CA De d . : A ae DE LA rs 19 Bou IMPÉRIALE DES NATURALISTES DE MOSCOU, PUBLIE Sous La Revacrion bu Docreur Renaron. unes (864. Ne Г. fAvec 6 planches.) Moscon. 1864. DE MOSCOU. Le montant de la cotisation, pour les Membres de la Soci sé 30 r. ass. par an. a Se Les Membres qui auront payé la cotisation recevront, sans devance nouvelle, les Mémoires et le Bulletin de la Société. — L'auteur de tout Mémoire inséré dans les ouvrages de la Socié cevra gratuitement 50 exemplaires de son Mémoire tirés à part. Les Mémoires, Notices, etc., envoyés à la Société, peuvent êtr ; en Russe, en Latin, en Allemand, en Francais, en Anglais ou en us n. Les Membres de l'intérieur de l'Empire peuvent envoyer à la ocié leurs lettres et paquets affranchis de tout droit, en ayant soin 4 adresser à la Société Impériale des Naturalistes de Moscou. m. um PEOR étrangers deus se ST de la voie en % сы 3 La Société doit à la munificence de SR Majesté r Empereur n | еее de 10. 000 p ass. : BULLETIN DE LA SOCIETE IMPERIALE DES NATURALISTEN © ED EC Г «Е DS dad 24 № aja Томе XXXVII. ANNÉE 2564. Ne I. MOSCOU. IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ IMPERIALE. (Katkoff & C0.) 1564. ER N Дозволено ценсурею. Москва. Мая 49 ina, 1864 года FLORULA BRYOLOGICA MOSQUENSIS. Auctore ALEXANDRO FiscHER DE WaLDHEIM (fil.). PRÉFACE. L'étude des mousses du gouvernement de Moscou n'a été qu'ébauchée dans trois ouvrages, qui ont paru à de longs intervalles. Le plus ancien d'entreux, de feu М. Ste- phan (*), est un premier essai d'une flore de Moscou. L'auteur dit lui-même dans sa préface: «Praegressorem ope- rs neminem habui, nisi Aeademicorum itineraria vel hortum Demidovianum a cl. Pallas editum hue referre velis». Les pages 49—51 de cette flore contiennent une énumération des mousses, systématiquement disposées d’après Hedwig, avec une diagnose des genres et des espèces insuffisante, ajoutant quelquefois des citations des ouvrages de Schre- ber «de Phasco», Leyssel «Flora Halensis», Hedwig «Musei fr.», Willdenow «Prodr. Fl. Berol.», Baumgarten «Fl. Li- psiensis», ainsi que l'indication de plusieurs synonymes, () «Friderici Stephani M. et Ph. D. Prof. Bot. et Chem. Soc. Hal. Sod. Enumeratio stirpium agri mosquensis. Mosquae, 1792.» 8°. № 1. 1864. 1 2 pour la plupart ceux de Linné. La nomenclature, faute de citation des auteurs, y manque de précision, ce qui sou- vent peut causer des confusions; et les localités des mous- ses n'y sont pas assez spécialement caractérisées. — Ste- phan cite en tout, pour la localité de Moscou, 57 espèces. Le second ouvrage est le Pradromus Florae mosquensis de Martius (*). L'auteur s'est aidé, outre ses propres re- cherches, de la flore de son prédécesseur Stephan ainsi que des communications de ММ. Henning, Londes, Gold- ‚bach, Müller et le Prof. Hoffmann. On y trouve sur les mousses de Moscou des renseignements plus exactes (pa- ges 187—201 de louvrage). Les diagnoses sont en gé- néral plus soignées que celles de Stephan et suivies d'in- dications plus précises et plus nombreuses des localités et du temps de la fructifieation. Les renvols aux sources littéraires se rapportent pour la plupart à Dillemus «Hist. Muscor.» et quelquefois aux suivants: «Fl. danica», Hedwig «Spec. Musc.» et «Posthum.», Buxbaum «Centur.», Hoffmann «Fl. germ. cryptogamiea». La nomenclature y est aussi ex- ° posée sans noms d'auteurs. Le nombre des espèces indi- quées monte jusqu'à 76, plus 1 variété. Dans le troisième ouvrage, le Syllabus de Weinmann (*), nous avons un apercu général de la bryologie de tout l'empire Russe. L'auteur а consciencieusement su tirer part (') «Prodromus Florae mosquensis. Auctore Henrico de Martius Med. ac Chirurg. Doctore. Soc. Imp. N. Scrut. Mosq. membro ordin. etc. Ed. altera, Lipsiae, 1817», in 12. «Syllabus Muscorum frondosorum hucusque in Imperio Rossico collectorum. Scripsit J. A. Weinmann». Bulletin de la Soc. Imp. des Nat. de Moscou, Tome XVIII, année 1845, Partie I, pages 429—489, et P. II, pages 417—503. ZO E 3 de tous les matériaux qu'il a pu rassembler entre ses mains. Pour les mousses de Moscou il a profité du contenu du Pro- dromus de Martius ainsi que de communications littérales de feu le Dr. Goldbach et quelquefois du Dr. Fleisch. Les diagnoses sont bien plus précises et plus complètes. Cha- que nom de genre et d'espéce est suivi de l'auteur et les renvois littéraires concernent un plus grand nombre d'ou- vrages anciens et des plus récents. Les localités ne sont indiquées également qu'en sens général, souvent avec plus de précision. seulement pour la flore de St. Pétersbourg. Les mousses de Mose u sont représentées dans le Syllabus par 99 espèces. Outre ces sources littéraires nous possédons encore pour l'étude des mousses de Moscou les herbiers de ММ. Gold- bach, Boschmak et C. Czermack, appartenant à la Société Impériale des Naturalistes de Moscou. Les cing Centuries de la «Flora exsiccata mosquensis» de М. Nic. Annenkoff (*) contiennent aussi 15 espèces de mousses, rassemblées pour la plupart par М. Czermack. Parmi ces herbiers celui de Goldbach est le plus parfait tant par la beauté des exem- plaires et le nombre des espèces, que par les définitions précises, Vindication des localités et des mois de la fruc- tification. Depuis 1845 aucun travail spécial concernant les mous- ses de Moscou n'a paru. J'ai pensé qu'il ne pouvait être quutile pour l'étude de la bryologie du gouvernement de (*) «N. Annenkoff, Flora mosquensis exsiccata. Nomina plantarum Cen- turiae primae»: Bullet. de la Soc. Imp. des №. de M. Tome 22, P. 2, p. 621—624, et des autres quatre Centuries dans les volu- mes suivants. 1* À. Moscou de rassembler tous ces matériaux épars et de les exposer sous le point de vue scientifique contemporain, en y joignant les notices que je possède en manuscrit du Dr. Goldbach, ainsi que quelques unes des données que m'ont fournies mes propres excursions. Il est à observer que ces matériaux n'ont été rassemblés qu'aux environs les plus proches de la capitale, excepté une localité — la fabrique de M. Auerbach à Kortschéva, — située dans le gouv. de Tver, mais éloignée seulement de 4 verstes du gouv. de Moscou, et qu'on peut par conséquent prendre en con- sidération dans la flore de notre localité. Le reste du gouv. de Moscou n'a done Jusqu'à présent pas été exploré spécia- lement sous le rapport bryologique. Il n'est pas douteux que des recherches scrupuleuses dans tout ce grand espa- ce (egal à 589'/, lieues carrées géograph.) ne nous offrent de nouveaux représentants, échappés à des investigations trop souvent limitées aux localités où les mains de l’homme ont changé sensiblement le dessin du tapis végétal. Relativement à mes propres recherches, je me bornerai pour le moment à donner seulement des renseignements sur les mousses d’une seule localité, située à 25 verstes au NE de la capitale, et laquelle, comme tant d’autres, n'a pas été explorée jusqu’à présent au profit de la science. Je parle des terres appartenant à Stépankovo, dans le di- strict de Moscou. Le sol y est montueux, plus ou moins humide, argileux, excepté les bords sablonneux de l'Out- scha, реше rivière, et quelques marécages peu étendus. C'est dans cette localité, sur un espace de près de 15 verstes de circonférence, que j'ai rassemblé plus d'une demi-cen- taine d'espèces et parmi elles 19 mousses pleurocarpes, e 5 sur lesquelles j'ai porté principalement mon attention. J'en cite plus-bas seulement 34 espèces bien définies, en me réservant de publier sous forme de supplément le reste ainsi que les résultats des observations faites dans d'autres lo- calités. Dans la «Florula bryologiea mosquensis» qui, suit, les mousses de Moscou sont disposées et décrites d’après le «Synopsis Muscorum europaeorum» de W. Ph. Schimper (Stuttg. 1860). Les diagnoses qui se trouvent dans cet excellent ouvrage du célèbre auteur de la Bryologia euro- paea s'adaptent aussi bien aux représentants de notre lo- calité, et Je n'ai pu me décider àles remplacer par d'au- tres, moins parfaites et moins complètes, qui ne pré- teralent que trop souvent à des erreurs fächeuses. En mé- me temps J'ai soumis le tout à une critique eonsciencieuse, en le conformant à mes propres connaissances locales. Le nombre des espèces méme s'est augmenté de 34 nou- veaux représentants; nous avons donc maintenant 133 езрёсез et 3 variétés de mousses pour le gouv. de Mos- cou (‘). Quelqu'imparfaite qu'elle soit, mais fixée sur une base scientifique, cette flore bryologique pourra faire mieux res- sortir chacun des nouveaux résultats que des observations ultérieures nous offriront en fait de bryologie du gouv. de Moscou. A. Fischer de Waldheim. Moscou. Le 1 Fevrier 1864, () Weinmann ne cite, pour tout l'empire Russe, que prés de 230 espèces (excepté les variétés). PLORULA BRYOLOGICA MOSQUENSIS, SUO TS MUSCI ACROCARPI. Fructus terminalis, plantarum innovatio lateralis. ORDO E. CLEISTOCARPI. Capsula post maturitatem irregulariter dehiscens. Trib. I. PHASCACEAE. Calyptra perfecta, conica, campanulata vel cucullata. Fam. I. EPHEMEREAE. e Plantáe minimae subacaules annuae, prothallio filamen- toso plerumque persistente instructae, folis laxe textis. Capsula matura de pedicello decidua, sporangio distincto nullo, sporis magnis. I. EPHEMERUM Hmpe. Prothallii persistentis rami dichotomi fasciculati erecti. Plantae omnium minimae, subacaules, gregariae. Folia mollia ex ovato oblongo-lanceolata et lanceolato-ligulata, NT e cellulis laxis hyalinis parce chlorophyllosis rete rhom- beo-hexagonum uniforme efformantibus constructa, e- costata vel costa laxa viridi percursa, margine grosse serrata vel inciso-ciliata. Flores dioiei (monoici ?). Plan- iae utriusque sexus in eodem prothallio; masculae mini- mae 3—4-phyllae femineis approximatae, perigonium fin- gentes gemmiforme cum antheridiis paucis, minutis, ob- longis, eparaphysatis vel paraphysi una alterave instru- etis clavata; femineae paulo majores archegonia pauca erassiuseula, brevistyla, laxe texta ferentes. Columella nulla. Sporae haud numerosae, magnae, reniformes, gra- nulosae, rufo-fuscae. 1. EPHEMERUM SERRATUM limpe. Plantae minimae prothallio denso velutino saturate vi- ridi insidentes. Caulis brevissimus radiculis longis instru- ctus. Folia erecto-patentia vel subsecunda; inferiora mini- ma et ovato acuminata, superiora multo majora elongato- lanceolata, margine grosse et irregulariter serrata vel subeiliata, ecostata. Capsula subsessilis, subglobosa bre- viter acuminata, rufo-purpurea, nitida. Sporae 50—100, ferrugineae. Ephemerum serratum lampe in Flora vel Regensb. botan. Zeit. 1837, p. 285. — Br. et Schimp. Bryologia europaea 1, p. 3, Tab. I — C. Müller Synopsis musc. frond. I, p. 34. — Schimper Synopsis Muscor. europaeorum p. 3. Phascum serratum Schreber de Phasco p. 9, Tab. 2. — Hedw. Spec. Musc. p. 23. — Bridel Bryolog. univ. I, p. 28. Habitat in terra argillosa subhumida praeprimis prato- rum, locis denudatis, ad talparum tumulos, ad fossarum margines; ager in sylva Petrolsky - Razumofsky ad ter- ram, Troitzkoe-Tolbuchino ubi Goldbach legit. Fruct. malurat vere. 8 Fam. IL PHASCEAE. Plantae solidiores haud raro perennes. Folia basi e reti laxe hyalino, apice e minuto parenchymatoso, chlorophyl- lo obruto, formata. Capsula matura de pedicello decidua, sporangio speciali et columella instructa. Calyptra cucul- lata vel mitrata. ij I. SPHAERANGIUM Schpr. Plantae minutulae gemmiformes, gregariae vel in cae- spitulos irregulares confertae, radicibus longis pallidis, e quibus, locis humidioribus, filamenta prothallina enascun- tur, terrae infixae. Caulis brevissimus simplex. Folia in- feriora minima, summa pro plantarum magnitudine maxi- ma, subconvoluto-imbricata, ovata, ovato-oblonga et late obovata, valde concava, costata, apicem versus dorso vel utraque pagina minute papillosa, cellulis magnis, tenaci- bus, planis, chlorophylli granulis paucis aetate omnino nullis. Flores maseuli atque feminei basi cohaerentes, vel separate radieantes ita ut plantas diversas efficere videan- tur; perigonia minima, gemmiformia, hexaphylla, e foliis composita solidioribus, densius areolatis, fuscescentibus, antheridiis eparaphysatis; archegonia pauca, parvula, sty- lidio longiuseulo, paraphysibus destituta. Fructus perichae- tio eum longe superante omnino immersus atque obvo- lutus. Capsula in pedicello brevi erecta vel in longiore tenui arcuato subpendula, exacte sphaerica, rufo-aurantia, vernicosa, e cellulis solidiusculis tabularibus transversim rectangulis seu trapezoideis exstructa, areolis retis hya- lini aurantiacis. Calyptra erecta, minima, mitraeformis, basi irregulariter circumscissa, archegonii stylidio coro- nata, fugacissima. Columella crassiuscula. Sporangium capsulae contiguum, solubile. Sporae majusculae, subglo- bosae, subtilissime granulosae, ferrugineae. 9 1. SPHAERANGIUM MUTICUM Schpr. Plantae gregariae vel caespitulantes, florescentiae tem- pore minimae utriusque sexus similes, fructiferae gem- mulam oblongo-conicam sistentes, luridae vel fusceseen- tes. Folia infima ovato-acuminata, plus minusve recurva, subecostata; media ovato- oblonga, acuminata, acumine recurvo, costa in mucronem excedente instructa; summa numero 2 rarius 3 media duplo superantia, profunde con- cava, se invicem amplectentia, costa in mucronem re- curvum excedente instructa vel sub apiculo desinente, apice fuscescente irregulariter haud raro profunde erosa, subnitida. Capsula in pedicello brevi tenui stricto erecta, fol. perichaetialibus eam triplo longitudine superantibus omnino obvoluta, vertice papillula vix conspicua ornata, aurantiaca. Sphaerangium muticum Schpr. Synops. Musc. eur. р. 13. Phascum muticum Schr. de Phasco р. 8, Tab. I, fig. 11, 12. — Hedw. Sp. Muse. p. 23. — Brid. Bryol. univ. I, р. 22. — Stephan Enumer. stirp. agri mosq. p. 49. — Martius Prodrom. Florae mosq. р. 187. — Weinmann Syllab. muscor. frondos. I, p. 430 (in Bullet. de la Soc. Imp. des Natural. de Moscou, année 1845, tome XVIII, partie I et IL). Phascum acaulon В Linn. Spec. Pl. Acaulon mutieum C. Müll. Synops. I, p. 22. — Br. et Sch. Bryol. eur ND: 37908b. 4. Habitat in ambulacris arenosis, muris argillaceis, fos- sis exsiccatis. Fruct. matur. vere. II. PHASCUM L. Prothallium radicale nullum. -Plantae illis praecedentium generum robustiores, quasi perfectiores, caule distineto 10 simplici vel bi-tripartito instructae, pro more innovatio- nibus basilaribus per plures annos continuae, rarius an- nuae. Folia quinquefaria late vel ovato - lanceolata, soli- diuscula, costata, areolatione ad inferiorem partem laxa hexagono -rectangula hyalina, ad superiorem densa qua- drato- vel rotundato - hexagona e cellulis formata granulis chlorophyllaceis obrutis. Flores monoici; masculi ad cau- lis vel ad ramorum basin, antheridia folis perigonialibus pluribus vel uno solo obtecta, paraphysata; archegonia longistyla, tenui-paraphysata. Calyptra cucullata. Capsula brevius longiusve pedicellata, subglobosa, ovata et ova- to-oblonga in apiculum vel in rostrum obtusum producta, e membrana coriacea fusco - rufa efformata. Sporangium liberum. Columella persistens. Sporae minores, in cellu- lis matricalibus terti ordinis nascentis. Sola capsula, omni operculi vestigio carente, a genere Pottia, cum quo caeteris caracteribus plene congruit, differt. 1. PHASCUM CUSPIDATUM Schr. Dense gregarium vel caespitulosum, annuum, vel e basi innovans. Caulis radiculis longis rufescentibus terrae infixus, brevis simplex seu e basi divisus vel plures millim. altus eque medio ramosus, nonnunquam ramulis flagelliformibus ramulosus. Folia in breviore caule dense conferta, in gemmulam conniventia vel erecto - patentia, in longiore dissita solo acumine congesta, inferiora ovato- superiora oblongo-lanceolata, summa elongata acuminata, eosta tereti viridi in cuspidem excedente, carinato - con- cava, integerrima, basi albicantia apice suceulenter viri- dia, tandem rufula, mollia. Flos masculus ad basin plan- tae simplieis, vel ad bifureationem caulis divisi elatioris, monophyllus; antheridia minima cum paraphysibus cras- 11 siusculis pallide lutescentibus. Vaginula brevis, incrassata. Calyptra minuta, fere ad apicem fissa, dilatata. Capsula in pedicello brevi, pallido, recto vel curvulo, omnino im- mersa, globosa rarius ovata, breviter et obtuse acumi- nata, rufo-castanea. Phascum cuspidatum Schreb. de Phasco p. 8, T. I, fig. 2. — Hedw. Spec. Musc. p. 22. — Brid. Bryol. univ. 1, p. 41. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 4, Tab. 5. — C. Mull. Sy- nops. I, p. 25. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 16. — Steph. Enum. stirp. p. 49. — Mart. Prodr. Fl. mosq. p. 187. — Weinm. Syllab. I, p. 432. Phascum acaulon & L. Habit. in viarum Jateribus, pratis, campis argillosis, hortis. | Fruct. matur. vere. f Trib. Il. BRUCHIACEAE. Plantae annuae perennes, folis angustis solide costatis anguste et solide reticulatis. Capsula sporangio et colu- mella distinctis instructa. Calyptra regulariter efformata, mitrata vel cucullata. | Fam. I. PLEURIDIEAE. Calyptra cucullata, capsula sine collo post maturitatem de pedicello decidua. 1. PLEURIDIUM SUBULATUM Schpr. Planta annua et biennis 2 — 4 millim. alta, simplex, caespitans. Folia inferiora parvula, ovato - lanceolata, erecta, comalia congesta lanceolato-subulata subsetacea, erecto-patentia et subsecunda, capsulam longe superantia, 12 = costa latiuscula cum acumine obsolete serrato desinente, e lutescente viridia, nitida. Flores bisexuales; antheridia in fol. perich. axillis nuda. Capsula ovato-globosa, brevi- apiculata, pallide fusca seu fulvella. Calyptra minuta, vix ad mediam capsulam producta. Pleuridium subulatum Br. et Sch. Bryolog. eur. I, p. 3, Tab. 9. — Sch. Synops. Musc. eur. p. 24. Phascum subulatum Linn. Spec. Pl. p. 1570. — Schreb. de Phas- co p. 8. — Hedw. Stirp. L p. 35. — Brid. Bryol. univ. I, p. 37. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 187. — Weinm. Syl- lab. I, p. 430. Astomum subulatum (Hampe) C. Mull. Synops. I, p. 14. Habit. in terra arenaceo - argillosa, praeprimis ad syl- varum margines, ad aggeres et vias; Sokolniki, ubi Gold- bach legit. | Fruct. matur. Majo (Goldbach ib.). ORDO IL MUSCL STEGOCARPI. Capsula operculo, parte sua superiore circumscisso, dehiscens. Trib. I. WEISIACEAE. Plantae perennes, nunc humiles tenellae, nune elatae procériores, sub apice florifero innovantes, aetate dicho- tome et fastigiato-ramosae. Foliorum reticulatio parenchy- matosa, basi laxior hyalina apice densior chlorophyllosa pro more papillosa. Capsula pedicellata, erecta, sporan- gio columellaque distinctis instructa. Calyptra cucullata, longirostris. Sporae minutae. 13 Fam. I. WEISIEAE. Folia angusta, linealia, lanceolata et subulata costa tereti. Capsula inter formam ovatam et cylindraceam va- rians vel subincurva, gymnostoma vel peristomio sim- plici 16-dentato. I. WEISIA Hedw. Plantae humiles vel elatiores sub apice florifero inno- vantes, innovationibus dichotome ramosae, caespitantes vel subpulvinantes. Folia octosticha, lanceolata, lineali- lanceolata et subulata, mollia, exsiccatione tortilia, reti minuto apice quadrato chlorophylloso basi rectangulo hya- lino, costa subtereti, margine plerumque integro. Flores monoici, utriusque sexus terminales, raro bisexuales. Capsula longius pedicellata, erecta, ovalis, oblonga, cy- lindrica, symmetrica, raro subincurva, membrana subco- riacea, sporangio sublibero, peristomio simplici instructa; dentes, numero 16, plus minusve perfecti, lanceolati vel truncati, linea divisurali parum distincta integra pertusa vel apice soluta, remote transversim articulati, luteoli vel purpurascentes, minute granulosi, vix hygroscopici. Subgen. 1. Microweisia Schpr. Plantae parvulae, foliis lineali - lanceolatis acutis, pe- richaetialibus vix a comalibus distinctis, siccitate crispis, peristomii dentibus imperfectis, brevibus. Flores monoici, utriusque sexus terminales, gemmiformes. 1. Weısıa VIRIDULA Brid. Caespituli tumescentes plus minus condensati, laete vi- rides. Planta semiuncialis, brevior rarius longior, sub- simplex vel fastigiato -ramosa. Folia inferiora lanceolata, minuta, superiora subito fere multo longiora, comantia, 14 lineali - lanceolata, flexuoso - patula, sicca crispata, basi latiore pallida concava margine plana, superne alis con- niventibus margine involutis, viridia, costa valida exce- dente breviter mucronata. Capsula ovalis, ovata, oblonga, pachyderma, sicca sub ore leniter constricta sulcata, pe- dicello dextrorsum torto, fusca, rufula. Operculum longi- rostrum, basi peristomio translucente rubellum. Calyptra ad mediam capsulam porrecta. Annulus perangustus, per- sistens. Peristomium maxime variabile, dentes lineali- lanceolati, latiores angustioresve, haud raro truncati vel apice bifidi, rufo-ferruginei, dorso asperuli, articulationi- bus 2—5, linea divisurali obsoleta vel nulla. Weisia viridula Brid. Bryol. univ. I. p. 334. — Br. et Seh. Bryol. eur. I, p. 5, Tab. 21. — C. Müll. Synops. I, р. 651. — Schimp. Syneps. Musc. eur. p. 50. — Steph. Enumer. stirp. p. 50. — Mart. Pr. El. mosq. р. 189. Weisia controversa Hedw. Musc. fr. Ш, р. 12, Tab. 5. — Weinm. Syllab. I, p. 450. Grimmáa controversa Web. et Mohr Bot. Taschenb. p. 433. Habit. in agris, campis, ad vias cavas, in loeis sub- montosis. Fruct. matur. vere. Subgen. 2. Euwersia Берг. Plantae elatiores, fastigiato-ramosae. Folia patentia, flexuoso-patentia vel homomalla, siccitate crispata, apice quadrato- basi rectangulo-areolata. Perichaetium distinctum, vaginans. Capsula elliptica et elongata, operculo subuli- rostro, peristomii perfectioris dentibus lanceolatis pro parte apice bifidis. | 9. Weısıa cmnHATA Hedw. Pulvinata et caespitulosa, mollis. Planta valde ramosa subflexuosa, fasciculato - foliosa, superne laete viridis in- 15 ferne pallide ferruginea. Folia patula e medio sursum vergentia, infima minuta ovato-lanceolata, superiora mul- to longiora e basi ovali. et oblonga concava sensim li- neali-lanceolata, carinato - concava margineque reflexa, costa tereti sub apice evanida, siecitate cirrhato-crispata; periehaetialia breviora, latiora, tenuiora, ad apicem us- que subvaginantia. Capsula elongato - oblonga et subey- lindrica, mollis, pallide fuscescens, ore rubello, annulo e seriebus tribus cellularum parvularum formato persistente. Operculum subulirostrum. Peristomii dentes e lanceolato anguste lineales, rufo-purpurei, integri, siccitate erecti. Weisia cirrhata Hedw. Spec. musc. p. 69, Tab. 12. — Brid. Bryol. univ. I, p. 343. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 9, Tab. 25. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 56. — Weinm. Syllab. I, p. 450. Weisia Dicksoni Willd. (Bryum Dicksoni Moffm.) Mart. Pr. Fl. mosq. p. 189. Leersia cirrhata Willd. Prodr. Fl. Berol. №. 902. — Steph. Enum. 5@гр. р. 50. — Mart. Prodr. Bl. mosq. р. 188. Blindia cirrhata G. Mull. Synops. Il, p. 585. Muium cirrhatum L. Spec. Pl. p. 1576. labi. in colliculis arenosis, ad arborum annosarum radices, in tectis stramineis. Fruct. matur. Majo. Fam. Il. DICRANEAE. Plantae humiles vel proceriores et procerrimae. Folia inter formam late et anguste lanceolatam variantia, laevia et laevissima apicem versus saepius papillosa, reti re- ctangulo, basi in Dicranis veris lineari ad angulos qua- drato, costa dilatata. Calyptra cucullata, majuscula. Cap- sula longius et solide pedicellata, erecta vel cernua, re- gularis vel incurva et subarcuata. Peristomii dentes 16 16 majusculi lanceolati, transverse trabeculati, plerumque bicrures, rubelli et purpurei, hygroscopici. Sect. I. Dicraneae spuriae. Folia superne papillosa valde chlorophyllosa retique minuto quadrato. I. DICHODONTIUM Schpr. Plantae laxe caespitantes, molles, valde radiculosae. Folia e basi vaginante divaricato-squarrosa, ligulato-lan- ceolata, margine molliter serrata, papillosa, opaca, mol- lia; retis areolae basi media rectangulae, margine qua- dratae, apice minimae quadratae, chlorophyllo obrutae. Flores dioici. Calyptra majuscula, solidiuscula, cucullata. Capsula in pedicello flexuoso-erecto cernua, pachyderma, solida, laevis, collo subnullo nunquam strumoso. Oper- culum rostratum. Annulus nullus. Peristomium magnum purpureum; dentes infra medium usque bi- et trifidi, ar- ticulationibus satis confertis intus prominulis. Sporae mi- nimae ferrugineae. 1. DicHoponTIUM PELLUCIDUM Schpr. Caespites laxi, pallide rarius laete virides. Caulis fle- xuoso-erectus, parce ramosus. Folia e basi oblonga pal- lida pellucida subvaginante squarrosa, lineali - lanceolata, integra vel plus minusve dense hyalino-serrata, utraque pagina papillosa, margine plana, omnino opaca, costa an- gusta dorso apicem versus crenulata. Capsula cernua vel suberecta rarius erecta, ovata et globoso-ovata subsym- metrica, sicca laevis, aetate nigricans, eollo vix ullo, pedicello crassiusculo, molli, pallide lutescente, siccitate compresso leniter torto. Operculum magnum, e basi lata convexo - conica oblique rostratum, rostro longiore vel 17 breviore. Peristomii dentes magni, infra medium bifidi et trifidi, basinque versus in linea divisurali saepe lacu- nosi, dense articulati, sanguinei apice aurantii. Sporae pallide ferrugineae. | Dichodontium pellucidum Schimp. in Corollar. Bryolog. eur. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 69. Dieranum pellueidum Hedw. Sp Musc. p. 142. — Brid. Bryol. univ. I, p. 439. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 16, Tab. 50, 51. — Steph. Enumer. stirp. р. 51. Angstroemia pellucida C. Müll. Synops. II, р. 607. Bryum pellucidum Dillen., L.? Habit. in saxis humidis et in terra; in pristino horto botanico Demidoviano (Mosquae), anno 1819 lectum, in herbar. Goldbachii vidi. Fruct. matur. auctumno et vere. Sect. Il. Dicraneae verae. Folia laevia, reti apicali oblongo, basilari rectangulo vel elongato, saepius ad angulos quadrato. II. TREMATODON Richard. Plantae humiles, laxe caespitantes, ramosae et ramu- losae. Folia lanceolata et subulata, costata, reti laxius- culo lineali- hexagono et hexagono-rectangulo. Flores monoici. Perichaetium distinctum, laxe vaginans. Calyp- ira inflato-cucullata. Capsula alte pedicellata, elliptica vel oblonga, in collo longo et longissimo basi plerumque uno latere subito abrupto leniter curvulo subcernua. Opercu- lum subulirostrum. Annulus e simplici vel duplici cellula- rum serie compositus. Peristomii dentes lanceolati, per- tusi, subintegri vel ad basin usque inaequaliter bicrures, purpurei, mediocriter hygroscopici, rarissime omnino nulli. № 1. 1864. 2 18 1. TREMATODON AmBicuus. Hsch. Caulis ramosus, flexuosus, humilis, raro pollicaris. Fo- Па erecto-patentia et patula, varie curvata, e basi ovata et oblonga concava lanceolato-subulata, canalieulata, co- sta valida semitereti in apiculum excedente; perichaetia- Па elongato-oblonga, sensim acuminata. Capsula longe pedicellata, pedieello flexuoso e viridi flavo, oblonga, aurantia, collo cylindrico ea ipsa longiore, subarcuato, basi latere interno abrupto. Annulus latior. Operculum tenui-subulirostrum. Peristomii dentes in membrana supra capsulae orificium procedente basi confluentes, tota; fere longitudine in erura duo inaequalia fissi, raro medio so- lummodo pertusi, crassiusculi, sieci incurvi. Trematodon ambiguus Hornschuch Bryol. germ. II, Sect. II, p. 206, Tab. 43, fig. 2. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, р. 5, Tab. 96. — C. Mull. Synops. I p. 458. — Schimp. Syn- ops. Musc. eur. p. 67. Trematodon vulgaris Brid. Bryol. univ. I, p. 386. Dicranum ambiguum Hedw. Musc. fr. Ш, р. 87, Tab. 36. Habit. in locis humidis denudatis (arenosis?), in pra- üs uliginosis; prope Mosquam pulchre et copiosissime fructificantem cl. C. Czermack legit. Specimina mosquen- sia in Annenkoff Flora exsiccata mosq., Cent. I, atque in herbar. C.. Czermack. Fruct. matur. aestate. Ш. DICRANELLA Schpr. Musci pro more parvuli, raro elatiores. Folia laevia e cellulis oblongis et elongatis parce chlorophyllosis, rete apicem versus oblongo -hexagonum, basi rectangulum, laxiusculum efformantibus. Flores dioici raro monoici. Peristomium magnum, regulare, dentibus bifurcatis. 19 1. Folia squarrosa vel undique patentia. A. Flores топов“. 1. DicRANELLA cRISPA Schpr. Planta tenella laxe caespitulosa. Folia e basi semiva- ginante subulata, flexuoso - patula, siccitate erispa. Сар- sula erecta obovata et ovalis, striata, collo subnullo, operculo subulirostro, basi crenulato, annulo perangusto. Dicranella erispa Schimper Corollar. Bryol. eur. p. 13.—Schimp. Synops. Мизс. eur. р. 69. Dicranum crispum Hedw. Muse. fr. Il, р. 91. — Bridel Bryolog. univ. I, p. 451. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 20, Tab. 55. — Weinm. Syllab. I, p. 476. Angstroemia crispa G. Mull. Synops. I, р. 440. Habit. т arenosis humidis et umbrosis; in Montibus Passerinis Goldbach copiose legit. Specim. mosq. in her- bario Boschniack. Fruct. matur. aestate. B. Flores dioici. 2. DicRANELLA CERVICULATA Schpr. Caespites densiusculi longe lateque extensi. Folia e basi semivaginante flexuoso-patentia vel secunda, lanceo- lato - subulata, concava, integerrima, nitida, costa valde depressa basi dilatata, excedente. Capsula in pedicello flavo cernua, ovata, gibba, collo brevi strumoso, estriata, e luteo fusca, annulo perangusto, operculo subulirostro. Dicranella cerviculata Schimp. Coroll. Bryolog. eur. p. 13. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 72. Dicranum cerviculatum Hedw. Musc. fr. Ш, р. 89, Tab. 37. — Br. et Sch. Bryolog. eur. I, р. 22, Tab. 56. — Weinm. Syllab. I, p. 464. 9x 20 Oncophorus cerviculatus et flavidus Brid. Bryol. univ. I, р. 391. Angstroemia cerviculata C. Mull. Synops. 1, р. 430. Habit. in arenosis, ericetis turfosisque subhumidis; Goldb. legit atque С. Czermack. Fruct. matur. aestate. 9. Folia subsecunda et secunda. Flores dioici. 3. DICRANELLA varia Schpr. Humilis dense gregaria, caespitulosa, rarius dense cae- spitans, pluries e basi divisa. Folia erecto-patentia et pa- tentia, raro subsecunda, e basi oblonga haud vaginante sensim lanceolato-subulata, carinata, integerrima vel api- ce obsolete denticulata, opaca, costa semitereti solidius- cula paululum excurrente; perichaetialia basi semivagi- nantia. Capsula cernua, ovata, oblonga, subincurva, rufa, sicca deoperculata sub ore coarctata, exannulata. Opercu- lum magnum brevirostrum. Peristomium magnum, dentibus saturate purpureis in conum convexum conniventibus. Dicranella varia Schimp. Corollar. Bryolog. eur. p. 13; ejusd. Synops. Muse. eur. р. 72. Dicranum varium Hedw. Muse. fr. II, p. 93, Tab. 34. — Brid. Bryol. univ. I, p. 435. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 20, Tab. 57, 58. — Weinm. Syllab. I, p. 475. Angstroemia varia C. Mull. Synops. I, p. 436. Habit. in terra limosa humidiuscula agrorum, campo- rum et alibi; Kunzovo, ad terram in horto fabricae Auer- bach (Goldb.); Stepankovo, raro. Fruct. matur. auctumno. 4. DicRANELLA SUBULATA Schpr. Irregulariter caespitulosa. Planta gracilescens, elatior, erecta vel ascendens. Folia e basi subvaginante longe 21 subulata canaliculata, integerrima, costa tenui excedente instructa, nitentia, angustissime reticulata; perichaetialia vaginantia, longissime. subulata. Capsula cernua gibba, obsolete striata, sicca sulcata, nitide rufo-fusca. Opercu- lum e basi eonvexo-conica longe curvato-subulatum. Ап- nulus e dupliei cellularum serie compositus. Peristomium minus, dentibus siccitate apice incurvis. Dicranella subulata Schimp. СотоПаг. Bryol. eur. p. 13; ejusd. Synops. Musc. eur. p. 74. j Dicranum subulatum Hedw. Spec. Musc. p. 128, Tab. 34. — Brid. Bryol. univ. I, p. 426. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 23, Tab. 60. — Weinm. Syllab. I, p. 474. Angstroemia subulata C. Müll. Synops. I, p. 433. Habit. in terra arenosa subhumida; (Goldb. legit teste Weinm.). Fruct. matur. aestate. 9. DicRANELLA HETEROMALLA Schpr. Plantae in caespitulos densos congestae, simplices et bipartitae. Folia e basi lanceolata setacea, canaliculata, integerrima, sericeo-nitida; perichaetialia basi semivagi- nantia. Capsula in pedicello lutescente cernua et subere- cta plerumque reclinata, obovata et oblonga, curvula, ob- solete striata, sicca elongata stomate incurvo longitudi- naliter plicata, annulo perangusto. Operculum subulatum. Peristomii dentes angustiores bi- et trifidi. Dicranella heteromalla Schimp. Coroll. Bryol. eur. р. 13; ejusd. Synops. Musc. eur. p. 75. Dicranum heteromallum Hedw. Muse. fr. I, p. 68, Tab. 26. — Brid. Bryol. univ. I, p. 423. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 25, Tab. 62. — Steph. Enum. stirp. p. 51. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 190. — Weinm. Syllab. I, p. 473. a 29 Angstroemia heteromalla G. Mull. Synops. I, р. 432. Bryum heteromallum L. Sp. PI. Habit. in fossarum marginibus, scrobibus, viis cavis et muris; Stepankovo — in paludibus exsiccatis prope rivu- lum Utscha, copiose fructifieans, legi; (Goldb., Boschn.). Fruct. matur. Junio. IV. DICRANUM Hedw. Plantae proceriores et speciosissimae semel vel repe- tito - dichotomae, sola basi radieantes vel toto caule to- mento, radiculis adventivis efformato, obductae. Folia un- dique patentia vel falcato - secunda, solidiuscula, laevia, nitida, longa, lanceolato-subulata vel elongato lanceolata, costa semitereti vel plus minus dilatata instructa, areolis apicem versus lineali- oblongis, basi elongatis plerumque angustissimis ad angulos dilatatis quadratis haud raro in- flatis atque aurantiis. Flores monoici et dioici, utriusque sexus terminales, gemmiformes. Perichaetium plus minus distinctum vaginans. Capsula erecta vel cernua, concolor raro striata, collo spurio aequali, rarissime strumoso. Opereulum plerumque subulirostrum. Peristomii dentes bifureati, latere interiore interrupte trabeculati, purpurei. I. Dicrana зсорагза. Plantae speciosae usque ad innovationes novellas radi- eulis, tomentum album vel fuscescens efformantibus, ob- tectae. Folialonga, undique patentia vel secunda, lanceo- lato - subulata, nitida, solidiuseula, ad basis angulos laxe quadrato-areolata. Flores dioici, masculi saepius in plan- tulis annosis e radicellis adventivis enascentibus. Capsula cernua, incurva, longior arcuaía. 23 1. Dicranum scoparium Hedw. Caespites extensi, laxi, rigidiusculi, e lutescente, rarius. laete virides. Caulis ascendens, solidus, elongatus, to- mento primum albo, tandem ferrugineo. Folia secunda, faleata гаго stricta, terminalia comantia, е basi elongata lineali-subulata, costa deplanata apicem versus tenui dor- soque suleata dentibus pluriseriatis instructa, apice ser- rata. Flores masculi in plantulis e radicellis adventivis vel e sporulis nascentibus. Capsula in pedicello solido rubello eernua, raro suberecta, cylindracea, subarcuata, sicea arcuata, estriata, rufula vel castanea, solida, exan- nulata. Opereulum e basi convexa in subulam validam capsulae aequilongam rufam produetum. Peristomii den- tes solidiores, atropurpurei. Dicranum scoparium Hedw. Sp. Musc. p. 126. — Brid. Bryol. univ. I, p. 450. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 34, Tab. 74, 75. — C. Müll. Synops. I, p. 359. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 89. — Steph. Enum. stirp. p. 51. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 190. — Weinm. Syllab. I, p. 468. Bryum scoparium L. Spec. PI. 1582. Habit. ad arborum radices et truncos vulgare, rarius ad terram, in rupibus; prope fabr. Auerbach (Goldb.); in Stepankovo ad arborum truncos et radices, praecipue Betulae albae et Populi tremulae copiose et pulchre: fruc- tif. legi. Spec. mosq. in herb. Boschn., Czerm. et in Annenk. Fl. exsicc. mosq. Cent. Ш. Fruct. matur. Julio. Il. Dicrana undulata. Plantae procerrimae, generis speciosissimae, caule ad apicem usque tomento denso obtecto. Folia longa nitida, transverse rugosa, costa deplanata dorso apicem versus 24 hispida vel sulcata. Flores masculi plantulae annuae gem- miformes e radicellis adventivis nascentes inque tomento ab eis efformato nidulantes. 9. DicRANUM SCHRADERI Schw. Dense caespitosum. Caulis haud raro longissimus, ere- ctus, alte rufo-tomentosus. Folia conferta erecto-patentia et subsecunda, nitido-viridia, inferiora pallescentia, sicca interdum apice cirrhata, lingulato - lanceolata, submutica, margine valde undulata e medio ad apicem margine dor- .soque argute dentata, areolatione lineari angustissima, angulari subito valde dilatata aurantia. Capsula in pedi- cello e viridi flavescente cernua, incurvo -oblonga, ob- solete striata, pro plantae magnitudine parva. Peristomium parvulum. Dicranum Schraderi Schwaegr. Suppl. I, P.I, p. 166, Tab. 61. — Web. et M. Bot. Taschenb. p. 177. — Br. et Sch. Bryol. eur. l, p. 40, Tab. 80. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 92. — Weinm. Syllab. I, p. 469. Dicranum. fastigiatum Schultz Fl. Starg. p. 300. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 190. Dicranum Bergeri (Bland.) C. Müll. Synops. I, p. 337. Dicranum undulatum Schrad. Spic. Fl. germ. — Brid. Bryol. univ. I, p. 415. Habu. in turfosis, sphagnetis; prope Mosquam Dr. Fleisch legit. Fruct. matur. aestate. 3. DicRANUM UNDULATUM Turn. Plantae procerrimae in caespites laxe extensos conge- stae nec inter se cohaerentes, tomento longo obrutae unde crassicaules. Folia squarroso-patula et secunda, ter- minalia convoluta secundo - falcata, juniora laete viridia, 25 seniora pallide fuscescentia, ex oblonga et elongata basi anguste lineali-lanceolata, valde undulata, nitidissima, margine atque dorso lamelloso argute serrata, costa an- gusta tenui. Fructus ex eodem perichaetio complures; capsula in pedicello pallide carneo oblonga et elongato- cylindrica arcuata, fulvella, operculi rostro tenui subuli- formi pallido, peristomio atro- purpureo. Dicranum undulatum Turn. Muscol. Hibern. p. 59. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 42, Tab. 82, 83. — С. Müll. Synops. I, p. 355. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 94. — Weinm. Syllab. I, p. 469. Dicranum rugosum Brid. Bryol. univ. I, p. 414. Dicranum polysetum Swartz Musc. suec. p. 34 et 87.— Schwaegr. Suppl. I, P. I, p. 163. Habit. in sylvis umbrosis, locis humidiusculis; in syl- va Gorenkensi, sylva Vseswiatskoe (Goldbach legit); spe- cimina mosquensia in herbar. Boschn. et C. Czerm. Fruct. matur. Augusto. Trib. П. LEUCOBRYACEAE. Plantae albicantes, spongiosae, aquam avide assugen- tes, humidae molles, siccae fragiles. Foliorum rete di- morphum, e cellulis nempe compositum angustis chloro- phyllosis atque e latioribus vacuis porosis. Fam. I. LEUCOBRYEAE. Folia e pluribus cellularum stratis composita. Calyptra magna cucullata, subinflata; capsula cernua, strumosa, striata, sicca sulcata; operculum subulirostrum; peristomium magnum, dentibus inaequaliter furcatis, saturate purpu- reis. Flores dioici. 26 1. Геосоввуом cLaucum Шире. Caespites haud raro valde condensati, pulvinati, ma- sculi -Asterophyll instar stellulati. Planta 4 — 6-uncialis, dichotome fastigiato - ramosa, robusta, caule ligneo nigri- cante eradiculoso. Folia 13-sticha e basi ovali = oblonga semiamplexicauli patentia rarius subsecunda, lanceolata, marginibus incurvis tubulosa. Capsula gibboso - ovata vel oblonga, castanea aetate nigricans, pro plantae magnitu- dine parva, pedicello mediocri rufo, siccitate dextrorsum torto. Leucobryum glaucum Hampe, — Schimp. Coroll. Bryol. eur. р. 19. — Schimp. Synops. Musc. eur. р. 101. Leucobryum vulgare Hampe, — G. Mull. Synops. I, р. 75. Oncophorus glaucus Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 5, Tab. 97, 98. Dicranum glaucum Hedw. Sp. Musc. p. 135. — Brid. Bryol. univ. I, р. 407. — Mart. Pr. FL mosq. р.. 190. — Weinm. Syl- lab. I, p. 467. Bryum glaucum L. Spec. Pl. p. 1582. Habit. in sylvaticis et ericetis humidis, ad terram mu- scosam. Fruct. matur. Majo. Trib. Ш. FISSIDENTACEAE. Musci habitu frondiformi insignes. Folia exacte disticha, e basi conduplicata, dorso alata, in laminam simplicem verticalem exeuntia, costa usque versus apicem hujus laminae vel ultra producta, reti minuto parenchymatoso valde chlorophylloso. Flores utriusque sexus gemmifor- mes terminales vel axillares. 57 E Fam. I. FISSIDENTEAE. Calyptra cucullata vel mitraeformis. Capsula in pedi- cello breviore vel longiore erecta symmetrica seu oblique incurva. Operculum magnum in rostrum vel in subulam | productum. Peristomium simplex, 16-dentatum; dentes lanceolato-subulati, inaequaliter bicrures, cruribus vicinis aequalibus, vel truncati irregulariter fissi et pertusi. Arche- gonia et antheridia haud numerosa, parvula, raro para- physata. I. FISSIDENS Hedw. Plantae simplices vel parce ramosae. Calyptra cucul- lata, raro mitraeformis, basi lobata. Capsula pro more cer- nua. Peristomii dentes perfecti, siccitate geniculati, hori- zontaliter incurvi. Г. Fructus terminalis. A. Flores monoict. 1. Fissiexs ВВУОШЕЗ Hedw. Planta pusilla gregarie vel subcaespitulose degens, e basi declinata ascendens. Folia tri- et plurijuga, lamina verticali lingulari-lanceolata, toto ambitu margine subte- гей, apice cum costa in mucronem confluente, circum- ducta. Flores masculi axillares numerosi, pedicellati, fo- lis perigonialibus 4—5 lamina verticali minutula apicu- liformi, antheridiis paucis minimis. Capsula erecta vel subobliqua ovalis et oblonga. Calyptra erecta, uno latere fissa. Fissidens bryoides Hedw. Musc. fr. Ш, р. 67, T. 29, exclusa f. 10. — Brid. Bryol. univ. II, p. 686. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 8, T. 101. — C. Müll. Synops. I, p. 58. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 103. — Steph. Enum. 28 stirp. р. 51. — Mart. Pr. Fl. mosq. р. 189. — Weinm. Syllab. I, р. 462 — sub nomine Fissid. osmundoide Hdw. | Dicranum viridulum SW. Musc. Suec. р. 39. Bryum viridulum Linn. herb. Dicks. Нурпит bryoides Linn. Habit. in viis cavis, ad aggeres fossarum, 1061$ um- brosis; in Montibus Passerinis, Kunzovo, fabrica Auerb. et in horto botanico mosquensi Goldbach legit. : Fruct. matur. Aprili (in Mont. Passer. — Goldb.). 9. Fissipens exıLıs Hedw. Perpusillus. Folia 3—4juga, margine crenulata; lami- na verticalis subintegra, ipso folio duplo longior, ligulata, apiculata. Flores masculi ad caulis basin, minutissimi, breviter pedicellati. Calyptra erecta. Capsula illi praece- dentis similis, annulo latiore. Fissidens exilis Hedw. Spec. Musc. р. 159, Tab. 38. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 103. — Weinm. Syllab. I, p. 461. Fissidens Bloxami (Wils.) — Br. et Sch. Bryolog eur. Suppl. I, р 1, T. 100. (teste Schimp.). Dicranum viridulum Smith Engl. Bot. (icon!) Habit. in sylvis umbrosis in terra subhumida turfosa. Spec. mosq. in herb. Boschn. Saepe cum praecedente commutatus: Fruct. matur. vere. А Е. bryoide differt foliis haud incrassato-marginatis, crenulato- denticulatis, flore masculo basilari, annulo latiore. B. Flores droit. 3. Fissinexs osmunpoEs Hedw. Caespites plus minus condensati atro- vel fusco-virides, tomento rufo intertexti. Caulis gracilis, erectus, repetito- 29 dichotomus, plus minus elatus. Folia multijuga, ascen- dendo majora, late ligulata vel scalpelliformia, brevi-api- eulata, ala dorsali lata ad. basin folii descendente, minu- te et argute. serrulata. Planta masc. feminea gracilior, flores terminales, tetraphylli. Calyptra erecta, pluriloba. Capsula in pedicello breviore minuta, erecta vel subcer- nua, ovalis, oblonga, brunnea, solidiuscula. Operculum in rostrum aciculare productum. Fissidens osmundoides Hedw. Sp. Musc. p. 153, T. 40. — Brid. Bryol. univ. II, p. 689. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 8, T. 103. — C. Müll. Synops. I, p. 60. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 106. Habit. in uliginosis et turfosis, rarus; in Kunzovo Gold- bach legit. Fruct. matur. Majo (Goldb. ib.). Il. Fructus axillaris. A. Flores monoici, basilares. 4. Fissipens Taxirozius Hedw. Planta e basi fasciculato-ramosa, rami suberecti vel decumbentes. Folia conferta, expansa, lamina verticali cultriformi, duplicatura ad medium producta, costa in mucronem excedente, margine minute hyalino - serrato. Flores in ramulis brevibus radicantibus, basilares. Cap- sula in pedicello longiusculo flexuoso e stramineo rubello cernua etnutans, oblonga, subturgida, solidiuscula, fusca; annulus nullus, operculum longirostrum. Fissidens taxifolius Hedw. Spec. Musc. р. 135, Tab. 39. — Brid. Bryol. univ. Il, p. 692. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 9, Tab. 104. — C. Müll. Synops. I, p. 50. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 108. — Steph. Enumer. Stirp. p. 30 ‚51. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 189. — Weinm. Syllab. I, p. 462. Dicranum taæifolium Swartz Musc. Suec. p. 31. — W. et M. Нурпит taxifolium Linn. Sp. Pl. 1587. Habit. in sylvaticis et nemorosis umbrosis, ad terram argillosam. Fruct. matur. autumno. B. Flores mono, in caulis parte superiore. 5. FissipeNs ADIANTOIDES Hedw. Caulis plus minus elatus, ramosus et ramulosus, e basi et ex apice innovans, ad innovationum et ramorum basin radiculosus. Folia multijuga, deplanata vel subse- cunda, conferta, basi se invicem tegentia, oblonga et oblongo-elongata, subito acuminata, mucronulata, ala dor- sali latiuscula, subdecurrente, basi leniter undulata, lim- bo lato pallidiore vel lutescente haud incrassato, apice minute serrato. Flores brevi-pedicellati. Capsula in pedi- cello longiusculo rubello cernua et horizontalis, ovalis et oblonga, rufo-fusca, deoperculata, sicca sub ore valde constricta; operculum longirostrum. Fissidens adiantoides Hedw. Musc. fr. Ш, р. 62, Tab: 26. — Brid. Bryol. univ. Il, p. 702. — Br. et Sch. Bryol. eur. I, p. 10, Tab. 105. — C. Müll. Synops. I, p. 51 — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 108. — Weinm. Syllab. I, p. 463. Dicranum adiantoides Swartz Musc. Suec. p. 31. Hypnum adiantoides L. Sp. Pl. 1588. Habit. locis umbrosis humidis, in paludosis, turfosis et ad muros antiquos; Goldb. in litteris, ejusd. herb. (specim. ex pristino horto bot. Demid.). Fruct. matur. vere. / 31 Trib. IV 5ЕМСЕШАСЕАЕ. — Plantae pusillae гаго spectabiles, sub apice florifero innovantes. Folia plurifaria, angusta, costata, laevia, -e гей minuto apice quadrato basi rectangulo solidiusculo ' composita. Calyptra cucullata, vel lobato-conica. Capsula; pedicellata, erecta, exacte symmetrica plerumque solida, gymnostoma vel peristomio e dentibus 16 plus minus perfectis composito instructa. Fam. I. SELIGERIEAE. Pusillae; calyptra cucullata; capsula subglobosa macro- stoma, collo distincto instructa. I. SELIGERIA Br. et Sch. Plantae subacaules vel brevicaules. Folia inferiora mi- nima, remota, superiora subito fere multo majora, in co- mam congesta, costa validiore basi tereti superne semi- tereti vel canaliculata instructa, reti densiore basi longio- re, solidiore margine integro. Capsula in pedicello recto vel arcuato subsphaerica, collo tumido suffulta, solida, e cellulis pachydermis exstructa, sieca deoperculata turbi- nata. Peristomii dentes 16 solidiusculi, hygroscopici, li- beri, latiusculi, densius remotiusque articulati, laeves, au- rantiij sine linea divisurali, pro more integerrimi, humidi inflexi, sieci reflexi. 1. SELIGERIA PUSILLA Br. et Sch. Caespituli perhumiles, molles, laetissime virides. Cau- lis brevissimus simplex vel bilinearis divisus. Folia co- malia longa, lanceolato - subulata, medio margine subser- rulata, costa excedente; perichaetialia e basi semivagi- nante anguste linealia, costa angustiore haud excedente. Flores masc. in ramulis propriis vel ad basin femineo- 32 rum sessiles; antheridia paraphysata Capsula in pedicel- lo stricto lutescente siccitate sinistrorsum torto erecta, sicca - deopereulata sulcata valde turbinata. Operculum oblique subulirostrum. Seligeria pusilla Br. et Sch. Bryol. eur. II, p. 4, Tab. 110. — C. Mull. Synops. I, p. 418. — Schimp. Synops. Musc. eur. р. 243. Weisia pusilla Hedw. Musc. fr. II, p. 78. T. 29. — Brid. Bryol. univ. I. р. 349. Weisia paludosa Brid., Hoffm. — Steph. Enumer. stirp. р. 50. Bryum paludosum Linn. Habit. locis umbrosis ad saxa et rupes. Fruct. matur. aestate. 2, SELIGERIA RECURVATA Br. et Sch. Longe lateque caespitosa, caespites fertilissimi. Caulis perbrevis raro plures millim. altus, simplex vel dichoto- mus. Folia inferiora oblongo-lanceolata, superiora e basi ovali vel oblonga lanceolato-subulata, costa semitereti sub- canalieulata longe excedente, perichaetialia e basi vagi- nante subulata; omnia subflexuosa. Calyptra majuscula. Capsula in pedicello tenui longo flavescente humiditate arcuato siccitate erecto, e collo tumidulo subsphaerica, ovalis vel oblonga, e membrana tenuiore laxius areolata formata, fulvella, ore rubello. Operculum e basi convexo conica in rostrum rectum subulatum productum. Peristo- mii dentes lineales obtusi vel lanceolati, haud raro apiee irregulariter bifidi. Sporae minores. Seligeria recurvata Br. et Sch. Bryol. eur. II, p. 6, Tab. 112. — C. Mull. Synops. I, p. 419. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 115. Grimmia recurvata Hedw. Musc. fr. I, p. 102, T. 28. Weisia recurvata Brid. Bryol. univ. I, p. 352. 33 Habit. ad rupes, saxa, lapides; Kunzovo — in ascensu in lapide Goldbach invenit. Fruct. matur. vere. Trib. V. POTTIACEAE. Plantae perennes rarius annuae, sub apice florifero in- novationibus plerumque duabus innovantes, unde pluries dichotome ramosae. Foliorum rete parenchymatosum, api- ce quadratum et punctiforme haud raro papillosum val- de chlorophyllosum, basi laxum rectangulum vel hexa- gono-rectangulum hyalinum. Calyptra cucullata, rarissime lobato-mitraeformis. Capsula pro more altius pedicellata, inter formam ovato-globosam atque cylindraceam ludens, peristomio nullo vel 16—32-dentato, dentibus linealibus vel filiformibus valde papillosis, e membrana basilari e- gredientibus. Fam. I. POTTIEAE. Folia mollia apicem versus valde chlorophyllosa, costa tereti instructa. Calyptra cucullata, raro pluriloba sub- obliqua. Capsula brevius longiusve pedicellata, erecta, peristomio nullo vel 16-dentato, dentibus linealibus pla- nis membrana basilari angusta suffultis. I. POTTIA Ehrh. Plantae annuae et biennes, simplices vel e basi parce divisae, inferne radicibus longis instructae. Folia latiuscu- la obovato-oblonga et oblonga, acuminata, mollia, opaca, laevia vel papillosa, basi laxe texta hyalina, costa tereti nuda, rarius superne follieulis vel lamellis obsita. Ca- lyptra cucullata. Capsula exserta, gymnostoma, operculo rostrato vel mutico. № 1. 1564. 3 34 1. Portia cavırouıa Ehrh. . Folia obovato-oblonga, valde concava, subimbricata, costa folliculosa, vel lamelligera, in pilum longum lae- vem exeunte. Capsula emergens vel exserta ovata, ellip- tica et oblonga, badia. Pottia cavifolia Ehrh. Beitr. Il, p. 187. — Br. et Sch. Bryol. eur. II, р 7, Tab. 118. — C. Müll. Synops. I, p. 551. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 122. Gymnostomum ovatum Hedw. Musc. fr. I, p. 16, Tab. 6. — Brid. Bryol. univ. 1, p. 59. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 188. — Weinm. Syllab. I, p. 438. Habit. т muris agrisque limosis. Fruct. matur. Majo. 9. Portia TRUNCATA Dr. et Sch. Humilis vel elatior, simplex vel ramosa, annua vel perennis, caespitulosa. Folia obovato-oblonga et subspa- thulata, breviter acuminata, costa excedente mucronata, patentia et patula, basin versus late concava, apicem versus carinata, margine plana, laevia, granulis chloro- phyllieis magnis. Capsula obovato-sphaerica rarius oblon- ga, deoperculata subhemisphaerica vel truncata. Opercu- lum plano-convexum brevius longiusve obliquirostrum, nna cum columellae parte superiore deciduum. Pottia truncata Br. et Sch. Bryol. eur. II, p. 9, Tab. 120, 121. — Schimp. Synops Musc eur. р. 123. Pottia eustoma 6 minor Ehrh. Beitr. р. 188 — C. Mull. Synops. Lp 1558: Gymnostomum truncatum Hedw. Musc. fr. 1, р. 43, Т. 5. — Brid. Bryol. univ. I, p. 67. — Mart. Pr. Fl. mosq. р. 187. — Weinm. Syllab. I, р. 438. Gymnostomum truncatulum Turn. — Steph. Enum. stirp. p. 49. Bryum truncatulum L. Sp. Pl. р. 1584. 35 Habitat. in hortis, ollis, agris, graminosis frequens. - Spec. mosq. in herbar. Goldb., C. Czerm., Boschn., — atque in Annenk. Flora exsiec. mosq. Cent. 1. Fruct. matur. vere. II. ANACALYPTA Roehl. Plantarum habitus et modus vegetandi, foliorum forma et reticulatio, capsulae erectae forma, textura et color utin genere Рома, a quo genus nostrum solo peristomio praesente differt. Peristomii dentes 16 in membrana ba- silari e capsulae orificio emergente lineali - lanceolati, plani, remote articulati, in crura duo imperfecta divisi vel cribrosi, haud raro truneati vel rudimentarii, e lami- na dupliei lutescente extus et intus plus minus papillosa parum hygroscopica efformati. | 1. ANACALYPTA LANCEOLATA Rochl. Caespitans, elatior, ramosa. Folia patentia obovato- et elongato-oblonga, costa excedente longius cuspidata, са- rinata, margine subrevoluto-reflexa. Flores masculi gem- macei. Calyptra majuscula, usque in rostellum fissa. Cap- sula elliptica, rufo-brunnea. Annulus latus e cellularum serie simplici compositus. Peristomii dentes e basilari membrana angusta lineali-lanceolati, erecti, articulationi- bus 8—10, linea longitudinali exarati subintegri vel per- tusi, valde papillosi, rufuli. Anacalypta lanceolata Roehling Moosg. Deutschl. I, p. 108. — Br. et Sch. Bryol. eur. II, p. 4, T. 127. — Schimp. Sy- nops. Musc. eur. p. 128. Pottia lanceolata C. Mull. Synops. I, p. 549. Leersia lanceolata Hedw Musc. fr. Ш, р. 66, T. 23. — Mart. Pr. Fl. mosq p. 189. Dermatodon lanceolatus Hüben. Musc. germ. p. 112. — Weinm. Syllab. I, p. 448. 3* 36 Coscinodon lanceolatus, aciphyllus et connatus Brid. Bryol. univ. 1, р. 372, 373 et 374. Habit. ad margines fossarum, in muris argillaceis, via- rum lateribus. Fruct. matur. Septembri. Fam. Il, CERATODONTEAE. Peristomii dentes in crura duo inaequalia filiformia sic- citate arcuato-incurva divisi, basi dense trabeculati, pur- purei. I. CERATODON Brid. Plantae perennes sub apice innovantes, tandem pluries . dichotome ramosae, fastigiatae, ad basin innovationum radicantes. Folia 5—8-faria, elongato- et lineali-lanceola- ta, raro latiora, apice plerumque plus minusve distincte serrata, reti angustiore quam in genere praecedente, su- pra basin subvaginantem laxius texta hyalina, ad apicem valde chlorophyllosa minute et densissime papillosa, pa- pilis pro more bipartitis. Perichaetium distinctum. Cap- sula elongata, striata, sicca profunde sulcata. Peristomii dentes perfectiores, solidiores, regulares, numero 16 e membrana basilari paulum supra capsulae orificium emer- gente orientes, lineali-subulati, usque ad basin fere regu- lariter bifidi, cruribus subaequalibus, inferne confertim dehinc remote trabeculato-articulati, minute granulosi, hy- groscopici, siccitate apice involuto-incurvi. 1. CERATODON PURPUREUS Brid. Plantae longe et late caespitantes, fastigiato-ramosae, caespites fusco- rufo- vel olivaceo-virides, molles. Folia elongato-lanceolata, carinata, margine integro reflexa, opa- ca, costa valida ad apicem procedente instructa. Capsu- 37 la in pedicello tenaci rufo-purpureo erecta subcernua, ovato-oblonga, subturgida, collo brevi, sicca vacua in- curva horizontalis 4—9d-gona, rufo-fusca, nitida. Annulus magnus, compositus, revolubilis. Operculum conicum vel brevirostrum.. Peristomii dentes purpurei late et dilutius marginali. | и. Ceratodon purpureus Brid. Bryol. univ. I, р. 480. — Br. et Sch. Bryol. eur II, р. 5, T. 189, 190. — C. Mull. Synops. I, p. 646. — Schimp. Synops. Musc. eur. р 139. — Weinm. Syllab. I, р. 478. - Dicranum purpureum Hedw. Sp. Musc. р. 136, Т. 36. — Steph. Enum. stirp. р. 51 — Mart. Pr. Fl. mosq. р. 190. Mnium purpureum L. Sp. Pl. 1575. Наби. in sterilibus, ericetis montosis, vulgatissime, ra- rius in muris; Stepankovo — in sylvaticis, ad fossarum margines, locis sterilibus, ad viarum latera, ad terram denudatam argillaceam, ubique copiose et fructificantem, saepe socia Funar. hygrom. legi. Spec. mosq. in herb. Boschn. et in Annenk. Fl. exs. mosq. Cent. II; Goldb. etiam reperit. Fruct. matur. initio aestatis. II. TRICHODON Sehpr. Plantae tenellae humiles, sola basi radicantes, grega- riae vel caespitantes. Folia e basi subvaginante subulata, crispabilia, laevia, reti rectangulo et lineali - rectangulo. Flores dioici. Perichaetium vaginans. Calyptra angusta, cucullata. Capsula in pedicello longo tenui flexuoso erecta, anguste cylindracea, regularis vel subarcuata, leptoderma, striata, laevis. Operculum conieum. Annulus latus, revo- lubilis. Peristomium majusculum, purpureum; dentes ad basin usque bifidi, crura subaequalia, subulata, nodosa, 38 ’ minute granulosa, humida erecta, sieca arcuato - incurva ‚. vel hamata, valde hygroscopica. 1. Tmucuopox cyzinpricus Schpr.* Caulis bi-trilinearis raro semiuncialis, tenerrimus, fle- xuosus. Folia flexuoso-squarrosa, crispabilia, e basi sub- vaginante flexuoso - subulata, apice serrata. Capsula in pedicello pertenui flexuoso subunciali flavescente angu- stissime cylindracea, fuscescens. Trichodon cylindricus Schimp. Coroll Bryol. eur. p. 36; — ejusd. Synops. Musc eur. p. 140 Ceratodon cylindricus (Hüben) Br et Sch. Bryol eur. II, p. 6, T. 192. — Weinm. Syllab. I, p. 478. Trichostomum cylindricum Hedw. Sp. Musc. p. 107, T. 24, f. 75— 13. — Brid. Bryol un. I, p. 491. Angstroemia cylindrica C. Müll. Synops. I, p. 444. Habit. ad latera fossarum arenosarum, in terra areno- sa humida ad sylvarum margines; in fossa arenosa pone pagum Alexejevskoe Goldbach legit. Fruct. matur. aestate. Fam. III. TRICHOSTOMEAE. Plantae perennes humiles vel elatiores. Folia valde diversiformia e late ovato-lanceolato linealia et subulata, opaca papillosa, vellaevia plus minus nitentia, costa te- reti, semitereti, vel dilatata, reti parenchymatoso caete- rum Pottiacearum. Calyptra cucullata, longirostra. Cap- sula alte pedicellata. Peristomii dentes membrana basi- lari haud raro tubulosa suflulti, 32 simplices, filiformes, papillosi, saepius contorti. I. LEPTOTRICHUM Ilmpe. Plantae humiles vel plus minus elatae, graciles, foliis е lanceolato-subulatis vel setaceis, laevibus, sericeo-niti- 39 dis, subseariosis insignes. Flores dioici vel monoici. Pe- ristomii dentes e membrana basilari angustissima nume- ro 32 omnino liberi subaequales, vel hic illic trabeculis per paria conjugati, inaequales saepiusque partim. frag- mentarii, sicci et humidi erecti raro leniter contorti. Flores diotcs. 1. LEPTOTRICHUM TORTILE Ншре. Var. В pusillum. Humile, caules breviores densius congesti. Folia bre- viora, strictiuscula vel subsecunda, curvata, lanceolato- subulata, medio margine reflexo, summo apice serrato, costa subexcedente. Capsula erecta, oyalis vel oblonga, regularis vel curvula, leptoderma, pallide fusca. Opercu- lum brevirostrum. Annulus angustus, simplex. Peristomii dentes in membrana basilari latiuscula, gemelli omnino liberi vel partim connati, variabiles, leniter obliquati, sic- citate subincurvi. Leptotrichum tortile Hampe Var. В pusillum C. Müll. Synops. I, p. 454. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 142 Trichostomum pusillum Hedw. Musc. fr. I, p. 74, T. 28. — Weinm. Syllab. I, p. 481. Trichostomum tortile Schrad. Var. В pusillum Br. et Sch. Bryol. eur. ID р. 14, № 179. Habit. ad viarum margines, in terra argillacea, ad sa- xa; Goldb. invenit. Fruct. таит. autumno. 2. LEPTOTRICHUM HOMOMALLUM Итре. Laxe caespitosum, caespites virides, subsericei. Caulis . simplex vel parce ramosus, raro uncia longior. Folia ir- regulariter et undique patentia vel homomalla, e basi 40 ovata subulata, costa longius excedente, integerrima; pe- richaetialia e basi vaginante subito setacea. Capsula in pedicello longo serpentino-flexuoso purpureo erecta, ex ovato oblonga et elliptica, pachyderma, rufa. Operculum anguste conicum. Annulus angustus. Peristomii dentes sine membrana basilari, aut omnino simplices aut gemi- natim conjuncti, rufo-purpurei. Leptotrichum homomallum Натре, — Müll. Synops. I, p. 454. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 143. Trichostomum homomallum Br. et Sch. Bryol. eur. II, p. 16, T. 181 Weisia heteromalla Hedw. Stirp. Crypt I, p. 22, T. 8. Habit. in terra praeprimis arenosa locis praeruptis et ad viarum margines, saepe socio praecedente; in Mon- tibus Passerinis Goldb. legit. Fruct. matur. autumno. Il. BARBULA Hedw. Vegetationis modus, plantarum habitus, foliorum forma et reticulatio, florum et fructus indoles ut in caeteris Tri- chostomeis, solo peristomio distincta e dentibus 32 lon- gis et longissimis filiformibus bis ter-quaterque dextram ' versus contortis basi membrana tubiformi tessellata bre- viore longioreve suffultis, remote articulatis, valde papil- losis, purpureis, parce hygroscopicis. Subgen. I. Barbula. Plantae perennes, caespitantes, aetate dichotome fasti- giato-ramosae. Folia tereticostata, alis haud inflexis. Pe- ristomii dentes in membrana basilari tubiformi plus mi- nus producta, pluries convoluti. 41 Sect. I. Unguiculatae. Folia oblongo- vel lineali-lanceolata, chlorophyllosa, an- gusti - costata, costa nuda haud in pilum excedente; flo- ribus dioicis. Peristomii dentes in membrana basilari perbrevi. 1. BARBULA UNGUICULATA Hedw. Longe lateque caespitosa, caespites molles, virides. Folia ovato- et oblongo-lanceolata, costa viridi excedente mucronata, inferne plano-concava, margine e medio ver- sus basin revoluta, apice carinata, alis subrecurvis vel planis, perichaetialia intima angustiora, linealia, omnia siccitate complicata hamato - incurva. Capsula elongato- elliptica vel subeylindrica, regularis vel leniter incurva, leptoderma, rufo-fusca. Calyptra angusta, longirostra, pau- lum infra operculum continua. Operculum e conica basi in rostellum longum rectum vel curvulum productum. Annulus nullus. Peristomii dentes pulchre purpurei, ter quaterque convoluti. Barbula unguiculata Hedw. Stirp. I, p. 59, T. 23. — Brid. Bryol. univ. I, p. 563. — Br. et Sch. Bryol. eur. II, p. 18, T. 142, 143. — C. Mull. Synops. I, p. 612. — Sehimp. Sy- nops. Musc. eur. p. 167. — Mart Pr. Fl. mosq. p. 192. — Weinm. Syllab. I, p. 485. Bryum unguiculatum Dill. Hist. Musc. Habit. in campis aridis, viis, muris et ericetis; Goldb., Boschn. Fruct. matur. Majo. 2. BanBULA FALLAX Hedw. Caulis junior simplex, annosior innovando ramosus, elatus, basi infima et ad pedem innovationum radicans. Folia squarrosa et recurvo-divaricata, siccitate tortilia, e 42 _ basi latiore lanceolata et lineali-lanceolata, carinata, mar- gine revoluta; perichaetialia usque ad medium semivagi- nantia dehine anguste lanceolata patentia, omnia, novel- lis laete viridibus exceptis, fusco-viridia, seniora omnino fuscescentia, haud raro ferruginea. Capsula in pedicello rufo flexuoso anguste ovato-oblonga, sensim angustata, lenissime curvata, solidiuscula, brunnea. Calyptra infra operculum producta, subulata. Opereulum purpureum, su- bulatum, capsulam longitudine subaequans. Peristomii den- tes in membrana basilari angustissima longissimi, pluries arcte contorti, siccitate subsoluti. Barbula fallar Hedw. Stirp. Crypt. I, p. 62, T. 24. — Br. et Sch. Bryol. eur. II, p. 23, T. 147. — C Müll. Synops. I, p. 617. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 169. — Brid. Bryol. univ. I, p. 556. Habit. in collibus argilloso-siliceis, ad aggeres, muros vetustos; Kunzovo (Goldb.). Herb. Boschn. Fruct. matur. vere. Sect. Il. Cuneifoliae. Plantae humiles terrestres et saxicolae, foliis obovato- vel spathulato -lanceolatis, basi laxe textis. Flores mo- noici, masculi gemmiformes. Perist. dentes pluries con- voluti, membrana basilaris latior. 3. BanBULA MURALIS [ledw. Pulvinata vel caespitans, caespituli e glauco-viridi ca- nescentes. Folia inferiora oblongo -lanceolata, superiora elongato-spathulata, margine arcte revoluta ut marginata videantur, glauco-viridia, costa ex apice obtuso in pilum plus minus elongatum producta. Flores masculi in ramu- lis propriis gemmiformes. Capsula ex ovato elongata et 43 subeylindrica, regularis, brunnea, орегешо longirostri, an- nulo angustissimo. Peristomii dentes e membrana basilari . :: angustissima pluries et arcte convoluti. Barbula muralis Hedw. Fundam. — Timm. Fl, megapol. p. 220. — Brid. Bryol. univ. I, p. 546. — Br. et Sch. Bryol. eur. Il, p. 35,.T. 159. — C. Mull Synops: Г р. 625. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 185. — Mart. Pr. FI. mosq. p. 192. — Weinm. Syllab. I, p. 483. Tortula muralis Hedw. Spec. Musc. p. 123. — Steph. Enum. stirp. p. 52. Bryum murale L. Sp. Pl. p. 1581. Habit. in tectis, muris, rarius in saxis et rupibus; Kunzovo (Goldb. invenit cum B. fallaci). Spec. mosq. in herb. Boschn. Fruct. matur. Majo. Subgen. Il. Syntrichia Brid. Plantae majores, robustiores. Folia majora solidiora. Flores monoici, dioiei, raro bisexuales. Capsula in pedi- cello validiore, exsiecatione superne sinistrorsum, infer- ne dextrorsum torquescente érecta, elongata, plus mi- nusve curvata. Calyptra major, fuscescens, juvenilis sub- inflata. Peristomii membrana basilaris longe tubulosa, elegantissime tessellata, dentes minus arcte convoluti, crassiores, brevius articulati. Sect. I. Subulatae. Plantae humiliores. Flores monoici. 4. BARBULA SUBULATA Brid. Laxe caespitans. Caulis brevis simplex vel pluries di- yisus, basi radiculis longis instructus, Folia obovato- et 4% - зрафШаю - oblonga, costa excedente mucronata, integra ‘vel apice serrata, margine plana, limbo lutescente plus minus conspicuo cireumducta. Flores maseuli in ramulis . brevibus laterales. Calyptra subinflata, fuscescens. Capsula valde elongata, cylindracea, subarcuata, brunnea, oper- culo anguste conico, annulo e duplici serie cellularum parvularum formato. Peristomii tubus longissimus, pallide rubellus. Barbula subulata Brid. Spec. Musc. I, 267. — Br. et Sch. Bryol. eur. П, p. 36, Tab. 160, 161. — C. Müll. Synops. I, p. 623. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 186. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 192. Tortula subulata Hedw. Fund. IL, p. 92. — Steph. Enum. stirp. р: 52 Syntrichia subulata Web. et M. Bot. Tasch. р. 214. — Weinm. Syllab. I, р. 487. Bryum subulatum L. Sp. Pl. Habit. ad aggeres praeprimis arenaceos secus vias syl- vaticas, in argillaceis, in sylvatieis circa arborum radi- ces; Goldbach reperit. Fruct. matur. Majo. Sect. IL Rurales. Plantae elatiores, innovando dichotome ramosae, folio- rum reti, basi laxe texta excepta, densissimo. Flores dioici. 5. BARBULA RURALIS Hedw. Speciosa ехрапзо - caespitosa, caespitibus e viridi in- canis inferne ferrugineis. Folia remota, caulis apice con- ferta, e medio recurvo - squarrosa basi subvaginantia, oblonga et oblongo-elongata, apice valde rotundato, me- 4 + 45 dio emarginato aristaque e costa proveniente longa, Йе- xuosa, incana, spinosissima instructa. Folia perigonialia in- .— terna ovata, costata. Capsula in pedicello longo basi vix tortili superne lutescente, elongata, subincurva, operculo longe unguiculato. Peristomium longissimum ad medium vel ad tertiam partem usque tubulosum. Barbula ruralis Hedw. Spec. Musc. р. 121. — Br. et Sch. Bryol. eur. И, р. 42, T. 166. — C. Mull. Synops. I, p. 640. — Schimp Synops. Muse. eur. р. 191. — Steph. Enum. stirp: p. 52. — Mart Pr. Fl. mosq р. 192. Syntrichia ruralis Web. et M. Bot. T. p. 245. — Brid. Bryol. univ. I, p. 584. — Weinm. Syllab. I, p. 488. Bryum rurale L. Sp. Pl. Habit. ad arborum truncos annosiores, in tectis et aridis. Fruct. matur. Majo. Trib. VI. GRIMMIACEAE. Musci acrocarpi, rarissime cladocarpi, sub apice flori- fero innovantes unde innovando dichotomae, basi totove caule radicantes. Folia pluriseriata, opaca, reti parenchy- matoso, inferne hexagono vellineari, apicem versus mi- nuto hexagono -rotundato vel punctiformi valde chloro- phylloso. Flores gemmiformes. Capsula in pedicello recto vel arcuato erecta plerumque aequalis. Calyptra mitrae- formis, capsulam ex parte vel totam includens, rarius cuculliformis, laevis vel sulcata, haud raro pilosa. Peri- stomium rarissime deficiens, simplex vel duplex, denti- bus eiliisque planis. Sporae minimae. Fam. I. GRIMMIEAE. Plantae acrocarpae raro cladocarpae. Foliorum rete mi- nutum rotundato-hexagonum valde chlorophyllosum, ad 46 basin oblongo-hexagonum tenue hyalinum, vel lineare seu sinuosum incrassatum. Peristomium, cum ‚adest, simplex, 16-dentatum, dentibus transverse ‘articulatis, lanceolatis integris vel cribrosis, vel ad basin usque bifidis cruraque filiformia sistentibus. | 1. GRIMMIA Ehrh. Plantae dichotome fastigiato-ramosae, pulvinatae, rarius caespitosae. Calyptra nune parvula pluriloba, папе. major submitraeformis basi pluries fissa, nune lobato- vel sim- pliciter cucullata. Peristomii dentes lanceolati, plani, sub- -integri, cribrosi vel ad medium et infra bi-trifidi, sicci- tate patuli vel erecto-patentes et subincurvi, rarissime omnino deficientes. Subgea. |. Schistidium. Foliorum rete basilare emarginato-quadratum et rectan- gulum. Flores monoici, terminales. Calyptra minuta, lo- bata, solo operculo insidens. Capsula in pedicello brevi recto immersa, aequalis, operculo late convexo cuspida- to systylio clausa; peristomii dentes lanceolati, cribrosi, siccitate reflexi, raro rudimentarii. Sect. Peristomium perfectum. 1. GrimmiA APOCARPA lledw. Robustior in caespitulos laxos fuscescentes congesta, aetate provecta pluries dichotome ramosa. Folia ex ere- eta basi patentia sicca erecta, lanceolata et elongato-lan- ceolata, basi concava dehine profunde carinata, margine recurvo apice obtuse dentata, superiora in pilum aspe- rum brevem producta, costa superne hirta infra apicem evanida; perichaetialia latiora, tenuiora, tenuius costata, pilo breviore vel nullo. Capsula ovata, crassiuscula, pe- 47 richaetio minus obvelata, pachyderma, solida, rufa, oper- ^- -culo peristomio translucente purpureo, longius apiculato. Peristomium longe sub capsulae orificio oriens, magnum, intense purpureum, dentibus majoribus parcius pertusis vel integris, siccitate radiatim patulis apice erectis. An- nulus nullus. Grimmia apocarpa Hedw. Musc. fr. p. 104, Tab. 39. — Brid. Bryol. univ. 1, р. 167. — C. Mull Synops. I, р. 777. — Schimp. Synops. Musc. eur, p. 200. — Steph. Enum. stirp. р. 50. — Mart. Pr. Fl. mosq. р. 189. — Weinm. Syllab. I, р. 454. Schistidium apocarpum Br. et Sch. Bryolog. eur. Ш, р. 7, T. 233, 234. Bryum apocarpum a L. Sp. Pl. р. 1579. Habit. in saxis, muris, tectis, raro ad arborum trun- cos; in prist. horto Com. Orloff (Mosquae) in saxis Goldb. legit; Dr. Fleisch prope Mosquam invenit. Fruct. matur. vere. Subgen. Il. Grimmia. Folia in pilum desinentia, reti basilari rectangulo vel lineari et sinuoso-lineari in solis marginibus vel angulis rectangulo. Calyptra lobato-mitraeformis, raro cucullata. Capsula in pedicello arcuato emergens vel exserta, regu- laris. Peristomii dentes plus minus cribrosi vel lacunosi. Sect. Calyptra lobata recta vel obliqua. Flores monoici. 2. GRIMMIA PULVINATA Sm. Pulvinuli e glauco-viridi grisei, minus condensati minus- que exaltati. Folia latiora apice subito in pilum angustata. Capsula in pedicello longiore stramineo-fuscescente demissa, 48 _ distincte striata, sicca costata, solidior, brunnea. Орег- ~ eulum e basi convexa rostratum. Annulus latior. Peristo- mii dentes longiores, parce pertusi et apice inaequaliter bifidi, obscure purpurei. Grimmia pulvinata Smith Engl. Bot. — Hooker et Taylor Muscol. Brit. ed. 2, p. 68, T. 13. — Br. et Sch: Bryol: eur. All, p. 12, T. 239. — C. Müll. Synops. I, p. 783. — Schimp. Synops. Musc eur. p. 206. — Weinm. Syllab. I, p. 458. Leersia pulvinata Hedw. Fund. musc. I, T. 10, f. 65. — Steph. Enum. stirp. p. 50. Fissidens pulvinatus Hedw. Sp. Musc. p. 158, T. 40. — Mart. Рг. Ele 11054: р. 190: Bryum pulvinatum L. Sp. Pl. 1586. Habit. in muris, tectis et saxis. Fruct. matur. vere. II. RACOMITRIUM Brid. ex parte. Musci proxime ad Grimmias accedentes, pro maxima parte proceriores, late caespitantes nunquam in pulvinu- los conferti, pareissime radicantes, innovando dichotome ramosi. Foliorum rete basilare sinuoso - lineare. Flores dioici. Calyptra erecta lobato - mitrata, longirostra. Peri- stomii dentes ad medium vel usque ad basin bifidi, eru- ribus filiformibus erectis. Subgen. Racomitrium. Plantae ramulis lateralibus brevibus, eodem modo ac caulis foliosis nodoso-fasciculatae. Flores masculi latera- les, fructus acrogeni, cladogeni et sublaterales. Peristo- mii dentes in crura duo longa et longissima anguste lan- ceolata vel filiformia soluta. 1. RacoMITRIUM LANUGINOSUM Brid. Caespites extensi, profundi, tumescentes, grisei. Planta gracilescens, elata, ramosa, ramulosa, ramulis lateralibus 49 numerosis longioribus, partim fertilibus. Folia longa, den-. sissime conferta, erecto-patentia, incurva et recurva seu faleato-secunda, praeprimis apicalia, tenuicostata, ex apice late membranaceo-limbato in pilum exeuntia, limbo pilo- que eroso- et subciliato-dentatis minute papillosis. Cap- sulae versus caulis apicem pro more complures e ramu- lis lateralibus enatae, minutae, ovato - ellipticae, solidae, brunneae, pedicello breviusculo aspero. Calyptra solo apice aspera. Operculum subulatum. Annulus perlatus, revolubilis. Peristomii dentes bifidi, cruribus filiformibus subaequalibus, erecto - conniventibus. Racomitrium lanuginosum Brid. Bryol. univ. I, p. 215. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш, р. 11, T. 269. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 234. Trichostomum lanuginosum Hedw. Musc. fr. Ш, р. 3, T. 2. Grimmia lanuginosa C. Müll. Synops. I, p. 806. Trichostomum hypnoides Willd. — Steph. Enum. stirp. p. 51. Bryum hypnoides а L. — Dill. Hist. Musc. p. 372, T. 47, f. 32. Habit. in lapidosis arenarlis, in rupibus. Fruct. matur. vere. 9. RACOMITRIUM CANESCENS Brid. Laxe caespitosum, caespites e laete vel e luteo viridi canescentes plus minus elati, plani. Planta erecta, valde ramosa, ramulis brevibus obtusis remotis. Folia patula, retrorsum etsursum curvata, terminalia saepius ad unum latus dejecto, ex oblonga carinato-concava et subsulcata basi anguste lanceolata et profunde carinata, ad latera tota longitudine reflexa, acuminis lanceolato - piliformis, margine crenulata, superficie totius laminae minute pa- pilosa; perichaetialia ultra medium vaginantia. Capsula in pedicello longo purpureo siccitate compresso sinistror- sum torto ovato - elliptica et ovato - conica, microstoma, № 1. 1564. 4 50 sicca angulosa, coriacea, brunnea. Calyptra longe subu- lata sola summitate aspera. Operculum aciculare longitu- dine capsulae aequale etlongius, rectum vel obliquatum. Annulus, ut in praecedente, latus. Peristomii dentes e membrana basilari magis producta longissimi, filiformes, nodosi, saturate purpurei, vix hygroscopici. Racomitrium canescens Brid. Bryol. univ. I, p. 208. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш, p. 12, T. 270, 271. — Schimp. Syn- ops. Musc. eur. p. 235. — Weinm. Syllab. I, p. 460. Trichostomum canescens Hedw. Musc. fr. III, p. 5, T. 3. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 190. Grimmia canescens G. Müll. Synops. I, p. 807. Bryum hypnoides В L. — Dillen. Hist. Musc. Tab. 47, f. 97. Habit. in montosis sterilibus, ad terram. Fruct. matur. vere. Fam. Il. HEDWIGIEAE. Plantae Grimmieis valde affines. Caulis dichotome vel vage ramosus, sola infima basi radicans. Folia latiuscula, coriacea, ecostata, гей minutissimo apice quadrato, me- dia basi lineari. Calyptra mitrata vel cucullata. Capsula immersa, vel exserta, gymnostoma. I. HEDWIGIA Ehrh. Caulis dichotome et subfastigiato - ramosus, stolonibus nullis. Folia praecipue dorso papillis dense congestis hir- suta, apice hyalino erosa et ciliata. Flores monoici. Va- ginula brevissima. Calyptra conico-mitrata, integra, solo operculo insidens, fugacissima. Capsula perichaetio tricho- phyllo immersa, globosa, operculo late convexo. | 1. HEDwiGIA CILIATA Hedw. Laxe caespitosa, e pallide glauco-viridi canescens. Cau- lis dichotome et vage ramosus, subfastigiatus. Folia un- 51 . dique patentia siccitate dense imbricata, vel secunda, concava, oblongo-lanceolata, in apieulum lanceolatum chlorophylli absentia albicantem hispidulum margine crenu- latum et appendiculatum exeuntia, media infima basi lu- tescentia, ad insertionem decurrentia; perichaetialia dia- phana apice longe producto longe et flexuoso-ciliata. Cap- sulae globosae pallide fuscae ore rubro - cinctae; collum tumidulum vix productum ve! plus minus conspicuum; operculum rubellum plano-convexum cum vel sine pa- pilla centrali. Calyptra nuda seu pilosa. Hedwigia ciliata Hedw. Musc. fr. I, p. 104, T. 40. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш, p. 5, T. 272 et 273. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 238. Hedwigia apocarpa Leyss. Fl. Hall. 1049. — Steph. Enum. stirp. . 49. eu ciliatum Brid. Bryol. univ. — Weinm. Syllab. I p. 437. Pilotrichum ciliatum C. Müll. Synops. II, p. 164. Bryum apocarpum ß L. Sp. PI. p. 1579. ) Habit. in locis aridis lapidosis; Goldbach. Frucl. matur. vere. Fam. Ill. ORTHOTRICHEAE. Folia apicem versus punctulato-areolata valde chloro- phyllosa, basi laxe vel anguste reticulata, hyalina tereti- costata. Calyptra magna, mitraeformis, longitudinaliter plieata, saepius pilis hirta, vel laevigata, raro inflato-cu- cullata laevis solidiuscula. Capsula saepe striata. Peristo- mium simplex vel duplex, rarissime nullum; externi den- tes 16 per paria approximati vel conjuncti, linea divisu- rali notati, interni cilia 8 et 16 vel membrana apice erosa. 4 52 I. ORTHOTRICHUM Hedw. Plantae plerumque pulvinulatae rarius eaespitantes, ere- etae, longiores procumbentes, nunquam prorepentes, inno- vando dichotome et fastigiato-ramosae, basi et in ramo- rum axillis radicantes. Folia ovato-, oblongo- et elonga- to-lanceolata, siccitate stricta, parte superiore punctulato- areolata, minute papillosa, basi e cellulis majoribus lep- todermis areolas hexagono-rectangulas hyalinas sistenti- bus composita. Calyptra campanulato-mitraeformis, basi incisa, carinato-plicata, plicis minus numerosis, pilosa vel nuda. Vaginula parte pilosa, tubo vaginali adaucta. Cap- sula immersa, rarius emersa vel exserta, collo in spe- ciebus brevipedicellatis usque ad vaginulam defluente, 8- et 16-striata, rarissime estriata laevis, sicea vacua suleata, sub ore plus minusve constricta, urceolata, oper- eulo mamillari vel rectirostro, annulo nullo, peristomio simplici vel duplici, dentibus 8 bigeminatis vel 16 ge- minatis, eiliis interpositis 8 vel 16. Sporae fuscae. Sect. I. Peristomium simplex, flor. monoici. 1. ORTHOTRICHUM ANOMALUM Hedw. Caulis erectus, subsimplex. Folia inferiora subremota patula, superiora dense conferta, erecto-patentia, ex ova- to lanceolata, margine subrevoluta et revoluta. Capsula alte exserta, ovato-oblonga, collo spurio instructa, 16- striata, sicca vacua medium versus coarctata. Calyptra fusca, pilosa. Peristomii dentes pallide lutescentes, sicci erecti. Orthotrichum anomalum Hedw. Musc. fr. II, p. 102, T. 37. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш, p. 10, T. 210. — G. Müll. Synops. I, p. 694. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 262. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 193. — Weinm. Syllab. I, p. 419. 53 Orthotr. saxatile Brid. Bryol. univ. I, p. 276. Bryum striatum В y L. Habit. in muris antiquis, ad saxa arborumque truncos. Fruct. matur. Majo. Sect. II. Peristom. duplex, internum 8-ciliat. A. Flores dioici. 9. ORTHOTRICHUM OBTUSIFOLIUM Sehrad. Irregulariter pulvinulatum et caespitulosum, caespituli pallide vel e luteo virides inferne fuscescentes. Folia hu- mida e medio patula, sicea imbricata, ex ovato oblonga et elongata, apice obtuso hyalino minute serrulata, con- cava, margine leniter incurvo, dorso papillosa, perichae- tialia latiora, tenuiora, subvaginantia, suleata, apice mi- nus obtuso. Calyptra infra mediam capsulam producta, nuda, basi albida apicem versus fusca asperula. Vaginula brevis. Capsula immersa, pedicello brevissimo, e collo sporangio longiore basin versus attenuato sulcato, ovalis, luteola, striis 8 aurantiis, ore aurantio, sieca elongata tota longitudine suleata. Opereulum e basi convexa acu- minatum. Peristomii dentes 8 bigeminati, sicci reflexi, extus vermiculoso-papillosi, apicem versus saturate, basi dilutius aurantii; cilia 8 e duplici serie cellularum effor- mata, lutea. Orthotrichum obtusifolium Schrad. Cryptog. germ. p. 14. — Brid. Bryol. univ. I, р. 287. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш, p. 13, T. 208. — C. Müll. Synops. I, p. 689. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 263. — Weinm. Syllab. II, p. 417. Habit. in cortice arborum campestrium, nunquam sylva- ticarum, praeprimis Populorum et Salieum; Gorenki ubi Goldb. fructiferum legit. Spec. mosq. in herb. Boschn. Fruct. matur. vere. 54 В. Flores monoici. 3. ORTHOTRICHUM PUMILUM Swartz. Humile minute pulvinulatum, pulvinuli condensati ferti- lissimi. Folia lanceolata, acute carinata, margine revolu- ta; perichaetialia longiora, erecta. Flores masc. axillares, antheridia longe pedicellata, eparaphysata. Vaginula ob- longa, epilosa. Calyptra */, capsulae obtegens, nuda, lu- tescens, apice brunnea. Capsula oblonga, in collum sub- aequilongum usque ad vaginulam continua, lutescens, striis 8 aurantiis, sicca 8-costata, vacua elongato - cylin- driea sub ore coarctata, senior rufo-fusca, emergens. Pe- ristomii dentes 8 bigeminati tandem geminatim soluti, lutei, dense papillosi unde obscure punctulati, sieci re- flexi; interni cilia 8 dentibus subaequilonga, lanceolato- filiformia, e duplice serie cellularum conformata. Orthotr. pumilum Swartz Disp. system. Musc. fr. Sueciae p. 42 et 92, T. 4, f. 9, — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 263. Orthotr. fallar Bruch in Brid. Bryol. univ. I, p. 787. — Br. et Sch. Bryol, eur, Ш, р, 14, T. 211. — C. Müll. Synops. I, p. 697, Habit. in arborum truncis campestrium, praeprimis Po- pulorum, Salicum; Goldbach invenit. * Fruct. matur. initio aestatis. 4. ORTHOTRICHUM AFFINE Schrad. Planta procerior pulvinulos cireulares laxiusculos satu- rate virides efformans, erecta, pluries et dichotome in- novanti-ramosa, Folia patula et recurvo- patula, sicca erecta et erecto-patentia, elongato-lanceolata, superiora acute acuminata, tota longitudine margine reflexa, valde papillosa. Flores masculi numerosi, axillares; antheridia longe pedicellata, paraphysata. Calyptra totum fere spo- rangium obtegens, conico-mitrata, tenuis, viridis vel fus- 55 cescens, pilis raris brevibus instructa. Capsula emergens, sporangio oblongo, collo subaequilongo defluente, angu- stius striata, leptoderma, sicca elongata, sulcata, vacua pallide luteola striis vix obscurius tinctis. Operculum e basi convexa pallide lutea margine purpurea in apiculum pallidum productum. Peristomii dentes bigeminati in linea divisurali media partim sejuncti, pallide lutescentes, sicci albidi reflexi; cilia subaequilonga, pallida. Orthotr. affine Schrad. Spic. Fl. germ. p. 67. — Brid. Bryol. univ. I, p. 281 et 785. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш, p. 17, T. 246. — C. Mull. Synops. I, p. 705. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 265. — Weinm. Syllab. II, p. 418. Habit. ad arbores campestres et sylvaticas; in sylva St.-Mariae Goldbach invenit; Stepankovo — ad truncos Po- puli tremulae copiose legi. Speeim. mosq. in herb. Boschn. Frucl. matur. Majo (Goldb.), Junio, Julio. Sect. III. Peristomii dentes 16 lineali-lanceolati, cilia latiuscula, e duplici serie cellularum com- posita, margine erosa, minute et dense papillo- sa, lutea. 9. ORTHOTRICHUM LEIOCARPUM Br. et Sch. Planta procerior laxe pulvinata vel fasciculato - caespi- tans. Folia recurvo- patula, sicca erecta vel patentia, ovato- et elongato-lanceolata, margine revoluta, papillosa. Flores maseuli terminales. Vaginula brevis, nuda. Caly- ptra parce pilosa, lutescens. Capsula omnino immersa, brevissime pedicellata, e collo defluente brevi ovata, mol- lis, pallide lutea, estriata, sicca laevis sub ore leniter coarctata. Operculum parvum ex alte convexa basi recti- rostrum. Peristomii dentes lineales inlinea divisurali de- hiscentes vel bifidi, siecitate revoluti, lutei; cilia profun- de erosa. a 56 Orthotr. leiocarpum Br. et Sch. Bryolog. eur. Ш, р. 28, T. 220.— Schimp. Synops. Musc. eur. p. 278. Orthotrichum: striatum Hedw. Sp. Musc. р. 163. — C. Müll. Synops. I, р. 708. — Steph. Enum. stirp. p. 50. — Mart. Pr. Fl. mosq. р. 192. — Weinm. Syllab. II, р. 418. Bryum striatum L. Habit. ad arbores, truncos putridos, saxa et sepes; spec. mosq. in herb. Boschn. adsunt. Fruct. matur. Majo, Junio. Fam. IV. TETRAPHIDEAE. Calyptra mitrata, irregulariter plicata, basi lobata. Cap- sula in pedicello recto erecta, ovata vel cylindracea. Pe- ristomii dentes 4 trigono-pyramidati, longitudinaliter sul- cati, rigidi. I. TETRAPHIS Hedw. Plantae caespitantes, elatae, erectae, sub apice et e basi innovantes. Folia inferiora minuta, remota, superiora multo majora, in comam congesta, late ovato-lanceolata, evanido - costata, reti hexagono - rotundato subirregulari, basi laxiore rectangulo et lineali. Flores monoici, utrius- que sexus terminales. Calyptra usque ad mediam capsu- lam producta. Capsula cylindracea, leptoderma, ut oper- eulum tenui-membranaceum, e singulo strato cellularum efformata. Peristomii longe infra orificium orientis dentes longiuseuli, dorso suleati, rufi. Annulus nullus. Sporae minutae, laevissimae, pulchre virides. . 1. ТЕТВАРН!$ PELLUCIDA lledw., Caespites plus minusve condensati, superne laete vel luteo-virides inferne ferruginei. Caulis tenuis valde ramo- sus, basi et ad innovationum insertionem radiculosus. Folia inferiora minima subsquamiformia acuminato-ovata, 57 superiora mullo majora late ovato-lanceolata, costa sub apice finiente; perichaetialia longiora erecta, haud vaginan- tia. Flores masculi in innovationibus propriis terminales, gemmiformes; perigonia saepissime deformata cyathifor- mia, е foliis latis truncatis composita et, antheridiorum loco, corpuscula lentieularia viridia hyalino - marginata tenui - pedicellata continentia. Calyptra inferne pertenuis albida, superne solidior rufescens. Capsula cylindracea sporis impleta virens, aetate rufescens, ad peristomii in- sertionem intumescens saturatius rufa. Tetraphis pellucida Hedw. Sp. Musc. p. 43, T. 7. — Brid. Bryol. univ. Г, p. 134. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш, р. 6, T. 196. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 282. — Steph. Enum. stirp. p. 49. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 188. — Weinm. Syllab. I, p. 441. Georgia Mnemosyne Ehrh. Hannov. Magaz. 1780, p. 932. — C. Müll. Synops. I, p. 182. Mnium pellucidum Le Sp. PI. Habit. in sylvaticis udis et paludosis ad truncos putres- cente® Sokolniki, fabriea Auerb., ubi Goldb. legit. Annenk. Flora exsicc. mosq. Cent. I; herbar. C. Czerm. (lecta ad truncos putrescentes et copiosissime fructific.). Fruct. matur. initio aestatis. Fam. V. ENCALYPTEAE. Musci perennes sub apice florifero innovantes, tandem dichotome ramosae, dense radiculosae. Folia 5—8-sticha lingulaeformia, parte superiore minute rotundato-areolata chlorophyllosa, densissime et minute papillosa basi laxe texta laevia. Calyptra maxima, exstinctoriiformis, laevis. Capsula erecta, oblonga vel cylindracea, operculo longis- simo recto styliformi, peristomio simpliei vel duplici, ra- ro nullo. 58 - 02" $4 Encatypra vurgarıs Hedw. Folia ligulata, apiculata, subundulata siccitate torques- centia, costa rufula sub vel cum apice evanida, reti basi- lari ad marginem angustato lutescente. Calyptra usque ad capsulae collum vel infra producta, pallide luteo vi- rens, tenuis. Capsula ovato - cylindrica tenui - membrana- cea, sicca vacua exacte cylindrica, minute suleata, pal- lide luteola collo orifieioque aurantiis. Peristomium vulgo omnino nullum, rarius e dentibus 16 linealibus, saepius truncatis, pallidis fugacissimis compositum. Encalypta vulgaris Hedw. Sp. Musc. p. 60. — Brid. Bryol. univ. I, p. 139. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш, р. 9, T. 199. — C. Mull. Synops. I, p. 516. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 286. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 188. — Weinm. Syllab. I, p. 447. Leersia vulgaris Hedw., — Steph. Enumer. Stirp. p. 50. Bryum exstinctorium L. Habit. in locis arenosis, collibus et iuris terra obtectis. Fruct. matur. vere. TS SEE ® Trib. УП. SPLACHNACEAE. Plantae annuae vel perennes et sub apice florifero in- novantes. Folia latiuscula, mollia, e cellulis magnis lepto- dermis parce chlorophyllosis rete laxum hexagono-rhom- beum efformantibus composita. Flores masculi capituli- formes. Calyptra plerumque minuta mitrata latere fissa, conica subintegra, raro cucullata. Capsula longicollis vel apophysata, peristomio simpliei, raro nullo. Fam. I. SPLACHNEAE. Calyptra minuta, conico-cucullata suberecta, vel coni- ca subintegra erecta. Capsula apophysi proprie sie dicta versicolore instructa. 59 I. SPLACHNUM L. Plantae annuae rarius perennes, laxe caespitantes, mol- les. Caulis e basi divisus, vel cum innovet dichotome fa- stigiato-ramosus, tenuis, mollis. Folia remota patula, su- prema in rosulam congesta, late obovato-lanceolata ba- sin versus valde angustata, integra vel serrata, costa molli haud excedente, reti laxissimo. Flores dioici, raro monoici; masculi in ramis tenuibus partim denudatis di- scoideo-capituliformes numerosi. Calyptra parvula, coni- ca, subintegra et perfecte integra, mollis, fugacissima. Capsula in pedicello longo et longissimo ad insertionem basilarem valde attenuato parvula, ovalis et brevi-cylin- drica, post maturitatem apophysi instructa majore, pyri- formi, globosa vel umbraculiformi proprioque colore haud raro nitidissimo tincta, operculo convexo. Peristomii den- tes majusculi, 16-geminati, per paria approximati, auran- tii, sicci adpresso-reflexi. Columella pileata, post oper- culi lapsum plerumque exserta. Sporae minimae, ferru- gineae. 1. SPLACHNUM AMPULLACEUM L. Monoicum et dioicum, laxe caespitulosum, pro more humile, annuum vel bienne. Folia inferiora lanceolata, superiora obovato- et elongato-lanceolata, longe et acute acuminata, apice grosse serrata, mollissima, pallide viri- dia. Capsula ovali-eylindriea, luteola, apophysi magna pyriformi molli carnea seniore purpurea in pedicellum longum purpureum longe defluente, operculo convexo lu- teo. Peristomii dentes majusculi, gemelli per paria ap- proximati et partim uniti, lutei. Splachnum ampullaceum L. Sp. Pl. p. 1572 — Brid. Bryol. univ. Вр. 2959. br2et Sch? ВЕ! eur. DW. p: 10, 1.4993. — C. Mull. Synops. I, p. 145. — Schimp. Synops. Musc. at % 60 do. m eur. р. 309. — Mart. Pr. FL mosq. р. 188. — Weinm. Syllab. I, p. 445. Habit. in paludibus turfosis in fimo vaccino vetusto; raro. Fruct. matur. meunte aestate. Trib. VIII. FUNARIACEAE. Plantae annuae raro biennes, molles, foliis latiusculis e cellulis magnis mollibus rete laxum hexagono-rhomboi- deum parce chlorophyllosum formantibus. Capsula erecta regularis vel cernua gibba, collo distincto instructa. Са- lyptra vesicularis, dimidiata, lobata, raro anguste cucullata. Fam. I. PHYSCOMITRIEAE. Musci foliis majuseulis obovato- et spathulato-acumina- tis, mollibus, laxe hexagono - reticulatis. Calyptra junior tetragono-vesicularis, in fructu maturo vel capsula longior latere rima dehiscens, vel brevior dimidiata seu quin- queloba. | 1. PHYSCOMITRIUM Brid. Calyptra haud infra mediam capsulam procedens, quin- queloba, rostro longo tereti recto instructa. 1. PnuxscowrrRiUM PYRIFORME Brid. Dense gregarium vel caespitosum, congenerum maxi- mum. Caulis humilior ‘dense elatior remote foliosus, haud raro divisus. Folia erecto - patentia, patula et flexuoso- patentia, flaccida, obovato- et lingulato-lanceolata, e me- dio ad apicem grosse serrata, costa sub acumine evani- da. Capsula alte pedicellata, collo adjuncto brevi-pyrifor- mis, sicca vacua sub ore constricta, perfecte matura rufo- 61 p fusca. Opereulum convexo-conicum, in rostrum rectum brevius muticum vel longius acutum productum. Annu- lus latiusculus e duplice serie cellularum , compositus. Physcomitr. pyriforme Brid. in indice Bryol. univ. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш, р. 11, T. 299. — C. Mull. Synops. I, р. 116. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 315. Gymnostomum pyriforme Hedw. Fund. Musc Il, р. 87. — Steph. Enumer. stirp. p. 49. Bryum pyriforme L. Sp. Pl. p. 1580. Habit. in aggeribus, ad fossarum latera, in ambula- cris hortorum, ollis; in Ismailovo Goldbach legit. Herb. Boschn. Fruct. matur. Majo (Goldb. ib.). II. FUNARIA Schreb. | Plantarum habitus, modus vegetandi, foliorum forma et reticulatio ut in caeteris familiae generibus. Calyptra di- midiata. Capsula in pedicello erecto vel superne arcuato cernua, cum collo plus minusve longo inferne sensim at- tenuato pyriformis subincurva et gibbosa. Operculum par- vulum plano-convexum vel convexo-conicum. Annulus nullus vel magnus compositus, revolubilis. Peristomium duplex; externi dentes in membrana basilari ab externo visi dextram versus obliquati in discum apicalem reticu- latum. gyratim conniventes, lanceolato-subulati, articula- tionibus intus trabeculas productas vel lamellas efforman- tes, ad apicis latera valde prominulas, inferne rufo-pur- purei verticaliter striolati, superne pallidi granulosi, hy- groscopici; interni cilia dentibus similia breviora iisque opposita et basi adhaerentia, pallida, medio linea longi- tudinali notata. Sporangium capsula multo minus, fila- mentis rete laxissimum efformantibus ei adhaerens. Spo- rae minutae, rufae. и 62 1. FUNARIA HyGROMETRICA lledw. Caespitosa humilis vel elatior, caule simplici vele ba- si diviso. Folia coronalia in gemmulam congesta rarius patula, ex ovato-oblongo acuminata, concava, integerri- ma, sola perigonialia apice serrata, costa cum apice fi- niente. Capsula in pedicello longo et longissimo flexuoso et superne arcuato horizontalis et demissa turgide pyri- formis, coriacea, rufa, sicca profunde sulcata. Opercu- lum late convexum. Annulus latus, revolubilis. Peristo- mii dentes in tholum conniventes exsiccatione superne depressum. Funaria hygrometrica Hedw. Sp. Мизс. p. 172. — Brid. Bryol. univ. Il, p. 57. — Br. et Sch. Bryol. eur. Ш р. ВТ. 305. — C. Mull. Synops. I, p. 107. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 323. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 201. — Weinm. Syllab. II, p. 437. Koelreutera hygrometrica Hedw. Fund. Musc. I, T. 5, f. 81 etc. — Steph. Enum. stirp. p. 54. Mnium hygrometricum L. Sp. Pl. p. 1575. Habit. in locis deustis, desertis ad terram; in Stepan- kovo — locis humidis sylvaticis, deustis, nec non ad vias; ubique vulgatissima et copiose fructificans. Spec. mosq. in herb. Goldb., Boschn. et in Annenk. Fl. exs. mosq. Cent. I. Frucl. matur. aestate. Trib. IX. BRYACEAE. Musci perennes acrocarpi raro pleurocarpi. Foliorum reticulatio vel tota parenchymatosa vel superne prosen- chymatosa basique parenchymatosa. Calyptra coriacea, angusta, cucullata, plerumque ante fructus maturitatem decidua. Capsula alte pedicellata; una cum collo distin- 63 cto brevius longiusve pyriformis, vel subsphaerica, cernua, inclinata, pendula. Peristomium rarissime nullum, raro simplex, vulgo duplex; externi dentes intus trabeculati vel lamellosi. i Fam. I. BRYEAE. Capsula pyriformis, crassior angustiorve et haud raro oblongo-obconica, erecta, cernua, inclinata, pendula, pe- ristomio duplici, externi dentibus 16 integris, interni mem- brana basilari sedecies carinato-plicata carinis in proces- sus continuis, cum vel absque ciliolis interpositis. I. LEPTOBRYUM Schpr. Plantae simplices ex infima basi mnovantes, graciles, sola basi radicantes. Folia caulina inferiora dissita, squa- miformia, tenuia, ecostata, summa in comam polyphyl- lam'eonferta, longissima e basi lanceolata longe et fle- xuose subulata, nitida, costa lata maximam laminae par- tem occupante in subulam excedente; rete folii apicem versus elongato -hexagonum, basin versus rectangulum, costae angustissimum. Flores bisexuales. Capsula incli- nata, pendula, rarius suberecta, e collo longo angusto subito obovata, leptoderma, sporangio parvo pedicellato capsulae filamentis adhaerente. Operculum mamillare. Peristomium Bryorum, cilis processibus interjectis ad articulationes longe appendiculatis. Innovatione basilari, reti foliorum illi Weberae simili, sporangio capsula multo minore a Bryo distinctum. 1. LEPTOBRYUM PYRIFORME Schpr. Leptobryum pyriforme Schimp. Corollar. Bryol. eur. р. 64. — Schimp. Synops. Muse. eur. p. 329. Bryum pyriforme Hedw. Hist. Musc. I, T. 3, f. 13. — Br. et Sch. Bryolog. eur. IV, p. 45, T. 355. — C. Müll. Syn- ops. I, p. 330. — Weinm. Syllab. II, p. 433. Hit 64 Webera pyriformis Hedw. Musc. fr. I, p. 5, T. 3. — Steph. Enum. stirp. p. 54. — Mart. Pr. Fl. mosq. р. 200. Mnium pyriforme L. Sp. Pl. р. 1576. Habit. in interstitiis murorum, speluncis humidiusculis et locis graminosis siecioribus; Gorenki, pristin. hortus bot. Demidov. (Goldb.); spec. mosq. in herb. el. Czer- mack, atque in el. Annenk. Flora exsicc. mosq. Cen- tur. 1 Fruct. matur. aestate. II. WEBERA Iledw. Plantae pro parte majore graciles, simplices raro ra- mosae, e basi innovantes. Folia angusta, lanceolata, se- riceo-nitida raro subopaca, costa tereti, reti elongato- hexagono prosenchymatico. Flores monoici vel dioiei, ra- rius bisexuales; antheridia vel in foliorum perigynialium vel in perigonii proprii discoideo-gemmiformis axillis bi- nata. Calyptra perangusta fugacissima. Capsula in pedi- cello elongato cernua vel horizontalis, collo longo adjecto clavata, vel pendula cum collo breviore pyriformis seu obovata, sporangio subcontiguo. Annulus duplex revolu- bilis, raro nullus. Peristomii dentes longiusculi, approxi- mato-artieulati, intus lamellosi, interni processus e mem- brana basilari carinato- plicata procedentes, carinati, in carina rimulosi vel integri, ciliis interjectis vel omnino nullis, vel rudimentariis, vel perfectis exappendiculatis. Subgen. Webera. Folia comalia minus subito elongata. Capsula brevicollis inclinata et pendula, peristomii interni membrana latiore ciliis instructa. e. NE. 65 A. Flores monoici; antheridia in foliorum comalium axillis. 1. WEBERA nutans lledw. Caespitans. Folia inferiora ovato -lanceolata integra, superiora sensim longiora lineali-lanceolata apice serrata, costa rubella crassiuscula instructa, tenacia, sericeo-niti- da. Capsula inclinata velsubito pendula, oblonga et obo- vata, macrostoma, e luteo fuscescens, aetate rufo-fusca, sieca vaeua sub ore strangulata. Operculum late conve- xum, papilla instructum. Annulus latus revolubilis. Peri- stomii dentes rufo - aurantii apice filiformi pallidi, interni membrana pallide lutescens, processibus ciliisque denti- bus aequilongis, illis in carina valde hiantibus. Webera nutans Hedw. Sp. Musc. p. 168. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 334. Bryum nutans Schreb. Spic. Fl. Lips. p. 81. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 34, T. 347. — C. Mull. Synops. 1, p. 335. Habit. in ericetis siccis et humidis, in turfosis ad ter- ram; Sokolniki, fabr. Auerb. ubi Goldbach invenit. Fruct. matur. Julio, Augusto (Goldb. ib.). B. Flores ejusdem specie? bisexuales et dioici. 2. WEBERA CRUDA Schpr. Caulis elatus, simplex, purpureus. Folia inferiora ova- to-lanceolata, integra, summa in comam flexuoso-paten- tem conferta, longa, loricata, apice remote serrata, flo- - ralia intima breviora, stricta, anguste lanceolata, omnia auronitentia, costa ad basin rubella. Antheridia plantarum monoicarum archegoniis intermixta, dioicarum in perigo- nii subdiscoidei foliorum internorum axillis. Capsula cer- nua, horizontalis, rarius pendula, oblonga haud raro ven- tricosa, collo brevi, sporis impleta fusco-lutea, vacua sic- № 1. 1864. 9 ee 66 ea brunnea, orificium versus sensim angustata, basi ven- tricosa. Peristomium pallide lutescens, interni eilia bina- ta et ternata perfecta. Webera cruda Schimp. Coroll. Bryol. eur. р. 65; — ejusd. Syn- ops. Musc. eur. p. 337. Bryum erudum Schreb. Spic. Fl. Lips. р. 83. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 37, T. 348. — C. Müll. Synops. I, р. 333. Mnium crudum Hedw. Musc. fr. I, p. 99, T. 37. Habit. in collibus arenosis, in rupium fissuris; in Mon- tibus Passerinis Goldb. legit. Fruct. matur. vere. C. Flores dioici. 3. WEBERA ANNOTINA Sehwgr. Laxe caespitosa. Caulis erectus simplex et ramulosus, ramulis strictis elongatis bulbilliferis, purpureus. Folia caulina et ramulina remota, lanceolata, comalia oblongo- et lineali-lanceolata apice serrata, margine reflexa, palli- de viridia. Flores masculi polyphylli erassiusculi, perigo- nialibus internis basi dilatata ferrugineis; antheridia axil- laria. Capsula in pedicello stricto pallide rubente inclina- ta, oblongo-pyriformis aequalis, e pruinoso-viridi rubens tandem saturate croceo-rufa, sicca deoperculata sub ore constrieta urceolata. Peristomii dentes auranti interni membrana basilaris satis producta, ciliis perfectis. Webera annotina Schwaegr. in Linn. Sp. Pl. ed. 5, p. 52. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 339. Bryum annotinum Hedw. Sp. Musc. p. 183, T. 43. — Brid. Bryol. univ. I, p. 662. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 40, T. 352. — C. Mull. Synops. 1, p. 331. Mnium annotinum L. Sp. Pl. p. 1576. — Steph. Enumer. stirp. p. 53. Bu lu Trentepohlia erecta Roth in Usteri Annal. bot. X, р. 52. — Mart. Pr. Fl. 11034. р. 195. Habit. in pratis arenosis, locisque inundatis; Ostankino in colliculis sylvae (Goldbach). Fruct. matur. Julio, Augusto. Ш. BRYUM Dillen. emend. Plantae perennes sub apice florifero plerumque inno- vationibus binis innovantes unde aetate pluries dichoto- mae, a basi usque ad flores terminales radiculis nume- rosis obtectae quae caespites intertexunt. Folia plerum- que octosticha, semiamplexicaulia, subdecurrentia et de- currentia, ovato- et oblongo-lanceolata acuminata acuta, raro subrotundata obtusa, firme tereti- costata, costa in plurimis excedente; rete e cellulis laxiusculis subsolidis areolas hexagono-rhombeas parenchymatoso - prosenchy- maticas effieientibus formatum. Flores bisexuales, mo- noici viel dioici utriusque sexus terminales; masculi gem- miformes raro subdiscoidei; archegonia et antheridia nu- merosa aetate purpurascentia, paraphysibus numerosis longioribus filiformibus. Calyptra peranguste cucullata, ante capsulae maturitatem effugiens. Capsula in pedicello longo tenaci exaltata, inclinata vel pendula, collo adjecto pyriformis, regularis vel leniter incurva, collo solido spo- rangio capsulae contiguo breviore vel aequali, pro more pachyderma, ferruginea, rufescens et purpurascens, opa- ca. Operculum convexum, apiculo papilliformi instructum. Annulus in plurimis latus, compositus, revolubilis. Peri- stomium duplex; externi dentes longi, e lineali-lanceola- to subulati, dimidio inferiore dense articulati, articulatio- nibus intus in lamellas procedentibus, valde hygroscopici; interni membrana basilaris “{6-carinata usque ad medios dentes ascendens, processus emittens carinatos in carina Be 68 ` 1330$, cilia fragmentaria dentibus adhaerentia vel libera 2—3-nata filiformia, ad articulationes appendiculata. Spo- rae minutae, ferrugineae vel luteae, sublaeves. Subgen. 1. Bryum. Capsula inclinata vel pendula, ovato- et oblongo-pyri- formis, raro leniter incurva. Peristomium internum totum liberum, membrana basilaris longe producta; processus longi perfecti ciliolis aequilongis 2—4 interjectis ad ar- ticulationes appendiculatis. Fiores dioici; masculi gemmiformes. 1. Bryum СЛЕЗРИМСТОМ L. Planta humilis caespitulosa, caespituli pallide virides, inferne ferruginei tomento radiculoso intertexti. Folia cau- lina inferiora remota, minuta, lanceolata, superiora comam laxe imbricatam polyphyllam formantia subito majora, ovato- et oblongo - lanceolata costa excedente longe cus- pidata, ramulina satis conferta ovato-lanceolata cuspidata, omnia concava, margine integerrimo reflexa. Capsula ob- longo- et elongato-pyriformis, inclinata vel pendula, fusca, solida, sicca sub ore angustata. Operculum magnum, ma- millare, rufulum, nitidum. Peristomii dentes ferruginei in- tus valde lamellosi, processus interni inter articulationes hiantes, cilia binata et ternata longe appendiculata. Spo- rae luteo-ferrugineae. Bryum caespiticium L. Sp. Pl. p. 1586. — Brid Bryol. univ. I, p. 669. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 70, T. 374 et 375. — C. Müll. Synops. I, p. 284. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 367. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 195..— Weinm. Syllab. II, p. 431. Mnium caespiticium Brid. Musc. rec. II, Ш, p. 96. — Steph. Enumer. stirp. p. 54. 69 Habit. т locis deustis, lapidosis, ericetis, muris, е vul- gatissimis; Gorenki (Goldb.); Stepankovo — in sylvaticis, ad viarum margines et alibi in terra nuda, frequentissime. Spec. mosq. in herb. Boschn. atque in Fl. exs. mosq. cl. Annenk., Cent. V. Fruct. matur. Junio, Julio. 9. Ввхом ARGENTEUM L. Caespituli irregulares ineohaerentes vel satis. condensa- ti, ex albido virides siccitate sericeo-argentei. Planta hu- milis tenella, valde radiculosa, ramulis pluribus gracilibus julaceis. Folia caulina et ramulina obovata valde concava subito apiculata, comalia oblonga sensim in apiculum рго- dueta, costa supra medium evanida, laxe reticulata, mar- gine plano integerrima. Capsula in pedicello superne ar- cuato pendula, oblonga, sicca sub ore constricta, rufo- sanguinea aetate nigricans, operculo convexo vix apicula- to, rufo-aurantio. Peristomii dentes inferne aurantii super- ne lutescentes, siccitate inter processus erectos incurvi, interni membrana basilaris lutescens vel hyalina. Bryum argenteum L. Sp. Pl. p. 1586. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 78, T. 384. — C. Müll. Synops. I, p. 314. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 369. — Steph. Enum. stirp. p. 53. — Mart. Pr. Fl. mosq p. 195. — Weinm. Syllab. II, p. 434. Mnium argenteum Hoffm. Habit. ad terram nudam praeprimis arenosam, in gra- minosis, ad viarum latera inque muris terra obtectis; in prist. horto botan. Demidov. (Goldb.). Herb. Boschn. Fruct. matur. Septembri, Octobri. 3. BRYUM CAPILLARE L. Densius laxiusve caespitans, caespites laete vel lurido- virides, inferne fuscescentes tomento rufo - brunneo inter- Nue | 070 texti. Planta innovando ramosa, ramulis nullis vel paueis. | Folia late oblonga et late spathulata, acuminata, in apicu- lum longiusculum piliformem remote denticulatum produ- cla, costa rubella sub apice evanida vel excurrente, plano- . concava, margine reflexa, limbo lutescente perangusto vel latiore e cellulis angustis efformato cincta, laxe areolata, mollia, sieca tortilia libera vel contorta. Capsula alte pedicellata, cernua leniter ineurva, horizontalis, inclinata et subpendula, oblongo- vel elongato-obconica, rufo-fusca, sicca vacua obconica sub ore leniter coarctata ascendens. Operculum magnum, mamillare, rufo - fuscum. Peristomii dentes basi rufo-fusci apice pallidi, processus inter dentes siccos prominentes. Bryum capillare L. Sp. Pl. 1586 (pro parte!). — Brid. Bryol. univ. I, p. 665. — Br et Sch. Bryol. eur. IV, p. 60, T. 368, 369. — C. Müll. Synops. I, p. 281. — Schimp. Syn- ops. Muse eur. p. 370. — Mart. Pr. Fl. mosq. р. 195. — Weinm. Syllab II, p. 431. Habit. in umbrosis humidis ad terram, arborum radi- ces et truncos putrescentes; Sokolniki — Goldb. legit. Fruct. таит. Majo. 4. BRYUM PSEUDOTRIQUETRUM Seliwgr. Caespitosum; caespites haud raro profundi olivaceo- vel fusco-virides, tomento radiculoso intertexti. Caulis erectus parce ramosus ad apicem usque tomento brunneo obte- cius. Folia а basi ad apicem sensim majora apicem ver- sus densius conferta, erecto-patentia et patentia, siccitate laxe incumbentia ineurva vel tortilia dura, elliptico- et oblongo-lanceolata sensim apiculata, summo apice serru- lata, costa valida rufa in apiculum procedente, margine superne anguste inferne late luteo -limbato reflexa, angu- al. ие : stius areolata solidiora. Flos masculus crasse gemmifor- mis, foliis involucralibus late ovato-acuminatis solide co- statis, comalibus eum circumcingentibus humiditate patu- lis, antheridiis atque paraphysibus numerosissimis. Capsula in pedicello perlongo inclinata rarius pendula; elongato- obconica, sicca sub ore constricta, ferruginea, operculo mamillari concolore nitido. Bryum pseudotriquetrum Schwaegr. Suppl. I, P. П, р. 110. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 54, T. 364. — C. Müll. Syn- орз. Г, р. 258. — Schimp. Synops. Musc. eur. р. 375. Mnium pseudotriquetrum Medw. Stirp. Ш, p. 19, T. 7. Habit. ad terram humidam et uliginosam; v. herbar. Goldb. et Boschn. Fruct. matur. initio aestatis. Subgen. 9. Rhodobryum Берг. Plantae speciosissimae simplices, ex apice innovatione singula et e stolonibus basilaribus subterraneis innovantes. Folia caulina remota minima subsquamiformia, comalia in rosulam patulam (unde nomen) congesta, magna, spathu- lato-acuminata, margine serrata; caeteris ut in Bryis pro- pris. Flores dioici: masculi discoidei, foliolis antheridiis interpositis, paraphysibus chlorophyllosis. Fructus generis, capsula semper elongato- vel ‘oblongo-obconica, leniter incurva. 9. Bryum nmosEuw Schreb. Dense gregarium vel laxe caespitosum; caespites satu- rale virides, caulis parte subterranea et stolonibus dense radiculosis. Folia comalia acuminato-spathulata, acuta, ab apice ad basin margine reflexa, subplana siccitate crispu- la, eosta valida rufa basi dilatata usque in apicem con- tinua. Plantae masculae in caespitibus proprii degentes 12 raro fémineis intermixtae, paulo minores, foliis comalibus brevioribus eleganter stellato-expansis. Capsula ex eodem perichaetio solitaria, bi- et ternata, in pedicello solido crassiusculo rufo-purpureo superne arcuato pendula, elon- gato- vel oblongo-obeonica leniter incurva, raro obovato- oblonga subaequalis, sicea sub ore haud constricta, rufo- brunnea, operculo mamillari rufo-purpureo. Annulus spi- raliter revolubilis. Peristomii dentes perlongi, ferruginei, interni membrana lata aurantia, processus in earina lacunosi. Bryum roseum Schreb. Spicil. Fl. Lips. 84. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 56, T. 365. — C. Mull. Synops. I, p. 247. — Schimp. Symone Musc. eur. р. 381. Mnium roseum Hedw. Spec. Musc. p. 194. — Mart. Pr. FL. 11054. р. 196. — Weinm. Syllab. II, р. 423. Mnium proliferum Lam., Leyss. — Steph. Enumer stirp. р. 53. Mnium serpyllifolium y proliferum L. Habit. in nemoribus umbrosis, ad fossas, terram, prae- primis pone arborum radices; Kunzovo, fabr. Auerb. (Goldb.). Specim. in Annenk. Fl. exsiec. mosq. Cent. II. Fruct. matur. Augusto (Goldb. ib.). IV. MNIUM Г. emend. Musei inter Bryaceas speciosissimi, gregarii vel caespi- tantes, nune innovationibus basilaribus, папе stolonibus subterraneis demum ascendentibus vitam continuantes. Cau- lis annuus simplex raro divisus, ramulis nonnunquam fla- gelliformibus arcuatis vel prorepentibus instructus, sublig- neus, nudus vel tomentoso-radiculosus. Folia inferiora pro more remota, minuta, 5- vel 8-sticha, ad caulis summita- tem floriferam in rosulam congesta, e basi angustiore ra- rius semiamplexicauli et decurrente late obovata, obovato- spathulata, late oblonga vel lingulaeformia, solide costata, margine incrassato- vel plano-limbato laevi seu simplici 73 | duplicive serie dentium solidorum serrato cincta, raro om- nino immarginata; rete ex areolis rotundato-hexagonis hic illie leniter transverse elongatis chlorophyllosis basi hexa- gono-oblongis subechlorophyllosis exstructum, molle vel solidum. Flores bisexuales vel dioici, masculi discoidei antheridiis et paraphysibus clavatis numerosissimis. Ca- lyptra cucullata, angustissima, solida, ante fructus maturi- tatem decidua. Capsula in pedicello longo plerumque stri- cto solido inclinata vel pendula, ovata, oblonga vel sub- globosa, collo brevi solido in pedicellum defluente. Oper- culum mamillare vel convexo-conieum brevius longiusve rostratum. Annulus angustior revolubilis. Peristomium mag- num Bryi, interni membrana basilaris ad medios dentes produeta, cilia processibus interposita duo vel tria longa, filiformia, ad artieulationes haud appendiculata. Sporae minutae, rufae. Sect. I. Innovationes stoloniformes subterraneae vel reptantes. 1. Folia margine limbato simpliciter. serrata. 1. Ммом cusriparum Hedw. Planta simplex, inferne valde radieulosa, stolonibus rep- tantibus et partim suberectis. Folia ascendendo majora de- currentia, caulina obovata comalia obovato-oblonga, peri- chaetialia spathulata, stolonum rotundato-obovata, omnia in apiculum mucroniformem exeuntia, vel costa exceden- te breviter cuspidata, limbo e tripliei serie cellularum for- mato lutescente dentibus simplicibus solidiuseulis luteolis instructo. Flores bisexuales, genitalibus paucis, paraphysi- bus innumeris. Capsula plus minus inclinata, subpendula, ovalis, e ferrugineo fuscescens, haud raro bicolor. Oper- culum alte convexum, cum vel sine papilla. Peristomium 74 ~externum . luteum, internum aurantium, rufo-reticulatum, solidiusculum, processus in carina late laeunosi apice fili- formi ad articulationes longe appendiculati, carinae mem- branae basilaris pro more cribrosae. Mnium cuspidatum Hedw. Sp. Musc. p. 192, T. 45, excluso 6. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 29, T. 396. — C. Müll. Syn- ops I, p. 161 — Schimp. Synops. Musc eur. p. 386. — Steph. Enumer. stirp. p. 53. — Mart Pr. Fl. mosq. р. 196. — Weinm. Syllab. II, p. 424. Mnium serpyllifolium В cuspidatum L. Habit. in umbrosis ad terram, radices arborum vel sa- xa, ad fossas; Sokolniki ubi C. Czermack legit; Goldb.; Boschn. Fruct. matur. Majo, Junio (Czerm. ib.). 2. Mnıum AFFINE Bland. Planta procera longe lateque caespitans, praecedente omnibus partibus major, stolonibus haud гаго longissimis pluries arcuato-demissis. Folia patula, sicca recurva alis retroflexis margineque crispatis; caulina infima obovato- circularia, media obovato-oblonga, summa vel comalia in rosulam conferta obovato- et lingulato-spathulata, perichae- tialia externa anguste spathulata, interna lanceolata, omnia plus minus subito acuminata, costa excedente breviter cu- spidata, limbo angusto concolore circumducta, toto mar- gine argute serrata, illa stolonum caulinis similia. Flores dioici, masculi discoidei magni. Fructus ex eodem peri- chaetio plerumque complures; capsula pendula, oblonga, operculo convexo apiculato, usque ad perfectam maturi- tatem glauco-viridis pruinosa dehinc e luteo ferruginea, operculo croceo. Peristomium externum pallide lutescens, internum aurantium. 75 * Mnium affine Blandow Musci exsicc. Fasc. Ш, 153. — Schwae- grich. Suppl. I, P. II, p. 134. — Br. et Sch. Bryol. eur... IV, р 30, T. 397. — C. Mull. Synops. I, р. 159. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 387. Mnium cuspidatum 5 Hedw. Sp. Musc. T. 45, f. 7. Habit. in nemorosis humidis ad terram; Gorenki, sylva St.-Mariae ubi Goldbach invenit. Fruct. matur. Majo (Gorenki). 3. Ммом unpuLatum Hedw. Speciosissimum, dendroideum, longe lateque caespitans; caespites saturate virides. Caulis fertilis erectus, simplex, ramulis e coma. terminali nascentibus dense foliosis flagel- lifermibus arcuato-declinatis dendroideus, stolonibus nu- merosis macrophyllis ascendentibus apice pendulis. Folia caulina remota oblongo- comalia et stolonum media elon- gato-lingulaeformia, decurrentia, ramulina e medio ramu- lorum descendendo et aseendendo minora, limbo cum costa in apiculum confluente toto ambitu argute serrato, omnia undulata sieca crispata. Floris masculi late discoi- dei antheridia atque paraphyses numerosissima, foliola ex obcordato lanceolata integra intermixta. Fructus 2—10 ex eodem perichaetio, raro solitarii; capsula in pedicello su- perne arcuato inclinata et pendula, oblonga, e luteo fusca, aetate brunnescens, operculo alte convexo apiculato. Pe- ristornium generis. Mnium undulatum Hedw. Spec. Musc. p. 195. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 20, T. 389. — C. Mull. Synops. I, p. 161. — Schimp Synops. Musc. eur. р. 389. — Steph. Enum. stirp. p. 53. — Mart Pr. Fl mosq. p. 196. — Weinm. Syllab. II, p. 423. Mnium serpyllifolium 5 undulatum L. 76 Habit. in umbrosis roridis, ad fossas nemorum; palus Perovo, Gorenki — Goldbach legit. Herb. Boschn. Fruct. matur. Majo, Junio (fertile in palude Perovo). Sect. IL Innovationes cauliformes, ramuli erecti. 1. Folia incrassato-limbala, geminatim dentata. 4. Ммом новхом L. Dense caespitosum; caespites inferne tomento rufo-fer- rugineo intertexti. Caulis simplex, ramulis e basi enatis dense foliosis flagelliformibus apice incurvis. Folia a basi ad apicem caulis sensim confertiora atque majora, erecto- patentia leniter decurrentia, siccitate subtorta, infima squa- miformia margine integro et costa rubellis, media ovali- oblonga, superiora elongato-oblonga, perichaetialia externa anguste lingulato-spathulata intima lanceolata, omnia acute acuminata margine inerassato aetate rufo dentibus dupli- eibus solidis tandem rubentibus armata. Flores dioici. Capsula in pedieello longo subflexuoso superne arcuato nutans et horizontalis, elliptica, sporis impleta e viridi lu- teola, vaeua lutescens. Operculum mamillare. Peristomium generis. Sporae virides. Mnium hornum L. Spec. PL — Hedw. Sp. Musc. р 188. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 22, T. 390. — C. Müll. Synops. I, p. 165. — Schimp. Synops. Muse. eur. p. 391. — Steph. Enum. stirp. p. 53. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 196. — Weinm. Syllab. II, p. 426. Habit. in nemorosis ad terram arenaceam secus rivu- los; raro. Fruct. таг. vere. 77 3. Folia margine limbato integerrima. * 9. Ммим punctatum Hedw. Laxe caespitosum; caespites rigiduli, saturate уе] atro- virides, inferne pallide rubentes. Caulis solidus ad apicem fructiferum usque tomento radiculari atro-rufo obtectus, ramulis pluribus erectis remotifoliis. Folia remota, patula et reflexa, superiora in rosulam 4—6-phyllam patulam conferta, inferiora e basi angustissima sola costa inserta rotundato-obovata, superiora late obovato-spathulata e sum- mitate leniter. emarginata minutissime apiculata, margine incrassato subcartilagineo rufescente circumeincta, costa purpurascente paulum sub apice abrupta, omnia plana so- lidiuscula valde chlorophyllosa, emortua decolora pallide rubentia. Planta mascula gracilior, foliis caulinis rariori- bus. Capsula ovalis et ovata, horizontalis et inclinata, ma- tura sporis impleta viridis, vacua pallide fuscescens, oper- culo acutirostro. Mnium punctatum L., Hedw. Sp. Musc. р. 193. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 19, T. 387. — G. Mull. Synops I. p. 155. — Schimp. Synops. Musc. eur. р. 398. — Mart. Pr. Fl. mosq. р. 196. — Weinm. Syllab. II, p. 425. Mnium serpyllifolium Hoffm. Deutschl. Flora Il, p. 58. — Steph. Enumer. stirp. p. 53. Mnium serpyllifolium a punctatum L. Bryum punctatum Schreb. Spicil. Fl. Lips. 85. Habit. in locis humidis umbrosis, ad fossas et arborum radices; fabrica Auerb. ubi Goldb. cum fructibus legit. Fruct. matur. Augusto. Fam. IL MEESIEAE. Plantae caespitantes plus minusve speciosae, ut pluri- mum elatae, sub floribus innovantes. Foliorum rete mi- nutum crassiusculum hexagono-quadratum, raro tenue la- 78 xum hexagono - rhombeum. Flores maseuli subdiscoidei vel gemmiformes. Capsula longicollis, cernua, plus mi- nusve incurva, operculo minuto obliquato; peristomii du- `рИез dentes longiores brevioresve, interni membrana basilaris angusta, processus, cum adsunt, longi plano- carinati integri, cilia nulla vel rudimentaria. I. MEESIA Hedw. Musci dense caespitantes, caule elato et longissimo sub apice innovante, parce ramoso, dense radiculoso gauden- tes. Folia 3-, 5- et 8-sticha lineali- et elongato-lanceolata, solide costata, reti minuto hexagono -rectangulo, valde chlorophyllosa. Flores vel bisexuales, vel monoici, vel dioici, maseuli discoidei paraphysibus clavatis. * Calyptra anguste cucullata, longe ante capsulae maturitatem fugax. Capsula in pedicello longo et longissimo e collo elongato erecto cernua, una cum collo incurvo-clavata, sicca vacua arcuata, pachyderma, microstoma, operculo parvulo con- vexo-conico. Annulus e simplici serie cellularum formatus vel nullus. Peristomium duplex lutescens; externi dentes breves obtusi, tenues, remotius articulati, intus anguste lamellosi, haud hygroscopici; interni processus plano- ca- rinati, lineales, dentes longe superantes, reti tenui fugaci cohaerentes, margine inaequales, lamina dorsali e duplici serie cellularum irregulariter prominularum constructa. 1. МЕЕЗТА LonciseTa Hedw. Caulis elatus subsimplex, ad apicem usque tomentoso- radiculosus. Folia remota, inferiora lanceolata, superiora elongato-lanceolata, decurrentia, patula et partim recurva, sicca crispabilia, margine integerrimo plano, costa sub vel cum apice acuto evanida. Flores bisexuales. Capsula in pedicello longissimo erecto-cernua, oblongo-pyriformis e 79 collo incurva, sieca vacua arcuata, ferrugineo - fusca tan- ~ dem brunnea. Peristomii lutescentis dentes haud ad mer dios processus interni procedentes. i: Meesia longiseta Hedw. Spec. Musc. р. 173. — Br. et Sch. НЕО, eur. IV, р. 6, T. 309. — C. Mull. Synops. I, p. 466. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 407. — Weinm. Syllab. П, р. 436. Mnium triquetrum Г. Habit. in paludibus profundis; in sylva Gorenkensi, pa- lude prope Perovo ubi Goldbach copiose legit. Herb. Boschn; ‚ Annenk. Fl. exsicc. mosq. Cent. V. Fruct. matur. Julio, Augusto (in palude prope Perovo). Fam. Ш. AULACOMNIEAE. Plantae caespitantes, perennes, sub apice innovantes. Foliorum rete versus apicem perangustum rotundato-hexa- gonum valde chlorophyllosum, ad basin laxius. Capsula alte pedicellata, cernua, oblonga, striata, sicca suleata. Peristomium Mn, dentibus processibusque longius subu- latis. I. AULACOMNIUM Seliwaegr. Caulis innovando dichotome ramosus. Folia laxe imbri- cata vel erecto-patentia, oblonga, elongato- et lineali-lan- ceolata, laevia vel tuberculata, costa tereti sub apice de- sinente. Flores dioici, masculi discoidei vel gemmiformes. Peristomii magni dentes et processus in subulam longam exeuntes, carina processuum tota longitudine fissa, cilia interjecta, 2 vel 3, longa, filiformia. 1. AULACOMNIUM PALUSTRE Schwgr. Caespites pro more profundi, inferne tomento rubigi- noso-ferrugineo intertexti, superne e lutescente virides. Caulis irregulariter dichotome ramosus, flexuosus. Folia 80 erecto-patentia flexuosa, sicca torquescentia, inferiora late, superiora longiora lineali-lanceolata, margine reflexa, sub- undulata, apice acuminato erosa, utraque pagina minute tuberculata. Capsula alte pedicellata, turgide ovato-oblon- ga incurva, sicca vacua, horizontalis, profunde sulcata. Operculum convexo-conicum, subrostratum, margine ru- bello crenulato-erosum. Annulus latus. Peristomium mag- num; externi dentes in subulam longam continui, lute- scentes; interni pallidi processus longe subulati, cilia sub- aequilonga libera vel partim cohaerentia. Sporae ferrugi- neo-olivaceae. Aulacomnium palustre Schwaegr. Suppl. Ш, P. I, Т. 226; ejusd. Spec. Musc. P. I, р. 38. — Br. et Sch. Bryolog. eur. IV, р. 9, Т. 405. — Schimp. Synops. Musc. eur. р. 442. — Weinm. Syllab. II, р 420. Mnium palustre L Spec Pl. — Hedw. Sp. Muse. р. 188. — C. Mull. Synops. I, p. 169. — Mart. Pr. Fl. поза. р. 196. Habit. in pratis paludosis et sylvaticis uliginosis; Pero- vo — in sylva (Goldb.); Stepankovo — in pratis uligi- nosis (prope rivulum Nikulka et alibi), copiose sed sem- per sterile legi. Spee. mosq. in herb. Boschn. Fruct. matur. Augusto (Goldb. in Perovo cum fructib. reperit). Fam. IV. BARTRAMIEAE. Plantae sub apice florifero innovantes, demum dichoto- me ramosae, haud raro ramulosae. Folia anguste lanceo- lata et subulata, apicem versus minute quadrato- basi la- хе hexagono-areolata, utraque pagina papillosa. Flores masculi specierum dioicarum plerumque discoidei. Ca- lyptra minima. Capsula globosa raro ovata, plerumque striata siecaque sulcata, operculo minimo, peristomium raro nullum vel simplex, ut plurimum duplex, dentibus 81 lanceolatis, processibus secundum carinam bifidis eruri- bus divergentibus, ciliis parum conspicuis, membrana ba- silari angusta. ibi. ]. BARTRAMIA Hedw. Caulis erectus innovando diehotome ramosus, haud ra- mulosus. Folia plerumque opaca glauco- viridia, e basi semiamplexicauli vel subvaginante laxius texta lanceolata et lanceolato-subulata dense quadrato-areolata et valde pa- pillosa, apice serrata, costa tereti cum apice evanida ad apicem dorso hispida vel in aristam excedente. Flores bisexuales, monoici, raro dioici, masculi gemmiformes. Capsula in pedicello recto seu subarcuato breviore vel longiore erecta vel cernua, globosa et ovato-globosa, stria- ta, sicca sulcata contracta, sporangio multo minore, pe- dicellato, capsulae parieti interno filamentis adhaerente, opereulo minuto, convexo, obtuse acuminato. Peristomium raro nullum vel simplex, plerumque duplex; externi den- tes membrana basilari orificium excedente conjuncti, lan- ceolati, transverse articulati, intus anguste lamellati, dor- so linea divisurali notati, hygroscopici, interni membrana basilaris angusta in processus carinatos dentibus brevio- res tandem in crura duo divergentia solutos continua, ci- liolis subnullis vel solitariis plus minus distinctis. Sporae minutae, hispidulae, rufo-brunneae. 1. BARTRAMIA Pomirormis Hedw. Caespites haud raro pulvinantes, molles, superne glau- co- vel luteo-virides, inferne pallide fuscescentes tomento rubiginoso intertexti. Folia erecto-patentia et patula, sic- ca curvata plus minusve cirrhata, longe lanceolata, cari- nata, argute serrata, basin versus margine revoluta, haud vaginantia, costa paulisper excedente, apicem versus dor- so denticulata. Flores androgyni. Capsula alte et flexuoso- № 1. 1864. 6 : s EC | 82 pedicellata, exacte sphaerica, cernua; operculo obliquo. Peristomii duplicis dentes regulares, rufescentes, dense articulati, humiditate in conum conniventes. Bartramia pomiformis Hedw. Sp. Musc. p. 164. — Brid. Bryol. univ. Пр: 39. — Br. et. Sch. Bryol. eur. IV, рт. 319. — G. Mull. Synops. I, р. 499. — Schimp Synops. Musc. eur. р. 418. — Mart. Pr Fl. mosq. р. 194. — Weinm. Syllab. II, p. 440. Webera pomiformis Hedw. Fund. Musc. II, р. 95. — Steph. Enum. stirp. р. 54. Bryum pomiforme L. Sp. Pl. p. 1580. Habit. ad sylvarum margines et in viis cavis (teste Mart); in Kunzovo Goldbach sterilem legit. Fruct. matur. Majo. II. PHILONOTIS Brid. Musei nune humiles basi decumbentes, nune elati e- recli speciosi, apice florifero verticillato- vel fasciculato- ramulosi, caeterum innovationibus binatis dichotome ra- mosi, radiculis dense implexis tomentosi. Folia in toto caule subaequalia, pro plantarum magnitudine parva, e- recta vel erecto-secunda, lanceolata, argute serrata, ut in Bartramiis ad areolarum angulos papillosa. Flores monoi- ci et dioici, dioicorum masculi discoidei. Capsula alte pedicellata, cernua, globosa, striata, operculo minuto ob- liquo. Peristomii interni cilia distincta, binata. Sporae ru- fo-brunneae. Subgen. Philonotis. Plantae robustiores, erectae, floribus dioicis, masculis discoideis, peristomii interni processibus longioribus ciliis interpositis binis perfectioribus. 83 "e 1. PuHiLONOTIS Fontana Brid. M CN Procera longe lateque caespitosa; caespites plus minus | condensati, e lutescente glauco-virides, inferne tomento ferrugineo intertexti. Caulis elatus subsimplex vel dicho- tome ramosus, ramulis verticillatis subaequalibus vel his longioribus illis brevioribus. Folia saepe biformia, mino- ra ovata, obtusa acuminata, cauli appressa, majora ovato- lanceolata, utraque basi bisulea, omnia serrata, glauco- viridia, opaca. Flores masculi late discoidei, foliis peri- gonialibus interioribus e basi concava erecta patulis, eco- statis, obtusis. Capsula in pedicello crassiore vix flexuoso cernua, ovato-globosa, pachyderma, operculo convexo- conico. Peristomii dentes purpurei in subulam producli, cilia processibus subaequilonga. Philonotis fontana Brid. Bryol. univ. II, p. 18 — Schimp. Syn- ops. Musc. eur. p. 426. — Weinm. Syllab. И, p. 439. Bartramia fontana Brid. Mant. Musc. p. 116 — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 18, T. 324. — C. Mull. Synops. I, p. 474. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 194 Mnium fontanum L. Sp. Pl. p. 1574. Habit. in paludibus ad scaturigines; in sylva Gorenkensi Goldb. invenit; Stepankovo — in inundatis sabulosis prope rivulum Utscha copiose legi. Fruct. matur. Majo, Junio. Trib. X. POLYTRICHACEAE. Plantae textura firma insignes. Folia solidiuseula, reti denso crasso, costa plerumque valde dilatata supra lamel- losa. Flores masculi specierum dioicarum anthoidei, e centro prolificantes. Calyptra cucullata, perangusta, raris- sime laevis vel apice spinulosa, plerumque pilis longis defluentibus obvelata. Capsula in pedicello recto erecta 6° 84 vel cernua, teres vel angulosa. Peristomium simplex, ra- rissime nullum, dentibus plerumque brevibus, inarticulatis. Fam. I. POLYTRICHEAE. Peristomium e dentibus 16, 32 vel 64 brevibus lingu- latis, e cellulis longis, perangustis textis, membrana ba- silari angusta solida coadnatis, haud hygroscopicis com- positum; capsulae orificium membrana tympaniformi clau- sum. I. ATRICHUM Pal. Beauv. Plantae dense gregariae vix caespitantes, Familiae mi- nus robustae. Folia basi haud vaginantia, lingulata, plus minusve undulata, sicca crispata et cirrhata, valde chlo- rophyllosa, margine anguste limbato acute serrata, costa angusta subtereti parce lamellosa, reti densissimo rotun- dato-hexagono. Flores dioici, rarius monoici, masculi cy- athiformi-anthoidei paraphysibus filiformibus. Calyptra solo apice spinuloso-hirta. Capsula ovalis vel cylindrica, lon- glor breviorve, cernua, subarcuata, operculo ex alte con- vexa basi longirostro, rostro haud raro subulato. Peristo- mii dentes 32 longiusculi. Sporangium extus capsulae et intus columellae crassae contiguum. 1. ATRICHUM UNDULATUM Pal. Beauv. Caulis erectus simplex vel dichotomus. Folia inferiora minima squamiformia oblique inserta, superiora et summa longa et longissima, anguste lingulata, alis undulatis sub- tus denticulis oblique seriatis hispidis, supra laevibus, margine anguste limbato dentibus acutis circumsito, costa angusta tereti lamellis 2—5 instructa apicem versus sub- tus spinosa. Flores monoici, innovatio feminea e floris masculi centro egrediens. Fructus ex eodem perichaetio solitarius vel bi- et ternatus; capsula cernua, elongato- 85 cylindracea, recta vel subarcuata, rufo-brunnea. Opercu- lum e basi lata alte convexa in rostrum subulatum сар- sulae subaequilongum productum. Calyptra diu persistens, apice hispida. Peristomii dentes e membrana basilari au- rantia anguste lingulati, medio linea aurantia notati. Atrichum undulatum Pal. Beauv. Prodr. de l'Ethéogamie. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 8, T. 409, 410. — Schimp. Synops. Мизс. eur. р. 433. Polytrichum undulatum Hedw. Stirp. I, p. 43, T. 16 et 17; ejusd. Sp. Musc. р. 98. — Steph. Enum. stirp. р. 54. — Mart. Propio 11034. р. 191. Catharinea Callibryon Ehrh. Beitr. I, p. 189. — C. Mull. Syn- ор D 192. Catharinea undulata Röhling Deutschl. Fl. Ш, р. 61. — Weinm. Syllab. II, p. 443. Bryum undulatum L. Sp. Pl. p 1532. Habit. in locis umbrosis, graminosis; Montes Passerini (Goldb.); Sokolniki (C. Czermack); Stepankovo — in syl- vaticis umbrosis ad tumulos talparum, terram subargilla- сеат, margines fossarum, e vulgatissimis. Herb. Boschn.; Annenk. Fl. exs. mosq. Cent. I. Fruct. matur. vere, autumno. П. POGONATUM Pal. Beauv. Plantae humiles simplices vel elatae dendroideo-ramo- sae solidae; femineae nune e stolonibus subterraneis vel e prothallio radicali, nune e medio caule vel sub peri- chaetio innovantes, masculae e floribus continuae. Folia e basi vaginante membranacea, tenuicostata, patentia, ra- rius subsecunda, siccitate vix mutata, costa latissima to- tam fere laminam occupante, lamellis numerosissimis in- structa, unde folia ipsa solida coriacea rigida, margine spinoso-serrato, colore e glauco- vel olivaceo-viridi et 86 rufescente. Calyptrae coma piloso-tomentosa defluens cap- sulam totam vel ex parte obvelans. Capsula erecta vel cernua, regularis vel leniter incurva, teres. Sporangium extus et intus filis suspensum, P. nano excepto quod in- tus columellae contiguum habet. Peristomium e dentibus 32 longiusculis medio aurantiis compositum. Sect. I. Aloidea. Plantae humiles simplices gregariae e stolonibus sub- terraneis et e prothallio radieulari viridi innovantes. 1. Capsula cernua, sporangio columellae contiguo. 1. Poconatum nanum Pal. Beauv. Caulis perhumilis. Folia patula, anguste elongato-lingu- lata, apice minute serrata, olivacea demum rubentia. Cap- sula in pedicello pro more longo flexuoso vel spiraliter volubili erecta vel cernua, ovato-globosa solida, sicca deoperculata hemisphaerica vel cyathiformis, sub ore val- de ampliato constricta, operculo lato convexo rectirostro, siccitate plano vel concavo. Calyptrae indumentum cap- sula paulo brevius. Peristomii dentes longi, siccitate ra- Файт incurvo-patuli, rubelli. Pogonatum папит Pal. Beauv. Prodr. de l'Ethéogamie. — Brid. Bryol. univ. II, p. 417. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 5, T. 415. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 438. Polytrichum папит Hedw. stirp. crypt. I, p. 37, T. 13 — €. Müll. Synops. Musc. I, p. 204. — Steph. Enum. stirp. p. 51 — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 194. — Weinm. Syllab. II, p. 445. Mnium polytrichoides « L. Habit. in ericetis sylvaticis ad latera praerupta viarum. Fruct. matur. vere, autumno. 87 2. Capsula erecta, sporangii membrana interna quadripli- cata. 9. Poconatum ALoIDES Pal. Beauv. Caulis brevis vel elatior, femineus hie illie sub apice, masculus e flore innovans. Folia e basi late vaginante elongato -lanceolata, acuta, argute serrata. Calyptrae in- dumentum infra capsulam defluens, pallide ferrugineum basi albescens. Capsula oblonga, leptoderma, dilute fus- cescens, sieca vacua sub ore constricta, aetate decolo- rata. Peristomii dentes breviores. Sporae virides. Pogonatum aloides Pal. Beauv. Prodr. de l'Ethéogamie. — Brid. Bryol. univ. ll, p. 119. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 6, T. 416. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 439. Polytrichum aloides Hedw. Stirp. I, p. 40, T. 14; — ejusd. Spec. Musc. p. 96. — С. Müll. Synops. I, p. 202. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 191. — Weinm. Syllab. Il, p. 444. Mnium polytrichoides В L. Habit. т locis apricis et ericetis sterilibus umbrosis. Fruct. matur. vere. Sect. II. Urnigera. Caulis elatus superne divisus et dendroideus. 3. PocowATUM URNIGERUM Brid. Caulis erectus vel ascendens, e latere innovans, divi- sionibus plus minus numerosis, 2—10, omnibus fertilibus. Folia inferiora minuta squamiformia, superiora conferta patentia et patula, sicca incumbentia vel imbricata, e ba- si breviter vaginante late lineali-lanceolata, margine den- ticulis solidis acutis ad basin usque serrata, glauco-viri- dia aetate ferruginea demum brunnea, costae totam fere paginam tenentis lamellae numerosissimae | marginibus inerassatae; perichaetialia longius vaginantia angustiora. 88 Calyptrae indumentum infra capsulam produetum, luteo- ferrugineum, Capsula erecta symmetrica solida, ovato- oblonga et cylindracea dilute vel rufo -fusca, sicca im- mutata laevis. Operculum e basi plano-convexa rectiro- strum. Peristomii dentes breviores, aequales, lutescentes. Pogonatum urnigerum Brid. Bryol. univ. II, p. 124. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 8, T. 417. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 440. Polytrichum urnigerum L. Sp. Pl. p. 1573. — C. Mull. Synops. I, p. 209. — Weinm. Syllab. Il, p. 445. Habit. in declivibus collium arenosarum, in pinetis siccioribus; in Montibus Passerinis, Gorenki, ad latus viae magnae prope sylvam St.-Annae (Mosquae) ubi Goldbach legit; Stepankovo— ad sylvarum margines ad terram ar- gillaceam, in sylvaticis ubi locos graminosos tenet, copio- se. Herb. Boschn., Czerm. et in Annenk. Fl. exsicc. mosq. Cent. I. Fruct. matur. Aprili, Majo. Ш. POLYTRICHUM Linn. emend. Musci speciosi et speciosissimi, turionibus e caulis basi erectis vel ascendentibus innovantes. Caulis erectus, simplex, ligneus, trigonus, masculus e floribus continuus. Folia illis g. Pogonati similia, inferiora squamiformia de- colora vel rubentia, superiora e basi tenui arcte vaginan- te elongata, costa latissima lamellosa. Calyptra tomento longe deflüente instructa. Capsula in pedicello longo so- lido plerumque cernua sicca horizontalis prismatiea 4- rarius 6-gona, apophysi discoidea vel subglobosa instru- cta, sporangia intus et extus filamentis suspensa. Oper- culum magnum e basi plano - convexa apiculatum vel conico-convexum rectirostrum. Peristomii dentes 32 vel 64. Sporae minimae ferrugineae. 89 Sect. I. Polytricha sexangularia. Capsula sexangularis apophysi minus distincta. Folia margine solidiore argule serrata. 1. PoLYTRICHUM GRACILE Menz. Dense caespitosum, caespites inferne tomento radicu- lari intertexto cohaerentes. Caulis erectus humilior vel elatus, gracilis, e basi valde flexuosa et tomentosa divi- sus, caeterum simplicissimus. Folia longa, lineali-lanceo- lata, acuta, margine tenui inflexa argute serrata, perichae- tialia ad medium usque vaginantia, costae lamellis mar- gine haud incrassatis. Capsula in pedicello longo erecta, sicca horizontalis, calyptrae tomento haud tota obtecta, e viridi hexagono-ovata lutescens, mollis, operculi mag- ni rostro longo leniter obliquato. Peristomii dentes e membrana capsulari orificium capsulae haud superante 32 aequales vel 64 inaequales, breviores longioresve. Sporae majusculae dilute viridi-ferrugineae. Polytrichum gracile Menzies Transact. of the Linn. Soc. v. IV, p. 73, T. 6. — Brid. Bryol univ. I, p. 154. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 10, T. 421. — C. Müll. Synops. I, p. 225. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 444. Habit. in turfosis; spec. mosq. in herbario C. Czerm. adsunt, sed sine loco. Fruct. matur. vere. 9. PoryrricHuM Formosum Hedw. Procerum, laxe caespitosum. Caulis longus et longis- simus erectus vel e basi decumbente ascendens, sola basi tomentoso-radiculosus. Folia inferiora minuta mem- branacea vaginantia apiculo cuspidato patente, superiora e basi longe vaginante albicante nitida patula et subre- 90 curva siceitate laxe incumbentia, longe lineali-lanceolata, perichaetialia longissima erecta, margine erecto usque ad basin argute et solide serrata, subglauco - viridia, opaea, costae lamellis margine paululum incrassatis. Calyptrae indumentum infra capsulam defluens raro brevius, ferru- gineum. Capsula in pedicello longo carneo madore ere- cta siceitate cernua vacua horizontalis, hexagono- et te- tragono-prismatiea, apophysi exacte distincta, pallide luteo- viridis, demum e lutescente fusca, leptoderma mollis. Operculum e basi late conica sensim longe acuminatum, margine rubellum. Peristomii dentes 64 pallidi, membra- na basilari aurantia vix emergenti. Sporae minimae, luteo- ferrugineae. Polytrichum formosum Hedw. Spec. Musc. p. 92, T. 19. — Brid. Bry ol. univ. Ш, p. 151. — Br. её Sch. Bryol eur Vp? 9, T. 420. — C. Mull. Synops. I, p. 224. — Schimp. Syn- ops. Musc. eur. p. 445. — Weinm. Syllab. Il, p. 451. Habit. in terra sylvatica sicca, in pascuis humidiuseu- lis; Butirki, Sokolniki ubi Goldbach invenit. Fruct. matur. aestate. Sect. II. Polytricha quadrangularia. Capsula exacte rectangulo-quadrangularis apophysi sub- discoidea. 1. Folia margine inflexa integra, costa excedente. arıslata. 3. PoLyTRICHUM PILIFERUM Schreb. Laxe caespitosum. Caulis subterraneus valde flexuosus et ramosus densissime tomentoso-radiculosus, superior ereetus simplex inferne denudatus, superne dense como- so-foliosus. Folia inferiora minima adpressa vix conspi- cua, superiora subito majora glauco-viridia et fuscescen- 91 tia siecitate imbricata, e basi ovata vaginante elongato- lanceolata, alis inflexis subteretia, arista. apice incana; perichaetialia lineali-lingulata erecta valde concava, inti- ma tenuia tota costa tereti elamellosa; omnia arista lon- ga et longissima instructa. Calyptra infra capsulam de- fluens. Capsula tetragono-ovata erecta, sicca cernua an- nosior horizontalis, dilute badia tandem brunnea. Oper- eulum e basi depresso-conica brevirostrum, aurantium vel purpurascens. Peristomii dentes 64 e membrana basilari satis produeta breviusculi, regulares, in linea axili auran- tio-notati. Sporae minimae ferrugineo-virides. Polytrichum piliferum Schreb. Flor. Lips. p. 74. — Brid. Bryol. Unive wipe 1420. — Brevet Sch. Bryols eur DV р. 41, T. 422. — C. Mull. Synops. I, p. 217. — Schimp. Syn- ops. Musc. eur. p. 446. — Steph. Enum. stirp. p. 51. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 191. — Weinm. Syllab. Il, p. 449. Polytrichum commune y pilosum L. Sp. Pl. 1573. Habit. in ericetis siccis elevatis; Sokolniki — in pra- tis ad terram argillaceam Czermack legit. Stepankovo — sylvarum locos ericetosos tenet, ad tumulos talparum fre- quens; Goldb. etiam invenit; Boschn. Fruct. matur. vere, aestate. 4. PoLyTRICHUM JUNIPERINUM [ledw.- Planta elatior speciosa, e basi subterranea flexuosa di- visa dense tomentoso-radiculosa erecta, rarius bi- tripar- tita, eradiculosa. Folia madore patula et subrecurva, sic- ca erecta, glauco-viridia et fuscescentia, longa, lineali- lanceolata, alis inflexis margine integerrimis, costa in aristam brevem rufulam excedente subtus muricata, pe- rigonialia et perichaetialia plerumque margine membra- nacea. Capsula tetragono-prismatica, solidiuscula, rufo- aurantia demum brunnea, calyptrae indumento tota obve- 92 ‚lata. Opereulum e basi plano-convexa rufo-purpureum. Peristomii dentes 64 breviusculi. Polytrichum juniperinum Hedw. Sp. Musc. p. 89, T. 13. — Brid. Bryol. univ. IL, р. 136. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 12, T. 423. — C. Mull. Synops. I, р. 218. — Schimp. Syn- ops. Musc. eur. p. 447. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 191. — Weinm. Syllab. II, p. 448. Polytrichum juniperifolium Hoffm. Polytrichum commune f L. Habit. in pratis, pascuis sylvaticis, siccis arenosis, eri- cetosis; fabr. Auerb. (Goldb.); Stepankovo — in ericetis humidis, ad terram argillaceam; in Annenk. Fl. exsice. mosq. Cent. I et in herb. Boschn. quoque adest. Fruct. matur. initio aestatis. 5. PozyrricHuM sTRICTUM Menz. Gracilescens dense caespitosum ramosum; caespites haud raro profundi tumescentes, tomento albido densissi- mo intertexti, tenacissimi. Folia erecto-patentia, stricta, siccitate imbricata, breviora, angustiora, pallide glauco- viridia. Capsula minor, brevior, acute angulosa, rufo-au- rantia, calyptrae villositate haud raro albicante tota ob- tecta. Polytrichum strictum Menz. Transact. of the Linn. Soc. IV, T. 5, f. 1. — Brid. Bryol. univ. II, p. 139. — Schimp. Syn- ops. Musc. eur. p. 448. Polytr. juniperinum varr. strictum et alpestre Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 12, T. 424 (var. 8 et y). — G. Mull. Synops. I, p. 218, var. Habit. in turfosis et uliginosis; in sylva Perovensi ubi Goldbach legit. Fruct. matur. Augusto (Goldb. ib.). 2. Foliorum alae tota latitudine fere costa occupatae, mar- gine argute serratae.’ 6. POoLYTRICHUM COMMUNE L. Maximum, laxe caespitosum; caespites saturate virides. Folia patenti-recurva, longissima, basi vaginante submem- branacea nitido-albicantia, lamellarum margine sulco di- viso; perichaetialia erecta, longissima, vaginantia, inter- na membranacea, in pilum producta. Calyptrae indumen- tum maximum infra capsulam defluens, ferrugineum vel rufescens nitore sericeo. Capsula in apophysi discoidea acutangula, alte pedicellata, rufo - fusca, sicca evacuata horizontalis. Operculum e basi depresso - convexa sicci- tate plana plus minus longe conico-apiculatum, margine rufo - badium vel saturate purpureum. Peristomi dentes 64, pro capsulae magnitudine parvuli, e membrana ba- silari lutescente erecto-incurvi. Polytrichum commune L. Sp. Pl. p. 1573. — Hedw. Sp. Musc. p. 88. — Brid. Bryolog. univ. II, p. 148. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 13, T. 425. — C. Müll. Synops. I, p. 220. — Schimp. Synops. Musc. eur, p. 448. — Steph. Enum. stirp. p. 50. — Weinm. Syllab. II, p. 450. Polytrichum yuccaefolium Ehrh. Flora crypt. exsicc. 214. — Mart. ‚Br. El. 11054. р. 194. Habit. in uliginosis sylvaticis, ericetis humidiuseulis; Stepankovo — in loeis sylvatieis humidis vulgare. Spec. mosq. in herb. Goldb., Boschn., Czerm., etin Annenk. Е]. exsiee. mosq. Cent. V adsunt. Fruct. matur. ineunte vere et tempore aestivo. Trib. XI. BUXBAUMIACEAE. Plantae subacaules parvulae vel omnium minimae, cap- sulam proferentes magnam, obliquam, ventricosam ses- 94 silem, vel crasse pedicellatum, calyptra minima conica instructam, sporangio pedicellato multo minore filamentis suspenso, peristomio duplici, externo plus minusve per- fecto e. dentium serie simplici vel triplici composito, in- terno membranaceo, in conum subtorquatum plicato. FAMILIA UNICA. I. BUXBAUMIA Hall. Plantae minimae Ephemeri species minimas similes vix magnitudine aequantes, terrae vel ligno putrido immer- sae, basi radiculis longis instructae, fuscae, remote gre- gariae. Folia inferiora late ovata et ovato-lanceolata, su- periora ovato- et lineali-oblonga, ecostata, margine cel- lulis prominulis grosse dentata, гей laxo solidiusculo ob- longe hexagono, chlorophyllo omni destituta, basi pallida apicem versus rufula vel fusco-aurantia, omnia jam prima aetate satis irregularia aetate provecta laciniato - lacera, laciniis ut et cellulis basilaribus in filamenta fusca longa et longissima tandemque in radices transmutatis tomen- tum densissimum caulem et vaginulam obruens efficien- tia. Flores dioici. Antheridia ovato - globosa perpauca, archegonia brevissima erassiuseula pauca. Capsula maxi- ma, in pedicello crasso subcarnoso papilloso e collo erecto obliqua, ventricosa, linea prominula obliqua lon- gitudinaliter dimidiata, latere antico postico planiore mi- nusque solido. Peristomium externum vel annulo latissi- mo solido coroniformi adglutinatum, vel liberum eque serie triplici vel quadruplici dentium submoniliformium compositum, internum membrana 32-plicata. , Subgen. 1. Buxbaumia. Capsula solidior, latere antico planiore a postico con- vexo linea magis prominula sejuneto. Peristomium exter- 95 num imperfectum annulo latissimo adglutinatum, laciniis albis plus minus productis eum superans. 1. BuxBAUMIA APHYLLA Hall. Annulus latissimus ultra medium peristomium internum productus. Peristomium externum laciniis pallidis irregu- laribus annulum paulum superans. Cutieula eapsulae sub orifieio soluta post operculi lapsum laciniata revoluta (annulus auct.!). Buxbaumia aphylla Haller Enumer. meth. stirp. Helv. indig. — Linn. Sp. Pl. edit. Reich t. IV, p. 453; ejusd. de Buxb. dissert. in Amoen. acad. t. V, p. 78. — Br. et Sch. Bryol. eur. IV, p. 5, T. 427. — G. Mull. Synops. I, p. 151. — Schimp. Synops. Musc. eur. p. 453. — Mart. Pr. Fl. mosq. p. 200. — Weinm. Syllab. II, p. 452. Habit. in ericetis et sylvaticis arenosis umbrosis, ad collium margines (teste Mart.). Fruct. matur. Majo. (La suite dans le № 2.) UNTERSUCHUNGEN über DIE IN DER NAEHE VON MOSKAU STATTFINDENDE LOCAL - ATTRACTION. Dritte Mittheilung. VON G. SCHWEIZER. Mit dem Jahre 1862 begann eine neue Epoche für die Untersuchung der Moskowschen Local- Attraction. Das hohe Ministerium der Volksaufklirung interessirte sich besonders für diesen Gegenstand, und gewährte bedeu- tendere Hülfsmittel, als bisher angewandt werden konn- ten, die es mir ermóglichten, diese Untersuchungen ener- gischer zu betreiben. Und gewiss wurden bedeutendere Hülfsmittel nothwendig, denn mit der grósseren Distanz der zu beobachtenden Punkte von Moskau, wuchsen auch die Schwierigkeiten und Ausgaben der Expeditionen. Zugleich aber trat auch das Ministerium der Volksaul- klárung mit dem Kriegs - Ministerium in Verbindung, um 97 durch Dasselbe den Generalstab zu veranlassen, die als nôthig sich erweisenden Triangulationen im Moskowschen Gouvernement vorzunehmen. Die gegenwärtige Dritte Mittheilung behandelt die Ar- beiten der Jahre 1862 und 1863, und die aus denselben hervorgehenden Resultate. Wie man sich aus den früheren Aufsätzen erinnert, hatten wir wohl im Norden und Süden von Moskau die Grenzen der Störung aufgefunden; im Osten und Westen aber nicht. Es war demnach zunächst die Aufgabe, wo möglich auch diese Letzteren zu finden, und zu diesem Behufe mussten unsere Untersuchungen nach Ost und West bedeutend weiter ausgedehnt werden. Ausserdem war es zu wünschen, den Gang der Erscheinung (näm- lich die Differenzen zwischen astronomischen und geo- dätischen Polhöhen) auch in der Richtung des Meridianes von Moskau noch auf grössere Distanzen von der mittle- ren Nullzone kennen zu lernen, eine Kenntniss, die gar wohl zu wichtigen Schlüssen über die Natur des stören- den Agens führen konnte. Zu diesem Behufe traf ich die Anordnung, dass nach dem Vorbilde früherer Jahre Polhöhen - Beobachtungen mit dem Repsoldschen Vertical-Kreise nach den 4 Car- dinal-Richtungen an vielen Punkten, die selbst bis an die Grenzen des Moskowschen Gouvernements reichen, aus- geführt wurden. Ich bin nämlich zu der Ueberzeugung gelangt, dass viel Zeit und Arbeit erspart wird, wenn wir, ehe wir zu den mühsameren Beobachtungen, als da sind Azimut und Längenbestimmungen, übergehen, um die Wirkungen der Störungen im Parallel zu erforschen, das Terrain der Störung vermittelst der ungleich leichteren und rascheren Polhöhen - Bestimmungen erst umkreisen N 1. 1564. . 7 98 “und feststellen. Erst dann haben wir genügende Anhalts- punkte, und man kann erst dann gut beurtheilen, wo es vortheilhaft ist, zu beobachten, und welche Beobachtungs- Arten am zweckmässigsten sind und uns am Leichtesten zum Ziele fuhren. Die vermehrten Hülfsmittel machten es möglich, in den beiden Jahren je zwei gleichzeitige Parthieen von Beob- achtern und Instrumenten auszurüsten und "arbeiten zu lassen. Die eine Expedition leitete Herr Stabs-Capitain Troëzku, welcher auch in den früheren Jahren die Polhöhen von schon vielen Punkten bestimmt hatte; die Andere Herr Magister Ssludsku, der früher schon als thätiger Rechner bei diesen Untersuchungen sich betheiligt, und mittler- weile in den nothwendigen Beobachtungen sich tüchtig ein- geübt hatte. | Herr Troizkil beobachtete mit dem schon vorher erwähn- ten und von ihm benutzten Repsoldschen Verticalkreise, Herr Ssludski mit dem zweiten Exemplare, mit welchem Herr Ssacharoff mehrere Jahre im Alta arbeitete. Viele Versuche hatten bewiesen (unter Anderen auch die Beob- achtungen bei Iwan Welikii selbst, welche in der zwei- ten Mittheilung angeführt sind), dass, wenn gleichzeitig zwei Beobachter mit diesen Instrumenten arbeiteten, die aus den Beobachtungen gewonnenen Resultate an sich beinahe absolut übereinstimmend, durchaus keine constan- ten Differenzen erkennen liessen. Beide Expeditionen erhielten, ausser dem Hauptinstru- mente, mit: Barometer, Thermometer und die anderen zum Beobachten nothwendigen Utensilien, hauptsächlich aber mehrere Chronometer zum Zeit halten. 99 Die Erfahrung, gewonnen in den früheren Jahren, hatte bewiesen, dass wenn auch die Zeit an einem Punkte, an welchem die Polhöhe zu bestimmen, nicht directe beo- bachtet, sondern unter Anwendung der Längendifferenz und der Chronometergänge aus an andern Punkten ge- machten Zeitbestimmungen abgeleitet wird, dies bei Be- rücksichtigung von einigen Vorsichtsmassregeln (worunter namentlich auch das gehört, dass man nur 3 bis 4 Tage ohne Zeitbestimmung sich auf den Gang der Chronome- ter verlässt) vollkommen genügend genau ist, um die Polhöhenbestimmungen zu berechnen. Da in den Jahren 1862 und 1863 in der Regel die einzelnen Expeditionen längere Zeit andauerten, ehe die Beobachter wieder zu der Normal-Uhr der Moskauer Universitätssternwarte zurückkehrten, so wurden häufiger auf der Reise selbst Zeitbestimmungen gemacht, so dass man immer nur für kurze Zwischenzeiten genöthigt war, sich auf den Gang der Chronometer zu verlassen. Wie früher, hatte auch in diesen Jahren jeder Hauptbeobach- ter einen Gehülfen bei sich, der beim Notiren der Beob- achtungen, den Chronometer - Vergleichungen und dem Verpacken der Instrumente behülflich war, was die För- derung der Arbeiten sehr begünstigte. Bei Herrn froëzku fungirten als Gehülfen unter Abwechslung die Herren Stawrofsku, Trawin, Koroleff und ein Messgehülfe: bei Herrn Ssludsku gewöhnlich Herr Engelbrecht, einmal H. Skare. Die Berechnungen wurden ebenfalls, wie vorher, mit der grössten Sorgfalt und doppelt gemacht, unter Anwen- dung der Declinationen des Маш. Almanac; wenn eine andere Declination benutzt werden musste, so ist das besonders erwähnt. Jf . 100 Die Sorgfalt und der Eifer der Herren Troizkn und Ssludski verbürgen die Richtigkeit der Rechnungen, die überdies noch von mir im Detail durehgegangen, und in schwierigeren Fällen berathen wurden. Herr Ssludskii übernahm die doppelten Berechnungen seiner Punkte selbst, Herrn Troiëzki half als zweiter Berechner Herr Lieutenant Stawrofsku. Alle Punkte, deren astronomische Polhóhe zu bestim- men wünschenswerth war, wurden von mir vorher aus- gewählt, wobei natürlich hauptsächlich solche berücksich- tigt wurden, die schon in der Schubertschen Triagulation vorkommen, und den Beobachtern mitgegeben, die nur in seltenen Fallen, wenn zu viele Schwierigkeiten sich entgegenstellten, von den erhaltenen Instructionen ab- wichen. ` Im Jahre 1862 konnten die Arbeiten erst später im Sommer beginnen, als im Jahre 1863, einerseits weil die materiellen Mittel erst so spät anlangten, anderseits weil noch manche Vorbereitungen, 7. В. Ankauf und Ausrüstung der Reise - Equipagen vorher gemacht wer- den mussten. Die Frucht der zweijährigen Sommerarbeiten sind nun die Bestimmungen der astronomischen Polhöhen von et- wa 150 Punkten, die alle noch innerhalb der Grenzen des Moskowschen Gouvernements liegen. Die folgenden Tafeln enthalten die Details dieser Bestimmungen ganz in der Art, wie die früheren Resultate in der ersten und zweiten Mittheilung vorkommen. Für jedes Jahr und je- den Beobachter wurden die Punkte getrennt, und so zu- sammengestellt, dass mit den nördlichsten Punkten ange- fangen und mit den südlichsten geendigt wurde. POLHOEHENBESTIMMUNGEN МИ DEM REPSOLD- SCHEN KREISE AUSGEFUEHRT IM ТАНВЕ 1862 VON HERRN STABSCAPITAIN TROIZKII. 102 POLHOEHENBESTIMMUNGEN MIT DEM REPSOLDSCHEN KRI CAPTTAIP 1862. Aug. 24 Aug. 24 Aug. 25 Aug. 23 Aug. 26 Aug. 26 Aug. 27 Aug. 27 Septb. 12 Aug. 28 Aug. 28 Septb. 3 Aug. 29 Septb. 12 Benennungen der Punkte und Sterne. Пи-Рготой. Pog. Gl... | lamkıno. Gl. os Е | Uspensku. Gl. Pog. drale Bogoródsk. Gl. d. Kathe- | Dessjdtaja Pjatniza Gl. Nikita Mutschennika. Pos. Nikola Sagorye. 61. . . . Saponoryercl п... Kloster Ugräschi. Gl. . . Ignatyewo.n Gl. 00. Karpowo. CE aa. Signal Prudischtschi. Troizkoje. Gl А Мо — M T ^^ — A ——— — see ee 0 eee — eee Polaris er В Androm. 9 Urs.min. a Lyrae . . Polaris: a Bootis. . Polaris. . . a Arietis. . Polaris... a Androm. Polaris. . . a Aquilae . Polaris ee = Pegasi. . Polaris. . . a Lyrae. . Polaris: = Pegasi. . Polaris a Lyrae. . POlaTIS ES = Pegasi. . Polaris. . . a Androm . Polaris. . . a Aquilae . Polaris . . a Bootis. . 55° m 024.00 ie Nc = &. C» © Q3 o Qv © ND © © © © = Hh 103 SE AUSGEFUEHRT IM JAHRE 1862 VON HERRN STABS- TROIZKII. 2 T mr оны mr Sag iar) aaa af Set nad | usare agita. eaa Ra Neal RT TROT lE CMT E Nr | Reduction. Astr. Polhohe. Geod. Polhöhe. 0", 0 155756/40",1 155°56’41”,7 0 0 0 55 26, 2 34 31,05 34 24, 2 34 19, 7 55 28, 5 51 46, 4 51 24, 9 36 1, 2 34 48, 5 34 25,25 34 22, 1 34 14, 6 Differenz. © ba | 5) я > Qo == m ——À— Nummer bei Schubert. 9992 9962 9835 9834 9473 9359 9186 9187 9155 9134 9079 Mesch. Tr. 9078 9077 POLHOEHENBESTIMMUNGEN MIT DEM REPSOLDSCHEN KREI 1862. Aug. 24 Aug. 24 Aug. 25 Aug. 23 Aug. 26 Aug. 26 Aug. 27 Aug. 27 Septb. 19 Aug. 28 Aug. 28 Septb. 3 Aug. 99 Septb. 19 Pepe 102 E CAPITAIN | TROIZKII. Benennungen der Punkte und Sterne. Ilü-Prorok. Iamkino. Gl. Pog. (|... 9 o o 0 2a à Uspenskü. Gl. Pog. Bogoródsk. Gl. d. Kathe- (Tale. Dessjataja Pjatniza Gl. Nikita Mütschennika. Рос. Nikola Sagor Saponorye. Gl Kloster Ugräschi. Gl. . Ignatjewo. G Karpowo. G Signal Prudischtschi. Troizkoje. Gl A Missdilowo . jos (Sl бо с l. l. OO TORTE OS | Polaris. . . B Androm. 9 Urs.min. a Lyra .. Polaris. . . a Bootis. . Polaris. . . a Arietis. . Polaris. . a Androm. Polaris. . . a Aquilae . Polaris. . . € Pegasi. . Polaris. . . a Lyrae. . Polaris. . . = Pegasi. . Polaris. . . a Lyrae. . Polaris. . . € Pegasi. . Polaris. . . a Androm . Polaris. . . a Aquilae . . Polaris. . . x Bootis. . ооо яке À © © W ND OO D OS © © = to 103 SE-AUSGEFUEHRT IM JAHRE 1862 VON HERRN STABS- Reduction. Astr. Polhöhe. | Geod. Polhöhe. Differenz. 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Gl. . . . . . y Pegasi. . | 18 31, | 2 | Polaris. | 12 5 Septb. 18 | Schimanowo. Gl. C Aquilae . | 14 51, Polaris, . 1 20008 Q5 co —1 C Qt — IN NO 9O Oo e- RW Ow I C9 I Sepb 47 | эиббонло. в о e ee M V — MÀ I — M —À ease —————— ( Aquilae. | 14 4, 109 Nummer Reduction. Astr. Polhöhe. | Geod. Polhöhe. Differenz. bein Schub DAMON 553211971 553277191 — 03 8998 00 30 22, 0 2023, 3. 1 9 $944 DV о eov 9, M 04 8918 QE 20599 Ole) Kemah, 6-1 9 8850 Quae 25 38,25 25/90,99 d scd 7 8194 0, 05 22 42, 9 2242, 3| — 0, 6 8715 On 10 20 41, 1 2036,41 — 4, 7 8655 Mero 2032, 0 020/392 Peas 8651 DB 3! оо 8603 ee mass. о MONTO 8533 мое мо es 8500 "us 110 POLHOEHENBESTIMMUNGEN MIT DEM REPSOLDSCHEN KREI | CAPITAIN 1863. Benennungen der Punkte und Sterne. 56° und 55° ee Polaris NIMES Septb. 10 | Ssurmino Kir. . . . . . . | c Pegasi. . | 42. 25. 0 Sepih ld | Sselefkino. CL) nn. | ce M ne Зерф. 9 | * Tischkowo. Gl. Nowosspas- | Polaris. . т 5 25, 5 SKOJE NE ete te a Pegasi. . 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Benennungen der Punkte und Sterne. 55° eet ot Polaris. . . | 55’ 20”, 6 Aug. 31| Pog. Nikólskü.: Gl... | | о ! i io MUN A Polaris... | MUR Juli Sus spensicoje- Gl on... | a Coronae ПО Polaris; .. MER | @ Bootis. nb beer E ? : Polaris... 2 bMS Aug. 29 Bogosslowskoje. Gl. . . | c Pega | | sn Juli 6 | Preischisstoye. Gl... . . Juli 91 427950000: Glan. | Ar m ik Aug.) 29 | Roschdestwo. в. | ee ; i ie INI 302 EN WärkowonGlas we: | de i p. i5 Juli 0720, Азур. Sion: № ar. > | D | n ii Mie. SU CU | re | m N Julien 21 Kudınowor Clan Бо | Polaris. . . | 45 24, C Hereulis. |245 25. A La A UEM AI, Polaris... . 122 2» Juli 20 Mich. Archangel. Gl. . . | e Pesasi. . | 44 24, Polaris... . | 43: 28, Julio 21 | Ssafonowo. Signa co ot паб 27, = Реза”. 27, : NC Polaris». 2 020205 93 x 7. 2 2e 3 dul 22 Ка E | a Cygni. . | 41 21, : Q 9s № 22) | Krasskowo. Gl. 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N (— 65, 5) — 3, 5 — 5, 5 — 14 — 2, 8 edi — 9, 0 — 3, 3 — 3, 0 12519 — 2, 5 — 1, 2 (+ 50, 4) — 4, 8 — 5, 7 Nummer bei . Schub. - 116 1863. Juli; 25 Sepib. 3 Septb. Juli 25 Septb. 4 Aug. 12 Juli 25 Septb. 4 Aus 6 Aug 6 Aug 6 Aug. 41 Aug. 11 Aug 7 Aug. 11 Aug 7 Benennungen der Punkte und Sterne. Po SAWOT OWN бе. * Ssalkowo Gl. . Woronowo. Gl. ..... Siepanofskojen Glas a) key ^ Rosstunowo. (Gl. 2. oe. ins hope Clan Troiza-Lobanowa. Gl. . . Issupowo. Kirche. Gorodnja. Kirche. . . . . "Ascinno. Kirche. <2) 7%. MalnoraGl. ieee, Sap kino Glee PAPAS Iwanofskoje. Gl. Werchowljange. Gl... . Kiassowo. Kirche. Bortnikowo! Glo. 2. Polaris 0 NPE TASER Polaris a Androm. Polaris e a Ophiuchi. Polaris eue a Bootis. . Polaris a буш Polaris C Herculis. Polaris. . a Lyrae. . Polaris ue о. Ophiuchi. Polaris C Herculis. Polaris a Cygni. . Polaris. . . x Androm. Polaris es 0 Bellen: Polaris: a Bootis. . Dollars = Pegası. . Polaris. a Aquilae . Polaris ee & Bootis. . 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Polhóhe. 55% 0/91:/52515525.0/205,0 54059 35, 5 54059 32, 8 1 6 wore ee Differenz. | | Nummer bei Schub. 5 8120 | 9091 2 7959 6 1938. 4. 7924 P PS e \ Lu 3 SNe ai at Aer Re s LES 120 POLHOEHENBESTIMMUNGEN MIT DEM REPSOLDSCHEN MAGISTER 1863. Benennungen der Punkte und Sterne. 56° und 55° Polaris... . 133 330.6 a Goronae. |353 32 Polaris . 21023 59% a Coronae. | 23 57, Рав... | 28 5 60 Hereul. | 23 58, Polaris. о Jum | Gare СЕ Juni 26 | * Peresswätowo. Juni’ 29 |‘ Podmoschie. (GV NN C Aquilae , 23 6, Polaris 12902150595 a Leonis; . | 2 198, Polaris... | 19 2 Juni 30 | Andrejefskoje. Gl. a Roots. de Juni 20 | = Oo CL Polaris. a \ du | a Ophiuchi, | 16 18, PRO Polaris... | 115% Juni 25 | * Batjuschkowo. Gl... . | а Opliuchi | 13 53 Polaris. ©. 712.269 ооо Ct e e C0 NO NO BS & © NI O1 À & hO bo ot Qo b2 Ju S a Ophiuchi. | 11 93, A UTI Polaris у: à Juli 2 орал в. & Bootis: Ones ие Polaris: >: a DA, Juli 2 | Oserezkoje. Gl.. + Aquilae | 21 Juli 20 | Wosskr а Polar а. rusalem. Gl. des Klosters. | a Ophiuchi. | 55 13, Polaris... Somes : Juli 21 Alexandorow. E " 2 1 Лит 26 | Wnukowo. в. E 1 & Ophiuchi. | 53 | KREISE AUSGEFUEHRT IM JAHRE 1863 VON HERRN - SSLUDSKII. OM Nummer Reduction. Astr. Polhóhe |Geod. Polhóhe Differenz. bei Schub. — 0”, 2 15633'32",7 5673325" 75 — 67,95 10924 010 23.98, 8 23.55, ШЗ 109 10697 DB оз 4 klar 10696 0012153 11 9150. 2, 2,2 9 10652 Bon 189 6—1 15.) 10519 10516 В 19521 1349150! 10493 0.0 11:21: 1127, 3|(4- 2, 6) 10368 0, 0 9 6,3 Quis giu SS USO 0, 0 ae oe ee 1018 + 0, 3 [55555 13, 81555514, 8 -— 1, 0 9920 ol 0.5 9895 0, .0 SRM UP 93 1 M —À M mn a P —— M a — a À— S a P mn —— © < © — or) CO So = => =— St es == ho Juli Juli Juli Juli Juli Aug. Juli Juli Juli Juli Aug. Juli 29 31 30 Benennungen der Punkte und Sterne. no) С. * Dmitrofskoje. Neuer. Gl. * Karatscharowo. Gl. Komlewo. Gl. Miljdtino. Gl. * Kulebjakino. e Ute dite teile une, 9x wisi Me en "equite Gl. Muschkino. Kupp.d. Kirche. * Klementjewo. Gl. - Dolar & Coronae. Polaris a Ophiuchi. Polaris 10 a Lyrae. . Polars С Aquilae . Polaris. 2» a Bootis. . Polaris. . . a Bootis. . Polaris 20 a Ophiuchi. и. Hereulis. Polaris en a Ophiuchi. Polaris. . С Aquilae . Polaris. . C Cygni. . Polaris 0e a Bootis. . Polaris a Bootis. . Polaris. . © Cygni. . Polaris a Bootis. . Polans e a Ophiuchi. Polaris C Aquilae . t0 MO D O0 NI Q D Co NO ND © 000» À © NO © m2 NR DO D == © À O1 O7 NO ID 123 Nummer Reduction. Astr. Polhöhe. | Geod. Polhohe. Differenz. | bei Schub. EU 55°50’22”,85155°50’23”,05) + 05262 9790 (45 51, 5) (+ 2, 7) 9489 e © > vo or e сл ЕН! 1316, 8 43929, 9 + 6, 1 9331 4246151 4049 5) — 4, 0 9293 ВО > 6 4048 05) 2005145 9295 Eg 41330433 0) 40 9 9265 Bl ron. Si, 41893. 199 5 906 9264 EO 40 78 409 9: 4. 45 9232 во 4 1-80 54, 29159 Alena, 9204 = oo 19 5 ho S © © ==> — - . 1863 Aug. 4 Aug. 6 Aug. 5 Aug. 5 Ай Aug. 8 Aug. 11 Aug. 11 Aug. 9 Aug 15 Aug. 13 Aug. 13 ` Benennungen der Punkte und Sterne. * Glasowo, Garjatschkino. * Sstaroje. Gl . W. Ende der Basis, auf p Schlaehtfelde von Bo- TOdino el 18 ene eh eld ne) nee Jélnja. Kupp. d. Kirche. . * Barissowo. Ssläpuschkino. Ssmalinskoje. Kirche. . . Wereja, Gl. u St. Georg. * Archangelskoje. Gl... . Kostizu. Gl. s s | B H | | | * Wüschgorod. Gl. Uspenije. | Polanisı ewe & Ophiuchi. Polaris = С Aquilae . Polaris ee a Herculis. Polaris & Ophiuchi. Polaris. a Bootis, . Polaris C Herculis . Polaris. a Ophiuchi. Polaris - a Lyrae. Polaris. a Bootis. . Polaris. . . & Androm. Polaris. a Ophiuchi. Polaris, . В Aquilae . Bolanısa m & Bootis. . Polaris. . С Aquilae . | 55° © D Oo À GHOhONWNE WWE TOW OSD CHW © © © N 125% Differenz. Reduction. Astr. Polhöhe. jGeod. Polhöhe. | | | | MO 1553880 55°38" 679 47 ооо ЕО, 4 33.29. 7 3349 en gs а оо 0 59 «99198 9^9 0, E Our 5 о бе о Eg 2356. 41 19959. 9 о 1 Ot об — 0, 1 20 35, 6 20 32, 9| — 3, E 0 d т 7. 1966 S 0, 0 15 32,0.1..1526,,0 | 6 E 1 WE AON n а aet 6) Nummer bei _ Schub. : 9035 Karte. 126 Bemerkungen zu den obigen Resultaten. Indem ich, was die ausführlichen Auseinandersetzun- gen betrifft, auf die Anmerkungen Zu den in der ersten und zweiten Mittheilung enthaltenen analogen Resultate verweise, halte ich es doch nicht fur uberflussig, Folgen- des im Allgemeinen anzuführen. Jede Polhöhe wurde bestimmt aus 8 Beobachtungen des Polaris und 8 Beobachtungen eines südlichen Sternes. Bisweilen wurden zwei südliche Sterne, jeder 4 mal be- obachtet, bei der bekannten Anordnung der Kreislage. In der 4-ten Columne sind die Resultate für Polaris und süd- liche Sterne getrennt angegeben. Das Mittel giebt die end- gültige astronomische Polhöhe der 6-ten Columne, nach- dem noch die Reduction der 5-ten Columne mit dem be- treffenden Zeichen zugegeben worden war. Diese Reduc- tion enthält die Secunden und Theile der Secunden, die zu den auf den astronomischen Beobachtungspunkten ge- wonnenen Resultaten hinzugegeben werden müssen, um die astronomischen Polhöhen der entsprechenden geodä- tischen Beobachtungspunkte (als da sind: Glocken — und Kirchthürme) zu erhalten. In der zweiten Columne sind Glocken und Kirchthürme abgekürzt durch: Gl. und Ki. bezeichnet. Die geodätischen Polhöhen sind in der Regel aus Schu- berts Exposé genommen, und die Zahlen der letzten Co- lumne beziehen sich auf dieses Werk. Wenn die beobach- teten Punkte hier nicht vorkamen, oder die Schubertschen Positionen fehlerhaft waren, benutzte ich die Angaben der Meschewoi Triang., die in den früheren Mittheilungen enthalten sind, oder auch die erst im Jahre 4863 un- 127 ter Oberst Oberg angefangene neue not des Ge- neralstabes. In der letzten Columne sind solche Punkte mit M. T. oder О. Т. bezeichnet. Ап einigen Punkten sind zwei vollatindive Bestimmun- gen gemacht, so dass Polaris 16 mal und zwei südliche’ Sterne je zu 8 mal beobachtet wurden, wieder unter Be- rücksichtigung der bekannten symmetrischen Anordnung der Lage des Kreises. Jedes Resultat von 8 Beobachtun- gen wurde in der Tafel angelührt. Die in der vorletzten Columne enthaltenen Differenzen sind wie früher mit -+ bezeichnet, wenn die geodätische Polhöhe grösser, mit Minus, wenn sie kleiner als die astro- nomische, und diese Zahlen sind eben das von uns ge- suchte, nämlich die Ablenkungen des Lothes in der Rich- tung des Meridianes. Soviel als allgemeine Bemerkungen; es ist aber über einzelne Punkte noch Einiges zu sagen. Bei Jamkino wurde wegen Wolken aus Versehen statt des Polaris der Stern 2 Ursae min. beobachtet. Sobald eine neuere Position von demselben gewonnen sein wird durch Beobachtungen am Meridiankreise, werde ich des- sen Ergebniss eintragen. Einstweilen wird dieser Punkt als nicht vollkommen bestimmt betrachtet. Für das NW Ende der neuen Basis auf dem Schlacht- felde von Borodino stand mir einstweilen keine geodä- tische Position zu Gebot. Der Punkt wurde so genau als möglich in die topographische Karte eingetragen, und dann aus derselben die genäherte Position gewonnen. Unter dem Namen Kosmodemiansk kommt ein schon im Jahre 1861 von Herrn Troizku vollständig bestimm- ter Punkt vor, dessen Polhöhe in Schuberts Exposé nicht 128 vorhanden. ist, Dieser Punkt wurde aus Verwechslung mit einem anderen Schubertschen Punkte beobachtet; da aber Hoffnung vorhanden ist, dass derselbe in der neuen Triangulation von Oberg bestimmt werden wird, so habe ich ihn hier auch aufgeführt, und einstweilen dessen ge- odätische Polhöhe annähernd aus der topographischen Karte entnommen. Kostizu ist ein Punkt, der in der Moskowschen Trian- gulation nicht, wohl aber in der Obergschen des Gouv. Kaluga vorkommt. Hier ist die Polhöhe 55° 15° 317,9 angegeben. Gemeinschaftliche Punkte der Moskowschen und Kalugaschen Triang. in dieser Umgegend geben: Kalug. Tr. mehr als Mosk. Tr.: Smolnskoje jn cenit 9086 Mitjae wat LAK N SUN LORD Solonis M 2 so 2 ey wp Oy О M LU MUS, DO folglich ergiebt sich fur diesen Punkt als die anzuwen- dende geodätische Polhöhe: 55° 15° 26,0. Bei Kiowo ist, wie man sich aus den früheren Mitthei- lungen erinnern wird, eine Correction von nahezu einer ganzen Minute anzubringen; auf eine gleiche Correetion deutet auch die neue Obergsehe Triangulation hin. Bei Ssifkowo und Schimanowo sind bei Schubert offen- bar jedesmal eine Minute zu viel angegeben. Dies be- weisen auch die Polhöhen, die die topographische Kar- te für diese Punkte angiebt, deren Secunden genügend genau mit dem Exposé stimmen. 129). In Dmitrofskoje (55° 45’ 49”) wurden. die Beobachtun- gen auf den neuen Glockenthurm bezogen. Die Lage des alten, bei der Triangulation benutzten, konnte nicht er- mittelt werden. Die geodätische Polhöhe des neuen Gl. wurde annähernd aus der topogr. Karte genommen. Wüschgorod hat 3 Kirchen mit Glockenthürmen, von denen keiner recht zu unseren Beobachtungen passt. Ich nahm als geodätische Polhöhe diejenige, welcher der astro- nomischen am Nächsten kommt, obgleich die von Herr Ssludskii beobachtete Kirche Uspenije heisst, bei Schu- bert dieselbe Ris Poloschénya genannt wird. Die beiden anderen Glockenthürme haben die Polhöhen: 55° 14’ 54", 8 und 14’ 25”,0. Die topographische Karte giebt nur die letzte Kirche an. Es bleibt demnach doch noch ein ge- rechter Zweifel übrig an der Richtigkeit der geodätischen Polhöhe, um so mehr, als auch die Länge des in der topogr. Karte gezeichneten Punktes bedeutend von der entsprechenden Schubertschen Position abweicht. In der diesem Aufsatze beigefügten Karte ist die Ablenkung aus obigen Gründen eingeklammert worden. Bei Chotjditschi scheint in der Schubertschen geodä- tischen Polhöhe auch wieder ein Fehler von einer Mi- nute zu liegen, was auch die topographische Karte klar darthut, die für diesen Punkt die geodätische Polhóhe: 55° 30' 32", 4 ergiebt. In der Karte, die die Ablenkun- gen enthält, wurde einfach ein Fehler von einer ganzen Minute bei Schubert angenommen. Da indessen die to- pogr. Karte von der so verbesserten Angabe doch noch bedeutend (um 9 Secunden) differirt, und auch die Län- ge dieses Punktes auf der Karte von derjenigen im Ex- posé bedeutend abweicht, so glaubte ich jedenfalls gut daran zu thun, diese Ablenkung als weniger zuverlässig № 1. 1864. 9 130 bezeichnen und daher einklammern zu müssen. Für Tu- rowo giebt Schub. Exposé die Polhöhe um 30” zu ge- ring an. Es ist dies übrigens ein blosser Druckfehler, wie aus dem XV Bande der Записки Boenno-Tonorpag. „Депо. erhellt. Es kommen aber unter den neuen 150 Punkten noch Einige vor, bei deren Lage offenbar in der früheren Trian- gulation des Generalstabes Irrthümer vorfielen, und die daher auch in dem Expose unrichtig angegeben sind. Es sind folgende Punkte: Koslowo Krasskowo Nikulskoje Dawüdowo Gorki Iljinskoje Tischkowo Bortnikowo. Komlewo Die offenbaren Fehler in den geodätischen Polhöhen dieser Punkte lassen sich nur durch neue trigonometrische Bestimmungen verbessern. Da aber die neue Obergsche Triangulation noch nicht so weit vorgerückt ist, dass sie uns für diese Punkte verbesserte Resultate ergeben kann. so benutzte ich, um wenigstens genäherte geodätische Polhöhen mit den astronomischen vergleichen zu kön- nen, wie früher, die mehrfach erwähnte topographische Karte des Moskauer Gouvernements. Dieselbe ergab, nach Anbringung der bekannten Correction + 9”, 4 (da die Karte auch noch auf einer um soviel geringeren Polhöhe des Iwan Weliki basirt ist) folgende geodätische Polhöhen, und in Vergleich mit den betreffenden astronomischen die danebenstehenden Ablenkungen des Lothes: "Ablenkg. Koslowo@ı. 10.500 33 72004 — 87,9 Nikulskoje . OO. — 3,5 131 Ablenkg. (onse © I1 9g us оз Tisehkowo . 924, 4 ее doa Komlewo. . 55 44 1,4 MON Krasskowo . 39 18 bis32 —14, bis —1 . Dawudowo . 20 37, 4 — 7,1 Iljinskoje . . 14 57, 4 — 3, 4 Bortnikowo . 122,4 — 4,1 Koslowo giebt auch nach der topogr. Каме еше sehr grosse negative Ablenkung, allein, da in demselben Pa- rallel Gari eine ähnliche darbietet, so glaubte ich sie ein- geklammert doch anführen zu konnen. Die neue Triangu- lation wird mit der Zeit zeigen, ob unter diesem Parallel eine so grosse negative Ablenkung wirklich vorhanden, oder ob die erhaltenen Zahlen nur der Ungenauigkeit der fruheren Triangulation zuzuschreiben sind. Bei Nikulskoje ist die Differenz zwischen astron. und geodat. Polhöhe des Exposé, wenn auch nicht so auffal- lend, wie bei den anderen oben erwahnten Punkten, doch namhaft bedeutender, als nach den umliegenden Punk- ten dieselbe vermuthet werden sollte. Das Originalblatt der topographischen Karte, welches ich in Petersburg des- halb besonders zu Rathe zog, und welches in doppelt so grossem Massstabe gezeichnet ist, als das betreffende Blatt der gedruckten Karte, giebt eine um 5 Secunden grösse- re Polhöhe an als Schuberts Expose, eine Quantität, die viel zu gross ist, als dass sie einem Fehler in der topo- graphischen Aufnahme zugeschrieben werden könnte. Mö- glicherweise trägt an diesem Punkte wieder ein neuer Glockenthurm die Schuld, was die neue Triangulation zei- gen wird. Jedenfalls hielt ich es für vorsichtiger, auch diesen Punkt als dubiös einzuklammern, und bis auf Wei- 9% 132. feres in der Karte dis Ablenkung so anzuführen, wie die genäherte Position des Originales der topographischen Karte sie -ergiebt. Bei Krasskowo lässt uns auch diese Karte im Stich. Es ist nämlich auf derselben die Kirche nicht angegeben, wie ‚ das, beiläufig gesagt, auf dem gedruckten Exemplare ziemlich haufig vorkommt an Orten, wo notorisch Kirchen vorhanden sind. Wir haben demnach fir jetzt kein Mittel zur Hand, selbst nur annäherungsweise fiir diesen Punkt die Ablenkungszahl abzuleiten. In der Karte fur die Ablenkungen ist daher derselbe blos angedeutet, ohne Beifügung einer Zahl. Für Gorki, Tischkowo, Komlewo, Dawtidowo, Iljinskoje und Bortnikowo wurden nun als genäherte verbesserte geodät. Polhöhen die obenangeführten Resultate der topo- graphischen Karte angenommen, daraus die betreffenden Ablenkungen abgeleitet, und in der Ablenkungskarte die- selben nur in ganzen Secunden angegeben und überdies, wie überall die unsicheren Resultate, mit Klammern ver- sehen. Es ist zu erwarten, dass mit der Zeit durch die neue Triangulation sich jeder Zweifel über die geodätischen Polhöhen dieser Punkte aufhellen wird, und dass dannzu- mal die grossen Anomalieen verschwinden werden. Sollte das dennoch nicht geschehen, so müssten auch die astro- nomischen Bestimmungen nochmals wiederholt werden. Neue Triangulation des Kaiserlichen Generalstabes. Da in der Schubertschen Triangulation so manche Punk- te vorkommen, (meistens nur 3-ter Ordnung, deren Lage nur durch Einvisiren von 5 anderen Punkten bestimmt wurde) bei welchen ein offenbar Versehen vorgefallen 133 sein muss, so war es durchaus nothwendig, die geodä- üsche Lage wenigstens von allen Punkten, an denen die astronomische Polhôhe bestimmt worden war, durch eine neue Triangulation theils zu verificiren, theils zu verbes- sern, um so mehr, als in der geraumen Zwischenzeit | zwischen der Schubertschen Triangulation und den jetzi- gen astronomischen Bestimmungen mitunter neue Kirch- oder Glockenthürme an anderen Orten mögen erbaut wor- den sein, wie wir es auch wirklich an mehreren Punk- ten nachweisen können. Es lag jedoch durchaus nicht in unserer Meinung eine neue vollständige Triangulation des Moskauschen Gouver- nement zu verlangen, sondern unsere Anforderungen be- schränkten sich auf folgende Bedingungen: 1) dass die neue Triangulation die geodätischen Polhö- hen aller astronomisch bestimmten Punkte bis auf einige Zehntel Secunde richtig anzugeben im Stande, und 2) dass dieselbe ganz unabhängig von der früheren. Schubertschen Triangulation sei. Zur Erfüllung dieser Bedingungen war es nun nicht nöthig, viele Dreiecke erster Ordnung, in welchen alle drei Winkel gemessen werden, zu bestimmen, noch kost- spielige Signale zu bauen, wohl aber schlug ich die Mes- sung von zwei kleinen Basen vor, eine im Westen, die andere im Osten des Gouvernements und die Anordnung, dass jeder Punkt erst dann als vollständig bestimmt zu betrachten sei, wenn derselbe mindestens von drei ande- ren bekannten Punkten anvisirt wurde, wodurch Verse- hen unmöglich wurden oder wenigstens sogleich entdeckt werden konnten. Diese Vorschläge wurden genehmigt, und Herr Gene- ral Blaramberg beorderte den Herrn Obristen Oberg mit "yes ue i ET 7 134 mehreren. Offizieren nach Moskau, um im Laufe des Som- mers 1863 die Vermessungen vorzunehmen. Die Arbeiten begannen an 3 Stellen, und bis jetzt ist . Folgendes geschehen. . Zwei kleine Basen wurden gemessen, die eine auf dem Schlachifelde von Borodino mit einer Länge von 737,48 Saschen (Faden), die andere bei Kusnezowo im Süd- Osten von Moskau 1181,87 Saschen lang. Der gebrauchte Basis-Apparat war derselbe, den Herr Obrist Oberg bei den Vermessungen der Gouvernements Tula, Kaluga, Orel, Kursk, Tschernigow, Woronesch und Poltawa benutzte. Die erste Abtheilung der Arbeit bildet ein Netz von Dreiecken, in dessen Mitte Moschaisk liegt, und das sich nach allen Seiten hin etwa auf 30 bis 40 Werst weit er- streckt. Von hier wird dann weiter gegen Moskau hin triangulirt, bis der Anschluss an die anderen Abtheilun- gen geschehen ist. Die zweite Abtheilung umfasst ein Netz, das den Flä- chenraum zwischen: Moskau, Gawrikowo, Kasanskoje, Bronnizü, Karpowo, Saponorije, Pog. Nikolskii, Pog. Bir- lukofskii, Schtschitnikowa und Moskau einnimmt. Die dritte Abtheilung bilden eine Reihe von Dreiecken, die im Meridiane von Moskau nördlich von der Stadt Dmitroff anfangend, sich bis gegen Moskau hin erstrecken. Leider war im Sommer 1863 das Wetter ziemlich un- günstig für geodätische Operationen, so dass es nicht môglich war, schon in diesem Jahre die ordentlichen Ver- bindungen zwischen den 3 Abtheilungen zu bewerkstelli- gen, was noch besonders durch die vielen waldigen Par- thieen erschwert wurde. Dadurch wurde denn auch eine 135 vollstandige Berechnung der beobachteten Punkte unmög- lich, wenn man nicht Data der früheren Triangulation zu Hülfe nehmen wollte, was wir ja durchaus zu vermei- den suchen. Es ist übrigens begründete Hoffnung vorhan- . den, dass im .Sommer 1864 die Triangulation vollständig zu Ende gebracht, und die meisten unserer Punkte in das Netz hinein gezogen werden konnen. Einstweilen liegt uns nur vor: Die Berechnung der zweiten Abtheilung, deren Netz auf die Basis bei Kusnezowa, und die Azimute des Iwan Welikü, gesehen von Derewlewo und Denissowo aus, be- gründet ist, welche Letztere Herr Tromks im Jahre 1861 mit dem Repsoldschen Vertikalkreise aus vielen Polaris- Beobachtungen bestimmte. Obgleieh ich die Berechnung noch nicht für definitiv halte, indem ich die Einführung mehrerer neuer Azimut- bestimmungen im Bereiche der ganzen Triangulation für nóthig erachte, so sind die jetzigen Ergebnisse doch schon interessant genug, dass sie verdienen mitgetheilt zu wer- den. Auch können wir schon einige Resultate benutzen. Es kann hier nicht die Meinung sein, Jetzt schon eine vollstándige Darlegung der noch nicht vollendeten Trian- gulation zu geben, sondern nur eine Mittheilung der Dif- ferenzen zwischen der neuen und den früheren Triangu- lationen, wobei wir uns nur auf die Polhóhen beschrän- ken, welche wir directe mit einander vergleichen kónnen, da bei der neuen Triangulation dieselbe Polhóhe des Iwan Welikii zu Grunde gelegt wurde, wie im Exposé und bei der Meschewoi-Triangulation. A Die Vergleichung dieser letzten Triangulation mit der neuen ergiebt folgende gemeinschaftliche Punkte: 136 Iwan Welikii Kloster Ugrjaschi Nowoblagoss. - Osstroff Frauenkloster Missailowo Thurm in Kolomensk Tabolowo Denissowo Einsied. der Jekather. Derewlewo Die geodätischen Polhôhen aller dieser Punkte stimmen in beiden Triangulationen so zu sagen absolut überein, nur bei Osstrow und Missailowo giebt die neue Obergsche Triangulation eine um 0”, 1 geringere Polhöhe, was leicht erklarlich, da die ferneren Decimalen in der M. Tr. ver- nachlassigt wurden, Dies ist einerseits ein schéner Beweis von der Richtig- keit der Meschewoi-Triangulation, anderseits wird dadurch die enorme Anomalie in den Richtungen der Lothlinien vollkommen bestätigt, da gerade auch solche Punkte, die beim positiven und negativen Maximum der Ablenkung gelegen sind, 2. В, Iwan Welikii und Nowoblagosslo- wennoje einerseits, und Tabolowo und Einsiedelei der Je- kath. anderseits, hier vorkommen. Der Vergleich der Schubertschen mit der Obergschen Triangulation ergiebt folgende gemeinschaftliche Punkte, und Differenzen zwischen den geodätischen Polhöhen, wo- bei das Zeichen + bedeutet, dass die Obergsche Triangu- lation eine geringere, das Zeichen —, eine grössere Pol- höhe ergiebt, als die Schubertsche. Differ. Iwan Welikü . . . . 0", 00 Galjanowo 5 + 8, 80 Schtschitnikowo. . . + 0, 09 Nikolskojes nr u... + 0, 11 137 Andronifew Mon... Nowospasskii Mon. . Ssimonoff Mon. . . . Frauenkloster . . . . Observat. Blitzabl. . Denisowo .... Kolomenskoje . . . . Derewlewo . . . . PETER Wale na... Kloster Ugräschi . . Ossirow Be: Missailowo .... Dessyadug s nne Worobiowo . . . . Гуапо Кое, . . . Almasowo. . . .. Kupawno^ 2... Bissarewo. 2 Mjatschikowo . . . . Pog. Kasanskii . . . Jassenjewo . . , . Tabelowo. oc Pachrino о го ое и... Berljukowo . . . . Bogorodsk. . . , . Janikinosse d ran. Pog. Uspenskii . . . Pog. Пи Prorok. . . Pog. Dessjat. Pjat. . Роза ии: Роз. Nikola Sagor. . КЕЕУЕЕЕНТЕЯ - oe рее EI "igo Differ pSaponomje 95 48 + 0", 8 Pog. Michaila. . . . — 0, 04 Bron. 21... 520001049 Rublowo , m... — 0, 03 Gsehelas na + 0, 20 Tenatjewo Dar... — 0, 07 Krilzu. me e am, — 0, 15 Karpowon о — 0, 32. Ich habe hier nur solche Punkte angeführt, die auch bei unseren Untersuchungen vorkommen. In Ganzen sind die Differenzen gering, und betragen nur ein bis zwei Zehntel Secunden, jedoch zeigen sich einige bedeuten- dere, die noch naher zu besprechen sind. Bei Galjanowo ist nun endlich durch die neue Trian- gulation der von mir schon lange vermuthete Fehler von beinahe 10° Secunden klar nachgewiesen, und in Zukunft muss also bei unseren Untersuchungen die geodätische Pol- höhe 55° 49° 4”, 35 angewandt werden. Es wird dann die Ablenkung des Lothes an diesem Punkte: + 6”, 9, was sehr gut zu den umliegenden Ablenkungszahlen passt. Die beträchtliche Differenz beim Kloster Ssimonoff, der auch eine ähnliche Differenz in den geodätischen Längen entspricht, ist vollkommen erklärlich geworden durch den Bau eines neuen Glockenthurmes an anderer Stelle in den Jahren zwischen der Schubertschen Triangulation und un- seren Arbeiten. Die geodätische Polhöhe des neuen Glocken- thurmes (auf welchen sich ebenfalls die astron. Bestim- mung bezieht) ist nach Oberg: 55° 49” 52”, 90, und dieselbe ergiebt eine Ablenkung des Lothes: + 4”, 55. Diese Zahl muss also in Zukunft angewandt werden, und sie passt sogar in den ев Gane d Phänomenes noch besser, als die frühere. Auffallend ist die grosse Differenz bei Eus. welehe ! die jetzige Ablenkungszahl — 2”, 8 in: — 4”, 6 ver- wandeln würde. Da ich bis jetzt aber eine so bedeutende. Differenz weder durch einen neuen Glockenthurm, noch irgend eine andere Ursache genügend erklären kann, so halte ich einstweilen die Schubertsche Polhóhe noch fest, bis die neuere Obergsche gang gerechtfertigt ist. Was nun die östlichen Punkte betrifft, so zeigt sich in den Punkten Berljukowo, Jamkino, Пи-Ргогок, Bogorodsk und Uspenskii Pog. ein Vorherrschen des Zeichens + bei den Differenzen, aber letztere sind durchschnittlich nicht grósser als 2 Zehntel Secunde, so dass kein wirklicher Fehler in den Schubertschen Bestimmungen indicirt ist. Dagegen geben die nahe stehenden Punkte Dessjat. Pjat- niza und Nikit. Mutschennika einigermassen beträchtliche negative, und Nikola Sagorije und Saponorie eben solche positive Differenzen, die allerdings auf kleine Irrthumer hinweisen. Ich kann mich aber einstweilen noch nicht entschliessen, die Schubertschen Zahlen abzuändern, bis die neue Triangulation ganz vollendet, und die neuen Polhóhen gerechtfertigt sind. Dasselbe muss ich auch von dem Punkt Karpowo sagen, wo die Differenz auch etwas zu gross ist. Ob wir uns übrigens an die Schubertschen oder Oberg- schen Zahlen halten wollen, ist für unsere Untersuchun- gen ziemlich einerlei: wie man sich leicht überzeugen kann, hätte eine Abänderung der Ablenkungszahlen im Obergschen Sinne auf den Gang des Phänomenes nur we- nig Einfluss, ja man würde eine noch etwas bessere Uebereinstimmung der nahe liegenden Punkte erhalten. 140 Die iordliche 3-te sh. de Triangulation wurde : auch vorläufig berechnet, (die erste noch gar nicht) allein, da. der Anschluss an die zweite nicht genügend erfolgt ist, so dürfen die Resultate nur mit grosser Vorsicht be- nutzt werden. Das folgende Täfelchen giebt wieder die Differenzen zwischen den beiden Triangulationen von Schubert und Oberg, und wieder bedeutet das Zeichen + , dass die Obergschen Polhöhen geringer als die Schubertschen sind. Differ. Romaschkowon u 0% + 0”, 2 Tscherkisowo. . . . . . . + 0, 5 ITO M ONE и. — 0, 9 В DO DEEE ta 1, 1 OserezKoje UN Ba e + 0, 7 lenatowor. NE a er = US E Sselewkıno. au... 0, 7 SSUEMMOS A iur» NE Rh du eie OE Datjusehkowo u. E +0, 9 Ilirsleoyes ip ues e в + 0, 8 Andrejefskoje. . . . . . . + 0, 9 Peresswatowol. u... + 1, 14 Fwedenskoje. ...... 2, 0 Man sieht, wie durchweg (mit Ausnahme von Kiowo) die Differenzen positive Zeichen haben und gegen Norden hin etwas zunehmen. Es ist dies wahrscheinlich eine Fol- ge davon, dass bei der Berechnung dieser Abtheilung keine Dreiecksseite der zweiten Abtheilung, die auf der Basis von Kusnezowa beruht, zu Grunde gelegt werden konnte, sondern wegen mangelhaften Auschlusses eine Seite der fruheren Schubertschen Triangulation, namlich Iw. Welikii — Romaschkowo genommen werden musste, 141 und dass der jetzt benutzte Punkt Romaschkéwo nicht genau mit dem früheren zusammenfiel, da die Signalschwellen: :- nicht mehr gefunden wurden. Unter tou Umständen | lassen sich die Resultate der neuen Triangulation eigent- lieh noch nicht benutzen, doch kann man wenigstens is genden Vortheil aus ihnen ziehen. 1. Der Fehler von nahe einer Minute in der Schubert- schen Polhöhe von Kiowo, ist auch durch die neue Tri- angulation bestátigt. Die oben gegebene Differenz bezieht sich auf die in der ersten Mittheilung gegebene verbesserte Polhóhe des Generalstabes. Da mir aber die Quelle die- ser letzteren unbekannt ist, und ich vermuthe, dass der- selben bloss die topograph. Karte zu Grunde liegt, wel- che mir eine um mehr als eine Secunde gróssere Polhó- he ergab, (wodurch dann auch die obige Differ. um eini- ge Zehntel Sec. in Plus umschlagen würde) so halte ich die Position von Kiowo sowohl, als auch dessen Ablen- kungszahl noch nicht für definitiv richtig, bis die Oberg- sche Triang. ganz vollendet ist. Bemerkenswerth ist auch, dass, wenn wir bei der Schubertschen Triangulation nur schlechtweg einen Fehler von einer Minute annehmen, die obige Differ. + 1”, 6 wird, eine Annahme, die nicht ganz zu verwerfen ist, da sie an anderen Orten auch gemacht werden musste, und die Karte genügend damit übereinstimmt. 2. Marfino ist ein Punkt, der bei Schubert nicht vor- kommt, sondern nur in der neuen Triangulation von. Oberg, die für dessen Polhóhe ergiebt: 56° 4’ 49°”, 1. Wenn wir nun in Betracht nehmen, das in dieser Gegend durch- schnittlich die Obergschen Polhóhen, in Vergleich mit den Schubertschen etwa um 0”, 8 zu klein herauskom- men, so erhalten wir nach Anbringung dieser Correction 142 fur Marfino die Polhôhe 56° 4’ 49”, 9 die conform mit den Schubertschen der umliegenden Punkte und sehr wenig von der Wahrheit abweichen wird. Somit konnte dieser Punkt auch mit Recht in die übrigen eingereiht werden. Es ist gewiss im höchsten Grade dankenswerth, dass der Kaiserliche Generalstab eine neue Triangulation behufs der Verificirung der gebrauchten Punkte und unabhängig von der früheren veranstaltet hat, und nur durch eine solehe Arbeit wird den Untersuchungen über die Local- Attraction die nöthige Sicherheit verliehen. Möge es in diesem Jahre gelingen, die Netze gehörig zu verbinden, eine Anzahl von Azimuten zu bestimmen, und alle Punkte, an denen astronomische Polhöhen bestimmt wurden, wo nöthig selbst durch kleinere Dreiecke, in den Bereich der Triangulation hineinzuziehen. Topographische Karte. In der zweiten Mittheilung erwähnte ich der Topogra- phischen Karte des Moskauer Gouvernements, die im An- fange der fünfziger Jahre aufgenommen wurde, als eines Hülfsmittels, um im Falle der Noth, wenn bei Schubert irrige Angaben vorkommen, und keine anderen besseren Bestimmungen vorhanden sind, wenigstens annähernd rich- tige geodälische Positionen ermitteln zu können. Und wirklich leistete uns dieselbe in den meisten Fällen gute Dienste; nur bisweilen liess sie uns im Stich an den Punkten, an welchen in der Karte die Kirchen nicht an- gegeben waren. Im Frühling 1863, während eines kurzen Aufenthaltes in St. Petersburg, benutzte ich mit Erlaubniss des Herrn Generalen von Blaramberg die im Generalstabe befind- lichen Original-Messtischblätter, und bestimmte die. Pol- 143 hôhen einer Menge von Punkten, sowohl solcher, deren Position unzweifelhaft richtig, als auch solcher, deren Pol- hôhen im Exposé fehlerhaft waren. Die Vergleichung der sicheren Punkte ergab mir folgen- de Differenzen zwischen den Polhöhen der Karte und denen des Exposé, bei welchen das + bedeutet, dass die Karte weniger ergiebt, als die Schubertsche Position. In der Nähe von Moskau. In d. Nähe von Moschaisk. —0",8 —07,2 -+176 --0',4 —1”,0 ЗО clus —0,8 —0,4 —0, 1 --0,9 +1, 2 —1,1 09,6 +0, 7 —+-0, 4 --0, 4 —0, 5 +0, 2 —1, 1 —0, 6 —0, 3 a о 03 eo —0, 6 0, 0 +0, 3 —0, 6 +0, 2 —0, 7 +0, 5 +1, 8 —0, 5 —0, 9 +0, 3 —0, 5 —0, 3 Es geht daraus hervor, wie genau man doch aus den Originalblattern die Polhohen entnehmen kann. Der wahr- scheinliche Fehler einer Bestimmung wird etwa = 0",6. Sowohl die Origin.-Karte, als auch die verkleinerte ge- stochene, sind noch auf der zu kleinen Polhohe des Iwan Weliki basirt, und um die Resultate derselben mit den Schubertschen Polhôhen vergleichen zu kônnen, muss man zu jeder Karten-Polhöhe 9',4 hinzuaddiren. In der Orig. Karte las ich die Polhöhe des Iwan Welikii ab: 55 44° 52.0: Fur die dubiösen Punkte, die im Sommer 1863 be- stimmt wurden, war es mir bis jetzt, da ich seitdem nicht in Petbg. war, nicht möglich, ebenfalls die Original- Blätter nachzusehen, sondern musste die gravirte Karte 144. benutzen. Diese Letztere ist in kleinerem Maasstabe an- gefertigt, nimlich-2 Werst auf einen Zoll, während die . Originalblätter zu einer Werst auf den Zoll aufgenommen . wurden. Es lässt sich daher vermuthen, dass die Polhö- . hen aus der gravirten Karte nicht so genau abgenommen werden können, wie aus dem Originale, wenn schon der ‚ Unterschied in der Genauigkeit nicht so beträchtlich sein wird. Da mehrere Punkte in beiden Karten abgelesen wurden, so will ich doch auch die Differenzen der Ablesungen hersetzen, da sie uns einigermassen eine Idee davon ge- ben können, inwiefern Positionen, genommen aus beiden Karten, mit einander übereinstimmen, oder nicht. Das Pluszeichen bedeutet, dass die gravirte Karte für die Polhöhe weniger angab, als die Original - Messtisch- blätter. In der Nähe von Moskau. Südlich von Moschaisk. + 140 + 1°35 — 3,5 Troparjowo. + 1,0 + 1,0 — 9, 5 Jelmanowo. 10 +1, 5 — 9, 5 Taschirowo. + 1,2 +1, 5 — 3, 3 Schimanowo. Auf der gravirten Karte bestimmte ich die Polhôhe des Iwan Welikii zu: 55° 44° 51,0. Es ist somit ganz gut, zu erklären, dass durchschnittlich die Punkte in der Nahe von Moskau der gravirten Karte, ebenso wie Iw. Wel., eine um eine Secunde geringere Polhöhe ablesen las- sen, dagegen deutet die constante negative Differenz bei Moschaisk auf eine Verschiebung des Gradnetzes (') auf (*) Vielleicht eine Drehung im azimutalen Sinne, die auf die Polhöhe am meisten ihre Wirkung äussert, an den W und О Grenzen des Gouv. 445 der gravirten Karte gegen dasjenige auf den. Original- blättern. Ob dieselbe zufällig oder absichtlich ist, habe ich bis jetzt nicht ausfindig machen können. _ Es unterliegt wohl keinem Zweifel, dass die Original- . blätter für die Punkte, die im Exposé fehlerhaft sind, . recht gute genäherte Positionen ergeben; etwas weniger gute freilich die gravirte Karte, die ich bei allen dubió- sen Punkten benutzen musste, deren Polhöhen 1863 astronomisch bestimmt wurden. Für die früher bestimm- ten konnte ich die Originalblätter anwenden. Uebrigens werden bei allen solchen Punkten, bei welchen die geo- dätischen Polhóhen den Karten entnommen werden muss- ten, die Ablenkungen nur in ganzen Secunden gegeben, und die Zahlen, als weniger zuverlässig, zum Unterschied von den Genaueren eingeklammert. Karte der Ablenkungen. Am Schlusse dieses Aufsatzes findet man еше Karte, die alle bis jetzt ermittelten Ablenkungen des Bleilothes im Bereiche des Moskauer Gouvernements enthalt. Die Karte ist in demselben Maasstabe construirt, wie die frühere in der zweiten Mittheilung enthaltene, jedoch habe ich manche Aenderungen mir erlaubt, die ich in Folgendem mittheilen will. 4. Um die Karte nicht zu überladen, und die Ueber- sicht uber die Ablenkungszahlen zu erleichtern, habe ich alle Nahmen beiden Punkten selbst weggelassen, jedoch in den 4 freien Ecken sowohl die Benennungen, als auch die Positionen aller eingetragenen Punkte mitgetheilt, wo- bei die Langen vom Iw. Welikii an gerechnet, und ost- lich als positiv, westlich als negativ bezeichnet sind., No 1. 1864. 10 146 Gewöhnlich sind die Punkte nach den Schubertschen Positionen des Exposé eingetragen, ‘allein wenn keine Schubertsche Angabe vorhanden, oder dieselbe merklich fehlerhaft war, so benutzte ich entweder die Topographische Karte, oder andere Quellen. Denken wir uns die Karte in 4 Theile getheilt, ent- standen durch den Durchschnitt des durch den Iwan We- likii gehenden Meridianes mit dem Parallelbogen von 55° 40° und bezeichnen wir den Theil: | NW mit I SO mit Ш NO » Il SW » IV so sind in den verschiedenen Quadranten die Positionen aller folgenden Punkte aus der Topogr. Karte entnom- men, mit Ausnahme von Marfino und Einsiedelei d. Je- kath., die nach der Öbergschen Triangulation, und Pru- dischtschi, das nach der Meschewoi Triangulation einge- tragen ist. I. IL. Ш. IV. Koslowo Tischkowo Prudischtschi Porjätschije Gorki Duduldino Ssossenki Marfino Einsied. d. Jekath. Petrofskoje Kiowo Ssuchanowo Borodino Basis Kosmode- Chotäitschi Astafiewo miansk Komlewo Dawüdowo Nara-Fominsko- Axinino Iljinskoje je Bortnikowo 2. Einige Punkte, die früher mit schwächeren Instru- menten bestimmt wurden, z. B. Usskoje, Bibirewo, Kos- modemiansk (ein anderes, als das in dem vorherigen Täfelchen vorkommende) habe ich weggelassen, da jetzt 147 in der Nähe von allen diesen Punkten eine genügende Anzahl von mit dem Repsoldschen Kreise bestimmten . Punkten vorhanden sind, und sie doch als weniger zuver- lässig hätten bezeichnet werden müssen. Wer es wünscht, kann sie aus dem früheren Kärtchen eintragen. Dagegen nahm ich in der Karte, so weit dieselbe reicht, alle Punkte auf, an denen bei der Schubertschen Triangulation genaue Polhöhenbestimmungen gemacht wurden, indem sie wohl dieselbe Genauigkeit haben, wie die mit dem Repsold- schen Kreise bestimmten. Es sind folgende Punkte, die in dem Positionen-Verzeichniss mit Pyr. angedeutet sind, Schirowa, Bogorodizkoje, Nowossjolki, Lapina, Mitjajewa, Roschdesstwenno. Schulewa fällt ausserhalb der Karte. 3. Bei allen Punkten, deren geodätische Polhöhen nur nicht ganz sicher sind, so wie auch bei allen, deren astronomische Polhöhen etwas zu wünschen übrig lassen, sind die Ablenkungszahlen, als weniger Vertrauen ver- dienend, eingeklammert. 4. Die Ablenkungszahlen sind so geschrieben, dass der Punkt zwischen den Ganzen und Zehnteln der Secunden die genaue Position des Beobachtungspunktes in der Karte bezeichnet. Wenn bei dubiösen Ablenkungszahlen nur ganze Secunden vorkommen, so steht der fragliche Punkt rechts von ihnen. 5. Es sind folgende Gründe vorhanden, dass ich die Ablenkungszahlen nicht so in die Karte eintrug, wie die vorhergehende Vergleichung der astronomischen mit den geodätischen Polhöhen sie direct ergeben haben. Thäte man das, wie ich es anfänglich wirklich gethan habe, so würde sich auffallend in allen Gegenden, wo die Ano- malie nicht mehr wirkt, ein Vorwiegen des Minuszeichens herausstellen. Eine Andeutung davon geben uns schon 10* hr ovi DNA TER OT i: T | 148 | à “die 6 Hauptpunkte (mit Ausschluss von Lapina, das er- 7 weislich in dem Störungs - Kreise liegt), der Schubert- schen Triangulation.’ Es ergiebt sich nämlich für diesel- ben, die geodätische Polhóhe des Iwan Welikii wie im- "mer angenommen zu: 55° 45’ 0”,9: Ablenkungen. Schulewa с 02003 Roschdesstwenno . . — 4, 7 Mitjajewa 04 0) een oS Nowossjolku. eas Bogorodizkoje . . . . — 1, 7 Schirowa au 0% — 3, 1 Mittel 31 Dieselbe Erscheinung zeigt sich nun aber noch viel consequenter im Süden und Norden weiter von der Stö- rungsquelle. Dies zu untersuchen, war beilàufig gesagt auch der Grund, warum ich im Meridiane von Moskau die Beobachtungen so weit ausdehnen liess, um auf das richtige Niveau zu kommen, wo die Local-Attraction gar nicht, oder nur wenig mehr wirkt. Dies musste eben da sein, wo die Ablenkungszahl nahezu constant bleibt. Wollen wir nun, was als das Natürlichste erscheint, als norma- les Verhalten der meisten Punkte des Moskowschen Gouv. Dasjenige annehmen, bei welchem eben nur geringe Aen- derungen in den Ablenkungszahlen auftreten, so ist es “auch am gerathensten, allen diesen Zahlen eine Con- stante beizufügen, damit die geringen Aenderungen um №1 herum schwanken. Das heisst nichts Anderes, als man supponirt, dass sonst in den übrigen Theilen des Gouvernements die Ablenkung des Lothes nahezu Null sei, und nur da, wo der stórende Einfluss einwirkt, dann eine merkbare Ablenkung auftrete. Es hat dies etwas “149 pou. Aehnliches mit dem Verfahren, bei welchem man etwa. bei einem isolirten Berge die Ebene, auf welcher er steht, : als Nullebene annimmt, und dann durch Nivellement die Höhen der einzelnen Punkte dieses Berges über der Ebe- . и пе bestimmt, und verzeichnet. Das Anbringen der Constanten an alle Ablenkungszah- . len hat ganz denselben Erfolg, als ob wir die geodatische Polhôhe des Iwan Welikii, und aller von ihm abhangigen Punkte, um dieselbe Quantität ändern, und dann die Ab- lenkungszahlen bestimmen. Die obengegebenen 6 Funda- mental-Punkte der Moskowschen Triangulation verlangen nun eine Vergrösserung der geodätischen Polhöhe des Iwan Welikii von etwa 3 Secunden, so dass für densel- ben beiläufig herauskommen würde 55° 45° 4”. Man vergesse nicht, dass diese Punkte, wie das Kärt- chen in der ersten Mittheilung erweist, ziemlich weit von Moskau abstehen, und nach verschiedenen Seiten hin ge- legen sind. Eine bemerkenswerthe Bestätigung für die Richtigkeit dieser nochmaligen Vergrösserung der geodätischen Pol- höhe des Iw. Welikii ist, abgesehen von den Punkten des Moskowschen Gouvernements, auch der Umstand, dass die Obergschen Triangulationen der südlich von Moskau gelegenen Gouvernements von Tula, Kaluga, Orel u. $. w., die auf der Polhöhe von Bolchoff beruhen, eine ähnliche Vergrösserung von etwa 6 Secunden verlangen, was daraus hervorgeht, dass die geodätischen Polhöhen aller gemeinschaftlichen Punkte nach der Tulaschen und Kalugaschen Triangulation um 6 Secunden grösser her- auskommen, als nach der Moskowschen, selbst wenn an diese schon die bewussten Schubertschen 9,4 ange- bracht sind. 150 . : Es lassen sich aber noch mehr Gründe beibringen für . die Nothwendigkeit der Vergrösserung der geodät. Pol- hóhe des Iw. Welikii. — Die von Schubert angenomme- ne Polhóhe für denselben 55? 45' 0',9 beruht auf der Uebertragung der Polhóhen von Punkten der Moskowschen, Smolenskischen und Petersburgschen Triangulation (vide Exposé pg. 44.) — Ich habe nun pg. 20 meiner ersten Mittheilung bei der Discussion dieser Polhóhe schon nach- gewiesen, dass unter Anwendung der richtigen Ge- wichte statt jener Zahl herauskommt: 55° 45' 2,9; also um ein Nahmhaftes mehr. Aber auch bei dieser Zahl sind ausser den Moskow- schen nur die Fundamentalpunkte (an welchen astronom. Polhöhenbestimmungen gemacht wurden) nördlicher Tri- angulationen benutzt worden, die eine etwas kleinere Pol- höhe des Iwan Welikii verlangen. Um consequent zu ver- fahren, muss man auch auf südlich von Moskau gelege- ne Fundamentalpunkte Rücksicht nehmen. Leider giebt es solcher nur wenige. Die südlichen Triangulationen be- ruhen alle auf der astronomischen Polhóhe von Bolchoff; die Uebertragung derselben verlangt, wie schon gesagt, eine Vergrösserung für die Polhöhe des Iwan Welikii von 6 Secunden. Wahrscheinlich ist diese Forderung etwas zu stark, wenn schon die. Bolchowsche Polhöhe recht zu- verlässig zu sein scheint; möglicherweise sind dort locale Einflüsse vorhanden. Als zweiten südlichen Hauptpunkt können wir Orel be- trachten. Für denselben Punkt in Orel giebt Die Obergsche Triangul. 52° 58’ 99”, 8 Polhöhe. Beobb. von Н. О. Struve 27.8 Beobb. von H. Wrontschenko 9619 so dass also das Mittel der astron. Bestimmungen um 151 2”,7. geringer wäre als die geodätische auf Bolchow be ruhende. и (n . Aber auch diese astron. Polhóhe übertragen auf- den Iwan Welikii verlangt also immer noch eine Vergrösse rung von dessen Polhóhe von 3",3. | | Der Thatbestand ist nun folgender: Die 6 Hauptpunkte der Moskowschen Triangulation, die 3 der Twerschen, (pg. 9 Mitthlg. I,) und die zwei der süd- lichen Gouvernements verlangen durchaus eine betracht- liche Vergrösserung der angenommenen Polhöhe des Iwan Welikii von durchschnittlich etwa 3 Secunden, und nur Petersburg will sie um etwa eine Secunde verrin- gern, während Smolensk neutral bleibt. Es frägt sich nun, auf welche Weise die genauere Zahl zu ermitteln ist, um die die Polhöhe des Iwan Welikii vergrössert werden soll, was wohl nach dem Vorigen durchaus als nothwendig erkannt worden ist; denn nur, wenn wir einmal das richtige Niveau (sit venia verbo) eingeführt haben, ergiebt sich die Wirkung der Störung in ihrer ungetrübten Wahrheit, zeigen sich die wahren Verhältnisse der Ablenkungszahlen gegen einander, treten gleichsam reliefartig über das richtige Niveau hervor, und erst dann, wenn man so deutlich und wahr alle Einzeln- heiten vor sich hat, kann man es wieder versuchen, durch mehr oder minder glückliche Hypothesen der Ursache näher zu Leibe zu rücken. Als Constante könnte man die aus den 6 Hauptpunk- ten erhaltene Mittelzahl 37,15 anwenden, allein man thut glaube ich doch besser, mehr Punkte zu der Bestimmung derselben hinzuzuziehen. Natürlich ist es wichtig dabei nicht Punkte anzuwenden, die noch der starken Störung 159 “unterworfen sind, sondern solche, die soweit als möglich “von dem schon erkannten kritischen Terrain abstehen. Ich-wählte dazu 24 Punkte aus, die nördlich vom 56° 0’ “der Breite und nahe im Meridiane von Moskau liegen, ebenso 24 Punkte, die auf unserer Karte die südlichsten sind, wobei die eingeklammerten Punkte nicht mit be- rücksichtigt wurden, mit Ausnahme von Kiowo, das zur Zeit der Berechnung noch nicht eingeklammert war. Die Ablenkungszahlen sind: Nördliche Punkte. Südliche Punkte. — 67,9 — 47,5 — 95 — 9"9 —3,9 — 5,0 — 9,6 — 9,7 во | о о 9 15:9 045 19.2006 — 31 — 9,4 —1,7 —9, 4 — 43 — 3, 2 — 5,4 — 1,5 — 4, 8 — 3,9 — 4, 0 — 2, 0 — 1,5 — 1,9 — 0, 5 — 2, 0 — 1,2 — 2,4 — 1,7 —2,4 — 1,5 — 9,5 — 1,8 — 2,3 — 4,0 — 1,2 + 0, 3 — 3, 2 — 5, 6 — 1,2 — 2,4 — 9,4 Die nördlichen Punkte geben als, Mittelzahl: — 3,24 mit dem wahrscheinlichen Fehler einer Bestimmung: == 1',01 und des Mittels: = 0,24; die südlichen da- gegen: — 2,23 mit den entsprechenden wahrsch. Fehlern: = 031 und = 016. Die nördlichen Punkte verlangen also eine nega- tive und nur um eine Secunde grössere Constante, als die südlichen, und die aus ihnen abgeleitete Zahl stimmt nahezu mit derjenigen, die aus den 6 Hauptpunkten der 153 Moskowschen Triangulation hervorging. Es ist somit, wie _ mir scheint, ganz begründet, wenn man bei der Ueber-- einstimmung der Resultate den Schluss zieht, dass: im. Ganzen bei den meisten Punkten des Moskowschen Gou-. vernements, die nicht mehr den Einflüssen der Haupt- - stérung unterworfen sind, ein Ueberwiegen der negativen Ablenkungszahlen vorherrschen, im Falle dass die Schu- bertsche geodät. Polhöhe des Iwan Welikii angenommen wird, und es entsteht nun die Frage, welche der gefun- denen Ziffern wir für die folgenden Untersuchungen aus- wählen sollen. Die Differenz von einer Secunde zwischen den nördlichen und südlichen Punkten ist an sich nicht bedeutend, möglich, dass bei den nördlichen Punkten ungünstigere (vielleicht Local —) Einflüsse vorwalten, möglich auch, dass die grosse Anomalie noch einigen Einfluss auf dieselben ausübt; gewiss ist es, dass der wahrscheinliche Fehler bei ihnen merklich grösser aus- fällt, als bei den südlichen Punkten. Nimmt man aber an- derseits wieder in Betracht, dass die aus den nördlichen Punkten abgeleitete Constante mit derjenigen der 6 Haupt- punkte näher übereinstimmt, was doch auch einiges Ge- wicht hat, so wird man es gerechtfertigt finden, wenn ich der Constanten der Südpunkte keinen Vorzug vor der- jenigen der Nordpunkte einräumte, sondern als definitive Zahl das Mittel aus den von nördlichen und südlichen Punkten sich ergebenden Resultaten adoptirte, nämlich, mit Weglassung der Hundertel: — 2',7. Um also unsere Ablenkungszahlen auf den Normalzu- stand derjenigen Punkte des Moskowschen Gouv., die keiner grossen Local-Attraction unterworfen sind, zu be- ziehen, müssen wir zu allen die constante Grösse: + 2",7 hinzuaddiren. Und dies ist denn auch geschehen. In der Karte, die gegenwärtigem Aufsatze beigefügt ist, sind Mp T alle Ablenkungszahlen um diese Constante geändert an- gesetzt le Es ist dies Dasselbe, wie wenn man die geodätische Polhôhe des Iwan Welikii sowohl, als auch aller übrigen Punkte um 2,7 vergrössert, und dann erst in Vergleich mit den oe Polhöhen die Ab- bud. abgeleitet hatte. Es ware dann die geodä- tische Polhöhe des Iwan Welikii: 55° 45’ 3'',6. Um die ursprünglichen Zahlen, Iw. Wel. zu 45’ 0”,9 angenommen, so wie sie im Aufsatze directe abgeleitet wurden, wieder zu restauriren, braucht man nur zu jeder Zahl der Karte: — 2”,7 zu addiren, und gehörig die Zeichen zu berücksichtigen. Dies zur Nachricht für Die- jenigen, denen die obige Prozedur etwas zu gewagt er- scheinen sollte, und welche die ursprünglichen Zahlen vorzuziehen geneigt sind. In der Karte bezeichnete ich die Gegenden, in denen die Ablenkungszahlen (sei es positiv oder negativ) grös- ser als zwei Secunden ausfallen, mit Farbe, während die- jenigen, in welchen die Zahlen kleiner sind, ohne Farbe gelassen wurden. Da nämlich, wie oben angeführt wurde, der wahr- scheinliche Fehler für eine Ablenkungszahl beiläufig eine Secunde beträgt, so glaube ich, dass man, vorausgesetzt, dass weder in der astronomischen noch geodätischen Pol- höhe ein Irrthum liegt, das Doppelte, d. i. zwei Secun- den füglich als Grenze annehmen kann. Uebertrifft eine Ablenkungszahl diese Grenze, so ist es denn doch wohl sehr wahrscheinlich, dass an diesem Orte wirklich eine Ablenkung des Lothes stattfindet, wogegen bei Ablen- kungszahlen die geringer als zwei Secunden sind, eine solche überhaupt noch dubiös erscheint, oder wenigstens nicht viel Wahrscheinlichkeit für sich hat. Wenn еш- 155 zelne Punkte auffallend grosse oder kleine Ablenkungs- . zahlen ergaben, die von den umliegenden bedeutend -diffe- * riren, so wurde bei der Farbenzeichnung natürlich nicht zu viel darauf Rücksicht genommen, da man wohl nur. mit Recht das als-das Richtige annehmen kann, was meh- rere naheliegende Punkte übereinstimmend. ergeben. Es wäre wohl wünschenswerth gewesen, von zwei zu - zwei Secunden stärkere Farbentóne anzuwenden, so dass das Terrain, das Ablenkungszahlen über 4 Secunden en- thält, eine tiefere Farbe, über 6 Secunden noch tiefer, und so fort, erhalten hàtte, wodurch dieselben sehr deut- lich en Relief hervorgetreten wären, allein das hätte den Druck denn doch zu umständlich gemacht. Ich musste mich daher mit weniger Farbentónen begnügen, und wand- te nur noch einen tieferen Farbenton an für die Gegen- den, in welchen die Ablenkungszahlen 7 Secunden, eine schon enorme Quantitát, übertreffen, um doch diejenigen Stellen zu bezeichnen, in welchen die Stórungen das Maximum der Wirkung hervorbringen. Dadurch erhält man, wie mir scheint, eine weit bessere Uebersicht über die Wirkung der stórenden Kräfte, als wenn man Linien zieht, um die Maxima und Minima anzudeuten, da nicht immer gerade an den kritischen Stellen beobachtet werden konn- te, und zufallig vielleicht ein Punkt, der durch Anhàufung der Beobachtungsfehler etwa um 1 bis 1'/, Secunden fehlerhaft ist, ganz irrthumlich zum Maximum oder Mi- nimum-Punkt erhoben wird. Betrachten wir nun die Karte genauer, so finden wir, dass das Terrain, in welchem die positiven Ablenkungen des Bleilothes über 7 Secunden betragen, von uns schon gänzlich umkreist worden ist. Dasselbe liegt zwischen den Làngen (von Iwan Welikii an gerechnet): — 1° 20’ os 156 * und + 1° 0”, hat seine ‚grösste Breite, von beinahe zehn Minuten, in Moskau, und óstlich davon, zieht sich schlan- genfórmig, nur wenig von NO nach SW geneigt, durch "s ..Moskau hin, und endet in Spitzen, die bei den erwähn- ten Längen 55° 42’ und 55° 48’ Polhóhe haben. Der grósste Theil dieses Terrains liegt zwischen den Paralle- len: 55° 40’ und 55° 50'; jedoch im NO von Moskau liegt ein betrachtliches Stück davon zwischen 55° 50* und 56° Q'. Es wäre vielleicht der Wahrheit mehr angemessen ge- wesen, wenn man die nórdliche Contour bei: — 30' Làn- ge und 55° 43' Breite um ein Namhaftes nórdlicher ge- zeichnet hätte, in der Gegend, wo der isolirte Punkt Paw- lofskoje die Ablenkungszahl + 7”,4 zeigt, wodurch die Gestalt des Terrains der grossen Ablenkungen etwas àhn- licher geworden ware derjenigen der geringeren, allein da eben dieser Punkt so allein dasteht, und südlich da- von zwei Punkte sind, deren Ablenkungen geringer als 7 Secunden, so meinte ich mir diese Lizenz nicht erlauben zu dürfen. Das Terrain, in welchem die positiven Ablenkungen mehr als zwei Secunden betragen, d. i. überhaupt mit ziemlicher Sicherheit merkbar sind, umschliesst natürlich dasjenige der starken Ablenkung, und zieht sich in ziem- lich regelmassiger Gestalt von NO nach SW in einer Brei- te von 20 bis 25 Minuten über Moskau hin, und endet, von Iw. Welikii an gerechnet, etwa um die Lànge — 2? 0* herum, in einem unregulären Ausläufer. Die Grenzen auch von diesem Terrain sind, wie man sieht, beinahe vollstandig gefunden. Im Süden und Norden lassen diesel- ben keinen Zweifel übrig, im Westen ebenfalls nicht, nur ganz im Südwesten können sie vielleicht um ein Gerin- 157 i: ges weiter reichen, als unsere Beobachturigen. sch ere. strecken. Im Osten dagegen ist das Ende‘ noch nicht er- reicht, unsere Beobachtungen gehen noch nicht weit _ge- nug, aber der Analogie nach zu schliessen, werden die Grenzen nicht weit von unsern ôstlichsten. Beobachtungen vorhanden sein, da die Ablenkungszahlen schon um us Hälfte geringer geworden sind. Das Terrain der negativen Ablenkungen streicht südlich nahezu dem der positiven parallel hin, befindet sich zwischen den Längen: — 1° 35’ und: -н 27’, hat eine Breite von etwa durchschnittlich 10 Minuten, und zeigt eine ziemlich regelmässige geschlossene längliche Figur nur mit einigen Ein und Ausbiegungen im Süden. Das Interessanteste aber ist, dass in diesem Terrain die Ablen- kungen nirgends 5 Secunden übersteigen, also verhältniss- mässig gering sind gegen die positiven. Man sieht, wie ganz anders die Sache sich herausstellt, als früher, nach- dem wir jetzt einen richtigeren Normalstand für das Moskowsche Gouv. festgestellt haben. Nahe in dem Meridiane des Iwan Welikii unter 56° 12' Polhöhe scheint eine Gegend mit merklicher negativer Ablenkung vorzukommen, da 3 Punkte nahezu Dasselbe andeuten; zwei Punkte geben als Ablenkungszahl mehr als zwei, und der 3-te beinahe zwei Secunden. Diesen einstweilen noch isolirten Flecken, habe ich meiner An- sicht nach auch mit schwächerer Farbe bezeichnen müs- sen. Dasselbe müsste vielleicht auch noch beim nördlich- sien Punkte Gari, Polhöhe 56° 33° geschehen, allein da der neben ihm stehende Koslowo eingeklammert, also nicht stimmfähig ist, so kann ich den einzelnen Punkt nicht bevorzugen. Unter allen übrigen Beobachtungspunkten zeigt sich nur bisweilen hie und da ein isolirter, bei welchem die Ab- 158 lenkungszahl == 2" übertrifft, also war nach unserem Uebereinkommen durchaus kein Grund vorhanden, solche Einzelnheiten näher zu bezeichnen, da die nahe liegenden Punkte nieht damit übereinstimmten. Somit hätten’ wir einen grossen Schritt zur Lösung des merkwürdigen Phänomens vollendet. Mit Ausnahme der schwachen Ablenkungen im Osten, sind die Aeusserungen der so auffallenden Lokal- Attraction in der Nähe von Moskau vollständig umkreist, und deren Grenzen können überall genau genug angegeben werden; beinahe überall sind wir zuletzt auf Stellen gelangt, wo die Ablenkungs- zahlen so gering geworden sind, dass von einer erweis- lichen Ablenkung des Lothes nicht wohl füglich mehr die Rede sein kann. Es ist damit aber nicht gemeint, dass nun die Pol- höhenbestimmungen eingestellt werden können, im Ge- gentheil sind sie an manchen Stellen noch durchaus noth- wendig, wie z. B. in NO und SW, um der Grenzen ganz sicher zu werden, an manchen Stellen sind sie sehr wünschbar, wie in NW an den äusseren Contouren, und im Norden zur Feststellung der beträchtlichen negativen Ablenkungen unter 56° 12’ und 56° 33. Eben so ist es zu wünschen, dass in NW, NO und SW ausserhalb des Bereiches der Local - Attraction eine Anzahl von Punkten beobachtet werde, wie dies in SO und Süden gesche- hen ist. Die Punkte in S und SO geben uns noch ein sehr in- teressantes Resultat, das uns einen Begriff geben kann davon, wie wenig im Grunde in einem flachen Lande die geringen Terrain - Unebenheiten auf die Ablenkung des Lothes einwirken, wenn nicht eben andere Ursachen im Innern der Erde eine bedeutendere Störung zuwege bringen. 159 Sammeln mir nämlich die Ablenkungszahlen aller sud- lich und südöstlich ausser dem Bereiche der. Farben .(d. i. der Locale, auf welche die Störung noch merkbären Einfluss hat) gelegener Punkte, deren mit Ausschluss der . eingeklammerten 60 sind, und berechnen-wir die Mittel- zahl, so kommt heraus: + 0", 33 mit d. wahrsch. Feh- ler: == 0”, 09; das heisst, wenn wir nur diese südlichen Punkte bei der Berechnung der obenerwähnten Constan- ten in Betracht ziehen wollten, so müssten wir diese letztere um 0^, 33 veringern, was: + 2", 37 ergäbe, еше Zahl, die mit der aus den 24 südlichen Punkten er- haltenen: + 2,23 genügend übereinstimmt. Berechnen wir nun den wahrscheinlichen Fehler eines einzelnen Punktes, so ergiebt sich: == 0”,69, und dieser schliesst in sich sowohl den Beobachtungsfehler, als auch die Wirkung der Local-Attraction an einem dieser Punkte. Um diese zu trennen, wenden wir uns zu den Punkten, deren astr. Polhóhen mehrfach beobachtet worden sind. Es sind folgende, und sie bieten die nebenstehenden Dif- ferenzen der Bestimmungen dar: Diff. d. Bestimmg. Diff. d. Bestimmg. Univ Observatt ..... 02,4 © Bezesswätowo. 2, 0/42 Nowoblagosslow. . . 1, 55 Alexandrowo . . . . 0, 0. Kloster Andronijew . 0, 5 Roschdestwenskoje . 0, 3 Kloster Ssimonoff. . 0, 7 Klementjewo . . . . 0, 2 Kolomenskoje 2». 250501 Glasowo. .. Seti rS Emeline un: 0, 4 Wereja D4 » НОРЫ DOME Ina A we Es Bl. co) Ssuchanowol! omms 555 Wosskressenki. . 121,02 Uspenskoje nm N 0,90 Kulebjakino- . 2. 03 Sserpuehott 299 70 0, 35 160 Die in der ersten Reihe enthaltenen Punkte sind meistens von mehreren Beobachtern, Troizku, Larionow und Ssa- charoff bestimmt, die in der zweiten Reihe von Herr Sslud- sku allein. Es zeigt sich kein merklicher Unterschied in der Differenz der Bestimmungen, ob ein Punkt mehrmals von ein und demselben oder von verschiedenen Beobach- tern bestimmt wurde. Bei Nowoblagoss. ist eine grössere Differenz angesetzt, als in der ersten Mittheilung gegeben wurde, näml.: 1", 55, während früher: 1", 00. Dieser Punkt wurde nämlich, nachdem seine genauere Länge aus der Me- schew. Triang. bekannt geworden war, umgerechnet, und wohl etwas andere Werthe für die einzelnen Resul- tate, aber der gleiche für das Mittel gefunden. Aus den obigen Beobachtungen ergiebt sich nun der wahrscheinliche Fehler einer vollständigen Polhóhenbe- stimmung mit dem Repsoldschen Kreise: == 0”, 241. Man vergesse nicht, dass, so klein dieser wahrsch. Fehler, doch darin auch noch der Einfluss nicht ganz genauer Declinationen involvirt ist. Da nun der wahrscheinliche Fehler für einen unserer 60 Punkte war: + 0", 69, so erhält man den wahrschein- lichen Einfluss der Local- Attraction auf einen Punkt aus folgender Formel: Es ist derselbe — V (0", 69)? — (0”, 24)’ = = 0”, 615 also in runder Zahl: = 0”, 6. Man sieht daraus, wie gering der Einfluss der Local- Attraction auf einen beliebigen Punkt ist, wenn keine besonderen grösseren störenden Ursachen vorhanden sind. Ich bin sogar überzeugt, dass dieser wahrscheinliche Fehler noch etwas geringer ausfällt, wenn einmal die 161 Obergsche Triangulation alle unsere Punkte verificirt ha- ben wird; denn es kommen ohne Zweifel noch einige Punkte unter den 60 vor z. B. St. Dawid, Axinino u. s. f. bei denen ein Fehler in der geodatischen Polhohe vorhan- den ist, worauf auch die umliegenden Punkte anzudeuten scheinen. Das obige Ergebniss erscheint mir um so interessan- ter, als bis jetzt (so viel mir wenigstens bekannt gewor- den ist) noch nirgends die astronomischen Polhöhen so vieler in geringer Distanz von einander liegender Punkte genügend genau bestimmt wurden, so dass man aus ih- rer Vergleichung mit den geodätischen ein ähnliches Er- gebniss hätte ableiten können. Anderseits könnte man leicht durch gewisse Resultate irregeleitet werden. Bes- sel und die Bearbeiter der Englischen Triangulation fanden nämlich mit einander nahe übereinstimmend den wahrscheinlichen Einfluss der Local-Attraction auf die Polhöhe eines beliebigen Ortes auf der Erdober- fläche: = 1”, 75.d. i. beinahe 3 mal grösser als der von uns gefundene Werth. Freilich ist jene Zahl abge- leitet unter Anwendung von Punkten, die über die ver- schiedenen Gradmessungen vertheilt sind, und also viel weiter von einander abstehen, als in unserem Falle, aber im Grunde lehrt uns die Zahl = 1’’, 75 nicht viel, etwa nur, dass in den bekannten Gradmessungen wenig Punkte (wie Montjouy und Evaux) ins Spiel kamen, wo eine merkliche Local- Attraction Einfluss hatte; wären zufällig mehrere solche Punkte wie Moskau in den Bereich der Gradmessungen gekommen, so hätte leicht jene Zahl ver- doppelt oder verdreifacht hervorgehen können. Es kann uns nämlich, meiner Ansicht nach, jene Zahl weder eine Idee geben von der Grösse des zu erwarten- № 1. 1864. 11 or iot "802 | ‚ den Einflusses der Local-Attraction auf einen Punkt, wenn dieselbe oder störende Ursachen überhaupt vorhanden sind; ihr Betrag kann auf 10”, 20”, 60” und höher an- ‚steigen: noch giebt sie uns einen richtigen Begriff davon, "wie sich die Sache verhält in den Gegenden der Erdo- berfläche, an ‘welchen keine beträchtlichen Störungen auf das Loth vorkommen, sondern sie bietet uns etwas Mitt- leres, zwischen beiden Liegendes dar, hervorgebracht ‚dadurch, dass zufällig in den benutzten Gradmessungen einige Punkte vorkommen, bei denen eine beträchtliche Störung der Richtung der Lothlinie bemerkbar ist. Dagegen glaube ich, dass unser Ergebniss aus den 60 Punkten etwas Positives leistet, das man folgendermas- sen formuliren kann: In einem Terrain, das ziemlich eben, und keinen unter- irdischen grösseren störenden Ursachen unterworjen ist, beträgt der wahrscheinliche Einfluss der Local-Attraetion auf die Polhöhe eines beliebigen Punktes nicht mehr als: == (eGR Uebersteigt der wahrschemliche Fehler еле’ Ablen- kungszahl in einer gegebenen Reihe (nachdem schon Rucksicht genommen auf den wahrsch. Fehler einer Be- obachtung) diesen wahrscheinlichen Fehler: = 0,6 be- deutend, so kann man mit grosser Wahrscheinlichkeit auf beträchtlich wirkende störende Ursachen über oder unter der Erdoberfläche schliessen. Noch habe ich Einiges in Betreff der Ablenkungskarte beizufügen. In der Karte bezeichnete ich die Stellen zwischen po- sitiven und negativen Ablenkungen, an denen die Ablen- kung Null sein muss, durch eine strichirte Linie. Diesel- aur ci > * be konnte ziemlich genau gezeichnet werden, und hört natürlich da auf im. Osten, wo keine ausgesprochenen negativen Ablenkungen mehr auftreten. Ueberall, wo mehrere vollständige Er arg $e stimmungen der Polhöhe gemacht wurderf, ist dies bei den Ablenkungszahlen der Punkte durch eine eingeklam- . merte (2), oder wie bei Iwan Welikii durch (4) bezeichnet. Bemerkungen über die Anwendung des Besselschen Rotations- Ellipsoides bei den Russischen Triangulationen. Zur Zeit, als ich die beiden früheren Mitheilungen schrieb, war ich der Ansicht, dass alle geodätischen Po- sitionen von den Bearbeitern der Russischen Triangulatio- nen unter Benutzung der Dimensionen des Besselschen Erdsphäroids hergeleitet worden wären. Dem ist aber nicht also. Durchweg bediente man sich, wie ich mich mehrfach Gelegenheit hatte zu überzeugen, der Walbeck- schen Dimensionen, auf welchen auch die Hülfstafeln, nach welchen man rechnete, beruhen. Unsere Deductio- nen werden aber dadurch nur unbedeutend afficirt. Die beiden Systeme nebeneinander gestellt, ergeben in Toisen: Walbeck 1819. Bessel 1841. Differenzen. Gr НаШахе 32718195,5. 3272077,,14: (35029, 6% К. Halbaxe 32610128 3961139, 33 + 1096, 53 1 1 302,78 299,1528 Bei grósseren Triangulationen würden nun allerdings merkbar verschiedene Positionen erfolgen, je nachdem man der Besselschen oder Walbeckschen Dimensionen des Erd-Sphäroids sich bei den Berechnungen bediente. Bei Triangulationen, die ein geringes Terrain umfassen, ist es Td Abplattung an ve A one Ct Е dep ziemlich gleichgültig, welches von beiden. Systemen man - ànwendet. Um.dies deutlicher für unsere Zwecke darzu- legen, erinnere ich daran, dass bei unseren Untersuchun- gen in Breite nur zwei Grade in Betracht kommen, d. В. dass vom Iwan .Welikii naeh Norden und nach Süden nur auf je einen Grad die Beobachtungen ausgedehnt sind, also auch nur auf solehe Distanzen zur Ermittlung der geodätischen Polhóhendifferenz die Dimensionen der Erde eine Rolle spielen. Berechnet man nun nach den beiden Systemen die Länge eines Meridiangrades unter 56" Pol- hóhe, so findet man: Nach Bessel 57119r,9 Nach Walbeck 57115, 3 Unterschied + 47,6 In der Polhóhendifferenz würden diese 4,6 Toisen etwa 0^,3 betragen. Zwischen den südlichsten und nórdlich- sten Beobachtungs-Punkten, die nicht ganz zwei Grade auseinander liegen, wäre daher der ganze Betrag: 0'5 d. h. unter Amwendung der Walbeckschen Dimensionen bekommt man die geodätische Amplitude zwischen den nördlichsten und südlichsten Punkten um: 07,5 grösser, als wenn man die Besselschen Zahlen benutzt. Man kónnte vermuthen, dass die in dem Früheren ge- fundene Differenz in den constanten Zahlen (aus den nórd- lichen Punkten ergab sich: + 3'52 aus den südlichen: + 27,2), von den Walbeckschen Dimensionen herrührt, und dass dieser Unterschied unter Anwendung der Bes- selschen Dimensionen verschwinden würde, allein dies ist nicht der Fall. Eine geringe Ueberlegung lehrt uns, dass die Besselschen Dimensionen jene Differenz, wenn auch nicht um den vollen Betrag: 0,5 (da wir die mitt- vc EGS lere Polhóhe sowohl der 24 nördlichen als auch der süd- “2 lichen Punkte in Betracht ziehen müssten) so doch um: 0,3 bis: 0,4 vergrössern würde: anderseits kann man schliessen, dass unter Anwendung von Elementen, die etwas mehr als das Doppelte, aber nach derselben Seite . hin wie die Walbeckschen, sich von den Besselschen entfernen, jener Unterschied zwischen den aus nórdlichen und südlichen Punkten gewonnenen Constanten verschwin- den würde. Berechnet man den Einfluss der verschiedenen Syste- me auf den Bogen zwischen 56? und 60? Polhóhe, so findet man den Unterschied: 19,9 Toisen, d. h. die geo- dàtische Amplitude zwischen Moskau und Petersburg wür- de nach den Walbeckschen Dimensionen etwa um: 1,3 grósser herauskommen, als nach den Besselschen. In der ersten Mittheilung pg. 9 findet man, dass die Uebertragung der Petersburger Polhóhe für den Iwan We- likii eine um 8”,0 grössere Polhóhe verlangt, und dieses Resultat ist unter Anwendung der Walbeckschen Dimen- sionen erhalten worden. Die Besselschen Dimensionen würden folglich noch: 1',3 mehr ergeben, also für Iw. Wel. eine (^) um: 9,3 grössere Polhöhe verlangen. Merkwürdig ist es allerdings, dass diese Zahl besser übereinstimmt mit den durch andere Triangulationen er- haltenen, wie man am citirten Orte nachsehen kann. Es scheint beinahe, dass auch im Europäischen Rus- sland das Besselsche Rotations-Ellipsoid sich der Natur besser anschmiegt, als das Walbecksche, und dass nur vielleicht eine geringe Abweichung von der theoretischen Krümmung der Erde (natürlich abgesehen von der gros- () Beiläufig, denn dass Moskau und St. Petbg. nicht unter einem Me- ridiane liegen, ist nicht in Betracht gezogen. x 166 sen Störung) im Moskowischen Gouv. statt hat. Ich wer- "do. vielleicht spáter noch einmal auf diesen Gegenstand zurückzukommen, nachdem die neue Triangulation уоЙеп- det:sein wird:-einstweilen behalten wir die Resultate bei, wie sie gerechnet. wurden, da bei unseren Distanzen die verschiedenen Elemente in den geod. Polhóhen im un- günstigsten Falle einen Unterschied hervorbringen, der nur wenig den wahrscheinlichen Fehler der Polhóhe eines Punktes übertrifft. Vielleicht, dass wir später genothigt werden, die Besselschen Dimensionen anzuwenden, be- sonders wenn der Einfluss der Local-Attraction auf die Làngen untersucht wird, aber auch das ist noch zweifel- haft, wie aus Folgendem hervorgeht. Ein Grad des Parallelkreises unter em 56° der Brei- te beträgt in Toisen: Nach Bessel 32008,2 Nach Walbeck 32004, 8 Unterschied + 3,4 Dieses würde in Bogen ausmachen: 0‘,4, also für den ganzen Bereich unserer Untersuchungen, zu 3 Langen- graden denselben angenommen: 47,2 oder in Zeitsecun- den etwas weniger als ein Zehntel. Um so viel würden die Walbeckschen Elemente einen Längenunterschied von 3 Graden grösser ergeben, als die Besselschen. Es braucht nun schon sehr grosse Sorgfalt dazu, um den Längenunterschied zweier Orte bis auf ein Zehntel Secunde genau zu ermitteln, so dass ich auch in dieser Richtung die Einführung der Besselschen Dimen- sionen statt der Walbeckschen für wenig praktischen Nut- zen gewährend halten muss. .167 Anmerkung zu den Triangulationen der Jahre 1860 und 1861. n^ In dem Jahre 1860 wurde, wie in der ersten Mitthei- lung erwähnt ist, eine kleine Triangulation von den .Zóg- lingen des Meschewoi Institutes ausgeführt, die im Jahre j 1861 weiter geführt, die Punkte des positiven Maximums - (Iwan Welikii, Nowoblagosslowennoje) mit denen des ne- gativen Maximums (Ssuchanowo, Düdüldino) durch ein trigonometrisches Netz verband. In der zweiten Mitthei- lung führte ich diese Triangulation vollstandig auf, er- wahnte aber (pg. 134 der Separat-Abdrücke) dass in Be- ziehung auf den Theil der Triangulation, der im Jahre 1860 gemacht wurde, eine kleine Verbesserung an meh- rere Winkel angebracht werden musste, über welche ich versprach, mich in der dritten Mittheilung weiter auszu- lassen. Es verhàlt sich damit folgendermassen. In Nowoblagosslowennoje wurden im Jahre 1860 die Winkel vom Glockenthurm gemessen, und zwar von zwei Fensterlucken aus, die Reduction auf das Centrum des Glockenthurmes aber aus Versehen so gemacht, als ob alle Winkel’ von einem Fenster aus beobachtet worden wä- ren, was sich physisch als ganz unmóglich erwies. Da ein solches Versehen natürlich verbessert werden musste, so liess ich im Jahre 1862 die Winkel aus Nowoblagos- slowennoje und zugleich auch noch aus den Hauptstatio- nen Demssowo und Derewlewo aufs Neue beobachten. Es beobachteten: In Nowoblag. . Obrist Smirnoff und Lieut. Trawın. « Denissowo . Lieut. Rudakojf. « Derewlewo . Lieut. Witschinkin. 168 — Wenn auch, ‘wie vorauszusehen war, die neuen Beobach- . tungen nur geringe Unterschiede in Vergleich mit den früheren ergaben, so verdienen sie doch jedenfalls mehr Zutrauen, da sie von geübteren Boobachtern ausgeführt wurden, und ähnliche Versehen nicht vorkommen konn- ten: ich führte daher diese Beobachtungen allein in der zweiten Mittheilung an. Wie schon früher erwähnt wurde, hat die Meschewoi Triangulation durchweg eine schöne Bestätigung gefunden in den Resultaten der neuen Oberg- schen Triangulation. Bestimmung der Declination des Sternes 60 Herculis. Am 26 Juni 1863 beobachtete Herr Ssludskii in Peres- swätowo durch Wolken statt eines Fundamentalsternes den Stern: 60 Herculis. Ich liess denselben sogleich mehrere Male durch den Herrn Observator M. Chandrikoff am Meridiankreise bestimmen. Für die mittlere Declination dieses Sternes und den Anfang 1863, 0. fand Herr Chandrikoff folgende einzelne Resultate: Aus den Beobb. von: Mittl. Decl. 1865, 0 Juli 31 + 412° 55' 56,0 Aug. 4 53, 9 5 50, 9 6 54, 1 7 5d» 18 54, 5 Mittel = 149%. 557 530% Für den 26 Juni wandte Herr Ssludskü folgende schein- bare Deelin. ап: 2112 055 00 Ae. “460 Punkte, an welchen Zeitbestimmungen gemacht wurden. ~ Wie schon früher erwähnt wurde, leitete man bei kurz - andauernden Reisen, die Chronometerstinde für jeden Be- obachtungspunkt aus den vor dem Abgange und nach - der Ankunft der Expedition gemachten Uhrvergleichungen mit der Normal-Uhr der Sternwarte ab, “bei länger an- dauernden Reisen dagegen wurden auch überdies auf zwischenliegenden Punkten Zeitbestimmungen gemacht. Besonders war dies nothwendig bei den längeren Reisen des Jahres 1863. In den Tafeln, in welchen die Resul- tate angegeben sind, habe ich die Benennungen aller Punkte des Jahres 1863, an denen Zeitbestimmungen ge- macht wurden, mit einem Sternchen bezeichnet. Für das Jahr 1862 ist dies nicht geschehen, und darum schreibe ich die betreffenden Punkte aus; es sind folgende: Fwedenskii Dessjat. Pjatniza Ssubbotino Wosdwischenije Ssifkowo Theoretische Betrachtungen. Man könnte nun wieder, wie ich es in den früheren Mittheilungen gethan habe, versuchen, ob irgend welche geometrische Körper, und mit welcher Gestalt und Dich- tigkeit behaftet, ähnliche Ablenkungen im Stande wären hervorzubringen, wie sie von uns beobachtet wurden. Allein ich hielt es einstweilen, bis die neue Triangulation ganz vollendet ist, für unnöthig, eine vollkommene Ueber- einstimmung zwischen Beobachtung und Rechnung zu er- zielen, da doch später dieser Gegenstand wieder aufge- nommen werden muss. Doch erlaube ich mir einige Be- merkungen, und knüpfe an das Endresultat an, das in der zweiten Mittheilung ро. 158 (Separat-Abdrücke) ge- - geben ist. Dort wurden die Beobachtungen dargestellt un- _ 170 “ter der Annahme, dass in der Mitte sich eine dünnere ünd nördlich und: ‚südlich davon eine dichtere Erdschich- te als die’ umgebende Erdrinde ‚sich von Ost nach West durch den Meridian von Moskau quer hinziehe. Nachdem wir nun. eine andere geodätische Polhöhe für Iw. Welikii für. richtiger anerkannt, und in unserer Karte für die Ab- lenkungen eingeführt haben, vereinfacht sich die Sache . bedeutend. Nach einigen Versuchen hat sich herausge- stellt, dass nicht mehr drei Prismen nothwendig sind, sondern zwei, ja an vielen Stellen eim Prisma genügt, um den gewünschten Effect hervorzubringen. Oder deutlicher: Das frühere südliche dichtere Prisma ist gar nicht mehr nothwendig, das mittlere dünnere Prisma nur für eine ge- wisse Strecke, dagegen das nördliche dichtere für die ganze Ausdehnung von Ost nach West. Es modifizirt sich daher unser frühere Ausspruch dahin: Dass die Ablen- kung des Bleilothes bei Moskau ziemlich gut dargestellt werden kann unter der Annahme, dass eine dünnere Erd- schichte als die umgebende Erdrinde, von etwa 27 Werst Breite und zwischen den Längengraden: — 2° 10’ und + 0° 30', von Iw. Welkü gerechnet, vorhanden sei, und dass im Norden eine dichtere Erdschichte von etwa 60 Werst Breite sich an jene anschliesse, und noch weiter durch das ganze Gouvernement sich erstrecke. Wie schon gesagt, hoffe ich später eine genaue Ueber- einstimmung durch Variation der Dimensionen und Dich- tigkeiten zu erzielen; dies sind nur die Resultate von vor- laufigen Versuchen. Schreibarl der Russischen Oritsnahmen im Deutschen. Beinahe in allen Verzeichnissen (auch im Exposé) und ‚allen Karten, auch den Russischen, kommen in den Orts- benennungen Fehler oder Verwechslungen vor. Ich liess 1M о dodici die Beobachter ihre Amer cant Karat vifi ien, wie an jedem Beobachtungspunkle | der. Nahme . LEE Ortes ausgesprochen wird. Beim Wiedergeben dieser Nahe im Detlschen. be- folgte ich nicht die bisher gebrauchte Art und Weise, sondern suchte, unter Anwendung von nur deutschen. Lauten (und keiner bestimmter Zeichen, wie z. B. sh oder französischer Laute: 7 oder 9 für ж) diese Nahmen so auszudrücken, dass sie ein Deutscher wenigstens na- hezu gleichlautend aussprechen muss, wie ein Russe. Ich wandte somit in der Deutschen Sprache die Regel an: Fremdwörter so zu schreiben, wie sie gesprochen wer- den, was bei Orts und Familien-Nahmen gewiss nicht un- praktisch ist, und was die Russen auch ganz gut erkannt haben, indem sie diese Regel beständig befolgen, obgleich ihre Sprache wegen Mangel einiger wichtiger Laute we- niger dafür geeignet ist, als die Deutsche. Zudem habe ich die Ortsnamen auch mit den gehö- rigen Accenten versehen, und da für das Druckalphabet nicht für alle Vocale (z. В. ü, ä, u s f.) Accente vor- handen waren, besonders bei der Karte der Ablenkungen auf die richtige Accentuirung mein Augenmerk gerichtet. Wenn im Texte ein Ortsnahme etwas anders geschrie- ben ist, als auf der Karte der Ablenkungen, so ist die Schreibart der Letzteren vorzuziehen, wenn aber bei ein und demselben Nahmen der Accent im Texte auf einer anderen Sylbe steht, als in der Karte, so haben beide Aussprachen gleiche Berechtigung, da es oft bei Russi- schen Ortsnahmen vorkommt, dass der Accent von den Einen aufdie eine, von den Andern auf die andere Sylbe gelegt wird. EINIGE BEMERKUNGEN über den Aufsatz DYAS BT TRIAS OU LE NOUVEAU GRES ROUGE (EN Russie) etc. par Jungs Marcou, tiré des Archives des sciences et de la Bibliothèque uni- verselle de Genève 1859. Von Major WANGENHEIM von QUALEN. Herr Professor Marcou stellt aus vergleichenden Ver- haltnissen in Amerika und paläontologischen Deutungen die Hypothese auf: dass zum Systéme Permien oder des Todtliegenden, Kupferschiefer und Zechstein, auch zugleich Albertii’s Trias oder Keuper, Muschelkalk und bunter Sand- stein, als eine paläozoische Bildung gehôren musse, und die sekundären Ablagerungen erst mit dem Jura und der Kreide anfangen, und dass, das von Murchison, Verneuil und Graf Kayserling in der Geology of Russia sogenannte Système permien, besser den Namen Dyas fuhren kon- ne; und demnach Dyas und Trias zusammen vereint den nouveau grés rouge reprasentiren. Id in Lr d Keineswegs. will ich bestreiten, dass die Benennung Dyas für den westuralischen Kupfersandstein des Orenbür--- ger Gouvernements, weit passender ist wie der geogra- phische Name permien, und dies um so mehr, da diese Ablagerung nicht allein in Perm, sondern noch in vielen andern Gouvernements vorhanden, und im Orenburger Gouvernement sogar, wie ich glaube, deutlicher erkannt und entwickelt ist, wie in Perm, doch wenn Dyas und Trias zusammengehóren sollen, so scheint mir doch der Namen «Untere Trias» noch weit passender. Ebensowe- nig wage ich es zu bestreiten, dass nach Marcou die Trias Alberti’s eine paläozoische Bildung sein soll und mit der Dyas zusammen den Nouveau grés rouge als ein einziges System darstellt, und im allgemeinen finde ich sogar diese Ansicht des Herrn Marcou sehr wahrschein- lich, doch mag dies dahin gestellt sein, bis nähere For- schungen hier bei uns die Sache ins Klare bringen. Hiervon soll nun auch in diesem Aufsatze gar nicht die Rede sein, wenn aber Herr Marcou in seinem Werke mit so vieler Bestimmtheit ein Tabular über den Nouveau grès rouge in Russland aufstellt, nach welchem er den Keuper,- Muschelkalk und bunten Sandstein, bei uns, über oder in das Systeme permien legt, und dabei die mir so bekannten Lokalitäten Belebei, Sterlitamack, Nyschne- Troitzk, Meteftamace, Nikifur, den Grebeny-Berg u. s. w. bei Orenburg erwähnt, wenn er ferner die Geology of Russia, mit advokatorischer Wortklauberei analysirt und hierauf unrichtige Schlüsse bildet, so kann ich allen die- sen Expectorationen des Herrn Marcou nicht beistimmen, kann sie aber wohl — was das Orenburgische Gouverne- ment, und insbesondere die oben erwähnten Gegenden anbelangt — nach unseren bisherigen geologischen Begrif- fen gründlich widerlegen. & ATF . Fünf Jahre habe ich in der Gouvernements-Stadt Oren- burg, und sechs Jahre als Director mehrerer Kupferberg- werke in Belebey und Nischny-Troitzk gelebt, daher mir als practischem Bergmanne, alle Lokalitäten, die Herr Магсои erwähnt, auf das genaueste bekannt sind. Meine geologischen Forschungen in diesen Gegenden habe ich während einer langen Reihe von Jahren, im Bulletin der Kaiserlichen Naturforschenden Gesellschaft in Moscau, in den Verhandlungen der Kaiserlichen Mineralogischen Ge- sellschaft in Petersburg und in Berlin in Ermans Archiv der wissenschaftlichen Kunde, bekannt gemacht. In der Geology of Russia von Murchison, Verneuil und Graf Keyserling sind meine Forschungen oft mit Anerkennung erwähnt worden, und alle in diesem grossen Werke, so- wie auch in Professor Kutorga’s Beiträgen zur Paläon- tologie Russlands abgebildeten fossilen Pflanzen des Sy- steme permien, sowie auch viele Schalthiere n. sp. und Saurierreste, sind einzig und allein von mir entdeckt worden. Ich erwähne dieser auf mich bezüglichen Zustände aus dem einzigen Grunde, um eine mir gewissermassen in dieser Sache zustehende Competenz nachzuweisen, im Gegensatze zu Herrn Marcou, der aus weiter Ferne in seinem Studirzimmer schrieb, leider aber weder Russland, noch die westlichen Uralgegenden besucht hat; und nun zur Sache. Wenn man Reisebeschreibungen im Zimmer schreiben will, so muss man doch wenigstens alles lesen und prü- fen, was von allen Seiten über den fraglichen Gegenstand geschrieben worden ist, weil sonst die Schilderung nur einseilig und unvollständig sein wurde; nun ist aber das Bulletin der Kaiserlich - Russischen Naturforschenden Ge- 175 sellschaft allen Geologen der Erde bekannt, und hatte qi her auch Herrn Professor Marcou nicht fremd sein müs- . sen, besonders wenn er geologisehe Verhältnisse Russ- lands beschreiben wollte. In diesem Bulletin vom Jahre 1848. Beiträge und Ergänzungen ete. etc. ‚Artikel Ш. sage ich von der Geology of Russia ungefähr Folgendes: «Wir verdanken diesem Werke den Umriss eines grossen geologischen Gemäldes des europäischen Russlands, des- sen Riesenrahmen aber, mit den so mannigfaltigen innern Farbenreichthum von Schatten und Licht, vollständig aus- zufüllen, um ein fehlerfreies Bild darzustellen, mehr als ein Menschenleben erfordert haben würde. Daher auch dieser schätzbare Umriss, der uns auf unsere geologischen Wanderungen in die unendlich grossen Räume des Vater- landes als ein Polarstern leitet, immer nur als ein Cane- vas zu betrachten ist, dessen grosse Maschen wir im Rau- me der Zeit auszufüllen haben». In einem Jahre haben Murchison, Verneuil und Graf Keyserling die Räume des gewaltig grossen Russlands durchforscht, um diesen geolo- gischen Umriss, der uns für die Lokalitäten leiten sollte, zu entwerfen, und in den Gouvernements Orenburg, Perm und Kasan des Permschen Systems, Raumverhältnisse, die grösser sind wie 3 bis 4 deutsche Königreiche, und wo fruher noch ein so ziemlich dunkler Schatten uber die geologischen Verhaltnisse schwebte, forschten sie nur un- gefähr 3 Monate! Ob Herr Marcou in dieser unendlich kurzen Zeit ein ähnliches und besonders ein mehr spe- cielles Bild hätte darstellen können? Herr Marcou stellt in folgendem Tableau ein Bild auf, рас. 28, wie und wo, der nouveau gres rouge in Russ- land vorhanden sein soll: A. und В. Keuper. «Den winzig kleinen Bogdo - Berg bei Astrachan, wo Spuren der Trias (?) vorhanden sein sollen, bindet Herr Marcou mit den Ufern der Wolga bei Kasan zusammen» — eine Entfernung wie ungefähr von Dresden nach Madrid — Professor Gre- wingk aus Dorpat fand an der Wolga bei Schistapol im Kasanschen Gouvernement, die Versteinerungen des obern Zechsteins Schizodus und Gervillia Kera- tophaga, und Murchison entdeckte bei Kasan im Mer- gel und Kalksteinen, Prod. Cancrini, Avicula Kasa- niensis und fosile Pflanzenreste. Geology of Russia Tom. I. pag. 162—63. Dies alles ist nun Zechstein und natürlich nicht Keuper. Liegen aber hier bei Kasan und besonders weiter jenseits Kasan nach Ko- stroma hin unbekannte Mergel und rothe Sandstein- schichten über dem Zechstein, so sind doch diese gänzlich versteinerungsleer — und ob es gleich mög- lich ist, dass diese stummen Straten zur Trias ge- hören, so ist es doch gänzlich unmöglich, bis deut- liche paläontologische Beweise auftreten, sie speciell als Keuper erkennen zu wollen. Freilich will man in dieser unbekannten Ablagerung undeutliche Spu- ren von Voltzia brevifolia entdeckt haben, doch muss hier gesagt werden, dass ich dies Fossil früher schon in einer Kargalinschen Erz-Grube bei Orenburg zu- sammen mit Saurierresten und Kupfererzen entdeckte und von Herrn Professor Kutorga in den Verhand- lungen der Mineralogischen Gesellschaft mit sehr verschönerten Abbildungen, als Voltzia brevifolia be- stimmt worden ist. Diese und viele andern Bestim- mungen des Herrn Professors Kutorga wurden aber späterhin als unrichtig erkannt und erhielten andere längst bekannte Namen, so wurde z. B. die von ihm bestimmte Terebratula Qualeni als die jedem Geologen bekannte Terebratula elongata Schloth: be- stimmt, und ane die Voltzia а von "Brong- . niart als eine Walchia erkannt, "Geology of. Russia № Tom. II. pag. 504 hier kann ‘also speciell von Keu- per bis jetzt durchaus nicht die Rede sein. . Muschelkalk. «Gypse bei Iletzkaja Sachitta und die Salzquellen, ferner die Gypse bei Sterlitamack und wieder der über 300 deutsche Meilen von Orenburg entfernte Bogdo Berg»! und das soll nun ohne allen weiteren Beweis der Muschelkalk sein!! Der Salz- stock bei Iletzkaja Sachitta in der Nähe von Mertvi Sol, liegt, wie ich im Bulletin in der Beschreibung des Salzwerks nachgewiesen habe, von mehreren Seiten begränzt vom Système Permien. Das Steinsalz selbst enthält keine Versteinerungen und ebenso we- nig der nahe Gyps- und auch die Gypsschichten am Fusse des stark gehobenen Bergkalks bei Sterlita- mack, sind ebenfalls völlig versteinerungsleer, das Gebilde des Muschelkalks am Gouv. Orenburg, ist daher, weil alle Beweise fehlen, nur ein Phantasie- Gemälde. . Bunter Sandstein. «Conglomerats grès et chistes cu- prifères d’Orenburg, des environs de Веере, Keut- schefski, Nischny-Troitzk, et des troncs silicifiés à Belebei et à Perm. u. s. w.» Aber dies sind Ja gra- de die Lokalitäten, wo ich seit langen Jahren Prod. Cancrini, Terebratula elongata, etc. fossile Pflanzen, welche sieh in ihrem Habitus der Kohle nähern, Sau- rierreste, Conglomerat-Bildung und fossile Holzstam- me mit Kupfererzen entdeckt. Hier grade im Grès et chistes cuprifères erscheinen die vielen unbestrit- tenen Beweise des Todtliegenden und des Zechsteins! Freilich findet sich in diesen Gegenden auf den hóch- 1. 1864. 12 sten Kuppen der Berge an einigen Stellen, eine klei- COMER ida nes OC 178 QE ne Mergel- oder Kreideartige Ablagerung, welche ‘ich im Bulletin 1845. «Ueber einen im Kupfersand- stein entdeckten Schädel eines Sauriers (Rhopalodon Murchisoni Fisch.) zusammen in einem Stücke mit dem Wedel einer Farre u. s. w.» und genauer in den Verhandlungen der Kaiserlich Mineralogischen Gesellschaft als die ganz obere Ш-е Gruppe des westuralschen Kupfersandsteins beschrieben habe. Dies kleine Gebilde überlagert hier und da den Zech- stein in concordanter Schichtung mit einer Mächtig- keit von einigen Arschinen bis zu 2 oder 3 Klat- ter, und hat an einigen Stellen Aehnlichkeit mit Keuper Mergel, enthält aber weder Kupfererze noch Versteinerungen, nach denen ich Jahrelang vergebens gesucht habe, daher ich auch über diese unbekannte Ablagerung nichts weiter zu sagen habe, als dass sie mineralogisch aufgefasst, mit dem bunten Sand- stein auch nicht die entfernteste Aehnlichkeit hat. . Zechstein. «Calcaires généralement trés fossiliféres etc., Localités: Grebeni, Mertvi- Sol, environs de Bielebei u. s. w.» Diese Ansicht des Herrn Marcou ist die richtige und . Rothliegende «Serie de Nikifur etc. formée ргше!- palement de calcareous grit, de grès avec tiges de plantes, de calcaire peu puissants et de grès pour- pre et de gris àla base». Ist auch insofern richtig, als das obere Profil von Nikifur mit seinen kleinen Mergel und Kalksteinstraten verschiedenen Sandstein und Schieferschichten mit Prod. Canerini, Prod. ho- rescens, Terebratula concentrica, Modiola Arten und Pflanzenreste u. s. w. Geology Tom. I. pag. 151 E AN D 179 zum Zechstein gehört, die untern Lagen aber. yon: Е dunkelrothe Bänke und mächtige Lagen von rothém und grauen Sandstein, zum Rothliegenden gehören. In der Geology of Russia ist gesagt: «In sámmtli- chen Ablagerungen dieser Gegend ist der Kalkstein in der Höhe, der Sandstein aber in der Tiefe vor- waltend». Dies ist eine Wahrheit, die ich so oft aus- gesprochen habe, und von der sich jeder Geologe überzeugen kann, sobald er diese immerwährend wechselnden Ablagerungen nicht in einzelnen Loka- litäten, sondern im Allgemeinen vom Uralrande an, gründlich durchforschen will, er findet dann mit mi- neralogischen und paläontologischen Deutungen eine Art Abgränzung in zwei Gruppen, in welchen sich der höchsten Wahrscheinlichkeit nach, in der Höhe Zechstein, in der Tiefe Rothliegendes erkennen las- sen. Nach dieser Auffassung habe ich in den oben erwähnten Aufsätzen vom Jahre 1843 und 1845 in der Mineralogischen Gesellschaft und im Bulletin, diese untere auf Rothliegendes deutende Ablagerung, die erste Gruppe des westuralschen Kupfersandsteins genannt. Hier in der Tiefe dieser erwähnten: /-sten unteren Gruppe, trittnun der eisenhaltige rothe, braune und graue Sandstein, immerwährend wechselnd und sich unter einan- der auskeilend, gewöhnlich in grossen Flötzen hervor, und am Ural jenseits der Kupferhütte Wosskresens lagert am Bache Nugusch derselbe rothe Sandstein mit feinen Conglomeraten in concordanter Schichtung unmittelbar auf dem Bergkalk und ist von diesem steil mitemporgehoben, wie ich dies im Bulletin 1850, Beiträge p. p. Artikel IV. nachgewiesen habe. Wenn nun aber hier in der untern Gruppe diese Sandsteine vorherrschen und der Kalkgehalt 12^ 180 mehr zurücktritt, so: erscheinen doch auch einzelne Kalk- _ steinstraten, leberbraune und bläuliche Mergel und Schiefer- Arten mit Kupfererzen und kohlenhaltigen oft unkennba- ren Pflanzenresten, wie ich dies Alles mit Handstücken aus meinem Kabinete beweisen kann. In den vielen hun- dert Erzgruben, welche im Bielebeyschen, Sterlitamack- schen und Orenburgschen Kreise unter meiner Direction standen, erschienen sehr oft in der Tiefe inselförmige Conglomerat-Bildungen im rothen, braunrothen oder grauen Sandstein mit kupfergrünem Bindemittel, und unter die- sen Conglomeraten, Unmassen von fossilen dikotyledonen Holzstämmen, voll reichem Kupfererz, daher denn auch viele hunderttausende von Puden dieser fossilen Holz- stämme in die Kupferschmelzöfen gewandert sind. (Bul- letin: Beschreibung der Kupfererze des Orenburgischen Gouvernements) Hier nun im Niveau der Conglomerate und der fossilen Holzstàmme mit Kupfererzen, entdeckte ich die meisten fossilen Pflanzen, Pecopteris, Neuro- pteris, Nöggerathia, Sphenopteris, Odontopteris und ande- re, die theils in der Geology of Russia, theils in Profes- sor Kutorga's Werken abgebildet sind, sowie auch die wohl speciell auf Rothliegendes deutenden Tubicaules, Calamites Succovi und Cal. Gigas, auch besitze ich ein Handstück aus dieser untern Gruppe mit kohlenhaltigen fossilen Holzästen, undeutlichen Spuren von Pflanzen, Kupfererzen und Unio umbonatus Fich. Ferner entdeckte ich hier im Niveau der Kupfererze sehr viele Saurier- reste und die zwei von Fischer von Waldheim bestimm- ten Saurier-Schädel im bräunlich grauen Kupfersandstein, und unter ihnen auch den oben erwähnten mit Kupfer- grün durchzogenen Schädel des Rhopalodon Murchisoni, auf dessen Rückseite sich der Wedel einer Farre (Pe- copteris) befindet. Das merkwürdige Stück befindet sich POE Fc 181 | im Kabinete des für uns leider: zu früh entschtateutnee Herzogs von Leuchtenberg, eine" Abbildung aber, und die nahere Beschreibung findet sich im Bulletin fürs Jahr 1845. Niemals habe ich aber in dieser untern Gruppe, Productus- und Spirifer-Arten zusammen mit Saurierre- sten, entdecken können, welche überhaupt an. Schalthie- ren nicht reich ist, und so mag es auch. wohl gemeint sein, was in der Geology über diese Nichtvorkomnisse gesagt worden ist. Das oben von Marcou erwähnte Pro- fil von Nikifur, und ein zweites Profil von Borsk, Geo- logy Tom I. pag. 151—149, geben ein ziemlich richti- ges Bild dieser untern Ablagerung mit Gonglomeraten, doch ist auch hier der immerwährend wechselnde mi- neralogische Character nicht zu verkennen. Was endlich die von mir benannte I/-te höhere Gruppe, anbelangt, so tritt hier augenscheinlich der Kalkgehalt in den Gesteinen mehr hervor, die Straten sind weniger mächtig und die Schichtung ist feiner, der rothe Sand- stein und der leberbraune und bläuliche Mergel und die Schiefer der untern Gruppe, erscheinen auch hier noch, aber gewöhnlich nur in kleinen, oft kaum ein paar Fuss oder Klafter mächtigen Schichten, der vorherrschend graue Sandstein enthält mehr Kalk mit weisslicher Farbe, kleine, oft nur ein paar Fuss mächtige Kalksteinstraten und ver- schiedenartige Sand- und Thonmergel - Schiefer u. s. w. Alle diese Schichten wechseln immerwährend unter ein- ander und keilen sich gegenseitig aus, und oft selbst in den kleinsten Raumverhältnissen, wie ich dies so oft aus- gesprochen habe, als Beweis dient hier nicht allein, was in der Geology darüber gesagt worden ist, sondern auch Bulletin 18. Band 1845., wo eine Menge Bohrversuche und auch die Bohrung des artesischen Brunnens in Oren- burg von mir beschrieben worden sind. Hier ist durchaus ‚1829. kein geognostischer Horizont oder eine regelmässige Ab- i lagerung wie etwa beim Mansfelder Kupferschiefer, es ist ein buntes Schichtengewirre uber dessen chaotisches . Wesen, selbst Murchison sein höchstes Erstaunen aus- sprach und bei diesem unbeständigen Charakter und den gewaltig grossen Räumlichkeiten ist mit Wahrscheinlich- keit anzunehmen, dass 50 oder 100 Meilen nördlich oder westlich von Orenburg wieder ganz andere Lage- rungsverhältnisse auftreten können, deren mineralogische Schichten freilich im Allgemeinen identisch sind, die aber in einzelnen Mischungs- und Ablagerungsformen sehr verschieden sein, und daher den schnell reisenden Geologen leicht zu irrigen Schlüssen verleiten können. Das Systeme permien ist seiner Unregelmässigkeit und seiner vielen Ausnahmen von einer allgemeinen Regel wegen, gewiss in mineralogischer Hinsicht eine am schwersten zu erkennende Schichtenbildung. Ein einzel- nes Blatt hier herausgerissen giebt noch keine völlige Klarheit, nur bei vergleichender reifer Uebersicht und ge- nauer Prüfung des ganzen so grossen Systems ist es möglich ein richtiges Bild zu entwerfen. Am deutlichsten geben noch der Grebeny-Berg bei Orenburg, das Sakmara Ufer und der Mertvi Sol und der Bergkalk am Uralrande, regelrechte und belehrende Anhaltspuncte, von denen ich weiter unten reden werde. | In dieser obern Ablagerung der Il-ten Gruppe habe ich niemals weder in Bergabhängen noch in den vielen Erzgruben Conglomerate und fossile Holzstamme entdecken können, diese Gebilde gehören einzig und allein zur un- tern ersten Gruppe und sind gewöhnlich von mir nur in den Tiefen der Erzgruben beobachtet worden, wohl aber ist die H-te Gruppe, wenn auch nicht überall, so doch an einzelnen Stellen, ausserordentlich reich an fossilen 183 Schalthieren. In "sume: Troitzk Zi B. ‘am Ufer der. Kidasch erscheinen in einem. ‘Kalkmergelflotz Millionen … . Productus Cancrini. In der Erzgrube Santangulova reiche. Kupfererze mit Tausenden von Terebratula elongata Schloth. zusammen in einer Schicht mit Saurierresten, -fossilen Pflanzen, Productus Cancrini (spinosa , Kutorg) P. calva, Spirifer rugulatus Kut. u. s. w. Ich.besitze aus dieser Erzgrube ein Handstück mit den Extremitäten - Knochen eines Sauriers, zusammen mit Terebratula elongata, Се- riopora milleporacea Gldf., und Turitella biarmica Kut. Das ganze befindet sich in einem mit Kupfergrün durch- zogenen Mergel - Kalkstein (Bulletin, Beschreibung der Kurfererze des Orenburger Gouvernements). Ferner be- steht der Grebeny - Berg, Mertvi Sol und das Sakmara Ufer, aus einem, ausnahmsweise sehr mächtigen Kalk- stein, mit Millionen Schaalthieren der Zechstein-Periode, Preductus Cancrini, Tereber. elongata, Avicula kasanien- sis, Orthis Wangenheimi, Spirifer-Arten und viele andern. Hier in dieser zweiten obern Gruppe erscheinen ausseror- dentlich viele kleine Spuren von Kupfergrun, die sich gewohnlich da anhaufen, wo sie vegetabilischen Kohlen- stoff oder Pflanzenreste vorfinden, welche letztere nicht selten mit Kupfergrün durchzogen sind, besonders sind hier häufig und deutlich Fuköiden und Calamiten Arten zu erkennen, doch erscheinen auch viele reiche und bauwürdige Erzgruben und schöne fossile Pflanzenreste, besonders im Mergelschiefer, welche sich in ihrem Habi- tus von denen der untern Gruppe wohl wenig unterschei- den als Calamiten, Pecopteris, Neucopteris, und auch die bei Kargula von mir entdeckte Voltzia, welche, wie ich oben erwähnte, von Brongiart als eine Walchia erkannt wurde, besonders schön ist aber die im Belebeyschen Kreise in der Gordefschen Erzgrube im Mergelschiefer 184 entdeckte Adiantites Strogonowi Fisch, welche Kutorga in seinem zweiten Beitrag zur Paläontologie Russlands Tab. XIII. bildlich dargestellt hat, und welche den La- gerungs-Verhältnissen nach wohl zu dieser obern Gruppe gehören mag. Sogar Fischreste finden sich in dieser Gruppe nicht selten, besonders in den Kargalinschen Erz- gruben unweit Orenburg, und ganz in der Nähe von Nyschny Troitzk fand ich im bläulichen Mergelschiefer, den deutlichen Abdruck eines Fisches, der im Bulletin von Fischer von Waldheim als Paläoniscus Tschefkini be- stimmt worden ist. Dies sind nun die wahren Ablagerungs - Verhältnisse speciell dieser Gegenden, in welchen ich so viele Jahre meines Lebens forschte und die ich immer nur als ein Aequivalent von Rothliegendes, Kupferschiefer und Zech- stein erkannte. Herr Marcou sagt ferner pag. 53. «La flore des gres cuprifères de Perm, de Bielebei et d’Orenbourg comprend, d’après Góppert, environ 68 espèces, dont 61 lui sont propres et exclusives à la Russie, et 7 espéces qui se retrouvent en dehors de la Russie. Calamites arenaceus, (Equisetes columnaris) espéce triasique «Bunter Sandstein. Pecopteris concinna Sternb. Keuper. Pachypteris lan- ceolata. Brong. nach Merklin zum Jura in England. Es sind hier also nur 3 oder 4 fossile Pflanzen, welche auf Trias deuten. Ob Calamites arenaceus und Pachy- pteris lanceolata von mir in der obern zweiten Grup- pe entdeckt, von Góppert in natura oder nur nach Ab- bildungen als solche, oder ob sie durch Fischer von Waldheim oder Kutorga bestimmt worden sind, kann ich mich nicht mehr entsinnen, Pecopteris concinna aber ist von Kutorga als eine solche erkannt und seinem zweiten e Beitrag der Paläontologie Russlands Tab. IV, fig. Ae in einem sehr verschönerten Zustande bildlich dargestellt worden, nun ist es aber bekannt, und schon oben von mir nachgewiesen, dass die meisten Bestimmungen Ku- torga’s, als seine Tubicaulis rhomboidalis, Lepidodendrum tessellatum et hastatum, sowie seine Volzia brevifolia und viele andere unrichtig bestimmt sind, Geology Tom. Ш. pag. 504. Sind nun aber möglicherweise die Bestimmun- gen des Calamites arenaceus u. s. w. richtig, so kön- nen sie in diesem Falle den untern Schichten des Voge- sen-Sandsteins angehören, den ja Murchison zu seinem Systeme permien gezogen hat. Von Calamites arenaceus erwähnt übrigens Marcou selbst pag. 30 determine dou- teux par Brongniart, und der als tüchtiger Bergmann und guter Geologe bekannte und nun bereits verstorbene Ob- ristlieutenant Blöde, beschreibt im Bulletin 1843, Nach- träge zu den Beobachtungen u. s. w. er_habe im Gou- vernement Charkow im Süden Russlands, im Kohlen Sand- stein gefunden: Calamites Succowii, Cal. arenaceus, can- naeformis und andere. Wenn, wie Herr Marcou pag. 53 sagt: «qu’en Saxe et en Thuringe la Йоге du Zechstein soit complétement differente de la flora precedente du Rothliegende, so ist dies bei den vielen Abnormitäten des russischen Systeme permien auch sehr natürlich. Der Zechstein Thüringens besteht z. B. aus einem harten und mächtigen Kalkstein. In Russland das Aequivalent des Zechsteins aber aus Sand- steinen, Mergel und Mergelschiefer, . kleinen Kalksteinstra- ten, u. $. w., und nur ausnahmsweise findet sich am Grebeny-Berge und Mertvi Sol ein mächtiger Kalkstein mit Zechstein Petrefacten, aber ohne Pflanzenreste, und ganz anderer Art wie jener in Thüringen. Die Flora des Systeme permien oder der Dyas enthält nach Göppert 61. о: a d | is 186 Pflanzen ganz neuer Art, die bisher weder im Rothlie- .genden. noch im Zechstein Deutschlands, und überhaupt nirgends im Weltraume gefunden worden sind, und welche in ihrem habitus grósstentheils sich mehr der Kohlen- gruppe als der Trias nähern, wie Brongniart sagt Geo- logy Tom. П. pag. 503, 504; auch sind diese Vorkom- nisse um so mehr analoge, da es bewiesen ist, dass die Dyas unmittelbar auf Kohlenkalk ablagert, und daher der Kohle näher steht, welches in Deutschland nicht der Fall ist. Ueberhaupt sind nicht allein die mineralogischen Schichtungsverhältnisse der russischen Dyas so ausser- ordentlich verschieden von denen Deutschlands, sondern sogar die vielen neuen palàontologischen Ueberreste — diese Polarsterne des Geologen — treten in bisher un- bekannten Formen auf, so dass еше identische уег- gleichende Aehnlichkeit mit deutschen und anderen Ab- lagerungen, nicht immer móglich, oder wenigstens sehr erschwert ist. Herr Marcou sagt pag. 18. «Zone du Zechstein am Grebeny - Berge bei Orenburg, mit Terebratula elongata, Productus Cancrini, Avicula Kasaniensis, indiquent l'étage du Zechstein ete. il est certain qu'il est de la plus hau- te importance de connaitre rigoureusement leur position par rapport aux autres couches décrites précédement. Aprés des recherches nombreuses (?) je suis obligé d'avouer, que je n'ai rien pu trouver u. s. w.» Die Geo- logy of Russia als ein grosser Umriss, brachte Licht in unsere geologischen Ansichten, leitete uns zu weitern Forschungen und besonders zu weiteren Ergänzungen, denn nihil est ab omni parte perfectum! — Ich wiederhole aber hier, was ich schon früher sagte, dass es in der kurzen Zeit von einigen Monaten doch wohl gänzlich un- möglich war, in diesen grossen Räumen, jene einzelne ae Lokalität mit solcher Genauigkeit zu erforschen; und als ein klares fehlerfreies. Bild zu beschreiben. Herr Marcou. wird mir Recht geben, dass hierzu ein Menschenleben nicht genügt haben würde. Wenn aber Herr Marcou über die russischen geologischen Verhältnisse und über den a Grebeny-Berg etwas Richtiges schreiben. wollte, so hätte ernurzulesen brauchen: Bulletin der Kaiserl. Russischen Moskauer Naturforschenden Gesellschaft 24 Band vom Jahre 1848: Вейгасе und Ergänzungen etc. Artikel Ш. mit einem Profil des Grebeny-Berges, der Sakmara- Ufer und des Mertvi Sol, er hätte dann auf das Deutlichste sehen kónnen, dass derselbe rothe Sandstein, der am Ural am Bache Nugusch, in grossen Flótzen auf den Bergkalk ablagert, (Bulletin 1850 und 1851. Beiträge p. p. Artikel IV.) auch hier wieder auf dem Zechstein, in einer kleinen, wohl nur ein paar Klafter mächtigen Schicht lagert, da er von dem Zechstein steil mit emporgehoben worden ist, und dass unter diesem Kalkstein ein bläu- licher Lettenmergel mit Kupfererzen erscheint. So weit ist nun dies Schichtungs-Verhältniss am Grebeny-Berge — welches Herr Marcou zu sehen wünscht — eine erwie- sene klare Thatsache, da aber vom Grebeny - Berge bis zum uralschen Bergkalke am Flusse Ick, in einer graden Linie die Entfernung kaum 6 Meilen beträgt und am Bache Nugusch wie gesagt, der rothe Sandstein auf dem Berg- kalke lagert, so lässt sich aus diesen und andern Andeu- tungen mit vieler Wahrscheinlichkeit vermuthen, dass am Grebeny -Berge, tief unter dem Kalkstein und blàulichen Mergel mit Kupfergrün, wieder massige rothe Sandsteine mit oder ohne Conglomerate als Aequivalent des Roth- liegenden erscheinen werden; wobei aber wie überall im Orenburger Gouvernement durchaus keine so scharfe Ab- granzung zwischen Todtliegendem und Zechstein stattfin- 188° det, wie in Deutschland, sondern beide Ablagerungen "gewöhnlich in einander übergehen, so dass die Limitäten Schwer zu erkennen sind, und man unwillkürlich glauben muss, dass durch ein vorweltliches sehr bewegtes Meer, die untere Ablagerung wieder aufgewühlt, mit der Basis . der obern vermischt, und somit scharfe Ablagerungs- Gränzen verwischt worden sind. Der Grebeny-Berg, das Sakmara-Ufer mit antiklinaten Hebungen, und der Mertvi Sol, sind wie gesagt, die ein- zigen Anhaltspunkte, wo sich ein massiver Kalkstein mit entfernter mineralogischer Aehnlichkeit des deutschen Zechsteins, einigermassen erkennen lässt. Diese machti- gen Flötze eines porösen mit Millionen zertrümmerter Schaalthiere der Zechsteinperiode angefüllten Kalksteins, befinden sich nur hier allen, denn tiefer im Lande des Orenburger Gouvernements habe ich nie die geringste Spur davon entdecken können, daher auch diese sudost-. lichen Gegenden, wo sich die Limitäten des Systeme per- mien mit dem Kohlenkalk des Urals, und dem Jura und der Kreide bei den Saragul-Bergen, so nahe berühren, (Bulletin 1847. Beiträge Art. Ш) für jeden Geologen ein hohes Interesse haben. Herr Marcou widerlegt sich in seinen vergleichenden Bestimmungen des nouveau gres rouge ой selbst, nach ihm befinden sich in Amerika occidentalis, im Muschel- kalk fossile Hölzer und im Zechstein Conglomerate. Im Russischen Nouveau grès rouge aber, nach seiner Ач fassung Conglomerate und fossile Holzstämme nur im bunten Sandstein. Der Raum dieser Blätter erlaubt es nicht ein Weiteres über die vielen Irrungen und Missverständnisse des H. Marcou zu sagen, welche das System permien betreffen, deos auch wird. das Wenige; was ar gesagt. ist, schon ge- nügen; wir können nur: recht dringend wünschen, dass der verehrte Geologe seine Studirstube verlassen und un- - sere Dyas am Uralrande in natura besuchen móge, weil wir dann die feste Ueberzeugung haben, dass seine geo- logischen Ansichten über unsere Gegenden sich in vie- lem ändern würden. Die Reise ist durchaus nicht so be- schwerlich, wie Herr Marcou glaubt, denn von Berlin kann er direct mit der Eisenbahn bis Nyschny Novogo- rod fahren und von dort mit confortablen Dampfschiffen auf der Wolga, nach dem 58 Meilen entfernten Kasan und hier befindet er sich schon in der Dyas oder dem Nouveau grés rouge. Ich habe hier in meinen Ansichten über die geologi- schen Verhältnisse jener Gegenden, keinesweges mich auf die Forschungen anderer Geologen stützen wollen, sondern einfach und anspruchlos meine eigenen Beobach- tungen, wie ich sie als praktischer Bergmann in der Na- tur verstand, mit Wahrheit und Treue niedergeschrieben; ob aber meine Folgerungen auch als die richtigen erkannt werden kónnen, überlasse ich Andern zu entscheiden. SRE ie “Se PLANTAE | RADDEANAE MONOPETATAE. DIE MONOPETALEN OSTSIBIRIENS, des Amurlandes, Kamtschatka’s und des Russischen Nord- amerika’s nach den im Herbarium des Kaiserlichen bota- nischen Gartens befindlichen, von G. Radde und vielen Anderen gesammelten Pflanzen, bearbeitet VON FERDINAnND von HERDER. Heft I. VORWORT. Wenn es in den meisten Fällen dem Autor eines Buches nicht schwer fallen durfte den entsprechenden Titel fur sein Werk zu finden, so war diess in unserem Falle nicht allzuleicht. Hatte sich doch seit dem Jahre 1861, wo ich in Gemeinschaft mit meinem verehrten Freunde, Herrn Director Dr. E. Regel die Bearbeitung der von Herrn G. Radde in Ostsibirien gesammelten Pflanzen ubernahm, das Material der Art vergrössert, dass es kaum möglich war, schon auf dem Titelblatte die Namen aller Sammler 191 der von uns bearbeiteten Pflanzen zu nennen. Es folgt. daher am Schlusse unserer Arbeit ein eigenes Verzeich- niss der Sammler und der Localitäten, wo sie sammel- ten, nebst kurzer Angabe der uns bekannt gewordenen biographischen und historischen Notizen, “wobei. wir nur lebhaft bedauern, bei vielen oft sehr fleissigen Sammlern, weiter nichts als die blossen Namen und Localitäten an- geben zu können. Bei Anlage unserer Arbeit folgten wir im Ganzen den von Herrn Dr. Regel in seiner Einleitung. dargelegten Grundsätzen, namentlich was Feststellung des «Artbegrifjs» betrifft. Es ist hier nicht der Ort uns hie- rüber des Weiteren zu erklären, scheint uns auch durch- aus überflüssig zu sein, denn die Ansichten der Botani- ker über den «Artbegrifb sind bekanntlich in jedem ein- zelnen Falle so verschieden, dass darüber wohl so bald keine Meinungseinigung erreicht werden dürfte. Nur ei- nen Umstand erlauben wir uns als eine Art Gewähr für unsere Ansicht anzuführen, wir meinen den grossen Vor- theil der Uebersicht über ein Material, wie. es uns bei unserer Arbeit zu Gebote stand und wie es wohl schwer- lich anderwärts gerade über Ostsibirien in solcher Fülle vorhanden sein dürfte. Dazu kommt noch, dass das uns vorliegende Pflanzengebiet eigentlich mehrere Pflanzen- gebiete umfasst, so dass uns in den meisten Fallen fast immer mehrere Formen einer Pflanzenart aus oft ganz verschiedenen Localitälen vorlagen. Bei einem Pflanzen- gebiete, welches gleichzeitig europäische und amerika- nische Formen beherbergt, war es unvermeidlich, ja unumgänglich nóthig, sowohl das einschlägige Pflanzen- material aus beiden Erdtheilen, als auch die vorhandene Litteratur darüber zu vergleichen. Leider wer es uns, was Litteratur betrifft, nicht vergónnt, alles Erschienene benuzen zu kónnen und bedauern wir namentlich sehr, | 192 nach einer Arbeit Oerstedt’s: «Adumbratio generis Vi- burn» vergebens gestrebt zu haben! Wir beschränkten uns bei Aufzahlung der Arten: 1) auf “das Citat aus Candolle’s Prodromus und aus Ledebour’s Flora rossica; 2) auf das Citat der Schriftsteller, sowohl vor, als nach Ledebour, welche Beiträge zur Flora Ostsibiriens und der angränzenden Gebiete gegeben haben; 3) auf das Citat der Monographen der uns zur Bear- beitung überlassenen Pflanzenfamilien und Gattungen; 4) auf das Citat der Autoren der Scandinavischen, Deutschen und Nordamerikanischen Floren; 5) auf Angabe des Fundorts, der Blüthezeit und des Sammlers. Diagnosen, Beschreibungen und Abbildungen wurden nur bei neuen (und den ihnen zunächst stehenden) Arten gegeben. FERDINAND von HERDER. St. Petersburg, d. ?/,, Februar 1864. ELIT CAPRIFOLIACEAE DC. SAMBUCEAE H. В. К. 1. Adoxa Moschatellina L. DE. Prodr; ТУ. pag. 252. Ledeb. fl. ross. ИН р 382. Toscz- fly Бас. dab: ТГ pass 515. Во ew bib И. aram p. 99. Maxim. Primit. p. 135. Rupr. Fl. Samojed. Cisu- ral. p. 37. Rehbch,fl. germ. XVII. p. 83. t. MCEXXII. iR 18. Ат Amur zwischen Ust-Strelotsehnaja und der Mün- dung des Flusses Dseja, «Inselpflanze mit Smilacin» am 31 Mai 1857; im Burejagebirge im Dalbatschethal am 9 Mai 1858 blühend; auf dem Berg Munku-Sardyk 1859 (Radde.); in Ostsibirien (Stubendorff.); bei Ochotzk (Kruhs se), bei Irkutzk (Haupt), bei Krasnojatsk (Turezaninow) A. Mosthatellina scheint nach einem von Parry 1861 im Colorado Territory gesammelten Exeinplar aueh in Nord: westamerika vorzukoinmen. 2. Sambucus racemusa L. DC: Prodr. IV. pag. 323. Ledeb. fl. ross. IL р. 383. Turez. fl. baie. dah. I. pag. 518. Guimp. Abbild. der deutsch. Holzart: t. 35. Jacq. icon. rar. I. t. 59. Bunge enum. plant. in China nase. p. 107. № 193. Rgl. Rach et Herd. Verz. Ostsibir. РИ. p. 15. № 119. Rel. Ten- tam. fl. Ussur. р. 74. Michaux Fl. Bor. Amer. I. p. 181. Torrey and Gray fl. of N. Amer. IL p. 13. Hierher gehórt ohne Zweifel auch die amerikanische Sambucus pubens Michx., wie diess seiner Zeit schon Hooker ünd Trautvetter und Meyer angenommen haben. C. f. Hook. fl. Bor. Amer. I. p. 279 und Florula Ocho- № 1. 1562. 13 194 tensis | phaenogama aut. Trautvetter et Meyer pag. 46. Doch will es uns bedünken, dass die von Hooker für Y. seine var. В angeführten Kennzeichen: «foliis majoribus, D © foliolis 7 oblongis» die Varietät im Ganzen besser cha- rakterisiren (*), als die blosse Pubescenz, welche sehr variabel und an den jüngeren Blüthenzweigen immer mehr ausgesprochen ist, als an den älteren. Sowohl Radde, als auch schon früher Maximowicz haben bald mehr bald minder behaarte Exemplare mitgebracht und zwar letzte- rer auch eine sehr stark behaarte Früchtetragende Form. Ueberhaupt sind die Ostsibirischen Exemplare schon stär- ker behaart, als die aus dem Europäischen Russland, wäh- rend die von den Nordamerikanischen Inseln und von der Colonie Ross schon ganz den Habitus und die Behaa- rung der genuinen S. pubens Michx haben. Dagegen liegt uns auch eine ganz unbehaarte Nordamerikanische Form der S. гасетоза L. von Parry im J. 1861 im Colorado Territory gesammelt vor. Im Burejagebirge am 11 Mai 1858 blühend (Radde); Kamtschatka «prope littora et in campis prope Malka Ko- ralsk» (Stewart), Irkutzk «ubique vulgaris, Maio et Junio florens» (Haupt); Pekin (Kirilow); Sitcha, Kadjak, Alaksa (Bongard, Chlebnikow und Stewart.) Zu S. racemosa L. dürfte auch noch, wenigstens nach einem im Fischer schen Herbarium befindlichen Original- exemplare, die S. praeeox Bernh. gehören. (') Diese Form fällt wahrscheinlich mit der var. у arborescens von Torrey und Gray zusammen; denn dieses Aussehen, sowie über- haupt die reichere Laubtheilung und Vergrósserung des Blattwerks erklärt sich schon aus dem von Michaux angeführten Umstande, dass es meist blüthenlose Aeste sind, welche diese Veränderung zeigen. 195 3. Viburnum Opulus L. DC. Prodr. IV. po 328. Ledeb. fl. ross. II. p. 384. Turez. fl. baie. dah: I. p. 549. Maxim. Primit. p. 139% + Во]. Tentam. fl. ве P 75. Torrey and Gray fl. of a N'vAmer.-H^ р. 17. Hooker il. Вог. Amer Е в. 281. Guimp. deutsch. Holzart. t 39. Guimp. Wind Mob t. 20. Rehbch fl. germ. XVII. p. 84. t. MCLXXI. f. Ш. IV. 4—9. Torrey und Gray ziehen, (und wie wir glauben mit Recht!), V. Охусоссоз Pursh. und V. edule Pursh. nach dem Vorgange Aiton’s als var. В americanum Ait. zu V. Opulus L. Der von Torrey und Gray l. e. hervorge- hobene Unterschied zwischen der europàischen und ame- rikanischen Form ist auch vorhanden; es finden aber Uebergänge statt und einige Exemplare vom Amur (und auch aus dem Caueasus) erinnern schon sehr an die ame- rikanische Form; eonstante und essentielle Unterschei- dungscharaktere, worauf sich Arten gründen liessen, sind aber jedenfalls keine vorhanden. Im Burejagebirge am 20 Juni 1857 in Blüthe (Radde): an der Mandschurisehen Küste zwisehen dem 44 und 45° №. Br. (Wilford); «in Ireutio gubernio hinc inde in, sylvis Junio et Julio florens» (Haupt); «in Davuria chinen- si ad fl. Gau» (Sossnin, Turezaninow). Ausserdem lagen uns zahlreiche Exemplare aus dem Europäischen Russ= land (Pabo), aus dem Altai (Koptjef), aus der Songarei (Schrenk), aus dem Caucasus (Höfft und Wittmann) und aus Kleinasien (Wiedemann und Thirke) vor; Auch in Nordamerika hat V. Opulus einen grossen Verbreitungs bezirk und erstreckt sich dort vom nördlichen Theile Pennsylwaniens, New-Yorks und den Neuenglandstaaten einerseits bis in die nördliehe Zone, andererseits nach 13° 196 — i PUE den Rocky Mountains und nach Oregon hin. Sowohl von Milwankie in Wisconsin (Lapham), als auch vom Frazer- river unter dem 49" N. Br. (Lyall) lagen uns àchte blü- hende und. Frucht-Exemplare von V. Opulus L. vor. a Viburnum pauciflorum Pylaie. Ledeb. fl. ross. IL. р. 386. Torrey and Gray fl. of М. Amer. IL pag. 17. Wurde früher hàufig mit V. acerifolium L., der sie allerdings nahe steht, verwechselt, ist jedoch eine gute Art und durch die von Torrey und Gray 1. с. angegebe- nen Unterschiede deutlich von V. acerifolium L. unter- schieden. Sitcha und Kadjak am 17 Juni in Blüthe (Chlebnikow und Peters); ebendaher Fruchtexemplare (Bongard, Esch- scholtz und Langsdorff). Ausserdem lagen uns vom Nordamerikanischen Contr nent Bluthen- und Fruchtexemplare vom Saskatschawan (Bourgeau), von den Cascade Mountains (Lyall), von den Rocky Mountains (Hall und Harbour) und aus Labrador vor. Auf Tafel I stellt Fig. 3 einen Zweig mit Blüthen von unserer Pflanze dar. Als merkwurdig bleibt nur noch zu erwähnen, dass die Exemplare von Sitcha und Kadjak eine auffallende Robustieität gegenüber den amerikanischen Exemplaren zeigen. 9. Viburnum burejaeticum Rgl. et Herd. Frutex 15 pedalis, parce ramosus, fronde parca vesti- tus. Folia ovato -elliptica, basin versus modo angustata, modo rotundata, subacuminata, crenato - serrata, subtus rugoso- venosa, (nec vere tomentosa), tantummodo pube 197 stellata inprimis ad nervos dorsales petiolosque quasi ^: conspersa, marginibusque ciliata, opposita et petiolata. Cymae densae, pedunculatae, terminales in ramis junio- ribus, compositae ex radiis plerumque quaternis. et uno centrali, omnibus primo subtrifidis, dein: tymose multi- floris. Pedunculi teretes et pube stellata eonspersi, bra- cteis griseis, villosis, marcescentibus et caducis muniti. Flores plerique sessiles. Corolla alba cum laciniis obtusis. Filamenta alba corollam vix superant. Antherae luteae. Germina glabra, oblonga, subcylindrica caliculo quinque- dentato coronata. Вассае initio virides, dein dilute саг- neae vel flavescentes, in sicco atroviolaceae, semen uni- cum compressum, ellipticum utrinque bisuleum includunt. Frutex facie V. Lantanae L., differt inprimis altitudine majore, foliis minoribus et nervatione foliorum. Nervi dorsales enim ramulosi non subito in dentes prodeunt, sed reticulum formantes tarde in dentes evadunt. Floret Junio ineunte. Васса medio Septembris adhuc dilute carnea vel flavescens. Dieser Strauch vurde schon im J. 1856 von Maximo- wiez entdeckt und mitgebracht, aber von ihm als Vibur- num davuricum Pall. in seinen Primitiae Florae Amuren- sis (р. 135. № 349.) aufgeführt. Auch Regel führt die von Maack im J. 1859 gesammelten Exemplare in seinem Tentamen Florae Ussuriensis (p. 75. № 236.) unter dem gleichen Namen auf. Im Bureja- Gebirge d. 27 Mai (8 Juni) 1858 blühend ae d. 28 Mai (9 Juni) 1859 ebenfalls bluhend und . 15 (27) Sept. mit Früchten (Maack). Rare. Ро, ба und 9 gibt, die Darstellung eines Zweiges mit Blüthen, den Blattnervenverlauf und Früchte 198. - unserer Pflanze; о auf Fig. d und с den Blattner- venverlauf und eine Frucht von V. Lantana L. (') Unser Strauch bildet nach Maack’ s Angabe Baume von 3 Zoll im Durchmesser und 3-4 Faden, d. В. bis zu 15 Fuss . Höhe, während у. Lantana L., dem sie zunächst steht, _6—8 Fuss, selten 10 Fuss hoch wird, Im Uebrigen, na- mentlich im Habitus, in der Verästelung und Belaubung hat unsere Pflanze die meiste Aehnlichkeit mit V. Lan- tana L., mit dem es auch der Blüthenform wegen zur gleichen Abtheilung Lentago DC. gehört. Die Blätter sind eiförmig-elliptisch, gegen den Grund zu bald verschmä- lert, bald zugerundet, mit Kerb-Sägezähnen versehen. Die Blätter sind aber kleiner als die von V, Lantana L. und zeigen auch eine ganze andere Art der Behaarung, als diese Pflanze; denn während bei V. Lantana L. die (') Viburnum Lantana L. Frutex 6—8, rarius 10 pedalis, parce ramo- sus fronde parca vestitus. Folia ovato-oblonga, basi subcordata, ar- gute dentato-serrata, acuta, subtus rugoso-venosa, pube stellata furfuraceo-tomentosa, ad nervos dorsales brevissime pilosa, supra pube stellata sparsa puberula, opposita et petiolata. Gymae den- sae, pedunculatae, terminales in ramis junioribus, compositae ex radiis plerumque senis et uno centrali, omnibus primo subtrifidis, dein cymose multifloris. Pedunculi teretes et villosi, bracteis su- bulatis, marcescentibus et caducis adstantibus. Flores plerique pe- dunculati, pauci sessiles. Corolla alba cum laciniis obtusis. Fila- menta alba corollam superant. Antherae luteae. Germina oblonga, glabra, valde compressa. Baccae initio virides, dein rubrae, de- mum nigrae, ovatae compressae calyce erecto coronantur. Floret Majo ineunte. Bacca sub finem Julii rubere incipit, sub finem Au- gusti atrum induit colorem. — In sepibus, sylvis collibusque Euro- pae, Rossiae mediae et australis, Tauriae et in provinciis Caucasi- cis. In Sibiria autem nondum visa est. — C. f. Jacq. Fl. Austr. IV. p. 21. t. 341. Schkuhr Handb. t. 81. f. e, f, g, ^. Guimpel Holz- gew. p. 41. t. 31. Krebs Holzart. p. 454. t. 137. DC. Prodr. IV. p. 326. N 23. Koch Syn. edit. I. p. 324. Gren. et Godr. Fl. de France И. p. 8. Ledebour Fl. ross. II. p. 385. Regel Gartenflora XI. p. 408. t. 384. f. b, c. mo xe ^ TM Blätter, nomen an der Unterseite uid HE Aeste von dem sternfórmigen Flaumhaare fast filzig bedeckt sind, erscheinen die Blattstiele und die Unterseite der Blatter unserer Pflanze, letztere zumeist: oder fast ausschliess- lich an den Blattrippen von dem sternförmigen Flaum- haare wie besprengt oder bestreut. “Auch die Nervatur der Blätter ist eine andere als bei V. Lantana L., indem die Blattrippen bei unserer Pflanze nicht so stark hervor- treten und auch nicht sofort in die Stachelspitzen der Zähne verlaufen, sondern ein Nervensetz bilden, welches erst wieder seine Ausläufer in die hier übrigens nicht stachelspitzigen Zähne der Blätter entsendet. Die Blätter sind gegenständig und gestielt und stehen gewöhnlich dichter beisammen als bei V. Lantana L., welche Blatt- stellung denn auch dem Strauche einen von jener Pflan- ze etwas verschiedenen Habitus ertheilt. Die dichten und gestielten Blüthentrugdolden stehen meist endständig an den jungen Zweigen und erscheinen meist aus 4 seitlichen und einem centralen Hauptblüthenstiel zusammengesetzt, während V. Lantana L. deren meist 6 und einen centralen hat. Die einzelnen Trugdöldchen stehen meist dreispaltig, aber auch mehrblüthig beisammen. Die Blüthenstiele sind rund und mit graulichen, zottigen, verwelkenden und hinfälligen Deckblättern versehen; die Blüthen, welche nur ein Bischen kleiner als die von V. Lantana L. sind, sitzen meist unmittelbar auf den Trugdoldenstielchen der zweiten Ordnung auf, während die von V. Lantana L. meist noch eigene Stielchen haben. Die Blumenkrone ist weiss mit stumpfen Zipfeln. Die weissen Staubfäden überragen nur um ein kleines die Blumenkrone, während sie bei V. Lantana L. bedeu- tend länger sind. Die Staubbeutel sind gelb wie bei V. Lantana L. Die kahlen, länglichen und walzenförmigen E MIT 200 = Fruchtknoten ‘sind von dem fünfzähnigen Kelche gekrônt ' ^ und sehen: denen von V. davuricum Pall. ziemlich ähnlich. BL я E Die anfänglich "grünen „Früchte waren nach Maack’s Angabe noch Mitte, :resp. Ende September Theils hell fleischfarben, theils gelblich; getrocknet sehen sie jedoch dunkel-violett aus. : Die Blüthezeit unserer Pflanze scheint nach Radde’s und Maack’s übereinstimmenden Notizen Ende Mai, resp. Anfang Juni zu sein; denn ersterer fand sie den 27 Mai (8 Juni) 1858, letzterer den 20 Mai (9 Juni) 1859 in Blüthe. Die Blüthezeit von Y. Lantana L. ist in Deutschland Anfangs Mai, in St. Petersburg aber, wo es in Parkan- lagen angepflanzt, häufig vorkommt, Anfangs Juni. Dage- gen scheint die Fruchtreife bei У. Lantana L,, selbst in Petersburg, eine fruhere zu sein, als die von unserer Pflanze, denn auch die am Spatesten gesammelten Frucht- exemplare, welche uns von Maack vom */,, Sept. 1859 vorliegen, scheinen noch nicht ganz reif gewesen zu sein; und Maximowiez fand den '/,, August nur Exemplare mit unreifen, rothen Früchten. 6. Viburnum davuricum Pall. Pall Al. ross: E p. 39. t 38 ша p. в f. Е. G. Pall. Itin. App. p. 721. № 76. Gmel. Fl. Sibir. HH. p. 135. №8: В XXY- Tedeb, PU ' ross. IPS pe eos ВС. Prodr. IV. р. 328^ Turez. FT, baje. dahur- Ip PE (Nec Maximowiez Primit. pag. 135!, nec Regel Tentam, Bla Wisc Oy ras Sterile Exemplare, den 14 Juni 1856 an Felsen in Davurien zwischen den Flüssen Argun und Gasimur ge- sammelt (Radde); ausserdem Blüthen- und Fruchtexem- 201 plare aus dem Davurischen Gebirge (Turezaninow). Auf: Tafel I stellt Fig. 2 und e einen Blüthenzweig unserer Pflanze dar. m 7. Lonicera Xylosteum Г. L. spec 245. DE. Prodr №, p. 3395 Laer! fl. ross. П. р. 388. Guimp. Deutsche Holzart. tab. 9. Kirilow Lonicer. pag. 36—41. Regel Tentam. Fl. Ussur. р. 75. Rehbch fl. germ. XVII. р. 86. t. 1174. f. I. II Fruchtexemplare, den 29 Juli 1859 am Sungatschi von Maack gesammelt. Bildet dort bis zu 1 Faden hohe Sträucher. Ausserdem liegen uns aus dem Bereiche des, von Le- debour nicht benutzten und citirten Russischen Pflanzen- materials, Blüthen- und Frucht-Exemplare aus der От- gegend von Petersburg von Prescott und С. A. Meyer; aus dem Ural (Bogoslawsk und vom Taganai) von Helm und Basiner, Bluthenexemplare den 4 Juni 1817 bei To- bolsk von Haupt «in locis apricis montosis» gesammelt und Bluthenexemplare bei Mohilew den 22 Mai 1851 und am Don den 14 Mai 1856 von Pabo gesammelt vor. 8, Lonicera chrysantha Turcz. Turez. Cat. Baical. № 560. Ejusdem Fl. Baical. Da- hur, L p. 522. Ledeb. Fl. ross. II. p. 388. Kirilow Lo- nicer. p. 23—26. Ruprecht pl. Maxim. p. 430. No 32. (= Xylosteum gibbiflorum Maxim.) Regel Vegetations- skizz. p. 488. (= Lonicera Xylosteum L. В chrysantha Rgl.) Ruprecht pl. Maack. р. 547. № 54. Regel Tent. fl. Ussur. p. 75. Regel et Tiling fl. Ajan. p. 100. Ma- ime, Brimit.. pi, 435. Am Amur im Burejagebirge den 18 Mai 1858 in Blu- the (Radde); den 27, 28 und 30 Mai 1859 im Bureja * 202 | (Chingan) - Gebirge in voller Blüthe, wo es nicht sel- ten «2 Faden hohe Sträucher» bildet; den 13 Juni 1859, verblüht und mit Fruchtansatz, an der Ussurimündung; den 26 August 1859, sterile, mit sehr grossen Blättern versehene und ‘bis 1 Faden hohe Sträucher, am Sun- gatschi und den 15 Sept. 1859, mit gelblichtem Laube und reifen, rothen Früchten, am Cap Uang-baboso (Maack). Diese Pflanze, welche fruher stets mit Г. Xylosteum L., mit der sie auch viele Aehnlichkeit hat, verwechselt und auch noch von Regel für eine Varietat von L. Xy- losteum L. gehalten wurde, von welcher Ansicht der- selbe später jedoch wieder abgekommen ist, scheint eine ziemlich grosse Verbreitung zu haben. Sie kommt nam- lich nicht nur im östlichen Davurien, wo sie von Tur- ezaninow zuerst entdeckt wurde, am obern und unteren Amur und am Ussuri häufig vor, sondern auch in der Küstenregion (Coast of Mandshuria Lat. 44 — 45° N.), wo sie von Wilford im J. 1859 gefunden wurde und auch, wie es scheint in ganz Nordchina vor, denn es liegen uns auch daher Exemplare von Kirilow, Tatari- noff und Turezaninow vor. Eine im Fischer’schen Herbar befindliche und, wie es scheint, von Steven im Caucasus gesammelte und von Fischer als L, Steveniana bezeichnete Pflanze, welche, was Blattform und Behaarung betrifft, der L. chrysantha Turez. sehr nahe steht, hat sich bei näherer Untersu- chung doch nur als eine Form von L. Xylosteum L. er- wiesen. 9. Lonicera chrysantha Turcz. В subtomentosa Rupr. Diese von Maack auf seiner ersten Reise zuerst mit- gebrachte und durch ihre eigenthümliche, fast filzige Be- haarung ausgezeichnete Form wurde auch von Radde _ 903 neuerdings mitgebracht und zwar sowohl Blütheriexem- plare (18 Mai 1858), als auch Fruchtexemplare (18 Juli 1857) aus dem Chingangebirge. ^ Fig. 5 auf Tafel I stellt einen Blüthenzweig, E 9 eine einzelne Blüthe und Fig. A еше Doppelfrucht von L. chrysantha Turez., alle m natürlicher Grôsse, dar. Fig. 4 auf Tafel I stellt einen Bluthenzweig und Fig. f eine Doppelfrucht der auch der L. chrysantha Turez. na- he verwandten L. Karelini Bnge dar, welche in der Son- gorischen Kirgisensteppe zu Hause ist. Cf. Kirilow Lo- nicer. p. 33—36. 10. Lonicera Maximowiezu Rupr. Ruprecht pl. Maxim. pag. 431. № 33. Ruprecht pl. Maack. pag. 549. № 56. Maxim. Primit. p. 137 — 139. Regel Tentam. fl. Ussur. p. 75. Den 15 Aug. 1859 in morastigen Niederungen am Keng- kasee und den 25 Aug. 1859 am Sungatschi, (Fruch- exemplare von Maack.). Auch Maximowiez fand diese Pflanze, welche gleich- sam in der Mitte zwischen L. alpigena L. und L. cau- casica Pall. steht, nur an dem unteren Amur, von der Mündung dieses Flusses an bis zur Mündung des Ussuri. Ausserdem liegt uns ein von C. Wilford an der Küste der Mandschurei zwischen dem 44 und 45° N. Br. im J. 1859 gesammeltes Exemplar unserer Pflanze vor, woraus hervorgeht, dass sie auch der Küstenregion angehórt. Fig. 6 auf Tafel II stellt einen Blüthenzweig und Fig. d auf Tafel II eine einzelne Blüthe von L. Maximowiezii, beide in natürlicher Grósse abgebildet; Fig. 5 einen Blü- thenzweig und Fig. c eine Doppelfrucht von L. alpigena dar. "x : E | +” a N UU м 204 EL an Tue Mauckii shit recht pl. NS Qu 948. N 33. Maxim. Primit. ф. 136. ae Blüthen-, resp. ла von Maack bé Sai- fun am Ussuri den 26 Mai 1859 und eben solche von Fortune. in Nordchina 1845 gesammelt. Scheint unter den am Amur vorkommenden Loniceren die seltenste zu sein; denn sie wurde fruher auch erst einmal von Maack, und zwar damals unterhalb des Chingangebirges am linken Amurufer aufgefunden. Die damals am 23 Juni gesammel- ten Exemplare waren bereits abgebluht, wahrend die uns jetzt vorliegenden noch nicht aufgebluht sind. Am näch- sten, namentlich was Blattform betrifft, scheint sie der Lonicera chrysantha Turez. zu stehen, ist aber schon durch ihre viel kurzeren Blüthenstiele deutlich von die- ser Pflanze unterschieden. Fig. 4 auf Tafel II stellt einen Blüthenknospenzweig -von L. Maackii dar. 12. Lonicera caerulea L. L. spec. 249. DC. Prodr. IV. р. 337. № 44 — 47. Ledeb. fl. alt. I. р 247. Ledeb. icon, fl. ross. t. 131. Ledeb. fl. ross. pag. 390. Pall. fl. ross. p. 58. t. 37. Jaeq. fl austr. V..p. 35. app. t, 17. Koch Syn, p 9 Guimp. Deutsche Holzart. p. 20. tab. 11. Bot. Mag. t. 1965. Krebs Holzart. р. 173. tab. 45. Rehbch. fl. germ. AWAL pag. 97 & 4475. f. I. Hook В. Бог. ame p» 283. Torr. et Gray 1. c. IL pag. 9. № 14. Torrey fl. New-York I. pag. 299. Kirilow Lonicer. pag. 51 — 56. Turez. fl. baical. dahur. I. p. 523. Walp. Rep. IL pag. 450. Beiträge zur Pflanzenkunde des Russ. Reiches ll, Lief. Ruprecht fl. Samojed. Cisural раз. 37. № 139, "e от fl. Eng. pag. 485. о о. zu Ark t Uralgebirge II. p. 504: № 104. Middendorff Sibir. Reise. Pl. Ochot. p. 48. № 164. Plant, Jenissenses pag 174. Linnaea Ш. р. 138 et VI. р. 591. Ruprecht pl. Maxim. p. 430. № 31. Ruprecht pl. Maack. р. 547 A 53. -Rel. Rach et Herd. 1. с. р. 15. № 118. Во]; et И. Ajan. р. 100. № 142. Maxim. Primit. p. 139. № 355. Turezaninow und nach ihm Kirilow unterscheiden drei Varietaten namlich: a.) foliis supra demum glabris, oblongo-ellipticis, ramis junioribus subglabris, filamentis corollam superantibus aut adaequantibus, glabris, rarius pubescentibus, baceis elli- ptico-cylindricis, amaris. (= L. eaerulea L. var. glabres- cens Rupr. ); 6) folis ellipticis, utrinque pilosis, ramulis junioribus hirsutis, filamentis corolla subbrevioribus, corollis pubes- centibus, baccis subglobosis, amaris. (= L. altaica Pall. = P РаПази Вебеь. ); Y) folis oblongis, utrinque pubescentibus, ramulis ju- nioribus hirsutis, filamentis corolla longioribus, сого $ pubescentibus, baccis oblongo-obovatis, duleibus et edu- libus (= L. edulis Turez.). Doch bemerkt schon Turezaninow mit Recht, dass Zwischenformen dieser Varietäten sowohl in Davurien, als insbesondere auch im nördlichen Theile von Ostsi- birien nicht selten seien. Er hat hiebei wahrscheinlich diejenige Form im Auge gehabt, von der auch Maximo- wicz bemerkt, dass sie gleichsam die Mitte zwischen der var. & Turez. und der var. y Turez. halte. Diese Form, welche sowohl am Amur als auch in Kamtschatka die haufigste zu sein scheint, und welche Fischer in seinem que ae 206 Herbarium als Xylosteum molle mihi bezeichnete, dürfte wohl mit der Varietät zusammenfallen, welche Torrey und A. Gray (1. с.) als «В villosa: branches and both surfa- ces of the leaves densely villous-tomentose; limb of the calyx mostly: ciliate» bezeichnen. Wir unterscheiden dem- nach: var. & Turez. = var. glabrescens Rupr. Diese Form scheint weniger an bestimmte Gegenden gebunden zu sein, als die drei andern Varietäten. Radde sammelte Blüthenexemplare dieser Varietät in den Saja- ner Alpen an den Quellen des Flusses Irkut auf dem Ber- ge Munku Sardyk und 200 Werst von Irkutsk den 25 Mai (6 Juni) 1855; ebenso Stubendorff den 28 Mai 1845 an der Chorma in Ostsibirien. Ausserdem liegen uns Blü- then- und Frucht-Exemplare dieser Varietät aus Trans- baikalien, von Ochotsk, aus dem Altai, aus dem Euro- päischen Russland, aus Deutschland und aus Nordameri- ka vor. Var. ß Turez. = L. eltaica Pall. = L. Pallasu Ledeb. Diese Form scheint hinsichtlich ihres Vorkommens auf Sibirien beschränkt zu sein; ihr Centrum ist der Altai und das Sajangebirge. Radde sammelte Fruchtexemplare dieser Varietät am Baikalsee im J. 1855 und in den Sajaner Alpen an den Quellen des Flusses Irkut auf dem Berge Munku Sardyk im J. 1859; Stubendorff und Paulowsky Blüthen- und Fruchtexemplare in Ostsibirien; ebenso Haupt bei Irkutsk. Ausserdem lagen uns noch Blüthen- und Fruchtexem- [»] plare von Sosnin bei Nertschinskoi Sawod, von Mardow- kin und Salenow im Altai, von Sehrenk in den Karkara- lvbergen, von Politow an der Tsehuja und die Original ybergen, 8 207 pflanzen, sowohl von Pallas (mit der Bezeichnung: «L. pyrenaica»), als auch von Ledebour vor. И Ра © Титей == №. eduhs rez: | Radde sammelte Blüthenexemplare dieser Form den 23 Mai 1857 am Ufer der Schilka, dessgleiehen «Paulowsky am Flusse Artiok in Ostsibirien, Pflugradt in Davurien und Koptjef in Transbaikalien; Fruchtexemplare sammelte Pau- lowsky am Flusse Sibagli in Ostsibirien und Sosnin in Davurien. Hierher gehören auch die eigenthümlichen ste- rilen Zweige, welche Sensinoff bei Nertschinsk gesam- melt hat. Diese Form scheint, auch nach den Originalexempla- ren von Turezaninow, ihr Centrum in Davurien und Trans- baikalien zu haben. Var. villosa Torr. et Gray. = Xylosteum molle Fisch. in herb, = X. villosum Michx. = Lon. velutina DC. Bluthenexemplare, von Eschscholtz, Kusmischtscheff, Langsdorff, Mertens, Rieder und Stewart in Kamtschatka gesammelt, wo sie nach Rieders und Stewarts Angaben sehr häufig ist; eben solche von Walront bei Ochotzk, vom Baron Maidel, von Petrof und von Podgorbunsk im J. 1862 bei Wiluisk und von Schachurdin an der untern Lena im J. 1862 gesammelt. Hierher gehören auch die Fruchtexemplare, welche Paulowsky bei Nelkan, Kruhse zwischen Wiluisk und Olekminsk, Tilesius in Transbaika- lien und die, welche Maximowiez den 27 und 30 August 1854, den 21 Mai und 1 Juni 1855 und den 2 Juni 1856 am Amur gesammelt hat, Aber auch anderweitig kommt diese Form vor. So liegen uns Blüthen- und Frucht- Exemplare, von Haupt bei Tobolsk im J. 1820 (wo sie Ende Mai blühte und Ende Juni Früchte reifte) gesam- 208 melt vor. Haupt nennt die Blätter seiner Pflanze aus- drucklich: «tomentosa utrinque; omnis planta hirsuta». Kühlewein sammelte Fruchtexemplare dieser Form bei Petersburg, Anderson bei Dalarne in Schweden. Ein ste- riler, aber sehr stark behaarter Zweig liegt uns aueh aus Nordamerika von Prescott bei Anteleva gesammelt vor. Fig. | auf Tafel III stellt emen Blüthenzweig, Fig. 2 einen Fruchtzweig und Fig. a das Bruchstück eines ste- rilen Zweiges von L. caerulea L. var. edulis Turez. dar. Fig. 3 auf Tafel Ш stellt einen Blüthenzweig und Fig. 2 das Blatt von einem Fruchtzweige von L. eaerulea L. var. villosa Torr. et Gray dar. 13. Lonicera Chamissoi Bunge = L. Riederiana Fisch. in herb. . Kirilow Lonicer. p. 26—30. Rglet Til. fl. Ajan. р 99. № 141. Middendorff Sibir. Reise, fl. Ochot. pag. 48. № 163. Maxim. Primit. p. 136. № 353. Blüthen= und Fruchtexemplare von Eschscholtz, (von Ledebour in seinem Herbarium und in seiner Flora Ros- sica als L. nigra L. bezeichnet!), von Kusmischtscheff, Mertens, Peters, Rieder und Stewart in Kamtschatka ge- sammelt, ferner Blüthenknospenexemplare, aus dem Herb. Pallas ins Herb. Fischer übergegangen, von den Kurili- schen Inseln. Im Herb. Fischer lagen sie mitten unter L. caerulea. Rieder's Exemplare, die er als L. orientalis Lam, bezeichnet hatte, stammen von drei verschiedenen Standorten, mit der Bezeichnung: «auf Bergen und Ebe- nen häufig». Hierher gehört auch ein Blüthenexemplar aus dem Herb. Fiseher mit der Bezeichnung: «Lonicera e coll. Billingsiana usque in Kamtschatkam et in iusulas Kur. visa». Letzteres und die Exemplare von Pallas sind die 209 ältesten in unserem Herbarium. Fischer scheint auf die Pflanze erst durch die Exemplare aufmerksam geworden zu sein, welche er von Rieder erhielt und die er nach ihm L. Riederiana nannte, welchen Namen er aber nie- mals veröffentlichte. Fig. 1 auf Tafel II stellt einen Blüthenzweig, Fig. а eine einzelne Blüthe und Fig. 2 einen Fruchtzweig von L. Chamissoi dar. Fig. 3 auf Tafel II stellt einen Blüthenzweig und Fig. 6 eine einzelne Doppelfrucht von der, der L. Chamissoi | Bnge am Nächsten verwandten und mit ihr verwechsel- ten, L. nigra L. dar. 14. Linnaea borealis L. = L. serpyllifolia I. Bauh. Eine В. Lapp. pag 206 — 208. № 250. t. 12. [4 Linne fl. Suec. t. 1. DC. Prodr. IV. p. 340. Ledeb. fl. aliu 404. Ledeb 1 moss: ПШ р. 392) Koch Sym: p20. Wahlbre fl^ Lapp. pag. 170. № 3432. t. 9. Г boschitz et Trin. Petersb. pag. 93 — 96. t. 31. Schkuhr Handb- t 176. Engl: Bot 7. 433. Fl. Dan! 4. 3. Sturm Fl. 5. 17. Dietr. fl. bor. 4. 217. Rehbeh fl. germ. XVII. pases. 011120. 1 Томеу eb Gray re. MT. pass! 3. Turez. 1 ©. Ё pag. 525. Linnaea IM. p. 137. Schrenks heise Il. pag. 504. № 105. Meinshausen Beitr. pag. 54. № 157. Bel et Til. l. e. pag. 105. № 144. Rel., Rach CHE Cp Abo 417 Maxima: Prat p! 139. № 356. Ruprecht fl. Samojed. Cisural. p. 38. № 141. Ruprecht fl. Ingr. p. 486—488. Radde sammelte Blüthenexemplare dieser niedlichen Pflanze am Baikalsee den 15 Juli 1855, dessgleichen Sen- sinoff im J. 1847 bei Nertschinsk; Sosnin in Davurien; Eschscholtz, - Kusmischtscheff, Levicky, Mertens, Peters und Rieder in Kamtschatka; Walront bei Ochotzk; Chleb- № 1. 1864. 14 | а. nikow auf der Insel. Sitcha und Eschscholtz am Kotzebue- SUN A 5 ait iO MEM Ausserdem liegen uns Blüthenexemplare von Gebler, Haupt, Koptjef, Schangin, Schrenk und Vlassoff aus dem - Aliai;.aus der Umgebung von Petersburg von Verschie- denen; aus Schweden von Nyman; aus Norwegen von Deinbóll; aus den Wallisser Alpen von Reichenbach fil.; aus dem Oberengadin von O. Heer vor. Vor uns hatten wir ferner die amerikanische Form von L. borealis in Exemplaren aus Canada von Goldie, aus Wisconsin von Lapham, vom Saskatschewan von Bour- geau und von den Cascade Mountains im Oregongebiete von Lyall. Diese amerikanische Form ist vor allen den europäischen und nordasiatischen Formen, welche uns vorlagen, durch die eigenthumliche drusige Behaarung der Bluthenstiele und durch grössere Blatter ausgezeich- net, im Uebrigen aber identisch mit der genuinen L. bo- realis L. RUBIACEAE. 15. Rubia сотафойа L. Ledeb. fl. ross Il. pag. 405: DC. prodr. ТУ. р. 588% Willemet monographie de la famille des plantes étoilées pag. XXII. Roxb. fl. Ind. I. pag. 374. Bunge enum. pl. chin. p. 35. № 200. Turez. enum. chin. № 95. Turez. Я. baical. dähur. I: р. 598. Pallas Reisen. Ш. pri: tab L. fig 1. Wight icon. plant. Ind. orient. L tab 187. Wight illustr. of Ind. bot. II. p. 83. tab. 128. bis fig. 1. Maxim. primit. р. 139. № 357. Regel tentam. fl. ussur. р. 76. № 249. Wir unterscheiden mit Maximowiez und Regel die Wie- sen- und Waldform. Radde hat Blüthenexemplare von bei- den mitgebracht, und zwar: ol... dM x pratensis Maxim. 1. c. tm = | Davurien, zwischen den Flüssen Argun und Gasimur, Juni 1856. ; B sylvatica Maxim. 1. c. | Aus dem Chingan- oder Burejagebirge, wo sie allge- mein verbreitet zu sein scheint, den °/,, Juli 1857 und im Sommer 1858. Dieselbe Form hat auch Koptjef aus Transbaikalien mitgebracht. R. cordifolia hat, wie schon Willemet bemerkt (*), einen ziemlich grossen Verbreitungsbezirk. In unserm Herbar finden sich ausser den von Turezaninow, Maximowicz, Maack, Radde und Koptjef gesammelten: Pflanzen, noch Exemplare aus Davurien von Vlassoff und Rytschkoff, aus der Umgegend von Pekin von Kirilow, aus der Chine- sischen Mongolei von Bunge. Was die indischen und afrikanischen Formen betrifft, so scheinen sie mir alle zu В cordifolia zu gehoren, und zwar gehórt hierzu auch Alles, was unter dem Namen R. Munjista Roxb. von indischen Formen sich in unserem Herbar befindet, so namentlich Blüthenexemplare aus dem Himalayan Herbarium, von Strachey und Winterbottom ge- sammelt in Kumaon in einer Hóhe von 5000 bis 7000 Fuss; desgleichen Exemplare aus Bheembal, den 10 März 1845, von Jameson, aus Tagabas von Cuming und aus Nepal von Heyne. Auch die von Drége am Cap gesam- melte Pflanze ist eine ächte В. cordifolia. Was endlich die abyssinische Form betrifft, welche Turezaninow als R. discolor beschrieben hat, so móchten wir sie Jetzt um () Anmerkung. Willemet bemerkt hierüber l. c. «Elle est rare en Europe, on la trouve dans la Sibére, mais elle est trés commu- ne aux Indes orientales, au Japon, en Chine et dans l'Afrique. Les Japonais s'en servent dans la teinture. 14* | 212 so "weniger für eine gute Art halten, als uns Exemplare aus Indien, in einer Höhe von 11500 bei Niti im Garh- wal von Strachey und Winterbottom gesammelt vorliegen, ‚welche, was die Behaarung der unteren Blattseite betrifft, 4 ‘ + . einen vollständigen : Uebergang zu der ausgezeichneten = abyssinischen Form (В. discolor Turcz.) bilden. Von die- ser selbst liegen uns. sowohl die Originalpflanzen von Schimper, am Berge Scholoda den 23 October 1837 ge- sammelt vor, als auch andere Exemplare der gleichen Form, welche im J. 1844 im Auftrage des Pariser Mu- seums von Quartin-Dillon und Petit in Abyssinien gesam- melt wurden. Exemplare aus Japan, wo die Pflanze, wie Willemet berichtet, zum Färben benützt wird, liegen uns leider nicht vor, so dass wir nicht im Stande sind zu entschei- den, ob die von Willemet in Japan erwähnte Pflanze eine ächte В. cordifolia L. ist, oder nicht vielmehr ти В. pe- tiolaris ПС. zusammenfällt, welche, nach den uns vom Cap vorliegenden Exemplaren, eine gute und vonR. cor- difolia L. verschiedene Art zu sein scheint. 16. Galium Aparine L. Ledeb. fl. ross. П. pag. 419. DC. prodr. IV. р. 608. Koch. Syn. edit. I. p. 330. edit. I. p. 384. Willemet monogr. р. XXV—XXIX. Torrey et Gray |. c. II. p. 20. Torrey New-York I. р. 302. A. Gray s man. of bot. rev. edit. pag. 169. Hook. fl. \bor. amer. I. р. 230223 Bigelow fl. Boston. edit. II. pag. 57. Gay Historia de Chile Bot. Ш. р. 190. Bentham fl. Hongkong. р. 164. Engl. Bot. tab. 816, tab. 1871 et tab. 2943. Rchbch. fl. germ. XXVII. pag. 94. tab. 1197. Waldst. et Kit. 1. с. Ш. tab. 202. Coss. et Germ. fl. par. tab: 23. №. ie. 1—6. Gren. et Godr. fl. fr. IL p. 43. Turez. fl. baical. à , s VAE Br D i oris 213 vile И =: НЕС MR A dabur. I. pag. 531. Linnaea lll; pag-92927 Jul, digo el Herd. 1. e. pag. 14.` № 114. Maxim. primit. pag. 141. № 362. Rupr. fl. Ingr. р. 493—495. d Mir betrachten mit Koch und Ledebour (D Vaillantii DC., (= С. agreste « echinospermon Wallr. = G. test P Waldst. et Kit. = G. hispidum Roth.) nur als eine Form von G. Aparine L. Sie scheint, wie schon Turezaninow angibt, nicht nur in Davurien und in Baikalien, sondern auch am Altai, ja selbst um Petersburg herum zu pra- valiren; erst am Amur, in Korea, in Nordostsibirien, in Kamtschatka und auf Unalaschka scheint die grossfrüchti- ge und überhaupt robustere Form, das eigentliche G. Aparine L., wieder häufiger zu werden, wie sie es auch in Nordamerika zu sein scheint. Wir unterscheiden demnach: a genuinum. Blüthenexemplare aus Kamtschatka (Kusmischtscheff); Fruchtexemplare und sterile Exemplare aus Unalaschka (Mertens); aus Sitcha (Chlebnikow, Kastalsky, Peters und Stewart); und von der unteren Lena, den 21 Juni 1862 gesammelt (Schachurdin). B Vaillantü Koch |. c. Fruchtexemplare den 7 Juli 1855 am Baikal-See ge- sammelt (Radde); aus Kamtschatka (Kusmischtscheff); aus Unalaschka (Eschscholtz); und von Siteha (Mertens und Wrangell). ‘Hierher gehört auch G. Pseudoaparine Griseb. ('), wel- ches J. D. Hooker in seiner Flora Antarctica, I. 2. pag. (') Cf. Grisebach's systematische Bemerkungen über die beiden ersten Pflanzensammlungen Philippi’s und Lechler's im südlichen Chile und an der Magelhaens-Strasse. pag. 37. № 29. x. » L thy m + Ms. 308, mit Recht zu G. Aparine L! zieht. Abgesehen da- je = р ie “= von, dass die Unterscheidungsmerkmale, worauf Grise- bach seine neue Art stützt, uns gar keinen Artunter- schied zu begründen scheinen, fehlt an unserem Original- . exemplar (pr. Sandypoint in sylvis m. Jan. № 1907) “einer der Hauptunterschiede Grisebach’s, denn unser Exemplar hat deutliche nodi incrassati. Ueberdiess ist G. Aparine in allen gemässigten und kalten Himmelsstrichen verbreitet und an vielen Orten, wie auch Torrey, Gray und Bentham vermuthen, J. D. Hooker aber zu bezwei- feln scheint, wahrscheinlich von den Europäern einge- schleppt, so dass ihr Vorkommen in der Terra del fuego ebensowenig etwas Auffallendes hat, wie ihr Vorkommen bei Conception an der Küste Chili's (Cf. Botany of Capt. Beechey's Voyage р. 27), oder an der Küste Mexiko's (Ibidem р. 295), oder an der Küste von Californien, oder bei Hongkong in China. Y spurium Koch ]. c, Von dieser Varietät liegen nur Exemplare aus dem . Altai und aus dem Caucasus vor. № o tenerum. G. tenerum Schleich. ist, wie schon Koch (1. в.) be- merkt hat, ebenfalls nur eine Form von G. Aparine L., und zwar wie uns bedünken will, eine Schattenform; we- nigstens stammen die uns yorliegenden Exemplare meist aus solchen Localitäten. Dass ubrigens diese Form, wie ebenfalls schon Koch bemerkt hat, in die genuine Form, (und ebenso umgekehrt) übergeht, haben wir ebenfalls an den im Garten cultivirten Exemplaren von G: Apari- ne beobachtet. xd Nl u 17, Calan üliginosum L. "Ledeb. fl. ross. I. pag. 408. DC. prodr. DV в. 597. Koch Syn..2-te Ausg. p. 385. -Willemet monogr. р. XL. Engl. Bot. 28. tab. 1972. Rehbch fl. germ, ХУН. p.95. tabz 4199. fig. IL et tab. 41194.) 651.43, 14, 197 Cosst? ei*Germi? fl. par. pl. 23. В. 1579 Cren. set Codr. fl. re №. р: 40. Turez. fl. Баса dahur, № р. 530. Rupr. fl. Samojed. Cisural. р. 38. № 443. Rupr. fl. Ingr. р. 495. № 293. Meinshausen |. с. p. 54. № 160. Bluthenexemplare aus der Gegend von Krasnojarsk (Turezaninow); von Irkutzk und vom nördlichen Baikal- ufer (Schangin); und von Wiluisk (Baron Maidel). 18. Galium palustre L. bedeb. fl moss. Il. p. 408. DC. prodr. LV. р 092. Koch Syn. 2-te Ausg. p. 385. Willemet monogr. p. XLIV. Engl. Bot. tab. 1857. Coss, et Germain fl. par. pl. 23. А 1—9. Степ. et Gadr, В. fr. Пр. 39. Rehben- 1. germ. XVII. tab. 1195. fig. 4. Rupr. fl. Samojed. Cisu- ral. pag. 38. № 142. Rupr. fl. Ingr. pag. 495. № 294. Meinshausen l. с. p. 55. № 161. Bluthenexemplare aus Ostsibirien und aus Unalaschka. 19. Galium davuricum Turez. Ledeb. fl. ross. II. р. 409. Turez fl. baical. dahur. I. p- 330. Walp. rep. VI. pag. 17. N 43. Maxim. primit. р. 140. № 358. Regel tentam. fl. ussur. р. 77. № 242. Blüthenexemplare von der Maja (Stubendorff) und vom Amur aus dem Bureja-Gebirge (Radde). Fruchtexemplare, und zwar von der Form: « fructu glabro Maxim. ebendaher. "Fig. auf Tafel Ш stellt ein -Blüthenexemplar von G. davuricum in natürlicher Grésse dar. Fig. с einen Zweig mit Früchten von der var. a fructibus glabris Ma- xim.; fig. d einen. Zweig mit Früchten von der var. ß M bu hispidis Maxim., beide in natürlicher . Grósse; und fig. e eine schwach vergrösserte einzelne Frucht von der var. ß dar. Sehr nahe verwandt mit G. davuricum Turez. ist G. glabrum Thunb., ein Capenser Sternkraut, aber durch grössere Früchte und durch eine stärkere Blattzähnung deutlich unterschieden. Cf. DC. prodr. IV. pag. 611. N 134. 20. Galium trifidum L. Ledeb. fl. ross. II. pag. 409. DC. prodr: ПУ. р 39% Willemet monogr. p. 45. Koch Syn. 2-te Ausg. p. 384. Torrey et Gray 1. e. II. pag. 22. Torrey New. York b р. 310. A. Gray Manuel of bot. edit. II. р. 170. Bige- low flor. Boston. p. 56. Hooker fl. bor. amer. I. p. 288. №,1 et 9. G. Claytoni' Michx — С tinctomum В } Wahlbrg. fl. Lapp, р. 47. № 83. Turez. fl. baical. da- hur. I. pag. 530. Rgl et Til. fl. Ajan. р. 100. № 145. Maxim. prim. pag. 444. № 359. Rgl. tentam. fl. ussur. р. 27. № 243. El. Dan. t, 48. Rehbeh. fl сео. MIRE p. 95. tab. 4498. fig. IE 3, 4, 5. Lmnaear Ш. р. 22% Rupr. fl. Samojed. Cisural. pag. 38. № 144. Rupr. fl. Ingr. р. 496. № 295. a forma europaea et asiatica. Blüthen- und Fruchtexemplare aus Nertschinsk (Sensi- noff), aus Kamtschatka (Kusmischtscheff, Rieder und Ste- wart), aus Unalaschka (Eschscholtz und Kastalsky), und aus Siteha (Chlebnikow und Peters); ausserdem lagen uns . noch Blüthen - und Fruchtexemplare aus:dem Ural; aus * der Umgegend von St. Petersburg, aus der Gegend von Mohilew, aus Schweden und NOR E und aus | Steyer- mark vor. | В forma americana. Blüthen- und Fruchtexemplare aus Oregon : (Lyall), Wis- consin (Henning), Providence (Olney), New-York (Gray), vom Saskatchawan (Bourgeau), von St. Louis (Engelmann), aus Georgia (Beyrich) und aus Texas (Lindheimer). 21. Galium obovatum Н. В. et К. (= G. paridifolium Esch.). Ledeb. fl. ross. П. pag. 412. Humb. Bonpl. et Knth. Hove zen. pag. 263. tab. 277. DE. prodr; IV. р. 999. № 49. Blüthenexemplare von Unalaschka (Eschscholtz); Frucht- exemplare aus Kamtschatka und von der Insel St. Paul (Peters.). 22. Galium boreale L. (— G. septentrionale Roem. et Schult.). edeb. Ш. ross. Ш. р. 912. DC: prodr: IV. р. 600 et 601. No 58 et 59. Willemet monogr. pag. XXXI. Koch Syn. 2-е Ausg. р. 386. Fl. Dan. tab. 1024. Engl. Bot. tab. 105. Torr. et Gray. 1. c. Il. pag. 25. Torrey New- York) р. 312. А. Gray Manuel ofbot. edit. I. p. 171. Bigelow flor. Boston. pag. 54. Hooker fl. bor. amer. I. р. 289. N 5. Bot. of Capt. Beechey's Voyage p. 349. Linnaea VI. pag. 591. Gren. et Godr. fl. fr. II. р. 17. Linné fl. lappon. pag. 33. № 60. Wahlbrg. fl. lappon. р. 46. Turez. fl. baical. dahur. I. p. 532. Trautvetter fl. Ochot. р. 48. № 166. Rgl. et Til. flor. Ajan. р. 100. 218 a à № 146. Вз].; Rach et Herd. p. 14. № 145. Rel. tentam. fl. ussur. pag. 77. № 244. Rupr: fl. Samojed. Cisural, р. 38. № 144. Rupr. fl. Ingr. р. 499. № 298. Maxim. primit. р. 144. № 360. Meinshaus. 1. с. р. 55. № 162, De Candolle, Koch, Ledebour, Turczaninow, Grenier und Godron unterscheiden zwei bis vier Formen von G. boreale: | a [0115 _ latioribus, acutis, fructibus hispidis = В lati- folium Turez. = « genuinum Gren. et Godr. = Y sca- brum DC.; d. В. eine breitblättrige Form mit langen star- ren Haaren an den Früchten. В folis latioribus, acutis, fructibus glabris = « hys- sopifolium DC. = y hyssopifolium Koch. = y glabrum Gren. et Godr.; d. В. eine breitblättrige Form mit ganz kahlen Früchten. у folüs angustioribus obtusis, fructibus hispidis = & vulgare Turez.; d. В. eine schmalblättrige Form mit lan- gen starren Haaren an den Früchten. € intermedium. DC. et Koch = В scabrum Gren. et Godr.: fructibus scabris vel subscabris, setis subadpressis; d. h. eine Mittelform, deren Früchte mit sehr kurzen Bórstchen bestreut und gleichsam mit silbernen Punkten bemalt sind. Zu diesen bisher von den Autoren unter- schiedenen Varietàten oder Formen kommt noch die von Maximowiez aufgestellte Form: = Kamtschaticum, [0115 ad nervos subtus retrorsum hispidis. Es ist diess in der That eine ausgezeichnete Form und von Fischer in seinem Herbarium als eine besondere Art bezeichnet worden, welche er G. lithospermifolium var. 219 elatior nannte, indem er ausserdem zu seinem G. litho= spermifolium alle die hochnordischen Formen des G. bo- reale rechnete, welche allerdings, wie bereits Wahlen- . berg in seiner Fl. Lapponica bemerkt (1), einen ganz eigenthümlichen Habitus zeigen. : Nun variirt aber G, boreale, was Blattform anbetrifft, so unendlich, dass wir abgesehen von der breitblättrigen Form mit fünf Blatt-Nerven, uns nicht entschliessen kón- nen, auf die grössere oder geringere Breite des Blattes, wenn es überhaupt nur drei Blattnerven hat, Varietäten zu gründen. Von dem uns vorliegenden Material gehórt zur: var. & Ledeb. = В latifolium Turcz. Blüthenexemplare aus der Gegend von Jakutzk und vom Fl. Maja (Paulowsky), aus dem Burejagebirge (Radde), aus der Gegend von Ochotzk (Walront), aus Davurien (Vladzimerow), von Nischne Kolymsk (Scharypow), vom Fl. Anuj (Lavinsky), aus Ostsibirien und Kamtschatka (Merk und Langsdorff); zur: var. Y Ledeb. = «a vulgare Turcz. Blüthenexemplare vom Berge Munku - Sardyk (Radde), von Wiluisk (Baron Maidel), von Nertschinsk (Sensinoff) (*), aus Davurien (Gesnokoff und Sosnin), vom rechten Ufer der Maja (Paulowsky), und vom Fl. Anuj (Lavinsky); (') Wahlenberg (1. c.): «Folia in summo septentrione interdum satis la- ta, obtusa et laevigata, adeo ut habitum nonnihil diversum acquirat planta. Fructus pilis densissimis rectis fere tomentosus. Caulis magis asper, ut etiam pedunculi». @) Nach Sensinoff's handschriftlicher Angabe liefert G. boreale einen dicken gelblich-rothen oder rothen Farbstoff, welcher unter dem Namen «Maladoi Krapp» oder davurische Marena bekannt ist. ae » 290 Biüthen= und Fruchtexemplare von Nischne - Kolymsk (Scharypow), aus dem Gouv. Jenisseisk, vom Chormau- fer und vom Mirutschin-Berg (Stubendorff) und von Ka- djak (Langsdorff); zur : var. = Kamtschaticum Maxim. Blüthenexemplare aus dem Burejagebirge ‘/,, Juli 1857 (Radde) und die Mehrzahl der in Kamtschatka von Esch- scholtz, Kastalsky, Kusmischtscheff, Langsdorff, Levicky, Lubarsky, Merk, Mertens, Peters, Rieder und Stewart ge- sammelten Exemplare von G. boreale. Diese Pflanze scheint eine grosse Verbreitung im Nor- den Europa’s Asien’s und Amerika’s zu haben; denn es liegen uns, ausser den schon oben aufgefuhrten, noch Exem- plare aus Sudfrankreich, aus der Schweiz, aus Ungarn, aus Sud-, Mittel- und Norddeutschland, aus Scandinavien, aus den Ostseeprovinzen, aus Mittelrussland, aus dem Caucasus, aus dem Ural, aus dem Altaigebirge, aus der Mongolei, von der Mandschurischen Kuste und in Nord- amerika aus dem Oregongebiete, von den Rocky-Mountains, aus dem Colorado-Territory, aus dem Staate New-York, vom Saskatchawan und aus dem von der Fxpedition Fran- klin’s besuchten amerikanischen Polarlande vor. — Hier- her gehôrt auch das G. dasycarpum Nees in herb. Nees, bei Fort Union im Walde vom Prinzen Max von Neu- wied gesammelt. 23 Galium triflorum Michx. Ledeb. fl. ross. П. pag. 413. Willd. hort. Berol. tab. LXVI. DC. prodr. IV. pag. 601. Torr. et Gray 1. c. II. pag. 23. Bigelow flor. Boston. p. 56. A. Gray Man. of Bot. edit. Il. pag. 170. A. Gray pl. Lindheim. p. 215. № 618. Torrey New York I. pag. 311. Hook. fl. bor. 291 Amer. I. pag. 290. № 7. Linnaea Ш. p. 2997 Rupr. fl. Ingr. p. 499. № 290. ® Blüthenexemplare aus Sitcha (Chlebnikow und Mertens) — und Fruchtexemplare aus Unalaschka’ (se soie em stalsky und Mertens). | j Ausserdem lagen uns Blüthen- und Fruchtexemplare aus dem Altai, aus der Umgegend von St: Petersburg und viele Nordamerikanische Exemplare aus den Staaten Connecticut, New-York und Pennsylvanien und aus dem Oregongebiete vor. Zu G. triflorum Michx. gehort auch G. suaveolens Wahlenb. Cf. Fries herb. normale. spec. Medelpad leg. Anstroem. Ebenso auch nach den uns vorliegenden von Schiede in Mexiko gesammelten Originalexemplaren G. jalapense Schlechtd. (') und G. obovatum Cham. et Schlechtd. Cf. Linnaea V. pag. 164. № 370. IX. pag. № 591. № 247. Walp. rep. Il. р. 459. № 47. 94. Galium verum L. ВЕНЕВ Ш. тозз. Ш р. 414. DC. prodr. IV. р. 005. Engl. Bot. tab. 660. Schkuhr Handb. I. tab. ХХШ. Kehbeh serm. XVII р 98. tab. 1487. II. fie. 5,0. Coss, ei Germ! (fl) par. tab. XXI. В. 345 Wille- met monogr. р. 61—63. № 37. Koch. Syn. 2-te Ausg. pag. 386. Roem. et Schult. syst. Ш. р. 233. № 56 et 57. Roem. et Schult. mant. ad vol. Ш. pag. 166—168. Коле vet Gray 1. с. Л. р. 96, № 17. А. Gray Man. of Bor edits Ш р 174. № 11. Turcza il. baical. dahur. I. (*) Schlechtendahl bemerkt dazu (1. c.): «Haec species ad plures Ame- ` ricae borealis accedit, inprimis ad G. triflorum Michx., quod foliis longioribus fructibusque erectis statim dignoscitur, attamen ab aliis nostra illius varietas censeri possit, quum per totam Americam sep- tentrionalem sit late divulgata forma». 232 | a NH De 533: jé 877, Beer enim. "b: 49. № 1336 et 1337. Rel., Rach et Herd. 1. c. р. 14. NX 116. Maxim. primit. “D. 144. № 361. Rel. tentam. fl. Ussur. p. 77. № 945. Meinshaus. 1. c. p. 55, № 163. Rupr. fl. Ig p. 499. № 297. (— G. luteum Lobel.). Wir unterscheiden mit Ledebour und Turezaninow die beiden Hauptformen mit unbehaarten und mit behaarten Früchten: ' var. a leiocarpum Ledeb: Blüthen- und Fruchtexemplare vom Baikalsee und aus dem Burejagebirge (Radde); von Jakutzk (Stubendorff), vom Fl. Maja (Paullowsky), von Irkutzk (Haupt), von Krasnojarsk (Konowalow), vom grossen Anuj (Lavinsky), aus Davurien (Gesnokoff, Rytschkoff, Sosnin, Wladzime- rov und Weslopolozoff) und aus der Chinesischen Mon- golei (Kirilow). Ausserdem lagen uns noch Exemplare aus dem Altai- gebirge, aus dem Dzungarischen Alatau, aus dem östli- chen Caucasus, von Tiflis, aus Ossetien und Armenien, aus der Ukräne, aus Mittel- und Nord-Russland, aus Liv- land, aus Schweden, aus Island, aus Spanien, aus Alge- rien, von der Insel Samos, aus Kleinasien, aus Rumelien, aus Montenegro, aus Ungarn, aus der Schweiz und aus Deutschland vor. var. В lasiocarpum Ledeb. (= G. ruthenicum M. a B ). Blüthen- und Fruchtexemplare von der Insel Olchon im Baikalsee, d. d. 3 Jul. 1855, aus Davurien zwischen den Flüssen Argun und Gäsimur, Juni 1856 und aus dem Burejagebirge (Radde), ferner aus dem Sajangebirge, von Wiluisk, von Nelkan, von Jakutzk und von dem Fl. Maja (Stubendorff), vom grossen Anuj, d. d. 9 Sept. 1827, | 593 d 0 0E (Lavinsky), von Irkutzk (Haupt), von Nerfschinsk (Sosnin und Sensinoff), von Kiachta (Kulibin und Uftiuchaninoff), aus der Chinesischen Mongolei (Kirilow), von der Mand- schurischen Küste (Wilford), von Ochotzk (Langsdorff) und aus Kamtschatka E Wo Merk. und Rieder.). -Ausserden lagen uns t M dieser Form aus dem Altaigebirge, aus dem Ural, aus dem. Caucasus, aus der Urkäne (*) und aus Algerien vor. VALERIANEAE DC. 95. Patrinia Sibirica Juss. (= P. sibirica Fisch. in litt. et in herb. = Valeriana lutea humilis Ammann.). Bedeb fle cross №. р. 426. Ledeb fl. а. ip. 131 Amman stirp. rar. ruth. pag. 18. № 25. tab. Ш. DC. pod №. рас. 69. Roem: et; Schult, syst Ш. р. 89. Bunge plant. monghol. chin. dec. I. pag. 19. Turez. fl. baical. dahur. I. p. 535. Rgl. et Til. flor. Ajan. p. 100. № 147. Kelty ach, её Нега. № се. р. М. № 72. Bluthen- und Fruchtexemplare den 22 Juni 1855 am Baikalsee, in der Wuste Gobi zwischen den Flüssen Onon und Argun, in Davurien zwischen den Flussen Argun und Gasimur den 22 Juni 1856 und in den Sajaner Alpen, an den Quellen des Fl. Irkut, auf dem Berge Munku- Sardyk bis zu einer Hohe von 9000 Fuss im Sommer 1859 (Radde), dessgleichen auf den Sajaner Alpen im J. 1834 (Lessing), auf dem Katuphindigoi und Chorma-Ber- (') Marschall von Bieberstein bemerkt zu seinem in der Ukraine gesammelten Exemplare: «Galium ruthenicum. An varietas Саш veri?» "4 et 221, ge-in Ostsibirien. den 10, 13 und 17 Juni 188 (Stuben- dorff) aus der Gegend von Wiluisk im Sommer 1862 - (Baron Maidel), aus Baikalien (Turezaninow), aus Davu- .. rien (Panzer, Treskin und Vlassov), aus der Mongolei und aus dem Altaigebirge (Andrejef, Bunge, Gebler, Le- debour und Politow). : Als das Centrum der Verbreitung von Patrinia sibirica erscheint der Gebirgszug, welcher vom Ural an den Sü- den Sibiriens unter verschiedenen Benennungen, als А]- tai, als Sajaner-Gebirge und als Jablonnoi-Chrebet durch- zieht. Als Blüthezeit von P. sibirica wird übereinstimmend von Ammann, Bunge und Anderen der Monat Mai ange- geben. Charakteristisch für die auf den Sajaner Alpen gesam- melten Exemplare sind die starken Wurzelstócke, welche oft ebenso gross sind als der oberirdische Theil der Pflanze. Was aber die Hôhe dieses Theiles betrifft, so stimmen die uns vorliegenden Exemplare vollständig mit der Angabe Bunge's (l. c. pag. 20) überein und ist die Anzahl der */, Fuss und darunter messenden Pflanzen grósser-als die der etwas höher gewordenen. Der allge- meine Habitus der Pflanze ist durch die Abbildung, wel- che Ammann in seinen lcones et descriptiones stirpium rariorum gibt, getreulich wiedergegeben. 26. Райчта rupestris Juss. Ledeb. fl. ross. Ш. р. ‘427. DC. prodr IV. 9.02% Roem. et Schult. syst. Ш. p. 89. Bot. Mag. tab. 714. Bunge plant. monghol. chin. dec. I. pag. 22. Turez. fl. baical. dahur. I. p. 536. Maxim. Primit. p. 141. .\ 363. hgl tentam. fl. Ussur. p. 78. № 246. 225. Blüthen- ‘und Fruchtexemplare vom Baikalsee den: 22 Juni 1855, in Davurien zwischen den Flüssen Argun und Gasimur im Juni 1856, in der Wüste Gobi zwischen den — Flüssen Onon und Argun den 5 Juli 1856 und am Amur. im Burejagebirge im Sommer 1858 (Radde), bei Jakutzk am Berge Stükköll den 5 Juli 1859 (Stubendorff), von Nertschinsk (Sensinoff), von Krasnojarsk (Turezaninow), aus Davurien (Rytschkoff und Vlassov), aus Östsibirien (Adams), an der Mandschurischen Küste (Wilford), aus Kamtschatka (Kegel und Merk), von Kiachta (Asiat. De- part.) und angeblich aus dem Altaigebirge (Mardofkin und Schangin). Was die Exemplare aus dem Altai anbetrifft, so sind es wahrscheinlich dieselben, deren Bunge und Ledebour, als ihnen von Fischer mitgetheilt, Erwähnung thut. Wir bezweifeln jedoch, ob diese Exemplare aus dem eigent- lichen Altai stammen, vermuthen vielmehr, dass sie aus dem Thale des Jenissei herrühren, da die genuine Form der P. rupestris Juss. bisher noch von Niemanden im eigentlichen Altai aufgefunden wurde. Ihre Stelle scheint dort ausschliesslich P. intermedia Roem et Schult., (= P. nudiuscula Fisch.), zu vertreten. Ob nun diese Pflanze eine gute Art, oder nur eine Form der P. rupestris Juss. ist, wie es Regel in seinem Tentamen flor. Ussur. an- nimmt, wäre noch zu entscheiden. Wir möchten hier eher der Ansicht der älteren Autoren beipflichten; denn, ob- wohl nicht geläugnet werden kann, dass es Formen der P. rupestris Juss. gibt, welche hinsichtlich der doppelten Theilung der Blattsegmente einigermaassen an P. inter- media Roem. et Schult. erinnern, so ist doch die Art und Weise der Theilung und die Configuration des Blat- tes, sowie auch der ganze Habitus der Pflanze ein ande- rer, als bei P. rupestris Juss. Dazu kommt noch die Tex- № 1. 1564. 15 19910 ‘tur des Blattes, die von allen Autoren, welche die Pflan- ze im lebenden Zustande gesehen haben, in ubereinstimmen- der Weise (*) hervorgehoben wird, und die von Roemer und Schultes erwähnte grössere Gestalt der Blüthen (7). 97. Patrinia scabiosaefolia Lk. Ledeb. fl..ross. IL pag. 497. DC. prodr. IV. p. 624. Rchbch. hort. bot. tab. 20 et tab. 94 (= P. serratuli- folia Fisch.) Bunge plant. monghol. chin. dec. I. p. 25. Turez. fl. baical. dahur. I. p. 537. Maxim. Primit. pag. 149. № 364. Во] Tentam. fl. Ussur. p. 78. № 247. Blüthenexemplare in Davurien zwischen den Flüssen Argun und Gasimur im Juni 1856, dann unterhalb des Fl. Sungari im Gebirge, den 5/4, Juli 1857 und am Amur im Burejagebirge im Sommer 1858 gesammelt (Radde); ausserdem Blüthen- und Fruchtexemplare von Nertschinsk (Sensinoff;, von Nertschinskoi Sawod (Sosnin), von Ak- scha am Fl. Onon (Herb. Fisch.) und aus Nordchina (Fortune); endlieh Exemplare aus dem Herb. Pallas mit der Bemerkung: «Ad orificium amnis Lobakina labentis in Jeniseam, d. 9 Jun. 1772. Radix longissima odorata. (') Anmerkung: Bunge (|. с. pag. 21. bemerkt hiezu: «A P. rupestrl. cui affinis, P. intermedia facile dignoscitur foliis crassiusculis, fere carnosis, laciniis foliorum plerumque pinnatilidis, vel saltem inci- sis, lobis elongatis, omnibus conformibus, nec terminali majori, denique foliis sublloralibus abbreviatis.» Turczaninow (I. c. I. pag. 537.) bemerkt hinzu: «P. intermedia Roem. et Schult., cum nostra (P. rupestri Juss,) structura fructus conveniens, attamen distincta lacinia suprema foliorum caeteris aequali aut fere aequali, caete- ris (saepe omnibus) inciso dentatis. Haec apud nos, i. e. in Sibiria baical. et dahur., hucusque non inventa.» (?) Roemer et Schultes (|. c. Ш. pag. 90) bemerken ausdrücklich zu ihrer P. intermedia: «Folia subcarnosa, glabra, basi pinnata, га- dicalia et iuferiora caulina petiolata; laciniae foliorum dente unico maximo instructae; flores quam in P. rupestri majores, praecocio- res.» 207 CAS Ad Lenam paullo humilior»; und die von Fischer selbst als «speeimina originalia» bezeichneten und von Treskin in Davurien gesammelten Exemplare. | i 28. Valeriana capitata Pall. Ledeb. fl. alt. IV. pag. 331. Ledeb. icon. plant. fl. ross. tab. 346. Ledeb. fl. ross. IL: p. 435. DC. prodr. РУ р. 637. Hook. fl. bor. Amer L:p.- 291. “Torrey et Gray 1 e ПШ. pag. 48. Linnaea HE p. 430. Turez. fl. baical. dahur. 1. р. 538. Trautv. plant. imag. et descript. publi? tab. 39. Trautv. fl. Tamyr р. 40. № 64 et fl. Bogan. р. 162. № 58. Schrenk Arkt. Reise IL. р. 505. Rupr. flor. Samojed. pag. 39. № 146. Rgl et ТИ. flor. Ayan, р. 100. № 143. Rel, Rach et Herd. I. с. p. 11. № 73. Blüthenexemplare aus dem Lande der Tschuktschen am Flusse Krestowoi auf der esteinernen Tundra» den 9 Juli 1859 von einem russischen Priester gesammelt; ferner Blüthen- und Fruchtexemplare vom Berge Munku-Sardyk (Radde), aus den Ssabinenser Bergen (Lessing), zwischen Jakutzk und Ochotzk (Langsdorff und Stubendorff), von der unteren Lena den 21 Juni und den 7 Juli 1862 (Scha- churdin), von der Ischiga (Kruhse), von Wiluisk (Baron Maidel), aus Ostsibirien (Merk 1788), aus der Umgegend von Nischne-Kolymsk (Scharypow), aus Kamtschatka (Ke- gel, Levicky, Lubarsky, Mertens und Rieder), und zwar nach Rieders Angabe: «auf der ganzen Kamtschatkischen Bergkette, grösstentheils auf der unteren Bergregion,» von der Insel St. Paul an der Bucht von Lukanskoi, den 12, 15, 19 und 20 Juni 1826 (Kusmischscheff), an der Eschscholtzbai, am Kotzebuesund und an der St. Lorenz- bai (Choris und Eschscholtz), von Sitcha und der Halb- insel Alaschka (Kastalsky). 15° 298 - | Не sa uns noch viele Exemplare vom Al- "tai, vom Ural, aus dem Europäischen Russland und vom Caucasus vor. | Man kann füglich zwei Hauptformen unterscheiden: 1) Die eigentliche nordische Form, wie sie Trautvetter in seinen Imagines auf Tafel 39, und 2) eine Waldform, wie sie Hooker in seiner Flora Boreali-Americana auf Tafel 104 als V. pauciflora abbil- det. Auch von dieser Form, welche synonym mit der V. capitata 8 Hookeri Torr. et Gray ist, liegt uns ein Exem- plar, in dem Oregongebiete an den се Monntains von Lyall im J. 1859 gesammelt, vor. Jene' ist kürzer und gedrungener («vegetior validiorque»), diese länger und mehr in die Höhe geschossen («graci- lior et elatior»), wie schon Eschscholtz in der Linnaea (l. e.) die Unterschiede zwischen beiden Formen richtig angibt. Von У. Tripteris Г. sowohl, als auch von У. Sitchensis Bong. ist unsere Pflanze durch Blüthenstand und Blattbildung gut unterschieden. Die beste und voll- ständigste Beschreibung derselben findet sich in Traut- vetters Imagines auf pag. 62, auf die wir daher, da wir derselben nichts mehr hinzuzufügen vermögen, nochmals ausdrücklich verweisen. 29. Valeriana officinalis L. Ledeb. fl. alt. I. р. 52. Ledeb. icon. plant. fl. ross. tab. 350. Ledeb. fl. ross. I. pag. 438. DC. prodr. IV. pag. 641. Koch Syn. 2-te Ausg. p. 391. Koch in Flora 1840. № 93. р. 353—361. Turez. fl. Баса]. dahur. I. р. 539. Rupr. flor. Samojed. р. 38. № 145. Rupr. fl. пог. pag. 502. Во] et Til. flor. Ajan. p. 100. № 149. Rgl, Rach et Нега. 1. c. p. 11. № 74 et 75. Rel. ten- a 989 | | tam. fl. Ussur. р. 79. № 248. Man “Primi р. 149. № 365. Linnaea XIV. pag. 537. Botan. | ‘Zeitung 1843. pag. 689. 1847. р. 643, 695 et 934. Meinshaus. ‚ee, р. 55. № 164. Walp. annal. LY, р. 439. № 6. Mit Recht sagt Regel, der die: verschiedenen Formen dieser Pflanze zuletzt untersucht hat, von: ihr: “«planta valde variabilis»! In der That dürfte nicht leicht eine Pflanze gefunden werden, die, was Blattbildung betrifft, eine solche: Verschiedenheit, wie V. officinalis zeigt. Da- her stammen auch die verschiedenen Eintheilungen, wel- che sich alle bemühen, gewisse Normen und Charaktere festzustellen, unter die sich die einzelnen Formen unse- rer Pflanze unterbringen lassen. Obwohl wir nun die Eintheilung Regels: 1) in solche, deren folia omnia subintegra; 2) in solehe, deren folia radicalia integra vel subauri- culata, vel lyrata, caulina varie pinnatisecta; 3) und in solche, deren folia radicalia et caulina pin- natisecta sind, im Ganzen für gelungen halten und ihr beipflichten, so verdienten doch gewisse Formen wieder eine grósse- re Berucksichtigung, als sie in dieser Eintheilung finden konnten; wir rechnen hierher das Vorhandensein oder Fehlen der Stolonen und die Blattstellung am Stengel un- serer Pflanze, obwohl selbst die Berücksichtigung dieser eigenthumlichen Formunterschiede, auf welche seiner Zeit Mikan, Koch und Czernaiew einerseits, Turezaninow und Ledebour andererseits ein, wie uns scheint zu grosses Gewicht legten, manchmal auch nicht viel fórdert. Und so bleibt es denn auch heute noch eine traurige Wahrheit, was schon im J. 1845 einer unserer feinsten | 230 Diagnostiker mit Rücksicht auf У. officinalis und die ihr nahestehenden Arten ausgesprochen hat: dimitatio specie- rum V. officinali vicinarum saltem hodierna, etiam post conamina felicia Kochii adhue elaudicab! Wir unterscheiden also folgende Formen: A. Folia omnia subintegra. Derartige Formen liegen aus den Gebieten Ostsibiriens bis jetzt nicht vor. В. Folia radicalia integra vel subauriculata, vel lyrata, caulina varie pinnatisecta. Hierher gehórt vor Allem die V. dubia Bunge, welche von Regel mit Recht mit der V. officinalis vereinigt wur- de, als: 1) var. у dubia. (= V. ambigua Fisch. in herb.). Blüthenexemplare an den Quellen der Chorma den 17 Juni 1845 und auf dem Berge Mirutschin den 20 Juni 1845 gesammelt (Stubendorff), aus dem Sajaner Gebirge (Vlassov), aus Davurien (Sedanoff), von Nertschinsk (Sen- sinoff), von Irkutzk (Haupt) und von Krasnojarsk (Turc- zaninow). Ausserdem lagen uns die Originalexemplare Bunge's und viele Exemplare aus Nordchina, aus dem Altaige- birge, aus dem nôrdlichen europäischen Russland und aus Lappland vor. Als Unterformen der var. dubia scheinen uns auch, nach dem vorliegenden Material, die var. à linearifolia Во]. (= У. dubia Bnge. В angustifolia Ledeb.) und die var. = ajanensis Rgl hierher zu gehören. С. Folia radicalia et caulina pinnalisecta. 2) var. С angustifolia Rgl. (= У. tenuilolia Valıl.). e 251. "m | Ob diese schmalblättrige, wenig: odeféfast gar nicht : gezähnte Form, (nach Koch's Angabe ist diess die eigent- liche officinelle Pflanze!), identisch ist mit der У. angu- stifolia Tausch. wagen wir nicht zu entscheiden, indem uns von dieser Pflanze keine Originalexemplare vorliegen. Ruprecht (Fl. Ingr. pag. 503) bezweifelt ‚es, Hind die Abbildung welche Reichenbach in seiner Fl: germ. ХИ. auf Tafel 728 von der V. angustifolia Tausch. gibt, stimmt nicht ganz mit unseren ostsibirischen schmalblattrigen Formen uberein. Regel zieht auch die Form alternifolia Turez. hierher, aber, wie uns bedünken will, mit Un- recht, indem die uns vorliegenden Originalexemplare Turezaninow’s alle mehr oder minder deutlich gezähnt sind. Diese Form kommt übrigens mit und ohne Stolo- nen vor. Hierher gehören einige Blüthenexemplare auf der Klo- sterinsel bei Jakutzk den 16 Juni 1859 von Stubendorff, in Davurien von Sosnin und ein Fruchtexemplar von Turezaninow «in herbosis ad fl. Angaram 1833» gesam- melt. Hiezu muss auch, (nach den uns vorliegenden zahl- reichen Originalexemplaren), die V. stolonifera Czernaiew gezählt werden, wie dies denn auch der Autor selbst schon vermuthet hat. Alle andern schmalblättrigen For- men aus unserem Gebiete haben gezähnte Blätter und dürften daher mit mehr Recht zu der folgenden, auch in. unserem Gebiete am Häufigsten auftretenden, Form ge- zählt werden. 3) var. n exaltata Mikan. a. oppositifolia. (= V. offi- cinalis Rehbch. fl. germ. ХП. tab. 727. fig. 1432.) Bluthenexemplare am Baikalsee 1855, im Waldern un- terhalb Aigunt und am flachen Ufer des Amur den 15 Juni 1857, im Burejagebirge 1858 und auf dem Berge 239 © Munku-Sardyk 1859 gesammelt (Radde); ferner Exem- . plare von Jakutzk (Strutschkow), von Wiluisk (Baron Mai- del), vom linken. Wiesenufer des Fl. Maja den 16 Juni 1859 (Stubendorff);, von Irkutzk (Kusnetzoff und Speran- sky), aus Davurien (Panzer, Rytschkoff und Vlassov) und ' von der Mandschurischen Küste zwischen dem 44 und 459 N.*Br.* (Wilford 1859); ausserdem liegen uns viele Exemplare dieser Form aus Nordchina, aus dem Altai- gebirge und aus dem Ural vor. 4) var. у exaltata Mikan. b. alternifolia Turez. Bluthenexemplare vom südlichen Ufer des Baikalsee’s 1855 und aus der Wuste Gobi zwischen den Flussen Onon und Argun 1856 (Radde), von Nertschinsk (Sensi- noff) und von Nertschinskoi Sawod (Vladzimeroy)., Hier- her gehort auch die Mehrzahl der Ledebour’schen V. al- ternifolia. Diese Form kommt auch mit und ohne Stolonen vor. 5) var. 9 incisa Rupr. b. pubescens Rgl. Blüthenexemplare aus dem Burejagebirge 1858 (Radde). Diese Form ist, unserer Ansicht nach, nur eine Un- terform von der var. exaltata, (cf. Rupr. fl. Ingr. pag. 503!), doch führen wir sie, nach Regels Vorgange, auch als Form mit auf, da sie immerhin einen eigenthümlichen Habitus zeigt. Der Uebergänge von einer Form zur andern gibt es eben so viele, so dass sich die verschiedenen Formen unmôglich ganz scharf gegen einander abgrenzen lassen. So vermittelt z. В. wieder den Uebergang zur nächst- folgenden Art, d. В. zur У. sitchensis Bong. die V. sam- bucifolia Mikan., welche wieder identisch mit der V. re- pens Host. ist, und uns nur in Stolonentragenden Exem- 288 ve plaren og Ob mu + sambuelofid ай. auch nur eine Form von У. officinalis, oder eine gute, Art, ist hier nicht der Ort weiter auszuführen, ‚da. diese Pflanze in e Ostsibirien nicht vorkommt (). | UT. CN 30. Valeriana sitchensis Bong. . a NE ou Ledeb. fl. ross. П. р. 438. Bongard in- | den “Mem de Y Acad. Ser. VI. t. IL р. 145. x a: Diese Pflanze, deren Vorkommen merkwürdigerweise auf die Insel Sitcha beschränkt zu sein scheint, gehört weder zu V. capitata Pall., (wie Torrey und Gray), noch auch zu V. officinalis L. (wie Regel in seinem Tentam. fl. Ussur. vermuthet), sondern scheint uns еше ganz gu- te Art zu sein. Die meiste Aehnlichkeit durfte sie noch mit der V. sambucifolia Mikan. haben, doch ist sie von dieser durch die stets dreischnittigen Wurzelblatter, durch die zweipaarigen (niemals vier oder funfpaarigen) Sten- gelblatter, endlich durch die zusammengezogene Bluthen- traube gut unterschieden. Ausser den Originalpflanzen Bongard’s liegen uns zahlreiche Blüthenexemplare und Wurzelstöcke von Chlebnikow, Mertens, Peters, Stewart und Wrangell an Ort und Stelle gesammelt, vor. ПурзАСЕАЕ DC. 31. Scabiosa Fischeri DC. (= S. comosa Fisch. — S. davurica Pall. = S. Pal- lasiana Fisch. in herb.) (?) Schlechtendahl in der Botan. Zeit. 1847. pag. 630. gibt als Unter- schiede zwischen V. officinalis und V. sambucifolia Folgendes an: «Darin scheint eine Verschiedenheit zu liegen, dass die Ausläufer bei V. officinalis kurz sind, unter der Erde liegen und nur eine Terminalknospe bilden, daher denn auch zwei übereinanderste- hende, durch ein Zwischenglied getrennte Wurzelbüschel zu machen pflegen, während sie bei V. sambucifolia mehr oberfläch- lich verlaufen, länger sind und an ihren Knoten mehr oder we- niger ausgebildete Blattpaare oder Knospen hervorbringen.» de "d ы i & OBR Ledeb. fl.:ross. IL p. 456. DC. prodr. IV. р. 658. № 93. Turez. fl. baical. dahur. I. р. 542. Maxim. Pri- mit. р. 142. № 367. 3 a caerulea (genuina). Blüthenexemplare von Litansk in der Wüste Gobi zwi- schen den “Flüssen .Onon und Argun den 10 Juli 1856 und aus dem Burejagebirge 1858 (Radde), von Werchne Udinsk (Herb. Fisch.), von Nertschinsk (Sensinoff), aus Davurien und Transbaikalien (Kusnetzoff, Pallas, Rytsch- Кой, Schangin, Sosnin, Vlassov und Weslopolzoff) aus der Umgegend von Kiachta (Asiat. Depart.), aus der Chinesischen Mongolei und aus der Umgegend von Pekin (Kirilow) und von der Mandschurischen Küste (Wilford). B alba. Blüthenexemplare aus der Umgegend von Nertschinsk (Sensinoff) und aus Davurien (Vlassov). S. Fischer] variirt aber nicht nur in der Farbe der Bluthen, sondern auch, was Grösse, Rehaarung und Blatt- zahnung betrifft, aufs Mannigfaltigste. Maximowiez be- merkt schon zu seinen oberhalb der Ausmundung des Sungari in den Amur gesammelten Pflanzen, dass die- selben unten am Stengel und an den Blättern stark be- haart seien. Noch stärker als diese Exemplare ist jedoch die Pflanze behaart, welche Wilford von der Mandschu- rischen Küste mitgebracht hat. Diese und die Nordchine- sischen Exemplare von Kirilow haben auch viel stárker ausgezahnte Wurzelblätter als die Davurische Pflanze. Die Höhe von S. Fischeri variirt von ?/, bis 2 und 2”, Fuss. Da uns die Originalpflanze von Pallas in dem Herb. Fischer vorlag, so stehen wir nicht an, die Identität der- (335 selben mit der Fischer'schen S. comosa und $. Palla- siana zu bestätigen, und sollte daher. unsere Pflanze ei- gentlich S. comosa Fisch. genannt ‚werden, denn .unter diesem Namen findet sie sich zuerst in Roem. et Schult. Syst. Ш auf pag. 84 und unter № 63 beschrieben. 32. 5. ochroleuca L. Ledeb. fl. ross. IL. pag. 456. DC. pode T. p. 658. № 97. Roem. et Schult. syst. Ш. р. 68. № 22. Turez. fl. baical. dahur. I. р. 543. Rchbch. fl. germ. XI. tab. 694. fig. 1379. (= Asterocephalus ochroleucus Spr.). Blüthen- und Fruchtexemplare aus der Umgegend von Irkutzk und von Werchne-Udinsk (Herb. Fisch. et Herb. Turez. und von Krasnojarsk (Konowalow). Diese Pflanze, welche im Altai noch sehr hàufig vor- kommt, scheint im ôstlichen Sibirien nur noch sporadisch aufzutreten. | ANATOMIE, Hua, ENTWICKELUNGSGESCHICHTE UND KLASSIPIKATION DER FLECHTEN. EIN BEITRAG ZUR FRAGE UEBER DIE GRENZEN DER ORGANISCHEN REICHE. Von Cart LINDEMANN, aus Nijniy-Nowgorod. (Mit 2 Tafeln.) «Generatio spontane», und «die Grenzen der organi- schen Reiche» — sind zwei Cardinalfragen der Wissen- schaft. Die meisten Gelehrten, von undenklichen Zeiten her, waren bald Verfechter, bald Gegner der in diesen Fragen niedergelegten Ideen. Fast keiner hielt sich als ihnen fremd. Doch konnte man bis jetzt zu keinem Ab- schlusse kommen, weil die Methoden, welche von den Forschern in dieser Richtung gebraucht worden, nichts weniger als richtig, und also auch nicht folgereich sein konnten. 237 Doch die Lehre. von der «generatio spontanea, s. ae-. quivoca», scheint: jetzt, nach langem, Herumschwanken, endlich zu einem wichtigen Ende zukommen. Wenigstens lassen das die Untersuchungen und Resultate von Pouchet hoffen. Im Laufe der drei letztverflossenen Jahre sind meh- rere Arbeiten uber diese Frage erschienen, und, die mei- sten Autoren derselben schliessen, zusammen mit Pouchet, dahin, dass die Urzeugung, als positives Faktum in die Wissenschaft aufgenommen werden muss. Naturlich sind es nicht die Experimente von Redz, auf welche hin die generatio spontanea wieder aufgenommen werden soll. Dass Wurmer und Insekten auf diesem Wege nicht entste- hen können, wird natürlich Niemand in Zweifel ziehen wollen. Für Infusorien und Algen wäre die Urzeugung schon Etwas, als a priori möglich zu betrachten. Die Lehre von den Grenzen der organischen Reiche steht aber noch jetzt auf demselben Punkte wie vorher. Ungeachtet der Aussprüche grosser Autoritäten, erheben sich immer noch Zweifler, welche diese Grenze zerstört, und die beiden getrennten Reiche in ein einiges ver- schmolzen wissen wollen. «Die Nervenlosigkeit der Pflanzen, im Gegensatze zu dem Vorhandensein derselben sogar bei den Infusorien» nach Ehrenberg. «Die Reizbarkeit ohne Empfindung bei den Pflanzen, im Gegensatze zur bewussten Sensibilität der Thiere» — nach Johannes Muller; «Die willkührliche Bewegung der Thiere» und «die Be- wegung in Folge von entsprechender anatomischer Zu- sammensetzung», oder «organischer Attraction» bei den Pflanzen — nach Johannes Muller; 2.938 «Die Aufnahme fester Nahrung bei den Thieren», und «die Unmöglichkeit einer Aufnahme dieser Körper als Er- nährungsmaterial in den Organismus der Pflanzen» — nach Ehrenberg, lohannes Müller, und in neuerer Zeit nach. de Bary; | «Der Unterschied im Chemismus der Respiration», — nach v. Humboldt, Saussure, Spalanzani, und vielen an- deren Anatomen und Physiologen. «Die Einfachheit der Saftbewegung, mit vollkommener Abwesenheit besonders dazu eingerichteter bewegender Apparate bei den Pflanzen, im vollständigsten Gegensatze zur complicirten Circulation der Säfte bei den Thieren»; «Die absolute Nichtexistenz der Viviparität bei den Pflanzen; alles dieses sind solche unterscheidende Merkmale, die jetzt schon lange nicht mehr stichhaltig sind, und deren Kritik ich daher übergehen kann; zumal da dieselbe nicht vor das Forum meiner Arbeit passt. Doch das grosse Interesse, welches mit der endlichen Lösung dieser Frage verbunden ist, — die grosse Wichtig- keit derselben, drängt immer mehr und mehr dieselbe zum Abschlusse zu bringen. Ich machte daher eine Rei- . he von Untersuchungen, um mir eine eigene Ueberzeu- gung in dieser Richtung zu verschaffen. Von Seiten des Thierreichs untersuchte ich die Mycetozoen, welche de Bary, seinen Untersuchungen folgend zu den Thieren stell- te. Die Art ihres Generationswechsels möchte dafür sprechen. Die Resultate, zu denen mich meine Untersuchungen dieser interessanten Klasse führten, stimmen mit den Re- sultaten de Bary’s, bis auf einige Einzelheiten, vollkom- “+ 999 ? men überein. :Dieselben sind niedergelegt im Bulletin - der Kaiserlichen Moskauschen Gesellschaft der Naturfor- scher (5). 7: à | Natürlicher Weise musste ich mich nun zu den Flechten und Pilzen wenden, da diese zwei Klassen, schon der aeusseren Form nach, den Mycetozoen so ähnlieh sind, und ihre pflanzliche Natur von keinem in Zweifel gezo- gen wird, noch werden kann. Im Laufe der paralellen Untersuchung gewann ich die Ueberzeugung, dass die Flechten den Mycetozoen im Baue ihres Körpers viel näher stehen, als die Pilze, weshalb ich denn auch zuerst die Untersuchung der Flechten durchführte, und die Resultate derselben zuerst hier ver- öffentliche. Ich wand mieh gerade an diese Klassen, weil ich sehr gut weiss, wie unfruchtbar die paralellen Unter- suchungen der A/gen einerseits und der Infusorien an- dererseits, in dieser Richtung waren. Unsere Kenntnisse in Betreff dieser Klassen wurden natürlich sehr vergrös- sert; doch konnte der Frage über die Grenzen der orga- nisehen Reiche kein grosser Vorschub geleistet werden, da weder grelle Unterschiede, noch schlagende Analo- gien zwischen diesen beiden Grenzklassen aufgefunden wurden. Die von mir gewählten Klassen greifen einer- seits in das Formenreich der exquisiten Thiere tief he- rein, und andererseits stehen sie in einer organischen Formen-Verbindung mit dem Pflanzenreiche. Oefters haben wir mit Ihnen, mein verehrter Freund, über diese Frage verhandelt; ich kenne das Interesse welches Sie an der glücklichen Lösung derselben haben, (!j Bau und Entwickelungsgeschichte der Mycetozoen, nach Trichia und Arcyria; |. с. 1863. № 2. 240 und darum widme ich diesen Theil meiner Arbeit Ihnen, als Zeichen einer Freundschaft, von der ich so vielen Nutzen gezogen habe. ИР Anatomie und Entwickelungsgeschichte der Flechten. Nach hergebrachtem Gebrauche muss man beim An- fang der Beschreibung eines organischen Wesens, seine Stellung in der Klassifikation mit gehöriger Schärfe um- schreiben, und seine Relationen zu verwandten Geschöpfen hervorheben. — Doch bei der grossen Mannigfaltig- keit unserer Klasse, bei der Unzulänglichkeit der bisheri- gen Systeme, erlaube ich mir dieses erst am Schlusse, der Arbeit, in einem . besonderen Kapitel zu thun, nach- dem ich gezeigt haben werde, was den einzelnen Flech- ten-Arten eigenthümlich ist. Ich denke, dass dadurch kei- ne Confusion entstehen kann, da ein Jeder sehr gut zu wissen glaubt, was eine Flechte, und was etwas Anderes als eine Flechte, — ist. Ich gehe also gerade zu meiner Beschreibung über. I. AEUSSERE Form. Gewôhnlich beschreibt man die Flechten als Pflanzen, welche aus zwei wesentlichen Bestandtheilen zusammen- gesetzt werden: 1) Aus dem Blatte, der Cruste, oder dem Thallus, der von verschiedener Form, Grösse und Farbe sein kann. Bald ist derselbe klein, unregelmässig, wenig ausgezackt, und ausserordentlich dünn, wie bei Verrucarıa pallida; bald gross, tief ausgeschnitten, runzelich, wie bei Loba- 241 ria pulverulenta, Umbilicaria grisca, Umbilicaria hyperbo- rea. In diesen beiden Fallen aber immer blattförmig auf dem bewohnten Körper aufliegend; doch erhebt sich der Thallus zuweilen auch strauchförmig von der sandigen Oberfläche, oder vom Baumstumpfe, welcher die Flechte trägt; einen solchen strauchförmigen Thallus besitzen zum Beispiele die Usnaeen und Cladonien, wie auch einige Lobarien. Die Farbe des Thallus ist bald grau wie bei Umbilica- ria grisea, Peltigera sylvatica; bald braun — wie bei Um- bilicaria hyperborea; bald gelb — Lobaria pulverulenta, Parmelia parietina; und endlich, bei den meisten Flech- ten, — grün. 2) Der zweite Bestandtheil der Flechten ist das Recep- taculum, Apothecium, welches gewöhnlich becher-, oder kugelförmig ist. Bei uns sind diese Formen die gewöhn- lichsten, ja — fast die einzigen (‘). Bald sind die Apothecien frei, unbedeckt; bald, beson- ders in der Jugend, von einer Kapsel bedeckt, welche nichts als eine Wucherung der Thallus-Elemente ist, und den Namen Perithecium führt. Dem Thallus liegen die nutritiven Funktionen ob; das Apothecium ist Reproductionsorgan. Doch nicht alle Flechten ohne Ausnahme besitzen einen scharf umschriebenen Thallus. Ich kenne Flechten, bei de- nen der Thallus nur auf ein Mycelium redueirt ist, des- (*) Ein Paar Male sah ich übrigens bei Verrucaria tartarea solche Apo- thecien, welche die Form hohler Flaschen hatten; ein Perithecium fehlte hier, so wie gewöhnlich bei dieser Sippe. Doch ist ein sol- ches Apothecium bei Verrucaria tartarea immer als eine Missbil- dung anzusehen, da die normale Gestalt desselben hier immer platt, schaalenförmig ist. № 1. 1864. 16 sen feine Röhrchen unter der Rinde des Wohnbaums, oder zwischen den Fasern desselben hinziehen. Zu solchen “Flechten, beı denen der Thallus durch ein Mycelium ver- ireten ist, gehört Verrucaria coracina. Auch kenne ich noch solehe Flechten, welehe ganz absolut keinen Thallus und auch kein Mycelium besitzen. Hierher gehört — Ver- rucaria larlarea. ’ Diese Verhältnisse geben uns einen Schlüssel an die Hand, um die Natur des Thallus zu verstehen, und seine Verwandschaften aufzudecken. Schon Jussieu und De Candolle identifieirten denselben, aus theoretischen Gründen, mit dem Mycelium der Pilze. Das obenerwähnte Mycelium von Verrucaria coracina be- weist vollkommen die Richtigkeit dieser Anschauung. Ein grosser Theil der Flechten entbehrt aber auch der anatomisch begrenzten Apothecien; bei einigen, wie z. B. bei Umbilicaria grisea, Lobaria pulverulenta, Usnaea bar- bata u. An., sind dieselben nur auf eine unbestimmte Anzahl unregelmässiger Risse auf der oberen, oder unte- ren Fläche des stark entwickelten Thallus redueirt, deren Natur als Apothecien nicht auf den ersten Blick begriffen werden kann. Es bedarf einer eingehenden Untersuchung des Baues dieser Risse, ihrer mikroscopischen Zusam- mensetzung und Entwickelungsgeschichte, um ihre Funk- tion zu erhellen. Später werde ich auf diesem Wege die Beweise liefern, auf welche gestützt, ?ch diese Risse (Ss. g. Soredien), als Aequivalente der Apothecien auffasse. Nur muss ich bemerken, dass diese Analogie beider Organe nur in Hinsicht auf ihre physiologische Thätigkeit vollkom- men gültig ist, denn in morphologischer Hinsicht sind Un- terschiede vorhanden, die viel zu wichtig sind, als dass sie verkannt werden könnten. 2 Ausserdem. existiren bei uns auch noch solche Flech- ten, die ein Apothecium besitzen, und noch, ungeachtet dessen, auf ihrer Oberflache die erwähnten Risse tragen, die ebenfalls als Reproduktions-Organe gelten. Der einzi- ge, mir bekannte Representant mit diesen doppelten Re- produktions-Organen ist — Cladonia capitata. Die, an den Enden der Róhren des Strauchfórmigen Thallus aufsitzen- den, rothen Kópfehen sind vollständige Apothecien. Aus dem Gesagten geht also hervor, dass weder der Thallus noch das Apothecium, als allen Flechten eigenthüm- liche, charakteristische Organe angesehen werden dürfen. Gehen wir nun zur Betrachtung der feineren Struktur der Flechten. II. MixroskxopiscHE STRUKTUR. Beim Untersuchen des mikroskopischen Baues der Flech- ten mussen wir uns aber doch an deren alte, grob-ana- tomische Zerlegung in Thallus und Apotheeium halten. Wie bekannt, ist durch vorhergegangene Untersuchun- gen festgestellt, dass der Thallus aus zwei verschiedenen mikroscopischen Elementen zusammengesetzt wird; 1) aus den sogenannten Faserzellen, und 2) den Gonimial- zellen, oder Gonidien. Diese verschiedenen Elemente sol- len auch zwei verschiedene Schichten im Thallus auf- bauen; namentlich: die Rindenschichte und die Mark- Schichte. Den Resultaten meiner Untersuchungen folgend, führe ich noch ein drittes Element ein, welches ebenfalls einen nicht unwesentlichen Antheil an dem Aufbaue des Flech- tenthallus hat. Dieses Element — sind Zellen, die durch ihr Zusaminentreten in eine dünne Schichte, eine Ep:- 16* 244 dermis bilden, welche vs freien Flächen des ens be- deckt. À Die Faserzellen sind, wie “Schon ap Name zeigt, lan- ge, cylindrische, faserférmige Zellen, von wechselnder Länge; Dicke und Farbe. Bald sind die Fasern so lang, dass man nirgends eine Zusammensetzung aus Zellen ge- wahrt; wie z. B. bei Umbilicaria hyperborea (Taf. V, Fig. 13); Verrucaria pallida (Taf. V, Fig. 14). Bald sind die die Fasern zusammensetzenden Zellen recht kurz, wie bei Lobaria pulverulenta (Taf. УТ, Fig. 11), Usnaea bico- or (Taf. VI, Fig. 28). Bald haben sie nur 0,006 einer Linie im Durchmesser, wie bei Parmelia parieuna (Taf. V, Fig. 15); bald grenzt dieser Durchmesser bis an 0,1, ja sogar 0,4 einer Linie, wie bei Pe/tigera sylvatica (Taf. V, Fig. 9) Die Farbe der Fasern ist grósstentheils weiss; die Faserzellen sind meistens ganz durchsichtig; zuwei- len besitzen sie aber eine mehr oder weniger intensive schwarze oder braune Farbe, wie bei Pelligera sylvatica (Fig. cit ), und in den Anheftungsapparaten von Parmelia parietina (Taf. V, Fig. 1). Diese, aus Zellen zusammengesetzten Fasern, gehen grösstentheils parallel zu den Oberflächen der Flechten, wobei sie sich immerwährend theilen, und von Neuem untereinander anastomosiren. Bald sind solche Theilungen recht selten, wie bei Usnaea barbata, Usnaea bicolor, Umbilicaria hyperborea, Lobaria pulverulenta, etc., bald rasch hintereinander folgend, wodurch die verschieden- sten Textur-Verhältnisse zu Stande gebracht werden kön- nen. Ganz besonders schön und complicirt erscheint die Textur der Rindenschichte von Verrucaria pallida, und einer Parmelia parietina (*) (Taf. V, Fig. 14 und 15). (' Es müssen zwei Sippen von Рагтейа parietina unterschieden werden, nàmlich : 0945. Hier sind die Theilungen und Anastomosen der Fasern so häufig, und die zwischen ihnen entstehenden Maschen- Räume so zierlich und regelmässig, dass man auf den ersten Blick denken kónnte, man habe ein zelliges Gewe- be vor Augen. CAMP S Alle diese Fasern werden auch in dieser Organismen- Klasse, wie bei den Mycetozoen durch eine hyaline Zwischensubstanz zusammengehalten. Die, nach der Me- thode von Recklinghausen angefertigten Praparate geben die schônsten Bilder, welche das Vorhandensein dieser Zwischensubstanz darlegen. Das Mycelium von Verrucaria coracina (Taf V, Fig. 6) besteht ebenfalls aus Fasern, deren Zusammensetzung aus Zellen nirgends zu constatiren ist. Es sind schmale, dünn- wandige und vollkommen durchsichtige Rohren, ganz ahn- lich den Mycelium-Rohren der Mycetozoen und der Pilze. Die Gonimialzellen, welche die Markschichte der Flech- ten zusammensetzen, haben bei verschiedenen Arten und Sippen ein ebensolches verschiedenes Aussehen, wie die Faserzellen. Doch sind diese Verschiedenheiten nur von sekundärer Wichtigkeit; uberall sind diese Zellen ganz constant durch folgende Eigenthumlichkeiten unterscheid- bar: es sind runde Bläschen, Zellen, die gewöhnlich ei- nen excentrisch liegenden, runden oder ovalen Kern be- sitzen, und in ihrem Inhalte ganz ausnahmslos Chloro- phyll enthalten. Ihre Verschiedenheiten sind nun folgende: 1) Parmelia parietina Йауа; und 2) Parmelia parietina grisea, welche sich nur durch die Farbe des Thallus und des Apothecium unterscheiden. Bei der ersten ist der Thallus gelb, das Apothe- cium braun. Bei der zweiten — der Thallus grau, das Apothe- cium — schwarz mit weissen Rändern. E 946 - Bald sind és kleine, doppelt - contourirte, spherische Zellen, in derem Inhalte meist runde. Chlorophyllkórner liegen, wie bei. Verrucaria coracina (Taf. V, Fig. 16). Bald sind es grosse Blasen, mit einer überaus feinen Membran, wie bei Peltigera sylvatica (Taf. V, Fig. 17). Bald wieder erscheinen sie in Form kleiner Kugeln, die gar keine Membran unterscheiden lassen; in diesem Falle ist die ganze Kugel zuweilen durch ein diffuses Pigment grün gefärbt; in dieser grünen Kugel kann man leicht einen, zuweilen zwei Kerne unterscheiden, z, B. bei Parmelia parietina (Taf. V, Fig. 18). Diese Gonimialzellen. sind bald isolirte, selbstständige Elemente, bald sind sie mit einem dünnen Fortsatze ver- sehen, mit dessen Hülfe sie sich mit entsprechenden freien Enden der Faser Zellen verbinden; wie bei Cetra- ria islandica, Cladonia capitata, etc, (Taf. УТ, Fig. 28). In Betreff dieser Beziehungen muss ich als ganz allge- meine Regel hervorheben, dass bez allen Flechten, welche kein Apothecium besitzen, ет solcher direkter Zusammen- hang zwischen Gonimial- und Faser-Zellen vorhanden ist; wo aber ein Apolhecium zu haben, da stehen diese ver- schiedenen Zellen in keinem anatomischen Zusammenhange unter einander, Die Epidermis der Flechten besteht aus eigenthümli- chen Zellen, die mit den Epidermis-Zellen anderer, hö- herer Pflanzen wenig gemeinschaftliches haben; nament- lich in Betreff ihrer Form. Doch stimmen sie mit den letzteren darin überein, dass sie auch grösstentheils farb- los, ohne Pigment sind. Bald sind diese Zellen gross, mit doppelt contourirter Membran, und fein granulirtem Inhalte versehen, wie bei Peltigera sylvatica (Taf. V, Fig. 19); bald sind es 947 sanz kleme,. kugelrunde Bläschen, mit deutlicher Mem- bran und Kern, und mit homogenem Inhalte, wie z. B. bei Centraria islandica (Taf. V, Fig. 91); endlich erschei- nen sie auch recht ой in Form kleiner, vierseitiger Plat- ten, die vollkommen homogen sind, und an denen es unmóglich ist, weder Hülle, noch Kern, noch irgend welche Körner zu unterscheiden, wie z. В. bei Parmelia paric- tina, Cladoma rangiferina (Taf. V, Fig. 20) u. A. m. In Betreff aller, eben hier beschriebenen, anatomischen Elemente des Thallus, muss ich noch hinzufügen, dass weder Faser-, noch Gonimial-, noch Epidermis - Zellen Cellulose in ihrer Hülle enthalten; überall bestehen die- selben aus Eiweissartigen Kórpern. Diese wichtige That- sache werden wir später auszubeuten suchen. Diese drei Elemente des Thallus liegen nun in der erwachsenen Flechte in folgender gegenseitiger Anord- nung (Taf. V). Zu äusserst, an der oberen Fläche der Flechte, liegt die Epidermis, welche entweder nur aus zwei Reihen von Zellen besteht (Cetraria islandica, Peltigera sylvatica), oder aus mehreren auf einander folgenden Zellenreihen zusammengesetzt wird (Parmelia parieiina, Cladonia tubu- liformis, Cladonia capitata, Usnaea bicolor). Einige Flech- ten haben aber auch eine solche Epidermis, die nur aus einer einzigen Reihe kleiner Zellen besteht, wie Usnaea barbata (Taf. V, Fig. 12), Uebrigens existiren sehr viele Uebergänge in dieser Hinsicht; so, zum Beispiel, trifft man bei Cetraria islandica, Peltigera sylvatica oft auf solche Stellen, wo die Epidermis aus drei Zellen- Reihen be- steht, und gleich nebenbei auf Stellen, in denen die Epidermis aus zwei Reihen zusammengesetzt wird (Taf. У Ес 719). | м DAS... Die, auf die. Epidermis folgende, also gleich unter ihr liegende Schichte, hat bei verschiedenen Flechten-Arten und Sippen, eine: verschiedene anatomische Zusammen- ‚setzung. Bald sind es die Gonimial-Zellen, welche diese zweite Schichte bilden’ /Peltigera sylvatica, Parmelia pa- rielina, Verrucaria pallida, Umbilicaria hyperborea). Die Gonimialzellen treten in einer unregelmässigen Zahl von Reihen in diese Schichte ein, bald unterscheidet man 3, bald 4, und bald nur eine Reihe dieser Zellen. : Bei anderen Arten folgt auf die Epidermis eine Schich- te Faserzellen, wie bei Umbilicaria grisea, Usnaea barba- ta, und den Cladomen. Bei diesen letzteren bilden nur die Fasern überhaupt eine Lage, denn die Gonimialzel- len sind in Form kleiner Haufen in die Zwischenráume der auseinander weichenden Fasern eingestreut. Auf diese zweite Lage des Thallus, pflegt gewohnlich noch eine dritte zu folgen, deren Struktur im umgekehr- ten Verhältnisse zur Struktur der zweiten Schichte steht. Dort wo die zweite Schichte aus Gonimialzellen zusam- mengesetzt wird, besteht die dritte — aus Faserzellen, und umgekehrt. Dort wo sich der Thallus blatt-, oder strauch-fórmig erhebt, sind alle freien Flàchen mit einer Epidermis be- deckt. Von allen Flàchen geht hier derselbe Bau aus wie ich ihn eben beschrieben habe, auf die Epidermis folgt die Faserschichte, darauf die Gonimialzellen - Schichte, dann wieder eine Faserschichte, und endlich wieder eine Epidermis, 2. B. bei Cetraria islandica (Taf. V, Fig. 4). Bei Flechten, welche mit ihrer unteren Fläche unmit- telbar auf der bewohnten Baumrinde oder der Erde auf- sitzen, fehlt die Epidermis auf dieser unteren Fläche voll- kommen. «249 In Betreff der gegenseitigen Lage-Verhältnisse der ver- schiedenen -Thallus-Sehichten glaube ich als Regel auf- stellen zu können, dass bei den Flechten, welche ein Apothe- | cium besitzen, zunächst der Epidermis die Gonimialzellen- schichte liegt, wie 2. В. bei Verrucaria pallida, Parmelia . parietina, Umbilicaria hyperborea; bei den Flechten aber, : welche kein Apothecium besitzen, folgt auf die Epidermis zunächst die Faserschichte, und darauf schon die Schichte der Gonimial-Zellen, wie z. В. bei Usnaea barbata und bicolor, Cladonien, Cetraria islandica, Lobaria pulverulen- ta, Umbilicaria grisea, Der vollständigen Abrundung dieser Ansicht scheint nur der Bau von Peltigera sylvatica entgegen zu treten, bei der die Gonimial-Schichte gleich auf die Epidermis folgt, und die auch keine Apothecien besitzt. Doch will ich darüber noch nicht ganz entscheiden, da ich keine reifen Individuen dieser Sippe zur Untersuchung erhalten konnte, und folglich nicht die Reproduktions-Organe der- selben kenne. Die Gonimialzellen dieser Peltigera haben aber auch keine Fortsätze, was doch, nach dem oben gesagten, auf das Vorhandensein eines Apothecium hin- weisen muss. Die Anheftungsapparate der Flechten, die sogenannten Rizinae, bestehen aus Faserzellen, welche dicht aneinan- der gedrängt, und gewöhnlich durch ein diffuses Pig- ment stark gefärbt sind; wie 2. В. bei Peltigera sylvatica, Umbilicaria grisea, Рагтейа parietina (Taf. У, Fig. 1). So viel über den Thallus, das Ernährungsorgan der Flechten. Weniger Verschiedenheiten als in diesem, fin- den sich im Baue des Apothecium. Wie ich schon oben bemerkt habe, ist das Apothecium ein Organ, dessen Bau vom Baue des Thallus wesentlich verschieden ist. Bei den Flechten, bei welchen es schon mit blossem Auge als ein besonderes, selbstständiges Organ unterschie- den wird, besteht es hauptsächlich aus zwei, in allen Apothecien vorhandenen, mikroskopischen Elementen (Taf. VI, Fig. 1). Das eine Element sind dünne, durch- sichtige, eylindrische Röhren, welche in vertikaler Rich- tung, von unten nach oben im Apothecium aufsteigen, und die an der äusseren, freien Oberfläche :desselben in kleinen, kolbenförmigen Anschwellungen endigen (Taf. УГ, Fig. 1. d.). Gewöhnlich theilen sich diese Röhren kurz vor ihrem Ende in zwei kurze Aeste, die sich gleich wieder weiter theilen können (Taf. VI, Fig. 12). Jeder der so entstandenen Seitenzweige trägt an seinem freien Ende eine kleine kolbenförmige Anschwellung. Diese Röh- ren, Paraphysen der Autoren, sind mit vollkomen durch- sichtigen, sehr dünnen, einfach contourirten und Struk- turlosen Hüllen begrenzt. Im wasserhellen Inhalte der- selben finden sich bei emigen Arten kleine, runde, eben- falls ganz durchsichtige Kugeln, die in kurzen Abständen von einander den Querschnitt der Röhre vollkommen ausfüllen (Taf. VI, Fig. 14). In den Paraphysen einiger Flechten, wie 2. В. Verrucaria tartarea, kann man die- se runden Körperchen ohne alle vorhergehende Bearbei- tung sehen. Sie gleichen in diesem Falle ganz den run- den Körperchen welche ich in den Röhren, des Körpers der Mycetozoen aufgefunden habe (*) und die man in den Fasern der Pilze kennt (^). Bei anderen Flechten treten diese Körperchen nur nach vordergegangener Bearbeitung zu Tage, namentlich nach Behandlung mit Säuren (Chlor- wasserstoff-Säure) und lodtinktur, wo sie dann in Form kleiner, brauner Stäbchen erscheinen (Taf. VI, Fig. 13). (!) Vrgl. meine Arbeit 1. с. Taf. V, Fig. 3, 4, 5 und 12. (?) Aus der Abtheilung der Hyphomycetes. Е TONS. Ueberhaupt muss ich bemerken, dass diese runden Kórperchen bei erwachsenen Flechten viel seltener und schwerer zu sehen sind, als bei jüngeren. Das ‚würde also auf ein allmäliges Schwinden derselben mit dem | Fortschritte der Entwickelung hindeuten. Die kolbenfórmigen Anschwellungen dieser Róhren, Paraphysen, sind gewöhnlich durch diffuses Pigment hell- braun gefärbt. Im Centrum derselben sieht man constant eine Anzahl (4 bis 10) kleiner, scharfcontourirter, matt- weisser Kórperchen, die, scheinbar durch Theilung nur eines ganz zuerst vorhanden gewesen Kernes entstanden sind (Taf. VI, Fig. 12 und 14). Ве! ganz jungen Individuen erscheinen diese Paraphy- sen in Form dünner Fäden, die einer kolbenfórmigen Anschwellung ganz entbehren (Taf. VI, Fig. 14 а; Taf. УТ, Fig. 18). Im Laufe der Entwickelung der Flechte bildet sich diese Anschwellung allmälich folgendermaas- sen aus; eines von den oben beschriebenen runden Kór- perchen, welches im oberen Ende des Lumens der Pa- raphyse liegt, beginnt an Grósse zuzunehmen, und das Paraphysenende vor sich aufzutreiben, der runde Kórper gestaltet sich zum Kern der so entstandenen Anschwellung um, und bildet durch fortgesetzte Theilung den kórnigen Inhalt derselben bei der reifen Flechte. Bald nachdem platzt die Hülle dieser kolbenfórmigen Anschwellung der Paraphyse, und lässt ihren Inhalt ins Freie hervor- treten. Meine Untersuchungen haben mir erwiesen, dass dieser Inhalt, oder besser die Kerne der kolbenförmigen Anschwellung den Saamen der Flechte darstellen. Diese, ins Freie getretenen Kerne, erweisen sich als scharf contou- rirte, geschwänzte Saamenfäden, Spermatoiden, die in ra- scher Bewegung das Sehfeld des Mikroskopes durchkreu- 252 zen. - (Taf. Vi; Ps 16 und 17). Diese Saamönfäden beste- hen gewöhnlich aus einem unregelmässigen Körper,, und einem. kurzen, dünnen, schweifformigen Anhange. Die Bewegung dieser Spermatoiden wird zu Stande gebracht dureh peitschenfôrmiges Hin- und Her - Schwingen des Schweifes derselben, wodurch der Körper stossweise noch vorne geschnellt wird. jn - Wo die Spermatoiden ein Hinderniss für ihre Bewe- gung vorfinden, bleiben sie stehen, während der Schweif noch immer fortfährt seine Pendel-, oder Peitschen-Be- wegung auszuführen. Ein Ausweichen nach rechts, oder nach links, oder eine rückgängige Bewegung ist nicht môglich. Entfernt man aber das т den Weg getretene Hinderniss, so schiesst das Kórperchen von Neuem rast- los weiter; und so wechselt die stürmische Bewegung mit der scheinbaren Ruhe überall, wo man hindernd, oder befreiend in dieselbe eingreift. Schwache Säuren, sowohl organische, als auch mineralische, wenig con- centrirte Lösungen von Kalı causticum, heben die Bewe- gung nicht gleich auf; Aether und Alkohol sistiren dage- gen dieselbe augenblicklich. Die Paraphysen, und die in ihnen entwickelten geschwanz- ten Körperchen, stelln also die männlichen Organe der Flechten vor. Dieser Satz wird noch bekräftigt durch meine Untersuchungen über die Befruchtung und erste Entwickelung der Flechten - Sporen, die ich unten aus- einandersetzen werde. Die Spermatoiden der Flechten sind weit früher ent- wickelt als der Inhalt des zweiten mikroskopischen Ele- mentes der Apothecien, zu dessen Beschreibung ich jetzt übergehen will. Zwischen den Paraphysen eingelagert findet sich im Apothecium der Flechten noch eine andere Art Organe, - ! 253 SCR in donans die ren о werden, ad Welch da- her schon lange den Namen Sporangien führen. Diese Sporangien sind ovoide oder cylindrische, geschlossene, hohle Beutel, welche in vertikaler Richtung, von unten. nach oben im Apothecium aufsteigen, und sich nach beiden Enden hin immer mehr verjüngen, bis sie oben, an der freien Oberfläche des Apothecium mit einem ab- gerundeten Ende aufhóren. Das untere Ende des Spo- rangium, wie auch der Paraphysen, geht continuirlich in die Faserzellen über, welche unter dem Apothecium das oben beschriebene Fasergeflechte bilden. Aus diesem Grunde ist auch die Verjingung am unteren Ende des Sporangium weit stärker aussgesprochen als am oberen (Vrgl. Taf. VL Fig. 1 a, 3, 4 und 5). Die Wände dieser Schläuche sind sehr dick; erscheinen als doppelt-contou- гие Hüllen. Im Gegensatze zu den Hüllen aller übrigen Gewebselemente der Flechten, besteht dieselbe aus Cellu- lose. Mineralsäuren und Jodtinktur geben die schônste blaue Farbe, und lassen so die kleinsten Details im Baue der Sporangien ganz deutlich hervortreten. Bei den rei- fen Flechten liegen in den Sporangien die fertig gebilde- ten Sporen. Bei ganz jungen Flechten - Individuen erscheinen die Sporangien, ganz so wie auch die Paraphysen, als re- gelmässige, dünne Fasern, an denen auch hier nirgends eine Anschwellung zu unterscheiden ist. Diese Anlagen der Sporangien unterscheiden sich von denen der Para- physen dadurch, dass die ersten — solide Cylinder-Fa- sern sind, während die zweiten wirkliche Röhren vor- stellen. Im Lumen der róhrigen Paraphysen-Anlagen sind immer die oben beschriebenen runden Kügelchen zu fin- den, während sie in der soliden Sporangien-Anlage nicht vorhanden sind. f opm Diese soliden Fasern verwandeln sich nun in die Spo- rangien auf folgendem Wege. Zuerst bildet sich an dem oberen Ende der Faser eine ebenfalls solide Anschwel- lung, in deren Centrum eine Verflüssigung und Resorp- ‚tion stattzufinden anfängt (Taf. VI, Fig. 19 a). Beim Fort- schritte der Entwickelung vergróssert sich diese Anschwel- lung immer mehr und mehr; die centrale Resorption stei- - gert sich ebenfalls in geradem Verhältnisse; so, dass zu- letzt ein wahrer Hohlraum im mächtig -angeschwollenen. Ende der Sporangium-Anlage entsteht. Doch nicht die ganze Masse, die im Gentrum dieser Anschwellung der soliden Anlage gewesen war, wird aufgesaugt, ein Theil von ihr bleibt im neugebildeten Hohlraume . zurück und . stellt so einen Balken von schleimiger Beschaffenheit dar, welcher in der Mitte der Sporangiumhöhle liegt, und, wie wir später sehen werden, den Mutterboden für die zu entstehenden Sporen darstellt. Dieser centrale Sporan- gium-Strang sieht viel dunkler aus als die doppelt con- tourirten Wandungen des Sporangium, hat ein stärkeres Lichtbrechungsvermögen als diese. Doch kann man in ihm zu Anfang nichts als ganz kleine Molekularkörnchen bemerken (Taf. VI, Fig. 19, 20). Später aber liegen in ihm die Sporen. Bis zu dem Momente, wo aus der soliden Anlage des Sporangium, die Höhle desselben anfing, sich zu entwickeln, bestand diese Anlage durch und durch aus eiweissartigen Stoffen; mit der Bildung des Hohlraums aber, geht auch eine Verwandlung in der Zusammensetzung seiner Wän- de vor sich. Diese Verwandlung besteht darin, dass e die Subslanz der Wände Cellulose, so zu sagen, infiltrirt wird und dann noch Schichte auf Schichte auf die äus- sere Oberfläche dieser Sporangium-Wände abgelagert wird. Der centrale Strang behält aber seine Eiweissnatur; in 255 ibn herein wird kein Zellstoff abgelagert, ausser in Folge irgend eines pathologischen Processes, wo dann das Spo- rangium immer steril bleibt. | Durch diese Reihe formeller und chemischer Verände- rungen gelangt das Sporangium zu dem Zustande, wo es die Sporen in seinem Centralbalken erzeugen, und zur völligen Reife bringen kann. Die völlig reifen Sporen der Flechten, die ein Apothe- cium besitzen, haben bei den verschiedensten Flechten fast immer eine und dieselbe äussere Gestalt, eine und dieselbe Grösse und endlich eine und dieselbe Farbe. Die bei ihnen zu bemerkenden Verschiedenheiten sind von so unwesentlicher Bedeutung, dass sie nicht leicht in die Augen springen (Taf. VI, Fig. 6, 7, 8, 10). Es sind meist ovale Körper, von dunkel brauner Far- be, die gewöhnlich durch eine Querwand, welcher an der Oberfläche der Spore eine tiefe, ringförmige Ein- schnürung entspricht, in zwei Hauptstucke eingetheilt wer- den. Diese zwei Theile oder Hauptstücke der Spore ha- ben die Gestalt abgerundeter Conus, welche mit ihrer Basis untereinander verwachsen sind. Diesen zwei, äus- serlich unterscheidbaren Theilen der Spore entsprechen also zwei vollkommen isolirte Höhlen, in denen der Inhalt der Spore deponirt ist. Die Schaalen der Sporen sind bald sehr dünn, einfach-contourirt, wie bei Verrucaria pallida, bald doppelt-contourirt, wie bei Parmelia parietz- na und enthalten immer den braunen Farbstoff, von wel- chem die Farbe der Spore abhängt. Der in den Höhlen der Schaalen eingelagerte Inhalt ist farblos und enthält mehrere grosse und kleine Kugeln; dieser Inhalt ist noch in eine dünne, waserhelle Hülle eingeschlossen, die der inneren Fläche der Schaale an- 256 liegt und beim Zerdrücken derselben den flüssigen oder halb weichen Inhalt zusammenhält und ihn so vor dem ' Zerfliessen schützt (wie z. В. die Hülle des Pollenschlau- ches, der aus der geborstenen Pollenschaale herausgetre- ten ist). Die, Parmelia parietina flava hat Sporen, die von der gegebenen allgemeinen Beschreibung abweichen; erstens haben sie nàmlich nie eine pigmentirte, harte Schaale; dieselbe ist immer weich und durchsichtig. Zweitens wird die Spore nicht durch eine Querwand in zwei ge- trennte Partien getheilt, sondern sie besitzt immer nur eine Hóhle, in welcher der grosskórnige Inhalt nieder- gelegt ist. Ап den entgegengesetzten Enden der Längs- achse der Spore, unter der Hülle derselben, liegen je, zu einem halbmondfórmigem Kôrper gestaltete, grosse Kerne, deren Rolle nicht leicht begriffen werden kann (bat \ Во 2): Die unreifen Sporen der Flechten (Taf. VI, Fig. 9), sind farblose, bohnenförmige Korperchen, ohne jede Quer- theilung. An jedem Ende ihrer gebogenen Längsachse haben sie ein kleines, rundes, glänzendes Kügelchen, welches in die Substanz der scheinbar festen jungen Spo- re eingebettet liegt. Diese unrafen Sporen der Flechten sind ganz ähnlich den reifen Sporen von Trichia und Arcyria unter den Mycetozoen (Vrgl. meine Untersuchung, l. e. Taf. V, Fig. 7 c, und 15). Diese Aehnlichkeit ist so gross, dass es unmöglich ist, irgend ein unterschei- dendes Merkmal, wenn auch von ganz untergeordneter Bedeutung, aufzufinden. Natürlich kann hier der Verbin- dungsfaden der unreifen Trichia- Spore nicht in Betracht gezogen werden. Weder die Schaale, noch der Inhalt der Flechten- Sporen enthält je Cellulose. 257 _ Von Aussen ist das Apothecium begrenzt durch eine dünne Schichte, die aus Gonimialzellen besteht, welche den oben beschriebenen Charakter fuhren. Auf diese Schichte folgt noch weiter nach aussen eine Lage Epi- dermiszellen. An seiner oberen Flache aber ist das Apo- thecium unbedeckt von allen diesen Elementen; die obe- ren Enden der Sporangien und Paraphysen liegen ganz frei, den äusseren Einwirkungen blossgelegt. | Aus diesen beschriebenen Elementen besteht das Apo- thecium der Flechten dort, wo ein solches schon auf grob - anatomische Weise von dem Thallus unterschieden werden kann. Doch habe ich auch schon oben hervorgehoben, dass noch lange nicht alle Flechten ein solehes Apothecium besitzen. Bei einer grossen Anzahl von Flechten - Arten ist das Apothecium auf einige Risse an der oberen, oder der unteren Fläche, oder am Rande des Thallus reducirt. Ich bemerkte auch schon oben, dass die reproduktive Funktion dieser Risse durch das Studium ihrer mikrosko- pischen Zusammensetzung erschlossen werden kann. Die beschreibung dieser Zusammensetzung lasse ich hier fol- gen (Taf. VI, Fig. 25). An den Seiten und an dem Boden dieser Risse ge- wahrt man frei hervorragende Enden der Faserzellen, die als Paraphysen dieser Flechten gelten müssen (Taf. VI, Fig. 25 e). Es sind, an ihrem Ende geschlossene, sehr breite, varikóse Róhren (Taf. VI, Fig. 15), die sich durch diese Charaktere von den, mit ihnen zusammenhangen- den, Faserzellen des Thallus unterscheiden lassen (Taf. V, Fig. 7). In verschiedenen Stellen ihres Lumens enthal- ten sie ganz kleine, runde oder ovale Kórperchen, welche № 1. 1864. AVE Cod D О 9585. mit ати Contouren begrenzt sind; und ein fettig glän- zendes Aussehen haben. Befreit man diese «kleinen Kör- -perchen durch Druck aus dem zerquetschten Paraphysen- ‚Ende, so zeigen sie eine ganz ebensolche Bewegung wie die” Spermatoiden der Flechten mit Apothecien. Sie un- terscheiden sich von diesen nur durch ihre schmälere Gestalt, und den vollständigen Mangel eines schweifarti- gen Fortsatzes. Von den Molekularkörnchen, zu denen man sie gern hinziehen würde, unterscheiden sie sich aber durch ihre beträchtlichere Grösse und den Modus ihrer Bewegung. Die Molekularkórnehen bewegen sich immer um eine und dieselbe Stelle, sie tanzen so zu sagen um einen ideellen Punkt, Bewegungs-Centrum, herum, ohne erheb- lich vorwärts oder rückwärts zugehen. Ganz ausgezeich- net konnte ich den Typus der Molekularbewegung an den Körnchen des Inhalts eines aneurysmatischen Sackes eines Pfortoderzweiges im Parenchyme der menschlichen Le- ber studiren. Ich gewahrte hier immer nur ein Hin- und Her-Schwanken der Körnchen und die oben erwähnte Bewegung, wenn nicht anders ein Flüssigkeits-Strom die- selben mit sich fortriss. Zwischen diesen Paraphysen liegen gewöhnlich auch noch andere Körper, welche ganz exsquisite Sporangien sind. Das sind grosse, unregelmässige Kugeln, die durch ihren dunklen Inhalt fast ganz undurchsichtig sind. Durch einen dünnen Fortsatz verbinden sich diese Sporangien mit den unter ihnen liegenden Faserzellen (Taf. VI, Fig. 25 a, und 27). In diesen grossen Kugeln, deren Wand aus Cellulose besteht, liegen bei reifen Individuen die Sporen, welche der Hauptsache nach ganz ebenso be- schaffen sind wie die Sporen der Flechten mit Apothecien. 350 Später. werde ich meine Gründe sagen, auf wel- che hin ich glaube, dass diese Sporangien, denn das: sind diese grossen dunkeln Kugeln, nichts. Anderes als vergrösserte, und zum Zwecke der Reproduktion meta-_ morphosirte Gonimialzellen sind. Für jetzt verweise ich auf meine Tafel VI, Fig. 26, 27, 28, 29, 30 und 31. Die Sporen dieser Apothecien-losen Flechten, im Baue mit den Sporen der Apothecium-habenden Flechten iden- tisch, unterscheiden sich doch von ihnen durch einige Kleinigkeiten in ihrer äusseren Form. Ihre Form ist ge- wöhnlich viel schmäler, sie selbst sind viel kleiner, und weniger pigmentirt als die zuerst beschriebenen (Taf. УТ, Fig. 32 a und 6). ~ Wie ich schon oben erwähnt habe, besitzt Cladonia Са- pitata ein vollständig entwickeltes Apothecium, welches aus fadenförmigen Paraphysen und keulenförmigen Spo- rangien besteht, in welchen Spermatoiden und Sporen zur Reife gebracht werden. Ausserdem besitzen sie aber noch die Risse an der Oberfläche ihres Thallus, die eben- falls aus Paraphysen und Sporangien bestehen. In diesen Rissen haben aber diese Organe dieselbe Beschaffenheit wie die, welche wir in den Rissen an der Oberfläche von Umbilicaria grisea 2. В. kennen gelernt haben. —— Somit besitzen die Flechten männliche, wie weibliche Organe der Fortpflanzung, Paraphysen und Sporangien. Ш. LrkBENSWEISE. Ueber die Lebensweise der Flechten ist nicht viel zu sagen. In Beziehung zu derselben werden sie für ge- wohnlich eingetheilt in parasitische, und nicht parasi- tische Flechten. Doch scheint mir diese, recht praktische L7 260 Eintheilung keinen tieferen Grund zu haben, als den Ort ihres Wachsthums. Eine von der Fichte herabhängende Usnaea barbata, oder die Zäune verschönernde Parmelia parietina, — ernährt sich ganz auf dieselbe Weise wie eine Peltigera sylvatica, oder wie Cladonia rangiferina, welche den sandigen Boden unserer Fichtenwälder in einen schönen, üppigen Teppich verwandelt. Diese meine Meinung wird basirt, erstens dadurch, dass die Flechten Kohlensäure, Wasser und Ammoniak aus der Luft absor- biren, und dafür Sauerstoff ausathmen, was auf eine exclusive anorganische Nahrung, aus den genannten Stoffen bestehend, schliessen lässt. Zweitens dadurch, dass Individuen von ein und derselben Spezies bald als scheinbare Parasiten Baumstümpfe bewohnen, bald ebenso schön auf völlig reinem Sandboden gedeihen, — als Bei- spiele citire ich die bei uns so häufigen Cladonia rangı- ferina, tubuhformis und capitata. Ich glaube also, dass die Flechten nicht eigentliche Parasiten sind, sich nicht auf Kosten der Säfte des be- wohnten Pflanzensubjectes ernähren, sondern Wesen, die ihre Nahrung, ebenso wie viele anderen Pflanzen, aus der umgebenden Luft beziehen. Was sie aber zwingt, die Rinde der Baume aufzusuchen, und ihre Anheftungs- faden in die Risse derselben einzustecken? — bleibt bis jetzt noch ein Räthsel. Vielleicht spielt hier die Ansamm- lung von Kohlensäure, Ammoniak und Wasser in der Umgebung eines grossen Baumes eine nicht unwesent- liche Rolle. Denn dort, wo mehr begünstigende Momente versammelt sind, da entwickelt sich die Spore leichter und besser, und gedeiht der gebildete Organismus viel stärker. Die Sporen der Flechten, überall zerstreut, und vom Winde überall hin vertragen, finden sich gelegentlich auch 261 am Menschen, Hierher Behört das von Ardsten als be- sondere Pilzart aufgefasste, und unter dem Namen Рис- cinia favi eos duc Gebilde, ‘welches Ch. Robin unter dem Namen Cryptococcus guitulatus als. eine: wirkliche Pilzart bestätigt. (7) Ich habe diese Puccinia favi ebenfalls joi. Paar Male in abgestossenen Favus-Borken gesehen, und halte die- selbe für eine Spore von Parmelia parientina grisea, die meistens schon auf dem ersten Stadium der Entwicke- lung angelangt ist, d. В. sich in vier Fächer getheilt hat, in denen ein grobkörniger Inhalt eingeschlossen ist. Zum Schlusse will ich hier noch aufmerksam machen auf eine Krankheit der Flechten, die ich hier zum ersten Male bei Peltigera sylvatica entdeckte. Das ist: eine fet- tige Entartung, eine Nekrose der Faserzellen des Thallus. Die Wande der Epidermiszellen waren ausserordentlich verdickt; uber der Lage derselben an der oberen Flache war ein Exsudat ausgeschieden, welches einer schwarz gefärbten, derben Cuticula nicht unähnlich war. Die durch Zerstörung der Fasern im Thallus gebildeten Höhlen waren gefüllt mit Fettkörnern von verschiedener Grösse, von denen einige mit einer sogenannten Haptogenmembran versehen waren und mit Detritusmassen. Schimmel- pilze fehlten natürlich nicht, denn ohne sie kann Ja kein pathologischer Process im Pflanzenreiche denk- bar sein. (°) IV. ENTWICKELUNGSGESCHICHTE. Bis jetzt haben wir die Flechte und die sie zusammen- setzenden Theile als etwas ganz Fertiges, Reifes betrachtet. €) Vrgl. Ch: Robin. Les vegeteaux parasites etc. (*) Später sah ich eine ganz solche fettige Entartung der Parenchym- zellen des Blattes eines gewöhnlichen Ahorns. : 262. Y | Gehen wir nun zum Studium der Jugendzustände © der- ‚selben und sehen wir, wie sich aus der kleinen Spore heraus die Elemente der reifen Flechte bilden. um ‘Die Darstellung der Entwickelungsgeschichte will ich in zwei Theile‘ sondern; im ersten werde ich die Ent- wickelung der Flechten, welche ein Apothecium be- sitzen, auseinandersetzen; im zweiten wird uns die Ent- wickelung derjenigen Flechten, welche ein Apothecium entbehren, beschaftigen. a) Entwickelungsgeschichte der Flechten, welche ein analo- misch begrenztes Apothecium besüzen. Vorerst muss ich hier den Akt der Befruchtung und der Sporenbildung auseinandersetzen. Nachdem der Inhalt der kolbenförmigen Anschwellun- gen der Paraphysen zur völligen Reife gelangt ist, die in ihnen eingeschlossenen Kerne ihre schweifartigen Anhänge gebildet, das heisst, den Charakter der reifen Spermatozoiden erlangt haben, — platzt ‘die Membran dieser Anschwellung und in еше ungestüme Bewegung gerathend, verlassen die Spermatoiden ihren Bildungs- ort. Ein Thautropfen, der in der tassenförmigen. Aus- höhlung des Apothecium liegen geblieben ist, ermöglicht ihnen die freie Bewegung nach allen Richtungen. Auf ihren Kreuz- und Querzügen treffen nun diese Sper- matoiden auf die frei hervorragenden Spitzen der Sporangien. An diesen freien Spitzen oder Enden der Sporangien findet sich eine Vorrichtung, welche das Eindringen der Spermatozoiden in ihren Hohlraum ermöglicht. Diese Vorrichtungen sind — kleine runde, oder ovale Oeffnun- 3 263 gen, ‘die je zu einer an jedem Sporangium, bald ganz an der Spitze desselben. liegen, wie zum Beispiel .bei.. Umbilicaria hyperboraea (Taf. VI, Fig. 91, 22 und 23, | überall bei a); bald etwas seitwärts und nach unten von | |: — derselben zu sehen sind, bei Verrucaria tartarea (Taf. УТ. Fig. 2 с bei а’). In der doppelt-contourirten . Hülle des Sporangium erscheinen diese Oeffnungen als kurze Ka- пе, welche die ganze Dicke der Wand desselben durch- setzen, und auf diese Weise. eine Verbindung zwizchen der Hóhle des Sporangium und der àusseren Umgebung zu Stande bringen. Diese kleinen Kanäle mógen den Namen Mykropyle führen, da derselbe schon einmal in die Wissenschaft eingeführt, und dessen Bedeutung hier, wie überall, dieselbe ist. Der Zoolog versteht unter Mykropyle eine Oeffnung in der Hülle des Eies, welche den Durchgang der Spermatozoiden in dasselbe erlaubt; die Oeffnung in den Sporangien dieser Flechten hat auch dieselbe Bedeutung. Die befreiten Spermatozoiden sammeln sich nun um diese Mykropyle des Sporangium und suchen unter bohrenden Bewegungen dieselbe zu passiren. Oefters habe ich diesen interessanten Process angesehen, und gebe ein schematisches Bild desselben in Figur 21 auf Tafel VI. So sammeln sich die Spermatozoiden zu 10 oder 20 Stuck in die Höhle ees Sporangium, aus welcher sie dann in den weichen, schleimigen Centralbalken des- selben übertreten, wo sie bald gewissen Veränderungen unterliegen. Der bis jetzt fast homogene, nur durch seltene kleine Kornchen getrübte Centralbalken, fangt ebenfalls an, eine Reihe von Veränderungen zu beginnen, deren Resul- Br. tat - — i Bilinne der Sporen ist: Dieses ‘geht folgender- .maassen her. ‚ Nachdem die Spermatozoiden in diesen Centralbalken eingedrungen und dort zur Ruhe gekommen sind, grup- piren sie sich in demselben meist so, dass je zwei. und zwei hart neben einander zu liegen kommen. Die ver- schiedenen Paare der so gelagerten Spermatozoiden stehen aber in einer grösseren Entfernung von einander. (Taf. VI, Fig. 22). Nachdem die Spermatozoiden diese Lage eingenommen haben, verlieren sie ihre schweif- artigen Anhänge und nehmen eine kugelrunde Ge- stalt an. Im Umfange dieser, zu Kernen verwandelten Sperma- tozoiden, beginnt jetzt eine Veränderung des Gentral- balkens, die in einer Aufhellung desselben am genann- ten Orte besteht; um jedes Spermatozoiden-, oder Kern- Paar herum, entsteht ein ovales, helles Körperchen, wel- ches immer grösser und grösser wird, und zuletzt eine Membran um sich herum ausscheidet (Taf. VI, Fig. 23). Auf diese Weise bildet sich im Centralbalken des Sporan- gium еше Anzahl vollkommener Zellen, Embryonalzellen. Es ist also klar, dass bee den Flechten der Central- balken des Sporangium, d. h. eine noch membranlose Masse, durch die eindringenden Spermatozorden befruchtet wird, und nicht eine bereits fertige, mit einer Membran versehene Zelle. Erst nach Befruchtung des Centralbalkens bilden sich um die verwandelten Spermatozoiden herum die Embryonalzellen der zukünftigen Sporen der Flechten. Ich hebe hier also für die Flechten, wie man sieht, ganz dieselben hauptsächlichen Verhältnisse oder Mo- mente im Wesen des Befruchtungsaktes hervor, wie sie von Pringsheim für die Algen entdeckt worden sind. In NT. wy 5S LUE 965 -seiner herrlichen Monographie. «Ueber die Befructitung und Keimung der Algen und das Wesen des Zeugungs- aktes». Berlin 1855. S. A. Seite 15, sagt dieser Forscher: «Wir finden hier 9. В. №: den Fucaceen) _ demnach ‘ dieselbe Erscheinung wieder, die ich bei Vaucheria her- vorhob, dass nähmlich der Befruchtungsakt nicht in der Einwirkung der Spermatozoiden auf eine bereits fertige, mit einer Membran versehene Zelle, ein Embryonalbläschen, welches durch seine Membran hindurch befruchtet würde, besteht; sondern vielmehr darin, dass ein oder mehrere Spermatozoiden, in eine noch membranlose, körnige Masse hineindringen, worauf erst diese sich mit einer, die en- gedrungenen Spermatozoiden gleichfalls einschliessenden Membran bekleidet, und so die, der unmittelbaren Ent- wickelung fähige Embryonalzelle der Pflanze darstellt.» Und weiter sagt er: «Die Mutterspore bei Fucus, und die Sporenfrucht bei Vaucheria sind morphologisch gleich- werthig der Centralzelle des Archegonium bei Farrn- kräutern und Moosen, auf welche der Kanal desselben hinführt, und dem Embryosacke phanerogamer Gewächse. (Auch dem Sporangium der Flechten, wie ich hinzusetzen darf.) Ich habe mich bisher vergeblich bemüht, in der Centralzelle der Archegonien eine schon vor der Befruch- tung vorhandene Embryonalzelle aufzufinden. Vielmehr halte ich mich überzeugt, dass auch hier die wahre Em- bryonalzelle erst nach erfolgtem Eintritte der Spermato- zoiden um einen Theil des Inhalts der Centralzelle sich bildet, und die eingedrungenen Spermatozoiden mit ein- schliesst. Sollte derselbe Vorgang nicht auch bei den Phanerogamen stattfinden?» In Bezug auf die Flechten betrachte ich die hier aus- gesprochene Vermuthung des grossen Forschers, durch An v 906 ouo | i: .meine- Untersuchungen ausser allen Zweifel gestellt. . ‚Sollte derselbe Vorgang nicht auch bei den Phaneroga- - men. stattfinden?, kann ich jetzt mit noeh grösserem + Rechte als Pringsheim fragen. Kehren wir zu der Entwickelung unserer Spore zurück. Nachdem nun die erste Anlage derselben um die ver- wandelten Spermatozoiden herum entstanden ist, und sich um den neugebildeten bohnenfórmigen Kórper eine Hülle abgeschieden hat, fängt dieser Kórper an, seine dicke und braungefärbte Schaale zu bilden. Die, mit einer solchen Schaale versehene junge Spore, ist ein kleiner, ovaler Körper, in welchem die zwei run- den Kórperchen, die verwandelten Spermatozoiden, die früher an den beiden Enden der Längsachse der Sporen- anlage lagen, gànzlieh verschwunden sind (Taf. VI, Fig. 1 а’). Die Rolle der Spermatozoiden, so weit sie mit Hülfe des Mikroskopes zu verfolgen ist, bésteht hier also nur in der Einleitung eines Processes, in Folge dessen sich die Zellen, oder Sporen im Sporangium bilden. Und diese Rolle hat er mit allen Zellenkernen gemein. Die weitere Entwickelung dieser, schon mit einer Schaa- le versehenen Spore besteht darin, dass sich dieselbe durch еше Querwand in zwei Abtheilungen фей, die aber nieht von einander getrennt werden, sondern im Zusammenhange bleiben. Diese Quertheilung ist auch an der äusseren Oberfläche der Spore durch eine ringfor- mige Einschnürung angedeutet (Taf. VI, Fig. 4). In jedem dieser zwei die Spore zusammensetzender Theile gewahrt man nun eine Ausscheidung von Kôrnern, die bald grós- ser, bald wieder kleiner sind, und deren Zahl in beiden Theilen nicht ein und dieselbe ist (Taf. VI, Fig. 8 a). Zuweilen scheint die Spore nicht aus zwei solchen Thei- 267 len, : ee aus ны zu bestehen (Taf. VI, Fig. 8 b); i doch kann man nur recht selten eine solche Spore im Inneren des unversehrten Sporangium antreffen; wo man sie aber darin findet, môchte ich sie als Resultat . dest itz Fortschritts der Entwickelung oder einer: Störung i in ihrer ^ ; Bildung ansehen. Zuweilen sieht man auch be quergetheilte, also durchaus mit einer harten Schaale versehene Sporen durch einen kurzen und schmalen Isthmus unter einander in Verbindung stehen (Taf. VI, Fig. 5). Ich glaube nicht, dass man hier an eine Vermehrung der fertig gebildeten Sporen durch Theilung denken könnte; vielmehr er- scheint mir dieses als eine congenitale Anomalie in der Schaalenbildung. Wenn die Sporen die oben beschriebenen Charaktere erlangt haben, das heisst, wenn sie zur völligen Reife gekommen sind, so entleeren sie sich aus dem Sporan- gium, indem der oberste Theil der Wand desselben berstet, oder sogar ganz abgerissen wird. Das geborstene Sporan- gium selbst bleibt aber in dem früheren Zusammenhange mit den Faserzellen des Thallus 2% dem Apothecium zu- rück. Indiesem entleerten Sporangium bleibt gewöhnlich eine körnige, unzusammenhängende Masse liegen, die leicht durch die, zum Präparate zugesetzte Flüssigkeit ausgewaschen wird. Aus dieser in’s Freie getretenen, schon befruchteten Spore geht nun durch eine Reihe von Umwandlungen derselben die Flechte hervor. Der erste Schritt zu dieser Bildung besteht darin, dass jeder besondere Theil der Spore durch eine Scheidewand in je zwei besondere Abtheilungen zerfällt (Taf. VI, Fig. 33 und 34). Diesen Scheidewänden extsprechend bilden - 268 sich auch ringformige Einschnürungen an der äusseren Oberfläche der Sporen Schaale. Die Spore besteht also in diesem Stadium nicht aus zwei, sondern aus vier Thei- len, die obwohl durch die gemeinsame äussere Schaale in einer festen Verbindung unter einander stehen, doch eine jede ihre besondere Membran und ihren besonderen Inhalt besitzen, in welchem grosse runde Körner schwim- men, die durch ihren matten Glanz und scharfe Contou- ren an Fettkörner erinnern, es aber nicht sind. Jede be- sondere Abtheilung der Spore ist eine besondere, Lebens- und Entwickelungs-fähige Zelle. Die weitere Entwickelung besteht darin, dass die bei- den entgegengesetzten Enden der Längsachse der Sporen- schaale, oder besser, die freien Enden der zwei zu äus- serst liegenden Abtheilungen derselben, — von innen nach aussen durchbrochen werden. Aus jeder der zwei so ge- bildeten Oeffnungen tritt ein dünner, wasserheller Fort- satz der zu äusserst liegenden Zelle hervor, in dem eine dünne Membran und ein mit seltenen Körnern versehe- ner Inhalt zu unterscheiden ist (Taf. VI, Fig. 35). Zuweilen tritt ein solcher Fortsatz nur aus einer End- öffnung der Sporenschaale hervor (Taf. VI, Fig. 36). Dieser Fortsatz vergrössert sich sehr rasch, wird länger und breiter und bekömmt durch viele auf einander fol- gende Einschnürungen, welche durch eine entsprechende Anzahl von Aufblähungen abgewechselt werden, ein va- riköses Aussehen. Zu dieser Zeit platzt die Sporenschaale ihrer ganzen Länge nach auf, und wird durch das rasche Wachsthum des Sporeninhaltes vollkommen ‘von demselben herabge- streift, zur Seite geschoben. M 269 - Dieser Inhalt der jetzt abgedienten Schaale erscheint nun in folgender Form (Taf. VI, Fig. 38). . Es ist eine Reihe von ziemlich grossen, Archeichiigen, farblosen Zellen, die einen granulirten . Inhalt fübren, und durch kurze, dicke Fortsätze oder Ausläufer unter einan- der in lineärer Verbindung stehen. Die Varices oder Ausbuchtungen des oben zuerst beschriebenen Fortsatzes haben sich jetzt schon ebenfalls zu einer Вефе zusam- menhängender Zellen umgebildet, und so die primitive Vierzahl der Embryonal-Zellen durch noch 2 bis 3 ver- grossert. Auf diese Weise hat sich die erste Anlage des Flech- tenembryos aus der Spore herausgebildet. Durch fortge- setzte Theilung vermehren sich diese Embryonalzellen, indem sie zugleich neue Auslaufer nach allen Richtungen hin ausschicken. Die emzelnen Zellen vergrossern und verschieben sich immer weiter und weiter von einander; die erwahnten Ausläufer nehmen immer mehr an Lange zu, theilen sich öfters, und anastomosiren von Neuem untereinander. Die Embryonalzellen schnuren sich von ihren Ausläufern ganz ab, und erscheinen als vollkom- men isolirte runde Blasen; die Zahl dieser Blasen wächst durch Theilung der früher vorhandenen so rasch, dass sie bald eine recht dicke Schichte bilden, während die abgetrennten Ausläufer durch häufige Anastomosen ein dichtes Netzwerk unter dieser Blasen, oder besser Zel- lenschichte, hervorbringen. Die einzelnen Fasern, welche dieses Netzwerk zusammensetzen, sind dünne, durch- sichtige Röhren, in deren Lumen ganz constant kleine, runde Körperchen liegen. An einigen Stellen der Röhren dieses Netzwerkes sieht man kleine Anschwellungen, aus denen sich auf dem Wege der Knospung neue Röhren hervorbilden können (Taf. VI, Fig. 40). Die Maschen des . Netzwerkes werden jetzt angefüllt durch eine Intertubu- . larmasse, von der ich schon oben gesprochen habe, und die warscheinlich von den Faserzellen ausgeschie- den wird. Dieses Netzwerk kommt gewöhnlich in der von mir hier beschriebenen Flechten - Abtheilung unter die er- wähnte Schichte der runden Zellen zu liegen (Taf. VI, Fig. 40 und 41). Von den einzelnen Zellen dieser Schichte aus bildet sich durch Theilung derselben die Epidermis unseres Embryo. Am Anfange unterscheiden sich die, die Epidermis zusammensetzenden Zellen durchaus durch gar Nichts von den unter ihr gelegenen Zellen. Doch durch fortgesetzte Theilung verlieren sie endlich viel an Grösse, während die letzteren fortfahren zu wachsen, und zuletzt noch Chlorophyllkórner in sich bilden. So entstehen in dieser ersten Flechtenanlage drei ver- schiedene Schichten, ‘von denen jede aus einer Anzahl besonderer mikroskopischer Elemente zusammengesetzt wird. Wir erkennen leicht in diesen drei Schichten des Embryo die von mir oben beschriebenen Schichten im Thallus der ausgebildeten Flechte, nähmlich: Epidermis, Gonimial-, und Faserschichte (Taf. VI, Fig. 42). Nachdem so der Thallus der Flechte in kleinem Maas- stabe angelegt worden ist, vergrössert ersich rasch nach allen Richtungen; er wird dicker und grösser; auch die ihn zusammensetzenden Elemente nehmen mit dem fort- schreitenden Alter ein wenig an Dicke und Grösse zu. An einigen Stellen dieses embryonalen Thallus entsteht nun eine kleine Veränderung in der Lage seiner Ele- mente. Die Faserzellen, die früher meist paralell mit der Du. ME E k er PES ‘ Mv > : i plis : S 271 dica 4 à P CA ye? Ze “ d Oberfläche des Thallus verliefen, fangen jetzt an einigen | Stellen an, ihre freien Enden gruppenweise. in eine verti- kale Lage zu bringen. Es bilden sich auf diese Weise Partien im Thallus hervor, die aus vielen aufsteigenden, y paralell neben einander stehenden Fasern bestehen. Die‘ . Gonimialzellen werden an diesen Stellen ganz zur Seite gedrängt, während die geschlossenen oberen Enden, oder Spitzen der aufsteigenden Fasern durch die Epidermis- schichte bedeckt werden (Taf. VI, Fig. 42). Durch Wachs- thum dieser Gruppe aufsteigender Fasern wird aber auch diese Epidermisschichte bald durchbrochen, und in Folge des Dickenwachsthums der Fasern, zur Seite geschoben, so, dass die Spitzen dieser Fasern jetzt ganz frei zu Tage treten. In dieser Gruppe erkennt ein Jeder ganz leicht das zukünftige Apothecium der Flechte. Aus den Fasern dieser Anlage des Apothecium entwickeln sich auf oben beschriebene Weise die Paraphysen und Sporangien (Taf. Vi, Fig. 18 und folgende). Das Mycelium der Verrucaria coracina, wie auch ihr Apothecium, entwickeln sich ganz nach dem eben ge- gebenen Entwickelungsbilde der Flechten, die ein Apothe- cium besitzen. Die Entwickelungsgeschichte von Verru- caria tartarea müsste aber einige Abweichungen von dem gegebenen Bilde zulassen. Ich besitze aber, zum Ве- dauern, keine Untersuchungen über die Entwickelung dieser Verrucaria. Bei der Entwickelung der Flechten mit Apothecien findet somit kein Generationswechsel statt. Aus den vier primitiven Embryonalzellen der Spore entwickeln sich hier durch fortgesetzte, einfache Theilung, Aus- läufer-Bildung und Lageveränderung — alle Elemente der reifen Flechte. 272 b) Entwickelungsgeschichte der Flechten, welche kein eigent- hches Apothecium besitzen. | Schon oben habe ich es zur vollkommenen Gewissheit erhoben, dass die Risse an den Oberflächen einiger Flech- ten-Arten die Stelle der Apothecien der ersten Arten ver- treten. Oben habe ich schon gezeigt, dass die Wände dieser Risse ebenfalls aus Paraphysen und Sporangien, männlichen und weiblichen Reproductionsorganen be- stehen, durch deren Zusammenwirken die Sporen in den letzteren entstehen. Den Befruchtungsakt konnte ich bei diesen Flechten nicht verfolgen, doch mag derselbe wohl auch hier ganz ebenso vor sich gehen, wie ich es oben beschrieben habe. Die Spermatoidien entwickeln sich hier ebenfalls aus den runden Körperchen, die wir oben im Lumen der Paraphysen kennen gelernt haben. Die Spermatoidien dieser Flechten-Arten gleichen sehr denen, die Prings- heim bei Vaucheria entdeckt hat. Ihre Gestalt ist schon von mir beschrieben worden. Die Entwickelung des Sporangium und der Sporen geht hier auf folgende Weise vor sich: Schon oben habe ich als ganz allgemeine Regel her- vorgehoben, dass bei den Flechten dieser Gruppe die Gonimialzellen durch kleine, dünne Fortsätze ganz con- stant mit den Fasern des Thallus in Verbindung stehen (Taf. VI, Fig. 28). An einigen Stellen des Thallus fangen diese Gonimialzellen an Grösse zuzunehmen an, während die in ihnen enthaltenen Chlorophylikugeln in eine feine Detritus - Masse zerfallen, und einer theilweisen Verflüs- - sigung und Resorption unterliegen (Taf. VI, Fig. 29). In dem so aufgehellten Inhalte erscheint eine Anzahl, (10 bis 15, zuweilen nur 3, oder sogar 1) kleiner runder 273 heller, Kugeln, die den veränderten Spermatozoiden in den Sporangien der Apothecien entsprechen. Diese Ana- logie spricht sich durch das Folgende noch deutlicher aus. Im Umfange dieser runden, hellen, scharf contourir- ten Kugeln geht eine Veränderung auch im Inhalte der metamorphosirten Gonimialzellen vor sich, die in einer Aufhellung derselben um die kugelformigen Korperchen herum, besteht. (Taf. VI, Fig. 30). Um diesen hellen Hof bildet sich später eine dünne Hülle. So entsteht in die- ser Gonimialzelle auf endogenem Wege eine grosse An- zahl Tochterzellen, die später eine harte Schaale auf ihrer Oberfläche ausscheiden, und sich so in eine junge Spore verwandeln. Zum Kerne hat diese Spore, den ver- wandelten Saamenfaden. Im Anfange des Vorganges der Sporenbildung lagert sich in die Wand der zum Sporangium verwandelten Go- nimialzelle-Cellulose ab, wodurch der primitive Charak- ter dieser Zelle ganz verwischt wird. . Wie man sieht, ist hier der Vorgang der Sporenbildung ganz analog dem, den wir in der erst beschriebenen Gruppe der Flechten kennen lernten. Der Unterschied besteht nur darin, dass bei der ersten Gruppe eine jede Spore sich um zwei Spermatozoiden herum bildete, wäh- . rend bei dieser Gruppe ei» Saamenkórperchen den um ihn liegenden Theil des Sporangium - Inhaltes zu einer Spore umwandelt (*). Zuweilen geht der Umwandlung der Gonimialzelle in ein Sporangium eine mehrfache Thei- lung derselben vorher (Taf. VI, Fig. 31); so, dass dann das Sporangium — das letzte Glied einer zusammenhän- (') Zur Erläuterung des eben Gesagten stelle ich hier die ensprechen- den Figuren in einer paralellen Reihe zusammen: а Тавеме Но. 222 und 29» fre dd ade b. Taf. VI. fig. 29 und 30, fig. 27 und 31. № 171861. 18 ‘ p genden Reihe von Gone Pellen vorstelli wie 42 B. bei Usnaea barbata. ed - Die im Sporangium befindlichen Sporen theilen sich durch eine Querwand in zwei zusammenhängende Theile, und so entsteht die ganz reife Spore, welche die schon hervorgehobenen Eigenschaften besitzt (Vrgl. Taf. VI, Fig. 32 а und 6). Wenn die im Sporangium eingesehlossenen Sporen ihre Reife erlangt haben, so reisst es von dem Fortsatze, welcher dasselbe mit den Faserzellen in Verbindung hielt, ab, und fällt nach aussen heraus, wo seine Wan- de schon durch äussere Einflüsse zertrümmert und so die Sporen aus ihrem Gefängnisse befreit werden, und nun zu keimen anfangen. Der Anfang der Keimung besteht darin, dass sich die Spore dureh Scheidewände in drei Abtheilungen theilt, in denen je eine Embryonalzelle liegt. Darauf platzen die Enden der Sporenschaale auf und es treten aus ihnen feine, wasserhelle Fortsätze heraus. Bald platzt auch die ganze Schaale der Länge nach auf, und die drei Embry- onalzellen treten aus ihr hervor. Ап Grósse zunehmend, und sieh wiéderholt theilend, bilden sie einen kleinen zelligen Kórper oder Embryo, in dem zwei verschiede- ne Zellenlagen leicht zu unterscheiden sind, eine obere, aus kleinen Zellen bestehende und eine untere, welche aus grossen Zellen zusammengesetzt wird. Zwischen den beiden Zellenschichten und unter der untersten Lage bil- det sich durch Ausläufer-Bildung, Theilung und Anasto- mosirung derselben ein feines Fasernetz. Der Embryo besteht so aus Epidermis, Faserschichte und Gonimial- zellen, die zu unterst noch durch eine Faserlage begrenzt werden, und Chlorophyllkorner in Menge um ihren Kern 975 ablagern. Die Ce Léo schnüren sich aber s die- .: sen Flechten: nicht von den Faserzellen ab und erscliei- *: nen daber ‘auch bei der reifen Flechte als mit ihnen ver= bunden, wie ich es schon oben hervorgehoben habe. Wie wir sehen, unterscheiden sich diese Flechten durch ihren Entwickelungsmodus wenig von den zuerst Be- schriebenen. Ein Generationswechsel fehlt hier ebenso vollständig wie auch dort. Nur ist der Embryo hier ein ganz entschieden zelliger Körper, während er dort, sogar gleich nach dem Herausschlüpfen aus der Sporenschaale schon aus Zellen und kurzen, dieselben verbindenden, Fasern besteht. Als Anhang zu der Entwickelungsgeschichte der Flech- ten will ich noch einige Bemerkungen über die so eigen- thümliche Cladonia capitata zusetzen. Wie ich schon aus- einandergesetzt habe, besitzt diese Flechte doppelte Ge- nerationsorgane; erstens prächtig roth gefärbte Apothecien, welche an den freien Enden der Zweige des strauchför- migen Thallus aufsitzen, und aus Sporangien und Para- physen bestehen, in denen Sporen und Spermatozoiden (geschwänzte) gebildet werden. Als zweites Generations- organ funktioniren die Risse, welche an vielen Stellen der Oberfläche des Thallus liegen, und metamorphosirte Gonimialzellen als Sporangien enthalten, denen dicke und variköse Paraphysen untermischt sind. In diesen Paraphy- sen werden schwanzlose, stäbchenförmige Spermatoidien, entwickelt. Beide Sporangien produeiren Sporen, und je- des auf die ihm eigenthümliche, unter a und 5 beschrie- bene Weise. Dieses erlaubt mir den Schluss zu ziehen, dass diese Flechte auch einen doppelten Entwickelungs- modus besitzt. Diese Vermuthung konnte ich nicht durch 185 276 entsprechende Untersuchungen prüfen, dà ich sehr weni- ge Exemplare dieser Species besass; .und sie zum Stu- ‘dium ihres Baues verbrauchte (Taf. V, Fig. 7). Zum Schlusse will ich noch ein Paar Worte über die prätendirte Entwickelung aus Gonidien, Gonimialzellen ver. lieren. Als ganz bewiesen betrachte ich es, dass eine solche Entwiekelung nicht existirt. Die Flechten können sich nur und einzig und «llein aus ihren Sporen heraus- bilden. Wo man aber annahm, dass auch die Gonidien als Sporen vicariren können, hat man den grössten Feh- ler begangen und dieser Fehler entstand dadurch, dass man die abgetrennten kugelförmigen Sporangien als Go- nimialzellen auffasste. Besonders Cetraria islandica mag viel beigetragen haben zur Verbreitung dieser falschen Ansicht. Bei dieser Flechte sind nämlich die kugelförmi- gen Sporangien fast gar nicht grösser als die Gonimial- zellen und enthalten immer nur eine, grünlich-graue Spore. Diese Sporangium von Cetraria isländiea unter- scheiden sich aber von den Gonidien derselben schon allein dadurch, dass sie immer Zellstoff in ihrer Wand besitzen. 4 V. KLASSIFIKATION. Die Flechten sind demnach solche organische Wesen, die, der Hauptsache, nach, aus Organen gebildet werden, welchen die Erhaltung der Art obliegt. Zuweilen wird die Funktion dieser Organe unterstützt durch ein anderes Gebilde, den Thallus, oder das Mycelium, welches dann mit dem eigentlichen Reproduktionsorgane in einem di- rekten, anatomischen Zusammenhange steht, und dem- selben als ernährende Unterlage dient, wie bei Umbilica- ria grisea, Parmelia parietina, Verrucaria coracina. Zu- weilen aber entbehrt das Reproduktionsorgan aller mög- lichen НОЕ, ed dass dabei die eigentliche) we- sentliche Natur der. ‚Flechte verloren geht, wie z. B. Ver- ¢ rucaria tarlarea. Sobald aber die Reproduktionsorgane - unentwickelt sind, bleibt die Flechte ein Embryo. Diese Organe werden zusammengesetzt aus kolben-, oder ku- gel- fórmigen Sporangien und Paraphysen, in welchen еее Spermatozoiden gebildet werden, die in die Sporangien eindringend, dieselben befruchten, und so die Bildung der Sporen motiviren. Die Sporen der Flechten sind kleine ovale Korper, die mit einer harten Schaale versehen sind, und zwei Embryonalzellen in sich ein- schliessen. Reif werden sie von der Mutterpflanze entleert dadurch, dass das Sporangium platzt und so seinen In- halt ausschuttet, oder zuerst abreisst, und schon draussen die Sporen befreit werden. Aus den Sporen entsteht durch Vergrösserung und Theilung ihrer Embryonalzellen der Flechten-Embryo, der ganz zuerst eine zellig-faserige, oder eine einfach-zellige Struktur hat. Aus diesem Em- bryo bildet sich zuerst der Thallus und später das Re- produktionsorgan, indem einige Fasern des Thallus zu Paraphysen verwandelt werden und die Sporangien bald aus metamorphosirten Gonimiälzellen, bald aus verwan- delten Faserzellen entstehen. Man sieht demnach, wie mangelhaft die früheren Be- stimmungen dieser Pflanzengruppe waren. So theilt Jussieu die niedrigsten Pflanzen folgendermaassen em: 278 Végétaux. Acotylédonés é ты. a ON ni de |Plantes aquatiques . Algues. vus feuille Struc- Pas | ou de ture Wess fronde T cellu- SONUS Pas de thal- laire. loliace lus . . . Champignons, Plantes i terrestres; Un thallus et des thèques . Lichenes. Ausgenommen, dass bei dieser Eintheilung die Мусе- tozoen ganz ignorirt werden, wie es ja auch anders nicht sein konnte, wenn man bedenkt, dass dieselbe zu einer Zeit gemacht worden, wo die Mycetozoen einstimmig zu den Champignons théquasporés gezählt wurden, ausgenom- men dieses hat diese Klassifieation den Fehler, dass nach ihr sowohl Verrucaria coracina, wie auch Verrucaria tartarea als Pilze angesehen werden müssten, da sie kei- nen Thallus besitzen, während doch ihre Struktur der Apothecien anderer Flechten ganz analog ist. Eine Klassi- fikation aber, welche schon sogar 2 Spezies nicht um- fassen kann, muss als falsch verworfen, und daher nicht mehr von uns acceptirt werden. Nicht um Vieles besser steht es mit der Klassifikation von Schleiden, der letzten von den in Jüngster Zeit ge- machte solel Mer: Schleiden theilt die niederstbld Pilzen ein, wie folgt: ^ : Nach. meinen Untersuchungen 21070 ^ Doy & n Plantae Angiosporae. ds auch sie ob- DU PUES Die Sporen werden gebildet in beson- deren Organen, oder Zellen, wel- Eine, bis vier Sporen werden in jedem Spo- rangium gebildet, wel- ches aufplatzend die- che den Namen |selben entleert Algae. Sporangium füh-| Ein Jedes Sporangium ren. Nach Befrei-|entwickelt in sich nur ung der reifen Spo-|eine Spore. Wenn diese ren aus dem Spo-|Spore reif wird, so löst rangium fangen |sıch dieselbe zusammen dieselben gleich zu | mit dem Sporangium von keimen an. dem Mutterkórper ab Fungi. In jedem Sporangium werden 4 bis 8 Sporen gebildet. Wenn diesel- ben ihre völlige Reife erlangen, so platzt das Sporangium und entleert auf diese Weise die in ihm enthaltenen. Sporen . Lichenes. Ungeachtet, dass diese Klassifikation die Flechten von den Algen gar nicht untercheidet, denn der hervorgeho- bene Unterschied in der Zahl der Sporen, die in einem Sporangium gebildet werden, kann von uns nicht mehr acceptirt werden, seitdem ich gezeigt habe, dass Cetraria islandica, wie auch Lobaria pulverulenta nur eine Spore in jedem Sporangium bilden, ungeachtet dessen, hat diese Klassifikation noch viele, grössere Fehler. - x г | “es Wir wissen jetzt, dass. alle Apothecien-losen Flechten ihre Sporen zusammen mit dem Sporangium auswerfen. Und diese Flechten bilden ja doch die grösste Mehrzahl der bei uns einheimischen Gattungen. Sollen wir sie, Schleiden gehorchend, zu den Pilzen stellen? Doch mir ‚scheinen die Forderungen der Natur, des Baues und der Entwickelungsgeschichte dieser Wesen mehr Recht auf Erhórung zu haben, als die Klassifikation von Schleiden. Aus diesem Grunde müssen wir dieselbe von heute an als eine, in das Archiv der botanischen Literatur über- gebene Arbeit betrachten. E Uc. Nicht besser ist es auch mit der Eintheilung der Flech- ten in Gruppen und Arten bestellt. Als Beispiel führe ich hier die Klassifikation von Jussieu an, die meiner Ansicht nach, noch die beste von allen ist: | Das Recepta- ( Pulverige culum wird Flechten . . Coniothalamaeae. | gebildet durch Modifikation | Krustenformige des Thallus. Flechten . . Idiothalamaeae. Liche- e nes Das Recepta- ( Flechten mit culum ist ein einem Peri- eigenes Or- thecium . . Gasterothalamaeae. | gan, welches nicht durch Modifikation | Receptaculum des Thallus offen, unbe- gebildet wird. deckt . . . Hymenothalamaeae. In dieser Eintheilung der Flechten in die zwei Haupt- divisionen, je nach der Bildung des Receptaculum, Apo- thecium, sehen wir schon einen grossen Schritt zur Em. Wahrheit. Doch in der weiteren. osse geht die einheitliche leitende Idee verloren. Dann ist es die Form | des Apothecium, dann des “Fhallus, dann wieder das‘ Vorhandensein, oder der absolute Mangel eines Perithe- cium, welche die Eintheilung in Or dnungen _ motiviren.. Solehe eigenthümliche Unterschiede können aber meiner Meinung nach nur auf die Bildung der Familien, Spezies, Einfluss haben. Die Unzulänglichkeit der Klassifikationen bestimmte mich meine Untersuchungen über die Flechten so viel als mög- lich zu erweitern, um eine eigene Eintheilung aller bei uns lebender Flechten geben zu können. Die Resultate meiner Untersuchungen in dieser Richtung lege ich nie- der in der hier folgenden Tabelle. IE: 282 "umnioeqr -9q 'emerq-srur -ıopıdy uo -qiejos uneug qstoul ‘лещ "A 3x4oepeg ^a "uopuey -10A Snjjey,L sop opuey we gnu purs ossıy ета */i 4yypopoquy ‘= 94261940 -SnjjeyL хэр 9910 uojuejsuoo uiou -J9x ue U9H9)SJU9 OSSIY 9591 * 5 d - ^umiooAq euqo : - umqóoÁ]y weus II : fh x "u9991) эзет \ nz 194] uosÁud -еле{ pun uals -ue10dS erp usu -9p ur ‘ossIy uoq -0j1sjuo snj|[eu] sop euogp1eqQ Jop uo[pog uss -IUI9 Ue INN ‘9 _, Ue1ods qors ur uepyiq enjeu sop eyoey |^. -1940 uezues лор uoj[ezjeruiuor) omq *,» "Snpeu WN ‘9 'snjjeyL 2UUO ‘2 'uosei snj[eu] sop euo»epieq( s9p ue uassnp USP ur oq9|9A *uoj[ozjerumuo») ur juejsuoo 2485 Чопе uoJodg эф uors UJOHIIMIUS qooq -ueqejseq чэзАчел -ed pun и919ие104$ uewqomumuuoste usp sne oqo[o^ .uo»oyjody ИИ 'g "sr 32ue[o8 uossne qoeu so wopydeu uoqos uoJodg oures jnoujs -197 pun ‘qe uapoquayny wap uoa штаб -unsodg ozupD spp 155294 ‘puis 19498 uoJodg эр uuo A, "ufopueMJoA uoJodg erp ur Ч215 erp 'uoj[oz1ojqoo], [yezuy QUID 029A, Uurouogopuo jne qois лэриа uoj9zperuuuor) uojirsoudugourejour uf ‘SUNI9UJ{Y uojs1e лор uer»eqjody лор ejuo[eAmbo y erp лэщ purs snj[euj, sop 94281940 Jop ue ossiy eSisseui[ogo1 -Un 9[O0TIA "uopueQIoA «wn22204j0dy ‘ues -I()-suonxnpoadow 5977194894 qosiuo; -eue-qo2 's90J90puOsoq way SI SH °Z “SND U9Q]9$91P 1N947$ pun ‘wumisuerods sep 727074 os ‘uasuey -98 9JIOH 1172 'uoqeq neg uogosnuop -I qoiuorz цю Пели этр ‘ues0dg erp UU9M *(шиоэЧло4у) ‘цозАчеле pun ualsuesods sne pueqoejseq ‘пл “YONG oeqonunqjuoesie '1oJopuosoq пол‘эие310-5101упро44э{ ‘191291894 qosruiojeue 'uoJepuosoq лэ те I ^| | um uosun] -loyqeidne py 101p opuas]oy ul ‘906910 -виопелоцо*) JoJqr oneq wop yoru ‘Yor 994} uojqgoo[q 914 _ 983 a. “Verricaria coracina. Вера a 0e y. Verrucarja: tartarea. Beides sind: _ einzige Representanten dieser | zwei: АЦеп. jure b. . . . Verrucaria pallida; Umbilicaria hyper- borea, Parmelia Pus grisea et . flava. а’... . Cladonia rangiferina, Cladonia tubuli- formis, Usnea bicolor, Usnea barbata. x’ Umbilicaria grisea. z. Lobaria pulverulenta. y w. Mehrere Lobarien, und Peltigera (?). 3. . . . . . . . . . Cladonia capitata; der einzige Re- presentant dieser Ordnung. Weiter könnte man jetzt eintheilen nach der Form des Apothecium, nach dem Vorhandensein, oder Mangel des Perithecium, nach der Form und Grösse des Thallus, nach Anheftungsapparaten und das Resultat dieser de- taillirten Eintheilung, ware die Feststellung verschiede- ner Species. Da ich aber nicht alle, uberhaupt auf der Erde existirende Flechten untersuchen konnte, muss ich die weitere Klassifikation Anderen überlassen. Meine Klassifikation beruht also vollkommen auf der Selbststandigkeit, der Lage und dem Baue der Genera- tions-Organe. «Mit Thallus», oder «ohne Thallus» heisst ebensoviel als «Apothecium mit, oder ohne Hülfsorgan». Doch wenn wir bedenken, dass die ganze, reife Flechte selbst nichts Anderes ist als ет entwickeltes Generations- Organ, dass alle übrigen Organe derselben nur Hulfsmil- u _ 284 de tel zur Erleichterung der Funktion der ersteren sind, und dass sie deshalb recht ой ganz fehlen konnen; wenn man “dieses Alles recht ‚gehörig bedenkt, so kann man mir nieht den Vorwurf ‘der Einseitigkeit machen. — Namen: Aus. dieser ganzen Darstellung ist es leicht zu ersehen, welche: Verwirrung in den Namen der Flech- ten-Arten und Familien existir. Wirklich es ist hier er- laubt, nicht allein eine Revolution herbeizuwünschen, son- dern auch der Ausführung derselben zu helfen. So z. B. umschliesst der Sippen-Name Umbilicaria solche Spezies, die nach meiner Klassifikation zur ersten Abtheilung der Flechten gehóren, Umbilicaria hyperborea, und auch solche, die in der zweiten Abtheilung gestellt werden müssen, Umbilicaria grisea, ebenso ist es mit den Cladonien, Ver- rucarien, Lobarien, u. s. w. Alle alten Namen müssen ganz verworfen und vergessen werden, und neue sub- stituirt, welche dem Baue und den gegenseitigen Bezie- hungen entsprechen müssen. Diese archivarische Hóllen- arbeit muss ich den Liebhabern überlassen. Anhang. Es ist leicht einzusehen, dass die Flechten, welche ich in die zweite Abtheilung meiner Klassifika- lion gestellt habe, die bei weitem niedrigsten, so zu sa- gen, unentwickeltesten sind. Der Mangel eines besonde- ren Apothecium ist hier als sprechender Beweis anzuse- hen. Cladonia capitata, oder die dritte Abtheilung mei- ner Klassification, bildet den Uebergang von der zweiten Abtheilung zu den Flechten mit Apothecien. Die zweite Abtheilung ist aber die bei weitem an Arten und Fami- lien reichste von allen, so, dass beim Studium der Klas- se der Flechten man ganz leicht zu der Meinung kommt, dass die Klasse noch auf dem Wege der Bildung sich befindet; es ist nicht etwas Festes, Stehendes, sondern eine Gruppe zur weiteren Entwickelung fortschreitender Wesen. Von wo aber diese fortschreitende Entwickelung | begonnen hat, will ich in dem folgenden Capitel zusbe- leuchten suchen. VI. BEZIEHUNGEN DER KLASSE. Man sieht leicht, dass unsere Klasse zu der der Mycelozoen in der engsten Beziehung steht. Nur einige wenige Ver- vollkommnungen in einer Arcyria oder einem Physarum sind nothwendig, um z. D. eine Verrucaria zu erhalten. In Betreff der Pilze kann man jetzt noch wenig sagen, da unsere Kenntnisse über diese Klasse noch wenig fort- geschritten sind. Die Beziehungen der Flechten zu den Mycetozoen las- sen sich am leichtesten in folgender Tabelle übersehen. Die Flechten Die Mycetozoen sind Wesen, die constant ет | sind Wesen, die constant ein oder mehrere Reproduktions- | Reproduktions-Organ und Organe besitzen, und zuweilen zuweilen noch einen Thallus, oder ein|noch ein Mycelium besitzen. Mycelium. Das Repropuktions-Organ| Das Reproduktions - Organ der höchsten Flechten, das|besteht aus einer Gruppe fei- Apothecium besteht aus ei-|ner Rohren, welche durch ner Gruppe feiner Röhren, | ете welche durch eine Substantiaintertubulariszu-| Substantia intertubularis zu- sammengehalten werden. sammengehalten werden. LUXE. 986 Im Lumen dieser Röhren _. finden sich, ganz constant “bei jungen Individuen, kleine, runde glänzende Kügelchen, die ganz constant in den Pa- raphysen der alten Flechten bleiben, während’ sie an an- deren Orten mit dem Alter verschwinden. Ein Theil dieser Röhren verwandelt sich durch kol- benförmige Anschwellung der freien Enden in Paraphysen und Sporangien. In den Höhlen der Sporan- gien bilden sich die Sporen, nach vorhergegangener Be- fruchtung, tim die metamor- phosirten Spermatoidien he- rum, welche ihrerseits nichts Anderes sind als die verwan- delten glänzenden Kügelchen, die wir in den Paraphysen treffen. Aus der Spore entwickelt sich durch einfache Theilung und Vergrösserung ihrer Em- bryonalzellen der Embryo. Die Mycetozoen entbehren finden runde, glinzende Kügelchen. -Im Lumen dieser Röhren sich immer kleine, Ein Theil dieser Röhren verwandelt sich durch kol- benformige Anschwellung der freien Enden in Sporangien. Die Sporen bilden sich durch Proliferation der Wände des Sporangium. In eine je- de, so gebildete Knospe tritt ein obenbeschriebenes glän- zendes Kugelchen herein. Aus der Spore bildet sich auf dem Wege des Genera- tions-Wechsels der Embryo. demnach der Paraphysen, und folglich ist bei ihnen auch keine Befruchtung vor- handen. Als morphologische Aequivalente der Paraphy- sen können hier aber die aufsteigenden Fasern gelten, welche über den Sporangien von Trichia den von mir 287 beschriebenen netzförmigen Ueberzug bilden. Das Vor- handensein eines Generationswechsels bei den Mycetö- .. zoen wird wohl bedingt dureh den. Mangel der männli=" chen, befruchtenden Organe und durch die Kleinheit | ihrer Sporen. pum Im Ganzen genommen sind zwischen unseren zwei Klassen mehr Analogien, weniger Unterschiede als z. B. - zwischen einem Botriocephalus [latus und einer Taenia Echinococcus. Die Mycetozoen sind aber ganz ausgemachte Thiere; denn in einigen Stadien ihrer Entwickelung nehmen sie Gestalten an, ш denen sie fühlen, nach Maasgabe ihres Gesichtskreises urtheilen und sich wollend bewegen. Die Flechten werden von Allen als unzweifelhafte Pflan- zen betrachtet. Und ungeachtet dessen denke ich doch, dass die Flech- ten sich aus den Mycetozoen herausgebildet haben. Die Gründe, auf welche sich diese Meinung stutzt, sind fol- gende : die vollkommene Analogie im Baue und in der Lebens- weise; die Identität der saltum Spore der Mycetozoen mit der unreifen Spore der Flechten; die Entwickelungsgeschichte, mit Ausschluss des Gene- rationswechsels. das Faktum, dass die Flechten eine, sich noch ent- wickelnde Klasse vorstellen, während die Мусею- zoen eine, an Ordnungen und Arten (7) arme, ab- sterbende Klasse sind. (') Auch sind diese Arten sehr arm an Einzel wesen; ein Jeder weiss, wie überaus schwer es ist, einige Mycetozoen, z. B. Physarum, aufzufin- den; 40 bis 50 Stück in einem grossen Walde nenne ich schon einen guten Fang. M M^ E. M Natürlich ist es nicht . eine reife Arcyria oder Trichia, welche sich z. B.:in eine Verrucaria verwandelt haben, ‘sondern ihre Sporen tragen die Schuld. | Eimer jeden Spore liegt eine Bewegung inne, die von ~ der chemisclien Zusammensetzung der Spore abhängt, und durch das Streben zum Gleichgewichte unterhalten wird; das nothwendige Resultat dieser Bewegung — ist die Bildung eines Embryo, oder einer neuen Pflanze, welche ganz die Eigenschaften der Mutterpflanze hat, da ja auch die Spore, aus welcher sich diese Mutter ent- wickelt, dieselben Momente durchgelaufen hatte, und von der Multer auf die Spore eine gleichartige Bewegung übertragen wird, welche dem aus der Spore sich entwickeln- den Kindeskórper immanent bleibt. (Virchow. Gesammelte Abhandlungen, ete. Kap. Der puerperale Zustand; das Weib und die Zelle, p. 744, und Аа.) Sind alle Bedingungen dieser Bewegung günstig, so ent- wickelt sich aus der Spore ein, der Mutter ähnliches Geschópf; sind aber die Bedingungen ungünstig, so stirbt die Spore ganz ab. Doch können auch solche Bedingungen auftreten, welche weder ganz günstig, noch tódtend sind. Nehmen wir an, dass um die Sporen von Arcyria, dureh irgend welche Ursachen, sich eine harte Schaale abscheidet; mit dem Auftreten dieser Schaale müssen auch die Relationen dieser Spore zur Umgebung einer Alteration unterliegen, die Ernährungsvorgänge müssen verändert werden. Mit ihnen muss aber auch die che- mische Zusammensetzung der Spore, wenn auch wenig, geändert werden; dadurch wird aber in derselben еше neue Bewegung emgeleitet, die еше von der früheren verschiedene Richtung haben muss. Als Resultat dieser _ 989 neuen Bewegung entsteht nun nicht mehr eine Arcyria, sondern villeicht eine Verrucarta. | Par éléction naturelle vermehrt sich dieses neu entstan- dene Wesen. Die endemischen Bedingungen, unter deren Einflusse dasselbe geboren wurde, sind зетег` Fortpflan- zung günstig und so vermehrt sich die Verrucaria, sich dabei immer mehr und mehr von ihren Stammältern ent- fernend, während diese letzteren ihrem Untergange ent- gegen gehen. Auch heute geht noch vielleicht dieser Vorgang her; auch heute mögen noch viele Sporen der Mycetozoen Flechten hervorbringen, die in ihrer regelmässigen Ent- wickelung gehemmt, die zweite Abtheilung dieser Klasse ausmachen. Indem ich somit annehme, dass die Flechten mit den Mycetozoen in einer engen Verwandschaft stehen, verwerfe ich vollkommen die Idee von den Grenzen der organi- schen Reiche. Eine solche Grenze ist nicht vorhanden. Die ganze Natur ist ein einiges Reich. Meine weiteren Forschungen versprechen mir noch mehr Aufschlüsse über diese interessante Frage. VII. Erklärung der Tafeln. Tafel V. In allen Figuren dieser Tafel bedeuten: a. Epidermis. b. Gonimialzellenlage. e. Faserzelleu. N 1. 1864. 1 eo 4. Anheftüngsapparate, + aes e. Apotheeium, oder Reproduktionsriss. x: (Fig. 6). Myceliumfasern. | Fig. 1. Querschnitt durch Apothecium und Thallus von. Par- 2. 3. A. 8. 9. 10. dde 12. 13. 44. 15. 16. 17. 18. 19 20. 21: melia parietina. : : Querschnitt: durch den Thallus von Peltigera sylvatica. Dasselbe von Usnea barbata. Querschnitt dureh Thallus und Reproduktionsorgan von Cetraria islandica. Dasselbe von Lobaria pulverulenta. : Querschnitt durch Verrucaria coracina, um das My- celium derselben zn zeigen. . Querschnitt durch Thallus und Apothecium von Gla- фота capitata, um die doppelten Reproduktionsorgane derselben zu zeigen. Verrucaria coracina. Querdurchschnitt von derselben. Verrucaria tartarea. Verrucaria pallida. Querschnitt durch Usnea barbata. Faserzellen von Umbilicaria hyperborea. — von Verrucaria pallida. — von Parmelia parietina. Gonimialzelle von Verrucaria coracina. - von Peltigera sylvatica. — von Parmelia parietina. Epidermiszellen von Peltigera sylvatica. — von Cladonia rangiferina. — von Cetraria islandica. Gonimialzelle von Umbilicaria grisea. 1. Tafel VI. Vertikaler Durchschnitt durch das Apothecium von 15. 16. 17. 118: 19; 20. 224 22. 23. 24. ‘aide ya Sporangien. b, .b@ Paraphysen. war Isolirte Sporangien mit Central-Strang, und in diesem liegenden Sporen von Verrucaria pallida. Zwei zusammenhängende Sporen im Sporangium von Verrucaria pallida. Reife Spore von Verrucaria pallida: — — von Parmelia parietina flava. — - von Parmelia parietina grisea. Unreife Sporen von Parmelia parietina flava. Reife Spore von Verrucaria coracina. Aus Zellen bestehende Fasern von Lobaria pulveru- lenta. Paraphyse von Parmelia parietina flava. Paraphysen von Verrucaria coracina, mit С und I behandelt, um die Kórperehen in ihrem Lumen zu zeigen. Paraphysen von Verrucaria tartarea: а von einem ganz jungen, und 6 von einem alten Individuum. Paraphyse von Umbilicaria grisea. Spermatoidien von Verrucaria pallida. — von Verrucaria coracina. Vertikaler Durchschnitt durch die Apothecium-Anlage einer ganz Jungen Verrucaria tartarea. a, 6, c Entwickelung der Sporangien, a’ Mykropyle. Sporangium mit Centralstrang Schematisches Bild des Befruchtungsaktes | VON Um- T | SUE biliearia Entwickelung der Sporen (s. Text.). } = ; | . ( hyperbo- ) (In diesen Figuren Ueberall bei a die ‘тез. Mykropyle). / Aufgeplatztes Sporangium von Verruearia pallida. Spo- ren ausgetreten. 195 36. €) "7 ol. wmm 299 . Vertikaler Durchschnitt durch das Reproductionsorgan von Umbilicaria grisea: a Sporangien; & Paraphysen. . Junges Sporangium von Umbilicaria grisea, mit C/H behandelt. . Sporangium mit reifen Sporen von Umbilicaria grisea. . Zusammenhang der Gonimial- und Faserzellen bei Usnea bicolor. | Anfang der Sporenbildung bei Usnea barbata. . Sporangium mit halbreifen Sporen von Usnea barbata. a Reife Sporen von Usnea barbata. b — — von Umbilicaria grisea. Entwiekelung von Verruearia pallida (s. Text). Differenzirung der Elemente des Thallus: a Goni- mial-Zellen; © Faserzellen; von Verrucaria pallida. . Apothecien-Bildung bei Verrucaria pallida: a Goni- mialzellen; b Faserzellen; с Epidermis; 4 Apothecium. . Sporangium von Cetraria islandica. . Erste Embryoanlage von Lobaria pulverulenta. 3. Bildung des Thallus von Lobaria pulverulenta. BEITRÂGE ZUR RENNTNISS DER WYWENOPTEREN- FAUNA RUSSLANDS, gesammelt von JU HER OK, ANT ACD UE Die beiden bisher grôsseren Publicationen uber die Familie der Tenthrediniten Russlands sind die von Evers- mann und Gimmerthal. Ersterer machte uns mit den Blattwespen der Wolga-Ural-Fauna (*), Letzterer mit de- nen von Livland und Kurland (^) bekannt. Ausser Diesen haben Hummel, Belke, Erichson, Gorski, Motschulski rus- sischer Blattwespen gedacht und zum Theil neue be- scrieben. (') Fauna hymenopterologica Volgo - Uralensis exhibens Hymenoptero- rum species, quas in provinciis Volgam fluvium inter et montes Ura- lenses sitis observavit et nunc descripsit Eduardus Eversmann; in Bulletin de la Soc. Impér. des Natural. de Moscou. Tome XX. 1847. (*) Arbeiten des Naturforschenden Vereins in Riga 1 bis 1 Heft. Rudol- stadt 1847. L. 23—60. Einiges über die Blattwespen im Allgemeinen nebst Uebersicht der in Liv- und Kurland beobachteten Arten. Frühere Nachrichten über Blattwespen von Gimmerthal finden sich im Bulletin de Moscou T. VII. 20% Zu der von Dee eénatier durchforschten Fauna t dE er selber, nach: seiner ‘Publication vom J. 1847, noch ; Nachträge liefern | können, ' -die aber nur ЕО geblieben sind. Es-wire sehr zu bedauern, wenn dieser Beweis von der fortgesetzten wissenschaftlichen Thätigkeit des Verfassers, und diese Erweiterung an der Kenntniss der Fauna Russlands ungedruckt bliebe. Da ich der grossen Freundlichkeit des Verstorbenen handschriftliche Mitthei- | lung von dem verdanke, was er von jener Fauna noch sa- gen konnte, und die Erben seines Nachlasses die Veröffent- lichung doch wohl gern gestatten, so liefere ich hier zuerst Eversmanns eigene Ergänzungen im Anschlusse an seine Fauna hymen. V. U. Die Bezeichnung der Nummern mit '/, oder */, giebt die Stellen an, wo sie hinter den gan- zen Zahlen jener Abhandlung einzureihen sind. ADDITAMENTA Eversmanni ad Faunam hymenopterologicam Volgo - Uralensem. HYMENOPTERA. Fam. 1. TENTHREDINIDAE Гай. Genus I. СмвЕх Oliv. Fabr. С. laeta Fabr., nigra, segmentis abdominis postieis tolis, anticis latere flavo - marginatis, pedibus flavis, co- xis basique femorum nigris, alarum stigmate nigro, radio luteo. Longit. 3—3'/, lin. Hab. in prov. Orenburg. campis circa Sergievsk. 8. С. amoena Klug., nigra, fronte, thoracis lateribus et scutello, abdominis lateribus et apice pedibusque sul- phureis, coxis nigris, tarsis fuscis; alis aqueis, stigmate radioque flavescentibus. 295 ne, Eadem ae qua praecedens, cum qua habitat | eadem loca. A Gen. II. HvrorowA Latr. à №. ad 2. H. violacea Klug. - B tibiis posticis albis, apice nigris 4 ©. 13. Н. furcata de Vill., nigra, abdomine pedibusque luteis. Mas antennis furcatis. : Longit. 2?/,——3 lin. In promontor. Uralensib. Gen. V. Nematus Jurine. 4°. №. vitreipennis n., niger, pedibus albis subdiapha- nis, antennis brunneis; alis limpidis, stigmate fusco, ra- dio lutescente 9. Eadem statura et magnitudine, qua N. Fraxini. In pro- montor. Uralensibus. 15*/,. N. leucotrochus Hart., niger, ore ventreque fla- vescentibus, pedibus flavo - rubricosis, trochanteribus co- xisque albis, apice tibiarum posticarum tarsisque posticis fuscis; — alis limpidis, venis fuscis, stigmate radioque lutescentibus 9. Eadem magnitudine, qua N. Myosotidis. Circa Sergiovsk. 24'/,. N. albipennis Klug., rubro-testaceus, capite tho- raceque nigris, ore testaceo, — alis leviter lutescenti li- neatis, stigmate radioque luteis. Eadem magnitudine qua N. contractus. Circa Sergiovsk. 24'/.. N. albipennis Klug., rubro-testaceus, capite tho- raceque nigris, ore testaceo, — alis leviter lutescenti li- neatis, sügmate radioque luteis. Eadem magnitudine qua N. contractus. Circa Sergiovsk. ^ V P. P E n usas Genus У. Doterus Klug. 132. р. rates Klug., niger, tibiis anticis antice brunneis; antennis abdomine brevioribus. Mas segmentis abdominis 5 et 6 medio impressis, opacis. Long. 3'/,—3°/, lin. Hab. in prov. Casanensi. 14'/,. D. anthracinus Kl. D. fissus Kl., niger, abdominis segmentis 7 — 9 superne fissis 7. | Long 3?/,—4 lin. In campis Orenburg. etin promont. Uralensib. Genus VII. Емрнутоз Klug. 5'/, Emph. didymus Kl., niger, nitidus, pedibus rufis, coxis et trochanteribus nigris; — alarum stigmate dimi- diatim albo nigroque 9. Long. 3 lin. In promontor, Uralensib. Genus IX. TrewrHnEDO Klug. Subgenus I. Selandria Leach. T. nana Kl, nigra, margine collaris squamulaque albis; geniculis, tibiis tarsisque flavido-albis; alis medio nigricantibus, stigmate fusco 9. Long. 2 lin. Hab. in prov. Casanensi. 5'/,. T. hyalina Kl., nigra, pedibus abdomineque fulvo- luteis, hoe basi apiceque superne nigro; alis limpidis, ? I 9 radio stigmateque fuscis. Long. 2'/,—2°/, lin. Hab. in campis Orenburgensib. et in promontoriis Uralensib. 9'/.. T. sericans Hart., nigra, apice abdominis pedi- busque albido-sericantibus; alis limpidis, radio stigmate- que nigris 9. 297 ' ions 3), Jin. “Simulige T geniculatae, . sed abdomen longius, subacutum. Hab. in. promont. Uralensib. 15'/,. T. luteola Kl., nigra, ore, collari, äbdomine pe- u -dibusque fulvo-luteis; dms radioque nigris, hoc basi luteo; alarum. nonne uum cellulis discoidalibus dtia- bus 9. Longit 134, lin. Hab. in promont. Dralensib. Subgenus IV. Macrophya Dahlb. 6'/,.T. femoralis n., nigra, scutello pedibusque ante- rioribus ex parte albis; femoribus tibiisque postieis ru- bris d$. 9. Longit. 3'/, lin. Statura omnino T. quadrimaculatae, а qua differt trochanteribus posticis nigris, scutello albo « et macula alba supra coxas deficiente. Hab. in promont. Uralensib. 10'/,. T. albicincta Schr., nigra, ore, collari, scutello, macula supra coxas posticas medioque tibiarum albis; — alis lutescenti-tinctis, radio stigmateque luteis 9. Longit. 4^/, lin. Hab. in promont. Uralensib. 4'',. T. magnicornis n., nigra, trochanteribus, genicu- lis tibiisque sordide albidis, tarsis flavescentibus; anten- nis crassis, compressis, longitudine abdominis; — alis limpidis, radio stigmateque fuscis 4. Long. 3'[, lin. Corpus lineare, abdominis segmenta te- nuissime albido-marginata. Hab. in prov. Casanensi. 8'/. T. angustula n., nigra, segmentis abdominis dor- salibus 3—6, pedibusque rufo-luteis; alis nigricantibus 4. Long. 2'/,—3 lin. Hab. in promont. Uralensib. Tm UE ` 998 854. Ti macula KL, ‘nigra, nitida, ore, orbitis totis, oe cenchris, pectore ventreque albis, hoc nigro-va- "segmentis abdominis dorsalibus 3—6 rufis; pedibus yout but femoribus posterioribus superne linea nigra; antennis sordide flavescentibus, superne fuscis; alis limpidis, stigmate nigro, basi alba 2. Long. 3 lin. Hab. in prov, Casanensi. 11!/,. T. mandibularis Panz., nigra, mandibulis macu- laque supra coxas posticas albis; pedibus anterioribus rufescenti-luteis; alis leviter infuscatis 4, 9. Long. 5':/,— 6‘), lin. Frequens in promontoriis Ura- lensibus. 18. T. 2schzadica n. Non stigmate radioque fuscis, sed. stigmate fusco et albo, radio pallido. 20. T. tesselata Klug. Mas pedibus ex parte nigris, differt a mare T. insta- bilis antennis crassioribus, abdomine breviore, labro cre- nato et appendice majore. abdomine apice nigro, linea dorsali nigra nulla 9. 95. T. scalaris Kl. Y — capite thoracisque dorso viridi-maculatis. TS). 34'],. T. bipunctula Kl., nigra, nitida, mandibulis, ap- pendice, punctis duobus clypei, maculisque duabus supra coxas posticas albis; tibiis tarsisque anterioribus piceis; an- tennarum articulis 2'/, ultimis albis; alis leviter infuscatis, stigmate nigro. d. 9. | 6 antennarum articulis 3°, ultimis, mandibulis, appen- dice, elypeoque toto albis; tibiis anterioribus postice nigris, antice albidis. ©. 299: Long. 5'/, — 6'/, lin. "War: - В paulo major.” ren in promont. Uralensib. Du Genus XI. D Fabr. 6',. Гуда hortorum KI. In promont. Uralensib. Genus XI. a. XvELA] | Corpus parvum aut pusillum. Terebra exserta, longa. Antennae setaceae, articulis 13, quarto longissimo, reli- quis multo longiore. Alae amplae, nervis tenerrimis, cel- lulis radialibus tribus, cubitalibus quatuor. |. X. pusilla Dalm., fusca, pedibus pallidis. Feminae terebra brunnea, eadem longitudine qua abdomen. Hab. in provincia Casanensi. Der oben gedachten Publication Gimmerthals v. J. 1847, welche 150 Species namhaft macht, kann ich, in Bezie- hung auf die Fauna Kurlands, selbst noch folgende Er- gänzung beigeben. Cimbex (Amasis) obscura Fb. findet sich auch in Kur- land, bei Schleck. Zu den sechs Lophyrus-Arten, die Gimmerthal auf- führt, nämlich Г. nemorum Fb., virens Klug, frutetorum L., pini L. und rufus Kl., welche alle von mir auch in Kurland gefunden worden sind, kann ich noch L. socius 3 2 Klg. für Kurland hinzufügen. Cladius difformis Pz. ist in beiden Geschlechtern auch in Kurland einheimisch. Desgleichen Nematus (Craesus) latierus Vill, Nematus Capreae L. in Kurland (bei Pussen) hàufig. So auch Emphytus tibialis Pz., bei Pussen. | : 300 ^: Ferner kommen nicht blos in Livland, sondern auch ‚im Kurland vor: d D Tenthredo mandibularis 4 Pz. bei Pussen. Ee biguttata Hartig (Coryli Pz.) bei Pussen. Allantus dispar Klug bei Schleck. « consobrina Kl. bei Schleck. Macrophya Punctum - Fb. Perineura Rubi Pz. bei Schleck. Tarpa plagiocephala Fb. (') bei Schleck und Pussen. Lyda erythrocephala L. bei Schleck. « reticulata L. bei Schleck. « Betulae L. bei Frauenburg. _ Von Gimmerthal nicht als einheimisch gekannt, aber in Kurland, fast sämmtlich bei Pussen, vorkommend, sind ferner: Nematus xanthophorus 4 Hartig. « Vallisnieri Q Hart. « cylindricus Hart. (?) Cryptocampus Populi 9 Hart. Dolerus atricapillus 4 Hart. « dubius Kl. (?) Emphytus vicinus 9 - Lepel. Blennocampa tenella KI. Allantus nigerrimus К]. Tenthredo rubecula Ф Eversm. bei Kemmern. Lyda clypeata KI. bei Frauenburg. « hypotrophica Hartig. « hortorum К]. _ Xyela pusilla Dalm. Zu Hematus Ribesii Scop (ventricosus Hartig, Grossu- lariae DIb.), dessen Raupe auch in Kurland den Stachel- (!) Vergl. Entomolog. Zeitung. Stettin 1861. S. 126. 301 - beer- und Johannisbeersträuchern ‘sehr verderblich wird, wäre zu bemerken, dass diése Jane ue einen sers eu an einer Tryphon-Species hat. | j Es môgen sich hieran auch die bisher in Kurland: und Livland beobachteten Holzwespen und Goldwespen schlies- sen, die wo nicht eine besondere Bezeichnung dabei steht in beiden Gouvernements а" qs UROCERIDA. | Genus I. Oryssus Fb. О. Vespertilio | 2 Fb. Gen. ll. Crpnus Fb. C. pygmalus c? L. (spinipes @ Pz.). Nur in Kurland gefunden. C. marginatus n. sp. Niger, abdomine fasciis marginalibus flavis, quarto et quinto latissimis, pedibus majore ex parte flavis, tibiis tarsisque posticis subfuscis. C. cultrario Hartig et filiformi Eversm. affinis. Niger, sub- opacus. Capite et antennis nigris. Clypeo macula media magna, ad marginem interiorem oculorum sub antennis utrinque striga mandibulisque luteo flavescentibus, his basi apiceque fuscis. Palpis flavis, summa basi fusce- scentibus, articulo ultimo nigro. Thorace nigro lateribus subtiliter tomentosis; prothorace subter ante coxas pedum anticorum et infra alas utrinque membranulis flavescenti- bus, infra alas posteriores majoribus. Abdomine nigro sub- tilissime tomentoso, lineari, compresso, fere cultriformi. Segmento secundo angulis posticis, tertio et sexto supra marginibus posterioribus tenuiter, septimo tenuissime quarto et quinto latissime, subtus marginibus posterioribus om- 302 nibus, medio interrupto, flavis. Ano flavo. Pedibus ante- _rioribus flavis, tarsis apiée fuscescente; coxis et trochan- ve “tribus, pedum anticorum femoribus, mediorum his summa SER, i basi, latere postico. nigris; pedibus posticis latere postico coxarum. basi, tróchanteribus et femoribus, — latere antico femorum: basi apicisque macula, nigris, tibiis tarsique fuscescentibus. Alis. lutescentibus, stigmate fuscescenti, radio et squamula flavis. Mas, 17% "antennarum. 5”” 5, alarum, S2 о i”, capite paullo latiore. Abdominis Longit. 1 race medio latit. altıtudo Anes: Hab. ш Curonia. Pussen. Gen. Ш. Xipuypria Ltr. X. Camelus L. Die grünliche Larve in altem Ellernholz, bisweilen in Menge, wird im Juni von Rhyssa сигурез Grv. an- gestochen. X. Dromedarius 9 Fb. zy « annulata 4 Jur. Kurland. Gen. IV. Sirex Fb. Sx баз ONE « Juvencus Г. « Spectrum L. HYMENOPTERA CHRYSIDIFORMIA. 1 Gen. Curysis L. Chr. ignita L. « fulgida L. « bidentata L. (dimidiata Pz.) Kurland bei Pussen, aus Livland nicht bekannt. 303. Chr. succincta Ib. | « eyanea Г. « Zetterstedti Dib. In Kurland bei Pussen nicht sehr E ss selten. Aus Livland nicht bekannt. i E. * 2 Gen. Hepycurum Ltr. a : H. lucidulum Fb. Dlb. © (Chrysis regia Fi m. .« roseum Roth (rufum Pz., ng qe d Mir nur aus Kurland bekannt, bei Pussen. 3 Gen. Exampus Klg. Wesm. E. auratus Г. Dlb. Wesm. « aeneus Fb. Dlb. (affinis Wesm.). 4 Gen. Norozus Forst. N. Panzeri Fb. Ltr. (scutellaris Pz.). 5 Gen. СьеЕРТЕЗ Ltr. Cl. semiauratus L. @ (auratus Pz. d). In einer schriftlichen Mittheilung, die ich von Gimmer- thal erhielt, führte dieser für Livland auch Stilbum caleus Fb. an. | т: ней xr Ub c "m Я + 4 t i E- * _ CORRESPONDANCE. Lettre adressée au Premier Secrétaire de la Société. Brüssel, d. *7/,, April 1864. ------ Meine Reise von Bonn über Cöln nach Brüs- sel (Freitag, d. ?*/,, April) war eine der anziehendsten. Ganz unverhofft traf ich schon auf dem Bahnhofe in Сбт mit einer sehr angenehmen Gesellschaft Congress - Reisender zusammen. Der lebendige gegenseitige Austausch von Gedanken, hervor- gerufen durch unsern gemeinschaftlichen Reisezweck, erhöhte den Genuss der vor uns vorbeieilenden Bilder, die der Courierzug in den 7*/, Stunden uns zu sehen vergönnte. Der Frühling lachte uns in duftenden Blüthen der unzähligen hier angebauten Obst- bäume an; Castanien, manche in schöner Pyramidenform, wa- ren schon mit frischem Grün belaubt, so auch Linden und junge vielfach angepflanzte Lerchenforste; schlanke, pyramidale Thu- jen blickten öfters in der Nähe der Wohnungen hervor; klein parcellirte Ackerstücke, jedoch schon von sehr trocknem An- sehen, waren wirklich wie Gartenland bearbeitet und so man- cher Streifen Winterung stand saftig grün und dicht emporgeschos- sen; Raps zeigte sich in voller Blüthe. Die anziehendste Strecke aber ist unbedingt die von Verviers bis Lüttich. Berg und 305 Thal in verschiedensten Gegenbeziehungen, mit malerisch ges. legenen Städtehen und Dörfern, eröffnen sich dem Blicke des Reisenden. An 20 Tunnels en der dampfende Eisen- ' bahnzug. Dieser Wechsel von Tag und Nacht und das Aüftre- ten beinah nach jedem Tunnel eines neuen anziehenden Bildes, erhöhen den Genuss. Doch Liittich selbst macht, wenigstens jetzt im Frühjahre, den schönsten Eindruck, indem vom: Schie- nenwege aus gesehen es völlig mit seinen: weissen Häusern und rothen und grauen Dächern mit den weissen Blüthen der Obstbäume verschmilzt. Weit hinaus auf bergige Höhen er- strecken sich seine Häuser und werden nur unterbrochen durch grünende Streifen Acker- und Wiesenlandes. Dazu die Hohö- fen, die rege Thätigkeit der Bevölkerung, deren Spuren über- all in Belgien sich von selbst dem Bewusstsein aufdrängen; Dieses und noch so Manches vervollständigen den Eindruck. Doch genug dieser gar zu skizzenhaften Züge. Ich möchte lieber Ihr Interesse wegen der grossen universellen Horticul- tur-Ausstellung und des damit verbundenen internationalen Con- gresses in Anspruch nehmen. Zahlreiche Gäste trafen schon am Freitag und Sonnabend hier in Brüssel ein. Preisrichter aus vielen Ländern versammelten sich am Sonnabend im gros- sen Saale des Palais de la rue ducale, unter dem Vorsitze des Hrn. Grafen de Ribeaucourt. Nach einigen Unterredungen theilte sich die Jury in sechs Sectionen, welche eine gewisse Anzahl der Preisbewerbungen (deren im Ganzen 153 waren) zu rich- ten hatten, und auch schon an demselben Tage alle würdig- sten Mitbewerber an der Ausstellung mit Auszeichnungen krön- ten. Am folgenden Tage, Sonntag d. **/,, April, drängten sich Viele vom frühen Morgen am Ausstellungsgebäude, welches beinahe den ganzen Platz du Tröne einnimmt, herum. Erst am Маре öffneten sich die Thüren, und nun strömten Congress- mitglieder mit blauen Karten, Andere für 5 Francs Eintrittssgela № 1. 1864. 20 306 zu verschiedenen Eingängen ins Ausstellungsgebäude hinein. Ich eilte mir einen allgemeinen Ueberblick der ganzen Ausstel- lung zu verschaffen, und kaum hatte ich alle Gänge um die in Farbenpracht, Formenreichthum und Blüthenduft prangenden Pflanzen vollendet, als schon die mittlere Thüre sich öffnete und zur Suite des Königlichen Hauses Angehörige eintrafen, um die Hohen Gäste zu erwarten. Der Herzogin von Brabant, die bald darauf eintraf und durch ihr anziehendes Erscheinen Aller Blicke fesselte, wurde ein schönes Bouquet sofort überreicht. Den würdigen König empfing von Seiten aller Anwesenden ein herzliches «vive le roil» Seine Majestät hörte huldvoll die Re- de des Präsidenten an und besichtiste nachdem die ganze Aus- stellung. Sogleich waren schon gedruckte, vollständige Cata- loge zum Verkaufe da und, obgleich 149 Seiten in 8° fül- lend, kosteten selbige doch nur einen halben Franc. Ich unterfange mich nicht, Ihnen auch nur ein flüchtiges Bild der Ausstellung zu geben. Sie erlauben, dass ich das Be- merkenswertheste hie und da heraushebe und so, wenn auch bloss in trockenen lateinischen Pflanzennamen dem sich Inte- ressirenden die Repraesentanten selbst vorführe, oder wenig- stens seine Aufmerksamkeit auf selbige lenke. Ich gebe nur eigene Eindrücke wieder, und obgleich drei Tage hintereinan- der die Ausstellung von mir besichtigt wurde, so ist doch Vie- les meinem Blicke in den Massen entschlüpft. Darum können folgende Verzeichnisse nur als Bruchstücke angesehen werden, die aber doch vielleicht für Manchen etwas Beachtenswerthes enthalten könnten. Gleich beim Eingange und im ganzen mittleren Schiff stan- den schön gruppirte und mit den farbigsten Blüthen prangende Azaleen (in Pyramiden, andere in Kuppelform dicht mit Blu- men besäet), Rhododendron, ganze Abtheilungen gross- und 507 geneigtbliithiger Amaryllis, prachtvoll nüancirte Rosen, noch andere blühende decorative Orangeriegewichse; längs der Wände Palmen, Yucca, Baumfarrn u. v. a. Gegenüber dem Eingange, in der Mitte der Wand, waren drei grosse Spiegel angebracht, die die Blumen und Menschen effectvoll wieder- spiegelten. Geschmackvoll von Cocos, Farrn und dergl. einge- fasst, schlang sich vor ihnen noch ein Wasserbassin mit sprü- henden Fontainen, die mehrere Amor’s aus ihren Füllhör- nern spendeten. Eine grosse, weisse Gütlin Flora stand über dem mittleren Spiegel und vollendete diese reizende Par- tie. Rechts schloss sich dem mittleren Schiffe eine Abtheilung hauptsächlich von Warmhauspflanzen angefüllt an, links eine grössere für Kalthausgewächse, Obst, Gemüse, Gartenutensilien и. s. w. Nationale Wappen und Flaggen trugen noch zur Ver- zierung der Ausstellung bei. Nach Erwähnung der allgemeinen Anordnung will ich ver- suchen in den interessantesten Concursen der Reihe nach eini- ges in verschiedener Hinsicht (als Neuheit, Seltenheit, Schön- heit, gute Anzucht u. s. w.) Bemerkenswerthe, wenn auch nur durch Namensverzeichnisse, der Kürze wegen, anzugeben. 1. Unter den «Collectionen blühender Pflanzen» waren die schönsten die von Ambr. Verschaffelt, De Koster und Terzweil- Bouqué (2. D. Sirelitzia reginae, Tropaeolum tricolorum gran- diflorum, Elichrysum macranthum etc.). 2. Collection von 12 neuen Pflanzen, die im Handel noch nicht vorgekommen: a) Exponent Veitch — Marattia Cooperi, Retinospora Veitchii, Pteris serrulata eristata; b) Expon. Ambr. Verschaffelt — Achy- ranthes Verschaffeltii, Amarantus versicolor, Caladium Leopoldii und albo-conspersum, Cibotium regale, besonders Amorphophal- lus nivosus (aus Brasilien; der Schlanke Stamm ganz wie eine grau-grüne Schlange gezeichnet). 3. Collect. von 25 neuen 20" 308. Paine welche nicht vor 1863 eingeführt worden: а) ‚ Expon. Linden — Sphaerogyne latifolia, Phrynium majesticum; b) ` Expon. Ambr. Verschaffelt— Gymnostachium Verschaffeltii, Acer | jeponieum, sanguineum und besonders princeps, Dieffenbachia Baraquiniana (aus? Brasilien, — mit weissen, hohen Blattstie- len); cj Expon. J. Verschaffelt — Ligularia Kaempferii argenteo- - variegata, Sedum Sieboldii medio-luteum. 4. Neu eingeführte, blühende exotische Pflanzen: a) Expon. Veitch merkwürdig- schön blühendes Anthurium Schertzerianum; b) Expon. von Siebold — Cerasus Pseudo-cerasus fl. roseo pl. 5. Nicht blühen- de, exotische, neueingeführte Pflanzen: Maranta Veitchii und Leptopteris superba (Expon. Veitch). 6. Aus Saamen gezoge- ne, zum ersten Male zur Blüthe gebrachte Pflanze: a) Expon. Parker — Rhododendron Comtesse of Haddington; b) Expon. Van der Cruyssen—eine Azalea iudica; c) Van Eecktiaute—Camel- lia Comte de Flandre; d) Expon. Veitch — Cattleya hybrida. 7. Die durch ihr schönes Blühen bemerkenswertheste Pflan- ze: a) Expon. Van Geert— Rhododendron Nuttallii (mit mächti- gen, weissen glockenfürmigen Blumen, — ausgezeichnet); b) Expou. Veitch — Rhodod. jasminiflorum. 8. Die durch gute Cultur bemerkensw. Pflanze: а) Expon. Kegeljan — Campy- lobotrys Verschaffeltii; b) Expon. Veitch — Erica elegans: с) Expon. Vanderplas — Coleus Verschaffelti. 9. Collect. von wenigstens 25 blühenden exot. Orchideen: a) Expon. Lin- den — Cattleya Stelzneriana, Cypripedium villosum, Lyeaste ful- vescens; b) Expon. Ambr. Verschaffelt — Cypripedium barbatum superbum, Cattleya Skinnerii, Dendrobium densiflorum. 10. Die schönste und wirdigste, blühende Orchidee: a) Expon. de Cannart d’Hamale — Vanda suavis; b) Expon. Veiteh — Cy- pripedium villosum (dessen ich schon erwähnt und das auch wirk- lich der Erwähnung wert ist); c) Expon. Linden — Dendro- bium macrophyllem. 41. Collect. von Warmhauspfl. mit or-* namentalen Blättern: Expo». Linden — Coceoloba pubescens, Theophrasta macrophylla u v. а. 12. Collect. von 10 ver- schied. Pandanus: Expon. Legrelle - d’Hanis — Pandanus reflexus, Candelabrum. 13. Coll. von Baumfarrn: a) Expon. | Linden — Balantium Sellowianum, Dicksonia squarrosa. 14. Der schönste Baumfarrn: a) Expon. Linden — Cibotium princeps; b) Expon. А. Verschaffelt — Cyathea dealbata (aus- - gezeichnete Species); c) Expon. Van-Geert — Cyathea medul- laris. 15. Collect. v. Lycopodiaceen: a) Expon. Legrelle d’Ha- nis — Selaginella euspidata, ГуаШ (?), rubricaulis, lepidophyl- la ete.; b) Expon. Van der Hecke Selaginella apoda, cordi- folia. 16. Collect. von Nepenthes: Expon. Veitch — Nepenthes laevis, vittata major u. a. 17. Collechonen von buntblàttri- gen Pflanzen: a) Expon. Legrelle d’ Hanis — Pothos argyrea, Miconia argyroneura, Campylobotrys regalis, Sanseviera guianen- sis, Cissus porphyrophylla ete.; b) Expon. Linden — Caladium mirabile, Sehimtzii, Cyanophyllum magnifieum; c) Expon. Van- der Нееске de Lembeke — Echeveria metallica (wundervoll, in hellgriia-rosa-violett spielend und metallisch glänzend), Cy- perus alternifolius fol. varieg. ete. 18. Collect. von Maranta und Caladium: a) Expon. Lemoinier — Caladium Wightu, Neumannii, Belleymei, Chantini; b) Expon. А. Verschaffelt — Caladium Nissonii, Trubetskoy; c) Expon. Linden — schöne Spec. von Maranta. 19. Collect. von Alocasia und Colocasia: Expon. Linden — Alocasia Lowii, metallica, zebrina, Coloca- sia albo-violacea. 20. Collect. von Anoectochilus: a) Expon. Legrelle-d'Hanis — An. javanieus, Lowii, intermedius; b) Expon. Van Geert — An. xanthophyllus, setaceus, Pogonia discolor. 21. Collect. v. Cacteen: Expon. Dedeyn — Echinocactus denudatus, ornatus, urnigerus, Astrophyton myriostigma, Wildiana cristata. Ich müsste noch fortfahren und die schönsten Repräsentanten der Amaryllis, Camellien, Rhododendron, Azaleen, Aloineen, Rosen, Tulpea, Narcissen, lléx, Coniferen, buntbláttrigen Bäu- me und Sträucher, Pelargonien, Calceolarien, Cinerarien, Ва- an uo ' nuneulaceen u. v. a. in mein gar unvollstündiges Verzeichniss aufnehmen; doch befürchte ich Sie schon zu sehr mit blossen Namen ermiidet zu haben. Die. Sitzungen des internationalen Gartenbau-Congresses wur- den efienfalls ‘am Sonntage, 2 Uhr Nachm., eröffnet und wie- derholten sich-täglieh‘ zwei Mal, um 9!/, Uhr Morgens und 2 Uhr Nachm. Ausserdem versammelten sich die Mitglieder jeden Abend im Vaux-Hall des Pare’s zum intimeren Gedanken- Austausch und geselligen Verkehr. Beinah alle 12 Abtheilun- gen des Programms wurden in den Sitzungen mehr oder we- niger ausführlich besprochen. Die HH. von Siebold, Du Mor- tier, Planchon u. a. sprachen sich wohl am meisten über ver- schiedene Gegenstände aus. Der regste Antheil wurde den . Fragen über Acclimatisation, Variegation (panachure) und Kar- toffelkrankheit zu Theil. Ausführlich erscheinen nächstens alle Reden und Bemerkungen in einem Berichte der vorsitzenden Commission, in französ. Sprache. Stenographen verzeichneten die mündlichen Verhandlungen. Am Dienstage, den *‘/,, April, wurden in der Schlusssitzung alle anwesenden Mitglieder auf- gefordert, sich in Gruppen photographiren lassen zu wollen, was auch sogleich auf dem Hofe, ungeachtet der späten Zeit und des trüben Himmels, ausgeführt wurde und dadurch dem Wunsche entsprochen, die aus Nah und Fern sich zum gemeinschaftlichen Zwecke hier Versammelten auch im Bilde noch dem Andenken zu bewahren. Viele persönliche Bekanntschaften sind in diesen wenigen Tagen angeknüpft und werden gewiss noch lange nachher gute Früchte für Wissenschaft und Kunst tragen. Brüs- sel’s Hospitalität bewährte sich noch glänzend am Schlusstage des Congresses in dem prächtigen Banquet, welches von der Belgischen Flora - Gesellschaft den Congress - Mitgliedern zu Ehre gegeben wurde. Gesellige, ungezwungene Heiterkeit be- lebte die ganze, grosse Gesellschaft. Toaste wurden mit Jubel 311 beantwortet und Deer auch, dio «sogar aus Rlısslande herbei- : gekommen, wurde in ihnen gedacht. Noch spät am Abend versammelten sich engere. Klee gui schlossen durch herzlichen Verkehr die schénen Brüsseler Con- gress-Tage. Aber auch beim Scheiden bewegte Alle die Ной- nung eines baldigen Wiedersehens, ja vielleicht schon im n künf- tigen Jahre — in Au ug А. Fischer von Waldheim. (Sohn.) Lettre adressée au Second Secrétaire. St. Ptbg, d. 23-ten Februar 1864. ----- - Erlauben Sie mir Ihnen eine kurze Notiz über das St. Petersburger Bohrloch mitzutheilen, welches, wie be- kannt, auf Vorschlag S-r. Excellenz, des Herrn Akademikers Gr. von Helmersen angelegt worden und gegenwärtig eine Tiefe von 594 Fuss erreicht hat. Die durchsunkenen Gebirgsarten sind folgende: 1. Diluvialsand, feinerer und gróberer. . . 14’.— 2. Grauer und bläulicher Thon, mit erratischen . Blucken u...) 0. Medo o Г. Blauer honc 0e N N 4. Schwimmsand, feiner und een. . . 20'—9", oo In diesem Horizonte zeigte sich ein un- bedeutender Zufluss reinen und süssen Was- sers, welches etwas höher stieg, als das gewöhnliche Grundwasser. | HE 5. Blaugrauer Thon mit dünnen Z их. WEE ‚von Mergel und mürbem Sandstein. . . 299' — 7 Dieser Thon. enthält keine ne mit Ausnahme etwa von wenig zahlreichen, durehsichligen; unregelmässig geformten Blättchen, ‘die ‘eine regellos faserige Struc- tur zeigen, "вое manchen: Algen. 6. Feinkörniger, mürber Sandstein. - -. aor 95: bee Dieser Sandstein enthält ein ziemlich sal ziges Mineralwasser, das, obgleich langsam zufliessend, doch die Erdoberfläche erreicht. Bläulieher Thon... se... Sn 7 8. Grauer Sandstein. "7929 NS SR EAN EG 9. Wechselnde Schichten von róthlichem und grünlichem, glimmerigem Thon mit Zwi- schenlagern von mürbem Sandstein und Thon- schiefern,.J one saith sie aio adeb. sc Ma 10. Zusammengebackener grober, weisser Quarz- sand, aus Kórnern von Stecknadelkopf - bis Erbsen-Grösse bestehend . . . . . 40'.— Diese Schicht ist in ihrer ganzen Mächtigkeit reichlich von Wasser durehdrungen, das viel Gas enthält und fast ganz süss ist, bis auf einen kaum bemerkbaren Salzgeschmack. : Der Zufluss dieses Wassers betrügt über 200,000 Eimer täglich und es steigt bis über die Erdoberfläche, so dass es, in eine 3-zöllige Röhre gefasst, einen Springbrun- nen von mehr als 21’ Höhe bildet. Das Bohrloch soll bis zum Granit geführt wer- den, sowohl um die ganze Mächtiekeit der 813 Sediment- Gesteine zu bestimmen, als auch in der Hoffnung unmittelbar über dem Granite noch eine Sand- oder Grant-Schicht anzu- treffen, die vielleicht einen noch reichlicher - fliessenden artesischen . Brunnen. speisen könnte. | в 11. Dichter, schiefriger, grüulich oder dunkel- grauer- Топ, Kieshaltio. о. sem ys 687! 6% in Allem 594’. — Die oberen grünlichen Schichten des letzteren Thones gleichen zum Theile den silurischen Thonen aus der Umgegend von St. Petersburg, enthalten aber nicht, gleich ihnen, microsco- pische Versteinerungen, jene kleinen gegliederten Scheibchen, die yon Herrn у. Pander Platysoleniten gerannt worden, Hennadius Romanowsk y. Lettre adressée au Premier Secrétaire. Helsingfors, °/,; Marz 1864. - - - Wir haben einen gelinden Winter gehabt und obgleich in der letzten Zeit ziemlich viel Schnee gefallen ist, sind die ersten Zugvögel, die Lerche, Alauda arvensis, die Männchen des Buchfiuks, Fringilla coelebs, welehe immer etwa 14 Tage früher als die Weibchen sich einstellen, wie auch der Bergfink, Fringilla montifringilla, bereits in geringer Anzahl und zwar schon d. 9 März n. St, bei uns angekommen. Einer meiner 314 Bekannten, welcher zugleich ein guter Beobachter und Jäger ist, will auch schon einen Kranich gesehen und gehört haben. Indem aber, wie gesagt, noch viel Schnee liegt, so muss der zufrühzeitige Ankömmling hier entweder verhungern oder west- wärts davon fliegen. Als mein unglücklicher Sohn noch lebte und bei mir war, haben wir in dem von mir bewohnten Garten im Frühjahre fleissig Vögel gefangen und zwar ganz systematisch auf einem Vogelheerd mit Netzen, Schlingen und Dohnen. Jetzt hält sich bei mir einer meiner Brüder Carl, der Husaren Oberst, auf, und indem er ebenfalls ein Naturfreund, Fischer und Vogel- steller ist, so haben wir wieder die Fanggerätschaften in Ord- nung gebracht und überlisten alle mögliche Vogelarten. Wäh- rend des vergangenen Herbstes fingen wir über 100 Seiden- schwänze, Bombyeilla garrulus, russisch Сверистель, ein deli- kater Braten. Sie müssen aber keinesweges glauben, dass wir alle kleinen Vögel, wie die Italiener verspeisen, sondern in einer Voliere aufbewahren und später im Frühjahre alle wieder fliegen lassen. Der Vogelfang, nach der Regel betrieben, setzt viel Kenntniss und Erfahrung über die vielfach nüancirten Bedin- gungen der Lebensweise der verschiedenen Vogelarten voraus und ist für denjenigen, welcher damit einen wissenschafilichen Zweck verbindet, ungemein interessant. Wir haben hier in Finn- land zwei Brüder v. Wright, beide ganz ausgezeichnet als Thiermaler und Beobachter. Ich erfreue mich auch noeh schari- sehender Augen, erkenne auch beinah alle Vogelarten nach ihrem Fluge und Locktone, Vorzüge, welche der Bruder mit mir theilt. Im Walde kann ich auch sagen «einsam bin ich nicht allein»; denn Alles was pfeift, flótet, kreischt und schreit, sind gute alle Bekannte. - - - A. Nordmann. 315 Lettre adressée au Premier Secrétaire. - Im | Gornoi Journal von diesem Jahre, in №2 pag. A 87 und da- raus im Bulletin der Petersburger Akademie der Wissenschaf- e ten (tom. УП, f. 12 — 17) ist eine interessante Abhand- lung der Herren Ssemenow und Müller über die devonischen Kalksteine von Malewka und Murajewna enthalten, z. Th. wohl hervorgerufen durch meinen kleinen Aufsatz in unserm Bulle- tin, 1862, II, р. 229. ssq. Bei meiner neulichen Anwesen- heit in St. Petersburg verdankte ich der Freundlichkeit der ge- nannten Herren die Gelegenheit die zahlreichen und schönen, wenn auch zum grösseren Theile an einer andern Localität als die meinigen, aber angeblich aus gleichen Schichten, gesam- melten Versteinerungen zu sehen und konnte mich überzeugen, dass solche sehr wohl als devonisch gedeutet werden konnten. Anderseits glaube ich aber auch Herrn Möller, bei dessen Durchreise durch Moskau, durch Vorlage meiner Original-Exem- plare aus Malewka überzeugt zu haben, dass daselbst unzwei- felhaft Bergkalk vorkommt (Dinge wie Chonetes eomoides, Pro- duetus Сота, Bellerophon Keynianus und В. costatus, Strep- torhynchus erenistria u. A. dürften wohl kaum anders zu deu- ten sein.). Es bleibt also, abgesehen von der Richtigkeit der paläontolo- gischen Bestimmungen, kein anderer Ausweg, als entweder anzu- nehmen, dass die von mir beschriebenen, zum grössten Theile durch Herrn Leo’s Güte mir zugekommenen, Fossilien aus verschiedenen Schichten herstammen, was ich bei Herrn Leo’s bekannter Gewissenhaftigkeit und Sachkenntniss durchaus nicht voraussetzen darf, oder aber zuzugeben, dass in Central-Russ- land Schichten vorkommen, die ein Uebergangsglied zwischen De- vonium und Bergkalk bilden und die Versteinerungen beider ` 316 Furmalionen gemeugt enthalten, еше Annahme, die auch für manche andere Lokalität ihre Geltung haben und bei der rn- | higen, durch keinerlei Revolutionen gestörten, Ablagerung unse- rer Sedimentär-Schichten wenig Auffallendes bieten dürfte. Den 5-ten Маг 186%. J. Auerbach, Lettre adressée au Premier Secrétaire. - - - Im Mainzer Oligocaenen Bassin arbeite ich fleissig und werde nächstens eine kurze Uebersicht der Ergebnisse, welche manches Neue bieten und meine frühere Ansichten über Alter und Entstehung unserer Tertiär-Formation überall bestätiger, der Weinkauf-Sandbergerschen Schichteneintheilung aber nicht ganz günstig ausfallen, für die nächste allgemeine Naturforscher Ver- sammlung zusammenstellen; ich gebe Ihnen dann einen Aus- zug, da das Opus ohne Karte nicht von Stapel laufen kann. Ueber die Pernaarten des Mainzer Tertiärgesteines habe ich Studien gemacht, welche mich bestimmen drei Arten fest zu halten: 1) Perna Soldani Al. Braun, zungenförnig, halbfusslang, schmal mit breitem schiefstehenden Schloss, worin zahlreiche pa- ralellaufende Ligamentcanäle einer Art, so dass wenn die bei- den Klappen zusammenliegen das Schloss im Querschnitte so aussieht: -0-0-0-0, wo die O die Ligamentkanäle mit weiter Bys- susöffnung. Im Merressande und Letten und im Cerithien Kalke und Sande durch alle altoligocänen Schichten durhgehend, ganze Bänke bildend, höchst häufige (aber von Sandberger nicht beach- tete) Leitmuschel. 2) Perna Saudbergeri Deshayes, von Sandberger abgebildet (Verstein. der Mainzer Tertiärformation, aber falsch beschrieben.) Oval halb Fuss lang und breit, oben. abgestutzt mit vorstehen- dem Buckel, das Schloss rechtwinklich gegen die Hauptachse des Thieres gestellt, hat Ligamenteanäle von zwei. Arten, wel- che durch Rosshaardicke Leisten cetrenut sind, so dass der: Querschnitt desselben so aussieht: -=0=0=0=0- mit enger Byssus- - óffuung. Nur im Meeressande und. Letten, nicht im Cerithien- Kalke; sehr häufig und weit verbreitet. 3) Perna plieata Ludwig, oval mit zwei Ohren, deren vor- deres den Buckel an der Spitze hat. Schloss ähnlich Perna Sol- dani, aussen sehr stark aufgefaltete Anwachslamellen, klein, nur im Cerithien-Kalke. Selten. Auch über Tentaculiten, Tentaculites maximus Ludwig und Pinna (Pinna rugata Ludwig,) aus der Mainzer Tertiärforma- tion habe ich einige Aufsätze mit Abbildungen zur Paläonto- graphica gegeben. Im Augenblick bearbeite ich die fossilen Pflanzen aus der Umgegend von Alzei, Mainz und Nierstein, eine schwierige Arbeit, weil die meisten Pflanzen im weichen Sande liegend, im Freien untersucht und gezeichnet werden müssen. Sammeln kann man sie nicht, sie zerfallen. | Im Flonheimer und Alzeier Sandsteine, welcher auf seiner dem Tertiärgesteine zugewendeten Oberfläche Bänke von Ostrea cal- lifera Lamk. trägt und deshalb von Voltz und Anderen zum Ter- tidrgesteine gezählt waren, fand ich neuerdings die Verstei- nerungen des Walchia-Sandsteines der Dyas: Calamites gigas, Cyatheites confertus. Der Sandstein bildete sohin nur den Grund des Oligocän-Meeres, worauf sich jene Austernbänke anhel- teten. Mit den Austern kommen Wirbel und Zähne vom Hay; Ske- lette von Halitherium sehr häufig vor. Ich fand einen vollstän- digen Unterkiefer von Anthracotherium magnum Cuv. darin, woraus sich ergiebt, dass diese Schichten von denen von Ep- pelsheim nicht sehr verschieden sein können. Anthracotherium 318 magnum findet sich in den Braunkolilen mit Glyptostrobus euro- . paeus und Sabal major, so wie bei Eppelsheim in einer alten Flussanschwemmung. Dieses Thier war im rheinischen Bassin sehr verbreitet. --- DT LE April, 1864. 1 A « E owl. Ludwig 22 Ya fy Lettre dr au Premier Secrétaire. - - - [n meiner kleinen Arbeit «über jurassische Fossilien von Indersk», veröffentlicht im Bulletin unserer Naturforscher- Gesellschaft № IV, 1863, habe ich eine Schrift von Е. Hofmann «die jurassische Periode von lletzkaja Saschtschita (Юреюй пе- pioab Илецкой защиты)» besprochen. Diese Schrift war mir ohne Begleitschreiben zugegangen, und da ich keinen anderen Geo- logen kannte, den ich als den Verfasser derselben hätte be- trachten können, ausser den Hrn. General E. Hofmann, Vor- sitzenden der Mineralogischen Gesellschaft in Petersburg, so habe ich seiner in meinem Aufsatze mehrmals als des vorgeb- lichen Verfassers gedacht. Nach gefälliger Mittheilung des Ge- nerals Hofmann ist er jedoch nicht der Autor der «Jurassischen Periode von Iletzkaja Saschtschita», sondern der Docent an der Petersburger Universität Hr. E. Hofmann. Ich ersuche Sie er- gebenst, diese Berichtigung in das Bulletin unserer Gesellschaft aufnehmen zu wollen. H. Trautschold. Moskau d. °/,, Mai 1864. à ^. Plantae Raddeanas BEL. а у ee : : ER 4 va ER we Plantae Raddeanae Tab | Bulletin 1064 P I Tat. I. № La... Cine Pepe p A KARL be Lou Lantana L Le Drum ttm Dil. Putent РР Dan 4 LE обрела atr n Brge I d À Loiret Map tet TI 5j | PlantaeRaddeanae Tab. ]L À # ES 4 T" > /\ Plantae Raddeanae Tab. IL » LE a. лени Lb Mee ege. IL Lonccesa negli ее p I 0 Lonecveta Ara a OL Zoriesa HAavimorercesti yen. 1 = Kr, REN ao wee + BE CENE Y T à " T3 Y = = jee ne ток ~ д: алена Tab. I. Bulletin 1864. P.I. Tab IL. 7 ee LE cnt ИР LE FA. о Ре BOLLE: z ie. Реле te cl Gas 7 Ge am etat. DPyutcr cata. td tnu t eem ac AZ, 2277772 Ev de) ET | +7 +0 +0 й +0 13 f 45 8 25 347 13 3 39 2 347 24 ZA Bulletin 1864 PI Le some 969 4; 2 \npnafka: 55. TWvizkoje | Mieten Vedmopkije Устава Ну Naukono Waldinsteaye Indrejfskoje Win she (Ölyona Wätyuschkon [Seele Terre Ignätono dpässteoje Marino \Oserrzkoje aja Lyn 30 Hafehudési mero Pur 15 5 Mherkisone [трет тво филин | W777 | Merdndrowe 3 eginino | [брат | weniskeye| je Haase, ридере px 2 tnde T Hirnlefekoje | |Kieeermtéshoye. | i, 9 Quarum Basis Charaphino [Dimitrofskaye Una Observat. A5 0 10 M s NT. 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