in n Ed \ ? (J ( V,£0 / , É. AP s x : HARVARD UNIVERSITY HERBARIUM. E Wu TIE GIET OF LIBRARY OF THE GRAY HERBARIUM HARVARD UNIVERSITY BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE S'-PÉTERSBOURG. TOME VINGT-SIXIÈME. (Avec 1 Planche.) ST.-PÉTERSBOURG, 1880. Commissionnaires de l'Académie Impériale des sciences : A ST.- PÉTERSBOURG : A RIGA: A LEIPZIG: Eggers & Cie, J. Glasounof et Jacques Issakof; N.Kymmel; Voss Sortiment (G. Haessel). Prix du volume: 3 Roub. arg. pour la Russie, 10 marks allemands pour l'étranger. Imprimé par l’ordre de l’Académie Impériale des sciences. Octobre 1880. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) D É AES TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. MATHÉMATIQUES. Y. Bouniakowsky, Remarques à l’occasion du mémoire de M. Her- mite sur une formule d'Euler. 188—190. ASTRONOMIE. A, Sawitsch, Observations des planètes Mars, Saturne et Neptune en 1879. 187—188. 0. Struve, Observations de la comète de Brorsen au printemps 1879. 314—326. PHYSIQUE. H, Wild, Théorie complète du magnétomètre bifilaire et nouvelles méthodes de détermination de l'intensité horizontale absolue du magnétisme terrestre ainsi que des coefficients de température et d’induction des aimans. 69—79. —— Rapport sur l’état des travaux entrepris en vertue de la con- vention internationale du mètre du 8 (20) mai 1875. 97—120. | CHIMIE. N, Zinine, Note sur la Benzoine. 29—30. H, Struve, De l'examen chimique des taches suspectées d’étre des taches de sang. 158—172. F, Flavitzky, Sur les transformations au moyen de la hydratation et de la déhydratation de la terpine déviant à gauche le plan de polarisation. 129—136. BOTANIQUE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE. A, Famintzin, De la décomposition de l’acide carbonique par les plantes sous l'éclairage artificiel. 136—142. —— Effet de l'intensité de la lumière sur la décomposition de la- cide carbonique par les plantes. 296—314. M. Montéverdé, Recherches embryologiques sur l’Orchis maculata. (Avec une planche.) 326—335. C, J, Maximowiez, Diagnoses de plantes nouvelles de l'Asie. III. 420—542. ZOOLOGIE ET PHYSIOLOGIE. W, Michailow, Nouvelle méthode d'observer les phénomènes vaso- moteurs chez la grenouille. 1—12. W. Weliky, Sur l’excitabilité de la moelle épinière et la vitesse de la translation de l'excitation nerveuse le long de cet organe. 26—29. W. Wolfson, Embryologie du Lymnaeus stagnalis. 79—97. E, de Martens, Mollusques recueillis en Arménie par M. Alexandre Brandt. 142—158. F, Morawitz, Dr. Description des espèces de la famille des Apides, rapportées de l'Asie centrale. 337—389. Ph, Owsiannikow et W, Weliky, De l’innervation des glandes sali- vaires. 389—395. A. Brandt, Quelques espèces de crustacées de la Méditerrannée ap- partenant aux genres: Stenorhynchus, Achaeus, Inachus, Herb- stia et Pisa. 395—420,. F, A. Forel, Dr., Les échantillons de limon dragués en 1879 dans les lacs d'Arménie. 571—576. PHILOLOGIE ET HISTOIRE. A, Nauck, Scholia in lamblichi de vita Pythagorea librum ex codice Florentino edita. 12—18, Remarques critiques. VIII. 190—296. Baron v. Rosen, Notice sur un manuscrit arabe. 18—26. F. Wiedemann, Notice sur la vie et les travaux de F. A.Schiefner. 30—44. Moriz Schmidt, à Jena, La Parodos de Septem. 44—69. —— Remarques critiques sur le texte des Trachiniennes. 172—186. B, Dorn, Sur les monnaies des Ileks ou anciens khans du Turkestan. 542—571. Bulletin bibliographique, 120—128. 297 330—336. — 8 @— > ML CIS el £ "+" B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) Bouniakowsky, V,, Remarques à loccasion du mémoire de M. Her- mite sur une formule d'Euler. 188. Brandt, A, Quelques espèces de crustacées de la Méditerannée ap- partenant aux genres: Stenorhynchus, Achaeus, Inachus, Herb- stia et Pisa. 395. Dorn, B., Sur les monnaies des Ileks ou anciens Khans du Turkes- tan. 542. Famintzin, A, De la décomposition de l’acide carbonique par les plantes sous l'éclairage artificiel. 136. ——- Effet de l'intensité de la lumière sur la décomposition de l'acide carbonique par les plantes. 296. Flavitzky, T., Sur les transformations au moyen de la hydratation et de la déhydratation de la terpine déviant à gauche le plan de polarisation. 129. Forel, Dr. F, A., Les echantillons de limon dragués en 1879 dans les lacs d'Arménie. 571. Martens, E, de, Mollusques recueillis en Arménie par M. Alexandre Brandt. 142. Maximowiez, C, J., Diagnoses de plantes nouvelles de l’Asie. IIL. 420. Michailow, W,, Nouvelle méthode d'observer les phénomènes vasomo- teurs chez la grenouille. .1. Montéverdé, M., Recherches embryologiques sur lOrchis maculata (avec une planche). 326. Morawitz, Dr. F, Description des espèces de Ja famille des Apides, raportées de l’Asie centrale. 337. Nauck, A., Scholia in lamblichi de vita Pythagorea librum ex codice Florentino edita. 12. Nauck, À, Remarques critiques. VIIL 190. Owsiannikow, Ph, et W, Weliky, De l’innervation des glandes sali- vaires. 389. Rosen, baron v,, Notice sur un manuscrit arabe. 18. Sawitsch, A,, Observations des planètes Mars, Saturne et Neptune en 1879. 187. Schmidt, Moriz, à Jena, La Parodos de Septem. 44. —— Remarques critiques sur le texte des Trachiniennes. 172. Struve, H,, De l'examen chimique des taches suspectées d’être des taches de sang. 158. Struve, 0., Observations de la Comète de Brorsen au printemps 1879. 314. Weliky, W., Sur l’excitabilité de la moelle épinière et la vitesse de la translation de l'excitation nerveuse le long de cet or gane. 26. Wiedemann, F,, Notice sur la vie et les travaux de F, A. Schief- ner. 90. Wild, H, Théorie complète du magnetomètre bifilaire et nouvelles méthodes de détermination de l'intensité horizontale absolue du magnétisme terrestre ainsi que des coefficients de température ét d’induction des aimans. 69. ——— Rapport sur l’état des travaux entrepris en vertue de la conven- - tion internationale du mètre du 8 (20) mai 1875. 97. Wolfson, W,, Embryologie du Lymnaeus stagnalis. 79. Linine, N,, Note sur la Benzoine. 29. Bulletin bibliographique, 120. 335. —Ÿ A É— Je CORRE . XXVE, N°1. BULLETIN DE L'ACADENIE EMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. | | TOME XXVE. | (Feuilles 1—5.) | CONTENU. Page W. Michailow, Nouvelle méthode d'observer les phénomènes vasomoteurs chez la gre- DOUCE IEEE TR MEN SE ee ER A PE A PR ele ie 1— 12 A, Nauck, Scholia in Iamblichi de vita Pythogorea librum ex codice Florentino edita... 12-—— 18 Baron v. Rosen, Notice sur un manuscrit arabe... ............................... 18— 26 W. Weliky, Sur l’excitabilité de la moelle épinière et la vitesse de la translation de l'excitation nerveuse le long de cet OPSANC::.. RE Te Ne a ee 26— 29 NZnin, Note surila-BEnzome ROM. LI 29— 30 F. Wiedemann, Notice sur la- vie et les travaux de F. A. SONLefnen ns. pren 30— 44 Moriz Schmidt, à Jena, La Parodos de Septem .................................. 44— 69 H, Wild, Théorie complète du magnétomètre bifilaire et nouvelles méthodes de déter- mination de l'intensité horizontale absolue du magnétisme terrestre ainsi que des coefficients de température et d’induction des aimans...........:............ 69— 79 W. Wolfson, Embryologie du Lymnaeus stagnalis. ............................... 79— 97 H. Wild, Rapport sur l'état des travaux entrepris en vertue de la convention internatio- pale dusmètre 4018 (20) mur l87540. à CR Te nu 97—120 Bulletin bibhosraphique SR Re ir out 120—128 Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. = C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X° 12.) Mars 1880. BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Neues Verfahren, die vasomotorischen Erscheinungen | am Frosche zu beobachten. Von W. Michailow. (Lu le 11 septembre 1879.) (Aus dem physiologischen Laboratorium des Hrn. Prof, Setsche- uow in St. Petersburg.) 1. Das Verfahren, die vasomotorischen Erscheinun- gen zu beobachten und dieselben zu messen, um dessen Begründung es sich in dieser Untersuchun” handelt, stellt eigentlich eine Nachahmung des bekannten Bern- stein’schen dar !); jedoch mit dem Unterschiede, dass hier als Versuchsobject der Frosch dient und dass das geschlagene Blut nicht in emzelne Abtheilungen der arteriellen Bahnen, sondern in den arteriellen Anfang des Gefässsystems injicirt wird. Da zu gleicher Zeit das abfliessende Blut nicht aus einzelnen Venen, son- dern aus dem venüsen Theil des Herzens gesammelt wird, so entspricht dieses Verfahren augenscheinlich einer Injection des ganzen Gefässsystems. Die Einwir- kung der Herzcontractionen wird bei diesem Verfahren auf eine andere Weise, aber eben so sicher, wie bei dem Bernstein’schen ausgeschlossen, so dass das Fliessen des Blutes auch hier nur von dem Injections- drucke, von der Temperatur der Flüssigkeit und von der Capacität der Blutbahnen abhängig ist. Was end- lich das Messen des abfliessenden Blutes anbelangt, so unterscheidet sich dasselbe von den entsprechenden Messungen anderer Beobachter (Bernstein, Mosso ? u. à.) wesentlich dadurch, dass die Flüssigkeit in viel kleineren Zeiträumen resp. in viel kleineren Quanti- täten gemessen wird, so dass man die Môglichkeit er- langt, einerseits solche Ânderungen in dem Fliessen zu bestimmen, welche kurzdauernd sind, andererseits das Fortschreiten der Erscheinungen in der Zeit viel genauer zu analysiren. Überhaupt lässt sich diese Me- thode am besten mit einer Calibrirung der totalen Capacität des ganzen Gefässsystems im Laufe kleiner 1) J. Bernstein, Versuche zur Innervation der Blutgefässe. Pflüger’s Archiv. Bd. XV. 2) A. Mosso, Von einigen neuen Eigenschaften der Gefässwand. Arbeiten aus der physiol. Anstalt zu Leipzig. 9. Jahrgang (1874). Tome XXVI. Zeiträume und bei verschiedenen Zuständen des vaso- motorischen Apparates vergleichen. Bedenkt man end- lich, dass die Injection des ganzen Gefässsystems, als | Mittel zur Beobachtung der vasomotorischen Erschei- nungen, in einzelnen Fällen gewisse Vorzüge vor den Injectionen in einzelnen Provinzen des Kôrpers oder Organe haben kann, und dass eine systematische Be- obachtungsmethode der vasomotorischen Erscheinun- gen am Frosche überhaupt fehlt, so leuchtet von selbst dass das soeben in allgemeinen Umrissen angegebene Verfahren eine Ausarbeitung verdient. Die Grundidee desselben gehôrt Hrn. Prof. Setsche- now und die praktische Ausführung Hrn. Schuhe- ninow und Tschistoserdow und mir an. 2. Bei dem Blosslegen des Herzens wird nur corpus et manubrium sterni entfernt, damit die Baucheinge- weide nicht herausfallen. Nach vorsichtiger Spaltung des Pericardiums wird das Herz nach oben umgewor- fen, die Sinushüllen vorsichtig abpräparirt und die Sinuswände mit Froschgalle von allen Seiten so lange bestrichen, bis das Herz still steht. Die Ganglien der Vorhôfe und der Atrioventriculargränze habe ich durch Zermalmen paralysirt. Ehe man weiter geht, muss man natürlich abwarten, ob die Contractionen des Herzens wirklich vernichtet sind. Erst hierauf wird die Canüle c des Injectors (Fig. 1) in den Pulbus Aortae eingebun- den und der ganze Ventrikel sammt einem Theile der Vorhôfe abgeschnitten. Das Korkbrett, an welches das Thier angebunden ist, muss in eine durch die Figur angegebene Lage gebracht werden, damit das abflies- sende Blut nur vom Punkte P herabfällt. Die Canüle communicirt mit einem biegsamen, theils aus Glas-, theils aus Kautschukrôhren bestehenden Schlauch, in dessen oberes Ende ein von oben nach unten verschieb- barer Trichter eingesetzt ist. Die Hühe AB ist somit veränderlich und entspricht der Hôhe der zu injici- renden Blutsäule. Ist die obere Offnung des Trichters weit genug, so braucht man nicht das Niveau der Flüs- sigkeit in dem Trichter zu reguliren, die Hôhe der Blutsäule bleibt ohnedies während eines nur einige 1 3 Bulletin de l'Académie Impériale 4 Minuten dauernden Versuches beinahe constant. In einigen Fällen, namentlich da, wo man das von dem oberen Theile des Kürpers kommende Blut nicht zu sammeln braucht (wie es z. B. bei einigen Durchschnei- dungen des Rückenmarkes der Fall ist), ist es rath- sam, in das Abflussende des Herzens eine kleine glä- serne Canüle einzubinden. Zu jenen Fällen endlich, wo es nôüthig ist, das den Injector füllende normale Blut durch vergiftetes oder überhaupt verändertes zu ersetzen, geschieht das Herauslassen des normalen Blutes durch die Offnung des Fortsatzes F. Für die Injection gebrauchte ich ausschliesslich frisches defibrinirtes Kalbsblut bei der Zimmertempe- ratur, Dasselbe wurde nur deshalb gewählt, weil es nach den Lokalverhältnissen am leichtesten zu bekom- men war und sich bei den Probeversuchen für meine | kurzdauernden Versuche als tauglich erwiesen hat. Ist man mit allen dem Versuche vorangehenden Opera- tionen fertig, und bleibt das Herz bei neuer Besich- tigung still stehen, so beginnt der Versuch mit dem Losmachen der Kiemmpincetten und mit dem Zählen der abfliessenden Tropfen nach Secunden einer daneben hängenden Taschenubr. Der hierbei gemessene klein- ste Zeitraum entspricht somit der Bildungsdauer eines Bluttropfens. Bestände das Abflussende des Gefäss- systems aus einem Schlauche mit unausdehnbaren Wän- den, so würde unter übrigen gleichen Bedingungen diese Zeit wie in Tropfenzählern nur von dem Quer- schnitt der Ausflussoffnung abhängen; da es aber nicht der Fall ist, so erhält man die Gleichheit der Bildungs- zeiten jedes nachfolgenden Tropfens nicht sogleich nach dem Losmachen der Pincetten, sondern im Laufe der ersten oder zweiten Minute. Aber auch jetzt ist diese Gleichheit nur eine annähernde, denn im Grunde nimmt die Geschwindigkeit des Fliessens beständig ab; nur ist diese Abnahme im Laufe der ersten 5 —6 Minuten so unbedeutend, dass man diese Periode mit vollem Recht als Zeit des constanten Fliessens betrachten kann. Die Verlangsamung des Fliessens hängt von folgen- den drei Umständen ab: 1) von der Verstopfung der Gefäisse mit den Blutkürperchen; 2) von der durch die Injection bedingten Reaction in den elastischen oder contractilen Kräften der Gefässwände (Mosso und Bernstein), und 3) von der Stauung des Blutes in dem Abflussende des Herzens. Sicher ist es jedenfalls, dass die Blutkôürperchen in dieser Verlangsamung die Hauptrolle spielen, denn vergleichende Versuche am Blute und Serum haben mir bei den Injectionen des letzteren eine viel lingere Dauer des constanten Flies- sens, ebenso wie eine grüssere Gleichheit der Zeiten der Tropfenbildung ergeben. Die Stauung des Blutes in dem Abflussende des Herzens, als Grund der Ver- langsamung des Fliessens, leite ich davon ab, dass die Dauer des constanten Fliessens in solchen Fällen län- ger ist, wo die Herzganglien vor dem Versuche un- versehrt geblieben sind und das Herz in Folge dieses Umstandes sich von dem in demselben sich ansam- melnden Blute entleeren konnte (Versuche von Schu- heninow und Tschistoserdow). Auf Grund des Gesagten habe ich in allen Ver- suchen mich bemüht, die Beobachtungszeit nur auf die Dauer des constanten Fliessens zu beschränken. Die Ausnahme hiervon wurde nur in solchen Fäillen zugelassen, wo die Einwirkung der zu untersuchenden Agenz so stark war, dass deren Effecte auch während der Verlangsamungsperiode beobachtet werden konn- ten. Auch ist die Dauer von 5—6 Minuten genügend, um die vasomotorische Norm und die durch verschie- RE A 5 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 6 dene Eingriffe bedingten Schwankungen derselben be- obachten zu kônnen. Die schwächste Seite des Verfahrens bietet jedoch der Umstand, dass die Gefässe des Frosches nicht mit seinem eigenen Blute, sondern mit demjenigen eines Warmblüters injicirt werden — ein Umstand, welcher nicht umgangen werden konnte, wegen der Unmüglich- keit, Froschblut in genügenden Quantitäten zu erhal- ten. Ich zweifle nicht einen Augenblick, dass sowohl das Nervensystem als die Muskeln des Thieres hier- durch in einen anomalen Zustand versetzt werden. Auch bestand der Endzweck dieser Untersuchung ei- gentlich in der Prüfung der Frage, wie weit diese Anomalien gehen und ob es trotz ihrer dennoch müg- lich ist, die bekannten vasomotorischen Effecte in Folge von Durchschneidungen und Reizungen im Gebiete des Nervensystems zu beobachten. Die Begründung des Verfahrens hing mit anderen Worten gerade von der Entscheidung der Frage ab, ob es mittelst dieser Me- thode müglich ist, die Existenz des Gefässtonus und das Bestehen der vasomotorischen Reflexe nachzu- weisen. Indem ich jetzt zu diesen Versuchen übergehe, habe ich Folgendes zu bemerken. Die Injectionen des Kalbs- bluts erzeugen an und für sich im Frosche weder Con- vulsionen, noch irgend welche Zeichen der Unruhe; dennoch bleibt das angebundene und sonst unversehrte Thier nur selten vollkommen ruhig, was das Fliessen des Blutes natürlich sehr merklich beeinflusst. Ebenso wirken die reflektorischen Zuckungen bei Reizungen der Nerven. Um diese schädlichen Nebenwirkungen zu vermeiden, müssen die Früsche zu diesen Versuchen curarisirt werden. Eine Ausnahme hiervon kann nur für Versuche an geküpften Thieren zugelassen werden, weil an diesen die durch Reizung entstehenden Reflexe sehr flüchtig sind; auch solche Fälle, wo die vasomo- torischen Effecte zu stark sind, um von den erwähnten schädlichen Einflüssen überdeckt zu werden. 3. Elektrische Reizung des centralen Stumpfes des n. ischiadicus. Die Reizung geschah überall mittelst Inductionsstrôme solcher Stärke, welche, dem Frosch- vagus applicirt, das Herz sofort zum Stillstand bringen. Der Reizung geht die Feststellung der Norm voran. Um die Erscheinungen der Reizuug handgreiflicher zu machen, will ich erst als Beispiele solche Fälle an- führen, wo das Blut ohne irgend welche Reizung des Thieres floss. Die Zahlen bedeuten überall die Zeiten der Tropfenbildung. ——_—_—_—_————————————————._————.————— | : . [1 Min. | 2 Min. | 3 Min. | 4 Min.| 5 Min. |6 Min. USE d sine à SAUMER _…. ’ 2 $ © [A 1. 17.18 | 20.21 | 21.21 |21.22 | 24.24 |24.25 EE { © | = | M 2.10.11.12113.13.13/13.14.14| ...... 17.17.17 æ | RL | SL-zid ÉSn 8... 30 31 31 31 32 | d 3 © Die dauernde Reizung des Ischiadicus ruft am cura- risirten unversehrten Frosche periodische Verengerungen der Blutbahnen hervor, mit Erschlafjungen, iwelche die normale Weite des Gefässsystems nicht zu übertreffen scheinen. Die nichteurarisirten Früsche mit Durchschneidungen der Spinalaxe awischen dem Schädel und dem ersten Wirbel verhalten sich gegen die Reizung etwas anders, indem an denselben die Erschlaffung manchmal in eine wirkliche Eriweiterung der Bahnen übergeht. Unversehrte curarisirte Frôsche. L'INOPMmE es ace 23.23.24 Reizung........ 97:24.26.27 Nach der Reiz, .. 28.26 2) NOM 6... . 14.14.14 Reigung ........ 15:19 A5 ) Nach d. Reis. ... 13.17.15.14.15 Gekopfter, nicht curarisirter Frosch. D NOTME ere -. 22.22.22 Reizung 24.99 .22.21 Nach d. Reis. ... 17.19.20.23.22 Die Durchschmeidung beider plezus ischiodici, sowohl an normalen als curarischen Früschen, ruft eine vor- übergehende Verengerung der Gefässbahnen hervor, auf welche eine dauernde Erweiterung derselben folgt. Curarisirter Frosch. NOM: 0 20.22.21.21 Nach d. Durchschn... 26.23.20.19.19.18 Nicht curarisirter Krosch. 9612-13-19 LOS 1 A SLA 1* Norm Nach d. Durchschn... 7 Bulletin de l’Académie Impériale S CE 1e UE 1 2 A RE LE PT 7 7 EU sn PP TC SRE Starke Reizung des centralen Stumpfes eines durch- schnittenen vaqus ruft gewühnlich, nebst kurzdauernder Verengerung der Gefässe, Erweiterung derselben (gegen die Norm) hervor. Schwache dauernde und starke fllüchtige Reizungen desselben Nerven bringen nur die erste Hälfte der Er- scheinung zu Stande. Curarisirte Früsche. 1) NOMME PRET 21.20.21 Reizung........ 33.19.16.20 Nach d. Reis. ... 17.19.20 2) Norm......... 30.30 ReEUNT.. 1. 352072028729 Nach d. Reiz.... 28.30.3 S)ANOFM ne. 14.14 Reizung ....... 17646-13.14:12014 Nach d. Reis. ... 11.14 Die beschriebenen drei Reihen von Versuchen haben uns somit zu solchen Resultaten geführt, welche mit den Ergebnissen anderer Beobachter sowohl am Frosche als an den Warmblütern in vollkommenem Einklange stehen. So war z. B. die periodische Verengerung der Gefässe bei fortdauernder sensibler Reizung des ischia- dicus und die Erweiterung bei eben solcher Reizung des vagus (von Kaninchen) von Latschenberger und Dahna*) beobachtet, während die Erweiterung der Gefisse in den untern Extremitäten des Frosches, als Folge der Plexusdurchschneidung,allgemein bekannt ist. Nachdem auf diese Weise die Anwendbarkeit der Methode zur Erforschung der vasomotorischen Erschei- nungen bewiesen war, versuchte ich dieselbe zur Lüsung folgender Frage anzuwenden. Es ist aus den Versuchen von Traube, Ludwig und Thiry, Hering, Kowa- lewsky, Cyon u. a. bekannt, dass das Blut vermüge seines Gasgehaltes sowohl auf das Herz mit seinem Nervensystem als auf den vasomotorischen Apparat, die Gefäisswände mitberechnet, einen Einfluss ausübt. Durch das gleichzeitige Zusammenwirken aller drei «Einflüsse werden die Folgen des veränderten (Gas- zustandes im Blute von Seite des CO, - und 0-Gehaltes 3) Dr. J. Latschenberger und Dr. A. Dahna, Beiträge zur Lehre von reflectorischer Erregung der Gefissmuskeln. Pflügers Archiv. Bd. XIT. uatürlich hôchst complicirt, und die Analyse derselben unter natürlichen Bedingungen der Circulation so gut wie unmôglich. Erst wenn man diesen oder jenen von den drei Einflüssen beseitigt, wird die Erscheinung der Analyse zugänglich. Auch sind die Versuche von Cyon am ausgeschnittenen Herzen und diejenigen von Mosso an den ausgeschnittenen Organen von diesem Standpunkte aus zu betrachten. Die nächst zu be- schreibenden Versuche mit den Injectionen in das Ge- fisssystem des Frosches des in verschiedenen Graden mit CO, beladenen Blutes haben dieselbe Bedeutung, insofern bei diesen Versuchen die Einwirkung des ver- änderten Blutes auf das Herz ausgeschlossen war und die Erscheinungen der Circulation hiermit nur von den beiden übrigen Factoren abhängig sind. Die Wir- kung der letzteren konnte in meinen Versuchen aller- dings von einander nicht getrennt werden; bedenkt man jedoch, dass der Einfluss des Blutes auf die Ge- fisswände eine dauernde Wirkung des ersteren voraus- setzt (Mosso), während die Dauer meiner Versuche sehr kurz ist, so konnte die Einmischung dieses Fac- tors in die von mir beobachteten Erscheinungen au- genscheinlich nur von sehr untergeordneter Bedeu- tung sein. Aus diesem Grunde bin ich geneigt zu glau- ben, dass die von mir gefundenen Ânderungen der Circulation bei Injectionen des CO,-Blutes ausschliss- lich oder wenigstens hauptsächlich auf die vasomoto- rischen Effecte zurückzuführen smd. Stark arterielles defebrinirtes Kalbsblut wurde zu diesen Versuchen nach dem Augenmass so lange mit CO, gesättigt, bis es die Farbe des venüsen Blutes an- nahm; und diese Flüssigkeit galt für mich als verän- dertes Blut, in Vergleich mit demjenigen, welches zur Feststellung der vasomotorischen Norm diente. Letz- teres wurde natürlich zuerst injicirt, um die normale Schnelligkeit des Fliessens zu bekommen; hierauf wurde dasselbe aus dem Injector durch den Fortsatz F ausgelassen und durch das CO,-Blut ersetzt. Der Wechsel beider Blutarten dauerte weniger als 1’ und verursachte eine Verlangsamung des Fliessens im Laufe einiger Secunden. Deshalb äussern sich die wirklichen Effecte des CO,-Blutes nicht sogleich nach dem Blutwechsel, sondern einige Zeit später, um so mehr, als das CO,-Blut Zeit braucht, um das normale im Kôrper zu ersetzen. Die vasomotorischen Effecte des CO,-Blutes hängen 9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 10 —————_—_—_—_—_—…—…—…—…—…—…—…— .…—— —…—…—_—————…—….….…—……"…"—"’ —….….…….…………——— von dem Injectionsdrucke ab. Bei Injectionen unter schwachem Druck bemerkt man nur die Verlangsamung des Fliessens, resp. eine Verengerung der Gefüsse; während die Injectionen unter stärkeren Druckhühen nebst einer flüchtigen Verlangsamung eine dauernd über die normalwachsende Beschleunigqung des Stromes geben. Wird das CO,-Blut durch das normale ersetzt, so kehren die Erscheinungen mehr oder weniger voll- ständig zur Norm zurück. Curarisirte Frôsche. I. Starke Druckhühen. 1) Normales Blut 15.16.15.15 CO, -Blut. : s.. 22.21.19.17.17.19.18.17,17.16.15.14.14 Normales Blut 19.19.18.18.19 2) Normales Blut 28.28.28 CO,-Blut..... 37.30.32.23.20.20.18.18.19.17.16.18.17 Normales Blut 19.17.17.15.19 16 Normales Blut 19.20:19.21 CO,-Blut..... 27.25.96.24.22.20.20.19.18.17.18.19.18 Normales Blut 21.18.18.18.19.21 II. Schwache Druckhühen. Normales Blut 39.59.37. CO,-Blut..... 54.49.43.51.51. Normales Blut 60.53.45.40.39,39. Normales Blut 15.15.15. CO,-Blut..... 21.20.20.23.30.36.41.46. Normales Blut 31.31. ©) = — == 19 Die Verengerung der Gefässe als Folge der Ein- wirkung des CO,-Blutes auf die vasomotorischen Ap- parate wird, glaube ich, von Niemandem bestritten. Die Erweiterung der Gefässbahnen bei stärkeren Druck- hôühen stellt hingegen eine neue Thatsache dar, und insofern bedarf sie einer Erläuterung. Die Beschleunigung des Stromes kônnte eigentlich auf zweifache Weise erklärt werden: 1) durch die Paralyse der vasomotorischen Centra, wie es z. B: für den Hemmungsapparat des Herzens bei Erstickung angenommen wird; oder 2) durch eme Ânderung der contractilen oder elastischen Kräfte der Gefässwände. Von diesen beiden Môüglichkeiten liegt die Wahr- scheinlichkeit auf Seite der ersteren, weil nach Ver- suchen von Mosso die Beladung des Blutes mit CO, das Fliessen desselben durch die ausgeschnittenen Or- gane nicht beschleunigt, sondern im Gegentheil sehr stark verlangsamt *). Die zweite Aufgabe, zu deren Lüsung ich die Me- thode in Anwendung zu bringen versuchte, betrifit die 4) L. c. S. 181—191. bis jetzt in einer Beziehung noch schwebende Frage über die vasomotorischen Centra des Rückenmarks. Um die Existenz der vasomotorischen Rückenmarks- reflexe zu beweisen, habe ich auf dieselbe Weise ver- fahren, wie es oben bei den Versuchen mit sensibler Ischiadicusreizung beschrieben ist, mit dem einzigen Unterschiede, dass jetzt das Rückenmark zwischen dem 2, und 3. Wirbel durchschnitten war. Zu emigen Ver- suchen wurde sogar der ganze obere Theil des Rük- kenmarks zwischen dem Schädel und dem 3. Wirbel exstirpirt. In einer Reihe von Versuchen wurden die Reflexe durch elektrische Reizung des Ischiadicus aus- gelüst, in der anderen mittelst chemischer Reizung (nach der Türk’schen Methode) der Haut. Die erste ?eihe wurde weiter an nicht curarisirten, die zweite an vergifteten Thieren angestellt. Die Blutung konnte bei diesen Versuchen von keinem Belange sein, da sie während der ganzen Dauer des Versuches und zwar gleichmässig stattfand. Das Hauptergebniss derselben bestand in einer Ver- langsamung des Fliessens resp. einer Verengerung der Gefässe, sowohl bei schwächeren als bei stärkeren H6- hen des Injectionsdruclies; nur bei sehr starken Druck- hühen oder bei Wiederholungen der Versuche an einem und demselben Thiere bekommt man manchmal das Um- gekehrte — eine Beschleunigung des Stromes anstatt sei- ner Verlangsamung. Bei chemischer Reizung der Haut sind die vasomo- torischen Reflexe etwas stärker, als bei elektrischer Reizung der Nerven. Curarisirte Frôüsche. [. Chemische Reizung. N 1. Norm..... 51.20:20:20 Reizung ...20.22.23.22 Nach d.Reiz. 24.20.20 19, Norm.. 14.14.14 Perzung 19:21:15 Nach d.Reïiz. 15.17.16.16 NS ANOrM ee... 1e Sn Reizung…. ..10:10.13.12.10.13 Nach d.Reiz. 11.11 X 4. Norm..... 18.18.18 Reizung . 1721716: 17:16 Nach d.Reiz. 18.18 Bulletin de l’Académie Impériale 12 Nicht curarisirte Frôsche. II. Elektrische Reizung. X1:Norm.:2:125225:95 Reizung 41972627 Nach d.Reïz. 29.28.28 M2NNorm 18013 1418 Reizung ...14.15.15.16 Nath d.Reiz. 18.18.18.21.20.19 3. Norm 4.1, 40,40.40 Reizung ...41.42.43 Nach d. Reiz. 41.41 Ausserdem habe ich einige Versuche hinsichtlich der tonischen Wirkungen der vasomotorischen Centra des Rückenmarks angestellt. Stricker betrachtet bekanntlich die von Schroff an geküpften Warmblütern nachgewiesene verengernde Wirkung des Antiarins auf die Gefäisse als Beweis einer solchen Wirkung”). Ohne mich in die Betrach- tungen einzulassen, ob diesen Effecten in der That to- nische Erregungen der spinalen Centra oder periphere Reizungen zu Grunde liegen, führe ich einige Ver- giftungsversuche mit Antiarin an gekôpften Früschen an. Meiner Meinung nach stellen sie insofern eine Er- gänzung der Stricker’schen Beobachtungen dar, als bei meinen Versuchen die Einwirkung des Giftes auf das Herz vollständig ausgeschlossen war, was bei dem Studium der vasomotorischen Wirkungen des Antia- rin’s gewiss von grossem Werth ist, da diese Substanz bekanntlich zu den Herzgiften gehôrt. Zur Vergiftung bediente ich mich des Extractes von Upas Antiar, welches ich der Güte des Herrn Direc- tors des medicinischen Departement E. W. Pelikan verdanke. Das Praeparat erwies sich bei Probever- suchen am Herzen der Frôüsche in so kleinen Dosen als wirksam, dass ich für die Vergiftung des zu injici- renden Blutes hôchstens 1 Cgr. Substanz auf 10 Cem. Blut genommen habe. Der Versuch bestand in dem Durchlassen des normalen Blutes zur Feststellung der vasomotorischen Norm, worauf das normale Blut mit dem vergifteten ersetzt wurde. Die Effecte stellten sich gewühnlich schon im Laufe 5) $. Stricker, Untersuchungen über die Ausbreitung der toni- schen Gefässnerven-Centren im Rückenmarke des Hundes. Sitzb. der k. Akad. der Wissensch. B. LXXV. der 1. Minute ein und bestanden in der That in einer stetig und stark anwachsenden Verengerung der Gefässe. Nicht curarisirter Frosch, dessen Rückenmark zwischen dem Schi- del und 3. Wirbel exstirpirt war. Norm 17 17.18 418;: Vergiftung 24.21.23.24.27.98.31.33.36. Scholia in lamblichi de vita Pythogorea librum ex codice Florentino edita ab A. Nauck. (Lu le 18 septembre 1879.) Jamblichei operis quod est rept tou IuSæyopetou Bou optimus unus extat codex Florentinus bibliothecae Lau- rentianae (plut. LXXX VI, 3), cuius praestantiam anno 1847 clara in luce collocavit C. G. Cobetus in Orat. de arte interpr. p. 73—78 et p. 109—111, ubi vel pleniora vel emendatiora locis haud paucis scriptoris verba proponuntur. Non usus est Cobeti disputatione is qui post Kiesslingium Tamblichi opus edidit Anto- aius Westermannus: quod siquis miretur in viro doctis- simo et «iligentissimo, dubitari vix potest quin Di- dotiana Tlamblichei libri editio ante Cobeti orationem ad umbilicum fuerit adducta, sed delituerit complures per annos, donec Diogenis Laertii vitis a Cobeto edi- tis comes adiuncta est a. 1850. Magis mirum videri potest quod postea nemo sit exortus qui Florentini co- dicis ope famblichi opus refingeret. Inde mihi, qui Porphyriano affinis argumenti opusculo studium im- penderam, subnatum est consillum edendi Tamblicheï operis, atque aliquot abhinc annos meo rogatu Acade- mia scientiarum Petropolitana operam dedit ut Floren- tinus liber huc mitteretur. Id quidem ut impetraremus non contigit: mox vero Cobetus, qui in Variis lectio- nibus aliisque operibus identidem Iamblicheum opus tetigerat, cum de mec consilio certior factus esset, edidit anno 1877 in Mnemosynes novae vol. V p. 337 — 384 observationes criticas et palacographicas ad Jamblichi vitam Pythagorae, quas postea auctas in- seruit Collectaneis crit. p.305—482. Qua disputatione ut lectionis varietatem ex codice Laurentiano enota- tam proposuit, ita de illustrando atque emendando Jamblichi libro optime meritus est. Consentaneum vi- debatur uberrimas Cobeti copias ad instaurandum Iam- blichi opus converti: nec tamen prius ausus sum ad recensendum opus accedere quam ipse Laurentianum Lh 13 des Sciences de Saint-Petersbourg. 14 PE AL de Me een om nn" 0 ie ns Re codicem examinassem. Jtaque aestate proxima Floren- tiam petii et codicem, cuius copiam liberalissime nobis fecit Nicolaus Anziani bibliothecae Laurentianae prae- fectus, denuo contuli. Nec poenituit me impensae ope- rae: vidi enim Laurentiani libri lectiones satis multas easque partim haud spernendas Cobetum silentio prae- termisisse, haud raro eundem de seripturis codicis falsa rettulisse. Sed istas res editiont Tamblicheï operis satius erit committi: nunc scholia quaedam sive notas marginales Laurentiani libri proferemus. Quantumvis enim pauca scholia in marginibus istius codicis seripta inveniantur eaque pleraque inania, tamen non desunt quae alicui usui nobis esse possint. I. Fol. 8 b: Auxéopov: rev xtMlopgcv THs vupipeu- tous poovor tahou BomBelats ynooBooxouaat XOQOLS (XALOGLS Laur.). Lycophronis versus 11 debebant referri ad $ 42: ‘Ehmov neo Toy Toofav avriraËapévov érarépous à MREQITEUELY GUMHPOOMS, 53 et 1154 appositiS 41 extr., 2: rov yap BapBapov xai Tov évos dxpaotav Taîs DauwvoTaTouis rodc pv év TG Tohépo, ToÛs JE KUTL TOY AVETAUV (recte arorhouv Cobetus). at povns Tns adtxius Toy Seov dexeTh xai HUALE TN THÉQL TNY TLLO DEA V, YONOV.O- Snoavra tv ve Tac Tools œhooi ai TNY TOY TapSévOY arooToÂNY TapA TOY Aoxpôy Eig TO ris ASnvas Ts IAtadoc epov. Ad expiandum sce- lus in Troiae excidio ab Aiace Oilei filio commissum Locri binas quotannis virgines Minervae Iliensi con- secrare oraculo iussi sunt: cf. Plut. de sera numinis vindicta e. 12 p. 557 D. Aeliani fr. 47. Schol. A IL N 66. Tzetz. in Lycophr. 1141 al. II. Fol. 19 a: mueïs © ès Sexadas draxoopnSeuev Aauor. Verba ista Homerica (I. B 126) adhibentur ad Tam- blichi $ 98: hougæpévous TE ÉTÉ TH CUOOÉTIR ATAVTAY" TAUTE d elvar pin Theîoy n DÉXX AYIQOTOUS GUVEVO- xeio%e. Ubi Kiesslingius tadræ à é£eivas scribi voluit, Cobetus lacunam subesse coniecit in hunc fere modum explendam: pn Thetoy n Jéxo (avSponov arsdoxtuaie yao To rhstouc) avSponous cuvevoyeioS. Sententiam potius quam verba scriptoris referre videtur Eusta- thius Il. p. 190, 27: fotopei yoy xal © coputaros ‘lay- Blyos Ta IIuSwyonxe ouaottu un Éperv Thciov n Jéxo AYSGOTOUS GUVEUO {OU ILEVOUS. IL. Fol. 32 à in margine inferiore: to totyovæ nai TO TAOAAANAOYEMLE TA UTO TO AUTO Uos CVTA Tocs PNA. 2otty OS ai Basets. oi UTÔ TO œuTo UYos OVTES XOVOL Ho #3NvBpt Tes aXmhous eioiv os af Bars. af UTO TO ŒUTO ÿhce oucœ! Tupoy ES Toûs aAMMARS ElGiv OG ai Baaets. THUTL XAT EËKOUL TS DLXALOOUVNS ÉTEL- Qay@s TÉRTOVTE OÙ AVOLoDS THY T'AS LOOTNTOS KA vo Aoyias ATOGOLEL THUTOTNTEL. In priore pagina folii 32 leguntur Jamblichi verba Aodopnsévrov à auto — koi ériSupouvroy $ 178—181 (p. 62, 23—63, 16 ed. Didot.). Vetus interpres illu- straturus fuisse videtur $ 179 verba haec: BouAduevos SÈ Tnv Év Tois duloous rai GovÉ TROUS HAL ATELQOLS TE- reparpévny at lon xal cupuETeo rxmIoUVNY TApa- Seiéor Gros Jet avr doxsiv donyoncdot, Tv à- 27 ÉON TooGECLXÉVEL TO chart PAT rep p-voY TOY êv VE opeTgir Deaeap.aT Ov ameloous LV ÊXEL THG TOY GANVATOY GITOGEE, dvouctos DE ahAmhors Jraxet- uévoy ioas yet TO The Juvapews amodestEers. IV. Fol. 34 b: pvnotais) ouvotxeiv pLéAhovTes Éduov, Tus JE rahax ON ras yao pvnotas (debebat scribi dSUTOUS EÉYOv. Tamblichi illustratur hic locus $ 195 agstns or koi to neioat Kootowatas atéys ŒSUTOU KA VOÏNS TOO TES TANAGXIÔNS GUVOUOURS. Scholion idem ab Arcerio Castigat. p. 15 ex codice quo usus est affertur, ubi pro extremis verbis t&s $ rax- XaxSas aSutous etyoy haec haberi dicuntur: rais ror- Aaxtdats 8 oudayos. Provocans ad Arcerii testimo- nium Kusterus pro barbara forma quae est rahaxr- das suo arbitrio rahkaxot substituit, neque corrigit Kusteri errorem Kiesslingius, qui idem scholion in Cizensis codicis margine adnotatum esse dicit. V. Fol. 36 b: toùto héyet xat Enixoupos OTt oudE quo yonots aooodtotoy vytetvn. Onep dtopSoupevos © l'anvec : TNS HAUTS ÔÈ Sa TNS Toccdoptéetor Gta, pnoiv, Êx TOAUOLTINS TÈ KO TOU- ToGÛaG TOUTO vévnTar, GUpLHÉDEL TOO VYELAV" OTOV DE oUX CÙTOS ÉYN, OÙ GopDÉpE" . où ya (an xat yap leg.?) n dxpuota éprodtov eos EveÉ av. Pertinet scholion manu rec. seriptum ad Tamblichi $ 210 (Aristoxeni fr. 20 ed. Muell.): Se cv tov ruidæ ciras GES Oote pm Énteiv évros TOv elxootv étov TAY TOLWÜTNY guvouatav" Gray à eîs Toto GoxnTau, cravlors etvar yonotéov vois dpocduotots. Epicuri de rei venereae usu sententiam affert Galenus vol. 5 p. 911 ed. Kuehn. ; ipsius Galeni quae hoc loco afferuntur verba ubi legantur, indicare non possum. 15 Bulletin de l’Académie Impériale 16 ——— ——————E VI. Fol. 41 a: tôv èoShov ävBoæ, xav éxaç vain X30- vos, Xv [un Ooao todo pe pÉAov. Apte comparantur hi versus cum Tamblichi verbis Ce ” (A sus … v y RO + s 4 & 237: 007 x TOY TOLOVÈE EDYOY [LNÔ ÉXEÏVOY TOY ÀOYOV à Ÿ | arioteioSor s ap oi croudaiot AVÔLES KA TROTOTATO vis oùxodvres ofho! etoiv aXqhors rov à (ren Laur.) yoéoqoi Te xai mocomyoper Vevéoo. Eosdem versus omisso poetae nomine afferunt Procopius Gazaeus Epist. 154 et Johannes Georgides in Boissonadii Anecd. vol. 1 p. 90, Euripideos esse prodidit unus, quantum scimus, Basilius Epist. 63: tôv cooûv avSo0, xAv xs vain {50- VOS, XAV BATOT ŒUTOv Gogo TLOGUdE, xplve DÉC, Ev- pemiSou éari toù toæyuxoù oyos. Unde Euripidis verba (meae editionis fr. 894) restituere conatus est Porson Advers. p. 277 hunc in modum: copov yao AvBo, rAv ÉKS VEUT ASOV0S, xav pnrot 0001 sioido, xp DÉAoY. Recte ille quidem pleraque administravit, nec tamen initium loci restituisse videtur. Ubi tèv copcy avôgæ praebent Basilius et Iohannes Georgides, tèv copoy Procopius Gazaeus, ro &yaSoy substituit Themistius p. 275 B, oi onoudaîic: avges Commemorantur ab Tamblicho, denique rov £a 5X0v av8ga habemus in scho- lio Jamblichi supra allato. In tanto testium dissensu non mirabimur si diversas in partes abierint iudicum sententiae. Omnino improbavit tèv copoy avdsæ Schnei- dewinus in Anglico quodam diario (Journal of classical and sacred philo. vol. 1 p. 279) tanquam fatuum et ab aocœcts librariis poetae obtrusum. De librariis falli vi- rum egregium docet Cicero de N. D. 1,44, 121: quanto stoici melius, qui a vobis reprehenduntur : censent autem sapientes sapientibus etiam ignotis esse amicos: nihal est enim virtute amabilius, quam qui adeptus erit, ubicun- que eril gentium, a nobis diligetur. Neque probabile arbitror quod Schneidewinus coniecit toto yae avopa vel toroùrov avèo scripsisse Euripidem. Potius quod in scholio Jamblichi habetur rov 05 X0v avdoe ut sen- tentiae et metro convenit, ita confirmatur Tuliani loco quodam, quem huc referendum esse nec suspicatus est quisquam nec facile potuit suspicari. Compellat autem Tulianus Epist. 76 Eustathium quendam philosophum his verbis: pn Mav n orvov Toochuov To «Toy EG TV avopar: ta à Éveëns cod Onrovdev, AAA a Eyes. oo Sa pLèv ao dTe Àcytos Ov ka phoTODOs TO ÉTOLEVOY auto, êué dE yes oo, ere oùy (vod probabiliter Hertleinius) dyupo écSaof éouev. Verba quae sunt +cv 20Shov avdoa Eustathius Il. p. 800,9 secutus scholion Il. K 224 à Cramero in Anecd. Paris. vol. 3 p. 87 edi- tum deprompta putavit ex Soph. Ai. 1352: rôv éaShoy dvd fon HAVE TOY Êv TÉRE, vel potius, si libros Sophocleos et Stob. Flor. 5, 12 sequamur, xAverv Toy ÉoThov avdoa fon Tov Êv TRE. Cui opinioni manifesto obstant Tuliani verba, id quod recte intellexit Heyler p. 526: «fatebor lamen haud satis mihi liquere, qui sequens epistolae contextus -ad ciusmodi gnomen pertineat». Dicit Tulianus non de ob- sequio quod Eustathius philosophus magistratibus prae- stare debeat, sed de amicitiae vinculo, quo Eustathius et ipse, modo ambo sint écShot, non possint non esse coniuncti. Itaque manifestum est Iuliani loco indicari Euripidis fr. 894 et roy £o5x0v avèoo scholii Iambli- chei seripturam Juliani testimonio stabiliri. Ante 66- cos legitur in codice Florentino pn supra scripta + litera cum compendio parum perspicuo, quo 6v signi- ficari arbitror. Itaque cum Basilius et [ohannes Geor- gides x&v pnrot œitoy 6ocox praebeant, x4v LTOS (vel pnroS) Socots extet apud Procopium, in Iam- blicheo scholio x@v pay Tov Cocos videtur perhiberi. In ista scriptura inesse coniicio xäv pLn œUTov Coca, poetam crediderim maluisse scribere x4v pn viv 0o- cots Etotd0. VIL Fol. 42 a: "Ehanvos à éyévovro wromtoreumot (ot- Aorchepor Laur.) Baotines: Ampos te HoûSoc Te ai Aic- À0S ÉTTLOL LOS. Hesiodi habes versus (fr. 32 ed. Goettl., fr. Kink.) allatos ad Tamblichi $ 242: év de véoy axovetv iepois EXanvæ yayovévar Atcs, Toù 25 p.95 Bafvro- S AGpoy xal ÆodSov xat Alcdov, ais Donne axohouT GEL koi Tois A abrov si odov. Ubi in extremis verbis xat œurôv ets bodoy latet non quod Koenio auctore editores substi- tuerunt xoi œirov Hocÿorev, neque enim novit Hero- dotus istam gencalogiam, sed id quod Cobetus reposuit xaù Toy Hotoÿev. Atque iam in Laurentiani libri mar- gine corrector quidam satis recens minio adscripsit ‘Hotoèov. Quac correctio verissima ut facile cuilibet se offerebat qui legisset versus Hesiodeos in margine ap- positos, ita difficilis erat ad inveniendum siquis He- siodei loci esset immemor. Itaque iure nostro videmur suspicari quod legitur in margine scholium antiquius esse quam scribendi vitium quod est œorôv ais bcdov. 17 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 18 VIIL Fol. 42 a: oteûro Dë dubaov, miésuv D oÙx etyev £EGTOU. Versus Odysseae (À 584) adscriptus est verbis Tam- blichi $ 245: où à, Éoree "Opnpos qnst roy Tavrahoy, nova THQOVTOY AÛTOY év LEGO TOY AXOUTLATOY pn- Sv arohavovres (arokavovtras Laur.). IX. Fol. 45 b in margine superiore: HuSæyéons £y- yLoTa oovov ÉxaTov Biorever Teocapaxovra À ÉVOS het- TopLÉVOUS OpEhel. Spectat epigramma ad ea quae Tamblichus tradit $ 265: adtov pév Yap MuSaycgu dpnyaoas sat XÉYETOL évos déovtos ét TEGOROAXONTE, TA TAVTA Blooavra ÈTn yyds Toy Exaxov. Nec dissentiam siquis versus illos ex ipsis lamblichi verbis, quibuscum mirum in modum concinunt, factos contenderit. Utique Byzantinae aetati illud distichon deberi arbitror: etenim Byzantinis de- mum, nisi fallor, xoovos plane idem est quod annus. Vitiosum est quod in fine distichi habemus cest, ubi secundum Tamblichi orationem expectes dôaoxe vel simile vocabulum: cuius notionis formam quae versui conveniret frustra quaesivi. Fortasse poeta ipse pecca- vit ita ut in ogshet forma radicis vocalem male corri- peret atque dœsxci pro dôaoxet dictum vellet, sicut ecclesiasticis scriptoribus opesiv esse id quod nos di- cimus erbauen docuit nuperrime H. Usener in libello doctrinae et ingenii dotibus insigni, quo de sancta Pelagia quae feruntur edidit (Legenden der heiligen Pelagia. Bonn 1879) p. 34. Si librariorum errori de- betur istud ôpexe?, ad traditas literas proxime accedet scriptura: reccapaxovte D Evèc herropévous ApehEic. Centum paene annos vixit Pythagoras, & quo numero subtrahes annos undequadraginta, per quos nimirum, cum scholae esset praefectus, non sibi vixit sed aliis. Ita intellegi saltem epigramma poterit, cuius emendatio melius fortasse aliis cedet. X. Inter Pythagoreos commemoratur in fine libri Iamblichei $ 267 Excarns Magpewôns. In margine in- feriore fol. 46 a codex Laur. haec praebet: tt xai 0 Haguewône 0 &E Exéas [uSayoperos nv. &Ë où Smhov rt xai Znvoy à duporepoyhoocos à xal Ts dp{As TNs do Acxrimns mapudous, Gore x IluSæyépo noËaTo n do- XEXTIEN,. Enroptxn: Tioias Yyap xai opyius xai Iodos Euredohéous toù [uSayopetou pra- SnTai. Verbis Znvoy © apoorspoyhocoos respicitur Timonis Tome XX VI. haec { ’ si Ne OCANTOS dE KA TN Phliasii fr. 5 ed. Wachsm.: oSévos oùx haradvoy Znvovos, quae verba habet prae- ter alios David in Schol. Aristot. ed. Berol. p. 22 b 28 Zenonem et Empedoclem fuisse Parmenidis auditores tradit Alcidamas apud Diog. L. 8, 56. Gorgiam Em- pedoclis discipulum haud pauci perhibent, cf. Satyrus apud Diog. L. 8, 58. Suid. v. lopyias. Schol. Plat. p. 345. Quintil. III, 1, 8 XI. In Pythagoreorum indice haec habentur verba (p.86, 14 ed. Didot.}: Kugnvator Topos, Mehdvinmos, AULPOTENOYAWGOOU TE [LEVEL Agrotayyshos, Gecdopos. Istuc spectant quac fol. 46 b superiore in margine apponit codex Laur.: Gt xat © Kopnvaios IuSayopetos (IerSaycpctos Laur.) 6 cuvaxpa- cas Zoxpare. Mautila verba supplet Erwinus Rohde hunc in mo- dum: êxe xai © Kuonvaios [OscSopos| MuSayopstos [nv] Theodorum (‘yrenaeum Toy ycopétony novimus ex Xenophonte et Platone, cf. Diog. L. 2, 103. 3, 6. d ouvaxpasas To Eoxpare. Notiz über eine merkwürdige arabische Handschrift, betitelt ,<* Baron Victor Rosen. (Lu le 2 octobre 1 L?) à! Lisci be Es y99. Von 879.) Der Bibliothek der hiesigen Universität ist im An- fang des laufenden Jahres durch Vermittelung des H. Docenten W. Smirnoff ein werthvolles Geschenk, in Gestalt einiger arabischer und türkischer Handschrif- ten, von H. General-Major Boguslawski, ehema- ligem erstem Dragoman der russischen Gesandtschaft in Constantinopel, dargebracht worden. Die in jeder Hinsicht beachtenswertheste dieser Handschriften bil- det den Gegenstand gegenwärtiger Notiz, welche nur in aller Kürze die Anlage des in der Handschrift ent- haltenen Werkes darzulegen bestimmt ist. Codex, ein starker Band von 211 f. zu 27 Zeilen, 27 Centim. hoch und 18 Centim. breit, führt den Titel ): als pal) JE SN] prie (ace RE QE D ” ÿ* dan 7 Le dl : mel à ciel 4° Le Ua) Jaill el ol oi a) us Lisui SbRSe Cu yes US se ali 1) Das Titelblatt zeigt andere Schriftzüge, als der Codex selbst, aber dieselben, wie zahlreiche Randbemerkungen und Ergänzungen. 2) Cod. ohne Punkte. 5) 4 19 Ce J2Y Qi) sl LU? H © "y JS Ti JS de sell S Etsll 4ic dj SU = ob eo Sel LaJ] SL , du , Wir haben es also mit einem Werke des bekannten und berühmten Traditionsgelehrten [bn Hagar *) al- ‘Asqaläni + 852 zu thun, und zwar mit einem Ver- zeichniss aller von ihm wirklich gelesenen oder durch die Igäza in ihren verschiedenen Formen von ihm überkommenen und weiter überlieferten Schriften, gleichsam dem Schlüssel zu seiner gesammten literä- rischen Thätigkeit. Die Vorrede, die ich ganz mittheile, giebt näheren Aufschluss über Veranlassung und Anlage des Werkes. Sie lautet folgendermassen: Je ess Je dl Le ml cell dl po LS \J d y Ji ‘ Lis is dax os. (ie ms + hall 4° phil 9 5 Yall , gl AS 9 all Le > Ë Cu Je ps JF Le ill ssl ‘ cod S Ja Je Lel a pu) dus > 6 Jai LU EE cl] . es dailul D J= e o üls À] Yo? que PAIE F 43 jake ér ÿ* £ OtE ses 4) ÿ? das >) tel e s eo aLil 2 ds il cie ee, esse, Coyll we ji L) pl ap 3) Ueber sein Leben cf. hauptsächlich Quatremère,Sult. Maml. I, 2, p. 209—219; über die Aussprache seines Namens cf. die bei Flügel H. Kh. VIT, 609 beigebrachten Citate. Die Form Hagar, für die sich auch de Goeje, Catal. Lugd. V, 208 entscheidet, wird durch den von Sujûti (s. die Vorrede zu Sprenger’s Ed. der Içäba) citirten Vers des Shihäb-ad-din al-Mançûri bestätigt, da in dem- selben offenbar eine Anspielung auf den Namen Ibn Hagar steckt. Der Vers lautet: 0 DEL lai Lel e (Je ces CS 5 0 > JS? De l Sie QE *# LJ DA) pl, Der Artikel des Tag-al“arûs, v. III, p. 131 giebt keine direkte Vorschrift für die Aussprache des Namens, lässt aber wenigstens über denjenigen des nicht weniger berühmten Namensvetters unsres Autors, des Ibn Hagar al-Heithami keinen Zweifel bestehen, denn es heisst ibid. p. 132, L. 1: asäal) spa) Lol => or Le U? . li] Lels als EI 1e Ueber diesen Ibn Hag: ar cf. Goldziher’s Beiträge zur Litteratur- geschichte der Shï a in den Wiener Sitzungsberichten. Bd. LXXVIIN, p. 453 sqq. » du Fi ce aol) pool en a) al | Bulletin de l'Académie Empériale 20 OI Dh rl D Ball # Les se 02 LA pe | t Élus LIL Do #] en dd] CU 93%? r BUS 22 ét # OIE 4) Jai E dr see] L99 > Le Lys » pois) U9e£ LU ll, MIE UE aJ [1] civil 3 # ( (54) esY al ds (1) es “( Æ. a +) Le LL SL): Cp) l a), es es Al JA Le EYE dre Ses JL : el ul 9 Fm m 8 La » Dsl J5l us GLS 3 bas os |, Les Je Ji Qué seb Uoks 1 dires | 1,5 asle J éslall, J all) LL LE Le, SU U2% Uyéë Là de Qi JS 5 & Ces), aise) ec"! 4, Ut, Gil Hi) ESS, ce Lib SLI SEE Uoyes Van Les LE ne 5) LILUCE 28 ele Ji] 0) EX AE Le) Lo) , JeS el on Sol] ge pèss 5] 5 5] ee y peell eb A A Hs y nl Len . gas LE A £ Le) glll, 9 aol) 27? le Jt en ÿ* Las ve. äelæ)] SL &l, y n 392 ailes dus En y? co Je£ pl aa) Jb (a Lu] DT Her ue de à M LE 9e aJl. ( [se Y] a) Ÿ 95 Lis [Es Le &l © Ris Ibn Hagar’s hervorragende Stellung als Tradi- tionsgelehrter ist allgemein bekannt. Die grosse Mehr- zahl seiner Schriften, über die man bei Haji Khalfa ©) Auskunft findet, behandelt die mit der Tradition zu- sammenhängenden verschiedenen Wissenschaften, und zur Abfassung dieser Werke war eine umfassende Be- lesenheit nüthig. Ueber den Umfang derselben künnte man sich annähernd eine richtige Vorstellung machen, wenn man aus seinen sämmtlichen erhaltenen Werken die Quellencitate sammelte. Da nun aber in den mei- sten europäischen Bibliotheken *) sich wohl das eine 4) Am Rande mit 5) Am Rande mit 6) Zu lesen re d. h. die specielle Igäza. 7) Am Rande zugefügt. 8) Index X 8412. 9) Siehe z. B. Rieu, Catal. Mus. Brit. p. 111, 155, 247, 669, 710, 722; Loth, Catal. Ind. Off. Xe 125, 198, 199; Nicoll-Pusey p. 665; Dorn, Cat. Bibl.Imp.Publ. p. 46 Pertseh, X 583, etc. Denen, die sich für die Fortsetzung der dank Sprengers Bemthungen begonnenen 21 oder das andere seiner Werke findet, jedoch eine be- deutende Anzahl derselben verloren, oder wenigstens bis jetzt nicht aufgefunden zu sein scheint, so füllt das vorliegende Werk eine empfindliche Lücke in un- serer Kenntniss sowohl der Quellen Ibn Hagar’s, als auch der arabischen Literaturgeschichte überhaupt, in wünschenswerthester Weise aus. Gemäss dem in der Vorrede angedeuteten Plan giebt das erste Capitel das Verzeichniss der «grossen in Ca- pitel eingetheilten Werke» (AI à nl SU] ln] Le ës Ù LS). Es beginnt noch auf f. ik unmittelbar nach dem Schluss der citirten Vorrede mit dem (ç, En] RÉ welchem zunächst die übrigen canonischen Traditionssammlungen und dann andere weniger angesehene Werke derselben Art folgen. Auf f. 15° findet sich ein besonderer Abschnitt, betitelt: LL) all) CNT Le sue DS Jess Lallé LU Jes A be ral JAUNES CUVE HAE M] F.17° oe 15 din lb ä5 all el ee 1 Les gl E D)9 Le dan P Jo es >)9 Le EL): us “1] de Lo} ,£ LS 1 MAS ane, pal FL es te) 5 3 F..36° ue), SL, ol 3 les F. 45% (L Da.) CI, 5, des] 3 Jos F. 48" paball oLall ga Li Jei F53% (ol (3 Jess F. 56“ AU, Jileill 3 Jes F67 aelall pp Jlsel s aelull LL (3 des Edition der Içäba interessiren, wird die Notiz willkommen sein, dass die Kais. Oeffentliche Bibl. unter den aus Chokand stammenden Handschriften, sub. N° 151, einen Band der Icäba besitzt, der vom > bis zum Namen 35 EL del de D j J? äLb cp Je r'£ QU? geht. Eine alte und wie es scheint gute Handschrift. 10) Darunter f. 53e. LG Ü? pol cb, all LS ” und f. 53h: 53 Llf los _pùE dau ts al ls, l Ù Das letztere ist vermuthlich identisch mit dem von Wüstenfeld «Die Familie el-Zubeir» Güttingen 1878, besprochenen Werke. Am Schluss des 16. 4 3» des Gôttinger Codex steht (1. c. p. 5, Z. 2) die Notiz dass dieser Abschnitt der letzte der Muwaffagiat ist. Die Abschnitte 17—19 hat man sich also als Zusätze des Ahmed b. Said ad-Dimashqi zu denken. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 2? Auf f. 58° schliesst das erste Capitel und wir er- fahren durch die Unterschrift, dass der Verfasser die Reinschrift desselben im Ramadän zu Ende brachte. Das zweite Capitel handelt von den «Musnad» ge- nannten Traditionssammlungen. Die Ueberschrift des Capitels lautet: 510] 29 Hall à lets Jal, O 5lu, sélall 3 QU QUI Das erste Werk dieser Art ist das à» HN Ja. Es folgt eine Reihe ähnlicher Werke, unter denen auffallender Weise auch einige lab und ,2lee auf- geführt sind, die eigentlich nicht hieher gehüren, son- dern in das unten sich wirklich findende Capitel der biographischen Sammelwerke. Fol. 66° beginnt ein neuer Jes, betitelt ll] NE. el) QU" Zusammenstellungen der auf die Auto- rität einzelner berühmter «Gefährten» oder «Nachfol- ger» basirten Traditionen. Das erste Werk der Art ist das ge Jall pe Us) Je von Jelo ÿ? Je 1. Die «Gefährten» und «Nachfolger», die dieser Ehre theilhaftig wurden, sind (in der Reihenfolge wie sie unser Autor giebt): Abu Bekr, Omar, Othman (2 Mus- nad), Ali (3 Collectionen), Mûsa b. G a far b. Muham- med b. Ali b. al-Husein b. Ali «b) QE an) Je) Talha b. Ubeidallah, Sad b. Abi Wagqqàs, Ibn Mas üd, Biläl, Hubäb b. al-Aratt, Ammär b. Jäsir (3 Coll), Çuheib, Ka b b. Mälik und Abu Ajjüb die Ançàrier, Abu Hureira (5 Coll.), Abu Said al-Khidri ©), Ibn ‘Omar (4 Coll), Abdallah b. Amr b. al-Às (2 Coll), Tbn Abbäs, Anas b. Malik (3 Coll.), Abu-l-Usharà ad- Därimi (% eu Lil ÿl, Fâtima, ‘Âisha (3 Coll.) Mu ädha alUdhrijja & ygall 55lee von ‘Aisha, Umm- Salima Umm-al-muminin. Ausserdem ein Musnad solcher Gefährten, welche nur wenige Traditionen überlieferten nr ile) * gl Jime Von ne y) slsul, ein Musnad solcher, welche nur je eine Tradi- tion überlieferten Je Jill Jhuwe VO dell Je pl 11) D.h. also Zusammenstellung von auf Ali zurückgehenden Traditionen, die vom Vater auf den Sohn ühergehend, bis zu dem genannten Mûsa gelangt waren. 12) Cod. (y dl; 1. 201! ef. Biogr. Dict. IV, p. 158. 13) Fol. 690, wo sich diese Notiz im Text findet, ist sie ausge- strichen, am Schluss des Abschnitts, fol. 70Ÿ. aber wieder eingetra- gen, von der Hand des Glossators. Ebendaselbst wird auf das fünfte Capitel verwiesen, wo fol. 161% sich die Sammlung unter dem Titel go) Jial] vol en Je auch wirklich verzeichnet findet, 2% 23 Bulletin de l’Académie Fmpériale 24 in 3 es und ein (* Ulusll Jme Von [Ibn Nägia ue) ànel. Dieselbe Hand endlich, welche die Notiz über das pal] ce) Jam hier ans Ende des Cap. gesetzt hat, hat noch eine Notiz zugefügt über ein sl (6 5s Le cj (bé Je De 5], gesammelt von or) Ex) ol Cols. Dasselbe wiederholt f. 141. Das dritte Capitel zählt die Bücher oodl Dis auf. Zuerst mehrere Werke über die gesammte Tra- ditionswissenschaft, denen sich viele Monographieen über verschiedene einzelne Zweige der genannten Wissenschaft anschliessen, ohne Gruppirung in J 3es; Jall 3 Je dann folgt f. 73° F. 74! Sulul} (à Je R76* pool) Q Je In diesem Abschnitt stehen die Werke über + 2 Ro7 TS less Hier stehen die verschiedenen biographischen Werke Tarikhe, Tabaqät etc. F.84 > Gal, 2 3 Jai die biographischen Localchroniken ”). F. 86° AIT Line (3 (52e Le Jill] Cf (3 Je Umfasst sowohl die locale J5lss— litteratur als auch verschiedene Ale einzelner Celebritäten. F. 88‘ ou] (3 Jui F. 89" beginnt das vierte Capitel: Fe Lao] (3 Ole NN, ll], gril. Der Verfasser macht 14) Den Unterschied zwischen Doll] J'uwe und Jus Que J)] vermag ich nicht anzugeben. Es sind müglicherweise nur verschiedene termini für eine und dieselbe Sache. 15) Cod. » [ee Je (JE punctirt nach f. 1410. 16) Cod. {Le 17) Das vorletzte in Werk ist übrigens eines, das nicht hier stehen sollte, nämlich das LUS D as) cod pla) a Am Schluss der Not diesem Abschnitt genannte heisst der Autor +) dl Jar cp Us sui ») QièeJil, und Ibn Hagar macht dazu die Bemerkung Us Si D?) ét 3 | je a “sd Eh J SA) cal ass] AB OR REA Gemeint ist jedenfalls das durch W. Nassau Lees’ Ausgabe in der Bibl. indica und durch M. J. de Goejes Analyse (Mémoires d'Histoire et de Géogr. or. Leiden 1864, M 2) bekannte Werk. gleich darauf aufmerksam, dass einzelne hieher gehô- rige Werke schon unter den yailwe, andere unter den Büchern £oy-dl Os Là vorgekommen sind. Der erste Jas handelt über pos ap Je =lall rl, und beginnt gleich nach der citirten Ueber- schrift des vierten Capitels. BOT pal CHE 0 CR leu) € JE r sel) So Je Les étäll 5 pelall ON roi pos} La Wé, vs, Cl) Ge péleul F. 98? db pos Lol die lue Y] 3 Je Das fünfte Capitel beginnt fol. 103? und trägt die Ueberschrift ee ape) 5 id J* pr) JS lys a dal 4 eiXb il Lio) ssl) Gore Le Dies Capitel ist das längste des Werkes und schliesst erst auf fol. 191", wo das sechste Capitel beginnt: SL) gas Ji Y nn) polall Lu coll SU] Ule. Es zerfällt ebenfalls in mehrere Abschnitte, nämlich: Qh)l pale gu-lul LUI se JM Jill F. 197 CN 3 uolull QUI ce GUN Jai ns] Ÿ® ssl] 0 a EF, 200% SG soill , (SIN LS 8 ÉJUN Joill IE Ss os), FOOT Joel dsl , all ci 3 cb) Jill 10 205" ä pal , él) AS. 12 Cela) Jill 1], Da die meisten Artikel nur wenige Zeilen einneh- men, so ist die Zahl der verzeichneten Büchertitel eine sehr bedeutende, und wenn man auch zugeben muss, dass Ibn Hagar nicht alle diese Werke selber gelesen hat, sondern nur dank den laxen Vorschriften über die Igäaza sich das Recht erworben hat sie alle unter seine b, ,- aufzunehmen, so bleibt doch noch eine stattliche Reihe übrig, die er sicher in seiner Bibliothek besass und fleissig benutzte, Für die Vervollständigung aber unsrer Kenntniss der arabischen speciell-theologischen Literatur muss der Werth des vorliegenden Werkes sehr hoch ange- 18) Unsicher, weil stark corrigirt. 25 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 26 schlagen werden. Freilich nur in bibliographischer Hinsicht, denn die einzelnen Notizen beschränken sich fast immer auf die Angabe des Titels, des Autors und der Lehrer, durch deren Vermittlung das betreffende Werk zur Kenntniss unsres Autors gelangte. Leider stellt sich der Benutzung unsrer Hand- schrift ein bedeutender Uebelstand entgegen. Es ist das die ganz exceptionell schlechte Schrift derselben. Der Codex ist so alt, als man bei einem Werke, dessen erstes Capitel, wie wir oben sahen, im Jahre 833 be- endigt wurde, und dessen Autor im Jahr 852 starb, nur wünschen kann, und sehr gut erhalten, aber die Schrift ist überaus flüchtig ”) und schwer lesbar, fast ganz ohne diakritische Punkte, was bei einem Werk, das fast nur Namen enthält, ein grosser Mangel ist. Die Erklärung dieses Umstandes finden wir in der Un- terschrift, die folgendermaassen lautet: gs US ss] ol lai) els LUI al al] plell Le OL, Le Qi) rire) I y Le Q? sl Jill mn) ol CAS, oJes dj Jedi, aie qÿl (és ailill (ç all PRE oil Désir ds dj dl ail Jaall oE Le ra à y) db ail sl lle les RE en ss 5 re ... dau Sal (5? 8 ÿy* Opus pèl 0 à oJe, dy Jedi, à) fe &lelé, Wer in «wenigen Tagen» einen Folioband von 211 Blättern abschreiben muss, kann billigerweise auf Nachsicht Anspruch machen, wenn seine Abschrift nicht sehr leserlich ausfällt. Die mit rother Tinte geschriebenen Büchertitel sind glücklicherweise sorgfältiger geschrieben, und theil- weise punctirt. Soviel ich sehe ist unser Werk bis jetzt ganz un- bekannt gewesen. H. Kh. scheint es nicht gekannt zu haben *) und ich habe auch sonst nirgends eine Notiz 19) Hier und da sind kleine Lücken; Büchertitel ohne die Liste der Sheikhe ete. Gelegentlich sind diese Lücken von der anderen Hand nachträglich ausgefüllt, die, wie oben bemerkt, auch das Titel- blatt geschrieben hat. 20) Sie!? 21) Für den Einer ist ein kleiner Platz gelassen, der sonder- barer Weise nicht ausgefüllt ist. Oder sollte man das 9» vor Dis streichen ? "29) Er nennt das Werk weder unter dem Titel, den es in unse- rem Codex hat, noch unter einem anderen. Ich habe die im Index gegebenen Verweisungen sämmtlich nachgeschlagen, — ohne Resul- tat. Das vereinzelte Factum aber, dass er IL, 117 den Ibn Hagar sagen lässt, dass von den drei Editionen des «SJ Lx} Ex zwei darüber auftreiben künnen. Abu’1-Mahäsin’s Liste der Werke Ibn Hagar’s, aus der Quatremère 1. €. p. 218—219 einige Hauptwerke hervorhebt, habe ich freilich nicht einsehen künnen. Sollte sich auch noch ein Exemplar in einer der europäischen Bibliotheken finden, so bleibt das Werk doch jedenfalls ein überaus seltenes, und die Acquisition desselben für die Biblio- thek der St. Petersburger Universität eine hüchst werthvolle. Daher ist die Bibliothek dem Hrn.General- Major Boguslawski für das dargebrachte Geschenk vielen Dank schuldig. Sur l’excitabilité de la moelle épinière et la vitesse de la translation de l'excitation nerveuse le long de cet organe. Par W. Weliky. (Lu le 11 sep- tembre 1879.) Depuis les travaux de Hitzig, Ferrier, Car- ville et Duret etc., presque personne ne met plus en doute la propriété de l'écorce grise des hémi- sphères cérébraux de s’exciter par des courants élec- triques. Nous avons avec M. le professeur Owsianni- koff constaté le mouvement des yeux sous l'influence d’excitation mécanique du cervelet au moyen d'une aiguille. Sous un autre point de vue tout à fait se présente la question de l’excitabilité de la moelle. La plupart des physiologistes sont presque d’accord sur l’inexcitabilité de la moelle par rapport aux agents extérieurs (Van Dean, Guttmann'), Wolsky etc.). S. Meyer”) nie l’excitabilité des colonnes antérieures. Engelken) dit qu’il est indispensable d'employer des courants très forts. Dittmar‘) en mesurant la pres- sion sanguine est arrivé d’une manière indirecte à noch vorhanden seien, und dass in unserem Codex, fol. 77V, diese 3 Werke wirklich erwäbnt werden und zwar so, dass Ibn Hagar”s Kenntniss gerade zweier (des «grossen» und «nittleren» ul Le NIE) nicht füglich bezweifelt werden kann — dieses Factum genügt niçht, um zwingende Schlüsse über die Bekanntschaft H. Kh. mit unserem Werke zu gestatten. 1) Guttmann, Archiv für die gesammte Anatomie und Physio- gie (Pflüger) 1867. 2) S. Meier. Archiv für die gesammte Physiologie und Anato- mie. 1868. 3) Engelken. Archiv für die gesammte Physiologie und Ana- tomie. 1867. 4) Dittmar. Ludwig’s Arbeiten. 1871. 27 Bulletin de l’Académie Impériale 2s à démontrer l’excitabilité des fibres centripétales de la moelle. MM. Cyon et Aladoff affirment que la substance grise est excitable par des courants électriques. M. Cyon en mesurant la vitesse de la translation de l'excitation nerveuse dans les faisceaux antérieurs et ayant prouvé qu’elle était de un à trois mètres en 1”0, a de cette manière indirecte démontré l’excitabilité propre des faisceaux antérieurs. Il parait que la mé- thode indirecte surtout la dernière est la seule bonne parceque, comme l’a démontré Wolsky, l'excitation mécanique n'a aucun effet jusqu’à ce que l’on pique avec l'aiguille la moelle jusqu'à l’origine des racines. Si on emploie les courants électriques on à à craindre les ramifications du courant d’après Wolsky. En commençant ce travail nous avions en vue de répéter le travail de M. Cyon”) et d'étudier l'influence de quelques sels et d’alcoloides et celle des courants électriques sur l’éxcitabilité de la moelle et la vitesse de la propagation de l’excitation nerveuse. Mode d'expérimentation. Deux paires d’électrodes de Cyon pour la, moelle, en platine, distantes de 5°” étaient liées par le commu- tateur Pohl avec la bobine secondaire Dubois. La bobine se chargeait par quatre couples Daniell, cuivre en dedans du zinc ce qui donne un courant plus con- stant. La contraction du gastrochemien s’inserivait à l’aide des polygraphes Marrey sur le cylindre enregis- treur. Le coup de rupture ou de fermeture se faisait automatiquement à volonté par le cylindre lui même. Tous les contacts étaient en platine et le temps s’in- scrivait sur le cylindre à l’aide du signal Depretz lié à un diapason a 100 V. d. par seconde. Lors que l'excitation était nulle le signal Depretz était tran- quille; mais dès que le courant entrait dans la moelle le courant qui passait tout le temps par le diapason passait alors en partie et du même coup dans le signal et le faisait vibrer. Ainsi j'avais le temps inscrit en O0: Plus de deux cent expériences que j'ai faites pendant hiver et le printemps, permettent de déduire que les faits annoncés par M. Cyon sur la vitesse de la trans- lation de lexcitation nerveuse dans la moelle sont 5) E. Cyon. Über die Fortpflanzungsschwierigkeit in dem Rü- ckenmark.1873.Bulletin de P Académie des Sciences de St-Pétersbourg. exactes, c’est à dire que cette vitesse est de 1 — 3 mètres par 1” et le plus souvent 1 — 2 mètres; mais je ne suis pas d'accord avec cet auteur quant au fait de l'influence des sels appliqués sur les couches optiques sur la vitesse de la translation de l'excitation. L'influence du sel marin, du sublimé corrosif, du chloral est très peu marquée, Sur les grenouilles d'hiver et de printemps l'effet est nul; la vitesse et la force de la contraction restent les mêmes. Dans le travail de M. Cyon on voit méme que la vitesse n’est ralentie que du double seulement, tandis que le temps d'arrêt examiné par la méthode de Türck est infiniment plus long. Ainsi il est impossible d'admettre avec M. Cyon qu'on puisse avec cette méthode mesurer les vitesses, et abandonner tout-à-fait la méthode Türck. Du reste par la méthode Cyon on mesure la vi- tesse dans le système moteur seulement et par la mé- thode Türck on mesure à la fois la vitesse et Le ra- lentissement de cette vitesse dans les nerfs sensibles et moteurs. En mesurant par la méthode Cyon le ralentissement dans le système moteur on voit que ce ralentissement est presque nul; par conséquent il est permis de supposer avant tout que le ralentissement se fait dans le système des nerfs sensibles et peut-être à l’aide d’interférences des ondes d’excitations qui vien- nent — les unes — des couches optiques, les autres — de la périphérie. L'influence de la strychnine est nulle dans le sys- tème moteur (d'accord avec Rosenthal®). Quelque faits isolés sur l'influence du courant d'in- duction simullanément avec un seul coup d’induction sur la moclle epinière. Les électrodes étaient les mêmes, seulement par une paire de ces électrodes on pouvait faire passer à vo- lonté un courant d’induction. Cette paire était ap- pliquée sur les couches optiques des grenouilles sans hémisphères et l’autre paire, celle par laquelle passait un seul coup d’induction, était toujours placée au- dessous du renflement brachial. Avec une certaine force de ces deux courants on à trois effets distincts: 1) Ou l’on w’observe aucune influence sur la force de la contraction. 2) Ou l’on remarque que la hauteur de la con- traction très-faible par elle même, s’éleve de deux fois 6) Rosenthal. Monatsbericht der Berliner Academie. 1875. 5. 419—420. 29 ® 2 des Sciences de Saïint-Péteersbourg. 30 ÉTERNEL E RS P EEEEEEN ECOEENESE DEEE et demie par l'introduction du courant d’induction (ce courant est assez faible et ne provoque par lui-même aucune contraction). 3) Si le courant donnant un coup d’induction unique est assez fort on voit survenir l’affaiblissement de la hauteur de la contraction du double. La vitesse de la propagation de l’onde d’excitation n’est pas modifiée sensiblement. Ce fait concorde avec l'observation de Rosenthal que la vitesse de Ponde d’excitation dans les nerfs moteurs ne dépend pas de la force du courant excitant. Ici nous voyons peut-être un exemple d’interférence des excitations dans le système moteur. L'analyse de ces faits et les expériences sur les mammifères for- meront l’objet de notre prochaine communication. Note sur la Benzoine. Par N. Zinin. (Lu le 4 décembre 1879.) La benzoine ne se laisse pas distiller sans altera- tion. Si l’on soumet une certaine quantité de ben- zoine à des distillations reiterées, on voit qu'elle est bientôt intégralement transformée en un mélange d'hydrure de benzoyle, de benzile, de desoxybenzoine et d’eau. La décomposition s'effectue d’après équation 2C;H,0 + C0, + C0 + 1,0 = 3C,,H,0,. Les quantités des substances formées dans la ré- action correspondent suffisement aux quantités don- nées par l'équation. Liebig, en faisant passer la va- peur de la benzoine à travers un tube chauffé, a ob- servé la formation de l’hydrure de benzoyle. —- I] à supposé que la benzoine se transformait directement en hydrure de benzoyle, mais j'ai trouvé que dans cette réaction aussi, la décomposition de la benzoine s'effectue d’après la même équation que pendant la distillation. L’acide sulfurique concentré fumant ou anglais con- vertit aisement la benzoine en benzile, il se dégage de l'acide sulfureux dans la réaction, aucun produit se- condaire ne se forme pas. Le même acide dilué de 15 à 20 parties d’eau n’agit que faiblement même à l’ébullition; dans des tubes scellés, à une plus haute temperature, la plus grande partie de la benzoine est aussi transformée en benzile, parmis les produits hui- leux ou resineux on trouve le lepidène mais en quan- tités toujours très petites. Limpricht a déjà observé la formation du lepidène dans l’action de acide sul- phurique sur la benzoine. Le quadrichlorobenzile est très facilement converti en benzile par Paction de l’acide sulfurique, la réac- tion est nette, il ne se forme pas d’autres produits. Le chlorobenzile est très soluble dans lPacide acé- tique glaciale; si l’on introduit de la limaille de zinc dans une solution assez concentrée de chlorobenzile dans l'acide mentioné, la réaction ne tarde pas à com- mencer et le liquide s’échauffe fortement, — si l’on refroidit en secouant le flacon et en le plongeant dans l’eau froide, la réaction cesse bientôt pour ne plus re- commencer à la température ordinaire et tout le chlo- robenzile est transformé en desoxybenzoime, presque parfaitement pure. Mais si après avoir ajouté du zinc en excès dans une solution du chlorobenzile, on ne refroidit pas le mélange — et, après que la réaction très tumultueuse ai cessée, on chauffe encore quelque temps jusqu'à lé- bullition, la reduction va plus loin et le chlorobenzile est transformé en stilbène. Zum Gedächtniss an F. À. Schiefner. Rede gehalten am 11. December 1879 in der Sitzung der Kaiser - lichen Akademie der Wissenschaften von F. Wiedemann. Am 4. (16.) November dieses Jahres verlor die Kaiserliche Akademie der Wissenschaften zu St. Petersburg in dem Akademiker wirklichen Staatsrath Schiefner durch den Tod ein Mitglied, das, wie wenig andere, wegen seiner personlichen Eigenschaften von zahlreichen Freunden und Bekannten geliebt und ge- schätzt und durch seine wissenschaftlichen Arbeiten im In- und Auslande bekannt und geachtet war. Franz Anton Schiefner, geboren am 6.Juli 1817 in Reval, war der Sohn eines Kaufmannes, der als un- bemittelter junger Mann aus Bôühmen ein gewandert war, aber durch Fleiss und Rechtschaffenheit sich in dem neuen Vaterlande eine auskômmliche Stellung geschaffen hatte. Neben vier Schwestern hatte Schief- ner noch einen Zwillingsbruder, welcher sich dem Ge- schäfte des Vaters widmete, während Franz Anton sich 31 Bulletin de l’Académie Impériale 32 ———————————— ——_—@@ non schon in der Vaterstadt für eine künftige gelehrte Laufbahn vor bereitete, Im Jahre 1831 trat er in die Tertia der Ritter- und Domschule, in welcher auch sein ein Paar Jahre vor ihm verstorbener College Karl Ernst von Baer seine Gymnasialbildung erhalten hatte, und 1836 verliess er die Anstalt mit dem Zeug- niss der Reife, um auf der Universität zu St. Peters- burg die Rechte zu studiren. Bei der Erwählung die- ses Studiums war wohl der Umstand von Einfluss, dass ein Bruder seiner Mutter, der Staatsrath Schneider, Gymnasialdirector, Lehrer an der Rechtsschule und Pro- fessor an der Universität war, an welcher letzten Anstalt er das rômische Recht lehrte. Schicfner studirte fleis- sig die nun einmal ergriffene Jurisprudenz, so dass er 1840 die Universität verlassen konnte als Candidat der Rechte, aber praktisch verwendet und verwerthet hat er das Jus später nicht. Zwei Lehrer der Ritter- und Domscliule in Reval, deren er bis in sein späte- stes Lebensalter immer nur mit dankbarer Pietät ge- dachte, Plate zugleich Director — und Pabst, beide gründliche Kenner der classischen Sprachen und des classischen Alterthums und geistvolle Erklärer der griechischen und lateinischen Autoren, hatten in Schiefner die Neigung zum Sprachstudium geweckt und genährt, und dieser Neigung folgte er von nun an stetig, nachdem er den an der St. Petersburger Uni- versität übernommenen Obliegenheiten gewissenbaft serecht geworden war; dass indessen daneben die alt- classischen Sprachen auch hier nicht ganz vergessen wurden, bezeugt die silberne Medaille, welche er für eine Arbeit über Horaz erlangte. So bezog er denn schon 1840 die Universität zu Berlin, wo er besonders das Sanskrit studirte bis 1842, in welchem Jabre er wie- der in sein Vaterland zurück kehrte. Seine erste Anstellung fand er bei dem ersten Gym- nasium in St. Petersburg, wo er am 17. August 1843 als Oberlehrer der lateinischen Sprache ein trat. Diese Stelle vertauschte er 1849 mit der eines Oberlehrers der griechischen Sprache, aber diese verlor er bald schon wieder am 26. Juni 1852, weil der Unterricht in der griechischen Sprache an diesem Gymnasium auf gehoben wurde. Einige Jahre vorher war er auch schon in den Dienst der Akademie getreten, wenn auch noch nicht als Akademiker. Es war nämlich der bisherige Conservator bei der zweiten Abtheilung der Bibliothek der Akademie, Lüwe, aus diesem Amte getreten, und auf die Vorstellung des Bibliothekars, des Akademikers Baer, ward diese Stelle von dem 20. September 1848 an Schiefner übertragen. Im Jahre 1852 wurde von der orientalischen Sec- tion in der dritten Classe der Akademie die Betrach- tung an geregt, ob es bei den dermaligen Beziehungen zwischen Russland und seinen asiatischen Nachbar- reichen nicht an gezeigt schiene, die Thätigkeit der Akademie im Fache der Sprachen Ost- und Innerasi- ens zu erweitern. Nach dem Statut der Akademie be- stand die so genannte «orientalische Section» nur aus drei Ordinarien, aber die Akademie ist in der glück- lichen Lage, ausser den bestimmten Ordinariaten in jeder Classe noch über eine Anzahl Adjuncturen frei verfügen zu künnen, wo ein vorher nicht da gewesenes Bedürfniss sich fühlbar macht, oder wenn sich gerade die Gelegenheit dar bietet eine tüchtige Arbeitskraft zu gewinnen, indem einem jungen Gelehrten, der Gu- tes zu leisten im Stande ist, dadurch die Môglichkeit geboten wird seiner Neigung gemäss sich ganz wissen- schaftlichen Beschäftigungen hin zu geben und nicht des Lebensunterhalts wegen Zeit und Kraft auf eine der Wissenschaft weniger Frucht bringende Weise zu zersplittern. — Unter den verschiedenen Sprachen Asiens, welche damals in’s Auge gefasst wurden, befand sich auch die tibetische. Mit dem Studium dieser war Schiefner seit sechs Jabren schon beschäftigt gewe- sen, und es waren bis zu jener Zeit schon verschiedene grüssere und kleinere Arbeiten von ihm über das Ti- betische und den Buddhismus durch die Akademie verôffentlicht worden. So geschah es denn, dass seine in der Classe geschehene Wahl zum Adjuncten für ti- betische Sprache und Literatur am 5. Juni 1852 mit sehr grosser Majorität von der Plenarversamm- lung der Akademie an genommen wurde. Fast genau zwei Jahre später, am 3. Juni 1854 wurde er zum Extraordinarius befürdert; eine weitere Befürderung zum Ordinarius erlebte er nicht, da bis zu seinem Tode kein Ordinariat, für das er sich geeignet hätte, erle- digt wurde, aber dafür bezog er seit dem Anfang des Jahres 1861 zu seinem Gehalt noch eine Zulage von 428 ?bl. 82 Kop. aus den üconomischen Summen der Aka- demie, wodurch er wenigstens pecuniär den Ordinarien gleich gestellt war. Neben seinem Amte als ausserordentlicher Akade- miker bekleidete Schiefner in der Akademie selbst 33 noch zeitweilig das eines Mitgliedes des Verwaltungs- | comité’s von Seiten der historisch-philologischen Classe ; | ferner seit dem 20. Novbr. 1856 das eines Directors | des ethnographischen Museums bis zur Verschmelzung | dieses mit dem anthropologischen Museum 1878, wo Schiefner auf seine Bitte entlassen, und einem Mit- | gliede der physiko-mathematischen Classe, dem Aka- demiker Schrenck, die Direction des combinirten Mu- | seums übertragen wurde; endlich seit dem 3. Januar 1863, nach dem Abgange des Akademikers Baer das des Bibliothekars der IE Abtheilung der Bibliothek der Akademie, in welcher er bis dahin als Conserva- tor gedient hatte; ausserhalb der Akademie diente Schiefner an der katholischen geistlichen Akademie als Professor der altelassischen Sprachen in den Jah- ren 1860 bis 1873. Schiefners Wirksamkeit und Verdienste während seiner langen gelehrten Laufbahn fanden die ïhnen ge- gebührende Anerkennung sowohl von Seiten des Staa- tes wie verschiedener gelehrter Anstalten des In- und Auslandes. Er war Inhaber der Broncemedaille am Andreasbande zum Andenken an den Krieg von 1855 bis 1855 und der Orden des h. Wladimir HI. Classe und des h. Stanislaus und der h. Anna [. Classe, so wie des Sächsischen Albrechtsordens I. Classe. Er wurde correspondirendes Mitglied der ehstländischen lterä- rischen Gesellschaft in Reval (1848), der finnischen Literaturgesellschaft in Helsingfors (1850), wirkliches Mitglied der deutschen orientalischen (Gesellschaft (1850), correspondirendes Mitglied der Gesellschaft für Geschichte und Alterthumskunde der Ostseeprovinzen in Riga (1851), der gelehrten ehstnischen Gesellschaft in Dorpat (1854), wirkliches Mitglied der finnländischen Gesellschaft der Wissenschaften in Helsingfors (1856), correspondirendes Mitglied der Küniglich preussischen Akademie der Wissenschaften in Berlin (1858), Eh- renmitglied der ehstländischen literärischen Gesell- schaft (1859), Ehrenmitglied der Gesellschaft für orien- talische und amerikanische Ethnographie in Paris (1859), correspondirendes Mitglied der Kaiserlich rus- sischen archäologischen Gesellschaft (1860), von der | Universität zu Jena zum Doctor der Philosophie cre- irt (1862), Ehrenmitglied der Gesellschaft für Alter- | thümer in Narwa (1864), wirkliches Mitglied der ar- | chäologischen Gesellschaft in Moskwa (1869). corre- des Sciences de Saint-Pétersbourg. spondirendes Mitglied der Akademie der Wissenschaf- Tome XXVI. 34 ten in Wien (1871), auswärtiges Mitglied der Akade- mie der Wissenschaften in Pest (1873), Ehrenmitglied der philologischen Gesellschaft in Paris (1875), der finnländischen Gesellschaft der Wissenschaften in Hel- singfors (1876), correspondirendes Mitglied des Insti- tuts für Philologie, Geographie und Ethnographie von Niederländisch-Indien im Haag (1878). Nach dieser kurzen Skizze von dem äusseren Le- benslaufe Schiefner’s wenden wir uns zur Betrach- tung seines inwendigen Menschen und schliesslich sei- ner literärischen Thätigkeit. Da bietet sich nun zweier- lei dar, das ihn wohl vor den meisten Anderen cha- rakterisirte, zunächst seine unbegränzte Gefälligkeit und Dienstfertigkeit. Jedem, der ihn um Rath und Auskunft an ging, diente er mit aufopfernder Bereit- willigkeit, und in solchen Fall kam er durch seine bewunderungswürdig ausgedehnte Kenntniss von Per- sonen, Büchern und Verhältnissen üfter als irgend ein Anderer, Seine Freunde sahen wohl manches Mal mit Unwillen, wie seine Gutherzigkeit gemissbraucht wurde von Personen, denen es leichter däuchte einen Ande- ren zu bemühen und nicht sich selbst in ihren eigenen Angelegenheiten; aber Schiefner ward nie müde An- deren zu dienen, und wenn er — was allerdings nicht oft vorkam — nicht gleich selbst die gewünschte Aus- kunft zu geben vermochte, so scheute er keine Mühe sich darüber zu unterrichten. Wer nicht wusste, wie er sich auf der Post oder in einer Behôürde für einen gewissen Fall zu benehmen oder an wen er sich zu wenden habe., um diess oder jenes zu erlangen, der fragte Schiefner; wer in Verlegenheit war, wie er eine einzureichende Schrift ab fassen sollte, dem schrieb Schiefner das Concept dazu; wer über irgend ein | Buch eine Auskunft wünschte, der wandte sich an Schiefner; dem Fachgelehrten, welcher sich die Mühe ersparen wollte im Catalog der Bibliothek nach zu lesen, wusste Schiefner an zu geben, was für seinen Zweck Passendes dort vorhanden war, und mit glei- cher Freundlichkeit half er mit Rath und That auch dem kleinsten Lichtchen,das mit emer Candidatenschrift beschäftigt war; ausserhalb Petersburgs lebende Ge- lehrte wandten sich wegen der Bücher, die sie für ihre Studien aus der akademischen Bibliothek zu ha- ben wünschten, sehr oft nur privatim an Schiefner und überliessen es ihm, die dazu nôthigen Schritte bei der Akademie zu thun. Wie Manche von denen, 8 35 die gewohnt waren, bei Schiefner in allerlei Vor- kommnissen Rath und Hülfe zu finden, môgen sich nun wie verwaist vorkommen! — Ein solcher Mann, scheint es, sollte billiger Weise nur Freunde gehabt haben, aber dennoch fehlte es ihm auch nicht an Fein- den. Seine Freundlichkeit kam eben nicht aus der Schwäche, welche Ales gehen lässt und gut heisst. Er konnte auch scharf auf treten, namentlich gegen dünkelvolle Halbwisser, je nach den Umständen mit feiner Ironie oder derber, und die davon Betroffenen trugen es ihm natürlich nach. Eine so weit gehende Thätigkeit für fremde Inter- essen musste, sollte man meinen, seine eigenen ge- schädigt, namentlich auch seine wissenschaftliche Thä- tigkeit beeinträchtigt haben, die ohnehin schon beengt war durch die verschiedenen Âmter in der Akademie. Ohne Zweifel ist das wohl auch der Fall gewesen, al- lein dieser durch die Dienstfertigkeit herbeigeführte Schade wurde einigermassen neutralisirt durch ein Zweites, das Schiefner eben so sehr aus zeichnete, ein ganz exceptionelles Gedächtniss. Dieses machte es ihm môglich bei seinen gelchrten Arbeiten viel Zeit zu sparen, welche Andere bei den ihrigen auf Nach- suchen und Aufschlagen verwenden müssen. Was Schiefner wusste — und das war gewiss nicht wenig —, das war ihm immer gegenwärtig und für den Ge- brauch zur Hand. Seine oben schon besprochene Bücher- kenntniss bezog sich grossentheils nicht auf die Titel allein sondern auch auf den Inhalt. Er besass die werthvoile Kunst schnell zu lesen, die rasche Durch- sicht eines Buches genügte, um seinem Gedächtniss den Hauptinhalt für immer ein zu prägen; darum war er auch in der Bibliographie solcher Fächer, die nicht zu seinen eigenen Studien gehürten, so bewandert, dass er auch den Fachmännern selbst Nachweise zu geben im Stande war. Âhnlich verhielt es sich mit seiner Personenkenntuiss. Durch einen sehr ausge- breiteten Umgang in Petersburg, durch oftmalige Rei- sen in’s Ausland zur Durchforschung von Bibliotheken und Museen oder zur Theilnahme an Gelehrtencongres- sen kannte er eine grosse Anzahl von Leuten, aber nicht bloss persünlich, sondern auch was er gelegent- lich von ihrer Lebensschicksalen und Familienangele- senheiten erfuhr, das blieb für immer in seinem (Ge- dächtniss aufbewahrt, und üfters ereignete es sich, dass er Personen von deren Grossvätern und Urgross- Bulletin de l’Académie Empériale 36 vätern Dinge zu erzählen wusste, welche den Nach- kommen selber noch unbekannt waren. Erst in seinem letzten Lebensjahre hürte man Schiefner bisweilen darüber klagen, dass sein Gedächtniss an fange ihm un- treu zu werden, namentlich — wie es ja gewühnlich auch bei Anderen zuerst zu geschehen pflegt — das für Namen. Wenn mit Recht zu gegeben werden muss, dass der Spruch «tantum scimus, quantum memoria tenemus» Wahrheit enthält, so kann es bei dem, was im Obigen von dem Gedächtniss Schiefner’s gesagt ist, nicht Wunder nehmen zu sehen, in einem wie weiten Ge- biete des Wissens er zu Hause war; diess zeigt sich in der grossen Mannichfaltigkeit von Sprachen und Ge- genständen verschiedener Art, welche in seinen in dem nachfolgenden Verzeichnisse enthaltenen grüsse- ren und kleineren Arbeiten behandelt werden. Diese bestehen zum Theil in grüsseren, selbständig erschie- nénen Werken, worunter auch einige in Gemeinschaft mit anderen Gelehrten herausgegebene, zum Theil in Artikeln des von der Akademie herausgegebenen Bul- letin’s; die letzten sind hier weiter unten durch ein dazu gesetztes «(B)» kenntlich gemacht. Ausserdem hat Schiefner noch viel Zeit und Mühe darauf verwen- det, Collectaneen Anderer zu verarbeiten und in eine der Wissenschaft entsprechende Form zu bringen, oder in weniger bekannten Sprachen erschienene Werke zu übersetzen und so einer grüsseren Leserzah]l zugäng- lich zu machen. Den Mittelpunkt seiner Studien in der Akademie bil- deten der Buddhismus und von den zu diesem in Bezie- hung stehenden Sprachen das Sanskrit, das Tibetische und das Mongolische, und zu diesen kehrte er von den Arbeiten auf anderen Feldern immer wieder zurück. In diese Kategorie gehürten die noch ausserhalb der Akademie verfassten Schriften, mit welchen seine Vor- stellung zum Adjuneten motivirt wurde, in dieselbe ge- hôrte auch seine letzte, deren Druck durch seinen be- klagenswerthen Tod unterbrochen wurde. Die erste asiatische Sprache, mit welcher Schiefner nach seiner Rückkehr nach St. Petersburg sich beschäftigte, war das Sanskrit, zu dem schon in Berlin ein guter Grund gelegt war, und dazu kamen dann bald darauf mit dem durch das grosse Werk Bournouf’s angeregten Interesse an dem Buddhismus noch das Tibetische und Mongolische. Zeugniss von seiner Thätigkeit in diesem Wissensgebiete geben die folgenden Schriften. 37 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 38 Einige Bemerkungen zum Poleyschen Text des Devi-! Bericht über H. Prof. Wassiljews Werk über den mähätmja (B) 1846. Beiträge zur Kritik des Bhartrrhari aus Carñgadha- ra’s Paddhati (B) 1847. Über die logischen und grammatischen Werke des Tandjur (B) 1847. Über Indra’s Donnerkeil (B) 1848. Nachträge zu den von O. BühtlingkundJ.J.Schmidt | verfassten Verzeichnissen der auf: Indien und Ti- bet bezüglichen Handschriften und Holzdrucke im asiatischen Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften (B) 1848. Eine tibetische Lebensbeschreibung Cäkjamunrs, des Begründers des Buddhismus, im Auszuge mitge- theilt 1848. Über das Werk «Rgya tch'er rol pa ou développement des jeux» von Foucaux, T. [I tibetischer Text (B) 1848, T. II Übersetzung (B) 1850. Tibetische Studien (B) 1851—1864, eine Reihe von Artikeln zum Zweck, mehrere bisher ungenügend aufgefasste Erscheinüngen der tibetischen Sprache vom gegenwärtigen Standpunkt der Sprachwissen- schaft zu beleuchten; ihnen schliessen sich zu- nächst die beiden folgenden an. Über eine eigenthümliche Art der tibetischen Com- posita (B) 1856. Über Pluralbezeichnungen im Tibetischen 1877. Über die Verschlechterungsperioden der Menschheit nach buddhistischer Anschauungsweise (B) 1851. Bericht über die neueste Büchersendung aus Peking (B) 1851. Das buddhistische Sûtra der 42 Sätze, aus dem Ti- betischen übersetzt (B) 1851. Ergänzungen und Berichtigungen zu J. J. Schmidt’s Ausgabe des Dsanglun 1852. Über das Werk «Histoire de la vie de Hiouen-thsang et de ses voyages dans l'Inde, traduit du Chinois par Stanislas Julien 1853» (B) 185: Bericht über die wissenschaftliche Thätigkeit des H. Professors Wassiljew (B) 1854. Über die nepalischen, assamischen und ceylonischen Münzen des asiatischen Museums (B) 1854. Ein kleiner Beitrag zur mongolischen Paläographie (B):1855: Sprachliche Bedenken gegen das Mongolenthum der Skythen (B) 1886. Buddhismus (B) 1856. Über die unter dem Namen «Geschichte des Ardshi Bordshi Chan» bekannte mongolische Märchen- sammlung (B) 1857. Carminis indiei Vimalapraçnottararatnamäla versio ti- betica, mit deutscher Übersetzung, zur Jubelfeier der Universität in Jena 1858. Buddhistische Triglotte d. h. sanskritisch-tibetisch- mongolisches Würterverzeichniss, gedruckt mit den aus dem Nachlasse des Barons Schilling von Canstadt stammenden Holztafeln und mit einem Vorwort versehen 1859. Über ein indisches Krähenorakel (B) 1859. Über die hohen Zahlen der Buddhisten (B) 1862. DesMissionarsJ äschke Bemühungen umdie Erlangung einer Handschrift der Gesar (B) 1868. Târanäthae de doctrinae buddhicae in India propaga- tione narratio. Contextum tibeticum e codd. Petro- politanis ed. A. Schiefner 1868. Die deutsche Übersetzung desselben Werkes 1869. — AIS Nachtrag dazu «Herren Professor Wassilje w’s Vorrede zu seiner russischen Übersetzung von Tà- ranätha’s Geschichte des Buddhismus in Indien, deutsch mitgetheilt von A. Schiefner». Über einige morgenländische Fassungen der Rham- psinitsage (B) 1869. Zur buddhistischen Apokalyptik (B) 1874. (Bharatae) Responsa regi Pradjotae data, tibetischer Text mit lateinischer Übersetzung 1874. (Ist das letzte Capitel des Folgenden). Mahäkâtjajana und Kôünig Tshanda-Pradjota, ein Cyklus buddhistischer Erzählungen 1875. Indische Künstleranekdoten (B) 1875. Indische Erzählungen (in mehreren Lieferungen) (B) 1876. 1877. Über Vasubandhu’s Gâthâsamgraha Sprüche) (B) 1878. Über eine tibetische Handschrift des India house in London (B) 1879. Über das Bonpo Sûtra «das weisse Nâga - Hundert- tausend», Schiefner’s letztes, der Akademie am 18. Sept. 1879 vorgelegtes Werk, von welchem erst drei Bogen gedruckt waren, und der vierte sich bei ihm zur Correctur befand, als ihn der Typhus dahin raffte. (buddhistische 39 Ein Gegenstand, der zwar nicht in der Ausdehnung wie der Buddhismus aber doch auch recht andauernd Schiefner’s Thätigkeit in Anspruch nahm, waren die Mythen, Märchen und Sagen von allerlei Vülkern. Namentlich interessirte ihn dabei das Hinüberwandern der Stoffe von einem Volke zum anderen und die ver- schiedene Ausgestaltung derselben je nach der Eigen- art der einzelnen Vülker. Was er aus sanskritischen, tibetischen und mongolischen Quellen an hieher Ge- hôrigem mit getheilt hat, ist schon in dem vorstehen- den Verzeichnisse von Arbeiten mit enthalten; als Er- gänzung dessen diene hier noch das Folgende, auf an- dere Vülker Bezügliche. Einen Uebergang dazu macht gewissermassen die schon oben angeführte Behand- lung der Rhampsinitsage, indem dort auch schon neben der Fassung im Tibetischen und im Sanskrit eine ta- tarische und eine russische mitgetheilt werden. Zur Sampomythe (B) 1850. Kleine Beiträge zur finnischen Mythologie (B) 1852. Zur ehstnischen Mythologie (B) 1854. Über den Mythengehalt der finnischen Märchen (B) 1855. Über die Heldensagen der minussinischen Tataren (B) 1858. Heldensagen der minussinischen Tataren, rhythmisch bearbeitet 1859. Zum Mythus vom Weltuntergange, nach einem von Dr. Kreutzwald mitgetheilten ehstnischen Mär- chen (B) 1859, Über die ehstnische Sage vom Kalewi-poeg (B) 1860. Zur russischen Heldensage (B) 1861. Über Kalewa und die Kalewingen (B) 1862. Zwei ossetische Thiermärchen (B) 1864. Ossetische Sagen und Märchen (B) 1867. Ungefähr gleichzeitig mit den Anfängen seiner tibe- tischen Studien war es besonders auch der Mythen- gehalt der Kalewala, welcher bald nach dem Erscheinen dieses für die epische Poesie so wichtigen finnischen Nationalepos Schiefner veranlasste, das Finnische in den Kreis seiner linguistischen Beschäftigungen zu ziehen., Das Resultat hiervon waren die folgenden Arbeiten. Kalevala, deutsche Übersetzung in rhythmischer Form, Helsingfors 1852. An die Leser der deutschen Kalewala-Übersetzung (B) Bulletin de l’Académie Impériale ————————————— 40 1854, Verbesserungen dieser Übersetzung ent- haltend. Über das Thier «tarvas» im finnischen Epos (B) 1848 und 1849. Die Lieder der Woten, metrisch übertragen (B) 1856. Einige Bemerkungen zu den Liedern der Woten (B) 1856. Über das Wort «Sampo» im finnischen Epos (B) 1861. Es ist hier vielleicht der passendste Ort, einer Lieblingsbeschäftigung Schiefner’s zu erwähnen, die ihm indessen grüssten Theils nur zum Vergnügen und als Erholung von ernsteren Arbeiten diente. Es war dies das Aufsuchen von Etymologien und Wortver- wandtschaften in den mannichfachsten Sprachen, wo- zu ihm seine immense Belesenheit, seine Kenntniss so vieler Sprachen und sein ausserordentliches Gedächt- niss die ausgiebigsten Hülfsmittel boten. Die beiden hier oben genannten Artikel über die Würter «tarvas» und «sampo» in der Kalevala sind die einzigen an’s Licht getretenen selbständigen Proben der etymolo- gischen Forschungen Schiefner”’s, sonst findet sich nur beiläufig etwas der Art in seinen anderen Arbeiten, oder sie bildeten den Gegenstand mündlicher oder brieflicher Besprechung, besonders zur Beurtheilung fremder Arbeiten in dicsem Gebiete. Eine Veranlassung noch weiter mit den der finni- schen näher oder weiter verwandten Sprachen und den Vülkern und Sprachen Sibiriens überhaupt sich bekannt zu machen, war die von der Akademie bald nach seinem Eintritt in dieselbe ihm aufgetragene Herausgabe der nordischen Forschungen und Reisen Castrén’s, und eine Folge der Beschäftigung hiermit waren wieder manche eigenen Arbeiten Schiefner’s. Vonden zwülfBänden,welche jene Forschungen und Reiï- sen füllten, waren fünf in Finnland von den Freunden Castrén’s schon schwedisch heraus gegeben, und bei diesen hatte Schiefner also nur die deutsche Über- setzung zu besorgen, nur zu den «Vorlesungen über die finnische Mythologie» lieferte er noch einige Anmerkun- gen aus den ihm zu Gebote stehenden Quellen. Die übrigen vier Bände enthielten «Reiseerinnerungen aus den Jahren 1838—1844», «Reiseberichte und Briefe aus den Jahren 1845—1849», «Ethnologische Vor- lesungen über die altaischen Vülker» und «Kleinere Schriften». Die Übersetzung diesér fünf Bände lieferte A1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. * 4? ————_—_—_—_—_—————— Schiefner in den Jahren 1853—1862. Mehr Arbeit | Kurzer Bericht über die peruanischen Alterthümer des machten die übrigen sieben Bände, für welche Schief- ner das von Castrén gesammelte Material erst in ein grammatisches System zu bringen hatte; in der Gram- matik der samojedischen Sprachen gehôrt die Laut- lehre zum Theil ihm selbst. Diese Grammatiken so- wie die durch die Beschäftigung mit ihnen angeregten kleineren Arbeiten giebt das hier folgende Verzeichniss. Versuch einer ostjakischen Sprachlehre 1849, in zwei- ter Auflage mit einem vollständigeren Wôürterver- zeichnisse 1858. Grammatik der samojedischen Sprachen 1854. Würterverzeichnisse aus den samojedischen Sprachen 1855. Grundzüge einer tungusischen Sprachlehre 1856. Versuch einer burjätischen Sprachlehre 1857. Versuch einer koibalischen und karagassischen Sprach- lehre 1857. Versuch einer jenisei-ostjakischen und kottischen Sprachlehre 1858. Das 13-monatliche Jahr und die Monatsnamen der sibirischen Vülker (B) 1856. An- und Auslaut bedingen sich gegenseitig (B) 1858 (nach Wahrnehmungen im minussinischen Kreise). Über die Sprache der Jukajiren (B) 1859. Beiträge zur Kenntniss der jukagirischen Sprache (B) 1871 (nach von Baron G. v.Maydell gesammelten Sprachproben). Beiträge zur Kenntniss der tungusischen Mundarten (B) 1859. Proben der Volksliteratur der türkischen Stämme Süd- sibiriens(von W.Radloff gesammelt)1866—1872. Über die von Baron G, v. Maydell gesammelten tun- gusischen Sprachproben (B) 1874. Tungusische Miscellen (B) 1874. A. Czekanowskis tungusisches Wôrterverzeichniss (B) 1877. Zum Theil durch dieselben sibirischen Studien ver- anlasst, zum Theil durch seine Stellung als Director des ethnographischen Museums, schrieb Schiefner folgende Artikel ethnographischen Inhalts. Über die ethnographische Wichtigkeit der Eigenthums- zeichen (B) 1855. . Über verschiedene sibirische Eigenthumszeichen (B) 1859. ethnologischen Museums der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften (B) 1859. Bericht über eine Sammlung von Steinwerkzeugen aus dem Gouvernement Olonez (B) 1863. Die Müglichkeit in St. Petersburg Individuen der mannichfaltigen in Russland wohnenden Nationen und in ihren mündlichen Mittheilungen das Material zur wissenschaftlichen Behandlung ihrer Sprachen zu fin- den, führten Schiefner in das Grebiet der kaukasischen Sprachen. Seine Studien begannen hier schon 1854, wo ihm ein Thuschete zugänglich wurde, und zu dem, was er selbst auf die angegebene Weise an Sprach- material sammelte, kam noch von Anderen geliefertes. Besonders wichtig sind hier die von dem mit der ethno- graphischen Beschreibung des Kaukasus beauftragten General Baron P, v. Uslar an Ort und Stelle gemach- ten Studien. Sie sind russisch geschrieben und nur in einer kleinen Anzahl von Abzügen vorhanden, und Schiefner’s Verdienst besteht bei ihnen darin, dass er sie durch die deutsche Übersetzung einem grüsseren Leserkreise zugänglich gemacht und hier und da, wie es ihm zweckmässiger schien, um gearbeitet hat; er hat seine Ausgaben der Uslarschen Studien als «ausführ- liche Berichte» über dieselben bezeichnet. Was Schief- ner überhaupt im Gebiete der kaukasischen Sprachen geleistet hat, besteht in Folgendem, Kurze Charakteristik der Thuschsprache (B) 1854. Versuch über die Thuschsprache oder khistische Mund- art in Thuschetien 1856. Versuch über das Awarische 1862. Ossetische Sprichwôrter (gesammelt von Tschonkad- se, Lehrer am geistlichen Seminar in Tiflis), und nachträgliche Bemerkungen dazu (B) 1862. Ossetische Texte (gesammelt von Tsorajew, einem ge- borenen Osseten und Lehrer an demselben Semi- nar) (B) 1863. Über Baron Uslar’s neuere linguistische Forschun- gen (B) 1863. Versuch über die Sprache der Uden 1863. Ausführlicher Bericht über des Generals Baron P. v. Uslar abchasische Studien 1865. Tschetschenzische Studien 1864. Ausfübrlicher Bericht über Baron P. v. Uslar’s kasi- kumükische Studien 1866. 43 Bulletin de l’Académie Impériale 44 TE — Ausfübrlicher Bericht über Baron P. v. Uslar’s hür- kanische Studien 1871. Ausführlicher Bericht über Baron P. v. Uslar’s awa- rische Studien 1872. Awarische Texte 1875. Ausführlicher Bericht über Baron P. v. rinische Studien 1873. Nimmt man zu allem Angeführten nun noch ein Paar bibliographische Arbeiten «Résumé du rapport de M' Baer sur un ouvrage bibliographique de M° Noordsiek (B) 1853» und «vier Briefe von Leib- nitz und Chr. Wolff (B) 1863», ferner ein Paar Schriften welche er in Gemeinschaft mit einem Ande- ren erscheinen liess, nämlich die Ankündigung von Worsaae’s «Nordiske Oldsager» mit K. E. v. Baer (B) 1861 und «Variae Lectiones ad Bohlenii edit. Bar- thriharis sententiarum pertinentes, Berlin 1850» mit A. Weber daselbst, endlich die 1874 von ihm besorgte Herausgabe des kenaischen Wärterbuches aus den hinterlassenen Papieren L. Radloff’s und seine Theil- nahme an der des I. Bandes der gesammelten Schrif- ten A. J. Sjügren’s 1861, so müchte damit wohl eine vollständige Skizze der wissenschaftlichen Thätigkeit Schiefner’s gegeben sein. Überblickt man diess lange Verzeichniss von Arbeï- ten der mannichfachsten Art, welche eben so von vülli- ger Beherrschung des Gegenstandes wie von einer immensen Belesenheit in der einschläglichen Literatur zeugen, so erhebt sich vielleicht in dem Einen oder dem Anderen die Frage, ob Schiefner nicht noch Er- spriesslicheres hätte leisten künnen, wenn er sich mehr concentrirt, sein Arbeitsfeld enger begränzt hâtte. Die Müglichkeit hiervon muss ja woh]l zu gegeben werden, aber bei näherer Betrachtung findet sich denn doch, dass eine solche Frage nur eine müssige wäre. Die Geister sind eben nicht alle gleich angelegt, der Eine strebt mehr in die Tiefe, der Andere mehr in die Ferne, und seine natürliche Anlage mit einer anderen zu ver- tauschen vermag Niemand. Die Aufgabe der akademi- schen Thätigkeit besteht ja wesentlich darin, der Wis- senschaft neue Wahrheiten zu zu führen, und bei diesen von grüsser oder kleiner, von mehr oder weniger er- spriesslich zu sprechen, ist misslich. Eine Wahrheit, die für sich allein betrachtet heute noch unbedeutend erscheint, kann über kurz oder lang, mit anderen com- binirt, eine eminente Wichtigkeit erlangen. Eine jede Uslar’s kü- fügt sich an ibrer Stelle als ein Stein in den grossen Bau, der schon Jahrtausende währt und hoffentlich nie wird beendet werden. Wir getrüsten uns der gu- ten Zuversicht, dass, so lange es noch Menschen giebt, es auch immer wieder neue Ziele zu erstreben, neue Wahrheiten zu finden geben wird, mügen sie nun in der Tiefe oder in der Ferne gesucht werden. Die Parodos der Septem. Von Professor Moriz Schmidt in Jena. (Lu le 13 novembre 1879.) Nachstehende Untersuchung wünscht endgiltig die noch offene Frage zu entscheiden, ob die Parodos der Septem durechweg antistrophischen Bau habe, oder im Anfange auch einen allüostrophischen Theil be- sitze. In ihrer Beantwortung bilden C. Prien Beiträge zur Kritik der Sieben vor Theben Part. II Lübeck 1858 und Wilh. Dindorf die diametral entgegen- gesetzten Pole. Während dieser noch 1873 ed. 5 nur für die V. 154— 58 — 159— 163 antistrophische Responsion einräumt, behauptete jener $. 27 ff, dass dieselbe nach einem einzeiligen recoècs : (opcpevæ) Spéc- ar oofBeoc peyox &4n durchweg stattfinde und nicht weniger als folgende sieben Syzygien deutlich erkenn- bar seien : Œ. JEDEÎTOL GTOMTOS..... a. to to JEOL.... B. dxouer n cux B. xrtunov dédopxa (y. Sec rohoyor Y: Droyevès, où T À 5. ax 6 Ze5 ÿ'. Apns œev À. ét D dyAVOpES £. xai où Ar c. éè éè CÉbIEE É. Lo Tavapxeis £. to oo Der Dindorf’schen Ansicht am nächsten tritt Bergk im Philol. Bd. XVI $. 604, der wenigstens zwei Sy- zygien anerkennt, indem er die strophisch respondi- rende Partie schon mit dem V. 138 ën ën beginnt: auf Prien’s Seite dagegen begegnet uns Heimsôth indirecte Ueberlief. des Aesch. S. 168 und im Bonner Prooemium, Winter 1877, nur dass er die Zahl der Syzygien durch Zusammenlegung der Prien’schen ersten fünf auf vier reducirt: .poBo peyax dun 2006 d. .Tés pa fuoetat . Seoi rohoyou &. av + & duoyevés . ét éè GroBov y. é dxpoBChov . (0 TAYLOKES Ô. Y—= ® 8&R la hot... ÊGTE Hot. 45 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 46 Die verbreitetste Auffassung dürfte gegenwärtig ! die sein, dass die Parodos in einen allôostrophischen und einen antistrophischen Theil zerfalle, deren Grenze Sie ist zuerst von Ritschl bei. drei Creticis, einen iambischen Senar und zwei weitre der Vers 105 bilde. R. Enger de Aeschyli antistr. respons. Vrat. 1836 p. 37 aufgestellt, und von Weil edit. 1862 und von. Westphal Prolegg. zum Aeschylus $. 167 adoptirt worden ‘). Ritschl erbrachte nämlich den Beweis, dass : das Stück 122 où + © dtoyevés — 126 érthuotv Bidon, | welches G. Hermann als Mesodus betrachtet hatte, in den Versen 106 Scoi rohoyor — 110 Apeoc opopevev sein antistrophisches Gegenbild finde, dass man daher nicht länger mit Hermann den allüostrophischen Proodus von 79 Soéouar —110 opcuevey rechnen dürfe. Zwar hatte auch Lachmann schon dem Hermannschen Mesodus nicht getraut, aber er hatte doch de trag. syst. p. 81 einen dem vermeintlichen Mesoden respondirenden Theil hinter V.137 ruxatou ausgefallen gedacht, und den Ausfall durch die entsprechenden Metra angedeu- tet. Warum die Ritschl-Schôüllsche Ausgabe des Stücks Lips. 1875 nicht Ritschl’s, sondern noch Hermann’s alte Anordnung wiedergibt, ist praefat. p. V gesagt. Hiernach darf die antistrophische Entsprechung für den ganzen zweiten Theil als gesichert gelten, und ist wobhl so ziemlich allgemein angenommen; fraglich aber bleibt, ob wir auch für den ersten bis V. 105 reichen- den Theil der Parodos Seidler de vers. dochm. p. 182, Prien und Heimsôüth antistrophische Anordnung zuge- stehen künnen, und, da die genannten Gelehrten unter sich doch wieder wesentlich abweichen, ob wir uns wenigstens im Allgemeinen für ihre Ansicht entschei- den kôünnen, und in diesem Falle aus welchen Gründen und in welcher Art? Um diese Frage zu lôsen, glaube ich die Betrach- tung des in Rede stchenden Stückes grade mit seinen letzten Versen — ich zitire nach Weil — beginnen zu müssen. Die Verse 102 —105 sind in der mediceischen Handschrift geschrieben und abgetheïlt, wie folgt: té bébets. Tooduoers ra {SOV ANS TÉV TEUV. © AOUTOTNANÉ Jaipov End ÉmIds rohMv dv ot EUquANTAY Édou, Seol xTÀ. 1) Desgleichen von Bücheler N. Rh. Mus. XXXII S. 312—318 «de Septem Aeschylea». Was für Rhythmen sind das nun? und bedarf es zu ihrer ouvéyeta irgendwelcher weitergreifenden Aende- rungen? Westphal Prolegg. p. 183 erblickt in der Ueberlieferung die Verbindung eines Dochmius mit Dochmien, zu deren Gewinnung vor &v der Einschub eines tv genüge. Minder conservativ hatte Lach- mann chor. syst. p. 82 ausser diesem +24 auch hin- ter rooduoers ein yaiav eingeschoben, und raaySov in den Accusativ rahxy®oy verwandelt, um vor dem Senar und den zwei abschliessenden Dochmien, drei reine dochmische Metra zu gewinnen: während Weil Ausg. $.16 zwar den beiden genannten Philologen in der Annahme folgt, dass Senar und zwei Dochmien den Schluss gebildet hätten, vorher aber mit Schütz hinter teav ein y&v einzuschieben sei, um 5 Bakchien (Dimeter und Trimeter) herzustellen. Auch W. Din- dorf ed. 1857 verlangt Bakchien, aber sechs an Zahl, auf die er dann drei Dochmien folgen lässt: zu diesem Ende recipirt er von Schütz yæv hinter +eav, rev vor av von Lachmann., schreibt aber ausserdem 6 für o, und tilgt reoûocers und Sœipoy als Glosseme. Ebenso entscheidet sich Heimsüth für die Annahme von 6 Bak- chien, so jedoch dass er nicht rooSovets, sondern nur © auswirft; den Schluss aber schweist er durch Streichung der Worte Saîgoy T5 ër1ôe, av und £Sov zu einer iam- bischen synkopirten Tetrapodie zusammen. Prien S.28 endlich verlangte durchweg einen dochmischen Rhyth- mus: er versetzt deshalb (yav) tav tea vor rahatySov, schreibt tà für ©, und schiebt +4v-8e vor réhv ein. Jeder dieser Annahmen stehen jedoch begründete Be- denken entgegen. Metrisch bedenklich sind gleich bei Lachmans und Prien die dochmischen Formen 1) des Protalogos -::.- | ces yaiav rakat | oder | ostç yäv ray teov (welche nur Eum. 781 nachweisbar ? ist), und 2) des Mesalogos 436v Agnes Tav teav (0: statt .Zr_ )?. Was aber den Senar 6 yousonniné Saiuov T9 rude rohv betrifft, den Schütz, Lachmann, Weil und Westphal acceptiren, so weicht seine Form doch etwas stark von den sonst unter Dochmien auftreten- den Senaren ab. Dindorf kann für seine Ausstossung 2) Doch ist“hier auch die Messung . _. ©, môglich und sehr wahrscheinlich. Eum. 842 ist rheuo%c œù Ô0x Dindorfs Conjectur. Cho. 969 -rw xoirx ro ray nicht gesichert. 3) Wir kônnen 0 SC _ 2 aus Sept. 566. Agam. 1128. Cho. 935. Eu. 157.259.836 Df. nachweisen, dagegen © _ 7 #_ nur aus Eum.266. 47 Bulletin de l’Académie Impériale 48 EEE CS von Jamo vielleicht die neuern Scholien geltend ma- chen, welche das Wort nicht anzuerkennen scheinen, allein dass recdoces erklärendes Glossem zu tt bébers; sei, ist schwer zu glauben: schon in der Zeitschr. f. ôstr. Gymn. 1865 Bd. XVI, p. 568 habe ich auf Eur. Suppl. 265 + dpac; rocdocets hingewiesen: und weise jetzt noch ausdrücklich darauf hin, dass in der letzten antistrophischen Syzygie dieser Parodos ein unserm rocdwcets entsprechendes zchw . . .. pi tecèoS steht, und ebenda unserm sdœtntæv das Wort @orchcts ent- spricht. Heimsüth’s Streichungen aber sind der reine Gewaltact, hervorgerufen aus dem Bemühn, die Stel- len 102—105 mit 89—91 in strophische Ueberein- stimmung zu zwängen, während doch dort der dochmi- sche Rhythmus ohrenfällig durchtünt und Niemand auf ein cop cos evteertoSets verfallen wird, der nicht eben mit aller Gewalt und um jeden Preis Bakchien verlangt, Meines Dafürhaltens hat indessen Westphal wenig- stens darin seinen richtigen Blick bewährt, dass er den kretischen Rhythmus neben dem dochmischen ver- wendet findet: — er hätte sich nur durch den ver- meintlichen Senar nicht beirren lassen sollen, zumal die Zeilenabtheilung des Mediceus auf einen solchen gar nicht fübrt. Nach ihr zu schliessen liegen von ért an Dochmien vor, wie W. Dindorf richtig erkannt hat. Eine andre Frage ist freilich, ob der Text durch Auf- nahme des Lachmannsehen +:4v unter Belassung des relat. av richtig hergestellt ist: mindestens ist die Müg- lichkeit nicht ausgeschlossen, dass die Dochmien auch ETLD ERIdE TOY 2 (re)av, (ei) nor evgrantav Edo gelautet haben künnten, und gewiss ist, dass diese Fassung dem gewühnlichen Brauche Hilfeflehender, sich an einen Gott unter Berufung auf seine frühere Gewogenheit in der Form eines Bedingungsatzes zu wenden, gut, wo nicht besser, entspricht. Die vorauf- gehenden Worte & ypvsornné aipoy aber fügen sich dem dochmischen Rhythmus nicht mehr. Da sie in- dess so, wie sie überliefert sind, überhaupt unryth- misch sind, wird es erlaubt sein, durch ihre Umstel- lung zu Daipev © youcorqané einen continuirlichen Rhythmus hineinzubringen. Dies kann, je nachdem wir gliedern, entweder der bakchiische . . dai| pov © y | orné oder der kretische uîpoy © | youorn | Xnë. | sein, Da sollte man nun freilich auf den ersten Blick glauben, sich für Bakchien*) entscheiden zu müssen, 1) weil dieser Rhythmus wirklich mit +! hé£exs rooño- gas rahatySov angeschlagen zu werden scheint, 2) weil nur bei dieser Messung die den Dochmien vorauf- gehende Reihe mit einem vollen Fusse (Takte) ab- schliesst, und 3) teav mit der Sylbe 3ai- wieder zu einem Bakchios zusammenschliesst. Allein dieser Schein trügt. Zunächst wird Niemand in Abrede stel- len, dass der Mangel einer Verbindungspartikel zwi- schen té #é£srs — rev; und daigov xt ausserordent- lich hart und befremdlich ist; aber noch befremdlicher ist es doch wohl zweitens, wenn uns die in der Frage ti bé£eus u. s. w. angeredete Person erst mit dem fol- genden Anrufe rahatySov Aons entgegentritt, Während es das Natürlichste war, dass sich der durch die Wahr- nehmung xrûrev dédooka: ratayos oÙy ÉvVOs Jopos ver- ursachte Schrecken zuerst mit einem Angstruf unter Anrufung eines Gottes Luft machte. Da nun die Worte à ovaornhné daipov, oder wie wir sie ordneten Saiuov & yovsommhné letztres in der erwünschtesten Weise bieten, sobald wir dieselben der Frage té bébers; vor- aufschieben, und auch der vermisste Angstruf durch ein vor ÿæioy tretendes to leicht gewonnen wird, so scheint mir unter allen bisherigen Mitteln der Stelle aufzuhelfen, die Versetzung der gedachten Worte an den Anfang des Abschnitts das zweckentsprechendste zu sein, und in den Versen: (&S) Saipoy © povaonnané, Ti bé-*) Éers; nooddoes aka Suv Agns YAv Tea; md Emude row (re)av, (ei) nor etpiantay éSov. zuerst ein Uebergang des dochmischen Rhythmus in den verwandten kretischen, und aus diesem wiederum eine Rückkehr zum dochmischen Statt gefunden zu haben. Haben wir in diesem Punkte recht, dann verein- facht sich die Untersuchung über die voraufgehenden Verse 79— 101 um ein Bedeutendes. Wir sahen zwar, dass Heimsüth den Versuch machte eimige Bak- chien in ihnen herzustellen, allein noch keiner hat aus den Rhythmen dieser Verse Kretiker herausgehürt. Entweder also bildeten V. 101—103 den Abschluss eines überhaupt nicht antistrophischen Theïls, oder die Untersuchung hat zu ermitteln, ob die in Rede stehenden Verse auf eine oder mehre Syzygien etwa 4) Wie Agam. 1103 Df. (1046 W.) 5) Wie Prometh. 578 u. sonst. 49 des Sciences de Saint-Pétersbourg. = 50 TT ————— ———_—_——" ————— als Epodus folgen konnten, oder innerhalb der letzten Syzygie ais Refrain zu wiederholen sind. Die nächst vorhergehenden Worte lauten im Mediceus: axpaber. Bostéov éxeo dat Ti DÉÂOMEY ŒYLOTOVOL. dxOUET À CÙX AXOUET ATV KTUTOV. rérhoy xal TEpéuv TOT EÙ [LN VV appl krav SÉouev. prurov Dédogxa RAT YyOs OU) VOS Jopoc. Die Metra decken sich hier bis auf vüv (ww) voll- ständig so dass die Verführung eine kleine Syzygie hier anzunehmen nahe genug liegt. Dennoch ist ihr keiner von den Verfechtern der antistrophischen Bil- dung auch des ersten Theïls erlegen — und mit Recht. Denn die V.94 ff. zeigen, dass die V.96. 97 unmüg- lich an richtiger Stelle stehen kônnen. Das ôgr in dem Fragesatze roro Ont yo roruméco foëtn dœt- uovov; setzt eine Aufforderung zu einer Handlung vor- aus, deren Berechtigung der Redende, hier der Fra- gende, einzuräumen geneigt ist. Eine solche ist aber noch nicht erfolgt, sondern erfolgt erst im V.96. Eben- sowenig ist bis jetzt etwas erfolgt, was den Ausdruck axyate: rechtfertigte. Das feindliche Heer hat das Lager verlassen; voran donnern die Wagen; auch das Fussvolk bricht auf, — aber noch deutet nichts auf eine so grosse Nähe des Feindes dass es für die ge- ängstigten Mädchen Zeit würde, an die Gütterbilder zu flüchten. Dieser Augenblick ist erst dann gekom- men, wenn auch das Fussvolk die Stadt erreicht hat. Dass dies freilich in der Phantasie der Mädchen, oder 96. 100. nach der rasch fortschreitenden Darstellung des Dich- | ters, schnell genug geschieht, ist gleichgültig: immer- hin muss erst etwas der Art geschehen sein, oder als geschehen gedacht werden, wie es V. 98 durch dxover aortdoy xtoroy; ausgesprochen wird. Hieraus folgt, dass die V. 96. 97 den Versen 94. 95, beiden aber der V. 98 vorausgegangen sein müssen. Die Vers- folge des Mediceus ist eben genau umzukehren. Der Schreiber war von Sea irrig auf roteoæ abgesprun- gen, hatte bis s0edpet arglos weiter geschrieben, dann aber die [rrung bemerkt und von den zwei übersprun- genen Versen zuerst den zweiten, dann den dritten nachgetragen, wie in solchem Falle, unsrer Sitte, gar nicht selten geschah. War aber: 98. AXOVET ñ oùx AKOVET LoITSwY XTUTOV; 96.97. axpaber Bpstéuv 4eo Ta. TÉ pÉAROMEY dYAGTOYO; Tome XXVI. abweichend von | 94.95. rôteoæ Ont yo nottréoo BoËtn dapovov; (Lo paxapes ebedoo!) rérov xal grepéuy not, Et pin vuv, appt MTav ÉÉouev; xTUrov Dédopx&. TATAYOS OUX ÉVOS JopOs. | 99. 100. 101. die richtige Ordnung der Verse, bei der auch der Hiatus zwischen sde390 und axyatet verschwunden ist, dann kann von einer antistrophischen Responsion der VV. 96—98 — 99—101 keine Rede sein. Ob über- haupt von keiner, ist damit noch nicht gesagt. Schon dies kleine Stück giebt sich deutlich als Theil eines Amübäums zwischen Einzelchoreuten oder Hemichorien kund, bei denen trotz der gemeinsamen Bangniss doch ein verschiedener (Grad von Bestür- zung und Unruhe zum Ausdruck kommt. Während es die einen mit Macht in den Schutz der Gôtterbilder treibt, haben die andern noch Fassung genug bewabrt, mit Aug’ und Obhr die wachsende Nähe der heran- rückenden Gefahr zn bemessen. B: hôrt ihr das Drühnen der Schilde? A:ja es wird Zeit, die Bilder zu umfassen. Was säu- men wir? du meinst also, werfen ? A. Wann sollen wirs denn thun, wenn nicht jetzt? B. Da klirrts wieder. das ist die Unzahl Speere. B: ich soll mich vor ihnen nieder- Der Dichter hat mit grosser Kunst dafür gesorgt, dass durch den steten Wechsel einer gleichsam epi- schen #goux und einer lyrischen der Zuhôürer sowobhl lein Bild von den Unternehmungen des Belagerungs- ‘heeres zwischen dem ersten und zweiten Auftreten des Späbers, æyyshos, bis zur vülligen Einschliessung der Stadt erhält, als auch mit gesteigertem Antheil den die Belagerten beherrschenden Stimmungen und Empfindungen folgen kann. Unsre Aufgabe wird es daher sein, auch in dem noch übrigen Theile der Par- odos, diese mehr epischen und mehr lyrischen fnoets auseinander zu halten, und richtig auf die oben mit B und A bezeichneten Gruppen zu vertheilen. Das | Stück V.87—93 macht hierbei keine grossen Schwie- | rigkeiten: wenn es heisst: SAN LSUX to to Lo Geo! Seal T CPOLEVOY HAKOV MAEVGETE. Bo rio Teryéov. | 90. © AEUXAOTIS OOVUTEL AUÔS EU- resTns ÉTt tro toxov. ris don bvostat. Tis Ag ÉTUpxÉGEL SO À SE. so gehôren V. 90. 91 ersichtlich B an, die umgeben- den der Gruppe A. Befremdlich sind nur die von Bergk versetzten, von Westphal auffallenderweise nicht beanstandeten Worte Boat Unio teyéov, Wofür Din- dorf 8oœ drèo tapoov vorschlug. Allein das eben erst aufbrechende Heer kann weder die Gräben noch die Mauern Thebens unter Sturmgeschrei nehmen, und wenn auch Priens Vorschlag 8as drèo épxéov diesen Uebelstand beseitigt, so ist derselbe doch nicht weni- ger gewaltsam als der Heimsüth’sche, Bakchien (?) er- zwingende Box ro0o%e tetyéov. Weil hat daher das in V. 85 überschiessende rotatar, dem handschriftlich ebenfalls ein Boat vorangeht, hierher gezogen und to- rotor Box Unèo tayéoy geschrieben. Aber abgesehen von dem metrischen Bedenken, dem er mit den ent- schuldigenden Worten: «Ceterum hiatus in commissura dochmiorum h. 1. non invenustus videtur» zu begeg- nen sucht, pflegt denn schon der Aufbruch eines Hee- res mit Geschrei zu erfolgen, oder erhebt es ein sol- ches erst beim Vorrücken gegen einen im offenen Felde ihm gegenüberstehenden, oder hinter seinen Boll- werken verschanzten Feind? Mir will ein &oxov Box weit natürlicher erscheinen, als ein CovuoSat Boa, und erwäge ich ferner, dass drèg tetyéov ebensogut zum Schutze der Mauern, wie über die Mauern heissen kann, so müchte ich vermuthen, dass die Worte Bou dès teuyéos sich ihre Stellung hinter dtwxov wieder- zuerobern haben: um so mehr als wir auf diese Weise auch den von Weil hinter Stoxov vermissten Iambus wiedergewinnen, ohne roùx gegen die Hds. einzu- schieben, und edteenns in suteexn Zu verwandeln. Die Wechselrede lautet dann: ’ 87. [io] tà à Seot Sea T opouevov xaxdv ahEUTÉTE. 90. B. à eUxaoTIS CpvuTaL AUÔS EU roerns rt n[TJoxw SoxoY (Boc.) A. (dnèp Tet{éov) tés pa buoetou, rés 9 Étapxéoet SEOv n SEGv; mit vortrefflichem Anschluss an die in V. 98 gcthane Frage von B: axouer à u, s. w. Alle Wahrnehmungen über das Anrücken des argivischen Fussvolks sind dann geschickt in den | vier bmsets von B niedergelegt, welche von ebenso | 1 oÙX AXOUET AOTIDOV XTUTOV; | Bulletin de l’Académie Impériale 5? vielen Exclamationen des A unterbrochen, resp. ein- geleitet werden. Dabei drängt sich die Bemerkung auf, dass nun- mehr doch die beiden Senare dxoÿer. .. und xtunos an Stellen zu stehen kommen, welche der Annahme einer antistrophischen Entsprechung ausserordentlich günstig sind. Bisher erblickte man — ein sehr ent- schuldbarer Irrthum — in Vs. 101 die Antwort auf Vs. 98, und war darum bemüht, beide Senare ein- ander môglichst nahe zu rücken. Jetzt spricht beide Verse B am Schluss von Partien, in denen A mit drei Dochmien beginnt, B die Unterredung fortführt, und wieder von A in 4 Dochmien abgelôüst wird. Un- gleich sind nur die émaets 90. 91 © Xeuxaontç —- do- xov 8oa (vier Dochmien) und 94.95 rotspa . .. Sauuc- voy; (drei unvollständige Dochmien). Aber schon im rhein. Mus. S. 627 habe ich mich dafür erklärt, dass in letztren wohl nicht blos das von D. Volkmann ge- fundene rares wieder einzusetzen ist, sondern auch der Heimsüth’sche Fund % ré ëgo einige Berücksich- tigung verdienen und nach Anleitung der Scholien etwa folgende Erweiterung zu vier Dochmien müglich sein dürfte: TOTEEU dit yo rotiréco (tai) (raro®”, 1 T d00;) BoËtn Sauovov; : Eine vüllige Gleichheit mit Vs. 90. 91 ist damit aller- dings noch nicht erzielt. Indessen genügt es für jetzt darauf hingewiesen zu haben, dass die Vs. 94. 95 beï ihrer aus den Scholien constatirten Lückenhaftigkeit der Annahme antistrophischer Responsion durchaus nicht hinderlich sind. Wer dieselbe zugiebt, räumt damit zugleich ein, dass mit Vs. 86 ein erstes, mit Vs. 79 beginnendes, Strophenpaar abgeschlossen haben müsse. Sehen wir zu, wie weit die handschriftliche Ueberlieferung die- sem Schlusse günstig ist. Die Vs. 84—86 schildern, wie unter den Hufen | der Rosse das Gefilde erdrëhnt, als brauste ein (riess- bach von den Bergen. Unzweifelhaft fallen also die | Worte: dhedepas TEdOTAOKTUTOS Ti) xotuntetar Pod rotato. Ppépiet S auayétou Jixav VÔGTOS OPOTUTOU dem B als Sprecher zu. Gehôren ihm aber auch die Vs. 82. 83? des Sciences de Saint-Pétersbourg. 54 aiSEpÜX KOVLS [LE TELSEL PaVEË- Fe x v ” s g' avavdos CAPNS ÉTUMOS ŒYYEÀCS, in denen aus der Erscheinung des aufwirbelnden Stau- bes der erste Schluss über den Aufbruch der irrota: gezogen wird? Ich glaube das bestimmt verneimen zu dürfen. Unser B drückt sich überall ganz objectiv aus, und schiebt seine Person nirgends ohne besondere Veranlassung in den Vordergrund. Wo er von sich! redet, wie V. 94 êyo, ist er durch A dazu herausge- fordert. Da nun aber eine solche Herausforderung in den voraufgehenden Versen: editor GTOATOS. GTRATOREÏOY AUTOV bei. nos 0e ÀcOs Tocdpopos iTTOTUS, die nur Geschehenes schlicht berichten, nicht liegt, so künnen die Vss. 82. 83 nicht von B gesprochen sein, sondern müssen À zugewiesen werden, als Ant- wort auf B 80. 81. Was B gesagt: der Feind bricht auf, seine Streitwagen haben das Lager schon verlas- sen, bestätigt A durch die Bemerkung, er glaube das nach dem aufwirbelnden Staube auch. Und nur die Wendung von A: pe retset veranlasste B, seiner Wahr- nehmung die Form: épè dë u. s. w. zu geben. Das hat Weil richtig erkannt, und demgemäss hinter éhedepas ein éuè à êuas vermuthet, bemerkend: «ëpè Ôë refe- rendum ad xows pe metier, quae ab alia virgine, vel alia chori parte pronuntiantur». Dass byzantinische Scholien æyyshes éhedéuuus oder £xedspvas verbinden und dahinter interpungiren, geht uns hierbei nichts an. Hiermit scheint denn die antistrophische Gliede- derung der Vs. 79—86 vollständig in den Brunnen zu fallen. Denn acht dochmische Dimeter ergeben un- erbittlich für Strophe und Gegenstrophe je vier; wir aber haben, da ætScptæ . .. cpotuou nothwendig der Gegenstrophe zugesprochen werden müssten, für die Strophe nicht mehr, als drei, übrig. Dennoch werden wir die Büchse nicht ins Korn werfen dürfen. Vers 79 lautet jetzt: X. ra. Soéouar oofeon pEYyAX apr. Man hat diesen defecten Vers verschieden ergänzt; Dindorf mit veoxoto, Prien mit coopeve. Weil und Westphal begnügen sich die fehlenden Sylben mit _ 2. anzudeuten, Heimsôth schreibt L 2, péfo ye- yaX dyn Seco. Die Frage nach der geeignetsten Er- gänzung erscheint mir jedoch vorläufig nebensächlich; die Hauptfrage ist: wer hat den Vers gesprochen, B oder A? Ist Soéouat richtig überliefert, sicherlich nicht B, sondern A. In diesem Falle würde antistrophische Entsprechung dadurch erreicht werden kônnen, dass mañ: A.cn. Soéouat oofept MEyAX axn. HESEÎTOL TOUTES GTOATOREËOY MTOV bei noïûç Côe Aeos Toodpouos ITTOTUS schreibt, und die Môglichkeit dieser Annahme wird man ohne Weiteres zugeben. Allein ebenso müglich ist eine zweite, dass uns im Anfange zwei von À ge- sprochene Dochmien verloren gegangen sind. In die- sem Falle fiele der von vorn defecte Dochmius B zu, und müsste seinem Rollencharakter entsprechend er- gänzt werden. À hob ohne Frage seiner Rolle getreu mit Wehklagen und Angstrufen an; B konnte darauf sehr wohl fortfahren (Aéyets) Sosouéva oder (otévets) Sosopéva. Und dies dünkt mir das Wabrscheinlichere, einfach darum, weil dann nur eine Lücke statt zweiïer anzunehmen ist, und B doch nicht so mit der Thür ins Haus fallen konnte. Ich schreibe daher: LATE ENSERE ts — —v— B. Speopéva Aéyets poBeon LLEyah GYn. peSeîtor otToaTos” GToaTOmE do ATV bei noïds 09e eus rocôpouos ÎTToTus. und erblicke darin in der That den Anfang der Paro- dos oder Strophe « , welche ihr Gegenbild von 82—86 in den Worten A. atseoix . .. ayyen&. B. êpè dE ... époturou findet. Als Resultat der bisherigen Untersuchung springt folgendes heraus: Auch das den 3 Syzygien ÿ. 106 — 121 — 199 — 137 5. 138 — 145 146 — 153 e. 154 — 158 159 — 165 vorausliegende Stück ist antistrophisch gebaut gewe- sen. Noch treten die zwei Syzygien: a. (2) 79 — 82 — 83 — 86 B. 87 — 93 + 98 — 96.97; 94.95;99.100-+-101 deutlich zu Tage: übrig ist nur das dochmisch-kreti- sche Stück 102—105, für das sich nirgends eine ent- sprechende Parthie findet. Sollte es doch noch zu guter letzt das ganze Resultat über den Haufen werfen, oder wofür ist es anzusehen? Wir müssen dazu noch einen Blick auf Vs. 106 — 163 werfen, d. h. den zweiten 4* 55 von 79 — 105 sich deutlich abhebenden Theil der Parodos. Westphal Proleg. p. 184 überhebt uns dabei der Mübe weitläufiger Auseinandersetzungen. Das Amôbäum vertheilt sich zwischen A und B, wie dort angegeben ist: axe. y. À. Seoi nokoyor.... B. GANG ZE0. A. Apyéior St mo... B. énta à ayavopec.. avt. f. A. 0 + & oyevés.. B. où + 'Apns... A. xai Konotç ..... B. xai où Avxet avaë ave. à. A. db éè Grofov..... B. Apte qtha... avt. D. A. ét éè axgoBchov .. B. xat AtcSev... otp.€. Xo. avt. €. Xco. Die dritte Syzygie enthält mithin acht, die vierte vier auf A und B vertheilte énozcc, die fünfte singt der Ganz-Chor. Vergleichen wir mit dieser Anordnung unsere Vs. 79 — 105, so fällt sofort der gleiche Bau ins Auge. Denn auch hier enthält die erste Syzygie vier, die zweite acht genau in derselben Weise ver- theilte &moets, auf welchen dann ebenfalls mit Vs. 102 — 105 ein offenbar zwei Sprechern zuzuweisen- des, allerdings aber nicht antistrophisch gebautes Stück folgt: CAL. CO RENE ARE AE B. (Aéyets) Sosopéva avt. a. À. aiSepta xows .... B. ëpè à MAS... are. B. A. io do Seoé....... B. 0 Aeuxaomic... A. ÜTEp TELAÉOV. . ... B. axovET n oux... avt. B. A. axpabet ..... .. B. roteoa nt... A. rétuv xai ..... B. xrunov Jédopxæ.…. . = (à) Baiuov à pousormané xTA. -—- EMÔ Entde TA. Dies Stück kann nun nicht wohl Mesodos sein, Epodos noch viel weniger. Ich kenne wenigstens kein aeschy- leisches Chorikon, welches in Theile mit besonderen Epoden für jeden Theil zerfiele. Nehmen wir es als besondere Strophe deren Gegenstrophe ausgefallen wäre, so würden wir die Zahl der Syzygien auf sechs steigern, was im Verhältniss zur Syzygienzahl der drei andren wirklichen Chorika des Stücks hôchst bedenk- lich ist. Es bleibt daher nur der eine Ausweg offen, es als den Schluss der zweiten Gegenstrophe, entwe- der von A und B oder von Hemichorien gesprochen, Bulletin de l’Académie Impériale zu fassen, und in der Str. B hinter Vs. 98 eme Lücke gleichen Umfangs anzunehmen. Trifft diese Anschau- ung das Richtige, dann ist es vielleicht nicht einmal nôüthig den Verlust einer uns unbekannten Versmasse | 56 anzunehmen: ich sehe wenigstens keinen Grund, wa- rum die Worte to ôaipov..ëïou nicht schon hinter Vs. 98 xrûnov gestanden haben und als Refrain hinter 101 Sopos wiederholt sein künnten. Im Gegentheil fin- det dadurch der Uebergang aus den Dochmien in die Kretici eine annehmbare Erklärung. — Es sollte mich freuen, wenn sich meine Zerlegung der Parodos in fünf Syzygien den Beifall andrer Kenner des Stücks erwerben künnte. Im Uebrigen habe ich noch Folgendes hinzuzufügen: Wir liessen bisher die Frage offen, ob wir unter A und B Halbchüre oder Einzelchoreuten, und demge- mäss in der 5. Strophe und Gegenstrophe Vortrag des Gesammtchors oder Hemichorienvortrag anzunehmen hätten. Mir scheint deutlich, dass die jetzt gewonnene Gliederung der ganzen Parodos auf Einzelchoreuten und Abschluss durch Hemichorienvortrag führt. Die Syzygien &x und àÿ ergaben, wie wir sahen, die amôbäische Formel ABAB die beiden anderen 88° und yy dagegen die längere Formel: ABAB, AB AB. Wenn das keine andere Bedeutung haben soll, als | dass in jenen jeder Halbchor je zweimal, in diesen je viermal zu Worte kommt, so ist für eine so kunstvolle Anlage durchaus kein Zweck ersichtlich. Derselbe leuchtet aber sofort ein, wenn die Formel A B A B die vier bnoeux eines ortoîyes, die ums Doppelte erhühte dagegen die acht bnoets der beiden andern aroïger be- deutet. Er tritt in ein noch helleres Licht, wenn die kürzeren und wohl auch leichteren Partien dem min- der geübten Stoichos der Laurostaten, die längern und vermuthlich schwerern den zwei als Aristerostaten und Dexiostaten bekannten Stoichen zugetheilt waren. Es kam eben auf diesem Wege ein jeder der 12 Cho- reuten*) nach Maassgabe seiner Leistungsfähigkeit zu seinem Rechte, indem jeder in jeder Hälfte der Paro- dos einmal eine #qas erhielt. Hiermit ist aber auch ein ziemlich klares Bild von dem Aufzuge des Chors der ragSévor in diesem ersten Xogwxcv der Septem gegeben. Er muss in £uyois xata tesis cingezogen sein, Denn, da dem oroyos der Laurostaten die ersten vier ônoets zufallen, kann er nicht in orotyots XATO 6) Bücheler à. à. O. will freilich zu fünfzehn zurückkebren. 57 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 8 récoagus eingezogen sein, weil es abgeschmackt und lin Masse, sondern in namenloser Angst umherirrend lächerlich gewesen wäre, den ersten Stoichos stumm einziehen, und den (resang aus der Mitte heraus be- ginnen zu lassen. REA A° LARMES: RS Crée A ne ù A A: A° S FES w | £ B: B'? B° [2e] À Vielmehr beginnt A’ aus der ‘Mitte des ersten Jochs den Gesang mit den zwei uns verlorenen Dochmien, B!° antwortet Vs. 79—S1, A schliesst mit den Vss. 82. 83 sich an, und B° macht mit Vs. 84—86 den Abschbluss. Welcher Stoichos demnächst in den Gesang eingetreten ist, lässt sich kaum bestimmen, ist aber auch bei der Gleichheit der Leistung, welche auf die zwei andern Stoichen fällt, im Grunde gleichgiltig. Lassen wirs die Aristerostaten gewesen sein, so entfal- len auf A! die Vs. 87. 88, auf B° die Dochmien 90. 91, auf A° weiter 92. 93, endlich auf B' der Vs. 98; von den nun folgenden Dexiostaten aber würden in ganz entsprechender Abfolge A° die Vss. 96. 97, B° die Dochmien 94. 95, A° wieder 99. 100 und B° den Vs. 101 vorzutragen gehabt haben. Den Refrain künn- ten die Hemichorien (die 6 Choreuten der Gruppe A und die 6 Choreuten der Gruppe B) gesungen haben. Ich würde, um die 5 Zahl der Syzygien nicht zu über- schreiten, vorziehen die V, 102. 53 vom Koryphaeos, 104. 105 vom Parastates als Vertretern der Gruppen A u. B vortragen zu lassen. Da von hier ab die Ord- nung der Gruppen eine rückläufige wird, werden wir nochmals die Aristerostaten in Anspruch nehmen, auf sie die Dexiostaten eintreten und schliesslich die Lan- rostaten zu Worte kommen lassen, so dass A1106—110, B°111—113,A°114—117,B 118-121 A5 122— 126, B°127-—129,A7130-—133,B°134—137 4°138—141,B142-—145,A"146—149,B*150—153 vortrugen. Auch das sei noch bemerkt, dass auch ei- nige Vorstellungen Schünborns Skene S. 125 ff. hier- nach berichtigt werden müssen. Obgleich er für müg- lich hält, dass der Chor durch die rechte Parodos emge- zogen und dann aus der Orchestra die Treppe zur Bühne emporgestiegen sei, entscheidet er sich doch schliesslich S. 127 dafür, dass er durch die rechte Seitenthür das Logeion betreten habe und dort nicht einzeln an die Gütterbilder oder Altäre gelangt ser. Wenn unsre Anschauung von der Anlage der Parodos richtig ist, lässt sich aus ihr grade das Gegentheil er- weisen. Sie ist nicht umsonst, wie noch von Allen zu- gegeben worden ist, zweitheilig: eben mit dem An- fang des zweiten Theils betritt der Chor die Bühne von der Treppe der Orchestra aus, nachdem er zur rechten Parodos xatæ toc in dieselbe eingezogen und, während stoichenweisen À bsingen des ersten Theiïls dieselbe durchwandelnd, die Treppen hinangestiegen ist. Ebenso werden wir die Vorstellung von einem Umherirren Einzelner wohl aufgeben müssen. Es ist richtig, Eteokles findet V. 177 die Jungfrauen foétr TEGOUTOS Tp0S rohocouywy Scov und schilt 241 die eine als Seyyavouo” ayaawarov (vgl. auch 248); allein daraus folgt für ein sporadisches Auftreten derselben gar nichts. Dazu kommt, dass allerdings die ganze Xéë unter die einzelnen Choreuten vertheilt ist, aber doch immer so, dass ihre zwei grüsseren Drittheile den zwei Stoichen der geübtern Sänger, das kleinere Drittel den Laurostaten zufallen, und erst von diesen Dritteln jeder der vier einen ortoîyos bildenden Cho- reuten seinen besonderen Antheil empfängt. Von die- sen Dritteln enthält aber streng genommen nur das zweite in V. 133 fortlaufende Comprecationen und eine bestimmte Hindeutung auf ein Herantreten (Te- Aa£oueo%a) an das Gôtterbild der Kypris, und grade hier begegnet der Plural, der jedenfalls ganz wôürt- lich zu verstehen ist; im ersten und letzten Drittel wird eine eigentliche Bitte nur an Zeus und Athene Onka gerichtet, die Worte à rorw “Ho, Aogteut qa, o\ Arokoy dagegen sind blosse von der Angst er- presste Exclamationen, aus denen an sich auf die Nähe eines Gütterbildes gar kein Schluss erlaubt ist. Der eigentliche Charakter dieser Drittel ist vielmehr episch: ihre Aufgabe, das Beginnen des Feindes vor den Thoren der nunmehr vüllig umzingelten Stadt zu malen. Man kann vielleicht noch so weit gehen zu ver- muthen, dass Aeschylus dem Stoichos der Laurostaten B'? A! B! 4° die Mitte der Bühne zwischen dem Por- tal der Kadmeia und dem Doppelaltar des Ares und der Kypris zugewiesen habe, um nach dem in der 5. Strophe und Gegenstrophe stattfindenden Zusammen- wirken der Hemichorien dem Gesammtchore nach V. 253 auf die Aufforderung des Eteokles xtos oùa” 59 ayañgatoy Shokvypov ispov rawwooy seinen wohlgeord- neten Abzug vom Logeion in die Orchestra hinab abermals in Svycis xaræ tests zu ermôglichen. Vor den Doppelaltären der Onka und des Poseidon einerscits, und der Letoiden andrerseits hätte man sich dann Aristerostaten und Dexiostaten gruppirt zu denken. Aber in weitre unsichere Vermuthungen môchte ich mich nicht verlieren, so gern man auch über die In- scenirung der einzelnen Dramen zu recht klaren Vor- stellungen gelangen müchte. Ich gebe nun, ohne mich auf Wortkritik emzulas- sen, den ersten Theil der Parodos noch einmal im Zusammenhange: GTO GENS UC nl ce Soéouar (?) pofeod peyad yn. peSeËras Toutes. TRATOTEÈOY TO 80. be nohds 68e eos rpcdpouos ITTOTAS. avt. a. tx aSepiu KO LE RElSE!, Davel- g avaudos Gagns ÉTULOS LYYEACS. n IB ékcdepas - - nedtomAoKTUT OO - tuyptunreto Bou-Boëpe 85. à apayérou dixav VDWTOS OGOTUT OU. axe. B. ma io to Sec Semi T OOpLEVOY HAXÔY HAEUGUTE. n B 6 heuxaonis Opvutat ao ev- 90. roerns éri roy Dwxov (Box). ny (rèe Teuyéov) tés deu fuoetau, ris ap énapxréoe | Seôv n Seav; | n À axover n 00x dxOUET AOTIÈOYLTUTOY; 98. TAGUOTET. sy Ne MU SA A se JE KOPY®. .5c.- ns en 9 lei axpaber Bostéwy Exec, té | (LÉR- 96. ÀOJLEY ŒYAGTOVOL; 97. RÔTEpA ÔNT ÉVO + - + - 94. rnotinéoo - - Poëtn | Daeovov; 95. n SL. 16 padxages ebedpoiltéT Ov xai GTEPÉOV 99. nor, eù pu vuv, | quoi Atav ÉÉoev; 100. n H. xrunov 8édopxa. raTtayos ouy Évos dopos. ragaor. (tù) Saipoy © JeUGOTMANE, | TE bé Eat; roodocets Taka ySwvAONS YA TER; Med. 85 &o% rotärur bpeue 87 :© © ‘© 89 hinter AheUGUTE noch Boë drèe retyéwv als besonderen Vers. 99 16 p4xpec eUcôpot vor 96 œxuuter. 102 & goucornhné duiuoy hinter 108 rev Bulletin de l’Académie Impériale 60 0 KOPYHEr:D éride rohv (re)av, (et)not evprantav sou. 105. Mit diesem Resultate würde sich vielleicht begnügen, wer, wie Prien, in antistrophisch angelegten dochmi- schen Partien nichts weiter als eine entsprechende Zahl von Dochmien verlangt. Wer jedoch wie Heim- sôth auch entsprechenden Bau der einzelnen Metra begehrt — und wie mich eigne Beobachtung lehrt, mit gutem Recht, — wird, um obiger Anordnung vol- len Glauben beizumessen, auf dem Nachweis beste- hen müssen, dass auch in dieser Bezichung streng den von Aeschylus befolgten Gesetzen genügt sei, oder durch ein mässiges Aufgebot erlaubter kritischer Mittel leicht genügt werden künne. Ich muss daher den Leser bitten, mir jetzt noch auf das Gebiet der Textkritik zu folgen. Die Verse 82. 83 brauchen uns nicht zu beschäf- tigen, da die correspondirenden Verse der Strophe leider verloren sind, Unsere erste Untersuchung gilt daher den Versen 84—86, welche, wenn unsere An- sicht die Probe bestehen soll, den Versen 79—81 entsprechen müssen. Bei dem verzweifelten Zustande der Gegenstrophe, welcher Lachmann a. a. 0. $. 82 bewog, die verba corrupta lieber ganz wegzulassen, quam frustra sollicitare, künnte es allerdings als ein ziemlich vergebliches Bemühen erscheinen, Strophe und Gegenstrophe ohne Anwendung zweifelhafter Ge- waltmittel in Uebereinstimmung zu bringen, zumal schon der erste Vers der Strophe nur trümmerhaft überliefert ist; indessen findet doch vielleicht der nachstehende Versuch — es sind deutepat moovtidec — Gnade in den Augen der Kritiker. Die verderbten Worte des Mediceus zu restituiren gewähren die byzantinischen Scholien keine Hilfe. Sie schwanken zwischen éxédepas und ékedepvas, und ob hinter Boa oder hinter rotäxai zu interpungiren se, entscheiden sich aber durchweg für das erste und er- klären ypfurretat t Box éhédeues medtonmhoXTUTOS durch manoudéer qui 71, n xata ti qui Treocnehater Bon (OP) n à copa npoy ayBavouoa To poBo (OPN) HOT Toù xrÜTou TOY roÏGy TOv ITrov Ev Tois TedloLs ywouévn (cod. cv, O0.) Nicht einmal ihre Bemerkung rivès DE Ti vedpouoiy ntot TÜ AXOÏ AHOY TpoorEhG- er Bon würde Beachtung verdienen, wenn sich nicht Hermann und Prien dadurch bewogen gefunden hät- |ten, für dies Wort eine Stelle im Texte zu suchen, 61 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 6? und wenn nicht auch der vorsichtige Weil darauf sein oÿs zu stützen suchte. Denn dass wir in diesem ot nichts weiter als eine byzantinische Conjectur zu sehen haben, bestimmt die vor typturretor im Medi- ceus fehlende Sylbe zu ergänzen, liegt auf der Hand. Iorarar findet sich nur von B berücksichtigt in der Erklärung évaéptos @éosrt; Wwenn er aber fortfährt myei Sn Bon Tôv CThov (richtiger 6rAGv), so geht das, wie aus den übrigen alten und jungen Scholien erhellt, auf das Lemma foëpe. — Auch der Mediceische Scholiast und À bieten wenig brauchbares, aber im- merhin etwas. Wenn jener sagt: xai ta tis Yns dé pou. ReÔLA KATAXTUTOUREVX TOÏs Tool TOY TTUY KA TOY Gta (lies Irrov, TOY TAGV) tout pou rooonchaEeu rov nyov Tois Goiv, dieser xat To Tns yns Dé pou rédov xataxtumoupevoy Trois Omho(doch wohl ras That) rorst ou vois wat rooomehaber toy nyov, so darf zwar aus | ootv auf kein ortt geschlossen werden, wohl aber springt | nicht nur als wirkliche Variante ein rédov für rec heraus, sondern auch ein Plus jetzt im Texte abhan- den gekommener Worte, die indessen nicht nothwen- dig yas pas gelautet zu haben brauchen, wie Weil und Heimsüth wollen, sondern auch ySovos us ge- heissen haben künnen. Hermann, Dindorf, Prien und Westphal haben diese Bereicherung des Textes zwar verschmäht; da jedoch der Mediceische Scholiast die Worte ta nedla ns yns pou auch zu V. 84 wieder- holt, kann kaum ein Zweifel bestehen, dass er in sei- nem Text nicht nur das kahle red” oder réôov fand. Die Frage ist nur, fand er die Worte x3ovos pas neben £xéèepas, oder steckt eben sein épas in dem Schlusse dieses vielberufenen, von Dindorf in ske 5 pas verwandelten, von Weil zu êpè à(È vas) pas er- weiterten Wortes? Ich glaube das Erste. Einmal giebt es zusammen mit dem im nächsten Verse überschüs- sigen Box einen vollen Dochmius. Und dann —- was hat man eigentlich gegen dasselbe einzuwenden? Wer sich an Aesch. Ag. 671 £ékévas, ÉAavôoos, ÉAÉTTOMS und das Euripideische éxévaus erinnert, kann auch an der Bildung £kédepas keinen Anstoss nehmen; und ich kann es nur billigen, wenn Westphal allen seinen Vor- gängern zum Trotz zu Hermanns éédepos Box zurück- gekehrt ist. Auch darin hat er recht gesehen, dass der Dichter von einer Bo der durch Rosshufe erdrüh- nenden Erde redet, wie denn auch Heimsüths freilich recht kühne Schreibung tédou Sà yas pas ThoxtyTou dopos roryoturreta dieses Bild anerkennt: unrecht aber hat er darin, dass er tel” in reètou verwandelt, statt den gewünschten Genetiv+einfach den medicei- schen Interpreten zu entnehmen. «Der aufwirbelnde Staub», hatte die eine der Jungfrauen gesagt, «über- zeugt mich von dem Anrücken der Reiterei: und Weil hatte richtig gefunden, dass diesem reafSer pe ein êpë dé (sc. tele!) in der Antwort einer anderen Jungfrau entsprochen habe. Schreiben wir also in der Construction fortfahrend: (êuè 3) vas pas Shddepas 8os oder nachdrücklicher £édeuas © dE ySovds épais 8ca, so ist nicht nur das gewonnen, was einerseits Westphal, andrerseits Weil verlangten, sondern auch die von Schol. P ausdrücklich empfohlne Interpunk- tion hinter Bei gewahrt, nur dass diese Bex weder RoTiyetartetor, noch ot yoéuntetar, noch rotate, sondern die Redende rate. Môüglich übrigens dass Eédeuas gar nicht ro cou pou AapBavousa TO ocBo bedeutet, sondern einen xtures bezeichnet, der den ganzen Leib der Erde’) erschüttert. Der entspre- chende Vers der Strophe kann: Sosopéva (otévers) poBepæ dat dyn gelautet haben. Ob orévers oder Xéyers ist gleichgiltig. Gehürt peyaX %yn dem Dichter (die dochmische Form -=._ist freilich mit Sicherheit nur aus Hik. 371. Eum. 265 nachweisbar), würde in der Gegenstrophe otoBoc ? RAT ENS RL LEA PTT TH (TE VTT)? om mi nos Sn teZ BAVUL 7 £ _arc.2 | JE =T,. T1 USA LU }=T {#1 He) tangÿz|, wo: À die horizontale Componente des Erdmagne- tismus, M, das magnetische Moment des Magnets bei 0. Y den Inductionscoefficienten des Magnets bei Verstärkung und y” denjenigen bei Schwächung seines Magnetis- nus durch Induction 77 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 78 1 darstellen und die unmittelbar beobachteten Schwin- gungsdauern bereits auf unendlich kleine Amplituden und eine Bewegung ohne Hindernisse (Dämpfung) re- ducirt gedacht sind. 3°. Aus der directen Messung des Torsionswinkels 2 am Torsionskreise und der Beobachtung der drei! genannten Schwingungsdauern bei normaler, verkehrter und transversaler Lage des Magnets berechnen sich die obigen Inductionscoefficienten nach den Formeln: 210 —1-[ 141 fr +l- [is = Sin & arc.£ 1° . hi (2e+p) (é-é) (E cr AT TA (Ban 0) fa) arc.z 1 arc.Z (1—< sinz, ë) |}, F —h,+(B+p) (lt) WO: ve = 7 ; ; BH H und A4, H, und H, die Horizontalintensitäten, wie ?, t, und {, die Temperaturen zu den Zeiten resp. der Einstellung des Magnets in die transversale Stellung — Messung des Torsionswinkels 2 — und der Schwin- gungsdauerbeobachtung in dieser Lage des Magnets, sowie der Schwingungsdauerbeobachtung in der nor- malen Lage (Index 1) und in der verkehrten Lage (Index 2) des Magnets darstellen. Ferner repräsentirt: y’ den Temperatur-Coefficienten des Magnets für das lineare und u” denjenigen für das quatratische Glied der Tempe- ratur, e den Ausdehnungscoefficienten des Stahls (Magnets), der dieselbe Temperatur in Betracht kommt, à den Ausdehnungscoefficienten des untern, ÿ » » des obern Verbindungs- stückes der Faden, PR) » der Substanz der Faden selbst, und in der Formel ist abkürzend gesetzt worden © + 0 À —p, + . u : | 4". Es seien 2,, 2, und 2, die in der Transversal- stellung des Magnets an Bifilar bei den Temperaturen ! }h +(26+L ut —l) pe” (2 S 2) + | für die Reduetion des Trägheitsmoments auf t,, t, und é, ‘beobachteten Torsionswinkel und #,, H, und A, die zu diesen Zeiten stattfindenden Hori- zontalintensitäten, so findet man daraus die Tempe- ratur-Coefficienten und die Ausdehnungs-Coefficienten 15+ 3 —X—f$ nach den Formeln: | _ Sin (29 4) __ tort Sin (8's— #2) a! PE bots tang 2142 sin (82 — 2'1) 11 ( rep ) tang= #4 2) tang TS m) 1 1 LE — Ù tt (, — to) tang wo 2, und 2, gegeben sind durch die Ausdrücke: CRE H gl—(9 "1 seins | sin, = (2 a)"siné, | elle H;\mes Se Sn (2 H)'snz. | Es bedarf kaum der Erwähnung, dass die Grüsse 8 für sich genau genug mit den für die betreffenden Stoffe geltenden bekannten Ausdehnungscoefficienten berechnet werden kann. Wie oben so sind auch hier die Horizontal-[nten- |sitäten À, A, ete. den gleichzeitigen Ablesungen oder Registrirungen eines Variationsinstrumentes zu ent- uehmen. 5°. Bei der oben mitgetheilten neuen Methode der Bestimmung der Horizontal-[ntensität mittelst des Bifilars berechnet man die letztere aus den 3 beobach- teten Torsionswinkeln 2, z, und z,, wobei jeweilen die Temperaturen é#, {, und #, sowie die Intensitäten 4, 4 [und 7, stattgefunden haben môgen, nach der Formel: 9 2 Désine a. Sin z, + 0.siu £, arc. £ æ H° =: let + 5 ES ‘ec. sinz, —d.sihz, ( ô sin z + ga) wo D, 6, etc. die frühere Bedeutung haben, ferner E, die Entfernung der Mittelpunkte beider Magnete und æ eine, in der bekannten Weise durch Vartirung die- ser Entfernung bei einigen Fundamentalversuchen ein für alle Male empirisch zu bestimmende Constante dar- stellen. Ferner ist: Î |ia= pt, =) —p'(4—À7)—3mi,+ (B + ue) Se l)+ 5 arc. z +4 (°— 47) — V ‘HE Qi Sr b=1-p(4 0 pt —P)— Sn, + VH-T EE, k 2 79 Bulletin de l’Académie Impériale so arc. Z 1 sinz ? c=l+(B+n)( 4) +p "(+R + arc.£s d = 1 +, +T; sin 2, ? und hier repräsentiren y" und p,” dieselben Coefficien- ten wie oben p' und y, nur bezogen auf den Hülfs- magnet M! ebenso +, dieselbe Grüsse wie + mit der einzigen Modification, welche das, etwas andere Ge- wicht des Magnets M’im Schweremoment hervorbringt, endlich » den linearen Ausdehnungscoefficienten der Schiene, auf welche der ablenkende Magnet gelegt wird. X, und %, werden nach den frühern Ausdrücken aus À, H, und A, berechnet und für Æ in den Aus- drücken & und & genügt es, wegen der Kleinheit der Coefficienten v und v; einen angenäherten Werth der Horizontal-Intensität zu setzen. Berücksichtigt man, dass diese Formeln bereits alle Reductionsglieder enthalten, so wird man sie nicht complicirter finden, als die für die bisherige Messungs- methode geltenden. Die embryonale Entwickelung des Lymnaeus stagnalis. Von Wladimir Wolfson. (Lu le 9 octobre 1879.) Auszug aus der russischen Abhandlung 1), mit mehreren Holzschnit- ten im Text. Untersuchungsmethode, Die zahlreichen Controversen und dunklen Fragen, welche wir in der Embryologie der Pulmonata ungeachtet der beträchtlichen Anzahl schüner Untersuchungen über diesen Gegenstand vor- findeu, veranlassten mich diejenige Methode, die sich an so vielen andern Objecten als ausserordentlich fruchtbar erwies, die Schnitt-Methode, auch an die- sem ungünstigen Objecte anzuwenden. Die frischen Eier von Lymnaeus stagnalis wurden in etwa !,%, Chromsäure erhärtet, in Wasser ausge- spült, ferner in Alcohol bekannter Gradationen ent- wässert, in Paraffin eingebettet und auf dem Leyser’- schen Microtom in feine Schnitte zerlegt: die letzte- ren wurden mit Picrocarmin gefärbt, durch Lavendelül aufgehellt und in Canada-Balsam aufbewahrt. Die Färbung unverletzter Eier, in toto, ist unmôglich, da die Eimembran keinen Farbstoff durchlässt. Sehr gute 1) B. À. Borsæcon», «Omépionarsuoe passurie Lymnaeus st.» San. un. Akay. Haykb, 1879. Towrs XX XVI, upuaozxkenie X 2 Dienste leistete das Bobretzky'sche Verfahren: Eier, die vor dem Erhärten in Chromsäure auf einige Zeit lin heisses, selbst siedendes, Wasser gebracht wurden, | gaben stets sehr schüne Bilder. Karyolyse, Furehung. Keimblätterbildung. Das Ei von Lym- naeus lässt während und selbst einige Zeit nach der Ablage im Innern der Eizelle das schwindende Keim- bläschen in Form eines hellen Flecken mit undeutli- chen Conturen erkennen (Fig. 1). Dieser Fleck liegt im Centrum eines Strahlensystems, welches wir mit H. Fol «Amphiaster» bezeichnen wollen. Er besteht aus zwei sternartigen, sich intensiv roth fürben- den Gebilden. Die Strahlen sind äusserst regelmässig angeordnet und von dem blass-rosa gefärbten, kôrn- chenreichen Protoplasma-Reticulum der Eizelle scharf abgegränzt. Die einander zugerichteten Strahlen des Amphiasters fliessen zusammen und bilden somit den sogenannten «Spindelkern» der deutschen Autoren, der also keineswegs als metamorphosirter Zellkern be- trachtet werden kann. Dm Innern dieses Spindels, à. h. von seinen Strahlen umgeben, liegt eben der Rest des Keimbläschens. Bald schwindet es ganz und der Am- phiaster rückt zur Peripherie der Eizelle, so dass der eine Stern ganz an der Oberfläche, der andere im Centrum zu liegen kommt. In Beiden lässt sich ein centraler, noch etwas dunkler gefärbter Theil («Hof) unterscheiden: im untern Sterne konnte ich auch manchmal eine wasserklare Vacuole wahrnehmen. Die erste Entstehung des Amphiasters konnte ich an der ungefurchten Eizelle nicht verfolgen: sie be- ginnt vor der Eïablage: aus frühen Furchungsstadien jedoch erhielt ich (Fig. 2) Schnitte, die keinen Zwei- fel über die Genauigkeit der neuern Untersuchungen von H. Fol*) liessen und mir vollkommene Klarheit 2) H. Fol «Sur le commencement de lhénogénie chez divers animaux» Arch. Zool. exp. 1877. 2. über den Process der Karvolyse, freilich nur in mor- phologischer Beziehung, verschafften: der Kerninhalt (Nucleoplasma) zieht sich stark zusammen, wodurch ein beträchtlicher Spalt zwischen ihm und der Kern- membran zum Vorschein kommt: an zwei entgegen- gesetzten Punkten dieser Letzten erscheint je ein ho- mogenes, ebenso wie das Nucleoplasma sich roth fär- bendes Kürperchen*), aus welchem zahllose Strahlen Fig. 2. in der Art von Pseudopodien einer Protomyxa aus- gehen. Diese Strahlen durechstossen nicht, sondern umfassen den Kern — in dieser Beziehung kann ich, leider, den Angaben Fols nicht unbedingt beistim- men. Bald rücken die Sterne auseinander. Kernplatten oder Kürnerzonen habe ich niemals zu Gesicht bekom- men künnen und muss daher ihre Existenz bezweifeln: verdickte Stellen und Protoleucithkürner-Anhäufungen sind zwar sehr häufig auf dem Strahlensysteme zu fin- den, nie aber konnte ich irgend eine Regelmässigkeit in ihrer Anordnung erblicken. Aus dem Obengesagten geht also hervor, dass 1) der ganze Amphiaster ein nucleo- nicht aber protoplasmatisches Gebilde ist: 2) dass somit die Strahlen der Sterne durchaus nicht Ausdrücke einer radiären Anordnung des Proto- plasmas, sondern eine Art Pseudopodien vorstellen, die den beiden nucleoplasmatischen Kürpern entstam- men; 3) dass der sogenannte Spindelkern Nichts als die Stelle, wo die Strahlen beider Sterne ineinanderfliessen, vorstellt und nicht mit dem schwindenden Zellkerne, den die Letzteren umschliessen, identificirt werden kann : | 4) dass, schliesslich, die von Sachs vorgeschla- gene und von der deutschen Schule(Bütschli, Strass- burger, Auerbach und O. Hertwig) unterstützte Hypothese der Attractionscentra nicht haltbar ist. 3) Die soeben erschienene russische Abhandlung Ganin’s über die Entwickelung der Spongilla enthält einige Data, die mich ver- anlassen diese Kôrperchen für nucleoli zu halten. Tome XXVI. des Sciences de Saint-Pétersbourg. s2 Was die Bildung neuer Kerne und auch des ersten Furchungskernes anbelangt, so muss ich mich unbe- dingt den Untersuchungen Bütsehlis*) und Fols an- schliessen: in einiger Entfernung von den Sternen er- scheinen auf den ineinanderfliessenden Strahlen ver- einzelte Vacuolen, in denen man Protoleucithkürner, die massenbaft in der Eizelle und den Furchungsku- geln zerstreut sind, unterscheiden kann. Die Kerne entstehen durch das Zusammenfliessen dieser Vacuo- len und stellen anfangs Gebilde unregelmässiger Form, der Färbung unfähig, mit vielen stark lichtbrechen- den Kürnern im Innern, vor. Die charakteristische Kernreaction, die Sonderung der Nucleolen und Pseu- donucleolen, — kommt erst später zu Schau. Wäh- rend der Kernbildung zertliesst (buchstäblich) der Am- phiaster im Protoplasma, wodurch das Letztere, be- sonders im Centrum, eine viel intensivere Färbung zeigt. Somit wären in dem Besprochenen die Resultate meiner Untersuchungen über die Karyolyse dargelegt, und nun gehe ich zu den Furchungserscheinungen über, ohne in der folgenden Schilderung zu den merk- würdigen und — offen gestanden — bis jetzt noch sehr problematischen Erscheinungen der Kernbildung wie- der zurückzukeliren, wenngleich sie sich genau in der- selben Form während der ganzen Furchuüngsperiode wahrnehmen lassen. Wir verliessen die Eizelle in dem Moment wo der eine Stern des Amphiasters an der Oberfläche zu lie- gen kommt. An dieser Stelle bildet die Eizelle eine Knospe, die sich abschnürt und zum ersten Richtungs- bläschen wird: auf dieselbe Weise entsteht auch das zweite, jedoch ohne dass vorläufig ein neuer Amphiaster erscheine. Die Richtungsbläschen sind als Zellen zu betrachten, da wenigstens das zweite einen deutlichen Nucleus in sich schliesst, wenngleich dieser Nucleus nicht auf dieselbe Art wie die Kerne der Furchungs- zellen entsteht. Die Färbungsfähigkeit der beiden Rich- tungsbläschen ist eine verschiedene, daher kann von einer Zweitheilung des ersten Richtungsbläschens kaum die Rede sein. Zu dieser Zeit lässt die früher hüllenlose Eizelle eine sehr deutliche Membran erkennen, wobei die 4) 0. Bütschli «Studien über die ersten Entwickelungsvorgänge der Eizelle, die Zelltheilung und Conjugation der Infusorien » Abh. Senck. Nat. Ces. B. X. 1876. 6 s3 Bulletin de l’Académie Impériale s4 TE —_—_—_—_— ——…—…—…—"—"—…—…—"—…. … … " —"—"—"—"—"’’— . . ”"-"-— Richtungsbläschen entweder ausser- oder innerhalb | und sind sehr locker untereinander verbunden: dieser derselben zu liegen kommen; im letzten Falle ist sie Zustand folgt einer jeden Theilung und daher sind die am deutlichsten ausgeprägt. Ich betrachte diese Mem- Kerne noch farblos, vacuolenartig. bran als Resultat der Befruchtung, da wir aus den 8) Der semi-passive Zustand; die Furchungsku- classischen Untersuchungen Fols?) über den Befruch- geln rücken zusammen, bilden aber dennoch je eine tungsprocess ersehen, dass das erste und auffallendste, | starke Hervorwülbung; die Kerne noch unverändert. dabei in physiologischer Beziehung wichtigste, Resul- y) Der active Zustand; die Furchungskugeln bil- tat dieses Processes eben die Bildung einer Membran | den eine Kugel; die Furche ist kaum zu bemerken, ist, die, wenn die Befruchtung vor dem Ausstossen der | jedoch immer vorhanden. Die Kerne färben sich in- Richtungsbläschen vor sich ging, die Letzteren über- tensiv roth und besitzen überhaupt die gewühnliche zieht. Der Befruchtungsact selbst liess sich freilich an definitive Gestalt. Endlich, einem so ungünstigen Objecte wie das Lymnaeusei ê) der semi-active Zustand: die Furchungskugeln nicht verfolgen. Aus Analogie aber mit den Vorgän- rücken etwas auseinander und erscheinen in der Form gen bei Asteracanthion und Toxopneustes fühle ich | 5, unterscheiden sich aber von ihr durch den Beginn mich berechtigt zu schliessen, dass die Eizellen von | der Karyoiyse; dieser Zustand geht also immer einer Lymnaeus, wie auch die der übrigen Süsswasserschnek- | neuen Theilung voran. ken, erst einige Zeit nach der Eierablage durch Sper- Dieselben vier Zustände lassen sich noch in sehr matozoën, die in dem die Eizelle umhüllenden Eiweisse | Späten Furchungsstadien wahrnehmen. eingeschlossen sind, befruchtet werden. In dem Ei- Nach der Viertheilung (drittés Stadium) folgt das so weisse zerdrückter Eier gelang es mir in der That allgemein unter den Mollusken verbreitete Stadium, häufig Spermatozoën zu erblicken. Somit wäre denn | Wo die erste Differenzirung der Keimblätteranlagen die alte Frage, warum bei den hermaphroditischen auftritt: die vier neuentstandenen kleinen Furchungs- Schnecken keine Selbsthefruchtung stattfindet, ent- kugeln, deren Axen mit den Zwischenräumen der gros- schieden: die Eizellen erreichen ihre volle Reife, die | Sen zusammenfallen, stellen die erste Anlage des Ecto- durch den Austritt der Richtungsbläschen markirt wird, derms vor, wenngleich damit durchaus nicht gesagt erst einige Zeit nach der Ablage. sein will, dass die vier grossen Blastodermzellen an der Im zweiten Entwickelungsstadium habe ich mit Bildung des Ectoderms weiter keinen Antheil nehmen. besonderer Aufmerksamkeit die verschiedenen Zu- stände, in welchen wir die Furchungskugeln antreften, studirt. Ich unterscheide vier Zustände, die im Fig. 3 skizzirt sind; es sind nämlich: A A — viertes Stadium. B — füunftes Stadium. Im fünften Stadium theilen sich wieder die vier grossen Kugeln und die vier Neuentstandenen lagern sich (Fig. 4, B,c) zwischen ihnen und den Ectoderm- Fig. 3. æ) der passive Zustand, der durch die schwache | zellen. Attractionsfähigkeit der Furchungskugeln charakteri- | In diesen und auch etwas spätern Stadien tritt in sirt ist: die Letzteren haben eine elliptische Gestalt den Letzteren eme ser interessante Erscheinung auf: 85 ibr Protoplasma zieht sich nach der Peripherie zu- rück und die der kleinen Furchungshühle zugewand- ten Enden verwandeln sich in verhältnissmässig dünne Fortsätze; dadureh wird die Furchungshôühle geräumi- ger. Diese Fortzsätze bewirken wahrscheinlich Con- tractionen der Keimblase; sie werden wieder emge- zogen und haben durchaus keine Beziehungen zum mittleren Keimblatte, wie dies von R, Lankester”) be- hauptet wird. Der Furchungsprocess geht auch in den folgenden Stadien genau nach dem Warneck’schen Gesetze”) vor sich. Die Grüssenunterschiede zwischen den Fur- chungskugeln sind wäbrend der ganzen Furchungs- periode (also vom 4" Stadium inclusiv) vorhanden, so dass Blastosphaeren, wie sie in neuerer Zeit H. Rabl°) abgebildet hat, durchaus keine optischen Querschnitte, sondern optische Täuschungen darstel- len; auch erreicht die Furchungshühle nie solche enorme Dimensionen. Bald beginnen die kleinen Ectodermzellen die grüs- sern Furchungskugeln, die wir von nun an als primäre Entodermzellen bezeichnen künnen, zu umwachsén, wobei die Furchungshühle, als solche, verschwindet. Diese Umwachsung ist keine vollständige und der ve- getative Pol schliesst, wie bei den Heteropoden, durch Wucherung einiger an ibm gelagerter primärer Ento- dermzellen. Auf diese Weise kommt eine Art Morula zu Stande, in deren Innerem mebrere grüssere Zellen, die von den grossen Blastodermzellen des 4-ten Stadiums ihren Ursprung nehmen, liegen; sie bilden die Anlage des gesammten Mesoderms. Bald jedoch verschwinden 5) Ray Lankester «Remarks of the shell-gland of Cyclas and the Planula of Lymnaeus», Quart. Journ. of micr. se. 1876. Pag. 320 u. fole. [ - 6) A. Warneck, cUeber die Bildung und Entwickelung des Em- bryos bei Gasteropoden». Bull. soc. imp. natur. Moscou. T.XXHIT. 1550. Seite 175: «In jedem Stadium des Furchungsprocesses entstehen «nur vier Furchungskugeln, d. h. die Theilung geht «nicht in einer geometrischen, sondern einer arithme- «tischen Progression vor sich. — Die Bildung der «neuen Dotterkugeln aus den alten richtet sich nach «dem Alter der Furchungskugeln. — Die Grôsse der «Furchungskugeln ist vom dritten Stadium an verschie- «den.» Meiner Ansicht nach, kann dieses (resetz als Grundgesetz des Fur- chungsprocesses nicht nur bei den Gastropoden, sondern bei sämmt- lichen Mollusken-Gruppen, die Cephalopoden nicht ausgeschlossen, betrachtet werden. : 7) C. Rabl, «Die Ontogenie der Süsswasser-Pulmonaten». Jen. 2. für Naturw. 1875, B. IX, Fig. 9 auf Taf. VIT. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 86 die äusseren Unterschiede der drei Zellenarten (Ecto- Meso- und Entodermzellen) und die Morula stellt somit einen kugelformigen Haufen gleichartiger Zellen dar. Es flacht sich der vegetative Pol der Morula ab und in der Mitte des abgeflachten Theils beginnt eine Ein- stülpung: ihre Richtung ist durchaus nicht vollkom- men symmetriseh, indem sie den Embryo in zwei un- gleiche Theile, die die Anlagen der Fuss- und Kopf- blase vorstellen, theilt. Die grossen Mesodermzellen werden durch den Einstülpungsprocess in diese Theile, so zu sagen, hineingedrückt und kommen somit um die Einstülpungsüffoung (Ürmund) herum zu liegen. Da mit dem Stadium der Gastrula so viele theore- tischen Fragen verknüpft sind, schenkte ich ïhm be- sondere Mühe und Aufmerksamkeit, und kann nun, mich auf Hunderte von Schnitten stützend, mit Be- stimmtheit behaupten, dass beim Lymnaeus eine Gast- Fig. 5. Fb— Fussblase, Æb — Kopfblase, Mz — Mesoderm. rula ohne Mesoderm nicht existirt und nicht existiren kann, da die Mesodermzellen sich schon in frühen Furchangsstadien aus den grossen Blastodermzellen bilden. Die Abbildung einer Lymnaeus-(rastrula, die Rabl in seiner Fig. 11 auf Taf. VII loc. cit. gegeben hat, wage ich für erfunden zu erklären. In Fig. 5 gebe ich eine mit dem Prisma gezeichnete Abbildung eines Längsschnittes durch eine Lymnaeus-Gastrula. Erst nachdem der Einstülpungsprocess beendet st, treten wieder auffallende Unterschiede zwischen Ecto- und Entodermzellen auf: die Letzteren werden kürn- chenreicher und dunkler: sie beginnen auch sofort ihre Verdauungsthätigkeit. Das in die primitive Darmhôhle eingeschlossene Eiweiss wird zu einer grobkürnigen, geronnenen Masse, in der zahlreiche Deutoleucith-Ku- geln verschiedener Grôsse, die bald in die Entoderm- Zellen einzudringen anfangen, auftreten. s7 Bulletin de l'Académie Impériale ss —————_—_—_—_—_—_——"—…—"—"—"…"—"———…— …—…—…——…—…——…. —————— — ORGANOGENIE 1. Velum und Vornieren. Querschnitte durch die Lym- naeus-(Gastrula lassen an beiden Seiten mehre grûs- sere Ectodermzellen, die bis zum Urmunde hinzie- hen, wahrnehmen. Es ist dies die zum ersten Mal von Ganin) genau untersuchte und richtig gedeutete Anlage des Velums. Mit der Weiterentwickelung des Embryos flachen sich die grossen Velarzellen ab und fliessen, ein über dem Urmunde zusammenhängendes Band bildend, theilweise zusammen; ihr Inhalt ist grobkürnig, ihre Färbungsfähigkeit schwach. Auf der dorsalen Seite verlieren sich allmählich die beiden Enden des Velums, ohne mit einander in Berührung zu kommen (Fig. 6). Bütschlis Deutung”) der hin- teren Abschnitte dieses Gebildes als äussere Vor- nieren ist nicht begründet. Ganz irrig ist die Angabe R. Lankester’s!°), nach welchem sich das Velum der Pulmonaten in die definitiven Mundlappen umwan- delt: das Velum geht unbedingt durch allmähliche Atro- phie verloren, wogegen sich die Mundlappen in Form zweier Hüeker zu beiden Seiten des Mundes zwischen Tentakeln und Fuss in einem spätern Stadium her- vorbilden. Fig. 6. V — Velum; Vn — Vornieren; Schg — Schalengrube; Ns — Nah- rungssack ; Mz — Mesodermzellen. Ausserordentlich bemerkenswerth ist die Entstehung der von Ganin entdeckten einzelligen Vornieren: eine grosse Velarzelle wird jederseits unter das dorsale Velum-Ende in die Leibeshôhle hineingeschoben (Fig. 8) M. Ganin «Zur Lebhre von den Keimblättern bei den Weich- thieren». Warschauer Universitätsberichte, 1873, V 1. Pag. 115 bis 140. (Russisch.) 9) Bütschli «Entwickelungsgeschichtliche Beiträge ». Zeitschr. für wiss. Z., Bd. XXIX, 1877, Pag. 227, Anmerkung. 10) R. Lankester «Observations on the development of the Pondsnail (Lymnaeus stagnalis) etc.» Quart. Journ. of microse. se, 1874; pag. 382. (6). Die so entstandenen zwei grossen Zellen, rücken |näher zusammen, behalten jedoch immer ihre ober- fächliche Lage unter dem äusseren Epithel. [hr Kern erhält hückerige Conturen, ihr Protoplasma wird von verschiedenen Kürnchen durchsetzt; sie wachsen be- trächtlich und in ihrem [Innern einen hufeisenfürmigen Kanal, dessen Schenkel den Kern umfassen, wahrnehmen, so dass bei Verschiebung des Tubus bald der Kanal, bald der Kern allein zum Vorschein kommt. Gegen das Kopfende verlängern sich die Vornieren zu einem Ausführungsgang, in welchen der hufeisenfürmige innere Kanal übergeht (Fig. 7); in der Nackenhôhle üffnen sich die Ausfüh- lassen bald rangsgänge mit kleinen Trichtern. Eines der merk- würdigsten Beispiele der hohen Differenzirung eines einzelligen Gebildes. Nach Fol") sind die Vornieren vielzellig — ich muss dies auf Grund einer grossen Anzabl von Schnitten entschieden in Abrede stellen. Die beigezeichnete Fig. 7 ist eine getreue Abbildung meiner Präparate. Somit kemmen wir zu einer voll- kommenen Bestätigung der Ganin’schen Untersuchun- gen über diesen Gegenstand. Ob die Vornieren eine Zeitlang neben der Niere fortexistiren, oder ob sie schon vor dem Auftreten der Letzten atrophiren, konnte ich nicht mit Bestimmtheit entscheiden; jedenfalls sind sie schon lange vor dem Ausschlüpfen des jungen Thieres nicht mehr vorhanden. 2, Schalengrube und Mantel. Die Schalengrube oder Schalendrüse («shell — gland» R. Lank., anvagination préconchilienne» H. Fol) ist bei den Süsswasserschne- cken zum ersten Mal von Ganin als solche beschrie- ben worden. Die früheren Autoren hielten dies Ge- bilde für die Aftereinstülpung ©). Schon auf dem Ga- strula-Stadium lässt sich eine dem Urmunde gegen- 11) H. Fol «Sur le développement des Gastéropodes pulmonés.» Comptes rendus, T, LXXXI, 1875. P. 523—526. 12) In neuerer Zeit verfiel H. Rabl in denselben Febhler. s9 dos Sciences de Saint- Pétersbourg. 90 überliegende Abflachung des Ectoderms wahrnehmen. Diese Abflachung geht bald in eine tiefe, zu der rech- ten Kôürperhälfte gerichtete, Einstülpung über. Durch stärkeres Wachsthum der Fussblase kommt die Schalen- grube schon sehr frühzeitig näher dem vorderen (Kopf-) Ende des Embrvo zu liegen. Ganz auf dieselbe Weise, wie dies bei den Heteropoden und Pteropoden ge- schieht, beginnt sie sich auszustülpen, wobeï sie die! Figur eines uhrglasformigen Spaltes annimmt. Ausge- stülpt, erscheint sie in Form eines flachen Hügels der vom Ectoderm bekleidet und vom Mesoderm strotzend gefüllt ist; er stellt die Anlage des Mantels und der Schale vor. Bald beginnt das Ectoderm eine äussert feinkôrnige, sich schôn rosa färbende, Masse, auf deren Peripherie sich die eigentliche Schale absondert, auszuscheiden. Die Schale erscheint auf Schnitten in Form schmalen, geknillten Bandes, dessen Enden sich auf den sich verdickenden Mantelrand stützen. Das Wachs- thum der Schale folgt genau dem Wachsthum dieses Letzteren. Der Mantelrand bildet schon sehr früh eine be- trächtliche Hervorwülbung, die aus hohen cylindrischen Ectodermzellen besteht. Anfangs verbreitet sich der Mantel (also auch die Schale) auf dem Embryo ohne dass sich zwischen 1hm und der Kôrperwand ein Spalt — die Mantelhôhle — bilde. Erst später beginnt eine wirkliche Umwachsung, wobei der Mantelrand als freier Wulst den Embryo umgürtet. Die rechte Man- telhälfte verbreitet sich viel weiter als die linke, auch erscheint der rechte Mantelwulst auf Schnitten viel dicker. Er verwächst mit der rechten Kürperhälfte bis auf eine kleine Oeffnung — das Athemloch — die in einen erweiterten Theil der Mantelhühle — die Lungenhôühle — führt. Im Mantelrande treten zahlreiche Blutgefässe und Pigmentanhäufungen auf. 3. Darmtractus nebst Annexen. Die Bildung des Darm- tractus bietet einen der schwierigsten Punkte für die Untersuchung. In dieser Beziehung gelangten weder die älteren noch die heutigen Forscher zu positiven Schlüssen. Die Schnitt-Methode leistete mir hier ganz besondere Dienste, wenngleich ich gestehen muss, dass mir noch so Manches nicht ganz definitiv durch meine Untersuchungen festgestellt zu sein scheint. Im demnächst Folgenden werde ich die Controversen ver- eines | | schiedener Forscher bei Seite lassen und nur dogma- [tisch die von mir erzielten Resultate darlegen. - Gehen wir von der primitiven Darmhübhle der Ga- _strula aus. Es wurde schon bemerkt, dass die Entodermzellen | Deutoleucith-Kugeln, die in dem in diese Hühle einge- :schlossenen Eiweissballen entstehen, aufzunehmen an- fangen. Diese Aufnahme geschieht wahrscheinlich ver- mittelst Zellausläufer, wenigstens weisen zahlreiche | Schnitte darauf hin. Im Innern jeder Zelle fliessen | die Deutoleucith-Kugeln zusammen und bilden, zugleich | das Wachsthum der Zelle ausserordentlich befrdernd, in dem äussern Theil der Letzteren eine sich dunkel- roth firbende homogene Ansammlung. Der Zellkern wird dadurch in den der Gastralhühle zugewendeten, innern Theil der Zelle verschoben. Neben ihm treten im Protoplasma auch ganz besondere, den Dotterele- | menten des Hühnereies und auch den der hôhern Cru- staceen ©) ähnelnde Gebilde auf. Ich unterscheide im | Ganzen 5 Arten von «Nahrungselementen»: 1) Homogene, vacuolenartige Tropfen, die auch in grosser Menge im Eiweisballen vorhanden sind; 2) Kugeln, die im Innern viele sehr kleine Vacu- olen erkennen lassen: 3) Kugeln, die je eine grosse und mehre kleine Va- | cuolen in sich schliessen, -— vielleicht aus den vori- | gen entstanden; 4) dunkle, kürnchenreiche Kugeln ohne Vacuolen; und endlich kommt noch eine fünfte Art vor, wo wir | —_#e es Fig. 8. Da — Deutoleucith-Anhäufung. 1,2,3 — Im Innern der Nahrungs- zellen vorkommende Elemente. 4— metamorphosirter Zellkern. im Innern der Kugel nur ein homogenes Kürperchen antreffen — diese Gebilde halte ich für metamorpho- sirte Zellkerne. Die Figur 8 stellt eine schematisirte «Nabhrungszelle» dar: mit diesem Namen werden wir 13) Vergl. Reichenbach. «Die Embryonalanlage und erste Entwickelnng des Flasskrebses». Zeitschr, für wiss. Z., Bd. XXIX. 91 von nun an die umgebildeten Entoderm-Zellen be- zeichnen. Nicht das ganze Entoderm erleidet die beschriebene Metamorphose. Der Einstülpungsstiel nebst der an- liegenden Entoderm-Region, und der ihm gegenüber- liegende, unter der künftigen Schalengrube verlau- fende, Theil des Entoderms bleiben unverändert, s0 dass die Bildung der Nahrungszellen hauptsächlich den mittleren Theil des primitiven Darmsackes betrifft. Aus diesen zwei entgegengesetzten unveränderten En- toderm-Partien entwickelt sich der ganze Mitteldarm, und zwar folgendermassen: Der Einstülpungsstiel verlängert sich sehr bedeu- tend, was durch starkes Hineinwachsen der dem Ur- munde anliegenden Ectodermregion bedingt wird. Er geht, zwar indirekt, in den definitiven Oesophagus über, so dass die ursprüngliche Einstülpungsôfinung (Urmund) etwa der Cardia des definitiven Magens ent- spricht. Die den Oesophagus und die benachbarte En- todermregion zusammensetzenden Zellen vermehren sich sehr rasch und bilden einen soliden Zellstrang, der in die Hühle des jetzt schon ausgebildeten Nahrungs- sackes hineinwächst. DieserZellstrang bildet die Anlage des definitiven Oesophagus und des Magens. Er kommt in Berührung mit dem andern, obenerwähnten, Theile der unveränderten Entodermpartie, der jetzt einen be- trächtlichen, hinter der Schalengrube lagernden, Zell- haufen vorstellt, und verwächst mit ihm. Der Zell- haufen bildet die Anlage des ganzen Darmes (Fig. 9, Dk). Auf diese Weise entsteht im Embryo ein solhder Strang, aus Entodermzellen gebildet, der von der Schlundhôhle bis zur Schalengrube hinzieht., In seimem Innern erscheint durch Auseinanderrücken der Zellen eine Hôühle — die Darmhühle, die sich in der vorde- ren Partie zur Magenhôühle erweitert. Sodann treten auch die beiden Hälften des Nahrungssackes mit ihr in Verbindung und zwar durch einen anfangs sehr be- trächtlichen Spalt, der sich in spätern Stadien auf eine kleine am Pylorus liegende Offnung reducirt. Durch starkes Hervorwachsen des Magens, der sich immer mehr und mehr aus dem Nahrungssacke nach dem Rückentheile des Embryo zicht und schliesslich dicht unter der äussern Haut zu liegen kommt, wird der Nahrungssack, der durch die Anlage des Mitteldarmes in zwei Häülften getheilt ist, gänzlich auf die Bauchseite verschoben. In sehr späten Stadien beginnt der Zerfall Bulletin de l'Académie p?2 Eimpériale Oe — Oesophagus: V — Velumanschnitte; Mz — Mesodermzellen: Sz — Nahrunegssack-Serosa-Zellen: Ns — Nahrungssack: unveränderte Entoderm-Zellen: D} — Darmkeim. = VEN — seiner Zellen; seine vollständige Atrophie jedoch fäHt in ein sehr vorgerücktes Stadium der postembryonalen Entwickelung, zu der Zeit, wWann die jJunge Lymnaeus- Brut im Stande ist ihre derbe Nahrung selbstständig aufzunehmen. Der Nahrungssack stellt also ein Em- bryonal-Organ vor, in welchem während der embryo- nalen Entwickelung Nahrungselemente gesammelt wer- den, die erst später, wann das den Embryo umgebende Eiweiss schon beinahe verbraucht ist, und besonders während des postembryonalen Lebens, in die Magen- hüble gerathen und verdaut werden. Die Aftereinstülpung wird schon sehr früh auf der rechten Seite des Embryo unter dem Mantelrande, in dessen Nachbarschaft der After ja auch immer bleibt, sichtbar. Der Darm, dessen blindes Ende durch die Kôr- perwindung des Embryo nach rechts verschoben wird, läuft dicht an dem Aftergrübchen vorbei; zu welcher Zeit jedoch er mit ihm verwächst und die Communi- cation der Darmhôühle mit dem Rectum beginnt, konnte ich nicht entscheiden. Die Leber hat Nichts mit dem Nahrungssacke zu thun. Sie erscheint kurz vor dem Ausschlüpfen des jungen Thieres in Form zweier kleinen Blindsäcke ), die dicht am Pylorus von der Darmwand ausgestüplt werden. Die definitive Ausbildung der Leber ft in die Periode der postembryonalen Entwickelung und geht mit der Atrophie des Nahrungssackes parallel. Von den übrigen Darm-Annexen soll hier nur in Kürze erwähnt werden. In der oberen Wand des Radulasackes, der eine ein- 14) «Caecnums duodénaux» — Lereboullet. 93 fache nach unten gerichtete Ausbuchtung der Schlund- wand vorstellt, wird eine Zellwucherung bemerkbar, die gleichzeitig mit einer rinnenférmigen Vertiefung der Wand auftritt. Dadurch wird das Lumen des Ra- dulasackes fast gänzlich von Zellen, die den sog. Zun- genkeim bilden, ausgefüllt. In seiner vordern Hälfte tritt nun die Radula in Form kleiner stark lichtbre- chender Plättehen auf der unteren Wand auf. Die so für den Zungenkeim und Zunge charakteristische Strei- fung ist feinen Zellausläufern zuzuschreiben. Die Speicheldrüsen stülpen sich erst später aus dem vordersten Theil des Oesophagus aus; ihre Ausfüh- rungsgänge verlaufen immer ganz symmetrisch zu beiden Seiten des Letzteren. | In spätern Stadien lassen die Zellen der Oesopha- gus- und Magenwand deutliche Geisseln erkennen. Der Mund ist von einem Kranze schôner, grosser Zellen, die scharf vom Kôürper-Epithel abstechen, um- ringt; Geisseln jedoch lassen meine Schnitte an ihnen nicht erkennen. So abweichend uns auch die Bildung des Darm- tractus bei Lymnaeus erscheint, lassen sich doch die, soeben geschilderten Vorgänge recht bequem mit den bei den übrigen Mollusken und besonders den Hete- ropoden bekannten zusammenstellen. 4. Nervensystem und Sinnesorgane, Wenn in Bezug auf feu des Sciences de Saint-Pétersbourg. Eee Se S 94 die Entwickelung des Darmtractus die Complication der betreffenden Phänomena als bedeutendes Hinder- niss der Untersuchung entgegentritt, so ist es der fast gänzliche Mangel wenn auch annähernd genauer Data in der Literatur. der die Erforschung der Entwicke- lung des centralen Nervensystems erschwert. Daher fühle ich mich genôthigt, mehrere hierher gehôrende Fragen durch meine Untersuchungen nur als gestellt, nicht aber als erledigt, zu betrachten. Bevor noch irgend welche Differenzirung der den Schlundring zusammensetzenden Ganglia in den Lym- naeus-Embryonen auftritt, erscheint in der Nacken- gegend ein beträchtlicher, dicht dem Ectoderm anlie- gender, länglich-runder Haufen grosser Zellen, die grell von allen übrigen Geweben des Embryos ab- stechen. Sie enthalten ein grobkürniges, in mehrere grosse Ausläufer sich verästelndes Protoplasma und einen grossen, deutlichen Kern mit vielen Nucleoli. Der Haufen nimmt die ganze über dem Oesophagus | liegende Nackenhôhle ein: einige seiner Zellen kom- men sogar unter dem Oesophagus zu liegen. Die Mesoderm-Zellen bilden eine bindegewebige Hülle um ihn herum, so dass er ein selbstständiges, wohlbegränz- tes Ganzes vorstellt. Dieses merkwürdige Gebilde (Fig. 10, À. und Z., Gem.) ähnelt einem Haufen multipola- rer Nervenzellen aus der grauen Hirnsubstanz der Fig. 10. A. Querschnitt durch den Vorderkôrper. B. Längsschnitt durch eine Hälfte des Vorderkürpers. C. Frontalschnitt durch den Embryo oberhalb der Angeu verlaufend. yen — ganglion embryonale ge — ganglion cerebrale:; 99 — ganglion pedale; gb — ganglion buccale: geo — g. commissu- rale: gpa — g. palleale: gg — g. genitale : of — Otocyste; «uw — Auge: 0e — Oesophagus; ds — ductus salivalis; Ns — Nahrungssack; Ms — Mantelsaum; re — rectum; «y — arteria pedalis; rs — Radulasack; N — Nierengang. 95 Wirbelthiere. Dass wir es auch hier mit einem Nerven- Gebilde zu thun haben, unterliegt keinem Zweifel. Es wurde schon von Lereboullet ), wenngleich unge- nau, beobachtet und die es zusammensetzenden Zellen mit dem Namen cellules nerveuses primitives bezeich- net; auch beobachtete Lereboullet in der postem- bryonalen Periode ihre allmähliche Fett-Degeneration, und wenn seine Ansichten über die Bildungsweise der definitiven Nerven-Ganglien durchaus irrig sind (er lässt jedes Ganglion aus einer Zelle entstehen), so kommt ihm doch das Verdienst zu, zum ersten Mal eine detaillirte Beschreibung des in Rede stehenden Organes gegeben zu haben. Beim erwachsenen Thiere ist keine Spur mehr da- von zu finden und glaube ich, dass es daher mit den übrigen Embryonal-Organen der Gastropoden (Velum, Vornieren, Embryonal-Herzen, Schalengrube, Nah- rungssäcke) zusammenzustellen und als Embryonal- Hirn zu bezeichnen ist. Jegliche Vergleiche und H*- pothesen will ich mich vorläufig enthalten. Alle das definitive Central-Nervensystem bildende Ganglien entstehen aus localen, jedoch in einan- der übergehenden Ectodermwucherungen (nie Einstülpungen), die zu beiden Seiten des Vorderkür- pers und in den beiden Fusswülsten auftreten. Fast alle Ganglienpaare differenziren sich gleichzeitig und sind, so wie auch die Ganglien éines jeden Paares, durch deutliche Commissuren untereinander verbunden. Dicht unter dem Radulasacke lagern die ganglia pedalia mit den Otocysten: zwischen Radulasack und Oesophagus kommen die zwei klemen ganglia buccalia zu liegen; seitlich davon, in unmittelbarer Nähe der Augen, liegen die durch eine lange über dem Oeso- phagus hinziehende Commissur verbundenen ganglia cerebralia. Hinter und unter ihnen lagern noch fünf Ganglienmassen, die den asymmetrischen Centren (Lacaze-Duthiers) Ürsprung geben, wobei das auch den Fussganglien anliegende Paar wohl den ganglia commissuralia (Thering) entspricht. In Fig. 10 sind alle diese Verhältnisse naturgetreu veranschaulicht. Alle Ganglien stellen anfangs compakte, aus klei- nen, aber charakteristischen Zellen bestehende, Hau- 15) M. Lereboullet «Recherches sur le développement du Lnn- née». An. se, nat., 4° série, T. XVIII, 1862. Vergl. pag. 169—170 und 195—197. Die auf diesen Seiten vorkommenden Widersprüche Jassen sich gar nicht erklären. Bulletin de l’Académie Impériale 96 fen vor; in spätern Stadien rücken die Nervenzellen zur Peripherie, wogegen die centralen Theïle der Gan- glien nur von ihren Ausläufern, die in die Commissu- ren und Nerven übergehen, eingenommen werden. Um jedes Ganglion bilden die Mesoderm-Zellen eine pigmentirte bindegewebige Hülle. Das Auge entsteht aus einer Ectodermeinstülpung in der Tentakel-Anlage. Im Innern der einschichtigen Augenblase wird eine Pigment-Anhäufung sichtbar. Die Linse ist eine metamorphosirte Zelle der Augen- blasenwand; anfangs unterscheidet sie sich nur durch ihre tiefere Lage und intensivere Tinktionsfähigkeit von den übrigen: dann aber nimmt sie eine kugel- runde Gestalt an. ihr Protoplasma wird homogen und stark lichtbrechend. ihr Kern schrumpft zusammen und wird zu einem kleinen undurchsichtigen Kôrper von unregelmässiger Gestalt. Auf Schnitten bietet das Auge der Lymnaeus-Embryonen ein sehr schônes Bild. Die Otocysten nehmen aus einer, zwar sehr schwer zu beobachtenden, undeutlichen Einstülpung der Sei- tenwand des Fusses ihren Ursprung: später rücken sie näher zusammen und verwachsen mit den Pedalgang- lien. Ihre vielzellige Natur ist dann fast unkenntlich. Auf Schnitten bleiben die Otolithen in Form klemer rother Stäbchen oft erhalten. 5. Mesoderm-Gebilde. Wir sahen das mittlere Keim- blatt in zwei kleinen Zellgruppen in der Umgebung des Einstülpungsstieles liegen. Mit dem Wachsthum und der Weiterentwickelung des Embryo ninmnt die Zahl der Mesodermzellen bedeutend zu. sie verbreiten sich in der ganzen Leibeshühle und erleiden sehr verschie- dene Modificationen. Die dem Ectoderm anliegenden nehmen bald die langgestreckte Form der Cutis-Zellen an. Andere, z. B. in der Nackengegend, strecken sich noch mehr in die Länge und zichen balkenartig von einer Ectodermregion zur andern hin: vielleicht be- wirken sie Contractionen der entsprechenden Kürper- particen. Wieder andere lagern sich perlschnurartig Zelle an Zelle, um verschiedene Bindegewebe zu bil- den. Am bedeutendsten aber sind die Modificationen die mit der Bildung der Nahrungssack-Serosa verbun- den sind. Die betreffenden Mesodermzellen nehmen eine amoeboide Gestalt, die wahrscheinlich auch mit amocboiden Bewegungen der Zellen in Zusammen- hang steht, an, und dringen in die Zwischenräume der Nabrungszellen (Fig. 9, Sz), ein ziemlich regel- 97 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 95 mässiges Netz um die Nahrungssäcke bildend, ein. Nach R. Lankester giebt dieses Mesodermnetz dem Leber- epithel Ursprung: in Wirklichkeit aber entsteht daraus Nichts als die serosa der Nahrungssäcke. Die Darmserosa nimmt ihren Ursprung aus Zellen die dem primitiven Oesophagus und dem Darmkeime ansitzen. Der Magen der Lymnaeus-Embryonen ist gewôhnlich von einer dicken, pigmenthaltigen serüsen Häülle, in der die Mesodermzellen dicht aneinander gelagert sind, umgeben. Im hufeisenfürmigen Leisten der Mundmasse hingegen sind sie nur sehr locker un- tereinander verbunden und bilden ein sehr schônes, pigmentloses Balkengerüste. Die Muskelfasern, die besonders deutlich im Co- lumellaris und in den Retractoren des Radula zu be- obachten sind stellen auch nur langgestreckte Me- sodermzellen vor; an jeder Faser ist der Nucleus deutlich erhalten. Die Blutgefässe entstehen nach dem gewôhnlichen Entwickelungsschema, welches keiner nähern Be- sprechung an dieser Stelle bedarf. Was die übrigen Organe, nämlich Lunge, Niere und Herz betrifft, so soll ihrer in diesem Auszuge nicht er- wäbnt werden. Ebenso auch unterlasse ich hier die all- gemeinen Schlüsse und Vergleiche, die in meiner rus- sischen Abhandlung dargelegt sind. Es war der Zweck dieses Auszuges nur die wichtigsten, einigermassen neuen, Resultate meiner Untersuchung den ausländi- schen Lesern vorzulegen. St. Petersburg, September 1879. Bericht über den Stand der Arbeiten, Welche durch die internationale Meter-Convention vom 8. (20.) Mai 1875 veranlasst worden sind. Von H. Wild, (Lu le 18 décembre 1879.) Akademiker Wild hat in der Sitzung der mathe- matisch-physikalischen Classe vom 18. December 1879 einen Bericht über die Arbeiten vorgelegt, welche bis dahin zur Ausführung der Meter-Reform seit der di- plomatischen Meter-Conferenz im Jahr 1875 erfolgt sind. Die Classe hat beschlossen, dieselben in das Bul- letin der Akademie aufzunehmen und zur Erleichterung Tome XX VI. des Verständnisses den am 20. Mai 1875 von Herrn Wild abgestatteten Bericht über die diplomatische Meter-Conferenz, der nicht publicirt worden ist, mit abzudrucken. Bericht über die diplomatische Meter-Conferenz zu Paris im Frübjahr 1875, Nach Erfüllung der mir gewordenen Mission, als Specialdelegirter Russlands und technischer Beirath des bevollmächtigten Russischen Diplomaten an der kürzlich in Paris versammelten internationalen Meter- Conferenz Theil zu nehmen, habe ich die Ehre hiemit der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften einen Bericht über den Erfolg dieser Mission abzustatten. Ich halte dies um so mehr für geboten, als unzweifel- haft das Resultat dieser Conferenz dereinst in der Ge- schichte der exacten Wissenschaften wie der Cultur im Allgemeinen als ein Epoche machendes Ereigniss verzeichnet werden wird. Da indessen selbst manchen Fachmännern die hohe Bedeutung des durch die frag- liche Conferenz erstrebten und auch erreichten Zieles unverständlich geblieben ist, so erscheint es wobl hin- länglich gerechtfertigt, wenn ich, um auch Fernerste- henden eine richtige Würdigung des Ganzen zu ermüg- lichen, hier etwas weiter aushole, Mit der Creirung des metrischen Maass-Systems zu Paris im Jahre 1798 wurden, wie dies für jedes Maass- System nothwendig ist, als materielle Darstellungen der beiden Grund - Einheiten desselben, nämlich der- jenigen für die Länge und der für das Gewicht, ein Meter und ein Kilogramm, beide aus Platin angefer- tigt und als Urmaasse (Prototype) des neuen Systems in den Archiven Frankreichs zu Paris deponirt. Nach diesen Prototypen sollten alle metrischen Maasse un- mittelbar oder mittelbar abgeglichen werden. So lange als Maasse dieses neuen Systems hauptsächlich bloss in Frankreich gebraucht wurden, konnte diese Ein- richtung keine erheblichen Schwierigkeiten zur Folge haben. Allein schon die Urheber der metrischen Maasse wollten damit nicht bloss für Frankreich, sondern für die ganze Welt ein neues Maass-System begründen. So sehr nun auch die Vorzüge des neuen Systems, näm- lich die systematische Benennung aller Unterabthei- lungen und Vielfachen der Einheiten, die consequent durchgeführte, unserm Zahlensystem angepasste Deci- maltheilung und die einfachen Relationen zwischen den { 99 Bulletin de l'Académie Impériale 100 verschiedenen Maasseinheiten darin, insbesondere der- jenigen des Volumens und Gewichts, geeignet waren, die Realisirung dieses grossen Gedankens zu fordern, so haben doch lange politische und andere engherzigere Gründe seine Einfübrung in andern Ländern verhin- dert. Als endlich, nachdem die Gelehrten das me- trische Maass wenigstens zu einem wissenschaftlich internationalen gemacht hatten, auch viele Staaten als solche dasselbe adoptirten, traten bereits die Folgen des principiellen Feblers der ersten Einrichtung deut- lich hervor. Wie alle menschlichen Einrichtungen und Erfindungen einer steten Entwickelung und Vervoll- kommnung fähig sind, so ist dies auch für jedes Maass- System und seine Handhabung der Fall, und da nun cbenso gewiss bald das eine bald das andere der civili- sirten Vülker den andern in seiner Entwickelung mehr oder minder vorauseilt, so kann ein Maass nur dann als internationales wirklich allen Staaten genügen, wenn es den Anforderungen der augenblicklich auf diesem Gebiete am weitesten vorgeschrittenen Vülker genügt, und dazu ist eben eine beständige internationale Ver- waltung desselben unentbehrlich. Indem die franzüsi- schen Gelehrten im Jahre 1798 sich damit begnügten, für die Einrichtung des neuen Maass-Systems und die Construction der neuen Prototype zwar fremde Ge- lehrte als Berather und Gehülfen beizuziehen, dann aber die Aufbewahrung und Verwaltung dieser Proto- type ausschliesslich Frankreich reservirten, schufen sie unbewusst ein Hinderniss für die Entwickelung des metrischen Systems und seine allgemeine Einführung. Die Staaten, welche das metrische Maass-System ganz adoptiren wollten oder auch nur für ihre wissenschaft- lichen und technischen Bedürfnisse authentische Co- pieen der metrischen Prototype benôthigten, sahen sich gezwungen, zu deren Erlangung entweder Gelehrte nach Paris zu schicken oder dann von franzüsischen Gelehrten und Beamten die Vergleichung solcher Co- pieen mit dem Meter und Kilogramm der Archive be- sorgen zu lassen. Die hierin schon liegende Inconve- nienz wurde aber noch bedeutend dadurch vermehrt, dass in dem einen wie anderen Falle bei diesen Ver- gleichungen die von Frankreich zur Disposition ge- stellten Comparatoren gebraucht wurden, welche nicht mehr dem neusten Standpunkt dieses Wissensgebietes entsprachen. Die betreffenden Einrichtungen in Frank- reich waren nämlich fast stationär geblieben, während man in andern Ländern Europas seit Beginn dieses Jahr- hunderts im Begleit mit der rapiden Entwickelung der Wissenschaft und Technik auch darin — sowohl was die Construction und Beschaffenheit der Urmaasse be- trifft als auch hinsicbtlich der Hülfsinstrumente zu den Maass - Vergleichungen — die grôüssten Fortschritte gemacht hatte. Deshalb fanden es dann in neuster Zeit manche ausländische Gelehrte für nôthig, mit einem ganzen Apparat nach Paris zu wandern, um daselbst mit eigenen Instrumenten unter Umgehung der von den franzüsischen Behôrden zur Disposition gestellten, die Verification ihrer Meter und Kilogramme nach den Prototypen der Archive zu bewerkstelligen. Selbst in solchen Fällen liess aber die Genauigkeit der erlangten Resultate ungünstiger äusserer Bedingungen halber Manches zu wünschen übrig und auch die sorgfältig- sten Messungen mit den besten Instrumenten konnten nicht über die Unsicherheiten hinweghelfen, welche eben den Prototypen der Archive zu Paris vom Stand- punkte der neuern Wissenschaft aus anhaften. Gemäss der im Jahre 1798 allein bekannten und gebräuchlichen Behandlungsweise des Platins bestehen nämlich die me- trischen Prototype der Archive zu Paris aus unreinem, sehr wahrscheinlich arsenikhaltigem Platin und dürfen deshalb nicht mit Flüssigkeiten in Berührung gebracht werden. Es ist daher weder das specifische Gewicht des Platinakilogramms sicher zu bestimmen noch die thermische Ausdebhnung für das Platinameter der Ar- chive genau bekannt, und doch sind dies zwei Grüssen, deren Kenntniss für genaue Maassvergleichungen un- entbehrlich ist. Zudem bieten diese Prototype in Folge der Unreinheit und Weichheit des Platins nicht die zu fordernden Garantieen der Unveränderlichkeit dar. Aus dem letztern Grunde hat auch bereits seit länge- rer Zeit die franzüsische Regierung die unmittelbare Benutzung der Prototype der Archive zu Maassver- gleichungen suspendirt und für diesen Zweck nur den Gebrauch der im Conservatoire des Arts et Metiers deponirten Copieen derselben gestattet. Diese Copieen sind allerdings im Auftrage der Regierung von einer Commission zu Anfang des Jahres 1864 mit den Proto- typen der Archive neu verglichen worden; gleichwohl konnte ihnen nicht die Authenticität wie den letztern beigemessen werden, da diese Vergleichungen nicht die dem gegenwärtigen Standpunkt der Wissenschaft ent- sprechende Sicherheit darbicten, 101 Unter solchen Umständen wurde nach und nach die Erlangung genauer Copieen der metrischen Urmaasse zu einer schwierigen, ja geradezu unmôglichen Sache und nur so konnte es auch dahin kommen, dass authen- tische Copieen des Meters und Kilogramms der Ar- chive in verschiedenen Ländern, ja sogar solche in dem- selben Lande, die aus verschiedenen Epochen stammen, bei directer Vergleichung untereinander um Grüssen abweichen, welche die gegenwärtige Fehlergrenze bei genauen Maassvergleichungen ungefähr 1000 Male überschreiten. Und in Anbetracht dessen dürfen wir auch wobhl nicht die Gelehrten allzusehr iadeln, die ihren Regierungen abriethen, das in ibren Ländern bestehende, auf gute Urmaasse und genaue Maassver- gleichungen basirte, Maasssystem gegen das metrische System umzutauschen. Man wird es jetzt auch verstehen, warum die Klagen über diesen bedauerlichen Zustand des allmählich zum internationalen gewordenen metrischen Maass- und Cre- wichtssystems nicht in Frankreich, sondern zuerst im Auslande laut wurden. Sie fanden ihren bestimmten Ausdruck in Verbesserungsvorschlägen, welche in den Jahren 1867—69 der Reihe nach der internationale statistische Congress, die internationale geodätische Conferenz und ganz besonders unsere Akademie der Wissenschaften auf Betrieb unseres verstorbenen Col- legen von Jacobi machte. Diese Vorschläge gingen ziemlich übereinstimmend dahin, eine internationale Commission von Fachmännern zusammenzuberufen, um über die Herstellung neuer metrischer Prototype und authentischer Copieen derselben für alle Länder sowie die Begründung eines beständigen, fest organisirten internationalen Maassvergleichsbureaus zu berathen. Auf solche Weise sollte also nicht bloss den augen- blicklichen Übelständen abgeholfen, sondern durch Be- seitigung des erwähnten principiellen Fehlers bei der Einrichtung des metrischen Systems auch für die Zu- kunft der Wiederkehr derselben vorgebeugt werden”). 1) Zweck und Aufsabe einer solchen einzuberufenden Commis- sion konnten also nicht, wie vielfach geglaubt wurde, darin beste- hen, das metrische Maass-System in allen dabeï sich betheiligenden Staaten für den Gebrauch im täglichen Leben einzuführen. Es wäre durchaus verfrüht gewesen, zur Zeit und bei dieser Gelegenheit diese Frage zu erürtern; dagegen ist zu erwarten, dass sich dies als Consequenz des ganzen Unternehmens von selbst ergeben wird, in- dem es dann zumal für jeden Staat nur vom hôchsten volkswirth- schaftlichen Interesse sein kann, so rasch als immer môglich das metrische Maasssystem zu adoptiren. Aber auch die neue Herlei- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 102 In Folge dieser Wünsche lud endlich die franzôsi- sche Regierung auf den Vorschlag ihrer Akademie der Wissenschaften alle Staaten zur Theilnahme an einer internationalen Meter-Commission zu Paris im August 1870 ein. Bekanntlich verhinderten die Kriegsereignisse jenes Jahres eine vollständige Ver- sammlung und damit entscheidende Berathungen der Commission. Dieselben Differenzen aber, die sich schon in jener Versammlung gezeigt hatten, traten unver- mindert wieder hervor, als dann im September 1872 die Commission auf’s Neue und vollzählig zur Fassung bestimmter Beschlüsse zusammentrat. Während näm- lich in den Sitzungen dieser Commission in allen rein wissenschaftlichen (bloss die Reform der metrischen Prototype und die Herstellung gleichwerthiger Copieen derselben für alle Länder betreffenden) Fragen fast einstimmige Resolutionen ohne allzugrosse Mühe zu Stande kamen, gingen über die Art und Weise der Ausführung dieser Beschlüsse die Meinungen sehr stark und bestimmt auseinander. Der eine Theil der Ver- sammlung, mit dem grüssern Theil der franzüsischen Delegirten an ihrer Spitze, wollte wieder wie im Jahre 1798 die Ausführung der Reform und die spätere Ver- waltung der neuen Prototype fast ganz Frankreich, resp. den franzôsischen Mitgliedern der Commission, über- tragen und den Delegirten der übrigen Länder mehr eine bloss passive, gutheissende Stellung einräumen; der andere Theil dagegen der Commission, darunter auch mebhrere franzôsische Delegirte, hielt an der An- sicht fest, dass die neuen metrischen Prototype nur dann wirklich internationale, als welche sie ja auch Frankreich angesehen wissen wolle, sein werden, wenn nicht bloss die Festsetzung der Principien ihrer Her- stellung, sondern auch diese selbst unabhängig von tung des Meters gemäss seiner ursprünglichen Definition als der 40 Millionste Theil des Erdmeridians konnte nicht im Ernste in einer solchen Versammlung zur Sprache kommen, obschon selbst Miänner der Wissenschaft dies als emen der Hauptzwecke derselben betrachtet haben. Man ist in der neusten Zeit in der Metrologie so sehr von den früheren Ideen der Vorzüglichkeit der Naturmaasse zurückgekommen, dass es gegenwärtig keinem in dieser Wissen- schaft Bewanderten einfallen würde, die Länge des bestehenden Meters ändern zu wollen, selbst wenn dieselbe viel mehr von ïhrer Definition als Naturmaass abwiche, als sie dies wirklich thut. Ein Maasssystem erscheint gegenwärtig durch concrete, aus môglichst unveränderlichem Material construirte und gut aufbewahrte Ur- maasse viel sicherer fundamentirt, als durch Anlehnung an ein der Natur entnommenes Maass, dessen Ausmessung immer viel grossere und zudem variable Fehler in sich schliesst, T4 7 103 Bulletin de l’Académie Empériale 104 einer bestimmten Nationalität und jedenfalls unter be- stäindiger und wirksamer internationalen Controlle er- folge und gleich von Anfang an diesmal auch auf eine international festgesetzte und garantirte Aufbewahrung sowie eine von keiner einzelnen Nation abhängige Zu- gänglichkeit derselben Bedacht genommen werde. Zwi- schen diesen beiden Hauptansichten kam schliesslich ein Compromiss zu Stande, wornach die Anfertigung der neuen Prototype des Meters und Kilogramms sammt ihren Copieen sowie die Vergleichung der erstern mit den alten Prototypen der Archive den franzüsischen Mitgliedern der Commission übertragen, die endgül- tigen Verificationen aber der neuen Prototype und ihrer Copieen sammt allen Hülfsarbeiten dazu, sowie die Aufbewahrung und künftige Verwaltung der erstern einem leitenden internationalen Comité und einem beob- achtenden internationalen Maass- und Gewichtsbureau reservirt bleiben sollten. Für das erstere wurden un- mittelbar am Schluss der Sitzungen aus dem Schooss der Commission 12 Mitglieder gewählt, welche alle verschiedenen Staaten angehôrten; das letztere sollte durch einen zwischen den participirenden Staaten ab- zuschliessenden Vertrag auf gemeinsame Kosten be- gründet und unterhalten werden. Da die Delegirten zur internationalen Meter-Com- mission, vorwiegend Männer der Wissenschaft, von ihren Regierungen nicht mit bezüglichen Vollmachten ausgerüstet waren, so bedurften selbstverständlich alle die Ausführung und künftige Organisation betreffen- den Beschlüsse derselben noch der Sanction und defi- nitiven Redaction Seitens der Regierungen. Es schien am schicklichsten zu dem Ende eine Conferenz von bevollmächtigten Diplomaten zu berufen, denen Fach- männer als technische Beiräthe beizugeben wären und die dann über die ganze Ausführung der projectirten Reformen einen definitiven, alle Details bestimmenden Vertrag zwischen den participirenden Staaten abzu- schliessen hätten. Eine erste Einladung der franzôsi- schen Regierung zur Beschickung einer solchen Diplo- maten-Conferenz im Jahre 1873 wurde, wahrschein- lich in Folge von Missverständnissen, von vielen Staaten ablehnend beantwortet; da indessen das von der inter- nationalen Commission für die Leitung der Ausführung erwähnte Comité sich in Folge dessen ausser Stande sah, eine wirkliche Action zu beginnen, so lud die fran- zôsische Regierung auf seine Bitte Ende 1874 die ver- schiedenen Staaten neuerdings ein, in dieser Sache eine Conferenz von Diplomaten zu beschicken. In Folge dessen trat dann wirklich die fragliche Conferenz am 1. März dieses Jahres (1875) in Paris zusammen. Auf dieser Conferenz waren alle europäischen Staa- ten mit Ausnahme Grossbritaniens, ferner die Ver- einigten Staaten von Nordamerika, Brasilien, die Ar- gentinische Republik, Peru und Venezuela durch di- plomatische Bevollmächtigte und meistentheils auch noch durch einen oder mehrere Specialdelegirte ver- treten. Grossbritanien hatte nur einen Specialdelegir- ten zur Conferenz geschickt. Obschon nun durch den erwähnten Compromiss Seitens der internationalen Meter - Commission die Nothwendigkeit einer rein internationalen und-dauern- den Institution nicht bloss für die endgültige Verifi- cation der neuen Prototype, sondern auch für ihre künftige Verwaltung anerkannt worden war, haben doch bei den Berathungen der Conferenz einige Spe- cialdeligirte dieselbe neuerdings in Zweifel gezogen, ja sogar heftig bekämpft, was leider die Verhandlun- gen bedeutend in die Länge zog. Sthliesslich entschied doch die Logik der Thatsachen zu Gunsten einer dau- ernden internationalen Institution *). 2) Folgende einfache Betrachtung mag noch zur Verstärkung der Nothwendigkeit einer solchen Institution, wie sie sich im Ver- folg dieses Berichts aus den Thatsachen unmittelbar ergeben bat, dienen. Die Erfahrung hat nämlich schon längst dahin geführt, dass in jedem Staate mit einem geordneten Maass- und Gewichtswesen eine Centralstelle nothwendig sei, wo die Urmaasse oder wenigstens ge- naue Copieen derselben deponirt sind und wo auch die nôthigen Hülfsinstrumente und sachverständige Beamte zu genauen Maass- vergleichungen sich befinden. — Hier werden zur Erhaltung der Übereinstimmung der Maasse und Gewichte in den verschiedenen Landestheilen nicht bloss anfänglich, sondern wiederholt von Zeit zu Zeit (etwa alle 5—10 Jahre) die Normalmaasse für die verschie- denen Bezirke nach den Urmaassen abgeglichen. Wo dieses Verfah- ren nicht befolgt wurde, haben sich mit der Zeit immer wieder stü- rende Differenzen zwischen den Maassen in verschiedenen Theilen desselben Landes hergestellt. Wenn nun schon erfahrungsgemäss für das Maasssystem eines einzelnen Landes eine solche Central- stelle für die Verwaltung der Urmaasse nothwendig ist, so muss dies offenbar noch viel mehr für ein allen Staaten gemeinsames, inter- nationales Maasssystem der Fall sein. Das metrische Maasssystem ist aber nicht bloss gegenwärtig in den meisten europäischen und amerikanischen Staaten sowie in Ostindien eingeführt, sondern auch in andern Ländern für den internationalen Verkehr adoptirt worden, also in der That bereits das Weltmaass geworden. Würde man bei der jetzigen Reform der metrischen Urmaasse und der Anfertigung von Copieen derselben für alle Staaten nicht zugleich eine solche Centralstelle zur Verwaltung dieser internationalen Prototype im Namen aller betheiligten Länder und zur zeitweisen internationalen Controlle der unveränderten Übereinstimmung der an die verschie- 105 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 106 ————————————————— In der zweiten Sitzung nämlich der Diplomaten- Conferenz haben die Bevollmächtigten von 14 unter den 20 bei der Conferenz vertretenen Staaten sich bereit | erklärt, das in vorstehendem Sinne abgefasste, von den Specialdelegirten Russlands, Deutsehlands, Osterreichs. Italiens, der Schweiz, Frankreichs, Spaniens, Belgiens und der Vereinigten Staaten Nord-Amerikas ausgear- beitete und vorgestellte Conventions-Project MX 1 zu unterzeichnen, die Bevollmächtigten von 5 anderen Staaten behielten sich ihre Entschliessung in Erwar- tung weiterer Instructionen ihrer Regierungen noch vor und nur Holland erklärte sich für das zweite, von andern Mitgliedern der Specialisten-Commission vor- geschlagene Conventions - Project. Das erste Projet war damit von der überwiegenden Majorität angenom- men, mit Rücksicht aber auf die Staaten, welche sich noch nicht entschieden hatten, setzte die Conferenz den 20. Mai für die definitive Unterzeichnung dieser Con- vention fest; ferner wurde ein Termin von 6 Monaten für die Ratification der Convention Seitens der Staaten fixirt und erklärt, dass die Convention mit dem 1..Ja- nuar 1876 in Kraft treten solle. Nach soeben empfangenen Nachrichten ist nun am 20. Mai die fragliche Convention definitiv von den Bevollmächtigten folgender 17 Staaten unterzeichnet worden: Deutschland, Argentinische Republik, Osterreich-Ungarn, Belgien, Brasilien, Däne- mark, Spanien, Vereinigte Staaten, Frank- reich,Italien, Peru, Portugal, Russland, Schwe- den und Norwegen, Schweiz, Türkei, Vene- zuela. Von den 20 bei der Conferenz vertretenen Staa- ten sind also nur England, Holland und Griechen- land zur Zeit der Convention noch nicht beigetreten. Diese Convention, welche jetzt nur noch der Rati- fication durch die Souveraine oder Parlamente be- darf *) um mit dem 1. Januar 1876 für 370 Millio- neu Bewohner der Erde in Kraft zu treten, enthält folgende wesentliche Bestimmungen. denen Staaten vertheïlten Copieen cinrichten, so wäre trotz der sorg- fältigsten Ausführung dieser Reform doch in kurzer Zeit wieder der Eintritt derselben Unordnungen im metrischen Maass- und Ge- wichtssystem als internationalem zu befürchten, wie sie zur Zeit bestehen und eben durch die vereinten Anstrengungen aller Länder beseitigt werden sollen. 3) Diese Ratification ist seither für alle genannten Staaten mit Ausnahme von Brasilien, das sich zurückgezogen hat, erfolet. Ausserdem ist im Jahre 1879 noch Serbien der Convention bei- getreten. In oder in unmittelbarer Nähe von Paris‘) wird ein permanentes und wissenschaftliches internationales Maass- und Gewichtsbureau auf gemeinsame Kosten der contrahirenden Staaten errichtet. Dasselbe wird in einem besondern Gebäude etablirt, das die nôüthigen Garantieen der Stabilität und Ruhe darbietet. Seine Hauptaufgaben sind : 1. die Verification und Vergleichung der neuen Pro- totype und ihrer Copien jetzt und in Zukunft, 2, die Aufbewahrung der neuen internationalen Pro- totype, 3. die Vergleichung dieser Prototype mit den nicht metrischen Fundamentalmaassen der verschiede- nen Länder und mit den geodätischen Maassen, 4.die Verification überhaupt von Normalmaassen von Behôrden und Privaten aller Länder, welche dies verlangen (letztere indessen nur gegen Ent- richtung bestimmter Gebühren). Sein Personal besteht aus einem Director, zwei Gehülfen desselben und weiteren Angestellten nach Bedarf. Der Director und die zwei Gehülfen werden vom internationalen Maass- und Gewichts-Co- mité gewählt, welchem exclusive die allgemeine Di- rection der Arbeiten des Bureaus und seine Über- wachung anvertraut ist. 4) Wie schon im Jahre 1872, so wurde auch diesmal wieder in den Privat -Verhandlungen von einigen Verfechtern der Idee des internationalen Bureaus gewiss nicht ganz mit Unrecht geltend ge- macht, dass in einem kleinen neutralen Staat die Bedingung einer vollkommenen Internationalität des Bureaus viel leichter und siche- rer zu erfüllen wäre als in einem Grossstaat und dass daher nicht Paris resp. Frankreich als Sitz des Bureaus gewählt werden sollte, sondern ein Ort in der Schweiz oder in Belgien. Anderseits aber war nicht zu leugnen, dass man Frankreich als der Wiege des me- trischen Maasssystems in dieser Beziehung Rücksichten schulde ; auch war ganz bestimmt anzunehmen, dass demgemäss nicht bloss Frankreich selbst, sondern eine ganze Reihe von Staaten mit ibm sich nie an einem ausserhalb Frankreich begründeten Maass- und Gewichtsbureau für das metrische System betheiligen würden. Da- durch wäre aber erst recht der internationale Charakter des letz- tern aufgehoben worden und entweder gar Nichts oder dann mehrere metrische Urmaasse entstanden. Von den beiden Übeln war also jedenfalls das aus der Wahl von Paris als Sitz des Bureaus allfällig entspringende das kleinere. Indem man sich hiefür entschied und Frankreich diese grosse Concession machte, musste zugleich bei der Redaction der Convention Alles aufgeboten werden, um den grossen Eïinfluss, welchen unausweichlich jeder Grossstaat auf ein in ihm begründetes ôffentliches Institut ausüben wird, durch keine weitern Zugeständnisse zu verstärken, sondern im (Gegentheil denselben durch allerlei Cautelen môglichst zu paralysiren und so die Inter- nationalität des Bureaus zu wahren. Von diesem Standpunkte aus betrachtet dürften manche Bestimmungen der Convention, die man ohne dies vielleicht kleinlich gefunden hätte, in ihrem wahren Lichte erscheinen und für ganz gerechtfertigt gehalten werden. 107 Bulletin de l’Académie Impériale 108 Dieses Comité, das sich selbst constituirt und an- | oder andere der contrahirenden Staaten unter Aufge- fänglich mindestens ein Mal im Jahre versammelt, besteht aus 14 Mitgliedern, die alle verschiedenen Staaten angehôüren. Es wurde zum ersten Mal zusam- mengesetzt aus den 12 Mitgliedern, weiche seiner Zeit von der internationalen Maass- und (rewichts-Com- mission gewählt worden waren und den zwei Delegir- ten, welche damals nächst diesen bei der Wahl am meisten Stimmen auf sich vereinigt hatten. Es besteht demnach aus den Herren : 1. Bosscha (Holland), 8. Hirsch (Schweiz), 2. Broch (Norwegen), 9. Husny-Bey (Türkei), 3. Chisholm (Grossbrita- 10. Ibañez (Spanien), nien), 11. Morin (Frankreich), 4. Fürster (Deutschland), 12. Stas (Belgien), 5. Govi (Italien), 13. Wild (Russland), 6. Herr (Oesterreich), 14. Wrede (Schweden)”. . Hilgard ( Vereinigte Staaten), «1 Alle 6 Jahre (das erste Mal nach Vollendung der neuen metrischen Urmaasse und ihrer Copien) wird dieses Comité zur Hälfte erneuert von den in solchen Intervallen regelmässig sich versammelnden General- Conferenzen für Maass und Gewicht, welche aus Delegirten aller betheiligten Staaten bestehen werden. Dieser General-Conferenz steht die oberste Ent- scheidung über alle, das metrische Maass-System be- treffenden Fragen zu; sie hat die Aufgabe, die nôthi- gen Maasregeln zu seiner Verbesserung und Ausbrei- tung zu berathen und zu provociren; unter ihrer Au- torität leitet das internationale Comité alle bezüglichen Arbeiten. Die Vertheilung der Kosten unter den sich bethei- ligenden Staaten ist in der Art regulirt, dass die Bevülkerungszahl der Staaten, die das metrische System ganz angenommen haben, dreifach, die derje- nigen, welche dasselbe bloss facultativ eingeführt ha- ben zweifach und die der übrigen Länder einfach ge- zählt und proportional zu den so erhaltenen Zahlen die Kosten auf die einzelnen Staaten repartirt werden. Erst nach Verlauf von 12 Jahren kann der eme 5) Die Herren Bosscha und Chisholm haben seither, da ïhre Staaten der Convention nicht beitraten, die Annahme der Wahl ab- gelehnt und sind durch die Herren Krusper (Ungarn) und Gould (Argentinische Republik) ersetzt worden, ben aller weiteren Ansprüche sich von dieser Conven- tion zurückziehen, die auch nur durch ein gemeinsa- mes Einverständniss aller abgeändert werden kann. Die Convention enthält endlich noch einige Ueber- gangsbestimmungen, um die durch sie geschaffene Or- ganisation an die bereits von der internationalen Meter- Commission für die Zwischenzeit veranlassten proviso- rischen Ausführungs-Arbeiten insbesondere an dieje- nige der franzôsischen Mitglieder anzuschliessen. Es wurde nämlich festgesetzt, dass die Herstellung der neuen metrischen Prototype und ihrer Copieen für alle betheüigten Länder, sowie ihre Vergleichung mit den alten Prototypen der Archive zu Paris, wie bis dahin der franzüsischen Section übertragen bleiben sollte. Gemäss der im letzten Artikel dieser Übergangsbe- stimmungen ertheilten Autorisation hat sich gleich nach Schluss der Conferenz das genannte internatio- nale Maass- und Gewichts-Comité in Paris ver- sammelt und sich durch die Wahl des Generals Ib- anez, Directors des Instituts für Geographie und Sta- tistik in Madrid, zum Präsidenten und des Professors Hirsch, Director der Sternwarte in Neuchâtel, zum Secretär constituirt. In mehreren Sitzungen wurden dann noch die nôthigen Berathungen gepflogen über vorbereitende Studien bis zum Beginn der eigentlichen Thätigkeit vom nächstem Jahre an und vor Allem auch über die Schritte, welche zur Erwerbung geeigneter Localitäten für die Einrichtung des internationalen Bureaus bei der franzôsischen Regierung zu thun sein. Zur Verfolgung dieser und ähnlicher Arbeiten hielt es endlich das Comité für nützlich, den künftigen Di- rector dés Bureaus, dessen definitive Wabhl erst nach der Ratification der Convention thunlich erschien, schon jetzt zu designiren. Die Walhl fiel einstimmig auf den Professor Govi aus Turin. So ist denn durch diese Convention eine feste Or- ganisation für die Ausführung der Metermaass-Reform geschaffen und zugleich das erste wissenschaftliche in- ternationale Institut creirt. Durch dieses kônnen die gemeinsamen Arbeiten auf sicherer und unabhängiger Basis gefordert werden und wenn auch bis zur Lüsung der nächsten Aufgaben noch mebrere Jahre verfliessen dürften, so kann man jetzt ruhig der Vollendung dieser ibrer Natur nach langwierigen und delicaten Untersu- chungen entgegen sehen. Das Ziel, welches unsere 109 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 110 mo Academie der Wissenschaften seiner Zeit durch ïhre Vorschläge anstrebte, wird sicher erreicht werden. St. Petersburg 20. Mai (1. Juni) 1875. Bald sind fünf Jahre verstrichen, seit ich (am 20. Mai 1875) die Ehre hatte, der Academie über den Erfolg der diplomatischen Conferenz des Meters zu Paris im Frühjahr 1875 einen Bericht zu erstatten, der als solcher auch in ôffentliche Blätter übergimg. Es dürfte daher an der Zeit sein, über die Arbeiten, welche auf Grundlage der durch diese Conferenz ab- geschlossenen, internationalen Convention inzwischen unternommen und fortgeführt worden sind, der Aca- demie wieder einmal ausführlicher Rechenschaft zu geben und dadurch sie und weiterhin auch das Publi- cum über den Stand der so wichtigen Reform der me- trischen Urmaasse zu unterrichten. Man wird sich erinnern, dass die internationale Meter-Convention entsprechend den Beschlüssen und Wäünschen der internationalen Meter-Coommission vom Jahr 1872 die Gesammt-Arbeit der Reform der me- trischen Urmaasse zwischen zwei Organen vertheilte, indem sie festsetzte, dass die franzüsische Section der frühern internationalen Meter-Commission mit der An- fertigung der neuen metrischen Prototype und ihrer Copieen für alle Länder sowie mit der Verification derselben nach den alten metrischen Prototypen der Archive zu Paris betraut bleiben solle, dass dagegen die endgültige Vergleichung der nationalen metrischen Etalons mit den neuen internationalen Prototypen, so- wie die Aufbewahrung und Verwaltung der letztern, die künftige Anfertigung und Verification von Copieen dieser, etc. einem in Paris zu begründenden interna- tionalen Maass- und Gewichtsbureau zu übertragen sei, das nach den Vorschriften und unter Controlle eines aus 14 Mitgliedern bestehenden internationalen Maass- und Gewichts-Comités zu arbeiten habe. Wie und in welchem Maasse haben sich nun bis dahin diese beiden Organe der ihnen gewordenen Auf- gaben entledigt? Die franzüsische Section der internationalen Metercommission, welche schon 1869 constituirt worden war und ihre Thätigkeit mit Studien über das : geeigneteste Material für die neuen Prototype begann, {ville und E. Mascart einen Theïil ihrer interessanten, im der hat dem Auftrag jener Commission zufolge nach man- nigfachen Vorversuchen im Jahr 1873 am 13. Mai 1874 im Conservatoire des Arts et Metiers durch Guss einen Block von 250 Kilogramm hergestellt, der nach den Bestimmungen der internat. Meter-Commis- sion aus 90 Procent reinem Platin und 10 Procent rei- nem Iridium bestehen und aus dem die neuen Prototype und die von den verschiedenen Staaten bestellten 62 Meter und 42 Kilogramme angefertigt werden sollten. Kleine Proben dieses Materials sind zwar wiederholten Untersuchungen auf ihre physikalischen Eigenschaften insbesondere ihr specif, Gewicht und ihre Ausdehnung durch Wärme unterworfen worden, die gewünschten Versuche aber betreffend die Unveränderlichkeit des Materials sind bis dahin nicht angestellt. Bis zum Frühjahr 1879 waren überhaupt aus dem fraglichen Material erst 27 Meter soweit hergestellt, dass sie zur Aufnahme der Theïilung bereit waren. In der Nacht vom 31. December 1878 zum ersten Januar 1879 wurde auch im Conservatoire des Arts et Metiers eines dieser Meter nach dem Prototyp-Meter der Ar- chive getheilt, indessen erwies sich die Theilung spä- ter bei näherer Untersuchung als ungenügend. Seither scheint kein weiterer bezüglicher Versuch mehr ge- macht worden zu sein. Noch weniger weit ist man in der Anfertigung der Kilogramme gekommen, indem nach einigen, der geringen Homogenität des Materials halber verunglückten Versuchen vor der Hand die Herstellung von Kilogrammen aus demselben ganz eingestellt worden ist. Demgemäss scheint auch die franzüsische Section für die Beschaffung einer genauen Wage und der nü- thigen Hülfsinstrumente für die Verification der Kilo- gramme keine endgültigen Schritte gethan zu haben °). Dagegen hat dieselbe zwei Comparatoren für die Me- ter anfertigen lassen, von welchen der erstere mit lon- gitudinaler Bewegung des Wagens hauptsächlich zur Tracirung der Platin-lridium-Meter nach dem alten G) Ich kann dagegen an dieser Stelle nicht unerwähnt lassen, dass ich im Laboratorium des Herrn Deville in der École normale eine vorzügliche von Collot in Paris verfertigte Wage zur Ver- eleichung von Kilogrammen gesehen habe, die ebenfalls eine Vor- richtung zur Vertauschung der Gewichte auf den Wagschalen ohne Offnung des Gehänses nach einem besondern Systeme besitzt. Ebenso habe ich auch bei derselben Gelegenheit den Längen-Comparator im Collège de France besichtigt, mit welchem die Herren H. De- Schrift «Sur la construction de la Règle géodésique internationale » Paris 1879 beschriebeuen Untersuchungen ausgeführt haben. Li LI Bulletin de l’Académie Impériale 112 ————@—@ Archiv-Meter, der andere mit gewühnlicher transver- saler Bewegung des Wagens zur nachherigen Verglei- chung der getheilten Meter mit dem Archiv-Meter dienen soll. Der erstere Comparator ist bereits defi- nitiv und sehr solide in einem kleinen Zimmer aufge- stellt, welches behufs Ausführung der Theilung in der Näühe von 0° durch Einblasen von kalter Luft auf diese Temperatur gebracht und einige Zeit bei derselben constant erhalten werden kann. Der zweite Compara- tor kommt in ein zweites gleichbeschaffenes Zimmer zu stehen, war aber zur Zeit meines Besuchs im Conser- vatoire (im Mai dieses Jahres) noch nicht montirt. Beide Instrumente müssen soweit, als sich dies nach dem Âussern beurtheilen lässt, als gut und zweckent- sprechend bezeichnet werden; leider liegen aber weder von dem einen noch andern vollständige Messungen vor, welche ihre Leistungsfähigkeit zifferngemäss an- zugeben gestatteten und dasselbe gilt auch von den Einrichtungen zur Erhaltung der Temperatur-Con- stanz bei den Beobachtungen. Die franzüsische Section ist somit, obschon sie be- reits 7 Jahre unter den günstigsten äusseren Umstän- den und gewissermaassen bei sich zu Hause gearbeitet hat, noch ziemlich weit von der Vollendung der ihr gewordenen Aufgabe entfernt. Die Schuld hieran tra- gen in erster Linie einige, in ihrer Bestimmtheit für jene Zeit etwas verfrühte Beschlüsse der internationalen Metercommission. Dieselbe beschloss nämlich die neuen Meter und Kilogramme aus einer Legirung von 90 Procent Platin und 10 Procent Iridium anfertigen zu lassen, obschon damals, wie sich seither ergeben hat, weder die Eigenschaften dieser Legirung noch die Herstellung und Eigenschaften des chemisch reinen Iridiums genügend bekannt waren; sie beschloss fer- ner, dass je alle Meter und je alle Kiïlogramme der Gleichartigkeit halber aus einem Gussblock angefer- tigt werden sollten, was sich in der Wirklichkeit als durchaus unpraktisch erwiesen hat; sie setzte endlich theoretischen Betrachtungen zufolge für die Meter eine neue eigenthümliche Querschnittsform (angenähert die Form eines X) fest, obschon über die Môglichkeit be- friedigender Herstellung derselben noch keinerlei Er- fahrungen vorlagen. In zweiter Linie ist wohl diese Verzügerung in der Ausführung der ihr übertragenen Aufgabe dem Umstand beizumessen, dass die franzüsi- sche Section dieselbe, nämlich die Herstellung der neuen Meter und Kilogramme, zu würtlich nahm und demzufolge auch die Ausführung der rein technischen Theiïle dieser Arbeit wie Guss des Materials, Con- struction der Stäbe und Kilogramme aus demselben, Politur der letztern, Ziehen der Striche auf den Me- tern u. s. w. selbst in die Hand nahm. Misshellig- keiten, die, zum Theil deshalb und aus andern Grün- den mehr, zwischen ihren Mitgliedern ausbrachen, mussten ebenfalls lihmend auf den gedeihlichen Fort- gang der Arbeiten einwirken. Diesen Umständen allen ist es beizumessen, dass im Frübjahr 1874 Platin und fridium legirt wurden, de- ren Reinheit nicht genügend festgestellt war, dass man daraus einen einzigen Block von 250 Kilogramm goss, der sich später als nicht genügend homogen in seiner ganzen Ausdehnung erwies, dass man die Anfertigung der Meterstäbe aus diesem Material fortsetzte, nach- dem bereits am 19. Nov. 1874 der berühmte Chemi- ker Henri Saint-Claire Deville in der Sitzung der franzôsischen Section auf die ungenügende Reinheit desselben hingewiesen hatte. Die grosse Mühe, welche die eigene Herstellung der Meterstäbe mit ihrem com- plicirten Querschnitt aus einem so harten Material wie Platin-Iridium verursachte, war denn auch wohl der Hauptgrund, weshalb die Mehrheit der franzüsischen Section die bereits vollendeten Stäbe nicht verwerfen und die Fortsetzung der Anfertigung weiterer aus demselben Material selbst dann nicht sistiren wollte, als Herr Deville im Mai 1875 ihr seine Analysen in extenso vorlegte, wornach Stücke der angefertigten Stäbe bis zu 2,7 Procent fremder Metalle (darunter 2,3 Procent oxydable) ausser Platin und Iridium ent- hielten. Man z0g es vor, die Richtigkeit dieser Ana- lysen anzuzweifeln. Erst nachdem im Jahre 1877 das internationale Maas- und Gewichtscomité vermôüge der ihm durch die Convention ertheilten Befugniss durch zwei seiner Mitglieder mit gefälliger Beihülfe des Herrn Deville ebenfalls Analysen von Proben des fraglichen Materials hatte ausführen lassen, welche die frühern Resultate | des Herrn Deville vollkommen bestätigten, mussten alle Zweifel verstummen und wurde demzufolge be- schlossen, die weitere Anfertigung von Metern aus dem fraglichen Material zu sistiren, bis vergleichende Un- tersuchungen einiger der bereits vollendeten Stäbe mit neuen, aus ganz reinem Platin-Iridium anzuferti- 153 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 114 —————_—_—_———_——————————— "2 genden über die Zulässigkeit des erstern Materials entschieden haben würden. Das internationale Comité, welches diese Untersuchung in seinem Bureau ausfüh- ren soll, hat indessen dieselbe noch nicht beginnen künnen, da ihm bis dato die fraglichen beiderlei Stäbe von der franzôsischen Section noch nicht übergeben worden sind. Das zweite von der Convention mit den Ausfüh- rungsarbeiten betraute Organ, das internationale Maass- und Gewichtscomité mit seinem bestän- digen, in Paris zu begründenden Bureau konnte seine eigentliche Thätigkeit erst nach Ratification der Convention durch die dabei betheiligten Regierungen mit dem Jahre 1876 beginnen. Seither sind auf einem von Frankreich geschenkten Stücke Land im Parke von St. Cloud oberhalb Sèvres, in welchem sich der im Kriege zerstürte «Pavillon de Breteuil» befand, erstens durch Restauration des letztern die nôüthigeu Wohnungen und Bureau-Räume für die Beamten des internationalen Maass- und Gewichtsinstituts, sowie eine mechanische Werkstätte und ein chemisches La- boratorium geschaffen worden und sodann ist daneben ein Observationsgebäude und ein Maschinenhaus neu erbaut worden, von welchen das erstere 6 grosse Säle mit Einrichtung zur Präcisionstemperirung derselben, ferner ein physikalisches Laboratorium und endlich zwei übereinander liegende, kellerartige Gewülbe be- sitzt. Das untere der beiden letztern, durch zwei ei- serne Thüren verwahrte, und nahe constante Tem- peratur besitzende, ist für die Aufbewahrung der künftigen internationalen metrischen Prototypen und ihrer «Temoins» bestimmt. Das Maschinenhaus birgt die Dampfmaschine und die Apparate zur Abkühlung und Erwärmung der Luft und des Salzwassers, welche Ventilatoren und Pumpen durch Rührenleitungen zu den Sälen des Observationsgebäudes befôrdern. Die Luft wird dort direct in die Säle nach Offnung ent- sprechender Klappen eingeblasen, das Salzwasser aber fliesst auf allen Seiten über die Rückseite der canel- lirten Zinkwand herunter, mit welcher die ebenfalls mit Zink bekleideten Wände des Zimmers in einem Abstand von ungefähr !/, Fuss ringsum umhüllt sind. Hierdurch wird es, wie wir im Verfolge noch näher sehen werden, müglich, jeden Saal in kurzer Zeit auf eine beliebige zwischen —- 1° und 30 C. gelegene Temperatur abzukühlen oder zu erwärmen und als- Tome XXVI. dann beliebig lang auf der gewählten Temperatur mit Schwankungen von bloss 0,1 zu erhalten. Âussere Tem- peraturwechsel, Sonnenschein und dergl. haben keinen storenden Einfluss auf die Temperatur der Säle, da dieselben rings von einem gleichmässig temperirten Corridor umgeben sind und ihr Licht bloss von oben durch hohe, in das Dach des Hauses eingesetzte La- ternen empfangen. In diesen Sälen des Observationsgebäudes waren zur Zeit meiner letzten Anwesenheit im Mai dieses Jahres, bereits verschiedene Instrumente aufgestellt und in Gebrauch genommen, nämlich in dem grossen Saal für die Präcisionswagen, die zur Vergleichung der Kilogramme im lufterfüllten Raume bestimmte Wage von Ruprecht in Wien mit Mechanismus zu Arretirung und zur Versetzung der Gewichte auf den Wagschalen aus der Ferne, so dass, da auch die Ab- lesung der Wage mit Fernrohr und Scale aus der Ferne geschieht, der Beobachter während der ganzen Dauer einer Wägung gar nicht in die Nähe der Wage zu kommen braucht. Diese Wage ist das Vollendetste, was ich in dieser Richtung bis dahin kennen gelernt habe. Dank ihrer vortrefflichen Construction, den er- wähnten Mechanismen sowie endlich der Solidität ihrer Aufstellung — sie steht auf einem im Erdboden un- abhängig vom Zimmerboden fundamentirten Stein- pfeiler — und der Temperaturconstanz des Saales lässt sie nämlich Kilogramme gleichen Volumens, wie wir noch näher im Verfolg sehen werden, mit einem wahrscheinlichen Fehler von bloss !/,, Milligram oder also dem !/,,, Millionten Theil der ganzen Grüsse ver- gleichen; es repräsentirt dies ein dem blossen Auge eben noch erkennbares Staubkôrnchen. In demselben Raume befand sich noch eine in glei- cher Weise aufgestellte hydrostatische Wage von Sacré in Brüssel, welche zur Bestimmung der spe- cifischen Gewichte der Kilogramme bestimmt ist und demgemässs eine etwas geringere Empfindlichkeit be- sitzt; ausserdem waren die für die Reduction der Wä- gungen auf den leeren Raum nôthigen Hülfsinstru- mente wie Barometer, Thermometer, Hygro- meter bereits vorhanden und verificirt. Ein drittes, damals noch leeres Stein-Fundament in diesem Saal wird mit der von Bunge in Hamburg zu liefernden Wage zur Vergleichung der Kilogramme :im leeren Raum besetzt werden. 115 Bulletin de l’Académie Impériale D Ein zweiter Saal enthält allein den für die Ver- gleichung der Strichmeter bestimmten Längen-Com- parator von Gebrüder Brunner in Paris Es ist dies ebenfalls ein mit den neuesten Vervollkommnun- gen ausgerüstetes, vorzüglich gelungenes Instrument, welches zwei Strichmeter mit einem wahrscheinlichen Fehler von 0,03 Micron oder 59-Stel Millimeter zu vergleichen erlaubt, wie die weiterhin mitzutheilenden Messungsresultate zeigen werden. In einem weitern Saale ist der nach den Anga- ben von Baron von Wrede in Stockholm con- struirte Comparator zur Bestimmung der absolu- ten Wärme-Ausdehnung der Meter nach einer neuen Methode aufgestellt worden und ebenda befin- det sich auch das von Turettini in (renf nach mei- nen Angaben angefertigte Normalbarometer und Manometer, das zugleich als Luftthermometer zu benutzen ist, sowie die Vorrichtungen zur Nor- malpunktsbestimmung, Calibrirung und Ver- gleichung der Quecksilberthermometer, endlich ein Fizeau’scher, von Laurent in Paris gear- beiteter Apparat zur Bestimmung der Ausdehnung kleiner Stäbe. Obschon noch weitere Wagen und Comparatoren für Untersuchung von Unterabtheilungen des Kilo- gramms und des Meters bestellt sind und ein Stein- heil’scher Comparator für Endmaasse bereits vorhan- den ist, so trete ich hier auf die Besprechung dieser Instrumente nicht ein, da sie eben zur Zeit noch nicht aufgestellt waren. Das Comité hat sich aber nicht damit begnügt, das internationale Bureau einzurichten und darin die er- wähnten Instrumente aufzustellen, es sind vielmehr bereits von ihm und durch die Beamten des Bureaus eine Reihe von Arbeiten und Untersuchungen ausge- führt worden, welche dem Gedeihen des ganzen Un- ternehmens sehr fürderlich gewesen sind und deren ich hier um so eher noch kurz zu gedenken habe, als ein Theil derselben auch uns unmittelbaren Nutzen gebracht hat. Die erste Arbeit, welche das Comité noch vor Voll- endung des internationalen Bureau’s durch einige sei- ner Mitglieder ausführen liess, ist die schon oben er- wähnte chemische Untersuchung von Proben des zur | £ Herstellung der Meter von der Section française ver- wendeten Platin-Iridiums. Bei dieser Gelegenheit liess dann das Comité auch gleich für das internationale Bureau Typen von wirklich reinem Platin und [ridium sowie von verschiedenen Legirungen beider Metalle herstellen und mit vom Hause Matthey in London ge- lieferten, reinem Platin-[ridium von der normirten Zusammensetzung (90 Platin auf 10 Iridium) 2 Meter, 2 Kilogramme und 2 Grammgewichtssätze herstellen, von welchen die Meter von den Gebrüdern Brunner in Paris ausgearbeitet und getheilt, die letztern vom Mechanikus Ortling in London abgeglichen wurden. Nach Vollendung der Bauten in Breteuil im Sommer 1878 beauftragte dann das Comité die Beamten des Bureaus sofort mit der Aufstellung, Justirung und Prüfung der erwähnten Instrumente, worauf im Fe- bruar dieses Jahres unter Leitung des mit der Direction des Bureaus zeitweise betrauten Comité-Mitgliedes, Herrn Professor Broch aus Christiania, die Unter- suchung der obigen Maasse vermittelst derselben be- ginnen konnte. Herr Dr. Pernet aus Bern, als Ge- lehrter für Special-Untersuchungen angestellt, über- nahm die Untersuchung der Normal-Thermometer, des Normal-Barometers und die wiederholte Vergleichung der beiden Meter zur Prüfung ihrer Unveränderlich- keit; Herr Dr. Benoit aus Paris, als erster Adjunct des Bureaus angestellt, begann die Bestimmung der absoluten Ausdehnung der verschiedenen Typen aus Platin, [ridium und ibrer Legirungen vermittelst des Fizeau’schen Apparates, sowie der absoluten Aus- dehnung der Meterstäbe mit dem Wrede’schen Com- parator; Herr Marek endlich aus Wien, früher Ge- hülfe in der üsterreichischen Normal-Eichstätte zu Wien und dann zum zweiten Adjuncten des Bureaus erwählt, fübrte die Vergleichungen der Kilogramme, und die Verification der Gewichtssätze aus Platin-Iridium aus und bestimmte das specifische Gewicht der einzelnen Stücke. Der Letztere machte auch im Auftrage des Comités mit dem einen der Platin-Iridium-Kilogramme eine Reise nach London, um es daselbst mit dem sogen. Miller’schen Platinkilogramm zu vergleichen, das zur Zeit unstreitig die genauste Copie des Prototyp-Kilo- gramms der Archive in Paris repräsentirt. Verglei- chende Wägungen im Bureau vor und nach der Reise mit dem daselbst intact verbliebenen gleichen Kiïlo- gramm ergaben, dass dasselbe durch die Reise sein Gewicht innerhalb der Genauigkeitsgrenze der Wägun- gen, d, h. innerhalb 0004 nicht verändert habe; 117 des Sciences de Saint-Pétersbourg. vorhergehende Messungen hatten bereits gezeigt, dass auch durch Eintauchen in Wasser behufs Bestimmung | des spec. Gewichts keine darüber hinausgehende Ver- änderung des absoluten Gewichts erfolgt sei. Für die Meterstäbe aus dem reinen Platin-Iridium hat Dr. Pernet bereits ähnliche günstige Resultate für ihre Unveränderlichkeit erhalten, indem seine Mes- sungen ergaben, dass die wiederholte Erwärmung und Abkühlung des einen Stabes auf eine Reïhe von Tem- peraturen, die zwischen — 2° und + 40° wechselten, keine 0°”"00003 übersteigende bleibende Veränderung in seiner absoluten Länge bei 0° bewirkt habe. Das Comité glaubte aber, bei diesen vorbereitenden Untersuchungen nicht stehen bleiben zu dürfen, son- dern hielt sich Angesichts der sehr langen Verzôge - rung in der Anfertigung der nenen metrischen Pro- totype und ihrer Copieen mit Rücksicht auf die be- deutenden Opfer, welche die Staaten diesem inter- nationalen Unternehmen bereits gebracht haben, für verpflichtet, den letztern die Môglichkeit zu bieten, durch das Mittel des internationalen Maass- und Ge- wichtsbureaus inzwischen bereits zu einem Vergleich der in den verschiedenen Ländern existirenden metri- schen Maassetalons zu gelangen. In einem Cireular an die Regierungen erbot es sich demgemäss, im Bureau mit den dortigen Typen die Verification einzusenden- der metrischer Etalons ausführen zu lassen. Da das Maass- und Gewichtsdepot unsers Finanzministeriums, wie der Akademie bekannt ist, die Benutzung dieses Anerbietens officiell ablehnte, so schien es mir in An- betracht der Unsicherheit, welche den metrischen Eta lons des physikalischen Central-Observatoriums zur Zeit noch anhaîftete, geboten, davon für unsere Aka- demie Gebrauch zu machen und meine Reise ins Aus- land in diesem Frühjahre dazu zu benutzen, um ein Bergkrystall- Kilogramm und ein Messingmeter mit Strichen auf eingelassenen Goldstiften, die ich für das physikalische Cabinet der Akademie unlängst erworben hatte, nach Paris zur Verification im internationalen Bureau mitzunehmen. Das Kilogramm ist in Paris während meines dorti- gen l4tägigen Aufenthalts und zum Theil in meiner Gegenwart von Herrn Marek mit dem einen Platin- Iridium-Kilogramm verglichen und dann von mir nach St. Petersburg zurückgebracht worden. Die Verglei- chung des Messing - Meters mit dem einen Platin-, Iridium-Meter durch Herrn Dr. Pernet nahm mehr Zeit in Anspruch, da sie bei verschicdenen Tempera- turen zu erfolgen hatte. In meinem Beisein geschah sie bei.12: 0° und 30° später noch bei 12° 18° und 4°. Dann bestimmte Herr Pernet noch die absolute Aus- dehnung unsers Meters mit dem Wrede’schen Com- parator, worauf nochmalige Controllbeobachtungen über unveränderte absolute Länge desselben bei 8° er- folgten. Nach Beendigung dieser Vergleichungen gegen Ende November hat mir das Bureau das Meter sofort per Transport-Comptoir zugeschickt. Es verstüsst dies al- lerdings gegen die Tradition, wonach zur Verhütung von Stôssen feinere Maasse nur in der Hand von Per- sonen transportirt werden sollen. Gleichwohl braucht man darüber nicht besorgt zu sein, indem zufolge der von mir angeordneten Verpackung des Meters dasselbe sicherlich auch bei dem gewählten viel einfachern und billigern Transport weniger starken Erschütterungen ausgesetzt worden ist, als wenn es eine Person direct von Paris nach St. Petersburg gebracht hätte, Das in sein Etui eingeschlossene Meter war nämlich mit star- ken Kautschouckschläuchen in einer grüssern Kiste so aufgehängt, dass es ihre Wände nicht berühren und also jeder auf die letztere ausgeübte Stoss durch die Elasticität des Kautschouks unschädlich gemacht wurde, Zur Bekräftigung dessen kann ich anführen, dass ich kürzlich zwei ganz ähnlich verpackte, gefüllte Quecksilberbarometer aus Berlin mir habe zuschicken lassen und dieselben in vollkommen gutem Zustande erhielt. Eine neue Vergleichung des fraglichen Meters in Paris im nächsten Jahre wird übrigens das sicher- ste Kriterium für die Zulässigkeit dieser neuen Trans- portmethode von Maassen liefern. Der Gefälligkeit des Herrn Pernet verdanke ich auch die Zusendung einer Copie der Originalbeobachtungen, welche zugleich die oben erwähnten Nachweise über Temperaturconstanz des Locals — im Comparator selbst variirten die Tem- deraturen während jeder Beobachtungsreihe nur um 0,01 — und über die Genauigkeit der Messungen ent- hält. Das Schlussresultat freilich über die absolute Länge und den Ausdehnungscoefficienten des Meters kann erst nach Vollendung der Berechnungen aller Beobachtungen mitgetheilt werden; bisdahin wird dann auch die begonnene Vergleichung des Platin-Iridium- Meters des Bureaus mit der preussischen und schwei- g* 19 Bulletin de l'Académie Impériale 120 RE OR zerischen Copie des Archiv-Meters beendigt sein und {noch befriedigendern Function des internationalen so zugleich der absolute Werth unsers Meters bezogen |! Maass- und Gewichtsbureaus hinderlich, dass das Co- auf das letztere festgestellt werden künnen ‘). Dagegen bin ich in der Lage, bereits ein definitives Resultat über das absolute Gewicht unsers Bergkrystall- Kilogramm vorzulegen, da mir Herr Marek nicht bloss die Endresultate seiner Vergleichungen desselben mit dem Platin-Iridium - Kilogramm des internationalen Bureaus, sondern auch diejenigen des letztern mit der englischen (Miller’schen), üsterreichischen und schweï- zerischen Copie des Archiv-Kilogramms in Paris mit- getheilt hat. Darnach ist unser Bergkrystall-Kilogramm im leeren Raum um 20"22 schwerer als das Prototyp- Kilogramm der Archive zu Paris nnd die Unsicherheit dieses Resultates kann nicht grüsser als O°#"1 sein. Die Details aller dieser und der ob’erwähnten an- dern Arbeiten im internationalen Maass- und Gewichts- bureau werden demnächst in einer besondern Publica- tion dieses Instituts der Offentlichkeit übergeben wer- den, so dass die gesammte wissenschaftliche Welt sich ein Urtheil über die Leistungen desselben wird bilden kônnen. Inzwischen habe ich die Ehre, der Akademie zu- sammen mit den erwähnten Vergleichs-Documenten die beiden fraglichen Etalons selbst vorzustellen, deren Erlangung also Dank dem internationalen Institut in Paris unserm Lande keinerlei erhebliche Kosten ver- ursacht hat und so die Nützlichkeit desselben auch in dieser Richtung augenfällig macht. Hiernach darf man wohl sagen, dass das zweite durch die Convention instituirte Ausführungs- Organ der Meterreform, das internationale Maass- und Gewichts- Comité, seine Aufgabe, soweit dies vor ihm abhing, bisdahin vollständig erfüllt hat und das obschon es fort- wäbrend mit bedeutenden äussern und innern Schwie- rigkeiten zu kämpfen hatte. Eines der Hemmnisse be- stand darin, dass die Mittel für die Einrichtung des Instituts von der Convention wegen Mangels an vor- liegenden Erfahrungen etwas zu niedrig bemessen wor- den waren; am meisten aber ist bis zur Stunde einer 7) Nach einer inzwischen empfangenen Mittheilung des Herrn Pernet über diese Berechnungen und Vergleichnngen ist es sehr wahrscheinlich, dass unser Messingmeter bei 0° um 0008 länger ist als das Archiv-Meter. Die diesem Resultat bezüglich seines ab- soluten Werths noch anhaftende Unsicherheit von 0”%008 kann erst nach Vergleichung der Typen des internationalen Bureans mit wei- teren Copieen des Archiv-Meters gehoben werden. mité keinen anerkaunt tüchtigen Fachmann zur festen Besetzung des Directorats desselben finden konnte und daher diese Stelle fortwährend bloss provisorisch und zeitweise durch Mitglieder des Comités selbst beklei- den lassen musste. Die durch die Commission festge- setzten Bedingungen der Stelle sind so wenig günstig, dass alle Persünlichkeiten, die für dieselbe in Frage kommen konnten, von vorne herein eine Wahl ab- lehnten. Hoffen wir, dass auch dies letzte Hemmniss sich bald auf die eine oder andere Weise werde besei- tigen lassen, wie es schon mit so vielen anderen ge- schehen ist. St. Petersburg, 18. (30.) December 1879. ——— 059200 — BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Szinnyei, Jôzsef. Hazai és külfoldi folyéiratok magyar tudomänyos repertériuma. Mäsodik osztäly. Termé- szettudomäny és mathematika I. Budapest 1876. 8. Hunfalvy, Paul. Literarische Berichte aus Ungarn. Bd. I Heft 1—4. Budapest 1877. 8. Verslag der viering van het honderdjarig bestaan van het Bataviaasch Genootschap van Kunsten en Wetenschap- pen op 1 Mai 1878. Batavia 1878. 4. Het Bataviaasch Genootschap van Kunsten en Weten- schappen gedurende de eerste eeuw van zijn bestaan 1778 — 1878. Gedenkboek zamengesteld door den voorzitter van het Genootschap, M°T. H. der Kinde- ren. Deel I. Batavia. 4. List of publications of the Smithsonian Institution. July 1877. Washington 1877. 8. Proceedings of the American Academy of arts and sciences. New Series. Vol. V. Whole series. Vol. XIII part IT. III. Boston 1878. 8. — of the American philosophical Society, held at Philadel- phia, for promoting useful knowledge. Vol. XVII. Ja- nuary to June 1878. NX 101. Philadelphia. 8. Transactions of the Wisconsin Academy of sciences,arts and letters. Vol. III. 1875—76. Madison 1876. 8. Proceedings of the California Academy of sciences. Vol. VI 1875. Vol. VIT part I 1876. San Francisco 1876—77. 8. The American journal of science and arts. J\ 91. 92. 93. Vol. X VI. July, August, September 1878. New Haven. 8. 1e des Sciences de Saint-Pétersbourg. 122 Enter eeeeeeee meer meme Journal and proceedings of the royal Society of New South Wales 1877. Vol. XI. Edited by A. Liversidge. Sydney | 1878. 8. Homeri Ilias cum potiore lectionis varietate edidit Augustus | Nauck. Pars posterior. Berolini 1879. &. Sophokles erklärt von F. W. Schneidewin. chen: Oedipus auf Kolonos. Siebente Auflage besoret von August Nauck. Berlin 1878. 8. Corpus scriptorum historiae Byzantinae. Vol. IT. Bonnae 1878. 8. - Keïilii, Henrici. Quaestionum grammaticarum P. VI. De Arusiani Messii exemplis elocutionum. Halae 1879. 4. Petschar, M. De satira Horatiana. Rudolfswerti 1878. $. Anna Comnena. Henry, James. Aeneidea, or critical, exegetical, and aesthe- | tical remarks on the Aeneis, with a personal col- | upwards of one hun-. lation of all the first class mss. dred second class mss., and all the principal edi- tions. Vol. I— II. Dublin 1873—78. 8. Kluge, Friedr. Zum indogermanischen Vocalismus. Strass- | burg 1878. &. Faulmann, Carl. gesammten Erdkreises. Wien 1878. 4. Leabhar, Breac. The speckled book, otherwise styled Leabhar mér dûna doighre, the great book of Dün, Doighre; a collection of pieces in irish and latin, com- piled from ancient sources about the close of the four- teenth century, now for the first time published from the original manuscript in the library of the R. Irish | Academy. Dublin 1876. Fol. — na h-Uidhri: a collection of pieces in prose and verse, | in the irish language, compiled and transcribed about | A. D. 1100, by Moelmuiri Mac Ceileachair: now for the first time published from the original in the. library of the Royal Irish Academy, with an account of the manuscript, a description of its contents and an index. Dublin 1870. 4. Limba romanä vorbitä intre 1550 — 1600. Studiu paleo- grafico-linguistic de B. Petriceicu -Hasdeu, cu ob- servatiuni filologice de Hugo Schuchardt, Tomulu I. Etiam s. titulo: Directiunea generala a archivelor statului. Publicatiuni istorico-filologice. Texturi si glosse romane intre 1550—1600. Bucuresci 1878. 8. Heilagra Manna Sogur. Fortællinger og Legender om hel- lige Mænd og Kvinder. Efter gamle Haandskrifter udgivne af C. R. Unger. I. II. Christiania 1877. 8. Närodni pisnè, pohädky, povèsti, rikadla, prislovi, por- ckadla, obyteje vSeobcené a zejmena prävni porädä komise pro sbiräni pisni, pohädek, povèsti atd. (odbor liter. rec. spolku «Slavia»). V Praze. Rady druhé od- dèleni I: närodni pisnë; oddèlent 11: närodni pohädky a povésti; oddèlenf III: koledy vänoëni. V Praze 1877—78. 16. Drittes Bänd- | Das Buch der Schrift, enthaltend die | Schriften und Alphabete aller Zeiten und Vülker des | | Potebnja, A. Über einige Erscheinungsarten des slavi- schen Palatismus. (Aus dem Archiv für slavische Phi- lologie, Bd. IIL.) Berlin 1878. 8. Archiv für slavische Philologie. Herausg. von V. Jagic. Dritter Band, zweites und drittes Heft. Berlin 1878 bis 1879. 8 |Jagié, V. Archiv für slavische Philologie. Bd. IL. Heft I. III. Berlin 1877. 8. | Müllenhoff. Zur geschichte des auslauts im altsloweni- schen. (Monatsb. der Künigl. Akad. der Wiss. zu Ber- | lin. Mai 187$.) &. Nyelvemléktär. Régi magyar codexek és nyomtatvänyok. Kiadja a Magyar Tudomänyos akadémia Nyelvtudo- mänyi Bizottsäga. IV. V. kôütet. Budapest 1876. 8. Budenz, Jozsef. Magyar-ugor üsszehasonlité szôtär. III. füzet. Budapest 1877. 8. IV. füzet (39—46. IV). Budapest 1879. 8. | Journal asiatique. VIT" série T. XIII .: 1. Janvier — Fé- | vrier 1879. Paris. &. | Publications de l’École des langues orientales vivantes. VII. Bag o Babar, Le jardin et le printemps. Poëme Hindoustain. Traduit en français par Garcin de Tassy. Paris 1878. S — ——— 1X. Chronique de Moldavie depuis le milieu du XIV° siècle jusqu'à l'an 1594 par Grégoire Urechi. Texte roumain avec traduction française, notes histo- riques, tableaux généalogiques, glossaire et table par Émile Picot. Paris 1878. 8. Lewis Boss. Remarks on the Dudley Observatory ob- servations of the transit of Mercury, May 6, 1878. Union University. Dudley Observatory. Annual report for 1878. Albany 1879. 8. Abhandlungen für die Kunde des Morgenlandes. VI. Band Ne 4 WTA | Indische Hausregeln. Sanskrit und deutsch, herausg. von Ad. Fried. Stenzler. II. Pärns- kara. IT. Heft. Übersetzung. Leipzig 1878. 8. ———— VII Band X 1. The Kalpasûtra of Bhadra- bâhu edited with an Introduction, Notes and a Prà- krit-Samskrit Glossary by Hermann Jacobi. Leipzig 1879. 8. Oppert, Jules. Le peuple et la langue des Mèdes. Paris 1879. 8. Javaansche vertellingen, bevattende de lotgevallen van een kantjil, een reebock en andere dieren. Vor de uitgave bewerkt door Dr. W. Palmer van der Broek. ’s Gra- venhage 1878. 8. Abiäsä, een javaansch toonelstuk (Wajang) met een hol- landsche vertaling en toelichtende nota door H. C. Humme. ?s Gravenhage 1878. 8. Kazäni - Tatär nyelvtanulmänyok. I. II. II. füzet. Irta Szentkatolnai Bälint Gäbor. 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VLIL.. 22. 1 RD nue 190—296 | | A, Famin{zin, Effet de l'intensité de la lumière sur la décomposition de l'acide carbo- DIMUE DATE SNDIANIES ASP RE ee ets Re eo 296—314 0. Struve, Observations de la Comète de Brorsen au printemps 1879.............. 314—326 M, Montéverdé, Recherches embryologiques sur l’Orchis maculata (avec une planche)... 326—335 | BUTLETMADIDNONEADRIQUES Re eee ce 335—336 | HARVARD UNIVERSITY HERBARIUM. THE GIFT OF | Wa Gray | +} Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des sciences. Ce, Août 1880. Ne Et A C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. > Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. as \ (Vass.-Ostr., 9° ligne, M 12.) 7 0 2 __. LL 23 CS RE. BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. a Über die Umwandlungen des linksdrehenden Terpens aus dem franzüsischen Terpentinôl vermittelst der Hydratation und Dehydratation. Von F. Flavitzky. (Lu le 18 décembre 1879.) Bei der Bearbeitung des franzôüsischen Terpentinüls mit 1 Th. J0procentigen Alkohol und ?/, Th. Schwefel- säure (spec. Gew. 1,64) lüst sich dasselbe und es scheidet sich aus der Lüsung, wie ich es schon berich- tet !), leicht eine Verbindung C;, H,,0 aus, welche sich mit der alkoholischen Schwefelsäure in allen Ver- hältnissen mischt und das Drehungsvermügen 4, — — 14° hat. Mit denselben Eigenschaften, aber nur mit grüsse- rer optischer Activität, erhält man eine Verbindung, wenn man eine schwächere alkoholische Schwefelsäure und einen rectificirten linksdrehenden Terpen nimmt Nach einem zwôlftägigen Zusammenbringen und üfte rem Umschütteln einer Mischung von 1°, Th. 90pro- centigen Alkohol und !/, Th. Schwefelsäure (spec. Gew. 1,64) mit 1 Th. linksdrehenden Terpens mit dem Drehungsvermügen 4, — — 33, welcher aus dem käuflichen franzôsischen Terpentinôl erhalten war, gingen beinahe */, Th. des angewandten Terpens in Lüsung über. Nach der Entfernung der oberen unge- lüsten Schicht, zerlegte ich die fast farblose Lüsung durch Wasser und das Product besass nach dem Aus- waschen und Trocknen &, — — 40”. Doch war die- ses Product nicht homogen, weil es sich nur bis auf die Hälfte in alkoholischer Schwefelsäure (1 Th. 90- procentigen Alkohol und ?/, Th. Schwefelsäure, spec. Gew. 1,64) lüste. Bei dem Fractioniren mit Wasser- dampf wurde in dem letzten Theile ein Product er- halten, welches sich mit alkoholischer Schwefelsäurc in allen Verhältnissen mischte und à, — — 50,5 zeigte. Bei der Destillation fing dieses Product an bei 210° zu kochen und theilte sich in zwei Portionen: I) bei 209,5° — 211,5° mit «p = — 49,7 und Il) 1) Berichte der Deutsch. Chem. Ges. B. XIT., $. 1406. Tome XXVI. der grüsste Theil bei 211,5 —214,5 mit a — | ST: [. 0,2452 gr. Subst. mit dem Siedepunkte 209,57 bis 211,5° gaben 0,7010 CO, und 0,2670 H,0. IL. 0,1928 Subst. mit dem Siedep. 211,5 bis 214,5 gaben 0,5505 CO, und 0,2127 HO: Theorie Il IT ip — 120 — 77,92 101: "17:88 H:— 18-— 11,69 12,10 . 12,26 D 0 21 1089 154 100,00 Die Substanz mit dem Siedepunkte 211,5 —214,5 behielt sonach bei der neuen Destillation sowohlihren Siedepunkt als auch ihre Drehung bei. Bei der Be- stimmung des Siedepunktes war die Scale des Thermo- meters bis — 30° in dem Dampfe eingetaucht, der benachbarte Thermometer zeigte 50, die Correction betrug also 6,2°. Hiernach ist der corrigirte Siede- punkt des linksdrehenden Terpenhydrats DATE Tu 220,7 beim Barometerstande 766,3". Bei der Bestimmung der Dichte fand ich: 2,8144 gr. Subst. bei 0° und De de € » Dei 187 füllten 3,0134 Cubikcent. 009939 18°—= 0,9201 bis woraus man die Dichtigkeit beï » » » und den Ausdehnungscoefficient zwischen 0° und 18° = 0,00083 berechnet,. Man hat also: [&ls — Das linksdrehende Terpenbydrat lôst sich in alko- holischer Schwefelsäure, ist aber unlüslich in Wasser, es besitzt einen schwachen, an tertiäre Alkohole er- innernden Geruch und einen stark-brernenden Ge- schmack. Bei der Destillation zerfällt es ein wenig, Ho E 0,9201 scheidet Wasser aus und hinterlässt einen fast unge- 9 131 Bulletin de l’Académie Impériale 132 fürbten Rückstand. Beim Stehen bräunt es sich nicht, | I. 0,2220 gr. Subst. mit dem Siedep. 210°—220° es stellt also eine sich an der Luft nicht oxydirende gaben bei der Analyse 0,6228 CO, und 0,2290 Verbindung vor. Die optische Activität des linksdrehenden Terpen- hydrats, wenn es in der alkoholischen Schwefelsäure gelüst ist, sinkt rasch und kann zuletzt gänzlich ver- schwinden. Die Lüsung des linksdrehenden Terpenhydrats in alkoholischer Schwefelsäure scheidet beim Zusetzen von Wasser nach einiger Zeit Krystalle des Terpen- hydrats aus. Bei der Sättigung des linksdrehenden Terpenhydrats mit gasformiger Chlorwasserstoffsäure tritt eine be- deutende Erwärmung ein; die Lüsung erhält eine violett-rothe Färbung und es krystallisirt sich ein Dichlorhydrat mit dem Schmelzpunkte 49° aus. Die alkoholische Lôüsung desselben ist optisch inactiv. Bei der Bildung des Dichlorhydrats war auch nicht eine Spur des festen Monochlorhydrats wahrzu- nehmen. Um die Frage zu beantworten, ob das linksdrehende Terpenhydrat Hydroxyl enthält, wurde es mit Essig- anhydrid bearbeitet, in welchem es sich lüste. Die Lôüsung wurde in zugeschmolzenen Rühren bei 135° bis 150 während 18 Stunden erwärmt. Nach solcher Erwärmung wurde die Lüsung durch Wasser zerlegt, worauf sich ein leichter und leicht beweglicher linksdrehender Product mit einem star- ken und angenehmen, an Bergamottül crinnernden Geruche ausschied. Diese Substanz hatte keinen brennenden Geschmack und lüste sich nicht in alkoholischer Schwefelsäure, was auf eine volle Umwandlung des linksdrehenden Terpenhydrats zeigte. 0,3155 gr. der ausgewaschenen und getrockneten Substanz gaben 0,9285 CO, und 0,3265 HO, d. h. 80,26 %, C. und 11,5 %, H. Diese Zusammensetzung zeigt eine Mischung gleicher Theile von Terpen und Essigäther an. Die Substanz hatte auch wirklich keinen bestän- digen Siedepunkt. Bei der Destillation wurde die erste Hälfte bis 190; die andere bei einer hôheren Tem- peratur gesammelt. Die hühersiedende Hälfte gab bei der fractionirten Destillation kein Product mit einem beständigen Sie- depunkte. H,0. IL. 0,2149 gr. mit dem Siedep. 230°—240° gaben 0,5985 CO, und 0,2160 H,0. CioH17 (CoH303) I. I. CL 73 AT TC OT 075 08 H,— 2010201145 1147 O0, — 352 — 16,23 196 100,00 Diese Resultate zeigen, dass beide Portionen eine Mischung von Essigäther mit Terpen waren. Eine weitere Reinigung dieser Substanzen konnte ich wegen Mangel an Material nicht unternehmen. Es ist schwerlich môüglich, durch Fractioniren den in Rede stehenden Aether zu erhalten, weil die Portion 230° bis 240 bei der Destillation sich mit Ausscheidung von Essigsäure zerlegte; die erhaltenen Resultate wei- sen aber dennoch auf die Bildung eines Essigäther aus dem linksdrehenden Terpenhydrat und folglich auf den alkoholischen Charakter desselben hin. Der Essigäther des linksdrehenden Terpenhydrats muss eine optische Activität besitzen, weil die Portion mit dem Siedepunkte 210° — 2207 «, = — 82° zeigte, eine Drehung, welche nicht von der Anweseuheit des Terpens allein abhängen künnte. Diesem Aether gehôrt offenbar der obencerwähnte an Bergamottôl erinnernde Geruch. Aus dem flüchtigeren Theile des Products, welches man mit dem Essigäther zugleich erhielt, wurde durch mehrmalige Destillationen über Natrium eine Ver- bindung mit dem Siedepunkte 175° abgeschieden. (Barometerstand 762,6"; die Scale des Thermometers war im Dampfe bis — 30°, der benachbarte Thermo- meter zeigte 407; die Correction betrug also 4,3.) I. 0,2397 gr. Subst. gaben beim Verbrennen 0,7685 CO, und 0,2575 H,0. IT. 0,2325 gr. Subst. gaben 0,746 CO, und 0,2485 HO. Theorie Ike IT. Co—120— 88,24 87,44 87,51 Hi 16 1176 JL S6 136 100,00 99,38 99,39 Das neue Terpen mit dem Siedepunkt 179,3 ist 133 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 134 eine leicht oxydirbare Substanz, welche sich dadurch auszeichnet, dass sie, nachdem sie einige Tage ge- standen, bei einer erneuerten Destillation über Natrium | immer wieder neue Mengen von braunem Rückstande ausscheidet. Der geringe Mangel an Kohlenstoff, welcher bei den Analysen zu bemerken war, hängt von dieser leichten Oxydirbarkeit ab. Das neue Terpen besitzt einen schwachen Geruch, welcher von dem (Geruche des Terpens aus Ter- pentinôl verschieden ist. Es lôst sich nicht in alkoho- lischer Schwefelsäure und hat ein bedeutendes Dre- hungsvermügen a, = — 51,8". Bei der Bestimmung der Dichtigkeit fand man: 0,8764 gr. Subst. bei 0° und 0,8608 » 207 füllten 1,0144 Cubikcent. woraus die Dichtigkeit bei 0° = 0,8639 » 20° — 0,8486 » » und der Ausdehnungscoefficient zwischen 0° und 20° = 0,00091 berechnet wird. Es ergiebt sich daraus weiter : [al — 51,8 7 0.,8486 — — 61,0°. also von dem ersten linksdrehenden Terpen durch einen hüherenSiedepunkt und ein ungefähr 1°/, Mal grüs- seres Drehungsvermügen. Man sieht auch einen Unter- schied in anderen Eigenschaften, wenn man dieselben mit den Eigenschaften des von mir untersuchten links- drehenden Terpens aus dem franzüsischen Terpentinül zusammenstellt: Siedepunkt 155. [alo — 43,47 — 61,0? Die Dichtigkeit bei 0° 0,8749 0,8639 bei 20° 0,8587 0,8486 Ausdehnungscoefficient 0,00096 0,00091 179,3° Der grüsste Unterschied zwischen dem früheren und dem neuen Terpen äussert sich in dem Verhalten zur gasformigen Salzsäure: das erste Terpen liefert mit derselben fast ausschliesslich nur ein festes Mono- chlorhydrat, während man aus dem zweiten Dichlor- hydrat erhält. Beim Sättigen von neuem Terpen mit trockenem Salzsäuregas bemerkt man eine Erwärmung, wäh- rend das Product so lange flüssig bleibt, bis es sich färbt. Nachdem die Flüssigkeit eine rothe Farbe an- genommen hat, krystallisirt sich aus derselben das Dichlorhydrat aus. Meiner Meinung nach hängt die rothe Farbe von der Feuchtigkeit ab, welche eine grosse Rolle bei der Bildung des Dichlorhydrats spielt. Zu Gunsten dieser Ansicht spricht der Umstand, dass die Färbung eintrat, als das Rohr, in welchem die Sättigung vor sich ging, etliche Male vom Apparat ab- genommen wurde, um das Gewicht der Substanz zu bestimmen. Die ersten Krystalle bildeten sich am Korken, der jedenfalls einige Feuchtigkeit enthalten konnte. Das Verhalten zur Salzsäure des Terpens aus den Terpentinôlen ist ein ganz anderes: beim ent- sprechenden Behandeln derselben ist keine Färbung zu bemerken; dieselbe tritt sogar nicht bei der Sätti- gung mit feuchtem salzsauren Gas ein, und man er- hält wie gewühnlich eine farblose krystallinische Masse des festen Monochlorhydrats. Die Gewinnung des Dichlorhydrats aus dem links- drehenden Isoterpen zeigt schon die Fähigkeit dessel- ben Terpenhydrat zu geben an, da dieses Letztere | 12 . + . . " , sich nach meinen Versuchen leicht bei der Behand- Das neue Terpen, welches ich linksdrehendes «D: de Û j | ù .. lung des Dichlorhydrats mit Wasser bildet. Das Di- Isoterpen zu nennen vorschlage, unterscheidet sich | chlorhydrat wird zu dem Zwecke in Alkohol gelüst, die Lüsung durch einen grüsseren Überschuss von Wasser zerlegt und die erhaltene Emulsion in einem offenen {refässe stehen gelassen. Beim Verdunsten der Flüs- | sigkeit scheiden sich grosse Krystalle des Terpen- hydrats aus. — Nach den beschriebenen Eigenschaf- ten hat das von mir erhaltene linksdrehende Isoterpen eine grosse Âhnlichkeit mit dem Terpen aus Elemi (essence d’élémi), welcher nach der Beschreibung Deville’s”) bei 174° siedet und [x], — — 90,3° besitzt, während ich bei Isoterpen [a], — [«l, 1,24384°) — — 75,8° fand. Das Terpen aus Elemi gleicht seinen Eigenschaften nach dem Terpen aus dem Citronenül. Beide zeich- nen sich durch gleichen Siedepunkt und ein äusserst grosses Drehvermügen aus, beide bilden beim Sättigen mit Salzsäuregas Dichlorhydrat; sie unterscheiden sich 2) Ann. de ch. et de ph. 1849, 8° sér., t. 27, p. 88. 3) Montgolfier. Bull, 1874, t. 22, p. 489. 9* 135 aber durch die entgegengesetzte Drehungs-Richtung, da das Terpen aus Citronenôl rechtsdrehend ist. Auf Grundlage der Analogie der Eigenschaften der links- und rechtsdrehenden Terpene aus dem franzüsi- schen und russischen Terpentinôl kann man erwarten, dass das rechtsdrehende Terpen bei den entsprechen- den Umwandlungen rechtsdrehenden Isoterpen mit den Eigenschaften des Terpens aus Citronenôl geben wird. Meiner Meinung nach ist es leicht môglich, dass die Terpene mit dem Siedepunkte cirea 1757, welche bei der Sättigung mit salzsaurem Gas Dichlorhydrat geben, wie die Terpene aus Elemi und Citronenôl und ihnen ähnlichen, sich einfach im genetischen Verhält- niss mit den Terpenen aus Terpentinôl befinden; es kün- nen wahrscheinlich die Ersteren aus den Letzteren sich bilden, Solche Ansicht findet seine Unterstützung darin, dass das Terpen aus Citronenül die Fähigkeit besitzt Dichlorhydrat, Terpenhydrat und Producte der Oxydation mit eben solchen Eigenschaften zu bilden, wie die Terpene aus den Terpentinôlen aufweisen. Wie oben erwähnt, ist nach meiner Ansicht bei der Umwandlung des linksdrehenden Isoterpens in Di- chlorhydrat die Anwesenheit von Feuchtigkeit noth- wendig, ebenso glaube ich berechtigt zu sein anzu- nehmen, dass die entsprechende Verwandlung der Terpene aus Elemi und Citronenôl auch vermittelst der Hydratation vor sich geht. Blanchet und Sell‘) und auch Deville”) sprechen in der That von einer Entstehung von Krystallen des Dichlorhydrats nur beim Stehen an der Luft, wenn, nach der Meinung Deville’s, der Überschuss der Salzsäure verdunstet ist, aber meiner Meinung nach, — wenn Salzsäure Feuchtigkeit anzieht. Aus diesem firunde ist die Müglichkeit vorhanden, dass die Verwandlung der Terpene aus Elemi und Citronenôl in Dichlorhydrat keine directe Vereinigung mit Salzsäure ist, sonderr in der Hydratation und Dehydratation besteht, wobei auch die Aufhebung der optischen Activität statt- findet. Ich beschäftige mich jetzt mit der Untersuchung des in alkoholischer Schwefelsäure unlôslichen Theils und mit jenem Theile, welcher sich aus der Lüsung yach der Behandlung mit Wasser ausscheïdet. 4) Liebig’s Ann. 1835, B. 6, $S. 282. 5) 1. cit. p. 90. Bulletin de l'Académie Empériale 136 Die Entstehung des Letzteren ist verständlich, wenn man zulässt, dass die Lôsung, welche Terpen- schwefelsäure enthält, bei der Zerlegung mit Wasser Terpen und Terpenhydrat giebt, gleichdem wie Amy- lenschwefelsiure Kohlenwasserstoff und Alkohol liefert. Der Theil des ersten Terpens, welcher sich nicht in alkoholischer Schwefelsäure gelüst hatte, muss auch ein Product der Umwandlung enthalten, da derselbe 4 ——— 37" gab, während das ursprüngliche Terpen, vor der Verarbeitung, 4, = — 33 hatte. Eine solche Vergrüsserung der Drehung weist auf die Müglich- keit der Hydratation und Debhydratation im Innern der Lüsung hin. Das Recht der Untersuchung des rechtsdrehenden Terpens in derselben Richtung, wie ich es bei dem links- drehenden Terpen that, wie auch die weitere Erfor- schung der gegenseitigen Beziehungen der Terpene aus Terpentinülen zu den Terpenen aus Citronenül und Elemi wôchte ich mir vorbehalten. Kasan, den 6. (18.) December 1879. Die Zerlegung der Kohlensäure durch Pflanzen bei kKünst- licher Beleuchtung. Von A. Famintzin. (Lu le 15 janvier 1SS0.) In meiner im Jahre 1865 publicirten Abhandlung: über Die Wirkung des Kerosinlampenlichtes auf Spiro- gyra habe ich gezeigt, dass in, durch vorläufiges Verwei- len im Dunkeln entstärkten, Spirogyra-Fäden in kurzer Zeit, ungefähr einer halben Stunde, unter dem Ein- flusse des Kerosinlampenlichtes Stärke erzeugt werde, welche in den Chlorophyllbändern dieser Alge als äusserst winzige Kôrner erscheine. Das Kerosin- lampenlicht wurde dabei durch zwei Reflektoren und eine planconvexe Linse verstärkt und ïhre dunkeln Wärmestrahlen durch ein mit parallelen Wänden ver- sehenes und mit Wasser gefülltes Gefäss abgehalten. Die neu gebildete Stärke habe ich als durch Assimila- tion der Kohlensäure entstandenes Produkt gedeutet; es lag deshalb schon damals die Vermuthung nahe, dass dabei Sauerstoff ausgeschieden werde. Den direkten Beweis dafür habe ich aber nicht geliefert. Es war daher nicht zu verwundern, dass, obwohl meine Beob- achtung über die rasche Biüldung der Stärkekôrner junter dem Einfluss des Lichtes in den Spirogyra- 137 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 138 Zellen durch Kraus und Prillieux bestätigt wurden, sie dennoch von Professor Boehm !) in anderer Weise gedeutet wurden. Es berechtigen, nach seinem Dafür- halten, meine Versuche und die von Kraus vorläufig zu dem Schluss: «dass in den stärkeleeren Zel- len und zwar entweder in deren Inhalte oder Wandung eine organische Substanz vorhanden sei, welche zur Zeit ihrer früheren Function aus Kohlensäure und Wasser erzeugt, bei dem Stoffwechsel während des Lichtabschlusses oder Lichtmangels aber ihrer unvollständigen Assimilation wegen nicht weiter verwendet werden konnte. Um die Form von Amylum anzunehmen, oder als Baustoff dienen zu kün- nen, müsste dieser hypothetische Kürper noch weitere Metamorphosen erleiden, welche aber our unter Einwirkung des Lichtes vor sich gehen kôünnen. Die hierzu unentbhehrliche Wärme und Intensität und Qualität des Lichts würde jedoch mit der zur Zerlegung der Koh- lensäure erforderlichen nicht nothwendig zu- sammenfallen.» Diese Deutung war hauptsächlich auf Versuche über die Zerlegung der Kohlensäure durch Juglans- Blätter bei künstlicher Beleuchtung mittelst Gas- schmetterlingsflammen gegründet, die Boehm nur ne- gative Resultate darboten”). Sowohl im Wasserstoff- gase als in einer Mischung von Wasserstoff und Koh- lensäure hatte sich nach 12-stündiger Beleuchtung in jeder Absorptionsrühre das Gasvolum um 3—5 CC. vergrüssert, welche aus Kohlensäure ohne Spur von Sauerstoff bestand. Ein ganz ähnliches negatives Re- sultat hatten in Bezug auf die mit Ausscheidung des Sauerstoffs verbundene Zerlegung der Kohlensäure durch Pflanzen auch andere ältere Beobachter wie Biot*) und Pyrame Decandolle‘) erhalten. Etwas günstigere, aber ebenfalls, nach dem Bekennt- niss des Verfassers, unsichere Resultate hat Professor Timiriaseff erhalten”). Zwei Versuche mit Nerium 1) Bochm. Sitzungsb. der K. Akad. der Wissenschaft. 1873. Abth. I. Mürzheft. 2) ib. p. 8 d. Separatabdruckes. 83) Biot, Frorieps. Notizen 1540. XIII. Xe 10 (Citate nach Sachs Phys.) 4) Pyrame Decandolle. Ann. der Physik. Gilbert. Bd. 14, | p. 364 (1803). 5) Tuuupsses-2. Tpyxn nepsaro crbaxa Ecrecrgoucn. C, Ile- Tep6ypr'E. | Oleander-Blättern haben ïhm ein negatives Resultat gegeben. Von zwei Versuchen mit Blättern von Myr- tus hat er das eine Mal nach Verlauf von 12 Stunden gar keine Zerlegung der Kohlensäure beobachtet, das andere Mal dagegen eine Zersetzung von 0,8 CC. be- obachtet. Endlich hat ein Blatt von Cyperus Papyrus im Verlaufe von 40 Stunden 1 CC. zerlegt. In einem seiner letzten Aufsätze®) kommt Bochm wieder an die Bildung der Stärke in den Chlorophyll- ‘kürnern aus vorher gebildeten organischen Verbin- dungen zurück, indem er durch entscheidende Ver- | suche nachweist, dass «die in gewühnlichen Chloro- phyllkôürnern vorhandene Stärke nicht, wie [man jetzt allgemein annimmt, stets ein direk- ites Assimilationsprodukt, sogenannte auto- |chthone Stärke sei und dass sie unter Umstän- den auch einUmwandlungsprodukt bereits vor- handener Reservestoffe sein kôünne.» Es ist 1hm selungen, in entstärkte Chlorophylikürner, beim Licht- abschluss, unter bestimmten Bedingungen Stärke ein- wandern zu lassen. Zu diesem Zwecke wurden junge, eut bewurzelte Pflanzen (Feuerbohnen) frühzeitig ihrer Endknospen beraubt und deren Blätter, während die Pflanzen der Lichtwirkung ausgesetzt waren, theil- weise verdunkelt: «es verschwand aus ihnen anfangs die Stärke in gleicher Weise wie bei verdunkelten Pflanzen aus dem ganzen Mesophyll: nach beiläufig 3 Wochen erschienen aber die verdunkelt gewesenen und noch gesunden Blatttheile stets wieder stärkehal- tig und häufig ebenso stärkereich wie jene Blatt- theile, welche dauernd beleuchtet waren». Dabei wa- ren die Stärkekürner ausschliesslich in den Chloro- phylkôrnern vorhanden. Die Môglichkeit der Stärkebildung in den Chloro- phyllkôürnern aus vorgebildeten organischen Verbin- dungen, sogar ohne Beïhilfe des Lichtes, wie auch die oben erwähnten negativen Resultate der Kohlensäure- zersetzung durch Pflanzen bei künstlicher Beleuch- tung machten erneute Untersuchungen über den unter dem Einflusse des Lampenlichtes zwischen Pfanzen und dem sie umgebenden Medium stattfindenden und die Stärkebildung begleitenden Gaswechsel in hohem Grade wünschenswerth. Ich stellte deshalb vor Kurzem Versuche darüber | 6) Boehm. Land. Versuchst. B. 23, p. 193. 139 mit Spirogyra, Selaginella denticulata, Elodea Cana- densis und Bambusa arundinacea an und habe eme ganz bedeutende Sauerstoff- Ausscheidung bei künst- licher Beleuchtung dieser Pflanzen durch Gaslicht erzielt. Da es sich nicht um genaue quantitative Bestim- mung, sondern bloss um den Nachweis von Sauerstoff- Ausscheidung durch Pflanzen handelte, so wählte ich für die meisten der Versuche folgenden Apparat: Es wurde eine ziemlich weite Glasrühre in der Mitte U-fürmig gebogen, Die beiden Schenkel wurden darauf an den freien Enden zugeschmolzen, mit dem Unterschiede aber, dass der eine rund abgeschmolzen wurde, der andere aber in ein spitzes Ende ausge- zogen. Das horizontale Verbindungsrohr ist unter jedem Schenkel mit einem Loch und einem an dessen Rändern angeschmolzenen kurzen Glasrührehen ver- sehen. Vor dem Gebrauch wird der Apparat umgekehrt mit den kleinen Rühren nach oben und mit frischem Newa-Wasser gefüllt; in den am Ende zugespitzten Schenkel wird die zum Versuche bestimmte Pflanze eingeführt; dann die beiden Offnungen mittelst Fin- gern verschlossen, umgewendet und die kleinen offe- nen Rühren unter Wasser getaucht. Darauf wird in den von der Pflanze nicht eingenommenen Schenkel ein gewisses Volumen Kohlensäure durch die offene, unter ihm befindliche Rühre eingeführt und die beiden Offnungen der kleinen Rôhren unter Quecksilber ge- taucht. — Bei dieser Einrichtung diffundirt die Koh- lensäure allmählich im Wasser des Apparates, gelangt auf diese Weise zu der in dem anderen Schenkel be- findlichen Pflanze und wird, wie wir sogleich sehen werden, durch letztere unter Sauerstoffausscheidung zersetzt. Das dabei ausgeschiedene Gas sammelte sich am oberen Ende des die Pflanze enthaltenden Schen- kels; es wurde mittelst der Pipette von Doyere aus dem Apparate geholt und auf Kohlensäure mittelst Kali, darauf auf Sauerstoff mit pyrogallussaurem Kali geprüft. — In dieser Weise sind folgende Versuche ausgeführt worden: Versuch 1. Es wurde eine kleine unwegbare Menge Spirogyra-Fäden in den Apparat gebracht; es hatte sich nach Verlauf von etwa 40 Stunden 1 CC. gesammelt, welches nach der Behandlung mit Kali sein Volumen nicht merklich änderte, also keine Koh- Bulletin de l'Académie Impériale 140 lensäure enthielt; vom pyrogallussauren Kali wurde es aber bis auf ein winziges Bläschen absorbirt, folg- lich erwies es sich als Sauerstoff. Versuch 2. Nach Verlauf von 48 Stunden hatte Selaginella denticulata 3,2 CC. Gas ausgeschieden, welches fast ausschliesslich aus Sauerstoff bestand. Versuch 3. Der Versuch wurde mit Selaginella denticulata 42 Stunden fortgesetzt, wobei sie 4,4 CC. ausgeschieden hatte, welches nach der Behandlung von Kali sich auf 4,2 CC. verminderte; vom pyrogal- lussauren Kali aber bis auf ein kleines, ein , CC. nicht erreichendes Bläschen zusammensank, folglich angefäihr 3,7 CC. Sauerstoff enthielt. Versuch 4. Elodea canadensis (kleine frische Triebe der aus dem Teiche unter dem Eise geholten Pflanze) hatte im Verlauf von 45 Stunden 3 CC. Gas, welches aus fast reinem Sauerstoff bestand, ausge- schieden, Versuch 5, Zwei Blätter von Bambusa arundina- cea wurden, mit ihren unteren Seiten zusammengelegt, in den Apparat eingeführt. Nach Verlauf von unge- fihr 48 Stunden war 3,6 CC. Gas ausgeschieden, welches sich ebenfalls als fast reines Sauerstofigas erwies. Ausserdem wurden folgende Versuche in Probir- rohrehen angestellt: Versuch 6. Sclaginella denticulata wurde in emem mit Newa- Wasser gefülltes und über Quecksilber um- gestülptes Probirrührehen dem Gaslichte ausgesetzt; nach 41//, Stunden war nur ein kleines Bläschen Gas ausgeschieden. Versuch 7. Von derselben Pflanze wurde eine gleiche Quantität ganz auf dieselbe Weise behandelt, mit dem Unterschiede aber, dass oberhalb des Was- sers 10 CC. Koblensäure eingeführt war. Nach 41° Stunden hatte sich das Gasvolumen auf 3,2 CC. in Folge der Diffusion im Wasser vermindert. Nach der Behandlung mittelst Kali ist 1,8 CC. nachgeblieben, welches fast vollständig durch pyrogallussaures Kali absorbirt wurde. Versuch 8. Es wurde in diesem einzigen Ver- suche die Sauerstoffausscheidung mittelst Selaginella denticulata in einem Gasgemisch von 80 CC. Luft und ungefähr 10 CC. Kohlensäure geprüft. Der Ver- such wurde 48 Stunden fortgesetzt. Es wurden dann 30 CC. Gas der Analyse mittelst des Apparates von 141 Doyere unterworfen. Nach der Behandlung mit Kali sind 29 CC. Gas zurückgeblieben; folglich war 1 CC Kohlensäure darin enthalten. Wäre die Kohlensäure gar nicht zersetzt worden, so müsste die entnommence Probe 3', CC. Kohlensäure und 26'/ CC. Luft ent- J halten. Den erhaltenen Daten nach müsste in der, der Analyse unterworfenen Portion 5,3 CC. Sauerstoff aus 26, CC. Luft und 2° CC. desselben Gases, herrüh- rend von der zerlegten Kohlensäure, im Ganzen also 7,8 CC. Sauerstoff enthalten sein. Die Bestimmung des letzteren mittelst pyrogallussaurem Kali hat 8,5 CC. Sauerstoff ergeben. In wie weit die erhaltene Differenz zwischen den Volumina beider Gase dem Gasaustausche der Pflanze, oder der nicht ganz ge- nauen Messung der die Gasmischung zusammensetzen- den Gase zugeschrieben werden muss, wage ich nicht anzugeben. Jedenfalls lassen die angeführten Zahlen auch hier keinen Zweifel über die Sauerstoffausschei- dung zu, was allein den Zweck dieses Versuches aus- machte. Endlich ist es mir gelungen, nach der von Bous- singault vorgeschlagenen Methode mittelst Phosphor die unmittelbar, nach der Beleuchtung mittelst (as- lampenlicht, eintretende Sauerstoffbildung an Bam- busa-Blättern nachzuweisen. Zu diesem Zwecke wurde in einem kleinen Endiometer ein Blatt von Bambusa in eine Mischang von Wasserstoff und Koh- lensäure über Quecksilber eingeführt und daneben eine, auf einem Platindrath festsitzende, Phosphor- stange hincingebracht. Das Endiometer wurde gleich mit weissen Dämpfen von Phosphorsäure voll- gefüllt, von den am Blatte hängengebliebenen Luft- bläschen herrührend. Erst nachdem diese Dämpfe, beim Verweilen des Apparates im Dunkeln, vollständig verschwunden waren, wurde das Blatt dem Lampen- lichte ausgesetzt. — Sogleich erschienen die weissen Dämpfe wieder, als untrügliches Zeichen der erneuer- ten Sauerstoffbildung. Die hier angeführten Versuche genügen meiner Ansicht nach vollkommen, um die von Boehm ausge- sprochenen, hauptsächlich auf die negativen Resultate seiner und seiner Vorgänger gestützten Zweifel über die autochthone Natur der in Spirogyra bei Lampen- beleuchtung entstehenden Stärke zu widerlegen. Die von ihm geleugnete Sauerstoffausscheidung findet un- zWeifelhaft statt, und wird, wie ich gezeigt habe, nicht S0- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 142 our durch Spirogyra, sondern auch durch Blätter hôherer Pflanzen zu Stande gebracht. Aufzählung der von Dr. Alexander Brandt in Russisch- Armenien gesammelten Mollusken. Von Prof. E, v. Martens. (Lu le 15 janvier 1880.) Die Molluskenfauna des Gebirgslandes von Russiseh- Armenien, zwischen den Flüssen Kur, Araxes und dem oberen Euphrat, zuerst von Missionär R. Fr. Hohenacker (Bull. Soc. Imp. des nat. de Moscou, X, 1837) in Angriff genommen, ist in neuerer Zeit durch die Sammlungen von Dr. Sievers (Mousson im Journal de Conchyliologie XXI 1873, XXIV 1876), Prof. de Filippi (Issel Mem. Accad. di Torino, serie IT, vol. XXIII 1865), Dr. Ose. Schneider (Natur- wissenschaftliche Beiträge zur Kenntniss der Kau- kasusländer, Dresden 1878) und H. Leder (Bôttger in den Jahrbüchern der Malako-z00l. Gesellschaft VI 1879), so weit bekannt geworden, dass ein Naturfor- scher, der nur kürzere Zeit dort verweilen kann und nicht gerade die Mollusken zum Hauptgegenstand seiner Arbeiten macht, nicht auf viele neue Entdeckungen in diesem Gebiete hoffen darf. Dennoch enthält die vor- | liegende Reiseausbeute noch einiges Neue und erweitert namentlich unsere Kenntniss betreffs der Seen-Fauna Armeniens. Es ergibt sich aus derselben im Allgemeinen das Resultat, dass während die Landschnecken manche eigene Arten enthalten und gewissermassen eine eigene transkaukasische Fauna bilden, die Süsswässer-Con- chylien wesentlich mit den europäischen, sogar mit- teleuropäischen übereinstimmen. Es fehlen imGebirgs- land ebenso wohl die südeuropäischen mehr oder we- uiger an das Küstenland gebundenen Landschnecken, wie Helix vermiculata, variabilis, Pisana, als die für Südost-Europa und Nordasien charakteristischen Süss- wasser-Conchylien wie Melanopsis, Lithoclypus, Neri- tina, Dreissena, Corbicula, die doch schon in Mingre- lien und am unteren Kur vorkommen. Die Mollusken des Goktscha-Sees zeigen eine auffallende Analogie mit denjenigen, welche in den grossen Seen der Schweiz leben, es sind eben die weit verbreiteten Ar- ten durch äbeliche physikalische Verhältnisse in glei- cher Weise beeinflusst. Es würde von grossem Inte- resse sein, diese Forschungen nun auch auf die grüs- 143 seren südlichen Seen, den Wan-See und den salzhal- tigen Urmia-$See, auszudehnen. A. Land-Schnecken. 1. Limax (Mitax) Brandti n. sp. InSpiritus 70 Mill. lang, 24 hoch, 19 breit;Schildein- farbig schwärzlichmitgedrängten, gekürneltenQuerrun- zeln, hinten einfach abgerundet, nicht lappenartig zu- gespitzt; Rücken einfarbig grau, die schiefen Runzeln in kürzere Abschnitte als bei L. cinereoniger zertheilt; Kiel unmittelbar hinter dem Schild beginnend, durch längere Abschnitte in der medianen Runzelreihe aus- gezeichnet. Sohle dreigetheilt und zweifarbig, wie bei L. cinerconiger. Borshom am obern Lauf des Kur. 2, Limax (Krynickillus) Dymczeviczii Kaleniczenko. Bulletin de la Société Impériale des naturalistes de Moscou, XXIV 1851 pag. 216 pl. 6 fig. 3. In Spiritus 17—18 Mill. lang, 5°, hoch, 4 breit; Schild 6 Mill. lang; allgemeines Aussehen wie bei Z. agrestis L., aber Hals und Kopf bei den Spiritusexem- plaren noch etwas über den Vorderrand des Schildes vorstehend, trüb rüthlichgrau, mit einer doppelten Längsfurche in der Mittellinie. Schild and Rücken mit schwärzlichen,grossentheils untereimander zusam- menhängenden Flecken dicht bedeckt. Seiten unge- fleckt, blass rôthlichgrau. Kiel die hintere Hälfte des Rückens (ohne Schild gerechnet) einnehmend, weiss- lich, schärfer als derjenige von Spiritus-Exemplaren des L. agrestis. Sohle einfarbig. Insel Sewanga im Goktscha-See und Darytschi-tschach im Gouvernement Ærwvan, drei Meilen nordwestlich vom Goktscha-5ee. 3. Vitrina Komarowi Büttger.Jahrbuch der Deutschen malako-zoologischen Gesellschaft VI 1879. 5,392, Tai. 10 Fig: 4. Grosser Durchmesser der Schale 372, kleiner 3, J Länge der Mündung 2, Hôhe derselben 27, Mill. Durch die ausgeprägte Faltenstreifung an Vitrina plicosa, annularis und conoidea sich anschliessend. Elenowka am nordwestlichen Ufer des Goktscha- 5ees. 4. Helix (Fruticicola) Arpatschaiana, Mousson. Jour- nal de Conchyliologie XXI, 1873, p. 197, pl. 7 Bulletin de l’Académie HImpériale D EEE Ne 144 fig. 4. Pfeiffer Monographia heliceorum VIT p. 222. Var. Sewanica. Testa subdepressa, anguste umbilicata, irregulariter striata et distincte granulosa, pallide griseo-flavescens, zona peripherica subdistincta albida; spira brevis, co- noidea, anfractus 6, lente crescentes, convexiusculi, ultimus rotundatus, antice descendens; apertura sat obliqua, lunato-rotundata, peristomate vix expansius- eulo, tenui, pallido, intus distincte albo-labiato, mar- gine supero satis, infero parum arcuato, columellari dilatato, reflexo. Diameter major 14—15, minor 11, altitudo9—11, aperturae diameter 6°/, latitudo 6 mill. Schale ziemlich niedergedrückt, eng genabelt, mit unregelmässig stärkern und schwächern Anwachsstrei- fen, deutlich gekôrnelt, blass graugelblich mit undeut- lich begrenzter weisslicher Binde im grôssten Umfang. Gewinde kurz, gewôülbt konisch; 6 Umgänge, langsam zunehmend, etwas gewülbt, mit mässig eingedrückter Nath, die letzte ohne Kante, ganz vorn etwas herab- gebogen. Mündung abgesehen von dem Hereinragen der vorhergehenden Windung annähernd kreisférmig, ziemlich schief gestellt; Mundrand dünn, weisslich, mit stark ausgebildeter weisser Innenlippe, welche aussen gelblich durchscheint; der obere Rand etwas stürker gebogen als der untere, der innere oder Co- lumellar-Rand ausgebreitet und zurückgeschlagen. Insel Sewanga im Goktscha-$ee (auch See von Sewan genannt). Gleicht auf den ersten Anblick ziemlich einem kleï- nen Exemplar der europäischen Helix strigella Drap. unterscheidet sich aber leicht von derselben durch die gekôrnelte Skulptur, den engeren Nabel und den we- piger stark umgebogenen Mundsaum. Mit der typi- schen Helix Arpatschaiana Mousson vom Thal des Arpa-Tschai, eines Zuflusses des Araxes, etwa 18 deutsche Meilen westlich vom (Groktscha-See, stimmt sie nach Mousson’s Vergleichung in der Skulptur überein und unterscheidet sich nur durch etwas hôhe- res Gewinde, gänzliches Verschwinden der Kante auf der letzten Windung und dafür deutlicheres Hervor- treten der weisslichen Binde daselbst. Die Exemplare variiren ziemlich in der absoluten Grüsse und relati- ven Hôühe; schon einzelne Stücke von kaum 12 Mill. im grossen Durchmesser zeigen eine ausgebildete [n- 145 oo nenlippe und ausgebogenen Mundsaum. Junge Exem- plare zeigen eine Kante in der Peripherie und stellen- weise Härchen, wie so viele Fruticicolen. 5. Hetix (Frut.) globula Krynicki. Bullet. de la Soc. Imp. d. naturalistes de Moscou X 1837; Kaleni- ezenko ibid. XXVI 1853 p.85; Mousson Coquilles terrestres et fluviatiles recueillies par Dr. Alex. Schläfli II 1863, p. 47 und Journ. de Conch. XXI p: 1198. Var. nana Büttger. Bôttger Jahrbuch d.Malakolog. Gesellsch, Band VI 1879, S. 14. 7 Millimeter im grossen Durchmesser, 6 Mill. hoch, im Allgemeinen kugelformig, glänzend, hellgelb. Elenowka. 6. Helix (Campylaea) pratensis Pfr. Var. depressa Mousson. Mousson Coquilles recueillies par Dr. Sehläfi II p. 41, Journ. de Conchyl. XXI p. 201. Die Mündung vorn stärker herabgebogen, als bei der gewühnlichen Form; die Schale fein spiralgestreift, besonders regelmässig und deutlich auf der Oberseite und in der Peripherie der letzten Windung. Azchur am obern Kur. 1 . Helix(Tachea)atrolabiataKr ynicki. Krynicki Bull. de la Soc. Imp. d. nat. de Moscou VI, 1833 p. 423; Pfeiffer Monogr. heliceorum p.275; Martens Vor- derasiatische Conchylien S. 12. Mousson Coquiiles de Schläfli II p. 55 und Journ. de Conch. XXI p. 203. Borshom, 30 Mill. im grossen Durchmesser und! 21 hoch, Bänder 1 — 3, 4, 5 oder... 5, Grundfarbe braungelb, Skulptur selten streifig. Mit einigen der nachstehenden, aus Borshom stammenden Arten auch von J. F. Brandt im J. 1867 gesammelt. 8. Helix (Pomatia) obtusalis Ziegler. BourguignatAménités malacologiques, vol. IE.1877 pl. 24. fig. 1, 2; Mousson Cat. coq. de Schläli IT S. 37; Martens Vorderasiat. Conchylien S.18 Taf. 4, Fig. 23; Kobelt Fortsetzung von Rossmässler”s Iconographie, 5 Band, $. 115, Fig. 1083, 1084. Karawansarai auf dem Wege von Tiflis nach dem Goktscha-See. Tome XXVI. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 14G Re — An der dicken stumpfen Spitze und der verhältniss- mässig geringen Zahl von Windungen leicht von den Verwandten zu unterscheiden. Bänder konstant fünf, verhältnissmässige Hühe des Gewindes bei den zwei vorliegenden Exemplaren verschieden, so dass das eine etwas hüher als breit, das andere merklich breiter als hoch ist. 9. Helix (Pomatia) Nordmanni Parreyss. Mousson Catal. coq. de Schläfli IT p. 38 und 102; Kobelt Fortsetzung von Rossmässler’s [conogra- phie, Band IV, S. 25, Fig. 1047, 1048. Achalzych, von Michalowsky 1878 gesammelt. Grosser Durchmesser 26—29 Mill., Hühe 24—25, Bänder konstant fünf. Nahe verwandt mit der vorigen, der Wirbel verhältnissmässig kleiner. Auf der zweiten Windung zeigt sich zuerst nur das erste und dritte Band. 10. Helix (Xerophila) Derbentina Andrzejewski. Mousson Catal. coq. de Schläfi IT p.28, Issel Mol- luschi race. della missione Persica(Mem. Acecad. di Torino XXII) 1865 p. 29). Martens Vorderasia- tische Conchylien $. 10 Taf. 1, Fig. 7, 8. Mous- son Journal de Conchyliologie XXI 1873 p. 196. 0. Schneider Naturwiss. Beiträge z. Kenntniss der Kaukasusländer 1878 p. 21. Borshom und Abas-Tuman, letzteres oberhalb Achal- zych, an einem Nebenfluss des Kur. Bei Achalzych selbst von Michalowsky 1878 gesammelt. Von den beiden letztgenannten Orten nur Exemplare ohne Bän- der. 111. Buliminus Hohenackeri Krynicki. Krynicki Bull. Soc. Imp. nat. IX 1836; Pfeiffer Monogr. helic. IL p. 223; Rossmässler Iconogra- phie 3 Band, S. 91, Fig. 912,913; Mousson Coq. de Sehläfli I, p. 60; Martens Vorderasiatische Conchylien S. 20. Mousson Journal de Conchyl. XXI p. 204; Schneider Naturwiss. Beiträge zur Kenntniss der Kaukasusländer 1878 p.22. Bulimus interfuscus (Mouss.) Issel Moll. Pers. p. 31 pl. 2 fig. 23, 24. Borshom, Achalzych und Abas-Tuman. Ale Exem- | plare ganz oder fast ganz einfarbig weiss. Eine grüs- sere Anzahl bei Achalzych von Michalowsky ge- sammelter Exemplare zeigt grosse Verschiedenheïten 10 147 in der absoluten Grüsse und relativen Breite der aus- gewachsenen Stücke, in ersterer v. 20—25!/, Millime- ter Länge; die Breite ist meist nahezu gleich der Län- ge der Mündung, aber geht 2'4 bis 2°, mal in die ganze Länge der Schale, so dass der hauptsächlichste Unterschied darin liegt, ob die obern Windungen mehr oder weniger ineinander geschoben sind. 12. Buliminus (Chondrula) tridens Müll. Var. Caucasicus Mousson. Mousson Coquill. de Schläfi IT p. 66; Journ. de Conch. 11 Mill. lang, etwas über 5 breit. Elenowka und Insel Sevanga. 13. Clausilia (Euxina) gradata Büttg. Bôüttger Jahrb. Mal. Gesellsch. VI, 1879,$.409, Hat 10,12 5; Borshom. 14. Clausilia (Euxina) Duboisi Charp. Charpentier Journ.de Conchyliologie 1852, $. 402 Taf. 11 Fig. 14, Mousson Coq.de Schläfli Il p. 73. Küster Clausilia $. 270 Taf. 30 Fig. 25 — 27. Issel moll. Pers. p. 40. Borshom. Bald etwas mehr, bald etwas weniger schlank, Ex- emplare an denen die Fältelungen des Mundsaums noch nicht ausgebildet sind, künnen leicht für eine andere Art gehalten werden. 15. Clausilia (Euxina) Ossetica À. Schmidt. A. Schmidt System d. europäischen Clausilien 1868 $. 150. C{. Sandbergeri Mousson Journal de Conchyliologie XXI 1873 p. 216, pl. 8 fig. 2. Borshon. 16. Clausilia (Oligoptychia) foveicollis P'arreyss. Pfeiffer Monogr.helic. IV p.754. K üster Clausilia S. 310, Taf. 35 Fig. 13—17. Mousson Coq. de Schläfli IT p. 82; Journ. de Conch. XXI p. 216, Isse] Moll. Pers. p. 41. Borshom. 17. Succinea Pfeifleri Rossmässler. Mousson Catal. coq. de Sehläfli Il p. 83; Issel Molluschi raccolti della missione Italiana in Persia (Mem. Accad. di Torino XXII) 1865 p. 27. Elenowka. Bis 12 Mill. lang. Bulletin de l'Académie Empériale LEL) 18. Succinea putris L. Insel Sewanga. War bis jetzt noch nicht von Ar- menien bekannt. 19. Cyclostoma costulatum Ziegler. Rossmässler Iconographie 1 Band Heft 5,6,1837 S. 49, Fig. 395: Pfeiffer Monographia pneumono- pomorum p.224; Mousson Coq.de Schläfli IT p. S7; Journ.de Conch. XXI p. 218: Issel Moll. Pers. p.43; Martens Vorderasiat. Conchyl. S. 30. Cy- clostoma rivulare, Eichwald Zoologia specialis, 1. Band, 1829 p. 302. Borshom. 13 Mill. breit und ebenso hoch, gut mit Exemplaren aus Sichenbürgen übereinstimmend. Der von Eich- wald gegebene Artname ist eigentlich früher mit Be- schreibung publicirt, als der Ziegler’sche, aber die- ser ist so allgemein imGebrauch, dass eine Aenderung nicht zu empfehlen ist. B, Süsswasser-Conchylien. 20, Planorbis carinatus M üll. Var. dubius Hartm. Hartmann, Erd- und Süsswasser - Gasteropoden der Schweiz. 1844. S.111.Taf.392. — Planorbis carinatus Mousson, Journ. de Conch.XXI.p. 221. Goktscha-See,mehrere Exemplare; die vorliegenden Exemplare entsprechen in der etwas langsameren Zu- nahme der Windungen und damit verhältnissmässig geringeren bBreite der letzten nicht dem typischen carinatus Müll., Hartm. a. a. O. Taf. 31, und Ross- mässler Iconogr.[.f. 60,sondern Hartmann’s dubius. Die Unterseite ist bei dem einen Exemplar etwas gewôülbt, bei einem anderen ganz flach. 21. Planorbis marginatus Drap. Rossmässler Iconographie [. S. 102. Fig. 59. Hartmann a. a. O. S.113.Taf.33. — Mousson Coquilles de Schläfli IE. p. 86 und Journ. de Conch. XXI. p. 221.1Issel Moll. Pers. p. 44 (PI. complana- tus). Schneider Naturwiss. Beiträge Kaukas. p.28. Im Goktscha-See und in dem damit zusammenhän- genden Flusse Sanga bei Elenowka; zwei todte Scha- len im nôrdlichen Theile des Sces aus einer Tiefe von 34 Faden. Auch subfossil im Kalktuff der Uferregion. Die Kante ist auch bei jungen Exemplaren deutlich ausgeprägt. 149 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 150 29, Planorbis albus Müll. Gyraulus hispidus Hartmann Erd- u. Süsswasser- Gasteropoden der Schweiz S. S9. Taf. 25. — PJ. al- bus Schneider Naturwiss. Beiträge Kaukas. S. 28. Elenowka. Auch von K. E. v. Baer aus dem Gok- tscha-See erhalten. An der deutlich ausgeprägten Spiralskulptur und der sehr schiefen, verhältnissmässig weiten Mündung leicht zu erkennen. Grôsstes Exemplar 6 Mill. im grossen, 4'/, im klei- nen Durchmesser; ein Spiralstreifen auf der Ober- seite und ein anderer auf der Unterseite tritt fast kantenartig hervor. Farbe braungelb. 23. Planorbis glaber Jeffreys. Gyraulus regularis Hartmann a.a.0.8.97 Taf. 28. Planorbis laevis Alder (1837). Rossmässler Ico- nographie Band IT Heft 3. S. 135. fig. 964. PI. glaber (Jeffreys 1833), Martens Malakozoo!. Blit- ter VI 1859, S. 164. Elenowka, sehr sparsam; 4 Mill. im grossen, 3 kleinen Durchmesser, ohne Spiralskulptur und in der Peripherie ganz gerundet, ebenfalls braungelb. Bis Jetzt noch nicht aus Transkaukasien, Armenien oder Klein-Asien bekannt. 24. Limnaea stagnalis L. Var. lacustris Studer. Limnaeus lacustris Studer SystematischesVerzeich- niss der Schweizer Conchylien 1820 $. 27. L.stag- nalis Var. lacustris Hartmann bei Sturm Deutsch- lands Fauna, Würmer Heft 8. 1829. Taf. 10 (aus dem Bodensee), Kobelt Fortsetzung von Rossmäss- ler’s Iconographie Band V. $. 35. Fig. 1236. — L. stagnalis var. lacustris und var. medius Hart- mannin:Steinmüller Neue Alpina [,1821,$.252; Erd.- u. Süsswasser-Gasteropoden d. Schweiz S. 20 und 44.— Zämnaea Defilippii Issel Molluschi rac- colti della missione Italiana in Persia (Mem. Accad. di Torino XXIII 1865) p. 45 tav. 3. fig. 62, 63. Schale ziemlich stark, blass gelblich, mit verhält- nissmässig sehr kurzem Gewinde, ?,;—*} der ganzen Länge einnehmend, und etwas flügelformig ausgebrei- tetem Aussenrandder Mündung. Schulterkante schwach ausgebildet oder ganz fehlend. Länge der erwachsenen Schale 22— 34 Millimeter, grosser Durchmesser 16 ln | —20, Länge der Mündung 15—20!/, Breite dersel- ben 10—11'/. Im Goktscha-See bei Ælenowka und an der Insel Sewanga. Stüimmt im Allgemeinen mit der Form der Schwei- zer-Seen überein, namentlich mit Exemplaren aus dem See von Neuf-châtel, doch ist auch schon bei diesen, und noch mehr bei denen aus dem Bodensee, durch- schnittlich das Gewinde noch etwas kürzer und die Schulterkante mehr ausgeprägt. Die citirte Abbildung bei Kobelt und diejenige in Sturm’s Fauna Fig. d. stimmen am bestenzu den Exemplarenaus dem Goktscha- see. Charpentier’s var. lacustris, Catal. d. moll. terr. et fluv. de la Suisse 1837 pl. 2, fig. 14, undKobelt’s var. media, loc. cit. fig. 1235, viel weniger; es fehlt ibnen die Ausbreitung des Mundsaumes und das Ge- winde erscheint bei ihnen breiter. Var. turgida Menke. Hartmann Erd- und Süsswasser-Gasteropoden der Schweiz S. 19, 20 und 44, Taf. 8. Mit stark ausgeprägter Schulterkante und daher eckiger letzter Windung, an der Naht oft ganz hori- zontal. Gewinde mässig lang, */, der ganzen Länge oder etwas mehr. Âusserer Mundsaum etwas ausgebreitet; Columellarfalte stark ausgebildet. Schale fest, hell | gelbbraun. Länge 38 —45, grosser Durchmesser 24— D) 5, Länge der Mündung 23—-27, ihre Breite 13-—16. ln Goktscha-See mit der vorigen zusammen, und durch einzelme Übergangsformen verbunden. Var. Limnaea stagnalis var, Goktschana Mousson Journ. de Conch. XXI p. 219. Ausser den genannten liegen noch Exemplare aus dem Goktscha-See vor, welche durch lingeres Gewin- de und Mangel der Schulterkante mehr der normalen Form von Z. stagnalis gleichen; sie sind zugleich dünn- schaliger, haben einen geraden dünner Mundsaum und die meisten von ihnen dürften Jugendzustände der vorhergehenden sein, da die Schulterkante bei var. turgida erst auf der letzten Windung deutlich wird, Eine derselben, zu gross und schon in ihren obern Windungen zu wenig gewôlbt um als junge turgida gelten zu künnen, passt gut zu Mousson’s Be- schreibung seiner var. Goktschana, sie ist 351, Mill. lang, 17 breit, ihre Mündung 19 lang u. 12 breit, ibre Oberfläche auf dem letzten Umgang durch in 10* 1621 Bulletin de l'Académie Hmpériale 152 LE LL kurzen Zwischenräumen wiederholte stirkere Anwachs- streifen ausgezeichnet, mit einzelnen hammerschlag- artigen Eindrücken; die Columellarfalte schwach, der Aussenrand dünn und gerade, Im Allgemeinen kann sie zu var. elegans Leach oder fragilis Hartm. und Charp.gerechnet werden, unter den Kobelt&’schen Fi- ouren kommt ihr am nächsten Fig. 1237, var. palu- striformis vom obern Euphrat. 25. Limnaca lagotis Schrank. Kobelt Iconographie Band V. $S. 37. Mig. 1240 = 1249, Martens Vorderasiatische Conchylien S. 29. Taf. 5 Fig. 36. — L. ovatus var. fontinalis Charpentier Catal. de coq. terr. et fluv. de la Suisse p. 20 tab. 2 fig. 15.— L. limosa var. vul- garis (Pfr.) Issel Moll. Pers, p. 45. — L. tenera (Parreyss) Mousson Journ. de Conchyliologie IT p. 220. Im Goktscha-See bei Elenowka, auch subfossil im Kalktuff daselbst, und im Fluss Xars-lschai bei Kars. Die Exemplare aus dem Flusse zeigen ein verhält- nissmässig sehr kurzes Gewinde, sind aber durch die tiefe, an der Mündung etwas aufsteigende Naht und die glänzende, etwas rippenstreifige Schale als zu die- ser Art gehôrig charakterisirt; die Dimensionen eines der grüsseren Exemplare sind: Länge der Schale 15 Mill, grosser Durchmesser 107,, Länge der Mündung 12}, Breite derselben 7 Mill. Die Exemplare aus dem Goktscha-$See sind ziemlich festschalig, glänzend und deutlich vertical rippenstrei- fig; das Gewinde nimmt zwischen ?/, und ?/, der ganzen Schalenläinge ein; alle Umgänge sind mässie gewôlbt, ohne Kante; an der Mündung zeigtsich eine schwache innere Lippe am Aussenrand, der Columellarrand geht nahezu senkrecht herab, eine Columellarfalte ist kaum angedeutet. Länge der Schale 16—19, grosser Durchmesser 11—12, Länge der Mündung 12—14, 3reite derselben 7—9 Mill. Von den kleinsten Exemplaren der L. stagnalis var. lacustris mit welchen sie zusammen vorkommt und einige Habitusährlichkeit hat, unterscheidet sich diese Form sofort durch das breiter aufsitzende Gewinde und den Verlauf des Columellarrandes. Das kleinste, nach der Innenlippe zu schliessen, aus- gewachsene Stück, zugleich auffallend schlank, zeigt folgende Dimensionen: Länge der Schale S, grosser Durchmesser 5/7, Länge der Mündung 5°, Breite derselben 47/, Mill. 26. Limnaca ovata Drap. Kobelt Iconographie Band V $. 42. Fig. 1251 bis 1259. Im See Tschaldyr, nôrdlich von Aars. Die Exem- plare gleichen am meisten Kobelt’s Figur 1256; sie zeigen eine matte feingestreifte Oberfläche und ein breitkonisches (rewinde. Exemplare 18 Mill, grosser Durchmesser 14'4, Länge der Mündung 13, Breite derselben 9! Mill. Var. papilla Hart. Limnaeus auricularius var. papilla Hartmann bei Steinmüller Neue Alpina I. 1821 S. 250 Taf. 2. Fig. 26 (aus dem Bodensee). — Limnaea ovata var. Ko- belt Iconographie V S. 119 Fig.1510,1511. Goktscha-See, in Gemeinschaft mit L. stagnalis var. lacustris und mit Z. lagotis, ähnlich der letzteren, aber mehr bauchig, mit sehr kurzem stumpfen Gewinde, die Naht weniger tief, der Columellarrand dünner und mebr eingebogen. Länge der Schale 11—15, grosser Durch- messer $'/,—12, Länge der Mündung 9 —12'/,, Breite derselben 6—S$8 Mill. Länge eines der grüssten 27. Ancylus fluviatilis Müller. C.Pfeiffer Deutsche Land-u. Wasser-Schnecken, I $. 107, Taf. 4. Fig. 44, 45. Voith bei Sturm Deutschlands Fauna, Würmer, Heft 4 Taf. 9. — Mousson, Journ. de Conch. XXT p. 221. Daratschi-tschach im Gouvernement Æruvan, nord- westlich vom Goktscha-See. Schale 57, Mill. lang, 47, breit, 3 hoch, fein radial gestreift, braun. Wirbel- spitze !,—1 Mill. vor dem Hinterrande, aber 2 Mill. darüber erhoben. Issel. Moll. Pers. p. 44 erwähnt À. capuloides Jan. von EÉriwan:; derselbe ist, abgesehen von der bedeu- tenderen Grüsse (8 Millim.), wenig von fluviatilis ver- schieden. 28. Ancylus lacustris L. C.Pfeiffer a. a. O.$. 109. Taf. 4, Fig. 46. Voith a, O. Taf. 8. Mousson Coquill. de Sehläfi IT p. 1105: Elenowka. 29. Anodonta piscinalis Nilsson. Var. ponderosa Pfr. 153 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 154 RS C. Pfeiffer a. a. O. Theil II $. 31, Taf. 4. Ross- mässler Iconographie Bandi Heft 4 S. 24 Fig. 282. Im See Tschaldyr. 30. Unio crassus Retz. Rossmässler Iconographie Bd. I. Heft IT, $. 19, Fig. 126,127; Heft V und VI,S. 55, Fig. 411. Küster Unio S. 113, Taf. 31, Fig. 3—5. U. Ba- tavus (Lam.) Mousson Coq. de Sehläfli IT, p.94. Im Fluss Xars-tschai bei Kars. Ein Exemplar, 52", Mill. lang, 28 hoch, 19 dick, Wirbel in ?. der Länge, in der Gestalt ähnlich Ross- mässler’s Fig. 126 a und Küster’s Fig. 1, aussen vorn selblich, hintere Hälfte grün, Wirbel stark abgerieben; innen etwas rôthlich. Von Unio Hueti Bourg. aus Er- zerum durch die kürzere Gestalt, den hinten kaum aufsteigenden Unterrand, die konischen Schlosszähne und den nierenfürmigen, nicht runden Nebeneindruck am vordern Muskeleindruck gut unter- kürzeren schieden. 31. Pisidium pusillum Jenvus. Baudon Essai monographique sur les Pisidies 1857 p.20 pl. 1 Fig. C.Clessin Malakozoologische Blätter XVIII 1871, S. 124; XIX Taf. 1, Fig. 1., uoud deutsche Exkursions-Mollusken-Fauna. 1876, S: 520 Fig.336. Goktscha-See in einer Tiefe von 16 Faden. Die vorliegenden Exemplare sind klein, nur 2°/, Mill. lang, 2 hoch, etwa 1 dick, ziemlich flach zusammen- gedrückt, schwach concentrisch gestreift, hellgrau; die Wirbel stampf, etwa in”, der Länge:; vorderer und hinterer Seitenzahn stark entwickelt. Ausser den vorstehenden, meistentheils zur Aus- beute von Dr. A. Brandt gehôrigen Mollusken, wur- den mir noch folgende von der West-und Südküste des Kaspischen Meeres stammende Arten vom Zoologischen Museum der St.-Petersburger Akademie der Wissenschaften zur Bestimmung zugesandt: 1. Limax Keyserlingi sp.n., 63 Mill. lang, 17 hoch, 13 breit, Schild 22°, Mill. lang, unregelmässig leder- artig gerunzelt, nicht gekôrnelt; Athemloch im hintern Drittel. Rücken abgerundet ohne Kiel bis zum Schwanz- ende. Farbe gleichmässig dunkelbraun (in Spiritus), Soble deutlich zweitheilig. Astrabad, Graf E. Keyserling 1869. 9 . Parmacella velitaris sp. n. in Spiritus 29 Mill. lang, 6 breit, 8 hoch, Schild 8 Mill. lang, 10 Mill. hin- ter dem Vorderende beginnend, ciformig, flach, vorn zugespitzt, binten flach abgerundet, jederseits mit einer eingedräckten gebogenen Linie, die Schale ganz gleich- mässig bedeckend. Sobhle nur % Mill. breit, deutlich zweitheilig, das Mittelfeld 2 Mill. emnehmend. Skulptur des Halses und der Kürperseiten wie bei P. Olivieri Cuv., von der sich die vorliegende zumeist durch den kleineren, auch hinten ganz flachen Schild unterschei- det, der auf eine kleinere innere Schale schliessen lässt. Mundfühler am Spiritusexemplar nicht einge- zOgen. Astrabad, Graf E. Keyserling 1869. Helix (Fruticicola) fruticola Krynicki. L. Pfeiffer Monogr. heliceorum 1 p. 136; neue Ausgabe von Chemnitz, Helix Tafel 97 Fig. 17, 19. Mousson Coquilles de Schläfli IT, p. 45. Lenkoran, von Baer. 4. Helix (Fruticicola) Talischana sp. n. Schale kugelig, durchbohrt, dünn, mit dichten star- ken faltenartigen Anwachsstreifen und sehr feiner Kür- 9 D, ? 6, ein stumpfes mässig erhobenes Gewinde bildend, nelung, ziemlich dunkel hornbraun, einfarbig: Umgänge etwas gewülbt, durch eine mässig eingedrückte Naht geschieden, der letzte an der Peripherie vüllig gerun- det, vorn bestimmt herabgebogen. Mündung diagonal, ausgeschnitten halbelliptisch: Mundsanm dünn, bräun- lich-weiss, nur schwach ausgebogen, aber mit stark ausgeprägter weisser Innenlippe, welche aussen gelb- lich durchscheint; der Oberrand etwas stärker gebo- gen als der Unterrand, der Columellarrand ausgebrei- tet und umgeschlagen. Grosser Durchmesser 17, kleiner 14, Hühe 14, Durch- messer der Mündung 10, Hôhe derselben 8 Millim. Lenkoran, Provinz Talisch, v. Baer. Diese Art, sowie die oben beschriebene Sewanica, wird in demnächst erscheinenden «Conchologischen Mittheilungen» des Verfassers abgebildet werden. 5. Helix (Xerophila) Derbentina Andrezejewsky. Vgl. oben. Derbent, Moritz 1850. Die Exemplare sind von besonderem Interesse, in- sofern sie am Original-Fundort der Art gesammelt sind; sie zeigen 12 Mill. im grossen, 10°, im kleinen Durch- messer, 7 Mill. in der Hôühe, das Gewinde steht etwas 155 Bulletin de l’Académie Empériale 156 vor und hat eine kleine lebhaft braunrothe Spitze; die | 7. Succinea Pfcifjeri Rossm. vgl. oben, Lenkoran, letzte Windung ist vollkommen gerundet, die Mün-|v. Baer. dung ist ein wenig hôher als breit, der Nabeloffen und | 8. /lanorbis subangulatus Philippi. tief, aber schon durch die vorletzte Windung bedeu- Süsswassersee bei Lenkoran und Aschrew in Masan- tend verengt; alle Exemplare haben gelbbraune Kle- | deran, v. Baer. cken an der Naht, bei dem einen verlängern sich die- | 9. Zimnaea lagotis Schrank. vel. oben. selben zu radialen bis zur Peripherie reichenden Bo- Süsswassersee bei Lenkoran und Aschrew, v. Baer. genstriemen; die Unterseite zeigt etwas unterbrochene Bänder, bei einzelnen sehr undeutlich. Von der Ostküste des Schwarzen Meeres: G Clausilia. Ein unbestimmbares ganz junges Stück | 10. Helix atrolabiata Krynicki und 11. Melanopsis von Lenkoran, v. Baer. praerosa L., Suchum, Czerniavsky 1868. Übersicht der erwähnten Arten. | | | Huüste des Î r | Araxes-Gebiet. Hur-Gebict. Haspischen | Schavarzen | | Meeres. | 1 Limax BrANTLN SRE Semelle cms... Borshom. KOYSELIN PIERRE eee lle slece sels ous cles ee Astrabad, Dymezeviczii Kul...,... Sewanga u. Darytschi- tschach. ’armacella VOLITANIS Tee. en seeee PE Le © OC Seine cessent Astrabad. Vitrina Komarowi Bütte........ Elenowka. Helix Arpatschaiana Mss. var. Sewanica n. .....| Sewanga. Talischana nu... ne el re den eines coll RER rec esse css Lenkoran. globul4 Kryn:...1:.0 Elenowkd.-....4.0..0: Mere. ee. CD OO SC OT TOC 1 UN TES A PONS ER ER IL: : UGC PU Lenkoran. DIATCDSIS Bree esse lemec estomac ec AODUL ere sese-nee.- lee: F AFOIADIALL ER EYN. | M. ee... se BOrS ROM... 5-5. OS ESC Suchum. ODEUSAUSEATE DER A ue Karawansarai......... A NOTAMANMIPAN lle memes... +. AGRAIZYCN 6.2... ne srioie she Derbentina Ant. 21h86. escrocs Borshom, Achalzych, Buliminus Abas-Tuman...,..... Derbent..... Hohenackeri Kxyn.....01#...2.2.. Mare ..... | Borshom, Achalzych, tridens var. Caucasius Abas-Tuman,....... fé NISS PA nero ies Hlenowkal.:.........:. | er... Mein tenN ere { Clausilia DRAUAA DOI ID een en le messes te.: ces. | Borshom. DUDOISIACGNATD ES eme rmeullese semestre CR ne se as sfenest lo praerek de d Ossetica A. Schm, ..... Se nie sifeishs etes hoine nie eee Use es sammssem eee [lies suis ? foveicollis Parr......... CT ENR Mers OT Mn eme ous |A ces eblniase + SP ADUOLOTMae-s-e es cl eee er D OO OP - 0 © 00 NOT Lenkoran. Succinea DUB LEA ce Sewanga. Pfeltteni ROSSM........l HICnOWEA ..............| Mae... Mu ote eg Lenkoran .., l Cyclostoma costulatum Zol...... NES sp Hide emaois SONSNONL. es ee. 5. lens ir —+ Planorbis carinatus var, dubius Htm.! Goktscha-See. marginatus Dr. ....... Goktscha-See, Sanga-F1.. | ......... Maetreis A NMRRER Toro. T BUDANEUTALUSIP II 6 es A me ciecee à il AE Droite use Lenkoran, albus MID... GORSChA Eee ones qL Aschrew. glaber Jeffr............ dt. 157 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 158 Araxes-Gebiet. Limnaea ALASDAIIS coeurs |lesercemasteueesecseese var. lacustris Stud....| Goktscha-See. — turgida Mke..... dt. — Goktschana Mss. dt. lagotis Schrank ....... Goktscha-Sce, Kars-tschai OVata Drap. =... Tschaldyr-See.......... var. papilla Stud. .... Goktscha-See. Aneylus fluviatilis Mull. ..... Daratschi-tschach. lACUSELIS Lne........... HIGDOWKA =... ....... Melanopsis DÉACROSA AE secret Here, Anodonta pouderosa Pfr.......... Tschaldyr-See. Unio crassus Retz... .....:.. Kars=ischal 2... Pisidium pPustllum'Jen 6... | Goktscha-See. Huste des Héur-@ebict. Haspischen Sclhuwarzen Meceres. [l | ï | | | ss eee sacs Lenkoran, | Ÿ Aschrew | à se ll tan ï RS tas De TON) rs que Suchuim. Die mit + bezeichneten nach Mousson, Schneider u. À. in den betreffenden Gegenden. Beitrag zur gerichtlich-chemischen Untersuchung auf Blut verdächtiger Flecke. Von Heinrich Struve. (Lu le 29 janvier 1880.) Bei der gerichtlich-chemischen Untersuchung auf Blut verdächtiger Flecke hält man sich zur Fest-! stellung der Gegenwart von Blut an zwei Reactionen: | __ an die Darstellung der bekannten und für Blut so! überaus charakteristischen Häminkrystalle und an den Nachweis bestimmter Formelemente (farbloser und gefärbter Blutkürperchen). Die Reaction der Häminkrystalle entscheidet ganz im Allgemeinen über das Vorhandensein von Blut im verdächtigen Fleck oder nicht, ohne auf andre Fragen dabei Rücksicht zu nehinen. In dieser Hinsicht ist diese Reaction von grüsster Bedeutung und zeichnet sich dabei nicht allein durch eine ausserordentliche Empfindlichkeit, sondern auch überhaupt durch eine Nettigkeit der ganzen Erscheinung aus. Diese Reac- tion besteht, wie bekannt, in der Darstellung und Auf- findung der Häminkrystalle. So leicht und einfach diese beiden Aufgaben auch auf den ersten Anblick erscheinen mügen, so erfordern sie doch immerhin eine grosse Summe von Erfahrungen, damit man in jedem einzelnen gegebenen Fall seiner Sache und später seines Ausspruches ganz sicher sein kann. Eine derartige Sicherheit in der Ausübung dieser Reaction {die Art uud die Umstände kann nur durch vielfältige Erfahrungen erreicht wer- den, da die kleinen Modificationen in der Ausfübrung des einzelnen Versuches sich durchaus nicht angeben und niederschreiben lassen,. Je frischer ein Fleck, desto leichter ist die Dar- stellung der Häminkrystalle; je älter, desto schwerer. Hierbei spielt einen wichtigen Moment nicht allein des Eintrocknens eines Fleckes, sondern im Allgemeinen die äussern Verhält- nisse, welchen der Flecken ausgesetzt gewesen war. Und da man diese Umstände in den meisten Fällen in der Praxis nicht erfahren kann, so kommt es vor, dass die Darstellung der Häminkrystalle die ganze Geduld und Erfahrung des Experten in Anspruch nehmen kann. In allen Füällen, wo der zur Prüfung vorliegende Fleck mehr als eine blosse Färbung zeigt, wo man mit der Substanz des Fleckes operiren kann, da kann man selbst bei minimalen Quantitäten auf dem Object- glase in bekannter Weise zum Ziele kommen. Alles hängt dabei von der Geschicklichkeit des Experimen- tators ab. Wenn aber der verdächtige Fleck sich nur durch ein eigenthümliches Colorit zu erkennen giebt, wo von der Substanz desselben durchaus Abstand ge- nommen werden muss, dort verlässt den Experten auch der gewühnliche Gang der Darstellung der Hä- 159 minkrystalle. In solchen Fällen muss man einen etwas ! umständlicheren Weg einschlagen, auf den ich schon vor einigen Jahren!) hingewiesen habe. Das ist näm- | lich die Reaction auf Häminkrystalle unter Anwendung einer Tanninlüsung. Da dieser Vorschlag *) der Häminreaction noch wenig Eingang gefunden hat, so halte ich es für ge- rechtfertigt, wenn ich denselben noch einmal etwas umständlicher mittheile. Dem Experten werden Flecke zur Prüfang auf das Vorhandensein von Blutspuren vorgelegt, die sich auf der Oberfläche der Gegenstände, so in Sonderheit auf Leinen oder andern Zeugen, nur durch eine überaus blasse Färbung und durch schärfere Conturen des Randes bemerkbar machen, so dass man derartige Flecke für schlecht ausgewaschene ansehen kann. Derartige Fälle sind in der gerichtlich-chemischen Praxis nicht selten und nur zu oft ist es dem Unter- suchungsrichter von besonderer Wichtigkeit zu wis- sen, ob derartige Flecke auf Blutflecke oder nicht zu- rückzuführen sind. Der Expert soll und muss, wenn irgend môglich, einen entscheidenden Aussprüch thun, nachdem er sich mit den ihm zur Verfügung stehen- den wissenschaftlichen Mitteln ein Urtheil herausge- bildet hat. In solchen Füällen ist der gewühnliche Gang der Expertise nicht anwendbar, dagegen die Benutzung der Tanninreaction durchaus geboten. In dieser Ab- sicht behandelt man einen gôüssern Ausschnitt des mit dem verdächtigen Flecke versehenen Lappens in einem gecigneten Glase mit einer verdünnten Kali- lüsung. Hierdurch wird der Fleck nach und nach an- gsegriffen und zum Theil aufgelôst, wodurch die Flüs- sigkeit eine mehr oder weniger bräunliche Tingirung annimmt. Wenn die Färbung des alkalischen Auszuges nicht mehr zuzunehmen scheint, so giesst man die Flüssig- keit ab und wäscht den Lappen mit Wasser aus. Die Bulletin de l'Académie Empériale so erhaltenen Auszüge, die in den meisten Füllen trübe erscheinen, werden filtrirt und darauf mit einer Tan- 1) Fresenius, Zeitschrift der analytischen Chemie. 1872. 11. 22. 2) Anmerkung. Diese von mir in Vorschlag gebrachte Abän- derung der bekannten Teichmann'schen Probe finde ich von Prof Hüenefeld *) in Greifswalde nachgemacht und bestätigt. Prof. Hüenefeld führt sie unter der Bezeichnung der Struve - Teich- mann’schen Probe auf, *) Dr. F, B. Hüenefeld. Die Blutproben vor Gericht. Leipzig 1875. Seite 30. 160 ninlüsung versetzt, wodureh die Lüsung augenblick- lich eine stärkere rothbraune Färbung annimmt., Dar- auf giebt man verdünnte Essigsäure, bis zur deut- lich sauren Reaction hinzu, wodurch sich entweder augenblicklich oder nach einiger Zeit ein Niederschlag einstellt, der bald heller, bald dunkler gefärbt er- scheint. Dieser Niederschlag wird auf einem Filter gesam- melt, mit Wasser ausgewaschen und bildet dann das Object zur Darstellung der Häminkrystalle. Hierzu werden zwei Proben des feuchten Niederschlags vom L'ilter genommen und auf 2 Objectgläser aufgetragen. Zu jeder Probe giebt man eine Spur von Kochsalz hinzu und lässt dann diese so hergerichteten Proben entweder an der Luft, oder, um schneller zum Ziel zu kommen, bei gelinder Wärme cintrocknen. Der dun- kelschwarze Rückstand wird darauf in bekannter Weise mit Eisessigsäure behandelt und zwar die eine Probe unter Mitwirkung von Wärme, die andere bei gewühnlicher Zimmertemperatur. Alsdann überlässt man die Proben für einige Zeit, am besten für 20 bis 24 Stunden, der Ruhe und schreitet dann schliess- lich zur Durchmusterung der Objecte unter dem Mi- kroscope, wobei sich ein durchaus positives Resultat, d. h. ob Häminkrystalle oder nicht, ergeben muss. Hierbei untersucht man zuerst die Probe, die unter Anwendung von Wärme bereitet worden war, und fin- det man hier am Rande des Deckglases Häminkrystalle oder nicht, so schreitet man zur Durchmusterung der zweiten kalt-bereiteten Probe, gleichsam als Controlle. Waren in der ersten Probe Häminkrystalle gefunden worden, so müssen sich dieselben in der zweiten Probe nicht am Rande des Deckglases, sondern in der Masse der Probe selbst sichtbar machen, wo sie in einer braun gefirbten Masse eingelagert liegen und sich durch besondere Grüsse und Schünheit der Formen auszeichnen. Waren in der ersten Probe keine Kry- stalle gefunden worden, so werden sich auch in den meisten Fällen in der 2-ten Probe keine Krystalle entdecken lassen. Ausnahmen kommen aber vor und deswegen muss die zweite Probe immer als die ent- scheidende genommen werden. Sollte dieser Fall vor- kommen, so ist eine Wiederholung dieser beiden Pro- ben wünschenswerth. Von besonderer Wichtigkeit bei der Häminreaction im Allgemeinen ist, festzustellen und später zu verfol- 161 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 162 D gen die Stelle am mikroscopischen Objecte, von wel- cher aus man später die Durchmusterung des Objec- tes beginnen muss, um die Gegenwart oder das Fehlen der Häminkrystalle am raschesten und sichersten zu erkennen. Bei frischen Blutflecken oder auch wenn grôssere Mengen zur Prüfung vorliegen, ist diese Auf- gabe nicht schwer; denn mehr oder weniger rasch Zei- gen sich in der ganzen Masse des zur Prüfung genom- menen Objectes, als auch in der Umgebung desselben die charakteristischen Häminkrystalle. Anders ist es aber, wenn man mit minimalen Quantitäten und dabei noch mit alten Flecken operiren muss. In solchen Fällen muss man, während des vorsich- tigen Erwärmens der mit Kochsalz und Eisessigsäure versetzten Probe unter dem Deckglase, den Fleck mit Hülfe einer Loupe verfolgen und bemerkt dann in den meisten Fällen, wenn wirklich Blut vorhanden sem sollte, eine leichte rôüthliche Wolke sich um die Probe bilden, die sich bald darauf nach einer Seite hin mehr ausdehnt, hierbei gleichsam dem Verdunsten der Säure folgt. Diese Zeichen muss man festhalten, und nach der vollständigen Abkühlung des Objectglases auf diese Stelle hin mit dem Mikroscope einstellen. Alsdann von dort aus, wo man selten gleich Krystalle beobachten wird, in gerader Richtung zur Kante des Deckgläs- chens vorschreiten, und wenn sich überhaupt Hämin- krystalle gebildet haben sollten, so müssen dieselben hier zuerst sich zeigen. Bei einiger Uebung kommt man unter Beobachtung dieses kleinen Handgritfes sehr rasch zum Ziel über die Natur eines vorliegenden Fleckes, nur muss man nicht zu rasch nach dem Er- wärmen des Objectes die Durchmusterung unter dem Mikroscope vornehmen wollen. Man muss einige Zeit verstreichen lassen, damit sich die Häminkrystalle ausscheiden künnen. Oft ist es rathsam, die Prüfung erst nach 12 oder 20 Stunden vorzunehmen, doch dann muss man sich nur die Richtung des Austrock- nens gemerkt haben. In diesem Fall nimmt man das Deckgläschen ab, giebt einen Tropfen Wasser auf die Probe und deckt darauf mit demselben Deckgläschen in der Weise wieder fest, dass der frühere Rand, wo die Austrocknung am sichtharsten war, unter dem Deckgläschen liegt. Diese Stelle durchmustert man dann zuerst, und wenn sich Häminkrystalle gebildet haben, so müssen sie sich hier am deutlichsten zeigen. Ist die Gegenwart von Blut in einem gegebenen Tome XX VI. Fall durch das Eintreffen der Häminreaction aul”s Entschiedenste nachgewiesen worden, so schreitet man zur zweiten Haupt-Reaction, nämlich zu der des Nachweises von Formelemente, um hierdurch, wenn irgend môglich, eine nähere Bestimmung der Abstam- mung des verdächtigen Blutfleckes ermitteln zu kônnen. Diese Reaction hat, wie bekannt, zur Aufgabe den Nachweis der farblosen und der gefärbten Blutkôr- perchen. In dieser Hinsicht sind verschiedene Rea- gentien in Vorschlag gebracht worden und zwar im- mer ein jedes als solches, das am besten und am sichersten zum Ziele führen soll. Aus der Zahl die- ser Reagentien hebe ich hier nur die Weinsäure, Koh- lensäure, Jodkalium und Aetzkali in concentrirter oder verdünnter Lüsung hervor. Die Zahl dieser Rea- gentien liesse sich mit Leichtigkeit noch vergrüssern, doch es wäre unnütz, da man in der Praxis mit den genannten 4 Reagentien über und über auskommt, ja meiner Ansicht nach sind Weinsäure und Kohlensäure durchaus hinreichend, dabei leicht anwendbar. ich môchte mich dahin aussprechen, dass wenn man mit Hülfe dieser beiden Reagentien zu keinem bestimmten Resultate kommen sollte, auch die Anwendung der übrigen Reagentien nicht erfolgreicher sein wird. Die Anwendung dieser verschiedenen Reagentien besteht darin, dass sich in denselben bei (egenwart einer hinreichenden Menge von Wasser die Blutsub- stanzen aufweichen und zum Theiïl auflüsen unter Zu- rücklassung entweder der farblosen und gefärbten Blutkôürperchen, oder nur der erstern. Diese Form- elemente künnen dann unter dem Mikroscope erkannt, ja in einzelnen günstigen Fällen sogar gemessen wer- den. Durch die unter dem Mikroscope sich darbieten- den Erscheinungen wird man in den meisten Fällen mit aller Bestimmtheit festzustellen im Stande sein, ob man es im speciellen Fall mit Säugethier- oder mit Vogel-Blut zu thun hat. Die Anwendung der Weinsäureist einfach. Eine kleine Probe des Blutflecks wird auf dem Objectglase unmit- telbar mit concentrirter Weinsäure befeuchtet, nach ei- niger Zeit mit einem Deckglase überdeckt und darauf in verschiedenen Zeitintervallen die Musterung des Objectes unter dem Mikroscope vorgenommen. Hat man Blut von Säugethieren, so wird man im mehr oder weniger aufgeweichten Fleck in einer rothbrau- nen Masse die sogenannten farblosen Blutkôrperchen, il 163 granulirt, oder nicht granulirt beobachten künnen. Sieht man dagegen in der aufgeweichten Blutmasse ein Haufenwerk von Blutkôürperchen mit überaus deutlichen Kernen, so ist kein Zweifel über die Ab- stammung des Blutes von Vügeln. Die Benutzung der Kohlensäure ist etwas umständ- licher, doch eleganter und führt zu noch mehr ent- scheidenden Resultaten. Auf diese Thatsache hatte ich zuerst schon im Jahre 1873 ‘) hingewiesen, hier môchte ich aber dieselbe noch einmal hervorheben und zwar ganz speciell für die gerichtlich-chemische Expertise von Blutflecken. Die Anwendung der Kohlensäure gründet sich da- rauf, dass in einem mit Kohlensäure gesättigten Was- ser die Hüllen der Blutkürperchen sich nicht auflü- sen, sendern sich in ihrer natürlichen Form und Grüsse abscheiden, vom Blutfarbstoff mehr oder weniger voll- ständig befreien und schliesslich unter dem Mikro- scope beobachten lassen. Der Versuch wird in folgender Weise angestellt, wobei ich am einfachsten einen bestimmten Fall auf- führe: Nehmen wir an, es läge ein kleiner Blutfleck auf der Oberfläche eines Holzes vor, so würde derselbe mit Hülfe eines Messers so ausgeschnitten werden, dass man einen kleinen Holzspan mit dem Fleck er- hält. Darauf lässt man durch Wasser in einem Pro- birgläschen einen langsamen $Strom Kohlensäure hin- durchstreichen und giebt dann nach einigen Augen- blicken den Holzspan hinein. Durch die Einwirkung der Kohlensäure und des Wassers wird der Blutfleck aufgeweicht, der Blutfarbstoff lüst sich mehr oder we- niger auf. Man überlässt das Ganze der Ruhe und nach ungefähr 20 Stunden — die Zeit hängt von dem Alter des Blutflecks ab — nimmt man den Holzspan heraus, lüsst von der Oberfläche desselben mit Hülfe eines feinen Messers einen Theil des aufgeweichten Fleckes ab, um ïhn auf”s Objectglas zu bringen. Da- rauf giebt man zur abgenommenen Probe einen Trop- fen Wasser hinzu, deckt mit einem Deckgläschen zu und beginnt die mikroscopische Untersuchung. Hier- bei wird sich in den meisten Füällen ein ganz bestim- tes Bild herausstellen. Entweder man findet in einer unlôshichen fibrinartigen Masse Anhäufungen der Hül- 4) Bull. de PAcad. Imp. de St.-Pétersb., T. XIX p. 421. Bulletin de l'Académie Empériale 164 len der früheren rothen Blutkôrperchen, somit Säu- gethierblut, oder man sieht die characteristischen el- liptischen Formen mit den Kernen, somit Vogelblut. Die Erscheinung ist so frappant, dass über die Ab- stammung des Flecks gar kein Zweifel übrig bleiben kann. Je nach dem Fleck, je nach dem Gegenstande, auf welchem der Fleck sich befindet, muss man selbst- verständlicher Weise den Gang des Versuches abän- dern. Ebenso kann es vorkommen, dass die erste Prüfung unter dem Mikroscope zu keinem günstigen entscheidenden Resultate führt. In einem solchen Fall muss man die Behandlung des Objeetes mit Koh- lensäure wiederholen und in bestimmten Zeitinterval- len neue Proben abnehmen und der mikroscopischen Durchmusterung unterwerfen. Weiter darf man bei dem gegenwärtigen Standpunkt unserer Kenntniss über die Natur, Form und Grüsse der Blutkürperchen verschiedener Thiere in der Differen- tial-Diagnose von Blutflecken kaum gehen, das heisst, dass man unter keinen Verhältnissen mit vôolliger Be- stimmtheit angeben kann, ob ein Blutfleck von Men- schen-, Ochsen-, Pferde- oder Ziegen-Blut herstamme. Nur in überaus vereinzelten Fällen kann man sich hin und wieder veranlasst sehen, seinen persünlichen Aus- spruch dahin zu formuliren, dass mit grüsster Wahr- scheinlichkeit nach dem allgemeinen Bilde eines un- tersuchten Blutfleckens und nach den sichtbar gewor- denen Blutkürperchen sowohl in Bezug ihrer Gruppi- rung, als auch ihrer Grüsse, der Fleck von Schaaf- oder Ziegenblut herstammen kann und nicht vom Blut eines Thieres mit grüssern Blutkôrperchen. Ein sol- cher rein persünlicher Schluss ist immer sehr gewagt und erhält erst dann einige Bedeutung, wenn er durch andere Thatsachen, die sich im Verlauf der gerichtli- chen Untersuchung herausstellen, bestätigt werden kann. Als Beleg, wie weit ich mich in der Differen- tial-Diagnose von Blutflecken zu gehen für berechtigt hielt, erlaube ich mir auf einige Beispiele aus der Pra- xis hinzuweisen. 1) 30sten April 1876. Es wurden 12 verschicdene Gegenstände mit auf Blut verdächtigen Flecken ein- geschickt, die alle einzeln untersucht werden mussten. Hierbei konnte festgestellt werden, dass nur die Flecke auf 7 Gegenständen von Blut herstammten, und hier- bei stellte sich noch heraus, dass die Blutflecke auf 6 165 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 166 Gegenständen entschieden von Vogelblut und nur auf einem einzigen Gegenstande einige kleine Flecke von Säugethierblut waren. 2) Gten Juli 1876. Aus Baku war ein Kinshal vorgestellt, auf dessen Oberfläche sich einzelne über- aus kleine Flecke zeigten, die man schon dem äussern Ansehen nach als von Blut herstammend annehmen konnte. Die Flecke sollten einer chemisch-mikroscopischen Untersuchung unterworfen werden, um wenn môglich die Gegenwart von Blut nachzuweisen, zumal da der Angeklagte die vorliegenden Flecke als von Blut her- stammend leugnete. Von der Oberfläche des asiatischen Dolches wur- den unter der Loupe mit Hülfe eines feinen Messers die einzelnen kleinen verdächtigen Flecke abgenom- men. Eine minimale Probe zur Darstellung von Hä- minkrystallen verwendet, die sich augenblicklich in reichlichster Menge bildeten, als Zeichen, dass das Blut auf der Oberfläiche des Dolches nicht alt war. Die Natur der Flecke war somit entschieden. Hicrauf wurde eine kleine Probe der Flecke auf dem Object- glase mit concentrirter Weinsäure behandelt, wobei überaus rasch eine Aufweichung des Objectes erfolgte, so dass mit Hülfe des Mikroscops gleich ein deutli- ches Bild von kleinen Blutkürperchen mit eingelager- ten grôüsseren farblosen Blutzellen erkannt werden konnte. Nach und nach wurden die Conturen der Blut- kôrperchen undeutlicher, während die der farblosen immer schärfer hervortraten. Eine andere Probe wur- de mit einer concentrirten Kalilüsung (32°) behan- delt, wodurch auch einzelne Blutkürperchen scharf sichthar wurden, Ein gleiches schônes Bild wurde un- ter Anwendung von Glycerin erhalten; nur musste hier einige Zeit gewartet werden, bis die Formen sichtbar wurden. Mit allen 3 verschiedenen Präpara- ten wurde die unmittelbare Messung der Blutkürper- chen versucht und dabei Grüssen erhalten, die zwi- schen 0,0051 bis 0,0039 mm. schwankten, somit Grôssen, die mit denen der Blutkürperchen von Schaafs- blut am meisten übereinstimmten. Auf diese Bestim- mungen hin und unter Berücksichtigung des ganzen Bildes des Blutfleckes hielt ich mich berechtigt im Protokoll meine Ansicht über den vorliegenden Fall dahin formuliren zu kônnen, dass die Blutflecke auf dem Kinshal mit einiger Wahrscheinlichkeit als von Schaafs- oder Ziegenblut herstammend anzusehen seien, 3) 28sten April 1877. Es waren 7 verschiedene Gegenstände mit auf Blut verdächtigen Flecken ein- geschickt und bei der Untersuchung derselben ergab sich, dass die Flecken auf einem kleinen Holzstück, auf Erde und auf 2 Stücken eines Binsenteppichs als aus Blut bestehend festgestellt werden konnten. Als darauf verschiedene von diesen Flecken entweder mit Weinsäure oder mit Wasser und Kohlensäure behan- delt wurden, so erhielt man schliesslich unter dem Mi- kroscope Bilder und Grüssenverhältnisse, die mit gros- ser Wahrscheinlichkeit zu der Ansicht berechtigten, dass die vorliegenden Flecke als von Schaafs- oder Zie- genblut herstammend anzunehmen wären. Diese mit aller Vorsicht ausgesprochene Ansicht fand später eine Bestätigung in der Aussage des Angeklagten, die in dem miteingeschickten gerichtlichen Protocoll nieder- gelegt war. 4) 23. Mai 1877. Ein asiatischer Dolch mit Scheide und ein Paletot mit verschiedenen kleinen auf Blut verdächtigen Flecken waren zur Untersuchung einge- schickt. Bei der gerichtlich-chemischen Expertise er- gab sich, dass die auf der Oberfläche des Kinshals befindlichen Flecke nicht von Blut herstammten, allein in Innern der Scheide konnten mehrere Flecke nach- gewiesen werden, deren Ursprung auf Säugethierblut zurückzuführen war. Die Flecke auf dem Paletot wa- ren Blutflecke. Als Proben dieser Flecke mit Wasser und Kohlensäure behandelt wurden, so konnte in be- stimmtester Weise festgestellt werden, dass im gege- benen Fall Vogelblut vorlag. 5) 28. Mürz 1879. 8 verschiedene Gegenstände mit verdächtigen Flecken waren eingeschickt worden. Bei der Untersuchung ergab sich, dass die Flecke auf einem Holzbrett und auf Kalkbewurf von Blut und zwWar von Vogelblut herstammten, während die Flecke auf dem Zeugstück als Säugethierblut erkannt wurden. Sind dieses die wenigen Fälle aus meiner langjäh- rigen Praxis, wo es mir gelang in der Differential-Di- agnose von Blutflecken ein bestimmtes Resultat zu er- reichen, so kommt es viel häufiger vor, dass man bei der Expertise von Plutflecken keine Formelemente mehr erkennen und demnach seinen Ausspruch über die Abstammurg des Blutes unbestimmt lassen muss. Unter Erwägung und Berücksichtigang dieser Er- 11* 167 fahrangen muss ich mich denn auch ganz entschie- den gegen den Ausspruch des Dr. Malinin °) über die >estimmung der Abstammung eines Blutfleckes unter Anwendung von concentrirter Kalilüsung erklären. Deswegen fasse ich denn den vom Dr. Malinin aufoe- führten Fall der gerichtlichen Expertise, wo er auf einem Brett zwei verschiedene kleine Blutflecke un- tersuchte und feststellte, dass der eine Fleck von Zie- sen, der andere von Schaafsblut herstamme, als eine Fiction und Selbsttäuschung auf, wenngleich die Un- tersuchung in Gegenwart von ungefähr 18 Aerzten (?!) ausgeführt worden war. Diesen aufgeführten Fall‘) einer Differential - Dia- onose noch näher einer wissenschaftlichen kritischen Analyse unterwerfen zu wollen, ist durchaus überflüs- sig. Als ein Curiosum steht er und bleibt er schon im den Annalen der Wissenschaft stehen. Wie schon gesagt, eine persünliche Meinung über die mügliche Abstammung eines Blutfleckes künnen wir bei dem gegenwärtigen Standpunkt unserer Kent- nisse über die Formen und Eigenschaften eingetrock- neter Flecke verschiedener Blutsorten nur in überaus seltenen Fällen aufstellen, doch 0ob Blut verhanden oder nicht, das kann man positiv entscheiden, wobei man die Häminreaction als maassgebend gelten lassen muss. 5) Virchov’s Archiv 1875. 65. 536. .. 6) Anmerkung. Der Wichtigkeit wegen lasse ich in wortlicher Übersetzung diese Expertise folgen, wie dieselbe in dem Protocol der Kaiserlichen caucasischen medicinischen Gesellschaft N° 16 Seite 333. 18734 niedergelegt ist. «Erste Bestimmung des Ursprungs eines Blutes in verdächtigen Flecken als von Ziegen- und Schaafs- blut von Dr. Malinin». «Am 2. December 1873 führte ich die Expertise von Blutflecken aus, die sich auf der Oberfläche eines Brettes befanden, das vom Untersuchungsrichter des Suramschen Kreises eingeschickt war. Purch diese Flecke sollten die Edelleute O, des Mordes eines Menschen überführt werden. Bei der Expertise waren 12 Doctore gesenwärtig. Bei Erôffnung des eingeschickten Packens ergab sich ein Brett von 1 Arsch. Länge, bei 0,5 Werschok Dicke mit zwei kleinen oberflächlichen Flecken von rother Farbe, die an beiden Enden des Brettes lagen, somit in einer Entfernung von %, Arschin. Bei sorgfältiger Untersuchung dieser Flecke mit einer 3204 Kalilosung in destillirtem Wasser zeigten sich überaus deutlich in dem einen Fleck Blutkürperchen von der Grosse des | | deckt waren. Diese Thatsache festgestellt, gab augen- | CS Pa PA : D nllisn RATE E c s Ahr 1 Blutkôrperchen der Grüsse nach nicht denen von Menschenblut ent- blicklich die Erklä un£ für das E chlschlagen der bei- sprachen und somit sprach ich mich dahin aus, dass mit grüsster | Wahrscheinlichkeit anzunehmen wäre, dass der eine Fleck von | Ziegenblut, der andere von Schaafsblut herstamme. Aus den ge- | Ziegenblutes, und in dem zweiten Fleck die von Schaafsblut. Alle anwesenden Arzte bestätigten das Factum, dass die beobachteten nauern Angaben des Untersuchungsrichters ergab sich dann auch, dass die angeklagten Edelleute das Auftreten dieser Flecke dadurch erklärten, dass sie cinmal eine Ziege, ein anderes Mal ein Schaaf geschlachtet hatten, » Bulletin de l'Académie Impériale 168 Sollten wir uns aber Flecke, als von Blut herstam- mend, vorstellen künnen, die bei der chemisch-mikro- scopischen Untersuchung weder Häiminkrystalle geben, noch Formelemente nachweisen lassen? Und wenn solche Flecke vorliegen sollten, wie dann ihre Blutab- stammung nachweisen und wie das Fehlen, das Aus- schlagen der beiden Hauptreactionen erklären ? Diese aufgestellten Fragen, die gleichsam in direc- tem Widerspruch mit dem oben Mitgetheilten ste- hen, künnen vorkommen, sind vielleicht nur der Beo- bachtung entgangen, indem bis jetzt kein Zufall einen Experten auf dieselben hingeleitet hatte. Wenn ich aber diese Frage anrege, so stütze ich mich darauf, dass mir mehrere dahin einschlagende interessante Beobachtungen aufgestossen sind, Im März 1870 wurden zur gerichtlichen chemi- schen Untersuchung 7 kleine Binsenstücke eingeschickt, auf deren Oberfläche dunkelbraune Flecke sichtbar waren, deren Abstammung von Blut festgestellt wer- den sollte. Die Expertise ergab Blut, und zwar Säugethierblut, ziemlich frisches, da sich sowohl Häminkrystalle leicht darstellen, als auch Formelemente beobachten liessen. Nach Abschluss des Protocolls wurden die rückstän- digen Binsenstücke in Papier eingewickelt, numerirt und der Ordnung nach bei Seite gelegt. So blieben sie bis zum Frühjahr 1871 liegen. Eines Controllversu- ches wegen wurden jetzt die Binsenstücke wieder her- vorgeholt, und die auf der Oberfläche derselben noch sichtbaren Flecke, wie das erste Mal der Prüfung un- terworfen. Es konnten aber aus verschiedenen Proben weder Häminkrystalle, noch Formelemente nachgewie- sen werden. Somit ein Widerspruch dem frühern -Be- fund und dem Protocoll gegenüber, der sich aber bei genauer eingehender Untersuchung in schlagend- Ister interessanter Weise aufklären liess. Es zeigte sich nämlich, dass die Flecke, die die frühere braun- rothe Färbung beibehalten hatten, mit einer dünnen Schicht eines grünlich-weissen Schimmelpilzes über- den Blutreactionen. Die Binsenstücke waren an einem feuchten Orte aufgehoben. Sporen von Schimmelpilzen fanden auf der Oberfläche der Plutflecke einen günstigen Boden zur Entwickelung und diese erfolgte auf Kosten der Blnt- 169 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 170 ———— bestandtheile und zwar der Blutfarbstoffe und der ge- formten Elemente des Blutes, während das Fibrin noch nicht aufgezehrt war. Hierfür sprechen die That- sachen, dass erstens aus kleinen Proben der Flecke, wie schon gesagt, weder die Häminkrystalle dargestellt werden konnten, noch liessen sich unter Anwendung von Kohlensäure oder Weinsäure Formelemente nach- weisen. Als aber die Flecke mit einer verdünnten Na- tronlüsung behandelt wurden, so erfolgte eine voll- ständige Auflüsung der bräunlichen Flecke und in der so gewonnenen Lôüsung konnte die Gegenwart von Al- buminstoffen mit verschiedenen Reactionen nachge- wiesen werden, Die Färbung des Fleckes stammte s0- mit von der Gegenwart von Fibrin ab°). Diese duréh den reinen Zufall mir unter die Hand gespielte interessante Beobachtung veranlasste mich zu verschiedenen Versuchen, um durch dieselben die beobachtete Thatsache ausser allem Zweifel festzu- stellen. In dieser Absicht wurden zu verschiedenen Malen Blutflecke auf Oberflächen von Holz, Zeug, Steinen und Metall mit Wasser aufgefeuchtet und dann auf dieselben eine Spur von Schimmelpiizen (Penicel- lum glaucum) ausgesäet. In hinreichend feuchter At- mosphäre entwickelte sich der Pilz überaus rasch und wenn man in verschiedenen Zeitintervallen kleine Pro- ben des Blutfleckes in bekannter Weise auf Hämin-! krystalle und auf Formelemente hin untersuchte, s0 konnte man in deutlicher Weise verfolgen, wie nach und nach mit der Entwickelung des Pilzes die Leich- tigkeit der Darstellung der Häminkrystalle und des Auffindens der Formelemente abnahm und schliesslich vollständig versagte. So wurde durch specielle Versuche die zufällige Be- 7) Anmerkung. Hierfür kann ich noch auf eine andere That- sache hinweisen. Behandelt man frisches oder defibrinirtes Blut mit 809/, Alkohol und später mit ammoniakalischem Alkohol zur Auf- lüsung und Ausziehunge der Blutfarbstoffe, so bleiben schliesslich die Hüllen der Blutkürperchen (Stroma) und die verschiedenen Albuminstofte zurück. Dieser Rückstand besitzt eine schwachgelb- liche Färbung und trocknet man denselben zwischen Papier, so er- hält man ein gelblichweisses leichtes Pulver. Wenn man aber den Rückstand nach der Behandlung mit Alkohol noch mit Wasser aus- wäscht, so werden verschiedene Salze und Spuren einer leimartigen Substanz ausgezogen. Trocknet man darauf den Rückstand, so er- hält man eine dunkelbraun-rothe Masse, deren Färbung man dem ersten Anblick nach als von Blutfarbstoff herstammend annehmen kônnte. Dem ist aber nicht so, sondern es ist die eigenthümliche Färbung des Albuminstoffes und hier speciell des Fibrins. Über die hier angedeuteten Thatsachen werde ich mich in nächster Zeit um- ständlicher aussprechen. obachtung bestätigt. Diese Erfahrungen erhielten aber eme noch grüssere Bedeutung und Wichtigkeit für die gerichtliche Expertise durch drei specielle Fälle aus der Praxis, auf die ich ausführlicher eingehen muss. Zwei grôüssere aus Binsen geflochtene Teppiche wur- den zur Untersuchung der auf denselben befindlichen verdächtigen Flecke auf Blut hin eingeschickt, wobei wie gewühnlich dem Experten die bekannte Frage vorgelegt wurde, zu bestimmen ob die verdächtigen Flecke von Menschenblut oder nicht herstammen. Bei der genauen Besichtigung der Oberfläche der Tep- piche zeigte sich auf dem einen ein grüsserer Fleek von bräunlicher Farbe, nicht erhaben, nicht massen- haft, so dass von demselben überaus schwer die zur Untersuchung nüthigen Proben abzunehmen waren. Auf dem zweiten Teppich waren dagegen mehrere kleine Flecke, dunkelbraune, stark glänzende und die sich leicht ablüsen liessen. Bei sorgfältiger Prüfung die- ser letzteren Flecke mit Weinsäure auf Formelemente und mit Kochsalz und Eisessigsäure auf Häminkry- stalle, ergab sich sogleich die Blutnatur dieser Flecke und zwar von Säugethierblut. Eine gleiche Prüfang des Fleckes vom ersten Teppich führte dagegen zu durchaus negativen Resultaten; von Formelementen des Bluts nicht eine Spur, dagegen aber eine grosse Menge von Pilzsporen und Pilzfäden. Im Besitz der frühern Erfahrungen wurde ein Theil des Fleckes vom ersten Teppich mit verdünnter Kali- lüsung behandelt, wodurch eine Auflüsung des Fleckes erfolgte und in dieser Lüsung konnte mit verschiede- nen Reagentien die Gegenwart von Albuminstoffen dargelegt werden. Auf diese Thatsachen hin konnte ich im gerichtlichen Protocol meine Ansicht dahin aussprechen, dass die Flecke des zweiten Teppichs unstreitig Blutfecke seien, während die auf dem er- sten Teppich hôchst wahrscheinlich auch von Blut herstammen, Dieser Teppich muss aber, schon mit dem Blutfleck behaftet, während einiger Zeit an ei- nem feuchten Orte gelegen haben, wodurch alle Be- dingungen zur Pilzbildung auf dem Fleck gegeben waren und als Resultat dieser Wucherung war das Verschwinden der Formelemente und des Blutfarb- stoffes aus dem Fleck. Das gerichtliche Protocoll über die Umstände beim Auffinden der Teppiche bestätigte vollständig die in der Expertise niedergelegte Ansicht. Der erste Tep- 171 Bulletin de l’Académie Empériale 172 pich war nach vollbrachter blutiger That in eine feuchte dumpfe Kammer auf die Erde hingeworfen worden und blieb dort liegen, während der zweite Teppich in einer trocknen Stube gefunden wurde. Auf diese Thatsachen bin wurden einzelne Stücke des zweiten Teppichs, die mit Blutflecken bedeckt wa- ren, ausgeschnitten und ähnlichen feuchten Verhält- nissen ausgesetzt. Der Einfluss der Verhältnisse blieb nicht lange aus, es entwickelten sich Schimmelpilze in reichlichster Menge und nach Verlauf von 3 Wochen konnten aus diesen Flecken weder Formelemente noch Häminkrystalle nachgewiesen werden. Interessanter und schlagender, als der oben be- sehriebene Fall, ist noch folgender. Ein Stück einer wattirten Zitzdecke wurde einge- schickt und zwar zur Feststellung der Natur zweier auf dem Zitz sichtbarer brauner glänzender Flecke in >ezug ihrer Abstammung von Blut. Beieiner Prüfung dieser Flecke mit Hülfe einer Loupe zeigte sich, dass die Oberfläche derselben mit einer üppigen Schimmel- pilzmasse überwuchert war und man konnte annch- men, dass als Folge dieser Pilzvegcetation die Prüfung auf Häminkrystalle und Formelemente durchaus ne- vativ ausfallen müsste. So geschah es auch. Die Ex- pertise schien hiernach für den ersten Anblick ohne entscheidendes Resultat ausfallen zu müssen, doch es blieb noch ein Ausweg. Es wurde nämlich übcraus vorsichtig der Zitz von der unterliegenden Schichte Watte abgetrennt und die so freigelegte Watte einer genaueren Prüfung unterzogen. Hierbei zeigten sich zWischen den einzelnen Wattenfäden minimale Spuren einer dunkelbraunen Masse, die sich bei der mikro- scopischen Untersuchung als von Blut herstanmmend herausstellte. Diese Spuren von Blut in der Watte konnten nur von einem Blut herstammen, das durch den Zitz hindurchgedrungen war und in dieser That- sache lag in anschaulichster Weise eine Bestätigung für die Abstammung der auf dem Zitz verdächtigen Flecke von Blut,. 12. Sept. 1877. Ein Leinenlappen mit einem blas- sen Fleck lag zur Expertise vor, um auf demselben Blut nachzuweisen, Durch unmittelbare Prüfung einer kleinen Probe des Fleckes auf Häminkrystalle und auf Formelemente, konnte die Abstammung des Fleckes von Blut nicht dargelegt werden, es zeigten sich da- gegen Pilzfäden in reichlichster Menge, Bei der fol- genden Behandlung einer andern Probe des Fleckes mit verdünnter Kalilôsung, wurde eine schwach bräun- lich gefirbte Flüssigkeit erhalten, in der später Albu- minstoffe nachgewiesen werden konnten. Somit lag hier mit grüsster Wahrscheinlichkeit ein Blutfleck vor, der durch Pilze schon zerstort worden war. Durch diese auf den letzten Seiten niedergelegten Beobachtungen und Erfahrungen gewinnt meiner An- sicht nach die gerichtliche Expertise von auf Blut ver- dächtigen Flecken eine nicht zu unterschätzende Er- weiterung und hoffentlich werden die niedergelegten Thatsachen bald von andern Seiten her auch bestätigt werden, indem hüchst wahrscheinlich ähnliche Erschei- nungen schon früher beobachtet worden sind, doch der richtigen Interpretation enthehrten. Tiflis, 27. December 1879. Textkritischer Beitrag zu den Trachinierinnen. Von Moriz Schmidt in Jena. (Lu le 18 mars 1880.) Die folgenden Mittheilungen sind durch Hense’s Studien über die Trachinierinnen hervorgerufen. Sie wünschen an einer Reihe auch von Hense behandel- ter Stellen nachzuweisen, dass trotz der Zuversicht, mit welcher uns der tüchtige Kritiker seine Restitu- tionen als Heilungen empfehlt, seine Fassung des Tex- tes sich doch oft von der Durchsichtigkeit und Ein- fachheit des Sophokleischen Ausdruckes noch recht weit entfernt; dass mitunter sogar flüchtige Einfälle von, wie er sagt, ‘unberufenen Kritikern dem Wahren schon näüher kommen, als er einzuräumen geneigt ist. Beginnen wir mit 434, Als sich Lichas durch die Enthüllungen des Boten in die Enge getrieben sieht, richtet er ohne dem unbequemen Frager weitere Rede zu stehen an Deianira die Worte: 453 dvSponos, 6 JÉGROW, ÉTOOTNTO TO VAE vogobvTt Anpeiv AV90S oUxL coppovos. welche die treffliche Übersetzung Th. Johnson’s durch: «homo facessat hine, domina: quippe cum aegroto nu- gari viri non est sapientis» wiedergiebt. Darnach würde Lichas sein Verlangen, Deianira müge den Boten ab- treten lassen, durch die Bemerkung begründen, dass nur, wer selbst nicht recht bei Sinnen sei, sich mit einem Verrückten in weitläufige Erôrterungen einlasse. Allein, zugescben einmal vossovte Angsèv kônnte wirk- 173 des Sciences de Saint-Pétersbour . ES 174 lich vocouvre StuhéyeoSo bedeuten, würde solche Be- merkung nicht vielmehr eine Bitte des Lichas um seme eigene Entlassung voraussetzen? obschon auch diese Bitte richtiger dadurch begründet werden würde, dass man einem verständigen Menschen die Unterhaltung mit einem Irrsinnigen nicht zumuthen dürfe. Hier rich- tet sich aber die Forderung des Lichas auf Entfernung des Boten; und darum ist es schwer begreiflich, dass man in den Worten avôgôs oùyt cowpovos mit seltener Ein- stimmigkeit und Beharrlichkeïit ein Urteil des Lichas über sich selbst hat finden künnen, falls er sich mit dem Boten in lange Erôrterungen einlasse. In seiner Lage musste es ihm vielmehr darauf ankommen, den Boten für verrückt und seine Mittheilungen für thô- richtes Geschwätz zu erklären. Und diese Verdäch- tigung spricht er auch in der That aus, sobald wir seine Begründung in die zwei Worte vossi yæo fassen und die Begründung dieser Behauptung wieder in den Worten: to yap Anpsiv avôpos ouyt coppoves finden. Ist somit der vecôv und der oùyt cowosoy derselbe, so liegt die Besserung: TÔ VAE Anoeiv vosouvToc AvÔpoç, cÙxt TOpaovos auf der flachen Hand. «Schicke doch den Menschen fort, sagt er, sein Geschwätz verräth ja, dass es in seinem Kopte nicht richtig ist.» Nach dieser Herstellung hôrt auch Lichas auf seine Reden als Xñgos zu bezeichnen, woran Nauck gegründeten Anstoss nahm, und die über- lieferte Lesart erklärt sich leicht aus dem verunglück- ten Bemühen einen durch Versetzung zweier Worte entstandenen metrischen Fehler zu heben. Die Scholien hatten, wie aus patvopévo cupæhuæsei hervorgeht, den handschriftlichen Text schon vor sich. Wäre das nicht, würde durch: oto' To yao pauapeiv LŒIVOMÉVOU GS ét, où soppovos” Aro TT oÙv (pnoiv) AVIDOT OS © dehéyyov pe sehr leicht die richtige Erklärung her- zustellen sein. Eine Widerlegung bisheriger Conjectu- ren erscheint kaum noch nôüthig, da, so viele mir be- kannt sind (Nauck p. 151 vocodvrt roocéyeuv, Heim- sôth Bonn 1869 p. xvir vocouvr éXéyystv, Hense p. 97 vocodvyr éveyxsiv) von der unrichtigen Anschauung aus- gehen, dass bei ojyt copoovos an Lichas zu denken sei. Umstellung zweier Nachbarworte macht sich auch 608 nôthig. Als Deianira dem Lichas das Opfergewand übergibt, fügt sie die Mahnung bei, ihren Gemahl bei der Uebergabe ihres Geschenks zu bédeiten, dasselbe vor dem Festtage DUR tte zu nehmen: 607. aüs seinem end Chetoi viv pute DÉyyos mAlou uns Épxoc fepôv pnT épéortoy céhac. Da dem Gewande nicht das £oxos, sondern das von ihm ausgehende océlas schaden würde, müssen die Worte Épxos fsoov ihre Plätze tauschen, und in tov £oxovs corrigirt werden. Nicht Sonnenlicht, nicht der heilige Glanz des Opfer- oder Heerdfeuers soll das Ge- wand vorher treffen. Gleich sicher lässt sich auch 547 heilen. Hier Shot Deianira, in der Befürchtung, als ältere Frau um der jugendlichen Tole willen Herakles’ Zuneigung zu ver- licren, 547. 000 YAQ En TNnv WéY Éoroucav Tiv à a PS ou a», ey BPAT Ta ODIGAUOS AVIOS, TOY Ÿ UTEXTRÉTEL TOÔ. Bis oSovoav künnte hier alles in Ordnung scheinen. Weiterhin bezog man ©v gewühnlich auf die beiden Alterstufen vor und nach der 4fns 4xpn, dahinter ein tis pév, als Gegensatz zu einem in roy à verschriebenen tis S, und übersetzte: «denn ich sehe die Jugendfrische auf der einen Seite im Fortschrei- ten, auf der andern im Rückgange begriffen. Da pflegt denn das Auge des Mannes nach der Blüthe jener zu haschen, während es von dieser den Fuss zurüekzieht.» Da aber coSœpes doch nicht ohne Weiteres das Auge des Mannes ist, da ferner Augen keine Füsse haben, und wenn es ich noch so lüstern und begebr- ich blickt, keine jungfräuliche Blüthe bricht, so ent- hält die Ueberlieferung einen Unsinn, der kritische Abhilfe fordert. Die mir bekannten Besserungsver- suche kommen alle darin überein, dass sie für das vermeintlich unsinnige 6@Saxpes ein Wort der Bedeu- tung «Mann» oder «Sinnlichkeit des Mannes» substi- tuiren: Meineke anal. Soph. p. 294 6 Sahauos, Hense S. 108 o6s*) Saxkoy (vel. Blaydes), nur dass Nauck S. 105 mit vollem Rechte auch avS$cs beanstandet, und +ù xæhos avno conjicirte. Die inhaltlichen Thor- heiten der Ueberlieferung müchten dadurch nothdürf- is port . aber weder Gedanke noch Ausdruck ergänzte *) Diese Conjectur ist eine sehr unglückliche, da pus wohl den 2v%o in seiner namentlich kriegerischen Tüchtigkeit als avôpetoc be- deutet, auch wohl den Sterblichen im Gegensatz zum (otte, aber nicht den %ponv als Gegensatz zum Weibe: daher denn Eur. Helen. 1111, Herm. sogar 80” otxtpo pr” , das Weib einschliessend, sagen durfte. — Soph. Ant. 910 ais 4x #hhou gwréc kümmert uns nicht. 17 Bulletin de lAcadémie Impériale 176 ————————@ Dieser liess Deianira etwas sehr Einfaches sagen und sehr einfach aus- drücken: «aufblühende Schônheit zieht den Mann an, verblühende stüsst ihn ab». Die n8n dachte er als Subjekt, den Mann als das Objekt. Da es nun das Auge des Mannes ist, welches sich von der einen Al- tersstufe angezogen fühlt, sein Fuss, welcher der an- dern aus dem Wege geht, so war es dem Dichter ohne Zwcifel erlaubt, diesen Gedanken etwas gewählter so auszudrücken: die zunehmende Hebe zieht gewohnlich das Auge des Mannes an, die abnehmende stüsst sei- uen Fuss ab. Und von dieser Erlaubuiss hat er in der That Gebrauch gemacht, indem er als gegensät/liches Object zu dem von vrexteëtet abhängigen rca (s. des Dichters sind getroften. Wecklein) von doapraetv (wohl p— ) pret sein cpTax- poy abhängen liess und natürlich nicht avSoc, aber auch nicht 4vne, sondern 4v30os schrieb. Den Alexan- drinern lag, da sie: tè 4306 Toy véov YuvaIXOY prhei € aorakev 6 cpSahpos Toù avdpèc. || Gv Bio nAXIGV Thv vedéousav dpnater elwSev © TOÙ AVÔDOS OPILAUCG, TOY SE Oravayoogsiv, Snhovort TOY reecButépov umschreiben, uustreitig der Text in der Fassung unsrer Handschrif- ten vor; es bedarf aber auch hier nur der leichten Aenderung +0 avScs (d. i. 191) Toy véoy yuvatxov quasi dpapraterv TOY 0PIAAROY TO avÔpds, TOY dE TpeTfu- TÉLOY DTAVA Op (rorzi roy roûx aùTod) um den ent- sprechenden Gedanken zu gewinnen. Auch in der Fas- sung: Tnv D Svoucav, Ov Vpaprateu het ouSaLOY avÔoos, TOY D UTEXTOETEL TOÈX bleiben allerdings noch einige Anstôsse übrig, sie sind aber nun leicht wegzuräumen. Wir müssten jetzt zum mindesten für +ôv Ÿ: 4 S schreiben, und hinter 6v ein 1hm entsprechendes % p£v in Gedanken ergänzen. Wozu aber dem Dichter eme so ungefüge Ausdrucks- weise aufbürden, wenn ihm eine der leichtesten und gefälligsten zu Gebote stand? Oder war es nicht das Natürlichste zu sagen: 600 yae nov Tnv pèv à T-0000 OR TOUGAY VoapTraËcUoav Tv TOÙ AVDLOS CPILAULOV, TV g È pTIVOUGAY UTEXTRÉTOUGAY TEV TOÈL AUTOU, und er- 7 reichte er das nicht durch Anwendung jener männig- lich bekannten Construction, nach welcher ein Subject des Nebensatzes als Object in den Hauptsatz tritt? Schreibt man: OS vie NBnv Tnv pèv ÉpToudav Toccw, pSahpLOY ayÈpès OS DEAR prheî Tv JÈ HSlVoUG av, GS VTEXTEETEL TOd. so gewinnen wir dadurch zugleich eine allgemeine Sen- tenz, die erst in den nächsten zwei Versen auf den speciellen Fall angewendet wird, und kônnen die Musgravesche, ziemlich allgemein gutgeheissne, Aen- derung + pèv— ti: à , zu welcher cbenfalls die Scho- lien durch ihr tn In tecxontoucav xai avÉcuevny tv ABnv verführten, entbehren. Wie der handschrift- liche Text entstand, ist leicht ersichtlich. Waren die Anfinge von 548. 49 verschoben (môglicher Weise auch absichtlich), so war die Aenderung von &$ in 6v fast geboten, und zog in V. 549 die Aenderung auch des zweiten 65 in tov ÿ unerbittlich nach sich. Da dann aber œei eines Subjekts und aœagra£e eines Objekts bedurften, musste sich c@tapev gefallen las- sen Nominativ zu werden, und ævèocs bequemen in aySos überzugehen. Eine dritte Stelle, an welcher sich die Kritik häufig, doch bisher ohne befriedigende Erfolge, versucht hat findet sich in der Erzählung vom Tode des Lichas. Nach- dem gesagt ist, wie Herakles denselben am Fuss ge- packt und an die Klippen geschleudert hat, heisst es N° TSI: xopns DE AEUXOY [LUERCY ÉXpOLVEL LÉGOU xonTtôs DaoTapéUTos HÉUaTOs Ÿ COÙ. genau wie Apollodor von Athen bei Athen. IT 66 A die Verse zitirt: x gavra Tov ‘Houxé ZScœoxhéa your év Toayiviars roin- bentodvra tov Alyav ets SahaooaY oÙx dvoparar Éyrépahoy, HAL AEUXOY HLUERCY, Éxwd- voyTe TÔ y évoabepevov xouns...T Cuoù. Meineke Beitr. z. Krit. d. Antig. S. 42 macht mit diesen Ver- sen kurzen Process. Er streicht sie und Bernhardy Grundr.? 11 2 p.378 tritt seinem Verdammungsurtheile bei. Ich bin geneigter sie mit Spengel Philolog. XXI p. 346 in Schutz zu nehmen und riskire es die bedeu- tende Zahl der bisherigen Besserungsvorschläge um einen neuen zu vermehren. Da Herakles den Lichas am Fuss gepackt und ihn so ins Meer hinausgeschleu- dert hat, ist natürlich der Kopf des Unglücklichen derjenige Kürpertheil, welcher zuerst an dem meer- umspülten Felsen zerschellt. Seiner durfte der Dich- ter daher nicht erst im zweiten Verse gedenken, son- dern musste ihm die significanteste Stelle im ersten Verse einräumen: xoaTos Dè heUXOV pLUEAOY ÉXpAVEL fLÉGOU. Ist hiermit ein vüllig klares Bild und eine treffliche Wortstellang gewonnen, so handelt es sich lediglich des Sciences de Saint-Pétersbourg. 178 ——————————————————————————— um die Erzielung eines gleichen Resultates für den zweiten Vers. In ihm erweckt ôuov freilich die Vor- _stellung, als wenn von zwei Dingen die Rede wäre, welche gleichzeitig versprützt würden; allein welche sollten das sein? Aus einem zersprengten Hirnschädel sprützt doch ausser Blut nur die Hirnsubstanz heraus, von der aber bereits im ersten Verse die Rede war. Wir werden daher kaum umhin kônnen, © Ggod für fehlerhaft zu erklären, so häufig auch tragische Verse grade auf © éuoù schliesen (wodurch wohl Bergk bewo- gen wurde nach 782 den Ausfall eines Verses anzuneh- men). Glücklicherweise ist es auch nicht schwer, den Begriff zu ermitteln, dessen wir zur Vervollständigung des dem Dichter vorschwebenden Bildes benôthigt sind. Der Gegensatz zu heuxov peuskev ergibt ihn fast von selbst. Ausser dem weissen Hirnmark wird schwar- zes Blut in widriger Mischung versprützt. Da nun der Sokos von besonders intensiver Schwärze ist, so meine ich, dass der Dichter statt des einfachen aipatos oder aigaros péraves das kräftigere atpuauros Sohoù gebraucht hat, das unentbehrliche cv aber an den Anfang des Verses stellte. In der Fassung: 181 xpaTos DE heuxov paushOv ÉxpHÉVEL REGOU, ôpLoù dtaorapévros aluatos Sox où dürften die Verse des Dichters würdig genug sein, um sie vor dem kritischen Obelus selbst eines Meineke zu schützen. Welchem Umstande das wunderliche xc- uns, welches auch die Scholien darpeSsions tTis xcoa- As da Ts xoUNS AVETÉUTETO Ô ÉVXÉPHROS GÛY TO apr! anerkennen, seinen Ursprung verdankt, scheint mir ziemlich klar, Als @0AOY in GOMOY verschrie- ben war, wurde éyoù überflüssig nnd durch xopns er- setzt, wobei wahrscheinlich &xcragévros in dx oro- oévros aufselüst wurde. Denn, dass etwa zu xparos pécou eine Variante xopuns ... uéons oder xoyyns (xco- ons Bothe und Bergk) ..… p.éons existirt habe, erscheint mir nicht recht glaublich. Auch andre haben Ÿ Guov für fehlerhaft erklärt, waren aber genôthigt bei ihren Nachbesserungen auch das untadlige œiparos in Mit- leidenschaft zu ziehen; so Schneidewin, der an œipo- ropputou, Graff, der an aimatootayous dachte; nicht minder Wecklein ars S. 152, welcher aqua + 0pStov und Hense S. 155, der (x rson)uaros vorschlug. Unsere Aenderung reduzirt sich auf die leichte Aen- derung eines M in ein A, und macht, nachdem auch xoatos seinen rechtmässigen Platz wiedererhalten hat, Tome XXVI. jede weitere Versündigung an dtæcraæpévros, welches fast Gefahr lief durch àtaogayévros (Meineke, Graff, Hense) verdrängt zu werden, ganz überflüssig. Con- jecturen vollends, welche auf das alexandrinische Au- toschediasma xcpns gebaut sind, wie Box (Graff), xo- vais (Schmidt), xexn (Hense) erweisen sich als vüllig fundamentlos, wic denn auch nicht daran gedacht wer- den darf, um dieses xouns willen, etwa dem Sue ein Sun vorzuziehen. Dasselbe Mittel der Rückversetzung verschobener Worte auf ihren zuständigen Platz werden wir auch V. 714 ff. anwenden müssen. Deianira fürchtet durch die Uebersendung des Prachtkleides an ihren Gemahl zu dessen Môrderin geworden zu sein, da ja dies Kleid auch mit dem Blute der Hydra getränkt sei: rôov yao Bañovr Atonxtov ta ka Sedv 715 Xetoova runvavta, YO0TEe av SÉVN 0€ opryoy deASov Los autos péÂUe rÔôS oùx She at Tovde; JON YoUv EN. Hier erklärt man: weiss ich doch, wie der Pfeil, der (ein ebensolcher Pfeil, wie er) den Nessos traf, selbst den unsterblichen Chiron schädigte; und lässt den Dichter unter Aufnahme der Wakefieldschen Correctur xovres fortfahren: «und dass derselbe alles vernichtet, was mit ihm in Berührung kommt. Wie sollte also das Gift, welches von ihm (dem Pfeil) in das Blut des Nessus übergegangen ist, nicht auch ihn vernichten?» Aber welcher Umstände bedarf es, um den Text für die Hergabe dieses Sinnes empfänglich zu machen! Da ist 1) pepe rà ravra in pSetpovra ravra oder 03240 Gravra zu verwandeln, um es von ox ab- hängig zu machen; 2) xvodzhou à toude Sn mit Mei- neke zu schreiben, um den Nessus mit ‘greifbarer Deutlichkeit’ zu bezeichnen, und vor allem das unbe- queme &èe und ganz unsinnige xvodax zu beseitigen; 3) endlich ès n à! atpares (Hense) zu wagen, um den Vers mit V. 572 in Einklang zu bringen. Ich vermag diese kritischen Ausschreitungen nicht gut zu heissen, sondern befinde mich wieder in der Lage, Angetastetes zu schützen, und den Fehler an ganz andrer Stelle zu suchen. Nauck bat richtig wahrgenom- men, dass die V. 712. 13 fast den nämlichen Gedan- ken enthalten, wie 718. Statt jedoch jene zu verdäch- tigen, war vielmehr dieser, der das unmôgliche xai révèe (für xoxsivo), und die elende durch xæfrot àé- 12 179 Soxtar veranlasste Flickerei è0Ëg yoùv un enthält, unbedenklieh zu streichen. Denn der Hense’sche Ein- fall xai tovds in tèv avèpa zu verwandeln, doch wobl, um zu xai %eov einen Gegensatz zu gewinnen, ist dar- um zurückzuweisen, weil dies xa Seov vielmehr den Gegensatz zu dem vorausgehenden aæùrôv 712 bildet, und als solcher weit stärker empfunden wird. Nun erst erscheint die Wakefieldsche Veränderung des xO00rc0 in yovree gerechtfertigt. Denn derselbe Inter- polator, welcher V. 718 fabrizirte, hat auch 007€ a v (denn so nicht &v schrieb er) zu verantworten. Eben sein tros 0x verlangte dieses Gomece, um den Gedanken herzustellen: wie sollte dies Gift nicht ebenso gut ihn, wie alles andre was es berührt, ver- nichten? Dagegen darf oSetpet auf keinen Fall ange- tastet werden: denn, wie sich nun zeigt, war das Prä- dicat zu dem tos V. 717 gar nicht cet, sondern eben unser Sete ist es. Auch os œiparos pédas ist heil, und absolut nicht einzusehn, warum wir diese Worte nicht mit Gottfr. Hermann durch «atrum sanguinis virus» sollten übertragen dürfen. Die Mythe liess ja den Herakles seine Pfeile bald in die yon bald in das Blut der lernäischen Hydra tauchen. Denn xvoÿarou roue, wie natürlich für xvoax zu schreiben ist, ist eben nicht von Nessus zu verstehen, wie die Scholien und neuere Ausleger wollen, sondern von der Hydra. selbst. Nicht minder verkehrt war es &x zu entfernen. Das Wort ist gradezu unentbehrlich um den Ursprung dieses schwarzen Blutgifts 2x toy cpayoüy to) xvoèn- hou toude zu bezeichnen. Dagegen enthüllen sich uns jetzt à und Gèe als sehr unglücklich ersonnene Fulera, welche sofort verschwinden, sobald man die Worte: XOVTE0 Av SN pSeige td rüvra xvwÏGAOU ToUd Ex [.-| coayoy d(av)é}Soy Los aiuaros WéhUS. durch das in solchen Füällen übliche roté ergänzt. Vgl. Pind. Pyth. 2, y note Kurpo, Lycophr. 118 © Opnxns x mot u. dgl. Es erübrigt nur noch, auf den in &æhcvr verborgenen Fehler kurz hinzuweisen. Dies BAAONT verdankt seinen Ursprung wahrscheinlich dem V. 709 und ist BA®BENT zu corrigiren, da schon hier die Hindeutung auf das den Pfeilen anhaftende Gift nicht fehlen durfte. Ein gewühnlicher Pfeil würde ja dem unsterblichen Chiron keinen erheblichen Schaden gethan haben: die unsäglichen Schmerzen, welche ihm nachmals die Er- 99 33 év note Sahauers, Nem. 8, 18 Bulletin de l’Académie Impériale 1Ss0 lüsung durch den Tod wünschenswerth machten, waren die Folgen des vergifteten (Bageic, toBaons) Pfeils. In den beiden Satzgliedern 714.15 und 715—17 decken sich nunmehr Bagévr und ‘os begriffich, ebenso wie de rapnvavr und See. Ob für ravra vielleicht ravS © geschrieben war, wage ich nicht zu entschei- den. Ich schreibe also die ganze Stelle: LOvn yo auTov, el tt un VeuoInocpar vrouns, yo duornvos ÉÉarcpScoo. rov yapg BapévT dTouxtov da xai TEdv Xcshova Tapmvavta, YOVTEp àv SEYN DIelpEt TA TAVTA XVHÔLROU TOUŸD EX TOTE en | = on Tonyov avEXSOv Los aipatos pda. [nos oùx cet xt rovde; dcËn youv éun.] rater DÉdonTOL, KEÏOS EÙ CHAÂNCETO 720 TOUT CÙV COLA KALÈ GUVSAVE QE. Das ganze Wirrniss der heutigen Ueberlieferung er- klärt sich aus dem Abfall der Genetivendung OY in xvodarov, und der geringfügigen Versetzung der Worte rod £x in &x touù (Schol. x toù Nécoou avtt tou ua Nécocv, woher 31: %6v stammt). Zu V. 436: Un TOCS 0e Atos xaractoanrovros éxxhébns AOTON hat auch Hense eine Umstellung der Versausgänge und Correctur derselben in AOBON und ETIOC vor- geschlagen, Die Môglichkeit dieses Vorgangs kann zugegeben werden, aber die Nothwendigkeit seiner Annahme leuchtet nicht ein, so lange mit Otraioy IHATON (vgl, 1191) dasselbe erreicht wird. Denn das Wesentliche bleibt die Entfernung des sachlich unzu- lässigen véres, welches recht wohl aus 7æycv entstehen konnte; die Wiederholung von Acyoy und +oùs Aoyous dagegen berechtigt an sich zu keiner Verdächtigung der Ueberlieferung. V. 145 vergleicht Deianira die sorglose Existenz im Hause heranblühender Mädchen mit dem geschütz- ten Leben der Blume an umfriedetem Orte: rè yao venoy v rouoiode Pcooxetat (?) rod xaTt œxopov Oitaioy NATIOC LOSOLOIY ŒUTOÙ KA VV OÙ DAATOS DEOU où ouBoos oùdè rvsupaiToy cudÈv xhovel, Weder yogo!stwy avtos (locis sibi propriis) noch Her- manns 4opo1s, !» œvutoù, (ubi sui iuris est) gibt einen befriedigenden Sinn. Reisigs avarov hat nur bei Heim- sôth Krit. St. S. 52 Beifall gefunden, der ausserdem romotot Booxstar oyuocis verlangte. Weit von der Ueber- 1S1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. is? ESS lieferung entfernt sich Campe’s Vorschlag yAopotot Béoxstar vouoïot at, Am nächsten an die Hds. schloss sich Arndts xogors, © at oùx æiSivou an, worin aller- dings nur ein N in ein © verändert ist; Wecklein S. 19 glaubte das später in 4 œirè xaioy (xov) où ver- bessern zu müssen, und auch die Blaydessche Conjec- tur 4 aùr où düyos ({y où douycs wv) basirt wohl zu- nächstauf Arndts Vorschlag. Neuerdingsempfiehlt Hense XOQOGL HOUTOS, os vw, ohne zu erwägen, dass xæ und Ge nur in den Compendien der Minuskelschrift sich ähneln. Aber sowohl bei der Blaydes’schen Conjectur, welche Nauck und W. im philol. Anz. 1873 S. 191 am meisten zusagt, als bei den übrigen ist unbeachtet geblieben, dass xhovst wohl zu reupatov oudÈv (pRÉVOS Heimsüth, 864 Hense), auch wohl zu &Bocs passt, nicht aber zu Saxros, da die brütende Hitze doch nichts in _stürmische Bewegung versetzt. Das Wort verlangt für V. 146 ein besonderes Verbum zur Bezeichnung sei- ner Wirkung. Da man nun gewiss mit demselben Rechte, wie Soph. Antig. 416 xat xaûm £tanne sagt, auch umgekehrt Sahros ae: sagen kann, die atti- sche Form dieses Verbi aber aus dem überlieferten KAI mit Leichtigkeit durch den Einsatz eines einzigen € gewonnen werden kann, so bedarf es nur der Til- gung der Elemente AYT, um auch die nôthige relati- vische Satzverbindung herzustellen : LOgOLILY, OÙ HHEL MY OÙ DAÂTOS TEOÙ Unser KA€I ging um so leichter in KAI über, als ge- wisse Schreiber des 2ten Jahrh. v. Chr. den Diphthong El, wie der Weilsche Papyrus zeigt, regelmässig durch I wiedergeben. Wie freilich der zweite Scholiast auf sein Teèyos dooayés und écrngtxrat kommt, bleibt räth- selhaft. Er hat wohl in seinem Texte statt Booxeta: ein anderes Verbum gelesen, etwa épstdstat oder poao- geto. — Aehnlich G. H. Müller emend. Soph. p. 68. Eine der dunkelsten Stellen des Stücks sind die Verse 1019 ff. Der Alte füblt seine Kräfte der schwierigen Aufgabe dem leidenden Herakles erleichternde Hilfe zu geben nicht gewachsen. Er fordert deshalb den Hyl- lus zur Mithilfe auf: Île. © tai tou avboès, Toboyov Tode peléov dvmxet 1 xar épav bopav où dE ouXha Ge" gof re Vae CE Eurhcov n à pod coter. YA. bave pèv Yo ys xTA. Den leichten Fehler ævnxz, welchen Wecklein nicht anerkennen will, hat Nauck durch av ein vortrefflich gehoben. Aber die Hauptschwierigkeit liegt in dem unattischen +: y20 und den unverständlichen Worten oppa éurhsov. Wecklein und Hense zwar glauben sie zu verstehen, deuten sie indess jeder auf besondere und wenig zusagende Weise: erstrer ars p. 47: nam tibi quidem (octye) oculus lacrimis impletus, 1. e. per- turbatior est, quam ut ipse rem administrare possis (n déretv coxeiv), letztrer $. 219 «greife du mit zu; denn mir ist mein alterschwaches Auge hinderlich (épet ro yae ou épnodev) durch mich zu helfen». Wäh- rend Wecklein in den Worten eine Entschuldigung des Alten findet, dass er dem Sohne bei der Unterstützung des Vaters die Nebenrolle zuweise, erblickt Hense darin die Absicht des Dichters durch diesen Zug die Person des Alten fassbar vor Augen zu stellen. Sol- chen Missdeutungen gegenüber, verdient denn doch Meineke’s Vorschlag zu Soph. OC. 305: où à ovi- agé pou” To yao Copa s TASov n digue coù cwxeîv («denn das Leiden befällt ihn heftiger, als dass ich dagegen ohne deinen Beistand etwas vermüchte») bei Weitem den Vorzug. Dass damit das Richtige noch nicht ganz getroffen sein kann, zeigt ausser der Wiederholung desselben Gedankens die kaum zulässige Ellipse des us bei coxeîv: aber die Herstellung des pot aus oo im ersten Verse dürfte sich ebenso rechtfertigen, wie die Substituirung des Verbi coxei für das überlieferte co&ew im zweiten, Ich denke der Dichter hat auch hier den Alten zur Unterstützung seiner Aufforderung eine sebr triviale und im Ausdruck dem Character der Rolle entsprechende Bemerkung machen lassen, nämlch: «du hast ja allein schon Kräfte für zwei». Diesen Gre- danken aber gewinnen wir ohne allzu gewaltsame Mit- tel durch die Worte: où SE cuhhagé por: cè yap ctuoat xav Théoy n 0 0 OÙ coke Das seltsame éprheov wird dadurch entstanden sein, dass zu xa@v rhéov ein va Gvra bemerkt, oder dass KAM geschrieben war. Die Wurzel des Uebels aber war offenbar die geringfügige Verschreibung des AYOMOY in AIEMOY, und des ofuat in op4ie. V. 1139 sagt Hyllus: Deianira habe gefehlt in dem Wahne, dem Herakles durch einen Liebeszauber bei- zukommen: 6s toossids tous évôov yapous. Da es ab- surd wäre, die ins Haus aufgenommene lole als évôoy vaut zu bezeichnen, decretirt Hense tros éxToc yauous im Sinne von éraxrous, Wecklein S. 19 Toùs véous ya- ous. Der Sinn verlangt: arqurhax, ds mooseièe tobs 12* 183 Bulletin de l’Académie Impériale 1S4 ELTYE yayeus d. h. als sie ihrem Eheglücke die nahe bevorstehende Vermählung mit Iole drohen sah. We- niger sicher ist, wie kurz vorher V. 1132 das sinnlose 2yrerov zu beseitigen ist. Deianira starb, wie Hyllus sagt, aitn reôs aûTns oÙdeves moûs éxTtorcu. Aber Zyrérov ist kein Synonym für Arc und die Vor- schläge évrémcu oder otxétou sind gerade so unbrauch- bar, wie die Ueberlieferung. Eher würde sich o0dsvos Évysoyatou, ouAAnTTogos, metautiou oder ähnliches em- pfehlen. Aber wahrscheinlicher dünkt, dass die ganze unbehilfiche Phrase ein Ersatz für den zerstôrten Versausgang, etwa xatptav rem ANYyEYN gewesen ist. Mehr als nôthig scheint mir V. 419 die Kritik in Unkosten versetzt zu haben. Unsere jetzige Ueberlie- ferung : cÜXOUY GÙ TAUTNY, NY UT ŒYVOÏRS CPS, "Icanv évaoxes Evputeu atcopay &yeuv; _liegt bei richtiger Emendation dem Ursprünglichen lange nicht so fern, wie an anderen Stellen. Unbrauch- bare Emendationen sind freilich : ne sù roûvon) ayvoeis, ns cv ‘ dyvoeis yovas, nv où V æyvosiv Adyats (Soxzic), aber æyvosts ist doch in ihnen allen richtig getroffen. Den zweiten Schritt zur Herstellung that Wecklein, indem er 6e&s in oropgas verwandelte. Wenn er jedoch in der Wiederaufnahme des otopay im nächsten Verse eine besondere Finesse finden will und oben zwischen ñs où y und nores die Wahl lässt, so künnen wir ihm auf dieser Fährte nicht weiter folgen. Denn das an sich untadlige tree unterstützen die Hdschr. nicht, das mit ihnen eher zu vereinbarende où y aber ist nicht nur überflüssig, sondern, wäre fehlerhaft. Was in HNYIT steckt hat längst Heimsôth krit. Stud, p. 172 gefunden, wo er HNNYN ayvov xupsi empfiehlt, Denn das gegenwärtige Verleugnen einer früher zur Schau getragenen Wissenschaft war ausdrücklich zu betonen. Fügen wir hinzu, dass für orooav kurzweg x0çnv einzusetzen ist, so ist aus der Stelle jeder An- stoss entfernt. Sie lautete: oÙXOUY GÙ TAUTNV, MS VUV LAVER CTop, ’Ioiny Évucxes Edoutou xopnv dyetv; Wie wir oben x&-1 für xoet geschrieben sahen, so wird hier für œyvosi ebenfalls œyvois geschrieben gewesen und falsch zu œyvoi(a)s ergänzt worden sein. Während man an dieser Stelle cas allgemein als verderbt anerkannt hat, finde ich es von Niemand in V. 365 beanstandet, wo doch grade in ihm der Sitz ! des Fehlers steckt. Der Bote berichtet der Deianira wie Lichas vor allem Volke erzählt habe, dass Hera- kles nur um der Iole willen Oechalia zerstürt habe. Alsdann fährt er fort: TEpoe — La VUV, O6 OPUS, HHEL CLOUS O6 TOUGŸE, TÉMTOV CUX APLOYTIOTOS, YUVAUL, o0S oote Jounnv UMÔÈ Tocodoxæ TOds" , où elxcs, siTEp ÉXTESÉOUAVTEL CIO. Man hat hier theils an 6< Anstoss genommen, wofür és oder roc leicht substituirt wird, theils an dem Mangel eines Objects zu réprov und deshalb entweder Toûs Touoÿ teis vu (Heimsüth kr. Stud. p. 174) oder coùs Tnvèc réuroy (Blaydes) corrigirt, oder zwischen TV RAÏDA TÉUTOY, TÉLTRY XCONY TNVO, TÉUTOY VELNY (Hense $S. 80 ff. 312) die Wahl gelassen. Handelte es sich nur um ein Object, so wäre noch einfacher durch xai vw, oc, oder da uns vo» kaum entbebrlich ist, durch xai vôv, nv So@c allenfalls auch xai vo tnv xc-- on geholfen. Aber die Kritik hat zwei, wabrlich viel schwerere, Anstüsse gar nicht beachtet. Erstens kann fxzt gar nicht von Herakles verstanden werden, der doch noch unterwegs ist, sondern müsste auf Lichas bezogen werden, der bereits eingetroffen ist und die Iole hergeleitet hat. Das ist aber wieder wegen êxte- Séguavrar, wozu Herakles Subject ist, unmôüglich und wäre überhaupt wegen des mehrfachen Subjectwech- sels ungeschickt. Ein zweiter Uebelstand aber ist das 00 V.367, welches gewiss nicht eine Steigerung des verhältnissmässig nebensächlichen o5x appevriotos ent- halten kann (odx apgcvrioros heisst ja blos «mit ab- sonderlicher Sorgfalt), sondern den Gegensatz zu etwas weit Stärkerem einleiten sollte. Der Dichter nicht, dass Herakles die Tole nicht ohne Fürsorge und auch nicht als Sclavin voraufgeschickt habe, sondern dass er sie wie eine künftige Gattin, aber keineswegs als Sclavin, so fürsorglich nach Trachin habe geleiten lassen. Neben den zwei kleinen Anstüssen gilt es also diese zwei Hauptanstüsse vorerst zu beseitigen. Wir sagten, dass %xe: schon um seiner feststehenden Be- deutung willen hier falsch sei. Wollte man aber auch das Futurum %£et dafür einsetzen, so würde das wenig helfen, denn es müsse dann rédac heissen; zudem handelt es sich in erster Linie hier gar nicht um die Ankunft des Herakles, sondern um seine Absichten bei Voraussendung der Iole durch einen besonderen Vertrauensmann. Der Hauptbegriff ist nicht das fée, sagte. so le ca él ES5 des Sciences de Sainé-Pétersbourg. 1S6 sondern das rép.retv, der im Fortschritt der Erzählung eben wie ériotoaxever und èxcoce darum als Verbum finitum aufzutreten hat, während das zweite den Zweck der Sendung der Iole enthaltende Verbum ins Par- ticip, natürlich des Futuri, zurückzutreten hat. Schrei- ben wir demgemäss dc Touods TÉUTEL OUX MPOOYTÉOTUS, YUVOL, so führt der Hiatus von selbst auf die Besserung répret (y) ds TouoS cÜx apocvrisTus, YUvou, wodurch einmal die Hauptsache an den Versanfang zu stehen kommt, zugleich aber das so schwer vermisste Objekt ohne Schwierigkeit sich einfügt. Wie aber neoce . xai v0y O6 Code NÉmv dcpLous vollends herzustellen sei, verräth uns nunmehr der Gegensatz, den wir zu 009 Gate cuanv verlangen. Ersichtlich hängt nur wv von répret ab, àcuan und sein ebenfalls durch os einzuführender rire da- gegen hingen von dem Particip Futuri ab, das kein andres als É£ov gewesen sein kann. Keine Frage also, dass cos in Sapag® zu corrigiren ist und die viel- besprochene Stelle lautete : ËTE0GE . KE VU QE TE) TépTet VLY ÉG TOUTD OÛÙX APEOVTIG TOUS, YUVE, cd OGTE Bou nv — dE Tecodcxo roès, o0S elxès, NOTE ÉXTESÉQUAVTEL CIO. Aus den Scholien ist nichts brauchbar als die Erklä- rung von oÙx dppovtiotos Qurch de roxïns poovridce. £Ewvy Scuous 369 Gradezu unsinnig sind die Verzweiflungsdeutungen üs axovers, und mxet È avt toù éheucstor. Ihr Text war derselbe, wie ihn die Hdschr. geben; der Gegen- satz Gs dapagta und où> Gote JeuAnv war schon ver- wischt. Die Hensesche Kritik macht mit Vorliebe von den Mitteln Gebrauch kleine Lücken, deren verkehrte Er- gänzung den Text verunstaltet habe, richtiger zu er- gänzen., Eine Stelle, wo dies Mittel zum Ziele führen kann, ist ihm entgangen. V. 382 sagt der Bote mit Beziehung yon Lichas geleitete Jungfrau, ns Sxcivos oUdapa auf 317, die Bhacras évuve BnSev cudÈY iotooov, sei gar edler Herkunft. Der Sinn der ausgehobenen Worte ist natürlich der in den Scholien angegebene: nach deren Herkunft er behauptet sich nicht erkun- digt zu haben, daher sie ihm unbekannt sei. Deshalb wollte man für égovet bald équrve, bald wie Hartung axovet oder éyvoxs Bhactas (Nauck) oder Baaoras épogn (Hertel, Hense.) Ich halte nun wieder épovet für un- entbebrlich, da es, mit der voraufgehenden Negation eng zu verbinden, den nüthigen Begriff des Ableugnens, in Abrede stellens hergiebt. Der Fehler liegt vielmehr in oÿjauæ, wofür Enger, dem auch die gute und si- chere Emendation 013 avwotooov verdankt wird, dem Sinne ganz gemäss æœyvosi vorschlug. Aber freilich, wie sollte œyvosiv zu cuôauax (oudapa libri) entstellt sein? Dagegen wird unser OYAAMA leicht erklärlich, wenn die handschriftliche Vorlage nur OYMA... statt OYMAGEIN d. h. où paSeiv bot; schol. und 2yvoxévos. Einem ähnlichen Vorgange mag wohl auch der leib- haftige Stier évaoyns Tavoos, in welchen verkappt Ache- loos die Deianira umfreite, seinen Ursprung verdan- ken. Warum der Vorschlag von Meineke OC. p. 288 èv äoyns (so schon Campe, aber doyns) nicht zuläs- sig ist, hat Nauck kurz angedeutet. Herwerdens Ex. crit. 123 xcoactns würde kaum der Verschreibung in vasyns ausgesetzt gewesen sein: eher hätte à’ coyns dazu Veranlassung geben künnen. Vielleicht aber bot die Hdschr. EN.P.HC mit zwei undeutlich gewor- denen Characteren: und unter dieser Voraussetzung künnte man versucht werden, an eine Ergänzung zu EN[O}P[X]HC zu denken, wie bekanntlich gern statt des sprachrichtigen évooyts geschrieben wird. Eine reiche Auswahl von Conjecturen ist zu V. 77 vorhanden, wo Deianira sagt heure pot [pavteia TIOTA TNO TNs LOpUS Die yoga soll Oechalia sein; dessen jedoch das Orakel gewiss nicht ausdrücklich Erwähnung gethan hatte. Das Orakel betraf eine bestimmte Zeit, nicht aber einen bestimmten Ort, oder auf denselben gerichtete Unternehmungen. Deshalb gehen Gonjecturen wie rates (Dobrée advers. 2 p. 39, Meineke) copñs (Weck- lein ars p. 102) yostxs (Hense) sämmtlich fehl, und nur die Dronke’sche erkannte den nothwendigen Be- griff, ohne doch meines Erachtens mit 6gæs, so nahe dies der Ueberlieferung kommt, den allein angemes- senen Ausdruck zu treffen. Dieser ist roue toù ypcvov, trotzdem er sich von den Hdschr. weiter entfernt: er wird schon durch V. 166 rode tô yo0vo xat toùÿ Unex- Sgapovræ vod yeveu Tékos empfohlen, vor allem aber durch seine Natürlichkeit. RéQL. 187 Bulletin de l’Académie Impériale 1SS Observations des planètes Mars, Saturne et Neptune en 1879, à l'Observatoire académique de St.-Pé- tersbourg. Par A. Sawitsch. (Lu le 1 avril 1880.) Les positions de ces planètes se rapportent aux temps de leurs passages par le méridien de St.-Pétersbourg ; les déclinaisons sont corrigées de la réfraction et de la parallaxe. Sous le titre: Corrections du Nautical Almanac (Corr. du N. Alm.) sont donnés les nombres qu’il faut ajouter: à ce qu’indique le Nautical Almanac anglais pour l’an 1879 afin de reproduire les observa- tions. L'état de la lunette meridienne a été verifié par les observations des passages de l'étoile polaire (x Ur- sae minoris) et des étoiles voisines de l’equateur. Opposition de la planète Mars. ne METRE lc Date Ase. droites |Corr.du Déclinaisons Corr. du 1879. apparentes. | N.Alm. app. boréales {N. Alm. Nov. 4....3%22m3373 | — 0:56 | 18° 14’ 50/3 | — 26 5 21 4,48 | +0,01! 18 12 38,5 | — 2,7 17 3 2 56,51 | — 0,36] 17 41 14,3 | — 2,9 Moyenne. .... — 030 — 277 + 0,66847, dr désigne la correction presumée de la parallaxe ho- rizontale de Mars d’après le Naut. Almanac. Les étoiles de comparaison ont été £* Ceti et 53 Arietis d’après le Naut. Almanac. Opposition de la planète Saturne. | Date Asc. droites |Corr. du Déclinaisons Corr.du 1879. apparentes. | N.Alm. apparentes bor. N.Alm. 2. | | x Sept. 26... .0452m1502 | + 1°89 | 2088’ 10 = 48 Oct. 12.... 47 89,20 | + 1,39| 2 8 40,7 — 2,5 17.... 46 14,66 | +1,78 1 59 56,2 — 1,4 22.... 44 52,38 | + 1,76 | +1 51 35,5 PT 2,1 — -| ——— — Moyenne... ... + 1570 | — 28 l Les étoiles de comparaison: © Piscium, 12 Ceti; £ Piscium d’après le Nautical Almanac. Opposition de la planète Neptune. Date Asc, droites |Corr. du Déclinaisons Corr. du 1879 apparentes. | N.Alm. | app. boréales. N.Alm. ON Oct. 23... .2} 36” 26°04 | 0°28 13°22' 90 LE 3,8 Nov. 4... 35 7,49 | +0,09 1101653,3 | — 3,6 17 33 43,30 | +0,19 13 920,8 È= 0,9 Moyenne.... + 0/19 — 2. Étoiles de comparaison; £? Ceti, 53 Arietis, 9° Arietis d’après le Nautical Almanac. A l’époque de son opposition la planète Neptune était à peu-près éloignée de 89° 49’ de son noeud ascen- dent, — position favorable pour la détérmination de linclinaison de l'orbite de la planète sur l’écliptique. Par un calcul qui a été expliqué dans la note inserée au Bulletin de notre academie, Tome VII 1877, nous obtenons de nos observations les résultats sui- vants. L’oppositon de Neptune en longitude avec le soleil a eu lieu: l'an 1879 le 2 novembre à 22“ 14° 506 du temps moyen de Greenwich; la longitude heliocen- trique vraie, comptée de l’équinoxe moyen de 1879,00 était alors 40° 37° 599 et sa latidude heliocentrique australe — 1° 46° 557. D’après les tables de M. Newcomb la longitude du noeud ascendent de l'orbite de Neptune à cette époque était 130° 27° 18”, comp- tée du même équinoxe. Ainsi l’inclinaison de l'orbite au 5 novembre de l’année 1879 d’après nos observa- tions devait être 1°46/55274. Les récherches de M. Newcomb ont prouvé que Pinclinaison de l'orbite de Neptune diminue annuelle- ment de 03296. En réduisant nos déterminations au 1° novembre, nous trouvons par nos observations dans l’année linclinaison. nombre d'observ. 1876 ...1°46/ 52/44 ...9 1878, 52,40 ARR) 1879 ... 55,74 ...3 Moyenne .., 1°46 5370 Remarques à l’occasion du Mémoire de M. Hermite portant pour titre: Sur une formule d'Euler (Journal de Mathématiques pures et appliquées. Troisième série, T.VI. Janvier 1880.). Par V. Bouniakowsky. (Lu le 13 mai 1880.) M. Hermite expose en ces termes le sujet du Mé- moire que nous venons de nommer: «Une Lettre de M. Fuss !) dans le Bulletin des Sciences mathématiques de M. Darboux (mai 1879, 1) Lettre de Fuss à Condorcet; Saint-Pétersbourg, le 15 (26) Mai 1778. 1S9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 190 ————— p. 226), contient sur l’intégrale IE dx un ré- sultat obtenu par Euler et qui est bien digne de remarque. [1 consiste dans la réduction de cette quan- tité à l'intégrale d’une fonction rationnelle au moyen de la substitution L 1+2° + Vip? pv2 L Y — et c’est, je crois, le seul exemple qui ait été donné d’une telle transformation pour une expression dépen- dant des intégrales elliptiques. Je me suis proposé, en étudiant ce résultat d’'Euler, de reconnaître s’il tient à la valeur particulière du =, Ou si, étant TE t dx module propre à l'intégrale E V1l+æ d’une nature plus générale, il ne mettrait point sur la trace d’une catégorie de formules l réductibles par une substitution algébrique à l’inté- J (&*°) dx V Az + 2Ba? + C grale des fonctions rationnelles. C’est en effet ce qui a lieu, comme on va le voir par l’analyse suivante, qui est très facile.» Au sujet de ce travail du célèbre mathématicien français je crois devoir rappeler qu'il y a plus de 17 ans, j'ai publié, en langue russe, un Mémoire intitulé: Sur quelques cas particuliers de l’intégrabilité en termes finis de la différentielle z+ C dx à Vat+ A+ Ba+ Cx + D’ ainsi que d'autres expressions analogues ”). Dans cet écrit J'ai traité dans toute sa généralité une catégorie très étendue des différentielles de la forme f& , F(x) Fe Vai + 40% + Ba? + Cx + D’ (ge | F(x) tégrale peut-être exprimée par des fonctions al- gébriques et logarithmiques, tant réeles qu'imagi- naires. Ayant préalablement transformé le polynome représentant une fraction rationnelle) dont l’in- 2) O nwKOMOpUAT UACMAUAT CAYUAAUT UHMEDUPYEMOCMU 6% KO- euxoMs eur dufipepenviara æ—+ C ds B+ Co Vat + Aa + Ba? + Cx+ D u dpyrurr cupamceniu nodoônmo euda. (Tpuioxenie Xe 2 Ke III Tomy 3anucokr Muu. Arazemin Haye, 1863 r.) 2 + A + Bi? + Cr + D en un polynome réciproque + aËë + dbz + az + 1, et conservant la variable ci-dessus #, je parviens, entr’autres, au résultat sui- vant: L'intégrale fe) dx (1) Fa) vVai+am+br+ar+1 s'obtient toujours en termes finis, algébriques et loga- RS AN RE te EST) rithmiques, lorsque F (x) ternée réciproque, c’est-à-dire lorsque la condition est égale à une fonction al- Fe F(:) AU Are (2) est remplie. Dans l'intégrale d'Euler "de V1 + at 1+ 2 dæ | Ia Me Dr pren, | considérée par M. Hermite, le radical Vz*+ 1 à la lat : = j— a Sous le signe | satisfait évidemment à la condition (2); par conséquent cette intégrale est exprimable en termes finis. Parmi les exemples d'intégration, contenus dans mon Mémoire cité plus haut, se trouve aussi l'intégrale d’'Euler, consignée dans ses Znst. Calc. Integr. (1776, T. IV, page 36.). De plus, dans le même écrit j'ai étendu mes re- cherches à certains cas dans lesquels l'intégrale (1) est exprimable en termes finis, sans que la condition (2) soit remplie, et je suis parvenu a un grand nombre de formes particulières de la fonction sous le signe f pour lesquelles, néanmoins, la dite intégration est possible. Comme on le voit, la question traitée dans les deux Mémoires, celui de M. Hermite et le mien, est la même: la différence ne porte que sur l’analyse em- ployée par chacun de nous. forme requise, et la fraction 10 Mai 1880. Kritische Bemerkungen. Von A. Nauck. (Lu le 8 avril 1880.) VIII. (Fortsetzung und Schluss.) IL A 583: adrix énaS haoc Oluurios Écoetat nu®. Derselben Messung des Adiectivum fawos begeg- 191 Bulletin de l’Académie Impériale 192 ——— nen wir, abgesehen von den Tragikern und Alexandri- nern, bei Hesiod Op. 340: 6ç xé vo! fhaov xodiny xoi Suyev éyoatv, und im Hymnus Cer. 204: petdnoot ye- haco te ka Thaov aysiv Supov (oyéuev Too oder cyxé- Für diese drei Stellen hat Thiersch Gramm. $ 184, 15 die Form #xncs vorge- schlagen, wie ich glaube, mit vollem Recht; denn die von Spitzner erhobene Einwendung, fAncs sei «ganz unerhürt», ist neuerdings widerlegt worden durch ein inschriftliches Zeugniss. Von dem durch Pausanias V, 24, 3 erhaltenen Distichon: AËéo avaË KoowSn, Zeù Ohbpris, xahov ayahpa pev cpyry Mitscherlich). ao Supo Toi Anxedapoyos, besitzen wir jetzt das Original (Epigr. Kaib. 743), welches îxnro: bietet und somit die von Thiersch er- schlossene Form gegen jeden Zweifel sicher stellt. Wo faos in der ältesten Poesie ein kurzes Alpha zeigt (1 639: où à T 178: xai dë oo! auto Suycs vi ooectv thaos êcto. Hymn. Hom. 29, 9: oc © érapny=), ist vielleicht thcos vorzuziehen, eine von Hesychius erwähnte und durch eine Kretische Inschrift beglaubigte Form, die wohl auch Orac. Sib. 1, 161 ursprünglich gestanden hat in den Worten {y fAkos ëcoe= araouw. So würden die Formen fnos, thecs und das Attische tAcos in demselben Verhältniss zu einan- der stehen wie vnos, vsos und das Attische vos. B 26: v5v5 épéSey Édves dxa, Aie Dé tou dyyshos stp. Dieselben Worte finden sich B 63 und mit geringer Variation (4X épée) Q 133. Man kann zwar schnell oder langsam reden, schnell oder langsam einem Be- fehl nachkommen: was man aber zu thun habe um schnell zu hüren, dies ist weniger einleuchtend, und am Sprachgebrauch findet die Verbindung Évves Gxœ meines Wissens keine Stütze. Darum habe ich vor ge- raumer Zeit Évyes nxa vermuthet. Jetzt müchte ich Évves oc für das ursprüngliche halten nach 6 289: Écive, où à GO épéèey Evvisr èrocs, wozu die Scholia Harl. bemerken, Aristarch habe où à x épéSev ge- lesen. Aristarch also ist es dem wir das verkehrte Euv- eç 6xa B 26. 63.Q 133 zu danken haben; die Super- stition der Alexandrinischen Aristarcheer hat an die- sen drei Stellen jede Spur des ursprünglichen Édves ode verwischt, wie £ 289 einige Gelehrte der Neuzeit nicht ermangelt haben das Aristarchische où à ox èpéSev Évyter ëros in den Text zu bringen. Die Verbindung dmédey Évves où ist nicht befremdlicher als das von Lhœov EVSEO SupLoy. niemand beanstandete 4XX G9 Gxous (d. h. tovès Tèv Xoyoy œxou:) bei Sophokles EI. 643 Aphrodite hat ihren Liebling Paris den Händen des Menelaus entrissen und in seinem Sæhagos gebet- tet. Um ihn für die Niederlage im Zweikampf durch die Freuden der Liebe zu entschädigen, bescheidet sie zu ibm Helena mit den Worten ([ 390 — 393): 5 = A} “orge ge Hahei otxovds vées êv nn xai dtyOTOiGt ÀËYET TV, Sat. Le #1 de TE avÔQL LAYEOT In den Worten xeivos 6 y &v Sahapo 391 scheint ein Fehler enthalten zu sein. Verständlich wäre das ein- fache xeivos wie das einfache G yes: die Verbindung die von 65 éxeivos yo bei Soph. Oed. C. 138 und ähnlichen zu Soph. EI. 1115 nachgewiese- nen Redeweisen durchaus verschieden ist, entzieht sich meinem Verständniss. Der Homerische Vers dürfte, bevor ein alter Verbesserer sich an demselben ver- suchte, gelautet haben: KEINOCENGAAAMUWIKAIAIN&OTOICIAE XECCIN, wo die fehlende Silbe nicht durch xeîvos [5 Y] &v Sæ- Xapo sondern durch xe{[pe]vos v Sakapo zu gewinnen war. —- Im folgenden Verse habe ich die Worte xahNEt te TBoy xat Etpmagtv beanstandet. Allerdings wird Paris bei Euripides dar- gestellt als Typus Asiatischer Ueppigkeit und dem- gemäss mit luxuriüser Kleidung ausgestattet (vgl. Iphig. A. 73: dvSngos pèv siuatoy oToXÿ, 18070 DE ALT O0. Tro. 991: BapBapots Écmmastv jevo® Te RATE), aber für die in den obigen Worten der Ilias bezeich- nete Situation scheint mir die Erwähnung der Kleider- pracht nicht angemessen. Passender wäre statt eipata der Begriff posa: wie etwa Diomedes und Odysseus nach ihrer nächtlichen Expedition sich zum Mahle setzen ahsbapéve AT law, und wie Hera € 175, um die Leidenschaft des Zeus zu entzünden, sich auf- macht 900 xahov heubapévn. War stuaotvT 392 anstüs- sig, so fragte es sich welches Wort und welche Form dafür gestanden haben konnte. Nichts lag näher als akztupasw: aber dies Wort taucht erst lange nach Ho- mer auf. Gegen œxetoaav sprach der ungebräuchliche Pluralis. Somit ergab sich mir als wahrscheinlichste Aenderung xanket te oTéhBov, xai dhslpart oùdÉ x pains — mit einem durch die so genannte bukolische Cäsur Toy xo sHagiv" oUdÉ Xe DANS ŒEVOV T rov Y ÉASÉREV. [14 XelVos 0 Ye, 193 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 194 app gerechtfertigten Hiatus, der gerade einen schlecht un- terrichteten metrischen Corrector zur Substitution des Pluralis veranlasst haben konnte. Diese Erwägun- gen waren es welche die in meiner Ausgabe der [lias unter dem Texte stehende Bemerkung «392. squootv: “æhetoart?» hervorriefen. Vor kurzem meinte ich eine Stütze dieser Vermu- thung gefunden zu haben in der Epitome des Athenaeus I p. 18 E: ‘Opmpos SE rm Toù püpou qua aidôs oùx elonyays popots dhctpopévous ToÙs Towac TAnv Tov [apev êv of pnat «xaXheï otéBov.» Wenn hier L 392 ange- führt wird als vereinzelter Beleg für die Anwendung von Salben bei den Homerischen Helden, so wird wohl je- der geneigt sein anzunehmen dass entweder Athenaeus oder ein von ihm benutzter älterer Schriftsteller statt der Worte xaAks! te ctéBoy xait epactv, in denen von «Salben» kein Sterbenswôrtchen enthalten ist, ungefähr das vorgefunden habe was meine von der Stelle des Athenaeus unabhängige Vermuthung xæhhet te: ottà- Boy xai aketonutt besagt. Wenigstens glaubte ich bei erster Lesung die Stelle des Athenaeus als ein di- rectes Zeugniss zu (runsten meines Vorschlags œxer- part ansehen zu dürfen und schrieb es der Thätigkeit des Epitomator zu, dass die nach ottfov folgenden Worte xaœt ahetpart bei Athenaeus vermisst werden. Von dieser Illusion bin ich jedoch bald zurückgekom- men. An der mitgetheilten Stelle des Athenaeus heisst es nämlich weiter: 6s xat Apoodirn xa EL TA ToccowTa xaSaiger, mit offenbarer Beziehung auf 5 192: xahhet péy où ToôT& Toocorata kaki xaSnpsv auBoootw. Wie hier xæxkeï von alten Erklärern für pugso genommen wurde (ausser den Schol. V: vùv ta pupa, vel. Apollon. Lex. Hom. p. 94, 24: xaœdder ènt pv Toù pugou Tns | Aopoditns «xaAREL LÉV OÙ TOÔTL TECTOTA TA XAÂE K- Snoav», und Hesych.: xæAhet" TO pupo TO Tis Apso- dxns), so lässt sich nicht zweifeln dass Athenaeus in den Worten xs otthBoy abgeschmackter Weise eine Bezeichnung der Salben entdeckte, wie nach ihm Eustathius Od. p. 1842, 25 der gleichen Willkür sich schuldig gemacht hat. Das in unseren Handschriften stehende xaxnet te crtBov xat siuosty hat aller Wabr- scheinlichkeit nach bereits dem Athenaeus vorgelegen: durch seine Angabe über F 392 wird die Vermuthung aetourt nicht bestätigt, aber eben so wenig widerlegt. Z 234: 9 aûre D'hauxo Koowône ppévas éÉéheTo Z:ss. Statt des Dativus laavxo dürfte, wofern wir der Tome XXVI. Ueberlieferung entsprechender Stellen trauen dürfen, der Genitivus zu setzen sein. Vgl. 1 377: êx yao 20 (ci geringere Handschriften) poévas stheto patiéta Zeus. 2 311: éx yap oœcov mpévas efheto Ilaïkas ASnvn. T aùX éret aacapny xat pv (pe schwach beglaubigte 97 1-35 Variante) peévas éféketo Zeus. Hesiod. Seut. 89: tou pév mpévas éééheto Zeus. Scut. 149: vocv te ai x poé- vas EÉAETO POTOY. A 244f. werden die Geschenke erwähnt, mit denen Iphidamas seine Gattin Theano erkauft hatte: re Éxatov Bods JGxev, aîyas Ouod ka ds, TH où Unmittelbar darauf heisst es (246 f.): Sn Tore Y Atosiôns Ayauépvov ééevaptéev, 8 D pépov av Gprhov Ayaov Teuyen Haha. Hüchst überflüssig ist das dem tote beigefügte 3, schlechterdings nothwendig zu éfevagtésv ein Object wie autos oder pv (nämlich den Iphidamas). Verständ- lich wäre rev ba Tor Atociôns Ayapépvov ééevaorEev. Nach der Ueberlieferung aber künnen wir kaum etwas anderes erwarten als Sn vote F Atociôns Ayapépvov ééevagréev. Ein apostrophirtes re hat I. Bekker Hom, BI. 1 p. 318 f. an einigen Stellen des Homer in sein Recht einge- setzt, wie Q 154: Go F &Ëee nes xev ayov Ayunt tre- Edpars. Vol. Cobet Misc. Ëreuta dé YÜA UTEOTN, ŒOTETL TOLLAVOVTO. Aadoy. e 576: où GÙ F yes, crit. p. 265. N 297 und 469: Bin dë met Iôopevna péyæ trohé- poro pepnhows. Gewühnlich heisst pépnhsv por curae mihi est, wie in dem Homerischen Verse, 6 ao! T Enirs- rodgaros xai Toosa pépnasv, oder bei Hesiod. Op. 238: ois D fous te péunhe xaxn xai oyérhuæ éoya. Mit der tedeweise rrohéuor pepmhos lässt sich vergleichen E 708: ds 5 év "Yan vaoxe péya mhouToo pepnhos, und ein in den meisten Handschriften fehlender, lingst als interpolirt erkannter Vers der Batrachom. 123: xal toùs pév 5 éxcouooev Apns Tohguoto pepmaos. Spä- tere Dichter gebrauchen allerdings das Participium pepmhos im Sinne von studens oder intentus, aber sie verbinden es meist mit dem Dativus *). Vgl. Epigr. 32) Dasselbe gilt von dem Participium peusAnpévoc: vel. die im Bulletin XXII p. 51 f. oder Mélanges Gréco-Romains IV p. 162 f. angeführten Belege, die sich mit Leichtigkeit erheblich vermehren lassen. Orac. Sibyll. 2, 342 ist überliefert: HALTOY, OÙTE YA Y MEMEXNMÉVN OÙTE ÀoYLOMOG. Die neueren Kritiker haben yäuwv geduldet, Aoyopots dagegen in 13 195 Bulletin de l’Académie Impériale 196 a —————————— Ce Kaib. 948, 3: cynpaoty EdTaxToIot MLERLANOTES AHpOV ngot *). Quintus Smyrn. 4, 530: irracénot pero. Apollin. Ps 38, 5: {Sapahost ayadois ot) MG VEN X65. Nonnus Dion. as 94: Népuoy — Tomevin cup! LYYEULE- unrota. 31,93: cop DE HLEUNACTAG ÉXTAVEY Dêcus. 37,1: œornrt peunôtecs. 37, 135: navroiats dpETNot uepmotes. Paulus Silent. Amb. 231: QUE YeALUTOt pEpnoS. Orac. Sibyll. 1, 126: xæhoîs T égyott peun- os. Maneth. 6, 369: nes Vhvxep hot LLEUNAOTES avèpns éreuEav. 6, 590: xpurradiats T EUvAGL pEpLMho- ras (so ist statt LLELLNVOTES zu sckreiben) 4vdpæs Eteu- Eav. Hiernach erscheint die Verbindung poto pepnros und péys Thoutoto pepnhos als eine ganz vereinzelte, mit der Bedeutung und dem Gebrauch der Form pzyrros in Widerspruch stehende Anoma- lie, die ich beseitigen môchte durch die überaus leichte Aenderung péyæ mtohuoto (mhoutoto) mepaws. Ganz entsprechend heisst es E 732: pepaut éouôos xai av- ris, und N 197: pepaore Souptdos adxs. Ist diese Vermuthung berechtigt, so dürfen wir vielleicht noch einen Schritt weiter gehen, indem wir statt pspaos mit langem Alpha (éyyséqoe pepaotes B 818. peuæote Sovordos are N 197. &hoo pepaws [I 754) auf Grund des überlieferten rroxépoto und Thoutoto pepnhos die Form peunes herstellen. Für pepnos neben pepaos bôte sich als Analogon éorn6s neben éotactoes. N'5564E: où pèv ya mot veu Dmloy Éev, ŒAÂX HAT AUTOUS LÉY& TTOhE- growpar* oùdé où Éyyos X ATpuus. Zum zweiten dieser Verse findet sich in meiner Aus- gabe die Bemerkung «otowpar lectio vix sana». Dies Bedenken gründet sich auf den Umstand, dass hier das Verbum otoowoav eine Stelle im Vers einnimmt, für die ein zweites Beispiel bei Homer nicht vorkommt. Nur hier wird das Omega der Wurzelsilbe durch den Vers gestützt, während die übrigen Homerischen Stel- len für die Form oroecgao zu sprechen scheinen. Vgl. 9 348:"Extop D aponreptotpwpa XAXMTOULAS IT TOUS. AOYIGHDY oder Àoytopoù geändert. Es war vielmehr zu schreiben OÙTE YOE MEMLEAMHÉVN OÙTE AOYLGpLOùS. 33) Das hier angeführte Epigramm ist, wie Kaïbel sagt, ineuntis Romanae actatis, durfte also nicht benutzt werdèn um bei Pind. Olymp. 1, 89 die Lesart réxe te huyéruc ÊË Gpetuior EMaOTUS Viouc zu stützen, wo die Handschriften für pepactas sprechen. Eine Ver- bindung wie dpetÿ peunhws halte ich bei einem älteren Dichter für unerwiesen, und wie sollen wir uns die Form pepañws statt peunhwe erklären ? | 9, 418: otpopovr 7 1463: xata péyaon cTeopaoSat (otoopanoSa Variante bei Eust. p. 764). Y 422: ou9 ag ët ëthn Onpov (dn- Sa?) xs otpopasS , AAN avtios DAS A. € 53 und 306: mhaxata oteopôc ahncppuoa. n 105: xai mhaxara crowpoauw. © 97: XÉTT MALXATA GTROPOGA. o 486: ériorpmpoar roms. o 394: ravrg avactpo- o6v (andere dvasrecowv oder avasteéqov). Entspre- chend Hesiod. Scut. 121: ravrn avactowoav (Variante avacroopäv) xai aomyépev. Hymn. Merc. 44: 6v te Sa- veior ériotoopGot péguvat. Allerdings ist otpuguo für die nachhomerische Poesie mehr als hinreichend be- glaubigt#), wogegen otocoro nur selten überliefert erscheint. Vgl. Quintus Smyrn. 6,504: dvopevéov ra- quo. ] Nonnus Dion. 48, 381: Saipoy ravdaparerpa, Blou otocpcosx nropeinv. Tzetz. Hom. 283: oùdénor eioopcoatv, drosteopéouor à Ôro- Zweifelhaft Tzetz. Anteh. 149: où8 "Exévnv pa- cxovor peta Tousoot rapeivar, aX Gex [loornes ori Soua otecoaaoSa: (otewpaucsat Bekker). Dennoch môchte ich es nicht für zufällig halten dass in der Ho- merischen Poesie nur an einer Stelle otoopao durch das Metrum gefordert wird, die übrigen (neun) Stellen dagegen die Form otecoaw zulassen: vielmehr meine ich dass N 557 otowgar an die Stelle eines andern RAUNOL HEPLITE RopéovTss 34) Kür die Tragüdie wird die Länge des Wurzelvocals ge- sichert durch den Umstand dass nirgends oteooo durch das Metrum geboten erscheint. Vel. Phrynich. fr. 5, 1 p. 558: GTpaToe mot eic yav Tnvo èreorpwga noôt. Aesch. Agam. 972: avôpos teheiou OO ÉTLOTPHPHHÉVOU. Soph. fr. 860, 3: Êdpos TEpLoGÔv VAS AVAGTPWPULEVOL. Eur. Med. 666: ROŸEV vas T6 éTioTpupx médov; Trag. adesp. 458, 5: ëv Ÿ 2 Sovoce roicd VAGTRHPUUÉ vn. Entsprechend Archil. fr. 39: xar otxoy écrpwwüro Sucuevns Bapaë. In anderen Gattungen der Poesie finden sich directe Zeugnisse für otpwgay nicht eben selten. Hesiod. Op. 528: dAX êtt xuavéwv dvÔpôv SnpLov TE TOY TE GTpu- @arat (die Stelle ist schon längst als spätere Kinschaltung bezeich- net worde nu). Hymn, Cer. 48: révvua And cTowpoT aiSouévas Oaidac meta LEeGtv ÉLouoa. Theognis 247: xaS ‘EXGÔX ynv oTpwpupEvoc. 839: troutwy © av ro uéoov ctpwpnocopa. Rhianus bei Stob. Flor. 4, 34: Brototo pév os # émideunc ctpwpäaru. Philo bei Euseb. P. E. IX p. 453 B: Seôpa jap Dbrpaevvoy — orpwpäta. Oppian. Hal: 5979: éyy09t S adrod orpwgatar. Oppian. Cyneg. 3, 426: ayptov PR crpwypuwpevos duo 000vnotv. Marcus Argent. Anth. Pal. 7, 395: cup- poc ot "Qptwvos AVEGT RUN GE Sakacons BévSoc. Greg. Naz. vol. 2 p. 61 C: pnÔë péon Spwowvy te xu ox. tu 0p vHayo uv OTPHpPATIAL. Quin- tus Smyrn. 1, 32: xeivor yap GEL TEpi TOocoiv dATEOY OTOWPUYTEL. 1, 308: Évectpwyato xudouôc. 1, 311: Xcvyahéat otpwpovto. 1, 465: sv > AE RE ; - LE GTPOPUVT alhos Èr ak. 3,267: Tpweccotv avectpwpato. 3, 553: api VÉXUY STpHATO. G° 504 GTP PEUT Év HéGoo tot. 6, 532: STPWUVT, eUTE 8, 287: SrowpAT GAYLVOEVTL ÀUSPO TETahAYRÉVN ous. quatu ravra. 11,9: otpopüvr apyahénotv. Ma- napaBand nv srpopuwpevor aisi. 2, 66: boit cTpwpwpevor da otpwp&vra. Orph. Lith. 476: otpwpüyr ÉvIa xai 509 : sig Étepov oTpwypwmevoy eldoc. QUES. neth, 2, 54: aiet, 3, 302: EvVI a. 197 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 198 Verbum (vielleicht éotoéost) in den Text gedrungen ist, und dass wir richtiger schreiben werden apot- reprorpcpaev O 348, orpopaiactou I 463, crocpdacT Y 499, orpopcos € 53. 306, otpcpowotv n 105, otpo- ocoox 9 97, ériorpopcuot à 486, dvacrpopouv p 394. Wie aber ist es zu erklären dass von 57psœao in den Homerisehen Handschriften kaum noch eine Spur ge- blieben ist? — Einige alte Grammatiker meinen, bei Verba pura die von zweisilbigen Verba barytona her- geleitet sind, fordere die Endung éo einen kurzen, die Endung &o dagegen einen langen Stammvocal: wie z. B. Eustathius IL. p.764, 2 von der Sehreibung oto0puao So: sagt, Éxot dv LEyaAny aTogiuv kal SUGRUTOY N TOUT year, wie derselbe IL. p. 1047, 32 r2o740%at fordert avais yos TÔ TRE VOLE TROY ka Tois ait. Die- sen Kanon haben alte Correctoren im Homerischen Text, so weit es ohne stärkere Aenderungen môglich war, zur Geltung gebracht. So finden wir bei Homer an zwei Stellen too0x40 überliefert, obwohl die Stellung im Verse durchaus nicht den langen Wurzelvocal erweist. X 163: 2ppa aka Towyôot rù À pépa weîrat deShov. £ 318: af à &) pv towyov (tesyérny Callistratus nach den Scholien), &n à érhtocovto rodsoouv. Die an diesen Stellen durch das Metrum gestattete Form +ocyao ist zufällig fast in allen Handschriften erhalten o 451: aqua tocycovtæ Svga&s, wo ein Scholion apæ tTeoyovra mit der Va- riante ya Teoycwvra bietet. Durch das Metrum ge- schützt ist die Form +gowyao bei Apoll. Rhod. 3, 874: Tooyoy sdpstav xaT apaëtrov, während wir bei dem- selben Dichter lesen 4, 1266: too ériooyaer do paSourw, und 4, 1606: eîoxo énirpcyauv. Ucberaus häufig findet sich +eoyzo bei spätern Dichtern Mo- schus 7,5: tv à Sahaconv véptev Urorpoyat. Callim. Hymn. 4,28: rohées oc reptrpoyowotv aotdat. Arat. 27: ’Apxtor duo Toopouot. 227: oUdÈv HHAUDÔTEROV TOOLUEL. 309: über paka Tooyae. 815: reptTpoyaouvTro csAnvnv. 889: SaSayyes Éritpogowo Vetoto. 1105: émeryomevor. recycootv. Dionys. Perieg. 148: érirocyaouor xéheuSor. 203: érirooyner bauaScow. 665: érirpcyaer reduce. Anth. Pal. 6, 45: otaguinqotv éritgoyaovra oxeucas. Maximus repi xatapyov 568: xepan TOOfANot cEANVN. Maneth, 2, 500: paper tooyacuo cesknvn. 3, 340: Oov- pos tooxan. 6, 75: Gpns à ai Ternvos dnto Booténs teo- xaovros. 6, 86: nv tôv pv tooyang ti. Nonnus Dion. 5,448: reptroogonot xohovas. 18, 2: otiya Täcav UTo- rpogsoon rokmov. 37, 155: Dponu neprtpopcovtEs apuot- Bars. 45, 131: énitpoyooon DE cerpn. Auch rooroo ist bei Homer obwohl häufig überlie- fert, doch nirgends durch das Metrum gefordert. 1500: AoBq Te xvlon Te nopatpurdo avipuro. À 568: Grè È towracxsto peuyerv. O 666: pd TooraoSe (rich- tig einige Handschriften +ocrducSe) ocfovès. [I] 95: dh& Takwy Teoraodot (richtig andere tooraxoSat). E 585: Saxéetv pèv aretowrovro Acovtov. Y 119: muets Tée iv anotporopey (andere aroTporcopev) CTG 00. r 405: et dé x anotporoct (andere arotporcoot) Set. A 521: n Te Saua TOOTOOR Jét ToAUNYÉA pOYM. o 112: und ët ToËou npov anoTeurao de TavuoTuos. o 536: res à row Tpwrovto. Unversehrt ist der kurze Waurzelvocal des Verbum too geblieben an vier Homerischen Stellen. B 295: muiv à évvaxos ot! re- otoonéwv éwautés. © 224: atap xaXitowyes nrot ab oxea Toôneov. à 465: Ti ue TaÛTA TaparoomÉEy Épeelvers ; 465: roda repttponéovtes éhauvomev. Entsprechend Hymn.Mere. 542: roha tepttocréov. Schwerlichrichtig ist was wir K 421 lesen, Tosooivyag éniroanreéouotœu- hacozw statt des zu erwartenden érirgorcoc*). In der nachelassischen Zeit fehlt es nicht an Spuren der rich- tigen Form teorao. Vel. Pseudo-Phocyl. 133: ax@ 190 xaxospyov arotoonamoïo (ancrewracsat Bergk) avæyxy. Apoll. Rhod. 3, 946: Alooso puy ruxtvoiot ra- oatporéwy éméesootv. Nonnus Metaphr. 16, 112: AoËa raparooréov. Ueberwiegend ist freilich das Omega der Wurzelsilbe: vel. 4roteonracsa Apoll. Rhod. 3, 16. axstoorov Callim. Hymn. 4, 69. érireoroatv Op- pian. Hal. 2, 223. 5, 172. 188. éritporovros Chri- stod. Ecphr. 302, und namentlich die das Omega verbürgenden Formen értrp9orate Apoll. Rhod. 1, 351 und petetowräro Apoll. Rhod. 3, 297. Wie wenig aber die handsehriftliche Tradition in derartigen Fra- gen beweist, lehrt Oppian. Hal. 2, 223: yastot dè Tavras ériTooroot xahkoas, Wo Eustathius IL p. 719, 59 die ihm befremdlich scheinende Schreibung ér:- Toonrcoo xahwas ausdrücklich bezcugt. Fast unversehrt ist im älteren Epos geblieben die Form TOTAOUE. Vgl. B 90: ai pév T Sa ŒhE Te- 85) Nicht dient zum Schutz des handschriftlichen ériroatéouct das Verbum toarée keltern. Vgl. x 125: Érépuc Ô’ dpa TE Tpuyow- ouv, &Xkuc Où rparéoucr. Hesiod. Seut. 301: of ye pv étpuneov, tot ÿ novov. Ananius bei Ath. VII p. 282 B: Gtuv rpuréwot xut Tuto. Hesychius: tpametv: Anvorateïv. Pollux 1, 225: SAifetv TÜS Grapu- ag Êv Toïc Anvots, tpénerv (1. Touneiv), mateiv. 18* 199 Bulletin de l’Académie Empériale 200 rornatar. B 462: Sa xai Sa rorovras. À 222: aro- rrapéym TeroTtar. © 7: toifoucar moréovreu. B 315: uytne À aupsnoraro. T 357: tapqeinr wpades Aus éxroréovra. Hesiod. Theog. 691: duaæ oteponn te xai doregorÿ motéovre. Scout. 148: den êpis TETOTNTO. Hymn. Mere. 558: évreudev dn éneta nortopevat *). Hiernach kann es keinem Zweifel unterliegen dass M 287 statt ASo rotovto Sapeiar mit Grashof rotéovto herzustellen ist; eben diese Aenderung halte ich für hôchst wahrscheinlich im Hymnus Apoll. Pyth. 264: orySagèes rotovro. Aus lyrischen und scenischen Dichtern lassen sich zahlreiche Belege der Form to- raopat anführen, wie rotn Sapph. fr. 41. rorntat Alc- man fr. 21. Ar. Av. 251. rotat Aesch. Sept. 84. Ag. 977. Cho. 390. Eur. Hipp. 1272. Or. 7. Rhes. 531. regxorata Soph. Oed. R. 482. motéovrou Al- caeus fr. 43. totno%o Alcman bei Bergk Lyr. ed. tert. p. 831. rotac%o Aesch. Suppl. 657. roropevos Aesch. fr. 269, 1. Eur. Iph. T. 393. rotouévors Aesch. Ag. rotopévnv Eur. Or, 675. rerxcrapar Eur. El. 177. renctatat Aesch. Eum. 378. Pers. 669. Eur. Hipp. 564. éxrenorauéva Sappho fr. 68. renctntat Ar. Nub. 319. renotioSau Ar. Av. 1445. rotaSeinv Soph. fr. 432. Ar. Av. 1338. In einem Pindarischen Fragment bei Clemens Alex. Strom. IV p. 640: du- jai à oaesfov drovgaveor vais roToyta, hat Christ rotovtat hergestellt (vel. Bergk Lyr. edit. quart. I p. 427). Unrichtig behauptet sich rotäoS$at mit langem Wurzelvocal in den Worten des Simonides fr. AO: toù xai anetpéotot TOTOVT Codes UT KEPARA, wo rotéovt oder allenfalls mit Ursinus rorovr erfor- derlich ist, wie bei Ar. Lys. 1013: rotaouat xpa- TLOTA VAQ Tavtæ RÉVES, Was rotaquar (d. h. rornco- pa) lauten sollte. Dagegen ist n9° 60œ rotôyraz Hymn. Hom. 30, 4 durch den späten Ursprung des von Grod- deck als Orphisch bezeichneten Gedichtes hinreichend entschuldigt. Denn von Theokrit an finden wir das alte rotor und das jüngere toto friedlich beisam- men. 50 z. B. gebraucht Theokr. 29, 30 rornpeva, 2, 19. 11, 72 éxrendracu, Moschus 2, 145 rotnoeou, Apoll. Rhod. 2, 227 rotéovro wie 2, 1042 renormuévos, Aratus 916 rotéoyrar, Mesomedes Anth. Pal. 14, 63 36) Auch das Adiectivnm mortes (où0ë mornta TAPÉPYETAL M 62) kann zur Bestätigung der Form wotéopat dienen, Unrichtig schreibt man bei Hesiod. Seut. 222: 9 $ wote von Érotäto, statt des von G. Hermann hergestellten 9 & Énrato Gore vonua. rotopéva (überliefert retopéva), Quintus Smyrnaeus notéovtou 8, 347. éxnotéovtat 8, 42. rotéwvra! 3, 222. rotéovro 1, 692. 9, 133. renornto 1, 16. éÉexorndn 4, 445. Andrerseits rotata Moschus 4, 24. Epigr. Kaib. 546, 9. rotät (statt rotätat) Quintus Sm. 5, 437.notôvrat Theokr. 15,122. 6rsonxotovra Theokr. 15,120. rotar (statt rotaro) Apoll. Rhod. 1, 1085. rowtacxeto Orakel bei Marinus V. Procli c. 28. ro- rovro Theokr. 7,142. rotopévn Epigr. Kaïb. 522, 13. Anthol. Pal. 9, 209. rotopever Orakel bei Porphyr. Euseb. P. E. IV p. 145 D. rorncovtat Orac. Sibyll. 2, 208. 8, 342. rotndcts Crinagoras Anth. Pal. 9, 234, 2. rotnScioa Orakel bei Phleg. Trall. Ma- crob. c. 4 p. 90, 19 Kell. rotnSévres Anth. Pal. 7, 699, 1. é£erotnin Babrius 12, 1. ’ Nach der vorstehenden Erürterung halte ich in der Homerischen Poesie und überhaupt dem älteren Epos die von alfen und neueren Grammatikern als regel- widrig bezeichneten, von den Abschreibern vielfach verdrängten Formen rotaouma, stpcæaw, tTooraw, Te0oxa0 mit kurzem Wurzelvocal für allein berechtigt ; die ziemlichfrühaufgekommene Form +50 p&o scheint dem ältesten Epos fremd zu sein; weit jünger sind die Formen rotaomat, Tewraw, Tewyaw, die ich nach dem mir vorliegenden Material als nachclassisch be- zeichnen muss. Dagegen ist das von den Grammati- kern mit den hier besprochenen Verba zusammenge- stellte vopæo nur in dieser Form nachweisbar; von einer Nebenform voue mit kurzem Wurzelvocal fin- det sich nirgends eine Spur. Hiernach berichtige man die von Porson zu Eur. Med. 664 aufgestellte Regel: (A VÉLO VOHAY, A CTRÉPO CTOODAV, À TRÉTO TOOTAY formant Graeci; solum rétopotr, quantum scio, et To- rüoSat et rotacSat facit.» Ueber die Homerische Poe- sie äussert sich auf Anlass der hier behandelten Frage Lobeck Phryn. p. 580 in folgender Weise: «omerica carmina crilicorum industria ita tornata et perpolita sunt, ut nullum appareat amplius veteris scabritiae ve- sligium, omnibus ad unam norman directis.» Glück- licher Weise haben die alten Kritiker bei ihrer Poli- tur der Homerischen Gedichte im vorliegenden Fall ätzende Mittel fast nirgends in Anwendumg gebracht: ausser der einen Stelle N 557, welche den Ausgangs- punkt unserer Erürterung bildete, findet sich kein für atewgaa sprechender Vers bei Homer, uud das echte gteopaw ist keineswegs spurlos aus der Homerischen 201 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 20? ——————_——————…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…— —"—…— —_— —_— —…_…" —_—…"…"—"—_—… — …_—"— Poesie verschwunden; eben so ist neben dem unrich- tigen reoyaw das richtige teoyzo, neben dem jungen rewraw das alte tgoxao bei Homer überliefert; end- lich ist nur M 287 rotôvro eingeschmuggelt worden statt des an sechs Homerischen Stellen verschont ge- bliebenen roraoua. Die Politur der Homerischen Ge- | dichte hat sich also hier glücklicher Weise in sehr bescheidenen Grenzen gehalten. E 270: 8$ paro ynoato à ‘Ynvos, auefopevos DÈ rpoonude. Den in der voralexandrinischen Poesie nicht weiter vorkommenden Aorist ynoato hat Bentley mit Recht, wie ich glaube, beanstandet; aber sein Vorschlag xætos ÿ ag ‘Ynvos kann auf Wahrscheinlichkeit kaum An- spruch machen. Vermuthlich ist zu lesen: ds pare: noato » Yrvos, ametfBcuevos dE tpoonuda. Statt foaro, das : 353 geduldet worden ist, substi- tuirte man ymoaro zur Beseitigung eines vérmeint- lichen Hiatus. Nachdem einmal ynearo in den Home- rischen Text eingedrungen war, trugen gelehrte Dich- ter natürlich kein Bedenken tre Reune Formen in Umlauf zu setzen. Vgl. Apoll. Rhod. 4, 55: Sea ène- xmoaro Mnvn. 4, 1628: ymoavro ë Supov ton. Leoni- das Tarent. Anth. Pal. 7, 198, 6: ynoapévn ratayo. Simylus bei Plut. Romul. ce. 17: xnpapever BelSowv év- tros éSevro Iadou. Oppian. Cyneg. 1, 509: &ç xai To paha Supôs éynoato. 1, 534: Supos à nnedavor péya xmpato Bourehatæo. = 287: ets éharnv avaBas regtunxeTov, n tot év'Ion paxporatn repuui à népos aidép (xavev. Das Adiectivum reoynxeros finden wir bei Homer noch einmal, £ 103: on S ’Aotepus etot xuT oùpex opéatpa, n xata Tvyeroy reptunxetov n Epupavsov. Sonst ist es nachgewiesen nur aus gelehrten oder spä- teren Dichtern (vgl. Arat. 250. Orakel bei Appian B. C. 1, 97. Orakel bei G. Wolff Porphyr. de philos. ex orac. haur. p. 233. Dionys. Per. 599. Oppian. Hal. 4, 452. Nonnus Metaphr. 9, 121. Orph. Argon. 898 nebst den von Hermann Orph. p. 823 gesammelten Beispielen) und Eustathius Opusc. p. 193, 40. Die beiden Homerischen Stellen bieten keine Sicherheit für die Berechtigung dieser Form, da £ 287 wie € 103 das gesetzmässige teotunxeæ statthaft war, das an beiden Stellen von alten Correctoren verdrängt wor- den sein dürfte ganz eben so willkürlich wie ander- wärts gesetzt worden ist sûtetysov éémharagat (A 129. © 241) und sdretysov arovéeoSat (B 113. 288. E 716 I 20) statt évreyéa éÉaharaëu und évtetyéa arc- véed Sat *’). 37) Dass bei Homer nach der so genannten bukolischen Cäsur der Hiatus statthaft ist, bedarf gegenwärtig keines Nachweises : vel. statt anderer Hermann Orph. p.726 f. und besonderS" A hrens Philol. VI p. 27 ff. Letzterer zeigt dass die alten Correctoren des Homeri- schen Textes beflissen gewesen sind derartige Hiatus nach Môg- lichkeit zu beseitigen, wie z. B. die vermeintliche Dualendung weSov lediglich diesem Bestreben ihren Ursprung verdankt (Ahrens p. 31). Charakteristisch für Aristarch ist es dass er E 787: aiôwe, Apyéror, xux ÉkÉyyEx, sldos dynToi, den vermeintlichen Hiatus nach kéyyex durch die Schreibung xax- EheYLÉES beseitigte, wonach wir überzeugt sind dass in den Worten Apyétor icuwoot, ÉXEVAES où vu céfeode (A 242) und éppete, AWfnT pes ÉhÉYER où vu xat 0uiv (Q 239) die überlieferte Lesart êkeyyxées, wel- che einem wirklichen Hiatus am Schlusse des vierten Fusses abhilft, von eben diesem Kritiker aufgebracht oder doch gebilligt worden ist. Einem ähnlichen Missgriff begegnen wir O 232: toppa yap oÙv où Éyerpe mÉVOS MÉYZ, OP av Ayatot peuyovtes vas te xat EXAnotovrov fxwvtat, wo Aristarchs Lesart t6@9 àv Ayatot ausserhalb der Stadt Künigs- berg in Preussen schwerlich auf Beifall zu rechnen hat. Da Ari- starch, wie aus diesen und anderen Belegen hervorgeht, dem Hiatus nach der bukolischen Cäsur abhold war und da der Aristarchische Homertext den jüngeren Grammatikern vorzugsweise imponirte, s0 kann es nicht befremden, wenn dieser Hiatus viel häufiger als man bisher geahnt hat durch verfehlte Aenderungen ausgetilgt worden ist; wofür es genügen wird einige Beispiele anzuführen. À 62: ax dye On tuva pavriv Épetonev n ton, Wo statt de »s unerhürten épeto- pev nach $ 133 zu lesen ist épopesa. r 381: roy Ô énoroÿ ’Awpo- Sitn beia pal wç te Je0ç, xaAude O ap” mépt ToÂT, WO éxahvbe OE mépt nokÀn erwartet wird. Dieselbe Einschaltung eines unpassenden apx kehrt wieder an anderen Stellen (gl. Z.10: répnce © Tu goTéoy low. Il 347: xéacoe © ap dcréæ Aeuxa. Y 444: éxdhvpE d ap népt roxkn. D 549: XEXGAUTTO ô ap néet ToXMN. D 597: xakupe S ap népt ro). I 449: 06 pot raklaxios TEpt{WOUTO #ahAUXGHOLO, und o 58: ‘Elévrs rap #&AAUXOHOLO, wo ursprünglich nuxcpLoLo ge- standen haben dürfte. O 61: aù vüv pv retpouot xatd PRÉVU, adtip Axatods aires arootpéYnov, ist aus B 3: &X 6 YE ueppriptée xatü ppéva CE Axa TENST zu emendiren. Ÿ 421: xap fa où opSaauuv xÉYUT ayxAve 009” de" © ETAn, sollte statt des Plusquamperf. der Aorist stehen, also &xAds juto. D 185: pahkexov ro éprodevéos Kpo- véwvoc tauotv éprééuevar, morapoio mep (l. moramoic ye) éxyeyautt. Dass Q 333: aïpa Ô ap” Eousiay uiov gihov avréoy n00&, ce 28: n ba, xat “Eppeiay, vicy pihov avtiov noôa, À 103 (v 343): Lwdpevos Ott oi vid piAoy ÉÉakawousc, nach unzweideutigen Spuren der Ueberlieferung @ihov viéa herzu- stellen ist, habe ich früher erwiesen (Bulletin XXII p.9 f. oder Mé- langes Gréco-Rom, IV p. 102 f). Die Form avntoy x 146 und x 274 ist lediglich um des Hiatus willen der Homerischen Poesie aufge drängt worden, die nur ntœ kennt (vgl. Bulletin XVII p. 215 f. oder Mélanges Gréco - Rom. II p. 255 f.). aaX net oùv On Épyæ xax Éuuadec, ox éSeAnoets Épyoy énoigeo$o, scheint ursprünglich gelautet zu haben sy maÿes xuxx, und entsprechend p 226. Bei Hesiod hat ein neuerer Herausgeber Theog. 182 geschrieben Eoricw, Ta mév oÙTe ÉTUOL GW ÉM@UYE JELPOS' wenn dies die überlieferte Lesart wäre, unbedenklich was in nicht weniger als allen bukolischen Cäsur ist 999: 6 362: ich würde, ètuotx Éxquye yetpés emendiren, Handsebriften steht; der Hiatus nach der 203 Bulletin de l’Académie Impériale 204 2 483 — 85: 2 pév yaiuv itevË, év à cvoævov, v ë Takacoav, nÉMGY T AxALaVTA GEANVNY TE TANIOUG AY, y D TA TEÉDER TAVTA TH T OUOAVOS ÉGTEPAVOTOU. Im letzten dieser Verse müchte ich &v dé +: (statt év di ra) schreiben mit einigen Handschriften und Iusti- nus Martyr Cohort. c. 28. Achilles Tat. Isag. in Phaen. p. 124 A. Proclus in Plat. Tim. p. 96 A, wie unmit- telbar nachher Ianodas S ‘Yadas re LE oSévos Qaploves statt des herrschenden to te oSévos Qotoves. Weit an- stôssiger ist das in allen Handschriften überlieferte und in nicht wenigen Citaten*) wiederkehrende +e'5ea rav- tSÙs HATOYOYTO tÔ tort vnês ÉLONS GTELA AY. À 382: 0 (àÈ neo OÛoÙ ÉVÉVOUTO. — Es zeigt sich hier dass in der Cäsur des dritten Fusses, falls die Wahl ist zwischen Hiatus und Elision, der Ganz so verhält es sich bei den Formen atée und drao. Vgl. 6 503: Sopra + éborhtocueoSa" atao (aura geringere Handschriften) A 732: apot Boas notaoic atap Ÿ © énet oùy O{ovtTo Hiatus vorgezogen wird. XaMTOUYAS ITToUs. ueyaSupor Enerci. p 229: éée}Sov peyapcto, atao etrnot za sicw. Fehlerhaft und schon von I. Bekker besei- tigt sind die in der Mehrzahl der Handschriften über- lieferten Schreibungen 65 rAny:!s yaSuos Erctos 4 694 und rovroy êt ASucEvT * aUTae Denn aÿtap ist, wie Gerhard ÉVÉRAÀT * AUTOS [LE- dexatn éTébmuev t 85. 48) Eben dieses te i0é an derselben Versstelle glaube ich auch anderweitis wahrzunehmen, So môchte ich schreiben K 363: ws +ov Tudetône te 10e (statt TudeiSne nÔë) rrokimop$os Oôuoceus. N 432: xaXEt Epyoroiv te (statt xaXher xat Epyorov) IDE ppcoi. À 199: Séuvz- out dSuvatouc re LO (statt dIuvaroue nÔë) Svnrods av$pwrous. Ÿ 486: Int ôae F Yadas te i0é (statt te to te) oSévoc Qupiwvos. X 234: oùe Exiên re 02 (statt ‘Exéfn ho) Hpiapos téxe nuîdus. 5 208: axk Are de Bopény re dé (statt Bopénv A0è :) Cépupoy xekadetvoy ÈAŸE- uey apatar. — Dass L. Bekker das mit 90€ gleichbedeutende 6€ für digammirt hielt und demgemäss in rt0€ umwandelte, ist lingst als irthümlich erkannt worden: meines Wissens findet sich im ganzen Homer keine einzige Stelle welche zu der Annahme berechtigte dass dieses Ê8£ jemals einen consonantischen Anlaut gehabt habe, Eben so halte ich A 4 œirods dë rekwp a, E 684 pi O6 pe rékwp und entsprechende Schreibungen für unberechtigt, Éecai Lect. Apoll. p.112 gesehen hat, in der älteren Poesie nicht statthaft ausser wo die erste Silbe in die Hebung des Verses fällt ”). Hiernach müchte ich der Form érern mit vorauf- gehender Elision vorzichen die Form étet mit einem Hiatus À 156: xaprov EdTANGAVT , ÊTEM) paX TONÂG PES ND. À 169: vo © cie PSénvd, ren rod péote- oov éamiv. À 56: oùx dvvo pScvéouc, ÉTEM TOAU pépre- K 557: {nrous Jopnoat, men Ton) péprepoi 596: net) $a vor avrès Oôvoseus. In ähnlicher Weise dürfte N°75 avèny zu lesen sein pos cat. Van s LA LÀ ’ ù ’ EG. T AAÂAN ércxhivavr, érnem (1. aroxAvavra, 7 statt navres énecoevout, émet "Exrtopos Exhuov ravres étecoevovro, émet xhuov "Extosos audmv. Eben so scheint in Versen wie H 271: Blade dé où pa yoivaS à à Urrios éÉcravuoan, die Form youvata nur zur Beseitigung des Hiatus von unberufenen Correctoren eingeschwärzt zu sein: nach den mitgetheilten Thatsachen künnen wir nicht umhin vodva: © S dnros für das ursprüngliche zu halten. Entsprechend 2 457 (y 92. à 322): ca (besser tea) youvaS ixdvopor. & 449: av te boov ca re youvaS ixdvo rod poyious. n 147: o6v te oct c 2:12 TOUVEXE VÜV TA , ! c e ! “ \ / - *} d& Te VouvaS Îxavo TOAÂL LLOYNON. Toy À abToù Auto youvar, po à Go Supoy ésenySev. Eher läisst sich entschuldigen À 609: vèv S do reg youvar pa otnocoSat Ayurods, wo die Haupteäsur nach êpæ fallt. — Für œutap éret cfrouo T énmacoapeS (oder ot- 49) Gegen dieses Gesetz fehlte Fr. Jacobs, welcher in einem Epigramm bei Pausanias VI, 4,6 (Anthol. append. 249) aûtap vev Àads Ayaiüy schreiben wollte. Il. A 542 bieten die meisten Hand- schriften yetpog Éloùo, aürap Bekéwy drepuxot épwnv, entschieden unrichtig, vel. Ahrens p. 16. Schon um des Sinnes willen ist avt zu verwerfen bei Hesiod Theog. 284: Nrpéa S dbevdéa xat dAnSéx yeivaro [lovtos, npecÉUTuT ov raiswv" aÙT rap HahÉOUGL YÉPOVTE, OÙVEX VNUEPTNE TE HAL NTLOG, wo das von Wernicke Tryphiod. p. 60 vorgeschlagene ov Ôn xa- Xéouct yépovra zwar besser als die überlieferte Lesart, aber freilich sehr unsicher ist, Selbst die späteren Dichter folgen fast durch- gängis der herrschenden Norm, die nur in den Sibyllinischen Ora- keln häufig reel wird. 1, 96: pappaxin Ÿ aXXE, aÜTa Lay xd TahUY HAE. 2, 46: xat Soxipous G Tépe De AÜTAP Sax Hapruge dwoet. 2, 276: drexapagpévres, airap ÿ Goo! AnsiSnsas. 3, 6: aYYÉME ty TüGtv; aitap Fat navr dyopeuow. 3, 691: Setov CAS OVPRVOIEV, aU- rap AiSoc POP xahaba. 11, 211: Aude xoi. ROhEHLOS" aiTap fataets HE- yaSupot. 11,296: ei GAlyous Étectv adtap ueyadvuos dynvwp. 11, 245: mpoc te dtaxociouc aÜtap yévos Éaroheïtar. 12, 177: Tpeis ÔE- xd0us xatépwv adtap povdôos ra rpwrne Natürlich lässt sich die Môglichkeit nicht bestreiten dass manche dieser Ste en nur durch Versehen der Abschreiber diese Stellung der Form aûrap bekom- men haben, wie Orac, Sib. 14, 192 die Lesart schwankt zwischen nohépots auto und noképorciv aTap Llépout peyaSupor. 217 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 218 tou te racoape ) nôè rotntos t 87 und x 58 ist wahr- scheinlich oétou re éraccape® herzustellen. — Statt xai xev Ôn roha ox évépregos ovpavtovov E 898 bieten gute Handschriften 1odus évéotegos: ich habe das von den meisten Herausgebern gebilligte 162« évéoreoos beibehalten, weil die Form 1$as hier nichts weiter zu sein scheint als eine auf Vermeidung des Hia- tus berechnete Conjectur. — Gelegentlich sind durch Einsetzung augmentirter Formen die Hiatus getilgt worden, wie A 740: noscfuratny à Suyate cie (èye D) ÉavSnv PACE wo ich Soyaren ÊYEY schreiben môchte, und ZX AVALVETO (besser Éterta avaiveto) horyov dy.0 va. Richtig ist überliefert & 98: ta piv qépov nuèv ép dyenv nÔ ÊT dreloovx Vaiav AA TVOT svÉpet, WO- gegen & 148 das ursprüngliche éréreovro au : TVOLT avéycto hat weichen 450: ëvS autos pév ÉTeT avépotc dem albernen geta tvots müssen. Nur zufällig ist verschont geblieben bei He- siod Theog. 549: Eheu dTnotéonv ce évi poect SULOS AVOYEL, während in dem gleichen Falle ê wpect(v) fast durch- gängig in das wWeder sinngemässe noch a wo durch das Metrum geforderte p2T4 @pcot(v) umgewandelt wor- den ist). Dass etvocifyar evouoSevés (H 455. © 201. v 140) wohl richtiger stvoctyats éotaSevés lauten wür- de, habe ich oben (Bull. XXV p. 469 oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 494) bemerkt. Auf der Scheu vor dem Hiatus beruht es, wenn 4 138 statt où D Gte 4Ggov Ixovto OS cpiot répoad AyuheUs, TOVÔ XATŸEUUVY, andere Handschriften fxavoy bieten, das die Stelle des Aor. #xovro vielleicht È 520 behauptet, ct à 6re Ôn © \ Ceavoy St oœfot sx hoynoa. Gegen das Metrum wie gegen die Vernunft streitet was Helena wünscht 1 173: ddeiy xaxos, Wo entweder Sc- £hépev xaxos oder, was ich für wahrschein- licher halte, Savaros ps Eheùy axes zu schreiben ist. 50) Genauer habe ich diese Frage behandelt Bulletin XXV p. 111 f. oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 391 —394. Daselbst konnte noch erwähnt werden 5 419: rfo èv pév vcos Éort meta mpeoiv, Wo eine Breslauer Handschrift voos cris vi poeoty bietet, und K 538: 4AX atvôs Deidotxa xaTa poéva un Ti TuSwotv, wo in den Schol. À 6ei- Dotxu METX ppeciv als Lesart des Aristarch angemerkt wird und uns somit zwischen xut4 poéva und à Ent poeot die Wah] bleibt. Verdäch- tig ist mir auch [1 157: Abxot wç wuopayor, toioiv Te Tept ppeGivy WOTETOS ZA wofür vi pectv stehen sollte. Bei Hesiod Theog. 173: &s qato’ ynInoev O2 mé ya ppect ' aix REÀWON, scheint péyu ein zufälliges Versehen statt HET ZU sein, META poect dagegen eine willkürliche Correctur für èvt ppeot. OS CHEEY SAVATOS LOL VATOS Le Einer willkürlichen Aenderung der Wortstellung be- gegnen wir 4 760: ax pah, Ôç Ôte wofür os Te Tig TE ue évtovoto in den Hand- schriften und Ausgaben gelesen wird. Endlich mügen noch einige Homerische Stellen er- wäbhnt werden, an denen ich eben diesen Hiatus in sein Recht einsetzen müchte. Ov où key QUE YE LL GTOULA TAUTAY LYOLTO, 7 ct , Tis Te évÉOvOLo Vuvatxos, 5 91: piSoy, © ês T's ÉTUGTOTO NGLV pesoiy Get Batetv. Für à gro müchte ich ava sropa. schreiben nach B 250: ro oùx av BustAus Ava crop Ex vogeuets. Aehnliches sonst, wie Eur. Andr. xat duo YhOGONS El. 80: Xenoph. Hier. e. 7, 9: ôtav todtov dvd otopa Éxootv Ne Cornutus de N. D. c. 14 p. 49: toù® vrc- Erpua ToÙ 2 TOM pÉVeUS avc. Trop Jet dei. Par- thenius ec. 23, AAY AUTO. 95: dvæ Grp ae SeoUs ÉLOY AV& GT. 2: OGTE TOYTOUS AVAL GTOULE ÉELY TAY Oput- P 25: oudè pèv oùdè Bén Yrepnvegos inrodaoto As ABns drovn® , Ête L Ovaro ral L UTépevEv ait ont év Aavaoïotv SRÉYLGTOY TOhELOTTY EpLEVOL. Dass ovato für Gveoaro stehen und somit ovetôtcey, épépbare, xarewavruosv bedeuten künne, ist eine le- diglich auf die vorliegende Stelle gegründete Voraus- setzung alter Grammatiker, eine Voraussetzung die um so unwahrscheinlicher ist, je bedenklicher das drei- fache pe erscheint in den Worten 7: pe ovarto xat pt drépeuvey xat pi éoaro. Den Hauptanstoss beseitigt Her- werdens Vermuthung (Quaest. ep. et eleg. p. 33) 0e u oveoat 1 drépaives, vielleicht aber ist vorzuziehen ns NBns arévnro, Ô p' voor à Urépever. X 236: 0 étans éme elvex , émet ides cpIaAmoiatv, TELYEOS ÉEe ASE. Ungleich besser würe os tas sivx die, ênet tdes cpSæLoiov. 4 299. Zur Wettfahrt erheben sich Eumelus, Dio- medes, Menelaus, Antilochus. Menelaus führt unter das Joëh die Rosse AëSn und Héoôagyos, von denen die AïSn dem Agamemnon ns ein Geschenk des be- süterten Echepolus: péyæ yae ot (dem Echepolus) 200 ZE Zeds doevos, vatev à C nv 6 Uno Evyov ny<, méya Bocpou tyavoucav. Vorstehende Worte leiden an Undeutlichkeit, sofern 6 y & 2050 Zxvov: 219 Bulletin de l’Académie Impériale 220 —_——Z—©© errathen werden muss dass mit dem 6 vz an erster | licheres Heilmittel büte: HV YAYO TO AMTOLEVOY ÉVYUS Stelle Echepolus, an zweiter Stelle dagegen Menelaus | tou ŒTTETOUL. Ucbelstand wird gehoben, D uéya ao où ÈduxEv gemeint ist. Dieser wir schreiben: wenn Leds awsvos valovre év etpuyope Ztxuave. c 23 oder © 479: o V2 SN TOUTOY pLÈV DOEELLE VGCV QUT ue og n Tor xetvous Oôvoeds aroticerot ÉXS 6; Hier scheint rourov pLèv eine metrische Correctur zu sein statt des allein sinngemässen tobtoy Ve r 489: oudÈ toopod oÙons GEÙ CNE Das Participium Praes. von etyé lautet bei Homer 26v, nicht y, und es scheint mir durchaus unmotivirt, wenn Loheck Pathol. elem. IT p. 131 der überliefer- ten Lesart Glauben schenkt: «2ovca persaepe Homerus, semel oùca usurpavit metro devincthum Od. XIX 459». Eben so wenig kann ich die Vermuthung Toopescoons oder die Schreibung 790905 écvons für zulässig halten. Vielmehr môchte ich herstellen oùdÈ Toopoi rep oeio ApÉEOpLL. Durch ein beigeschriebenes cons wurde die weitere Entstellung hervorgerufen. Das Participium konnte ausgelassen werden hier so gut wie ® 130: TOTALOS TEQ ÉVOOO0S 005 Up doYVo0d NS LOxÉGEL. An die vorstehenden Homerica knüpfe ich einige tandbemerkungen zu den von Dindorf herausgegebe- nen Scholia in Iliadem. Schol. À A 487 vol. 1 p. dors raosañoo, vielmehr arcëtdost. Schol. A H 402 vol. 1 p. 264, 15: dkéSpou meiçar parTai] ÉVYÜS. TA YAg TO ARTOMEVOY ÉVYUS OÙ ŒTTE- ra. So Bekker und Dindorf ohne irgend welche Be- merkung. Ein où éntete wird manchen Philologen der Gegenwart durchaus nicht missfallen: wenigstens ist es nicht anstüssiger als was wir bei G. Wolff und L. Bellermann im Texte des Sophokles lesen, Oed. R: 1526: ov tés où Emhou rohTOvY rot Tuyas ÉmBhETOY, wo où Emrou für où é£qhou stehen soll; in ähnlicher Weise hat man dem Euripides où ‘xnvoocopnv (Acta soc. philol, Lips. II p. 445) und dem Sophokles El. 172 nroïov © où aËtoi œavivar zugecignet, wenn- gleich diese Raritäten bisher noch nicht in den Text gedrungen sind. In dem obigen Scholion ist aber die Negation où durchaus sinnstürend; sie würde zu tilgen sein, wenn sich nicht ein leichteres und wahrschein- 193, 10: +nv aitiav év, Schol. A 1528 vol. 1 p. 328, 6: To «os nv» Suvæ- Ov xai Tois ÉEns Sat. day dE CAT OVER TTL, ÉcTaL HÉRVQUEL OS day Dè ÉEñs, ceoBatev, «og dE nv év Gi à po». Der Zu- sammenhang fordert éav pèv (statt £av dè) rois avo ouv- arenra. Der Einfall dass IL 1 528 6< nv (oder viel- mehr mit den nachfolgenden Worten év à dpi géo verbunden werden kônne, ist eine echt Alexandrinische Verkehrtheit. Schol. A A 659 vol. 1 p. 403, 11: (das Participium wurde verwandelt in COTOIÉVES, diese Form LAQHEUYIN UTO ToÙ Aototapyou B1e To ya tou HO TO Vo VATTEG 1 »° ÊGTOL ÜT OS éev) OÙTHLOLÉVOS jedoch) RQ0T paxtiom, nel a TomUTaL pLeToyoi TeorapwËUvovto (1. rooragoËuvovras), torapevos xiyeapeves. Auch eine selt- same Weisheit: oùrapevos gilt für ein Part. Perf., soll aber doch als Proparoxytonon geschrieben werden nach der Analogie von iorapevos und xrygdpevos. Nicht minder abgeschmackt ist was gleich darauf erzählt wird, % yrvouévn Toi © Üqeors dvadocpnv épyabetat revou: wobei vermuthlich an Verschiedenheiten der Form und des Accentes wie ouvéoyev und ouveyev ge- dacht wurde. Schol. A A 754 vol. 1 p. 409, 5: © à AxcËtovy xai dpootepa xpivet, xai aonmtdéos xai ontôéos. Die Grammatiker schwankten zwischen den Schreibungen due ontd 490 vol. daté dar dédie a Lu 0. dis ete if ui dal: duc lé A séese dt aus Theocr. 22, 32 et Dem Hesiod gehôren die Worte je SÈ un Te voov xutehsyyéto eiÿos Schol. B [39 vol. 3 p.160, 19 (vgl. Op. 714), cben so Bron pov T arc xvaveaov Schol. B'T 1 vol. 4 p. 204, 1 (vel. Scut. Eine berühmte Pindarische Sentenz (Nem. 4, 32), net bébovra tt xai raeiv éaxev, finden wir benutzt Schol. B E 98 vol. 3 p. 235, 9: xahos rt- roocxet Auwunôsa, émet bééovra T1 xai madeiv éctxev, und Schol. B Q7 vol. 4 p. 334, 15: nadev, net bébavra tt xai raSdeiv éctxev, Den unvoll- ständig oder fehlerhaft überlieferten Vers in Schol, B Z 329 vol. 4 p. 180, 6: évSnèe tupBos dos Taypedéoy- tros EpuSooù, behandelt, ohne dieser Stelle zu geden- ken, Meincke Anal. a p. ce Schol À E 488 vol. 2 2 p. 172,8: roho TA AXp& TOU LÉOVOs Tee} a GT Era Xl GTRÉPETOL © xoopos. Das sinnlose arotshcirot ist offenbar aus to- Xeîtor gemacht. Vgl. Ar. Av. 181: xat DÉDYETAL ATAVTE DLL TOUTOU, HHASÈTUE VÜV TOR. Schol. À # 307 vol. 2 p. 258, 28: Gt Znvcdoros yonqer ÉDLDAÉEY, AgÉoTa ox0s è é ‘nee é(DaËEY, éri roù Ilocetdovos: rretoc Y%0. Nicht {rnretos wurde Po- seidon genannt, was eine sehr oo Bezeichnung wäre, sondern irntos, Dem umgekehrten Fehler be- gegnen wir Schol. B 4 556 vol. 4 p. 323, 1: ro y»- ctov Ts étatptas (vielmehr tns Étargstuc). Schol. À 4 659 vol. 2 p. 267, 26: avdce do Teot loapéSpous Tois énadhoc TYOYOTUS XXE, XOAhOS DE KA TO 5: dE x} OUYTEL TL DÈ TOSÈTEL TAVTE tOvÈE] Ott xai todto ni ravrov Tarte. Das unpassende tartet ist durch œuaagtret zu ersetzen. Schol. B B 56 vol. 3 p. 90, 21; énipomua avti ToÙ ÉvUr vo" teiv O6 Jpareteuovtos Toù évurwou. In diesen bios entstellten Worten ist der Name Koatives enthalten: vel. Meineke Com. 2 p. 227. Schol. B IT 161 vol. 4 p.118, 31: aparnotv] daoetars, DTSEVÉT UN, Erupnxsstv. Dass irgend ein Grammatiker agaos durch Sacvs erklärt habe, halte ich für undenk- bar; vermuthlich ist &oaqouw und usés (oder nach Eu- stathius pero Sacztus) zu schreiben. Ueber dpaucs vel. die von La Roche Hom. Textkritik p. 201 gegebenen Nachweisungen. Schol. B P 578 TUVAGTAY KUTA YLOTOOS TUPINVa UTO Âaxovos avBp6, of eîot yactemaoyias éheuScoo. Das letzte Wort ist für den Zusammenhang zu schwach; statt des nega- ÉVUTYLOY OVOLATLKÔV Eott J al Ovouue. Dei xpo- vol. 4 p. 160, 20: riSavos tèv ethu- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 22? tiven Begriffes 2kevScoo sollte ein positiver stehen, also etwa yæote Map vins ExSet", wie Schol. À ZX 104: ÉySoùs VAR TS doyias © Noos. Schol. B # 656 vol. 4 p. 325, 32: oxetas To DÉTEG TO VXORÉVO Toos AvAxTNOL Débous, do où Who xovra. Der Becher verhilft nicht zur Erwerbung oder Wiedererlangung des Durstes, wozu ein Hering sich passend verwenden lässt, sondern er dient dem- TA VL= jenigen welcher den Durst stillen (d. h. beseitigen) will. Somit môüchte ich roc œxsotv Stbous für das ur- sprüngliche halten. Schol. B Q 97 vol. 4 p. 340, 31: cupavoy] rov ùrepvé- prov où Onvprou térov. Für die Form Ürepvéoues gibt es, so viel mir bekannt, weder Beispiele noch Analo- gien: es dürfte Ursevson zu schreiben sein. Hesiod. Theog. 235 oùdè Septotéov Ansstor. Es wäre an der Zeit die, so weit unsere Kenntniss der Griechischen Sprache ein Urtheil gestattet, unmôgliche Form Sepiotéov zu be- seitigen durch das regelrechte Sspiotov, das in der ältesten Handschrift der Theogonie erhalten ist, aber auch im Widerspruch mit allen Handschriften herzu- stellen wäre. Hes. Th. 240: Nnonos à éyévovro peynoata Téxva Seaov. Nur auf dieser Stelle beruht das von unseren Lexikographen registrirte peynoatos. Für ueynouta findet sich die alte Variante peynotte, die als ganz verwerflich bezeichnet werden muss. Wie oft so hat hier ein Hiatus den Anlass geboten die ursprüngliche Lesart zu verdrängen; es ist zu schreiben: Nnpros à dyévovro ÉRNONTE TÉXVA SELOV. Hes. Th. 330: &5 do 6 y otxctov ékcpaioeto œùN avSeorov. Mit der angeblich auf einige Handschriften gegründeten Schreibung 5 Gye ofxetwy oder 25 6 ye rotxeloy ist dem Verse nur theilweise geholfen; auch die nirgends weiter vorkommende Form otxeto er- scheint als verdächtig. Sie konnte vermieden werden, wenn der Dichter schrieb, was er geschrieben zu haben scheint, ÈS 6 ye varstaov. Hes. Th. 678: appotepor, Bervov dè aretoov. In der Ausgabe vom J. 1874 hat Flach rep- {ayez durch ein vorgesetztes Kreuz als fehlerhaft be- zeichnet; in der noue Auflage der Güttlingschen Bearbeitung (Lips. 1878) scheint er seine Ansicht ge- ändert zu haben: er Fe da tayetv ursprünglich di- gammirt gewesen sei, habe man in reptaye nicht eine (2 ’ sv : OUVEXA VAHEOTNS TE XAL NTRLOS TEQIQYE TOVTOS 223 Elision sondern eine Apokope der Präposition tegt anzunehmen. Was mit dieser Annahme gewonnen wird, ist mir unverständlich; muss nicht in regrtuye die erste Silbe mit gleichem Rechte gedehnt werden wie in Hiootx? Die ursprüngliche Form dürfte gewesen sein Servdv D ÉFLLLE TOVTOS ATELPOY. Hes. Op. 369: dpyopévou JE miSou ka AnVoYTOs xopÉGAIIEt, LEsoOSt pds To. Das Adverbium p2709% findet sich nicht selten bei gelehrten Dichtern (ausser den im Pariser Thesaurus gegebenen Nachweisungen vgl. Alexander Ephesius beï Theo Smyrn. p. 140, 5 Hill. Dioscorides Anthol. Pal. 5, 54. Epigr. Christ. Anth. Pal. 1, 5. Nonnus Dion. 33, 250. Apollin. Psalm. 54, 18. 73, 24. 103, 26. 136, 3. Tzetzes Anecd. Oxon. vol. 3 p. 302, 24); den einzigen Beleg aus voralexandrinischer Zeit bietet die vorliegende Hesiodische Stelle, wo den voraufgehenden Formen aoycpévou und Amyovtes besser entsprechen wird der Genitivus: es dürfte zu schreiben sein méccoc pe8c0%ar. Die Endung oo scheint mir durch das über- lieferte peoco! angezeigt zu sein, wie das bei Homer überlieferte raccakco(v) von Abrens mit Recht für eine Entstellung des echten racocakcc gehalten wird, wofür der Umstand spricht dass auf raccahcot(s) Q 268 Evyov, S 67 und 105 xgépacev folgt, d. h. durchgängig Formen welche geeignet sind den kurzen Schlussvocal der Form rasoahcs zu dehnen. Vel. Bulletin XXII p. 3 oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 93. Hes. Op. 400: pM TOTE EnTeuns Béorov. So gewühnlich das Verbum £ntéo ist, so selten begeg- uen wir der Form Entevo, die noch an zwei Stellen der so genannten Homerischen Hymnen auftaucht. 2, 37: xontmpuov avSpénototy Entetov xard yaiav éfns. 3, 392: opporépous D Éxéheugey uépoovæ SUpLOY Zyovros Enreverv. Vielleicht hat an diesen drei Stellen ursprünglich das Verbum pactsvo gestanden, dessen sich Hesiod fr. 110 Güttl. oder fr. 36 Kink. bedient. Hes. Op. 767: épya T éronrever 19 appahmv Jatéa oo. Die vermeintliche Aoristform Satéxo%at kann durch diese Stelle um so weniger gestützt werden, da das voraufgehende érortever den Inf. Präs. erwarten lässt. Darum habe ich vor mehr als zehn Jahren die nahe GUY RONDEGGL YUVALHÉ TE SUPLÔY AEUOY Bulletin de l'Académie Impériale 224 liegende Emendation SatéoSat am Rande der Güttling- schen Ausgabe mir angemerkt. Eben dieses JutéoSo findet sich, wie die Kôchly-Kinkelsche Bearbeitung des Hesiod lehrt, in einer Handschrift der Laurentiana. Gleichwohl wird das fehlerhafte SatéacSat noch in den neusten Ausgaben geduldet. Von der Eris heisst es bei Colluthus 62: xEtet DE xUWNG&T HLODÏOU TOUTOUTOpOY LOYNv s Sadinv Éporbe, opov à Gone Senov. [Un Unter der po%ou rowtooncpes aoyn ist, wie der Zu- sammenhang lehrt, der goldene Apfel aus den Gärten der Hesperiden zu verstehen, dessen sich Eris bedient, um den Wettstreit der drei Gôttinnen zu erregen, der durch das Urtheil des Paris geschlichtet wird. Unpas- send erscheint in den obigen Worten xvca45a, wo von einem leicht beweglichen Gegenstand die Rede ist, den der Werfende zur Verstärkung des Wurfes hin und her schwingt. Der Dichter schrieb yergt SE Stvn- caca nach dem Muster von Il. 4 840: cchov à EX os Enercc, nxe de dnous. Entsprechend il éntdt- visas D 378 und T 268, mx értdynoas : 538. Im Vogel Phôünix, der aus seiner Asche neu ersteht, sieht Johannes Gaz. Ecphr. I, 222 ff. ein Symbol der alternden und sich wieder verjüngenden Zeit: melon TCÈe ca TELLOpOLOV, CTTL LOYNTUS nv poovos adtoyéveShos aroryouévoy Axa BavTOY, xai Tomy petapetber É0S TaMVAYpETOS av, AUTO YOVE ÀOYIN LLOPDOUILEVOS. Zum vorletzten dieser Verse bemerkt Graefe: «pete eubev, Eos ed. £os Cod. Maluissem fere Tomy — énv mr.» Das überlieferte petaperdey &cc weist vielmehr auf folgenden, bei weitem angemesseneren Ausdruck: xat Tohmy petapeude véos TaMVAYOETOS av, wo véos proleptisch gebraucht ist wie rœvayestos. Erst jetzt verstehen wir das befremdliche Paroxytonon os: es bestätigt sich hier, was anderweitig bekannt ist, dass bei der Texteskritik die überlieferte Accen- tuation nicht ausser Acht gelassen werden darf. Maximus rep! xataoyov 236: oxetnv yuiorouw dyous érura2coSov dhxnv. Doch wohl Gxsiav, wie 167 Gxciav axeopoptny durch das Metrum gesichert ist. An meh- reren Stellen findet sich der entsprechende Fehler +on- x (Thes. Gr. L. vol. 7 p. 2378 A), und Tongeinv Orcevra ktrov werden wir bei Orph. Argon. 181 zu dulden haben, wie für sdpsénv ein inschriftliches Zeug- niss existirt in dem Epigr. Kaib. 1078, 4: ôv Üxee 225 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 226 évos/nv éÉstavuoras 6ov. Ob hextn T oËsin te bei Op- pian. Hal. 5, 605 wie GÉerny épuSon œuxis Épotés ta ynv bei Apollonides Anth. Pal. 7, 702 und ein axo- Amon bei Marcellus de piscibus 25 den Verfassern oder der Ueberlieferung zur Last fällt, mogen andere entscheiden, Statt ébiv teocémy (oder tsosvnv) Eur. Med. 905 hat schon Barnes Sy tégevav vermuthet; ich halte diese Aenderung für durchus berechtigt, ob- wohl repervoréon gebraucht zu sein scheint von Philo- demus Anth. Pal. 5, 121. Bei Hesiod. Op. 443 kann ich weder tSstav ravhax Ehavvor für richtig halten noch môchte ich mit Bentley {Seiny schreiben: angemesse- ner dürfte sein tSbvratæ adhax Ehavvor. Auch pzhæivn (Thes. Gr. L. vol. 5 p. 722 f.) ist durchaus nicht hin- länglich beglaubigt ”). Maximus reioù xatapyov 399: ŒUYNY AVELOMON LG YEL Souhos ave xEVEoty ÊT ÉATOONO! YEYNIOG. Eine Verbindung wie ysynsos àx 2Aropgotv ist mei- nes Wissens unerhôrt und begriffich undenkbar, weil man über das was man hofft sich noch nicht freuen kann. Wie es bei Aeschylus heisst xevaiotv éATiot te- retopévos Pers. 804 und bei Euripides 6oti éAttotv réroSey oct Here. 106, so schrieb Maximus xev:notv ÊT ÉArOpfot TenotdOc. Ammon bei Tzetzes Exeg. in IL p. 33, 8: v otepeois Coots Éeivnv ets yaiav éraySelc Éxet pLevéers, xal tot vootos Bouts cTat apéauévn S vooos aTepsoîc xaxN° QUE YA OX TavETOL, ŒAÂE pÉVEL Te vOTOG Hoi TOAUXIS AVÔOELS OAeGEV, EÙ pen Ts pvny e0s slotdev 0 To. In diesen früher (Bulletin XXII p. 55 oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 168) von mir besprochenen Versen ist unpassend doËapévn SÈ vooos otepsois xaxn V. 3, 51) Nur auf einer Uebereilung beruht es, wenn G@. Kaibel zu den Worten: ‘Q tai toëcra Kümet5oç Auyeins (Epigr. 811), bemerkt: «KotptSa Atyeinv non noram». Nicht minder befremdlich ist was Epigr. 1056 im Texte steht, Albkne vüy [écopäe] xpoSupoy pôvor: eûte Où ra[onv MaËtyoc Éxtekéon —. Aebnliche Menschlichkeiten, wie ykwcon und yAwoonv, Soënv, Su- Ado5n, ueôcousn, kommen in Arbeiten der Zeitgenossen häufiger vor als man glauben sollte. Allerdings sind Analogien für derartige Entstellungen der üblichen Endungen in reichlichem Maasse anzu- treffen: schon in der älteren Gräcitat zeigen viele Würter der ersten Declination ein Schwanken zwischen A und H (vgl. Meineke Anal. crit. ad Ath. p. 148 und Kühner Ausf. Gramm. I p. 111); in nach- classischer Zeit finden wir Neubildungen wie yain oder yaia statt yaia, Seutvn statt Séaiva, poton statt poiox, "Ocon statt "Ocou, Bin statt Bla, dnvoSoreion statt Ürvodcrepa u. ähnl Tome XX VI. wofür kaum etwas anderes denkbar erscheint als dpËn- pévn dE vocos Tûyos xaxn. Eben so enthält V. 4 einen Fehler; zu 008 yo ox ravetar bilden die Worte dXRE péver ka rois AvSpus Ghsaev keinen richti- gen Gegensatz. Wie ich glaube, ist péver te vococ aus dem voraufsehenden dpËapévn dE vosos irrig wie- derholt; man erwartet oudi ao OxU Toitar, XX péver Snoov xat roïhaxts avBpns Gheozv. Aebnlich EF, W. Schmidt (Bciträge zur Kritik der Griech. Ero- tiker. Neu-Strelitz 1880, p. 34), GAZ péver poovtos. Orac. Sibyil. prooem. 68 (überliefert von Theophi- lus ad Autol. IT, 36) wird gegen die Heiden der Vor- wurf erhoben dass sie Thiere verehren und Ecava ai AYAABATE LELOOTOMTE xav Ta&0CJ0o10t MSOY GUYLOULATE. Was die letzten Worte bezeichnen lehrt am deutlich- sten Babrius 48, 1. 2: év 600 Ts ‘Epuns Tetoæyovos ciornxst, MSov à dt adto copcs àv. Zur Aufstellung von Hermen mit unten aufgeschütteten Steinen eignen sich nicht sowohl rascèo, Eingänge oder Zugänge, die durch Steinhaufen gesperrt werden würden, als vielmehr freie Pläitze oder breite Heerstrassen, na- mentlich auch Punkte wo der Weg sich theilt und ein drei- oder vierküpfiger Hermes als Wegweiser dient. Hiernach môchte ich schreiben xav totodctot MSov guyxopata, et lapides triviis aggestos, wie es in der Lateinischen Uebersetzung bei Alexandre richtig heisst. Orac. Sibyll. 1, 42: aa yon rowtn roodoris [rie] Viver éxeive. Das in der Ueberlieferung fehlende 6 hat Castalion hinzugefügt. Mit Recht bezeichnet Meineke Plhilol. 28 p. 577 diese Einschaltung als sehr ungeschickt; aber der von ihm gemachte Vorschlag, dE yuvn TooTn Tpodotetpn ÉVIVET ExcivO, kann noch weniger gebilligt werden. Alexandres Ver- muthung rooÿcris tros yet éxetvo liefert ein durch- aus unnützes Flickwort. Vielleicht ist zu lesen #xx% yuvn meooris rowtiorn viver éxeivo. Einer anderen Entstellung ist die Form roortotos erlegen 3, 113: oûvexa où (An?) Toopéprotot Écav LEÇOTOY AVIPOTY, wo das meines Wissens nicht weiter vorkommende recpéoroto durch das bei Athenagoras p. 156 erhal- tene teorioter zu ersetzen sein wird. 1,123: où yo DBorotnpes moG mhéoy n CT Éxelver, épavtes oxohot, ptapos SUopnua yÉovTE. Ob die Dehnung des Iota in Féyavres zu dulden oder 15 227 Bulletin de l’Académie Empériale 228 etwa Tecaves zu schreiben sei, wage ich nicht zu ent- scheiden”). Für n T7 éxsivor will Meineke Philol. 28 p. 579, falls nicht ein Vers ausgefallen sei, free éxsi- vor schreiben. Ist 7: im jetzigen Texte zu beanstanden, so bot sich ein weit einfacheres Heilmittel, où ya UBoroTtnges nach dem Homerischen pehavrspos note toc À 277, worüber I. Bekker Hom. BI. I p. 312 — 314 gespro- chen hat. Indess ist n 8t éxsivor nicht auffallender als das in der Homerischen Poesie ziemlich oft ohne Ver- bum erscheinende Ô$ te ”). 1,154: vnbars, tas xanins aroxobare, undè Bruios DAMMACLS HLAOVATTE. Eine Verbindung wie xaxfav aroxcnret halte ich für uuzulässig. Auch tas xaxlas Éxxobare, woran vielleicht manche denken werden, will mir nicht passend er- scheinen; denn 2xxortev künnte hier nur bezeichnen «einem anderen austreiben» (vgl. Dinarch. 2, 4: tas noopasels Kai TOÙS mEvaxtopLoUs éxxCbate œutod. Ly- … 28, 6: {va avTov éxxobne tas cuxopavtias. Isaeus , 39: fx avrov exo pape TANTNY TA isgoount Éav. A de vita Pythag. $ DEULVOTNS ait} xoi TOO TONTOS riotts. Cratetis Epist. TohdE Théov qUT éxeivot, 234: éxxoneln &v aUTOY 1 TE 52) Richtig ist gemessen Orac, Sib. 8, 100 yxepot ytyavreinor. Nicht hinlänelich verbürgt ist die gangbare Lesart 2, 233: nÔÉ TE YUYAVTEOY zut 064c ethev xaTaxAUOUOS, Wo zwei Pariser Handschriften nach Alexandre 408 ytyavtrwv xat tote ocouc etkev xataxvouoce bicten. 33) Die hier in Betracht kommenden, von Ameis im Anhang zu À 368 verze ichne ten Stellen sind folgende. B 394: ue épar, Apyétot QE uéY taxov, WG OTE XÜpLU “+ « TXT 2@ DYnxñ, QTE ZLVNON VOTOG 2Sov. A 462: notre o?, CES ÔTE TUPYO6, EVIL XOUTEON dopévn. M 132: Eotucay "de gTe TE douce oUpEGLV Sptxapnvot, : a èuev, ue OTE TL aùe QUpEGLy ; RETOIUC. : ñoratp" GE OTE Bodc, Toy T oÙupeot Bouxskor avÔpES Da GUY où» ÉSÉRovra Fin Sroavree aYouGLv, 712: dyxds ÿ daAANAOV XuRéTNY LEP StY sta po eV wc OT dueifovres, TOUS te XAUTÔS nipupe TÉXTOY. a £ 281: eïoato GE Ste érvoy y nepozrdée TOVTO. À 568: ès LA CR où OT dot00c éTiST au VOG XAT Éhetue. rt 494: ÉEw wc 0Te Tic OTEPEN ASos nè GiOnpoc. Entschieden fehlerhaft ist unter diesen Stellen € 281, da fevov (richtiger rouvov) in der Homerischen Poesie den vorhergehenden kurzen Vocal nothwendiger Weise verlängert: vielleicht also ist soato S ws te Bvov zu schreiben (nach Schol. M 118 bei Cramer Anecd. Paris. vol. 3 p.17). An allen übrigen Stellen konnte statt ws 5te eben so gut qvre gesagt werden, und + 4 findet sich qure überliefert bei Plut. de garrulitate €. 8 p. 506 A, der den Vers in folgender Gestalt anführt: ÉEw © mure rep xpatepn Opèe DE GO npos. Weniger befremdlich als die obigen Stellen ist Ÿ 219: we © 07 apt£nAn por, Ote luye cdÀTRLYE, sofern zu dem Prädicat gotË£nhn das Verbum ëcti leicht ergänzt wird. 34, 3: oÙ éxrobouotv Upoy Tny Toupnv, Épromaoouor xagtepiay koi épxpateuav), Während tas xaxias so viel ist als tas dypestéous xaxtus. Besser dürfte sein le TOUS KOAHIOLS arogibure, nach 1, 338 EVTElAs ATOATOUS TOMoEY nd dropibo x ee î xaxos — falis nicht hier aropubar, dort amogvbart: vorzuziehen ist. 2,49: xat tote nas huoç ER dSavatouoty HÉShOL aSANGEL VXNS TEpLxA NES. Vermuthlich xai ovpras téte haûs ÈT dSavatorory RÉSROLS. 2,91: pnnrors Avôpa névnra 100 oxobns ÉTÉ oo!v. Man erwartet pirote poTa névate. Ganz in derselben Weise ist 5, 108 ravrus oheî Baatheis peyahous xaœi potes aptorous aus Lactantius Instit. VIT, 18,6 her- zustellen statt des handschriftlichen xat dvèoas apt- gtous. Ucberhaupt ist die Verwechslung von Formen wie 4vÿoa und got sehr gewübnlich. 25 105: Éctooay à poTuLee End EG ÉV KOMMTOUS" TOVTES VAR TEVNS TEPIPNOOOVTEL TOXUHLOYŸON. Was sollen die Worte tavres revins Teptpnocovtat be- deuten? Die Herausgeber wissen es: wer etwas Grie- chisch versteht, wird das sinnlose regtoncoovtai ändern in Tetpnoovtat, auch ohne Pseudo-Phocylides 40: ov- TES TEVENS va.0 (oder vielmehr £evwns mit Bernays) TELQOUETL TS TOAUTALYXTOU. 2180: toi À ÉVONYSOŸEY ATAVTE, , FR TOVTOTE TOOGÈOMAONTES LXOULNTOLS PAEDHpOLOLY. wo der ist mir unver- Alexandres Vorschlag éyonyceSov dravres, Dualis statt des Pluralis stehen sol], ständlich. Wie wir IL. K 419 lesen où S Von at oUAGOGEpEVAL TE HÉRONTAL, so ist hierzuschreiben tot 9 àyonyogSav éravtes miteiner im Alexandrinischen Dialekte üftersv orkommenden Per- fect-Endung (vgl. K. Keil Zwei Inschriften p. 27. Küh- ner Ausf. Gramm.1{ p.527. Curtius Verbum Il p. 167), die auch in den Sibyllinischen Orakeln gebraucht wird: ED A IAA) 1, 86. rnéouxav 1,265. éooyav 14,253 D, DOsElc Mit Recht schreibt Hilberg (Princip der Silbenwägung p.111) ets aiovas aravtas. Zur Sicherstellung dieser Emendation konnte er sich berufen auf zwei andere Stellen der Sibyllinischen Orakel, wo die Worte ets aioôvas aravras den Vers beginnen, 8, 170 und 14, 361. AIOVAS TAVTULS ÉTELVOLÉVOIO HOOVOLO. 229 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 230 3,79: xai fn 19990) TE KA HO YUEOY cis ha dia xoi XHhxOY TE ctÔnpov Epnpsotov AVILOT OV. Das xat vor yarxcv ist aus dem vorhergehenden Verse irrthümlich wiederholt; der Verfasser schrieb yæxxov T nÈ cÔnpoy. 312904: xai Tote Ôn Jeds obpavodey réuber Baorkne, xouvet à avdoæ ÉxmaTtoy Ev Late HA TUpOS Unzulässig ist Alexandres Vorschlag xotvet avôoa Es war herzustellen réphet Bactina xotverv avdga Exactey, Wo der Infinit. in finaler Bedeutung zu ai. ExacTov. fassen ist, wie Il. T 442: rouvexa pe rooënxe dtduoxé- pevat tads tavra, und oft. 3, 310 #: xai TOT on GS 0ÏL Tec TOÙ, OS [LA VEYOVUIS. xat TOTE TANCINON ATÔ ALATOS, Os TAPOS AÜTN déysas avdoov + ayaSov dvoov te dtxaloy. Zwei Fehler dieser Worte glaube ich mit Sicherheit beseitigen zu künnen, indem ich schreibe 6 à 700, To yeyovuie und rAncSnon rat alparos. Ein Q \ GS TO0 dritter Fehler scheint in den Worten os rages œùtn enthalten zu sein, dessen Heilung ich anderen über- lassen muss. 21090 0: ah xaraS Bout HA NYEUOVOY XAXO Obwohl 5,478 gelesen wird xaxotntes avæyvous, halte ich den von Opsopoeus ge- setzten Singularis 24x60 TATE für wahrscheinlicher, Vel. , 17 und 13, 53: à nys BY HOROTT OL. 1991: à NYEUOVOY xaxoTnros. 8, 162: 0 nyEpovov xaxdTnTos. Die Verbindung ist entlehnt aus heidnischen Orakeln, vel. nyspovov xaxcrnrt bei Paus. X, 9, 11 und Sopater Rhet. IV p.569, 14. Entsprechend Synesius Epist. 73 p. 220 C: ratéov auto (nämlich to tœxatpatoy AoyLov) xai TATTOY NXOUOAUEY OT pÜepei TA ABdOY NYEUCVOV TN GUY. TOR)OY VAE LELOTOY EldEv XAXOTNS. AD AUE "Enr à onmcrav rohuBapBapor ESvos étéA SN. Statt rohvGaoBagoy ist entweder ton BapBagoy zu schreiben mit K. L. Struve, oder tax BasBasev, was ich vorzichen müchte nach 14,313: dsiua mépov, 0Tc- tav mov BapBagos réASn, d. h. orctav rot BaoBapov ESvos éréASN, Wo Alexandre durch 3, 520 zu der Aen- derung rohuBaoBagov éSvos été} 3m sich hat verleiten lassen. Statt des 2, 1 überlieferten rovravooæoy 69nv hat Meineke Ta Tavocpoy 6nv hergestellt; in glei- Dies urkundliche Zeugniss lehrt wie unsicher der cher Weise habe ich (Bull. VI p. 68 oder Mélanges Gr.-Rom. IT p. 485, wie später Meineke Philol. 28 p. 594) das Or. Sib. 12, 68 überlieferte rohuxc/aves ahhos durch téht xofoavos ahkos ersetzt. 3:1099 L.: omnote xev ravtesot Bpotois Aouoîo TehEUTN ÉAIN, ai pofBeocio ns TULO OL Dapévtes. Was Aooîo teheutn hier soll, wo propos, GAsS90c oder ein ähnlicher Begriff gefordert wird, ist mir ein Räth- sel: mir scheint das übliche Savarotc rehsutn nothwen- dig zu sein. Nachher môchte ich die fehlerhafte Mes- sung der Form riyoct beseitigen durch den redupli- cirten Aorist rexuyoc. Vgl. Maximus reg xotapyov 577: nv puy Aget Évvoio Spcou reruynot csxnvn. Maneth. 3, 299: et à dou UN TAUTAV MOONS LYLINS TETUOUEV. Dieser Aorist verdankt seine Existenz einer Stelle der Ilias, À 116: n à ei andere et Te9 TETUYN 3, 642: 1 DE\OLONLOGUVN XAXA ToOULAÎVOUGE TOGO. Für ropatvouca ist selbstverständlich tpætvouca noth- wendig, nicht weil tagætvouoce in fast allen Handschrif- ten steht, denn nicht nach den Handschriften sondern nach dem Sinn haben wir zwischen rapatvo und rot- gave zu Wählen, sondern weil rapaætseuce hier durch- Rép TE TUYNOt ph cyedov, st lasen. Wo aus angemessen, regatvouoce dagegen vollkommen sinn- los ist. Von rapaivouca aber (wie von rouratvouca) kann nur ein Accusativ abhängig sein; wonach ich schreiben môüchte xaxa rpasouoa tohnus. 4, 15: xai yn xai roraot ka devtuv at TOY. Alexandre ändert rotapeot in rotamot te, ich müchte vorZiehen xai yatn Totapol te, 4, 148 f.: a ai, Kunge Tahatva, dè SÈ nhatt xd Saaoonc xpvber emepénoty avasotpSeirav mÉAhaIS. Diese beiden Verse erscheinen bei Cramer Paris. 1 p. 334, 18 in folgender Gestalt: at où Korge tahava, Gè D péya xüpa xæhutder nuact xemmeptnoty (1. -crouv) dot Nur den ersten Vers citirt, ebenfalls mit der Schrei- bung où dE péya xopa xarvbe, Tzetzes Chil. 7, 569. Anecd. ’ LEN VORLEVN TE SUÂROGE. 30- den ist auf dem die Texteskritik der Sibyllinischen Orakel sich bewegt. D 2930: DBot xaxGv xai TA Hal AVSpOT OS ÉVL TÉGUO. 15* 231 Bulletin de l’Académie Impériale 23? In diesen Worten gibt xæxov nur einen Sinn, wenn es als Neutrum gefasst wird, d. h. wenn wir statt xat rp.a den Begriff «tré substituiren. Durchaus passend UBot XAXOV LOYNYÉ, wie es später (5, 241) heisst xaxov doynyi p:yiorov. Vel. Pseudo-Phocyl. 44 (oder Orac. Sib. 2,115): xaxov Apynyé, BLoudope. Orac. Sib. 5, 179: Mépo, rc- voy aoxnyos cn. Menander Com. 4 p. 189: tnv vuxta Tv ToANGY xaxo) doxmyov. Zenob. 4, 6: rèv Axdadov wäre XPUGE BRUNOY TOUTOY TOY xuxOY yevopevos. Hyperides p. 61: Ô JAVATOS TOUTOLS DEN [os peyaov dyaSGv yÉyoves. Nymphodorus bei Ath. VI p. 265 E: êyô dpi écopas rohkov ayaSov aoynyes. Clemens Alex. Strom. VIT p. 841: aravroy doynyèv dyaSov, Auch der zweite Theil des Sibyllinischen Verses ent- hält einen Fehler; die Worte avSgoros péyæ Téopæ sind aus 5, 228 oder 5, 243 entlehnt, wo &eyn und Tépp.o einander gegenüberstehen; für den in Rede ste- henden Vers wird erwartet UBQt xaxoY Couc oi ANS QT OL LÉVE TL. O. xaxov dE avairtoy °1). D, 246: aX cnotav Ilepois ai arécyouto rTohéuoro. Gefälliger und correcter wäre &AX Grorav yn Ilepots arooyntar moképoto, und [lspois y arocyorro rokéuoro findet sich in einigen Handschriften. 7,5: Konge, où à éÉohéocer yamixs more xdua Sa- 54) Nach diesen und ähnlichen Stellen dürfte zu emendiren sein Eur. Hel. 426, wo Menelaus sagt: dv O avtoou puyoie XpUVas yuvaixa TAV XUXOV TAVTUY pot GpEaGay Nxw. Der Sprachsebrauch scheint +nv xaxov TR pot LELNYOY zu forder n. — Musonius bei Stob. KFlor. 29, XTNG6AGŸaL ÔE dpETNY, nTLs ARAVTWY TOv GyuIüy ÈdTt popntée. A hier ist wohl écrit &pxnyos vorzuziehen, obschon apyny0s und yopnycs unter Umstän- den sehr verwandte Begrifre sind, — Den Gott Zeus soll Athenaeus XV p.675 C rov GuBowv dpynyov nennen: hier dürfte xopnyov ingemessener sein, — Bei Heraclitus Alleg. Hom. c. 15 liest man: da À Tautnc This oEns lOunpoc, eènôv tûs mhruxde dxtivac BEA. Ohne Zweifel ist apxû aus S6xnyss verstümmelt, wie €. 22 Homer roy puotxwy Hat Ta Grotyeiu Joypatey Etc GEXNYSS. genannt wird; vel. Aristot. Metaphys. 1, 3 p. 983 b 20: Ouknñc 0 ris TotauT ns CERCLE prhogoqius. Isocr, 12, 101: dpxnyoie yeyevauévors xat Siacxahotc Ty Totoutwv. — Endlich glaube ich dass Antiphilus Byz. Anthol. Pal. 9, 29 geschrieben hat nicht roue veGv dpynyé, sondern TOO Xax@Y Gpfnyé. — Geraume Zeit nachdem ich die vorstehenden Be- méerkungen niedergeschrieben, las ich in dem ausgezeichneten Werke von H. Diels Doxographi Graeci (Berol. 1879) p. 94 folgende Worte des so genannten Heraclitus Alleg. Hom. €. 22: xat Tarn JÈ Ta dTopacty TpOTOS "Oups vewpynsey AVR YOpX SRÉpHaTa TS értvoius xaptoievoc. Das unpassende Éyewpyncev war in ÉLopAYNGEv zu ändern, vel. Bulletin IX p. 403 oder Mélanges Gréco-Rom, 11 p.742. Dasselbe Heilnittel ist ge boten bei C lemens Alex, Strom. I p. 326: 1 xUxiX xUXNY QUO Éxet xat oÙToT Y0S (L Lopnyos) yevéoIa. dv xahoù ttvos UTOGTUIT YE0E- Xdcons. Was man unter einer yauxn Sœhacoa sich vorstellen soll, ist mir unergründlich: ich denke, der Sibyllist schrieb Kurge, oè à éÉchéoet yYhauxñc note xdpo Sahacons. Vgl. 2, 198: yaiav T oxeavov te pé- yav Yhavxnv Te SAÀ&GGAY. T; 114: pti dE cé, Evpin TApov, xatoduoomat otx- teos. Es war Tkñpov Evoin zu schreiben, wie 13, 119 überliefert ist. Vol. 5 xarodupouat oixtoos. 11,122: dote D cé, TAuov Pou- , 286: &ott ÔÈ cé, Thnpoy Ads vin, xarodupomat oxTOOS. 8, 184: aidoiny TocATOVTES, avordetnv dE T ÉAOUYTOL. Durchaus unzureichend sind die in den neusten Aus- gaben beliebten Schreibungen avardstny 3£ & £hodvtar und avardsinr dé y EhodvraL. 5 kann nur ein Participium entsprechen, das wir 1, 175 ge- wahrt finden in folgender Fassung des Verses: Dem rochkmovres atôoinv TocATOvTES, avadelnv TOŸÉOVTES. Die 8,184 überlieferte Schreibung führt auf avatèsény de tTehodvtes, obwohl œthodvtes mir passender zu scheint. 8, 342: xoUxÉTI Ôn TTNGOVTUL ÊT” Hépos EUTTEOOL COVEUS. Die Vügel fliegen nicht auf, sondern in der Luft; so- mit ist zu schreiben év œéot oder &v méer. Dafür spricht obenein 2, 208: xouxétr Totnoovrar év népe GThETOL oovets. Auch rotncovtar dürfte vor Sn rrnsoytrat den Vorzug verdienen. 8, 356 bietet Alexandres zweite Ausgabe (1869): kal tot arotoéŸet HavEpOS To TO0GWTOY ÉT AUTO. Richtig die erste Ausgabe (1841) arocteébet, wie Eur. Med. 1148: Xeuxnv 7 anéoteeŸ éprahy rapnôa, Theognis 858: avyév œrootpébas où écopav éSéha, und entsprechend sonst. Dagegen ist bei Aristides vol. 1 p. 577 zu schreiben BouAcpevos aroto“bar, nicht atoctoébou. 8,385: capxas yag TE ka Coté LUEGEVTA xalouot. Alexandre kam dem Original nahe, indem er umstellte: . Der Dir TS TOUTELLS UILOG Gags VAp TE xmlouot xal ÊGTÉA JLUEROEUTE. die erst nach- um Nur war die Partikel re fortzulassen, dem xafouot an eine falsche Stelle gerathen war, des Metrum willen eingeschaltet wurde. 11, 64— 67: at ai oct, Mndetoy Édvos, petémerta haTpENGes avSpacty AiSténecoty rio Mepcztdéx yügoy’ 233 Enr ént vois mooodets ÉxaTov AvxaBavtas AT ApxTou rimewoets, SuoTnve, xal Uno Éuyor avyéva Snoets. Die Worte drig pepostdén yopcy bedeuten nach Fried- lieb «über durchschnittenes Land»: er führt also pe- gode zurück auf pégos und 205. Selbstverständlich ist das hier gebrauchte Adiectivum, wie die Erwäh- nung der AtSicres lehrt, ein Derivatum von Mecon. Freilich lässt sich die Form Megcstôéx xo90ov in keiner Weise rechtfertigen. Ohne Zweifel ist herzustellen 0tèo Meosontda yopav, Wo das bisher nicht nachgewiesene Meponés von Mspon gebildet ist wie Megornts von M:- ecxn. Mit den folgenden Worten £rT — apxtou vermag ich nichts anzufangen. Ueber den letzten Vers sagt Alexandre: «mnetrum in medio versu laborat, sed non insuelo Sibyllistis vitio». Das Metrum ist in Ordnung, wenn Wir schreiben: TANpO GES, UOTE, X UT ÉUYOY aUyÉVR Snoels, und zu weiter greifenden Aenderungen sind wir, s0 viel ich sehe, dureh nichts veranlasst. Denn die Elision der Partikel xat haben spätere Dichter sich zuweilen gestattet (vgl. Meineke Anal. crit. ad Ath. p.339), und für die Redensart 0r0 Euyov avyéva Snoe finden sich entsprechende Ausdrücke in den Sibyllinischen Ora- keln. Vel. 11, 76: ahAG nav nEet xal Uno Evyov au- Eva Snoe. 14, 308: Sobhstoy UTo Evyov adyéva Snoet. Hiernach dürfte 3, 448 zu berichtigen sein: aXha peradots hop og AvVSpoTotory Épactais, xAhhE OU NÔ AB Jauvov Évyov aUyéu Snoet, wo man erwartet xat Uno Évyov aUyéva Snoers. 11,172: adN Onctav Ôn tata dnep boy Tehetw IN. Vielmehr recto dnce smov, wie 8, 302 und 12,201 überliefert ist, In ähnlicher Weise ist die ursprüngliche Wortstellung gestürt 14, 248: Égoovrot, Lo HLÈV TEOTOY AELSLÔY XATÉYOVTES, WO TOOTOY KATÉYOVTES AQITLOY ZU eMendiren War. 11, 184: nt èri oySoxovra étov émirehlopevaov. Vermuthlich érra xat dySoxovra toy reprrehhoue- vawy. Die fehlerhafte Endung in regirehopevaov ist nicht befremdlicher als D9arov xshapvtouevaoy Orac. Sib. 1, 229 oder vncaowv bei Callimachus, dngaov bei Manetho und ähnliches (vgl. Bulletin XXII p. 53 oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 164 f.). Statt frssaoov T aro xvavenwv Hesiod. Scut. 7 hat Flach xvavedv- Toy geschrieben: vielleicht ist xvavoévrov vorzuziehen. 12,144: rokoùc éÉchécer Pouns dotous te nohtras. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 234 Das sinnlose ze ist zu tilgen; es wird entbebrlich, wenn wir schreiben dotoùs rohntus. 12, 224: io roxe Pons dho0v odvov éyyds éovra. Den seltsamen Ausdruck Gho0v yoovev hat Alexandre verschuldet; die Ueberlieferung lautet 6Ao0v Spovov, was freilich sehr unpassend ist; man erwartet 0h00 pépov. 14, 38: GXATTOY MIILÉVOUS, OÙ Ô AU XEUELOÎTL KEpæuvois. oUs pLÈV oASooEL Statt xogvesoïot xepauvois sollte es wohl heissen pae- potot xepauvois, vorher vielleicht cxnrtoi. 14, 145: kepiotôv. Richtiger recéovrar nach 3, 275. 342. 685. 12,244. Entsprechend in einem Orakel bei Herodot. 9,43: tQ rokkot recéovtar. Häufiger findet sich in den Sibyllinischen Orakein das Futurum récopat (récstar, XATTÉGETU, ROOOTÉGETAU, TÉCOYTEL). RohAoù Ôn TEGGOÛVTEL TO XEATEOOY Ko- 14, 318: érchovS afpa Aéovtos SupoBcoou. Nach dem anderweitig bekannten Sprachgebrauch halte ich Sop.oécos als Beiwort eines Lüwen oder auch, falls je- mand die metaphorische Anwendung des Wortes Xéov zu Gunsten der überlieferten Lesart anführen sollte, eines Menschen für undenkbar: ich vermuthe Aéovros @pofopou nach 11, 215: Servès vas 0e Aéwv éruéerar opoBcoos ne. Vel. das Bruchstück einer Aesopischen Fabel bei Suidas v. At: éç Blorov xovovos Gvo yéveT oproBcpos As. Durch das treffliche Werk Æpigrammata Graeca ex lapidibus conlecta (Berolini 1878) hat G. Kaibel auf den Dank aller Fachgenossen sich die gerechtesten Ansprüche erworben. Die bewunderungswürdige Ge- lehrsamkeit, mit der ein weit zerstreutes Material zu- sammengebracht ist, das hervorragende kritische Ta- lent in der Behandlung der Texte, die jeden Luxus meidende und nichts nothwendige versäumende Präci- sion machen das Buch zu einem xeymhtoy, dessen 3rauchbarkeit durch zweckmässige und zuverlässige Indices wesentlich erhôht wird, Natürlich bleibt auch nach Kaibels vorzüglicher Leistung hier noch viel zu thun übrig: nicht nur liefert die Rüstigkeit und Um- sicht, mit der die Ausgrabungen betriecben und die neuen Funde verôffentlich werden, einen fortwähren- den Zuwachs an neuem Material; auch die bereits be- kannten Texte werden bald durch zuverlässigere Ab- schriften bald auf dem Wege der Conjecturalkritik berichtigt; endlich ist es nicht zu verwundern, wenn 235 einzelne schon früher mitgetheilte Emendationen dem Herausgeber entgangen sind. Somit gilt das dies diem docet gerade auf diesem Gebiet in weitestem Umfang. Kaibel selbst weiss dies am.besten: und wie er die Vervollkommnung semer Arbeit vor und nach der Pub- lication derselben sich hat angelegen sein lassen, so darf ich hoffen ihm einen Dienst zu erweisen durch die Verôffentlichung einer kleinen Nachlese von Be- merkungen, die eine Berichtigung der von Kaibel ge- gebenen Texte bezwecken. Statt nxény mais ste (Epigr. 831 à p. XVIII) war moy mas ei vorzuziehen. Eben diese ob ist für einige andere Stellen nothwendig. Epigr. 497, Sovarixiou Éaxopoio Auyoa Tais Elaèe x xeita]. 502 14: Nmôupos, Italuwns Adane rais nuepos Crus. S97. 3: Ovtxro|o \o]o.al jen mais, “Eoluaée]u > aa Hip vos. 1037, 6: eineiv vs Tais et o[0] xat oupavod ele) 903 a: AvSeplov ratc oùros. Corp. Inscer. Att. III 124 p. 57 (ein längst bekanntes, von Kaibel übersehenes Epigramm): Edtuyfôns rais ©v Eutuytôov ’ASpoysus. Auch in den Texten der Schriftsteller sind häufig derartige Ungenauigkeiten zu berichtigen. Vgl. Hesiod. Theog. 565 und Op. 50: êùs tais laneroic. Seut. 26: éds mats Ahxatoto. Alexander Ephes. bei Theo Smyrn. p. 141, 3 (Meineke Anal. Alex. p. 573): toënv Tor oetomve Atos muis nopocev Epuns. Orac. Sib. , 324: n Tote ka peydhoto Sec naîs avIpoTolotv. 11,274: éÉcre ooù xtuotis Snpos Tais WYEpLovEUTEv. 14, 185: aXX Gnotav don toutou tuts év x So ‘Po- uns. Orph. Arg. 151: Apodapas 5 Aou mais nAySe. 180: muse © Eÿoutiov ’Ipou rats Axtoptovos. Noch Fr. Jacobs schrieb Anthol. Palat. 7, 558, 3: covopa “Pouopivos vevcpnv, rats AlSepfoto, und 15, 40, 1: 0x- rôte naymedéovros éds rauic doyauos avoüv, was in der Didotschen Ausgabe dort nach Plan., hier nach dem cod. Palat. in rats gebessert ist: die Form rats war auch ohne derartige Zeugnisse nothwendig, wie ein inschriftliches IAIZ uns die Wabhl lässt zwischen rats oder rats *). 55) Statt des zwcisilbigen Setoc gôttlich habe ich an nicht weni- gen Homerischen Stellen die dreisilbige Form Séros gesctzt, nicht weil alte und neuere Etymologen (Epim. Hom, p. 125, 24. Choerob. Anecd. Oxon. vol. 2 p, 192, 4. Lobeck Elem, 1 p. 414) behaupten, aus Sete sei zunächst Sétoc, daun erst Setos entstanden, sondern weil Seïos in der ältesten Poesie fast durchgängig so gestellt ist dass der Vers die dreisilbige Form Séos gestattet (vel. Bulletin VI p. 10 f. oder Mélanges Gréco-Rom. II p. 401 #). Namentlich wurde Builetin de l’Académie Impériale © 236 Von der in Los gefundenen prosaischen Isis-Inschrift bei Kaibel p. XXI f. ist in den Mittheilungen des Deut- schen archäologischen Institutes zu Athen IT p. 162 eine vollstindigere und theilweise correctere Copie publicirt worden. Mit Hilfe der neuen Copie und mit Benutzung einer Stelle des Diod. Sic. 1, 27 hat M. Fränkel (Archäol. Zeitung 1878 p. 131 f.) die Kritik der Inschrift wesentlich gefôrdert und, wie mir scheint, ziemlich zum Abschluss gebracht. An zwei Stellen jedoch glaube ich den von Fränkel gegebenen Text mit vülliger Sicherheit berichtigen zu künnen: V, 15 und 16 (oder V. 5 u. 6 Kaïb.) war zu schreiben éyo Saraooua vya. 20[ele (die Form ist nicht anstüssiger als das nachher folgende cv a Ta), V. 23 (oder 13 Kaib.) weder 2yo Topos noch &Vo Suotas, sondern èyo punis (d. h. punostc) dvSporots Epigr. 1117a p. XXII lautet: s e \ , £ Otav Touby TovnoL LONCTA TIS AN Ÿ avédetEc. durch eine Vergleichung der Stellung welche ôtoç und Seïoe in der Homerischen Pocsie einnehmen, jeder Gedanke an eine Laune des Zufalls ausgeschlossen, Gleichwohl war die Berechtigung der Form Sétoc damit noch nicht erwiesen, sofern ein zweisilbiges Seïos im Hexameter statt des dreisilbigen Séros selbstverständlich durchweg eintreten kann und sofern bei Homer einige fehlerhaft überlieferte Stellen für das zweisilbige Seios geltend gemacht werden kônnen, Ein positives Zeugniss für Sétos ist erst neuerdings zum Vorschein gekommen Corp. Inscr. Att. IT, 1 p. 488: Atopavtrou Spnrtriov. Tade ot Éaxopos pitos ÀEyw, AG#XRLÉ, Anrotéou rüat* TO HPÜGEOY ès Spy TÉouat TÔV G9v, [LAXAP TEROŸNUÉ Ve, Seiu xepala, toÛac oÙx ÉLOY, 5 oc ro mpiv Éc tepov nhUSov, et mû où rpoppwv ÉSÉAO TE RE Flex etotyetv, rros & ÉGiOw TÔv Euov Seov, Tv pardporepoy LSovos elaptväc; 10 Taÿe ot Atiqaytos émeuyouat” 5üG0v HE, LAXAP oSevapwtate, lugipevos rod ypa #HXNV, moùs G où RuThOG, OL MEYÉX EUZORUL où yap Tu ért{Sovioy Bporuv 15 TotGvÔe ropot AUGUY dAyÉOY. Hôvog ei 60, paxap Sete, oJévwv oË yap Jeot oi (TAVUTELPOLOL SOpoy MÉya, Toy puETpOva, Synroic Étopov, AUGLV dAyÉEY. 20 Kumanudis, der erste Herausgeber dieses Gedichtes, schrieb V, 2 AntoïSou mat: nachdem Dittenberger die Form rat hergestellt hat, erscheint das Metrum Livwtuwuwtvt noch an zwei Stellen verletzt: V. Steinmetzen sein dürfte 10, wo elaptväc ein Fehler des statt-der dreisilbigen Form “ptväe, und ER : ; Rae ; À V. 17, wo zu schreiben ist povos ef GÙ, paxap SÉLE, GS vu. 23% xa TOv Tagévro TAG pi AavSavn, Serhaotos aÛTO YVES N Toynoin. Die ursprüngliche Gestalt dieser Sentenz habe ich Eu- rip. Stud. IT p. 103 nachgewiesen. «Doppelt schlecht ist, wer mit büsen Thaten schüne Worte verbindet»: zu diesem durchaus vernünftigen Gedanken will der mittlere Vers in keiner Weise passen, d. h. die Worte xai Tôv Tapovtæ TAnstov pun avSayn sind eine spätere Zauthat. Epigr. 21, 1 p. 8: ASavaropue [Sla[vodcr ÉSnxav one rohitou. Besser dürfte sein folgende Fassung: ASavatopues So [vodot nohîtat ou avéinxav oder Salvodot tohs pvr- peiov éSnxev. Eine Positionslänge der Schlusssilbe eines Wortes zu Ende des vierten Spondeus, wie sie in £5n- xay vorliegt, wird von correcten Dichtern nicht leicht zugelassen *) und erscheint somit für ein Epigramm aus dem fünften Jahrhundert vor Cbr. als bedenklich. 147, 1 p: 50: nn Conv pév Élyouou dynelatov ateé. Auf œynpatov mit verkürzter Paenultima würde Kaibel niemals verfallen sein, wWenn er eine vor einem Viertel- jahrhundert von mir verôffentlichte Bemerkung be- achtet hätte, Philol. IX p. 178 f., wo gezeigt wird dass œynoatos mit langer vorietzter Silbe durchaus regel- recht, das von den neucren Kritikern vielfach dafür gesetzte æynoavros dagegen eine unverbürgte und feh- lerhafte Bildung ist. Es scheint mir nicht überflüssig das für diese Frage in Betracht kommende Material hier mitzutheilen. Simonides (bei Bergk Lyr. ed. alt. fr. 95 p. 901) Anthol. Pal. 7, 253 und Schol. Aristid. p. 155: 56) Val. Gerhard Lect. Apoll. p. 149 — 157. Wernicke Tryphiod. p.174—176. Hilberg Princip der Silbenwägung p. 112—1924, Tadel- los sind Versausgünge wie SAXYTAS T OXAUHÉVOUS TE, XEPOVTUS T° ai- Sora oivov, X4 SnpGY te SUTE TAVTO, ÜTEpIEv DE oxoloneootv, Ëc Tu tpiôa Sata u. ähn]l. Dagegen zeiet sich ein Verfall der formalen Strenge in folgenden Versen der Kaiïibelschen Sammlung. Oÿroc ce ÉvIade xetrat ÊYEL LÈV tebvepa Kptoù 68, 1. dotoioiv TE ToSELvOv dei ydp naoc:v dpéoxwv 64,3. “Ootig où tivos Elu, ta LLTE ES YOZUUATR poatet 114, 1. Hôior ns TOUE shpa A DYarpos TatÔ1X0Y écrtv 158. xei9 ‘Hpaxksiône 6 Pikwvos Amos we 215,2 2. KakOTUE, TexIEts AuxaBavtuc Rs 280, 2. Toy onv EUvoruy xat miotiy, Daiôpe, xxhkoUvTES 481, . Khaÿôroc intae AyaSeïvos Tnvôe dvéSnxev 558,8. Eordc de Tis ÜTEOTLY TOO UTO Tuupo 621, 1. Tav Hoppav qi TAVÔE K58wv06 rAnGioy, GvOpec 706, 1. MATE Sixnv eirus ps © px0y Sous toŸ Suoig, 713, 12. Boudc éyu oÙv ratot À ESnxey xAv06 'Avouflwv 833, 3. "AvOpes ÊToinosav 60- piatotv xxldv ayapo 1100. Auf unsicheren Ergänzungen beruhen die Verse [lot , drapyi v tav0e Mévavdpols Snx and réyvne] 753, 1. und ... vous m d]véSnxey [uvnpa Avxlaïos 763, 1. des Seiences de Saint-Pétersbourg. XEQUET dynoato yowpevor EdhoyÉN. Statt &ynoato (so Anth. Pal. und Schol. Aristid., letztere mit der Variante 4xnpgato) haben Jacobs, Schneidewin, Bergk, Dübner das fehlerhafte æynoavro mit Anth. Plan. dem Dichter octroyirt Soph. Oed. C. 698: Eotuw À ofoy YO as Acinç oùx étaxcvo oùS év T& peyaha Awoiôt Bhaotov DÜTEUL AYNOHTOY ATOROLOV. Die meisten Herausgeber schreiben @oreup dystontov und verstehen ein «nicht mit Händen bereitetes» Ge- wächs. Dagegen sprechen zwei Gründe: einerseits wäre diese Bezeichnung des Oelbaums absurd, da Bäume und Pflanzen überhaupt nicht mit Händen bereitet werden; andrerseits ist aystontos, wie schon Dôder- lein und Hartung bemerkt haben, eine schlechterdings unmôgliche Bildung *). Grammatisch richtig wäre ov- revp ayatootov, freilich aber nicht sinngemäss: hätten die Athener die Oelbäume für unüberwindlich d. h. für unausrottbar gehalten, so würden sie nicht die Be- schädigung derselben mit Strafen bedroht haben. Im Laur. A ist aystontoy gemacht aus dynontoy, Wonach ich im J. 1857 das allein angemessene æynparoy her- gestellt habe, ein charakteristisches Beiwort ts ætèv &v qu Aoo! Sarcuons £hatus (Aesch. Pers, 616) oder (wie Ovid. Met. 8, 295 sagt) semper frondentis olivae. Eur. Ion. 1436: Grépavey Eh GET Mo OL TOTE, 7 TeôT ASavas cxomEhoS ÉEnvéyxaTo, 06, einep Éorttv, oÙToT ÉxAeÛTEL ON, SaXker Ÿ hou Ë d'ynoaTou YEYOS. Hier ist éhatas &£ œynoarov Badhams einleuchtende 57) Eine Vertheidigung des vermeintlichen Adiectivum gyetpnros unternahm Ritschl de cantico Sophocleo Oedipi Colonei (Prooem. in- dicis schol. aestivarum Bonn. a. 1862) p. XIL. Was von dieser Ver- theidigung zu halten sei, habe ich Bulletin VI p. 308 f. oder Mé- langes Gréco-Rom. IT p. 505 f. gezeigt. Auf diese meine Darlegung bezieht sich was Ritschl Opuse. I p. 407 f. bemerkt, wo es am Schlusse heisst: in tanta igitur tamque gravi claude eæistimationis meae non est mirandum interim alicui mihi solacio esse Moeinekii verbe toù yoapparixwtatou p. 165: « Dubitari non potest quin recte Dindorfius et nune ctiam Ritschelius ex Laur. disque libris àyetpn- Toy reslituerint, coloni manum non expertum, pro 0 quod ceteri libri habent dysipwtos.» Es war nur eine augenblickliche Ueber- eilung, wenn Meineke das angebliche Adiectivum ayestontos für ein richtig gebildetes Wort hielt: durch diese Uebereilung, welche Meineke selbst später bereut hat (vgl. meine Vorrede zum Lex. Vindob. p. XX XIII £), werden diejenigen welche desselben Verstosses gegen die Gesetze der Griechischen Wortbildung sich schuldig ge- macht haben oder noch heute sich schuldig machen, in keiner Weise entschuldigt. 239 Bulletin de l’Académie Impériale 2410 Emendation statt des abgeschmackten 8x. &£ axnpatou der Handschriften. Die Quantität der vorletzten Silbe in œynpgarcs lässt sich aus dieser Stelle nicht bestimmen. Eur. Iph. Aul. 567: xhéos aynoatov Brora. Diesen Worten entspricht der strophische Vers (352) wonach es scheint als habe Euripides entweder in gynoatoy die vorletzte Silbe verkürzt oder zwei ungleiche Formen des Glyconeus (uursre ) cinander gegenübergestellt. Wer jedoch die Worte der Strophe 548 — 553 betrachtet, Stjup ’Epos © yousoxcuas ATEVÉTO VV ŒUETÉLOY, RC ToË évrelverat xapÉtuv, TÔ pv ÊT EURO TOTLO, to à nt ouyyuoet Biorus. ATEVÉTO VIY ALETÉLOV, Korot xaX Note, Saxo — wird bei eimigem Nachdenken sich überzcugen dass die Worte arevéno (amewéro die Handschriften) wv ue- tépoy an einem Fehler leiden. Eine Verbindung wie anevvéretv tva tivoc, einem etwas verbieten, halte ich für unmôglich: gesetzt aber man kônnte so sagen, welchen Sinn hat es dass der Chor mit den Worten arevéro y austéoov Sahapoy die Anrufung der Ky- pris verbindet? Die Anrufung der Kypris hat hier nur einen Sinn, wenn ibhre Hilfe nôthig ist, d. h. wenn sie irgend etwas zu thun gebeten wird. Man erwartet, was ich in der dritten Teubnerschen Ausgabe (1871) vorgeschlagen, GTC VV ED VOIS ALETÉOOYN — womit eine mit dem Verse xhéos œynoatoy Bot genau übereinstimmende Responsion gewonnen wird. Eur. Epigr. bei Ath. II p. 61 B: 6 tov æynpatoy Tohov aiSépos QE répvov. Nur die Willkür der frühe- ren Herausgeber hat æœynoævtoy an dieser Stelle ein- geschmuggelt: in Meinekes Ausgabe ist endlich das handschriftliche pates zu He Rechte £ . Antipater Anthol. Pal. 7, 6: Moucov péyyos, Oun- po, d'YNO ATOV GTOLE a So cod. Pal, Gxnparo Plan., #ynpavres Brunck und die späteren Herausgeber. Bei Suidas v. æApocïtov, wo dieser Vers citirt wird, sind die Handschriften getheilt zwischen æynoutov, dpaotos und axmparov: wonach das von den neusten Herausgebern gesetzte ayngavroy als unmotivirt scheint. Eben dieser Vers kehrt wieder Corp. Inser. 6092 (oder Epigr. Kaiïbel 1084, 3), wo das überlieferte Movcéuy œéyyos, Ounpoy, &ynpaTov oTopa xCopLou der gesunden Vernunft zum Trotz in æynpav]rov von Franz geändert worden ist. Corp. Inser. 5759 € Ne Epigr. Kaiïib. 547, 3): MÔUTVOOU TE HECKOU KO LYNOATOU OJLAOAVTOU. Auch hier hat Franz ne Weise dyno@{v|rou ge- schrieben, und im Index zum Corp. Inser. Gr. wird hiernach p. 137 «æynoavtos 5759. 6092» angemerkt. Epigr. Kaib. 35 a p. 518: Bou dé c[e Snxev Éaurnt]. Epigr. bei Steph. Byz. v. Pacnks p. 660, 14: OXTO D'YNELTOUS AMPETÉPNY GTEPAVOUS. Auf œynourovs führt die handschriftliche Lesart 4xn- patovs, nicht auf das von Ruhnken im Timaeus p. 17 vorgeschlagene aynodvrovs. Orakel bei Pseudo-Callisth. 1 ÂEt AO L'YNORTOLTL VEREEL. Orac. Sibyil. 3, 418: aynoutov à ££e SANREL L'YNEATOS TUL- 1;30%p. 31D2e14eRE xhéos écoo- pévototv, Wo et in éotat zu ändern sein dürfte nach 11,140: ayrontov à ëgtau xhéos éonopevotor (1. écoc- ? né LAN » pLEVOLGLY). Diesen Zeugnissen für die richtige Messung des Wortes aynearos stehen entgegen zwei Stellen, wo die vorletzte Silbe dieses Wortes verkürzt erscheint (die eine habe ich 1870 im Anhang zur fünften, die an- dere 1878 im Anhang zur siebenten Auflage des Oed. Col. nachgewiesen). Corp. Inser. 6269 (oder Epigr. Kaib. 634): IapSevis évSade xeîtar aynoatos aSa- Apollin. Psalm. 103, 67: éctat xvdcs ava- ravaynoatoséctor. Ob an diesen beiden Stel- len eine fehlerhafte Ucberlieferung oder eine Willkür der Verfasser vorliegt, wird sich schwer entscheiden lassen: dass bei correcten Dichtern das Wort dynou- ros nur mit langer Paenultima gebraucht werden konnte, scheint mir trotz dieser beiden Stellen unzweifelhaft, und éynouvtos halte ich für eine in der Zeit der clas- sischen Gräcität undenkbare Missbildung *) VATN TE. XTOS DE 58) Die im Philol, IX von mir behandelte, hier mit vervollstän- digtem Material recapitulirte Frage über dynpatos, dynpätos und æynpavtos ist in den Acta societatis philol. Lips. IT p. 447—451 zum Gegenstand einer besonderen Erürterung gemacht worden von Fr Ritschl, der eine Ad. Kägi ihm mitgetheilte Stellensammlung verarbeitet hat. Dass Kägi die in den Acta ihm beigelegte Stellen- sammlung unabhängig von meinen (in Philol. IX und im Anbang zu Soph. Oed. C.) etwas früher gegebenen Mittheilungen gemacht habe, halte ich nicht für unmôglich, aber auch nicht für wabhrscheinlich aus Gründen deren Darlegung hier zu weit führen würde. Viel un- wabrscheinlicher aber und schlechterdings undenkbar ist es nach meinem Dafürhalten dass Fr. Ritsch]l die im Philol. von mir gegebene Erürterung über éyrparos nicht gekannt haben sollte. In der Ab- von 241 Nach dieser Digression kehren wir zurück zu Kaiï- bels Epigrammata. Zu 185 p. 66 £. war zu vergleichen K. Keil in Mélanges Gréco- Rom. I p. 44 f., wonach V. 11 sorhavatas als Meinekes Herstellung zu be- zeichnen, V. 12 mit Meineke xat pavis & Bagsi (oder Baonæ?) zu schreiben war. 242, 2 p.91: copualyle à nysuosev Sépeve[: con Popatotaty ratoid rfalr xAeivay OTaca|v euvopéa. Die Formen 80394 und ôcen dürften schwerlich ausrei- chen, um die meines Wissens unbeglaubigte Form Soa sicher zu stellen. In ähnlicher Weise kann ich es nicht für berechtigt halten, wenn man den unbe- zeugten, aus Son und dose erschlossenen (Genitivus Scoovs dem Sophokles aufgedrängt hat: wie es Schnei- dewin gethan Oed. Col. 1525, G. Wolff Ant. 670. 268, 7 p. 104: Sole vaio du[ylai [ssuvos 7 ayaSos +] éfocav, rotas pn Sfmoxetv, ARAG ÀÉY aSavarovs. In der Ergänzung des Hexameters missfällt das über- aus seltene und fast unerhôrte 4ya50s, das wie es dem Aristoteles wohl mit Unrecht zugetraut wird, so der Poesie durchaus fremd geblieben zu sein scheint. Statt æyaSos konnte ôctos geschrieben werden. 2809 6;p. LIL: rovde dE Boyoy Édnxs, raviotara Jopæ, Mévavdoos pethos adshperod pndevi AsTOpE VOS. Die Bemerkung «ostos pro oui nove dictum» scheint mir unrichtig; ich denke, œsthos steht für pos. 304 p. 115: E rahiv dort yevéoSa, Ünvos d[otiv ds vTad Éyar pe et À oùx EcTu may ÉA Se Nach der von Hirschfeld (Monatsber. der Berliner Akad. 1875 p. 9) mitgetheilten Abschrift halte ich es für hôchst wahrscheinlich dass die Worte st à ox handlung de cantico Soph. p. XIT (Opusc. I p.407) erwähnt er meine für Oed. C. 698 aufgestellte Vermuthung dyreutov unter Benutzung des krit. Anhangs, wo über die Quantität des Adi. dymparos auf Philol. IX verwiesen wird. Auf Anlass der Frage, ob Oed, C. 698 dyetentoy oder Gympatoy zu lesen sei, bekam Ritschl von mir eine Zurechtweisung, die ihm darum sehr empfindlich war, weil er ihre Berechtigung sich nicht verhehlen konnte. Durch meine Polemik über ayetentos (es ist die einzige welche ich mit Ritschl geführt habe, und sie war durch ihn selbst hervorgerufen) ist Ritschl an meine Erôrterung über 4yrneuros wiederholt erinnert worden: gleich- des Sciences de Saint-Pétersbourg. wohl hat er bei Verarbeitung der von Kägi ihm mitgetheilten Stel- | lensammlung über &ynearos an meine Behandlung derselben Frage mit keinem Wértchen erinnert. Tome XXVI. 24? Ecru ray 2XSe den Anfang des zweiten Hexameters gebildet haben, d. h. ëcrew ein Fehler des Steinmetzen ist statt ëot. Hiernach habe ich folgende Herstellung versucht: Et raw rt yavéoSat, Ünvos o Eye oùx Ti Onpov' at D oùx Sort ray ÉASEË, aiovios ÜTvos. Vel. L. Stephani Compte rendu pour l’année 1874 p. 22. 502, 27 p. 201: Av yao Séyn Tes els voté Tnv pr, pnT ÉATdOY CVAUITO, [LA TÉXVOY GTOPGS. Si probus esset poeta, bemerkt Kaïbel, scriberem pen Y axridov. Dass an oùte — où wie an pre — un durch- aus kein Anstoss zu nehmen ist, hat Elmsley zu Eur. Herael. 615 und Med. 1316 gezeigt: vel. die zu Soph. Ant. 249 f. in der achten Auflage der Schneidewin- schen Bearbeitung gegebenen Belege. Dagegen wäre eine Verbindung wie où Snpov oùte retetvov Orac. Sib. 8, 344 bei einem correcten Dichter wohl schwer- lich zu dulden. 525, 1 p. 210: Laos sipaotn dhcxo To omua Savouon ke. Vielmehr siysotg 2046, wie ich schon früher gebessert habe (Bulletin XXIT p. 62 oder Mél. Gr.-R. IV p.178). Die Schreibung egeptos statt ipeo- res findet sich auch Epigr. Kaib. 516, 5 p. 206: t- LEOTNY TAOAKOLTIV, 566, 1 p. 230: ’Erov Slexoxto, provoyevn xai mapSévov. Statt Sexoxto dürfte 8éx oxto vorzuziehen sein, eben so &x Déxa Tévr (nicht x Ssxanevr) avôoov Epigr. 893, 1 p. 336. 573,4p.238:0:£a8 atlerapnynencs Irropéov. Zu diesen Worten wird bemerkt «AEZTAAANAETADH nihil hac lectione certius. At cum dudum explosa sit forma SsËtaënv, optime correxit Dorvillius.» Das auf dem Stein klar und deutlich überlieferte 9:£149nv à étaon ist in SeËro © avretagn geündert worden, weil die Form Ssé45ny längst beseitigt ist an einer Stelle der Ilias, H 15: L'hadxos à ‘Inronoyoro mous —"Ipivocv Bah Soupi xaTA XOATEONY VOLVNV AcËradny, ITToY ÉTIAAUEVOY OXELLON. Ueber die Bedeutung des AEZTAAHN waren die An- sichten der Alexandriner getheilt, wie die Scholia A bezeugen: aire Gvopa narpwvupuxov To Ackiaônv site rotérntos N Torou éméppmua, Juvatat xai Toiç ave xl rois éropévors ouvanteo dat" ÿ Yap ‘Ipivoov AcËra nv, À Sans ScÉônr opov, N JcÉadny ÉTIMApEVOY, TO TOY 16 243 ScÉov pepov éparroueves, Wenn wir bei Homer Acéra- Sn als Patronymicum fassen, so folgt daraus keines- wegs dass 3:&23nv von einem gelehrten Dichter nicht habe als Adverbium gebraucht werden künnen. Denn was die gelechrten Dichter oder die dichtenden Gelehr- ten ihrem Homer zutrauten, das brachten sie an in ihren Poesien mit einer Naivetät und Kritiklosigkeit, die uns oft in Erstaunen setzt. Durch die Schreibung € 0 On ta roûta do ormrny épésavro (statt StaoTnT ny épioa Lvte) wurden Alexandrinische Gelehrte veranlasst Sa ornta im Sinne von dx yuvaixe aufzufassen: eine weitere Consequenz dieser Auffassung war dass ge- lehrte Dichter tata statt uv gebrauchten. Ein sol- ches Verfahren kônnen wir missbilligen, nicht aber ändern. Das vermeintliche Adverbium Bet Étadn, wird also dem Epigrammatarius als entlehnt aus I. H 15 zu belassen sein, wenngleich wir H 15 AséBny schrei- ben. Ueberhaupt dürfen wir den Gegensatz zwischen der elassischen Gräcität und der Alexandrinischen Gelehrsamkeit niemals aus dem Auge verlieren, damit wir die zum Theïil wunderlichen Irrthümer der Alexan- driner weder bei Spätlingen willkürlich bescitigen noch in Schriftwerken der classischen Zeit kritiklos dulden. 590, 8 p. 240: ahX oÙTot vocouw ye céSev notlè] xeioopat autr. Die Emendation rotë xetoomou statt totixeloopar war von mir vorweggenommen Philol. IX p. 178. 650, 6 p. 266: coeBén Tocoléoy [SÈ] hayov [rI8e cp’ a[vafravpor. Warum Kaibel von dem bisherigen oqpa [réfravpet abgewichen ist, vermag ich nicht zu ergründen: ich zweifle ob die Form avaravpat (vermuthlich statt ava- ravoya:) sich hinreichend schützen lüisst. 663, 4 p. 270: VUE ge œu[à .Rcpsv OS TALECVTA nés étvuxo + ay[Ajuins. Der Stein bietet, wie Kaibel sagt HETAC und TATATHC (statt Sas und + ayhaïns), cutrumque correxit Wila- mowilz, nSelay nomen nove ficbum putans ab adicctivo ntstos». Ein neues Wort 1%ctx vorauszusetzen lag hier durchaus kein Grund vor: die überlieferten Buchstaben EINEKENHEIAC waren zu deuten efvex évnstos. 689, 10 p. 279: VÉOVTE T n] xt Cora œtansev] dei] Sx- ëtetos. Die Inschrift ist, wie Kaibel sagt, sehr jung und sehr unleserlich. Da auf dem Steine AEKP statt œci stehen soll, künnte man vielleicht [évk9S[elv Bulletin de l’Académie Empériale 244 éovta, te tetoel vermuthen. Bei RL Test ist der mit œet verbundene Aorist nicht frei von Bedenken, und für Savéovra statt Savcyræ vermisse ich sichere Belege ne 111, 34p. 314: Eïxova Tnvde dvéonxey [Arnluov rarpcs éautov aSavarorst Seois, xcoov spav Exhapive. Die letzten Worte enthalten eine unverkennbare An- spielung auf Eurip. fr. 554, tp(Ôa TA? EULULTE RO. TOS AT D. 222: xai Boas Syouco, buyas d Bootov écnoc|«s. Franz und Kaibei nehmen éyeuso für éxpuco. Aber eine Erweichung des Kappa in Gamma ist in der Prä- nur vor 8 y à Fr À p (vgl. Kühner 3: Zahapiva X0oOY Ta- position êx statthaft Ausf. Gramm. [ p. 205), nicht vor x (wie Kaibel Epigr. 96, 2 p. 32 annimmt), eben so wenig vor 0. Ohne Zweifel Lt ETPYSQ nur ein Lesefehler statt EPPYSQ. Im letzten Verse war die Schreibung ris yao JGpoy avaxre Seo|v [vtr Etcv eb] por; beizubehalten: die Auslassung des Optativus potentialis ist in der spätern Gräcität etwas ganz alltägliches. 841 p. 344: rohatc "How, TOY 2 Au) y TouoÔouot, ay oder xev bei dem TOY neo Tov xhetvOY vaétou DAxAV ÉpIO DEVÉOS TOPOTEAVNLES AVÔPES duo xai EU YELpENS, Khsiros © oc Kanitov yaubas, yonbas Së pihos co "lavouetos Khavâtaven oo Somorcu TEVÉAY LOS YAUEENS Separov elvexev evcefins. Wie uv in späterer Zeit mit dem Genitiv verbunden wurde, so erscheint es als nicht undenkbar dass man der Präposition rec den Dativ beigesellt habe. Den- noch môüchte ich zweifeln ob die vorliegende Inschrift 59) Allerdings lesen wir Orac. Sibyll 3, 554: Envoy, où zpôTa Bpotoïs xuX NYEHLOVEUGAY, rodd Jewëy cidwha xatTapItmévoL JA VEOVTEY. Aber Alexandre hat Suveovrwv um des Sinnes willen als unrichtig bezcichnet: er vermuthet xaragÿtmévoue dvaSévres. Dem Quintus Smyrn. 10, 42 wurde chemals der Coniunctivus Savéwpev beigelegt: ei Dé xev Gp xt xelvw GREXICMEVOL SaVÉWREN, während jetzt areySomevor rekéSwpey geschrieben wird nach einer lediglich durch Rücksicht auf den Zusammenhang bedingten Emen- dation von Fr. Spitzner Observ. in Quinti Sm. Posth. p. 233. Wenn endlich Kaïbel Epigr. 1129, 3 p. 505 schreibt adrap érnv [Savéwot, Tor dhAnhotot payovtat, so muss die Form Savéwot gegen die Richtigkeit der Ergäünzung uns misstrauisch machen. 245 des Sciences de Saint- Pétersbourg- 246 Ponte um Ne re Zu te Kaavavos too Scpoust dürfen wir unbedenklich KA. reoôcuotot schreiben; vielleicht ist in gleicher Weise roorvhats als fehlerhafte Bildung statt recrues an- zusehen. Statt ooporsyuntes ist mindestens copdli] te- yves zu bessern, falls die Barbarei tsyvntss, wofür +e- xvpoves gesetzt werden konnte, dem Verfasser des Epigrammes zur Last füllt. 970 p. 405: QE rot|e| vov afrfnxo xo[1|yô Tekccwcooc où[ To... puvasio Pnpovos ÉcTavev Eppnv Ueber éctavesv bemerkt Kaibel: «otaivo verbum non magis barbarum quam ornxe v. 2». Das Präüsens otrn- xo, verkürzt aus écTtixo, einer vom Perfeetum £croxo abgeleiteten Bildung, ist begreiflich und für die nach- classische Zeit hinreichend gesichert: weder bezeugt noch denkbar ist das von Kaibel aus der obigen Stelle erschlossene otavo. Die Richtigkeit des vermeintlichen Aorist écravev würde ich in Zweifel ziehen, auch wenn die Lesung von Lebas ECTAHEN nicht lehrte dass das erste v in dieser Verbalform streitig ist. Wer den Stein von neuem vergleicht, wird sich überzeugen, dass wir éctaxev Egpnv zu schreiben haben. Ueber das Perfectum £ctaxe, das in der classischen Zeit durch stioas £go umschriechen wurde, genügt es zu verwei- sen auf Schneidewin Hyperid. p. 50. 98], 6 p. 411: xaos, dvasoa PAGv, puiçots Ÿ au rai où, Expat, vais Évavritépn vatuy,"ABarcy ro. Der Herausgeber bemerkt cévavriméos nove diclum», und p. 619 finden wir das neue Wort évavriméoo im Index der vocabula potiora. Es dürfte nicht rathsam sein mit dieser Bildung unsere Würterbücher zu be- reichern: ich denke, in dem vermeintlichen neuen Wort haben wir zwei längst bekannte anzuerkennen, y dvTitéo® vatov, ABatoy ToAUTEpLvoN. 1068, 11 p. 479: et [Sè] Séhers (at) roûro Sampevou, Vaicy po Ed etÔns —. Der Verfasser des Epigramms hat diesen Vers aus Ho- mer entlehnt; aus irgend einer verwahrlosten Ausgabe der Ilias (Z.150) hat der Herausgeber den Versausgang og 25 eÿgs herübergenommen, während zu schreiben war dog Ed stôgs. Allerdings sind Spondeen im fünf- ten Fusse bei zweisilbigem Versausgang in der Zeit des Verfalles der Poesie nicht durchgängig gemieden Statt on ift eine worden %); aber dem Non jener solche Barbareïi aufzubürden fehlt jeder Anlass. 1085 p. 490: "Eyonv pèv otûcat aùv Egort ofho 6e, M£vavôdge xt£. Bei der Behandlung dieses berühmten Epigrammes, in welchem der Komiker Menander ge- feiert und ein Urtheil des Grammatikers Aristophanes angeführt wird, hat Kaibel die von L. Stephani (Titu- lorum Graccorum part. V. Dorpat 1850 p. 15 ff.) mitgetheilte Abschrift und die daran geknüpften Er- orterungen leider übersehen. Stephani hat mit vol- ler Evidenz dargethan dass die Anfinge der einzel- uen Verse auf theilweise wahrscheinlichen, theilweise durchaus unrichtigen Ergünzungen des Ursinus beru- hen. Gleich zu Anfang ist sowohl éygnv als pév ver- kehrt In den Worten 5 ouvéôv étéhets dpyia reonva Scoù erscheint S:05 als stürend («Seoù abundat» sagt Kaïibel); man substituire einen Ausdruck wie où £ouv y éxékex, und %eoù ist vollständig am Platze. Mit Recht hat Meineke die Worte mduvas cxnviy Sept räot yaypov V. S beanstandet; seine Aenderung yapo ist unzulässig, weil FAMQN auf dem Steine steht und besonders deshalb weil der Singularis absurd ist; der Fehler war zu suchen nicht in yapov, sondern in 1dv- vas, Wofür pestocas oder eine ähnliche Form ursprüng- lich gestanden hat. Es scheint überflüssig auf ander- weitige Inconvenienzen des gangharen Textes hinzu- weisen: Kaibel wird selbst am besten im Stande sein die verfehlten Supplemente des Ursinus durch bessere zu ersetzen; es wäre mir erwünscht, wenn die von mir (Philol, 9 p. 176) gemachten Vorschläge theilweise wenigstens sich als brauchbar erwiesen. Antipater Sidon. Anth. Pal. 7,8 Ovxérte Sehyopévas, dÉEts, OÙ SnpÜv AUTOVOMOUS YEARS. Sollte noch niemand das aitoyoueus beanstandet ha- ben? Offenbar ist zu lesen où Sngov vhovopous d'yé- , … Qr De Ogœpeu, dpuas, oUXÉTL RÉTENS Aas. Vel. Anth. Pal. 6, 179: vhovemov Sixtua tetpa- roov. 6, 217: oùd ëtan KuBéans iepov Boomov Dhovc- pos Se peîvou. 7, 9: êto (Oovcst) oùv du Écnero né- LA a ed , LE , 2 à Ton abuyos Snpov S Vhovcoy ayÉAX. Anthol. Pal. 9, 124: [oi Polos tencpeutar; Aonç avauéyvuro Adovy. Im Palat. steht rogsverar und avapiyvutat, Wogegen 60) Vgl. Epigr. Kaib. 26, 5: obtos QU 56 oJoicey 'ASnvatov tpeîs puhac. 89, 3: TovO” Êtt TROT TAÉVOYT êrt vobvaat Tutos papa. 314, 22: GAX EÉtépay mu mot vOGOY NYAYE YAGTPOS Motpa. 16* 247 Bulletin de l'Académie Impériale 248 om — rerogeuro und êr épéyvuro Plan. und Eust. Il. p. 1074, 60. Hiernach ist zu schreiben: Toi Poigos remépeuto, Aons ôTe péyvuro Aapvr; Eine Tilgung des Augmentes ist an derselben Vers- stelle nothwendig Anth. Pal. 9, 452: reotoy rapte- véns, perérerta à évoaptas (1. S voie) puvñs. 9, 470: Beraon dé Ce) ÉrEpve (1. dé ce répvev) ASyvn. Anth. Plan. 302: edge quo, pohs eûps” rexoüoæ à émavaato (1. BÈ TAUTATC) pLOLTEV. Anth: Pal” 11,7: Oùbeis Tnv Ldény cuveyos, Xaotônpe, yuvaixa xuveiv êx duyñs Teoropevos Suvata. Das sinnlose xevstv ist in Bevetv zu ändern. Dasselbe Heilmittel fordert Anth. Pal. 11,202: aétoy atvnoat Mécyou poévac, os povos ofdev mai viva ei xuveiv xai va xhneovopsiv. Bei der grossen Aehnlichkeit der Buchstaben B und K kann es nicht befremden, wenn die beiden Verba überaus häufig verwechselt werden: wie z. B. alle Handschriften des Aristophanes bieten xuvoy (statt BwGv) Ran. 148. éxiver (statt éfivet) Nub. 1371. xuwoumevor (statt Bivoupevot) Nub. 1102, wäh- rend die Codices getheilt sind zwischen five und xuvoin Ach. 1052, zwischen Bevoupévous und xtvcupé- vous Eq. 877. 879, zwischen Beveëv und xtveiv Pac. 341 und Lucian. de parasito c. 10. Agathias Anth. Plan. 109: nronvros ris yonès ÊT odar vnké& pLUSoY pSéyystor AN pels où uvapes da xAUE. ooov à êx Bhepagoto pepnvotos ÉGTÈ vonGou, Grre rapcyyuda pxét Scopus RÉVetv. Zum letzten Verse wird in der Pariser Ausgabe be- merkt: «8x in talibus abundat, quasi esset roïto crtv vel Soxsi, &m.» Der Verfasser des Epigrammes dürfte viel mehr geschrieben haben £v tt rapsyyoan. Anth. Plan. 295: Oùyt rédov Zpvovns EhoyeuGare Setoy "Opneoy — 08 ro Kexporioy &otu Tahætoyovay, Sehbr richtig hat Hecker Kexgonudov geschrieben, weil die Nachkommen des Kekrops nicht Kexgortot genannt werden, sondern Kexgomidat. Aber auch rate yovoy halte ich für fehlerhaft: der Sprachgebrauch fordert oùdè to Kexpontdov aotu Tau&YEVÉEV. Epigr. bei Paus. VI, 10,5 (oder Anth. append. 183): Edrshdas nai Xovoodepts TAde Épya TÉREGONY Apyetor, téyvav eidotes x TE Der Ausdruck téyvay etctes êx ractégov kann nur be- TÉROY. deuten dass Eutelidas und Chrysothemis ihre Kunst von Vorgängern erlernt hatten, dass sie nicht die Er- finder der Bildhauerkunst waren. Eine derartige Be- zeichnung wäre ungeschickt, weil sie weder em Lob noch ein irgend wie charakteristisches Merkmal ent- hält. Sollte ausgedrückt werden was die Lat. Ueber- setzung besagt, dass jene Künstler ihre Kunst von ihren Voreltern überkommen hatten, so war zu sagen x rooyovev. Für sinngemässer aber halte ich +éyvav siôéres x matéogowv, Wonach auch die Väter jener Künstler Bildhauer waren, sie selbst also rateoav tiv réyvnv éxouratov. Das fehlerhafte teotéçav erklärt sich aus der für rarépoy üblichen Abkürzung. Hipponax (Bergk Lyr. ed. alt. p. 595) bei Stob. Flor. 68, 8: SO nuéoat yuvauros Etotv NÔLGTaL, To Van TS KAXPÉQN TESVNXUÈRY. Angemessener dürfte sein D) muéeus (oder D mpéex) yuvairés etoiv NÔLoTaL. Hipponax fr. 81 lautet bei Bergk: .. Zxépavoy elyov xexxupnoy xai Sn. So schon Meineke Choliamb. p. 108: «probabilius est Athenaeum omisisse aliquid in versus initio, ut tetra- metri trochaici habeamus reliquias.» Den unvollständi- gen trochäischen Tetrameter hat Meineke richtig er- kannt, die Lücke aber war nicht zu Anfang, sondern nach xoxxvpnhov anzusetzen: gTépavoy Et(OV XOXXUEMAOY - . _. KA MVINS. gestanden, vor 7e ein Genitiv. J: à n— TARA UV THAQVTEUT' Vor dem xat hat vermuthlich +: den xoxxv A * entsprechender Babr. 50, D YAR ME VEXQOV N DEOV Ù Tools. Der Sinn «in deiner Hand liegt mein Schicksal» konnte, wie mir scheint, nur durch das Activum TAAYTEUELS ausgedrückt werden. Babr. 71,6: rxouce à n Sthacou, xai YUvaLxEUNV AaBoïoa pHyny EîxE KTÉ. Vor einigen Jahren sprach ich die Vermuthung aus, dass Babrius yuvatxefnv huBoïoa p.oswnv geschrieben habe (vgl. Bulletin XXII p. 73 oder Mélanges Gréco- Rom. IV p.193f.), wie posonv Aafeiv yuvarxetny 32, 3 gelesen wird. Darauf bemerkte A. Eberhard, auch er habe an xaBodcæ pooony gedacht, aber diesen Gedanken unterdrückt mit Rücksicht auf Haupts Aeusserung, solche Conjecturen mache man wohl, aber man lasse 249 des Sciences de Saint-Pétersboureg. 250 sie nicht gleich drucken. Eberhard würde besser ge- than haben seinem Urtheil zu folgen als auf Haupt zu hôüren, der bei einem von Lachmann herausgegebenen Schriftsteller unbefangen zu urtheilen weder die Fähig- keit noch den guten Willen besass. Die Aenderung pooonv Statt povnv ist in den obigen Worten unzwei- felhaft richtig: nicht weil sie hinterher eine urkund- liche Bestätigung bekommen hat durch den Codex Bodleianus 2906 (vel. P. Knôll Babrian. Fabeln. Wien 1876 p. 26), sondern weil xaBsiv œwwmy ohne hinzu- tretendes Adjectivum vollständig ausreicht für sprach- lose Menschen oder Gegenstände, die zu reden anfan- gen‘!), yuvatxstny dagegen als ein zu specieller Begriff mit covny haBeiv sich nicht verträgt. Durch yuvarxetny ist die Emendation ooonv gefordert: neben Xafouca povny Wäre yuvatxe!ny widersinnig. Von dem Lüwen, welcher der schenkt, heisst es 107, 9 vehacas Ÿ Ô Smo napÿne Toy ixéTnv Coetv. Besser wohl aonxe, wie 124, 11 apnxe Tov régdtxe in gleichem Sinne steht. Ausserordentliche Verdienste hat sich um Babrius neuerdings erworben P. Knüll, Neue Fabeln des Ba- brius, Wien 1878. (Sitzungsberichte der phil.-hist. Classe der K. Akademie der Wissensch. Bd. XCI p. 659— 690.) Erst durch diese Abhandlung haben wir über den früher von Furia benutzten Codex Vaticanus 777 und die in demselben enthaltenen Fabeln des Ba- brius zuverlässige Mittheilungen empfangen, wonach Lachmanns und Eberhards Angaben über F viel- fach zu berichtigen sind. Auch für den Text der im Vat. enthaltenen Babrianischen Fabeln liefert Knülls Abhandlung einen nicht zu verschmähenden Ertrag: namentlich aber verdanken wir ihm sechs vollständige Fabeln des Babrius, von denen bisher fast nichts be- kannt war. Der Text dieser neuen Fabeln (im Vat. Nr. 9. 130. 135. 142. 164. 192) ist zum Theil so zu- gerichtet, dass eine Herstellung sich kaum hoffen lässt. Einige Besserungsversuche, die ich hier mittheile, Maus das Leben 61) Acsch. Agam. 37: 0!x0ç Ô aÜTés, et pSoyyny Adfot, SapéGtar dv hé£euev. Soph. EL. 548: qain © av L TexoûGa ÿ, & puvay Aa ot. Plat. Protag. p. 361 A: xui mor Ooxst quov n apte ÉÉodoc tuv ÀGyWY — xatayehdv rat el guvnv AuBor, ciretv av. Wer weitere Belege für gwviy ape begehrt, vergleiche Lucian. Pseudol, c. 26. de luctu c. 13. Aristid. vol. 2 p. 117. Maximus Tyr. vol. 1 p. 196. 312. Diog. L. VI, 9. Liban. Decl. vol. 4 p. 887, 22. Clemens Alex. Protr. p. 36. Greg. Naz. vol. 1 p. 448 D u. a. werden vielleicht bald durch gelungenere Vorschläge anderer beseitigt werden. Vat. 9. V. 7 ist das handschriftliche érniSev von Knüll in © à axgcuos rm geändert worden: vielleicht ist s0Séws vorzuziehen. — Vat. 130, Zu der Aenderung pény (statt pay) V. 2 hat sich der Herausgeber, wie es scheint, verleiten lassen durch Eberhard, der Fab. 47, 8 eben diese Form im Texte gibt. Ueberhaupt scheint die Form pin auf schwachen Füssen zu stehen‘”); mit welchem Recht sie dem Ba- crius beigelegt wird, vermag ich nicht zu ermitteln. — Statt oSntov yoeiu V. 8 môchte ich épyoy écSnrov vermuthen, V.15 ist überliefert: xai xatonteuons tnv hahov yehdovæ. Vielleicht xat Tv ed Tnv Awkov xatonteuoæs? Freilich kann ich für diese Form des Aceus. nichts weiter beibringen als den Vocat. xeàt- Soi und die Analogie anderer bald auf 6 bald auf © ausgehenden Substantiva (Kühner Ausf, Gramm. L p. 385 Ê). — V. 17: Tdhava, etrev, elde quot ToTExoUx ooSns. Statt aire ist wohl ons zu schreiben Ÿ), Ob der Schluss des Verses ail%e pret stopSns oder wie sonst gelautet habe, wage ich nicht zu entscheiden. V.18 vielleicht üs au (statt ds ya) ceavtiy un vèv debevco. — Vat. 135. Stark verdorben ist V. 3: Suota yae nv Ts Écotns xata TÜymv, WO der V cie OOTNS yo étuys Soon xaScorôca (Hartel bei Knüll p. 690) durch das Metrum widerlegt wird. Nach dem über- lieferten Texte künnte man geneigt sein zu schreiben Suotn VAR i ts at TONY éoptain. — Vat. 164 heisst es V:5 : : Tû, Ô THAMVE, HHELS CHHATOY ALES n bwos déets, os ÉxuoTa Toy Éboy 0 À dSpcos ra rogeuta Baiver ravrarod euSuvet; Im mittleren Verse ist wohl xai brvos a£ets mit ande- ren Quellen (Fab. Aesop. 344 Halm) vorzuziehen. Den Schlussworten sucht Knüll aufzuhelfen durch die etwas gewaltsame Aenderung roda © £xagroy svSuve: näher 62) Einige Stellen des Quintus Smyrn. (7, 165. 9, 132. 11, 361. 13, 348), wo ehemals pin oder piny gelesen wurde, sind in den neueren Ausgaben berichtigt: vel. Spitzner Observ. p.216 f. Noch behauptet sich pin Orac. Sib. 14, 353: aAAG mn puhorne Te xai Else TPOTOS ebpooyt Sue, wo ich a% môovoy prhorns te schreiben müchte nach Emped. 38: dhÂG povoy piËte te OtAARGËLS TE pLYÉVTRN. 63) Dieselbe Aenderung scheint für die Fabel 164 des Vat. noth- wendig zu sein V. 4: té hoëmd Où mékn eîxev. Einem Schwanken der Ueberlieferung zwischen eîrey (s0 A) und niv (50 Vat.) begeg- nen wir bei Babrius 77, 11. 251 Bulletin de l’Académie Impériale 252 0 lige mâv + #ohov sbSûve, — Der Schluss der Fabel | mit lacerat verbinden, als durehaus unmotivirt. Ver- (V. 17—19) lautet bei Knüll: 5 ToëToy où [LŒNAGV VE GO XAÏLGTAON muthlich ist die vorliegende Stelle zu emendiren aus I, 22, 9: atque ta locutus inprobam leto dedit. I, 2, 24— 26 in der Fabel von den Früschen, die um einen Kônig bitten: cs [LU] LP VS To0céÉo, pol, PNTOT apouons h + € + époû Tns DCE UGTEROY HAXOV XUONS. V. 17 ist überliefert ès to newtov oùv pe Lay xa- ractécav, Wonach statt des in der jetzigen Verbindung unmôglichen xaStortacg nicht sowohl xaSectoon als vielmehr xatactacg erwartet wird: vielleicht ss Teo- roy oùv cet pähhoy ad xaractaog. Für die letzten Worte ist durch die Ueberlieferung, pod tis oëns Votépo xaxoy xupeiv, angezeigt die Lesung UN TOT AOAOUGNS êpod re DES VOTEROY HAXOV KUDELV. Hierbei darf man sich vielleicht beruhigen; über y S0Ëgs im Sinne von pen onS gs genügt es an Soph. Ant. 762 zu erinnern. — In der letzten der neuen Fabeln, Val. 192, beanstande ich V. 8 die Schreibung EG voV D réocov 5 yô diuroBo, wo das überlieferte yo over Tocobrov Sade urgiio eher führt auf &yo oévoy tocodtoy évSaët tetfo. Nachher V. 11 ist viel- tum misit lis hydrum, qui dente aspero corripere coepit singulas. frustra necem fugitant inertes, vocem praccludit metus. Nach den voraufgehenden Worten, alium rogantes re- gem misere ad Lovem, inulilis quoniam esset qui fuerat datus, ist misit illis schwerlich angemessen: statt des entbehrlichen lis würde besser ts stehen, zu misit aber vermisst man ein den Wechsel des Subjectes be- zeichnendes Wort. Somit dürfte der Autor geschrieben haben tunc ile misit hydrum. Nachher befremdet es dass die Früsche inertes heissen: weder verdienen sie an sich diese Bezeichnung, wie etwa die Drohnen IT, 13, 2 fuci inertes genannt werden (nach Hesiod Op. 305, wo die xngñvzs asgyot heissen), noch ziehen sie den Vorwurf der inertia sich zu, wenn sie durch Flucht dem Tode zu entrinnen suchen. Die Früsche fliechen, weil sie der Schlange gegenüber ohnmächtig und wehr- los sind, d. h. nicht inertes, sondern inermes, Wie be- reits Gudius vorgeschlagen hat. Zu tadeln ist die Wen- dung vocem praccludit metus, sofern die Früsche nicht hoffen konnten durch Jammern oder Parlamentiren bei der Schlange etwas auszurichten: hier scheint ein Feh- ler nicht der Abschreiber, sondern des Phacdrus selbst vorzuliegen. I, 6,9. Der Sonnengott will sich verheirathen: die Früsche beklagen ihr Loos; jetzt, meinen sie, trocknet der eine Sonnengott alle Gewässer aus, quidnam futurum est, si crearit liberos? Passender dürfte sein quid iam futurum est. I, 8, 8: tandem persuasa est ture iurando gruis, gulaeque credens colli longitudinem periculosam fecit medicinam lupo. Besser gulae quae credens, wie bereits Faber geschrie- ben hat. Das que ist unpassend, sofern die folgenden Details zu dem gruis persuasa est etwas wesentlich neues hinzufügen °). leicht où S dottos (statt Sort tros) wvnros vorzuzichen. Durch langjährige Beschäftigung mit Babrius bin ich veranlasst worden den Fabeln des Phaedrus ein etwas eingehenderes Studium zuzuwenden. Der Textes- zustand dieses Fabulisten ist bekanntlich ein trostloser, und unsere Hilfsmittel sind so dürftig und armselig, dass eine auch nur annähernd befriedigende Herstel- lung des Originals sich nicht hoffen lässt. Gleichwohl dürfen wir uns wundern in den neusten Ausgaben des Phaedrus so viele, leicht zu hebende und zum Theil bereits gehobene Fehler fortgepflanzt oder unrichtig behandelt zu schen. In der Fabel «Wolf und Lamm» I, 1 heisst es 10 f.: ante hos sex menses male, ail, dixistèi mihi. respondit agnus: equidem nalus non eram. Bei den letzten Worten vermisst man cine Zeitbestim- mung wie 4/0 tempore, und statt der Negation «nicht» war passender «noch nicht». Darum halte ich es für wahrscheinlich dass Phaedrus schrieb «ego tunc nalus nondum eram». Vgl. Fab. Aesop. 274 b (Halm): eirév- ros DE éxeivou pndéto TéTe yewnSnvau. — An die obi- gen Worte schliesst sich V. 12 f. an: pater hercle tuus, ille inquit, male dixit mihi. alque ila correplum lacerat iniusta nece. Das ta erscheint hier, mag man es mit correplum oder 64) Unverständlich ist mir ein que der neusten Ausgabe (Lips. 1877) in der Fabel von der Grille und der Nachteule IT 16/05: Potarest animus nectar, quod Pallas mihi Nuper donavit; si non fustidis, veni; Vna Libamus: laque arebat siti. 15 253 1,10,10. Der Wolf beschuldigt den Fuchs des Dieb- stahls, der Fuchs behauptet unschuldig zu sein. Der Affe, dem die Entscheidung übertragen ist, sagt zum Wolf: «tu non videris perdidisse quod petis», und zum Fuchs: te credo subripuisse quod pulchre negas. Das pulchre ist hier unstatthaft: denn weder liegt in dem einfachen negare (negabat illa se esse culpae proxi- mam, biess es vom Fuchs V. 5) eine absonderliche Pfiffigkeit, noch passt hier die von den Erklärern an- genommene Bedeutung speciose, da der Affe den Aus- sagen des Fuchses ganz und gar keinen Glauben schenkt. Vermuthlich ist pulchre eine in den Text gedrungene Randbemerkung, durch deren Verschmelzung mit den Worten des Phaedrus diese eine Einbusse erlitten ha- ben. Erträglich wäre te credo subripuisse furto quod negas oder id ipsum quod negas. 1,13,3: cum de fencstra corvus raplum caseum comesse vellet. Die ungeschickte Wortstellung wird einem Abschreiber verdankt, der richtig erkannt hatte dass raplum zu caseum gehôürt; Phaedrus dürfte geschrieben haben cum de fenestra raplum corvus caseum comesse vellet: denn mit raptum sind die Worte de fenestra zu ver- binden, nicht mit comesse. Nach Anleitung des Metrum sind ähnliche Fehler bei Phaedrus sebr häufig beseitigt worden; wo dagegen eine Stôrung der ursprünglichen Wortfolge aus dem Metrum nicht erkannt wird, ist man weniger scrupulôs gewesen. Dahin dürfte gehüren I, 18, 4: (mulierem parturientem) vir est hortatus, corpus lecto reciperct, wo unbedingt Zeclo stärker zu betonen ist als corpus, somit die Umstellung lecto corpus reciperet nothwendig scheint. Eben so vielleicht IV, 6, 10: quos immolatos victor avidis dentibus capacis avi mersit lartareo specu, wo ich meine Vermuthung alvi capacis lartareo mersit specu Simul cognovit vocem laudari suam, Cupide advolavit. Bisher las und interpungirte man una bibamus. illa, quae ardebat siti,— cupide advolavit». Sollte quae aus irgend welchem Grunde zu beanstanden sein, so kôünnte man #t dafür vermuthen; unstatthaft aber scheint es mir la und advolavit verschiedenen Sätzen zuzu- weisen. Was L. Müller p. 106 zu der Stelle bemerkt, «ilaque arebat siti; melius hoc quam quod vulgo fertur propter arcanam ratio- nem musicam», ist mir eben so räthselhaft als was p. 102 über 1, 15,7 gesagt wird, «Ph. illud quaeso numquam ponit primo loco nisi aut arcana ratione musica aut sequente vocativo». des Sciences de Saint-Pétersbourg. 254 zum Theïil wenigstens bestätigt gefunden habe durch die von L. Müller p. XLIT nachgewiesene Stelle des Prudentius Cath. VII, 115: avi capacis vivus hauritur specu. 1,16,6. Der Hirsch bittet das Schaf um einen Scheffel Weizen; für die Zurückgabe soll der Wolf Bürge sein. Das Schaf merkt die List: rapere atque abire semper adsucvit lupus, tu de conspectu fugere veloci impetu; ubi vos requiram, cum dies advencrit? In der Verbindung rapere alque abire ist der zweite Begriff ctwas schwach: vielleicht ist zu schreiben 7a- pere atque abigere, Was dem Griechischen œysrv xoi wépé entsprechen würde, Nachher zweifle ich an der Richtigkeit der Worte veloci impetu: wenn der Hirsch statt zu zahlen das Weite sucht, so kann dies Verfah- ren schwerlich émpelus genannt werden, Man erwartet veloci pede, wie celeri pede IV, 19, 6 und append. 26, 1 sich findet ). 1, 22, 5. Das gefangene Wiesel bittet um Scho- nung, und erinnert daran dass es das Haus des Men- schen von lästigen Mäusen säubere: respondit ile: faceres si causa mea, gratum esset et dedissem veniam supplci. Unpassend scheint gratum esset; denn die Säuberung des Hauses von Mäusen ist unter allen Umständen dem Menschen erwünscht; nur verdient das Wiesel dafür dafür keinen Dank, sofern es bei dieser Säuberung lediglich in seinem Interesse handelt (und sofern es, wie Babrius sehr passend sagt, mehr schadet als nützt). Dem hier erforderlichen Sinn «du verdienst keinen Dank, da du nicht in meinem Interesse handelst», dürfte besser entsprechen grata esses). Ueber die sich an- 65) Nur aus dem bei Phaedrus 1, 16,6 überlicferten veloci impetu scheint entlehnt zu sein was wir in Phacdri novi fab. 4, 6 lesen, expergefactus quem leo celeri impetu corripuit. Weniger ge- schmacklos sagt der mittelalterliche Romulus I, 17: eæpergefactus leo céleri manu miserum murem arripuit. 66) Demselben Fehler begegnen wir append. 27,8. Eine treulose Hetäre gibt einem oft betrogenen jungen Mann Liebesversicherun- gen: worauf dieser lubenter, inquit, mea lux, hanc vocem audio, non quod fidelis, sed quod iucunda est mihi. Zu dem Prädicat fidelis wird als Subject erwartet nicht sowohl haec voæ als vielmehr tu, und der zweite Theil des begründenden Satzes ist unlogisch, da haec vox mihi tucunda est lediglich einen vartrten Ausdruck bietet für das voraufsehende lubenter hanc vocem audio. Natürlich ist zu bessern sed quod iucunda es mihi mit A. Riese Anthol. Lat. 1, 2 p. 280, einem Werke das der neuste Herausgeber des Phaedrus zum Nachtheil seiner Arbeit nirgends benutzt hat. 255 schliessenden Worte dedissem veniam supplici bemerkt L. Müller p. 102: «supplici potius genetivus quam dativus». Dies Missverständniss ist mir unbegreiflich. = Das Epimythium zu I, 22 lautet in den Handschriften: hoc in se dictum debent ili agnoscere, quorum privata servit utilitas sibi et meritum inane iactant imprudentibus. Dass inprudentibus weder geduldet noch durch énpru- dentius ersetzt werden durfte, bedarf keines Nach- weises: der Vorwurf der émprudentia wäre für den Menschen, der sich nicht täuschen lässt, durchaus un- motivirt, für das Wiesel zu schwach. Graevius ver- muthete impudentius, wo der Comparativ ungehürig ist. Der Zusammenhang fordert ct meritum inane iactat impudentia, womit zugleich der Ausdruck concinner wird. Den Singularis iactat hat bereits Rittershusius verlangt. Der Fabel (1, 26) vom Fuchs und Storch, die ein- ander zum Mahle einladen, werden voraufgeschickt die Worte: Nulli nocendum: siquis vero laeserit, multandum sümili iure fabella admonet. Die Worte simili iure «mit ähnlichem Rechte» sind unverständlich; auch multandum halte ich für unpas- send, da das Mahl welches der Storch dem Fuchs bie- tet, zwar als Vergeltung, nicht aber als Strafe bezeich- vet werden kann. Die mir bekannten Emendations- versuche (#ulcandum Heinsius, mactandum simili vice fabella haec admonct Bentley) sind durchaus verfehlt. Statt multandum simili ture ist erforderlich ein Aus- druck welcher bedeutet par pari referendum. Vieleicht mutandum simile simili fabella admonet. Nachher heisst es: (vulpes dicitur) posuisse sorbitionem, quam nullo modo gustare esuriens potuerit ciconia. Das nach den Gesetzen der Grammatik zu erwartende posset führt auf die Vermuthung gustare posset esuriens ciconia. 1,27,11. Der Hund wird angeredet: concupisti regales opes trivio conceptus et educatus stercore. Zu Gunsten des Metrum hat man entweder conceplus, educatus oder concepte et educate vorgeschlagen. Sinn- gemässer dürfte sein érivio conceptus et nutritus stercore. | À EN En forte innoxius viator est deductus in eundem locum. Der Wanderer gelangte zufällig an den Ort, wo der Bulletin de l’Académie Impériale 256 Lüwe einen Stier erbeutet hatte. Für den Begriff «zu- fällig gelangen» ist deduci schwerlich angemessen: sollte Phaedrus nicht viator est delatus geschricben haben ? Il, 5, 25. Der Kaiser Tiberius besucht seine Villa in Misenum, und während er in den Gartenanlagen spazieren geht, bemüht sich ein dienstbeflissener Hôf- ling die Aufmerksamkeit des Kaisers zu erregen in der Hoffnung auf ein Geschenk. Der Kaiser merkt die Absicht und äussert seine Verstimmung : non multum egisti et opera nequiquam perit: mullo maioris alapae mecum vencunt, d. h. du bemühst dich vergeblich um die Auszeichnung von mir geohrfeigt zu werden. Das gegen den Sprach- gebrauch streitende maioris ist vermuthlich zu Gun- sten des Metrum gesetzt worden, nachdem der Anfang des Verses eine Einbusse erlitten hatte. Statt mullo maioris ist nichts natürlicher als aliquanto pluris. Nach- her entzieht sich mecum dem Verständniss: sinngemäss wäre alapae nostrae veneunt; der Ueberlieferung näher lâge alapae requm veneunt. IT, 7. Zwei beladene Maulesel gehen zusammen, der eine trägt bedeutende Geldsummen, der andere Säcke voll Gerste: ille onere dives celsa cervice eminens clarumque collo iactans tintinnabulum, 5 comes quieto sequitur et placido gradu. Mit Recht hat Bentley V. 4 das Würtchen # vermisst; aber mit Aenderungen wie celsa à cervice oder ille onere it dives, denen oncere dives vorzuziehen sein würde, ist wenig gewonnen. Als nicht minder anstôssig erscheint onere dives. Der Schätze tragende Maulesel dünkt sich reich, d. h. dives schlechthin; durch das hinzutretende onere wird der Begrift des Reichthums nicht erläutert, wie wenn man sagt dives agris, dives nummnis, sondern verdunkelt. Statt des müssigen und stürenden onere fordert der nachfolgende Gegensatz, comes quieto sequitur et placido gradu, ein den Gang des reichen Maulesels charakterisirendes Adverbium. Vermuthlich war der Anfang von V.4 in der Quelle unserer Handschriften theilweise unleser- lich: 1...O.EREDIVES, und man ergänzte Ille OnERE DIVES statt des ursprünglichen It pr'OpERE DIVES. — Plützlich werden die Maulesel überfallen von Räu- bern, welche des Sciences de Saint-Pétersbours. 258 — — —"—"—"]]]—]—]——]—" " " —"—" — — ———…—"”—”’_”…"————’— —”—’…"’"…"”"”…"—’— ’_ _— _ — — diripiunt nummos, neclegunt vile hordeum. spoliatus igitur casus cum fleret suos, equidem, inquit alter, me contemptum gaudeo, nam nil amisi nec sum laesus vulnere. 10 V. 10 halte ich igitur für falsch; besser wäre prior spo- liatus, aber mit gleichem Rechte lassen sich nicht wenige andere Vermuthungen aufstellen. Il, S. Der von Jägern verfolgte Hirsch sucht Zu- flucht in einem Rinderstall und bittet dessen Insassen, ihn uicht zu verrathen. Die Nacht bricht an: frondem bubulcus adfert: nec ideo videt. 11 Ob es rathsam war aus nec ideo videt (so PR) und nihil videt (so VN) zu machen ni ideo videt, scheint mir zweifelhaft; ich môchte vielmehr das mindestens un- deutliche ideo für verschrieben halten: sinngemäss wäre nec quicquam videt oder nec cervum videt; aber etwas wahrscheinliches zu geben vermag ich nicht. Weiter heisst es: eunt subinde et redeunt omnes rustici: nemo animadvertit. transit etiam villicus, nec ille quicquam sentit. 12 Im ersten dieser Verse ist omnes rustici unvereinbar mit der Situation, sofern nur wenige Bewohner des Gehôftes sich veranlasst sehen konnten nach dem Ein- tritt des Dunkels den Rinderstall zu besuchen; dazu kommt dass der Ausdruck eunt subinde et redeunt an das Kommen und Gehen Einzelner zu denken ge- bietet. Statt omnes rustici schriecb Phacdrus wohl homines rustici. Nachher würde ich vorziehen nec lle (oder nec iste) quicquam cernit, weil hier kein anderer Sinn als das Gesicht in Betracht kommt. Dem zweiten Buche ist ein Epilogus angehängt, welcher schliesst (V.15—19): sin autem rabulis doctus occurrit labor, sinistra quos in lucem natura extulit, [nec quicquam possunt nisi meliores carpere, | fatale vitium corde durato feram, donec fortunam criminis pudeat sui. Die Unechtheit des eingeklammerten Verses, nec quic- quam — carpere, hat Bentley erkannt. Nicht minder verdächtig sind die letzten Worte: der überlieferte Text enthält baren Unsion, weil es gar nicht dem Wesen der nach Laune und Willkür ihre Gaben spen- denden Fortuna entspricht sich zu schämen für das was sie thut oder lässt, sodann weil das Verfahren Tome XX VI. | der rabulae unmôglich der Fortuna zur Last gelegt werden kann. In der Widmung des dritten Buches wird Eutychus gemahnt, die Schriften des Phaedrus nur dann zu lesen, wenn er frei von Geschäften und darum für die Poesie empfänglich ser: verum, inquit, tanti non est ingenium tuum, momentum ut horae pereat officiis meis. 5 non ergo causa est manibus à tangi tuis, quod occupatis auribus non convenit. V.4 hat man das überlieferte inquit ersetzt durch èn- quis ohne Grund, da bekanntlich inqguit überaus häufig bedeutet «so lautet die Antwort». Vgl. IV,7,17: quid tibi videtur? hoc quoque insulsum est, ait, wo man eben- falls willkürlicher Weise ais schreibt. Zu schwach oder vielmehr schief ist V. 6 causa: statt non causa est fordert der Zusammenhang den Begriff non convenit, wonach ich schreiben müchte non ergo fas est. V.15 f. heisst es: animum relaxes, otium des corpori, ut adsuetam fortius praestes vicem. Vielleicht praestet, du musst dem Kôrper Erholung günnen, damit er seinen Verrichtungen nachzukommen im Stande sei. Vel. sic ludus animo dcbel aliquando dari, ad cogitandum melius ut redeat tibi. — Später sagt Phaedrus V. 52—55: si Phryx Aesopus potuit, si Anacharsis Scytha aeternam famam condere ingenio Suo, ego, literatae qui sum propior Gracciae, cur somno inerti deseram patriae decus? Zu somno inerti dürfte besser als deseram passen se- peliam. — V. 61: quoniam sollemnis mihi debetur gloria, habe ich die Vermuthung perennis mir angemerkt; eben dies perennis hat bereits Bentley hergestellt: nichts desto weniger vererbt sich die unmôgliche Ver- bindung sollemnis gloria von einer Ausgabe zur andern, und Bentleys Emendation wird nicht einmal der Er- wähnung gewürdigt. IT, 10,55: opinione alterius nequid ponderent. Das à der Genitivendung és wird überaus häufig ver- kürzt, wie sonst so namentlich bei alferius auch in iambischen Versen, wo das Metrum keinen Anlass bot von der ursprünglichen Messung --_- abzuweichen. Für die daktyliche Poesie war alterius nur als Paeon primus anwendbar: nachdem aber die bedeutendsten Dichter dem Epos und der Elegie sich zugewendet 17 259 Bulletin de l'Académie impériale 260 ——————_——@ hatten, kann es nicht befremden, wenn der Einfluss dieser Gattungen der Poesie auch auf andere Metra sich erstreckte, wenn somit alterius mit kurzer Pänul- tima in Jamben oder Trochäen üblich wurde, wie ctwa im Gricchischen die vom Epos ausgegangene Dehnung der ersten Silbe der Adiectiva aSavaros und 4x4putos bei tragischen und komischen Dichtern zur Herrschaft selangte. Phaedrus gebraucht die Form alterius aber- mals IV, 9, 2: reperire effugium quacrit alterius malo (quaerit alterius Bentley statt des überlieferten alterius quaerit), also auch hier mit kurzer Pänultima. Auch anderweitig finden wir in iambischen Versen die gleiche Messung. Publilius Syr. 50: bis emori est alterius ar- 150: ex vitio allerius sapiens emendat suum. 297: lucrum since damno alterius fieri non potest. 372: miserrimum est arbitrio alterius vivere. 543: quam malus est culpam qui suam alterius facit. Seneca Tro. 231 : allerius esset gloria ac summum decus. Phoen. bitrio mori. 382: quodeumque alteri optabo nato fiet alterius malo. An diesen und anderen Stellen das überlicferte allerius durch altrius zu ersetzen, wie es L. Müller im Phae- drus gethan hat, halte ich für durchaus unstatthaft. Sollten auch Naevius und Plautus die Verkürzungen altris und altrum statt alteris und alterum sich gestat- tet haben, so künnen doch dem Phacdrus, dem Publi- lius Syrus und dem Tragiker Seneca Formen wie altra altram altri altro altrum unmôglich zugetraut werden, und eben deshalb erscheint die Voraussetzung eines Genitivus altrius für diese Dichter als unberechtigt. — Eben so wenig ist zu billigen was HI, 10, 2 der neuste Text bictet, ponam utriusque breviter exemplum rei. Gegen die handschriftliche Lesart, uwtriusque exem- plhum breviter exponam (ponam V) rei, wird p. 105 bemerkt: «neque exponendi verbum hic habet locum neque correpta in wtriusque secunda, bene igitur sit Perotto, quod hic ut bis terve vestigia veri eius sunt opera servata». An der Verbindung breviter cxponam ist kein Anstoss zu nehmen: sollte erponam exemplum befremdlich klingen, so künnte man an proponam den- ken. Aber gesetzt das ponam des codex Vat. wäre die ursprüngliche Lesart, auch dann verdiente Müllers Aenderung nicht in den Text gesetzt zu werden, da man mit gleicher oder grôüsserer Wahrschemlchkeiït vermuthen kônnte wtriusque ponam breviter exemplum rei. Denn dass die Verkürzung des à in wériusque Keiï- nem Bedenken unterliegt, zeigt RitschlOpuse. IT p.694. HI, :10, 58: Die Worte per te stehen in so engem Zusammenhang, dass sie im Vers unmôüglich eine andere Geltung ha- ben künnen als die eines zweisilbigen Wortes: darum bietet der durch per te gebildete Spondeus des vierten Fusses einen metrischen Anstoss. Vermuthlich schrieb Phaedrus erit ile notus, per te quem cognoveris. Nur auf einer falschen Coniectur beruht, was append. 15, 7 die neusten Ausgaben bicten, adeone videor tibi per me meliuscula? In dem überlieferten adeone per me videor tibi meliuscula ist nicht nur die Verbindung von Daktylus und Ana- päst anstôssig, sondern auch der Sinn: »eliuscula ist, wie schon das adeo lehrt, hier vôllig unbrauchbar. Un- zweifelhaft richtig ist der von A. Spengel im Philo- logus XXXII p. 726 mitgetheilte Vorschlag, adeone per me videor tibi mellitula? Nur war es ein Irrthum, wenn Spengel meinte, L. Mül- lers Umstellung videor tibi per me genüge dem Versmass. III, 11, 1 — 5: Eunuchus litigabat cum quodam improbo, qui super obscena dicta et petulans iurgium erit lle notus, quem per le cognoveris. damnum insectatus est amissi roboris. en, ait, hoc unum est cur laborem validius, integritatis testes quia desunt mihi. Damit der im letsten Verse enthaltene Doppelsmn cinen angemessenen Ausdruck crhalte, ist zu schreiben: integritati testes quod desunt meac. Dies eben ist mein Unglück, sagt der Verschnittene, «dass ich keine Zeugen habe für meine Unschuld», und zugleich «dass mir dem Unschuldigen die testiculi fehlen». Redeweisen wie éntegritati meace statt mihi in- tegro sind dem Phaedrus sehr geläufig Uebrigens hat integritati schon Heinsius verlangt, und éntegritati wie meae steht im codex Vaticanus. II, 13. Um zu entscheiden ob die Drohnen oder die Bienen den Honig bereitet haben, den die emen wie die anderen als ihr Eigenthum in Anspruch neh- men, fordert die Wespe dass die Streitenden sofort ihre Kunst zeigen, damit aus dem Geschmack des Ho- nigs und aus der Gestalt der Waben der Urheber er- kannt werde. Die Bienen sind mit dem Vorschlag ein- verstanden, während die Drohnen ihn ablehnen. Dar- auf spricht die Wespe das Urtheil: apertum est quis non possit et quis fecerit, quapropter apibus fructum re- 261 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 262 stituo suum. An diese Erzählung schliesst sich folgende Betrachtung: hanc practerissem fabulam silentio, si pactam fuci non recusassent fidem. Dem letzten Verse wollte Bentley aufhelfen durch die Aenderung sè legem fuci non recusassent datam, 4. h. si condicionem propositam fuci accepissent. Mit dieser oder einer ähnlichen Aenderung ist nichts gewonnen: denu der Gedanke «diese Fabel hätte ich fortgelassen, wenn die Drohnen auf den Vorschlag der Wespe eim- gegangen wären» ist absurd, wie es absurd wäre zu sagen die Fabel I, 1 würde fortgeblieben sein, wenn der Wolf das Lamm nicht zerfleischt hätte, oder I, 2 wäre überflüssig gewesen, wenn die Früsche den zuerst ge- schickten Künig sich hätten gefallen lassen u.s. w. Was die in der F'abel auftretenden Thiere reden oder thun, bestimmt der Dichter oder Erzähler der Fabel nach künstlerischen Motiven: nicht aber kann die Hand- lungsweise der den Zwecken des Dichters dienenden Thiere massgebend sein für die Aufnahme oder Nicht- aufnahme einer Fabel. Für die in Rede stehende Fa- bel war der Protest der Drohnen gegen den Vorschlag der Wespe absolut nothwendig, sofern durch die in diesem Protest enthalteneSelbstverurtheilung der Droh- nen der Rechtshandel in einfachster und durchaus 0b- jectiver Weise zu Gunsten der Bienen entschieden wurde. Der Gedanke eines Eingchens der Drohnen auf den ihnen gemachten Vorschlag konnte einem ver- ständigen Erzähler überhaupt nicht in den Sinn kom- men, Die Behandlung der Fabel von den Bicnen und den Drohnen bedurfte keiner Entschuldigung: die Be- merkung dass diese Fabel unter gewissen Umständen mit Stillschweigen übergangen wäre, erscheint somit als durchaus unmotivirt. Geradezu läppisch aber ist es, wenn die Entscheidung der Frage über Aufnahme oder Ausscheidung der Fabel abhängig gemacht wird von dem Verfahren der Drohnen. Es scheint mir so- mit unzweifelhaft dass die beiden Schlussverse von einem Interpolator herrühren. IT, 17. Die Gôtter wählten sich Bäume, die unter ibrem Schutze stehen sollten: quercus Lori 2 el myrtus Veneri placuit, Phoebo laurca, pinus Cybebue, populus celsa Herculi. Falls die Copula et V. 3 zu beanstanden ist, môchte ich nicht mit Heinsius at myrlus schreiben, was ich für eine Verschlechterung des Textes halte, sondern Emyrtetum Veneri placuit. In derselben Fabel V. 11 redet Juppiter die Minerva an: o nata, merito sapiens dicere omnibus. Die Form dicere wird von L. Müller p.106 als Futu- rum bezeichnet. Nach dieser Auffassung wäre die Weis- heit der Minerva verborgen geblichen bis zu dem Au- | genblicke wo sie die Olive sich erwählte: [uppiter würde prophezeien, nicht nur dass alle auf Grund dieser einen Wahl sie in Zukunft für weise halten werden, sondern zugleich dass alle berechtigt sein werden dies zu thun. So leichten Kaufes konnte wohl selbst ein Gott das sapientem dici omnibus kaum erlangen. Natürlich ist di- cere Präsens. Wie man indess darüber auch urtheilen mag, unter allen Umständen streitet die Form gegen den Sprachgebrauch des Phaedrus, der in der zweiten Per- son Sing. passiver Flexion our die Endung ris anwendet: so abigeris IV, 25,13. caperis IV pr. 11. delectaris V, 3,9. experiris append. 18, 17. falleris 1, 23, 6. fruaris 1,22, 6. irascaris IV, 21, 14. minaris oder wohl mine- ris IV, 24, 4. quereris 1, 1,7. priveris append. 26, 14. videris I, 10, 9. Dies scheint Heinsius erkannt zu ha- ben, der statt dicere entweder dicta es oder diceris forderte. Vielleicht ist vorzuzichen sapiens audis om- nibus. HI epil. 34: palam mutire plebeio piaculum est. Der durch die Endsilben des Wortes plebeio gebildete Spondeus des vierten Fusses lässt sich bei Phaedrus damit entschuldigen, dass es ein Vers des Ennius ist den der Fabulist wiederholt (vgl. Ribbeck Trag. Rom. fragm. p. 56). Dennoch halte ich es für wahrschein- lich dass beide Dichter nicht plebeio, sondern plebei geschrieben haben. Die Form plebes findet sich bei Phaedrus IV, 6, 13: minuta plebes facili pracsidio latet. Dass plebs für plebeius stehen konnte lehrt Hor. Epist. 1,1,59: sed quadringentis sex seplem milia desunt, plebs cris. Ganz entsprechend wird im Griechischen Sqp2s gebraucht. Aesch. fr. 368: oùte dquos oùT Étns ave. Synes. Calv. enc. p. 72 D: 6o71s à où Oquo yeapet ai dquo héyer, Todtoy avayxn dnpoy eva ti DE. Ma- neth. 2, 180: n Évvmy Omporcr xUmptw pUoToÙ Tape- xovouus. 6, 585: Smautépus DE éyos puoSoù Dmuors Tup- cyoÿoas. Die ropvn soll von Archilochus Snpos genannt worden sein, Hierher gehürt, falls die jetzige Lesart richtig ist, auch IL. M 213: o08è Écrxev Snpoy ÉcvTa Ta- QÈË ayogevémev. VUyiés 263 Bulletin de l'Académie Impériale 264 RE ——————— — — …——…—…——…—…—— 9 IV,2, 1: Joculare tibi videtur, ct sane leve, dum nihil habemus manu, calamo ludimus. Nachdem leve von Scheffer in levi und #anu von Pi- thoeus in #aius geändert worden ist, wartet noch der subjectlose und darum unverständliche Ausdruck iocu- lare tibi videtur der Erledigung. Nicht annehmbar sind aus Jeicht zu errathenden Gründen die Vorschläge von Heinsius und Bentley, Zoculares tibi videmur und Jocu- lare hoc tibi videtur. Es war vielmehr herzustellen Zocari tibi videmur. Der Schreibfehler iocare statt iocari (Wie leve statt Levi) hatte zur Folge dass man in iocare eine Silbe einschaltete und demgemäss videmur in videtur umsetzte. Die Fabeln werden von Phacdrus ôüfters als Scherze bezeichnet. IV, 7 heisst es: Tu qui, nasule, scripla destringis mea el hoc iocorum legere fastidis genus u.s.w. Für den durch den Zusammenhang gebotenen Sinn él has fabellas legere fastidis dürfte angemessener sein et hoc iocosum legere fastidis genus: nicht eine be- stimmte Gattung von Scherzen soll bezeichnet wer- den, sondern die leichte und scherzhafte Fabeldich- tung im Gegensatz zu schwungvoller und erhabener Poesie. IV,5,7. Ein Quidam hinterlässt drei Tôchter, eine Buhlerin, eine Wirthschafterin und eine Trinkerin: harum autem matrem fecit heredem senex sub condicione us. w. Das lästige autem wird entbebrlich, wenn wir earum (oder éstarum) matrem schreiben. — Das Testament besagt, die Mutter solle das Vermügen den Tüchtern gleichmässig vertheilen, sed {ali modo, ne data possideant aut fruantur; tum simul habere res desierint quas acceperint, centena matri conferant sestertia. Niemand weiss der Mutter zu sagen, was sie zu thun habe um diesen Verfügungen nachzukommen. Endlich | hilft sie sich selbst, indem sie den Tüchtern zutheilen will, was der Neigung einer jeden entspricht: postquam consumpta est temporis longi mora nec testamenti potuit sensus colligi, fidem advocavit ture neglecto parens. seponit moechae vestem, mundum mulicbrem — lanificae agellos, pecora, villam, operarios — potrici plenam antiquis apothecam cadis —. 20 iector oder vates bedurfte man zum Verständniss des räthselhaften Testamentes. Der nachfolgende Vers ist so ungeschickt dass ich ihn für eine fremde Zuthat halten müchte. Der Interpolator wollte, wie es schemt sagen, die Mutter sei verfahren nach ihrem Gewissen, ohne freilich die Bestimmungen des Testamentes genau ausführen zu künnen. Der Ausdruck neglecto ture ist hier eben so verkehrt als das advocavit fidem.— Die Mutter war im Begriff jeder Tochter das zugedachte Erbe zu geben und das Volk, das die Tôchter kannte, billigte die Theilung, als Aesopus media subito in turba constitit: o si maneret condilo sensus patri, 30 quam graviter ferret quod voluntaten suam interpretari non potuissent Attici. Wollte Aesopus die Athener über den verborgenen Sinn des Testamentes aufklären, so musste er nicht, was der jetzige Text besagt, in der Mitte der Masse Hait machen, sondern aus der Masse hervortreten. Somit dürfte zu schreiben sein: Aesopus media subito e turba prosilit. IV,7,6—16 hat Phaedrus den Anfang der Euri- pideischen Medea benutzt. Obwohl die Nachbildung sehr frei ist, so lässt sich doch ein Fehler der Phaedrus- Handschriften mit Hilfe des Griechischen Originals be- seitigen, An die Wunschsätze, Utinam ne quondam Peli nemoris iugo pinus bipenni concidisset Thessala, nec ad professae morlis audacem viam fabricasset Argus opera Palladia ratem u.s.w., schliessen sich V.12 die Worte an: namque et superbi luget Acetae domus et regna Peliae scelere Medeae iacent. Dem Wunsche dass dies und jenes nicht geschehen wäre, wird somit die factische Sachlage gegenüber- gestellt. Hiernach ist herzustellen nunc et superbi luget Acetae domus, wie es bei Euripides heisst: vov S éySoû ravra, xai | voget ta qiatata. — Von Medea wird V. 15 gesagt: per artus fratris explicuit fugam. | Ob explicare fugam zu sagen môglich sei, bezweifle ich: einen passenden Ausdruck gewinnen wir durch die leichte Aenderung expediüt fugam. IV, 11,14 f: quot res contineat hoc arqumentum utiles, non explicabit alius quam qui repperil. Statt colligi V. 19 wird der Begriff éndagari erwartet, | Wenn Phaedrus behauptet, kein anderer ausser dem also ist vielleicht conici zu schreiben: denn eines con- | Erfinder (d. h. ausser ihm selbst) sei im Stande alle 265 in seiner Fabel enthaltenen guten Lehren darzulegen, so muss er entweder alle Leser seiner Fabel für stumpf- sinnig oder die Fabel selbst für misslungen halten. | Offenbar ist non — alius ein schlechter Ersatz statt des ursprünglichen nemo — melius; ausserdem ist vielleicht explicarit vorzuziehen mit Heinsius und Bentley. IV, 19, 1 —5: Canes legatos olim misere ad Iovem melioris vitae tempus oralum Suae, ut sese eriperet hominum contumelüs, furfuribus sibi consparsum quod panem darent fimoque turpi mazimam explerent famem. Der Zweck der von den Hunden an luppiter geschick- ten Gesandtschaft ist in V. 3 klar und deutlich aus- gesprochen: sie wünschten erlüst zu werden von den Misshandlungen der Menschen. Neben diesen Wor- ten erscheint V. 2 als hôchst überflüssig. Den sinn- losen Ausdruck des überlieferten Textes wollte Hein- sius besecitigen durch die Aenderung meliora vitae tempora oratum sibi, wo sibi allerdings einen hohen Grad von Wahrschein- lichkeit besitzt, meliora tempora dagegen einen ver- kehrten Sinn gibt, sofern der Pluralis tempora nur von wechselnden Umständen und vorübergehenden Ver- hältnissen verstanden werden künnte. Was die Hunde wünschten war #elior sors, nicht melioris vitae tempus, noch weniger meliora vitae tempora. Vers 2 ist ein- fach zu tilgen. Statt quod panem darent dürfte qui panem darent vorzuziehen sein mit Heinsius; was in dem voraufgehenden consparsum enthalten ist, bleibt noch zu ermitteln: vielleicht darf man an acerosum denken, — Als die Hunde das Antlitz des gewaltigen Iuppiter erblickten, totam timentes concacarunt regiam: propulsi vero (vielleicht retro) fustibus vadunt foras. Später wird eine zweite Gesandtschaft abgeschickt und erlangt Audienz: da donnert Iuppiter, alles zittert, und canes confusi, subitus quod fuerat fragor, repente odorem mixtum cum merdis cacant. 25 Statt mixtum steht in den Handschriften mixto, was auf odores mixtos hinweist. Vorher ist das überlieferte confusus subito von Gudius in confusi subitus geän- dert worden: so ansprechend die Correctur scheint, s0 liefert sie doch einen nicht eben gefälligen Ausdruck; namentlich würde man die matte Begründung subitus quod fuerat fragor lieber beseitigt sehen und sich be- des Sciences de Saint - Pétersbourg. 266 gnügen mit den Worten canes odores mixtos Cum mer- dis cacant. In dem sich anschliessenden Verse 26: reclamant omnes vindicandam iniuriam, ist das unpassende reclamant zu bescitigen dureh die Aenderung di clamant, Woran schon Burmann dachte. IV, 23, 5 wird gesagt dass der Dichter Simonides die hervorragenden Städte Asiens besuchte, mercede accepta laudem victorum canens. Wenn Simonides die Aufforderung erhielt einen Sie- ger zu feiern, so wurde zunächst der Preis des Ge- sangs festgesetzt; die Zahlung erfolgte in der Regel sicherlich erst nach dem Gesang. Dies liegt in der Natur der Sache und wird bestätigt durch eine andere Erzählung des Phaedrus (IV, 26), wo es heisst, Simo- uides habe in die Lobpreisung eines Faustkämpfers die Verherrlichung der Sühne der Leda eingeflochten und deshalb nur den dritten Theil der versprochenen Geldsumme empfangen, mit der Weisung den Rest sich von den zugleich verherrlichten Dioskuren auszubitten. Somit halte ich es für unzweifelhaft dass Phaedrus schrieb nicht mercede accepta, sondern mercede pacta, wie in der Fabel vom Wolf und Kranich: «@ quo cum pactum flagitaret praemium. IV, 25. In dem Rangstreit der Ameise und der Flicge heisst es: musca sic coepit prior: conferre nostris tu potes te laudibus? Vielmehr qui potes, wie I, 1, 7: qui possum, quacso, facere quod quereris, lupe? A. h.neutiquam possum facere. IV,26. Nachdem die wunderbare Rettung des Si- monides erzählt worden ist, heisst es V. 31 — 33: ut est vulgatus ordo narratae rei, omnes scierunt numinum praesentiam vati dedisse vitam mercedis loco. Für den hier erforderlichen Gedanken «als die hier mitgetheilte Thatsache ruchbar wurde» ist ordo schwer- lich angemessen: wie mir scheint, ist dafür rwmor noth- wendig. In der an Particulo gerichteten Nachschrift des vierten Buches sagt Phaedrus, sein Stoff sei bei weitem nicht erschüpft, aber er meide das Uebermass, quare si non ingenium, certe brevitatem adproba, quae commenduri tanto debet iustius quanto poetae sunt molesti validius. 9 Dass die Dichter schlechthin und ohne Unterschied m0- lesti genannt werden ist eine paradoxe Behauptung, die wo sie wie hier ohne Begründung und ohne Zweck 267 Bulletin de l’Académie Empériale 268 auftritt, als albern erscheint; dass Phaedrus diese Al- ! dation, bernheit ausgesprochen habe ist undenkbar, darum weil er selbst ein Dichter war oder mindestens zu sein glaubte. Vorher befremdet der Ausdruck quae com- mendari debet, Wo gemeint war quam placere par est oder quae nulla eget commendatione. Mügen die beiden Verse von Phaedrus herrühren oder, was ich für wahr- scheinlicher halte, ein späteres Einschiebsel sein, un- ter allen Umständen sollte man statt poelae einen Be- griff wie loquaces erwarten. Im Proümium zum fünften Buche sagt Phaedrus, er nenne hie und da den Namen des Aesopus, um sei- nen Fabeln ein hüheres Ansehen zu verleihen: * ul quidam artifices nostro faciunt saeculo, qui pretium operibus maius inveniunt, novo 5 sè marmori adscripserunt Praxitelen suo, detrito Myronem argento, fabulae exaudiant. Um die Emendation dieser wie der sich anschliessen- den Verse hat sich ausnehmend verdient gemacht Bent- ley, der 5 — 7 herstellen wollte: qui prelium operibus maius inveniunt novis, st marmori adscripsere Praxitelen, Scopan aeri, Myronem argento, tabulae Zeuxidem. Die neueren Herausgeber haben die irrige Acnde- rung novis V. 5 aufgenommen, dagegen V. 6 das ab- geschmackte suo unangefochten gelassen. Kunsthänd- ler künnen wohl durch gefälschte Inschriften novis operibus maius pretium invenire; wenn dagegen Künst- ler derartige Betrügereien sich erlauben, so wollen sie nicht neue, sondern ihre eigenen Arbeiten besser verwerthen, d. h. statt operibus novis ist operibus suis nothwendig, und während #armori suo sehr unpassend ist, gibt #24rmori novo einen durchaus angemessenen Sinn. Offenbar haben in V. 5 und 6 die Enden ihre Stelle getauscht 7). Die auf der Hand liegende Emen- 67) Derartige Vertauschungen finden sich überaus häufig, wie ich in den Observ. crit. de trag. Gr. fragm. p. 36 f., im Anhang zu Soph. EI. 554 und sonst nachgewiesen habe. Bei Phaedrus IV, 25, 5 und 6 ist überliefert: ubi immolatur, exta praegusto deu, moror inter aras, templa perlustro omnia. Fix angemessener halte ich, was L. Müller vorschlägt, moror inter «ras, templa perlustro deum, ubi immolatur, exta praequsto omnia. Verkannt hat man dieselbe Corruptel append. 25, 1. 2: Cum servus nequam Socrati malediceret, uxorem domini qui corrupissel sui. Das Pronomen qui kann nach dem jetzigen Texte nur auf Socrati qui prelium operibus maius inveniunt suis, si marmori adscripserunt Praxitelen novo, gab bereits Bergk Philol. 16 p. 621. Statt adscripse- runt halte ich énscripserunt für die ursprüngliche Les- art. V.7 wird jetzt geschrieben trito Myronem argento, tabulae Zeuxidem, wo trito von Salmasius, fabulae Zeuxidem von Bentley herrührt. Eine andere Vermuthung, die jedenfalls Er- wähnung verdiente, hat Bergk ausgesprochen: detrito Myn argento, tabulae Pausian. Nach L. Müller p. 107 ist érito so viel als caelato et usu detrito. Ich bewundere die Interpretationskunst, welche zwei so heterogene Bedeutungen wie «mit dem Meissel gearbeitet» und «durch den Gebrauch abge- nutzt» an einer und derselben $Stelle in einem einzigen Worte zu entdecken vermag. V,1,3— 6. Demetrius Phalereus bemächtigt sich der Stadt Athen: ut mos est vulgi, passim et certatim ruit ‘féliciter succlamant. ipsi principes illam osculantur, qua sunt oppressi, manum, 5 tacite gementes tristem fortunae vicem. Die Heïlung der Worte ut mos est bis succlamant ist unsicher; so viel aber scheint mir klar dass mit der Aenderung succlamans, Woran Burmann dachte, die Nothwendigkeit gegeben ist vulgus statt vulgi mit Bent- ley zu schreiben Nachher beruht am V. 5 auf fal- scher Ausfüllung einer überlieferten Lücke, .. LAM osculantur, 4. h. PALAM osculantur; denn der Begriff palam ist durch den Gegensatz facite gementes mit Nothwendigkeit gefordert. Angemessener aber wird der Ausdruck, weun wir 5 und 6 umstellen: ipsi principes, tacite gementes tristem fortunae vicem, palam osculantur qua sunt oppressi manum. Weiter heisst es, auch Stubenhocker seien zuletzt her- angekrochen, in quis Menander nobilis comoediis, quas ipsum ignorans legerat Demctrius 10 et admiratus fuerat ingenium viri, veniebal gressu delicato et languido, 13 unguento delibutus, vestitu fluens. 12 Diese Folge der beiden letzten Verse ist die allem bezogen werden, was um des Sinnes willen unmôglich ist. Es war zu schreiben: Cum servus nequam, qui corrupisset sui uxorem domini, Socrati malediceret. 269 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 276 sachgemässe., — Demetrius fragt, wer der ausgemer- gelte Geck sei, der ihm unter die Augen zu kommen sich erdreiste; als er hôürt, dieser Geck sei der Schrift- steller Menander, ändert er seine Sprache: homo, inquit, ficri non potest formosior. Mag man verstehen «ein Mensch kann nicht schôner werden» oder «ein schünerer Mensch kann nicht wer- den» (im letzteren Falle war »asci angemessener), un- ter allen Umständen ist feri schief; der Absicht des bis zur äussersten Schamlosigkeit zweizüngigen Deme- trius entspricht nur ein Ausdruck wie «dieser Mensch ist das verkürperte Ideal der Schônheit, einen schü- neren Menschen kann man sich nicht vorstellen», d.h. homo, inquit, fingi non potest formosior. V,5. Der Fabel von dem Possenreisser, der das Grunzen eines Ferkels nachahmt, und dem Landmann, der ein wirkliches Ferkel grunzen lässt, wird folgende Sentenz voraufgeschickt: Pravo favore labi mortales solent et pro iudicio dum stant erroris sui ad paenitendum rebus manifestis agi. Dem Unsinn des 2. Verses wird durch das von Baeh- rens gesetzte et praeiudicio nicht abgeholfen: unlogisch ist das dum, weil die Worte unseres Textes nur be- sagen künnen «errore tenentur» oder «in errore perse- verant», die Reue dagegen erst eintritt, nachdem die Menschen zur Erkenntniss des Irrthums gelangt sind: und die Phrase stare erroris praeiudicio (oder pro iu- dicio) klingt hôchst wunderlich, wie sui hier unpassend ist. Der ganze Vers ist ein abgeschmacktes Einschieb- sel, das durch cine überaus leichte Entstellung her- vorgerufen wurde ®); alles ist in bester Ordnung, ohne dass irgend etwas vermisst wird, wenn wir schreiben: Pravo favore lapsi mortales solent ad paenitendum rebus manifestis agi. 68) Bekanntlich sind durch falsche Lesarten nicht selten Inter- polationen veranlasst worden: vel. meine Erôrterung Bulletin IX p. 350 — 361 oder Mélanges Gréco-Rom. IT p. 665 — 681. Für jetzt mag es genügen an die von den beiden Traumthoren handelnden Verse bei Virg. Aen. VI, 893—896 zu erinnern: sunt geminae somni portae; quarum altera fertur cornea, qua veris facilis datur exitus umbris, altera candenti perfecta nitens elephanto, sed falsa ad coelum mittunt insomnia manes. Diese den Zusammenhang storenden und schon durch die stümper- hafte Form ihren späteren Ursprung verrathendeu Verse danken ihre Existenz dem albernen Fehler in V. 898: portaque emittit eburna statt des allein môglichen portaque emittit averna. V,5,4: facturus ludos quidam dives nobilis proposito cunctos invitavit praemio etc. L. Müller ändert quidam dis et nobilis: aber die Form dis statt dives ist wie überhaupt hüchst selten so für Phaedrus nirgends durch das Metrum angezeigt. Es war zu schreiben dives quidam ct nobilis mit cod. Vat. — Von dem Landmann, der besser als der scwrra zu grunzen versprochen hat, lesen wir V. 29—33: tunc simulans sese vestimentis rusticus porcellum oblegere, quod facichat scilicet, 30 sed in priore quia nil compercrant latens, pervellit aurem vero, quen celaverat, et cum dolore vocem naturae exprümit. Mit Recht haben Ursinus und Heïnsius den V. 31 als unecht bezeichnet: ungeschickt ist in priore, was be- deuten soll cum scurra grunniret; ganz abgeschmackt nil compererant, da die Zuschauer beim ersten Auf- treten des scurra sich überzeugt hatten dass er nicht, wie man aus dem Grunzen schloss, ein Schwein unter dem pallium hielt. Die Vermuthung von Ursinus und Heïinsius wird bestätigt durch den cod. Vat., der den anstôüssigen Vers fortlässt. Eben dieser Vat. bietet porco statt vero, Wodurch Heinsius Vermuthung verri eine Stütze bekommt. V,7,19: épso ludorum ostenderet sese die. Nur an dieser Stelle wird bei Phaedrus die mittlere Dipodie des Senars durch ein einziges Wort gebildet. Dennoch halte ich eine Aenderung, wie etwa ipso ludorum sese monstraret die, für unberechtigt, darum weil sich bei Phacdrus nicht wenige Verse finden, welche hinsichtlich der Cäsur mit der erwähnten Stelle auf gleicher Linie stehen. Einem Griechischen Tragiker kann freilich ein Vers wie der obige nicht zugetraut werden; Trimeter wie xal Tada RoXX |érerxdoot | Béxatov ÿv — ardp té tavr | côupouou, | Ta à à rooiv — xal moûs té tait | odupomu, | duynv épunv — vuvû To cop | avemévn | à apylav — xopnv, SauaoS |'Houxhéous, | et un xup6 — xai Toy oùy a | éooropov | xaSshpEov — sind in der Tragüdie unmüglich, Aber diese sechs Verse wie der des Phaedrus, ipso ludorum ostenderet sese die, oder bei Publilius Syrus 89: crudelem medicum inten- perans aeger facit, 462: plus est quam poena iniuriae 271 succumbere, sind, was die Cäsur betrifft, durchaus nicht so anstôssig als etwa die Aristophanischen Trimeter: arcpo yoipo rapatihkopar AoyÉopor — 2E daktoy ÉxTropaToy ka LpuTIÈY — Lai vv êTep payuporator Boaxov ÉSves — arepaqovss MapaSovopayar spevSapvive u. dgl., oder die durch falsche Conjecturen dem Sophokles aufgedrängten Verse: 276 co yo, daotpcpous ÊT Cat — où pv TUYOY yvOpLovos, ToUTEv À Lowv — GAX ÉV TAYEL TEQAVÉTO" povoy dé je — AUTAELOY AUTALATOY, DUÈV PpEAGE — éneidov ÔS TAPAGTATOUTX TANOX — ris oO, 8 TÉXVOY, TROONYAYEY TAVŸ ES XS0VA — gaurèv Bootois vaudou xhétbas èpé ‘). Im Gegensatz zu den eben erwähnten Versen findet sich bei den früher angeführten vor der zweiten Dipo- die eine Elision: die zu elidirenden Silben wurden aber in der Aussprache mehrentheils nicht vüllig un- terdrückt, wie wir es zu thun pflegen, sondern nach einem von Quintilian gebrauchten Ausdruck verdun- kelt. Somit haben wir in dem Verse ipso ludorum ostenderet sese die die Cäsur nach ludorum, und zwar die revSnppepns roun, wonach ich geneigt bin nicht sowohl /udor” osten- deret als vielmehr ludoru’ ’stenderet für die richtige Aussprache zu halten. Den deutlichsten Beweiïs liefern zahlreiche Verse des Phaedrus, wo die zweite Dipodie mit einem so genannten proklitischen Worte, nament- lich ef, beginnt. aiamque praedam ab adtero ferri putans T, 4, 4. qui pretium meriti ab improbis desiderat T, 8, 1. et perdunt operam et deridentur turpiter X, 25, 2. prior invitasse et ii in patina liquidam Y, 26, 4. prospectat Siculum et despicit Tuscum mare TT, 5, 10. änpinge lupidem et dignum accipies praemium WA, 5,7. namque ubi tricandum et ubi currendum sit scio LIT, 6, 9. nullum esse auæilium et verba contemni sua TI, 16, 9. coepit redire. et quidam e turba garrulus XIT, 19, 7. 69) Fehlerhaft überliefert scheint zu sein Publil. Syr. 425: nil aliud scit necessitas quam vincere, wo ich eine Umstellung vornehmen môchte: necessitas nid aliud scit quam vincere. Unrhythmisch und sinnlos zugleich ist was dem Publilius in den Ausgaben von A. Spengel (V. 501) und G. Meyer (Q 3) beigelegt wird, qui metuit contumeliam, raro aecipit. Statt contumelium ist calamitatem die besser verbürgte und sinn- gemässe Lesart, wonach zu emendiren sein dürfte qui calamitatem metuerit, raro accipit. Befremdlich sind zwei Verse des Hor., Epod. 1,19: ut assidens in- | plumibns pullis avis, und 11,15: quod si meis inaestuat praecordits. Bulletin de l’Académie Impériale 272 hominem, inquit, quaero, et abiit festinans domum VIT, 19, 9. Loves tumenta et instrumentum rusticum IV, 5, 24. domum politam et delicatos hortulos IV, 5, 26. historia quorum et in tabernis pingitur IV, 6, 2. ut careas Somno et aevum in tenebris eæigas IV, 21, 10. üliberali et sordido receperant app. 3, 2. fracte loquendo et ambulando molliter app. 8, 2. cum veste et auro et magno argenti pondere app. 8, 5. abegit quidam et in pistrinum vendidit app. 19, 2. huic agro feci. et rusticus: ne tèmueris app. 26,5. In allen diesen Versen ist die revSnpp 3 3 NU , 1, S $ 2.228 \ r OUX O1Ù Ad not der À ŒUTOY AËVELV capos © HONLEL, Toûs CÈ HAÈ TOUGDE Te. In Betreff des caxvos genügt es zu erinnern an Soph. Trach. 349: + oc: GapOS jLOL One Ta Coov voeis. Eur. Hel, 1394. Theoklymenus befiehlt seinen Die- nern dass sie sich aufmachen um dem Menelaus die gebührenden Todtenehren zu erweisen; die Helena bittet er dagegen zu bleiben: TAÛTA VAR TAQOUGE TE ROGÉELS TOV AVÔpA TOY GÔV NY TE UN TApÏS. Die Redeweise roatret rive 71 statt kehrt wieder bei Aristoph. Eccl. 108: AY Tos Tapahafeiy TNs TOUS TA TEL YLATA TOLELY TLVL TL SuvopeS , GoT dyaSOY TL TRE TV TOY, wo der Dativ tn rés den Sprachgesetzen genügen wird (vgl. statt anderer Stellen Lysias XIII, 48: oùs dù Bouhquévous ayaSov T1 TodË T] TOhEL ATÉXTEVAG). Bei Euripides ist rex£éers um des Sinnes willen unstatt- haft: Helena kann den todten Gatten nach Gebübr ehren, auch ohne dass sie an den évata xtegtopata sich betheiligt; aber ihre z werden, je nachdem sie bei dieser Feier sich betheiligt oder nicht, noth- wendiger Weise verschieden ausfallen. Statt ronësrs roy avoæ gibt es, so viel ich sehe, nur ein passendes Wort, téosrs toy avôpæ. Die handschriftliche Lesart lässt sich erklären auf doppelte Weise: entweder wurde der unleserliche Versanfang falsch ergänzt, oder técets ging zunächst über rwymoets, das dann dem Metrum zu Liebe in roa£sts willkürlich umgesetzt wurde. Eur. El. 1072 f.: yuvû à anovros avôpès nTis x cpov roaËels ets XA)AOS acxëi, doyeup 65 o0Tav XOYN). Dass im ersten dieser Verse die Wortstellung durch- aus verschroben ist, bedarf keines Nachweises: für verunglückt aber halte ich den von Heimsoeth Krit, Stud. 1 p. 263 f. gemachten Vorschlag, yuvû à arov- tros ris avpos x Jopov els xaAhos aoxei, wo das Zu- sammengehôrige in unerträglicher Weise getrennt ist. Besser dürfte sich empfehlen entweder fris à anévros x SopLoy avÈoùs Tu oder, was ich vorziehe, avdpès À arcvros x Scpoy NTis YUVn els KANdOS doxel. Eur. Iph. Aul. 891—893: IIP. Séàtoy PACA pégay got Tgos TO TELV VE YOAULÉVEL. KA. oùx éoy ñ Euvre ÀcUOY Taid AYELv SAvoUpEVN; ITP. pu pv où deu poovov Ya ÉTUYE où HOG1G TOT Eb. Unpassend ist im letzten dieser Verse der Aorist étuys, Bulletin de l’Académie Impériale 284 wo das Imperf. zu setzen war. Die echte Lesart dürfte sein osvov yao SÛye cos Roots tot ev. Ausdrucks- weisen wie poxaploc SAEts seevoy oder (Eur. Hipp. 462) xagt yovres sù poevoy sind hinlänglich bekannt. Eur. Iph. A. 1195. Klytämnestra sagt zu Agamem- non, keins seiner Kinder werde ihn eines Blickes wür- digen, wenn er die Iphigenie opfere. Darauf fährt sie fort: tadr nASes nôn da hoYOV; À cxNTTea oo povoy dapéoeuv xat orontnhateiv ce dei; Das in beiden Handschriften überlieferte 4x? %ôn hat Hermaun durch die Emendation %ASes on ersetzt. Seltsam aber ist es, wenn er meint oxnrrea Stapéoetv bedeute «cum sceptro circumire»: denn weder hat Stæ- vépev den Sinn cumhertragen», noch pflegen Herrscher ihr Scepter spazieren zu führen, noch ist irgend eine Redeweise vorhanden die geeignet wäre eine Verbin- dung wie 6 Baotheus to cxnntecv duupéoer als müglich darzuthun. Ausserdem ist es ein Irrthum, wenn Her- mann decretirt, der Dativus oo passe zu Ôe? in glei- cher Weise wie der Accusativus 5£. Wäre Hermanns Auffassung überhaupt müglich, so würden wir kein Bedenken tragen cxnrrex ca zu schreiben mit der Cambridger Ausgabe vom J, 1840. Aber oxnntea cet ist richtig, und eben so wenig durften die Worte ge Sc? beanstandet werden. Statt dtagépeuy war dtupéoet herzustellen, woran bereits Musgrave dachte ): die Substitution des Inf. erklärt sich aus dem nachfolgen- den otearhateiv. In Betreff der Redeweise cxirtex go! povoy dtapépet, kommt es dir nur auf dein Scepter (deine Herrschaft) an, vgl. Thes. Gr. L. vol. 2 p. 1377. Eur. Iph. T. 380 ff.: TA Ts JeoÙ dE péLOAL GOPIOLATE, ntis BooTov pèv v Ts EYnTat povou n xoù CE À vExpoù SUN XEpoiv, Bopoy aretoyet, uoaody Os nyoupém, avth D Suoaus HeTa BRoToxTIVeLS. oux È0S 380 ” Cros étexey &v n Atos Date 385 Anrô TOGAUTNY ALAN. y pv oùv ra Tavrahou Sectot Éctiapata aTITA xgivo Tatdos NoSnvar Pop, toùs À SAT, aTOÙS ÔVTAS AYIPOTOKTEVOUS, 75) Seine Worte lauten. « Legi potest : TudT HASov, n M, 02 ÀGYOVS À CXATTEA oo! pLovoy Orapéper xt dTpaTnhaTwy MÉDELVS Haec libi, necne, in cogitationem venerunt? an sceptra tantum curas et ducibus imperure?» 285 elg Tv SEov To paDAoY avapépetv Joxo 390 déve ao ouar Jaynovoy Eva KAXOV. V. 382 ist hoystas hôchst unpassend angewendet, wo Xexods zu sagen war: es würde erlaubt sein Asyoùs ts zu vermuthen, wenn nicht der ganze Vers hier unge- hôrig wäre. Nach Iphigenias Ansicht liegt ein Wi- derspruch darin, dass Artemis einen der seine Hände durch Mord befleckt hat von ihren Altären fern hält, selbst aber an Menschenopfern Gefallen findet. Dass schon durch die Berührung einer Wôchnerin oder eines Leichnams jemand befleckt wird, kommt hier nicht in Betracht: somit ist 382, wie Badham gesehen hat, zu tilgen. Statt étexev av 385 hat Porson étixtey hergestellt: in der handschriftlichen Lesart ist das av sinnwidrig und der durch ëtexey gebildete Tribrachus des dritten Fusses unrhythmisch ®). Nachher halte ich auaStay für unmôüglich: wenn Artemis jeden Mür- der aversirt und doch Menschenopfer sich darbringen lässt, so kann sie zwar avoctos oder avoyos genannt werden, nicht aber apaSns. Vermuthlich ist agaStay gemacht aus AMIAN d. h. a(vohuéav"). V.387 hat Her- mann ta Tavraæhoy te Ssoîou geschrieben: absurde lo- queretur (Tphig.), si Tantali epulas commemoraret, non copulata huius rei mentione cum sacris quae detestatur Dianae. Absurd ist an unserer Stelle die Erwähnung des von Tantalus den Güttern vorgesetzten Mahles. Nach unserem Texte war es das Mahl welches ras Bopx fon. Wäre es aber auch erlaubt mit den Aus- legern toùs Seous als Subject zu nova: zu ergünzen, so konnten doch die Gütter, welche den Frevel des Tantalus bald genug merkten, unmôglich als 4ôouevot | » raÿos (deutlicher würe Iéxcros) Boox bezeichnet wer- den. Ueberhaupt ist das Mahl des Tantalus hier unge- hôürig, da die Gôütter die Zerstückelung des Pelops weder befohlen hatten noch billigten. Die ganze Stelle dürfte so zu schreiben sein: ra Ts ScoÙ D époomar copopaTæ, (14 Re 4 L4 (> 4 LA Ares Bootov pv nv Ti MNT povou, 381 Bopoy ATelp yet, LUTAEÔ OS NYCUpLÉIN, 383 76) Vgl. Dindorf Poet. scen. ed. V Proleg. p. 34 a. Nur auf fal- schen Vermuthungen beruhte es, Wenn man dem Sophokles Verse zutrauen konnte wie TAphxev, & Bouxée AchE piai por Soxei Oed. Col. 570 oder gar pnteoe, Savout , à ra pos aveoyounv véxuy Ant. 467. 77) So wurde oben xet evo ëv Sakdpo TL 391 hergestellt statt des überliefersen xeivos (9 Y) ëv Sakiuw. Hierher gehürt auch Alciphr. IT, 74, 1: Dpoiteg$ae mpôs Toù Tpépovros, el xat av(oc)rov, popntov. Vielmehr ei xat avt{æp)ov des Sciences de Saint-Pétersbourg. 286 L \ ’ aurn dE Suolos MôsTat BootorTovors” , y DCE 2 oux é0S Onrus éTixtev n Ardc Sao AnTo TocauTtny dvopéav ÊYO jLEV oÙy 386 ed eos ee TOUS ÉVSGD , ŒUTOUS OVTHS AVŸDOTOKTOVOUS, 389 els TN JEOY TO PAUROY Gvap petv 0x0 oùdÈv Y20 cûpuat Saup.ovoy ENT A XAYOY. Erst jetzt ist tous Suds 389 passend: für die Men- schenopfer, welche Artemis verlangen soll, künnen die Taurier verantwortlich gemacht werden, nicht aber für die auf Tantalus bezüglichen Sagen. Im letzten Verse habe ich statt oùSéva das gleichbedeutende, aber im Aus- druck kräftigere oùôèv gesetzt: in gleicher Weise ist bei Soph. Oed. R. 1194 Boorôv oùdévx paxasio über- liefert statt des durch das Metrum geforderten où9èv paxagto. Nach den Worten puoxpoy os mycvpévn be- seitige man einen in Eur. fr. 268 bisher geduldeten Fehler: cxdA& pv Bootowdcon xaoSS Cooca ka vExpov ÉpelTLo, » r ALT SR SUN Y XOU [LUHOU GO TAÛT GTV EÙ À VO ÉTEXOV, Sevoy Tod nYEi; Vielmehr xco0 pucuot oo tavt Ecru. Denn propos und puoagos sind verwandte, nicht aber identische Begriffe. Eur. Iph. T. 825 heisst es von Pelops: éxenoa® ‘Irroapernv, Oivouaov xravov. Den unmotivirten Anapäst des fünften Fusses hat Elmsley mit Recht als fehlerhaft bezeichnet: aber der Vermuthung Otvoyaoy £Aov steht ein anderes Beden- ken entgegen, vgl. C. Fr. Müller de pedibus solutis (Berol. 1866) p. 142. Es war herzustellen Otvouao xOpN?. | Eur. Med. 18: yauots Iacov Bacthmoie EUvatETOu. Zu yayers würde passen ein Begriff wie Éebyvutat, wo- gegen mit sovatstas zu verbinden war hëxtoo1s. Die Corruptel ist veranlasst durch den Anfang des folgen- den Verses, ynuas Koéovros raide. Eur. Med. 1036. Die Heldin des Stückes hoffte chemals, wie sie sagt, ihre Kinder würden die Pfleger ihres Alters sein und ïhr, wenn sie gestorben wäre, die letzten Ehren erweisen: v5v # Groxc 7 vhuxelu poovtis' coOv YA ÉGTEpNUÉN Autpcv DaËo Bloroy ahyervov T émnof. Dass am Schlusse vielmehr a@ysvé 7 éyo zu sagen war, hat F. W. Schmidt Anal. Soph. et Eur. p. 85 richtig erkannt. Ausserdem ist VAauxsiæ œpovtis un- statthaft: denn nicht um Medeas Sorge für ihre Kin- 287 Bulletin de l’Académie Empériale 2ss der handelte es sich in den vorhergehenden Versen, sondern um das was Medea von ihren Kindern für sich hoffen durfte. Demgemäss ist zu schreiben éAT:s Yhv- xeia, was zunächst in yhuxetx ATK, œoovtis übergegangen sein dürfte. dann in yAvxeïæ Aesch. fr. 225: xai Savevrov Loi oÙx 2veoT Cu. Statt coiv ist eioiv überliefert, was J. G. Schneider, Jacobs und Bückh in ofow änderten. Gegen meine Schreibung erklärt sich Bergk in einem Programm der Universität Halle vom J. 1862: die Form totv fin- det er bedenklich (dativo casu ioiv qui usus sit ignoro, neque licet talia de coniectura restituere, quamquam iveotv apud Homerum legitur), noch anstôssiger erscheint ihm der Gedanke, sofern der Homerische Vers x 219: où yao TL GdpXAS TE Hal 0OTÉR IVES ÉJOUOLY, sowohl Fleisch und Knochen als Sehnen (nervos) den Schatten abspreche, txys aber bei Aeschylus das Blut bezeichne, das von Fasern und Sehnen nicht gesondert werden künne, «cum veleres fibrarum ct nervorum prim- ordia & sanguine repctere soleant» nach Plat. Tim. p. 82: capxes xai vedpa ap autos yÉyveTat. — Zu- nächst ist befremdlich dass Bergk die Physiologie der Homerischen Schatten aus Platos Timaeus bestimmen will: Platos Ansichten über den Kôrperbau lebendi- ger Menschen und Homers Vorstellungen über die Leiber der Abgeschiedenen — das sind sehr verschie- denartige Begriffe. Sodann scheint es mir klar dass À 219 gesagt wird, die êwes der Todten seien nicht mit Fleisch und Knochen versehen, dass also in jenem Verse tves ausdrücklich den Schatten zugeeignet wer- den. So hat Aeschylus die Homerische Stelle aufge- fasst, und jede andere Auffassung halte ich für ein Missverständniss. Ferner war es nicht eine Aenderung, sondern nur die richtige Deutung der überlieferten Lesart, wenn ich in sic den Dat. tot erkannte: selbst Bergk wird einräumen dass die Glossen des Hesychius sac und etves (beide Formen erklärt durch vedp) auf das Wort ès zu beziehen sind, ohne die Schreibung ets statt &s als berechtigt zu erweisen. Endlich ist der Dativus ot nicht nur durch die Analogie der Formen Dec ov Vas gesichert, sondern auch urkundlich über- liefert bei Soranus de muliebribus affectionibus €. 3 p. 14, 3 Erm. und Galenus vol. 1 p. 602 K. Diese beiden Stellen vermag ich augenblicklich anzugeben, ohne die Griechischen Aerzte in Betreff der Form toi durchforscht zu haben. Das Wort & wird überhaupt nicht allzu häufig gebraucht, so dass es nicht befremd- lich wäre, wenn aus voralexandrinischer Zeit für toy ausser der Aeschyleischen Stelle zufällig kein Beleg vorhanden sein sollte. Sopb. fr. 862 bei Stob. Flor. 108, 51: grépyeuv À Taxrecovra xal Séodat TRÉTEt copoy xuBeuTNV, HAÂX LM DTÉVEY TUYNV. Am Schluss des ersten Verses verlangen Herwerden (Exercit. ecrit. p. 13) und Cobet (Mnem. nov. IT p. 449. V p. 248. Collect. crit. p. 208) xeû SéoSo npénet. Den gleichen Gedanken hatte bereits Hemsterhuys, welchem Brunck folgte; aber schon Porson bemerkte (Eur. Phoen. 1422): xai nunquam facit crasin cum eù nisi in compositis. Krasen wie xe0S0pet, xe0cTaan, xedopavSqostar, xedpeovas sind zulässig, xe0 Séodat statt x eù &? <éo%ot ist unmôglich. Darum habe ich in den tragischen Fragmenten den Vorschlag von Hem- sterhuys unerwälhnt gelassen. Verfehlt scheint mir auch Meinekes xavSéoSat roére, was bedeuten würde cor- riger la fortune, 4. h. betrügerisch spielen (vgl. Stob. Flor. 124, 41: dei oonep Ynpoy ava TiSeo dot To cup Baivoy: où yap Ecru cvuSéo Sat tav dipov). Ohne Zwei- fel wird bei Séo$a der von Hemsterhuys geforderte Begriff eù vermisst: denn auch der schlechteste Wür- felspieler setzt die Steine nach seinem Wurf, der gute Spieler versteht es die Ungunst des Glückes ganz oder theilweise zu paralysiren, indem er 25 tietar tnv dn- ocv oder (nach Arrian. Dissert. Epict. I, 5, 3) TO TE- covrt teywxos yoga. Vermuthlich ist roéret bei Sto- baeus falsch supplirt, um die aus dem Zusammenhang gerissenen Worte zu einem selbständigen Satz abzu- runden: ich denke, der Dichter schrieb orégyeu D Taxreoovra xal Séodat xAXOG opov xuBeuTny, AAA [LA GTÉVEN TUYNV. Vgl. Soph. fr. cat xAROS adtos tie a0TO Tv BAL By TOCOŸT PÉPOV, WO roy BhaBnv aus Tapovry entstellt zu sein scheint. Cra- tinus Com. 2 p. 113: Gvôoas oopois yen TÔ Tapov roue xaïs eùc Suvapuy TiSeo dar. Eur. fr. 289: XX OUVTUVLAVOY, TA TOLYULAT SO TV TS, TOUOGE KA 299. 323: TAUT ÉGTIY ŒAYLOT , NY TAPOY JÉ- x6s. Plat. Gorg. p. 499 C: dvayxn pot xaTa To a- Xaov hoyoy to ræpov eù rouæiv (doch wohl eù TtSévot). Den Vers os ataSun méteov Tldeo dot, [NT TO rétow otoSumnv (Plut. Mor. p. 75 C) habe ich unter die tragischen Bruchstücke gesetzt (adesp. 298), aber einen Zweifel an der Berechtigung dieses Verfahrens 2s9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 290 0 selbst ausgesprochen. Gomperz (Sitzungsb. der Wie- ner Akad. LXXXIIT p. 571 f.) vermuthet in Jenen Worten einen Vers des Epicharm. Diese an sich sehr ansprechende Vermuthung gewinnt an Wahrschein- lichkeit durch Basilius de legendis libris gentil. Tom. II p. 176 Garn.: xata tiv Aowprxnv Tagolav Toy MSov nori Tnv oraptoy ayovras. — Dass die von Plut, Aristid. e. 4 überlieferten Worte (Trag. adesp. 352) dopôs yae amp, TÂS à HELPOS OÙ XEATOY, cher einem Komiker als einem Tragiker zukommen, lehrt der Sinn: sie sind entlehnt aus Eupolis, wie U. v. Wilamowitz-Moellendorff im Hermes XIV p. 185 gezeigt hat. Cratinus Com. 2 p. 202: puontai dE yuvaixss où- gBoriy yencovrar. Eine Parodie des bei Herodot 8, 96 überlieferten Orakelspruches: Kokades dÈ yuvaines éperuoïouv ppuéouotv. Je dunkler das Original, um so deutlicher und derber ist die Parodie. Cratinus Com. 2 p. 231: £o’ ot épautiy ouyxaSev- Se ro rare. In diesem als Beleg für £g te ange- führten Verse ist das unmôgliche épavrnv vermuthlich durch épavris zu ersetzen. Phrynichus Com. 2 p. 592: uaxao Zopoxéns, ds monuv ypovoy BioÙs aréSavey, etdatpoy avne xa ÔsËoc, rohAS TOUNOUS KA HAS TOMYOES, xAROS ÉTEAEUTNO , OUdÈV UTOLELVES XAKOV. Auf V. 3 bezieht sich Tzetzes in Anecd. Oxon. vol. 3 p. 338, 31: tolhds yeyoapos xai copas Towyodas, und für copas toayodtus scheint der Umstand zu sprechen, dass unmittelbar nachher xaros folgt. Um den letzten Vers mit den vorhergehenden zu verknü- pfen, hat man xahôs + oder xanûs à éreheutno ge- schrieben. Besser wäre folgende Fassung: paxap Sopoxhéns, ds Tony Bious pocvov xados éteheutTNo , OUdÈV DTOLELVAS HAXON. Dass jetzt mit aréSaves und èrshsdtncs vom Tode des Sophokles geredet wird, ist nicht zu billigen. Callias Com. 2 p. 738: A. TS ap; toùs MshavSlou TO yrocopat ; B. oùs av padlioto heuxotpowxtous siolôn. Der entscheidende Grund, weshalb statt Asuxorpo- xrovs nach einer vor vielen Jahren von mir ausgespro- chenen Vermuthung ALXXGTEOKTOUS zu schreiben ist, liegt in dem Unterschiede der Begriffe tuyn und teo- Tome XX VI. | xtes: ersteres bezeichnet die Rundungen des Hinter- theils (nates), letzteres die Oeffnung des Mastdarms (Lat. podex). Dieser Unterschied macht sich geltend auch in den abgeleiteten Adiectiva: man sagt hevxcmu- vos und pehapruyos wie ebruYyos (MOTOTUYOS, ATUYOS) und xaxMruyos, dagegen haxxorpoxteos und sbp0To0- xros. Nach dem Begriffe des Wortes tooxtos ist hsu- xorgwxtos absolut unmüglich. Men. Com. 4 p. 214 bei Stob. Flor. 73, 56: roRGY xaTa nv xai xaTE SahaTTAY Snplov dvrov LÉ YLOTOY GT Snplov YUVN. Nicht péyrotov, sondern xaxtotov Snpiov war zu sagen, wie xaxratoy Snptov Ar. Vesp. 448, xaxa Sngtx Epi- menides u. ähnl. sonst. Com. anon. p. 653. Den Vers dYOOUROS EÛUL TAY CHAPNY CHAPNY ÀÉYRV erwähnt Meineke aus zwei Stellen des Lucian, wozu im fünften Bande p. CCCXLIIT nachgetragen werden Plut, Apophth. p.178 B und Iulian. Orat. VIT p.208 A. Eben diese Worte werden benutzt von einigen späteren Schriftstellern. Vgl. Synes. Epist. 159 p. 739 Herch.: n poyes oide xat tn oxapny cxaonv héyé. Theophyl. archiep. Bulg. Epist. 55 p. 89 Meurs.: 6 ys oudè tn oxaonv cxapnv héyeu avéyetar. Eust. Opusc. p.19, 52: dysoxxos Toy cxapnv oxapnv héyeuv. p. 106,30: æypor- xIXOTEROV DaxeuEVOL Ka TV CHAPNY CKAPNY, © PAT, Xéyovres. Wichtiger ist, dass Tzetzes Chil. 8, 568 aus- drücklich den Aristophanes als Verfasser des obigen Verses bezeichnet: freilich môüchte ich für die Richtig- keit dieser Angabe nicht einstehen; ich halte es sogar für wahrscheinlich, dass Tzetzes nach seinem Dafür- halten den Vers auf Aristophanes übertrug, weil & xa- uuxes ihm nichts anderes zu bedeuten schien als Agt- GTOPAYNS. Aelian. V.H. 4, 27: Iapoanc 0 Iormveuc Kooéco to A0SO — totaxovta pus édognoato. rapahafoy d (bes- ser © de naoahaBov) Tv dofny LLEOTN ALAËRY doyupiou arérephev auto. Seltsam dass ein Kritiker wie R. Hercher das unpassende érérephev in der Pariser wie in der Leipziger Ausgabe geduldet hat, wo 4yrérephev auf der Hand lag. Apollod. II, 4, 12, 2 p.54, 22 Herch.: n à IluStæ rôte rpôtoy ‘Houxhéæ airoy mpoomycpéuce" To Dë (1. Tè yae) mootepov Ahxetôns rooonyopeuero. Statt Alxeldns oder Axxfôns ist AXxaïos zu schreiben, da dies nach einstimmiger Ueberlieferung des Alterthums der frü- 19 291 here Name des Herakles war. Vgl. Diod. Sic. 1, 24. 4, 10. Dio Chrysost. XXXI p.615 R. Aelian. V.H. 2, 32. Sextus Empir. p.398, 22 B. Eust. Il. p.989, 42. Scho- lion bei Kaibel Epigr. 1082 p. 486. Apollod. II, 5,9, 14 p. 62, 18: êx Ouaov à cppnSets Ext Togovn Monvyovoy xat Tnaéyover, roùs Ilootées Toi TOQIEL TEOKAhOULEVOUS KATO TV rohnv aréxreuwvs. Nicht Ioatyovoy xai Tnhéyovev, sondern Tyéhoy xat Tnréyovev, nach Socraticorum Epist. 30,7 p. 631,10. Tzetzes Chil. 2, 321. Tzetz. in Lycophr. 124. Aristid. vol. 1 p. 27 Dind.: üote ri de pixpoho- yeioSat tas év péper rodËels adtas (nämlich Ts ASn- a e Iocetdovos vious, vas) Stmyoupevov, GTéT ÉÉeott TA ToU AtoG ÉpYy& XOUX rod Ads sûvas pñout mai Tis ASnväs. Der Rhetor würde die Güttin, welche er feiern will, herabsetzen, wenn er die Aufzählung ihrer Verdienste als ptxporoyi be- zeichnete: darum müchte ich paxeckoynout für die ursprüngliche Lesart halten. Aristid. vol. 1 p. 292: é:4n capos ütt xai ai vixot rûs rôkcos Tov Elimvov ici vixat xai Ta Ts ROhEOS Evavriopara toy EXkqvoy aravrovy éct. Den Sie- gen künnen nur die Niederlagen gegenübergestellt werden, wofür évavriopa in diesem Zusammenhang nicht recht passen will. Man erwartet katropate. Clemens Alex. Strom. I p. 328: torauès atéyvov bn- paroy où8È otahæyucs. Den augenfälligsten Fehler dieser Worte hat Leopardus gehoben durch die Emen- dation vod 3 otahæyucs, die bestätigt wird durch Stob. Flor. 36, 20: OGscxgrros (nämlich & Kio) Avaëtpé- vous AÉYEL HLÉRROVTOS GÉPAETEHUD eùre «hÉÉEOV RÈY KOTA- pes, vo) SE oraaypés» ). Aber auch atéyvoy Énpatov bei Clemens ist sinnlos: es war herzustellen das Ad- verbium atéyvos (oder nach der von alten Grammati- kern beliebten Accentuation atsyvos), das so viel ist als évros. Ausserdem wird bei der Gegenüberstellung von AËsov roraues und vod otahaypos etwas vermisst. Es liegt in der Natur der Sache dass der Verstand oder die Gedanken nicht stromweise sich ergiessen: somit enthält der Ausdruck vod otaæypos durchaus keinen Vorwurf, wie er durch den Zusammenhang gefordert wird. Statt des matten und müssigen vo ctahaylios 78) Das überlieferte cpyerat war durch épyetat zu ersetzen, wie Aristophanes Ran, 1099 sagt gôpoc à nokeuos épystat, und wie wir sagen «es kommt ein Platzregen». Der Ausdruck «ein Strom fängt an» ist ohne eine hinzutretende Bestimmung unverständlich. Bulletin de l'Académie Impériale 292 ist ein stärkerer Ausdruck nothwendig, der einen vôül- ligen Mangel an Gedanken oder Verstand bezeichnet, wie Synesius de insomniis p. 158 À durchaus ange- messen sagt: vod pv 40 p.0c, éropfota à hébsov. Der Begriff æbypos veÿ ist an den beiden obigen Stellen mit überaus leichten Mitteln zu gewinnen. Bei Clemens ist NOYAE vor où ausgefallen, wie bei Stobaeus OYAE nach vod 3 vermisst wird: an beiden Stellen ist zu lesen voù ÿè ouûÈ crahayy.cs, «auch nicht ein Trôpfehen Verstand». Entsprechend Timon Phlias. fr. 23,3 Wachsm.: vou dé pot cux êw xoxxos. Catull. 86, A: nulla in tam magno est corpore mica salis. Ueber- haupt wird im Griechischen wie in anderen Sprachen der Begriff «nichts» gern ausgedrückt durch die Nega- tion eines Minimum («nicht das geringste»). Schon in der ältesten Poesie finden wir vov S oùûé pe TuTScv Zoe (oder étious) Il. À 354. Hesiod. fr. 172, 3 Güttl., desgleichen Od. 9 455 (nachgeahmt von Theocr. 27, 61): où oû Ÿ àv SE cixou o6 énuotarg 009 GA Joins. In späterer Zeit ist besonders üblich où3È 795. An- dere synonyme Wendungen, wie sie im Verkebhr des alltäglichen Lebens massenhaft zum Vorschein kom- men, würden uns vollständiger bekannt sein, wenn nicht die Griechische Komôdie so ungeheure Verluste erlitten hätte. Jetzt künnen nur oteayyss GT OXELVOU gegeben werden, aber ich zweifle nicht dass die fol- gende Zusammenstellung, bei der ich alles zweifel- hafte absichtlich fern halte, manche Ergänzung zu- lisst. Com. 4 p. 600: o0S Écov axapn Ts TÉYVNS ÉTI- oragou. Callim. Epigr. 47,9: odS 6cov aTTapayov TD Sedotxauss. Eupolis Com. 2 p. 565: où yas AéheTTat rôv épôv 009 yxavoc®). Ar. Nub. 1396: to Spy rôvysparéoov dBouuev dv AN 008 épeBivSov. Euang. Matth. 5, ano toÿ vouou. Eust. Opusc. p. 21,25: oùte nposSeivar 18: ota Êv à pla xepala OÙ (un TApÉAIN my dre c0dÈ or Ev oudè xepalav Vobv play oùTe dpE- ei. Parmenon Ath. V p. 221 A: odBÈ xarra Yiwo- ckov. Ar. Lys. 474: xivodoa p.n9è xapsoc. Epigr. Kaib. 980, 9: o0d xdsocs BhoBn. Antiatt. p. 105,22: oÿdë moxxu dvrl rod où Bouge. Isaeus 1, 33: £ros pd èBchov (so Cobet und Lugebil statt des überlieferten 79) Als Beleg für das Wort éyxégæhos werden bei Athenaeus IT p. 66 B angeführt aus Duoxkñe (Trag. Graec. fragm. p. 589) die Worte «oùd” av éyx{pahoy ÉoIwv kimou». Vielleicht wurde der Autor dieser Notiz durch eine falsche Lesart getäuscht: statt éyxépæhoy sollte man wohl cher Éyxapos erwarten. Ë | 293 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 294 RÉ ————————————"——".————————"———————"——…——"—…—…—…—…—…——— … …—— undë Réyov) dreheer. Ar. Vesp. 91: Ürvou 5 60% Tns voxrôc oùdè nacraknv. Ecel. 284: éyouor pnôè rat- rahov, Lucian. Iud. voc. c. 9 vol. 1 p.94: o$ To n À vouevoy pd Tacoahov por xatanrei. Ar. Ach. 1035: 008 dv oreBrhixtyé. Eupolis Com. 2 p.431: pañcvr undè Tayuer pousuxÿs. Ar. Ran. 913: yoéovras oùDe rouré. Lys. 107: GX où prorgod xatakékemtar pe bo AUË. Pac, 121: év9ov D apyugiou nd baxds À raw rayrav. Eben dahin gehüren Werthbestimmungen werthloser Gegenstände, wie oùdÈ totyos, oùdë Boo, où9È toutou aécos, im Deutschen nicht einen Deut, nicht einen Heller, nicht einen Pfifferling, nicht einen Schuss Pulver werth, im Lateinischen namentlich non nauci*?),. 80) In einem Aufsatz (Quaeritur de eo quod est «nauci facerex et sim.), der fast gleichzeitig im Journal des K. Russischen Ministe- rium der Volksaufklärung (1877) und im Philologus XXXVII p. 357 — 360 erschien, sucht L. Müller zu beweisen dass der Gen. nauci ohne Negation statthaft und unter Umständen nothwendig sei. Er stützt sich auf zwei Fragmente, von denen das eine aus Naevius, das andere aus Plautus angeführt wird. Naevius soll gesagt haben eus noctem nauco ducere (Ribbeck Com. Rom. fragm. p. 24). Diese Stelle gehôrt nicht hierher, so wenig als die von L. Müller übersehenen Worte des Afranius n«ucum dare (Ribbeck Com. Rom. fr. p.220): denn um die Form nauci handelt es sich, nicht um nauco oder naucum. Aus Plautus werden erwähnt die Worte: ambo magna laude lauti, postremo ambo sumus non nauci. Hier steht vor nauci fataler Weise das Wortchen non: aber L. Müller weiss Rath zu schatten. Er sagt, in diesen Worten sei lautus so viel als splendidus, magni- ficus, und postremo bedeute ut paucis dicam, worauf er fortfährt: itaque luce est clarius «non nauci» hic non aliud esse quam «gra vem» vel «minime spernendum». Mir scheint vielmehr sonnenklar, dass die Worte sumus non nauci nur bedeuten künnen «wir sind nicht einen Pfifferting werth». In den Worten des Plautus will L. Müller des Metrum wegen, um mumeros trochaicos ingenuos her- zustellen, nach lauti das Pronomen »0s einschalten. Ob an dieser Stelle eine Silbe fehlt oder mebrere Sätze, das ist ungewiss: aber die erhaltenen Worte reichen aus, um den Zusammenhang zu er- “rathen, in dem das non nauci vorkam. Zwei verächtliche Menschen sind reich geworden, und mit dem Reichthum haben sie Freunde oder Schmeichler gefunden, die ihnen huldigen. Es ist herrlich, sagt der eine zum andern, wie weit wir es gebracht haben: wir fahren in eleganten Carossen und besitzen prachtvolle Landhäuser, die schôn- sten Mäüdchen sind in uns verliebt, in unseren Salons versammelt sich die feinste Gesellschaft, wir erfreuen uns des besten Rufes u. s. w., schliesslich sind wir beide keinen Pffterling werth. Nach der Schilderung des Glanzes und Wohllebens, in dem jenes par no- bile fratrum sich bewest, bringt die Schlusswendung eine vernich- tende Selbstkritik, und in dem offenherzigen dxpoo0cxnroy liegt eine komische Wirkung. Was L. Müller in den Plautinischen Worten finden wollte, «wir erfreuen uns des besten Rufes und sind beide nicht zu verachten», ist wie von sprachlicher Seite unmüglich 80 dem Sinne nach äusserst matt. Somit hatte E. Werth (homo doctus Latine admodum, wie Mül- ler ihn bezeichnet) vollkommen Recht mit seinem stilistischen Beden- ken gegen den Ausdruck «ecummias nauci facere». st aber n«œuci facere ohne Negation überhaupt unstatthaft, so kann es auch weder gefordert noch entschuldigt werden durch die gravitas tabulae voti- vae. Phrasen wie non nauci facere sind henisch in der vulsgärsten Demetrius de eloc. $ 261: roccrahaloy xao rat Aroyévns dexrvnon mos To mioiov. Ton DE roudos pofn- Sévros mot drornônoavros, «Emppet à Tadlov», ere, «ox etui Tœuty Guotos». Ueber diese Stelle bemerkt Cobet Mnem. nov. V p. 276 oder Coll. ecrit. p. 237 kurz und bündig: «Pro absurdo Gpaotos lege POBEPOZ». Welchen Sinn diese Aenderung haben soll, ist mir un- verständlich, während ich an der überlieferten Les- art nichts auszusetzen finde. Die Worte des Diogenes bedeuten: êyo oùx sui Guoros tautn (d. h. Tÿ épi rép) abrn pèv yae oxknox écriv, Éqo DÈ paXSuxos xai roms. In Diogenis Epist. 35, wo auf eben diese Anekdote Bezug genommen wird, heisst der penis zu- erst yvépov $ 2, sodann $ 3 tour! (unrichtig steht bei Hercher ravt!) und oruttxû quais. Diogenis Epist. 51 lautet bei Hercher p. 258: "Ermyevôn corncoatotdten D GpeTnv AVUTANVOL lLÉ- vous dv OÙMOL TV YAGTÉOO TÉOTOY KA TO CHLATIOV KO G- uôv. dkoto yo 0e dpeTnv ÉTAYYÉAREO SOL, KO [LOL TO roëyu.a dx épavn rapadoËov elvar èv Vip ÉGSROV AT Epovdnv yahenov, Emayyéhhec Sa À Eadtov. Die sinn- lose Entstellung ocaccarodea zu entziffern hat Her- cher nicht versucht. Wie ich glaube, ist zu lesen: "Eryevôn, où aus to idpôTa D Gps dvaTh ie uévors dv cixot Tv YATTÉOU TÉOTOY KA TO GOLATLOY “ouôv. In den Worten igôta à apetiv avariivat erkennt jeder sofort die Anspielung auf Hesiod Op. 289: ras À doerns (dora Sec roondpodev ÉSnrav. Gregen die Aenderung xep.6v (d. h. Sesanevov, curans) statt xoopov würde der Umstand dass xopusiv ein poe- tisches Wort ist, mit Unrecht geltend gemacht werden. Nach den Worten axoio yao 92 dpstnv Érayyéhhsc Sat scheint einiges ausgefallen zu sein: man vermisst eine Aeusserung über das mit dem érayy#hAs5Sat GQETNY in Widerspruch stehende Thun und Treiben des An- seredeten. Diogenis Epist. 50 wird erzählt dass der Sophist Edompov über sein mütterliches Erbe mit seinem Va- ter sich streitet, wonach es heisst: édet Dé, 2iT29 apéTi cuvréSparte, 1 Tv dexnv pNÈÈ TuoTAva LEONA TOY érSuplav rept te, À Tacns AxÏUS ÉOTI vn da où TS GEUVOTATNS pLAOTODLs ns APÜTIA TO GUTAY Redeweise des Alltagslebens, besonders im Munde des niederen Volks: diese Redeweise ist in der Literatur vertreten durch die Komüdie. Dedicationen mit solchen Wendungen zu verzieren ist nach meinem Dafürhalten nicht ganz passend. 19* 295 Bulletin de l’Académie Impériale 296 raSccs. So die Ueberlieferung, von der Hercher inso- fern abweicht als er cuvetéSoante corrigirt und écriv aitia statt £oti vn dx setzt. Sicherlich hat Hercher nicht gemeint damit der Stelle vollständig aufgeholfen zu haben. Vermuthlich ist zu lesen: ëder S — n Tv QUE pndè GUGTNVaL LONLATOY értsuplor T Rep n ENTOOTONS T0 GNE xaxlaus ÉOTIY, N DLL TNS GELVOTO- tas puhocomtas apnonsat tè auorav rasos. Das Wort pnroeorohs habe ich eingeschaltet, weil nach Diog. L. 6, 50 der Kyniker Diogenes tv phagyugtav etre pn- PR TAYTOY TOY xaxOY, ein Dictum das von an- deren auf Bion (Theon Rhet, vol. 1 p. 206 f. p. 215) oder Demetrius (Flor. Monac. p. 282, 1) zurückge- führt wird. Dionys. Hal. Ant. Rom. 1,18: aroxfav ès autiy (AëoBov) dyovtos Maxagos voù Kocacou. Vielmehr roù Kowaxov, vgl. Diod. Sie. 5, 81. Schol. A IL. Q 544. Musonii Epist. $ 4 p. 401 Herch.: 2doBais xAl TOocect } HRTONVTOS Si TOY Ürè yastéoa à ae GT OAV povoy réxvoy, £rav sbxaupo À, [Trois yevvn- eos] 405%. Die eingeklammerten Worte rois yevvntuois pépeot sind zu tilgen. Zu xonoa einen Dativ des Objects beizufügen war überflüssig; sollte dies aber geschehen, so war einfach autos er- forderlich, nicht Der Ausdruck r6v 0r0 yactéoa dankt seinen Ursprung der bei spä- teren Schriftstellern häufig vorkommenden Verbindung qaotie ai Ta Uro yaotépa, die von Demosthenes 18, 296 ausgegangen zu sein scheint. Porphyrius de vita Pythag. $ 56: tov dè étatpuv dSpCoUs pÈV TETTUPAXOVTE ÉV OKI TapedpEvoy- ras AnpSmvar, Toùs ÔÈ mohhous oTopanr xaTa Tv row dç tuyov etc Got dapoapivar. Statt os Étu- xov els Goru ist og étuyev Éxaotos herzustellen: Éxe- atos schrieb C. Müller Fragm. Hist. Il p. 245, étuyev Cobet Mnem. nov. V p.369 f. Collect. crit. p. 337 f. Dass auch TagedpeuovTus fehlerhaft ist, sah Usener: aber dem Vorschlage iso Soôvras on ich vor- ziehen cuvedpeuoytas cn lambl. de vita Pyth. $ 249. Procopius Gaz. Epist. 161: rAnyas te rolhkaxts èmé- retve. Der Sprachgebrauch fordert évéterve. Suidas: évrétxev éyxexohnTot, RÉRNYE (1. épré- RIVE). «Toutous avt ahnSoùs Veudns évrérnxs Doc». Ueber diese Stelle sagt Cobet Collect. crit. p. 149: Eadem glossa corrupta circumfertur v. cuyrétnxev dti ToÙ GUYXEXCAANTA, GUUTÉTNYE. CHEUDNS AVT dAT- , ’ ŒUTOY, , , EUTOHHTOUS HLÈV Ev TOiS YEVVNTLKOÏS 1LÉDECL. S TLVOS Sods ouvrétnxe D0Ëa». Verba sunt Luliani p. 100 a, ubi recte in Vossiano codice reliquorum archetypo legitur ENTéryxe: cum eadem interpretatione in margine. Einer so bestimmten Angabe zu widersprechen ist schwer: dennoch kann ich nicht umhin die Vermuthung zu äus- sern, dass die Worte avt GAnSoùs eudns év- tétxs Ôcéa, die ich in dem jetzigen Text des Tulian aufzufinden nicht vermag, ehemals bei Iul. gestanden haben Orat. VII p. 206 C (p.267, 11 Hertl.): üto pèv edpevns Seoc Tayéws Shude Ta deoua xai Tny duvauv es ÉVÉDYELAY NYUYE, Tois Dedepéve 1 DE èTt, XATATEO cat (I£0v) 2DOR(® Tt- TOUTOLS TOUTO TAQEOTIY EUSUS ÉTLOTUN| vi) avri tns Seoû Aéyetat Tapavaravouodat, (ToOUTOLS avr dAnSous Jeudns év)rétnxe dE. Es wird mir erwünscht sein, wenn Cobet durch Nachweisung der von ihm gemeinten Stelle des Iulian die hier ausge- sprochene Ansicht widerlegt. Die Wirkung der Intensität des Lichtes auf die Koh- lensäurezersetzung durch Pflanzen von A. Fa- mintzin. (Hu le 27 mai 1880.) Die Abhängigkeit der Kohlensäurezersetzung der Pflanzen von der Intensität des Lichtes ist bis jetzt wenig studirt worden. Die einzigen, mir bekannten, diesen Gegenstand behandelnden Untersuchungen sind von Wolkoff und späterhin von Prianischnikoff an- gestellt worden. Wolkoff giebt an, innerhalb gewisser Grenzen, eine Proportionalität zwischen Sauerstoff- ausscheidung und der Lichtintensität wahrgenommen zu haben!). Diesen Gegenstand in seinem Lehrbuche besprechend fügt Sachs folgendes hinzu: «Wabr- scheinlich giebt es jedoch eine bestimmte hohe In- tensität der wirksamen Strahlen bei welcher ein Maxi- mum von (Gas (Sauerstoff) abgeschieden wird, und über welche hinaus die Funktion wieder abnimmt oder die Pflanze beschädigt wird. Ob dieses Optimum der Lichtintensität jedoch von dem Sonnenlicht, wie es auf der Erdoberfläche erscheint, schon erreicht oder überschritten wird, lässt sich gegenwärtig nicht sagen. Bezüglich der geringsten Lichtintensität, bei welcher noch Gasabscheidung stattfindet, liegt nur eine An- gabe von Boussingault vor, dass ein Oleanderblatt 1) Ringsh. Jahrb. Bd. 5 p. 1 297 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 29s oo unmittelbar nach Sonnenuntergang keinen Sauerstoft mehr abschied. Ebensowenig ist die Frage über die Existenz des Optimum der Lichtintensität in Bezug auf Kohlen- säurezersetzung von Pflanzen durch Prianischnikoff definitiv erledigt worden. Letzterer konstatirte aber schon, dass ein durch eine Lage gewühnlichen Schreib- papiers beschattetes Blatt um ein Geringes weniger, als das direkt von der Sonne beschienene Kohlensäure zer- lege. Indem er aus der ganzen Reihe seiner Versuche den Schluss zieht, dass die Kohlensäurezersetzung mit der Intensität des Lichtes zunimmt, fügt er den- noch hinzu: «obwohl ich nicht behaupten kann, dass ein Optimum der Lichtintensität existire, so scheint mir doch eine gewisse Grenze für die Lichtintensität vorhanden zu sein, über welche hinaus das Licht keine weitere Steigerung der Kohlensäurezersetzung veran- lasse. » Die folgenden Zahlen, die ich dem bei mir verblie- benen Manuscript des nur leider zu früh durch den Tod der Wissenschaft entrissenen jungen, talentvollen Pflanzenphysiologen Prianischnikoff entnehme, lies- sen seine Vermuthung sehr wahrscheinlich erscheimen. In fünf von ihm angestellten Versuchen wurden Typha latifolia Blattstücke, von ungefähr 30 Quadratcenti- meter Oberfläche, in zwei Eudiometern, die in jedem Versuche ein gleiches Gemisch von Luft und Kohlen- säure enthielten, eingeschlossen. Der mit B bezeich- nete Eudiometer wurde mit einem Blatte Schreibpapier umwickelt und darauf beide dem direkten Sonnen- scheine ausgesetzt. Nach Beendigung des Versuches wurden folgende Zahlen für die zerlegten Kohlensäuremengen in den Eudiometern À u. B erbalten. Versuch, ( 2 Eudiometer À (direkt | von der Sonne be-| schienen) 11,1511,34111,04110,25112,53 Eudiometer B. .....| 8,41! 8,09! 9,99) 9,03112,94 Besonders gering sind die Differenzen in den drei letzten der angeführten Versuche ; im Versuche à ist sogar ein geringer Überschuss der zerlegten Kohlen- säure in dem durch ein Blatt Papier beschatteten Eudiometer zu bemerken. Dass in der That ein solches Optimum der Lichtin- tensität, für eine gewisse Zahl von Pfanzen besteht, will ich in den folgenden Zeilen nachzuweisen suchen, und zwar durch zweierlei Reihen von Versuchen, in- dem ich einerseits im geschwächten Sonnenlichte, eine ebensogrosse, manchesmal sogar eine energischere Kohlensäurezersetzung als im direkten Sonnenscheine erzielte, andererseits aber auch im künstlichen Lichte, einer ungefähr 50 Kerzen gleichen Gasflamme, eine bedeutende Kohlensäurezersetzung durch Blätter ver- schiedener Pflanzen hervorgerufen habe. T Die im Sonnenscheine angestellten Versuche las- sen sich in zwei Kategorien zusammenordnen. Zur ersten gehôren die in einem (remisch von Luft und Kohlensäure, zur zweiten — die in kohlensäurehalti- gem Wasser vorgenommenen., — Zu den Versuchen der ersten Kategorie wurden ausschliesslich die Blatt- fiedern von Chamaedorea elatior gebraucht, welche ïh- rer geringen Dicke, respektiv ihres geringen Volumens wegen als besonders geeignetes Objekt erschienen. Wie aus der folgenden Tafel zu ersehen ist, wurden zu einem jeden Versuche Blattstücke gleicher Grüsse gebraucht, deren Dimensionen in den verschiedenen Versuchen zwischen 19 bis 25 Quadratcentimeter schwankten. Die sich zu einer Spitze verschmälernden Blattenden wurden abgeschnitten, das übrige Blatt als Versuchsobjekt gebraucht. Das Blatt wurde in einem Gasgemische von ohnge- fähr 30 C.C. Luft und 5 C.C. Kohlensäure in einer, in Cubikcentimeter getheilten Rôhre eingeschlossen. Das Volumen des Gasgemisches wurde, mit Wasserdampf gesättigt, im Apparate von Doyer, beim econstanten Niveau des Wassers im Regulator gemessen, wodurch also die Correctur auf Barometer Druck und Tempe- ratur vermieden werden konnte. Nach Beendigung des Versuchs wurde das Gas in eine, starke Kalilauge ent- haltende Pipette von Doyer übergeführt, 3 bis 5 Mi- nuten lang stark geschüttelt und darauf wieder gemes- sen. Aus dem Überschusse des Gasvolumens gegen- über der eingeführten Luftmenge konnte also die Quan- tität des ausgeschiedenen Sauerstoffs bestimmt werden. Die, müglichst gleiche Blätter und gleiches Gas- 299 Builetin de l’Académie Empériale 300 gemisch enthaltenden, Rühren wurden neben einander gestellt; die eine dem directen Sonnenlichte ausge- setzt, die anderen daneben mit 1, 2 bis 4 Lagen von dünnem Papirospapier umwickelt. Auf die richtige und gleiche Lage der Blätter gegen auffallendes Licht wurde besondere Aufmerksamkeit gerichtet. Um die zu starke Erwärmung abzuhalten und dadurch die Temperatur in den Rühren müglichst gleich zu erhal- ten wurden dieselben hinter ein mit parallelen glà- sernen Wänden versehenes und Wasser enthaltendes Gefiss, oder in gleiche, geräumige, mit Wasser von gleicher Temperatur erfüllte Cylinder gestellt; in letz- terem Falle wurde nicht die Rühre, sondern das Cy- lindergefäss mit Papier umwickelt. Die an Chamaedorea elatior-Blättern erhaltenen Da- ten sind in folgender Tabelle zusammengestellt: Chamaedorea elatior. Zah] acte Volumen RU Brad Datum. ass nein Quadr.-| Intensität des Lichtes. penee) IR ObE | Koblens Bemerkungen. | | Centim. | "" |lensäure.| säure. { 6 19 | Direktes Sonnen- | 29,2 5,4 4,2 Der Himmel Mai 19 | | licht. war ganz wol- | idem idem |Durch { Blatt Pa-| 29,5 4,6 4,9 kenfrei. l pier abgeschwächt. 2St.45M.. 23,5 |Direktes Sonnen- | 28,9 4,1 3.1 Der Himmel » 20 | | licht. ganz wolken- V idem idem Durch À Blatt Pa-| 29,7 4,5 3,9 frei. | pier abgeschwächt. {2$t.20M. 22,0 |Direktes Sonnen-| 28,2 4,8 4,0 Rs RE licht. 1} idem idem |Duch9 Blätter Pa-| 28,4 4,4 4,0 | pier abgeschwächt. | LISE 25 | Direktes Sonnen- | 30,0 4,6 2,0 NU, licht. > | idem idem [Durch9BlätterPa-| 29,9 D,1 21 { pier abgeschwächt. ASt. 10M.. 25 |Direktes Sonnen- | 28,8 5,4 3,0 00 | licht. ra | idem idem {Durch 4 Blätter Pa-| 30,0 5,0 2,4 { pier abgeschwächt. | 1 St. 19% | Direktes Sonnen- | 29,4 5,1 25 | licht. idem idem [Durch { Blatt Pa-| 29,8 4,8 2,0 To | | pier abgeschwächt. | idem idem |[Durch?Blätter ab 30,4 | 4,2 1,7 | | geschwächtes. | idem idem |Durch 4 Blätterab-| 29,8 | 5,0 0,8 | geschwächtes. 301 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 302 vo Während des Versuchs am 24. Mai schien die Sonne nicht beständig, sondern wurde ôfters durch weisse Wolken verdeckt und das Licht dadurch in dem Grade geschwächt, dass der Schatten des Fensterrahmens, obwohl vorhanden, doch nur schwach angedeutet er- schien. Besonders wurde das Sonnenlicht in der letz- ten Viertelstunde, als noch der Versuckli mit der 4ten Rühre im Gange war, durch ein finsteres Gewülk, worauf bald starker Regenguss eintrat, geschwächt. un un pe a Datum. Hé Sen sn Quadr.. Intensität des Lichtes. esse Ro ROUEN | Bemerkungen. | Centim. | | FSC: |lensäure. | säure. | | | | | { 1 St. 21,5 | Direktes Sonnen- | 29,2 | 5,2 | 2,0 | | _ licht. | | | | Mai ) idem | idem Durch 2? Blätter Pa. 29,8 | 5,0 157 | | pier geschwächt. idem idem Durch {Blätter Pa-_ 29,8 DD I ONLILSE | | pier oc | | | | | | | {1St.20M. o | Direktes Sonnen- | 29,8 5,0 | 2,4 À | | licht. | | Mai 30 Ü idem | ? Durch [| Blatt Pa) 29,4 | 5,4 | 2,8 | | | piergeschwächt. | idem | ? Durch?2Blätter Pa) 29,6 5,4 |. 2,2 | Der Himmel U | pier geschwächt. | ( | | 4 wolkenfrei. | 1 St. 20 | Direktes Sonnen- | 29,0 6,2 | 1,4 | Juni 2{| . : Le | | | idem | idem |Durch 1 Blatt Pa 28,6 | 48 | 1,4 | | pier geschwächt. | p | | | Aus der angeführten Tabelle ist zu ersehen, dass in keinem der vergleichenden Versuche, den am trüben Tage vom 24. Mai angestellten ausgenommenen, hin- ter einem Blatte Papirospapier weniger Sauerstoff, als in der direkt beschienenen Rühre gebildet wurde; am 2 Juni wurden in beiden Rôhren gleiche Sauerstofft- mengen gefunden, am 19, 20, 30 Mai dagegen in den durch ein Blatt Papier beschatteten Rôbren wurde mehr Sauerstoff erhalten. Sogar in den mit 2 gen Papirospapier umwickelten Rôhren sind am 21, 22 und 30 Mai genau oder ohngefähr gleiche Men- gen Sauerstoff erzeugt. Nur in den mit 4 Lagen Pa- pier beschatteten Rühren ist constant eine schwächere Kohlensäurezerlegung zu Stande gekommen. Dass die geringen Temperatur-Differenzen in den verschiedenen Rühren keinen Einfluss auf die Energie der Kohlensäurezersetzung haben konnten beweisen La- | die folgenden, aus dem oben erwähnten Manuscript des verstorbenen Prianischnikoff, entnommenen Zahlen, die ich hier mit desto grôsserem Vergnügen einschalte, weil sie, soviel mir wenigstens bekannt ist, nur in russischer Sprache niedergeschrieben und des- halb dem auswärtigen botanischen Publicum unbe- kannt geblieben sind. Es ist nämlich Herrn Pria- nischnikoff durch eine ganze Reihe sorgfältig ausge- führter Versuche gelungen zu zeigen, dass in den, ins direkte Sonnenlicht ausgestellten Rühren, welche gleiche Blattstücke von Typha latifolia in gleichen Gemischen von Luft und Koblensäure enthielten, ohngeachtet der absichtlich constanten Temperatur-Differenz von 10° bis 20° gleiche Mengen von Kohlensäure zerlegt wurden. Die von ihm erhaltenen Data sind, in Kubikcenti- |metern ausgedrückt, folgende: 303 Bulletin de l'Académie EImpériale 304 Typha latifolia. rium Oleander ohne Weiteres ersichtlich. Die etwa vor- Vol. (older zu ln TR handenen Differenzen lassen sich noch Aaron) unge- Datum. | en Rob Re LT zerlegten | ZWUngen erklären, dass die zu vergleichenden Zahlen | Luft, |säure, | Stunden. ture Kohlensäure, | an verschiedenen Tagen, also bei verschiedener Licht- __ | | ITR __ |intensität erhalten wurden. Die citirten Data sind fol- NRE f \ F 99° TIC C É Juli 29 er ie : Ad # A TS gende: Nerium Oleander, Sonne..... 0,062 C.C. Juli 27 162,58 19,72\4 St. 30 M. 39 » 19,59 » Schatten. .. 0,025 161,16/20,15| idem 20 » 119,84 » Sonne..... 0,056 fear 886 28t |12%» | 836 » HR iep AE di 951| idem |23 » | 898 » DENON 0 0SS ? ? d Sonne..... 0,055 use /T018/10,97|1 8. 20M) 9%» [11,12 » sonne. .... 0,057 August 5170 58/10,84| idem |17%» [11,38 » Schatten... 0,046 Dic für Prunus Lauro-Cerasus, Aesculus Hippocas- August 2} Fer He St.99 M13 » |11,62 » |fanum, Rubus Idaeus, Populus alba, Prunus persica, \68,71/11,01| idem 24 » 110,22 » |Zea Mays, angeführten Zahlen zeigen mehr oder csril6sh st.35M. 23%, l1173 » weniger beträchtliche Differenzen; da auch diese Ve August 2{ 67 80 11.60 es É 11% . 103 < suche nicht gleichzeitig, sondern an verschiedenen Ta- Lee É Ée É gen und mit nicht gleichen Blättern angestellt wurden, Man mag dieses unerwartete Resultat erklären in welcher Weise man will: etwa dadurch, dass die Tem- peratur zwischen den angeführten Grenzen von 10° bis 39° keinen Einfluss auf die Kohlensäurezersetzung habe, oder, wie es Prianischnikoff thut, dadurch dass gleiche Zahlen der zersetzten Kohlensäure nur deshalb erhalten werden, weil durch die Temperaturerhühung der Athmungsprozess in so weit gesteigert wurde, dass der Sauerstoffüberschuss derselbe blieb, so steht es doch fest, dass die geringe Temperatur-Differenz, wel- che in den Rühren meiner Versuche stattfand, keinen stürenden Einfluss auf das Hauptresultat haben konnte. Die Existenz des Optimum der Lichtintensität für die Kohlensäurezersetzung durch Pflanzen wird noch durch folgendes Citat aus Boussingault Agronomie, Physiologie ete. Bd. 5 Seite 5 bekräftigt. «Ich habe ôfters, auf der Nordseite eines grossen Gebäudes», schreibt Boussingault, «bei wolkenfreiem Himmel, Apparate hingestellt und die Menge des gebildeten Sauerstoffes ohngefähr derjenigen, welche im direkten Sonnenlichte ausgeschieden wurde, gleich gefunden.» Ferner ist aus der auf der 379. Seite des 4* Ban- des desselben Werkes vorhandenen Zusammmenstel- lung der im direkten Sonnenlichte und im Schatten erhaltenen Sauerstoffmengen dasselbe Resultat für Ne- weil der Zweck der Versuche ein anderer war, müssen diese Zahlen noch genau geprüft werden. Ich will aber damit nicht gesagt haben, dass für alle Pflan- zen ein Optimum des Lichtes auf der Erdoberfläche existire; es ist wohl nicht nur môglich, sondern auch wahrscheinlich dass bei gewissen Pflanzen das zum chlorophyllhaltigen Gewebe gelangende Licht durch die stark entwickelte Epidermis, oder andere Anpas- sungen in dem Grade geschwächt werde, dass beim hellsten Sonnenlichte das Optimum noch nicht erreicht werde. Für gewisse, von mir untersuchte Pflanzen aber, nach den Versuchen von Boussingault für Nerium Oleander. und wabrscheinlich für alle im Schatten lebenden Pflanzen ist ein solches sicher ge- stellt. Ein damit übereinstimmendes Resultat wurde, wie ich sogleich zeigen werde, auch an Blättern an- derer Pflanzen, in Kohlensäurehaltigem Wasser erhal- ten. Die meisten der letzterwähnten Versuche sind mit Blattstücken von Bambusa arundinacca angestellt worden. Wie aus der beigefügten Tabelle zu ersehen ist, ist in den durch ein Blatt Papirospapier beschatteten Rühren mehr Sauerstoff gebildet worden, den einen Versuch vom 2.Juni ausgenommen, in welchem gleiche Mengen Sauerstoff erhalten wurden. 305 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 306 Bambusa arundinacea. ————————_—_—————————— de | Gebildet | Zah]l der fà i ar ; - : n | Gebildeter Datum. jPperAeRS 1 Lichtintensität. Eingeführte Kohlensäuremenge. | à à | Stunden. | Quadrat- 7 | Sauerstoff. |Centimetern. | | 2 ——_—_—_—— 5L 9,5 [Direktes Sonnenlicht.5 CG, mit CO, gesättigtem| 0,9 C.C. Wasser mit 17 —20 CC. Mai 16 { Newa-Wasser gemischt. | idem idem [Durch { Blatt Papier idem 17 { geschwächt. { ? 10 Direktes Sonnenlicht. idem 0,7 | ? idem [Durch { Blatt Papier idem 1,2 beschattet. HR | de 10 Direktes Sonnenlicht. idem 0,9 ? idem [Durch { Blatt Papier idem 1,5 | beschattet. 2 St. 17%, [Direktes Sonnenlicht.|6 CC, mit CO, gesättigtem| 1,5 | Wasser mit 34—35 CC. Juni 2 { Newa-Wasser gemischt. | idem idem |[Durch { Blatt Papier idem 1,5 { beschattet. 2 St 14,5 [Direktes Sonnenlicht. idem 155 idem idem [Durch { Blatt Papier idem 1,6 beschattet. Ein ganz übereinstimmendes Resultat ergaben fol- gende, in einer Mischung von 35 C.C.Newa-Wasser mit 6 C.C. Kohlensäure gesättigtem Wasser, in drei Rühren, mit Elodea canadensis und Chamaedorea graminifolia angestellte Versuche: Der Versuch mit Ælodea dauerte 2 Stunden; in eine jede der Rühren wurden 3 gleiche Zweige der ÆElodea eingeführt; nach Beendigung des Versuches hatte die Elodea , welche dem direkten Sonnenlichte ausgesetzt war 3,2 C. C., die mit einem Blatt Papirospapier be- schattete 3,7, die mit 2 Blättern umwickelte 3,8 C. C. Sauerstoff ausgeschieden. Von den zwei gleichen Blattstücken der Chamaedo- rea graminifolia hat das dem direkten Sonnenlichte ausgesetzte in 71/, Stunden 1,5 CC. Sauerstoff geliefert, das durch ein Blatt Papirospapier beschattete in der- selben Zeit 1,6 CC. In mit Calamogrostis-Blättern in kohlensäurehalti- gem Wasser angestellten zwei Versuchen habe ich dagegen in den, mit einem Blatt Papirospapier be- Tome XX VI. schatteten Rühren geringere Kohlensäurezersetzung, als in direktem Sonnenlichte erhalten, obwohl während des Versuchs der Himmel vollkommen wolkenfrei ge- blieben war. Calamogrostis, Par des ne Gebildeter Datum. Tee | oberfläche M} Lichtintensität. % ‘ Fe Versuches. | Quadrat- | Sauerstoff. | Centimetern. | +—— 5 ere ER 1$t.15M. 28 Direktes Son- |3,7 C.C. | | nenlicht. Juni2?{ idem | idem |Durch 1 Blatt|3,3 Papier be- schattet. 1St.15M. 28 Direktes Son- 13,9 | nenlicht. » 24! idem idem |Durch { Blatt 3,4 Papier be- schattet. 20 307 Bulletin de l'Académie Impériale 308 0e Für Calamogrostis also scheint unter den, bei mei- nen Versuchen vorhandenen Bedingungen, im (regen- satz zu allen übrigen von mir untersuchten Pflanzen das Optimum der Lichtintensität nicht erreicht wor- den zu sein. IT. In vollem Einklange mit dem Vorhandensein eines Optimum der Lichtintensität für die Zerlegung der Kohlensäure durch Pflanzen stehen die mittelst der, ungefähr 50 Kerzen an Intensität gleichen Gasflamme Die mittelst dieser Lampe angestellten Versuche lassen sich, denen im Tageslichte vollführten gleich, in zwei Kategorie ordnen. Die Resultate der der ersten Kategorie, im Gemische von Luft und Kohlensäure zu Stande gebrachten, habe ich in nächstfolgender Tabelle zusammengeordnet. Sie wurden cebenfalls mit Chamaedorea elatior-Blattfñederstücken angestellt. Durch Einschalten eines mit parallelen Wänden verse- henen Glasgefiüsses, in dem während des Versuchs ein Strom kaltes Wasser cirkulirte, wurde es müglich das Gefäss der grossen Flamme schr nahe zu stellen und dahinter die Rühren mit Blattstücken bis auf 15 Cen- von mir erhaltenen Resultate. . timeter dem Centrum der Flamme zu nühern. Chamaedorea elatior. Zahl | Blattoberfläche | Entfernung Volumen SRSE Volumen Datum. à in Quadrat- von des Te fu “en. | der der Stunden. | Centimetern. der Lampe. | Gasgemisches. | BTS : | zersetzten CO. : f 8 16,5 10 Cd 25 1C.C:. 4,8 C.C 2,9 C.C. Mai 5 : ne, m ? ? À idem idem 30 24,5 4,4 1,3 { 13 13,8 15 28,3 5,0 4,9 | idem idem 30 29,1 4,6 15 » rl 4 | 13%, 13,5 20 28,0 4,7 3,6 idem idem 40 28,1 5,6 1,2 6 18 15 28,8 3,9 3,4 8 idem idem 30 29,6 4,6 1,2 idem idem 20 29,8 010) 2,4 idem idem 40 29,9 Dao O7. ({ 7 20,5 15 28,4 4,8 5 ll idem idem 30 29,2 4,6 1,4 Mai 13 ? | 10 idem 20 265 5,0 3,0 { idem idem 40 29,8 4,8 0,8 { 15 20 20 29,1 D,1 52 | idem idem 40 28,9 4,8 1,5 Dore | 12 18 20 28,9 4,9 3,9 { idem 18 40 29,4 5,4 0,8 RO CE | RER 16,5 20 29,8 4,7 2,7 \ idem idem 30 28,6 6,0 1,6 309 des Sciences de Saiïint-Pétersbourg. 310 In dem kohlensäurehaltenden Wasser habe ich ebenfalls mittelst dieser Gaslampe ganz bedeutende Mengen Sauerstoff erhalten. Bambusa arundinacea. EU TT Zahl Blattoberfläche | Entfernung Volumen des Datum. | in Quadrat- vom Centrum der! Menge der zugefügten CO,. | ausgeschiedenen | der Stunden. | Centimetern. | Flamme. É Sauerstofts. 8 St. d 25 Cent.I5 CC. mit CO, gesättigtes 2,5 C.C. | Wasser auf 20 CC. Newa- | Wasser. April 18 } idem Éd 45 idem 0,8 [| idem ? 65 idem kleines Bläis- | chen. idem a 85 idem idem 4 St. 12 15 idem 1,6 {, idem idem 25 idem Il | idem idem 35 idem 0,7 » 9214] idem idem 45 idem eine noch | geringere Menge. Chamaedorea graminifolia. | 8 St. 15 | 15 idem D? » 95 idem idem | 25 idem 1,8 \ idem idem 35 idem 1,0 U idem idem | 45 idem 0,6 Um die mittelst der Gasflamme erhaltenen Sauer- stoffmengen richtig würdigen zu künnen, will ich eine vergleichende Tabelle folgen lassen, wo letztere mit denen im direkten Sonnenlichte sowohl von mir, als auch von Boussingault und Godlewski erhaltenen Zahlen zusammengestellt sind. Der Vergleich mit den von mir im Tageslichte erhaltenen Sauerstoffmengen ist desto interessanter, da die betreffenden Versuche an den Blattfiedern derselben Pflanze, nämlich der Cha- maedorea elatior gemacht worden sind. Die vorliegende Tabelle enthält Zahlen, welche im Kubikcentimetern das Volumen des durch ein Qua- dratcentimeter Blattfläche während einer Stunde aus- geschiedenen Sauerstoffes angeben. Die, die Grüsse der Blattoberfläche in meinen Versuchen darstellenden Zahlen drücken nicht die Gesammtoberfläche des Blat- tes aus, wie diejenigen von Boussingault in semem Werke angegebenen, sondern nur die Ausdehnung der dem Lichte zugewendeten Blattseite; beim Vergleich mit denen von Boussingault sind sie also durch 2zu dividiren. Ich habe diese Art von Schätzung der Grôsse der Blattoberfläche deshalb gewählt, weil in allen Ver- suchen mit der Gasflamme nur die obere Blattseite beleuchtet wurde, die untere dagegen kein Licht er- hielt. Durch ein Quadrat-Centimeter Blattfläche der Cha- maedorea elatior wurde während einer Stunde Sauer- stoff ausgeschieden: Im direkten Sonnenlichte. Versuch 1. (19. Mai) 0,037 C. C. (20. Mai) 0,057 » (21. Mai) 0,080 » (22. Mai) 0,080 » (22. Mai) 0,100 » 6. (24. Mai) 0,125 » » 7. (30. Mai) 0,093 » ».4 8, (2. Juni), 0,070 :,» 20* » 2: » D: » 4 » 5 » B311 Bulletin de l’Académie Impériale 312 ———————————— Bei Beleuchtung mittelst der Gasflamme. Mai) — 0,022 C. C. Versuch 1 D: 8. Mai) RE 0,031 » de 19. » 2. » A 4 » op { (13. Mai) — 0,031 » . (19. Mai) — 0,023 » Die erhaltenen Sauerstoffmengen schwanken im di- rekten Sonnenscheine von 0,037 — 0,125 C. C. im Gaslichte von 0,022 — 0,031 C. C. Die Minimalwerthe sind nicht um die Hälfte von einander verschieden, der Maximalwerth des im Gas- lichte gebildeten Sauerstoffs wurde nur um das vier- fache durch den, im direkten Sonnenlichte erhaltenen übertroffen. Das Verhältniss der Mittelwerthe aus al- len Beobachtungen im direkten Sonnenlichte und mit- telst der Gasflamme erhaltenen Sauerstoffs lässt sich Chamaedorea-elatior (Famintzin). Prunus Lauro Cerasus (Boussingault). durch den Bruch ”’/,; also ungefähr durch die Zahl 3 ausdrücken. Dieses Resultat erscheint desto überra- schender, da die Intensität der von mir angewendeten künstlichen Lichtquelle, die ich gleich 50 Kerzen schätze, noch durch das Einstellen eines parallelwändi- gen, mit Wasser gefüllten Glasgefässes, bedeutend geschwächt wurde. Folgende Tabelle enthält die den Boussingault’- und Godlewski’schen Untersuchungen entlehnte Zah- len sowohl als auch die von mir für Chamaedorea ela- tior im direkten Sonnenlichte erhaltenen; die letzte- ren sind des bequemeren Vergleiches wegen, dem oben Ausgesagten gemäss, durch 2 dividirt worden. Durch ein Quadratcentimeter Blattoberfläche wurde während einer Stunde Sauerstoff ausgeschieden : Nerium Oleander (Boussingault). Populus alba (Boussingault). 0,018 — 0,062 C. C. 0,039 — 0,047. 0,049 — 0,131. 0,022. Zea Mays Aescul. Hippocast. Platanus Ilex (Boussingault). (Boussingault). (Boussingault). (Boussingault). 0,025 0,027 — 0,032. 0,042. 0,018. Glyceria spectabilis (Godlewski). 0,0516—0,1271. Diese Zahlen kônnen natürlich nur als annähernde gelten, denn schon der verschiedene Kohlensäurege- halt, welcher in den angeführten Versuchen von Bous- singault zwischen 30%,— 41°, bei Godlewski zwi- schen 1,7—28,50; schwankte, in den meinigen 20%, betrug, schliesst die Môglichkeit eines strengen Ver- gleiches aus. Dessenungeachtet bietet ihre Zusam- menstellung grosses Interesse in sofern als es die Be- urtheilung der Grüsse der durch die Gasflamme er- zeugten Sauerstoff-Ausscheidung im Vergleich mit der mittelst Sonnenlichtes erhaltenen Kohlensäurezerset- zung anschaulich macht. Die Existenz eines Optimum der Lichtintensität in Bezug auf Kohlensäurezersetzung durch Pfanzen ist, aller Wahrscheinlichkeit nach, auf das Innigste mit dem von Borodin für mehrere Pflanzen beim direkten Sonnenschein nachgewiesenen Herüberwandern der Chlorophyll-Kürner auf die minder erleuchteten Wände Typha latifolia (Godlewski). 0,0921 — 0,2962. Nerium Oleander (Godlewski). 0,0563 — 0,2056. der Zellen verbunden, wobei, wie bekannt, die Chlo- rophyllkürner dem Lichte ihre schmale Seitenkante zuwenden und auf diese Weise die Quantität des auf sie fallenden Lichtes verringern. Diesem Zwecke ent- sprechend geht noch, wie Stahl neuerdings in der Bo- tanischen Zeitung nachgewiesen, bei manchen Pflanzen, bei starker Beleuchtung, eine entsprechende Volumen- und Form-Veränderung der Chlorophyllkôürner vor, die schon vor längerer Zeit von Micheli beobachtet wurde. Wenn wir die hier beschriebenen Erscheinungen ins Auge fassen, so wird die Môglichkeit einer gleichen Kobhlensäurezersetzung bei wechselnder, ein bestimm- tes Optimum übersteigender, Beleuchtung ohne Wei- teres begreiflich. Die bezüglichen Versuche will ich bei nächster Gelegenheit vornehmen. Endlich ist die Nachweisung des Optimum der Licht- intensität für die Kohlensäurezersetzung durch Pflan- zen für die Lüsung der Frage über die Farbe und 313 Brechbarkeit der die Kohlenzersetzung verursachen- den Strahlen von grosser Bedeutung. Diese Frage kann bis jetzt als noch ungelüst betrachtet werden, da die einen den gelben, die anderen den rothen, Pril- lieux und Baranetzki endlich allen Strahlen des Spektrum diese Funktion, als in gleichem Maasse eigen, zuschreiben. Die so grellen Meinungsverschiedenhei- ten in Betreff dieses Gegenstandes hat, in der letz- tern Zeit, Wollkoff einer ausserordentlich klaren Kri- tik unterworfen und gezeigt, dass allen diesen Versu- chen ein und derselbe Mangel anhaftet der die Resul- tate unzuverlässig macht, nämlich die gänzliche Ver- nachlässigung der Bestimmung der Intensität des in den Versuchen wirkenden Lichtes. Alle diese For- scher begnügten sich mit der qualitativen Analyse des durch gefärbte Medien durchgelassenen Lichtes, ohne den Grad der Schwächung der einzelnen Strahlen durch die angewendete Concentration genau zu berücksich- tigen. Dass dieser Einwurf vollkommen berechtigt ist, dagegen lässt sich nichts einwenden. Die hier be- schriebenen Versuche zeigen, dass letzteres allein noch nicht genügt. Ferner zwingt die Nichtexistenz der Proportionali- tät der Lichtintensität und der durch dieses bewirkten Kohlensäurezersetzung durch die Pflanzen und die Nach- weisung eines Optimum der Lichtintensität, bei dessen Überschreitung die Lichtwirkung nicht nur nicht zu- nimmt, sondern sogar manchmal verringert erscheint, bei der Anstellung derartiger Versuche noch die In- tensität der gebrauchten Lichtquelle genau zu berück- sichtigen und während des Versuchs constant zu er- halten. Deshalb ist für die Untersuchung der Wirkung verschiedener Strahlen eine constante Lichtquelle un- umgänglich und deshalb das Gaslicht dem wechselnden Sonnenlichte vorzuziehen; das Gaslicht bietet einen! Vorzug noch darin, dass es das Optimum der Licht- intensität nicht erreicht und deshalb jede Schwächung der die Kohlensäurezersetzung hervorrufenden Strah- len eine Verminderung der Kohlenzersetzung zur Folge haben muss. Ganz anders künnen sich dagegen die ! Resultate im Sonnenlichte herausstellen, indem bei grellem Sonnenscheine hinter die wirkenden Strahlen stark absorbirende Medien eine fast gleiche oder sogar grüssere Kohlensäurezersetzung stattfinden kann als im direkten Sonnenlichte, oder hinter solche gefärbte Medien, welche die, die Kohlensäurezersetzung hervor- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 314 1 rufenden Strahlen fast ungeschwächt hindurchlassen. Durch letzteres Resultat überrascht, wurde ich auf die Bearbeitung der in dieser Arbeit behandelten Frage gebracht, obgleich ich anfänglich nur die Frage: wel- che Strahlen die Kohlensäurezersetzung hervorrufen, zu lüsen im Sinne hatte. Die erhaltenen Resultate lassen sich kurz folgender- massen zusammenfassen : 1) Es giebt für eine ganze Reihe von Pflanzen ein Optimum der Lichtintensität in Bezug auf die Kohlen- säurezersetzung. Beim Übersteigen dieses Optimum wird durch den Zuwachs der Lichtintensität keine grüssere Menge Kohlensäure zersetzt; in mehreren Füllen wird sogar eine geringere Sauerstoffausschei- dung zu Stande gebracht. 2) Die, 50 Kerzen gleiche Gasflamme ist im Stande, wenn man nur dafür Sorge trägt, ibre dunkeln Wärme- strahlen abzuhalten, eine ganz bedeutende Kohlen- säurezersetzung durch Pflanzen zu bewirken. Wie die zusammengebrachten Data beweisen wird dabei im Mittel nur ohngefähr eine um das dreifache geringere Menge der Kohlensäure zersetzt; welches Resultat vollkommen mit der Existenz eines Optimum der Licht- intensität in Bezug auf die Kohlensäurezersetzung stimmt. 3) Die Existenz des Optimum der Lichtintensität für die Sauerstoffausscheidung ist, aller Wahrschein- lichkeit nach, mit den bekannten, im direkten Sonnen- scheine vorgehenden Orts- und Formveränderungen der Chlorophyllkürner aufs innigste verbunden. 4) Endlich ist die Nachweisung dieses Optimums für genaue Versuche über den Einfluss verschiedener | Strablengattungen auf die Kohlensäurezersetzung, von grosser Bedeutung und erklärt theilweise die jetzt vor- handenen, sich widersprechenden, Resultate. 0. Struve, Beobachtungen des Brorsen’schen Cometen im Frühjahr 1879. (Lu le 29 avril 1880). Am 24. Mäürz 1879 betrachtete ich den Brorsen- schen Cometen, zum ersten Mal nach seinem Wieder- erscheinen, durch unsern 15-zülligen Refractor. Hier- bei überraschte mich seine Helligkeit, welche selbst bei sehr heller Dämmerung ihn leicht im Sucher zu erkennen erlaubte. Zugleich zeigte er einen sehr 315 präcisen Kern und Ansätze von Schweifbildung. Da der Comet damals sich noch acht Tage vor seinem Perihel befand und 6 Wochen lang noch sich der Erde nähern sollte, erwartete ich, dass er uns vielleicht interessante Lichterscheinungen bei seinem weitern Laufe bieten würde. Dieser Umstand bewog mich zumeist eine regelmässige Beobachtungsreihe dessel- ben vorzunehmen, welche überdiess durch die sogleich bemerkte erhebliche Abweichung seines Ortes von der durch Prof. Schulze nach den früheren Erschemun- gen unter sorgfültiger Berücksichtigung der Stürun- gen berechneten Ephemeride genügend motivirt war. Verstärkt wurde diese Absicht noch durch die Erwä- gung, dass der Comet seinen Lauf stark nach Norden nabm, im April also in günstiger Stellung unter un- serer Breite beobachtet werden konnte und dass seine starke Declinationsveränderung die Wahl geeigneter Vergleichsterne sehr begünstigte. In Betreff der Lichterscheinungen sind die Erwar- tungen nicht in Erfüllung gegangen. Im Gegentheil lüste sich der anfangs sehr präcise Kern allmälig im- mer mehr und mehr auf und der Comet nahm zuletzt ein gleichformiges blasses Ansehen mit sehr schwacher Verdichtung an. Hierdurch wurde die Genauigkeit der Einstellung in der letzten Zeit sebr bedeutend beeinträchtigt und ich gab am 9. Mai die weitere Verfolgung des Cometen auf, indem wohl angenommen werden konnte, dass unter solchen Bedingungen die grôssere optische Kraft unseres Refractors keinen ir- gend erheblich ins Gewicht fallenden Vorzug vor den voraussichtlich von vielen anderen $Seiten auf dieses Object gerichteten schwächeren Instrumenten bilden würde. Überdiess traten die Helligkeit unserer Som- mernächte und anderweitige Arbeiten der weiteren Verfolgung hindernd entgegen. Der Comet ist hier an 15 Abenden beobachtet. Die rasche Bewegung in Declination ermüglichte es geeig- nete und ziemlich helle Vergleichsterne an 12 Aben- den zum voraus nach dem Kataloge der Bonner Durch- musterung zu bezeichnen. Nur für 3 Abende fanden sich keine hinlänglich günstig für die Vergleichung belegene Sterne in der Durchmusterung angegeben, aber auch die am Himmel unmittelbar aufgesuchten haben sich als hinlänglich hell zur Beobachtung am hiesigen Meridiankreise erwiesen. Der nachfolgende Auszug aus meinem Beobachtungs- Bulletin de l’Académie Impériale 316 journale giebt zugleich die von Herrn Wittram sorg- fältig und, wo erforderlich, nach der Methode der kleinsten Quadrate abgeleitete mittlere Relation des Cometen zum Vergleichstern an. Die angegebenen Beobachtungsmomente sind in Pulkowaer Sternzeit ausgedrückt. Alle Relationen sind für den Einfluss der Refraction streng corrigirt, Parallaxe ist nicht berücksichtigt. Die angegebenen wahrscheinlichen Feh- ler sind aus der Übereinstimmung der einzelnen Beob- achtungen mit der mittleren Relation unter gebühren- der Berücksichtigung der Bewegung abgeleitet. Mäirz 24. Bei heller Dämmerung wurde der Comet leicht im Sucher erkannt. Er hat einen Durch- messer von mehr als 1’. Vom Kern aus ist die Nebelmasse in nôrdlich nachfolgender Richtung mehr ausgedehnt, so dass es den Anschein hat, als ob sich in jener Richtung ein Schweif bilden wolle. Verbunden wird der Comet mit dem anfangs nürd- lich, später südlich nachfolgenden Stern & (8,5) — BD.12;328 durch 4 Paar Aa und 4 AG. Vergr. 207. Th— 6,0 R. 8/45"57° Aa—-3418/93+1/17 AÏ——0'14,23-+0,83 März 27. Wegen Mondschein und heller Dimmerung ist über das Aussehn des Cometen nur bemerkt, dass der Kern weniger präcis erscheint wie vor 3 Tagen. Der Vergleichstern b(9,0) — BD.15;350 folgt anfangs nôrdlich, später südlich. 12 P. W. und 12 Dist. Vergr. 207. Th. — 5,3 82999 Aa=-—3 93340243 AS=+0'20,65+0,46 Mäürz 28. Beim Beginn der Messungen war die Däm- merung noch so hell, dass die Fäden keiner künst- lichen Beleuchtung bedurften. Der Kern unbe- stimmt, Als es dunkler geworden war, zeigte sich die Nebelmasse erheblich im nürdlich nachfolgen- den Quadranten ausgedehnt und intensiver. Der Vergleichstern c(9,0) = BD.17,406 gehtsüdlich voran, 12 P. W. und 9 Dist. gemessen. Bei der ersten Hälfte der Beobachtungen Vergr. 207, ge- gen Ende 138. Th.— 3,2 R. 8/17"49° Aa—+10/15-#+0/23 AÏ—+3/34/05+0,17 April 4. Der Kern viel weniger bestimmt wie an den früheren Beobachtungstagen. Verbunden wird der Comet mit dem anfangs nürdlich, später südlich 317 vorangehenden Stern d(8,5) = BD.25,479 durch 12 Paar Ac und 8 AG. Vergr. 207 Th. + 1,1 R. 9*15"2° Aa=+658/51+0/48 AÏ—+049,96+0,41 April 5. Die Messungen dieses Abends sind von Hrn. D. Gill ausgeführt. Undeutlicher Kern. Der Ver- gleichstern e (9,0) — BD.26,511 folgt nôrdlich auf den Cometen. 8 Paar Au, 6 AS beobachtet. Vergr. 207 Th.— 07 R. 9:58"9° Au——18 25/054+1/33 A9 97194095 April 6. Nichts kernartiges zu erkennen, sondern nur starke Verdichtung. Trotzdem die ersten Durch- gänge ohne Fadenbeleuchtung beobachtet. Der Vergleichstern f (8,5) — BD.28,498, entschieden rôtblich, geht anfangs nôrdlich, später südlich voran. 8 Paar Aa, 6 AS. Anfangs Vergr. 138, später 207.Th:—#0,5.h: 9*18"2° Au=+9739/08+0,95 AÏ—+016,57#0,39 April 8. Der Vergleichstern g (9,0) — BD.30,525 folgt anfangs nahezu auf dem Parallel, später süd- lich. 8 Paar Aa, 6 AS. Vergr. 207 Th. +06 R. 9*49"4 Aa=—8'39,7240,60 Aa=+0"51,67-0,52 April 11. Heute ein sehr kleiner, ziemlich präciser Kern zu erkennen. Der Comet wird verbunden mit einem nôürdlich nachfolgenden Stern k (9,2). 12 P. W. 9 Dist. Vergr. 207 Th.— 2,5 KR. 10/13"33° Aa=—5 13/00+0/33 AÏ——12/68--0221 April 13. Der kleine Kern des Cometen zeigte heute eine Spur von Ausstrahlung in der Richtung nach Süden, der grüssere Theil der Nebelmasse ist aber nach Nordosten gerichtet. Der Vergleichstern à (5,0) = BD .37;811 geht nôrdlich voran. 12 P. W. und 13 Dist. Vergr. 207. Th. — + 0,6 R. 10/2"3° Aa=+2’46/40+0/27 AÏ——1 30/00+0/25 April 18. Bei sehr unruhiger Luft ist der Kern heute weniger präcis wie in den letztvorangegan- genen Beobachtungsnächten. Der Vergleichstern k (9,5)— BD .43,895 folgt anfangs nôrdlich, spä- ter südlich. 14 P W. und 13 Dist. Vergr. 207. Th. +-11,6 R. 11/55"26° Au=—2/38/07--0,46 AÏ=+0/20/95-+-0/47 des Sciences de Sainé-Pétersbourg. 38 April 29. Der Comet erscheint bei hellem Mondschein als eine verwaschene Nebelmasse von 3—4' Durch- messer. Ein eigentlicher Kern ist nicht zu erken- nen und auch die Zunahme der Helligkeit zur Mitte hin ist so langsam, dass die Schätzung des zu beobachtenden hellsten Punctes leicht um ein Paar Secunden varüren kann. Verglichen wird der Comet mit einem nôrdlich nachfolgenden Stern { (8,5), der sich aber nicht in der Bonner Durchmusterung findet, durch 8 Paar A und 6 AS. Vergr. 207. Th.— 0;8 R. 1451455 Au=—2923/15-#+1/27 A5——2'48/17+0/35 April 30. Der Comet sehr verwaschen, ohne Kern. Der Vergleichstern m (9,2) — BD.58;849 folgt nahezu auf dem Parallel, später südlich. 8 Paar A&œ, 6 AS. Vergr. 207. Th. 050 R. 12*45"20° Au=—1940/20+1/21 AD=+0/16/17-#+0/49 Mai 4. Da auch heute nichts kernartiges am Come- ten zu erkennen, ist die Verbindung desselben mit dem schon bei Beginn der Beobachtungen in der Nebelmasse stehenden Vergleichstern n (8,5) — BD.62;858 sehr schwierig, besonders zur Zeit der grôüssten Näühe, wo die Entfernung kaum 25” betrug. Es wurden 14 P. W. und 12 Dist. ge- messen, später aber bei der Rechnung zwei Distan- zen, die zur Zeit der grôüssten Näühe gemessen wa- ren, weil sie ganz ungewühnliche Abweichungen zeigten, ausgeschlossen. Vergr, 207. Th.+1,8 R. 14"44"20° Aa=+9219234+1/00 AS=-+0/ 5739-0253 Mai 8. Der Comet erscheint als grosse blasse Nebel- masse, ganz ohne Kern und mit nur schwacher Verdichtung zum Centro hin. Der Vergleichstern 0 (9,0) = BD.64,638 geht nôrdlich voran. 8 Paar A, 6 AS. Vergr. 207. Th. + 1,6 R. 14/43"9° Aa=+31/14/46+1/86 A5=—3/20/89—-0/56 Mai 9. Seit gestern ist der Comet noch erheblich mehr verblasst. Der Vergleichstern p (9,2) kommt nicht in der BD. vor. Er geht dem Cometen nôrdlich voran. 12 Paar Aa und 12 AS. Vergr. 207. Th. + 150 R. 14/24"47° Aa=+8'53/28+0/74 AÏ——38,85+0,26 319 Unter Berücksichtigung der bedeutend nôrdlichen Declination, die der Comet an den letzten Beobach- tungstagen hatte, ersieht man aus Vorstehendem, dass, trotz des sehr unbestimmten Aussehens des Cometen, es doch gelungen ist die Verbindung des in ïhm an jedem Abend als Centrum angenommenen Punctes mit den Vergleichsternen mit solcher Genauigkeit auszu- führen, dass für jede einzelne Coordinate der wahr- scheinliche Fehler in der Regel erheblich innerhalb der Bogensecunde des grüssten Kreises bleibt, Die Positionen der Vergleichsterne sind, wie folgt, von Herrn Romberg am hiesigen Meridiankreise von neuem bestimmt und unter Benutzung des von Au- wers neuerdings herausgegebenen Fundamentalkata- logs für die Zonen-Beobachtungen auf 1879,0 be- zogen. Datum. Æ med. Decl. med. a = BD.125328 1879 Oct. 31 | 2*18"43:30 |-+12°47/4973 Dec. 10 43,19 49,9 23 43,13 50,8 97 49,6 28 43,26 2/18"4999 + 19° 47 4079 b— BD.15:350 1879 Oct. 23 | 2*27"16:29 | + 16° 4’ 8/0 31 | 16,24 6,2 Dec. 10 16,09 8,6 23 | 16,15 9,0 27 | 16,16 28 | 6,7 PT ER Te EL c— BD.175406 1879 Oct. 23 2? 30" [#17 84144 31 34:69 44,2 Dec. 10 34,49 44,7 23 34,51 42,9 27 34,61 257 Cie) 44,3 23073457 |'-F 17° -8/43% Datum. 1879 Oct. Dec. 1880 Jan. : 1879 Oct. Dec. 1880 Jan. Febr. 1979 Dec: 1880 Febr. Bulletin de l'Acadéinie Impériale c—P5D.26;511 320 Æ med. Decl. med. d — BD.252479 256" 4554 | + 25°35’ 772 4,45 7,5 4,61 6,9 1,31 7,6 | 2} 56" 4548 | 95985078 31 3° 1"41513 | + 26°5451,7 23 41,19 | 51,3 29 41,01 53,1 9 _41,14 | 49,9 3 141519 | + 26°54'51°5 f— BD.282498 10 3749721582 |28 5240? 27 Die 28 21,69 41,8 8 40,4 11 21,89 39,8 087 202180 | 2806/4120 1879 Oct. Dec. 1880 Febr.… 1879 Dec. 1880 Jan. Febr. 1879 Oct. Dec. 1880 Jan. Febr. 27 28 29 8 9 g—= BD.30%525 312" 43:92 44,05 44,08 : one | 3"19"44:03 k 3*25" 0:66 0,71 0,90 0,68 i— BD.37°811 3"33"15;41 | 15,42 15,35 3! 33" 15:40 15,41 | + 30° 38'43%6 45,0 42,4 de - 20 + 30° 38439 + 34° 34’ 40!8 39,9 38,0 40,3 +37 117168 | 17,0 16,4 | 16,1 | +37°1116% des Sciences de Saint-Pétersbourg. 322 ——_—_—…—…—…—…—…—…—…—…—…—…"…"—…—…—"—…—…————_—— 321 Datum, Æ med. ù Decl. med. k— BD.43;895 1879 Oct. 31 | 35859551 | + 43°50'11,4 Dec. 10. 52,50 10,4 1880 Jan. 29 52,26 10,6 Febr. 8. D 9 1T £ 9,5. 3*58"59537 | + 4350105 BD.57:893 1879 Dec. 24 | 524"93:569 | + 57° 4446,0 1880 Jan. 4) DST 450 Febr. 4. 23,89 47,6 Febr. 9. ___ 23,83 AT 4 5" 24"23:77 |+57°4446,6 m—= BD.58:84 1879 Dec. 24 5639735231] 45833411 1880 Jan. 4 35,21 31:9 Febr. 4 35,22 38,5 Febr. 9 35,23 | 40,7 5#33"3522 | + 58°33394 n = BD.62;858 1879 Dec. 24 6229257976 |+-69°15 31/0 1880 Jan. 4 58,22 28,9 Febr. 17 54505 31,6 19 57,85 31,2 29 57,92 30,9 622"57:94 | + 62° 15’ 30/6 o— BD.64638 1879 Dec. 24 799" 0:53 | + 6433/1725 1880 Jan. 4 0,80 110) Febr. 18 1,23 17.2 19 0,99 15,8 _ 22 __ 0,94 16,8 799" 0:90 | + 64° 33173 p 1880 Jan. 4 7! 39"49539 | + 64° 50’ 18,3 Febr. 18 49,84 18,1 19 19,0 23 49,61 20,7 März 20 49,62 17,9 7:39"49:61 |+ 64°50'18;8 Tome XX VI. Ohne Rücksicht auf die Declination ergiebt sich aus der Übereinstimmung der einzelnen Bestimmungen mit ihren Mittelwerthen, für das Mittel aus 4 Beobacht- ungen, der w. F. einer Rectascension — 0;044 — 0/66; einer Decl. — 0,39. In dem vorstehenden Verzeichnisse findet sich aber der am 29 April gebrauchte Vergleichstern / nicht bestimmt. In Folge eines Missverständnisses hat Herr Romberg statt seiner den Stern B. D. 57;893, der S — 9’ nôrdlich von ihm steht, beobachtet. Als dieses Versehn bemerkt wurde, war die betreffende Rect- ascensionsstunde schon zu sehr in den Tag hineinge- rückt, um noch im laufenden Frühjahr den richtigen Stern im Meridian beobachten zu künnen. Es wurde deshalb beschlossen, letzteren durch Mikrometermes- sungen an den bestimmten Stern anzuschliessen. Diese Verbindung ist durch die Herrn Dubiago und Wit- tram mittelst 6-zülliger Refractore ausgeführt, indem ersterer dabei ein Filarmikrometer, letzterer ein Ring- mikrometer anwandte. Aus beiderseits dreitägigen Bestimmungen ergab sich: am Filarmikrometer Au — — 13:306 Ad — — 88,49 am Ringmikrometer — — 13,243 — 87,01 Da die Messungen am Fadenmikrometer noch einer kleinen Unsicherheit in Betreff des Schraubenwerthes, die bei der grossen Declinationsdifferenz beträchtlich sein künnte, unterworfen sind, glauben wir den obigen beiden Bestimmungen ein gleiches Gewicht zuschrei- ben zu müssen und nehmen deshalb an: Au — — 13527 AÏ— 877 Diese Quantitäten an den angeführten Ort von B.D. 57,893 angebracht, geben für 1879,0 den mittleren Ort des Vergleichsterns / a— 5"24"10;50 5 = + 57°36/38,9 Um dem Beobachter am Meridiankreise einen siche- reren Anhalt für das richtige Erkennen der zu bestim- menden Vergleichsterne zu geben, habe ich bei mei- en vorstehend aufgeführten Beobachtungen den Grôs- senschätzungen besondere Sorgfalt zugewandt. Ich gehe dabei in der Regel so zu Werke, dass ich, in naher Übereinstimmung mit der Schätzungsweise meines Va- ters, den im nur mässig lichtstarken Sucher des Re- fractors noch eben mit Sicherheit zu erkennenden 21 323 Bulletin de l’Académie Impériale 324 Sternen die Grüsse (9,5) zuschreibe. Solche Sterne künnen erfahrungsmässig bei nicht besonders ungün- stiger Luft, noch mit einiger Leichtigkeit am Fernrohr unseres Meridiankreises beobachtet werden. Diese meine Schätzungen sind in der Regel um eine halbe Grüssenclasse heller wie die entsprechenden von Ar- gelander. Das hat sich im Mittel auch wieder bei den beiderseits für die 12 Vergleichsterne geschätzten Grrüs- sen ergeben, indem sich aus denselben findet: Arge- lander = OZ. + 0741. Unter Berücksichtigung dieser constanten Differenz sind mir ein paar Anomalien in den Schätzungen sehr auffallend gewesen, die zum Theil vielleicht in dem Zustande der Luft ihre Erklärung finden mügen, viel- leicht aber auch zum Erkennen von Variabilitäten oder zu Corrigendis in der Bonner Durchmusterung führen kônnten. Zunächst fiel es mir auf, dass der Stern / nicht in der Durchmusterung vorkommt. Ich habe denselben am 29 April 1879 anfänglich sogar (8,0) geschätzt; bei aufmerksamer Prüfung aber denselben Abend noch die Schätzung in (8,5) verwandelt. Danach hätte also dieser Stern sich als (8,9) in der Durchmusterung fin- den sollen. Die Beobachter, welche ihn in diesem Frübjahre mit BD.57,893 verbunden haben, erklä- ren ibn für entschieden schwächer wie letzteren, der in der Durchmusterung als (9,3) angegeben ist. Auffallender ist noch folgende Bemerkung. Den am 5. April gebrauchten Vergleichstern e — BD.26511 schätzte ich als (9,0), in voller Übereinstimmung mit der Schätzung in der Durchmusterung (9,5); aber ich notirte zugleich, dass ein eine ganze Grüssenclasse hellerer Stern, der nicht in der Durchmusterung auf- geführt ist, 7’ südlich von dem Vergleichstern stand. Am folgenden Abend, April 6, revidirte ich die Ob- Jecte, die ihre relative Lage nicht verändert zu haben schienen, und schätzte dabei den südlichen Stern um reichlich eine halbe Grüsse heller als BD.26°511. Am 4. April habe ich den Vergleichstern d — BD. 25,479 als (8,5) geschätzt, was gleichfalls, unter Be- rücksichtigung der constanten Differenz, mit der Schätzung (9,1) in der Durchmusterung befriedigend übereinstimmt. Ich notirte aber zugleich, dass ein an- derer, entschieden hellerer Stern in beïläufig 2” nahe- zu auf dem Parallel nachfolge. Diess muss der Stern BD .25,483 gewesen sein, der aber in der Durch- musterung um reichlich eine viertel Grüssenclasse schwächer, nämlich als (9,4) angegeben ist. An zwei Abenden, Apr. 8 und Apr. 18, habe ich die Vergleichsterne BD.30,525 und 43,895 um 072 schwächer geschätzt, als wie sie in der Durchmusterung angegeben sind. Diess würde, unter Berücksichtigung der constanten Differenz, Abweichungen von reichlich 06 in den beiderseitigen Schätzungen ergeben. Trotz der agffallenden Grüsse dieser Abweichungen müchte ich Jedoch denselben keïin erhebliches Gewicht beilegen, da es leicht müglich wäre, dass zeitweise schwache Trübun- gen des Himmels mein Urtheil beeinflusst haben künnten. Aus den aufgeführten mittleren Ortern der Ver- gleichsterne hat Herr Wittram die scheinbaren Po- sitionen derselben für die Momente der Cometenbeob- achtungen abgeleitet und dann an dieselben die beob- achteten KRelationen des Cometen angebracht. Auf solche Weise sind die folgenden Cometenürter erhalten: Datum. Pulk. M. Zeit. | Æ app. #. | Decl. app. #. 1879 Mürz 24| 838"30:4 | 2! 16"26:46 + 00342 p | + 12° 47' 41/4 + 0/853p 27| 8 3 18,6| 227 4,07+0,0350 16 4 34,6+ 0,824 28| 7 54 43,8 | 2 30 39,09 + 0,0352 171% 010-0811 April 4! 8 24 15,3| 2 56 32,93+0,0371 | 25 35 58,5 + 0,796 D 90 8"12,7 | 3.0 28:01=0,0366 26 52 50,8 + 0,824 6] 8 19 23,7 | 3 4 12,95-+ 0,0381 286 262 0 110 8| 8 35 29,2 |. 3 12 9,95<+0,0389 80 39 44,6 + 0,774 HAS 5e5,5 3 24 40,47 + 0,0399 34 33 46,7+ 0,771 13 | 8 35 46,2 3 33 27,13+0,0419 | 37 9 56,8 + 0,723 18/10 910,7 | 3 58 42,53 + 0,0406 43 50 42,9 + 0,791 291001 35223:0 5 22 14,12 + 0,0476 57 34 4,3 + 0,738 30 | 10 11 45,8 5 32 17,77 +0,0612 58 34 9,2 + 0,583 Mai 4111 54 42,7 | 6 23 8,40+0,0589 62 15 49,7 + 0,659 8.| 11 37 47,7: | 7 24 8.12-0,0736 64 30 9,2 + 0,525 9111115 %33,2 7 40 27,61 + 0,0776 64 47 292,2 + 0,454 325 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 326 wo p die in Bogensecunden ausgedrückte Horizontal- parallaxe bezeichnet. Eine von Herrn Wittram unter Berücksichtigung der zweiten Differenzen annähernd durchgeführte Ver- gleichung dieser Beobachtungen mit der Schulze-- schenEphemeride ergibt folgende Abweichungen: Beob. — Ephem. in À in Decl. Mäürz 24 —0"21;4 —)9 40! 27 — 17,6 — 25 41 28 — 15,8 — 26 13 April 4 — 4,5 — 30 45 D — 3,0 — 31 27 6 — 1,3 — 31 59 8 — 0,4 — 33 18 11 + 4,4 — 35 12 35 + 5,4 — 36 26 18 + 1,4 — 39 54 29 —1 22,0 1500 30 —1 57,8 — 43 46 Mai 4 —3 7,0 — 41 30 8 —4 56,4 — 35 22 9 —5 19,9 — 53 15 Der regelmässige Gang dieser Abweichungen bürgt einerseits dafür, dass in Betreff der Vergleichsterne nirgends ein Versehn begangen ist. Andrerseits lehrt ihr erheblicher Betrag, dass die von Prof. Schulze angewandten und scheinbar streng abgeleiteten Ele- mente bedeutende Verbesserungen erheischen. Eine Ânderung in der angenommenen Perihelzeit würde für sich allein wabrscheinlich nicht genügen. Nachtrag. Nachdem das Vorstehende der Akademie mitgetheilt war, ist es Herrn Romberg noch geglückt den früher nicht unmittelbar bestimmten Vergleich- stern /, 4 Mal am Meridiankreise in der unteren Cul- mination zu beobachten. Es ergab sich für 1879,0: Datum. Æ med. Decl. med. 1880 Mail3 5"24"10:35 + 57° 36 39/5 15 10,08 39,6 23 10,60 38,1 25 10,31 58,5 5*24"10;383 + 57°36' 3879 Es stimmt also dieser Ort in Æ bis auf 0:17, in Decl. ganz vollkommen, mit dem durch Übertragung auf BD .57,893 erhaltenen überein. Die Grüsse hat Herr Romberg am ersten Beobachtungstage zu (9,0), an den drei anderen zu (9,3) geschätzt. Recherches embryologiques sur l'Orchis maculata. Par M. Montéverdé. (Lu le 1 avril 1880.) (Avec une planche.) En commençant à analyser l’histoire du développe- ment des Orchis, j'ai eu principalement en vue de suivre le plus soigneusement possible l’évolution des embry- ons à partir des premiers partages jusqu’à leur matu- ration; j'ai voulu en même temps scruter si effective- ment il n’y a aucune régularité dans la formation des cloisons, et enfin tâächer de trouver de la ressemblance avec les autres monocotylédones dans la période de leur premier développement. Avant de commencer cet exposé je dois faire men- tion de deux notices de Fleischer !) et de Pfitzer *) publiées récemment. Selon l'expression de Fleischer /es Orchis occu- pent parmi les monocotylédones une position tout-à- fait exceptionnelle quant à l’histoire de leur dévelop- pement. D’après les dessins deHofmeister, Fleischer dit que l'embryon provient d’une seule cellule gonflée du suspenseur; après la segmentation habituelle en quatre parties, toute régularité dans la formation des cloisons disparaît de manière que la semence mûre se compose de plusieurs douzaines de cellules sans aucune différenciation; à l’extrémité inférieure de l’embryon se trouve le suspenseur, formé ordinairement de deux cellules dont la supérieure se transforme en embryon. Pendant la germination des semences apparaissent plu- sieurs points végétatifs et toute la surface de l’em- bryon se couvre de petits poils, à l'exception du bout inférieur; pendant tout le temps de la germination on remarque non seulement l'absence complète d’une différenciation intérieure symmétrique, mais même l’absence du cotylédon et de la racine principale. Cette conclusion est fausse pourtant, comme l’a 1) Flora, 1874. 2) Beob. über Bau und Entwickelung der Orchideen. Verhandi. des naturhist. medic. Vereins zu Heidelberg, Bd. II, 1877. 21* 327 Bulletin de l’Académie Impériale , 328 prouvé Pfitzer. D’après ses recherches sur /’Orchis latifolia l'embryon se compose non d’une seule, mais de trois ou quatre cellules du suspenseur, dans lesquelles se forment des cloisons longitudinales, disposées en forme de croix; chacun des étages provenus de cette manière se divise en quatre cellules centrales et quatre périphériques; les cellules périphériques n’équivalent pas au dermatogène, puisqu'elles peuvent être partagées par des cloisons tangentielles. La cellule du suspen- seur, la plus proche de l'embryon (la troisième ou quatrième des cellules primordiales) est l’hypophyse. Le même observateur a étudié les embryons pendant leur germination. [1 démontre que l’histoire du déve- loppement des Orchis ne se distingue pas des autres monocotylédones. À la base de l'embryon, c’est-à-dire à l'extrémité dirigée vers le suspenseur, se montrent des poils en assez grande quantité, à l’éxtrémité op- posée se forme peu à peu le cotylédon, qui change sa position horizontale primitive en position verticale à la suite du gonflement de la partie moyenne de l’embryon; ainsi, le cotylédon forme un angle avec la partie du germe couverte de poils. Au milieu vis-à-vis du coty- lédon se montre bientôt un rudiment de feuille, et entre cette feuille et le cotylédon apparaît le point végétatif. Pendant toute la germination il n’y a pas trace de racine. Pour éclaircir les embryons j'ai employé l’esprit de vin, l’alcali et l'acide acétique. Les plus jeunes embryons sont restés dans une dissolution d’alcali de 10°}, ordi- nairement pas plus de deux jours. Plus les embryons sont adultes, plus longtemps ils doivent rester dans l’alcali. Quelquefois ils s’éclaircissent assez vite (en 5 ou 6 jours), quelquefois en 14 jours; dans ce dernier cas les cellules, par une trop forte action de l’alcali, se gonflent au point de perdre leur forme primitive; c’est pourquoi il vaut mieux les garder pendant trois ou quatre semaines dans une faible dissolution d’alcali. Dans certains cas pour plus de clarté, il faut garder les embryons quelque temps dans l'acide acétique. Afin d'éviter tout malen- tendu relativement au premières cloisons transver- sales, j’ai comparé la grandeur des cellules d’un grand nombre d’embryons préparés d’une manière identique et dessinés au même grossissement. Le plus jeune embryon de l’Orchis maculata se composait de deux cellules de grandeur inégale: une petite supérieure (a) et une autre inférieure à peu près doublement plus grande; cette dernière est divisée par une seconde cloison transversale en une petite cellule au milieu (b) et une grande en bas (fig. 1. 2). Ces deux cloisons sont généralement inclinées l’une vers l'autre et forment un angle plus ou moins grand. En- suite dans la cellule supérieure (a) apparait la pre- mière cloison longitudinale qui la divise en deux parties égales ou quelquefois inégales; on peut en conclure que lorsque l’embryon se développe un peu plus, souvent une des cellules prend l'aspect de cellule terminale. Bientôt dans la cellule inférieure apparaît une nou- velle cloison transversale et en même temps une se- conde cloison longitudinale dans la cellule (b), qui forme relativement à la première un angle à peu près de 45° ou 90° (fig. 3, 4æ, 4 6). Dans les deux cellules inférieures les cloisons trans- versales suivantes se forment d’une manière interca- laire, de sorte qu’on obtient quatre cellules dont cha- cune est divisée de nouveau par une cloison transver- sale en deux autres; cela n’arrive pas toujours cepen- dant. De ces huit cellules, les sept inférieures forment le suspenseur et périssent plus tard, tandis que la su- périeure (c) participe à la formation de lembryon (fig. Gher). Après la formation des deux premières cloisons lon- gitudinales, dans les cellules (a) et (b) apparaissent en- core deux nouvelles cloisons qui se placent, par rapport aux premières, en forme de croix, d’abord dans la cel- lule (a) et ensuite dans la cellule (b); de sorte que les deux cloisons longitudinales de la cellule supérieure se joignent aux cloisons de la cellule inférieure (b) ou forment avec ces cloisons un angle d'à peu près 45° (fig. 5,7). La position relative de ces cloisons se con- serve dans les embryons adultes, comme on le voit dans les fig. 16, 17. Ainsi l’embryon est formé non d’une seule cellule du suspenseur, comme le dit Fleischer, ni de trois ou quatre, comme l’affirme Pfitzer, mais de deux seulement. Si nous comparons maintenant les premières phases du développement de l’Orchis maculata avec les autres monocotylédones, nommément avec le Brachypodium (de la famille des Graminées) décrit par Hanstein, nous trouverons entre eux une grande ressemblance. Cette ressemblance n’est pas seulement dans leur forme extérieure, mais aussi dans la position relative des 329 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 330 mm deux premières cloisons transversales, dans l’apparition de deux cloisons longitudinales des deux cellules su- périeures, et enfin en ce qu’une des cellules prend souvent l’aspect de cellule terminale. Quoique Han- stein ne cite pas d’embryon avec une seule segmen- tation, on peut conclure par analogie que la seconde cloison transversale se forme aussi dans la cellule in- férieure. Il faut noter ici une certaine différence dans la for- mation de l'embryon entre l’Orchis maculata et V Alis- ma plantago qu’on prend comme type des monocoty- lédones. L’embryon des Orchis, composé primitivement de trois cellules, se forme de deux cellules supérieures et en partie de l’inférieure. Dans l’Alisma plantago l'embryon se forme de la cellule supérieure et en partie de celle du milieu. Mais dans l’apparition des premières cloisons longitudinales disposées en croix on remarque une ressemblance complète. Après que les cellules (a) et (b) se sont divisées en quatre segments, les cellules de l’étage supérieur se partagent par des cloisons transversales, et forment par conséquent deux étages; il arrive pourtant quelque- fois que les cloisons transversales se montrent aupara- vant dans la couche inférieure. — A l’intérieur de l'embryon ainsi qu’à sa surface la segmentation de la moitiésupérieure(a)se produit en général beaucoup plus énergiquement que celle de la moitié inférieure. — En même temps les cellules intérieures se séparent des extérieures par des cloisons parallèles à la surface de l'embryon, et quelquefois par des cloisons obliquo-ra- diales; dans ce dernier cas les deux cellules se divi- sent ordinairement en deux extérieures et deux inté- rieures par des cloisons parallèles à la surface de l'embryon (fig. 8,11). Nous trouvons les mêmes seg- mentations dans l’Alisma plantago. Chacun des trois étages se compose maintenant de quatre cellules intérieures et de quatre extérieures. Ces dernières, comme l’a remarqué Pfitzer, ne for- ment pas encore un tissu permanent, équivalent au dermatogène, parce que dans la suite ces cellules se di- visent par des cloisons tangentielles (fig. 15). — Quant aux cellules intérieures, elles se subdivisent de nou- veau par des cloisons parallèles à la surface de l’em- bryon, ou parallèles aux parois des cloisons longi- tudinales primitives (fig, 11). Enfin nous avons le dessin suivant pour la coupe transversale : quatre cel- lules intérieures, entourées de 6 à 8 cellules de mi- lieu, après quoi vient l’anneau extérieur de cellules périphèriques (fig. 14). Je n’ai pas réussi à prouver si ces tissus équivalent au plérome et periblème de l’Alisma plantago, parce que les cellules ne se divi- sent presque pas dans cette direction jusqu’à la ma- türation de l’embryon. Dès ce moment, l'embryon croit principalement en longueur, formant des sections au moyen de cloisons horizontales (fig. 15); en lar- geur et en grosseur le nombre des couches n’augmente pas; dans chaque étage c’est le nombre seul de cellules qui augmente, et ces dernières sont divisées par des cloisons perpendiculaires à la surface. En examinant la coupe transversale et optique, nous remarquons en outre que le nombre des cellules de la moitié supérieure est bien plus grand, et elles ont en même temps des dimensions bien moindres que les cel- lules de la moitié inférieure; ainsi la fig. 14 montre qu'il y a plus de divisions dans la partie supérieure de l’embryon; on le voit d'après le nombre des cellules qui est plus grand, mais dont la dimension est moindre, En observant un des quatre segments de la moitié supérieure et de la moitié inférieure de l’embryon, on peut suivre la formation graduelle des cloisons, per- pendiculaires à la surface, et voir la limite entre les deux moitiés. Pour mieux voir les contours de ces segments, je les ai tracés un peu plus fortement; ce- pendant dans plusieurs embryons on voit clairement les limites des segments, parce que les parois de ces cloi- sons sont un peu plus épaisses que les autres. À la première époque du développement de l'embryon, les cloisons sont ordinairement tranversales ou longitudi- uales; ensuite les cellules peuvent se diviser dans un autre sens (fig. 13,16, 17). — Une division caractéris- tique se produit dans les cellules de l'extrémité supé- rieure : chaque cellule est divisée le plus souvent par une cloison parallèle aux parois des cloisons longitudi- nales primitives; on obtient ainsi deux cellules: l’une, ayant l’aspect d’un triangle sphérique, l’autre — al- longée; dans cette dernière une cloison perpendiculaire à la précédente se montre ensuite, et par conséquent la cellule supérieure reprend sa forme triangulaire | primitive (fig. 17). | La troisième cellule (c), qu’on est habitué à comp- ter pour hypophyse, participe aussi à la formation de (l'embryon avec les deux cellules supérieures. Ordi- 331 Bulletin de l’Académie Impériale 33? nairement cette cellule, après s'être divisée par une cloison transversale, a dans la moitié supérieure une ou deux cloisons longitudinales, disposées en croix, et reste invariable dans cet état jusqu’à la maturation de la semence. Quelquefois encore plusieurs cloisons longitudinales et transversales se forment dans cette cellule (c), de sorte qu’elle occupe toute la partie in- férieure de l'embryon. Cependant les embryons de l’Orchis maculata ne se développent pas tous d’après le type que je viens d’in- diquer; plusieurs d’entre eux présentent des déviations plus ou moins grandes, qui empêchent considérable- ment, surtout dans les semences müres, de limiter le produit de la division de la cellule supérieure et de l’inférieure. Dans le développement qu’on peut considérer comme normal, parce qu’il a lieu dans la plupart des cas, le produit de la division de la cellule supérieure occupe la moitié de l'embryon ou un peu plus. Mais on ren- contre des embryons dans lesquels la partie supérieure prend tellement le dessus sur la seconde, que cette dernière a l’aspect d’une couche insignifiante, comme on le voit sur la fig. 12 qui présente la coupe op- tique d’un de ces germes; ici la partie supérieure est formée de 16 cellules, tandis que celle d’en bas n’en a que quatre, et encore très petites. Il y a encore une différence, qui se produit à la suite d’un puissant développement d’un seul côté, de la partie inférieure de l'embryon; la partie supérieure se déplace à côté et prend une position complètement transversale. Quand un germe pareil se transforme en semence mûre, on ne réussit pas à délimiter les deux parties (fig. 10w, 108). Comparons maintenant les résultats et les recherches de Pfitzer sur la germination des Orchis avec l’Alis- ma plantago, et voyons si nous pouvons trouver une ressemblance plus complète dans l’histoire du déve- loppement des Orchis et de l’Alisma plantago. Il fallait savoir, dans ce but, si un embryon bicel- lulaire de l’Alisma plantago est divisé par une seconde cloison transversale d’abord dans la cellule inférieure, comme chez les Orchis, ou dans la cellule supérieure. Je n’ai pu pendant longtemps parvenir à trouver l’em- bryon voulu; enfin, d’après le conseil du professeur Famintzine, j'ai teint les embryons à l’aide du car- min ; les noyaux cellulaires se sont colorés plus forte- ment et d’après leur nombre on peut dire avec certi- tude, si l'embryon est formé de deux ou de trois cel- lules. Ces observations m'ont prouvé que l'embryon bicellulaire de l'Alisma plantago se compose d’une grande cellule inférieure gonflée et d’une cellule su- périeure, allongée (fig. 9); une seconde cloison trans- versale apparaît dans cette dernière cellule et la par- tage en deux moitiés: une supérieure, hémisphérique, et une moyenne, cylindrique. Plusieurs cloisons trans- versales se forment graduellement, l’une après l’autre, dans la cellule moyenne.— D'après les observations du professeur Famintzine”) c’est de la cellule supérieure que se forme le cotylédon ; la seconde cellule, située plus bas, forme la plumule, et la troisième — Ja ra- cine; les autres cellules forment le suspenseur. Pen- dant tout le temps du développement des embryons, ces trois parties sont tout-à-fait individualisées et sen- siblement limitées. Dans les semences müres des Orchis on peut de même suivre souvent assez distinctement le produit de la division des deux cellules supérieures de l'embryon, à la surface et dans la coupe optique. — Si nous comparons les embryons de l’'Orchis maculata avec ceux d'Alisma plantago, sans faire attention à la grande cellule gonflée de cette dernière, nous verrons que le développement des embryons de l'Orchis macu- lata se produit de la même manière que l’évolution des germes de l’Alisma plantago, à partir de la forma- tion de la première cloison transversale, jusqu’à la ma- turation de la semence. D'un autre coté, comme je l’ai dit plus haut, l’ou- vrage de Pfitzer explique comment la partie supérieure de l'embryon forme le cotylédon, la moyenne la plu- mule, et comment les petits poils croissent de la base même. Si l’on considère que les embryons des Orchis ressemblent aux autres monocotylédones, non seulement pendant leur germination, quand ils sont entièrement formés, mais dès leur premier développement, — on peut admettre que la cellule supérieure du germe don- nera ensuite naissance au cotylédon, la seconde, située plus bas, à la plumule. Quant à la troisième cellule, comptée ordinairement pour hypophyse, on peut plutôt la comparer, par analogie avec l’Alisma plantago, à la cellule qui donne la racine principale dans l’Alisma, mais qui ne se développe pas entièrement ici. 3) Mémoires de l’Académie Impériale des sciences de St.-Péters- bourg, VII® série. Tome XX VI, M 10. 333 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 334 —_————Z— Ce n’est qu'après avoir achevé mon travail, que j'ai lu les recherches de Treub, publiées récemment sous le titre: «Notes sur l’embryogénie de quelques Orchidées.» Ce savant étudie le développement des embryons, principalement du point de vue physiologique, et décrit entre autres leur structure. En analysant micro-chi- miquement les différentes substances contenues dans les germes, Treub trouve qu'on peut partager l’em- bryon entier en deux parties, ayant différentes fonc- tions physiologiques: — le suspenseur et l'embryon même. La destination du suspenseur consiste dans l'absorption de substances nutritives:; il doit ensuite les transporter peu à peu dans le germe, qui les ren- ferme dans ses cellules comme matériel de réserve. Laissant de côté les recherches physiologiques de Treub, j'exposerai tout ce qui a rapport à la structure des embryons. Je crois pouvoir diviser en trois types principaux toutes les Orchidées, décrites par Treub, quant à l’histoire de leur développement, Il faut rapporter au premier type les embryons dont le suspenseur s’indi- vidualise tout-à-fait distinctement, et dont l'embryon se forme de deux cellules inférieures du proembryon. (Les embryons sont placés de manière à ce que le mi- cropyle soit dirigé en haut. L'oeuf fécondé se change généralement en «proembryon»; et celui-ci se difté- rencie en suspenseur et en «embryon» Treub). On range ici les Orchis latifolia, Orchis maculata, Anacamptis pyramidalis, Herminium Monorchis, Platanthera bifo- lia, Serapias Lingua; Cypripedium barbatum, Cypripe- dium venustum; Sobralia macrantha. On peut citer comme exceptions Æpidendrum ciliare et Laelia Bry- siana, dans lesquelles la première cloison transversale sépare déjà l'embryon du suspenseur; pourtant à en juger par les dessins, il est assez difficile de déter- miner ce qui se forme de la cellule inférieure, et ce que produit la cellule supérieure, car les cellules se partagent pour la plupart par des cloisons transver- sales; de cette manière on obtient quelquefois toute une rangée de cellules, divisées seulement par une seule cloison longitudinale. Quant à l’Orchis latifolia, Treub dit que l'embryon se forme de deux cellules inférieures du proembryon, conformement à ce que j'ai trouvé dans l’Orchis maculata; cependant, après l’ap- parition d’une cloison longitudinale dans chacune des deux cellules, ces dernières cessent de se diviser d’a- près une schème générale. L’étage supérieur prend une faible part dans le développement du germe. L’epi- dermis se différencie seulement dans la suite. La cel- lule hypophyse se partage en 2 à 4 cellules et com- plète l'embryon. Parmi les plantes de ce groupe, la Sobralia mac- rantha est celle qui atteint le plus grand développe- ment. Quoique Treub affirme que les embryons de cette plante se développent de trois cellules du proem- bryon, à en juger par les dessins le germe ne se forme que des deux inférieures ; la troisième cellule, comme dans les autres plantes qu’il décrit, joue le même rôle d'hypophyse , seulement ici la cloison longitudinale apparaît très tôt. Le développement précoce de cette cellule, dans la Sobralia, nous prouve encore qu’il faut la considérer non comme hypophyse, mais comme la cellule qui donne la racine chez les autres monocotylé- dones. «Généralement l’inférieure des trois premières cellules engendre la majeure partie de l’embryon; bientôt à sa partie apicale se forme un léger enfonce- ment situé latéralement ; dans les embryons adultes, la partie enfoncée est devenue plus profonde, ses bords commencent à se relever, quoique faiblement. La partie apicale est bien différente alors de la région ba- silaire. Je n’ai pas remarqué, même dans les embryons les plus âgés, une différenciation du tissu en plérome et en écorce primaire.» De mème que Pfitzer,Treub compare la partie apicale au cotylédon. «La gaine cotylédonaire et la plumule ne se forment pas, cela a probablement lieu lors de la germination.» Il faut remarquer, que presque dans tous les em- bryons des plantes, que je viens de citer, on peut distinguer clairement la limite du produit de la divi- sion des deux cellules du proembryon dont l'embryon se développe. Les plantes du second type se signalent par l’ab- sence totale d’un suspenseur, de sorte que toute la cellule de l’oeuf est destinée à l'embryon (Listera ovata, Epipactis palustris, Epipactis latifolia, Cypripe- dium spectabile). La première cloison transversale divise l'oeuf en deux parties, dont chacune se déve- loppe à son tour; on peut voir cette cloison, comme le remarque Treub, même dans les embryons presque adultes. L'évolution la plus caractéristique, d’après Treub, 335 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 336 se produit dans les embryons du troisième type, au-| Koch, Antal. A Dunai trachytesoport jobbparti részének quel appartiennent: Phalaenopsis grandiflora, Pha- laenopsis Schilleriana, Stanhopea oculata. L'oeuf fé- condé se segmente en deux cellules par une cloison transversale: la supérieure a une destination toute spéciale et homologue au suspenseur des autres Or- chidées: elle se divise par des cloisons longitudinales en plusieurs cellules qui se transforment en longs fila- ments, lesquels servent à l'absorption des matières. La cellule inférieure, dont se forme ensuite l'embryon, est toujours divisée d’abord par une cloison transver- sale; les cloisons ultérieures sont longitudinales et se montrent d’abord dans la cellule inférieure et ensuite dans la cellule supérieure. Treub a déjà exposé l’embryogénie des Orchidées, je me décide cependant à presenter mon ouvrage, parce que mes recherches ont abouti à d’autres résul- tats. J'ai trouvé dans l'Orchis maculata un ordre assez régulier dans la formation des cloisons: il se produit tout d’abord une segmentation regulière en quatre parties dans les deux cellules supérieures de l'embryon, la séparation des cellulesextérieuresde celles des intérieures, après quoi les cellules, en se multi- pliant, forment un nombre toujours croissant d’étages. J’ai indiqué plus haut la ressemblance qui existe dans l’histoire du développement des Orchis avec les autres monocotylédones depuis la formation des premières cloisons. — Dans l’Orchis maculata, comme dans presque tous les embryons décrits par Treub, on peut observer distinctement la première cloison transver- sale, qui sépare de la partie inférieure la partie su- périeure de l’embryon. Cette circonstance nous prouve encore une fois, que ce n’est pas un simple hasard, mais que ces deux parties resteront également indivi- dualisées pendant la germination; le produit de la di- vision de la cellule supérieure formera ensuite le co- tylédon, et la cellule inférieure engendrera la plumule. ——00 0-0 — BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Favre, A. Sur une défense d'éléphant trouvée au bois de la Batie, près de Genève, et sur les éléphants fossiles recueillis en Suisse. Genève 1878. 8. (Sz.-Eudre — Visegräd — Esztergomi hegycsoport) füldtani leiräsa a hegy — és vizrajzi viszonyok elüre- bocsätäsäval. Budapest 1877. 8. Bulletin de la Société botanique de France. T. XXIV 1877. Session extraordinaire de Corse 1877. Table alphabétique. Paris. 8. ———— Revue bibliographique feuilles 4—15. Comptes rendus des séances 1. 2. 8. T. XXV. Paris 1878. 8. Flora oder allzemeine botanische Zeitung, herausgegeben von der künigl. bayer. botan. Gesellschaft in Regens- burg, redigirt von Dr. J.Singer. Neue Reiïhe, 36.Jahr- gang oder der ganzen Reïhe 61. Jahrgang 1878. Re- gensburg 1877. Nederlandsch kruidkundig Archief. Tweede Serie 2e Deel — 4e Stuk. Nijmegen 1877. 8. Flora Batava. Afbeelding en beschrijving van nederland- sche Gewassen, aaugevangen door wijlen Jan Kops, Hoogleerant te Utrecht, voortgezet door K. W,. van Eden. 241° et 242 Aflevering. Leyden. 4. Maximowicz, C. [ Ad Florae Asiae orientalis cognitio- nem meliorem fragmenta contulit C. J. Maximowiez. MockBa 1879. 8. Blytt, Axel. Norges Flora eller Beskrivelser af de i Norge vitdtvorende Karplanter. Tillægshefte. Christiania. Icones selectae Hymenomycetum Hungariae per Stephanum Schulzer et Carolum Kalckbrenner observatorum et delineatorum editae sub auspiciis Academiae Scien- tiarum Hungaricae cura Caroli Kalckbrenner. IV. Budapestini 1877. Fol. Siragusa, F. P. C. L'’anestesia nel regno vegetali. Pa- lermo 1879. 12. Donnadieu, A. L. Organisation du service de la Zoologie à la Faculté des sciences (de l’université catholique de Lyon). Extrait du Contemporain, livraison du 1° mars 1879. Paris 1879. 8. The American journal of otology. Edited by Clarence J. Blake. Vol. I J 1 January 1879. J\ 2 April 1879. New York. 8. Procès-verbaux,des séances de la Société malacologique de Belgique. T. VIT. Année 1878. Bruxelles. 8. Société entomologique de Belgique. Série Il. Xe 61. 62. Comptes-rendus des Assemblées mensuelles du 4° jan- vier, du 1° février et 1° mars 1879. Paolucci, Luigi. Il canto degli uccelli. Note di fisiologia e biologia zoologica in rapporto alla scelta sessuale e alla cotta per lesistenza. Milano 1878. 8. Raspail, Xavier. Histoire naturelle des merles. Moeurs et chasse des espèces qui fréquentent les environs de Paris. Paris 1878. S. Paru le 28 août 1880, ulletin de l'Acad imp d sc TH 3 + LAS Monteverdé Recherches embryalogiques sur LOrchis maculatà 1 2. BULLETIN DE L'ACADÈMIE INPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. Ein Beitrag zur Bienen-Fauna Mittel-Asiens. Von Dr. F. Morawitz. (Lu le 29 avril 1880.) Mehrere Expeditionen, welche die Kaiserliche Aca- demie der Wissenschaften und die Kaiserliche russische geographische Gesellschaft nach Mittel-Asien ausrüste- ten, haben dem zoologischen Museum der ersteren ein reiches Material aus diesem in naturhistorischer Be- ziehung wenig bekannten Ländergebiete eingetragen, unter welchem, wenn auch nicht so zahlreich wie aus anderen Familien der Insecten, Apidae vorhanden sind. Besonders sind es die bekannten Reisenden Prshewalsky, Potanin, Dohrandt, Russow und Mielberg, welche auch Bienen gesammelt haben. Ich habe alle von diesen Naturforschern mitgebrachten Apidae durchgesehen und dem Verzeichnisse derselben noch die von Dr. Regel im Kuldsha-Gebiete beobach- teten, so wie auch die von Christof bei Krasnowodsk gesammelten hinzugefügt. Bombus Fabr. 1. altaicus Eversm. Bullet. de Mosc. 1852. IL. pag. 134.— Im Tjan-Schan. Regel. — Häufig in der süd- üstlichen Mongolei. (Prshew.) — Im Amu-Darja Ge- biete. (Russow.) — Diese Art ist schon früher be- obachtet worden im Altai, in Turkestan von Fed- tschenko und in Transcaucasien am Goktscha von mir, 2, hortorum L. Fauna Suec. No. 1710.— Im Tjan- Schan. In den chinesischen Provinzen Ordoss und Gan-su. (Prshew.) — Auch in Turkestan von Fedtsch. gesammelt; in Sibirien und Europa, wie auch im Cau- casus häufig. 3. Regeli n. sp. capite elongato; clypeo genisque lati- tudine dimidio fere longioribus; atro-hirsutus, thorace supra flavo fascia interalari nigra signato; abdominis segmentis duobus anticis flavo-, tertio nigro-, reliquis sordide-albido-pilosis. ee labro medio fossa magna impresso; mandibulis sulco obliquo distincto, metatarso intermedio apice haud spinoso-producto, segmento ventrali ultimo vix carinato. 19—20 mm. Tome XX VI. 4 segmento ventrali ultimo apice haud calloso me- dio inciso breviterque dense ciliato; pedibus posticis tibiis externe convexis punctis piliferis instructis; me- tatarso basi angustato, margine postico longius piloso; appendicibus genitalium: spatha apice bifida; stipite longo interne profunde excavato, excavatione haud acute marginata, externe leviter deplanato; squama subquadrata apice fere truncata, margine interno basi profunde emarginata ibique spinam brevem emittente; lacinia angusta, longa, leviter incurva, margine externo dense ciliata, apice truncato angulo antico hamato; sagitta basi leviter dilatata, apice subtus densissime subtiliter pectinata, processum dentiformem validum emittente. Beim Weibchen ist der Kopf stark verlängert, die Mandibeln mit einer von der Mitte des unteren Ran- des bis etwa zu der Mitte der Spitze schräg verlaufen- den Furche, die Oberlippe mit einer sehr breiten und tiefen Grube versehen. Der Clypeus ist um die Hälfte länger als breit, die Scheibe sebr fein, die Seiten grob, beide Theile sehr sparsam punctirt. Die Wangen sind gleichfalls um die Hälfte länger als breit und auch linger als der Querdurchmesser der Augen. Die Neben- seiten des Gesichtes sind ziemlich fein und nicht dicht punctirt, indem die Zwischenräume der Puncte breiter als diese selbst sind. Der Kopf ist überall tief schwarz behaart. An den Füblern ist das dritte Glied nur ein wenig kürzer als die beiden folgenden zusammen ge- uommen, das fünfte ist deutlich länger als breit und das vierte nur um ein Geringes kürzer als jenes. Der Thorax ist oben und an den Seiten gelb, unten schwarz behaart, zwischen den Flügeln mit einer ziemlich schmalen schwarzen Binde geziert. Flügelschuppen, Flügelwurzel und Adern schwarz gefärbt, die Flügel bräunlich getrübt. Auf dem Hinterleibe sind die bei- den ersten Segmente sehr dicht gelb, das dritte schwarz, die drei folgenden schmutzig-weiss behaart; das letzte ist ziemlich dicht punctirt; der Bauch ist schwarz bewimpert, der letzte Ventralring kaum ge- kielt, Die Beine sind schwarz behaart; an den hinter- 99 74 339 sten Schienen haben die Haare zuweïlen greise Spitzen; die vier Endglieder der Tarsen sind rostroth gefärbt. Bei dem einzigen von Dr. Regel geschickten Männ- chen fehlt leider der Kopf. — Der Thorax ist mit Ausnahme der schwarzen Querbinde überall schün gelb behaart. Der Hinterleib ähnlich wie beim Weibchen, nur ist der Bauch greis behaart. Die Beine sind schwarz, die Schenkel gelb behaart; die Schienen des dritten Beinpaares mit gewôlbter, wenig glänzender, ziemlich dicht punctirter Aussenfläche, der Metatar- sus an der Basis verengt, der hintere Rand desselben mit ziemlich langen Haaren besetzt. Der letzte Ven- tralring ist am bewimperten Endrande mitten einge- schnitten. Genitalanhänge: Spatha an der Spitze tief ausgerandet. Stipes lang mit abgerundeter Spitze, aussen fast abgeplattet, innen tief ausgehôühlt, die Aus- hühlung ohne scharfen Rand. Squama fast so lang als breit, innen tief ausgerandet, die Ausrandung an der Basis mit einem feinen, ziemlich kurzen und abgestutz- ten Stachel versehen. Lacinia oberhalb der Squama fast so lang als diese, nach dem Ende zu allmäblich verengt und nach Innen gekrümmt, der Aussenrand dicht rôthlich bewimpert, innen stark bebartet; die Spitze abgestutzt, die vordere Ecke derselben aber in ein Häkchen ausgezogen. Sagitta mit breiter Basalhälfte; die Endhälfte ist hôchst eigenthümlich gestaltet; sie hat die Form eines Angelhakens, dessen oberes Stück am Aussenrande sehr fein und dicht gekämmt und dessen unteres Stück unter einem spitzen Winkel sich mit dem oberen vereinigend, als starker Dorn nach hinten gerichtet ist. Diese Art ist dem B. hortorum L. täuschend ähn- lich: bem Weibchen des letzteren aber hat die Ober- lippe ein schmales Grübchen, das fünfte Fühlerglied ist deutlich länger als das vierte, der Metatarsus des mittleren Beinpaares an der hinteren Ecke des unteren Randes in einen kleinen Dorn ausgezogen; das Männ- chen hat vollkommen abweichend gebildete Genital- Anhänge. In der Umgegend von Kuldsha. (Regel.) 4. lugubris n. sp. capite elongato, clypeo genisque latitudine dimidio fere longioribus; nigro - hirsutus, fronte, pectore thoraceque antice griseo-hirtis; abdo- minis segmentis duobus anticis tribusque posticis al- bido-pilosis; labro medio fossa nulla; mandibulis sulco obliquo obsoleto, metatarso intermedio apice angulo Bulletin de l’Académie Impériale 340 postico rotundato, segmento ultimo ventrali haud cari- nato. Operaria. 12 mm. Leider liegt mir von dieser eigenthümlichen Art nur ein Arbeiter vor. — Der Kopf ist langgestreckt, die Oberlippe am Grunde fast der ganzen Breite nach sehr schwach eingedrückt, mitten keine Grube vor- handen. Clypeus um die Hälfte länger als breit, stark | glänzend, die Scheibe sowohl wie auch die Seiten mit einigen zerstreut stehenden, sehr feinen Puncten ver- sehen. Die langgestreckten Wangen um die Hälfte länger als breit, lebhaft glänzend. An den Mandibeln ist die schräge Furche kaum angedeutet. Der Kopf | is mit langen schwarzen Haaren bedeckt; auf der Stirn und dem Gesichte sind den schwarzen greise Haare beigemengt. Die Nebenseiten des Gesichtes sind sehr fein und sehr sparsam punctirt. Das dritte Fühlerglied ist nur wenig kürzer als die beiden fol- genden zusammen genommen, das fünfte deutlich län- ger als das vierte. Am Thorax sind der Vorderrand und die Brust, nebst Meso- und Metapleuren, greis, die übrigen Theile schwarz behaart; die Haare wie die des Kopfes lang und struppig. Die Flügelschuppen sind bräunlich, die Adern der schwach getrübten Flü- gel dunkler gefärbt. Der Hinterleib ist greis, fast weisslich, der Endrand des zweiten Segmentes und das dritte vollständig schwarz behaart; auch hier sind die Haare lang und struppig. Die Bauchringe sind mit langen, greisen Wimperhaaren versehen, der letzte kaum gekielt. Die Beine sind schwarz, die innere Fläche der Metatarsen rostroth behaart und die vier letzten Tarsenglieder rostroth gefärbt; das erste Tar- senglied der Mittelbeine an der Spitze mit abgerunde- ter Hinterecke. In der Form des Kopfes hat diese Art Ahnlichkeit vom B. hortorum L.; bei diesem ist aber ausser der verschiedenen Behaarung, die Oberlippe mitten mit einer tiefen Grube versehen, an den Mandibeln die schräge Furche deutlich entwickelt und der Metatar- sus des mittleren Beinpaares anders gestaltet. In der chinesischen Provinz Gan-su im Gebirge. (Prshewalsky.) 5. mendax Gerst. Stett. ent. Zeit. 1869 p. 323. — ib. 1872 p. 288. — Im nôrdlichen Tjan-Schan. — Am oberen Kungess. Prshew.— In der nordwestlichen Mongolei von Potanin gesammelt. — Fedtschenko beobachtete diese Art auf dem Passe Ansob; ich fing 341 sie im Ober-Engadin und in Tirol: ausserdem kommt sie auch in den Pyrenäen vor. 6. fragrans Pallas. tin. I. p.474. — In der Wüste Gobi, im Gebirge Muni-Ula und im Tjan-Schan. (Prshew.) — In Turkestan, auch in Transcaucasien und im südôstlichen Russland. 7. sibiricus Fabr. Syst. Piez. p. 349.—. — In der, südüstlichen Mongolei und in der chinesischen Pro- vinz Ordoss am Chuan-che. Prshew.— Sonst ist diese Art bis jetzt nur in Ost-Sibirien bei [rkutzk und Kras- nojarsk beobachtet worden. 8. atripes Smith. Trans. Ent. Soc. IT new ser. p. 44. tab. VIII fig. 3. — capite latitudine longiore, genis subquadratis; supra ferrugineo-velutinus, subtus pedi- busque atropilosus: abdominis segmentis sexto nigro- setoso, ventralibus ferrugineo-ciliatis, ultimo carina longa instructa; labro medio fovea magna signato, mandibulis sulco obliquo distincto, metatarso inter- medio apice angulo postico spinoso; alis fortiter fuma- tis. © 17—19 mm. -- Sehr ähnlich B. agrorum Fabr. und vielleicht nur eine Varietät desselben., — In der südôstlichen Mongolei und im Gebirge der Provinz Gan-su von Prshew. gesammelt. — Smith erhielt sie aus Chu-san. 9. muscorum L. F.S.N.1714. — In der südôüst- lichen Mongolei und im Tjan-Schan am unteren Kun- gess von Prshew. gefunden. — Über ganz Sibirien und Europa verbreitet. 10. variabilis Schmiedelin. Jenaische Zeitschr. f. Na- turw. XIL p. 424. Tab. XI fig. 15. — Im Tjan-Schan am unteren Kungess. Europa weit verbreitet. 11. Zaesus Mor. in Fedtsch. Reise nach Turkestan. Apidae p. 3. — Im Tjan-Schan von Prshew. gesam- melt. — Fedtsch. brachte diese Art von Wernoje, Semiretschinsk, Acbura und Gulsha, ich aus Trans- caucasien mit. 12. alpinus L. F.S.N.1719. — In der südüstlichen Mongolei von Prshew. gesammelt. — Kommt sonst nur in Sibirien und Lappland vor. 13. lapidarius L. K.S.N.1712.—In der nordwest- lichen Mongolei von Potanin, im Tjan-Schan auf dem Juldus-Plateau von Prshew. gesammelt. — Es kommen hier aber nur die Varietäten B. montanus Lep. und niveatus Kriechb. vor. 14. lapponicus Fabr. Ent. Syst. IL 318. — Im Tjan- Prshew. — In Sibirien und des Sciences de Saint-Pétersbourg. latioribus; nigro-pilosus, thorace antice 34? Schan auf dem Plateau des kleinen Juldus von Prshew. gefunden. — Auch in N.-Sibirien und Lappland vor- handen. 15. Prshewalskyi n.sp. clypeo genisque longitudine scutelloque cinereo-hirtis: abdominis segmentis primo griseo-, se- cundo flavo-apice-nigro-, tertio quartoque rubro-, ul- timis albo-villosis. Q labro medio fossa parva impresso, mandibulis sulco obliquo nullo, metatarsis intermediis apice an- gulo postico haud spinoso-producto, segmento ultimo ventrali vix carinato. 14 mm. 3 clypeo fasciculo cinereo decorato, antennarum articulo tertio quarto paullo longiore, pedibus posticis tibiis externe convexis punctis numerosis piliferis in- sculptis, metatarso margine postico longius piloso: segmento ventrali ultimo apice haud calloso; appendi- cibus genitalium: spatha angusta nitida; stipite mar- gine interno usque ad apicem excavato, excavatione supra haud limitata ante apicem fovea ovali sat pro- funda signata; squama parva transversa, intus basi dente triangulari armata, medio lamina apice bifido terminata; lacinia valde elongata apice fere truncata, angulo postico acuto, antico processum peculiarem emittente; sagitta apice aculeo longo armata. 13 mm. Bei dieser Art ist der Clypeus breiter als lang, beim Weibchen fein und sehr sparsam punctirt; bei diesem ist ferner die Oberlippe mitten mit einer kleinen Grube versehen, das dritte Fühlerglied um die Hälfte länger als das vierte; der Kopf überall schwarz be- haart. Der Thorax schwarz, vorn mit aschgrauer Binde, das Schildchen gleichfalls mit aschgrauen Haa- ren dicht bedeckt. Der Hinterleib ist sehr bunt be- haart: das erste Segment desselben grau, das zweite gelb mit schwarzem Endrande, die beiden folgenden schün roth und die letzten weiss. Die Beine sind schwarz behaart. Das Männchen ist dem Weibchen sehr ähnlich, der Clypeus aber auf der Scheibe mit einem aschgrauen Haarbusche geschmückt, die Fersen der hinteren Beine rôthlich, die Unterseite des Abdomens grüsstentheils aschgrau behaart. — Spatha schmal und glänzend. Stipes innen breit bis zum Ende ausgehôhlt; die Aus- hôhlung ist oben von keinem scharfen Rande begrenzt und hat vor der Spitze ein ovales, ziemlich tiefes Grüb- chen; aussen ist derselbe, in der Mitte etwa, mit einem 99% 44 343 Bulletin de l’Académie Impériale 344 sehr kurzen, linienformigen Quereindrucke versehen und vor der Spitze flach vertieft. Squama klein und schmal, reichlich drei Mal breiter als hoch, ragt nur ein wenig über den Stipes vor und läuft innen an der Basis in einen spitzen, fast dreieckigen Zabn aus; vom oberen Rande, beinahe von dessen Mitte, entspringt . . . . 4: | ein ziemlich schmaler, mit gespaltener Spitze ver- . . | sehener Fortsatz, welcher nach innen und hinten ge- richtet und von dem dreieckigen Basalzahne durch einen fast halbkreisformigen Ausschnitt getrennt ist. Die Lacinia ist langgestreckt, die Squama weit über- ragend, mit fast parallelen Seiten und abgestutzter Spitze, deren hintere Ecke scharf ist, die vordere aber einen kleinen, an der Basis verengten Fortsatz trägt. Sagitta verhältnissmässig schmal, nach abwäürts ge- krümmt, vor dem Ende aussen sehr fein gesägt, mit scharfer Spitze, von welcher ein langer Zahn ent- springt, der nach innen und ein wenig nach vorn, ähn- lich wie bei B. lapidarius, gerichtet ist. In der Kôrpergestalt mit B. pratorum L. überein- stimmend. Eine der schônsten Arten der palaearctischen Region. — In der chinesischen Provinz Gan-su von Prshewalsky cesammelt. 16. rufocinctus n.sp. clypeo longitudine vix latiore, genis subquadratis: nigro-velutinus, thorace fascia an- tica scutelloque griseo-albido-pilosis; abdominis seg- mentis tertio rufo-hirto, primo, quarto quintoque cano- villosis; mandibulis sulco obliquo nullo, labro fossa media magna, segmentis abdominalibus ultimis dorsali nitido subtilissime sparsim punetulato, ventrali haud carinato; metatarso intermedio angulo apicali postico spina nulla. © 22—23 mm. var. &. abdominis segmentis tertio apice quartoque basi rufo-velutinis. var. b. ut a, sed abdominis segmentis duobus anti- cis albido-pilosis. Von der Gestalt des B. terrestris L., hat aber einen verhältnissmässig längeren Clypeus und gestrecktere Wangen. Der Kopf, die Unterseite des Kürpers und die Beine tief schwarz, die Metatarsen innen bräunlich rostfarben behaart. Die Flügelschuppen sind schwarz mit pechbrauner Scheibe, die Flügel sehr schwach ge- trübt mit pechschwarzen Adern. Das dritte Abdominal- segment ist am Grunde in geringer Ausdehnung schwarz, soust prächtig und dicht sammetartig roth behaart. Der stark glänzende Hinterleib sehr fein und sehr sparsam punctirt. In der Provinz Ordoss am Chuan-che; auch in Gan- su. (Prshew.) 17. haemorrhoidalis Smith. Trans. Ent. Soc. IL. new ser. p. 43. — Es liegen mir nur Arbeiter vor, bei denen die Mandibeln mit sechs deutlichen Zähnen ar- mirt sind und denen die schräge Furche fehlt. Da- durch ist diese Art dem B. mastrucatus (rerst. ver- wandt, von welchem sie sich aber, abgesehen von der ganz abweichenden Färbung des Abdomens, auch durch die verhältnissmässig lingeren Wangen und den weniger breiten Clypeus unterscheidet. Ordoss am Chuan-che. — Gan-su im Gebirge. (Prshew.) 18. leucopyqus Mor. in Fedtsch. Reise nach Turk. Apidae p. 2. — Aus Turkestan von Russow mitge- bracht. — Fedtsch. hat diese Art im Thale des Zeraf- schan und im Ferghana-Gebiete gesammelt. 19. soroeensis Fabr. E, S.IL. 318.— Im Tjan-Schan am oberen Kungess von Prshew. gesammelt. — Kommt auch in Caucasien, Nord- und Mittel-Europa vor. 20. terrestris L. K.S.N. 1709. — In der nordwest- lichen Mongolei. Potan. -— Im Tjan-Schan von Prshew. und Regel gesammelt. — Im Amu-Darja-Gebiete. Russow. — Diese Art kommt überall in der palae- arctischen Region vor. 21.mastrucatus Gerst. Stett. ent. Zeit. 1869. p.326. — var, thorace antice, scutello segmentisque duobus anticis abdominis griseo-villosis. Im Hochgebirge der Provinz Gan-su von Prshew. aufgefunden. — Kommt auch im Caucasus, in der Schweiz, in Deutschland und in Lappland vor. Anthophora Latr. 22. parietina Fabr. Ent. Syst. II. 323. — Im Tjan- Schan. (Prshew.) — Auch sonst überall im turke- stanischen Gebirge, in Caucasien und Europa vor- kommend. 23. simplicipes n. sp. genis latis, labro longitudine paullo latiore; tegulis calcaribusque testaceis; nigra, tarsis apice ferrugineis; capite, thorace abdominisque segmentis tribus anticis fulvo-pilosis; mandibulis facie- que flavis; antennis scapo antice flavo-lineato, articulo tertio sequentibus duobus longitudine subaequali; seg- mento abdominali ultimo apice truncato; pedibus in- 345 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 346 termediis simplicibus, metatarso postico margine in- feriore ante apicem leviter dilatato. 12—13 mm. Bei diesem Männchen sind die Mandibeln gelb mit pechbrauner Spitze. Oberlippe etwas breiter als lang, gelb mit einer bräunlichen, flachen Schwiele jederseits am Grunde; die Scheibe in weiter Ausdebhnung glatt und glänzend, die übrigen Theile grob, sparsam punc- tirt und ziemlich lang weisslich behaart. Clypeus gleichfalls grob, aber noch vereinzelter punctirt, weiss- lich behaart, glänzend, gelb gefärbt mit einem schwar- zen Puncte jederseits an der Seitennath oberhalb der Mitte. Stirnschildchen mit breiter gelber Querbinde. Nebenseiten des (resichtes gelb; am inneren Augen- rande erstreckt sich die belle Färbung nur wenig auf- wärts. Die Wangen sind deutlich entwickelt und im Verhältniss zum vierten Fühlergliede breiter als die Länge des letzteren. Die Stirn ist fein und ziemlich dicht punctirt, unterhalb des mittleren Nebenauges mit einem tiefen Grübchen und ausserdem noch mit einem nach oben dreieckig zugespitzten Kiele ver- sehen. Der Kopf ist rüthlichgelb, der innere Augen- rand schwärzlich behaart. Die Fühler sind schwarz mit vorn gelbgestreiftem Schafte; das dritte Glied der- selben ist so lang wie die beiden folgenden zusammen- genommen. Der Thorax ist dicht rôthlichgelb behaart; Mesonotum glänzend, wenig dicht punctirt mit glatter Scheibe ; das Mittelfeld der hinteren Thoraxwand glän- zend, beiderseits fein und oberflächlich, sparsam punc- tirt. Die Flügelschuppen und Flügelwurzel sind bräun- lichgelb, die Flügel schwach getrübt mit pechbraunem Randmale und helleren Adern. Auf dem Hinterleibe sind die drei vorderen Segmente rôthlichgelb, die übrigen schwarz behaart, das letzte nach innen ge- krümmt mit abgestutztem Endrande. Die Beine sind schwarz, die vier Endglieder der Tarsen rostroth, die Schiensporen gelblich gefärbt, rôthlichgelb, der hin- terste Metatarsus innen dicht fuchsroth behaart und ist der Unterrand desselben vor der Spitze ein wenig vortretend. Der A. parietina Fabr. täuschend ähnlich; bei die- ser sind aber die Mandibeln und die Nebenseiten des Gesichtes schwarz gefärbt, die Schenkel des letzten Beinpaares schwarz behaart, deren Metatarsus unten mit einem stark vorspringenden Hôcker versehen und der letzte Hinterleibsring am Endrande jederseits in einen dreieckigen Zahn auslaufend, Von Prshewalsky im Tjan-Schan in der Waldregion gefunden. 24. personata Erichs. in Waltl’s Reise nach Spanien. p. 109. — variet. feminae: elypeo labroque nigris. — Im übrigen vollkommen mit südrussischen Exem- plaren übereinstimmend. — Von Prshew. in der süd- üstlichen Mongolei gesammelt. Auch bei Taschkent von Fedtsch. gesammelt:; in Mittel- und Südeuropa verbreitet. 25. acutilabris n. sp. genis sat latis antennarum arti- culo quarto fere longioribus; ore porrecto; nigra, tegu- lis disco piceo excepto calcaribusque testaceis; thorace fulvo-piloso; abdominis segmentis duobus anticis fulvo- villosis, secundo tertioque margine apicali albido-cilia- tis, ultimo apice truncato; antennis scapo antice flavo- lineato, articulo tertio sequentibus tribus longitudine subaequali; facie nigra, clypeo macula discoidali trian- gulari citrina ornato; labro latitudine fere longiore apice dente instructo; pedibus dense fulvo-pilosis, tibiis posticis patellatis, articulo unguiculari tarsorum imter- mediorum utrinque dense nigro-flabellato. 4 19 mm. Dieses Männchen hat ein vorragendes Gesicht und ist schwarz gefärbt. Die Mandibeln schwarz und glän- zend, in der Mitte rostroth geringelt, mit zugerunde- tem, wenig vorgezogenem Endzahne; der untere Rand derselben mit langen und dicht stehenden Haaren be- setzt. Die Oberlippe ist ein wenig länger als breit, sehr grob und sparsam punctirt, mit breiten, meist glatten und glänzenden, hin und wieder schwach ge- runzelten Punctzwischenräumen; ziemlich dicht fuchs- roth behaart; auffallend ist der untere Rand derselben gestaltet, indem er mitten in ein deutlich vorspringen- des Zähnchen ausgezogen ist: dabeï ist dieselbe schwarz und nur die beiden Basaltuberkel trübe gelbbraun ge- färbt. Die Wangen sind deutlich entwickelt, fast breiter als das vierte Füblerglied und lebhaft glänzend. Der Clypeus ist grob und ziemlich dicht punctirt, die Zwischenräume der Puncte nadelrissig; schwarz ge- färbt und fuchsroth behaart, den hellen Haaren einige schwarze beigemischt: die Scheibe mit einer dreiecki- gen citronengelben Makel geziert. Die Nebenseiten des Gesichtes sind einfarbig schwarz und mit spär- lichen dunkeln Haaren versehen, die übrigen Theïle des Kopfes sind fuchsroth, der Scheitel schwarz be- haart und mit einem starken Längskiele versehen. |Die Fühler sind schwarz gefärbt, der Schaft vorn 347 Bulletin de l’Académie Impériale 348 schmal gelb gestreift, das dritte Glied derselben ist etwa so lang wie die drei folgenden zusammen genom- men, das vierte fast um die Hälfte kürzer als das fol- gende. Der Thorax ist sehr dicht und schôn fuchs- roth behaart. Die Flügelschuppen sind scherbengelb mit pechbrauner Scheibe, die Flügel schwach getrübt, das Randmal und die meisten Adern hell pechbraun gefärbt. Der Hinterleib ist schwarz, die beiden vor- deren Segmente fuchsroth, der Endsaum des zweiten und dritten weisslich behaart; das letzte mit abge- stutzter Spitze. Die Beine sind auffallend dicht und lang fuchsroth behaart, mit hellbräunlichgelben Schien- sporen, die Endglieder der Tarsen rostroth gefärbt. Die Schienen des dritten Beinpaares sind mit einer Kniescheibe versehen; das Klauenglied der mittleren Fersen beiderseits mit dicht gedrängten schwarzen Haaren fächerartig besetzt. In der Kôrpergestalt ähnlich A. ventilabris Lep., die aber eine ganz anders geformte Oberlippe und ein gelb gezeichnetes Gesicht hat. Von Potanin im nôrdlichen Tjan-Schan gefunden. 26. asiatica n.sp. genis latis; nigra, tegulis calcari- busque testaceis, pallide-ochraceo-pilosa, segmentis ab- dominalibus, duobus anticis exceptis, nigro-hirsutis, secundo tertioque margine apieali albido-ciliatis; anten- nis articulo tertio sequentibus tribus conjunctis lon- gitudine subaequali, scapo antice flavo-lineato; man- dibulis dente apicali elongato-producto; labro latitudine paullo longiore, margine apicali fere semicireulari medio emarginato-dentato, flavo, tenuiter nigro-lim- bato, basi utrinque fusco-bimaculato; elypeo scutoque frontali fascia apicali Hava plerumque medio interrupta signatis; angulis lateralibus faciei vitta elongata trian- gulari decoratis; abdominis segmento ultimo area me- diana apice truncato aucto; pedibus ochraceo-pilosis, tarsis ferrugineis articulis intermediis pallidioribus, tibiis posticis patella instructis. 4 16 mm. Der Kopf ist schwarz gefärbt, gelblich-greis, die Unterseite weisslich behaart; den hellen Haaren sind auf der Stirn, längs dem inneren Augenrande und auf dem Scheitel dunkle beigemischt. Die glänzenden, mitten dunkelroth geringelten Mandibeln sind ver- hältnissmässig gross, mit weit vorragendem, scharf zugespitztem Endzahne und einem breiten abgestutz- ten über demselben. Die Wangen sind stark ent- und glänzend. Die Oberlippe ist ein wenig länger als breit, gelb gefärbt, schmal schwarz gerandet und an der Basis beiderseits mit einem bräunlichen flachen Hücker versehen; der Endrand derselben ist fast halb- kreisfürmig, mitten deutlich ausgerandet und die Aus- randung beiderseits von einem spitzen Zähnchen be- grenzt; jederseits von diesem Zähnchen sind noch drei bis vier sehr kleine stumpfere vorhanden. Kopfschild und Nebenseiten des Gesichtes schwarz; ersterer vor dem Endrande mit einer mitten oft weit unterbroche- nen gelben Binde, letztere mit dreieckigem, gelbem Flecken, welcher sich längs dem inneren Augenrande fast bis zu der Fühlerwurzel hinzieht, geschmückt. Stirnschildchen schwarz mit gelber Binde, die zuweilen mitten unterbrochen ist. Die Fühler sind schwarz mit gelb gestreiftem Schafte; das dritte Glied derselben ist fast so lang wie die drei folgenden zusammen ge- nommen, mit keulenartig erweiterter Spitze; das vierte ist breiter als lang und um die Häülfte kürzer als die folgenden. Der Thorax ist sehr dicht blass ockergelb behaart. Die Flügelschuppen sind scherbengelb, die Flügel klar, das Randmal und die Adern pechbraun gefärbt. Die beiden ersten Abdominalsegmente sind sehr dicht blass ockergelb, die übrigen spärlicher schwarz behaart, das zweite und dritte am Endrande ausserdem weiss gefranzt, das letzte mit vortretendem, bräunlich gefärbtem und abgestutztem Mittelfelde. Die Beine sind dicht ockergelb, die Metatarsen innen fuchsroth behaart, die Schiensporen scherbengelb. Die Tarsen sind rostroth, die mittleren Glieder blasser ge- färbt und mit langen, gelblichen, struppigen Haaren wenig dicht besetzt. Diese Art ist der A. mucida Grib. = caucasica Rad. sehr ähnlich; letztere ist aber kleiner und hat schma- lere Wangen, gelb gefärbte Mandibeln und eine nicht, ausgerandete Oberlippe. Bei Krasnowodsk von Christof gesammelt. 27. Prshewalskyi n. sp. genis linearibus, labro longi- tudine latiore tuberculato-rugoso; nigra, segmentis ventralibus duobus posticis ferrugineis; capite, thorace abdominisque basi griseo-pilosis; mesonoto disco pilis fuscis immixtis: segmentis abdominalibus secundo ter- tioque apice fascia alba medio interrupta limbatis, quinto supra toto ventralibusque margine apicali late wickelt, breiter als das vierte Glied der Fühler, glatt | fulvo-villosis; pedibus griseo-pilosis, tibiis metatarsis- 349 que interne atro-hirtis; scopa albida penicillo apicali nigro. Q 16 mm. Bei dieser Art sind die Wangen sehr schmal, die Oberlippe breiter als lang und dicht grob gerunzelt, ausserdem mit vereinzelt stehenden spitzer Hückern besetzt; die bei den Anthophora-Arten gewühnlich vorhandenen, mehr oder weniger halbkugelférmig vor- ragenden Tuberkel jederseits am Grunde der Ober- lippe fehlen diesem Weibchen. Der Kopf ist dicht und lang greis behaart; Clypeus dicht und grob punctirt mit runzelig erhabenen Punctzwischenräumen; die Punctirung der Stirn und des Scheitels ist viel feiner und sparsamer. Die Fühler sind schwarz, das dritte Glied derselben vor der Spitze nicht eingeschnürt und etwa so lang als die drei folgenden zusammen genom- men, das vierte und fünfte an Grüsse kaum verschie- den. Der Thorax ist überall sehr dicht greis behaart, auf der Scheibe des dicht punctirten Mesonotum den hellen Haaren dunkelbraune beigemischt. Flügelschup- pen und Flügelwurzel schwarzbraun, die Flügel schwach getrübt, Randmal und Adern pechbraun gefärbt. Der glänzende Hinterleib ist äusserst fein und dicht punc- tirt, mit fast glatten, dunkel pechbraun gefärbten Seg- menträndern; der erste Hinterleibsring ist dicht und lang greis behaart; die beiden folgenden haben eine eigenthümliche Haarbinde: dieselbe umfasst den End- rand der Segmente, ist mitten unterbrochen und ein wenig nach vorn gekrümmt. Das vierte Segment ist am Grunde grüber punctirt; diese grobe Punctirung mitten durch eine bedeutend feinere unterbrochen; am Endrande steht jederseits ein weisser Haarbusch und vor demselben kurze rüthliche Haare, die eine mitten sehr weit unterbrochene Querbinde darstellen. Das fünfte Segment ist sehr dicht rôthlichgelb, der End- rand jederseits weiss behaart. Die Bauchringe sind mitten roth, zu beiden Seiten weiss bewimpert, der fünfte und letzte bräunlichroth gefärbt. Die Beine sind mit Einschluss der Tarsen und Schiensporen schwarz gefärbt und greis, die innere Fläche der Ti- bien und Metatarsen kohlschwarz behaart; die Schie- nenbürste ist weisslich, der Endpinsel des hintersten Metatarsus schwarz. In der Kôrpergestalt der A. robusta Klug ähnlich, aber bedeutend kleiner und ganz verschieden behaart. — Im Tjan-Schan am unteren Kungess. Prshew. 28. Christofi n.sp. genis linearibus, labro latitudine des Sciences de Saint-Pétersbourg. 350 fere longiore tuberculato-rugoso; nigra, thorace sub- tus griseo-, supra flavicanti-piloso ; abdominis segmen- tis primo utrinque albido-fasciculato, sequentibus tribus margine apicali dense niveo-ciliatis, fasciis omnibus plus minusve interruptis; ventralibus medio nigro-, lateribus albido-fimbriatis; antennarum articulo tertio sequentibus tribus conjunctis longitudine subaequali; scopa albida, metatarso postico apice penicillo fusco terminato. © 13 mm. Wangen äusserst schmal, Oberlippe fast linger als breit, dicht gerunzelt, die Runzeln hin und wieder hückerartig erhaben; am Grunde jederseits ein brauner Tuberkel. Der Kopf ist schwarz gefärbt, die Man- dibeln vor der Spitze blutroth geringelt. Clypeus und Stirnschildchen stark gewôlbt ; ersterer ziemlich grob und dicht punctirt, kaum glänzend: das Gesicht greis, der Scheitel gelblichgreis behaart. Die Fühler schwarz, der Schaft an der Spitze und das zweite Glied dersel- ben braunroth; das dritte etwa so lang wie die dre folgenden zusammen genommen, das vierte deutlich kürzer als das fünfte. Der Thorax ist unten greis, oben schmutzig gelb behaart, den blassen Haaren auf der Scheibe des dicht punctirten und fast matten Me- sonotum einige schwarze beigemischt; die hintere Thoraxwand mit glattem und stark glänzenden Mittel- felde. Die Flügelschuppen, das Randmal und die Adern dunkel pechbraun, die Flügel schwach getrübt. Der Hinterleib ist äusserst fein und dicht punctirt, matt: das erste Segment jederseits mit einem weissen Haar- busche und sonst nur mit spärlichen, längeren greisen Haaren versehen, die drei folgenden mit einer schnee- weissen Haarbinde am Endrande, von denen die des vierten Hinterleibsringes mitten sehr schmal, die des dritten etwas mehr und die des zweiten am weitesten unterbrochen ist. Das fünfte Segment ist schwärzhich braun behaart, die Ventralringe mitten schwarz, an den Seiten weiss gefranzt. Die Beine sind schwarz, die vier letzten Tarsenglieder rostroth gefärbt, die Schienen und Metatarsen aussen greis, innen schwarz behaart; dieSchienenbürste silberweiss, der Endpinsel des letzten Metatarsus dunkelbraun, die Schienensporen schwarz. Der A. lepida Pallas täuschend ähnlich; bei dieser ist aber die Brust schwarz, eben so alle Metatarsen behaart, die Ventralringe schwarz gefranzt und der Clypeus viel feiner und weniger dicht punctirt, deut lich glänzend. 31 Bei Krasnowodsk von Christof gesammelt. 29. Semperi Fedisch. Reise nach Turkest. Apidae p. 41. tab. L fig 8. — Von Potanin in der nordwest- lichen Mongolei gefunden. — Sonst nur iu Turkestan vorgekommen. 30. deserticola Mor. Hor. soc. ent. Ross. IX. p. 48. — Von Dohrandt im Amu-Darja-Gebiete gesammelt. — Auch in Turkestan und bei Astrachan vorkommend. 31.püilosa n.sp. genis nullis,labro longitudine latiore ; nigra, dense flavicanti-vel griseo-pilosa, metatarsis in- tus atro-velutinis; mandibulis, labro facieque albidis ; antennarum scapo antice albido, articulo tertio sequen- tibus duobus conjunctis longiore: abdominis segmentis dorsali ultimo fere conico apice rotundato, utrinque spina parva armato, ventrali sexto medio apice pro- funde exciso; metatarsis posticis margine antico pro- minenti infra medium dente munitis. { 14 mm. Mit Einschluss der Flügelschuppen, Tarsen und Schiensporen schwarz gefärbt. Die Wangen nicht ent- wickelt; Mandibeln weisslich mit schwarzer Spitze; Oberlippe deutlich breiter als lang, dicht punctirt, weisslich, mit in der Mitte schwach verdicktem, un- deutlich ausgerandetem, dunkel gefärbtem Endsaume. Clypeus, Nebenseiten des Gesichtes und eine breite Basalbinde des Stirnschildchens weisslich gefärbt: alle diese Theile dicht punctirt und matt. Der Kopf ist oben gelblich-greis, unten weiss behaart, äusserst fein puncetirt und glänzend, mit schwach ausgeprägtem Kiele auf der Stirn. Die Fühler schwarz, mit vorn weiss ge- firbtem Schafte; das dritte Glied derselben ein wenig | länger als die beiden folgenden zusammen genommen, das vierte und fünfte deutlich breiter als lang und unter sich an Grôüsse kaum verschieden. Der Thorax ist dicht, oben gelblich, unten greis behaart; das Me- sonotum sehr dicht, die Scheibe desselben etwas zer- streuter punctirt und kaum glänzend. Die Flügel | schwach getrübt, das Randmal und die Adern pech- braun gefärbt. Der Hinterleib ist oben sehr dicht gelblich-greis behaart; die Haare, mit Ausnahme der Bulletin de l’Académie Hmpériale auf dem ersten Segmente stehenden, ziemlich kurz und | anliegend; der letzte Hinterleibsring ist fast conisch geformt, mit abgerundeter Spitze und beiïderseits mit einem feinen Stachel bewehrt. Die Ventralringe sind rôthlich bewimpert, der sechste mitten am Endrande mit einem tiefen Ausschnitte. Die Unterseite der | Schenkel ist dicht und lang, die Aussenfläche der 352 Schienen und Tarsen sehr dicht und kürzer greis, die Innenfläche der letzteren schwarz behaart. Der vor- dere Rand am Metatarsus des dritten Beinpaares ist etwas unterhalb der Mitte vortretend und hier mit einem Zahne bewehrt. Das hier beschriebene Exemplar ist wabrscheinlich ein abgeblasstes und kann dabher die Färbung der Haare bei frischen Stücken eine andere sein, Sehr ähnlich der A. deserticola und podragra Lep.; bei ersterer ist das dritte Fühlerglied nur wenig länger als das vierte, das fünfte ist um die Hälfte län- ger als breit; die Tarsen sind rostroth gefärbt, innen roth behaart, der Metatarsus des dritten Beinpaares am Grunde mit einem starken Zahne bewebrt. — Bei A. podagra ist die Fühlergeissel unten rostroth ge- färbt, der zweite und dritte Hinterleibsring mit dicht schwarz behaarter Basis, der letzte Metatarsus anders gezahnt. Im Tjan-Schan am unteren Kungess. Prshewalsky. 32. gracilipes Mor. Hor. soc. ent. Ross. IX. p. 46. — Im Amu-Darja-Gebiete von Dohrandt und Miel- berg gesammelt. — Kommt ausserdem bei Samarkand, Katty-Kurgan und in Transcaucasien vor. 33. Strauchi Fedtsch. 1. e.p. 25. — Im Amu-Darja- Gebiete von Mielberg gefunden. — Auch bei Sutkent, Bairacum, Katty-Kurgan. 34. quadrimaculata Panz. Fauna Germ. 55. 7. — variet. maris: mandibulis nigris. — Süd-üstliche Mon- golei. Prshew. — In Sibirien und Europa weit ver- breitet. 39. borealis Mor. Bull. de Mosc. 1864. p. 446. — In der nordwestlichen Mongolei von Potanin, im Tjan- Schan von Regel beobachtet. — Diese Art ist weit verbreitet, denn sie kommt in der Umgegend von Petersburg, Orenburg, in Transcaucasien und in N.- Deutschland vor. 36. magnilabris Fedtsch. 1. €. p. 22. — variet: an- tennarum funiculo nigro. — Südôstliche Mongolei. Prshew. — Kommt auch bei Samarkand, in Trans- caucasien, im griechischen Archipel und auf Sici- lien vor. 37. quadrifasciata de Vil. Entom. I. 319. — Im Tjan-Schan im Thale des unteren Kungess. Prshew. — In Turkestan überall häufig, eben so in Trans- caucasien, Mittel- und Süd-Europa; auch in Algerien und auf Madeira vorkommend. TE, XXVEI, N° 3 et dernier. Boston, M. Asa Gray, membre correspondant. E— — a — _ . = = és = —| BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST-PETERSBOURG. TOME XXVE. (Feuilles 22—536.) CONTENT. | Page. | Dr. F, Morawitz, Description des espèces de la famille des Apides, rapportées de l'Asie | Centrale. 26: Bien r lei lere 0 cie a ota 28 OI le es cle Cu. 337—389 | Ph, Owsiannikow et W,. Weliky, De l’innervation des glandes salivaires. ............. 389—395 A. Brandt, Quelques espèces de Crustacées de la Mediterannée appartenant aux genres: Stenorhynchus, Achaeus, Inachus, Herbstia et Pisa ......................... 395—490 | €, J, Maximowiez, Diagnoses des plantes nouvelles de PAsie. IT ....,.............. 420—542 | B. Dorn, Sur les monnaies des Ileks ou anciens khans de Turkestan................ 542—571 | Dr. F, A, Forel, Les échantillons de limon dragués en 1879 dans les lacs d'Arménie... 571—576 | Ci-joint le titre et les tables des matières contenues dans le tome XXVI du Bulletin. Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des séiences. 2 Octobre 1880. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. ; ” - Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences €j) (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12) * 8 7 Q > É RMS ee é = PNR CC ONE PTE CEE Pie CE ZETS A2 Le 353 38. Saussurei Fedtsch. 1. €. p. 30.— In der nord- westlichen Mongolei von Potanin gesammelt.— Fedtsch. entdeckte dieselbe im Thale des Zerafschan. 39. Solskyi Fedtsch. 1. ec. p. 30. — Im Amu-Darja- Gebiete von Russow gesammelt. — Auch im Thale des Syr-Darja bei Sutkent und in der Wüste bei Bairacun. 40. erubescens n. sp. genis nullis, labro longitudine latiore; rubra vel capite thoraceque nigricantibus; mesonoto flavescenti-villoso; abdominis segmentis pri- mo griseo-piloso, sequentibus disco plus minusve nigro- coloratis apice niveo-fasciatis. © labro tubereulato-rugoso, antennis nigris articu- lis basalibus rubris, tertio sequentibus tribus conjunc- tis longitudine fere aequali; ventre pedibusque auran- tiaco-villosis. 14-15 mm. 4 mandibulis basi, labro facieque albidis; antennis nigris scapo antice albo-lineato, articulo tertio sequen- tibus duobus conjunctis breviore; segmento abdominis dorsali ultimo apice truncato angulis lateralibus denti- formibus, disco obsolete carinato. 13— 14 mm. Var. antennarum funiculo basi piceo. Bei dieser Art sind die Wangen nicht entwickelt und die Oberlippe etwas breiter als lang. — Beim Weibchen ist der Kopf hell braunroth gefärbt, der Scheitel und der Orbitalrand meist geschwärzt, die Schläfen und das Gesicht gelblich, das Hinterhaupt nebst Scheitel rôthlichgelb behaart. Die Mandibeln sind gelb mit schwärzlicher Spitze. Oberlippe, Clypeus und Stirnschildchen orangefarben. Fübler schwarz, der Schaft und die zwei folgenden Geisselglieder orange- roth; das dritte Fühlerglied etwa so lang als die drei folgenden zusammen genommen, das vierte um die Hälfte kürzer als das fünfte. Der Thorax ist dunkel rostroth, die Brust schwärzlich gefärbt, überall dicht, oben orangegelb, unten und an den Seiten blasser be- haart. Mesonotum und Schildchen matt, ziemlich fein und sebr dicht punctirt; die grüber und sparsamer punctirte hintere Thoraxwand schwach glänzend. Die Flügelschuppen sind blass scherbengelb, die Flügel- wurzel gelb; die Flügel stark getrübt, das Randmal und die Adern pechbraun gefärbt. Der Hinterleib ist blass rostroth gefärbt, das zweite Segment fein und sehr dicht, die folgenden sparsam punctirt; der erste Hinterleibsring ist dicht gelblich-greis behaart; die drei folgenden mit einer schmalen weissen Cilienbinde Tome XX VI. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 354 am Endrande, das fünfte hier wie auch alle Ventral- ringe orangeroth behaart. Die Beine sind orangefarben und eben so behaart, die Schiensporen etwas blasser gefirbt. Die mittleren Abdominalsegmente haben zu- weilen auf der Scheibe eine bald mehr, bald weniger ausgebreitete schwarze Zeichnung. — Das Männr- chen stimmt in der Färbung und Bchaarung des Hinterleibes vollkommen mit dem Weibchen überein, der Kopf und Thorax sind aber schwarz, Basis der Mandibeln, Oberlippe, Clypeus, Stirnschildchen, Neben- seiten des Gesichtes und die vordere Fläche des Fühler- schaftes weiss. Die Fühlergeissel ist entweder schwarz, oder es sind die beiden ersten Glieder pechbraun ge- färbt, das dritte kürzer als die beiden folgenden zu- sammen genommen, das fünfte etwa drei Mal so lang als das vierte. Die Flügel sind fast ganz klar und mit helleren Adern als beim Weïibchen. Der letzte Hinter- leibsring ist abgestutzt mit zahnfôrmig vorspringen- den Seitenecken, der sechste Ventralring schwach ausgerandet. An den Beinen sind die Schenkel ge- schwärzt. Diese hübsche Art hat in der Gestalt Âhnlichkeit von der A. quadrifasciata. Bei Krasnowodsk von Christof gefunden. 41. picicornis Fedtsch. 1. c. p.34. — Im Amu-Darja- Gebiete von Dohrandt und Mielberg gesammelt. — Auch bei Samarkand, Dschysack und Warsiminor. 42. velocissima Fedisch.1. e. p. 33.— Im Tjan-Schan im Thale des unteren Kungess. Prshew. — Auch am Syr-Darja, bei Samarkand, in Ferghana und Trans- caucasien. 43. bimaculata Panz. Fauna Germ. 55. 17. — In der nordwestlichen Mongolei von Potanin gefunden. — Auch im Thale des Zerafschan, in Ferghana, Trans- caucasien, in Mittel- und Süd-Europa. Tetralonia Spin. 44. spectabilis Mor. 1. c. p.48.— In der nordwest- lichen Mongolei. Potanin. — Ausserdem in Ferghana, im Thale des Zerafschan, bei Taschkent und in Trans- caucasien. 45. turcomannica n. sp. nigra, atro-hirta, thorace abdominisque segmento antico cinerascenti - villosis. P 13—14 mm. Schwarz, glänzend, rein schwarz behaart, auf dem Hinterhaupte mit einem weissen, zwischen den Fühlern 23 355 mit einem aschgrauen Haarbusche geschmückt. Clypeus fein und dicht punctirt; die mittleren Fühlerglieder linger als breit. Der Thorax ist mit Ausnahme der Brust blass aschgrau behaart; die Flügelschuppen sind dunkel pechbraun, das Radmal und die Adern der klaren Flügel ein wenig heller gefärbt. Der Hinter- leib ist fein und nicht besonders dicht punctirt, schwarz, das erste Segment, zuweilen auch das zweite mitten an Grunde aschgrau behaart. Die Beine sind mit Einschluss der Schienenbürste schwarz behaart. Bei Krasnowodsk von Christof gesammelt. Eucera Scop. 46. longicornis L. F. $S.N. 1684. — Im Amu-Darja- Gebiete. Dohrandt. — In Sibirien und Europa weit verbreitet. 47. taurica Mor. Hor. soc. ent. ross. VIT. 311.— In der chinesischen Provinz Ordoss im Thale des gel- ben Flusses. Prshew. — Im südôüstlichen Russland, in Transcaucasien und im taurischen Gouvernement vorkommend. Meliturga Latr. 48. clavicornis Latr. Gen. Crust. et Ins. LE. tab. 14. fig. 14. — Im mongolischen Gebirge Muni-Ula und im Tjan-Schan von Prshew. gesammelt. — Auch sonst überall in Turkestan, Mittel- und Süd-Eurcpa vor- kommend. Camptopoeum Spin. 49. rufiventre n. sp. nigrum, capite thoraceque flavo- pictis; abdomine rufo-testaceo, segmentis flavo-fasciatis, quarto quintoque basi nigra. 4 9 mm. Der Kopf ist schwarz, glänzend, fein und nicht sehr dicht punctirt, greis behaart; Mandibeln, Oberlippe, Clypeus, Stirnschildchen, Nebenseiten des Gesichtes, der hintere Orbitalrand und zwei kleine Flecken in der Nähe des oberen Augenrandes gelb gefärbt. Füh- ler gelblich roth, die drei ersten Glieder blassgelb. Thorax schwarz, spärlich greis behaart, die Brust dicht, Mesonotum und Schildchen zerstreuter punctirt, Me- tanotum fein und dicht gerunzelt; gelb gefärbt sind: Pronotum, Schulterhücker, der hintere Rand und die Seitenlappen des Schildchens, das Hinterschildchen und je eine Makel beiderseits auf den Meso- und Meta- pleuren. Flügelschuppen und Flügelwurzel gelb, erstere schwach gebräunt; Flügel mit getrübtem Aussenrande Bulletin de l’Académie Impériale 356 und braunrothem Randmale und Adern. Abdomen unten blassroth, oben etwas dunkler roth gefärbt, die ersten drei Segmente mit einer gelben Querbinde ge- ziert; der vierte Hinterleibsring mit schwarzer Basis, rostrothem Endsaume und einer gelben Binde; der fünfte mit breit gelb gefärbtem Endrande und schwar- zem Grunde, die übrigen cinfarbig gelb. An den blass- gelben Beinen sind die Schenkel rôthlichgelb gefärbt. Grüsser als C. frontale Fabr. und vollkommen ab- weichend gefärbt. In Turkestan auf dem Berge Karak von Fedtschenko gesammelt. — Ich erhielt diese Art, nachdem bereits die Bienen Turkestans im Drucke erschienen waren; durch ein Versehen war dieselbe den Grabwespen bei- gesteckt worden. Rhophites Spin. 50. atrococruleus Mor. 1. c. p. 74.— Im Hochgebirge der chinesischen Provinz Gan-su von Prshew. gesam- melt.— Fedtsch. fand diese Art im Ferghana-Gebiete in der Nähe des Gletschers Schtschurowsky und auf dem Passe Isfairam in einer Hühe von 11800” über dem Meere. Systropha Latr. 51. ruficornis n. sp. nigra, dense griseo-pilosa; alis hyalinis, tegulis, carpo venisque pallide-flavescentibus ; abdominis segmentis margine apicali late testaceo-de- coloratis; antennarum funiculo rufescente. 4 8 mm. Schwarz, dicht greis behaart, diéüeissel der Fübler vom dritten Gliede an hell rostroth gefärbt. Am Hin- terleib ist der breit abgesetzte und niedergedrückte Endrand der Segmente hell scherbengelb gefärbt; der zweite Ventralring hat zwei grosse Hôcker, deren Spitze abgerundet ist, der dritte zwei bedeutend kleinere, wenig vorragende; der vierte und fünfte sind mitten am Endsaume tief ausgerandet. In der Kürpergestalt ähnlich S. curvicornis Scop., von dieser Art leicht durch die verschiedene Färbung und den abweichenden Bau der Ventralringe und deren Hücker zu unterscheiden. Bei Krasnowodsk von Christof gesammelt. Macropis Panz. 52. labiata Panz. Fauna Germ. 107.16. — In der nordwestlichen Mongolei von Potanin gefunden, — In Sibirien und Europa weit verbreitet. 357 Panurginus Nyland. 53. nigripes n.sp. niger, nitidus, parce griseo-pilosus, alis leviter infumatis carpo venisque piceis; clypeo flavo; tibiis anticis sordide-flavo-lineatis. 4 5,5 mm. Schwarz, glänzend, spärlich, nur die Unterseite des Kopfes und die Brust dichter und länger greis behaart. Der Kopfist dicht und fein, Stirnschildchen und Clypeus grôüber und sebr zerstreut punctirt; letterer gelb ge- fürbt. Die Fühler schwarz, die Geissel unten kaum lichter gefärbt, das zweite Glied der letzteren länger als das folgende. Mesonotum und Schildchen fein und ziemlich sparsam, Hinterschildchen sehr fein und dich- ter punctirt. Mesopleuren schwach glänzend, zerstreut und undeutlich punctirt, mit nadelrissigen Punct- zwischenräumen; Metathorax äusserst fein und dicht gerunzelt, matt. Die Flügelschuppen sind dunkel pech- braun, das Randmal und die Adern der schwach ge- trübten Flügel etwas heller gefärbt. Der stark glän- zende Hinterleib ist sehr undeutlich punctirt. An den schwarzen Beinen sind nur die vordersten Schienen innen fast der ganzen Länge nach trübe gelb gestreift. Dem P. labiatus Eversm. in der Kôrperform sebr ähnlich; dieser hat aber ein deutlicher punctirtes Ab- domen, wasserhelle Flügel mit blassgelbem Randmale und Adern, am Grunde gelb gefärbte Schienen und ganz gelbe Tarsen. Im Hochgebirge der Provinz Gan-su von Prshew. gesammelt. Epimethea Mor. 54, nana n. sp. cellula radiali apice rotundata; nigra, nitida, facie, antennis, pedibus, ecallis humeralibus, te- gulis scutellisque pallide-flavescentibus; abdominis seg- mentis apice flavo-fasciatis. d 3,5—4 mm. Schwarz, stark glänzend. Mandibeln gelb mit rôth- licher Spitze; das Gesicht unterhalb der Fühler gleich- falls gelb gefärbt und sehr dicht schneeweiss behaart. Der Kopf schwarz, lebhaft glänzend; Stirn und Scheitel glatt, das Hinterhaupt und die Schläfen weiss behaart. Die Fühler blassgelb, länger als der Thorax, nach der Spitze zu ein wenig verdickt, die (Greissel oben schwach gebräunt, der Schaft vorn weiss gefärbt. Der Thorax schwarz, unten und an den Seiten dicht weiss behaart, oben kahl und sehr stark glänzend; Mesonotum und Schildchen fast glatt, indem nur hin und wieder ein Pünctehen wahrzunehmen ist: das Metanotum stark des Sciences de Saint-Pétersbourg. 358 entwickelt, hinten abgerundet und matt; Metapleuren schneeweiss behaart ; Schulterhücker, Pronotum, Schild- chen nebst Seitenlappen und Hinterschildchen schwefel- gelb. Flügelschuppen, Flügelwurzel und Adern blass- gelb, das Randmal bräunlich gefärbt; die Flügel was- serklar, die erste Cubitalzelle doppelt so gross als die zweite; diese nach oben verengt, beide rücklaufende Adern empfangend; die Radialzelle mit zugerundeter und dem Flügelrande dicht anliegender Spitze; die vena transversa ordinaria vor der (Gabel eingefügt. Der schwächer als der Thorax glänzende Hinterleib ist unten blassgelb, oben schwarz gefärbt, alle Seg- mente mit einer gelben Binde am Endrande: die Sculp- tur desselben ist sehr undeutlich ausgeprägt, etwa nadelrissig. Die blassgelb gefärbten Beine sind weiss behaart. Ich habe diese Art vorläufig in die Gattung Epime- thea gestellt, da sie im Bau der Mundtheile mit der- selben noch am Meisten übereinstimmt; das Flügel- geäder weicht aber sehr ab und daher wird dieselbe nach dem Bekanntwerden des Weibchens eine cigene Gattung bilden müssen. In der Provinz Ordoss am gelben Flusse von Prshew. gesammelt. Dasypoda Fabr. 55. hirtipes Fabr. Ent. S. II. 312.— Aus der nord- westlichen Mongolei von Potanin mitgebracht. — In Sibirien und Europa weit verbreitet. 56. tibialis n. sp. nigra, dense fulvo-villosa, tibiis tarsisque omnibus rufo testaceis; abdominis segmento ventrali sexto fere integro: tibiis posticis apice emar- ginatis. & 9,5—11 mm. Schwarz, dicht gelblich oder fuchsroth behaart, die Mandibeln mit rostroth gefärbter Spitze. An den schwarzen Fühlern ist das dritte Glied um die Hälfte länger als das folgende. Die Flügelschuppen, das Randmal und die Adern der bräunlichgelb getrübten Flügel rothgelb, die Flügelwurzel schwarz gefärbt. Am Hinterleibe ist der sechste Ventralring am Grunde beiderseits flach vertieft mit kaum ausgerandeter Spitze. Die Beine sind rothgelb behaart, alle Schienen und | Tarsen rôthlich gefärbt, die Schienen des dritten Bein- | paares innen tief ausgehôhlt, glatt und glänzend und | hinten cberhalb der Spitze tief ausgerandet. Der D. rufipes Sich. ähnlich: letztere ist aber be- | deutend grüsser, mit rothgefärbter Fühlergeissel: bei 23% 359 Bulletin de l’Académie Impériale 360 welcher ferner der sechste Ventralring deutlich aus- gerandet ist und deren hinterste Schienen an der Spitze in einen dreieckigen, zwischen den Sporen vor- ragenden Fortsatz ausgezogen und nirgends ausge- randet sind. Von Prshew. in der südüstlichen Mongolei entdeckt. Andrena Fabr. 57. fulvicrus Kirby. Ap. Angliae. I. 138. — Aus der nordwestlichen Mongolei von Potanin mitgebracht. Fast über die ganze palaearctische Region ver- breitet. 58. dorsata Kirby. 1. ec. IT. 44. — Nordwestliche Mongolei. Potanin. — In Sibirien, Transcaucasien, Mittel- und Süd-Europa. 59. funebris Panz. Fn, Germ. 64. 5. — Im Tjan- Schan von Prshewalsky gesammelt. — In Turkestan, Transcaucasien, Süd-Europa und Nord-Afrika vor- kommend. 60. Eversmanni Radoszk. Hor. soc. ent. Ross. V. 74. tab. IT. fig. 1. — Im Amu-Darja-Gebiete von Dohrandt gesanmelt, — Auch in der Kirgisen-Steppe. 61. xanthura Kirby. 1. c. IT. 164. — Aus der nord- westlichen Mongolei von Potanin mitgebracht. — Über Sibirien und Europa verbreitet,. 62. parvula Kirby. 1. €. IL. 162. — Nordwestliche Mongolei. Potanin, — Überall in der palaearctischen Region vorhanden. 63. anthracina n. sp. genis linearibus, nigra, griseo- pilosa; mesonoto nitido disperse punctulato, scutello opaco nigro-piloso; alis vix infumatis carpo venisque piceo-testaceis; abdomine splendido fere impunctato. @ lamina labri subtriangulari, clypeo nitido sparsim punctato, nigro-piloso; fimbria anali fusca; segmentis abdominis ventralibus albido-ciliatis; scopa grisea. 9 mm. d clypeo eburneo nigro-bipunctato: antennarum articulo tertio quarto duplo fere longiore. 8,5 mm. Beim Weibchen ist der Clypeus glänzend, fein und, namentlich auf der Scheibe, sparsam punctirt, wie auch die Nebenseiten des Gesichtes schwarz, die übrigen Theile des Kopfes greis oder aschgrau behaart; den | hellen Haaren sind aber hier schwarze beigemischt. | Der Kopf ist glänzend, sehr fein und sparsam punctirt, | der Raum zwischen den Nebenaugen und den Fühlern | dicht gestreift und matt; der Augenspiegel schwarz, | bräunlich schillernd. Fühler schwarz, die Geissel un- ten pechbraun, das zweite Glied der letzteren ein wenig länger als die beiden folgenden zusammen genommen. Mesonotum glänzend, fein und sehr zerstreut punctirt, sparsam greis behaart, auf der Scheibe den hellen Haaren dunkle beigemengt. Schildchen äusserst fem und dicht gerunzeit, matt und schwarz behaart. Die Brust ist greis, die äusserst fein und dicht punctirten, kaum glänzenden Mesopleuren, vorwiegend schwarz behaart. Der herzformige Raum des Metathorax ist nur undeutlich ausgeprägt, am Grunde so breit wie das Hinterschildchen, eben so fein runzelig wie die hintere Thoraxwand und fast matt; die Metapleuren deutlicher glänzend, aschgrau behaart. Die Flügel- schuppen und Flügelwurzel dunkel pechbraun, die Adern der schwach getrübten Flügel heller gefarbt. die vena transversa ordinaria interstitiell. Der Hinter- leib lebhaft glänzend und auf demselben nur hin und wieder ein feines Pünctchen wahrzunehmen; die Segmentränder dunkel pechbraun gefärbt und beider- seits spärlich greis bebaart; die Endfranze schwärz- lich, die Bauchringe weisslich bewimpert und äusserst fein punctirt. Die Beine sind schwarz, greis bchaart, die Schiensporen blassgelb. Das Männchen ist dem Weibchen sehr äbnlich, mit beinfarbenem Clypeus. Das dritte Fühlerglied ist fast länger als die beiden folgenden zusammen genommen. Die Behaarung des Kopfes ve Thorax besteht grüsstentheils aus greisen Haaren. Diese Art ist der A. Shawella K. sehr nahe ver- wandt; bei dieser ist aber der Hinterleib, wie auch das Schildchen deutlich punctirt und letzteres eben- falls glänzend; beim Männchen ausser dem Kopfschilde auch noch die Nebenseiten des Gesichtes beinfarben. Von Prshewalsky in der Provinz Gan-su gefunden. 64. mongolica n. sp. genis distinctis; nigra, subtus griseo-, supra flavescenti-pilosa; mesonoto scutelloque crasse sparsimque punctatis, interstitiis punctorum latis nitentibus: spatio metathoracis cordiformi obsoleto sat crasse rugoso; abdomine nitido minus crebre sub- tiliter punctato, rufo-testaceo nigro-variegato, segmen- tis apice albido-ciliatis: fimbria anali fulva; clypeo crasse punctato, lamina labri truncata; pedibus nigris albido-pilosis, tarsis posticis ferrugineis. $ 12 —13 mm. Diese Art hat deutiich entwickelte, ziemlich breite Wangen und einen abgestutzten Anhang der Ober- 361 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 36? lippe. Der Kopf ist schwarz, sehr dicht, die Schläfen ! sow gesammelt. — In Turkestan weit verbreitet, auch und das Gesicht greis, der Scheitel und das Hinter- haupt gelblich behaart. Der Clypeus ist grob und beiderseits sehr dicht punctirt, glänzend: der Raum zwischen den Nebenaugen und den Fühlern dicht ge- streift und matt; der greise Augenspiegel oben ge- bräunt. Fühler schwarz, die Geissel unten pechbraun, das zweite Glied der letzteren kaum so lang als die beiden folgenden zusammen genommen, die unter sich | fast gleich gestaltet sind. Der schwarze Thorax ist überall lang und dicht greis, Mesonotum und Schild- chen gelblich behaart; letztere grob und sparsam punctirt, mit glänzenden Punctzwischenränmen; die Mesopleuren dicht kôrnig punctirt; der herzfürmige Raum des Metathorax undeutlich ausgeprägt und ziem- lich grob gerunzelt, die Metapleuren weiss behaart. | Die Flügelschuppen sind bräunlich gelb mit dunkler Scheibe, das Randmal und die Adern der schwach ge- trübten Flügel rostroth gefärbt, die vena transversa ordinaria interstitiell. Der glänzende Hinterleib ist fein und ziemlich dicht punctirt; die drei vorderen | Segmente hellroth, das erste mit schwarzer Basis, das zweite jederseits mit einem kleinen schwarzen Flecken und zuweilen auch noch mit einem grüsseren mitten auf der Scheibe; das dritte mit einer breiten schwar- zen Binde, welche bei einem Stücke aber wenig aus- gedehnt ist; die folgenden Hinterleibsringe sind schwarz gefärbt, mit rôthlichem Endrande, alle weisslich be- wimpert, die Endfranze rüthlichgelb, Die drei vorde- ren Ventralringe sind hellroth, die übrigen schwarz gefärbt, alle am Endrande mit langen weissen Haaren besetzt. Die Beine sind schwarz, greis behaart, die vier Endglieder aller Tarsen und auch der Metatarsus des dritten Beinpaares rostroth gefärbt; die Schienen- bürste und Hüftlocke weiss. Der A. aulica Mor. verwandt; bei dieser ist aber der herzférmige Raum des Metathorax deutlich aus- geprägt und grôber gerunzelt, der Hinterleib viel dichter punctirt, das fünfte Fühlerglied um die Hälfte länger als das vierte, die Schienen des dritten Bein- paares rostroth und die Flügel mit dunklerem Aussen- rande. Aus der nordwestlichen Mongolei von Potanin mit- gebracht. 65. ephippium Spinola. Ann. de la soc. ent. de France. 1838, p. 511. — Im Amu-Darja-Gebiete von Rus- in Transcaucasien, Persien, Süd-Europa und Nord- Africa. 66. fuscosa Erichs. Waltl’s Reise n. Spanien p. 103, — Vom Amu-Darja von Russow mitgebracht. — Bei Taschkent, in Transcaucasien, über Süd-Europa ver- breitet. 67. pilipes Fabr. Mant. p. 298. 13. — Nordwest- liche Mongolei. Potan. — In der Provinz Ordoss am Chuan-che. Prshew. — In der gesammten palaearct. Region vorhanden. 68, vitrea Smith. Zool. V. 1737. — In der südôst- lichen Mongolei von Prshew. gefunden. — In Sibirien, Nord- und Mittel-Europa, auch in Caucasien vor- kommend. 69. tibialis Kirby. 1. e. 107. — Südüstliche Mon- golei. Prshew. —- In Sibirien und Europa vorkommend. 70. mordax: genis latis; nigra, calcaribus testaceis, atro-pilosa; mesonoto fere opaco sparsim punctulato, interstitiis punetorum alutaceis, fusco-cinereo-hirto; spatio metathoracis cordiformi vix ruguloso, meta- pleuris griseo-villosis; alis fortiter infumatis ; abdomine subtilissine sparsissimeque panctulato, segmento primo pilis longioribus raris griseis obsito. & Jlamina labri apice trancato; clypeo dense punc- tato linea longitudinali laevi notato:; fimbria anali nigra, segmentis ventralibus nigro-ciliatis; femorum flocculo scopaque atris. 13—14 mm. 3 mandibulis magnis; antennarum articulo tertio quarto longiore. 12—153 mm. A. mordax Mor. in Fedtsch. Reise nach Turkest. Mellifera. p. 196. d. Bei dieser Art sind die Wangen stark entwickelt und der Scheitel fein und dicht gestreift. Beim Weib- chen ist der Kopf schwarz, Stirn und Scheitel bräun- lich-grau behaart; der Anhang der Oberlippe mit breit abgestutzter Spitze, Clypeus ziemlich grob und dicht punctirt, mitten mit einem glatten Längsfelde; Augen- spiegel sammetschwarz. Die Fühler schwarz gefärbt, das dritte Glied derselben länger als die beiden fol- genden zusammen genommen. Das dunkel aschgrau oder schmutzig bräunlich behaarte Mesonotum ist fein und sehr sparsam punctirt, die Zwischenräume der Puncte nadelrissig und matt seideglänzend. Das Schild- chen eben so wie das Mesonotum sculptirt und behaart. Die hintere Thoraxwand und die Metapleuren, letztere 363 Bulletin de l’Académie Impériale 364 —————————————— dicht und lang, greis behaart; der herzfürmige Raum schwach ausgeprägt und am Grunde sehr fein gerun- zelt. Die Brust ist mit schwarzen Haaren bedeckt, die Mesopleuren fein und dicht punctirt. Die Flügel- schuppen dunkel pechbraun, die Flügelwurzel etwas heller gefirbt, die Flügel stark getrübt mit violettem Schimmer, das Randmal und die Adern dunkel, die vena transversa ordinaria interstitiell. Der glänzende Hinterleib ist nur mit äusserst feinen und sehr ver- einzelt stehenden, haartragenden Pünctchen, das erste Segment mit längeren, spärlichen, greisen Haaren ver- sehen; die Endfranze ist schwarz, eben so die Ventral- ringe bewimpert und auch die Beine behaart. Das Männchen ist 1. ec. ausführlich beschrieben. Diese Art ist der A. pratensis NyL. ähnlich; bei die- ser sind aber die Wangen nur schwach entwickelt, beim Weibchen der Anhang der Oberlippe zugerundet, beim Männchen das dritte Fühlerglied doppelt so lang als das folgende. In der nordwestlichen Mongolei von Potanin ge- sammelt. — Auch bei Warsiminor. 71. genalis n. sp. genis latis: nigra, dense supra fulvo-, subtus atro-hirta, thorace fascia interalari nigra decorato:; lamina labri leviter emarginata, clypeo nitido subtiliter crebre punctato, fimbria anali albida, scopa nigra. Ç 12 mm. Bei diesem, mit breiten Wangen versehenen Weib- chen ist der Anhang der Oberlippe an der Spitze deutlich ausgerandet. Der Kopf ist dicht und lang schwarz, die Stirn fuchsroth behaart: der Raum zwischen den Nebenaugen und den Fühlern sehr dicht gestreift und matt, der Augenspiegel sammetartig schwarz. An den Fühlern ist das dritte Glied länger als die beiden folgenden zusammen genommen, das vierte ein wenig kürzer als das fünfte. Der Thorax ist unten und an den Seiten schwarz, oben fuchsroth behaart, zwischen den Flügelschuppen mit emer schma- len schwarzen Binde geziert; überall matt, äusserst fein und dicht punctirt; der herzformige Raum der gleichfalls fuchsroth behaarten hinteren Thoraxwand schwach ausgeprägt. Flügelschuppen schwarz, Flügel- wurzel pechbraun, die Adern der schwach getrübten Flügel rôthlichbraun gefärbt, die vena transversa ordi- naria fast interstitiell. Der Hinterleib ist oben wie der Thorax sehr dicht und lang fuchsroth, unten schwarz behaart, mit weisslicher Endfranze : sehr fein und dicht punctirt, kaum glänzend. Die Beine sind überall schwarz, nur die Metatarsen innen rostbraun behaart; die vier Endglieder der Tarsen rostroth, die Schien- sporen blass scherbengelb. Diese hübsche Art ist der A. fulva Schrank sehr ähnlich, hat aber bedeutend breitere Wangen und ist auch durch die schwarze Thoraxbinde leicht kenntlich. In der nordwestlichen Mongolei von Potanin ge- sammelt. 72. scutellaris n. sp. genis linearibus; nigra calcari- bus testaceis, griseo-pilosa; mesonoto cinereo-hirsuto, fere opaco, sat dense punctulato, interstitiis puncto- rum alutaceis: seutello nitido basi hic illic punctato; spatio metathoracis cordiformi distineto basi ruguloso, metapleuris albido-villosis; alis apice leviter mfumatis; abdomine subtilissime rare punctulato, sparsim griseo- piloso; lamina labri emarginata, clypeo minus nitido sat dense punctato; fimbria anali fusca, segmentis ven- tralibus albido-ciliatis, femorum flocculo albo, scopa nigra. Q 11—12 mm. Schwarz, die Unterseite der Füblergeissel und die letzten Tarsenglieder pechbraun gefärbt. Der Kopf ist überall dicht mit langen greisen Haaren bedeckt, längs dem oberen inneren Augenrande aber ein Büschel schwarzer beigemischt. Der Anhang der Oberlippe ist ein wenig ausgerandet #die Wangen schmal, der schwach glänzende Clypeus dicht punctirt, der Augen- spiegel sammetartig schwarz. Der Thorax ist dicht und lang greis behaart; auf dem Mesonotum und Schildchen sind die Haare dunkler, meist aschgrau, selten schwärzlich gefärbt; ersteres ist ziemlich dicht, fein punctirt, mit nadelrissigen, kaum glänzenden Punct- zwischenräumen, letzteres mit sehr vereinzelt punctir- tem Grunde, daher von lebhaftem Glanze. Der herz- férmige Raum des Metathorax ist deutlich ausgeprägt, mit gerunzelter Basis, die Metapleuren dicht und lang weiss behaart, die Mesopleuren äusserst fein punctirt, fast matt. Die Flügelschuppen und die Flügelwurzel dunkel pechbraun, das Randmal und die Adern etwas heller, die Flügel am Aussenrande bräunlich getrübt, die vena transversa ordinaria interstitiell. Der fast matte Hinterleib ist äusserst fein und spärlich punc- tirt, dünn, aber lang greis behaart, die mittleren Seg- mente mit pechbraun gefärbtem Endrande und wenigen dunklen Haaren auf der Scheibe, die Endfranze fast schwärzlich. Die Ventralringe sind am Endrande 365 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 366 beiderseits weiss, mitten dunkel bewimpert, sonst lersterer nur an der Basis grün, sonst bräunlich gefärbt, spärlich schwarz behaart. Die Beine sind schwarz, die Schenkel der Vorder- und Mittel-Beine zum Theil greis behaart, die Hüftlocke rein weiss, die Schienen- bürste schwarz. Diese Art hat einige Aehnlichkeit von der A. hel- vola. L. In der nordwestlichen Mongolei von Potanin ge- funden. 73. discophora Mor. 1. c. p. 202. —- Im Amu-Darja- Gebiete von Mielberg gesammelt. — Bis jetzt nur in Turkestan beobachtet. 74. cineraria L. F,. $S. N. 1688. — In der nord- westlichen Mongolei. Potanin. — Auch in Sibirien, Turkestan, Europa und Nord-Africa. Nomioides Schenck. 75. parvula Fabr. E. $. suppl. p. 277. — In der nordwestlichen Mongolei. Potanin. — Auch in Turke- stan, Persien, Caucasien, Mittel- und Süd-Europa. Halictus Latr. 76. leucopus Kirby. 1. €. 59. — Amu-Darja-Gebiet. Russow. — In Turkestan, Sibirien, Nord- und Mittel- Europa weit verbreitet. 77. Smithmanellus Kirby. 1. €. 375. — Nordwest- liche Mongolei. Potanin. — Auch in Sibirien, Turke- stan, Mittel- und Süd-Europa. 78. morio Fabr. E. $. 306. — Nordwestliche Mon- golei. Potan. — Auch in Sibirien, Mittel- und Süd- Europa weit verbreitet. 79. varipes Mor. 1. €. p. 223. — Nordwestl. Mon- golei. Potan. — In Turkestan weit verbreitet. 80. semitectus Mor. Horae. X. p. 172. — Aus der südôstlichen Mongolei von Prshew. mitgebracht. — Auch in Transcaucasien und bei Sarepta vorkommend. S1.mongolicus n. sp. vividi-aeneus, griseo-pubescens: metanoto rotundato tenuissime ruguloso; tegulis,alarum carpo venisque pallide-flavescentibus; abdomine ferru- gineo segmentis basi viridi-aeneis ; antennarum funiculo pedibusque rufo-testaceis, his nigro-variegatis; capite rotundato, clypeo seutoque frontali nitidis subtiliter sparsim punetatis. © 6 mu. Der rundliche Kopf grün metallisch, spärlich greis behaart, ziemlich stark glänzend, äusserst fein und dicht, Clypeus und Stirnschildchen sparsam punctirt; Oberlippe und Mandibeln rostroth, letztere mit schwar- zer Spitze. Fühler rostroth, der Schaft schwärzlich grün. Thorax grün metallisch glänzend, oben sehr sparsam, die Brust ziemlich dicht greis behaart; Meso- uotum und Schildchen fein punctirt, die Punctzwischen- räume viel breiter als die Puncte; die Mesopleuren mit feinerer und dichterer Punctirung; Metanotum abgerundet, sehr fein gerunzelt, am Grunde zum Theil längsstreifig; die hintere Wand des Metathorax sehr stark glänzend, die Seiten derselben nicht gerandet: die Metapleuren dicht greis behaart, äusserst fein punc- tit. Die Flügelschuppen sind blassgelb, eben so die Adern und das Randmal der wasserhellen Flügel ge- färbt. Der Hinterleib ist spärlich greis behaart, sehr fein und dicht punctirt, hell rostroth, die Basis der Segmente, die des ersten in weiter Ausdehnung, grün metallisch gefärbt. Die Beine sind rôthlichgelb, die Schenkel fast bis zur Spitze schwärzlich gefärbt; die Schienen häufig, zuweilen auch der letzte Metatarsus mit einem dunkeln Längswische. In der Kürpergestalt dem H. pulvereus Mor. ähn- ich; dieser ist aber äusserst dicht greis behaart und dessen Mesonotum sehr dicht punctirt. In der nordwestlichen Mongolei von Potanin ge- sammelt. 82. coloratus Mor. Horae. X. p. 167. Amu-Darja- Gebiet. Mielberg. — Auch in Transcaucasien und um Sarepta vorkommend. 83. atomarius Mor. 1. €. p. 254. — Südôstliche Mongolei. Prshew. — Auch um Taschkent. 84. nigriceps n. sp. niger, nitidus, griseo-pilosus, mesonoto scutelloque minus crebre punctatis, meta- thorace truncato fortiter rugoso; abdominis segmentis distincte punctatis secundo tertioque basi utrinque ob- solete maculatim tomentosis, margine apicali anguste ferrugineo-limbatis: antennis capite thoraceque lon- gioribus, sat crassis, funiculo subtus piceo; tarsis omni- bus flavescentibus. 4 7 mm. Schwarz, glänzend, Kopf und Thorax greis behaart; Mundtheile und Clypeus gleichfalls schwarz. Die Füh- ler sind länger als Kopf und Thorax zusammen ge- nommen, ziemlich verdickt, die Geissel unten dunkel pechbraun gefärbt. Mesonotum und Schildchen fein punctirt, die Punctzwischenräume bedeutend breiter als die Puncte; die Mesopleuren sehr fein und dicht 367 Bulletin de l'Académie Impériale 368 TT punctirt-gerunzelt, matt. Metathorax abgestutzt, über- all grob gerunzelt, die hintere Wand gerandet. Die Flügelschuppen und Flügelwurzel hell pechbraun, die Adern nebst dem Randmale gelb gefärbt. Der stark glänzende Hinterleib ist sehr deutlich, aber fein und nicht dicht punctirt, der Endrand der Segmente glatt und mit rostrothem Endsaume; der zweite und dritte Hinterleibsring jederseits am Grunde mit einer kleinen, übrigens sehr undeutlichen weissen Haarmakel; auf dem siebenten ist die Scheibe grübchenartig vertieft; die Bauchsegmente kahl und einfach. Die Beine sind schwarz, alle Tarsen, die vorderen rôthlich-, die hin- teren blassgelb gefärbt. Dem H. lineolatus Lep. sehr ähnlich: bei letzterem sind aber die Mundtheiïle und der Endrand des Clypeus selb gefärbt, auch die Beine, namentlich die Schienen gelb gezeichnet, Mesonotum und Schildchen sehr dicht, das Abdomen undeutlich punctirt und es sind auch die Fühler verhältnissmässig dünner. — Ordoss am Chuan-che. Prshew. 85. lineolatus Lep. Hymen, IE. 275.— Südôstliche Mongolei, Prshew. — In Sibirien und Europa weit verbreitet. 86. fulvicornis Kirby. 1. ce. 67. — Nordwestliche Mongolei. Potan, — Auch in Sibirien und Europa. 87. cylindricus Fabr. E. $. IL. 302. — Nordwestl. Mong. Potan.— Ordoss am Chuan-che. Prshew. — Fast über die gesammte palaearctische Region verbreitet. 88. sex-notatulus Nyl. Ap. bor. Suppl. 97. — Nord- westl. Mong. Pot. — Auch in Sibirien und im nôrd- lichen Europa. 89. leucozonius. Schranck Ins. Austr. 406. — Nord- westl. Mong. Pot. — Amu-Darja-Gebiet. Mielberg. — Überall in der palaearct. Region. 90. major Nyl. Rev. Ap. bor. p. 240. — Nordwestl. Mong. Pot. — In Mittel- und Süd-Europa vorkom- mend; auch in Turkestan und Transcaucasien. 91. fuloipes Germar. Fauna ins. Eur. fase. 7. tab. 15. — Nordwestl. Mong. Pot. — In Turkestan, Trans- caucasien und Süd-Europa vorkommend. 92. sex-cinctus Fabr. E. $. IT. 387. — Im Tjan- Schan. Prshew. — In Turkestan und Europa weit verbreitet. 93, quadricinctus Fabr. E. SIT. 303. — quadristri- gatus Autor. —- Im Tjan-Schan. Prshew. — In Tur- kestan und Europa weit verbreitet. Nomia Latr. 94. diversipes Latr. Gen. Crust. et Ins. IV. 155. — Im Tjan-Schan vom unteren Kungess von Prshew. mitgebracht, — In Turkestan, Transcaucasien, Mittel- und Süd-Europa verbreitet. 95. ruficornis Spinola. Ann. de la soc. ent. de France. VII. p. 514. — Im Amu-Darja-Gebiet von Mielberg gesammelt. — In Turkestan, Caucasien, Süd-Europa und Nord-Africa vorkommend. 96. latipes n. sp. nigra, antennarum funiculo rufo, tegulis, spinis scutellaribus tarsisque testaceis, his ar- ticulo unguiculari nigro, intermedio disciformi dilatato: pectore impresso griseo-piloso: abdominis segmentis basi dense albido-vestitis; pedibus griseo-pubescenti- bus, posticis femoribus incrassatis, tibiis apice valde dilatatis laminam sub-lanceolatam flavicantem emit- tentibus; tibiis intermediis calcari brevi armatis. d 8 mm. Der Kopf ist schwarz, greis, das Gesicht sehr dicht weiss behaart; die Fühler roth mit geschwärztem Schafte. Der schwarze Thorax schwach glänzend; die Mesopleuren dicht, die Brust spärlicher greis be- haart; letztere tief eimgearückt; beiderseits von diesem Eindrucke, vor den Mittelhüften, ist ein glatter, glän- zender, fast hôckerartiger Vorsprung vorhanden. Me- sonotum und Schildehen dicht punctirt: ersteres ziem- lich dicht, namentlich am vorderen und hinteren Rande beschuppt; die Schuppen blassgelb gefärbt: letzteres beiderseits mit einem blassgelben Stachel bewebrt. Das Hinterschildchen ist weiss befilzt und ausserdem stehen auf demselben noch längere weisse Haare; die hintere Thoraxwand glänzend, grob punctirt, mit brei- ten Punctzwischenräumen. Die Flügelschuppen sind weisslich gelb, an den Rändern ganz klar durch- scheinend, mit schwarzbraun gefärbter Wurzel und dicht und fein punctirter Scheibe; die Flügel sind kaum getrübt, das Randmal scherbengelb, die Adern etwas dunkler gefärbt. Der Hinterleib ist glänzend; die Basis aller Segmente breit und sebr dicht weisslich behaart, hinter der Haarbinde grob und sparsam punc- tirt, der niedergedrückte Endtheil derselben mit glat- tem, weisslich entfärbtem Saume und auf dem zweiten und dritten Hinterleibsringe vor diesem fein und dicht punctirt. Der vierte Ventralring ist mitten am End- rande schwach ausgerandet, die Ausrandung beider- , 369 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 370 ————…—…—…—…—… ……—…————…——— seits von einer vorspringenden Leiste begrenzt. Die Beine sind greis behaart, die Schenkel schwarz ge- färbt, die des dritten Beinpaares stark aufgetrieben. Die Schienen der beiden vorderen Beinpaare rôthlich- gelb, mit dunkel gezeichneter Aussenfläche, der Schien- dorn der mittleren kurz und sehr fein; die des letzten Beinpaares schwarz, nach der Spitze hin stark er- weitert, aussen gekrümmt, die Spitze selbst in einen scherbengelb gefärbten, grossen und breiten, allmäh- lich zugerundeten Anhang auslaufend. Die Tarsen sind sehr blass weisslichgelb, das Klauenglied aller Beine schwarz gefärbt, das der mittleren auch noch zu einer kreisformigen Scheibe erweitert. In der Kürpergestalt ähnlich N. diversipes; von allen bekannten leicht durch die auffallenden plastischen Merkmale zu unterscheiden. Bei Krasnowodsk von Christof gefunden. Sphecodes Latr. 97. rufithoraz Mor. 1. ce. p. 255. — Im Amu-Darja- Gebiete von Mielberg gesammelt. — Auch um Tasch- kent und Bairacum. 98. gibbus L. F. S. N. 1658. — Südôstliche Mon- golei. Prshew. — In dar palacarctischen Region weit verbreitet. 99. similis Wesm. Obs. Sph. 6. — Nordwestl. Mong. Pot. — Auch sonst überall. 100. Geoffrellus Kirby. 1. c. 45.— Nordwestl. Mong. Pot. — Überall gemein. Nomada Fabr, 101. fhoracica n. sp. fronte acute carinata, genis latis, coxis anticis subtus spinosis, pronoto medio pro- funde emarginato, antennarum articulo tertio quarto longiore, mesonoto crasse minus dense punctato-rugoso, scutello fortiter bituberculato, spatio metathoracis cordiformi opaco, pectore breviter sat dense griseo- piloso; nigra antennis pedibusque pallide-rufescentibus flavo-nigroque pictis; mandibulis, ore, facie, pronoto, callis humeralibus, tegulis scutellisque flavis; abdomine crebre punctato, segmentis omnibus flavo-fasciatis rufo- nigroque variegatis, ultimo apice rotundato. d 12 mm. Mandibeln gelb mit schwarzer Endhälfte und abge- rundeter Spitze. Oberlippe, Clypeus, Stirnschildchen, | Nebenseiten des Gesichtes und Wangen gelb; letztere breit und wie die Nebenseiten des Gesichtes zum Tome XXVI. grôssten Theile glatt und glänzend. Die Stirn zwischen den Fühlern mit einer scharfen Leiste. Fühlerschaft vorn gelb, hinten rôthlich gefärbt wie die Geissel, deren zweites Glied deutlich länger ist als das folgende; Fühlerglied 4 bis 8 inclusive oben mit einem schwar- zen Längsstrich. Das Pronotum ist mitten tief ausge- randet, das Mesonotum grob punctirt, mit runzelig erhabenen, glänzenden Punctzwischenräumen. Das Schildchen besteht aus zwei stark entwickelten, grob punctirten Hückern. Mesopleuren und Brust sehr dicht kôrnig punctirt und greis behaart; Metathorax überall matt, die hintere Wand derselben dicht und grob punc- tirt, der herzformige Raum mit fein gerunzelter Basis. Am Thorax sind gelb gefärbt: Pronotum, Schildchen und Hinterschildchen, die Schulterhôcker und eine grosse Makel auf den Mesopleuren. Flügelschuppen gelb, bräunlich gerandet und sparsam punctirt, die Flügel braun getrübt, das Randmal und die Adern rôthlichgelb gefärbt, die vena transversa ordinaria Im- terstitiell und die mittlere Cubitalzelle nach oben ver- engt, Der Hinterleib ist dicht punctirt, spärlich greis behaart, bräunlichroth; das letzte Segment mit abge- rundeter Spitze, das erste am Grunde mit zwei grossen schwarzen Makeln und einer gelben, mitten unter- brochenen Binde auf der Scheibe; das zweite längs der Basis, die folgenden vor dem Endrande schmal schwarz bandirt, alle mit einer breiten vollständigen gelben Binde. Die Unterseite des Abdomens ist heller bräunlichroth gefärbt und gleichfalls spärlich greis behaart, der zweite, dritte und vierte Bauchring mit einer schwarzen Querbinde, der fünfte und sechste mit einer gelben Makel geziert, der letzte mit einem rüth- lichen Haarbusche versehen. Die Beine sind blassroth, die Kniee und die Spitze der Schienen gelb gefleckt, die Trochanteren und Schenkel der Mittel- und Hinter- beine schwarz gezeichnet. Die Hüften der Vorder- beine sind mit einem deutlichen Stachel bewchrt, wel- cher von greisen Haaren umgeben ist. Diese hübsche Art gehürt in die Gruppe der N. Jacobeae Panz., ist aber durch ihre breiten Wangen mit N. pectoralis Mor. zunächst verwandt; diese unter- scheidet sich auch fast nur durch den eigenthümlichen Hôcker der Brust von der thoracica. Von Prshew. aus der südüstl. Mongolei mitgebracht. 102, rufiventris Kirby. 1. ce. 187. — Südôstl. Mon- golei. Prshew. — Weit verbreitet. 24 371 103. ruficornis L. F.S. N. 1707. — Südôstl. Mong. Prshew. — Weit verbreitet. Epeolus Latr. 104. rufipes Thoms. Hym. Sc. IT. 219. — Amu- Darja-Gebiet. Russow. — Weit verbreitet. Crocisa Jurine. 105. scutellaris Fabr. E. S. IL 346. — Südôstl. Mong. Prshew. — Auch in Sibirien vorhanden. 106. ramosa Lep. Hymen. IT. 451. — Amu-Darja- Gebiet. Mielb. — Überall in Turkestan, Mittel- und Süd-Europa, in Nord-Africa und soll auch in Indien vorkommen. 107. picicornis Mor. 1. c. 142. — Amu-Darja-Ge- biet. Dohrandt. — Auch in der Wüste Kisil-kum. Melecta Latr. 108. plurinotata Brullé. Exp. scient. en Morée. Zool. III. 343, — Südüstl. Mong. Prshew. — Auch bei Samarkand und im Gebiete des Mittelmeeres vor- kommend. 109. corpulenta: nigra, capite thoraceque pilis albis variegatis; mesonoto scutelloque sat dense punctato- rugosis; dentibus scutellaribus sub-elevatis: abdomine tomento atro in illaesis densissime tecto. © abdominis segmentis antico lateribus niveo-tomen- toso, tribus sequentibus utrinque apice macula magna nivea decoratis. 16—18 mm. 3 abdominis segmentis primo fere toto albido- villoso, sequentibus quatuor utrinque apice macula magna nivea signatis. 16 mm. corpulenta Mor. in Fedtsch. Reise p. 140. © Das Weïbchen dieser grossen Art hat einen oben weiss, unten schwarz behaarten Kopf; Stirn, Neben- seiten des (Gesichtes, Stirnschildchen und Basis des Clypeus schneeweiss behaart. Das dritte Fühlerglied ist länger als das folgende. Der Thorax ist unten schwarz, der obere Theil der Mesopleuren weiss be- haart. Das Mesonotum vorn jederseits und in der Mitte, auch vor jedem Seitenlappen des Schildchens mit einem weissen Haarbusche. Der obere Theil der Metapleuren und das Hinterschildchen jederseits gleich- falls mit langen, weissen Haaren bedeckt. Flügel- schuppen und Flügelwurzel schwarz; die Flügel nach aussen zu bräunlich getrübt mit dunkeln Adern. Der Bulletin de l’Académie Impériale 372 dichten schwarzen Tomente überzogen und erscheint dann vollkommen matt; die Seiten des ersten Segmen- tes in weiter Ausdehnung voliständig weiss behaart: die Haare dabei dicht anliegend: der zweite und dritte Hinterleibsring sind jederseits mit einer breiten, den Vorderrand aber nicht erreichenden, fast paralle- logramm - fôrmigen, schneeweissen Haarmakel ge- schmückt; auf dem vierten Segmente stehen die Makeln mehr entfernt vom Seitenrande und haben eine quer- ovale Form. Bei abgeriebenen Stücken erscheint das Abdomen glänzend, fein und dicht punctirt. Die Beine sind schwarz, die Basis aller Schienen und das Klauen- glied der Mittel- und Hinterbeine schneeweis befilzt. Die Schenkel der Vorder- und Mittelbeine tragen an der Spitze einen weissen Haarzipfel und sind auch die mittleren Tarsenglieder zuweilen weiss bebaart. Das Männchen ist dem Weibchen sehr ähnlich. Gesicht mit Einschluss des Clypeus, der vordere Rand des Mesonotum sehr breit, die Meso- und Metapleuren, so wie auch das erste Abdominalsegment lang und dicht weiss behaart, das fünfte jederseits weiss befilzt, das letzte sehr schwach ausgerandet, Die Beine wie beim Weibchen, die Miselschienen und die Metatarsen des dritten Beinpaares aber aussen vollständig weiss befilzt. Im Tjan-Schan von Dr. Regel gesammelt. 110. luctuosa Scop. Ann. Hist. Nat. IV. 9. — Im Tjan-Schan. Regel. — Amu-Darja-Gebiet. Russow. — In Turkestan, Mittel- und Süd-Europa weit ver- breitet. Pasltes Jurine. 111. maculatus Jur. Nouv. méth. p. 224. — Im Tjan-Schan am unteren Kungess. Prshew. — In der Umgegend von Kuldsha. Regel. — In Turkestan, Transcaucasien und im Gebicte des Mittelmeeres weit verbreitet. Phiarus Gerst. 112. abdominalis Eversm. Bull. de Mosc. 1852. IT. 58. — Tjan-Schan. Regel. — In Ost-Sibirien, Tur- kestan, Süd-Russland, Transcaucasien, Anatolien und Ungarn vorkommend. Coelioxys Latr. 115. constricta Fürst. Verh. d. nat. Vereins d. preuss. 373 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 374 Rheinl, X. p. 274. — Amu-Darja-Gebiet. Russow. — In Transcaucasien und Süd-Europa vorhanden. 114. Mielbergi n. sp. ferruginea, albido -squamosa ; capite thoraceque nigris:; mesonoto punctis Crassis pro- fundis squamiferis irrorato, scutello apice integro; ab- dominis segmentis margine apicali niveo-squamosis, ultimis dorsali longitudinaliter carinato, apice rotun- dato, ventrali fere acuminato; elypeo dense tomentoso pilisque erectis sparsis obsito. Ÿ 11—12 mm. Variet. pectore, margine mesonoti laterali dentibus- que seutelli etiam ferrugineis. Der Kopf ist schwarz, das Gesicht nebst dem Clypeus sehr dicht greis befilzt und mit wenigen hervortreten- den blassen Haaren besetzt: das Hinterhaupt grob punctirt-gerunzelt, die tief eingestochenen Puncte meist mit einem Schüppchen auf dem Grunde. Mandibeln und Fühler bräunlichroth gefärbt, das dritte und vierte Glied der letzteren an Länge kaum verschieden. Der Thorax ist entweder schwarz, oder es sind die Brust, Seitenränder des Mesonotum und die Zähne des Schild- chens rostroth gefärbt. Das Mesonotum ist grob punc- tirt, mit z1emlich breiten, stellenweise runzelig erhabe- nen Punctzwischenräumen; die Puncte sind wie die auf dem Hinterhaupte tief und auf dem Grunde mit einem weisslichen Schüppchen versehen; bei reinen Exemplaren ist der Vorderrand dicht gelblichweiss beschuppt. Das Schildchen ist sehr dicht punctirt-ge- runzelt, mit Ausnahme der Zähne und der Scheibe dicht beschuppt. Die Metapleuren sind schneeweiss behaart, die Brust nebst Mesopleuren mit blassen Schuppen sehr dicht bedeckt. Die Flügelschuppen sind bräunlich oder scherbengelb, die Flügelwurzel heller gefärbt, die Flügel aussen schwach getrübt, das Randmal und die Adern dunkel pechbraun, Der roth- braune Hinterleib schwach glänzend, ziemlich fein und nicht besonders dicht punctirt, der Endrand der Seg- mente mit einer aus drei Reihen bestehenden, weissen Schuppenbinde geschmückt; die Seiten der drei vor- deren und die Basis des ersten gleichfalls beschuppt. Der letzte Hinterleibsring ist feiner als die vorher- gehenden punctirt, der ganzen Länge nach fein ge- kielt, die Spitze desselben abgerundet und dunkel gefärbt. Der Bauch ist ziemlich dicht, namentlich am Endrand der Segmente beschuppt; das fünfte zuge- spitzt; das letzte nur wenig über das obere hinaus ver- längert, mit einfacher, ziemlich stumpfer Spitze. Die Beine sind weiss beschuppt, die vordersten Hüften ohne Anhang, die Schiensporen dunkel, zuweilen schwarz gefärbt. Diese hübsche Art ist in der Kôrpergestalt sehr ähnlich der C. brevis Eversm. — octodentata Lep.; bei dieser ist aber das Mesonotum sehr dicht punctirt- gerunzelt, die Puncte auf dem Grunde ohne Schüpp- chen. — Bei der gleichfalls sehr ähnlich gebauten C. conspersa Mor. hat der letzte Ventralring eine deutlich gespaltene Spitze. — Die ähnlich gefärbte C. sogdiana Mor. hat aber einen gewôülbten, mitten stark gekielten Kopfschild. Hhn Amu-Darja-Gebiete von Mielberg gesammelt. 115. coronata Fürst. 1. c. 280. — Ordoss am Chuan- che. Prshew. — Amu-Darja-Gebiet. Dohrandt. — In Mittel-Asien und Europa weit verbreitet. 116. recurva Schenck. Jahrb. d. Vereins für Nat. in Nassau. IX. 201. — Im Tjan-Schan. Prshew. — In Turkestan, Transcaucasien, Mittel- und Süd-Europa. 117. rufescens Lep. Encycl. méth. X. p. 109. — Im Tjan-Schan. Regel. — In der Alpenregion Tur- kestans, in Sibirien und Europa vorkommend. 118. mandibularis Nyl. Ap. bor. 252. — Nord- westl. Mongolei. Potanin. — In Sibirien und Europa weit verbreitet. Stelis Latr. 119. phacoptera Kirby. 1. c. 232. — Amu-Darja- Gebiet. Russow. — Überall vorhanden. 120. aculeata n. sp. nigra, nitida, atro-pilosa, minus crebre punetata; abdominis segmento ultimo aculeato. d 9—10 mm. Schwarz, glänzend, überall spärlich schwarz be- haart. Clypeus und $Stirnschildchen dicht punctirt, letzteres mit glatter Mittellinie: Scheitel und Hinter- haupt spärlicher punctirt, mit breiten glänzenden Punctzwischenräumen. An den Fühlern ist das dritte Glied em wenig länger als das folgende. Mesonotum und Schildchen grob und sparsam, die Brust viel grüber und dichter punctirt; auf letzterer die Zwischen- räume der Puncte runzelig erhaben; der obere Theil der Mesopleuren dicht punctirt-gerunzelt. Flügel- schuppen und Flügelwurzel schwarz; die Flügel sehr stark braun getrübt mit pechschwarzem Randmale und Adern. Der Hinterleib ist feiner als die obere Fläche des Thorax, aber auch sparsam punctirt; das 24* 375 Bulletin de l’Académie Impériale 376 a —————_—_————————————— letzte Segment ist mit einem Mittelkiele versehen, der in einen ziemlich langen Stachel ausläuft. Der dritte Ventralring hat mitten am Endrande einen vorsprin- venden dreieckigen Zahn. Die Beine sind schwarz und nur das Klauenglied pechbraun gefärbt. In der Kürpergestalt der St. phaeopteraK. täuschend ähnlich, diese ist aber greis behaart; ausserdem ist bei dieser das dritte Fühlerglied kürzer als das vierte, das letzte Abdominalsegment ohne Mittelkiel, einfach abgerundet und der dritte Ventralring mit abgestutz- tem Endsaume. In der nordwestl. Mongolei von Potanin gesammelt. Anthidium Latr. 121. oblongatum Latr. Ann. du Mus. d’Hist. nat. XII. 216. — [m Tjan-Schan am Dschin. Regel. — Auch in Mittel-Asien und Europa weit verbreitet. 122, punctatum Latr. Ann. du Mus. d'Hist. nat. VI. p. 217. — Im Tjan-Schan. Regel. — Auch am Syr- Darja und in Europa vorkommend. 123. cingulatum Latr. 1. ©. 219. — Im Tjan-Schan im Thale des unteren Kungess am Flusse Zanma. (2900). Prshew. — In Turkestan, Sibirien, Persien, Caucasien, Europa und N.-Africa. 124. florentinum Fabr. Syst. Piez. — Amu- Darja-Gebiet. Dohrandt. — In Turkestan, Persien, S.-Europa und N.-Africa verbreitet. 125. caspicum n. sp. clypeo subquadrato; lobis late- ralibus scutelli rotundatis, scutello fere semicirculari; segmentis abdominalibus basi crassius sparsimque, ante marginem apicalem densissime subtiliterque punctatis; nigrum, avo-variegatum; thorace supra flavescente-, subtus griseo-piloso ; mandibulis facieque flavis; clypeo margine apicali truncato; abdominis segmentis dorsa- libus antepenultimo utrinque valide dentato, septimo medio aculeato lateribusque appendice lobiformi sub- quadrato aucto, ventralibus griseo-vestitis, sexto an- gulis lateralibus spiniformibus. € 12 mm. Mandibeln gelb, glänzend, die beiden scharfen End- zähne schwarz gefärbt. Der Clypeus ist beinahe so hoch als breit, gelb, dicht weiss behaart, grob punc- tirt, mit einem glatten Längsfelde auf der Scheibe, der Endrand abgestutzt. Das Stirnschildchen mit einer gelben Querbinde am Grunde. Die Nebenseiten des Gesichtes gelb, dicht weiss behaart und feiner und dichter als der Clypeus punctirt; die übrigen Theile °9f JOLU. des Kopfes schwarz gefärbt, das Hinterhaupt breit gelb bandirt und bräunlichgelb behaart. An den schwarzen Fühlern ist der Schaft unten gelb gestreift, die drei ersten Geisselglieder unten rostroth gefleckt. Der Thorax ist dicht, oben gelblichbraun, unten und an den Seiten greis behaart, kaum glänzend; Mesono- tum und Schildchen dicht runzelig punctirt; letzteres mit fast halbkreisfürmigem Endrande; die hintere Thoraxwand kahl und glänzend, das Mittelfeld dersel- ben mit grob punctirt-gerunzelter Basalhälfte. Am Thorax sind gelb gefärbt: die Schulterhôcker, ein Flecken auf den Seitenlappen des Schildchens, eine mitten unterbrochene Binde am Endrande des letz- teren und zum Theil auch der Seiten — und Vorder- rand des Mesonotum. Die Flügelschuppen sind gelb mit braunrother Scheibe, dicht punctirt; die Flügel- wurzel und Adern am Grunde der Flügel gelbroth ge- fürbt; letztere stark gebräunt mit pechschwarzen Adern. Der Hinterleib ist schwarz, die Basalhälfte der Segmente glänzend, grob und sparsam, die End- hälfte feiner und sehr dicht punctirt, matt. Das erste Segment ist beidersits mit einer grossen, nach innen zugespitzten gelben Makel, das zweite mit einer breiten, mitten unterbrochenen gelben Binde versehen; die vier folgenden Hinterleibsringe sind gelb bandirt; die Bin- den mitter an der Basis mit einem dreieckigen schwar- zen Ausschnitte, der sechste dabei an den Seiten tief ausgerandet und mit einem starken gelben Zahne be- wehrt. Das letzte Segment ist schwarz gefärbt, in der Mitte mit einem langen Stachel, beiderseits mit einem fast quadratischen gelben, schwarz umsäumten Lappen versehen. Die Bauchringe sind dicht greis behaart, der sechste fast abgestutzt, dessen Seitenecken aber in einen langen schwarzen Stachel ausgezogen. Die Beine sind schwarz, die Spitzen der Schenkel, die Schienen und Tarsen gelb gefärbt, greis, die Meta- tarsen dicht silberweiss behaart. In der Gestalt und im Bau der letzten Abdominal- segmente fast mit A. variegatum Fabr. überemstim- mend; bei diesem ist aber der sechste Ventralring mitten tief ausgerandet und die Seitenecken fast ab- gerundet, die Trochanteren des dritten Beinpaares nach unten zahnformig herabgezogen und die Zeich- nung des Hinterleibes eine ganz verschiedene. Bei Krasnowodsk von Christof gefunden. 126. lituratum Panz. Fn. Germ. 80. 21.— Im Tjan- 37% Schan am unteren Kungess. Prshew. — In Sibirien, Mittel- und Süd-Europa vorkommend. Megachile Latr, 127. albo-cristata Smith. Catal. of Hymen. Apidae I. p. 151. — In der nordwestlichen Mongolei vou Potanin gesammelt, — Kommt auch in Transcaucasien und Süd-Europa vor und gehôrt in die Untergattung Chalicodoma Lep. (conf. Fedtsch. Reise nach Turkest. Apidae p. 105). 128. desertorum: nigra, dense aurantiaco-vel rufo- pilosa, tegulis, pedibus calcaribusque rufo-testaceis ; alis flavescentibus apice infuscatis. © elypeo apice serrulato, mandibulis margine interno edentato; antennis interdum scapo vel totis rufescenti- bus; scopa ferruginea. 14—15 mm. Z antennarum articulo tertio quarto longitudine subaequali; abdominis segmentis ultimis dorsali multi- spinoso, ventrali rotundato-prominente; coxis anticis inermibus. 12—14 mm. Mor. in Fedtsch. Reise. Apidae p. 106. tab. I. fig. 19. Q Chalicodoma. Diese Art gehürt in die Untergattung Chalicodoma Lep. Beim Männchen sind die Mandibeln und Fühler schwarz, erstere mit rostrother Spitze, letztere mit einfacher Geissel, deren drittes und viertes Glied fast gleich lang sind. Das Gesicht ist mit Einschluss des Clypeus sehr dicht weiss behaart; die Haare auf dem Kopfschilde herabhängend. An den rothgefärbten Bei- nen sind Hüften, Trochanteren und Basis der Schen- kel geschwärzt. Im Übrigen mit dem von mir 1. c. beschriebenen Weibchen vollkommen übereinstimmend. In der nordwestl. Mongolei von Potanin gesammelt, um Krasnowodsk von Christof gefunden. — Fedtsch. brachte dieselbe aus der Wüste Kisilkum mit. 129. derasa Gerst. Stett. ent. Zeit. 1871. p. 361. — Ordoss am Chuan-che. Prshew. — Nordwestl. Mongolei. Potan. — In Turkestan, Transcaucasien, Ungarn und S.-Europa vorkommend. 130. argentata Fabr. E. S. II. 336. — Nordwestl. Mong. Potan, — Amu-Darja-Gebiet. Dohrandt. — Häufig in Turkestan, Sibirien, Europa und N.-Africa. 131. communis Mor. 1. €. p. 111. — Amu-Darja- Geb. Dohr. — In Turkestan weit verbreitet. — In Transcaucasien in der Provinz KEriwan von mir ge- funden. des Sciences de Saint - Pétersbourg. 0 378 132. imbecilla Gerst. 1. c. 1869. p. 359. — Amu- Darja-Geb. Dohr. — In Turkestan überall häufig, auch in Russland und Mittel-Europa, so wie auch in Caucasien vorhanden. 133. nasica n. Sp. nigra, vix nitida, griseo-pilosa, tegulis testaceis; mesonoto creberrime punctato, abdo- minis segmentis primo albido-villoso, sequentibus mar- gine apicali dense albido-ciliatis, ultimo griseo-tomen- toso: facie dense albescenti-vestito; clypeo apice medio triangulariter prominente; mandibulis validis externe griseo-pilosis, apice tridentato, margine interno basi tuberculo magno munitis; scopa albida, segmentis ven- tralibus margine apicali praeterea niveo-ciliatis. © 11 mm. Der Kopf dieses Weibchens ist verhältnissmässig gross, fein und dicht punctirt, schwach glänzend, unten weisslich, das Gesicht sehr dicht greis behaart. Der gleichfalls, namentlich an den Seiten dicht behaarte Clypeus ist am Endrande in einen dreieckigen Fortsatz ausgezogen. Das Stirnschildchen ist wie der Clypeus fast ganz matt. Die Mandibeln sind sehr stark ent- wickelt, aussen greis behaart und ein wenig eingedrückt ; der innere Rand am Grunde mit einem grossen, fast schräg abgestutzten Hücker versehen und an der Spitze mit drei Zähnen bewehrt. An den schwarzen Füblern ist die Geissel unten pechbraun gefärbt. Der Thorax ist unten und an den Seiten dicht greis, Mesonotum und Schildchen an den Rändern gelblichgreis behaart; beide Theiïle sehr dicht punctirt, mit schmalen, schwach glänzenden Punctzwischenräumen. Die Flügelschuppen sind scherbengelb, die Flügelwurzel und die Adern hell pechbraun gefärbt. Der Hinterleib ist fein und dicht punctirt; das erste Segment buschig weiss be- haart, die vier folgenden mit einer dichten weissen Cilienbinde am Endrande, das letzte dicht greis befilzt. Die Bauchbürste ist weisslich, der Endsaum der Ven- tralringe ausserdem sehr dicht schneeweiss bewimpert. Die Beine sind greis, die Innenfläche der Metatarsen gelblich behaart; die Schiensporen blass gefärbt. In der Kôürpergestalt der M. argentata Fabr. voll- kommen ähnlich, durch den grossen Kopf und den auffallenden Bau des Clypeus und der Mandibeln leicht kenntlich. Im Amu-Darja-Gebiete von Mielberg gefunden. 134. Dokrandti n. sp. nigra, nitida, griseo-pilosa, |tegulis calearibusque testaceis; mesonoto subtiliter mi- 379 Bulletin de l’Académie Hmpériale 380 nus dense punctato; abdominis segmentis margine apicali niveo-ciliatis, ultimo griseo-tomentoso; mandi- bulis deplanatis 4-dentatis, facie clypeoque densissime argenteo-pilosis; scuto frontali laevi splendido, scopa nivea, segmentis ventralibus praeterea margine apicali niveo-ciliatis. D 13—14 mm. Die Mandibeln sind am Grunde weiss behaart, ab- geplattet und vierzähnig; die drei unteren Zähne scharf zugespitzt, der obere stumpfer. Die Schläfen sind sehr dicht weiss, Clypeus und Gesicht bis zu den Neben- augen gleichfalls sehr dicht silberweiss behaart; zwi- schen den beiden oberen Nebenaugen steht ein blass- bräunlicher Haarbusch. Scheitel glänzend, sehr fein und zerstreut punctirt, in den Zwischenräumen der Puncte hin und wieder den feinen grobe beigemengt. Das Stirnschildchen ist kahl, glatt und spiegelblank, nur am Grunde zuweilen mit zwei grossen, tief einge- stochenen Punkten versehen. Die Fühler sind schwarz. Auf dem Thorax sind die Brust, Meso- und Meta- pleuren, wie auch die hintere Thoraxwand dicht greis, zum Theil weiss behaart; das glänzende Mesonotum fein und nicht besonders dicht punctirt, indem die Punctzwischenräume fast breiter als die Puncte selbst sind; ringsherum mit kurzen greisen Haaren bedeckt. Das Schildchen ist grüber und dichter als das Meso- notum punctirt, schwächer glänzend und ziemlich dicht greis behaart. Die Flügelschuppen sind scherbengelb, die Flügelwurzel, das Randmal und die Adern pech- braun gefärbt. Der glänzende Hinterleib ist fein punc- tirt, die erhabene Basalhälfte der Segmente dichter als die Endhälfte. Das erste Segment ist überall, namentlich aber an den Seiten sehr dicht und lang weiss behaart, die vier folgenden mit einer breiten, schneeweissen Haarbinde am Endrande, das letzte dicht greis befilzt und an der Spitze dunkelbraun behaart. Die Bauchbürste ist schneeweiss, auf dem letzten Seg- mente aber schwarz, der Endrand dieser aber ausser- dem noch dicht weiss bewimpert. Die Beine sind sehr dicht greis, die Metatarsen innen bräunlichgelb be- haart, die Schiensporen blass gefärbt. Diese Art ist der transcaucasischen M. laevifrons Mor. sehr ähnlich, welche aber grüsser ist und ein sebr grob punctirtes Mesonotum hat. — Die mit einem fast ähnlich sculptirten Mesonotum ausgestattete tur- kestanische M. nitidicollis Mor. hat rothe Fühler und Beine und ist auch der Hinterleib anders behaart. Am Amu-Darja von Dohrandt gesammelt. 135. lagopoda L. F. $S. N. 1702. — Im Tjan-Schan auf dem Juldus von Prshew. gesammelt. — Kommt auch im Thale des Zerafschan, in Ferghana, Sibirien, Nord- und Mittel-Europa, im Caucasus vor. 136. maritima Kirby. 1. €. 242. — [mn Tjan-Schan im Thale des oberen Kungess. Prshew. — In Turke- stan, Caucasien, Mittel- und Süd-Europa weit ver- breitet. 137. Wüllughbiclla Kirby. 1. ce. 233. Im Tjan-Schan am oberen Kungess. Prshew, — In Sibirien und Europa weit verbreitet. 138. Maacki Radoszk. Bull. de Mosc. 1874. 23. — Südôüstliche Mongolei. Prshew.— In Ost-Sibirien vor- kommend. 139, genalis n.sp. genis sub oculis dilatatis; nigra, griseo-pilosa, vertice thoraceque supra fusco-villosis; mesonoto crasse denseque punctato, abdominis segmen- tis duobus anticis flavicanti-griseo pilosis, sequentibus nigro-hirtis margine apicali albido-ciliatis; elypeo seutoque frontali crasse punctatis linea media laevi Signatis ; mandibulis basi callo munitis, margine interno impresso apice acute bidentato: scopa ventrali rufa. ë& 14 mm. Der Kopf ist grob und ziemlich dicht, beiderseits von den Nebenaugen aber sehr vereinzelt punctirt und hier lebhafter glänzend; die Schläfen und das Gesicht greis, der Scheitel bräunlich behaart. Clypeus und Stiruschildchen grob und dicht punetirt, beide mit einem glatten, stark glänzenden Längsfelde in der Mitte. Die Wangen sind unter den Augen sehr breit, mit eingedrückter Scheibe, Die Mandibeln sind stark entwickelt, sehr grob puncetirt und glänzend, am Grunde in der Mitte mit einer rundlichen, deutlich hervor- tretenden Schwiele versehen. Der Innenrand der Mandibeln ist in weiter Ausdehnung niedergedrückt, mit zWeizähniger Spitze: diese Zähne sind fast gleich stark und scharf zugespitzt, zwischen denselben eine zemlich undeutlich ausgeprägte Furche sichtbar ; ober- halb der Endzähne ist noch am inneren Rande eine breite, aber wenig vortretende, kaum ausgerandete Lamelle vorhanden. Die Fühler sind schwarz. Der Thorax ist greis, Mesonotum und Schildchen bräun- lich behaart und ziemlich grob und dicht punctirt, kaum glänzend. Flügelschuppen, Flügelwurzel und Adern der bräunlich getrübten Flügel pechbraun. 31 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 382 Der schwach glänzende Hinterleib ist ziemlich dicht | punctirt, die beiden ersten Segmente lang aber nicht besonders dicht greis, die folgenden spärlich schwarz behaart, das dritte, vierte und fünfte mit einer weissen Cilienbinde am Endrande; die Bauchbürste ist roth, der Endsaum der Ventralringe kahl. Die Beine sind greis, die Innenfläche der Metatarsen rostroth behaart, die Schiensporen rostroth gefärbt. Grüsser als M. centuncularis L., derselben aber ähnlich; durch die breiten Wangen und den ganz ab- weichenden Bau der Mandibeln leicht kenntlich. Im Tjan-Schan auf dem Plateau des kleinen Juldus. Prshew. 140, bombycina Pallas — maxillosa Eversm. Bull. de Mosc. 1852. IT. p. 68. — Im Tjan-Schan im Thale des oberen Kungess. Prshew. — Auch in Si- birien, Ost- und Nord-Russland und in Mecklenburg einheimisch. 141. centuncularis L. F. S. N. 1687. — Im Tjan- Schan am Flusse Zanma. Prshew. — In Sibirien und Europa weit verbreitet, Lithurgus Latr. 142. cornutus Fabr. Syst. Piez. 357 = monoceros Eversm. Bull. de Mosc. 1852. IT. 67. — Im Tjan- Schan am oberen Kungess in der Waldregion. Prshew. — In Turkestan, Caucasien und Europa. 143. tibialis Mor. 1. €. 103. — Amu-Darja-Gebiet. Mielberg. — In Transcaucasien, Griechenland und in Andalusien vorkommend. Osmia Panz. 144. coerulescens L. K. $. N. 1696. — Im Tjan- Schan. Regel. — In Turkestan, Caucasien und Europa weit verbreitet. 145. indigotea: coerulea, albido- vel griseo-pilosa; metanoti area media fere opaca basi rugulosa; segmen- tis abdominalibus margine apicali albido-fimbriatis; calcaribus nigris. Q mandibulis tridentatis, dentibus omnibus acutis; clypeo scutoque frontali crebre punctatis; scopa ventrali albida. 7,5 mm. g antepnis thorace longioribus simplicibus; abdo- minis segmentis sexto leviter emarginato, septimo bidentato, ventrali secundo permagno. 7 mm. Mor. in Fedtsch. Reise, Apidae p. 86. d Das Weibchen hat schwarze dreizähnige Mandibeln; alle Zähne scharf zugespitzt. Der Kopf ist blau metal- Hisch gefärbt, sehr dicht punctirt und weisslich be- haart, schwach glänzend; der Kopfschild bläulichgrün, grüber und weniger dicht als die übrigen Theile des Kopfes punctirt und von lebhafterem Glanze. Die Geissel der schwarzen Fühler ist nnten pechbraun ge- färbt. Der blau metallische Thorax ist oben greis, unten weiss behaart, schwach glänzend, überall dicht punctirt; das Mittelfeld der hinteren Thoraxwand fast matt, am Grunde undeutlich gerunzelt. Die Flügel- schuppen, die Flügelwurzel, das Randmal und die Adern der schwach getrübten Flügel schwarz. Der blau metallische Hinterleib lebhafter als der Thorax glänzend, fein und dicht punctirt; das erste Segment beiderseits mit einem weissen Haarbusche, die folgen- den am Endrande mit einer weissen Haarbinde ver- sehen; das letzte dicht greis behaart. Die Bauchbürste ist weiss. Die greis behaarten Beine sind schwarz metallisch, die Schenkel mit grünlichem Schimmer, die innere Fläche der Metatarsen schwärzlichbraun behaart. — Das Männchen ist 1. €. ausführlich be- schrieben. Im Amu - Darja - Gebiet. Samarkand. 146. mongolica n. sp. fusco-aenea, fulvo-pilosa, tibiis posterioribus tarsisque posticis rufis; metathoracis area media fere opaca; abdomine cupreo-micanti; mandibu- lis tridentatis, clypeo crebre punctato apice truncato; scopa ventrali ferruginea. © 9 mm. Mandibeln dreizähnig; die beiden unteren Zähne scharf zugespitzt, der obere fast abgestutzt. Die Wan- gen sind linear. Clypeus und Stirnschildchen sebr dicht und ziemlich grob punctirt, ersterer mit abge- stutztem Endrande, beide nebst dem Scheitel dunkel kupferfarbig, die übrigen Theile des Kopfes fast schwarz metallisch gefärbt und überall dicht roth be- haart. Die Fühler sind schwarz, das dritte Glied der- selben etwa so lang wie die beiden folgenden zusammen genommen. Der Thorax ist unten dunkel erzfarben, oben kupferig glänzend, überall dicht roth behaart; Mesonotum und Schildchen dicht, ersteres grôber punc- tirt, das Mittelfeld der hinteren Thoraxwand kaum glänzend, der mittlere Theil des Grundes sehr schwach gerunzelt. Die Flügelschuppen sind fast schwarz, eben so die Flügelwurzel; das Randmal und die Adern pech- Mielberg. — Auch bei 383 braun gefärbt, die Flügel, namentlich die Endhälfte bräunlich getrübt. Der Hinterleib ist lebhaft kupfer- glänzend, hin und wieder mit viclettem Schimmer, fein und ziemlich sparsam punctirt; das erste Segment beiderseits buschig behaart, die übrigen am Endrande roth bewimpert. Die Bauchbürste ist feuerroth. Die Beine sind schwärzlich, die Schienen der mittleren und hintersten roth, die Endglieder aller Tarsen mit Einschluss des letzten Metatarsus gleichfalls roth ge- färbt; die vordersten Schienen sind aussen an der Spitze in einen kurzen, nach abwärts gerichteten Dorn ausgezogen. Der 0. ferruginea Latr. sehr ähnlich, von derselben aber leicht durch die abweichende Färbung der Beine zu unterscheiden. In der südüstl. Mongolei von Prshew. gesammelt. 147. agilis Mor. 1. ce. 88. — Amu-Darja-Gebiet. Russow. — Auch in Turkestan und Transcaucasien. 148. princeps Mor. Hor. soc. ent. Ross. IX. 57. — In der nordwestl. Mongolei von Potanin gefunden. — Auch bei Astrachan. 149. maculata n. sp. lingua brevi: nigra, nitida, fulvo-pilosa, tegulis, mandibulis tridentatis, pedibus abdomineque rufo-ferrugineis; area metathoracis media nitida; segmentis abdominalibus anticis maculis, posti- cis fere totis nigris; alis apice infuscatis carpo piceo, venis basalibus flavescentibus. @ antennarum basi ferruginea; clypeo truncato ni- tido, minus crebre punctato, apice rufo-ferrugineo; scopa ventrali fulva. 12 mm. S abdominis segmentis dorsali ultimo fere truncato, basi profunde foveolata, medio apice dente sat longo pyramidali armato, ventrali secundo lamina elevata transversa notato. 135 mm. Bei dieser Art ist die Zunge verhältnissmässig kurz, eben so die Maxillen und die Lippentaster, deren zweites Glied deutlich länger ist ais das erste. — Beim Weibchen ist der glänzende, fein punctirte Kopf schwarz gefärbt und dicht rothgelb behaart. Die mit drei star- ken, aber ziemlich stumpfen schwärzlichen Zähnen be- wehrten Mandibeln sind roth, am Grunde ohne Quer- eindruck. Wangen nicht entwickelt. Kopfschild glän- zend, ziemlich fein und nicht dicht punctirt, indem die Zwischenräume der Puncte breiter als diese sind; der Vorderrand ist fast abgestutzt und in weiter Ausdeh- nung schôn roth gefärbt. Das Stirnschildchen ist be- Bulletin de l’Académie Impériale 384 deutend feiner und viel sparsamer als der Clypeus punctirt. Die Fühler sind schwarzbraun, die vier ersten Glieder roth gefärbt, das dritte Glied derselben deutlich kürzer als das folgende. Der Thorax ist schwarz und glänzend, fein, die Brust viel dichter als das Mesonotum punctirt, mit spiegelblankem Mittel- felde der hinteren Thoraxwand; überall dicht rothgelb behaart. Flügelschuppen und Flügelwurzel roth, die Flügel gelb, nach der Spitze zu bräunlich getrübt, mit hell pechbraunem Randmale; die Adern sind auf der Basalhälfte gelb, auf der Endhälfte pechschwarz ge- färbt. Der roth gefärbte, schwarz gezeichnete Hinter- leib ist eigenthümlich seulptirt. Das erste Segment ist roth mit schwarzer Basis, fein und sparsam punc- tirt, mit breiten glänzenden Punctzwischenräumen, ziemlich dicht rothgelb behaart. Die beiden folgenden Hinterleibsringe sind durch eine vor der Mitte quer verlaufende Linie getheilt, roth gefärbt, fein und spar- sam punctirt, mit einer ziemlich grossen schwarzen Makel mitten am Grunde, die äusserst fein, dicht punc- tirt und dabei matt ist, geschmückt; die schwarze Färbung geht auf die Scheibe der Segmente über und ist hier glänzend und sehr zerstreut punctirt. Der breite Endsaum dieser Segmente ist gelblich gefärbt, sebr fein und dicht punctirt und rothgelb gefranzt. Die drei letzten Segmente sind schwarz, der rothgelb gefranzte Endrand derselben und die Seiten des vier- ten roth gefärbt. Auf dem Bauche sind die vorderen Segmente roth, die hinteren schwarz; die Bauchbürste ist aus rothgelben Haaren zusammengesetzt. Die Beine und Schiensporen roth, die Hüften der beiden hinteren Beinpaare schwärzlich gefärbt, überall gelbroth behaart. Das Männchen ist in der Färbung dem Weibchen ähnlich. Das Gesicht ist dicht silberweiss behaart, Die Fühler sind pechbraun gefärbt, die lineare Geissel mit ziemlich abgeplatteten Gliedern, deren zweites um die Hälfte länger als breit und ein wenig kürzer ist als die folgenden; das letzte mit abgerundeter Spitze. Der siebente Hinterleibsring hat mitten auf der Scheibe eine tiefe runde Grube und einen gerade abgestutzten Endrand, von dessen Mitte ein ziemlich grosser pyramidaler, oben scharf gekielter Endzahn entspringt. Auf dem zweiten Bauchringe steht vor der Scheibe eine mitten sattelfrmig vertiefte Querleiste und ist dessen Endsaum mitten tief ausgerandet und dicht gelblich bewimpert. 395 des Sciences de Saint-Pétersbourg:. 386 Der O. princeps Mor. ähnlich; diese ist aber grôsser, | sonoto scutelloque minus crebre punctatis; area meta- der Hinterleib mit Ausnahme der Segmentränder schwarz gefärbt, beim Männchen die mittleren Schen- kel mit einem Zahne versehen, etc. Im Ili-Thale bei Kuldsha von Dr. Regel entdeckt. 150, melanocephala Mor. 1. c. 81. — Nordwestl. Mongolei. Potanin. — Fedtsch. fand diese Art auf dem Passe Sangy-Dshuman und am See Iskander-kul. 151. excisa n. sp. nigra, nitida, subtiliter punctata, sparsim griseo-pilosa, calcaribus pallide-testaceis; man- dibulis tridentatis, clypeo prominente, apice elevato medio profunde exciso; scopa ventrali albida. Q 6 mm. Schwarz mit scherbengelben Schiensporen. Der Kopf ist sehr spärlich greis behaart, fein und dicht panc- tirt. Die Mandibeln sind vorn abgeplattet und mit drei Zähnen bewehrt, von denen die beiden unteren scharf zugespitzt sind, der obere breit und fast ausge- randet erscheint. Der glänzende Clypeus hat ein voll- kommen glattes breites Längsfeld und ist jederseits von diesem fein und dicht punctirt; der Endrand des- selben ist stark vortretend, ein wenig nach aufwärts gerichtet und in der Mitte mit einem tiefen Ausschnitte versehen. Das glänzende Stirnschildchen ist dicht punctirt. Die Fühler sind schwarz mit unten pech- braun gefärbter Geissel. Mesonotum, Schildchen, 3rust nebst Mesopleuren glänzend, gleichmässig fein und ziemlich dicht punctirt, sehr spärlich greis be- haart. Hinterschildchen und Metathorax dichter und länger behaart, viel feiner und äusserst dicht punctirt, daher fast matt erscheinend; das Mittelfeld der hin- teren Thoraxwand glatt und glänzend. Flügelschuppen schwarz mit bräunlichem Aussenrande, die Flügel ziemlich stark getrübt, Randmal und Adern pechbraun gefärbt. Der glänzende Hinterleib ist fein, ziemlich dicht punctirt; das letzte Segment greis befilzt, die übrigen sehr spärlich behaart; die Bauchbürste ist aus weisslichen Haaren zusammengesetzt. Die schwar- zen Beine sind greis, die Innenfläche der Metatarsen rôthlichgelb behaart, die letzten Tarsenglieder rostroth gefärbt. In der Kürpergestalt der O. parvula Duf. et Perr. sehr ähnlich, von derselben aber leicht durch den eigenthümlichen Clypeus zu unterscheiden. Ordoss am Chuan-che. Prshewalsky. 152. denudata n. sp. nigra, tegulis calcaribusque testaceis, griseo-pilosa; capite thoraceque nitidis, me- Tome XXVI. thoracis media nitida; abdominis segmentis margine apicali ferrugineis; mandibulis funiculoque antennarum rubris; clypeo scutoque frontali splendidis lateribus tantum punctatis; illo ante apicem serie punctorum signato; scopa ventrali albida. Q 6 mm. Schwarz, Kopf und Thorax stärker, Abdomen schwächer glänzend; ersterer fein und dicht punctirt. Die roth gefärbten Mandibeln scheinen nur zweizäh- nig zu sein; der Endzahn ziemlich stark vorgezogen und scharf zugespitzt. Clypeus gewülbt, lebhaft glän- zend, nur an den Seiten fem und dicht punctirt, die Scheibe mit einigen vereinzelten grüberen Puncten versehen; vor dem Endrande ist eine aus sehr feinen und dicht gedrängten Pünetchen zusammengesetzte, eingegrabene Linie vorhanden; dadurch erscheint der Saum des Kopfschildes, in gewisser Richtung gescehen, schwielig aufgetrieben. Das Stirnschildchen ist wie der Clypeus sculptirt. An den rothen Fühlern ist der Schaft pechschwarz. Mesonotum, Schildehen und Brust fein und zerstreut, Mesopleuren dichter punctirt; das Mittelfeld der hinteren Thoraxwand glänzend, Die Flü- gelschuppen sind hell bräunlichgelb, das Randmal und die Adern etwas dunkler gefärbt. Der Hinterleib ist sehr fein und dicht punctirt, der Endrand der Segmente rôthlich, die Bauchbürste weiss. Die Beine sind pech- schwarz, Kniee, Spitze der Schienen und die untersten Tarsenglieder heller gefärbt, die Schiensporen scher- bengelb. — Das Exemplar ist vollständig abgerieben, nur hin und wieder ein greises Haar sichtbar. Der ©. flavicornis Mor. ähnlich, durch den abwei- chend sculptirten Kopfschild leicht zu unterscheiden. In der nordwestlichen Mongolei von Potanin ge- funden. 153. brevicornis n. sp. nigra, nitida, griseo-vestita, tegulis calcaribusque pallide-testaceis; area metatho- racis media laevi, splendida; abdominis segmentis mar- gine apicali decoloratis, dorsalibus sexto utrinque dente minuto armato, septimo rufescenti apice rotundato- producto, ventralibus secundo transversim calloso- elevato, sequentibus dense griseo-ciliatis; antennis sim- plicibus capite paullo longioribus, funiculo rufo-testa- ceo; pedibus albido-pilosis, femoribus tibisque apice tarsisque omnibus rufescentibus. 4. 7 mm. Schwarz, glänzend, dicht greis behaart. Die Man- dibeln rostroth, mit verlängertem Endzahne; das ganze 25 387 Gesicht sehr dicht silberweiss behaart. Die Fühler sind ein wenig länger als der Kopf, von einfachem Baue, der Schaft schwarz, die Geissel gelbroth gefärbt. Me- sonotum und Schildehen fein und spärlich punctirt, das Mittelfeld der hinteren Thoraxwand glatt und stark glänzend. Die Flügelschuppen sind blass scherben- gelb, die Flügelwurzel, das Randmal und die Adern der klaren Flügel gelb. Der Hinterleib ist sehr fein und dicht punctirt, mit blass entfärbten Segmenträn- dern; der sechste Hinterleibsring hat jederseits ein kleines Zähnchen und der Endsaum desselben ist blass- roth gefärbt; der siebente ist blassroth, stark vortre- tend, mit breit niedergedrücktem und zugerundetem Endrande. Der zweite stark glänzende Ventralring ist vor dem Endrande fast schwielig verdickt, die folgen- den dicht bewimpert. An den Beinen sind die Spitzen der Schenkel und Schienen, nebst allen Tarsen hell rostroth gefärbt. Der O. flavicornis Mor. sehr ähnlich; bei dieser sind aber die Fühler verhältnissmässig viel länger, Meso- uotum und Schildchen grüber und dichter punctirt, die letzten Segmente verschieden. Bei Krasnowodsk von Christof gesammelt. Xylocopa Latr. 154. valga Gerst. Stett. ent. Zeit. 1872. p. 276. — In der nordwestl. Mongolei. Potanin. — Im Tjan-Schan im Thale des unteren Kungess am Flusse Zanma. (2900/) Prshew. — Ausserdem iu Turkestan, Trans- caucasien, Mittel- und Südeuropa einheimisch. Der nordlichste mir bekannte Fundort ist Porchow im Gou- vernement Pskow. 155.nilidiventris Smith. Scientif. Results of the sec. Yarkand Mission. Hymen. 1878. p. 7. fig. 10. Wahr- scheinlich nur eine Varietät der X. Amedaei Lep. — Im Tjan-Schan am Kasch. Regel. — Am unteren Kun- gess am Flusse Zanma. Prshew. — Sonst noch bei Yarkand. 156. hellenica Spinola Ann. de la soc. ent. de France. 2° sér. 1 p. 144. — Südôstliche Mongolei. — Ordoss im Thale des Chuan-che. Prshew. — Auch in Turke- stan, der Kirgisen-Steppe, Transcaucasien, Anatolien und auf der Balkan-Halbinsel einheimisch. Colletes Latr. 157. alpinus Mor. Verb.der k. k. z0ol. bot. Ges. in Bulletin de l'Académie Empériale 3ss Wien. 1872. p. 373. — In der nordwestl. Mongoleï. Potanin. — In der Schweiz und in Tirol im Hochge- birge vorkommend. 158. Daviesanus Smith. Zool. IV.1278. — Südôst- liche Mongolei. Prshew. — Überall in der palaearcti- schen Region vorhanden. 159. balteatus Nyl. Rev. Ap. bor. p. 248. — In der nordwestl. und südüstl Mongolei von Prshew. und Potan. gesammelt. — In Sibirien, Europa und Trans- caucasien einheimisch. 160. kirgisicus Radoszk. Hor. soc. ent. ross. V, 77 t. IL. fig. 3. — In Amu-Darja-Gebiet von Dohrandt gefunden. — Auch in der Kirgisen-Steppe vorhanden. 161. caspicus Mor. Hor. soc. ent. rossic. X. p. 174. — Im Amu-Darja-Gebiete. Dohrandt. — Sonst auch in Turkestan und Transcaucasien häufig. Hylaeus Fabr. 162. dolichocephalus Mor. 1. €. 271. — Nordwestl. Mongolei. Potan. — Auch im Thale des Zerafschan und in Ferghana von Fedtsch. gesammelt. Kommt im Ge- birge bis zu einer Hühe von 11000" vor. 163. pusillus Mor. 1. c. 272. — Südüstl. Mongoleï. Prshew. — Von Fedtsch. am Syr-Darja bei Bairacum gefunden, 164. affinis Mor. 1. ce. 273.— Varicet. pronoto nigro. — Nordwestl. Mongol. Potan. — Auch in Turkestan und Transcaucasien vorkommend. 165. frontalis Mor, 1. e. 275.— Variet. Signaturis pallidis omnibus eburneis: clypeo feminae macula parva eburnea signato. — Amu-Darja-Gebiet. Dohrandt. — In Turkestan weit verbreitet. 166. communis Nyl. Rev. Ap. bor. 234. — Varict. maris: elypeo seutoque frontali totis citrinis. — Süd- üstl. Mongolei. Prshew. — In Sibirien und Europa weit verbreitet. 167. leptocephalus Mor. Hor. soc. ent. ross. VIT. p. 324,—Nordwestl. und südôstl. Mongol. Potan. Prshew. — Auch im südüstl. Russland vorkommend. 168. confusus Nyl. Rev. Ap. bor. 232.— Südôstl. Mongolei. Prshew.— Auch in Sibirien und Europa. 169. angustifrons Mor. |. c. 281.— Variet. pronoto fascia medio interrupta albida signato. — Südôstl. Mongolei. Prshew. — Im turkestanischen Gebirge bis 12300" hoch von Fedtsch. gesammelt. 170. gracilicornis Mor. Hor. soc. ent. ross. V. p.56. 389 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 390 — Variet. maris: scuto frontali flavo. — Nordwestl. Mongolei. Potan.— fn Norden Russlands und im Ober- Engadin einheimisch. 171. variegatus Fabr. Ent. $S. suppl. 265. — Amu- Darja-Gebiet, Dohrandt. — In Turkestan, Sibirien und Europa weit verbreitet. 172. Rèinki Gorski Ann. ad Ent. prov. Russ. L. p. 181. tab. 3. fig. 1. — In Tjan-Schan von Prshew. und Regel gesammelt, — In Sibirien, Nord- urd Mittel- Europa einheimisch. Zur Innervation der Speicheldrüsen von Ph. Owsjan- nikow und W. Weliky. (Lu le 1 avril 1580.) (Vorläufige Mittheilung.) Obgleich wir in den folgenden Zeiïlen nur die Haupt- resultate, die wir über die Function einiger Nerven auf die Absonderung in den Speicheldrüsen erhalten haben, niederlegen wollen, so halten wir es für zweck- mässig einige Worte zur Erläuterung der von uns ange- stellten Versuche vorauszuschicken. Wir finden dieses um so mehr angemessen, als die Wirkung der sensib- len Nerven auf die Absonderung der Submaxillardrüse noch keine Bestätigung von allen Seiten erhalten hat. 50 fanden einige Forscher, dass bei Curare-Vergiftung der Speichel von selbst, ohne Reizung der Nerven, fliesse. Was diesen Umstand anbetrifft, so haben wir auch in einzelnen Fällen eine Absonderung ohne jegliche Reizung der Nerven bei, mit Curare vergifteten Thie- ren gesehen. Es erwies sich bei näherer Untersuchung, dass fast in allen derartigen Füällen die Respiration unzureichend war. Wurden die Lungen sorgfältiger ventilirt, so sistirte die Absonderung meistens augen- blicklich. Auf diese Weise ist die selbstständige Absonderung in jenen Fällen auf Rechnung des mit Kohlensäure vergifteten Blutes und auf die Reizung der Nerven- centra durch dieses Gas zu setzen. Andererseits hat man behauptet, dass die Reizung der sensiblen Nerven keinen Einfluss auf Speichelab- sonderung hätte. In einzelnen seltenen Fällen sind uns auch solche Versuchsthiere begegnet, bei welchen wir temporär durch die Nervenreizung keinen Speichel aus den Drüsen erhalten konnten. Wir liessen uns in solchen unerwarteten Füällen nicht stôren, sondern setzten den Versuch fort. Es kam sogar vor, dass wir während einer ganzen Stunde, ja auch länger, die Pa- rotis nicht zur Arbeit bewegen konnten. Trotzdem wurde die Reizung von Zeit zu Zeit wiederholt. Schliesslich zeigten sich einige Tropfen, und einige Minuten später ging der Versuch seinen normalen Gang fort. Hüchst wahrscheinlich ist die zeitliche Ertfolg- losigkeit des Versuchs auf Rechnung der Über- curarisation der Nerven zu setzen. Zu den oben an- geführten Thatsachen müssen wir noch hinzufügen, dass die ersten Quantitäten des Speichels zuweilen etwas dickflüssig sind. Ist aber diese erste Partie ent- fernt, so fliesst der Speichel bei jeder Reizung in viel grüsserer Quantität als zu Anfang des Versuchs. Zum vollen Gelingen des Versuchs ist es ferner nôüthig kräftige, gut gefütterte Thiere zu nehmen. Endlich muss die Ansammlung des Schleimes wäh- rend des künstlichen Athmens in der Trachea verhin- dert werden. Der Versuch an der Parotis darf nicht sehr in die Länge gezogen werden: nach 3—4 Stunden werden die Resultate unsicher. Ausser den genannten Umständen welche auf diese oder jene Weise die Resultate des Versuchs modifici- ren kôünnen, scheinen noch andere vorzukommen, welche aber bis jetzt nicht hinlänglich ermittelt wer- den konnten. So schienen verschiedene Arten von Curare auf die Speichelabsonderung von Einfluss zu sein. Unter vielen von uns angestellten Versuchen ist uns ein Fall begegnet an der Parotis eines Hundes, wo aus dem Gange dieser Drüse ein continuirlicher Strom Speichels ununterbrochen eine zeitlang in grosser Quantität abfloss. Im Laufe von 2—3 Minuten war ein Glasrohr von etwa 20 Cm. ganz voll. Die Spei- chelabsonderung hôürte erst nach der ersten Nerven- reizung auf, Nun ging der Versuch seinen normalen Gang fort. Die angeführte räthselhafte Erscheinung ist um so auffallender als der Herzschlag ganz normal war, die später wiederholte Einspritzung von Curare keine Veränderung mehr in der Secretion hervorrief und das künstliche Athmen auch das Blut reichlich mit Sauerstoff versorgte. Während der Verdauung sondert sich bisweilen 25* 391 Bulletin de l’Académie Impériale 39? continuirlich eine geringere oder grôüssere Quantität | Jedenfalls waren die Thiere vollkommen bewegungslos. Speichels ab, wie schon Jaenicke bemerkt hat. Jedoch : Während der Reizung sonderte sich der Speichel all- . " jee . . | war die abgesonderte Quantität geringer als in unse- rem Falle. Jaenicke glaubt, dass die continuirliche Speichelabsonderung von der grüsseren Quantität der im Blute sich ansammelnden Kohlensäure abhängig ist. Wir kônnen dieser Anschauungsweise keineswegs beï- stimmen. Da die Inervation der Parotis bis jetzt viel weniger | als die der Maxillardrüse bekannt ist, so wenden wir ihr vor Allem unsere Aufmerksamkeit zu. Wir experi- mentirten zumeist an Hunden, machten aber auch ei- nige Versuche an Katzen. Vergiftung mit Opium oder Morphium halten wir für unzweckmässig, weil die hier oder da eintretenden Krämpfe keine positive Sicher- heit in den erhaltenen Resultaten zulassen. Noch weniger ist zu rathen die Versuche an unver- gifteten Thieren zu unternehmen, wie es Jaenicke gethan hat. Zuerst untersuchten wir diejenigen Nerven, von denen es uns bekannt war, dass bei ihrer Reizung, der Speichel sich aus der Parotis absondert. Die Reizung des R. auricolotemporalis, N. sympathi- eus, lingualis, glossopharyngeus gab uns je nachUmstän- den kleinere oder grüssere Quantitäten von Parotis- Speichel. Rklitzky untersuchte auch den N. vagus, die Resultate fielen bei ihm aber negativ aus. In allen unseren Versuchen erhielten wir bei Rei- zung des Vagus reichliche Speichelabsonderung aus dem D. stenonianus. Wir brauchen wohl kaum hinzu- zufügen dass der Vagus vom Sympathicus sorgfältig ab- getrennt, durchschnitten und das centrale Ende der Reizung ausgesetzt war. Das negative Resultat von Rklitzky ist für uns um so räthselhafter als er unter der Leitung von Prof. Nawrotzky experimentirte, der grosse Kenntnisse und reichliche Erfahrung in Untersuchungen ähnlicher Art besitzt. Es'scheint uns von grossem Interesse zu sein, dass wir auch nach Reizung der sensiblen Nerven Spei- chel aus der Parotis erhielten. So gaben uns die N. cruralis, ischiadicus und auricularis ebenfalls Speichel. Einige Schläge auf die Finger der Pfote oder nur ein Zug des ischiadicus reichten zuweilen hin um Speichelsecretion hervorzurufen. Übrigens verhalten sich nicht alle Hunde vollkom- men gleich. Manche gaben wenig, andere viel Speichel. mählich, nicht stossweise, wie zuweilen angegeben wird, ohne dass Muskelcontractionen auftraten, so dass vom Auspressen des schon gebildeten Speichels nicht im Entferntesten die Rede sein kann. Ferner gab die Parotis Speichel nach mechanischer Reizung der Magenschleimhaut und des Dünndarms, so auch nach Reizung des centralen Endes des Splanch- nicus major. Die Reizung aller oben angeführten Nerven lassen die Speicheldrüse unter der Bedingung arbeiten, dass der R. auriculotemporalis unverletzt und nicht durch- schnitten blieb. Nach Durchschneidung jenes Nerven gab die Rei- zung der übrigen keinen Speichel aus G. parotis, was schon Nawrotzky für einige derselben constatirt hat. Somit ist der R. auriculotemporalis der einzige Nerv durch dessen Fäden die Reizung auf die ge- nannte Drüse übertragen wird. Aus den angeführten Versuchen ersehen wir, dass zwischen der Inervation der G. parotis und G. sub- maxillaris kein wesentlicher Unterschied besteht. Beide Drüsen künnen in Thätigkeit versetzt werden, nicht alle durch die Geschmacksnerven, sondern auch durch eine Reïhe anderer, Was für die G. submaxillaris die Chorda ist, das ist für die Parotis der N. auricu- lotemporalis. Wenn der Blutdruck allein ohne Nerveneinfluss keine Secretion in den Speicheldrüsen hervorzurufen vermag, So ist doch eine gewisse Druckhühe nôthig damit dieselbe normal vor sich geht. So hatten wir einen Fall am Hunde, an dem wir aus der Parotis eme geringe Quantität Speichel, selbst bei Reizung der Geschmacksnerven erhalten konnten. Die Gefässe schienen über ihre normale Grüsse erweitert zu sein. Wir unterbanden die Bauchaorta und prüften die Nerven von neuem. Dabei gaben nicht die N. lingua- lis, glossopharyngeus, sondern auch der Vagus und Ischiadieus viel grüssere Quantitäten, wie zu Anfang des Versuchs, als die Aorta noch nicht unterbunden war. Es steht bis jetzt ziemlich fest, dass die electrische Reizung gewisser Stellen der Grosshirnrinde die Spei- chelsecretion aus der G. sabmaxillaris hervorruft. Wir haben diese Versuche an curarisirten Hunden einige 393 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 394 Mal wiederholt. Sobald aber die Hirnrinde allein und oberflächlich mit mässig starkem Strome gereizt wurde, haben wir nie, weder eine Erhühung des Blutdruckes noch Speichelabsonderung wahrnebmen künnen. Wa- ren die Electroden tief ins Gehirn eingestochen und die Strome sehr stark, dann freilich zeigten sich beide Erscheinungen zugleich; für unseren Versuch aber kônnen sie von gar keiner Bedeutung sein, weil in diesem Falle die Empfindungsnerven oder ihre Cen- tren unwillkürlich in den Bereich der Reïizung hinein- gezogen Waren. Jeder mechanische Druck aufs Gehirn kann sich ebenfalls bis zu den Empfindungsnerven fortpflanzen und die Veränderung des Blutdruckes wie auch die Speichelsecretion hervorrufen. So haben wir durch den Druck eines Schwammes aufs Gehirn jene Erscheinungen hervorgerufen. Diese Thatsachen geben unserer Anschauung, dass die Speichelsecretion, wenn dieselbe durch Reizung der Hirnrinde erzielt wird, nicht auf Rechnung der- selben, sondern auf die der sensiblen Nerven zu setzen ist, eine neue Stütze. Obgleich wir in dieser unserer vorläufigen Mitthei- lung weder unsere Protocolle über die von uns ausge- stellten Versuche vorzulegen, noch eingehend die Li- teratur anzuführen die Absicht hatten, so schien uns die Arbeit von Ad. Jaenicke in Künigsberg von so hohem Interesse, dass wir es für unsere Pflicht hiel- ten uns Jetzt schon über einige von dem Autor festge- stellte Thatsachen auszusprechen. Unsere Versuche bestätigen gleichfalls, dass bei gut gefütterten Thie- ren, bald nach der Fütterung, der Speichel aus der Parotis continuirlich abgesondert wird. Jedoch glau- ben wir dass hier andere Umstände obwalten als ein etwas grüsserer Gehalt von Kohlensäure im Blute, wor- auf Dr. Jaenicke so grosses Gewicht zu legen scheint. Bei unseren Versuchen haben wir immer mit künst- lichem Athmen gearbeitet; die Lungen wurden sorg- fältig ventilirt, trotzdem beobachteten wir häufig eine continuirliche Speichelabsonderung der Parotis. Der Gedanke dass während der Verdauung die Absonde- rungscentra der Parotis ebenfalls zur Thätigkeit ange- regt werden, liegt viel näher. Diesen Gedanken glaubt Jaenicke durch negative Resultate, welche die Durch- schneidung desS ympathicus gaben, beseitigt zu haben. Unserer Meinung nach konnte die Durchschneidung des Halssympathicus keine andere Resultate geben, als die, welche der Autor erhalten hat. Die Leitung von der Magen- und Darmschleimhaut geht zu den Speichel- und Gefässcentra nicht durch den Halssympathicus, son- dern durch den Vagus und Splanchnicus, was von uns früher für G{, submaæillaris und jetzt für G{. Parotis festgestellt wurde. Die Untersuchungen von Jaenicke bieten noch in sofern Interesse, weil er neben der Speichel- absonderung den Blutdruck untersucht hat, um die Absonderung in der Parotis mit dem Blutdruck in Zusammenhang zu bringen. Dass die Absonderung der Speicheldrüsen in gewisser Abhängigkeit von dem Blutdrucke steht, ist eine uns bekannte Thatsache, wir kônnen aber dem Autor nicht beistimmen, wenn er z. B. die Wirkung der sensiblen Nerven auf die Speichelabsonderung allein durch erhühteren Blutdruck zu erklären glaubt. Bei dieser Erklärung hat der Au- tor eine schon früher festgestellte Thatsache ausser Acht gelassen, dass die Reizung der sensiblen Nerven wirkungslos bleibt, wenn die Chorda durchschnitten ist. (Owsjannikow und Tschiriew.) Auf andere Theile der Untersuchung, z. B. auf die depressorische Wirkung des Vagus, werden wir später Gelegenheit haben näher einzugehen. In unserer eben vorgelegten Arbeit haben wir mit starken Stromen gearbeitet, und für uns ist daher der Vagus ein Absonderungsnerv. Wir wollen noch einige unserer Resultate anführen. Nach Ausreissung des N. glossopharyngeus, gleich bei seinem Austreten aus dem Æ. jugulare, haben wir kei- uen Speichel aus der Parotis erhalten künnen, weder bei Reizung des Lingualis noch der Empfindungsner- ven. Die Reizung des peripherischen Endes des N. glossopharyngeus in der Schädelhôhle gab uns hinge- gen eine deutliche Absonderung aus jener Drüse. An der Hand der eben angeführten Versuche glauben wir annehmen zu kôünnen, dass die in dem N. auriculo-tem- poralis enthaltenen Secretionsfasern für die Parotis aus dem N. glossopharyngeus ihren Ursprung nehmen. Ei- nige Forscher fanden an der G{. submaxillaris das Gang. submaxillare nicht. Wir haben dasselbe immer gefunden. Ein grüsseres Ganglion, freilich zuweilen aus mehreren Knoten bestehend, findet sich an der Verschmelzungsstelle der Chorda mit dem AN. lingua- lis in ziemlicher Entfernung von den Drüsen. Ausser- dem finden sich kleinere Ganglien in sehr grosser An- zahl, die am Eingange der Chorda in die Drüsensub- 395 Bulletin de l’Académie Impériale 396 —— stanz liegen. Auf diese Weise scheinen die Chorda- fasern eine zweifache Verbindung mit den Nervenzellen einzugehen. Die Nervenzellen gehôren ihrem histolo- gischen Character nach dem vasomotorischen System an. Die Chorda vor oder hinter dem oberen Ganglion submacril- lare erhält, sind nicht wesentlich verschieden. Das G. submaxillare künnen wir keineswegs als Nervencen- trum, von dem die Arbeit in der Drüse in irgend wel- cher Abhängigkeit stehen würde, ansehen. Über mediterrane Crustaceen aus den Gattungen: Ste- norhynchus, Achaeus, Inachus, Herbstia und Pisa, unter Benutzung von Materialien des Dr. R. A. Phi- lippi. Von Alexander Brandt. (Lu le 29 avril 1880.) Vor seiner Übersiedelung nach America überliess der rühmlichst bekannte Zoolog Dr. Philippi eme grosse, von ihm an den Küsten Italiens zusammenge- brachte Crustaceensammlung dem Zoologischen Mu- seum der Petersburger Akademie. In einem aus Karls- hütte vom 14. Jan. 1851 datirten, an den nunmebr verstorbenen Director des Museums, meinen Vater, serichteten Schreiben offerirte er, als Zugabe zur Sammlung, auch seine zugehôrigen, an Ort und Stelle gemachten Beschreibungen und Originalzeichnungen, mit der Bitte damit, nach Belieben, frei zu schalten und walten. Obgleich noch aus den Jahren 1838 und 1839 stammend, bieten die Philippischen Aufzeichnun- gen noch heutzutage, namentlich in Bezug auf niedere Crustaceen, vieles noch nicht durch den Druck Be- kanntgewordene. Es ist daher sehr zu bedauern, dass dieselben drei Decennien lang unverwerthet blieben. Erst vor ein Paar Jahren machten sich mein Freund Wold. Czernjawsky und ich an das Philippische Manuscript, in der Absicht es unter Benutzung der Originalexemplare in extenso gemeinsam zu ediren. Gegenwärtig sehen wir uns jedoch, leider, genüthigt dieses Vorhaben aufzugeben und uns auf eine gelegent- liche Verüffentlichung einzelner Fragmente aus dem Manuscript zu beschränken. Als solches ist der gegen- wärtige kleine Aufsatz anzusehen, welcher ursprüng- lich dazu bestimmt war den Anfang der zusanmenhän- genden Bearbeitung des Ganzen zu bilden. Ein weite- tesultate, die man bei der Reizung der res Fragment wird demnächst Czernjawsky in seinen «Miscellanea carcinologica», im Bulletin de la Soc. Imp. d. Natur. de Moscou, zum Abdruck bringen. In Bezug auf die Bearbeitung des vorliegenden Fragmentes genügt es zu erwähnen, dass dasselbe sich nur zum Theil genauer dem Manuscript resp. den No- tizen von Philippi anschliesst, im Übrigen aber frei bearbeitet wurde. Von den beigefügten Holzschnitten sind die der Fig. XV und XVII nach Philippi’schen, die übrigen nach eigenen Zeichnungen angefertigt. Gen. 1. Stenorhynchus. S. longirostris F. Die typischen Exemplare sind leicht kenntlich durch ihr langes, den Stiel der äusseren Antennen überra- gendes Rostrum, sowie einige Stacheln an der unteren Fliche des Antennenstiels. An den Vorderbeinen en- den Femur und Tibia mit spitzen, langen Dornen, wo- bei die Tibia auch oben, am basalen Ende, einen kräf- tigen Dorn trägt. «Klauenglied des letzten Fusses kaum halb so lang als der Tarsus». (Ph.) Zahlreiche Exemplare wurden von Philippi m Neapel und eines in Palermo erhalten. S. phalangium Penn. Rostrum absolut und relativ kürzer, als bei S. lon- girostris; es erreicht nicht die Länge des äussern An- tennenstiels. An letzterem vermisst man jegliche Sta- cheln. Die Stacheln des vorderen Fusspaares zeigen eine geringere Ausbildung; statt des bei $: longirostris an der Tibia vorhandenen basalen Stachels, findet sich nur ein unbedeutendes Hôckerchen. Das Krallenglied des letzten Fusspaares bietet nach Philippi etwa ‘; der Länge des Tarsus. Abgesehen von dem kürzeren Rostrum, stehen die grüssten Exemplare dieser Art an Grüsse denen von $. longirostris nicht nach. Auch in der Gestalt des Cephalothorax beider Arten finde ich, beim Vergleich von Exemplaren desselben Ge- schlechtes und derselben Grüsse, keine erheblichen Unterschiede. Nach Heller (Die Crust. p.25) zu ur- theilen, hätten von den in nôrdlichen Meeren vorkom- menden Stenorhynchen die dem S. phalangium ange- hôrigen Individuen einen weniger verschmächtigten Kürper, an welchem namentlich der halsartig einge- schnürte Theil hinter den Augen weniger verlängert ist. Die im Mittelmeere vorkommende Varietät von 397 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 39s TT S. phalangium ($. inermis Heller olim) schliesst sich jedoch gestaltlich dem #. longirostris an. Zwischen der mehr gedrungenen nürdlichen und der schlanken südlichen Form fand der genannte Verfasser Über- gänge. — Bei einem jungen, aus Neapel stammenden Stenorhynehus-Weïbehen von nur 14 Mm. Totallänge finde ich das Rostrum wie bei S. phalangium beschaf- fen, während alte übrigen Merkmale entschieden für S. longirostris sprechen. Als besondere, dritte Mittelmeerart wurde von Mil- ne-Edwards nach dem Savigny’schen Atlas (ob auch nach den Originalexemplaren ?) ein S. aegyptius aufgestellt. In der bekanntlich von Audouin besorg- ten Tafelerklärung zur «Deser. de l'Egypte» ist die Ab- bildung als zu S. phalangium gehôrig gedeutet. 5. aegyptius hält gewissermaassen die Mitte zwischen beiden oben besprochenen Arten. Mit S. longirostris theilt er die 4 Stacheln am Epistom, sowie auch die Stacheln am PBasalglied des äussern Antennenstiels; während das kürzere Rostrum zu S. phalangium hin- neigt. Die beiden vorderen Hückerchen auf der Gas- tricalgegend sollen sich bei $. aegyptius fast berühren. Es dürften diese Hückerchen übrigens nicht mit jenen äusseren Gastricalstacheln identisch sein, welche im Gemeinschaft mit dem mittleren ein gleichschenkeliges Dreieck bilden, sondern überzählige sein, wie ich sie an einzelnen Philippi’schen Exemplaren des S. lon- girostris, zum Theil in Begleitung von ferneren, unre- gelmässig gestellten Hückerchen wiederfinde; die grüs- seren seitlichen Gastricalstacheln scheinen auf der Sa- vigny’schen Figur blos undeutlich gezeichnet zu sem”). Mithin blieben die von Edwards erwähnten zwei oder drei Stacheln am Aussenrande des dritten Gliedes der äusseren Kieferfüsse als emziges Unterscheidungsmerk- mal des S. aegyptius von den beiden übrigen Arten be- stehen. S. Czernjawskii n. sp. S. longirostris Czern. Mater. ad Zoographiam pont. compar. p. 77. Distinguitur a $. longirostri, cui valde affinis, statura minore, rostro stipitem antennarum externarum non 1) Bei dem obenerwähnten 14 Mn. langen jungen Weibchen von S. longirostris findet sich vor dem mittleren Gastricalstachel, gleich- falls in der Mittellinie des Kôrpers, ein aus zwei Theilen verschmol- zenes Hückerchen. superante, spinis relative fortioribus, in setas productis et, in feminis, postabdomine scabro, spinoso. Die vier ersten Exemplare, lauter Weïbchen von cirea nur 14 Mmn. Länge, wurden von Czernjawsky in den J.1867 und 1869 in Jalta gesammelt und be- finden sich im Besitz unseres Museums. Ein fünftes, männliches Exemplar stammt von M. Ussow aus Se- wastopol (1876) und ist Eigenthum der Petersburger Universitätssammlung. Es ist noch Kkleiner als die weiblichen, indem es bei derselben Totallänge ein be- deutend lingeres Rostrum besitzt. Schliesslieh lag mir noch ein sechstes Exemplar, ein gleichfalls ans Sewas- topol, und zwar von Herzenstein und Tararykow im J. 1875 mitgebrachtes junges, nur 8 Mm. grosses Männechen, zur Untersuchung vor. — Indem Czer- njawsky die weiblichen Exemplare zu $. longirostris stellte, hob er nichts desto weniger mit Recht deren verkürztes Rostrum hervor. Ein solches bemerkte er übrigens auch an der dritten Figur von Bell (Brit. Stalk-eyed. Crust. p. 6), bei einem Weiïbchen des 8. tenuirostris Leach, welch letztere Form allgemein als identisch mit $. longirostris betrachtet wird. (Weiï- ter oben gedachte ich bereits eines aus Neapel stam- menden kleinen Weibchen von #. longirostris, gleich- falls mit kurzem Rostrum). Bei dem kleineren Männ- chen aus Sewastopol wird das Rostrum annähernd von der Hälfte des dritten Antennengliedes überragt, während bei dem grüsseren ebendaher stammenden der äussere Antennenstiels und das Rostrum gleich weit nach vorne ragen, Von den vier krymschen Weibchen ist bei dreien das Rostrum kürzer als der Antennen- stiel, bei dem vierten demselben gleich. Aus dem hier über die Dimensionen des Rostrums bei $. longirostris aus Italien und den krymschen Stenorhynchen Gesag- ten dürfte zu folgern sein, erstens, dass das Rostrum bedeutend an Länge variirt, und zweitens, dass es häufi- ger bei kleineren Exemplaren weniger entwickelt ist. Letzteres gilt auch für die sich vom Jugendtypus, dem allgemeinen Naturgesetze nach, weniger entfernenden Weibchen. Beschreibung der beiden Männchen. — Alle Stacheln des Cephalothorax stärker entwickelt, als bei oleichgrossen Mittelmeerexemplaren des $. longirostris, in Borsten auslaufend; drei verhältnissmässig enorme Stacheln am basalen Gliede des Antennenstiels. Ferner 399 nur beïn grüsseren Exemplar mehrere kleinere Sta- cheln untern Fläche und 3 Gliedes der äussern Kieferfüsse. Bei entsprechend grossen Exemplaren von $. longirostris fehlen sie und künnen selbst bei ausgewachsenen Exemplaren durch stumpfe Hückerchen ersetzt sein. Finger, wie bei den jünge- ren Exemplaren von #8. longirostris, nicht klaffend. Die beiden Stacheln an der Tibia und der Stachel am Femur wie bei $. longirostris, doch in mehrere Bor- sten auslaufend. Klauenglied des 5 Fusspaares beim grôüsseren Exemplar !,, beim kleineren *, des vorher- sgehenden Gliedes. an der des 2 Beschreibung der vier Weibchen. — Kür- per plump, kurzhalsig, rauh, Stacheln stärker mar- kirt als bei den entsprechenden Exemplaren von S. longirostris und phalangium, mit Borsten versehen. Postabdomen sehr rauh, ja stachelig. Feine Stachel- reihe an der unteren Fläche der äusseren Kieferfüsse vorhanden. Von den drei Stacheln der Vorderbeine ist der femorale bei allen gut ausgeprägt, von den übrigen sind bald beide, bald (wie bei S. phalangium) our der untere ausgebildet. Diese Stacheln laufen in Borsten aus. Das Klauenglied des 5 Fusspaares er- reicht annähernd die Hälfte des vorletzten Gliedes. — Sämmtliche vier Exemplare tragen zahlreiche Eier, ein Umstand, welcher mit einiger Wahrschemlchkeit dafür spricht, dass sie wenigstens annähernd ausge- wachsen sein dürften. Mit ungefähr demselben Rechte wie die drei weiter oben angeführten, wohl auch nur in ihren typischen Exemplaren unterscheidbaren Arten, dürfte, den er- wähnten Merkmalen nach, auch die pontische als eme besondere vierte Art gelten künnen. Gen, 2. Achaeus. A. Cranchii Leach*). Diese im Mittelmeere seltene Art wurde, soweit dies Heller bis zum J. 1863 bekannt geworden. nur im Adriatischen Meere, ferner im Golfe von Ta- ranto und gelegentlich an der afrikanischen Küste ge- 2) Costa führt diese Crustacee auf S. 22 seiner Fauna auf, Es ist ohne Frage ein lapsus calami, wenn Heller (p. 27) statt dessen Seite 25, Taf. 3, Fig. 1 citirt. Das von Costa auf der genannten Seite und Tafel (Fig. 1, À, wohl in vergrüssertem, b im natürlichen Maasstabe) anter dem Namen Macropodia gracilis n. sp. abgebildete Thier hat mit Achaeus nichts gemein. Bulletin de l’Académie Impériale 4100 fischt. Als weiterer Fundort wäre Neapel nachzutra- gen, woselbst Philippi zwei im Petersburger Museum aufbewahrte männliche Exemplare fing. Ich gebe hier die Beschreïbung des grüsseren Exem- plares fast wôrtlich nach den Aufzeichnungen von Philippi. Das Thier ist ganz blassbraun von Farbe, das Kopf- bruststück um ein weniges dunkler und rôther. Seine Länge beträgt 314" (12 Mm.), seine grüsste Breite 214" (8 Mm.). Der Schnabel ist schr kurz und be- steht aus zwei Zähnen, die nicht bis ans Ende des zweiten Gliedes der äussern Fühler reichen und sich nach hinten gleichsam in zwei erhabene Limien verlän- gern. Die Wülste der Orbita streben stark hervor. Unmittelbar hinter ihnen ist das Kopfbruststück etwas eingezogen; darauf erweitert es sich jederseits in emen starken Hôcker. Die hintere Hälfte des Kopf- bruststückes ist regelmässig abgerundet. Die allge- meine (restalt desselben ist übrigens mehr dreieckig und keineswegs «presque globuleuse» zu nennen, wie es bei Demarest heisst. Ein emziger grosser, ovaler Hôcker bildet die Magen- und Genitalgegend, ein kleiner, spitzer die Herzgegend; die Branchialgegenden sind stark angeschwollen. (Bei dem kleineren 8 Mm. langen und 6 Mn. breiten Exemplar unterscheidet ein kleiner Absatz die Genitalgegend etwas von der Magengegend). Die äusseren Fühler sind von ?/, , der Kôrperlänge; ihr Stiel nimmt davon mehr als ein Drittel ein. Die Fühler sind behaart. Die Augenstiele erscheinen lang und dünn, fast in der Mitte mit einem nach vorn und unten gerichteten Hücker versehen. Die Augen selbst sind wenig dicker als ihr Stiel, roth. Die Schee- ren sind ziemlich stark, denen von Stenorhynchus ähn- lich, mit dem das Thier auch sonst übereinstimmt; das Femur abgerundet und dreikantig, der Carpus halb so lang, beinahe kegelformig, die Hand fast drei Mal so lang. Die Finger berühren sich nur mit der letzten Hälfte der Schneide, sind weisslich mit braunen Rin- gen. Am zweiten, dem längsten der Fusspaare neh- men Tibia und'Tarsus etwas mehr als den dritten Theil der Länge ein. Das dritte Fusspaar ist erheblich kür- zer als das vorhergehende. Es ist das dünnste von al- len, sein Nagelglied ist schwach gekrümmt, dabei aber noch stielrund. Das vierte und fünfte Fusspaar sind beinahe ganz gleich, mit einem stark zusammenge- drückten und gebogenen, vollkommen sichelfürmigen 401 Nagelglied versehen, welches innen grob gesäist und am Aussenrande mit rothbraunen Punkten besetzt ist. Be- haarung: das Kopfbruststück und die Hände sind mit hakenfürmigen Haaren, Carpus und Bachium, so- wie die übrigen Füsse (mit Aussnahme der sichelür- migen Nagelglieder), mit langen, geraden Haaren be- setzt. Gen. 3. Inachus. I. scorpio F. var. lata Czern. in litt. I. latus Philippi in manuscr. I. mauritanicus Lucas (Expl. Algérie p. 6, Taf. D). Stimmt, was die Seulptur des Kopfbruststückes an- betrifft, ganz mit Z. scorpio überein. Die für die letzt- genannte Art characteristischen vier, in einer Quer- linie auf der Magengegend stehenden Hückerchen sind vorhanden ; desgleichen der starke Dorn auf den Ge- nital- und der auf der Cardiacalgegend. Von den bei- den Dornen auf der Branchialgegend ist der vordere, kleincre weniger entwickelt, bei manchen Exemplaren auf einer oder auf beiden Seiten obsolet. Die Scheeren erreichen auch bei den Männchen nicht ganz die Kür- perlänge, sind bei den kleineren Exemplaren zum Theil selbst dünner, bei den grüsseren nicht viel dicker als das zweite Fusspaar, unbewehrt oder nur mit Spuren von feinen Stachelhückerchen an ihrem Aussenrande. Das zweite Fusspaar ist viel dicker, ja beimahe doppelt so dick als die folgenden. Von den typischen Exemplaren des Z. scorpio un- terscheidet sich unsere Varietät: 1) durch die grüs- sere Breite des Cephalothorax, die dessen Länge über- trifit, statt nur etwa *, derselben zu betragen; 2) durch die dünnen, unbewehrten oder so gut wie unbewehrteh Scheeren, welche bei Z. scorpio dick und, namentlich auf der inneren Seite des Carpus, mit Dornen besetzt sind. Fundort : Neapel. Maasse des grüssten Männchens: Cephalotho- rax 20 Mn. lang, 24 Mn. breit; Schecren 16,5 Mn. lang, 4,5 Mm. breit. Als Mittelform zwischen der hier beschrichenen Varietät und der typischen Form betrachte ich ein gleichfalls von Philippi aus Neapel stammendes männ- liches Exemplar, dessen Cephalothorax 21 Mm. lang und bloss 22 Mm. breit ist, dessen Scheeren 9,5 Mn. dick und 23 Mm. lang sind. Tome XX VI. des Sciences de Saint-Pétersbourg. ÉR RP EP r A ERREtS 402 Sechs von Grohmann vom Mittelmeere (Sicilien?) eingesandte Exemplare zeigen im Allgemeinen gleich- falls ein geringes Überwiegen der Breite über die Länge; nur bei dem kleinsten, einem Weibchen, sind beide Dimensionen gleich (13 Mm.). Die Scheeren va- riüren, unabhängig von Geschlecht und Grüsse, bedeu- tend ; sind im Allgemeinen jedoch dünn, wie die der var. lata ; nichts desto weniger hat eines der Männchen viel dickere (7 Mm. breite) Scheeren; abermals eine Hin- veigung zu der typischen Form. Die Grohmann’schen Exemplare besitzen sämmtlich unbewehrte Schecren. Die beiden auf der Mittellinie des Cephalothorax sit- zenden und der jederseitige hintere Stachel der Bran- chialgegenden sind bei den meisten Exemplaren über- aus lang. Nicht uninteressant für die Kenntniss der Variatio- nen des Z. scorpio ist auch X 125 des Museumscata- logs, ein aus Neapel von Philippi stammendes Männ- chen. Seine Länge (21 Mm.) pracvalirt beträchtlich über die Breite (17 Mm.); die Vorderfüsse sind 40 Mm. lang, mit feinen Stacheln besetzt, in ihren eim- zelnen Theilen ziemlich aufgetrieben; die Scheeren 6 Mn. breit. Von den vier in einer Reihe aufgcpflanzten kleinen Hückern der Gastricalgegend sind die beiden mittleren einander genähert, die äusseren bedeutend von ihnen entfernt. Der vordere Branchialstachel ist obsolet, der hintere, desgleichen der grosse unpaare Gastrical- and der Cardiacalstachel, um so grüsser und stürker. M 126 ist ein von mir aus Neapel mitgebrach- tes, weibliches Exemplar, welches mit der Varictas lata übereinstimmt. Von Algier besitzt unser Museum 4 von den Herrn S. Ssolsky und Akad. Strauch stammende männliche Exemplare des Z. scorpio (K 127—150). Sie stimmen mit der von Lucas als Z. mauritanicus beschriebenen Varietät überein, varüren in der Länge und Dicke der Vorderfüsse und stimmen in Form und Proportionen des Cephalothorax und, wie es scheint, auch in allen übrigen Beziehungen mit I. latus Ph. überein. Als allgemeines Resultat ergeben sich für den Z. scorpio bedeutende Variationen im Verhältniss zwi- schen Länge und Breite des Cephalothorax, in den Di- mensionen des vorderen Fusspaares, dem Stachelbesatz an Cephalothorax und Vorderbeinen. Eine germge An- zahl extremer Exemplare künnte leicht zur Aufstellung mehrerer Arten verleiten. 26 403 I. dorynchus Leach. Die neun von Philippi-aus Neapel gebrachten männlichen und weiblichen, zwischen 9 und 21 Mm. Kürperlänge schwankenden Exemplare stimmen im Gawzen sehr gut mit den Beschreibungen von Leach, Desmarest und Heller überein, nur ist der spiess- fürmige, an der Spitze kaum geschlitzte Schnabel an seinem Vorderende theils mehr, theiis weniger aufwärts- gekrümmt. Der mittlere Stachel der Magengegend ist kräftig entwickelt, im Übrigen zeigt sich der Cepha- lothorax, statt der Stacheln, mit Hôckern versehen. Nur bei einem der Exemplare sind die beiden paarigen Gastricalstacheln merklich zugespitzt. Die Farbe war, nach Philippi, rothbraun, mit schrägen weissen Strei- fen zu den Seiten des Kopfbruststücks. Die Abbildun- gen von Leach und Desmarest sind einformig gelb- braun colorirt. I. thoracicus Roux. Das Männchen dieser Art ist, wie bekannt, sehr leicht kenntlich an der dreilappigen, mit einer centra- len Protuberanz versehenen, gewissermaassen an Ge- sässschwielen erinnernden kahlen Kalkplatte am Ster- num. Wie schon aus den Abbildungen von Roux (Taf. 26 u. 27) hervorgeht, ändern die Proportionen des Cephalothorax nach Alter und Geschlecht bedeu- tend ab. Namentlich zeichnen sich die grüsseren Männchen durch ihre schmächtigere Gestalt aus. Auch individuelle, vielleicht auch locale Variationen in der Kürperform kommen vor. Drei männliche Exemplare des Museums aus dem Mittelmeer von Dupont und eines speciell aus Neapel von Philippi zeigen, obgleich annähernd von derselben Grüsse wie das Erwachsene von Roux abgebildete, statt einer herzformigen, eine langgezogene dreieckige Gestalt mit mehr concaven Seitenschenkeln. «Der Schnabel endet vorn mit zwei divergirenden breiten Spitzen, genau wie bei I. scorpio» schreibt Philippi, und, nach Maassgabe der mir vor- liegenden Exemplare und Abbildungen, gewiss mit Recht. Milne Edwards bezeichnet das Rostrum von L.thoracicus als «court et échancré», das von Z. scorpio als darge, très-court et profondement échancré au milieu», während Heller das Rostrum von Z. {horaci- cus nach vorn viel weniger ausgeschnitten wie bei Z. scorpio, daher die beiden Rostralzähnchen auch sehr | klein sem lässt. Wir ersehen hieraus, dass die Bildung Bulletin de l’Académie Impériale 404 des Rostrums kein constantes Unterscheidungsmerk- mal abgiebt. Âhnlich steht es offenbar auch mit den Stacheln am Cephalothorax. An den Roux’schen Ori- ginalexemplaren besass die regio gastrica vor dem grossen unpaaren hinteren Stachel drei kleine, wäh- rend Heller nur zwei angicbt, eine Zahl, welche auch die mir vorliegenden Exemplare zur Schau tragen: der mittlere fehlt. Dafür sind aber die beiden seitlichen an den grossen Exemplaren keineswegs obsolet (Roux), sondern gut entwickelt. Unansehnlich erschienen sie nur bei einem in Oran von Lucas erbeuteten und vom Pariser Museum eingesandten kleineren, 20 Mm. lan- gen Weibchen und noch kleineren Männchen und Weib- chen von Philippi aus Neapel. Von den drei Stacheln jJeder Branchialgegend ist bei allen zum Vergleich vor- liegenden Exemplaren nur der mittlere gross, während die beiden übrigen, besonders der vordere, an einzel- nen, namentlich jungen Exemplaren bis zum Ver- schwinden klein sein kann. Gen. 4. Herbstia. H. condyliata Herbst (M. Edw.). Si _ \ A2 D ARE) f f il ns / 37 À 19 in sr Aa à » 2 CAES < N + à LS —_.——. . __ . "(0 / > / IL. LA V F À im > la A) ( 1 0° ges 2 ÿ . _ No 2% = __— TR , RS TT: “ LT j } : WU : / LA] ) pu (a < pa FN ï Ps 5 Pr (ET u ne CS / ÉD ‘ IV. V Fig. [1 — V. Herbstia condyliata. Sämmtliche separat darge- | stellte Hände sind linke, von der äussern Fläche in natürl. Grüsse abgebildete. I. Hand eines typischen, 57 Mm. langen Männchens, | II u. HT. desgleichen von 50 Mm. langen männlichen Exemplaren. IV. Hand eines 37 Min. langen, vom Akad. Strauch aus Algier mit- gebrachten Männchens. V. Hand eines 36 Mm. langen Männchens (Mittelmeer, Christofori). . 405 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 406 Die betreffenden Thiere, 14 an der Zahl, wurden von Philippi nach dem Vorgange einigen älteren For- scher dem Genus Mithrax eingereiht, ein Verfahren, welches gewiss nicht gerügt zu werden verdient, weist doch der Autor des Gen. Herbstia, M. Edwards, bei Veranlassung seines Mithrax triangularis auf dessen ge- staltliche Âhnlichkeit mit der Herbstia hin und ist doch das Hauptmerkmal des Mithrax, die loffelfor- mige Aushôhlung der Schecrenfinger, wenigstens in schwächerem Maasse, auch bei den grüsseren Exem- plaren der hier zu besprechenden Philipprschen Originalstücke vorhanden. Wohl aus Mangel an litte- rarischen Hülfsmitteln, während der Untersuchung , schrieb unser Forscher diese Exemplare einer neuen Art M. corallinus zu. Ich lasse hier die Beschreibung Philippis, mit re- dactionellen Abänderungen und manchen Ergänzun- gen, folgen. — Die Gestalt des Kopfbruststückes steht zwischen eirund und dreieckig in der Mitte. Zwischen dem letzten Fusspaar ist es merklich vorge- zogen, und mit drei bis fünf Spitzen besetzt, welche, von hinten betrachtet, zusammen das Ansehen einer kurzen, transversalen Crista bieten. Vorn läuft das Kopfbruststück als Rostrum in zwei kurze Zacken oder Dornen aus. Dahinter steht jederseits vorne am obe- ren Rande der Orbita ein ähnlich gestalteter, kleine- rer; unter letzterem, am unteren Rande der Orbita ein stärkerer, namentlich längerer und spitzerer Dorn, aus dessen innerem Winkel die äussern Fühlhôrner entspringen, Die hintere Hälfte des Orbitalrandes hat drei Zähnchen, von denen der mittlere der stärkere ist, und bietet oben 2, unten 1 Spalte zwischen diesen und den benachbarten Dornen. An den Seitenrändern der Carapax zühlt man je vier Hauptdornen von sehr mässiger Länge. (Ihnen schliesst sich als fünfter der bereits erwähnte mittlere Dorn am hinteren Orbital- rande an). Die verschiedenen Regionen des Cepha- lothorax sind deutlich abgesetzt. Die Magengegend hat vier Hôücker, drei vordere, in einer Reïhe stehende und einen hinteren. Die sogen. Genitalgegend bietet bei den grüsseren Exemplaren einen wohl ausgebilde- ten, nach Form und Dimensionen übrigens variablen Hôcker. Noch variabler ist die Behückerung der Car- diacalgegend. Bald fehlt sie ganz, bald wird sie von einem einzigen centralen, bald von mehreren unregel- mässig gehäuften oder in einem Kranze stehenden Hôckern gebildet. Diese Hücker sind bei einzelnen Exemplaren nur schwach angedeutet. Der Stachel- reihe auf der Intestinalgegend wurde bereits oben ge- dacht. Über die Branchialgegenden sind bei den Weibchen mehrere, bei den Männchen viele verschie- den grosse Stachelhücker ausgestreut. Die Regiones pterygostomiales und branchiales inferiores sind mit zahlreichen spitzen Dornen bewehrt. Der Hinterleib bictet in beiden Geschlechtern sieben Glieder, Von diesen ist beim Männchen das erste sehr schmal und kurz, das sechste das längste. Beim Weibchen ist das erste Glied ähnlich wie beim Männchen beschaffen, während die übrigen zusammengenommen eine beinahe kreisfürmige Platte bilden. So bei den grosseren Exem- plaren; während bei einem 35 Mn. langem Jüngeren Weibchen die Form des Postabdomens elliptisch er- scheint. Die äussern Fühler entspringen aus dem Winkel des unteren Dorns der Augenhôhle, bei den grüssten Exemplaren etwa 2 Mm. von dem vorderen Orbitalrande entfernt. Das erste Glied derselben ist klein und in ihrer Gelenkhühle versteckt, die beiden andern sind gleich lang und reichen kaum bis an die Schnabelspitzen. Die Geissel ist sehr kurz. Die inne- ren Fühler und die äusseren Kaufüsse bieten nichts Bemerkenswerthes. Das vordere Fusspaar hat ein cylndrisch-dreikantiges, auf der innern und äussern Seite dicht mit rundlichen Hôckern besetztes Femur. Die Tibia ist nahezu kugelformig, ebenfalls mit Hôckern besetzt, die Hand so lang als die beiden vorherge- henden Glieder zusammengenommen, comprimirt, aber mit abgerundeten Kanten, von denen die obere eben- falls Hôcker trägt. Die Finger nehmen *; der Hand- länge ein. Die ganze Oberfläche des Kôrpers ist mit dichten kurzen Borsten besetzt, welche auf den Füs- sen etwas entfernter stehen und stärker sind. Ihre Färbung ist eine schwarze, weshalb die eigentlich rothe Farbe des Thieres am Kürper als ein ziemlich dunkles Rothbraun erscheint. Die Dimensionen der männlichen Exemplare über- treffen die der weiblichen. Maasse des grüssten Männchens: Länge des Cephalothorax 57 Mm., Breite desselben 45, Länge der vorderen Füsse 100, Länge der Hand 48, Breite derselben 15. Maasse des grôüssten Weibchens: Länge des Cephalothorax 45 Mn., Breite desselben 35, Länge der vorderen Füsse 47, Länge der Hand 20, Breite derselben 5 Mm. Wie 26* 407 der Vergleich der Weïbchen mit einem ungefähr gleich- erossen von Akad. Strauch aus Algier mitgebrachten jüngeren Männehen lehrt, bietet die Gestalt des Kopf- bruststückes keine von der Grüsse unabhängigen sexu- ellen Verschiedenheiten. Auch die schwächere Ent- wicklung und das theilweise Fehlen der Stacheln benm Weibchen findet sich bei den jüngeren Männchen. Ausser dem bereits hervorgehobenen Unterschiede in der Form des Postabdomens, differiren in beiden Ge- schlechtern die Dimensionen der vorderen Füsse. Beim Männehen übertrifft deren Länge die des Cephalothorax fast um das Doppelte, beim Weibchen ist diese Länge der des Cephalothorax ungefähr gleich. In allen ïhren Theilen sind die Füsse des Männchens gegen die des Weibchens nicht bloss absolut, sondern auch relativ kräftiger. So ist die Breite der Hand in der Gesammt- linge des Cephalothorax bei den männlichen Exem- plaren etwa 4, bei den weiblichen 9 mal enthalten. In beiden Geschlechtern nehmen die Finger etwa *, der gesammten Handlänge ein und sind mithin, im Ver- gleich zu den Dimensionen des Rumpfes, beim Männ- chen viel Finger. Der beträchtlicheren Länge entspricht auch eine erheblichere Dicke. Beim Weibchen be- rühren die Finger einander mit der ganzen innern Kante, während sie bereits beïm gleichgrossen Männ- chen an ihrem Grunde, bei den ausgewachsenen fast in ihrer ganzen Continuität, d.h. bis gegen die Spitze hin, weit klaffen. Es kommt dieses Klaffen hauptsäch- lich durch ein Abwärtskrümmen des beim Weiïbchen fast geraden unbeweglichen Fingers zu Stande. Bei den grossen Männchen sind die Finger mehr oder we- niger lüffelfürmig ausgehült (Hinneigung zum Gen. Mithrax, s. 0.). Die vorderen, einander berührenden Drittel der Finger sind verbreitert und an den Berüh- rungsrändern sägeformig gezähnelt. An der Grenze des basalen und mittleren Drittels trägt der beweg- liche Finger einen verlängerten Hôcker, welcher, wenn er gut ausgebildet, vier bis fünf Querleisten zeigt *). Beiïm Weibchen fehlt er und ist die übrige Bezähne- lung der Finger sehr fein. Diese Bezähnelung er- streckt sich dafür beim Weibchen über die Länge der Finger. Besonders wichtig ist die von Philippi notirte Beob- achtung, dass es bei unserem Krebse, Männechen mit ganze 3) Einzelne Variationen in der Form der Hand veranschaulichen die beigegebenen Fig. IT. Bulletin de Ll’Acadézmie Impériale LL Î VI. A ne nil HR Poe "pes TEE à LR LME 5 VIT. IX Es Fe 1 b 1 X. / = $ £, > _ ni ——. ) À £) T4 + ST. Len ar \ 4 7 XII. XIII. Fig. VI — XIIT. Herbstia condyliata. Sämmtliche separat darge- stellte Hände sind linke, von der äussern Fläche in natürl. Grüsse abgebildete. VI. Grüsseres Männechen mit weiblichen Schecren in natürl. Grüsse (54 Mm.), VI bès. Hand desselben. VIT. Hand des klei- neren, mit Weiblichen Schecren versehenen Exemplars. VII. Hand eines 43 Mn. langen Weibchens. IX. Finger eines 42 Mm. langen Weib- chens, zwei mal vergrüssert, X u. XI. Hand und Postabdomen eines 29 Mm. langen Weibchens, XII. Postabdomen eines 55 Mm. langen Männehens. XIII, Postabdomen eines 43 Mm. langen Weïbchens, 409 des Sciences de Saint-Pétersbourg. & 410 —————— weiblichen Scheeren giebt. Zwei solcher Exemplare sind dem Museum erhalten worden. In Anbetracht des grossen Interesses, welches ein ähnlicher männli- cher Dimorphismus seit dem Erscheinen der geistrei- chen Schrift von Fr. Müller ‘) wachgerufen, dürfte es sich der Mühe lohnen diese beiden Exemplare etwas näher in Augenschein zu nehmen (Fig. VI, VTbis, VIT). Über etwaige Eigenthümlichkeiten in Form und Sta- chelbesatz der Carapax wüsste ich nicht Besonderes hervorzuheben, da dieselben innerhalb der Grenzen individueller Variationen bei gleich grossen typischen Miännchen liegen. Das erste Fusspaar ist allerdings in allen seinen Theïlen merklich länger und kräftiger als beim Weibchen beschaffen, im Übrigen jedoch vor- waltend nach dem weiblichen Typus gebaut. Wie beim Weibchen reicht das vordere Ende des Femur nur un- gefähr bis an die Augen, statt, wie beim Männchen, das Rostrum zu überragen. Die Finger sind in ihrer gan- zen Länge an den einander berührenden Rändern fein gezähnelt, fast ebenso wenig gebogen wie beim Weib- chen und klaffen daher nur ganz unbedeutend an ihrer basalen Hilfte. Dimensionen der beiden mit weiblichen Schecren begabten Männchen, in Millim. 1) Kôürperlänge — 47, Kürperbreite — 35, Länge d. vord. Beine 56, Breite d. Schecren 6, 2) Kürperlänge — 52, Kürperbreite — 40, Länge d. vord. Beine 67, Breite d. Schceren 8. Während, wie oben erwähnt, bei den Männchen die Scheerenfüsse die Kürperlänge fast um das Doppelte übertreffen, beim Weibchen ihr ungefähr gleich sind, erscheinen dieselben bei dem einen der in Rede ste- henden abnormen Exemplare, dem kleimeren, etwas mehr als von Kôrperlänge, beim andern anderthalb mal länger. Eine Hinneigung zum normalen Verhalten der Männchen ist daher, besonders für das grüssere Exemplar, nicht zu leugnen. (Es sei hier beiläufig er- wähnt, dass bereits bei einem nur 30 Mm. langen jun- gen Weibchen die Scheerenfüsse die Kôrperlänge er- reichen, und andererseits, dass bei dem jüngsten zum Vergleich vorliegenden, 38 Mm. langen Männchen diese Füsse noch nicht volle anderthalb mal länger als der Cephalothorax sind). Ein Vergleich der beiden 4) Für Darwin. Leipzig 1864. 8°. weiblich bescheerten Exemplare mit ebensogrossen männlichen lehrt auf den ersten Blick die Unterschiede kennen (s. d. Abb.). Andererseits zeigen aber auch die beigefügten Abbildungen, dass — im (regensatz zu dem von Fr. Müller bei einer Tanais und einer Orchestia beobachteten Verhalten bei den Männchen von Herbstia nicht bloss zwei extreme, unvermittelte Schee- renformen (worunter eine nach dem weiblichen Typus), vorkommen, sondern auch verschiedene Variationen derselben beobachtet werden. Diese neigen sich zum Theil mehr dem weiblichen, zum Theil mehr dem männ- lichen Typus zu. Gen. 5 Pisa. A. Carapax stark behaart, mit buckelig vorspringen- den Regionen, ohne Stacheln am vorderen Seitenrande. BDIDb Zi see ere ssisese termes ec-es P. armatu. coupirt. Einsatte- { flach, mit Behaa- lung zwischen der rung ausgefullt . | P. Gibbs. | reg. gastrica und 4 tief, von einer kurz- B cardiaca { hechaarten Rinne U durchzogen..... P. nodipes. [PHP8JS[UUTJSOTUT . Carapax wenig behaart, mit ziemlich gleichmäs- siger Oberfläche und Stacheln an den Seitenrändern. en { lang, vorne stark divergirend........... P. tetraodon. SZ | kurz, nicht divergirend, durch einen brei- E, ÿ ten Spalt bis zur Basis geschicden ..... P. convexa. & ) sehr lang, nur an der Spitze divergirend P, corallina. = 1 schr kurz, wenig länger als die gerade = Ù nach vorn gerichteten Orbitalstachel ... P, quadricornis. A. Arten mit buckeliger Carapax und in die Augen springender Behaarung. P, Gibbsii Leach. Nach Leach (Malac. Brit. Tab. XIX) hat diese Art ein abwärts geneigtes Rostrum, ein Kennzeichen, das von Heller nicht erwähnt wird. der Letztgenannte, namentlich in Bezug auf die Fuss- bildung, Kennzeichen an, die sich auf der Abbildung von Leach nicht wieder finden. Es künnte daher die Identität der Leach’schen mit der Heller’schen Form noch in Frage gezogen werden. Seinerseits giebt P. armata Latr. M. Edvw. XIV. Fig. XIV. Pisa armata. Linke Hand eines 60 Mm. langen, von Dr. Krohn aus dem Mittelmeer stammenden Männchens. Nat. Gr. AL Bulletin de l’Académie Impériale 41? —————_—_—— Als besonders characteristisch für diese Art wird, wie bekannt, der lange, spitze Stachel der Intestinal- gegend hervorgehoben. Ein recht typisches, leider seines Haarkleides beraubtes Männchen von 60 Mm. Länge besitzt die Sammlung durch Dupont aus einer unbekannten Gegend des Mittelmeers. Ein zweites, gleich langes Männchen stammt von Dr. A. Krohn, hüchst wahrscheinlich aus Neapel. sonstigen Übereinstimmung mit dem ersterwähnten Exemplare, zeigt dieses zweite ganz gerade, nicht, wie beim ersten, vorne leicht abwärts gebogene Stirn- hürner. Ferner ist sein Intestinalstachel kürzer und dicker, nicht dornformig, wie beim erstgenannten, son- dern zuckerhutférmig zugespitzt, wohl eine Hinnei- gung zu ?. Gibbs. Von Philippi liegen aus Neapel drei männliche Exemplare von 50 und 47 Mm. Länge und vier weib- liche von 28 — 40 Mm. vor. Die Scheeren der drei Männchen sind so wie bei der Æerbstia gebildet, d. h. sie sind dick, breit, mit weit klaffenden Fingern, An ibren Berührungsrändern erscheinen sie sägeformig Bei der grossen gezälmelt. Der bewegliche Finger trägt ferner noch den für Herbstia erwähnten Zahn am unteren Rande, unweit seiner Basis. Bei relativ gleicher Länge (//, der Carapax) ist die Hand bei den Philipprschen Männ- chen nicht bloss relativ, sondern auch absolut breiter und dicker als bei beiden am Eingange erwähnten, viel grüsseren, von Dupont und Krohn stammenden In- dividuen. Die Scheeren der beiden letzteren sind, wenn auch nicht ihren Dimensionen, so doch ihrer Gestalt nach den weiblichen überaus nahe (Fig. XIV.). Wir haben es hier wohl abermals, wie bei Æerbstia, mit einem männlichen Dimorphismus zu thun. Von den vier Weibchen wäre zu erwähnen, dass ihr Kôrper vorne viel breiter und gewülbter als der der zugehô- rigen Männchen ist, dass Stirn und Rostrum, etwa in einer Flucht liegend, unter einem Winkel von 457 ab- wärts steigen. Die Vorderfüsse sind viel kürzer, s0 dass die Femora nur bis an die Orbita reichen, die schwachen Hände nur etwa !/, der Kôürperlänge betra- gen. Der umgeschlagene Theil des Postabdomens ist fast kreisformig, stark gewülbt, nur bei dem kleinsten Exemplar mehr oval und platt. Ein von mir aus Nea- pel mitgebrachtes, jüngeres Weibchen ist dadurch bemerkenswerth, dass es trotz einer Kôürperlänge von 32 Mmn. noch die ovale und platte Gestalt des Postab- domens bewahrt hat, während dies bei gleichgrossen Philippischen Exemplaren nicht mehr der Fall ist. Das grüsste weibliche Exemplar unserer Sammlung (42 Min.) stammt, laut Etikette, aus Neufundland. Als einzige bemerkenswerthe Abweichung wäre hervorzu- heben, dass sein Intestinalstachel nicht dorn-, sondern zuckerhutformig zugespitzt ist. P. nodipes Leach. P. nodipes Leach, W.E. The Zool. miscellany. London 1815. Vol. I, p. 50, pl. 78. ? Pisa armata KRisso, À. Hist. nat. de l'Europe mérid. T. V. Paris 1826, p. 24. Inachus musivus. Otto, À. W. Beschr. ciniger neuen, in den Jahren 1818 u. 1819 im Mittelländ. Meere gefund. Crustaceen. N. Acta Acad. Leop.-Car. T. XIV. P. 1. Bonnae 1828, p.334, Tab. XX. (Nach Roux auch im Bulletin universel, août 1829). Pisa armata Roux, P. Crust. de la Méditerr. Paris 1828, pl. XXXIII. M.Edwards(p. 309) erwähnt die P. nodipes Leach nur anhangsweise, Sie scheint ihm der P, armata sehr nahe stehend, vielleicht von ïhr überhaupt nicht un- terscheidbar, Heller (p. 43) führt sie ohne jede Re- serve unter den Synonymen für P?. armata auf. Eine eingehendere Untersuchung der vorliegenden 22 aus Neapel stammenden Exemplare veranlasste Czernjawsky und mich der Philippischen Bestim- mung derselben als P. nodipes Leach vollkommen beizupflichten. Von ?. Gibbsii, der unsere Art nä- her zu stehen scheint, unterscheidet sie sich durch die musivischen Rinnen, welche die Behaarung der Carapax durchziehen, von P. armata ausserdem noch durch den abgestumpften Stachelhôcker auf der In- testinalgegend. Die folgende Beschreibung beruht zum Theil auf den Aufzeichnungen von Philippi, zum Theil auf eigenen Ergänzungen. Die langen, etwa !/, der Kürperlänge ausmachenden Stirnhôrner sind fast vollkommen horizontal, liegen dichter beï- eimander und divergieren auch an der Spitze meist weniger als bei der vorhergehenden Art. Orbitaldorn wie bei P. armata, kürzer als bei ?. tetraodon. Die Seiten haben keine Dornen. Die Branchialgegend trägt hinten einen hohen, schräg nach oben und aussen vor- 413 des Sciences de Saint-Pétersbourg. A14 à springenden spitzen Hücker, welcher dem Stachel der vorhergehenden Art entspricht. Auf der Intestinalge- gend erhebt sich ein weniger hoher, abgeschnitten-co- nischer Hôcker. Breite, scharf begrenzte Furchen theilen die Oberfläche der Carapax in unregelmässige, aber sehr constante, symmetrische Felder. Nach der richtigen Bemerkung von Roux künnen diese Furchen der Arbeit eines bohrenden Wurmes verglichen wer- den. Sie verlaufen zu beiden Seiten der Genital-, Herz- und Intestinalgegend, bilden zwischen den beiden er- sten dieser Gegenden eine Queranastomose; erstrecken sich ferner jederseits zwischen Branchialgegend und Hinterrand der Carapax, desgleichen vom Zusammen- stoss der Herz- und Genitalgegend im Bogen nach hinten und aussen, Die von den Furchen begrenzten Felder sammt den zugehôrigen PBuckeln und Hôckern sind nach Otto’s treffender Beschreibung mit Steinchen besetzt, welche wie Pfastersteine oder Rochenzähne dicht aneinander liegen, am Messer knirschen und auf keulenfürmigen biegsamen, etwa eine halbe Linie lan- gen Stielchen der Schaale aufsitzen. Die Furchen kommen dadurch zu Stande, dass hier die Steinchen der verlängerten Stielchen enthbehren. Mitten auf der Einsattelung zwischen Cardiacal- und Intestinalgegend befindet sich stets eine kleine läinglich-rundliche, den Furchen entsprechende Glatze. Das Rostrum, die Stirn- und Lebergegenden und $Seiten sind mit gelb- lichen Hakenhaaren besetzt. Die knotig-hückerigen Füsse erscheinen dreikantig, indem sie an drei Seiten mit Büscheln langer, an der Spitze verdickter Haare besetzt sind. Der Daumen hat oben und, dem entspre- chend, der Zeigetinger unten zwei Kanten. Die Seiten- flächen der Hand sind durch mehrere Längsleisten rauh. Die Hand des Männchens ist nicht bloss absolut, sondern auch relativ grüsser, doch an den vorliegenden Exemplaren eben so wie die des Weibchens gestaltet. Vielleicht macht sich bei grüsseren Exemplaren, zu denen die vorliegenden nicht gehüren, hier auch eine gestaltlhiche Differenz bemerkbar. Leider wurde uns ein Exemplar nicht erhalten, dessen Philippi nachträg- Bch Erwähnung thut, Es soll ein stark beschädigtes Männchen gewesen sein, welches mit der gegenwärti- gen Art in Allem übereinzustimmen schien, aber lüf- felf‘rmige Scheeren hatte, genau wie P. tetraodon. Sollte, so fragt unser Gewährsmann, dies der aus- gewachsene Zustand sein ? Maasse. Grôsstes Männehen 47 Mm. lang, 26 breit; Scheeren 19 Man. lang, 5 breit; grüsstes Weibchen 38 Mn. lang, 21 breit; Scheeren 10 Mm, lang, 3 breit. Das von Leach abgebildete Exemplar war kleiner als die grôsseren Philippischen. Ob das grüsste Exem- plar von Otto die unsrigen in seinen Dimensionen übertraf oder nicht, ist schwer zu beurtheilen, da die Figur des Verfassers nur die ungefähre Grüsse ange- ben soll, Die Abbildung von Roux übertrifft unsere grôssten Individuen nur ganz unbedeutend. Entgegen der Ansicht von Otto kann ich nicht um- hin seinen Znachus musivus mit Pisa nodipes Leach zu identificiren, um so mehr, als der Verfasser selbst die nahe Verwandtschaft beider «Species» betont und keine erheblichen Differentialmerkmale anführt. Die vordere Verlängerung des mit gestielten «Steinchen» gepfasterten Gastricalfeldes ist kaum characteristisch, künnte leicht varïiren oder auf der Figur von Leach nicht deutlich genug gezeichnet sein. Die Färbung des Thieres — welche Otto übrigens keineswegs als Un- terscheidungsmerkmal hervorhebt — dürfte noch we- niger maassgebend sein, da dieselbe nach Roux zwi- schen roth, gelblich oder orange variirt. Übrigens will ich nicht verabsäumen zu erwähnen, dass Philippi nicht mit derselben Entschiedenheit seine Exemplare zu P. nodipes zieht, wie es oben ge- schehen, sondern nicht ganz abgeneigt ist den Znachus nusious als Varietät davon gelten zu lassen. Er schreibt: «Bei Z. musivus reicht die Genitalgegend bis an die Au- gen, bei P. nodipes nicht, sondern sie hôrt in der hal- ben Länge des Kürpers auf. Bei Z. musivus divergiren die Stirndornen, bei P. nodipes sind die Spitzen parallel, bei Z. musivus sind die Tarsen hückerig, bei P. nodipes nicht.» Dem entgegen finde ich an den Philippischen Exemplaren die Hôckerigkeit der Tarsen so gering, dass sie auf der Abbildung von Leach nicht ausge- drückt zu sein braucht. Ferner variiren an denselben Exemplaren die Stirndornen in Bezug auf die Rich- tung ihrer Spitzen sehr beträchtlich und erscheinen daher als zweifelhaftes Merkmal. Ausser den Philippischen Exemplaren besitzt das Museum noch aus dem Mittelmecre ein mittelgrosses Weibchen durch Krohn (wohl auch aus Neapel), zwei kleinere Weibchen von Dupont und schliesslich ein 32 Min. langes von Philippi mit «Pisa nodipes Leach. Venedig» signirtes Männchen. 415 Bulletin de l'Académie Empériale 416 TT ———_—_—_—_—…——"————————<————<—< P. tetraodon Leach. Dies ist die grüsste der vorliegenden Arten, denn einzelne männliche Exemplare messen, das Rostrum mit einbegriffen, 54 Mm. Das Rückenschild ist gedrungener, weniger schlank und meist stürker gewülbt als bei P. corallina. Dem Gesammthabitus nach erinnert er an Mithrax. Im Übrigen, in der Gestaltung der Beine, der Zahl und Vertheilung der Stacheln ete. steht unsere Art der P. corallina staltliches Unterscheidungsmerkmal tritt uns die Bil- dung des Rostrums entgegen. Bei ? tetraodon niüm- lich sind die Stirnhôrner relativ merklich kürzer, ver- laufen nur an der Basis dicht neben einander, wäh- rend ihre vordere Häülfte oder ihr vorderes Drittel stark divergirt; bei 2. coraltina hingegen divergiren nur die äussersten Spitzen der Stirnhôrner und auch diese überaus nahe. Als einziges sonstiges ge- nur ganz unbedeutend, Nun ist aber zu bemerken, dass die Form des Rostrums bei P. tetraodon über- aus stark varürt und kaum bei zwei Individuen ganz eleich gestaltet ist. So schwankt der Winkel, in wel- chem die Enden der Stirnhôrner divergiren, ZWi- schen 45 und 90°. Die Scheeren sind auch bei dieser Art, ebenso wie auch bei den folgenden, ganz ähnlich wie bei Herbstia gebildet, und zwar beim Männchen nach dem Muster der kürzeren, breiteren der oben für Herbstia abgebildeten Formen. Unter den 34 von Philippi in Neapel gesammelten Individuen befindet sich eines (W 199) mit nach dem weiblichen Typus gebildeten Scheeren. Es misst genau 50 Mm. Als Beleg dafür, dass auch an der englischen Küste Männchen mit weiblichen Scheeren vorkommen, dient (N: 210) ein vom Akad. L. v. Schrenck aus Portsmuth mitgebrachtes Exemplar von 45 Mn. Länge. Ausser den aufgeführten Exemplaren liegen bei der Untersuchung noch 13 aus dem Mittelmecre von Du- pont, ChristoforiundGrohmann stammende Exem- plare, ohne nähere Angabe des Fundortes vor. Bei einem defecten, aus dem Berliner Museum ohne An- sabe des Fundortes erhaltenen Exemplare von 53 Mn. klaffen die Scheeren so unbedeutend, dass sie gewis- sermassen eine Hinneigung zum weiblichen Typus an- zeigen. P. convexa Ph. n. sp.? XV. Fig, XV. Pisa convexæa Phil. n. sp.? Weibchen in naturl. Grosse, vach Originalzeichnungen von Dr, Philippi aus dem J. 1859. Cephalothorace lacviusculo, valde convexco, ovato; tuberculis regionis genitalis et cardiacalis nuls; cornu- bus frontalibus brevibus, rectis valde declivis, spatio separatis, orbitalibusque divergentibus, lateralibus re- curvis, secundo quartoque majoribus. Die nachstehende, fast würtlich dem Philipprschen Manuscript entlehnte Beschreibung beruht auf emem einzigen weiblichen, aus Neapel stammenden Exemplar (X: 1596). Dasselbe war ursprünglich ganz mit Serpeln ete. besetzt, so dass sich über die Behaarung nichts sagen liess. Ferner war es der Fühler beraubt. Das Kopfbruststüek ist incl. Stirndornen 26 Mn. lang, 18 breit, eiformig, stark gewülbt, die Regionen schwach abgesondert. Die Stirndornen sind etwas ge- neigt, bis zu ihrer Basis durch einen breiten Spalt ge- sondert, an den Spitzen kaum divergirend, stumpf, aus- sen gemessen » Mm. lang. Die vorderen Orbitaldor- nen sind kurz, dick und gleichfalls stumpf. Seitendor- nen sind, wie gewühnlich, 5 vorhanden, etwas gekrümmt und nach vorn gerichtet, wie bei ?. fetraodon; von diesen Dornen ist der zweite und nächst dem der vierte der grüsste, Auf der oberen Fläche sind fast alle Hücker obsolet, am deutlichsten ist der allerletzte und nächst dem ein Hôücker jederseits innen vom letzten Seiten- AA? des Sciences de Saint-Pétersbourg. AS dorn. Auf der Magengegend erkennt man mit Mühe 4 Hückerchen; die Hücker der Genital- und Cardiacal- gegend sind vôllig verschwunden. Der Hinterleib ist sehr breit, trotz der geringen Grüsse des Thicres bereits annähernd kreisformig. Die Bildung der 4 die Stirn zierenden Hôrner lässt allerdings auf den ersten Blick das vorliegende Exem- plar von gleich grossen Weibchen der P. {etraodon un- terscheiden. Was nun aber die übrigen Merkmale an- betrifft, so erscheinen sie kaum wesentlich: derselbe Grad von Wäülbung und Breite des Cephalothorax fin- det sich auch bei gleich grossen P. tetraodon vor; von welch letzterer eines unserer Exemplare bereits auch ein kreisformiges, nicht mehr eif‘rmiges Postabdomen besitzt. Mithin dürfte eine spätere Randbemerkung Philippis der Beachtung werth sein. Es weist die- selbe nämlich auf ein nachträglich erhaltenes Weibchen von P. tetraodon hin, bei welchem das eine Horn ge- wôhnlich, das andere wie bei P, convexa gestaltet war. Mithin künnte P. convexa auch nur eine blosse Mon- strosität darstellen. P. corallina Risso. EN À men XVI. Fig. XVI Pisa corallina. Männchen aus Neapel, von Philippi, Xi 204 unsers Museums, nebst linker Hand von aussen, in nat. Grosse, Die Differentialdiagnose dieser kleineren Art ergiebt sich aus der synoptischen Übersicht und wurde auch bei Besprechung der ?. tetraodon hervorgehoben. Ge- gen 30 Exemplare von verschiedener Grüsse, Miänn- chen und Weïibchen, gehôren zur Collection Philipprs. Tome XXVI. Fünf derselben sind aus Palermo, die übrigen aus Ne- apel. Unabhängig von Geschlecht und Grüsse, un- terliegt der Grad der Wülbung des Cephalothorax in- dividuellen Variationen. Das grüsste, von Philippi geschickte Exemplar, ein Männchen, ist 38 Mm. lang und 19 Mm. breit. Gleichsam die Mitte zwischen ?. corallina und P. tetraodon halten zwei männliche Exemplare einer Krebs- form (X 1600), als deren Geber Prévost(1835), ohne Angabe des Fundortes, notirt ist. Ihre Länge erreicht 50 Mm., übertrifft also ganz bedeutend die für P. co- rallina bekannte Grüsse und nähert sich der von ?. tetraodon. In Bezug auf die Bildung der langen Stirn- hôrner, die im vorderen Theïle etwas verschmächtigte Gestalt des Cephalothorax, nähern sich die in Rede ste- henden Exemplare der P. corallina, in der stärkeren Wülbung des letzteren hingegen der ?. tetraodon. P. quadricornis Philippi n. sp.? EU XVII. Fig. XVIL Pisa quadricornis Phil. n. sp.? Männchen in nat. Gr. nach Originalzeichnungen von Dr. Philippi aus d. J, 1839. Cephalothorace lacviusculo, subtriangulari, spinis lateralibus posticis divergentibus, cornubus frontis bre- vibus, orbitalibus magnis, parallelis; spinis lateralibus 1, 2,5 minulis. Den 25 November in Neapel ein Männchen bekom- men, vollkommen wohl erhalten, aber der dritte Fuss 27 19 der rechten und der fünfte der linken $eite in Folge von Reproduction kleiner. Die Farbe ist rothbraun, die ganze Oberfläche mit kurzen, dicken Haaren wie cepflastert. Das Kopfbruststück ist gegen 30 Mn. lang, wovon nur 5,5 auf die Stirnhôrner kommen, und hinten zwischen den seitlichen Dornen 20 Mm. breit. Es wäre fast dreieckig zu nennen, wenn die Orbital- dornen nicht so gross wären. Die äusseren Fübler sind linger als die Stirnhôrner. Letztere sind, wie erwälhnt, sehr klein, ferner schwach geneigt mit aufwärts oebo- gener Spitze, einander parallel, nach aussen mit ge- krümmten Haaren reichlich besetzt. Die vorderen Or- bitaldornen sind parallel, messen innen 4, aussen bis zur Orbitalfissur 5 Mm. Die hinteren Orbitaldornen sind nur wenig vorstehende Hücker. Ausserdem be- finden sich an den Seiten, wie gewühnlich, 4 Dornen, von denen die beiden ersten nur schwache Hôcker sind. Auf der Magengegend 4 kleme Hôcker; davor meh- rere Büschel hakenfôrmiger Haare, ein grosser Hücker auf der regio genitalis, ein anderer noch grüsserer auf der Herzgegend, ein dritter über dem hinteren Bande, Zwei schwache mit Haaren besetzte Hücker zwi- schen dem der Herzgegend und dem letzten Seiten- dorn. Die Regionen sind wenig von einander abgesetzt. Der erste und zweite Seitendorn sind von einander entfernt, und der Kürper zwischen dem 2ten und 5ten Seitendorn wenig breiter als dicht hinter den Augen. Die Scheeren haben die gewühnliche Form und sind ziemlich lang zu nennen. Die Hand misst 19 Mm.; der Arm hat auf der innern unteren Kante 4, auf der oberen 3. auf der äusseren, nahe der Basis 2 Hücker, der Carpus aussen 2. Die nach innen gebogenen Finger berühren sich nur mit der letzten fein gezähnten Hälfte; der Daumen hat vorher einen breiten zweihückerigen Zahn. Das zweite Fusspaar ist ebenso lang wie das erste, das Femur nimmt davon die halbe Länge ein. Die übrigen Füsse nehmen allmählich an Länge ab. Bei allen ist das Femur auf der oberen Kante, bei den beiden letzten auch auf den beiden unteren Kanten mit hakenformigen Haaren besetzt und am Ende drei- hôckerig, die Tibia ist nach vorn etwas verbreitert und oben mit einer schwachen Grube versehen, der Tarsus unten vor dem Ende mit einem behaarten Hôcker wie mit einer Bürste besetzt, das Nagelglied mit feinen Zähnen und Borsten versechen, wie gewühnleh, — Durch das beinahe glatte Kopfbruststück mit schwach Bulletin de l'Académie Impériale oo 420 abgesetzten Regionen stimmt diese Art mit P. tetrao- don überein, unterscheidet sich aber wesentlhich: 1. durch kurze Stirnhôrner; 2, indem der 2te und 3te Seitendorn nur sehr schwach angedeutet, auch der erste oder hintere Orbitaldorn weit weniger vor- springt; 3. durch die Verschmälerung des Kopfbrust- stückes in der Genitalgegend; 4. andre Beschaffenheit der Hôücker auf demselben; 5. längere und schlankere Scheeren (?) mit mehreren Hôckern auf dem Arm; 6. dureh die Verlängerung des zweiten Fusspaares. AIS Ergänzung zu dieser würtlich dem Philipp schen Manuseript entlehnten Diagnose und Beschreï- bung môchte ich nur hinzufügen, dass das in Rede stehende Exemplar der P. corallina ungleich näher als der LP. tetraodon steht. Abgesehen von der ursprüng- lich anderen Färbung und von der Stirnbildung, wüsste ich sogar durchaus kein unterscheidendes Merkmal anzugeben. Bei dem Vorhandensein nur eines einzi- gen Exemplares wäre es daher immerhin nicht unmüg- lich, dass dasselbe eine blosse Monstrosität darstellt. Diagnoses plantarum novarum asiaticarum. I, Scripsit C. J. Maximowicz. (Lu le 13 mai 1880.) Arabis Piasezkii. (Alomatium $ 4. DC. Prodr.) Hu- milis perennis multiceps, caulibus diffusis basi divari- cato-ramosis cum foliis novellis pedicellis calyceque ex- tus pilis tripartitis adspersis; foliis radicalibus nullis, caulinis petiolatis linearioblongis obtusis integerrimis, superioribus linearibus; pedicello calycem patentem duplo superante, petalis truncato-obovatis calyce plus duplo longioribus; siliquis patentibus pedicello incras- sato triplo longioribus pilis bipartitis pubescentibus, stylo brevissimo crasso stigmateque bilobo superatis; semine ovali anguste marginato. In Chinae occidentalis prov. Kansu australi (Pia- sezki, 1875). Primo aspectu Sisymbrio humili C. À. Mey. simil- lima, sed embryo rite pleurorhizeus et folia inte- gerrima majora. Prope A. sinuatam Turcez. locum tenere videtur, sed modo erescendi refert potius À. fruticulosam ©. A. Mey. vel À. pachyrhizam Kar. Kir., praeter ramos decumbentes. — Planta palmam alta, sed cauliculi ramive decumbentes spithamaeï. A21 des Sciences de Saint-Pétersboureg. 422 mo Arabis ? alaschanica. Perennis multiceps nana, radice fusiformi longissima, foliis radicalibus numerosis erec- tis oblongospathulatis obtusis acutisve, cum petiolo alato margine pilis simplicibus parcis ciliatis, medium versus pauciserratis; cauliculis sub anthesi folia non v. parum superantibus basi 1—3-foliis, foliis linearibus sessili- bus flores axillares emittentibus; racemo plurifloro demum elongato glabro, pedicellis erectis flore vix bre- vioribus, sepalis oblongis quam petala exserte ungui- culata spathulata duplo brevioribus, stylo elongato ovario vix triplo breviore; siliquae dehiscentis valvis 1-nerviis. In montibus Alaschan Mongoliae australis, in rude- ratis (Przewalski, 1873). Habitus peculiaris, ita ut an ad Arabides pertinet incertum sit, tamen et ad Cardaminem duei nequit ob valvas 1-nervias, etsi stylus gracilis conveniret, at in speciebus integrifoliis Cardamines stylus semper perbrevis occurrit. Ad Sisymbri sect. Arabidopsin pertinere nequit, stigmate sessili contradicente, reliquae sectiones vero jam floribus flavis discrepant. Æutre- ma siliqua brevi differt, Smelowskia foliis, Ærysimum et Zerdana pube et habitu. Inter Arabides accedit ad A, kokanicam KRgl. et Schmalh., fructiferam tantum notam, quae differt foliis integris parvis, eaulinis nullis, siliquarum pedicello styloque brevioribus. Dontostemon senilis. Perennis, setis longis tenuibus patentibus parce tectus; foliis sparsis longe linearibus integerrimis; petalis calyce duplo longioribus lamina obovata; siliqua glabra, stylo crassitie stigmatis; se- minibus marginatis pleurorhizeis. In Mongolia australi, territorio Ordos, rarus (Prze- walski, 1872), Thian-schan oriental (Potanin, 1877). D. perennis C. À. Mey. ab hac specie distat: den- sus et dense foliatus foliis brevioribus, canescens v. virescens pilis appressis brevibus, stylus in fructu ma- turescente stigmate distincte angustior (contra Lede- bouri descriptionem, sed ex ejus ipsius exemplis), semina immarginata notorhizea. Sisymbrium Piasezkii (Sect. Arabidopsis DC.) Annuum v. bienne, palmare, pube ramosa cinerascens, caulicu- lis multis erectiusculis; foliis inferioribus integris, su- perioribus rarius hinc v. utrinque 1-dentatis, omnibus oblongolinearibus v. linearibus obtusiuseulis; pedicello calycem extus cinercopubescentem superante; petalis obovatis retusis sepala plus duplo superantibus; sili- quis gracilibus incanis torulosis ineurvis v. circinnatis pedicello plus duplo crassioribus, styli eylindriei longi- tudine latioribus, stigmate truncatoretuso. In China occidentali, prov. Kansu parte australi (Piasezki), Mongolia australi, montibus Alaschan et Muni-ula (Przewalski). A simillimo $. humili C. À. Mey. distinctum vide- tur cauliculis non diffusis humilioribus, foliis integris, petalis retusis calycem magis superantibus et siliqua contortuplicata. Malcoimia mongolica. ($ 1. Sisymbrioides Boiss.) Pu- bescens, annua, caule spithamaeo a basi valde ramoso ramis ascendentibus; foliis linearioblongis basi atte- nuatis apice obtusiusculis integris v. infimis utrinque infra apicem 1-dentatis; pedicellis dense pubescentibus calycem basi aequalem dorso pilosum superantibus, petalis obovatis quam sepala duplo longioribus; siliqua pilosula pedicello duplo crassiore recurva v. circinnata subtorulosa styli eylindrici longitudini aequilata, stigmate truncato, retuso, septo fungoso aequali. — Malcolmia torulosa Rgel. et Herd. PI. Semen. Suppl. IL. 33. in adnot. — non Boiss. Sisymbrium contortup- licatum var. parviflora Rgl. Herd. PI, Semen. n. 102. excel. syn. Boiss. Mongolia boreali, in itinere a fl. Fschuja superiore ad oppidum Chobdo (Kalning, 1870), Thian-schan, prope fontes fl. Zan-ma (Przewalski, 1877). À M. contortuplicata Boiss. diversa pedicellis sili- qua matura haud aequicrassis, foliis omnibus indivisis, a M. torulosa Boiss. pedicellis calycem ,superantibus et petalis obovatis. Berteroa Potanini. Caudiculo basi fruticuloso, cauli- culis numerosis ascendéhtibus simplicibus paucifolis; foliis plerisque radicalibus petiolatis oblongis; racemis subpaucifloris fructiferis laxis, pedicellis areuatopatulis siliculam planocompressam rotundato-ovalem stylo sub- aequilongo coronatam superantibus; semine late alato. Mongolia, Thian-schan orientali (Potanin, 1877). Modus erescendi et statura P.spathulataeC. A.Mey., folia et siliculae potius PB. orbiculatae DC., à qua differt statura, habitu caespitoso, ramis cauliculorum nullis, petalis ochraceis, stylo longiore, floribus multo paucioribus, fructu majore. Species sui juris. 26* 423 Dilophia fontana. Major, foliis ovalibus longe petiolatis, racemis foliatis elongatis, silicula transverse ovali mar- gine minute aculeolata, embryone pleurorhizeo. In Chinae occidentalis prov. Kansu, pratis alpinis humidis (Przewalski, 1872). Characteribus datis abunde et nimis distincta a duabus speciebus notis: D. salsa Thoms. (e Tibeto) in Kew Journ. V.19. IV. tab. 12. et D. kaschgarica Rupr. Sert, tianschan. Ob siliculae structuram persimilem certe congenerica, sed cotyledonibus accumbentibus neque incumbentibus habituque diversissima et valde similis Taphrospermo platypetalo Schrenk. Nihilominus a Dilophia non removendam censemus. Nam et in Ta- phrospermo nune nominato cotyledones mox incumben- tes mox accumbentes occurrunt, aeque ac in Cochlearia (Kernera). Janctionem Cochleariae et Taphrospermi à Bentham et Hooker propositam approbare nequeo, quia character Cochleariae tune nimis vagus evadit. Genera Cruciferarum longe plurima mere artificialia sunt, ita ut plantas habitu identico donatas sacpe sub diversis tribubus militantes invenias. Donec genera artificialia in genera naturalia non reficiuntur, priora signis bene definitis cireumseribere saltem commodum atque necessarium videtur. Qualia signa in Zaphro- Spermo sunt racemi bracteati et siliculae acutae, con- tra racemos nudos et fructus obtusos Cochleariae. Di- lophiae autem genus utrique nune adducto sane proxi- mum. Coelonema. Gen. nov. Cruciferarum. Sepala basi aequalia navicularia. Petala breve ungui- culata, lamina obovata emarginata patula. Stamina tetradynama filamentis linearibus basi dilatatis cavis, antheris dorso insertis erectis. Ovarium rotundato- ellipticum a latere compressum, epicarpio laxo mem- branaceo ab endocarpio carnoso praeter replum libero, 2-loculare, septo angusto cavernoso subduplici. Sty- lus brevis, stigma truncatum. Ovula in loculo 5 —6, pleraque demum abortiva. Silicula (valde juvenilis) valvis navicularibus 1-nerviis immarginatis haud so- lubilibus, indehiscens igitur. Semina ? — Herba nana suffruticosa viridis, radice elongata tenui, cauliculis numerosis procumbentibus caespitosis nonnullis rosu- liferis, nonnullis e rosula florigeris, foliis parvis obo- vatis, caulinis paucis ciliatis (pilis simplicibus, admix- Bulletin de l’Académie Impériale 424 tis paucis bipartitis), floribus racemosis, inferioribus 2— 6 bracteatis, reliquis numerosioribus nudis, pedi- cellis defloratis patenti-incurvis, petalis flavis. — No- men € xothos cavus et vue filamentum. Habitus Drabae sect. Chrysodrabae vel specierum humiliorum Acthionematis, prope quas posteriores ex habitu, pube et charactere florali pro tempore ponen- dum videtur. C. draboides. In Chinae prov. Kansu, ad latera denudata montium (Przewalski, 1873). Pugionium (raertn. Isatideae. Calyx erectus sepalis anguste oblongis membrana- ceis lateralibus basi saccatis, cito deciduis. Petala li- nearilanceolata basi in unguem exsertum apiceque attenuata, calyce nondum delapso erecta, tum cum staminibus recurvo-diffusa subtorta. Stamina 2 brevi- ora centro glandulae magnae reniformis v.suleatae in- serta, sepalis saccatis opposita et aequilonga, 4 longi- ora media petala superantia, per paria sepalis exteri- oribus opposita. Fifamenta filiformia, antherae angu- ste oblongae dorso supra basin bilobam insertae, 2-lo- culares. Germen brevissime substipitatum a latere compressum subquadratum dorso alatum, alis stamina breviora spectantibus, 2-loculare, loculis 1-ovulatis. Ovula medio septo angusto crasso ope funiculi erassi et brevis inserta reniformiorbiculata. Stigma sessile sub anthesi latitudinem ovarii aequans depressocapitatum, papillis crassis maximis elongatis quasi penicillatum. Silicula indehiscens obortu 1-sperma obliqua (latere loculi fertilis majore), a latere compressa, loculo transverse ovali stigmatis vestigio prope basin alae minoris coronato, dorso utrinque in alam chartaceam loculo longiorem angustam dilatata, disco reticulato- nervosa ex nervis aculeos paucos emittente, reticulo cum interstitiis hyalinis demum passim perforatis epi- carpium constituente, maturitate omni fere circuitu ab endocarpio coriaceo laevi solutum et latere alae majoris tantum filis paucis connexum, Vestigium lo- culi abortivi cum ovulo minuto ad basin alae minoris in ipso extremo libero endocarpii locatum. Semen intra endocarpium Jaxum, oblongum superne hinc emarginatum, horizontale, funiculo crasso in emargi- natura affixonune sat elongato adissepimento pendulum. 425 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 426 Testa membranacea inter cotyledones et radiculam dia- phragmate cellulsso instructa, arcte embryonem lu- teum cireumdans. Radicula supera horizontalis chala- zam spectans teres clavata ipso apice subito apiculata, cotyledonibus linearioblongis curvis convexis incum- bens. — Herbae Mongoliae australis arenicolae, an- nuae v. biennes, orgyales, globi in modum intricato- ramosissimae, foliis radicalibus carnosis sub anthesi nullis caulinisque parvis pinnatisectis, Horibus in race- mos laxos paucifloros nudos dispositis majuseulis ro- seis, siliculis erectis. 1. P. cornutum Gaertn. De fr. IL. 291.t. 142. Siliculae alis acuminatis. — Lam. Ene. meth. Ilustr. d. genres, III. 659. t. 974. (e Gaertnero sumta). Ledeb. FI. Ross. I. 168 et in Münch. Abh. IV. pars 3. 115. c. tab. Bge. in Linnaea XVI. 9S. Myagrum cornutum Lam. Enc. meth. I. 571. PBunias corruta L. Cod. 4877. excel. syn. Tourn. J, Mayer in Abh. Boehm. Ges. d. Wiss. III. 1786. 240. t. VIL f. 3. Hab. in desertis Mongoliae (Heike!) fr. nond. mat. ex J. Mayer): regione Ordos, in arenis sterilissimis Kusuptschi dictis frequens (Przewalski, 1871) et ejusdem parte australi, inter Porobalgassun et Wu- sjen, ab urbe Ning-hia-fu et muro magno orientem versus (rev. pat. Verlinden, 1877, schedulae inscri- bens: Moutarde sauvage, Saho en Mongol, on la cul- tive aussi. Odeur désagréable). Alibi in Mongolia nusquam visa, ita ut et ab Heucke fortasse ex iisdem locis, ad tractum mercatorinm e Tibeto Pekinum du- centem, a mercatoribus indigenis acceptum. E flora Rossica certe excludendum, nam a solo Georgi (Beschr. d. r. R. IIL. 1146. et Nachtr. 290.) in Sibiria ad Iset et Tobol et in deserto Calmuccorum inter Wolgam et Ural fl. crescere affirmatur, absque dubio hanc tantum ob causam, quia Martini, Pugionii possessor, Gmelini socius, regiones istas peragrave- rat”). Sed J, Mayer, qui plura specimina bona a Martinio habuisse refert, Heikeum collectorem 1) Heike, rectius fortasse Heucke, qui nominatur in Gmelini FT. Sibir, III, 172. et in cujus honorem descripta fuit Amygdalus Heuckeana Sehtdal. Abh. Halle. 1854. 1. 22. De hace habet Gmelin 1 €.: ramum mihi attulit in campis apricis sinensibus, per quos ex Sibiria per Mungalorum regiones ad Sinas itur, chirurgus Heucke, qui comitatui sinico interfuit, Unde IHeuckeum etiam Pugionium in China ipsa à mercatoribus sinicis accepisse verosimile fit. 2) Quae fides Georgio tribuenda, docet patria Rhei palmati: in insulis oceani orientalis (1. c. III. 947.), ubi Pallasium landat, qui ipse in Æiachta e China accepisse testatur. Mongoliamque patriam tantum notat. Descriptio vero et figura Mayeri cum descriptionibus et figuris alio- rum autorum tam bene congruit, ut alia specimina praeter Martiniana haud adfuisse certum sit. Radix digitum crassa carnosa. Folia radicalia nu- merosa ultrapedalia, ad 6 — 7 poil. lata, petiolis ca- naliculatis penna anserina crassioribus, lamina 6—7- jugo-pinnatisecta glabra, segmenta linearioblonga utrin- que attenuata, indivisa v. irregulariter hinc dentibus magnis 1—3 instructa v. apice 2 — 3-loba, v. usque ad basin 3-partita laciniis segmentum integrum simu- lantibus. Caulis, ex Przewalskio, prope radicem 1 — 1! poll. crassus, ramosissimus, autumno demum fractus vim venti magnam concipiens velocissime rui- tur per campos aridos natales. Folia caulina parea et tenuia, petiolata, lanccolatolinearia vel linearia, in- feriora tripartita, reliqua vulgo indivisa v. apice 2 —3- loba. Sepala 7 : 2 mill., petala 15 : 1,75 mill. magna. Siliqua cum alis 6—S8 cent, lata, loculus 10 : 8 mill. magnus. Semen 9 mill. longum. Embryo vix minor. 2. P. dolabratum. Siliculae alis oblique angusteque quadrangulis ad apicem truncatum latioribus. Hab. in Mongoliae regione Ordos, in arenosis secus fl. Hoang-ho (Przewalski, 1871). À praecedente differt tantum fructus forma (jam sub anthesi distinguenda) et glandulis hypogynis minoribus sulco percursis neque reniformibus, nec non foliis su- perioribus filiformibus sessilibus. Habitus idem. Genus Pugionii a De Candolle (Syst. IL. 149. et in Prodr. [. 185.) ob embryonem tune pleurorhizeam perperam descriptum, ad Æuclidicas sive Pleurorhizeas Nucamentaceas ducitur. Ledebour in Flora Rossica [. 168. ibidem locavit, postea, post examen specimi- nis authentici, de loco assignando silet. À Bentham et Hooker Gen. pl. 1. 96. ad Zsatideas inter Octo- ceras et Myagrum ponitur. In /satideis, sensu autorum nune laudatorum, series duae distinguuntur: siliqua 1-loculari 1-sperma et siliqua 2- v. 4-loculari, et Pu- gionium locatur in serie secunda, quamvis ab ipsis au- toribus siliqua 1-loculari describitur. Ex mea disqui- sitione Pugionium omnium melius cum Octocerate, Eu- clidio, Ochthodio comparandum, ob cotyledones incum- bentes, fructum in primo S-spinosum, folia pinnatifida, etsi omnia haec genera fructu 2-loculari gaudent, qui tamen et in Pugionio juventute 2-locularis est. Etiam 427 Bulletin de l'Académie Empériale 42S TT —"————"——————…—…—…”…”…”…”…”…"—…"—"’ -— … — — — mihi igitur Pugionium ad Îsatideas sensu Bentham et Hooker ponendum videtur. Viola thianschanica. (Sect. Nomimium Ging., stigmate immarginato). Parvula neque fructifera major, glaber- rima:; radice cylindrica subindivisa; stipulis ultra me- dium adnatis: lamina folii ovata elliptiea v. ovali in petiolum longiorem apice marginatum attenuafa ; flore intense violaceo albovariegato imberbi, caleari recto brevissimo scrotiformi; stigmate breviter uncinato con- vexe haud marginato; capsula brevi obtusa. W. Gme- liniana 8. glabra Rupr. Sert. thianschan. p. 40. Rgl. et Herd. PI. Semen. n. 122. — neque Ledeb. Hab. in ditione kaschgarica et mongolica jugi Thian- schan: ad laeum Tschatyr-kul trans jugum sito (0 sten- Sacken), trajectu Zanku alt. 10 mill. ped. (Seme- now), planitie elata Yuldus Minoris eadem altitudine et demissius, rara, nee non trajectus Narat eacumine 9800 ped. alto, frequens (Przewalski, 1877). V. Gmeliniana R.S. var. glabra Ledeb., huic revera persimilis, differt stigmate distincte marginato, pube saltem ad petiolos saepe superstite, petiolo lamina bre- viore, calcari ineurvo longiore (sepala saepe aequante). Stigma omnino medium tenet inter stigmata marginata V. Patrini et affinium et immarginata W sylvestris aliarumque: breve rostratum enim ut in illis, convexum sine margine ut in his. Quoad folia non male refert etiam V. turkestanicam Rgl. et Schmalh. (e Kokand), sed hace major, rhizomate multicipite, capita stipitata decumbentia in modum V. hirtae, folia majora sub- cordata, praesertim vero stigma marginatum!; flores nondum noti. — Utraque species transitum memora- bilem a Nomimiis marginatis ad ümmarginatas sistit: thianschanica a serie V. Patrinii quoad habitum ad illam V. odoratae quoad stigma, V. turkestanica a serie W. odoratae quoad habitum ad illam VW. Patrini quoad stigma. Lychnis alaschanica. (Subgen. Phiysolychnis Royle, 2ohrb. in Linnaea XXXVI. 666.) Laxe cacspitosa multicaulis tota subglanduloso-pubescens viridis, foliis radicalibus petiolatis spathulatis v. obovatolanceolatis, eaulinis linearioblongis vix attenuatis acutiusculis, Cau- libus tenuibus ascendentibus simplicibus, floribus sub- erectis longe pedicellatis in racemum pauciflorum elon- gatum dispositis; calycis florentis ovati fructiferi cam- panulati viridinervii glandulosi dentibas obtuse ovatis nervis apice conjunctis; petalorum unguibus exsertis glabris acute auriculatis, fornicibus minutis trunca- tis, lamina bifida basi utrinque dente subulato acuta, filamentis basi villosis; capsula carpophorum lanatum multiplo superante late ovoidea; seminibus reniformi- bus facie laevibus dorsoque granulato planis. Hab. in montibus Alaschan Mongoliae australis (Przewalski). A L,. saxatili Turez., cui magis similis ob caulem et inflorescentiam quam Z. nutanti, tamen magis dif- fert calyce non reticulato crassiore, petalis non obtuse auriculatis, appendicibus nec elongatis nec obovatis nee petaloideis foliorumque forma. À L. nutante Royle, quoeum calyee, petalis acute auriculatis congruit, in- florescentia non dichotoma et foliis distinguitur. Se- mina in omnibus tribus videntur subsimilia, in ZL. nu- tante tamen a Rohrbach describuntur serie dorsali tuberculorum acutorum unica, in L. saxatili vero tu- bereuli dorsales duplo longiores et acutiores quam in nostra. Arenaria Przewalskii. (Æremogone Kz1.) Caespitosa po- lycephala, caudicibus adscendentibus foliis emortuis tortis mollibus tectis polyphyllis; foliis margine sca- bris carnosis planis crasse cartilagineo-marginatis 1- nerviis, turionum linearibus elongatis obtusiuseulis, cau- linis lanceolato-linearibus obtusis; cauliculis calyceque glandulosopilosis; cyma contracta 3-fora; calyce flo- rum lateralium infra basin bibracteolato campanulato sepalis emarginato-bilobis, petalis unguiculatis obova- tis truncatis calyce parum v. sesquilongioribus, disci glandulis 5 emarginatis, filamentis linearilanceolatis. In Chinac occidentalis prov. Kansu, pratis alpinis (Przewalski, 1872). A. formosa Fiseh. 8. glandulosa Fz1., huic persi- milis, pluribus notis differt: folia omnia triquetra su- bulatofiliformia apice pungentia, pedicelli infra medium bracteolati longiores et numerosiores, sepala haud emar- ginata, petala subexunguiculata ovalioblonga, filamenta subulata. Arenaria kansuensis. (Æremogone Fz1.) Densissime pul- vinata cauliculis pollicaribus dense foliosis foliisque € latiore scariosa minute serrulata basi subulatis sub- triquetris pungentibus glabris, ramuloruim floriferorum latioribus ad apicem fere scariosis, Summis bracteali- bus longitudine pedicelli; flore majuseulo pedicellum 429 — villosum parum superante, sepalis lanceolatis subtri- nerviis hyalinomarginatis petala obovata superantibus. In Chinae prov. Kansu, rara in rupibus ad cacumina alpium (Przewalski, 1872). Persimilis À. monticolac Edg. in Hook. fil FI. Brit. Ind, I. 238., haec tamen distincta flore sessili v. subsessili pedicello glaberrimo, foliis bractealibus di- latatis tantum 4, petalis unguiculatis ovatis sepala di- stinctissime 3-nervia superantibus, flore paulo minore. Monogone. Sect. nova Arenariae. Sepala extima in alabastro distincte breviora. Sta- mina 5 sepalis opposita et staminodia 5 planiuscula squamiformia cum illis alterna disco eglanduloso in- serta. Ovarium 2-ovulatum. Capsula 1-sperma. — Suf- frutex habitu Æremogones. Nomen dedi quia semen unicum tantum gignit. Est fere inter Arenarias, quod Schizotechium inter Stellarias. Arenaria pentandra. Suffrutex glaber trunco crasso li- gnoso polycephalo, capitibus ramulosis, ramulis aliis fasciculos folioraum, aliis caules floriferos ferentibus; foliis subteretibus subulatis pungentibus basi breviter membranacea eaulinis connatis margine scaberulis; cyma terminali ter trichotoma, bracteis abbreviatis ultimis lanceolatis praeter costam hyalinis; pedicello calycem pluries superante; sepalis acuminato-lanceo- latis late hyalinomarginatis; petalis paulo longioribus oblongis; capsula ovoidea inclusa, semine concentrice obtuse tubereulato, — Planta pedalis, foliis 1!/-polli- caribus. Hab. in Songaria, non procul a finibus Mongoliae, in montibus Kitschni-ne-tau prope fortalitium Saissan, in rupibus (Potanin). Cerastium melanandrum. (Sect. Dichodon Bartl.) Pe- renne sursum pilis nigris glandulosis pubescens, cauli- culis procumbentibus radicantibus; foliis carnosulis in- fimis brevipetiolatis ellipticis, reliquis sessilibus oblon- gis v. oblongolanceolatis obtusis, fasciculis axillaribus homophyllis; eyma foliata 1 — 53-flora, pedicellis de- floratis erectis dense glandulosis demum folio longiori- bus; flore nutante, sepalis oblongis obtusis margine anguste scariosis quam petala erectopatula obovata emarginata duplo brevioribus, antheris atropurpureis. In Chinae prov. Kansu (Przewalski, 1873). des Sciences de Saint- Pétersbourg. 430 A C. trigyno Vi. omnibusque affinibus foliis carno- sulis, antheris atropurpureis petalisque non bilobis dignoseitur. Planta palmaris, flore diam. 15 q. exc. mill. Linum nutans. (Adenolinum Rchb.) Perenne multi- caule glaucum, foliis linearibus v. lineari-lanceolatis encrviis margine serrulato-scabris; racemo fructifero elongato; floribus parvulis erectis, sepalis late ovatis obsolete 1-nerviis hyalino-marginatis, petalis coeruleis cuneato-obovatis crenulatis calycem plus duplo supe- rantibus, glandulis disei 10, staminodiis deltoideis, sty- lis basi connatis ovario parum longioribus, stigmate ca- pitato subdecurrente; pedicellis fructiferis capsulam nu- tantem parum superantibus; capsula subglobosa calyce plus 3-lo longiore pseudo-10-loculari septis pseudo- septisque margine pilosis. Hab. in Chinae prov. Kansu, in campis argillosis non procul ab urbe Da-dshan (Przewalski, 1872). Affine L. austriaco Li. et L. perenni Li (sibirico DC.) Prius, a Planchor in Hook. Lond. journ. bot. VIT. 175.inter varietates L. perennis enumeratum, ab Ale- feld in Bot. Zeitg. 1867. 255. cum permultis alis distinetum habitum, a nostro differt colore viridi, fo- liis distincte 1-nerviis, flore fere triplo majore, sepalis nervosis exterioribus acutis, glandulis 5, staminodiis filiformibus, stylis liberis stigmate decurrente, pedi- cello fructifero capsulam plus duplo superante fere horizontali, apice tantum leviusque nutante, capsula quam calyx duplo usque longiore. L. perenne L. di- gnoscitur foliis lacvibus basi trinerviis, stigmatibus haud decurrentibus ovoideocapitatis et reliquis signis ut in L. austriaco. Tiliae Âsiae orientalis. Species Tüliae quam maxime polymorphae difficil- lime dignoseuntur, quia characteres florales et carpici graviores fere desunt, illi vero ex organis vegetationis deprompti nimis variabiles. Ut taceam de autoribus antiquioribus species innumeras describentibus charac- teribus minimi pretii fultas, recentiore tempore scrip- tores duo de generis monographia optime meriti sunt: Spach in Ann. sc. nat. 1 Sér. IL. 331., qui primus genus hoc optime subdivisit et specierum characteres |exposuit, sed inter americanas fortasse nimis numero- | sas formas specie distinxit, et Bayer in Verh. Zool. bot.-Ver. Wien. XII. 1862. 3. sq., qui tamen nimium 431 laborem organis vegetationis et descriptioni innume- rarum formarum sine ulla utilitate distinctarum im- pendit, characteres vero fandamentales Spachi nimis neglexit speciesque pauciores admisit. Formae Tiliarum, docente Spach, in duas greges sejunguntur ex pracsentia staminodiorum in @nerica- nis et T. argentea, et defectu illorum in ewropacis (T. cordata et affinibus), adjuvantibus flore semiclauso, staminibus brevioribus, foliis vulgo maximis subtus to- mentosis in illis, et flore patente, staminibus elonga- tis foliisque sacpius minoribus glabris in his. Tempore Spachitamen in Téliarum distributione cognita hiatus erat maximus, Asiæ nempe orientalis. Cognitis nunc formis asiaticis invenimus nonnullas, inter duas divi- siones Spachi ambiguas. Habemus v. gr. 7. mongo- licam infra descriptam, ex characteribus floralibus nonnullis ad amcricanas, ex habitu ad ?. cordatum ac- cedentem. Ipsa 7. cordata in Japonia crescens et a contermina wandshurica ne varietate quidem scjun- genda, staminodia offert, quae in planta #andshurica rarissima, in illa vero in occidentali Mandshuria et magis oCcasum versus proveniente plane desunt. Sal- tus igitur ab ewropacis ad americanas ope formarum asiaticarum nuper detectarum multo minor evadit quam hucusque putabatur. Nihilominus greges Spachianae etiam nunce servandae ope aliorum characterum, etiam a Spachio jam indicatorum. In 7. cordata ct affini- bus stamina cum stylo aequo passu elongantur, ita ut demum priora stylo aequalia v. longiora et petala superantia evadant:; praeterea stamina in quovis fasci- culo epipetalo 5—6, in toto igitur 25—30 (in affini- bus et ultra). In 7. argentea et affinibus autem stamina aperiente alabastro stylum crassum brevem superant, sub anthesi vero vix elongantur, dum stylus ralde accrescit, ita ut demum staminibus multo longior fit, Stamina ipsa vero in fasciculo 10—15, in toto igitur 50—75. Sed etiam bic T. mongolica inter utramque divisio- nem subvacillat: stamina enim satis clongantur, etsi miuus quan in 2. cordala, numerus corum autem major quam in hac et minor quam in Z. argentea in- venitur. Quum jam subdivisio primaria generis tanta diffi- cultate prematur, multo difficilius adhue est e cyclo innumero formarum enucleare principales illasque characteribus validis dignoscere. Nihilominus, habitu Bulletin de l’Académie Empériale 432 nimis diverso notisque € flore vel fructu deductis commoti, specierum nomine formas aliquas distingui- mus, semper tamen in mente habentes, species has multo minus absolutas esse quam in aliis generibus, ubi formac transitoriae parciores cecurrunt. Quibus animadversionibus praemissis jam species in Asia orientali hucusque detectas describere conabi- mur, Clavis specierum. Stamina 25—30 et stylus sub anthesi subac- qualiter elongantur petalaque patentia superant, ES nux tenuis, folia discolora glabra............... =. cordata. Stamina 55—75 petalis patulis stylo stamino- disque 5 evolutis breviora. 2. 2. Stamina 35 — 40 petalis parum breviora, pe- dunculi basi longe nudi, folia glabra discolora par- cius grandiserrata serraturis longe mucronatis ... Stamina 60—70 petalis styloque demum duplo breviora, pedunculi bractea fere ad basin decur- rente, folia subtus tomentosa multiserrata. 8. 3. Folia cordatorotundata subito cuspidata ser- raturis patulis longe mucronatis, nux basi perfo- rata, bene evoluta sulcata ..................... Folix deltoidea v. ovata sensim attenuata ser- raturis incumbentibus apiculatis, nux basi plana, costata . mongolica = mandshurica. T. Miquelianu. 1. T.cordata Mill. Dict. Maxim. FI. Amur. n. 154. Rgl. FL Usur. n. 100. F. Schmidt, F1. Amg. Bur. n° #0: | Per totam Mandshuriam, exclusa maxime boreali, frequens. Ex Turczaninow in Dahuria cirea Nert- schinsk, ex Maack ad Schilkam f. frequens, sed pri- num locun incolac negant, ad Schilkam autem tantum inter Schilkinskoi Sawod et Gorbizam sat frequens, infra vero in altioribus rareseit, ut et ad Amur superi- orem montanum. Sistit var. mandshuricam, foliis grandius et paucius serratis serraturis longiuscule mucronatis ab omni planta europaea diversam et tantum ad plantam sébiri- cam nonnihil accedentem, quae Var. sibirica hb. Petrop.: foliis basi truncatis v. sub- cuneatis saepe latioribus quam longis, serraturis non mucronatis. — Spontanea in gubernio Tomsk*). — Conf. de hac: Bayer. Monogr. p. 23. L. ce. sub T. parvifoliac varictatibus. Var. mandshurica ludit: foliis subtus glaucis, fructu subgloboso: Ad Amiur inferiorem, et foliis subtus pal- > 3) Sylvae magnae Tiliae (an hujus varietatis?) occurrere dicun- tur secus fl. fartas districtus Zara gub. Tobolsk, unde incolae loci |apes mellificas colunt. Makenmos's. Hoanrau, CCLHILHBIE, BB Oreu. | Bar. 1869. ABryCTB, crp. 224. 433 lidis, fructu late ovali: ad Amur australem et in Man- dshuria meridionali. Var. japonica Miq. Prol. 206. Folia argutius ser- rata serraturis brevius mucronatis, subtus minus glau- cescentia, staminodia saepe evoluta!, nux major sub- globosa, ad 7 mill. alta. In Japoniae insulis Nippon media, montibus Hakone et alibi, et Yezo circa Hakodate, frequens arbor. Si- millima quidem occurrit in Mandshuria littorali Ko- reae contermina, sed in hac staminodia rarissime evol- vuntur. Ob staminodia evoluta, qualia specichus americanis atque T, argenteac propria sunt, videtur antiquissima forma T. cordatae, in Japonia superstes, vinculum inter utramque generis gregem sistens. An Tilia quaedam, in Xurilis australioribus prove- piens, ex Pallas N. nord. Beitr. et ex Golownin apud Külb, Länder- u. Vülkerkunde in Biographien, IT. p. 505., ad hanc speciem referenda ? 2, T. mongolica. Glabra microphylla foliis discoloribus latioribus quam longis basi truncatis antice tricuspida- tis, pauci- et grandiserratis serraturis aristatis, pe- dunculis basi nudis erectis, cymis densis bracteam su- perantibus, sepalis margine tantum tomentosis intusque ad basin barbatis, flore campanulato, staminibus 35— 40 quam staminodia petalaque brevioribus, stylo glabro. Mongolia australis: ad latus australe jugi Muni-ula, rarius (Przewalski, 1871); China boreali: in monte Po-hua-shan ditionis Pekinensis (Dr. Bretschneider, 1e): Ab omni 7, cordata flore non patente, petalis sta- mina superantibus et a planta europaea et asiatica continentali staminodiorum praesentia differt, ex ha- bitu ad T. cordatam var. mandshuricam ob folia ac- cedit, sed folia adhuc paucius et grandius serrata. — Folia tricuspidata ceterum et in aliis Tiliis passim oc- currunt, et quamvis in 7. mongolicae omnibus exemplis collectis sola adsint, tamen olim verosimiliter et indi- visa invenientur, -- In planta chinensi (nondum florente) in plerisque cymis ad basin secundae vel rarius primae trichotomiae adsunt bracteolae virentes oblongoline- ares, ad 10 mill. longae. Tales observatae sunt à Ma- linvaud (Bull. soc. bot. de France 1878. 316) cito caducae in ramo 7. grandifoliae in medio pedunculo, in eadem versus pedunculi basin observavit Deséglise Tome XX VI. des Sciences de Saïint-Pétersbourg. EEE) 434 (ex adnot. 1. c. 317.), praeterea in T.parvifolia (cordata), denique in 7. argentea pedicelli 2 v. 3 versus medium bracteolam minutam caducam habebant. Specc. mon- golica sub plena anthesi lecta bracteolis his carent, an caducae, an baud evolutae, non constat. 3. T. mandshurica Rupr. et Maxim. in Bull. phys math. Acad. Pétersb. XV. vel Mél. biol. IT. 412. 519. Ad folia subtus dense, ad bracteas cymas gemmasque parce tomentosa grandifolia; foliis cordato- v. truncato- rotundatis subito cuspidatis mucronatoserratis ser- raturis patulis; bractea pedunculo fere usque ad basin adnata; flore semiaperto, sepalis incanis, petalis stami- nodia his stamina numerosa superantibus, stylo petalis demum paulo longiore, nuce crasse lignosa globosa sub- tuberculata tota v. inferne 5-sulcata basi pro pedicelli insertione excavata. Maxim. FI. Amur. n. 155. T. «r- gentea var. mandshurica Rgl. FT. Usur. n. 99. T. ar- gentea Bayer Monogr. Til. 48. T. Pekinensis Rupr. IL ce. In Mandshuria ab Amur australi meridiem versus usque ad fines ÆXoreae sat frequens, China boreali, ditione fl. Pekinensis (Kirilow). A T, argentea (europaea) et T. Miqueliana (japonica) differt foliis parcius serratis serraturis longe mucro- natis et nuce sulcata basi perforata, a secunda praeterea foliis rotundatis subito cuspidatis et serraturis patulis. Regel J. e. diversitatem foliorum et fructuum negat, sed in adversariis ejus de serraturarum mucrone et fructu perforato nulla mentio facta est, Bayer vero diagnosin meam non legisse videtur, ipse autem neque in serraturarum naturam neque in fructus indolem in- quisivit, nam si hisce mentem adhibuisset nullo modo pro mero synonymo declarasset, dum varietates nu- mérosas signis minimi momenti superstructas enume- rasset. T. pekinensis, tantum sterilis et cum alabastris col- lecta, formam lobatam sistere videtur, qualis in Tilais fere omnibus juventute occurrere solet. 4, T. Miqueliana. Bracteis cymis gemmisque parcius, ad folia subtus dense cinereotomentosa, parvifolia; foliis deltoideis v. deltoideoovatis sensim acuminatis basi truncatis, argute serratis serraturis incumbentibus breve calloso- apiculatis; bracteis pedunculo ad basin fere adnatis; flore semiaperto, sepalis incanis, petalis staminodia his stamina numerosa superantibus, stylo 28 435 sub anthesi stamina, post anthesin petala vix superante; nuce lignosa globosa basi 5-costata ceterum laevi non umbilicata. 7. mandshurica Miq. Prol. 1. c. Franch. Savat. Enum. pl. jap. I. Nippon media: tractu montis Nikko (Savatier s. n. T. cordatae), circa Yokohama, arbores nonnullae prope Tobi, in hortis urbis Yedo culta (ipse). — Japonice: Moku énami. In serie specierum ad quam pertinet species hic proposita americanis magis affinis quam 7. mandshu- rica et T. argentea, quae ambae foliis cordatorotundatis subito cuspidatis et serraturis patulis differunt. Species americanae vero foliis saepe ovatis sensius acuminatis et serraturis vulgo incumbentibus cum 7. Miqueliana congruunt, omnes tamen differre videntur stylo jam sub anthesi stamina, post anthesin petala saepe longe superante et fructu ecostato. Nostrae omnium propior est T. heterophylla Vent. ob folia subtus incanotomen- tosa, sed discrepat gemmis glabris et foliis majoribus minus sensim acuminatis. 2. pubescens Ait., quae ab autoribusamericanis T.americanaeL.(T.nigrae Borkh.) varietas habetur, gemmis pubescentibus et foliis mi- noribus convenit, sed posteriora subtus non tomentosa vel imo glabra et forma nonnihil aliena. Qua ex disquisitione satis elucet affinitas permagna T. Miquelianae cum Tiliis variis in America boreali indigenis. Si nostra in America inventa esset, vix specie distincta haberetur. Nunc vero stylo brevi, fructu costato foliorumque forma utimur ad formam geographice remotam etiam in systemate secernendam, potius quam speciei Cuidam adnumerandam, a qua toto habitu nimis differret. Formae duae ante oculos sunt: foliis ovatis, bracteis angustis cyma brevioribus (Yokohama florens, Niko de- florescens, sine loci indicatione in hb. Lugd. Bat.) et foliis deltoideis bracteis latis cyma longioribus (Yedo florens, Yokohama fructifera collecta). Folia maxima quae habeo 120 mm. longa et 85 mm. lata, sed illa surculorum sterilium quae olim vidi in herb, Lugd. Bat. majora erant et simul grandius serrata, vulgo tamen in planta adulta longifolia 80 : 45 mum., in brevifolia 55 : 50 mm. magna, petiolum plus duplo superantia. Bracteae angustiores circiter 70 : 10 mm. magnae, latiores ultra 90:55 mm., pl. m. an- guste oblongae, basi et apice v. tantum apice rotun- datae. Sepala 5 mm., petala 6 mm. longa, stamina Bulletin de l’Académie Impériale 436 dupio breviora. Stylus post anthesin ovario sesqui tan- tum longior. Nux diam. 9— 10 mm. dense tomentosa, apiculata. Acer discolor. Arbor vasta sempervirens glaberrima, ramulis gracilibus cortice laevi juniore fuscescente, foliis tenuiter coriaceis utrinque dense elevato-reticula- tis superne lucidis subtus glaucis trinerviis, e rotun- data v. subcordata basi ovatooblongis ovatolanceola- tisve v. rarius ovatis sensim v. caudatoacuminatis v. rarius acutis ipso apice obtusiuseulis indivisis inte- grisque v. versus basin obtuse v. acute breviterque trilobis margine crispato pl. m. hine inde mucronato- serratis. In Chinae occidentalis prov. Schensi et Kansu secus fl. Han et in planitie boream versus variis locis sterile legit Dr. Piasezki, 1875. Ex affinitate À. pentapomici JS. L. Stewart in Hook. f. F1. Brit. Ind., à me non visi, sed glabritie etiam in statu juvenili perfecta, serraturis dum adsunt lon- giuscule mucronatis, lobis brevioribus non ovatis di- versum, flore fructuque tamen ignotis. A reliquis #ndi- cis et sinicis integrifoliis, quae ante oculos sunt, ma- gis distinctum. Folia vetusta usque ad novella perfecte evoluta per- sistunt, novella innovationum elongatarum inferiora saepius triloba reliqua indivisa, petiolo ad 35 mil. lamina ad 110 mill. longis, hac ad 50 mill. lata, sed oceurrunt et breviora et latiora (v. gr. 95 : 60 mill.) et triplo minora. Acer pilosum. Arbor mediocris densissime frondens sempervirens, cortice fuscocinerascente rimoso, petio- lis patentim pilosis, lamina tenuiter coriacea reticulo denso utrinque prominente, superne lucidula parce pi- losula atroviridi, subtus luteoviridi margine costisque densius ceterum parcius piiosa, ad axillas et sinus barbatovillosa, latiore ‘quam longa, ambitu trigona, basi rectilinea subeuneata v. leviter cordata 3-nervi, 3-partita et obtuse inaequaliter pauciserrata v. sub- integra, laciniis oblongolanceolatis obtuse acuminatis ; fasciculis paucifloris coaetaneis terminalibus, foribus longe pedicellatis minutis, sepalis longissime ciliatis, staminibus exsertis, stylo longitudine stigmatum; sa- marae loculis lacvibus convexis patentissimis costaque 43% des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 43% ——— alarum oblique obovatarum arcuatoascendentinm con- niventium dense gilvopilosis. ' In Chinae prov. Kansu, parte australi, in planitie, 15 Junii 1875 def. fr. nond. mat. (Dr. Piasezki) A. trifidum H. A., cujus planta juvenilis est À. Buergerianum Miq. (de quo vide infra), À. piloso sane proximum, differt pube tantum ad axillas costasve parca, foliis novellis pube mox tota abrasa dense pu- berulis, plantae juvenilis ambitu ovatis v. rotundatis trifidis lobis ovatis longe acuminatis, plantae adultae circumscriptione obdeltoideis antice breviter acumi- nato-trilobis, floribus glabriusculis, sepalis lanceolatis acutissimis, stylo subnullo, stigmatibus longissimis, fructus loculis valde exsculptis alisque glabris. — À. iso- lobum Kurz, e Pegu, sterile tantum notum, ex de- scriptione distinctum glabritie, foliis majoribus serru- latis lobis lanceolatis acute acuminatis. À. Semenowi Rgl. et Herd.denique, etiam foliis trilobis instructum, ad seriem À. tatarici pertinet, inflorescentia floribus- que igitur nimis abhorret. — Est quasi À. frifidum juvenili statu florens et pubescens, flores samaraeque tamen etiam diversa, sed partium magnitudo, samara minore excepta, À. trifido consimilis. Oblata occasione non inutilem habeo conspectum brevem Acerum Asiae orientalis: _ =” DeCtL Acer: Flores polygami v. dioici petaligeri. Folia simplicia. Divis. 1. Flores e gemmis lateralibus propriüs orti, in racemum brevem sub anthesi fasciculiformem dispositi v. fasciculati. Gemma termina- lis foliifera v. etiam rarius simul florifera. Polygama. 1.4. pycnanthum C. Koch in Miq. Ann. Mus. Lugd. Bat. 1. 250. p. p. Folia antice triloba, flores praecoces fasciculati rubri. Fr. Sav. Enum. pl. Jap. [. 90. Japonia, loco speciali ignoto, japonice: hana-n0-ki i. e. arbor florida. Species haec vix nota, in hb. Lugd. Bat. servata, composita est e spec. florente aphyllo et ramulo foliis juvenilibus tecto cum foliis adultis nonnullis et fructi- bus, quae omnia, praeter flores, ad À. argutum m. per- tinent et nomine japonico diverso {sjoosja-no-ki de- signata sunt. In hb. Siebold. etiam ramulus florens A. pycnanthi exstat, cui adjecta sunt folia, evidenter a Sicbold conspecifica habita, sed ad À. trifidi sta- tum juvenilem pertinentia, qui a Miquel nomine À. Buergeriani designatus est. Equidem denique à bo- tanico japonico accepi ramulum foliferum sterilem s. n. hana-no-ki, ab omnibus reliquis Aceribus japo- nicis diversum, quem pro vero habere licet. Huic folia petiolo gracili laminam superante instructa, subtus cae- sia et ad axillas basales parce barbata, ceterum utrinque glaberrima denseque elevatoreticulata, e basi truncata v. superiorum leviter cordata ceterum rotundata tri- ioba tricostata, costis rectis sub angulo semirecto a mediana divergentibus, lobis centrali ovato breve acu- minato subtrilobo lateralibus fere dimidio angustiori- bus ceterum similibus, omnibus inaequaliter grandi- serratis. — Inter foliaejusdem ramuli adest discrepantia. Folia adulta sinus ad medium attingentes habent, pe- tiolos SO mill. longos, laminam 65 mill. longam et per apices loborum lateralium mensam totidem latam. Folia superiora petiolo 27 mill. longo, lamina 40 mill. longa, 25 mill. lata, acuminato-ovata basin versus 3- loba, lobis terminali ad medium 2-, lateralibus versus basin 1-lobulatis his acutis. Adest denique folium seorsim additum, sed conspecificum, quod secus omnes tres costas subtus usque fere dimidiam longitudinem pilosum est et laminam habet 35 mill. longam, 30 mill. latam, dimidio inferiore semirotundam, antice acuminatotrilobam, lobis deltoideis, medio plus duplo latiore. Qua ex foliorum latiorum forma certe multo magis accedit ad À. rubrum, quam a C. Koch putabatur. 2. À. diabolicum BI. ex C. Koch I. €. 251. (sterile). Folia 5-loba lobis breve acuminatis pauciserratis fere crenatis, flores magni lutescentes, loculus samarae lon- gior quam latus. Miq. in Arch. Néerl. IL. 476. (ad pl. flor. a me missam). Fr. Sav. 1. c. I. 87. Hab. Japonia, in prov. Senano, ins. Nippon, nec non jugo Hakone (hic: Savatier! n. 181 sterile). Racemus primum fasciculiformis in fructu elonga- tur, 5—9-carpus. Lobi foliorum plantae juvenilis ob- tusi. — Affine À. villoso Wall. 2 3. À. purpurascens Fr. Say. 1. c. II. 320. Folia praecedentis, flores magni rubri, loculus samarae la- tior quam longus. Hab. Nippon: ape Niko (Savatier!), Yedo, cultum (4. Savatier et Franchet, ipse steril, s. n. to-kaëde). 28% 439 Bulletin de l’Académie Hmpériale 440 ———————2€ Sterile, teste Franchet, a praecedente haud dis- cernendum. Dioica. 4. A. barbinerve Maxim. in Mél. biol. VI. 369. Fo- lia 3—5-loba duplicatoserrata serraturis paucis mag- nis, costae secus nervum medium subsenae, sepala quam petala angustiora, samarae angulo obtuso diver- gentes. In Mandshuria australi orientali: silvis acerosis se- eus fontes fl. Li-Fudin et Wai-Fudin, ad fl. Suifun (F. Schmidt! frf.), circa aestuaria Deans Dundas et Wladiwostok. Frutex truncis pluribus ad 10-pedalibus, cortice fusco laevi, turionum sanguineo. Cum À. glabro T. Gr., cujus cum specimine sterili olim comparavi, nil commune habet practer sectionem. Folia et fructus e Japonia, quae a Miquel Arch. Néerl. IT. 476. ad hoc ducuntur, ad sequens pertinere autopsia edoctus sum. 5. À. argutum Maxim. 1. c. 368. Folia 5—7-loba lobis argute inaequaliter multiserratis, costis secus pervum medium subdenis, sepala petalis latiora, sa- marae divaricatae. Miq. 1. nune cit. 475. Nippon: silvis subalpinis prov. Senano et Nambu. Praecedenti tantum affine. Flores in utroque ochra- cel. Divis. 2. Inflorescentia terminalis et folia e gemma communi orta. Flores racemosi. * Racemus densus spiciformis, flores minuti. 6. À. spicatum Lam. var. ukurunduensis Maxim. FI. Amur. 65. Folia 7-loba subtus canescentia, race- mus compositus densissimus. Fr. Schmidt. FI. Sacha. n. 88. Fr. Sav. L. c. 1. 88. À. spicatum Miq. in Arch. Néerl. 470. Mandshuria orientalis sylvatica montosa, à mari Ochotensi usque ad fontes #. Li-Fudin. Sachalin. Nip- pon media et borealis. Differentiae pl. asiaticae ab americana, a me 1. €. expositae, a Miquel (qui a me spec. |. acceperat) ne- gatae, sunt tales, quod utraque planta et sterilis sta- tim cognoscenda. 7. À. parviflorum Fr. Sav. 1. c. IT. 321. Folia tri- loba, racemus simplex. Japonia, a botanico indigeno s. n. tetsu kaëde a Franchet accepta. Fructus ignoti. Vidi delineationem a cl. auctore communicatam et flores, quorum analysin confeci. Spe- cies inter omnes distinctissima ! #** Racemus laxus. a. Folia indivisa varie serrata. 8. À. distylum $S. Z. F1 Jap. fam. nat. I. n. 172. Folia e profunde cordata basi rotundatoovata obtusa v. subito acuminata serrulata parallele paucicostata, passim ob lobos anguliformes subrhombea; racema compositi nutantes, flores parvi lutescentes, sepalis oblongis petala linearia aequantibus quam stamina bre- vioribus, antheris rotundatis, stigmatibus discretis; alae samarae angustae erectae conniventes. Nippon: montibus altis prov. Senano et Nambu. A. sikkimense Miq. in Arch. Néerl. 471. Hook. f. F1. Brit. Ind. I. 604. differt foliis 3-nerviis obsolete serrulatis, racemo simplici, pedicellis abbreviatis, styli praesentia, alis divergentibus. — Diagnosin fusiorem et differentias ab 4. Sikkimensi exposui, quia hucus- que minus notae erant,. 9. À. carpinifolium S. Z. 1. e. n. 173. FL Jap. I. t. 142. Folia oblonga acuminata parallele multicostata, flores polygamodioici, racemo simplici fructifero oli- gocarpo, pedicellis elongatis, alis divergentibus, loculo samarae plano ovato-oblongo. Hab. in Xiusiu interioris jugo Kundsho-san, et Nip- pon jugo Hakone et alpe Niko. Arbor 50 pedes alta, incolis ins. Kiusiu teng-ma. Racemi primum abbreviati demum elongantur, in pl. Kiusiana multiflori, in Nipponica pauciflori. In flore 3 stamina sepala aequant, antherae oblongae filamento longiores, ovarium abortivum, in fl. © stamina nulla vel minuta (ut in $. Z. fig, 1), ovarium distinctissimum stylo stigmatibus breviore superatum. A. Hookeri Miq. Arch. 1. c. 471. Hook. f. FL Brit. Ind. I. 694. valde differt foliis basi latioribus (vulgo ovatis) cordatis, apice caudatoacuminatis 3-nerviis ‘) paucicostatis, demum chartaceis; pedicellis florem vix aequantibus, racemis fructiferis polycarpis, samaris conspicue minoribus, loculo convexo rotundato. Planta 4) In FI. Ind. 5-nerviis, sed nervi extimi breves et indistincti negligendi sunt. A41 dioica videtur, sed vidi tantum fl. d ovario abortivo (habui e Sikkim a Thomson flor., a T. Anderson frf.. e Bhutan a Griffith fl. M 928. 929.). ; b. Folia lobata et serrata. * Pedicelli circiter longitudine florum. 10. À. crataegifolium S.Z. 1. c. n.174.et FI. Japon. II. t. 147. Folia ovata acuminata basi cordata et plus v. minustriloba, samarae patentissimae. Miq. Prol. 21. et in S. Z. FL Jap. IL. 84. Fr. Sav. L. 89. In Nippon mediae alpe Niko, et Xiusiu prov. Higo alpe Higo-san. — Arbor pedem usque crassa. 11. À. rufinerve S. Z. 1. c. n. 175. et L. c. Il. t. 148. Folia apice latiore triloba lobis acuminatis, basi cor- data utrinque obsolete insuper bilobula, subtus ad axillas barbata, petala quam sepala latiora, pedicelli crassi loculo samarae globoso breviores, alae patulae. Miq.l.c.etinS.Z.l.c.85. Fr. Sa v.l.e.T..89. Nippon: alpibus Niko et Hakusan (Rein!), Aiusiu: jugo interiore Kundsho-san et alpe Higo-san, alte su- pra mare. — Arbor altissima, 4 pedes usque crassa. Simile À. pensyloanicum L., quocum rejungere mal- let Miquel (Arch. Néerl. Il. 473.), differt tamen op- time loculo samarae majoris ovato tantum convexo, foribus demum duplo majoribus pedicellisque graci- libus samara tota duplo tantum (neque loculo) bre- vioribus. 12. À. tegmentosum Maxim. FI. Amur. 66. Folia praecedentis subtus glabra, petala quam sepala latio- ra, pedicelli loculo ovato convexo aequilongi, alae pa- tentissimae. Rgl. FI. Usur. n. 105. Arbor in Mandshuria orientali montosa sylvatica passim frequens, a latitudine sinus de Castries usque ad Usuri superiorem. ** Pedicelli Aorem superantes. 13. À. capillipes Maxim. in Mél. biol. VI. 367, Glabrum, folia medio latiora lobis patentibus ut in praecedentibus, sed angustioribus, pedicelli filiformes, racemi valde multiflori, sepala quam petala latiora, fructus.... Miq. in Arch. Néerl. IT. 477. Hab. in Nippon media (Tschonoski). Pedicelli fere À. pensylvanici, sed folia floresque diversa. — À Miquelio À. capillipes proximum À. spi- cato Lam. (sic!) et affine À. Thomsoni habebatur. Sed posterius longe abhorret inflorescentia praecoci e gem- des Sciences de Saint-Pétersbourg. RE 442 mis propris infra folia orta et ad nostram divis. 1. pertinet, ubi prope À. villosum Wall. ponendum est, pro eujus varietate imo habetur a Hiern in Hook. f. FL. Brit. Ind. I. 695., non absque dubio tamen. Specc. frf. e Bhutan (Griff. 928 !) et Sikkim (Thoms.) quae vidi (Hores ignoti videntur) non solum foliis et fructu majore, ut habet Hiern, sed etiam alis basi valde con- strictis, fere ad costam dorsalem reductis, ab À. vil- loso distincta videntur, recte monente Miquelio. — Ad seriem specierum À. pensylvanico affinium vero nonnihil approximant ex éndicis A. caudatum Wall. et À, pectinatum Wall. 14. À. micranthum $. Z. 1. c. n. 176. FI. Jap. II. t. 141. Folia 5 — 7-fida lobis caudatoacuminatis, flos fructusque minuti, petala quam sepala duplo triplove breviora, loculus samarae ovatus convexus, alis parum longioribus divergentibus. Miq. Prol. 20 et in FI. Jap. IT. 80. Hab. in Aiusiu prov. Bugo, alpe Jnu-take in regione fruticum, 4-pedale dumosoramosissimum, trunco 1!!, pedem crasso, prov. Simabara vulcano Wunzen, versus ‘acumen, prov. Higo alpe Higo-san alte supra mare in sylvis, arbor 2 pedes crassa, 40 pedes alta. In in- sula Nippon: Fudzi-yama, altius ascendens quam À. pictum, et prov. Nambu. Flores Q ignoti, anne igitur dioicum? Flos in icone Sieboldiana nimis magnus delineatus. Flores corymbosi. (Ab illis ubi racemi brevi pauciflori pedicellis elongatis sunt, distinguuntur pedicellis plus quam 1-floris). a. Folia margine integro. # Lamina indivisa. 15. 4. oblongum Wall. in DC. Prodr. [. 593. Folia minute subinconspicue reticulata, corymbus pubescens, flores minuti, loculus samarae medio carinatoconvexus. Benth. FI. Hongk. 47. China australis, circa Hongkong, frutex orgyalis parce ramosus (Wright!, Hance! Forbes!). In ar- chipelago Lu-tschu, foliis duplo fructuque minoribus quam in pl. hongkongensi (Wright!).— In Himalaya tota frequens arbor. 16.4.reliculatum Champ. in Hook.Kew Journ. bot. II. 312. Folia utrinque valde reticulata, corymbus glaber, flores majusculi, loculus samarae valde con- 443 Bulletin de l’Académie Impériale 444 vexus nervosus. Seem. Botan. Herald. t. 80. Bth. | FI. Hongk. 47. Hab. in ins. Hongkong (Wright!, Hance!) neque | alibi. — Frutex valde ramosus v. arbor. Affine À. laevigato Wall. #* Lamina 5 —7-loba. 17. À. pictum Thbg. FI jap. 161. et Icon. dec. V.1. Folia 5 — 7-loba plantae adultae basi truncata lobis acute subcaudatoacuminatis integris, corymbus floresque sulfurei glabriusculi, petalis obovatis de- mum bilinealibus sepala oblonga staminaque superan- tibus, samara brunnea alis loculum planiusculum ses- qui v. duplo superantibus divergentibus v. rarius con- vergentibus vulgo angulum rectum includentibus. Arbor in Sachalino et Japonia frequens et variabilis vix in varietates divellenda, quarum una tamen in Mandshuria constantissima evadit. Ad foliorum lobos et fructuum formam si respicimus, formas sequentes distinguere possumus : Lobi foliorum ad trientem laminae incisi: o. Folia imo statu juvenili subtus ad axillas tan- tum barbata, alae erectae apice convergentes v. ra- rius apice divergentes. À. pictum Thbg. IL. ce. (folia alterna delineata et descripta ita videntur, quia ad apicem innovationis sterilis, quae sola autori innotuit, congesta sunt). — Planta juvenilis v. surculi steriles folia ultra medium v. fere ad basin fissa habere possunt. Haec var. lecta est spontanea variis locis ins. Yezo, et culta in hortis yedoënsibus. # 8. Folia juvenilia et vulgo adulta subtus secus ner- vos pubescentia adque axillas barbata, alae ut in «. Lecta circa Hakodate ins. Fezo, prov. Nambu, mon- tibus Hakone et vuleano Fudziyama ins. Nippon, nec non in alpe Niko et Yedo urbe. Lobi ad v. ultra mediam laminam incisi: y. Folia subtus ad axillas barbata, alae sub angulo recto v. obtuso divergentes. À. Mono Maxim. FI. Amur. Per totam Mandshuriam orientalem a finibus Ko- reae fere usque ad ostium fl. Amur. Japonia: vulcano Fudzi-yama, in consortio À. picti, sed autumno viride manet ubi hoc jam rubrum invenitur. à. Folia et adulta subtus ad nervos pubescentia, alae angulo recto divergentes. A. {runcalum Fr. Sa- vat. Enum. I. n. 359. Nippon: Sagami (Savatier), alpe Niko (Tscho- noski). Adest denique forma inter &. et y. ambigua, foliis nempe &. (A. picti typici), alis y. a basi sub angulo recto v. obtuso divergentibus. Haec circa Hakodate a Wil- ford et me ipso lecta est. Ex hisce formis tantum y. (A. Mono) in Mandshuria occurrit ibique semper sibi constans est, in Japonia vero omnes altera in alteram transire videntur. 18. À. truncatum Bge Enum. Chin. n. 62. Folia ramorum floriferorum basi truncata 5 — 7-loba lobis subcaudato-acuminatis integris, corymbi glabri flo- resque sulfurei visciduli, petalis obovatis (demum 3- linealibus) sepala oblonga duplo staminaque superan- tibus, fructus ochroleucus, alis loculo convexo magno sesquilongioribus angulo obtuso divergentibus. Hab. in ditione florae Pekinensis (omnes collectores), v. gr. Yin-shan, Takiosze, monte alto Po-hua-shan et alibi. Flore majore fructusque colore et forma loculique magnitudine semper sibi constans et ab À. picto distin- guendum. Transitus nulli a me observati. À C. Koch in Miq. Ann. Mus. Lugd. Bat. I. 251. À. truncatum Bge cum À. laeto C. A. Mey., À. cul- trato Wall. et À. Mono Maxim. ad À. pictum Thbg. ducuntur, et Miquel Prol. 19.et Hiernin Hook.f. FI. Brit. Ind. I. 696. Kochium secuti sunt.—Quo modo À. truncatum Bge ab À. picto, cui À. Mono subjunxi, differat, supra exposui. — À. laetum C. A. Mey. Enum. Cauc. Casp.(1831.), À. Lobelü Ten. FI. Napol. IL. 382. (1820) et À. cultratum Wall. PI. As. rar. IT. p. 4. (1831) inter se parum v. vix varietate diversa, a duo- bus orientali-asiaticis calyce hispido et alis fere ho- rizontalibus loculum duplo v. triplo superantibus fruc- tuque fere duplo majore multo magis differunt, quam ab À. platanoidi L., quod tantum foliorum lobis si- nuato-dentatis differt, qui tamen in illis jam passim antice tricuspidati inveniuntur. Si igitur species Asiae orientalis cum illis Asiae occidentalis conjungendae, eo vero sub titulo À. platanoidis L. coacervandae sunt. Multo magis naturale mihi videtur species 4 distin- guere, e quibus 2 orientales fructu parvo alis parum divergentibus, 2 occidentales fructu maximo alis sub- 445 horizontaliter patentibus excellunt, omnes vero, À. pla- tanoide excepto, foliis fere identicis gaudent. Sub nomine antiquissimo À. Lobelii Ten. conferru- minanda videntur À. laetum et À.cultratum. Boissier quidem (F1. or. I, 949.) À. laetum C. À. Mey. ab À. Lobelii Ten., quocum Ledebour (F1. Ross. [. 456.) jam conjunxerat, distinctum esse vult corymbo compo- sito et flore minore, sed corymbo composito omnes hae species instructae sunt, flores juveniles vero in utroque multo minores quam adulti, ita ut in erro- rem incidamus, dum plantam incipiente anthesi illius cum specimine plena sub anthesi collecto hujus com- paremus. Mihi flores juveniles, soli obvii, À. Lobelii juvenilibus À. laeti aequimagni apparuerunt. Praeterea Boissier samaras À. Lobelii horizontales, illas À. laeti divaricatas descripsit, quae bona certe esset differen- tia, nisi hic irrepserit error. Inter exempla À. laeti enim herbarii nostri a Boissiero examinata et nomi- nata invenimus Szovitsiana e Karabagh, quae revera alis divaricatis gaudent, at certe non ad À. lactum, sed ad À. campestre L. pertinent, cujus lusum sistunt foliorum lobis solito minus distincte dentatis fere in- tegris. Omnia specc. vero fructifera À. laeti numerosa a me partimque ab ipso Boissier visa, e variis locis Transcaucasiae et Lazistanica, fructus À. Lobelii iden- ticos offerunt. — À. cultratum Wall., quod optime e variis locis vidi, à duobus nunc nominatis distinguere nequeo. — Flores fructusque omnium trium quam illi A. platanoidis duplo minores, attamen in À. laeto culto utrique subaequimagni sunt et non mutatus mansit tantum loculus samarae in tribus prioribus duplo mi- nor quam in À. platanoidi. Ratio sepalorum et stami- num ad petala, ab autoribus ad species has distin- guendas adhibita, revera in floribus aeque provectis apud omnes eadem est. Habemus ita ex hac affinitate À. platanoides L. in Europa media et boreali, À. Lobelii Ten. in Æuropa australi et Asia austrooccidentali usque ad Himalayam, À. truncatum Bge in China boreali et À. pictum Thbg. in Mandshuria, Sachalino et Japonia. b. Lamina triloba, obtuse v. obsolete serrata passim integra. Flores minuti lutescentes. 19. À. trifidum Hook. Arn. Bot. Beech. 174. — nec Thbg.°). Folia plantac juvenilis serrata basi, adul- 5) À. trifidum Thbg. KI, Jap. 168., ad spec. sterile descriptum, des Sciences de Saint- Pétersbourg, 446 tae subintegra apice 3-loba, corymbi compositi breve conici valde multiflori, alae samarae erectae. S. Z. I. c. n. 179. (excl. fl. praecocibus) et F1. Jap. IT. 81. t. 143. (exel. fig. L. et 1—4.). Savatier. Kwa-wi 112. etKwa- wi Arb. IV. fol. 4. (juvenile, sterile). À. tr. et À. Buer- gerianum Miq. Prol. 20. Franch.Sav.L c. I. 87. 88. Hab. in China media: in montosis circa Ningpo (R. Swinhoe! frf.), Shanghai (Siebold!, steril.); in Ja- ponia vix non introductum, circa Nagasaki et Yedo, cultum tantum observatum, in Hakone sterile lectum a Savatier, teste Franchet. Ad À. trifidum ducendum est tamquam planta juve- nilis et sterilis À. Buergerianum Miq., jam a Siebold sub recto nomine transmissum et à me ipso in hortis Yedo sub nomine japonico À. trifidi cultum inventum. Mea specimina, ex arbuseula tripedali in olla a me culta, maxime juvenilia et microphylla, folia utrinque viridia, ultra medium trifida satisque argute inaequa- liter serrata habent, lobis acuminatis. Specc. illa Sie- boldiana in hb. Lugd. Bat. et proprio (nune Acad. Petrop.) aetate jam provectiora, folia discolora lobis minus acuminatis, serraturis paucioribus et obtusiori- bus ostendunt. Adest denique specimen pariter ste- rile, a Siebold prope Shanghai decerptum, quod om- nia dubia soivit, folia novella enim habet À. Buerge- riani nune a me descripta, vetusta vero À. #rifidi. 20. À. pilosum Maxim. Folia basin versus trifida tripartitave, corymbi simplices pauciflori in fasciculos aggregati, alae erectae. Supra fusius descriptum est. c. Folia margine argute incisoserrata. Penninervia. 21. À. tataricum L. var. Ginnala Maxim. FI. Amur. 67. Folia oblonga acuminata basi triloba integrave; corymbi compositi multiflori, stamina exserta, alae erectae. Miq. in Arch. Néerl. IT. 470. Hab. in Mongoliae australis jugis Muni-ula et Ala- schan (Przewalski); Mandshuria, a finibus Koreae ultra Amur fluvium; Japoniae insulis Kiusiu: m. Hi- gosan (Rein!), et Nippon: alpe Niko et principatu Nambu, japonice: karako-ki. CL Franchet in Bull. Soc. botan. de la France nuper descripsit e Japonia var. aidzuensem, mihi igno- ex icone inedita et specimine authenticis, est Lindera triloba B1., in montibus Hakone revera spontanea. A47 tam, foliis et in planta fructifera membranaceis nec chartaceis praesertim diversam, an satis? Palminervia, foliis 5 — 11-Jobis v. -partitis 22, A. circumlobatum Maxim. in Mél. biol. VI. 368. Gemmae plantae fructiferae petioli basi haud obtectae ; folia longiora quam lata profunde cordata sinu sub- clauso, multiloba; flores....; alae loculique samarae horizontalia. Miq. in Arch. Néerl. IL. 475. Hab. silvis subalpinis prov. Senano (Tschonoski). Sequenti valde affine. 23. A. japonicum Thbg. FE Japon. 161. Icon. pl. Japon. Dec. IT. t. 10. Arbuscula gemmis pl. fructiferae non obtectis; folia acque longa ac lata aperte cordata multiloba; flores ampli calyce purpureo, staminibus parum exsertis, antheris laevibus, stylo elongato stig- matibus brevissimis: loculi samarae horizontales alis ex horizontali basi ascendentibus. $S. Z. fl. jap. fam. nat. 0.177. F1. Jap.Il.t. 144. Miq. Prol. 18. Fr. Sav. JC AERSC: Hab. in Yezo australi frequens, Nippon prov. Nambu et mediae alpe Niko, australi: in urbe Miako, cultum. A Thunberg et Siebold et Zuccarini sepala purpurea describuntur et ab his citatur icon. fl. Japon. ined. t. 154. (nune t. 144.), ubi tamen flores virides delineantur, aliaque signa non perfecte quadrant. Sed hic error pictoris, etiam in figura À. polymorphi ob- servandus, cui etiam loco rubri flos viridis tribuitur, figurae authenticae enim utriusque à Siebold in Ja- ponia delineatae (in Acad. Petrop. servatae) nigrae, ita ut colores jam postea et ex memoria fallaci additi sint. Equidem in À. japonico, a me quotidie viso, semper flores intense purpureos magnos observavi. Species vix variabilis, borealioribus propria. In Nip- pon australi et Aiusiu ejus locum sequens tenere vi- detur. 24. À. Sicboldianum Miq. Prol. 19. Arbor gemmis plantae fructiferae minutis petiolorum basi occultatis; folia sublatiora quam longa multiloba aperte cordata; flores minuti ochracei, staminibus valde exsertis, antheris dense scabris, stylo stigmata aequante, sa- maris À. japonici. Fr. Savat. I. 87. À. japon. var. Sie- boldiana Fr. Savat. IT. 317. Hab. in Mandshuria australi circa Wladiwostok et Port Bruce; Æiusiu interioris alpibus Kundsho-san, Bulletin de l'Académie Empériale A4 Nippon australi, fide Japonensium, Yokoska(Savatier n. 186. fructu del., s. n. À. japonici), Yedo, cultum, alpe Niko, in silvis (Tschonoski). Species et autori ejus et cl. Franchet non satis nota et saepe cum praecedente confusa, à Miquelio, quia male examinaverat, à Franchet, quia flores, sal- tem À. japonici, non cognoverat. Miquel characterem À. Sieboldiani in pube copiosa persistente quaerit et omnia mea specc. ubi parca occurrit mandshurica ad A. circumlobatum, japonica ad À. japonicum duxit. Franchet omni cum jure signa a Miquelio e foliis et fructu petita utrique communia declarat. Revera utra- que species tute cognoscenda tantum florens, fructifera vero aegre et non semper distinguenda. Flores À. ja- ponici calyce purpureo 5 mill. longo, illi À. Sieboldiani sepalis ochraceis, sub anthesi 1,5 mill., peracta anthesi 8 mill. longis gaudent. Stamina prioris primum calyce breviora, demum paulo, À. Sicboldiani ab initio jam duplo longiora, et antherae stylique pariter diversis- sima sunt. Quoad folia utraque species sub anthesi etiam facile cognoscitur, nam folia À. japonici, prae- cocioris, sub anthesi tenuiter membranacea reticulo haud prominulo, illa À. Sieboldiani firma, reticulo utrinque prominulo. In fructu folia minus bene distin- guuntur costis ochroleucis in À. japonico, viridibus in A. Sieboldiano, lobis semper incisoserratis in priore, argute inaequaliter serratis in posteriore, attamen in hoc rarius et incisoserrati inveniuntur. Lamina A. japonici fructiferi semper magna, A. Sieboldiani rarius, vulgo duplo et triplo minor. Loculi samarae À. japonici initio v. semper tomento setoso gilvo denso tecti, À. Sieboldiani primum breviter pubescentes, tum vero glabri, sed quoad formam samarae utriusque va- riationes fere parallelae occurrunt. — À. circumloba- tum, ad quod Miquel spece. mandshurica A. Sicbol- diani duxit, foliorum sinu clauso v. angustissimo et lobis ad latam basin usque serratis, neque triente inferiore cuneato-attenuatis integrisque dignoscitur. Spec. Oldham n.176. denique, recte sub nom. À. po- lymorphi distributum, sed a Miquelio ad À. japoni- cum ductum, fructu minuto alis patentissimis ab hac specie abhorret. 25. À. palmatum Thbg. FI. Jap. 162. Arbor gem- mis minutis petiolorum basi obtectis; folia rotundata truncata v. rarius aperte cordata vulgo 7-loba (va- 449 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 450 riantia multiloba partita sectave lobisque incisoser- ratis v. pinnatifidis); flores parvi purpurei, antheris laevibus non exsertis, stylo elongato stigmata valde superante; alae samarae parvae horizontales v. rarius divaricatae apiceve ascendentes. C. Koch I. ce. 251. Miq. Prol, 20. À. septemlobum et À. dissectum Thbg. L c. 160 — 162. À. polymorphum S. Z. FL Jap. fam. nat. n. 180. F1. Jap. Il. t. 145. 146. Arbor alta coma vasta ramosissima dense frondente microphylla, spontanca pube, lobis v. partitionibus foliorum 7 — 9 latioribus, v. 9— 11 angustioribus, fructu minore v. majore varians, minus tamen quam culta, ubi quam maxime polymorpha evadit. Occurrunt enim, praeter typicas formas cultura in variegatas vel purpureas v. crispatas foliorum marginibus incurvis (talis a me in hort. Petrop. introducta) mutatas, se- quentes principales: Var. lineariloba Mi q. in Arch. Néerl. IL. 469. folio basin usque partito, laciniis 9 —11 linearibus caudato- acuminatis subintegerrimis. Colitur in Yedo passim, ubi fructiferam collegi. Var. dissecta (Thbg. sp. pr.) foliis 7 — 11-sectis segmentis petiolulatis linearilanceolatis pinnatifidis incisoserratisque. Haec per totam Japoniam culta ob elegantiam fron- dis, à me tantum 10-pedalis cum flore fructuve visa, per transitus numerosos, saepe in eodem ramo, hic paullatim in typum, illic rarius et quasi morbose, nec unquam in omnibus ramis ejusdem individui, in lusum sessilifolium abiens (Negundo sessilifolium $S. Z. L ©. n. 181. et-omnium autorum): foliis breve v. bre- vissime petiolatis segmentis solito longius v. aequilonge petiolulatis, lanceolatis sublinearibus late ellipticisve in eodem ramulo, varieque incisis et serratis. — Lusus hic sterilis quidem tantum notus, sed ne pro bona varietate quidem habendus, quia vix non semper ra- mulis folio brevipetiolato gaudentibus ali admixti sunt, ubi petioli passim dimidiam et plus quam dimi- diam laminam attingunt. Sponte crescit À. palmatum per totam Japoniam. Ante oculos est e Kiusiu cirea Nagasaki et in interio- ribus alpibus Kundsho-san lectum, e Tsu-sima (Wil- ford), e Nippon, ab australi (ad lacum Biwal. Moseley) per mediam (Yokoska, 1. Savatier, Yokohama, Niko) in borealem usque (Nambu 1. Tschonoski), ex insula Tome XX VI. Yez:o: in vallibus sylvosis prope Mohidzi, circa lacum Konoma cet. Extra Japoniam non crescere videtur. Sect. IL. Negundo (Mch. gen.). Flores dioici, in nostris petaligeri, in americanis apetali. Folia ternata (vel in americanis et pinnata), quo unico signo ab Acere typico differunt. A. Flores corymbosi. Gemmae graciles acuminatae perulis imbricatis. Corymbi sub- sessiles pauciflori. Flores (v. fructus ubi flores ignoti) magni, om- nino Acerum. 26. À. nikoënse Maxim. ]. c. 370, — nec Miq. Arbor ad gemmas, folia brevipetiolata subtus et locu- lum fructuum tomentosa, floribus magnis flavescenti- bus, samara maxima lignosa basi imperforata. À. Ma- æimowiczianum Miq. in Arch. Néerl. II. 478. Hab. in Aiusiu: prov. Hizen et Higo, m. Naga et alpe Higosan, silvis vetustis. Nippon: prov. Ovwari, coemeterio imperiali a Yedo 40 stadia japonica occi- dentem versus sito, culta, alpe Niko et prov. Nambu. — Japonice audit in Aiusiu ssira-ki, in Owari tsjosa- no-ki. Arbor usque ad 2°, pedem crassa, cortice illi À. picti subsimili, trunco brevi, ramis paucis, Coma lucidiuseula. Corymbi subtriflori. Flos diam. ‘/,-pollicaris, nutans, coaetaneus, 2 pedicello pollicari, staminibus exsertis, ® staminibus castratis sepala petala subsuperantia aequan- tibus, stylus fl. © stigmatibus crassis patulis arcuato- recurvis longior. Samara ultra 2-pollicaris, alae latae erectopatulae, loculi convexissimi in planta meridio- nali glabrati. Species, uti et sequens, nulli e notis affinis. 27. À. mandshuricum Maxim. 1. c. 371. Arbor glabrata, foliis lamina longius petiolatis, floribus dioi- cis..., samara glabra loculis lignosis intra suturam basi profunde excavatis, alis erectopatulis. Hab. in Mandshuria austroorientali: ad Usuri su- periorem, silvis montanis secus amnem Dsiabigo sat frequens, fruticosa et arbuscula, sterilis tantum visa, circa portum Wladiwostok in silvis frequens, arborea. Arbor gracilis, coma ramosissima, ramulis tenuibus. Folia prima juventute subtus villosula, mox glabra, concolora, longe petiolata. Samarae 1, poll. longae, loculo tenuiore et duplo minore quam in praecedente. B. Flores racemosi. Gemmae obtusae parvae perulis non imbricatis. Racemi pedun- culati multiflori. Flores minuti. — Hoc est typicum Negundo, ex- cepta in nostro petalorum praesentia. 29 451 Bulletin de l’Académie Empériale 45? 28. À. cissifolium C. Koch I. ce. 252. Arbor, folio- lorum serraturis paucis magnis, pedicellis flores paulo | maximi, pedicelli fructiferi refracti.. ......... superantibus loculo samarae brevioribus, alis erectis. Miq. Arch. Néerl. 478. et À. mikoënse Miq. ibid. Negundo cissifolium S. Z. 1. c.n. 184. Miq. Prol. 22. et N.? nikoënse Miq. ibid. Hab. in Nippon: Hakone (Siebold), Sagami (Sa- vatier), Niko, Nambu. À. cissifolium C. Koch a Miquel (Arch. Néerl. IT. | petala spathulata albida.…....................... 472. 473) merum synonymon A. Negundo L. decla- ratur, verosimiliter ob similitudinem quandam foliorum. Rhizoma moniliforme i. e. ad caulium originem tu- berosoincrassatum, fibris radicalibus tenuibus, flores G. Pylzowianum m. 3. Caules adulti decumbentes vulgo radicantes, elongati, folia caulina plura 3-secta-partita v. pl. minus profunde 3-fida, peduneuli axillares crebri, pedicelli fructiferi declinati, flores parvi petalis calycem parum superantibus, columna suberostris. 4. Caules erecti v. divaricato-ramosi diffusi, sed nec procumbentes nec radicantes, pedunculi plerique e cen- tro dichotomiarum, apice caulis pl. m. aggregati. D. 4. Segmenta v. partitiones foliorum incisoserrata, G. Wifordi m. Laciniae v. lobi foliorum 3-lobulata et inciso-pauci- serrata, petala obovata vulgo purpurea......... G. nepalense Sweet. 5. Peduneculi 1-flori, flores parvi pallidi, petala ca- Nam differentiae adsunt graves et numerosae: À. Ne- | lyce vix longiora, pedicelli fructiferi declinati, folia 5- gundo habet inflorescentiam d fasciculatam e racemis compositis brevibus, © simpliciter longissime racemo- sam, À. cissifolium racemos simplices elongatos acqui- partita, laciniis sub- 8-lobis incisoserratis........, G. sibiricum L. Pedunculi 2-Hori. G. 6. Pedicelli plena sub anthesi saltem calyce, vulgo flore vel fructu longiores. 7. Pedicelli calyce florifero saepiusque fructifero bre- longos in utroque sexu, pedicelli prioris florem multiplo | viores, semper erecti, folia profunde 7- et 5-partita et superant, fructum aequant, posterioris forem aequant, loculo fructus breviores sunt, prioris antherae lineares ultra medium in lacinias angustas fissa. Columna longe rostrata, stiomata brevia. 16. 7. Folia caulina inferiora 7-, pleraque reliqua 5- et flos apetalus, posterioris antherae orbiculatae et | partita. 8. petala distinctissima, in À. Negundo loculus samarae oblongus ala sesquibrevior, in À. cissifolio loculus ova- tus ala plus duplo superatus, folia juvenilia prioris subtus incanotomentosa, posterioris subtus ad costas pilosa concolora, serraturarum differentiam in diagnosi indicavi. A. nikoënse Miq.! est ramulus sterilis A. cissifolii, |, unde synonymon Neg. mikoënsis Miq., à me 1. c. sub meo À. nikoënsi adductum, delendum est. Negundo californicum T. Gr., a Miquel IL. €. cum A. nikoënsi m. comparatum, vix me judice ab À. Ne- gundo L. specie diversum est, cum priore autem tan- tum folia composita communia habet. Species quoad locum incerta. 29. À. discolor m., de quo confer supra. Hab. in China occidentali. Geraniaceae in Asia orientali detectae. Geranium L. Clavis dichotoma specierum. Carpella parte seminifera transverse rugosa, flores parvi, folia trisecta segmentis bipinnatifidis, planta an- nua pedunculis bifloris ....... CARTE nsc . G. Robertianum L. Carpella laevia, plantae perennes. 2. 2, Rhizoma praemorsum fibris radicalibus elonga- tis. 3. Folia caulina inferiora 5-, pleraque v. saltem floralia 3-fida, flores caeruleo- v. rubroviolacei. 18. 8. Flores fructusque pollice minores, laciniae folio- rum tri- v. bis tri- v. pinnatipartitae (-fissae in @. al- bifloro). 9. Flores fructusque pollice majores, laciniae folio- rum sub-53-fidae et incisoserratae, pedicelli fructiferi declinati, filamenta parte dilatata ciliata. 11. 9, Pedicelli fructiferi declinati, radix grumosa. G. davuricum DC. Pedicelli fructiferi erecti, fibrae radicales elon- gatae crassae. 10. 10. Petala violacea truncata, laciniae foliorum par- ARR OP SE UD OU G. pseudosibiricum J. May. Petala albida bilobo-emarginata, laciniae foliorum RENE CD M PO TO DO TO AU G. albiflorum Led. 11. Styli parte libera apice tantum stigmatosi, pe- tala albidolilacina striata, foliorum laciniae serratu- MAEQUE AGUMINATAG. se. mes does G. Sieboldi m. Styli usque ad stigmata connati, petala purpurea v. rosea. 12. 12. Columna stylina rostrata, foliorum laciniae ser- TaluUraeque ACUMINATAE... eee se G. collinum Steph. Columna erostris, tantum breve attenuata, foliorum laciniae et serraturae acutae, planta diffusa demum pe- CES EE Ce ec ee G. yesoënse Fr. Savat. 13. Stigmata elongata, folia ultra medium fissa, pe- dicelli fructiferi declinati. 14. Columna rostrata stigmatibus brevibus, pedicelli fructiferi erecti, filamenta parte dilatata extus setosa.15. 14. Filamenta parte dilatata ciliata et extus vulgo setosa, planta pube brevi praesertim ad folia subtus CANORCETE ae 2 mises megie se nee elle nee eieets G. Wiassowianum Fisch. Filamenta parte dilatata ciliata, planta viridis pube setosa hirsuta ............. denses te G. Maximowiczii Rel. 15. Folia ad medium fissa v. lobata....... G. eriostemon Fisch, Folia ultra medium fissa profundiusque incisa G. eriost. B. orientale m. 16. Filamenta parte dilatata extus setosa.... @. erianthum DC. Filamenta parte dilatata ciliata G. pratense L. 453 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 454 oo Annuum. 1. G. Robertianum L. Cod, 4987. Franch. Savat. En. IL. 307. (var. glabra). Hook. f. FE of Brit. nd. I. 432. Trautv. Enum. pl. Schrenk. n. 265. Hime huro-s6, shiho-yaki-s6. Soo bokf. XIT. 52. Japonia, anne olim introductum ex Europa?, raris- simum: Hakone (Savatier ex Franchet), prov. Omi (J. Keiske), Owari (botan. jap.). Loca proxima in Asia sunt Songaria et Himalaya occidentalis, cete- rum fere vulgivagum, exelusis regionibus arcticis. Spec. meum japonieum et figura citata valde micro- phylla, prius solito parcius pilosum, ita etiam Fran- chet var. suam glabram tantum glabriorem dicit, unde potius glabrata nuneupanda esset. — Ab omnibus nostris, praeter notas indicatas et alabastris anguste conicis distinguitur. Perennia. Rhizoma praemorsum fibris radicalibus elongatis. Caules demum elongati radicantes. 2, G. Wilfordi. Caulibus tenuibus parce, petiolis lon- gissimis pedunculisque densius breve reversopubescen- tibus, stipulis liberis subulatis longe acuminatis; foliis appresse (subtus ad venas) setulosis 3-partitis-sectisve: segmentis contiguis basi attenuatis ovatis breve acumi- natis fere a basi incisoserratis serraturis mucronatis, lateralibus infimorum cum lobulo accessorio; pedun- culis axillaribus 2-floris folium pedicellosque in fructu declinatos parum superantibus; sepalis ovatis aristatis brevissime pilosulis et ad nervos dense longe pilosis: petalis vix longioribus patulis spathulatis intus basi parce breveque pubescentibus: filamentis parte dilatata pilosulis stigmata revoluta superantibus: carpellis lae- vibus setosopilosis et cum columna crassiuscula brevis- sime rostrata minute pilosulis, stylis totis connatis stig- matibusque dorso hispidulis; semine late ovali minute impresse punctato. Mandshuria orientali littorali: inter 44 et 45° (Wil- ford) et australi: in fruticetis et ad margines silva- rum circa Wladiwostok, sat frequens, fine Augusti fl. frf., nec non ad Amur australem, montibus Bureicis, 3 stadia supra Jekaterino-Nikolskaja, silvis frondosis non rarum, ultimo Julio f. incip. Japoniae insula Kou- sùu, prov. Simabara, fine Septembris fl. c. fr. nond. mat. Cum solo G. nodoso L. comparandum, sed caule pro- cumbente demum radicante, foliis et infimis trisectis, flore triplo saltem minore, petalis integris, pedicellis fructiferis declinatis, columna brevissime rostrata toto coelo diversum. Planta mandshurica foliis duplo fere majoribus 3-partitis neque 3-sectis a japonica diftert. Folia cireuitu triangulari-reniformia, 7 — 14 cent. lata, 4 — 9 cent. longa. Corolla semipollicaris albido- rosea striolata. 3. G.nepalense Sweet, Geran.t.12.Rchb.Icon.exot. t. 116. Don, Prodr. fl. Nepal. 208$. Maxim. in Ind. sem. h. Petrop. 1865. 42. Miq. Prol. 201. Hook. f. 1. c. I. 480. Debeaux. F1. de Tchifou n. 23. in Act. soc. Linn. Bord. XXXI. 1876. et XXXIII. 1879. p. 62. G. Thunbergü S. et Z. FI. jap. fam. nat. I. 136. (nomen). Lindl. et Paxt. F1. Gard. I. 186. fig. 115. G. palustre Thbg. F1. Jap. 268. G. sibiricum Miq.! Prol. 201. Tat- schi fuuro vel Ibuki fuuro. Soo-bokf. XIL. fol. 46. et 49. Japonia frequens: Yeso, cirea Hakodate, Arikawa, Ono, init. Julii f. incip., Octobri f. frf. Nippon: Yoko- hama, in herbosis secus vias, floret a Julio in Decem- brem, Yokoska (Savatier!), Simoda (Yolkin);: Xiusiu: pratis maritimis ad Nomo-saki, Nagasaki, ad agros, in fruticetis herbosis, a Julio in hiemem fl. et frf. China: Tschi-fu (Debeaux1.c.), prov. Yun-nan (Hooker fil. 1. c.), toto Himalaya: Nipal (Wallich, Buchanan), Khasia (Griffith, Clarke), Gurhwal (Falconer n. 320), Sikkim (Thomson, Treutler) et parte occiden- tali (Royle s. nom. G. nepalensis!, G. pallidi! et G. patentis!). Plnilagirica(G. affine Night!,etiam Metz,Clarke) hirsuta, foliis magis divisis, rhizomate longo aequali fib- ris tenuibus (an semper ?), semine ovali distincte longi- tudinaliter impresso-punctato, — formam maxime au- stralem sistit, paullatim tamen in himalaicam transe- untem.— Haec saepius cum nüilagirica foliis magis di- visis et distinctius 5-lobis convenit, sed semina latius ovalia minusque profunde punctata habet, — Forma japonica denique folia manifeste triloba (in infimis v. ra- dicalibus sub-5-Joba) lobis latioribus brevioribusque et semina globoso-ovalia obsolete puncticulata offert. Quoad folia planta japonica himalaicae cultae simil- lima fit (confer etiam figg. Sweet, Reichenbach ad indicam, Lindleyi ad japonicam delineatas), sed et inter spontanea ex Aimalaya illa a Treutlero lecta cum japonicis identica sunt. Occurrunt e contra inter nostra rarius profundius divisa, kimalaicae vulgatiori 29% 455 Bulletin de l’Académie Impériale 456 consimilia, et semina rarius et ovalia distinctius sculpta vidi, Radix pl. juvenilis utriusque fusiformis tenuis, fib- ris radicalibus paucis tenuibus, plantae provectioris rhizoma brevissimum praemorsum, fibris elongatis car- nosis validis, uterque status igitur à rhizomate supra descripto, unico viso, G. affinis diversus, — anne et hoc tantum stadium evolutionis? Quum autem omnia re- liqua signa variabilia, principalia vero omnibus formis communia sunt, certe @. Thunbergii pro synonymo G. nepalensis habendum et verosimiliter G. affine üis ad- dendum est. A Thunbergio pro G. palustri habebatur et imo a Miquel huie proximum perperam declarabatur. Sed abhorret G. palustre L. modo crescendi, flore magno, corolla calycem duplo superante et columna rostrata. Propius nostro jam videtur G. sibiricum L., quod etiam parviflorum, fructum in pedicello declinato et colum- nam suberostrem habet, sed peduneulo fere semper 1-floro et foliis 5-fidis differt. G. Krameri Franch.Savat.l.c. Il. 306.,e Nippon prov. Simosa ortum, non vidi, sed ex ipsis autoribus a G. nepalensi differre dicitur foliorum laciniis basi et apice subaequilatis, petalis duplo majoribus calyce ses- quilongioribus et «capsulis» (1. e. carpellis cum columna stylina) non sexies vel septies, sed decies v. duodecies longioribus quam crassis. Habeo tamen inter specc. mea pernumerosa, alia foliis G. Krameri petalis vero vix calycem superantibus, alia florere incipientia petalis ca- lyce 1° longioribus solitoque duplo majoribus eum foliis G. nepalensis typici. Fructus apud me inter mensuras illas extremas saepius medium tenent et ut flores valde magnitudine et indumento variant. Ita et G. Krameri formis G. nepalensis adnumerandum esse censeo. — Variae hae formae fortasse et a Japonensibus nomini- bus propriis distinguuntur, vidi enim, praeter supra adducta, in schedulis indigenis nomina gen-no-seuko et tatsi-matsi-kusa. Caules non radicantes. Pedunculi 1-flori. 4. G. sibiricum L. Cod. 4996. Ledeb. I. c. 459. Turcz. F1. Baic. Dah. I. 254 et Enum. Chin. n. 38. Maxim. F1. Amur. 70.469. Trautv. Mey. F1. Ochot,. n. 79. Rgl. F1. Usur. n. 110. Hook. fil. 1. c. 431 (spec. non vidi). Sibiria austroorientalis: Udskoi (Middendorff) et australis: ditione baicalensi-dahurica ubique in pra- tiset ruderatis (omnes collect.), prov.Jeniseisk et Tomsk (Augustinowicz), Altai et occidentem versus usque ad Ural (Orenburg), Wolgam (Simbirsk), Mosquam et Caucasum; Mandshuria media et australi, a finibus Æo- reae ad Amur et Schilkam inferiores; Mongolia australi: montibus Alaschan, circa domos vetustas Sinensium et in faucibus humidis (Przewalski); China boreali, circa Pekin (Kirilow, Tatarinow), Takiosze, Wan- shou-shan(Bretschneider), Tibeto occidentali(T ho m- son ex Hooker). G. Sibiricum Miq. Prol. 200. ex spec. hb. Lugd. Bat. ad praecedens pertinet. Petala lilacina v. albidorosea, violaceolineata. Pedunculi bifori. Flores pollice minores. 5. G. davuricum DC. Prodr. I. 642. Ledeb. IL. c. 468. Turcz. FI. Baic. Dah. I. 258. Rgl. L c. n. 114. Franch. Savat. Enum, IT. 303. (spec. non vidi). G. pseudosibiricum Maxim. 1. €. 71 et G. bifolium idem ibid. 469., nec aliorum. Davuria, copiose; Mandshuria: secus Schilkam et Amur usque ad ostium Usuri et secus illum, in mon- tibus lapidosis passim, ad lacum Hanka (Przewalski), ad Suifun fl. (Goldenstädt), a medio Julio in autum- num florens; Japonia: circa Hakodate (ex Franchet), urbe Yedo cultum (ipse), prov. Ko-tsuge (Itô Keiske in hb. Siebold s. nom. genno seuko); China boreali, circa Pekin (Kirilow), Jehol (Tatarinow), monte Po- hua-shan (Bretschneider), prov. Kansu (Przewal- ski); Mongolia orientali australi, circa Siwan-tze non procul à Kalgan (Artselaer)et boreali, in monte Guntu prope Urga (Tatarinow) et Kiachta. In Mandshuria et China occurrit solito magis gran- diflorum, petalis basi dense albobarbatis. Flores rosei v. purpurei. Columna stylina duplo vel triplo statu fructifero calyce longior, fructus ceterum et semina dense impressopuncticulata G. sibirici. 6. G. pseudosibiricum J.M ay. in Boehm. Abh.1786. 238. Ledeb. I. ce. 469. G. bifolium Patr. in DC. Prodr. I. 643. Turez. F1. Baic. Dah. I. 257. Sibiria orientali: Jakutzk, Olekminsk (Stuben- dorff), Irkutzk, Baical (Turezaninow, alii) et Trans- baicalia (Augustinowiez), occidentali: Altai, Tobolsk (Roscher) et occidentem versus trans Ural usque in 457 gub. Perm (Augustin.) et Orenburg, circa Sterlitamak (Karpinski), Mongolia boreali: jugo Han-hai et Altai australi ad f. Kran et altis montibus Taischir-ola, sil- vis declivitatis borealis jugi Thian-schan, nec non de- serto boream versus, ad fl. Tugurik in vico Adak, in humo (Potanin). Altis alpibus digitale, locis demissis sesquipedale, erectum, dense frondens et apice multiflorum. Traut- vetter (Enum. Schrenk n. 262.) distinguit var. eglan- dulosam et glandulosam, sed omnis nostra ad priorem pertinet. Pedunculis glandulosopilosis vero, quales de- scribuntur in Ledeb. FI. Alt. IIT. 228., rarissime oc- currit: inter magnam copiam speciminum ante oculos vidi tantum specimen altaicum, a Ludwig prope Buch- tarminsk lectum et alia a Ledebourio in horto Dorpa- tensi culta, ad quae viva icon fl. alt. t. 148. facta est. Plantam s. n. G. pseudosibirici a Franchet et Sa- vatier IT. 302. enumeratam non vidi quidem, sed icon citata Soo bokf., XII. fol. 48. foliorum superiorum segmenta latiora omniumque minus profunde inciso- serrata habet, quam in ullo G. pseudosibirico a me viso, practerea stipulae saepe connatae dicuntur (quae in G. pseudosibirico liberae) et petala integra, quae sub- emarginata in hoc. Anne igitur pl. japonica potius ad G. Sieboldi ducenda? 7. G. albiflorum Ledeb. FI. Alt. TIT. 230. Icon. pl. Ross. t. 18. FT. Ross. I. 463. (excel. syn. Hook.et Fisch. Mey.) F. Schmidt. Result. Mammuth Exped. 96. n. 64. Sibiria: Irkutzk et Baikal occidentalis (Turez.), ad fl. Tschara et Netschatka (Maydell), jugo Sajan (Czer- ski et Hartung), ad Jenisei prope Krasnojarsk(Turez.) et inferiorem (F. Schmidt), Songaria in jugis Tarba- gatai et Alatau (Schrenk), Altai variis locis, v. gr. laricetis ad lacum Markä (Potanin), fontibus fl. Ka- tunja (Gebler), ad Ulbam aff. Irtin (Adams), prope Buchtarminsk et Ustkamennogorsk(Ledebour), Thian- schan occidentali (Semenow). Songaricum et altaicum saepius eglandulosum, bai- calense omne glandulosum. Planta homonyma americana Hookeri sistit G. Ri- chardsoni K. Mey., optime distinctum flore albo (nec subcacrulescente), petalis patentibus integris duplo majoribus, intus alte filamentisque subulatis extus longe pilosis (neque patulis emarginatis basi cum filamentis des Sciences de Saint-Pétersbourg. 458 lanceolatis ciliatis), capsulis capitato- nec simpliciter pilosis, nec non foliis alio modo incisis. — Quaeritur tamen, an nostrum revera diversum a G@. aconitifolio PHerit., quod tantum foliis profundius divisis petalis- que integris distinguendum est, et jam in Æimalaya occidentali et hinc in Æuropam extensum invenitur. Flores pollice majores. Longepedicellata. Pedicelli fructiferi declinati v. refracti. 8. G.collinum Steph.in Willd. Sp. pl. IL. 705. Le- deb. FL. Ross. I. 467. Rgl. et Herd. PI. Semen. n. 190. G. longipes DC. Prodr. I. 642. G. Londesii Fisch. in Lk. Enum h. berol, IT. 196. Mongolia boreali: in monte Guntu prope Urga, init. Jul f., Thian-schan orientali, circa oppidum Hami, med. Septbri fl. c. fr. (Piasezki), declivitate boreali vallibus #. Ili superioris, alt. 2500 ped. s. m. et in silvosis Kungess superioris, alt. 3500 ped. s. m., ult. Junio fl, fine Augusti fl. ult. et frf. (Przewalski); Sibiria orientali: ad fl. Jenisei circa Krasnojarsk (Pallas) et australi: Songaria et Altai. Hine occiden- tem versus in Zurkestania, Ural, Rossia australi ad Wolgam inferiorem et Tanain, in Cis- et Transcaucasia, Persia et Afghanistano et usque in Himalayam occi- dentalem. Specc. mongolica e Thian-schan quam songarica et altaica majora, transcaucasica fere aemulantia, mox peduneculo pubescente mox glanduloso donata, spec. a Piasezki lectum dense, inde ab infimis axillis flori- feris glanduloso-pilosum. Exempla e m. Guntu minora, eglandulosa. Pedunculi non valde elongati, potius G. collini, quam formae s. n. G. longipedis descriptae. Flores quam in pl. caucasica minores, tamen majus- culi. Semina dense minute longitudinaliter reticulata. Var. hirsuta Trautv. Enum. Schrenk. n. 260. Songaria (Schrenk): jugo Tarbagatai (Potanin). Totum pilis setosis patentibus pl. m. hirsutum, pe- tala calyce sesquilongiora. Filamenta alterna, ut in typo, subito, reliqua sensim dilatata, omnia petalaque basi dense barbatociliata, barbis albis. Petala in nostris purpurea, in Schrenkianis ex eadem regione in sicco albida. Rhizoma in his breve, fibris crassis fasciculatis, in nostris deest. 9. G. Sieboldi. Rhizomate brevi fibris validis fusi- formibus, caule erecto bi-trichotomo, ad nodos subin- 459 crassato, pilis reversis (ad petiolos dense) hirsuto, basi longe nudo; stipulis ovatis acuminatis mediis ra- rius connatis: foliis superne appresse subtus ad venas patulo-setosis, radicalibus et caulinis inferioribus longe petiolatis, ambitu reniformibus ultra medium v. fere ad basin 7—5-partitis, superioribus sessilibus triparti- tis, priorum laciniis cuneatoobovatis, posteriorum oblan- ceolatis, acutis, a medio 3-fidis lobis 2- 3- v. pluri- incisis; peduneulis folium duplo pedicellos in fructu declinatos pluries superantibus; sepalis pedicello multo brevioribus oblongis aristatis 5-nerviis, petalis obovatis intus supra basin parce pilosis ipsa basi densissime bar- batis calyce sesquilongioribus patentissimis; filamentis stylos subaequantibus parte dilatata sat longe ciliatis ipsaque basi densissime longeque ciliigeris; stylis parte libera versus apicem stigmatosis; columna stylina fructifera suberostri, valvis laevibus breve hispidis medio dorso parce intusque basi longe setosis, semine globoso ovali minutissime impressopunctato. S00- bokf. XII. fol. 50. Japonia (hb. Siebold s. nom. jap. Dai füro s6): pratis cirea Yokohama non rarum, floret à Julio in autumnum, Nagasaki, in horto bot. jap. Motoski (Siebold, Junio fl. incip.). Mandshuria: ad #. Tumen Koreae finitimum, prope oppidum Hun-tschun, Julio fl. incip. (F. Schmidt), ad fl. Suifun prope Nikol- skoje, Aug. Septembri f. (Goldenstädt), pratis sicci- oribus ad lacum Hanka, Augusto fl. c. fr. immat. (Przewalski). Pro G. japonico Franch. Savat. Enum. IL. 305, cu- jus fructus nondum noti et quod videre non contigit, sumere nequeo, quia in hoc calyx describitur pedicellum aequans, sepala ovata (an aristata sint non dicitur), folia vix ultra medium divisa, pubes ubique glandulosa, petala denique sepala paulo tantum superantia. Planta 2—3-pedalis, folia majora 5, fere 6 pollices lata, flos diametro pollicaris, petala lilacina purpureo striata, in unico flore quidem patentissima in sicco visa, attamen sepala in floribus pluribus statim post anthesin adhuc patentissima manent, unde et priora omnia talia in vivo fuisse conjicere licet. — Planta mandshkurica humilior, tenuior, folia profundius divisa laciniis angustioribus; stipulae etiam angustiores et longius acuminatae, flores numerosiores, brevibus verbis talis, qualis solo climateque siccioribus produci solet. Similius G. maculato L. et G. Richardsoni F. Mey. Bulletin de l’Académie KEmpériale EEE 460 americanis, quam G. collino Steph., G. palustri L. et G. albifloro Ledeb., etsi priora ab Engelmann (in A. Gray, pl. Fendi. 26, in adnot.) pedicellis defloratis erectis v. suberectis describuntur, quos equidem de- clinatos observo ?), praeter spec. 1 ad Fort Colville fi. Columbiae superioris a Lyall lectum, ex hb. Kew. s. n. G. maculati? communicatum, quod autem ob pe- dicellos et in fructu brevissimos aggregatos aliaque signa pro G. erianthi varietate solito minus incisa habeo. G. Richardsoni F. Mey. a nostro diftert columna sty- lina rostrata, filamentis toto dorso parce longeque pilosis, petalis intus versus basin hirsutis neque dense barbatis. G. maculatum L. differt columna longe ro- strata, filamentis brevissime ciliatis et petalorum pube praecedentis. G. collinum Steph. et G. palustre L. pariter columna rostrata (stylis usque ad stigmata con- natis) et carpellis pube aequali tectis distincta, prius insuper filamentis alternis subito dilatatis, caule par- cius molliusque piloso, foliis profundius partitis, poste- rius stipulis longe sensimque acuminatis, superioribus subulatis diversum. G.albiflorum Ledeb. denique, ge- ographice nostro proximum, distinguitur foliis profun- dius cordatis radicalibus ad medium fissis laciniis latis contiguis, caulinorum acuminatis rhombeis: crebrius incisoserratis, sepalis petalisque non patentissimis fere duplo minoribus, petalis saepe emarginatis basi intus laxe filamentisque parce pilosis, columna rostrata stylis ad stigmata connatis. 10. G. yesoënse Franch. Savat. Enum. IT. 305. (yedoënse Sphalmate dictum, ut patet e patria et de- scriptione ubi yesoënse dicitur). G. erianthum A. Gray. Bot. Jap. 383. (pro parte?). Miq. Prol. 201. (quoad pl. Wright; spec. sterile Siebold. ex nom. japonico for- tasse ad praccedens). Hak'san-kobu-füro. Soo bokf, XIT. fol. 48.? Yeso: in arenosis circa Hakodate frequens (Small!, ipse) a Junio in autumnum florens, Augusto fructi- ferum. Spece. authentica florentia tantum lecta non vidi, sed descriptio exacte quadrat, etsi quoad signa gravia 7) Spec. cum fructu vidi: G. Richardsoni e montib. Scopulosis (Parry n. 112.), Saskatschawan (Bourgeau, cum? s. n. G. macu- lati), Arizona, mount Graham (Rothrock n. 408), California (Greene, s.n. G. Fremonti); @. maculatum habui e civit. New York, Saskatschawan (fl. albo, Bourgeau s. n. G. Hookeriani), Wisconsin (Henning) et culta spece. 461 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 462 a ———— incompleta sit. Autores comparant cum G@. pratensi L., quod foliis profundius partitis differre dicunt, sed G. pratense longe distat floribus subcorymbose appro- ximatis, filamentis basi valde dilatatis ipsaque basi dense barbatociliatis et columna longe rostrata. — Arcta tamen affinitate certe cum nostro conjuncta sunt G. Wlassowianum Fisch.et G@. palustre L. Omnia enim communia habent pedicellos sat elongatos florem supe- rantes fructiferos declinatos, filamenta sensim dilatata aequaliter ciliata et columnam erostrem. @. palustre L. a G. yesoënsi habitu quodam differt: rami divaricati graciliores et longiores, pubes vulgo patens, stipulae saepe connatae, filamenta brevius ciliata, praesertim vero serraturae foliorum porrectae, neque arcuatopa- tulae. G. Wlassowianum Fisch. distinguitur pube vulgo patente, foliis minus divisis lobis latioribus minusque incisis, flore triente majore, filamentis praeter cilias marginales etiam dorso pilosis, stipulis sacpissime connatis. Rhizoma breve, fibris crassis validis. Caulis patule dichotome ramosus, folia inferiora ad v. ultra medium fissa, laciniis basi integris. Stipulae liberae, inferiores ovatae breve acuminatae. Pedunculi folium pedicel- losque superantes, pedicelli florem aequantes vel lon- giores. Pubes omnis eglandulosa, in calyce mox ap- pressa, mox patens. Petala basi pubescentia obovata, calyce duplo longiora. Ciliae filamenti parti dilatatae subaequilatae. Styli usque ad stigmata connati. Cau- dae carpellorum intus scabropuberulae, Semen minute reticulato-impressum. 11. G. Wlassowianum Fisch. in DC. Prodr. [. 641. Ledeb. F1. Ross. I. 463. Turez. F1. Baic. Dah. I. 254. Maxim. FI. Amur. 70. (forma incana.) Ditione fl. Baicalensi-dahuricae: ad fl. Angara (Pallas) prope Irkutzk (Turez., alii), ad Baikal (Hess), ad f. Witim (Maydell), Nertschinsk (Sen- sinow); Mandshuria: secus Amur superiorem variis locis et meridionalem, init. Julii . incip., secus Usuri #., Septbri fl. c. fr., ad lacum Hanka et superiorem partem fl. Mo (Przewalski), ad fl. Suifun (Golden- städt), circa Wladiwostok, pratis humidis non rarum, Septbri fl. frf. Omnino apud nos G. palustris L. locum tenet et in hortis cultum et luxurians folia radicalia pariter 7-fida format, laciniis subcontiguis fere rhombeis basi inte- gris, hinc apicem versus subtrilobis et incisoserratis serraturis patulis. Sed exempla spontanea quotquot vidi folia 5-fida circuitu cordatoorbiculata habent. Differt G. palustre L. tantum foliis viridibus, nec pl. m. subincanis, staminibus breve ciliatis neque dorso margineque setosopilosis. Sed filamenta G. Wlasso- wiani variant basi tantum v. ad medium ciliata, ciliis griseis filamenti dilatati latitudine brevioribus, v. fila- menta occurrunt dense ciliata et dorso pilosa, pilis ciliisque albis latitudinem filamenti superantibus, v. in exemplis ad Suifun lectis praeter pilos longos dorsales adhuc brevius ciliata. Columna brevirostris, stigmata elongata recurva. Flos diam. 35 —40 mill., in amurensi roseus purpureovenosus v. Caeruleoviolaceus, in au- strali purpureus. Valvas pl. cultae rarius dispermas inveni, seminibus superpositis angulatoglobosis evolutis Y. uno inani minore. Quibus expositis satis patet, G. Wilassowianum vix aliud esse quam varietatem geographicam G. palustris. Exstat s. n. G. maculati L. in herb, Stephan a Sievers 1792 in Sibiria collectum, deest vero hoc sub nomine e Dakuriaïn herb. Fischeri, à quo semina habuisse asserit Reichenbach (Icon. crit. III. fig. 460. p. 74.) et quod typicum G. maculatum esse vi- detur, e flora Rossica certe excludendum. 12. G. Maximowiczii Rgl. FI. Usur. n. 112. tab. III. fig. 4—6. G. Wlassowiani forma setosopilosa Maxim. FI. Amur 70. Mandshuria, ad fl. Amur infer. parte australiore, in silvis prope Dshare et Dole, fine Aug. ff. frf. (ipse); ad Usuri fl. decursum medium, in montibus Sumur ali- isque locis (Maack). A praecedente pube setosa stipulisque liberis distine- tum, filamenta enim parcius ciliata occurrunt et in G. Wlassowiano. Folia tamen exactius trifida, neque lobulis basalibus aucta, inferiora 5-fida, laciniae an- gustiores indistincte rhombeae, parte integra basali dimidium lobum occupante, serraturae porrectae. Flos 20 — 25 mill., pallide roseus, calycesque minores. Columna distinetius rostrata, stigmata tamen eadem, ita et semen minute reticulatum. Nodi caulini pl. ve- tustae distincte incrassati. — Omnia haec signa tamen in reliquis Geraniis satis variabilia sunt et fortasse et in nostro, quum melius notum erit, variantia obser- vabuntur. Equidem olim pro forma silvestri speciei 463 Bulletin de l’Académie Hmpériale 4G4 ———— © praecedentis habui, fortasse non immerito. Habet sese enim ad illam, ut var. orientalis ad G. eriostemon. Pedicelli fructiferi erecti. 13. G. eriostemon Fisch. in DC. Prodr. I. 641. Ledeb. F1. Ross. L. 464. Turez. F1. Baic. Dah. L. 255. et Enum. Chin. n. 39. Maxim. FI. Amur. 70. 469. 480. F. Schmidt. FI. Amg. bor. n. 82. G.eriostomum (sphalmate) Rgl. FI Usur. n. 115. Ditioue fl. Paicalensi- Dahuricae in pratis siccioribus (Turez.), v. gr. ad aggcres Baicali et in frutetis», nec non ad fl. Ledjanka, Julio 1772 (hb. Pallas s. n. G. maculati et G. columbini), in betuletis Davuriae (hb. Fisch.), frequens v. gr. secus fl. Schilkam in pratis et betuletis, medio Junio fl. (ipse). Mandshuria: secus Amur superiorem et australem variis locis, in rupibus et alibi, ad #. Bureja (F. Schmidt) et Usuri (Ussol- zew), ad fines Koreae cirea sinum Possjet, in collibus brevi gramine obtectis frequens, med. Julio fl. ult. et frf.; Mongolia orientali: Kiachta, prope Urgä in monte Guntu, medio Julio flor.. (Tatarinow), et australi, jugo Muni-ula, pratis humosis humidis, init. Julii fl. (Przewalski). China boreali: montib. altis ditionis Pekinensis, v. gr. Po-hua-shan (Kirilow, Bret- schneider), Siao-wu-tai-shan (Hancock) alt. 4 — 5 mill. ped. (Müllendorff), et occidentali, prov. Kansu, in silvis montium secus fl. Tetung frequens, med. Julio flor. (Przewalski). Japonia, cultum in hortis Yedo s. n. Gunna-i-füro, f. lilacinis et incarnatis, Junio fl. (Siebold). Differt a G. eriantho DC. pedunculis folia proxima superantibus, pedicellis fructiferis immutatis jam sub anthesi calycem aequantibus v. subsuperantibus utri- busque saepissime glandulosopilosis et foliis minus profunde fissis laciniis latioribus, a G. sylvatico L. pe- talis integris et pilis filamentorum dorsalibus elongatis. G. eriostemon et G. erianthum sunt quasi formae ori- entali-asiaticae G. syloalici, ad quod sese habent fere ut G. Wlassowianum et G. Maximowiczii ad G. palus- tre, omnia nostratia praesertim filamentis longe pilosis ab europaeis distincta. Caulis pl. m. saepe dense reflexohirsutus, mox fere a basi, mox tantum ad pedicellos glandulosopilosus (v. in 8. eglandulosus). Folia et in typo rarius lobata, saepius paulo ultra medium fissa et ita describuntur a Ledebour et Turczaninow, qui plantam borea- lem, humiliorem et ad folia minus pilosam observarunt. Valde hirsutum et latilobum in meridionalibus potissi- mum invenitur. Sepala 3-nervia, exterioribus margi- nem versus obsolete venosis. Petala horizontaliter pa- tentia rubro- v. azureoviolacea. Columna stylina ultra 30 mill. longa, cum valvis breve pubescens et pilis patentibus longioribus capitatis sat dense tecta, in ro- strum (stylos connatos) triplo brevius attenuata, quod in stigmata illo 5-lo breviora finditur, caudae intus glabrac, Valvae praeterea, praesertim basi, pilis lon- gis non capitatis instructae. Semen minute reticulato- punctatum. 8. orientale: eglandulosum v. pl. m. glandulosum, foliis utrinque parcius pilosis profundius ultra medium fissis crebrius et profundius lobatis incisisque, lobis serraturisque mox obtusis cum mucrone mox acuni- natis. G@. erianthum var.? elata Maxim. FI. Amur. 71. (non vel breve glandulosum). @. Onoei Franch. Sa- vat. En. II. 303. (valde glandulosum). Mandshuria: ad Schilkam inferiorem, 70 stadia infra Gorbiza, in laricetis siccioribus frequens, medio Junio fl, ad Amur superiorem, silvis frondosis lapido- sis montanis ad Tolbusino et Tschernäjewa frequens, ad Amur inferiorem, lucis pratisque humidis prope Kitsi, frequens, ad Usuri superiorem prope Dsiabigo in montibus lapidosis, fine Maji f. incip., similibus lo- cis secus fl. Li-Fudin, et circa portum $S-tae Olgae. med. Junio fl. c. fr. inmnat.; Japonia: Nippon, ad ru- pes secus rivulos in alpe Niko (Tschonoski), prov. Senano (Tanaka, fide Franchet). Primo obtutu a typo valde diversum videtur, atten- tius examinatum tamen solis signis supra datis distinc- tum. Ceterum valde ludit pubis longitudine et charac- tere, fl. rubro- v. azureo-violaceo, et laciniis foliorum. Specimina japonica quoad foliorum formam magis typo appropinquant, quam amurensia, quae olim cum du- bio sequenti speciei adsociavi. y. Reini Franch. Savat. L. c. 304. (sp. pr.): fo- lii ultra medium fissi laciniis latioribus contiguis vel sese tegentibus, sepalis divisione nervorum externorum sub-5-nerviis, pube elongata copiosa; cetera ut in 6. Nippon: in Ibuki-yama, fl. e. fr. immat. legit Rein s. Ne 6. — planta ab autoribus descripta. Magis accedit ad typum quam var. 8. In typo sinus inter lacinias foliorum aperti, in 6. basi aperti, medium versus ob lacinias rhombeas contiguas clausi, in y. fere 465 toti clausi. Reliqua omnia ut in typico. Maculas in fo- liis hine inde densius villosas, de quibus ait Franchet, vidi quidem in folio unico, sed insecti cujusdam in- fluentiae potius adscriberenm. G. ibericum Cav. (incluso G. platypetalo F. Mey.), quocum G. Reini ab autoribus comparatur, revera per- affine est et tantum distinguendum flore fere duplo majore, petalis truncatis lobulatisve calycem duplo su- perantibus, filamentis parcius breviusque pilosis; pu- bes vero eodem modo variat simplex v. glandulosa, fo- liorum dentes obtusiusculi v. acuminati, Simillimum G. iberico est G@. gymnocaulon DC. (Steven!), (cujus synonymon G. amethystinum Ledeb.), quod ad @. ibe- ricum sese habet ut 8. orientale ad G. eriostemon, sed rhizomate elongato subaequali, nec brevi praemorso dif- ferre videtur. G. eriostemoni sabsinule est etiam G. Wal- lichianum Sweet (ad quod ducendum G. rubifolium Lindl. Bot. reg. XX VI. t. 67.), sed abhorret pedicel- lis fructiferis declinatis, stipulis maximis, laciniis folio- rum acuminatis. Brevipedicellata, pedicellis in fructu erectis. 14. G. crianthum DC. Prodr. I. 641. Ledeb. L €. 464. Trtv. Mey. FI. Ochot. n. 80. Rgl. Til. FI. Ajan. n. 72. F, Schmidt. F1. Amg. bur. n. 83. F1. Sachal. n. 91. Maxim. F1. Amur. n. 168. Franch. Savat. I. ©. I. 69. II. 303. Gunna-i-furo. Soo bokf. XIT. 51. Sibiria orientali maritima (Pallas!, Merk!): circa Ochotzk (Walront), Ajan (Tiling) cet., Kamtschatka frequens, insula Xoräginsk (Postels), regione ltorali sicciore ins. Sachalin frequens (F. Schmidt, alii); Mandshuria orientali boreali, ad Amur inferiorem, f. Amgun (Schmidt) et circa sinus De Castries (ipse) et Hadshi (Kusnezow); Japonia boreali: circa Hakodate (Savatier, ex Franchet), Nambu (Tschonoski), America occid. frigida. Specc. à Small prope Hakodate lecta, sub hoc nom. distributa, ad G. yezoënse Fr. Sav. pertinent, synon, À. Gray. Bot. Jap. 383. et Miq. Prol. valde dubia fiunt. AD affini G. sylvatico L. praesertim pilis filamento- rum dorsalibus paucis longis (neque densis brevioribus marginalibus), nec non pube pedunculorum brevi eg- landulosa dignoscitur. Pubem in G. eriantho quoad characterem satis constantem observavi. 15. G. pratense L. Cod. 4982. Ledeb. FI. Ross. I. Tome XXVI. unde 201. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 466 466. Turez. L 256. Rgl.. Herd. Ph Semen, n. 187. Trtv. Mey. FI Ochot. n. 81. Maxim. Ind. Mongol. 460. China boreali: prov. Kansu, in jugo secus fl. Te- tung, init. Julii fl. (Przewalski), inter Lan-tscheu et Murum magnum (Piasezki), prov. Petschili, in alto monte Siao-wu-tai-shan (Hancock); Mongolia parte maxime orientali, inter f. Chui-gol et [bôan-gol, lat. 48°, long. 1197, init. Julii . incip. (Fritsche); ad tractum mercatorium (Kirilow) prope Charimtu (Ta- tarinow), boreali: jugo Han-hai ad #. Schuryk et Bog- dyngol, silvis acerosis (Potanin) et ad f. Baintu-gol (Kolomeizew), Altai australi, non procul ab urbe Kobdo (Kalning), alpibus Dolon-nor, sub rupibus gra- niticis, nanum, vix palmare (Potanin); tota Sibiria, exclusa arctica, v. gr. Kamtschatka, Jakutzk et alibi ad Lenam, ad fl. Tscharam (Maydell), Nertschinsk, ad Baicalem, [rkutzk, ad Jenisei, jugo Sajan et Altai, Tomsk, Omsk, omni Æossia ab Archangel ad Caucasum, et occidentem versus. G. himalayense KI. in Reise d. Prinz. Waldemar, 116.t.122., quod vidi e Xashmir à Clarke, in Tibeto occidental à Strachey et Winterbottom collectum, nanum, grandiorum, omni jure ab Edgeworth et Hookero fil. in FI Brit. Ind. L. 429. huc ductum vi- detur, nam nanum vidi et ex Mongolia, flores vero quoad magnitudinem, ut in omnibus macranthis, vari- abiles. Variat ditione nostra normale, v. pube ad caulem parea breviore, v. tali crispa cum copiosa patente lon- giore intermixta, pilis capitatis copiosis vel ad pedun- culos calycesque fructumve reductis, statura palmari ad bipedalem. Rhizoma tuberosum. 16. G.Pylzowianum. Rhizomate filiformi tuberculis pi- siformibus approximatis olim cauligeris submoniliformi, pube eglandulosa; caule gracili erecto semel bifurco, ramis erectopatulis; foliis pedatisectis ambitu subqua- dratoreniformibus: segmentis 5 tripartitis, lobis ter- minali 3-, lateralibus 2-partitis integrisve linearibus; stipulis liberis lineari-lanceolatis: pedunculis pedicellis- que longissimis folium valde superantibus, his in fructu divaricatis; floribus amplis purpureis, sepalis breve ari- statis quam petala truncata duplo brevioribus, filamen- üs subulatis parte dilatata longe pilosis, columna erostri carpellisque pilosis. 467 Bulletin de l’Académie Impériale À 468 China occidentalis: prov. Kansu, in vallibus rivulo- | Golbyn gobi dicto, rarum, med. Augusto fl. frf. (Prze- rum alpium secus 4. Tetung (Przewalski). Proximum G. tuberosum L., vel potius forma ejus, quae sistit G. linearilobum D C., differt tuberibus mole nucis Avellanae saltem, foliis plus quam 5-sectis laci- niis saepius pinnatifidis, flore duplo minore, petalis profunde emarginatis, pedicellis brevibus in fructu erec- tis, filamentis dorso glabris. G&. malvacflorum Boiss. et Reut., ex folis simile, jam rhizomate incrassato abhor- ret et pedicellos fructiferos erectos habet. G. Tubera- ria Camb. in Jacquem. Voy.t. 37. ex icone etiam si- mile, sed praeter tubera napiformia statim distinctum sti- pulis foliorum radicalium petiolo longissime adnatis, fo- liorum segmentis pinnatilobis et pedunculo subumbella- tim 3 — 4-floro. Ad eandem seriem pertinere videtur G. rapulum St. Hil. et Naud. e Brasilia australi. Pedale v. altius. Pubes caulis et foliorum parcius- cula appressa, in priore reversa. Folia alterna, usque 45 mill. Jata, 35 mill. longa. Flos diametro 60 mill., calyce corollaque patulis. Sepala 5-nervia. Petala or- biculato-obovata, ad unguem mediamque laminam in- tus sat longe pilosa. Stylorum connatorum pars libera stigmatibus duplo brevior. Species à me non visae. G. japonicum Franch. Savat. Enum. IT 305., flo- rens tantum collectum in montibus Hakone, ex descrip- tione G. Sicboldi affine videtur. G. spec. quaedam ypetalis acute tridentatis patenti- bus calycem duplo superantibus, pedunculis biforis, pedicellis defloratis declinatis, foliis 5-fidis incisoser- ratis. Delineatum in Soo bokf, XII. fol. 47. s. nom. ibuki füro. Simile G. striato L., sed directione pedicel- lorum post anthesin diversum, quo signo cum G. reflexo L. convenit, at petala patula, neque reflexo patentis- sima. Erodium V'Herit. Folia trifida et incisa, cinereotomentosa...... E. tibetunum Kdg. » bipinnatisecta-partitave. 2. | 2. Lamina folii crecumseriptione deltoidea segmentis HéCUTLENUDUR Re ssere rente eecccee . EE. Stephaniarnum W. Lamina circumscriptione oblonga. 5. N 3. Caulescens, segmenta primaria pinnatipartita E. cicutarium Lem. Acaule, segmenta omnia pinnatisecta......... E, tataricum W. 1. Æ. libetanum Edg. im Hook. f. FI Brit. Ind. . 43 Mongolia borealis, territorio Urot, deserto arido walski), praeterea hucusque tantum in Tibetia occi- dentali, valle Ladak, infra Hanle (herb. Calcutt.!). Specc. tibetica, licet florifera, bene in nostra quad- rant, folia tamen paulo majora et minus dense tomen- tosa, Edgeworth perperam annuum cum dubio dixit, nam et inter #ibetica occurrunt jam pleiocephala ut in nostro. Herbula vix digitalis, pube simplici. Radix tenuis elongata perpendicularis in collo capita sessilia v. ra- rius stipitata (stipite pollicari) densissime stipulis per- sistentibus foliorum delapsorum obvallata gerens, certe saltem biennis, nisi perennis. Petiolus laminam in m0n- golicis 10— 12 mill. longam et totidem fere latam su- perans, laciniae dentesque obtusa. Petala patula albida, 3 mill. q. exe. longa. Filamenta staminum fertilium an- guste subulata glabra, sterilium triente breviora lanceo- lata, sat longe ciliata. Columna tenuis, 14— 16 mill. longa, rostrata, stylis usque ad stigmata connatis. Car- pella 4 q. exc. mill. longa, loculo anguste oblanceolato stipitem triplo superante. Semen 2,5 mill. longum, an- guste fusiforme, laevissimum, opacum, cinnamomeum. 2, E. cicutarium Leman in DC. FI. Franc. IV. 840. Ledeb. 1. ce. 476. Rgl. Til. FL Ajan. n. 75. In ruderatis Sibiriae orientalis: Ajan (Tiling), Kamtschatka (Rieder), praeterea vidi e Tomsk Sibir. occidentalis ad viam publicam postalem copiose cres- cens. Omnibus hisce locis, praesertim vero orien- talibus, probabiliter introductum. — Æ. Japonia non- dum vidi, sed figura Soo bokf. XIT. fol. 53. vix non ad hoc, non obstantibus segmentis incisoserratis neque pinnatifidis. 3. E. Stephanianum W. Sp. pl. IT. 625. Ledeb. L c. I. 475. Turez. FL Baic. Dah. I. 260. et Enum. Chin. n. 40, Bge Enum. Chin. n. 72. Maxim. F1. Amur. 71. 469. 480. Ditione f. Baicalensi-Dahuricae frequens: Irkutzk, ad #. Tschikoi (Sievers), Tschita ad pedem collium lapidosorum et simili loco ad Schilkam (Augustino- wicz) alibique per Dahuriam; Mongolia: Kiachta ad pedem m. Burgultei (Turez.), ad tractum mercatorium (Kirilow), Ordos in agris Sinensium frequens (Prze- walski); China boreali: circa Pekinum ubique (omnes collect.), Takiosze, Pan-shan (Bretschneider), Tschifu et Teng-tschau-fu (Hancock); Mandshuria occiden- 469 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 470 TT —_—_—————— ——— tali, ad Amur superiorem passim, v. gr. Blagowes- | linea angustiora. Calyx 5°, lin. longus. Vexillum fere tschensk (Glehn), Aicho (ipse); occurrit praeterea in Songaria (Karel. Kiril.), Altai (Bunge) ad Tschujam fl. (Gebler), nec non in Tibetia occidentali (Thomson ex Hooker f. in FI. Brit. Ind. I. 434..). Ludit floribus purpureis v. pallide roseis purpureo atriatis v. caeruleoviolaceis. 4. E.tataricum W. Sp. pl. IL. 625. Ledeb. I. e.474 Davuria (Sievers 1796. in herb. Stephan, fl. fr. immat.), ad Karysch, circa fodinas (herb. Pallas eo- dem statu), neque alibi, nam Willdenow, in cujus herbario examinavit Ledebour,a Stephan acceperat. Diagnosis atque descriptio apud auctores citatos optima, ita ut pauca sint quae addam. Flos diametro fere pollicaris, ex sicco purpureus. Colamna rostrata ob stylos usque ad stigmata brevia connatos. A Will- denowio bene comparatur cum Æ. supracano Herit., eni ob folia cireuitu oblonga, flores majuseulos et ha- bitum revera affine, ita ut et Æ. petraeo W., sed co- lumna crassior quam in utroque. Ab Æ. Slephaniano quan foliis tam floribus totoque habitu diversissimum. Leguminosae ab am. el. Bunge descriptae. Oxytropis Müllendorffii Bge (Orobia ?) acaulis humilis viridis glabrescens; stipulis linearilanceolatis petiolo breviter adnatis longe acuminatis subherbaceis rigidu- lis 1-nervüs; foliolis conjugatis 7 — 10-jugis lanceo- latis acutissimis parce hispidulis ciliatis denique glab- ratis, petiolis hispidulis; scapis folium vix superanti- bus patule mere albo villosulis 3 — 5-floris, floribus subumbellatis, bracteis lanceolatis calycis tubum ae- quantibus longioribusve, calycis tubulosi pilis nigris brevibus adpressis longioribusque albis villosuli denti- bus subulatis tubi dimidio brevioribus, vexilli lamina orbiculari-obcordata, alis rotundato-bilobis, carinae mucrone brevi subulato, ovario sessili 16 — 20-vel pluri-ovulato albohirsuto, legumine……. China boreali: in m. Siao-wu-tai-shan prov. Pe- tschili, supra terminum silvarum, altit. 7500 — 9000 ped. s. m. (a Müllendorff). Legumen ignotum et igitur locus in genere incer- tus, habitu vero multisque notis ad ©. alpinam et 0. Tschujae accedit. Tota planta 2 —3 pollices alta. Fo- liola foliorum seriorum usque ad 5 lin, longa, pleraque 8 lin.: 4,5 lin. Alae vix 7 lin. longae, apice 3 lin. latae. Carinae mucro !/ lin. vix aequans. Oxytropis diantha Bge (Janthina) acaulis dense caes- pitosa glabrata viridis; stipulis petiolaribus hyalinis obsolete 1-nerviis antice connatis glabris ciliatis eglan- dulosis; foliolis 3 — 4 — 5-jugis petiolisque glabris vix apice barbellato-ciliolatis linearioblongis acutius- culis; scapis folio brevioribus subglabris subbifloris, calycis albo nigroque breviter hispiduli tubuloso-cam- panulati dentibus tubo dimidio multo brevioribus, ve- xillo latissime ovato emarginato, alis brevioribus dorso rotundatis retusis, carina alis breviore longiuscule cus- pidata, ovario sub-30-ovulato, legumine linearioblongo (juniore) calycem duplo superante acuminato, parcis- sime nigro-piloso 1-loculari sutura ventrali sulcata an- gustissime et vix quidem septifera. Mongolia boreali, jugo Han-hai, in littore australi lacus Ssangin-dalai (Potanin, spec. 1.). Folia 8— 12 lin. longa, foliola lineam longa di- stantia. Glandulae interfoliolares paucae minutae. Ca- lyx 4 lin. Vexillum 7, 5: 5,5 lin. Alae 6, 5 lin., ca- rina 5 lin. longa, mucrone linea breviore recto superata. Oxytropis micrantha Bge (Xerobia) acaulis humilis caespitosa; stipulis hyalinis tenuissime 1-nerviis in dorso petioli producto-connatis: foliolis 1 — 3-ad sum- mum 4-jugis elongatolinearibus arcte complicatis sub- tus adpresse pubescentibus supra prostrato-sericeo- villosis; scapis suberectis adpresse puberulis, capitulis confertis 10 — 12 floris, calycis subcampanulati den- tibus vix !/, tubi aequantibus, alis apice rotundatis dorso rotundatogibbis, carinae mucrone subulato recto, ovario villoso sub-20-ovulato; legumine vesicario pro- strato-albopubescente 1-loculari ventre sulcato dorso convexo, sutura ventrali parum intrusa anguste Sep- tifera. Mongolia borealis, jugo Han-hai, in arenosis prope Chudshirtu et inter #. Dsabchyn et Gutu (Potanin). Habitus omnino ©. leptophyllae, sed flores multo minores, foliola supra prostratovillosa, scapi adpresse pubescentes cet. Oxytropis heterophylla Bge (Baicalia) dense adpresse argenteosericeo-tomentosa caespitosa; stipulis hyalinis antice connatis dorso brevissime connato-productis ovatis 1-nerviis eglanduloso-ciliatis; foliorum prima- 30* 47 Bulletin de l'Académie Impériale 47? TT —_—_—_—_—_—_—…—…— —…—…———…—…—…—…—…"—"— riorum foliolis conjugatis seriorum subverticillatim ternis quaternisve 8—12-jugis oblongis acutis: SCApPIS erectis folio longioribus tune demum strictis; capitu- lis sub-10-floris confertis; bracteis oblongis calyeis tubum vix aequantibus, calycis turgido-tubulosi den- tibus tubo (4 lin.) dimidio brevioribus (1° lin.), ve- xillo oblongo bilobo, carinae mucrone mediocri, ovario sericeo 20 — 29-ovulato, legumine (in pl. Piasezkii) oblongo turgido albovilloso sutura ventrali in septum producta subbiloculari. Mongolia borealis: Thian-schan, planitie elata Yul- dus Minoris (Przewalski, f.). Declivitate meridionali prope Hami specc. fructifera a Piasezki lecta huc spectare videntur. O. prilae affinis, sed distincta indumento, foliolis multo numerosioribus brevioribus. Scapi sub anthesi 3 — 4-pollicares, fructiferi !/,-pedales. Vexillum fere 10 Jin. longum, lamina infra medium vix 3 lin. lata. Astragalus dependens Bge (Æemiphaca) fruticulosus viridis, ramis pendulis; stipulis liberis: foliolis confer- tim 5 — 8-jugis linearioblongis oblongisve obtusis supra glabris subtus minute pubescentibus; peduncu- lis folio duplo triplove longioribus; racemis elongatis multifloris; calycis minute campanulati nigropuberuli dentibus abbreviatis, vexillo obovato emarginato, alis breviter bilobis, ovario 4 — G-ovulato, legumine gla- berrimo globoso-didymo transversim rugoso obtusis- simo perfecte biloculari. China occidentalis, prov. Kansu, in collibus, ramis e rupibus dependens (Piasezki). Affinis À. capillipedi, a quo differt foliolorum numero et magnitudine, ab À. alaschano racemis elongatis et leguminibus glaberrimis rugosis, ab A. melilotoide et À. tenui foliolorum numero et forma, ab À. rytidocarpo peduneulis elongatis et fructu glabro. Folia 1 — 17/- pollicaria, foliola 3 lin. longa, 1° lin. lata, saepe multo angustiora. Pedunculi sine racemo 4-pollicares, ra- cemo omnino evoluto tripollicari. Vexillum fere 5 lin. longum. Legumen vix 2 lin. longum. Astragalus Hancocki Bge (Zlemiphragmium) glaber; caulibus erectis angulosis; stipulis membranaceis herba- ceisve connatis v. summis liberis; foliis subsessilibus (3)— 4 — (5)-jugis, foliolis oblongis obtusis vel emar- ginatis utrinque glabris; pedunculis folio duplo tri- plove longioribus, racemis elongatis laxis; calyeis den- tibus subulatis tubum aequantibus v. brevioribus, alis minute bilobis carina longioribus, legumine stipitato nutante glaberrimo utrinque carinato compresso, su- tura dorsali in septum angustum producta. China borealis, prov. Petschili, m. Siao-wu-tai-shan (Hancock)alt. 3600—5000 p.s. m.(a Müllendorff). Affinis À. australi L. Planta Müllendorffiana tan- tisper recedit a Hancockiana: stipulis intermediis latioribus herbaceis, nec linearibus scariosis, foliolis plerumque obtusis neque emarginatobilobis. Corollae structura vero omnino eadem.— Cum racemo plus quam pedalis. Foliola usque ad 10 lin. longa, 5 lin. lata. Peduneuli sine racemo 3 — 4-pollicares. Racemus fructifer usque ad 6-pollicaris. Bracteae subulato-se- taceae pedicello longiores. Calycis nigropubescentis tubus 2 lin. longus, dentes in pl. Müllendorffii su- bulati tubum aequantes, in Hancockiana vix lineam longi lanceolati. Vexillum 7,5 lin. longum, medio 3,5 lin. latum, emarginatum. Alae 6,5 lin. longae, la- mina 1,5 lin. lata. Carina 4,5 lin. longa, lamina alis fere aequilata. Ovula in ovario glaberrimo stipitato 7— 10. Leguminis stipes calycem vix excedens. Le- gumen (immaturum)eum stipite et rostro 10 lin. longum. Astragalus Müllendorffii Bge (Cenantrum) erectus stric- tus glabrescens: stipulis caulinaribus inter se liberis herbaceis ovatis acutis; foliolis 2—4-jugis magnis ovatis acutis supra glabris subtus hispidulis; peduncu- lis folio multo longioribus; floribus laxe longeque ra- cemosis cernuis; bracteis herbaceis ovatis acutis pedi- cello multo longioribus; calycis campanulati basi glab- rati nigropubescentis dentibus triangularibus brevibus, vexilli lamina oblonga emarginata, alis cultriformibus carinae subaequilatis, ovario longe stipitato dense albo nigroque pubescente 10 — 12-ovulato, legumine…… In Chinae borealis monte Siao-wu-tai-shan, in as- censu supra monasterium Tieh-lin-sze, 3600 — 5000 ped. s. m. (a Müllendorff). Caulis cum racemo ultra pedalis. Folia usque ad 5 pollices longa. Foliola majora sesquipollicaria, in- fra medium 7 — 8 lin, lata. Bracteae fere pollicem et dimidium longae. Pedicelli nigro hispiduli. Calyx 4 lin. longus, dentes vix !/, lin. longi. Vexillum 8—9 lin. longum, 4 lin. latum. Alae ultra 7 lin. longae, antice convexae. Carina vix ultra semipollicaris, la- mina brevi 1° lin. lata. Ovarii stipes basi glaber, su- 473 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 474 perne albopubescens. Ovarii pubes alba densa, pilis nigris paucis intermixtis. — Affinis À. aksuensi m. fo- lis, sed differt ovario dense pubescente, alarum forma cet. Astragalus monophyllus Bge (Trachycercis) acaulis, pube bicuspidata prostrata mere alba cinereus; stipulis pe- tiolaribus inter se liberis hirsutis; foliis unifoliolatis, fo- liolis late ovatis acutis: scapis folio brevioribus 1 — 2- floris, calycis tubulosi dentibus tubo vix brevioribus, vexillo obovatooblongo, ovario sessili hirsutissimo 35- pluri-ovulato, legumine calycem rumpente illoque plus duplo longiore oblongotrigono dorso sulcato ventre carinato biloculari hirsutissimo. In Mongolia ovientali, ad tractum mercatorium, prope Zaghan-tugurik i. e. arundinetum album (Ki- rilow). Leguminis forma fere A. subbijugi, sed pluribus characteribus distinctissimus. Folia quantum vidi sem- per 1-foliolata. Foliolum usque ad 7 lin. longum et 6 lin. latum, utrinque pube bicuspidata elongata pro- strata scabrida tectum. Scapi vix semipollicares his- pidi, 1— 2-flori. Bracteae parvae lanceolatae. Calyx cum dentibus semipollicaris; dentes herbacei lanceo- lato-subulati. Vexillum 8 lin. long., supra medium vix 3 lin. latum, basi aequabiliter neque auriculato dilata- tum. Alae 6,5 lin. longae integrae. Carina vix 5 lin. longior. Legumen pollice parum brevius, saepe defle- xum, pilis mere albis scabridis densis hirsutissinum. Tillaea saginoides. Nana caespitosa a basi ramosa et florifera, glaberrima; foliis carnosis oblongolinearibus basi subconfluentibus; pedunculis numerosis e quavis dichotomia in cymas foliosas digestis flore duplo saltem longioribus; flore 4-mero, calyeis lobis quam petala fere duplo brevioribus et ut illa ovatis, staminodiis epipetalis 4 minutis, squamis hypogynis nullis; car- pellis sub anthesi semiinferis maturis fere superis ovo- ideis stylo brevissimo apiculatis petala vix superan- tibus divergentibus polyspermis. In Songaria rossica versus fines mongolicos, secus f. Irtysch Nigrum, ad Djurbeldjin et altius, fine Au- gusti frf. c. #. ult. (Potanin). Inter omnes mihi notas tantum 7, macranthae Hook. f. in Hook. Ic. pl. IV.t. 310, Benth. F1. Au- stral. I, 452, nonnihil affinis, sed haec differt jam carpellis a calyce liberis ellipticis subparallelis, praete- rea petalis consistentia sepalorum utribusque subae- quilongis acuminato-ellipticis, floribus majoribus, foliis latioribus, sed modus crescendi idem. — Carpella ca- lyci subadnata occurrunt tamen etiam in Ÿ. moschata DC. Proûr. IIL. 382. Hook. Ic. pl. 2. ser. Il. t. 535. Utraque habet squamulas hypogynas distinctas (in priore a Hookero f. in figuris omissas) et staminodia nulla. Characteri artificiali Crassulacearum et generis Til- laeae si pretium ullum tribueremus, plantulam de qua agitur in genus novum Saxifragacearum erigendum esse existimaremus, Chrysosplenio proximum et ab illo, excepto habitu, diversum petalorum praesentia, car- pellis 4 ovulisque ventralibus (nam stamina 4 et in Chry- sospleniis paucis normalia, 8 autem in Tillaea nostra jam indicata). Jam Penthorum, hucusque Crassulacea habita, a Baillon Saxifragaceis adnumeratur. Numero- siores sane sunt species inter Saxifragaceas isomeras, quae Crassulaceis appropinquant. Ita vix errabimus, si Crassulaceas pro tribu Saxifragacearum, mero ha- bitu (neque semper) distincta declarabimus. Viburnum L. Specierum Asiae orientalis enumeratio, generis totius adumbratio. Viburni genus à variis autoribus varie dividitur in genera, subgenera vel sectiones apud quemvis autorem diversa. Ita Tournefortius genera 3 distinxit, Can- dolleus sectiones 3, cum generibus prioris tamen non identicas, Spach genera item 3 diversa cum 3 sectioni- bus in genere ejus Viburno, cum subdivisionibus praeces- sorum partim tantum congruas, Oersted ex charactere putaminis plus v. minus profunde ad veatrem suleati et corolla tubulosa v. rotata sive campanulata imo ge- nera D proposuit, quae nuper fere omnia pro sectioni- bus a Bentham et Hooker declarantur, addita sexta. Peccant tamen omnia haec tentamina in e0, quod spe- cies habitu simillimae diversis sectionibus interdum adscribuntur, dum diversissimae stirpes in eandem sub- divisionem coguntur. In maxime naturali genere vero, uti certe est Viburnum, habitui pretium maximum est tribuendum. Nequit igitur excludi ex Opuli sectione stirps, quia floribus radiantibus caret, quum folia lo- bata stipulata, flores fructusque eadem possideat. Nil valet character e florum sterilium praesentia v. absen- tia petitus, quia cultura tales produei possunt, ubi in sponte nascente desunt. Nec magis ad sectiones sta- 4535 Bulletin de l’Académie Impériale 476 EE —————Z— biliendas valet corollae forma, dum adsunt species flore absente nequaquam distinguendae, dum adest imo una (Ÿ. odoratissimum) ubi corolla variat subro- tata et tubulosa. Putaminis differentiae ipsae, tanti ab Oerstedio habitae, in variis speciebus paullatin al- tera in alteram transeunt, certeque saltem non loqui pos- sumus de fructu pseudobi-vel tri-loculari, ubi adsunt ovaria 1-locularia 1-ovulata, ubi demum in fructu mar- gines putaminis tantum plus v. minus inflectuntur, ita ut in sic dictis semibilocularibus habeamus sulcum pl. m. profundum, in semitrilocularibus margines tam infle- xos, ut arcum constituant in putamen intromissum, Cu- jus origo in V. lantanoidi aliisque manifesta, dum in reliquis margines vicini arcte connati cristam intus di- latatam solidam formant. Quibus omnibus perpensis, subdivisionem generis principalem quaerere placuit in foliorum natura, quae in plerisque facile definienda sectiones tres principales easdemque naturales circum- scribere permittit, quas deinde aliis notis adhibitis subdividere conatus sum. Praemitto tamen, multas species quoad gemmarum naturam, frondis durationemn, fructusve structuram nondum rite cognitas esse, Ita ut errores in loco eis assignando vix evitandi sint. Paucae denique oceurrunt stirpes hic inde in quadam sectione anomalae et nota aliqua divisionem vicinam in mentem vocantes, sed in genere tam naturali nulla praecepta per omnia valent. GENERIS SUBDIVISIO. Sect. 1. Tinus. Costae foliorum ante marginem anastomosantes, ser- raturas v. dentes vulgo minores vel obsoletas haud v. in paucis post bifurcationem attingentes. Stipulae nulle. A. Sempervirentia (paucissimis exceptis). a. Albumen ruminatum in putamine esulcato. Drupa nigra subsicca, corolla rotata, corymbi umbellati, gemmae nudae Series 1. Tinus. b. Albumen non ruminatum (paucissimis exceptis). * Putameu intromissa crista ventrali intus dilatata. Corolla campanulatorotata, drupa (ubi nota) nigra suceulenta, corymbi umbellati Ser. 2. Corolla tubulosa limbo patente, antherae ex- sertae, drupa rubra succosa, corymbi radii secun- darii iterato-oppositi Ser. 3. Solenotinus. Oreinotinus. #* Putamen ventre cum sulco profundo. Corolla rotatocampanulata v. infundibulifor- mis limbo patente, drupa nigra, corymbi pani- COLA EE Le Er CCE Ser. 4. Microtinus. ##% Dutamen esulcatum. Corymbi umbellati . ....... Ser. D. Megalotinus. Corolla rotata.. 1.4... .. Subseries. 1 Foetida. Corolla tubulosa limbo erecto....... Subseries. 2. Coriacea. B. Folia decidua. Gemmae nudae, drupa nigra, putamen planius- culum sine sulco, pubes nulla v. minuta stellato- SHÉDIDOLAS Dhs «eee ose Ser. 6. Lentago. Hola SlAbrAtA ee... 2e... Subseries 1. American«. Folia pubera. Corolla rotata v.eylindrica.Subseries 2. Asiatica. Sect. 2. Viburnum. Costae foliorum earumque rami stricte in serratu- ras vulgo regulares majusculas abeuntes, inter se tra- beculis parallelis crebris quidem conjunetae, sed non flexuosae trabeculisque distincte crassiores. Folia fere semper decidua membranacea (excel. V. japonico Spr.). Stipulae nullae. A. Gemmae nudae. Drupa nigra putamine turgido, esulcato v. prof. sulcato, testa seminis dense punctis resinosis im- pleta et in nonnullis intra albumen passim im- missa, corolla infundibuliformis vel rotata, Co- rymbi umbellati, serraturae foliorum minus regu- lares et saepius minores quam in sequentibus Ser. 7. Lantana. B. Gemmae perulatae. Putamen intromissa crista ventrali intus di- latata, corymbi umbellati radiis secundariis ite- rato-oppositis, flores pedicellati. ... Ser. 8. Nervosa. Corolla tubulosa. Flores praecoces ..... Subser. 1. Nervosa. «__ rotata. Flores coaetanei Subser. 2. Sieboldi. Putamen cum sulco ventrali. Corymbi umbellati pedunculati, flores subsessiles, corolla rotata Ser. 9. Dentata. Drupa nigra, fl. radiantes 0. .......... Subser. 1. Dentata. Drupa rubra, f. radiantes...... .... subser. 2. Tomentosu. Putamen planum, drupa rubra, flores omnes fer- tiles, cetera ut in praecedente. Omnia Asiatica. Ser. 10. Dilatata. Sect. 3. Opulus. Folia divis. praecedentis quoad costas et dura- 47% tionem, sed in plerisque 3-loba. Stipulae evolu- tae. Gemmae perulatae. Corymbi umbellati, corolla rotata v. campanulatorotata . Ser. 11. Opulus. Species Asiae orientalis enumeratae, reliquae mihi notae indicatae. Sectio 1. Tinus. Ser. 1. Tinus. Frutices foliis coriaceis, alter Mediterraneus (V. Tonus L.), alter e Macaronesia (V. rugosum Pers.) Quaerendum tamen, anne huc re- vocandi sint frutices nonnulli e sectione Oreinotini, habitu cum Tino convenientes, quorum fructus tamen nondum noti, Vestigia al- buminis ruminati ceterum obvenire videntur in paucis e sectione Megaotini. Ser. 2. Oreinotinus Oerst. gen. pr. f). Frutices Americae occidentalis et centralis tropicae, non satis noti, partim forsan ad sect. praecedentem vel ad Lentaginem olim amandandi. Fructus enim in paucissimis adhuc notus (ipse vidi vel descriptum inveni in V. viloso Sw., V. glabrato H. B. K., V. fusco Oerst. quoad colorem, in paucis aliis, quorum flores ignoti, quoad structuram). Species ab Oersted enumerantur 32, equidem vidi tan- tum, praeter nominatas, V. wrdulatum Oerst., V. triphyllum Bt. V. umbellatum Bth., V. oyavacense H. B.K., V. lasiophyllum Bth. V. Hartwegi Bth., V. peruvianum Poepp., V. parviflorum Mart. Gal., V. discolor Bth. Ser. 3. Solenotinus Bth. Hook. (Oerst. gen.) Frutices foliis chartaceis, ita definiendi: Folia decidua acuminata, corymbi nutantes, fl. pe- dicellati (species Indica) ................... V. erubescens Wall. Folia persistentia obtusa v. acutiuscula, corymbi . V. Sandankwa Hassk. 1. V. Sandankwa Hassk. in Retzia L. 37. Miq. Prol. 156. 366. Bot. mag. 6172. (fl. quam vulgo majore). In archipel. Lutschu sponte (Wright! fl. c.fr.), in Japonia eultum tantum observatum, in Yedo Majo, in Nagasaki Aprili flor., Junio fructif. Japonice, ex Itoo Keiske hb. n. 190. in Mus. Lugd. bat., Miq. Prol. 366., audit: kôru mume vel gomo-zju. — In viridariis cultum apud nos rarissime foret. V. cylindrico Don et V. erubescenti Wall. (quo- cum jure conjunctum videtur VW. Wightianum Wall. a Hook. f. et Thoms. in Journ. Linn. soc. IT. 177.) a Miquelio, priori a Hookero in Bot. mag. proxi- mum habetur, et distinguendum foliis non integris, pe- duneulo brevi eglanduloso et corollae limbo concavo. Sed vera affinitas sine dubio cum W. erubescente, ob fructus structuram, folia latiora a medio sursum dentata. 8) Vib. gen. adumbr. in Vidensk. Med. Nat. Foren. Kiobenh. 1860. — Excludendum est V. microcarpum Schlecht. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 4%S Ser. 4. Microtinus Bth. Hook. (Oerst. gen.) Arbusculae v. frutices elati foliis coriaceis, per- sistentibus, corymbis paniculatis amplis. Species 2, Himalayae orientalis mcolae: V. Simonsii Hook. f. Th. et V. odoratissimum Ker, et in Chinam Japoniamque australem extensum. 9, V. odoratissimum Ker Bot. reg. 456. DC. Prodr. IV. 326. Bth. F1. Hongk. 143. Sieb. Zucc. FI. jap. fam. pat. II. n. 589. Miq. Prol. 156. 366. Hook. f. Thoms. in Journ. Linn. soc. IT. 177. V. odor. et V. Aiwabuki C. Koch in Berl. Wochenschr. X. 1867. 109. V. sinense Zeyh. in Colla h. rip. 145. app. 2. ex Sieb. Zucc. In archipel. Lutschu, in vallibus, frutex 8 — 15- pedalis late ramosus, fine Aprilis #. (Wright, im Aiu- siu: circa Nagasaki, valle silvosa prope Tomats, ra- rius, cirea montes Yuwaya et Zidsi in silvis frequen- tius, arbusculae graciles, trunco 2 poll. erasso, Junio flor., in Nippon media: Yokoska, in sepibus efferatum (Savatier! n. 542.), circa Yokohama, Kamakura cet. cultum, arbor 20-pedalis coma densissima lata, fine Junii fl., sub finem Augusti fructif. — Japonice vulgo: sangui, ex Itoo Keiske hb. n. 215, in hb. Lugd. bot.: sango ziju (apud Miq. l. c. 366. erronee scriptum sango Zipis). Drupa primum rubra, perfecte matura et tunc fa- cile cadens nigra fit. A C. Koch distinguuntur species duae: verum . odoratissimum Ker, foliis saepius dentatis, limbo co- rollae tubum superante, et W. Awabuki C. Koch, fo- lis fere semper integris, tubo quam limbus longiore, hoc, ex Koch, originis ignotae in hortis europaeis cultum. Planta indica et sinica revera corolla rotata tubo brevi describitur. Equidem in planta nostrate tu- bum limbo breviorem in illa ex insulis Zutschu tantum vidi. Planta circa Nagasaki lecta jam limbum tubum paulo superantem habet, illa denique e Yokohama tu- bum corollae limbum duplo superantem. Folia vero in omnibus fere semper integerrima, in boreali non rarius dentata quam in australi. Planta nipponica 1g1- tur sine dubio sistit V. Awabuki, lutschuana V. odo- ratissimum, kiusiana inter utramque media, unde jam coneludere licet, species Kochianas non diversas esse. Nam levissima signa, quibus praeterea ambas distin- euere conatus est, tantum individuis illis hortensibus 179 ab eo observatis conveniunt. Quum autem planta #2ppo- nica tantum culta sit et imo Aiusiana fortasse tantum introducta et efferata, verosimilius adhuc fit, V. Awa- buki nil esse quam varietatem geographicam, cultura ita mutatam, ut corolla eo magis tubulosa fiat, quo ma- gis septentrionem petimus. Ser. 5. Megalotinus. Species tropicae v. subtropicac Zndicac et sundaicae cum ]. austrochinensi, in series inaequales duas ex co- rollae forma segregandae. E subserie 1. (Foctida) imno- tuerunt mihi V. lutescens B1., V. Colebrookianum W all., a praecedente, quocum a Hookero fil. et Thomson in Journ. Linn. soc. IL, 176. jungebatur, distinctum corymbis subaphyllis axillaribus, foliis fere a basi gran- diusque serratis et drupa duplo minore ovata, W. sam- bucinum Reinw.”°), a quo fortasse non satis differt W. integerrimaum W all"), V. punctatum Ham., V. foctidum Wall. et V. sempervirens C.Koch. E subserie secunda (Coriacea), drupa rubra acida donata: VW. coriaceum BI. (sensu Hook. f. et Th.) et V. kebanthum WA. utrumque corymbis pedunculatis. 3. V. sempervirens C. Koch. hort. dendrol. 300. n. 22. ex synon. Hook. Arn. (1553.) et in Berl. Wo- chenschr. 109. 1867. 0erst. Vib. adumbr. 299. t. VII. fig. 28 — 31. V. nervosum H. A. Bot. Beech. 190. — nec Don. V. venulosum Benth. FI Hongk. 142. (1861.). China australi: Hongkong, in collibus vulgare, Majo #. (Wright!), in montibus Pakwan supra Cantonem (Hance!). Ser. 6. Lentago Auct. (reform.) Frutices foliis charticeis passim subpersistentibus (in americanis) vel vulgo deciduis membranaceis, sae- pissime argute serrulatis, in subseries 2 dividendi, ut sequitur : Americana. Liaevia glabra v. obsolete sublepidota, corolla rotata, Civitatum atlanticarum Americae borealis incolae. Folia acute serrulata, corymbi sessiles. Folia basi latiora subito acuminata..,,....... V. Lentago L. « medio latiora vix acuta............. V. prunifolium L. Folia apicem versus serrulata v. saepe tota integra. Corymhus pEdUNCUlALUS 2e... V. nudum L. « SOSSINIS Ses. cr seen nc erce V. obovatum Walt. 9) ad quod pertinere videtur V. odoratissimum pl. Junghubhn.! 10) In nunc accepto vol. III, 5, Flora of British India synonymon habetur. Loco «Japan specimen» lege tamen Javan. — V. Colebroo- kianum etiam distinctum dicitur. Bulletin de l’Académie Impériale _————————@ 4180 Asiatica. Tota pilis crebris stellatis plus minus dense adspersa. Asiam temperatam orientalem habitantia. Corolla rotata, folia obtusa v. acutiuscula. Corymbi non radiantes, sessiles, folia passim integra v. minute serru- DR GO ne V. Schensianum m. pedunculati, folia distincte dentata .... V. burejanum Herd. Corymbi radiantes pedunculati, folia minute ser- rulata v. passim integra........... V. macrocephalum Kort. Corolla tubulosa, folia distincte serrulata. Corolla eylindrica viridula, folia medio latissima ODDUBA RS eme espere rech V. davuricum Pall. Corolla urceolata rosea, folia basi latissima acu- MITA TA se mine cocon esse V. urceolatum S.Z. * Corolla rotata. 4. V. macrocephalum Fort. in Journ. hort. soc. I. 244, (1847.) Lindl. Bot. reg. 1847. t. 43. Maxim. in Bull. Mosc. 1879. In China media: Shanghai et Chusan (Fortune, A. 50. a. 1845)—lusus fl. omnibus sterilibus ampliatis. Feng-wang-shan non procul à Shanghai, fine Apri- lis f. (Forbes) — typicum. Descriptionem plantae florentis fusiorem 1. c. dedi. 5. V. schensianum. Ramulis foliis subtus et inflores- centia furfuraccostellatis, foliis superne secus nervos fasciculatopilosis breve petiolatis ellipticis mucronu- lato-acutiusculis obiter denticulatis; corymbis ramulos abbreviatos laterales terminantibus sessilibus radiis elongatis: calycis glaberrimi tubo lineari dentes ro- tundatos 4-lo superante, corolla rotata. In Chinae occidentalis prov. Schensi, parte austra- liore, secus #. Han, initio Aprilis for. (Piasezki, 1875). A V. macrocephalo Fort., cui accedit forma, vena- tione, serraturis et magnitudine fohorum, distinguitur modo crescendi non dichotomo, floribus sterilibus ra- diantibus nullis, bracteolis squamuliformibus (nec linea- ribus calycem aequantibus), calycis tubo graciliore co- rollam aequante, neque duplo breviore. E reliquis speciebus adest quaedam similitudo cum V. fragrante Bge ob calycis tubum elongatum, sed abhorret hoc floribus praecocibus tubulosis foliisque grandidentatis, et cum V. foetido, quod vero sempervirens et gran- dius dentatum, corymboque peduneulato et tubo ca- lycino brevi instructum est. Cum vix noto Vib.7 chi- nensi Hook. Arn. in Beech. voy. 190 identicum esse nequit ob folia hujus inaequaliter grandidentata, co- rymbos terminales et pubem, ut videtur, simplicem. ASI des Sciences de Saint-Pétersbourg. 482 TT ——_—_—_—_—_—_—————— 6. V. burejanum Herd. in Add. ad pl. Radd. p. 11. in Bull. Mosc. 1878. V. burejaeticum Herd. in pl. Radd, Monopet. n. 5. tab. 1. fig. a. d. F.Schmidt. FI. Ang. bur.n. 185. V. davuricum Maxim. FI. Amur. 135. n. 349, nec Pall. Rgl. FI. Usur. n. 236. Gar- tentlora, 1862. 407. t. 384. In montibus Mandshuriae: ad fl. Bureja inferiorem (F. Schmidt frf.) et in jugo bureico secus Amur aus- tralem (ipse, Maack frf., Radde fl. frf.),in silvis mon- tanis Usuri medii rarius (Maack frf.), in faucibus ri- vulorum jugi silvosi ad confluxum fl. Daubicha et Usuri superioris non frequens, fine Maji flor. (ipse). Frutex orgyalis virgatus, sterilis et fructifer à W. da- vurico, pro quo donec fructus soli innotuere sumebatur, non distinguendus, sed corolla potius V. Lantanae, at- tamen minor. V. Lantana L., quocum comparavit Her- der, venatione foliorum, folis utrinque prominenti- reticulatis, subtus dense stellatotomentosis, basi corda- tis, majoribus primo obtutu cognoscendum. ** Corolla cylindrica v. urceolata. 7. V. davuricum Pall. F1. Ross. II. 30. t. 58. F. G. DC. Prodr. IV. 328. Ledeb. FI. Ross. II. 386. Rgl. Herd. PI. Radd. IL. n. 6. tab. I. fig. 2ete. Turez. FI. Baic. Dah. I. 520. Lonicera racemis terminantibus com- positis laxis umbellatis, foliis serratis. Gmel. FI. Sib. III. 135.t. XXV. (e muro magno sinensi). Davuria: ad Dalai-nor (Messerschmidt) et Argun superiorem (Pallas): in montosis prope Zuruchaitu et Nertschinskoi Sawod (Turczan.), inter Argun et Ga- simur f. (Radde); Mongolia australi orientali: jugo Suma-hada rarius (Przewalski), ad murum magnum (ex Gmelino) prope Kalgan (Kirilow); China occi- dentali, prov. Kansu, regione inferiore silvosa jugi ad meridiem #. Tetung (Przewalski) et ejusdem provin- ciae parte australiore (Piasezki). Synonymon Gmelini cum Herdero huc, nec cum Ledebourio ad V. fragrans pertinere persuasus sum, ob flores, ex descriptione Gmelini, coaetaneos et tu- bum corollae, fide iconis, duplo quam in V. fragrante breviorem. Ledebour ad V. fragrans duxisse videtur, quia ejus tempore e China nondum innotuerat, sed Jam a Kirilow vix non loco Gmeliniano reinventum est. Drupa, ex Pallasio, primum rubra, tum nigra, dulcis. Tome XX VI. 8. V. urceolatum S.Z. KT. Jap. fam. nat. II. n. 587. Miq. Prol. 156. Franch. Sav. I. c. I. 201. Japonia: Nippon (Siebold) ad f. Yodo kawa prope oppidum Yodo (Buerger, comm. Blume et Miquel): Kuisiu: in ripa rivulorum prope Nagasaki (Buerger), prov. Simabara, fine Sept. frf., vuleano Wunzen, circa fontes calidos, fr. immat., jugo centrali altissimo Kun- dsho-san et silvis vetustis prope Ko-isi-wara, initio Julii flor. — Japonice Mizuki (Miquel). Species inter nostrates insignis quam foliis tam co- rollae forma et colore, Folia inferiora ovata, sensim longe acuminata, superiora innovationum lanceolata, longe acuminata, costis utrinque 5 — 6 ante margi- nem in reticulum solutis, trabeculis erebris parallelis. Corolla rosea parva, fere Vaccinii, cylindrica, apice tubi leviter constricta, limbo brevi, staminibus inclu- sis. Drupa nigra. Sectio 2. Viburnum. Ser. 7. Lantana Auct., excel. spec. Series inter sectionem praecedentem et praesentem quasi intermedia, ob species nonnullas venatione mi- nus manifeste, distincte tamen, in dentes marginis saepe minores et minus regulares excurrente, habitu ad Lentaginis stirpes asiaticas non parum accedens, attamen jam foliis saepissime multo majoribus facile nota. Habitant: unica corolla infundibuliformi donata in Himalaya, putamine esulcato floribusque haud ra- diantibus in Europa et Asia orientali centraliore, puta- mine suleato: una, corymbo aequali, in Aimalaya, duae corymbo radiante in Japonia et America boreali ori- entali. Putamen leviter 2-costatum v. laeviusculum, flores omnes fertiles, folia leviter v. vix cordata. Corolla infundibuliformis V. cotinifolium Don. «_ rotata, stamina exserta, corymbi pedun- culati. Stamina corolla longiora, flores in radiolis 5 et 4 ordinis, putamen turgidum................. V. Lantanu Li. Stamina corollam aequantia, flores in radiolis 2 ordinis, putamen compressum............ V. glomeratum m. Putamen sulco ventrali profundo intus dilatato !1), folia profunde cordata. Flores omnes fertiles, radii pauciflori, stamina co- rolla duplo breviora .......... TOP V. cordifolium Wall. Flores marginales dilatati steriles, radii multiflori. Stamina corolla duplo saltem breviora, sulcus pu- taminis sect. transv. forma literae T........ V. furcatum BI. Stamina corolla sesquilongiora, forma sulci pu- taminis sectione ut literae Y V. lantanoides Mx. 11) Quum parietes s lei inter se non connati sint, pseudosepta non formantur. 31 483 Bulletin de l’Académie Impériale 484 9, V. glomeratum. Ramis junioribus foliis subtus et inflorescentia tomento stellato dense fere gilvo-tomen- tosis, foliis e basi oblique subcordata ellipticis ovali- busve apice breve acutatis basi excepta sinuato den- ticulatis utrinque subparallele 5 — 7-costatis reticulo subtus prominente superne impresso ruguloso; corymbo terminali breve pedunculato sub- 4-radiato radiis bre- vibus 3 — 4-floris, floribus sessilibus, calycis tubo brac- teisque linearilanceolatis stellatopilosis, calycis dentibus deltoideis ciliatis tubo ovali duplo brevioribus, corolla rotata stamina aequante, stigmatibus subsessilibus, drupacompressaglabrata hinc obtuse bi-illine 1-costata. China occidentali, prov. Kansu, parte australiore, fine Junii def. c. fr. immat. (Piasezki, 1875.) Simillimum V. Lantanae L., quod tamen differre videtur foliis duplo floribusque triente majoribus, his plerisque pedicellatis, corymbo pluries composito ra- diis 6 (5— 7), calyeis glabri tubo oblongo limbum eciliatum 5-lo superante et fortasse (nam in nostro fructus nimis juveniles) putamine multo minus com- presso. Habitus omnino V. Lantanae, de statura mo- doque crescendi tamen adnotationes non praëesto sunt. 10. V. furcatum BI. in sched. V. cordifolium Hook. f.et Th. in Journ. Lion. soc. 11.175.0ersted, Adumbr. Vib. 31.— nec Wall. V. plicatum A. Gray in Per- ry’s Exped. 313. nec Thbg. et excel. syn. S. Z. et Michx. F. Schmidt, FI Sachal. n. 207. V. dilatatum var. radiata À. Gray, Bot. Jap. 393. V. lantanoides Miq. Prol. 153., nec Michx. Hance in Seem. Journ. bot. VIII. 276. Franch. Savat. IL. 199. n. 744. Mu- sika. Obenoki. 1t0 Keiske, PI. rar. IIL. fol. 21. a verso (Hics fr, opt.) In Sachalini parte australi (Schmidt), Japonia tota, australi in alpibus: Yezo, in silvis et fruticetis frequens, init. Maji f., fine Sept. frf., Nippon: in fruticetis alpis Niko(Savatier!), silvis montanis jugi Hakone; Kiusiu: prov. Higo, silvis vetustis alpis Higo-san, alte supra mare, jugo centrali altissimo Kundsho-san, silvis um- brosis, med. Octob. frf., ad pedem et ad latera vulcani Wunzen prov, Simabara, in fruticetis, medio Majo fi. Japonice: Kiso musikari (in sched. botan. indig. herb. Siebold.) Species propior V. lantanoidi Michx. (americano) quam VW. cordifolio Wall. (kimalaico). V. cordifolium Wall. a V. furcalo differt floribus radiantibus nullis, fertilibus triente majoribus, corymbo pauperiore (fo- ribus jam in radiolis tertii neque quarti ordinis), ca- lycis tubo duplo nec plus triplo longiore quam lato, limbo dense stellatopiloso neque glabro, drupa fere duplo minore rotundatoovata neque ovali v. ovata, sulco putaminis latiusculo aequali neque fundo dilatato, fo- liis cordatoovatis sensim caudatoacuminatis neque cor- datoorbiculatis cum apiculo v.cordatoovatis subito breve acuminatis. Convenit vero cum nostro staminibus co- rolla duplo brevioribus, albumine ruminato testaque dense resinosa. Ob albumen ruminatum nuperrime (F1, Brit. Ind. III. 6.) a C. B. Clarke in sectionem Pseudo- Tinum eréctum est. — V. lantanoides Michx. in her- bario fere tantum staminibus corolla sesquilongioribus (neque duplo brevioribus) et serraturis foliorum mi- noribus duplicatis distinguendum est. Differre prae- terea videtur habitu, nam dicitur frutex squarrosus ra- mis declinatis saepe radicantibus, quum V. furcatum frutex est erectus usque 10-pedalis, ramosissimus, trunco ad 4 poll. crasso. Foliorum forma eadem. Corymbhi hieme obteguntur bracteis late oblongis radiorum et radiolorum usque ad anthesin persisten- tibus, gemmae foliaceae vero nudae, utrumque omnino ut in W. lantanoidi. Flores fragrantes, fertiles albidi, steriles albi, hi nunquam deficientes. Drupa primum coceinea, perfecte matura nigra pulposa. Folia in planta boreali illis plantae americanae simillima, cordatoro- tunda vix late apiculata, ampla, in planta australi illis plantae indicae appropinquantia, cordato-ovata, atta- men subito, brevius latiusque acuminata. Costae utrin- que (excepto acumine) subdecem. Ser. 8. Nervosa. Hoc sub titulo, similitudine exacta plantarum fructi- ferarum inductus, conjunxi stirpes quoad flores diversis- simas. In tribus enim corolla tubo tenui elongato, stami- nibus inaequali altitudine tubo inclusis, limbo patente, flores praecoces, in quarta (japonica) corolla rotata sta- minibus exsertis, flores coaetanei. Sed folia et fructus eadem.— Species floribus praecocibus, inter se arc- tissime affines et fortasse melius in unam conferrumi- nandas, ita distinguo: Stylus vix e calyce exsertus. Parce stellatum, Hores in radiis 2-i ordinis. V. nervosum Don. Parce pubescens, flores in radiis 3-ü ordinis. V. fragrans Bge. Stylus calycis limbum duplo superans, flores in ra- diis secundi ordinis, tota planta glaberrima. .... V. foetens Dne. 485 * Flores praecoces, corolla tubulosa. 11. V. fragrans Bge Enum. Chin. n. 194. Colitur in China boreali ob odorem gratissimum florum: Pekino et circa urbem (omnes collectores), Kansu boreali, in templis urbis Lan-Tscheu ad fl. Hoang-ho, et in Mongolia, ad declivit. Thian-schan, prope vel in oppido Barkül (Piasezki, 1875). An nil nisi V. nervosum e Tibeto introductum et cultura glabratum et magis multilorum? Differt enim a V. nervoso tantum foliis subtus praeter axillas bar- batas glabris, neque ad venas pilis fasciculatostellatis adspersis, floribusque in corymbo numerosioribus, in radiolis 3° ordinis sessilibus neque in radiolis 2 or- dinis (abortu lateralium) pedicellatis. Drupae colorem V. fragrantis nullibi adnotatum in- veni. V. foctenti Dne a Brandis (Forest Flora, 259) tribuitur drupa dulcedula edulis, hinc nigram conjice- rem, sed Clarke (FI. Ind. II. 8.) rubram describit, anne nondum maturam ? ** Flores coaetanei corolla rotata. 12. V. Sicboldi Miq. Prol. 155. In Japonia australiore: Nippon, cirea Yokohama (Majo 1861 fl, Siebold!) in fruticetis et silvulis passim, fine Septembris frf. (ipse), in fruticetis mon- tium Hakone (Savatier! {.); ÆAiusiu, jugo centrali Kundsho-san, in silvis densis ad pedem alpium ad ri- vulos nec non in locis apertioribus, initio Junii #., medio Octobri frf. Japonice: goma-ki (in sched. japon., yama-gi à Siebold vix recte legitur). Frutex ad 10-pedalis à basi ramosus, trunco basi dodrantem pedis usque crasso, vel arbuscula coma densa subglobosa, trunco 4 pollices crasso. Flores albi. Ser. 9. Dentata. Species americanae, corymbo non radiante et fructu azureonigro ab asiaticis distinctae, ita dignoscuntur : PAnDESSIMPIeR ane sense aceesce de V. dentatum Mx. «_ stellata. Folia subtus pallidiora, corymbus et calyces DADTA ser sertie eee Eee V. molle Mx. !?). 12) V. molle Mx. a De Candolle (Prodr. IV. 328.) corymbo ra- diante, drupa rubra describitur et inter Opulos locatur, verosimiliter duce Michaux, qui petiolos subglandulosos, flores vero cum dubio radiantes describit, Specc. tamen, quae praesto sunt, flores omnes fertiles habent, neque florum radiantium mentio facta est apud A. Gray (Man. edit. 5., 206.), Torrey et Gray (FI. N. Am. I. 16. sub des Sciences de Saint-Pétersbourg. 486 Folia subtus albotomentosa, corymbus calycesque pilis fasciculatis hispida V. microcarpum Ch. Schtdl. 13). Asiatica duo nota sunt: Folia fere à basi multiserrata serraturis acutis subincumbentibus, costae utrinque circa 12, tra- : beculae parallelae densae............. V.tomentosum Thbg. Folia a medio obtuse pauciusque serrata, costae utrinque 7, trabeculae laxae flexuosae .., V. Hanceanum m. 13. V. tomentosum Thbg. FI. Jap. 123. et Icon. ined, DC. I. c. 329. cum dubio de genere, excel. syn. Kaempf. Sieb. Zucc. F1. Jap. I. 81.t. 38. V. plica- tum Miq. y. {omentosum Miq. Prol. 154. a. Forma typica, yama demari japonice dicta, foliüis late ellipticis breve cuspidatis majoribus grandius ser- ratis. In Japoniae australioris silvis fruticetisque, v. gr. Yokohama, Kanagawa, medio Majo fl. incip., Junio fr, nond, mat., Yokoska (Savatier n. 538%. $s. n. V. plic. 8. parvifolii), Nagasaki (Oldham!) et sine loco spe- ciali a Blume, Siebold acceptum. China media: (Fortune, A. 48.), Ningpo, ad rivulos montanos, alt. 1700 ped., frutex 6 — 8 pedalis (Hancock). In typico jam occurrunt passim, saltem in innovatio- nibus, folia angustiora et omnia magnitudine cuspideque longiore v. breviore tam variabilia sunt, ut omnes ad- sint transitus ad 8. cuspidatum Sieb. Zucc. F1. Jap. fam. nat. IT. 171. n. 584. (sp. pr.) — nec Thbg. Foliis ellipticis v. anguste ellipticis longius cuspidatis, quam in &. saepe duplo minoribus. VW. plicatum B. parvifolium Miq. Prol. 154. Kiusiu: jugo centrali Kundshosan, silvis vetustis, ad rivulos, frutex habitu var. &., initio Junii #., prin- cipatu Higo, simili loco in alpe Higosan, fine Junii #1, prov. Simabara, in vulcano Wunzen, fine Julii fr. im- mat., valde microphyllum, Praeterea multis specimi- nibus, satis ludentibus quoad longitudinem cuspidis et laminae magnitudinem, communicatum à Blume. Y. plicatum Thbg. in Act. Linn. II. 332. et Icon. med. (Sp. pr.) 5.2. EL Jap. 1: 81.4 37. DC: ic: 329. V. plicat. à. plenum Miq. 1. c. 154. 366. (jap. V. dentato R?. scabrello) et Chapman (FI. South. U. S, 172. sub F. scabrello T. Gr.), atque drupa caerulea desenbitur. Silent etiam recentiores de glandulis petioli, neque ipse tales invenire potui. 13) Vidi spec. auth. Planta haec meæicana perperam ab Oersted | Oreinotinis adnumeratur, a quibus et putamine et foliorum nerva- | tione abhorret, 31* 487 Bulletin de l’Académie Impériale 488 demari ex Itô Keiske herb. n. 197. in hb. Lugd. Bat.). V. dentatum Thbg. FI. Jap. 122. Fundan vulgo Temarique Kaempf. Am. exot. 854. Folia ut in typo, flores omnes dilatati steriles. Colitur in Japonia, unde e Yokohama et Nagasaki, e loco incerto a Blume et Siebold missum habeo, nec non, uti videtur rarius, in China, unde ex urbe Han- tschunfu prov. Schensi attulit Dr. Piasezki. — In hoc sinensi specimine flores pauci fertiles manserunt, in reliquis omnes steriles facti sunt. 14. V. Hanceanum. Pube parca stellata, foliis orbicu- latoellipticis circa 6—7-costatis costis arcuatis utrin- que paulo prominulis, trabeculis paucis indistinctis fle- XUOsiS, à medio sursum crenatodentatis sinuatisve dente terminal deltoideo majore; corymbis pedunculatis ra- mulos breves laterales terminantibus 5-radiatis, flori- bus radiantibus sterilibus, fertilium corolla campanu- latorotata tubo limbum subsuperante. V. fomentosum Hance in Seem. Journ. of bot. VIIL. 275., nec Thbg. China australi: montibus Pakwan supra Cantonem, Martio 1870 fi. detexit Sampson, misit Hance. Praeter signa in clavi diagnostica indicata V. tomen- tosum Thbg. differt trabeculis utrinque distinctissimis, radis corymbi vulgo 7 (6), corolla rotata limbo tubum subsuperante; siccatum viride manet, quum V. Hance- anum nigrescit. Ser. 10. Dilatata. Species paucae, praecedentibus americanis ex habitu praeter n. 15. persimiles, ita dignoscendae: Stamina corolla sesqui v. duplo longiora. Folia vulgo rotundata subito breve acuminata vel obtusa. Sempervirens, obiter subsinuato-dentatum V.japonicum Spr. Folia membranacea decidua. Flores in radiolis 4 ordinis subsessiles, calyx et corolla extus pubescentia ........ V. dilatatum Thbg. Flores in radiolis 8 ordinis, laterales cujusdam radii longius, pedicellati, calyx et corolla sae- peque totum glabra V. Wrighti Mig. Folia ovata v. ovatolanceolata longe sensim sub- caudatoacuminata, corolla extus pilosa.... V. Mullaha Don. 4) Stamina corolla duplo breviora, flores nutantes in radiolis 2 ordinis, laterales cujusvis radii longe, pe- dicellati. Folia ovata acuminata. .. praeferendum, nam V. stellulatum W all. (pl. as. rar. IL. 54, t. 169. 1831) et V. involucratum W all. ined., in DC. Prodr. IV. 327. a. 1830. publicata sunt, praeterea utrumque nomen jam quam falsum rejicien- | dum est, nam pili sunt non «stellati » sed fasciculati, et «involucrum», corymbus enim inter folia sessilis, rarissime quasi monstrose tantum occurrere dicitur, Vidi specc. auth. et numerosa. Pubis copia et forma variabilis. 15. V. japonicum Spr. Syst. L. 934. Roem. Schult. Syst. LIL. 320. V. macrophyllum BI. mss. apud Van Hall in Siebold et de Vriese, Ann. d’hortic. II. 1859. 97. cum tab. — non Thbg. V. Buergeri Miq. Prol. 156. Cornus japonica Thbg. FI Jap. 63. et Icon. ined. DC. Prodr. IV. 273. Hagusan boku, Itô Keiske! herb. n. 41 (neque 38) apud Miq. L. c. 366. Japonia (Blume!, Miquel!), sed vix extra Kiusiu: ad fluvios Seta gawa et Tsikugo gawa (Siebold), qjuxta Nagasaki et Kosido vulgaris, fructus maturatur Octobri Novembri Decembri» (Thunberg!, Langs- dorff!, Oldham!, ipse, ad vias et in fruticetis silvisque montium ubique, medio Aprilis f., medio Novbri fructu maturo usque ad Februarium rubro, demum fusco cor- rugato, ad novam anthesin persistente). Frutex ad 10-pedalis ramosissimus dense frondens glaberrimus. Perulae duae coriaceae oblongae, diu per- sistentes. Folia ampla carnosocoriacea lucida profunde viridia subrhombeorotundata breve acuminata. Corym- bus magnus breve pedunculatus multiflorus. Flores albi rotati, stamina corollam duplo superantia, Drupa rubra acida succosa. Putamen planum dorso obscure bi-, ventre 1-costatum. Descriptio Thunbergii, excepto germine supero, bona. Genus ex sola descriptione optime enucleavit d. V. phlebotrichum S.Z. | 14) V. Mullaha Don, f. Nepal. 141 (1825) nomen jure prioritatis | Sprengel. Species ob folia persistentia inter Æu-Vi- burna mirabilis et peculiaris, sed forma foliorum et corymbi non absimilis V. dilatato. 16. V. dilatatum Thbg. F1. Jap. 124. et Icon. ined. DC. Prodr. IV. 329. cum?. S. Z. F1. Jap. fam. nat. II. 171. A. Gray, Bot. Jap. 393. (excel. syn. V. erosi). Miq. | Prol. 154. Bot. mag. 6215. L.M. Moore in Journ. bot. XIII. 231. Lindl. in Journ. hort. soc. III. 1848. 1247. V. erosum A. Gray in Perry’s exped. 313. (ex ipso, L. supra cit.) Huc etiam fortasse V. ? chinense | Hook. Arn. in Bot. Beech. 190. (ex descr.) Per totam Japoniam frequens: Yeso, circa Hakodate (Wilford, Small, ipse, Albrecht) — frutex 1—5- pedalis, initio Julii f. albidis, odoris, Octobri frf. Nip- porn: Kanagawa (Siebold, 1861.), Yokohama (OId- ham), vulgaris, ab initio Maji ad Augustum florens, init. Octobris frf., Yedo (ipse), Yokoska (Savatier!), ad pedem Fudsi yama in silvis, fine Novembris frf. (ipse), Simoda (Y olkin), Kioto (Rein, n. 88.), Kiusiu: circa Nagasaki (Oldham, ipse), prov. Higo in alpe 489 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 490 Higosan, fine Junii fl., ad pedem vulcani Aso-san se- eus rivulos, fine Maji flor. — In China media etiam sat frequens videtur: Tei-tung prope Ning-po (For- tune, A. 1,#.), Kiu-kiang non procul à Hankau (Shea- rer, frf.), prov. Kansu australiore et prov. Schensi borealiore, init. Juni fl. (Piasezki), in australioribus lectum dicitur a Millett (si V. chinense revera huc). In Himalaya orientali, Khasia, etiam occurrere videtur (V. corylifolium Hook. f. Th.). Frutex 1 — 10 pedalis, saepe ramosissimus dense- que frondens, flores albidi, drupa orbiculato-ovata v. ovata, Coccinea, succosa, calyce apiculata. Sed in hortis yedoënsibus colitur lusus drupa lutea. Planta quoad foliorum formam et pubem satis vari- ans. Folia enim inveniuntur rotundata, obovata cum acumine brevi, vel fere rhombea, dentibus magnis et parvis, concolora v. subtus griseo subtomentosa, pube simplici v. passim fasciculata substellata, punctis re- sinosis saepissime distinctis crebris v. rarius obsoletis, interdum ob guttulas resinae persistentes imo lucidula. Corymbus pedunculatus pedunculo radiis aequilongo v. rarius subnullo, Calyx extus totus v. tantum mar- gine pilosus. Corolla extus crebre v. parce pilosa, ra- rissime glabrata. Folia surculorum innovantium maxima, saepius par- videntata; tales surculi autumno interdum floriferi co- rymbum habent minorem magisque contractum et flo- res passim duplo usque minores, staminibus corollam non sesqui v. duplo, ut solito, sed paulo tantum supe- rantibus. — Quae omnia dum in mente habemus varie- tate tantum distinguere possumus: 8. formosanum: foliis ovatis pl. m. acuminatis, co- rymbis breve pedunculatis, foribus minoribus, stami- nibus brevioribus. An V. erosum var. formosana Hce Advers. 17. in Ann. sc. nat. 5 sér. V. 1866.? In China australiore (S eniawin, f.), Formosa prope Tamsuy (Oldham n. 204. f., 206. frf.) et in Aiusiu, circa Nagasaki, init. Sept. c. fl. (ipse). À V. eroso abhorret stipularum defectu et corollis dorso pilosis, nec non pube foliorum fasciculata neque rite stellata. Ad V. dilatatum ducendum videtur V. corylifolium Hook. f, et Thoms. in Journ, Linn, soc. IT. 174. Hook. f. FT. Brit. Ind. IT. 3. e Xhasia, fructiferum tantum notum, cujus folium, corymbum et drupas 2 ex herb. Kew. benevole communicata vidi, et a V. di- latato (v.gr.spec. sinicis Fortunei) distinguere nequeo. Pili ab autoribus stellati dicti, revera autem fascicu- lati, tantum in corymbo occurrunt, in folio vero sim- | plices, quales rarius et in V. dilatato adsunt. Folio- rum costae utrinque 6 (in folio ante oculos, ubi apex deest) oceurrunt raro et in V. dilatato, ubi vulgo 10 et ultra. Fructus idem. 17. V. Wrighti Miq. Prol. 155. (excel. pl. Gray e Simoda). V, erosum À. Gray, Bot. Jap. 393. In Japonia boreali et in silvis montanis altioribus Japoniae mediae: YŸeso, ad collium latera ad Hakodate (Small! s. n. V. erosi), silvis frondosis ad lacum Ko- noma, nec non in fruticetis vallis metallofodinae [dsi- Nowatari, frequens, medio Junio #., fine Octobris frf. Nippon: princip. Nambu (Tschonoski), alpe Niko alioque loco Nippon mediae (Tschonoski), ad pedem Fudsi yama, init. Novbr. frf. Frutex altus, usque 10-pedalis et ultra, truneis pol- licem crassis, parce ramosus parceque frondens, flori- bus albis subodoris. Toto habitu jam a V. dilatato distinguendus, magis macrophyllus, corymbo parvulo, floribus minus densis majoribus. Folia fere semper apicem versus, rarius medio latiora, sat longe et fere semper subito cuspidata, utrinque 6 —8-costata costa infima extus ramosa, gran- didentata dentibus pl. m. mucronatis. Non semper est glabrum, sed pubes dum adest parca mox evanida, superne ad folia brevis appressa, subtus pili longi ad costas, praeterea ad ramulos hornotinos, petiolos et pedunculum cum corymbo. Alabastra glaberrima. — In planta nipponica ad axillas costarum subtus saepe barbulae rufescentes, et pili elongati partim persistunt. 18. V. phlebotrichum S.Z. FT. Jap. fam. nat. IL, 173. n. 588.Miq. Prol. 155. Franch. Savat. Enum. [. 200. Japonia(Blume!, Miquel!): Nippon media (Tscho- noski): in fruticetis jugi Hakone (idem, Savatier!); Kiusiu: Kawara yama (Buerger! fl.), jugo centrali Kundsho-san, silvis vetustis ad rivulos, initio Junii fl. Frutex circiter 5-pedalis, miser, trunco pollicem us- que crasso. Bracteae ad basin radiorum et radiolorum setaceae elongatae. Bracteolae ad basin forum sub an- thesi jam desunt. Corolla aperte campanulata neque rite rotata, albida fundo rubens vel, ex icone inedita Sieboldi, alba, calyce et rhachi purpureis, cyma tota 491 Bulletin de l’Académie Impériale 492 er nutante delineata et tali etiam in specc. exsiccatis ad- | sho-san, init. Junii f., medio Octob. frf. Nippon: huc observanda. Sectio 3. Opulus. C. Koch. Dendrol. I. Ser. 11. Opulus. Mediante V. eroso et V. pubescente arcte ad ÆEu-Vi- | burna accedentia et ab illis tantum stipularum prae- sentia cognoscenda, ita inter se distinguenda: Putamen sulco profundo ventrali concavum fere se- miseptatum, folia indivisa longiora quam lata antice grandiserrata , stipulae basi adnatae persistentes, glandulae in petiolo v. lamina folii nullae, flores om- nes fertiles . V. ellipticum Hook. Putamen planiusculum esulcatum. Stipulae-liberae caducae, drupa rubra, flores om- nes fertiles. Folia penninervia indivisa eglandulosa duplo longiora quam lata, corolla rotata, corymbi 5—7-radiati multiflori, flores sessiles. Stamina corolla sesquilongiora, pubes sim- DIÉX: mer enseneemencniceuescaec V. pubescens Mx Stamina corollam aequantia, pubes stellata. V. erosum Thbg. Folia palminervia triloba, glandulae 2 margini laminae subtus prope petiolum impositae, flores in corymbo 2—4-radiato pauci, in radiis 2 or- dinis subsessiles, stamina e tubo corollae cam- panulatorotatae vix exserta ........... V. pauciflorum Pyl. Stipulae petiolo adnatae persistentes, petioli v. lamina secus illum glandulosa, folia trilobata, corymbus 5—8-radiatus, flores in radiolis 3 ordinis subsessiles, stamina corollam superantia. Flores omnes fertiles, glandulae subtus supra basin laminae. Drupa nigra, folia subtus crebre glanduloso- puuctata et pilis fasciculatis molliter pubes- CRD UIA doser emo e eee V. acerifolium Mx. Drupa rubra, folia subtus impunctata, ad co- stas pilis parcis simplicibus, ad axillas fasci- CURTIS Eee creer Creer V. orientale Pall. Flores radiantes steriles, glandulae in apice DEHONMUTUPATUDTA SE eee V. Opulus L. Ex his 4 sunt boreali-americana, et quidem W. ellip- ticum montibus Scopulosis intra Rempublicam, V. pu- bescens et V. acerifolium civitatibus ejusdem Atfanticis propria, V. pauciflorum pervagatur totam regionem fri- gidam à Terra Nova ad Alaskam. V. orientale species est Caucaso indigena, reliquae duae nostrates. 19. V. erosum Thbg FI. Jap. 124. et icon. ined. DC. L..c. 327.$S. Z., F1. Jap. fam. nat. Il, 171. n. 585. Miq. Prol. 154. In Kiusiu frequens: Satsuma (Rein!), cirea Naga- saki in silvis montanis frequens, fine Aprilis Hor., Si- mabara et in vulcano Wunzen, fine Julii frf., Naga- vama, silvis vetustis, init. Octob. frf., Amakusa (ReinD, Higo prope Miadzi, fine Maji f., jugo centrali Kund- prope pagum Susoka-toge et Sakanoste (Buerger!), ad pedem Fudzi yama non frequens, init. Novbr. frf., jugo Hakone, prope Yokoska (Savatier!), Yokohama, fine April, #., Kanasawa, silvis umbrosis haud rarum, fine Octob. frf. Insula Zsu-sima (Wilford!), archi- pel. Koreano (Oldham! n. 477. frf.). Frutex ad 5-pedalis et ultra, trunco digitum usque 21, pollic. erasso, ramis patentibus, floribus albis, co- rolla rotata. Stipulae statu fructifero caducae et sub anthesi vulgo tantum in foliis juvenilibus non deficien- tes. Pubes quoad copiam valde variabilis et sub fructu saepe evanida, interdum subtus tantum ad costas pili molles superstites et superne ad venas pubes brevis (talia spece. v. gr. in herb. Thunbergiano Upsaliae servato), vulgo tamen utraque pagina pubescit, inferior pl. m. cinerascit et non raro dense villosa v. incana fit imo in fructu semperque pilis rite stellatis. Quo signo, imo deficientibus stipulis, tute a VW. dilatati for- mis solito magis angustifoliis discernendum , à quo ta- men sacpissime foliis pl. m. ovatis acuminatis Jam e longinquo distinguitur. 20. V. Opulus L. Cod. 2135. A. Gray, Bot. Jap. 393. Miq. Prol. 153. Franch. Savat. Enum. I. 199. V. pubinerve BI. ined. in Miq. 1. c. Kanbokf, Thbg! FL. Jap. pl. obsc.n. 27. excel. syn. Kaempf. (quae Cleyera v. Ternstroemia). Kwa-wi, Arb. I. 6. V.edule Psh. FI. Am. I. 203. et V. Oxycoccos Psh. I. c. DC. Prodr. IV. 328. Japonia borealiori: Yeso (Small), circa Hakodate in fruticetis vulgare, Junio for. Nippon: prope Yedo, ra- rum(Thunberg). alpe Niko (Savatier) et sine loci spe- cialis indicatione(Siebold); ins. Sachalin(F.Schmidt), tota Mandshuria, exelusa maxime boreali alpina, China boreali: ditione florae Pekinensis, prope Jehol (Tata- rinow), in mont. occidentalibus (idem) v. gr. Po-hua- shan (Bretschneider), Siao-wu-tai-shan, inter 3600 et 5000 ped. alt. (Müllendorff), prov. Schensi parte boreali, init. Junii #. (Piasezki); Mongolia australi: rarum in declivitate boreali jugi Muni-ula, init. Junn fl. (Przewalski), Sibiria australi, a Davuria et Bai- cale lacu occidentem versus usque ad Ural, Europa tota, exelusa arctica, Asia minore nec non America boreali frigidiore. — E Kamtschatka et tota Sibiria orientali nec non arctica ita ut etiam ex Ural boreali exul videatur. 493 Spece. nostra saepissime ad folia subtus pubescen- tia, pube saepe tamen ad barbas in axillis foliorum reducta, rarissime glabra. Japonice audit kan-boku v. kami-boku. Species e genere exclusae. V. cuspidatum Thbg! est Hydrangea Hortensia DC, var. acuminala À. Gray. V. hirtum Thbg! est Hydrangea hirta S. Z. V. macrophyllum Thbg! est Hydr. Hortensia DC. fl. pleno. V. serratum Thbg! est Æ. Hortensia DC. 8. japonica m. (herb. Upsal. Thbg. fol. b.), var. acuminata forma silvatica m. (ibid. fol. c. d.) et Hydr. stellata S. Z. Gbid. fol. à.). V. virens Thbg! est Hydrangea virens S. Z. Senecio Przewalskii. (Ligularia) elata gracilis glaber- rima, foliis subtus glaucis radicalibus longissime peti- olatis palmatim 7-, caulinis subtribus 5-partitis petiolo posteriorum basi vaginante amplexicauli, summi her- baceodilatato brevi, laciniis subrhombeis acuminatis subbi-trifidis et parce incisis serratisque, lobis denti- busque mucronatis; racemo interrupto longissimo com- posito polycephalo, racemulis 1 — 2-cephalis, bracteis et bracteolis parvis subulatis; involucro pédunculum superante 5 — 7-phyllo cylindrico basi squamula mi- nuta vel O calyeulato, squamis linearibus margine membranaceis planis 1-nerviis; flosculis in capitulo 5 — 7 toto limbo exsertis, radii 29 ligula spathulata, disci 3 Ÿ ; pappo tenui pluriseriato rufescente, achae- no striato glabro. Mongolia australi, in declivitate septentrionali jugi Muni-ula, ad rivulos frequens (Przewalski). Accedit tantum ad S. séenocephalum m., qui ta- men folia indivisa, capitula pleiantha habet et multo robustior est. Foliis in mentem vocat $S. (Cacaliam) Zuccarinii m., sed laciniae profundiores et magis incisae serrataeque. Planta elegans, 3-pedalis, folia 14 cent. longa et lata, involucrum 8 mill., foseuli lutei in disco 12 mil]. longi, 5-dentati, dentibus linearibus tum revo- lutis, ligulae lamina longior, staminibus liguliformibus minutissimis abortivis. Fructus deest. Artemisia centiflora. (Seriphidium) annua pedalis parce ramosa sericeopubescens; foliis sessilibus ‘Tinearibus | des Sciences de Saint-Pétersbourg. 494 acuminatis 3-nerviis basin versus subtrijugo-pinnati- lobis, lobis linearibus patentissimis basalibus stipulifor- mibus; peduneulis axillaribus elongatis 1-cephalis in paniculam angustam pleiocephalam dispositis: capitu- lis nutantibus hemisphaericis sub-100-foris: involucri squamis extimis 3 — 4 herbaceis byalino marginatis, reliquis multo numerosioribus hyalinis, omnibus rotun- datis glabriusculis, receptaculo hemisphaerico. In Mongolia australi, in arenosis subsalsis montium Alaschan, rarissima (Przewalski). Nulli e Seriphidiis nec e longinquo quidem affinis, ob capitula magna (10 mill. diam.) Abrotanis vel Ab- sinthiis nonnullis appropinquans, capitula tamen quot- quot diligenter perquisivi e solis flosculis # constantia. Ad Tanaceta etiam haud ducenda ob achaenï areolam terminalem minutam. PBuddleia L. Species sinico-Japonicae. Folia alterna, corolla intus glabra.............. B. alternifolia m. » opposita, » » pilosa, 2. 2. Calyx ad medium fissus corolla sesquibrevior, an- therae faucem attingentes, . albi B. Calyx dentatus corolla fere triplo v.ultra brevior. 3. 3. Pubes corollacextus farinosoviscidula, antherae in- fra medium tubum insertae, calycis dentes acute deltoidei, flores violacei B. Lindleyana Fort. Pubes corollae e pilis intricatis constans. 44 1. Calycis dentes acuminati, antherae infra medium RE CO EE rés B. curviflora H. A. Calycis dentes obtusiusculi, antherae triente supe- B. officinalis m. asiatica Lour. 1. B. alternifolia. Frutex ramis virgatis teretiusculis, Juvenilibus filiformibus apice, foliis subtus, inflorescen- tia calyceque incanotomentosis; foliis alternis brevis- sime petiolatis linearilanceolatis acuminatis integris lae- vibus; glomerulis multifloris subsessilibus basi pleio- phyllis in thyrsum spithamaeum interruptum termina- lem approximatis, foliis floralibus glomerulo breviori- bus obovatis obtusiusculis; pedicellis calycis tubo bre- vioribus, calycis dentibus late ovatis obtusiusculis; co- rolla violacea apice tubi pilis stellatis parce adspersa ceterum intusque glabra calycem fere triplo superante, antheris triente tubi superiore insertis, stylo crasso stigmate ovarioque breviore. In Chinac occidentalis prov. Kansu, latere australi fl. Hoangho, sinice: ti-gu-dou (Piasezki). Toto habitu et structura partium floralium exacte cum Puddleiis oppositifoliis conveniens, ita ut de ge- uere, etiam deficiente fructu, vix ulla dubia supersint. 495 Foliis alternis (spiraliter ?. dispositis) tamen inter om- nes insignis. Tomentum paginae inferioris foliorum e pilis stella- tis minimis contextum. Petiolus 1 — 2 mill. longus, lamina 35 : 6 ad 65:10 muill. magna, foliorum flora- Hum triplo vel quintuplo minor. Glomeruli circa 20- flori. Calyx 2,5 mill. longus. Corolla 7 — 8 mill. longa, limbo patente 6 mill. lato. Antherae sessiles an- guste oblongae, Stigma claviforme. Germen oblongum glabrum 2-loculare co-ovulatum. 2, B. asiatica Lour. FI. Coch. ed. Willd. 90. Bth. in DC. Prodr. X. 446. et FI. Hongk. 231. Hook. f. Bot. mag. 6323. In China australi: Hongkong (Wright!), Formosa (OIdh. n. 318.), praeterea in /ndia cis-et transgan- getica et Archipelago Malayano. 3. D. Lindleyana Fort. in Bot. reg. 1846.t. 4. Bth. F1. Hongk. 231. B.intermedia Carr. Rev.hortic. 1873. 151. €. tab. colorata. In China australi: prov. Canton (Sampson!), Chu- san (Fortune!), Kiukiang (Shearer!), Hongkong (ex Bentham). B. intermedia, ex auctore e seminibus PB. curviflo- rae (unde acceptis?, cur non cum illis 2, Lindleyanae commixtis?) educata et pro specie diversa ad Lindley- anam vergente declarata, fatente ipso auctore, qui fusius cum sequente diversissima comparavit, et teste icone, nil differt nisi signis individuo luxurianti pro- prus. Ceterum color florum iconis non quadrat cum descriptione. 4. B. curviflora Hook. et Arn. Bot. Beech. 267. Miq. Prol. 63. Franch. Savat. Enum. I. 322. An- dréin Hl. hortie. XVII. 1870. 133. c. tab. color. Carr. Rev. hortic. 1870.337. c. fig. xylogr. Yu-tu-tsäo etc. IT. fol. 5. verso (magn. dimin., bona). Nippon media et australi: alpe Niko (Tschonoski, Savatier), Yokohama et montib. Hakone (ipse), prope Hiogo et in collibus litoralibus inter Simonoseki et Miwara (Buerger!), Kiusiu: Nagasaki (ipse); archi- pel. Läu-kiu (ex Hooker et Arnott). Rami hornotini alato-4-goni. Folia pl. spontaneae tomento tenui rufo e pilis intricatis, praesertim subtus ad costam, fructifera paulo glabriora, plantae cultae jam florentis interdum subtus vix pubescentia dicenda, Bulletin de l'Académie Empériale 496 fructifera omnino glabrata, pl. m. sinuato-acuteden- tata. Calyx 4 mill. Corolla 13 mill. longa, extus gil- votomentosa, limbo intus violaceo diam. 6 mill. An- therae oblongae sessiles. Thyrsus fructifer dense im- bricatus. Calyces frf. deflexi. Capsula 7 mill. longa, anguste acute ovoidea, calyce duplo longior. Semina 1 mill. longa, testa exterior laxa reticulata utrinque acute producta, interior nucleo adhaerens laevis, nu- cleus late ovalis !, seminis longus. 5. B. officinalis. (Sect. Neemda $ 5. Benth.) fruticosa ramosissima ramis teretiusculis juvenilibus cum foliis subtus, inflorescentia calyce corollaque dense incanoto- mentosis; foliis brevissime petiolatis linea elevata v. auriculata conjunctis membranaceis integris v. argute serrulatis oblongo- v, lineari-lanceolatis acuminatis, su- perne appresse pubescentipilosis; thyrsis in apice ra- morum crebris oblongis continuis basi folio fultis, glo- merulis 3-10-foris breve pedunculatis, pedicellis tubo calyeino brevioribus bracteolam linearem subaequan- tibus; calycis dentibus rotundatis; corollae tubo levi- ter incurvo calycem triplo excedente intus piloso, sta- minibus triente superiore tubi affixis, germine tomen- toso stylum brevissimum stigmaque oblongum bifidum sublongius aequante; capsula obtuse ovoidea duplo ca- lycem excedente. In Chinae occidentalis prov. Schensi et Kansu; ur- bem Han-kau advehitur, officinalis, sinice: mun-chua (Piasezki). A similibus B. madagascariensi Lam. et B. macro- stachya Bth. jam stylo brevissimo situque staminum diversa et hisce notis potius reliquis nostratibus ap- propinquat, praesertim B. curviflorae, quae tamen to- mento gilvo, foliis dentatis et calycis lobis acuminatis distat. E prius nominatis PB. madagascariensis insu- per differt foribus lateritis v. luteis (haec B. hetero- phylla Ldl.), B. macrostachya foliis et glomerulis ses- silibus, ramis alatoquadrangulis, tomento rufo, flore ?/, majore, capsula attenuato-oblonga, calyeis lobis acu- minato-deltoideis abhorret. B. Martii T. A. Schmidt in Seem. Journ. bot. VI. 1868. 245. e Xhasia, PB. ma- crostachyae proxima dicitur et iisdem signis distingui- tur, praeter folia inaequaliter serrata subtus tenuis- sime pubescentia v. ochracea, 4 — 6 poll. longa, 2 poil. lata, calycis dentes acutos, capsulam oblongo- ellipticam tomentosam (in nostra demum glabratam). 497 PB. sundaica BI. denique, quae ex diagnosi breviore similis videtur, ad BP. asiaticam ducitur à Hookero fil. Bot. mag. 6323. Petioli cireiter 5 mil. Lamina mox 18: magna serrulata, auricula interfoliacea 4 mill. lata, mox lamina 9 :2,5 vel 7,5:1 cent. magna, integra et exauriculata, costis prominulis utrinque subdenis ar- cuatim conjunctis, tomento e pilis simplicibus longis intricatis. Folia innovationum axillarium fasciculata 4 cent. des Sciences de Saint-Pétersbourg. acuta. Thyrsi 2, 5 — 6 cent. longi. Calyx 3 — 4 mill., corolla 11—12 mill. longa, limbus diam, 5 — 6 mill., ‘apsula 6 mill. longa. Gentiana pudica. (Condrophylla, annua) pluricaulis basi laxe ramosa viridis glaberrima, rosula radicali nulla; foliis basi alte connatis margine anguste albomargina- tis ellipticis, inferioribus obtusiusculis, superioribus mucronulatis; ramis cauliculisque 1-foris, peduneulo exserto; calyee tubuloso-infundibuliformi dentibus mar- ginatis ovato-lanceolatis acutis tubo corollae vix am- pliato brevioribus; corollae azureae lobis acute ovatis tubo duplo brevioribus, plicis dimidios lobos superan- tibus laciniato-dentatis, stylo brevi; capsula lineari- oblonga stipitem plus duplo superante inelusa. In Chinae occidentalis prov. Kansu, pratis altis al- pinis frequens (Przewalski). Eradicata statim corollas omnes claudit, teste col- lectore, unde et omnia specimina sicca ne unam quidem corollam apertam servarunt. Simili modo pl. m. impa- tientes videntur etiam G. prostrata Hke et G. humi- lis M. B., nam et in his inter centena specimina flori- bus numerosis onusta in herbario vix singulam corol- lam apertam invenire contigit, quum species sequens et aliae, v. gr. @. aquatica L., squarrosa Ledeb., ripa- riaK.K., Thunbergii Griseb., japonica m., pedicellata Wall. hacce qualitate non gaudeant, nam flores exsic- cati frequenter limbum bene expansum monstrant. Simillima statu florente G. prostratae Haenke, quae tamen eximie differt capsula minuta brevi cum stipite | pluries longiore exserta, praeterea plicis integris et flore vulgo !/, minore. | Bi-quinque-pollicaris. Vagina foliorum 5 mill. us- que longa, lamiua 6: 3 mill. circiter magna. Calyx 11 mill., corolla 20 mill., stipes capsulae 5 mill. lo ga, capsula 9 mill.! longa, 1,5 mill. lata. Gentiana aristata. (Clondrophylla, annua) multicaulis | Tome XXVI. 498 basi laxe ramosa viridis glaberrima; foliis basi alte connatis membranaceis anguste albo-marginatis, rosu- lae radicalis planis ovatis mucronatis quam caulina concava lanceolata acuminata aristata parum majori- bus; cauliculis ramisque 1-foris, peduneulo brevi in- cluso; calyce anguste infundibuliformi fere ad medium 5-fido lacimiis linearilanceolatis aristatis mucronatisve sinus corollae attingentibus; corollae azureae tubo in- fundibuliformi lobos ovatos acutos duplo superante, plieis dimidiorum loborum longitudine apice laciniatis; capsula obovata ancipiti membranaceo-marginata co- rolla breviore stipitem superante, Summa regione alpina jugi fl. Tetung prov. Kansu comitantis, in vallibus pratisque, frequens et gregaria (Przewalski). G. pedicellatae Wall. proxima, sed haec humilior et simul robustior, folia rosulae numerosiora maxima caulinaque latiora apice recurva subcoriacea, calyx 5- dentatus tubo corollae brevior, corolla pallida paulo, limbus duplo quam in nostra minor, capsula duplo sal- tem minor stipite multo brevior et corollam pl. m. vulgo valde superans. Sesqui-usque sexpollicaris. Folia caulina circiter 8: 2 mil. magna (complicata 1 mill. lata), os 14 mill. longus, limbus corollae 9 mill. diametro. Capsula 6: 3 mill. magna, stipes ad 5 mill. longus. G. Piasezkii. (Chondrophylla, annua) caule a basi ra- moso foliis calyceque margine scabridis; foliis imis ro- sulatis maximis caulinisque oblongoovatis lanceolatisve apice mucropatis; floribus ad apices ramulorum soli- tariis sessilibus; calycis tubulosoconici dentibus late subulatis mucronulatis tubo corollae subaequalibus: corollae subhypocraterimorphae tubo calycinum aemu- lante, limbum superante, lobis acuminato-ovatis plicas obtusas duplo superantibus, stigmatibus oblongis fim- briatis revolutis, stylo brevissimo; capsula inclusa sti- pitem superante oblonga apice alata, seminibus exalatis. In Chinae occidentalis prov. Schensi (Piasezki, 1875). Affinis G&. Loureirii Griseb. in DC. Prodr. IX. 108., de qua confer Hance!, Advers. p. 30. in Ann. sc. nat. 5 sér. V., quae statura, crescendi modo, foliorum in- dole omnino convenit, statim tamen distinguitur flore pedicellato, calyce corollaque infundibuliformibus duplo minoribus, capsula exserta longe stipitata. — Corolla 32 499 G. Piasezkii pollicem longa, limbo in sicco perfecte expanso fere pollicari, intus pulchre azureo, extus tuboque virescente. Thyrocarpus Hance. Generis Omphalodi proximi nunc innotuere species sequentes, omnes annuae et Chinae incolae: 1. Th. Sampsoni Hce in Ann. sc. nat. 4 sér. XVIII. 295. Villosohispidus, foliis sessilibus oblongis; calyce 5-secto segmentis lanceolatis; fornicibus corollac quad- ratis emarginatis, antheris didymis subglobosis; nucu- lae margine externo acute 15 — 20-dentato interno semiadnato arcte applicito et diametro aequilato. Prov. Kwan-tung Chinae australis (Sampson ex Hance). Vidi fragmenta, solita cum liberalitate ex herb. Kewensi concessa. 2, Th. fulvescens. Setis patentibus subfulvescentibus elongatis hispidus; foliis spathulatis; calycis 5-partiti laciniis acute ovatis; fornicibus corollae subulatis acu- tissimis apice revolutis, antheris oblongis; nuculae margine externo obtuse suboctodentato interno arcte applicito semiadnato diametro aequilato. Prov. Schensi Chinae occidentalis, ad f. Han, supra oppidum Sin-an-fu (Piasezki). Sesquipedalis erectus debiliter ramosus. Folia infe- riora 100: 20 — 25 mill. magna, in petiolum alatum laminae aequilongum attenuata, superiora basi angu- stata sessilia. Corolla amoene caerulea, 4 — 5 mill. diam., fornicibus ochroleucis. Nuculae nondum ma- turae. 3. Th. glochidiatus. Villosohispidus, foliis ellipticis inferioribus subpetiolatis superioribus sessilibus; £a- lycis 5-fidi laciniis acute ovatis; fornicibus corollae oblongis truncatis, antheris subglobosis apiculatis; nu- culae margine externo in glochides sub-12 partito, glochidibus marginem internum ab externo liberum et conice coarctatum fere duplo superantibus, apice in- crassato scabris. China occidentalis, prov, Kansu (Piasezki). Multicaulis diffusus, caulibus spithamaeis v. pedali- bus. Folia inferiora 20: 7 mill. Glochides subulato- lineares, parte integra marginis duplo longiores. Nuculae omnium trium fere aequimagnae, 1 mill. q. exc. latac. Margo internus integer subcarnosus al- bus, externus sordide pallide griseus minute scabe- Bulletin de l'Académie Impériale 500 rulus. Loculus seminifer applanatoconvexus extus tu- berculatus brunneus, facie superiore a margine supe- rata laevi. Omphalodes trichocarpa. (Maschalanthus À. DC.) Bien- nis setosa, caule erecto ramoso; foliis radicalibus longe petiolatis ovatoellipticis acutis, caulinis infimis spathulatis obtusis, reliquis oblongolanceolatis acutis; racemis apice ramorum approximatis abbreviatis folia- tis densis, pedicellis folio multo calyceque brevioribus; calycis 5-partiti laciniis ovatis obtuse acuminatis co- rollae tubum vix acequantibus, demum vix accretis, supra fructus conniventibus et illos velantibus: nucu- lis stylo brevioribus cyathiformibus obtuse subtuber- culatis dorso scabropuberulis, margine denticulato, disco intra illum incluso laevi. China occidentalis: prov. Kansu, secus fl. Tetung, vulgaris in utroque jugo alpino, in pratis, ad margines, latera aperta montium et circa domos, tota aestate fl. et frf. (Przewalski). Abaltera specie Maschalanthi(O.scorpioide Schrank) jam racemis pedicellisque abbreviatis calyceque fructi- fero nuculas tegente valde distat. Radix fusiformis fere tuberoso-incrassata. Pubes e setis inaequilongis tuberculo insidentibus, nonnunquam validis. Vernalis florere incipiens 2-pollicaris, aesti- valis et autumnalis usque tripedalis. Folia setulis ap- pressis sat densis utrinque tecta, radicalia tantum primo vere obvia, petiolo 30 mill., lamina 26: 18 mill., caulina spathulata pl. vernalis 70: 50 mill., oblonga 30: 9 mill. magna, autumnalis autem usque ad 170: 55 mill. Rami e quavis axilla debiles, praeter superi- ores Cauli aemulos quasi conjugatos, sed folia omnia alterna, omnes ipso apice brevissime ramulosi forife- rique. Pedicelli ramorum primariorum pl. vernalis in- fimi axillares inter se remoti arcuatopatentes, !/,-pol- licares, reliqui, in planta aestivali omnes, brevissimi denseque approximati. Calyx florens 2, fructiger 4 mill. longus. Corolla vernalis violacea v. lilacina, se- rior caerulea, diam. 4 — 8 mill., tubo limbum paten- tem paulo superante, lobis depressorotundis. Fornices nanae subpliciformes. Antherae oblongae in medio tubo. Nuculac albidogriseae 2,25 mil. latae. Microula tangutica. Palmaris multicaulis, cauliculis villosis, foliis utrinque appresse pubescentibus caulinis infimis petiolatis reliquisque basi attenuatis spathula- O1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 0? ——_—_—_—_—_—_—_—…————— tis, ramis e quavis axilla, apice in racemulos pauciflo- | fere capitati. Corolla 9 mill. longa. Ovarium ovoideum ros brevissimos divisis, bracteis dense imbricatis am- plis navicularibus depresse rotundatis calyces fructi- feros tegentibus; flore sessili, calyce 5-fido lacimiis longe villosis acute ovatis in fructu appressis, corollae e bractea subexsertae albae tubo limbum rotatum sub- superante, fornicibus pliciformibus nanis; nuculis tu- berculatis minuteque punetatis. Prov. Kansu, regione alpina, ad fontes rara (Prze- walski). M. tibetica, species altera, a Bentham in Gen. pl. [T. 853. descripta, a me non visa, e descriptione dif- fert caule subnullo, pube scabra, fois radicalibus ro- sulatis oblongospathulatis, cymis confertissime ramosis subsessilibus inter folia radicalia nidulantibus illisque superatis, bracteis flores superantibus nuculisque punc- tatorugosis fere muricatis. Cauliculi 11}, — 6-pollicares, folia alterna infima 35 : 14 mill. (incluso petiolo 10 mill. longo), summa 15: 10 mill. Rami laterales excepto apice florifero saepe nudi, Cymae singulae sub-5-florae, vix 5 mill. longae, duplo latiores, lateralibus accedentibus fasciculiformes usque 20 mill. longae conicae. Bractea infima reliquas aequans vel supereminens. Calyx vi expansus 2,5, tum 4 mill. diametro. Limbus corollae imbricatus diam, 2,5 mill., tubus vix 1,5 mill. longus. Antherae ovato- oblongae in medio tubo. Nuculae 1,5 mill. Scrophularia Moellendortfi. (7omiophyllum Bth.) peda- lis subsimplex parce glandulosa, foliis oppositis breve petiolatis e basi truncata ovatis grandidentatis denti- bus apicem versus decrescentibus; racemo terminali nudo denso fasciculato paucifloro, pedicellis calycem aequantibus, calycis laciniis ovatis acutiusculis viridibus corolla lutescente plus triplo brevioribus, genitalibus inclusis, lobo corollae summo levissime emarginato, stamine sterili depresso-rotundo parvo. China borealis, prov. Pe-tschili, in m. Siao-wu-tai- shan, supra terminum silvarum, alt. 7500 — 9000 ped. (a Müllendorff). Prope S. incisam Weinm. (Patrinianam Wydl.) collocanda, sed nulli e notis exactius affinis, ad S. ver- nalis specc. parva accedens, sed staminibus inclusis pedicellisque brevibus abhorrens. — Folia membrana- cea, infima squamiformia, reliqua petiolo 10 mill., la- mina ad 50:30 mill. Flores 5 — 7 ex prima fronte in stylum lobos laterales corollae aequantem attenua- tum. Capsula desideratur. Rehmannia Piasezkü. Elata, folis pinnatilobis obtuse dentatis, calycis ad medium 5-fidi laciniis lanceolatis obtuse acuminatis pauciserratis, Corollae maximae limbo patente, antherarum loculis divergentibus. China occidentalis: prov. Schensi, parte australi, fine Marti #. (Piasezki). R. glutinosa Libosch. definiatur: humilis, fois ob- tuse dentatis, calyce 5-lobo lacinis ovatis acutiusculis integris, corollae limbo antheraeque loculis patulis. Planta pulchra, ultra tripedalis, in modum À. gluti- nosae viscidopilosa, pube tamen parciore. Folia plera- que radicalia, 6 poll. longa, 2 poll. lata, petiolo 1’/- pollicari, lobis utrinque 4 — 5 apiceque obtusis, cau- lina versus basin pauca, brevius petiolata. Racemus laxus ultra pedalis, pedunculi folio subsessili breviores, inferiores 3-pollicares. Calyx pollicaris, corolla tripol- licaris purpurascens, intus glabra intra tubum macu- lata, lobis rotundatis. Filamenta supra basin aftixa glabra, antherae 5 mill., loculis late ovalibus. Sty- lus stamina medium tubum attingentia superans, in- clusus, ovarium ovatum. Stigmata ellipticolanceolata conniventia obtusa. Capsula deest. Gymnocarpum Przewalskiü Bge. Foliis lineari-filiformi- bus, cymis laxiusculis, bracteis late hyalinis, calyceis tubo glabro. Mongolia australis: in medio decursu fl. Hoang-ho, in rupibus et arenosis vallium jugi fuvium boream et occasum versus comitantis, rarum (Przewalski). Alia species, G. fruticosum Pers., definiatur: Foliis lineari-spathulatis, cymis confertis, bracteis subulatis anguste marginatis, calycis tubo hispido. Species nunc proposita bracteis latis hyalino-mem- branaceis argenteo-lucidis insignis. Folia angusticra et longiora, 6—8 lin. longa, supra canaliculata, api- cem versus plana, pungenti-cuspidata. Stipulae utrin- que connatae, fuscae, breves, anguste albo-marginatae. Cymae in peduneulo 4 lin. longo plerumque 7-florae, basi stipulis aphyllis patulis majoribus fultae. Flos primarius sessilis, cymulae 3-florae breviter peduncula- tae. Stipulae sequentes multo latiores, fere ex toto hyalinae, ovatae acutae vel apice sublacerae, flore breviores. Flores circiter 3 lin. longi, tubo obpyrami- 32* 503 Bulletin de l’Académie Impériale 504 ro dato glabro, laciniis linearibus erectis glabris, apice membranaceis puberulis, extus infra apicem in aristam brevem productis, tune demum conniventibus. Petala 5 subulato-filiformia, filamenta mentientia illisque bre- viora, Stamina 5 laciniis calycinis dimidio breviora. Antherae erectae. Ovarium simplex 1-ovulatum. Stigma minutissimum simplex. Utriculus 1-spermus, funiculus e fundo ovarü ortus. (Bunge in litt.) Rheum uninerve. Caule nano aphyllo, ochreis totis petiolo adnatis: foliis ovatis late ellipticis v. ovalibus obtusis margine subsinuato denticulatoscabris ceterum glabris 1-nerviis; panicula folia aequante vel superante cylindrica densa; fructus maximi alis disco latioribus calyce immutato. Mongolia australis, desertis arenoso-argillosis se- cus montes Alaschan passim frequens, nec non in mon: tibus sterilissimis Suma-hada rarissime (Przewalski). Radice napiformi albofarinosa fructuque late alato cum eh. leucorhizo Pall. gregem propriam constituit, sed foliis 1-costatis insigne. Rheum racemiferum. Pi-tripedale, foliis coriaceis sub- tus glaucis glabris 3 — 5-nerviis cordatosubrotundis lamina petiolum multo superante, caulinis paucis multo minoribus: caule folia radicalia longe superante; pani- cula e thyrsis racemiformibus 6 quavis axilla solitartis elongatis, inferioribus semel compositis, ceteris sim- plicibus conflata, florifera angusta fastigiata, fructifera pyramidata triplo saltem longiore quam lata; floribus majuseulis pedicello infra medium articulato breviori- bus; calycis laciniis subearinatis apice subcucullatis stamina fere aequantibus, antheris ovatis; fructus alis membranaceis disco angustioribus nervo prope margi- nem percursis, calyce basi attenuato immutato. Mongolia australis, montibus Alaschan locis nudis lapidosis, usque ad 9000 ped. supra mare(Przewalski). Radice longissima tenui (ad 5 pedes longa, pollicem crassa) et inflorescentia inter omnia Rhea conspicuum, unicum e serie Deserticolarum caule foliato instruc- tum, quoad folia 2h. Fedtschenkoi m. e Turkestania si- millimum *). Rheum pumilum. Spithamaeum vel pedale, tenue, pu- 15) Species haec et reliquae hujus gencris mox fusius descrip- tae edendae. Subdivisiones Deserticolarum caule fere semper aphyllo foliis chartaceis, Monticolarum eaule pleiophyllo foliis membranaceis praecipue cognoscuntur. berulum, caule foliato; petiolis subsemiteretibus supra planis marginatis, lamina 1-nervia ovatooblonga, cor- datoovata v. ovata carnosula, ochreis foliorum cauli- norum à petiolo liberis; paniculae angustae ramis ex quadam axilla 1— 3 vel nullis (panicula tunc racemi- formi), fasciculis bifloris; flore viridi vel violaceosuf- fuso pedicellum supra basin articulatum aequante, ca- lyce basi breve turbinato fructifero immutato; fructu parvo paulo longiore quam lato utrinque vix v. haud emarginato, ala crassiuscula quam discus angustiore basi et apice subaequilata nervo a margine remoto. China occidentalis, prov. Kansu, ad torrentes et in pratis alpinis, solo humoso (Przewalski). Habitus Rumicis neque Rhei, ob folia 1-nervia et fructus minutos, ceterum ad seriem Monticolarum per- tinens, inter quae sese habet ut Æh. uninerve inter Deserticola, Rh. Rhapontico decies diminuto haud ab- simile. Iris L. Spach. Suites à Buffon. XIII. 12. (excl. Hermodactylo) Species Asiac orientalis et centralis borealioris. Species habitu quidem diversae, sed charactere flo- rali satis uniformi donatae, potius, duce Spachio, in subgenera et sectiones, quam cum autoribus recentio- ribus in genera colligendae videntur. Genus Xphi ipsum, à nonnullis, contra omnia praecepta Linnaei, ob solam bulbi praesentiam, nullo charactere florali v. carpico adjuvante, ab Zri sejunctum, iterum reJun- gendum existimo. Subdivisiones ipsae /reos propriae, a Bakero et aliis adhibitae, pro maxima parte mere artificiales sunt, et olim reficiendae. Nunc tamen radi- cum natura, modus innovationis, capsulae seminisque structura in plurimis non tam bene cognitae, quod series naturales, summae characterum omnium su- perstructae, stabiliendae sint. In enumeratione subse- quente igitur ordinem Bakerianum fere ubique se- cutus sum, varias observationes autem, quas in non- nullis speciebus instituere contigit, ad calcem sectio- num indicabo. Sect. 1. Euxiphion Baker in Gard. Chron. 1876. 1.559. (sub Xiphio). 1. J. Kolpakowskiana Rgl in Act. h. Petrop. V. 263. Gartenfl. 1878. 40. tab. 939. Xiphion Kolpa- kowskianum Baker in Bot. mag. 6489. Turkestania: Karatau (Krause), Tschemkent et ad 505 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 506 f. Bugun (Sewerzow), prope Wernoje (A. Regel, alii). Ab affini J. reticulata M. B. valde differt vagina caulina basali unica in tubum connata, folia radicalia scapumque florentem fovente, (neque pluribus haud connatis, foliis radicalibus seorsim a vaginis propriis circumdatis) aliisque signis. Sect. 2. Juno Baker 1. c. 692. (sub Xiphio). 2, J. caucasica Hoffm. in Comm. soc. phys. med. Mosq. I. 40. Sweet, Brit. Flow. gard. t. 255. Xiphion caucasicum Baker in Gard. chron. 1876. I. 692. Typus,ex Marschalla Bieberstein floribus ochro- leucis v. leucophaeis i. e. cinerascentibus instructus, in nostris regionibus rarissime occurrit, sed ejus loco: 8. oculata: flore toto caerulescente v. caeruleo prae- ter cristam sepalorum flavidam, lamina sepalorum in medio macula v. fascia margini parallela azurea nota- ta, petalis interdum paulo tantum quam sepala brevi- oribus. Turkestania: Chiwa, ad Timir kabuk in arenoso- limosis(Korolkow etKrause)—folia margine glabra, flores praeter maculam circa cristam toti caerulei; Sa- markand et valle #. Sarafschan fauce Ssangy-dshuman, nec non ad Dargam (0. Fedtschenko) — folia mar- gine scaberula, flos oculatus: Karatau prope Turtschi (A. Regel) et Tschemkent (Krause); monte Tschu- panata (O0. Fedtschenko)— quum oculata, tum typica; Mogoltau (Sewerzow, commixta cum Merendera r0- busta Be) — foliis scabris; montes Boroldai (Korol- kow) — folia margine scabra; Wernoje ad Saizewka (Kuschakewicz) — folia margine scabra, flores azurei. Specc. varia, majora et minora, foliis margine saepe glabris, sepalorum ungue mox linguaeformi quam Ja- mina angustiore, mox medio v. versus basin dilatato quam lamina latiore, petalis mox anguste obovatis pa- tentireflexis vel pendulis parum quam sepala breviori- bus, mox brevissimis linearibus. y ? major: caule distincto, fructifero pedali, florifero internodiis inter folia distinctis, foliis margine conco- loribus tenuibus scabris, spathis versus apicem axilla- ribus usque 5, petalis minutis. Turkestania: valle f. Sarafschan, in monte Akssai, alt. 2700 — 6900 ped. (0. Fedtschenko). Specc. pauca collecta fortasse speciem novam Si- stunt, sed nimis destructa, quin exactius investigari possint. Adnot. de Xiphio. — Bulbus ÆEuxiphii, v. ce. J. reti- culatae, componitur € tunica brunnea membranacea (quae squama vetusta emaciata) et e squamis tantum 2 carnosis crassissinis, quarum extima maxima inte- riorem minutam ex toto amplectitur, utraque insidens axi parvae patelliformi. Caulis florifer terminalis axin primariam claudens, intra squamas nune emaciatas, e quarum axillis gignuntur secus basin caulis bulbi in- novantes 1 v. 2. Quivis e bulbis novellis constat e squama aphylla vagmante basi carnosa, folio amplexo 1 et squama crasse carnosa à folii basi circumdata caulis anno sequente florituri, — Bulbi specierum Junonis vero e squamis tenuius carnosis numerosioribus (8 in ./. caucasica, 3 in J. Xiphio L.) componuntur, quae in .. caucasica aphyllae, integrae, in /. Xiphio apice fibro- sae, interiores olim foliiferae, extimae olim vaginigerae erant. Caulis florifer, etiam in utraque centralis, latere ad basin gignit gemmas 1 v, 2 innovantes, e suis squa- mis propriis pluribus constantes, post emaciationem bulbi matris liberatas. Ita in omnibus Xiphiis axis primaria floret. Folia Xiphiorum mox carinatotetragona faciebus con- cavis (J. reticulata), mox plana canaliculata cauli pa- rallela v. complicata cauli contraria, falcatorecurva (.J. persica; Aucheri, caucasica) v. recta (J. Xiphium, J. Sisyrinchium, J. xiphioides), sed minime ensiformia. Capsulam J. æiphioidis vidi arcte spatha inclusam, anguste oblongam teretisubtrigonam 12-nervem, pa- rietibus septisque aequalibus tenuibus membranaceis pallidis opacis. Semina in loculis 2-seriata placentae parum prominulae inserta, vix imbricata et vix mutua pressione subangulata, fere obovoidea teretia, opaca, pallida; testa laxa membranacea minute cellulosogra- nulata, interna tenuis castanea arcte albumen cireum- dans. Embryo obovoideus, vix !/, albuminis diametro. Sect. 3. Hexapogon Bge. Folia lineariensiformia falcata...............e TJ, falcifolia Bee. DIITONMANTECtA.... se s-csstes ..... J. longiscapa Ledeb. 3. J. falcifolia Bge Rel. Lehm. n. 1347. Turkestania: in deserto inter Buchara et Kermine (Lehmann), prope Taschkent (Kuschakewicz, sp. 1.). 4. J. longiscapa Ledeb. FI Ross. IV. 93. Baker L] 67 Bulletin de l’Académie Impériale ————_—_—— 2 ———————— in Journ. Linn. soc. XVI. 147. J. fiifolia Bge I. c. n. 1348. Baker in Gard. Chron. 1876. [. 788. In deserto Kirghisorum: intra Sibiriam uralensem (Eversmann ex Ledebour), non procul ab Agatme (Pander) et aliis locis (Lehmann), ad Tschardara, nec non in arenis Kisil-kum ad puteum Baibek (0. Fedtschenko), regione Chiwa ad Manam-dshan (Ko- rolkow et Krause). Capsula, ut apud Bunge descripta, pedunculo brevi v. duplo tantum quam capsula breviore, tubo perigo- nii indurato fere aequilongo v. breviore rostrata, pris- maticotrigona, basi rotundata, apice in rostrum atte- nuata, 6-costata. Costae septigerae tenuiores, valvae transverse crebre subparallele venosae, venis apice mediove anastomosantibus, membranaceae. Semina 7 mill. longa, anguste obovoidea castanea, testa in sicco valde rugosa, in vivo verosimiliter carnosa, hilo per- forato albido. Flores pallide flavescentes, ex adnot. Korolkow. | Baker primum de identitate J. longiscapae et J. fili- foliae dubitavit, tum sine dubio conjunxit. Revera de- scriptio et locus natalis utriusque bene congruunt. Sect. 4. Apogon Baker in Gard. Chron. 1876. IL. 143. Perigonii laciniae exteriores interdum ad lineam medianam puberulae v. velutinae (in J. Güldenstaedti- ana, ensata, Grijsi, ventricosa), sed pili neque clavati neque erassi succo repleti ut in Pogoniri. Semina exa- lata. Caules pauciflori spathis sessilibus v. peduncula- tis paucissimis v. solitariis, foliis in caule non distichis. Perigonii tubus limbo saepissime longior. 2. Perigonii tubus limbo triplo saltem, vulgo multo brevior vel nul- lus. 6. 2, Rhizoma tenue nudum oligocephalum, vestigtis fibrosis foliorum subnullis, fasciculi steriles pleio- phylli, folia graminea linearia, scapus 0, spatha 3- DAVIS ETOTA Pere eeepc ue J. Ludwigi m. Caespites densissimi polycephali, capita arcte ap- proximata, alte vaginis vetustis fibrosis obvallata, e fasciculis sterilibus 2-phyllis (praeter vaginas) et cauliculis floriferis constantia, folia linearia v. fili- formia crassa, pallida v. glauca. 5. 3. Spathae phyllainter nervos longitudinales transverse venulosa reticulata, inflata ...... noue Spathae phylla parallele dense striata, non reticu- lata. 4, 4. Laciniae perigonii exteriores limbo in unguem sen- sim transeunte, spatha capsulaeque e basi capitum HAUTIEXSENÉAS 2. 25 42e 2e cmmnesoerlsenens Laciniarum exteriorum Jimbus ab ungue dilatato distinctus, spatha exserta caule distincto Suppor- tata. 5. J. ventricosa Pall. J. tenuifolia Pall. 508 5. Perigonii tubus limbo longior, laciniae interiores quam stigmata duplo latiores. Spatha inflata biflora, caulis spathà multo brevior..... Cr eue J. Bungei m. Perigonii tubus limbo brevior, laciniae interiores stigmatibus acquilatae. Spatha ad 4-flora, caulis in- florescentia pluries longior............. J. songarica Schrenk. 6. Tubus perigonii cavus in fructu deciduus vel subnul- lus, capsula erostris. 8. Tubus perigonii farctus rostrum capsulae demum formans. Folia crassa, spathae 2—4-florae. 7. 7. Folia linearia, laciniae perigonii in ungues sensim attenuatae, capsula brevirostris aequaliter 6-latera, semina opaca laevia ........................ J. ensata Thbg. Folia ensiformia, lamina laciniarum perigonii ex- teriorum ab ungue distincta, capsula longirostris 6- latera faciebus alternis angustis .. J. Güldenstaedtiana Lepech. 8. Spatha 1—2-flora unica. PI. humiles foliis grami- neis. 9. Inflorescentia pluriflora spathis saepissime plurimis, capsulae elongatae, semina angulata exappendicula- ta. PI. elatae. 11. 9. Spatha 2-flora, capsula elongata, folia lineariensi- FOLTNIA. 0 se son : ... dJ. Grijsi m. Spatha 1-flora, capsula fere aeque longa ac lata, semina globosa opaca cum appendice ad hilum, fo- lia linearia. 10. emar- J. ruthenica Dryand. Spathae phylla obtusa chartacea demum subperga- menea persistentia ......,.e..s.essemene » + J. uniflora Pall. Laciniae perigonii interiores exterioribus parum minores. 12. Laciniae perigonii interiores quam exteriores multo breviores et angustiores, folia ensiformia, 15. 12. Laciniae interiores perigonii quam stigmata latiores et longiores, tubus brevissimus, folia angusta .... Laciniae interiores stigmatibus vulgo angustiores et breviores, tubus ovarium aequans, folia linearia v. ensiformia,........... seine Dao J. lacvigata Fisch. 13. Flores azurei, capsula late oblonga inflata, laciniae perigonii interiores dentiformes J. setosa Pall. Flores lutei, capsula elongata, laciniac perigonii intériores lIneAres...:........-..-.. ere J. Pseudacorus L. Il J. sibirica L. * Tubus perigonii limbo longior v. aequalis. 5. J. Ludwigi. Rhizomate tenui repente nudo fibris radicalibus tenuibus, vaginis vetustis fibrosis ad basin fasciculorum parvis cito destructis, fasciculis sterilibus stipitatis ascendentibus sub-4-phyllis basi vaginis aphyllis nonnullis obvallatis; foliis linearibus sensim acuminatis gramineis margine scaberulis; seapo sub- nullo basi foliis vulgo 2 quam fasciculi duplo brevio- ribus flores superantibus fulto; spatha sessili 3-phylla 2-flora, phyllis chartaceis lincarilanceolatis acumina- tis; tubo perigonii parum exserto tenuissime filiformi ovarium sessile plus triplo superante limbum patulum aequante, laciniis exterioribus ungue lineari laminam ovatam fere 2-lo superante, interioribus brevioribus oblongis ungue lineari longioribus, stigmatibus brevio- 509 ribus linearibus acuminatobifidis, anthera filamentum aequante. Altai: eirca metallofodinam Syrjanowi, in humo, Aprili florentem, J.ruthenicae admixtam, legit Lu dwig. Colore viridi foliorum eum J. ruthenica conveniens, ceterum diversissima, J. Aumili M. Bieb. proxima, quae tamen differt rhizomate crassiore vaginarum basibus appressis membranaceis tecto, fasciculis erectis sessi- libus, spatha 2-phylla 1-flora, perigonii tubo crassiore sensim, neque subito, in limbum abeunte, ungue laci- niarum exteriorum lanceolato dilatato laminam tantum sesqui superante. Magnitudo partium eadem. — Vera J. humilis M. B. e Sibiria exul videtur, nam planta hoc sub nomine in pl. Semen. n. 1029. enumerata (Baker in Gard. chron. 1876. IT. 143.) novam spe- ciem (J. Regeli m.) e sectione Pogonireon sistit. 6. J. ventricosa Pall. It. III. 320. App. 712. t. B. g. 1. Ledeb. FI. Ross. IV.94. Baker in Gard. Chron. 876. IL. 145. In Dahuria australi, Mongoliae finitima, tractu mon- tium inter Urulungui et fl. Argun versus Soktui (Pal- las), ad ipsum fl. Argun (Rytschkow) et affluentem ejus Onon-Borsa (Turczaninow), nec non in Mon- golia orientali australi: non procul a Kalgan, in mon- tosis circa Siwan-tze (rev. Artselaer). Ab omnibus mihi notis ex prima fronte vaginae in- flatae reticulatione distincta: venae dense parallelae longitudinales enim trabeculis crebris transversis con- junguntur. Praeterea a subsequente phyllis vaginae su- bito acuminatis differt. Perigonii laciniae exteriores se- cus medium unguem pubescentes, ad limitem laminae fere barbulatae. — Flos, ex Artselaer, violaceus, sed in sicco ad ungues et laminam sepalorum venosovarie- gatus. Pallas pallide cacruleum, potius lilacinum di- xit, unde pallidior et saturatior variare videtur. fi 1 7. 3. Bungei. Foliis radicalibus vetustis in fibras pa- rallelas strictas tenaces solutis, hornotinis paucis firmis elongatolinearibus caule spithamaeo longioribus,caulinis 3 quam radicalia brevioribus et latioribus: infimis 2 linearibus, sammo lanceolato spathiformi; spathae tri- phyllae 2-florae phyllis late lanceolatis acuminatis cre- bre striatis membranaceis; germine brevissime stipitato cylindrico plus duplo breviore quam tubus filiformis perigonii limbum superans, laciniis limbi aequilongis: exterioribus pallide caeruleis crebre venosis ungue des Sciences de Saint- Pétersbourge oo 510 lanceolatooblongo laminam obovatam superante, inte- rioribus violaceis oblongospathulatis erectis quam ex- teriores sublatioribus ; stigmatibus parum quam laciniae interiores brevioribus profunde 2-cuspidatis in lacinias lineares, anthera fulva filamentum aequante. — J. ven- tricosa Maxim. Ind. Mongol. 485., nec Pall. Mongolia australis: ad tractum mercatorium orien- talem, ad Zakildak Schabartu (Bunge, Kirilow), de- sertis inter juga Suma-hada et Muni-ula, frequens solo arenosolimoso, nec non in arenosis deserti subsalsis se- cus fl. Hoang-ho, gregaria ct frequens (Przewalski). Media inter J. ventricosam et J. songaricam, prio- ris habitu, spatha magna et floribus 2 subaequimag- nis, posterioris forma perigonii: unguibus laciniarum exteriorum dilatatis a lamina distinctis et spatha non reticulata, sed tenuiter parallele dense striata. Pro- pior tamen J. songaricae, sed spathae magis inflatae, flores multo majores, tubus perigonii ovarium pluries limbumque superans neque illo brevior, spatha bi-ne- que usque 4-flora, petala stigmate plus duplo latiora, nec aeque lata, sepala ungue non glabra. 8. J. songarica Schrenk, Enum. pl. nov. I. 3. Le- deb. IL. c. IV. 99. Baker L. c. 144. Songaria (A. Schrenk), deserta Kirghisica: inter Orsk et Taschkent, Kos-Aral et Tschardara, Kisil-kum inter Baibek et Usun-ata et inter m. Karak et Kor- shun (0. Fedtschenko); Turkestania (Lehmann): valle #. Sarafschan variis locis (eadem, floribus ab illa lectis omnibus in sicco pallide caeruleis), ad sta- tionem Tschingildy (Fetissow, fl. mox similes, mox laciniae interiores violaceae), Karatau ad Isch-tübé (A. Regel); Persia (Buhse); Afghanistan et Belu- dshistan (fide Baker). Capsula trigona cylindricooblonga coriaceocrusta- cea, 6-nervia, 3—5 cent. longa, 10—12 mill. crassa, basi breve, apice sensius longiusque attenuata in rostrum (tubum perigonii) tripartitum, mox anfractum. Semina fere J. Güldenstädtianae, ad 5 mill. longa, angulata, subcylindrica, testa lucida valde corrugata castanea. Flores fere J. Güld. var. sogdianae. Var? gracilis: foliis tenerioribus, spathis paulo an- gustioribus, perigonii tubum ovarium aequante, pedi- cello ovarium duplo superante. China occidentalis: prov. Kansu, in vallibus rivu- lorum alpinorum rara (Przewalski). oi! Spece. non satis completa 3 praesto sunt, fortasse speciem propriam sistentia, patria, statione, tempore florendi toto mense seriore jam abhorrentia, tubo pe- rigonii breviore et foliis minus coriaceis distincta. Sed radix deest, folia vetusta in 1. spec. superstitia jam eadem ac in /. songarica videntur, longitudo vero tubi in aliis speciebus (v. gr. J. ruthenica, J. tenuifo- lia) variare potest, ita ut speciem novam proponere nondum audeam. 9. J. tenuifolia Pall. It. TT. App. 714. n. 66. tab. C. fig. 2. Ledeb. 1. c. 93. Maxim. Ind, Mongol. 485. Baker 1. c. 144. In Dahuria Mongoliae finitima, abunde in campis glareosis ad lacum Tarei (Pallas); Mongolia orientali, ad tractum mercatorium (Kirilow), et australi, de- serto arenoso secus f. Hoang-ho rara et sparsa (Prze- walski); Chinac occidentalis prov. Kansu, deserto elato graminoso Mongoliae vicino, nec non ad latera alpium graminosa frequens (idem); Turkestan: regione Kuld- sha variis locis (A, Regel), Taschkent (Kuschake- wWicz), Karatau (Krause); Songaria australiore vayiis locis (Schrenk, alii); deserto Caspico (Lehmann): ad Sarpam fl. (Pallas), Ural f. (Lessing) et Wolgam inferiorem circa Astrachan et Sarepta. Perigonium, ex Pallas, odore amoene caryophylleo, pallide caeruleum, laciniae exteriores disco albidae cae- ruleovenosae, interiores et stigma laete caerulea. Flos pl. mongolicae ex sieco huic similis videtur, pl. chinen- sis vero sat profunde et aequaliter violaceus. Capsu- la mox sessilis mox ipsa brevius pedicellata, intra spa- tham basesque emortuas foliorum vetustorum sepulta, 25— 40 mill. longa excel. apiculo (basi perigonii su- perstite), tereti-subtriquetra, 6-nervia, pl. m. late ova- lis v. basi attenuata, coriacea, demum ad basin usque dehiscens, valvis erectis. Semina 5 — 6 mill. longa, castanea, subeylindrica v. obsolete oblique ovata, epi- dermide profunde valdeque corrugata lucidula. — Ob fructus seminisque structuram ./. songaricae affinis, caule nullo et tubo perigonii elongato statim distincta. Similis etiam est J. humilis M. B., sed rhizomatis in- dole primo obtutu cognoscenda. Caespes interdum am- plus J. tenuifoliae intricatus e rhizomatibus contextus est crassis, in articula brevia inter se per putrefactio- nem libera solutis, alte foliis vetustis crassis v. in fi- bras rudes dissolventibus obvallatis. Rhizoma vero J. Bulletin de l'Académie Impériale 51? humilis duplo tenuius, horizontale et in articulos non divisum interdum 2 pollices longum observatur, e ca- pitibus 3 — 5 vetustis constans, apice fasciculum re- centem foliorum emittens, omnibus capitibus vagina arcte accumbente striata (quae basis foliorum) subob- lique obtectis. Folia J. kumilis viridia teneriora, ve- tusta mox vage convolvuntur, mox destruuntur et fibras vel nullas v. molles tenues et paucas relinquunt rhizomaque non superant. ./. humilis M. B., quam e variis locis Caucasi, Bessarabiae et Transsylvaniae vidi, in Sibiria non occurrit, de pl. a Semenow in Alatau songarico lecta (J. humilis Rgl. pl. Semen. n. 1029.) confer sub J. Regeli m. Var. thianschanica: foliis solito fere duplo latioribus, scapo saepe paulo longiore. Mongolia: Thianschan orientali, fauce australi Kô- schety-daban, nec non valle deserta secus f. Sse-tschan (Potanin), magis occidentem versus: alta planitie Yul- dus Minoris, alt. 7500 — 9000 ped. (Przewalski, 1877.); Turkestaniae regione Kuldsha (A. Regel, alt. 3 — 6 mill. ped.). In typum sensim abire videtur, Folia usque ad 4 mill, lata. Flos paulo v. vix minor, laciniis exteriori- bus ob laminam sensius in unguem attenuatam anguste spathulatis, interioribus paulo angustioribus et vix bre- vioribus, ungue angustiore. Reliqua congruunt, flores ex sicco quam in pl. typica e Mongolia pallidiores, in illa a Przewalski decerpta magis venosovariegati. #* Tubus perigonii limbo brevior v. subnullus. 10.J. ensata Thbg. in Act. soc. Linn. IT. 328. fide Baker in Gard. Chron. 1876. II. 323. J. graminea Thbg. FL Jap. 54, non L. J. biglumis V ah] Enum. IL. 149. Ledeb. FI. Ross. IV. 95, c.synn. Trautv. Enum. Mong. n. 102. J. oxypetala Bge Enum. n. 358. Ma- xim. Ind. Pekin. 477. J. fragrans Lindl. Bot. reg. XXVI tab. 1. J. haematophylla Bge in Ledeb. FI. Alt. I. 58., non Fisch. J. longifolia Royle II. 372. t. 91. f. 2 1°), Nedshi ayame. Soo bokf. IL. fol. 8. Equidem ./. ensatam Thbg. authenticam nondum vidi, sed Klatt (in Linnaea XXXV. 308.) pro J. fragrante Lindl. habet, Baker ejusdem opinionis est, pl. Lindlevi cum ./. biglumi conjungens, opus japoni- 16) PI. Roylei ex spec. authentico et descriptione (perigonii la- ciniae imberbes, tubus nullus) nec non icone, huc pertinet, neque ad J. kumaonensem, ad quam a Bakero ducitur. 513 cum citatum optinam figuram exhibet. Ita non est, quin de pl. Thunbergii huc pertinente dubitem. Spe- cies a Bakero sub J. ensata Thbg. conjunctas equi- dem etiam frustra distinguere conatus sum et ne bo- nas varietates quidem dignoscere potui. Valde enim quoad foliorum longitudinem et latitudinem, caulis al- titudinem et florum colorem et indolem polymorpha, limites tamen inter varias formas desunt. A. Perigoni laciniae latiores, exteriores obtusae v. acutiusculae. 1. Caulis sub anthesi spithamaeus usque ultrape- dalis, folia jam nunc longissima. a. Flores pallidi. J. Pallasüi Fiseh. Rehb. Ic. ecrit. N479: Turkestania: Saxafschan, Kokand (O.Fedtschenko), regione Kuldsha variis locis (A. Regel, ali). Mongo- lia: prope jugum Alaschan, in ripa lacus salsi Dsha- ratai, in arenosis subsalsis frequens et gregaria (Prze- walski); China occidentali, prov. Kansu (Piasezki) in vallibus humidis graminosis frequens (Przewalski). Laciniae interiores perigonti laciniatae ab autt. de- scriptae et a Reichenbach delineatae rarissime oc- currunt. b, Flores violacei. /. fragrans Lindl. I. c. Dahuria (Rytschkow); deserta trans Baicalem: Mongolia: Thianschan, in argillosis prope Hami et Nau-schan-kou (Potanin: sinice Ma-lin), Alaschan, in palude salsa Baïn-bulyk, frequens, nec non in areno- sis secus f. Hoang-ho, rara, caespites diametro bipe- dales (Przewalski), Siwan-tze non procul a Kalgan (Artselaer). Turkestania: vartis locis regionis Kuldsha (A. Regel, alii), Songaria: Alatau (A. Regel), valle f. Tschu (Korolkow). Culta in hortis s. n. /. Pallasii. 2, Caulis sub anthesi foliis superatus paucipollica- ris, fructifer spithamacus usque pedalis, los mox pallide caerulescens, mox violaceus. /. triflora Balb. Red. Lit. t. 481. J. biglumis Sweet Brit. Flow. gard. 2 ser, t. 187. .J. an spuria. Pall. It. LIT App. 713. tab. C. fig. 1. Turkestan : Chodshent (Sewerzow), reg. Kuldsha (A. Rgl); Songaria (Schrenk); Dahuria (Turez.); Mongolia: Urga (Kirilow), Zaghan Balgassu (Lady- shinski), Kerulen (Lomonosow), jugo Hanhai ad fl. Dsabchyn (Potanin), parte australi: cirea monasterium Taibin-ssumä (Fritsche), jugo Suma-hada (Przewal- Tome XX VI. des Sciences de Saint-Pétersbourg. o14 ski), territorio Ordos (idem); ibetia occidentali (hb. Caleutt.) alt. 12 mill. ped. (Thomson). B. Perigonii laciniae angustiores, exteriores vix la- tiores, omnes acutac v. saltem acutiusculae. 3. Var. chinensis Maxim. in Regel Gartenfl. 1880. 161.t. 1011. Laciniac exteriores v. omnes albidae v. cacrulescentes violaceovenosae, interiores lilacinae. J. lactea Pall. It. IT. App. 713. J. Pallasii 8. chinensis Fisch. in Bot. mag. 2331. (1822). J. oxypetala Bge Enum. Chin. n. 358"). Japonia (bot. japon. in hb. Siebold. s. n. barin); Mongolia australi, Alaschan (Przewalski), China bo- realis, in planitie Pekinensi vulgaris (omnes coll. ); cirea Tsehifu et Tung-tschau-fu (Hancock), occiden- tali, prov. Schensi (Piasezki). Dahuria ad fines Mon- goliae circa lacum Tarei (Pallas). Ex foliis Sinenses chartam viliorem parare refert Tatarinow. Pallas LL €. suam ./. lacteam tam similem J. an spuriae declarat, ut pro varietate haberet, nisi eodem loco legisset. Ex Pallasio paulo serius inflorescit, caules parvos v. solitarios (nec caespitosos) profert, folia latiora rigidiora magis striata et exserta, spathae «glumae» majores, peduneuli longiores germini aeque crassi, fl. lacteus minus pellucidus, sepala arrecta ne- que reflexa, petala stigmataque minora, filamenta bre- viora, antherae majores, laciniae stigmatis minus ar- gute bifidae. Sed alio in loco alias formas in vivo pl. nm. distiunguendas observabis, eunctas autem si ante ocu- los habes limites non invenies. In omnibus varietatibus folia solito triplo latiora occurrunt, pedicelli inclusi vel, praesertim in culta, e spatha longe exserti. Spathae 2 — 3-florae valde acuminatae arcte amplectentes, fere hyalino-membra- naceae, perigoni laciniae usque ad ovarii rostrum li- berae, exteriores secus lineam mediam unguis et in basi laminae pl. m. distincte et dense puberulae. Cap- sula rostrata subtriquetra 6-costata, brevior v. lon- gior (35 — 65 mill. longa, 10 mill. lata), tarde et in- complete dehiscens, mox oblonga, mox cylindrica, ita- que et ovarium longitudine variat, et pedicello aeque 17) J. oxypetala C. A. Mey. in Ind. pl. mus. Acad. petrop. pro mut, commercio off. II, 1854. p.8., fide Ledeb. FI. Ross. IV.99,, ex descr. nil videtur nisi planta homonyma Bungei, patria Caucaso et autore Meyer erroneis. In herb. Acad. hoc sub titulo deest. Jam cl Baker I. c. errorem autoris correxit, illum patriae vero serva- vit, Equidem e Caucaso non vidi. 33 o15 v. magis crassum oceurrit. Semina oblique ovoidea an- gulata atrocastanea opaca, 4 mill. longa, appendice minuta albida ad hilum. 11. J. Grijsi. Rhizomate horizontali basi ipsa fibrosa vaginarum tantum tecto; foliis gramineis herbaceis lanceolatolinearibus basi attenuatis in fasciculo pluri- bus; caule foliis breviore basi brevifolio; spathae sub- herbaceae laxae phyllis 3 acuminatolanceolatis; flori- bus 2 exsertis, pedicello ovarium oblongum 6-sulcatum rostratum superante; perigonii laciniis supra ovarii rostrum in tubum brevem distinetum infundibularem connatis, laciniis exterioribus unguiculatis obovatis la- mina reflexa media basi ungueque velutinopubescenti- bus, interioribus linearilanceolatis aequilongis, stigma- tibus vix brevioribus cuspidibus linearibus acuminatis, anthera filamentum aequante. J. orypetala Hance in Seem. Journ. bot. VIIT. 1878. 314., nec Bge. China: Fokien (de Grijs! in hb. Hance n. 8585. ff. et deflor.). Inter J. ensatam et J. ruthenicam, huic tamen pro- pior. Prior differt rhizomate validiore foliis vetustis crassis fibrosis altius obvallato, foliis linearibus char- taccis glaucis, spatha longiore magis acuminata fere hyalina, arcte floribus accumbente, flore triente usque duplo majore, ovario elongato, limbo perigonii in apice ovarii sessili. Capsula vero, rhizomata vetusta et co- lor florum a Hanceo ad specc. Pekinensia a Williams accepta J. ensatae descripta videntur, nam Grijsiana hisce omnibus carent. J. ruthenica rhizomate, foliis floribusque similis, spatha 1-flora, pedicello brevi, pe- rigonii glabri ad ovarium ratione distat. Specc. 3 quae vidi caule quam spithama breviore, foliis fasciculorum fere pedalibus, angustissimis 4 mill., latissimis 10 mill. latis, distinctissime nervosis inter- que nervos venosostriatis gaudent. Rhizoma illo .J. ruthenicae crassius. Folia in quovis fasciculo 3, inae- qualia, basi pluribus abbreviatis vaginiformibus cir- cumdata. Caulis, flores et spatha J. ruthenicac Similia, primus foliis versus basin abbreviatis 3 fultus, tum usque ad spatham 45—65 mill. longam (phyllis 3—5 mill. latis) nudus, angulatus. Spatha 3-phylla, phyllo summo duplo angustiore vacuo. Pedicelli dimidiam spa- tham superantes. Germen usque 20 mill. longum, 3 mill. crassum, basi in pedicellum, apice in rostrum dimidium ovarium aequans sensim attenuatum, pars limbi peri- Bulletin de l'Académie Impériale 516 gonii connata longitudine rostri, cum hoc et ovario pilis longis parcis ochraceis adspersa. Limbus perigo- nii infundibuliformis, lamina reflexa nervo medio ad partem pubescentem fere in cristam elevato, in un- guem linearem duplo saltem longicrem sensim atte- nuata. Stigmata laciniis exterioribus accumbentia, la- bio superiore limbum laciniarum aequante, erecto, bipartito in lobos lanceolatos longe acuminatos. An- thera linearis ochracea. 12. J. ruthenica Dryand. in Ait. h. Kew. ed. 2. I. 117. Ledeb. F1. Ross. IV. 94. Maxim. FI. Amur. Suppl. 477, 485. Hance in Trim. Journ. bot. XIIT. 139. Baker L. c. II. 226. J. caespitosa Pall. in Lk. Jahrb. I. 3. p. 71. Ko-kaki-tsubata Soo bokf, IL. 7. &. typica: perigonii tubo ovarium bis v. ter supe- rante, caule ad summum spithamaco. J. ruthenica Ledeb. In Sibiria occidentali, desertis circa Omsk, monti- bus Altai, Songaria, Sibiria orientali circa Krasnojarsk et Irkutzk, Dahuriae desertis frequens, Mongolia: circa Kiachta, in montibus circa Kalgan (Przewalski). 8. brevituba: perigoni tubo ovarium aequante vel paulo superante v. imo paulo breviore, caule usque pedali. J. uniflora Rgl. PI. Semen. n. 1028. Altai: Loktjevsk et ad fl. Krestowka (hb. Fisch.): Songaria australiore ad lacum Issyk-kul (A. Regel), Alatau transiliensi (Semenow) maultisque aliis locis; Turkestania orientali, regione Kuldsha, ad fl. Ii et jugo Thian-schan ad fl. Schary-ssu (A. Regel), et ad fontes fl. Zan-ma (Przewalski, 1877); Sibiria orien- tali: ad Lenam et prope Ochotzk (Stubendorff). An haec est J. ruthenica floristarum Transsylvaniae, mihi ignota, de qua Janka (Oesterr. bot. Wochenblatt. XVIIL 1868. 376.) ait, fortasse ad J. unifloram Pall., ab illo non visam, pertinere? y. nana: caule et fructifero 2—3-pollicari, spathis tenere membranaceis cum vaginis continuis, tubo var. typicae. J. ruthenica Maxim. L ce. — Soo bokf. L c. ob habitum. Mongolia australi: Siwan-tze non procul a Kalgan (rev. pat. Artselaer), inter Siwan-tze et Chei-schui (Fritsche); China boreali, ditione fl. Pekinensis, in montibus borealibus prope Lun-züan-ssy (Tatarinow), monte Po-hua-shan (Bretschneider); Japonia: Na- gasaki, culta (ipse). 517 Haec ultima varietas persimilis est ./. wniflorac, quae tamen praeter spathae naturam et tubum perigonii brevem interdum ad partem dilatatam reductum, caule inter spathas et vaginas nudo, neque vaginis obtecto, saltem habitu bene distineta videtur. J. ruthenica Dryand. ab sequente interdum aegre distinguenda, fruetu tamen, ni fallor, tute dignoscenda. Fructus enim apud Gmelin FI. Sibir. EL 26. turbina- tus obtuse trigonus stylo brevi superstite, seminibus subrotundis nigricantibus describitur. Capsula 1 in herb. Ledeb. servata valvas 12 mill. longas, 8 mill. latas, quadrangulas, apice obtuso basi tubi perigoni apiculatas habet, spathae valvas autem semper acumi- natas et in fructu membranaceas flaccidas et nunc prae- terea marcescentes. Semina illis /.uniflorae prima fronte simillima, sed magis triquetra et appendice adnato to- tum latus occupante. Prima sub anthesi caulis florifer sub spatha foliis spathaeformibus membranaceis non- nullis fultus illisque immersus et foliis saepissime su- peratus est, tum ex foliis illis emergere et vulgo altior fieri solet, spatha tamen semper tenera, subcolorata. 13. J. uniflora Pal. in Lk. apud Spr. Schrad. et Lk. Jahrb. I. 3. p. 71. Ledeb. L c. I. 94. Maxim. FI. Amur. 270. Regel F1. Usur. n. 487. In ditione fl. Baicalensi-Dahuricae: Baikal (Krubse), Dahuria (Rytschkow); Mandshuria occidentali à fl. Schilka usque ad Amur australiorem, australi secus fl. Usuri superiorem et affluentes ejus, lacum Hanka, fl. Suifun, littorali: ad fl. Da-dso-schu, (ipse) et circa sinum Hadshi (Kusnezow). E Mongolia et Sibiria ci- teriore exul videtur. A Bakero, qui non vidit, pro var. nana pracceden- tis habetur, sed distributio habitusque aliena. Caulis cum spatha saepissime jam incipiente anthesi e foliis spathaeformibus paulo emersus est, spatha ipsa bre- vior, phyllis respectu longitudine latioribus, jam sub- anthesi subinflatis et firmis, fructiferis chartaceis, apice scarioso vulgo plicatulo obtusis, ochroleucis v. apice violaceis, Folia plantae fructiferae 10 mill. usque lata, multo igitur quam in J. rulhenica latiora. Capsula glo- bosotrigona apice truncata cum apiculo immerso, val- vis quadratis 12 mill. latis et longis, spathae valvis lucidis inelusa, Semina fere globosa opaca atra, testa mi- nute impresse rugulosopuncticulata, appendice ad fu- niculum parvo !/, vel !/, seminis tegente cucullato, saepe des Sciences de Saint-Pétersbourg. ER" PE — — 518 abrupto et praeter basin evanido, 2,5 —3 mill. lata et longa. Fructus numerosos e variis locis examimavi. 14. J. Güldenstädtiana Lepech. in Act. Ac. Pe- trop. 1781. 1. 292. t. 8. Ledeb. I. c. 98. Baker I. c. 583. J. halophila Pall. It. IL App. 733., III App. 713.t. B.f. 2. J. stenogyna Red. Lil. t, 310. J. diluta M. Bieb. Cent. pl. ross. t. ST. (non vidi), ex ipso Bieb. in F1. Taur. Cauc. IT. 43. J. G. et &. notha Rgl, pl. Semen. n. 1031. Mongolia borealis occidentalis: ab urbe Gu-tschen in Thian-schan sita, boream versus, prope aquam (Pia- sezki), Altai australi, ad fl. Kran (Potanin), Songaria, Sibiria altaica et uralensi; Rossia: Saratow (Becker), ad Tanain (Henning), Cherson (Ledeb.); Turkesta- nia: regione Kuldsha, variis locis (A. Regel), ad Issyk- kul et in Alatau (idem), valle f. Sarafschan, nec non inter Taschkent et Orsk (0. Fedtschenko) aliisque locis (alii); Afghanistano (Aïtchison!); in Caucaso: Somchetia, Tiflis, Iberia, Elisabethpol. cet. Haec omnis fypum sistit, flore flavescente. Specc. caucasica tamen fere omnia laminas laciniarum majo- res habent et pertinent ad war. livescentem M. Bieb. F1. Taur. Cauc. III. 42., ex Bieberstein flore caeru- lescente v. sordide ochroleuco donatam et, uti videtur, etiam in Asia minore et Persia crescentem. Anne ex hac orta est J. ochroleuca L., tantum culta nota, quae tantum flore majore foliisque latioribus diversa? Capsula J. Güldenstädtianae insignis, ovoidea v. ob- longa, basi rotundata v. subumbilicata, apice sensim in rostrum apice tenue, triente capsulac brevius, at- tenuata, usque ad 6 cent. longa, 18 mill. lata, vulgo fere duplo minor, sectione transversa tri-, angulisque truncatis 6-gona, longitudinaliter cristis acutis 6 (se- cus suturas enim duplicibus) pereursa, intervallo ad suturas duplo angustiore quam ad latera septifera !). Semina oblique ovata lucida, 5 mill. longa, fere 4 mill. lata, plus quam 2 mill. crassa, lateribus planiuseula, margine obtusa, testa laxa corrugata pallide brun- nescens translucens, interna opaca Conformis, ab ex- terna liberata tantum 3: 3 mill. magna; appendix ad hilum nulla. B. sogdiana (Bge Rel. Lehm. n. 1351. sp. pr.): flo- |ribus caerulescentibus. J. @. 8. cacrulescens Rgl. in 18) J. graminea Li, eapsula simili gaudet, sed breve crasseque | rostrata, aa BL 519 Ind. sem. hort. Petrop. 1862. 28, (quoad pl. parvi- floram). Turkestania: regione Kuldsha, ad fl. Kungess (Prze- walski, 1877), ad fl. Il (A. Regel), Karatau (idem), valle f. Sarafschan (0. Fedtschenko) et alibi. Solo colore forum a typo distincta, fatente 1pso Bunge, et ob colorem a Bakero ad J. spuriam ducta, cui revera simillima est. Sed flos J. spuriae L. ex ipso Bakero major, lamina laciniarum exteriorum latior et major, anthera filamentum aequans, quae signa equi- dem in numerosis speciminibus constantia inveni. /.s0g- diana Bge vero laminam laciniarum parvam, anthe- ram filamento longiorem habet, omnino ut in J. Gül- denstädtiana. Character e tubo perigonii infundibuli- formi in hac, campanulato in .J. spuria in sicco me ef- fugit. Capsula et semina /. spuriae eadem ac in no- stra totaque planta flore caerulescente tam similis, ut hortensis utraque sub var. 6. cacrulescente a Regel olim comprehensa sit. Adnot. J. notha M. Bieb. FT. Taur. Cauc. IIT. 45. Cent. t. 77. Ledeb. 1 €. 99., pl. caucasica, ditione nostra hucusque non detecta, ab /. Güldenstädtiana differt spathae phyllis herbaceis acuminatissimis elon- gatis, fore violaceo laminis latioribus et majoribus. — Anthera filamento longior et fructus vero eadem. 15. J. sibirica L. Cod. 329, Typica: folüis (in spontanea) angustioribus, flore mi- nore laciniis exterioribus sensim in unguem attenuatis obovatis. Japonia: Tsusima (Wilford, s. n. J. laevigatac); Mandshuria: a4 #. Suifun et Tschemuche (Golden- städt), . Da-dso-schu et Amur inferiorem (ipse), ad fl. Amgun (F. Schmidt); Dakuria (Rytschkow, Kruhse), Sibiria occidentali: Tobolsk (Haupt), Ural australi (Lehan.) prope Uralsk (Karelin) et hine per Rossiam in Europam. Var. orientalis (Thbg in Act. Linn. IL. 328. sp. pr.): fohis vulgo latioribus, flore majore lamina laciniarum exteriorum ab ungue bene sejuncta. Baker Le. 324. J. sibirica Thbg FI. Jap.33../. sibir. var. haematophylla Fisch. in Turez. F1. Baic. Dab. Il. 195. Maxim. FI. Amur.270.Franch.Savat. Enum. IT. 43. Sweet. Brit. FI G.t. 118. (sp. pr.). Hana ayame Soo bokf. IT. 6. Japonia: Nagasaki et Yokohama, culta (ipse), Si- moda (Yolkin), Niko (Savatier!), graminosis ad pe- Bulletin de l’Académie Impériale 1 520 dem alpis Higo-san Kiusiu borealis (ipse): Mandshu- ria: ad fl. Da-dso-schu, Usuri superiorem et Amur et Schilkam inferiores (ipse); Dahuria; Sibiria baica- lensi et altaica. Ludit #. albo: Hakodate, culta, Yokohama, in tec- tis (ipse), Mandshuria ad fl. Suifun (Goldenstädt). Varietas haud constans, nam dantur exempla ubi folia angusta, laciniae lamina sensim in unguem abiens rarius occurrunt Horesve minores obveniunt. Pedunculi breviores et folia cum spathis teneriora, de quibus ait Baker, non minus fallacia sunt, quam flores magis fu- gaces et tempus florendi praecocius, de quibus men- tio est apud Gawler et Sweet, nil autem dicitur à Fischer et Meyer in Ind. sem. h. Petrop. I. 15. Equidem in horto Petropolitano vivas observavi plu: res J. sibiricae varietates s. n. typicae, haematophyllae, japonicae Glehn ined. et caucasicae (ad fontes fl. Kura a Radde collectae) eodem loco iisdemque conditionibus cultas, et florentes tam similes invemi, ut aegre distin- guere potuerim, rhizomata et capsulae vero differen- tias praebuerunt, an vero nostra individua tantum v. totas varietates spectantes, nondum constat. Omnes cae- spites densissimos multicaules, caulibus 3 -4-pedalibus, constituunt., sed rhizomata ramosissima in var. japonica ramos tam laxos habent, ut commode usque in caules persequantur, in var. haematophylla caules quidem con- tigui, sed usque in ramos rhizomatis sine laceratione secernendi, rami vero multo breviores, in éypica deni- que hi rami tam breves caulesque densi fiunt, ut mas- sam unicam efficiant sine destructione in suas partes non divellendam, Sed cuivis notum est, plantam spon- taneam ./. sibiricae rhizoma vix ramosum subsimplex habere, — Capsula perfecte matura omnium varietatum atrobrunnea rugulosa, recens nondum plene matura vero in var. haematophylla laevis lucida, in reliquis opaca subtuberculata est. Quoad formam etiam diversa: in typica eylindricooblonga trigona, in apicem obtusum producta, facicbus planis secus ipsas suturas tantum sulcatis, angulis acutiuseulis, nervis septiferis vIx pro- minulis, 30:15 mil. magna, major v. minor. Semina 2-seriata semirotunda. In var, haematophylla capsula trigonoovalis, utrinque rotundata, angulis rotundatis, fa- ciebus concaviuseulis, nervis angulorum sulcatis, magn. pl. m. 22:16 mill., multo igitur brevior. Semina sub- uniseriata rotundata. Var. caucasica Similis, sed nervi angulorum esulcati et tota major, pl. m. 35 : 20 mill. 521 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 52? Semina eadem. Folia usque 14 mill. lata. Var. japoni- cae capsula prismaticotrigona, utrinque breve et ob- tuse attenuata, faciebus et angulis ut in éypica, 45 : 12 mill. pl. m. magna, plus triplo, fere 4-plo igitur lon- gior quam lata! Semina 2-seriata minora semirotunda. 16. J. laevigata Fisch. in Ind. sem. h. Petrop. V. 36. Baker 1. €. 615. . Gmelini Ledeb. Comment. in Gmnelin. in Act. Ratisb. II. 48. Zris fol. latis etc. Gmelin, FI Sib. I. 30. n. 28. J. versicolor Thbg, FI. Jap. 34, ex Klatt in Linnaea, XXXV. 308. Xaki-tsu- bata, Soo bokf. IT. fol, 5. (opt.) Typica: caespite subnullo v. minuto, foliis vaginifor- mibus ad basin caulis nullis v. paucissimis, foliis latis laevibus costa media obsoleta; spathae solitariae {ra- rius accedente laterali) phyllis membranaceis latis sub- inflatis vulgo obtusis; sepalis in unguem latum vulgo paulatim abeuntibus fere obovatooblongis. Ledeb. FI. Ross. IV. 97. Maxim. F1. Amur. 271. A. Gray, Bot. Jap. 412. Franch. Savat. Enum. IL. 42. F. Schmidt, FI. Amg. bur. n. 357. Sibiria orientali, prope Irkutzk; Dahuria; Man- dsluria: in paludibus lutosis locisve madidis pratorum frequens, parte maxime boreali ad lacus {Pawlowski), ad #. Nemilen (Schmidt), secus Schilkam et totum Anur f., ad f. Lefu aff. lacus Hanka(Przewalski); /a- ponia (Small): ins. Yezo prope Kamida in palude li- torea (ipse), Yokoska (Savatier). Vidi ex eadem radice flore pallidiore laciniis exte- rioribus angustioribus. Spatha 1, triflora, rarissime flos unus demissius insertus spatha sessili inclusus et folio brevi fultus. Capsulae pedunculis triquetris duplo v. sesquilongiores, ovoideooblongae, teretiusculae, 35: 20 mill. circiter magnae, usque ad basin dehiscentes, pariete tenui coriaceo, Semina 6 q. exc. mill. longa, 5 mill. lata, ex medio loculo demta semiovata, 1,5 mill. crassa, faciebus margineque dorsali planis, ven- trali margine acutis, lucida, laevia, castanea. 6. KaempferiSiebold in IL hortic. V.1858.t. 157: Vix caespitosa, caule gracili basi foliis vaginiformibus sensim longioribus pluribus, foliis angustis elevato- nervosis costa media distincta, spatha 1 terminali phyl- lis herbaceis anguste lanceolatis acuminatis non infla- tis, perigonio praecedentis. /. laevigata Rgl. Gartenfi. 1864. 198. t. 442. (e m. Pureicis a Radde accepta) et FL Usur. n. 489. Fanna Sjob, Kaempf. Am. exot,. 873. J. sibirica Thbg FI. Jap. 380. quoad synon. Kaempferi. Mandshuria, \ocis humidis pratorum frequens, v. gr. ad Amur superiorem (ipse) et australem (Radde), Usuri et ad lacum Hanka (Maack, Przewalski), fl. Suifun ((roldenstädt), cirea aestuarium Possiet (ipse); Korea: port Chusan (Wilford); Japonia: circa Hako- date (idem), Yokohama (ipse), Simoda (Yolkin). y. hortensis: valde caespitosa, foliis latis costa dis- tincta; caule apice saepius ramoso spathis pluribus pe- dunculatis phyllis herbaceis latioribus passim obtusis, sed non inflatis; laciniis perigonii exterioribus maximis lamina rotundata in unguem subito abeunte, interiori- bus passim consimilibus patentibus. — E var. 8. orta. J. lacvigata Bot. mag. 6132. Hana-sjobu, Soo-bokf, II. 4. Kaki tsubatta. Kaempf. 1. c. 872. c. varr.? Japonia: sponte in Kiusiu prov. Simabara et Higo, culta ubique. Haec est J. Kaempferi hort., bene evoluta caespi- tibus bipedali diametro, caulibus tripedalibus nume- rosis plurifloris, flore maximo, à violaceo per reticula- tum in purpureum, roseum et album ludente. Capsulas var, 8. et y. attuli tres, exserte peduncu- latas, pedicellis 40, 38 et 70 mill. longis, subellipti- cas v. ovoideas, obsolete et obtuse triquetras, apice in apiculum crassum breve subito, basi vix attennatas, uti videtur usque ad basin dehiscentes. Semina non- dum matura opaca. Si J. Kaempferi specie diversa, tum non flore, sed caule basi vaginato foliisque nervosis dignoscenda est. At equidem loco natali et in vivo non distinxi. 17. J. setosa Pall. ex Link IL. c. 71. Fisch. Mey. Ind;sem. b: Pétrop. .V: 37. Ledieb.:l26; EL 96-74 Gray, Bot. Jap. 412. F. Schmidt, F1. Sachal. n. 444. Kiôgi-ayame, Soo bokf. IE. 9. Sibiria orientali: Shigansk ad Lenam (Fiseh. Mey.), Jakutzk (Stubendorff, Turez.), versus Ochotzk ad viam publicam ubique in pratis (Merk), Ochotzk (Kruhse), Ajan (Tiling), ad Kolymam (Augustino- wicz) cet.; Kamtschatka; Kurilis; Sachalin; Yezo in paludosis planitiei circa Ono, rarius, gregaria (1pse); Mandshuria: Wladiwostok (Goldenstädt), St. Olga, ad Amur inferiorem frequens, neque deest minime rara ad Amur superiorem, inter Kolzowaet Uschakowa (ipse); praeterea ad sinum Xotzcbuei et in Unalaschka. 523 Bulletin de l'Académie Impériale 524 Te Capsula trigonoovalis, 35—40 mill. longa, 20 mill. Jata, basi brevissime subito attenuata quasi stipitata, apice truncata, inflata!, parietibus fere membranaceis intus lucidis, apice tantum dehiscens. Semina 6: 3 mil. magna, oblique ovoidea, lucida, castanea, ventre recto costa prominente suleis a nucleo separata percursa. Ludit Hore ex violaceo caeruleo ./. sibiricam et intense violaceo /. laevigatam aemulante, sed magis venoso. ? 18. J. Pseudacorus L. Cod. 327. Ledeb. FI. Ross. IV: 97. Baker l.ic.516. In Sibiria uralensi et altaica,nec non Songaria (Falk), Sib. baicalensi ad Selenginsk (Gmelin). Sed a nemine recentiorum indicata et igitur valde dubia. J. Pseudacorum Rgl. FL Usur. n. 490. fructiferam, ob capsulam diversam pro specie nova habeo, infra de- seripta, ubi fructum utriusque expositum invenies. Apogones mihi ignotae. 19. J. Rossü Baker in Gard. Chron. 1877. IT. 809. «Dense caespitosa; rhizomate brevi; foliis pro- «ductis geminis linearibus; scapo brevissimo 1-Horo; «spathae valvis 2 linearibus viridibus 2—3-pollicari- «bus; pedicello brevi; perianthii tubo 2 —3-pollicart, «limbi lilacini v. raro albidi segmentis exterioribus «obovato-spathulatis, interioribus obovatounguiculatis «exterioribus aequilongis; stigmatibus limbo duplo bre- «vioribus appendicibus linearibus: antheris parvis fila- «mento longioribus.» Mandshuria australis: prov. Sching-king, Koreae fi- nitima, declivitatibus siccis, 27 Apr. 1876. (Ross ex Baker). Rhizoma, fide Bakeri, gracile, fasciculi fibris ob- vallati. Folia graminea tenera, sub anthesi 3 — 4 poll. longa, !,— ‘/, poll. lata. Scapus semper 1-fcrus, vix e solo emergens. Spathae margine excepto virides. Pedicellus !/, pollicaris. Ovarium cylindricum ?, — ’}, poil. Perianthiüi tubus eylindricus. Laciniae exteriores 1 poll. longae, semipollice angustiores, unguis lamina brevior, interiores 1-poll. Stigmata, inclusis appen- dicibus linearibus, /-pollicaria. Antherae /,-poll. 20. J. minuta Franch. Savat. Enum. II. 42. 522. Japonia, ex urbe Yedo habuit Savatier. Ab J. ruthenica var. nana, à me in Japonia culta observata, ex descr. differt foliis !,-pedalibus, ad 8 mill. latis. subtus secus costam scaberulis, peduneulo pollicari, tubo perigonii ultrapollicari tenuissimo, la- | ciniis interioribus stigmata aequantibus quam exterio- res fere duplo brevioribus. De textura foliorum nil dicitur. Si graminea tum ./. Rossi, ruthenicae et .J. uni- florae affinis videtur, ab omnibus tamen diversissima. Adnot. Inter icones manuscriptas Sieboldianas adest ris pluribus notis ad /. minutum accedens, sed ob defectum analyseos in icone et speciminis exsiceati non rite stabilienda. Differt ab /. minuta foliis an- guste ensiformibus, 2—5 mill. jatis, 6—10 cent. lon- gis, infimis vaginiformibus, flore luteo, laciniis interio- ribus stigmata aequantibus, quam exteriores parum brevioribus, stigmatum cristis acuminatis extus den- tatis. Reliqua conveniunt, sed an spatha 2-phylla 1-flora, ex icone non satis patet, etsi verosimile. Rhi- zoma repens, tenue. Fasciculus sterilis 3-phyllus. . humilem M. B. in mentem vocat, sed flos duplo minor et luteus. Species certe nova videtur. Japonice: Lana sekishjo vel yama ayame. 21. J. yedoënsis Franch. Savat. I. c. 43. 522. Japonia, e Yedo attulit Savatier. Habitu foliisque dicitur omnino /. tectorum m., sed erista in laciniis exterioribus perigonii nulla, ab ./. si- birica L., ad quam colore florum et reticulatione laci- niarum exteriorum accedit, foliis latis recedit, ab -/. laevigata Fisch. foris colore distinguitur. — Planta omnibus partibus, praesertim in perigonio, maculis fuscis dense punctata, foliis ensiformibus, floribus 34 «racemosis» 3-pollicaribus, perigonii tubo pol- licari. Laciniae exteriores Jamina late obovata unguem superante et distincta, interiores simillimae 1} mino- res, stigmata petala aequantia, apice brevissime bilo- bula et erosula. Adnot. de Apogone. Quoad modum crescendi inter Apogones nostras series plures observantur, quae ais characteribus adjuvantibns series naturales indicant, sed partim species ex aliis sectionibus amplectuntur. — Tales series sunt: 1. Zris tenuifolia, Regeli (e Pogoniri), longiscapa (e Hexapogone), songarica, Bungei, ventri- cosa. Caespes intricatus, subtus fibris radicalibus sat tenuibus carnosis numerosis, plerisque putrescentibus, tectus, superne vaginis numerosissimis pl. m. in fibras coriaceas parallelas solutis foliorum vetustorum occul- tatus, ex articulis simplicibus ramosisve sat brevibus rhizomatis recenti statu carnosi constans, qui tantum 525 ope fibrarum radicalium intertextarum cohacrent. Qui- dam articulus antice abit in fasciculum foliorum v. cau- lem floriferum, postice juvenilis cum parte rhizomatis e qua ortus collo subattenuato cohaeret, demum ta- men collo putrefacto liberatur. Fasciculus foliorum basi cernitur vaginis Carnosis 2 — 3 superne coriaceis et in fibras dissolutis, olim foliigeris, aphyllis rarissi- mis, folia 1—2, exterius equitans, utrumque lineare, angustum et crassum. Gemmae innovantes 1 — 3 ex axillis vaginarum vetustis, primo anno foliferae, se- eundo floriferae, In his omnibus perigonii tubus elon- gatus filiformis, capsula teretisubtriquetra, ad basin usque dehiscens, semina non complanata, testa carnosa in sicco valde corrugata, arillo nullo. 2. Iris graminea, spuria, notha, Güldenstädtiana rhizomatis structura cum 1. congruunt, sed rhizoma crassius, articulis magis distinctis, demum non solutis, vaginis appressis brevibus non fibrosis, folia ensiformia, capsula coriacea tubo perigonii fareto rostrata secus angulos 2-alata, semina angulata testa carnosa pellu- cida. 3. J. Grijsi, ruthenica, uniflora, gracilis (Pogoniris) et sibirica rhizoma elongatum aequale tenue ramosum habent, fibris radicalibus tenuibus filiformibus, vaginis vetustis mollibus basi tantum superstitibus, externis aphyllis, foliis ensiformibus gramineis, tubo perigonii brevi. De capsula et seminibus diversis supra jam actum est. 4. J. Ludwigi, humilis, cretensis Janka, unguicula- ris Poir. rhizomate tenui subaequali vaginisque ex- terioribus aphyllis ut in serie praecedente, structura florali seriei primae gaudent pariterque subacaules. 5. Species elatae (./. setosa, laevigata cet.) serici tertiae appropinquant, sed omnibus partibus majores; rhizomata nondum satis examinata. Capsulae parietes septaque crassa, semina compressa angulata. Sect. D. Pogoniris Baker 1. c. 1876. IL. 674. Spatha 2-phylla 1-flora. 2. » 3-phylla 2-fora (Horib. interdum 3 v. 4). 5. 2, Rhizoma fibracque radicales tenuia sublig- nosa, folia anguste linearia. 8. Rhizoma fibraequeradicales elongatae crassa carnosa, folia anguste ensiformia. 4. 3. Acaulis, tubus perigonii albidi limbo longior, OÏTA/SCITDINA Se ee cesse CL pen Caulescens, tubus perigonii violacei limbo plus duplo ovarioque brevior, folia graminea J. gracilis m. J. Regeli m. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 526 4. Acaulis, tubus perigonio Havo longior v. ae- QUIIONEUS. 4.0... RD MOT vo J. Potanini m. Caulescens, tubus perigonio cacruleo mani- TéSROADLENIOT Eee ee ln J. Tigridia Bye. 5. Rhizoma crassum tuberosum, 6. » ee fibris fusiformibus divaricatis, collumstolones squamatos horizontales emit- tens, fasciculi steriles juxta caules foriferos NUE era ee aéone ins Des ce ds ete J. stolonifera m. G. Caulis simplex spatha terminali solitaria 2- flora. 7. Caulis ramosus spathis pluribus, flores vio- lacei. 12. . Limbi laciniae exteriores interioribus mani- feste longiores. 8. Limbi laciniae subaequales. 11. 8. Folia linearia, flores caerulei............. J. pandurata m. » _ensiformia, flores flavi v. lutei. 9. 9. Perigonii limbus patens laciniis obovatis. 10. » » _infundibuliformis laciniis ob- longis, exterioribus truncatis subpandurifor- DHDUS Ses -sesee REP Po ET ee J. mandshurica m. 10. Limbi laciniae omnes truncatae, spatha in- T'ATARRR meet ce see ce ele J. Bloudowi Ledeb. Limbi laciniae interiores emarginatae, ex- teriores obtusae, spatha non inflata ....... JT. flavissima Pall. 11. Perigonium vulgo caeruleum, spatha scariosa J. scariosa W. » fundo albido crebre brunneove- nosum, spatha herbacea.................. J. Korolkowi Rgl. J. Alberti Rgl. J. germanica L. 12. Stigmatum cristae rotundatac imbricatae .…. » » acuminatae divergentes , 22. J. Regeli. Palmaris dense caespitosa, basibus folio- rum vetustorum alte obvallata, fasciculis sterilibus 2 — 3-phyllis, foliis rigidis pallidis anguste linearibus stria- tis cauliculos brevissimos duplo superantibus; spatha cauliculum haud exsertum pluries superante 2-phylla i-flora, phyllis linearibus longe acuminatis striatis vi- rescentibus, pedicello subnullo; perigonii tubo filiformi exserto limbum fere duplo superante, ovario brevi trigonoelliptico 6-costato, limbi laciniis exterioribus lamina-suberecta truncata fere rhombea ab ungue duplo longiore dilatato vix distincta, a media lamina fere ad basin unguis secus costam barbatis, lacinias inte- riores linearioblongas in unguem attenuatas parum, his stigmata linearia breve acute bifida paulo superantibus, anthera mucronata basi sagittata filamento lineari bre- viore. J. kumilis Rgi PI. Semen. n. 1029., nec alior. Turkestania, districtu Kuldsha, in cacumine m. Kuïan-kus, alt. 3000 ped., a fl. Ili boream versus siti, fine Aprilis 1877 fl. (A. Regel: di. albidi v. ex albido lilacini»). Songaria: Alatau (Semenow). Modo crescendi et toto habitu simillima J. fenuifoliae Pall., sed omnibus partibus fere duplo minor et flos barbatus. Ob habitum inter Pogonires profecto unica et abnormis. 527 Rhizoma breve obliquum, totum vaginis foliorum 3 — 4 cent. altis demum in fibras solutis dense tectum, basi fibris radicalibus elongatis, neque crassis, neque carnosis obsessum, apice fasciculos steriles 1 — 2 et caulhceulum 1 foriferum emittens. Folia recta v. falcata, 14 — 22 mill. longa, 2 mill. lata v. angustiora. Cauli- culus basi foliis 2 — 3 spatha brevioribus, e basi hyalina vaginatodilatata angustata lamina viridi brevi, spathae apicem non attingentibus et basin ejus velanti- bus, 4 — 5 mill. latis. Spathae phylla intervallo bre- vissimo supra folia inserta, 45 null. longa, exterius 5 mil, latum, interius angustius. Pili barbae e cel- lula hyalina succo repleta formati, in sicco plani, cor- rugati et leviter torti. Ovarium 4 mill., tubus perigonii 60 mill., laciniac exteriores 42 : 10 mill., interiores 40:5 mill., stigmata 37 mill. Jonga, ungue stigmatis mill. lato, cristis 7 : 5 mill. magnis, bipar- lineari 3 titis, partitionibus semiovatis acutis apice pauciden- tatis, parallelis, labium inferius depressorotundatum integrum. Stamen ad labium attingens, anthera sine mucrone 13 mil , filamento 17 mill. longis. Fructus deest. 23, 4. gracilis. Rhizomate obliquo fibrisque radicali- bus tenuibus, ramis brevibus caespitem formantibus e caulibus floriferis 2 — 3 et fasciculis foliorum 2 — 4, vaginis vetustis breve fibrillosis; fasciculis praeter va- ginas 2—3 aphyllas di-triphyllis, foliis gramineis au- guste linearibus caule brevioribus, caulinis 23 abbre- viatis basalibus vix latioribus: caule pedali majore parte nudo, spatha terminali 1-fora brevi 2-phylla phyllis oblongolanceolatis acuminatis viridibus; pedicello sub- nullo, ovario oblongoelliptico subtriquetro tubum in- fundibuliformem superante, Himbi azurei laciniis exte- rioribus obovatooblongis luteobarbatis stigmatibusque ellipticis patentireflexis, laciniis interioribus erectis ex ungue brevi ovatooblongis apice truncato profunde emarginatis quam exteriores ?/, brevioribus et duplo angustioribus stigmata subaequantibus, cristis stig- matum semideltoideis labioque inferiore truncato inte- gris, anthera filamentum superante. China occidentalis, prov. Kansu, ad montium latera oraminosa (Przewalski, 1873). Modus crescendi fere ./. ruthenicae Dryand., cujus exemplis maximis altaicis non parum accedit, sed flores minores (diam. 30 mill., nec 50). Ex statura, foliis, Bulletin de l'Académie Empérialce 5? spatha floreque parvis sane affivis videtur ./. gonio- carpae Baker 1. €. 1876. IL. 710. e Sikkim, a me non visae, sed abhorret /. goniocarpa fibris radicali- bus crassis, fasciculis ultra G-phyllis, foliis caule lon- gioribus ultrapedalibus, ?/ —7/, une. latis (in nostra 1 lin.), spatha 2-flora, pedicello saepe pollicari, tubo perigoni ovarium aequante, stigmate breviore (/, unc., nec Ÿ, unc.). Color floris /. goniocarpac, capsulaque J. gracilis ignota alias differentias fortasse addant. 24. J, Potanini, Rhizomate brevi fibrisque radicalibus crassis carnosis, Caespitem densum parvum foliis ve- tustis fibrosis obvallatum ferente; foliis fasciculorum omnibus laminigeris, elongatis 2 anguste linearien- siformibus florem excedentibus; cauliculo subnullo toto vaginato, spatha 2-phylla 1-flora membranacea phyllis laxis acute lanceolatis, ovario 3-gono 6-sul- cato elliptico breve stipitato tubo filiformi limbum aequante 3 — 4-lo breviore; limbi sulfurei laciniis exterioribus obovatis in unguem sensim attenuatis bar- batis; interioribus angustioribus similibus apice acute emarginatis stigmatis cristas acuminatas excedentibus, filamento antheram superante. /. pumila Pall. It. TIT. 715. sub n. 67. quod pl. dahuricam. ./. flavissüna 8. rupestris Ledeb. FT. Alt. T. 60. Dahuria (Turez.) an montibus perexigua, fine Maji fl» (Pallas ex descriptione), Transbaicalia (Turez.), Altai, ad fl. Tscharysch (Bunge); Mongolia: alpibus Altai australis inter Dsussylyk et Urten-gol (Po- tanin). Caule non exserto, spatha 1-Hora longiore acutiore et tubo ovarium longe superante ab J. flavissima Pall., quacum a Ledebour, Bunge et Turcza- ninow confundebatur, optime distincta, ut jam a d. Pallas bene indicabatur. Multo propior /, Tigridiae Bge, quae nana etiam caulem pusillum inclusum et folia fasciculorum omnia laminigera habet, sed diftert flore violaceo, tubo ovarium bis superante v. fere acqui- longo, laciniis interioribus late truncatis et caule vulgo exserto. Foliis fasciculorum omnibus laminigeris /. Po- tanini congruit etiam cum J. aequiloba Ledeb., J. pu- mila L. et J. Chamaciri Bertol., at foliis tuboque perigont angustis, nec non fasciculis cauliculisque in massam unam vaginis fibrosis cireumdatam approxi- matis magis diflert, Folia pallide viridia subglaucescentia, 7 — 18 cent. 529 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 230 longa, 2 — 3,5 mill. lata. Spatha 4 cent. longa, 7 mill. lata albida. Germen sub anthesi 8 mill., tubi pars filiformis 30 mill., pars infundibuliformis 5 mill. longa, laciniae exteriorés 32 : 10 mill., interiores 28 : 7 mill. stigmata sine cristis 18 : 6 mill. magnae, cristae 7 mill. longae. Capsula ignota. 25. J. Tigridia Bge in Ledeb. F1. Al. I. 60 et Icon. pl. ross. IV. t. 342. Turcez. F1. Baïic. Dah. III. 198. Altai (Schangin s. n. rossico KYKYICIBT CIC3KI i. e. lacrimae cuculi, alii), Sibiria orientali: Kirensk ad Lenam (Pansner), Zransbaicalia, ad fl. Tschikoi (Turez.), Dahuria, ad fl. Ingoda (Turez.) in desertis vulgaris, varians fl. purpureoviolaceo et violaceo, init. Maji #. (ipse);, Mongolia: ad tractum mercatorium orientalem (Kirilow).in collibus lapidosis prope Za- ghan Balgassu (Ladyshinski), montibus circa Kalgan, cum J. ruthenica (Przewalski), et Siwantze (Artse- * laer), inter Ucha et Hatu prope fines sibiricos (Kal- ning). Ab J. ruthenica, quacum olim commutabatur, jam rhizomate fibrisque radicalibus crassis dignoscitur. Folia fasciculorum sterilium olim omnia in laminam abeuntia. 26. J. pandurata. Foliis anguste linearibus in fasciculo foliüis vetustis non in fibras solutis alte obvallato 2, caulem basi oligophyllum exsertum superantibus; spathae triphyllae 2-florae membranaceae phyllis lan- ceolatis acuminatis; flore sessili, ovario linearioblongo utrinque attenuato 3-quetro 6-costato faciebus conca- vis parietibus membranaceis tubo filiformi sesqui- breviore; limbi tubum pl. duplo superantis laciniis ex- terioribus caeruleis ex ungue brevissimo ovatooblongis luteobarbatis, interioribus brevioribus ex ungue simili panduriformibus emarginatis, anthera filamentum su- perante stigmatis unguem oblongum aequante, cristis oblique ovatis acutis. China occidentalis, prov. Kansu, ad rupes prac- ruptas rarissima (Przewalski). Cum nulla nisi /. Tigridia comparanda, à qua tamen jam spatha 2-flora abhorret. Rhizoma pennam anserinam, fibrae radicales spi- thamaeae pennam corvinam crassae. Caespes foliorum et caulis floriferi pollicaris densus, vaginis hyalinis latis foliorum vetustorum 4 cent. alte obvallatus. Va- Tome XXVI. ginae omnes olim laminigerae. Folia viridia, ad 13 cent. longa, 2 mill. lata, herbacea, longe acuminata. Caulis basi abbreviatotriphyllus, tum ad *, nudus. Spatha 35 — 40 mill. longa. Ovarium 8 : 1,25 mill., tubus farctus 13 : 0,5 mill., apice breve conicodila- tatus et cavus. Laciniae limbi exteriores 30: 11 mill., ungue 5 : 4 mill., a medio reflexae, interiores 26 : 9,5 mill. erectopatulae, stigmata 22 : 6 mill. 27. 3. mandshurica. Intense viridis, rhizomate carnoso apice in caespitem parvum laxum e caule fasciculisque stipitatis abeunte, vaginis vetustis integris, fasciculis sterilibus basi vaginis aphyllis paucis folia ensiformia plura emittentibus caulem sub anthesi superantibus; caule e foliis basalibus non v. parum exserto; spatha 3-phylla 2-fora had inflata margine late membra- nacea: phyllis Janceolatis extimo acuminato intimis obtusis; floribus pedicellatis luteis limbo infundibuli- formi e spatha exsertis, ovario tubum conicum supe- rante, laciniis exterioribus barbatis suboblongo-obova- tis truncatis lamina erecta fere quadrata ab ungue sub- acquilato basi valde attenuato vix sejuncta, interioribus brevioribus paulo angustioribus lamina oblonga unguem sesqui, stigmatis unguem oblongum bis, cristas semi- obovatas obtusas dentatas parum superante, filamento antheram basi vix emarginatam excedente, ovario tri- gono oblongo utrinque attenuato. Mandshuria australis, ad fl. Suifun, cum J. fla- vissima, fine Maji f. (Goldenstädt). Folia J. Bloudowi, spatha et flores potins J. fla- vissimae, cui arcte affinis et quae tantum differt laciniis Timbi multo magis aperti exterioribus lamina reflexa non emarginata sensim in unguem abeunte, interioribus emarginatis, antheris basi sagittatis filamento parum brevioribus, tubo perigoniü filiformi ovarium acquante. Sed crescendi modus et statura eadem. Folia ad 14 cent. longa, 11 mill. lata, spatha 4 cent. q. exc. longa, perigonium 48—65 mill. longum, tubo 12— 13 mill., ovario 14—15 mill., pedicello 8—13 mill. longis. Laciniae exteriores 42 : 13, interiores 37:11, stigmata 52:11 mill. magna, labio inferiore antheram excedente. | 28. J. flavissima Pall. It. III. 715 n. 67(1776). Ledeb. F1. Ross. IV. 102. Baker IL. c. 710. J. are- naria Waldst. Kit. PL rar. Hung. t. 57. Led. L. c. 103. Meinshausen in Linnaea. XXX, 487. 34 531 Bulletin de l’Académie Himpériale 53? Sibiria orientalis: in itinere versus Ochotzk (Re- | specie apice irregulariter dentatae sunt (ita delineatae dowski in hb. Fisch.), Werchneudinsk (Sedakow) et prope Baicalem in pratis herbosis, nec non circa Krasnojarsk (Turez.); Dahuria (Wlassow, Rytsch- kow): prope Nertschinsk (Turez.)}, ad #. Schilkam prope Stretensk et Gorbiza, in pratis et ad latera lapi- dosa sicciora (ipse); Mandshuria: ad lacum Hanka (Ussolzew s. n. J. uniflorae), ad fl. Suifun in arenosis (Goldenstädt); Mongolia boreali, jugo Han-hai, ad fl. Ssiwerty (Kolomeizew); Sibiria altaica, a Barnaul ad Ili (Ludwig), Tomsk (Stubendorff), Omsk ad Irtin in arenosis (Meinshausen) et wralensi, deserto circa Ischim (Semenow), Æossia australi: in arena mobili f. Donez circa Smejow Ucraniae, Charkow, prov. Woronesh, e vicinia rivi Choper cirea Nowo-Chopersk (M. Bieberstein), districtu Poltawa (Mertens: odor J. pumilae); Hungaria. Capsulas vidi tantum 2 vetustas, ad basin usque dehissas, in spece. dahuricis Wlassowianis, Sunt 1llis J. Bloudowi simillimae, spatha fere duplo longiores, utrinque (apice subito) acutatae, G-costatae, perigo- nio emareido tarde deciduo coronatae, 32 et 40 mill. longae, 12 mill. latae, pedunculo crasso, 2,5 et 5 mill. longo, suffultae. Semina jam omnia elapsa. A sequente, in sicco saltem, sat aegre distinguenda statura minus robusta, foliis lineari-ensiformibus, spatha vix inflata phyllismembranaceis acutioribus, peri- gonii laciniis exterioribus integris. Differentiam vero a Ledebour adductam, e pedicello floris primarii et tubo perigonii ejus brevioribus equidem comprobare non possum. Signa, quibus /. arenaria florae Rossicae ab ./. fla- vissima, «cui sane maxime affiniss a Ledebourio distinguitur, omnia fallacia inveni post comparationem supellectilis copiosae. Ex Ledebour ab ./. flavissima, praeter alias notas, haud aegre dignoscitur perigonii tubo maxima parte e spatha emergente et filamento an- thera sesquilongiore. Aliae notac illae e diagnosi sunt: in .J. flavissima pedicellus #. primarii brevior (sed in ipsissimis Ledebouri exemplis longior), in./. arenaria pedicelli variae longitudinis (quod de utraque valet), in priore tubus perigonii spatha brevior, in arenaria longior (quod verum tantum in spece. cultis hujus in herb. Ledeb. solito longius pedicellatis, in spontaneis mox brevior, mox paulo longior est). Laciniae in- in fige. J. arenariae apud Redouté Lil. V. t. 296., Bot. reg. t. 549., .J. flavissimae apud Jacquin Ice. pl. rar. t. 220.; emarginatae depinguntur in ./. arenaria apud Waldst. Kit. Ie. t. 57.). Laciniae exteriores et interiores ./. flavissimae a Ledebour obovatae di- cuntur, J. arenariae exteriores obovatoellipticae, in- teriores obovatocuneatac breviores et angustiores, ex nostra disquisitione autem in utraque sunt angustiores et breviores quam exteriores et cuneatooblongae, in figg. citatis varie exprimuntur et interiores obova- tocuneatae sunt in fig. /. flavissimae apud Jacquin, aequilongae ae exteriores in fig. /. arenariae apud Lindley. Filamentum, ex Ledebour, in J/. flavis- sima anthera brevius, in ./. arenaria sesquilongius, ex nostra supellectili in hac anthera minor et saepius brevior quam in illa, sed in utraque a filamento su- perata. Nec majoris momenti videntur characteres ab aliis autoribus ad utramque speciem distinguendam adhibiti. Lindley I. c., Kitaibelium transseribens nec no- minans (qui addit, scapum basitantum foliis vagimatum esse) J. flavissimam distinguit statione humida fontana, inflorescentia seriore, scapo folio superante. Sed et Lindley et Kitaibel scapum talem et /. arenariae adscribunt, In nostris specc. spontaneis jam sub an- thesi saepissime folia superat in J. arenaria, illis brevior in /. flavissima, ubi post anthesin longior. Roemer et Schultes Syst. IL 464. diagnosin Vahlii in J. flavissima adhibent: scapo bifloro foliis longiore, spathis longitudine tubi, Kitaibelianam in J, arenaria (p. 463): scapo bifloro foliis ensiformibus breviore, flore superiore abortiente (sed hoc minime semper). Baker 1. e. 1876.710 denique . arenariam W. K. inter omnes barbatas excellere dicit rhizomate tenui longe repente et foliis angustis, sed .J. flavissi- mam non cum illa, sed cum ./. lutescente comparat. Folia J. flavissimae describit ?, —?/, une. lata, sub anthesi !, ped. longa, illa J. arenariae 7, — ?}, unc. lata, 3 — 4 unc. longa, quod et cum nostris optime convenit. Qua ex expositione signa ad J. arenariam W. K. distinguendam supersunt tantum: rhizoma duplo tenuius subaequale, inter fasciculos steriles et caulem flori- ferum magis elongatum, statura (pl. spontaneae, sed teriores emarginatae ./. flavissimae revera in utraque | minime cultae) fere duplo humilior, folia angustiora, 533 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 534 ————————@ 0e fasciculi steriles jam sub anthesi flores superantes. Timo haec signa omnino valent tantum hine de planta lun- garica, illinc de planta asiatica J. flavissimae, nume- rosa vero spece. ambigua inveniuntur. Rectius igitur erit, J. flavissimam plantam pratensem locis humidio- ribus habitantem, J. arenariam stationibus arenosis, et legitimam quidem arenae mobili simulque limiti oc- cidentali speciei propriam habere, unde sequitur poste- riorem in horto cultam in priorem sensin transire, quod revera probatum videtur. Statione sicca arenosa rhizoma elongatur, totaque planta minor caulesque flo- rentes nani fiunt. Planta alpina, in fl. altaica et baicalensi-dahurica hue ducta, sistit J. Potanini m. 29. J. Bloudowi Ledeb. FIL. alt. IV. 331. Ic. fl. ross. t. 101. F1. Ross. IV. 102. Baker L. e. 710. Rgl PI. Semen. n. 1035. J. flavissima B. umbrosa Bge in Ledeb. F1. alt. I. 59. Altai (Ledebour, ali) ad Markä (Potanin); Son- garia (Karel. Kiril n. 456) montibus Tarbagatai, Ka- ratau et Alatau cis fl. Ili (Schrenk) et trans Ili, altit. 6500 ped. (Semenow); Turkestania orientali: variis locis districtus Kuldsha et alibi (A. Regel, Fe- tissow, ali); Mongolia: declivitate boreali Thian- schan (Potanin). Inter specc. normalia ab A. Regel ad Chorgos, alt. 5—6 mill. ped. lecta adsunt nonnulla maxima, fois s0- lito multo longioribus (pedalibus), sed non latioribus, caulem interdum superantibus, et alia, usuwm triflorum sistentia : spatha 3— 4-phylla, passim 3-flora, foliis scapoque normalibus. Convenit cum praecedente fasciculis foliorum basi vaginis aphyllis abbreviatis circumdatis. An revera ab J. flavescente specie distincta sit, dubito. Fortasse tan- tum forma ejus robusta, ita ut J. arenaria ejus var. depauperata. Bunge, vivam observans, non pro specie distincta agnovit. Capsulas vidi 2, alteram dehiscentem spec. alata- vici a Schrenk lecti, alteram ab A. Regel missam. Prior spatha plus duplo longior, pedicello 8 mill. longo fulta, elliptico-triquetra 6-costata utrinque acuta, pe- rigonio emarcido coronata, usque ad basin aperta, 5 : 2 cent. magna, posterior 15:10 mill. magna, sed non complete evoluta. Valvae utriusque fere membrana- longa, ovoidea, rugulosa, atra, ad hilum caruncula spongiosocarnosa pallidiore instructa. 30. J. scariosa W. in Spr. Schrad. et Lk. Jahrb. 3.71.s.n. /. biflorae in sched. Pall. Ledeb. FI. Ross. IV. 104. J. glaucescens Bge in Ledeb. FI. alt. I. 58. Ic. pl. ross. IT. t. 102. F1. Ross. IV. 102. Baker L. c. 708. Rgl PI. Semen. n. 1034. Mongolia: valle arenosa secus pedem borealem jugi Thian-schan (Potanin: fl. flavescente et ibidem f. cya- neo); Songaria, Alatau cis Hi, alt. 2500 ped. (Seme- now); Zurkestaniae districtu Kuldsha, à #. Ili boream versus in fauce Koibyn (A. Regel); Sibiria altaica: Altai (Salessow) inter Barnaul etLoktjewsk(Schrenk, Bunge), ad Ust-Kamennogorsk (Schangin), prope Semipalatinsk (Schrenk), Noor-Saisan (Ledebour), desertis ad Ischim (Schrenk); deserto Æirghisico: ad litus orientale m. Caspici (Karelin), ad ostia Wolgae (idem) prope Astrachan (Blum). À praecedentibus foliis fasciculorum omnibus lami- nam ferentibus, corollae tubo multo longiore et spa- thae phyllis magis elongatis laxis subcorrugatis, nec non flore saepe caeruleo, distincta. Corollae tubus apud Ledebour ovarium parum superans dicitur, sed ovarium apice elongato-attenuatum describitur, 1. e. corollae tubus supra ovarium farctus, sursum vero Ca- vus est. Capsula ignota videtur, juvenilis (a Potanin lecta) illi praecedentium duarum similis, apice tamen longius attenuata. J. scariosam W. ad im. Caspicum provenientem, a Bakero 1. c. 740. infauste ad /. aphyllam L. ductam, equidem ab ./. glaucescente distinguere nequeo. Nam corollae tubus in ipsius Ledebouri exemplis neque Spatham superat, neque longior est quam in ./. glau- cescente, caulis vero, in specc. hb. Fischer ab üisdem collectoribus ac in hb. Ledeb. acceptis, jam ill J. glaucescentis aequilongus occurrit. Var. Eulefeldi (sp. pr. Rgl Gartenf. 1878. 325. t. 954.). Caule pedali, foliis duplo usque latioribus, spa- tha rarius 3-flora, flore !/, majore. Turkestania orientali, districtu Kuldsha, variis locis (A. Regel, Fetissow). Icon J. Eulefeldi Rgl, ad plantam ad rivulum Talki jugi Thian-schan ab A. Regel collectam et etiam vi- van transmissam, confecta, ab omnibus fere exemplis ceae, transverse reticulatae. Semina in utraque 4 mill. | eodem aliisque locis decerptis, differt spatha brevi 535 Bulletin de l’Académie Empériale 536 A obtusa et inflata et foliis solito magis rectis obtusis et viridibus, quae in spontanea glauca sunt. Spontanea vero omnia signa ./, glaucescentis ostendunt, praeter folia 4— 11 lin., neque 3—4 lin. lata caulemque al- tiora et florem nonnihil majorem. Color forum et in typo valde variat, conf. icon Ledebouri cum de- seriptione Bungei in fl. alt. I. 59., Potanin flavescen- tem.et cyaneum, A. Regel ad fl. Suidun profunde azu- reum legit. Spathae, ut in typo, vulgo lilacinae, mem- branaceae, laxae subcorrugatae v. rarius ventricosae. Capsula matura spatha duplo longior, fere sessilis, us- que 8 cent. longa, 18 mill. crassa, obtuse triquetra, 6-costata, basi attenuata, apice parte dimidia farcta tubi rostrata, coriacea, nunc nondum aperta. Semina 8—9 mill. longa, 4 mill. lata, oblique obovata v. sub- pyriformia, testa profunde denseque corrugata atro- castanea (recens vero laevis herbaceocarnosa, 4 — 1 mill. crassa), hilo parvo ovali pallide brunneo. Em- bryo teres linearis centralis, dimidium albuminis lon- gus, fere 5 mill. 31. J. Korolkowi Rgl Gartenfl. 1873. 225. t. 766. E Turkestania loco speciali non indicato misit rhi- zomata, e quibus in horto Petropolitano educata fuit, Korolkow. Rhizoma 1. c. non describitur, capsula nondum nota est. 39..J. Alberti Rgl in Act. h. Petr. V. 260 et Gartenfl. 1880. 33. t. 999. Turkestania orientali: cirea urbem Wernoje variis locis (Fetissow, A. Regel, Kuschakewicz). Flore minore, ungue laciniarum interiorum distincto lineari et stigmatum cristis ab J. germanica L. differt. Adnot. J. germanica L. ante oculos est culta, in urbe Samarkand ab O. Fedtschenko collecta. Ad eandem pertinet, pl. in Himalaya occidentali culta à Thomson missa, s. n. J. florentinae distributa, et specc. herb. Roylei s. n. J. nepalensis Royle NI. t. 90. cum ? distributa, spontanea affirmata. Sed Ba- ker IL. ec. 774., etsi ad J. germanicam ducit J. nepa- lensem Wall. in Bot. reg. t. 818. (nec Don), patriam nominat tantum Æuropam centralem et australem. 33. 1. stolonifera. Rhizomate brevissimo ad collum reducto, fibris radicalibus elongatis carnosis paucis, collo stolones squamatos longos horizontales emittente; fasciculis sterilibus nullis; caule forifero solitario basi vaginis vetustis in fibras solutis recentibusque 3 aphyl- lis, foliis ad 6 lineari-ensiformibus caule brevioribus; spatha 1 terminali 3-phylla phyllis laxis ultra medium membranaceis lanceolatis exteriore acuminata; flore subsessili, tubo e spatha vix exserto ovarium aequante, laciniis exterioribus obovatis obtusis caeruleis barba- tis interiores angustiores superantibus, stigmatibus cuneato-oblongis cristis oblique ovatis crenatis subcon- tinuis, anthera filamentum subsuperante; capsula (im- matura) elliptica triquetra 6-costata. Turkestania : valle #. Sarafschan, fauce Ssangy Dshu- man, alt. 35—7000 ped. (0. Fedtschenko). Rhizomate digitato-tuberoso in mentem vocat {/er- modactylum tuberosum, sed capsula 3-locularis placen- tis centralibus et sepala barbata neque glabra. Unica Ireon species, quod sciam, fasciculis sterilibus nullis secus caulem florigerum. Primo obtutu tales quidem deesse videntur et in 1, tuberoso, sed attentiore exa- mine adsunt 1-phylli vaginis propriis basi circumdati, arctissime cauli florigero approximati. Praesentià sto- lonum J. stolonifera inter omnes peculiaris. J. kuma- onensi non absimilis, sed major et folia longiora. Sesquipedalis. Tubera brunnea ultra 4-pollicaria, basi 8 mill., apicem versus 3 mill. crassa, apice ipso rotundato saepe iterum, minus tamen, incrassata, fib-. rillis paucis filiformibus. Stolones carnosi ad 3-polli- cares, e collo inter vaginas vetustas, pennam corvi- nam v. fere anserinam crassi, vaginis 3 — 5 laxe am- plectentibus hyalinis lanceolatis acuminatis obsessi, sed non obtecti. Folia 5—11 mill. lata, longissima 29 cent. longa, striata, tenuia, in sicco lutescentia, sen- sim acuminata, parum eurvata. Folium breve in me- dio caule, ad spatham longe non attingens. Caulis pro- funde sulcatus, 3 mill. crassus. Spatha 55 mill. longa, phylla statu complicato 10 mill. lata, striata, interiora obtusiuscula, intimum paulo brevius et angustius, ex- timum à sequente interdum internodio 6 mill. longo sejunctum. Peduneuli vix 2— 4 mill. Ovarium 16: 2 mill., apice paulatim abiens in tubum vix tenuiorem, ultra 15 mill. longum, superne subinfundibuliformem. Limbus fere 50 mill. longus, laciniae exteriores 20 mill, latae, secus unguem et paulo ultra barba flava densa e pilis clavatis acutiuseulis ornatae, interiores circa 40: 16 mill., ni fallor oblongoobovatae, sed apex abruptus. Stigmata 32 mill. longa, ad basin cristae # PRÉ RE re n {: 537 9 mill. lata, cristae laciniis 8 : 4 mill. magnis, labio inferiore depresse rotundato fere truncato. Anthera utrinque attenuata, 14: 2 mill. magna, filamento parte libera 7 mill. longo latior, ochroleuca. Perigonium ve- tustum spiraliter tortum, in capsula 37 mill. longa, 15 mill. lata adhuc persistens, capsulam apice tubi demum probabiliter rostro instruens, capsulae parietes tenues, vix coriacei. Semina nimis immatura. Adnot. de Pogoniri. Supra, in adnot. ad Apogones jam de J. Regeli ad seriem naturalem 4. {enuifoliae et de J. gracili ad seriem ./. ruthenicae quoad totum habitum pertinentibus disserui. Quibus duabus exclu- sis, reliquae Pogonires, excepta sola .J. stolonifera om- nino peculiari, inter se satis convenire videntur fibris radicalibus crassis carnosis, rhizomate pl. v. m. crasso, foliis ensiformibus, tubo perigonii majore parte farcto, capsulae rostrum demum vulgo efficiente, capsulae trigonoellipticae ubi notae parietibus tenue coriaceis v. submembranaceis, seminibus non angulatis. Rhizoma, ubi tenuius, v. gr. in ./. flavissima, fere aequale, ple- rumque tamen inaequale vel, ubi crassum, moniliforme, articulis arcte cohaerentibus diuque vivis, etsi saepis- sine innovationes non amplius proferentibus. In paucis v. gr. J. Potanini, J. pandurata, J. Tigridia rhizoma sat alte vaginis foliorum vetustis velatur, ut in Apogone, in plerisque vaginae vetustae mox destructae rhizoma nudant, ita ut totum laevigatum in conspectum veniat. Innovant omnes apice antico rhizomatis ejusque ramo- rum eodemque omnino modo ut et Apogones. Ita v. gr. in./. acutiloba C. À. Me y. v./. iberica Hoffm. rhizomati carnoso insident turiones bulbiformes, postici florituri, antici foliiferi, ex axi minuta depressa et vaginis statu recenti carnosulis, folia v. caulem futurum foventibus, et in centro fasciculi sterilis invenitur bulbus juvenilis caulis futuri, e squamis aphyllis carnosulis composi- tus. Talis structura omnino eadem ac in bulbo sic dicto Gladiolorum, ea tantum cum differentia, quod rhizoma Gladioli vetustum citius destruitur et igitur brevius, nempe patelliforme fit. Quum in Apogonibus, tu in Pogonireis floret igitur semper axis secundaria, primaria enim rhizoma constituit. Adest series Pogonireon, ubi vaginae omnes lamina termimantur. Ita in tribus supra enumeratis, ubi va- ginae vetustae diu et alte persistunt, et in J. scariosa, aequiloba Liedeb., pumila L., Chamueiri Bertol., ubi des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 538 citius evanescunt. Reliquae nostrae vaginas externas aphyllas gerunt. Sect. 6. Evansia Baker 1. c. 1876. IT. 36. Salisb. gen. pr. Folia linearia, crista perigonii integra. 2. » ensiformia, crista fimbriata. 8. 2. Spatha 1-phylla 1-Hora, folia membranacea. J. gracilipes A. Gray. » 3-phylla 2-fora, folia subcoriacea . ... J. speculatriæ Hce. 3. Caules simplex, flores azurei J. tectorum m. » ramosus ramis plurifloris, fl, albidi.... J. japonica Thbg. 34. J. gracilipes À. Gray, Bot. Jap. 412. Franch. Savat. En. II. 41. Baker L. c. Hime sjaga, Soo bokf. IT. 11 (mediocris). Japonia borealis: Nippon prov. Nambu (Tschono- ski), Yezo, circa Hakodate (Wright, Albrecht). Flores caerulei, teste Gray, lilacini, fide Baker, crista laciniarum exteriorum perigonit tenuis glabra. Folia flaccida, membranacea, 6—8 mill. lata, extima ad vaginas reducta. Spathae 1-valves 1-florae pedun- culatae, fuscae, 15—18 mill. Species gracilis, rhizo- mate repente demum laevi terui elongato ramoso, ra- mis longiuseulis in fasciculos steriles et caules spitha- maeos usque pedales, parce foliatos 2—3-floros abe- untibus. Flos cireiter sesquipollicaris. 35. J. speculatrix Hance in Trim. journ. of bot. 1875.196,1876.75. Baker I. c.et in Bot. mag. 6306. China australis: Hongkong (Ford, commun. Hance). Pictura floris inter nostrates omnino paradoxa. La- ciniae perigonii exteriores lilacinae, ungue albo macu- lam obcordatam atropurpureo marginatam ad basin laminae gerente. Crista flava integra. Laciniae inte- riores breviores stigmataque apice lilacina. 36. J. japonica Thbg. in Act. Linn. IL. 327. Miq. Prol. 305. Franch. Savat. L. c. 41. Baker L. c. 37. J. squalens Thbg. FI. Jap. 33. — non L. J. chinensis Curt. Bot. mag. 373. J. fimbriata Vent. Descr. h. Cels. t. 9. Red. Lil. t. 152. ÆEvansia chinensis Salisb. in Trans. hort. soc. I. 303. Æ. fimbriata Dne in Bull. soc. bot. de Fr. XX. 302. Siuga, Kaempf. Am. exot. 872. 500 bokf, IL. 10. Japonia media et australis: Yokohama, Kamakura, ad margines et in silvis vulgaris, fine April. f., Yo- koska in collibus umbrosis (Savatier!), Simoda (Yol- kin); Nagasaki (Oldham n. 357.) locis umbrosis sil- vae ad latera m. Yuwaya frequens, Nomosaki (Buer- 539 Bulletin de l'Académie Hmpériale 540 ger!); China media borealiori (Fortune! n. 41. à. 1846.) Diu in hortis nostris colitur. 37. J.tectorum Maxim. in Bull. Acad. Pétersb. VIT. 563. et in Rgl Gartenfl. t. 716. Bot. mag. t. 6118. Fr. Sav. L c. 41. Baker 1 c. 37. J. cristata Mia. Prol, 305, nec Sol. J/. tomiolopha Hance in Trim. Journ. bot. 1872. 229. J, chinensis Bge Enum. Chin. n. 359, nec Curt. /. fimbriata Klatt in Linnaea XXXIV.619.quoad spec. Bungei citatum. Z{chi hatsu, Soo bokf. IL. fol. 3. (opt.). Nippon: cirea Yokohama et Kamakura, ad agrorum margines et in tectis stramentitiis, init. Maji f. China occidentali: prov. Schensi frf. et Kansu fl. legit Pia- sezki; in hortis Pekinensibus colitur s. nom. Schui- lan (Bunge, Tatarinow, Bretschneider). Fructus, quos olim J. tectorum attribui, non ad il- lam pertinere nunc persuasus sum ex spec. fructifero a Piasezki allato. Capsula in hoc exemplo oblonga, ultra bipollicaris, apiculo brevi crasso (basi tubi pe- rigonii) coronata, peduneulo crasso ?/, poll. longo fulta. Capsulae parietes et dissepimenta tamen destructa et semina elapsa. — Klatt miro modo hanc speciem tan- tum ante oculos habuisse videtur, . fimbriatam (JT. japonicam) describens. Adnot. ad Evansiam (ad quam a Decaisne, 1 in- fra citato, ducitur etiam Sect. sequens). Rhizomata im variis speciebus accuratius adhuc examinanda. Ita v. gr. in J. japonica, J. lacustri et J. cristata rhizoma tuberosum (?)emittit stolones, vaginarum basibus dense squamatos, stipitatos, ascendentes, in folia pl. m.nume- rosa, dense disticha, late ensiformia abeuntes. J. tecto- rum rhizomate crasso carnoso, fasciculis sessilibus gau- det. J. dichotoma foliis distichis numerosis excellit, rhizomate brevi stolonibusque sessilibus instructa, cae- spitem densum sistit ex articulis brevibus intricatis, in quos rhizoma tunc demum solvitur. Perigonii limbus post fecundationem ad laminas im- flexus, ad ungues spiraliter contortus, inter signa generis Ævansiae a Decaisneo receptus, plus vel mi- nus distincte observatur etiam in J. sambucina L., J. flavescente Red., J. variegata L., J. scariosa W. (glau- cescente Bge), J. Bloudowi Ledeb., J. flavissima Pal]. (J. arenaria W. Kit., etiam ex Baker in Gard. chron. 1876.IL. 710.). Non occurrit in J. sibirica L., J. Pseu- dacoro L. Sect. 7. Pardanthopsis Hance in Trim. Journ. of bot. XII, 104. 38. J. dichotoma Pall. It. IL. App. 716. t. 1. f. 2. Sweet, Brit. F1 Gard. t. 96. Bot. reg. t. 246. Bge Enum. n. 357. Hance I. ce. Baker L. c. 615. Pardan- thus dichotomus Ledeb. FI. Ross. IV. 106. Ævansia dichotoma Dne in Bull. soc. bot. de Fr. XX. 300. «Abundat in rupestribus apricis totius Davuriae transalpinae ab Ingoda ad Argunum» (Pall. 1. c.): ad Ingodam fl. (Sedakow), in campis Nertschinsk (Tur- czan.), inter Tscholbutschi et Argunski ostrog in pa- ludosis prope lacum (Pallas); Mandshuria: ad Amur superiorem; Mongolia orientali: ad tractum mercato- torium (Kirilow)etaustrali: a Zaghan-balgassu boream versus (Ladyshinski), Siwan-tze (Artselaer), in denudatis argillosis montium Muni-ula (Przewalski); China boreali: in montibus circa Pekinum frequens, Yin-shan (Bretschneider), in ipso muro magno (Bunge), In-schan (Tatarinow), alpe Siao-wu-tai- shan (Hancock); circa urbem Tschifu (Forbes ex Hance). De flore hujus speciei dicit Ker in Bot. reg. I. c.: flos post meridiem tantum aperitur, ante noctem colla- bitur limbis introvolutis, unguibus spiraliter contortis, Bretschneider in schedulis: flores plantae 3 — G- pedalis teneri, suaveolentes, intus violacei v. brunneo- tincti, nocte contorti, ita ut mane fl, nulli aperti sint. Pallas fl. violascentem describit, Messerschmid rub- rum, Sweet ex brunnescente violaceum. Hance J. dichotomam e seminibus prope Zschifu collectis vi- vam observavit et florem statuit inodorum, circa ter- tiam post meridiem horam apertam, abeunte sole mox emarcidum, stigmatum lacinias simplices. Has equidem saepius etiam simplices observavi. Color forum et stig- matis laciniae igitur variabiles sunt, flores vero ves- pere aperiuntur. Decaisne 1. c. 302. tamen Æ, dichotomae suae ad- scribit flores «diutinos» dilute caeruleos et stigmatum lacinias alte bifidas, et novam proponit speciem: Æ. vespertinam Dne ibid. 301. flore vespertino, laciniis externis sordide transverse lineolatis, internis purpureo punctulatis, stigmatis laciniis acuminatis integris distin- guendam, ditione Pekinensi in saxosis prope Jehol a David lectam et horto Parisiensi cultam. An eadem? Nam J. dichotomam an simul florentem observaverit 41 non dicit auctor, flores vero sunt neque diutini, ne- que diurni. Capsula /. dichotomae subteres cylindrico-oblonga obtusa, tenuiter elevato-G-costata, basi breve attenuata, 23—50 mil, longa, 7 —8 mill. lata, demum ultra me- dium dehiscens. Valvae chartaceocrustaceae, transverse laxe reticulatae, septa auferentes. Semina 2-seriata opaca brunnea, 6 mill. longa, nucleo fere globoso 3 mill, longo, testa minute corrugata utrinque in alam crassiusculam pellucidam, 1,5 mill. q. exc. longam protracta. Qua seminum structura et pedunculis cum ovario articulatis satis distincta videtur, ut cum Hanceo pro sectione propria habeamus, ad quam tamen for- tasse revocanda erit et J. japonica Thbg., etiam pedi- cellis cum ovario articulatis, sed flore diurno instructa (versus horam decimam aperto, quarta post meridiem clauso, ex Ventenat), cujus fructus tamen nondum notus videtur, neque a me loco natali unquam visus est. Quod autem si ita se haberet, nomen Ævansiae pro his duabus retinendum, pro reliquis vero sectionis hujus, pedicello continuo gaudentibus, novum nomen ponendum esset. Species quoad sectionem dubia. 39. J. Maacki. Elata, foliis ultra bipedalibus ensifor- mibus; caule tereti apice ramoso multifloro, cum foliis abbreviatis ad bases ramorum; spatha pluriflora; cap- sula in pedunculo crasso triquetro breviore nutante cylindricooblonga subtereti obsolete triquetra elevato- sexcostata apice subito attenuata in apiculum crassum callosum styli conum brevissimum superstitem emit- tente; seminibus compressis acute angulatis testa ex- terna lucida minute granulata castanea supra internam opacam atram laxa spongiosa. J. Pseudacorus Rgl f. Usur. n. 490, non L. Mandshuria: ad decursum medium fl. Usuri, ex adverso ostii fl. Ima (Maack). J. Pseudacorus L., in Sibiria a nemine recentiorum observata, caule sulcato, pedunculis tenuioribus, cap- sula breviore (60 : 20 mill.), apice longius in rostrum gracilius attenuata, basi vulgo rotundata, distincte tri- quetra, faciebus profunde concavis, angulis obtusis secus suturas profunde sulcatis, costis non prominen- tibus abunde distincta est. Semina matura statu recente cinnamomea laeviuscula opaca, compressa, obtuse an- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 54? gulata, ultra 7 mill. longa et totidem fere lata, testa carnosa, interna tenui sordide lutea. Caulis J. Maacki penna anserina erassior, farctus. Costa foliorum non prominens (in /. Pseudacoro vulgo prominens). Peduneuli e spatha terminali 4, e laterali 3, capsula plus duplo v. multiplo breviores. Capsulae in pedunculo sub angulo recto fere nutantes, 6 — 9 cent. longae, 15 — 18 mill. crassae, seminibus etsi maturis nondum dehissae, parietibus, ut videtur, magis firmis coriaceis. Semina fere 7 mill. longa, fere 5 mill. lata, 1,75 mill. crassa, lateribus margineque planis, angulis igitur acutis. Emend. ad fase. IT. Loco Lonicerae reticulatae m. lege L. venulosa m., ne commutetur cum Z. reticulata Champ. Über die Münzen der lieke oder ehemaligen Chane von Turkistan. Von B. Dorn. (Lu le 18 mars 1880.) Es ist schon oft von verschiedenen Gelehrten dar- auf hingewiesen worden, von welcher Bedeutung die Münzen für die Geschichte sein künnen, sofern sie uns oft sichere Anhaltspuncte z. B. Namen und Jahres- angaben bieten, welche wir in geschichtlichen Werken vergebens suchen. Ich will für die Richtigkeit dieser Annahme hier einen Beleg in Bezug auf die Ge- schichte der Ileke mittheilen, welche vom Ende des Aten bis gegen Anfang des 7ten Jahrhunderts der Flucht, etwa von 990 — 1212 Chr. erst in den Lan- den von Kaschghar, Belasaghun, Uzkend, Choten u. a. bis nach China hin, und nach dem Sturz der Samani- den ï. J. 389 — 999 in dem heutigen Turkistan nach seiner ganzen Ausdehnung, in Buchara, Samar- kand, Ferghanah u.s.w. regiert haben. Die in diesem Belege enthaltenen Mittheilungen werden von einem künftigen Bearbeiter einer Geschichte der in Rede stehenden Herrscher nach ïihren verschiedenen Ab- zwWeigungen nicht ohne Nutzen zu Rathe gezogen wer- den künnen. Denn dieser Theil der. Musulmanischen Geschichte bietet bei den mehr oder minder ausführ- lichen, oft fast nur angedeuteten Angaben und Ab- handlungen, welche ich eingesehen habe, von De- 543 Bulletin de l’Académie Impériale o44 ———————— guignes'), Klaproth”), Fraehn”*), Kasem-Bek”), Hammer”), Vullers und Raverty “) namentlich hinsichtlich der Chrono- logie und anderer Puncte noch viele Dunkelheiten. Wir kennen von mehreren Herrschern weder ihre Musulmanischen Namen, noch ihre sie näher bezeich- nenden Titel und Zunamen, noch die Zeitdauer ihrer Regierung mit genügender Gewissheit. Die morgenläindischen Geschichtschreiber sind in dieser Hinsicht durchaus nicht einig und ihre bezüglichen Angaben weichen nicht selten nicht nur unter einan- der, sondern auch von denen, welche wir den Münzen entnehmen künnen, so bedeutend ab, dass es schwer ist, das Richtige herauszufinden oder die Verschieden- 1) Histoire générale des Huns. Th. I, $. 253 u. II, $. 29, 2) Tableaux historiques de lAsie. 8. 129 u. 217; Atlas, Tab. 17 — 19. 3) s. Meyendor ff, Voyage d'Orenbourg à Boukhara. Paris. 1826, S. 313, und dazu Frachn, die Münzen der Chane, S.51, Aum. — Münzheft, X XXXI, 5. 162. 4) Hscabroranie 008 vas axe im gKypaars Muauer. Hapoys. Hpoesbunr, T. XXXI, 1541, $. 5) Geschichte des nan es Reiches, I, $.7 u. 566; IX,S. 263; Wiener Jahrbücher der Literat. Bd. 73, $S. 51. 87. 48. 53—4. 59; Ge- mäldesaal , IV, S. 107. 115. 129. 151. 136, 138. V.S. 5. 5— 7. VI, S. 171, wo eine Liste der Chane nach Muneddschim-Baschi mitge- theilt wird. 6) Mirchond’s Geschichte der Seldschuken, S. 8, 12). 7) Geschichte der Chalifen. 3 Bd. Anhanc. 8) Lettre à M. Jousseume d'Avignon. » » » Sawelief. 9) Zur Geschichte und Chronologie von Khwärizm. Wien. 1873; IL. S, 35: Über die türkischen F'ürsten von Transoxanien und Turki- stân (nach Ibn el-Athir). 10) Kapaxauwin 88 Magepannarph no rapuxn Mysexixunrs- Baron (in Tpyxs socroux. Orxbr. Hunep. Apxeorornuieckaro 06- ixercBa, . XVII. C. Il. 1874). 11) Geschichte Buchara’s. Stuttgart. 1873. 12) History of the Mongols. London. 1876 — The northern fron- tagers of China. Part TI. 15) Kashmir and Kashghar. London. 1875. Die von Raverty $S. 901 erwähnte «History of Kashghar, from the Tabcäti Näsari, ete.» befindet sich in dem «Report of a mission to Yarkund in 1873 under command of Sir T. D. Forsyth. Calcutta. 1875», S. 106. 14) The Tabakät-i-Nasiri. Fasc. IX & X. London. 1879. 5. 902 — 920. Neben Grigorjevs Werk die vollständigste Abhandlung über die in Rede stehende Geschichte. Ausser in den genannten Schriften findet man noch manche z streute und vereinzelte, gelegentlich oder absichtlich mitsgetheilte Nachrichten in den Sédrachten Geschichtswerken von‘ U tby, Abu’l- Feda, Mirchond, Ibn Chaldun, Hadschi Chalfa (chronol. Tab.) und den noch handschriftlichen von ‘Ainy, Muhammed b. ‘Aly es-Schebangarehy, Fasih, Schehrizadeh, Lary, Dschuwain y, u.a.; ferner in D’Herbelot u. a. deren nähere Nach- weisung einer ausführlicheren Behandlung des Gegenstandes über- lassen bleiben muss; s. Raverty à. a. O. ZCT- 5, Weil”), Soret‘), Sachau”), Grigorjev"), Vämbéry"), Howorth"®), Bellew“). heit der Angaben in Einklang zu bringen. KRegierten die genannten Fürsten allein, oder neben einander, hatten sich, wie das wahrscheinlich ist, kleinere Sonder- staaten mit eigenen Fürsten gebildet, welche mehr oder minder von einem in Kaschghar, Belasaghun oder sonst wo wohnenden Ober- oder Grosschan abhängig waren? Welche bezügliche Geltung hatten die Würdebezeich- nungen SL} (ELL}, SLT, El }, Cl RES: Qi? ?; vergl. Grigorjev, Hemszanmpia moHerbt, S.4—6,Sachau, $S. 11 undRaverty,S. 902. Aber auch die Erklärung der Münzen ist mit bedeu- BE > 3 GE See tenden, oft nicht zu bescitigenden Schwierigkeiten verbunden, schon ausser den erwähnten Umständen, durch die Thatsache, dass die Namen der betreffenden Ileke auf ihnen nur selten mit erwünschter Ausführ- lichkeit angegeben sind, und man sich auch mit dem einzigen Worte SIL) begnügen muss. Dazu kommt, dass auf ihnen viele Namen vorkommen, deren Träger wir wenigstens aus der Geschichte noch nicht näher kennen. Wer waren 7. B. gere tp Jef (a. 595), #1 JS 2? sul, EE (a. 399), ygore Q? UV a] Ne “ (a. 406), ), cr (ES (a. 412), y=sil CP yal (a. 413), ao EU. Je y er (a. 415), ne QD? S=39 (a. 417. 4277. 498. 30. 433?), (SJ pr (a. 419), LEE (a. 421), su D? Ge (a. 495), ai cp ep) (2482) 10: ar. Nichts destoweniger künnen die Münzen doch auch erwünschte So z. B. war es nach Sachau, $. 4 Schems-eddaulah Abu Nasr Ahmed ben pre der 1.. 3.389 der Samaniden-Herrschaft ein Ende machte; vergl. Ibnel-Athir, ed. Tornberg, IX,S.1.0 nach Raverty ($S. 903. V.) war es der Ilek-Chan Abu'l-Hasan Nasr ben‘ Aly. Nach den Münzen würde diese letztere Annahme die richtigere sein, oder viel- mehr, sie setzen uns in den Stand, beide Angaben in Einklang zu bringen. Die Münze aus Ferghanah vom J. 390 giebt die beiden Namen Nasr ben ‘Aly und Ahmed ben ‘Aly. Die beiden Brüder regierten also wohl wenigstens eine Zeitlang zusammen und unter- nahmen gemeinschaftlich den Feldzug gegen die Sa- maniden. Ein Geschichtschreiber schrieb also den Er- folg dem einen Bruder, ein anderer dem anderen Bru- der zu und beide hatten Recht. Da aber auf einer Münze von vom J. 389 der Name Nasr ben Aufklärung geben. o45 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 546 “Aly allein vorkommt, so war er doch wohl der ältere und gebietendere Bruder; erst vom J. 401 an regierte Alhmed allein. Nasr wird in den Zabakat-i- Nasiri. S. 52 ein Bruder des Grosschanes (4,5 ©) genannt, also gab es einen solchen, unter dessen Oberhoheit Nasr regierte. War dieser Grosschan etwa Xara-Cha- kan. .,welcher auf der Münze von 389 erscheint., oder wer sonst? Nach Raverty, S. 902 war es Ame. Von den oben genannten Gelehrten haben namentlich Fraehn, Soret und Grigorjev für die Geschichte der Ileke auch die Münzen zu Rathe gezogen und überdiess nur in einzelnen Fällen. Ich will daher hier ein Verzeichniss dieser überaus merkwürdigen Denk- mäler — s. Fraehn, das Muhamimedanische Miünzkabi- net, S. 33 — mittheilen, auf welchen sich Personen- und Städtenamen, oder eine sichere oder wenigstens wabrscheinliche Jahrzahl angegeben finden. Es ist also durchaus keine Aufzählung aller bis jetzt bekannten Münzen der Art mit ihren vollständigen Inschriften, welche man in den angeführten Schriften nachsehen kann, beabsichtigt. Man findet dieselben etwa bis zum J. 1850 in Frachn's handschriftlichem Münzheft, NV XXXI nicht selten mit erwünschten Bemerkungen verzeichnet, wo sich auch manche schätzbare Nach- weise über die Geschichte der Ileke überhaupt vor- finden. Ich habe also nur die seit dem angegebenen Jahre nôthigen Nachträge hinzuzufügen gehabt: s, Nova Suppl. S. 441 — 447, wo die Musulmanischen Dynastien aufgezählt sind, deren Münzdenkmiler auf dieselbe Weise wie die der Ileke zusammengestellt sind. Niemand wird diese numismatischen Urquellen ohne sonst kaum zu findende Belehrungen einsehen und benutzen. Die in dem folgenden Verzeichnisseangeführten Mün- zen sindalle von Kupfer oder Bronze;die verhältnissmäs- sig wenigen silbernen sind durch ein vorgesetztes R. be- zeichnet. Man wird nicht unbemerkt lassen, dass, wie es sich übrigens auch erwarten liess, die grüsste Anzahl solcher Münzen sich hier zu Lande und namentlich in St. Petersburg vorfindet, Ich lasse auf das Münzver- zeichniss noch eine kurze Liste der Ileke folgen, wie ich sie nach den oben genannten Hülfsmitteln und na- mentlich Fraehn's, Hammer’s, Weil’s, Sachau’s, Grigorjev’s und Raverty’s sehr schätzbaren und bis zu einem gewissen Grade mehr oder minder genü- genden Arbeiten mit Berücksichtigung der Münzen Tome XX VI. zusammengestellt habe, will aber ausdrücklich be- merken, dass diese Liste nicht im Mindesten auf Vollständigkeit oder Unfehlbarkeit Anspruch macht; solche künnte man allenfalls, wenn übrigens je, nur nach einem eben nicht leichten, tieferen Studium oder nach Auffindung der von Fraehn, die Münzen der Chane u.s.w.S. 52 (vergl. Zndications bibliographiques X 101 u. 102.) genannten und noch anderer Quellen zu beanspruchen berechtigt sein. Die eben genannten Gelehrten haben den Weg angezeigt, auf welchem man zu einer nach verschiedenen Seiten hin môüglichst voll- stüindigen und genügenden Lüsung der in Rede ste- henden Frage zu gelangen hoffen kann. Die im Laufe des Münzverzeichnisses angeführten Schriften sind: 1) Bartholomaei, 4" lettre à M. Soret. 2) Bergmann, v., Zur muhammedanischen Münz- kunde. Zeitschr. d. D. m. Gesellschaft, Bd. XXIIT, S. 249, 8) Erdm.—Erdmann, Numi Asiatici Musei Univer- sitatis Caes. Liter. Casanensis. P, 1. Casani. 1834 ; vergl. Berésine, Catalogue des monnaies et mé- dailles de l'Université Imp. de Casan, 1855. Mon- naies musulmanes, S. PI. 4) Fr. Rec.— Fraehn, Recensio ete. Petropoli. 1826. 5) — Nov. Suppl. — Nova Supplementa ad Recensio- nem ete. Petropoli. 1855. 6) — Novae Symbolae etc. Petropoli et Halis Sax, 18109; 7) — Numophylacium orientale Pototianum. Casani. 1813. 8) — Die Münzen der Chane vom Ulus Dschutschi’s. St. Petersburg. 1832. 9) — s. oben Geschichtsquellen, N 3). 10) — Das Muhammedanische Münzkabinet des Asiat, Museums der Kais. Akademie der Wissenschaften. St. Petersburg. 1821. 11) — XXXI. Handschriftlicher Nachlass. 12) Geitlin, Bescrifning üfver Kejserl. Alexanders- Universitetets i Finland Muhammedanska Mynt- samling. Helsingfors. 1862. 13) Grigorjev, Hensaanmpia Monerbt VirypeknxE BJa- xbasuegs Magepannarpa, in Vueu. 3annckn Kasans- caro Vansepcnrera. 1862. Sonderabzug. 1863. Die Benennung «Uigurisch» hat der Verfasser zu- 35 547 Bulletin de l'Académie Empériale rückgenommen; er nennt diese Herrscher Æara- chaniden (s. oben Geschichtsquellen, M: 10). 14) Inv. — Inventaire des monnaies orientales de l’In- stitut Asiatique. St-Pétersbourg. 1880. 15) Poole (St. L.), Catalogue of oriental coins in the British Museum. Vol. II. London. 1876. 16) Saweljev, Hyunsmarnaecxia 3ambrku, in Masberia Muu. Apxeozornueckaro O6mecrBa. T. III. 1861. S. 403—405. 17) Soret, lettre à M. Jousseume d'Avignon. 18) » » » » Sawelief. 19) » » » » de Bartholomaeï. 20) » » » » Fraehn. 21) » » » » Dorn. 929)T.— Tiesenhausen, Mélanges de numismatique orientale. 1875. 23) Tornberg, Numi cufici Reg. Numophylacii Hol- miensis. Upsaliae. 1848. Auch in der Eremitage befindet sich eine bedeu- tende Anzahl von Ilek-Münzen, deren ausführliches Verzeichniss aber noch nicht verüffentlicht ist; s. Brosset, in den Mélanges asiatiques, T. VIIT, 1879, S. 658. — Vergl. Defrémery, Journ. Asiat. 4" Sér. T. II. 1843, S. 283 u. Blau, Die orientalischen Münzen u. s. w. Odessa. 1876. L (4)') Nasr I. ben ‘Aly. a. 389. Kara-Chakan.….. DANS IEC il ER. é »»» 3B 1,5 I || 5 ebilée *) Rec. S. 589, Ÿ a, 1 (s. Grigorjev, S. 4). a. 390. Arslan Ilek. 2) Buchara. IL. (le + LE: à Juall Jose (? Elle) LL) QU sed] — 1) s. Liste der Chane. 2) Die Worte 4, Jel La werden in der Folge durch einen Strich (—) angezeigt. Rec. S. 122, X 1; vergl. À 2. (s. Grigorjev, Dr 10) Andere Münzen, auf welchen der Name Arslan vorkommt, s. zusammengestellt im Anhang. Nasir el-Hakk (-Chan), Wer war er?; s. Grigorjev, $. 5 u. Liste der Chane 1). 3) Buchara. IL. ,eL ssl R. A se nl ele Rec 5.123, 3. 4) Buchara. I. LI IL. ,Ul Qc Q? Ji Rec. $. 125, M 10. 21) Buchara. I. () lb»? » IL y EL) Rec. $. 125, X 11. 23—24) Fr. Numophyl. Potot. S. 34, 1, o) erwähnt noch zweier Münzen aus Buchara, deren eine auf II. d : TITRES -, die andere: SIL] ,5; s. Nov. ee 2 pas Suppl. S. 54, À 11, b. 25) Ferghanah. I. Âuss. R. Fa J>lall Oh » » IT. Ua D R AIRE , Q? 2 JY) | = SlL] Nov. Suppl. S. 54, À 11, d. Abu Sehuüdscha’' Salar ben Muhammed, 26) Aïlak. se Ole IE Jai) bot: Lé 551 Bulletin de l’Académie Empériale 552 R. yes à, Ou Lb5 all) EU » LT — Nov. Suppl. $. 54, M 11,c. Das Jahr ist nicht ganz sicher. a. 400. 97) Samarkand. I. Âuss. R. Je y? 2 sil 22 IT. Qle U? Jai R. é! QE y? 5 poil — Rec. S. 125, X 12. 28) Samarkand. IL. (le + ei El) Rec. S. 126, M 13; Erdm. S. 274, K 11. 29) Samarkand. L Je» IL gl ll El) Rec. S. 126, À 14; vel. X 18; Erdm.$. 274, X 2. 30) Buchara. IT. (le + ei Rec. $. 126, À 15. 31) Buchara. IL. SLI Rec. S. 126, K 16. 32) Buchara. I. LL » IL. wie À 31. Rec. S. 126, M 17; Inv. S. 158, À 4. 33) Usch. I. Inn. R. ei mel IL. dl R. A] le ue gai el — Fr. Numophyl. Potot. S. 34, 2. 0); Nov. Symb. S. 43, X 6. 34) Ferghanah. I. LL IT dy R. ë) de ep 2e mel — Fr. Nov. Symb. S. 43, À 7; Nov. Suppl. S. 55, Xe 17,2. Über in Soghd mit dem Namen Nasr geprägte Münzen, auf denen sich aber die Jahre der Prä- gung nicht bestimmen lassen, s. Rec. S. 127, X° 19; S. 140, M 74; Soret, lettre à M. Jousseume, $. 20, X 4, fig. 6; vergl. Fr. XXXI, S. 113. II. (5) Kutb-eddaulah Ahmed I. ben ‘Aly. a. 401]. 35) Samarkand. I. ua) Nov. Suppl. S. 55, X 18, a. > JL Rec. S. 127, À 20; s. Erdm. Tab. III, X V. 37)es-Soghd. I. (?) bb IT. (de ep Hal -) Rec. S. 127. M 21; vergl. Soret, lettre à M. Jousseume, $. 21, À 5, wo das zweifelhafte Wort auf I. lb gelesen wird. 38) Ischtechen. L Joel LB NET) e 5 R. 4) Soul hs Ab el) Jens] ve) — Rec. S. 128, N° 22; XXXI, S. 118; Erdm. S. 276, À 4. 39) Samarkand. I. ? le val IT. Je» El} ErXXXIS. 118. 6) Scheref-eddin Tughan? !) oder auch Ahmed ben ‘Aly? ? jlals 40) Buchara. IT. dj gl ,lll @ ,Ub) 20 Inv. S. 159, À 10. 41) Buchara. I. (élew IL dl ll E,kb) QE Rec. S. 129, X 25 u. S. 591. 1) Münzen von Tughan, leider ohne Angabe des ahres und des Prägortes findet man bei Grigorjev, S. 6, M III— IV. Erre- gierte von 403—408 oder 409. Sd ils ei Cr MS a. 407. Abu ‘Aly el-Husain ben-Mansur. 553 des Sciences de Saiut-Pétersbourg. 49)... L hs IL (de) y de) a, b; 48) Buchara. IT. wie X° 47. ro J Poole, S. 123, M 440; vergl. oben X 36. a. 405. ? sub dl sl) (lb) QEL s. Rec. S. 129, X 26; vergl. X 28, wo auf I. sn; die Münzen der Chane, S. 52, 431; Inv.S. 160, X 11—13. 43) Buchara. TJ. be IF, *# 44)Usch. I. doi 5 IL Qi g? Ja) 0 2 Rec. S. 128, X° 23. 45)es-Soghd. IL ?2QBB IT. Qle ep Sal LLE Rex a), il bs » » Rec. S. 128, M 24. a. 406. 46) Buchara. IT. dy Jos) Doll LEE s. Soret, lettre à M. de Bartholomaei, S. 32, À 80, wo die Münze — ob mit Recht? dem Txghan zu- geschrieben wird. (5°) u. (11) Saif-eddaulah Tschaghra (Tschaghyr)- Tegin. Abu ‘Aly el-Husain ben Mansur. 47) Buchara. IL al, oleise Ro Jés F4 QE (? sl) al a) — Erdm. S.281,M14: -.b,s; Soret, lettre à M. Fr. XXXI, S. 124; Erdm. S. 282, X 15. # PP" OSET dy Ale Ù ringsherum, oben:_,5 dl sus; links: 01) jo ; 49) R. Achsiket. I. unten: 4x. ETS rechts: de cb ce in dy au) Joss Je al, ol hs gb jt) ce Sel Obs R. é) a als 2e Asiat. Mus. (vom Fürsten A. W. Trubezkoi i. J. 1879 erhalten). Kutb-eddanlah; Beha-eddaulah (?). 50) Samarkand. IT. ,>Gl) Ré) al es OAI AT «Sous le règne de Toghan Khan». Diese Bemer- kung wird kaum richtig sein; s. oben Anm. zu Ne 40). Soret, lettre à M. Dorn,S. 31, N 47. Dasselbe gilt von der Münze aus «Balk?»; s. lettre à M. de Bartholomaei, S. 33, X 81. a. 408. ? jlals 51) Buchara. L. me IL gl C>)Ul) Ul J Erdm. S. 283, X 17. Es scheint, dass es dieselbe Münze ist, welche Fraehn dem J. 405 zugetheilt hat; s. À 43; Rec. S. 129, X° 28. a. 409 (429?). Saif-eddaulah (Eschaghra-Tegin?). Jousseume, S. 21, À 6: D usr; v. Bergmann, | 59) Kerminijah. I. d, ul) ce 5.249, À 15; vergl. Grigorjev, $. 7. Rec. S. 137, M 59; XXXI, S. 125. w! É w! Bulletin de l’Académie Impériale 556 III. (7) Aïslan-Chan I. (s. M 2 und Anhang). a. 410. 53) Chodschendeh. IL. ÿk Qu Rec. S. 130, X 30. Soret (lettre à M. de Bartholomaei, S. 33, N°: 82) erwähnt einer Münze von Ayrslan (aus Buchara), welche der vom J. 420 (Rec. S. 135, M 52) ganz gleiche. Er führt ferner eine Münze (aus Buchara ?) an, die auf I. den Namen + :$ 4 bietet; s. lettre à M. Jousseume, $. 22, M 7; vergl. Grigorjev, S. 10. a. 411. Ahmed ben Ilek. 54) Buchara. II. EL «y val » » Rec. $. 130, M 31; Erdm. $. 284, X 18; Inv. S. 160, M 12; Geitlin, S. 66, À 5. Fraechn (XXXI, $. 130) hat mehrere Exemplare dieser Münze in Händen gehabt, ohne das unten stehende Wort, welches verschieden erscheint und im Inv. S. 160, À 12 ? ,,s2. gelesen ist, zu entziffern. T. S. 21—2, M 56: jai (?) Jus. Vergl. Gri- gorjev, 5. 10. a. 412. Beha-eddaulah Tigha-Tegin. 55) Buchara. IL. à), 5M Les DS (ss Rec. $S. 130, M: 33; die Münzen der Chane, $. 52, NM 434; Erdm. S. 285, X° 19; Inv. S. 161, M 15. *x 56)es-Soghd. I. Lib IT. ill) élil) SLI Rec. S. 130, X 32. a. 413. Beha-eddaulah. 57) Buchara. IL. à), 9} Los Rec. S. 131, M 34 u. 37?; Soret, lettre à M. Jousseume, S. 9 23,XK 9 IV. (9) Arslan-Chan IL. (?) 58) es-Soghd. IL SLI QU Rec. S. 131, X 35. Ahmed ben el-Hasan (?). 59)I. (?) Leu IT. Le ol Q? Jal Rec. S. 131, À 36. ac es S. 10. a. 414. Beha-eddaulah Tigha-Tegin. 60) Buchara. I. In einem aus Puncten gebildeten Drei- eck: à, uj} Lys IL. JS LS Rec. S. 132, X 38; vel. À 39; Inv. 5.161, 16. a. 415. Beha-eddaulah Tigha-Tegin. 61) Buchara. I. wie auf M 60: al, of} Lo Rec. $. 132, X 40. Der Name Due Le auf IL. findet sich auf einer von Fr. (XXXI, S. 135) ge- sehenen Münze. Beha-eddaulah Tigha-Tegin, Arslan-Chan. d ol) ab pull aj pe) ie ÿX Leu 62) Buchara. I. (?)Jue Il. al, Lg 16292, 57. Beha-eddaulah, Arslan Ilek. 3) I ed] HU) aa) (Fr SL) Je il Rec. S. 132, X 41. Soret, lettre à M. Sawelief, S. 15 meint, die Mün- zen von_Arslan I. gingen nur bis zum J. 415; die Münzen von den JJ.427,428 seien nicht von 1hm. ARTE SE AA des Sciences de Saint. Pétersbourg. œ! Gt p à 557 Beha-eddaulah. Arslan Ilek, . .ka — Chan. TA =. D) 64) Buchara. I. àl, oi L IL Ko SLL) UE Rec. S. 133, X 42; das Muhammed. Münzkabinet, wo S. 124 I. der Münze abgebildet ist. (8°), 10) Kutb-eddaulah (Bughra Kara-Chakan”?). 65) ? 6e? il Âuss. R ré I1..R. » » : jai, à . Rec. S. 133, M 43. . eddaulah. 66) Kermineh. IT. il | ii ©) } yes Rec. S. 133, À 44. ‘Ain-eddaulah, Melik ben Mikal. Tanghadseh-Chan., 67) . Achsiket. L 4], gl +. R. JWe 1? élle -- II. »»» db pl) PR RUE Fr.die Münzen der Chane, $S. 52, X 433; Erdm. S. 288, À? 22, wo anstatt JlRe +» le. ile Je Mengeli Michal, und anstatt ? Llalal, OBB ... lb Tangh . .. Chakan gelesen wird. Nach Sachau, $S. 9, verlieh der Chalife el-Kadir Billah den Titel à), ge an Mamun ben Mamun von Chuärizm.. Aber wie käme der hierher? (? " ) pas à) oil Li JM le a. 416. 68) Buchara. I. SL] zwei Mal. II. SIL) Rec. S. 133, X 45; Erdm. S. 289, S.161,.N 18: N: 23; Inv. a. 417. Jusuf ben ‘Aly. Arslan, 69) Kutlugh Erku? (Ordu?. I. ou» IT. SIL CET R. A BL on DDDD — rec. S. 134, X 46. War Jusuf ein Bruder des Arslan I. oder siche- rer nach Grigorjev $. 9, der Musulmanische Name des Arslan? LE PE 70) Buchara. I. AL IL EU QU.) STE Rec. $S. 134, M 47; Inv. S. 162, X 19. lil IL 71) LS=9) le *p2 ci M 46, a. x Je Nov. Suppl. S. 55, 72) Buchara. I. oben: À , unten: 20e II Elle Rec. S. 135, X 50. a. 418. ar 73) Buchara. [. %)j (na Rec. S. 135, À 51 u. $S. 592; Inv. S. 162, X 25. Soret, lettre à M. Bartholomaci, S. 34. giebtan, der Name Zlek verschwinde auf den Münzen vom J.418an; demistnichtso. Er meint ferner (lettre à M. Jousseume, $. 17 u. à M. Sawelief, S. 33), die Münzen mit dem Namen Arslan bis zum J. 415 oder 419 künnten Arslan I., die von dem J.426 an Arslan IT. zugesprochen werden. Dagegen lässt sich viel einwenden; s. den Anhang. Soret erwähnt noch einer Münze von 418—419 aus Buchara mit ns Q? S=3 s. lettre à M. Dorn,$.32, X:48 —49. a 419%; Kilidsch Uka, Arslan, é& ISSN) Lh Oo Rec. S. 591, M 47,a; s. die Anmerkung zu der vor- hergehenden Münze. Fa 75) Buchara. Il. 4 SIL] Inv. $. 163, À 26; vergl. Rec. S. 592, M 52, à. 76) Buchara. IL SL) 560 559 Bulletin de l'Académie Empériale TT ——_—_— Rec. S. 135, X 52; Erdm. S. 282, À 24; Sa-|"Aly ben Muhammed. ‘AI ben el-Husain. Tanghadsch Bughra. S MUC 5. on 4; VIRUS unter a. 410. 86).... 424? I. M. inter. »» Je «y de co Ale 77) Dabusijah. I. LL 11. ll) dd Î] Fr. Numophyl. Potot.S. 35, M c); Erdm. $. 291, II. » » Ja D De si). 5. Cle ‘Aly ben el-Hasan (el-Husain). ie JS . R. dll es “ ol Ls ne D» D» — 78)es-Soghd. IL.(?) ,L » » ; ul Rec. S. 135, M 53; XXXI, S. 144. Dé & a 491. Schems-eddaulah Arslan-Tegin. 79) Buchara. II. dj Âuss. R. ocylleul AU) PE LI ne Saweljev, S. 404, X 5; vergl. unter a. 425. Terchan. 80) Buchara. I. LI II. LB, Rec. S. 136, À 55; Inv. S. 164, X 29. a. 428. Schems-eddaulah, Arslan-Iler. ie PE PC ESP Inv. S. 164, M 30; Rec. $. 138, À 63 u. $. 592. Schems-eddaulah Arslan Tegin. 82) Buchara. I. ä,oi Queë IL 6 ol. Poole, S. 125, N 446. a. 4247, Schems-eddaulah Arslan-Tegin, 83) Buchara. LR. 0 $ 0 Qu) o dl o (ei Gé SLI? Fr. XXXI,S. 147. Das Jahr scheint zweifelhaft, ob 414 oder 424; vergl. Poole, S. 126, X? 447. V. (8'),10) Ilchan Kutb-eddaulah Ms Bughra Kara-Chakan. 84) Kermineh, IL. R. yei, d, UN © hs Je “ei sh _ Rec. S. 136, À 56: XXXL, S. a cu Ne 65. Schems-eddaulah. Tanghadseh-Chan. 86) -2e I. de). IT LE bb Inv. S. 165, À 33 Rec. $. 594, X 84. 414120; Schems-eddaulah. Tanghadseh, 87) Buchara. I. ….i IL el al, y re] Rec. S. 592, X 60, a. Schems-cddaulah Arslan-Tegin. Tanghadseh. 88) Buchara, I ni II. Do» lib a, 6 ol e ) Fr. XXXI, S. 151; s. unter dem J. 424, À 85. Tanghadseh Bughra-Chan. ESA e Rev. S. 593, S. 139, Xe 67. ‘Aly ben el-Husain, Tanghadseh Bughra Kara-Chakan. 4 La) (3) 1,5 | 2 89) ... Las & V 83: ebenda vergl. M 82 und 90) Dabusijah. I. L Seb R. (70 ee (»») al, oil bs = Fr. Numophyl. Potot. S. 35, À 6; XXXI, $. 150: Erdm. $. 294, NX? 29, wo das Jahr 435 gelesen wird. ‘Aly ben Hasan (el-Husain ?), Tanghadseh Bughra Kara-Chakan, 91) Dabusijah. IT. dy 3 Qle Real a IPS ONE CHE UIS bb à M. Jousseume, S. 23, M 10 151 liest ssl). Dieselbe Münze Soret, lettre Fr. XXXI,S. wie À? 90 ? 561 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 62 a. 426. 99) Buchara. IL. dy Schems-eddaulah, Tanghadseh Bughra Kara-Chakan; s.a.424, Der 92) Buchara. 1. au) ges IL. Ft Fr. XXXI S. 157. 2 Be De Schems-eddaulah » » Hek, Ahmed ben Muhammed Mansur?, Rec. S. 137, M 60 u. S. 592; XXXI, S. 153. 100) Eine Münze in es-Saghanian geprägt ohne erkenn- bare Jahrzahl mit den Namen: a. 427 (ALT ? ). Fe AE IT. jyare? Arslan Ilek. Jusuf. NT Lust ? EL) » » J 93) Buchara. L SL} IL. AL] eee) S 2)» . ÿ TRE FR Ge Jal As dé ist angeführt in Rec. S. 138, À 64; XXXI,S. Rec. S. 134, M 47. 94) Buchara IL QU) IT dy 164; vergl. T. 5. 23, : 61. EM] FE 3 DE Rec. S. 591, M 47, b. | 101) Kesch. CE = dj el PA) a, 428. ub Juall ll Arslan Hek. AU MORE T. S. 23, À 59; vergl. À 60 (ohne Jahr): 95) Buchara. IL SL) Lu. 102) Kesch. II d Rec. S. 136, X 57. oh Arslan Ilek, Jusuf. Jp all (@) hs ot 96) Buchara. IL. SL) os Ds Rec. S. 136, À 58; Inv. $. 162, À 23. a. 432. cu Tanghadsch-Chan, Ibrahim. a, 4507 s. a. 435, \ 105. JeSn EAST an MIE 103) Soghde D lala r 1 ie Re € Ro re 97) Buchara. L @us IL QU UE OA] Rec. 139, À 66; XXXI, S. 160. Rec. S. 134, À 48; XXXI, S. 156. War Ibrahim (ben Nasr Arslan?) der Musul- Es manische Name des Tangadsch- Chan oder ein be- AOL. sonderer Fürst? ns Schems-eddaulah. a. 433? 98) Buchara. (a. 401!) L ,,…ë II. él] Jusuf ben ‘Aly. du) 104) Buchara. I. SlL) Rec. S. 137, M 61 u. S. 592; XXXI, S. 159; Qle Jr Sy Erdm. S. 275, X 8. Rec. S. 135, Ÿ 49. *X —— Tome XX VI. 36 563 Bulletin de l'Académie Impériale 564 a. 435. 110) Buchara. IT. 4 Tanghadseh (Tafkadseh) Bughra Kara-Chakan-Ibrahim DyS ben Nasr. Rec. $S. 549, X 4, wo anstatt 390 zu lesen ist 490. 105) ÆR. Buchara. I. Jus) null NÉ dJ 111) Samarkand. IL. >, dl Joss De Nov. Suppl. S. 216, À 4, a. DasJahr unbekannt. ebb dj el #ll = OL Ls Las roi OE 29 p)) s. oben Geschichtsquellen, X 3, Meyendorff, Voyage u. s. w. Andere Münzen mit dem Namen Zbrahim ben Nasr s. in Nov. Suppl. $S. 56, À 66, a.b.c. Die letztere in Buchara geprägte kônnte vom J. 433 sein; s. Poole, $S. 126, À 448. Nach Raverty, S. 905, XIT. war ein Zbrahim der Vater des Tafkadsch. VI. (14) Schems el-Mulk Nasr II. a. 462— 472. OO STE EU Rec. S. 141, À 80. TOP LME NTT 4 AÙ Le Juléll Soret, lettre à M. Sawelief, $. 35, X 48. VII. (16) Ahmed II. ben Chisr-Chan. a. 472—488. “BL Hell DES U? Jal Rec. $. 141, X 75. NS) VIII. (17) Mabhmud II. a. 490. Abuwl-Kasem, 109)... L auill Hi IL Cl D ee Rec. S. 139, À 68; XXXI, S. 166: 4e etib IX. (19) Muhammed ben Sulaiman, genannt Arslan (IIL.). a. 49e. J Der CL 57, X 89. ee Je es Nov. Suppl. S. 113) Ferghanah. TJ. LS Soret, lettre à M. Sawelicf, S. 34, X 47. Hicrher gehôrt auch wohl die jahrlose Münze pi Melik Sandschar, 6e QUOI ENT sas DIE LENS de Rec. 5. 139, X 70. X. (21) Rukn-eddunja weddin Kilidsch Tan- ghadsch (Tafghadsch})-Chan. a. )58. 115). Samarkand. 1. Jstll IL Jolall «la E gkib é e Rec. S. 594, X 86; Nov. Suppl. S. 248, X 86, a; XXXI, S. 167: dy 116) ÆR.? Ja) IL Ul ll Jolell Sal) _ poil, Rec. S. 594, À 85; s. Soret, lettre à M. Sa- welief, S. 36; — à M. Fraebn, $S. 19, — Das Jahr unbekannt. 565 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 566 XI. (24) Osman ? a. 410. a. 605? 9) Chodschendeh. II. LB Qi] 117) Samarkand. SlL} s. das Nähere über diese Münze in Nov. Suppl. — S. 249, X° 92. a. 413. de 3) es-Soghd. IT. élk) Li, Ungewisse Münzen. 4)? las. IT SE) s. Fr. XXXI, S. 168—175. Popusl) 5 Je) Tigha? - Tegin. — 118) Samarkand. LL LI e RE ACHETE .£ : GL 5) Buchara. L — LÉ A LA CHERE = Due al ol Ls ol il ob Rec. S. 140, X 71; XXXI, S. 172, wo auf einem se 5 Exemplar IL. M. »» à), ll ll: AE er EME AC en" IH QU — a), ul Le SIL} .] Togbrul-Chan. J - 119%. «IL os D JL 5 ne 7) Buchara. L dog) y IL Rec. S. 594, M 87. SIL) GE 120) IT: Jai = Jib a. 417. | ob ; 8) Kutlugh Ordu? L es IT. SIL] Nov. Suppl. S. 56, À 88. Ê : : Toghrul- Chan ist vielleicht der von Sachau, Te T F1 sl S. 40 erwähnte Toghrul-Chan ben Jusuf Kadyr- R. om, Li] Chan. G: Es fehlen also Münzen von den Jahren 391. 402| 9) Buchara. IT. SLI LU. und 403. 422. 429. 434; mit ausdrücklichen Jahren, Ce von 436 — 489. 491 — 557 und mit Ausnahme von | 10)... Ie a. 605?, von 559 bis zu Ende der Dynastie der Ileke cle > im Anfange des siebenten Jahrhunderts der Flucht. Rue) él Ich zweifele nicht, dass auch die fehlenden Jahre noch . zum Vorschein kommen werden. a. 419. ue = 11) L A5 II. ll) ANHANG. = TL (f,] Sue Verzeichniss der mit dem Namen Arslan versehenen Münzen. = 4. Pan: a. 421. 1) Buchara. IL R. SL) CI 12) Buchara. IL. R. o yS core lee 36% 567 Bulletin de l'Académie Impériale 568 —————— —_——…—…————…—…—…— …"—_ —_ _ —————…—…—…—…—— — ——…—…——…——…"“…—“…—…—…—aa— a. 425. 13) Buchara. IL. a), ul Qi IL Si Si 14) Buchara. IL. du ei I 4 QU) a. 424. 15) Buchara. L R. y Denis a. 425. 16} Buchara. IL (..i Te UE a. 427. 17) Buchara. IL AI LU LS 92 Ile SL} cols IT. (ES a. 428. He e Je SlL} ces 18) Buchara 19) Buchara. 20) Buchara. 430 (?). 21) Buchara. IL ALI LU, Nach Raverty, S. 904, VII kam Arslan I. i. J. 408 zur Regierung, (nach Muneddschim-Baschi 409) und verschwindet seit 410. Arslan IT. regierte von 423 an; ebenda, S. 905, IX. Nun finden wir Münzen aus den Jahren 390 u. s. w. und zwar 427. 428 mit dem Namen Jusuf (ben'Aly). Dieser letztere Name aber erscheint auch schon früher auf einer Münze vom J. 417 aus Kutlugh Ordu und dann auf in Buchara geprägten Münzen, Man wird durch diesen Umstand versucht anzunehmen, dass Arslan I. schon ï. J. 390 regiert und Arslan IL. die Regierung gegen 417 oder früher angetreten habe. Beiden werden von einigen Schriftstellern die Beinamen Scheref-eddaulah und Abu’l-Musafjer beigelegt. Und wer war denn ei- gentlich Jusuf ben ‘Aly? Nach Grigorjev, der Mu- sulmanische Name des Arslan. Und wie erscheint gy% ol auf Münzen von a. 421. 423. 424. 425? Regierte er mit oder unter seinem Bruder Arslan ?! Nur eine eingehendere Untersuchung wird diesen Wirrwarr entwickeln und die Arslan-Frage erledigen. Liste der Chane. 1)" Abdul-Kerim Satuk (3) Kara-Chan, (nach Abu’l- Feda u. À. 3. Sabak und 542 Schabak). Nach Bellew’s freilich nicht sicheren Mittheilungen über Sultan Satuk Bughra Chan Ghazi (+ 430 — 1037) müchte man ihn fast für den Ql ä FLE der Münzen halten. 2) Musa ben Satuk. 3) Schihab-eddaulah Harun ben Sulaiman, genannt Bughra-Chan, Herr von Kaschghar und Belasaghun bis zur Chinesischen Gränze hin. + 383 oder 384. (3°) Kadyr-Chan; s. Sachau, S.40 und unten 8). 4) Abu’ l-Hasan (Husain; $. M. 6) Nasr I. ben‘ Aly. 40., nach Raverty 403. Er wird von ver- schiedenen Berichterstattern gar nicht erwähnt. Münzen: a. 389. 390. 392. 393. 394. 397 — 399. 400. 5) Autb-eddaulal (Schems-cddaulah?) Abu Nasr Ah- med I. ben‘ Aly. + 40.; nach Einigen 403 oder 404. Nach Sachau regierte er von 383 — 403. Münzen: a. 401. 404. 405. 407. Wer mag der Ahmed ben Ilek sein, welcher auf einer Münze vom J. 411 genannt wird? Raverty lässt nach Musa, Ahmed, dann PBu- ghra-Chan, nach diesem Nasr folgen. Die von mir angenomimene Reihenfolge ist den Münzen ent- nommen. (5°) Saif-eddaulah Tschagra-Tegin; s. die Mün- zen von J. 406. 407. 409? und unten 11). Tughan- Chan ben ‘Aly. + 408 oder 409. Nach Sachau hat er von 403—408 regiert. Münzen (von oder unter ihm ? geprägt): a. 404, NX 40. 405, À 43. 406, X 46. 407, X 50. 7) Abu l-Musafjer Arslan-Chan I. ben ‘ Aly. Hinsichtlich der mit dem Namen Arslan verse- henen Münzen s. den Anhang. (7°) Aly-Tegin, genannt Llek-Chan, Verweser von Buchara und Samarkand. + 423? &) Kadyr-Clan IL. Jusuf ben Bughra Harun ben Su- laiman. + 423; s. oben (3). Kadyr Schreibe ich mit Grigorjev (KRaxbip) 6 — des Sciences de Saiïint-Pétersbourg. 570 qe und Bellew (Aadir); sonst wird er Aadr genannt. Raverty nennt ihn einen Sohn des Jusuf. (8*) Æutb-eddaulah u. s. W. Tanghadsch Bughra Kara-Chakan s. unter 10). 9) Scheref-eddaulah Abu Schudscha Arslan-Chan IT. Herr von Kaschghar, Choten u. s. w. + 439. Raverty nennt ihn einen Sohn des Bughra- Chan; Weil und Sachau, einen Sohn des Kadvr- Chan. Münzen: s. den Anhang. (9°) Schems-eddaulah Arslan Tegin , Arslan IL. Münzen: a. 421. 423—425. Schems-eddaulah, a, 424. 425. 426. 431. Malimud L. Bughra-Chan ben Kadyr- Chan. Nach Sachau von 423—439; s. (8°). Münzen: a. 415. 424. 495. 426. 485. (10°) Zbrahim ben Nasr?; vergl. die Münzen À 103 und 105. 11) Saif-eddaulah Husain Tschaghra-Tegin ben PBughra- Chan: s. (5°). Er wird von Einigen Dscha far (jar) -Teqin ge- nannt; s. dagegen Grigorjev, Kapaxanmbr, S. 2385, 35. Er heisst da Tschakyr (_5>); s. die Münzen aus den JJ. 406, 407, u. 409 (2), deren Prägjahre schwer mit der hier in Frage stehenden Zeit in Einklang zu bringen sind. 12) Zbrahim ben Mahmud Bughra-Chan. $. die Münze vom J.435, wo wir einen Zbrahim ben Nasr finden. Vergl. Poole, S. 126, X 448. Diesen Ibrahim führt Sachau (S. 37 u. 43) als Tufghadsch-Chan Abu'l- Musaffer Ibrahim ben Nasr Ilek mit dem Titel ‘Imad-eddaulah, der 460 starb, an. Vgl. Ibn el- Athir, IX, S.pii. Wenn man annimmt, dass vor Ibrahim S. ausgefallen ist, so stimmt die Angabe mit der Muneddschim-Baschis und kommt dem nächstgenannten Chane zu. 13) Imad-eddaulah Abul- Musafier Tanghadsch oder Tafkadsch-Chan, Sohn eines Zbrakim ben Nasr. Er kam nach Einigen im J. 440 zur Regierung. Raverty nennt ihn Zafkadsch (, lib), wie man Bruder des 10) sonst auch auf Münzen findet, und setzt seinen Tod in das J. 460. 14) Schems el- Mulk Nasr IT. ben Tafkadsch. + 472. s. Münze, X? 106. 15) Chisr-Chan ben Tafkadsch. 16) Ahmed-Chan IT. ben Chisr-Chan. + 488. s. Münze, X 108. 17) Mahmud-Chan IT. + 490, nach Anderen 495. Münze: a. 490. 18) Kadyr-Chan LI. ben Umr-Chan ben Almed-Chan. +49). 19) Muhammed Arslan-Chan ITT. ben Sulaiman ben Bughra-Chan ben Dawud; s. Weil, S. 274. Münze: a. 490. 20) Abu’i-Ma ali Hasan-Tegin ben‘ Aly; Weil (S. 275) nennt ihn «Zoghfedj-Husein» ; s. À 23). 21) Rukn-eddin Malmud-Chan LIL. ben Arslan. Den Titel Rukn-eddin giebt ihm Raverty, $. 907,XX: nach der a. 558 genannten Münze kommt er dem Ailidsch Tafghadsch zu oder den beiden? 29) Tanghadsch-Chan ben Muhammed-Chan (ben Sulai- man). + 550 oder 551 (27). Nach der Münze vom J. 558: Rukn-eddunja weddin Kilidsch Tanghadsch oder Tafkadsch-Chan. 23) Dschelal-eddin ‘Aly ben Hasan(?)-Tegin, bei Mu- neddschim-Baschi: Dschelal-cddin Chur-Chan (os); vergl. Grigorjev, S. 243— 245; How- orth, History of the Mongols, $. 6. 24) ‘Osman-Chan. + nach Raverty 609. Vergl. Ham- mer, Gemäldesaal, VI, $. 171. Münze: a. 605? Als Fürsten von Kaschghar führt Sachau $. 40 (vergl. Ibn el-Athir XI, $S. ri) an): 1) A4rslan-Chan ben Jusuf Kadr-Chan. 2) Mahmud Bughra- Chan, Fürst von Teraz und Schasch, 15 Monate lang. 3) Toghrul-Chan ben Jusuf Kadr-Chan, 16 Jahre. 4) Toghrul-Tegin, Sohn des vorigen, 2 Monate. 5) Harun Bughra-Chan, der Bruder des Jusuf Toghrul- Chan ben Tufghadsch Bughra-Chan (nach Sachau’s Vermuthung: ben Jusuf Kadr-Chan), 29 Jabre lang. + 496. 6) Ahmed ben Arslan-Chan, sein Sohn (?) mit dem Titel Nur-eddaulah. Nach demselbeu Gelehrten (S.43) bemächtigte sich 1) Vergl. Bellew in Report u.s. w. S. 196 folgde. 571 des Ostreiches 439 nach dem Tode des Mahmud Bughra- Chan, sein Bruder 1) Toghrul-Chan ben Kadr-ChanJusuf, von 439—455. S. die Münzen X 119 u. 120. 2) Toghrul-Tegin, Sohn des vorigen, 2 Monate. 455. 3) Harun Bughra-Chan ben Jusuf Kadr-Chan, von 455 (?). — 496. 4) Nur-eddaulah Ahmed ben Arslan-Chan (?). 31 August. 12 September. Schrift: Notice sur une collection de monnaies orien- tales de M. le Comte $S. Stroganoff. Par W. de Tiesenhausen. St.-Pétersbourg. 1880 wird neben an- deren eine Münze von Nasr ben ‘Aly, Samarkand, a. 401 und Arslan-Ilek, Kesch, a. 429 angeführt. In der eben von mir eingeschenen Les échantillons de limon dragués en 1879 dans les lacs d'Arménie. Lettre adressée à Mr. le Dr. AI. Brandt à St-Pétersbourg par le Dr. F. A. Forel, professeur à l'Académie de Lausanne. (lu le 15 mai 1880.) Monsieur ! Vous avez bien voulu me confier l’étude des échan- tillons que vous avez rapportés d'Arménie en 1879: pour répondre à votre demande, je vais résumer les faits que j'ai pu constater. Mais pour faciliter la com- préhension des résultats, je dois entrer dans quelques considérations préliminaires. Le sol qui forme le plancher des lacs d’eau douce | consiste, sauf dans quelques points exceptionnels où la roche primitive est mise à nu par l'érosion, dans des dépôts d’alluvion inorganique et organique; la nature de ces dépôts est fort différente suivant la région du lac que l’on considère, et varie aussi avec les différents lacs. Dans chaque lac, la région littorale est formée, sui- vant les localités, ou bien par l’alluvion plus ou moins grossière charriée par les affluents, ou bien par des dépôts sableux transportés par les vagues, où bien par des dépôts vaseux là où les poussières organiques et inorganiques les plus légères peuvent s’accumuler dans une eau tranquille, ou bien enfin par le sol pri- | mitif là où l’action de l'érosion prédomine, Bulletin de l’Académie Impériale 57? La région profonde, en revanche, ne contient que la poussière impalpable soulevée par laction mécanique des courants de rivières, des courants lacustres ou des vagues, poussière qui ne se dépose que fort lentement et peut ainsi être transportée jusque fort loin des rives. Elle contient aussi des matériaux organiques, soit des débris organiques provenant du rivage, qui après avoir flotté à la surface ont sombré dans les profondeurs, soit des matériaux organiques fixés par les animaux ou végétaux vivant dans le lac. Accidentellement elle renferme des pierres, graviers ou sables, transportés en plein lac par les glaçons de l'hiver, par les racines des arbres, par les barques des hommes ou par les vents ; en outre dans les laes où la navigation à vapeur existe on rencontre dans la région profonde des scories de coke provenant des fournaises des bateaux à vapeur. En laissant de côté la région littorale dont les va- riétés de sol sont bien connues, voici les natures de fond de lac que j'ai jusqu'ici rencontrées dans la ré- gion profonde. A, Sol proprement dit, soit partie minérale. 1°. Un sol argileux, plastique, coloré en gris-bleu dans les profondeurs, et en gris-jaune ou rouge à la surface, par les oxydes de fer plus ou moins oxydés. Cette argile se laisse modeler et cuire; j’en ai fait des vases à pate très fine, très légère, très sonore et très poreuse (lac Léman, lac de Constance, lac de Zurich, lac de Walenstadt). 2°, Un sol calcaire formé par une vase très légère, non plastique, non liée, qui desséchée a la consistance d’une poussière crayeuse (lac de Neuchâtel, lac de Joux). 3°. Un s0/ volcanique, dont nous verrons les carac- tères dans les limons des lacs Goktschai et Tschaldyr. B, Dépôts organiques. 1°. Incrustations tufoides formées sur les corps so- lides par la végétation de certaines algues calcaires (Euactis, Hydrocoleum, laé de Neuchatel). 2°, Incrustations calcaires de certaines plantes aqua- tiques dont les tissus s’encroutent de carbonate de chaux (Charas, lac de Joux). Ces deux types de dé- pôts étant provoqués par la vie végétale ne peuvent exister que là où l’eau est peu profonde, mais ils ne sont liés en rien à la région littorale. D: vi 2 Æ : 4 : ee \ 15 eh: 573 3°. Feutre organique. J'ai donné ce nom à une couche en général fort peu épaisse qui revêt le sol minéral du lac; elle est formée d’une masse de granu- lations très fines, renfermant un grand nombre de Pal- mellacées, de Diatomées, de Desmidiacées, d’Oscilla- riées, vivantes ou de débris de ces Algues mortes; elle renferme en outre tous les exeréments ou résidus de la vie des animaux de la faune profonde, et les ca- | davres des Entomostracés et Algues pélagiques qui ont sombré au fond du lac. Cette couche, d'apparence veloutée, d’une couleur grise ou brune, revêt d’un tapis continu le fond du lac partout où la lumière pé- nètre encore, c’est-à-dire à moins de 100 mètres de profondeur: c’est sur elle et dans son épaisseur que vivent tous les animaux de la faune profonde. 4". Poussières organiques. Les vagues ballottent les débris organiques, animaux ou végétaux en suspension dans le lac, les dilacèrent et les réduisent à l’état de poussière; les courants les accumulent dans certain bas-fonds où ils forment des couches plus où moins épaisses. Lorsque ces poussières consistent en des dé- bris végétaux, feuilles et bois, elles peuvent, quand elles ont une épaisseur suffisante, prendre presque l’apparence et la consistance de la tourbe; lorsque ces poussières sont formées par les cadavres des Ento- mostracés pélagiques, elles sont hyalines, légères et ex- cessivement mobiles. Ce dernier cas rappelle, non par son apparence ou sa consistance, mais par son origine, la Globigerin-ooze des grands fonds de l'Atlantique, Cette classification générale faite, voici ce que j'ai à dire des quinze échantillons que vous m'avez envoyés comme provenant des lacs d'Arménie. I. Lac Goktschaï. Les quatre échantillons que j'ai eus de la région profonde ont été dragués par une profondeur de 16 à 34 sagènes (34 à 72 mètres). Ils sont rélativement très riches en matières organiques. Soumise à la cal- cination la masse perd 23 pour cent de son poids, tandis qu’une opération semblable faite sur sept échan- tillons différents venant du fond des lacs Suisses de Genève, de Neuchatel, de Constance etc. n’a donné pour valeur des matières organiques et de l’eau de calcination que 3 à 6 pour cent. Le résidu inorganique du lac Goktschaï est de l’argile pure, sans trace de des Sciences de Saint-Fétersbhourg. 574 carbonates; calciné il a une couleur rougeatre claire. Les échantillons qui donnent le produit de la drague avant le triage fait par le tamis, sont formés d’une masse d'apparence gélatineuse (dans l'alcool) qui par l'agitation se laisse détacher en flocons très légers; ils restent en suspension dans le liquide comme s’ils étai- ent formés de poussières organiques, et cette légèreté apparente est évidemment due à l’état prodigieux de division de la matière. La couleur de cette masse est un gris jaunâtre très délicat, très uniforme. Au mi- croscope elle montre un magma de granulations rem- pli de très fines Palmellacées (?) et de Diatomées; on y trouve en outre des débris d’Entomostracés pé- lagiques un assez grand nombre de spicules d'Eponges, des oeufs de Turbellariés, des excréments d'animaux, des coquilles de Mollusques et d’Ostracodes, des tubes vaseux de larves de Chironomides ou de Tubifex. Quel- ques grains de sable et quelques cristaux s’y trouvent mais en très petite quantité : ils ont probablement été apportés par les vents. Je ne puis voir dans la partie organique de cette masse autre chose que la couche de feutre organique que nous connaissons dans nos lacs suisses; mais cette couche doit présenter dans le lac Goktschaï une épaisseur extraordinaire; la drague l’a cependant traversée et a atteint la couche minérale. Dans nos lacs suisses, d’après mon expérience et celle du Dr. Asper de Zurich, le feutre organique ne dépasse Jamais 3 à 5 millimètres d'épaisseur; quelle est son épaisseur dans le lac Goktschaï ? Il serait intéressant de la constater, Dans les échantillons où Ja masse à été passée au tamis, l’on trouve en très-grande abon- dance des tubes vaseux de Tubifex, ou de larves de Chi- ronomides, des carapaces de Crustacés, des coquilles de Mollusques, des oeufs et excréments, le tout formant des groupements parfaitement analogues dans leurs traits généraux à ceux de nos lacs suisses. Je n’ai pas de remarque spéciale à faire sur ce sujet. Les échantillons qui viennent de la région littorale montrent qu’il doit y avoir sur le bord du lac un abondant dépôt d’incrustations tufoïdes, analogue à celui de lacs de Neuchâtel, de Starnberg, etc. I, Lac Tschaldyr. La plus grande profondeur dont j'aie des échantil- lons, est de 4/, sagènes (11 mètres); le fond du lac reste 579 Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saïint- Pétersbourg. 5706 partout dans la région éclairée et à température va- | riable. Un échantillon à atteint une couche minérale de consistance terreuse. Cette masse n'est pas plas-! tique, elle contient beaucoup de sable; elle est dune couleur brune. Les autres échantillons, dragués probablement au milieu du lac ont la même apparence, consistance et nature, que ceux du lac Goktschaï; ils ont formés comme ceux-ci par la couche de feutre organique mêlée avec de la matière inorganique. La proportion de sub- stances organiques est de 14 pour cent de la masse, ce qui, étant donné la moindre densité de ces matières, représente encore un volume relatif considérable. La couleur de ces échantillons conservés dans alcool est d’un brun notablement plus foncé que ceux du lac Goktschaï. IH. Canal entre le lac Kutschik-gül et le Tschaldyr. Un échantillon renferme uniquement des poussières organiques, débris végétaux, battus par les vagues. Un second échantillon de consistance terreuse contient à la fois du gravier, des sables, et de débris de pous- sières organiques. J'ai soumis les Diatomées à l'étude M. Eugène Mau- ler, de Travers, qui a eu l’obligeance d’en faire de belles préparations et d’en dresser les listes sui- vantes !): Lac Goktschaï. ik Campylodiscus noricus, Ehr. #* Pleurosigma attenuatum, Sm. — P. Spenceri, Sm. x Cyclotella astraea, Ehr. #* Cyclotella, Sp. #* Amphora ovalis, Ktz. * Cymatopleura elliptica, Bréb. * C, solea, Sn. * Triblionella angustata, Su. * Pinnularia viridis, Rab. — P. oblonga, Rab. — P. stauroptera, Rab. 1) *** Espèces très abondantes. ** abondantes. * peu. — très peu. * Navicula gibberula, Ktz. % Asterionella formosa, Hass. —- N. pannonica, Grün. * Melosira arenaria, Moor. * Cymbella Ehrenberqii, Ktz. — Epithemia turgida, Ehr. — E, sorex, Ktz. — Stauroneis truncata, Kab. — Nitschia sigmoïidea, Nitz. Surirella biseriala, var. excisa, Bréb. Lac Tschaldyr. #% Cymatopleura elliptica, W. Sm. * C, solea, W. Sm. * Epithemia turgida, W. Sm. * Æ. argus, W. Sm. * Surirella biseriata, Bréb. * Pleurosigma attenuatum, W. Sm. * Campylodiscus costatus, W. Sm. Melosira granulata, W. Sm. * Cymbella lanceolata, W. Sm. * Pinnularia nobilis, Ehr. * Orthosira arenaria, W. Sm. — Stauroneis acula, W. Sm. — Cyclotella sp., même espèce que dans le Goktschaï. Es Spicules d’éponges. M. le professeur J. Brun, de Genève, auquel M. Mauler a soumis les préparations, m'a communiqué le jugement suivant qui présente un grand intérêt: Il y a la plus étroite analogie entre le groupement des Dia- tomées des lacs d'Arménie et ceux de nos lacs Alpins; en voyant ces Diatomées, je me serais volontiers cru en présence de préparations faites sur un fond du lac des Alpes, de 1000 à 2000 mètres d'altitude, en op- position à ce que je connais dans les lacs de notre plaine suisse. Morges, 11 mai 1880. Paru le 28 octobre 1880. —————_—@—2—2— à « 3 + % 1 1 4 { dits PO PONT à PP PO ARE R LL RM Us î ” Re a Se