschwärmen der Zoosporen beobachtet. Versuch 6. Am 12.Juli habe ich einen Theil der Algen aus dem 3°,. Tropfen in einen Tropfen von 1% und in einen anderen von 2!/ versetzt. In dem ersten wurden schon am 13. Juli eine Menge Zoosporen beobachtet, in dem zweiten war keine einzige bis zum 22. Juli, als der Versuch unterbrochen wurde, beob- achtet. Wenn man diese Algen, anstatt sie in Tropfen von Salzlôsungen zu kultiviren, nur mit letzteren an- feuchtet und dabei darauf Acht giebt, dass sie nicht eintrocknen, so bekommt man ganz andere Resultate. Die Zoosporen werden dann auch beim Befeuchten mit einer !,°,. Lüsung nicht gebildet, wahrscheinlich deshalb, weil wegen der geringen Menge von Flüssig- keit, die von einer verhältnissmässig sehr ansehnlichen Fläche verdunstet, die Concentration rasch zunimmt und bald die Grenze, die die Zoosporenbildung noch hervorruft, übersteigt. Die Vermehrung der Algen 49 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 50 oo wird in diesen Fällen durch das Zerfallen in unbeweg- liche Kugeln zu Stande gebracht. Sehr charakteristische Veränderungen werden im den Algen hervorgerufen, wenn man sie in feuchter Atmosphäre kultivirt. Obgleich von mir in dieser Rich- tung wenige Versuche gemacht worden sind, habe ich dennoch mehrere interessante Resultate gewonnen. Wird Chlorococcum infusionum aus der 3°. Salz- lüsung von der dasselbe umgebenden Flüssigkeit mittelst Fliesspapier befreit und dann wieder in die feuchte Kammer hineingebracht, in die man noch einen Tropfen Wasser zwischen dem Kautschuk und dem Deckgläs- chen einführen muss, um die Algen môüglichst vor Verdunstung zu schützen, so zeigt es folgende Ver- änderungen: seine kugeligen Zellen werden durch das wenn auch äusserst langsame Verdunsten der sie um- gebenden Flüssigkeit eng an einander gedrängt und ver- wachsen zu einer Art membranartiger Schicht, indem sie durch den gegenseitigen Druck eine polygonale Form annehmen. In diesem Zustande bieten sie eine vollkommene Achnlichkeit mit der von Kützing”*) be- schriebenen und abgebildeten und von Rabenhorst zur Familie der Protococcaceen ganz in die Nähe von Chlorococcum gestellten Alge Limnodictyon Roemeria- num (Fig. 27 und 28) dar. Der Beschreibung von Rabenhorst gemäss sind mir ausser den zur Mem- bran verbundenen Chlorococcum-Zellen auch einzelne oder nur halbverwachsene Zellen vorgekommen. Durch das Hinzufügen des Wassers oder einer diluirten Salz- lüsung gelang es mir auch in diesen, zu Häuten verbun- denen Zellen Zoosporenbildung hervorzurufen. In der 30. Salzlüsung wurde die Vermehrung, wie es auch zu erwarten war, durch das Zerfallen in unbewegliche Kugeln zu Stande gebracht. Auf den von mir beob- achteten Zustand passt die Beschreibung dieser Alge von Rabenhorst*)ganz vollkommen, nämlich: Limno- dictyon Ktz. Cellulae initio sphaericae, denique e mu- tua pressione angulosae, tegumentis crassis lamello- sis cinctae in stratum membranaceum parenchymatice consociatae. Cytioplasma viride granulosum. Propagatio gonidiis cytioplasmatis divisione succedanea ortis. L. Roemerianuwm Ktz. natans, membranaceum viride. Auf 8) Kützing. Tab. phycol. 1, pag. 20. Taf. 25, Fig. VI und Spec. Alg., pag. 230. 9) Rabenhorst. Flora Europaea Algarum. Sectio III, p. 61. Tome XVII. mehrere derartige Versuche gestützt, glaube ich be- rechtigt zu sein, das Limnodictyon aus der Reïhe der selbständigen Formen zu streichen und es als ein durch die Kulturverhältnisse verändertes Chlorococcum infusionum zu betrachten. Es ist mir gelungen, eine gewissermassen ana- loge Erscheinung auch an Protococcus viridis zu be- obachten, jedoch nur ein Mal und ganz zufälliger Weise. Die in einem fast eingetrockneten Tropfen einer //°/,. Salzlüsung enthaltenen Protococcus-Ku- geln erwiesen sich wie bei CAlorococcum als unter einander verwachsen. In diesem Falle brachte aber das Hinzufügen des Wassers ein ganz anderes Re- sultat. Das Wasser rief das Platzen der äusseren Membran der Kugeln hervor, und aus dem entstan- denen Risse wurde der ganze, von einer eigenen (in- neren) Membran umgebene Zelleninhalt herausgetrie- ben. Der Durchmesser der frei schwimmenden Kugeln erwies sich grüsser als der Durchmesser der hohlen Zellenmembranen, so dass diese Erscheinung, allem Anscheine nach, dadurch zu Stande kam, dass durch das Einsaugen des Wassers die äussere derbe Mem- bran, die nicht mehr im Stande ist, sich wie der In- halt und die inneren Schichten ansehnlich auszudeh- nen, gesprengt und der Inhalt aus dem Risse heraus- gepresst wurde. Das Verwachsen der Protococcus-Ku- geln war besonders klar an der hohlen, ganz durch- sichtigen äusseren Membran zu sehen. Endlich wurden in allen von mir beobachteten Fäl- len durch das allmäbliche Eintrocknen in der feuch- ten Atmosphäre wesentliche Veränderungen in dem Zelleninhalte hervorgerufen, nämlich: eine Abnahme des Chlorophylls und eine Bildung von Oel bei allen Algen, obwohl in einem sehr verschiedenen Grade. In dieser Richtung sind von mir Beobachtungen nur an Protococcus viridis und einer unbestimmten Species der Conferva gemacht worden. Lässt man den Tropfen Flüssigkeit mit den Proto- coccus-Kugeln allmählich eintrocknen, so verändern allmählich alle seine Zellen, welcher Grôsse sie auch sein môgen, ihre Farbe. Die Chlorophyllkürner werden undeutlich, und der grüne Farbstoff wird in Verlauf von wenigen Tagen allmählich durch einen rothen bis zum vülligen Verschwinden des Chlorophylls er- setzt, und gleichzeitig dabei eme Masse Oel gebildet, welches in grossen Tropfen in der Zelle abgelagert 4 ol Bulletin de l'Académie Hmpériale 372 EE wird. Das Rothwerden des Protococcus beim langsa- men Eintrocknen ist schon, wie ich es früher vor- geführt habe, von A. Braun beobachtet worden. Diese, durch die Kultur in der feuchten Atmosphäre erzeug- ten, Veränderungen kônnen durch das Einbringen die- ser Organismen in einen Tropfen ‘2,7. Salzlüsung ebenso schnell wieder weggeschafft werden. Nach einem mebrtägigen Verweilen in der ‘/,%,. Salzlôsung werden die Zellen von Protococcus wieder ganz grün, das Oel verschwindet spurlos, und es kommen wieder die schôn grün gefärbten Chlorophyllkürper zum Vorschein . Ich habe das allmähliche Rothwerden, die Oelbildung, dann das abermalige Verschwinden des rothen Pigments und des Oels und das vüllige Ergrünen an einen und denselben Protococeus-Zellen beobachtet. Es ist mir gelungen, ganz ähnliche Veränderungen auch an der oben erwähnten Conferva zu beobachten, mit dem ein- zigen Unterschiede, dass beim Verschwinden des Chlo- rophylls die Erzeugung des rothen Pigments wegblieb. Es genügen auch in diesem Falle nur wenige Tage, um das Chlorophyll aus den Zellen bis auf die Spur zu vertreiben, die Zellen mit Oel zu füllen, und dann wieder durch das Einbringen in einen Tropfen Salz- lüsung entgegengesetzte Veränderungen hervorzuru- fen (siehe Fig. 63, 64, 65, 66, 68 und deren Be- schreibung). Aus allen diesen Versuchen lassen sich also folgende Schlüsse ziehen: 1) Die Algen und die hôheren Kryptogamen sind befähigt eine viel hühere Concentration der Salzlô- sung als die phanerogamen Pfauzen zu ertragen. In einer 3%,. Lüsung geht noch eine kräftige Entwicke- lung von Chlorococcum infusionum, des Protococcus vi- ridis, und wie ich es später umständlicher angeben werde, auch die des Vorkeïmes der Moose vor sich. Sie verbleiben alle gesunü, sogar noch in der 5%. Salz- lôsung. Eine allmähliche Steigerung der Concentra- tion der Salzlôsung ist die einzige unumgängliche Be- dingung zur Erlangung eines sicheren Resultats. 9) Der Concentrationsgrad der Flüssigkeit ist von erossem Einflusse auf die Entwickelung der Algen. In den sehr diluirten, deren Concentration nicht ein Procent übertrifft, wird, bei den von mir untersuchten Algen, dem Chlorococcum infusionum und dem Proto- coccus viridis die Vermehrung nur durch Zoosporen zu Stande gebracht; die ausgeschwärmten Zoosporen erzeugen wieder Zoosporangien und so fort; dieses kann eine unbestimmte Zeit und während einer unbe- stimmten Zahl von Generationen ununterbrochen fort- dauern. Mir ist es wenigstens gelungen, dieses von dem 15. April an bis zum 10. Juli, also während fast dreier Monate unaufhürlich zu beobachten. In der 2. Salzlôsung oder einer hüheren Concentration wird die Zoosporenbildung gehemmt; die Vermehrung dage- gen durch Zerfallen in unbewegliche Kugeln vermit- telt. Versetzt man diese Algen in Salzlüsungen von einer geringeren Concentration als 2%, so tritt die Zoosporenbildung wieder ein; steigert man dieselbe auf 2°, so wird sie wiederum gehemmt. 3) Limnodictyon Roemerianum Ktz. ist nicht mehr als eine selbständige Form, sondern nur als ein durch Kulturverhältnisse verändertes Chlorococcum infusio- num zu betrachten. 4) Durch die Kultur der Algen (Protococcus, Con- ferva) in der feuchten Atmosphäre gelang es mir, den Chlorophyllgehalt sehr herabzusetzen, bei Protococcus sogar vollständig zu vertreiben und ihn bei letzterem durch ein rothes Pigment zu ersetzen. Mittelst eines Tropfens einer ?,°,. Salzlüsung kann sowobhl das rothe Pigment wieder vertrieben, als auch das Chlorophyll von Neuem erzeugt werden. Bis jetzt habe ich die Veränderungen, die unmittel- bar durch die äusseren Verhältnisse erzeugt werden, beschrieben; ihre charakteristische Eigenthümlichkeiït besteht darin, dass sie gleichzeitig und in gleicher Weise alle zu beobachtenden Individuen afficiren. Jetzt gehe ich zur Schilderung solcher Veränderungen über, die nur in einigen wenigen Individuen zum Vorschein kommen, bei den anderen dagegen, die dem Anscheine nach wenigstens unter ganz denselben äusseren Ver- hältnissen sich befinden, gänzlich mangeln. Die Varia- tionen dieser letzteren Art sind, so viel ich weiss, an den niederen Pflanzenformen noch nie beobachtet wor- den; sie bieten aber gegenwärtig ein besonderes Inter- esse, weil Darwin aus bloss theoretischen Gründen ihre Existenz errathen und gewissermassen vorausge- sagt hat. É Meine Beobachtungen dieser Art konnte ich bis jetzt nur auf zwei Algenformen ausdehnen; auf Chlo- rococcum infusionum und Protococcus viridis. Da eine 53 des Sciences de Saint-Pétersbour g. 54 jede dieser Formen in dieser Hinsicht viele charakte- ristische Eigenthümlichkeiten darbietet, so will ich sie nicht gleichzeitig, sondern die eine nach der ande- ren beschreiben. Das ins Wasser oder in eine /,%,. Salzlüsung ver- setzte Chlorococcum infusionum wird, wie ich es schon beschrieben habe, durch Zoosporenbildung vermebrt. Die meisten von ihnen wachsen, nachdem sie ihre Be- wegung eingebüsst haben, heran, ihre frühere verlän- gert ovale Form behaltend. Unter den zur Ruhe ge- kommenen Zoosporen gelingt es indessen, Gebilde aufzufinden, die der Consistenz nach den übrigen Z00- sporen gleiches, von ihnen aber durch ihre bedeuten- dere Grüsse und Form sich unterscheiden. In ihnen kann man meistens einen dicken ovalen und einen cy- lindrischen schmalen Theil wahrnehmen (Fig. 18°, 19", 20", 22, 23, 24, 25, 26), selten sind sie ihrer ganzen Länge nach gleich breit und cylindrisch, weshalb sie den Eindruck einer zum Faden heranwachsenden Z00- spore machen. Sie sind in einem solchen Grade von den normal sich entwickelnden Zoosporen verschieden, dass ich sie anfangs als zufällig in den Tropfen ge- langte Keime irgend einer fadenartigen Alge betrach- tete und deshalb sie auch nicht weiter berücksichtigte. Nur in Folge sorgfältiger Untersuchung bin ich zu der Ansicht gelangt, dass sie nichts anderes als in einer abnormen Art keimende Zoosporen von Chlorococcum infusionum seien. Ich kann meine Meinung durch fol- gende Beobachtungen bekräftigen: Erstens ist es mir gelungen, mich zu überzeugen, dass die abnormen Zoosporen in den Zoosporangien von Chlorococcum entstehen. Ich habe nämlich eine abnorm keimende Zoospore in einer leeren Chlorococ- cum-Membran gefunden (Fig. 26), aus der alle übrigen in ihr gebildeten Zoosporen ausgeschwärmt waren. Obgleich ich also auf diese Weise die Bildung dieser Zoosporen innerhalb der Chlorococcum-Kugel unzweiï- deutig nachgewiesen habe, ist es mir dennoch nicht gelungen zu entscheiden, ob die abnorm keiïmenden Zoosporen mit den normalen gleichzeitig in demselben Zoosporangium, gebildet werden künnen oder nicht, da ich sie der Beobachtung erst dann unterzog, als sie schon ihre Bewegung eingebüsst hatten. Fol- gende Beispiele werden die hierher gehôrenden That- sachen am besten erläutern. Am 26. Juni zeichnete ich mehrere Zoosporen, welche in einem Tropfen Was- ser gekeimt hatten und unter denen sich eine abnorme (Fig. 18°) befand, ab; am 27. wurde das Wasser durch einen Tropfen !/°/. Salzlüsung ersetzt; am 28. waren alle Zoosporen grüsser geworden, wobei die abnorme bedeutend an Dicke zugenommen hatte und zwar in der Art, dass der schmale cylindrische Theil kaum mehr zu unterscheiden war, und nur an dem schmalen zu- gespitzten Ende der angeschwollenen Zelle seine frühere Lage errathen liess (Fig. 19°). Am 29. Juni lôsten sich alle zu Zoosporangien herangewachsenen Zo0- sporen, sowohl die normalen als die abnormen, wieder in Zoosporen auf. In dieser neuen Generation kamen wieder abnorm keimende Zoosporen zum Vorschein, deren weiteres Schicksal ich aber nicht verfolgt habe. In einem anderen Tropfen wurden die zur Ruhe gekommenen Zoosporen, unter denen auch abnorm keimende sich vorfanden, mit der !,°,. Salzlüsung nur befeuchtet (Fig. 23). Die am 1. Juli abgezeichneten Exemplare hatten schon am 2. Jali in ihrem ange- schwollenen Theïile an Grüsse zugenommen (Fig. 24), und in allen Zoosporen, in normalen ebenso wie in abnormen, konnte das grüne Chlorophyllbläschen und die Vakuole schon beobachtet werden. Der Inhalt des angeschwollenen kugeligen Theiles schien sich von dem des schmalen cylindrischen Theiles abge- grenzt zu haben; der letztere hatte zwar seine Form nicht verändert, war aber bleich geworden und schien im Absterben begriffen zu sein. Am 3. und 4. Juni hatte bei allen Zoosporen der kugelige Theïl noch an Grüsse zugenommen, der cylindrische Theïil der abnormen Zoosporen war dagegen ganz farblos gewor- gen und konnte bei einigen nur mit Mühe beobach- tet werden. Am 8. Juli endlich war der Inhalt aller Zoosporen in ganz gleicher Weiïse bei den normalen wie bei den abnormen in eine Masse unbeweglicher Kugeln zerfallen. Variationen ganz anderer Art habe ich an Chloro- coccum infusionum in der 34. Salzlôsung beobachtet. Unter den in unbewegliche Kugeln von fast gleicher Dimension zerfallenden Chlorococcum wachsen einige Exemplare in unregelmässige Massen aus, bei denen oft die Theilung eine gewisse Zeit unterbleibt, so dass der ganze Inhalt, von einer eigenen Membran umge- ben, durch den Riss der Zellenmembran als eine ein- zige Masse hinaustritt (Fig. 29 — 35). Die Identität dieser Formen mit Chlorococcum infusionum ist nicht 4* —— 55 Bulletin de l’Académie Impériale 56 0 zu verkennen, erstens deshalb, weil sie in ganz gleicher Weise wie die normalen Chlorococcum durch das Zer- fallen in eine Menge unbeweglicher Kugeln sich ver- mehren: zweitens weil solche abnorme Formen als Theilungsproducte mit normalen kugeligen in densel- ben Zellen gebildet werden, wie aus der Fig. 35 deut- lich zu sehen ist. Es ist mir gelungen, noch viel merkwürdigere Vege- tationen bei Protococcus vulgaris, aber fast ausschliess- lich nur in der 3°. Lüsung, nachzuweisen; unter den abnormen Protococcusformen stellten einige botry- diumartige Gebilde, andere dagegen Mittelformen zwi- schen Protococcus und Conferva dar. Die Annähe- rung an die Botrydiumform zeigte sich darin, dass die Protococcuszellen mehr oder weniger lange cylin- drische Auswüchse, welche nicht selten viel weniger intensiv grün als der übrige Zellenraum gefärbt waren, bildeten und also ein Botrydium in sehr verkleinertem Massstabe darstellten (Fig. 47, 48, 49, 51). Diese Âhnlichkeit wurde noch durch die Art der Vermeh- rung, mittelst unbeweglicher, aus dem peripherischen Plasma durch simultane Theïlung desselben gebildete Keimzellen gesteigert, die ganz derjenigen von Botry- dium, nach der Beschreibung von A. Braun”) zu ur- theilen, gleichkam, nur mit dem Unterschiede, dass die jungen Keimzellen von Protococcus dadurch frei wer- den, dass sie die Mutterzellenmembran aufreissen; bei Botrydium dagegen letztere verflüssigt und resorbirt wird. Die Variationen nach der Seite der Conferva hin bieten dadurch grosses Interesse, dass sie auch ein Stre- ben einer niederen Form, sich einer verhältnissmässig hôüheren zu nähern, andeuten. Unter den normalen kugelrunden Theilungsprodukten von Protococcus las- sen sich oft zu unregelmässigen Kürpern ausgewach- sene Individuen beobachten, die hüchst mannigfaltige Gestalten annehmen (Fig. 52—61). Unter diesen ver- dienen aber diejenigen, welche sich zu cylindrischen Zellen umgestalten, eine besondere Aufmerksamkeit (Fig. 60), da sie mit den, durch das Zerfallen des Confervafadens in seine Zellen frei werdenden Thei- lungsprodukten, zu deren Beschreibung ich sogleich übergehe, bis zum Verwechseln ähnlich sind und auf die Verwandtschaft dieser beiden Formen hinweisen. 10) A. Braun. Verjüngungen, p. 136. Dass alle diese abnormen Gestalten zu Protococcus vi- ridis gehüren und dass nicht etwa eine Verwechselung vorgekommen ist, davon kann man sich dadurch über- zeugen, dass es nicht selten gelingt, solche abnorme Theilungsproducte noch innerhalb der Mutterzellen- membran sammt normalen Keimzellen von Protococcus zu beobachten (Fig. 42 — 46, 57). Die Entwickelung der Conferva ist so gut wie gar nicht bekannt, man weiss nichts über die Art ihrer Vermehrung. Obgleich es mir jetzt äussert interessant wäre, ihre Entwickelung in einer môüglichst genauen Weise zu studiren, so muss ich mich doch mit verhält- nissmässig sehr unvollständigen Beobachtungen be- gnügen, die ich ganz zufüllig im Anfange des Som- mers anstellte, ohne mich weiter um sie zu kümmern, da ich wegen der beschränkten Zeit, die mir zur Un- tersuchung übrig hlieb, beschlossen hatte, meine Auf- merksamkeit fast ausschliesslich auf die beiden oben genannten Formen zu beschränken, ohne auch nur zu vermuthen, dass zwischen Protococcus und Conferva eine so innige Beziehung existiren künne. So unvoll- ständig meine Angaben auch sind, so bieten sie doch in dieser Hinsicht interessante Anhaltspunkte dar. Das Wachsen der von mir beobachteten Fäden kommt durch Quertheilung und Ausdehnung der neu entstandenen Zellen zu Stande, wobei, so viel ich beobachten konnte, die Mutterzellenmembran quer durchreisst. Die jun- gen heranwachsenden Zellen, von einer inneren dün- nen Membran umgeben, an Querwänden mit den an- grenzenden Zellen des Fadens und unter sich ver- wachsen, treten in einer ununterbrochenen Reïhe geord- net hervor, wobei, in die Länge wachsend, sie die ge- trennten Theile der alten Membran immer mehr von einander entfernen. Die Mutterzellenmembran wird dabei immer in zwei ungleiche Theile, in einen langen scheidenartigen und einen kurzen kappenfôrmigen zer- rissen, welche an den Confervenfäden eine unbestimmt lange Zeit befestigt bleiben. Es gelang mir sogar zwei Mal, zwei in einander gesteckte Scheiden zu beobach- ten (Fig. 73, 74). Unter Verhältnissen, die näher anzugeben ich bis jetzt noch nicht im Stande bin, geht bei der Conferva ein Zerfallen in ihre einzelnenGlieder vor sich. Eine jede Zelle der Conferva theilt sich wie zuvor in eine Reihe Glieder, wobei die Mutterzellenmembran wie früher in zwei ungleiche Theile quer zerrissen wird, und die 57 neu gebildeten Zellen treten hervor, zuerst noch durch eine, wenn auch äusserst dünne Membran zusammen- gehalten: letztere wird jedoch bald aufgelüst und die einzelnen Glieder trennen sich von einander. Sie haben alle eine verlängerte, mehr oder weniger cylindrische Gestalt und gleichen in diesem Zustande den früher erwähnten abnormen zu cylindrischen Zellen heran- wachsenden Theilungsproducten des Protococcus in einem so hohen Grade, dass es unmôglich wird, sie von den letzteren zu unterscheiden. Sogleich nach dem Freiwerden sind die Chlorophyllkürner schon deutlich zu unterscheiden, aber bei weitem nicht so scharf wie späterhin. Ueber die weitere Entwickelung dieser cylindrischen freien Confervenzellen kann ich nur an- geben, dass sie sich in die Länge strecken und dann wieder in 4 oder 8 neue Zellen zerfallen, wobei die Zellenmembran ganz ebenso abgestreift wird wie vor- her, und die einzelnen Glieder sich wieder trennen (Fig. 75). Aus allem vorher Gesagten folgt, dass es mir gelungen ist, sowohl den Protococcus als die Con- ferva in einem solchen Stadium der Entwickelung zu beobachten, in dem diese beiden Formen, wenigstens meiner Ansicht nach, nicht unterschieden werden künnen; ob es aber ganz identische Gebilde sind, bleibt noch vollkommen unentschieden, und es muss späteren Beobachtungen überlassen werden, darüber ein Urtheil auszusprechen. Allerdings ist aber diese ganz aussergewôhnliche AÂhnlichkeit hôchst auffallend und lässt sich wohl schwerlich als etwas ganz Zufäl- liges betrachten. Die eben ausgesprochene Vermuthung über den Zusammenhang von Protococcus mit Conferva lässt sich noch durch folgende an anderen Algen gemachte Beobachtungen bekräftigen, welche das Erscheinen einer und derselben Algen-Form, je nach den Umstän- den, bald als kugelige runde Zellen, die ich als proto- coccusartige Gebilde bezeichnen will, bald als eine Fadenalge klar darthun werden. Wenn man ein ganzes Exemplar eines auf feuchter Erde gezogenen Stygeocloniwm stellare untersucht, s0 wird man es immer aus zweierlei Fäden zusammen- gesetzt finden, von denen die einen in die Luft nach oben wachsen, die anderen aber der Erde sich an- schmiegend niederliegen, und die auf eine so auffal- lende Weise von einander verschieden sind, dass, wenn sie nicht in organischem Zusammenhange gefunden des Sciences de Saint-Pétersbourg. 58 wären, man sie nie als ein und derselben Alge gehô- rend ansehen würde. Die in die Luft wachsenden Zweige sind ihrer ganzen Masse nach aus intensiv grünen, mehr oder weniger perlschnurartig aufge- blähten Zellen zusammengesetzt (Fig. 93). Die an der Erde kriechenden dagegen stellen lange cylin- drische Zellenreihen gewühnlich ohne Spur einer Ein- schnürung dar (fig. 94 und 95). Die Zellen dieser Fäden enthalten verhältnissmässig wenig Chlorophyll, welches gewühnlich nur einen mehr oder weniger schmalen Gürtel in der Mitte der Zelle bildet, wo- durch diese Zellen an den Enden immer farblos er- scheinen. In dem Chlorophyllgürtel sind meistens einige wenige kleine Stärkekürner enthalten. So verschieden diese beiden Arten von Zellen unter einander sind, so künnen sie doch unter gewissen Umständen in einander verwandelt werden. Bis jetzt ist es mir aber noch nicht gelungen, diese Verhältnisse genauer anzugeben, obwohl ich eine solche Verwandlung mehrere Male mit der gewünschten Genauigkeit an den Zellen eines und desselben Fadens beobachten konnte. In anderen Fällen dagegen scheinen sie mit grosser Hartnäckig- keit ihre charakteristischen Merkmale beizubehalten. An den beiden Arten von Fäden ist es mir gelungen, ein Zerfallen in einzelne kugelige Zellen zu beobach- ten (Fig. 88, 89, 92). Die sich isolirenden Zellen von beiderlei Zweigen behalten oft die für sie cha- rakteristische Anordnung des Inhalts, und es wird also auf diese Weise müglich, aus den Fäden eines und desselben Sfygeoclonium zwei von einander ganz ver- schiedene protococcusartige Gebilde zu erzeugen (Fig. 89, 90, 91, 92). Von diesen beiden protococcusarti- gen Formen kann ich jetzt schon die auf der Fig. 87, 92 abgebildete zu jeder Zeit aus den Luftzweigen von Stygeoclonium stellare erzeugen. Es ist nur zu diesem Zwecke nôthig, sie in der feuchten Kammer mit einer ‘/°,. Salzlüsung anzufeuchten, indem man tiglich einen frischen Tropfen Salzlôsung auf die Fä- den bringt und den Tropfen sogleich mittelst Fliess- papier wieder entfernt. Die so behandelten Zellen schwellen in einigen Tagen an, und sich allmählich abrundend, trennen sie sich von einander. Sowobl in diesem Zustande, als auch viel später, wenn sie schon ganz gesondert liegen, fahren sie fort, mittelst ver- schiedenartig gerichteter Scheidewände sich zu thei- len und abermals in gesonderte Kugeln zu zerfallen 59 Bulletin de l’Académie Impériale 60 Diese frei liegenden, protococeusartigen Gebilde des Stygeoclonium stellare kônnen, allem Anscheine nach, unter diesen Verhältnissen eine ganz unbestimmte Zeit als einzellige Organismen fortvegetiren und immer weiter sich theilen. Sie wachsen aber sogleich wieder zu Stygeocloniumfiden heran, wenn sie ins Wasser oder ‘/°,. Salzlüsung, oder auf deren Oberfläche zu liegen kommen (Fig. 92° und 6). Das Stygeoclonium stellare kann also unter gewissen Umständen als ein einzelliger Organismus eine unbe- stimmt lange Zeit vegetiren, unter anderen Verhält- nissen aber als Fadenalge erscheinen. Der Zusam- menhang eines protococcusartigen Gebildes mit der Fadenalgenform ist in diesem Falle also ganz evident. Einen zweiten hierher gehôrenden Fall bietet Plewro- coccus vulgaris dar. Alle Algologen beschreiben ibn als eine einzellige, sich durch Theiïlung nach den drei senkrechten Richtungen des Raumes theilende Alge, deren Theilungsprodukte mit der Zeit aus einander fallen und also wieder einzellige Organismen dar- stellen und in dieser Art sich ins Unendliche vermeh- ren. Diese Alge stellt also, der Beschreïbung nach zu urtheilen, einen echten einzelligen kugeligen Organis- mus dar. Indessen ist es mir mehrere Male môglich ge- wesen, sein Auswachsen in fadenartige Gebilde zu beob- achten. In diesem Falle kann man in einer solchen Zelle eine ganze Reihe von Querwänden nachweisen. Dass diese Gebilde zum Pleurococcus vulgaris gerech- net werden müssen, folgt daraus, dass man nicht selten eine solche in einen Faden ausgewachsene Zelle noch in Verbindung mit drei anderen, in eine für Pleuro- coccus charakteristische Tetrade verbunden, antref- fen kann (Fig. 96). Endlich will ich hier noch einer confervenartigen Form gedenken, bei der ich auch ein Anschwellen ihrer Zellen zu protococcusartigen Gebilden beobach- tet und in den Fig. 69, 70, 71 abgebildet habe. Da diese Fadenalge leicht in Stücke zerfällt, so bietet die Ansicht, dass auch sie ebenfalls in isolirte Kugeln zerfallen künne, nichts Befremdendes dar. Alle hier angeführten Beobachtungen über die Ab- änderung der typischen Algenformen und deren Über- gang oder Annäherung an andere Formen stehen bis jetzt fast ganz isolirt da. In der algologischen Lite- ratur bieten nur die Kützing’schen Arbeïiten etwas Analoges dar, unter denen der Aufsatz: Über die Um- wandlung niederer Algenformen in hühere (1841) eine besondere Beachtung verdient. Der Titel des Buches spricht schon die Ansicht des Autors klar aus, der die Umwandlung der niederen Formen annimmt und diese Meinung durch eine ganze Reïhe von Beobach- tungen zu unterstützen sucht, denen man, wie ich schon früher bemerkt habe, wenig Zutrauen schenkt und sie als gänzlich verfehlt betrachtet. Nach Kützing sollen nicht nur Algen, sondern so- gar Moose aus Protococcus entstehen. Der Protococ- cus selbst kann aber nach seiner Meinung als die ein- fachste Algenform dureh Urzeugung gebildet werden"). Die auf diese Weise entstandenen, Anfangs farblosen Exemplare werden mit der Zeit grün. Unter dem Ein- flusse der äusseren Verhältnisse soll weiter der Proto- coccus ein sehr verschiedenes Ansehen bekommen. Aus diesen unter einander schon ganz verschiedenen Protococcusformen wachsen nach Kützing in einigen Fällen Algen oder sogar Moose hervor. So wird von ihm auf Seite 38 ff. die Umwandlung des Pro- tococcus in Oscillaria und Conferva und auf Seite 66, 97 #. die Entwickelung von Pryum cespiti- cèum, Bryum annotinum, Barbula muralis, Dicranum heteromallum aus demselben Protococcus beschrieben. Die Heranbildung der hüheren Form aus Proto- coccus kommt nach Kützing auf zweierlei Weise zu Stande: 1) durch das Auswachsen einer Zelle dessel- ben, oder 2) durch das Verwachsen mehrerer, Anfangs isolirter Zellen. Diese zweite Art der Bildung mehr- zelliger Formen aus einzelnen Zellen kommt bekannt- lich niemals zu Stande und ist von Kützing, wie ich sogleich zeigen werde, nur in Folge einer falschen Deutung der in einzelne Zallen zerfallenden Formen aufgestellt worden. Das eïinzige, wenn auch streng genommen nicht ganz passende Beiïspiel dieser Art Entstehung bietet, wie ich gezeigt habe, das Hervor- gehen der Zellenschicht von ZLimnodictyon Roemeria- num aus den Chlorococcumzellen dar. Dieser Fehler ist desto überraschender, da Kützing selber die Existenz einer rückschreitenden Metamorphose mit Be- stimmtheit behauptet. Es sollen nach ihm Oscillaria, Conferva und sogar der Moosvorkeim unter gewissen Umständen in Protococcuskugeln zerfallen. Nach Kützing hängt es ferner gänzlich von den a) Kützing. Umwandlung niederer Algenformen in hôhere, p. 9, ibid. p. 39, 41 und 62. 61 äusseren Umständen ab, ob ein Organismus als ein- fachere oder complicirtere Form vorkommt, und es kann nach ihm der Übergang einer niederen Form in eine hôühere und umgekehrt unbestimmt viele Male zu Stande kommen. Obwohl nicht geleugnet werden darf, dass in dem erwähnten Werke von Kützing bedeutende Febler vorkommen, und dass die von Kützing vermuthete Verwandtschaft der niederen Algen mit den hüheren und den Moosen sich nicht bestätigt hat, so erweisen sich seine Beobachtungen, wie ich es sogleich zeigen werde, bei Weitem nicht in dem Grade der Wahrheït widersprechend, als man es bisher vermuthet hat, und es verdienen seine Arbeiten die volle Aufmerksamkeit der Algologen, da sie ausser den fehlerhaïten auch eine Menge ganz richtiger Beobachtungen enthalten. Es ist mir vor Allem gelungen, die von Kützing beobachteten Beziehungen zwischen den Fadenalgen und den protococeusartigen Gebilden zu bestätigen. Es zerfallen nämlich, wie wir gesehen haben, unter gewissen Umständen die Conferva und das Sfygeoclo- nium in protococcusartige Gebilde, welche, wie ich es an Stygeoclonium-Kugeln beobachtet habe, eine Zeit lang die Fähigkeit besitzen, in diesem Zustande eines einzelligen Organismus zu verbleiben und sich durch Theïlung in eben solche Kugeln zu vermehren. In die- sem Zustande sind sie mit der von Kützing als Pro- tococcus bezeichneten Alge identisch. Das Zerfallen der Fadenalgen in protococcusartige Gebilde fand ich also bestätigt. Andererseits ist nichts leichter, als ein Heranwachsen dieser protococeusartigen Gebilde zu einem Sfygeoclonium zu beobachten, was auch Kützing angiebt *). Es existirt also wirklich eine gewisse Bezichung zwischen den grünen kugeligen und fadenartigen Al- genformen, wie es Kützing haben will, mit dem Unterschiede aber, dass die protococcusartigen Ge- bilde, welche den verschiedenen Fadenalgen entspre- chen, keine Variationen eines und desselben Orga- nismus sind, sondern ebenso von einander verschie- dene Gebilde sind, wie die ihnen entsprechenden Fa- denalgen. Esïist ebenfalls wahr, dass ein Moosvor- keim aus einer protococcusartigen Zelle sich heran- bilden kann, our muss auch hier anerkannt werden, 12) Kützing. Phycologia generalis, p. 253. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 62 dass diese protococcusartigen Gebilde nicht identisch sind mit denjenigen, aus denen fadenartige Algen entste- hen, sondern einem jeden Moosvorkeime eigene, durch das Zerfallen des Moosvorkeimes in seine einzelnen Zellen entstandene grüne Kugeln sind. Ein Zerfallen des Moosvorkeimes in seine Zellen habe ich üfters, besonders bei warmer Witterung, nachdem der Regen , mehrere Tage ausgeblicben war, Gelegenheit gehabt zu beobachten; ich fand mehrere Male solche Moos- vorkeime sowohl auf einem erdigen, als auch ganz trockenen sandigen Boden. Es ist mir ausserdem ge- lungen, mittelst Kultur in Salzlüsungen entsprechende Veränderungen künstlich hervorzurufen. Die gewühn- lich cylindrischen Zellen des Vorkeimes nehmen dabei mehr oder weniger eine kugelformige Gestalt an und werden nicht selten, sowohl durch Quer-, als auch durch Längswände getheilt. Eine sehr charakteristische, wenn auch nicht immer zum Vorschein kommende, Eigenthümlichkeit des in seine Zelle sich auflôsenden Vorkeimes seiner ganzen Ausdehnung nach besteht in der Bildung einer Menge ganz sonderbarer Zellen, die immer einzeln zwischen je zwei grünen Zellen einge- schaltet werden. Sie werden, soviel ich bis jetzt beob- achten konnte, auf die Weise gebildet, dass der grüne Inhalt einer normalen Zelle des Vorkeïms von dem einen Ende der Zelle sich zurückzieht, und dann flach gegen dieses farblose Ende, welches demungeachtet mit dem farblosen Protoplasma erfüllt bleibt, sich abgrenzt. An dieser Stelle wird dann eine Querwand gebildet, und die Mutterzelle also in eine grüne und eine farb- lose Zelle getheilt. Bisweilen wurden auch in der farblosen Zelle mehrere Chlorophyllkôrner zurück- gelassen und es wird manches Mal ganz deutlich ein zellenkernartiges Gebilde beobachtet. Gewühnlich sind die farblosen Zellen kurz, so dass ihre Länge sogar um 1}, Mal von ihrer Breite übertroffen wird, selte- ner kommt das umgekehrte Verhältniss zum Vorschei, Die Bedeutung dieser Zellen ist mir ganz unaufseklärt geblieben; ibre Natur wird noch dadurch räthselhafter, dass sie manchmal, unter dem Augenscheine nach wenigstens ganz identischen Umständen, gänzlich weg- bleiben künnen. Ob ferner das Erscheinen dieser Zel- len durch äussere Umstände hervorgebracht wird, oder ob es nur dem Vorkeime gewisser Moose eigenthüm- lich ist, und deshalb nicht in allen von mir beobachte- ten Füllen zum Vorschein kam, kann ich nicht ent- 67 Bulletin de l’Académie Impériale TR 20 a, 22, 23, 24, 25, 26 anormale, sich entwickelnde | von einer inneren zarten Membran umgeben, heraus- Zoosporen. Fig. 184 und 19a sind Entwickelungs- zustände einer und derselben Zoospore. Die beigege- benen Figuren zeigen ganz deutlich, dass die anorma- len Zoosporen mit der Zeit den übrigen fast gleich kommen und erweisen sich ebenfalls mit dem grünen Bläschen und der Vakuole versehen. Fig. 21 und 22. In Theilung begriffene, in Zoo- sporangien sich umwandelnde Zoosporen. Fig. 23,24, 25. Verschiedene Entwickelungszustände einer und derselben anormalen Zoospore. Fig. 26. Eine anor- male Zoospore, welche in der Mutterzellenmembran gekeimt hat. Fig. 27 und 28. Lymnodictyon Roemerianum, her- vorgegangen aus Chlorococcumzellen, Fig. 29— 35. Chlorococcumkugeln, die in der 3%. Lüsung zu unregelmässigen Massen auswachsen und dabei sich auch oft schon ausserhalb der Mutter- zellenmembran theilen. Tafel IL. Protococeus viridis(36 — 62), Conferva spec. (62 — 79). Fig. 36. Eine halb erwachsene Protococcuskugel. Fig. 37. Die Zoosporen im ersten Momente nach ihrem Austritt. Sie sind noch von der inneren zarten Membran der Mutterzelle umgeben und in Haufen zu- sammengedrängt. Fig. 37 (a, b, c, d, e). Frei schwimmende Zoospo- ren. «@ und Ÿ. Zoosporen, welche sich am Rande des Tropfens zwischen die schon zur Ruhe gekommenen hineinzwängen und ihre beiden Wimpern nach hinten kehren. €, d, e. Zoosporen mit J behandelt. Fig. 39. à, b, c. Unbewegliche, zur Kugel heran- wachsende Zoospore in verschiedenen Stadien der Ent- wickelung. Fig. 40 und 41. In Theilung begriffene Protococ- cuskugel in der 3°,. Lüsung der Salze. Fig. 42 — 46. Protococcuskugeln, welche sich ge- theilt haben; einige ihrer Theilungsproduckte wachsen zu unregelmässigen Kôrpern aus. Fig. 47, 48, 49 und 51. Protococcuskugel, welche zu botrydiumartigen Gebilden auswachsen. Fig. 50. Eine Protococcuskugel, welche, mit Aus- wüchsen versehen, sich nach der Art typischer Proto- coccuskugeln getheilt hat und die Theilungsproducte, treten lässt. Fig, 52— 56. Unregelmässige Formen, in welche die Protococcuszellen in der 3°. Lüsung sich umge- stalten. Fig. 57. Ein anormales Theilungsprodukt, welches in der Mutterzelle liegen geblieben ist. Die Mutter- zellenmembran ist stark aufgequollen. Fig. 58. Ein anormales Theilungsprodukt des Pro- tococcus, welches heranwachsend die ihn umgebende Membran gesprengt hat und sie abstreift. Fig. 59. Ein eben solches Gebilde in der Thei- lung begriffen. Fig. 60. Zwei Protococcuszellen, von denen die eine die Cylinderform angenommen hat. Fig. 61 a. Ein ebensolches Gebilde, welches seine Membran gesprengt hat und aus ihr an einem Ende herauswächst. b. Dasselbe Individuum am folgenden Tage, wo es in eine Menge Kugeln zerfallen ist, die im Begriff sind, sich von einander zu trennen. Fig. 62a. Eine mit einem sonderbaren seitlichen Auswuchse versehene Protococcuszelle. b. Dieselbe im weiteren Entwickelungsstadium. Sie ist stark gewach- sen; der Inhalt hat sich in zwei Theiïle getheilt, von denen der eine im cylindrischen Aste, welcher, wie mir schien, durch eine Querscheidewand sich von dem übrigen Lumen abgesondert hat, sich befindet, der an- dere grüssere Theil des Inhalts in dem kugeligen Theiïle des Protococcus geblieben ist, von dessen Membran, die stark gewachsen ist, sich zurückgezogen, mit eige- ner Membran umgeben hat und in eine Menge kleiner Zellen zerfallen ist. Fig. 63, 64, 65, 66. Verschiedene Entwickelungs- zustände einer und derselben Zellenreihe der Con- ferva spec. Diese Conferva, welche (s. Fig. 63) nach einer mehrwôchentlichen Kultur im Tropfen Wasser theilweise mit Oltropfen gefüllt ist und ihre lebhaft grüne Farbe eingebüsst hat, erlangt während des Ver- weilens in der !,%,. Lüsung allmählich ihr früheres Aus- sehen (Fig. 64,65,66). Die Oltropfen sind verschwun- den und das wiedererzeugte Chlorophyll in eine Menge Chlorophyllkôürner zerfallen. — NB. Leider habe ich zu der Zeit, als diese Zeichnungen gemacht wurden, mein Augenmerk nur auf den Zelleninhalt gelenkt und wenig Acht auf die gesprengte Zellenmembran gegeben, wes- halb ich auch nicht angeben kann, ob die in der Zeich- Bulletin de l'Acad. Jmp. d. se T, XVII. Gez. Y. A. Faminizin. A. Fawn. Die auorganischeu Salze ete, TE. Chlorococcum infusionum Menegt. Lith. A. Munster W, 0, 2 L. 7. Bulletin de l'Aead, Jmp. d. se. T, XVII. A. Fawxrzx Die anorganischen Salze ee. Oo 37 Protococens viridis (1—62) Conferva (63—72). | Gez. N. À Famintzin. Lith, À. Münster-W. 0 2 1. 7. Tv L d ‘ \ 2 î | l : . & i ; ‘ NT ae [LAN D'ET - ï # 1 } 6 : bu Ê | | , ' | ï F1 L 1 L2 É ei 2 l " VA "nl C1 Ce ' - Len l qui x pi 1 É : il à | k ! | ca ÿ A 1 4 n F À NS | 4 L " d A Ù \ - : 410 ALy HR 1 PR L [il LL o" à SANS » M DAT) i : \ n (l J a A ' u PA 1 | à 4 ‘A . t L Û fl h l : 4970 M D [RAT ‘ Er FA IN le N £ si 0 L € TN d SN) Le d W Ur :e, xd : Ve : MT LAS ï Lo * NET a Ï } : L ù Fi [ ne: x | ge ‘ (a ( | ES TE | D: - | 1 li WA Ù ns L 1 ar s D À \ 124 or » “ ; r \ 1 $ RUE ) QU LE ME Hn * jen | si | 1 AN nov À A d r M2 ù an } gt RAR ul "DETTE LME DE 5 27 N: Paru . cts (Eye | RE . pe A Er AL ; AT 3 Eu RUN, 214 » È Ji E Ÿ À DRCANE | gd (l Par: Bulletin de l'Acad. Jmp. d. se. T. XVII. A. Fawixrzix Die anorganisehen Salze ete. T. IT. Conferva (73— 86). Stigeoeloninm stellare (87—95). Pleurococens viridis. 96 Ge. Y A. Famintzit. Lith. 4. Munster W. 0. 21 7. 69 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 70 ———————————— nung fehlende lange Membrankappe übersehen worden ist oder an einem in der Zeichnung nicht aufgenomme- nen Theiïle des Fadens sich befand. Fig. 67. Ein Confervafaden, aus sich abrundenden Zellen bestehend. In einer jeden Zelle ist eine cen- trale Vakuole zu beobachten. Fig. 68. Zwei Zellen eines Confervafadens, in dem in Folge der Kultur in feuchter Atmosphäre das Chlo- rophyll fast günzlich verschwunden ist und die Zellen in sich Ültropfen in Menge erzeugt haben. Fig. 69, 70, 71. Die schmale Confervaform mit den sonderbaren kugeligen Anschwellungen. Tafel III. Conferva spec. (73—87). Stygeoclonium stellare (87 — 95). Pleurococcus vulgaris (96). Fig. 73 und 74. Confervafiden mit zwei in ein- ander geschalteten Scheiden. Den in Fig. 73 befind- lichen farblosen Zwischenraum weiss ich nicht zu deuten. Fig. 75. Ein frei liegendes, in der Theïilung be- griffenes Glied der Conferva. Fig. 76. Ein Theil eines Confervafadens, dessen Zellen in je acht Glieder zerfallen, welche nach dem Bersten der äusseren Membran noch eine Zeit lang durch die innere Membran festgehalten werden und dann ganz frei zu liegen kommen. Fig. 77. Vier frei liegende Glieder einer Conferva, welche sich abermals getheilt haben. Fig. 78, 79, 80. Entwickelungszustände eines und desselben Fadens. Fig. 81 — 86. Ebensolche Confervazellen, welche nach dem Bersten in 4 — 8 Glieder zerfallen. Fig. 87. Ein Stygeoclonium stellare-Faden, welcher aus zweierlei Zellen besteht, die sich theilweise in Kugeln verwandeln. Fig. 88. Ein aus mehreren Zellen bestehender Fa- den, die sich zu Kugeln umgestalten und von einan- der trennen. Fig. 89. Sechs solcher Kugeln, welche sich schon vollständig isolirt haben, aber noch neben einander liegen. Fig. 904 und b. Zwei ebensolche isolirte Zellen, welche aber keine Kugelform angenommen haben. Fig. 91. Ein ebensolcher, in kugelige Zellen sich auflüsender Kaden. Fig. 92. Fünf aus einem Luftaste entstandene pro- tococcusartige Kugeln, von denen zwei auf der linken Seite gelegene und die mittlere, auf der Oberfläche des Wassers kultivirt, schon zu keimen beginnen, in- dem sie theilweise zu einem grünen Faden sich aus- dehnen und dabei auch farblose Fäden ausschicken, die sich aber mit der Zeit auch mit Chlorophyll füllen. Fig. 93. Ein aus perlschnurartigen Zellen bestehen- der und sich verzweigender Luftast Fig. 94 und 95. Zwei Wurzeläste. Fig. 96. Ein zu einem confervaartigen Gebilde aus- wachsender Pleurococcus vulgaris. Buddhistische Fragmente. Von Joh. Minayeff. (Lu le 13 avril 1871.) Je genauer wir mit der Vergangenheit Indiens be- kannt werden, je umfassender und je eingehender wir seine alte Literatur kennen lernen, desto sicherer und klarer stellt es sich heraus, dass die Entwickelung seiner Civilisation nicht unberührt geblieben ist von dem Eiïnflusse des Westens, und dass anderer Seits die indische Civilisation sich nicht ohne Einwirkung auf die Cultur des Westens entwickelt hat'). Die Nach- richten, welche über die Verbindungen Indiens mit dem Westen zu uns gelangt sind, sind so unvollstän- dig und lückenhaft, die Wege, auf denen der Einfluss des Westens nach Indien drang und auf denen ebenso umgekehrt Indien auf den Westen einwirkte, sind so wenig in’s Klare gebracht, dass jede neue Thatsache, welche von dem Vorhandensein solcher Verbindungen und von Spuren derselben im Gedächtniss des Volkes zeugt, für die geschichtlichen Forschungen von Be- deutung sein muss. Es ist nicht zu bezweifeln, dass eine genauere Bekanntschaft mit der reichen buddhi- stischen Literatur vor allen Dingen viel dazu beitra- gen wird die Beziehungen Indiens zu dem Westen aufzuklären. Einige bis jetzt unbekannte Nachrichten dieser Art enthalten zwei kleine Bruchstücke, deren Text nebst Übersetzung unten folgt. ; Das erste“derselben handelt über einige Arten‘) 1) Vergl. Weber, Indische Skizzen S. G9 ff. 2) Das erste Bruchstück ist dem Werke «Sârasangaha» ent- nommen; die Beschreibung dieses Werkes befindet sich in dem Ver- zeichniss der Kopenhagener Handschriften : Codices Orientales Bi- bliothecae Regiae Havniensis. Pars prior, p. 47. Das zweite ist aus 5* 71 heiliger Bauwerke bei den Buddhisten und obwohl es in archäologischer Hinsicht wenig Befriedigendes dar- bietet. theilt es nichts desto weniger einige bisher un- bekannte Punkte mit, deren Erläuterung dieser Auf- satz zur Aufgabe hat. Fergusson unterscheidet in seinem letzten Werke: Tree and Serpent Worship. (London 1868) Seite 79 folg. drei Arten monumen- taler Überreste des Buddhismus: 1) die Stûpa’s (im Pâli thûpa), 2) die Caitya’s (im Pâli cetiya und 3) die Vihära’s. Die ersten sind besondere, kegel- f‘rmige oder einem umgestürzten Kelche ähnliche Bauwerke, und in grosser Anzahl in Indien, Afgha- nistan, Kabul u. s. w. verbreitet. Die zweite Art von Bauwerken vergleicht Fergusson der Form und der Bestimmung nach mit den christlichen Kirchen. Diese Art von Denkmälern hat sich in sehr geringer Anzahl erhalten; es werden nicht mehr als zwanzig derselben beschrieben und Fergusson vermuthet, dass deren überhaupt nur dreissig vorhanden sind (and it is hardly probable that more than thirty exist). Die dritte Art von Bauwerken, die Vihära’s, sind Wohnungen der Münche, welche die Caitya’s und Stüpa’s umgeber. Burnouf weist der ersten und zweiten Art dieser Denkmäler eine etwas verschie- dene Bestimmung zu; seiner Meinung nach (Intro- duction à l'histoire du Buddhisme s. 74 n. 2 u. s. 348 n. 2) bezeichnet caitya jeden Platz, welcher der An- dacht und der Darbringung von Opfern geweiht ist, z. B. einen Tempel, ein Denkmal, einen bedeckten Platz, einen Baum, wo die Gottheit verehrt wird. An einer andern Stelle seines Werkes bemerkt er, dass stüpa und caitya sich hauptsächlich durch ihre Be- stimmung unterscheiden: stûüpa sei ein Tumulus; sind aber in demselben Reliquien des Buddha oder sonst ein Gegenstand, den er benutzt hat, vergraben, oder ist er an einer Stelle errichtet, die durch den Aufent- halt des Buddha berühmt ist, so wird in allen diesen Fällen der Stûpa schon dadurch ein Caitya, d. h. ein geweihter Tumulus; doch würde es eben so un- richtig sein zu behaupten, dass jeder Caitya ein Stüpa sei (cf. Küppen, Die Religion des Buddha I. 534). Bis jetzt ist noch keine Quelle der buddhisti- dem Jâtakavannanà (nach der Handschrift des Asiatischen Museums der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften), nach dem ebengenann- ten Verzeichniss p. 40 Jâtaka 4, 34, 9 in M 334. Bulletin de l’Académie Empériale 72 schen Literatur bekannt, welche den Unterschied zwi- schen stûpa und caitya vollkommen aufklärte. Die Stüpa’s sind. wie es scheint, überhaupt nur Grabdenkmäler und künnen zu Ehren eines jeden er- richtet werden; so sagt man von einem Sohne (Sujà- tajätaka V. 1. 2.): «tassa vayappattassa pitämaho kà- lam akâsi. ath’ assa pitu kâlakiriyato patthäya soka- samappito âlâhanato atthini äharitvà attano àrâme mattikathüpam katvà tattha nidahitvà gatägataveläya thüpam pupphehi püjetvä âvijjhanto paridevati» (das ist: als er herangewachsen war, starb sein Grossvater, und nach dem Tode desselben überkam den Vater eine grosse Betrübniss; er nahm die Reste der ver- brannten Knochen, errichtete in seinem Garten aus Backsteinen einen Stüpa, vergrub sie dort und ver- ebrte den Stüpa beständig mit Blumen und weinte bitterlich). Hier haben wir eine Nachricht von der Errichtung eines Stüpa auf dem Grabe eines ein- fachen Menschen und noch wichtiger ist es, dass die- ses Denkmal ein Gegenstand der Verebrung war. Doch bezeichnete stüpa auch vorzugsweise ein hei- liges Denkmal, was aus Folgendem erhellt: eines der fünf Hauptvergehen, in welches ein Gesalbter, nach den Begriffen der Buddhisten, nicht verfallen durfte, bestand in Aneignung der zum Stûpa gehürigen Ge- genstände: «yah kulaputro mürdhâäbhishiktah stau- pikam vastv apaharati sämghikam và câturdiçasäm- ghikam và niryâtitam vàâ svayam vâpaharati hârayati và iyam prathamà müûlâpattih» (Cikshâäsamuceaya, fol. 38, Mss. India office library). Wer die Stüpa’s ehrt, heisst es ebendaselbst, dem werden verschiedene Gü- ter verheissen; er darf sogar hoffen, in einer seiner Wiedergeburten Indra zu werden. Caitya’s sollen nach einigen Nacbrichten Bauwerke sein, in deren Inneres man eintreten konnte. So erzählt Sârasañ- gaha folgenden Fall: «Aus der Yonaka-Gegend (dem Lande der baktrischen Griechen) kamen vier Patres um die Denkmäler anzubeten; den Tempelhof erblickend, noch che sie eingetreten waren, schon blos an der Thüre stehend hatte der eine Greis die Erinnerung von acht Kalpas, der zweite von sechszehn, der dritte von zwanzig, der vierte von dreissig.» Hier wird das wunderbare Gedächtniss für alles das, was in einem ungeheuren Zeitraume geschehen war, als eine Belohnung für die Verehrung der Denkmäler angesehen («Yonakavisayato cetiyatthâne vandanakà- 73 des Sciences de Saînt-Pétersbourg. 74 mâ cattäro therà âgantva cetiyañganam disvà anto apavisitvà dvâre yeva thatvàa eko thero attha kappe anussari eko sodasa eko vimsati eko timsa kappe anussari»). Obschon diese Stelle nicht ausreicht, um jedes Missverständniss zu beseitigen, so spricht sie doch auf jeden Fall für die Eintheilung, welche Fer- gusson vorgeschlagen hat. Unser Text (s. unten) spricht nur von einer Art von Denkmälern «caitya» und da dabei Sitze erwähnt werden, sowie auch der Bodhi-Baum, so künnen wir voraussetzen, dass die Caitya’s Bauwerke waren, welche sich dem Begriff eines Tempels näherten. Aus dem Särasañgaba erfah- ren wir über die Caitya’s Folgendes: es gab deren drei Arten je nach den Gegenständen, die in ihnen ver- graben waren, je nachdem es Reliquien oder durch den Gebrauch geheiligte Sachen oder Bücher religiô- sen Inhalts waren. Ob sie sich durch ihre Form von einander unterschieden, darüber wird nichts gesagt. Für uns müssen freilich von dem grüssten Inter- esse nur die Gesetzes- Denkmäler (dhammacetiya) sein, d. h. die, in welchen Bücher religiüsen [nhalts vergraben wurden: von solchen Denkmälern spricht Hiuen-Thsang (Mémoires IL. $. 11) und eine gewisse Art geschriebener Bücher befand sich in den Ge- fässen, die in den Stüpa’s vergraben waren; s. Wil- son, Ariana antiqua, S. 59: «in some examples the deposits have been accompanied by twists of tuz- leaves, inscribed internally with characters. These may have contained the precise information we seek. The only other probable conjecture as to these twists, is that they contain mantras or charms». Auf diesen Blättern konnte man nichts entziffern, da sie bei der blossen Berührung zerfielen. «In one or two instances only have we obtained twists in better preservation, their leaf being of coarser texture, and consequently more durable than the finer specimens generally em- ployed. The characters on these leaves are invariably those found on the native legends of our Bactrian and Indo-Seythie coins, and it is clear that the topes were raised during the period when such characters composed the alphabet of the country.» Dieses Zeugniss bestätigt vollkommen die Nachrichten unseres Textes; es ist kaum zu bezweifeln, dass auf diesen Blättern nicht blosmantra’s oder dhäranis gestanden haben, da diese beide Arten schriftlicher EKrzeugnisse eine späte Erscheinung der buddhistischen Literatur sind. Das Vorhandensein schriftlicher Denkmäler (abgese- hen von ihrem Inhalte, der uns bis jetzt unbekannt ist) in baktrischen Päli-Characteren berechtigt zu der Annahme, dass bei den Buddhisten die Schrift zum Aufzeichnen der Lehre sehr früh in Gebrauch gewe- sen ist, und vielleicht dürfen wir die Nachricht des Mahâvamso von der ersten schriftlichen Aufzeich- nung der buddhistischen Lehre im Anfang unserer Zeïtrechnang so erklären, dass vor jener Zeit nur einzelne Bruchstücke aufgezeichnet worden sind, ohne dass man sich um den ganzen Kanon kümmerte. Dies erklärt auch, nach meiner Ansicht, weshalb man trotz der vülligen Verschiedenheit der Redaction des Pâli- Kanons von der Redaction, die uns in tibetischer Übersetzung erhalten ist, in beiden oft Stellen antrifft, die ganz gleich sind. Die buddhistische Literatur in Nepal bietet Schriften dar, denen nichts in dem Pâli- Kanon entspricht; offenbar sind dieselben Bestand- theile eines ganz andern Kanons, der zu einer andern Zeit als der Pâli-Text niedergeschrieben ist, wovon uns die Sprache selbst ein Zeugniss giebt, aber dem- ungeachtet erwähnen dieselben solche Schriften, welche in den Ceylonischen Codex aufgenommen sind, z. B. Brahmajälasütra oder Dharmapada ‘). Aus dem ersten Bruchstücke erfahren wir auch, dass ein religiüser Gebrauch bestand, nach verschie- denen Gegenden, die an Monumenten reich waren, zu pilgern. Dass dieser Gebrauch sehr verbreitet und lange in Kraft war, davon zeugen nicht nur die auf uns gekommenen Reisebeschreibungen der Chinesen Fa- Hien, Hiuen-Thsang u. a., sondern auch die vielen Inschriften auf den Stüpa’s und Tempeln (vgl. die In- schriften bei Cunningham, The Bhilsa Topes, beson- ders pl. XVI. $. 237 Nadinagarà Käbojasa bhikhuno dânam und pl. XVI.S. 243. Ujeniya Rohiniya dânam; vergl. ausserdem Journal of the Bombay Br. of the roy. As. Soc. vol. V und vol. VIT. p. 49, wo die In- schrift N° 11 von den Gaben eines Griechen Dhar- madevaputa aus der Stadt Damtamittiyaka (Damta- 3) Das Brahmajälasûtra in Sanskr. Sprache wird von Yaço- mitra in Abhidharmakoçavyäkhyà f. 216 verso angefübrt, Dharma- pada im Mahâvastu (Ms. der Royal Asiatic Society in London): «teshäm Bhagayân jatilänâm Dharmapadeshu sahasravargam bhà- shati. Sahasram api väcänâm anarthapadasamhitänäm | ekärthavati creyà yâm çrutvà upaçämyati || sahasram api gâthânâm anartha- padasamhitänâm | ekârthavati çreyà yâm çrutvâ upaçämyati» us. W. 75 Bulletin de l’Académie EImpériale 76 ———————————— mittiyakassa yonakasa dhammadevaputasa) und In- schrift N° 12 eines Rümers (Velidataputasa . . . roma- nakasa berichtet; über Damtamittiyaka vel. Weber, Mälavikàä und Agnimitra p. XLVII und Abh. über das Râmäyana $S. 77). Erinnern wir uns hiebei, dass die Stüpa’s und Tempel mit Basreliefs bedeckt waren, deren Inhalt dem Leben und den Wiedergeburten Çâkyamuni’s entnommen wa- ren; vergl. die Beschreibung eines Stüpa im Mahà- vamso S. 179 und fi. Durch eine anschauliche Bekanntschaft mit solchen Thatsachen (natürlich nicht ohne Beihülfe frommer Erklärungen), wie Buddha das Haus verliess und qüsste, konnte die Kunde von Çâkyamuni in Gestalt des Romans «Barlaam und Josaphat» nach Europa gelan- gen ‘). Überhaupt künnen wir nicht umhin, in allen die- sen frommen Pilgern, die Indien von einem Ende bis zum andern vom Süden bis nach dem fernen Norden durch- wanderten, um die Caitya’s zu verehren und den hei- ligen Baum zu besprengen u. s. w. einen von den We- gen zuerkennen, auf welchen das literarische Material mündlich überliefert worden ist, worauf es in der Folge von jedem Volk auf eigne Art umgestaltet wurde. Der dritte Punkt, von welchem in dem ersten Bruch- stück die Rede ist, betrifft die buddhistischen Heilig- thümer, die als Denkmäler der Fusstapfen des Herrn bekannt sind. Eines derselben war, wie es dort heïsst, in dem Reiche der Yona (skr. Yavana). Nach Lassen bezeichnete Yavana ursprünglich Phünicien, später wurde diese Benennung auf die Griechen übertragen; 4) Über die buddhistischen Quellen dieses Romans s. Liebrecht in Ebert’s Jabrbüchern für Romanische und Englische Literatur B. II S. 314 #. Bei Gelegenheit der Besprechung dieses Aufsatzes von Liebrecht hat Benfey in den Gütt. Gel. Anzeig. 1860 S. 871 f. (vergl. Weber in der ZDMG B. XXIV $. 480) darauf aufmerk- sam gemacht, dass der Name Theudas (Oevda<) wahrscheinlich eine Corruption des indischen Namens Devadatta ist. Vielleicht ist der Name der Hauptperson eine ähnliche Corruption. Nach Lieb- recht?s Ansicht (a. a. O0. S. 334) ist die ganze Figur des Barlaam der griechischen Erzäblung eigenthümlich und findet sich in Bud- dha’s Leben nichts Entsprechendes. Auch kommt, so viel ich weiss, in keiner mir bekannten Biographie der Buddha eine ähnliche Person, auch keine solche Scene wie die des ersten Auftretens Barlaam’s in Gestalt eines Kaufmanns vor. Nach einer im Mahävastu befind- lichen Legende von Yaças oder Yaçoda, die in minder vollstän- diger Gestalt bei Schiefner, Eine tibetische Lebensbeschreibung. Çâkjamunÿ’s S. 247, Hardy, a Manual of Buddhism $. 187, Bigan- det, The life or legend of Gaudama $. 113 vorliegt, erscheint bei Yaçoda, bevor er in der Nacht den Traum hat, in dessen Folge er das väterliche Haus verlässt, ein nicht näher mit Namen bezeich- neter Kaufmann, der ihm die wahre Lehre verkündet. in den ältesten Schriften der Buddhisten bezeichnez sie jedenfalls die baktrischen Griechen; s. Weber, Indische Streifen, IT, S. 321. Bekanntlich finden sich geheiligte Fusstapfen nicht nur bei den Buddhisten vor, sondern die Verehrung solcher Heiligthümer ist weit im Westen verbreitet; es ist jedoch schwer zu bestimmen, ob irgend eine mündliche Nachricht darüber bis nach Indien gelangt ist und Anlass gegeben hat zur Ausbil- dung der Sage, dass man auch im Yona-Lande die Fusstapfen des Begründers der Buddhalehre verehre. Im gegebenen Falle und ebenso in den Nachrichten von einer buddhistischen Mission nach dem Lande Yona, (Mahâvamso $. 71) ist es gerathener Yona in dem äussersten NW. Indiens, als irgendwo anders zu suchen, obschon der Text sagt, dass das Land Yona nicht in Jambüdvipa d. h. nicht in Indien war. Es ist bekannt, dass Açoka (Inschrift von Girnar, Tafel V) unter den ihm unterworfenen Vülkern auch: Gandhâra, Kamboja und Yona anführt. Die ersten beiden Namen bezeichnen (nach Weber a. a. O.) namentlich Vülker des üstlichen Kabulistan, der dritte wahrscheinlich die Ge- genden des westlichen Kabulistan, welche dem Candra- gupta durch Seleucus abgetreten waren (s. Lassen Ind. Alterth. IT. 244), sowie vor Allem diejenigen Distrikte Baktriens und des Pendshab, in welchen bis in das erste Jahrhundert vor Chr. griechische Fürsten herrsch- ten. In jener Gegend, wo die griechischen Niederlassun- gen sebr zahlreich waren, muss man auch unser Denk- mal suchen. Fa-Hien, Hiuen-Thsang und Sung-Yun erwähnen, dass man in Udyäna Fusstapfen Çàkya- muni’s zeigte; doch giebt der erste keine näheren Da- ten an, und die beiden andern wiedersprechen sich gegenseitig in der Angabe des Ortes. Fa Hien (Beal S. 27) führt eine Überlieferung an, dass Buddha, bei einem Besuche des nürdlichen Indiens dort Fussta- pfen hinterlassen habe, welche sich kleiner oder grüs- ser zeigen je nachdem die religiosen Gefühle desjeni- gen sind, der auf sie blickt. Sung-Yun (ibid. $. 191) giebt einige nähere Umstände darüber an: «Eighty li to the N. of the royal city there is the trace of the shoe of Buddha on a rock. They have raised a tower to enclose it. The place where the print of the shoe is left on the rock, is as if the foot had trodden on soft mud. Its length is undetermined; as at one time it is long and at another time short. They have now foun- ded a temple on the spot, capable of accomodating 77 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 7s mr seventy priests and more». Hiuen-Thsang erwähnt| Name Babylon von den alten Indern ganz vergessen sogar zwei Fusstapfen in Udyäna (Mémoires I. 135. 136), erstens am Ufer des Flusses Cubhavastu (Suwad) und zweitens im Süden von der Stadt Mañgala, bei dem Kloster Mahävana; dort befindet sich ein Stupa, bei welchem auf einem grossen viereckigen Steine der Fusstapfen des Buddha gezeigt wurde. Da in un- serem Texte ein Stein erwähnt wird, auf welchem Buddha seine Spur zurückgelassen hat, so muss man an einer der eben angeführten Stellen den Caitya des Fusstapfens des Yonaka-Reiches suchen. In dem zweiten Bruchstücke ist in Form einer Fa- bel eine indische Erinnerung an wohl noch ältere Bezie- hungen zu dem Westen auf uns gekommen. Den Na- men Bâberu halte ich für identisch mit Babylon (vel. Bâbiru der Keilinschriften; Spiegel, Die Altpersi- schen K.Ss. v.). Ausser der Benennung selbst spre- chen dafür noch zwei andere Umstände: 1) der in dem Bruchstücke erwähnte Seehandel und 2) die Waare selbst: die Pfauen. Ferner ist zu bemerken, dass Bà- beru zweimal im Texte erwäbnt wird, und zwar so- wohl in den Versen als in der Prosa. Die Verse sind ohne Zweifel der ältere Theil und künnen leicht in die Zeiten von Christi Geburt verlegt werden. Die Prosa wird dem Buddhaghosa zugeschrieben; die Zeit, wann dieser gelebt hat, ist schwer zu bestimmen”) und deswegen künnen leicht in der gegenwärtigen Redaction der Fabel Ausschmückungen und Zusätze viel späterer Zeiten Eingang gefunden haben; aus den Versen erfahren wir nur, dass man in der Gegend Bâberu d. h. Babylon, bevor dorthin Pfauen gelang- ten, Krähen verehrte. Bis jetzt glaubte man, dass der 5) Eine entschieden entgegengesetzte Meinuog wird von M. Müller in der Vorrede zu Captain Rogers’ Buddhagkosha’s Para- bles, London 1870,$.X, XII, X VI ausgesprochen. Buddhaghosa heisst bald Zeitgenosse des Kônigs Siripâla (s. im Vinaya-Commentar), bald des Kônigs Mahänâma (Mahävamso S. 247. 293, nicht aber des Ver- fassers der Chronik). Sein Lehrer, so wie die Schule, zu der er ge- hürte, wird verschieden genannt; selbst seine Commentare sind bei weitem nicht einfache Übersetzungen aus der Singalesischen Spra- che, wie es Mahävamso berichtet. Ferner findet sich eine nicht ganz mit dem Mahävamso übereinstimmende Notiz über sein Zeitalter in einer hôüchst merkwürdigen buddhistischen Chronik Säsanavamso, von der Childers eine vortreffliche Abschrift besitzt und uns hof- fentlich bald genauere Auskunft geben wird. In der Royal Asia- tie Society zu London liegt eine kürzere, fehlerhafte Redaction vor, in welcher die auf Buddhaghosha bezügliche Stelle also lautet: tato param pana sihalaräjavamsänukkamena viñfâyamâäne jivavasse timsâdhikanavasataganâänam sampatte mahänämarañño jayavasse yeva mahâbodhisämipesäsa (C° pasosa) gàmikakesiyapurohitaputto sutabuddhattà ghosagämikattà ca buddhaghoso ti pâkato. sei (s. Lassen 1. c. 11032). Es unterliegt jedoch kei- nem Zweifel, dass die Beziehungen beider Vülker sehr früh ihren Anfang genommen und dass der Handel zwischen ihnen entweder unmittelbar oder durch Ver- mittelung der Phünicier stattgefunden hat. Letztere führten früher als Babylon mit Indien Handel. Aus Ophir, welches mit Abhira an der Mündung des Indus identificirt wird, führten sie Gold und Edelsteine ein (s. I. B. der Künige 10. 22). Die Benennungen der Erzeugnisse, die aus Ophir nach Westen gebracht wurden, sind zum Theil Sanskritwürter, z: B. das he- bräische tukhim ist aus dem skr. Çikhin nach der dekhanischen Aussprache des ç wie t entstellt. Unter Nebukadnezar und seinen Nachfolgern, die den aus- wärtigen Handel sehr begünstigten, nahm Babylon die Stelle der Phônicier als Vermittler des Handels zwi- schen dem entfernten Osten und dem Westen em. (s. Lassen I. c. IT. 600). Babylon wurde der Mittelpunkt des indischen Seehandels; von hier aus wurden die indischen Waaren nach dem Mittelmeer und nôrdlich über den Euphrat und Tigris hinaus befôrdert. Im 5. Jahrhundert (Movers, Phünizische Alterth. IL. $. 93) wurden zum ersten Male Pfauen aus dem mittlern Asien nach Athen gebracht, wo man sie für Geld zeigte, und das Paar derselben tausend Drachmen (250 Tha- ler) kostete. In Lybien und auf der Insel Samos er- schienen sie früher; an beiden Orten wurde der Pfau für einen heiligen Vogel gehalten; in Samos war der Pfau der Gôttin Hera (Movers 1. c. 95) geweiht, was Movers aus syrischem Einfluss erklärt, der durch den phôünizischen Handel Eingang fand °). Tien IF tividham hi buddhacetiyam paribhottacetiyam dhà- tucetivam dhammacetiyan’ti. tattha bhagavato pari- bhuttupakaranädini nidahitvà katam cetiyam pari- bhottacetiyam nâma. dhâtuyo nidahitvà katam dhàtu- cetiyam nâma. paticcasamuppädâädilikkhitapotthakam") nidahitvà katam dhammacetiyam näma. sâririkam paribhogam uddesikan’ti evam’pi cetiyam tippa- … 6) Vergl. auch Hehn, Kulturpflanzen und Hausthiere in ihrem Ubergang aus Asien nach Griechenland und Italien. Berlin 1870, S. 250 folg. 7) Ms! poddhakam; Ms? potthakam, 79 bhedam hoti. «ayam pabhedo patimärüpakassapi udde- sikacetiyena sañgahitattà sutthutaram yujjatiti» vi- nayatikâäyam vuttam. cetiyacärikäya sampayojanabhävam dassento bha- gavà mahäparinibbânasutte evam àha «ye keci Anan- da cetiyacarikam àâhindantà pasannacittà kâlam karis- santi sabbe te kàâyassa bhedà param maranà sugatim saggalokam uppajjissantiti». tattha «cetiyacàärikam âhindantà ’tir ye ca tà- va tattha cetiyañganam sammajjantà âsanäni dhovantà bodhimhi udakam âsincantà àhindanti vicaranti; tesu vattabbam eva n’atthi. «asukavihàre cetiyam vandi- ssämà ’ti» nikkhamitva pasannacittà antarà kà- lam karontà ’pi anantarâyena sagge patitthahissanti yevà ’ti dassetiti ayam ettha atthakathà. tini kho pana bhagavato padacetiyäni Lañkädipe ekam Jambüdipe Yonakaratthe dve ’ti. tattha bodhito atthame vasse*) Kalyäniyam Mani- akkhikanâgaräjena nimantito bhagavà pañcahi bhik- khusatehi parivuto Lañkädipam àgamma Kalyânaceti- yatthâne kate ratanamandape nisinno bhattakiccam katvàa Sumanaküte padam dassetvâ agamäsiti *) idam vinayatthakathäyam vuttam. bânijakehi katam candanamandalamälam patiggahe- tum Punnattherena nimantito bhagavà Suppärakapata- nam ") gantvà Sâvatthim paccägacchanto Nimmadänà- garäjena püjiya yäcito'')Nimmadânaditire padacetiyam dassesi. tam vicisu ägatâsu patthiyati ) gatâsu vici- su *) vivariyati. mahâsakkärappattam ahosi. tato Saccabandapabbatam patvà Saccabandattherena yàcito Saccabandapabbate ghanapitthipäsäne allamat- tikapindamhi lañcanam viya padacetiyam dassesiti. idam majjhimanikäye punnovädasuttavannanäyam vut- tam. ayam ettha munino cakkavattino ca padacetiyaka- thàäsañgahanayo. IT. «adassanena morassà ’ti» idam satthà Jetavane viha- ranto hataläbhasakkäre titthiye ârabbha kathesi. tit- thiyà hi anuppanne buddhe läbhino ahesum uppanne 8) Ms? divase. 9) Mss. aggamà° vielleicht akkamâ° ? 10) Ms? suphârapam tana. 11) Mss. pûjiyya verbessert. 12) So im Ms?.; verbessert pi°; Ms! patha°. 13) Nicht im Ms! Bulletin de l’Académie Impériale so pana hatalâäbhasakkärà suriyuggamane khajjotakà viya (C. khajjopanakä ?) jâtà. tesam pavattim arabbha dham- masabhäyam Kkatham samutthâpesum. satthà agantvà DÛ Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, M 12.) 26 9 F x Gi 5 BAM re Da EAU ER ET H TE TAN PE 44 Nbomiun 3 1} LEO où HUF ton Mettre > Ati Re 3 capuieatené Ms (2 FU (A NTERS sÆ F4 i LEE) “0 bras 114 ir at" ve nn ï "0 a. | ITS l Hi 0 BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. Über eine neue Classification der Bartenwaie (Balaenoïidea) mit Berücksichtigung der un- tergegangenen Gattungen derselben. Von J. F. Brandt. (Lu le 16 novembre 1871.) Wie bekannt haben J.E. Gray, in seiner speciellen Arbeit über Wale (Synopsis of the Species of Whales etc. London 1368, 4, p. 1 — 5) und Lilljeborg (Nov. Act. Soc. Scient. Upsaliensis ser. 3. T. VI. (1868) Fasc. VI. p. 6—7) neue, an Gattungen über- reiche, Classificationen der Bartenwale aufgestellt. Die von Lilljeborg vorgeschlagene Classification lässt sich genau genommen als eine etwas mehr ver- einfachte der von J. E. Gray aufgestellten ansehen. Beide Zoologen fassten übrigens, mit Ausnahme zweier subfossilen, (?) Formen, (d. h. ihres Æunterius Sve- denborgii und Æschrichtius robustus, wozu charakte- ristische Schädelreste fehlen), nur die lebenden Arten ins Auge. Eine dritte, neueste, von Th. Gill vorgeschlagene, Classification der Bartenwale, die er Mysticete (!) nennt, findet sich in den Proceedings of the Essex In- stitute Vol. VI. P. 2. Salem, March 1871 p. 122, 124 und 126. Er theilte dieselben zwar nur in zwei Familien (Balaenopteridae und Balaenidae), fügte je- doch der erstern eine neue Unterfamilie Agaphelinae mit den Gattungen Agaphelus Cope (Proc. Ac. nat. Sc. Philad. 1868 p. 159) und Rhachianectes Cope (ib. 1869 p. 15) hinzu, während er die schwach begründete fos- sile Gattung Palaeocetus Seeley zu den echten Palae- niden stellt, und meist die Gray’schen Gattungen an- nimmt. — Es entging indessen Gill, dass J. E. Gray (The geolog. Magaz. TITI. 1865, p. 57) sich veranlasst fühlte, die Gattung Palaeocctus H. Seeley für den Typus einer eigenen Familie (Palacocetidae) zu erklä- ren und als Vorläuferin zahlreicher fossiler Formen anzusehen. Drei bedeutende Fragmente von Schädeln, sowie nambafte Reste von Wirbelsäulen, Rippen und Extre- mitäten-Knochen, welche in den Ablagerungen des grossen mittel- und südeuropäischen und des central- Tome XVII. asiatischen miocänen Oceans gefunden wurden, und zum Theil neuen, wahrhaft typischen, Gattungen an- gehüren, zeigten bei den näheren, von mir angestell- ten Untersuchungen, dass wenn man, wie billig, sämmtliche charakterfähige untergegangene Formen berücksichtigt, die bisher vorgeschlagenen Classifica- tionen zur Kenntniss der Gesammtheit der Entwicke- lungsstufen der Bartenwale keineswegs ausreichen und ibrem Prinzipe nach befriedigen müchten. Ich erlaube mir daher die Resultate meiner mit Hülfe zahlreicher, zum grossen Theïil sehr wohl er- haltener, Reste angestellten umfassenden, Unter- suchungen, in so weit sie sich auf die Classification der Gattungen der Bartenwale beziehen, in kurzer Uebersicht hier mitzutheilen, obgleich der Gegenstand in einer umfassenden, fast ganz vollendeten, für die Memoiren unserer Akademie bestimmten, Arbeit Ueber die fossilen Cetaceen des miocänen europäisch- asiatischen Oceans ausführlicher besprochen werden wird, ‘) Eine solche Verüffentlichung dürfte um so wün- schenswerther erscheinen, da man einen ähnlichen Ge- genstand in der eben erwähnten Schrift nach Maassgabe ihres Titels, müglicherweise, namentlich von Seiten der mit den lebenden Thieren beschäftigten Zoologen und Zootomen, keineswegs erwarten und daher leicht übersehen môüchte. Es dürfte wohl dadurch auch gleichzeitig verhütet werden, dass es nicht den gegen- wärtigen Mittheilungen ‘eben so ergehe, wie meinen vergleichend-osteologischen, selbstständigen Unter- suchungen über Cetaceen, besonders Balæniden, die theils im ersten Bande der Medizinischen Zoologie S. 114—16, $. 121, S. 123 und 124, theils im zweiten Fascikel meiner Symbole Sirenologice p. 206 —220 niedergelegt sind. Je nachdem man den einen oder andern Theil oder 1) Eine vorläufige Nachricht über den Umfang dieser Arbeit enthält ein unserer Akademie am 3. October 1871 von mir abge- statteter, im Bulletin derselben T. XVI p. 563 und in den Mélan- ges biologiques T. VIII. p. 194 abgedruckter Bericht. 8 \, 115 RE den Bau dieses oder jenes Organs, oder das Verhal- ten mehrerer Theile oder Organe, oder endlich Mo- mente der Biologie oder Entwickelungsgeschichte als maassgebend ansieht, lassen sich, wie bekannt, in ein und derselben kleinern oder grüssern Abtheilung von Thieren, ja selbst im ganzen Thierreich, mehrfache Classificationen in Vorschlag bringen. Wie verschie- dene Gruppirungen, z. B. die blos aus drei Gattungen bestehende Familie der Ælephantiden hinsichtlich der Aneinanderreïihung ihrer Gattungen als môüglich er- scheinen lasse, habe ich beispielsweise in meiner mo- nographischen Arbeit über Dinotherium (Mém. d. l’ Acad. Imp. d. St.Pétersb. VII. sér. T, XIV no. 1, p. 29—35) zu zeigen versucht, obgleich schliesslich her- vorgehoben wurde, dass jede Unterabtheïlung der Fa- milie der Ælephantiden eine unnatürliche sein würde. Die Ergebnisse meiner im oben erwähnten Berichte bereits angedeuteten Untersuchung der untergegan- genen Balaeniden des grossen süd- und mitteleuro- päischen und centralasiatischen Meeresbeckens im Verein mit den lebenden Formen bieten ebenfalls Ge- legenheit, nicht blos eine, sondern einige neue darauf bezügliche Classifications-Methoden aufzustellen. Sollten z. B. mehr die gewissen äussern Theilen entlehnten Kennzeichen in den Vordergrund treten, so liesse sich nachstehende Classification in Vorschlag bringen. ORDO CETACEA. Subordo Balaenoidea seu Cetacea Lamellifera. Maxillae superiores in partis palatinae lateribus den- tium abortu deperditorum loco laminis corneis, mar- gine interno setoso-fimbriatis obsessae. Familia 1. Falaemidae. Laminarum cornearum palatinarum maximae cir- citer /, capitis maximi, /, Corporis longitudinis con- stituentis, longitudine aequales. Maxillae superiores valde arcuatae et deorsum curvatae, a mandibula re- motissimae. Abdomen et pectus esulcata. Dorsum etiam pinnae vestigio destitutum. Pinnae pectorales pentadactylae. Genus Balaena La Cép. Linn. e. p.”) Bulletin de l’Académie Hmpériale 116 Familia 2. Balaenopteridae. Laminarum cornearum palatinarum maximae capi- tis }, vel !/, longitudinis circiter aequales. Caput cir- citer !/, trunci longitudinis aequans. Pectus etabdomen suleis longitudinalibus. parallelis exarata. Dorsum pinna perfecta vel ejus loco tuberculo munitum. Pin- nae pectorales tetradactylae. À. Subtypus seu Subfamilia Balaenopterinae. Genera Pterobalaena Eschr, (Balaenoptera La. Cép. e. p.) Kyphobalaena Eschr. (Megaptera Gray e. p.) Appendix. Genera emortua Balaenopteridarum familiae qui- dem ob structuram eranïü et sceleti generalem adnu- meranda, sed typos osteologicos peculiariter modifica- tos Balaenopteridarum praebentia. B. 2Subiypus seu Subfamilia Cetotheriopsinae Nob. Genus Cetotheriopsis Nob. C. Subtypus seu Subfamilia Cetotherinae Nob. Genus Cetotherium Nob. Genus? (Subgenus?) Plesiocetus. Van Ben. et ut videtur genus Pachyacanthus Nob, 5) Zieht man die von mir in meiner bereits erwähnten grüsseren Arbeit über fossile Cetaceen ausführlicher nachgewiesene, verschiedene Bildung der Nasenbeine und Muscheln der lebenden Balaeniden einerseits und der untergegangenen Cetotherien andererseits, also das Verhalten zweier Theile des Geruchsorgans, in Betracht, so würde eine zweite Classification der frag- derselben in zahlreiche Gattungen nach Maassgabe solcher osteo- logischen Merkmale, denen nur ein untergeordneter Werth beige- legt werden kann, wie das Verhalten einzelner Wirbel, Rippen, Schulterblätter und der Bullae tympani, scheint mir keineswegs zweckmässig. Die lebenden Balaeniden stimmen durch ihren Bau im Wesentlichen so sehr überein, dass die von Æschricht vorge- schlagenen generischen Typen vüllig ausreichen. Eine grôssere generische Zersplitterung wird die Kenntniss des Gesammtbaues und seiner wesentlichen Abstufungen keineswegs fordern, wohl aber die Wissenschaft, ohne Noth, mit neuen Namen belästigen. Mir scheint es, dass die môglichste Beschränkung der Gattungen und die dadurch ermôglichte Vereinfachung der Nomenclatur eine der wünschenswerthesten Aufsaben der Zoologen sein werde; an deren Lüsung man freilich wohl erst gehen wird, wenn die Nobis und Mihi weniger ins Gewicht fallen. (Man vergleiche hierüber die in meiner Abhandlung über Dinotherium p. 36 vorgetragenen An- sichten.) 3) Die eben aufgestellte Classification der Balaeniden kônnte 2) Was die Vertheïilung der Arten der lebenden B«aemiden | für solche Schriften (Handbücher) vielleicht vorzuziehen sein, in Gattungen anlangt, so schliesse ich mich den Ansichten Æsch- worin den untergegangenen Formen nur beiläufig ein geringer richts und Van Benedens (Ostéogr. p. 114) an. Eine Vertheïlung | Platz eingeräumt wird. 117 lichen Abtheïlung der Wale auf nachstehende Weise lauten. ORDO CETACEA. Subordo Balaenoidea seu Cetacea lamellifera Dentes evoluti nulli. Maxillae pars palatina laminis corneis margine interno setoso-fimbriatis (Elasmiis Il- ligeri) obsessa. Familia 1. Chorizoconchiae. *) (Balaenidae auctorum). Ossa nasalia tota crassissima, in inferioris faciei anteriore parte tantum parum excavata. Conchae sim- plices disjunctae. Genera Balaena La Cép. Kyphobalaena Esehr, (Megaptera et Poescopia Gray, Protobalaena Du Bus) et Pierobalaena Esehr, | (Baiaenoptera La Cép. e, p.) F'amilia HE. Synconchiae seu Cladocons chiae. °) Ossium nasalium in tota facie inferiore excavato- rum anterior pars satis lamellosa. Conchae e laminis tenuibus, transversis, subramosis parte sua interna con- fluxis, compositae. Genus Cetotherium J, F, Brdt. (1842) et verisimillime etiam genus vel Subgenus? Plesiocetus Van Ben, nee non, ut vide- tur, genus Pachyacanthus J, F, Brdt,, vix tamen gen. Ceto- theriopsis J. K, Brdt,°) Gegen eine solche Eintheïlung môchten sich indes- sen folgende Einwendungen erheben lassen. Der Bau der Nasenbeine und Muscheln konnte bis jetzt nur bei zwei Arten von Cetotherium (C. Rathkei und Hel- merseni), nicht aber (aus Mangel geeigneter Materia- lien) auch bei Plesiocetus, Pachyacanthus und Cetothe- riopsis von mir nachgewiesen werden. Bei einer na- 4) Abgeleitet von ywpt£o ich trenne und xoyytoy eine kleine Muschel. 5) Synconchia von oùv zusammen und xoyyioy — Cladoconchia von xktSos der Zweig oder Ast und xoyyioy ein Muschelchen. 6) Bei Plesiocetus ist der Bau der Nasenbeine und Muscheln zwar noch nicht ermittelt; sein bis jefzt bekannter Schädelbau har- monirt aber im Wesentlichen mit dem von Cetotherium. Pachya- canthus steht hinsichtlich der Wirbelsäule und Rippen Cetotherium nahe, der Schädel desselben ist aber bis jetzt noch nicht entdeckt. Der Schädel von Cetotheriopsis ähnelt zwar dem der Cetotherien, bietet aber, ebenso wie die Wirbel, manche Unterschiede, die theil- weise an die lebenden Balänopteren erinnern, so dass Cetotheriopsis, wenigstens vorläufig, als eigenthümlicher, zwischen die Balaenopte- rinen und Cetotherinen zu stellender, Typus sich anschen lassen dürfte. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 118 türlichen, môglichst viele Eigenschaften der Thiere be- rücksichtigenden, und zur exactern Feststellung ihrer Verwandtschaften und der damit in Verbindung tre- tenden Ermittelung ihrer verschiedenen Entvwicke- lungsstufen genauer erwägenden Classification kann ferner nicht ein einziges Organ oder wenige Theiïle als Grundlage dienen, sondern es muss die Gesammt- heit derselben entscheiden. Der Grundsatz: Ubi plu- rima nitent, muss der Leitstern sein. Dass bei einem solchen Verfahren einzelne oder einige Organe oder Theiïle, so der Gesammtbau des Schädels u. s. w., mebr oder weniger in den Vordergrund zu stellen sind, wäbrend auf andere einzelne Schädeltheile (oder gar andere Scelettheile) weniger Gewicht zu legen ist, ver- steht sich von selbst. Die vorstehende Classification môüchte ich daher keineswegs für eine den Ansprüchen einer wahrhaft natürlichen genügende erklären; ob- gleich Beïispiele von Classificationen, denen ähnliche, ja theïlweise noch weniger zulässige, Prinzipe zu Grunde liegen, keineswegs zu den Seltenheiten ge- hôüren. Sie wurde daher nur als eine denkbare bei- läufig angeführt. Als eine ungleich natürlichere Anordnung der Ba- läniden, wobei nach Môglichkeit der ganze, für die fossilen Formen allein maassgebende, Skeletbau und besonders das Verhalten des Schädels berücksichtigt, das Verhalten der äussern Theile jedoch, im Betracht der lebenden Formen, keineswegs vergessen wurde, dürfte nachfolgende dritte, müglichst vereinfachte, sich empfehlen. : ORDO CETACEA.) Subordo Cetacea barbata seu lamellifera. F'amilia EH. Balaenidae, Cranïi longitudo circiter ‘/, trunci longitudinis ae- quans. Pars cranii occipitalis magis sursum elevata. Ossium temporum pars glenoïdalis et processus ipsorum zygomatici longiora, cum ossium temporis parte gle- noidali multo magis deorsum directa. Processus or- bitalis ossis frontis multo angustior et longior cum processu orbitali maxillae valde angustato deorsum et 7) Einé gedrängte vergleichende Osteologie der echten Ceta- ceen und ibrer Unterordnungen im Vergleich mit der der Zeuglo- donten und Sirenien enthält der Fasc. IL. p. 206. sqq. meiner Symbo- lae Sirenologicae. g* 119 Bulletin de l’Académie Empériale retrorsum tendunt. Ossa maxillaria superiora longe angustiora, maxima ex parte deorsum valde directa cum ossibus intermaxillaribus rostrum valde acumi- natum, fortissime deorsum curvatum, parte media sua a mandibula fortius curvata admodum remotum, con- stituunt. Os tympanicum convexum vel plus minusve subcompressum. Vertebrae cervicales omnes plerum- que coalitae. — Pectus et abdomen glabra. Pinnae dorsalis vestigium nullum. Pinnae pectorales pentadac- tylae. Laminarum cornearum palatinarum longitudine valde inaequalium mediae, longissimae, capitis maximi dimidiae partis longitudinem subaequantes. Genus Balaena La Cép. Linn, e. p. (Genera Balaena, Eubalaena, Hunterius, Caperea Neobalaena et Macleayius Gray nec non ?Palaeocetus Seeley et Protobalaena Du Bus.) Familia EX. Balaenoptericae Nob. Cranium trunci longitudinis tertia parte multo brevius. Pars cranii occipitalis (Cetotherinis exceptis) magis depressa. Ossium temporum pars glenoidalis et processus ipsorum zygomaticus breviora, parum deorsum directa. Processus orbitalis ossis frontis latis- simus, satis horizontalis, extrorsum directus, a facie superiore inspectus laminiformis seu infundibulifor- mis. Processus orbitalis maxillae brevior, horizonta- lis, extrorsum directus. Ossa maxillaria superiora latiora, multo minus deorsum devexa. Rostri pars ossea multo minus acuminata, arcum multo minorem deor- sum directum ostendit, quare mandibulae minus cur- vatae propior conspicitur. Os tympanicum vel ovatum et inflatum, vel oblongum et inflatum, interdum (in Ce- totheriis nonnullis) subcompressum. Vertebrae cervica- les omnes sejunctae. — Pectus et abdomen sulcis lon- gitudinalibus exarata. Pinna dorsalis perfecta vel tu- berculo repraesentata. Pinnae pectorales tetradactylae. Laminarum cornearum longitudine minus diversarum mediae breves, capitis quartae seu quintae partis lon- gitudine breviores. °) 8) Die von der Beschaffenheit der Brust und des Bauches, so wie dem Verhalten der Rückenflosse hergenommenen Charaktere lassen sich natürlich nur auf die noch lebenden Formen bezichen. Wir dürfen aber nach Maassgabe des Ur plurima nitent vermuthen, dass bei Cetotherium , wie nachweïslich bei der ihr im Wirbel- und Rippenbau nahestehenden Gattung Pachyacanthus, die Brustflossen vierfingrig waren. Im Betracht der mit der von Balaenoptera und Kyphobalaena im Allgemeinen übercinstimmenden Pildung des 1, Subfamilia seu Subtypus. Balaenopterinae Nob. (Subordo Balaenopteroidea Gray cum Familüs À. Megapteridae Gray cum generibus Megaptera Gray, Poescopia Gray et Eschrichtius Gray. — B. Physalinidae Gray cum generibus Benedenia, Physalus, Cuvierius, Rudolphius et Sibbaldius. Gray — C. Balaenopteridae Gray cum generibus Balaenoptera et Swinhoia Gray et Flowerius Lill;. — D. Agaphelinae Gill cum generibus Agaphelus Cope et Rhachianectes Cope). Cranii posterior pars modice convexa. Pars fronta- lis anterior cranii modice angustata. Squama ossis oc- cipitis parum acuminata, in facie superiore parum im- pressa, Ossa nasalia tota crassissima, abbreviata, in inferioris faciei anteriore parte paulisper tantum ex- cavata. Conchae olfactoriae simplices, disjunctae. Fossae temporalis pars superior a limbo cranii lamb- doideo externo, extrorsum prominente, subhorizontali, clausa. Interstitium temporale latius quam longum. Processuum orbitalium ossium frontis superior facies laminae tetragonae satis planae similis. Genera Kyphobalaena Eschr, (Familia Megapteridae Gray) et Pierobalana Eschr, (Balaenoptera LaCép, e, p. (Familia Phy- salinidae et Balaenopteridae Gray.) ? 2. Subfamilia seu Subtypus. Cetotheriopsinae Nob. Ossium nasalium, Concharum nec non Processuum orbitalium ossium frontis ratio hucusque ignota. Craniüi posterior pars humilissima, a facie posteriore inspecta in medio profunde emarginata. Ossis occipi- tis squama magis quam in aliis Cetaceis barbatis acu- minata et antrorsum elongata atque insuper fossa longe profundicre, antice acutiore excavata. Fossa tempo- ralis profundissima, supra quidem à limbo lambdoideo superata, sed cum interstitiotemporali obtuse triangu- lari longior quam lat4, postice angustata et obtusa. Pars cranii frontalis angustior quam in aliis Cetaceis Schnautzentheiles des Schädels gehôrten ferner Cetotherium und Plesiocetus offenbar zu den kurzbartigen Walen. Ein Fragment des Schnautzentheiles des Schädels, welches ich Cetotheriopsis und ein wenis gekrümmtes Fragment des Unterkiefers, welches ich Pachya- canthus vindiziren zu künnen glaube, sprechen übrigens dafür, dass auch die beiden letztgenannten Gattungen kurze Barten besassen. barbigeris. Arcuum vertebrarum lumbalium processus anteriores valde distantes. Genus Cetotheriopsis Nob, *) (Balaenodon H. v. Meyer, Aulocète Van Bened. — Spec. Balaenodon linzianus H. v. Meyer ct Ehrlich). 3. Subfamilia seu Subtypus. Cetotherimae Nob. Ossium nasalium facies inferior tota excavata, pars anterior eorum satis tenuis et lamellosa. Conchae e laminis tenuibus, tranversis, subramosis, parte sua interna confluxis compositae Limbi cranii lambdoi perpendiculares, sursum directi, quare fossae tempo- rales cum interstitiis temporalibus postice acuminatae, sursum et retrorsum expansae et totae supra apertae. Processuum orbitalium ossium frontis superior facies subinfundibuliformis, satis convexa. Genus Cetotherium J, F, Brdt, et Genus vel Subgenus? Plesio- cethus Van Ben,, nec non, ut verisimillime videtur, genus Paechyacanthus J. F, Brdt, Die Bartenwale bilden ungeachtet der hinzugefüg- ten fossilen, eigenthümlichen Gattungen, besonders da die früher gemuthmasste Existenz von Balaeno- donten sich nicht bestätigt hat, bis jetzt wenigstens noch eine, namentlich in craniologischer Beziehung, von den Delphinen streng geschiedene Unterordnung der Ordnung der echten Cetaceen. Es lässt sich in- dessen auch nicht läugnen, dass der Bau ihrer Hirn- kapsel, namentlich der Hinterhauptstheil derselben, dem der Zeuglodonten und besonders, nach Maasgabe der Cetotherien, auch dem der Sirenien näher steht, als dem der Delphine. Der Schädelbau der Balaenop- teren, selbst der der Cetotherien, gestattet es indessen keineswegs, dieselben als Mittelglieder zwischen Palae- niden und Sirenien anzusehen"), selbst wenn Letztere, 9) Da die Gattung Cetotheriopsis durch die Gestalt und Be- schaffenheit der centralen Längsleiste der Hinterhauptsschuppe an Cetotherium, durch die Ueberwülbung des obern Saumes der Schlä- fengruben aber an die Balaenopterinen erinnert, so stellte sie müg- licherweise eine Art Mittelglied zwischen den Balaenopterinen und Cetotherinen dar. Wesshalb ich übrigens Cetotheriopsis nach dem Vorgange Van Beneden’s (Bull. d.l’Acad. roy. Belgique 2. sér. T. VII. n. 12. p. 479) weder für eine Ziphoide halten, noch den bei- läufig dafür von ihm vorgeschlagenen Namen Aulocète annehmen kann, wird in meiner grüssern Arbeit ausführlich erürtert werden. 10) In meinem bereits 1844 (Verhandlungen der Russ. Miner. Gesellsch. z. St. Petersburg S. 242) über Cetotherium crschienenen des Sciences de Saint-Pétersbourg. 12? was aber durchaus uvzulässig ist, als eine Abtheilung der Cetaceen beibehalten würden. Unter den Bartenwalen lassen sich craniologisch zwei Extreme der Entwickelung unterscheiden, von denen das eine durch die echten Balaenen, das an- dere durch die als Unterfamilie von mir von den Ba- laenopterinen gesonderten Cétotherinen , dargestellt wird. Die Familie der echten Balaeniden ist ohne Frage von der Familie der Balaenopteriden im Gan- zen noch schärfer geschieden als die Cetotherinen von den Balaenopterinen, da es, wie bereits bemerkt, den Anschein hat, dass wohl Cetotheriopsis, als einer eigen- thümlichen vermittelnden Form, zwischen den beiden genannten Gruppen ein Platz einzuräumen sein dürfte. Selbst die Plesioceten standen, wegen ihrer kürzern Schnautze und vielleicht auch ihres Wirbelbaues, den echten Balaenopteren môglicherweise näher als die durch ihr Rumpfskelet zu den Xyphobalaenen hinnei- gende, aber langschnautzige Gattung Cetotherium. Was endlich Pachyacanthus anlangt, so ist der Schädelbau noch unbekannt, Die von ibm herzuleitenden Ver- wandtschaften lassen sich also noch nicht feststel- len. Das fast vollständige, in Bezug auf Wirbel und Rippen, vorwaltend allerdings cetotherienähnliche, Rumpfskelett von Pachyacanthus bietet indessen nebst seinen Extremitätenknochen mehrere, bei den echten Cetotherien nicht vorhandene, auffallende, ganz eigen- thümliche, Merkmale, welche die generische Sonderung von Cetotherium rechtfertigen und Pachyacanthus zu einer etwas anomalen Cetotherine stempeln, die am passendsten den Schluss der Cetotherinen bilden zu künnen scheint. Die Gattung Balaena einerseits und Pachyacanthus andererseits würden demnach wobhl als die extremsten und anomalsten Gattungstypen der Unterordnung der Bartenwale zu betrachten sein. Genau genommen dürften sich nämlich auch die eigentlichen Balaenen (Fam. Balaenidae), da ïhre, ver- muthlich mit der excessiven Entwickelung ihrer Bar- ten in Connex stehende, so eigenthümliche Schädel- form von der der andern Säugethiere noch mehr ab- weicht als die der Balaenopteren (Fam. Balaenopte- Aufsatze bemerkte ich allerdings: die Cetotherien neigten im Schä- delbau mehr zu den Sirenien bin als die Balaenopteren, dass sie aber Mittelformen zwischen Sirenien und Baluenopteren seien, ist nicht bemerkt, obgleich Van Beneden (Ostéogr. p. 269—70) mir eine solche Ansicht zuschreibt. Bulletin de l’Académie Empériale 124 —— 6 ridae), als eine anomale Form von Bartenwalen anse- hen lassen. Man kôünnte vielleicht die Pachyacanthen für anomale Balaenopterinen halten, die am meisten zu den gedrungneren, rückenflossenlosen Xyphobalaenen hin- neigen, obgleich sie nur kurze Brustflossen besessen zu haben scheinen. Hinsichtlich des Ursprungs der Bartenwale meint Gill (a. a. O. p. 121), dieselben seien mit den Delphi- niden aus den Zeuglodonten der Tertiärzeit in Folge einer nach zwei verschiedenen Richtungen erfolgten Entwickelung hervorgegangen, die einerseits Delphi- niden, andererseits Bartenwale, zu Wege brachte; denn die Zahnwale (Delphiniden) wichen durch die Schädelform, den Zahnbau u. s. w., die Bartenwale aber durch das Geruchsorgan und die Nasenbeine weniger von den typischen Formen der Säugethiere ab. Ich vermag mich als Transformist im beschränk- ten, d. h. nicht Darwin’schen, Sinné mit dieser An- nahme nicht einverstanden zu erklären. Nicht blos die Schädel der Bartenwale, sondern auch die der Delpliniden erscheinen nach meiner Ansicht im Ver- gleich mit den Schädeln der Landsäugethiere auf eigenthümliche Weise ziemlich gleich anomal und bil- den zwei für den Aufenthalt im hohen Mecre geeig- nete und dazu durch Naturgesetz bestimmte, selbst- stindige Schädeltypen, denen sich als dritter gleich- werthiger, zu den Phocaceen hinneigender Schädelty- pus, der der Zeuglodonten anschliesst. Auf die Zähne kann kein entscheidendes Gewicht gelegt werden. Zähne finden sich, wie bekannt, in früher Jugend bei allen Cetaceen, während andererseits nicht blos die Bartenwale, sondern auch manche Delphiniden im vor- geschrittenen Alter vüllig zahnlos sind, noch andere Delphiniden aber nur zwei Zähne oder gar nur einen einzigen besitzen. Dem Geruchsorgan, oder den Na- senbeïinen, vermag ich gleichfalls keinen Werth bei der Herleitung der Abstammung beizulegen. Die An- nahme der Abstammung von frühern, ältern Formen kann nur direct auf paläontologischem Wege mit Be- stimmtheit nachgewiesen, keineswegs aus sogenannten Mittelformen, die auch selbstständige sein künnen, oder aus vereinzelten, der Entwickelungsgeschichte entlehnten Thatsachen auf dem Wege der Analogie indirekt abgeleitet werden. Der Umstand, dass die Zeuglodonten in demselben, grossen, tertiären Ocean, der Südeuropa bis Centralasien hinein bedeckte, gleich- zeitig mit grossen und kleinen Balaenopteriden und ech- ten Delphiniden (sowie Phoken) ohne Spur von Ueber- gängen zusammen vorkamen, spricht keineswegs dafür, dass die Zeuglodonten ihre Stammväter gewesen seien. Sie künnen auch schon desshalb nicht wohl als solche von strengen, der Vervolilkommnungs-Theorie huldi- genden, Darwinianern angesprochen werden, weil sie nach Maassgabe ihrer unläugbaren Beziehung zu den Phocaceen hüher standen als die Balaeniden und Del- phiniden. Dass selbst alle hühern, echten Thierarten aus niedern (aber bestimmten, d. h. nur gewisse Ar- ten produzirenden), zahlreichen Urformen nach Maass- gabe der Entwickelungsgeschichte, entstanden, er- scheint allerdings als die naturgemässeste Schüpfungs- Hypothese, die jedoch noch des Nachweïses bedarf. Die Faunen der Tertiärzeit enthielten, so viel wir bis jetzt wissen; nur bereits fertige, überaus zahlreiche, artliche, wie generische Typen, keine Urtypen. Die zahlreichen, selbstständigen Urtypen gehôrten einer ältern Zeit an. Algologische Studien über Chroolepus Ag. Von Christoph Gobi. (Lu le 21 septembre 1871.) (Avec une planche.) In der vorliegenden Abhandlung beabsichtige, ich die Untersuchungen, die ich während des Früblings und Sommers 1871 an einer in der Umgegend Petersburgs auf der’ Rinde verschiedener Baumarten vorkommen- den Alge angestellt habe, mitzutheilen. Diese Algen- gattung, welche den Namen Chroolepus erst von Agardh im Jahre 1824 bekommen hat, enthält nach Ausicht verschiedener Naturforscher mehrere Arten. So zählt Kützing in seinem Werke Phycologia gene- ralis') deren 10 Arten (mit 13 Abarten). In seinen späteren Werken Species algarum *) und Tabulae phy- cologicaë) steigt die Anzahl der von ihm angeführten Arten schon bis auf 15 (und die Zahl der Abarten bis auf 23). Diese Arten werden hauptsächlieh nach der relativen Grüsse der Zellen, nach der verschiedenen Färbung des Inhaltes derselben, als auch nach Ver- schiedenheit des Aufenthaltsortes u. s. w. unterschie- den. Da aber diese Merkmale sehr veränderlich und 1) Fr. Kützing, Phycologia generalis. Leipzig 1843. Seite 283. 2) Derselbe, Species algaruw. Lipsiae 1849, Seite 425. 3) Derselbe, Tabulae phycologicae, Nordhausen, Band IV. 1854. 125 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 126 deshalb unwesentlich sind, so erscheint die auf die- selben gegründete Charakteristik sehr verworren, schwerfasslich und sogar nicht überall verständlich. Bei genauerer Durchmusterung derselben gewinnt man unwillkürlich die Ansicht, dass Kützing kaum so viele Arten festzusetzen gebraucht hätte, um so mebr, da er selbst die Richtigkeit derselben durch die ge- stellten Fragezeichen zu bezweifeln scheint, Rabenhorst zählt schon in seinem System 1868‘) fast um die Hälfte weniger Chroolepus-Arten, als Kützing, namentlich nur 9 Arten (mit 15 Abarten) auf. Obschon das Algensystem von Rabenhorst viel gründlicher, als das von Kützing ist, so muss den- noch meiner Ansicht nach hier sowohl wie im Kützing- schen System die Zahl'der Chroolepus-Arten bedeu- tend verringert werden. So bin ich zum Beispiel durch die Untersuchung der folgenden aus Rabenhorst’s Herbarium ent- nommenen Arten: Chr. umbrinus und Chr. odoratus zu der Ueberzeugung gekommen, dass sie beide eigent- lich zu einer Art gehôren. In Rabenhorst’s Herba- rium steht auf der den Chr. umbrinus Ktz. (forma elongata, Bleisch) betreffenden Etiquette Nr. 1496 Folgendes : «Zweige niederliegend (decumbentes), wenig ver- zweigt, verhältnissmässig kurz; .... Frisch kein Ge- ruch. Hierdurch ist er von Chr. odoratus conf. 816 °) verschieden, mit dem er des Vorkommens wegen «an Birken» verwechselt werden künnte. Chr.odoratus ... die Zweige sind erecti, parallel aufsteigend, mehr ver- zweigt und die Glieder nicht so torulôs.» Indessen habe ich mich überzeugt, dass das Nie- derliegen oder Aufsteigen der Zweige des Chroole- pus nicht als Unterscheidungsmerkmal einer Art die- nen kann, denn ich habe Exemplare des Chr. umbri- nus beobachtet, sowohl mit aufsteigenden als auch mit niederliegenden Zweïgen. Selbst der aus Raben- horst’s Herbarium genommene Chr. odoratus ist mit- unter mit beiderlei Zweigen versehen. Also bleibt zwischen diesen Arten nur ein Unterschied, nämlich der Geruch, welcher selbstverständlich nicht als Merk- mal einer Art angesehen werden kann. 4) L. Rabenhorst, Flora europaea algarum aquae dulcis et submarinae. Lipsiae 1868. Seite 371. 5) Hier muss ein Druckfehler begangen sein: statt 816 muss 616 stehen, denn Chr. odoratus steht im Herbarium unter Nr. 616 ver- zeichnet. Ferner enthält das Herbarium von Rabenhorsteine von ihm festgesetzte neue Art Chr. quercinum*), die sich nur dadurch von Chr. umbrinus unterscheiden soll, dass sie an der Eiche vorkommt. Wenn man aber Arten nach dem Orte ihres Vorkommens fest- stellen wollte, so müsste man eine Menge neuer Ar- ten aufzählen, da Chr. umbrinus sowohl an der Birke, als auch an der Espe, Linde, Fichte, Kiefer, Ahorn etc. vorkommt. Ich will noch ein drittes und letztes Beispiel auf- zäbhlen. Rabenhorst führt noch eine Art des Chroole- pus unter den Namen Chr. jucundus Ces. an. Diese Art bietet eine merkwürdige Form dar, die selbst Cesati, der sie zuerst feststellte, als eine Entwicke- lungsstadie einer andern hüheren Form zu deuten ge- neigt ist.”) Und in der That ist diese Art sowohl in der Form ihrer Fäden, als auch der einzelnen Zellen von allen den von mir beobachteten Chroolepus-Ar- ten verschieden. Daher stimme ich ganz der soeben erwähnten Meinung Cesati’s bei und bezweiïfle nicht pur, dass diese Form eine neue Art des Chroolepus sei, sondern auch, dass sie überhaupt zur Gattung Chroolepus gehôre. | Alle diese Beispiele halte ich für hinreichend, um hinzuweisen 1) auf das Unbestimmte der gegenwärtig vorhandenen Charakteristik der Chroolepen, und 2) auf die Übereilung, mit der zuweilen neue Arten festgestellt werden. — Bei den während dieses Sommers von mir ange- stellten Studien an lebenden Exemplaren aus der Fa- milie der Chroolepen fand ich unter anderm eine Form, die bis jetzt noch nirgends beschrieben ist. Es ist begreiflich, dass ich nach dem soeben Angeführten, in Bezug auf diese Form sehr kritisch verfahren musste, um sie als eine vollständig neue Art festzu- stellen. Bevor ich aber zu dieser Beschreibung übergehe, muss ich derselben einige Worte über die Erschei- uung, die ich am Ch. wmbrinus beobachtet habe, vor- 6) Rabenhorst sieht in seinem oben erwähnten Werke Flora europaea algarum diese Art als eine Abart von Chr. umbrinus an. 7) Hierüber Cesati’s eigene Worte: «... Vor der Hand kann ich von dessen (d. h. von Chr. jucundus) Verhältnissen und von der etwaigen Anamorphose nichts Bestimmtes sagen, habe jedoch fast die Gewissheit erlangt, dass dieses Chroolepus in eine andere, noch unbestimmte hühere Form übergeht, die ich anderweits sammelte.» (Die Algen Sachsens von Rabenhorst, Nr. 348). 127 Bulletin de l’Académie Empériale 12S ausschicken, nämlich: Chr. umbrinus besteht bekannt- lich aus runden, mitunter mehr oder weniger ellipti- schen Zellen, die gewühnlich ohne Ordnung zusam- mengehäuft sind, in einigen Füällen aber kurze und unregelmässig verzweigte Fäden darstellen. (Fig. 1, 1, 5 und 6). Der Inhalt dieser Zellen wird von Allen als bräunlich roth angegeben. Diese Färbung wech- selt indessen sehr oft, da sie in verschiedenen Nüan- cen, nämlich vom hellen Goldgelb bis zum vüllig dun- keln Rothbraun, vorkommt. Diese Erscheinung kann oft an den verschiedenen Zellen eines und desselben Exemplars beobachtet werden. Wenn man einen solchen Chroolepus von rother oder einer andern oben erwähnten Färbung in einer feuchten Atmosphäre kultivirt, so bemerkt man, dass das rothe Pigment sich allmählich in die Mitte der Zellen (zuweilen auch excentrisch) zusammenhäuft, und um dasselbe allmäblich und vollständig deutlich Chlorophyll hervortritt. (Fig. 3 und 4). Gewübnlich sind zwei Tage zur Hervorbringung dieser Erschei- pung hinreichend. Das Zusammenbäufen des rothen Pigments in die Mitte der Zellen und das Hervortre- ten des Chlorophylls an der Peripherie derselben ge- schieht gleichzeitig. Verfährt man dagegen umgekehrt und lässt den Chroolepus mit dem an der Peripherie der Zellen deutlich hervorgetretenen Chlorophyll all- mäblich eintrocknen, so verbreitet sich das rothe Pig- ment wieder über die ganze Zelle, und das Chlorophyll verschwindet. Ich habe meine Beobachtungen folgendermassen angestellt. Ein Stück mit Chroolepus bedeckter Rinde wurde erst unter einer Glasglocke auf dem Fenster an der Sonne getrocknet ; sodann wurde dieses Stück Rinde in zwei Theile getheilt, von denen ein Theil in die feuchte Atmosphäre*) gelegt, der andere Theil aber zur Controlle wie vorher trocken aufbewahrt wurde. Beide Theile wurden auf ein nach Norden ge- richtetes Fenster gelegt und waren gleichmässig der Wärme und dem Sonnenlichte ausgesetzt. Nach eini- gen Tagen erwies sich bei der Untersuchung dersel- ben, dass auf dem der feuchten Luft ausgesetzten Theile alle Zellen des Chroolepus an ihrer Peripherie 8) Auf einen Teller mit Wasser wurde eine Glasglocke gestellt, deren eine Hälfte von innen miy Lüschpapier ausgelegt war; die vom Papier frei gebliebene Seite der Glocke wurde zum Lichte ge- kehrt und das Papier täglich befeuchtet. eine breite Chlorophyllschicht bekommen hatten, welche wie ein Ring das in der Mitte zusammenge- häufte rothe Pigment umgab. (Fig. 3 und 4). In den Zellen des Chroolepus aber auf der andern Hälfte der Rinde war keine Spur von Chlorophyll zu entdecken ; im Gegentheil enthielten viele der Zellen Oeltropfen von rother Färbung. Als ich aber das erste Stück Rinde aus der feuch- ten in die trockene, und umgekehrt, das zweite aus der trockenen in die feuchte Atmosphäre versetzte, bemerkte ich das Verschwinden des Chlorophylls auf erstgenanntem Stücke und das Hervortreten desselben auf dem zweiten. Um môglichen Einwendungen vorzubeugen, habe ich ausserdem diese Versuche an einen und demselben Exemplare angestellt. Solche Experimente wurden vermittelst eines Apparates, durch welchen die At- mosphäre feucht erhalten wird, angestellt. Dieser Apparat ist nach dem Plane des Herrn Prof. A. Fa- mintzin construirt. Vermittelst dieses Apparates”) war ich im Stande die Einwirkung der feuchten Luft auf ein und dasselbe Exemplar im Verlaufe mehrerer Tage zu beobachten. Ich konnte die Feuchtigkeit der Luft vermehren, vermindern oder ganz aufheben und dadurch das allmähliche Hervortreten (Fig. 3 und 4) oder Verschwinden des Cblorophylls hervorrufen (Fig. 1 und 2); mit einem Worte ich konnte vermit- telst dieses Apparates ganz nach meinem Willen ver- fahren. Diese Experimente wiederholte ich mehrere Male und erhielt immer übereinstimmende Resultate "). Indem ich nun diese Thatsache als vollständig er- wiesen ansehe, stelle ich sie folgendermassen fest: Bei gleichen Bedingungen der Einwirkung 9) Die Beschreibung dieses Apparates ist in dem Aufsatze des Herrn Prof. A. Famintzin: «Die anorganischen Salze als ausge- zeichnetes Hülfsmittel zum Studium der Entwickelung niederer chlorophyllhaltigen Organismen» enthalten. (Mélanges biologiques tirés du Bulletin de l’Académie Impériale des sciences de St.-Pé- tersbourg, T. VIII, 1871). 10) Da durch diese Experimente die Einwirkung der feuchten Atmosphäre anf das Hervortreten des Chlorophylls an der Periphe- rie der Chroolepus-Zellen vollständig erwiesen ist, so müsste man annehmen, dass dieselbe Erscheinung in der Natur selbst durch Regen auf die gewühnlich rothen Zellen des Chroolepus hervorge- bracht wird. Diese Voraussetzung erwies sich als vollkommen rh- tig, indem ich nach einem zweitägigen Regen an Chroolepus, der von verschiedenen Baumgattungen genommen war, meine Ansicht bestätigt fand, da bei allen untersuchten Exemplaren das Chlorophyll an der Peripherie und das rothe Pigment in der Mitte der Zellen gelagert waren. 129 vou Licht und Wärme bewirkt die Feuchtig- keit (feuchte Atmosphäre) das Hervortreten des Chlorophylls an der Peripherie und das Zu- rücktreten des rothen Pigmentsnach der Mitte der Zellen des Chroolepus umbrinus; durch Mangel an Feuchtigkeit aber verschwindet das Chlorophyll und das rothe Pigment brei- tet sich wieder über die ganze Zelle aus. Solche chlorophyllhaltige Zellen zeichnen sich durch einen rein vegetativen Charakter aus; sie wachsen, nebmen an Umfang zu, bekommen eine Scheidewand und bringen auf diese Weise neue Zellen hervor; aus ihnen werden aber nie Schwärmsporen erzeugt. Nur Zellen mit bräunlichrothem oder goldgelbem Inbalte bringen Schwärmsporen hervor. Dieser Umstand hat meiner Meinung nach eine wesentliche Bedeutung, und daher jege ich auf den- selben besonderes Gewicht. Diese Bedeutung werde ich sogleich bei der Beschreibung der neuen Chroo- lepus-Art zu erklären suchen. Die neue Art Chroolepus, der ich den Namen Chroolepus uncinatus (hakenfôrmig) beilege, fand ich zuerst an dem Ahorn, an welchem ebenfalls Chr. wm- brinus wuchs; späterhin fand ich ihn aber auch an der Espe und Linde, wo Chr. umbrinus ebenfalls vor- kam. Während der letztere auf der Rinde der ge- nannten Baumgattungen zuweilen von der Hühe des menschlichen Wuchses und sogar viel hüher vor- kommt, wächst der erstere nicht hüher als unge- führ einen Fuss über dem Boden. Ich habe Grund vorauszusetzen, dass diese Art auch an der Birke und vielleicht auch auf der Rinde anderer Bäume in Be- gleitung des Chr. umbrinus vorkommit. Es hält zuweilen sehr schwer, ihn auf der Rinde zu erkennen. Dem unbewaffneten Auge erscheint er in der Form von gelblichgrünen Erhühungen, die schwer als eine Anhäufung von Fäden zu erkennen sind. Wenn man aber diese Erhôhungen durch eine Lupe betrachtet, so erweist sich, dass sie einzelne Häufchen oder Büschel darstellen, die hier und da auf der Rinde zerstreut oder auch zusammenhängend sind. Diese Büschel bestehen aus verzweigten oder unverzweigten Fäden verschiedener Länge. Am häufigsten beobach- tete ich kurze und unverzweigte Fäden (Fig. 16, 17, Tome XVII. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 130 18 und 19), obschon ich mitunter auch lange und verzweigte Fäden bemerkt habe (Fig. 15). Zwischen diesen und jenen sind Übergänge in Masse vorhanden. Solche gegliederte Fäden bestehen aus einer Zellen- reihe, welche aus einer unregelmässigen Gruppe sol- cher Zellen entspringt und mit einem für diese Art sebr charakteristischen Zoosporangium endet (Fig. 16). Ehe ich von diesem Zoosporangium spreche, môchte ich der unregelmässig gruppirten Zellen Erwähnung thun, welche, wie oben gesagt, die Grundlage der Fäden dieser Chroolepus-Art sind. Die Gruppirung dieser Grundzellen erinnert an eine eben solche Grup- pirung der Zellen des Chr. umbrinus (Fig. 1, 2, à und 6), und wenn nicht eine Grundzelle der Gruppe den Anfang des Fadens bilden würde, so künnte diese ganze Gruppe durch ibre Âhnlichkeit für Zellen des Chr. umbrinus angesehen werden, die der Einwirkung der feuchten Atmosphäre ausgesetzt waren (Fig. 3, 4 und 16). In diesen befindet sich, wie auch in den Zel- len des Chr. umbrinus unter der oben erwähnten Be- dingung, eine breite Chlorophyllschicht an der Periphe- rie, welche eine Anhäufung des rothen Pigments um- ringt. Ich habe indessen schon erwähnt, dass solche Zellen des Chr. umbrinus sich durch einen rein vege- tativen Charakter auszeichnen; hierauf hin künnte man annehmen, dass diese neue Form nichts weiïter, als ein umgestalteter und vielleicht hüher entwickel- ter Chr. umbrinus sei. Diese Vermuthung hat sich indessen bis jetzt noch nicht durch unmittelbare Be- obachtungen bestätigt, daher beabsichtige ich durch- aus nicht zu behaupten, dass die eine Form in eine andere übergehe, sondern es ist nur eine Voraus- setzung, deren Wahrscheinlichkeit übrigens bestärkt wird durch diejenigen Übergangsformen zwischen dieser neuen Art und Chr. aureus einerseits und Chr. umbrinus andererseits, die ich ganz zufällig auf der Rinde an einer Birke fand (Fig. 32 bis 39). Auf den Stückchen dieser Rinde, die ich genau untersuchte, wuchs ausschliesslich Chr. umbrinus, dessen Zellen nach ihrem Inhalte sehr verschieden waren: sie stell- ten eine Reihe von Übergangsformen dar, von aus- schliesslich gelbrothen Zellen bis zu solchen, die ar ihrer Peripherie eine dicke Chlorophyllschicht !) ent- hielten. Es erwies sich, dass einige verhältnissmässig 11) Dieses Material war von mir auf einer Excursion gesammelt worden, die ich nach einem zweitägigen Regen unternommen hatte, 9 131 Bulletin de l'Académie Impériale 132 wenige Zellen der letzteren Art kurze Fäden gaben, die ganz an Chr. aureus und Chr. uncinatus erinner- ten. Einer von diesen Fäden endete sogar mit einer Subsporangial-Zelle (Fig. 32), durch welche übrigens die letztere Art charakterisirt wird. Dieser Umstand weist darauf hin, dass einige chlorophyllhaltige Zel- len des Chr. umbrinus den Trieb haben Fäden zu bil- den und dadurch eine andere Form des Chroolepus hervorzubringen. Also bildet eine von den Grundzellen des Chr. un- cinatus den Anfang zu einem Faden, wobei ebenfalls ein vollständiger Übergang der Form der Zellen, nämlich von der rundlichen bis zur länglich-cylind- rischen stattfindet (Fig. 18). Die Zellen der letztge- nannten Form sind ungefähr viermal so lang als breit. Die Zellen der kurzen Fäden sind immer breiter, als die der langen und verzweigten (Fig. 15, 16, 17 und 18). Ein jeder solcher Fäden endet entweder mit einem Zoosporangium, oder mit einer von mir subsporangial benannten Zelle (Fig. 20), oder auch mit einer vege- tativen Zelle. Charakteristisch ist für diese Form das Vorhandensein der ausschliesslich am Ende der Fäden haftenden Zoosporangien mit den sie tragenden ge- krümmten Subsporangial-Zellen, welche bei keiner der übrigen Chroolepus-Arten vorhanden sind. Es kommt nicht selten vor, dass ein Faden mit zwei (Fig. 15, 17 und 18) und sogar drei Zoosporan- gien endet (Fig. 16); mehr als drei habe ich indessen nie gefunden. So viel Zoosporangien aber auch vor- handen sein môgen, so sitzt jedes von ihnen auf seiner eigenen Subsporangial-Zelle, und zwar auf deren obe- rem schmalen Ende, welches ich als Hals der Sub- sporangial-Zelle bezeichnen werde. Ein solches voll- ständig entwickeltes Zoosporangium mit seiner fa- schenfürmigen, ôfters am Halse gekriümmten Subspo- rangial-Zelle bildet am Ende des Fadens ein haken- fôrmiges Gebilde. Nach dieser sogleich in die Augen fallenden eigenthümlichen Form der Fäden habe ich diese Art Chr. uncinatus (hakenfürmiger Chroolepus) benannt. Das Zoosporanginm mit seiner Subsporangial-Zelle ist fast immer gleich gefärbt, wodurch der Haken, den sie bilden, in Vergleich mit dem fast vüllig grü- nen Faden, auf welchem er sitzt, schärfer hervortritt. Die Entwickelungsgeschichte dieser Zoosporangien besteht in Folgendem. Anfangs trägt der Faden an seinem Ende eine ein- fache, längliche, keulenfürmig angeschwollene Zelle. Der Inhalt dieser Zelle besteht anfangs, wie der der übrigen Zellen des Fadens, aus sehr kleinen grünen Chlorophyllkôrnchen und aus dem rothen Pigment, welches entweder in 1, 2 oder mehr einzelne Häuf- chen vereinigt, oder in der Zelle gleichmässig ver- theilt ist. Das rothe Pigment dieser Zelle fängt all- mählich an, an Masse zuzunehmen und füllt endlich die ganze Zelle aus, wobei es sich vorzugsweise an dem oberen freien Ende der Zelle anhäuft, wo während dessen ein kernähnliches Gebilde bemerkbar wird (Fig. 19). Bald bildet sich in der keulenformigen Zelle, näüber zu ihrem freien Ende, eine Querschei- dewand welche diese Zelle in zwei ungleiche Theile theilt (Fig. 20): in einen oberen, kleineren, halbkugel- f‘rmigen, €, mit rothem Inhalte, und in einen unteren, grôüsseren, cylinderférmigen, b, in welchem letzteren aufs Neue Chlorophyll hervortritt an die Stelle des ro- then Pigments. Die Halbkugel nun, mit welcher der Faden endet, ist eben die Subsporangial-Zelle, welche während der Weiterentwickelung eine Flaschenform annimmt und schliesslich ein Zoosporangium bildet. Diese Entwickelung geschieht folgendermassen. An irgend einem äussern Punkte an der Seite der Halbkugel erscheint ein anfangs kaum bemerkbarer Auswuchs (Fig. 21), welcher sich allmäblich verlän- gernd eine gewisse Grüsse erreicht und der Subspo- rangial-Zelle die Form einer Flasche giebt, deren Hals seitlich hervorwächst (Fig. 22, 23). Während der ganzen Entwickelung des Halses ist derselbe mit rothem Pigment angefüllt. Die weitere Entwickelung des Halses besteht darin, dass dessen freies Ende sich allmäblich aufbläht (Fig. 24, 25). Zu einer bestimm- ten Zeit wird diese Anschwellung von dem Theile, auf dem sie sitzt, durch eine Scheidewand begränzt (Fig. 26), und es entsteht daraus ein junges Zoospo- rangium, welches allmählich an Grüsse zunimmt; die- ses geschieht gleichzeitig mit der Verminderung des rothen Pigments in der Subsporangial-Zelle, in wel- cher das Pigment zu der Zeit der Reife des Zoospo- rangiums ganz verschwindet, so dass die Subsporan- gial-Zelle zu dieser Zeit fast ganz farblos erscheint: nur hier und da finden sich noch in ihr Überreste des rothen Pigments vor. Erreicht das Zoosporan- gium seine normale (Grüsse, so zerfällt sein gelblich- brauner oder gelblich-rother Inhalt in Kügelchen, deren Umriss ziemlich deutlich hervortritt: das sind die sich heranbildenden Schwärmsporen (Fig. 28, 29). Zu gleicher Zeit füngt die äussere Hülle des Zoosporangiums an, sich an einer bestimmten Stelle auszudehnen, indem sie eine farblose Papille bildet (Fig. 17, 18 und 28), welche zur Zeit der Reife der Schwärmsporen platzt; aus der auf diese Weise ge- bildeten Offnung tritt zuerst ein gallertartiger Schleim, welcher sich um diese Offnung zu einer farblosen Halbkugel anhäuft, hervor (Fig. 29); bald darauf kommen die Schwärmsporen heraus, worauf das leere Zoosporangium von der Zelle, die es erzeugte, abfällt (Fig. 30) oder auf derselben noch eine Zeit lang haftet. Noch lange vor dem Austreten der Schwärmsporen — jedoch nachdem das Zoosporangium seine normale Grüsse erreicht hat — bemerkt man, dass auf der Stelle, wo das Zoosporangium auf dem Halse der Subsporangial-Zelle sitzt, die bis dahin ihnen (d. b. dem Zoosporangium und dessen Subsporangial-Zelle) gemeinsame äussere Membran ringformig platzt, wo- bei indessen das Zoosporangium nicht abfällt, sondern wie vorher an der Subsporangial-Zelle sitzen bleibt (Fig. 28, 29 und 31). Dieses hat seinen Grund darin, dass sowohl das Zoosporangium als die Subsporan- gial- Zelle mit einer doppelten Hülle umgeben ist: a) einer inneren Hülle, die späterhin die Querscheide- wand, welche die Subsporangial-Zelle von dem neu entstehenden Zoosporangium begränzt, bildet, und b) einer äusseren Hülle. Während des Aufplatzens der äusseren Hülle fällt das Zoosporangium in Folge des- sen nicht von der Subsporangial-Zelle ab, weil es mit derselben durch die innere Membran verbunden ist, deren Querscheidewand dabei deutlich sichtbar wird. Diese Scheidewand platzt erst viel später, nachdem sie eine gewisse Breite erlangt hat, und bedingt da- durch das Abfallen des Zoosporangiums von der Sub- sporangial-Zelle. Der Hals der letzteren erscheint dabei wie mit einem Deckelchen, mit einer kaum be- merkbaren Erhühung an der Spitze, bedeckt (Fig. 30); in Wirklichkeit ist das nichts anderes als die aus der Offnung der äusseren Hülle — (die Ränder dieser Offnung erscheinen als die unteren Ränder des Deckel- chens) — hervorstehende innere Hülle der Subspo- rangial - Zelle mit dem auf ihr haftenden Überreste des Sciences de Saint-Pétersbourg. 134 der zerrissenen Scheidewand. Dasselbe sieht man besonders deutlich an einem entleerten Zoosporangium (Fig. 30). Ein solches Zoosporangium bat 2 Hüllen, eine äussere und eine innere. An der äusseren sind zwei Offnungen, von denen die eine die geplatzte Pa- pille ist, aus der die Schwärmsporen ausgetreten sind, die andere aber in Folge des ringformigen Platzens dieser Hülle am Halse der Subsporangial-Zelle ent- standen ist. Aus dieser zweiten Offnung der äusseren Hülle ragt nun die innere Hülle des Zoosporangiums als eine kleine Papille in Form eines Deckelchens hervor. Das Austreten der Schwärmsporen hängt nicht mit dem Abfallen des Zoosporangiums von der Subspo- rangial-Zelle zusammen. Ich habe das Austreten der- selben sowohl an abgefallenen als auch an solchen Zoosporangien, die noch an der Subsporangial-Zelle hafteten, beobachtet. Charakteristisch ist, dass der ganze Entwickelungs- process des Zoosporangiums nicht bei Tage, sondern des Nachts, ungefähr 8, 9 oder hüchstens 10 Stunden dauert. Aus den am Abende angemerkten keulenfôr- migen Fäden in den Präparaten erhielt ich immer schon am folgenden Morgen ganz reife Zoosporangien. Indem ich aber diese Entwickelung im Verlaufe des Tages verfolgte, bemerkte ich nie etwas Besonderes. Im dunkeln Zimmer kam aber auch am Tage die Ent- wickelung der Zoosporangien zu Stande. Es wäre interessant, nicht nur die Entwickelung des Zoosporangiums, sondern überhaupt die Entwicke- lung der ganzen Form, von dem Keimen der Sehwärm- sporen an, zu verfolgen. Aber alle von mir in dieser Richtung unternommenen Experimente und Beobach- tungen blieben erfolglos. Ich konnte nichts weiter be- merken, als dass die Schwärmsporen (der verschie- denen Chroolepus-Arten) im Ruhezustande an Grüsse zunahmen, mitunter in bedeutendem Maassstabe, So wuchsen die Schwärmsporen von 1!/ Theil. bis zu 5 Theil. des Mikrometers im Durchmesser in einigen Tagen heran (1 bis 2 Wochen) ©); in dieser Zeit sind sie den gewühnlichen Zellen des Chroolepus umbrinus sehr ähnlich, für welche man sie auch hätte halten 12) Bei Ocular Nr. 2 und System Nr. 8 von Hartnack. 9* 135 Bulletin de l’Académie Impériale 136 künnen, wenn sie nicht schon vorher, d. h. sogleich nach Anfertigung des Präparats als ausgeschwärmte Zoosporen angemerkt worden wären (Fig. 7 u. 11). We- der das Keimen noch die Theïlung solcher Schwärmspo- ren durch Scheidewände habe ich indessen je bemer- ken künnen. Obschon Caspary ) in seinem Aufsatze anführt, das Keimen der Schwärmsporen des Chr. aureus gesehen zn haben, so zweifle ich doch daran, 1) da er sich darüber sehr unbestimmt ausspricht und 2) in Folge der vielen yon mir unter verschiedenen Bedingungen gemachten resultatlosen Experimente. Wenn es schwer wäre, die Bedingungen, unter wel- chen Caspary seine Beobachtungen angestellt hat, hervorzubringen, so würde ich meinen Zweifel aus dem Grunde nicht aussprechen, weil man mir erwidern künnte, dass ich diese Bedingungen nicht erreicht habe. Zur Beseitigung einer ähnlichen Erwiderung aber führe ich hier Caspary’s eigene Worte an: «Die Zoosporen ... sanken ganz einfach irgendwo nieder; solche blos niedergesunkene Schwärmsporen, die ich unter feuchter Glasglocke auf den Ob- jectivgläsern hielt, waren es, die ich bei Chr. aureus durch Theiïlung ihrer Zellen sich vermehren sah.» Die Einfachheit dieser Bedingungen füllt in die Augen. Und indem ich meine Beobachtungen nach der angezeigten Methode den ganzen Sommer anstellte, erhielt ich immer ein negatives Resultat. Es ist augen- scheinlich, dass diese Erscheinung durchaus nicht so einfach ist, wie Caspary meint. Mir scheint es, dass er für keimende Schwärmsporen (d. h. mit 2 oder 3 Zellen) zwei oder drei vegetative, vom Faden abgelôste Zellen des Chr. aureus angesehen hat, oder nur eine solche vegetative Zelle, welche in der That keimfähig und, wie gesagt, einer ausgewachsenen Schwärmspore sehr ähnlich ist (Fig. 7, 8, 9, 10 und 11, 12, 15, 14); die Zellen des Chr. aureus zeigen diese Erschei- nung sehr häufig. Daher vermuthe ich auch, dass Caspary nicht das Keimen der Schwärmsporen, son- dern solcher abgelüsten einzelnen Zellen gesehen hat, um so mehr, da er nirgends erwähnt, dass er diese Erscheinung an einer solchen Schwärmspore erforscht habe, deren Bewegung er vorläufig gesehen und die er weiter in ihrem Ruhezustande beobachtet hätte. Dies 13) R. Caspary. Die Zoosporen von Chroolepus Ag. uud ibre Haut. (Flora, Nr. 36, 1858). ist aber der einzige Weg, dieses Resultat zu consta- tiren. Ich werde in der Ansicht, welche ich in Bezug auf diesen Gegenstand gefasst habe, noch durch eine An- deutung bestärkt, die sich in dem Aufsatze von Hilde- brand") findet. Indem er am Ende seines Aufsatzes das Keimen der Schmärmsporen des Chroolepus er- wähnt, sagt er, dass sie meistentheïls im Wasser zu Grunde gehen, d. h. dass sie zerfliessen — (dem wi- derspricht auch Caspary nicht) —und dass nur einige von ihnen erhalten werden, in den Ruhezustand über- gehen, sich zu Kugeln abrunden und nach einigen Tagen eine Hülle bekommen (sich eincystiren). Alles dieses stimmt mit dem überein, was auch ich gesehen habe; weiter aber folgen bei Hildebrand nur unzurei- chende Angaben. Obschon es ihm nicht môglich war, die weitere Entwickelung der Schwärmsporen unmit- telbar zu verfolgen, verneint er dennoch die That- sache, dass sie keimen, nicht. Er sagt, dass, nachdem er von der Baumrinde ein Präparat mit schon zur Ruhe gekommenen Schwärmsporen abgenommen hatte, er die verschiedenen Stadien ihrer Entwickelung ge- sehen habe: einige waren von der ursprünglichen Grüsse der Zoosporen; andere, obschon vergrüssert, dennoch kugelfürmig ; noch andere etwas verlängert, mit einer zarten Querscheidewand, und endlich noch weiter entwickelte Zustände. Hildebrand meint, dass durch diese Methode die Thatsache des Keïmens der Schwärmsporen von Chroolepus vollständig bewiesen sei. Ich habe aber schon der selbstständigen Lebens- fähigkeit einer oder mehrerer vegetativen Zellen des Chroolepus erwähnt und halte daher das, was ich schon vorher darüber gesagt habe, für hinreichend, um Hildebrand’s Angaben zu bezweifeln. | Aus allen hierauf bezüglichen Andeutungen von Hildebrand ist nur ein Umstand wichtig, nämlich, sein Geständniss, dass er das Keimen der Schwärm- sporen nach Caspary’s Methode nicht direkt hat verfolgen künnen, trotz der Einfachheit dieser Me- thode. Dieses (reständniss bestärkt bedeutend meine Ansicht, dass die Krscheinung des Keimens der Schwärmsporen von Chroolepus bis jetzt noch von Niemandem beobachtet worden ist, und dass die Be- 14) Dr. Hildebrand. Ueber-ein Chroolepus mit Zoosporenbil- dung. (Bot. Zeit. 1861, Nr. 13). 137 dingangen, unter denen es vorgeht, noch lange nicht bekannt sind. ) Indem ich jetzt zur Charakteristik der neuen Art Chr. uncinatus übergehe, habe ich nur wenige Worte Zu sagen. Als Hauptmerkmal dieser neuen Art erscheint also das End-Zoosporangium und dessen Subsporangial- Zelle. Eine solche Subsporangial-Zelle kommt bei keiner der übrigen Arten des Chroolepus vor. Diese Zelle mit ihrem Zoosporangium sitzt immer am Ende des Fadens, was ein begrenztes Wachsthum des letz- teren bedingt; wenn es auch zuweilen das Ansehen hat, als ob das Zoosporangium seitlich stehe, so kommt dieses daher, dass irgend eine der vegetativen Zellen des Fadens einen Seitenzweig gebildet hat, welcher, sich verlängernd, das End-Zoosporangium auf die Seite schiebt, und selbst als Fortsetzung des Fadens er- scheint. Weder aus dem Zoosporangium, noch aus dessen Subsporangial-Zelle entspriessen vegetative Zellen, was bei den andern Chroolepus- Arten ôfters vorkommt; obschon bei letzteren die Zoosporangien zuweilen am Ende der Fäden sitzen, oder seitlich stehen, künnen sie doch auch in der Mitte der Fäden vorhanden sein. Dies sind die Merkmale, durch welche ich diese neue Art charakterisire. Wenn man diese Merkmale mit denjenigen vergleicht, durch welche man gewühn- lich die verschiedenen Chroolepus-Arten zu charak- terisiren sucht, d. h. durch den Umfang der Zellen, durch die Färbung ihres Inhaltes, durch den Geruch etc., so ist es klar, dass die von mir angeführten Merkmale des Chroolepus uncinatus bedeutend wesent- licher und bezeichnender sind, als die letzteren, und daher bin ich der Überzeugung, dass die von mir festgestellte Art wirklich eine neue ist. Diese Arbeit habe ich im Botanischen Laborato- rium der St. Petersburger Universität unter Anlei- tung des Herrn Professors A. Famintzin ausge- fübrt. St. Petersburg, den 12. September 1871: 15) Diese Arbeit habe ich zum ersten Male auf der 3ten Ver- sammlung der russischen Naturforscher in Kiew im August 1871 vorgelesen. Nach meiner Mittheilung bestätigten die Herrn Prof. A. Famintzin und A. Petrowsky meine Beobachtungen in Bezug auf das Keimen der Schwärmsporen des Chroolepus; es war ihnen nie gelungen, dieses Keïmen zu beobachten. des Sciences de Saint- Pétersbourg. or 135 Erklärung der Abbildungen. 9 Fig, 1 u. 2. Chroolepus umbrinus mit verschieden gruppirten Zellen, deren Inhalt ausschlesslich aus rothem Pigment besteht. 3 u. 4. Dieselben Exemplare des Chroolepus um- brinus unter Einwirkung der feuchten Atmosphäre. Das rothe Pigment ist in der Mitte einer jeden Zelle zusammengehäuft; der übrige Theil der Zelle ist mit Chlorophyll angefüllt. 5 u. 6. Zwei Exemplare von Chroolepus umbri- nus, aus deren Zellenlage deutlich der Trieb, Fä- den zu bilden, sichtbar wird. . 7. Eine abgelüste vegetative Zelle des Chroolepus aureus (28. Juni), welche leicht für eine ausge- wachsene und verlängerte Schwärmspore angese- hen werden kann. r 8. Dieselbe Zelle nach zwei Tagen (30. Juni); sie hat sich verlängert und ist durch eine Scheide- wand in zwei Zellen getheilt; in dieser Form er- scheint sie wie eine keimende Schwärmspore. 9. Dieselbe Zelle nach zwei Wochen (13. Jul), nachdem sie schon zu einem ganzen Faden mit dem Anfange eines Seitenzweiges, 2a, angewach- sen ist. Die Ziffern deuten die Reiïhenfolge der Entstehung der Zellen au (dasselbe gilt für Fig. 101141924310 L4): 10. Dieselbe Zelle nach fast einem Monate (24. Juli). Der Faden, den sie jetzt gegeben, erscheint noch länger, als in Fig. 9 und verzweigt sich schon | bemerkbar (2a, 2b und 54, 5b). 11. Eine andere abgelüste Zelle des Chroolepus aureus (28. Juni), die sich durch nichts von einer kugelfürmig ausgewachsenen Schwärmsporeunter- scheiden lässt. 12, Dieselbe Zelle nach zwei Tagen (30. Juni). Sie gleicht sehr einer keimenden Schwärmspore. 13 und 14. Das Auswachsen dieser Zelle in einen Faden. Fig. 13 — nach zwei Wochen (13. Jub) und Fig. 14 — fast nach einem Monate (24. Juli). , 15. Ein langer verzweigter Faden des Chroolepus uncinatus; seine Zweige enden in Haken, von denen jeder aus einer flaschenfürmigen Subspo- rangial-Zelle mit auf derselben sitzendem ku- gelformigen Zoosporangium besteht. Fig. 16. Ein kurzer unverzweigter Faden des Chroo- Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. 139 Bulletin de l’Académie Impériale 140 lepus uncinatus; er endet mit 3 Haken und geht aus einer Gruppe unregelmässig stehender Grund- zellen hervor, welche an die Zellen des der Ein- wirkung der Feuchtigkeit unterworfenen Chroole- pus wnbrinus erinnern. Fig. 17 u. 18. Zwei kurze, unverzweigte Fäden des Chroolepus uncinatus, von denen jeder mit zwei Haken endet. Auf einem der zwei Zoosporan- gien eines jeden Fadens sind die farblosen Papil- len sichtbar, welche, nachdem sie aufgeplatzt sind, zum Austritte der Schwärmsporen dienen. Fig, 19. Ein keulenfürmiger Faden des Chroolepus uncinatus; seine Endzelle, a, ist mit rothem Pig- ment angefüllt, welches am oberen, breitern Ende sich mehr concentrirt. Fig. 20. Dieselbe Endzelle in zwei Zellen getheilt: in eine untere, grüssere, b, die schon anfängt sich grün zu färben, und in eine obere, halbkugelfür- mige Subsporangial-Zelle, c, welche mit ro- them Pigment angefüllt ist. Fig. 21. Eine junge Subsporangial-Zelle, c, mit einer kleinen Erhühung — dem Anfange ihres sich bil- denden Halses. Fig, 22 u. 23. Die weitere Entwickelung des Halses der Subsporangial-Zelle. Fig. 24 u. 25. Das allmähliche Aufblähen dieses Hal- ses in eine Kugel — das sich bildende Zoospo- rangium. Fig. 26. Die Trennung der jungen Kugel (Zoosporan- gium) von dem Halse durch eine Scheidewand. Fig. 27. Das fernere Heranwachsen des jungen Z00- sporangiums. Fig. 28. Die folgende Stufe seiner Entwickelung: das Zerfallen des Inhaltes in Kügelchen und die Bil- dung der Papille — der künftigen Offnung zum Austritte der Schwärmsporen. Die äussere Hülle des ganzen Hakens ist schon an der Stelle ge- platzt, wo die Scheidewand der inneren Hülle sich befindet, welche Scheidewand beide Zellen des Hakens trennt. Fig. 29. Der Umriss der sich bildenden Schwärm- sporen ist schon sehr deutlich. Die Papille ist ge- platzt; aus ihrer Ofnung tritt ein gallertartiger Schleim, dessen Umriss kaum bemerkbar ist, her- vor. Fig. 30. Eine Subsporangial-Zelle, a, mit einem von derselben abgelôsten leeren Zoosporangium, b, an welchem eine doppelte Hülle deutlich sichtbar ist; c, — das scheinbare Deckelchen der Subsporan- gial-Zelle. Fig. 31. Das ringfürmige Aufplatzen der äusseren Hülle des Hakens, wobei die Scheidewand der in- neren Hülle, vermittelst welcher das Zoosporan- gium mit der Subsporangial-Zelle vereinigt ist, deutlich sichtbar ist. — Die Figuren 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38 und 39 stellen Übergangsformen zwischen Chroolepus umbrinus und anderen hüher entwickelten Formen des Chroolepus (Chr. aureus, Chr. uncinatus) vor. So stellt z. B. Figur 32 einen keulenformigen Faden dar, der in eine Subsporangial - Zelle, a, endet. Myxobrachia Cienkowskii n. sp. Von Nicolas Wagner. (Lu le 5 octobre 1871.) Haeckel hat zwei sehr sonderbare Radiolarienfor- men, die er im Atlantischen Ocean bei Lanzerote auf- gefunden hatte, unter dem Namen Myrobrachia pluteus und A. rhopalum beschrieben. Eine solcher Formen wurde von mir im Hafen von Neapel gefunden die ich zu Ehren unseres bekannten Botanikers, des Herrn Prof. Cienkowski, der so viel zur Kenntniss der ein- fachsten Organismen beigetragen hat, als Myxobrackia Cienkowskii bezeichne. Ich untersuchte über 20 Exemplare dieses Thieres und theile in dieser vorläufigen Mittheilung nur die Hauptergebnisse meiner Arbeit mit. 1. Die M. Cienkowskii misst 3 bis 8°” in die Länge und 2 bis 4"” in die Breite. Die Form der kleineren und also der jüngeren Exemplare gleicht derjenigen von À. rhopaluin. 2. Mit dem Alter erscheinen ausser dem Haupt- Fortsatz oder Arm noch vier Arme, die über dem ersten entspringen; bei den grüsseren Exemplaren er- scheint aber über diesen noch eine Reïhe von Armen, deren ich nicht mehr als drei beobachtet habe, so dass im Ganzen acht Arme von mir beobachtet worden sind. 3. Das Thier selbst ist farblos, erscheint aber schmutzig-gelb in Folge der gelben Zellen und der feinkürnigen Massen des Protoplasma, die in verschie- denen Theiïlen des Kürpers angehäuft sind. Die gel- CHR. GOBI. Algologische Studien über Chroolepus Ag. Bulletin de l'Acad. Jmp. d. se. T, XVIL 7 0. 21. Lit. À, Münster W. Gobi. Gez. v. Chr. : os uf T MORT 4 Û 1 k ï x Li '4 LL d uit * j | ' é " ŒUTE ( 0 | L 2 1100 era E TE ”) . te DEL ben Zellen sind bei der Centralkapsel in den Schnü- ren, die von der Kapsel zu den Enden der Arme absteigen, und besonders in diesen Enden angehäuft. 4. Die Binnenblase besitzt keine so grosse Ent- wickelung der protoplasmatischen Blindsäcke wie bei den von Haeckel beschriebenen Formen. Die klei- nen blutrothen Ülkugeln oder Ültropfen im Innern der Kapsel sind hier auch durch kleine blaue Tropfen ersetzt, die aber in geringerer Zahl auch schon ausser- halb der Kapsel sich vorfinden. Beim Zerdrücken der Kapsel fliessen diese Ültropfen zusammen. 5. Die Myxobrachia Cienkowskii unterscheidet sich aber am meisten von den Arten, die Haeckel be- schrieben hat, dadurch, dass ihr Kürper sich nicht als eine gleiche gallertartige Masse darstellt, sondern aus einem ganzen FKilz feiner Protoplasmafäden besteht, zwischen denen sehr feine und gleichartige Cytoden eingelagert sind. Eine gleiche Struktur, nur mit zahl- reicherer Entwickelung der Cytoden, bemerkt man auch in den Schnüren. 6. Der Kürper von A. Cienkowskii hat keine Wandungen, man sieht aber auf dessen Oberfläche in einigen Fällen so viele verflachte Protoplasma- fiden, dass sie zusammenfliessend eine fast gleichartige Hülle bilden. Aus dieser Hülle entspringen eine Menge Pseudopodien, die an den Enden der Arme sehr ent- wickelt sind. 7. Ebenso bemerkt man keine scharfe, durch Hül- len gebildete Begrenzung zwischen der gemeinschaft- lichen Kôrpermasse, den Schnüren und jenem Theil, wo die Centralkapsel mit den sie umgebenden Alveo- len eingeschlossen ist. 8. In jedem Ende der Arme liegt eine Masse dicken, zähen und feinkôrnigen Protoplasma’s, die von der Schnur durch einige Schichten gelber Zellen abge- grenzt ist. In dieser Masse sind jene Organiten zer- streut die zuerst von Huxley im Bathybius aufgefun- den wurden, d. h. Coccolithen und Coccosphaeren. Die Coccolithen sind sebr klein, bei älteren Exempla- ren aber grüsser; dagegen habe ich sie bei ganz jun- gen Exemplaren gar nicht aufgefunden. 9. Ausser den Coccolithen sind in demselben fein- kôrnigen Protoplasma beständig noch Reste von jun- gen Muscheln, sehr kleinen Spirulina und Denta- lium ?) aufzufinden. Diese Muscheln sind mit einem des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 142 Netz von Protoplasmafäiden ausgefüllt, die augen- scheinlich der Myxobrachia angehüren, 10. Es ist leicht môglich, dass diese Anhäufungen von Protoplasma in den Enden der Arme von Myxo- brachia eine Art Verdauungsapparat bilden, in dem der Assimilationsprocess vor sich geht. Erst dann würde die Nahrung längs der Schnüre zum Centrum gelangen, in die Region der Alveolen, die die Cen- tralkapsel umgeben. 11. Mit den Myxobrachien trifft man manchmal eine andere Form, Thalassicola Cienkowskii n. sp., die sich hauptsächlich durch die Abwesenheit der Masse, die die peripherische Schicht und die Arme der Myxo- brachia bildet, unterscheidet. 12. Die feinkürnige Masse in den Enden der Arme, sammt den ihr anliegenden celben Zellen, kann beim Quetschen sich stückweise abtrennen. Solche Bruch- stücke sind einer selbständigen Bewegung fähig. Sie entsenden lange, feine Pseudopodien und bewegen sich sogar schnell zusammen mit den in ihnen einge- lagerten gelben Zellen. Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae. Scripsit ©. J. Maximowicz. (Lu le 16 novembre 1871.) DECAS DECIMA. Insunt synopses specicrum Asiae orientalis Rubi et Asari, et specierum japonicarum Smalacis generis. Cercidiphyllum, Sieb. et Zucc. FI. Jap. fam. nat. II. 258. in Abh. Bayr. Akad, IV. Magnoliaceae, Trochodendreae. Flores dioici. 4: bracteolae 4, per paria decussatae, inferiores basi utrinque 1-dentatae, superiores inte- grae majores, omnes membranaceae, 2-nerviae, cadu- cissimae. Calyx et corolla 0. Stamina +, inaequalia, extima intimis plus triplo breviora, parte basali filamen- torum in columnam tenuem elongatam stamina extima superantem varia altitudine connata, fasciculum laxum superne dilatatum constituentia. Filamenta capillaria. Antherae basifixae lineares 2-loculares longitudinali- ter dehiscentes, connectivo tenui apice in mucronem coriaceum excurrente. Pollen (omne jam emissum). @: bracteolae ut in & (interdum ad 1 reductae). Calyx 143 1 et corolla O. Carpella subsex (2— 5) in orbem dis- posita libera, stipitata') arcuatopatula, dorso acuta, ventre ad suturam sulcata, 1-locularia. Stylus carpel- lum superans, linearis, erectus, tota longitudine intus stigmatosus. Placentae secus suturam cujusvis car- pelli binae, filiformes, ovulis numerosis singula serie obsessae. Ovula arcte imbricata, adscendentia, longe stipitata, stipite membraniformi dilatato, anatropa, micropyle supera. Folliculi 2—6 anguste oblongi, arcuati, patuli, styli basi superstite mucronati, ventre toto dehiscentes, epicarpio membranaceo demum ab endocarpio tenui cartilagineo secernibili. Semina nume- rosa biseriata, adscendentia *), arcte imbricata, nucleo apicali ovali, ala basilari (stipite) oblique oblonga uti testa membranacea. Albumen copiosum carnosum. Embryo in extremitate albuminis locatus minutus (in nullo semine examinato evolutus, cavitate ejus tamen passim indicata). — Arbores vastae, ad septuaginta- pedales, sed fruticosae jam florentes, ramis longissi- mis à basi ramulis vix pollicaribus obsessis et foliosis, ideoque subvirgato-ramosae. Folia annua, in innovatione terminali decussatim opposita, internodiis elongatis, in ramulis lateralibus brevissimis incrassatis floriferis quotannis e gemma pauciperulata (perulis sub 3, co- riaceis, oppositis) singula, vernatione involutiva, cor- dato-rotundata, cordato-ovalia vel elliptica, palmati- nervia, crenata, crenis apice glandula hyalina apicu- latis. Stipulae intrapetiolares, ultra medium connatae, membranaceae, deciduae. Flores cum foliis orti, ver- nales, breviter pedunculati, folio quocum e gemma ra- muli lateralis oriuntur oppositi, solitarii, parvi, mas- culi citissime decidui. Antherae ochroleucae. Eupteleae proxime affine, etsi ob folia stipulata magis Magnolicis appropinquat. 1. C. japonicum, Sieb. et Zucc. apud Hoffm. et Schult. Noms indigènes pl. Jap. Nr. 131. — Miq. Prol. fl. Jap. 304. — Foliis surculorum inferioribus et ramulorum lateralium cordato-orbicularibus vel subreniformibus, surculorum superioribus ellipticis subacutiusculis, omnibus argute obtuse crenatis, sub- tus glaucis. 1) Autumno praecedente jam formata et tune sessilia, ima basi coalita vel potius toro brevi inserta, arcte conniventia. Ovula hoc tempore intra cavitatem ovarii nondum indicata. Styli in conum con- niventes. 2) Neque pendula, ut errore describuntur 1. €. Bulletin de l'Académie Hmpériale 144 Hab, per totam Japoniam: Yezo, in silvis subalpi- nis sat frequens, fl. Q (Albrecht!), frf. Octobri (ipse); Nippon boreali (Nambu, fl. #) et media, simili loco, #. © defl. (Tschonoski). Kiusiu: in silvis mon- tosis prope oppidum Naka-tsu (Buerger! ex Miq.). 2. €, ovale, Foliis omnibus cordato - ovalibus grosse obtuse crenatis, subtus viridibus. Hab. in Nippon mediae montibus altissimis, #4 sub- defl. paucis specc. legit Tschonoski. Ramuli floriferi pulviniformes utrique communes formari incipiunt ex axillis surculi cujusvis sequente jam anno, sed quum quotannis tantum prodeat gemma 3-perulata, folium 1 et flos 1, talis ramulus vix apice accrescit, sed magis diametro, ita ut evadant cras- siores quam ramus cui insident, conici, cicatricibus squamarum foliorumque delapsorum arcte superposi- tis creberrime notati, per annos decem usque persi- stentes, sed vix pollicem longi. Observ. CL H.Baïillon. Hist. de pl., Magnoliacées, p. 151 nuper genera: Talaumam, Juss. et Miche- liam L. generi Magnolia conjunxit, an recte ? Habent enim ambo stylum in fructu deciduum, ideoque car- pella demum obtusa vel rotundata, Magnolia vero gaudet stylo in fructum usque persistente, et carpello igitur acuminato, character jam a cl. Spach obser- vatus, at postea ab omnibus neglectus. Schizandra nigra, Dioiea glabra; foliis longe petio- latis late vel subtransverse ellipticis basi et apice su- bito breve cuspidatis integerrimisque, ipso apice ob- tusiusculis, ceterum obsolete angulato repandis cum glandula brevi in dentibus; floribus axillaribus ob in- ternodia approximata ramulorum fasciculato-approxi- matis, 4 : staminibus 5 in orbem depressum 5-lobum monadelphis, loculis antherae connectivum latissimum marginantibus; ©: carpellis sub-12 spicato-imbricatis in stylum brevem mucronatis, maturis secus torum elongatum laxis paucioribus (3 — 10), obovoideis vel ovalibus caesio-nigris; seminibus densissime verrucu- losis, verruculis contiguis. Hab. in silvis alpinis jugi Kundsho-san Kiusiu cen- tralis, Octobri c. fr. fere mat., Nippon: Fudzi-yama, in pinetis abietisque, alte supra mare, arbores ve- stiens, Novembri fructif.,aliis locis Nippon mediae,flor.., et borealis prov. Nambu (frf., Tschonoski); Yezo (Al- brecht!).— Flores omnino Sch. coccineae, Mx. quoad magnitudinem et structuram, lactei. Baccae edules. 145 Fructus colore et seminum superficie ab omnibus distincta. In Nippon boreali audit: madzi-ssa. Observ. 1. CI H. Baillon 1. e. 148. 180. omnia genera Schizandracearum in unicum Schizandrae con- ferruminavit, el Bentham et Hooker, Gen. pl. E. 19. admiserunt duo: Schisandram (cum Sphaerostem- male et Maximowiczia) et Kadsuram: carpellis in toro elongato tenui spicatis in priore, et in toro globoso sessilibus in secundo commode distinguendas. Cui sen- tentiae cl. vv. accedens, equidem monendum habeo, Sphaerostemma japonicum S. et Z. (FI. Jap. fam. nat. IL. 188), A. Gray (Bot. of Japan, 380) multo serius editum esse quam ÆXadsuram chinensem, Turez. (Enum. Chin. Nr. 14. in Bull. Mosc. 1837. X. Nr. 7.) cui b. Ruprecht jam Novembri 1856 (cf. Bull. de la el. phys. math. de l’Acad. de St. Pétersb. XV. 1857. p. 142. e.t. analyt., et p. 259.) Maximowicziac genus superstruxit, et imo serius quam in opere meo: Pri- mitiae fl. Amurensis, ubi primum delineata est, typis excuso Febr. 1859 (conf. ad calcem operis p. 504), conventui academico exhibito 29 Januarii 1858. (cf. Mém. prés. à l’Acad. d. sc. de St. Pétersb. p. divers savants, t. IX. in titulo florac meae), quum e contra opus cl. A. Gray, On the botany of Japan, in lucem prodiit Aprili 1859, titterae vero ad calcem operis de Salicibus ab Anderson seriptae Februario 1859 Holmiae signatae sunt, totum denique opus conventui propositum est Decembri 1858 et Januario 1859. Quibus expositis clarum fit, plantam de qua agitur Schisandram chinensem (Baill. 1. ce 148. in nota) appellandam, nomen Schizandrae Hanceanae, Baill. (1. c. 150. nota 3) autem, quia Kadsurae genus ser- vandum existimamus, ad X. chinensem, Hee. reducen- dum esse. Observ. 2. Trochodendron longifolium, m., indica- tum in Ind. sem. h. Petrop. 1865. p. 34, sed non descriptum, est 77. aralioides, S. 2. 8. longifolium, w., foliis obovatis vel lanceolatis ab &. genuino, foliis rhom- beis vel rotundato-ellipticis instructo, diversum, cete- rum vero omnibus partibus simillimum. —- Accepi va- rietatem memorabilem e Nippon media et boreali, ge- nuinam vero e Kiusiu, sed Siebold (apud Miq. Prol. 146.) hane ultimam etiam e Yezo et Nippon septen- trionali habuisse asserit, ita ut altera alteram non excludere videatur. Tome XVII. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 146 Observ. 3. Zanthoxylon Bungeanum, m. (cf. Diagn. pl. nov. dec. IX.) jam ante me a Hanceo et ante hune a Planchonio descriptum esse serius comperi. Loco nominis mei delendi ponatur: Z. Bungei PI. in PI. et Lind. Praeludia ad fl. Columb. in Ann. se. nat. IT. série, XIX. 82. in nota (nomen tantum”). Addentur sy- nonyma à me I. c. adducta, quibus accedat insuper: 2. simulans, Hance! Advers. p. 40 in Ann. sc. nat. V. sér., V.208. (Nr. hb. Hanceani a me laudatus I. €.) — %, Bungei vero, ab am. Dre Hance (eodem loco p. 209) descriptum, diversa est species, Z. planispino S. Z. potius affinis. Specie a me pro nova proposita ita deleta, venia sit hie inserere aliam, loco laudato jam a me indi- catam : Zanthoxylon Arnottianum, Gilaberrimum dense ramo- sum parce aculeatum microphyllum, aculeis geminis solitariisve parvis conicis teretiusculis ; foliis impari- pinnatis 3—7-jugis inermibus, foliolis coriaceis secus petiolum auguste alatum sessilibus obovatis spathula- tis ovalibusve basi cuneatis apice obtusis obsoletissime apicem versus 2—4-crenulatis margine revolutis dis- coque toto grosse pellucido-punctatis; peduneulis ra- mulos laterales breves terminantibus paucifloris, d':..; © calycis laciniis lanceolatis, petalis 0, ovariis 2—3, stylis subaequilongis recurvis stigma capitatum vix duplo superantibus; carpellis 1 — 2 globoso-ovalibus styli basi apiculatis extus basi gibbis verrucosis. — Z. piperitum, Hook. Arn. in Beechey Voy. 261. — non DC. Hab. in archipel. Bonin-Sima (Dr. Mertens!). Affine Z. piperito DC. et Z. Bungei PI., sed habi- tus potius Z. plerotae DC. ex India occidental. Specc. ante oculos sunt 4, pedalia, dense breveque ramulosa denseque foliata. Foliola 2°,—5"/ lin. longa, 9 lin. lata. Carpella nondum plane matura vix sesqui- liuealia. Rubus, Benth et Hook emend. Rubus et Dalibarda L. Conspectus specierum Asiae orientalis. 3) Descriptionem el. auctoris olim el. Dr. Regel ad publicandum missam, sed nescio eur ineditam, postea apud cel. Dr. Regelium vidi. 10 147 1. Herbacei. a, foliis integris, Flores dioici. Folia reuiformia lobata plicata.. R. Chamaemorus. » hermaphroditi. 2. 2, Glaber, folia lobata, calycis laciniae integrae.. R. kumulifolius. Villosus, folia integra, calycis lacin. incisoser- DALAC: bete scott doutes R. pectinellus b, foliis ternatis vel pedatoquinatis. Semper erectus. Klos ruber, pollicaris ....... R. arcticus. Sterilis procumbens, fertilis erectus. Flos albus 1/,-pollicaris. 2. 2, Pedunculus pluriflorus folio brevior. Folia ter- Eos oo: ed PERS ER CARNET Lee R. saxatihs Pedunceulus sub-1-florus folio longior. Folia sae- DISEASE Rene E ee erilee-esel R. triflorus. 1. À. Chamaemorus L. — Maxim. Prim. 100. — À. Gray. On the bot. of Japan 187.— Miq. Prol. FT. Jap. 224.— F. Schmidt, FI. Amg. Bur. 41; F1. Sachal. 128. Hab. in tota Sibiria, Mandshuria boreali, Kam- tschatka, Sachalino, insula Yezo boreali (Small!) et me- ridionali, prope Hakodate in paludosis, initio Junii florib. # (Albrecht!). — Occurrit praeterea cirea to- tum cireulum arcticum, in Europa descendens ad 55° et in alpibus ad 50°, in America boreali occidentali ad 52°, in orientali ad 449, in Asia orientali vero us- que ad 41° fere. 2, Rubus pectinellus. Villosus et aculeatus: aculeis tenuibus rectis subreversis; caule filiformi horizontali radicante, ramis floriferis erectis; foliis subtus ad ve- nas aculeatis cordato - rotundis emarginatis vel obtu- sissimis argute dentatis ceterum integris vel rarissime obsoletissime 3—5-sinuatis; stipulis ambitu late ovatis subbipinnato-partitis lacinulis linearibus vel linearilan- ceolatis; pedunculo ex axilla summa terminali 1-foro (rarissime ex proximis axillis 1- 2 adventitiis) florem erectum subsuperante; calycis tubo densissime acu- leato laciniis amplis ellipticis obovatisve dense pectinato subpinnatifidis petala (alba) anguste ovata subito un- guiculata superantibus, demum fructum obtegentibus; carpellis (juvenilibus) numerosis glabriusculis. Hab. in Æiusiu m. Higo-san, silvis vetustis, fine Junii fl.; Mippon: simili loco ad pedem m. Fudzi (Tschonoski, f.). Affinis ex habitu X. Buergeri, Miq., sed herbaceus. Ex characteribus vero proximus 2. calycino Wall!, qui praesertim differt calycis laciniis apice stipulisque obiter pauci-serratis, petalis obovatis basi sensim an- gustatis calycem superantibus. Fructus in À. calycino Bulletin de l’Académie fmpériale 148 siccus videtur ideoque Dalibardae, an etiam in nostro, non constat, — À. Dalibarda Li. magis differt ealyeis laciniis minutis integris cet. 3. R. humulifolius, C. À. Meyer. FI. Wijatka, 57. c. tab. — Maxim. Prim 99, — Schmidt, F1, Amg. Bur. 40. Hab. in Mandshuria boreali: de Castries, Nikola- jevsk, ad fl. Amgun, Nemilen et Alyn, in silvis acero- sis sat rarus, Junio fl, Augusto frf. — Occurrit prae- terea rarissima species in Sibiria ad fl. Jenisei, 400 stadia infra Krasnoyarsk (Czekanowski ex Glehn mscer.), in jugo Uralensi et in gub. Wjatka. Similis À, saxatili, cujus locum tenet in Mandshu- ria borealiorientali, sed calyx fere 1 centim. longus et folia lobata. 4. R. saxatilis, L.— Maxim. Prim. 99.—Rgl. FL. Usur. 168. (ad fl. Amur.) — Turez, FI. Baic. dah. 1940: Hab. in tota Sibiria usque in Kamtschatcamn, in Da- huria, Mandshuria occidentali: ad Amur superiorem usque ad montes Bureicos. — Desideratur in AMan- dshuria orientali, Sachalino, Japonia et America boreali (praeter Groenlandiam). 5. R. triflorus, Richards. — Hook. FI. bor. am. I 181. t. 62. — Torr. et Gray. F1. Nth. Am. I, 452. — R. caesius, Thbg. FI. Jap. 216 (ex descer.). 8. japonicus. (R. caesius, Thbg.) foliis semper fere pedatoquinatis (foliolis lateralibus nempe bipartitis), magis acuminatis argutius serratis; carpellis numero- sioribus (ad 25), achaeniis laevibus. Hab. in silvis opacis prope pedem vulcani Fudzi (Tsehonoski, frf.). Planta omnino americanae similis, differt, praeter notas indicatas, foliis nonnihil firmioribus, stipulis mi- uoribus passim dente auctis, pedunculis folio saepe brevioribus. Ad eandem speciem pertinere videtur Rubus .Nè 31 coll. Hooker et Thomson, e Sikkim, altitud. 11 — 12,000 ped., plantula (qualem vidi) pusilla, a vero R.trifloro diversa tantum calyeis sepalis latioribus sub anthesi erectis, a nostro foliis obtusioribus. 5. R.arcticus, Li. —Maxim.Prim.99.—"Turez. Ice. 370.— F. Schmidt, FI. Ame. Bur. 41; FI. Sachal. 198. Hab. in tota Sibiria, Kamtschatka et Davuria abunde ; in Mandshuria boreali frequens, variis locis; in Sa- chalino usque ad Kussunai (48°), qui locus hucusque 149 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 150 a ———_—_—————————— maxime meridionalis, nam in America tantum sub 53° (ad fl. Saskatshawan), in Rossia europaea sub 54!,° (gub. Mohilew), in Suecia sub 59° observatus. Variat fl. albis. 2, Suffruticosi, a. Simplicifolii. 1. Moluccani. Humiles, prostrati, saepius (anne semper?) radicantes, ramos laterales breves vel sub- elongatos adscendentes floriferos emittentes, rarissime in caule vetusto axilliflori. Folia perennia, rotundata, rarius oblongata, vulgo subtus dense tomentosa. Spe- cies himalaicae, sundaicae, philippinenses, ravius si- nico-japonicae, plerumque tropicae. Flores ex axillis foliorum anni praecedentis. Folia coriacea Flores in ramulis novellis. 2. 2, Inflorescentia reflexa, Folia profunde 3—5-loba, 100 HERMANN. 5e 4-5. Sr den. Inflorescentia erecta. Folia angulato-lobata. 3. 3. Folia coriacea, pustulato-rugosa.. Folia membranacea, laevia . ..: 7. R. Sieboldi, Miq. Prol. 224, 372. Hab. in Nippon: in declivibus silvosis m. Kifune (Buerger, ex Miquel). Aiusiu: ad rupes umbrosas et circa speluncas ad pedem Zidsi-yama, non proeul a Nagasaki, sat frequens, sed sacpissime sterilis, fine Junii f. frf. (ipse); in insula silvestri archipel. Gofto, ad montium latera (Dr. Weyrich, f.). In insulis me- ridionalibus Z/-sima et Yakunosima, ad collium latera (fi. frf. Wright! s. n. À. bracteosi A. Gray n. sp.). Unica species hujus seriei, quae e gemmis perulatis caulis vetusti non ramulos novellos foliatos pl. m. lon- sos floriferos, sed flores sessiles nullo folio fultos pro- fert, quo signo, a Miquelio praeterviso, ab omnibus abunde distincta. Omnium Moluccanorum robustissima. 8. R.rugosus, Sm.in Rees Cyclop. XXX.—W right Icon. t. 225. — R. rugosus et À. Hamillonianus, Ser. in DC. Prodr. Il. 566. 567. Hab. in Formosa (Oldham! NM: 93, vix fl. incip.) A planta indica, cujus numerosa specimina et va- rietates vidi, non parum differt caule inermi, ramis brevioribus, foliis tenuioribus vix scabris. Ob bracteas obiter nec profunde dentatas pertineret ad var. «! Thwaites. Enum. pl. Ceyl. 101. Species critica, etsi in tropicis Asiae frequens, atta- men nondum bene investigata neque cum affinibus male descriptis satis comparata. Nimis forsan affinis, nisi ... À, Sieboldi. R. veflexus FE. rugosus. R. Buergeri. nur snssnsss identica, cum À. moluccano, L., cujus tantum iconem apud Rumphium, Amb. V. t. 47 fig. 2, neque descrip- tionem bonam, adducere solent botanici recentiores. Qua ex descriptione vero patet, folia jn icone nimis par- va totamque forsan plantam diminutam delineata esse, speciem vero À. rugoso profecto simillimam evadere, quem vero pro À. moluccano describit Miquelius fru- ticem (cf. F1. Ind. Bat. I. 382) non parum a Rum- phiano discrepare. Mirum est, neminem post Rum- phium speciem e Moluccis attulisse. 9. À. Buergeri, Miq. Prol. 224. R, molucca- nus, Thbg. FI. Jap. 219. — ? KSieb. Toelicht. tot de Ontdekk. van Vries, 155 (verosimil.). Hab. in Japonia (Miquel!) a Nagasaki usque ad Yokohamam saltem, secus vias, in fruticetis siccioribus, ad silvarum margines et in silvis ubique frequens, a Julio usque in Octobrem florens, a fine Augusti usque in Januarium fructiferus. Forsan etiam in Yez0. — Ja- ponice cum aliis hujus sectionis audit faju-itsigo i. e. KR. hiemalis. Valde affinis À. alceaefolio Poir. videtur, si recte hune intelligo, specimina cujus numerosa e variis Indiae locis ante oculos habeo, tamen unum tantum nomina- tum (ex Planchon, in Hook. Lond. Journ. of bot. V. 247. ad pl. Javan. Lobb! NX 63). Differt hic a nostro tantum statura majore, foliis distincte lobatis, lobis acutis, serraturis inaequalibus angustioribus, aculeis validis recurvis, stipulis amplioribus. — Anne igitur noster forma humilis borealis À. alceaefolii, Poir.? 10. R. reflexus, bot. reg. t. 461. — Benth. FI. Hongk. 104. — Hook.et Arn. in Beechey. Voy. 184. Hab. in archipel. Lutschu (ex Bentham L. e.); China meridionali: Canton, Hongkong! ; Philippinis: archipel. Sundaico; usque in Zndiam boreali-orientalem (ex Ben- tham 1. c.). Affinis À. rugoso, Sm., qui racemis erectis, stipulis minus divisis foliisque rotundatis angulato-lobatis di- versus videtur. 2. Corchorifolii. Suffrutices erecti vel diffusi, haud radicantes, saepe elati, truncis erectis vel flagellifor- mibus debilibus. Folia integra vel varie lobata vel fissa, glabra vel ad summum subtus velutina, nunquam to- mentosa. Flores ex innovationibus axillaribus foliatis vulgo abbreviatis. Folia annua (exel. forsan 2. jambo- soidi). — Species Sinico-Japonicae et boreali-Ameri- canae. 10* 151 Folia coriacea integerrima lanceolata. Sti- pulae nullae ......:....... so Ddonie R. jambosoides. Foliamembranacea nunquamintegerrima. 2. 2, Ramuli floriferi abbreviati basi fasciculato- foliati4). 5. Ramuli floriferi elongati foliati, internodiis foliorum distinctissimis{). 8. 3. Folia saltem ramulorum floriferorum integra (conf, etiam sub 7). 4. Folia semper lobata. Frutices glabri. 7. 4. Stipulae nullae. Kolia serrata. 5. Stipulae setaceae, folia dentata, interdum subtriloba. Frutex glaber.....,......2..., R. incisus 5. Subglaber, inermis (conf. sub 8) .,......... R. Grayanus PI. m. velutini, aculeati. G. 6. Folia omnia subvelutina. Peduneuli 1-flori. Glandulae nullae ........ CL CCC R. corchorifolius. Folia ramulorum sterilium subvelutina, fer- tilium glabra, pedunculi pluriflori glandu- loso-setosi. (Conf. etiam sub 8.)..,......... R. Swinhoeï. 7. Folia 3—5-fida argute inciso-serrata ....... R. palnatus Folia ramul. florif. obsolete, steril. distincte 3-loba, inaequaliter dentata............... R. incisus. 8. Folia obsolete triloba vel integra. 9. HOLAIDElAIA RS eue senc eneleniesise sen le LIT: DÉILOUUS Folia 3—5-fida. 11. 9. Inermis, peduneuli 1-flori................. R. Grayanus. Aculeati, pedunculi pluriflori. 10. 10. Peduneuli glanduloso-setosi pauciflori ...... ?. Swinhoei Pedunculi pubescentes, flores paniculati..... R. Lambertianus. 11. Stipulae amplae. Petala orbiculata calyce du- PIOHOnP ITA RER else eee AT Ve sente R. trifidus Stipulae setaceae. Petala spathulata calyei subaequilonga .....,..,... SAN ee Soccocan R. crataegifolius 11. À. jambosoides, Hce. Symb. ad fl. Sin. 3, im Ann. se. nat. 4 sér. XIV. Hab. in Chinae prov. Fokien (de Grijs ex Hance). — Non vidi. 12. R. corchorifolius, 1. fil. Suppl. 263 (a. 1781). = $S.'et/Zucc.' FL Jap: fam' nat T° 127. —Miq. Prol. 223. — R.villosus, Thbg. FI. Jap. 218 (a. 1784) et ejus Icon. pl. Jap. ined. (f., opt.). — R. altheaefo- lius, Hce. 1. e. (ex descript.). — À. Oliveri, Miq. 1. c. 223 (ex descript. et À Oldhamiano! laudato). Hab. in Japonia (Thbg. ex Linn. f.) inter Miaco et Yedo, ins. Nippon (Thbg. FI. Jap.); Kiusiu: circa Nagasaki in silvis et lucis sat frequens, a Martio ad Majum usque florens. — China: prov. Fokien (de Grijs ex Hance). Trunci pauci, subsolitarii, ramosi, erecti. Folia sur- culorum sterilium distincte triloba lobo terminali ma- ximo lateralibus ad basin rejectis obtusis vel acutis. 4) Signum grave, habitum peculiarem exprimens. Sed occurrit in nonnullis rarissime ramulus anomalus, quam ob causam tales sub utroquo capite quaerendi. Bulietin de l’Académie Impériale —— — Ï ——" 15? 13. À. Swinhoei, Hce. Advers. in stirp. crit. p. 12 in Ann, se. nat. D sér. V. Hab. in ÆFormosa boreali (Swinhoe et Oldham, Aprili, ex Hance): prope Tamsuy (O1dh.! À 93 fr. immat.). Praecedenti affinis, sed optime distinctus: foliis surculorum sterilium (in secundum annum partim per- sistentibus) subtus tomento tenui derasili griseo ob- tectis, fertilium glabris serraturis mucronulatis, ramis floriferis foliatis internodiis inter folia elongatis, ra- cemo plurifloro glanduloso-setoso, peduneulis florem plus duplo superantibus. 14. R. Lambertianus, Ser. in DC. Prodr. IT. 567. Hab. in China, unde eum Seringe comm. Lambert. Mihi ignotus, ex diagnosi brevi forsan hue inseren- dus et tune praecedenti affinis. 15. RL. incisus, Thbg., F1. Jap. 217. — Ej.! Icon. pl. Japon. ined. (opt.) — non A. Gray in Perry’s Exped. 310. — nec Miquel, Prol. 223. — Humilis erectus vel adscendens, aculeis parciusculis in eaule tenuibus incurvis, in petiolo brevibus recurvis; foliis sureulorum sterilium late cordatis trilobis lobis acu- tis inaequaliter dentatis, fertilium truncato-rotundatis vel cordato-ovatis subintegris vel obsolete trilobis ar- gute inciso-dentatis; stipulis setaceis adnatis; pedun- culis in apice ramulorum lateralium brevissimorum (foliis fasciculatis) solitariis elongatis 1-floris; calycis extus glabri intus tomentosi laciniis lanceolatis longe cuspidatis, quam petala oblonga (ex icone cit.) sub- duplo brevioribus, semper erectis; carpellis maturis paucis (3—5) siceis favoso-exsculptis. Hab. in Nippon: prope Kanagawam, in pinetis are- nosis parce, med. Majo deflor.; Yedo, simili loco, et in montib. Hakone, sterilis. Species post Thunbergium a nemine hueusque visa, omnino sui juris, À. geoidi Sm. e Chile (Dali- bardae) tantum affinis, sed major et suberecta. Sesquipedalis —- tripedalis. Folia surculorum ste- rilium subduplo majora (ad 3 poll.) et profundius tri- loba, fere trifida, lobis singulis saepe iterum obsolete bilobis. Calyx fructiferus 4 lin. longus. 16. R, Grayanus, Procumbens adscendens inermis sub- glaber; foliis surculorum sterilium . . . ., fertilium ova- tis acuminatis basi truncatis vel subcordatis grosse inaequaliter serratis, subtus pallidis et ad venas petio- losque lamina breviores parce molliter pilosis; stipu- 153 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 154 0 lis nullis; pedunculis in apice ramulorum lateralium brevium 1—92-foliatorum (internodiis inter folia di- stinctis) terminalibus 1-floris, petiolo brevioribus gra- cilibus parce puberis; floribus nutantibus, fructibus erectis; calycis semper patentis extus subglabri intus tomentosi laciniis ovatis in cuspidem parum breviorem attenuatis; petalis. ..., filamentis elongatis calycem aequantibus; fructu aurantiaco succulento, carpellis numerosis favoso-exsculptis, receptaculo glabro. Hab. in archipel. Lutschu insula Katona-sima (X 79. Wright! defl.) et, boream versus, in ins. Yakuno- sima, in collium lateribus (idem! fine Aprilis frf., comm. s. n. À. éncisi var. integrifoliae). R. cratacgifolio, Bge. affinior videtur quam ulli alio, sed pedunculis unifloris, foliis integris grosse serratis, aculeis 0, calycibus patentibus nimis diversus. À ZX. inciso, Thbg. valde abhorret, quam habitu tam fructu aliisque notis. Bi-quadripedalis, fractu amoene acido (ex Wright in schedula). Truncus teres flexuosus, pennam anati- nam usque crassus, cortice opaco cinnamomeo. Ra- muli floriferi 1—3-pollicares, perulis ad basin sub anthesi jam totis deciduis. Folia 2/,:3 q. exe. poll. magna vel paullo minora, grosse sed non prominenter reticulata (ut in nullo affini), penninervia, 5 —6-costata. Petiolus pollicaris. Calyx defloratus pollicaris. Achae- nium 2 mill. longum. 17. R. crataegifolius, Bge. Enum. Chin. 98. — Maxim. Prim. 99. — Rel., FI. Usur. 60. tab. V, — R. Wrightü, À. Gray! bot. Jap. 387. — Zi. palma- tus. Itsigo. Imare furetsup. Siebold. Toelicht. tot de Ontdekk. van Vries, 155 (ex loco natali). Hab. in China boreali, a Pekino boream versus; Korea (Schlippenbach!); Mandshuria australi et orientali: a sinu Victoriae secus Usuri flaviunm usque ad Amur merid.; Zsusima (Wilford!) et per totam Japoniam in silvis, in Kiusiu tantum in alpibus. Species statura et foliis sat variabilis, genuina non facile eum alia confundenda, Kiusiana vero ob lobum foliorum terminalem breviorem et folia subtus saepe sat dense pubentia sequenti appropinquans. Sed acu- leis, pedunculis aggregato-plurifloris, calyce deflorato clauso et petalis parvis angustis facile distincta. 18. R.trifidus, Thbg. FI. 217.— Ej.! Icon. pl. Jap. ined. (opt.). — R. incisus, Miq.! Prol. 223, nee Thbg. — R. pubinervis, BI. Bijdr. 1110 (ex Miq.). — À. ribifohus, Sieb. et Zucc.! FI. Jap. fam. nat. IL. 127. — R. hydrastifolius, A. Gray in Perry’s Exped. 311 (ex descript. opt.). — R. aceroides, Miq, Prol. 224 (surculi steriles). Hab, in Nippon: circa Yedo, Yokohama, Simoda, et cultus occurrit in hortis per totum regnum. A sequente, quocum confudit Gray (Bot.Jap.), ha- bitu jam diversissimus: À. trifidus sistit fruticem am- plum, erectum, dense frondentem, lateque ramosum, grandifolium, grandiflorum, inermem, ita ut in vivo minime cum 2. palinato, sed cum 2. crataegifolio con- sociandus sit. 19. R. palmatus, Thbg. FI. Jap. 217. — Ej. Icon. pl. Jap. Dec. IV. t. 6. (opt.) — Sieb, et Zuce.! L. c. p.126. — Miq.Prol. 223. — A. Gray. On the bot. of Japan. 387. p.p. — À. microphyllus, L. fil. Suppl. 263 (ex diagn.). — À. coptophyllus, À. Gray in Perry’s Exped. 311. Hab. in fruticetis aridis et montibus lapidosis Au su et Nippon, usque ad Yokohamam saltem, vulga- ris. In Zsusima legit Wilford!; in archipel. Koreano Oldham!. Semper sibi constans. Frutex valde aculeatus, par- vifolius, truncis pluribus simplicibus flagelliformibus debilibus. Folia sureulorum sterilium duplo majora et diversissima: profunde 5-fida imo 5-partita laciniis pinnatilobis. — Nomen Linneanum aptissimum et antiquius, sed donec specimen authenticum non erit examinatum, Thunbergianum praeferendum est. 20. R, peltatus, Subglaber ramosus aculeis reflexo- hamatis in caule petiolis nervisque foliorum subtus ar- matus; foliis utrinque praesertim ad venas parce ad- presso-pilosis, ambitu subcordato vel truncato-rotun- datis peltatisque, inaequaliter argute mucronato-den- tatis 3—5 lobis, lobis basalibus minutis horizontali- porrectis terminali majore longiusque acuminato; sti- pulis longe adnatis obverse-semihastatis integris mem- branaceis: floribus solitariis ramulos novellos termi- nantibus, pedunculo quam petiolus breviore; calycis glaberrimi patentissimi laciniis ovatis longiuscule acu- minatis ad acumen saepe incisis, petalis (albis) paten- tissimis orbiculatis calycem duplo superantibus, car- pellis numerosissimis; fructu.. . Hab. in silvis alpinis Nippon mediac (f. Tscho- noski). Paullo affinis À. nutkano, Moc., sed diversissimus. 155 Bulletin de l’Académie Impériale 156 Folia tenue membranacea, ad 6 poll. et ultra longa et lata vel paullo longiora. Petiolus ad //, longit. la- minae insertus. Flos ultra bipollicaris. b. Pinnatifoli. Folia 1—-5-jugo pinnata. Ramuli novelli floriferi saepius abbreviati simplices, peduneulo ex axilla suprema unico, ceteris abortivis vel rarius evolutis et tunc saepissime nudis, ita ut peduneuli 1—3, terminales. 2. Ramuli novelli elongati. Pedunculi oxillares, foliati, 1-pluriflori, et saepissime praeterea terminales subnudi, omnes tune in inflores- centiam racemosam vel paniculatam pauci-multifloram congesti. 5. 2, Folia omnia 1-juga vel nonnulla conflata 3- fida. Flores profunde rubri ............,., Folia ramulorum sterilium vel omnia plus quam 1-juga. Flores albi. 8. . Achaenia 2 mill. longa. Petala spathulata. R. spectabilis co CAR ACIER Re eme ER, pungens Achaenia 1 mill. longa. Petala orbiculata. Calyx inermis. 4. 4. Glabrescens, folia ramul. floriferorum pin- DT stereo eos 000 .... À, rosifolius Villosus, folia ramul. florif. ternata ..,....., Rh Thunbergti 5. Peduneculi omnes axillares foliati a sc invi- cem secus ramum novellum remoti, G. Inflorescentia ramos novellos terminans basi foliosa, apice nuda vel tota nudiuscula. 7. 6, Villosus, folia pinnata, petala obovata...... Glaberrimus, folia ternata, petala oblonga.. . Achacnia 1 mill. vix longa, innumera, fructus maturi oblongi subsicci. Folia omnia pin- nata. 8. Achaënia 2 mill. longa, ‘minus numerosa. Fructus subglobosus succulentus. 9. 8. Petala rotunda. Calyx fructifer patens. Pa- nicula divaricata abbreviata efoliata......,. Petala oblonga. Calyx fructifer rigide re- fractus. Panicula laxa foliosa elongata .. 9. Folia omnia pinpata. 10. Folia omnia vel ramul. florif. ternata, sub- tus nivea. 11. 10. Folia concolora subglabra R. coreanus Folia subtus niveo-tomentosa,.....,,...,.. R. parvifolius. 11. Petala purpurea, folia sapins omnia ternata À. parvifolius Petala alba, fol. infer. et ramor. steril. pin- nata. 12. 12. Totus dense longeque rubiginoso-glandulosus À, phoenicolusius. Glandulae O vel paucae breves pallidae R. Idueus. R. tagallus KR. leucanthus 1 R. fraximfolius. R. sorbifolius 21. À. spectabilis, Pursh. F1. Nth. Am. L. 348. t. 16. — Bot. reg. t. 1424. — Miq. Prol. 222. Ex Miquel prostat cultus in horto academico Lug- duno- Batavo, à Siebold e Japonia introductus, sed in herbariis deest, neque a me unquam visus. — Dubia adhuc igitur Japoniae civis. — Hucusque tantum ex America boreali-occidentali innotuit. 3. Rosifolii. Folia concolora 2—5-juga. Calyces petalaque patentia. 22. R. pungens, Camb. in Jacquem. Voy. IV. 48. 1 2 B. Oldhami, (R. Oldhami, Miq. Prol. 222 talis calyce longioribus. Hab. in archipel. Koreano (Oldham! M 213 frf. — numerus à Miquel citatus); in Korea (Schlippen- bach! #.); in Nippon media, fl. frf, et boreali: Nambu, ä. leg. Tschonoski! Planta genuina, in Cachemiria, in silvis prope ur- bem Chourienne, Junio . a Jacquemont detecta, exacte nostrae respondet, praeter petala ex deser. ca- lyce breviora. Icon habet quidem calyces tantum pi- losos neque aculeatos, sed ex errore pictoris, descri- buntur enim aculeati ut in nostro. Ab hoc vix nisi varietate diversus videtur: À. parvi- folio aff. Griff. Catal. a Kéw distrib. M 2160, ex Himalaya ovrientali a Griffith in fructu allatus, acu- leis creberrimis validioribus (neque parvis graciliori- bus) horridus, et magis microphyllus. Petala tamen non vidi. Species nostra a sequentis varietatibus nonnullis statim distinguitur, praeter alia signa, achaeniis 2 mill. longis, haud numerosis. 23. R, rosifolius, Sm. Icon. ined. t. 60. — DC. Prodr. IL. 556. — Benth. F1. Austral. II. 430. — R, celebicus?? PT. Cat. Java coll. by Lobb, in Hook. Lond. Journ. of bot. V. 247 (ex N? Lobb. citato). a. tropicus. Flore pollicari, petalis obovatis, fructu obscure rubro succulento, foliolis ovatis vel ovato-lan- ceolatis regulariter duplicato-serratis. Hab. in Himalaya varïis locis (Hook. et Thoms!, Griffith!) ad f. Zrawaddi, Martio fl. (D. J. Ander- son! 1868); Java (Lobb.! NE 58); Moluccis (Rumph. Amb. V. 88. t. 47. fig. 1.). Ù Introductus in tropicis fere orbis totius: Mauritio! (e Moluccis, ex Bojer apud Hook. Icon. IV. 349), Capite b. spei!, Trinidad!, Brasilia (Mart. FI. Brasil.) Planta capensis ceterum, saltem quae apud Hook. Icon. IV. t. 349. descripta, à nostra diversa dicitur fructu tam sicco ut in Potentilla quadam, ex Harvey apud Hooker, sed ipse Harvey in F1. Cap. IT. 287. postea subsucculentum describit. Quum insuper in Cap b. spei indigenus affirmetur, erit forsan species diversa. B. coronarius, Sims. in Bot. mag. t. 1783. Flore bipollicari, petalis orbiculatis, fructu rubro vel luteo . — Pe- \ 157 sueculento, foliolis lanceolatis longius acuminatis in- aequaliter serratis. 1. flore simplici. — An huc À. chnensis, Ser. in DC. Prodr. Il. 557.? Hab. in Yakuno-sima, a Kiusiu meridiem versus sita (Wright! f.); in Kiusiu: in silvis opacis prope Ko-isi- wara; in MNippon: in declivio continentali vulcani Fudzi- yama, in silvis, medio Novembri fl. ult. fr. mat. — Forsan etiam in Æimalaya (Griffith!). Formae in Japonia duae oceurrunt. In altera (al- pina) rami novelli floriferi simplices ‘,-pedales ad 2- pedales e rhizomate ipso oriuntur, et flores terminales proferunt 1—2, fructum pollicarem rubrum. In al- tera, locis magis demissis calidioribus orta, truncus saepe magis elatus, ramosus, prodeunt nempe e sur- culo anni praecedentis innovationes axillares abbre- viatae, flore terminali 1—2; fructus lutei in hac for- ma dicuntur à collectoribus meis indigenis. 2. flore pleno. — Sims. tab. cit. — À. rosifolius, Miquel! Prol. 222. — Elatior (ad 5-pedalis, sed flagelliformis, debilis), ramosus: ramis novellis abbre- viatis 1-floris. Hab. in omni Japonia, in hortis ubique ob flores maximos, Rosas aemulantes, cultus, Aprili, Majo flo- rens. Nunc per totum fere orbem in hortos intro- ductus. Evidenter e lusu praecedente ortus. Organa gene- rationis saepe perfecta remanent, ita ut fructum inter- dum maturari non impossibile sit. Proxime huic affinis est À. pinnatus, W. (v. viv. in Sta Helena, sice. a Mundt et Maire in Prom. b. sp. coll.), sed facili negotio panicula terminali con- tracta nuda distinguendus. 24. R. Thunbergü, Sieb. et Zucc. 1. c. 126. (exel. syn. Thbg.). — Miq. IL. c. 222. — R. hispidus, Thbg. F1. Jap. 216.— Ej.! Icon pl. Jap. ined.(bona). — ? À. heterophyllus, W. Enum. suppl. 58. Hab. in Japonia circa Yokohama et Nagasaki vul- garis, à Martio ad Majum usque florens; U-sima, a Kiusiu meridiem versus(Wright!); Corea(Wilford!); China boreali (Fortune! X 5.): prov. Fo-kien (Hance Advers. 13 1. c.). A praecedente optime diversus mihi videtur, atque in vivo nequaquam jungendus: hic colore frondis luteo- viridi, foliis tenere et obscure costatis firmioribus, pube copiosa saepe villum in caule densum consti- des Sciences de Sainté-Pétersbourg. 158 tuente gaudet, ramos in trunco dense aggregatos fre- quentes fastigiatos habet, ille frondem obscure viridem cum caule sacpius glabratam, tenere membranaceam, foliolorum costas distinctas, ramos parcos remotos pa- tentes profert. Truncus 1—2-pedalis, biennis, primo anno sim- plex, foliis 2-jugis ornatus, sequente anno, ex axillis foliorum anni praeteriti interdum adhue persistenti- bus, innovationibus folia ternata floresque proferenti- bus abbreviatis dense onustus. 25. À. tagallus, Cham.! Schtdl. in Linnaea IT. 9. Hab. in insula Formosa (N: 89.90.91. Oldham! fi. frf.); in Philippinis: in Luzon interiore, in silvis, in itinere ad vulcanum Taal (Chamisso! flor. Esch- scholtz! fl); Calamang (Cuming! X 457 fi.). E diagnosi autorum vix a À. rosifolio distinguen- dus, praeter folia eglandulosa, quae etiam in illo multo frequentiora. Vera differentia latet in modo erescendi: in illo axes secundariae floriferae, in 2. éagallo vero axes tertiariae! Specimina sicca quidem ramificatio- nem primo adspectu identicam ostendunt, quia in ZX. tagallo axis primaria vix colligitur, sed perulae ad ba- sin innovationum superstites cito differentiam mon- strabunt: in 2. rosifolio adsunt ad basin cujusvis ra- muli simplicis floriferi, in À. tagallo tantum ad basin totius speciminis ramosi. — Variat ceterum caule vil- loso et dense glanduloso, folia vero saepissime obtusa serraturis primariis obtusis, rarius acuta, sed vix un- quam tam acuminata ut in À. rosifolio. Klos vix pol- licaris. Petala obovata. Fructus, ex Chamisso, ovoi- deus, ruber. 26. R. sorhifolius. Elatus robustus pluricaulis erec- tus, totus setis longis glandulosis rubris dense hispi- dus aculeisque compressis recurvis armatus, truncis simplicibus intra inflorescentiam tantum ramulosis; foliis bi-trijugis {supremis floralibus 1-jugis), foliolis anguste lanceolatis acuminatissimis argute acutissime inaequaliter serratis, ad venas parce piloso-setosis; pa- nicula terminali foliosa patente laxissima, e pedun- culis axillaribus bracteatis 1—-3-floris composita; ca- lycis glanduloso-setosi in Hore patentis, in fructu arcte refracti laciniis lanceolatis acuminatissimis petala spa- thulato-oblonga subsuperantibus; fructu oblongo sub- sicco; Carpellis innumeris 1 mill. vix longis favoso- exsculptis. Hab. in Xiusiu prov. Higo alpe Higo-san, in silvis 159 vetustis ad rivulos, fine Junii f. {r. nond. maturo, — Etiam in Khasia, alt. 3— 4000 ped. (Hook f. et Thoms!s.n. À. rosifoli fl. minorc). R. rosifolii, Sm. varietati cuidam glandulosae in- dicae (Griffith XV 2155), quae 2. Sumatranum, Miq. Sumatra. 307, sistere videtur, proxime affinis, sed signis datis optime distinguendus. R. fraxinifolius, Poir. Dict. VI. 242. — Miq: FL Ind. bat. [ 376. — R. rosaefolius, PI. Catal. Java coll. by Lobb., in Hook. Lond. Journ. bot. V. 247. — non 5m., quem'vidi e Java (Lobb.! À 59), e Philippi- nis: S. Camarinas (Cuming! 1457 frf.) e habitu ro- busto nostro nunc descripto affinis videtur, at statim differt folis rigidioribus vulgo 3-jugis, foliolis distinetis- sime elevato-costatis, et inflorescentia diversissima. R. sorbifolius sistit fruticem humanae altitudinis, ivflorescentia pedali. Flos pollice minor. Petala alba. Fructus Ÿ, poil. longus. 4. Idaei. Folia plerumque subtus niveo-vel sriseo- tomentosa, ramulorum fertilium saepius ternata. Ca- lyx vulgo, petala semper erecta et calyce breviora. 27. R. coreamus, Miq. Prol. 222. Hab. in archipel. Coreano (Oldham! X 215. def — numerus ab auctore speciei examinatus). Vix non varietas glabrata 2. lasiocarpi, Sm., cujus specimina ex Zndia boreali tantum differunt foliis sub- tus, calyce, carpellisque albo-tomentosis, corymbis con- fertioribus, calycis lacinüis latioribus, brevius acumi- natis. At non eadem ut var. B. subglabra, Thwaites! Enum. Ceyl. 101, quac À. leucocarpus, Arn. ex Thw., et foliolis late ovatis, breve subito acuminatis nimis diversa. — Ob petala et fructus in nostra planta non- dum cognitos species adhuc inquirenda est. 28. R. parvifolius, L. — Miq. Prol. 222. — Sieb. et Zucc. I. c. II. 126. — Benth. FL Hongk. 105. — Benth. FL Austral. IL 430. — R,. microphyllus, Don. Prodr. FI. Nepal. 234. — AR. foliolosus, Don. 1. c. 256. — R. macropodus, Ser. in DC. Prodr. IT. 557. — Rribesifolius, Sieber.! pl. exs. N. Holl. — Z. tri- phyllus, Thbg. F1. Jap. 215. — Ej.! Icon. pl. Jap. ined. (exacte!) — ZA. Thunbergi, BI. Bijdr. 1109. (ex Miq.) — non S. et Z. — R. purpureus, Bge.! Enum. Chin. 98. Hab. in tota Japonia à Hakodate (fine Junii #. Septembri frf.) usque ad Nagasaki (fine Aprilis or.); Bulletin de l’Académie Hmpériale ù in archipel. Gotto (Dr. Weyrich! var. wicrophylla); iu archipel. Lutschu (Wright!); insulis Koreanis (01d- ham! 212); Formosa (idem! X 92.); China boreali (Bunge! Kirilow!); media (Senjawin!): Chusan (Fortune! X 163); meridionali: Whampoa (Hance!), Hongkong(Wright!). — Praeterea in Himalaya ovrien- tai (coll. brit.!), Nova Hollandia (quum genuinus (Port Jackson, Rieder! N° 158), tum wacropodus, foliis om- nibus pinnatis, Sieber!) et in Tasmania (ex Ben- tham). Deest vero hucusque in regionibus Australiam et Asiam intervenientibus. Specc. himalaica, ex Bentham FI. Hongk. IL. €., Æ. lasiocarpo Sm. propiora quam 2. parvifolio. Sed eseriptio Doniana in nostrum bene quadrat, excluso calyee inermi, et Rubus N5 6, coll. Hook. et Thoms. e Khasia nostro simillimus. Valde variabilis quoad staturam: foliola lateralia v. er. occurrunt in parvifoliis 3 lin. longa, in grandifoliis 21, poll. longa, et ceterae partes in proportione, flo- res tamen semper subaequimagni. Petala a rotundato in cuneatum variantia, 29, R, phoenicolasius. Elatus robustus, caule tereti petiolis costa foliorum pedunculis calyceque tomentel- lis ac dense longeque rubiginoso-glanduloso-setosis, setis caulinis demum saepe eglandulosis cum aculeis in caule fertili recurvis in sterili rectis tenuibus in- termixtis; caulibus fertilibus decumbentibus, sterili- bus erectis; foliis inferioribus bi-, ceteris 1-jugo- pinnatis; foliolis superne subglabris subtus niveo-to- mentosis lateralibus sessilibus oblique ovatis termi- pali majore subcordato subtruncato-trilobo, omnibus acutis acuminatisve inciso-serratis serraturis longe nigro-mucronatis; stipulis linearibus persistentibus; corymbo vel racemo terminali plurifloro; pedicellis longitudine florum; sepalis lanceolato-ovatis longissime acuminatis patentibus petala erecta spathulata palli- dissime rosea triplo saltem superantibus; fructu suc- culento coccineo; carpellis numerosis. —? À. occi- dentalis, Thbg. FI. Jap. 216. = Hab. in Yezo: ad lacum Konoma, inter herbas ele- tas fruticetorum, medio Julio fl. (ipse), alioque loco (Albrecht!); in Nippon media: tractu Senano alibique, in silvis montium (fi. et frf., Tschonoski). Sequenti affinis, sed robustior et multo hispidior. E seminibus japonicis Petropolitanis educatus pro- stat in horto botan. Parisiensi, ut me in litteris monet 161 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 162 ——————————————_—_—_—Z | ill. Decaisne, sed Parisiis flores per totam anthesin uon aperiuntur, fructus vero nihilominus maturantur; anne etiam embryones seminum rite evoluti, nondum constat. Specc. numerosa (ultra 50) japonica omnia flores calycesque fructiferos apertos habent, sed ca- Iyx peracta anthesi mox claudi videtur, tandem fruetu accreto iterum aperitur. 30. À. Idaeus, L. — ? Thbg. FL Jap. Hab. in Mandshuria et Japonia rarius, cum sequente varietate. 8. strigosus. — R. strigosus, Mx. EL. bor. am. L 297.— Torr. et.Gray, F1. Nth. Am. I. 453. — R. Idaeus, Maxim. Prim. f. Amur. 99. — Rgl. FI. Us- sur. 60. — À. J. var. microphylla, Turez. FL Baic. dab. I. 370. — F. Schmidt. FI. Amg. Bur. 40. — FI. Sachal. 128. — A. J. var. aculeatissimus (C. A. Mey. mscer.) Rgl. FL Ajan. 87. Hab. in tota Sibiria a jugo Altaico ad Kamtschat- cam usque, in occidente cum genuino, in oriente solus crescens (exclusis locis supra adductis); in Mandshu- ria tota frequens; in Japonia praesertim boreali (Yezo) et media (Senano). Variat, ut planta americana, setis aculeisque mox densissimis, mox parcioribus, ceterum vero ad amus- sim cum illa congruit. 3. Fruticosi, Calyx et petala patentia. Foliola 3—35 palmata. Carpella à toro subearnoso haud secedentia. — Series specierum in America praesertim tropica et in Europa numerosarum, in Asia tropica paucis formis vigen- tium, apud nos vero omnino deficientium, nist huc ducenda est sequens, mihi ex herbario tantum nota. 31. R. leucanthus, Hce. in Walp. Ann. IL 468. — Benth. F1. Hongk. 105. — R. glaberrimus, Champ. in Kew. Journ. of bot. IV. 80. Hab. in insula Æongkong (Hance!, Wright!) — neque alibi. Habitu satis ad fruticosos accedere videtur, sed du- bius mihi praesertim ob carpeila minuta, vix 2-linea- lia, quum in frulicosis, quos examinavi, multo majora, ultra 3-linealia sint. Tome XVII. Asdrum Tournef. Inst. p. 2865). Calyx coloratus, campanulatus vel urceolatus, basi plus minus ovario adhaerens, fauce saepe constrictus, limbo tri-(4)lobo, regulari, aestivatione valvato. Pe- tala (in uostris) nulla. Stamina 12 (8) ovario inserta, biseriata. Filamenta crassa saepe adnata. Antherae basifixae, extrorsae, loculis a connectivo seJunctis, in staminibus exterioribus submarginalibus, connectivo apiculato vel appendiculato. Ovarium lata basi sessile superum, vel semisuperum vel inferum, 6-loculare, ovulis in quovis loculo plurimis biseriatis, añatropis, horizontalibus. Styli 6 (4) liberi vel plus minus in co- lumnam connati, teretes vel rarius concavo-plani, stig- matibus lateralibus vel rarius subterminalibus, stylis supra stigmata vulgo in processus duo arcte conniven- tes productis. Capsula coriacea, semi-infera vel infera. calyce staminibusque persistentibus coronata, 6-locula- ris, putrefactione aperta. Semina plura navicularia, hinc convexa, illinc concava atque raphe carnosa longitu- dinali notata. — Herbae perennes caudicibus repenti- bus, quotannis cauliculos plerumque brevissimos 1—3- squamatos et folia 1—2 gerentibus emittentes. Flo- res solitarii terminales, coriacei, sordide colorati, autumno praecedente jam formati. — Genus in Japo- nia ditissimum, in America boreali species 4, in Hima- laya et Europa speciem singulam alens. Styli fere ad apicem in columnam connati, calyx INEUS TAC VIS FOLA ANUS ee sas cms te esse SU À. caulescens. Styli liberi, calyx intus costatus vel elevato-reti- culatus. 2. 2. Folia annua, calyx intus costatus ...... ....... A. Sieboldi. Folia perennantia, calyx intus retieulatus. 3. 3. Ovarium inferum, stigmata subterminalia...... A. parviflorum. Ovarium superum, stigmata lateralia. 4. 4. Styli concavoplani obcordati ..............,.. 2 4. Thunbergu. Styli teretes acuti bicrures, eruribus teretibus. 5. 5, Membrana plana faucem calycis constringens. 6. : Membrana ad faucem nulla.............. .... À. variegatum. 6. Folia opaca, calycis limbus basi transverse pli- CAUSES SR ETES ee ele see À. Blumei. Folia lucida, calycis limbus eplicatus ......... A. albivenium. 1. A. caulescens Maxim. n. sp. — À. canadense. Ykuma-yu-ssai, Soo-bokf. etc. IX. fol. 7 (f. frf. opt.) — Fibris radicalibus tenuibus fibrillosis; in- 5) Generis ex Asia orientali pessime adhuc noti synopsim com- pletam hic offero, quae est simul, exelusis tantum notis ad Mandshu- riam spectantibus, specimen Florae Japonicae a me elaborandae. ludicent critici, precor, an operis suscepti rationem comprobent vel repudient, emendationes vero vel desideria mecum benevole com- municent. 11 163 Bulletin de l’Académie Impériale 164 ot ternodiis elongatis gracilibus, ultimo basi bisqua- mato epigaco haud radicante suberecto; folis bi- nis suboppositis membranaceis utrinque lucidis et pubescentibus, petiolo laminam cordato-reniformem subito breve euspidatam subaequante; flore nutante quam peduneulus gracilis breviore; calyce puberulo submembranaceo, tubo semigloboso fauce non con- stricto intus nervoso (nervis haud elevatis), limbi pri- mum patentis demum reflexi lobis triangulari-ovatis acutiuseulis; antheris brevissime apiculatis; stylis in colaumnam stamina superantem apice ipso brevissime G-lobam connatis, lobis recurvis dorso sulcatis extus stigmatiferis; ovario subinfero; capsula semisupera staminibus elongatis rigidis cireumdata; seminibus sub- rotundis compressis. Hab. in Nippon meridionalis alpibus (unde rarius in Kioto cultum): prov. Owari; et media: in alpe Nik- koo, in silvis regionis alpinae ad rivulos. — In Xiusiu prov. Higo monte altissimo Fukaba (legit Mima-zunsô frf. et cum Sieboldo communicavit); cultum rarius in Nagasaki, e Kioto advectum, fine Martii florens, fine Aprilis fructif. Japonice (ex Siebold herb.): kamo-afui, fiki-fitai, kamo-afuni. Proximum A. himalaicum Hook. f. et Thoms. dif- fert caule toto radicante, folio unico, tubo calycis ob- conico, antheris subulato-appendiculatis. Affinia etiam sunt À. curopaeum L. et À. canadense L., sed diver- sissima foliis, calyce et antheris. Planta demum saepe spithamam alta. Folia circi- ter bipollicaria omnium specierum nostrarum tenuiora intense viridia. Flos omnium minimus, semipollice minor, sordide ochraceus vel brusnescens. 2, A. Sieboldi, Miq. Prol. p. 66. — À. europacum£ hosoba saishin, tou-saishin. Ykuma-vu-ssai 1. ce. IX. fol. 5 et 6. — À. canadense. Saisin. Sieb.! Toclicht. | tot de ontdekk. van Vries, p. 163. — À. heterotro- poides F. Schmidt. FI. Sachal. p. 171. — Fibris radicalibus tenuibus fibrillosis; internodüs abbreviatis ultimo bisquamato bifolio; foliis suboppositis membra- naceis utrinque opacis immaculatis, lamina petiolo triplo saltem breviore utrinque ad venas puberula cordato reniformi vel profunde cordata subito acumi- nata; flore inter folia terminali primum nutante de- mum érecto quam peduneulus 2°, 3° ve breviore; ca- lycis glabri subcoriacei tubo campanulato fauce non constricto intus longitudinaliter costato, limbi primum patentis demum erecti lobis breve ovatis cordato-ova- tisve acutis vel breve acuminatis; antheris brevissime apiculatis; ovario supero stamina sublibera superante, stylis brevibus primum ereetis demum patentibus bi- lobis (lobis contiguis) sub sinu extus stigmatiferis; capsula supera staminibus immutatis nunc media alti- tudine cireumdata; seminibus oblongo-obovoideis te- retibus. Hab. facile per totam Japoniam: Yezo (Siebold! fo- lia cum adumbratione plantae florentis, a botanico ja- ponico communicata): in horto caesareo prope Ha- kodate rarius cultum (defl., Albrecht, frf. medio Ju- nio, ipse); in Nippon media: in jugo Hakone (fr. immat. leg. Tschonoski) et meridionali (Ykuma-yu-ssai); Kiusiu in alpibus, unde rarius cultum Nagasaki in hortis botanophilorum, fine Aprilis deflor. — In Man- dshuria austro-orientali: secus Usuri superiorem, ab ostio Sungatsche fluvii fontes versus, pluribus locis, in coryletis passim frequens, medio Majo defl., ad ostium fl. Nautu ad pedem collium in lapidosis, secus f. Li- Fudin in fruticetis, solo sicciore, et ad margines silva- rum acerosarum, passim, fine Maji fl. et frf. — In Sachalino: prope Arkai et Dui (F. Schmidt! et Glehn!). Japonice: fikino-fitahi-gusa vel mirano-ne-gusa (hb. Sicbold). Species ob folia membranacea praecedenti similis, structura partium floris vero sequentibus affinis. Variat secundum patriam: mandshurica habet folia acutiuseula vel obtusa sinu aperto ad originem trans- verse dilatato et in petiolum subito cuneato-attenuato, calycem viridem limbo sordide purpureo, japonica fo- lia paullo tenuiora subito acuminata cordata et caly- cem totum sordide purpureum lobis breve acuminatis offert, sachalinensis habet calycem prioris, folia sae- pius posterioris, sed planta in Japonia culta etiam profert folia plantae mandshuricae similia. — Ita va- rietates hae sat bene respondent varietatibus À. cana- densis vel À. europaci, cujus var. 8. intermedia C. A. Mey (6. caucasica Duchartre) sat bene nostrae japo- nicae parallela. Folia plantae juvenilis reniformia apice truncata et emarginata, vix pollicaria, adulta quam in À. caules- cente saepe subduplo majora. Calyx fructifer fere pol- licem latus et altus. 165 3. À. varicgatum, A1. Braun et Bouché in Append. ad Ind. sem. h. Berol. 1861. p. 12. — Duchartre in DC. Prodr. XV.1. p. 426.— À. viridiflorum Rgl. in Ind. sem. h. Petrop. 1869. p. 83. — Fibris radi- calibus crassis; internodiis abbreviatis: foliis opacis vulgo variegatis perennantibus; calycis tubo campa- pulato intus elevato-reticulato, limbi ad basin tripar- titi lobis ovatis eplicatis, fauce extus non, intus vix — crista mox obsoleta — constricta; antherarum pro- cessu subobsoleto: stylis primum patulis demum con- niventibus teretibus supra stigmata lateralia bifidis cruribus acutis clausis continuis:; ovario supero. Hab. in Nippon: circa Yokohamam in fruticetis ra- rius, medio Decembri for. : in silvis acerosis jugi Ha- kone, medio Octobri florens. — Cultum frequens in hor- tis yedoensibus, fine Julii et initio Septembris florens collectum, postea a me cultum sequente anno ab initio Martii ad finem Aprilis florens decerptum et observa- tum, et vivum pluribus speciminibus Petropolin a. 1864 allatum ibique quotannis inspectatum. In Aiu- siu tantum eultum in horto caesareo Nagasaki collec- tum (ipse, flor., Siebold! nond. flor.). Japonice apud hortulanos yedoenses: démo-no sai- shin, incolis montium Hakone: ai. Proxime affine À. vérginicum Li. differt foliis sem- per unicoloribus coriaceis, calycis limbo trifido neque ad basin tripartito. Sequente omnibus partibus minus. Folia cordato- reniformia obtusa vel cordata obtusiuseula, sinu elauso, maculato-variegata vel tota viridia. Perigonium */, pol- licis latum et longum. Antherae omnes extrorsae, Con- similes, subsessiles vel filamento erasso libero sub- aequilongo vel quam anthera breviore. Capsula ad- hue incognita. Variat foliis viridibus unicoloribus magis cordatis, calyee viridi nee partim purpurascente, antheris ses- silibus: À. viridiflorum Rgl., sed oceurrunt folia varie- gata cum flore viridi et nitro stipitatis vel sessili- bus, folia cordata cum reniformibus, ita ut separari nequeat. 4. À. Blumei, Duchartre in DC. Prodr. 1. €. p. 497. — Miq. 1. ec. p. 65. — À. virginicum, Ykuma- yu-ssai, L ce. IX. fol. 8. ce. analysi. — Heterotropa asaroides Siebold? Toelicht. tot de ontdekk. v. Vries. p. 163. — Fibris radicalibus erassis; inter nodiis ab- breviatis; foliis perennantibus opacis variegatis; peri- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 166 gonii tubo primum semigloboso demum cylindrico- campanulato intus valde elevato-reticulato, limbi lo- bis cordatis basi transverse plicatis, fauce extus non constricta intus membranaceo-annulata; antherarum processu semigloboso; stylis erectis teretibus supra stigmata lateralia bifidis, cruribus acutis primum con- tinuis demum vel semper furcato-patulis; ovario sub- supero; capsula semisupera; seminibus subrotundis compressis hine concavis. Hab. in insula Yezo? (Siebold! herb., a botanico jJaponico communicatum); Nippon: prov. Idzu, prope Kana-sawa, in collibus secus litus maris, in silva um- brosa vetusta, fine Octobris florens; prov. Owari(Yku- ma-yu-ssai); Aiusiu: in monte Yuwaya prope Naga saki, in silva vetusta umbrosa passim, medio Majo fructiferum, nee non in prov. Simabara yulcano Wun- zen, locis graminosis, non procul a cacumine, sub finem Maji florere incipiens. Japonice: kanafui (Siebold herb.) Planta habitu varians: alpina humilis, À. variegato non major, nipponica elata foliis cum petiolo pede non multo brevioribus, caudice parce ramoso, kiusiana sil- vestris luxurians, late caespitosa, intricatissime ra- mosa, multifolia et multiflora, pulcherrima. Folia va- riant profunde cordata vel cordato-ovata, obtusa, sinu clauso (planta juvenilis vel alpina) vel cordato-sagit- tata, obtusa vel acuta, sinu elauso vel aperto, macu- lato-variegata vel secus venas albida, vel vetusta de- mum unicolora, magnitudine à 3 :3 ARE usque ad 12 :7 centim. Flores incipiente anthesi brevissime de- mum longius peduneulati, pedunculo florem acquante vel superante. Calyx sub anthesi pollicem fere usque latus, vel illum À. variegati tantum aequans, fructi- ferus pollicem longus. Antherae stylis oppositae (lon- giores) loculis basi discretis. Filamenta antherae aequi- lata, plus minus adnata. Styli stamina tota longitu- dine sua primum superantes, demum longiores quam antherae. Semina nitidula, 2 mill. longa, Ÿ, mill. lata. A. albivenium, Rgl. Gartenf. 1864. p. 195. t.440.— A. leucodyction Miq. 1. c. p. 67 (ex descript. manca, opinante ipso autore). — Fibris radicalibus crassis; internodiis abbreviatis; foliis lucidis albive- nis; calycis tubo primum subgloboso demum hemi- sphaerico, intus reticulato, limbi tripartiti laciniis sub- cordato ovatis obtusis, fauce extus primum distincte demum obsolete constricta intus annullata: annulo in- 11* 167 terrupto; antherarum processu subobsoleto; stylis pa- tulis teretibus brevibus supra stigmata lateralia bifi- dis: cruribus continuis clausis; ovario supero. In Japonia (Siebold, anne cultum? legit ex Mi- quel): in hortis Yedoensibus colitur, fine Martii flo- rens. Introduxi Petropolin a. 1864, ubi quotannis foret. Omnium specierum hucusque rarissimum, duobus individuis a me tantum observatis vivisque introductis tantum notum, ceterum a Regelio bene delineatum. Sequenti speciei persimile omnibusque partibus sub- aequimagnum. Squamae 2, inferior multo minor. Fo- lia 3:2 usque ad 3/,:3', pollices magna, profunde cordata vel leviter sagittato-cordata obtusa, auriculis basalibus obtusis vel acutiusculis. Pubes parea stri- gosa superne secus venas foliorum. Petiolus lamina longior. Flos sordide virescens reticulo atramentarii coloris, peduneulo aequilongo suffultus, nutans, 1” longus, limbus 8 lin. ad 1 poll. diametro. Annulus inter lobos calycis disruptus, ceterum continuus et integerrimus latiusculus. Antherae sessiles loculis om- nium parallelis. Styli patuli antheras superantes. 6. À. parviflorum, Hook. (sub Heterotropa) in Bot. mag. t. 5380 (opt.). — À. elegans Duchtre. 1. c. p. 426. — Fibris radicalibus crassis; internodiis abbre- viatis; foliis lucidis maculato-variegatis; calycis tubo globoso intus reticulato, limbi trilobi basi transverse plicati lobis ovatis, fauce extus in collum angustum constricta, intus annulata: membrana integra; anthe- rarum processu semigloboso; stylis teretibus brevibus stamina non superantibus primum erectis demum pa- tulis supra stigma terminale vel subterminale obso- lete gibbosis sulcatisque ceterum integerrimis; ovario capsulaque inferis; seminibus ovalibus compressis. Hab. in Aousiu: in jugo altissimo centrali Kundsho- san, in silvis, cum À. Thunbergii, rarum, initio Junii fructiferum, Nippon: Yedo, cultum, fine Martii florens, unde 1864 Petropolin introductum iterumque 1866 florens observatum, postea vero emortuum; Yokohama, anne cultum? a Hoey vivum Angliam transmissum a. 1863 (ex Hooker). — Loco non adnotato vidi in hb. Siebold. flor. A praecedente simillimo floris structura et foliis maculatis statim diversum. Descriptionem bonam vide apud Duchartre. Bulletin de l’Académie Empériale Foliorum forma et pubes ut in praecedente, sed petiolus brevior et lamina saepe acutiuscula. Squamae ad originem foliorum 2, parum inaequales. Flos pri- mum squamis immersus, demum pedunculo aequilongo ac in praecedente instructus, nutans, sordide ochra- ceus et purpurascenti variegatus, diametro atque lon- gitudine demum pollicaris. Genitalia in fundo floris demissa. Stamina exteriora paullo breviora, loculis antherae basi a se invicem remotis. 7. Asarum Thunbergii, AI. Br. L c. p. 13. — Duchtre. 1. c. p. 427. — Miq. Prol. p. 65. — Bot. mag. t. 4933 (opt.). — Fibris radicalibus crassis; in- ternodiis abbreviatis; foliis opacis variegatis; peri- gonii ampli tubo pyriformi intus valde elevato-reticu- lato, limbi trifidi lobis cordatis basi eximie transverse plicatis, fauce extus constricta intus membranaceo-an- nulata: antherarum processu ovato, loculis exterio- rum marginalibus; stylis antheras duplo superantibus planis concavis obcordatis primum patentibus demum erectis, stigmate sub sinu styli laterali; ovario sub- supero; fructu semisupero; seminibus obovoideis hine concavis. Hab. in Japoniae (Siebold, qui a. 1830 Europam introduxit, v. fol. in hb, ejus) insula Kiusiu: in silvis vetustis jugi centralis Kundsho-san, fine Maji florens. Etiam in insula Formosa (leg. b. Oldham 1864. X 465. fr. immat.). Japonice: kanafui (ex Siebold.) vel hosoba saisin i. 6. Asarum foliis angustioribus. Smilax Tournef. Inst. 4216). Smilax et Coprosmanthus Kth. Fruticosae. 2. Herbaceae. 6. . Umbellae racemosae. Frutex inermis . ...... Er Umbellae simplices. 5. 3. Erecta, inermis, cirrhi 0, vaginae elongatae, folia Ovata ETEEETE SCogc dos SO DU UDC VOD S stans. Scandentes (1. erecta), aculeatae. 4. 4. Folia marginescabra,cordato-ovata. Baccaenigrae #. Sreboldi. Folia glabra rotundata, 5. . Humillima, erecta, cirrhi 0, aculei incurvi....... #8. biflora. Robusta, cirrhifera, aculei recurvi, baccae rubrae S. China. . Folia lineari-lanceolata basi subauriculata ...... 5. higoënsis. Folia cordato-rotundata usque lanceolata basi cu- neata ,. 5. herbacea. [È] S. stenopetala ct [er] 6) Aliud specimen florae Japonicae a me edendae, omisso hic charactere generico nil novi adducente. 169 4 è des Sciences de Saint-Pétersbourg. 170 Fruticosae, 1. S. steñopetala, A. Gray! Bot. Jap. 412 (quoad pl. e Kago-sima), — Miq. Prol. 313. — Fruticosa (2?) inermis glabra scandens crassiramea; foliis ova- libus vel ovatis basi vix subcordatis apice obtu- sis vel retusis cum mucrone reflexo, marginatis, triplinervis cum nervis lateralibus 2—4 subindistinc- tis, conspicue grosse reticulatis, chartaceis; petiolis subtus obtuse carinatis, vaginis dimidio petiolo brevio- ribus; peduneulis racemosis squarrosis bracteatis, prin- cipali lateralibus breviore, pedicellis brevioribus mi- nute bracteolatis; umbellis multifloris; gemmis oblon- gis; perigonii rubelli petalis anguste ligulatis, sepalis anguste oblongis, omnibus revolutis filamenta filifor- mia antheram oblongam curvam multo superantia adae- quantibus; «ovarii loculis 1-ovulatis; baccis purpu- reis» (A. Gray). Kiusiu: in sinu Kago-sima principatus Satsuma (Wright! v. f. 4, et fr. immat.). Simillima S. zeylanicae L. (conf. Wight Icon. t. 2057. 2058.), diversa videtur tantum foliis non 5-nerviis, caule inermi. À S. kerbacea L. abhorret bacca rubra, racemo composito, foliis chartaceis, et caule, ut videtur, fruticoso. Caulis teres. Lamina foliorum in specimine viso ad G poll. longa, ad 4 poll. q. exc. lata, petiolo Ÿ, poll. longo. Reticulum foliorum utrinque subtus tamen ma- gis prominens. Pedunculus ante ramificationem petiolo duplo brevior vel brevissimus, rami usque 1/,-polli- cares. Pedicelli plus quam ,-poll. Perigonium vix expandens usque 7 mill. longum, in expanso phylla revoluta, stamina porrecta. 2, 8. Sieboldi, Miq. Versl. en Meded. k. Akad. v. Wet. IL. ser., vol. II. 89. — Prol. 314. — Fruti- cosa, aculeata, glabra, scandens, tenuiramea, aculeis crebris rectis debilibus patentibus nigris, superne saepe nullis; foliis tenue membranaceis utrinque sub- lucidis concoloribus, parce vel non pellucido lineola- tis, trinerviis cum 2 nervis accessoriis, utrinque pro- minulo grosse reticulatis, margine eroso-scabris, Ova- tis vel rotundato-ovatis breve acuminatis cum mucrone, basi cordata brevi cuneo in petiolum infra medium va- ginatum deeurrentibus; pedunculis tenuibus petiolum duplo saltem pedicellos duplo superantibus; umbella subsexflora; gemmis obovoideis; perigonii virescentis phyllis oblanceolatis quam stamina longioribus; fila- mentis subulatis antheram oblongam parum superanti- bus; 9?; baccis globosis nigris 1-spermis. Japonia (Siebold ex Miq.): Kiusiu, in alpe Higo- san, prov. Higo, ad pedem, in fruticetis, fine Junii flor.; prov. Bungo alpe Inu-take, simili statione, fine Octobris fructif. — Nippon: in jugo Hakone, eodem tempore c. fructu; nec non in prov. Senano, in colli- bus (f. Tschonoski). — Culta rarius in hortis. Simillima S. hispidae, Mühlbg. (ex America bor. orientali), quae vix diversa foliis leviter vel vix cor- datis acutis, opacis, crassioribus, creberrime distinc- tissime pellucido-lineolatis, 5-ne viis cum 2 accesso- riis, baceis 1—3-spermis, seminibus duplo,saltem mi- noribus. Rami penna corvina crassiores teretes, valde acu- leati, tenuiores angulati, interdum 4-anguli, parcius aculeati vel inermes. Folia 31} longa, fere 214” lata petiolus plus quam !,-pollicaris. Perigonium 3—4"” latum. Bacca atramentarii coloris, magn: pisi mino- ris. Semen globosum, rubrum, grano piperis majus. 3. $. stans, Maxim. n. sp. — Fruticosa erectiuscula inermis ramosa; cirrhis nullis; caule tereti, ramis angu- latis; vaginis elongatis diu persistentibus; foliis ovatis rotundato-ovatis vel ovato-ellipticis mucronato-acutis basi cuneatis truncatis vel rarius levissime subcordatis, trinerviis, utrinque dense elevato-reticulatis, membra- naceis., elineolatis, longiuscule petiolatis, petiolo la- mina triplo vel magis breviore ad medium vaginato, vagina sensim sursum attenuata petiolo continua; pe- duneulis nudis petiolum triplo superantibus; umbellis subsexfloris ebracteolatis, pedicellis longitudine petio- lorum; fl. 4..., gemma ovoidea, sepalis ovatis, pe- talis oblongis; -staminibus cassis 3 antheriferis ante sepala dispositis; stigmatibus 3; ovulis in quovis lo- culo 1—2; baccis in pedunculo 1—2, nigris, 1—3- spermis; seminibus subglobosis. Hab. in Nippon media (fr. immat., Tschonoski) et boreali: in montibus altis prov. Nambu (Y nond. f., defi. et frf., idem). Persimilis S. vaginatae Dne. in Jacquem. Voy. p. 169. t. 169. (v. spec. Roylei), sed in hac specie pe- tiolus laminä pedunculoque parum brevior, pedunculi @ 1-flori medio articulati, folia plantae © suborbicu- lata. — Haberem nostram speciem pro S. érinervula 171 Bulletin de l’Académie Impériale ? : 172 a Miq.’), a me non visa, ad specimen 1 sterile descripta, pisi obstarent hujus petioli lineales fere ad apicem vaginati ibique bicuspidati, ramuli teretes et folia ob- tusula, basi acuta, elliptica. — Adest praeterea spe- cies indica, nostrae affinis, et S. {rincrvulae magis for- san adhuc similis (Smilax X 5. coll, Griffith. distrib. a h. Kew. s. n. 453., etiam a collect. indigenis horti bot. Calcutt. in Khasia reperta), quae à S. trinervula ramulis angulatis, petiolis ipsa basi tantum vagina bre- vissima apice libera, quasi stipulas duas constituente instruetis differt, quam nomine S. stipulatae distin- guerem. S. stantis rami erecti, congesti, crassiores pennam corvinam aemulantes. Folia pl. florentis pollice parum longiora, valde tenera, fructiferae absque petiolo ad 21}, poll. longa et 1%” lata, utrinque viridia, opaca. Perigonium © vix disrumpens 2!/ mill. longum. Bacca magn. Vitis Idacae, semen piperis fere mole. 4, S. China Li. Cod. 7441. — Thbg. FI. Jap. 152 — À. Gray! Bot. Jap. 412. — Miq.! Prol. 313. — Sankira vulgo Quäquara. Kaempf. Am. exot. 781. t. 782. (sat bona). — Fruticulus convolvulaceus sinicus cet. — Plukenet. Amalth. t. 408. fig. 1. (absque dubio huc). — $. ferox, Wall. Cat. 5119. — Kth. Enum. V. 251. — Benth. FI. Hongk. 370. — Co- prosmanthus japonicus. Kth. En. V. 268. — $. japo- nica, À. Gray in Perry’s Exped. 320. (ex ipso, I. supra cit.) — S. Sebeana, Miq. 1. ce. — Fruticosa, glabra, scandens, ramosissima, aculeata: aculeis bre- vibus recurvis superne interdum, rarissime ubique, nullis; ramis flexuosis teretiusculis; foliis orbiculatis vel ellipticis basi breve cuneatis vel subcordatis, apice mucrone recurvo subito acutis vel retusis, 3-«ub 5- nerviis, grosse reticulatis, reticulo vix prominente, sub- tus pallidioribus subglaucescentibus, elineolatis, char- taceis, breve petiolatis; petiolis ad medium vaginatis; vaginis infra apicem bicirrhosis; pedunculis simplici- bus petiolos duplo saltem superantibus nudis, pedi- 7) Se trinervula Miq. in Versl. en Meded. Kon. Akad. d. Wetensch. p. 89. — Prol. fl. Jap. p. 314. — «Ramuli inermes teretiusculi flexuosi; «folia alterna breviter petiolata (petiolo fere usque ad apicem alato «bique bimucronato) e basi acuta elliptica apice obtuso brevimucro- «nata, chartacea, elincolata, 3-nervia, nervis ad apicem perductis «parum prominentibus, tenere reticulatis; flores .... — Internodia «4—6 lin. longa. Petioli lincam cireiter longi. Folia in sicco fus- «cescentia, 11/,—1%/, poll. longa, 1 poll. lata. — E China ortam esse, «unico specimini pauperrimo adseripsit el. Siebold,» — Ita apud Miquel II. ce. cellis duplo brevioribus bracteolatis; umbellis multi- floris; gemmis late obovoideis; perigonii viridescentis phyllis oblongis quam stamina longioribus:; filamentis subulatis antheram ovalem multo superantibus; stig- matibus 3; baccis globosis rubris 1—6-spermis; se- minibus globoso-triquetris. Hab. per totam Japoniam vulgatissima, v. gr. circa Hakodate, ubique, locis aridis, quam £& frequentior et paullo citius florens, medio Majo flor. incip., fine Octobris fr. maturis ad anthesin anni futuri usque et ultra persistentibus; Yokohama, sub finem Aprilis flo- rens; in jugo Hakone; cirea Simodam (Kusnezoff); circa Nagasaki: in archipelago Gotto (Dr. Weyrich); in insula Yaku-no-sima (a Kiusiu merid. versus) nec non in archipel. Lutschu ins. Katonasima (Wright!). — Introducta Petropolin 1865. — Occurrit praeterea: in Formosa!; China (Amoy!, China borealis! Fortune A. 71., Hongkong!); Æimalaya orientali et Bengalia orientali!; sed vix Cochinchina(Loureiro FI.Cochineh. ed. Willd. 763., (bacca minuta 1-sperma!)) Affinis S. ancipiti, W., ex Mauritio, Timor et ar- chipel. Hawaiensi. Specimina chinensia et indica in universum gaudent foliis angustioribus, japonica rotundioribus, sed occur- runt etiam illic rotundata hic angustata, ita ut S. ferox Wall. specie non sejungenda. — $. Sebeana, Miquel, est forma culta, subinermis, foliis luxuriantibus te- nuioribus, mucrone recto sensim acutis. Frutex ad 5-pedalis, intricatissimus, scandens, ex una radice ramos valde aculeatos et subinermes emit- tens. Rami elongati, valde flexuosi, vaginis superstiti- bus coriaceis, cirrhis induratis longis et aculeis vali- dis brevibus horridi, cortice pallide lutescente laevi. Folia in planta florente tenera, rubentia, vix pollicaria, demum laete viridia, usque 4 poll. longa, 3'/" usque lata, petiolus ad ‘,-pollicaris. Perigonium aperte cam- panulatum, 2 lin. q. exc. latum. Bacca 4—5-linealis. 5. S. biflora, Siebold in Miq. I. ce. — Fruticosa, palmam alta, ramosissima, aculeis validis elongatis incurvis horrida; foliis rotundatis trinerviis muerona- tis longiuscule petiolatis membranaceis; petiolo ad medium vaginato; vagina brevi rotundata infra apicem cirrhos 2 mucroniformes emittente; pedunculis petio- lum superantibus, pedicellos basi setaceo-bracteolatos aequantibus; umbellis bifloris, flore 4 specici praece- dentis. 173 Cultam inveni in urbe Yedo, initio Aprilis foren- tem, Petropolin a. 1864 introduxi, ubi nunc quotan- nis florebat. Primum habui pro lusu pygmaco praecedentis, cui simillima, sed inde ab a. 1864 culta faciem non mu- tavit, quum lusus pygmaci aliarum plantarum, à me e Japonia allati, in ollas majores plantati cito staturam normalem attingerent. Differt insuper aculeis gracili- bus ineurvis (nec brevibus crassis recurvis) et cirrhis mucroniformibus rectis (neque longissimis volubilibus). Fruticulus palmaris erectus. Rami dense aculeati, sub angulo recto fere flexuosi. Folia vulgo 2 lineas, ad summum 4 lin. longa et lata, subtus subglauces- centia mucrone apicali valido recurvulo, interdum ro- tundato-elliptica vel apice retusa. Aculei ultra-lineales, cirrhi non longiores, vel rarius filiformes, semper vero breves et recti. Corolla S. Chinae forma, colore et magnitudine. Herbaceae, 6. S. herbacea, L. Cod. 7447. — Bot. mag. t. 1920. — À. Gray, Man. fl. N. Un. St. 520. c. syn. — Co- prosmanthus peduncularis, herbaceus et? consangui- neus, Kth. En. V. 264. 265. 268. — $. lasioncuron, Hook. FI bor. am. IL. 173. t. 187. — S. Pseudo- China, Thbg. FI. 152. — S$. nipponica et S. Oldhami, Miq. in Versl. en Meded. I. c. et Prol. 314. — S. eæcelsa B. ussuriensis, Rgl. F1. Ussur. X 500. — S$. . stenopetala, A. Gray, Bot. Jap. 412. (quoad pl. e Hakodate). — Herbacea, scandens, inermis, parce flagellaceo-ramosa; foliis membranaceis 3—5-ad fere 7-nerviis, glabris vel subtus parce pulverulento pu- beris, indistincte vel distinctissime reticulatis, subtus lucidis, ex cordato-ovato vel cordato-rotundato cum muecrone in ovato-oblongum leviter cordatum vel ovato- lanceolatum basi cuneatum apice cuspidatum varianti- bus; vulgo caulinis cordatis, ramealibus cuneatis angu- stioribus; cirrhis elongatis ex apice vaginae secus peti- olum basalis ; pedunculis petiolum multo superantibus; umbellis multifloris; gemmis obovoideis; perigonii phyl- lis linearioblongis reflexis stamina superantibus; an- thera quam filamentum breviore; stigmatibus 3 ; baccis nigris globosis vel depresso-globosis; seminibus 1—6 angulato-globosis rubris. @. genuina, petiolis laminam saepe fere aequantibus vel multo superantibus, vulgo crebre pellucido lineo- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 174 latis, pedunculis vulgo longissimis, floris feminei sta- minibus cassis. Planta americana. Folia glabra vel subtus puberula. 8. mipponica, (Miq. sp. pr.) petiolis folio duplo vel multiplo brevioribus, peduneulis longissimis vel elon- gatis, foliis basi rarius cordatis, non vel paucissime lineolatis. Hab. in Nippon: in pratis prov. Nambu; cirea Yoko- hamam sat frequens, medio Julio f., Novembri frf. ; prov. Idzu, aliisque locis. Kiusiu: ad pedem alpis Kipon- san, prope Kuma-moto, fine Maji florens. — Etiam in America boreali, sed rarius. Occurrit glabra vel ad folia subtus parec puberula. Pedunculi saepius laminam fere aequantes vel imo superantes, sed occurrunt etiam duplo breviores et hoc in uno eodemque specimine, ita ut dentur speci- mina optime iconi Hookerianae S. lasioneuron respon- dentia. Folia mox omnia oblonga basi cuneata vel levi- ter cordata, mox caulina cordato-ovata vel imo cor- dato-rotundata, ramealia oblonga. A sequente distin- guitur foliis tenue membranaccis, etiam statu fructifero minus prominenter venosis. Y. Oldhami (Miq. sp. pr.), ut praecedens, sed folia subtus lutescentia, firmiora,- saepe valde prominenti- venosa, floris feminei stamina omnino deficientia. Hab. in Yezo: in fruticetis circa Hakodate sat fre- quens, fine Junii vel Julio flor.; Nippon: prov. Nambu, in pratis; circa Yokohamam, eod. tempore flor., fine Augusti fr. immat.; in montib. altis prov. Senano, lo- cis graminosis;, Æiusiu: in fruticetis alpis Inu-take, fine Octobris frf. — In archipel. Koreano (Oldham, X 887, fr. immat.). — In Mandshuria austro-orien- tali: in sinu Possjet, in pratis siceis collium non rara, Julio florens; ad Suifun fluvium (F.Schmidt, Septbri fr. immat.); ad fl. Sungatsche (Maack) et secus Usuri fere totum, in pratis et fruticetis, rarius, eod. tempore florens, fine Septembris frf. Etiam in hac varietate folia subtus puberula occur- ruut, sed statu florente jam tam firma sunt, ut in $. statu ‘ructifero fiunt. — Varietas 6. est planta sac- pissime silvestris, y. planta pratensis. Miquel species suas, S. Oldhami et S. nipponicam foliorum forma praesertim distinxit. Equidem, specc. ultra 80 examinatis, praetuli formas distinguere potius ex tenuitate vel firmitate foliorum, quoad formam summopere varientium. Peduneuli $. Odhami a Mi- 175 Bulletin de l’Académie Émpériale 176 RE — ———"——" — —" _ _____ quel pauciflori dicuntur, quia specc. supra laudata Oldhamiana fructifera erant, plerisque floribus abor- tivis et caducis. — Bracteolae ad basin pedicellorum, quibus suum C. consanguineum à C. herbacea distin- guerat Kunth, in utroque occurrere observavi, fila- mentorum longitudo vero valde variabilis est. — Syn- onymon Thunbergii ex descriptione: «oliis cauli- nis cordatis, rameis oblongis», certe nue spectare mihi videtur; practerea species haec et S. Chine vulgatio- res sunt atque Thunbergio vix non occurrerant, no- men vernaculum Sankira vero Smiluci generice ab incolis tribuitur, neque tantum Aclerosmilaci japo- nicae, in Japonia multo rariori et tantum eultae. Planta nostra mox bipedalis jai florens folis tri- pollicaribus, mox ultra orgyalis, longissime latissime- que seandens caule digitum usque erasso, foliis ad 7- pollicaribus, pedunculis non multo brevioribns. Patet vero e praecedentibus, $. Lerbaceam plantam esse potius ex Asia orientali, ubi ditissimo formarum cyclo gaudet, in Americam borealem migratam, quam ex America in Asiam propagatam esse. 7. S. higoënsis, Miq. in Mededeel. I. c. 88. — Prol. 314. — Herbacea scandens inermis; caule tenui, fo- | liis lanceolato-linearibus vel linearibus basi auricu- lato-vel subhastato-truncatis cuneatisque acuminatis trinerviis membranaceis, petiolis ipsa basi vaginiferis et cirrhiferis; foribus . Hab. in Æiusiu: prov. Higo, m. Kinboo (Keiske steril. legit, ex Miquel); Nippon: in jugo Hakone (sterilis, ipse). S. tamnifoliae, Michx. affinis videtur, sed forsan nil est nisi planta valde juveuilis et silvatica adhuc sterilis speciei praecedentis, cui, si junior, etiam folia serioribus angustiora propria esse solent. Caulis filiformis tenuis. Folia in spec. meo 4 poil. longa (3—5" apud Miquel), supra basin 4 lineas (5—7,", Miquel) lata, petiolo 3 lin. longo (5—10”, Miquel). Heterosmilax, Kth. En. V. 270. Perigonii phylla 3 in urceolum 3-dentatum connata, demum basi cireumscisse decidua. Stamina 3 mona- delpha. Ovarium apice attenuatum. Cetera habitusque Smilacis. 1. H. japonica, Kth. 1. ce. Folia caulina cordato- ovata, ramulorum anguste ovato-oblonga, utraque acu- } minata, membranacea, 3-nervia, utrinque nervis 2 ac- cessoriis tenuioribus, subtus elevato-reticulata, glabra, 4—5 poll. longa, 1°, poil. lata. Petioli breves, 4 linea- les, ipsa basi vaginati, vagina cirrhos 2 tenues breves emittente. Umbellae multiflorae. Pedunculus petiolo 2 5-Jove longior, pedicellos basi obsolete bracteo- latos aequans. Flores Q tantum noti, perigonio 1/- lineali ovoideo, stigmatibus paullo exsertis. Stamina cassa, minuta, vel nulla, Paccae ignotae. E China in hortum caesareum Nagasakt introduc- tam, pro remedio antisiphylitico laudatam, affirmat Siebold!; in prov. Higo monte Kunimi a Keiskeo inventam enumerat Miquel. Alterius speciei, Æ. Gaudichaudianae (Smilaeis, Kth. 1. e. 252.) e Canton et Hongkong! allatae, flores maseuli tantum noti sunt. À À. japonica differt tan- tum foliis cordato-subrotundis vel ovatis acutis vel breve acuminatis, minoribus, lougius petiolatis, pedi- cellis . S peduneulo duplo brevioribus. Perigonium etiam hic ovoideum, ipso ore tridentatum. Fructus | globosus, niger, 1—5-spermus. An utraque identica? Tofieldia nuda, (Eutofieldia) foliis anguste linearibus trinerviis scapo nudo duplo brevioribus; racemo in- terrupto laxo multifloro;, bracteis nullis (2); bracteola sub flore 1-ea 1-nervia obsolete tricuspidata; floribus erectis pedicello duplo triplove brevioribus; perigonii campanulati phyllis auguste spathulatis 1-nerviis sta- mina aequantibus, filamentis crasse filiformibus, an- thera versatili; stylis ovario oblongo sessili triplo bre- vioribus, stigmatibus acutiusculis, — Hanà dziki-shio. Ykuma-yu-ssai. $00 bokf cte. VITE fol. 31. (icon pl. for. cum fl. magn. aucta seorsim). Hab. in Japonia (loco non indicato, m. Il. Decaisne in litt. cum adumbratione plantulae, floribus et folio exsiccatis): Nippon meridionalis prov. Owari (Yku- ma-yu-ssai l. €.) ‘ Species anomala bracteis nullis vel minutissimis, in utraque icone non expressis, calyculo 1-laterali 1- phyllo. Habitu vero proxima est T. cernuae, Sm., quae etiam habet bracteas minutas et racemüum interrup- tum, sed aliis notis valde differt, v. gr. pedicellis flore nutante brevioribus, phyllis perigonii obovatis, anthe- ris exsertis cet. — Stigmata acutiuscula proveniunt 177 etiam in 7, glabra, Nutt., obtusiuscula sunt neque capitata in 7. sordida, m. — Flores lactei, antheris virgineis luteis demum fuscis. Quatuor igitur species Zofieldiae in Japonia cres- cunt: T. nuda, T. sordida m., T. nutans W. et T. ja- ponica Miq. Index specierum in decadibus I—X descriptarum . cum emendationibus nonnullis. Editae sunt: Decas I. in Bulletin de l’Acad. de sc. de St.-Pétersb. X. 1866. 8 Septbr. p. 485—490.— Decas II. IL. ibid. XI. 1867. 28 April. 31 Mai. p.429 —439.— Decas IV. V. VE ibid. XII. 1867. 26 Jun. 13 Novbr. p. 60—73. 225— 931.— Decas VIT. VII. ibid. XV.1870. 2 Jun. 11 Novbr. p. 225—231.373— 381. — Decas IX. ibid. XVI. 1871. 15 Mai. p. 212— 226. — Decas X. ibid. XVII. 1871.p....—... Ex hisce collectaneis reimpressae sunt in Mélanges biologiques tirées du Bulletin de l’Acad.. d. se. d. St.-Pétersb. tomo VI., ubi invenies decades I—VI., tomo VII, ubi habes decad. VIT. VIIE., et tomo VIIL., ubi repe- ries decad. IX. et X. In indice sequente numeri romani tomum et arabici paginas: primus libri «Bulletin», secundus «Mélanges» iudicat, paginis decadis decimae tamen haud indicatis. — Synonyma. post impressionem eruta litteris cursivis, genera descripta litteris diductis insignita sunt. Species, cujus nomina tantum neque diagnoses com- pletae adducebantur, in indice omnino omissae sunt. Abies bicolor. X. 488. VI. 24. — À. Alcoquiana Lindl. ex Parlat. — A. brachyphylla. Ibid. — A. di- versifolia. XIT. 229. VI. 373.— A. holophylla. X. 487. VI. 22.— À. nephrolepis. X. 486. VI. 22.— A. Tsuga Sieb. et Zucc. XII. 230. VI. 374.— Acer argutum. XII. 226. VI. 368.— A. barbinerve. ibid. 227. 369. — À, capillipes. ibid. 225. 367. — A. circumlobatum. ibid. 225. 368.— A. mandshuricum. ibid. 228. 371. — A. nikoense, ibid. 227. 370.— À. Maximowiczi Miq.— Achlys japonica. XII. 61. VI. 260.—- A. tri- phylla DC.iïbid.— Asarum albivenium Rgl., A. Blu- mei Duchtre, A. caulescens n. sp., A. parviflorum Hook., A. Sieboldi Miq., A. Thunbergii AL. Br., A. variegatum Al. Br. XVII. VIII. — Aspidium craspe- dosorum XV. 231. VII. 341.— Aster rugulosus XV. Tome XVII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 178 226. VII. 333.— Aster spathulifolius. XVL 216. VIIL. 7. Campanumoea japonica. XII. 67. VI. 268.— Cerci- diphyllum japonicum $. et Z.— C. ovale. X VIT. VIII. — Chamaecyparis breviramea. X. 489. VI. 25.— Ch. pendula. ibid.— Chimaphila astyla. XI. 434. VI. 207. (Majo) — Ch. japonica Miq. (Martio edita ex Miquel Prol. 374. columna secunda, sub Coptide *).— Chio- nographis japonica, n. gen. XI. 435. VI. 209.— Chamaclirium luteum Miq.—Coptis orientalis. XII. 61. VI 259.— C. quinquefolia. ibid. (Majo).— C. quinque- folia Miq. (Martio). Disanthus cercidifolia n. gen. X. 485. VI. 20. Elaeagnus Oldhami, et clavis specierum cognitarum. XV. 377. VII 558.— Ellisiophyllum reptans n. gen. XVI. 223. VIIL. 18. — Epigaea asiatica. XI. 432. VI. 204.— Parapyrola trichocarpa Miq.—Heloniopsis breviscapa. XI. 436. VI.211.=— Sugerokia japonica var. Miq.— H. japonica. ibid. — Heterosmilax Gaudi- chaudiana, japoniea Kth. XVII. VIT. — ÆHypericum elec- trocarpum. XII. 62. VI. 261.— H. Sampsoni Hance. Idesia polycarpa n. gen. X. 485. VI. 19.—Tris tectorum. XV. 380. VIT 563.— Juniperus littoralis. XIE. 230. VI. 375.—J. conferta Parlat. — J. nippo- nica. ibid. Ligularia calthaefolia XV. 374. VIT. 554.— Senecio calthaefolius. — L. clivorum. ibid. — $. clivorum, — Lindera hypoglauca. XII. 71. VI. 274.— L. membra- nacea. ibid. 72.275.— Liquidambar acerifolia. X. 486. VI. 21.— L. formosana Hance, L. Maximowiczii Miq. — Lychnis laciniata. XI. 429. VI. 201.— L. fulgens var. Wülfordi Rgl., Rohrb., ideo potius L. Wilfordi vocanda, in vivo observata sine dubio optima species, neque varietas. — Lycopodium eryptomerinum. XV. 231. VII. 340. c. enumeratione specierum japonica- rum — Lysimachia acroadenia. XII. 70. VI. 272. — L. Keiskeana Miq.”).—L. clethroides Duby. ibid. 69. 271.—L. Fortunet. ibid. 68. 270.— L. multiflora Wall. ibid. 70. 272. Macroclinidium robustum n. gen. XV.375. VII. 556.— Melandryum Olgae. XV. 225.VII. 332.—Silene Olgae Rohrb.— Meliosma Oldhami. XII. 64. VI. 263. — M. Oldhami Miq.).— M. rhoifolia. ibid. 63. 262. — M. tenuis. ibid.— M. tenuifolia Miq.°).— Menzie- 8) Jure prioritatis gaudent omnes species a Miquelio in Pro- lusione florae Japonicae partibus I — IV editae, pars V vero hujus operis cum conspéctu die 2 Julii 1867, ut ipse autor in litteris me certiorem fecit, typis nondum impressa erat, ita ut meae species ante editae non synonyma illarum Miquelii, ut habet perperam in con- spectu, sed vice versa. 12 179 Bulletin de l’Académie Impériale 1S0 EL I OU ee rem hi le CC sia pentandra. XI. 432. VI. 205.— M. purpurea. ibid. — Metanarthecium luteoviride n. gen. XI. 438. VI. 213.—Mitella japonica. XI, 431. VE 203.—. japonica et M. triloba Miq. Nabalus acerifolius. XV. 376, VIL 557.—N. ochro- leueus. ibid.— Najas serristipula. XIL. 72. VI. 275. — N.graminea Del. var., e sententia cl. AI. Braun (prae- sentis).—Narthecium americanum Gawl. XE. 439. VI. 214—. N. asiaticum. ibid.— N. ossifragum L. ibid. Orixa japonica Thbg. XVI. 214. VIIL. 4.—Oxalis obtriangulata. XII. 62. VI. 260.— O0. Acetosella Miq. non L. Panax repens. XII. 64. VI. 264.— Parnassia num- mularia. XI. 430. VI. 203.— P. foliosa Hook. f. et Thoms. ex Miquel.— Patrinia gibbosa. XIT. 67. VT. 267.—P, palmata. ibid.— Valeriana triloba Miq., Pa- trinia trüloba Miq.— Pertya ovata XVI. 217. VIIL 8. — P., scandens Schultz Bip. ibid. — Phellodendron japonicum. X VI. 212. VIII. 1 —Podocarpus appressa. XV. 379. VII. 561.—P. cacsia. ibid. et enumer. spe- cierum Japoniae.— Primula macrocarpa. XIT. 68. VE. 269.—Pyroia subaphylla. XI. 433. VE 206. Rhododendron Albrechti. XV. 227. VIT. 555. — Rh. macrosepalum. ibid.— Rh. ovatum PI. ibid. 230. 338.—Rh. Schlippenbachii. ibid. 226. 333.— Rh. semibarbatum. ibid. 229. 338.— Rh. Tchonoskii. ibid. 230.339.—Rubus Grayanus, incisus Thbg., pectinel- lus, peltatus, phoenicolasius, rosifolius Sm., sorbifo- lius, tagallus Ch. Schtdl., et synopsis specierum Asiae orientalis. XVII. VII. Sabia japonica XI 430. VI. 202. crescit etiam in China bor. (Fortune! K7.f.).—Sanicula tuberculata. XI. 431. VI. 204.— Saxifraga tellimoides. XVI. 215. VILL. 6. — Schizandra nigra. XVIL VIE. Schizoco- donilicifolius. XII. 71. VL 273; X VI. 225. VIII, 21. — Sch. soldanelloides äbid.; 1bid.— Sc. uniflorus. 1bid. 71. 274. — Shortia uniflora. — Senecillis Schmidtii. XVI. 222. VIII. 16. — Senecio Oldhamianus. XVI. 219. VIIL. 11.—$. otophorus. ibid.—$.stenocephalus. ibid. 218. 10. et synopsis specicrum Asiae orientalis. —Shortia galacifolia Torr.etGray. XVI. 225, VIIL. 20.— $Sh. uniflora. ibid. — Schizocodon uniflorus. — Smilax biflora Sieb., China L., herbacea L., higoën- sis Miq., stans n. sp., stenopetala A. Gray p.p., stipu- lacea n. sp. XVII. VIT. — Stuartia Pseudo-Camellia. XI. 429. VI. 201.— St. serrata. ibid. Thuja japonica. X. 490. VI. 26.— Th. gigantea Par- lat. non Nutt.—Tofieldia nuda. XVI. VITE. ct enum. specierum japonicarum.—T'.sor&ida. XI. 437. VI. 212. — Triosteum sinuatum. XV. 373. VIL 553. — Tripe- taleia bracteata, XI. 453. VI. 206. — Trochodendron aralioides $. et Z. 8. longifolium. XVII. VII. Valeriana flaccidissima. XII. 228. VI. 372.= V. Hardwickii var. leiocarpa Miq.—Veratrum stamineum. XV DS DANS 2107 Zanthoxylon Arnottianum. XVIT. VIIL.—Z. Bunge- anum. XVI. 212. VIII. 2. — Z. Bungei PI. X VIT. VIIT. — 7, piperitum DC. XVI 213. VITE 5. + Kritische Bemerkungen. Von A. Nauck. (Lu le 20 octobre 1871.) VI. Nach den Zeugnissen der Grammatiker (s. Abrens de dial. I p. 106. IT p. 509) gebrauchten die Acoler statt xothos und [potes die dreisilbigen Formen xcthos und [ocros. Dass xohos bei Homer und Hesiod fast durchgängig statthaft ist, haben schon andere be- merkt: es genügt auf die von M. Schmidt Rhein. Mus. N.F. XX p. 304—306 gegebene Zusammenstellung zu verweisen. Die einzige widerstrebende Homerische Stelle, Od. x 385: tx9vas, oùs Ÿ Ames xothov éç myuxhoy mots ÉKTCOdE SaÂLIONG SXTLO ÉÉÉQUOAY TOVO TO, habe ich bereits früher (Bulletin V p. 489 oder Mé- langes Gréco-Rom. IE p. 395) als verdorben bezeich- net um des Sinnes willen, und M. Schmidt tritt die- sem Urtheil bei‘). Vermuthlich ist zu lesen AEUpOY ëg atyuarcv, wie Eur. Hec. 700 &v bauaSo hevp sagt. Aebnlich Soph. Ai. 1064: auœt kevoav (so Burges statt des handschriftlichen xhopav) bamaSor 2xBefinpévos. Das Adjectivum Xevoos finden wir auch Od. n 123. — Das Nomen [looëtos sieht fünfmal in der Ilias (Z 157. 160.163.164. 177); an vier Stellen ist Hootros durch 1) Anders Bergk Lyr. p. 1015 der dritten Ausg.: «neque vero zotkoc révocandum in Homericis carminibus, quamquam plurimis locis per versus numerum licet, nam contractam formam satis testificatur Od. y, 385: zoihov è: aiyuaxcv, et Stasinus in Cypriis Aervote Soi poioty ËGw Douoc Gp xoiÂNnc, quamquam hic pocta Écw zaikns dpvde apow seripsisse videtur.» Die über Stasinus ausgesprochene Ver- muthung rührt her von Gerhard Lect. Apoll. p. 146. Dass Bergk einerseits der Gerhardschen Vermuthung beipflichtet, andrerseits gleichwohl den sicherlich feblerhaften Versausgang co doude augw xotns als Beleg für das zweisilbige xotlos geltend macht, ist ein augenfälliger Widerspruch. Aber auch Od. y 385 scheint mir kein ausreichendes Zeugniss gegen die Homerische Form x£rhos zu sein, theils weil eine einzige Stelle der Odyssce der sonst beobachteten Regel gegenüber nicht eben schwer ins Gewicht fällt, theils und bei — Tricyrtis flava. XI. 434. VI. 208.—T, latifolia ibid. weitem mehr deshalb weil xoïhoc aiyræloe sinnlos ist. den Vers gestattet; dagegen scheint der Diphthong geschützt zu werden durch Z 164: redvatns, Ô Iooir, à xaxrave BeXkspopeyrn. Aber dieser Vers streitet mit dem herrschenden Sprach- gebrauche noch in anderer Hinsicht, sofern statt xo- xrave nach Analogie der überaus zahlreichen entspre- chenden Formen vielmehr xataxtave erwartet wird. Eben dieser Umstand gestattet über die ursprüngliche Lesart nicht den geringsten Zweifel. Es ist zu lesen: reSvaine, Hoctr, nè xoraxrave, BeX\cpoDévrnv. Die Fehler des gangbaren Textes wurden veranlasst durch die hiolänglich bekannte Unsitte der Abschrei- ber vor einem Vocativ ein erläuterndes © einzuschalten. Die Frage ob bei Homer axov statt æéxwv geschrie- ben werden dürfe, wird verschieden beantwortet wer- den, je nachdem jemand die handschriftliche Ueber- lieferung als bindend betrachtet oder lediglich inneren Gründen folgt. Unsere Homerhandschriften sind zwi- schen aéxov und œxov getheilt; nach ihrer Autorität die eine oder die andere Form bevorzugen heisst der Laune des Zufalls oder der Willkür alter Gramma- tker sich blindlings unterwerfen. Aus einer Verglei- chung der betreffenden Homerischen Stellen geht her- vor dass die jüngere Form agxov nirgends durch den Vers gefordert wird: wir dürfen daher den Schluss ziehen dass die Homerische Poesie nur die ältere, offene Form oéxoy kennt, die 1. Bekker in der zwei- ten Ausgabe mit Recht überall hergestellt hat. Die- sem rationellen Verfahren tritt, was man nach seinen sonstigen Principien als auffallend und befremdlich bezeichnen muss, J. La Roche bei, indem er sagt(Hom. Untersuch. p.98): «für dxovrs metéo nv muss tékovte geschrieben werden, auch gegen die Uebereinstim- mung der Handschriften, da das Digamma die Con- traction verbietet.» Somit hat La Roche, trotz der Ver- wahrung die er in der Vorrede der Hom. Untersuch. p. VIIT gegen eine derartige Zumuthung einlegt, hier doch einmal dem Digamma Rechnung getragen und wenigstens indirect anerkannt, was er in derselben Vorrede nicht anerkennen will, dass die Sprachver- gleichung und der überlieferte Homerische Text wohl etwas mit einander zu thun haben, sofern die Sprach- vergleichung vielfach allein die Mittel bietet, um den überlicferten Text der Homerischen Gesänge der ur- sprünglichen Form näher zu bringen. Hunderte von Fehlern, welche die Kurzsichtigkeit der Alexandrini- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 132 schen Grammatiker in den Homerischen Text gebracht hat, künnen erkannt und geheilt werden nicht durch Vergleichung von so und so viel Homerischen Hand- schriften, nicht aus Homerischen Citaten bei Griechi- schen und Rümischen Schriftstellern, nicht von den in Alexandrinischen und Byzantinischen Vorurtheilen aufgewachsenen zünftigen Philologen, sondern einzig und allein auf Grund der Erfahrungen und der Me- thode, welche durch die Sprachvergleichung uns ge- boten werden. Wir künnen nur bedauern dass La Roche das allein berechtigte rationelle Princip, nach welchem er die contrahirte Form &xov bei Homer verwirft, nicht consequent verfolet, dass er vielmehr der feh- lerhaften Alexandrinischen Tradition fast durchgängig gehuldigt hat. Zur Erläuterung diene das Wort xhécs mit seinen Derivata *). Die ursprüngliche Form dieses Nomen war KAEFOZ. Vgl. Corp. Inscr. 1 (mit den Bemerkungen von Kirchhoff Philol. VII p. 191 ff.): os xat xci[v]os éyor xAéros arSuov aire. Der Pluralis lautete ursprünglich nicht xhéx oder xhetx, sondern xhéa, und gewiss ist es nicht ein Spiel des Zufalls, dass die dreisilbige Form xAéa statt der gangbaren zweisilbigen Formen bei Homer und Hesiod ohne weiteres gesetzt werden kann. Statt xA£x dySpGy 1189. 524. S 73 ist xhée avdpov statthaft und noth- wendig, und bei Hesiod Theog. 100: aÿrag œoudos Movoaowy Separoy xAsîx Tootépov avSodtoy Vo, muss das abnorme xs dem gesetzmässigen xAéea weichen ‘). Auch in den zahlreichen Ableitungen von xhéos sind die offenen Formen bei Homer zulässig, die contrahirten Formen des jetzigen Textes dagegen un- 2) Die hauptsächlichsten Ergebnisse der nachfolgenden Darstel- lung hat bercits Leo Meyer (Zcitschr. für vergleichende Sprach- forschung VIT p. 205—208) vorwesggenommen. Gleichwohl halte ich es für zweckmässig mich nicht auf cinige Nachtrüge zu Meyers Aufsatz zu béschränken, sondern die von mir selbständig gefthrte Untersuchung vollständig mitzutheilen, namentlich deshalb weil eine Vorfübrung des gesammten Materials unerlässlich nothwendig ist um die Berechtigung der geforderten Neuerungen darzuthun. Vgl. auch I. Roehl Quaestionum Homericarum spec. (Berol. 1869) p. 15—15%. 3) Gelehrte Dichter haben die Form xlée wirklich gebraucht und zwar als Pyrrhichius vor Consonanten; eine Substitution des ursprünglichen xkéea ist bei ihnen weder berechtigt noch ohne eine stûrkere Correctur müglich. Vgl. Apoll. Rhod, 1, 1: rahatyeyéwy 2kéa poto. 4, 361: marpnv te xAË& ve MEYAOWV œÜTOUS Te Toxmue. Christod. Eephr. 378: Gyvyioy xéa gorôv. Anch Hymn. Hom. 32, 18 wird xhé« gotwy zu dulden sein, wie im folgenden Verse, aopat QutSéwY, y xheloug Éoyuar doudoi, das Verbum x£to in der contrahirten Form xistw erscheint gegen den Gebrauch des älteren Epos. 12* 183 Bulletin de l’Académie Impériale 184 0 erweisbar und darum unstatthaft, zumal da sie zum grüssten Theile den Contractionsgesetzen zuwiderlau- fen. Zunächst erwähnen wir die Adjectiva œyaxkens, axhens, Suoxhens, euxhens. Die hergebrachten Schrei- bungen dyaxños, dxkéa axhnsi axhetôs, duoxhéo., évxhetas éuxheôs sind zu ersetzen durch ayaxeéoc, dxhséa axheéas axheéos, Juaxheén, ÉUxAcÉQS ÉVXAEÉOS. Man schreibe somit I 738: voSov vièv dyaxheéos IToux- poto. 4 529: einer dyaxheéos Mevehaov. à 728: dxheé x peyaoowv. M 318: où pay dxheées ‘) Auxtny xata xotpavéououv. X 304: pn pav domoudi y: xai axhcéos arohcunv. æ& 241 (oder Ë 371): vov dé puv axheéos Gemutat avngetbavro. B 115 (oder I 22): Guo- xhes "Apyes ixéodor. K 281: 306 SE Takv ni vins Ev- xdeéas aotxéodar. p 331: cd oc ÉGTIY ÉUX}EËRUS XATO Snpov eva. X 110: mé xev avt hé dat évxhcéos reè æohnos. — Sodann erscheint das Substantivum ebxheta bei Homer in der Form évxkcin oder vielmehr évxAetn *). @ 285: Tèv xai TnAdS Écvra éuxheins ÉTi- Bnoov. £ 402: Esiy, oûto yap xév por duxhein T destr re. — Auch die zum Theil recht häufig vorkommen- den Männernamen auf -xhéns (Ayaxéns BaSuxhéns Atoxdéns Enuwhéns "Exexkéns Hoaxkéns Otxhéns Ila- teoxhéns) mit den davon hergeleiteten Adjectiva (Erco- xhnetcs Hoaxmetos ’Ipuxkmetos) vertragen und fordern bei Homer diejenigen Formen -welche aus dem ur- sprünglichen xhéros sich zunächst ergeben. Man lese also I 571: viès Ayaxhéeos peyaSupou. II 594: étpa- mer, énreunev dE BaSuxhéea peyasupor. E 542: vie Atoxdéecs. E 547. 548: 'Opothoyoc à ap ètixte Atoxdéea peyaSumov, éx DE Auoxhéeos GtBupaiove Taide VEVÉG SN. y 488 (0 186): &s Pros D Txovro Auoxhéeos tort Gp. M 379: Zagtnôovros éruipov Erixhéa peydSupor. 1189: za pèv ’Eyexhécos xoutepov pévos Axtoptôno. 4) Ein Verstoss gegen die Homerische Grammatik ist es, wenn Doederlein in seiner Ausgabe der Ilias über H 100 bemerkt: «neutri dxhcéc praetulerim dxhéec à. e. amheéec, dxhceïc, ut dxkéa Ô 728 et Sucxkéo B 115.» Nicht minder wunderlich ist die Bemerkung des- selben Gelehrten zu K 84, wo er Llatpoxkñoc als Heterokliton be- zeichnet: «(oëpnwv) heterocliton est ut mournesc, dpuornec, Ilutpo— x\ñoc, quorum justi nominativi rourevc x. t. À. nusquam leguntur.» Dass der Nominativ @prorebe bei Homer nicht vorkommt, dürfte nur zufällig sein; in jüngerer Zeit wenigstens ist er nachweisbar, Für den Homerischen Genitiv Iutooxhnoc einen Nominativ [larpoxkeus vorauszusetzen liegt dagegen nicht die geringste Veranlassung vor. 5) Vel. Epigr. C. I. 956, 10: rebËavrec [ueyæAny GrJucav ebx}etnv. C. I. 6240, 2 vol. 3 p. 897 (oder Anthol. Pal. append. 216): ouyxAn— Gus dperns ebxAcëny xutéyerc. Entsprechend Leonidas Tarentinus Anth. Pal. 9, 80: ramuovac, o09” inv ciorus axhctnv. & 266: ôs Hpaxhéeos °) reprywouro. O 25: aényns odu- vn Heaxkéeos Seïouo. E 117: oùdE Bin Houxhéeos quye xiou. YŸ 145: veîyos cs auptyvrov Hpaxhécos Seïoto. S 224: \oùS ‘Houxdéeï oùr Evputo Oiyrant. Æ 324: 1 © ‘Houxhéa xpatepcppoova yeivaro raido. À 267: n & ‘Hoaxhéea Spacupépvorx Supchéovra. p 26: pOT “Hoaxkéea peyalov éruotopæ épyov. o 243: AVTIQATIS pèv étuxtev Ouxhéea peyaSupov. IT 554: Iatpoxhéeos Aaouwv xp. P 670 (4 65. 105. 221): Hatpoxhéeos Serhoto. À 468 (uw 16): xat [atpoxhécos xai apupovos ’Avriôyouo. A 602 (I 125): Ilarpoxhéen Tpocéetmev. Il 818: Hatpoxéea peydSupor. X 331:"Extco' atap nou ons Ilatooxkée éÉevaottov. A 337: Iatpoxdees, ÉÉaye xovpnv. À 823: Iatooxhcec, &hxap Ayotôv. IT 7: rénre Sedaxpuoou, Iaurocxhses, mure xouon. II 20 (744. 843): noocépne, Ilurpcxkces inned. II 49: Stoyevns Ilo- roôxhees, ofov éeméc. II 126 (584. 839): Tarpokkess inroxékeuSe. II 693: MareoxAcec 7), te On de Seoi Sat- varévèe xaheccav. II 707: yaëso, dtoyevès Iatpoxkces où vo ro aa. II 754: Gc ênt KeBorovn, Ilarpoxkesc, ahoo pepaus. II 812: 65 tot motos épnxs Bédos, Ila- rocxheec inned. II 859: [larpcxhses, té vu por pavrevear œinuv OeSpov. À 386: fins Etsoxhseeins. A 690: Bin “Hoaxeccin. B 658 (0 640): Blé Honxheestn. B 666: Béns Houxdesetns. E 638 (T 98. À 601): Bénv Hoa- xhcecénv. À 296: Bin Ioxhcesin. À 290: Béns Iptxhes- etns. — Das von xéos hergeleitete Verbum xAeto wird an den wenigen Homerischen Stellen wo es sich fin- det durchweg so gebraucht dass die anapästische Mes- sung xhcto (oder xhcéo?) zulässig ist. & 338: To Te xheïouatv doudoi. © 418: yo dé xé oc xhclo xar anet- pova yaiav. à 351: Tnv yap don p&hho émexhetouc” dvspwro.). Gewiss nicht zufällig; denn auch das ziem- lich häufig vorkommende xherros mit seinen Compo- sita lässt sich bei Homer und Hesiod überall dreisilbig lesen, xAeros (oder xheetos?). À 447 (A 102. 120. 4 864.873): xheïrnv éxarouBnv. À 379 (P 212): xhei- rods émtxoupous. Z 227 (3 229): xkeïtoi T ériroupot. 6) Diese Form ist überliefert in Orph. Argon. 228: oûy dé où n\- Sey étnc HpaxAéeoc Seioto, wenngleich mit der Variante ‘Hpwxhñoc. 7) Die Verkürzung der zweiten Silbe in Iutpoxksec (LI 693. 859) ist geschützt durch T 287: [latpoxhé pot Sen ThEËGTOY XELApLOMÉVE Supo. 8) Dasselbe gilt von Hesiod, vel. Op. 1: doudfoty xheïouout. Theog. 39: Seinv, &6 xhetouur Ta + Écoomeva too T éovra. 44: mowtoy xAefououy don. 67: GJavarwy xhetouou. Der allein widerstrebende Vers Theog. 105: xkctere O dIavarov tepdy yévos aièv Éoyrov, ist längst aus anderen Gründen von Gôttling als unecht bezeichnet worden. 185 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 186 H 450 (M 6): xAcirac Exarcpfus. À 220: xAsirôv êmt- xovpuv. P 14: xAcirov + émxovpov. P 307: év xheiré [avoriw. Hesiod. Theog. 815: Arcs xAcirei étlxoupor. Seut. 380: xhcirn + 'lawhxos. 473: xheïtoù BauotAnos. ATA: xheërnv T'Tawhxov. 479: rt ba xAeïtas Éxatop- Bas. fr. 83, 1: xAeïroù Iohaov. Selbst für den Namen Khéros ist der Diphthong in der Homer. Poesie weder erweisbar noch wahrscheinlich. Vel. O 445: xai & éparev KAérrov Ile eonvopos dyhaôv vicv. o 249 f.: Mov- TIOS AD TÉKETO IToruetèeo re KAéeroy te' aXN rot KAé- zov youcoSpovos meraoey Hus. Dass ayaxherros und rohvxdeures statt des Diphthongen der vorletzten Silbe die offene Form zulassen versteht sich von selbst ; aber auch Sovguhsttos, vauoukertos, ryhexhettés finden sich bei Homer und Hesiod stets so gestellt dass die dreisilbige Form xheïxos statthaft ist. E 55 (578. K 230. 4 355): Atestôns Souprxhsirès Mevélaos. À 333: Tu- detôns Jovorxhcitos Atounôns. Hesiod. fr. 131, 1:17 réxeS ‘Eopuovny Soupuxkeiro Mevskao. € 22: etdouévn xoüon vaucuxhsiroio Augavros. E 491: rmkexkeitôv ént- xougov. Z 111 (1 233. À 564. M 108): tnasxAcirot T éméeoupor. Æ 321: xoupns Tnhexkeïtoto. À 308: Tnhe- xdeërev 7 ’Equirnv. + 546: ’Ixapéou xouon Tnhexkci- roïo. Hesiod. Scut. 327: Auyxnos yevsn TnAsxAcitoio. — Endlich mag noch erwähnt werden dass statt des jüngeren xxnÿ6v Homer nur die dreisilbige Form xhen- S6v (5 117. v 120) oder xAnmdv (5 317) kennt. Mit der Verlängerung xknn$ov vel. Owkmns o 244: aire "Omnns Xao7ocov Apptapaov, denn so wird statt der Vulgate OwXeins zu schreiben sein nach Anleitung eines Scholion des cod. Harl.— Die bei Homer über- aus häufige, im Nom. Sing. ausschliesslich gebrauchte Form Hateoxhos und die entsprechenden Verkürzun- gen Auotxhos Avtixkos Aopuxhos Eyexhos "Iptxhos Pé- oexdos (statt Ilateoxkéns Apptxéns u.s. w.) mügen an sich auffallend erscheinen: jedenfalls aber sprechen sie nicht im mindesten gegen, sondern eher für die von uns geforderten Formen der Eigennamen auf -xhis. Contractionen wie Iatpoxknos und Marocxkne würden für den Nominativ die Form IargoxAns er- warten lassen: wenn Homer nicht Owàns und [aroo- xkñe, sondern ‘Ouxkmns und IMatpoxkos gebraucht, so liegt auch darin ein Zeugniss gegen die Richtigkeit der in unseren Ausgaben herrschenden Verstümme- lungen Ayaxhños Atoxhños Heaxinos Margoxknos, Ho x, Bastia Axa Erune HeaxAïña ‘Ouen Harpoxhku, Ilarocxheus. — In vollständigem Wider- spruch mit unserer bisherigen Auseinandersetzung stehen dagegen zwei Frauennamen: Aütoluxou Suya- TNg BE YAANTORC Avrixheua (à 85) und Evpuxàet Qros Suyarne [eronvegtôao (4 429 und sonst). Diese Namen, von denen ‘Avréheux nur einmal, die tn roots Evouxhsta dagegen vierundzwanzigmal (& 429. 24790118 7490" 51. t F5. 21: 397. AO ENT u 128. 134. 148. o 380. 381. x 394. 419. 480. 485. 492. à 25. 39. 69. 177) in der Odyssee vorkommt, finden wir ohne Ausnahme so gestellt wie in den an- geführten Versen, dass die erste Silbe den Versaccent hat, dass sie also, die Richtigkeit der jetzigen Schrei- bung vorausgesetzt, viersilbig gelesen werden müssen. Nach den obigen Erürterungen ist die Contraction -xhsua bei Homer als schlechterdings unmôglich zu bezeichnen, d. h. wir müssen die Formen Avtixex und Evouxhetx für unhomerisch halten, und gerade ihre gléichmässige Stellung im Verse macht uns die Heilung môglich. Wie Hesiod. fr. 13 sagt: Parcvan NS Kopuvis évotépavos te Khéeta, so ist bei Homer durchgängig Avrxhéto und Evogvxhéex zu schreiben. Wer eine der bisherigen Ausgaben der Homerischen Gesänge liest, darf und muss es auffallend finden dass bei Formen wie ‘Hogaxknos ‘HoaxA: Hoaxkïa Ilatpo- xXnos Houxhmetos IorxAnetos nie die erste, sondern stets die zweite Silbe den Versaccent hat, bei Avrt- xhcux und Evovxhste dagegen umgekehrt immer die erste Silbe in die Hebung fällt: dies scheinbare Wun- der schwindet, wenn wir den ursprünglichen Formen “Houxdésos “Hoaxhéeï Honxkéa [arogoxkéeoc Houxhes- ztos ‘IotAséstos und andrerseits Avtxkéeux Evpuxhéero den ihnen gebührenden Platz einräumen. Dass oréos ursprünglich onéros lautete und dass die fehlerhaften und aller Analogie spottenden Schrei- bungen oxstous ont orneoct omécot bei Homer den gesetzmässigen Formen omécos omési onmcécoot onméeot weichen müssen, hat Leo Meyer (Zeitschr. für vergl. Sprachf. VIT p. 204 f.) mit gewohntem Scharfblick erkannt und in überzeugender Weise dargethan. Für den Nom. und Accus. Sing. finden wÿy die Form cotées überall *) ausser & 194: £ov SÈ ameios Vhuqupov Seds nd xt dvne. Mit Recht bezeichnet L. Meyer diese 9) Nämlich an zwanzig Stellen: À 279. N 32. © 50. 65. € 57. 63. 77. 182. 937. 337. 402. 447. 458. k 80. 84. 317. y 349. 366. 307. 187 Bulletin de l’Académie Empériale Stelle als fehlerhaft, ohne indess eine Heïlung zu ver- suchen. Es war zu schreiben t£ov 5 oméoc êc Yhaœu- 90v, zumal da mehrere Handschriften ÿ èc ometoc oder ÿ éonetos bieten. Das von L. Meyer nicht erwähnte cmt évt yaaque® Hes. Theog. 297 sollte vielmehr heissen év atéei yAapuoo. Sind somit axeîos und otetouc Fictionen der Grammatiker, so müssen wir auch den entsprechenden Nereidennamen Xrao X 40 und Hes. Theog. 245 verdächtig finden und das an beiden Stellen zulässige Zreco für wahrscheinlicher halten. Von ëos (ursprünglich ôréos) finden wir an zwei Homerischen Stellen im Gen. Sing. eine der älteren Poesie fremde Nebenform, K 376 und O 4: xhopoc (xopct) Uro Setous. Es war mit H. L. Ahrens un Sécos herzustellen. Eine andere Frage ist es, ob bei Theocr. 24, 61 die Lesart Énoov utat Setous angefoch- ten werden darf. — Nicht minder fehlerhaft ist bei Homer die Form aôehçetos, die daselbst viermal auftritt, nur im Gen. Sing. und pur so dassgdas zu- nächst folgende Wort mit zwei Consonanten beginnt. E 21: aôskperoo xrauévoto. Z 61-(H 120. N 788): adeà- qeuoù ppévas eos. Ahrens hat dafür adshgeco vorge- schlagen und diese bereits von Buttmann vermuthete Genitivendung durch eine ansehnliche Reihe von Be- legen gegen jeden Zweifel gesichert ”). Gegen die Richtigkeit dieser Emendation darf nicht geltend ge- macht werden der Umstand dass spätere Dichter, die durch den Fehler des Homerischen Textes irre gelei- tet wurden, neben dem Gen. Sing. auch andere Casus von adehgetos und das Femininum aÿshocm gebraucht haben. So Apoll. Rhod. 3, 731: où Ôn mor adshperot yeyaacw. Anth. Pal. 6, 11: {Xaos edoeBésootv ade)- œetois ériveucov. 6, 182: Évvov adchpetot Snons Yéouc. 7, 323: ets BU adelqeuos éréyer tavoc. 7, 613: ra- toc adehpets mévIoc pethouevo. 12, 246: Éedyos adsÀ- perov pe past. 14, 123: maides adehpetct te vo. 14, 128: ofov adehpetoc 2 éBumouto. 14, 143: oùtoc 45sh- 10) Vel. Buttmann Griech. Sprach]l. I p. 183. 299, der E 239 5n- poo que und an éinigen Stellen So (statt oov) vorschlug, und Ah- rens Rhein. Mus. N. EF. II p.161 #. Offenbar hat I. Bekker den Auf- satz von Abrens nicht gekannt; nur diese Annahme macht es be- greïflich dass er eine solche Zabl fehlerhafter Lesarten theils dul- ete theils mit Fictionen wie AîokkouxAura Souate (Hom. Bl. p.281) zu beseitigen versuchte. Auch Lobeck Pathol. elem. II p.65 bezieht sich nur auf Buttmanns Auseinandersetzungen, wenn er sagt: «Geni- tivos secundi ordinis a principio in 00 finitos esse, ipsumque Home- fum Go et Snuoo dirisse concedimus precantibus; sed quia nihil simile legitur » u. 8. w. œpady mpopepéotatos. C. I. 6223: xai pin vixnoev aderoeuGy Guovorav. Pseudophocyl. 47 (Orae. Sib. 2, 118): éxSo7 à tTéxva Yovedorv adshoeuol Te cuvatuolc. Quintus Smyrn. 1, 428: axaynvrar adchoctôv Tr 8h So. Maneth. Apotel. 3, 10: à xat adehoctods mpoté- pous Stchecosv aravras. 6, 255: ripos ddshqetol rou- dos Hôupor rooyévorto. 6, 307: aitix adshoctGy Aa. 6, 337: Onda mooyévovro outès adelouct. G, 339: etvex adehoerov. Tzetz. Hom. 352: énta of por adsh- barovs éd hcv te Toxga. Orac. Sibyll 1, 76: yvotous 5 où yévogxor ados étiBoudo. 3, 125: ravras, aÿehqetous te. 13, 85: adchpérous te œthous te.—C. I. 6273: xaf por adshpem xeîtar vén éyyus Yyeén. Quin- tus Smyrn. 1, 30: xt oi adshqeis xexohopévat aùtly ÉTOVTO. Wie aus dem Homerischen Text die Genitive Setouc und aëep:toù zu verbannen sind, so halte ich es für unwahrscheinlich dass vom Nomen éov der Dat. Plur. neben xéouotv auch Xetououv gelautet habe. Letztere Form lesen wir an drei Stellen der Ilias. E 782: eêhe- pevor, Aetouot éouxotes ouoodyotoiv. H 256: oùv À ère- gov hetcuot éouxotes opopayorotv. O 5992: Toûss SE het- ouot éotxotes opoosyorotv. Da die Flexion des Wortes Xéov sonst nirgends einen Diphthongen in der Wur- zelsilbe zeigt, und Astoyroræda bei Erycius Anth, Pal. 9, 273 für die ältere Poesie nichts beweisen kann, so müchte ich an den bezeichneten Stellen Ateoot statt Xctouot schreiben, vom poetischen X& oder wie andere betonen Ai. Nach den Zeugnissen der Grammatiker schwankte bei diesem Wort die Quantität des Wurzel- vocals: als Beleg werden die Callimacheischen Worte Aes pév te Meoot (fr. 329) angeführt, vel. Choerob. in Theod. p. 182, 10. Schol. Ven. Il. A 480. Etym. M. p. 567, 9 nebst Miller Mélanges de litt. Gr.p. 207. Im Anbange zu Il. Q 61 bemerkt J. La Roche: Für das handschriftliche Wnket haben die meisten Heraus- gcber Hé. Aber dic Substantiva auf vs haben «im Dativ Sing.», mit Ausnahme von Atgsvs (B 105) und Tuëevs (A 372, K 285), welche überhaupt nur die For- men des Neuionischen Dialektes auf eos, et, ex und nicht wie die anderen auf n°05, m1, na bilden, «keine Dative» auf =, sondern mur auf ü oder ei, wie MopSet E 115, Ame PS 792, 'Odvoet e 398, v 35. Auch Hesiod. Theog. 1006 ist mit den Handschriften Wnxei, nicht Im zu schreiben, dagegen gebraucht Pindar Isthm. 189 ‘des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 190 VIII, 38 Hnét und 18 Baoué. Ob man [mas oder mé zu sprechen habe, ist offenbar nach anderen Kriterien zu bestimmen als nach der in Fragen die- ser Art vollkommen gleichgiltigen Autorität der Hand- schriften. Was aber die Flexion der Würter auf eus betrifft, so sind Contractionen wie [mx und [lopSe oder Synizesen wie sie von La Roche in &toyevns Hn- Xoc vics À 489 angenommen werden, in der ältesten Poesie befremdlich, deshalb weil die Formen [yéos [nrnes Mmhé tus Imiéros Tnañros [nnére entstanden sind. Allerdings wäre es nun wohl denkbar dass das Digamma in den Wôrtern auf sus frühzeitig geschwun- den wäre: eine vorurtheilsfreie Beobachtung lehrt je- doch das Gegentheil. Die überaus zahlreichen Wôr- ter auf sus erscheinen im Gen. Dat. Acc. Sing. wie im Pluralis bei Homer fast durchweg in offener Form: Contractionen oder Synizesen sind hier so selten dass sie nicht als vereinzelte Ausnahmen zulässig erschei- nen, sondern als offenbare Textesfehler bezeichnet und, se weit unsere Hilfsmittel es gestatten, bescitigt werden müssen. Ueber Stellen wie & 115: [TogSei Ye rocic raides apupoves éÉsyévoyro, oder Q@ 61: Imact, CE rept who: ofdos yéver aSavareiowv, brauchen wir kein Wort zu verlieren, da hier IegSé und mé gelesen werden kann und gelesen werden muss. Wenn I. Bek- ker in der zweiten Ausgabe [opSet und [yet drucken liess (während er in der ersten Ausgabe wenigstens Q 61 die allein zulässige offene Form gegeben hatte), so hat hier wie vielfach sonst die übertriebene Vor- liebe für den Spondeus im ersten Fuss ibn irre gelei- tet. In gleicher Weise kônnen Verse wie Soyevns Tin Ados vis, péya oéorar Ayarôv, oder Mmxistéos vis, Taœhaiovôuc avaxros, nicht in Betracht kommen: denn es ist, woran schon Thiersch Griech. Gramm. $ 194, 46 b p. 305 dachte, Stoyevys Hnkes vios und Mxt- otüos vios (oder besser d6ç) herzustellen ll). Ferner dürfen und müssen wir unrichtige Vermuthungen ab- lehnen, die gegen die obige Regel verstossen: wie etwa N 424 statt IBousveds à où Anye pévos péye alte Grammatiker ‘ISoueveds schrieben (vgl. Choerob. in Theod. p. 225, 15. 428, 22. 433, 11. Anecd. Oxon. vol. 3 p. 233, 31 nebst [. Bekker Hom. BI. p. 40 Anm.), wie man o 416 Sdpov roomaigorSev Odvooevs statt Sépoy roordout® ’Oëvoños gewünscht hat, wie àS "Odvo rai 2yôv statt 5 /OBvoga éyov für + 185 von Gerhard Lect. Apoll. p. 177 vorgeschlagen wor- den ist, wie I. Bekker und andere & 398 und y 35 *OBvost dem Homerischen Texte aufgedrängt haben, eine Form welche G. Hermann für © 157 verlangt ha- ben soll. Hierher gehôrt auch + 136, wo die meisten der neucren Herausgeber &AX "Odvoÿ moSecuoa œihoy xararixopat grep schreiben mit Aristarch (d. h. nach Aristarehs unrichtiger Vermuthung) statt Oôvoña ro- Sedca oder Odvona roSéovoa. — Abgesehen von die- sen leicht zu beseitigenden Ausnahmen oder Annah- men bleiben, wenn ich nicht irre, fünf contrahirte Formen in der Flexion der Wäürter auf evs übrig, die der unzuverlässigen Ueberlieferung unseres Homeri- schen Textes ihren Ursprung danken und durch Con- iectur berichtigt werden müssen: Ayxet 4 792. îr- raie À 151. Mnxorn O 339. Odvoets © 398. Tuôr A 384, eine im Vergleich zu der Unzahl der offenen Formen vüllig verschwindende Minorität. Die Stelle DS GE D inreic S inrius: Uno dé oo Goo xown, hat bercits Lehrs Quaest. ep. p. 242 durch die Aen- derung irrües à imrquc Uno oœior à Gpro, xovin, in Ordnung gebracht, und I. Bekker ist ihm mit Recht beigetreten. Mit ziemlicher Sicherheit lässt sich O 339 emendiren: Mnxzorh © 2e Ilovhvôapac, Eyiov dë Tloïiras rootn év douivn, Khoviov à Ehe Bios Ayrvoe. Das 2e des ersten Verses ist aus dem zweiten Verse entlehnt, und so ist die ursprüngliche Lesart Mnxt6Tio Tleuvdaues verdrängt worden ”). Als fehlerhaft erweist sich schon aus anderen Gründen À 384: à air œyyehinv êm Tuô oteïhav Aya. Nach Aus- drücken wie Mevélacy ayyshinv AScvta À 140, éËs- gén XSévre Q 235, dEsoiny roXdiy Édov mASev Ova- 11) Thiersch verkennt übrigens den wahren Sachverhalt, wenn er meint, Hlnkéos vice und [nkéos vié würden chythmischer» [nhños vige und [nkñoc véé lauten: vielmebr ist die zwcisilbige Sprechung einer Form wie [lrkéos bei Homer unerlaubt und schlechterdings unmôglich; die Schreibungen Ilnkños vise (oder Soc) und [nAños vt£ (oder dé) sind somit unerlässlich nothwendig. Ueber die Schreib- art oc. die ich überall vorziehen môchte wo die erste Silbe in vios verkürzt wird, vgl. K. Keil Zwei Griech. Inschriften aus Sparta und Gytheïon (Leipzig 1849) p. 18. 12) Mit dem von uns hergestellten Ausdruck vgl. ; 266: Anuo- rréheuoy uév "Oduoceuc, Evous 6 Spa Tnaéuayos, Ekutov dé ovpurne, HeisuySpoy S ap Étepye fowv ÉtiRouxohoc avno. Quintus Smyrn. 13, 211 f: Aïae S AupOdpavra, Auxuacropiôny 5 Ayapéu— vov, ‘ISopeveds Së Mipavra, Méyne S ÉAE Antoitnv. 191 Bulletin de l’Académie Empériale oeus ® 20, müssen wir erwarten &yyeXinv Tuôñæ oTei- Xav Aya”). Was © 398 betrifit, Ôç à9 on, Aodos S ESÙç xie jeipe neTtTaocas dpopotépus, Oôvoeus BÈ AaBov xuce pole ét xapTO, XŒÉ [LY DOVNOUS TEL TTELOEVTE TO00NUÔE, so wäre der formale Anstoss bescitigt, wenn es hiesse appo, OBvoonos SÈ kuBoy xvge yet rt xapxo. Abe ich zweifle ob damit dem Zusammenhang gedient ist. Dass Dolios mit ausgebreiteten Händen auf Odysseus los geht lässt erwarten, er werde den heim gekehrten Herrn umarmen; statt dessen küsst er ihm die Hand. Es werden somit dem Dolios zwei Gesten beigelegt, die sich mit einander nicht vertragen. Daher môchte ich den nach Form und Inhalt anstôssigen Verso 398 cher für den ungeschickten Zusatz eines Spätlings als für fehlerhaft überliefert halten. Die meisten Schwie- rigkeiten bietet endlich 4 792, wo Antilochos sagt: Atlas pèv yap êmed OMYOY TpoYEVÉOTEOOS Éd TL, oùTos DE TOOTÉONS YEVENS LOOTÉROY T ASE OV dpoyépovra dé puy oùo ppevat doyahéoy DE noocotv épténouo at ‘AYaois, et um AyuXeË. Es wird mir lieb sein, wenn die Heiïlung dieser Stelle anderen gelingt; für unrichtig ist die jetzige Lesart zu halten nicht nur um der Form Ayset willen, son- dern namentlich auch wegen der Dunkelheit des Aus- drucks. Zu den beiden vorhandenen Dativen rocotv 13) Unrichtig schreibt man O 640: 06 EvpvoInoc déSlwy dyye— Ainc oùyveoxe Bin HpuxAnein. Es muss heissen yyehinv olpvecxe, wie Zenodot gelesen haben soll, oder dyyekéuc oïyveoxe mit Butt- mann Lexil. II p.207. In gleicher Weïse dürfte N 252 né tv dyye- \ny per” EN qhudes zu schreiben sein, nicht mé teu dyyehine, und FE 206: 19n ydp xa Seüpo mor HÂAUSE Oioc Oôuodedc oed Évex GYYE- Àëny (gewühnlich oeù Évex dyyehine, Zenodot angeblich oûc Evex’ dyyEhEne). Auch bei Hesiod Theog. 781 hat Schômann richtig toôue wxéa ‘Iorc dyyeknv nwleitar hergestellt, während die meisten Hand- schriften Gyyelin oder dyyehine bieten. Dass die Griechen statt dyyehiny Set gleichzeitig und in gleichem Sinne dyyehine ÉASeiv gesagt haben sollen, halte ich für hôchst unwahrscheinlich. Wie alte Grammatiker dazu kamen an mehreren Stellen ein überliefer- tes Gyyehény in dyyekine zu ändern, liegt klar zu Tage. Aus der Verbindung dyyehtny ëASe, wofür natürlich auch AYYEOV ÉASeiv gesagt werden konnte, schlossen sie auf ein Nomen © 0 yyehtne (Io- nisch statt 0 dyyehiac) in der Bedeutung von 6 Gyyehoe, und dieser falsche Schluss verleitete sie, Ausdrücke wie dyyehiny oÉLVEGXEY oder nAuSev Oôvooedc dyyehény in der Weise umzu: ändern, dass sie statt des ihnen unverständlichen Accus. dyyehnv den ver ei Chen Nominativus © dyyehins substituirten, bei dem Hesiodischen Aus- drucke ‘Tptc dyyekinv mwheîtar aber neben dyyekine auch dyye- Ain (was sie für ‘Botin’ nahmen) in Vorschlag brachten. Ein Mascu- linum dy yehéns hat, wie schon H. Toll richtig erkannte, nur in den Küpfen der Grammatiker existirt, und es steht dieses Product des A lexandrinischen Museum auf gleicher Linie mit dem vermeint- lichen Substantivum otatn (11. À 6) und dem vermeintlichen Adiecti- vum dvnpne (Soph. Trach. 460). r | dorbene Stelle kann also, und "A yæots muss noch ein dritter Dativus ætG (näm- lich ‘Oôvorr) gedacht werden: eine Redeweise aber wie apyahéoy rociv épiéeu Ayoucis ‘OSvocei entzieht sich dem Verständniss. Dazu komint dass die Form oudncaca oder égténoacSa weder durch Belege noch durch Analogien sich stützen lässt. Die offenbar ver- auch weun die Emendation derselben uns versagt sein sollte, das Urtheil über die Homerische Flexion der Wôrter auf eus in keiner Weise modificiren. . Zur Bestätigung dessen was über die Casus obliqui der eben behandelten Wôürter gesagt wurde, dient noch die überaus zahlreiche Sippschaft der von den Wôür- tern auf eus hergeleiteten Patronymika. Selbst bei den Attischen Dichtern sind zuweilen Formen wie Atpet- Sas (Aesch. Agam. 193), Koz{Setdot (Soph. Ant. 982, Eur. Med. 824), Oivétdus (Rhes. 906), IHmeiSas (Iph. A. 229), Pwetdaus (Soph. Ant. 971) durch das Metrum sicher gestellt: um so weniger kann man es für zu- fällig halten dass die Homerische Poesie in derartigen Bildungen den Diphthongen nirgends fordert. Aus den ursprünglichen Formen ‘Atosr{ôns [ykertôns u. ä. konnten die dreisilbigen Formen Axtpetôns Inretône u. à. erst gebildet werden, nachdem das Digamma voll- ständig geschwunden war: da bei Homer die Con- traction in diesen Wôrtern sich durch kein einziges Beispiel erweisen lässt, so erscheint es als ein Act äusserster Willkür ihm die contrahirten Formen auf- zudrängen. Mit Recht hat daher I. Bekker in der zweiten Homerausgabe die allein berechtigte Form der Patronymika zur Geltung gebracht. Einen Wider- spruch gegen dies durch die ratio wie den usus ge- forderte Verfahren werden viele für undenkbar ge- halten haben: gleichwohl hat Bekker bis jetzt wenig Nachahmung gefunden. Weil nämlich alte Gramma- tiker den Vers À 130 unverständiger Weisc zwôlf- silbig lassen, Artpelôns" To 5 œut êx Siopou youvatéo Sn, darum behaupten nicht wenige Philologen der Gegen- wart, wir müssen eben diesen Vers auch zwülfsilbig lesen, d. h. die Schreibung Axgstôns sei bei Homer unerlaubt. Auch in L 182 sucht man eine Stütze für den Diphthongen in Atoctns. Alte Grammatiker leh- ren, in den Worten 6 paxas Artociôn pLoupnyevÈs OABLOdaLOY sei der Dichter vom einsilbigen & bis zum fünfsilbigen 193 oBLoSaupoy in der Weise aufgestiegen, dass jedes fol- gende Wort eine Silbe mehr enthalte als das vorher- gehende "). Diese Argumente besagen nichts weiter als dass alte Grammatiker bei Homer ein dreisilbiges ‘Atostôns zu finden meinten, Hält nun jemand die alten xrammatiker für unfehlbar, so wäre es eben so grau- sam als nutzlos, ihm diesen frommeu Glauben nehmen zu wollen. Nur für diejenigen welche weder den Ari- starch noch irgend einen anderen Grammatiker mit blinder Superstition verehren, mag daran erinnert werden dass nach dem Muster des Homer auch die späteren daktylischen und elegischen Dichter die Pa- tronymika auf eôns (nicht auf e‘ôns) auslauten lassen. Eine Ausnahme bilden, wofern wir von dem äusser- sten Verfall Byzantinischer Barbarei absehen, meines Wissens nur einige Patronymika auf one °), die in der vorletzten Silbe einen Diphthong zeigen. Theocr. 17, 26: apoo ii TOC YOVOS GIV © XAPTEPOS His das. Diog. L. 5, 90 (oder Anth. Pal. 7, 114): a aVSLOTOLT! an outty Honxhsidn, Antomedon “anthi Pal. 11,319: dei dë xat Hoaxhelèn vonyntäot doïnvaz. Corp. Inser. 6750, 10 vol. 8 p. 1023: tn dexatn pouay ro hadsù copès Hpaxh:ôncs. Lucillius Anth. Pal. 11, 210: cudevi D où [lolo toogépyetat, où EtTpato- xhet5n ). Die von der Endung eus hergeleiteten Pa- tronymika zeigen dagegen bei den daktylischen und elegischen Dichtern der besseren Zeit durchweg die Endung <5ns. Der älteste Autor der sich von diesem Gesetz vollständig emancipirt hat, ist meines Wissens Se ES 14) Auf diese von verschiedenen Grammatikern mitgetheilte Beobachtung bezieht sich das Berner Scholium zu Verg. Georg. 1, 332, wo über den Vers aut Athon aut Rhodopen aut ulta Ocraunia telo bemerkt wird: potest adfectus ordo videri, crescente numero syllaba- rum per aucta montium nomina, quod genus et apud Homerum in- dustrie factum invenitur, cum idem versus ab I syllaba incipiens us- que ad V decurrit. H. Hagen hat den Sinn dieser Worte unrichtig aufgefasst, wenn er p. 872 bemerkt «contrariuwm notatur schol. M 208.» 15) Wie [nketôns von [nhéoce hergeleitet wurde, so führte der rh “Hpaxh£cos Zunäc hst auf Hoaxkeetônc, was dann in ‘Hou- setôns und endlich in ‘Hoaxhsiôns contrahirt wurde: obwohl bei HS (B 653. 679, E 628) ‘Hpaxhstôns zulässig und unbestreitbar nothwendig ist. 16) Hierher würde auch gehüren ein unter dem Namen der Sap- pho (fr. 118 Bergk) überliefertes Epigr ramm, Anthol. Pal. 6, 269: Épuoxhetrao toc GÜY dia as wenn es fest stände dass man mit Bentley Epumoxetô wo oder mit Bergk ‘Eouoxketduis zu schreiben hätte. Aber bei Sappho wenig- stens ist ein viersilbiges Egpoxkeiduc durchaus unvabrscheinlich und vüllig undenkbar: wie auch Meineke urtheilte, wenn er à Epuo- xhetôa besserte. Tome XVII. des Sciences de Saïint-Pétersbourg. ISaxns Auxedatpovos 194 der Byzantinische Versificator Tzetzes in seinen Ho- merica und Posthomerica, wo der Diphthong in der vorletzten Silbe dieser Wôrter ganz alltäglich ist. So lesen wir Hom. 59: Magiovns Pépexdov, Mnôaioy à aûte Du- ELOrIS : adtap ênet Tudeidou ASnvain te ai "Hon. : vOTE Bocs pe yadoto, To oi tote DOxEY ATpei- ons: : @ç tôt Atoctôns, cUd:voT Oops TÉOY HAN. 5: xat ter Atoctns xot Néctop oûv Teaua- TÉQUOLY. : adrap Etre Baoupnvv étauce yorcv [n- Xeiônc. Jos rec radtg [nksôns "Extoow -téqvev. : cupatæ, Tag [Inastôov mohÂées TES. lc YaYov- Posth. 202: qro yao [nhstôns pugeto, 6s éteoker. j: xai téte Ôn ludsiôns, Ocoottao ohodets. : Tôv pèv émet ATtos/Ôns v XAGUNOL KATÉOYE. 4: Sonero xat Tudstôns" T'ooct dE piySev tovres. GXX 'Odvoeds Tudstôns + «0 xatépuEav Lov- TE. : XX de Atouudoôv Bardv T ahoy etdoc éVGT oO. Ein würdiges Seitenstück zu dieser abscheulichen Poesie bilden die vermuthlich jüngeren, sicherlich nicht besseren metrischen Inhaltsangaben der Odyssee bei Dindorf Schol. Od. p. 2 f., wo in vierundzwanzig Hexa- metern zwei Patronymika in der vorletzten Silbe den Diphthongen zeigen; p. 2, 25: déita, LAS api ra- roès rap Atesida hogouevos vios. p. 3, 9: où, étéin 26 Ojvoetdns. So lange gegen Atocôn:, [MnAstôns und entsprechende Schreibungen bei Homer nicht gewichtigere Autoritäten als Tzetzes und Consorten sich geltend machen lassen, wird es erlaubt sein an das bekannte abusus non tollit usum zu erinnerp, das hier hinausläuft auf ein «abusus con- format usum». Die Form nxrto oder ëtxro ist abzuleiten nicht, wie es vielfach geschieht, von dem Perf. éctxa, sondern von dem Präsens &sxo. Da dies Verbum von Haus aus reroxo lautete, so ist statt mro oder ëxro als ursprüngliche Form érérxto vorauszusetzen. In der That ist diese ursprüngliche Form bei Homer überall zulässig, und eben deshalb künnen wir nicht umhin 13 195 die allein richtig gebildete Form in der Homerischen Poesie für allein berechtigt zu halten ”). Es wird also zu lesen sein 4 107: xat por ÉxaoT EmétehX : 5 (gewühnlich ététehhev' étxro à) 3 796 (v 288. x 157. v 31): dépas À Edxro (gewühn- lich Sépas à mure) yuvauxr. Aus dem ihnen vorliegen- den Homertexte haben gelehrte Dichter das Plusquam- perf. muero oder ëxre tentichae: kein Wuander wenn bei ihnen üfters der Vers gegen die ursprüngliche Form sich sträubt. Apoll. Rhod. 2, 39: Fofns stvar nxro Téhop téxos. 4, 1612: qunv Éxmayho xro. Lou- phor. fr. 77: 6s $@ te räctv äxto. Quintus Smyrn. 5 28: Sevouévo © mure. 7, 567: qe À mxto Toxnl. 2,411: patvouéo à mure. Nonnus Dionys. 42, 156: qunv mure Seatvnp. 43, 12: xai nhéov nSeke Baxyov: ro de Amaveton. 47, 535: pavrimoho Ô muero Me- Xauroù. Christodorus Ecphr. 20 u. 348 pèv dxto. 321: forato Seios “Opnpos” étxro pv avdpi voñoor. — Ein Perfectum éypat oder neypat (ursprüng- lich rérryua) kennen wir, abgesehen von der sicher- lich interpolirten Lesart rocomËéar Sas bei Eur. Ale. 1063 und der vermuthlich auf diesen Vers zurück- gehenden Glosse des Hesychius recomxtar tocoëcixe, nur aus Nic. Ther. 747: ei à days puouvxetov, © Ôn puppnév äxror, Alex. 377: O7N te Boocis Ts rapa gropateootv ëxtar, Ther. 658: 0 pèv Éopoztdsros oTnv meta oxchupo. Vielleicht aber ist eben dies Per- fectum herzustellen Od. à 27, wo man jetzt liest: avège duu yeven à Auôc peyahoto éturov (oder étxTtnv), angeblich eine syncopirte Form statt éoxatov. Hine regelrechte, dem Plusquamperfectum ééxro (eig. êré- rxto) genau entsprechende Form bekommen,wir, wenn geschrieben wird ysvsÿ dè Atos peyahoo dySov (eig. rértx30v). Ist dieser Vorschlag berechtigt, so wird in gleicher Weise das Plusquamperfectum {Sn (eig. rer Snv) statt ééxrav zu setzen sein À 104 (oder à 662): ace Dé où nupt hauretcovtt &xrnv ‘). D 285: ÉÉLXTO Séokehcy aÙto. : CXETTOLEVO JEpas 17) I. Bekker schreibt in der zweiten Ausgabe in der Ilias Zruxro, in der Odyssee dagegen “rt4ro: eins so unberechtigt und un- môglich wie das andere. Nicht minder seltsam gibt derselbe Ge- Ichrte ® rnricxouev (statt érerioxousv) und à 247 rrioxev (statt 2rérioxev), wie sonst rnvusoey statt ravacosv u. ähnl. 18) Die Worte 0oce Dé où mupt kauretowvre éfxrny kehren wieder bei Hesiod Scut. 390, wo Güttling Etxtoy schrieb, Bernhardy dagegen (Grundr. der Griech. Litt. 5. Bearb. IT, 1 p. 320) sagt «in dem eus 11. A 104 kompilirten v. 300. ist das Tempus verfehlt». An der Ile- siodischen Stelle dürfte dahcr étxtnv so wenig anzufechten sein als etwa bei Tzetzes Posthom. 66: xoi yountoi mep Éovtec* ï uÿte EXT NY. 299 295 fwoic Ô Bulletin de l’Académie Hnmpériale oo + 196 ÿ avôpeoot Extrnv. 4 379: aiet yao dipoou Ertfnoopé- veuor Etxrnv. In jedem Faille bietet sich, wie mir scheint, für &xtov und &xtny keine hiureichende Stütze, weder an den Attischen Formen cuypev und £i£æov, noch an Bildungen wie étértS$hev avoypev rérece u. ähnl. Für das bekannte Nomen atn sind hie und da die dreisilbigen Formen &atn und avarn überliefert. Callimachus bei Herod. rep! pov. ÀcE. p. 42,928 (p. 148 Lehrs): site puy "Aoyeloy joû xakéers aan (vel. meine Eurip. Studien IT p. 159). Pind. Pyth. 2, 28: ax no. viy DBots sis datav Orepdonvoy Gpsev. 3, 24: Êaye vot- avtav peyahav Garav. Theognis 402: roïkaxt D ets aarnv ) omeuder avno xép3os Siémmevos. Archilochus bei Clemens Alex. Strom. VI p. 739: muTaaxoy, xaf Toù mY Xhoy adarn ) xuynoato. Ein unbekannter Dichter bei Gaisford Etym. M. p. 1422 KE: axcpeotov avarav. Wer diese Variationen desselben Nomen mit einander vergleicht, wird nicht umhin kônnen arr für die jüngere, aus dem ursprünglichen ararn entstan- dene Form zu halten. Aus #ratn wurde einerseits avatn, andrerseits œatn und #Ttn, wie ctwa értôov theils in edtôcv theils in sdev überging *'). Daraus aber folet dass man bei Homer statt des zweisilbigen atn vielmehr die ältere dreisilbige Form datn (cig. 4ratn) erwarten muss. Dieser Erwartung entspricht nicht unsere Ueberlieferung, wohl aber die Stellung des Wortes an im Vers. Das ziemlich häufige Nomen ax ist bei Homer wie bei Hesiod fast ohne Ausnahme so so dass die anapästische Messung zulässig ist. 19) Denn so ist mit Ahrens die fehlerhafte Ucberlicferung ets GET zu emendiren. Für zwei Aeschyleische Stellen hat die Form durn in Vorschlag gebracht Meineke Philol. XIX p. 199. 240, indem er Agaun. 730 unhogovorc datarouv und Suppl. 110 &tuv Ô Gate je zæyvobs vermuthet. 20) Bei Clemens ist äxhov 50° Grn überliefert, wofür neucre Kri- tiker GAlov 9 &An oder 4XAoY 9 päatn oder dutn vorge- schlagen haben. Das evident richtige &Akoy a«darn verdanken wir Schneidewin. Andere meinen in &@tn habe die erste Silbe auch eïn- mal verkürzt werden kônnen, und berufeu sich, um diese trthüm- liche Voraussetzung zu begründen, auf das Homerische adtéw, von dem unten die Rede sein wird. 21) Vel. Bulletin VI p. 15 f. oder Mélanges Gréco-Romains IT p. 408 f. Mit dem Schwanken zwischen ov und or lässt sich auch vergleichen die Schreibung Narréxrioc statt Nauraxttoc in der von Vischer im Rhein. Mus. N. F. XXVI besprochenen Lokrischen In- schrift. — Eine Spur von gratn hat Ahrens de dial. Dor. p. 55 rich- tig erkannt in zwei Glossen des Hesychius, dyatacSur Bhanteodor und Gyamumatr BéBaauue. OÙ die jetzige Schreibung dieser Glos- sen ridhtie oder fehlerhaft sci, mag dahin gestellt bleiben: unter allen Umständen aber steht das Gamma, sei es in Folge lautlicher Verävderung, sei es in l'olge eines Irrthums der Grammatiker, statt des sogenannten Digamma. ko Le 197 Wie es À 412 heisst: nv atnv (Wo auch nv aatrv ste- hen kann), 6T agtoroy Ayatôv oùDèv tuoev, so fällt die Wurzelsilbe in die Verssenkung auch B 111. 8 23 1,18.115:504. 512. K 391. IT 274.805. T 91.126. 129.136. 270. Q 480. à 261. pu 3 PUR 0 œ 302. 4 293. Hesiod. Theog. 230. Op. 216. 231. cn 413 Scut. 93. Diesen siebenundzwanzig ra en die Form aan vertragen, steht in der Homerischen und Hesiodischen Poesie entgegen eine einzige Stelle zu Gunsten des zweisilbigen atn, IL. T 88, wo Agamem- non sagt: 2yo © oÙx aïtios el, aka Zeû: al poîpn xai nepopoitts égivus, oÙ té por eiv dyooû pocciv épfahcy ŒYELOY ATNY quarr TO OT Ayuos yéaus ati ATNupov. Diese Stelle scheint aber an einem Done zu leiden: weder halte ich ærnv épBahhervetivé in der voralexan- drinischen Zeit für môglich, noch glaube ich dass man von einer æygtes 47n reden künne *). Hiernach müs- sen wir es für entschieden irrig halten, wenn man an zwei bis drei Stellen der Ilias (F 100. Z 356. Q@ 28) den Versausgang AXcéavSoov vex arns noch jetzt dul- det, wo die alte Variante AXcËavdoou vx aoyns we- nigstens metriseh richtig ist: wie denn auch Ruhnkens Vorschlag Atyy te (statt AnSnv te) Auuey te bei Hesiod. Theog. 227 als schlechterdings unstatthaft zu bezeich- nen ist. Spätere Dichter, welche die zweisilbige Form atn gebrauchen, stellen das Wort, wie es in der Na- tur der Sache liegt, übcraus häufig so dass die erste Silbe den Versacecnt bekommt, die dreisilbige Form also gegen das Metrum streitet *). Dass bei Homer 22) Manche werden vielleicht ppeciv éufuloy &yprov opynv ver- muthen: diese Aenderung wäre zwar leicht, aber nicht wahrschein- ich, darum weil das Wa Seyn der Homerischen Poesie fremd ist. Dar würde ich Bahoy Gyproy ëv wpect Juucv vorziehen, WAS Zu- nächst durch ein unwillkürliches Versehen in gpsoiv d'yo10y Eufahov Sugov und dann in Folge unrichtiger Correctur in die jetzige Lesart übergehen konnte. Doch künnten auch FT 88 und 89 eine spätere Zuthat sein. Dass Apollonius Rhodius 1, 803 ÉpBakev «ray sagt und dass Apollonius Dyscolus de synt. 3, 7 p.209, 5 dyptov ätnv aus der vorliegenden Stelle anführt, reicht nicht aus um die Richtigkeit der gangbaren Lesart zu sichern. 23) Ohne langes Suchen bicten sich folgende Belege dar, die ich zum grüssten Theile der Re a von Lehrs Popul. Aufsätze p. 223—230 verdanke. Solon fr. 15, 13: Taxéus w dvaicyerar d TN Theognis 108: x yaheroïo movou ‘Sicaure Xat GTNS. 119: GVGLETOS atn. Panyasis bei Ath. I p. 86 D: TÔte Ô Üfpros aiox xui arnc YÉYYETUL dpyahETe Emped, 386: ATNS Gv Aetuova. Apoll. Rhod. 118 274: DÉDETAL HÉGD EvSosen ary. 1, 803: JupopSopov Épfahev aTv. 1, 1288: Brpein veto y ar. 2, 623: HA NV xa dunyavoy arnv. 3, 6: xÉdp GUVOpÉVETEL AT. 5, 306: né tie Ci 0. 9, 504: T0 dpnxavin TE XOTNPÉES. 4, 235: énv Érodéymevot are 4, 817: xai Yap te: Seal éruviocetur arm. Oppian Hal. 3, 268: aitap © y arnv xaprakiuuwc des Sciences de Saint- Pétersbourg. 198 und Hesiod durchgängig, mit Ausnahme einer einzi- gen, vermuthlich fehlerhaften Stelle, die entgenge- setzte Stellung beobachtet wird, kann weder zufällig sein noch aus einem anderen Grunde erklärt werden als daraus dass diese Dichter die ältere und eben des- halb bei ihnen mit einer gewissen Nothwendigkeit zu erwartende dreisilbige Form 4a4rn gebraucht haben. Die Form &axn ist somit an 21 Homerischen und an Hesiodischen Stellen zurückzurufen. Für Hesiod Op. 352 hat schon Meineke Philol. XIX p. 199 xaxd xépdso to aarystv empfohlen: weshalb er gerade hier äärn Verlangte, sonst dagegen in der ältesten Poesie die jüngere Form &tn duldete, ist mir ein vollständi- ges Räthsel. Sollte jemand zum Schutz des zwcisil- bigen atn bei Homer sich auf Y 332 berufen, Aivelu, vis o ode Seôv atTéovra xedsve: avria Tansiovos ÜrepSuporc maysc So, so mag ich nicht geltend machen dass hier die Varian- ten xatéovro und aéxnte überliefert sind. Es genügt an die Länge des Alpha in 4tn zu erinnern, wonach atéovta nur als Antibacchius —— 2 gemessen werden kann und nichts uns hindert aatéovra oder besser aaredvra zu schreiben. Der Synizesis in dotéovra würde am nächsten kommen aentréovres H 310 (vgl. auch étopSeoy À 308. &ppeov À 2892. mhaoteov O 21. myiveov E 493. mofSpeov x 204. pépeov y 456. ÿrecv o 337. édeueo P 142. ioyeo w 323. yovacos Z 390. @ 495. ypuceov Z 290. À 569. Supeov 240. 340. éwvecpyuter À 312): für die Contraction tareovra spre- chen sthsuvtæ ethsdvto Sedvto xahedvtes xwhedvyTO oùvo- XoEbvTEs apapayedvre ÉÉstehebvte qihedvras auteuy YE- yoveuy opéeuv und ähnliche Formen. Die von Pind. Pyth. 10, 56 gebrauchte viersilbige Form nee 5 pass an den drei Homerischen Stellen Il. B 752. 753.757, wo der Name dicses Flus- ses sich nl ee dies nicht zufällig ist scheint hervorzugehen aus dem Gebrauch der späteren Epi- ker, die fast durchgängig auf die erste Silbe des Wor- tes den Versaccent fallen lassen. Vel. Hesiod Theog. 343: [nvetov te xat"Eopov. fr. 81,,2: Ilnvetod tag 5309. ne Rhod. 2, 500: £kos tapa [mvetoio. Anth. Pal. 7, 289: éni otoua Ilnvstoio. 7, 550: [Inveuod FAEAE 4, 247: nue dé tué ÉGRUGEY arm. Nonnus Dion. 11, 118: Savarnpopos "Atn. Tryphiod. 313: pItotphootoc atn. 411: Baabiopo- vos ar. 492: rer atn. 673: Rav ApuLOv at nv. 683: oheointoky arnv. Quintus Smyrn. 1 YAGGGæY dvardéa TÉVUTEL ‘Ath. 5% 660: BeBapnores àrn. 4, 201: Jc0c Badev né tie àrn. 5, 323: dTn avunom. 13* ro RATES 199 Tag x=0po. Nonnus Dionys. 27, 273: œuyas cos. Quintus Smyrn. 11, 88: 6 axo Ilr- vetoù rotooÿ xfev. Orac. Sib. 3, 146: apyrya [nveo. 5,134: [nvetos BaSupous. 14,140: xai ër opouot IIn- vetoto. 14,216: où reot Imvetov. In den Hexametern der Rümischen Dichter finden wir die dreisilbige Form, de- ren sich auch Callimachus bedient hat, vel. Del. 105: pedye dù xai [Inveuos Ehocouevos dx Teuréov. 121: ri S don mai TImveroc aust8ero Saxoua XeBov. 128: n arohéoSon mou TC tot Imvetov; Wie [lnveios, so ist auch Apsics und Ersoyeios in der Homerischen Poesie über- all môüglich und durchaus nicht unwahrscheinlich. In dem Nomen Q@ptov sind wir gewohnt die mitt- lere Silbe zu dehnen, wie sie allerdings im Epos durch- weg jetzt als lang erscheint und eben so bei den Rômi- schen Dichtern, die hinsichtlich der Quantität der ersten Silbe schwanken (rabidus comes Orionis und nimbosus Orion). Die Rômischen Dichter dürfen in- dess, wo es sich um die ursprüngliche Messung eines Griechischen und bei den uns erhaltenen Gricchischen Dichtern überaus häufig vorkommenden Wortes han- delt, nicht als maassgebend betrachtet werden, und das Griechische Epos kann im vorliegenden Falle dar- um kein vollgiltiges Zeugniss für die Länge des Iota ablegen, weil Qotov mit kurzem Iota dem Hexameter sich nicht fügte. Diejenigen Griechischen Dichter de- nen die Einschliessung einer Kürze zwischen zwei Län- gen durch den Vers gestattet war, messen fast ohne Ausnahme *) Qpotov als Creticus. So Pind. Nem. 2, 12: un TnoSev Qgova vaioSas (das Metrum wie in éaxroy énéov Ta TCAX œotdoi). Eur. Hec. 1101: vhemetès ets péhaSpov Qoiov. Hel, 1490: "Qofovx + évuytov. Ion. 1153: Éxpnons Qotov UnepSe dé. Cycel. 213: ta T Aoton xai Tov Qofove Sépxouar. Anacr. Anth. Pal. 11, 48: pn oruyvov Qolove. Eben so finden wir 7 O TE 24) Die einzige Ausnahme bildet meines Wissens der Spätliug Babrius 124,16: mot évvuyeuer ypuooroËoc Qpiwv. Wie viele andere Einzelheiten der Sprachform und der Metrik, s0 macht auch diese Freiheit es wahrscheinlich dass Babrius nicht um 250 vor Chr. G., sondern ungefähr 400 Jahre später gelebt hat, Er dürfte zu setzen sein in die zweite Hälfte des zweiten Jahrhunderts unserer Zeitrechnung, womit es sich schr wohi verträgt dass Dosi- theus zu Anfang des dritten Jahrhunderts nach Chr. die Fabeln des Babrius benutzt. Wenn ich übrigens auch keine allzu günstige Meinung von Babrius hege, so bin ich doch weit davon entfernt ihm das elende Machwerk zur Last zu legen, das als «Babrii fabularum sylloge altera» in der zweiten Ausgabe von Bergks An- hologia lyrica p. 290 — 342 hôchst überflüssiger Weise gedruckt worden ist. Bulletin de l’Académie Impériale 200 omnote [nveroïo | durchgängig ein kurzes Tota in der viersilbigen Form Qagtov, die bei Griechischen und Rümischen Dichtern zuweilen überliefert ist. Corinna fr, 2 bei Apollonins de pron.p. 358 B: wxuo 0 peyahooSévers Quplov (wa- guov cod.). Pind. Isthm. 4, 49: où yao quotv Qagto- velav Éhayev. fr. 50: ahcyo rot SopaySeis ÈtEZ aho- rex Qapiov. Callim. Dian. 265: où8è yap ‘Qros oùdè pv Quofoy œyaSov yaoy épynoreuoav. Nic. Ther. 15: BototTo Tiuyouca xaxov popov Qapiow. Tzetz. Hom. 51: oùx te Zcipgros aotno oxbhuxos Qaptoves. Catullus 66, 94: proximus Hydrochoi fulgeret Oarion. Ratilius Namat. 1,637: namque procelloso subiungitur Oarioni. Hiernach müssen wir annehmen dass in Qotov das lota von Haus aus kurz ist und dass eine Verlänge- rung desselben lediglich durch das daktyliseche Metrum bedingt sein konnte. Vergleichen wir nun die Formen “Qagtov und Qgtov unter cinander, so ist die dreisil- bige Form offenbar nichts weiter als eine: Verkürzung der viersilbigen, d. h. wir haben in Qagtov die ältere und ursprüngliche Form. Sollten nun die ältesten Dichter gerade die jüngere Form Q@ptoy vorgezogen haben? Es erscheint dies als unglaublich, zumal wenn wir bedenken dass der Choriambus Qaptov dem dak- tylischen Metrum durchaus entsprach ”), der Creticus 25) Vielleicht ist Qaptwy sogar erst zu Gunsten des heroischen Verses gemacht aus einer noch älteren Form Oapiov. Allerdings ist diese hie und da auftauchende Schreibung bis jetzt nicht hinrei- chend gesichert; aber wer die an den Namen des Orion sich knüpfen- den Mythen betrachtet, wird einräumen dass es vorzugsweise ver- lichte Abenteuer sind, Attentate auf weibliche Keuschheit u. dgl., die von dem mit gewaltiger Kürperkraft ausgestatteten Riesen be- richtet werden: wonach es nahe liegt seinen Namen, über dessen Jrsprung die Ansichten der Etymologen weit aus einander gehen, mit oap und Sapi£ety in Verbindung zu bringen. Nebenbei bemerke ich dass es mir unbercchtigt scheint, wenn man E 486 gegen alle Analogie schreibt guuvéuevur @pecoiv (I. Bekker rwpecotv) statt auu- vépevar dapeocev. Ein Derivatum dieses Namens ist verdunkelt bei Theocr. 27, 26, wo der verliebte Daphuis sagen soll: oùx GO UVAV, oÙx Ghyos Êper yamoc, GAÂd xopetav. Dass das letzte Wort fehlerhaft ist, glaube ich Eurip. Stud. IT p. 54 Anm. dargethan zu haben: den daselbst mitgctheilten Emendations- versuch xopeta halte ich jedoch, wenn auch das Hyperbaton durch Stellen wie Callim. Lov. 66: où 6e Seuvy Écañva mahot Séouv, Épya OË xetpwv, entschuldigt sein sollte, für durchaus verfehlt um des Sinnes willen. Es wird vielmehr heissen müssen oÙx GO UVAY, oUX GAYOS ÊYEL GO, AÂX ORPLOTUWY, nach einer Vermuthung die mein verstorbener Freund und chema- liger College Hermaun Täuber mir auf Anlass des zweiten Theiles meiner Euripideischen Studien brieflich mitgetheilt hat. Erst durch diese Aenderung bekommen wir eine passende Antwort auf das vapor mAnSovoiv dviac des widerstrebenden Mädchens. Eine Unter- stützung der Täuberschen Emendation finde ich in der Ueberschrift des 27. Idyllion, ôæpcotdce Agpvudoc xal xopne. Schwerlich wäre 201 “Qotuy dagegen nur mit einer metrischen Licenz sich im Hexameter verwenden liess. Ferner kann es be- fremden dass die Griechischen Epiker, um den Creti- eus Qptov für den Hexameter brauchbar zu machen, lediglich zu einer Verlängerung des kurzen Iota grif- fen, nicht etwa, wofür sonstige Analogien sprachen, in den Casus obliqui statt ovos ow ova die Endungen ovos ow ovæ eintreten liessen. Das auffallendste aber scheint mir, dass dem irrational langen lota in Qotov niemals der Versaccent zu Hilfe kommt, dass vielmehr bei den Epikern die erste Silbe des Wortes stets zu Anfang eines Versfusses stcht, die zweite Silbe also in die Senkung fällt. X 486 (ähnlich Hesiod. Op. 615): IDmadas 5 ‘Yadas ve To Te oùévos Qoinves. E 488 (e 274): n T adtod otpéoetar xat T 'Qoiuva Joxeust. X 29: Ov te xuv Qoéovos értxAnotv kadéououv. € 121: Os pèv 6T Qpéov Este bododaxtudos Hos. À 310: rai Rod xahAaTous pat Ye XAUTOv Qotova. À 572: Tov SE pétT Qolova rehogroy etosvonca. Hesio Op. 598: Swéuev, eût &v roûta pavy aSévos Qolovos. 609: EÛT dv © ’Qptoy xat Zetptos Es pécov EAI. 619: aSévos oBoqov 'Qptovos. Archestratus Ath. VII p. 321 C: du- voyros év ooav® Qotuvos. Arat. 232: Éwvn tepttéhe- rot "Qpiovos. 310: dSpces Qplov. 323: "Qotov: pr veivov Gris xaSaon vi vuxté. 338: nocoiv à Qpluvos ÔT dupotéociot Aayoss. 361: xal ro pèv Qoiavos. 518: Euvn eupeyyéos Qplovos. 588: apmpotépoust pa- euvos duo "Qpfuv. 636: pofée. péyav Qoiova. 639: xaptepès Qotov. 646: cxoontou Qptova. 677: xatép- xetot ’Qotovos. 730: arôv êr ’Quéova pévey. 754: ets éayarov Qolove. 755: xuva te Spacuv Qotovos. Theocr. 7, 54: xumata xoptov. 24, 12: Qpfova xat aÿtév. Apoll. Rhod. 1, 1202: &Xcoîo Suots méhst Qoio- vos. 3, 745: dotéous Qotwvos. Leonidas Anth. Pal. 7,273: Brad Qplovos: drwnsSov dë Blouo. Theodorid. ibid. 6, 222: dr Qotow xuxnSets. Marcus Argent. ibid: 7, 395: ovguos 6t 'Qotovos. Nonnus Dion. 1, 234 (38, 399): Qoéov Étpoc sihxe. 1, 359: sEtèv Qpiovt. 2, 306: Apteus 'Qplovos. 3, 3: Qpiovy avétehhc. 4, 193: fuepov Qotovos. 4, 338: y mor Qptove. 5,510: où xuves Qotova Gécracav. 5, 517: fotaciv Qotove. 11, 390: xai Qotovos onornv. 13, 99: "Qoéov tord- top. 20, 83: où Spaotvy Qptova. 25, 357: tés Etpos "Qplovos. 33,127: urupov Qotovos. 38,336: pn Sou- ein Grammatiker auf das dichterische Wort oœprorue verfallen, wenn er es nicht in dem Idyllion selbst gelesen hätte. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 20? A oùs Qotov. 38, 374: étoeuev Qolov. 42, 246: apyu- pov 'Qotov. 44, 305: où Spaaus Qpiov. 48, 398: Ts ray Qplov ce Buaéstar. 48, 419: où véos Qolov pe Btateto. Mancth. 2, 86: Snooxtoveu Qptovos. 2, 126: xopuoñs S Unep Qolovos. Musaeus 214: où Soacuv "Qotava. Quintus Smyrn. 5, 368: reptxurov Qotove. 5, 404: évañéyxios Qptow. 7, 304: rott xvépas Qoto- vos. Orpheus Lith. 489: a&yhass Qofov oùx Éxhuev. Orac. Sib. 5, 519: xœt Evyov Qofov arevocotce. 5, 523: ëSetz yae Qolovæ. An allen diesen Stellen (es sind ihrer 62) ist der Choriambus ‘Qoagtov môüglich, und ich glaube nicht dass aus irgend einem Griechischen Epiker eine andere Stellung des Wortes Qotov sich nachweisen lässt. Dieser Umstand spricht dafür dass die Griechischen Epiker nicht Qotov (—-—-—) sondern “Qagtoy (—--—) gebraucht haben. Allerdings wird im daktylischen Hexameter ein aus drei langen Silben be- stehendes Wort mehrentheils so gestellt dass die erste und letzte Silbe den Versaccent bekommen: aber gleichwohl kann ich es nicht für zufällig halten dass die Casus obliqui von Qofov überaus häufig den Hexa- meter schliessen (vgl. die sorgfältige Abhandlung von Arthur Ludwich de hexametris poetarum Graecorum spondiacis p. 72 f.), für den Nominativus dagegen nicht ein einziges Beispiel sich nachweïisen lässt. Dass an allen oben verzeichneten Stellen der epischen und ele- gischen Dichter Qagéov zu setzen sei, lässt sich frei- lich nicht behaupten, zumal da die Zahl der Belege sich in sehr ungleicher Weise auf die einzelnen Dich- ter vertheilt: aber für Homer und Hesiod wenigstens müssen wir entschieden die viersilbige Form Qaptuy erwarten, deren Andenken selbst in sehr später Zeit nicht vllig erloschen ist. Dass die Abschreiber ge- neigt waren die jüngere Form zu bevorzugen, lehrt Nic. Ther. 15, wo im Codex G die zweite Hand das Alpha der Form Qagtow getilgt hat, wie Callim. Dian. 265, wo die Handschriften zwischen Qaptov und Qpotoy getheilt sind. Unabweisbar nothwendig ist die viersilbige Form bei Nonnus Dionys. 42, 246, wo in der Lesart der Handschriften und Ausgaben, doyuecv ‘Qofov oùx oxacev Hocyevetn, die beiden auf einander folgenden Spondeen gegen ein Gesetz verstossen, das in den 48 Büchern der Atovu- otaxæ mit äusserster Strenge beobachtet wird. Unsere Grammatiker behaupten einstimmig, dass die Wäürter auf 6: und @ im Gen. Dat. und Accus. 203 Sing. selbst bei den Epikern und Tonern durchgängig contrahirt werden: diese Ansicht ist jedoch, was die Homerischen Gedichte betrifft, entschieden irrig. Hier lassen sich die offenen Formen in der Flexion dieser Würter so klar und unzwceideutig erkennen, dass man sich wundern dürfte sie von den Herausgebern ver- schmäht zu sehen, wenn nicht das gedankenlose Fort- pflanzen der von den Alexandrinischen Grammatikern überlieferten Fehler in der Homerischen Kritik ganz an der Tagesordnung wäre. Bekanntlich vermeiden es die Epiker, einen Hexameter, in dessen fünftem Fusse ein Spondeus steht, mit einem zweisilbigen Wort zu schliessen: am anstôüssigsten aber sind solche Hexa- meter, wo der fünfte Fuss von einem aus zwei langen Silben bestehenden Wort gebildet wird. Die meisten Verstüsse gegen dieses Gesetz, welche in dem über- lieferten Homertext sich finden, beschränken sich auf die Casus obliqui des Wortes 165. Wie es nicht er- laubt ist mit xahsnn à 24e Onpou omuts oder co dovo: apow xotAns einen Hexameter zu schliessen, so kann ein Versschluss wie épztvauey 10 dtav oder oracoeu aidct eixov nur einem ganz elenden Versificator zuge- standen werden: d. h. wo in den Handschriften und Ausgaben des Homer 6 dtav und aidot etxov als Vers- schluss steht, müssen wir 104 und ætôct herstellen mit Gerhard Lect. Apoll. p. 143 ff. Gegen diese Aende- rungen sich sträuben heisst zu Gunsten einer unzuver- lässigen Ueberlieferung auf eigenes Urtheil vollständig verzichten. Wie wenig die Handschriften in derartigen Fragen entscheiden, kann man bei Pindar wahrneh- men, der den Gen. Acos (Nem. 6, 52) und den Dativ HuSc (Isthm. 6,51) gebraucht hat. In den Pindarischen Handschriften ist von diesen offenen Formen keine Spur zu finden: an beiden Stellen hat man nur ver- muthungsweise dieselben gesetzt, aber dass Pindar wenigstens den Dativ Huy gebraucht hat, ist nach- träglich bekannt geworden durch das Zeugniss eines Grammatikers (Choerob. in Theod. p. 332, 31). Wie die Versausgänge 00 Stav und æidct stxov bei Homer nothwendig sind, so sind überhaupt in der Flexion der Würter auf 6: und © die offenen Formen mehren- theils zulässig und nicht selten durch den Rhythmus gefordert, die contrahirten Formen dagegen nur an wenigen Stellen durch das Versbedürfniss gcboten und zum Theile meht hinlänglich gesichert. Dies geht her- vor aus der nachstehenden Uebersicht. € Bulletin de l’Académie Impériale 204 1. Gen. y 14: Tépax, où pév 0€ yon ÊT æœidcos 008 mBoucv. à 480: Tuyÿs Éyopo eist a œidooc, où- vex Gox ooéas. O 349: l'osyocc oùwar (oder ox) Exov nè Boorchoryoù ’Apnos. @ 508 (a 3. » 94): néoc meryeveéns als Versschluss. à 557 (e 14. 6 143): woy- ons év meyaocut Kaïubéos, 1 puv avayxn. S 452 (u. 889): Kaïvboos muxopoto als Versschluss. IT 849: ah pe proie Ghon ka AnTéos xravev vids.— Diesen gesetzmässigen Formen stehen gegenüber nur wenige Ausnahmen. v 171: cixo év aXhotpto, où æidois puoi- pauv éyouriv. @ 470: moùs Ôn xal päkkoy Uneouevéa Koovéova beau. Statt 195: las Zenodot aus: mag diese Lesart die ursprüngliche sein oder der ursprünglichen nahe kommen, jedenfalls ist die Vulgate 9005 àn zu verwerfen; sie scheint eben nichts weiter zu sein als eine Aristarchische Conjectur. @ 525: tov à moôe Tousoo: peS inrodduors æyogeuco (6 524 und 5925 aïetodvrat). à 188: tôov Hods éxtetve paervis ayhads vide. A 9: Antoës xat Atos uics. © ap Baotkie yoho- Sels, wo indess andere Antods æyhwos vios lasen und somit Antéos œyhaos viss den Vorzug verdienen dürf- te ). Æ 327: o08 omots Antoùs éptxudéo:, oùdE oed avtis, ein Vers der jetzt allgemein als spätere Zuthat verworfen wird. 2. Dat. K 238: xalhsineuv, où Ôë yetoov onaoceat œidoc sixov. à 172: aidée peuuyln. 5 324: Smautepw! il È Seat pévoy œidct oixot éxactn. Ë 505: duporepoy, énos. H 331: Tô ce yon zo- Aeuov pv au mot raïoat Ayudv. 1 618 (wie I 682. A 685. € 31. £ 266. o 396. x 270. o 435): mot pauvo- uévnotv als Versschluss. x 2: 2vruvorr dototoy au A, xmapévo TÜo. à 27: vont xawevot os. Y 72: Antor à avréotn oôxos éptouwos ‘Eouñs. —— Contra- DUTATI Ka MEDCL POTOS 26) Bei dem Grammatiker de notis veterum critieis im Anhange zum Lex. Vindob. p. 273, 15 heisst es: n O2 Ooxoùca doyaix Jude, keyonévn OË ATEAXDVOS, mpooipuiov ÊYEL ToÙto* Moiouc dei xai Arxohlwva x\utétoËoy, wc at Nixuvop uépvatar xai Kowdrne Ev troie OLopIwrixoïe. Ecvoe © ëv & LlpaËtOapavreloy pnoiv xato tivuc >yerv* Eonere vüv por, Modoat Olüuria düuar Époucur, Gnrws dn pivis te yOhos S Eke IImactova, Antoûs SYA4OV visve 0 yap Baorknt xolwIeis. Der letzte Vers ist offenbar derselbe den wir A 9 lesen, und nach dem Citat aus Aristoxenus werden wir kaum umhin künnen dort Antoos ayhuds vice für die ursprüngliche Lesart zu halten, nament- lich wegen der offenen Form Amntoos, gegen welche die Vulgate Antods xai Aus vioce sich sträubt. Eben deshalb halte ich es für unrichtig, wenn Osann in dem mitgetheilten Texte Antode © &yhaoy viov schreiben wollte, und glaube vielmehr dass uach [nyketova einiges ausgefallen ist. Ap!oTo— 205 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 206 ———————————_—_—_—_.…———— hirte Formen dagegen Q@ 607: oùvex dgæ Antoi ioa- | nicht pos S Éoneges oxeto xahimapno. [ 405: IuSci év retenécon, wo vielleicht [uSoy vi x. zu lesen ist. $ 80: HuSci êy nyaSén, Wo man [v$c à yaén oder HuSGY nyaSén erwarten sollte. Unsicher ist yosci (andere yp21f) avayzatn © 57. 3. Accus. B 262: yaaivav T ndè yrrôva, ta + ai- Sou appxaïvnte, N 122: aidoa xai vépeonw. O 561 (661): xat atôon SéoS vi Supo. X 75: aiôca + at- gyuvoor xuves. Q 111: «dc xai odTnTE. o 352: at- ca à oùx ayaSnv. E 267: 0r néa + nédev te. O 565: vSpovoy no péuvev. 1 240: œavmpevas nca Stav. I 662: noœ Stay upvev, À 723: Gr petvaysv noœ diav. M 239 (£ 26): moôs non + né re. 3 255: pi pepvépev now dtav. $ 434: ravwuyin pév £ n y: xai où reine xe- AeuSov. n 288: êr no ai pécov qua. : 151 (: 436. p 7): duetvapey no diuv. À 379: xal rev às noù Siav avacyctunr. Tr 368: Euéuvepey noù Nav. 9 497: vSpovov nc fxarto. à 318: ÉVIpovoy mon pépverv. + 50: ka nca dar uuvev, T 319: youccïoovev 0 xnrat, | t 342: évSpovor nou Siav. L 243: vuxtra pv dv repatn dcAryny yétev, nou Ô aire. À 224: ds Tixre Ocavoa xaNiragner. D 497: Anton SÈ roccéerre. À 580: Antca yao Snos. À 581: IuScad Epyopémv, falls nicht HuSGY épyopévnv zu lesen ist, wie HuSGva B 519 steht. — Andrerseits nur d 333: 6s T xt Qyvyinv vncov voupon Ts Kahudo. Von aïôos uud 65 sind abgeleitet die Adicctiva oies und æ'Soîes. KErsteres wird in der Homerischen Poesie ohne Ausnahme so gestellt, dass die viersil- bige Form notes môüglich ist. Eben s0 ist atôcies an mebr als vierzig Stellen zulässig: für œtdcios sprechen uur zwei Verse der Odyssee, wo die erste Silbe in die Senkung füllt. À 360: at x midortepcs ai œtr- têgos vSoæoy sinv, und o 578: xaxos à midcios AÀr- Ts. — Beiläufig müge hier noch eine Bemerkung Platz finden über 62 und ein dem Homer unrichtiger Weise beigelegtes Compositum dieses Wortes. Das Nomen vos lautete ursprünglich #r6s, wie aus der Aeolischen Form ado: hervorgeht. Von der Verkür- zung des ersten Vocals, die wir bei den Attikern fin- den, zeigt das Wort in der Homerischen Poesie keine Spur. Hôüchst befremdlich ist daher 4 226: mue: D Loopcocs elot mous Épéuy ét yaiav, um so befremd- licher, da éosposcs hier daktylische Messung fordert. Die ursprüngliche Lesart dürfte sein ques £omeoc: star, n De La sta!, da £onepos bei Homer über- all réoreoos lautet. Im Dat. Plur. der ersten und zweiten Declination sind die Endungen -a5 oder -ys und -0:5 bekanntlich entstanden aus -atotv -atot oder -no1v -19o2 und - tot» etc. Sehr richtig bemerkt Buttmann Ausf. Griech. Sprachl. T p. 146, dass bei Homer die längere Form die gewühnliche ist, «so dass die kürzere, da sie vor Konsonanten im ganzen nur selten erscheint, vor Vo- kalen als elidirt anzusehn ist (so gut als rap vor Vo- kalen eine Elision ist, ungeachtet xa&o auch vor Kon- sonanten steht), obgleich man, gewühnt an die Endung æus, ot aus der jüngern Prose, den Apostroph dort nicht setzt». In ähnlicher Weiïse äussert sich Thiersch Griech. Gramm. 3. Aufl. $ 164, 5 p. 245. Eingehen- . | der behandelt dies Thema ein Aufsatz von G. Gerland lin der Zeitschr. f. vergl. Sprachforschung IX p. 36 ff. der die überhaupt bei Homer in der ersten und zwei- ten Declination sich findenden Verkürzungen des Dat,. Plur. sorgfältig verzeichnet und nachweist dass diese verkürzten Formen mebrentheils vor Vocalen vorkom- jmen, bei weitem seltener vor Consonanten und am | Schlusse des Verses. Nach Gerlands Zählungen, denen :vermuthlich der Text der ersten Bekkerschen Aus- gabe vom J. 1843 als Grundlage diente, finden sich in den 48 Homerischen Gesängen mehr als 2350 un- | verkürzte Dative, verkürzte Formen vor Vocalen 374. vor Consonanten 96, am Versende 34. Das Verhält- niss gestaltet sich noch mehr zu Gunsten der vollen oder vor Vocalen elidirten Formen, wenn man den Text der zweiten Bekkerschen Ausgabe oder die Re- cension der Odyssee von La Roche als maassgebend betrachtet. Obwohl nämlich bisher kein Herausgeber des Homer beachtet hat dass in der Homerischen Poe- sie die Dativendungen æo1{v) und erc(v) als Regel, die Verkürzungen &s und os als ziemlich seltene Aus- nahmen angesehen werden müssen, so baben doch die neusten Herausgeber in vielen Fällen statt der vor Consonanten verkürzten Formen volle oder vor Voca- len verkürzte Formen substituirt, theils nach der Au- torität der Handschriften, theils um des Rhythmus willen: natürlich würden sie consequenter zu Werke gegangen sein und die ursprünglichen Formen noch weit häufiger in ihr Recht eingesetzt haben, wenn sie die Winke von Buttmann und Thiersch oder den Auf- satz von Gerland in Erwägung gezogen hätten. À 223 207 h : 5 las man LL ATHPTNQOÏS ÈTÉEO 277.11 6 326) cverdstous èmécooty, L' 38 (Z 325. N 768) aioypois Enésooty, Z 337 (x 422. r 286. + 5) padaxots énéeoow, M 267 otepeots étéeootv, « 440 ron- rois heyéecouv, t 282 dodors éréeootv. Mit ÈS Recht hat I. Bekker in der zweiten Ausgabe diese Versaus- gänge, theils nach handschriftlicher Autorität, theils nach Conjectur, ersetzt durch ataptnooiot oveueloLct ÉTECOLV, MIGYOOÏTL ÊTEUOLV, GTEPEOÎOL ÈTEO OV, tontoise Xyeoow u. s. W. Die letzteren Schreibungen sind zu billigen, nicht deshalb weil die viersilbigen Dativformen auf ésoow am Schlusse des Verses müg- lichst vermieden werden “), sondern weil die ältere Dativform auf co bei Homer die herrschende ist. Verbindungen wie Soktots énésoot» oder tontois hcye- saotv sind bei Homer in der Mitte des Verses nicht besser und nicht schlechter als am Ende. Wollte I. Bekker daher consequent verfahren, so durfte er nicht ausserhalb des Versendes Lesarten dulden wie æyavois énéeootv B 180. xeprouiors énéeoot E 419. petlyxéous énéecot(v) À 137 (1493. x 173. 442. 547. w 207. x 279. o 285. & 398). émois éréecot À 273. Aevyahéous énéesoiv Y 109. æyavois Behésoow Q 759 (y 280. € 124. À 173. 199. o 411). éxrayhos étéesoot S 77. avtBlois énéeoot o 415. v 328 + XERTOOLE ÊTé- ecotv © 240, wofür zu setzen war ape ÊTE OL, xeptoouor Ênecot, pethyiouot Emeoot(v), éfLoiot mec! . ETE0G!V, S à 2. Acvyahéoror Enecouv, dyavoior BéAs ot, ÉxTaYhoot REG OL u.s. w. So war denn auch am Versende nicht zu dulden xovoéors Semasoouw (A 3. y 472) und rss Senusootv (6 162. M 311), sondern RRELE DETATGUY UN TE- oo Séracoiv herzustellen *). Gegen die von uns ge- forderten Schreibungen würde man mit Unrecht die handschriftliche Ueberlieferung geltend machen, die weder durchweg diesen Schreibungen entgegensteht noch in derartigen Fragen überhaupt maassgebend 27) Diesen Grund macht zu Bekkers Gunsten geltend La Roche Hom. Untersuchungen p. 82, der gleichwohl Versausgänge wie 3vet- dEtotg Énéeootv in Schutz nimmt und zu zeigen sucht, was keines Bevweises bedurfte, «dass eine Aenderung von pethtyloucr, teco:v in methtytorc èméeoctv nicht ausser dem Berciche des Müglichen gele- gen ist.» 28) An die Müglichkeit dieser Aenderung dachte auch La Roche Hom. Unters. p. 83: «A 3 schreibt man yovoéot Oerucootwv und M 311 msiorc Oenaecoiv, wofür ppvcéoror, mhstotot Oémaccry môglich gewesen wäre, welche Dativform O 86 (Setxavowvro Sérucotv) als Ari- starchische Schreibweise steht». Auf blosser Uecbereïlung scheint es zu beruhen, wenn die Versenden dvetSetors êxécoc ® 480 und tpn- rois heyéecoty x 12 in Bekkers zweiter Ausgabe geduldet sind. Bulletin de l’Académie Impériale ou, Wie À 519 (B|sein kann; 208 wohl aber Se Dis zu sein x 178 (oder p 22 Ôs Éodpnv, où à Gxa pire Îs ÊTRÉEGO! TUTOVTO. Hier zu schreiben êmoîor ërecot m'Sovro müchte, ich nicht rathen; eben so wenig aber kann ich das gang- bare ènois éxéecot für richtig halten: die ursprüngliche Lesart war, wie ich glaube, émois énmiovre ëneco, woraus die jetzige Corruptel entstand in Folge der Neigung der Abschreiber die dem Sinne nach zusam- mengehôrigen Worte zusammenzustellen (vgl. Bulletin IX p.377 f. oder Mélanges Gréco-Rom. II p. 704 ff). — Einzelne verkürzte Dative vor Consonanten hat La Roche in der Odyssee beseitigt nach handschriftlicher Autorität; wie er À 603 - Tor év SAM KA Èyel xankioœuoov HBwv liest statt v Sans, und + 196 vois dXhots étapois (statt Toîs T &Adous Etap), o! au ar £rovto. Andere Verse wo noch jetzt die gleiche Licenz vorliegt, zeigen ein Schwanken der Ueberlieferung, das wohl geeignet sein dürfte den Glauben an die Richtigkeit der Vulgate zu erschüttern. So B 516 ois ênéecot gesichert (680. 733): vois dE (andere tov dE) tomxovte Vhaœu- pat vées éctiycovro. B 524 (747): vois S aua (andere rois ua) Teccapgaxovta péhatvar vies Étovto. À 132: nohha à &v Avrayorc Bouors (Avtumayou matpoc las Zenodot) xeumha xeïtar. y 490: Eva SE vuxr dec, © SÈ vois nap Éelvix Sixey (andere © à doc Éerva SG- xev). à 721: Tÿs à aôtwvov (andere tfs ddtvèy) yocwox petauda [nvekéreus. pu 258: cixtiotov dn xeîvo mots t3ov (ya t0ov Epim. Hom. p. 175, 22) coSamototv. o 60: to à aûrus (andere vois abri) wetéep leon te E mayo. X , 261 und © 490: toi Ÿ dpa (andere vote da) puSov Joy modUT\AS Dios 'OBvooets. Noch andere Stellen lassen sich durch Aenderungen die kaum als solche zu betrachten sind mit dem herrschenden Ge- setz in Einklang bringen. Dahin gehôürt À 253: èvt TOO, out Etmehos MAX AY, WO uns nichts hindert ot zu schreiben. Y 394: toy pèv Ayatôv {nro Érto00- roots daréovro, Was richtiger lauten wird éruocütecuot Saredvro. % 535: otas Ô ao év Apveiots TER TTELO- evT @ycpevev, WO geyen Apyetoor tea oder ëtn nichts einzuwenden sein dürfte. à 630: vo à vios Poc- vioto Nongov éyyuSev So, wo toi Ÿ viès oder voîcz ÿ vos zu schreiben ist. Gewaltsamere Aenderungen die man anderwärts versuchen künnte, um verkürzte Dative vor Consonanten zu bescitigen, unterdrücke ich, zumal da ich es nicht für wahrscheinlich halte, 209 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. RE ___ ‘ dass die Licenz derartiger Verkürzungen den Home- | o 264. + 105. © 298): rés roSev co avôoov. Q@ 407: rischen Gedichten vüllig fremd sei: es genügt mir dar- gethan zu haben dass die Dative auf os und œts (ns) vor Consonanten bei Homer seltener sind als man bis- her meinte und vielfach auf Irrthümern beruhen. In- dem ich eine weitere Erôterung der Frage andern überlasse, füge ich nur hinzu, dass die Form +ocè:o(o). (K 462. 8 47. 165. x 268. v 258. © 93) bei Homer in doppelter Hinsicht befremdlich ist, nicht nur um der an das demonstrative ds angehängten Endung wil- len, für die man in dem nicht hinreichend verbürgten rovècoy des Alcaeus (Ahrens de dial. I p. 126) ein Ana- logon finden wollte, sondern auch wegen des verkürz- ten vois statt toîct: gleichwohl kôünnen wir bis jetzt nicht behaupten, dass roîoô:c(o) von den Grammati- kern gesetzt sei an die Stelle von totc(v)ds. In der Kenntniss der Homerischen Formen des Ver- bum stptsind wir im J. 1860 wesentlich gef‘rdert wor- den durch einen Aufsatz von Leo Meyer in der Zeitschr. f. vergl. Sprachf. IX p. 373—389 und p. 423—431. Auf einige von ihm gewonnene Resultate hier zurückzu- kommen dürfte nicht überflüssig sein, besonders dar- um weil die neusten Herausgeber des Homer jenen überaus lehrreichen Aufsatz meines Wissens vüllig un- beachtet gelassen haben. Die alten Grammatiker strit- ten ob afuatos sie ayaSoto oder afpatos ss ayaSoio oder endlich æiyaros eès dyaScio bei Homer zu schrei- ben sei (vgl. La Roche Hom. Textkritik p. 241 ff). Leo Meyer hat beobachtet dass EIE «du bist» in den Homerischen Gesängen — abgesehen von einer einzi- gen Stelle — sich durchgängig vor Vocalen findet und daraus den vollkommen berechtigten Schluss gezogen dass Homer nur die zweisilbige Form écot kennt, deren Endvocal in den bisherigen Ausgaben des Dich- ters einmal elidirt erscheint, 9 273: beï éyros, érei oùdÈ ta + ah rep Edo dvonuov ”). Die Form éoct wird somit an folgenden Homerischen Stellen zurück- zurufen sein, wo die Alexandriner es oder es lasen. IL 515: 6ç nou Auxéns êvt nier muo oo à vi Tocén. Il 538: Achacpévos Eco éntxovoov. T 107: Vevotns oo 09 aûte tédlos pÜdo émSmoet. T 217: xpcioowy oo épée. D 150 («x 170. n 238. x 325. Ë 187. 29) Eben so findet sich Bécxuvos &co, Ada in zwei Epigrammen der Anthologie, von denen das eine (Anth. Pal. 7, 712) der Erinna, das andere (Anth. Pal.7, 13) dem Leonidas oder Meleager zugeschrie- ben wird. Tome XVII. ei pèv dn Separov [Inamadso Ayrkños co, dye On por. œ 207: ei On œuroio tocos ras Eco Odvoños. à 371 (: 273. v 237): vartos Eco, à Esive. 5 611: afwaroc os œyaSoi. y 279: oyétluos co, OBuoed. © 257: Ted duos ëso avIpov. Gegenüber diesen zwanzig (oder nach Abzug der wiederkehrenden Formeln, diesen elf) Stellen, welche die Form écot zulassen, steht nur p 388: aAX aiei yuherds nepÙ ravrov sie EYNGTTLOY, ein sicherlich fehlerhafter Vers. Für die 3. Person Sing. des Imperf. von stp bie- ten unsere Homerausgaben neben ëcxe(v) noch vier Formen, me nv nv nnv, von denen keine das Ny am Ende abwirft”) und von denen drei fehlerhaft zu sein scheinen. Zunächst ist, wie L. Meyer sehr richtig bemerkt, ënv irrational. Entsprechend dem augmen- tirten %ev müssen wir ein augmentloses 2sv erwarten, eine den Alexandrinern und Byzantinern unbekannte Form, die jedoch in den Homerischen Gesängen mit vülliger Sicherheit noch jetzt sich nachweisen lisst. An den meisten Stellen kann ëev für nv unbedenklich eintreten, weil das achtundsiebzigmal in unserem Ho- mer vorkommende ënv fast durchgängig vor Conso- nanten steht, vor Vocalen nur in folgenden Versen. B 687: où yag Env Éaris cou Ent oriyas nynouro. K 351: aXX Grs ôn © aménv Coco + éricupn rélovras. X 410: +6 d palot ap Env évantyrtov. Q 630: 6a- dog Env oiés ve. y 180: téroatoy quap Env ot év'Apyeï vias étoas— èctacav. à 248 (ein unechter Vers): Séxtn, os oudèv toîos énv ti vquoiv Ayaudv. 0 361: done pèv où Ôn x2Én Env, dyéouoa rep Eurns. + 530: rais à ds os pév (vielmehr nos) ënv tt virice M0 yant- pouv. y 25: oué nn aonis Env US aAxmov Éyyos Ékéo- Sor. © 104: Ésivos vaio ct Env ISaxn Eve ofxfx vatwv*!). Es ist môüglich und wahrscheinlich dass an einigen dieser Stellen nur in Folge eines Fehlers ën» vor ei- nem Vocal steht ®): indess lässt sich die Verlängerung der Endsilbe in éev schon durch die Hebung des Ver- 30) Allerdings druckt Bekker Il 464 in der zweiten Ausgabe ve révaxtos, aber er hat diese Schreibung nachträglich selbst zurück- genommen (Hom. Blätter p. 228) und ëcxs Féyaxros vermuthet, wie fev und ëoxev auch sonst vertauscht werden (vgl. £ 229). 31) Nicht kommt in Betracht der bei L. Meyer offenbar mit Ab- sicht fortgelassene Vers © 499: 06 SE por olos Env, elpuro dE aoru XL ŒUTOUC. 32) So würde y 180 tétpatoy fuap Éev, xat Ev'Aoyet vnuc éloac — cracuv nichts gegen sich haben, vgl. 262: rérouroy quap Éev, xai T@ TéTéAEOTO aTauvra. 14 211 EHulletin de l'Académie Impériale 212 ses entschuldigen. Nach den Sprachgesetzen dürfte Env statt nev oder ëev für Homer sich kaum rechtfer- tigen lassen. — Die Form av steht mehrentheils in der Senkung des Verses und hier fast durchgängig vor Vocalen, so dass ëv dafür eintreten kann und um der Häufigkeit der Füälle willen eintreten muss. Vierzigmal ist die Form éev statt av indicirt durch die sogenannte bukolische Cäsur. B 77: Nécrop, 6s ba IÜdoto dvaË éev quadevres. B 96: haôv ifévrov, Guaudos D Éev: évéa dE apéus. B 220: éxSuITos > Axe BAMOT Éev La “OBvoät. B 513 (327): out, GTA ENTNE évarn éey, À TÉXE TÉXVE. B 685: roy av TEVTAAOVTA VEOV ÉEV Gexès AYNEVE. B 846: Edpnuos © dpxès Kixovov éev aiypnranv. D 115: rAngiov dArkov, Gén D éev dppis dpoupa. A 22 @ 459): n To ASnvain dXÉOY dev oùdé Tu EiTEv. E 544: GpVetès Buotoso, yévos à ësv êx rorooio. Z 14: dovetèg Biorouo, péhos D éev AYSQUT OO. H 424: ëvSa dayvôvat JAÂET OS EEV avèga ÉxaoTov. I 551: téppæ dÈ Kovonteoo! xaxOs ësv, OUDÈ DUVAVTO. À 38: Tic D ÊË apyupeos Tehapov éev: te ët avToÿ. A 739: Moëhov aiyyuntnv: yauBoos à éev Avyetuo. M 95: vé& duo Ilerapoto toitos à éev 'Acos pos. N 428: few AdlxdSoov yayBods à Eev Ayylouo. N512: où yao ét Eureda yuia nodov sv couvre. N556: où pèv yo not aveu Snlov Éev, GXAL KAT aUTOUS. & 117: Ayotos 19 Méhac, toftatos à ëev Imrôta Oivevs, # 118: rateôs duoîo natnp’ dpetf à Éev dÉnyos auto. # 185: xa)9 vnyatéo: Asuxov D Éev méMos O6. II 33: vyhcée, oùx doc oct ye mario éev innota [Inheus. P 271: 6ppa Eos éüv Segaroy éev AlaxtDao. Y 467: où yap te Yhuxidupos dvio ev oùd dyavoppav. 4 454: 0ç To pèv GXAo Téoov poiuË dev, Ev dE DETOTO. y 401: 6 cf ÈT nes raidov sv év peyapotouv. e 239: xANSoN T aiyetpos T, SANTA T éev ovpavounx ns. & 82: pdottéev D élaav: xavayn à Éev npuovouv. 3 298: ovd tt XL o ou pehéoy ev o0D avasiquu. 5476: aey6Bovros Uos, Sakegi ÿ' éey apois Shop. r 144: cn yao reg vauot Bauer éev, oddÈ GEhnvn. x 94: oùte éy oùT OXyov, heuxn Ÿ éev appt Yann. À 605: quoi dé puy xA&YYA vExVOY Éev olovov 5. o 473: ES äoa Dovixov avdpOv éev GxV)OS Vs. o 494: xiovË Aovaebc" Seoarov à ëev’Aptyoquoto. x 234: Tôs pèv sy palaxos, hautods D Ësv nos Os. u 330: topo oÙris vépeots eve T éev icyéeval TE. Ÿ 191: dxpmvos SakéSov: rayetos À Éev MUTE xéuv. Je dreimal schliesst sv den ersten, zweiten und drit- ten Versfuss, einmal den fünften. a. Z 131: Snv éev, Gç ba Seoîouv énovpaviorotv épréev. I 528: oc éev év à vpiv épée navrecot péoLouv. X 401: vo à ëev éAxopévoro xovicados, api dE paire. b.Z 23: Bouxohov © éey vios ayavod Anopédoytos. P 464: où yap mous sv ofov éovS cp@ vi dtpoo. 5 531: notes D cv aÿtos Éhavvépey pp év ayôw. ce. 11717: Acte, ds prows sv Extopos inrodduoto. x 240: xai déuas, aTap vos Éev épredos &s TO Té- pos Te. £.1 96: n va ul fon V Éev dOTETOs CUT To00n. d. 9 208: appt à dp aiyeipov VOATOTEpÉR Éev &hGoç. Diesen funfzig oder, wenn wir wiederkehrende Verse nur einmal in Rechnung bringen, diesen achtundvier- zig Stellen, welche auf die Form éev vernehmlich ge- nug hinweisen, stehen zu Gunsten des einsilbigen nv in der Verssenkung gegenüber nur vier Stellen. Die Verse II 60 und # 670 schliessen mit den Worten 05 deu roc %v, Wofür ich ovÿ de ëev ro schreiben müchte, und zweimal steht nv vor einem Consonanten am Schluss des vierten Fusses, Q 706: yadoer, nel péY aopa rod T M9 TAYTÉ TE duo. x 295: 6ç pot NÔLITOS ÉTAROV AY XEÔVOTATOS TE. Beide Stellen dürfen wir als feblerhaft bezeichnen, auch ohne eine sichere oder wabrscheinliche Emenda- tion geben zu kônnen: an ersterer Stelle lautete der Versausgang vielleicht ursprünglich tékné te navté te quo (wie L 50), für die zweite weiss ich nichts bes- seres vorzuschlagen als Gs or y xmètotos étatpov xedvotatos te.— In der Hebung des Verses finden wir nicht eben selten, aber die Mehrzahl der Belege beweist so gut wie nichts. Wenn O 699 überliefert ist root Dà paovaévorotv 6 nv vccs, s0 hindert uns nichts dafür mit L. Meyer papvapévos Cd éev voos zu schrei- ben. P 575 bictet L. Bekkers zweite Ausgabe y dé rs &v Towscor statt der besser verbürgten Lesart êcxs à ëw Towcoct: vermuthlich sind hiernach die Versanfänge nv dé ti év Towecot (E 9. K 314) und dv dé tes év pvmotioou (u 287) durch ëècxe à évi Toow- ecorund êcxe à vi pwwmotioc:v zu ersetzen, vgl. x 552: "Eàrnvoo dé tu 0xe. Die gleiche Verwechslung liegt vielleicht & 177 vor: érei mal xeîvos émiotecpos avSo6rov und & 443 (n 282. 1. 336): Ent oxéras nv dvépoto, Wo ëox aviporov und êcx avéeto zulässig des Sciences de Saint-Pétersbourg. 214 222222222020 wäre. Statt &AX re Toocov any Gcoov te YÉyovs Bon- cas (8 400. :473) ist unbedenklich atñev Goov re her- zustellen, und péyas nv Codæsÿat o 4 wird lauten müssen | HÉYAS Le y SeasSa. Der üfters wiederkehrende Vers, Goox pèv nas nv xal aééero ispôv ba (@ 66. A 84.56), mochte ursprünglich lauten: d9oæ pèv nos mev Gééero S isoov mao, woraus die jetzige Lesart leicht entstand, wenn mev in 1 übergegangen war. Z 460 liest man: xai Séony © ya nv o, anuwhece riorès éraîpos. Vermuthlich ist mev drwkeoe zu lesen mit Tilgung des entbehrlichen Pronomen. $ 511: aïca yao y drohkéoSa (besser wohl mev Géo Ta), Étiv Tc- As apoxarvbn. À 393: dAN où yap où ÈT nv Îs dure Sos oùd ëtt xixus, wo sv ts den Vorzug verdient. Ausser den angeführten Stellen bleiben übrig folgende neun, die der Erledigung noch warten. A 211: 0% ÉaySdz Mevékaos Bammevos nv, rept D auTov aYNYÉRAT Soc! dgicror. Z 140: oùd ag Ete Omy nv, Êtet dIava- roiov annySero räor Seoiouv. N 663: dv D rie Evyr- vop IlonutSou pavruos vis. À 448: mais dé of nv ET pars. À 610: xpuseos nv rehapov. Ë 353: ÀT ava- Bac, Se re Joics nv movavSéos One. o 3: oùdé où nv Ts oûdè Bén. x 128: nv CSos à havpnv. © 182: yvoriv D nv 6 ba vis opt Seov émivappoïos mev. — Noch be- denklicher als %v ist das bei Homer viermal und zwar immer zu Anfang des Verses auftretende fnv. Statt 79, Tù dn xat op Seov À 808 kann mit L. Meyer p. 424 ÿev geschrieben werden. An den drei übrigen Stellen, wo auf nv ein Vocal folgt, x 283: Anv' AN doœ où To ye képdtov sicato SULG. D 316: nv, SA puy aûrts dvapraënca SUEX. © 343: nnv: ÉSa à ava orapuhai Tavtroiat ELotv, halte ich die jetzige Lesart für eine willkürliche Substi- tution statt des ursprünglichen ërhsto, das man geän- dert haben mag um einen durchaus unverfänglichen Hiatus zu beseitigen, den man anderwärts mit Recht geduldet hat. Vgl. O 227: Exhsto, Otrt napolde vepneo- ones UnderËev. n 217: érheto, N T éxéheuse Éo pvr- cacSat dvdyxq. o 327: ÉneTo; À où Je REY Mhaeou aùte> Cho SaL. Von ste lautet das Imperfectum in der ersten Person Siug. bei Homer gewühmlich ga (à 427. 433. 572.» 309), zweimal dagegen begegnen wir der Form mov. x 146: xapralipos rap vnÔs dvmuov às Teptu- ray, und x 274: Gs eirdv rapa vnès dvrtov moè da Xaoons. Beide Stellen reichen indess nicht aus um fuv für Homer sicher zu stellen, da unbeschadet des Verses ave à regtonmy und dvniæ NÈ Sahdoons ge- schrieben werden kann*) und wahrscheinlich geschrie- ben werden muss: wenigstens scheint es mir nicht un- glaublich dass man zur Vermeidung des Hiatus aviLa geändert habe in dvduev, wie etwa 4 485: dedpo vuv n Tofnodos repdopesSa nà héBntos, mehrere alte Hand- schriften reat3opeSov bieten, und wie K 70: &XA& xai arol rep rovcopsSat Gé rov apyuv, selbst Bentley ar Tee movewpeSov schreiben wollte, beides unrich- tig, da der Hiatus repdopeSa mà héBnros und rovec- ueSa* Gé rou duytv keinem Bedenken unterliegt, Dualformen wie teptdopeSov und rovwewy:S0v dagegen erst von den Alexandrinern erfunden sind *). — Die erste Person Plur. desselben Tempus findet sich drei- mal bei Homer, und zwar durchgängig in der Form qouev. x 251: pouev, ds éxéheuse, dvd douua, paid "Oôvcoed. x 570: qouev dyvopevor, Sahcoèv xata da- xpu xéovres. À 22: ouev, po és JOpov dprxueT Cv opus Kipxn. Vermuthlich ist an allen drei Stellen muev die ursprüngliche Lesart; denn diese dem Atti- schen juev zu Grunde liegende Form müssen wir in der Homerischen Poesie erwarten. — Die dritte Per- son Plur. lautet gewôhnlich ioav oder mioav. Letztere Form dürfte herzustellen sein x 446: ds qapevor raga vnès avnioy ME Sahdoons, wie 370 und © 501: x S mov: neyz à OBuooeus. — Für die dritte Person Sing. sind bei Homer die üblichen Formen te(v) und mit dem Augment we(v). Daneben begegnen wir in unseren Texten noch den Formen fe(v)und'qet. M 371: xat où Teüxpos du fe xaciyynros xal Onatpos. © 253 (x 126): 8x “Thu etouvéBouvov Apyétor, meta toior à 33) Über den Hiatus am Schlusse des vierten Fusses vgl. Her- mann Orph. p. 726 f. und die im Bulletin VI p.12 ff. oder Mélanges Gréco-Romains 11 p.404 f. gegebene Stellensammlung. 34) Aus dem Sanskrit lässt sich mit vollkommener Sicherheit nachweisen dass die erste Person Dualis passiver Flexion im Grie- chischen auf pe$œ, nicht auf peSov endigte. Dass die Endung peSov in der voralexandrinischen Zeit durch keine einzige Stelle verbürgt ist, hat Elmsley Ar. Ach. 733 beobachtet. Die Versausgänge và pv oùv CppuE Toy Soph. Phil. 1079 und Hovæ hehefpuueS 0ov El. 950 waren somit nach geringeren Handschriften in GeuoueSa und XehsuueIæ zu berichtigen — wodurch sich bestätigt, was anderweitig fest steht, dass der Laurentianus A nicht als die Quelle der auf uns gekomme- nen Sophokleischen Handschriften zu betrachten ist. Zu den irrigen Vermuthungen, durch welche neuere Kritiker nach dem Vorbilde der Alexandriner die Dualform meSov in die Texte der Griechischen Dichter einschwärzen wollten, gehôrt ausser tovewueSov (11. K 70) und pevËouimeSov (Ar. Plut. 447) ‘auch das von M. Schmidt für Soph. Ocd. R. 1055 vorgeschlagene ÉpréueoSov. 14* 215 Bulletin de l’Académie Hmpériale 216 pès néois fev Odvaoeus. o 257: n pèv Ôn 0Te T We Arôv xata ratoida yaiav. uv 89: Toios dv clos Wev aua orpato. K 286: és Onfas, te te Too Ayaudv æyyehos qe. N 247: peta yao dcou pahkeov met ooc- pevos. 5 290: © à eico Sopatos fe Als nicht hin- reichend sicher gestellt erscheint hier die nur am Ende des Verses vorkommende Form we, die über- all durch ÿev ersetzt werden kann. Für ÿev sprechen wenn auch nicht Stellen wie &« 253. + 126. v 89, wo ne Oôvoseus und 4e äua otearé môüglich wäre *), so doch M 371 und ç 257, wie die Pluralform yoav, x 445: üs érayorres Émioav: o dvtlos éx EvAcyoto. Dass Sophokles das Neutrum c& elidirt habe, be- streitet Meineke Jahrb. f. Philol. 1863 p. 385, ob mit Recht oder mit Unrecht, ist eine Frage deren Ent- scheidung wir anderen anheim geben: in jedem Falle müssen die von Meineke gemachten Vorschläge für die in Betracht kommenden vier Sophokleischen Stel- len als hôchst unsicher bezeichnet werden. Dieselbe Elision wird angenommen nicht nur bei Euripides und in einigen Epigrammen, sondern auch bei Homer auf Grund zweier Verse. Z 490 (a« 356. o 350): «XX ets olxov tobga Ta o avris éoya xowtbe, und £ 185: ahN dYE pot où YEpouè Ta a auroÿ xnde éviomes. Obwohl sich der Gebrauch des Artikels der Homerischen Poesie nicht schlechterdings absprechen lässt, so halte ich es doch für hôchst wahrscheinlich dass dort té autis Éoya xquée, hier té aÿtoÿ xnds éviones zu schreiben sei, vgl. E 237: alt où y autos Éhœuve té dgpata xal teo fre. In gleicher Weise scheint anderwärts t& x substituirt worden zu sein statt des ursprünglichen te&. IL 40: d0ç 3é po: opouv T4 aa tevyea Soonxoqvar. À 457 (y 92. à 322): touvexa vov ta où youvaS ixavouar. 1 266: mpiis À aœUte xiyavo- pevor Ta où yobve. À 376: 0te por où Thaëns év Leyde ta ca xndex pudnouodo. Ë 512: v0v- ado OS ye ta où baxex OvomahiËéers. Nicht minder verdächtig ist A 207: n\Sov éyo tauoouoæ To oùv évos, und Z 407: Sarpoue, pSlaet ge to oùv pévos. Vermuthlich ist teov pévos zu schreiben nach A 282: Atoeïôn, où D rade reov pévos. N 287: oùdé xev ÉvSa Tedv Ve pLévos xni Xeious Ovouro. D 340: pndë noiv anoraue Tedv mévos. So mag auch To ov pévos aus dv pévos entstanden sein 35) Wie ne Olüurios A 609. 5 péy meta Aaov Aya ne, 0 SE Toowy ouadoy xie H 307. à © ër Oôvooa peyxAnrepx roryux VULN nr, net On Znvos ÉméxAUEY dyyekawy € 150. X.459 (À 515): ahAG mohÛ rpoSéeoxe To Ov quévos où- dev sixwv. Bedenklich ist auch ta &, wo é& müglich ist, an folgenden Stellen. @ 430: xeivos d ta à @po- véoy évt Sup. M 280: avSpototot Tipavsxomevos TO a xüha. O 58: 0pp à pèv —einnot Ilocctdaov avaxrt TAVOALEVOY ToOhEpLOLO TE à Topos douaS ix£oSar. P 193: not © my Ta & Doxes péperv teott Liov fon. E 451: avtap © Ilatpoxdov mepù èv T4 & tsuyeæ Écaev. t 250 (310): avtap érel Ôn onEUGE TovnoaueEvos TA & ÉD YO. É 153: éel xev xeîvos Lov to à JouaS txnrar. Schwie- riger ist der Artikel bei Pronomina possessiva zu be- seitigen 1 654: auœot dé to: ti ui xAotg. À 608: D Mivortiadn, TO oO xeyaotopéves Supo (ähnlich à 71). X 280: êx Auos melôns Tov uov proper. ES 572: Bia- Das dé por Innous, toùs ooùs mocoSe Bañov. B 97: ur- pvet émeryopevor Tov éuoy yauov. 8 403: clat Ern- RETRO, TV GNV MOTIDÉYILEVOL COL. In der Bedeutung «ähnlich» gebraucht Homer durch- gängig die dreisilbige Form ouotos: &s œisl tov cuuoîov œyet Sc0s ws Tov ouoîov, und entsprechend sonst an nahezu dreissig Stellen. Ganz verschieden ist in dem uns überlieferten Texte der Gebrauch des viersilbigen opottos, das als Epitheton von veîxos, nohuos, Yüoas und Savatos erscheint an folgenden Stellen. A 444: n (die Eris) oqtv xa Tote veîxos omotov EpBahe. I 440: te o x Déns AYyapépvon TÉUTEY VNTIOV, OÙ Ta El- d0S omoutou rohéeto (besser Ahrens Quoutoo mrohéuoto hier wie in den sofort anzuführenden Versen mit glei- chem Ausgang) 009 aycpéov. N 358: éptdos xoaxeots xai Coulon moléuoto neîpup étaïinéavtes. N 635: ovdë Suyaytat œuhoridos xopécasdat Cpouisu rohéoto. O 670: dporépoev, MÈY Tps vnOv xal opouou mohépLoro. ZE 242: mavouvro Ôë Bio Ayarot œuhomtÈos xpaTEp ns xat Gueufou mohépouo. D 294: un moi navetv ysipus omoutou moképoto. o 264: où xe Tayiora Éxotvav péya veixos Quouou mohépero. © D43: loyso, made dë veîxos opoutou mohépoto. À 315: dhAG Ge yipus Teloës Cptoltov. y 236: GX à Tor Savaroy pÈv djLottoy oùdÈ Seol mEp — Sovavrat ahakéuey. Dass die dem Adiectivum opoéos zukommende Bedeutung «ähnlich» an diesen Stellen nicht passt, haben alle Erklärer des Homer, die Alexan- driner und Byzantiner wie die heutigen Philologen, einmäthig zugestanden. Die alten Glossographen be- haupteten, ouoûos stehe für xaxos, und allerdings würde xæxos an allen obigen Stellen durchaus ange- messen sein: gleichwohl ist das Autoschediasma der 217 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 218 Glossographen schon von den Alexandrinern verwor- fen worden mit vollem Recht, weil eben éuottos nicht für xaxos stehen kann, so wenig als etwa vexocs für véos oder toîos für aya%os oder too für côpaæ (Lehrs de Arist. stud. Hom. p. 36 f. der zw. Ausg.). Die Alexandriner, in deren Fusstapfen die meisten der neueren EÉrklärer stehen, pflegen ouotoy durch raécuw Quoiws érixemevoy wiederzugeben. Diese Auffassung würde am besten passen für den allen Menschen be- vorstehenden Tod: und doch dürfte, wenn auch die Begriffe Guctos und xovcs verwandt sind und unter Umständen vertauscht werden kônnen, schwerlich je- mals weuov gebraucht worden sein, um das allen ge- meinsame (xouwvcv) zu bezeichnen: wie z. B. die allen scheinende Sonne xowvôs os heisst, nicht aber opLotos fus, die allen gehôrende Luft xotvos dnp, nicht Guotos ane. Weniger passend ist die Erklärung der Worte a ce yious Tele opotcy durch «dich bedrängt das allen gemeinsame, allen bevorstehende Greisenalter», sofern ein grosser Theil der Menschheit nicht das yà- ous erreicht, sondern vorher zu Grunde geht. Ganz unmôglich ist es endlich bei dem opoños tékepos an einen ohsuos täotv émuxsquevos zu denken. Daher sah man sich genôüthigt für diese Verbindung eine neue Bedeutung von éuotos zu erfinden: man meinte der Dichter erinnerte an den ungewissen Ausgang des Krieges, verstand also unter Guofos mékepos oder Opotoy veîxos etwa das was die Griechen iocpponos dysv nennen, wir einen unentschiedenen und schwan- kenden oder resultatlosen Kampf. Dass eine derartige Uebertragung von petos sehr künstlich und nach der Proprietät des Wortes wenig glaublich ist, sieht ein jeder sofort: wer die Homerischen Stellen durch- mustert, wird aber auch leicht erkennen dass diese Deutung nicht im mindesten passt, darum weil ein Begriff wie tocggoros nicht als allgemeines Epitheton des Kampfes oder Krieges gebraucht werden kann. Ueberhaupt aber ist nur eine solche Erklärung des Homerischen uoos als zulässig zu bezeichnen, welche allen Verbindungen dieses Adiectivum in gleicher Weise gerecht wird. Eine derartige Erklärung glaubte man neuerdings gefunden zu haben, indem man cyo110$ durch «ausgleichend» übersetzte und als gemeinsames Characteristiceum des veîxos, tohos, yaoms und So- varos dies hinstellte, dass sie alles nivelliren, alle sonstigen Unterschiede aufheben (vgl. Düderlein Hom. Gloss. IIT p. 35). Das mag gelten für den Tod, der alle Herrlichkeit der Welt in Staub und Asche ver- wandelt und so den Fürsten dem Bettler gleich stellt. Niumermehr aber kann das ynoas «ausgleichend» ge- nannt werden: denn mag es auch gewisse Lasten allen auferlegen, so erscheint es doch nach der Verschie- denheit der äusseren Lebensverhältnisse wie des kür- perlichen Befindens in hôchst ungleicher Gestalt, hier als behaglich und gesegnet, dort als kummervoll und elend. Sollte indess jemand derartige Erwägungen für spitzfindig halten, so versuche er die Homerischen Worte a@hAx ce yious vefpez cuotoy zu übersetzen : «dich bedrängt das Alter» ist verständlich; «dich be- drängt das ausgleichende Alter» ist weder erhôürt noch denkbar. Eben so räthselhaft ist es mir mit welchem Rechte der Krieg ausgleichend oder nivellirend heis- sen kann, während nicht nur dem Sieger und dem Besiegten, sondern auch den einzelnen Kampfgenossen ein hôchst ungleiches Loos zufällt *). Und unter allen Umständen klingt es doch sehr wunderlich, wenn der jugendliche Achilles (1 440) als noch nicht kundig des «ausgleichenden» Krieges bezeichnet wird. — Als Re- sultat der vorstehenden, nothgedrungener Weise sehr umständlichen Erürterung ergibt sich, dass die bis- herigen Erklärungen von ômoños rokeuos und Sxva- Tos, poto veîwos und yioaus als vüllig unstatthaft abgewiesen werden müssen. Wer die betreffenden Homerischen Stellen ohne vorgefasste Meinung be- trachtet, wird nicht umhin künnen dem Schol. À 315 beizustimmen: © romtis ravtayoù To Coltov Êtt ToÙ œaurou xauBave. Diesen durch Homer selbst an die Hand gegebenen Sinn künnen wir aus der überliefer-. ten Lesart freilich nicht auspressen; alles aber wird klar und verständlich, wenn wir uns entschliessen 36) Wenn der Krieg, wie Dôüderlein sagt, keine Standesrücksich- ten nimmt, so konnte er grausam und schonungslos genannt werden, nicht aber «ausgleichend». Auch müchte ich nicht mit Düderlein behaupten dass der Krieg niemand eximirt: er behandelt die einzel- nen Kämpfer hôchst ungleich und eximirt gewühnlich die Feigen, oÙx dyaIGy peldetur GA xaxwv. Nicht brauchbar ist endlich zur Erläuterung des ôpottos mohcyros das von Düderlein verglichene Evvos ÉvuaAroc, Xat te xravéovræ xatéxra (© 309). Der Ausdruck Euvos évuxhtos bezeichnet dass der Kriegsgott es nicht ausschliesslich mit einer der beiden kämpfenden Parteien hält, sondern beiden Parteien gemeinsam angehôrt. Somit bezieht sich dieser Ausdruck wie "Apns dXkompoGa)hos auf das wechselnde Waffenglück und die bald dieser bald jener Seite zufallenden Erfolge. Mag immerhin Ares wetter- wendisch sein, so ist doch darum der Krieg nicht nivellirend oder ausgleichend. 219 opoios zu ändern in chottos. Dass dieser Begriff ein durchaus passendes Beiwort für jene vier Substantiva abgibt, denen wir jetzt das unpassende ôpotos beige- sellt finden, bedarf kaum des Nachweises. Mit veixos Glooy val. pv oùlopévnv À 2. veîxés T odAduevoy Emped. 79. Für dActou rokémoto oder vielmehr cAotéoo mrohéuoro spricht Ghooîo Ahoucuevor tokëmoo L' 133. Das yñeas konnte chotov heissen nach dem Homeri- schen gXc0v yiças, wofür yneæs oùxmevoy Hes. Theog. 295 und Pind. Pyth. 10, 41. vous Ghoëév Hymn. Ven. 294, Endlich wird Savatos ohctos gesichert durch Verbindungen wie roîg kon und xp chon bei Hom., don poîou X 5. vel. eûté nv oùhouévn poîpa xlyor Savarou Tyrt. fr. 7. oùhcuévou Savatouo Tekeutn Em- ped. 37. Die Form ohoos ist wenn nicht durch die handschriftliche Ueberlieferung, so doch durch die Analogie hinreichend gesichert. Unsere Lexika mer- ken als Autorität Greg. Naz. an, ohne nähere Bezeich- nung der Stelle; ich finde die Form überliefert Orac. Sib. 12, 85: aùN éotar xat Buoods dhottos ’Ita!dnatv, wo freilich die Lesart nach 5, 33 als unsicher er- scheint, und in den Hymnen des Proklus 3, 15: buynv ÿ &% dvastgoy at aloyeos és To xaAkoS, YMYEVÉOS Tpcpuyodcæv ohoûoy ototeov épuñs. Bei Hesiod. Theog. 591 liest man jetzt tns yap CAotoy éott yéves, was vermuthlich éxcéov heissen sollte. Ein Fragment des Hesiod (169 Güttl.) bei Strab. XIV p. 642 schliesst mit dem Verse: xai vote On KahyayS Ürvos Savaroto xahuÿev. Sehr richtig sagt Meineke Vind, Strab. p. 220: ürvos Savarou mihi novitium potius dicendi genus esse vide- . tur quam antiquum et graecum. Wenn er aber fortfährt «epici sermonis usus requirit, ut Hesiodo Kah4avra vépos Savatoro restituatur», so halte ich diese Ver- mutbung zwar nicht für unmüglich, wohl aber für un- wabrscheinlich aus zwei Gründen. Zunächst wird vor vépos der vorhergehende kurze Vocal im älteren Epos fast durchgängig verlängert, weil vor dem Ny in die- sem Nomen ursprünglich ein Consonant stand, der bald als Gamma, bald als Delta, bald als Kappa er- scheint (vgl. yvcoos, vépos, lodveons, xvépas). Aus- nahmen von diesem Gesetz (wie ypvcecuor vépeaaty N 523. roïépouo vépos P 243. céetw vépos P 372) sind so selten, dass schon aus diesem Grunde Ka)yavta vé- os als bedenklich erscheinen muss. Sodann ist der Ausdruck Savatov vépos in der älteren epischen Poesie Bulletin de l’Académie Impériale ziemlich selten, wie II 350: Savarou SE péhav vépos aupexarubes. à 180: Savaroto pélav vévos dppexd- Xvbev. Soll die herrschende epische Redeweise zu ih- rem Rechte kommen, so werden wir zu schreiben haben: xai tôre On Kadïyavra téhos Savaroro ave. Vel. IT 502 (I 855. X 361): ©s apœ puy eirovta Té- dos Savarouo xanubev. E 553: to S ads tédos Savoi- roi xakubev. Hesiod Op. 166: àvS nrot tobs pèv Sa- varou tTéhos dupexakubev. [' 309: onrotépo Savarcto réhos metpmpévov éotiv. 1 411: pyrno yap té pe onot — dySadlas xions pepépey Savatoto téhoode. I 416: oùdé xé pe Gxa Tédos Savarouo uyetn. À 451: pSÿ 6e rékos Savarouw xynpevor. N 602: rèv à Gye poïpa xaxn Savartoto Téhoode. € 326: év pédon dà xADÉE Té- og Savatou ahcetvov. po 476: ’Avrtévoov 20 Yauoto Té- os Savéroio xyein. © 124: muetépou Savaroto xaxov téhos, ofov étuySn. Archil. fr. 6 p. 537: airès d ebé- quycv Savatou tékos. Orakel bei Westermann Btoye. p. 41, 22 (vgl. p. 48, 96): xs dé tot Savaroto Téhos rerpopévoy éotév. Orakel bei Porphyr. Euseb. P. E. V p. 190 C: xal vu xe mavras maps télos xpuspod Savarote. Corp. Inser. 911 voi. 1 p. 530: ÿ 92 téhos Savaroto xlyavev. Corp. Inscr. 6283, 10 vol. 3 p. 927: oùv rauot D meîtar, Ov oÙx elde Téhos Savatou' TEÔTOS yao Édvnoxs. Ganz entsprechend Hesiod Scut, 357: où pèv ydo vot Apns Savaroto Teheutny Gpxéoct. Em- ped. 37: quous oùdevos éoriv aTavTov Svntov oUÈÉ Ts odhcpévou Savdrouo tekeutn. Orac. Sib. 3, 546: ofs cùx ot qu'yeù Savaroto tekeutnv. 11, 157: Ddaouw oXURE- vos you Savaroto teheutv. Tzetz. Posth. 413: Ô œf- hou, oÙTt Tocoy otevayu Savarotc TeheuTnv. 416: xotvai yae poîout Täouw Savarouo tekeuris. Diese Beispiele werden ausreichen, um in den obigen Worten des Hesiod unsere Vermuthung téhos (statt Ünvos oder vépos) Savartcuw zu stützen. Gleichwohl war es nicht das Hesiodische Fragment welches mich bewog für eine dem Epos geläufige Verbindung so zahlreiche Belege vorzuführen, sondern zwei Homerische Verse, die, wie ich glaube, in fehlerhafter Gestalt auf uns gekommen sind. Wir lesen H 104: va xé tot, Mevélas, oavn Brototo TsheuTr, und ganz ähnlich II 787: VS agua tou, [ldtoomhe, pavn Biototo rekeutn. Obgleich gegen Brototo tehsutn als Bezeichnung des Todes an sich nichts einzuwenden ist, so hälte ich es doch nach der obigen Stellensammlung für hôchst wahrscheinlich dass die ursprüngliche Lesart viel- mebr lautete oévn Savatoro teheuTn. Il. F5 498: tote DE VVUGEGŸE ÉXAOTOS mrovs Apyelov, of Seutepor oO te mapotdev. Vermutblich ist zu lesen of S Üotepor où te naporsev: theils weil Uotsoo dem entgegengesetzten tagorSev besser entspricht als das zu specielle Sevteper, theils weil bei dem ersten Glicde die Partikel te nicht wohl fehlen darf. Vgl. B 365: yroon ratS 6ç © myepevoy xaxos 05 té vu haëv nà Ce x Éodhôs Emo. I 320: xat- Say Gus 0 T depyos ave 6 Te moXka écpyws. M 269: 5 plor, Apysluv 65 T éfoyos Os Te peonets Os TE Jepeto- repos. N 278: és Aoyov, Éva pat dpetn dtastdstou dvSoov, èvS 66 te deuhos 65 T akpos éÉcpaavIn ”). IL. Q 793 heisst es von Hektors Bestattung: ootéa ÀEUX® AÉVoYTO XAOÉYVNTO Ÿ' Étagoi te LLUQOLE VOL. Mit den xaotyvntor werden passender als die étagct verbunden die ëtæ, wonach der Dichter geschrieben haben dürfte xactyvntoi te tas ve, wie II 456 (674): EVSæ € Tapyuaovar xuolyymroi te ta te TUU BE Te ot An we. Vgl. Z 239: eipomevar maidas Te xacryvnrous re tes ve. 0 273: modhoi dë xaolyyntot Te État ve Ao- vos av irréfotov. Die überlieferte Schreibung xaot- yvntoé S Étagoi te mag von einem Corrector herrüh- ren, der einen vermeintlichen Hiatus beseitigen wollte: während bei ëtns das noch auf einer Eleischen In- schrift (C. I. vol. 1 p. 26) erhaltene Digamma in den Homerischen Gesängen durchgängig seine Geltung be- wahrt hat. | Od. « 183: vüvy à Ode Édy vni xatmhuSoy nd Étagouou, rhéov éri civora névtrov r dhAOSpCOUS AVSpEUT os. Mit dem Ausdruck Théoy ért oivoxæ mévrov stimmt H 88: vnè rohuxknudt mhéov ni oivora rôvrov. à 474: pou tayuota amv és Tarot Îxolo rAéwy éri oivona rôvrov. I 360: nes paix ‘Elmomovrov ét iySudevta rhecuoas vnas pas. Aller Analogie aber widerstrei- tet das durch Synizesis einsilbig zu sprechende théoy, das ich daher nicht mit Lobeck Pathol. elem. IL p. 94 37) So ist zu schreiben statt des überlieferten #5 9 re 8etAo dvip 0s T &hxmos éepauvIn, nicht vS$a Setxoç dvnp mit Ahrens und eben so wenig &v$ 6 &erxds avno mit Leo Meyer. Zur Tilgung des bei Eustathius fehlenden &vno rieth auch H. Rühl Quacst. Hom. spec. (Berol. 1869) p. 41, der schreiben wollte &9 6 re Beuhd xat 6 œhxt- pos ÉEcpaayIn. des Sciences de Saïint- Pétersbourg. 222 als certum huius modulationis documentum bezeichnen môchte, sondern für schlechterdings unmôglich bal- ten muss. Nach Verbindungen wie értrx6s edpéæ mov- rov Z 291, érérdov edpéa rovrov Hesiod Op. 650, tov- rov éxémhos y 15, künnte man geneigt sein rhoçs ért oivoxæ movrov zu vermuthen; vielleicht aber ist vor- zuziehen rAoov civore rovtoy, wo der Objectsaccusa- tiv durch ro%ev rAstS dyea xékeuSa (y 71.1 252) sicher gestellt wird. In gleicher Weise befremdlich und durchaus un- glaublich ist die Synizesis bei dem Nomen proprium Ayékcos, der wir x 131 oder 247 begegnen: rois À AYÉAEOS MLETÉELTE ÈTOS TAVTEGGL TIDAUGHOY. Sonst findet sich bei Homer überall, was auch hier in vielen Handschriften steht, Ayéhacs: wie ‘Epuauce, Mevéhaos, ZSevéhaoç, Apxesthaos, Ilootecthacs, Apou- gwos immer die gleiche Endung zeigen. Allerdings ge- braucht Homer auch die Formen Hmnvéksos, Axpéveoc und Tuwÿapeos ©), aber nur in choriambischer Mes- sung. Dem Homerischen Sprachgebrauche wäre ge- nügt, wenn statt Ayéhcos petésire geschrieben würde Ayéhaos dure ”). Od. à 599. Telemach richtet an Menelaus, in des- sen Hause er eine gastliche Aufnahme gefunden hat, die Bitte ihn zu entlassen: An pot avidéouaty étaipo! êv TIUhoE nyaSén" où dé pe yocvor vSaD épuxeus. Der Accusativus yocvoy kann meines Erachtens nur bedeuten «eine Zeit lang», wie etwa bei Herod. 1, 175: oùror rôv rept Kapénv dvdoüv pLobvoi te dvrécyov xoovoy ‘Aondye xal TonyuaTa Tapécyoy rhciota. In dem Verse der Odyssee aber ist, wie die Erklärer richtig erkannt haben, vielmehr der Begriff diu, to- Adv yxpcvoy erforderlich: es wäre widersinnig, wenn Telemach auf die Worte pi dn pe nov yp0vov évSad puxe (594) hier folgen liesse «du hältst mich eine 38) Sollte nicht Ilavôæpéou (+ 518. u 66) in [luvôapew zn ändern sein ? 39) Merkwürdig dass unsere Ueberlieferung der Homerischen Ge- sänge nur Àxcs kennt und nicht die geringste Spur zeigt von dem Ionischen Anoç: falls nicht etwa Actwxprros (P 344. 8 242. y 294) eine unrichtige Schreibung ist statt Anoxptroce, ein Name der in der jün- geren Form Aewxo:ros üfters vorkommt. Dass Hipponax Ànoy aSpoi- ou gesagt hat wissen wir aus den Anecd. Oxon. vol. I p. 265,8 (wo das handschriftliche dSpñoas von Schneidewin berichtigt worden ist). Hôchst selten haben bei Herodot die Codices das Andenken der wahrscheinlich vom Autor durchgängig gebrauchten Form Ans ge- rettet, vgl. Dindorf Comment. de dial. Herod. p. XXXIX und H. Stein Herodoti Hist. I p. LIT f. 223 Bulletin de l'Académie Empériale 224 Zeit lang auf». Da mir, abgeschen von einer Stelle des Rhesus, über die ich Eurip. Stud. IT p. 183 f. gehan- delt habe, kein zweites Beispiel bekannt ist wo yecvoy für rohvy yoôvoy stände, so vermuthe ich où dé ue dnv évSad épuxers, Vielleicht ist yesvoy die Erfindung eines alten Correctors, den die vollkommen bcrech- tigte Dehnung des pe vor Ônv (ursprünglich ôrny) befremdete. Hesiod Theog. 435: eo Sn À aùT , émet dvdpes LYON ds SXeVooty. Es muss viclmehr heissen 24:5hsvocty ayêw, wie 4 274: ei pév vov ért œhO deSevoev Ayaot (nicht Ayauot deShevomev). 4 737: épyeo®, Copæ Hal GAhoL aeSevoouw Ayaot. Gegen das überlieferte dy 4eS- Aevoatv spricht theils der Hiatus, theils die Cäsur xat@ tétaptoy teoyaiov. Diese das Ohr verletzende Cäsur ist bei Hesiod Op. 693 in dem Verse: dÉova xavaËats, to. SE ooptl duavowSelr, sehr einfach zu beseitigen, indem wir nur die Worte richtig abtheilen, t& ôè œcotiu pavowSetn (vgl. Op. 325: beta dé pv pavoodot Seot). Unstatthaft ist Theog. 471, die Schômannsche Schreibung pâte cupopds- daoŸat, Cros xs hador te Texodon (statt nus heha- Soito TexoÙo). Hesiod Op. 208: +9 sis q à av éyo tcp dyo, xai äoÿov écügav. Der Versschluss gotdèy éoücav ist durch das voraufgehende xa vollkommen gerechtfertigt; da- gegen scheint der Anfang an einem grammatischen Febler zu leiden. Vermuthlich schrieb der Dichter Th etoS y 0° av éyo rép yo. Vel. K 450: te xai vorTepov elodo Sos nt vus Ayordv, r 69:17 Tia ai dax BeBhnmévos etoda Supnbe, u 179: axao oùx éÉstoSœ Svgale. Dass einige Grammatiker (Aneed. Oxon. vol. 1 p. 433, 1. vol. 4 p. 171, 29. 201, 4, 209,8. 346, 24. 349, 9) die Form e% aus der Hesiodischen Stelle anführen kann natürlich gegen die Berechtigung .un- seres Vorschlags nichts beweisen. Bei Homer fand eloèa zufällig am Metrum einen Schutz gegen die Willkür alter Verbesserer; das Hesiodische eto5x wurde verdrängt, weil der folgende Vocal die Alexan- drinische Form £ës vertrug. In derselben Weise bie- ten unsere Handschriften d9 éEnôns (statt één9ns®) Goo nv x£p30s Soph. Trach,988. ox Hôns (statt H9noS") où évoquées Ar. Nub. 329. 6oa vaio mdets (statt nn ®) éééyeas anavra Ar. Thesm. 554. Ëpns (statt £ono®) éxovræ Dionys. (Com. 3 p.548) bei Ath. IX p. 405 D. Hesiod Op. 662: Moücar yap pe é0(0aËav dSécpatoy Opvey œetôav. Mit Recht behauptet Hermann Orph. p. 817, Üyvos im Sinne von carmen sei der älteren Zeit fremd. Für hôchst ansprechend halte ich auch seine Vermuthung dass opov zu lesen sei. Statt dei- Say muss aber, falls Hermanns Vorschlag berechtigt ist, nothwendig &ÿñs geschrieben werden: über Aus- drücke wie ouos dons und über die Verwechslung von cos und dyvos vel. Bulletin XII p. 490 oder Mélanges Gr.-Rom. IE p.21 f., wo noch erwähnt wer- den konnte das Orakel bei Porphyrius V. Plot. c. 22: dyBoota oopiteuv dvafahhopar Uuvev ais, und ein Orphischer Vers (Lobeck Aglaoph. p. 789) bei Plut. Mor. p. 391 D: £xtrn D dv yeved xataravoate Suyov douÔ TS. - Mit Rücksicht auf die von Kôchly und Kinkel in nächster Zeit zu erwartende Bearbeitung der Hesio- dischen Fragmente stelle ich einige auf diese Trüm- mer bezüglichen Nachweisungen zusammen, die ich in Gôttlings zweiter Ausgabe vom J. 1843 wie in Schômanns Revision vom J. 1869 vermisse “): wiel- leicht kommt wenigstens einiges den künftigen Her- ausgebern nicht unerwünscht. Auf ‘Iéa fr. 77, 1 Güttl. bezieht sich Etym. Flor. bei Miller Mélanges de litt. Gr. p. 224: 'Ouos' tuvès 40) Schomann hat dem Text der unter Hesiods Namen erhalte- nen Werke nicht eine vollständige Sammlung, sondern lediglich eine Auswahl der Bruchstücke (p. 154— 167) beigefügt, und nach der Aulage und dem Zweck seiner Arbeit wird dies niemand missbilli- gen, Unbegreiflich aber ist es dass er unter Nr. XXX VIII aus Schol. Eur. Or. 249 nur die Worte mittheilt riouv puouuetôns Appoditn nydo9n rpootdoïou, xuxny € cp Eupads pqunY, ohne ein Sterbenswürtchen zu wissen von nachstehenden fünf He- xametern: Tuuavôpn mèv éxetr "Eyxeuoy zpokmobo èfefnxe, xeto © ëç Puhnu ploy maxapeoot Jeotouv. Ode 0ë Kivtatpynotpn tpokimoïo” Ayapémuyovæ OTov AiyioSw rapékexto ut elAeTO xEipov dxoirn Ge S ‘Ehéyn noxuve héyos EuySoù Mevehaov. Schümann konnte diese Verse kennen, auch bevor Dindorfs überaus wichtige und dankenswerthe Bearbeitung der Euripideischen Scho- lien (Oxon. 1863) erschienen war, aus Cobets Mittheilungen hinter Geels Ausgabe von Eur. Phoen. (Lugd. Bat. 1846) p. 260 und sogar aus Gôttlings Vorrede zur zweiten Ausgabe des Hesiod p. LX. Hin- zugefügt hat Schômann zu Gôüttlings Sammlung drei Bruchstücke, LI (aus Schol. Pind. Pyth. 3, 14), LXXV (aus Schol. Pind. Nem. 2, 16), CII (aus Steph. Byz. v. [apSévros und Etym. M. p. 44, 35 cod. Va.). Die beiden ersten Stellen sind indess, was Schômann verschweigt, nicht unter dem Namen des Hesiod überliefert, sondern nur nach unsicheren Vermuthungen diesem Dichter beigelegt worden; die dritte Stelle hat nicht, wie Schômann sagt, Dilthey als Hesiodisch nachgewiesen, sondern A. Hecker im Philol. IV p. 488 oder eigent- lich Gaisford Etym. M. p. 120. 225 des Sciences de Sainé-Pétersbourg. 226 TOY véwtépoy avÉyvooav qopès To) O, w cvtos (l. os mèv ons (oder nach einer Pariser Handschrift pèv “Hotoëos), wie Eust. Il. p. Fragm. 163: évvéa vor Cut yeveas haxéouÉa xcçpovn dvBoëv nBovrov: ÉAapos Dé TE TETRAXOQOVCS. Diese beiden Verse stehen auch in den Scholia Veron. Verg. Ecl. 7, 30 p. 75,4 Keil, Die Anfangsworte Schol. BL II. À 60: Os To «évvéa yag EGouv (1. Éde:) yevsas.» Statt avSo@v nBoytroy oder ynpavtov bictet avèoüv p3t- voytoy Philoponus de muudi ereat. VI, 2 (wo die bei- den ersten Verse und die Hülfte des dritten angetührt werden). Auf den ersten Vers nehmen Bezug Ar. Av. 609 und Plut. Mor. p. 989 A, auf £lapoc Tatpaxc- gwvos Oppian. Cyneg. 2, 292. Als fr. 167 gibt Gôttling die Notiz bei Plut. Mor. p. 730 F: +ô xüp tn» Sn & ns avion pTépu x ratégu oboav node, os © To Kjuxoc yaquoy sis Ta Zur Ereünzung dient, 977, 2. ‘Houcdon ragepBaoy stone. rius Cor. Rhet. vol. f D. Spengel Rhet. vol. 3 p. Aivryua ÉGTL pouGis 476.$., 224 f.) so lautet: teSetons) wohl eher pevoerxéos erwarten, und nachher war auf Grund der Ueberlieferung êr? opetépotor té- X:0G1 zu setzen. Ueber Hesiod fr. 213 vgl. Lex. Vindob. p. 119, 2 Desgleichen über den Vers (fr. 217), ei xe mad Ta Tv ÉpeËe, dun x LSela yévorro, das von V. Rose im Hermes V p. 81 und p. 357 mit- getheilte Scholion zu Aristoteles, wo dem angeführten Hexameter ein anderer (Greg. Cypr. cod. Leïd. 2, 57) voraufgeschickt wird, ei xaxa ris oneloat, xaxa xép- Sa x aumostev. — Auf die Worte Pukÿx pfhoy paxa- gscot Seoïot (fr. 220 Güttl.), die wir Anm. 40 bereits angeführt haben, bezieht sich auch Eust. IL p. 126, 12. 797, 45. Od. p. 1637. Zu fr. 223 (bei Polybius V, 2 und Suid. v. daïtas), Alaxidas TOO XELAPNOTAS QUTE Sat, | vel. Maximus Lyr. XXXV, 2: Opnçou — Évroptaovros wie Bergks Scharfblick erkanut hat (Philol. 29 p. 319), | tous Ataxtdas, eine leider sehr übel zugerichtete Stelle des Grego- | die bei Walz (wie bei | Gt qoav Avdpss TOO XELAPNOTES MUTE Sartt. — Der Vers (fr. 248) Tioons TE dvopEpnc xai KEdQOU VAË XATVO : kehrt wieder Schol. Hephaest. p. 21 ed. alt. Gaisf. und Sravorav ancxexpuppévnv xai | Schol. V Il. 4 644, an letzterer Stelle mit der Variante u , E7 € * » € , \ il , , , , _ gUVSetov Relgopévn Totsiv, &s To Tag Hotcôo ta rep! | cuvovns axpatou statt nicons te Ôvopepñs. — Unter L2 a Là Ts xVXOS AS YOUEVA* # ù 3 , , [14 EU ss QC TIJÉULEV XONTHPOS UT EP SE mDTae ênet DS auto pèv xwoons 6 épov Évro” fr. 46 hatte sich Gôttling zu beschränken auf die bei- { den von Strabo [I p. 42 und Eustathius überlicferten | Hexameter, xat xopgnv Apdfoto — Bmaoto dvaxtos. Die Lai où prépa pateès dyovro aumhémy xai oxtahénv, | Fragmente 181.191. 226. 232. 239. 241. 246 durf- Enei Senei reôra pév Énpuweos, sûre ontôoèot &p | ten überhaupt keine Aufnahme finden ‘). étéqoiot rexéeGG!, TOÏS ÉAUTOU TÉXVOUS, héyet dE vois És- voug, TO DE tedvavar, HAS JOUE EM TS Jhns hip. Aus den von Walz gegebenen Notizen über die handschriftlichen Lesarten ergibt sich als besser be- glaubist folgende Fassung: 65 t& rap ‘Horde rapa Ts XUALHOS AS YEAR adras êrsl Barres pv dlons ofov où HLTÉRE HLNTRÔS ŒYOVTO Stade xal OTTAhENY xré. und am Schlusse x ts dans éxxcxcoSa. Ueber die Emendation der Hesiodischen Worte vgl. Bergk Lyr. p. 1308 ed. tert., wo vorgeschlagen wird: adrap énel Sauros pèv dlans 6 £gov Srdse ! BATÉOE [LNTOOS LYOVTO Sade: re Ka ORTAREMV.. 0. êTt GpetEgOis TEX 22 Ë égov Évre. TES vapLE VOL. In der Hauptsache gewiss richtig ; Tome XVII nur sollte man statt Nachzutragen sind in Gôttlings Sammlung, ausser dem schon oben(Anm. 40) erwähnten Verse, ôç axaha npopémv ds fon rupévos eiouv (Steph. Byz. v. Ilue- Séwos und Etym. M. p. 44, 35 cod. Va.), weun ich nicht irre, folgende Stellen: ls Chrysippus bei Galen. vol. 5 p. 300 Kühn: roÿës (1. rod) ydp déésro Suoë vt otnecot péhoaty xat ofov évt otnSeaoz 0hov SUUAÏYÉ Épousa. 2. Schol. Antb. Pal. IIT p. 824: Data pv 'Axpov Etrxr, ano à Axpovos Ovpnvcs 3. Schol. Clem. Alex. vol. 1 p. 420, 28 Dind. (vgl. 41) Ueber fr. 191 vel. Haupt im Hermes 4 p. 433, über fr. 226 Lebrs Herodiani scripta tria emend. p. 454, über fr. 232 Meineke im Hermes 1 p. 328 und L. Dindorf Historici Graeci min, vol. 1 p. 92. Bei Favor. Ecl. p. 421, 29 (unter fr. 241) ist cûSete in oUdÉTEpOY Zu ändern: das Neutrum térooa steht Hes. Op. 698. Die übrigen Stel- len (fr. 181, 239. 246) erledigen sich von selbst. 15 227 Apollod. II, 5, 11. Servius in Verg. Aen. 4, 484. Un- ger Sinis D: 108): Ain T n9 ’EouSeta xai "Ecresgétouou foëtis. 4. +. on Schol. Eur. Or. 872 vol. 2 p. 224, 15 Dind.: ÉlAËYU T0 ŒUTOS [LÈV OÙX mASEv ets Agvee, Taidcus : OS LV “Hooëoc, ÉTOUNCE HEVTNXCVTE , os dÈ yo Xéye, oùôè etat. Vel. Kirchhoff Composition der Odyssee p. 62 f. 5. Schol. Pind. Nem. 2, 16: Kukmqyns £v 50c00! Seüv xaeuxa Téx Eounv. Den anonym überlieterten Vers hat Schneidewin dem Hesiod zugewiesen: s. Bergk Lyr. ed. alt. p. 875. 6. Pollux 1, 231: puAOGOS WAV © TAÏTX Totoy, oc'Hotoëos. Vel. Himerius Orat. IX, 1. Eust. Il. p.651, 4.04. p.1555,6. Apoll. Rhod. 4,217. Nonnus Dionys. 2, 641. 38, 278. Nach diesen Stellen halte ich es für wahrscheinlich dass die Angabe des Pollux nicht auf Hesiod Op. 421 zu beziehen ist. 7. Zon. Lex. p. 948 f:: atetôv jun TeTnva YEvÉG So. Vgl. Lobeck Paral. p.159 Anm, und Ritschl Opusce. 1 p. 664. 838. Die letzte Stelle habe ich angeführt lediglich des- halb, weil bis jetzt noch nicht ermittelt ist was den Worten ætstov ur (nach G. Hermann &ÉETOY LE) TETAVR yevéoSo zu Grunde liegt. Von zweifelhaftem Wer the ist auch was wir in dem von R. Hercher herausgege- benen Fragmentum Marcianum (Hermes 3 p.385, 1: 3) lesen, ai rè vos Hotcdou thampcupevov < xax6v AXE reuyer £6 (ù cod.) xaxov prart teuyeu Denn dic- ser Vers scheint dem Callimachus (fr. 222) zu gehüren nach Eust. Il. p. 522: ro àè adTO» CON VE VovE YYOLLXOÙ TeôTa pèv ‘Hotcèo, QË T ira xat Kaayo, Toù eirévTos Oc 6 TEUOY ÉTÉRO HAXÈV ÉG ALT TEUEL. Wogegen Hesiod Op. 265 f. sagt: où avto xaxa teuyet die do maxt Tebyov n D xaxn Bouxn Tô Bouñeu- cavrt xaxiotn. Indess hat der Verfasser des Fragmen- tum Mare., falls er geirrt, einen Vorgänger an Plut. Mor. p. 554 A, wo der Hexameter os © AO xaxA TEUJEL ÉÛ HAKOV ATATL TEUYEL ebenfalls dem Hesiod zugeschrieben wird. Dass die- ser Vers eine bedeutende Celebrität erlangt hatte, lehrt ausser Lucillius Anth. Pal. 11,183,5 (der in der Fassung der Worte mit Plutarch ue auch Aelian N. A: 7,41.N. H. 8,9 und fr. 22 es heisst: Teuyov &c Maneth. Apot. (Suid, v. rayaç), wo Etépo tic 20 xAXÔV NTUTL TEUYEL. RO Bulletin de l'Académie Impériale 22s xat nopvus à Keôvos doynpeva Épya tehouons, y DOUpou al TE LEOTTALEVAS avapaydev. So interpungirt Kôchly und erklärt v &tSvpcts «in bi- foribus fornicibus». Dann wäre an die Hausthür zu denken, für welche SSvpa eine schwerlich passende Bezeichnung ist: man würde eher rooSvocxs crwarten. Aber ich zweifle ob wir überhaupt berechtigt sind die Worte v &Svoo mit reciotapevac zu verbinden, wie wir es thun müssten, wenn es hiesse ate/ r à Sin- poor npoïotapévas Svapavdov. Zu TocisTapéves dva- œavèov ist jedenfalls eine Ortsbestimmung nicht erfor- derlich, vgl. Eubulus Com. 3 p. 237: é£èv Scopnoavr meùs TÔv Mhtov yupvas ÉpEË NS ÊTL XÉQOS TETAYNEVES, ÊV Aentornvec Dosotv éorommc, lus HetSavèc yves Bot HATEVEL MOQUS, WHOOÙ TRÉAODOL KÉPUUATOS TAY TBOVNV. Dic Stellung der Partikel te aber spricht entschieden dafür év Svgcux zu den voraufgehenden Worten 40yn- povæ ya Tehoucas zu ziehen. Freilich ist es nun widersinnig dass die Dirnen à SSvçcs ihr Handwerk treiben sollen: ohne Zweifel aber beruht dieser Unsinn auf einem Fehler unseres übel zugecrichteten Textes Die ursprüngliche Lesart dürfte gewesen sein &cyn- pova Épyx tehcuoæs ëv tetGôotc. Achnlich werden sonst die Priesterinnen der Venus vulgivaga genannt roucÿirià ec. Vgl. Clearchus bei Ath. VE p. 256 E: rac roy dxei (in Macedonien) xupfus te za Bauorhidos Ov Too- nov tuic GuuiMars Buédecav oùD AÉyELv HHROV, TANV OT [LOUYEUOpLEVAL HA [LAYEUOUG AL, THUPOTONO! Ha TptodTLÔES (so Lobeck Agl. p. 1089 statt totoBof rives) adtar mpûc aAnSetav ÉyÉVOVTO, Philo Iud. vol. 1 p. TRLoÔTLE coBac. vol. TANÇEL TAVTOY ATOXAIAEMATOY. 568: axohagtecs Vip n LOYXAG D 2 p. 266: tv ayooav ctxtav voui- Couaa, tptoîris cofas, MATE Vynotou kaAkoUs To VOS | LETAÎLWXOUTE. In der Anthol. Pal. 14, 148 und bei Suidas v. Iou- Juavos lesen wir folgendes Orakel, das der Kaiser Julian in der Umgegend der Stadt Ktesiphon empfan- gen haben soll: Lnyevéoy totè oaov évnpnto ptiéte Zeus éxataToy BAXAREG GUY Ohvuria SopaT éyouriv. Popaiov Baorhsuc ’ouhtavis Seccdne BApVALEVOS Ispcüv rohs xai TEE œ HLUxon dyxEMALOY Dénepoz up! KOATELO Te GÈNE. vohepéos à éJauacses kai ÊSven RoNAR ai GA, Ge ba mai éonepiov avSoov Alavxôv oùdœe dopivars Tuxivaioly ÉXOV AAGTAËEY Apoupus. 229 C. Müller Fragm. Hist. IV p. 25 und L. Dindorf Hist. min. I p.230 haben nach einer Vermuthung von Bern- hardy dies Orakel unter die Bruchstücke des Eunapius gesetzt, vielleicht mit Recht; sicherlich aber ist es unrichtig, wenn sie V. 6 und 7 schreiben: vokuéos à djauaucce mohets Te mai ÊdVE& To. aXAA xal éoneptov Avdpôv Ahapanxèv odDuS —. Denn diese diplomatisch nicht hinreichend verbürgte Lesart wird einfach widerlegt durch den Umstand dass in den acht Zeiïlen des obigen Orakels die weder von den genannten Gelehrten noch von G. Wolff de novissima oraculorum aetate p. 48 bemerkte Akrosti- chis lepuavoy enthalten ist. In dem Aubang zur Anthol. Pal. gibt Jacobs unter Nr. 315 p. 857 nachstehendes Epigramm: Ziua pv à oran Yaurtf Sécav, nvéx Evo LÈv dEhou yhuxsomv Acîtov ÉTUIXOT ENV" vnheens dé pe Déuro Luyds xai dAAUTETOv CUDE AGdco pag rarpès êv AmuooSéveos étéwv Déxa x sixoot je guy, iote dé pe TOUTATNY AUATOS CAAURÉVNV" à pates oruysphs xai adsApeod elvex émeto, ÜTO GKOTUNY" vogos AXHXUTE (LODTHLOS EÛAE TUHH- Auf alle Schwierigkeiten dieses Textes einzugehen scheint mir misslich, besonders deshalh weil die Poesie selbst nicht viel werth ist. Obenein leidet die im C. I. 2391 vol. 2 p. 248 mitgetheilte Copie an augenfälli- ger Ungenauigkeit. Offenbar jedoch war es nur cin Flüchtigkeitsfehler, wenn Jacobs V. 5 Séxa x eixoot u' oÿoav statt So x eixogt (besser xelxogt) (L oboav schrieb: im letzten Verse war kein Grund das über- lieferte pogoev zu verlassen. Durchaus verfehlt aber ist das von Jacobs V. 3 nach eigener Vermuthung gesetzte vnasens statt Pnveéns: letztere Schreibung ist nicht nur an sich tadellos, sondern obenein gesichert durch die Akrostichis Zagantov. Bei Phlegon Trall. Mirab. e. 10 findet sich ein län- geres, heillos verdorbenes Sibyllinisches Orakel, aus dem ich folgende Verse aushebe (p. 135, 3 — 12 Westerm.): adrap ot &v Anuntet xai ayv Ilepcepoveén yaias dustéons dTeouxéuevat ÉUYOV atel, AüBovn Ioutov Boès xvavotetyos aqua, autpoïs elpact xcounToUs WETA Toévos, CUT quatio Técuvos Bods doteuos autos 6 À Éctou Sogo T AC Oo TÉGUVOL XATA TATOŸ EU * des Sciences de Saint-Pétersbourg. 230 un YA ATuoTopihos SUoLOLV AVNE TALETÉG IQ Lo D ES avogotov émétheto put TA Épdetv, VOUTUGTOY HATAÏTOY ÉYELV SUGÉGY, HAUTE À QUTNY Toù (xt, gepvov Poifov avaxta peteASét êv Suolaot HT. Im fünften dieser Verse habe ich Philol. V p. 707 f. Anar 6 méouvos vermuthet, wogegen Emperius Opusc. philol. p. 233 vapatto schreiben wollte. Die Richtig- keit meiner Vermuthung wird erwiesen durch die in den angeführten Versen enthaltene Akrostichis ayar- Aquevos, vel. Cobet N. L. p. 274 oder vielmehr Klau- sen Aeneas und die Penaten p. 267 Anm. Orakel bei Nicol. Damasc. in L Dindorfs Hist. min. vol. 1 p. 66: ë pédeot, Ti omEUDES à [Un JéUs; OÙ YAp ÊMOEL Zeds dnatos Poifcs te xai 0 xAUTOS Auptapacs: Le4 n Le ’ …_ DOTLS AV MLETÉLOY HONOUOY LÔpts ÉS da Y éuôv éréov rel%co> abeudéot oncpois, UN xAxÔV oËTOY DACLTŸÏE TApÈX DEOÙ APOLEVOVTES. Im dritten Verse war zu setzen alX @f ép6v étéov. An dem gleichen Fehler leidet das Orakei bei Phlegon Mirab. c. 2 p. 125, G: aAAX Y uv xEpaANY Due noi pavonévyt, was heissen sollte: ad GY épnv xEpaNv Séuev no pavé vnpt. Eben so ist anderwärts GX @ye in aA« ye überge- gangen, vel. Meineke Theocr. p. 231. Statt un xaxov oùtov 8hotcSe dürfte Nicolaus Damasc. GAnoSe ge- schrieben haben. Orac, Sibyll. prooem. 55: dPIAQTOS HTITTNS, AOVIOS, QSÉLA VLOV. Alexandre bemerkt: «melius, si liceret, atSégt vatoy, ut lib. LL, v. 27 et alibi quum apud Sibyllam, tum apud optimos poctas: sed aiSéga cum Theophilo legit Lactan- tius», Zur Unterstützung der Emendation aiSépt vatov dienen ausser 2, 27 noch folgende Stellen der Sibyl- linischen Orakel: 2, 177. 3, 11. 81. 5, 297. 11,311. 12, 132. 14, 10. Orac. Sib. 2, 267: peudardtat pot TERELIRÉVOL. So Alexandre in beiden Ausgaben, obwohl er selbst, wenigstens in der grüsseren Ausgabe, die allein zu- lässige Form rererspévor aus zwei Pariser Handschrif- ten anmerkt. 3, 245: aXAa rewypopévoror Sépous do pLoïpuy ÉHAREL. Auf Grund lediglich dieser Stelle haben unsere Lexi- kographen ein Verbum mevégeouat angenommen ; ich 15* 231 I halte es für wahrscheinlicher dass der Autor tewypo- tépotot schrieb. 5, 288: ai ai Sapdetç, ai a xal rokunpute Tpdhs. Das in einer Pariser Handschrift fehlende Wäôrtchen xai môchte Alexandre durch oo ersetzen. Es war viel- mehr zu schreiben: a ai oo Sapôete, a al rokumpurte ToaMes. Vel. 5, 110: a ai oo xpadn detn, T pe raôr épeiters. 5, 125: al ai oo Auxin, Goo oo xaxa unxavaator. 5, 316: al aï co Képxupa xadn Ton, ravco xopov. D, 433: où ai oo Bafuloy ypuooSpove yovoonédihe. 7, 118: a ai oo thmpov, al at xaxoSupe Sahacon. 8, 95: at ai oo Ita yon, éya BaoBapoy Svos. 11,33: at où oo Mépote, où af pe yon Baothela. 11, 64: a ai oo Mnôetov Edvos. 11, 106: œ ai oo Iepots. 11, 183: a ai oo thmpov Enñas. 11, 204: a ai co BaBuov. 11, 285: a ai ao DUoVURPE XCpN. 14, 208: où ai oo muplxnuate nos. Statt a ai ist viellleicht atai vorzuziehen. 5, 336: ‘Ennonovte Tohav, ÉeuÉer noté u Acovploy ras. els où payn Oonxoôv ai cou cSévoc ÉÉnharaber. Dem Verständniss der Stelle dürfte zu helfen sein durch die überaus leichte Aenderung etot payn Oonxôv. 8, 39: xaécdaptoSnon val TÜo ce Ein SaTavnoet. Besser wäüre xat tüo o 0Aoùy Saravnoer. 8,173: GAX où pi netoSGotv, 6 xev mod otv éotev. In der zwciten Ausgabe läüsst Alexandre die- sen Vers ohne Bemerkung, während er früher die ab- solut nothwendige Aenderung © xev mo Xotv ein selbst angerathen hatte. 9, 920: xt, dyvn Suyatee Etov, xal noAI TadobIa æbtos cou Baothedc émtBas ÊTÙ rdv ÉGHYEL, TOUS TAC POVEs. Die Lesart écwye, wofür cinige Handschriften etcoyet oder etoaë£et bieten, ist unstatthaft schon um des Sin- nes willen, der den Begriff kommen verlangt, also etwa ëracoe. Fehlerhaft ist auch die andere Stelle wo die Wurzelsilbe in &yo als Länge erscheint, 13, 5: xal ta pèv obpawtog que DEOS AÉKOUGUV ÉTAYEL ayyéheu Bacthedatv, wo statt étaye: vermuthlich éretyet zu lesen ist. 12,166: Sutos xat vaous mokeot Tacots AvaSNoEL. Das verdorbene Surovs oder Sutous müchte Alexandre in Sutas ändern, «éfsè quantilas obstat, nec bene re- spondet sequens voz avaScet.» Wer die Stelle im Zu- Bulletin de l’Académie Kmpériale sammenhang betrachtet, wird sich leicht überzeugen dass es heissen muss oÛtos xat vaods xt£., Wie bald nachher (V. 169) richtig gelesen wird: oÛTOS KA [LG yxôv poor ravro xnSéer € adurov. Statt rokeot roots War rohestw rücats Zu sctzen: in der neusten Ausgabe der Sibyllinischen Orakel ist der gleiche Fehler überaus häufig geduldet worden. 14,162: @hAd Saveid Uno jeupt Tapets aidow ot- Snpo. Vermuthlich Sapels aisow o1ÿnçe. Einige andere vom neusten Herausgeber übersehene Besserungen zu den Sibyllinischen Orakeln habe ich im Bulletin VI p. 68 f. oder Mélanges Gréco-Rom. IT p. 484 f. mitgetheilt: überaus wichtige Beiträge zur Kritik dicser Poesien enthält der Aufsatz von Meineke Philol. XX VIII p. 577—598. Sollte jemand meinen, derartige Texte zu emendiren sei überhaupt nicht der Mühe werth, so genügt es zu erwidern dass eine sichere Emendation auch eines an sich ziemlich gleichgiltigen Textes fast immer der Mühe werth ist, schon darum weilsie sich als fürderlich erweisen kann für die Be- seitigung ähnlicher Febler an anderen Stellen. Zur Erläüuterung diene Orac. Sib. 3, 292: XOUGOV TE HHRXOY TE ROAUXEMTÉV TE CÉÔNEOV. So Alexandre in beiden Ausgaben; ohne Zweifel aber muss es heïssen yæxév te xoucoy te nach einem be- kannten Homerischen Verse (Z 48. K 379. A 133. E 394). In gleicher Weise haben auch sonst die Ab- schreiber bei sinnverwandten oder coordinirten Be- griffen die Wortfolge unwillkürlich geändert. Statt n Leuaov n ofômpoy À xahxoù Bagos bieten bei Eur. Hipp. 621 die Handschriften zweiter Classe und Stobacus à xalx0v n éme n xevGoù 8agos. Eur. fr. 819, 1 schwankt die Ueberlieferung zwischen év xaxoîot xai vocois und ëv vocouct Xi xa- xots. In einer Stelle des tragischen Dichters Ion (fr. 38,5 p.573) sprechen die Zeugnisse theils für Suxetv re mai Suyeiv, theils für Seyeiv te xai Saxeiv. Der Ho- merische Vers és Zapov ès + 'InfBpov xai Afpvoy duuySadeconv (Q 753) ist in dem Citat à T 'IpBeov ë&s Sagov xat Apvov Schol. Ap. Rh. 1,923 sogar me- trisch verunstaltet, wie Eur. Iph. À. 1136 in unseren Handschriften steht & rorua Tuyn xa poîon Satpov r êpos statt des von Musgrave hergestellten & TOTWO. potes xat tÜüyn. Soph. Phil. 468 ist überliefert REÔc VD GE TATEÔS HPÔG TE WTPOS, G TÉXVOY, wogegen Suidas IT, 2 p_ 477 oùs vv Ge BLNTEOS TES des Sciences de Saint-Pétersbourg. 234 TS re nargés citirt. Statt sès Sopous re xx Ocpov Soph. [las man Avouo av à antouoa. Das Original aber Trach. 34 bietet eine Pariser Handschrift x Scpov re mes Sopous, und Ant. 29 steht sogar im Laur. A av S arapoy axhavroy statt des in geringeren Codices erhaltenen Originales éäv à axAautov atapov. In ähn- licher Weiïse dürfte bei dem Tragiker Apollonides fr. 1,2 p. 642 statt où xeuaos, où Tupævvis, où mhoutou 2.01 umzustellen sein, où thoûtoc, où tupævvés, où joucou Lun, wofür © thodte xat tupawwt Soph. Ocd. R. 380 und besonders où modos, où tupawvés Eur. Or. 1156 zu sprechen scheint. Sicherer ist es dass wir in den bei Suidas v. Baërn überlieferten Worten, Baërn D xav Jéper xat Év LELWOVE AYATOV, eine Umstellung der Worte Séget und xetgœv vorzu- nehmen haben. Es muss heissen Bain D av eumOôve xav Sépet X&AOY, wie ich bereits im J. 1860 zu Soph. Ai. 601 ff. in der vierten Auflage der Schneidewinschen Ausgabe p. 118 stillschweigend corrigirt habe unter Verwei- sung auf Hegemon bei Ath. IX p.407 A: quxn D xav xEpôv av Séper xaXov, wo überliefert ist paxn DE xai êv Sépee xai év yaupow æyaSov. Namentlich aber gehôrt hierher Soph. Ant. 40: ré Ÿ, à ralaîqpov, eû TAd Év toutou, VO Avouc av n SanTouca poor TAÉOV; Dass Aveuw und Sarxrteuw unmüglich einander gegenüber gestellt werden künnen, liegt auf der Hand. Darum wollten einige hovous’ &v n Sartouoa schreiben, und bei G. Hermann steht Xcouo @v n Sartousa wirklich im Text. Mit Recht haben die neueren Herausgeber diese Vermuthung verworfen. Weit besser ist die in unseren Handschriften überlieferte Variante Xvcua av n évartovsa, bei der man sich beruhigen künnte, wenn nicht das Compositum éparrouoa statt ouvattouca oder &rtouca sehr unpassend wäre. Diesem Uebel- stande hilft Porsons Vorschlag vous’ äv ei amrov- ca, der dafür an einem anderen Mangel leidet: denn mag es auch übertrieben sein, wenn G. Hermann sagt, «quod Porsonum coniccisse proditum est, Xo:5o av > artouocu, quem sensum habere possit, non patel», S0 lässt sich doch nicht in Abrede stellen dass 9 hier angemessener ist als eite. Bevor der Fehler des Sopho- kleischen Verses durch die Correcturen SaTtouoa oder éparroucæ nicht geheilt sondern verdeckt wurde, lautete 4trouo dv n AvouGa. Eur. Phoen. 778 pfegt man jetzt zu schreiben: got pèv ad eêrov, npoonokots À épuois AÉVO. Statt eèxov bietet die beste Handschrift (Marc. 471 oder A nach Kirchhoffs Bezeichnung) av36. Offenbar lag es einem Abschreiber überaus nahe das dichte- rische avÿay durch das landläufige etretv zu ersetzen: weniger glaublich ist der umgekehrte Fall, die Sub- stitution des gewählteren avôo statt des alltäglichen eêrov. Daher bin ich der besten Handschrift gefolgt, zumal da ihre Lesart empfohlen wird durch zwei an- dere Euripideische Verse, Hel. 1662: aot pèv rad av- 56, ovyyove © éÿ éyo, und Phoen. 568: cot pèv taÿ av36, co dè Ilokuvetxss Aéyo. Vielleicht ist es hier- nach nicht zu kühn &d56 statt eîxov zu vermuthen bei Eur. Suppl. 1213: ot pèv Tad etrov, rouot à Apyeiov Xéyo, und EL 1276: oo pèv Tad eërov révèe 3 A- YÉTSOU vÉxUY. Mit welcher Consequenz die Abschreiber gewisse Redensarten in stereotyper Weise glossirten, mag man an folgenden Beispielen wahrnehmen. Etwas «mit wenigen Worten sagen» heisst Griechisch év Boayet Ayo (dichterisch puSo) eireiv. Unversehrt ist diese Ausdrucksweise erhalten bei Aesch. Prom. 505: $oa- xt 3 puSo ravra ouAAmBôny pas. Soph. Phil. 435: Ayo dé © êv Boayet toùr éxddaËw. Eur. fr. 364, 5: Boayst D pudo ToXk& ouhhafov épo. Epigramm bei Brunet de Presle und Egger ‘Les papyrus Grecs du musée du Louvre’ (Paris 1866) p. 46: év tôde dËo räouw éxpade copy Upiv réhou ouvrauy Ev Romxei do. Aristeas Epist. ad Philocratem p. 16, 20: év Ave Boat. Statt dieses év Bpayet Ayo haben die Schrei- ber unserer Codices nicht selten év Boayet yecvo sub- stituirt. Einem Schwanken der Handschriften zwischen xéyo und yeévo begegnen wir zweimal bei Acschylus. Pers. 713: tavra yap, Aaget, axoucer pLÜSov év Poayet xdyo (so schreibt man jetzt mit vollem Recht nach geringeren Handschriften, während xecvo die Autori- tit des Mediceus für sich hat). Der umgekehrte Fall liegt vor bei Acsch. Prom. 875: tas D jm, TaÛTo Bet pumgoù Aoyou eires®, wo das von Dindorf mit Un- recht verschmähte Xéyou in den besten Handschriften steht, geringere dagegen xecvou bieten. Ohne Variante ist überliefert hei Eur. Phoen. 917: © rolha hébas éy Boayxet xecve xaxa, und bei Dionysins Calliphontis 10: Bulletin de l’Académie Impériale 236 rar épuétows bnonoestT v Boayet xecve. An beiden Stellen ist y Bozxet Àcyo nothwendig, wie für Diony- sius schon Letronne verlangt hat. Stärkeren Entstel- lungen ist dieselbe Phrase ausgesetzt gewesen in zwei Euripideischen Versen. Orest. 734: oiyopeoS, dc év Soaxet oo taya Onhoco xaxa. Zwar ist év Boayet an sich vollkommen verständlich; aber taux xaxa ist ein hüchst ungeschickter Ausdruck num die «Lage» des Redenden zu bezeichnen: darum vermuthe ich os 2 Bouxet oo tapa Onhoce Àcyo. Ohne Zweifel hat die zu tayx beigeschriebene Erklärung xaxzx den echten Schluss verdrängt “). Suppl. 566 : Boyer ouv- ado piSov év Boayet édev; Das vollkommen sinnlose sé3ey wollte Hartung durch oai ersetzen: ich halte es für wahrscheinlicher dass der Dichter év Boayei Ayo schrieb. Bei cuvado pSov vermisst man indess einen Dativ der Person; darum môchte ich glauben dass die Stelle ursprüpglich lautete ñ ce ouvabo pLÜSov év Boayei ÀCYO; In céS%ev sehe ich einen ungeschickten Ersatz statt des zu Anfang des Verses ausgefallenen ou. Dies Wort kounte überaus leicht wegfallen vor cuvabo: es konnte aber auch verdrängt werden durch ein zu cuve bei- geschriebenes Boyer. Zu den vielen üblen Gewohnheiten, durch welche die Schreiber unserer Codices die alten Texte verun- staltet haben, gehôrt auch die Unsitte der Einschal- tung ungehôüriger Buchstaben. Das Princip von dem man bei derartigen Zugaben sich leiten liess, dürfte im Allgemeinen dasselbe gewesen sein: ein fremdarti- ges oder ungewohnliches Wort suchte man durch ein näher liegendes oder bekannteres zu ersetzen. Zur Erläuterang diene Photius Lex. p. 640, 18: pagua- xida" Tv x TOÙ ynpgws butiÔôæ. oÙtw ZopoxAñs. Schon Brunck hat gesehen dass das Lemma vielmehr œoug- to oder besser pagxtda lauten sollte: aus DAPKIAA machte man DAPuaKIAA, ohne zu bedenken dass œaouaxts die Giftmischerim, nicht aber die Runzel bezeichnet. Statt Suopotpoy Sahapoy êri Tactaciy 42) Ucberhaupt zeigen die alten Interpreten, durch deren Zu- thaten die Texte der Griechischen Dichter und Prosaiker in ausge- dehntester Weise verwässert und verfälscht worden sind, wie für alle Trivialitäten so in der Tragôdie namentlich für das wohlfeile Wort xaxoy eine absonderliche Zuneigung. Mit der Stelle aus Eur. Orestes ist zu vergleichen Iph. Taur. 687: EUPua pUvEL TAUX DE PÉPELY Xaxx. Auch hier ist xæxx ein erklärender Zusatz; der Dichter schrieb, wie Porson geschen hat, täud Set péperv êué. Anth. Pal. 9, 245 bietet der Codex Palat. éti rapa- |otaouw, sinnlos und unmetrisch zugleich. Schol. Soph. Oed. R. 775 wird berichtet: Pepexvôns onot Médoucav etvar tn IohuBou yuvaixa, Suyatépæ DE OpouAdyou Toù aÿehqetod" oc DE Avttoytôa Tv Xahxovos. Das fehler- hafte ashperoù war weder in adehpoë noch in aexœt- Soù zu ändern: es muss vielmebr heissen, wie Schnei- dewin Philol. IV p. 754 gesehen hat, Suyatéoa dÈ Opatoyou to Añpetod, nach Od. y 489: viéos "Opothc- xot0, Tov Ahoerds téxe raid. Aus dem Berg Iévèos ist im Codex Flor. bei Miller Mélanges de litt. Gr. p. 229 der Dichter Iévôagos geworden: Son @ecoa- Mas xüxho regéyoyra taurnv Exmhov, Ocon, OSpus, "Ohopros: Iévôagos. Wo zu schreiben war: 6pn Gec- gadlas xuxko reptégovra aurmv mévre Ilmhtov, Oocn (besser "Ocoa), OSous, Ohuutos, Ilévèos. In ähnlicher Weise wird aus Eur. Tro. 472 statt des richtig über- lieferten é£äcar bei einem Rhetor fälschlich ééstacar citirt, anderwärts hat man aus apves gemacht toceves, u. del. m. Auf Grund derartiger Erfahrungen lässt sich ohne Mühe eine Stelle des Athenaeus XV p. 682 C in Ordoung bringen: Tuay{ôus à êv tots Acérvots To 60- Sov pnot Toùs Apxadas xuheiv EUGupæAOV avti TOÙ eboopov. Nach Hesychius sagten die Lakoner oupa statt éourn, und rotouoe wird bei demselben Lexiko- graphen durch tooocéet erklärt *). Somit werden die Arkader im Sinne von edoouov gesagt haben nicht e5- cppahov, wie bei Athenacus und dem ihn ausschrei- benden Eustathius Il. p. 1295, 14 steht, sondern ev- oupov: denn evduææhos mit kurzem Alpha künnte nur bedeuten «mit schünem Nabel»; das von M. Schmidt (Hesych. vol. 3 p. 206) angenommene evoppahos «pro- ducto & pro n» ist eben so undenkbar als evcounaos statt sboouos. — Ganz ähnlich ist die Eur. Bacch. 57 vorliegende Corruptel: dùX 6 Mneïou Tuôdov, épuua Audlas, Slagos pos yuvaixes, as x BapBapov éxouon rapedpous xai ÉvVMTOpoUs mor. Unmôglich konnte Euripides die den Dionysus um- schwärmenden Bakchantinnen als «Beisitzerinnen» des Gottes bezeichnen; vielmehr schrieb der Dichter: &s x BaoBagov éxquo oradous xai Évveuropous époi. Aus léxouow oxadoùs wurde zunächst éxquoa TAAOYE 43) Nicht unwahrscheinlick ist die Vermuthung von M. Schmidt, | dass die Glosse roroupet entlehnt sei aus Aristoph. Lysistr. 206: xat uv motod der y a0Û vai roy Kaoropa. 23% des Sciences de Saint-Pétersbourg. 238 (vgl. Eurip. Stud. 1 p. 73 Anm.), und in Folge die- ser leichtenu Entstellung verfiel man auf das sinnlose Exouoa TTAgéALOYE, das unsere Handschriften and Ausgaben bieten. ; Zwei bekannte Homerische Verse (X 262 f.), üg oùx Te héouat xai avÔpaotv COxIX TLOTA, oUdE Auxot Te ka Goves CLoopovz SUV ÉXOUTLV, werden angeführt von Hermias in Plat. Phaedr. p. 90, wo im ersten Verse Xéouot xat movaatv, und in den Schol. Ar. Pac. 1076, wo im zweiten Verse Avxor te xat «vdpes gelesen wird. Beide Varianten oder viel- mehr beide Schreibfehler sind vüllig werthlos für die Kritik der Homerischen Stelle, die in Ordnung ge- bracht sein dürfte, wenn wir mit 1. Bekker in den Worten Avxo: te xai doves das ve tilgen: einigen Werth aber haben diese Schreibfehler, sofern sie zei- gen wie derselbe Text in Folge desselben Anlasses in verschiedener Weise entstellt wurde. Bei Hermias verwandelte man avioworv in aovaou, irre geleitet durch das nachfolgende #opves: in den Schol. Ar. sub- stituirte man statt aovss, weil avôoactv voraufoing, av8osc. Derartige Fehler sind überaus häufig: an zahl- losen Stellen lassen sie sich, so wie hier, urkundlich erweisen, vielfach auch ohne äussere Zeugnisse voll- kommen deutlich wahrnehimen und gleichsam mit Hän- den greifen. Für beides habe ich Eurip. Stud. I p. 152 f. und im Bulletin XII p. 501— 503 oder Mélanges Gréco-Rom. IT p. 37 —39 eine ansehuliche Reïhe von Belegen gegeben; ausführlicher handelt über diese Quelle von Verderbnissen L. v. Sybel, De repetitio- nibus verborum in fabulis Euripideis. Dissert. philol. Bonnae 1868 p. 32—61. Gleichwohl dürfte es nicht überflüssig sein einige hierher gehôrige Stellen kurz zu besprechen, darum weil die meisten Kritiker der Gegenwart von der Ausdehnung und Tragweite der- artiger Fehler kaum eine Ahnung haben, und weil nicht selten die Wiederholungen desselben Wortes entweder mit Unrecht den alten Autoren aufgebürdet worden sind oder zu verfehlten Besserungsvorschlägen verleitet haben. Soph. fr. 853 ist bei Stob. Flor. 45, 11 in folgender Gestalt überliefert: ToNGY xaXGV Dei TO LARG THLOLÉVO puxooù S œyôvos où péy Spyetar Aé0s. Der Ausgang des ersten Verses lautete, wie ich vor Jahren gezeigt zu haben glaube (Observ. crit. de trag. Gr. fr. p. 30), ro xaAcv rt popévoe, ein Vorschlag der von Meineke, Herwerden, Dindorf und anderen gebil- gt wird, während es natürlich auch nicht an solchen fehlt, die to xa)6ç topéve in Schutz nehmen. Dass die ersten Worte roxGv xahov Set einen Fchler ent- halten, dürfte gegenwärtig nur von wenigen bezweifelt werden. Bamberger wollte vor 30 Jahren schreiben moXhov rahov Ôct: denselben Vorschlag machte nach ihm Herwerden Exerc. crit. p. 27, ferner Wecklein Ars Soph. em. p. 58 und endlich, damit ja niemand an der Richtigkeit zweifelte, Roscher in den Acta soc. philol. Lips. I p. 93. Trotz des Zusammentreffens so vieler und trotz der Leichtigkeit der Aenderung halte ich dieses roXov rakov ôei für durchaus verfehlt, darum weil eine derartige Redeweise sich weder be- legen noch verstehen lässt. Das Wort rakn scheint mir hier sinnlos, und ein Pluralis tahe ist in der classischen Gräcität kaum denkbar. Ueberraschend leicht ist ein anderer Vorschlag, roOY xadov Bet TO xAXOS TLOÉVE, auf Deutsch: «vieler Taue bedarf wer schôn gechrt wird» — jedenfalls ein sehr sublimer Gedanke, für die meisten vielleicht zu sublim. Wie ich glaube, schrieb der Dichter: TONGY Tovoy À TO XAXOY TL LOUE, womit man statt anderer Stellen vergleichen kann Eur. fr. 147: sdxhcrav ShafBov oùx aveu ToXÂGV Tévoy, oder fr. 238: oùv puofouor ta ah yéyvetar movors. Dass rovoy in xaov verwandelt wurde, erklärt sich aus dem nachfolgenden xæhov, — Soph. Oed. C. 554: TONAOY AXOUWY ÊV TE TO TAPOS YOOVO Éyvoxe ©, © mai Amtou, ta vov S Joie Ev taiod axouwv paxoy SÉer/orapuar. Früher hatte Theseus nur gehürt von Oedipus, jetzt sieht er ihn von Angesicht zu Angesicht: d. h. statt Év taioS axouwv muss es heissen £v raioès A:u0cov, wie nach meiner Vermuthung Meineke geschrieben hat. — Soph. Aï. 738 f. Teukros hat einen Boten ab- geschickt, um zu verhindern dass Aïas sein Zelt ver- lasse. Der Bote, welcher erfährt dass Aïas bereits ausgegangen sei, beklagt sein zu spätes Eintreffen mit den Worten: Boadeñav mas ap © Tnvds Tv 6O0v réprov Éreubev, n Éonvnv yo Bondue. Der Sinn kann nur dieser sein: entweder hat Teukros mich abgeschickt als es bereits zu spät war, oder ich habe den Weg nicht schnell genug zurückgelegt. Dass 239 Bulletin de l’Académie Hmpériale 210 san are Boadetay cdov répureuw nimmermehr bedeuten kann, was | testirtt Makaria, indem sie meint, ein unfreïwilliger der Zusammenhang fordert, sero mattere, hat Er. W.|Tod verdiene keinen Dank, und nur aus freier Ent- o ul 1 Schmidt de ubert. Soph. IL p. 16 richtig erkannt. | schliessung werde sie ihr Leben hingeben, nicht ge- Ohne Zweifel hat er auch Recht, wenn er Boadetav für feblerhaft hält; ob jedoch das von ïhm vorgeschlagene ayoctov die Hand des Dichters trifft, scheint mir zwei- felhaft, da man mit gleichem Rechte das vielleicht sinngemässere patatov setzen kann. Hôchst nüchtern klingt auch quas tee © rnvde rnv Cv téprov. Viellcicht ist zu lesen: pataroy Mas ao à Tnvds Tv 0J0v gréhhov étehey, n épavny yo Bouduc. Ucber die Verbindung von répretv und otéaew vgl. Oed. R. 860: a pos Toy épyatnr Téuboy Tiv4 oTe- Aodvra. Ant. 164: pas à éyo rounoïoiv x Tavrov ya ÉoreuX ixéodau. Oed. C. 298: oxonoç dé uv, 06 xapè de0p meme, otyetar otehov. Phil. 495: ëcte- Àov avtov, ixectous réprov Ataç, aitTooTohov réphavea u' éxcocœ Jouous (wo ich autoctolov reucavta mit Blaydes vermuthen môchte). — Phil. 104. Mit Gewalt, meint Odysseus, lässt sich gegen Philoktet nichts aus- richten. Darauf fragt Neoptolemus: oùtog Êyer tt Servov toyuos Spaooc; Inwieweit Philoktet sich verlässt auf seine Stärke ist vollkommen gleichgiltig; es handelt sich vielmehr darum, was er zu thun vermag. Ohne Zweifel ist Sodos entlehnt aus dem mit teoopiéor Spa cv schlies- senden Verse 106. Man schreibe toyvos xoatos, Wo- zu denn auch &ervov besser passt. Vgl. Phil. 594: à Aoyo Telouvres Géetv n too toyuoc xpatos. Eur. Med. 538: vouos TE YON0Sa LA Teoc CogUos xpatos (denn so ist zu lesen statt yaprv mit der Variante Soacet). — Eur. EL. 341 f. fragt der Arbeiter, an den die Heldin des Stückes vermählt ist: a: tivaç Touod év Tuh&LG 000 Éévouc; toc à Exarr tuod ÈT dypmvhous TUdRÇ TOOONÀ CV; Von æyeavho ru zu reden ist sinnlos: statt der ländlichen «Pforte» muss man vielmehr die ländliche «Wohnung» erwarten, also tac ét œypauhous oté- vas. Aus otéyas wurde muhas lediglich deshalb, weil im vorhergehenden Verse &v tudas steht, — Heracl. 558. Makaria hat erklärt, sie sei bereit den Opfertod zu sterben. Iolaus findet, es sei gerechter, wenn das Loos entscheide welche unter den Tôchtern des Her- cules dem Tode geweiht werden solle. Dagegen pro- zwungen. Iolaus bewundert ihre hochherzige Gesin- nung, und erklärt, er künne sie nicht ermuntern zu ihrem Vorhaben, eben so wenig aber abmahnen: où pv xekcvo ÿ où arewéro, téxvev. Worauf die Jung- frau sagt: dopos XEÀEUELS" LM TRÉCNS [LAÉGILETOS toUpLod peTuoyeiv, aAN ÉAcuSéoos Save. Bereits in der ersten Ausgabe des Euripides habe ich xeXeves als fehlerhaft bezcichnet und muss auch jetzt mit grüsster Entschiedenheit diese meine Behauptung aufrecht erbalten. Weder hat Iolaus irgend welche Veranlassung die zum Opfertod bereitwillige Makaria in ihrer Absicht zu bestärken, noch sicht man mit welchem Rechte oder in welcher Absicht Makaria die Worte des Alten où pv xehsvo Lügen strafen kann durch die Entgegnung xehevers. Eine derartige Ent- gegnung wäre frech und albern zugleich. Dazu kommt dass copoôs offenbar zum Lobe des Iolaus gesagt ist und dass die nachfolgenden Worte pn tTeéons puaicua- ros toumoù metacyeiv denselben beruhigen sollen über die Folgen des Schrittes der Makaria, dass also in keiner Weise bei Makaria sich eine Verstimmung ge- gen lolaus zeigt, wie sie erwartet werden müsste, wenn sie meinte, Jolaus wünsche ihren Tod. Wenn Pflugk meinte, copôs xedsverç beziehe sich darauf dass Tolaus «Macariam suo, non alieno consilio uti in re tam ancipiti voluit», wenn er somit den Worten copoç xe- Aves den Sinn unterlegte copôs oùte xeheves oùr amevvérets oder copôç êpuot oùy étépots énitétecs Tode, so kümmerte er sich weder um den Zusammenhang der Stelle noch um die Gesetze philologischer Inter- .pretation. Sicherlich ist xekevex irrthümlich von ei- nem Abschreiber gesetzt, lediglich deshalb, weil où pv xeevo voraufging. Makaria konnte, so viel ich sehe, nur sagen copos ékcéæs, und nichts steht der An- nahme entgegen dass Euripides dies geschrieben habe. — Soph. Ai. 226. Der Chor ruft aus, ais er hürt dass Aias während der verflossenen Nacht in Wabnsinn verfallen sei, ciav édmhocac dyyehay toy peyahov Aavaov ÜTo xANÉOLEVEV, TA Ô WLÉYAS LUSOS déber. Was péyas poSos bedeute lehrt Ai. 423: oùxér avôox un TON ont, ênos éÉécpo my, oiov oùtva Tooix 241 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 242 —_—— Séex3n. Au obiger Stelle ist, wie Schneidewin richtig erklärt, die Rede von einem Gerücht, das die psyæaor Aavaæoë d. h. die Danaerfürsten verbreitet haben und das nun im Volke von Mund zu Mund geht, In die- sem Sinne ist uothwendig nicht péyas, sondern toxvs u%os. Für diese Verbindung wird es genügen nach dem Vorgang des Passowschen Handwôrterbuchs 5. Auf. IF, 1 p. 1011 f. au Stellen zu erinnern wie Aesch. Suppl. 294: ai œntis moXdn xoatei. Soph.Oed.C.305: mo) yap, & yépov, To cûv ovop demuee mavras. Plat. Reip. VIII p. 562 C: Aéyerar yoe Ôn, en, xai rod roùro to mue ‘). Die Vertauschung von péyæs und rohvs war an sich leicht môüglich wegen der begrift- lichen Verwandtschaft beider Wôrter; hier lag sie um so näher, da pzyæhoy in der vorgehenden Zeile stand. Den gleichen Anlass für dieselbe Vertauschung finden wir Aesch. Pers. 250: à Ilsocis ax mal ToXd< thoutou Mn, og Év WU TANYN XATÉPIAOTE TORVS oÀBos. In den Observ. crit. de trag. Graec. fragim. p. 25 sagte ich über diese Stelle: «suspicor ai péyas houtou À- uny coll. Eur. Or. 1077: o (es sollte heissen xat) Jopo rarocs ka} péyas mhoutou Av.» Damit glaubte ich für Urthcilsfähige genug gesagt zu haben. Haupt aber (im Hermes V p. 186) wirft mir vor, ich hätte ver- gessen dass die Dichter die von ihnen benutzten Verse anderer ein wenig zu verändern pflegen‘”). Sollte Haupt 44) An der Lesart rav © uéyus DÜSoc dése: haben bereits Mus- rave und Reiske Anstoss genomen, deren Vorschläge Lobeck an- führt und mit Recht verwirft. Durchaus ivrthümlich ist es aber, wvenn Lobeck sagt, 6 méyas u5$os werde sicher gestellt durch Aï. 173: © peyohu paris, & uatep aioyuvus ue. Deun hier ist, wie R. A. Morstadt gesehen hat, peyahæ @acts unpassend, sofern es sich uicht um eiu grosses und gewaltiges Wort handelt, sondern um eine betrübende oder traurige Kunde Wür hüchst unwahrscheinlich halte ich Morstadts Vorschlag & pruoi garts. Passender dürfte sein o uekéa outre. War in uekéa der vorletzte Buchstabe verwischt, so lag es einem gedankenlosen Abschreiber sehr nahe MEAA in MEyaAA zu verwaudeln. à 45) Vorsichtiger wäre es, wie mir scheint, gewesen zu sagen dass die Uebereinstimmung verschiedener Dichter in gewissen Ver- sen keineswegs immer eine vollständige ist. Aber in derartigen Diugen von Haupt Genauigkeit zu fordern wäre unbillig ; denn aquilae non captant muscas. Daraus erklärt sich deun auch folgende Redeweise: «ewius rei inmemor fuit qui Aeschyli versuin in Persis 250 suo artificio emendandum esse censuit.» Wenn die. Substitu- tion von uéyas kuny stalt rokue Any ein arbificium ist, so kommt dies artificium auf Rechnung des Euripides, sofern dieser den Aus- druck uéyas kunv mir an die Hand gegeben hat. Meiu artificium künnte nur darin bestehen dass ich den Griechischen Tragikern, um an ihnen Texteskritik zu üben, ein sorgfältigeres Studium zu- wenden zu müssen glaube als mancher andere. Tome XVII. wirklich ein Zusammenstimmen des Aeschylus und Eu- ripides in dem halben Trimeter «xai péyas TAOUTOU Xynv für uuglaublich halten, so kann ich mit-einer ansehnlichen Reihe ganzer Trimeter aufwarten, die bei verschiedenen Dichtern oder in verschiedenen Stücken desselben Tragikers wiederkehren, wobei die Dichter derselben Vergesslichkeit sich schuldig machten, die mir von Ilaupt vorgeworfen wird. Eiustweilen diene zur Nachricht dass wir lesen Soph. Oed. C. 1292: VAS ÉX TaToous Soph..fr. 726, 2: QUYAS TOTIONS Eur. Hel. 90: quyds Tarowus ÉÉsANAMLAL JICVOS. Ist diese Uebereinstimmuug vielleicht eher zu ent- schuldigen als der bei Aeschylus und Euripides sich findende halbe Trimeter xa wéyæs Thoutou Apr? Was Haupt ferner für die überlieferte Gestalt des Aeschy- leischen Verses geltend macht, « nulla re Aeschylus magis alienus fuit quam ab anxio et exili studio quo co- rundem vocabulorum repetitionen vitaret, kann offen- bar nicht den Sinn haben, als wäre Aeschylus gezwun- gen gewesen in zwei auf einander folgenden Versen dasselbe Wort rovs zu gebrauchen. Wenn also in dem einen Verse roxds Thoutou kuuny und in dem nächsten Verse xatéoSmota tous überliefert ist, so ist es weder unmôglich noch unwabrscheinlich dass entweder das erste oder das zweite rods auf einem Versehen der Abschreiber beruht, und der Umstand dass wir bei Euripides péyæs Thoutou uv lesen, kann der von mir geäusserten Vermuthung nur zur Empfehlung gereichen: wie ein jeder einschen wird, der die Wahrscheinlichkeit oder Unwahrscheinlichkeit einer Vermuthung nach anderen Kriterien beurtheïlt als nach dem Namen ihres Urhebers. Der eigentliche Grund aber weshalb ich péyos Thouteu pm bei Ae- schylus vorziehe, liegt darin dass ein Ausdruck wie roxùds un in der voralexandrinischen Zeit meiner Ansicht nach undenkbar ist. Allerdings sind péyæs und tous verwandte Begriffe, und bei gewissen Sub- stantiven ist das eine wie das andere Adiectivum in gleicher Weise denkbar, aber erst sehr späte Seri- benten gebrauchen zoavs schlechthin für péyæs in Redensarten wie Opngos 6 mokis, Ihadtov 6 to, 0 rois Atrxos, © mors HouxAne u. del. Dass ein Au- 16 2éeANhapat QUYXS, und Éshnhucar yScvos, und 243 Bulletin de l’Académie Impériale 214 EEE tor vor Alexander dem Gr. mods Xunv habe sagen künnen, muss also durch zuverlässigere Belege als Aesch. Pers. 250 erwiesen werden, um für glaublich zu gelten. Dass dies nicht nur meine Ansicht ist, lehrt die Bemerkung von H. Weil Aesch. Pers. p. 30, der ohne meine Emendation zu kennen sagt: legebatur mode rhoutou Any, adjectivo ex versu sequente male huic illato. Euripides Or. 1077 péyas Thoutou My. aut hoc aut, quod malui, rharvs Aeschylo reddendum. Was für wunderliche Entstellungen aus der so eben besprochenen Gattung von Versehen beim Abschrei- ben hervorgehen künnen, lehrt Wagner Trag. Graec. fr. I p. 255, wo in einem Verse des Sophokles statt cote tnv cvommtav lediglich in Folge eines Versehens geschrieben steht 56e nv coTnotay. Niemand wird Jeugnen einerseits dass den Schreibern der Griechi- schen Codices ähnliche Irrthümer begegnen konnten, andrerseits dass so sinnlose Entstellungen wie ctwa go&e tv sotnglav von den alten Correctoren mcht leicht geduldet wurden, d. h, dass die einfache Entstel- lung leicht verdoppelt werden konnte durch Aenderun- gen, bei denen kaum noch eine Spur der ursprüng- lichen Lesart übrig blieb. Für derartige doppelte und dreifache Febler habe ich Eur. Stud. I p.154 ff. meh- rere Belege zusammengestellt, theils solche wo sich die fortschreitende Textesentstellung urkundlich nach- weisen lässt, theils solche wo wir in Ermangelung von Zeugnissen auf mehr oder weniger unsichere Vermu- thungen beschrärkt sind. Zur letzteren Gattung ge- hürt Soph. Aï. 1013. Teucer meint, die Rückkehr nach dem heimathlichen Boden von Salamis sei ïhm durch den Tod des Aïas abgeschnitten: denn der greise Te- lanon werde ihn beschuldigen dass er den Tod des Bruders verschuldet habe. Er sagt vom Telamon: oûtos TÉ xpUtber; moioy oÙx bel Mu xov TOv Éx Ôcp0s VEVYÔTE TOEICU VOSoy, rov detlx TooÏoTA x LAXALVÈO D. gé, tarot Alaç xTE. Der Zusammenhang lehrt dass in den Worten rev — voSoy eine verächtliche Bezeichnung des Teucer ent- halten ist, welchen Telamon mit der kricgsgefangenen Hesione, einer Tochter des Laomedon, gezeugt hat. Unter doou mohépuiov ist Hesione zu verstehen. Wie aber ist es môüglich Scou roréuioy für atypahotes uv zu setzen, oder mit welchem Rechte kann man sagen, der Bastard Teucer sei geboren «von einem feindlhichen Speere»? Niemals wird 8cos gebraucht um den mit dem Speer oder im Kriege erbeuteten Besitz zu be- zeichnen, und gesetzt Sophokles hätte diese Uebertra- gung sich hier gestattet, so blicbe doch roxépov sinn- los. Was der Zusammenhang fordert, ist vollkommen klar: statt éx Sopos mokcuiou muss der Begriff £x yv- vaxos aiysmhotou Stehen. Meines Erachtens bietet sich nur eine Müglichkeit, um ohne Veränderung des unverdächtigen yeyora den hier erforderlichen Sinn zu bekommen; wie ich glaube, schrieb der Dichter: Tôv x ÉYOUS YÉYOTA DOPLTOYOU VOSOV, Dass diese Redeweise tadellos ist, bedarf, denke ich, keines Nachweises: wte aber konnte daraus die bo- denlose Absurdität des jetzigen Textes entstehen ? Zunächst durch den unwillkürlichen Fehler rôv Êx Jopôc YEVOTA DopiTEVoU VOTov, sodann, da 80005 Scgrrcvou eine offenbare Unmüglich keit war, durch eine willkürliche Aenderung an fal- scher Stelle, indem man das richtige 8orovou an- tastete, dem falschen Sogsc dagegen unverdiente Scho- pung augedeihen liess. Sollten andere ein leichteres Heilmittel ausfindig machen um die Worte êx dopcc veyota rohuiou zu heilen, so werde ich meinen hüchst gewaltsamen Vorschlag gern zurücknehmen: mit den- jenigen dagegen, weiche den überlieferten Unsinn fernerhin zu schützen suchen, ist eine Verständigung mir unmôüglich. Von verschiedenen kritischen Versuchen zur Hei- lung derselben Stelle hält man unter übrigeus gleichen Bedingungen mit Recht denjenigen für wahrsehein- licher, welcher der Ueberlieferung sich genauer an- schliesst. Daraus aber folgt keineswegs dass die leich- teste Aenderung immer die beste ist. Die Kritik geht darauf aus ein durch Fehler entstelltes Original aus- fiudig zu machen: die Wahl ïhrer Mittel ist somit ausschliesshich bedingt durch die Natur der zu besei- tigenden Fehler. Mit einer leichten Acnderung dar! sie sich begnügen nur da wo eine leichte Entstellung des Originals vorliegt; stärkere Fehler, wie sie in den Texten der alten Autoren nicht selten vorkom- men, werden durch eine geringfügige Aenderung nie- mals gehoben, mehrentheils verschlimmert. Und wie sollen wir eutscheiden, ob in einem gegebenen Falle eine icichtere oder eine stärkere Entstellung des ur- sprünglichen Textes vorliegt? Mit Sicherbeit kônnten wir darüber urtheilen, wenn wir das Original hätten: 245 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 246 mo so lange dasselbe gesucht wird, sind wir auf Vermu- thungen angewiesen, wie der Arzt bei der Diagnose einer Krankheit, und nach der Natur der Sache ist zu erwarten, was die Praxis bestätigt, dass die Ver- muthungen der einzelnen Kritiker in vielen Füällen weit aus einader gehen. — Bei Soph. Oed. R. 1084 f. ist überliefert: EN rooade à’ éxqus oùx av ÉSASONR Ête ror Ghhos, Oote [M SHLAŸEË TOUULOY YÉVOS. Dieser sicherlich fehlerhaften Stelle glaubten einige Kritiker aufhelfen zu künnen. indem sie æhos änder- ten in æhwocs. Eine leichtere Acnderung kann man sich kaum denken, schwerlich aber auch eine unglück- lichere: denn œAwos ist dem Sinne nach hier unpas- send und im Trimeter nirgends nachzuweïisen. — In einem Scholion zu Oribasius vol, 3 p. 680, wo über 2xo 'oLoy, œhhot Tr 2xwopos, éxooox gehandelt wird, heisst es: Acyou, ds xomtuve! SUpaée «oUx EGTt MUTOS évre0%ey ws awoovss. Die Herausgeber meinten diesen Passus dem Original näher zu bringen, indem sie das nach Àx5you stehende os in 65 änderten. Dass in EXDO0OS »' den Worten ox ct: uy%os £xoosos ein dichterisches Citat enthalten sei, haben Bussemaker und Darem- berg richtig gesehen: welchem Dichter die Worte gehôren, wussten sie nicht anzugeben. Meiner An- sicht nach ist die mitgetheilte Stelle ungefähr so zu schreiben: æhxot rt kdyou, ds Koarives Opatraus” oùx Sgr! ÜSOS Éxon0S' TOUVTEUIEY I0T ADEVOS. Diese Vermuthung habe ich vor nunmebr acht Jah- ren ausgesprochen (Bulletin VI p. 431 oder Mélanges Gréco-Rom. Il p. 529): sie hier zu wiederholen dürfte darum nicht überflüssig sein, weil Haupt in einem dies- jährigen Programme der Berliner Universität (Index lect. quae per semestre aestivum a. 1871 habebun- tur p. 5) das alberne éxt hoyou oc xomruve Supube fortpflanzt, ohne auch nur den geringsten Zweifel an der Richtigkeit der Worte zu äussern, — Bei Grego- rius Naz. hat die Redensart +! rourov qui; «vas geht das uns an?» Haupts Missfallen erregt: er decretirt (Hermes V p. 320), es sei zu schreiben + routo mu. Leicht genug ist diese Aenderung, aber leider so unnütz wie nur môglich, wovon sich ein jeder über- zeugen wird der die im Bulletin XIT p. 520 oder Mé- langes Gréco - Rom. II p. 64 f. zusammengestellten (ungefähr zwanzig) Belege entsprechender Ausdrucks- weisen zu vergleichen belicbt. Eine überaus leichte Aenderung ist vorzunehmen um die Worte des Libanius Declam. [IV p. 827, 13 herzustellen : {y oùv un Toro TaSov Ton Ve StauaoTou ka fonuaTa roocdeis Éonvy Boy RO {HITUTENOV, TOY LEV én!Emiov éxeivov Savarou Savatou SavaToy drokéora, tag dus D yxov, à Boukn. Man hat eben nur £onv Béov Savarou ro yahetwTepo zu schreiben. — Auf noch einfachere Weise lässt sich der vermeint- liche medicinische Autor Homilus beseitigen, den A. Maio Class. auct. IV p. 201 annimmt: bei Oribasius Colleet. med. XLVIIT, 7 war zu lesen nicht +adrx DE ta Mio 0 atotxos "Oyhos ovouacs cxacrnegfus, sondern toùto JE Ta. va © FLTOIXOS OUUACS OVCLLAGE GYXGTN- oux “). Umgekehrt hat A. Maio in demselben Bande bei Procopius Epist. 4. 53. 57. 77 2hkcuoav oder £hoù- gav, £hous, £hovons drucken lassen, wo von der Stadt “Ehcusa die Rede war, und ähnliche mit überaus leich- ten Mitteln zu hebende Fehler liessen sich aus den von Maio edirten Briefen des Procopius in Unzahl anführen. Auch die Presselsche Ausgabe der Briefe des Tzetzes zeichnet sich aus durch eine Fülle von Fehlern die in der einfachsten Weise sich heben lies- sen. Eine kleine Auswahl wird genügen. Epist. 13 p. 14: Khcitapyos yap Éxeivos 6 ouyyonveds Tepi Tns revSondovos œono®, n dé or: pehtTn Tapoiwrov (I. RapOouotov). p. 15: pavesins dE xai Qu Vytatvov xai apds xai Supmons, GTOT: don SO œmipetov (L. aoc- grov). Epist. 18 p.21: reot dE +nv Evoornv © Noyovos re (1. Ovoyuvos +2) 6 Gerrahos ai 0 Arrixos Tarooôc. Epist. 34 p. 30: aocvorsaov (1. aœowvorepoy) rov Zcotptov Baroayuv. Epist. 47 p. 41: tocoûre yao éuorye Snuostoy Touymatoy YAIÉTTNXE LLÉÂNOLS OTOG0V xai xohto®s (1. xoho1oïc) Bacthslns n aeTois TOY vouwy Toù Iarovos ai Trais amdooiv Agiototéhous cuXhoyoUGY. Epist. 72 p. 64: érel xai Seïov & potoua (l. yæçtowa) duyny hoywenv écymrapsy avSporo. Epist. 88 p. 78: Tiv Eraptnv ai Auxedatuova ftpocapeve. pr hoBo- rov (L WYAoBoTov) Imocuotv. Epist. 89 p. 79: moucav tduBov pov cûy Üroyslos (L DToYUHE), TEù JOCvuv dé rvwvy cuyyouozsicay. Epist. 104 p. 92: 4opsuuy xa! e > ’ à ; 1 47 ahhantevoy (L AAkavrsUwy) ratdorofeis Sautoy “). {e 46) Wie ich so eben sehe, haben bereits Bussemaker und Da- remberg (vol. 4 p. 261) richtig das Appellativum Guthoc. 47) In der Handsebrift B stcht nach Pressel Ghhzvretwv. Viel- leicht hat der Herausgeber einen LeseTehler begangen, Wie ver- muthlich Epist. 67 p. 59, wo er rexumprov daptféc Te xai dveu— Sotasroy druckt statt avevSotucrov. Uebrigens hat Pressel an zahl- 16* 247 Epist. 107 p.96: veavius Apcos xai ÀOYOV LELEANREVOS, Hôn quov rov ‘Jounov (I rov iouhov). — Eine über- aus leichte Emendation genügt auch für Nicephorus iñ Synes. p. 395 A: TOùS TEVTOULS SoËxs koi TA Thst- gra The qustéoas otepoouhous. Wer den Zusimmen- hang in dem diese Worte vorkommen betrachtet, wird ohne Mühe wahrnehmen dass es heissen muss £tego- guhous. — Auf nicht minder einfache Weise ist Eur. ro. 1057 herzustellen, wo der von Rachegedanken érfüllte Menelaus von seiner Gattin Helena sagt, sie werde ecinst den Hellenischen Frauen als warnendes Beispiel dienen: &\So0oa à 'Agyos Gorep Elu xaxwS xaxn Saveirot ka YUVOLÉL coppoveiv racouot Snoer. badtov pv où Tde duos À © rnod dhedpos ets pofoy Bart rod pôgov auiTôv, xav ÊT O0 ao yiovec. Die Worte yuvuËi coopgoveiy maicact Sncet übersetzt H. Grotius: cadmoncbit omne femineum genus casti pudoris». Aehnlieh Musgrave: «mulieribus, ut pudicae sint, omnibus exemplum proponet», und Fix: «ulie- ribus, ut pudicac sint, omnibus auctor ecrit». Allerdings ist dieser Gedanke durch den Zusammenhang gefor- dert:; aber eine Redeweise wie tiSmui co: copoovety ist unerhôrt. Wollte Euripides das Verbum tp lier gebrauchen, so hätte er wohl nur sagen künnen yuvai- xazs Tocas copoovus Snoe, Was für den Sinn freilich nicht ganz passend wäre, sofern auch die härteste Bestrafung der unkeuschen Helena schwerlich aus- reichte um alle Frauen keusch und sittsam zu machen. Statt yuvaixac Tous coppovas Sncet War mit anderen Worten zu sagen yuvaixas TUous HEhEUOE GHPoovEîr. ïs ist somit herzustellen: xai yuvuËl coppove Ta couct oncet. Hier vertritt der Infinitivus sowpoveiv in abhängiger Rede die Stelle des Imperativus (cowgo- verte). vel. meine Bemerkung zu Soph. Ai. 1047 f. Unmôglich ist es dagegen mit einer leichten Aen- derung sich abzufinden in den Worten der Iokaste bei Soph. Ocd. R. 851 ff. Nachdem Oedipus vernommen hat was über die Ermordung des Laius bekannt war, ver- mag er nicht sich der Besorgniss zu erwehren dass er selbst, wie Tiresias behauptet hatte, der Mürder des Thebanischen Künigs sei: denn alles was Iokaste über das Ende des Laius ihm mitgetheiïlt hat, stimmt reichen Stellen die besseren Lesarten der Handschrift B mit Un- recht verschmäüht. Hulletin de l'Académie Empériale OR in PR AR 248 zu seinem Erlebniss am Dreiweg in Phokis. Nur eins gewährt ihm noch eine schwache Hoffnung: der bei der Ermordung des greisen Künigs entronnene Sklave bat ausgesagt, Laius sei erschlagen worden von Räu- bern, nicht von einem einzelnen Wanderer; bleibe der Sklave bei seiner Angabe, so künne nicht er (Oed.) der Thäter sein. Iokaste sucht ihren Gemahl zu be- ruhigen: unmüglich, meint sie, künne der Sklave seine Aussage ändern. Darauf heiïsst es: et À oÙv TL XAKTPÉTONTO TOÙ TPOODEV ÀCYOU, oùrot rot, GVuË, toy ye Aou povov œavet Gixalos dpSov, dv yz AoËtas Buîne yonvar roudos 8Ë non Save. xaitor viy où xeivos Y © DUTTNVOS TOTE xOTÉXTOV, ŒXN GUTÔS TApOIŸEV WhETO. | GOT oÙy} mavteins Y &v oÙTE TO Éyo BAébaus dv elvex oùTe TNÔ av UoTEpov. Die Argumentation der Iokaste ist diese: «sollte auch jener Sklave sein früheres Wort zurücknehmen (d. h. cinen einzelnen Menschen als Mürder des Laius be- zeichnen statt mehrerer Räuber), so wird er doch nimmermehr in der rechten Weise den Mord des Laius berichten, da ja dieser nach dem Orakel des Apollon von der Hand meines Kindes sterben sollte, während mein unglückliches Kind statt seinen Vater zu tüdten selbst vorher umkam: ein Beweis, dass die Weissagungen trügerisch sind.» Dieser Rede fehlt es an allem logischen Zusammenhang: zuerst wird die Aussage des Sklaven als unwahr bezeichnet auf Grund des dem Laius ertheilten Orakels; dann wird dies Orakel Lügen gestraft, unter Hinweisung auf die Tüd- tung des neugebornen Kindes. Um den logischen Feh- ler zu verdecken und einen leidlichen Zusammenhang zu gewinnen, pflegt man dxaos 690 zu erklären «in Ucbereinstimmung mit dem Orake] des Apollon». Diese Erklärung ist schon darum unzulässig, weil in den Worten oùto tèv Aalou œovoy wave dtxalos 0pS0v VO Orakel des Apollon nicht die Rede ist. Ausserdem muthet man dem Dichter eine sehr verschrobene Aus- drucksweise zu, wenn man meint, Iokaste bezeichne als dxaios GoScy das was übereinstimmt mit einer falschen Prophezeiung. Bothe glaubte durch die Aen- derung aov ye (statt vo ye) Aaou povoy der Stelle auf- helfen zu künnen: ich würde diese Vermuthung nicht einmal der Erwähnung werth achten, wenn nicht meh- rere Kritiker sie gebilligt hätten. Man sollte kaum 249 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 250 glauben dass es müglich wäre die Iokaste in cinem Athem sagen zu lassen: «nimmermehr wird der Sklave dich der Ermordung des Laius überführen, da Apol- lon diesem den Tod durch die Hand seines Sohnes weissagte, der ïhn factisch nicht getôdtet hat». Noch ahnt Iokaste so wenig als Oedipus selbst, dass ïhr Gemahl zugleich ihr Sohn ist: aus der Nichterfüllung des Apollinischen Orakel folgt somit für sie, dass Oedipus den Laius getüdtet haben kann. Hiermit er- ledigt sich zagleich die Vermuthung von M. Schmidt, oùtot rot, OVaË, toy ye Aaïiou oovñ œavei Bixalws a Go- %ov, die auch in sprachlicher Hinsicht bedenklich ist. Offenbar verlangt der Zusammenhang folgende Deduc- tion: «sollte jener Sklave seine frühere Aussage auch ändern, so wird er doch nimmermehr das Orakel des Apollon bestätigen; denn Apollon prophezeite dem Laius den Tod durch die Hand meines Kindes, dieses aber ist selbst, bevor es eine Mordthat begehen konnte, umgekommen: ein Beweis dass auf Orakel nichts zu geben ist, dass du also des dir gewordenen Orakels wegen dich nicht zu beunruhigen brauchst». Hiernach sollte man erwarten: et D oùv tx xaxToÉTOITO TO Tp00EV ÀOYOU, odtot ot, VAE, tov ys AoËtou œœvei xonauov dtxulos GoSov, 8 y Aaiov dire yonvar Tados SE ou Saveiv. Dass Sophokles so geschrieben habe läisst sich nicht verbürgen; schwerlich aber dürfte sich mit leichterer Aenderung als der hier vorgenommenen ein befriedi- gender oder auch nur erträglicher Sinn he: :tellen las- sen. Für unzweifelhaft halte ich dass in der Quelle unserer Handschriften des Sophokles die Namen des Loxias und des Laius mit einander die Plätze ge- tauscht hatten und dass diese Vertauschung einen al- ten Corrector zu weiteren Aenderungen veranlasste, deren genaue Begränzung uns versagt ist. Bei mei- nem Herstellungsversuch habe ich mich der Ueber- lieferung müglichst eng anzuschliessen gesucht und in Folge dessen vielleicht manches geschont was nicht von dem Dichter sondern von seinem Corrector her- rübrt: wie es z. B. befremdlich klingt, dass nach dem Orakelspruche Laius getodtet werden sollte «vom Sohn der Iokaste» statt «von seinem eigenen Sohn» oder «von seinem und der Iokaste Sohn». Wie unberechtigt es ist die Leichtigkeit einer Ver- muthung als Garantie für ihre Richtigkeit zu be- trachten, mag noch an einem Beispiel gezeigt wer- den. Soph. EL. 1361 ist überliefert: vaio, © Tareo: Taréon Vap cicoodv Jox. «Hacc ita dicta sunt,» sagt Meineke Oed. C. p. 271, aut mis de Electrace patre non intelligi posse videan- tur; nec fugit hoc Nauckium, minus probabiliter tamen conicientem xaig © Tarte Lo!’ TaTÉEu VAE G Op Joxo. Sophocles, si quid video, scripserat: yaïe Ô TÜUTEO" TO- réa yae ©s Sonv doxo.» Sicherlich hat Sophokles so nicht geschrieben; denn Meinekes Coniectur verstôüsst in doppelter Hinsicht gegen die rhythmischen Gesetze des tragischen Trimeters. Den einen Fehler theilt sie mit der Vulgate: ich meine die Stellung des Wortes raréoa, das hier den dritten Fuss bildet (vgl. Dindorf Poet. scen. ed. V Proleg. p. 34 a). Weit anstôssiger scheint mir der andere Fehler, dass der Trimeter xuio Ô narce: | rotépa yao üs || coëv Doxo in drei Theile von gleichem Umfang zerhackt ist *). Hiernach glaube ich meinen Vorschlag 19, © MATE LOL TATÉON YAp CG pv ÊoxG aufrecht erhalten zu müssen: ich meine sogar dass er so sicher ist als überhaupt bei den Operationen der Coniecturalkritik von einer Sicherheit die Rede sein kann. Auch ist meine Aenderung nicht allzu ge- waltsam: die Corruptel begann, wie es scheint, bei CEOPAN, wofür man ECOPAN las und demnächst zu Gunsten des Metrum 2tccp%v schrieb mit Tilgung des entbehrlichen Pronomen wo. Ueber Verbindun- gen wie aie, à rateo pot vgl. meine Eurip. Stud. IT p.58 f., wo noch erwähnt werden konnte Corp. Inser. 3857 q vol. 3 p. 1089: 0v où Sea Kung: pot œthéous. Dieselbe Redeweise scheint verdunkelt zu sein an ei- nigen anderen Stellen des Sophokles, namentlich Oed. C. 9: aùX © téxvov, Saxououv ei Tivx Bhétets, WO ich schreiben müchte ax © téxvov por, Säxoy ei tua Bhé- eus, vel. den Anhang zu Soph. Phil. 18 der sechsten Auflage. Soph. Ocd. R. 227 — 232. Nachdem Oedipus an die den Chor bildenden greisen Thebaner die Auffor- derung gerichtet bat, wer unter ihnen den Mürder des Laius zu nenñen wisse, müge ihm alles mittheilen, führt er fort: 45) Es genügt über derartige Fehler auf meine Observ. crit. de trag. Graec. fragm. p. 15 f. zu verweisen. Ueberaus häufig haben neucre Kritiker in ihren Vermuthungen an dem zuerst von Porson uachgowiesenen Gesetz sich vergangen. 251 Bulletin de l’Académie Impériale 25? Xe pèy pofe?ra TOUT ANR UTEËSÀOY HUTÈS a ŒUTOŸ —* 7 TELOETOL Yao ahho pêy MoTEpYÈs OUdÉV, VAS D ARE AGPEANS. ! et S a tte Ghhoy ofdsv 2E GAÂMS JYovos Tüv AÜTOYELOA, UN CIOTATO" TO VAE xépDos TO VO {M LARLS TooTHETETEL. Im ersten dieser Verse hat Halm statt des Participium vrséshovy mit Recht den Infinitiv DreËs1siv (abhängig ï: = œ) verlangt. Ausserdem aber befremdet das Anantapodoton xet pëv soBeîtæ, wozu man den Nachsatz un oofeto$o ergänzen will. Vollkommen berechtigt sind Ausdrucksweisen wie Soph. fr. 416: 2° pév ts oùv dÉercuv: et SE un, Xéye (vel. Eurip. Stud. IT p. 97 f.). Dagegen ist eine Ellipse, wie der obige Text sie bie- tet, xel pv oofeîror relcetar Vaio onde statt xs juèy goBsirar, un pofsioSo (oder parnv oBeîtat): relsstar ao oudév, schlechterdings undenkbar und weder durch die fehlerhafte Ueberlicferung von Aesch. Agam, 12 — 14 (s. Dindorf in der fünften Leipziger Ausgabe des Aeschylus p. LXX VII f.) noch durch irgend wel- che Parallelen oder Sophismen zu entschuldigen. Man sollte, wie Blaydes richtig urtheilt, erwarten xot 1m pofsio So Tomikhmu Unséekeiy autos xaS miros oder allenfalls, da die Worte auch von dem voraufgehenden xshksuw V, 226 abhängen künrten, — œùtov xxS rod. Auch V.298 ist in der jetzigen Gestalt anstôssig. In der Art wie Oedipus verlangt dass der Môürder des Laius sich selbst angebe, setzt er voraus dass der Thäter sich unter den vor seinem Palaste befindlichen, den Chor bildenden vornehmen Thebanern befinde. Zu einer derartigen Voraussetzung lag kein hinreichender Anlass vor, theils weil nur eine erlesene Zahl, bei weitem nicht die Gesammtheit der Thebanischen Bürger anwesend war, theils weil Oedi- pus nicht wusste ob ein Thebaner oder ein Fremder den Laius erschlagen hatte. Indess konnte Oed. wohl sagen: «falls etwa einer unter euch Anwesenden der Thäter ist, melde er sich freiwillig»: nimmermehr aber konnte oder durfte er stillschweigend voraus- setzen, einer der Choreuten habe das grausige Ver- brechen begangen, um dessentwillen die gesammte Stadt büsste. Dass es dem Oedipus überhaupt gar nicht in den Sinn kam einem der Choreuten die That zuzutrauen, liegt schon in V. 224-296: Sox mo Doy Aaoy TOY Aafôaxou xarotdev aydgos éx Tivos duo- Acto, Todtov xeketo ravra cmuaivetv époi. Sollte je- 230 xoi un oofeic®o: mand das œutos xaŸ aÿtoù so auffassen wollen als würden die Choreuten aufgefordert den abwesenden Thäter durch die in Aussicht gestelite Straflosigkeit zur Selbstanzeige zu veranlassen, so künnte diese Aui- fassung durch 227 — 229 nicht begründet werden, durch 226 würde sie geradezu widerlegt. Gegen av- Tos xuŸ avroù spricht endlich auch der in 230 fol- gende Gegensatz 2 ans xS0vos: der von Oedipus geforderten Selbstanzeige des Thäters kann unmôglich die Annahme gcgenübertreten, der Thäter sei «aus cinem anderen Lande». Freilich ist 230 in der jetzi- gen (estalt entschieden unrichtig, und zwar hat man, gerade um einen passenden (tegensaiz Zu œUTos xaT are zu bekommen, y3ovos beanstandet und dafür xz00s vermuthet (so Neue). Diese Vermuthung billigt Heimsoeth Krit. Stud. 1 p.64. 283, der zu schreiben vorschlägt : et à œù Tue GAhoy voidey n LE AA dMS HE00S D XAUTOYELIE, LA GLOTATO wie Ribbeck, der folgende Fassung vorzieht: ci Ô ai Tis AXhoy cidey a als {2006 tt miTCystg, un GLOTATU). Hier soll œuroye den Thäter, 2€ &Xnns xeecc den An- stifter bezeichnen. Aber wenn man auch sagen kann govevetv tive Ë GAÂNS 4005, jemand morden durch die Hand eines anderen, so kann doch nun und nim- mer © € ahAns 42905 ohne hinzutretendes Verbum den intellectuellen Urheber oder den Anstifter ciner, That bezcichnen, nimmermehr künnen 6 &£ &hAns xe005 und 9 avroyets einen (regensatz bilden “). Aber gesetzt 6 &E œhhms secs bezeichnete den Anstifter, so wäre dieser Begriff hier keineswegs passend. Nach dem Befehle des Gottes und nach der Natur der Verhält- msse galt es den Môrder ausfindig zu machen, dessen Hände von dem noch nicht gesühnten Blute des Kü- nigs Lains beñ eckt waren, dessen Aufenthalt in The- 49) Ribbeck Epikritische Bemerkungen zur Kônigsrede im Oedi- pus Tyr. (Kiel 1870) p. 13 sagt, ihm scheine die Ergänzuug von xru— vovra im ersten Gliede (zu &Ë GXkns yepos) bei richtiger Betonung von %hkAnc und œutoyztpu keine zu harte Zumuthung an den Hôrer, und beruhigt uns der gestellten Zumuthung balber mit vier Sophokleischen Stellen. EL. 455: taïo Opéorn € U: reprépus xEPOS ÉLSpototy auto EGvr Érenfnvas TO. Trach. 1133: &E éuns Saveiv xepôc. Phil. 91: où yap éE Evoc nodoc nuas — LEtpUGETu. Oed. R. 1023: Sapoy mot, Îoh, roy épuy yetpÜy Aafuy. — x49 @0 drain getpôc Sotepéey uéya; Was diese vier Stellen erläutern oder bewei- sen sollen, ist mir ein Räthsel. Passender erinnert Neue an Eur. Iph. A. 1148: couhenés d, & TÉXVOY, 0 pUTEUSRE Tarn, AUTOS XTU— vuy, oÙx 06 US GAAN Ep. des Sciences de Saint-Pétershourg. 254 ———————————————————————————_ ————…——.——ZaE ben über die ganze Stadt schweres Unheil brachte, | Die in Rede stehenden Verse des Oed. R. môchte ich An && ahAns y2e0< durfte somit nicht gedacht werden. | hiernach so schreiben: Wohl aber vermisst man zu 2€ @ans ySovos, falls diese Worte richtig simd oder dem Richtigen nahe kommen, ein Verbum: weshalb ich in der vierten Auf- lage der Schneidewinsehen Bearbeitung 2° S aù vs EAST oidev € GAANS JSoVS Tv avreysiom vermu- thete. Wenn Ribbeck (Epikritische Bemerkungen p. 12) zum Schutz des #xhcv «den sehr richtigen Gegen- satz zwischen œurès xa® aûroÿ (228) und æX0v(230)» geltend macht, so geht er von der Annahme aus dass autos xaS oÿroÿ richtig sci, eine Annahme die ich nach den oben angeführten Gründen nicht theilen kann. Was sonst versucht worden ist um 230 aufzu- hellen, glaube ich mit Stillschweigen übergehen zu dürfen. V. 228 ist œitos xaS auto verdorben aus œovos xt œoroù ‘). Dazu bildet die in V. 230 aus- gesprochene Müglichkeit dass der Thäter ein Eéves sei, einen «sehr richtigen Gegensatz», und die Vermu- thungen 2 œAAnc ysooc, € AXAne oréyne, ÉE auñs 150- ves erweisen sich als vüllig haltlos. Gleichwohl müchte ich & @hAns 4Sovoc nicht für die ursprüngliche Les- art erachten: der Stadt Theben muss offenbar eine andere Stadt, nicht aber ein anderes Land entgegen- gesetzt werden, d. h. statt & œhAns x%ovcs ist her- zustellen ££ aline rohcws. Diese auf paläographi- schem Wege nicht zu rechtfertigende Aenderung ist darum überaus leicht, weil die Schreiber unserer Co- dices eine absonderliche Neigung verrathen ein zwei- silbig zu messendes roksows durch y$oves zu ersetzen”') 50) Bekanntlich werden &orcc uod ævroc unendlich oft verwech- selt, wie uumittelbar vorher Oed. R. 222 unsere Handschriften zwi- schen beiden Wôrtern schwanken und wie es vielfach unmôglich ist zu entscheiden ob der Schreiber eines Codex das eine oder das an- dere gewollt habe. War aber statt aotoç xur dotoù eiumal aurûe zut aÿroÿ substituirt worden, so lag es auch sehr nahe dies in «ui 106 xaS$ abroù zu ändern. Derselbe doppelte Fehler liegt vor bei Eur. Heracl. 143: Apyeios @v yae auroc Apysious ayw 2x tic épauroÿ rouoôe Sparétac EkOV, vouoiot toic éxeidey ÉWnpLouévous Savsïy" Oixatot Ô ÈGUREY OLXOŸVTES TOÀLY aûtoi xaS aüruv xupious xpuivers Olxuc. In diesen Versen’sucht Kopreus darzuthun dass die Stadt Argos ein Recht habe die entlaufenen Herakliden zx Verantwortung zu zie- hen: aÿtoi xaS aôr@v konnte nur von einer reflexiven Thätigkeit verstanden werden, während hier von einem Vorgehen der Regie- rung gegen einzelne Bürger die Rede ist. Offenbar schrieb der Dichter doroi xur aor@v xupiouc xpaivety Oixac. Die Wahl des Ausdrucks verräth den demokratischen Athener. 51) Einige Belege dieser Verwechslung habe ich im Bulletin XI ai un oofelodo Toùrixhn UreÉeeiv AOTOs MAT GoTOÛ’ melGETOL YAp ŒAÀC UEV AOTEOYÈS CUdEV, Vs À ATELGL TDANS. et À o) tie EX SovT ofdsy LE ANS TOÀSOG TOY AUTOELRE, LM SLOTATH: TO YA xépdoc TEÀO ÉVO {1 LARLS Toocxeslcetar. Im letzten Verse ist vielleicht vorzuziehen xo} yet» Teccetocpa! nach Ar. Vesp. 1420. Plat. Apol. p. 20 A. Aristid. vol. 2 p. 351 Dind. Zweifelhaft scheint mir sonst nur das xat pen oofetcSo zu Anfang. Moschion fr. 7, 3 p. 633: y YA9 TOT aiov sos, M CT Snpoiv dattas elyov pocoeic Bootor. Statt nv ormvxæ hat Meineke Stob. Ecl. vol. 1 p. 60, 32 nv ro nwxa geschrieben nach einer von mir ihm privatim mitgetheilten Vermuthung. Haupt bekennt (Hermes IV p. 327), er seche keinen Grund weshalb das überlieferte nv crnvxa zu ändern sei, und die von ihm verglichene Stelle, iota: yae Ectou xeivos atovos LRCVOS STAY HUPCS YÉJLOYTA SNGAUOCY GAL APUGUTOS aïSroe, zeigt allerdings dass er auch nicht entfernt ahnte worauf es bei der Stelle des Moschion ankam. Nach Haupts Ansicht sind qwxa und crmvxa vüllig gleichbedeutend; demgemäss müssen wir glauben dass er auch ôte und érete, où und Grou, 6%ev und 6moSev, où und êxet, oc und ôrwc, 9 und 6xn, wie endlich 6ç und 6otts identificirt. Obwohl ich diese Ansicht nicht theilen kann, so sehe ich mich doch für jetzt durch Eben dahiu gehôrt Eur. Bacch, 961, wo Pentheus den Dionysus auf- fordert : route ia péonc Le OnBaiac {Iovoc, und Phoen. 287, wo der von den Thorwächtern in die Stadt einge- lassene Polynikes angeredet wird: 6ù © dvramerVat W, Gore Ov ÉATAUIU Erracrouos rüpyour OnBaiue {IovOS. Au beiden Stellen kann nur an die Stadt Theben gedacht werden, nicht an das Thebanische Land: folglich wird an beiden Stellen OnBaius mokswc< zu schreiben sein, wie in meiner dritten Ausgabe steht. Nicht minder sicher ist es dass Soph. Ant, 736 an demselben Febler leidet. Kreons Worte a yip À éMot Jon LE TNoÔ dpyetv HIOVOS; sind zwar an sich vollkommen verständlich und durchaus tadellos: dass jedoch Sophokles vielmehr +968 äpyetv mohcwe geschrieben hat, geht klar hervor aus der Entgegnung des Hämon, modic yap oùx Éd nric dvôpos ÉdŸ Evo. Erst durch Herstellung des ursprünglichen +09 ape mohewe kommt in die Verse 736 und 737 Zusammenhang (vgl. Oed. R. 629 f.: OIA. G roc nolic. KP. xauoi mokswc uéreotiv, oÛyt oo wovw), während bei der Vulgate rn08” tpxwv 19006 die Antwort des p. 496 f. oder Mélanges Gréco - Rom. IT p. 30 ff zusammengestellt | Hämon als durchaus unmotivirt erscheint. 255 nichts veranlasst, detaillirt nachzuweisen wie beispiels- weise êtz und oxots sich unterscheiden und inwieweit sie mit einander die Stelle tauschen kônnen: zur Be- gründung meiner Vermuthung nv te vx statt nv crnvxe genügt es zu Zeigen dass unser «es gab einc Zcit #0» im Griechischen lautet nv (ye0vos) nvxæ oder te, nicht aber nv (4p6v0s) Grnvxa oder oxcts. Dies lehren Stellen wie Orpheus bei Sextus Emp. p. 394, 7 und p. 681, 12: nv yecvos qvlxa mortes ar ame Boy eyév capxcdaxn. Magnus Anth. Plan. 270: %v yeoves mue yaia Boorois dut octo, l'ahnvé, dépvuto pv Syn- roue, étocps © aSavarouc. Critias fr. 1, 1 p. 598: mv xoovos GT nv étaxros dySoërov Bis. Linus bei Diog. L. prooem. 4: #v noté té! yocvos oùtos £v Ô GO TAVT réœuxs. Plat. Alcib. I p. 106 E: & @pa yov tuyya- vêLe ÉTIOTOUEVOS, NY Hoovos OTE cUx myoù stdévar; Dio- genes cynicus bei Diog. L. 6, 56: nv morte eovos Exsi- vos êt muny YO Totoutos onoios où vuv. Callimachus bei Clemens Alex. Str. V p. 707: nv xeivos ovrautos @ TO Te TENVOY ka TOUY SGRAGGN HA) TO TETEUTOUY OÙ rnnos © IocunSeics. Stasinus in 4: nv êxe pot QUÀG XATA YTOVE. « TO ÉDIÉVYES O6 0 Schol. Il. À 5p.8 a Pind. fr. 60: nv ét: auas to Borwrioy Sves Evercv. Me- leager Anth. Pal. 19,128: n9 yae GT nv Anquc pèy êy ovgeot. Glaucus Anth. Pal. 12, 44: nv 6e maidnc EneaiSe rakar more Jopa puhsdvtas CoTuË. Epigr. Corp. Inscr. 6278 vol. 3 p. 915: nv être mouvoy ‘Yysivoy adshgsov of HE TEXOVTES TÉVISOY, NUX ÉVO REVTUETIÉ OUEN TapSEvOS Ev yovéeaouv éSmhccv. Anthol. Pal. 14, 52: nv êtes ouv AariSnot xat ahxiuo HouxAn: Kevravoous Sipusis oXs- SU LARVALEVOS* MY TE [LOUVOYÉVELR KOPN SAVE ÉV Touo! rAnyais nuetéoais. Gregor. Naz. Anth. Pal. 8, 178: nv OT Env ativaxtos ÉYO TApos oÙpeoc AKkOMY ToUNDS dneptédOY Tnhcœavns cxomeshos. Auth, Pal. 1,92: y ote Xeotoc lavsv 2 Chxados Emputey Urvev. Nur schein- bar widerstrebt diesem Sprachgebrauch Leonidas Anth. Pal. 9, 344: nv Gnote Yoapumioiv éumy opévæ proïvoy rconov oùd vue sdyavétac yvweuuos ‘Ita das, wo die ursprüngliche Bedeutung des Adverbium omere ge- wahrt wird, wenn man 059 ôvxs nv yrooues ‘Iradais verbindet. Noch weniger beweist Hesych.: nv oxért Ga À Totè Nouv, WO 9v CTCT Nouv eine unrich- tige Vermuthung von Musurus ist statt des handschrift- lichen vtr oxor nouv, wofür man wohi cher nv toi rer noav vermuthen künnte. Ich denke, die vorstehende Auseinandersetzung wird zeigen dass zu dem Vorschlag Bulletin de l’Académie Impériale 256 q mo nwxe hinreichender Grund vorhauden war, wenngleich Haupt den Gruud der mich zu diesem Vorschlag bewog, nicht sah, In demselben Bruchstück des Moschion steht V. 9 apgotecus myxuhors. Dazu bemerkte ich: an xapruhos? Für &yxvh@ dootoæ War mir nämlich kein Beispiel bekannt, für æootoots xp rvhos sprachen dagegen mehrere Stellen.. Hymnus Cer. 308: rokna D xauruX apotom pLatny Boss sÀmov agovoaus. Solon fr. 13, 48: toiciv xauruX apctoæ pé- x. Clemens Alex. Strom. V p. 676: Erryéme év to rot ts Oops romccos ta ldabovra rap Oposi éx- TSÉUEVOS ONG xEOKLGL xAUTUÀCY NO! (xap.Trvhoyo!ct Lo- beck Agl. p. 838) rois apotoos pnwe:cSe. Hesych.: xaumehcyots œootous (xaumuncyots Lobeck, æoctocis Alberti, wonach vielleicht xapruhogoicty aoctoos zu schreiben ist). Moschus 2, 81: dhxx diatunys: upoy cvxarès aocteov. Maximus rep! xataoyov 458; yaiay Ent Ealdopov ayov suxaprès aootoov. Môglich dass meine paläographisch überaus leichte und durch den Sprachgebrauch empfohlene Vermuthung æpotoo!s xe- rude dennoch unberechtigt ist: aber zu dem abspre- chenden Orakelton «inutliliter Nauchius comiecit scri- bendum esse xaprooic» war Haupt weder veranlasst durch die Form in der ich meine Vermuthung ausge- sprochen batte, noch irgend wie berechtigt so lange er für œyxvha aoctox keinen Beleg auzuführen ver- mochte. — V. 17 ist überliefert: 0 À aTSEvns NY TOY AUELVOVEY Boo. Sinngemässer wäre, wie ich schon vor vielen Jahren im Rheinischen Museum ausgesprochen habe, roy agstovoy. Was Haupt gegen diese Vermuthung ein- wendet, lasse ich auf sich beruhen, da ich nicht der Ausicht bin dass irgend eine Vermuthung durch seine Beistimmung etwas gewinnt oder durch seinen Wider- spruch etwas verliert. Wenn er aber sagt «merito Meinekius agetovoy repudiavit», so hat er verschwie- sen dass Meineke selbst die nämliche Vermuthung ogecvoy aufgestellt hatte: sie steht in der Abhandlung über den Tragiker Moschion, worüber Haupt sich füg- lich hätte unterrichten sollen, bevor er das längste und bedeutendste Fragment dieses Dichters zu bespre- chen unternahm. — V. 18 f. heisst es: mel À © TÜXTOY TAVTE KA TOÉDUY HOOVOS rev Ste mhloogey Eurœhiv Boy ré. Statt toégoy hat Herwerden Exerc. crit. p.79, wovon Haupt natürlich nichts weiss, gSegoy vorgeschlagen: 257 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 258 den gleichen Sinn glaubte ich mit der leichteren Aen- derung otgépov erreichen zu kôünnen, wo ich otpéquuy verstanden wissen wollte wie etwa Dai Eur. fr. 540: pEd, TA TOY EVdaLOVOUVTOY OS TUyù arpévet Secs. Haupt decretirt: «perabsurdum est iungere tixtoy rnavra ral otpépov». Er findet es verständlich, wenn jemand re- det von dem fempus, quo omnia gignuntur atque ado- lescunt: dagegen zu sagen «lempus, quo omnia gignun- tur ac vertuntur», das ist in seinen Augen sehr albern. Diesen Tiefsinn zu ergründen überlasse ich andern. Ar. Plut. 106. Chremylus redet den Haodtos an mit den Worten: xat où Y, avtBolo, T'Sov, xa ML ATONTNS" OÙ VAE EVoNoELS LOU Entôv ÉT avdoæ tous Toomous Benriova” pa Toy Af°- où yap Éctiv &XhoÇ TANY ÉVO. Den letzten dieser Verse, der in der jetzigen Fassung der Worte allerdings sehr lästig ist, wollte Meineke Vind. Aristoph. p. 209 einfach tilgen: eine im hôch- sten Grade unwahrscheinliche Vermuthung, da schlech- terdings nicht abzusehen ist, wie ein Interpolator auf eine derartige Einschaltung habe verfallen künnen. A. v. Bamberg Exercit. crit. in Ar. Plut. (Berlin 1869) p. 28 will ihn dagegen nach dem Vorgang von Bothe dem Karion zuweisen. Dabei bleibt anstüssig, was schon Meineke fühlte, dass zu den Worten où yap Zatuy hAos (toùs toonous BeAtov) nicht nur überflüs- siger Weise, sondern geradezu storend das rAnv yo hinzutritt. Es war zu schreiben, um den Zusatz rAmy &yo als vollkommen berechtigt zu erkennen, où yAo EVoNGEI ÉpLOU Enrov £T avôpæ Tous Tocrous Behtiova pa tov A: où yap ct aXhoc. KAPIQN. rm vo. Menander Com. 4 p. 180 bei Stob. Flor. 6, 25: oÙX GTI [LOLYOÙ TEAYILA TUMOTELOV" Savatou YaLo ÉGTIY OWOY. Im ersten Verse ist überliefert roayyæ Guy. OTEpOV (wofür einige Handschriiten TRYWE ÉVTILOTEROY ZU bieten scheinen): te&yuæ tuuotepo hat Scaliger her- gestellt, wie neuerdings Cobet Mnem. IX p. 91 f. und Madvig Adv. crit. I p. 718. Ein ähnlicher Fehler war im zweiten Verse zu beseitigen. Das Paradoxon des ersten Verses kann begründet werden nur durch den Gedanken, dass jemand für einen poryos sein theuer- stes Kleinod hingibt: d. h. statt des hier ungehôüri- gen Savarov ist die Erwähnung eines überaus werth- Tome XVII. vollen Besitzes unumgänglich nothwendig. Menander schrieb: oùx ot pLoryoÙ TELE TUUOTEpOY duyns YAe ÉcTtv @tov. Wobei er vermuthlich dachte an Eur. Alc. 301: duyñs yao oùdév or muuotepov. Mit duyns ôvtos vel. Hera- clit. fr. 69 Mull.: xaherov SuuO paysoSar 6 T1 Yap àv xenEn vieoSar, buyñs ovéera. Antiphilus Anth. Pal. 7, 622: ro à arouyès av8paotv aXhorç xeivo M Vuyñs ovtoy efpuoaro. In gleichem Sinne Soph. Ant. 322: ër do yéoo Ye Tv buynv Tecdouc. Menander Com. 4 p. 212 bei Stob. Ecl. 1, 6, 1: TAVGUTŸE VOUV Époytes” oUdÈv Go TOY avSpoTevos vous ÉGTIY GAÀO TS TUYNS- Statt des sinnlosen tavsaoSe vod Éyovres, das Meineke in Schutz nimmt und Haupt (Hermes IV p. 35) nicht beanstandet, hatte ich mir längst die Besserung rav- duo vouy héyovres angemerkt, bevor ich wabrnahm dass Fr. Heimsoeth Comm. ecrit. IT p. XVII diesen Vor- schlag vorweggenommen hat. Ueber Xéyeuw in der hier vorliegenden Anwendung vgl. Eur. fr. 20: pm thoutoy airs" où Saupabéo Seov, Cv ju xaxtotos badlos ÉxTN- caro: fr. 22: tv D evyéveav tooc Seov pu pLor Ave” Ev gommaæotv to éoxt. Xenoph. Cyri inst. 1, 3, 10: Xé- yov S Éxaotos Tv éautod Soumv. Publilius Syr. 263: invidia loquitur quod videt, non quod subest. Menander Com. 4 p. 273 bei Philod. de ira p. 126 Gomp.: xax0s axovoy Éatis oùx Cpyléetar, rovnptas TMTAEICTO. rexpnotov pépet £! Es dürfte zu schreiben sein nicht rovnptas helene, auch nicht theîotov texpmptov, sondern tiotov texpn- uv (vgl. Aesch. Suppl. 54. Ag. 352. Soph. EI. 774), wie thsiotoc und rtovos üfters verwechselt werden. Men. mon. 45: amp © qeuyov ai TA LLaNGETE. So steht auch bei Gellius (N. A. 17, 21, 31), dessen Zeugniss von Wichtigkeit ist, sofern es lehrt dass der Vers nicht der Byzantinischen Zeit angehürt. Gerade deshalb muss das Futurum paæynoopar (Buttmann Ausf. Sprachl. IT p. 239 und Hercher Aeneae Poliorc. p. 35) in einem Trimeter als hôchst befremdlich bezeichnet werden. Vermuthlich ist ein Buchstabe zu ändern : ave 5 pEUyoy xat ray MAXHCEPAI (4. h. ayns £p&). Babrius 46, 7 heisst es in der Fabel von dem kran- ken Hirsch, den die Thiere des Waldes besuchen: E\SOY À ÉkAITOS TNS TOUS ATOTEOYOY MEL Too Uhas: © dE reuvin SUnoxEt, ENT xopovnv DEUTÉOEY VAT ANGES. 17 259 Bulletin de l’Académie Impériale In den Worten 6 S revin Swnoxe dürfte enthalten sein © àë venvins Svnoxct. Wie 107, 10 die Handschrift venvwoxets bietet statt des von Minoides Mynas gesetz- ten veawoxots, so môüchte ich 22, ändern. Babrius 57, 4. Hermes fährt mit einem Wagen voll devopara, arotn und tavouoyix über die Erde, aXAO pÜhoy ÉË &AOY cxÉdny auctfoy xai pLépos TL TOY AVSLOTUY VÉLOY ÉXAGTO [LLXEOV. Der fehlerhafte Ausgang rov av$corov (in der Hand- schrift ist Ttov avoy geschrieben) hat verschiedene Vorschläge hervorgerufen: abgesehen von dem des Accentes wie des Sinnes wegen unbrauchbaren tov aväsov, das in Lachmanns Text steht, hat man ver- muthet tov borov (Bergk), roy Sopov (Fix), to œco- roy (Schneidewin), tov ovov (A. Eberhard). Vielleicht izt vorzuziehen toy Gvroy nach 74, 5 Seymni Perieg. 159: TAUTNS GUVEVYUS D éoti... moMc XaBoïca Tuptoy urcpwy érotxiay, l'adctpe. Meineke ergänzt p. 10 éotiv érigavns ré und zeigt dass der Autor dies Adiectivum ôfters zur Her- vorhebung bedeutender Ortschaften verwendet; ich môchte vorziehen éott xemmévn ro. Vel. 240: xata Th Aa Kopn ÉGTL XEULÉVN LUS 387: Everoy à Eiot TEVTNXOVTA ou node y aÜTO xeLEVaL TES TO puyo. 399: duo dE xat avrouc eo voor xetuevor. 496: v os Tavayoutov ét xemmévn Toks. 511: eît éori Iehorowmocs éns xemévn. 550: év +6 roow DE xeévn an) Kenrx0 aTouxos ÉdTiy AcTuTahaX Meyagéuv. 618: Du ra Téprn à éctiv n Tov Moxsdovov OC TAQ0. rov Ohuprov éËns xemmévn. 641: 00 rootepoy nv tie Mn- xoBeova xeuém. 867: More és cri Au xeupévn. Die Umgegend des Adriatischen Meerbusens nennt Seymnus 378 zopav dototny xai xaomipnv mit der Be- gründung (379): dSupNTOxEN ya puot xAl TO SoÉLUaTE. Die Partikel xœi scheint hier unpassend: vermuthlich schrieb der Autor ous éxei. Scymn. 521: ro Toûs meonpBotmv dE xai voroy xhMua Agxoves Apyeïoi re (éyououv). Zur Beseitigung eines vermeintlichen metrischen Ver- stosses hat Cobet eine Umstellung vorgeschlagen, wel- 6 veavs in venus che der Deutlichkeit Eintrag thut, ro recs peommBotay SE xhiua xai vorov. Allerdings sollte man xXgæ mit langem lota erwarten, und es scheint mir unzweifel- haft dass die älteren Dichter nur diese Messung ge- kannt haben *”). Bei Scymnus aber zu ändern verbie- tet der Umstand dass in der Griechischen Poesie, so- weit das vorhandene Material ein Urtheil verstattet, fast ohne Ausnahme xAtuo mit kurzem Iota sich fin- det. In einem christlichen Epigramm Anth. Pal. 1, 108 auf den Namen Adam, dessen vier Buchstaben die vier Himmelsgegenden repräsentiren sollen *), heisst es allerdings: TÉOOQpA YOAUUAT Épov eis TÉTonpa XAULETE KCOLOU. Zum Schutz der herrschenden Accentuation xAte und der bei Scymnus überlieferten Lesart dienen dagegen folgende Stellen, unter denen ich sechs bereits von Lobeck Paral. p. 418 angemerkt finde. Alpheus Anth. Pal. 9, 97: ov où px matos aoudov xoopeîtor, yains S apootéons xk{uata. Epigr. im Philol. XVIII p. 557: amv avreBcAnc énrastès xAtat. Nonnus Dion. 3, 5: ouxétt S ouBootoxon Tapas xx Subados onto. 5, 69: és Écnéptoy xhua nnéac. 10, 139: Üro xhtua Av- Sov apoupns. 13, 80 (21, 308. 32, 42. 33, 166): £otoy els xAtpa yains. 13,333 (34, 350): rao yains. 17, 380: ës Idoov xhua vaine. TUBATNE xAyua Vans. 27, 156 :. ëç éa vevov. 47, 507: Tag oréptoy xAL& TOVT 5: ëcrt ie poney xx Karradoxov. xALE Keita. ÉGTEQtov xAUE 26, 147: Urèo GTEgtoY XALO ov. Dorotheus 7: AëStoroy 12: xai xd Ayauxov Êcxe. 13: xAtyua Kouonvns Uno ymhaîs. 18: BaSurhoutoy xAqga l'ahhov. Orac. Sib. 5, 338: xai xAtua BapBagrxov bitber odévos Ayemomoy. — Das in Rede stehende Wort hat H. I. Polak in einer scharfsinnigen Abhandlung, Observa- tiones ad Scholia in Homeri Odyss. (Lugd. Bat. 1869), 52) Vel. Haras Paral. p. 417 ff. und Cobet V. L. p. 85. In den Sibyllinischen Orakeln findet sich sowohl éxyüma (3, 320) als èx- xuua (11, 106). Zu letzterer Stelle bemerkt Alexandre in der zwei- ten Ausgabe p. 263: «éxyuuata secunda producta, nisi Sibylinum vitium esset, non ferretur. melius, metri saltem causa, IIT, 320, rocov cfuuto ÉxyUuua ÉEn;» Vielmehr ist die Verkürzung der vorletzten Silbe in éxyupe ein Zeichen des Verfalles: wie etwa dvioraua Orac. Sibyll. 8, 268 und sonst oteua (Thes. Gr. L. vol. 7 p. 2648) sich fin- det, wäbrend die älteren Schriftsteller ootoua sagen. Mit dem Uebergang der regelrechten Form x\iua in xAtua lässt sich ver- gleichen xpîma Aesch. Suppl. 397 und xptua Nonnus Metaphr. 9, 176. 177. 53) Demselben Gedanken begegnen wir Orac. Sibyll. 3 aürèe dn Jeoc oŸ 0 ThaGae TETRAYPÉHAT ov AS 8p T0V TEGTOY TAUGIÉVTE x oÙvouæ TANPUGVTG &vrokiny TE OUoLy te mEonmBpiny te xoi GpXTOY. , 24—26: des Sciences de Saint-Pétersbourg. 26? p. 97 hergestellt in dem Scholion Od. n 318: do ro un ddeiv es noiov xai œua avarhéououw, dabei aber gleich I. C. Vollgraff Studia palaeograph. (Lugd. Bat. 1870) p. 38 f. übersehen dass diese Emendation ge- raume Zeit früher von mir gemacht war (Obsero. crit. de trag. Graec. fragm. p. 3 Anm.). Polak und Voll- graff accentuiren xXga: ich habe xAuo geschrieben und muss nach der vorstehenden Erürterung bei die- ser Accentuation beharren. Dionysius Calliphontis 42: year D noTauov Àeyouevoy "AporSov sic Sahacoav éétovte. Vom Münden eines Flusses sagen die Griechen nicht Ééoyetar, sondern éÉénatv oder éxBakhet © rorauos. Somit ist zu lesen st; Sahaccav ébévre. Fehlerhaft überliefert ist auch Seymnus bei Herod. rept prov. Xéë. p. 19, 8: ”Is rorauos raot Salacoav éfeuotv, und Marcian. Heracl. Peripl. maris exteri II, 39 bei Mül- ler Geogr. min. vol. 1 p. 559, 13: oûtor D o rorauoi ets tov Oùevdtxov xohtov éÉtaouv. An der einen Stelle müssen wir ééscou in ééfnsty ändern, an der anderen éÉcaoiv betonen, beides nach dem Vorgang von L. Din- dorf im Thes. Gr. L. vol. 3 p. 1275 A. Pseudo-Dicaearchus in Müllers Geogr. min. vol. 1 p. 107: quitou v to (IImiéo) dpet ai xapnos axavSns — Ov Otav mis Tous ÀEcîov xATAOTOL TO COLE, TOU peyiorou yeuuovos où AapBave Tnv Ér ao No À TAvU Boayetav, ot dy TO Sépet TO HAULUTOS, XWAUOVTOS TOÙ PAPLAXOU TI ŒUTOU TUXVOOEL TOY ÉÉMIEV dÉpA XATA- waSors JuxvsioSar Toù cwuatos. Nach einer Vermu- thung Osanns hat man Aciov in éh&to geändert, wie ich glaube, ohne Grund. Das folgende xaræyotoot sollte natürlich lauten xatayoton und nicht, wie man Jetzt wunderlicher Weise liest, xatayetou, Die Haupt- schwierigkeit der Stelle liegt aber in dem sinnlosen xatapaSos oder nach einer Pariser Handschrift xa- rayaSous. Müller bemerkt über dieses Wort: «Wocem inclusi, ut qua carere prorsus praestat. Sin genuina est, leg. videtur: où av dv ro Séper toÿ xavpaTos T1 xaTa- paSois. Fuhrius scripsit: oÙ av dv ro Séper rod xavpa- TOs XATALAIO, kwhvoytes xTh.» Diese Vorschläge sind zu verwerfen, nicht weil sie gewaltsam sind, sondern weil sich auf die einfachste Weise ein bei weitem besserer Ausdruck herstellen lässt. Der Autor schrieb: X@AUOVTOS TOÙ DARLAKOU TA AUTOÙ TUXVWOEL TOV ÉEWŸEV dépa xata BaSos duxvsto dat ro swmatos. Die Buch- staben 8 und p. sehen in vielen Handschriften einan- der so ähnlich dass sie leicht verwechselt werden *): wonach es nicht auffallen wird dass xata BaS%os in xatapaSos oder xatapdSous corrumpirt wurde. In den neuerdings begonnenen Acta societatis phi- lologae Lipsiensis T p. 35 — 42 hat Erwin Rohde aus cod. Vat, 12 ein paradoxographisches Fragment mit- getheïlt, das er dem Isigonus Nicaeensis beilegt. Da- selbst heisst es c. XVIIL: xai raoa l'epuaveis © Pnvos dhéyyer EpBAnSèv yao To roudloy et uv pouyeudetons éoti, Svnoxet, at à où, En. Die Handschrift bietet et 5 cùv. Wollte der Herausgeber ändern, so konnte er statt st 3 où (oder gar st à ov, wie in den Acta steht) besser si d un schreiben; aber es lag überhaupt kein Grund vor von dem überlieferten 2 S oùv abzugehen, vel. Boissonade Tzetz. Alleg. p. 387 und Lex, Vindob. p. 54, 12: eù D oùv éAkarmxôs Réyeto, oûov ei à où, — Cap. XXIT: rotapos Puypos ovoua dx Ta ZtxelUS beî” ourog vod pulv Sépous AODES Eyet Vdwp, Toù DE yet- povos xœhoy te xai dtauyés. Statt scheint Clemens vorgefunden zu haben An die vorstehenden Nachweisungen knüpfe ich noch einige auf die Texteskritik des Clemens bezüg- liche Bemerkungen. Protr. p.33 (vol. 1 p.40, 8 Dind.) ist oeBatovres zu ersetzen durch seft£oytes. Dem Protr. p. 35 überlieferten Sprichwort TATNO AVOUSÉTNTOS Ad VOUSETEL war, wie ich schon früher ausgesprochen habe, durch eine Umstellung des Wortes razre zu helfen, aveuSérntos Taida voySETEt TATNE, nicht aber raid nach einer übereilten Vermuthung Cobets in vièv zu verwandeln. Protr. p. 80: Ant 0 rûs vaurihlas éoov. Gegen Sylburgs Emendation rAsist macht Dindorf geltend, diese Form sei eben so uner- hürt als das handschriftliche rAn3. Aber den Sprach- fehler rasi®t statt rAst tadelt ausdrücklich der soge- nannte Herodian. Herm, p. 316: rAmupshouatv oi hé vovrec Tè nocotantixo Enr xai mheîde, Béov Aéyetv où I p. 414 war an der überlieferten Lesart cincdoiors te Bapéiv aixitwv Beorouc nicht zu rütteln, wie ich Mélanges Gréco-Rom. II p. 189 f. gezeigt habe *). Strom. V p. 674: Bédu Eay x20 TAeroov c@iyé. So Dindorf nach einer Vermu- thung von Bentley Epist. ad I. Millium p. 48 statt des überlieferten Béôu Eab yS5ov rinxroov cotyé. In die- sen Würtern oder Buchstabenverbindungen soll näm- lich das ganze Griechische Alphabet enthalten sein und zwar so dass jeder Buchstabe nur einmal vor- kommt. Die handschriftliche Lesart bietet den Buch- staben Ny zweimal, während das My fehlt. Aber die Aenderung éayb x30 statt ab yS5ov halte ich für un- wahrscheinlich, besonders deshalb weil éa durch den Gebrauch einiger Dichter gesichert ist, Éayd dagegen nirgends vorkommt. Darum môchte ich £ab x3ov (so die Handschr., nicht x56, wie Dindorf angibt) rhmx- rocv ändern in £a you rAnxtocv, vel. Jahrb. f. Philol. 69 p. 624. In einem Euripideischen Bruch- stück (904) ist bei Clemens Strom. V p. 688 über- liefert tépboy pv oùs Quyns avépoy rois Bouhoévors dSdous TooudElv HTé. Es wird zu schreïben sein réuhov © cs que duyds évépoy, womit man vergleiche Aesch. Pers. 630: Ta re xai Fou Bauothed T évépuy, répbar évepSe z buynv àc os. Die Emendation évépuv statt dvépov ”) findet sich auch bei Dindorf: in der Ausgabe des Clemens (vol. 3 p. 55) sagt er «évéeov scripsi pro avéguv, quod aviguv dicendum fuisset», während in der 5. Ausgabe der Poctae scen. steht «évéov pro avégov Meinekius». Meineke wollte av3s@v schreiben: répbov S &s os duyas évépovy habe ich im J. 1862 vorgeschlagen Eurip. Stud. II p. 151 Anm. 56) Pas konnte noch roy S oËéwy ouupopwy Heraclit. Alleg. How. c. 8 p.16 Mehl. angeführt werden. Die von mir ausgespro- chene Vermuthung, dass man durch die falsche Analogie der auf ! Ti ausgehenden Adiectiva sich habe verleiten lassen Formen wie oEéot, Bpudéot , Boayéor auf das Femininum zu übertragen, wird un- zweideutig bestätigt durch die hinlänglich gesicherte Thatsache dass aus dem Adiectivum eÿSüs die jangere Form eiSns gemacht wurde. Dieses eüSnc ist in der späteren Gräcität so überaus häufig, dass die Bemerkung von Bernhardy im Suidas v. aErov I, 1 p. 507,7 «ed92c vox nullius coloris» als räthselhaft erscheint. Einige Belege für eÿSéç findet man bei Boissonade Anecd. I p. 89. Anecd. nov. p. 137. 57) Formen wie dvépoc avéet dvépa haben in der classischen Zeit durchgängig ein langes Alpha, wogegen Tzetzes sich allerdings ge- stattete zu schreiben Süxe Ô€ of dvépac Exuroy Anteh. 90. mapvaué- vwy dvéowy Posth. 250 und ähnlich sonst. 271 Bulletin de l’Académie Impériale 272 9 Für die geistlichen Poesien welche W. Christ und M. Paranikas in der vor kurzem erschienenen Aného- logia Graeca carminum christianorum (Lips. 1871) mit- setheilt haben, werden voraussichtlich nur wenige Fachgenossen sich interessiren. Eine besondere Wich- tigkeit auch für die classische Philologie haben jedoch die p. 205—217 reproducirten Kavovess des Iohannes Damascenus, darum weil diese Hymnen vielfach citirt und benutzt sind bei den auf uns gekommenen Byzan- tinischen Grammatikern. Da die Schriften des Iohan- nes Damascenus den Philologen in der Regel fremd bleiben, so sind manche seiner iambischen Trimeter, die mit oder ohne Nennung des Verfassers bei Grie- chischen Grammatikern vorkamen, irrthümlicher Weise älteren Dichtern zugesprochen worden: wie man z. B. einen Vers des Iohannes, bei dem die Ueberlieferung zwischen Ioavwne und”Iov schwankte, unter die Bruch- stücke des Tragikers Ion gesetzt, andere Verse jener Hymnen den tragischen oder epischen Adespota ein- verleibt, einen andern mit einem Kallimacheischen Fragment verbunden hat. Derartige sehr verzeihliche Irrthümer, die ich bei der Ausarbeitung meiner Frag- menta tragicorum Graecorum wahrnahm, veranlassten mich, in der Zeitschrift für die Alterthumswiss. 1855 p. 19 — 22 die Aufmerksamkeit der Philologen auf jene fast verschollenen Hymnen zu lenken. Nament- lich gab ich eine Zusammenstellung der bei Byzanti- nischen Grammatikern fast durchgängig ohne Nen- nung des Verfassers citirten Verse jener Hymnen und erinnerte dass für die Emendation des Textes der Kavcves ein von Bachmann Anecd. I p. 450 —459 edirtes Glossarium *) einen sehr wesentlichen Anhalt bietet. Die Herausgeber der christlichen Anthologie haben weder meinen Aufsatz noch das Bachmannsche Glossarium gekannt; die bei Byzantinischen Gramma- tikern vorkommenden Citate jener Hymnen und die zahlreichen Beziehungen auf dieselben sind für sie eben so wenig vorhanden gewesen als der von A. Maio 58) Da Bachmann die Quelle des von ihm edirten Glossarium nicht kannte, so hat er begreiflicher Weise manche Glossen unrich- tig behandelt. Er duldet p. 451, 26 that : eüdetav, wo araav aus Hymn. 2, 53 zu schreiben war; er meint die Glosse Snwout, die p. 452, 20 durch éxBahetv erläutert wird, sei gebraucht de arboribus caesis, während. die nahe liegende Emendation Stüout : ExBaastv durch Hymn. 2, 37 ausser Zweifel gesetzt wird; er schreibt p. 453, 21: Éxpeéo dv * amopptfooy tv Gmaptiuv statt des handschbriftlichen Expt£ov + éroptéov, das entlehnt ist aus Hymn. 2, 38: Expt£ov — Bpo— TOY AMApTÉKV. verôffentlichte dickleibige Commentar des Eustathius zum Hymnus pentecostalis (Spicil. Rom. V p. 161— 383). In Folge dessen lässt die neue Ausgabe der drei Kavoves des Iohannes Damascenus (sis tn Xeuotod vévnauv, is T& Seopavie und etç Ty TEvTnxooTrY) mancherlei zu wünschen übrig für die Emendation des Textes wie für die Vervollständigung des kritischen Apparates. Freilich hat die Kritik bei der vielfach an Lykophron erinnernden schwülstigen Gedunsenheit dieser christlichen Expectorationen einen schweren Stand, da eine ungesunde und verkehrte Ausdrucks- weise eben so wohl dem Autor als den Abschreibern zur Last fallen kann: aber einen gewissen Anhalt für die Emendation der Hymnen des Iohannes bietet die Strenge seiner formalen Technik. Um die Gesetze der Akrostichis haben sich die Herausgeber nicht geküm- mert, wenn sie 2, 25 Ska und 3, 23 rhavns zu An- fang des Verses dulden: an erster Stelle konnten sie okay herstellen, auch ohne die Anecd. Bachm. I p. 458, 25 zu Rathe gezogen zu haben; an der zweiïten Stelle war hôchstens ein Schwanken môglich zwischen œxns (denn aus dieser Schreibung ist rhavns abzulei- ten) und dem allein zulässigen axe (letzteres Eust. p. 242. 246. Anecd. Bachm.I p. 451, 30). An metri- schen Fehlern ist in der neuen Ausgabe kein Mangel: ich glaube die Mehrzahl derselben beseitigen zu kôn- nen. }, 30 ist überliefert va Topos AUTO ÉAXUGN TEWTOXTLGTOV. Die Herausgeber setzen towtomhactov nach einem scholiasta cod. À und gründen auf diese, so weit wir zu urtheilen vermôügen, nicht hinreichend verbürgte Les art ihren Emendationsversuch rootoraaotoy éhxvon. Es war vielmehr reotoxtiotoy zu ändern in tootc- xrirov, womit zu vgl. Bocxtitos xahixtitoc vecxtitos bei Nonnus, &xtiros aremritos vmritos süxtitos bei älte- ren Dichtern. — 1, 58: a xoætobyros Gheos Supo- o%opcv, vielmehr oxecev. Der gleiche Fehler war 1, 84 durch sixaS%ev und 3, 13 durch esdpoavev (so Eust. p.199) zu beseitigen ”). — 1,115: avne qaveis te xai Seds roue, und 2, 70: Aoyos T pol ÉGv xa eds roounSct. An beiden Stellen war tecunSta zu setzen (vgl. Anecd. Bachm. I p. 456, 21). In gleicher Weise sollte der Versschluss œyrotetæs 2, 107 vielmehr 59) Unwahrscheinlich sind auch, wenngleich nicht absolut unzu- zulässig, die Schreibungen xavoect tupoumévn 1, 88. eixoyiéouot 40 - ons 1, 101. éEaviornor yapre 1, 105. oupBonoouot qÜous 3, 94. 273 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 274 —@—@—@p@ ro œyrortious lauten, wie Anecd. Oxon. vol. 2 p. 348, 1 und im cod. Voss. bei Gaisf. Etym. M. p.. 2128 G steht. — 1, 128: voy rorwatar tns rahryyevectas. 2, 73: ai npomSe, ts raluyyeveotus. 3, 36: Aoutoov ro Seioy Ts Tayyevectas. Diese drei Verse leiden an demselben Febler; vielleicht schrieb der Autor roheyysvnotas, Wie bereits Eustathius p. 267 vermu- thet hat. — 2, 95: roûs Tnv dppeuotov xai apeivova refBov. Besser desuorov wie apnxtov 2, 130 an der- selben Stelle des Verses und sogar tv Aougtoy phoyæ 2, 86. Kann auch das Alpha an sich mittelzeitig sein, so wird es doch durch das doppelte Rho nothwendig lang. — 3, 6D: voy éyxatouxiéetar TVYEULOTOS DAS. Die Bemerkung der Herausgeber «metricum vitium tollere veriti sumus» scheint anzudeuten dass sie dem Autor diesen Fehler zuzutrauen geneigt waren: die ursprüngliche Lesart éyxavorxiéorro liess sich aus Eust. p. 294 entnehmen. — Schwieriger ist die Heïlung von #54: 55: vov êx Zrov ao ES AmAUSEY vues, 1 YAOGHONUPTOLOPPOS TVEULUTOS AAQIS. So las schon Eust., der uur die Variante é£sAmhuSet p. 289 anmerkt. Es scheint mir sicher dass hier wie oft die Versausgänge ihre Stelle getauscht haben und dass die Strophe schloss mit den Worten ñ yxocco- ropcuosoos éÉckmauSev. Ob vorher vov &x Eiov yae mvebparos voyos, yapus ausreicht oder eine stärkere Entstellung vorliest, mügen Kundigere entscheiden.— 3, 88 liest man jetzt nocts Éévar ÿxouoSnoav ds arc- arohov: wozu bemerkt wird «ésvmxcuoSnoav AB; nos integras potius partes excudendas curavimus». Aller- dings ist EsvnxouoSncav eine fehlerhafte Bildung, die durch Eust. p. 317. 320 und Etym. Gud. p. 414, 29 (oder Etym. Havn. bei Gaisf. Etym. M. p. 1736 D) sich nicht schützen lässt ”): aber die Aenderung der Herausgeber Éévaz nxovoSncay verstüsst gegen das Me- 60) Nicht minder fehlerhaft ist in den Hymnen des Ioh. Dam. 3, 107: & ratpuxoucIetic rois droorodot #pn. So las bereits Eu- stathius, wogegen andere Grammatiker die richtige Schreibung ta- touxouorns bewahrt haben. Anecd. Bachm. I p. 452, 2: & ratpa- xouornce à rapd toù ratpès nxouoey (richtiger war zu erklären & drouotns toë matpos oder allenfalls & ræpa toù matpoc dxouoac). Vgl. Etym. Gud. p. 455, 28, wo ratpaxouotns als Paroxytonon geschrieben und in echt Byzantinischer Weise erklärt wird. — Bei Acron in Horat. Epod. 17, 73 wird fastidiosa erklärt durch TICAPEETVMENE. Dafür will Hauthal p. 529%, 18 Ovowpe- oxouévn lesen. Die Ueberlieferung fübrt vielmehr auf das richtig gebildete Suoxpeotoumévn. Tome XVII. trum, da Iohannes Dam. zwar auffallende Hiatus zu- lässt‘!), nimmermehr aber eine Synizesis kennt, durch welche die sechs Silben Éévar nxovoSncav fünfsilbig ge- sprochen würden. Es war herzustellen énoets Ésvn- xOUGTNIAY OS axocTchwy, A. h. GS TA Éévas Tov ancotchoy bnasts mxouoav: denn Ésynxouoro, eigent- lich Ésvnxouorns (oder Éévov dxouotns) eûus bezeichnet nichts anderes als Ééva axovw.. Wie der metrische Fehler tèv sdcoyérny 2, 124 zu beseitigen sei, weiss ich nicht zu sagen. — Für unzulässig halte ich 2, 24 das mit Barth von den Herausgebern gesetzte oxvavr: (pavévrt AB). Die wunderliche Form éxotocuv 2, 87 wird in der neuen Ausgabe mit keinem Wort berührt; im Glossarium bei Bachmann Anecd. I p. 455, 17 fin- det sich éotocav. Für die Behauptung, Iohannes Da- mascenus verletze nicht selten die Gesetze der Gram- matik (Proleg: p. XLVI), vermissen wir den Beweis. Dass ayhavra 2, 107 zu œuow gehüre scheint mir zweifelhaft; inzwischen wäre die Verbindung ayAñvra œvauw nicht bedenklicher als aunehoevr Ertdavoov Il. B 561. vanevte ZaxbySw Od. & 246. Yoïcevros éxidvns Nic. Ther, 129. éhamevtes aoovçgat Corp. Inser. 6280 B 50 vol. 3 p. 918. vouous yaotcotv Orph. Hymn. 46, 5. Éopcevre togsiny Orph. Hymn. 78, 4 und vie- les der Art. Das Nomen nyos (ruo@des nyos) findet sich als Neutrum auch sonst, wie ich Observ. crit. de trag. Gr. fragm. p. 13 Anm. gezeigt habe. Endlich beruht die Annahme dass Johannes Dam. 0v 3, 60 als Neutrum gebraucht habe auf einem Irrthum; in den Worten y cotno épn bezieht sich das Pronomen nicht auf rvsèpa (57), sondern auf tôv psoéoBro Ac yov (59), und statt raroosSevès ist mit Eust. p. 290 rarpocSevn zu lesen. — Inwieweit der den Hymnen des Iohannes beigegebene kritische Apparat Ergänzungen oder Be- richtigungen fordert, mag ich nicht detaillirt erôrtern; beispielsweise erinnere ich dass 0x (3, 35), évSéos (3, 89), dde (3, 126) nicht Vermuthungen von Barth sind, sondern schon bei Eustathius sich finden, dde ausserdem bei mehreren Byzantinischen Lexikogra- phen. Bei der Bearbeitung des im J. 1867 erschienenen Lexicon Vindobonense, als dessen Verfasser sich bald pachher der in der Literaturgeschichte bis dahin un- bekannte Andreas Lopadiotes entpuppt hat (H. Stein 61) Wie ro9 mhéou 1,11. xp9 aiovev 1, 48. n duapria 1, 65. xai dueivova 2, 95. où edoefets 3, 89. rveûua eüloynrôc ei 3, 100. 18 235 Bulletin de l’Académie Empériale 276 Herodoti Hist. vol. 1 p. LXXV f.), lag es mir vorzugs- weise ob, die mit oder ohne Nennung der Autoren citirten Belegstellen nachzuweisen. Diese Aufgabe ist mir natürlich bei weitem nicht vollständig gelungen: einige Nachträge môgen hier angemerkt werden. Die Worte tnt auxod p. 30, 7 sind entlehnt aus Il. Z 80. Dass die Worte 6m éfsdmunoé ve es tnv EXaÿa xai Eevrxototv ESeor dtexoncato p. 50, 11. 12 den Herodot IV, 76, 5 zum Verfasser haben, theilte mir zuerst Th. Gomperz mit. Das p. 144, 10 gegebene Citat aus Himerius, xat abtos Ooneo CAUTIxOY tt oTadLoy Tv muetéoav ouvouciav raomyycthev, bietet eine Ergänzung der lückenhaften Stelle Orat. XX VI p. 97, 42: atao ôn xai adros Gomep Ohuurixos..., wie A. Hart ge- sehen hat. Endlich glaube ich dass die Glosse rooç huov avéoyovra p. 141, 8 auf Aristides vol. 1 p. 155 zu beziehen ist. — Ein leicht entstelltes Homerisches Citat habe ich gedankenloser Weïse verkannt bei dem Grammaticus Ambros. p. 264, 21 : tihéyourss 70 40 VATOY, TULOVTES TahatoTépoUs avSoorous. Man schreibe: émuhéqovtes TO «ASAVLTO TOOL TAhMOTÉDOUS AVIEO- Tous» nach Il. 4 788. Einfiuss fremden Pollens auf die Form der er- zeugten Frucht, beobachtet von C. J. Maxi- mowicz. (Lu le 2 novembre 1871.) Dass bei der Befruchtung cines Organismus mit dem Samen oder Pollen einer andern Art ein sehr deut- licher Einfluss des fremden Pollens oder Samens auf die Nachkommenschaft zu erkennen ist, ist allgemein bekannt. Überaus selten sind aber bisher die Füälle, wo dieser fremde Einfluss bereits an der Mutter- pflanze selbst in Form- oder Farbe- oder Grüssenver- änderungen der erzeugten Frucht oder des Samens sich geäussert hätte, Die wenigen Füälle dieser Art findet man bei Gärtner')undDar win”)zusammengestellt. So will Manz auf einem Birnbaume, nach Castration zahl- reicher Blüthen, die sodann, wie er vermuthete, durch benachbarte Obsthäume befruchtet wurden, verschie- dene Fruchtsorten beobachtet haben. Puvis behaup- tete von Âpfeln, Melonen, Mais etc., dass ihre Früchte, 1) Versuche und Beobachtungen über die Bastarderzeugung im Pflanzenreiche. Stuttgart 1849. $. 73 ff. 2) Das Variüren d. Thiere und PA. im Zustande d. Domestication, a. d. Engl. v. Curus, I. 511 ff. wenn sie neben andere Sorten ihrer Art gepflanzt waren, Abänderungen in Gestalt, Farbe oder Eigen- schaften erlitten. Bradley will gar einen Apfel gesehen haben, der auf einer Hälfte süss, auf der andern sauer war, und sich auf einer Hälfte weich kochen liess, während die andere hart blieb. Alles dies sind aber nur Beobachtungen, nicht Versuche. Solche stellte zuerst Wiegmann an Erbsen an, und zwar mit Er- folg. Gäürtner selbst prüfte viele der angeführten Thatsachen auf experimentellem Wege und stellte auch Versuche an andern Pflanzen an, konnte aber nur die Wiegmann’schen Erfahrungen bis zu einem gewissen Grade bestätigen, Er ist daher, und wohl mit vollem Rechte, geneigt, die meisten jener Fälle auf indivi- duelle Variation zurückzufübren, giebt aber doch, als seltene Ausnahme, eine Müglichkeit der Veränderung schon an der Mutterpflanze selbst zu. Andere Beob- achter läugnen aber selbst die Müglichkeït eines sol- chen Einflusses. So Knight®) und neulich Nägeli*). In neuerer Zeit führt Därwin‘) abermals am Mais Fille an, wo durch Kreuzung gelb-und schwarzsamiger Sorten, Kolben kamen, welche gelbe und schwarze Sa- men enthielten.Hildebrand‘)bestätigte diese Beobach- tungen, und führte auch wieder einen Apfel an, der in seiner Zeichnung Spuren des Einflusses einer andern Sorte trug. Während es sich aber hier bloss um eine Ver- änderung in der Farbe handelte, finden wir in den folgenden drei Fällen auch eine solche in der Form. Hartsen’) sah auf Solanum edule, der bekannten Eierpflanze, eine Tomatefrucht (S. Lycopersicum), welche in Farbe, Grüsse und Gestalt ganz der Tomate glich, und von der Eierfrucht nur die grüssere Festig- keit und Trockenheit des Fleisches besass, sowie den Charakter der Samen, welche am Rande glatt waren, während sie bei der Tomate villôs sind. Dr. Kanitz”) kennt einen Fall einer Bastardfrucht zwischen ZLyco- persicum esculentum und Capsicum annuum. Fritz Müller”) hat Cattleya Leopoldi mit Æpidendrum cinnabarinmum befruchtet, und ersteres erzeugte Samen 3) In Transactions of the London horticultural society, V. p. 67. 4) In Sitzungsberichte der Bayerischen Akademie, nach Hilde- brand. 5)Na 4019515. 6) Botanische Zeitung. 1868. p. 325. #. 7) Botanische Zeitung. 1867. p. 309. 8) Botanische Zeitung. 1867. p. 335. 9) Botanische Zeitung. 1868. p. 631. 2% des Sciences de Saint-Pétersbourg. 275 von der Form der Samen des letztern. Mechan"”) endlich sah an einem sonst unfruchtbar gebliebenem Birnbaume einen Ast, der in die Âste eines benach- barten Apfelbaumes hineinragte, Früchte tragen, die in Haut, Fleisch u. s. w. ganz Âpfel waren, und von der Birne nur die Kerne, die Carpellen-Wände und den Stiel hatten. | Dies sind aber auch alle Füälle, welche mir bekannt sind. Erwägt man nun, dass der älteste dieser Fälle, die Beobachtung von Bradley, vom Jahre 1721 stammt, und dass, trotz der so überaus zablreichen Beobachtungen, welche Botaniker und Gärtner seit- dem Gelegenheit hatten bei Kreuzungen verschiedener Pflanzenarten zu machen, die Liste dieser Füälle nur sehr langsam wächst, so muss man ohne Zweifel Gärtner vollständig Recht geben, wenn er den Einu- fluss fremden Pollens bereits auf die Mutterpflanze selbst für eine grosse Ausnahme erklärt. Wenn wir aber nun unter diesen wenigen angeführten Beispielen nur denjenigen Beweiskraft zusprechen, wo das direkte Experiment in Anwendung kam, alle übrigen aber, mit Gärtner, dem Einwurfe offen erklären, dass bei ibrer Erzeugung auch vielleicht nicht der Pollen ein- gewirkt habe, sondern die Neigung zur Variation im Spiel gewesen sei, so bleiben eigentlich nur die Fälle beim Mais, der Erbse und Cattleya Leopoldi als wohl- constatirte übrig. Bei solcher Seltenheit des Auftretens halte ich es daher für angemessen, einen von mir beobachteten Fall mitzutheilen, in dem zwei mit einander befruch- tete Arten einen deutlichen Einfluss des fremden Pol- lens in den dadurch erzeugten Früchten erkennen liessen. Im Laufe des vergangenen Sommers kultivirte ich in meiner Wohnung eine Anzahl von Lilium-Arten, um sie in Beziebung auf ihre specifischen Unterschiede zu beobachten, Alle kamen in den sonnigen warmen Zimmern früher zur Blüthe als in den Gewächshäu- sern, und viel früher als im Freien in den Gärten, so dass, da meine Wohnung ausserdem nach allen Seiten weithin von hohen Bäumen umringt ist, und in der nähern Umgebung keine Lilien-Kulturen stattfanden, von etwaigem Einflusse fremden Pollens nicht wohl 10) in Proceed. of the Acad. of Nat. se. Philadelphia. 1871. 1. nach Sklarek, der Naturforscher. IV, 1871. p. 392. die Rede sein konnte. Meine eigenen Lilien aber ka- men nicht zugleich, sondern cine nach der andern zur Blüthe, und da mir weniger an der Blume lag, die ich bei allen genügend kennen gelernt hatte, als viel- mehr an der Kapsel, welche noch lange nicht bei allen bekannt war, so befruchtete ich die Blüthen so wie sie sich geüffnet hatten, wenn müglich mit dem Pollen derselben Art, aber von einem verschiedenen Indivi- duum, oder, falls gerade keine andere Pflanze dersel- ben Art Blüthen trug, mit dem eigenen Pollen der Blume. Letzterer Fall war der häufigere, dennoch bildete sich die Kapsel, wenn sie auch weniger Samen trug, in den meisten Füällen aus, wie es denn auch be- kannt ist, dass bei den Liliaceen Selbstbefruchtung leichtern Erfolg haben soll ") als bei andern Familien. Unter den frühesten Arten, welche bei mir blühten, befanden sich L. davuricum, Gawler (L. spectabile Lk.) und Z. bulbiferum L., die zwei Arten, welche Gegen- stand dieser Zeilen sind. Da beide Arten von neuern Autoren vielfach, ob- zwar mit Unrecht, für Formen einer und derselben Art erklärt sind ©), so will ich, bevor ich weiter gehe, erst ihre Unterschiede auseinandersetzen, aus welchen sattsam hervorgeht, dass man es hier mit zwei ganz vortrefflich von einander unterschiedenen Arten zu thun hat. Diese Unterschiede liegen vor Allem in zwei Or- ganen, deren Beobachtung man gerade bei Zilium bisher sehr versäumt hat: in der Zwiebel und in der Frucht. Die Zwiebel von ZL. bulbiferum L. (Fig. 1.) besteht aus spitzeifürmigen, zahlreichen Schuppen, welche in mehrern Reihen dicht und eng über einander gedeckt sind, und eine überaus feste und compacte Zwiebel darstellen. Die äussern Schuppen sitzen mit ihrem breitesten Theile auf und sind dann zur Spitze all- mäblich verjängt (Fig. 1. a.) Die mehr nach innen gelegenen zeigen über der Basis eine leichte Verjün- 11) Nur bei Z. tigrinum gelang es mir nicht, trotz zahlreicher Versuche, auch im Freien, und bei Kreuzbefruchtung verschiedener Individuen, Früchte zu erzielen, allein vielleicht, weil ich Anfangs versäumte, die axillären Brutzwiebelchen herauszubrechen. Nach- her war es zu spät im Herbste geworden. 12) So von A. Gray, on the botany of Japan (cf. Memoirs of the Amer. acad. VI, new series, p. 415), von Miquel, Prol. fl. Jap. 320. und ganz neuerdings wiederum von Baker, in seiner New synopsis of the genus Lilium (Gard. chron. 1871 p. 1034). 18* 279 Bulletin de l’Académie Impériale 280 gung und verbreitern sich dann zur Spitze von neuem (Fig. 1. b. b.) Ÿ | È Fig. 2. \ Nimmt man dagegen eine Zwiebel von L. davuricum (Fig. 2.) in die Hand, so fällt sogleich ihre lockere Structur auf, die es erlaubt, bei einigem Drucke die ganze Zwiebel ‘in die einzelnen Schuppen zu zer- drücken. Die Schuppen selbst sind schmäler als bei der vorigen und stehen bogig gekrümmt auseinander, so dass die Structur eine deutlich dachziegelige wird, und man alle Schuppen deutlich zählen kann, wäh- rend in der vorigen Art nur die äussersten Spitzen der innern Schuppen sichtbar sind. Schon die äusser- sten Schuppen zeigen über der Basis eine deutliche Einschnürung (Fig. 2. a.a.), bei der nächsten Reihe wird diese Einschnürung so stark, dass die Schuppe gestielt aussieht (Fig. 2. b. b.), dabeï rückt die Ein- schnürung von der Basis immer hüher zur Mitte der Schuppe, je mehr nach innen dieselbe steht, bis in den innersten Schuppen die Einschnürung wieder zur Basis hinunterrückt (Fig. 2. c. c. ce.) Dabei wird die Gestalt der Schuppe von einer oblongen allmählich zu einer verkehrt-eiformigen, und wäbrend ihr Stiel nur wenig an Breite zunimmt, wird die Spreite immer breiter. Trifft man endlich ‘im Innern der alten auf die junge Zwiebel, die sich in einer Schuppen- achsel der alten, meist an der Basis des vorigjährigen Stengels, gebildet hat, so findet man deren äusserste Schuppen wieder eiférmig und ohne Spur einer Ver- jüngung an der Basis (Fig. 2. d.), und wenn wir diese reine Eiform bei den äussersten Schuppen der alten nicht beobachteten, so liegt dies ohne Zweifel daran, dass diese äussersten Schuppen an derselben bereits längst verwest sind. Wenn nun auch eine Verjüngung der innern Schup- pen über der Basis auch bei Z. bulbiferum statt hat, so ist dieselbe doch sehr verschieden von der Ein- schnürung bei L. davuricum, die je weiter nach innen desto mehr den Charakter einer Articulation annimmt: die Schuppe bricht an der eingeschnürten Stelle sehr leicht und glatt ab, die Einschnürungsfurche läuft um den ganzen Umfang der Schuppe herum, und etwaige Brutzwiebelchen bei abgebrochenen Schuppen entste- hen an dieser Articulations-Stelle ”). Aus dem Gesagten erhellt die Verschiedenheit der Structur der Zwiebel beider Arten zur Genüge. Sie ist in der That den Gärtnern längst bekannt, welche unter hunderten von Zwiebeln mit der grüssten Sicher- 13) Ich gebrauche hier die Worte: Stiel, Spreite, Articulation nur der Bequemlichkeit der Bezeichnung wegen, ohne eine Deutung der Erscheinung zu wagen, die ich den Morphologen empfohlen ha- ben will. Man sieht aber aus den Figg., dass das Auftreten ein all- mäbliches ist. 2s1 des Sciences de Saiïint-Pétersbourg. 282 heit diejenigen von ZL. davuricum herauszusuchen im Stande sind ). Kaum minder deutlich sind die Unterschiede beider Arten in der Kapsel, und da sie leicht Frucht an- setzen, so ist diese auch schon wiederholt beschrieben worden ”). Die Kapsel von L. bulbiferum (Fig. 3. nat. Gr.) ist lang und schmal, fast cylindrisch, sechsfurchig und an der Spitze tief genabelt, indem die Kapselfächer an der Spitze in einen erhôühten spitzlichen Buckel auslaufen. Die Samen haben einen sehr schmalen Flü- gel: seminum discus ala octuplo latior, sagt Lalle- mant (a. a. O.) Fig. 5. Die Kapsel von Z. davuricum (Fig. 4. nat. Gr.) ist kürzer und breiter, etwa verkebrt-eifürmig, sechs- furchig, an der Spitze flach, fast abgestutzt, indem die Kapselfächer an der Spitze stumpf abgerundet sind. Die Samen haben einen viel breitern Flügel, der fast so breit ist wie der halbe Kerndurchmesser. Übrigens lassen sich die beiden Arten auch im blühenden Zustande meistens gut unterscheiden an 14) Âhnliche Articulations-Erscheinungen zeigt auch L. avena- ceum Fisch. (s. meine Diagnose und die Abbildung in Regel’s Gartenflora. 1865. p. 290. t. 485.) Vergl. darüber und über noch an- dere Structur-Unterschiede der Lilium-Zwiebeln meinen demnächst in den Arbeiten des Kais. Botan. Gartens erscheinenden Aufsatz über die Lilien Japans. 15) $. den votrefflichen Aufsatz von Lallemant im Index sextus sem. horti botan. Petrop. 1839. p. 54 u. 58. Die Kapsel von L. davu- ricum auch bei Glehn (in Suppl. ad ind. sem. h. Petrop. 1868. p. 19. (unter ZL. spectabile). Eine Abbildung derselben bei Trautvetter: Plantarum imag. et descr, f. russicam illustr. t. 19, fig. g. der filzigen Behaarung, den langzugespitzten Blättern, der aussen filzigen Blume bei Z. davuricum, dem Man- gel der Behaarung, den lanzettfrmigen spitzen Blät- tern, der aussen glatten Blume bei Z. bulbiferum, aber diese Kennzeichen allein reichen oft nicht aus, die Arten scharf zu trennen, da in den Gärten so viele Zwischenformen und Varietäten auftreten, die viel- leicht durch Hybridation entstanden sein môgen, dass man oft im Zweifel wäre, welche Art man vor sich bat, wenn nicht die Zwiebel, event. die Kapsel die Entscheidung gäbe. Da ich bemerkt zu haben glaubte, dass bei ver- schiedenen Zwiebeln von Z. bulbiferum die Schuppen bald nur sehr undeutlich eine Verjüngung über der Basis erkennen liessen, bald dieselbe deutlicher wurde, so kam ich auf die Vermuthung, ob ich in letzterm Falle nicht schon vielleicht ein hybrides Produkt zwi- schen dieser Art und Z. davuricum vor mir hätte. Eine fortgesetzte Kreuzung mit diesem letztern war geeignet, falls die so erzeugten Samen keimten, mit der Zeit ein belehrendes Resultat zu geben, wenngleich die einzige Sicherheit, dass man es mit reinem Z. bul- biferum zu thun hat, darin bestünde, die Zwiebeln wild wachsender Exemplare von ihrem natürlichen Standorte zu untersuchen. Ich befruchtete also eine Blume von Z, bulbiferum mit dem Pollen von Z. davuricum, und eine Blume von diesem mit dem Pollen des erstern. Es blieb aber bei dieser einzigen Befruchtung, da diese Exem- plare nur je eine Blume trugen, und ich die Opera- tion bei andern Individuen versäumte. Die Ovarien beider Arten schwollen an und ent- wickelten sich, allein nachdem die Kapsel von Z. da- vuricum fast zwei Zoll lang und etwa 5 Linien dick geworden war, stockte das weitere Wachsthum, und die Kapsel vertrocknete. Sie hatte sich aber hin- reichend ausgebildet, um aufs deutlichste die charak- teristische Gestalt der Kapsel von Z. bulbiferum — also des Vaters — zu zeigen. Dagegen wuchs und reifte die Kapsel von ZL. bulbiferum vollständig und wurde von mir nicht cher abgenommen, als bis sie aufgeplatzt war. Sie hatte vollständig die Charaktere der Kapsel des Vaters, also von ZL. davuricum! 50 hatten denn beide Lilien geradezu ihre Kapseln getauscht, und zwar so vollständig, dass ich, dem un- terdess entschwunden war, welcher Art die tiefgena- 283 belte lange, und welcher die flache kurze zukomme, nicht eher den wunderlichen Sachverhalt merkte, als bis ich das Corpus delicti dem Herbarium einverleiben wollte, und vorher noch mit der Beschreibung und andern Fruchtexemplaren verglich. Dieselbe meine Unachtsamkeit war Schuld daran, dass ich der andern Kapsel, welche nicht auswuchs, keinen Werth beimass und sie ruhig zu Grunde gehen liess. Die ausgebildete Kapsel habe ich aber aufbewahrt. Was die Samen der reif gewordenen Kapsel anbe- trifft, so waren ihrer etwa 130 vorhanden (einige we- nige môügen verloren gegangen sein, doch kaum über ein Dutzend, da die Kapsel nur sehr wenig klaffte, als ich sie abnahm, und unbelästigt gestanden hatte). In Beziehung auf ihre Flügelbreite hielten sie etwa die Mitte zwischen den Samen von L. davuricum, wo der Flügel nur halb so schmal wie der Kern des Sa- mens, und denen von Z. bulbiferum, wo der Flügel achtmal schmäler als der Kern des Samens sein soll. Bei unsern schwankte die Flügelbreite von !/, bis ", der Breite des Samenkernes. Etwa 50 der Samen waren leer, etwa 70 dagegen gut ausgebildet, von der normalen Grüsse der Samen dieser Arten (etwa 5 mill. breit und 8 mill. lang), und mit scheinbar wohl aus- ‘gebildetem Embryo versehen. Dieser liess sich näm- lich bei durchfallendem Lichte in seiner charakteri- stischen, leicht gekrümmten, länglich linienformigen Gestalt bequem erkennen, und bei den Samen, welche ich anschnitt, war er wirklich vorhanden, und nicht etwa bloss die Hühlung für denselben vorgebildet, wie sonst oft bei taubem Samen zu sehen ist. Somit waren also die Samen von einer Mittelform zwischen beiden Eltern. Doch will ich auf diesen Um- stand kein grosses Gewicht legen ‘), da ich zwar Ge- legenheit gehabt habe, die Lallemant’'schen Angaben gerade bei unsern zwei Arten im Allgemeinen zu be- stätigen, aber auch zu bemerken, dass sich die Maasse mit solcher Schärfe, wie Lallemant sie angiebt, kaum ausdrücken lassen. Hier müssen noch weitere Mes- sungen an einer grüssern Anzahl von Samen ange- stellt werden. Ich will nur noch bemerken, dass der Flügel an manchen Samen oder an manchen Stellen eines Samens wie umgebogen oder vom Rande her zu- 16) Obwohl Versuche von Koelreuter (Gärtner a. a. O.) an Nicotiana-Arten Ahnliches ergaben, was freilich Gärtner nicht bestätigen konnte. Vergl. übrigens Darwin a. a. O, Bulletin de l’Académie Empériale 284 sammengedrückt, und mithin sehr schmal erscheinen kann. Dann ist er aber nicht mehr durchsichtig wie der gut ausgebreitete Flügel, sondern fast ebenso dunkel, bei durchfallendem Lichte gesehen, als die Scheibe des Samens selbst. Es scheint klar, dass man bei der Messung der Flügelbreite solche verdrückte Flügel nicht berücksichtigen darf. Dass man es aber bei flüchtiger Anschauung doch vielleicht gethan, mag mit Schuld daran sein, dass man die Verhältnisse von Flügel und Scheibe bei der Unterscheidung der Arten bisher so wenig berücksichtigt hat. Welche Einwürfe kann man nun gegen den von mir eben erzählten Fall erheben? Ich kann folgende vor- aussehen. Zunächst kônnte Jemand sagen, dass die ganze Be- obachtung überhaupt auf einem blossen Irrthum, einer Verwechselung u. drgl. beruht. Dagegen spricht hof- fentlich die ausführliche Darlegung des Sachverhalts, wie ich sie oben gegeben. Hartnäckige Zweifler da- gegen kann ich nur auffordern, das Experiment nach- zumachen, wenn es ihnen aber nicht gelingt, bedenken zu wollen, dass es auch Gäftner nicht gelingen wollte, die Puvis’schen Behauptungen am Mais zu bestätigen, während Savi, Hildebrand u. A. Er- folg hatten. Ich müchte überhaupt alle sich dafür Interessirenden zur Wiederholung meines Versuchs auffordern, um so mehr als dadurch vielleicht der zweite Einwurf entkräftet würde, dass dies ein einzel- ner Fall sei, der nichts beweise, dass hier eine zufäl- lige Variation im Spiele sei. Ich müchte um so mebr dazu auffordern, als mir selbst anderweitige Aufgaben, zu deren Lüsung anderswo nicht die reichen Mittel vorhanden sind, über die ich hier verfüge, es vielleicht kaum gestatten werden, Beobachtungen dieser Art weiter zu verfolgen. Der wichtigste Einwurf wäre der, dass das Z. bul- biferum, mit dem ich experimentirte, selbst schon ein Bastard gewesen wäre, woher auch die Befruchtung mit einem seiner Eltern so erfolgreich ausgefallen, und dass ihm vielleicht obnehin schon eine Kapsel zukomme, wie sie ZL. davuricum eigen ist. Dass dem in der That vielleicht so sein künne, habe ich selbst bei der Beschreibung der Zwiebeln schon angedeutet, und welcher Form seine Kapsel wäre, wenn man sie durch Befruchtung mit dem eigenen Pollen oder dem Pollen eines echten Individuums erhalten, weiss ich 285 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 286 allerdings nicht, da ich nur die eine Kapsel kenne, welche ich durch obige Kreuzung erhalten. Dass ge- rade die Kapsel des unzweifelhaft echten L. davuri- cum sich nicht bis zur Reïfe entwickelt, kônnte gleich- falls als Stütze für den Einwurf angeführt werden. Ob jenes ZL. bulbiferum unvermischt gewesen, darüber künnen freilich nur Versuche mit unzweifelhaft ech- ten Pflanzen die Entscheidung bringen. Allein gerade dass L. davuricum bei dieser Kreuzung eine Kapsel gegeben hat, die die Form der Kapsel von Z. bulbi- ferum hatte, obwohl an der Reinheit der Abstammung des ersteren nicht gezweifelt werden kann, scheint mir den eben erhobenen Einwurf am besten zu ent- kräften und zu beweisen, dass hier in der That ein Einfluss des väterlichen Pollens auf die Form der mütterlichen Frucht stattgefunden hat. -—— —mt09— BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Catalogue de la Bibliothèque de la Société des sciences naturelles de Cherbourg. Première partie. Cherbourg 1870. 8. Notices et extraits des manuscrits de la bibliothèque na- tionale. Tome XV. XXII. Paris 1852, 1868. 4. Tabulae codicum manu scriptarum praeter graecos et orientales in bibliotheca Palatina Vindobonensi asser- vatorum. Vol. V. Vindobonensi 1871. 8. FOGusen Jouonocopa, Kapausuna n KperoBa. Bnéaiorpa- æuueckii YKASATCIB KHUTE D CTATEÏ BBINCJIUUXB NO noB0zy 2Tux8 wOmeï. Cocrasu8 B. M. Mexogt. CITE. 1871. 16. XXVII scripta academica in Universitate litterarum Vra- tislaviensi anno 1871 edita. XLVIII scripta academica in Universitate litterarum Lip- siensi annis 1870 et 1871 edita. LXXVI scripta academica in Universitate Julia-Maximi- liana quae est Herbipoli annis 1870 et 1871 edita. XVI scripta academica in Universitate litterarum Ludo- viciana, quae Gissae est, annis 1869—71 edita. Histoire de l’Académie des inscriptions et belles-lettres. Tome XXIIL p. 1. Complément, Tome XXVI p. 2. Paris 1870. 4. Mémoires présentés par divers savants à l’Académie des inscriptions et belles-lettres de l’Institut Impérial de France. Première Série. Tome VII p. 1, VIII p. 1. Paris 1869. 4. Mémoires de l'Académie des sciences de l’Institut Impérial de France. Tome XXXVI, XXX VII, deuxième partie. Paris 1870. 4. Memorie della Società Italiana delle scienze fondata de Anton-Mario Lorgna. Serie Terza. Tomo I. Parte II. Firenze 1868. 4. — della r. Accademia delle scienze di Torino. Serie II. Tomo XXV. XXVI. Torino 1871. 4. Atti della r. Accademia delle scienze di Torino. Vol. VI, disp. 1—7. Torino 1871. 8. — dell Accademia Pontificia de’ Nuovi Lincei. Anno XXIV. Sessione VI" del 13 Agosto 1871. Roma 1871. 4. — ——— Anno XXV. Sessione I° del 17 Dicembre 1871. Roma 1872. 4. Abhandlungen der philosophisch-philologischen Classe der k. bayerischen Akademie der Wissenschaften. XII. Bandes 2" Abtheilung. München 1870. 4. — der historischen Classe der k. bayerischen Akademie der Wissenschaften. Band XI, Abtheïlung 3. München 1871. 4. Sitzungsberichte der philosophisch-philologischen u. histo- rischen Classe der k. bayerischen Akademie der Wis- senschaften zu München. 1871. Heft 3. 4. München 1871. 8. — der mathematisch-physikalischen Classe der k. bayer. Akademie der Wissenschaften zu München. 1871. Heft II. München 1871. 8. Almanach der kaiserl. Akademie der Wissenschaften. 21° Jahrgang. 1871. Wien. 8. Denkschriften der kaiserl. Akademie der Wissenschaften. Philosophisch-historische Classe. 20° Bd. Wien 1871. 4. Sitzungsberichte der kaiserl. Akademie der Wissenschaf- ten. Philosophisch-historische Classe. Band 66, Heft 2, 3. Bd. 67, Heft 1 — 3, 68, Heft 1. Mathematisch- naturwissenschaftliche Classe, Abthl. I Bd. 62, Heft 3—5, Bd. 63, Heft 1—5, Abthl. II Bd. 62, Heft 4. 5, Bd. 63, Heft 1—5. D’Elvert, Christian. Geschichte der k. k. mähr.-schles. Gesellschaft zur Befürderung des Ackerbaues, der Natur- und Landeskunde. Brünn 1870. 8. 48° Jahres-Bericht der Schlesischen Gesellschaft für vater- lindische Cultur. Breslau 1871. 8. Vortrag des Geschäftsleiters in der General-Versammlung des Museums des Künigreiches Bühmen am 20. Mai 1871. Prag 1871. 8. è Ziva. Sbornik vèdeckÿ Musea Krälovstvi Ceského. VI. VIL VIII. V Praze 1871. 8. Pocuncaenie KaCCB1 INTEPATYpHATO OGMECTBA TAIUDKO-PYC- CKOÏ MATHIBI 3a Bpema OTB 1 Anyapia 40 noc1ÉAHOrO Jerkemepia 1865 roxa. JILBOBR 1866. 8. Jureparypasiit cOopauxe naxapaembiü laznnxo-PyccKor0 Marunerw. 1860. Bemycere I. n IL. III. n IV. 1870. Bo JIPB0BÉ. 8. 287 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 2ss HaykogLiü CÉopanke N31àBACMPIÏ IUTEPATYPHBIMR OÔNLE- crBouB laaunxo-pyceKkoï Maruni. 1865. 66. 67. 68. Bo JILBoB. 8. Mcropnaeckiä o4epke ocHoBagia raxnmko-pycKoù Marun I CUPABO3JAHPE HEPBOTO COGOPY YICHPIXB PYCKUXP IN aoGuTeiel Hapozuoro npocsbmenia. Cocrasieno IKo- BomB l'oxosankumr. BE JIbB0BS 1850. 8. VeraBbl COCJXNHCHIA TAINILKO-PYCKOÏ MAT, n OGueCTBa npocsbmenia. JILBÔBR 1851. 8. VeTaBBl TAJHIKO-PYCKOTO xireparypHoro OGIECTBA, DOUP HasBagieue J'asnnko-pyckaaMarnna». JLB0BE 1864. 8. lasunxiñä neropuuecriñü Côopauxe, nazapaemBii OGre- eTBOME l'aaunko-pyceKoï Marnner. BhiuycK'e I. JLB0BR 1854. 8. —— — — Bomycke III. JbB0oBE 1860. 8. Monatsbericht der k. preussischen Akademie der Wissen- schaften zu Berlin. September und October 1871. Berlin 1871. 8. Bulletin de l’Académie r. des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. Tome 32 M 9—12. Bruxelles 1871. 8. Jaarboek van de k. Akademie van Wetenschappen, geve- stigd te Amsterdam, voor 1870. Amsterdam. 8. Processen-Verbaal van de gewone Vergaderingen der kK. Akademie van Wetenschappen. Afdeeling Natuur- kunde. Van Mei 1870 tot en met April 1871. 8. Verslagen en Mededeelingen der k. Akademie van Weten- schappen. Afdeeling Letterkunde. Tweede Reeks. Eerste Deel. Amsterdam 1871. 8. Afdeeling Natuur- kunde. Tweede Reeks. Vijfde Deel. Amsterd. 1871. 8. Verhandelingen der k. Akademie van Wetenschappen. Afdeeling Natuurkunde. Twaalfde Deel. Amsterdam 1871. 4. — —— — Afdeeling Letterkunde. Zesde Deel. Amster- dam 1871. 4. Transactions and Proceedings of the r. Socicty of Victoria. Part II. Vol. IX. Melbourne 1869. 8. Sophokles erklärt von F. W. Schneidewin. Siebentes Bänd- chen: Philoktetes. 6° Auf. besorgt von Aug. Nauck. Berlin 1871. 8. Bratri (Adelphi) Komoedie Terentiova. Prelozil V. Ne- besky. V Praze 1871. 8. Nowoteskä Bibliothéca. Cislo XVIII. W Praze 1871. 8. Hanuse, Ig. J. Dodavky a doplnky k Jungmannovè His- . torii literatury teské. IL. V Praze 1871. 4. Casopis Musea Krälovstvi eského XLIV. Roënik, Svazek 3, 4; XLV Rocnik, Svazek 1—3. V Praze 1870—71. 8. Ykasarezb Ha YnOTPCOICHLE DICKOTOPEIXB OYKBB BB PyC- kôü upasonncn, HanncanBiü ©. Jenknmr. JILB0B%. 1870. 8. Tpu serynureasnin Tpexnozasamia 0 pyckôi CI0BeCHOCTH. Coumnenie fkoga l'oxopankoro. Bô JeBoBh 1849. 8. lpammaruka péckoro Askika cocraBieaHa fIKko8omB lo10- BauxumB. Bo JIEBoBB. 1849. 8. Posnpasa 0 JPCBHOCTH HNCEMEHB PYCKOCIOBCHPCKNXP CO- guaena Hukozaens Vpraxknme. Br JILB0BB. 1850 8. Journal asiatique. VI° série, T. XVI X 61, T. XVII X 64. Paris 1870—71. 8. — — — — Tome XVIII Xe 65. Paris 1871. 8. Zeitschrift der deutschen morgenländischen Gesellschaft. Band 25, Heft 3. Leipzig 1871. 8. Bibliotheca indica. New Series Xe 222, 225, 227—230. Cal- cutta 1871. Journal of the Asiatie Society of Bengal 1871. Part [ X 1, Part II, M 2. Calcutta. 8. Proceedings of the Asiatic Society of Bengal. 1871. X 2, 5—7. Calcutta. 8. Apocryphal acts of the Apostles, edited from Syriac Ma- nuscripts in the British Museum and other libraries by W. Wright. 2 vol. London 1871. 8. Defrémery, M. C. Le dictionnaire turk-oriental de Pavet de Courteille. 4. Clement-Mullet, J. J. Sur les noms des céréales chez les anciens, et en particulier chez les Arabes. 8. Garcin de Tassy. La langue et la littérature Hindousta- nies en 1871. Paris 1872. 8. Bullettino di bibliografia e di storia delle seienze matema- tiche e fisiche, pubblicato da B. Boncompagni. Tomo IV. Giugno. Luglio 1871. Roma. 4. Sédillot, L. Am. Les professeurs de mathématiques et et de physique générale au Collège de France, Avec des notes de B. Boncompagni. Rome 1869. 4. Narducci, Enr. Intorno da una traduzione italiana fatta nel secolo decimoquarto del Trattato d'Ottica d’AI- hazen. Roma 1871. 4. Friedlein, Godofr. De Heronis quae feruntur definitioni- bus. Romae 1871. 4. ‘ Curtze, Max. Sur l’Orthographie du nom et la patrie de Witelo (Vitellion). Rome 1871. 4. Vierteljahrsschrift der Astronomischen Gesellschaft. VI. Jahrgang 4° Heft. Leipzig 1871. 8. Annalen der k. k. Sternwarte in Wien. Dritte Folge. Band 16, 17. Jahrgang 1866, 1867. Wien 1870—-71. 8. Astronomische Mittheilungen von Dr. Rud. Wolf. August 1871. À XXVIIL 8. Atlante di carte celesti contenenti le 634 stelle principali visibili alla latitudine boreale di 45°. Fol. Results of astronomical and meteorological observations made at the Radcliffe observatory, Oxford, in the year 1868. Oxford 1871. 8. Dorn, Ernst. Über eine Transformation zweiter Ordnung. Künigsberg 1871. 8. Mémoires de la Société des sciences naturelles de Cher- bourg. T. XII et XV. Paris et Cherb. 1866—70. &. Paru le 6 février 1872. ————————— T. XVIL, N°5. A P | , | | | | LR ; x ; ! | }l | = © DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. A TOME XVIL. (Feuilles 19—26.) | CONTENU: | | Page. | | Dr. W, Gruber, Sur un muscle tenseur de l’aponevrose surale partant du demi-tendineux 289—291 Sur quelques variétés du muscle palmaire grèle ........................ 291—294 | GoytHelmersen, SirRodernck Impey MurChison eee ee... rer ce 295—307 | Dr. Ed. Brandt, Sur le ductus caroticus du Caïman à museau de brochet (AUigator lu- | CUS SI0E MASSISSUMIENSIS) Ne Ds 2 «De ateiate notes ee MNT M ere eee 307—308 | M. H, Jacobi, Sur la fabrication des étalons de longeur par la galvanoplastie. ........ 309—314 W. Gruber, Sur un muscle biceps humeral ayant une portion coracoïdienne et une por- tion humerale anomale à la place de la portion glenoïdienne ................. 314—318 | — Un muscle radial interne long bicaudé chez l’homme, remplaçant par une por- | tion surnuméraire le palmaire grèle.qui manque. .....................2. 318—319 Dr. H, Hildebrandt, Sur les documents historiques conservés aux archives de la ville de Réval, concernant les relations entre la Russie et la Livonie au XV et XVI siècles 319—379 Dr. W. Gruber, Sur les variétés du muscle radial interne court................. 379—388 | ————— Sur les os du carpe surnuméraire chez l’homme. .................... 389—404 | k | À, Moôles, Caliidéga meteo Faye .. PME... ....,... 000. 00e 404—407 | | J. F, Brandt, Sur les cétacées fossiles et sub-fossiles de Europe ............... 407—408 | Dr. W, Gruber, Sur un muscle costo-coracoïdien surnuméraire chez l’homme . ....... 408—413 D | BUNeUDIDIDiOTADhIQUE SE. Les ner acts EEE era etc COERE 413—416 | SE — :, : On s’abonne: chez MM. Eggers & Ci°, H. Schmitzdorff, J.Issakof et Tcherkessof, libraires à Eee » | Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Komurterx Iparzenia Hmneparopcxkoÿ Axayxemin | Hayk®); N. Kymmel, libraire à Riga ; A. E. Kechribardshi, libraire à Odessa, et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l’étranger. : Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) e - L Mars 1872. BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. Über einen vom Musculus semitendinosus ab- gegangenen Musculus tensor fasciae suralis. Von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Ana- tomie. (Lu le 14 décembre 1871.) In einem im Januar 1871 erschienenen Aufsatze*) habe ich einen vom langen Kopfe des Piceps femo- ris entsprungenen neuen Tensor fasciae suralis von der linken Extremität eines Mannes beschrieben und abgebildet, welcher nebstbei an beiden Extre- mitäten mit einem neuen Tensor capsulae genualis posterior superior versehen war. Von einer Abtheilung einer der in der Regionen- Anatomie im Institute für praktische Anatomie sich übenden Gruppen der Militairärzte, die nach St. Pe- tersburg zur speciellen Ausbildung in der Kriegs- chirurgie commandirt sind, wurde mir am 1. Decem- ber 1871 vom Vorkommen einer Muskelvarietät an einer zur Präparation der Fascien abgelassenen rechten unteren Extremität eines Mannes noch zeitig genug Anzeige gemacht. Ich befahl, die Muskel- varietät zur Untersuchung zu schonen, übrigens die Präparation zu beendigen. = Die von mir vorgenommene Untersuchung er- gab, dass die Muskelvarietät einen ähnlichen 7ensor fasciae suralis (b.), wie im früheren Falle, repräsen- tire, welcher aber dieses Mal nicht vom Biceps femo- ris, sondern von dem Semitendinosus (&) abgegangen war. Dieser Fall beweiset, dass der ungewühn- liche Tensor fasciae suralis kein Curiosum sei, aber dem Abgange nach variire. Lage. Im Suleus femoro-popliteus medius und in der Fossa poplitea, unter deren unteres Ende hinab noch oben an der Wade. Abgang, Mittelst einer langen Sehne von der Spitze einer schmalen und etwa 6” langen compri- mirt kegelfürmigen, freien, fleischigen Verlänge- *) Über zwei ungewohnliche Spannmuskeln an der unteren Ex- tremität des Menschen. X 1. «Wadénbindespanner — Tensor fasciae “suralis —.» — Bull. de l’Acad. Imp. des sc. de St.-Pétersb. Tom. XV. p. 527. Mélang. biolog. T. VIT. p. 680. Mit Holzsch. Tome XVII. rung des Semitendinosus, in welche, 7” 9” unter der Tuberositas ischii und 4” unter der Trennung des langen Kopfes des Biceps femoris von ihm, seine ober- flächliche, den lateralen Rand und die vordere Fläche deckende Schicht lateralwärts ausgezo- gen ist. Yerlauf. Im Sulcus femoro-popliteus medius und in der Fossa poplitea fast vertical in der Median- linie abwärts, dort hinter dem N. ischiadicus, hier hinter dem N. tibialis, ganz unten lateralwärts 19 291 von der in die Tiefe der Fossa poplitea zur Vena poplitea dringenden V. saphena posterior. Endigung, Mittelst einer Sehne, deren Fasern un- ter dem Ende der Fossa poplitea an der Wade strah- lenfürmig aus einander fahren, um in dem tiefen Blatte der oberflächlichen Suralfascie sich zu verlieren, welches von vorn den Kanal für die Vera saphena posterior begrenzt, der seine Existenz der Theilung der oberflächlichen Suralfascie in zwei Blät- ter in der Mitte der Wade verdankt und in der Re- gion der Fossa poplitea in ein in transversaler Rich- tung weites und in sagittaler Richtung enges, hinter den Gefäissen und Nerven gelagertes Spatium intra- aponeuroticum sich fortsetzt. Gestalt, Eines spindelfürmigen, in sagittaler Rich- tung comprimirten, schmalen und langen Muskels mit einer plattrundlichen, breiteren und längeren Ur- sprungs- und einer plattrundlichen, schmäleren, dicke- ren und kürzeren Endsehne. Grsse, Die Länge des Muskels betrug 810”—9; wovon auf die Ursprungssehne: 2” 47 auf den bis zur Hühe der Zwischengelenkslinie des Knies her- abreichenden Fleischbauch: 5” und auf die End- sehne: 1”6— 8" gekommen waren. Der Fleisch- bauch war 5” breit und 2” dick, die Ursprungs- sehne 1/7 die Endsehne *;” breit gewesen. Erklärung der Abbildung, Hintere Oberschenkelregion mit einem Theile der Wade der réchten Extremität eines Mannes. a. Musculus semitendinosus. b. » tensor fasciae suralis. Nachträge zu den Varietäten des Musculus pal- maris longus. Von Dr. Wenzel Gruber, Pro- fessor der Anatomie. (Lu le 14 décembre 1871.) I. Bei Duplicitât des Palmaris longus an beiden Armen eines Mannes, Verschmelzung des Endstückes des accessorischen Muskels mit der Sehne des Ulnaris internus an jedem Arme. In einer Monographie über den Palmaris longus') hatte ich unter Massen von Beobachtungen auch zwei 1) Über die Varietäten des Musculus palmaris longus. — Mém. de PAcad. Imp. des sc. de St.-Pétersb. Série VII. Tome XI. M 14. Besond. Abdr. St. Petersb. 1868. 4°. pag. 12. Tab. IL. Fig. 1. Bulletin de l’Académie Impériale 29? Fälle desselben von linken Armen von Männern be- schrieben und davon einen Fall abgebildet, in welchem sich der einfach vorgekommene Muskel nach Ver- schmelzung des Endstückes seiner Sehne in einer Strecke von 1'/” und 2” (par. M.) mit der Sehne des Uinaris internus, der die gewühnlichen zwei Vor- sprungsküpfe aufgewiesen hatte, gemeinschaftlich mit der Sehne des letzteren Muskels an das Os pisi- forme inserirt hatte. Alex. Macalister *) erwähnt ebenfalls der Beobachtung der Insertion des einfachen Palmaris longus an das Os pisiforme. Ich*) habe aber auch einen Fall beschrieben und abgebildet, in wel- chem, bei Auftreten von Duplicität des Palmaris longus, die Sehne des supernumerären Palmaris, der ein 2. l. accessorius superficialis war, mit der Sehne des zweikôpfigen Ulnaris internus in einer Strecke von 2” über dem Os pisiforme verschmolzen war und an letzteres gemeinschaftlich mit der Sehne des Ulnaris internus sich inserirt hatte. Diese letztere Varietät kam mir im November 1871 neuerdings zur Beobachtung und zwar an beiden Armen des Cadavers eines robusten Man- nes. Ihrer grossen Seltenheit wegen liefere ich auch über den 2. Fall eine Beschreibung. An beiden Armen war der Palmaris longus dop- pelt. Jederseits war der supernumeräre Mus- kel ein Palmaris longus accessorius superficialis. Je- derseits war der normale Muskel der laterale und der accessorische der mediale. Die nor- malen und accessorischen Muskeln hatten den Fleischhbauch oben, alle hatten die Form des Mus- kels der Norm und gaben letzterem an Entwickelung nichts nach. Am rechten Arme war der normale Palmaris longus, am linken Arme der accessori- sche Palmaris longus der stärkere. Jeder nor- male Muskel endete auf gewühnliche Weise, je- des accessorischen Muskels Endsehne war in einer Strecke von 19” über dem Os pisiforme mit der Sehne des zweikôpfig entsprungenen Ulnaris internus verwachsen, mit der sie sich gemeinschaft- lich an das Os pisiforme inserirte. Der Fleisch- bauch des normalen Muskels des rechten Ar- mes war um 5—6/” länger als der des linken Mus- 2) Further notes on muscular anomalies in human anatomy, etc. Dublin. 1868. 8°. pag. 28. 3) Op. cit. p. 16. Tab. II. Fig. 3. 293 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 294 kels, derselbe des accessorischen Muskels des rechten Armes war um 2”4” kürzer als der des linken Muskels. Der Fleischbauch des accesso- rischen Muskels des rechten Armes war um 1”3” und derselbe des Muskels des linken Armes um 4" länger als der des normalen Muskels. Am rech- ten Arme übertraf der normale den supernume- rären Palmaris an Breite um 3”; an Dicke um 2”; am linken Arme war der normale Palmaris um ein Geringes weniger breit, aber um 2},” weni- ger dick als der supernumeräre Palmaris. Am rechten Arme waren beide Muskeln vom Ur- sprunge an von einander separirt, am linken Arme aber in einer Strecke von 2” am Ursprungstheile ver- wachsen. An beiden Armen war der Palmaris nor- malis mit dem Radialis internus und der Palmaris accessorius mit dem Flexor digitorum sublimis und Ulnaris internus am Ursprungstheile verwachsen. Die neuen Fälle waren von dem von mir 1867 beobachteten und 1868 beschriebenen Falle etwas verschieden. Der accessorische Palmaris longus war nämlich in den neuen Fällen entwickelter als in dem früheren Falle, hatte in den ersteren Fällen den Fleischbauch oben, die Sehne unten, im letzteren — den Fleischbauch in der Mitte zwischen der Ursprungs- und Endsehne. II. Neue Variante des Palmaris longus bicaudatus. In der genannten Monographie‘) hatte ich auch 4 Fälle des Vorkommens des ?Palmaris longus als Musculus bicaudatus beschrieben und einen derselben abgebildet. Die Füälle gehôrten 3 Varianten an. Am 10. December 1871 kam mir an einem zu den Präparirübungen abgelassenen linken Arme eines Mannes wieder ein Palmaris longus bicaudatus zur Beobachtung. Dieser Fall erwies sich aber als eine neue(4.) Variante, weshalb ich ihn in meiner Samm- lung aufbewahre und im Nachstehenden beschreibe: Der Palmaris longus ist ein halbgefiederter, ganz platt spindelfürmiger Muskel, welcher 2”4” über dem Lig. carpi volare proprium einen supernume- rären Fleischschwanz vom medialen Rande abge- hen lässt, wodurch er ein Musculus bicaudatus wird. Der Muskel hat eine lange Ursprungssehne, seinen Fleichbauch in der Mitte und unten und an dem 4) Op. cit. pag. 10. Tab. I. Fig. 1. lateralen Schwanze eine ganz kurze Endsehne. Der Muskel ist 11”6”” lang. Von dieser Länge kom- men 4 auf die Ursprungssehne und 4” auf die End- sehne. Für den Fleischbauch bleiben somit 7” 2°” wo- von 2” auf den lateralen Schwanz kommen, der mit der Endsehne 2” 4” lang ist. Die Ursprungssehne, welche 2” 9°” lang mit dem Flexor digitorum sublimis verwachsen und 1” gleichmässig breit ist, setzt sich am lateralen Rande des Fleischbauches noch 4”4” abwärts fort. Die Bündel des letzteren begeben sich von ersterer zu einer Sehne am medialen Rande des letzteren und des lateralen Schwanzes des Muskels, welche schon 2” unter dem oberen Ende des Muskel- bauches beginnt und in die kurze, 1!/” breite End- sehne des lateralen Schwanzes sich fortsetzt, sehr schräg ab - und ulnarwärts. Von der Sehne am me- dialen Rande des Fleischbauches, der sich, wie gesagt, direct in den lateralen Schwanz fortsetzt, geht 24" über dem Lig. carpi volare proprium in einer Hôühe von 1”9” ein bisquitformiger, medialer Fleischschwanz ab. Dieser verläuft schräg ab- und ulnarwärts und endiget an der Sehne des Fleisch- bauches des Flexor digitorum sublimis für den klei- nen Finger, in einer Hühe von 1” 3” vom Anfange dieser Sehne bis zum Lig. carpi volare proprium ab- wärts. Die mittleren Fleischbündel verlaufen in ge- rader Richtung, die oberen bogenférmig auf- und die unteren bogenformig abwärts gekrümmt, wodurch der Fleischschwanz in der Mitte beträchtlich schmal wird. Seine Länge beträgt in der Axe 13’) seine Breite in der Mitte 31, — 4" seine Dicke 1,7 Der Musculus palmaris longus bicaudatus dieses Falles ist verschieden von dem der früheren Fälle, wovon bei 2 beide Fleischschwänze an der Palmaraponeurose; bei 1 der laterale Fleisch- schwanz an der Palmaraponeurose, der mediale aber schon an der Antibrachialfascie sehnig ge- endet hatten; und bei 1 der laterale Schwanz fi- brüs, der mediale Schwanz allein fleischig gewe- sen war, ersterer an der Palmaraponeurose sein Ende erreicht hatte, letzterer aber, in welchem sich der Fleischbauch des Muskels fortgesetzt hatte, in den Abductor digiti minimi übergegangen war und wie ein supernumerärer Kopf des letzteren sich ver- halten hatte. 19% 295 Bulletin de l’Académie Impériale 296 Sir Roderick Impey Murchison. Von G. v. Hel- mersen. (Gelesen in der jährlichen ôffentlichen Sitzung der Kaïs. Akademie der Wissenschaften am 29. December 1871.) Am 11. October 1871 starb in London das wirk- liche Mitglied der Akademie, Sir Roderick Impey Murchison, im 80 Jahre seines, der Wissenschaft mit so glänzendem Erfolge gewidmeten Lebens. Wenn auch mit der wissenschaftlichen Welt aller Erdtheïle, so haben wir die Botschaît von seinem Hinscheiden doch mit besonderer Betrübniss vernommen, weil Sir Roderick mit Russland in inniger Verbindung stand. Die Geschichte seines Lebens, die zugleich die lehr- reiche Geschichte seines wissenschaftlichen Bildungs- ganges sein wird, erwarten wir aus seinem Vaterlande. Uns aber ist es eine ehrenvolle Pflicht, der hohen| Verdienste, die er sich um Russland erworben, mit tiefgefühltem Danke zu gedenken. Russland hat in ihm einen seiner wärmsten und ergebensten Freunde, die Wissenschaft einen ihrer grossen Jünger verloren. Sir Roderick Impey Murchison ward am 19. Fe- bruar 1792 in Ross-shire zu Tarradale, dem Besitze seines Vaters M Kenneth Murchison, geboren, aus dessen Ehe mit Barbara Mackenzie, ältesten Toch- ter von M Kenneth Mackenzie. Den ersten Unter- richt erhielt er in einer Schule zu Durham und ging aus dieser in die Küniglich-Britische Militairlehr- anstalt zu Marlow über. Und kaum hatte er in der- selben sein fünfzehntes Lebensjahr erreicht, als er auch schon, das Schwert ergreifend, nach Spanien z0g, Wo damals der Herzog von Wellington die briti- schen Fahnen siegreich von einem Schlachtfelde zum andern trug. Er trat zuerst in das 36°" Infanterie- regiment ein, diente später in dem Stabe seines On- kels, des Generals Sir Alexander Mackenzie, in Si- cilien und schliesslich als Capitain in dem 9° Dra- gouerregimente von Iniskellen. Ehe er seinen 17“ Geburtstag erlebte, hatte er bereits mit Auszeichnung drei Schlachten mitgeschlagen, bei Roliça, bei Vimiera, wo er die Fahne seines Regiments trug, und bei Co- ruña. Im Jahre 1815 verliess er den Militairdienst und verehelichte sich mit Charlotte Hugonin, der ein- zigen Tochter des Generals gleiches Namens, und diese Verbindung sollte für seinen künftigen Lebens- beruf entscheidend werden. Lady Murchison war keine gewühnliche Frau, und die wissenschaftliche Welt ist ihr zu grossem Danke verpflichtet. Wenn sie, wie Frank Buckland in dem Nekrologe über diese ausgezeichnete Dame sagt, nicht vor einem halben Jahrhundert den mächtigen Geist ihres Gatten von den einfachen Beschäftigungen eines demittirten Dragonercapitains auf das Gebiet der Wis- senschaften gelenkt hätte, so würde England nie Ge- legenheit gehabt haben, auf den berühmten Baronet stolz zu sein, der einen so guten Kampf für die Geo- logie gekämpft, und dem man es zu verdanken hat, dass die geologischen Errungenschaften Englands über- all geachtet und verwerthet werden, wo die Civilisa- tion und die Industrie die Mineralreichthümer der Länder ausbeutet. In ibhren jüngeren Tagen, als Sir Roderick’s Talente sich zu entwickeln begannen, war Lady Murchison ihm immer zur Seite mit dem Hammer, mit der Schreib- tafel oder dem Zeichenbuche in der Hand; so an den Küsten Englands, in den Alpen, in Italien, Deutsch- land und in dem Heimathlande ihres Gatten, und eben so in dem stillen Studirzimmer des Gemahls, in wel- chem sein grosses Werk, «Siurian System», voll- endet wurde. Sie besass nicht nur encyclopädische Kenntnisse in mehreren Zweigen des Wissens, son- dern auch specielle in der Conchyliologie und über- dies ein ausgezeichnetes Talent für das Zeichnen. Viele in die Werke des Gatten aufgenommenen bild- lichen Darstellungen sind von ihrer Hand, und eben dieser Hand verdankt man die treue Abbildung des in der Schweiz entdeckten und berühmt gewordenen Skelets eines fossilen Fuchses, welche es Cuvier müglich machte, das Thier zu bestimmen. In späteren Jahren stand sie dem Gemahl als Trüsterin und Rathgeberin bei, als er die schweren Kämpfe für seine Neuerungen in dem Systeme der Geologie durchzukämpfen hatte. Die Aussenwelt er- fuhr wenig von diesen Mühen, Ângsten und Hinder- nissen, über welche seine Gattin ihm siegreich hinüber- half. Die Frau eines Mannes, ruft Buckland aus, der in der Wissenschaft zu solcher Hôhe aufgestiegen ist, muss hoch geachtet werden, da sie einen wesent- lichen Antheil an seinen Erfolgen gehabt hat. Nachdem es Lady Murchison gelungen war, den jungen Gemahl von den Feldern der Schlachten und der kriegerischen Ehre zu den friedlichen Siegen der 297 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 298 Wissenschaft zu führen, sehen wir ihn, nach längerem Aufenthalte auf dem Continente, im Jahre 1822, auf den Rath Sir Humphry Davy’s, die Vorlesungen über physikalische Wissenschaften in dem Royal Institution besuchen, und wenige Jahre später tritt er bereits als geologischer Forscher im Süden Englands auf. Im Jahre 1825 überreichte er der geologischen Gesell- schaft zu London, deren Mitglied er geworden war, eine Abhandlung über die geologische Beschaffenheit des nordwestlichen Theiïls von Sussex und der benach- barten Gegenden von Hampshire und Surrey. Nach- dem er 1826 die Kohlenlager yon Sutherlandshire untersucht und erkannt hatte, dass sie der Juraforma- tion angehôüren, begab er sich 1827 in der Gesellschaft eines älteren Freundes, des Geistlichen Adam Sedg- wick, Professor der Geologie in Cambridge, in das Schottische Hochland und 1828 bereiste Murchison gemeinschaftlich mit Sir Charles Lyell die erlosche- nen Vulkane der Auvergne und die Tertiairformation des südlichen Frankreichs. Beide Männer gaben da- mals sehr werthvolle Erläuterungen über die Bildung der Erosionsthäler, Später untersuchte Murchison die Alpen Osterreichs und Bayerns und verôffentlichte die Resultate dieser Untersuchung im Vereine mit Sedgwick in den Jahren 1829 und 1830. So sehen wir ihn schon im Anfange seiner wissen- schaftlichen Laufbahn an der Seite der hervorragend- sten Autoritäten Englands, zu denen auch Buckland gehürte. Sedgwick, Buckland und Murchison selbst hatten in der systematischen Geologie eine be- deutende Lücke erkannt, nämlich eine ungenügende Kenntniss und in Folge dessen eine Unsicherheïit und Verwirrung in der Klassification und der Reihenfolge der sogenannten paläozoischen Formationen, d. h. der sedimentairen Bildungen, die ihre Stelle zwischen den krystallinischen Schiefern und der Triasformation ein- nehmen. Es dürfte besonders dem Einflusse Buck- land’s zuzuschreiben sein, dass Murchison und Sedgwick sich nun dem Studium dieser Formationen zunächst im eigenen Lande, namentlich in Süd-Wales, in Herefordshire und Shropshire, und später in Bel- gien und in den Rheïinlanden hingaben. Die Früchte dieser anhaltenden Studien waren meh- rere klassische Werke: das «Siurian System», ein Prachtwerk, von Murchison allein im Jahre 1839 herausgegeben, und zwei andere, von ihm und Sedg- wick gemeinschaftlich verfasste, von denen das eine im Jahre 1837 erschien und die Geologie von Devon- shire, und namentlich die Zusammensetzung und die Gliederung der paläozoischen Bildung dieser Provinz behandelt, von welcher der Name des Devonischen Systems entlehnt wurde. Das andere ward 1842 ver- üffentlicht und machte uns mit der Beschaffenheit, mit der Verbreitung und Klassification der paläozoischen Bildungen Norddeutschlands und Belgiens bekannt. Diese drei Schriften, so wie die des bekannten eng- lischen Paläontologen Philipps über die alten Forma- tionen Grossbritanniens, brachen in dem System der Geologie eine neue Bahn. Sie lehrten in umfassend- ster und gründlichster Weise, dass das in früherer Zeit Übergangsgebirge und Grauwakkengebirge ge- nannte Schichtensystem in zwei streng geschiedene Formationen zerfalle, von denen Murchison die un- tere «das Silurische System», die zunächst nach oben folzende das Devonische benannte. Eben so scharf trat die Trennung des Devonischen Systems von der dasselbe überlagernden Steinkohlen- formation hervor, als deren unteres Glied der Berg- kalk erkannt wurde. Die Unsicherheïit, die in diesen Dingen geherrscht hatte, war nun für immer verschwunden, es war hel- les Licht an die Stelle der Dunkelheit getreten, und die Kenntniss und das Studium dieser Formationen hatte eine feste Grundlage erhalten. Der Erfolg war ein ausserordentlicher. Die Geologen des Europüi- schen Continents begannen sofort die paläozoischen Gebiete ihrer Länder zu revidiren, und wenn in Russland sich auch schon früher manche Männer um die Kenntniss der ältesten Sedimentairformationen ver- dient gemacht hatten, so wurden Murchison’s Werke doch auch für sie der leitende Faden für künftige Arbeiten. Und in Murchison selbst regte sich der Wunsch, grosse paläozoische Gebiete des Europäi- schen Festlandes zu besuchen, um an ihnen die Rich- tigkeit der in England, Belgien und in den Rhein- läindern festgestellten Eintheilungen und Formations- folgen zu prüfen und zu erhärten. Dazu war aber kein Land so geeignet, wie das Europüische Russland. Obgleich dessen geologischer Bau damals sehr unge- nügend bekannt war, so wusste man doch bereits durch die Untersuchungen von Strangways, Eich- wald, Pander, Gustav Rose und durch Leopold von 299 Buch’s Beiträge zur Bestimmung der Gebirgsforma- tionen in Russland, dass paläozoische Formationen in unserm Lande die kolossalsten Länderräume ein- nehmen. Insonderheit waren es die Arbeiten von Pander und Buch, welche Murchison bestimmten, Russland zu besuchen, denn durch sie war es ihm unzweifelhaft geworden, dass im Norden Russlands die Âquivalente des Silurischen und Devonischen Sy- stems Grossbritanniens auftreten. Als sein Entschluss gefasst war, theilte er densel- ben dem Botschafter Seiner Majestät des Kaisers Nicolai am Londoner Hofe, Baron Brunnow, mit, und erlangte durch die Vermittelung dieses ausge- zeichneten, den wissenschaftlichen Fortschritt befür- dernden Staatsmannes die Genehmigung und den Bei- stand der Regierung zu der beabsichtigten Reise. Da Murchison nicht Paläontologe von Fach, son- dern hauptsächlich in der Stratigraphie und in der Lehre von der Formationsfolge bewandert war, so pflegte er sich auf seinen Reisen Paläontologen zu adjungiren, und bei der bevorstehenden Reise fiel seine Wahl auf Hrn. von Verneuil, seinen Begleiter bei den Untersuchungen in Belgien. Zu Anfang des Sommers 1840 langten sie in St. Petersburg an, wo sich auch Baron Alexander Meyen- dorff mit dem Grafen Alexander Keyserling und Professor Blasius aus Hannover eingefunden hatte, um im Auftrage unserer Regierung naturhistorische und statistische Untersuchungen in Russland anzu- stellen. Der Finanzminister, Graf Cancrin, und der da- malige Chef des Corps der Bergingenieure, General- Adjutant Tschewkin, unterstützten die Reisenden in kräftigster Weise. Überall hin ergingen die Be- fehle, den Reisenden im Erreichen ihrer Zwecke für- derlich zu sein, und Murchison ward als Begleiter der Lieutenant der Bergingeunieure Nicolai Iwano- witsch Kokscharow, jetzt Mitglied der Akademie, beigegeben. Nachdem man zuerst die Umgebungen St. Peters- burgs untersucht hatte, wandte sich die Gesellschaft nach dem Norden, über Wytegra nach Archangel, dann über Kostroma und Jaroslaw nach Moskwa und Nishni- Nowgorod, beschiffte die Wolga bis Jurjewez und kehrte über Räsan und Kolomna nach Moskwa und St. Petersburg zurück. Bulletin de l’Académie Impériale 300 Auf dieser ersten Reise hatte sich die Gesellschaft, da deren Zwecke sich nicht immer vereinigen liessen, mebrere Male getrennt und dann wieder vereinigt, wobei Graf Keyserling Gelegenheit hatte, sich wech- selsweise den beiden Partieen anzuschliessen. Obgleich diese erste Reise schon sehr bedeutende Resultate gegeben, obgleich Hr. Eichwald sein Werk über das Silurische Schichtensystem Estlands, Dubois de Montpéreux die geologische Beschreibung der Krymm, des Kaukasus, Volhyniens und Podoliens ver- üffentlicht hatte, und obgleich man die Verüffent- lichung der Resultate der Humboldt’schen Reise durch Gustav Rose erwartete und manche dankens- werthen geologischen Arbeiten der russischen Berg- officiere und sogar eine kleine geologische Übersichts- karte des Europäischen Russlands vorlagen, so fehlte es augenscheinlich noch an Untersuchungen, um das Gesammtbild Russlands auf sichrerer Grundlage her- zustellen, als es bisher hatte geschehen künnen. Von dieser Überzeugung geleitet, erbat der Graf Cancrin von Seiner Majestät dem Kaiser die Erlaubniss, Sir Roderick Murchison und Hrn. von Verneuil zu einer zweiten Untersuchung Russlands einzuladen. Unterdessen war Graf Keyserling, ein Curländer, in den Staatsdienst getreten. Er schloss sich den Rei- senden an, denen auch der Lieutenant Kokscharow wieder beigesellt ward. Nachdem Murchison und Verneuil, in der Be- gleitung des Grafen Keyserling, die Gouvernements Wilna, Curland, Livland und Estland bereist und in St. Petersburg sich eines ausgezeichneten Empfanges von Seiten des Kaisers zu erfreuen gehabt hatten, begaben sie sich mit ihren Begleitern zunächst nach Tula und Kaluga, um die in diesen Provinzen ver- breitete Steinkohlenformation kennen zu lernen, und später an den Ural, nach Orenburg, in die Kirgisen- steppe, an den Berg Bogdo in der Steppe der Astra- chanschen Kalmücken, an die untere Wolga und in das Donezer Steinkohlengebirge. Auf dem Rückwege wurden Charkow, Kursk, Orel und das Thal des Don in der Gegend von Woronesh untersucht. Auch die- ses Mal theilten sich die Mitglieder der Gesellschaft in der Arbeit, denn nur so und durch den thatkräfti- gen Beistand des Generals Tschewkin wurde es môglich, in so kurzer Zeit die grossen Resultate zu 301 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 302? 2 2 oo erlangen, die diese Reise der Wissenschaft und unse- rem Vaterlande gebracht hat. Bevor wir einen gedrängten Überblick dieser Re- sultate geben, müssen wir noch erwähnen, dass Mur- chison, um den geologischen Bau Russlands auch mit dem der Nachbarländer vergleichen zu künnen, im Jahre 1842 einen grossen Theïl Deutschlands, Polen, die Karpathen und 1844 Schweden und Norwegen bereiste, und dass Graf Keyserling im Sommer 1843 mit dem Marineofficier, Hrn. Paul von Krusenstern, das Petschoraland untersuchte, das 1840 nicht be- rührt worden war. Nachdem über die Resultate dieser Reisen einige vorläufige Berichte der geologischen Gesellschaft zu London vorgelegt worden waren, erhielten wir 1845 das monumentale Werk «The Geology of Russia in Europe and the Ural mountains», dessen erster Theil von Murchison und dessen zweiter, die paläontolo- gischen Ergebnisse enthaltender Theil von den Herren von Verneuil, Keyserling und dem franzüsischen Paläontologen Alcide d'Orbigny abgefasst ist. Wie einst Murchison’s Silurian System eine neue Bahn für die Erforschung der paläozoischen Forma- mationen des ganzen Erdballs gebrochen hatte, so die Geology of Russia unseres berühmten Triumvirats für die geologische Kenntniss des Europäischen Russlands. Versuchen wir seine Bedeutung kurz zu charakteri- siren. Der geologische Bau Russlands, der bis dahin mehr oder weniger fragmentarisch bekannt gewesen, und dessen graphische Darstellung in zwei kleinen (skiz- zenhaften) Karten versucht worden war, trat in der Geology of Russia pltzlich in bestimmten, klaren For- men auf, Die einzelnen, mit grossem Scharfblicke ausgeführten Beobachtungen der drei Geologen, so wie die kritisch gesichteten Arbeiten einiger Vorgän- ger, waren gruppirt, die Gruppen an ihren richtigen Platz verwiesen und mit der, Murchison eigenthüm- lichen Meisterschaft zu einem geologischen Gesammt- bilde des Landes zusammengestellt worden. Wenn die dem Werke beigegebene geologische Karte, in die nicht nur der Ural, sondern auch der Kau- kasus, die Aralo-Kaspische Niederung und das ganze Pontische Gestadeland aufgenommen war, nur wenig Details gab, so orientirte sie den Beschauer doch voll- kommen in der Vertheilung und der wahrscheinlichen Begrenzung der einzelnen Formationen. Die Gliede- rungen derselben sind sehr übersichtlich und treffend in zwei, zu beiden Seiten der Karte angebrachten, idealen Profilen dargestellt, die dadurch noch einen besondern Werth erhalten, dass neben jedem Forma- tionsgliede die Namen der dasselbe bezeichnenden Leitmuscheln und die Localitäten angegeben sind, an denen man sie beobachten kann. Man hat nur nôthig, die lithologischen und stratigraphischen Verhältnisse jeder Localität in dem Texte und in den schünen Vignetten des ersten und die Abbildungen der Petre- fakten in dem zweiten Bande aufzusuchen, um, ohne sein Studirzimmer zu verlassen, eine instruktive Reise durch Russland zu machen. Wie Zoologen und Botaniker bei ihren Forschun- gen auch heute noch auf Pallas zurückgehen, so wer- den die Geologen und Paläontologen Russlands noch in ferner Zeit das Prachtwerk Sir Roderick’s befragen müssen. 1) Wir lernten aus demselben die neue Thatsache kennen, dass auch im hohen Norden, an dem un- tern Laufe der Dwina und im Petschoralande post- pliocäne Schichten mit wohl erhaltenen Schalen noch jetzt in nürdlichen Meeren lebender Muscheln auftreten. Wir erfuhren, dass die jungen Tertiair- ablagerunngen der Aralo-Kaspischen und der Pon- tischen Niederungen in zwei Abtheilungen zerfal- len, welche sebr treffend die älteren und jüngeren Kaspischen benannt wurden. Wir sehen an der untern Wolga die ältesten Tertiairbildungen erscheinen. Was Leopold von Buch schon früher vermuthet hatte, dass nämlich die Repräsentanten der Kreide- periode in der nürdlichen Hälfte Russlands fehlen, wurde durch die Geology of Russia bestätigt. Die Juraformation, die bis dahin nur in kleinen, sporadisch vertheilten Becken bekannt war, er- schien plützlich in grossen zusammenhängenden Zonen und Feldern zwischen dem mittlern Laufe der Wolga und dem Timangebirge und zwischen diesem und dem Westfusse des Urals und am Nord- ostrande des Kaspischen Tieflandes. Murchison hatte schon früher erkannt, dass der Buntsandstein, der als das unterste Glied der Trias betrachtet worden war, dieser entzogen und der Zechsteinperiode als deren oberes Glied zugezählt 3) 4) 303 Bulletin de l’Académie Impériale 304 werden müsse. Als er diese neue Auffassung in der grossen Formation bestätigt fand, die fast die ganze ôstliche Hälfte Russlands einnimmt und am Fusse des Ural Kupfererze und weiter im Westen Salzquellen und Steinsalz umschliesst, gab er der Formation den Namen der «Permischen», weil sie in keinem andern Lande in so kolossaler Ent- wickelung auftritt, wie in dem alten Biarmia. Hier mag nicht unerwähnt bleiben, dass Mur- chison den obern Theil dieser Formation, wegen ihrer grossen lithologischen Âhnlichkeit mit dem Devonischen Systeme Russlands, anfangs für die- ses letztere angesprochen hatte. Allein nach ge- nauerer Untersuchung gab er seinem jungen Be- gleiter Kokscharow Recht, der dieser Ansicht widersprechen musste, weil ihm das viel jüngere Alter der grossen ôstlichen Formation bereits be- kapnt war. Von grosser Wichtigkeit, sogar in der bergmänni- schen Praxis, wurde der, die central-russische Stein- kohlenformation behandelnde Theiïl des Werkes. Murchison und seine Begleiter hatten erkannt, dass diese Formation in zwei grosse Hauptglieder zerfalle, von denen das obere nie Steinkohlenlager einschliesst, und von denen das untere, steinkoh- lenführende, unmittelbar auf Devonischen Schich- ten aufliegt. Jede dieser Abtheilungen ist durch gewisse Leitmuscheln und auch lithologisch so charakteristisch bezeichnet, dass man sie niemals mit der andern verwechseln kann. Dadurch aber war der geologische Horizont, in welchem man in Central-Russland Steinkohlenlager zu suchen hat, fest bestimmt, und die Richtigkeit und Unfehlbar- keit dieser Bestimmung hat sich seitdem an Hun- derten von Orten bewährt. Auch äusserte sich Murchison schon damals zu Gunsten der Brauchbarkeit dieser Steinkohle. 6) Auch die Untersuchung der Devonischen Schichten Russlands hatten ein wichtiges Resultat gegeben, denn erst an ihnen erkannte Murchison, dass seine in England und Schottland gewonnene und von einigen Geologen, z. B. von Ferdinand Rômer bestrittene Auffassung von der Zusammensetzung dieses Systems die einzig richtige sei. 7) Die Untersuchung der untern Silurischen Schich- ten Estlands bestätigte vollkommen eine frühere, 5) besonders von Murchison gemachte Behauptung, dass nämlich diese Schichten die Reste der ersten, also der ältesten Thiere umschliessen, die den Erd- ball bewohnten. Das bis dahin nur dem Namen nach bekannte, flache Timangebirge an dem Westrande der Pe- tschoraniederung wurde von dem Grafen Keyser- ling untersucht und seine Richtung, Erstreckung und sein geologischer Bau in so genügender Weise erkannt, dass diese Localität mit ihrem eigenthüm- lichen paläontologischen Habitus in der Geologie Russlands als ein besonderer Typus gilt. Wir bleiben, um die Grenzen einer kurzen Mitthei- lung nicht zu überschreiten, bei diesen Hauptresul- taten stehen und wollen es nochmals hervorheben, dass die Geology of Russia eine neue Bahn gebrochen bat. Sie ist in der That der Ausgangspunkt und der leitende Faden für viele spätere Arbeiten einheimi- scher Geologen geworden. Aber leidèr müssen wir es gestehen, dass wir dem grossen Beïispiele Murchison’s und der grossen Auf- gabe, die er uns hinterlassen hat, in einem Viertel- jabrhundert noch immer nicht nachgekommen sind. Wir baben das allgemeine geologische Bild Russlands, das der berühmte Brite uns schenkte, nur in einzel- nen, wenigen Theilen bis zu grüsserer Vollständigkeit ausgearbeitet. Riesengrosse Räume unseres Landes, wie das Permische Becken, wie das grosse Tertiair- gebiet der Aralo-Kaspischen Niederung, das Stein- kohlengebirge des Südens und fast alle Provinzen des Westens harren vergeblich seit 25 Jahren der Erfül- lung jener dringenden, zu einer Ehrensache Russ- lands gewordenen Aufgabe. Die Lüsung derselben kann jedoch nicht von einzelnen Personen oder zufil- ligen Unternehmungen, sondern nur von einer, nach einem bestimmten Plane arbeitenden, geologischen Reichsanstalt erwartet werden, wie jeder gebildete Staat Europas, wie die Freistaaten Amerikas und das Britische Indien sie längst besitzen. Die Geology of Russia in Europe ist aber nicht das einzige Werk, in welchem Murchison die Geologie Russlands entwickelt hat. Ein späteres, unter dem Namen «Siluria» 1859 erschienenes und unlängst neu aufgelegtes Werk desselben Meisters hat uns Arbeiten über die paläozoischen Formationen des Europäischen Continents und Nordamerikas gebracht und kann als 8) 305 des Sciences de Saint-Pétersbourg. ein Muster vergleichender Geologie gelten, in welchem die Charakteristik der alten Formationen Russlands und der Goldsandlager des Ural für uns von beson- derem Interesse ist. Wir haben es versucht, in kurzen Worten die Ver- dienste Murchison’s um die Kenntniss Russlands darzustellen. Wenn wir ihn aber im Beginn unserer Rede einen warmen und ergebenen Freund unseres Landes nann- ten, so meinten wir damit nicht etwa die Vorliebe, mit welcher er demselben seine wissenschaftlichen Kräfte widmete, sondern wir meinten seine aufrichtige Sympathie für dessen Bewohner. Seine tiefe Verehrung für den Kaiser Nicolai und den erhabenen Erben der Krone hat er zu wiederhol- ten Malen ôffentlich und im Kreise seiner Freunde ausgesprochen und jedes Mal mit dem wärmsten Danke für die wahrhaft fürstliche und in jeder Beziehung anerkennende Aufnahme, die ibm beide Monarchen haben zu Theil werden lassen. Auch die äusseren Zeïichen dieses fürstlichen Wohlwollens hielt er in hohem Werthe und -erschien nie ohne sie, wenn er in London Mitglieder unseres Kaiserhauses und andere hochgestellte Russen in solennen Versammlungen be- willkommnete. Und welcher herzlichen Aufnahme hat- ten sich Murchison’s russische Freunde und Be- kannte zu erfreuen, wenn sie in London das gastliche Haus À 16 Belgrave Square betraten. Seine Briefe an die Freunde im fernen Osten spre- chen beredt von treuer, unwandelbarer Anhänglich- keit und aufrichtiger Hingebung für Land und Leute. Von der Aufrichtigkeit solcher Gesinnung haben wir die schünsten Zeugnisse. Während des orientali- schen Krieges stand Sir Roderick an der Spitze der wenigen Briten, die den Muth hatten, im eigenen Lande ôffentlich zu Gunsten Russlands gegen diesen Krieg aufzutreten. Und wenn seine Rede dieses Mal auch erfolglos verhallte, so war sein Bemühen bei einer andern Gelegenheïit von gutem Erfolge gekrünt. Als vor einigen Jahren russische Streitkräfte, durch die Umstände gedrängt, in Central- Asien siegreich vorzudringen begannen, erregten sich die Gemüther in England, im Hinblicke auf das benachbarte und ihrer Ansicht nach bedrohte Indien, so sehr, dass die Wogen des Unwillens anfingen ziemlich hoch zu gehen. Da war es wieder Sir Roderick, der Freund Russlands, Tome XVII. dem es durch eine ruhige objective Erürterung der Sachlage gelang, den Sturm zu beschwichtigen. Aber nicht nur seinen hohen Günnern und seinen Freunden, sondern -auch dem Volke Russlands be- wahrte er bis an seinen Tod ein freundliches Anden- ken. Der Dank für die herzliche Gastfreundschaft und den uneigennützigen Beistand, den er von allen Klassen der Bevôülkerung erfahren hatte, waren tief und für immer in seinem Herzen geblieben. Wenn ich den hervorragenden Zug im Moskowiti- schen Nationalcharakter bezeichnen soll, so sagt Mur- chison in der Vorrede zu der Geology of Russia, so ist es der feste, vor keinen Hindernissen zurück- schreckende Wille, der auf das ungeduldige «Vor- wärts» der Reisenden bei jeder Gelegenheit freudig mit dem Alles überwindenden «moxo» antwortete. Mit diesem Zauberworte haben die Russen an der Moskwa und an der Neva Denkmäler errichtet, die mit den grüssten Leistungen des Alterthums und der Neuzeit rivalisiren. Inmitten eines solchen Volkes giebt es keine wirklichen Schwierigkeiten. War eine Brücke zusammengestürzt, so erschien sie bald, wie durch Zauber, wieder aufgebaut. Ein fast versiegter Fluss verwandelte sich vor den Augen der Reisenden wie durch ein Wunder in einen schiff- baren Strom, den sie auf Bôten hinabschwimmen konn- ten. War das Wasser seicht, so hoben die athletischen Gestalten, unter frôhlichem Gesange, die Büte über die felsigen Untiefen hinüber. Es mochte -nass oder trocken, warm oder kalt sein, nie kam ein Murren über die Lippen und «moxno» war der einzige Ruf dieser entschlossenen Männer. Dem rubmrvollen Beherrscher des grossen Reiches — so schliesst Murchison — dessen Bau wir zu be- schreiben versuchen, und denjenigen seiner loyalen Unterthanen, mit denen wir in Berührung gekommen sind, bringen wir vor allen Dingen unsere aufrichtige Hingebung und unsere unerschütterliche, unverwelk- liche Dankbarkeït dar. Fügen wir zu allem Gesagten noch hinzu, dass Sir Roderick nicht nur wirkliches Mitglied unserer Aka- demie, sondern mit Humboldt und Carl Ritter Ehrenmitglied der Kaiserlichen Russischen Geogra- phischen Gesellschaft war, und dass er mit beiden Instituten in stetem Verkebr verblieb, so dürfen wir wohl behaupten, dass er uns mehr angehürte, als ir- 20 307 Bulletin de l’Académie Impériale gend ein anderer, ausserhalb Russland lebender Mann der Wissenschaft. Und so wollen wir diesem Manne, der für Russland einen so guten Kampf gekämpft hat, dankbaren Her- zens nachrufen: Friede seiner Asche, Ehre seinem Namen! St. Petersburg, den 8. December 1871. Über den ductus caroticus des mississipischen Alligators (Alligator lucius sive mississipien- sis). Von Dr. Ed. Brandt. (Lu le 16 novembre 1871.) Im Jahre 1865 habe ich eine Untersuchung über eine kleine zwischen der Carotis und dem arcus Aor- tae bei den Schlangen sich befindende Anastomose, die ich ductus caroticus zu nennen vorschlug, bekannt gemacht ‘). Die Eidechsen (Autosauria s. Sauri squa- mati) sind die einzigen Wirbelthiere, die auf ihr gan- zes Leben nicht bloss wie alle anderen Reptilien das zweite embryonale Aortenbogenpaar (nämlich ihre bei- den arcus Aortae), sondern auch das dritte in Form von Carotidenbôgen, die mit den entsprechenden Aor- tenbügen communiciren, beibehalten. . Ebenso wie H. Rathke *) bei einigen von ihm auf das Gefässsystem untersuchten Sauriern obliterirte ab- steisgende Carotidenbügenstücke fand (dieselben sind dem ductus caroticus der Schlangen homolog), so fand auch ich, dass nicht überall, ja sogar meistens der ductus caroticus der Schlangen nicht wegsam war, und dann kôünnte man denselben als ligamentum caro- ticum bezeichnen. Später, als ich Untersuchungen über das Gefäisssystem der Eïdechsen anstellte, sah ich, dass bei mehreren Eidechsen, eben so wie bei den Schlangen, keine eigentlichen Carotidenbügen existi- ren (nämlich Carotidenbügen im embryonalen Sinne Rathke’s), sondern der absteigende Theil des Caro- tidenbogens hat sich zum ductus caroticus metamor- phosirt *). 1) Ed. Brandt. Über einen eigenthümlichen, später meist ob- literirenden ductus caroticus der gemeinen Kreuzotter (Pelias berus) in: Mélanges biologiques tirés du Bulletin de l'Académie Impériale des sciences de St.-Pétersbourg. Tome V, 1865. pag. 854—362. Mit einer Tafel. “ 2) H. Rathke. Über die Aortenwurzeln und die von ihnen aus gehenden Arterien der Saurier, in: Denkschr. der Wiener Akad. Bd. 13. 1857. 2Ÿ° Abthlg. pag. 51—149, tab. I— VI. 3) Ed, Brandt. Über den ductus caroticus der lebendig gebäh- 1. Atrium dextrum. 2. Atrium sinistrum. 3. Ventriculus dexter. 4. Ventriculus sinister. c.i. vena cava inferior. c.s.d. vena cava su- perior dextra. c.s.s. vena cava superior sinistra. v.#p. vena pulmo- nalis. &.p. arteria pulmonalis. . a. truncus arteriosus. @. À. d. ar- cus Aortae dexter. «. À. s. arcus Aortae sinister. a. a. d. arteria anonyma dextra. @&. a. s. arteria anonyma sinistra. @.s. arteria sub- clavia sinistra. à. c.s. arteria carotis sinistra. d. c.s. ductus caroti- cus sinister, d.e. d. ductus caroticus dexter. NB. Die arteria subclavia (a.s.) sinistra musste aus ihrer natür- lichen Lage nach rechts gewendet werden, um den ductus caroticus sinister (d.c.s.) sehen zu lassen. Nun bin ich im Stande gewesen, den ductus caro- ticus auch bei den Crocodilinen nachzuweisen. Im Herbste 1870 hatte ich einen in dem hiesigen zoolo- gischen Garten crepirten Alligator lucius anatomirt und fand an demselben zwei ductus carotici, die zwar gut entwickelt, aber doch beinahe unwegsam waren, indem sie nur ein kaum bemerkbares Lumen enthiel- ten. Der längere rechte ductus caroticus befindet sich zwischen der arteria anonyma dextra und dem arcus Aortae dexter. Seine Länge beträgt 10 Millimeter. Er entspringt unter einem spitzen Winkel vom inne- ren Rande der art. anonyma dextra, unweit ihres Ur- sprunges und begiebt sich schief von vorne und innen nach unten und hinten verlaufend zur hinteren Wand des arcus Aortae dexter, an der er mit dem eben ge- nannten Gefässe anastomosirt. Der ductus caroticus sinister ist kürzer; seine Länge beträgt nur 9 Milli- meter. Er entspringt vom äusseren Rande der arteria renden Eidechse (Lacerta crocea s. Zootoca vivipara) in: Mélanges biologiques tirés du Bulletin de l’Acad. Impér. des sciences de St. Pétersbourg. 1867. Tome VI. pag. 216—226. Mit einer Tafel. 309 des Sciences de Saint-Pétershourg. 310 anonyma sinistra, von der er unter einem spitzen Winkel abgeht, und schief von vorne und innen nach aussen und hinten verlaufend begiebt er sich an die hintere Wand des arcus Aortae sinister. Die morpho- logische Bedeutung des ductus caroticus ist von mir schon mehrere Male erwähnt worden ‘), so dass ich hier nur noch Folgendes kurz erwähnen werde. Im embryonalen Zustande besitzen alle Wirbelthiere zu einer gewissen Zeit drei Paar Aortenbügen. Später erleiden diese Gefässe verschiedene Metamorphosen und einige von ihnen verschwinden theilweise oder ganz. Vom ersten (obersten) embryonalen Aorten- bogenpaare aus entwickeln sich bei den warmblütigen Wirbeltlieren die arteriae anonymae, resp. die Caro- tiden und die Subclaviae. Von einer im embryonalen Zustande gewesenen Anastomose zwischen dem 1°" (obersten) und 2° embryonalen Aortenbogenpaare (diese Anastomose ist der ductus caroticus) bleibt bei den Vügeln und Säugethieren keine Spur. Bei den Eidechsen (Sauri squamati s. Autosauria nach den Untersuchungen Rathke’s), gleich wie bei den Schlan- gen und Crocodilen (nach meinen Untersuchungen), bleibt diese Anastomose auf das ganze Leben, und zwar wegsam oder obliterirt. Diese Anastomose (der ductus caroticus) ist also für das Blutgefässystem die- ser Thiere charakteristiseh und mithin charakteristisch für das Gefässystem der Reptilien im Allgemeinen. Note sur la fabrication des étalons de longueur par la Galvanoplastie. Par M. H. Jacobi. (Lu le 25 janvier 1872.) J’ai l’honneur de présenter à l’Académie une note sur la confection des étalons métriques de longueur, question qui n’a pas cessé d'occuper les savants de tous les pays, depuis que la nécessité d’une solution in- ternationale de cette question a été proposée par no- tre Académie. Cette question se divise en différentes parties. Je mets de côte celle qui concerne la construction des comparateurs et les nombreuses précautions indispen- sables pour assurer la précision des comparaisons jusqu’à des limites très restreintes. 4) S. meine oben citirten Untersuchungen über den ductus ca- roticus der Eidechsen und Schlangen. Une autre partie de la question qui présente le plus de difficultés, mais qui, à cause de son importance, mérite d'être placée au premier rang se rapporte aux substances les plus propres à la fabrication des règles métriques, non-seulement égales entre elles au moment de leur confection, mais restant ainsi pen- dant un temps illimité. J'avais indiqué à différentes occasions le moyen par lequel il serait possible d'atteindre ce but; je me per- mettrai aujourd’hui de développer mes idées plus amplement. Il n’y a pas de doute que, même dans un avenir éloigné, cette espèce de fabrication ne puisse s’adres- ser qu’à un nombre restreint de métaux que tout le monde connaît et dont il est inutile d’analyser ici les différentes propriétés physiques et chimiques. Nous laissons de côté l’emploi de quelques substan- ces minérales, comme p. e. le cristal de roche qui se- rait précieux pour la confection des étalons et dont l’emploi serait même d’une immense importance, si, à un prix quelconque, on en pouvait trouver un seul exemplaire en dimensions et conditions voulues. C’est un fait regrettable, mais qui s'applique à tous les métaux sans exception, qu’on n’a pas encore réussi à travailler ces substances de manière à leur faire obtenir des propriétés physiques parfaite- ment constantes, non-seulement dans les différentes parties du même individu, mais pas moins d'un indi- vidu à l’autre. En coupant un barreau ou même un fil d’une certaine longueur et d’un métal quelconque en différents morceaux, chacun d’eux présentera un autre poids spécifique, un autre coëfficient de dilatation par la chaleur, une autre conductibilité pour l’électri- cité et la chaleur, un autre dégré d’élasticité et de solidité, etc., etc. C’est surtout relativement au coëfficient de dilatation par la chaleur que ce manque d’uniformité se fait sentir au préjudice de la précision des comparaisons des me- sures. La question, si ce coëfficient est variable ou non avec le temps, étant encore ouverte, on pourra néanmoins supposer comme très probable que, si l’on réussissait à confectionner par des moyens quelcon- ques un certain nombre de règles ayant toutes le même coëfficient de dilatation, les variations que ce coëf- ficient éprouverait dans le cours des années, suive- 20% 311 Bulletin de l’Académie Impériale 31? em —————— — — raient la même marche dans tous ces exemplaires, au moins dans les limites des erreurs d’observation. Le travail des métaux, soit par la fonte, la forge, le laminoir, le martellage, l’étirage, la lime, etc. ne nous présente ces matières que dans des états forcés d’un équilibre moléculaire plus ou moins stable, et selon les circonstances même labile. Chaque fois que toutes les conditions du travail seront devenues rigou- reusement les mêmes, il se reproduira nécessairement le même état d'équilibre. Ceci cependant ne peut pas s’atteindre, parce que p. e. un barreau ou une règle en cuivre ou en un métal quelconque, avant d’ar- river à l’état voulu, a du parcourir de nombreuses transformations par KE opérations et des travaux qu’il est impossible de régler ou de soummettre à un calcul ou à un contrôle quelconque. A cet état des choses, il est parfaitement justifié de porter son regard sur le travail des métaux par la voie électro-chimique. Si, dès sa découverte, la gal- vanoplastie fut nommée une fonte sans feu, on n’a- vait pas oublié de relever l'autre avantage dont elle jouit encore, savoir: que ses productions peuvent sortir du milieu où elles se forment, parfaitement achevées et finies, en n’exigeant que quelques travaux mécaniques secondaires pour les rendre aptes à l’u- sage. À ce point de vue, il en vaut la peine d’exami- ner, si la galvanoplastie, après avoir rendu de grands services aux beaux-arts, à l’industrie et à la techni- que, ne soit pas appelée à satisfaire à certains be- soins avec lesquels la science jusqu’à présent n’a pas su s’accomoder. En effet à l’état actuel de nos con- naissances, il ne paraît pas impossible de diriger la formation des dépôts galvaniques de manière à obte- nir constamment des produits homogènes. En donnant aux électrodes les mêmes dimensions et la même po- sition, aux bains la même composition et la même température, enfin aux courants exactement la même intensité, il n’y a pas de raison pour que les dépôts, produits dans ces circonstances identiques, ne le soient aussi, au moins dans des limites les plus rapprochées. Et si dans ces dépôts il se manifestent, sous un rap- port quelconque, des différences dépassant les erreurs de l’observation, de pareils résultats ne laisseront que d’enrichir la science en nous faisant connaître des conditions encore ignorées ou des circonstances que nous n’aurions pas dû negliger. Comme dans les manipulations de galvanoplastie on ne s’est pas beaucoup préoccupé jusqu’à présent des propriétés physiques des dépôts galvaniques, j'ose espérer que cette note dont je n’ai pas voulu retarder la publication ne restera pas sans attirer sur ma pro- position l'attention des physiciens et surtout des mem- bres de la Commission internationale du mêtre qui au- ront peut-être occasion de se mettre en rapport avec les fabricants de galvanoplastie de leur pays. Jeregrette que les expériences préalables que je viens d’instituer avec les faibles moyens qui sont à ma disposition ne soient pas assez avancées pour en pouvoir publier les résul- tats; soit que ces résultats viennent à l’appui de ma proposition, soit qu'ils fassent voir les difficultés qui s'opposent à sa réalisation. En attendant je me permets de relever quelques points qui serviront à fixer les idées sur la direction à donner aux expériences qu’il s’agit d’instituer sur une large échelle pour parvenir à une solution défini- tive de la question. 1° On n'aura d’abord en vue que les dépôts de cuivre. 2° On construira des voltamètres à électrodes de cuivre en nombre aussi grand que la localité et les moyens le permettent. 3° En faisant passer le même courant par tous ces voltamètres réunis en série, on obtiendra, d’après la loi de Faraday, dans chaque élément des dépôts égaux en poids. 4° Sera interposé dans le circuit une boussole à tangentes, rapportée à l'unité électro-chimique et un agomètre pour maintenir le courant parfaitement cons- tant. 5° Toute cette série de voltamètres sera divisée en groupes dont chacun consistera aw moins en trois élé- ments aussi identiques que possible en ce qui con- cerne leur disposition. 6° Ces groupes différeront entre eux tant par la surface et la position des. électrodes que par la com- position, la concentration et la température des bains. On choisira de préférence pour principe du groupe- ment de telles dispositions qui présentent le plus d’in- térêt pratique et qui se rapportent le plus directement à la confection des règles mètriques. 7° ‘Parmi les questions importantes qu’il s’agit de résoudre à cette occasion, je signalerai surtout celle des Sciences de Saint-Pétersbourg. 314 SRE EE qui se rapporte à l’état moléculaire et les propriétés physiques des dépôts. Cette question étant des plus difficiles nous nous bornons d’abord: à supposer que ces propriétés sont pour la plupart dans un certain rapport fixe entre elles, de manière qu’il nous serait permis de choisir comme point de départ celle de ces propriétés qui est le plus facile à constater e.-à-d. le poids spécifique. Comme il n’y a pas de doute que la densité des dépôts dépende de la densité ou énergie du courant, c.-à-d. de son intensité divisée par la sur- face du cathode, il s’agit de déterminer telle densité du courant qui correspond à la plus grande densité que les dépôtsgalvaniques de cuivre sont susceptibles d'acquérir sans l'intervention d’une force mécanique quelconque. Si l’on a à sa disposition des instruments exacts pour la mesure des courants et la détermination des p. sp, les expériences, instituées à cet effet, ne présentent pas beaucoup de difficultés et pourront, sans grande peine, conduire à des résultats satisfaisants. Les règles métriques ayant toutes les mêmes dimensions, on se servira pour les déposer d’un courant calculé de ma- nière à produire des cuivres au maximum de densité, et j'aime à croire que les étalons fabriqués dans ces conditions ne différeront pas entre eux par rapport à leurs autres propriétés physiques. 8° La rigidité du cuivre étant moindre que celle des autres métaux employés jusqu’à présent à la con- fection des étalons, cette circonstance n’est pas une objection sérieuse à l'emploi du cuivre galvanique. En effet rien n'empêche de donner aux dépôts toute épaisseur voulue. En étendant l'opération simultané- ment sur plusieurs exemplaires, il ne faudra que 6 à 7 mois de temps pour se procurer un nombre quel- conque de règles métriques de 3 centimètres de large et de 1 centim: d'épaisseur. | 9° Les métaux soumis à un travail mécanique quel- conque comme le rabotage, le sciage, le travail par la lime, etc., peut-être même le polissage par le papier d’émeri, subissent une certaine compression ou une espèce d’écrouissage, qui, d’après les expériences fai- tes par la Commission française du mètre, altèrent sen- siblement le coëfficient de dilatation par la chaleur. Il serait donc à craindre que les excroissances tubercu- leuses qui se forment ordinairement aux bords et aux coins des dépôts galvaniques et qui doivent être éloi- gnées par des instruments tranchants pour donner à ces dépôts l’ajustement convenable, ne soient un ob- stacle à la réalisation de ma proposition. En effet ces travaux mécaniques ultérieurs ne laisseraient que de déranger l'équilibre moléculaire de ces dépôts. Cepen- dant il est facile d’éviter toutes ces excroissances en ayant soin d’entourer étroitement les bords et con- tours des moules destinés à recevoir les dépôts gal- vaniques par des substances non conductrices et po- lies. Jai tenté l'expérience et j'ai obtenu des règles: avec des bords parfaitement lisses et unis, dont les surfaces en contact avec les moules présentaient un poli parfait, et dont les revers en face des anodes n’offraient pas d'aspect rugueux, mais une fine cristal- lisation. Les usines de galvanoplastie rendraient un ser- vice à la science en s’occupant préalablement, d’après les indications données, de la confection des règles métriques immédiatement propres à l'usage et n’exi- geant aucun travail ultérieur d'ajustement. Über einen Musculus biceps brachii mit einem Caput coracoideum und einem Caput hume- rale anomalum stait des mangelnden Caput gienoideum. Von Dr. Wenzel Gruber, Pro- fessor der Anatomie. (Lu le 11 janvier 1872.) Unter der Masse von Varietäten des Musculus biceps brachii, die ich, bei geflissentlich vorgenom- menen Untersuchungen oder gelegentlich, in einer kaum je einem anderen Anatomen vorgekomme- nen Anzahl und Mannigfaltigkeit beobachtet, in meinen Tagebüchern verzeichnet, theilweise aufbe- wabrt, zum allergrüssten Theile noch nicht verüffent- licht habe und die zu seiner Zeit Gegenstand einer Monographie sein werden, befinden sich auch Fälle mit Defect des Caput glenoideum s. longum dieses Muskels. Unter letztere Fälle gehôrt ein Musculus biceps brachii mit einem Caput coracoideum und einem Caput humerale oder ein durch ein Caput humerale verstärk- ter mächtiger Musculus coraco-radialis (e.), den ich schon jetzt mittheile, weil er ähnlich gebildet ist, wie derselbe Muskel in einem der Genera der Säugethiere (Vespertilio) *). *) Nach J. Fr. Meckel — Syst. d. vergl. Anatomie. Th. 3. Halle. 1828. S. 523, 525 — ist bei den Fledermäusen der lange Beu- 315 Bulletin de l’Académie Impériale Beobachtet am 2. December 1870 am linken Arme der Leiche eines robusten Mannes, welche zu den, unter meiner Leitung stehenden praktischen Übungen in der topographischen Anatomie der zur speciellen Ausbildung in der Kriegschirurgie nach St. Peterburg commandirten Militairärzte für eine der Präparirgruppen derselben abgelassen worden war. Das Caput glenoidewm s. longum feh1t vollständig. Der dem Caput breve s. coracoideum der Norm ent- sprechende Musculus coraco-radialis (e’) ist spindel- fürmig von vorn nach hinten comprimirt, in der Mitte seines Fleischbauches 2” (Par. M.) breit und 9’ dick, also ungemein und über die Norm mäch- tig. Der Muskel ist mit seiner Ursprungsportion in einer Strecke von 4”3” mit dem 7” langen Coraco- brachialis (f) verwachsen. Er entspringt wie ge- wôhnlich, gemeinschaftlich mit letzterem Muskel, von der Spitze des Processus coracoideus. Die Ursprungs- sehne ist am Processus coracoideus 5/7 am Über- gange in den Fleischbauch 8” breit und 2” lang. Das von ihr an der vorderen Fläche des Fleischbauches absteigende Blatt ist 2” lang. Der 7” lange, bis 1” breite und bis 1” dicke spindelfrmige Fleisch- bauch endet in die 3” 9” lange, am Anfange 9°” in der Mitte 3°” und am Ende 7” breite und beträcht- lich dicke Ansatzsehne (a). Diese Sehne (tiefe) schickt von ihrem inneren Rande, 8” unterhalb ihres Anfanges, die den Suleus eubiti anterior internus über- setzende und zur Eminentia muscularis eubitalis in- terna sich begebende oberflächliche Sehne (8), wie die Sehne des Muskels der Norm ab, und setzt cessus coracoideus. Die beiden gemeinschaftliche Sehne hefte sich an die vordere Kläche des Humeralendes des einzigen Vorderarm- knochens. An einem Exemplare von Vespertilio sp. ?, Phyllostoma hausta- tum und Nycteris thebaica, welche von den Chiroptera mir gerade zur Verfügung standen, entsprang der Biceps brachü: bei Vesper- tiio mit dem starken Kopfe vor dem Processus coracoideus, mit dem dünnen und nicht breiten Kopfe von dem oberen Theile des Humerus; bei den anderen Thieren mit einem Kopfe vom Pro- cessus coracoideus, mit dem anderen Kopfe von der Scapula, über ger des Vorderarmes (— Biceps brachä d. M.) zweikôpfig. Der | deren Fossa glenoidalis. Beï allen 3 Thieren vermisste ich den eine Kopf entspringt hoch am Oberarme, der andere vom Schulterhacken. Beide sind sehr dick, aber kurz. Die beiden Brachialis internus. Das gefundene Verhalten bei Vespertidio stimmt mit dem von gemeinschaftliche Sehne heftet sich an den Vorderarmknochen. Der | Meckel, das bei den beiden anderen Thieren mit dem von kurze Beuger des Vorderarmes (— Brachialis internus d. M.) ist | Cuvier angegebenen überein, Sollte der Biceps brachii bei dem deutlich vorhanden und ganz vom langen Beuger geschieden. Nach. G. Cuvier — Lec. d’anat. comp. 2. Édit., Tom. I. Paris 1835 p. 414 — haben die Chauves-souris nur einen Beuger mit zwei Küpfen. Dereine Kopf entspringe von dem Schulterblatte über dessen Fossa glenoidalis, der andere Kopf von dessen Pro- Gen. Vespertilio constant mit einem Caput coracoideum und einem C: humerale entspringen, dann würde ein Biceps brachii mit einem Caput coracoïdeuwu und einem C. kumerale beim Menschen, wie in dem eben abgehandelten' Falle, als eine Thierbildung zu deuten sein. 317 sich wie gewühnlich an den inneren Umfang der 7u- berositas radii (M: 3), daselbst lateralwärts von der Bursa mucosa m. bicipitis brachii (*), medial- und rück- wärts von der B. m. cubito-radialis (*) umlagert. Das Caput humerale (e”) liegt im Sulcus interspi- nalis humeri, zwischen der Insertion des Pectoralis major und der des Latissimus dorsi mit dem Teres major, lateralwärts vom M. coraco-radialis, grüssten- theils aber hinter dessen lateralem Theiïle, zwischen ihm und dem Brachialis internus. Er hat die Gestalt éines mit einer schmalen und langen Ursprungssehne versehenen, bandfürmigen, nicht starken Muskel- kopfes. Seine Länge beträgt 5” 9 wovon 2” auf die Sehne kommen. Die plattrundliche Sehne ist 1’ der Fleischbauch fast gleichmässig 5°” breit und 2" dick. Dasselbe entspringt in dem genannten Sulcus interspinalis, von der obersten Insertion der Sehne des Pectoralis major abwärts, mit letzterer an dem lateralen Rande seiner Sehne eine längere Strecke durch Fasern vereiniget. Das Ende seines Fleisch- bauches ist mit der hinteren Fläche des Fleisch- bauches des M. coraco-radialis, 1” über der Ansatz- sehne des letzteren, verwachsen, bevor er in die- sen übergeht. — Also ein Musculus biceps brachii trotz des Man- gels des Caput glenoideum des Muskels der Norm.— Das seltene Präparat ist in meiner Sammlung auf- bewahrt. Erklärung der Abbildung, Schultergürtel, Humeral- und oberes Cubitalstück des linken Armes eines robusten Mannes. 1) Schultergürtel. 2) Humerus. 3) Tuberositas radii. a) Sehne des M. pectoralis minor. b) Ansatzstücke des M. latissimus dorsi und M. te- res major. c) Ansatzstück des M. pectoralis major. d) Ansatzstück des M. deltoideus. e) Musculus biceps brachii anomalus. e’) Caput coracoideum desselben. e”) Caput humerale anomalum desselben. æ) Tiefe Ansatzsehne desselben. 8) Oberflächliche Ansatzsehne desselben. des Sciences de Saint-Pétersbourg. f) M. coraco-brachialis. g) M. brachialis internus. h) Muskulatur der Eminentia cubitalis externa. interna. *) Bursa mucosa musculi bicipitis brachii. Ft} » cubito-radialis. à) » » » » Ein den mangelnden Musculus palmaris longus durch einen supernumerären Bauch ersetzen- der Musculus radialis internus longus bicau- datus beim Menschen. Beobachtet von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 11 janvier 1872.) Beobachtet im September 1868 an dem rechten Arme eines Mannes. Der Fleischkürper des Muskels hatte sich in zwei Bäuche getheilt, die beide in lange Seh- nen endigten. Der grosse laterale Bauch mit seiner starken Sehne war analog dem Muskel der Norm. Der kleine spindelférmige mediale Bauch verlor sich mit seiner Sehne am Lig. carpi volare proprium. Der Palmaris longus fehlte und war offenbar durch den medialen Bauch des Æadialis internus longus bicaudatus ersetzt worden. Vielleicht schon A. Vesal'), sicher Fr. Hilde- brandt ?), ferner vielleicht auch Fr. Arnold $) und sicher auch Ich‘) — an 1 rechten Unterarme — ha- ben den Radialis internus longus mit zwei Sehnen versehen beobachtet, wovon eine derselben den man- gelnden Palmaris longus vertrat. Meines Wissens aber existirt in der Literatur über einen Radialis internus bicaudatus, wie in unserem Falle, mit zwei, in langen Sehnen endenden Fleischbäuchen bei Vorkommen oder, wie in unserem Falle, bei Man- gel des Palmaris longus keine Mittheilung. — Der Musculus radialis internus longus bicaudatus unseres Falles ist daher schon an und für sich 1) De hum. corp. fabrica libri VIL Basiliae. 1542. Fol: Libr. IT. Cap. 48. p. 322. 2) Lehrb. der Anat. des Menschen. Bd. 2. Braunschweig. 1799. S. 209. $ 124. 3) Handb. der Anat. des Menschen. Bd. 1. Freiburg i. B. 1845. S. 665. 4) «Über die Varietäten des M. palmaris longus. — Mén. de V’'Acad. Imp. d. sc. de St.-Pétersb. Sér. VIE. Tom. XI. X 14. Besond. Abdr. St. Petersb. 1868. 4°, 5. 8, Bulletin de l’Académie Impériale 320 RS und dann auch als Substitut des mangelnden Pal- maris longus durch einen seiner Bäuche bemer- kenswerth. — Bericht über die im Revalschen Rathsarchiv für die russisch-livländischen Wechselbezie- hungen im 15. und 16. Jahrhundert ausge- führten Untersuchungen. Von Dr. Hermann Hildebrand. (Lu le 12 octobre 1871.) Bei der Vielseitigkeit der Berührungen Russland’s mit dem benachbarten Livland während des ganzen Mittelalters war es ein sich selbst rechtfertigendes Unternehmen, welches Napiersky in der Sammlung der Russisch-Livländischen Urkunden zur Ausführung brachte. Welch’ reicher historischer und linguistischer Stoff mit denselben der Einsamkeit der Archive entris- sen und zum wissenschaftlichen Gemeingut geworden, ist weder dem Geschichts- noch Sprachforscher unbe- kannt geblieben. Die rege Handelsverbindung Riga’s mit Polozk war für die Geschichte neu entdeckt, die vielfach räthselhafte Haltung Gedemin’s erschien hier zuerst in hellerem Lichte, für den älteren hansischen Verkehr in Nowgorod waren die werthvollsten Auf- klärungen gewonnen. Trotz der Fülle des neu zu Tage Gefürderten ge- währte der Reichthum der Rigischen Archive eine noch immer beträchtliche Nachlese'). Und doch waren durch diese Nachforschungen im Wesentlichen erst die Schätze, welche die eine Stadt in jenen Bezie- hungen beherbergte, gehoben. Durch das bereits Ge- wonnene konnfte das Verlangen nach Durchforschung weiterer Urkundensammlungen nicht gemindert wer- den, um so weniger, als hiermit eigentlich erst der Massstab für den Reichthum der ostseeprovinziellen Archive für jene Verhältnisse gefunden war. Sah man zunächst von den schwerer erreichbaren, dazu schon mehr ausgebeuteten norddeutschen Archiven ”) auch ganz ab, so versprach vor Allem das des Reval’schen Raths eine auch grüssere Arbeit vergeltende Ausbeute. 1) Vgl. über dieselbe meinen «Bericht über die in Rigischen Ar- chiven vornämlich für litauische und westrussische Geschichte an- gestellten Forschungen» im Bulletin de l'Acad. Imp. des Sciences de St. Pétersbourg Tom. VI (1868), pag. 548—567. 2) Die Archäographische Commission befindet sich z. B.im Besitz einer bedeutenden Anzahl von Regesten und Urkundenabschriften aus dem Danziger Stadtarchiv, welche vor Allem zur litauischen Ge- schichte und der des Kontors von Kowno im,14., 15: und 16. Jahrh. wesentliche Beiträge liefern. Erschien es den allgemeinen historischen Verhält- nissen entsprechend, dass Riga so stattlichen Reich- thum an litauischen und Polozker Urkunden zeigte, für die spätere Entwicklung des Nowgoroder Handels dagegen im Vergleich nur wenig bot, — hat es ja sein geringeres Interesse an dem-letzteren uns in méhreren Briefen des 15: Jahrh. ausdrücklich bezeugt — so liess sich, besonders nachdem das Dorpat’sche Archiv durchs Feuer vernichtet worden, auf Grund dersel- ben bekannten allgemeinen Verhältnisse das Reval- sche von vornberein als die ergicbigste Fundgrube namentlich für die Geschichte des Nowgoroder Han- dels hinstellen. Nachdem mir von Seiten der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften der Auftrag zur Durchforschung dieses Archivs zu Theïl geworden, haben sich jene Muthmassungen im Verlaufe der im Juli 1870 be- gonnenen und ein volles Jahr in Anspruch nehmen- den Arbeit in allen Beziehungen bestätigt, oder viel- mehr die Ausbeute hat die gehegten Erwartungen über- troffen, Freilich auch die Arbeït hat sich als eine be- deutend grüssere ergeben, namentlich weil die Ord- nung, in welcher das Archiv sich augenblicklich noch befindet, sich als keine unsere Zwecke wesentlich für- dernde erwies, sodann weil die theilweise Aufnahme der sehr umfangreichen livländischen Land- und Städte- tags-, sowie der Hanserecesse, die anfangs nicht beab- sichtigt war, doch schliesslich unumgänglich erschien. Die jetzige Ordnung der Archivalien bis auf 1561 herab ist in dén 40ger Jahren durch F..G. von Bunge hergestellt worden.*) Dieselbe ist in der Hauptsache eine chronologische, wobei aus äusseren Gründen Papiere und Pergamente meist getrennt sind ; daneben sind gewisse Arten von Aufzeichnungen, Re- cesse, städtische Steuerregister, Rechnungen, Testa- mente und überhaupt ein grosser Theil der Privat- acten, für sich, also sachlich, geordnet; schliesslich scheinen erst in späterer Zeit mit Rücksicht auf die Benutzung zu bestimmten Zwecken die den Güterbe- sitz in Estland betreffenden, sodann die von Herren- meistern, Ordensgebietigern und der hohen Geiïstlich- keit des Landes herrührenden Urkunden in gesonderte Abtheilungen gebracht zu sein. 8) In den «Nachrichten über das alte Archiv des Rathes ! zu Reval» (Archiv für die Gesch. Liv-, Esth- und Curlands III, pag. 293 ff.) hat er Auskunft über diese Arbeit ertheilt. des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 32? —————— oo Der Hauptvortheil, den ein sachlich geordnetes Archiv gewährt, indem es dem einzelnen Verhält- nissen oder Gegenständen Nachforschenden sich auf gewisse Abtheilungen zu beschränken erlaubt, war hier nicht zu errcichen. Sollte Vollständigkeit beim Sammeln einigermassen erstrebt werden, so erübrigte aur die Durchmusterung aller vorhandenen Aufzeich- nungen. Die chronologische Anordnung gewährte eben nur schon während der Arbeit einen Ueber- blick über die Entwicklung der Verhältnisse und er- leichtcrte die Bestimmung der grüsseren oder gerin- geren Wichtigkeit eines Actenstückes. Selbst die sach- lich geordneten Abtheïlungen (mit Ausnahme etwa der Testamente und der den Güterbesitz betreffenden Urkunden) schienen nicht derart angelegt, dass sie als für uns unwesentlich bei Seite hätten gelassen werden kônnen. Schon um einzelnen verirrten Documenten anderen [nhalts nachzuspüren mussten Abtheilungen, die für uns nur geringes Interesse hatten, durchstübert werden — und bei nur wenigen geschah dies ganz ohne Erfolg. Der ganze, auf etwa 15,000 Documente zu veran- schlagende Urkundenvorrath ist in 41 grüssere und kleinere Blechkästen vertheilt, deren Inhalt wir hier kurz angeben: 1) Papiere und Pergamente von 1237—1410; 2) Dergl. von 1411 —1415 nebst einzelnen von 1425—1430 ; 3) Dergl. von 1416—14922, 1426—1428 nebst wenigen von 1400—1416; 4) Dergl. von 1422— 1425. 5) Papiere von 1429—1439; 6) Dergl. von 1440—1490; 7) Dergl. von 1491—1500; 8) Dergl. von 1501—1523; 9) Dergl. von 1524— 1529; 10) Dergl. von 1530—1534; 11) Dergl. von 1535—1540; 12) Dergl. von 1541—1547; 13) Dergl. von 1548—1552; 14) Dergl. von 1553—1559; 15) Dergl. von 1560—1561 nebst Papieren zur Liv- und Estländischen Brieflade von 1540—1561. 16) Pergamente von 1431 —1439 und Testamente auf Pergament von 1435—1495; 17) Perga- mente von 1440—1465 (meist privaten Inhalts, Zutruwebriefe, Voll- machten, Apellationssachen, daneben auch ein Theiïl der Lübischen Correspondenz); 18) Dergl. von 1466—1489 (desselben Inhalts); 19) Dergl. von 1490—1500 (desselben Inhalts) nebst einzelnen Papieren von 1430—1540; 20) Dergl. von 1501—1512 und 1531—1545 (dessel- ben Inhalts); 21) Dergl. von 1502—1511 und 1513—1530 (desselben Inbalts); 22) Dergl. von 1546—1625 (desselben Inha!ts), ferner meh- rere herrmeisterliche Confirmationen, erzbischôfiliche und bischüf- liche Schreiben von 1501—1561. 23) Hanse-, livländische Land- und Städtetagsrecesse des 15. Jahrh. bis 1505; 24) Dergl. von 1506— 1540; 25) Dergl. von 1541—1559. 26) Städtische Rechnungen, Schoss- zettel, Verzeichnisse von Ausgaben für Kriegszwecke, Luxusgesetze und Kleïderordnungen aus dem 15. und 16. Jahrh.; 27) Pfundzoll- und Acciserechnungen aus dem 16. Jahrh. nebst einzelnen herr- meisterlichen und erzbischôflichen Schreiben von 1556—1557. 28) Testamente auf Papier von 1442—1700; 29) Nachlassinventarien aus dem 16. Jahrh.; 30) Privatrechtsstreitigkeiten von 1525—1550. 31) Privatsachen verschiedensten Inhalts aus dem 16. und 17. Jahrh ; 32) Dergl. aus dem 16. Jahrh. (fast ganz vermodert). 33) Undatirte Papiere von c. 1480—1560 (meist Concepte Reval’scher Schreiben); Tome XVII. 34) Dergl. von c. 1500—1560; 35) Dergl. aus dem ganzen 16. Jahrh.; 36) Dergl. von c. 1500—1630. 37) Papiere zur Brieflade von 1426— 1539; 58) Schreiben von Herrenmeiïstern und Ordensbeamten von 1431—1499 und der hohen Geïstlichkeit des Landes von 1441—1499; 39) Schreiben von Ordensmitgliedern von 1500—1539; 40) Dergl. von 1540—1556; 41) Schreiben der geistlichen Gebieter von 1500—1560. Bei einer in den letzten Jahren begonnenen und mit Anferti- gung von Regesten verbundenen Neuordnung, welche bisher das 13. 14. und den Anfaug des 15. Jahrh. umfasst, sind ausserdem mehrere bei der früheren Anordnung übersehene Sachen verschiedenen In- halts aus dem 14.—17. Jahrh. in vier kleinere Pappkästen unter- gebracht worden. Mindestens ist der Actenvorrath heutzutage in sei- nem Bestande, vor den Unbilden der Temperatur und andern schädlichen Einflüssen gesichert, was in früherer Zeit nicht immer der Fall gewesen. Schon Bunge hat darauf aufmerksam gemacht, wie aus den Jahren 1446— 1465 offenbar ein sehr bedeutender Theil der Sammlung abhanden gekommen ist, und eine Erklärung dieser unerfreulichen Thatsache versucht.‘) Auch in den russischen Verhältnissen zeigt sich diese Lücke in empfindlichster Weise und zwar über den bezeichneten Zeitraum weit hinaus: während wir — abgesehen von den weiterhin zu erwähuenden Recess- abschriften — für die Jahre 1424— 1445 im Ganzen 187 Urkunden, somit für jedes dieser Jahre 8—9, sam- meln konnten, kamen auf den Zeitraum von 1446 — 1465 nur 16 Stücke, also auf je fünf Jahre nur 4 Ur- kunden; von 1466—1476 hebt sich die Zahl nur auf 23 Documente — ungefähr auf 2 für’s Jahr — und erst für 1477—1490 ergaben sich wieder 56 Stücke, jährlich 4, um dann weiterhin in immer stärkeren Proportionen zu wachsen. Was die Unversehrtheit der einzeluen Archivalien ‘ betrifft, so haben sich die Papiere — mit Ausnahme etwa der einen Abtheïlung 52, welche durch Feuch- tigkeit ausserordentlich gelitten hat — im Allgemeinen sehr gut erhalten, sogar besser als ein Theil des an sich doch monumentaleren Pergaments. Nament- lich die Lübischen Pergamente vom Ausgang des 15. und aus dem 16. Jahrh., die in Folge der eigenthüm- lichen chemischen Zubereitung einen rothen Ton an- genommen haben, zeigen sich schon vielfach schadhaft und drohen in Zukunft ganz in Moder zu verfallen. An nicht wenigen Urkunden haben früher auch Mäuse und Ratten sich versucht und die wahre Aufgabe des Historikers, den Inhalt derselben in succum et san- 4) Vgl. den oben angeführten Aufsatz pag. 298 fi. 21 323 guinem zu verwandeln, in leider sehr äusserlicher Weise durchgeführt. Indem wir diesem numerisch zahlreichen und in- haltlich überaus mannigfaltigen Urkundenvorrathe alles für die russisch-livländischen Wechselbeziehun- gen in Betracht Kommende zu entnehmen suchten, waren die Grenzen der Aufgabe zunächst in chrono- logischer Beziehung durch äussere Umstände gegeben. Da der Herausgeber des Liv-, Esth- und Curländischen Urkundenbuchs gerade das Revalsche Rathsarchiv in gründlichster Weise ausgebeutet und dabei bereits den allgemein-russischen, namentlich den Verhält- nissen des Nowgoroder Hofes, auch wenn dieselben keine unmittelbare Verbindung mit Livland aufweisen, das dankenswertheste Interesse zugewandt hatte, so konnte unsere Arbeit bis zum Jahre 1423 nur den Charakter einer Nachlese tragen. Bis zum genannten Jahre wurden indess noch 31 neue Nummern gewon- nen und daneben ein Vergleich bereits verôffentlichter Stücke mit den Originalen, von dem noch weiter unten die Rede sein wird, ausgeführt. Ebenso war der End- punkt unserer Arbeit, der sonst billig mit dem Jahre 1561 hätte zusammenfallen müssen, mit Rücksicht auf die «Briefe und Urkunden zur Gesch. Livlands in den Jahren 1558—1562%» von Bienemann im Allgemeinen bis 1557 aufwärts zu rücken. Der fried- liche Verkehr beider Länder, dem wir mit Vorliebe nachgegangen sind, hat mit dem letztgenannten Jahre bereits seine Endschaft erreicht, alles auf die kriegeri- schen Vorgänge Bezügliche aber in der erwähnten * Publication die verdiente Berücksichtigung gefunden. Die zahlreichen und ein Ganzes für sich bildenden Auf- zeichnungen jener Jahre hätten sich auch nur übel in den Rahmen unserer Sammlung hineinzwängen lassen. Innerhalb dieser chronologischen Grenzen suchten wir unsere Aufgabe in môglichstem Umfang durchzu- führen, Alles, was zunächst den reich entwickelten Ver- kehr Livlands und der Hanse in Nowgorod und Ples- kau, andererseits den Handel und die Lage der Rus- sen in den livländischen Städten betraf, vollständig zu sammeln. Doch würden diese Documente, wenn auch in grüsster Reichhaltigkeit geboten, noch immer man- ches Unverständliche an sich haben, dieser oder jener Thatsache würde das rechte Licht mangeln, falls nicht zuweilen über die nächsten Grenzen hinausgegangen und so ein Hintergrund hergestellt wäre. Beispiels- Bulletin de l’Académie Hmpériale 324 weise konnten die Ordnungen für die Flachswrake in Livland, die Willküren des Nowgorodfahrer-Collegiums in Lübeck über die Verschiffung der Waaren nach Reval, der Beschluss der livländischen Städte im 16. Jahrbh., dass Gast mit Gaste bei ihnen nicht handeln dürfe, u. A. m. nicht bei Seite gelassen werden, da es, wenn auch nur theilweise oder mittelbar auf den rus- sischen Verkehr Bezug habend, von nicht weniger durchgreifendem Einfluss auf denselben war. Daneben konnte für die kriegerischen und diplomatischen Be- rührungen, namentlich über die Russenkriege der Meister Hinze von Overberg, Bernd’s von der Borg und Plettenberg’s, ferner über die Bezichungen Johann III. und seiner beiden nächsten Nachfolger zum Westen, Manches zusammengebracht werden. So wünschenswerth eine unverkürzte Wiedergabe von Documenten im Allgemeinen erscheinen muss, da es in den meisten Füällen nicht allein auf das Mate- rielle der Angaben, sondern ebenso sehr auf die Form derselben ankommt, so verdienten doch unter den zahlreichen Aufzeichnungen nicht alle die gleiche aus- fübrliche Behandluug, namentlich nicht die immer wortreicher und gleichzeitig inhaltsloser werdenden Schriftsachen des 16. Jahrhunderts. Eine môglichst genaue, dem Gedankengange des Schreibers sich an- passende Inhaltsangabe schien oft auszureichen und ist bei etwa einem Viertel der gesammelten Archiva- lien angewandt worden. Zuweilen hat freilich ein Stück, das sich sachlich für die auszügliche Mitthei- lung geeignet hätte, wegen seines eigenthümlich com- plicirten Inhalts, oder wegen des Interesses, das seine Sprache gewährte, doch vollstäindig copirt werden müssen. Aus einer grôsseren Anzahl inhaltlich verwandter Schreiben genügte es zuweiïlen, einige den Gegen- stand am Ausführlichsten und am Treffendsten behan- delnde auszuwählen und auf das Vorhandensein der übrigen bloss hinzuweisen. Es sind hier beispielsweise die sehr zahlreichen Briefe aus den 20ger und 30ger Jahren des 16. Jahrh. anzuführen, in welchen Narva über die ihm durch den sich ausbreitenden Handel der Iwan- und Jamgoroder erwachsende Concurrenz Re- val gegenüber Klage führt und um Verweisung jener von dort bittet. Sie enthalten alle dieselbe Klage, dieselbe Bitte, dieselbe Motivirung des Anliegens, so 225 des Sciences de Saïint- Pétersbourg. 326 dass es genügte von Zeit zu Zeit aus threr Zahl eins | aufgeschwungen hatten, dass die Hansetage zwar noch mitzutheilen. Zu den besprochenen Archivalien ward in den in Reval vorhandenen Hanse-, sowie den livländischen Städte-und Landtags-Recessen eine ihnen formell ziem- lich fernstehende, doch sachlich nahe verwandte Art der Ueberlieferung herangezogen. Aufnahme wie Aus- schliessung derselben schien so viel Missliches zu haben, dass wir lange über den einzuschlagenden Weg geschwankt haben. Die in jenen Fascikeln niedergelegten Verhandlun- gen und Beschlüsse bilden einen so eigenartigen und gleichzeitig so umfangreichen Stoff, dass eine ge- trennte Behandlung und Herausgabe derselben durch- aus wünsehenswerth erscheint; dazu kam, dass die- selben, wenn auch in beträchtlicher Zahl, so doch nur theilweise in Reval vorlagen; endlich schien bei ihrer bruchstückweisen Aufnahme, an die aus Rücksicht auf die Grenzen unserer Aufgabe doch nur zu denken war, von dem Einblick in die Verhältnisse und dem Gesammteindruck, den das ganze Acten- stück hervorzubringen im Stande ist, ein nicht unbe- deutender Theiïl verloren zu gehen. Doch gewichtigere Gründe sprachen für die Mit- berücksichtigung. Ganz abgesehen von einzelnen den russischen Handel direct berührenden Bestimmungen, sind die Aufzeichnuugen über die Hansetage vor An- derem geeignet, den Verkehr mit Russland in seinen universaleren Beziehungen vorzuführen, seine Stel- lung in dem allgemeinén europäischen Handelsleben zu kennzeichnen. Die Recesse der livländischen Land- tage, wenn auch von untergeordneterer Bedeutung für die friedlichen Berührungen mit dem Nachbar- lande, sind von um so schwerer wiegendem Interesse zu Zeiten feindlicher Spannung: Stimmung und Hal- tung der Landesherren und Stände, die allgemeine Landespolitik gegen Russland, das Detail der Kriegs- operationen, die ins Werk gesetzten oder beabsich- tigten Rüstungen, treten hier in grüsserem Zusam- menhange als in den vereinzelten Correspondenzen, auf die wir sonst angewiesen sind, entgegen. Das hohe Interesse der Acten der livländischen Städte- tage endlich ergiebt sich von selbst sobald wir be- rüeksichtigen, dass diese Versammlungen im Laufe des 15. Jahrb. sich zur Stellung einer leitenden Be- hürde für den ganzen hansisch-russischen Verkehr Beschlüsse fassten, das Handeln aber ganz jenen über- liessen. Jedes dieser Protocolle zeigt am Besten das Endresultat der Bestrebungen des verflossenen Jahres und bildet in gleicher Weise den Ausgangspunkt für die Politik des folgenden. Freilich standen uns, wie hervorgehoben worden, pamentlich von den beiden zuerst genannten Arten der Recesse nur einzelne zu Gebote, doch ist die Ein- sicht, welche auch diese gewähren, immer noch dan- kenswerth; die der Städtetage dagegen, auf die es uns besonders ankam, fanden sich, namentlich von der Mitte des 15. Jahrh. an, in wenig unterbrochener Reïhenfolge vor. Gleichwol hätten wir auf die Aufnahme dieses Materials verzichtet, wenn seine vollständige Publi- cation von anderer Seite für die nächste Zeit bevor- stände. Die Münchener historische Commission hat indess bekanntlich die Herausgabe der Hanserecesse nur bis 1430 unternommen, und wenn sich auch von dem neubegründeten und in der hansischen Ge- schichte von den umfassendsten Gesichtspunkten ausge- henden Hansischen Geschichtsvereine die Fortsetzung erwarten lässt, so wird nothwendig bis zur Ausfüh- rung dieses Planes noch manches Jahr vergehen. Für die Verôffentlichung der Acten der livländischen ständischen und städtischen Versammlungen dagegen haben sich bisher noch gar keine bestimmteren Aus- sichten ergeben. Natürlich hatten-wir uns hier auf diejenigen Recesse zu beschränken, welche für unsern besonderen Zweck in Betracht kamen und bei letzteren wieder auf Das- Jenige, was in Beziehung zu unserer Aufgabe stand. Der hiernach erübrigende Stoff blieb bei dem ausser- ordentlichen Umfang vieler dieser Acten noch immer sehr bedeutend. Verhandlungen von grôsserer Wichtigkeit wurden dabei vollständig copirt, in andern Füällen reichte ein genauer Auszug hin. Wir erinnern daran, wie häufig namentlich die hansischen Versammlungen frühere Beschlüsse wiederholen, um sie von Neuem einzu- schärfen; wie ein Gegenstand oft nach langer Debatte wegen mangelnder Vollmacht der Abgeordneten uner- ledigt von der Tagesordnung gesetzt und auf die nächste Zusammenkunft verschoben wird; wie end- lich sehr Vieles nur Privatangelegenheiten betrifit. 21* 32% Hier genügten überall mehr oder minder ausführliche Auszüge. Der ganze aus dem Revalschen Archiv zusammen- gcbrachte Vorrath vollständiger Urkundenabschriften beträgt mit Einschluss der Excerpte aus den Recessen gegen 670 Nummern, die Zahl der Regesten beläuft sich auf 216. Viele der ersteren würden indess bei der Herausgabe in mehrere selbständige Stücke zu zerlegen sein, jedem der Recesse sich eine grüssere Anzahl einzelner Briefe entnehmen lassen. Fügen wir ein Wort über die Sprache unserer Documente hinzu, so finden wir nur wenige latei- nische aus dem Anfange des 15. und dann wieder aus der Mitte des 16. Jahrh., sieben russische, darunter zwei aus dem 15., die übrigen aus dem 16. Jahrh., etwa fünf und zwanzig hochdeutsche namentlich der herrmeisterlichen Kanzellei aus dem zweiten Vier- tel des 16. Jahrh., dazu einige städtische aus der Mitte desselben Jahrh., die hochdeutsch sein sollen, doch eine merkwürdige Mischung mit plattdeutschen Worten und Wendungen aufweisen, während alle übri- gen niederdeutsch sind. In dieser ihrer niederdeut- schen Mundart müchten wir — beim Vergleich we- nigstens mit der lateinischen Sprache anderer — einen nicht geringen Vorzug finden. Die lateinischen Urkunden der früheren Zeit zeigen neben präciser Ausdrucksweise doch in der Regel eine auffallende Nüchternheit und Farblosigkeit, ja etwas Schablonenmässiges der Sprache; nur selten bewegt sich der Schreiber mit vollständiger Unbefangenheit in dem fremden Gewande. Im 16. Jahrh. hat man in der Kenntniss der Sprache allerdings bedeutende Fortschritte gemacht, doch nun artet sie, besonders durch ungeschicktes Nachahmen classischer Vorbil- der in Form und Auffassung, meist in unerquickli- chen Schwulst und Wortschwall aus. Während im 13. Jahrh. ein inhaltlich bedeutendes Schreiben oft nicht mehr als fünf bis sechs Zeilen umfasste, bedurfte der Revalsche Rath im J. 1540 dreier Folioseiten, um dem Zaren die Uebersendung einiger Fässer Wein mitzutheilen und den Überbringer zu empfehlen. An- ders in den meisten niederdeutschen Correspondenzen. Der Schreiber, — nicht selten ein Mann des practischen Lebens, wie namentlich in vielen Briefschaften des Nowgoroder Hofes — durch nichts in der Gedanken- wiedergabe beengt, durch keine Rücksichten auf die Bulletin de l’Académie Impériale 32 EE — — — —"— ————.—"—.— formelhaften Wendungen des Kanzelleistils gebunden, bedient sich mit vollkommenerr Freiheit der frischen, kernigen, ausdrucksvollen Sprache des täglichen Le- bens ; selten fasst er sich kurz, doch nie ist seine be- hagliche Breite ermüdend; eine Fülle volksthümlicher Lebensklugheit und volksthümlichen Witzes begegnet uns in seinen Ausdrücken, Redefiguren und Sprich- würtern; hier empfangen wir den unmittelbaren und unabgeschwächten Eindruck des vielbewegten und rüstigen Treibens, unter dessen Einfluss jene Briefe entstanden sind. Um eine genauere Einsicht in das neugewonnene Material zu ermôüglichen und in der Hoffnung, dass dieselben bis zur unverkürzten Verôffentlichung der Urkunden sich auch praktisch als nicht unbrauchbar erweisen werden, lassen wir kurze Regesten der co- pirten Stücke folgen, während die Documente, von denen nur Inhaltsangaben angefertigt wurden, als we- niger bedeutend, hier bei Seite gelassen sind. 1. Die Alterleute und der gemeine Kaufmann zu Nowgorod an Reval: beklagen sich, dass die Nowgoroder unmittelbar nach Wiederaufnahme des Handels eine den Deutschen verderbliche Satzung aufgerichtet hätten und bitten um Rath; (um 1350). . Dieselben an dasselbe: erklären sich zur Bezahlung der 1000 Mark, welche die städtischen Boten im Interesse des Kaufmanns verzebrt, bercit und geben eine Übersicht über den Stand der Kasse; verwahren sich gegen den Vorwurf, Zusätze zur Scra zu machen und melden, dass die allgemeinen Anordnungen zu Pskow nicht beobachtet würden; (um 1370). 3. Revalsche Aufzeichnung über das russische Gut, welches ge- wisse benannte Bürger bereits vor Erlass des Handelsverbots ausgeführt hatten; 1389. 4. Âholiches Verzeichniss des von gewissen Kaufleuten unter denselben Verhältnissen verschifften russischen Pelzwerks; 1391, nach März 26. Protocol] des Revalschen Raths über die Erledigung des Rechts- streits zwischen dem Bürgermeister Cord Kegeler und dem Now- goroder David; 1393, Sept. 17. 6, Riga an Nowgorod: bittet das arrestirte deutsche Gut freizu- seben, da der Kaufmann an den von den Schweden gegen die Russen in der Narva verübten Räubereien unschuldig sei; (am 1400). . Dorpat an Reval: berichtet, dass Nowgorod vollmächtige Boten verlange, und bittet den Revalschen Abgesandten rechtzeitig abzufertigen, damit er zugleich mit denen der beiden andern Städte nach Nowgorod aufbrechen kônne; (1417, Septbr. 8?). 8. Revalsches Rathsprotocoll über die von Seiten des Hauptmanns auf Wiborg vorgebrachte Klage, durch den Revalschen Boten bei Nowgorod verdächtigt zu sein, und die darauf ertheilte Ant- wort; 1420, Juni 12. 9. Meister zu Livland an Reval: meldet die Aufnahme eines Tages mit den Nowgorodern, bittet ihm zu demselben 60 Gewappnete zu senden und überhaupt gerüstet zu erscheinen; Riga, 1420, Decbr. 20. 10. Revalsche Aufzeichnung darüber, dass Claus, von Cüln nebst Genossen wider'ihre gethane Zusage Salz in die Newa geführt und den Pfundzoll umgangen hätten; (um 1420). 19 ë 1 329 18. (Wismar an Wisby) : 11. Dorpat an Reval: meldet die Absendung eines Boten nach Nowgorod und theilt das an letzteres ergangene Dürptsche Schreiben mit, nach welchem die Deutschen an den gegen die Russen in der Newa verübten Räubereien unschuldig seien und um die Freigebung des Kaufmanns gebeten wird; (1421, März 24 ?). 12. (Dorpat an Lübeck ?): theilt die mit Nowgoroder Boten in Be- treff der an Russen in der Newa verübten Räubereien gepflo- genen Verhandlungen mit und bittet die von Wismar, zu denen Gefangene und Güter gebracht worden, zur Auslieferung der- selben anzuhalten; (1421, Ende März?). 13. Reval an Nowgorod: erklärt seine Unschuld an jenen Räube- reien und bittet seinen Kaufmann frei fahren zu lassen; (1421, März ?). 14. Hans Lippe, Hofesknecht zu Nowgorod, an Dorpat: meldet, dass er und der Priester die Kaufleute auf die Hand hätten neh- men müssen, die Russen auf Erstattung des ihnen geraubten Gutes beständen, dass Boten des Grosskünigs die Aufsage des Friedens mit den Deutschen von Nowgorod verlangt, u.s. Ww.; (1421, April). 15. Nowgorod an Dorpat: begehrt wegen seiner gefangenen Mit- bürger und der geraubten Güter Recht nach der Kreuzküssung und erklärt bis dahin mit den Hansestädten nicht in Verkebr treten zu wollen ; (1421, April ?). 16. Dorpat an Reval: meldet von zu ergreifenden Massnahmen, um den Handel mit Nowgorod vorläufig wieder zu erôffnen bis dass Antwort von den überseeischen Städten wegen der gefangenen Russen käme ; 1421, Mai 5. 17. Dasselbe an dasselbe: theilt einen Brief des Kaufmanns in Nowgo- rod mit, der namentlich über die Zufubhr, welche fortwährend durch die Newa geschähe, klagt ; 1421, Juli 11. meldet seine erfolgreichen Bemühungen zur Befreiung der von Hofleuten gefangen genommenen Rus- sen und bittet, die livländischen Städte von seiner Unschuld an der Gefangennahme zu unterrichten ; 1421, Juli 11. 19. Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: theilt ‘mit, dass er auf dem Hofe eingeschlossen, elf der Seinigen ins Ge- fängniss geworfen, die abgesandten Briefe aufsefangen seien, trotzdem aber der Verkehr in Pskow und Narva noch immer nicht unterbrochen werde; 1421, Juli 22. 20. Dorpat an Reval : theilt ein Rigisches Schreiben an Lübeck mit, welches von den ergriffenen Massregeln zur Durchfübrung der Handelssperre, der Rückkehr der gefangenen Russen u. A. handelt ; 1421, Juli 24. 21. Wisby an die livländischen Städte: übersendet das oben ge- nannte (Nr. 18) Wismarer Schreiben und unterrichtet sie über die Strafen, welche gegen diejenigen anzuwenden seien, die den Handel mit den Russen auf Beiwegen fortsetzten; 1421, Au- gust 23. 99. Dasselbe an dieselben: theilt seine dahin gehende Ansicht mit, dass bei den Verhandlungen mit Nowgsorod keins der alten Rechte aufgegeben werden dürfe, ferner, dass ein Schif, wel- ches in die Newa habe segeln wollen, bei ihm arrestirt sei; 1421, October 25. 23. Schutz- und Trutzbündniss zwischen den sechs wendischen Städten einer- und dem Hochmeister von Preussen und Meister von Livland andererseits; 1421. 24. Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: meldet von Zwistigkeiten mit den Russen wegen der Länge der Tücher, von Schulden des Hofes, u. s. w.; 1422, Januar 15. 25. Dorpat an Reval: bespricht die Weise, in der die Auslieferung der aus der Gefangenschaft zurückgekehrten Russen demnächst in Narva erfolgen solle : (1422, Juli 82). 96. Hinrik Stipel und Werneke Kruse aus Nowgorod an Reval : beklagen sich über die Ungercchtigkeiten, welche sich der Herzog im gerichtlichen Verfabren gegen den KEaiufmann er- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 12 = Le] © 36. 40. laubt, und bitten um Herbeischaffung einer gewissen Summe zur Tilgang der Schuld des Hofes; 1422, Juli 11. . Dorpat an Reval: bittet um Beforderung eines Briefes an Lü- beck, in welchem gemeldet wird, dass die Auslieferung der ge- fangen gehaltenen Russen erfolgt sei, die Nowgoroder aber wegen des noch fehlenden Gutes keine genügenden Sicherhei- ten für die Wiederaufnahme des Verkehrs geboten hätten; (1422, August 15). . Dasselbe an dasselbe: bittet um seine Ansicht in Betref der Botschaft an Nowgorod und hält es für wünschenswerth, den Kaufmann noch nicht dorthin ziehen zu lassen; theilt ein von Riga erhaltenes Schreiben mit, in welchem zum Zweck der Auf- nahme eines Tages die Besendung angerathen wird, ferner ei- nen Brief Rigas an Lübeck, durch welchen letzteres dringend aufgefordert wird, für die Auslieferung der noch in Wismar befindlichen russischen Güter an Nowgorod zu sorgen ; (1422, October 31). . Dasselbe an dasselbe: theilt einen Brief des Kaufmanns zu Now- gorod mit, der um Übersendung einer gewissen Geldsumme (vgl. Nr. 26) und um einen Priester bittet, und knüpft hieran einen bestimmten Vorschlag, wie die Schuld des Hofes zu decken sei; 1422, Decbr. 10. . Dasselbe an dasselbe : schreibt von einem Privatrechtshandel des Hans Poppestorp mit einem Russen ; (1423, Sept. 10 ?). . Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: beklagt sich über die ungerechten Rechtssprüche des Herzogs, dass ihm der Handel mit den Litauern verwehrt würde und bittet um Abhülfe ; 1424, Februar 12. 32, Derselhe an dasselbe: meldet, dass der Handel mit gezogenem Werk sehr überhand nähme, die Russen es auch selbst in die Städte zu verführen gedächten, und bittet dies zu hindern; 1424, April 2. 3. Wisby an Reval: empfehlt den Landesdomer Olav Thomasson, der nach Reval und Nowgorod gehe, um die Verhältnisse des Gotenhofes zu regeln ; (1424, Mai 3). . Olav Thomasson, Bevollmächtigter des Landes Gotland, bezeugt vom Rathe zu Reval den Zins vom Gotenhof in Nowgorod für die verflossenen 10 Jahre erhalten zu haben und erneuert den Vertrag auf weitere 20 Jahre ; 1424, Mai 20. . Wisby an Reval: will sich die Entdeckung der Seeräuber, welche neulich Russen beraubt, angelegen sein lassen und bit- tet, falls in Nowgorod Repressalien ergriffen werden sollten, den Kaufmann rechtzeitig zu warnen; 1424, Juli 1. Dorpat an Reval : theilt einen Rigischen Brief mit, der die An- sicht ausspricht, es sei mit der Besendung Nowgorods zu war- ten bis man erfabren, wo das geraubte russische Gut hinge- kommen wäre,und schliesst sich dieser Meinung an ; 1424, Aug.3. . Tideke Voss aus Lübeck an Reval: meldet von seinen Be- mühungen zur Entdeckung des geraubten russischen Guts und bittet ein Schreiben der Hansestädte an Nowgorod an seine Adresse fortzusenden ; 1424, August 4. . Derselbe von ebendaher an dasselbe: übersendet die zwei Denkelbücher des Kaufmanns zu Nowgorod zur Weiterbefür- derung an den letzteren und theilt mit, dass das russische Gut noch immer nicht aufgefunden sei; 1424, August 8. _ Liübeck an die drei livländischen Städte: meldet, dass unter Vermittlung des Tideke Voss mit dem von den Russen geschä- digten Arnd Lubbeke ein Vergleich dahin eingegangen sei, dass derselbe aus St. Peters Casse 24 Stück Silber erhalten solle; 1424, August 26. Dorpat an Reval: theilt einen Rigischen Brief mit, der die Ansicht begründet, dass das von den Hansestädten an Nowgo- rod verfasste Schreiben nicht abgesandt werden und die Denkelbücher des Kaufmanns in Dorpat in Verwabrung blei- ben sollten, erklärt seine Zustimmung zu ersterem Puncte und bittet um baldige Übersendung der Denkelbücher; 1424, Sept. 8. 331 41. 43. 44. 46. 47. 48. 49. 50. . Die. hanSischen Rathssendeboten Dasselbe an dasselbe: übersendet ein Rigisches Schreiben, nach welchem das verbrannte Salz den Russen nicht verkauft wer- den solle, und erklärt, selbst den Verkauf desselben gestat- ten zu wollen, doch nur zu seinem wabren Werthe; 1495, Febr. 23. Dasselbe an dasselbe: wünscht bei der jetzigen Besetzung des Kaufmanns in Nowgorod eine Besendung des letzteren durch die livländischen Städte, während deren die Fabrt nach der Newa unterbleiben müsse, und bittet wegen der angeblich bei Wesenberg beraubten Russen mit dem Meister in Verhand- lung zu treten; 1425, Mürz 16. Dasselbe an dasselbe : meldet, dass sein Bote ohne KErfolg aus Nowgorod zurückgekehrt sei und eine Besendung durch alle drei Städte nothwendig erscheine, um den Kaufmann vor Ver- gewaltigung zu retten; (1425, Mai 10?). (Reval) an den Hauptmann von Wiborg: bittet bei der jetzigen Besetzung dès Kaufmanns die Zufuhr zu den Russen nicht zu gestatten ; 1425, Mai 18. aus Lübeck an Reval: in Folge der Besetzung des Kaufmanns hätten sie die Fahrt nach der Newa geschlossen ; die livländischen Städte sollten gleich- falls das Verbot streng aufrechterhalten, denn man vernehme, dass einige ibrer Bürger den Handel fortzusetzen gedächten; 1425, Mai 26. 4 Kersten Niclesson, Hauptmann auf Wiborg, an Reval: theilt mit, dass er den bei ihm erschienenen Nowgoroder Boten seine und der Revalschen Unschuld an der Beraubung der Russen zur See auseinandergesetzt hätte ; er kônne denselben gegen- über auch in Zukunft keine Garantie vor Sceraub übernehmer; den Handel mit den Russen aber dürfe er den schwedischen Unterthanen ohne Erlaubniss des Kônigs nicht untersagen; 1495, Mai 28. Dorpat an Reval : versichert, dass Bischof und Stadt vor der Befreiung des Kaufmanns in Nowgorod keinen Frieden mit Pskow machen würden, auch inzwischen jeder Verkehr mit dem- selben verboten sei; 1425, Juni 19. Lübeck an Reval: meldet, dass die Aufhebung des Verkehrs mit den Russen überallhin mitgetheilt sei, und verlangt, dass Güter, die den Russen zugeführt würden, aufgehalten werden; 1495, Juni 22. Danzig an Reval: es habe die Handelssperre gegen die Russen bei sich verkündet, kônne aber nicht hindern, dass Salz und Hering nach Schweden verschifft würden; sollten die Waaren von dort den Russen zugeführt werden, so wäre Reval am be- sten in der Lage, dem zu wehren; 1425, Juni 25. Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Dorpat: meldet, dass wegen des Nichterscheinens der versprochenen livl. Boten seine Lage den Russen gegenüber immer gefahrvoller werde ; falls die Abgesandten nicht in 14 Tagen kämen, wollten die 51. 52, 53. 54. Russen Gewalt anwenden ; 1425, Juli 4. Riga an den deutschen Kaufmann zu Nowgorod : ermabnt ihn, noch eine kurze Zeit auszuharren und den Russen von sich aus keine Versprechungen zu machen; 1425, Anfang Septbr. Die drei livl. Städte an Nowgorod: versichern ihre Unschuld an der geschchenen Ermordung und Beraubung von Russen und verlangen die Freilassung des deutschen Kaufmanns; 1425, An- fang Septbr. Riga an Dorpat : räth für den Fall, dass der Bischof von Dor- pat mit Pskow Frieden schlôsse, auch den Handelsvertrag zu erneuern und übersendet die oben genannten Briefe an Nowgo- rod und den deutschen Kaufmann daselbst (Nr. 51 und 52); 1495, Septbr. 10. Dorpat an Reval: meldet, dass Pskowsche Boten angelangt seien, die lebhaft Frieden zu schliessen wünschten ; seine An- sicht gehe übrigens dahin, dass falls sich nur Einmüthigkeit unter den Ständen herstellen lasse, es am besten wäre, den Bulletin de l’Académie Impériale CA © 33? Verkehr mit den Russen nicht zu erôffnen; es werde deshalb seine Boten demnächst an den Meister senden und bittet Reval dies gleichfalls zu thun ; 1425, Septbr. 16. . Dasselbe an dasselbe : übersendet den Rigischen Brief vom 10. September nebst Beilagen, meldet, dass die Verhandlungen mit den Pskowschen Boten vorläufig resultatlos geblieben und bittet zu verhindern, dass, wie bisher geschehen, von Narva Salz nach Pskow geführt werde ; 1425, Septbr. 24. . Dasselbe an dasselbe : meldet, dass der Meister nur bedingungs- weise den Seinen den russischen Handel untersagen wolle, der Erzbischof und Bischof von Dorpat dagegen auf seine bezügli- chen Bitten eingegangen wären, und bittet um Rath, wie die Sache weiter bei den überseeischen Städten und dem Hauptmann von Wiborg zu verfolgen sei ; 1425, October 2. . Lübeck an die drei livländischen Städte: theilt mit; dass es sich beim Künig von Dänemark und dem Hochmeister für Durchfübrung der russischen Handelssperre und Verwendung zu Gunsten der gefangenen Kaufleute interessiren werde und inzwischen alle von Russland kommende und dorthin gehende Güter anhalte, und verlangt, dass Reval keine Schiffe ostwärts vorbeisegeln lasse; 1425, October 6. . Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Dorpat: meldet, dass er auf Fürsprache des Bischofs freigegeben sei und letzterer Boten an die Städte senden werde; bittet ferner, neue Zufubr zu verhindern bis dass die vorhandenen Vorräthe verkauft wä- ren; (1425, October 18). . Dorpat an Reval: theiïlt mit, dass die Deutschen aus Nowgorod zurückgekehrt, mit ihnen ein Bote des Erzbischofs gekommen sei und welche Antwort demselben auf sein Gewerbe ertheilt worden, ferner, dass Pskowsche Gesandte bei seinem Bischof erschienen seien, ohne dass man sich aber bisher über die Aufnahme eines Tages geeinigt hätte; 1425, Novbr. 11. . Riga an Reval: nachdem der Kaufmann in Nowgorod freigege- ben, müsse zunächst das Gut von dort geschafft und vor der Ver- sammlung der Städte kein neues zugeführt werden; der Zuzug der Russen nach Livland sei inzwischen zu gestatten; 1425, Novbr. 14. . Dorpat an Reval: theilt mit, dass der zum Boten nach Nowgo- rod ernannte Hildebrand von Megen am 25 December in Narva eintreffen würde um sich mit dem Revalschen Abgesandten zu vereinigen, ferner, dass die Verhandlungen mit den Pskowern vorläufig resultatlos verlaufen, und bespricht die Ernennung eines neuen Hofesknechts an Stelle des jüngst verstorbenen Hans Lippe; (1425, Decbr. 18). . Beïlage zu vorstehendem Briefe, enthaltend die Werbung der abzusendenden Städteboten an Nowgorod; (1425, Decbr.). . Bericht des Kaufmanns zu Nowgorod (an Reval) über den heim- lich entwichenen Gerwin Smitte und einen an dessen hinter- lassenes Gut sich knüpfenden Rechtsstreit; (1425 Ende). . Revalsche Aufzeichnung über die in den letzten Jahren im In- teresse des russischen Handels aufgewandten Kosten ; (1425). . ÂAhnliche Aufzeichnung , namentlich über die Kosten der nach Nowgorod abgefertigten Gesandtschaften; (1425). . Instruction für einen Revalschen Abgesandten zum Hansetage, mit besonderer Berücksichtigung des Nowgoroder Handels abgefasst; (um 1425). . Instruction ähnlichen Inhalts; (um 1425). . Dorpat an Reval: theilt einen Rigischen Brief mit, der die mannigfachen Bedrückungen, denen der Kaufmann in Nowgo- rod ausgesetzt sei, behandelt, meldet seine Unterredungen mit russischen Kaufleuten und bittet um Rath, wie den berührten Missständen abzuhelfen sei; (um 1495). . Dasselbe an dasselbe: übersendet einen Brief der hansischen Städteboten, welcher die alten Verordnungen über den Handel mit den Russen, die in Livland mebrfach übertreten seien, neu einschärft; (um 1425). des Sciences de Saint: Pétersbourg. 334 70. Meister zu Livland an Reval: meldet, dass die Verhandlungen 71. = Lt 73. 74. 75. 76. 77. 78. 79. 80. 81. 82. 83. 84. mit Nowgorod sich zerschlagen hätten, er auf Krieg gefasst sei und der Kaufmann daher nicht über Narva hinaus zichen solle; Riga, (um 1425). Ausfübrlicher (doch nicht vollständig erhaltener) Bericht über die Erlebnisse der Deutschen während einer Eïnschliessung auf dem Hofe zu Nowgorod; (um 1425). . Meister zu Livland an Reval: theilt mit, dass er vorläufig, bis seinen Unterthanen für mancherlei ihnen von den Russen zu- gefügten Schaden Genugthuung geworden, den Nowgorodern den Weg nach Reval nicht freigeben kônne; Riga, 1426, Ja- nuar 18. Dorpat an Reval: berichtet ausführlich von seinen Verhandlun- gen mit dem Nowgorodschen Boten Alexander und bittet, wenn letzterer nach Reval komme, ihn in gleicher Weise zu beschei- den; 1426, Februar 1. Kersten Niclesson, Hauptmann auf Wiborg, an den gemeinen Kaufmann zu Reval: da er keinen festen Frieden mit den Rus- sen habe, bittet er die Newa und schwedisches Gebiet zu mei- den; 1426, April 2. Dorpat an Reval: theilt ein ïhm zugegangenes Schreiben Wis- bys mit, in welchem die livländ. Städte ermahnt werden, nach der Freigebung des Kaufmanns den Russen keine Veranlas- sung zu neuen Gewaltthätigkeiten zu geben; ferner ein Lübi- sches, in dem die Wiedererofinung des russ. Handels gebilligt und die weiteren Festsetzungen auf den nächsten Hansetag ver- wiesen werden; 1426, April 4. Dasselbe an dasselbe: meldet, dass die Nowgoroder Boten vom Meister unbefriedigt geschieden und fragt an, ob es nicht gerathen sei, zur Sicherung des Kaufmanns sich bestimmte Zu- sagen von Nowgorod geben zu lassen; 1426, Mai 9. Kersten Niclesson an den gemeinen Kaufmann zu Reval: theilt mit, dass er und die Russen sich dahin geeinigt, dass letztere our bis Wiborg kommen sollten, wo der Kaufmann also gefahr- |- los mit ihnen verkehren kônne; 1426, Mai 26. Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: klagt über das gewaltsame Verfahren des Herzogs, das sich jetzt in der Sache des Hermann van der Beke gezeigt habe und dem na- mentlich Revalenser ausgesetzt seien; 1426, August 9. Dorpat an Reval: erinnert daran, dass man Nowgorod nach ge- schehener Rückkehr der Sendeboten aus Lübeck eine definitive Antwort wegen des geraubten Gutes zugesagt, und bittet um Rath, wie diese zu ertheilen sei; 1426, Sept. 26. Dasselbe an dasselbe: übersendet ein Rigisches Schreiben, wel- ches hervorhebt, wie man in Folge der starken Zufuhr nach Nowgorod in den Verhandlungen mit demselben nicht mebr freie Hand habe, und fügt den Entwurf eines Schreibens an Nowgorod zur Begutachtung bei; 1426, October 22. Dasselbe an dasselbe: überschickt einen Rigischen Brief (der die Unzuträglichkeit der den Nowgorodern von den deutschen Boten Hildebrand van Megen und Andreas Smeding gegebenen Zusiche- rungen betont), ferner den Rigischen Entwurf eines Schreibens an Nowgorod und sehlägt, da dieser mit dem seinigen und dem Revalschen ganz auseinanderginge, eine baldige Zusammen- kunft von livld. Städteboten vor ; 1426, Novbr. 5. Dasselbe an dasselbe: theilt ein Rigisches Schreiben mit, das die Absendung von Boten nach Nowgorod für ganz unthunlich erklärt und demselben in der Weiïse des beifolgenden Entwurfs zu schreiben anräth; 1426, Novbr. 27. Auszug aus dem livld. Städtetagsrecess vom Freitag vor Licht- mess (Januar 31) 1427 zu Wolmar. Dorpat an Reval: theilt ein Schreiben des Kaufmanns in Nowgorod mit (welches um einen Priester und gleichzeitig um eine Verminderung von dessen Gehalt bittet) und meldet, dass es in Folge dessen einen Geistlichen dorthin abgesandt habe; 1427, April 4. 85. 86. 87. 88. 93. 94. 95. 96. 97. 98. 99; 100. 101. Dasselbe an dasselbe: übersendet einen Brief des deutschen Kaufmanns (der die Rückkehr der Nowgoroder Boten aus Däne- mark, den Abschluss eines 5jährigen Friedens mit dem letzte- ren, sowie die bevorstehende Ankunft Herzog Witowts anzeigt), erklärt die Besendung Nowgorods für nothwendig und bittet hierin um seine Ansicht; 1428, Juli 3. Lübeck an Dorpat und Reval: empfehlt ihnen den neuernannten Hofespriester Hinrik Patberg; 1429, August 4. Dorpat an Reval: es vernähme, dass sich in Nowgorod das Ge- rücht verbreitet habe, die Russen seien in Reval angehalten, und dass in Folge dessen dort die Deutschen besetzt worden; durch einen Boten, dem ein in Reval sich aufhaltender Nowgo- roder beizugeben seï, müsse der Gefahr begegnet werden; 1429, August 21. Dasselbe an dasselbe: theilt ein Schreiben Rigas mit (das die dem nächsten Hansetage von den livländischen Boten vorzule- genden Puncte bespricht), knüpft hieran eingehende Erôrterun- gen und bittet um Mittheïilung seiner Ansicht; 1429, October 8. . Dorpat an Reval: meldet von den Verhandlungen seines Bür- germeisters Tideke Voss mit Lübeck und erürtert den Plan der Gesandtschaft nach Nowgorod; 1429, October 11. . Auszug aus dem Hanserecess auf Circumcisionis domini (Ja- nuar 1) 1430 zu Lübeck. . Dorpat an Reval: bittet die Abrechnung des Pfundzolls noch zu verschieben, theilt den Tod des Nowgoroder Bischofs mit und schlägt wegen der umlaufenden beunruhigenden Gerüchte die Besendung Nowgorods vor; 1430, Januar 8. . (Reval) an den hansischen Kaufmann zu Narva: warnt ïhn bei der feindseligen Haltung Nowgorods vor dem Zuge dorthin; 1430, Januar 15. Reval an Dorpat: meldet die Ernennung des Hermann Lippe zum Boten nach Nowgorod und bittet Sorge zu tragen, dass der Dôrptsche Gesandte dort auch rechtzeitig eintreffe; inzwischen sei der Zug nach Russland untersagt; 1430, Januar 13. Dorpat an Reval: theilt mit, dass Nowgoroder Boten demnächst beim Meister erscheinen würden und daneben auch Anträge an die Städte hätten; mit der Absendung seines Dolmetschers nach Nowgorod wolle es daher warten; 1430, April 26. Dasselbe an dasselbe: meldet die Ernennung des Lorenz Hône zum Hofesknecht und die demselben gegebenen Verhaltungs- massregeln ; 1430, Mai 30. : Dasselbe an dasselbe: theilt einen Brief des Hofesknechts mit (nach welchem die Stimmung unter den Russen dem Frieden ge- neist, der Verkehr aber noch unterbrochen sei) und fragt um Rath, wie es nun mit der Besendung zu halten sei; 1430, Juli 20. (Reval) an Dorpat: der Meister sende seinen Dolmetscher nach Nowgorod, um auf den Sommer einen Tag in Narva aufzuneh- men; bittet um seine Ansicht wegen der Gesandtschaft von Seiten der Städte; 1430, October 12. Dorpat an Reval: es habe zwei junge Leute nach Nowgorod gesandt um, falls man dort zum Frieden geneigt sei, den abzu- sendenden Boten das sichere Geleite zu erwerben; 1430, Octo- ber 20. Dorpat an Reval: theilt ein Schreiben der zwei nach Nowgo- rod gesandten Gesellen mit (nach welchem die Russen den Frie- den wünschten, das Geleite ertheilt und mit dem Dolmetscher des Meiïsters auf nächsten Johannis bapt. einen Tag aufge- nommen hätten) und hält es nun für gerathen, je zwei ihrer Rathmannen abzusenden um die Kreuzküssung zu crneuern; 1430, Novbr. 22. (Reval) an Dorpat: antwortet auf das vorige Schreïben indem es die näheren Bestimmungen in Betreff der Besendung ganz diesem anheimstellt; 1430, Decbr. 6. Dorpat an Reval: meldet die Ernennung seiner Boten nach Nowgorod und bittet, dass die Revalschen zur festgesetzten Zeit dort eintreffen; 1430, Decbr. 17. 335 102. 103. 107. 108. 109. 110. 111. 113. 114. 115. 116. 117. 118. Dasselbe an dasselbe: bittet auzuordnen, dass bis zur Ausfüh- rung der Besendung der Handel mit den Russen in Narva un- terbleibe ; 1430, Decbr. 20. (Reval) an Dorpat: antwortet auf dessen beïde letzte Schrei- ben indem es verspricht, dass seine Boten rechtzeitig aufbre- chen sollten und der Handel inzwischen nicht erôffnet werden würde; 1430, Decbr. 28. . (Meister zu Livland an Reval): meldet, dass sein Dolmetscher Hermann ut der Koken mit Nowgorod den Tag auf Johannis bapt. aufgenommen habe; (1430, Ende). . (Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval): bittet es bei den Städten durchzusetzen, dass die Priester nicht länger als ein Jahr auf dem Hofe blieben, u. s. w.; (um 1430). . Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: legt die An- gelegenheit des Werneke Rape zur Entscheidung vor, indem dieser zur Zeit der Verkehrsunterbrechung mit den Russen gehandelt habe; 1431, April 20. Dorpat an Reval: theïlt einen Brief des deutschen Kaufmanns in Nowgorod mit (in welchem auf nothwendige Reparaturen der Kirche und eine Rôhrenleitung zur Entwässerung des Ho- fes aufmerksam gemacht wird), will im nächsten Jahre einen Maurermeister hinsenden und bittet um Revals Ansichten in dieser Sache; 1431, Mai 12. Dasselbe an dasselbe: meldet, dass der Kaufmann zu Nowgo- rod besetzt sei weil einem Russen sein Gut in Narva aufgchal- ten worden und bittet letztere Angelegenheit beim Meister zur Erledigung zu bringen; 1431, August 8. Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: berichtet ge- nauer über die Veranlassung seiner Arrestirung und bittet für Entschädigung des beeinträchtigten Russen Sorge zu tragen; 1431, Novbr. 10. Derselbe an dasselbe: meldet, dass er den angelangten Hollän- dern nichts anhaben kônne und bittet dieselben auf ihrer Rückfahrt anzuhalten; 1432, Juli 30. Dorpat an Reval: theilt einen Brief des Tideke Wyse aus Now- gorod mit (nach welchem die Kirche reparirt, mehrere Hollän- der daselbst angelangt seien u. s. w.) und räth, die letzteren auf alle Weise am Handel mit den Russen zu hindern; 1432, August 10. . Der d. Kaufmann zu Nowgorod an Reval: meldet von vielerlei Verdriesslichkeiten mit den Russen wegen Kürze der Tücher, ferner von dem losen Treiben der jungen Leute auf dem Hofe uud bittet in beiden Fällen um Abstellung des Missstands; 1433, Januar 17. Meister zu Livland an Reval: da ihm wegen seiner Verbin- dung mit dem vertriebenen Switrigail für den Sommer ein Krieg mit Litauen und Polen bevorstehe, bittet er anzuord- nen, dass ausser dem Kaufmann Niemand sich zu Schiffe ent- ferne; Wenden, 1433, Februar 25. Comthur zu Reval an den Rath daselbst: da die Pleskauer die Ausfubr von Getreide nach Livland verboten hätten, so. solle der Rath den Kaufleuten derselben, die demnächst anlangen würden, auch den Einkauf ihrer Bedürfnisse untersagen; Mustel, 1433, Decbr. 28. Auszug aus dem livld. Städtetagsrecess vom Montag nach Neu- jabr (Januar 4) 1434 zu Wolmar. Auszug aus dem Hanserecess auf Bonifacii (Juni 5) 1434 zu Lübeck. Der d. Kaufmann zu Nowgorod an Reval: meldet die Gefan- gensetzung des Hans Swabbert durch die Russen wegen der angeblich von ihm ausgeführten Beraubung eines russ. Fahr- zeuges an der estnischen Küste bei Kolk und bittet Erkundi- gungen nach dem Sachverhalt an Ort und Stelle einzuzichen; 1434, August 29. Auszug aus dem livld. Stidtetagsrecess auf Assumptionis Ma- riae (August 15) 1435 zu Walk. Bulletin de l'Académie Impériale 119 130. 131. 132. 133. 134. 336 Cristiern Niclesson, Hauptmann auf Wiborg, an Reval: meldet, dass Russen auf dem finnischen Meerbusen beraubt worden und verdächtiges Gut in Stockholm angehalten sei, bittet dies den Russen, die sich etwa in Reval aufhielten, mitzutheilen und wünscht (unter Andeutung, dass er bereits gerüstet sei) zu erfah- ren, ob jene mit Schweden Frieden haben wollten; Stockholm, 1435, August 15. . Dorpat an Reval: übersendet einen Lübischen Brief, durch wel- chen die livländischen Städte zu Vorverhandlungen mit Now- gorod crmächtigt werden, ferner ein Schreïben im Namen der Hanse an Nowgorod, das denselben Gegenstand betrifft, nebst dem in Riga aufgesetzten verbesserten Entwurf eines derartigen Schreibens; 1435, Sept. 8. . Lundmarschall zu Livland an Reval: benachbrichtigt dasselbe von einer Niederlage des Ordenshecres in Litauen und bittet zwei Mitglicder des Raths zu einer Zusammenkuuft in Wolmar abzusenden; Riga, 1435, Sept. 8. . Wisby an Reval: bittet dafür zu sorgen, dass ihm der Rest seiner Auslagen für die Gesandtschaft nach Nowgorod im J. 1591 ersetzt werde ; (um 1435). 23. Dasselbe an die gemeinen livländ. Städte: spricht seine Ver- wunderung darüber aus, dass dieselben ohne Vollmacht der Hanse den Verkehr mit den Russen wieder erôffnet hätten und wiederholt seine im vorigen Schreiben ausgesprochene Bitte; (um 1435). . Wisby an Reval: bevollmächtist den Tideke van Bodeken zum Empfang der ihm zustehenden 74 Mrk. Rig.; (um 1435.) . Grossnowgorod verlangt von Reval Genugthuung für den Rus- sen Peter, der zur See beraubt worden; (um 1435). . Dorpat an Reval: übersendet einen Brief des deutschen Kauf- manns in Pskow (welcher seine Gefangensetzung sowie die dort herrschende kriegerische Sfimmung meldet und um Abschnei- dung namentlich der Salzzufuhr bittet) und theilt mit, dass seine Boten demnächst nach Nowgorod aufbrechen würden; 1436, April 22 22e . Dasselbe an dasselbe: bestimmt den Termin der Absendung der Boten und das Zusammentreffen derselben in Narva: 1436, Mai 7. . Dasselbe an dasselbe: meldet, dass seine Besendung Pskows zur Befreiung des dortigen d. Kaufmanns erfolglos geblieben sei, und bittet dafür Sorge zu tragen, dass die Salzzufuhr über Narva aufhôre; 1436, Mai 18. . Die deutschen Sendeboten in Nowgorod an Reval: melden, dass Nowgorod bei den Verhandlungen sich sehr hartnäckig zeige, sie aber dennoch einen Beifrieden abzuschliessen hofften; in der Zwistigkeit mit Pskow habe Nowgorod seine Vermitt- lung angeboten ; 1436, Juni 26. Dieselben an dasselbe : melden, dass Nowgorod seine Sache von der Pskows nicht trennen wolle und deshalb vor Allem die Zufubr einzustelien sei; berichten ferner von einer Beschwerde des Grossfürsten von Moskau gegen Reval; 1436, Juli 1. Dieselben an dasselbe : melden, dass Nowgorod sich bei ihnen für die in Reval festgesetzten Moskowitischen Kaufleute ver- wandt habe und bitten, falls keine schwereren Anklagen gegen dieselben vorliegen, sie freizugeben; 1436, Juli 2. Grossnowgorod an Reval: bittet jene Kaufleute, die von jen- seits der See kommend von ihm angehalten seien, mit ihren Waaren ziehen zu lassen und bis zur Grenze zu geleiten; (1456, Juli). Ausführlicher Bericht der livländ. Sendeboten über ihre Ver- handlungen mit Nowgorod in Betreff der abzuschliessenden Kreuzküssung ; (1436, Juli). Dortmund an Reval: bittet um Schadenersatz für den durch die Russen lange gefangen gehaltenen Joh. Swabbert, der s0- viel gelitten, weil er nicht gegen Reval habe aussagen wollen; 1436, Juli 6. 337 132. 136. 140. 141. 143. 144. 145. 146. 147. 149. 150. 151. Voigt zu Narva an Reval: meldet seine Anordnungen, dass kein Salz nach Nowgorod und Pskow ausgeführt werde, u. sw. 1436, Juli 14. Dorpat an Reval: theilt einen Rigischen Brief mit, in welchem, da die neue Kreuzküssung wesentlich auf der früheren beruhe, um Mitnahme der letzteren auf die nächste städtische Zu- sammenkunft gebeten wird; 1436, August 16 . Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Dorpat: macht Mit- theilung über einen auf dem Hofe vorgekommenen Diebstahl und die angestellte Untersuchung und bittet um Entscheidung; 1436, Novbr. 6. Dorpat an Reval: bittet um seine Ansicht in der augeführten Frage; 1436, Novbr. 25. Mister zu Livland an Reval: meldet, dass Herzog Sigismund die Gefangenen nicht freigebe ehe der ewige Friede geschlos- sen und bittet letzteren mitzubeschwüren; Riga, 1437, März 14. Yrolik Nyenloe und Pothoff, Vorsteher des Hofs zu Nowgorod, an Reval: melden, dass Nowgorod die Rôhrenleitung zur Ent- wässerung des Hofes nur gestatten wolle, wenn die Russen in Reval eine auf die Strasse führende Thür zu ihrer Kirche er- hielten; 1437, April 17. Meister zu Livland an Reval: meldet, dass er deu Nowgoroder Boten, die bei ihm gewesen, keine definitive Antwort ertheilt habe, jedoch selbst zu Pfngsten eine Gesandtschaft abfertigen wolle; inzwischen solle die Kornausfuhr nicht gestattet sein; Rujen, 1437, April 28. . Wisby an Reval? beklagt sich über die Eigenmächtigkeit der livl. Städte bei der Ernennung des Priesters für den Nowgo- roder Hof; falls der von Wisby bestellte nicht rechtzeitig ein- getroffen sei, so wäre dies Schuld der Livländer, welche, nach- dem sie auf eigene Hand den Verkehr geschlossen, ïhm nicht rechtzeitig von der Wiedererüfinung desselben Mittheilung ge- macht hätten, u. s. w.; 1437, Juni 6. Auszug aus dem livl. Städtetagsrecess vom Sonntag vor Viti et Modesti (Juni 9) 1437 zu Pernau. Karl Kerstensson, Hauptmann auf Wiborg, an Reval: beklagt sich über Merten Jessen, der den Russen unerlaubter Weise Waffen zugeführt habe; 1437, Juli 25. Dorpat an Reval: übersendet die Copie eines Antwortschrei- bens an Wisby, in welchem das angeblich eigenmächtige Ver- fahren der livl. Städte beim Schliessen und Offnen des russischen Verkehrs und bei Ernennung des Priesters gerechtfertigt wird; 1437, Septbr. 11. Dasselbe an dasselbe: meldet, dass es einen Zimmermann nach Nowgorod gesandt habe um die Réhrenleitung anzulegen; 1438, April 14, Dasselbe an dasselbe: theilt mit, dass ein Bote von Pskow bei ihm gewesen, der jedoch die erforderlichen bestimmten Zusagen für Sicherheit des Verkehrs nicht segeben, in Folge dessen es die bei ihm vorhandenen Pleskauer vorläufig arrestirt habe; 1438, Mai 27. Voigt zu Narva an den Junker von Cleve :‘meldet, dass die Nyensloter den Dolmetscher des Junkers, Hermann thor Koe- ken, grausam ermordet und seine Bürgschaft für den andern Dolmetscher Frydach Grote nicht angenommen hätten; 1458, Novbr. 17. Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: meldet seine Besetzung, da augeblich die Russen in Reval arrestirt wor- den; 1438, Novbr. 25. Gerhard von Cleve, Graf zur Mark, an Reval: theilt die Er- mordung seines Dolmetschers mit und bittet den Anliegen, welche seine Diener vortragen würden, zu willfahren; 1438, Novbr. 30. Dorpat an Reval: meldet, dass ein Nowgoroder Bote die Frei- lassung der Russen verlangt, sich zu Gleichem in Betreff der Deutschen erboten habe und jetzt an den Statthalter des Tome XVII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. RS 155. 157. 158. 160. 164. 338 Meisters weiter gezogen sei; bittet wegen der zu ertheilenden Antwort um Rath und billigt ein von Reval an den Bischof von Nowgorod aufgesetztes Schreiben; 1438, Decbr. 14. . (Die Rathssendeboten der livländ. Städte aus Dorpat an Reval) : sie hätten dem Grafen von Cleve eroffnet, dass sie wegen der Kreuzküssung und um die Deutschen in Nowgorod nicht zu vefährden, seiner Bitte, die Russen in Livland anzuhalten, nicht sofort nachgeben kônnten; (Anfang 1439). Dorpat und die Rathssendeboten von Reval an den Statthalter des Meisters zu Livland: melden, dass sie mit dem Comthur von Fellin, als dem Vertreter des Grafen von Cleve, übereingekom- men, die Beschwerden des letzteren gegen Nowgorod zunächst auf friedlichem Wege zu erledigen; 1439, Januar 15 . Dieselben an den deutschen Kaufmann zu Nowgorod: theilen mit, dass sie sich mit dem Nowgoroder Boten Iwan Maxim da- hin gecinigt, dass die beiderseitigen Kaufleute frei sein sollten, und jetzt die Bestätigung dieser Abmachung von Nowgorod er- wartet würde; 1439, Januar 15. 5. Dorpat an den deutschen Kaufmann zu Pskow: meldet das Abkommen mit dem Nowgoroder Boten, bestimmt jedoch, dass bis auf Weiteres Niemand von ihnen nach Nowgorod ziehe; 1439, Januar 16. . Dorpat an Reval: theilt einen Brief des Hofesknechts Hans Munstede mit (nach welchem Nowgorod seine Kaufleute erst über die Grenze haben wolle, ehe es die Deutschen freilasse) und räth, der Weisung Munstedes gemäss, die Russen festzu- halten; 1439, Februar 6. Die Alterlèute des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: melden, dass sie nach langen Verhandlungen sich mit Nowgorod dahin geeinigt, dass zuerst die Russen aus Livland abzichen sollten, wogegen ihnen Nowgorod die Zusage, sie dann auch freizulassen, besiegelt hâtte, und fragen an, ob Re- val darauf eingehen wolle; 1439, Februar 25. Gerhard von Cleve an Reval: beklagt sich, von demselben ohne Antwort gelassen zu sein und bittet die Russen bei sich zu ar- restiren; Marienburg, 1439, Febr. 26. Abkommen Grossnowgorods mit dem deutschen Kaufmarn da- selbst, dahin lautend, dass letzterer erst dann abziehen dürfe, wenn die Russen von Reval und Dorpat Nyenslot erreicht hätten; (1439, Februar Ende). Riga an Dorpat: räth auf die Vorschläge Nowgorods einzuge- hen und den russischen Kaufmann fahren zu lassen, sich auf weitere definitive Einigungen aber nicht einzulassen, da die überseeischen Städte selbst Boten hätten senden wollen; 1439, Mäürz 10. . Dorpat an Reval: bittet ihm mitzutheilen, waun es die Russen bei sich freigebe, um darauf die Nacbricht an Nowgorod ge- langen zu lassen; 1439, April 6. . Dorpat an Nowgorod: meldet die Freilassung der Russen und verlangt, dass jenes deu gegebenen Zusagen gemäss nun auch die Deutschen ziehen lasse; (1439, April) 3. Henning, Erzbischof von Riga (an den Grafen Gerhard von Cleve): erklärt ihm das Verbältniss, in welchem Livland zu Bussland stehe, entschuldigt die Städte, weun sie auf sein Ver- langen nicht eingegangen und räth ihm, seine Sache auf dem Rechtswege zu verfolgen; 1439, Mai 19. Dorpat an Reval: da die Deutschen in Nowgorod freigegeben seien, so solle dem Verkehr nichts in den Weg gelegt werden; 1439, Mai 31. . Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: bitten dafür zu sorgen, dass keine unzuverlässigen Leute auf den Hof kämen, da dies bereits zu Zwistigkeiten mit den Russen geführt habe; 1439, Sept. 9. . (Meïster zu Livland an Reval): meldet, dass er wegen der von den Russen bei Narva fortwährend begangenen Pferdedieb- stähle Repressalien zu nehmen gedenke, weshalb der deutsche 22 339 167. 172. 173. 174. 175. 176. 177. 179 150. 181. 182. 183. . Bernard Brakel, Priester auf dem deutschen Hofe, an Reval: . Die Alterleute des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Dinstag nach . Dorpat an Reval: meldet, dass einigen Dorpatensern in Nowoo- Kaufmann sich mit dem ersten Schlittenwege aus Nowgorod zurückzichen solle; (1439, Novbr. Anfang). Dorpat an Reval: übersendet einen Brief des deutschen Kauf- manns zu Nowgorod, der von den Zwistigkeiten mit den Russen wegen der an den Befestigungen des Gotenhofes.vorgenomme- nen Bauten, von seiner Abhängigkeit gegenüber den russischen Trägern u. A. handelt ; 1440, Januar 10. beklagt sich, dass der Kaufmann ihm seinen Lohn verkürzt habe und bittet um Fürsprache bei demselben; 1440, Jan 17. val: theilen die Gründe mit, welche bewogen hätten, den Lobn des Priesters herabzusetzen; 1440, Januar 29. 187. Reminiscere (Februar 23) 1440 zu Wolmar. 188. rod ihre Güter abgepfändet seien, und bittet, da Revalenser die Schuld trügen, die nôthigen Schritte zur Freigebung derselben zu thun; 1440, März 7. Gerhard, Junker von Cleve, an Henning, Erzbischof von Riga: theilt mit, dass er die in seinem Lande arrestirten Güter aus den livländ. Städten freigegeben habe und spricht die Hoffoung aus, dass die letzteren sich ihm in seinem Vorgehen gegen die Rus- sen nun willfäbrig erzeigen würden; 1440, April 6. Die Vorsteher des deutschen Hofs zu Nowgorod an Reval : mel- den ihre Verhandlungen mit Nowgorod wegen Bedrückung der russischen Kaufleute zu Reval und namentlich wegen des dem Russen Sinove zugefügten Unrechts; 1440, April 25. Wisby an die drei livländ. Städte: bittet dafür zu sorgen, dass in Nowgorod die Schra beobachtet, im Besonderen dem Prie- ster sein Lohn nicht verkürzt werde ; 1440, Mai 20. Dorpat an Reval: meldet, dass von dem von den Russen arre- stirten, jetzt aber freigegebenen Dürptschen Guté ein Theïl ent- wendet sei und bittet diese Sache mit den demnächst anlan- genden Nowgoroder Boten zu regeln; 1440, Mai 29. Dasselbe an dasselbe : stellt es in das Belieben des letzteren wesen der leicht verderbenden Waare, die nach der Newa verschifft werde, Anordnungen zu treffen; 1440, Juni 25. (Dorpat an Reval): erwiedert auf dessen Mittheilung von der durch den Nowgoroder Boten gethanen Drohung, die Deut- schen auf dem Hofe würden arrestirt werden, dass es an seiuer Stelle die dortigen Russen so lange anhalten würde, bis man alle Sachen erledigt habe; 1440, Juli 1. Lübeck an die. drei livländ. Städte: spricht seine Verwunderung darüber aus, dass die Livländer in Bezug auf den Lohn des Hofespriesters so eigenmächtig vorgesangen, und verlangt, dass sie in Zukunft derartiger Übergriffe sich enthielten; 1440, Juli 1. Dorpat an den Herzog von Clève: rechtfertigt das Verfahren der livländ. Städte in der Zwistigkeit des Junkers Gerhard mit den Russen und bittet um seine Vermittlung bei jenem; 440, Juli 28. Wisby an die drei livländ. Stüdté: empfehlt ihnen, die alten Ordinancien auf dem Nowgoroder Hofe streug aufrechtzuerhal- ten und versichert, von seinen Vorrechten daselbst nicits auf- geben zu wollen ; 1440, Septbr. 28. Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Tage Viucentii (Januar 22) 1441 zu Woïmar. Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: melden die Klagen mebrerer Russen gegen den Reval- schen Rath, und dass sie bei der zweifelhaften Stimmung Now- gorods die Reise nicht wagen kônnten; 1441, Mai 16. Dorpat an Reval : räâth die Botschaft an Nowgorod sobald als môglich abgehen zu lassen, da man in Folge der Ankunft vie- ler Russen in Reval augenblicklich einen Druck bei den Ver- handlungen ausüben kônne; 1441, Mai 28. 189. 190. 193. 194. 200. Bulletin de l’Académie Impériale 184. 340 Dasselbe an dasselbe: meldet die Entschuldigung des Hofes- knechts wegen eines ungebührlichen Schreibens des Kaufmauns zu Nowgorod an die Städte, ferner, dass es, weil vor Kurzem einige Russen in der Newa «über Bord gehauen» seien, den Zug nach Nowgorod bei sich verboten habe; 1441, Juni 18. . Dasselbe an dasselbe: theilt mit, dass das aus Pskow gebrachte und bei ihm schlecht befüundene Wachs über Narva ausgefübrt werde und bittet dies môglichst zu hindern; 1441, August 1. Lambert von Bodeken (in Nowgorod) an Heinrich Susynk in Lübeck: benachrichtigt ihu über deh Stand des russischen Marktes; 1441, August 15. Abo an Reval: meldet, dass die neun Hofknechte, welche Russen auf der See geplündert, von ihm kein Geleite erhalten hätten und der Verkauf der geraubten Güter von ihm verboten sei; 1441, Septbr. 4. ‘ Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: melden, dass Bernt Boegel von den Russen beraubt wor- den und von denselben kein Recht hätte erlangen kônnen, dass den Russen der Zug nach Livland verboten und ihnen selbst die Abreise unmôglich gemacht sei; 1441, Novbr. 22. Lübeck an den deutschen Kaufmann zu Nowgorod: verweist ihm die eigenmächtige Verkürzung des Lohns des Priesters ünd verlaugt, dass das Fehlende an den Bevollmächtigten des- selben ausgezahlt werde; 1441 (Ende). Die ÂAlterleute des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Dorpat: melden die Klagen mehrerer Russen über Rechtsver- weigerung in Livland und bitten dieselben zufriedenzustelleu; 1442, Januar 2. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Dinstag vor Reminiscere (Februar 20) 1442 zu Wolmar. 2. Dorpat an Reval: theilt einen Brief des Hofesknechts Hans Munstede mit (in welchem die Besetzung der Deutschen, die ibm persünlich drohenden Gefahren, ein grosser Brand auf dem Gotenhofe u. A. gemeldet wird) und will zunächst den Zug nach Nowgorod verbieten; 1442, Febr. 24. v Hans Munstede, Hofesknecht zu Nowgorod, an Dorpat: meldet, dass die Russen den Hof zweimal berannt hätten und er stünd- lich in Lebensgefahr schwebe; 1442, Mürz 5. Dorpat an Grossnowgorod: erinnert gegenüber seinem Verfah- ren gegen die Deutschen und besonders den Hofesknecht an die Bestimmungen der letzten Kreuzküssung und bittet den Kaufmann freizugeben; (1442, März Anfang). . Dasselbe an Reval: theiïlt mit, dass es in Folge der eingegan- senen schlimmen Nacbrichten einen Boten und Briefe an Now- gorod gesandt habe, um den Kaufmann frei zu machen; 1442, Mürz 11. . Narva an Reval: meldet die ihm mündlich über Munstedes ge- fabrvolle Lage überbrachten Nachrichten; 1442, Mürz 11. . Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: melden ihre Einschliessung und Bewachung durch die ussen und bitten den in Reval angeblich schwer geschädigten Baklan und Sichne zufriedenzustellen, da Nowgorod denselben bercits erlaubt habe, sich an dem Kaufmann selbst ihr Recht gu nehmen; 1442, April 13. Dorpat au Reval: meldet, dass sein Bote aus Nowgorod zu- rücksekehrt, letzteres jedoch den Kaufmann nicht eher frei- sübe, als bis jenen beiden Russen Recht geschehen sei; 1442, April 23. ’ Die Vorsteher des deutschen Hofs zu Nowgorod an Reval : mel- den, dass sie noch immer besetzt seien, doch einen Termin von sechs Wochen erlangt hätten; würden aber inzwischen jene beiden Russen von Seiten Revals nicht zufriedengestellt, so müssten sie für den Schaden aufkommen; 1442, Mai 3. Wisby an die drei livländ. Städte: beklagt sich, dass nament- lich Dorpat es aus seinen Gerechtsamen auf dem Nowg. Hofe zu verdrängen suche, verlaugt, dass dem von ihm zu ernen- 341 204, 205. 206. 207. Le] re" [ee] 213. 214. . Auszug aus dem Hanserecess auf Pfngsten (Mai 20) 1442 zu . Meister zu Livland an Reval: verbietet mit Rücksicht auf die . Protocoll über die Verhandlungen des Raths von Lübeck im . Karl Knutson, Hauptmann auf Wiborg, an Reval: spricht sein . Dorpat an Reval: erklärt sich mit den Anordnungen desselben . Dasselbe an dasselbe: bittet bei Lübeck anzufragen, wie man . Meister zu Livland an Reval: meldet, dass er zur Abwehr eines . Die Domer und Richter auf Gotland an Reval: bitten den ver- nenden Priester der volle Lohn gezahlt werde und mabnt eine alte Schuld ein; 1442, Mai 12. Stralsund. ibm von Nowgorod widerfahrene Rechtsverweigerung die Korn- ausfubhr dorthin; Riga, 1442, Juni 5. Namen der Hanse mit den Boten der drei livl. Städte, welchen letzteren dabei u. A. die Befugniss, den russischen Handel] zu schliessen und zu üffnen, gegeben und aufgetragen wird, nach einer neuen Kreuzküssung zu streben; 1442, Juni 20. Lübeck an den deutschen Kaufmann zu Nowgorod: theilt mit, dass die livl. Stidte mit der Leitung' des Nowg. Hofes betraut worden, er in Kolge dessen den Anordnungen derselben nach- zukommen und sich in allen Dingen stets an sie zu wenden habe; 1442, Juni 22. Dorpat an Reval: theilt mit, es würde anordnen, dass die Deut- schen insgesammt den Hof verliessen, da dies das cinzige Mit- tel sei, mit den Russen zu definitiven Vereinbarungen zu ge- langen; 1143, Febr. 10. Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom ersten Fasten- sonntag (März 3) 1443 zu Pernau. Dorpat an Reval: meldet, dass die Deutschen den Hof ver- lassen, der Bischof und Abt von St. Jürgen aber die Schlüssel zu demselben nicht hätten annehmen wollen, und bittet dies mit den nächsten Nowgoroder Boten zu ordnen; 1443, März 21. Bedauern darüber aus, dass die Russen bei der herrschenden Q . . r . Hungersnoth von gewisser Seite mit Korn versehen seien; 1443, Mai 5. zur Vollendung der Handelssperre einverstanden und fordert zur Bestrafung aller Contravenienten auf; 1443, Juli 2. bei der feindlichen Stellung des Ordens zu Nowgorod das In- teresse des Kaufmanns am Besten wahrnehmen und sich der etwaigen Bitte gegenüber, die Vermittlung zu übernehmen, stellen solle; 1443, Octbr. 1. zu erwartenden Angrifis der Russen noch in diesem Herbst Nyenslot angreifen und das Watland verheeren wolle, bittet um seine Ansicht und um etwaige Kriegshilfe; Neuermühlen, 1443, October 1. sessenen Zins vom Gotenhofe ihrem Bevollmächtigten, dem Abte des Rumklosters Johannes, auszuzahlen und ihnen mitzu- theilen, ob der deutsche Kaufmann den Hof unter den bishe- rigen Bedingungen weiter behalten wolle; 1445, Octbr. 18. Comthur von Reval an den Rath daselbst: meldet, dass die Russen ein Heer zusammengezogen hätten, an einzelnen Orten bereits zu Feindseligkeiten übergegangen seien und die Vasal- len von Harrien und Wirland sich zum Widerstand rüsteten; Narva, 1443, Novbr. 10. Karl Knutson, Hauptmann auf Wiborg, an Grossnowgorod : schlägt die Aufnahme eines allgemeinen Tages vor und bietet für denselben seine Vermittlung zwischen Nowgorod einer- und dem Junker von Cleve, dem livländ. Meister und der Hanse audererseits an ; 1443, Novbr. 24. , (Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval): meldet, dass Nowgorod die friedliche Einigung seines Boten mit Reval ver- worfen habe; (1443). 6. Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonntag vor Ca- thedra Petri (Januar 12) 1444 zu Walk, . Comthur zu Reval (von der russischen Grenze) an den Rath von Reval: meldet, dass Nowgorod keinen Tag aufnehmen wolle und des Sciences de Saint-Pétersbourg. 228 229 219. 34? seinen ganzen Heerbann nach Nyenslot aufgeboten habe; 1444, Januar 17. ù . Bernt von Haltern aus Narva an Reval: es verlaute, dass die Russen einen Tag aufnehmen wollten und ihr Heer wieder zu- rückgegangen sei, doch wäre man über ihre wahren Absichten noch im Unklaren; 1444, Januar 18. Comthur zu Reval (von der russ. Grenze) an den Rath von Re- val: meldet, dass er zu Reynever mit russischen Boten verhan- delt und einen Waffenstillstand von 3 Wochen aufgenommen habe, doch das Zustandekommen eines Tages noch zweifelhaft wäre; 1444, Januar 24. . Derselbe (aus Narva) an denselben: theilt mit, dass die Waffen- stillstandsverhandlungen mit den Russen sich zerschlagen, da jene die Aufnahme der Hansestädte in den Stilstand verlangt hätten, und bittet sich zur Heerfabrt zu bereiten; 1444, März 6. . Derselbe (von der Grenze) an Rath und Gemeinde zu Reval: meldet, dass ein russ. Heer Narva stürme, ein anderes das Land verwüste, er selbst mehrere Meilen zurückgedrängt worden sei und bittet ihre ganze Macht auszurüsten; 1444, März 25. . Lübeck an die drei livländ, Städte: erwiedert auf ihre Be- schwerde, dass trotz des Handelsverbots die wendischen und preussischen Städte den Verkchr mit den Russen namentlich über Wiborg und Abo unterhielten, dass es jenes Verbot den Städten nochmals einschärfen wolle, es jedoch nicht in seiner Macht läge, den Handel über Schweden zu hindern, und bittet den Verkehr, der zwischen Riga und Polozk, s0- wie zwischen Dorpat und Pskow noch immer bestehen solle, einzustellen; 1444, Mai 10. . Meister zu Livland an den Hauscomthur zu Reval: befiehlt ihm, unter Mitwirkung des dortigen Rathes den Verkehr nach Dor- pat zu hemmen, da die Waaren von hier nach Pskow und so den Nowgorodern zugeführt würden; Riga, 1444, Mai 26. . Reval an Dorpat: übersendet den oben angeführten Lübischen Brief und meldet das Verlangen des Meisters, dass die Städte die russ. Handelssperre streng aufrechterhielten; (1444, Ende Mai). . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonntag nach Visitationis Mariae (Juli 5) 1444 zu Wolmar. : Meister zu Livland an Reval: macht Mittheilung über den mit Nowgorod geschlossenen Stillstand, der sich indess nur auf die Ordenslande beziehe, da Niemand für die Hanse eine Voll- macht gehabt, verlangt ferner, dass bis zu einem endlichen Aus- gleich die Strassen geschlossen bleiben, u. s. w.; Riga, 1444, Decbr. 2. . Derselbe an dasselbe: bittet, ihm auf sein etwaiges Ansuchen zu dem demnächst in Narva mit Nowgorod zu haltenden Tage sechs bis acht Rathleute zur Vermittlung zu senden; 1444, Decbr. 17. k Lübeck an die drei livländ. Städte: antwortet auf ihre letzten Mittheilungen (dass der Tag zu Narva resultatlos geblieben, jedoch ein neuer auf Johannis angesetzt sei) dass es für den Fall des Krieges den Kaufmann vor Versendung von Waaren nach Livland gewarnt habe; sollte es aber Frieden werden, so dürfe der Verkehr trotzdem vor Abschluss einer neuen Kreuz- küssung nicht wieder beginnen; 1445, April 19. . Meister zu Livland an Reval: theilt auf dessen Klage, dass, falls der Friede auf zwei Jahre mit den Russen nicht zu Stande käme, dem Handel die grôssten Verluste erwüchsen, mit, dass diese Angelegenheit demnächst zu Wolmar berathen und er ihm dann weitere Nacbricht geben würde; Riga, 1445, Juli 28. Riga an Reval: meldet, dass es zur Beschlassfassung in den Nowgoroder Angelegenheiten eine Tagfahrt nach Wolmar auf den 12. Decbr. ausgeschrieben habe; 1445, October 14. 1. Dorpat an Reval: bespricht die angesetzte Tagfahrt und mel- det, dass es einen Boten nach Nowgorod absenden werde, um 92# 343 Bulletin de l’Académie Impériale 344 a ————_—_—_—"— ———"— 255. Auszug aus dem livländ, Städtetagsrecess vom Sonntag vor 241. 245. 246. Hüfe und Kirche zu besichtigen und um sich über die dortige Lage zu vergewissern; 4445, Octbr. 22. 2, Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Abende Luciae (December 12) 1445 zu Wolmar. . Auszug aus dem Hanserecess von Ascensionis domini (Mai 18) 1447 zu Lübeck. 4. Friedensschluss auf 25 Jahre zwischen dem Meister zu Liv- land einer- und Nowgorod und Pskow andererseits; 1448, Juli 25. . Lübeck an Grossnowgorod: indem es au die grosse Unsicher- heit des Verkehrs in den letzten Jahren erinnert, erbietet es sich, falls Nowsorod den deutschen Kaufmann bei den alten Freiheiten lassen wolle, seine Boten nach Livland zu senden, um eine neue Kreuzküssung zu besiegeln; 1448, Novbr. 10, . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom zweiten Sonntag nach Ostern (April 27) 1449 zu Wolmar. . Lübecks Vollmacht für die drei livländ. Städte zu Vorverhand- lungen mit Nowgorod wegen Abschlusses einer Kreuzküssung; 1449, Juli 13. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Montag nach Philippi et Jacobi (Mai 4) 1450 zu Pernau. . Auszug aus dem Hanserecess auf Matthaei apostoli (Septem- ber 21) 1450 zu Lübeck. . Karl Knutson, Hauptmann auf Wiborg, (an einen Ordensbeam- ten): meldet, dass die Russen rüsteten, um Narva zu Wasser und zu Lande anzugreifen; (um 1450). î Bericht eines Revalschen Boten tiber seine Verhandlungen mit Nowgorod wegen eines an der estnischen Küste an Rus- sen ausgefübrten Raubes; (um 1450). . (Mittheilung des Meisters an Reval) über Verhandlungen mit Pleskauschen Boten; (um 1450). . Protocoll über die Verbandlungen livländ. Rathssendeboten mit dem Rathe zu Lübeck vom Freitag nach Kiliani (Juli 9) 1451. . Protocoll über die Sonderberathungen der livländ. Städteboten auf dem Landtage zu Wolmar am Tage Fabiani et Sebastiani (Januar 20) 1452. Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonntag Remi- niscere (Februar 25) 1453 zu Pernau. Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: machen Mittheilung über einen grossen Brand auf beiden Hôfen und die zum Wiederaufbau festgesetzte Besteuerung; 1453, Juli 25. . Auszug aus dem livländischen Städtetagsrecess vom Sonnabend nach Laurentii (August 11) 1453 zu Wolmar. . Auszug aus dem Hanserecess vom Monat December 1453 zu Lübeck. , . Die Vorsteher des d. Hofs zu Nowgorod an Reval: berichten über Hans Kremer, der heimlich ausgefabren, darauf von seinen russischen Gläubigern zurückgebracht sich mit ihnen geeinigt habe, doch jetzt durch den Kaufmann von den Hôfen verwiesen sei; 1454, Juni 13. . Die Landesdomer auf Gotland an Reval: bevollmächtigen den Überbringer Albert Schattenhusen zum Empfang des versesse- uen achtjährigen Zinses vom Gotenhofe und schlagen vor, den Vertrag über den letzteren zu erneuern; 1454, October 4. . Aufzeichnungen des Revalschen Raths über seine Auslagen für Besendungen Nowgorods und für den deutschen Hof in den Jahren 1421—1455. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonntag Remi- niscere (Mäürz 2) 1455 zu Pernau. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess auf Assumptionis Mariae (August 15) 1455 zu Riga. . Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Sonntag Invoca- vit (Febr. 15) 1456 zu Walk. 256 Valentini martyris (Febr. 13) 1457 zu Wolmar. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonntag nach Purificationis Mariae (Febr. 5) 1458 zu Wolmar. 257. Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Tage Matthaei (Septbr. 21) 1458 zu Wolmar. 258. Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Dinstag nach 259 260 261 262 265 266 267 268 269 270 272 273 274 Invocavit (März 4) 1460 zu Walk. . Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: mélden, dass die neuangelangten Honigtonnen zu klein und daher vorläufig angehalten seien, und bitten sich nach dem Lübischen Mass zu richten; 1461, Februar 2. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Abende Apollo- niae virginis (Febr. 8) 1461 zu Pernau. . Instruction für die Revalschen Gesandten zum Hansetage d. J. 1461 in Lübeck. . Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: melden ihre Vérhandlungen mit Nowgorod wegen der vom Comthur von Reval gefangen genommenen Russen, dass sie für dieselben drei Geiseln hätten stellen müssen und ibnen eventuell Besetzung drohe; 1463, Januar 6. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Dinstag nach Invocavit (Febr. 21) 1464 zu Wolmar. . Lübeck an die Rathssendeboten der livländischen Städte: giebt ihnen auf ihre Mittheilung von dem demnächst zu Ende gehen- den Frieden mit Nowgorod den Rath, einen zwei- bis dreijährigen Beifrieden aufzunehmen, um dann während desselben eine de- finitive Einigung zu erreichen; 1464, Juli 25. . Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: fragen um Rath, ob sie die Entschädigung, welche ihnen der Orden für das ihnen um seinetwillen von den Russen Ab- geschatzte büte, annehmen sollten und melden Beeïinträchtigun- gen im Tuchhandel; 1465, März 9. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Montag nach Reminiscere (März 11) 1465 zu Pernau. . Die livländischen Rathssendeboten (aus Nowgorod) an Reval : melden, dass ihre Friédensverhandlungen erfolglos geblieben seien, sie selbst an der Abreise gehindert würden und rathen die Güter der Russen in Reval anzuhalten; 1466, März 16. . Dorpat an Reval: theilt mit, dass es auf den Brief der Sende- boten aus Nowgorod die Russen bei sich angehalten habe, die Boten jedoch jetzt zurückgekehrt seien, und bittet um Rath, wie man den Russen gegenüber weiter verfahren solle; 1466, Mürz 26. . Auszug aus dem livländischen Städtetagsrecess vom Montag nach Exaltationis s. crucis (Septbr. 15) 1466 zu Walk. . Die Alterleute des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: melden, dass unechte Ypersche und Bredepepersche Tü- cher aus Reval und Dorpat nach Nowgorod gekommen seien, und bitten dies in Zukunft zu hindern; 1467, Mürz 21. . Dieselben an dasselbe: machen weitere Mittheilung in dersel- ben Angelegenheit, dass die Käufer jener Laken besonders über die Kürze klagten und selbst nach Reval kommen würden, um ihren Schaden ersetzt zu erhalten; 1467, Juni 11. . Lübeck au die livländischen Rathssendeboten zu Walk: er- klärt sich mit dem aufsenommenen zweiïjährigen Beifrieden und dem Plane, Boten nach Nowgorod zu senden, um weitere Verhandlungen anzubahnen, einverstanden, will wegen der fal- schen Troyenisse dem Kaufmann zu Brügge schreiben, u.s, w.; 1467, J'uni 17. . Die Alterleute der Nowgorodfahrer zu Lübeck an Reval: machen Mittheilung über die ausgelaufene Handelsflotte und geben an, wie mit den dieselbe begleitenden Süldnern zu ver- fahren sei; 1467, Juni 18. . Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Dor- pat: melden, dass sie auf die Nachricht der Arrestirung der 1 345 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 346 2717. 279, 290. . Riga an Reval: . Derick Hagenbecke (aus Lübeck) an Reval: Russen zu Reval besetzt seien und Marck Panphili demnächst als russischer Bote nach Livland gehen werde; 1467, Decem- ber 27. . Auszug aus dem livländ. Stüdtetagsrecess vom Montag vor Epi- phania Domini (Januar 4) 1468 zu Wolmar. . Dorpat an Reval: erklärt seine Zustimmung zu der Ansicht des letzteren, dass die Städte mit der Besendung Nowgorods zu warten hätten, bis dass man das Anbringen des Marck Panphili an den Meiïster erfahren; 1468, Januar 23. Riga an Reval: meldet, dass der Bote Marck Panphili beim Meister nur Klage über Narva und Reval gefübrt, in den Ver- handlungen mit ihm dagegen sich beschwert, dass man den Russen in Livland den Kleinhandel verbiete und bemerkt habe, dass die Besetzung des deutschen Kaufmanns auf die Nachricht der Arrestirung der Ihrigen zu Reval geschchen, doch Nowgorod zum Frieden bereit sei; 1468, Januar 27. . Dorpat an Reval: meldet, dass sein Bote Hinrik Borger mit ei- nem Geleitsbriefe aus Nowgorod zurückgekehrt, bittet um des- sen Ansicht, wie mit der Besendung jetzt fortzufahren sei, und beklagt sich, dass der Revalsche Bote nicht, wie es abge- macht worden, mit dem Zehrgeld für beide Theile versehen gewesen sei; 1468, Mai 5. Dasselbe an dasselbe: des letzteren Ansicht, die Besendung bis zum Herbst zu verschieben, hätte es weiter an Riga mitgetheilt und warte jetzt auf dessen Antwort; die Zehrung seines Boten Hinrik Borger, die Reval ersetzen wolle, betrüge 52 Mrk. 6 Schill.; 1468, Mai 28. D. Dasselbe an dasselbe: meldet, dass es den 10. August als Ab- gangstermin für die Gesandtschaft an Nowgorod festgesetzt habe, bittet seine Boten mit allem Erforderlichen zu versehen und ihm mitzutheilen, ob dieselben den Land- oder Wasserweg neh- men sollten; 1468, Juli 17. . Vollmacht der Landesdomer auf Gotland für Hinrik Halekouw, den achtzehnjährigen Zins vom Gotenhofe in Nowgorod, im Betrage von 90 Rhein. Gulden, beim Rathe von Reval zu er- heben; 1468, Septbr. 4. . Specificirte Angaben des Lübischen Rathes über die Ladung eines Schiffes, das auf dem Wege von Lübeck nach Reval in den Nyländischen Scheeren untergegangen; 1469, Febr. 20. (18 Seiten.) . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonntag Remi- niscere (Febr. 26) 1469 zu Wolmar. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonntag nach Valentini mart, (Februar 18) 1470 zu Pernau. meldet, dass das Original der Nyebur’schen Kreuzküssung sich bei ihm nicht vorfinde und sendet eine Übersetzung der bei ihm vorhandenen Copie; 1470, März 28. . Auszug aus dem Hanserecess auf Bartholomaei (August 24) 1470 zu Lübeck. übersendet den letzten Hanserecess nebst einer Copie des auf Gotland befind- lichen Nyebur’schen Kreuzbriefs; letzteren wollten die von Gotland nicht herausgeben, hätten sich indess bereit erklärt, wenn Lübische Boten nach Nowgorod zügen, die ibrigen mit jener und andern alten Kreuzküssungen auch dorthin abzusenden; 1470, October 5. . Auszug aus dem livländ, Städtetagsrecess vom Montag vor An- tonii confessoris (Januar 14.) 1471 zu Walk. . Die livländ. Rathssendeboten vom Tage zu Walk an Lübeck: melden, dass sie sich dem Beschlusse des Hansetages, nach Ostern den Verkehr mit Nowgorod abzubrechen, fügten und bitten zugleich, die in Narva bereits angehäuften und leicht verderbenden Waaren noch bis Jacobi den Russen verkaufen zu dürfen; 1471, Januar 22. Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonnabend nach Antonii (Januar 18) 1472 zu Wolmar. 291. 293. 294. 303. 304. 305. 306. . Meister zu Livland an Reval: Die livländ. Rathssendeboten vom Tage zu Wolmar an Danzig: bitten die Salzankäufe der Schweden und Narvenser bei sich nicht zu gestatten, da jenes Salz den Nowgorodern zugeführt werde; 1472, Januar 18. 2, Dieselben an Lübeck: richten an celle ebenfalls die Bitte, den Handel der Narvenser bei sich nicht zu erlauben; 1472, Januar 18. Wisby an Reval: theilt mit, dass es ihm zu gefährlich scheine, das Original der Nyebur’schen Kreuzküssung von sich zu sen- den, spricht über die Anfrage Revals, ob es die Gerechtigkei- ten des Kaufmanns zu Nowgorod noch fernerhin geniessen wolle, seine Verwunderung aus, da es keins seiner Rechte auf- zugeben gedächte, und wiederholt seine frühere Bitte wegen Erstattung alter Auslagen; 1472, Juni 1. Die Vorsteher des deutschén Kaufmanns zu Nowgorod an Re- val: melden, dass sie von den Lodjenführern ungebübrlich beschatzt und von Nowgorod bei ihren Klagen stets auf eine nach Livland abzufertigende Botschaft verwiesen würden; ma- chen ferner Mittheilung von den Zwistigkeiten mit den Russen wegen Kürze der flandrischen Tücher ; 1473, März 30. theilt mit, dass der Dôrptsche Bote von Pleskau die Antwort gebracht, es wolle den vier- wôchentlichen Stillstand halten, dann aber keinen weiteren Frieden haben, und bittet deshalb zur Heerfahrt gerüstet zu sein; Trikaten, 1473, Septbr. 2. Narva an Reval: bittet die Kaufleute, welche in Narva ihre Nie- derlagen hätten, zu veranlassen, bei dem zu befürchtenden Ein- fall der Russen ihm Kriegshilfe zu senden ; 1473, Septbr. 15 . Auszug aus dem livländischen Städtetagsrecess vom Dins- tag nach Invocavit (März 4) 1476 zu Dorpat. . Auszug aus dem Hanserecess von Ascensionis domini (Mai 23) 1476 zu Lübeck. . . Auszug aus dem livländischen Städtetagsrecess vom Sonntag Reminiscere (März 1) 1477 zu Wolmar. . Auszug aus dem livländischen Landtagsrecess vom Sonntag nach Michaelis (October 5) 1477 zu Walk. . Die livländ. Rathssendeboten vom Landtage zu Walk an Lü- beck: theilen mit, dass sie ein zu Nowgorod zwischen einem Deutschen und cçinem Russen getroffenes Abkommen, nach welchem von der einen Seite die Waaren, von der andern das Geld zu einer bestimmten Zeit in Narva geliefert werden soll- te, für Vorkauf und somit ungesetzlich erklärt hätten; 1477, October 5. F . Dieselben an den deutschen Kaufmann zu Nowgorod: verwenden sich für die Forderungen, welche die Erben des ehemaligen Hofesknechts Hans Steenweg an den deutschen Kaufmann ha- ben; 1477, October 5 Auszug aus dem livländischen Stüdtetagsrecess vom Dinstag nach Judica (März 10) 1478 zu Walk. Die livländischen Rathssendeboten vom Tage zu Walk an Lü- beck: melden, dass sie nach der Besetzung des Kaufmanns zu Nowgorod sich durch einen Dürptschen Boten um dessen Be- freiung bemühen wollten und den Verkebr inzwischen verboten hätten und bitten um weitere Verhaltungsmassregeln; 1478, Mürz 10. Dieselben an dasselbe: berichten über den Einfall, den der Grossfürst von. Moscau unentsagten Friedens in Livland ge- macht, setzen auseinander, wie durch die Einnahme Nowgorods uni Pskows dem deutschen Kaufmann und ihrem ganzen Lande die grôsste Gefahr drohe, der es allein nicht begegnen künne, und bitten daher um guten Rath und Beistand; 1478, März 10. Dieselben an den deutschen Kaufmann zu Nowgorod: melden, dass sie sich durch einen Boten für seine Befreiung verwenden wollten und verweisen im Übrigen auf dessen mündliche Mit- theilungen; 1478, Mäürz 10. 347 307. Dorpat an Reval: theilt einen Brief des deutschen Kaufmanns 308. 313. 314. 316. 317. 318. 319. in Nowgorod mit (der die Gefahren zeigt, welche bei dem aus- gebrochenen Kriege den dort noch vorhandenen Deutschen drohen), meldet, dass es den Abzug derselben angeordnet und für den Fall, dass sie unterwegs angehalten würden, die Hilfe des Voigts und Raths zu Narva angerufen habe; 1478, Juli 10. (Beilage zum vorigen Brief). Godeke van Telchten, Hofesjunge zu Nowgorod, an Timan Hecket in Dorpat: meldet, dass, nach- dem die Nachricht angelangt, die Schweden hätten mehrere russische Kaufleute gefangen genommen und getôdtet, sie be- setzt seien, und bittet sich für ihre Befreiung zu verwenden; (1478, Anfang Juli). . Auszug aus dem livländischén Städtetagsrecess auf Jacobi (Juli 25) 1479 zu Walk. . Dorpat an Reval: bittet um seine Ansicht, inwicweit etwa die hansischen Kaufleute, die am russischen Handel betheiligt, in dem drohenden Kriege mit Pleskau zur Hilfeleistung her- anzuziehen seien; 1479, August 13. Dasselbe an dasselbe: da auf dem letzten Landtage beschlos- sen worden, dass beide Städte Mannschaften in den Peipus senden sollten, seine Schiffe aber nicht ausreichten, so bittet es ihm einen Sachverständigen zu senden, mit dem festzustellen sei, was noch von Schiffen zu bauen und an Geschütz anzuschaf- fen wäre; 1479, August 17. . Narva an Reval: da der Waffenstillstand mit den Russen am 6. December ablaufe und der Grossfürst bereits in Nowgorod erwartet werde, bittet es den Kaufmann, der in Narva seine Waaren habe, zur Hilfeleistung zu veranlassen; 1479, No- vember 1. Meister zu Livland an Reval: meldet, dass der Comthur von Marienburg ein russisches Schloss verbrannt habe, verlangt, dass es ihm zu dem beæbsichtigten Zuge ins Pleskauische recht- zeitig seine Hilfsmannschaft sende und wünscht, dass die städti- schen Boten an die Hanse müglichst bald auszügen, Ronne- burg, 1480, Januar 7. Comthur zu Reval an den Rath daselbst: auf das von letzte- | rem mitgetheilte Gerücht, die Nowgoroder verlangteu einen Beifrieden, um den Handel in Narva fortzuführen, theilt er den wahren Sachverhalt mit, verspricht jedoch für den Fall, dass jene wirklich derartige Absichfén zeigen würden, seine Verwendung beim Meiïster ; Jewe, 1480, Februar 4. . Meister zu Livland an Reval: meldet, dass er auf die Mitthei- lung des Dürptschen Bischofs von einem beabsichtigten Ein- fall der Russen, am Montage nach Invocavit (Februar 21) bei Neuhausen die Grenze zu überschreiten gedenke, bittet die Thrigen dann zu ihm stossen zu Jassen und dieselben auf 4 Wochen mit Proviant zu versehen; Burtneck, 1480, Februar 7. Derselbe an dasselbe: verlangt, dass es den früheren Festset- zungen gemäss 200 oder doch mindestens 100 Mann in den Peipus sende und geïgt, wie wichtig der Besitz desselben für Livland sei; Riga, 1480, April 14. Relation livländischer Städteboten über ihre Verhandlungen mit den wendischen Städten zu Lübeck in Betreff der dem Meister gegen die Russen zu gewäbrenden Kriegshilfe und ei- niger die livl. Städte berührenden Puncte; 1480, April 8 — Mai 5. Bericht livländischer Städteboten über ihre Verhandlungen mit Danzig wegen dér dem Meister im Russenkriege zu leistenden Hilfe und einiger den Handel betreffenden Puncte; 1480, April 21—928. Dorpat an Reval : bittet die Ausfuhr von Salz nach Wiborg zu verbieten, da es von dort den Russen zuseführt werde, meldet von einem Gefecht auf dem Peipus, den Verheerungen, welche die Ihrigen in Russland angerichtet, und dass sie noch immer den See beherrschten; 1480, Mai 19. Bulletin de l’Académie Hmpériale oo 320. 524. 348 Mister zu Livland an Reval: da er aus sicherer Quelle erfah- re, dass dasselbe und die Narvischen zu Wiborg mit den Russen Handel trieben und den Stapel dorthin verlegen woll- ten, verlangt er jenen Verkehr ganz abgestellt zu sehen; be- klagt sich, dass es die 200 Gewappneten noch immer nicht in den Peipus geschickt habe, wodurch viel Unheïil hätte verhütet werden künnen, und fordert es auf, diesem Befehl endlich Folge zu leisten; Neuermühlen, 1480, Mai 30. . Dorpat an Reval: meldet, dass die Ihrigen auf dem Peipus «bei der Woldow» mit den Russen ein Gefecht bestanden hätten und ihm die Nachricht zugehe, dass Pleskau zu Wasser und zu Lande stark rüste; 1480, Juni 15. . Erich Axelson, Hauptmann auf Wiborg, an Reval: meldet, dass kürzlich Boten des Grossfürsten von Moscau und der Haupt- leute zu Nowgorod bei ihm gewesen wären, ohne jedoch ïhre Absicht, den Frieden zu verlängern, zu erreiche», und bittet, da er täglich Kriegsvolk erwarte, den Kaufmann vor der Fabrt in die Newa zu warnen; 1480, Juli 9. . Die livländ. Rathssendeboten vom Tage zu Riga an Lübeck: theilen mit, dass sie mit dem Meiïster sich dahin geeïnigt, dass der Kaufmann zur Führung des Russenkrieges kein Ungelt zahlen, sondern die in Livland verkehrenden Kaufgesellen selbst Kriegsdienste leisten sollten; 1480, Juli 28. Dorpat an Reval: erwiedert auf die Mittheilung jenes (dass es mit dén Alterleuten von Nowgorod verhandeln wolle, um dem heimlichen Verkehr mit den Russen ein Ende zu machen), dass man zuvor abwarten müsse, was das Resultat der jetzigen Pleskauischen Gesandtschaft an den Meister sein werde; 1480, Novbr. 4. . Meister zu Livland an Reval: meldet, dass er auf den 8.Januar einen Tag zu Marienburg mit Pleskau aufgenommen habe, um eine Grenzregulirung und einen Kreuzbrief zu vollenden, und bittet, für den Fall des Misslingens der Zusammenkunft, sich zum Kriege bereit zu halten; Blankensee, 1480, Novbr. 23. . Dorpat an Reval: spricht den Wunsch aus, dass letzteres an der Zusammenkunft mit den Pleskauern theilnähme, die Nowgoroder als Vermittler zugezogen, das Interesse des Kaufmanns allseitig wahrgenommen und der Stapel zu Now- gorod in alter Weise hergestellt werde ; 1480, Decbr. 7. . Meister zu Livland an Reval: meldet, dass ein Theïil der Or- densgebietiger am Neujahrsabend bei der Woldow ins Pleskau- sche einfallen, er aber selbst am 21. Januar bei Neuhausen die Grenze überschreiten würde, und bittet die Ihrigen ihm dann zuzusenden, auch den gemeinen Kaufmann zur Hilfeleistung zu veranlassen; Wenden, 1480, Decbr. 27. . Narva an Reval: do ihm die Nachricht zuginge, dass der Gross- fürst und die Nowgoroder den Pleskauern mit einem Heere zu Hilfe gekommen seien und nächstens vor Narva erscheinen würden, bittet es um schleunige Unterstützung an Mannschaft; 1481, Februar 16 . Der deutsche Kaufmaun d. Z. zu Narva an Reval: bittet um Hilfe an Mannschaft, Waffen und Munition; 1481, März 22. . Voigt zu Narva an Reval: da von einem günstigen Fortgang der Verhandlungen des Thonies Peppersack mit den Russen noch immer nichts verlaute, er auch die Nachricht erhalte, dass Moskowiter, Nowgoroder und Pskowiter demnächst Stadt und Schloss Narva belagern woliten, bittet er, mit Rücksicht auf die Wichtigkeit des Orts ibm Hilfe zu senden; 1481, April 24. . Meister zu Livland an Reval: meldet, dass zu Hapsal russische Spione anfgefangen seien, welche ausgesagt, dass ihrer viele als Bettler das Land durchzôgen , -bittet deshalb auf derartiges Volk Obacht zu geben und verlangt, in Erwartung des aus- brechenden Krieges sich cerüstet zu halten und alle entbebr- liche Mannschoaft nach Norva zu senden; Riga, 1481, Mai 11. _—— 349 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 350 332. 333. 334. 340. 341. 342. 343. Bestimmungen, wie und von wem der neue Friede zwischen Livland und Nowgorod durch den Kreuzkuss befestigt werden solle; 1481, September 21. Meister zu Livland an Reval: da seine Boten, die zur Auf- nahme eines Beifriedens neulich in Nowgorod gewesen, auch die Bedingung angenommen bätten, dass die dem Pleskauer Iwolth zu Reval abgepfandeten Güter demselben erstattet wer- den sollten, fordert er dasselbe auf, den Tag zu Narva mitzu- besenden; Wenden, 1481, Novbr. 21. Dorpat an Reval : meldet, dass es einen Theil der Revalschen Büchsen zurückbehalten babe, da Pleskau das Kreuz noch nicht geküsst, es also gerüstet bleïben müsse, und weist die Vor- würfe jenes zurück, als habe es den Frieden zwischen Nowgo- rod und Livland mitbesiegelt und den Rechten des Kaufmanns etwas vergeben; 1482, Februar $. 5. Narva au Reval: da wegen der Güter, welche die Schweden den Russen genommen, die letzteren in Unfrieden vom Meister geschieden und Nowgorod und Pleskau verbunden seien, bittet es um Unterstützung an Mannschaft und Munition; 1482. . Johannes, Bischof von Dorpat, an Reval: theilt mit, dass die Boten des Grossfürsten an den Papst ihn benachrichtigten, dass der ïhnen vorausgezogene Gesandte Manul in Reval aufgehalten sei, bittet ihn von dem Sachverhalt zu unterrich- ten und macht auf die erwachsenden Sehwicrigkeiten aufmerk- sam; 1483, Mai 5. . Dorpat an Reval: meldet, dass, obgleich seine Mittheilung, die Boten des Grossfürsten würden demnüchst auch Reval berüh- ren, unbeantwortet geblieben, dieselben sich unter Fübrung des Ordensdolmetschers aus Marienburg bereits auf den Weg gemacht, und bittet um Fürderung derselben; 1483, Mai 12. . Meisters-Statthalter zu Livland an Reval: meldet, dass er den Tag, der am 29. Februar zu Narva mit Nowgorod gehalten wer- den solle, nicht selbst besuchen künne, bittet jedoch zwei aus dem Rath dazu abzufertigen; vor Riga, 1484, Januar 15. . (Dorpat an Reval): man vernehme aus Nowgorod, dass eine Gesellschaft von Wälschen und Vlämingen, -welche in Moskau Kriegsmaterial gefertigt habe, sich demnächst durch Livland nach Hause begeben wolle; bittet, dies seinem Comthur und dem Meister mitzutheilen; (1454, August 31). Dasselbe an dasselbe: theilt mit, dass, nachdem es vor einiger Zeit Nowgorod aufgefordert habe, Hof und Kirche der Deut- schen in Schutz zu nehmen, jetzt Nowgorodsche Boten und Briefe bei ihm angelangt seien, worauf sich herausgestellf, dass sein Schreiben missverstanden worden; übersendet des- halb die ganze Correspondenz und bittet um Rath unter dem Hinzufügen, dass die Russen, wie man hôre, den Kaufmann gern wieder hätten; 1484, October 16. Dorpat an Reval: meldet die Ansicht Rigas, dass man wegen der Kürze des Friedens und ohne Wissen der überseeischen Stäidte Nowgorod nicht besenden kônne und bittet in dieser Angelegenheit um Rath; 1486, Januar 8. Dasselbe an dasselbe: theïlt mit, dass wegen verschiedener Kriegsnachrichten die Besendung Nowgorods bisher aufgescho- ben sei, jetzt aber von Statten gehen solle, um den zukünftigen Sendeboten das Geleite zn erwerben; 1486, Juni 27. Dasselbe an dasselbe: es werde einen Bürgermeister und einen Rathmann an Nowgorod abfertisen, welche am 1. Febr. zu Narva mit den Revalschen zusammentreffen sollten, u. 8. w; 1487, Januar 5. . Auszug aus dem Hanserecess von Ascensionis domini (Mai 21) 1487 zu Lübeck. . Dorpat an Johann Rotert, Bürgermeister, und Ludwig van Krafft, Rathmann zu Reval: bittet dem Bertolt van Elsen die Auslagen für die Nowgoroder Reise einzuhändigen und meldet, dass der Grossfürst den russ. Kaufmann aus Nowgorod 346. ©2 CL Qt wegführe, die Statthalter den Krug auf dem Hofe nicht gestat- teten, u. s. w.; 1487, Juni 25. Dorpat an Reval: meldet, dass es den Priester Johann für den Nowgoroder Hof ernannt habe, und bittet demselben auf seiner Reise dorthin behilflich zu sein; 1488, Januar 10. . Die Âlterleute des deutschen Kanfmanns zu Brügge, d. Z. zu Bergen, an Reval: setzen auf des letzteren Klage, dass der Kaufmann zu Nowgorod wegen Kürze der in Flandern bereite- ten Tücher viel Verdriesslichkeiten mit den Russen gehabt habe, auseinander, wie die Unregelmässigkéit in einem gewissen Falle sich erkläre und versprechen im Übrigen die Fabrication zu überwachen; 1488, Mai 6. . Dorpat an Reval: trotz der neu abgeschlossenen. Kreuzküssung werde der Kaufmann zu Nowgorod in Vielem verkürzt und mit allerlei Neuerungen belästigt; bittet um Rath dies zu wandeln; 1488, Novbr. 23. . Dasselbe an dasselbe: melgdet in Betreff der im [nteresse des Kaufmanns an den Grossfürsten abzufertigenden Gesandtschaft, dass sein Bote vor Weïhnachten nicht autbrechen kônne, bit- tet den Revalschen um diese Zeit ebenfalls nach Narva zu senden und mit Geschenken und allem Erforderlichen zu ver- sehen; 1488, Decbr. 19. . Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowsorod an Dor- o pat : die deutschen Boten seien aus Moskau zurückgekehrt, der Grossfürst habe zum Theïl ausweichend geantwortet, doch ver- sprochen, im nächsten Sommer in Nowgorod selbst Alles zu ent- scheiden; in Betreff der Neuerungen im Honig- und Salzhandel sei bei den Staithaltern nichts zu erreichen, u. s. w.; 1489 März 19. ; . Dorpat an Reval: übersendet obiges Schreiben des Kaufmanns, schlägt eine Tagfahrt der Städte und die Besendung des Gross- fürsten im nächsten Sommer vor; 1489, März 27. … Dasselbe an dasselbe: meldet, dass es in Sachen des Hofes- knechts Kersten Hinkelman an die Statthalter zu Nowgorod geschrieben habe und bittet Reval das Gleiche zu thun; 1489, April 4. . Dorpat an die grossfürstlichen Statthalter zu Nowgorod: ver- wendet sich für den Hofesknecht K. Hinkelman, der für eine ihm gauz fremde Angelegenheit in Anspruch genommen werde; 1489, April 4. 4. Lübeck an Reval: meldet von seinen Verhandlungen mit dem griechischen Gesandten des Grossfürsten über die Missstände im Handel und übersendet ein Schreiben an denselben mit der Bitte, falls es ihm thunlich scheine, dasselbe an die Adresse weiter zu befôrdern; 1489, Juni 3. . Dorpat an Reval: der neu ernannte Hofespriester Johann van dem Wolde melde, dass Reval ihn aufgefordert, nicht nach Nowgorod zu zichen, da der Kaufmann aus Mangel an Mitteln und wegen des geringen Verkehrs seiner entbehren kônne; es verwabhrt sich gegen diese Neuerung und bittet dem Priester seinen freien Weg nach Nowgorod zu günnen; 1489, Juli 28. ï. Die Vorsteher des deutschen Hofs zu Nowgorod an Dorpat: melden, dass sie durch die neuen Pächter der Wage sehr beein- trächtigt würden,. der Hofesknecht noch immer in ibm vüllig fremden Angelegenheiten in Anspruch genommen werde und die Statthalter die betreffenden Briefe der Städte nicht beach- teten; 1489, August 3. . Dorpat an Reval: übersendet letzteren Brief, bittet in der Sache um Rath und-meldet, dass es seinen Maurermeister zur Repa- ratur der Kirche des Hofes absenden wolle; 1489, August 18. . Lübeck an Reval: empfehlt die grossfürstlichen Gesandten Demetrius und Emanuel, welche mit einem Fôrderungsbriefe des Papstes angelangt seien und heimkehrend Reval berühren würden; 1489, Septbr. 15. . Beschwerdepuncte der Städte über verschiedene Gegenstäude 351 360. 361. © [en] Lo 363. 367. 368. * gen des Landtages zu Walk auf Johannis (Juni 24) 1492. . Die Vorsteher des deutschen Kaufmanns zu Nowgorod an Dor- ©2 CA] e 370. 2, Narva an Reval: meldet die Verhandlungen, welche sein Bür- . Narva an Reval: meldet, der Hauptmann von Nyenslot habe 5. Willkür der Nowgorodfahrer zu Lübeck über die Art der Ver- . Meister zu Livland an Reval: meldet, dass der mit Nowgo- des Handels, welche die griechischen Gesandten des Grossfür- sten letzterem anzubringen übernommen ; (1489, Ende). Lübeck an Reval: da in den letzten Jahren mehrfach Russen und Griechen die Überfahrt auf Kauffahrern gemacht und zwi- schen ihnen und dem Schiffsvolk leicht Händel entstehen, auch Sceräuber es auf jene absehen kônnten, bittet es dafür Sorge zu tragen, dass dièselben eigene Schiffe zu ihren Reisen mie- theten; 1490, März 18. Dasselbe an dasselbe: empfehlt den Ritter und Doctor Jürgen Thor, der im Auftrage des rômischen Künigs nach Moscau reise; sowie den Griechen Jürgen und bittet Briefe derselben weiter nach Lübeck gelangen zu lassen; 1490, April 9. germeister Joh. thor Megeden mit dem Hauptmanne von Nyen- slot geführt, um der Helfershelfer des in Reval wegen Falsch- münzeréi hingerichteten Wassili Saran habhaft zu werden, und übersendet mehrere der falschen Schillinge; 1490, Decem- ber 18. Dorpat an Reval: hält es für gerathen, um den vielfachen Be- drückungen, denen der deutsche Kaufmann zu Nowgorod aus- geselzt sei, ein Ende zu machen, zwei Rathleute oder den Ho- fesknecht an den Grossfürsten zu senden; (um 1490). ihm mitgetheilt, dass die Auslieferung des bei der Falschmün- zerei des Saran betheiligten Ortuyss bei ibm selbst und den Statthaltern zu Nowgorod beantragt werden müsse, u. 8. W.; 1491, Januar 21, schiffung der nach Livland und Russland bestimmten Güter; 1491, Juni 28. rod vereinbarte Friede vom Grossfürsten nicht bestätigt sei; derselbe habe eïnige neue Bedingungen in den Vertrag ge- setzt, von denen eine die Kirche und «das Haus der Nowgoroder in Reval » beträfe ; da dieser Punet von keinem Belang scheine, bittet er darin zu willigen; spricht ferner die Hoffnung aus, dass Reval dem russ. Boten, der demnächst über die Haltung der Hanse und speciell Revals im Fall eines livländisch-russi- schen Krieges Auskunft verlangen, die entsprechende Antwort geben würde; Wenden, 1491, October 6. Narva an Reval: theilt mit, dass Rath und Voigt den Abge- sandten Nowgorods die Hand darauf gegeben hätten, den neuen Kreuzbrief halten zu wollen und dem russischen Kaufmann seinen freien Weg zu günnen; 1491, Novbr. 12. Bericht der Revalschen Rathssendeboten über die Verhandlun- pat: melden, dass die Statthalter die von den livländ. Städte- boten an sie und den Grossfürsten wegen des dem Kaufmann und Hofesknecht angethanen Unrechts gerichteten Briefe un- beachtet gelassen, resp. unterschlagen, hätten und bitten den- selben deshalb nochmals zu schreiben; 1493, Januar 17. Meister zu Livland an Reval: meldet, dass einige Russen von Polozk in Riga mit falscher Müuze betroffen seien und die falschen Stücke in grôsserer Menge auch von Pleskau aus ver- breitet würden; bittet darauf zu achten und den Kaufmanu zu warnen; Weénden, 1493, Januar 25. . Beifriede auf 10 Jahre zwischen dem Meister zu Livlaud und Pleskau, geschlossen zu Nowgorod 1493, März 13. . Die Vorsteher des deutschen Hofs zu Nowgorod an Reval: theilen mit, dass die Statthalter das Beklopfen des Wachses und die Upgift im Pelzhandel verboten hätten, den Hofes- knecht für allen den Russen in Livland widerfahrenden Scha- den verantwortlich machten und in ihren Rechtssprüchen sich bestechlich zeigten; rathen, diese Sachen beim Grossfürsten zu verfolgen; 1494, März 26. Bulletin de l’Académie Hmpériale ————— 385. 580. 384. 352 3. Danzig an Reval: meldet die Arrestirung einer Quantität Wachs und Talg, die durch fünf Wiborger Gesellen Russen auf der See geraubt worden, und fordert die etwa Berechtigten auf, sich zur Empfangnahme zu melden; 1494, Juni 16. . Dorpat an Reval: bespricht die Einzelheiten der an den Gross- fürsten abzusendenden Botschaft und bittet die dazu erforder- lichen Mittel herbeizuschaffen; 1494, Juni 23. . Jens Holgersson van Glomynge an Reval: fordert im Namen des Landes Gotland zur Entrichtung der 30 Jahr lang nicht bezahlten Rente vom Gotenhofe in Nowgorod auf; Wisby, 1494, Septbr. 4. 5. Meister zu Livland an Reval: theilt mit, dass er wegen der Friedensverletzungen Pleskaus seinen Dolmetscher Johann Hildorp an den Grossfürsten nach Moskau sende und erklärt sich bereit, sich durch denselben für den in Nowgorod festge- setzten Kaufmann zu verwenden; Burineck, 1494, Novbr. 25. . Specialisirte Rechnung des Dôrptschen Rathmanns Thomas Schrove über seine besonderen Ausgaben auf der im Namen der Hanse an den Grossfürsten unternommenen Gesandtschafts- reise; 1494, December. . Ausführlicher Bericht desselben über diese Gesandtschaft; 1494, December. . Dorpat an Reval: wiederholt seinen frühern Vorschlag, für die Berathung der zur Befreiung des deutschen Kaufmanns und des Revalschen Gesandten zu ergreifenden Massregeln einen Städtétag anzusetzen und theïlt mit, dass es durch den Gesand- ten seines Bischofs nach Moskau bereits die Bitte um Entlas- sung der Gefangenen an den Grossfürsten gerichtet habe; 1495, Januar 6. . Riga an den Grossfürsten von Litauen: erbittet dessen Ver- wendung für deu gefangenen Kaufmann beim Grossfürsten von Moskau; 1495, Jan. 17. . Dorpat an Reval: berichtet über seine Bemühungen zu Gun- sten der Gefangenen, erklärt sich, falls dies auch zu Narva ge- schähe, bereit, den Handel mit den Pleskaucrn zu unter- brechen und entwickelt die Gründe, welche dem bisher ent- gegengestanden hätten; 1495, Januar 22, Lübeck an Riga und Reval: übersendet einen Brief an den Grossfürsten von Moskau mit der Bitte, demselben die ihm un- bekannte lateinische Anrede vorzusetzen, ohne jedoch dabeiï den von jenem usurpirten Kaisertitel anzuwenden; 1495, Ja- nuar 23. . Voigt zu Narva (an den Meister zu Livland): übersendet einen Brief des Joh. Hildorp und macht ausführliche Mittheïlungen über die ihm zugegangenen Nachrichten von den Rüstungen des Grossfürsten gegen Livland; 1495, Februar 3. Reval an deu Statthalter zu Nowgorod Jacob : macht auf des- sen bezügliche Ausserung den Vorschlag, zur Regelung der schwebenden Fragen eine Zusammenkunft in Dorpat oder Narva zu halten und bittet den gefangenen Kaufmann und Bo- ten gegen Bürgschaft zu entlassen ; 1495, Febr. 25. Die Rathssendeboten der wendischen Städte vom Tage zu Lü- béck an Reval: melden den Erlass des Handelsverbots gegen Russland, bitten dasselbe gleichfalls zu befolgen und zur Be- freiung der Gefangenen Alles aufzubieten; 1493, April 8. Bericht des Johann Hildorp über seine zweite Sendung nach Moskau, nach welchem ihm die Befreiung der Gefangenen aus dem Gefängniss und ihre Unterbringung auf dem deutschen Hofe gelungen, der Grossfürst aber im Übrigen zunächst Freige- bung der Russen in Livland und Genugthuung von Reval ver- langt habe ; 1495, Sommer. . Geleitsbrief des Grossfürsten für den vom Dürptschen Rathe zu Verhandlungen in Nowgorod abzusendenden Boten; 1495, Juni 18. . Rathssendeboten von Dorpat und Reval vom Tage zu Wave (an Lübeck): entwickeln die Gründe, weshalb die Ausführung 35 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 354 ——————_—_——_———— — — ———————_————]—-— —_ — ————]— -— —— ——]—] 403. Dieselben von ebendaher an Reval: besprechen dieselbe Ange- 389. 390. 391. 392. 393. 394. 395. 396 397. 398. 399. 400. 401. 402. des Handelsverbots gegen Russland augenblicklich nicht ge- rathen scheine und der Lübische Brief an den Grossfürsten nicht abgesandi sei, und erbieten sich zu weiteren Bemü- hungen für die Gefangenen; 1495, Juni 21. Die gefangenen Kaufleute zu Nowgorod an Dorpat: sprechen ibre Verwunderung aus, dass die Städte bisher so wenig für ihre Befreiung sich interessirt hätten und empfehlen vor Al- lem eine Gesandtschaft des Meisters an den Grossfürsten; 1495, Juni 24. Lübeck an Reval: fordert dasselbe auf, bei der Erhebung des Pfundzolls ausser Rathsgliedern auch eïnige Bürger zuzu- ziehen ; 1495, Juli 24. Meister zu Livland an Reval: meldet, dass sein Dolmetscher Hartleff Pepersack die Freigebung der deutschen Sprachlehrer vom Grossfürsten erlangt habe, letzterer aber vor weiteren Zu- geständnissen die Auslieferung jener Revalschen Richter, wel- che einen Russen zum Tode verurtheilt hätten, fordere; fer- ner, dass er eben eine neue Botschaft nach Moskau ausrüste; Wenden, 1495, August 5. Dorpat an Reval: theilt mit, dass es aus den bereits früher ge- meldeten Ursachen den Handel mit den Russen nicht unter- brechen kônne, doch die Ausfubr von Kupfer, Blei und Gra- pengut verboten habe; 1495, August 14. Lübeck an Reval: meldet, dass es dem Wunsche der livländ Rathssendeboten gemäss den Verkehr nach Russland wiederum freigegeben habe ; 1495, August 17. Narva an Reval: theilt die ihm durch Kundschafter zugegan- genen Nachrichten mit, dass der Grossfürst in Nowgorod an- gelangt sei, sein Heer zusammenziehe und demnächst vor Re- val erscheinen wolle, ferner, dass der Angriff der Russen auf Wiborg abgeschlagen worden; 1495, Decbr. 18. Riga an Dorpat: übersendet die bisher von ihm festgehaltenen russischen Kaufleute nebst deren Gütern zur weiteren Auslie- ferung an den Grossfürsten ; 1496, Januar 14. Hartleff Pepersack und der gemeine Kaufmann d.Z. zu Narva an Reval: melden, dass Hartleff, dem die Auslieferung der in Livland gefangen gehaltenen Russen übertragen wor- den, seinen Geleitsbrief erhalten habe, und bitten um Verhal- tungsmassregeln für denselben, nachdem die Gefangenen in Reval noch zurückgehalten würden ; 1496, Januar 17. Meister zu Livland au den Grossfürsten von Moskau: bittet um Freigebung der gefangenen Deutschen und legt seine Stellung in dem Streite jenes mit den livländ. Städten und der Hanse als die eines Neutralen dar ; Wenden (1496, Januar 50). Derselbe an denselben: theilt mit, dass alle zurückgehaltenen Russen, bis auf die inzwischen an der Pest verstorbenen, nebst ihren Gütern nach Narva befürdert seien, und wiederholt seine frühere Bitte um Freigebung der Deutschen ; (1496, März). Die gefangenen Kaufleute zu Nowgorod an den Meister zu Liv- land: danken für seine bisherigen Bemühungen um ihre Be- freiung und bitten in denselben fortzufahren; 1496, Juli 8. Narva an Reval: meldet die Eroberung des russ. Schlosses durch die Schweden und bittet, da nach dem Abzug derselben ihm die grüsste Gefahr von Seiten der Russen drohe, den deutschen Kaufmann zur Hilfesendung zu veranlassen ; 1496, August 31. Meister zu Livland an Reval: da die Schweden wider Ver- muthen Iwangorod aufsegeben und die Russen den Wiederauf- bau bereits mit allen Kräften begonnen hätten, bittet er zum Schutze Narvas 60 — 80 Knechte in der Stille dorthin zu senden; Tuckum, 1496, Septbr. 22. Die Rathssendeboten der wendischen Städte aus Lübeck an Riga: bevollmächtigen für den Fall des Zustandekommens ei- nes Tages mit den Russen die livländ. Städte zur Vertretung der ganzen Hanse und bitten vor Allem das Interesse der Ge- fangenen wahrzunehmen ; 1496, Septbr. 28. Tome XVII. 404. 405. 406. 407. 408. 409. 410. 411. 418. 414. 416. legeuheit und rathen, im schlimmsten Fall die Entscheidung über die besetzten Güter der Zukunft vorzubehalten, doch von den Privilegien der Hanse nichts aufzugeben; 1496, Sep- tember 23. Lübeck an Reval: theilt mit, dass es die Frage, ob in Dorpat von den russischen Gütern auch der Pfundzoll erhoben wer- den solle, mit den wendischen Städten in weitere Überlegung ziehen wolle; 1496, Octbr. 20. Die Rathssendeboten der wendischen Städte aus Lübeck an die drei livländ. Städte : rathen, durch den Meister einen Tag Zu Narva mit dem Grossfürsten aufzunehmen und bevollmäch- tigen sie zur Ernennung der Abgeordneten im Namen der Hanse ; 1496, Decbr. 20. (Der gefangene Kaufmann zu Nowgorod an den Meister zu Livland): bittet um weitere Verwendung zu seinen Gunsten und theilt mit, dass der Grossfürst auch von den Städten be- sandt sein wolle; (1496). Die livländ. Rathssendeboten vom Tage zu Wenden an Liübeck: erbitten sich Antwort auf ihre letzten Mittheilungen und über- senden das Protocoll ihrer Verhandlungen mit dem Meister; 1497, Januar 5. Meiïster zu Livland an Reval: meldet, dass ïhm jetzt wieder friedlicher klingende Nachrichten aus Narva zugingen, s0 dass für den Winter ein Einfall der Russen nicht zu befürchten stände, räth jedoch, da der Grossfürst noch immer gegen Liv- land sebr erbittert sei, sich môglichst in Rüstung zu halten ; Wenden, 1497, Febr. 12. Die livländ. Rathssendeboten vom Tage zu Walk an Lübeck : theilen mit, dass der Grossfürst dem Boten des Meisters die Versicherung gegeben habe, den Frieden bis zu seinem Ablauf halten zu wollen, die Befreiung der Gefangenen aber noch nicht erreicht sei, wol aber eine Milderung der Haft; 1497, März 8. Bericht über die Verhandlungen der livländ. Rathssendeboten mit dem Meister zu Livland über den mit den Russen zu hal- tenden Tag; Wenden, 1497, Mai 24. Die livländ. Rathssendeboten aus Wenden (an Lübeck): mel- den, dass der Grossfürst defBoten und die Gefangenen frei- gegeben, doch vier derselben nebst den Gütern bis zu einem allgemeinen Tage, der auf den nächsten 2. Februar in Narva angesetzt sei, zurückbehalten habe; bitten diesen Tag im Na- men der Hanse zu besenden und den zur Deckung erwach- sener Kosten angesetzten Pfundzoll anzunehmen; 1497, Mai 26. . Meister zu Livland (an Reval): theilt mit, dass die vier noch zurückgehaltenen Gefangenen abermals ins Gefängniss gewor- fen seien und er zu ihrer Befreiung, resp, zur Milderung der Haft, seinen Dolmetscher nach Nowgorod sende, der etwaige Aufträge Revals in Narva empfangen würde; Wenden, 1497, Juni 8. Derselbe an dasselbe : fordert es auf, gegenüber den Vorkeh- rungen der Russen, welche auf einen beabsichtigten Einfall schliessen liessen, gerüstet zu bleiben und nicht seine Privile- gien vorzuschützen; Wenden, 1497, Juni 23. ; Specialisirte Rechnung des Revalschen Boten Gotschalk Rem- melingrode über die Kosten der im Jahre 1494 nach Moskau ausgefertigten Gesandtschaft und die durch seine darauflolgende Gefangenschaft in Nowgorod verursachten; (1497). 5. Verzeichniss der Auslagen des Meisters für die sieben im In- teresse der deutschen Gefangenen in den Jahren 1494—1497 durch seine Dolmetscher ausgeführten russischen Reisen; (1497). 5 Vertheidigungsschrift Revals gegen die von Sciten des Gross- fürsten erhobenen Beschwerden, namentlich in Betreff der bei- den hingerichteten Russen und der russischen Kirche daselbst; (1497). 23 353 Bulletin de l’Académie Impériale 356 0 417. 415. 119. 420. 430. 431. Die Revalschen Rathssendeboten aus Narva an Reval: melden, dass die Verhandlungen mit den Russen noch nicht sehr weit sediehen seien, da man sich über den Ort der Zusammenkunft wegen gegenscitigen Misstrauens nicht verständigen künne; 1498, Februar 7. Dieselben von ebendaher an dasselbe: theilen mit, dass die Klagepuncte von beiden Seiten schriftlich ausgetauscht scien, die Russen weit gehende Forderungen erhoben und sich zur Auslieferung der vier Gefangenen und des Guts bisher nicht verstanden hätten; da übrigens der FKriede wol nicht gekün- digt werden würde, kônnten die Revalschen Sôldner entlassen werden; 1498, Februar 14. Auszug aus dem Hanserecess von Ascensionis domini (Mai 24) 1498 zu Lübeck. Voigt zu Narva (an den Meister zu Livland) : übersendet einen Brief des Hartleff Pepersack und meldet, dass, nach den um- fassenden Rüstungen zu urtheilen, ein Einfall der Russen be- vorstände; 1498, Juni 26. . Hartleff Pepersack aus Narva an den Meister zu Livland: theilt mit, dass ihm die Nachricht zugehe, die vier deutschen Gefangenen und das Gut seien aus Nowgorod nach Moskau ge- führt und auf den 20. Juli sei der Einfall der Russen zu erwar- ten; 1498, Juni 26. >, Recess des livländ. Landtags zu Walk am Tage nach Visitatio- nis Mariae (Juli 3) 1498. 3. Lübeck an die drei livländ. Städte: erôffnet ihnen die Anträge des Grossfürsten von Litauen an die Hanse, ein Bündniss ge- gen Moskau betreffend, erklärt ein solches im Allgemeinen für unpractisch, überlässt es aber jenen, dasselbe, so weit es sie angehe, weiter zu erwägen; 1498, August 15. . Reval an Jens Holgersson, Hauptmann auf Gotland: erklärt seine Forderung von 200 Goldgulden als versessenen Zins vom Gotenhofe für unbegründet, da die Rente zuletzt 1469 be- zahlt worden sei, verspricht jedoch zur Regelung der Angelegen- heit im Frühjabr einen Boten an ihn zu senden; 1498, Oc- tober 31. 5. Riga an Dorpat: theilt mit, dass die vom Meister für einen be- vorstehenden Russenkrieg geforderte Besteuerung der Städte ihm unthunlich erscheine und meldet von seinen Zwistigkeiten mit jenem wegen des Verkaufs von Kupfer und Grapengut an die Russen; 1498, November 24. . Die deutschen Gefangenen in Moskau an Reval: theilen den Tod eines der Ibrigen mit, beklagen die Härte ihres Gefäng- nisses und dass man von Seiten der Hanse ihrer ganz verges- sen habe; 1498, December 4. . Dorpat an Reval: übersendet den obigen Rigischen Brief und will auch seinerseits auf die geforderte neue Besteuerung nicht eingehen, da ihm die Erhaltung der eigenen Stadt in webr- haftem Zustande schon bédeutende Ausgaben verursache; macht ferner Mittheilung über die Metalle, deren Verkauf an die Russen es zulasse; 1498, December 5. . Narva an Reval: theilt mit, dass die Boten des Meisters noch immer in Nowgorod lägen, die Russen inzwischen umfassende Rüstungen träfen, um mit drei Heeren in Livland einzufallen, und bittet um Hilfe von Seiten des Kaufmanns; 1498, Decbr.10. . Dorpat an Reval: wiederholt seine frühere Bitte, dem ehema- ligen Hofespriester Joh. Greve aus dem Pfundzolle seinen Lohn auszuzahlen und widerlegt umständlich die dagegen erhobenen Einwände; 1499, Mai 21. Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Montage nach Nativitatis Mariae (Septbr. 9) 1499 zu Walk. Meister zu Livland an Reval: erwiedert auf seine Klagen in Betreff des von Seiten des Ordens in Narva aufgehobenen Ver- kehrs mit den Russen, dass dies in Folge der Räubereien und Überfälle der Nowgoroder geschehen sei; sobald indess die in Aussicht gestellte Genugthuung geleistet wäre, solle der Wie- 432, dérerôffnung des Handels nichts in den Weg gelegt werden; s. L., 1500, März 16. Dorpat an Reval: theilt mit, dass es dem Beschlusse des Hanse- tages gemäss die Rechnungèn des Kaufmanns zu Nowgorod durchgesehen und befunden habe, dass dem Hofesknechte Hans Hartwig noch 56 Stück Silber zuständen; da das bei ihm einlau- fende Pfundgeld hôchst geringfügig sei, bittet es jene Summe, sowie den Lohn des Priesters Joh. Greve auszuzahlen; 1500, Juli 8. . Verhandlungen des Landtages zu Wolmar auf Antonii (Ja- nuar 17) 1501 über das Bündniss mit dem Grossfürsten von Litauen gegen Moskau. . Voigt zu Narva an Reval: meldet, dass er mit den Vasallen und Narvischen Bürgern einen verunglückten Einfall in Russ- land gemacht und bedeutende Verluste erlitten habe, und bit- tet um schleunige Hilfe an Mannschaft; 1501, Mai 2. . Diderick Germans, Ewolt Schroder und ihre Gesellschaft (an den Meister zu Livland): beklagen-sich, dass, nachdem sie in seinem Auftrage in die Newa gelaufen, um gegen die Russen zu freibeutern, und daselbst einigen Karelen Salz abgenommen hätten, welches jenen zugeführt werden sollte, der Rath von . Reval den Verkauf desselben nicht gestatte, da sich herausge- 440. 445. 444. 445. 446. 447. stellt habe, dass es Revalschen Bürgern gehôre; s. l., 1501, October 12. . Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess von Conversionis Pauli (Januar 25) 1502 zu Wolmar. . Anbringen Alberts von Gorow, Secretairs kônigl. Majestät zu Polen, an den Meister zu Livland; Wenden, 1502, März 14. . Antwort des Meisters zu Livland auf jenes Anbringen; 1502, Müärz 18. . Dorpat an Reval: beklagt sich über die schweren Lasten, die es in Folge des Kriegs nun schon so lange seinen Bürgern habe auflegen müssen, ohne dass bisher ein Resultat erreicht wor- den sei; meldet, dass die Fussknechte sich aufrührerisch zeigten, weil Riga und Reval die ihrigen angeblich besser 16hnen, und bittet ihm mitzutheilen, wie es die seinigen halte; 1502, Mai 8. Thonne Erikson, Hauptmann auf Raseborg, an Reval: da vor wenigen Tagen der Russe Silvester mit Anträgen des Künigs von Dänemark an den Grossfürsten zurückgekehrt sei und sich demnächst mit dessen Antwort wieder auf den Weg machen werde, Livland und Schweden aber in gleicher Weiïse daran gelegen seï, diese Pläne zu durchkreuzen, räth er, demselben bei Hochland aufzulauern und verspricht auch seinerseits sich um dessen Érgreifung zu bemübhen; 1502, Juli 12. . Narva an Reval: dankt für die ihm zugesandten Lebensmittel, berichtet über einen abgeschlagenen Angriff der Russen und andere Kriegsereignisse; 1502, Juli 16. 2, Lübeck an Reval: theilt mit, dass es an den Meister die Bitte gerichtet, für den Fall des Friedens, das Interesse des Kauf- manns und der drei Gefangenen wahrzunehmen, und fordert es auf, dann gleichfalls für Erhaltung der Privilegien Sorge zu tragen; 1502, October 31. Meister zu Livland an Reval: fordert zur Besendung des Land- tags zu Wolmar am 6.Januar auf und bittet seine Hilfsmann- schaft in Bereitschaft zu halten, da eine Fortsetzung der Feind- seligkeiten durch die Pleskauer zu erwarten sei; Wenden, 1502, Decbr. 20. Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Tage Epipha- niae Domini (Januar 6) 1503 zu Wolmar. Instruction für die wegen Abschlusses des Friedens nach Mos- kau zu sendenden livländischen Boten; 1503, Januar 13. Bericht der livländischen Boten über ihre Sendung nach Mos- kau; 1503, Màrz. Lübeck an Reval: verlangt, dass bei dem abzuschliessenden Handelsfrieden mit Russland die früheren Verordnungen Wegen 357 des Sciences de Saint» Pétersbourg. 358 449, 450. 451. 459, des Baarkaufs und der Upgift, das Verbot der Nebenwege u. s. w., aufrecht crhalten werden; 1503, Mai 26. . Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Sonntag in der Octave Ascensionis domini (Mai 28) 1503 zu Wolmar. Dorpat an Reval: äussert in Bezug auf den Plan, neben den Boten des Meisters einen städtischen Abgesandten zur Rege- lung der Handelsbeziehungen demnächst nach Nowgorod ab- zufertigen, dass dies jetzt unthunlich geworden sei, nachdem der Grossfürst die geraubten deutschen Güter vertheiïlt habe, deren Erstattung Lübeck zur Vorbedingung für die Wiederaufnahme des Verkehrs gemacht. und räth, durch die Gesandten des Mei- sters um einen Tag an der Grenze anzuhalten, zu dem dann auch die andern Hansestädte ibre Bevollmächtigten senden künnten ; 1503, Juni 7. Die Rathssendeboten der wendischen Städte und Danzigs vom Tage zu Rostock an die drei livländ. Städte: rathen nach den gemachten übeln Erfahrungen von der Besendung des zu Now- gorod aufgenommenen Tages ab, wünschen dagegen eine Zu- sammenkunft mit den Russen an der livländ. Grenze und er- theilen ïhnen für eine solche die Vollmacht, im Namen der Hanse zu verhandeln; 1503, Aug. 29. Dorpat an Reval: theilt mit, dass die russ. Boten, die zur Be- küssung des Friedensbriefes bei ihm gewesen, den Wunsch nach Wiedererôffnung des Handels ausgesprochen hätten; da dieselben indess keine bezüglichen Vollmachten gehabt, sei es zu keinen Verhandlungen deswegen gekommen; 1503, Oc- tober 18. . Dasselbe an dasselbe: meldet, dass die Boten seines Bischofs in Pleskau den Beifrieden beküsst hätten, von einer Aufnahme des Verkehrs jedoch nicht eher die Rede sein solle, ehe alle Be- schwerden der Russen erledigt seien; 1503, November 30. 3. Voigt und Rath zu Narva an Dorpat: theilen mit, dass nach den Angaben russischer Boten die Wiedererôffnung des Ver- kehrs durch eine Besendung der Statthalter zu Nowgorod zu erreichen sei; 1504, Januar 1. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Montag nach Purificationis Mariae (Febr. 5) 1504 zu Wolmar. . Die livländischen Rathssendeboten vom Tage zu Wolmar an die wendischen Städte: theilen mit, dass die livländ. Städte demnächst eine Botschaft an die Statthalter zu Nowgorod sen- den, um die Erüffnung des Handels herbeizuführen, und sich um eine Zusammenkunft bemühen würden, um alle Zwistigkei- ten beizulegen; machen ferner auf verschiedene Missstände aufmerksam, welche sich früher im Verkehr herausgestellt und deren Beseitigung wünschenswerth sei; 1504, Febr. 5. . Instruction für die an die Nowgoroder Statthalter abzusenden- den livländischen Städteboten; 1504, Febr. 15. . Dorpat an Reval: meldet, dass es Gert Buck zu seinem Abge- sandten nach Nowgorod ernannt habe und derselbe am 28. Fe- bruar in Narva eintreffen würde; bittet den Revalschen Boten mit allem Nothwendigen, namentlich reichlichen Geschenken für die Statthalter, zu versehen: 1504, Febr. 18. . Jürgen Bade, Revalscher Abgesandter an Nowgorod, aus Narva | an Johann Gellinkhusen in Reval: meldet, dass sie noch immer den Geleitsbrief erwarteten, der Dôrptsche Bote, um bei den Russen keine Bitterkeit zu erregen, manche Forderungen fal- len lassen wolle und die Stimmung unter den Russen, wie man hôre, der Erôfinung des Verkchrs sebr günstig sei; 1504, März 10. Nicolaus, Bischof von Reval, bezeugt, dass Hans Klunckert eid- lich vor ihm ausgesagt, er habe die Freibeuterei gegen die Russen auf eigene Hand betrieben, auch ohne Befebl und Vor- wissen des Revalschen Raths einen Abgesandten des Kônigs von Dänemark, der aus Russland zurückkebrte, angehalten; 1504, April 15. 460. 461. 462. 4635. 464. 465. 466. 467. 468. 469. 470. Die Rathssendeboten der wendischen Städte vom Tage zu Lü- beck (an die drei livländ. Städte): eroffnen ihnen auf die Bitte, zu den Verhandlungén mit den Russen von Seiten der gesamm- ten Hanse Abgesandte zu schicken, dass dies unthunlich sei und ersuchen sie, das Interesse des Bundes wahrzunehmen; melden ferner von den Verordnungen, welche sie getroffen, um den Missständen im Hering- und Tuchhandel vorzubeugen und machen darin weitere Vorschläge; erklären sich endlich gegen die Erhebung des Pfundzolls auch von Waaren, die aus Russ- land verschifft werden ; 1504, April 20. Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Tage Margare- thae (Juli 12) 1504 zu Wolmar. Antwort der livländ. Stände an die des Grossfürstenthums Li- tauen auf die Anfrage, ob sie weiterhin bei dem Bündniss gegen Moskau zu bleiben gedächten; 1504, Juli 12. Voigt zu Narva an den Meiïster zu Livland: meldet von den Wirren, welche über die Thronfolge in Moskau ausgebrochen seien, dem vielfach von Seiten der Russen geäusserten Wunsche, den Verkehr wieder zu erôffnen, u. A. m.; 1505, Februar 8, Dorpat an Reval: äussert nach den bisherigen Misserfolgen seine Bedenken gegen neue Verhandlungen mit den Russen, erklärt sich aber im Übrigen mit dem Plane, den russ. Stapel nach Narva zu verlegen, einverstanden ; 1505, März 26. Meister zu Livland an Reval: theilt mit, dass seinen wegen Erôffnung der Handelsbeziehungen nach Nowgorod gesandten Boten die Antwort ertheilt sei, wenn Livland alle Klagen der Russen zuvor befriedigt und das Bündniss mit Litauen aufgege- ben habe, wäre man zu weiteren Verhandlungen bereit; erklärt in Folge dessen weitere Bemühungen zunächst für unthunlich; s. L:, 1505, Juli 27. Dorpat an Reval: führt aus, dass wegen der fortdauernden innern Wirren in Russland eine Gesandtschaft dorthin und die vorausgehende Zusammenkunft der livländ. Städte noch unterbleiben müsse; 1506, Januar 17. Die Rathssendeboten der Hansestädte vom Tage zu Lübeck an Riga und Reval : sprechen ihr Befremden aus, dass dieselben den Tag nicht besandt und fordern sie auf, darüber zu wachen, dass keine jungen Holländer und andere Ausserhansen nach Russland gelangten, um die Sprache zu erlernen; 1506, Juni 22. Dorpat an Reval: beschwert sich über den Schleichhandel, der über Narva nach Nowgorod getrieben werde, und schlägt zur Besprechung der Wiedercrôfinung des Verkehrs eine Zusam- menkunft der Städte in Wave vor ; 1506, Decbr. 31. Bernt Lütke (aus Dorpat) an die livländ. Rathssendeboten zu Pernau: theilt ihnen die Beobachtungen über die Stimmung mit, welche er auf einer Reise nach Russland gemacht, und er- bietet sich unter Vermittlung des Hauptmanns auf Wiborg neue Verhandlungen anzubahnen ; 1507, Febr. 17. Riga, Dorpat und Reval im Namen der Hanse an den Gross- fürsten von Moskau: halten ihm das ganze durch Schliessung des Hofs s: Z. begangene Unrecht vor und bitten um Er- stattung der noch immer zurückgehaltenen Güter; 1507, Fe- bruar 24. 71. Dorpat an Reval: bespricht den an den Grossfürsten abzusen- denden Brief und schlägt einige Anderungen in demselben vor; 1507, Mürz 15. 2, Narva an Reval: macht Mittheilung über die grossen Bauten, welche die Russen auf Iwangorod unternähmen, und den Han- del, den die Schweden daselbst bétrieben; 1507, Mürz 19. 3. Hans Richerdes aus Narva an Reval: berichtet über seine Zu- sammenkunft mit dem Hauptmann von Iwangorod, dass er den Brief an den Grossfürsten demselben übergeben habe und sich cine günstige Antwort erwarten lasse, da Russland seine ganze Streitmacht gegen die Tataren brauche; 1507, April 7. 28* 359 174. 479. 480 481. 488. 494. Bulletin de l’Académie Empériale 360 EE Auszug aus dem Hanserecess von Pfingsten (Mai 23) 1507 zu Lübeck. . Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Montag nach Margarethae (Juli 19) 1507 zu Wolmar. . Narva an Reval: theïlt mit, dass die Pleskauschen Kaufleute unter gewissen Bedingungen sich erboten hätten, statt der Fahrt nach Dorpat die nach Narva aufzunehmen, und bittet um Rath in dieser Sache; 1508, Mai 19. . Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Montag nach Tri- nitatis (Juni 9) 1508 zu Wolmar. 8. Lübeck an die drei livländ. Städte : trägt ihnen auf, bei der am nächsten 2. l'ebruar mit den Russen stattfindenden Zusam- menkunft auf Erstattung der geraubten Güter zu dringen und sich des allgemeinen Interesses bestens anzunehmen; 1508, November 27. Narva an Reval: berichtet über den Schleichhandel, der na- mentlich von Wiborgern mit den Russen betrieben werde, und dass die Boten des Meisters zu Moskau sehr wohl aufge- nommen seien; 1509, März 21. Bericht über die Verhandlungen livländischer Rathssendeboten mit dem Meister über den neu abgeschlossenen vierzehnjährigen Beïfrieden mit Moskau ; 1509, Juli 22, Die livländischen Rathssendeboten aus Wenden an Lübeck: äussern ihre Bedenken gegen einzelne Puncte des abgeschlos- senen Friedens und wünschen, dass zu einer bevorstehenden Besprechung mit den Russen die Hansestädte eigene Dele- girte senden, da sie selbst bei jenen wenig angesehen seien ; 1509, Juli 26. Dorpat an Reval: theilt mit, dass mit den russischen Boten der Friede in Wenden beküsst worden, die den Handel betref- fenden Puncte aber vorläufig ausgenommen seien ; 1509, Au- gust 23. (Die livländ. Städte an den Grossfürsten von Moskau): bitten um eine Vervollständigung des Geleitsbriefs für die nach Now- gorod ziehenden hansischen Sendeboten; 1510, Januar 30. . Bericht des Lübischen Secretairs Johann Rode über die Besen- dung des Grossfürsten von Moskau durch die Hansestädte (in Nowgorod) im Februar und März 1510. . Reval an Lübeck: verweist in Betreff der jängsten Gesandt- schaft an den Grossfürsten auf den Bericht des Joh. Rode und bittet, da dieselbe ohne den gewünschten Erfolg geblieben sei, um Verhaltungsmassregeln ; 1510, März 29. . Aufzeichnungen über die Schicksale der gefangenen Deutschen zu Nowgorod in den Jahren 1494—1497 ; vom Jahre 1510. +. Dorpat an Reval: schlägt gemeinsame Massregeln gegen die Ausserhansen vor, welche zu Narva einen lebhaften Verkehr mit den Russen unterhielten, und wünscht die Ansetzung eines Städtetages ; 1511, Januar 31. Dasselbe an dasselbe: führt weitere Klage über den Handel in Narva und meldet, dass der Grossfürst den Seinigen nicht frü- her die Reise nach Livland gestatten wolle, ehe nicht die Deutschen nach Pleskau und Iwangorod kämen; 1511, Juni 3. . Instruction des Revalschen Gesandten zum Hansetage des Jahres 1511. Auszug aus dem Hanserecess von Pfingsten (Juni 8) 1511 zu Lübeck. Auszug aus dem livländischen Städtetagsrecess vom Sonntag Oculi (März 21) 1512 zu Wolmar. . Fürst Wassili Wassiljewitsch Schuisky, Statthalter zu Now- gorod, an Reval: erüffnet ihm, dass der Grossfürst und die Nowgo- roder zur Aufnahme des Verkehrs mit den Hansestädten bereit seien ; 1512, Juni Anfang. . Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Sonntag nach Viti (Juni 20) 1512 zu Wolmar. Narva an Reval: theilt mit, dass der Hauptmann auf Iwango- rod den Verkebr daselbst vüllig freigäbe, wünscht aber, dass 495. 496. 497. 498. derselbe môglichst in Narva stattfinde und entwickelt die Übelstände, die er auf russischem Gebiete haben würde; 1512, Juli 9, Dorpat an Reval: spricht seine Ansicht dahin aus, dass man mit der Antwort auf des Grossfürsten letzte Anträge warten müsse, bis das erwartete kaiserliche Schreiben und ein Brief Lübecks angelangt seien; 1512, August 19, Auszug aus dem livländischen Landtagsrecess vom Sonntag nach Dominici (August 8) 1513 zu Wolmar. Frederik Korff aus Narva an Reval: meldet seine Unterre- dung mit dem Hauptmann von Iwangorod, nach dessen Mit- theilungen der Grossfürst nur die definitive Antwort der Städte erwarte, um den ganzen Handel, auch den mit Salz, freizuge- ben; 1513, October 18. Verhandlungen Dürptscher und Revalscher Rathssendeboten im Dorfe zu Wave über den mit dem Grossfürsten aufzuneh- menden Handelsfrieden; 1514, Februar 25. . Zusatzartikel zu der Schra des deutschen Hofs zu Nowgorod, aufgesetzt im April 1514 durch die livländischen Rathssende- boten. (Die zahlreichen Verbesserungen, welche sich aus dem Revalschen Exemplar dieses interessanten, bei Willebrandt, Hansische Chronick dritte Abtheilg. S. 100—110, unter dem J. 1564 abgedruckten Actenstücks ergaben, machten eine noch- malige Abschrift wünschenswerth). . Auszug aus dem livländischen Landtagsrecess vom Sonntage Visitationis Mariae (Juli 2) 1514 zu Wolmar. . Dorpat an Reval: übersendet die neu aufgesetzte Schra zur Weiterbeforderung an Lübeck, äussert seine Bedenken gegen die Erhôhung des Maximalsatzes für die von dem Einzelnen auf den Hof zu bringenden Güter, wahrt seine Rechte bei Bestel- lung des Priesters und Knechtes und verlangt, dass Reval die Auslagen für den Hof trage; 1514, Juli 22. . Lübeck an Reval: beschwert sich, dass die livländ. Städte ohne die Vollmacht der Hanse einen Handelsfrieden, der so viel Un- zuträgliches enthalte, abgeschlossen hätten, und stellt weitere Mittheilungen in Aussicht; 1514, August 17. . Die Rathssendeboten der wendischen Städte vom Tage zu Lübeck an Reval: äussern sich in ähnlicher Weise, führen das Beschwerliche einzelner Festsetzungen des Kriedens näher aus und wünschen, dass man nach einer andern Grundlage für den russischen Verkebr strebe; 1514, Septbr. 2. . Dorpat an Reval: erbietet sich, neben diesem den Abschluss des russischen Beifriedens vor den überseeischen Städten zu verantworten und wünscht, dass man ein wachsames Auge auf die Ausfubr von Kupfer und Blei nach Russland habe; 1514, November 11. . Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Sonntag vor Jo- hannis bapt. (Juni 22) 1516 zu Wolmar. . Grossfürst Wassili Joannowitsch an Reval: bittet dem Diak Nekras, der mit den heimkehrenden Gesandten des Kôünigs nach Dänemark gehe, auf seiner Reise kein Hinderniss in den Weg zu legen; 1516, August 9. . Narva an Reval: verantwortet sich gegen den Vorwurf, eigen- mächtig die Russen bei sich angehalten zu haben, und bittet zur Abstellung der Hindernisse, welche der Hauptmann auf Iwangorod dem Verkehr bereite, eine geringe Botschaft an den Grossfürsten abzufertigen ; 1517, Januar 4. Lübeck an Reval: erbittet sich auf die Mittheilung, dass der letzte Brief des Grossfürsten in Betreff des Kontors und Han- dels ungewühnlich nachgiebig laute, eine Abschrift desselben und will die Sache mit den wendischen Städten dann weiter erwägen; 1517, Januar 15. . Narva an Reval: weist die Behauptung, der Hauptmann von Iwangorod verbiete den Deutschen den Zug nach Nowgo- rod deshalb, weil es die Russen an der Reise nach Reval hin- 361 510. 514. 516. 522. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 36? dere, zurück und nennt als Grund das in Russland verbreitete Gerücht, es herrsche in Livland die Pest; 1517, KFebruar 4. Rotger von Swansboll, Statthalter zu Narva, und ‘ler Rath da- selbst an die zarischen Statthalter zu Nowgorod: erwiedern auf die vielfachen gegen sie erhobenen Beschwerden, dass sie die Russen keincswegs am Zuge in die livländ. Städte zu hin- dern gedächten, sondern dies nur vorübergehend gethan, nach- dem der Hauptmann auf Iwangorod den Seinigen jeden Ver- kehr mit ihnen untersagt habe; gegenüber dem Erbieten des neuen Befehlshabers auf Iwangorod würden auch sie den Kreuz- brief in allen Puncten halten; 1517, Februar 18. . Artikel, auf welche die gemeinen Städte zum Hansetage des J. 1517 verschrieben worden. . Auszug aus dem Hanserecess vom Sonntag nach Corporis Christi (Juni 14) 1517 zu Lübeck. . Der Statthalter auf Iwangorod an Reval: verspricht die Klage über Beraubung eines in der Narva gestrandeten Schiffes näher zu untersuchen ; 1517. Narva an den deutsechen Kaufmann zu Nowgorod: theilt mit, dass es den cigenen Fuhrleuten den Transport der aus Now- gorod kommenden Waaren von Iwangorod bis zu sich nicht gestatten kônne; dies müsse noch durch die Russen geschehen, damit durch neues Umladen kein Schaden verursacht würde; 1518, Februar 5. . Hartwich Marschede, Hofesknecht zu Nowgorod, an Dorpat: meldet, dass der Bau des Hofs so weit vorgeschritten sei, dass man 40 Personen unterbringen kônne; macht ferner Mittheilung über die Beschatzungen, welche die Statthalter auflegten, und dass von ihnen kein Recht zu erlangen sei; bittet sich der Sachen energischer als bisher anzunehmen ; (1518 Anfang). Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: protestirt ge- gen die Annahme des von Dorpat ernannten Hofesknechts Ty- demann Grelle, da derselbe mit den alten Gewohnheiten der Niederlassung nicht genügend vertraut sei, und meldet, dass der Dérptsche Brief an die Statthalter, durch welchen densel- ben jene Ernennung notificirt werde, nicht abgegeben worden, da eine derartige Mittheilung wider alles Herkommen sei; 1518, April 9. . Derselbe an dasselbe: meldet, dass der Hofesknecht vielfach seine Unerfahrenheit bewiesen habe, jedoch seinen Platz nicht räumen wolle und von Dorpat darin unterstützt werde; bittet fer- ner für eine Reparatur der Kirehe Sorge zu tragen; 1518, Juni 5. Reval an Dorpat : beklagt sich, dass dasselbe seine Bitte um Entfernung des untüchtigen Hofesknechts als einen Eingriff in seine Rechte aufgefasst und so schnüde abgewiesen habe, beruft sich dabei auf die frühere Betheiligung Revals an der Er- nenpung desselben und darauf, dass es gerade jetzt mehr als je eines erfahrenen Mannes daselbst bedürfe; 1518, August 12. Revalsches Gutachten in Betreff einiger auf dem Hansetage von 1518 zu behandelnden Fragen. (Vornämlich cine Rechtfer- tigung der livländ. Städte rücksichtlich des Abschlusses des letzten russischen Handelsfriedens und Zurückweisung des Plans einer Verlegung des Kontors nach Narva). . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonntag nach Fabiani et Sebastiani (Januar 23) 1519 zu Riga. Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: beweist, dass der Hofesknecht Jochim Warmbeke Vorkauf getrieben und dringt deshalb auf seine Entfernung; verlangt die Zusendung eines Nachfolgers, der dem Kaufman in allen Dingen zu dienen bereit sei, und droht im andern Falle mit einer Klage bei Lü- beck; 1519, Februar 27. : Dorpat an Reval: theilt mit, dass Jochim Warmbeke sich auf dem nächsten livländ. Städtetage zu verantworten gedenke, und dass es cinen Priester nach Nowgorod gesandt habe; 1519, Mäürz 8. 523, 524. 534. 536. Auszug aus dem livländischen Städtetagsrecess vom Sonntag Lactare (April 3) 1519 zu Wolmar. Narva an Reval: beklagt sich, dass letzteres seinen Kaufleuten den Zug nach Narva untersagt habe, und erbittet, um den Be- drückungen von Seiten des Hauptmanns auf Iwangorod ein Ende zu machen, eine Besendung des Grossfürsten oder wenig- stens der Statthalter in Nowgorod; 1519, Mai 5. . Beilage zum vorigen Schreiben: Verzeichniss der Puncte, in welchen der Hauptmann auf Iwangorod dem deutschen Kauf- mann den Frieden verkürzt ; 1519, Mai. . Auszug aus dem livländ. Städtetagsrecess vom Sonntag Remi- uiscere (Februar 24) 1521 zu Wolmar. . Der deutsche Kaufmann zu Nowgorod an Reval: macht Mitthei- Jung über die verschicdenartigsten Missstände auf dem Hofe, dass die Gebäude ganz baufällig, die angeführten Güter, namentlich der Hering und die Tücher, nicht von der gesetz- lichen Güte seien, er von den russischen Trägern, Pristaven und Statthaltern beschatzt würde und allerlei Gewaltsamkeit erdulde und die Lage schliesslich durch den missglückten Ver- such ciniger Gesellen, cine Popenfrau heimlich nach Livland zu entführen, noch verschlimmert sei; bittet gegen jene Übel Rath zu schaffen; 1521, Mäürz 14. . Auszug aus dem Hanserecess von Ascensionis domini (Mai 9) 1521 zu Lübeck. . Zehnjäbriger, zu Nowgorod geschlossener Beifriede vom 1. Sep- tember 1521 bis dahin 1531 zwischen Pleskau und Stadt und Stft Dorpat. . Dorpat an Reval: meldet seine Bemübungen zur Schliessung der Strasse von Marienburg nach Riga, erklärt seine Un- zufriedenheit mit dem neu abgeschlossenen Dôrpt-Pleskauschen Bcifrieden, in welchem das Interesse des Handels sebr hint- angestellt sei, und begründet dies im Einzelnen; 1522, Ja- nuar 17. . Auszug aus dem livländischen Landtagsrecess vom Sonnabend vor Trinitatis (Juni 14) 1522 zu Wolmar. . Gutachten der Ritterschaften und Städte in Betreff mehrerer das Verhältniss zu Russland und namentlich den Handel mit demselben angehender Puncte, übergeben am 17. und 20. Juni 1522 auf dem Landtage zu Wolmar. . Narva an Reval : bittet, die Nowgoroder und Pleskauer in ih- rem Zuge nach Reval vorläufig noch aufhalten zu dürfen bis dass der bevorstehende Tag zwischen dem Voigte zu Narva und dem Hauptmann auf Iwangorod gehalten sci, und fragt um Rath, wie es die Iwan- und Jamgoroder von der weiteren Reise ins Land abhalten und zum Handel bei sich an der Grenze veranlassen kônne; 1522, Juli 12, Reval an Narva: erklärt sich mit der Absicht desselben, die Nowgoroder und Pleskauer bis nach Vollzug des Kreuzkusses bei sich anzuhalten, einverstanden und verspricht die Iwan- und Jamgoroder bei sich auszuweisen, so dass jenes deshalb kein besonderes Verbot zu erlassen brauche; 1522, Juli 19. . (Reval an den Hauptmann zu Iwangorod): beklagt sich, dass die deutschen Kaufleute auf der Reise nach und von Nowgorod von ihm aufgehalten und beschatzt würden und bittet dies ab- zustellen; fordert ihn ferner auf, da der Kreuzbrief sich bloss auf die Nowgoroder, nicht aber auf die Iwan- und Jamgoroder beziche, dieselben auch durch allerlei Unebrlichkeiten nur Zwietracht süeten, letztere an dem Zuge nach Livland zu hin- dern und auf der Grenze zurückzuhalten; 1522, Juli 31. Narva an Reval: theilt mit, dass, obgleich der Kreuzkuss noch nicht vollzogen sei, es den Nowgorodern den Zug nach Livland gestattet habe, um keine Irrungen mit den Russen hervorzu- rufen, und wiederholt seine frühere Bitte um Verweisung der Iwan- und Jamgoroder an die Grenze, weil sonst der vüllige Ruin Narvas zu fürehten sei; 1522, October 26. 363 99, ct = 19 546. ex = | . Auszug aus dem livländischen Landtagsrecess vom Sonntag . Norva an Reval: meldet, dass es eine Partie ungezirkelten He- . Narva an Reval: beklagt sich, dass dieses seine Zusage in . (Dorpat an Reval): theilt die Nachricht des Hofesknechts zu . Narva an Reval: meldet, dass es dem Russen Maxim eine La- . Lübeck an Reval: bevollmächtigt dasselbe, zur Verlängerung . Narva an Reval: beklagt sich über den Pfundzoll, wegen des- . Hauscomthur zu Narva (an den Meister zu Livland): giebt . Antwort des Revalschen Raths auf das Anbringen eines Now- . Verhandlungen der livländischen Stände am Sonntag Laetare . Narva an Reval: bittet ihm dadurch aufzubelfen, dass es bis . Narva an den Meister zu Livland: theïlt mit, dass es unter . Narva an Reval: wünscht dessen Absicht, alle Missstände im mm mr 552. vor Trium Regum (Januar 4) 1523 zu Wolmar. rings arrestirt habe, und macht darauf aufmerksam, wie es ihm daran liegen müsse, nur gute Waaren an die Russen abzusetzen, weil man sonst auf Iwangorod an den Seinigen sofort Repres- salien nähme ; 1523, Januar 28. Dorpat an Reval: macht Mittheilung über ihm zugegangene Nachrichten aus Nowgorod, namentlich dass Jacob Schutte, der in einer gewissen Sache den Russen gegenüber Bürgschaît seleistet habe, falls die erforderliche Summe nicht herbeige- schafït würde, Alles auf dem Hofe, selbst die kupfernen Thüren, zu verkaufen gedenke, ferner dass der Borgkauf daselbst sehr überhand nehme; 1523, Mäürz 24. 553. Betreff der Iwan- und Jamgoroder noch immer nicht erfüllt, viel- mehr alle seine Keller an dieselben vermiethet habe, und mel- det, dass es eine Ladung Schwefel, Blei und Kessel, die über die Grenze geschafft werden sollte, unter dem Vorwande, es sei gestohlenes Gut, angehalten habe; 1523, August 7. Nowgorod mit, dass der Grossfürst aus den Trägern daselbst eine «Gilde» gebildet und dabei den Lohn für ihre Dienstlei- stungen um die Hälfte erhôht habe; bittet um Rath, ob von Sei- ten des deutschen Kaufmanns darauf einzugehen sei; (1523). dung Kupfer und Grapengut abgenommen habe, und bittet, da diese Gegenstände keinesfalls ausgeführt werden dürften, den Verkäufer zur Erstattung des Kaufpreises an jenen zu veran- lassen; 1524, Juli 22. des ablaufenden Beifriedens und zur Fortsetzung des Nowgo- roder Handels eine geringe Botschaft im Namen der Hanse an den Grossfürsten abzusenden ; 1524, Juli 24. sen Ansetzung der russ. Kaufmann bei ihm vorbeiziehe und bittet dem Meister in seinen Plänen, den Ort zu heben, ent- gegenzukommen ; 1525, März 15. Nachricht von umfassenden Rüstungen in Russland, die angeb- lich gegen Wiborg oder Litauen, hôchst wabrscheïnlich aber gegen Dorpat gerichtet seien; 1525, Decbr. 10. Protocoll des Revalschen Raths über die Aussagen mehrerer wegen Vertriebs falscher Münze und Diebstahls ergrifiener Russen, dem Boten Jerassim Dolgow zur Uberantwortung an den Hauptmann auf Iwangorod übergeben; (um 1525). ? goroder Abgesandten, die geschehene Ausweisung der Twan- und Jamgoroder von dort betreffend; (um 1525). (Mäürz 11) 1526 zu Rujen. zum Abschluss des Beifriedens die Russen von sich und an die Grenze verweise, und meint, dass die grausame Ermordung des Revalschen Bürgers Jacob Kluitinck, welche auf dem deutschen Hofe in Nowgorod vollfübrt worden, als Grund für jene Mass- regel dienen kônne; 1526, Juni 11. allerlei Vorwänden den russischen Kaufmann bisher bei sich zurückgehalten habe, Reval jedoch denselben von dort nicht xerweisen wolle, und bittet hierauf hinzuwirken; 1526, Juli 6. Verkehr zur Kenntniss des Grossfürsten zu bringen, müglichst bald ausgeführt zu schen, meldet, dass die neuen Wojewoden auf Iwangorod überaus feindselig aufträteu und bittet deshalb um Übersendung von Büchsen und Pulver; 1526, Novbr. 29. Bulletin de l’Académie Impériale oo oo 558. 364 Der Grossfürst von Moskau an den Meister zu Livland: theilt mit, dass er seine Statthalter beauftragt habe, die Klage gegen Severin (Norby), der im Verein mit Iwangorodern Revalsche Kaufleute auf dem Meere beraubt haben solle, zu untersuchen; 1527, März 19. Narva an Reval : meldet, dass Olav Swarthe, der Kapitain der schwedischen Jacht, auf der die Boten des Grossfürsten aus Stockholm zurückgekehrt seien, vor den Anschlägen der Rus- sen, die er im Verkehr mit ihnen erkannt, dringend gewarnt habe, ferner, dass alle Schiffe bei Iwangorod unter Severin Norby’s Befehl auslaufen sollten, um den Kauffahrern zwischen Reval und Narva aufzulauern ; bittet daher den Kaufmaun zu warnen und verspricht weitere Nachrichten, die es von seinen über die Grenze gesandten Spionen erwarte; 1527, Juni 11. . Dasselbe an dasselbe: verspricht in Folge geschehener Klagen darauf zu achten, dass der Talg rein geschmolzen und in Füsser von gleicher Grüsse verpackt werde, und bittet ande- rerseits dahin zu wirken, dass die angeführten Tücher, wegen deren es viel Verdruss mit den Russen gäbe, die vorgeschrie- bene Güte und Länge hätten ; 1528, Januar 18. . Dorpat an Reval: erklärt sich mit dem Plane, Hanfwraken ein- zurichten, einverstanden, wünscht sich aber vorher mit Riga, bei dem der Hanf noch ungewrakt empfangen werde, darüber zu verständigen, weil sich sonst die Russen — zum nicht geringen Nachtheiïl der andern Städte — alle dorthin wenden würden; 1528, Mürz 27. . Riga an Reval: theilt mit, dass es, um den im Auslande in Misskredit gekommenen Flachshandel zu heben, eine Wrake für denselben eingerichtet und eine Ladung zu gering befundenen bereits confiscirt habe, und bittet auf diesen Gegenstand eben- falls seine Aufmerksamkeit zu richten; 1528, Mai 30. . Narva an Reval: theilt mit, dass cinige Schuten beï ihm ange- langt, die in Riga Wein und Hering geladen und nach Pleskau bestimmt seien, und dieser Weg jetzt vielfach von den Russen eingeschlagen werde, da nach ihrer Aussage der Transport nur halb so viel koste als der zu Lande; da nun hierdurch den Städten Dorpat, Reval und Narva bedeutender Abbruch ge- schähe, habe es seinen Schiffern die Übernabme derartiger Frachten untersagt und wünscht, dass auch Reval ähnliche Massregeln ergreife; 1528, Juli 9. Dorpat an Reval: erklärt, die Hanfwrake nicht annehmen zu kônnen, ehe nicht alle Städte, namentlich auch Narva, sich zu derselben bereit gefunden hätten, und weist auf die im andern Falle zu erwartenden Verluste hin; 1528, August 11. . Narva an Reval: theïlt mit, dass das einem Pleskauer abge- nommene Blei und andere Metallwaaren nicht erstattet wer- den kônnten, da der Orden jetzt Beschlag darauf gelegt habe, und bittet den Iwangoroder», welche in schwedischen Schuten grosse Quantitäten Salz aus Reval führten, diesen Handel zu legen; 1528, October 25. . Auszug aus dem livländischen Städtetagsrecess vom Sonntag Reminiscere (Februar 21) 1529 zu Walk. . Dorpat an Reval: theilt mit, dass, nachdem Narva zur Annahme der Hanf- und Flachswrake nicht zu bewegen sei, es dieselbe auch bei sich nicht errichten kônne, und macht darauf aufmerk- sam, dass bei Einführung einer solchen billig nicht allein der russische, sondern auch der livländische Flachs derselben un- terliegen müsse; 1529, Mai 3. . Auszug aus dem livländ. Landtagsrecess vom Sonntag nach Petri et Pauli (Juli 4) 1529 zu Wolmar. . (Reval) an den Grossfürsten von Moskau: entschuldigt die Ar- restirung des einem Russen gehôrigen Messings mit dem Um- stande, dass dasselbe einem seiner Bürger auf der See geraubt worden ; 1530, Juni 23. . Narva an Reval: beklagt sich, dass die Russen zwei deutsche Schuten, die ohne zu scheitern auf ibre Seite geworfen seien, 365 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 366 qe 565, 566. 569. 570. 574. 575. . Narva an Reval: theilt mit, dass ein holländisches Schiff von . Verhandlungen der Rathssendeboten von Dorpat, Reval und . Dorpat an Reval: meldet die vielfachen Klagen des Unter- beraubt hätten und beim Hauptmann von Iwangorod zwar schône Worte, doch kein Recht zu erlangen sei, und räth, die Güter aller Rassen zunächst bei sich anzuhalten und durch die Bo- ten des Meisters die Sache an den Grossfürsten zu bringen; 1530, August 8. Dasselbe an dasselbe: meldet, dass der Hauptmann auf Iwangorod einen Theil des geraubten Guts für den Grossfürsten bean- spruche, den andern aber nicht früher ausliefern wolle, bis dass für eine russische Schute, die an der-estländischen Küste genommen, Ersatz geleistet sei, und es in Folge dessen alles russische Gut bei sich arrestirt habe; 1530, August 10. Dasselbe an dasselbe : theilt mit, dass der Hauptmann auf Iwan- gorod von dem genommenen Gute theïls den zehnten Pfennig erhoben, theils es ganz behalten habe und zu keinen weiteren Zugeständnissen zu bewegen sei; 1530, August 20. (Reval an Narva): erwiedert auf dessen vorstehende Mitthei- lungen, dass, nachdem die Russen nicht allein in dem erwähn- ten Falle, sondern auch sonst vielfach an den Schiffen und Gütern des deutschen Kaufmanns sich Ubergriffe erlaubt hät- ten, der Meister es für gerathen halte, den Frederick Korff mit den bezüglichen Klagen an den Grossfürsten abzusenden, und bittet denselben daher mit den erforderlichen Weiïisungen zu versehen; (1530, August 26). Amsterdam, das mit Hering, Wein und Blei beladen und mit kaïserlichen Seebriefen an den russischen Hauptmann verse- hen gewesen, nach vielfachem Kreuzen im Hafen endlich an der andern Seite geloscht und seine Bemannung habe verlauten lassen, sie hätten daselbst die Tiefe genügend befunden und würden im nächsten Jahre wieder zahlreich nach Iwangorod kommen; 1531, Juni 8. Dasselbe an dasselbe: weist die Beschuldigungen jenes, als beschwere es seine Bürger mit allerlei Neuerungen, zurück, indem es zeigt, dass das Salz den Russen allerdings auf der Wage zugeliefert werde, da sich die Unzuträglichkeiten des freien Verkaufs längst herausgestellt, sonst aber alle Waaren frei seien, eine Veränderung an der Wage nicht vorgenommen wäre, der Detailverkauf aber seinen Bürgern vorbehalten blei- ben müsse, um so mehr als derselbe durch die Iwangoroder be- reits stark beeinträchtigt sei, und erinnert schliesslich an das noch immer nicht ausgeführte Versprechen jenes, die Iwango- roder bei sich auszuweisen ; 1531, Juli 1. Verzeichniss der für den livländ. Landtag vom Sonntag Re- miniscere (Februar 25) 1532 zu Wolmar zur Verhandlung be- stimmten Artikel. (Bezieht sich namentlich auf den abgeschlos- senen zwanzigjährigen Beifrieden mit Russland und die in Narva und Neuhausen angesetzten Richteltage). Den Handel betreffende Beschlüsse, welche auf demselben Landtage von den livländischen Rathssendeboten gefasst wor- den; 1532, Febr. 25. Narva mit dem Meister wegen Schliessung der Marienburg- schen Strasse ; Wenden, 1532, März 4. knechts zu Nowgorod über die Russen (die ihm namentlich den Krug zu halten verbôüten) und befürchtet, dass unter solchen Umständen Niemand zur Annahme der Stellung mehr bereit sein werde ; erklärt ferner seine Ungeneigtheit, grüssere Sum- men an den Hof zu wenden, ohne jedoch die Verantwortung für den Verfall desselben auf sich zu nehmen; 1532, August 1. Auszug aus dem livländischen Städtetagsrecess vom Freitage nach Conversionis Pauli (Januar 31) 1533 zu Wolmar. Dorpat an Reval: theilt mit, dass ihm unter der Hand die Nachricht zugehe, der Verkauf von Blei, Kupfer und Schwefel an die Russen sei in Reval gestattet worden, während es bei 577. 579. 583. 584. 585. 586. sich denselben noch bestrafe, und bittet ihm den Sachverhalt zu melden; 1533, Juni 28. . Narva an Reval: rechtfertigt sich gegen die von Neuem er- hobene Beschuldigung, die Bürger des letzteren im Handel zu beschweren, und weist nach, dass nur gewisse Waaren die Wage passirten, die gezahlte Abgabe aber zur Erhaltung der Mauern der Stadt verwandt werde; wenn ferner die russi- schen Güter zum Theïl auf Iwangorod empfangen werden müss- ten, so sei es Schuld derer, die den letzten Frieden abgeschlos- sen hätten; der Vorkauf aber stehe nur den eigenen Bürgern gemäss der Bursprake zu, u. s. w.; 1533, August 1. (Reval an Dorpat): berichtet, dass es von einem Bevollmächtigten Gotlands zur Bezablung von 85 Goldgulden als der Rente vom Gotenhofe aufgefordert sei, und verlangt, dass jenes, welches sich das Regiment auf den Hôfen vorbehalten habe, nun für die Herbeischaffung der Summe Sorge trage; 1533, Septbr. 4. . Reval an den Hauptmann auf Iwangorod: übersendet eine Klageschrift des Victor Bade mit der Forderung, letzterem die ibm geraubten Güter wiederzuerstatten und fügt hinzu, dass anderen Falls die Klage vor den Grossfürsten gebracht wer- den würde ; 1534, Januar 3. Beschwerdeschrift des Victor Bade an den Revalschen Fath, des Inhalts, dass ihm nächtlicher Weile durch einige Russen von Iwangorod sein Gut, das auf der Narvischen Seite gelegen hätte, geraubt worden und seine beim Hauptmann erhobenen Klagen erfolglos geblieben seien; 1534, Januar 3. . Auszug aus dem livländischen Städtetagsrecess vom Mittwoch nach Lichtmess (Februar 4) 1534 zu Fellin. - Dorpat an Reval: nachdem auf dem letzten Landtage der Verkauf von Kupfer und Blei an die Russen freigegeben, dieser Handel aber grüsstentheils in den Händen der Fremden sei, fordert es jenes auf, dahin zu wirken, dass derselbe ausschliess- lich Inländern vorbehalten bleibe; 1534, März 27. . Narva an Reval: erwiedert auf die Nachricht jenes, dass viel verfälschter und ungewrakter Talg von dort verfübrt sei, dass es von nun an strenge Aufsicht üben werde und entschul- digt die bisher vorgekommenen Versehen mit der Gewandt- heit der Russen im Verfälschen der Waaren; 1524, April 26. Reval (an Wiborg): da es erfahren, dass dieses Kriegsschiffe gegen die Russen auslaufen lassen wolle, bittet es um recht- zeitige Benachrichtigung, damit der Kaufmann dadurch nicht in Schaden komme; 1534, Mai 12. Narva an Reval: erwiedert auf dessen bezügliche Anfragen, dass es den russischen Kaufmann deshalb bei sich anbalte, da- mit endlich die vielfachen Gewaltthätigkeiten des Hauptmanns auf Iwangorod, der den Pleskauern und Dorpatensern den Weg nach Narva versperre, zur Sprache kämen, und macht mehrere Fälle namhaft, in denen Kaufleute von jenem überfallen und beraubt worden seien ; 1534, August 6. Dasselbe an dasselbe: rechtfertigt nochmals sein Verfahren in Betreff der Sperrung der Strasse mit dem Umstande, dass eine zehnmalige Besendung des Hauptmanns auf Iwangorod frucht- los geblieben sei, beklagt den in Folge des wachsenden Handels der Iwangoroder ihm drohenden Ruin und verlangt, dass dic- selben endlich aus Reval verwiesen würden und der Verkehr Revalscher Bürger dorthin aufhôre ; 1534, October 98. Reval an den Grossfürsten von Moskau: dankt für die Über- sendung Age L°? as) DT AE ALES Us AAIES Sous Nach einer anderen Sage sind die Einwohner von Tabarseran und ÆKura bis zur Stadt Æumuk von Kaschan und Güan übergesiedelt worden — D 9 DA LEE AIANE PSC OR EST JS Joie) S Do: Es wird ja auch anstatt Tabarseran oft Tabaristan geschrieben gefunden, s. Anm. 27). + 29) S. Ausz., II, Anm. 81). 30) S. Derbendnameh, Reg. unter Lee 31) S. ebenda, S. 502 u. 621—623 Der Platz wo Selman nebst den anderen Gefallenen begraben worden sein soll, heisst Kyr. hlar (9), auch Gräber der Märtyrer (losil) D 3%). 32) Beladsory, S. 204. nennt den Dichter Ibn Dschumana el-Babily (lil 45e o2)); Jakut, I. S. 440: Abdurrah- man ibn Dschumana. 33) Die Verse befinden sich in Beladsory, S. 204 und Jakut, I, S. 204 vollständiger. Das Versmass ist Job. Das zweite Grab ist das des Kutaiba ibn Muslim, welcher-auch ein Babily war. S. die Übersetzung bei Fraehn, De Chasaris. Exec. S. 38. und in Bar- bier de Meynard, S 72. … 84) So ist hier, statt Badekan, vocalisirt; s. meine Abhandlung, Über die Einfälle ete. Regist. Baiekan. Scherwan; zum zweiten Chasaran*) Sughdabil, Bab Firuskobad und Lesgien; zum dritten, Busfarradschan (En PRESS) Debil, Sirah Tair*), Baghrawand(os, 7), Neschewi (ss, d. 1. Nachischewan). Im vierten Ar- menien liegt das Grab von Ssafwan b. el-Mu'attal - el-Sulimy (Sulamy—, ,.Lu)) Jall Q? Ul aie). Kobad baute auch die Stadt Bailekan, Berdaa und Kabala. Er baute den Ziegelstein-Damm (all GE) und an demselben 360 Städte, welche nach dem Aufbau von Bab wel- Abwab verfielen. Sein Sohn und Nach- . folger Kisra Anuscherwan baute Saburan*), Mas- kat, Karkara*"). Dann Bab wel-Abwab. Er erbaute in Arran, Scheki, die Thore der Dudanijeh, welche ein Volk sind, das sich von Dudan b. Asad b. Chu- saima “) herleitet. Er baute ferner Der- Ruineh (av, sJJ)*); das sind zwôlf Thore, von denen jedes Thor ein Schlossdom von Stein war. Er baute in dem Lande von Chasaran ‘) eine Stadt genannt Sa dabil (Jus. “); er baute?? Fars (l5) und machte es zum Wachtposten (äslse **); ferner Bab-Allan, Bab- Samsachi (“+ *), auch die Veste Dscherman 35) Wohl Dschursan, Georgien; s. Beladsory, S. 795. 36) S. D’Obsson, S. 51; Beladsory, S. 195, Jakut, s. v. 37) In Beladsory à. a. O.: Siradsch Tair Cab en) Jakut, S. 221. 38) Ebenda: Baghrawend (5, 2). 384) S. Jakut, Regist. Ulse. 39) Evliya Efendi, II, S. 164. «Shabürân, an elegant yet an- cient town, which was first built by Isfendiär, and ruined by Hülagü». 394) s. Auszüge, I, Anm. 44). 40) Beladsory, S. 194—195. 41) Ich weiss nicht, welcher Ort hier gemeint ist. Der Ableitung nach kôunte das Wort erzenes Thor (5, Thor, di 9 y; VOR Erz) » 1 ” bedeuten. Beladsory, S.195 (u. Jakut) giebt 43,5 M] , d-Dur- dsukijeh, über welche man, wie in der Anmerkung a) angegeben ist, St. Martin, Mémoires sur l'Arménie, Il, S. 189 und Brosset, Hast. de la Géorgie, I, S. 24, 5) nachsehen kann. 42) Ohne Zweifel mit Beladsory u. Jakut zu lesen os Dschursan, Georgier, s. Anm. 35). 43) Sonst JvJse Ssughdabil, Ssughdubil; so nach Jakut, eine Stadt in Armenien am Flusse Kur, welche Anuschirwan erbaute und in sie Leute von Ssugd (Small Es | in Beladsory) von den Süh- nen von Fars versetzte (ul Lol y): Unser Schriftsteller giebt aber anstatt der letzteren Worte: 5 GS Fars. 43%) $S. De Goeje (Beladsory), IT, S. 52.° 44) D. i. Samtsikhe, s. Ausz., II, Anm. 83); Beladsory, S. 195, Anm. b). 9: und er baute 473 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 474 (Uleydl #), die Veste Simsari (us jee 5), dann Be- lendscher, Semender, Haran ({l,=?), Scheki. Er ero- berte alle Lande im Besitze der Griechen. Er bevülkerte die Stadt Debil und befestigte sie; ferner baute er die Stadt Neschewi (Nachitschewan), d. i. die Hauptstadt der Provinz Basfurradschan; dann die Veste Waiss (Us çye>") und verschiedene Burgen in dem Lande Sisadschan, z.B. die Veste el-Kilab (NC) ‘8), Schah- pus? (Qssli ®) und liess sie von den tapferen und bra< ven Siadschanern”) bewohnen. Er erbaute die Mauer zwischen sich und den Chasaren aus Steinen und Blei. Ihre Breite betrug dreihundert Ellen ( ë |,5); er führte sie bis zu den Gipfeln der Berge hinauf und dann in das Meer. Er brachte eiserne Thore an ihr an, so dass nur hundert Mann sie bewachten, während man dazu früher 50,000 Mann nüthig hatte. Es folgt nun die Erzählung, wie Anuschirwan nach der Beendigung seiner Bauten sich einen goldenen Thron aufstellen lässt und Gott dankt; und wie ihm dann ein Meerungeheuer erschien, was man in Kas- winy ‘') nachlesen kann, wo sich fast dieselben Worte befinden, wie in unserem Schriftsteller. Anuscherwan, fährt er fort, baute auch die Stadt Scherwan. Was aber Belendscher anlange, so liege sie inmitten des Chasaren-Landes und sei von Belen- dscher dem Sohne Japhet’s erbaut worden. «Als Anuscherwan die Meer- Erscheinung abge- than hatte, fragte er über dieses Meer aus. Man sagte ihm:» o Künig! dieses Meer heisst Girdbil (Jw2,9*?); es hat dreihundert Farsangen im Umfang (in Länge 45) Nach Beladsory richtiger: ed-Dscherdeman. - , 0 46) Ohne Zweifel in Beladsory richtiger: Que Samschulda, d. i. Schamschoïlde oder Samschwüdé; s. die Anm. g) angefübrten Schriften. 47) d. i. Variatsdsor, s. Anm. h); Baitzor, s. Vivien deSt.-Mar- tin, Tableau du Caucase, S. 33, 2). 48) Beladsory, S. 195. 49) Ebenda Une Sahiunes?; J akut, I, S.222: el-Schahpusch. 50) In der Handschrift etwa asvi Lai ?; nach Beladsory: dust Lu Siasidschijeh, ohne Zweifel das Richtige, d. i. Leute aus Sisadschan. Vergl. Masudy, IL, S. 75: ds?Luu M] ?, 51)S. Ethé, S. 264. * 52) Unter den vielen Benennungen des Kaspischen Meeres habe ich die hier angegebene nicht gefunden, wenn anders die Lesart richtig ist. Auch ist mir nicht erinnerlich, eine ähnliche Erzäblung wie die obige sonstwo gelesen zu haben. Der Strudel wird aber auch von Anderen erwäbnt; s. Ausz. (9) XI — (Ssa'id). und Breite). Zwischen uns und Baidha el-Chasar *) ist eine Reise von vier Monaten dem Ufer entlang. Von Baidha bis zu dem Damm, welchen Isfendiar*) mit Eisen befestigt hat, ist eine Reise von zwei Monaten». Da erwiederte Anuscherwan: «man muss ihn durchaus erforschen». Man antwortete: «es giebt dahin keinen gangbaren Weg. Da giebt es eine Stelle, welche man «Lüwen-Maul» (à Qles) nennt, an derselben ist ein Wasserschlund (oder Strudel — ,,>,5°**), in den man sich nicht wagen mag und den man nicht befahren kann ; nie rettet sich ein Schiff aus demselben». Er sprach: «nichtsdestoweniger muss man dahin fahren, dem Schlund sich nähern und den Wall besehen». Da spra- chen sie: «o Künig! fürchte Gott für dich selbst und für die, welche mit dir sind». Er aber ging nicht dar- auf ein und sagte: «der, welcher mich von der aus dem Meere gegen uns aufgestiegenen Erscheinung er- rettet hat, ist mächtig genug, dass er mich auch aus seinem Wasserschlund errette». Es wurden nun Schiffe für ibn in Bereitschaft gesetzt und eine Anzahl hei- liger und frommer Männer fuhr mit ihm aus. Sie trieben mehrere Tage auf dem Meere umher, bis sie an den Wasserschlund kamen. Sie geriethen da in Be- stürzung; sie sahen kein Anzeichen, welches sie als Richtungsort für sich hätten annehmen, keinen Berg, den sie als Leitung für ihren Rückweg hätten ansetzen künnen; sie wandten sich an den Künig mit Vorwür- fen. Da sprach Anuscherwan: «seid reiner Gesinnungen 53) In den Handschriften oi) AS gleich darauf aber moi las, Baidha der Chasaren, was das richtige ist. Jakut unter 0 clés nennt es eine Stadt im Lande der Chasaren hinter Bab el- Abwab (Derbend); vergl. Fraehn, Quinque centuriae, etc. S. 41, wo er nachweist, dass es dem alten Ænderi am rechten Ufer des FI. Koisu entspreche; es hiess eigentlich clan] ée-Pie angege- bene Entfernung bleibt mir aber räthselhaft. 54) Vergl. über Isfendiar, D'Ohsson, S. 24 u. Derbendnameh, 5. 477.486. Anm. 29. Das Derbendnameh des Mirsa Kerim (s. Reisebe- richt. 1861, S 499) erzählt S.15 von diesem Isfendiar b. Guschtasp b. Suhrab, dass er im Kaukasus noch vor Anuschirwan eine Stadt Alghun (Usx J) gegründet und mit einem eisernen Thore versehen habe. Das Thor habe Thor von Allan RodEl2s) geheissen. Noch Einigen liess vor Kobad, Jesdedschird b. Isfendiar den Wall Alexander’s ausbessern; s. Mirsa Kerim, S. 9. Nach Masu- dy, IL, S. 43 soll Isfendiar das Schloss der Allanen erbaut haben. : 20) 540) S.Ssahah: 4 A] a Qlés jp coul) dll 555 «Durdur bedeutet das Wasser, welches im Kreis herumgeht und in welchem man unterzugehen fürchtet». Vergl. Geograph. Caucas. S. 55; Isstachry, ed. de Goeje, S. 213. u. A. 475 Bulletin de l’Académie Empériale 456 ed cc SSE x LUN SN de HS LS vor Gott, unterwerft euch ihm und demüthigt euch im Gebet vor dem allmächtigen, glorreichen Gott! Er ge- lobte hierauf, falls ihn Gott retten werde, das Einkom- men von sieben Jahren an die Armen seines Reiches zu geben. Da auf einmal zeigte sich”) ihnen eine In- sel, welche die Wellen überspülten. Auf der Insel war das Bild eines Lüwen von der Grüsse eines Berges. Das Wasser floss in seinen Hintertheil hinein und er- goss sich aus seinem Rachen in den Wasserschlund. Da schickte der glorreiche, allmächtige und heilige Gott einen Fisch, grüsser als der Drache, welcher auf dem Wasser daher gleitet. Er warf sich in den Rachen des Lüwen; der Strudel wurde ruhig und die Schiffe fuhren weiter, so dass er seinen Wunsch er- reichte, nach Dschurdschan steuerte und sein Ge- lübde erfüllte. a die sl Lo ol oùll je uit £s Ü, po Je Qu pell lje EI Loi Ja dl élls (1. nl) 8» jd) Le SEX LSSs al L° cn le KE 54) }] sal eng Æ 1e La J} lje Je ce ypil el gyause bug 95) JU: (228 Gus HUdb JE) LU AU) +079 we 4159 Es Gb ail] ac | PIE anle sie) ue 5 Masse ps 5, da cb as 45, jè Le a) Jb [je en Des as 0 ue re Y ol 89 die Ana Poe QC? dl si ON] Lol le JBs ul] jo ue Lil so et 22) Êe + ds ci O! Je, œE Else dE EURE a) si Fi Oe MS ul pl] sil à le 6» £: LG pal 51354 AIR 3) ge Je ame es Dr Lle De Le Le lon FA Le sy) PE BA Le oyles al leo ad bee ent Hp Ji | UL SU Pa LES PNA a PET 3 FER + w 714 robes AA DE äsla)l Jo re) D et er © gigesl anal LL € il (?) cle 0 > > né ae) “et il AUS este l 3 201 à 7 lsloul8 4 x» 7 0 -0- 54b) Vergl. zu Cas, — im Text 25, — Beladsory (Goeje), III, S. 45. é w 0 Lsiss o75$e de ç (.J] Jos Je he ES ss) JE “Ha La 3] ESS plis PSE JI ci je abs Le j| ur, bu . DA) Q° (E A UD) JEs d) Us Ur te) LE, sie Je, Ja Re Le 0 oJ Ji 55% ÜL ")) res 5), | LA Ahmed ibn Wadhih el-Issbahany **) berichtet, er habe sich längere Zeit in Armenien aufgehalten und sei für mehrere von dessen Künigen und Verwesern Schreiber (Secretär) gewesen. Er habe kein Land gese- hen, welches reicher sei an Gutem und grüsser hinsicht- lich lebendiger Wesen *“’) als dasselbe. Er giebt dann weiter an, die Anzah] seiner Staaten betrage einhundert und dreizehn. Das Reich des Herrn von Serir liege zwi- schen Allan und Bab el-Abwab, zu welchem nur zwei Strassen führen; die Strasse nach dem Chasaren-Land und die Strasse nach Armenien. Dieses enthalte 18,000 Flecken”). [Dann Arran]; der Anfang des Reï- 54°) Dieser Ahmed ibn Wadhih wird ôfter erwäbnt, z. B. von Jakut und Dimeschky, von.ersterem Bd. I,S. 7, als Quelle; 5. 222 ee 1- unter Armenien, Bd. I, $. 417 unter (EU > >) stehen fast ganz dieselben Worte, wie in Al-Ja:qûbii Xitabo’l-Boldan, ed. T. G.J. Juynboll, Lugd. Bat. 1861, S. 121 Z. 1—4 v.o.; Bd. IL, S. 136 fübrt Jakut ein Gedicht des Ahmed ibn Wadhih über Samarkand an, welches ich in der Ausgabe von Juynboll unter Samarkand (S. 74—5) nicht finde. Dagegen steht die von Dimeschky, ed. Meh- ren, St. Petersb. 1865, Le 186. aus Ibn Wadhih entnommene An- gabe bei Juynboll, S. 23, nur dass da zehntausend Bäder anstatt der fünftausend SR DE s aufgezählt werden, was uns aber na- türlich nicht irre machen kann. Dass sich die oben angeführte Stelle über Armenien und die Kaukasus-Länder nicht bei Juynboll fin- det, kommt wohl daher, weil der Abschnitt, in welchem von den ge- pannten Ländern gehandelt wird, gerade fehlt; s. Fraehn, Bullet. scient. 1838. T. IV, S. 134, Anm. 5), Man kann kaum zweifeln, dass der von Juynboll herausgegebene Jakuby der Ahmed ibn Wadhih des Jakut und Dimeschky sei. Weitere Forschungen werden weiteres ergeben. Vergl. Harkavy, J{onoznmenin KR CouuHeBiN «CKasania, etc.» S. 14—15. Hr. Prof. Dr. Rüdiger schreibt mir, dass sich im Cod. Spreng. 2a) S. 118, Z. 16 ff. die Stelle: ,S5, Q° sua] LAS ail, sine | > pl JU lai] és L? Jesl lee phel de Al 5h » ) Aus Lil CSL ile pc &B, &le Lile 59e L] 4f53 aie vorfindet dann aber der Name Ahmed’s kommt. auf den nächstfolgenden Seiten nicht vor- 541) Anstatt H 922 El ra iS] bei Jakut, $S. 222: Las J* 0) Le Li) Li die on. 55) Nach Masudy, II, $. 42 enthielt das Reïch von Serir 12,000 477 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 478 ches sei in Armenien; es enthalte viertausend Flecken, deren meiste Flecken des Herrn von Serir seien. Ferner berichtet er, e/-Bab we’l-Abwab sei eine Mauer, welche Anuscherwan erbauen liess; die Wege von ibr seien im Meer, sofern er ihren Grundbau vom Meere ausgehen liess bis dahin wo man nichts mehr unternehmen konnte. Sie war sieben Farsangen weit bis zu einem unzu- gänglichen Ort und einem steilen Berg, den man nicht betreten konnte, fortgeführt. Sie war von ausgehauenen viereckigen Steinen erbaut, von denen einen fünfzig Männer kaum aufheben konnten. Diese Steine sind noch geblieben. Sie wurden einer an den anderen mit Klam- mern angefügt. Er legte in diesen sieben Farsangen sieben Durchgänge (Wege) an; an jedem Durchgang war eine Stadt, wo eine Persische Streitmacht postirt war, welche asnabeski (ALES | ? %) hiess. Er er- zählt ferner, dass die Bewohner von Armenien den Sold für die Wächter dieser Mauer und Thore tragen mussten. An jedem Durchgang war ein Thor einge- hängt. Die Breite der Mauer oben war so, dass zwan- zig Reiter ohne sich zu beengen, auf ihr reiten konnten. Ferner befanden sich in der Stadt e7-Bab°") am Thore des heiïligen Kampfes auf der Mauer zwei Säulen von Stein; anf jeder Säule befand sich das Bild eines Lüwen von weissem Stein, unter ihnen waren zwei Steine, auf denen sich die Figuren von zwei Lüwinnen befanden. In der Nähe des Thores war das Bild eines Mannes von Stein, zwischen seinen Füssen war das Bild eines Fuchses, in dessen Maul sich eine Wein- traube befand. Seitwärts von der Stadt lag ein Was- serbehältniss (28°) bekannt als «das bekannte» Flecken (villages, & 5, Aule). Der Baron P.v.Uslar(s.dessen Hür- kanische Studien von A.Schiefner, St. Petersb. 1871,S.3—4) spricht von 18,991 bis 20,000 Hôfen (xBopa) im Dargoischen (Darginschen) Bezirk, welcher dem alten Serir zum Theiïl entspricht. Wir haben also keine Ursache Ahmed ibn Wadhih der Fabelhaftigkeit zu zei- hen, für mich dient seine Angabe nur als ein Beweis seiner Glaub- würdigkeit. [Dann Arran] ist aus Jakut entnommen. 56) In den Berlin. Handschriften: Sas UN]. In Jakut, I. S. 440, wo wir die obige Geschichte fast würtlich wiedergegeben fin- den, ist dieses Wort - SALES) gedruckt, bei Barbier de Mey- nard, S. 72: Enschastegin. Ich weiss mit dem Worte in diesen Ge- staltungen nichts anzufangen. Ob in der ersten Hälfte ol, Armee oder LS) , Pferd oder CET, Freund, sich birgt ? 57) Die Stadt d-Bab kommt schon auf Münzen aus den Jahren 120 — 738, 126 — 743,4 u. 128 — 745,6 vor; Fraehn, Quinque centuriae. S. 56, N° 19. 58) Wir finden anstatt Ent die Lesart en Mihrendsch als Name eines von Anuschirwan errichteten Gebäudes, welches Abu (u59y2+)— das Haupt-Behältniss). Man stieg auf Stufen zu ihm hinab, wenn das Wasser klein war. An den beiden Seiten der Treppe waren zwei Lüwen von Stein, bei einem derselben das Bild eines Mannes von Stein; auch an dem Thore der Regierung (s,Le] %) war das Bild von zwei Lüwen auch von Stein aus- serhalb der Mauer. Die Einwohner von Derbend sa- gen, sie seien Talismane für die Mauer. S. 81. Habib ben Maslama eroberte für Othman b. Affan viele Armenische Städte. Abdullah b. Ha- tim b.el-Numanb.Amrel-Bahily wurde von Seiten Muawija’s Statthalter. Hierauf ernannte er zu solchem dessen Sohn Abdul-Asis, welcher die Stadt Debil so wie die Stadt Berdaa erbaute und viele andere Städte ®’). Es nahm aber Habib b. Maslama ‘) von Armenien: Dschurach (als 5), Kesfer (_jauS®'), Kisal (Jlaf®), Haban (os %?), Samechi(, ="), el-Dscher- Muslim (Maslama) niederreissen und mit den Steinen die schad- haften Thürme und Vesten ausbessern, so wie an der Stelle des Ge- bäudes ein Arsenal u. Behältnisse (., Li] ) für Wasser, Nafta u. Le- bensmittel, auch einen Hafendamm (Jas) anlegen liess. So in Mir- sa Kerim’s Derbendnameh, $. 43 — 44. 0H0)5 32 phase #) EI cr on | HJues JL lool o> 8 gd) sl, sl 929 pal de 0H) y Re Jos _ae8 oobless E°? SI Due ali [L Son HI dl yle «52792 Lo dy Ja3s ls) Bsls Lw,. Vergl. Klaproth, Extraits du Derbend-nämeh, im Journ. asiat. 1829. IIL. S. 458. u. Derbend nameh, ed. Kazem-Beg, S. 549. u. Reg. LAS. Ich zweifele nicht, dass die Lesart D 3e eine falsche ist. Ein «ab-ambar» hat gewühnlich einen steinernen Überbau, welcher nach hinten im- mer niedriger wird und recht wohl Je L p2 D) Lee (s.Kazem- Beg, 8.550) genannt werden kann. Vergl. Tabary’s Nachrichten über die Chasaren, S. 483. k 59) S. Auszüge, II — Bullet. S. 16; Mél. asiat. S. 368, wo von den Säulen die Rede ist und das Thor Led b genannt wird. Die jetzige Lesart LA Y] ol dürfte die richtigere sein. 594) $. Beladsory, 205: Abdul-Asis b. Hatim erbaute Debil, erneuerte Berdaa u. 8. w. He 590) Hier steht in einem Texte ,Lue Muslim. 60) S. Beladsory, S. 202: 2»: s. D’Ohsson, S. 53—54. 61) Beladsory: > jauf. 62) Vielleicht das jetzige Kecha, auf älteren Karten Æesah, zwischen Tiflis und Gandscha; vergl. Beladsory, Anm.f.); D'Ohs- son, a. a. O. S. 64. 63) Nach D'Ohsson, S. 53 [4]: Khounan (ul) am Zusam- menfluss des Kur und des Ætsia. $S. Jakut unter (y 634) S. Ausz., II, Anm. 83). 479 Bulletin de l’Académie Impériale 480 diman (çles)41%), Kesfi-bis (Qu Qu), Sersib (core ©) und Narlit (Cal,L) durch gütlichen Ver- trag, so dass sie eine Kopf- und Landsteuer zahlten. Er machte einen Vertrag mit den Ssanarijeh, den Bewoh- nern von Xlardschet *) und den Dudanijeh auf Tribut hin.— Anlangend die alte Stadt Schamkur, so schickte Selman b. Rebia Jemand gegen sie, welcher sie einnahm. Sie war bewobnt bis sie die Bawerdijeh (&53,Lu1®) zerstürten, ein Volk, welches sich zu der Zeit als Jesid b. Asad (Usaid) aus Armenien abzog, zu- sammenschaarte, so dass ihre Angelegenheiten in Auf- schwung kamen und ihre Glücksfälle zahlreich waren. In der Folge stellte sie wieder her und befestigte sie Bugha, der Schirmling des Mutassim Billah; er ver- setzte die Kaufleute dahin und nannte sie Mutawckki- lija *). Selman b. Rebia nahm die Stadt res durch Vertrag; seine Dre nahmen Siser (_pusaw ), Maskatwan (ol heal? DUrCale iel let) und d-.. QU ell 5), welches gut DE voikoe Se 64) S.'D'Ohsson, Anmerk. [6]. Der Fluss Gerdiman (Cyle3 ,$) ist mit nichten ein kleiner (petite rivière). Im Sommer fliesst er zwar nur in vielen einzelnen kleineren Stromungen oder Bächen, aber die Überfahrt durch dieselben ist immer beschwerlich. Das Flussbett ist in der Nähe von Aksu mebr als eine Werst breit. Im Frübling und Herbst schwillt er so an, dass man nicht immer über ihn kom- men kann, sondern Tage lang warten muss, ehe man wagen kann über ihn zu setzen. Im J. 1860 (12 September) wurde mein Taran- tass in einer Stromung des Flusses von dem reissenden Wasser um- geworfen und ich von einem Kosaken ans Ufer getrageu. 65) Beladsory: Qt) — Guschtasfi (?); Anm. h.). Vergl. Geo- graph. Cauc. S. 77. 66) Vielleicht Cage Schauscheth?; s. Beladsory, Anm. i). 67) L. Eat Basaleth; s. ebenda, Anm. k). 68) Im Text : el; s. Beladsory, $S. 203, a), im Text usb; lies een Klardjet; s. ebenda, S. 202, Anm. 1). 69) Bawerdijeh, 1. el-Sawerdieh, s. Beladsor y, S. 20é Anm. 1). Anstatt Asad, Beladsory: Usaid CO) Anstatt "pe des Textes (s. Goeje, $. 106) hat Jakut unter J9 LE : Fraehn las einmal pessl se pile; 70) S. Fraehn, Opp. post. msc. 3. XLIX, S. 143 u. Eichwald, Reise, I, II, $. 56. ÿ 71)S. Beladsory, S. 203: Qi s. Anm. h). S.Jakut: jun 72) Beladsory: (3) sul ) L Olga 73) Ebenda: 3, . Vergl. Spiegel, Eränische Alterthumskunde, S. 404. 74) So auch Beladsory. 75) Beladsory: Jbb,#l; s. Anm. i). sind; auch noch andere Orter von Arran nahm er ein. Hierauf zog Selman zu dem Zusammenfluss des Kur und Araxes hinter Berdidsch ( e? %); er überschritt den Kur und eroberte Kabala. Vertrag mit ihm gingen ein: Seken (+, KL. — Scheki”), Kamiberan? (ç5lyasea)] ") Dschensan il ie”), der Künig von Scherwan und “ übrigen Bergfürsten, so wie die Bewohner von Maskat, Schaburan und der Stadt e/-Bab. Nach ihm ging die- selbe wieder verloren, Es trat ihm der Chakan mit seinen Schaaren entgegen hinter dem Fluss von Belen- dscher, Wo er mit viertausend Mann getüdtet wurde. S.81.In der Folge wurde Jesid b. Asadel-Selmy®) Gouvernéur von Armenien. Er eroberte Bab-Allan und leste eine regelmässig besoldete berittene Wacht°') hinein. Er demüthigte die Ssanarijeh so, dass sie Tri- but zahlten. S. 81 v. Auf dem Berg Kabk (Kaukasus) giebt es zwei und siebenzig Sprachen, jede Sprache wird von Ande- ren nur durch Dolmetscher verstanden. Seine Länge beträgt fünfhundert Farsangen. Er stüsst an das Land der Griechen bis zu der Gränze der Chasaren und Allanen; er reicht bis zu den Ländern der Slaven. Auf ihm giebt es auch eine Art(,,.:) von Slaven; die übrigen sind Armenier. S. 82. Über den Araxes, der von Kalikala ausgeht, und den Kur ist nichts Neues. Der Araxes hat ver- schiedene Arten Fische, z. B. den Surmahi”), wel- cher jedes Jahr nur zu einer gewissen Zeit in diesen Fluss kommt. Dann werden noch drei Fische genannt, 76) Berdidsch; s. D’'Ohsson, S. 15. Nach Jakut, I, S. 536, eine Stadt am Ende von Adserbaidschan. Zwischen ihr und Berdaa sind 11 Fars. Sie ist vom Kur umgeben. 77) Im Text steht wohl Scheki. Vergl. maeus. 78) So in Beladsory: Rs sakan; bei Beladsory, S. 208: à, Sche‘gaschen und die Sacani des Ptole- oLssll; Jakut: ol. 79) D’Ohsson, $. 55: Djézan. Bei Beladsory, S. 204: ls S Chaisan : s. Anm. à). 80) S. Beladsory, S. 209: Jesid b. Usaid el-Sulamy. 81) Lip] Jel bn absl,; s. Beladsory, III, S.41 (55) u. S. 42: De wo auch nos 82) S. Geogr. Caucas. S. 87, Anm. 70). Man findet auch Schurma- hidsch (Ps) geschrieben; s. Kaswiny, Ethé, S. 379, Text, S. 183. Eine Berliner Handscbrift richtig: D y. Nach Rei- naud, Géogr. d'Aboulféda, T. II, I, S. 300: lesturgeon. Es ist der eingesalzene Janus (9 Le — Tat. ps kutum, geräuchert P. Cuw> dest-pitsch. 4S1 deren Namen mir nicht deutlich sind: ed] (sturio, Stür, Span. esturion?), Q] ce (Armen. ézucn, Fisch?), pr (sonst S,225N)— Bürs, Bersich, Franz. perche, Bspëntixov?; s. Vivien de Saint-Martin, Nouv. ann. des voy. T. XXXI. 1852, III, S. 40 (1). Ausserhalb el-Bab ist das Reich von Suwar (E sh der Lesgier, Allanen, von Dschilan*"), Maskat, Serir und die Stadt Mamider (5922), Von Dschurdschan bis zu dem Canal der Chasaren, wenn der Wind gut ist, sind acht Tage. Die Chasaren sind alle Juden; sie haben vor Kurzem das Judenthum angenommen. Von den Chasaren-Land bis zu em Orte des Walles (Dammes- , “ Ms) sind zwei Monate. — Es folgt nun eine lange Ge- schichte über diesen Wall. S. 189: Ueber Tabaristan. Man sagt, Tabaristan habe seinen Namen davon er- halten, dass sich eine Anzahl von Leuten aus Dschilan (Gilan) dahin begab. Es waren da nur viele Bäume; sie sahen den Erdboden vor der Menge und Verzwei- gung von Bäumen nicht. Da sprachen sie, wenn (2 wir diese Bäume mit Beilen [C»+5, Pers. ,4b fabar] niederhauen, uns da niederlassen und das Land an- bauen (so wird es gut sein). Sie thaten das und nach ihrer Rede wurde das Land von den Beilen Tabar- istan genannt. Es wird auch noch die bekannte Ab- leitung von sie Axt und Sole Weiber angeführt. Von Ortlichkeiten werden genannt: Amul, Mamatir (_yshee), Terendscheh (as 5“), eine kleine Stadt, sechs Far- sangen von Mamatir. Sarija, Tamisch, sechszehn Fars. von Sarija. Nalil, Schalusch, el-Kular (DUT, jetzt Ke- 83) Ich kenne das nicht. Eine Berlin. H. giebt D vielleicht = Jo, Tzour, Djora, T£ovo; s. Fraehn, Opp. post. msc. 3. XLIX, S. 146. Eine Veste Suwar (l …) wird ven Mirsa Kerim S, 59 und im Derbendnameh, $. 577 erwähnt. Vielleicht ist die Les- art nicht richtig. Vergl. die Suraui des Ptolemaeus. S. Derbend- nameh, S. 654 — 5. 834) S. Anm. 28). 83b) Cod. Berol. A: jee, B: guee. Es wird wohl Semender gemeint sein. 84) Ich kenne diesen Ort nicht weiter. Es werden von morgen- ländischea Schriftstellern nicht selten Ortlichkeiten aus Tabaristan, Dailem und den dasigen Gegenden angeführt, welche sich jetzt nicht 22 mehr näher nachweisen lassen, z.B p)) » gr AR reel ; aus Ë QI, GIE, lis, De: js, JD U. &., über welche man Jakut nachsehen kann. Tome XVII. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 482 lar), Saidabad, Rujan. Auf dem Berge von Seiten Cho- rasan’s liegt eine Stadt Ars (NY) *)— Dehistan. «Wenn man e-Ars vorbei ist, kommt man auf die Berge von Wundaÿ -Hurmus, dann auf die Berge Scherwin, welche zu dem Staate des Ibn Karen gehüren, dann nach Dai- lem, dann nach Dschilan. Nach Beladsory enthält Tabaristan acht Bezirke (ES) Sarija, Amul,zu welchem letzteren Zreini Chuäst gehürt u.s.w.—Anuschirwan baute da eine Mauer zur Abwebr der Türken. Tamisch. Mihrewan. Bei Sarija heisst es, ausserhalb der Stadt gehôren tausend dscherib “Ÿ) Landes am Thore der Stadt, dem BundaŸ-Hurmusd (55e, 31323 #), welche er von den confiscirten Landstrichen oder Domänen “) . von Dscherir b. Jesid, dem Statthalter von Tabar- istan, gekauft hatte. Die Geschichte Tabaristan’s ist sehr weitläufig er- zählt. Der « Vater der Dreier» (sl ol #1), d. i. der Chalife Manssur schickte den Chalid b. Bermek nach Tabaristan um den Issbehbed zu bekriegen. Die Chosroen hatten damals als sie sich von Irak nach Merw flüchteten, auf einem Berg wegen seiner Un- zugänglichkeit ihre kostbarsten Schätze niedergelegt, Darunter befanden sich Edelsteine, Kronen, Gürtel, Schwerter mit Perlen, Hyacinthen und Smaragden ver- ziert, deren Werth unschätzbar war. Die Tabaristaner bildeten nach diesen Siegen aufihren Schildern und auf den Wurfmaschinen, womit er sie beschossen hatte Ÿ), den Chalid ben Bermek ab. Der Issbehbed nahm Gift und starb daran. Der Mussmighan aber kam mit seinen Frauen heraus und zu Chalid. Er setzte sich vor ihm auf die Erde nieder. Chalid verzieh ihm, liess ïhn auf den Teppich sitzen und schickte ihn mit seinen Tôüchtern an Manssur. Ihre Mutter war eine Tochter des Issbehbed’s. Sie kam allein an Mehdy und gebar ibm den Ismaïl b. Muhammed; eine andere kanwan Abbas b. Muhammed b. Aly, einen Bruder des Manssur und gebar ihm den Ibrahim ben el-Abbas *), 849) S. Jakut s. v. 84b) S. Über die Pinfälle der alten Russen, Reg. unter Tabaristan, S. 128. Über den jetzigen Bezirk Hesar-dscherib s. Melgunowv;, Deutsche Bearbeit. S. 175. | 85) Man findet die Schreibart Bundad anstatt Wendad ôfter promiscue angewandt. 86) Über dsl, pl. Glye s. Goeje, (Beladsory), S. 61 und Fragmenta, I, S. 47. 87) S. Auseüge, IT, Bull. XVI, S.36, Mél. as. VI, S. 373, wo die be- treffende Stelle so wie hier aufzufassen ist. 88) Vergl. Fragmenta historicorum etc. (Anm. 14) S. 229, wo die 31 483 Bulletin de l’Académie Empériale 484 Die Mutter Ibrahim's aber war eine veränderliche Frau; sie gind dann zu Abdu’l-Ssamed b. Aly, dann zu Mehdy, dem sie den Ibrahim gebar. Chalid baute in Tabaristan /-Manssura*”) mit einem Markt. Unter der Rubrik: verschiedene Arten der Türken (S,5Y) Ll) finden wir Folgendes. «Platon sagt, bei dem Türken Lu man keine Treu und Glauben (G,), bei dem Griechen keine Freigebigkeït (cz), bei dem Chasaren keine Scham (eLs), bei dem Sendsch (Aethiopier) keinen Kummer (6), bei dem Slaven keine Tapferkeit (àcls*), bei dem Sinder keine Keuschheit (dc). (2). IV. am] Se) SES, Das Buch der kostbaren Klei- node, von Abu Aly Ahmed ibn Omar ibn Dusteh. Da dieser Schriftsteller schon hinlänglich durch Hrn. Prof. Chyolson ”) und Hrn. Rieu ”) bekannt ist, so begnüge ich mich damit nur folgende Bemer- kungen beizubringen. Hr. Prof. Chwolson schreibt den Namen Ibn Dasta und zwar namentlich auf _meine und Kasem-Beg’s Veranlassung hin, da uns bei- den die Annahme unwahrscheinlich und unzulässig er- schien, dass aus eine Verkürzung von 4%. und in der Bedeutung von &l2,> sein künnte; vergl. Chwolson,S.9, Anm. 28). Wenn das Wort das Dimi- putivum von €s> dust, Freund (xpyxoK®, Freundchen) wäre, so würde wohl auch Dustek (5) geschrieben worden sein, wie wir denn in Ibn el-Athir, ed Torn- berg, IX, S. 25 einen Abu Abdillah el-Husain ibn Dustek (Élu, ol) finden *). Da indessen in der Handschrift selbst, wie ich mich mit meinen Augen * Tochter des Issbehbed’s als Mutter des Ibrahim b.el-Abbas b. Mu- hammed genannt wird. S. Jakut, I, $S. 244. 89) Jakut nennt diese Stadt nicht, ob er gleich mehrere Städte dieses Namens aufführt. 90) Hssbcria o Xosapaxr n np. A6y-Aru Axmeyra 6exB Omap Hôn® Jlacra. C. Ilerep6. 1869. 91) Catalogus ete. S. 604—607, X MCCCX. 92) Ein Beïspiel eines ausgefallenen , bietet das Wort ESS welches sebr häufig so geschrieben wird, während es doch eigent- lich D'Un 35 — © LD 9S geschrieben werden sollte; s. Jakut “unter nes 3, — Auch künnte das © À am Ende wirklich das Zeichen des Diminutivs sein und «Freundchen» bedeuten; s. Vul- lers, Grummatica linguae Persicae, ed. 2. S, 249, 6). überzeugt habe, wirklich aus vocalisirt ist und man wohl annehmen kann, dass der Abschreiber Grund ge- habt hat, so zu schreiben, so werde ich mich fürs Erste doch an diese Aussprache halten bis uns ander- weitige Belehrungen hinsichtlich des wahren Bestan- des des in Rede stehenden Wortes zukommen. Dass Ibn Dusteh seine Schrift in den ersten Jahr zehenden des zehnten Jahrhunderts unserer Zeitrech- nung, also etwa von 904 — 920 verfasst hat, unter- liegt wohl keinem Zweifel. Der Umstand freilich, dass er von dem Einfall der Russen in die südlichen Küsten- länder des Kaspischen Meeres nichts erwähnt hat, künnte uns hinsichtlich der Zeit, in welcher er gelebt hat, durchaus nicht beirren. Dieser Einfall ist von vielen selbst sonst gewichtigen Geschichtschreibern unerwähnt geblieben und da Ibn Dusteh, wie Ir. Rieu, S. 604, annimmt, wahrscheïinlich in Issfahan gelebt hat, so mag ihm jener kurze Einfall, von dem er entweder gar nicht oder nur durch dunkele Ge- rüchte gehôrt haben konnte, als ein anderen Ereig- nissen gegenüber zu unbedeutender Zwischenfall er- schienen sein, als dass er besondere Erwähnung ver- diente. Selbst Sehireddin, der doch die Geschichte von Tabaristan so umständlich behandelt hat, fertigt die in Rede stehende Begebenheïit mit wenigen Wor- ten ab; Chondemir u. a. schweigen ganz davon *). Über die Handschrift und deren Inhalt sehe man eben die Herren Rieu und Chwolson. S. 100. Das Meer von Tabaristan und Dschur- dschan*), à. ï. das Meer von «/-Bab, erstreckt sich in der Länge von Westen nach Osten 1800 Meilen (Jue), in der Breite 600 Meilen. Es befinden sich in ihm zwei Inseln in der Nähe von Tabaristan, welche in vergangenen Zeiten bewohnt waren. S. 104 v. Der Fluss e7- Ras (ol, Araxes *) in Armenien fliesst Warthan vorbei zu der Stadt Ber- didsch ( e») Hinter ihr vereinigt er sich (mit dem Kur) und fällt in das Meer von Tabaristan. Zwischen 93) Vergl. meine Abhandlung: Über die Zinfälle der alten Russen in Tabaristan. 94) Dieses Dschurdschan ist bisweilen falsch für Georgien ge- nommen und daher das Meer von Georgien genannt worden; 8. Notic. et Extr. VIII, S. 18. 95) S. Justi, Beiträge, I, S. 18, wo er den Araxes für den Déitik des Bundehesh ere sn Spiegel, Zrân. Alterthumskunde, S. 200 — $. 201, die Däitya für den Kur nimmt. 485 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 486 den beiden Flüssen liegt die Stadt Baülekan. Beide Flüsse ergiessen sich (vereint) in das Meer von Dschur- dschan. — Vorher wird bemerkt, dass verschiedene Flüsse von den Bergen Armeniéns in den Araxes fallen. Der Fluss Xuwr*) kommt aus dem Lande der Alla- nen, fliesst Titlis und Berdaa vorbei und ergiesst sich in das Meer von Tabaristan. Der Jsfidrud ”) kommt aus der Näühe von Bab-Sis (Que al %), durehstrômt Adserbaidschan, tritt dann in das Land von Daïlem ein und mündet in das Meer von Tabaristan. Der Schahrud (35 8 L2%) entspringt von Talekan bei Ray: er vereinigt sich mit dem Isfidrud und fällt in das Meer von Tabaristan. S. 107. Der Dschaihun, dessen Lauf näher be- schrieben wird — er kommt aus Thibet (C5) — fällt in den (Aral-) See”), dessen Umfang etwa achtzig 96) Justi a. a. O. findet den Kur in den Benennungen Rad und Tort des Bundehesh; Spiegel a. a. O. S. 201 bezweifelt die Rich- tigkeit dieser Annahme und findet in Tort einen Anklang an den Terter [Arab. pro D Thurthur] 97) Co Jaisl — S. Kaswiny, L S. 181; Ethé, S. 370. Spie- gel, Alterthumsk. S. 75 nennt ihn Saféd-ràd; Çpét, S. 201. 98) Bei Jakut sb Parsis. In der Bearbeïtung von Bar- bier de Meynard heisst es: «Le Fleuve Blanc qui prend sa source dans le Daïlem». S. Spiegel, Alterthumsk. S. 75: «er entspringt im N.N.W. der türkischen Stadt Sinna». 99) S. Kaswiny, S. 181; Ethé, S. 370. 100) S. Masudy, I, S. 211; Kaswiny, $. 177; Ethé, 5. 362. Der Dschaibun wird auch fälschlich der Fluss von Balch, d. i. der Bactrus genannt; vergl. Forbiger, Handbuch der dten Geogra- phie, II, S. 77 und 557. Sonst sind beide Flüsse verschieden; s. Idrisy, Il, S. 356; vergl. Justi, Baträge, 1, S. 12 u. Spiegel, Alterthumsk. S. 207. Die im Auszug I, Anm. 17, genannten Flüsse Catadun und Kat berühen nur auf einer falschen Übersetzung Hy- lander’s; denn anstatt es, Us, ist zu lesen DE Le Er von Zeit zu Zeit. Sie müssen also in den See der Verges- Dire fallen. Die Stelle lautet so (Msc. Mus. As. À 599%): 5 hs? 9 Cas ll os gel le LosLes due ail loss pose Vs, ose plu je oyse les Last air, Lie À, lope pois LU y, Uélil) Les Les Laul ès 5 Us? D Ÿ, él } LsLe Din 5 loné, pie &4 slails yei VE La) ee Le, «Der See von Chuäresm hat einen Um- fang von 300 Meilen; sein Wasser ist salzig und bitter. Er hat weder Abfluss noch Untiefen. In denselben fällt der Fluss Dschai- hun beständig; der Saihun nur bisweilen (zeitweilig). Ferner fällt in denselben der Fluss von Schasch, der Fluss der Türken (?, el- Turk [s. Auss. I, 16)], der Fluss Sermasgha und viele kleine Flüsse Farsangen beträgt. An seinem westlichen Ufer ist er eingeschlossen von dem Siah-Kuh genannten Berge; das üstliche Ufer ist begränzt durch Gestrüppgegen- den (ÿl«), in welchen sich viele in sich verschlun- gene, in einander verwachsene Bäume befinden, und durch welche man nur auf einem engen, steilen Wege kommen kann, wo es beim Ein- und Ausgang Berg- klüfte zu durchgehen giebt. S.168. Æl-Serir. Man kommt von den Chasaren in zwôlf Tagen durch eine Steppe dahin. Dann steigt man über einen hohen Berg und durch Thäler fort und geht so drei Tage lang bis man zu der Veste des Kôüniges kommt. Das ist eine Veste auf dem Gipfel eines Berges, welcher vier Farsangen weit und breit ist. Sie ist von einer Steinmauer umgeben. Der Kônig besitzt einen Thron von Gold und einen von Silber. Die Bewohner der Veste sind insgemein Christen; die übrigen Bewohner seines Reiches sind alle Un- gläubige. Er gebietet über zwanzigtausend Schluch- ten (Bergüffnungen — Lai"), in welchen sich ver- schiedene Arten von Leuten befinden, die da Landgü- ter und Dürfer innehaben. Sie alle verehren einen «trockenen Kopf», d. i. einen Todtenkopf "”). Wenn Jemand bei ihnen stirbt, so legen sie ibn auf eine Bahre und bringen ihn auf den grossen Platz (Maidan), wo sie ihn drei Tage lang auf der Bahre liegen lassen. Dann sitzen die Bewohner der Stadt in Panzerhemden und Harnischen auf, begeben sich nach dem Platz und wenden sich gegen den auf der Bahre liegenden Todten mit ihren Lanzen, indem sie um die Bahre herumreiten und die Lanzen auf den Todten richten, ohne ihn jedoch zu stechen. Ich fragte und andere. Sein Wasser aber wird dadurch weder süss noch ge- niessbar; es nimmt durch diese Eiïnflüsse weder zu noch ab». Schon Frähn hatte jene unrichtige Ubersetzung Hylanders am Rande eines gedruckten Exemplares bemerkt. Auch weiïss ich nicht, ob Idrisy’s Roudha (S. 338) richtig ist; sollte da nicht 5,, verborgen sein? — Über die Flüsse Dschaihan und Saïhan s. Spiegel, Er. Alterthumskunde, S. 286. 101) Defrémery: «vingt mille vallées». Ich habe auch Auszug I, S.352 (M4. as.) ele durch Sekluchten übersetzt. — Es sind dar- unter wohl die Bergschluchten und Thäler zu verstehen, in welchen so viele Kaukasische Aule liegen. 102) In den Fragments de géographes et d'historiens arabes et per- sans inédits, par M. Defrémery. Paris 1849, S. 23, finden wir die- selbe Angabe nach Al-Bekry. — Man wird bier unwillkübrlich an den Umstand erinnert, dass in Rapperswyl in dem dortigen Bein- haus vor einzelnen der aufgestellten Schädel ein Kerzchen brennt und vor ihnen die Verwandten zum Seelenheïil des Verstorbenen beten; s. Salon, Bd. IV, Heft VII, S. 84. É 487 sie nun über das, was sie thaten, aus. Sie erwiederten: «es war bei uns ein Mann gestorben und begraben wor- den. Nach drei Tagen schrie er aus seinem Grabe. Wir lassen daher einen Todten drei Tage liegen. Am vierten Tage drohen wir ihm mit den Waffen, damit wenn sein Géist schon enthoben ist, er in seinen Kôr- per zurückkehre». Dieses war gegen dreihundert Jahre lang ihre Gewobnheit. Ihr Künig heisst Awar QUAI Rechts von der Veste ist ein Weg, auf welchem man zwischen hohen Bergen und vielen Gestrüppgegenden | (des Kaukasus) bis zum Chasaren-Meer und geht noch | drei Meilen ins Meer hinein. eine Reise von zwülf Stationen zurücklegt und dann zu einer Stadt, Dschaidan ((y15-3"*) genannt, kommt. Der Künig derselben heisst Adser Nersi(,,35 231") Er hält sich an drei Religionen. Am Freitag betet er mit den Musulmanen, am Sonnabend mit den Ju- den, am Sonntag mit den Christen. Jedem, der zu ihm kommt, versichert er, dass er jeden einzelnen von diesen Religionsanhängern zu seiner Religion ein- lade und behaupte, dass sein Glaube der wahre und . jede Religion ausser der seinigen falsch sei. «Ich aber halte mich an jede, so dass ich die Wabrheit der ver- schiedenen Religionen fasse.» Zehn Farsangen von seinerStadt liegt eine Stadt, Rendsches? (, ,.s?,) genannt, wo sich ein grosser Baum befindet, der keine Früchte träâst. Die Bewohner der Stadt versammeln sich jeden Mittwoch um ihn, behängen ihn mit verschiedenen Früchten, verbeugen sich vor ihm und bringen ihm eine Opfergabe (y ,5) dar. Der Kônig von Serir be- sitzt eine Veste, Gumischka "”*) genannt, in welcher sich seine Schat:kammer befindet, das ist die Veste, welche ihm Anuschirwan gegeben hat. S. 169. Geht man links vom Reiche von Serir aus, so reist man drei Tage lang in Bergen und Wiesen. Man kommt dann zu demKünig der Allanen. DerKünig | der Allanen selbst ist Christ, die gemeinen Einwohner seines Reiches aber sind Ungläubige, welche Gôtzen anbeten. Hierauf geht man zehn Tage zwischen Flüs- sen und Bäumen bis man zu einer Veste, Bab-Allan genannt, kommt. Sie liegt auf dem Gipfel eines Ber- 103) Vergl. Auszüge, I, Anm. 31) u. Ausz. III, Anm. 79). Aber Dschaidan oder Dschidan scheint doch von a4JAS verschieden ge- wesen zu sein, s. auch Stüwe, Die Handelszüge der Araber, S. 255. 104) Nach Anderen hiess so der Kônig von Scheki. S. Masudy, IL, S. 68. 105) AG & — aus D'Ohsson, S. 67. In der Handschrift ist der Name unleserlich. . n Bulletin de l’Académie Empériale 488 ges "%). Am Fusse des Berges ist ein Weg, aber rund herum sind hohe Berge. Den Mauerwall dieser Burg be- wachen täglich tausend Mann von ibren Bewohnern, welche Nachts und Tages auf dem Anstand sind. Die Allanen bestehen aus vier Stämmen; der Adel und das regierende Haus befinden sich in dem Stamme, D ahsas (y=lus2?) genannt. Der Künig der Allanen heist Bugha (l&), welcher jedem, der über sie herrscht, gebieten kann. Die Stadt [die Mauer der Stadt?] Bab we’l-Ab- wab erstreckt sich vom Gipfel des Berges el-Kabk Der Abschnitt über Tabaristan ist mitgetheilt in meiner Schrift: Ueber die Einfälle u. s. w. Regist. un- ter Tabaristan. (3). V. IbnSerapion ((yowl,. :pl) hat nach Rieu’s Nach- weis (s. Cataloa. S. 603—604, À MCCCIX) im Aus- gang des dritten oder Anfang des vierten Jahrhunderts der Flucht (a. C. 910—920) und zwar wahrscheinlich in Baghdad gelebt. Das Nähere sehe man à. a. O. nach. S. 17 v. Das Meer von Tabaristan und Dailem ist ein Meer, welches mit keinem anderen Meer zusammen- hängt. — Nun folgen die verschiedenen Länge - und Breite-Angaben, z. B. vom Berge von Tun (Css ie d.i. Up Je"), L. 74,40, Br. 40,5. Bei Tailesan (ÉMIS Talysch), L. 89,5, Br. 48,30. Es geschieht auch des Wasserstrahles (ol ,a]l"#) Erwähnung. 8. 48. Kemntniss des Nañr Tawil (JL 5 — des langen Flusses?), das ist, des Flusses der Chasaren"”). — Folgen die Länge- und Breite-Angaben, je nach den verschiedenen Ortern, z. B. sein Anfang ist eine Quelle unter L. 139?,30, Br. 46,5. Er fliesst in der Nähe der Stadt der Chasaren (Jtil?) und des Meeres; dann geht er zwischen dem Meere und Chuârism und ergiesst sich in seinem weiteren Lauf in die Niederung (sd) des Flusses von Balch (d. i. des Bactrus 106) $. Abu’l-Feda, ed. Reinaud, traduct. S. 287. 107) Tun, eine Stadt in Kubhistan;s.Jakut, s. v. Einen anderen Berg Tun kenne ich nicht. 103) Der Strudel iu der Nähe des Meerbusens von Karabughas. S. Ausz. (1.) III. 109) mel] Je 529 bb 8 d5yre. 110) Vergl. Aus. (2). IV, Anm. 12). 489 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 490 bei L. 90,5, Br. 41,20. In ibn ergiesst sich ein Fluss | schiedene Flüsse ab, welche die Lande von Tabaristan vom Berg von Arsana (Ll.,l""), entspringend bei L. 99,5, Br. 107,30 und ergiesst sich in ihn bei L. 92,5 Br. 44,5. Ferner ein anderer Fluss, der von demsel- ben Berg entspringt, bei L. 107,40, Br. 59,5 und in ihn mündet bei L. 94,5, Br. 47,5. Dann mündet in ihn ein Fluss, der vom Berge Uskafia (Lsl.l "?) ent- springt bei L. 84,40, Br. 56,5, sich ergiesst bei L. 87,30, Br. 51,5. Ein anderer ebenda entspringender Fluss (L. 86,30, Br. 54,40) ergiesst sich in ihn bei L. 104,30, Br. 51,5. Ein dritter desgleichen (Ursprung L. 78,6, Br. 52,30) mündet bei L. 87,30, Br. 50,30 (?). Endlich ergiessen sich in den Fluss Tawil drei Flüsse aus dem Berg Toghur (,,&L'): 1) bei L. 110,5, Br. 58,0 ; Einmündung bei L. 109,30, Br. 55; 2) Ursprung, L.104,5, Br. 52,5; Einmündung, L.102(?), Br.49,20; 3) Ursprung, L. 105,30, Br. 51,30; Einmündung, L. 104,4, Br. 18,30. Es mündet in ibn auch noch eine Quelle; ihr Ursprung ist bei L. 109,5, Br. 44,30, aus welcher ein Fluss hervorgeht, der sich in ihn er- giesst bei L. 75,40, Br. 46,5. Ferner eine andere Quelle, deren Ursprung bei L. 124,20, Br. 49,5. Ein anderer von ihr abstammender Kluss mündet in den Fluss (Tawil) bei L. 128,5, Br. 46,30. S. 46. Kenntniss des Flusses von Dschurdschan. Sein erster Auslauf ist von einem der Berge von Dschurdschan ‘); er fliesst der Stadt Dschurdschan vor- bei und theilt sich bei der Stadt Aisekun (c9$29) "°) in zwei Strôme, von denen der eine rechts, der an- dere links von Aisekun fliesst "). Beide bewässern die anliegenden Flecken und Städte und ergiessen sich in das Meer von Dailem. S.46 v. Kenntniss des Flusses Tabarirud (3, 5 3ab""), das ist, des Flusses von Tabaristan. Sein Ursprung ist in einem Berg bei einem Dorfe in der Gegend von Dschurdschan. Er fliesst der Stadt Saria von der Seite von Dschurdschan vorbei; von ihm theilen sich ver- 111) S. HR Feda, Text, S. 205; traduct. S. 291. 112) S. ebenda: la niontagné d'Escassya. Jaubert, Géogr. d'Édri- st, II, S. 412: Oscasca (les monts Ourals.) 113) S. Abu’l-Feda, Text, S. 405, traduct. S. 292: Lx montagne de Thegoura; là est le chef-lieu des Comans [4x LeliJ] dé 114) Der Dschurdschan entspringt in Germe-Tschesme; vergl. Bode, Oreu. 3anucku, VII, S. 122. 115) Ohne Zweifel Abesgun. 116) Das ist der #eine Gurgan oder Kara-Su. 117) BeiRieu: Tabasirud. Der Beschreibung nach kann das nur der Tidschen sein, welcher Sars vorbeifliesst. bewässern. Er fällt in das Meer von Tabaristan. Kenntniss des Flusses von Dailem. Das ist der Espidrud "*). Sein Ursprung ist in den Bergen von Setis (ours 0); er fliesst zwischen der Stadt (von) Dschailan (C3 *) und den Städten von Dailem. Es zweigen a viele namhafte und bekannte Flüsse von ibm ab. Er ergiesst sich in das Meer von Dailem. Kenntniss des Kur, des Flusses von Inner-Armenien (lslull &e). Er entspringt von dem Berge, wo Bab we’l-Abwab in dem Lande der Allanen liegt'?). Er fliesst in einer steten Richtung nach Tiflis an dessen ôstlicher Seite, geht dann weiter bis zum Zusammen- fluss (mit dem Kur) und ergiesst sich in das Meer von Dschurdschan. Kenntniss des Flusses e/-Ras (Araxes), des Flusses von Ausser-Armenien (à, U] ni) sofern er vonei- nem Berge zwischen Chelat und Kalikala von der Seite von Kalikala ausgeht, durch das Flachland von Kalikala, dann durch Arran, dann an Neschewi (Nachitsche- wan) vorbei, dann nach Bailekan und dann ôstlich fliesst. Er vereinigt sich hierauf mit dem Kur,; sie werden ein Fluss und ihre Einmündung in das Meer fiudet in der Nähe ihrer Vereinigung Statt. (4). VI GLEN ol SÙS, Das Buch der Hinweisung und Anleitung, von dem bekannten Masudy (+ 346 — 957 ‘®), über welchen ich keine weiteren Nachrichten beifüge, da er allgemein bekannt ist. Nur hinsichtlich des vorliegenden Werkes will ich bemerken, dass in ihm der Verfasser die in seinen anderen Schriften behandelten Gegenstände nur mit Hinweisung auf die betreffenden Schriften im Allgemeinen behandelt. 118) Im Text: 3) A ve — ob dialectisch Æspid-rujeh? — , , ru ist Masanderanisch und Gilanisch — 59). 119) Oben hatten wir " —b und Men ee 120) Dschailan, wohl — Dschilan. Wenn die Stadt Rescht, welche man jetzt als Hauptstadt von Gilan nennen muss, erst, wie die Einwohner behaupten, i. J.900—1404, 5 gegründet worden wäre, s0 künnte oben wohl nur Fumen, die alte Hauptstadt von Gilan, He sein. 121) Über die Quellen des Æwr, s. Spiegel, à. a. O.S. 141. 122) So im « Catalogus» ed. Bicu; nach Frähn’s Indications bibliographiques starb Masudy a. 345 — 956; doch ge das Jahr 345 d. H. noch in das Jahr 957 über. A91 Bulletin de l’Académie Kmpériale 492 Eine hôchst lehrreiche nähere Beschreibung des Buches haben wir de Sacy zu verdanken; s. Nolic. et Entr., T.VIL,S.132—199"*),wozuCuretonu.Rieu’s Catalog S. 548, X MCCXI zu vergleichen'‘ist. Leider ist die Handschrift des Britischen Museums nichts weniger als eine gute zu nennen und deshalb habe ich in diesen Auszügen die mir dunkelen Stellen unbe- rührt gelassen. Ich werde das nachholen sobald mir eine bessere Handschrift zu Gebote stehen wird. Eine Pariser Handschrift ist von Hrn. Harkavy benutzt worden; s. dessen JIonoznenis, S. 18—20. Ich über- £&ehe auch fürs Erste die da gegebenen Auszüge als schon besprochene. S.29 v. Das zweite Meer ist das Griechische(, 9 y} Re nämlich das Mcer von Rum (Griechenland, Byzanz), Syrien, Agypten, Magreb, Spanien, der Franken, Slaven, von Rom (âes ,'#) und anderer Vôlker. S.31. Das dritte Meer ist das Chasarische"*), à. i. das Meer der Chasaren, von Bab we’1-Abwab *) (Der- bend), Armenien, Adserbaidschan, Merghan (Mughan), Dschil (Gilan) und Dailem und Awiskun (CR) 21%), welches die Uferstadt (der Hafenplatz, Jel ?) für Dschurgdschan, Tabaristan, Chuàresm und andere von Nicht- Arabern (Persern u. s. w.) bewohnte Ge- genden und deren an ihm liegende Wohnsitze ist. Seine Länge beträgt achthundert *) Meilen (Je), seine Breite sechshundert; nach Anderen, mehr. Es ist rück- sichtlich seiner Länge von länglich runder Gestalt. Man nennt es auch das Chorasanische Meer, weil es an die Lande von Chuäresm “'), welches zu Chorasan gehôürt, stôsst. An ihm liegen viele Steppen (us) +2) der Ghussen, eines Türkischen Volksstammes. Auch 123) Le livre de l’indication et de l’admonition (ou l’ Indicateur et le Moniteur) —d’A boulhassan ete. Masoudi—Die nähere Erklärung des Titels, S. 158. 124) S. Maçoudi, Les Prairies d'or. Paris. I, S. 256—259. 125) D. i. das Adriatische (gl ); cbenda, S. 259. 126) S. ebenda, S. 262. 127) Diese Form ol, ol kormt häufig genug vor neben D)» à] œb, s. Ausz. (T). III. 128) Gewühnlich Abeskun; doch findet sich die obige Form auch sonst noch; vergl. Ause. (3) V. Arwm. 115). 129) Je lis Ufer, wird ôfter in der Bedeutung von Uferstadt ge- nommen; s. auch Beladsory, ed.de Goeje, II, S. 49. 130) In der Handschrift dl, 100; 800 habe ich aus der Paris. Ausg. I, S. 263 entnommen. | 131) Bekanntlich bedeutet das Meerwon Chuâresm den Aral-See; 8. Ausz. I. u. a. liegt an ihm der Ort Baka (af 4%) genannt. Das ist das Nafta-Land zu dem Reiche von Schirwan gehôürig, da wo es an el-Bab we’l-Abwab angränzt. Von da wird die weisse Nafta ausgeführt. Hier giebt es Vul- cane (LL 3) und Feuer - Quellen, welche des Nachts auf eine Entfernung von hundert (Meiïlen, Farsan- gen ‘*) gesehen werden. Andere Vulcane sind die des Chasaren Meeres"*),von Bab we'l- Abwab ), u. s. w.—Die Nafta-Gegend (oder Baka) ist wegen der Menge von Schiffen, welche auf diesem Wege fahren, bekannt. S. 32. Zu den grossen bekannten Flüssen, welche sich in dieses (Chasarische) Meer ergiessen, gehôrt der schwarze Armisch ( äsesl, 1. Ciw)l Irbisch?) und der weisse Zrbisch (is 1 7); beide Flüsse sind grôs- ser als der Tigris und Euphrat. Zwischen ihrer Ein- mündung sind gegen zehn Tage. An ihnen liegen die Wohnungen der Kaimaken *) und Ghussen, welche Türken sind. Der Fluss Æur ‘*) fliesst durch die Lande von Tiflis, dann zur Stadt Sughdabil") im Lande der Georgier, dann in die Gegend von Berdaa und vereinigt sich mit dem Flusse e7-Ras (Araxes), dem Flusse von War- than"). Sie ergiessen sich in das Chasaren-Meer. Der Fluss Asarud(s, LL 1. Isbid-rud, à.i. Sefidrud'*), welcher in der Gegend von Sis *) entspringt, und der Schahrud (>, sL2"") fiessen durch Adserbaidschan und 132) S. édit. Paris. Il, S. 21. Über die Form Baka, s. Über die Einfälle u. s. w. Regist. Baku. : 133) Masudy selbst (édit. Paris. III, S. 68) erklärt das Wort äb| durch Feuerquellen: c? 1 LE | QE ab] aus 5) (EMI U*- 134) In der édit, Paris. a. a. O. S. 26 steht: Farsangen (Z2#). 135) Im Text (ç sil: yxt)l ? 136) $. ebenda, S. 68—69, wo gerade die oben genannten Vulcane nicht angeführt sind. 137) S. ebenda, 1, S. 213: -Araschat (C2à,)); in den Notic. et Extr. $S. 154: Zrbisch. De Sacy hält diese Flüsse für den Jaik und .| die Emba. ° 138) Kaimaken, Kimaken. Beide Aussprachen sind zulässig. 139) $S. Masudy, IT, S. 74. 140) S. Auszug, (1). III, Anm. 43). 141) So glaube ich das mir sonst undeutliche Wort lesen zu kôn- nen; 8. Masudy, I, $. 75. 142) In der Paris. Handschrift: Aschbadousad( 5; 53! L£f); rich tig in der Paris. Ausg. II, $. 76. 143) Sis (Qys2»); s. Ausz. (2). IV, Anm. 98). 144) In den Notices etc. 8. 154: Sidh (oLaw) statt Schan (oi). 493 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 294 Dailem ). Ferner der Chasaren-Fluss, welcher der Stadt Itil, der Residenz des Chasaren-Reiches in die- ser Zeit, vorbeifliesst. Früher war ihre Residenz Be- lendscher. In denselben ergiesst sich der Fluss von Burtas (bb, 1. lb»), eines grossen Türkischen Volkes zwischen Chuâresm und dem Chasaren-Reich; er wird aber zu Chasarien gerechnet. Diesen Fluss befahren grosse Schiffe mit Handelswaaren und ver- schiedenen Artikeln von Chuäresm und anderen Län- dern. Ferner ergiesst sich in das Chasaren-Meer der Fluss der Slaven, bekannt unter dem Namen Adam (129. Er ist grüsser als der Tigris und Euphrat; — dann der grosse Fluss, bekannt unter dem Namen Gurgrud, d. i. der Wotfsfluss "). Das Wasser wird ihm aus dem Berg Kaukasus zugefühbrt; er ergiesst sich in der Nähe von Bab we’l-Abwab in das Meer. Über ihn führt eine grosse, wunderbar gebaute Brücke, der Brücke über die Sendscha (ast. *) ähnelnd. Diese Brücke über die Sendscha ist eines der Wunderwerke der Welt. Sie ist in der Gegend von Somaisat (blu), welches zu den Gränzländern der Chasaren gehôrt. Endlich der Fluss von Kalif (GK), à. i. der Dschai- hun. Nach der Angabe des Laufes des eben genannten Flusses fährt Masudy so fort. Er kommt endlich in die Lande von Chuâresm und fällt in der Nähe der Stadt 145) D. i. der Sefidrud flicsst als Æisÿ- Usen durch Adserbai- dschan; der Schahrud, welcher sich in ihn bei Mendschil ergiesst, durch Dailem; vergl. Melgunov, Deutsche Ausg. S. 247. 261. 264, 146) S. Ausz. I, Anm. 47). Frähn, a. a. O. S. 45, 147) Ob Adam, Udum, Um (Paris. Cod.) u. s. w. auszusprechen sei, lasse ich uuentschieden. Der Fluss scheint die Kuma zu sein. Udum oder Udom klänge an Udon an. Im Awarischen geht das m in n über, z. B. adan — adam; Udum wäre also — Udun, Udon (ph vergl. Schiefner, Über das Awarische, S. 4. — Usd-Don ist ein in den Zerek fallender Fluss; s. Bronevsky, I, S. 193. 148) Im Text der London. Handschrift: SU der Paris. H. An Ghizi-roud, s. de Sacy, a. a. O. S. 154. Ich zweifele nicht, dass Gurgrud zu lesen sei, da Masudy den Namen durch € SU erklärt. Ist es elwa der Samur, über welchen eine Brücke führte, ” wie Abul-Feda (Géograph. Il, S. 300) berichtet. Jetzt sind die Brücken bei Achti und der Lutschekschen Befestigung — s. Kauk. Kalender, 1856, S, 291 — bekannt, aber erst in neuerer Zeit gebaut. 149) Vergl. über diese Brücke Thaälibi Latdifo 1- Ma’ drif ed. de Jong, S. 96; Kaswiny (Ethé, S 369), Jakut unter dsi…. 150) Kalif war eine Veste, an welcher der Dschaihun vorbeifloss ; s. Jakut unter GJK Die Aussprache Dschihun (Gihun) findet eine Stütze im Griechischen L'tov; s. Koehler, tæptyos, in Mémoires. 6° Série. T. L. 1832, S. 368 u. Anm. 208. Vergl. Frähn, Opp. post. mec. 2, LIV, S. 1°. a in den See, welcher See von Dschur- dschanija ') genannt wird. Das ist der grüsste See in der Welt; seine Entfernung beträgt gegen vierzig Tage in Länge und Breite ‘*). Von diesem See gehen grosse Flüsse aus, welche sich in das Chasarische Meer ergiessen. In demselben mündet der Fluss von Schasch'*). Ihre Schiffe kommen von einem grossen Fluss, genannt Bark (£},; *), der sich eben so in den See ergiesst, wie der Fluss von Ferghana und Cho- dschendeh ®).. Er fliesst in den Landen von Farab (œl, GJ}). Er ist gross und reissend: auf ihm kommen Schiffe mit verschiedenen Waaren zu dem See ‘), Der grosse Fluss Tanatin (:,SÙL), d. i. der Don; (s. Masudy 1, S. 260: lib Tanabis, à. i. Tanais, was von einem unwissenden Abschreiber leicht für ŸU® LL genommen werden konnte). An ihm liegen viele Wohnstätten (:,f Luc 7) der Slaven und anderer tief nôrdlich wohnenden Vülker u.s.w. Die Stelle ist auch schon von D’Ohsson, S. 222 mitgetheilt. | Der Russische Stamm (,,.) Kudekaneh (ak, s ist wahrscheinlich derselbe, welcher sonst als PE u. $. w. erscheint. S. 41. Das dritte Volk Contest die alten Griechen (oysbl), die Rum (Byzantiner und andere Euro- päer), die Slave und die Franken. Vergl. Notic. et Eatr. S. 156. 151) S. Ausz. I, Anm. 4). 152) Masudy, ed. Paris. I, $. 21 giebt seine Länge als einen Monat Reise, seine Breite als eben soviel betragend an, 153) S. Notices, S. 54, Anm. 5). 154) S. ebenda, S. 154: Turk ou Berk.; s. Ausz. I, Anm. 16). 155) S. Notices a. a. O., fleuve de Khojinda. Vergl. Isstachry, ed. de Goceje, S. 295. 304. u. Spiegel, Eraän. Alterthumskunde, S. 201. 156) In den SULI , SEUL von Ibn Fadhlullah (Mse. Mus. Asiat. — vergl. Notices “ Ertr. T. XIII, $. 259; finden wir fol- gende Varianten: Wazkil (J FT Notic. S. 260: Dewazkend; Ja- kut (unter Çygste): ): Uskend (UK, 1); Sad (JS), Notice. S. 260: Ann. 1) cale Sakit, wofür Rene ES liest; Jakut LS] Achsiket; Barat (5, L) ), Notic.: Barab u, L), Jakut, wie oben: Farab (D), ls). 157) Es ist ohne Zweifel so und nicht cle; Schiffe zu lesen und darnach die Angabe im vorläufigen Bericht (Mél. asiat. S. 572 Ne 4) von den «Schiffen» zu ändern. Die Stelle lautet also so: gl 41] il (oxe pre » aJGLI J [224 Des dde JL à D’Ohsson: «Ses rives sont habitées par une nom- breuse une de Sclabes, et par d’autres peuples enfoncés dans les régions septentrionales ». 495 Zwei dem Asiatischen Museum zugekommene Steine mit orientalischen Inschriften. Von B. Dorn. (Lu le 18 janvier 1872.) Hr. Hofrath W. v. Krausold hat dem Asiatischen Museum zwei aus Âgypten herstammende Steine mit orientalischen Inschriften geschenkt. 1) Der eine dieser Steine ist wahrscheinlich eine Mauerverzierung aus einer Moschce, z. B. einer Gebetnische (&},#) und keinen Falles ein Grab- stein, welcher auf der Vorderseite oi Arabische Dee enthält: Je | si Jos JE “1 y] a)l y ps ade dj}, «Es ist kein Gott ausser Gott (AI- lab). Muhammed ist der Gesandte Gottes; Gott segne und benedeïe ihn». Auf der Rückseite: Ver- zierungen. Der zweite Stein soll aus einer Moschee ent- nommen sein. Er hat die Türkische Inschrift: 2) 1IV. ais Qibse C? sl | dl ee e ns 9? QU] Lis «Der Erbauer dieses Hauses zu einem Gott wohl- gefälligen Zweck ist Ahmed ben Musstafa, de JO 75 67/10 Observations des planètes à l’Observatoire astro- nomique de l’Académie des sciences. Par A. Sawitsch. (Lu le 21 mars 1872.) 4) L'opposition de Neptune en 1871, Pour cette année le Nautical Almanac anglais con- tient les éphémérides calculées d’après les tables de M. Newcomb *). Il était intéressant de voir, com- ment ces tables s'accordent avec les observations. Dans ce but nous nous sommes servi du cercle mé- ridien; les étoiles de comparaison étaient: e Piscium d’après le Nautical Almanac anglais pour l’an 1871 et o Piscium d’après les ascensions droïtes moyennes des étoiles principales pour l’année 1845, déduites des observations faites à la lunette méridienne de Poulkova, et aussi d’après le 12 et 7 Year’s Catalo- gues de Greenwich et les Radclife Catalogues. * La position de notre instrument par rapport au #) An investigation of the orbit of Neptune, with general tables of its motion, by Simon Newcomb, Professor of Mathematic’s, United States, Navy. Bulletin de l’Académie Hmpériale 496 méridien a été chaque foi déterminée par l’observation des passages de l'étoile polaire (x Ursae minoris). La réfraction et la parallaxe ont été prises en considéra- tion; les positions de la planète se rapportent aux temps des passages par le méridien de St,-Péters- bourg. 1871 Asc. droite app.| Corr. de Déclinaison Corr. de $ observée. |[Naut. Alm. Fne observée. |Naut. Alm. Sept. 27 F Rag"20$ DATE = 0517 2 7°22/ 47 “ — 92? 30 9/47 — 0,12 20 59,8 ji Oct. 4 1N27088;79 0,17 18 35,8 + 1,8 5 39,87 — 0,05 17 57,4 +04 6 26,30 — 0,01 ‘171212 + 1,3 9. 7:70 | —0,08 15 30,4 | +922 10 1,60 + 0,04 14 51,3 + 0,5 14 1 26 His + 0,14 12 21,7 + 0,9 28 25 9,50 — 0,02 3 «47,4 + 0,5 29 1 "25" 3560 + 0,16 3 11,3 — 0,2 SAN tree +- 05006 Moyenne... + 0,41 Ainsi les tables de M. Newcomb s’accordent pour Jan 1871 aussi bien avec le ciel qu’on peut le dé- sirer; les corrections sont plus petites que leurs in- certitudes moyennes à cause des erreurs accidentelles des observations. En corrigeant nos résultats de l'effet de l’aberration, nous trouvons pour le 10 octobre 1871 à 8*1 1" 995 temps moyen de St-Pétersbourg, ou à 6*10”9° t. m. de Greenwich 1°27" 15566, T1 51620 l'ascension droite de Neptune ..… la déclinaison boréale 2) La planète Vesta, L'état défavorable du ciel m’empêcha d’observer cette planète à son opposition. Les étoiles de compa- raison ont été n Cancri et 83 Cancri d’après le Nau- tical Almanac anglais, 1871. Ayant corrigées les ob- servations de l'influence des réfractions et de la pa- rallaxe, j'ai obtenu les positions suivantes de la pla- nète lors des passages par le méridien de St.-Péters- bourg : —————————————_—__————…—…——— “a 1872 Asc. droite app| Corr. de Déclinaison Corr. de Fi observée. Naut. Alm. ui observée. [Naut. Alm. Mars 9 | 6/57"60586 | +osan [2453105 | 38 TL) 56 54,55 + 0! 54 56 55,5, |. —4:0 12 56 29,11 + 0,30 58 32, 7 . —2,8 13 56 5,85 | +0,44 24 58 58.1 | —1,0 22 54 . 200 + 0,44 |-+25 4 27, 9 cl —1,0 Moy enne...... + 05424 Mo ne — 2,42 497 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 498 0 Le 12 mars 1872 à 856” 29:2 du temps sidéral de St.-Pétersbourg, on avait Log, (distance de la pla- nète à la terre) — 0,1994; l'effet de l’aberration sur le temps de l’observation est 138"; éliminant l’aber- ration on a pour le 12 mars 1872 à 920” 22; temps moyen de St-Pétersbourg: l'ascension droite de Vesta... 8" 56" 29:23, la déclinaison boréale........ — 24° 58 32,6. Über einen Musculus sterno-fascialis beim Men- schen, beobachtet von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 25 janvier 1872.) Ein langer, in der grüssten Strecke seines Verlau- fes schmaler, an den Enden breiter, bandfôrmiger Muskel, welcher an der rechten Seite des Halses der Leiche eines Mannes zur Beobachtung gekommen war, an der am 20. Januar 1872 die Musculatur zu den demonstrativ-anatomischen Examina dargestellt wor- den war. Lage. In der rechten Hälfte des Halses, vom Ster- num bis hoch in das Trigonum omo-hyoideum hinauf, zwischen zwei Blättern der Fascia colli, die eine Scheide für den Muskel bildeten; zuerst hinter der Ur- sprungssehne des A]. sterno-mastoideus und vor dem Spatium intra-aponeuroticum suprasternale an dessen Porta in den Saccus coecus retro-sternocleidomastoi- deus, weiter aufwärts im Sulcus sterno-mastoideus, am Ende im Zrigonum omo-hyoideum zur Seite des Larynx. Verlauf, Er stieg an den angegebenen Orten vor den in der Fascia colli liegenden oberflächlichen Hals- venen, vor den Mm. sterno-hyoideus, sterno-thyreoi- deus und omo-hyoideus (oberen Bauche), diese kreu- zend vor dem Lobus dexter glandulae thyreoideae und zuerst hinter dem Sterno-mastoideus, später neben diesem, davon mehr und mehr, medianwärts entfernt, oben vom M. subecutaneus colli, dessen Rich- tung er kreuzte, bedeckt, fast vertical aufwärts. Ursprung. Von der vorderen Fläche des Manu- brium sterni, gleich unter dessen Incisura semiluna- ris, von der Medianlinie bis zur Capsula sterno-clavi- cularis seitwärts, über, hinter und lateralwärts vou dem Ursprunge der 4—5 Mill. breiten Sehne des Sterno- mastoideus und neben der Portio sterno-costalis des Tome XVII. Pectoralis major, in einer nach abwärts convexen bo- genformigen Linie mit einer dreieckigen, 1,5 Cent. breiten und hohen Aponeurose, welche am oberen, abgestutzten Winkel 7 Mill. breit in den Fleischtheil des Muskels überging. | Endigung, Mit strahlenfürmig aus einander fahrenden Sehnenbündeln in der Fascia colli oben im Trigo- num omo-hyoideum. Grüsse, Die Länge bis zum oberen Ende des Fleisch- theiles betrug: 13,5 Cent. (5”). Die Breite im grôss- ten Theile seiner Länge von der Ursprungssehne auf- wärts: b—6 Mill. am oberen Endstücke des Fleisch- theiles aber: allmäblich bis 1,1 Cent; die Dicke: 1 — 2 Mill. Wirkung, Spanner der Fascia colli im Bereiche des Trigonum omo-hyoideum. Bedeutung. Der Muskel kann weder ein verirrtes Bündel vom Subcutaneus colli, noch vom Sterno-cleido- mastoideus, noch vom Sterno-hyoideus oder Sterno- thyreoideus sein. Er ist ganz verschieden von dem von J. Wood ') beschriebenen Cosfo-fascialis, so wie von dem Zensor fascine colli im Trigonum omo-hyoi- deum, welchen das 2,7 — 4,4 Cent. über dem Schlüs- selbeine vom Sterno-thyreoideus abgegangene, verirrte, 4 — 7 Mill. breite, laterale und in der Hühe der Thei- lung der Carotis communis in der Fascia colli endende Bündel bildete, wie ich an einem Individuum beïi- derseits und an einem anderen rechterseits ge- sehen hatte. Der Muskel ist ein besonderer, acci- denteller Tensor fasciae colli, der, meines Wissens, bis jetzt noch nicht beobachtet worden war. Sur une nouvelle variété de l’hexylène. Par M. N. Tehaïkowsky. (Lu le 22 février 1872.) Parmi les hexylènes de différente provenance on connaît un, celui de M. Buff, qui fournit un chlorure hexylique primaire en se combinant à l’acide chlor- hydrique. Un outre hexylène, celui de MM. Erlen- meyer et Wanklyn, se convertit en un iodure hexy- lique secondaire, lorsqu'on l’unit à l'acide iodhy- drique. Il était intéressant de tenter la préparation d’un hexylène isomérique, ayant la propriété de se 1) «On some Varieties in Human Myology.» — Proceed. of the royal Soc. of London. Vol. XIII. London 1864 p. 300 Xe 5. 32 499 Bulletin de l’Académie Impériale 500 Ur transformer en un iodure hexylique tertiaire par l’ad- dition de l'acide iodhydrique, et j’ai atteint ce but en partant du méthyldiéthylcarbinol. Ce dernier alcool a été obtenu par la méthode de M. le prof. Boutlerow, en faisant réagir le chlorure d’acétyle sur le zinc- éthyle. L’alcool a été converti en iodure correspon- dant par l’action de l'acide iodhydrique gazeux. En traitant cet iodure avec de la lessive alcoolique de po- tasse, d’abord à froid et ensuite à 100° dans des tubes scellés, j’obtins un hydrocarbure liquide incolore, moins dense que l’eau, ayant une forte odeur hydro- carburée et bouillant à 68 — 72°. 0,109 gr. de cette substance ont donné à la com- bustion 0,340 gr. d'acide carbonique et 0,145 gr. d’eau. En centièmes: Théorie pour la Expérience. formule C, Ho. C — 85,06 85,72 La densité de vapeur du nouvel hydrocarbure a été prise d’après la méthode de M. Hofmann. Quantité de matière................ 0,145gr. Volume apparent de vapeur.......... 117,40CC: Température du bain............... 100° Hauteur du baromètre, réduit à 0°.....762,1" Hauteur de la colonne de mercure dans MÉPEONYERE CR Re ei ne PA re Ces nombres conduisent au résultat suivant: Densité trouvée. Densité calculée pour C& H, Par rapport à l’hydrogène 42,727 42,000 Par rapport à l’air...... 2,959 2,908 En se combinant à l’acide iodhydrique, le nouvel hydrocarbure fournit l’iodure tertiaire, celui du mé- thyldiéthylcarbinol, et se convertit en ce dernier com- posé, lorsqu'on le traite avec de l’oxyde d’argent hu- mide. Cette transformation ne laisse aucun doute sur la nature spéciale de l’hexylène obtenu et le caracté- rise comme une variété nouvelle. Le mode de la formation de cet hexylène permet de lui assigner une des deux formules détaillées sui- vantes: CH, CH, CH CH, C— CH, CH, C— CH, CH, = CH, CH, La première de ces deux formules me paraît être plus probable. La manière dont le nouvel hexylène va se comporter vis-à-vis l'acide hypochloreux per- mettra peut-être de trancher la question; malheureu- sement je n’ai pas pu, faute de matière, entreprendre l’étude de cette réaction. Ce travail a été exécuté au laboratoire de M. le prof. Boutlerow. Le 3. (15.) février 1872. Parerga archaeologica. Von Ludolf Stephani. (Lu le 28 mars 1872.) XX VII. In der Beschreibung der im Schloss Seiner Kaiser- lichen Hoheit des Grossfürsten Konstantin Niko- lajewitsch zu Pawlowsk befindlichen Antiken-Samm- lung, welche ich der Classe vor Kurzem vorzulegen die Ehre hatte'), habe ich sehr werthvolle Nachrich- ten über Herkunft und Erwerbung der Marmor-Werke jener Sammlung zwei Catalogen der ehemals in Wim- bledon befindlichen Sammlung Lyde Brown’s entnom- men, welche in der Bibliothek des Britischen Museums aufbewahrt werden und von denen die kaiserliche Er- mitage durch die umsichtige Fürsorge Hrn. v. Gué- déonoff”s genaue Abschriften besitzt de Dass diese Cataloge auch für den ältesten Bestand- theil der in der kaiserlichen Ermitage aufbewahrten Marmor-Werke von gleichem Werth sein würden, er- kannte Hr. v. Guédéonoff schon bei der Abfassung der zweiten Ausgabe seines Catalogs dieser Samm- lung *) und nur der Umstand, dass bis dahin alle Be- mühungen, ein Exemplar derselben aufzufinden, frucht- los gewesen waren, machte es ihm unmüglich, schon damals aus denselben den Gewinn zu ziehen, den sie in der That für die Geschichte auch dieser Sammlung zu gewähren so geeignet sind. Erst zwei Jahre später 1) Die Antiken-Sammlung zu Pawlowsk, 1872. p. 2. 2) Catalogus veteris aevi varii generis monumentorum, quae Ci- meliarchio Lyde Browne Arm. Ant. soc. soc. apud Wimbledon asser- yantur. 1768. Catalogo dei più scelti e preziosi marmi, che si conservano nella Galleria del Sig’. Lyde Browne Cavaliere Inglese a Wimbledon nella Contea di Surry; raccolti con gran spesa nel corso di trent” anni, molti dei quali si ammiravano prima nelle più celebri gallerie di Roma. In Londra, 1779. 3) Sculpt. ant. de l’Ermitage Impér. 1865. p. IV. 501 des Seiences de Saint-Pétershourg. 02 gelang es Hrn. v. Guédéonoff, in der Bibliothek des Britischen Museums je ein Exemplar der beiden ge- nannten Cataloge zu entdecken und abschreiben zu lassen, um sie bei einer neuen Bearbeitung des Cata- logs der Sculpturen der kaiserlichen Ermitage zu ver- werthen. Da sich jedoch die Verüffentlichung einer solchen neuen Bearbeitung noch immer einige Zeit verzügern dürfte und Hr. v. Guédéonoff dessenungeachtet schon jetzt der gelehrten Welt auch die Ausbeute zu- gänglich gemacht zu sehen wünscht, welche jene Ver- zeichnisse in Betreff der Marmor - Werke der kaïser- lichen Ermitage enthalten, so suche ich hier diesem Wunsche zu entsprechen, indem ich im Anschluss an den Catalog Hrn. v. Guédéonoff's die in den beiden Verzeichnissen der Sammlung Lyde Brown’s enthal- tenen Nachrichten über Kunstwerke, welche gegen- wärtig der kaiserlichen Ermitage angehôren, zusam- menstelle, jedoch alle die Kunstwerke übergehe, wel- che in den Catalog Hrn. v. Guédéonoff’s nicht auf- genommen sind. Natürlich lasse ich dabei sowohl die von Hrn. v. Guédéonoff, als auch die in den beiden Verzeichnissen der Sammlung Lyde Brown’s gewähl- ten Bezeichnungen der einzelnen Kunstwerke ganz unverändert, da es sich hier nicht um Erklärung und Beschreibung derselben, sondern nur um den Nach- weis ihrer Herkunft handelt. Das ältere Verzeichniss bezeichne ich durch: «Cat. L. Br. 1768.», das jün- gere durch: «Cat. L. Br. 1779.» 3. Hercule. Cat. L. Br. 1768. N° 10. «Herculis statua pari «magnitudine eademque artificii pulchritudine ac Sileni «praecedentis et per omnia (nisi quod hujusce caput est «laureatum) celeberrimo üli Herculi Farnesiano simil- «lima.» Cat. L. Br. 1779. Statue N°27. «Statuetta bella «d Ercole affatto simile a.quella famosissima del pa- «lazzo Farnese, alla tre piedi e mezzo.» 4. Enfant. Cat. L. Br. 1779. Statue N° 14. 15. « Due statuette, «ciascheduna alta due piedi e mezzo, di due putti, quella «sotto àl carattere di Bacco colle uve era già nella villa «Casali; l’altra s’appoggia sopra un’ arpa; ambedue «molto belle e ben conservate.» Hier kommt nur die zweite Statue N° 15 in Betracht. 5. Enfant. Cat. L. Br. 1779. Statue N° 36. «Sfatuetta bella »d'un putto giocando con un’ uccello nella man manca, «trovata tre anni fa in un luogo chiamato Castel di «Guido.» Die Angabe im Catalog Hrn. v. Guédéo- noff’s, dass diese Statue aus der Sammlung Laval stamme, beruht auf einem Irrthum und einer Ver- wechslung mit der Statue N° 12, wo die Angabe die- ser Herkunft ausgefallen ist. 6. Amour. Cat. L. Br. 1779. Statue N. 11. «Un putto mon- «tato sopra un delfino, bel gruppo ben conservato e com- «prato dal Duca di Colombrano a Napoli.» 9. Torse de Vénus. Wahrscheinlich ist dies eins von den beiden Frag- menten, welche im Cat. L. Br. 1779. Statue N° 38. 39. mit den Worten: «Due mezze figure di Venere ben «graziose, un poco meno della grandezza naturale e «compagne al suddetto Apollo» beschrieben sind. 13. Endymion dormant. | Cat. L. Br. 1768. N° 75.: «Endymionis dormientis «statua, umbilico tenus, artificis Graeci opus absolutum, «cujus meminit Ficoroni in libro dicto: Roma antica e «moderna*); tantae pulchritudinis est, ut descriptionem «meritis ejus plurimum abesse mecesse sit. Haec cum «sex proæime praecedentibus ex aedibus Barberinis pro- «venit.» Cat. L. Br. 1779.Statue N°42. «Mezza figura «colossale fino alle coscie d’un Endimione dormiente, anell istessa positura di quella del famoso Fauno dor- «miente, nel palazzo Barberini, donde è venuto anche «questo Endimione; è maravigliosa la testa coi capelli aarricciati ed àl tronco essendo quello d’un bellissimo «giovane non è possibile idearsi un frammento pià pre- «zi0s0 ; il marmo è di colore tenerissimo ed il lavoro di «Greco scapello.» 19. Terpsichore. Cat. L. Br. 1779. Statue N° 34. «Una statua alta «quattro piedi d'una Musa colla lira nella mano; à «panneggiamento è lavorato con gran gusto.» 33. Torse d’'Hercule. Cat. L. Br. 1768. N° 73. «Herculis cruciati frag- «mentum, umbilico tenus, artificis peritissimi opus, cu- jus meminit Rev. Dom. Spence in libro, cui titulus: «Polymetis *); humanae formae magnitudinem superat «ejusque pretium aestimari nequit.» Cat. L. Br. 1779. Statue N° 41. « Mezza figura colossale fin’ alla cintura 4) Ficoroni: Vestigia di Roma To. IL. p. 53. 5) Spence: Polymetis PI. 19, 2. 32* 503 Bulletin de l’Académie Hmpériale 504 «d'un Ercole soffrendo, cosi chiamato dal Sig. Spence | «cole giovane.» N° 41. 42. «Due belle teste d’un Er- aautore Inglese nella sua opera intitolata Polymetis, | «cole giovane e d’una Donna ignota.» «dove sene vede anche il rame della testa. Questa è uno «capo d'opera, éssendo di scultura Greca e d’un stile à «più sublime; rassomiglia al celvberrimo torso di Bel- «vedere, quel tronco famoso d'Ercole nel Vaticano, il «quale bensi è senza testa, che in questo frammento è «della pit grande espressione; già nel palazzo Bar- «berini.» 28. Athlète ou Mercure. Vielleicht ist dieser Kopf identisch mit dem, wel- cher im Cat. L. Br. 1779. Teste N° 43. «Testa bel- «lissima d’un Meleagro, un poco meno di grandezza na- «turale» beschrieben ist. 37. Sérapis. Cat. L. Br. 1779. Busti N° 14. «Un altro» (busto colossale) «dè non minorè merilo di Giove Serapide, «più grande della natura, già nel palazzo Spada.» 40. Diane. Cat. L. Br. 1779. Teste N° 50— 52. «Tre testine «d’un Bacco giovane, d'una Diana Etrusca e d’un Pane; «quest ullima è capricciosissima essendovi grappoli «d'uve in vece di barba e mustacchi.» 43. Alexandre-le-Grand. Cat. L. Br. 1779. Teste N° 12. «Testa grande d’'E- «festione moribondo, cosi chiamato dal Card. Albani suo «primo possessore; à di scultura Greca e trovata vicino «a monte Citorio.» 44. Junon. Vielleicht beziehen sich auf diesen Kopf die Be- schreibungen im Cat. L. Br. 1768. N° 40. «Junonis «caput vitta cinctum, kumani capitis magnitudinem su- «perans atque ore illo venusto conspicuum, quo deae de- «cet esse Jovisque conjugis.» und im Cat. L. Br. 1779. Busti N° 13. «Busto colossale della più gran bellezza «di Giunone, già nella villa Mattei; l’idea è molto no- «ble.» 46. Silène. Cat. L Br.1779 Teste N° 52. Siehe oben zu N° 40 48. Enfant. Cat. L. Br. 1768. N° 39. «Herculis juvenis caput, «quondam penes Bryan Fairfax Arm.». Ausserdem künnen sich auf diesen Kopf beziehen die Worte im Cat. L. Br. 1779. Teste N° 22. 23. « Due teste ideali «e belle; ciascheduna d'un Ercole giovane.» N° 26. 27. «Due altre bellissime ed ideali d'una Musa e d'un Er- 54. Bacchus Indien. Cat. L. Br. 1768. N° 52. «Platonis caput integrum «el elegans in terminum desinens, in villa Hadriani «Tiburtina repertum.» Cat. L. Br. 1779. Teste N° 44. «Testa colossale di Giove Terminale, secondo l'opinione «del Card. Albani, benchè tali teste siano state fin qui «chiamate Platoni.» | 56. Satyre. Cat. L. Br. 1768. N° 24. « Fauni ridentis caput in- «tegerrimum et maxime laudandum ob operis insigne «artificium.» Cat. L. Br. 1779. Teste N° 11. «Testa «d'un Fauno di scultura Greca e di tutta conserva- «zione.» 66. Antinous. Cat. L. Br. 1768. N° 36. «Antinoi formosissimi ju- «venis caput eximiuim, pinea corona redimitum, ex ae- «dibus Marchionis Massimi Romae.» Cat. L. Br. 1779. Teste N°7. 8. «Due teste d’Antinoo favorito d’ Adriano «e secondo à solito di gran bellezza; quella con una co- «rona di fiori era prima nel palazzo Massimi, e l’altra «sotto à carattere di Mercurio in una villa principale «di Roma.» 70. Plotine. Cat. L. Br. 1768. N° 46. « Domitiae caput colos- «seum magna pulchritudine; hoc cum quattuor praece- «dentibus aedes Vitelleschi Romae ornabat et per multos «annos ne inde emitterentur, cautum fuit, at forte for- «tuna huc tandem advecta.» Cat. L. Br. 1779. Teste N°15. «Testa superba e molto colossale di Domitia mo- «glie dell Imperatore Domiziano; la chioma è singola- «rissimu; già mel palazzo Verospi.» 71. Julie. Cat. L. Br. 1768. N° 42. «Juliae Titi filiae protome «laudatissima, capite velato, multis magnisque cincinnis «conspicua, ut in gemmis exstat; naturalem feminae «magnitudinem valde superans.» Cat. L. Br. 1779. Busti N° 16: « Busto ancor pit grande di Giulia figlia «di Tito, già nel palazzo Verospi e destinato da met- «tersi nel Campidoglio, ma per buona fortuna aggiunto «a questa raccolta; la testa è velata e conservatissima.» 74. Antinous. 3 Cat. L. Br. 1779. Teste N° 8. Siehe oben zu N° 66. 78. Dame romaine. Auf diese oder auf eine vollkommen entsprechende 505 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 596 Büste im Museum zu Pawlowsk‘) beziehen sich wahr- scheinlich die Worte im Cat. L. Br. 1768. N° 49. «Amazonis vulneratae caput egregium», und im Cat. L. Br. 1779. Teste N° 38. 39. « Due belle teste ideali «d'un Amazone, già nel palazzo Santo Buono, e d’una «donna ignota, forsa una Musa, la cui chioma è gra- «ziosissima, comprata a Napoli.» 79. Romain. Cat. L. Br. 1768. N° 1. «Protome senatoris Romani, aut e lato clavo (si modo sit clavus) conjectari licet, op- «éime conservata, quatuor abhinc annis in loco dicto «Roma vecchia non longe ab urbe Roma distante effossa.» Cat. L. Br. 1779. Busti N° 19. «Un busto grande d'un aSenatore Romano col lato clavo, ma sconosciuto; è ve- «ramente un ritratto eccellente ed anticamente nel pos- asesso del Sig”. Belisario Amidei, come furono à due «sequenti.» Beide Angaben über die Herkunft der - Büste lassen sich vereinigen, wenn man annimmt, dass dieselbe unmittelbar nach ihrer Auffindung auf kurze Zeit in den Besitz von Amidei gekommen sei, ehe sie in den von Lyde Brown überging (was sich in der That von anderen Kunstwerken dieser Sammlung nachweisen lässt ?) und demnach der Ausdruck «anti- «camente» einige Uebertreibung enthält. Jedenfalls be- findet sich weder in der kais. Ermitage noch in Paw- lowsk eine zweite Büste, an welche gedacht werden künnte. 94. Table votive. Cat. L. Br. 1779. Bassirilievi N° 2— 4. «Tre bei «bassirilievi antichi, uno dei quali rappresenta Dio «Mitra pugnalando un bue; vi sono altri animali ed «un 1scrizione curiosa; comprata dagli eredi del Card. «Valenti segretario di stato; il secondo rappresenta tre «Ninfe di fontane con conchiglie nelle mani; un bellis- «simo bue è il soggetto del terzo.» 96. Monument consacré aux Nymphes Nithro- diennes. Cat. L. Br. 1779. Bassirilievi N° 3. Siehe oben N° 94. 110. 117. 123. Pieds colossaux. Cat. L. Br. 1779. Piedi votivi N° 1—3. «re piedi avotivi fin alle polpe della gamba di alabastro orientale «fiorito; l'uno è un poco pit grande del naturale; à due 6) Stephani: Die Antiken-Sammlung zu Pawlowsk p. 22. N° 56. 7) Siehe z. B. Stephani: Die Antiken-Sammlung zu Pawlowsk p. 20. N° 28. «altri sono d'una grossezza stupenda, essendo l’uno lungo «due piedi, l’altro lungo due piedi e quattro uncie con «dita dalabastro orientale transparente, già nella galle- «ria Albani. Tali soggetti e di tal bellezza sono raris- «sSimi, poichè fuor di queste tre non sene trovarano altri «a Roma.» 115. Urne cinéraire de Primigénius. Cat. L. Br. 1779. Colonne N° 14. «Un piedistallo «alto tre piedi di grandissimo gqusto, essendo gli orna- «menti d’eccellente scultura.» 119. Autel de Diane. Cat. L. Br. 1779. Colonne N° 10, «Un bellissimo apiedistallo ornato con festoni, teste di bue e fiori ben «lavorati, già nel palazzo Giustiniani.» 121. Autel carré à volutes. Cat. L. Br. 1779. Colonne N° 15. «Un’ ara qua- «drata di due piedi, già nella villa Altieri; à bassiri- «lievi di pulti, festoni e frutti sono veramente bellis- «simi.» 124. Cippe funéraire de C. Cornelius Zoticus. Cat. L. Br. 1768. N° 12. «Urna sepulcralis elegans «apri venationem anaglyphico opere exhibens, in villa «Cardinalis Valenti Romae reperta. Ectypum a Jacobo «Stuart anno 1748 Romae in aes incisum est °).» 125. Candélabre. Cat. L. Br. 1779. Candelabri N° 2. «Un altro» (Candelabro) «ugualmente bello ed ornato da per tutto «con fiori e foglie, alto quattro piedi.» 126. Fût de colonne. Cat. L. Br. 1779. Colonne N° 11 —13. «Tre co- «lonnette di marmo Pario, ben ornate con fogliame e «fiori; alte tre piedi; all’ uso di piedistalli.» 128. Base de candélabre. Cat. L. Br. 1779. Candelabri N° 1. «Candelabro «elegante alto cinque piedi; il fusto à ornato con foglie «d'edera ed il piede triangolare con belle figurine in bas- «sorilievo.» 129. Base de candélabre. Cat. L. Br. 1779. Candelabri N° 4. «Un candela- «bro alto cinque piedi; non si puo idearsi una cosa pit «bella; il fusto è ornato con spiche di grano e foglie «della più gran conservazione e di ottima scultura; nei «tre lati del piede vi sono altrettante teste di Medusa 1747. 507 Bulletin de l’Académie Hmpériale 508 170. Ariadne. Cat. L. Br. 1768. N° 20. « Bacchi juvenis caput ele- «gans.» Cat. L. Br. 1779. Teste N° 50. Siehe oben N° 40. 172. Ajax blessé ou Thersite. Cat. L. Br. 1768. N° 70. «Caput galeatum ore do- «lore distorto, cui non inepte respondet: «Vulnere lethali forsan periturus Achilles.» Cat. L. Br. 1779. Teste N° 6. «Zesta d’ Achille mo- «ribondo di scultura Greca e d’uno stile il più sublime «essendone l’espressione maravigliosa; nel palazzo Bar- «berini, dove prima si conservava, era chiamata un «Alessandro.» 173. Bacchus. Cat. L. Br. 1779. Teste N° 13. «esta grande ed «eccellente di Bacco, già del Cardinale Albani; è un «residuo di una statua, poichè si vede parte della man «dritta appoggiata sulla testa.» 174. Jupiter. Vielleicht beziehen sich auf diesen Kopf die Worte im Cat. L. Br. 1768. N° 50. «Viri caput aestatem re- «praesentans, ut a corona quercea et spicis conjectari «licet.» 176. Minerve. Cat. L. Br. 1768. N°31. « Minervac caput galeatum «humani capitis magnitudinem valde superans, quod ob «egregium operis artificium nulli, quae hactenus reper- «ae sunt, lujusce gencris elegantiarum secundum cen- «sert debet.» Cat. L. Br. 1779. Teste N° 16. «Testa «colossale di Minerva, perfettamente conservata e di «al eccellenza (essendo di Greco scalpello), che fin qui «non e stata mai trovata un altra pit bella; già nella cola Albani.», 181. Tête de femme. Vielleicht beziehen sich auf diesen Kopf die Worte im Cat. L. Br. 1779. Teste N° 5. «Testa grande e gra- «ziosissima di Giunone già nella Galleria Albani.» 185. Hermès bachique. Cat. L. Br. 1779. Teste N° 57. «Testa doppia di «Bacco ed Arianna al modo di Giano.» 187. Autumnus. Cat. L. Br. 1768. N° 21. «Pueri, Triptolemi sub «imagine, ut spicea corona arguit, protome; sunt qui Glam Trajanum referre putant.» Cat. L. Br. 1779. Teste N° 20. 21. « Due teste ideali ed eccellenti; quella «duna figlia di Niobe fu prima nella galleria Albani; «l’altra rappresenta un giovane sotto la figura della «state con una corond di frutti intorno alla testa.» 189. 190. Vases colossaux. Cat. L. Br. 1768. N° 79. «Vas ingens ex marmore «Pario elegantissimum, a summo ad imum septem pedes «atque uncias octo altum; media pars anaglyphico opére «Bacchanalia aut, ut alii putant, Trimalchionem Petro- «nianum refert. Pisae prope basilicam vas antiquum «est huic omnino simile parique magnitudine.» N° 80. «Vas marmoreum, quod priori nec magnitudine nec «operis elegantia cedit. Historiam Iphigeniae ad Dianae «aram immolandae opere anaglyphico exhibet. In villa «Medicea Romae vas est huic adeo simile, ut magni- «tudine tantum praestet. Hoc vero una cum praecedente «eæ hortis Justinianis Romae provenit. Utrumque ob «operis praestantiwm et quod hujusce generis elegantiae csunt rarissmae, prelii vel maximi aestimalur; msi «Romae enim nihil his simile usquam gentium viden- «dum est.» Cat. L. Br. 1779. Vasi N° 23. 24. «Due «vasi nobili ed antichi, alti sette piedi e mezzo, già nella «villa Giustiniani, ed à soli di quest’ altezza fuor d’Ita- «ia; à bassirilievo d'uno rappresenta la festa di Tri- «malchione descritta da Petronio; il padre Montfaucon «la chiama una processione baccanale; la scultura n’è «eccellente e ben conservata; sul principio di questo «secolo è stata intagliata; il bassorilievo dell altro è à «sacrificio d’Ifigenia, affatto simile a quel famoso nella «villa Medici, ma la forma del vaso è differente.» 200. Arsinoé. Cat. L. Br. 1768. N° 53. «Protome Junonis colos- «sea simul et venustissima.» Cat. L. Br. 1779. Busti N° 15. «Un altro» (busto) «colossale di scultura Greca «di Giunone; panneggiamento è moderno.» 219. Annius Vérus. Cat. L. Br. 1779. Statue N° 18. «Sfatua consolare «d’un giovane Annio Vero, alta incirca cinque piedi; «il panneggiamento è nella più gran conservazione e le «pieghe sono d'un gusto eccellente, già nello palazzo del «Marchese Capponi.» 221. Auguste. \ Cat. L. Br. 1768. N°11. «Tiberii protome permagna «Athenis effossa, olim penes Eduardum Jawkner equi- «tem; humeri cum pectore ex marmore vario facti sunt.» Cat. L. Br. 1779. Teste N° 19. «Testa colossale di «Tiberio di gran merito; fu trovata a Atene e regalata 509 «al Cavaliere Edoardo Jawkner, ambasciadore Inglese «a Constantinopoli, dai cui eredi è stata comprata; «panneggiamento è di diaspro di Sicilia.» 222. Inconnu. Wahrscheinlich beziehen sich auf diesen Kopf die Worte im Cat. L. Br. 1779. Teste N° 55. «Testa bel- «lissima d'un Meleagro, più grande della natura, com- «prata dal Duca di Colombrano a Napoli.» 223. Enfant romain. Wahrscheinlich ist dieser Kopf identisch mit dem, welcher im Cat. L. Br. 1768. N° 13. «Pueri protome «eximia, laevum capite inclinato, adeo integra, ut illam «adspicienti vel pridie facta videatur, in Amphitheatro «Castrensi nunc monachorum Sanctae Crucis horto «Romae reperta.» und im Cat. L. Br. 1779. Teste N° 10. «Zesta d’un putto bella a maraviglia colla «chioma arricciata; già nel palazzo Barberini e ben «conservata.» beschrieben ist. Die Verschiedenheit in der Angabe der Herkunft würde wie bei N° 79 zu er- klären sein. 229, Romain barbu. Cat. L. Br. 1779. Busti N° 17. «Busto eccellente «e molto ben conservato di Bruto.» 230. Septime Sévère. Cat. L. Br. 1779. Teste N° 17. 18. « Due belle teste «di Settimio Severo e di Marc Aurelio; la prima era «già nel palazzo Carpegna.» 232. Trajan jeune. Cat. L. Br. 1768. N° 4. «Trajani protome egregia «el integra.» Cat. L. Br. 1779. Busti N° 8. 9. «Due «busti assai eccellenti di Trajano e d’una Donna sco- «nosciuta, ambedue perfettamente conservati.» 236. Sextus Pompée. Cat. L. Br. 1768. N° 3. «Altera» (protome) «in- «cogniti, Cnejo Pompeio autem non absimilis.» 244, Commode. Cat. L. Br. 1779. Busti N° 22. 23. «Due piccoli «ustini già nella villa Albani; à primo d’una Leda è «della più gran bellezza; l’altro è un Commodo vecchio ; «il panneggiamento d’ambedue è d’alabastro orientale «trasparente, d'un colore somigliante all ambra.» 245. Crispine. Cat. L. Br. 1779. Busti N° 22. Siehe oben N° 244. 246. P. Septimius Géta. Wabrscheinlich ist die zweite der im Cat. L. Br. 1768. N° 17—19. «Faustinae majoris, Trajani et des Sciences de Saint-Pétersbourg. —_——————————————— 510 «Quinti Herennii tres protomae minutae» beschriebe- nenen Büsten zu verstehen. 249. Marc Aurèle jeune. Cat. L. Br. 1779. Teste N°18. Siehe oben N° 230. 252. Julie. Cat. L. Br. 1768. N° 17. Siehe oben N° 246. 257. Clipeus. | Cat. L. Br. 1768. N° 66. «Senis ignoti protome ad «dimidium exstans eadem forma nec minori pulchri- «tudine ac Bacchantis; annis abhinc duodecim tragula «Bajarum sinu subducta est optime conservata et sine «dubio Graeci artificis opus; signum pone caput, quod «certe ad id quasi insigne aliquid refert, hactenus est «inexplicitum.» Cat. L. Br. 1779. Medaglioni N° 2. «Un altro antico» (medaglione) «di due piedi di dia- «metro e di ottima scultura Greca rappresenta una «lesta sconosciuta in alto relievo e perfettamente con- «servata; dietro la testa si vedono molti volumi legati «insieme, onde si vede che sia ritratto venerabile di «qualche poeta. Venti anni sono fu pescato da un pesca- «lore sul lido di Bajae. Alcuni lo stimano un Omero, «come si vede dal rame aggiunto. Di questa opinione «era il Sig. Wood letterato molto intendente d'anti- «chità nel suo saggio sopra Omero pubblicato pochi anni «sono in Inglese.» 261. Face latérale d’un sarcophage. Cat. L. Br. 1779. Bassirilievi N° 7. «Un altro» (rilievo) «largo cinque piedi anticamente parte d’un «fregio del tempio di Giove a Nola; il festone di fiori «colle teste di bue ed un vaso di bella forma sono di «scultura eccellente.» 262. Figure de femme. Cat. L. Br. 1768. N° 58. «Æuterpes Musae statua «valde laudanda, quae nuper Palestrinae (quondam » Praeneste) effossa fuit.» Cat, L. Br. 1779. Statue N° 5. 6. «Due altre» (statue) «dell istessa altezza d'una «Flora e di una Musa; gli panneggiamenti sono molto «ben intesi, le teste perd sono moderne.» 269. Figure de femme. Cat. L. Br. 1768. N° 56. «Florae statua stolata et «egregia, fasciculum florum sinistra tenentis.» Cat. L. Br. 1779. Statue N° 5. Siehe oben N° 262. 270. Esculape. Cat. L. Br. 1779. Statue N° 28. «Statua d’Escu- «lapio alta quattro piedi; la testa è moderna, ma tutto «il resto e d'una perfetta conservazione.» 62 L Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 51? 273. Hygiée. Cat. L. Br. 1779. Statue N° 21. «Una figura se- «dente di Igiea o sia la Dea della Salute col serpente e «patera nelle mani, alla tre piedi; il panneggiamento «d'un qusto perfeltissimo.» 274. Papposilène. Cat. L. Br. 1768. N°8. «Silenum hirsutum ebrium- «que statua bene exprimens operis egregii et quondam «penes supradictum Belisarium Amidei, tres pedes «duasque uncias alta.» Cat. L. Br. 1779. N°12. «Una «statuelta stimatissima alta tre piedi d'un Sileno tutto «peloso, cosa rara, già nel palazzo Verospi.» 297. 298. Bases de candélabres. Cat. L. Br. 1768. N°59—61. «Tria marmora trian- «gularia, quae quondam pedes candelabrorum fucrunt, «opere eleganti.» 338. Vase rond. Cat. L. Br. 1779. Vasi N° 1. «Un vaso d’alabastro «orientale trasparente d’un piede e otto uncie di dia- vmetro ed à pit grande nel gabinetto del Card. Albani, «donde è stato comprato, ben conservato.» 339. Vase rond. Cat. L. Br. 1779. Vasi N° 2. «Un altro» (vaso) «dal? istesso gabinetto, ancor più bello, essendo d’ala- «bastro agatino, ma di tredici uncie sole di diametro, «conservato come se fosse stato fatto ieri.» 346. Apollon citharède. Cat. L. Br. 1779. Statue N° 22. «Una statua d’ Apollo «di grandezza naturale e di scultura la più eccellente e «d’un marmo simile all avorio, è véramente una bel- «lissima cosa; dal palazzo Verospi, ove si conservava «prima "venne nella galleria del Card. Albani, dal quale «fu comprata dal presente possessore; perfettamente con- «Servata.» 352. Bacchus indien. Diese Büste steht auf einer Säule, welche im Cat. L. Br. 1779. Colonne 11 — 13. (siche oben N° 126.) erwäbnt ist. 353. Amour. Dieses Fragment steht auf einer Säule, welche im Cat. L. Br. 1779. Colonne N° 26. 27. «Due colonnette aalte quattro piedi, ornate all intorno con edera e «grappi d'uve di molto buon gusto.» erwähnt ist. 354. Vénus. Dieses Fragment befindet sich auf einer Säule, wel- che im Cat. L. Br. 1779. Colonne N° 26. 27. (siehe oben N° 353.) beschrieben ist. 355. Vénus. Dieser Kopf ist auf einer Säule aufgestellt, welche im Cat. L. Br. 1779. Colonne 11 — 13. (siehe oben N° 126.) erwäbnt ist. 358. Tête idéale. Vielleicht ist dieser Kopf identisch mit dem, wel- cher im Cat. L. Br. 1768. N° 48. «Nüobes filiae pro- come perpulchra», und im Cat. L. Br. 1779. Teste N° 9. «Testa bellissima ed ideale d'una figlia di Niobe «di Greca scultura; è l’istesso carattere che il Guido a «tante volte copiato nelle sue opere» beschrieben ist. 360. Grand vase. Cat. L. Br. 1779. Vasi N° 19. «Un altro» (vaso) «moderno di tre piedi d'altezza e di marmo Pario; gli «amimali ed il fogliame all intorno sono nel gusto il «più squisito.» — Verhältniss irgend nn dies auch in der ‘äumlich eng verbun- ae verwandter Kunst- sich doch in einigen ise selbst unter Um- genden sebr ähnlich nde also künnen wir unten Art doch keine zestehen. r Weise Praxiteles zu er auf die genannte : Werth gelegt habe, ch welche Phryne, is Versprechen erhal- den Kunstwerken zu 1 zu verfügen hatte, ss er die Statue eines das Beste hielt, was * Nachdem Pausanias gefügt hat, dass sich n sab, bei dem Künst- «ens wegen entschul- nn er die Erzählung n wollte, da Praxiteles k versprochen hatte, iren, welche von den ewählt habe; und da es sich hier für Pau- ader» den Eros wählte, er nicht die unterge- auptsache stellen woll- vas aus dem Satyr ge- (T1, 10. 11-2V, 14,18: 34* Vo — he. ao 533 des Sciences de Saint-Pétersbour£g. 534 oùv oixérns Douvns Éouoxer oiysoSat IlomËeréher vo Rod TôY épyov Tupôs Écnecovros és ro ox, OÙ [LÈV oùv ravra y: doamoSmvor. [louËrréhns DE aûrixa Ses da JupOY bo, xal où xauovre oùdèv Épauoxe tva TKÉOV, et n ka Toy Zarupoy n PACE ka Toy porta éréhafe. Pouyn di pov oùdév, téyvn à GAovTa Cuohoyeiv TA XAAMOTE OV péverv Sapooüvre éxéheus madeiv do avt énoënoz. Pouvn pLèv oùto Tov Epota aigsitat” Atovuoo dE éy TO van To tAnotoy Eatupos éort rais xal ddo- tv éxroua’ ‘Egora à éctnxotu Ouoù xai Atovuoov Gumihos Éroincev. Mit offenbarem Recht ist man allgemein darüber einverstanden, dass am Anfang dieser Stelle ( Ecrr dë — eigyacuéva) mehrere Worte verdorben sind, wenn es auch bisher noch nicht gelungen ist, mit ausrei- chender Wahrscheinlichkeit das wiederherzustellen, was Pausanias selbst geschrieben haben mag. Doch ist wenigstens sein Gedanke so weit deutlich, als es für uns nôthig ist, um die folgenden Worte, mit denen wir es hier allein zu thun haben, zu verstehen. Pau- sanias spricht von dem Stadttheil und der Strasse, welche Toërodss genannt wurden, indem er erzählt, dass sich dort eine Anzahl kleiner, verschiedenen Gottheiten geweihter Tempelchen befand, welche mit Dreifüssen und zum Theil auch mit besdhders beach- tenswerthen Kunstwerken ausgestattet waren. Dass der Perieget, indem er darauf mit den Wor- ten: Zarugos yae éottv fortfährt, das unmittelbar vor- her, Gesagte, das Vorhandensein beachtenswerther Kunstwerke in dem Toirodes genannten Stadttheile, begründen will, lehrt die Anwendung der Partikel yæo und überdies wissen wir durch Athenaeos ‘), dass der Satyr, von welchem Pausanias hier spricht, wirklich in jenem Stadttheil aufgestellt war. Um so mehr muss es auffallen, dass die Worte selbst, deren sich Pausanias bedient, das Vorhandensein dieser Statue an jenem Orte in keiner Weise andeuten, ob- gleich dies so leicht durch Hinzufügung eines der Würtchen évraÿ%æ oder aoro%, deren er sich sonst. so überaus häufig unter ganz ähnlichen Umständen bedient, hätte geschehen künnen. Man kônnte daher vielleicht hieraus schliessen wol- len, dass er von der Hinzufügung eines solchen Wôürt- 7) Deipnos. XII, 591 B. éxhoynv Te adth TOY yakUaTOY ÉDWXEV, », LA , … PA | ’ ’ n % etre tov Epwra Sélor Aafety ete tov ént Tpemodwvy Sutupoy* n Ô€ £houéyn toy Epura dvéSnxev atrov êy Occrtuic. chens nur deshalb abgesehen habe, weil er bereits die Absicht hatte, eine bestimmtere Bezeichnung des Orts der Aufstellung im weiteren Verlauf seiner Dar- stellung zu geben. Allein Pausanias, der sonst so sehr darauf bedacht ist, das räumliche- Verhältniss eines Kunstwerks, zu dessen Beschreibung er über- geht, zu den unmittelbar vorher besprochenen in ei- ner für uns freilich leider nur zu oft noch immer nicht ausreichenden Weise näher zu bezeichnen, knüpft doch auch zuweiïlen die einzelnen Kunstwerke, wie hier, nur durch ein einfaches écrt oder ein ähnliches Wort an einander, ohne das räumliche Verhältniss irgend wie genauer anzugeben, und wenn dies auch in der Regel nur bei längeren Reïhen räumlich eng verbun- dener und mehr oder weniger nahe verwandter Kunst- werke geschieht*), so bedient er sich doch in einigen seltenen Füällen dieser Schreibweise selbst unter Um- ständen, welche den hier vorliegenden sebr ähnlich sind ”). Aus dem letzteren Grunde also künnen wir einer Schlussfolgerung der genannten Art doch keine hinreichend zwingende Kraft zugestehen. Um nun zu zeigen, in welcher Weïse Praxiteles zu erkennen gegeben habe, dass er auf die genannte Satyr-Statue einen besonderen Werth gelegt habe, erzählt Pausanias die List, durch welche Phryne, nachdem sie von dem Meister das Versprechen erhal- ten hatte, ihr das schônste von den Kunstwerken zu schenken, über welche er eben zu verfügen hatte, diesen nôthigte, zu bekennen, dass er die Statue eines Satyrs und die eines Eros für das Beste hielt, was er eben in Bereitschaîft hatte. Nachdem Pausanias hierauf noch ausdrücklich hinzugefügt hat, dass sich Phryne, als sie ihre List gelungen sah, bei dem Künst- ler des ihm bereiteten Schreckens wegen entschul- digte, musste er natürlich, wenn er die Erzählung nicht ganz ohne Abschluss lassen wollte, da Praxiteles der Phryne nur ein Kunstwerk versprochen hatte, den Leser auch darüber aufklären, welche von den beiden Statuen die Hetacre gewählt habe; und da diese nicht den Satyr, um den es sich hier für Pau- sanias ganz allein handelte, sondern den Eros wählte, so musste der Perieget, wenn er nicht die unterge- ordnete Nebensache über die Hauptsache stellen woll- te, auch ausdrücklich sagen, was aus dem Satyr ge- 8) Z. B. Paus. I, 23, 5. 24, 2—4. III, 11, 10. 11. V, 14,8. 9) Z. B. Paus. IT, 10, 7. 34* 535 Bulletin de l’Académie Empériale 536 ———Z worden, namentlich in wessen Besitz dieser gekom- men sei, wozu, da er einem Gott geweiht wurde, der viele Heiligthümer besass, auch eine nähere Bezeich- nung des Tempels gehürte, in welchem er aufgestellt war. Endlich konnte Pausanias, nachdem so die Rede wieder auf den Satyr zurückgekommen war, in gewohnter Weise damit auch einige Angaben über das vom Verfertiger bei dieser Statue zur Anwendung gebrachte künstlerische Motiv verbinden, während jede weitere Erzählung in Betreff des Eros, z. B. dass dieser von Phryne später nach Thespiae geweiht wor- den sei, ganz ausserhalb des logischen Zusammen- bangs gelegen haben und Pausanias nur zu einem verwirrten Schwätzer, was er bekanntlich trotz aller sonstigen Eigenthümlichkeiten durchaus nicht war, gestempelt haben würde. Diese von den einfachsten logischen Gesetzen ver- lañgten Gedanken finden wir nun auch in der That in dem streitigen Schluss-Satze der Erzählung ausge- sprochen: Pouyn pév ot Tôv'Egota aigsitar” Aroviao SE év TO vas To rAnotoy Zarupos Éott tai xai dd uw éxroma "Epota S écrnxota Guoÿ xat Auovucov Gvrdos émoénosv, d. h. «Phryne zwar wählte demnach «den Eros; Dionysos aber besitit in dem in der Nähe «gelegenen Tempel den Satyr, welcher als Knabe gebildet «ist und einen Becher darreicht; jedoch den Eros, welcher' «daneben steht,und den Dionysos hat Thymilos verfertigt.» Schon dass diese Worte genau dem entsprechen, was wir nach dem Vorausgegangenen mit logischer Nothwendigkeit erwarten müssen, künnte wohl genü- gen, um jeden Zweifel an ihrer Bedeutung und an ihrer Unverfälschtheit unmüglich zu machen. Ueberdies je- doch enthalten sie zwei Elemente, von denen jedes für sich allein mit zwingender Nothwendigkeit erweist, dass der hier genannte Satyr wirklich derselbe sein muss, von welchem Pausanias in den vorhergehenden Worten gesprochen hat. Das eine dieser Elemente ist die Partikel pév nach dem Worte Pouvn, durch welche Pausanias, wie schon Stark") richtig bemerkt hat, einen neuen Gegensatz æinleitet, nebst der entsprechenden Partikel dé, welche auf Awvuco folgt. Denn da der mit mé eingeleitete Vordersatz Nichts ausspricht, als dass sich Phryne in den Besitz der Eros-Statue gesetzt habe, so musste 10) Zeitschr. für Alterthumsw. 1852. p. 55. der diesem entsprechende Nachsatz, wenn er auch noch Anderes enthalten konnte, doch vor allem An- deren nothwendig eine zweite Person als Besitzerin der zweiten in Rede stehenden Statue, des Satyrs, bezeich- nen, und dieser logischen Forderung entsprechen auch in der That die Worte: Pouvn pèv tov Epota aipeîrou, Atoyoce SÈ Zarupcs éott. Natürlich konnte Pausa- nias mit ganz gleichem Recht auch den Gegensatz zwischen den besessenen Gegenständen, nicht den zwi- schen den Besitzern in den Vordergrund stellen und sagen: toy èv 'Epota Poûvn aipeîror, Sarupos dE Ato- vuco éott. Allein der Gedanke wäre dadureh nicht im mindesten verändert, und die eine Form ist logisch und sprachlich genau eben so untadelhaft, wie die andere. Wohl aber wird eben dadurch, dass Pausanias die erstere Form vorgezogen und den in Rede stehenden Satz mit Pouvn wèv begonnen hat, obgleich schon der vorhergehende Satz dasselbe Subject und zwar eben- falls an die Spitze gestellt hat, seine Absicht, einen neuen Gegensatz einzuleiten , noch ganz besonders stark markirt. Unbegreiflich kurzsichtig ist, was Friederichs"!) gegen diese Auffassung einwendet: «Sollte ein Gegen- «satz eingeleitet werden, so hätte Pausanias sagen müs- «sen: Pobvn rôv pèv'Epota aipeîtor, 0 S Earupos cie. «Nach dem Sprachgebrauch des Periegeten hätte man «eher die entgegengesetzte Bemerkung erwartet, nämlich «die, dass mit voire das Vorangegangene abgeschlossen «sei und im Folgenden zu etwas Neuem übergegangen «werde. Denn an unzähligen Stellen gebraucht Pausanias «die Ausdrücke pv oÿto, pèv totoûtos etc. am Schluss «einer Ereählung oder Beschreibung, ganz wie wir sagen: «und so nun geschah esm und fährt dann fort mit «dem continuativen SE, wo an einen Gegensatz nicht zu «denken ist.» Er bemerkt also gar nicht, dass alle von ihm in der beigefügten Note angeführten Stellen des Pausanias, so wie seine eigene Uebersetzung: «und «so nun geschak es» nicht nur nicht das Geringste mit dem in Rede stehenden Satz des Pausanias gemein haben, sondern sogar im allerentschiedendsten Gegen- satz dazu stehen. Denn alle jene Stellen fassen die vorher aufgezählten Einzelheiten in einen kurzen Aus- druck der allgemeinsten Art zusammen, ohne irgend et- was Neues hinzuzufügen, enthalten nur eine ganz kurze 11) Praxiteles p. 15. 537 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 538 Recapitulation des schon Gesagten, während der in Rede stehende Satz ganz im Gegentheil Nichts zu- sammenfasst oder recapitulirt, sondern eine vüllig neue Einzelheit, dass nämlich Phryne gerade den Eros gewählt habe, den schon vorher erzählten Einzelheiten hinzufügt. Das Adverbium oùto aber ist hier nur eine untergeordnete Zuthat zu dieser Hauptsache und hat nur die Bestimmung, zugleich auf die im Vorherge- henden liegende Vorbereitung und Berechtigung zu die- ser Wahl hinzuweisen, insofern Praxiteles der Phryne das schôünste seiner Werke versprochen und, von ihr überlistet, zu erkennen gegeben hatte, was er selbst für das schünste hielt. Noch mehr erstaunt man über den Kunstgriff, dessen sich Friederichs bedient, indem er angeben will, wie sich Pausanias hätte ausdrücken müssen, um einen Gegensatz zu bilden, diesen Satz jedoch gar nicht ausführt und so dem Leser entweder zu verbergen sucht, dass die von ihm gewählte Satz-Form gar nichts Anderes aussagt, als die von Pausanias ange- wendete, oder dass er an der letzteren nur eine ganz willkührliche Ânderung vornimmt. Das andere Element, welches die Identität des in dem fraglichen Satz des Pausanias erwähnten Satyrs mit dem vorher besprochenen des Praxiteles mit voll- kommen zwingender Nothwendigkeit erweist, besteht darin, dass der Periegct, indem er am Ende jenes Satzes die Erwähnung zweier mit dem Satyr zusammen aufgestellter Statuen hinzufügt, nicht die Nachricht von diesem Beisammensein, sondern die Nennung des Verfertigers als logisches Anknüpfungs-Mittel benutzt. Denn dies Letztere war nur müglich, wenn er auch den Verfertiger des in dem Satze Atowuco —- ëxropæ erwähnten Satyrs genannt und ausdrücklich als Ur- heber eben dieser Statue bezeichnet hatte, und eine solche Bezeichnung ist in Wirklichkeit nur gegeben, wenn dieser Satyr mit dem vorher erwähnten iden- tisch ist. Hieraus also folgt diese Identität mit abso- luter Nothwendigkeit, Hätte Pausanias nicht ausdrücklich gesagt, wer der Verfertiger des Satyrs sei, von welchem er in-dem Satze Atovco — éxropa spricht, so wären die daran geknüpften Worte: "Esota à écrnxota opoû xai Atc- vugoy Guyihos éroincev vollkommen sinnlos und hätten vielmehr lauten müssen: ‘Epos 3È xat Auoyucos, où Oupios ÉTofnosv, Éctnxæstwy ood. Denn sonst wäre das zweite Glied eines Gegensatzes vorhanden, dessen erstes Glied fehlte. Da aber der Perieget nicht die letztere, sondern die erstere Redeform gebraucht hat, so muss er auch den Verfertiger des in dem Satze Atovuso — éxropa erwähnten Satyrs genannt und aus- drücklich als Urheber eben dieser Statue bezeichnet haben und dies ist nur dann der Fall, wenn dieser Satyr derselbe ist, von welchem er im Vorhergehen- den gesprochen hat. Man sollte meinen, dass hiermit die ganze Frage entschieden und jede Schwierigkeit gehoben sei. Allein man hat noch einen ganzen Berg künstlicher Schwie- rigkeiten, deren vollständige Nichtigkeit Jedermann ohne alle Mühe sehen konnte, aufgethürmt, nur um hier zu zwei verschiedenen Satyr-Statuen zu gelangen und so eine derselben mit der unter dem Namen des reoBontos bekannten Statue identificiren zu künnen. Vor Allem hat man, und zwar keineswegs nur Friederichs, eingewendet, dass Pausanias, wenn er in dem fraglichen Satze von demselben Satyr hätte sprechen wollen, den er schon vorher erwähnt hat, nothwendig den Namen mit dem Artikel hätte ver- binden und © Zarupos sagen müssen, und in der That künnte man sich nicht wundern, wenn Jemand, der vorher noch nie eine Zeile des Periegeten gelesen hat, ein solches Bedenken erheben würde, da hier allerdings, wie jeder Anfänger weiss, nach den gewôhnlich be- obachteten Gesetzen der Artikel nothwendig sein würde. Wenn dies aber von denen geschieht, welche über diese Stelle schreiben und also doch wohl glauben machen wollen, dass sie sich zuvor einigermaassen mit den Eigenthümlichkeiten dieses Schriftstellers be- kannt gemacht haben, ja sogar von einem Herausgeber desselben, wie Siebelis. so wird man eben nur von Neuem daran erinnert, dass nun ein Mal die archae- logische Literatur das Land des Wunderbaren ist. Denn man braucht in der That nur irgend eine be- liebige Seite der Schrift des Pausanias mit einiger Aufmerksamkeit zu lesen, um zu wissen, dass er nicht nur fortwährend im Gebrauch des Artikels gegen die von anderen Schriftstellern beobachteten Gesetze ver- stüsst, sondern dass er auch ganz gewühnlich ein Ge- setz, welches er eben selbst befolgt, noch in derselben Zeile wieder verletzt. Dies liegt selbst dem flüchtig- sten Blick so deutlich ausgesprochen vor, dass es mich wirklich einige Ueberwindung kostet, aus der endlosen 539 Fülle von Belegen auch nur einige hervorzuheben, welche dem hier gegebenen Falle im Wesentlichen gleich sind. Doch mache ich zunächst auf die vollständig ent- sprechende Stelle bei Paus. X, 27, 1. aufmerksam: Nexpo dé, 6 pév yupvôs If Gvouæ ét rdv vôrov éoriv époguévos, UT0 ù rôv IIjaiv Hioveus ve xeîrat xal ASpun- roc évdsduxores Et! Tods Soouxas" xat auTov Aécyews Hio- véa 0n0 Neontoïguou, toy S ÜTO DrhoxTiTou pnolv aro- Savet Toy Adpntov. GAdO DE HVOTÉOO TOUTOY, UTÈE LÈV ro hourmgrov AecGxpuros écriv 6 IlouhuBapavros TeSveos ÿro "Odvocéos, dnèo d Hiovéa ve xat Adpmtoy Kopcr- Bas o Muydcves. Hier bezeichnen die Namen des Eio- neus und des Admetos da, wo sie zum ersten Mal ge- nannt sind, die von Polygnot verfertigten Bilder beider Heroen, und wenn Pausanias unmittelbar darauf den Namen "Hiovéa wieder ohne Artikel lässt, so kann man dies dadurch entschuldigen, dass sich der Name da nicht nur auf die genannte bildliche Darstellung, son- dern auch auf den Heros überhaupt bezieht. Die In- consequenz des Periegeten jedoch zeigt sich schon hier, indem er mit Hiovéa die Wofte toy D — rôv 'Adpn- rov verbindet, ganz wie er an der Stelle, um die es sich für uns zunächst handelt, mit roy "Epotæ den ohne Artikel gelassenen Namen Zartuooç in einen Satz vereint. Aber in dem folgenden Satz der hier hervor- gehobenen Stelle bezeichnen die Worte Urèp 92 Hio- véa te xat Aôpmnroy nur dieselben schon ein Mal ge- nannten Gemälde des Polygnot, welche diese Heroen darstellten, und doch lässt Pausanias beide Namen ganz eben so ohne Artikel, wie er an der Stelle, die uns Zzunächst beschäftigt, die schon vorher genannte Satyr-Statue des Praxiteles mit dem Namen Zatuoos ohne Artikel bezeichnet. Eben so vollständig entspricht unserer Stelle das, was wir bei Paus. X, 9, 5. lesen: Eoséñs 0 Teyearov avaSmpata no AaxeSamoytov Aro do éott xat Néxn xai oÙ émyopur Toy modov, Kaïkoro te n Auxdovos xai Apxds © énuvumos tas Vis xui où To Apxadoc raides "Eharoc mai Aoetdas ai ’AGav, ënt SÈ arois Toépudos" Toute S nv oùx ’Eparo to Totoudo LnTne, alt Aucdaueto 9 Apuxha toù év Auxedatow Bastheu- cavros* avaxertar Jë ka” Eoacoç Totpudou tais. Où 5 eloyacpévo Ta ayamara ILaucavias écriv Atohovw- Ts, OÙtos pèv toy Te Antéova xal KaXkoto, rnv à Néeny xai rod Apxados Tv sixova 0 Suxvovos Autde- Bulletin de l’Académie Impériale 540 hoc Avripavns dè Apyetos xai Sapohas ’Apxas, oÙtos pév roy Toéouhov xat AGava,"Ehatov dÈ xai Apetdavra re x "Eoæoov © Apyeios. Ich übergehe die übrigen hier vorliegenden Inconsequenzen im Gebrauch des Artikels und halte mich nur an die Reïhe der zwei Mal genannten Statuen. Da fällt es zunächst auf, dass Pausanias zwar vor Apollon da, wo er ihn zum zwei- ten Mal nennt, den Artikel gesetzt hat, nicht aber vor Kallisto. Zwar stehen hier beide Gottheiten in dem Verhältniss eines Paars zu einander und in diesem Falle pflegten die Alten auch sonst den Artikel nur ein Mal, vor dem ersten Namen, zu setzen; jedoch thaten sie dies nur sehr selten, wenn die Namen von ver- schiedenem Geschlecht sind, und dass Pausanias dies hier nicht berücksichtigt hat, fällt um so mebr auf, weil er bei dem folgenden Paar sowohl vor Nike als auch vor Arkas den Artikel hinzugefügt hat. Genau auf einer Linie aber mit der vom Satyr des Praxiteles handelnden Stelle und im entschiedensten Widerspruch mit dem von Pausanias selbst an dem eben hier in Rede stehendem Ort bei allen übrigen Paaren beob- achteten Gesetz steht es, dass er auch vor dem Namen des Elatos da, wo er ihn zum zweiten Male nennt, den Artikel weggelassen hat. Denn mit diesem Namen beginnt eine neue Statuen-Reiïhe, welche von Anti- phanes gefertigt war und von der vorhergehenden, welche Samolas zum Verfertiger hatte, durch die Par- tikel ࣠scharf gesondert ist. Von etwas anderer, jedoch nicht weniger bezeich- nender Art sind die Worte des Pausanias VIII, 25, 2. &£ ‘Ahodvros D nt Oaladas te xai êri Anuntoos isoov xatetouv Eheuoiwae. To dE ispov roûro ëctt pèv @erouctov év Goo” dyahpata D ëv aÿto, rodoy EnTa où» amodéov Exaotov, Amuntoos éott xal n Tais xai © Audvusos, Tà mavra Guotws MSov. Hier ist freilich die Statue der Demeter nur ein Mal genannt; allein diese Statue gilt doch eben der ganz besonderen und'unmittelbar vorher bereits genannten Amuntne "Exevouwi und trotzdem ist ihr Name auch an der zwei- ten Stelle ohne Artikel gelassen, während er demNamen des-vorher noch gar nicht genannten Dionysos vorge- setzt ist. Sehr ähnlich verhält es sich bei Paus. VIII, 37, 2, moo dE Toù vaoÿ Amumtrot té Sort Bopos xai ÉTepos Aconoivy, er œutov S eyalns Mnteds. G:ûv dE auto ra dyahpure, Aëcrowa xai n Anpitrno te x © Spo- 541 vos à 6 xaSébovror ai To UROSMUE TO UTO ToÎs Togéy guy évos opoiws MSov. Auch hier bezeichnen die Na- men der Demeter und der Despoena freilich nur an der zweiten Stelle Statuen dieser Güttinnen. Wenn aber deshalb vor dem Namen der Despoena der Ar- tikel fehlt, warum ist er dann dem der Demeter vor- gesetzt? Und wie kann man sich hiernaeh noch wundern, wenn man in der vom Satyr des Praxiteles handeln- den Stelle unmittelbar neben +ov "Epora den ohne Artikel gelassenen Namen Xaxvocx findet? Daran knüpfe ich die Stelle bei Paus. VE, 19, 12.: Meyagis DE où mpoc Ty Atruxÿ Snoaupoy re Gxodop- cavro ai dvaSnp.ata dvÉSeTav Ês TOY TNGAUEOY, HÉdEOU Cod pouco dmvStopévæ, nv Teûs AysAGov Honxhéous HLAXNV. x “Houxhns éotév, Apgns te T6 Ayeloo BonSov. ei- _ormxer dE xai ASnvas Gyadpa dre oùoa TG ‘Hoaxhei cuuyayos. Dass die Namen des Acheloos und des He- rakles, auch wo sie zum zweiten Male genannt sind, des Artikels entbehren und erst an dritter Stelle damit versehen sind, ist hier nicht wohl damit zu rechtfer- tigen, dass Pausanias das erste Mal nur den Heros und den Flussgott im Allgemeinen im Sinne gehabt habe. Denn in der That spricht er schon da von ihrer bildlichen Darstellung, wenn er auch noch nicht auf die einzelnen Statuen den Accent legt. Wie aber kommt in dieser Gesellschaft die nur ein Mal ge- nannte Deianeira zum Artikel? Endlich will ich doch auch ein paar Stellen an- führen, wo es sich gar nicht um Kunstwerke handelt: Paus. Il, 18, 6. Suyaréea dE vopébouaty etvar toù Ev- pote Thv Tiacav xai TRÔS ai Xagiroy cri isocv, Pa- évvas xoi Khntos, xa5a Ôn xai "AR ÉTONOEV. (Spuoaoat 2 Auxedatuova aptoty ÉVTau Sa To Îp0y xat Séo$or va évopata Tynvrou. Hier sagt es also Pausanias selbst deutlich genug, dass er nicht von den Chariten überhaupt, sondern nur von den ganz be- sonderen Lakedaemonischen Chariten spricht, welche sich von den anderwärts verehrten durch Zahl und Na- men wohl unterschieden"”). Dennoch lässt er ihren Na- men, selbst indem er ibn zum zweiten Mal ausspricht, ohne Artikel, ganz wie er an unserer Stelle den Namen eines ganz bestimmten und schon vorher erwähnten Saty rs ohne Artikel lässt. Zeds SE évradSa xat n Aniavston xai "Ayekoos 12) Wie si er hierüber neerichie war, Zeigt er ausfübrlich Perieg. IX, 35, 1. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 54? Hiermit aber ver gleiche man die Stelle bei Paus. II, 31, 3. où mopow ÔÈ fepov Moucuv éart. Too dE eyes ŒUTO "ApÈœhoy raide ‘Homisrou xai ahcy te edge vopéouce tov Apôæhoy Tobtoy xai tas Moucus GT ŒUTOÙ XANOUGLY Apanus. EvradSa IirSéa Sudc- Eat oyoy TÉXVNY œuct, oi tt BiBhioy IirSéos è GUY- YOU, VTO BBQ ÉxÔOSEY EruSavek , xo œiTès émehcédunv. toù Moucetou dè où Tcpeù Boy.os Écrtv ap- xaos, Apahou xal ToUTov, &S PEL, avaSévres. ÊTt dè airS Movaas xai'Ynvo Sucuot. Wie an dem vorher- gehenden Orte von einer besonderen Art Chariten, so ist hier von einer besonderen Art von Musen, den Arda- lischen, die Rede. Während aber Pausanias an der ersteren Stelle den Namen der Chariten, indem er ihn zum zweiten Male ausspricht, trotzdem ohne Artikel lässt, stattet er hier mit Recht den der Musen bei der zweiten Nennung damit aus. Allein auch indem er hier die letzteren Güttinnen zum dritten Mal nennt, spricht er offenbar ganz von denselhen, schon genann- ten Ardalischen Musen, nicht von Musen überhaupt. Denn die Musen, deren er da gedenkt, wurden auf einem Altar verehrt, welcher nicht nur unmittelbar neben dem Tempel der Ardalischen stand, sondern auch ebenfalls von Ardalos gegründet sein sollte. Dennoch versagt er hier ihrem Namen den Artikel, ganz wie er an der Stelle, um die es sich für uns zunächst handelt, den Satyr des Praxiteles erst ohne Artikel, dann mit dem Artikel und zum dritten Mal wieder ohne Artikel nennt. Doch ich breche hier ab, obgleich es nicht die ge- ringste Mühe machen würde, ohne Ende so weiter fortzufahren, und vielleicht ist es nicht unbescheïden, wenn ich ein wenig Hoffnung hege, dass man sich in Zukunft nicht mehr auf das Fehlen des Artikels be- rufen werde, um aus dem Satyr des Praxiteles zwei Statuen zu machen. Immerhin môügen an dem Wirr- warr, in welchem sich bei Pausanias der Gebrauch des Artikels befindet, auch die Abschreïber ihren An- theil haben. Allein wem man auch die Hauptschuld beimessen mag, dem Pausanias oder den Abschrei- bern, so viel kann man selbst bei dem bescheidensten Maass von Scharfsinn sehen, dass das Fehlen des Ar- tikels vor dem Worte Sdrupos für die Frage, ob Pau- sanias von einer oder zwei Statuen spreche, voll- kommen gleichgültig ist. Weiteren Anstoss hat man an den Worten év t® 543 Bulletin de l’Académie Impériale 544 mm va Tô rhnatoy genommen, weil der Gegenstand, den man hinzuzudenken hat, nicht nur nicht unmittelbar neben rAnctoy genannt, sondern auch, welches Wort man auch zu suppliren haben mag, jedenfalls durch eine ganze Erzäblung davon getrennt ist. Allein auch dieses Bedenken verschwindet bei der mässigsten Be- kanntschaft mit den Gewohnheïten des Pausanias von selbst, Denn dieser gebraucht, wie es der Inhalt sei- ner Schrift mit sich bringt, das Wort thnatoy ein paar hundert Mal und nur etwa in der Hälfte dieser Stellen bestimmt er es genauer durch ein oder meh- rere daneben gesetzte Worte. Beinahe eben so oft überlässt er es dem Leser, das nôthige Supplement sich selbst aus dem Vorhergehenden zu entnehmen. Allein aus dem ersten Buche habe ich mir folgende Stellen der letzteren Art angemerkt: 2, 4. 3, 4.3, 5. LA OM TLS SIMS, 502331281287 628675 38,4.41, 2. Für uns sind zwei dieser Stellen beson- ders beachtenswerth, die ich desshalb ausschreibe. Paus. I, 14, 6. ürèe D rov Kepapetxèv x otodv Tnv xahovpévnr Baatherov vaos éomv Hpuictou. a OT pÈy dyahuo où rapéornney AInvac, oùdèv Sadpa érotou- pnv Tov éni EptyScvlo émiatapevos Aoyov To dà ayah- ua Coôv tis Any Vhaurodc Eyoy toc 6pSamous, AByov rov pÜSov cyTa EUpLoxov. pmmévor Iocedovos xai Mpvyns Torrovidos Suyarépa tva mai da toto Vhavxoïs eivat Gonep xai To [ocet- SGw toùs dpSamous. rinatov SE fepcv cru Apoodirns Ovoavtas. Paus.I,18, 2. Urèo dè roy Atooxcipoy ro ispov A Yhau- pou tépeves om. Ayhavpo dE xal taiç adehquîs "Evo xat Iavipoco Sodvat actv ASnvav EptySovtoy, xata- Seioav às xBoTOY, drERObTAY ËÇ TV TAPAXATEINXNY un molvrpayuoveiv. IldvSpocov pèv dn Aéyouor melSe- oSat, tas DE duo, avotËar Vag cpas Thv MBETOY, pLuvE- oSui re, Ôc eldov rov EptySovtov, xai XUTA TNS AXPORC- Acos, évSa my pakoTa dmorouoy, aûtas bèbar. xata rodro énavaBavres Mñdor xatewcveuoav ASnvaioy Toùs mhéov vi éc roy penoov à BeuroroxAis etdévor voébov- ras Xoù Tny Axporokv Évhors xal oTavpois aroTeLylTay- ras. TAnotov dè [loutaveioy cru. Beïde Stellen haben mit der in Rede stehenden nicht pur das gemein, dass die zu rAnctov zu supplirenden Ortsbezeichnungen durch eine Anzahl von Sätzen ganz anderen Inhalts von diesem Wort getrennt sind, son- dern auch, dass das Urtheil darüber, welchen jener TOUTOLS VAp ÉGTIV El- Ausdrücke der Perieget gerade supplirt wissen woll- te, mehr oder weniger schwanken kann. Wie man sich an unserer Stelle nicht leicht zwischen toù Ilov- tavelou, Ts C0où und Toù goptov entscheiden wird, so gilt dasselbe an der einen jener beiden Stellen von den Ausdrücken toù Kspagetxoÿ, otods und vaoù Hout- orov, an der zweiten von toi {000 toy Atocxoupov und tepévous AAavpou. Noch näher stehen der Stelle, welche uns beschäf- tigt, die Worte bei Paus. VIIE, 12, 2. roocXSoyt Gà gradlous Totaxovræ medloy Te ovonabomevor Alxpédov xal Unèp Toù nedlou To pos éotiv n Ootoaxiva, év DÈ adTé onmhalov, ÉVSa Oxncey AhkÉdOV, AVNE TOY XG- RoupLévoy npGEY. toutou Toù AXxLÉdONTOS SUYATEL GUYYE- véaSar Prado, ds Pryaheis Aéyouatv, Hoaxhéæ. ws dë foSeto avrny © Alxpédov TexoÜoaY, ÉXTÉINOL ATEOU- pévnv és To Gpos, oùv dE ati xal Tov made 0v Êtexe" xododat Jè Atypayconv adtov of Aoxades. avaxhæovtos Sè os éÉéxeuto tod maudoc, xlooæ 1 COVIS ÉTNXOLÉ TE SSvpcpévou xd ATEUREÎTO TA XAGUBUTE. KA TES C Hoaxhñs Épyduevos Tv cd0v TavTrnv ÉTxoUGE Ts HÜG- ons, xu, Évouuoe ydp rado elvar xa oUx COWTOS TOV xhavSLoy, étpdreto et Th povis’ opi{ons DÈ aUTNv re Éhugey axo Tôv deomov xai Toy aida AVETOOTO. E éxeivou S n nAnotov rnyn Kiooa ao Tis cowSos OVOLAËETO. Wer wird hier entscheiden wollen, ob man zu tÀn- toy das Wort nedou, Geous, ommhatou oder 63cù hin- zudenken solle? Ich glaube jedoch, dass Pausanias den Leser gaf nicht in diese Verlegenheit bringen, sondern nur erreichen wollte, dass er die Quelle in- herhalb des Raums denke, welcher durch Zusammen- fassung aller im Vorhergehenden einzeln genannten Oertlichkeiten umschrieben wird und innerhalb des- sen sich demnach der Schreibende selbst denkt, und gewiss gilt dasselbe auch von der Stelle, um deren Erklärung es sich hier handelt. Da ist der Raum, der durch die im Vorhergehenden gebrauchten Ausdrücke umschrieben wird und innerhalb dessen sich Pausa- nias eben denkt, die Strasse und der Stadttheil, wel- che Toëroÿs hiessen, so dass der Ausdruck év té vaë té manoioy eben nichts Anderes aussagt, als wenn er sich der Worte év 6 vaë T6 éni Taurcdov bedient hätte. Ja, da wir durch Athenacos") wis- 13) Deipnos. XIII, 591 B. 4 545 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 546 sen, dass der in diesem Tempel aufgestellte Satyr des Praxiteles, obgleich es in dem Tripoden-Viertel doch gewiss noch manche andere Satyr-Statue gab, vor allen anderen durch den Namen 6 ért Torrcôov Za- tvoos ausgezeichnet wurde “), so ist es keineswegs unwahrscheinlich, dass auch ein in jenem Stadttheil gelegener Dionysos-Tempel, welcher sich vor den übrigen kleinen Tempelchen, von denen gewiss eben- falls ein namhañter Theil demselben Gott geweiht war, durch Grüsse und Bedeutung auszeichnete, schlecht- hiu als © vaos © ét! Torrédoy bezeichnet wurde, und dass Pausanias demnach hier diese Bezeichnung durch Anwendung des Wortes rAnctoy nur abkürzt, weil er schon ausdrücklich gesagt hat, dass er von diesem Stadttheïl spreche. Ausserdem aber hatte er offenbar zu einer besonderen Hinweisung auf die Lage dieses Tempels im Tripoden-Viertel auch desshalb einen guten Grund, weil er unmittelbar darauf zur . Beschreibung eines anderen demselben Gott geweih- ten Heiligthums überzugehen hatte, welches ausser- halb des Tripoden-Viertels beim Theater lag. IlAn- cioy bildet hier also zugleich einen Gegensatz zu ro0c <ô Seateo im Folgenden. Auch bei der Deutung dieses Wortes rAnotv ist Friederichs überaus unglücklich, indem er unter der Voraussetzung, dass Pausanias von zwei Satyr- * Statuen spreche, das Tempelchen suppliren will, in oder auf welchem die zuerst genannte Satyr-Statue gestanden habe. Natürlich fällt diese Deutung schon mit jener Voraussetzung. Allein selbst wenn die letz- tere zulässig wäre, so künnte man doch zu rAnctov nicht das Tempelchen selbst, welches Pausanias gar nicht erwähnt hat, sondern nur den wirklich erwähn- ten Satyr suppliren, so dass der vollständige Gedanke des Periegeten wäre: Atowsgo DÈ &y tô vaë To TAn- géov où Zarvoon Zaruocs art mai. Wer fühlt denn nicht, dass Niemand so denken oder schreiben kann, sondern dann wenigstens 4Xhos Edrugos sagen müsste? Zu noch anderen Bedenken hat man die Worte: Zaruoos Sort maïs xai dooty éxroma benutzt, zu- nächst indem man das Anakoluth hervorhob. Denn die regelrechte Wortfolge würde vielmehr rais cvs 14) Natürlich bezeichnet in diesem Ausdrnck zpimoôes nicht Dreifüsse, sondern die Strasse oder den Stadttheil dieses Namens und die Praeposition ért ist gebraucht, wie bei Thuk. II, 34. r:$£uotv oùv éc To Onpocroy cua, 9 ÉdTiy ÈTi ToÙ xahliorou npougretou tie TOUS. Tome XVII. éxTroua verlangen und Pausanias selbst-sagt Perieg. IT, 19, 5. xeëtor DE sixovy Birovos, avno éri Tôv dy pépoy taupov und Per. V, 17, 7.... Éctnxe. . .. ka Adhxpaloy raîs yuuves. Wer aber seiner Schrift auch our einige Aufmerksamkeit geschenkt hat, weiss, dass bei ihm jene regelrechte Redeform nur die seltnere Ausnahme bildet und dass er, namentlich bei Beschrei- bungen von Kunstwerken, eben die hier vorliegende, übrigens auch den Prosaikern der besten Zeit keines- wegs fremde, anakoluthisthe Redeweise ganz entschie- den bevorzugt, indem er sich bald, wie hier, der Par- tikel xat, bald der Partikel 3£ bedient, bald noch überdies das Subject verändert. Es genügt, für jede dieser Formen einige Beispiele hieher zu setzen. Paus. V, 19, 5. ‘Aotepus à oùx ciôa o éro Xcyo rrépuyas Épouoa ot TL TÔv Opoy xal T1 pèv SeËta XATÉLEL TALÈENN. Paus. VIL, 5, 9. ot — xal ayalua Evhou peyéder éya xaSmmevoy te tt Socvou xal DhaxaTnv év TOY {ELQOY yEL. Paus. VII, 22, 7. ras DE aùtoy cixérs axovriæ Éyov ati ai dysr xüvas énirndelas Snpevouoty avIpo- TOUS. Paus. Il, 10, 5. renoïnrot dE èx te youooù xai hé- œavtos, oépouou: ÊT| Tf xEpaNŸ TOhoV, TOY Jetpov dË year T9 pêv prove Th D étéoæ pihov. Paus. II, 27, 3. év 5è aûro Ilavoéou yoabavros Bén pèv rat ToËoy écriy averxôç "Esows, Avoav SE avr ÉxOTÉRO. dTOY AOAMEVOS DÉPEL. Paus. V, 18, 1. rexoëntar ë Jun maida heuxov xaSevdovra avéyouca Ti DEUX peugi, TA d éTépa péhavE yet naida TO xaTEUIOVTL ÉOLXCTOL. Paus. V,17,11. Drueus re 0 OpuË art, xai où rai- Bec où Bopéou tas ‘Aptulas dm adroù dtoxcuauv. Paus. VI, 18, 1. éott à xai toù Kupnvaiou Kpa- | ruoSévous {ahxo0v dou xoù Nirn re ÉmIRéBnxe Toù ae- patos xai autos © Koatioéme. Paus. VIII, 31, 2. re autoy xopas éToénosv où ueydhas, év yrrôot Te xaSnmouoty à cœuot, xaù AVSOV avarhcoy Éxatéo Tohagov ÊT! Th xEWAN Dépet. Paus. V, 17, 3. yoovo à Üoregov xat dhha avéde- cav ês ro Hoaîiev, Eouv MScu, Auévugov D one wn- riov, Tépvn dé éort Ilouérréhouc. Statt also an der anakoluthischen Redeform der Stelle, welche uns beschäftigt, irgend einen Anstoss zu nehmen, müssen wir darin vielmehr gerade einen 35 ‘ 547 Bulletin de l’Académie Impériale 548 dass uns die en re dafür finden, Worte des Pausanias in tt unverfälschter Form vorliegen. Allein man hat in denselben Worten auch noch eine andere Schwierigkeit gefunden, indem man es für besonders ungeschickt erklärte, ie Pausanias Niemanden genannt hat, welchem der Satyr den Be- cher übergab, zugleich jedoch es stets als eine ausge- machte Sache ansah, dass Atowÿow zu suppliren sei und dass dieser Satyr mit dem Dionysos und dem Eros des Thymilos ein zusammengehürendes Ganzes gebildet habe. Trotzdem muss Beides auf das Ent- schiedenste geleugnet werden. Ich will keinen Werth darauf legen, dass Pausa- nias die Worte opoû éornxota nur dem Namen des Eros, nicht auch dem des Dionysos beigegeben hat. Denn er mag wohl beabsichtigt haben, dass man die- selben bei dem letzteren Namen in Gedanken wieder- hole. Allein woher weiss man denn, dass diese Sta- tuen mit der des Satyrs ein zusammenhängendes Gan- zes, eine Gruppe gebildet haben? Doch nicht etwa durch die Worte des Pausanias: ôpoù éotnxotu ? Denn damit ist ja Nichts gesagt, als dass die drei Statuen nahe bei einander standen, keineswegs, dass sie irgendwie mit einander zusammenhingen. Ja, ich will die Môüglichkeit einräumen, dass sich Pausanias des Adverbiums cuoô auch bei der Be- schreibung der einzelnen Glieder von Statuen-Grup- pen bedient habe, obgleich ich es nicht nachzuweisen vermag ); und dennoch würde man selbst daraus noch immer nicht folgern dürfen, dass überall Grup- pen vorauszusetzen seien, wo er dieses Wort ange- wendet hat. Denn von der Praeposition raoc ist es in der That vollkommen gewiss, dass sie der Perieget gebraucht hat, um das Verhältniss einzelner Theile von Gruppen zu einander zu bezeichnen. Wenn man bei Pausa- nias VIII, 37, 4. die Worte liest: Tapo dE Tv Apte- pv XOTÉHELTOUL XxVOY, ot SNpEVELY etoty Ph e oder Per. X, 37, 1. Aptéudoc" Épyov Tôv Iouétréhous, dada éxouoa di dix xa} VTÈp TOY OLOY pApÉTORV" TAp& dÈ adTav xvoy év aptotepG, so wird Niemand, der die ge- 15) Die Worte bei Paus. IX, 22, 1. 0 toéroe t&y vawv Aroklw- VOG» 6poù OË aUT Aprepie Te xut Antw, und Paus. X, 15, 6. Dhta- ouou Jù éxopuouy Êc Achpodc Aix te pukxoUV wa Opoi TS Ad ayaaua Aîyivns, künnen zwar von Gruppen sprechen, aber eben 50 gut, wie hier, auch nur von Einzelstatuen derselben Mythenkreise. ringste Kunstkenntniss Des our einen Augenblick zweifeln, dass in beiden Fällen da Hund mit der Güt- tin wirklich zu einer Gruppe vereint war, und dasselbe gilt natürlich auch von der Hermes-Statue und dem ihr beisegebenen Widder, von denen Paus. IF, 3, 4. aÿot © Lovaiv ni Acyalou nv ettetav yahxods xASN- ueves éoriv ‘Epuñs, tapéornxe Dé où motos spricht, so wie von dem Pferd und der Statue des Triopas, welche Pausanias X, 11,1. mit den Worten beschreibt: Kydior SE éxopuouy dyahmare és Ashooùs Tetra o- xorny This Kyo rapcorote ro xa Ant xai ATc)- Xova te xai Aopteuv. Eben so versteht es sich von selbst, dass Pausanias dasselbe Verhältniss bezeich- net, wenn er von einer Scene der Gemälde des Po- lygnot Per. X, 25, 4. sagt: Separauv Sù H}éxrpn xai HavSaés, n pèv tÿ Eévn rapéornxev, DE Unodei rnv Séorotvav n HAéxtou, oder von den Reliefs der Kypseliden - Lade Per. V, 17, 7. mod SÈ tis oixtus Enpian tèv Gepov éxouce Éornxe, mag DE abriv ai Suyarépes Edoudxn xal Anpovacoa xai Alxpalov Taiç YUPVCS. Nicht weniger gewiss jedoch ist es, dass Pausa- nias dieselbe Praeposition auch gebraucht, um nur das räumliche Beisammensein von Kunstwerken an- zudeuten, welche künstlerisch vollkommen unabhängig von einander waren, z. B. wenn er sich derselben bei der Beschreibung von zwei neben einander stehenden Demeter-Statuen ), oder von zwei Hera-Statuen, von denen die eine noch überdies auf einer Säule stand"), von einer Satyr-Statue des Praxiteles aus Marmor, welche sich neben einem ganz alterthümlichen £oævov des Dionysos befand *), oder von Porträt-Statuen be- dient, zwischen denen gar kein Zusammenhang be- stand ‘). Wie also die Praeposition rap allein auf keinen Fall zu dem genannten Schluss berechtigt, so würde dasselbe auch von dem Adverbium ouoù gelten, selbst wenn sich ein sicheres Beispiel seiner Verwendung bei Er RUE einzelner Glieder von Gruppen 16) Paus. x 85, 10. ASou DE Toÿ Te vrédnoe T0 ayahpa (Apn- Tpo6); Sabu ñ Sede ÉLoUou. Tuod dE aUtf XATELUÉVOY TULVLQLG ayaxua dpyutov El ri.œhho, doc Aipntet êc THrV. 17) Paus. II, 17,5. tapo OË aütr (Hpay) éotuv TL xiovos ayaauæ "How dpyatov. 18) Paus. IT, 43, 5. xat So avoy (Atoyüçou) GVÉSTRE amoxexpuu— UÉYOY ép ETTON NS roi TpoGwTou* toïro Dé ÉcTL TO quvepoy. EG tupos DE rapéornxey aûro [paËrrékouc Épyov, [upiou Aou. 19) Paus. VL 2, 8. VI, 13 67 PXS LOL 549 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 550 nachweisen lassen sollte, da ôuoï éotavar doch zu- nächst nur ein räumliches Beisammensein, nicht einen iuneren Zusammenhang bezeichnet. Gegen die Voraussetzung aber, dass die genannten drei Statuen ein zusammenhängendes Ganzes bildeten, müsste schon der Umstand einiges Bedenken erregen, dass der Verfertiger des Dionysos und des Eros ein sonst gar nicht genannter Künstler, Thymilos, war und man doch von Praxiteles erwarten muss, dass er nur mit namhañfteren Künstlern zusammen gearbeitet haben werde. Allein wir bedürfen solcher Wahrscheinlichkeits- Gründe gar nicht, da es ja Pausanias selbst, was merkwürdiger Weise noch Niemand gesehen hat, ganz unzweideutig ausspricht, dass jene Satyr - Statue als Einzelstatue componirt war und folglich mit den bei- den Statuen des Thymilos gar keinen Zusammenhang hatte. Denn wäre sie mit der Statue einer zweiten Person, welcher der Satyr den Becher darreichte, zu einer Gruppe verbunden gewesen, so würde Pausa- nias natürlich hier ebenso gut, wie anderwärts”), den Namen dieser zweiten Person im Dativ hinzuge- fügt haben. Dass er nur Soc éxroua sagt, ohne einen zweiten Namen im Dativ beizugeben, beruht durchaus nicht, wie man allgemein vorausgesetzt hat, auf Nachlässigkeit oder Laune, sondern auf absoluter Nothwendigkeit. Er konnte Niemand nennen, weil der Satyr zwar den Becher darreichend, aber als Einzel-Statue gebildet und folglich Niemand da war, der den Becher hätte in Empfang nehmen kônnen. Wie man sich einen zarten, jugendlichen Satyr, der einen Becher darreicht, als Einzelstatue, ohne die Bei- gabe eines Empfängers des Bechers zu denken habe, das eben ist es, was uns die noch jetzt vorhandenen und von mir schon anderwärts*') zusammengestellten Statuen lehren. Denn dass diese als Eïinzelstatuen componirt sind und nie mit anderen Statuen zu Grup- pen vereint gewesen sein künnen, ist Jedem, dem nur die ersten Elemente künstlerischer Composition be- kannt sind, auf den ersten Blick klar, und wenn Pau- sanias eine Statue eben dieser Art vor sich hatte, wie hätte er sie nach seinem Sprachgebrauch anders 20) Per. Vi, 24, 8. Éore SE xai EuAnvoo vaoc évraÿda, ôta to PEL xa oÙx CUoù Atovuco renotnuévos: MéSn dé oïyov év Exrw- Butt aÿto 88001. 21) Compte - -rendu de la comm, arch, pour l’ann. 1868. p. 106. beschreiben künnen, als durch den Ausdruck: Zoruocç ÉoTt Ras xa DOI) ÉXTOLL ? Ja, eben in dem Umstand, dass jene Statuen selbst hierin mit den Worten des Pausanias vollkommen übereinstimmen, liegt neben den‘übrigen von mir schon früher geltend gemachten Gründen das wichtigste und entscheidende Moment, welches es als eine der sicher- sten Thatsachen der alten Kunstgeschichte erweist, dass jene Statuen wirklich Copieen des in Rede ste- henden Satyrs des Praxiteles sind, und durch diese Gewissheit werden sie den für uns werthvollsten Ue- berbleibseln der alten Kunst angereiht. Wie gewühnlich aber die Künstler des Alterthums Handlungen, zu denen zwei Personen nôüthig sind, durch Einzelstatuen darstellten und es dem Beschauer überliessen, die nôthige zweite Person nur in Gedan- ken zu suppliren, weiss Jeder, der mit diesen Dingen etwas näher vertraut ist, und kann hier nicht weiter im Einzelnen nachgewiesen werden. Endlich hat man sich selbst hinter den Ausdruck: Atovuco Zatuocs éott geflüchtet und bezweifelt, dass damit gesagt sein künne, dass die Satyr-Statue dem Dionysos geweiht gewesen sei, während auch in dieser Beziehung selbst die geringste Aufmerksamkeit eines Besseren belchren musste. Denn natürlich sagen diese Worte zunächst nichts Anderes aus, als dass der Satyr dem Dionysos gehôüre, dass Dionysos ihn besitze. Da jedoch dieser Besitz nur auf religiüser Weihung oder Darbringung beruhen kann, so sprechen sie eben zugleich auch das Letz- tere aus. Eigenthümlichkeit des Pausanias aber ist es, dass er mit der Nennung eines Gottes, Heros oder Men- schen, welchem ein Ehrengeschenk dargebracht ist, fast nie nur den einfachen Begriff des Weïhens oder Darbringens in Verbindung bringt, sondern in dem Fall, dass er die geehrte Person überhaupt namhaft macht, fast ohne Ausnahme entweder, wie in der Stelle, die uns beschäftigt, den Begriff des aus der Weïhung hervorgehenden Besitzes betont, oder bald den Act der Verfertigung bald die Form der Ueber- gabe näher bezeichnet. So kommt es, dass ich bei Pausanias, obgleich ‘er sich des allgemein gebräuchlichen Wortes dvart- Séva mehrere hundert Male bedient, doch nur folgende wenige Stellen: V, 24, 8. VIII, 24, 10. IX, 10, 4. 36* 551 AE AO AUX, 7,06: 4786 MNISS Me: nachweisen kann, in denen er es mit dem im Dativ genannten Namen der Gottheit verbindet, welcher ein Weihgeschenk dargebracht wird; und dazu kommt nur noch eine Stelle (Perieg. VI, 19, 4.), in welcher er das einfache t$évar té tiw, und zwei (Perieg. X, 15, 4.16, 6.), in denen er xtSévar tt raga tive in gleichem Sinn gebraucht,. Noch auffallender ist es, dass Pausanias das nicht weniger gebräuchliche avaxsto%a ti, wenn ich Nichts übersehen habe, ohne Ausnahme gemieden bat, wenn- gleich er sich des Ausdrucks avaxsio5at ohne Dativ ganz gewôühnlich bedient. Wie gewühnkch das Letztere ist, kann folgendes Verzeichniss, das durchaus keinen Anspruch auf Vollständigkeit macht, zeigen: I, 21,5. 284016 AL NN MONLATTUISNL3:16217e0r: ROOMS TT 218 MAN OMVATIO LATE ANT: SAR 2 AT 08 NT; 1e /81(8:274 ML 3 406: 108.0602118 16 0002 MAT US TE: 2MULOMG 748 AO NAIMO MS 1451193 ALTO, 5.. 25, 4. VII, 20,6. VIII, 32, 5. 37, 4. 46, 3.5. 2402 MXLO A 16, 51275856 LIU NO) 9. 9. 11, 6. 24, 5. Und natürlich stehen auch die Worte V, 21, 1. év Sè æf Adtet ta pv Tu TA éc TO Selov avaxerros, où DE avdpravtes TOY MAXOYTOY Év ASIA À0Y® cœot ka oùret Dédovrou, mit dieser Gewohnheit des Pausanias keineswegs im Widerspruche. Doch findet sich bei ïhm in seltenen Fällen auch amodBcvar ré ti (VI, 12, 1. VIII, 42, 5. X, 13, 8.) oder Gtôovar té tu (II, 35, 11. V, 21, 1. 27, 8. X, 8, 7.) zur Bezeichnung des Darbringens von Weih- und Ehrengeschenken an Gôütter oder hervorragende Männer gebraucht. Ganz geläufig hingegen ist ihm eben die an unserer Stelle vorliegende Betonung des Besitzes, welcher die Folge der Darbringung eines Ehren- oder Weihge- schenks an einen Gott, Heros oder Menscheu ist, durch die Formel: ét tt ww, und zwar finden wir . diese Formel in dem genannten Sinn angewendet auf die Substantiva: Écavoy II, 4, 1. II, 30, 1. ILE, 14, 7. NI, 24, 6. œyapa Il, 4, 1. VII, 26, 11. VIII, 21, 4. 1X,125, 4: 1X, 30, I. X, 34, 6.J'eixov VI, 11, 1-0NI. 16, 1. dvôptés T, 5, 4, VI, 3, 10. VL, 8, 4. VI, 16, 8. vacs II, 30, 1. VII, 24, 1. VIII, 26, 1. VIII, 41, 10. ispcv IT, 2, 8. VI, 24, 6. X, 36, 8. neoiBohoc VI, 24, 5. Bouos I, 9, 6. V, 15, 1. VI, 23,3. VI, 24, 5. Builetin de l’Académie Hmpériale 552 VIII, 37, 2. uvmua IV, 36, 2. VI, 21, 11. VI, 23, 3. VI, 24, 5. VII, 24, 7. VIII, 44, 8. IX, 2, 5. IX, 17, A.) 'ravocil, 43,6: 028 NS AIME MG 5 UE rekern xat ayov VIII, 9, 8. Besonders hervorzuheben sind die Worte X, 35,10. raga D avt xatermpévoy Touvlots GYLhLE apyæiov ei x ao, onxcoù Anuntet & tuurv. Denn wenngleich da das Verbum écté nicht wirklich ausgesprochen, son- dern nur zu suppliren ist, so ist die Stelle doch darum von Wichtigkeit, weil sie durch den Zusatz ës tv die Bedeutung der Formel nachdrücklich betont. Im entgegengesetzten Sinn verdienen die Worte VI, 24, G. ax DE xal Xaguotv ispov, xai Écava éntypu- ga ta és écdfta, roocuna DE xai yeipes xal TodEs À- Sou euxoù, besondere Beachtung. Denn der Begriff eines aus religiüser Weïhung hervorgegangenen Be- sitzes liegt da doch der Formel nur zu Grunde, so weit sie sich auf die Substantiva fcpov und Éoævov bezieht, während bei den übrigen Substantiven dieser Hintergedanke verwischt ist, und dasselbe finden wir auch an einem andern Ort IT, 30, 1. Atoow pèv Sn Écavoy yupvoy ot téyvns Tns értpmplou, T9 à Ao- tépudt dort dons, xata TadTa DE xal TO Atowuoo. Ausschliesslich aber liegt dér letztere Sinn der For- mel zu Grunde V, 11, 1. xovooù DE xai Ta roma x Seo xai mario ooauros écti. VII, 25, 9. xat th Ampatoé dort cms. VIII, 22, 7. oxédn dé cœtoiv (Zrumopadiay) on cevisuv. VIII, 31, 4. xoSopvoi ve yée Ta Urodmara éoruw aut® (Au). VIII, 42, 4. dshois SE ét rs ysuoûs nv avth (Anuntoet), neptorepa à n Covs ÉTÉ TA ÉTÉEUL. Auch muss hier daran erinnert werden, dass sich Pausanias bei der Aufzählung der einzelnén Kunst- werke fast eben so oft, wie des einfachen Verbums ëott, und in ganz gleichem Sinn auch des Wortes xeitas zu bedienen pflegt. Denn daher kommt es, dass wir bei ihm ein Mal (VI, 7, 8.) die Formel aviguac ox zw mit der anderen gleichbedeutenden ævèguas xeiroi tit vertauscht finden. Ebenso oft jedoch, wie den Besitz, betont der Pe- rieget die Verfertigung der Weihgeschenke zu Ehren eines Gottes, Heros oder Menschen, indem er sich vor Allem des Verbums rouiv tt uw, namentlich der For- mel remotnroi ti ti bedient. Angewendet finden wir dieses Verbum in der genannten Weise auf die Sub- stantiva œyæwa V, 10, 2. V, 21, 6. VI, 23, 4. VI, 553 24, 6. VIII 24, 12. VIII, 41, 10. IX, 2, 7. eixov VIII, 40, 5. vacce II, 2, 8. IIL, 11, 4. V, 7, 6. V,10, 2. VL 24, 8. VIL 26, 5. IX, 40, 12. X, 5, 9. ispov a O0S AVENANT 2528 NIE AN ONVII" 24, 9. VII, 25,9. VIII, 34, 2. VI, 37, 12. VIIL, 44, 4, advrov isp6v X, 32, 13. tépevos VIII, 36, 6. Bopoc ER AG ANATA GNT ATOS NS A MN VSNIEIT, 47, 3. IX, 2, 7. np6ov III, 15, 8. pvqua IIT, 14, 3. HE,,15,5. IT, 22, 5. VIIL, 28, 7. tac III, 14, 1. VIII, 26, 4. mev VI, 20, 17. Snoaupos VI, 19, 1. cixtæ VIII, 32, 1. avadmue X, 18, 6. Ja, Pausanias bedient sich dieser Redewendung sogar dann, wenn er die eigentlich künstlerische Thä- tigkeit dadurch besonders hervorhebt, dass er den Künstler selbst namhaft macht. Wir finden dies in Verbindung mit den Substantiven Écavoy VIII, 35, 2. avèotis VI, 6, 1. VI, 9, 1. eixov VI, 3, 11. VI, 9, 5. VI, 16, 5. &ocv VIII, 10, 2. ocxmnroov IX, 40, 11. und auf gleicher Stufe mit diesen Stellen stehen die Aeusserungen VII, 17, 2. VIIT, 42, 4., weil da, wenn auch kein Künstler genannt ist, doch der ganze Accent auf die besondere Art und Weise der künst- lerischen Ausführung gelegt ist. Auch die Formel épyaéecSat rt ru wendet Pausa- nias ein paar Mal in ganz gleicher Weise an, sowohl ohne einen Künstler zu nennen (VIII, 24, 12.), als auch indem er einen solchen nennt (VI, 2, 8. VI, 1444): Nicht selten jedoch zieht er es vor, ein Verbum zu gebrauchen, welches zugleich die Art und Weise näher bezeichnet, auf welche der einer Gottheit oder einem Menschen dargebrachte Gegenstand hergestelit wird. Von dieser Art sind die Redewendungen: ofxo- Sopsiy mu ispov I, 43, 5. VI, 21, 1. VIIT, 32, 5. vaëy IT, 34, 10. X, 5, 13. X, 34, 6. Sdhaov IX, 11, 1. xaraoxevatsoSat rue vacy VIII, 45, 4. idpueoSai ru fspov VI, 21, 6. VIII, 22, 2. ayañga VIIT, 53, 1. towviva ri pviue IL, 11, 1. VIT, 24, 1. éÉatgeuv Tu uvqua VI, 21, 9, anorépveuw nv tépevos V, 15, 1. aveirot run vacs Il, 25, 6. VI, 25, 1. tépevos IT, 32, 1. xepBohos VIII, 30. 8. ox II, 10, 2. gTNÀaLOY X, 32, 6. vpatvev tit rénhov VI, 24, 10. tpéperv tivi xopnv VIII, 20, 3. Endlich betont der Perieget zuweilen unter be- sonderen :Umständen auch die Art der Uebergabe des Weihgeschenks an die geehrte Gottheit durch die des Sciences de Saint-Pétersbourg. . 554 Ausdrücke: œrootéhher Ti cdvaSnumata X, 1, 10. aroréprev tt Todyov yahxkouv X, 11, 5. Aéovra yad- xoùv X, 18, 7. xopiterv tivi haœupa X, 14, 5. Also von jedem Wort des-50 viel angefochtenen Satzes kann ohne alle Mühe nachgewiesen werden, dass es nicht nur mit den Sprach-Gewohnheiten des Pausanias auf das Genaueste übereinstimmt, son- dern auch einen ganz unzweideutigen und dem Zu- sammenhang vollkommen entsprechenden Sinn dar- bietet. Der Perieget spricht in der ganzen Stelle nur von einer Satyr-Statue, die von Praxiteles gefertigt war und nebst zwei anderen Statuen des Thymilos, einem Dionysos und einem Eros, in einem Dionysos- Tempel des Tripoden-Viertels zu Athen aufgestellt war. Der Satyr war als Einzelstatue componirt, im zartesten Alter und einen Becher darreichend gebil- det, und, wenn irgend ein auf uns gekommenes Kunst- werk auf das Original eines grossen Meisters zurück- geführt werden kann, so darf gerade von den oben erwähnten, in unseren Museen noch jetzt vorhandenen Satyr-Statuen dieser Art mit Zuversicht behauptet werden, dass sie Copieen eben dieses Satyrs des Pra- xiteles sind. Jedoch ich glaube nicht schliessen zu dürfen, ohne noch einige Worte über eine andere Satyr-Statue des- selben Meisters, welche im Alterthum unter dem Na- men des zep$éntes bekannt war”), hinzugefügt zu haben. Denn der bald nur geheime, bald geradezu : ausgesprochene Wunsch, beide Statuen zu identifici- ren *), war von Anfang an der eigentliche Grund, weshalb man der Stelle der Pausanias so viele künstliche Schwierigkeiten unterschob, und nachdem so das Urtheil einmal verwirrt worden war, hielt man, wie so oft, an diesen vermeintlicheu Schwierigkeiten fest, selbst indem man an der Müglichkeit der Identifi- câtion wieder zu zweifeln angefangen hatte. Jener Wunsch der Identification aber war theils durch das, was Pausanias in Betreff des Urtheils des Praxiteles über seinen Satyr der Tripoden-Strasse berichtet, theils durch den Beinamen xegtfontos des 29) Plin.: Hist. nat. XXXIV, 69. « Praæiteles — fecit — Liberum «patrem, Ebrietatem nobidemque una Satyrum, quem Graeci periboe- «ton cognominant ». 93) Stark: Zeitschr. für Alterthumsw. 1852. p. 56. ging sogar so weit, die Methe des Praxiteles mit dem Eros des Thymilos zu identificiren. Wie er sich gegenwürtig (Heidelberger Jahrb. der Litter. 1871. p. 44.) die Sache denkt, ist mir ganz unklar. 555 Bulletin de l’Académie Impériale 556 6 von Plinius erwähnten Satyrs hervorgerufen, wäh- rend sich doch Jeder leicht sagen konnte, dass beide Schriftsteller etwas ganz Verschiedenes berichten, was allerdings bei derselben Statue zusammentreffen kann, in der That jedoch auch eben so oft nicht zu- sammentrifit, Denn von dem Satyr der Tripoden- Strasse meldet uns Pausanias, dass dessen Verfer- tiger, Praxiteles, einen besonderen Werth auf ïhn gelegt habe; der Beiname regtfonres aber lebrt uns, dass auf den Satyr, von welchem Plinius spricht, das Publicum einen besonderen Werth legte, und wie oft das Urtheil des Urhebers eines geistigen Pro- ducts und das des Publicums ganz verschieden aus- fallen, weiss doch Jeder. Auf eine Verschiedenheit beider Statuen jedoch weist schon der Umstand hin, dass auch Athenaeos *) den Satyr, von welchem Pausanias spricht, nicht repot- Bontos, sondern © x? Torrcdwv nennt, und vollkom- men ausser Zweifel gesetzt wird sie dadurch, dass der Satyr der Tripoden-Strasse, wie wir gesehen haben, als Einzelstatue, der r:oufontos hingegen als Glied einer Gruppe componirt war. Denn das Letztere er- giebt sich mit Nothwendigkeit aus den Worten des Plinius: «fecit una», die natürlich eine ganz andere Bedeutung haben, als wenn Paufanias in einer topo- graphischen Schrift nur von einer gemeinsamen Auf- stellung (ouoù écrnxota) spricht. Darüber freilich, wie man sich diese Gruppe im Einzelnen zu denken habe, fehien uns leider alle Nach- richten. Wohl liegt die Vermuthung sehr nahe, dass Dionysos die Mitte der Gruppe eingenommen habe, indem er sich in gewohnter Weise mit dem einen Arm auf die Schulter des Satyrs stützte, die andere Hand aber einem Becher näherte, den ihm die auf dieser Seite stehende Methe darreichte. Doch fehlt uns je- des Mittel, eine solche Vermuthung irgendwie näher zu begründen. Eher lassen sich einige negative Bestimmungen tref- fen. Dahin gehürt vor Allem die von mir schon früher gemachte Bemerkung, dass der Satyr dieser Gruppe gewiss nicht den Becher darreichend gebildet war, da ein solches Geschäft, wenn Methe gegenwärtig ist, nur dieser zukommen kann ”). Mit noch grüsserer 24) Deipnos. XIII, 591 B. 25) Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann. 1868. p. 107. 1869. p. 172. Zu den hier nachgewiesenen Kunst-Darstellungen der Zuversiçcht ist die nur auf den leichtfertigsten und zum guten Theil geradezu unmôglichen Voraussetzun- gen beruhende Ansicht Viscontrs #)"zurückzuwei- sen, wornach die drei von Plinius genannten Statuen gar nicht in dem Verhältniss einer künstlerischen Gruppe, sondern in dem weit freieren Verhältniss von Gegenstücken zu einander gestanden haben sollen, so dass jede der drei Statuen als selbstständige Einzel- statue componirt sein konnte. Denn ein so freies Ver- hältniss würde Plinius wahrscheinlich gar nicht be- rücksichtigt, jedenfalls nicht durch den auf einen weit engeren Zusammenhang, auf eine gemeinsame Handlung hinweisenden Ausdruck: «fecit una» bezeich- net haben. Damit aber wird auch der ohnehin auf reiner Will- kühr beruhenden Annahme Visconti’s, dass die Va- ticanische Statue, von welcher er a. a. O. spricht, und ibre zahlreichen Wiederholungen Copieen des tept- 8ontos des Praxiteles seien, selbst der letzte Schein der Zulässigkeit entzogen, da diese Statuen augen- scheinlich als Einzelstatuen componirt sind und nie Glieder von Gruppen gewesen sein künnen. Von ganz anderem Gewicht würden die Gründe sein, mit denen man die Vermuthung, dass diese Sta- tuen den Satyr avaravomevos des Protogenes wieder- holen ”), unterstützen künnte, und nur darauf kommt es noch an, dass zuvor das Verhältniss der Sculptur zur Malerei in Betreff der gegenseitigen Entlehnung der künstlerischen Motive einer umfassenden und me- thodischen Untersuchung unterworfen wird. Wie sich dann auch das Endurtheil gestalten mag, in jedem Falle werden bei dieser Frage jene Statuen und der avatavouevos des Protogenes eine wichtige Rolle spielen. Methe habe ich noch einen in einem Epigramm (Anthol. Pal. IX, 752.) beschriebenen Amethyst nachzutragen. 26) Mus. Pio-Clem. To. II. Tav. 30. Friederichs: Praxiteles p. 18. nennt diese Darstellung Viscontis gar «klassisch». 27) Plin.: Hist. nat. XXXV, 105. «sequiturque tabulam illius «temporis haec fama, quod eam Protogenes sub gladio pinxerit. Sa- «tyrus hic est, quem anapauomenon vocant, ne quid desit temporis «ejus Securitati, tenentem tibias ». 557 des Sciences de Saint-Pétershourg. 558 Über die Ursache der Färbung des Salzwassers im Seo Sak in der Krim. Von N. Geleznowv. (Lu le 19 octobre 1871.) (Mit einer Tafel.) E: Im August 1870 habe ich eine Reise durch die Krim gemacht. Bis dahin hatte ich keine Gelegenheit, die südlichen Seen, welche Kochsalz niederschlagen, zu sehen und war deshalb in hohem Grade gespannt auf die Erscheinungen, welche das Absetzen des Sal- zes begleiten. Das rosenrothe Wasser im Kujalnizky- Liman war am 1. August deutlich aus Odessa zu sehen; in Sak aber, vier Tage später, war dieselbe Färbung des Wassers noch auffallender. Die Salz- lauge in den einzelnen Abtheilungen, welche vermit- telst Erddämmen, die den Zweck haben, die Verdich- tung der Lauge durch Abhalten des Zuflusses von frischem Wasser zu fordern, gebildet werden, war intensiv dunkelhimbeerenroth gefärbt, besonders an der Oberfläche der Flüssigkeit und an den Ecken und Rändern einiger Abtheilungen, wohin auch fremde Gegenstände, wie Insekten, Blätter, Zweige, von Salz- krystallen umgeben, durch Wind getrieben wurden. Da ich kein Mikroskop bei mir hatte und auch keine Bücher, welche mich über die Erscheinung be- lehren konnten, so musste ich mich damit begnügen, eine Probe der gefärbten Lauge mitzunehmen. Ich hegte übrigens die Überzeugung, dass die besagte Er- scheinung durch frühere Reisende und Gelehrte, wel- che den ganzen Prozess der Salzbildung zu verfolgen Gelegenheit hatten, bereits vollkommen erklärt se. Die am meisten an Ort und Stelle verbreitete Mei- nung besteht auch gegenwärtig noch darin, dass die rothe Färbung von der Gegenwart kleiner Thiere, Krebse, Anneliden u. a. herrühre, welche sich stark vermehren und an die Oberfläche des Wassers gelan- gen, welches die grüsste Verdichtung erreicht hat, wonach die Salzkrystalle sich niederzuschlagen an- fangen. In Sympheropol angekommen stellte ich die Flasche mit der Salzlauge, wo kein einziges Thier zugegen war, auf ein Fenster und bemerkte am folgenden Tage, dass im dünnen Halse der Flasche sich auf der Oberfläche eine braunrothe Schicht ülartiger Flüssigkeit gebildet hatte, welche etwa 1 Linie stark war und scharf ab- gesetzt von dem darunter stehendem Salzwasser er- schien. Die Flasche ward dann mit anderen in der Krim gesammelten Gegenständen noch im August nach St. Petersburg geschickt. Nach meiner Rückkebr habe ich über die Färbung der Lauge die Litteratur nachgeschlagen. Die be- rühmten Reisenden des vorigen Jahrhunderts haben über diesen Gegenstand verschiedene Meinungen aus- gesprochen und bald besonderer Lichtstrahlung, bald Schwefelquellen oder thierischen Kôrpern die Ursache der Färbung der Lauge zugeschrieben. Im Jahre 1834 beschrieb Fischer von Waldheim ein krebsartiges Thier, Branchipus Milhausenii, aus Sak. In dieser Abhandlung findet sich folgender Aus- zug aus einem Briefe des Herrn v. Milhausen vom 2. Juli 1834 (Bull. de Moscou, T. VII, 1834, p. 457): «Au mois de Juillet ces animaux remplissent le lac et lui donnent une couleur rouge de brique. Si, au mois d’Août, les eaux s’évaporisent, et le sel se dépose au fond, les animaux disparaissent. ... Après la mort de l’animal la couleur rouge disparaît». Zwei Jahre später entstand die Frage über die Ursache der rothen Färbung des Salzwassers im südlichen Frankreich in der Pariser Akademie. Hr.Payen bekam den Auftrag, diesen Gegenstand zu untersuchen und hat sich in einem Berichte, gelesen den 5. September 1836, eben- falls dahin ausgesprochen, dass die Ursache der er- wähnten Färbung in der Gegenwart unzäbliger krebs- artiger Thiere aus der Gattung Artemia zu suchen sei. Diese Behauptung ward jedoch bald darauf von Professor Dunal aus Montpellier widerlegt, welcher fand, dass das Salzwasser seine rothe Färbung einem pflanzlichen Organismus, Protococcus salinus Dunal, von welchem sich die Artemia ernäbrt, verdanke., Um über diesen Widerspruch ins Klare zu kommen, er- napnte die Akademie aus ihrer Mitte eine Commis- sion, welcher die Aufgabe gestellt wurde, zu entschei- den, welche von den beiden Meïnungen die richtige sei. Zu diesem Zwecke unternahm Turpin, einer der Mitglieder der Commission, eine Reïhe mikroskopi- scher Untersuchungen über den Protococcus und theilte die Ergebnisse seiner Beobachtungen in einem Berichte mit: «Quelques observations nouvelles sur les protococeus qui colorent en rouge les eaux des marais salants (Comptes-rendus, T. IX, 1839, pag. 626). In den Schlussbemerkungen bestätigt er voll- kommen die Meinung des Prof. Dunal. Bald darauf 259 Bulletin de l'Académie Nmpériale - 560 EEE = MR erschien eine ausführliche Beschreibung der Artemia salina von Professor Joly '), der eine besondere Ab- theilung über die wahre Ursache der Färbung des Salzwassers beigegeben ist. In dieser Arbeit theilt Herr Joly die Meinung der Herren Dunal und Tur- pin, jedoch mit dem Unterschiede, dass nicht der Protococcus salinus, sondern ein Monas Dunali Joly, die Ursache der Färbung sei. So viel mir bekannt ist, sind unsere Kenntnisse in dieser Frage seitdem nicht weiter vorgeschritten. Zwar hat keiner der Reisenden, die das südliche Russland besucht haben, und keiner der Gelehrten, welche an Ort und Stelle die Färbung des Salzwassers während des ganzen Jahres beobachten konnten, etwas von der Gegenwart des Protococcus als Ursache die- ser Erscheinung erwähnt und die Meinung des Hrn. von Milhausen widerlegt, doch ward es aus ander- wärtigen, ziemlich zahlreichen Beobachtungen über diesen Gegenstand sehr wahrscheinlich, dass auch hier eine mikroskopische Alge im Spiel sei ?). Die Untersuchung der Salzlauge, die aus Sak am 4. August geschôüpft wurde, hat mich zur Überzeugung gebracht, dass die oben erwähnten Ansichten über die Ursaché der Färbung des Salzwassers in einigen Be- ziehungen erweitert werden müssen. Übrigens habe ich keineswegs die Absicht, die Le- bensweise oder digEntwickelungsgeschichte des kleinen -Geschôpfes zu schildern, von dem die rôthe Farbe des Wassers in Sak und wahrscheinlich auch der anderen Salzseen des südlichen Russlands, mit Ausnahme viel- leicht des Elton-Sees, herrührt. Meiner Überzeugung nach muss man diese Untersuchungen an Ort und Stelle ausführen. Ich habe in Sack nur wenige Stun- den zugebracht und in der mitgenommenen Probe konnte ich gewiss nur einen Theïl der Erscheinungen beobachten, die in der freien Natur und im Laufe des ganzen Jabres vor sich gehen. Ferner bin-ich gar nicht sicher, dass in einem beschränkten Raume, in einem etwa halben Liter Salzlauge, oder gar in einem Tropfen derselben, auf einem Objectträger unter der 1) Histoire d’un petit crustacé (Artemia salina Leach,), auquel on à faussement attribué la coloration en rouge des marais salants méditaranéens, suivie de recherches sur la cause réelle de cette coloration. Ann. des se. nat., seconde série, t. XIII, Zoologie, 1840, p. 225. .2) Mémoire sur les animaleules et autre corps organisés, qui donnent à la mer une couleur rouge, par M. Camille Darest. Ann. des se. nat.,'série 4, Zoologie, t. III, 1855, p. 179. Glocke aufbewabrt, und dazu noch in einem nérd- lichen Klima, in einem Zimmer wie das meinige, in welches kaum ein Sonnenstrâhl eindringen kann, die- selben Vorgänge stattfinden, wie in dem offenen See, bei der Einwirkung starker Sonnenhitze. Aus diesem Grunde kann ich auch nicht bestimmen, ob ich einen Protococcus salinus oder eine andere Art vor mir batte. Die Abhandlung des Hrn. Dunal, mit Abbildungen versehen, konnte ich nicht nachschlagen; die Zeich- nungen des Hrn. Joly sind in einem so kleinen Maas- stabe ausgeführt, dass genauere für die Bestimmung der Arten nothwendige Vergleichungen nicht gut müg- lich sind. Demnach habe ich, mit Ausnahme der rothen Schwärmzellen mit Flimmerfäden und deren Ansammeln an der dem Lichte zugewandten Seite des Gefässes, die ich nicht gesehen habe, weil vielleicht zur Zeit meines Besuchs dieselben sich schon in ru- hende Formen verwandelt hatten, alle übrigen in den Zeichnungen vorgestellten Gegenstände, nämlich.die rothen unbeweglichen (Haematococcus Turp.) Zellen, die unzähligen kleinen, ebenfalls rothen Kürner (Pro- tococcus Turp.) und die grünen Schwärmzellen beob- achten künnen. Der überaus angenehme Geruch, der sich am stärk- sten aus der Lauge entwickelt, wenn sie am intensiv- sten gefärbt ist und die grüsste Verdichtung erreicht hat, was kurz vor dem Niederschlage des Salzes ge- schieht, scheint mir ein gewichtiger Grund zu sein, anzunehmen, dass dieser Geruch von einer Pflanze herstamme. Er hat eine schlagende Âhnlichkeit mit dem des Veilchens (wie das schon von allen Beobach- tern anerkannt ist), welcher manchmal in den der Himbeerenfrucht übergeht. Einige Personen glauben entschieden, dem Hauptaroma noch Reseda oder Jas- min beigemischt zu spüren. Diese Aushauchungen er- lauben zu schliessen, dass sie sich nicht aus einem Thiere entwickeln. Thiere, und besonders Seethiere, pflegen namentlich bei der Zersetzung keine so zar- ten Gerüche von sich zu geben. Ich nehme einstweilen die in Sak lebende Pflanze für Protococcus salinus Dunal, bis vielleicht genauere Untersuchungen ergeben sollten, dass dieselbe einer anderen Art angehôrt. Dr. Cohn *) sucht den Un- terschied zwischen dem 2. salinus und dem 2. plu- 5) Zur Naturgeschichte des Protococeus pluvialis Kützing, von | Dr. Ferdinand Cohn. Breslau und Bonn, 1850, pag. 621. 561 vialis dadurch zu begründen, dass der letztere plôtz- lich zerstürt wird, sobald seiner beweglichen Form, der Schwärmzelle, ein Tropfen gesättigter Salzlauge zugesetzt wird. Ich habe versucht, diesen Unter- schied durch eine umgekehrte Beobachtung zu ver- stärken. Ich habe nämlich die concentrirte Salzlauge, in welcher LP. salinus lebt, durch Auswaschungen ent- fernt und dieselbe durch süsses Wasser ersetzt. Die Schwärmzellen veränderten augenblicklich die Art ih- rer Bewegung. Sie fingen an zu zittern, statt sich regelmässig zu drehen, und wurden bald darauf unbe- weglich. Das allmähliche Zusetzen des Nevawassers bewirkte ebenfalls den Tod der Zellen, nur etwas lang- samer. Ausserdem wurden sie grôsser; von der ge- wôhnlichen Länge 0,0128"" dehnten sie sich zu einer Grôsse von 0,0160"" aus; der grüne Inhalt siedelte in einigen Exemplaren von dem abgerundeten Theile zum spitzen Ende über. Die ruhende Kugelform wuchs von 0,0112 zu 0,0128"" im Diameter: zwischen der äusseren Membran und dem grünen Inhalte sammelte sich seitwärts eme farblose Flüssigkeït, und der [Inhalt erfüllte sich mit Luftbläschen, Fig. 18. Nachdem meine Sachen aus der Krim angelangt wa- ren, was nach sechs Monaten geschah, habe ich die Flasche mit dem Salzwasser wieder ans Fenster gestellt, Die rothe Schicht bildete sich wieder an der Oberfläche der Flüssigkeit im Halse, nur war sie viel dünner, als früher, ergab nur einen Ring, dessen Mitte das dar- unterstehende Salzwasser einnahm. Etwas über der Oberfläche der Flüssigkeit hatte sich um den Hals her- um ein pulverférmiger Anflug festgesetzt, während die Lauge sich etwas verdunstet oder durch den Kork filtrirt hatte. Die rothe Schicht bestand aus runden oder läng- lichen Zellen Fig. 1 — 3. Die länglichen waren ent- weder ellyptisch Fig. 1, cder an einem Ende abge- rundet, am anderen zugespitzt Fig, 2. Die starke, durchsichtige Membran enthielt eine grosse Menge kleiner rother Kürner, die sich in der letztheschrie- benen Form der Zellen gewühnlich an dem runden Ende ansammelten, so dass das zugespitzte Ende was- serhell blieb. Die dunkel gefärbten braunrothen Kür- ner sammelten sich in grüsseren, dichteren Klumpen; wenige davon blieben frei. Zwischen diesen kaum durchsichtigen Kürnern befanden sich Tropfen eines stark roth gefärbten Üls, die schon Turpin bemerkt Tome XVII. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 56? hat (1. c. p. 629, Note 2). An den Zellen fanden sich auch noch andere an ihrer Oberfläche festhaftende kleine rothe Kürner. Dass diese Kôrner nicht von aussen angeklebt, sondern durch die Membran aus dem inneren Raume ausgetreten waren, konnte man daraus schliessen, dass wenn die Kürner nicht die ganze Oberfläche der Zelle einnahmen, man durch deren Zwischenräume sehen konnte, dass das Innere der Zelle leer war, dass wenn die Oberfläche der Zelle von den ihr anklebenden Kürnern befreit wurde, die Zellenmembran durchlôchert erschien. Am deut- lichsten traten die Poren am Rande von Einrissen in der Membran hervor. Um den kleinen Bodensatz, der sich am Grunde der Flasche gebildet hatte, untersuchen zu künnen, goss ich die Flüssigkeit in ein cylindrisches Gefäss. Die Lauge hatte 26° Beaumé bei 17° R. und war deutlich rosenroth. Der dunkelrothe, nun sehr schmale Ring bildete sich wieder an der Oberfläche, aber ver- schwand dann in kurzer Zeit. Dennoch habe ich in der Flüssigkeit sehr wenig mit rothen Kürnern ge- füllte Zellen gesehen; ich fand meistentheils nur ei- nige zerrissene, leere, zusammengeschrumpfte Zellen- membranen, Fig. 5 4, 8, aber dabeï in der ganzen Flüs- sigkeit suspendirte freie Kôürner, von welchen einige roth, die meisten aber grünlich waren. Der Bodensatz, welcher mit der Lauge nicht wie- der vermischt wurde,*enthielt ausser wenigen locke- ren Flocken, welche aus kleinen, zusammenhängenden Salzkrystallen bestanden, eine ziemlich beträchtliche Quantität von Zellen, die aber etwas grüsser waren als diejenigen, welche vorher an der Oberfläche der Flüs- sigkeit schwammen. Die Zellenmembran war dickér, die Kôürner grôüber, eckiger und dunkler gefärbt. An- dere Zellen waren inwendig leer, aber dafür an der Oberfläche dicht mit grünlichen Kürnern besetzt, Fig.9, 11; andere wieder mit ebenfalls grünlichen, aber läng- lichen Kürnern bedeckt. Solche Zellen, mit an bei- deu Enden zugespitzten Kôrnern besetzt, habe ich auch in der oberfiächlichen Schicht gesehen, jedoch, nur selten. Aus einzelnen Zellen sah ich Sträusse dieser länglichen Kürner heraustreten, Fig. 7,4. Diese letzteren waren entweder einzeln oder zu zwei und mehr in Sternchen zusammengruppirt, Fig. 7, b. Aus- serdem befanden sich in dem Bodensatze viele Zellen, die vollkommen leer, frei von Kürnern, zerrissen und 36 563 Bulletin de l’Académie Impériale 564 zusammengeschrumpft erschienen. Nur eine einzige Schwärmzelle mit zwei Flimmerfäden und mit grün- lichem Inhalte habe ich hier gefunden, Fig. 10, sie war aber bewegungslos. Alle diese Gegenstände fanden sich in einer Schicht eingebettet, welche aus unzäh- ligen grünlichen Kôrnern bestand. Diese Kürner wa- ren in einer sehr starken Molecularbewegung begrit- fen, hatten eine meistens runde Form und eine so grosse Ahnlichkeit mit derien, welche im Innern der Zellen eingeschlossen waren, dass ich über ihren Ur- sprung gar nicht in Zweifel sein konnte. Ich habe nicht unterlassen, auch Salzkrystalle zu untersuchen, welche ich aus Odessa bekam und wel- che noch vom vergangenen Jabre eine schüne rosen- rothe Farbe behalten hatten und einen Veilchen- geruch aushauchten. Ich fand zwar in der Salzmasse einige ganze Zellen mit rothem Inhalte, allein in so geringer Anzahl, dass damit die Farbe des Salzes keineswegs genügend zu erklären war. Dagegen fan- den sich häufig in den feinen Krystallsplittern An- sammlungen kleiner Kôürner, welche den in der Salz- lauge schwimmenden, oder im Bodensatze befindlichen glichen. Um emige von diesen Kürnern habe ich ei- nen schwach gefärbten Saum bemerkt, welcher nach aussen hin von dem umgebenden, scheinbar ungefärb- ten Salze nicht scharf getrennt war, sondern allmäh- lich in dasselbe überging, Fig. 12. Endlich habe ich ôfters unter dem Mikroskope beobachtet, wie die festen Salztheïlchen, welche wegen ihrer geringen Grüsse beinahe farblos erscheinen, an der Luft zerfliessen. Die Verflüssigung fängt an der äusseren Gränze an, der Tropfen vergrüssert sich und der Krystall verklei- nert sich allmäblich. Gegen das Ende macht er einige Pulsationen oder Zuckungen, d. h. wird abwechselnd bald grüsser, bald kleiner, dreht sich beständig und verschwindet zuletzt gänzlich. Dabei ist aber wichtig, dass der hinterlassene Tropfen immer eine schwache rosa-gelbliche Farbe behält, obgleich in demselben keine Spur von Kürnchen oder überhaupt von irgend welchem festen Kürper zu bemerken ist. Da ich während des Sommers 1871 einige Reisen zu machen beabsichtigte, so habe ich die Lauge aus dem offenen cylindrischen Gefässe, das bis dahin vor dem Staube nur mit einer Glasplatte geschützt wurde, in eine Flasche mit zugeriebenem Stüpsel übergegossen, in der Art jedoch, dass über der Flüssigkeit eine Schicht Luft gelassen wurde, welche den dritten Theil des ganzen Raumes einnahm. Die Flasche ward fest zugestopft und ans Fenster gestellt,, welches kein di- rectes, sondern nur reflectirtes Sonnenlicht ins Zim- mer einliess. Im August desselben Jahres fand ich die Flüssig- keit nicht verblichen, obgleich auf dem Boden der Flasche sich ein Anflug einer hochzinnoberrothen pul- verfürmigen Substanz niedergeschlagen hatte. Unter dem Mikroskope erwies es sich, dass dieser Nieder- schlag aus einer unzähligen Menge kleiner, wenig ge- färbter Kôrner bestand, die beinahe vollkommen be- wegungslos blieben. Sie wurden offenbar durch einen Schleim zusammengebalten. Grosse Ansammlungen dieser Kürperchen erschienen etwas stärker gefärbt. Zugleich mit diesen Kôrnern war, zu meiner Über- raschung, eine grosse Menge Schwärmzellen vor- handen. Die meisten waren länglich (0,0122"" lang, 0,0062"" breit), vorne sehr zugespitzt und wasser- hell, Fig. 15. An der Spitze, oder etwas seitwärts, befanden sich zwei Flimmerfäden, welche an Länge 1’, oder 2 Mal den Längendurchmesser des Kôrpers übertrafen, Fig. 16. Sowohl die äussere, als auch die innere durchsichtige Membran hatte oft doppelte Con- touren. Die innere Membran enthielt im Grunde, d. h. an dem abgerundeten Ende, einen Zellenkern mit 1 oder 2 Zellkôrperchen. In dem zugespitzten Ende war häufig eine äusserst zarte, wasserhelle, grosse Zelle zu bemerken. Im Raume zwischen diesen beiden letzten Gebilden war der grüne kôürnige Inhalt vorhan- den. An einigen Exemplaren war in dem vorderen spitzen Ende ein kleiner unregelmässiger rother Fleck zu bemerken. Die Zoosporen fanden sich gewühn- lich in den grüsseren Anhäufungen von Kôrnern in Gruppen gesammelt, wobei alle mit dem vorderen spitzen Ende der Kürnermasse zugewandt und mit den Flimmerfäden in dieselbe eingesenkt waren. In Folge dessen waren diese Fäden nur dann zu sehen, wenn die Schwärmzellen sich frei in der Flüssigkeit bewegten. In diesen Gruppen, Fig. 15, war die Be- wegung der Zellen, von der Seite gesehen, folgende: das hintere abgerundete Ende beschrieb hin und zu- rück etwa /, Bogen eines Kreises, dessen Mittelpunkt sich am spitzen Ende befand. Stand das runde Ende der Zoospore nach oben, was häufig der Fall war, so sah man die Längenaxe den Theïil eines Bogens 565 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 566 beschreiben, welcher der Oberfläche eines Kegels zu- gehürt. Zwischen den sehr zahlreichen länglichen, leb- haft beweglichen freien Zoosporen befanden sich auch runde, die dadurch ihre Form bekommen, dass sich zwischen der äusseren und der zweiten Zellenmem- bran eine grüssere Quantität hellgrüner oder wasser- heller Flüssigkeit ansammelt, wobei jedoch an der Stelle, wo das spitze Ende sich befand, die beiden Membranen eng vereinigt blieben. Die Bewegung der runden Zellen ist eine wenig lebhafte, und die Flimmer- fiden sind deshalb deutlicher zu sehen. Um den rothen Bodensatz beobachten zu künnen, habe ich die Lauge in eine andere Flasche -übergegossen, wobei über dem Bodensatze nur sehr wenig Flüssigkeit zurückblieb, und in Folge dessen ward, wahrschein- lich durch die Einwirkung der Luft, die Entwicke- lung bedeutend beschleunigt. Die runden ruhenden Zellen, die ihre Flimmerfiden und ihre Beweglichkeit verloren hatten, erschienen in überwiegender Anzahl. Da neben diesen ruhenden Formen zugleich noch andere Algen sich gebildet hatten, so habe ich die Beobachtungen eingestellt. Da der heilsame Schlamm, der am Grunde der See liegt, mit dem Salzwasser in Berührung bleibt, so kann er keineswegs denjenigen Erscheinungen fremd sein, welche im Wasser vorkommen. Deswegen bleibt es mir übrig, um die ganze Frage über die Färbung des Salz- wassers vollständig zu übersehen, noch diesen Schlamm zu untersuchen. Mikroskopische Untersuchung des heïilsamen Schlammes aus den Salzseen Sak und Mai- nak. (Lu le 2 novembre 1871.) IE: Der Schlamm von Sak ward in chemischer Bezie- hung von den Herren Goebel und Hasshagen un- tersucht. Der erste fand in 100 Theilen Schlamm, -ausser dem Wasser, Gasarten, mehr oder weniger lüs- lichen Salzen und 2,70°, organischen Stoffen, einen _eisenoxydhaltigen Sand, der aus 22,257, Kiesel- säure, 7,24 Eisenoxyd, 4,25 Thonerde und 0,25% Talkerde bestand‘). Nach dem Letzteren enthielten 100 Theiïle im Wasser unlôslichen Schlammrückstan- 4) Reise in die Steppen des südlichen Russlands, Dorpat 1838, T. I, p. 81. des, ausser dem kohlen-, phosphor - und schwefel- saurem Kalk, 31,80°, Kieselsäure, 9,52 Eisenoxyd, 8,30 Thonerde und 5,82°/, Talkerde. Ausserdem ent- hält der Schlamm 3,75", organische Stoffe”). Die mi- kroskopische Untersuchung dieses Schlammes ist, so viel ich weiss, bis jetzt noch nicht vorgenommen worden. Er besteht aus so feinen erdigen Theilchen, dass er sich zwischen den Fingern als eine schmierige Masse zerreiben lässt, in welcher kein fester Kürper fühlbar ist. Er hat eine tief schwarze Farbe, die wohl von Schwefeleisen herrührt, wie es Hr. Hass- hagen ausgesprochen hat. Ein Theilchen Schlammes, mit Wasser vermischt und mit einigen Tropfen Salz- säure versetzt, entwickelt beim Erhitzen reichlich Schwefelwasserstoff. Die 3,75°/, organischer Substan- zen künnen dem Schlamme jedenfalls nicht so tiefe Farbe ertheilen. Wenn man etwas von dem Schlamme auf das Ob- jectgläschen legt und mit Wasser hinreichend befeuch- tet, so sieht man unter dem Mikroskope zuerst meh- rere schwarze Klumpen, die sich nach und nach ver- lieren und schliesslich nur eine schwache Trübung hin- terlassen. Die Masse fester Theïle, die man nun vor sich hat, besteht 1) aus eckigen, scharfkantigen, fei- nen und meistens vollkommen durchsichtigen Kiesel- splittern. Die grüssten derselben haben etwa 0,0516"". 2) Aus matten, abgerundeten, gelb oder braun gefärb- ten Sandkürnern, die den ersteren der Menge und Grüsse nach beinahe gleich sind. Diese Menge der scharfkantigen Kieselsplitter weist darauf hin, dass ihre Abstammung irgendwo sehr nahe zu suchen sei und dass sie den Wellenbewegungen des Meeres nicht unterworfen worden sind. Es ist also sehr wahrschein- lich, dass der Schlamm erst nach der Abtrennung des Sees vom Meere mit einem schmalen Streifen Landes sich gebildet hat. Die organischen Überreste sind im Schlamme sehr wenig zahlreich. Zwischen den Kieselsplittern und Sandkürnern habe ich feine Kieselrührchen beobachtet. Sie haben eine feine, cylindrische, gebogene Spitze, die beinahe die Hälfte der ganzen Länge einnimmt. Hier enden sie mit einem kleinen Absatz. Von diesem Absatze bis zur erweiterten Basis sind die Rührchen dicker und bleiben ziemlich gerade. Am untersten Ende 5) Hosopocciñckiä Kazesxaps ma 1850 rox». Oxecca 1849, p. 368. 36* 567 findet man zuweilen eine zwiebelfürmige Anschwellung, Fig. 13, 0. Diese Rührchen sind meist zerstückelt und einzeln zerstreut, seltener zu zwei oder mehreren mit der Basis in einer Reihe verbunden. Ein Mal habe ich zwôlf solcher Rührchen vereinigt gesehen. Sie waren alle mit den Spitzen in einer Richtung gekrümmt, standen senkrecht zu der gemeinschaftlichen geraden Basis und waren an einem Ende der Reihe etwas kür- zer als an dem entgegengesetzten. Es ist nicht zu zweifeln, dass diese Rührchen irgend einem Thiere angehôren, welchem aber und ob einem lebenden oder ausgestorbenen, kann ich vorläufig nicht bestimmen. Andere Thierüberreste habe ich im Schlamme nicht gesehen. Die Pflanzenstoffe bestehen aus einigen feinen Wur- zelfasern, die wahrscheinlich von den am Ufer wach- senden Pflanzen herstammen. Das Wichtigste für mich war das, dass in jeder Probe, die ich unter dem Mi- kroskope betrachtete, mehrere kleine Protococcuszel- len sich befanden, Sie waren offenbar jung, meistens rund und mit einer feinen äusseren Membran umge- ben. Der Inhalt der einen, offenbar sehr jungen Zel- len bestand aus wasserheller Flüssigkeit, in welcher einige blassgrüne Kôrner schwammen. Andere, etwas ältere, enthielten einige zusammenhängende grünliche Kürner, mit einer etwas orangen- oder rosenroth ge- firbten Flüssigkeit umgeben. Grosse, mit rothen Kür- ern gefüllte Zellen habe ich im Schlamme äusserst selten gefunden. Ich habe ebenfalis Gelegenheit gehabt, den Schlamm aus dem Mainak-S$See zu untersuchen. Die Stadt Eu- patoria, in deren Nähe (3 Werst) der See liegt, hat die Absicht, eine Schlammpheilanstalt zu errichten. Bei meiner Durchreise durch diese Stadt hat der Bürgermeister (roxoga) mich gebeten, das Wasser und den Schlamm zu prüfen. Zu diesem Zwecke schickte er mir nach St. Petersburg eine hinreichende Menge beider Substanzen., Auf mein Ersuchen hat der Di- rector des Laboratoriums des Berg - Departements, Generalmajor Iwanow, die Güte gehabt, die Analyse zu machen. Da weder das Wasser noch der Schlamm des Mainak -Sees bis jetzt untersucht worden sind, so gebe ich hier die Analyse des Hrn. Iwanow so wieder, wie er mir dieselbe mitgetheilt hat. Das Wasser, so wie der Schlamm, wurden gegen die Mitte des Septembers 1870 bei küblem Wetter Bulletin de l’Académie Empériale ee 568 und einige Tage nach dem Regen gesammelt. Das specifische Gewicht des Wassers war 1,112. Es ent- hielt in 100 Cub.-Cm. 14,042 gr. Salze. Hundert Gewichtstheile enthalten: 6,960%, Chlor, 0,150» Kalk, 0,737» Bittererde, 0,970» Schwefelsäure, 0,007» Brom. Wenn man den ganzen Kalk mit der Schwefelsäure und ihren Rückstand mit Bittererde vereinigt denkt, so wird man in 100 Theilen folgende Zusammensetzung erhalten: | ; 10,425 Chlornatrium, | 0,852 Chlormagnium, x 0,364 schwefelsaures Calcium, sit 1,133 » Magnium, Spuren von Chlorkalium, U 0,0078 Brommagnium, 87,2182 Wasser. 100,000. Der Schlamm enthält in 100 Theilen: {28,990 kohlensaures Calcium, At Na 3,690 » Magnium. 8,565 Chlornatrium, | 0,793 Chlormagnium, 3,790 schwefelsaures Calcium, | 0,457 » Magnium, { Spuren von Brommagnium. 20,810 Sand, Thon, gegen 3°, organischer Thei- le, und eine kleine Menge von Eisen- oxyd und schwefelsaurem Calcium. 30,000 Wasser. 13,626 Der Schlamm entwickelt sehr wenig Schwefelwas- serstoffgas, hat eine graue Farbe und daher kann er sich nicht so stark erhitzen und so heiïlsam wirken, wie der Schlamm aus Sak. In mikroskopischer Bezie- hung hat er mit dem letzteren vollkommen gleiche Beschaffenheit. Er besteht aus feinen, scharfkantigen Splittern, zwischen denen man runde Sandkôrner, Kieselrührehen und Pflanzenwurzeln findet. Auch fehlt es nicht an jungen Protococcuszellen. Die Lauge hat eine schwach gelbliche Färbung, aber keine Opalisi- 569 ’ des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 570 rung; dennoch kann man aus der Gegenwart der Pro- tococcuszellen schliessen, dass sie, wenigstens zur Zeit des Niederschlagens des Salzes, roth wird. II. Aus dieser ganzen Schilderung habe ich mir ein Bild zusammengestellt, das zur Erklärung des ganzen Vorgangs der Färbung des Salzwassers dienen kann. Aus den feinen Kürnern, die aus den rothen ruhen- den Protococcuszellen bei der Zerstorung derselben sich befreien, auf den Boden des Sees fallen und mit dem Schlamme sich vermischen, entstehen junge Zellen, die entweder im Herbst oder im Frühjahre grüne Zoosporen erzeugen, die den ganzen Sommer über im Schlamme wimmeln. Gegen den Anfang des Herbstes verwandeln sie sich in die ruhende Form, nehmen “eine rothe Farbe an und steigen an die Oberfläche des Wassers. Mit dieser Lebensperiode fällt die Ver- dichtung der Länge zusanmen. Das dieselbe das Her- aufsteigen der specifisch leichteren Protococcuszellen bedingt; dass die rothe Farbe bei der lebhafteren Ein- wirkung der Luft auf den Zelleninhalt sich bildet und dass die Entstehung der ruhenden Form überhaupt die Folge der Concentration des Wassers ist, ist sebr wahrscheinlich. Die unbeweglich gewordenen rothen Zellen sammeln sich bei stillem Wetter an dessen Ober- fläche, bei windigem Wetter mischen sie sich wieder mit der Lauge. Die Gegenwart der kleinen Kürper in derselben beschleunigen, wie bekannt, das Absetzen des Salzes. Allen Berichten zufolge entwickeln sich während dieser Zeit am meisten auch einige Thiere, die in der starken Lauge leben künnen. Ich habe übrigens kein einziges gesehen, was wenigstens da- für spricht, dass dieselben in Sak-See nicht zahlreich sind und dass die rothe Farbe des Wassers nicht von ihnen herrührt. Ich will übrigens keineswegs behaup- ien, dass die Gegenwart der Thiere gar nichts zu der Färbung des Wassers beitrage, wie es Hr. Türpin thut (1. ce. p. 629).. «Car peu importe, pour la cause . de la coloration, que les protococeus rouges soient isolés et suspendus dans l’eau, comme c’est le cas le plus ordinaire, ou qu’ils soient en partie renfermés dans le corps transparent et incolore d’une Artemia salina, ce qui est plus rare.» Im Gegentheil, die Thiere, welche in ihren Magen mehrere Protococcuszellen vereinigen, müssen die rothe Farbe des Wassers ver- stärken, wenn sie sich in grosser Menge darin befin- den, ebenso wie ganze Zellen voll gefärbter Kür- ner mehr Eindruck machen, als einzelne äusserst kleine Kürner, die in der Flüssigkeit zerstreut schwim- men. Die Salzkrystalle müssen natürlich, wie schon oben erwähnt, bei ihrer Bildung einige ganze Protococcus- zellen in ibrer Masse einschliessen; allein die rosen- rothe Farbe des Salzes stammt nicht nur von den ro- then Zellen, wie Hr.Türpin behauptet (1. c. p. 629), sondern hauptsächlich vom rothen Pigment, womit die kleinen Kürner, die die Zellen erfüllen, überzogen sind. Im Herbst fallen, während des Absetzens des Salzes, die ruhenden Protococcuszellen zu Boden, die mei- sten werden auf dem Wege zerstürt und vermischen sich theilweise mit dem Schlamme, der sehr oft bei warmem, regenlosem Wetter, nach dem Abnehmen der Salzkruste, trocken bloss liegt. Der Inhalt der Zellen, die gefärbten Kürner, wird frei. Die äussere rothe Schicht ülartiger Flüssigkeit, das Pigment, sowie die vorhandenen Tropfen rothen Oels, lüsen sich im Salz- wasser. Die ungefärbten Kürner gelangen in die Tiefe, wo sie wieder eine neue Generation von Zoosporen erzeugen. Um dieselbe Zeit, nach der Salzgewin- nung, verliert das Seewasser seine rothe Färbung ganz oder theilweise, wozu auch die in dieser Jah- reszeit fallenden Regen nicht wenig beitragen. Al- lein das Wasser im Sak-$See behält die schwache rosen- rothe Färbung beständig, wie H. Hasshagen schon bemerkt hat). Ich kann diese Behauptung dadurch bestätigen, dass die Lauge, die ich mehr als fünfzehn Monate aufbewahrte, ihre Färbung nicht verlor, ob- gleich ich das Wasser zwei Mal von dem am Grunde sich gebildeten hochrothen Bodensatz abgegossen habe. Die Opalisirung der Flüssigkeit stammt, wie ich mich aus den mikroskopischen Untersuchungen überzeugt habe, von der beträchtlichen Menge feiner ungefärb- ter Kürner her, die nach der Zerstürung der Mem- bran der ruhenden Protococcuszellen frei schwim- men und in der starken Lauge beständig in Suspension bleiben. Der oben erwähnte Bodensatz besteht, wie ich schon bemerkte, aus einer unzähligen Menge gesunkener 6) «Boxa oTaro o8epa He MHOro po30Baro nBËTA, HE MHOrO myraa» .... 1. c. p. 366. 571 Kôrner, die unter dem Mikroskope bei stärkeren Ver- grôsserungen beinahe gar nicht gefärbt erscheinen. Sie haben keine Molecularbewegung, was man dadurch erklären kann, dass sie durch einen durchsichtigen Schleim zusammengehalten werden. Bei schwächeren Vergrôsserungen betrachtet, haben die einzelnen Klümpchen oder Ansammiungen der feinen Kürner eine schwache rosenrothe Färbung, ob aber der Schleim oder die Kôrner selbst gefärbt sind, ist schwer zu bestimmen. — Obgleich unter diesen durch Schleim zusammengehaltenen Kürnern eine grosse Menge wim- melnder Zoosporen sich befinden, so trüben dieselben die hochrothe Farbe des Bodensatzes gar nicht. Obgleich also die Gegenwart der ruhenden rothen Protococcuszellen im Seewasser die unmittelbare Ur- sache der Färbung desselben ist, so wird der färbende Stoff doch nicht von den Pflanzen gebildet, sondern aus dem Wasser geschüpft; zu diesem Schluss führen uns folgende Betrachtungen: Alle Seen mit stark salzigem Wasser ernähren überhaupt wenig organische Formen, es scheint aber, dass zwischen dem hohen Grade der Concentration des Salzwassers und der rothen Farbe der Pflanzen und Thiere, die darin leben, ein gewisser Zusammen- hang besteht. Darwin berichtet, dass im nôrdlichen Chili, in ganz Patagonien und auf den Inseln Gala- pagos, wo nur Salzseen vorhanden sind, überall rothe Gänse (Flamingos) leben ”). Pallas sagt dasselbe von den Seen Sibiriens. Die rothen krebsartigen Thiere, Artemia, Branchippus und die Anneliden, wie Lyco- ris, waren lange Zeit als Ursache der Färbung des Salzwassers angesehen. Die einzelligen Algen, die zur Ernäbhrung dieser Thiere dienen, leben auch in den- selben Bedingungen und haben ebenfalls eine rothe Färbung. Bei der Beschreibung des Liman Chadjibei, bei Odessa, fübrt Hr. Konopak an, dass die Salicor- nien in Salsolen, die auf dem Salzboden wachsen, eine blutrothe Farbe annehmen‘). Endlich bemerkt v. Baer, der dieselbe Erscheinung im ôstlichen Russ- land beobachtet hat, dass die Salicornia herbacea eine dunkle purpurne Färbung annimmt, indem sie sich 7) Japass Japsux'r, [lyremecrsie BOKpyr& CBBTA Ha KOpaGrE «Burub». Ilepesoxs noue perakuieñ A. BekeroBa. Cn6. 1865, LT crp 191 8) Kypaare Muauerepersa Bayrpenaarxe [hu , Ka. 1, 1853, CTp. 32. Bulletin de l’Académie Impériale 57? den Saizablagerungen nähert, welche an den Ufern des Salzsees auf der Halbinsel Mangischlak bei Nowo- petrowsk liegen. Noch eine dunklere Farbe nimmt diese Pflanze an den Ufern des Jelton-Sees an”). Die Krebse und Anneliden erscheinen roth, indem sie viele Protococcuszellen in ihrem Magen vereini- gen: allein die Federn der rothen Gänse und die Säfte der Algen und Salicornien färben sich auf eine andere Art, indem der rothe Stoff aus dem Kôürper der niederen Thiere, aus dem Wasser und aus dem Boden geschôpft wird. Dieses rothe Princip ist wahrscheïnlich im Eisen zu suchen, dessen Gegenwart nicht nur im Schlamme der Salzseen, sondern auch im Salzwasser selbst nach- gewiesen ist"). Der Heiïlschlamm in Sak enthält im Mittel über 8° Eisenoxyd, und das Salzwasser muss so viel davon enthalten, dass es beständig die rothe Farbe behält. Obgleich in der Analyse des Hrn° Iwanow der Eisengehalt im Schlamme des Mainak- Sees nicht mit Zahlen ausgedrückt ist, so ist das wahrscheinlich aus dem Grunde geschehen, weil die Menge des Eisens zu gering war, um die nähere Be- stimmung desselben vorzunehmen. Das Wasser die- ses Bees ist kaum gefärbt, was ich vorläufig eben dem geringen Eisengehalt zuschreibe. In welchen Verbin- dungen das Eisen als färbendes Princip der Salicor- nien und Protococcus auftritt und weshalb für die Erzeugung der rothen Farbe eine beträchtliche Masse Salzes nothwendig ist, vermag ich jetzt nicht auszu- sprechen, allein es scheint mir, dass das rothe Was- ser aus Sak und die Salicornien, die auf dem stark salzigen Boden wachsen, für die Lüsung dieser Frage ein sehr geeignetes Material bieten. Erklärung der Abbildungen. Fig. 1 — 3. Grosse ruhende Protococcuszellen, die sich auf der Oberfläche des Salzwassers angesam- melt hatten; 1800 mal vergrüssert. Der grosse Durchmesser der Zellen ist von 0,0112 bis 0,0152 Millim. lang. — Fig. 1. Zelle, die ganz mit braun- rothen Kôrnern angefüllt ist.— Fig. 2. ZweiZellen mit ausgezogenen, leeren, durchsichtigen Spitzen, 9) Kaspische Studien, III. Bulletin de la Classe physico-mathé- matique. St.-Pétersb., T. XIV, p. 12, 18. 10) Nach der mündlichen Mittheilung des Hrn. Akadem, Zinin. Geleznov, Ueber die Ursache der Färbuné des Salzwassers. Bulletin de l'Académie TXT. S} o) o S 100 « [=] :a8. À Havnna, no éonur Masrepchos N° 543. 573 die sebr an die Schwärmzellen erinnern; nur ha- ben sie keine Flimmerfäden.— Fig. 3. Runde Zelle mit durchsichtiger Klüssigkeit, in welcher eine Ansammlung rother Kürner und Oltropfen schwim- men. Ausserhalb der Zelle, in einer Vertiefung der Membran, liegt ein grosser rother Kern. Fig. 4—8. Zellen, die in der Lauge schwimmen, 680 mal vergrüssert. Der grosse Durchmesser ist von 0,0162 bis 0,0243"", der kleine von 0,0082 bis 0,0188"". — Fig. 4. Âhnliche Zelle wie die auf Fig. 3; auf einer Stelle des Umkreises hat sie ei- _nige Ausschnitte. — Fig. 5. Zwei Zellen, deren Oberfläche mit rothen Kürnern besetzt ist. Die Kürner auf 5, a sind zerstreut, und man kann sehen, dass die Zelle inwendig leer ist; 5, b ist dicht mit grossen, eckigen Kürnern umgeben und nur an einer Stelle frei davon. — Fig. 6, «, längliche Zelle, die von beiden Seiten zerstürt ist; aus den Offnungen treten Kürner heraus; 6, « die Zelien- membran hat sich aufgelüst. Die einzelnen Kôr- ner werden durch den durchsichtigen Schleim zu- sammengehalten und deuten die Form der gewese- nen Zelle an. — Fig. 7, «a, Zelle, die zum Theil mit abgerundeten Kôrnern besetzt ist; wo dieselben fehlen, sieht man, dass die Membran inwendig leer ist. An der Seite liegt ein Strauss von läng- lichen Kôürnern, die aus dem Innern der Zelle auszutreten scheinen; 7, b, Häufchen länglicher Kôrner, in Sternchen zusammengehalten. — Fig. 8. Leere, zerrissene Zellenmembran, die neben einer Anhäufung von grünlichen Kürnern liegt, die frei in der Lauge schwimmen. Fig. 9 — 12. Gebilde, die im Bodensatze auf dem Grunde der Flasche sich finden.— Fig. 9 drei zu- sammenliegende grosse Zellen. Die eine ist vollkom- men leer und am Rande ausgezackt. Die andere ist mit grossen, eckigen, dunkelrothen Kürnern gefüllt, die zum Theil aus der Membran austre- ten. Die dritte hat eine durchsichtige, leere Spitze und einen grobkürnigen, reihenweise geschichte- ten Inhalt am Grunde. — Fig. 10. Eine kleine Schwärmzelle ohne Bewegung; runde und läng- liche, kleine wasserhelle Zellen mit Zellenkern und mit zerstreuten Kürnern gefüllt, umgeben mit un- zähligen runden und länglichen, grünlichen Kür- nern, die eine starke Molekularbewegung zeigen. des Sciences de Saint-Pétersbourg. Fig. Fig. a) b) c) d) Fig. Fig. Fig. 574 — Fig. 11. Eine längliche Zelle, die mit sehr dun- kelrothen Kôürnern dicht besetzt ist. Unter den Zellen, die am Boden des Gefüässes liegen, findet man einige, die 0,0297"" im grüssern Durchmes- ser haben. Fig. 12. Ein Salzkrystall, eine Menge feiner Kürner einschliessend, die vollkommen de- nen gleichen, welche in Fig. 8 — 10 dargestellt sind. Sie sind ungefärbt oder haben eine sehr schwache grünliche Farbe. Einer dieser Kerne ist mit einem rothbraunen Saum umgeben, der mit der Entfernung vom Kerne allmäblich sich verliert. 13. Kieselrührchen, einem unbestimmten Thiere gehürend, die sich im Schlamme vorfinden. 14. Junge Protococcuszelien, welche ebenfalls oft im Schlamme angetroffen werden; kugelrunde Zelle mit einer farblosen Membran, mit schwach orangenfarbiger Flüssigkeit und mit grünlichen, zerstreuten Kôrnern. Die äussere Membran enthält eine wasserhelle Flüssigkeit und eine innere zarte Zelle mit oran- genrother Flüssigkeit und zerstreuten grünlichen Kürnern. Eine Zelle mit einer doppelten Membran mit vier Ausstülpungen, mit einer farblosen Flüssig- keit und einer Gruppe grünlicher Kürner in der Mitte. Die Flüssigkeit ist intensiv rosenroth, die läng- liche Anhäufung der Kôrner ist braunroth gefärbt. 15. Ein Haufen, bestehend aus unzähligen klei- nen Kürnern, die durch eine klebrige Flüssigkeit zusammengehalten werden. Die Kürner haben keine Molecularbewegung. In dieser Masse sind einge- bettet: a, unbewegliche, runde und längliche Zel- len, mit einer zarten Membran, mit Kôrnern und Zellenkernen gefüllt. b, andere Zellen meistens mit einem spitzeren Ende, frei von Kürnern, mit ei- ner dickeren, scharf gezeichneten Membran. Diese Zellen haben eine peripherische Stellung und be- wegen sich lebhaft. 16. Ganz ausgebildete Zoosporen, mit einer lang ausgezogenen hellen Spitze, in welcher nicht sel- ten ein rother Fleck zu sehen ist. An der Spitze sind zwei lange Flimmerfäden befestigt. Am Grunde des abgerundeten Endes liegt ein Zellenkern. 17. Eine runde Zoospore, die sich schwach be- wegt. Die äussere Membran ist durch einen was- ! 575 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 576 serhellen Raum von der innern getrennt. Die Flimmerfäden sitzen an der Stelle, wo die Mem- branen sich berübren. Fig. 18. Zwei Zoosporen, die bei der Verdünnung der Lauge mit Wasser leblos geworden sind. — DR G— BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Hoyer, E. Katalog der Bibliothek des Polytechnikums zu Riga. Riga 1872. 8. Katalog Dubletéw i naktadôw Biblioteki Zakladu Narodo- weso Imienia Ossolinskich. We Lwowie 1871. 8. XXVI scripta academica Universitatis Halensis anno MDCCCLXXI edita. XXIII scripta academica in Universitate literarum regia Friderico-Alexandrina, quae Erlangae est, annis 1870 et 1871 edita. XXXI scripta academica Universitatis Jenensis annis 1871 et 1872 edita. Annuaire de l’Université catholique de Louvain 1869. Louvain. 12. XIII fascieuli thesium Universitatis Lovaniensis anno 1869 editi. Annales academici. MDCCCLX VI — MDCCCLXVII. Lug- duni Batavorum 1871. 4. XIII scripta academica, in Universitate Caesarea Dorpa- tensi anno 1872 edita. Programm der Polytechnischen Schule zu Riga für das Studienjahr 1872/73. Riga. 8. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Tome VI. Oct., Nov., Déc. 1869, tome VIL Jan., Févr., Mars 1870. Paris. 8. Mémoires de l’Académie des sciences, inscriptions et belles- lettres de Toulouse. VIT série. T. II. III. Toulouse 1870—71. 8. Atti del reale Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Serie terza, Tomo XVI, dispensa 5—10. Venezia 1870—71. 8. Monatsberichte der k. preussischen Akademie der Wissen- schaften zu Berlin. Nov. Dec. 1871, Jan., Feb. 1872. Berlin. 8. l Fechner, Gust. Theodor. Zur experimentalen Âsthetik. Erster Theil. (Abh. der math.-phys. Classe der Künigl. Sächs. Ges. der Wissenschaften. Bd. IX X 6.) Leipzig 1871. 8. Weber, Wilh. Electro-dynamische Untersuchungen, ins- besondere über das Princip der Erhaltung der Ener- gie. (Abh. der math.-phys. Classe der Künigl., Sächs. Ges. der Wissenschaften. Bd. X X 1.) Leipzig 1871. 8. Hansen, P. A. Untersuchung des Weges eines Lichtstrahls durch eine beliebige Anzahl von brechenden sphäri- schen Oberflächen. (Abh. der math.-phys. Classe der Kün. Sächs. Ges. der Wissenschaften. Bd. X. X IL) Bericht über die Verhandi. der Kônigl. Sächs. Ges. der Wissenschaften zu Leipzig. Math.-phys. Classe. 1870. III. IV. 1871. [. II. III. Leipzig 1871. 8. Abhandlungen der Kônigl. Ges. der Wissenschaften zu Güt- tingen. Sechszehnter Bd. vom J. 1871. Gôtt. 1872. 4. Zeitschrift des Ferdinandeums für Tirol und Voralberg. Dritte Folge. 16tes Heft. Innsbruck 1871. 8. Bulletin de l’Académie des sciences, des lettres et des beaux-arts de, Belgique. Tome 33 M 1—3. Bruxelles 1872. 8. Proceedings of de royal Society of Edinburgh, Session 1870—71. 8. Transactions of the royal Society of Edinburgh. Vol. XXVI part. IL. III. For the Session 1870—71. 4. The Journal of the royal Dublin Society. X XL. Dublin 1872. 8. | Sitzungsberichte der Kurländischen Gesellschaft für Lite- ratur und Kunst aus dem Jahre 1871. Mitau 1872. 8. Magyar Tudom. Akadémiai Almanach. MDCCCLXXI". Pesten 1871. 12. A Magyar Tudomänyos Akadémia évkünyvei. XIIL. kütet. V. darab. Pesten 1870. 4. Értekezések a természet tudomänyok kürébôl III — VIII szämok. 1870. 8. — a mathematikai osztäly kôrébôl. VI. VII. sz. 1870. — a nyelv-és széptudomänyi osztäaly kôrébôl XI; uj: IT — VI fzt. 1870. — à tarsadalmi tudomanyok kürébül. II—IV s7. 1870. A Magyar Tudomänyos Akadémia értesitüje. IV évfolyam. 13—18 sz. V évfolojam 1—9 s7. Pest 1870—71. 8. Archaeologiai kôzlemények. VIII kôütet, Il füzet. Pest 1871. 4. Statistikai és nemzetgazdasägi kôzlemények. VIT 1. 2. Pesten 1869—71. 8. . Sembera, AL Vojtèch. Päni z Boskovic a Potomni drzi- telé hradu Boskovického na Moravèe. Ve Vidni 1870. 8. Déjiny reci a literatury ceské. Kteréz sepsal Alois Vojtèch Sembera. Vydäni étvrté. Ve Vidni 1872. 8. A Magyar nyelv szôtära. À Magyar Tudomänyos Akadémia megbizäsäbol készitettek: Czuczor Gergely és Foga- rasi Jänos. Otôdik kütet, V. füzet. Pest 1870. 8. Journal asiatique. VI° série. T. XVIII. X 66 — 68. Paris 1871. 8. Journal of the Asiatic Society of Bengal. 1871. Part I NX IL, Part II X III. Calcutta. 8. Paru le 22 juillet 1872. name ent D RS de ot Éd ÉTÉ SE D à LL j ILE ii | 85 002 RE —