MOS 47/6 /66.8 Library of the Museum "OF COMPARATIVE ZOOLOGY, AT HARVARD COLLEGE, CAMBRIDGE, MASS, Pounded by private subscription, in 1861. DR. L. ое KONINCK’S LIBRARY. No. /07. ' , r u Li B 1 к. 6 i 4 % +4 1 $ р у poro Batralotes 2% 5 im e —- , | . ‘ie Sx SL. E 4 4 7 gt’ 1 , + ^ * *, n P" à 1 * » dE us E 4 : » di ^ + ^ у / ы * : ’ Ч “4 ID + * E Orr olim: ^ e£ n ^q nti A qw "E à ` MAL AUR EL } b a I | 4% 4 м , * . INO 208 PI o "ES PET AN у mb LA " ^ en = 10 ^ ив ‹ мя E ELO Lue e Ri pe | £ E é \ ` Aa а Four META A Ms SP o0 Br $ . "LAN : "Y TER % ? ] i E wn REDE D N 9 a f tee AM Te "CNP 4 T } M , - Не DS BULLETIN de fa Société Imperiale des Maturalistes . ve MOSCOU,. |. Tome Ш. année 1831. _ АВА ААА M OS C OU. % 2 De ylubPRIMÉRIE DE LUxiIvgnsiTÉ Iur£RIALEe B 4 Jw 27631. ПЕЧАТАТЬ NO3BOAAETCA съ mbw», чшобы mno omneuamaui представлены были въ Цензурный Комишепть mpm экземпляра. Москва. Авгусша 1910 ‘дня 1831 года. IJeucops, Статский Совётникь n Кавалеръ Ивань Двигубски. —— MÀ r^y Y m mn | IL 222179 E wwe t Bulletin | | de fa Societe Imperiale des Noaturalistes de Moscou. Troisieme année. 1831. Rapport aux Membres de la Societe sur quel- ques faits nouveaux en. Zoologie , par le Directeur G. Fiscner. A mon retour d'une course en Allemagne je crois de mon devoir de dire à mes collégues, que j'y al trouvé partout un zéle infatigable pour avancer les sciences naturelles. Les mi- croscopes ameliorés ont surtout aidé à porter l'attention des Naturalistes sur les corps les | plus petits, sur les objets d'anatomie les plus délicats, pour éclaircir plusieurs poiüts de phy- siologie auquel on n’avait pas pense auparavant. La plus brillante découverte est sans cons tredit celle de Mr. Enn£wsERG , Academicien et Professeur à Berlin et notre Membre; sur l'organisation et l'arrangerient systématique des Infusoires. | 1 4 Les Infusoires s'appellent ainsi, parcequ'ils naissent dans des infusions, soit naturelles, soit artificielles. Ils sont imperceptibles à l'oeil non armé, c'est pourquoi on les a designé sous le nom de Microscopiques. D’autres raisons leurs ont fait donner le nom d’Amorphotes, nom que jai proposé, parceque j'ai cru observer que ces animaux étaient soumis à de changemens de formes beaucoup plus grands que les animaux de toute autre classe, ce que Mr. Eurenserg a confirmé (р. 23). Les écrivains modernes et particuliérement LATREILEE les ont nommés Agastrigues ( Agastrica, sans estomac ), mais "ces animaux ne manquent point de cet organe; au contraire, Mr. EHRENBERG en a découvert jusquà 120; de sorte qu'ils méritent à plus juste titre le nom de polygastriques. Je ne veux pas réunir ici toutes les opi- nions qu'on a proférée sur ces animaux, je di- rai seulement , qu'on les a presque générale- ment caractérisé, comme les plus simples des animaux, n'ayant ni organes extérieurs, ni in- térieurs; en un mot: comme le commencement de l'organisation animale, 5 ^ sMr. Enrensexc qui a commencé ses recher- ^ches^ sur les Infusoires en Zybie, qui les a continuées pendant le courant de tous ses voya- ges ultérieurs et en dernier lieu à Berlin, .muni- d’un excellent microscope de CHEVALIER , -a démontré elairement:' que tous les vrais In- .fusoires , méme les plus petites monades , ne sont pas une simple gelatine denude de toute structure ," mais des animaux organisés , dis- linetemient munis du moins dune bouche et “doués ‘intérieurement d'un appareil de nutrition. "Mr. Eurenzerc a publié ses observations dans un ouvrage qui a pour titre: Organisa- tion, Systematik und geographisches Verhält- niss der Infusionsthierchen. Zwei Vorträge in der Akademie der Wissenschaften zu Berlin gehalten in den Jahren 1828 und 1830. Mit 8 Kupfertafeln. Berlin. 1830. 108 S. fol. - | On. n'aurait. point une idée de la précision -de ses observations , ‘si je n'assurais pas, ce "que j'ai vu de mes propres yeux, que Mr. Ennenzerc a établi une vraie ménagerie de ces "animaux et qu'il peut montrer à volonté tantôt ‘une Monade, tantôt une "Trichode ‘ou tout au- ire genre d'Infusoires. “Cette ménagerie est 6 composee de tubes de verre, adaptes dans des rayons de bois, où on les voit placés comme les tubes d'orgue. | L'idée la plus ingenieuse et que les recher- ches de beaucoup d'années lui ont suggerée , est celle, de porter à ces animaux une nourri- ture d'une matiére organique colorée, et Mr. Eurenserg fait ceci devant vos yeux et à l'aide de son excellent microscope de Guevauirr. Па fait ses expériences avec de l’Indigo et du Car- min purs. Il porte avec un pinceau un atome de la substance colorée dans la goutte qui se trouve sous. le microscope et lon voit bientót que les Infusoires qui s'y irouvent l'avalent avec beaucoup d'avidité , la regorgent quelque fois , spectacle unique pour l'observateur, et que les estomacs se remplissent l’un aprés l'autre. | Mais ces estomacs, étant remplis, on par- vient plus facilement à découvrir nombre d'or- ganes à cóté d'eux dont il serait difficile de déviner l'existence sans ce moyen. ^ ^ On voit donc à quoi cette idée ingéni- euse a pu conduire l'auteur et quel riche champs d’observations il a ouvert et applani. 7 Nous allons suivre l'auteur dans quelque- unes de ses découvertes. Tous les petits animaux Infüsoires , dont la grandeur n'est pas au dessous de 1555 dune ligne parisienne et qui par conséquent n'échap- pent point à la force de nos instrumens opti- ques, présentent, tout comme d'autres de plus grande taille, sous des circonstances favora- bles , un appareil digestif , rempli de couleur. Dans les Monades on peut distinguer une bou- che , souvent munie de cils, avec la quelle deux à six estomacs sont en connexion. Mr. Eurenserg а reconnu dans le Monas “a dont la grandeur n'excède pas celle de —— za d'une ligne parisienne , quatre estomacs remplis de la matiére colorante et en a cru voir quelquefois six , dont les premiers n'oc- cupaient pas tout à fait la moitié postérieure de lanimal. Un tel estomac du’ Monas Termo a done la grandeur d'une 3 — = ligne parisien- ne. Mr. EHRENBERG se sert pour ces mesures d'un micrométre dd verre de Dorrowp qui in- de pouce, et oà une dique directement 10000 Ре 8 demie - ligne parisienne est’ encore partagée par 400 petits traits ou lignes tracées sur le. verre. Mr. EuRENBERG Е ‚guide par ses obser- vations , trouve vraisemblable que. le genre, Monas, et plusieurs qui Yavoisinent. ne sont pas des formes d’animaux distincts, mais l'état de jeunesse des Colpodes , des Paraméces et d'autres. к | Monas Lens Murter est le nom de l'ani- mal à jeun ; ; sil avait mangé quelque chose ; on luia attribué un autre nom, Monas Atomus; et Bony de Sr, Vincent placait ceux qui étaient rassassiés méme dans un rang plus haut , dans le genre Ophthalmoplanis , en regardant 'esto- mac comme un oeil. Les affamés restèrent chez lui. sous le genre Monas. "Les genres Enchelys , Paramaecium, Kol- poda et autres ont un canal intestinal muni de beaucoup d'appendices en forme de cul de sac ( Blindsäcke ), disposées en grappe, qui par- court tout Je long du corps, tantót tout droit, tantôt. roulé en spirale. .Le genre Enchelys a une bouche ciliée et l'anus du côté opposé. ——ÁÀ—— o € 9. Le genre Paramaecium a aussi une bouche ciliée au milieu du corps et l'anus se trouve en arriére et non au bout du corps. Le genre Kolpoda est composé d'animaux trés différens. Kolpoda Cueullus a la structure des Paraméces. Il a une bouche oblique, gran- de , surmontée d'une lèvre ciliée , qui le rend semblable au genre Zrachelius de Scumawx; Il a comme celui-ci une ouverture en arrière et est au reste le méme animal avec Trichoda aurantia Mürrrn. Lorsque lanimal est rassassié, les cils sont plus distincts : voilà l'origine du genre de Mütter. Bory de St. Vincesr en a fait" son genre Plagiotricha. -" Mr. Eunenserc}, dans Paramaecium Chry- salis et Aurelia , a compté 100 jusqu'à 200 de ces sacs ou estomaes, et a vu encore dela place pour d’autres que la matiere colorée n'a- voit pas atteints. Si ces sacs stomacaux sont remplis d’une matière compacte ; ils paraissent comme des corps globuleux, le canal de conjon- ction étant rétréci et transparent. L’ouyertu- re opposée se reconnait facilement dans les animaux rassasiés par les. excrémens qui en sortent, - у 10 Les genres Trichoda, Leucophra , Kerona de Mürzer ont la méme structure. La division de Bory de Sr. Vincent m'est pas naturelle: Ce n'est que la place de la bouche et de l'a- nus, et non pas la forme variable du corps qui donnent des caractéres stables. Les genres Ploesconia, Coccudina et autres sont placés à tort par Bory de Sr. Vincent sous les Brachi- ones ; ils appartiennent aux polygastriques. Les Vorticelles qui sont placés sur des fils en spirale ont une organisation particulière, Ils n'ont point d'ouverture au milieu de Гог- gane rotatoire , comme on a généralement as- suré , mais ils ont de côté, sur le: bord supé- rieur une fossette , dans la quelle se trouvent la bouche et l'anus. Le canal intestinal, muni de beaucoup de sacs stomacaux, (jusquà 36,) se perd en forme de cercle. L'organe rotatoire est composé de deux cercles de cils. Le fil ou le style a, dans beaucoup d'espéces, un. fil spi- ral intérieur, dans d’autres: ce fil manque, dans quelques uns ilest strié. Le genre Tickel d'O- кем ou Opercularia de Gorpruss repose sur une fausse supposition. [ls n'ont point d'opercule, mais un disque commun à toutes les Vorticelles 11 | pétiolées, se lève davantage, parcequelles ouvrent la bouche plus que les autres. Outre cet appareil digestif très composé ces petits Infusoires sont encore remplis d’une masse cellulaire que Mr. ЕнвемвЕВС prend pour des ovaires. | | Les observations de Mr. Enrenserc sur le développemens de ces animaux démontre que leur forme est sujette à beaucoup de changemens , dont on peut cependant fixer les degrés. Il s'est convaincu que douze espéces de Mürrer du genre Vorticella ne sont que différens états d'une espèce, dont Lamarck , Schrank es Bory de Sr. Vincent surtout, ont formé des genres particuliers. Il y compte les genres . Ecclissa , Rinella ^ Kerobalana , Urceolaria , Craterina et Ophrydia qui ne designent que difflérens états de la Vorticella Convallaria. Mr. Enrenserc décrit ensuite le système musculaire , vasculaire, digestif et procréatif de ’Hydatina senta , qu'on ne pourrait guère comprendre sans les figures. Il résulte des ces observations de Mr. KunEwsERG sur les Infusoires que le systeme de \ 12 t ces animaux avait besoin. de grands:changemens; et ce trayail de notre auteur mérite: de: prefe» rence l'attention de nos; Membres. , Nous:allons essayer de leur en donner une idée aussi exacte que la place de notre feuille le: permet... Il ne comprend dans cette exposition que les animaux quil a pu examiner iorsque l'appareil digestif était rempli. d'une matière colorée , mais nous y avons aussi ajoute les autres à la Place) m. sa methode leur qe P H YTO Z OA CNN ISTIS PoLyGASTRICA, Animalia evertebrata apoda, nonnülla cau- datas vasa sanguifera et systema nerveum nul- libi conspicua. : Oculorum rudimenta paucis. Os omnibus ciliis vibrantibus coronatum nudum- ve ventriculis pluribus appendiculatum aut canali alimentario perfecto polygastrico auctum. Pha- rynx non discretus , inermis. Ovipara ? ( vivi- para ) et sponte dividua. (Utrum gemmae sint, an ova vocanda interna propagula observationes olim decident. ) 13 qe ont À. A xxi IO SPORE ‚ventriculis pluribus appendiculato, ano discreto nullo ; ( tubo intestinali nullo ) > Ordo I. Nupa. | Fam, I. Gymnica. Corpore. non ciliato , ore ciliato nudove. Sectio. I. Monadina. A. pullis internis nunquam conspicuis: cor- pore in binas aut quaternas partes spon« te dividuo : | а. cauda nulla: a. pellucida. Monas Mürr. 15 spec. ß. obscura. Er Doxococcus. Volvox. Mürr. 3 spec; Bodo. 4 spec. ? Urocentrum Nirscu. spec. 1. B. pullis internis conspicuis. Pandorina Bory. spec. 3. Sectio. II. Vibrionia. | Elongata in se nunguam contracta à. corpore filiformi cylindrico undatim flexili. Vibrio Müzr. spec. 4. | 14 b. corpore filiformi rigido spirali 5 Spirillum. = Volvox Mürr. spec. 2, c. corpore oblongo, fusiformi aut fili- formi (tereti aut triquetro nec qua- drangulo) aperte undatim non flexili , nec spirali. Bactirium. — spec. 11. Sectio Ш. Astasiaea. Elongata contractione polymorpha $ longitudinaliter dividua. a. Oculorum rudimento nullo ; Astasia. — spec. 4 — 6. b. Oculorum rudimento distincto ; Euglenia. == Cercaria, Vibrio Mit. spec. 6. Fam. II. Zpitricha. Corpore ciliato , ore ciliato nudove. Sectio IV. Peridinaea. À. pullis internis conspicuis nullis ; a. ciliorum ordine transverso ; Peridinium. — Vorticella Mürr.spec 2. b. ciliorum ordine longitudinali ? Cyclidium. Mitt. spec. 4. : c. ciliis ubique sparsis 5 Pantotrichum. n. g. spec. 1. 15 B. pullis internis conspicuis. ‚а. corpore compresso, ( quadrangulo ; ) Gonium. Mürr. spec. 2. Volvox globator. Miu. spec. 1. Fam. Ш. Pseudopodia. Corpore proteo , processibus pediformibus . variabili. | Sectio V. Amoebaea. Amoeba. — Proteus. Mürr. spec. 2. B. Enrenopena. Tubo intestinali perfecto ( ore anoque ter- minato ) polygastrico. Fam. IV. Anopisthia, Ore anoque contiguis in eadem fovea. Sectio. VI. Vorticellina. © A. Corpore pedicellato , pedicello filiformi nudo ( nec vaginato ), saepe ramoso: à. pedicello in spiram contractili : Vorticella. Mürr. spec. 5.. b. pedicello in spiram non contractili : Epistylis. == Vorticell. Müz. spec. 3. B. Corporis pedicello nullo-: a. ciliorum corona simplici. Trichodina. — Trichoda. Mürr. Stentor. Oxen. spec. 3 — 4. 16 Fam. V3: “Enantiotretæ. Ore anoque oppositis tertiinalibuss Sectio VII. Znchelia. À. Ore transverse truncato : a. corpore non ciliato : Enchelys. Mürzer. spec. 2. b. corpore ciliato : | Coleps. Nirscu. spec. 3. | - Actinophrys. — Trichoda Митя, spec 2. B. Ore obliquo (saepe ciliato. ) a. corpore non ciliato: a. in collum* capitatum non extensili: Trichoda. Mürrrs. spec. 3. ? Bursaria. spec. 1. f. in collum capitatum extensili : — Lacrymaria. — Vibrio M. Lacryma- toria Bory. spec. ur Leucophrys. Trichod. Enchel. Ман. | | spec. 3. Fam. VI Allotreta. ' Ore anove terminali. Sectio. VIII. Trachelina. A. Ore inermi infero: © a. labio superiore praelongo (subaequali, colli formam referente): ~~ 17 Trachelius, — Vibr. Trich. Мил. d al Spec. 4. oh, labio superiore, brevi dilatato obliquo: _ Loxodes. m Kolpoda, Mürr. spec. 4. Glaucoma. n. в. spec. 1. ; Fam. VII... Katotreta, . | Nec ore nec ano и ui. IX. Kolpodea., ER? | Nuda ‚aut ciliata | А. prohosside brevi inermi : ^. ‚а, Corpore, partim ciliato : Sse it | "Kolpoda. Mürr. Spec. 2, ait b. corpore. ubique ciliato , turgido : | Paramaecium Mürr. spec. 2. B. proboseide nulla : | | Amphiléptus. Vibr. Mixa. spec. 2. Decke, X. Oxytrichina. E Setosa aut uneinosas | a, -uncinis stylisque nullis : . _ Oxytricha Bory, — Trichod. Keron. | Mix. Spec. 4, b. uncini; styli nulli : : | ‚ Kerona. Mürz. spec. 1. с. ну; uncini nulli : . | | Urostyla; n. g. — sp. 2. un | | 18 | а. uncini stylique : _ Stylonychia. — Kerona. Müt. Spec. 2, Ordo II. Lonicara. Fam. I. (IL) Pseudopodia. Sectio I. Bacillaria, —— | Cum lorica. dividua. A. Lorica bivalvi quádrangula , dorso lon- gitudinaliter. dividua : | _ а. libera solitaria aut gregaria : | Navicula. ^ — b. libera concatenata catenulis polymorphis: Bacillaria. JVitsch. à c. libera fasciatim concatenata , nec po- lymorpha, dein UNTERM: : Fragillaria. d. libera apoda radiata (flabelliformia) : Exilaria. | e. affixa sessilia : : Synedra. n. g. f. affixa pedicellata saepe dichotoma à apice dilatata : Gomphonema. : g. affixa pedicellata saepe dichotoma , basi apiceque contracta : Cocconema. п. 5. 19 h. affixa pedicellata - "n rip formia ) MA р Echinella, B. Lorica univalvi tereti , transverse in duos quatuorve partes dividua :.^ Closterium. olg Sectio. II. Arcellina. Lorica non dividua; a. Lorica urceolata : Difllugia. Le Стевс. Spec. 2. b. lorica scutellata: Arcella. n. g. spec. 3 Fam. II. ( IV.) Anopisthia. Sectio III. Ophrydina. | А. Corpore nudo pedicellato, . pedicello filiformi vaginato ; a. in spiram contractili : Carchesium. - Vorticella. Mürr.Spec.3. В. Corpore gelatina involuto nec pedicellato. Ophrydium. — Vortic. Müzr. sp. 1. C. Corpore vagina membranacea incluso : ‚a. non pedicellato : Vaginicola. — spec. 3 — 6. b. pedicellato : | | Tintinnus. 20 | Fam. III ( Vi.) Ailotreta. Sectio IV. Aspidiscina Aspidisca. Trich. Mürr. spec. 1. | Fam. IV. (УП) Katotreta. Sectio, V. Euplota. Euploea. — Trich. Mürr. spec. 1. Classis 1. ROTATORIA. Ordo I. Мир. Fam. I. Monotrocha. - ‚Giliorum. corona simplici integra. Sectio I. Jchthydina. . A. Coca: _ a. dorso glabro : Ichthydium. — Cercar. М. Furcor- crca Lam. spec. 1. b. dorso setoso : Chaetonotus. Trich. М. spec. 2. Fam. II. Schizotrocha. Ciliorum corona simplici laciniatim con- stricta variabili. Sectio II. Megalotrochaea. | A. Oculo unico: Microcodon. n. g. spec. 1. 21 B. Oculis quatuors. . 005 : Megalotrocha; ne g. spec. 1. Fam. Ill. Polytrocha. ‚ Ciliorum coronulis . pluribus, Sectio Ш. Mydatina, | А. Coeca:. ^ ACH, simplicia : : Ha &oR5Aakhko rA &. maxillis dentatis :: : Hydatina, : Vortic., Mixx. Spec. 2. f. maxillis inermibus : ] ore recto terminali : ‚Enteroplea. n. g. spec. 1. Н ore obliquo, infero : ox ‚4% aPleurotrocha..n. в: spec. 1. b. compositas... au.) | ee ‚n.,;8.:5pec. 1. B. Oculo unico: a. frontali :: Furcularia.. sp, 2... b. dorsalı. audias od a, cauda setacea, nec. furcata : ‚„Monocerca. Bory. Trich. M. spec. 2. a" cauda simpliciter furcata : тео + ciliis. rotatoriis aequalibus : : Notommata,— Vortic, M. spec. 8. 22 tt ciliis rotatoriis inaequalibus, par- tim longioribus , setaceis x tenta- culiformibus : ^ © Scaridium.— Trichod. M. We 1. y. cauda bifurcata: ^^ | Dinocharis, — Trich. M. spec. 3. C. Oculis binis aut biacervatis : | a. frontalibus simplicibus : Diglena; — Cerc. М. spec. 3. b. dorsalibus simplicibus ? a. cauda simplici : - Rattulus: —. Trich. M. spec. 1. В. cauda furcata. | Distémma. — Cercar. M. spec. 3. c. dorsalibus acervatis: ^ ^" - - Theorus. n; r spec. 1. D. Oculis tribus : dé a. uno dorsali , duobus frontalibus : Eosphora. n. g. spec.' 1. ^b. tribus dorsalibus : : Norops. n. g. spec. 4. ^ ^E. Oculis pluribus in circulum dispositis : Cyclogena. Cerc. M. spec. 1. Fam. IV. Zy gotrocha. " Giliorum coronulis binis. — Sectio IV. Philodinaea. 1 5 A. Coeca. , ti. oTt Callidina. n. ©. spec. 1... p. Oculis. duobus : ‚ а, frontalibus ( ante. organa. prey a. cauda ter furcata: Rotifer. Schrank, spec. 3. В. caudae quinque apicibus : Actinurus.. n. g. Schiebel Oxen ; spec. /duo0:09 suinsy .d.- Jb. dorsalibus ( pone. organa: ANR ANS a. cauda simpliter furcata : Monolabis. n. g. sp. 1. - B. cauda ter furcata : - ^ Philodina. n. g sp. 3. “Ordo II. Lonicata. | Fam. 1. Monotrocha. factio I. Stephanopina. WW V ee A. Coeca $ | a, cauda “an : -Monura. п, + sp f | “loi nye cauda ribet’ | ns a .. Colurus. — Brachionus, M. spec. 2, P. Oculis duobus : Fa RENE Stephanops.—Brachionus. M M. spec. 1-2, 24, ^ Fam. II. Sehisotrocha. VE eios; Sectio II. Floscularia. ao 8 A. Coeca: . и лая) . а. gelatina corpus involvente ? &. organo rotatorio bilobo et subquas drilobo® 6: 191 55065 m - Lacinularia. Oxen. spec. 1. `В. organo rotatorio multifido Floscularia.. Oxen. spec. 1. b. vagina corporis membranacea : :Melicerta ^ *). бонвамк. Tubicolor, Law. spec, f. | ets : 0 WE SERO 2 ; ") La structure de. ‚cet, animal est bien intéressante, mais toute. autre > que Юотвоснет Га deerite. Ce que DuTROCHET et SAVIGNY prennent pour l'anus est la bouche, placée de cóté à la base de l'or- gane rotatoire. Ils ont pris’ au contraire l'anus près de la base de la quete pour la ‘bouche, Mr. EnrenserG s'en est convaincu par la matière Golo- rante, Ce que Durrocuer donne pour des yeux pé- tiolés ; sont les: parties génitales males. Il y a en bas et par devant prés de la bouche deux pointes | dures, comme chez Salpina (Brachionus mucrona- tus Müzim) 1 L'organe rotatoire est simple, quadri- lobé et muni d'une double série de cils, entre les- "quels: la nouriitüre passe ala bouche, Le pharynx 25 Fam. III. :Polytracha. Sectio Ш. Euchlanidota. | A. Coeea: Lepadella. Bonv. spec. 1. B. Oculo unico: . 7 a. lorica depressa: | a. cauda simplici : ise Monostyla. Trich. M. spec. 2 в. cauda fürcata: - | Euchlanis. n. g. spec. 2. Ъ. lorica turgida aut angulosa ; . a cauda simplici : E | ^. Mastigocerca. n. g. spec. 1. В. cauda furcata: —— Salpina. Are M. ‚spec, 5. a Oculis duobus. | ig AE Ub , Metopidia triptera. Lepadella. B. | D } roi Ee 2 SATA ! B. ! , à deux, mâchoires, garnies chacune de 5 dents. Les intestius, et les. ovaires sont comme ceux de Hy datina. La queue" longue “est sans pince, : (Y RAT, " sie ie caractérise toüte la famille des Schisotroques, ihi n peigne sur le dos de ces formes et autres a Pr "suscité l'opinion erronée de Miiturr et de Bory de "ST, VisciNT y qu'il y' ait des ‘Rotatoires ‘bivalves. 26 D. Oculis: quatuor : Squamella; Вовх. Brach;: M.'sp. 1. Fam, IV. Arge rohen | Sectio IV. Brachionaea, 1,1... A. M | ? Noteus, — Brach. M. sp. 4. B. Oculo unico. | a. bud nulla 3 : 27 | Anuraea, | Bonr. am. * b. cauda furcata. | Brachionus. Mürzen. | spec. 3. C. Oculis duobus... I ‚ Pterodina, — Brach. M. Proboskidia; Bor, sp. 1. _ Мг. Eunenserc ехрозе ensuite, ( III. р. 70) ses idées sur l'étendu géographique des infusoires ‘surtout en Sibérie , en rapport avec les autres parties du monde. Il est curieux de voir, combien d'éspéces notre vénérable ami a pu ye ng, Ce sont en | général d formes qui Te mines ; p. e, "- | Zméinogorsk de Paltai m une profondeur de 56 sajénes, se sont trouvées quatre espéces ,.et dans, celle de Soimonof de OF l'Oural, à la iprofondeus de 6 sajónes j trois autres: éspeces 5 qui: toutes quoique connues , . me $e trouvèrent point au dessus de la:terre, dans ces niémes endroits. : | \ Mr. Enrensere espose le résultat de toutes ses recherches sur les infusoires dans les arti- cles suivans : oq goin | 1. Tous les infusoires sont dos animaux organi- ses, et en partie vraisemblablement tous doués. de beaucoup d'organes. à 2. Les infusoires forment deux grandes. dioe naturelles d'animaux , peuvent être divisés systematiquement suivant leur structure, et | ne permettent point | de réunion avec "des | animaüx plus grands, malgré leur ressemblance | avec eux. 3. L'existence аланы est prouvée dans les quatre parties du monde et ‘dans la mer; ils constituent le nombre principal de ‘tous les organismes tur la terre, | 4. Quelques espéces se ressemblent dans les . régions les plus éloignées du globe, 5. La distribution géographique des infusoires sur la terre suit les loix "déjà connues. pour d’autres animaux, Il y a vers le -Sud. dans 28 d’autres contrées du monde plus de formes étrangéres que vers l'Ouest et l'Est ,. mais elles, ne manquent nulle part, et la .diffé- rence climatique des formes n'est pas uni- quement propres aux plus grandes, 6. L'eau salée des lacs des steppes de la Sibérie ne contient point d'infusoires, ou. de ‘très différens de ceux d'autres eaux. '- 7. L'eau marine nourrit d’autres formes: et de plus grandes que leau douce, mais ‘beaucoup en sont les mémes; aucune n'excède la Si deur dune Auer 8. ‘Dans la vapeur de l'atmosphère , K qui tombe en rosée ou en pluie sur la terre > ni moi, ni peus-étre aucun autre n'a observé , avec certitude , des infusoires, 9. Dans les profondeurs de la terre , ou Pair | atmosphérique a de laceós, sans admettre aucun reflet de. lumière, se trouvent les mêmes familles d'infusoires , que sur la sur- face de la terre. - 10. Les obsevations directes pour leur gene- ration primitive ; comme’ il. parait actcuelle- ment, manquent toutes d'exactitude suffisante. 29 Les observateurs qui ont cru voir l'origine sou- daine des plus petits infusoires de la matière primitive , n'ont pas connu la structure trés composée de ces aimaux. 11. L'idée que lhomme put dipandsa,, si méme seulement en partie, de la volonté des infusoires qui le composent, est refütée par lobservation, que les infusoires doivent se ‚ chercher leur nourriture, qu'ils pondent. des oeufs, et qu'ils nese joignent jamais en croissant. 42 Le développent des infussires que j'ai pu observer avec exactitude, est cyclique , ‚determine , quelque fois trés varié. П en devient trompeur, ce qui n'est pas à négliger. 13. Les résultats de mes observations rappel- lent l’ancien theme de physiologie : Omne vivum ex ovo. Jamais je n’ai vu, dans le courant de mes observations soutenues de douze ans, l'origine soudaine d'un infusoire parfait, de gelatine ou de cellules de plantes; jai au contraire vu beaucoup de fois pondre ., des | oeufs et sortir, des plus grands, les jeunes, Soutenu par les expériences je crois que les ‘animaux ne se forment point par generation primitve , mais quils sortent d'oeufs. Mais 30 il n'est pas encore décidé, si ces ‘oeufs libres sont en partie le produit de généra- tion, ou s'ils ne sont pas en partie le produit $ E ^ E dune generation primitive. 14. Les mouvemens actifs et les contractions о de plussieurs plantes et de leurs parties, surtout des Algues, méme si l'on les voulait appeler mouvemens infusoriels ou animaux , ne peuvent pas exciter l'idée d’animal. Des organes nutritifs intérieurs et une. bouche distincte , capable à saisir méme la matiére compacte, distinguent des plantes , les anis maux en apparence les plus simples. Je n'ai jamais vus méme par des expériences réité- rées , que les graines mobiles des Algues aient pris la moindre nourriture compacte , de sorte que l'Algue prolifére se distingue de la Monade qui l'entoure, comme l'arbre de l'oiseau. | | 15. Je crois devoir enfin diriger l'attention a ce que l'expérience montre, que l'impénétra- bilité des créatures organiques est attribuée à lespace le plus petit, comme le ciel étoilé au plus grand, dont lés limites non naturelles sont définies par nos instrumens optiques. "PU o-—— —————-———"QP"Pe———— MA. — QM —— "som 31 Des hypothèses peuvent voüloir atteindre l'effet de la matére ‘primitive ,' l'expérience n'y parvient pas. La voie lactée de l'organi- sation la plus petite passe par les gerires Monas , Vibrio , Bacterium , Bodo. Les planches qui accompagnent ces mémoi- res pleins d'intéréts et riches , en obsérvations nouvelles, sont dessinées par l’auteur lui -méme avec la plus grande exactitude, en conservant la grandeur comparative , toujours exactement determinée par le micrométre de Dorromp. Une observation non moins intéressante , parcequ’elle paraissait réfuter ce qu'on avait adopté jusqu'au jourd’hui, concerne les petits animaux qu'on trouve dans les branchies des moules des étangs. Elle fut proférée à la réunion des Naturalistes et des Médecins à Hambourg par . Mr. le Conteiller d'État et Chevalier, Professeur de JacossoN, mais excitée et faite par Mr. le Professeur Влтнке. La question fut élevée , si ces animaux étaient de vrais jeunes de l'animal; ce que nous avons crn d'aprés nos observations; ou s'ils étaient des animaux parasites ‘qui s’y 32 trouvent? Ges messieurs penchent pour la der- niere opinion, et Mr. Jaconson en les montrant soit en figures , soit en nature sous un bon microscope , rendait trés. vraisemblable ; que tout ressemblans qu'ils paraissent à de jeunes moules, ils ne pouvaient être des jeunes, mais des animaux étrangers ou des parasites , parcequ' on observe en eux, dans. cet état, des parties dont on pourrait rendre compte, comme les petites pointes des coquilles de ces petits animaux. qui leur donnent la forme d'un coeur, mais surtout ces arcs libres , mobiles et dentés à la base de la charniére. J’avoue que le discours élégant de Mr. le Dr. Jacosson, notre membre très honoré, m'entrainait et me rendait douteux sur ce que je devais penser sur ces animaux singuliers. i Mais arrivé à Dresde je trouve Mr. Carus, Membre très distingué de notre Société et connu par beaucoup de travaux en histoire naturelle et en physiologie, occupé du méme sujet, Mr. Carus, conjointement avec Mr. le Dr. Tuıeman , le voyageur en Islande, et notre Membre, a poursuivi le développement de ces animaux depuis l'oeuf jusqu à l'état. parfait. : | 33 J'ai vu ses dessins et il ne me reste plus de doute, que ces animaux ne soient les jeunes moules des moules des élangs. Ces mes- sieurs, en publiant ce travail, vont acquérir un nouveau mérite pour les sciences naturelles. Je passe maintenant à lexamen des classes d'animaux et à ce que plusiurs ont fait pour augmenter nos connaissances. MAMMIFERE S. ' Les mammiféres ont été soumis à non nouvel examen par Mr. le Dr. Fıssuer à Stuttgard. Son ouvrage a paru tous titre : Synopsis Mammalium. Auctore Joanne Bap- tista Fischer. Stuttgardiae. 1829. 527 pag. 8. et Addenda pag. 530 — 752, avec la table de matière. Jbid. 1830. Cette compilation est faite avec plus de diligence; que de critique et de connaissances de cause. L'auteur adopte le systeme de Linné, avec cette seule difié- rence qu'il y ajoute les Chiroptéres de Cuvier, et qu'il restitue un ordre de Linn& les bestiae, que Linné avait supprimé lui- méme. Nous allons suivre l'auteur et faire nos remarques ou l'occasion se presentera. L'auteur n'a pas con- 5 | 34 nu la Zoognosia tabulis synopticis illustrata de Moscou qui a paru en trois volumes; moins encore les additions qui y ont été faites. Пу a cité plus de trois cent auteurs, sans y com- prendre les Addenda, parmi lesquels se trou- vent aussi les 'voyageurs qui ont augmenté la masse de nos connaissances zoologiques. Nous aurons soin d'indiquer les genres avec le nom- bre des espéces .décrites. Les additions sont surtout produites par louvrage de GRIFFITH , ( Animal Kingdom.) . Mammazra. L. Mastozoa Bramvnrr. I. Primates. 1. Homo. Les variétés de l'homme ont été puisées chez Bory de Sr. Vincent, qui cependant avoit tout un autre but dans l'exposition de ces va- riétés que la comparaison anatomique et phy- siologique. L'auteur adopte donc avec de Sr. Vincenr 1. И. japeticus avec 8 sousdivisions ; (caucasicus Втомемвасн avec des modifications.) 2. Neptunianus avec deux sousvariétés ; ( ma- layanus Bl.) 3. Scythicus. ( mongolicus Bl.) 2 sousvariétés, 4. americanus. Bl. Bory ve Sr. V. | ‘ i E 7 $5 avec 1 sousdivision ; 5. columbicus. 6. aethio- picus, avec 3 sousdivisions ; 7. Polynesius , ( australasicus Bory de Sr. Vincent. ) 2. Simia. Ce n'est ni le-genre de LiwsÉ, ni de qui que ce soit. (C'est une réunion de 52 espèces où Гоп trouve Sim. satyrus, sinica, Mormon et Pongo sur la méme ligne. ): 3. Cebus Erxl. Encore une résenion dispa- rate. L'auteur y comprend méme les Ateles de Gozrraov et les Mycetes d'IzzicEer, c'est à dire des animaux qui se distinguent par des caractéres extérieurs et intérieurs de tous le autres. Tolal: 48 espéces. 4. Jacchus, Gzorr. Hapale Inu. Ce genre étant adopté, il est impossible de se faire une idée de ce que l'auteur refuse ce droit à Mycetes et Ateles. 16 espéces. 9. Galago, Georrr. Ici aucune trace de la dif- férence des Lemuriens et des singes qui est cependant très tranchant, et nécessitée soit par l'anatomie , soit par les caractères extérieurs et le genre de vie de ces ani- maux. 3 espèces, 5 * 36 6. Tarsius Storr. 1 espéce. L'auteur considere à tort Zars. fuscomanus Fischer , comme une variété du Tarsier de Douserton ou le Spectrum de Gxorrroy et de Parras. Chirogaleus GxorrR. est un genre pris dans les papiers de Commerson. 7. Nycticebus. Gxorrr. également, mais l'au- teur le confond avec Stenops Inu. ou Loris de Grorrroy et y place 4 espéces. 8. Indri LacePEDE, 1 espèce. I. laniger est re- gardé comme douteux. 9. Lemur L. Prosimia Storr. Briss. 12 espéces. 10. an LAE Parr 1 esp. II. Cumorrzna., BLUMENS. 11. Риегориз. Briss. L'auteur y comprend: Macroglossus , Cinopterus de Fr. Cuvier et Pachysoma de Grorrroy. — 24 espèces; et 1 spec. add. in Addend. p. 661. 12. Cephalotes Georrr. Harpygia Iur. et Hypo- derma Gxorrn. == 2 espèces. 13. Molossus. Grorrr. Dysopes. lir. Nyctino- mus G. Chiromeles Horst. Dinops , Savi; Thyroptera , Spıx. == 22 espèces. 14. Stenoderma , Grorrr, == 1 espèce. ——— N EE ee ee ЧАЩЕ pP eS a A 37 15. Dysopes luu. == 1 esp. 16. Aello. Leacn. = 1 esp. 17. Celaeno , Leacn. = 1 esp. 18. Scotophilus. Lracn. == 1 esp. 19. Diclidurus. Pr. Maxim. == 1 esp. 20.. Myopteris ,. Georr&. — 1 esp. 21. Fespertilio. L. — y compris. Atalapha , Nycticejus et Hyperodon. de RarixEsQUE 5 et Barbastellus, Gray. == 150espèces et plusieurs autres de Rarinzsque que l’auteur n'a point recu comme espèces définitives. 22. Noctilio. L..p. 119. == 1 esp. | 23. Taphozous. Grorrr. p. 120. . Saccopteryx Гл. = 5 esp. 24. Nycteris, Gxorrr. р. 122. = 3 esp. et 2 in Addend. p. 662. E 25. Rhinopoma. Gxorrr. p. 128. — 2 esp. 26. Mormoops Leacu. p. 124. — 1 esp. 27. Monophyllus Leacn. p. 124. — 1 esp. 28.. Phyllostoma , Georrr. р. 125. et Vam- pyrus G. dıtibeus Leach. = 14 esp. 29. Madataeus , Leacn. р. 131. — 1 esp. 30. Glossophaga Georrr. Diphylla Зых. = 5 esp. 31. Megaderma. Geoffr. p. 133. — 3 esp. 38 31. Nyctophilus. Leach. == 1 зезр. | 32. Rhinolophus. Gxorrr. р. 135. " Noctilio A Конг. — 14 esp. GOT, VR 33. Desmodus. Pr. Maxi. Rhinolophus, ScuiNz,— 1. esp. | | | Ш. Ferar. L. Carnivora Cvv. Falculata et Pinnipedia lur. 34. Ursus. L. р. 141. y compris Melurus Мех. (Prochilus Iu. Chondrochynchus. G. ен. | Thalarctos Gray; Helarctos, Horsr.) — 16 espèces, parmi lesquelles trois fossiles. - 35. Procyon , Storr. p. 146. Lotor. Tizpz- MANN ; — 2 esp. 36. Nasua Srorr; p. 148. Coati LAckPÉDE. = 2 esp. - go 37. Cercoleptes , Int. . oda Lac. Potoa Cuv. Caudivolvulus , ОомЕви.. == 1 esp. 38. Meles , Briss. Taxus Cuv. р. 150. — 3 esp. ibs ea 39. Arctonyx, Fr. Cuvier et GEoFFR. p. 152. АИ esp. | Gymnura, Lesson. p. 152. == 1 esp. L'au- teur le croit parent du genre précédent. 40. Mydaus, Fr. Cuvier; Mephitis Desmarest; Gulo , Horsr. == 2 esp. 41. 42. 43. 44. 45. 46. 47. 48. 49. 90. 51. 39 Gulo, STORR. p. 154. Grisonia. GRAY. == 4 esp. Ailurus , Fr. Cuvier. p. 157. == 1 sp. Arctictis , Temminck р. 157. Ictides, Va- LENCIENNES, Paradoxurus, Fr. Cuvier. = 2 especes. Paradoxurus , Fr. Cuvier. p. 158 Prio- nodon, Honsr. — 3 esp. (leucopus Оспзу, У. Add. р. 358.) Mephitis, Cuv. р. 159. == ? 5 espéces. Mangusta. Ouwier, p. 162. Ichneumon Ром. Herpestes, Пл. == 9 espèces; et 2 in Addend. p. 662. | Crossarchus , Fr. Cuvier. р. 166. = {Oe | Ryzaena. Iruicer р. 166. Suricata Desm. — 1 esp. ue L. Genetta Cuv. p. 167. 10 esp. Canıs L. á 177. y compris, Otolicnus С. Fiscn, (Megalotis Inr. Fennecus, Dzsm.;) == 32 espèces, et 5 moins connues. Proteles , Isid. Georrr p. 192, nomen, barbarum. —.1 esp. 7 40 | 52. Hyaena, Briss. р. 195. = 4 espèces, parmi les quelles une fossile. 53. Felis L. p. 196. — 32 esp. 1 fossile et 10 moins connues. et 1. esp. in ddd. p. 372 et sqq. 54. Mustela L. p. .214. Martes et Putorius Cuv. — 91 espèces et quelquesunes moins connues. | 55. Lutra Ray Aonyx Lesson. p. 224,,== 11 esp. et quelquesunes douteuses. 56. Enydris ( Enhydra Furmmine.) p. 226. L'auteur devrait conserver ГВ en Enhydris. = ! 2 esp. | | | 97. Phoca. L. p. 229. — 29 espéces. et 10 - 11 douteuses J'avais divisé le genre Phoca en Pho- ca proprement dit et Otoés (Otaria Ревом). Ев. Cuvier en propose VII. 1. Calocephalus; 2. Stenorhynchus; 4. Stemmatopus; 5. Macrorhi- nus ; 6. Arctocephalus ; 7. Platyrhynchus. 58. Trichechus, L. p. 243. — 1 esp. | IV. BzsriAE. _ Carnivora insectivora et marsupialia. Cuv. Falculata subserranea , | Pollicata marsupialia et Seule In. Plantigfada , Metatarsibema- ta, et Plantigrada С. Fiscn. 41 59. Centetes Inu. Setifer Cuv. Tenrec , Lacrr. p. 244. — 3 esp. 60. Talpa Г. p. 245. = 1 esp. et 4 vari- étés. | | | 61. Condylura, Пл. p. 247. Astromycter , Harıan ; Talpasorex Scmmz. == 2 esp. 62. Chry sochloris , Cuv. p. 248. == 1 esp. ; et 1 in Addend, р. 665. | | 63. Scalops Cuy. Talpasorex Lesson; == 2 esp. 64. Myogalea , ( Mygale Quv. ) p. 250; Des- man Lac. Simotes , G. Fischer. == 2 esp. 65. Sorex, L. p. 251. — 20 espéces, quel- ques douteuses , et 3 in Addend. p. 669. 65. a. Macroscelis. Smita. Addend. р. 657. et 664, spec. 1. | 66. Tupaia, Rarru. p. 252. Cladobates Fr. Cuvier , Sorexglis Diano; Glisorex Dzsv. ; Hylogale , Temm. = 3 esp. ° 67. Erinaceus. L. p. 261. = 2 esp. 68. Didelphys. L. p. 263. y compris Sipalus С. Fisca.; Memina , Grorrr. — 19 espè- ces , et 2 fossiles ( Addend. p. 381). 69. Thylacinus, Tzww. р. 270. Dasyurus, G. -Peracyon, Gray; == 1 esp. 70. 71. 72 73. 74. 75. 76. 42 Dasyurus ‚ Gxorrr. p. 270. Phascogale. Теми. =. 7. espèces. M lis Perameles, Grorrn. p. 223. Thylacis Inn. о o esp. Phalangista, Cuv. p. 274. Sipalus, С. Fisch. Balantia, Inn. Сеопух, Tem. Petaurus, Fr. Cuv. Trichosurus , Lesson. — 8 espèces. Petaurus ; : Saaw. р. 277. == 6 espèces. Macropus , Saw. p. 280. Kangurus Lac. Halmaturus et Hypsiprymnus, ILz. Po- torous’ Desm. == 12 espèces. Phascolantos , Brawmvirze. p. 284. Koala Cuv. Lipurus, Morodactylus Gorpruss. == 2 esp. Phascolomys , Gzorrk, Amblotis Ш. p. и Aer | V. GLIRES. 77. Castor. L. — 3 esp. et une espèce fos- sle, Zrogontherium С. Fiscuer. A04 Lemnus Linck р. 289. Mynomes, Barın. Arvicola Lac. Brachyurus et Ellobius @. Fischer; Hypudaeus Inu. Sigmodon et Nec- 43 toma, Sav; Myodes Parr. Ondatra Lac; Simotes , С. Fiscu. = 30 espèces et quel- ques douteuses. Encore un genre de nou- veau embrouillé. 79. Spalax GüLDENST. p. 300 Aspalax Orivien; Talpoides. Lac. ( Georychus et Bathyergus Int. Orycteres Fr. Cuv. Ctenomys, BramvıL- LE.) — 7 espèces. On n’a quà jetter un coup d'oeil sur la synonymie de ce genre, pour voir que’ l'auteur ne l'a'pas reconnu. 80. Saccophorus „Кинь. p. 304. Pseudostoma Say ; Diplostoma et Geomys Rariw. $ Asco- mys LicHTENST. — 2 espèces; et une douteuse. e TIU 81. Loncheres, Глас. p. 306. Echimys, Gzorrn. m 'especks. 82. Муохиз. Soures. р. 308. == 7 espèces 83. Hydromys , Georrr. p. 311. — 2 esp. 84. Capromys , Desmar. p. 312. = 2 esp. 85. Mus ,"L. p. 315. = 44 espèces ; mais - _ l'auteur y a placé les Otomys de Fr. Cuvier, les Euryotis de Brants ; les Zypadaeus de LicHTENSTEIN. | V 85. 86. 87. 88. 89. 89. 90. 91. 91. 92. 93. 94 44 a. Dendromys Smiru. Addend. p. 658. et p. 665. spec. 1. Cricetus , Cuv. p. 328. hs Les- son, = 8 espéces et une douteuse. Saccomys. Fr. Cuv. p. 331. — 1 «esp. . Pedetes , Пл. p. 332. Helamys, Fr. Cuv. — 1 esp. | val. Dipus, Эснвев. p. 333. Jaculus Enmxr. ; Yerbua , Forst. Meriones Izz. Gerbillus , Desm. == 22 espèces ; et 4 douteuses. a. Lagostomus Brookes, Addend. p. 396. == spec, 1. Autacodus. Темм. р. 340. — 1 A Arctomys Scures. р. 340. == spec. 16. et quaedam non numeratae. a. „Jpludontia. Wucmanps. Anisonyx? Rarın. spec. 1. Sciurus L. p. 348. Tamias, Пл. Macroxus Frs Coy, == spec. 36. etspec. 1 in Addend. p. 400. Pteromys. Grorrr. Petauristus. G. Fisch. Sciuropterus , Fr. Cuv. spec. 7. Chiromys Cuv. Daubentonia. Grorrn. p. 365. spec. 1. 45 95. Aystrix. L. p. 366. Coendu Lac. Eueri- tus G. Fiscu. Acanthion, Ercthizon, Synoe- there et Sphiggurus, Fr. Cuv. spec. 8. 96. Lepus. L. p. 370. — spec. 16. 97. Lagomys. Grorrr. p. 377. Pica. Lac. Ogo- tona Link. spec. 3. | 98. Hydrochoerus. Briss. p. 378. spec. 1. 99. Dasyprocta Ил. p. 379. Chloromys. Fr. Cuv. Aguti Lac. Vicaccia Scuins. spec. 5. 100. Cavia L. Anoema Fr. Cvv. Cobaia G. Cuv. sp. 2. 101. d cdd Fr. Cuv. Gud Евхи. Paca. , Lac. sp. 2 VI. Brura. 102. Bradypus. L. p. 386. Tardigradus. Baıss. Choloepus, Iri. Acheus. Fr. Crvv.— spec. 3. 103. Megatherium. Cuv. p. 388. spec. 2. 104. Dasypus L. Armadillo. Briss.; Tatu Kıeın; Cataphractus > STORR; Tolypeutes , Пл.; Chlamyphorus , Harıan; Priodon et Tatusia, Fr. Cuvier. == spec. 9. 105. Orycteropus , Georrr. р. 395. Myrmeco- phaga, Parr. — spec. 1. 106. 107. 108. 109. "VIL. 110. 111. 113. 113. 114. 115. 116. 117. 118. 46 Myrmecophaga , L. p. 395. — spec. 4. Manis. L. Pholidotus , Briss. Pangolinus et Phataginus , Rarın. == spec. 3. Echidna, Cuv. p. 401. Echinopus. G. Fıscn. ; Tachyglossus , Inu. sp. 1. Ornithorhynchus, Buumens. p. 402. Platy- ; . pus, SHAw; TOR > WiIEDENM. spec. 1. et variet. Eris Elephas. L. p. 404. 'spec. 2. et 2 fos- siles. Mastodon. ds. p. 407. Mastotherium. С. Fischer. spec. 8. Tapirus Briss. p. 409. spec. 2. et 1 fossil. Palaeotherium. Cuv. p. 410. spec. 7. Lornionon. Cuv. р. 412. spec. 6. Rhinoceros, L. p. 413. spec. 4. et 4 fossiles. Elasmotherium Fıscn. p. 417. spec. 1. Hyrax. Hermann. p. 417 Lipura Пл. spec. 2. et 1 in Addend. p. 407. Dicotyles , Fr. Cuvier. р. 419. Noto- phorus. G. Fischer. spec. 2. -— —-—— u an ur Ze I TE Th eee 119. 120. 121. 122. 123. 124. 125. 126. 727; 128. 129. 130. 47 Sus, L. p. 420. spec. 3. et 1 fossile. Phascochoerus , Fr. Cuvier p. 423. Eu- reodon , G. Fischer. spec. 2. Hippopotamns. L. p. 424. spec. 1. et 4 fossiles. Anoplotherium. Cuv. p. 427. sp. 2. Xiphodon , Cuv. p. 427. spec. 1. Dichobune , Cuv. p. 428. spec. 3. Adapis Cuv. p. 428. sp. 1. Equus. L. p. 429. spec. 6. VIII. Pzcona. L. Bisulea. lur. Fiscu. Ruminantia, Cuv. Camelus. L. p. 434. spec. 2. Lama. Cuv. p. 436. Auchenia. Пл, spec. 3 et 1 dout. : Moschus L. р. 438. Tragulus Baıss. ; Tragus, Kıem; Memina, Gray. spec. 4. et 1 spec. dub. Addend. p. 412. Cervus L. p. 440. Cervulus Bzamv.; Muntiacus , Coassus, Capreolus , Dama, Achlis Gray; Mazama, Влым. spec. 29 una cum 3 fossil.; 9 spec. add. 4ddend. p. 413. 414. 416. 417. 418. 420. 422. et 1 ibid. p. 432. et 2. ibid. p. 434. 1. ib. 443. et 2 in sequent. 48 131. Camelopardalis, GMEL, $ P- 455. Giraf- fa. Briss, spec. 9. 132. Antilope. Paix. p. 457. Capra L. Anti- locapra Oro. ; Catoblepas Gray ; Tetracerus Lzacu. spec. 52. et 3 dub. add. 2 spec. in Addend. p. 436. et 4. p. 436. 1ibid. 440. 133. Capra. L. p. 482. Ovis L. Aries Briss. С. Fischer ; Musmon et Tragus, Scurank ; Aegaceros et Aegionomus, Parr. Mazama et Oreamnos, Rarm. spec. 9 et 2 dub. et 1 in Add. p. 450. | 134. Bos L. p. 493. Ovipos, Bıamv. spec. 10. et 1 in Add. p. 452. IX. Crrr. Г. Cetacea, Cuv. Natantia. Irr. 135. Manatus Ronper. p. 501. Trichechus. Г. Oxystomus G. Fiscu. spec. 2. et 2 dub. 136. Halicore, lir. p. 502. Dugong, Lac. Platystomus , G. Fischer. spec. 1. 137. Rytina. Пл. p. 503. Stellerus, Cvv. ; Hydrodamalis , Rerz. Manatus SrELL.; Tri- chechus GMEL. — spec. 1. 138. Delphinus. L. p. 504. Delphinapterus ; Hyperoodon et Anarnacus , Lac. ; Uranodon et Ancylodon, Пл. Epiodon et Oxypterus. "EEUU Ka 49 Rarin. 5. ten Cuv. Inr; spec. 29 et 9 non receptae; et 3 in Add. p. 455. 450. 139. Monodon, L. p. 516. HM PAR Baıss.; Diodon, Srorr ; Narrwhalus Lac. ; spec. 1. 140. Physeter, L. 517. Cetus Brıss.; Physalus et Catodon , Lac. ; spec. 5. 141. Balaena’, L. p. 520. et Balaenoptera , Lac. ; spec. 13. et 2 fossiles. | L'auteur a ajouté des tableaux sur la di- stribution géographique des mammiféres et des tables de matiére completes. En comparant l'état de nos connaissances de Mammifères avec celui: de LixxÉ,- nous trou- verons qu’elles sont augmentées- au triple. Mais quelques voyageurs n'ont pas encore fait connaitre leurs découvertes ; desorte que le nombre que jen donne ne sera qu'approxi- matif. LinnE, dans sa dernière édition du. syste- me de la nature (la douzième de 1766) а décrit 40 genres qui comprennent 216 es- pèces. GmeLin qui publia en 1789 la treizième édition en a ajouté plusieurs ,-desorte qu'on y 4 | 50 trouve 46 genres et 438 espèces, Mais Сми» uw, plütöt compilateur que zoologue, a souvent fait double et triple emploi d'une et de la méme espèce. Cuvier et GEOFFROY ont corrigé pla- sieurs de ces fautes. ^ L'édition de Burron par Sonnint contient beaucoup d’additions , mais nous n'en faisons pas mention parceque Desmaresr dans sa Mam- malogie, ow description des especes de Мат» mifères , Paris. 1822. 4., qui fait partie de l'Encyclopédie méthodique » ei que Yon peut se procurer à part, les a réunis. Cet auteur dicrit 849 espéces, dont 145 douteuses, et 79 fossiles. 181, appartiennent” à l'Amérique méridionale 54, 10, sont communes à l'Asie et l'Amérique, à l'Amér. septentrionale, 41 , sont propres au Nord de lAsie. © 88, vivent en Europe. 107 , en Afrique. 29, se trouvent à Madagascar et dans les \‹. iles voisines. 78, en Asie méridionale et à Ceylon. 51, vivent dans les iles. de l'Archipéle indien. 51 83:;-dans la Nouvelle-Nollande et van-Diemen. 30 ; Cétacés demeurant dans la mer du Nord; 14., dans celle du Sud; 28 у se rencontrent sous des latius moyen- “nes : | Des fossiles , au nombre de 79, se trou- | vent : 19, dans des couches calcareo-gypseuses ; 21 > dans les Flötz $ jamais dans une formati- om ancienne ; $ — TUE 39, “dana. le terrain d’alluvion. 5) »Geux qui se, trouvent le plus profonde- ment sont ordinairement tout à fait différens де. ceux. qui existent encore aujourd'hui, On en.a formé des genres particuliers. Voyez ma Bibliographie. des animaux fossiles. P. II. dans nos JVouveaux . Mem. de la Soc. mper. des Naturalistes de Moscou. Tome. II. p. 97 et suivantes, bes ; Mr... Jean Baphiste Fischer a inséré dans son ouvrage 144 genres, comprenant 1038 es- péces, 31 douteuses et 39 fossiles. Mais son travail: demande une nouvelle révision plus cri- a 52 Mr. Gray, attaché au British - Muséum et notre Membre trés distingué , a commenté un recueil d'espéces nouvelles, sous titre: Spi- cilegia zoologica , qui completeront: avec le tems les lacunes de toutes les classes .dani- maux, . à METATAXYMERE S. Monotrémes de Georrroy, | Des animaux qui Bartagent | organisation des mammiferes et des oiseaux | > ayant quatre pieds et des poils comme les prémiers et point de mammelles et une cloaque comme les oiseaux, doivent former une Classe particulières Elle comprend l'Ornithorhynque et lEchino- pode. Nous lavons indiqué telle dans notre Zoognosie et recu comme Classe dans notre Enchiridion generum de 1823. ‘Ces animaux pondant : des oeufs , dl nya plus de doute , que plusieurs auteurs ne manqueront: point de les adopter dans une. Classe particuliere.. Une autorité trés marquante se trouve déjà en La- TREILLE qui, dans ses Familles naturelles du règne animal , ( Paris 1825. 8..) les а placé également dans une Classe particuliére , en lui 93 conservant le nom de Monotremes de Geror- FROY. | Мг. Waczer, dans son systeme naturel des Reptiles, sur lequel nous reviendrons plus tard , tache de rendre, probable par des ob- servations anatomiques , une réunion d'animanx qui me paraît moins vraie qu'ingénieuse. Il adopte cette Classe, sous Je non de Gryphes. Sa méthode, deviendra claire par l'exposition suivante : | Classis II. Gryrur. Greife. Ordo. 1. Ornithorhynchi. Schnabelgreife. Fam. I. Glossolepti. Greifzüngler. | Gen. I. Tachyglossus. Inu. Stachelgreif. Myrmecophaga aculeata Suaw Misc. 1. (Scmmz Abbild. +. 85.) Fam. Il. Autarchoglossi. Freizüngler. Gen. 2. Ornithorhynchus. BLumens. Schnabelthier. Ornithorh. para- doxus. Br. Naturh. Abbild. t. 41. Scuiwz. t. 85. Fam. Ш. Hedraeoglossi ? Haftzüngler? Gen. 3. Gryphus. Greif. Ichtyosaurus communis Cony- | 54 | . BEARE ; — platyodon, — tenuiros stris; — intermedius. — Gen. 4. Malidracon, Seedrache. Plesiosaurus delichodeirus. Co- NYB, —— recentior. Gen. 5. Ornithocephalus. SömmERrRING. Armgreif. Pterodactylus lon- girostris Cuv. —. brevirostris. Bibliographie concernant ces animaux. Biumensacn, Vergleichende Anatomie. 1805. t. 1. WIEDEMANN, Archiv für Zool. и. Zoot. Vol. 1.1.3. Meckez , Osteologie der Echidna Hystrix und des Ornicthorhynchus paradoxus, in den Beyträgen fur vergl. Anat. Bd. 1. HX, LE 5-54, 1. 0. Ad calcem Diss. Campn de hydroce- phalo acuto. 1823. Ad calcem Diss. Vorcreun de causis mechanicis etc. 1823. Ad calcem Diss. Lonmeierı de nimia funiculi umbilicalis brevitate. 1823. Cf. Frorıep’s Notizen. 1824. р. 106.144. Uiber die Luftwege des Schnabelthiers. S. d. Arch. f. d. Physiol. VIII. 3. n. XXIII. p. 596. 55- _ Ornithorhynchi о paradoxi — descriptio anatomica. Lipsiae. 1826. fol. c. _ tabb, aeneis VIII. Howr , Some observations on the structure of the head of Ornithorhynchus parado- xus. — Phil. Trans. 1800. p. 432. t 18. | Description of the anatomy of the Ornithorhynchus paradoxus ; — lc. 1802. p. 67. Description of the Ornithorhynchus Hystrix. ibidem. Cuvier , George, Lecons d'anatomie comparée. Tome, 3. 4. 5. ‘Duarte, Dissertation sur la place que la fa- mille des Ornithorhynques et des Echid- nés doit occuper dans les séries nas turelles. Paris. 1812. 4. Ueber das Giftorgan des Ornithorhyn- chus; — in Mecxer’s Archiv für die Physiologie. B. III. p. 630. | Grorrroy , Philosoph. anatom, Tom. I. Paris. 1818. 8. t. 2. f. 19. Annales des sciences nat. 1826. p. 458. Sur les appareils sexuels et urinaires de 56 lOrnithorhynque. — Mém. da Muséum d'Hist. nat, 1827. p. 1. t. 1. 2. RuporPmi, Uiber den sagenannten Giftsporn des männlichen Schnabelthiers; — Ab- handl. der Berlin Academie der Wissen- schaften (1820. p. 231. . Knox, in Frorıer’s Notizen. 1823. Horven, Mém. sur le gense Ornithorhynque. — Nova Arta physico-medica. 1823 p. 353. Jarre, Lud. Marc. De ornithorhyncho paradoxo. Berol. 1823. 4..c. 2. tab. aen. Home, Zverard , Ichthyosaurus. — Phil. Trans. 1814. 1816. 1818. Cuvier , G. Recherches sur les ossemens fos- _ siles. Tom. 5. P. 2. t. 28. 29. 30. ett. 32, f. Lo | | CoNYBEARE , Plesiosaurus . Trans. of. the geol. Societ. 1921.71: 1. 18247T;" V. Cuvier, С. Recherches. T. 5. P. 2. t. 31. t, 32. f. 1 — 5. SÖMMERRING , Bruchstücke eines Ornithocepha- lus. Denkschriften der Münchner Akad. der Wiss. 1817. p. 105. mil 1 Taf. 57 Srix , Uiber ein neues , vermuthlich dem Pte- ropus Vampirus zugehörigen Petrificat. + Denkschr. der Münchn. Ak. 1816. n. 59. Cuvier, G. Rech. T. 5, P. 2. p. 359. t. 23. EY | BuckLAnD , Pierodactylus macronyX. — Trang. of the geol. Societ. 1828. OISEAUX. La Classe d’oiseaux a recu une étendue quil nous sera difficile de developper. Le nouveau recueil de planches coloriés d'oiseaux de Теммлуск et de Meiffren Laucıer, (in 4, 80, Livraisons) doit servir de suite et de complément aux Planches enluminées de Bur- ron, (de 1770.) Ce recueil seul contient un grand nombre de genres et d'espéces nous | veaux bien définis et représentés avec le plus grand soin. Les travaux de Упеплот , Vicons, Swainson, Honsriezp , STEPHENS, SHAW, Lxacu, Spix, Prince MaxımıLıen - Neuwıen et beaucoup d'autres en ont augmenté le nombre d'une maniére prodigieuse. - Linné (éd. XII. 1760) Ft la descri- ption de 77 genres et de 923 espéces. 58 GMELIN , son éditeur en 1789 présente 87 genres, et 2,568 езрёсез. STEPHENS , dans son édition de la general Zoology de Suaw donne 493 genres et 2493 espèces. Il est peut - être intéressant à quelquesuns de nos membres de connaître le systéme ac- tuel enrichi de beaucoup de genres nouveaux, quoique plusieurs se trouveront peut - être ef- facés par des observations réitérées. - | Systema Avium -observatis hodiernis 'ad« commodatum. | Aves. I. Prirocnemar. Ordo I. Scawsonzs. Grimpeurs. * Rostro adunce Fam. 1., Psirracipar. Stirps 4. Psittacini. | 1. Psittacus E. 2. Androglossa. Vieors, 9, Pyctolophini. 3. Pyctolophus. Vier. 4. Calyptorhynchus. Vic. 5. Microglossum, Grorra. 3. Macrocercini. 59 6) Macrocercus. Vien, © 7. Anodorhynchus.. i 4. Palaéorhini: 8. Psittacara. Vic. . 9. Nanodes.. Vic. 10. Platycerus. — 11. Pezoporus. lr. _ 12, Palacomis. Vic. 13. Trichoglossus. Vic, 14. Lorius. — | 15. Brotogeris — 16. Aratinga. Spix. | 5. Psittaculini. 27 17. Psittacula Vixmx. .** Rostro dentato. Fam, II, RnawmpnasTIDAE. 18. Scythrops. Latnam. ‚- 19. Rhamphastos L. Toucan. 20. Pteroglossus. Нл. Aracari. Less. 21. Trogon L. Couroucou. 99. Corythaix. Irt. Touraco. 23. Musophaga. Iserr. 24.'Saurothera. Vie. Тассо. *** Rostro emarginato. Fam. III. Bucconipar. - 60 25. Pogonias. Пл. Barbican. 26. Виссо. L. Barbu. 27. Мопаза. УтЕпл, Barbacou. 28. Capito Vie. ‘о 29. Loptosomus. Viri. Courol. #### Rostro compresso - Fam. IV. Picmar. = EU. 30. Galbula. Brıss. Jäcamar. 31. Jacomerops. Var. | 32. Picus L. Pic. — 33. Colaptes. Swainson. 34: Picumnus. Temm. Picumne. * ) 35. Tridactylia. Srepuens. | 36. Jynx. Yunx L. Torcol. **** Rostro arcuato. Fam. V. CucuLipar. "eut 37. Coccyzus. Virnr. Coua. . 38. Cuculus. L. Coucou. 39. Indicator. VIEIL. © | 40. Centropus. Inn. Coucal. 41. Phoenicophaus. "Vigrr. Malcoha. | 42. Crotophaga. L. Ani. _ *) Lesson ajoute un genre Cucupicus p. 116. 61 Onpo. II. Acciprrats T. se "i Fam. I. GvxrocERANIDAE. ^ À 1. Serpentarius. Lac. 4 0 em Int. Fam, IL. Vourrunwar., ©. . 9. Vultur. L; ‚Vautour. 118: Sarcorhamphus. Dus. - 4. Percnopterus. ^ Antiqu. Cathartes, Itt. Tem. Neophon. Sav. Less. 5. Gypaëtos Srorr,, Fam. III.. Farconwax. Stirps. 1. Aquilinae., 6. Ibycter. VIEILL. Funes Cuv.. 7. Daptrius. dirige | daté .8. Polyborus. = — ——— — Iribin: 9. Pandion. Sav. Lass, Osprey. Bal- "^ Vbuzand. ^" 10. Heliaétus. Sav. ‘Luss. "rid Aigle - pächeter, ys | 11. Circaötus. Vien. ; 12. Aquila. Eagle. Aigle. 13. Harpyia. Cuv. ‘Harpy. Harpie. | 14. Morphnus. Cuv. Spizaëtus Viet. Aigle - Autour. : 45. Physeta. Vier. 62 16; Cymindis, ei Ebtur55A ПТ, зонд 17. Asturina, Vari, осо Surps, 2, Accipitrinae. Hawks. . 18- Daedalion: Vicoss, ''' 19. Astur. Becusr.: Goshawk. Autour, 20. Nisus. Cuv.; Accipiter. Ar. Spare dou > АЕ ee À 21. Harpagus. RE 22. Gampsonyx. Via: € Sürps. 3. Falconinae. Falcons. Faucon. | 23, Jerax. Vicors. | | Stirps. 4, Buteoninae. Buzzards. Busards. 25- Ictinia, Vien. ^ _ 96, Circus. Becusr. Harrier, Busard. 927. Pernis, Cuv... Honey = > Buzzard. | . Bondrée. ae "ian 98 Buteo, Вксизт. Buse. Sins. 5. Milvinaé. — "i 29. Elanus, Sav. Cohel. 30, Milvus. Brcusr. Kite. Milan. Fam. Iv. Srricıwan. : | 31. Scops. Sav. 5d *) Cymindis Глтвепля , ad insecta pertihet, 32. 33. 34. 35. 36. 37. 38. 39, 63 Bubo. Cuv. Ноги - Owl. Duc. Otus. Cuv. Asio Briss, Ear -Owl, Hibou. . AM | Ulula. Gvv. Chouette. Strix. Sav. Own. Effraye. Syrnium, Sav. Howlet. Chat « huant, | | es ^ ! y | Surnia, Dux. Hawk-Owl. Surnie. Nyctea, STEPHENS. Noctua, Say. Night-Ows. Chevèche, Onpo. I. PASSERES т, Insessores. Vicons. Tribus. 1. Dentirostres, Fam. I. Zaniüdae | .. . 1. 2 3. - Фон? Tyrannus, Bniss, — Gubernetes. SucH. Psaris Cuv. ТЕмм. Tuer ViEILL, Bécarde; : Ocyptérus. ^ Cuv. ^ Lepyopteryx Honsr, Artamus. VikiLL. Edolius. : Ctv. ' Temm, Dicrurus, ViEILL. Drongo. ^ Irena. Horsrievp. | Tricophorus. Теми. Crinon. Sparactes. I. Lanius. L. Strike. Pie - griéche. Fam. II. 64 10. Falcunculus. " Vixinr. 11. Cyclarhis. Swaixs. Этьен. Tham- nophilus. Temm. 12. Lanio. Vier. 13. Vanga. Burr. 14. Prionops. Vier. - 15. Laniarius. Vier. | 16 Thamnophilus. Temm, Batara. Less. . Bush - Shrike. 17. Malaconotus. Swainson. 18. Graucalus. ‘Cur. Ceblepyris. Tem. Coracina VIEILL. 19. Ceblepyris. Cuv. Campephaga. Vr. Echenilleur. Meruli dae. 20. Formicivora. line, Ánt- wren. 21. Drymophila. Swains. Ant- thrush. 22. Myiothera. Int. Myrmothera Vr. .. Fourmillier. 23. Grallaria. Vir. Myinihera Cuv. 24. Conophaga. Vr. ———— Temm. 25. Pitta. Ушкилот. Brève. 26. Myophonus. Temm. 27. Grallina. VIEILL. 65 ..98. Brachypus. Swams. Turdoides, Temm. - 29. Cinclus. Becusr. Hydrobata. Vr. Water - Ouzel, Cincle. 30. Dulus. Ve. Esclave. 31. Specotheres. Vien. 32. Oriolus. L. Oriole. Loriot. 33. Pyrrhocorax. Cuv. 34. Turdus. L. Thrush. Merle. 35. Timalia. Новзртето. Fam. III. Sylviidae. 36. Accentor. Briss. 37. Prunella. Vier. | 38. Curuca. Brcnsr. White - shroat. 39. Hylophilus. Temm. 40. Jora. Новзг. . | 41. Brachypteryx. Honsr. Brachyptere, 42. Sylvia. Worr. Ficedula, Becasr. — Warbler. Sylvie. sS 43. Melizophilus. Lracn. Song = bird. 44. Malurus. Vs. Soft-tail. Mérion. Less = | | 45. Synallaxis. Vier. 46. Troglodytes. Cuv. Warn. 47. Regulus. Cuv. Gold - crest. 10 EN 66 48. Aegithnia. Vim. 49. Budytes. Cuv. Bergeronette. 50. Motacilla. L. Wag - tail. Hoche - queue. 51. Enicurus. Temm. 52. Megalurus. HonsriELD. 53. Anthus. Becust. Pipit. Pipi. 54. Saxicola. Bzcusr. Wheat - ear. Traquet. Fam. IV. Pipridae. 55. Aegithalus. Vicors. 56. Parus. L. Titmouse. Mesange. 57. Calamophilus. Leacn. Reed-bird. 58. Megistina. VIEILL. 59. Tyrannulus. — Tyranneau. 60. Pardalotus, — 61. Pipra. L. Manakin. 62. Rupicola. Briss. 63. Calyptomena. Rarrrrs. 64. Phibalura. Vier. 65. Bombicilla. Briss. Waxwing. Ja- seur. 66. Тегза. Viri, 67. Ampelis. L. Chatterer. Cotinga. 68. 69. 70. 71. 72. 73. | Fam. IV. Muscicapidae. 74. 75. 76. 77. 78. 79. 67 Casmarhynchus. Temm. Arapunga. WiEDEM. | Procnias. HorrwAwskEecG, Berry = eater. Cephalopterus. Grorrr. Gymnoderes. GEOFFR. Querula. Упшил, Cotinga. Tauns. Cvv. Pachycephalus. Swans. Onychorhynchus. Fiscn. Todus Cuv. Muscipeta 'ТЕмм. Muscipeta. Cuv. Platyrhynchus. Desm. Muscicapa. L. Flycatcher, Gobe- mouche. Alecturus. Viritt. Gallite Less, Vireo. Virgi, Tangara - Loriot. Cuv. . Trisus II. Fisstrostres. Fam. I. Todidae, 80. Eurylaimus. Honsr. 81. Eurystomus. Viri. Colaris. Cuv. Temm. Coracias. Snaw. 5 * 68 | 82. Todus. L. Tody. Todier. Fam. Il. Halcyonidae. 83. Halcyon. Swains. Crab - eater. 84. Dacelo. Lracn. | 85. Alcedo. L. King - Fisher. Mar- tin-pécheur. 86. Tanysyptera. sors. 87. Ceyx. Lac. Fam, Ш. Ayrundinidae. 88. Chaetura.. SrepHEns. 89. Hirundo. L. 90. Cypselus. Гл. Араб. Cüv. — | Swift. Martinet. Fam. IV. Caprimulgidae. 91. Caprimulgus. L. Goat-sucker. En- A goulevent. 92. Nyctibius. Vem. 93, Podargus. Пль Fam У. Meropidae. E 94. Merops. L. Bee-eater, Güépier, Trisus. Ш. CONIROSTRES. Fam. I. FRINGILLIDAE. Stirps. 1. Tanagrinae. 95. Euphonia. Dress. 96. 97. 98. 99. 100. 101. 102. 103. 69 Nemosia. VixiLL. Tachyphonus. Vieırı. Saltator. — Tanagra. L. Tanager. Tangara. Pyranga. VIEILL. bine di Bais d nals. Cuv. Rhamphocelus. Desm. Rhamphopis. VIEILL. Arremon VIEILL. Pipilo. — Stirps. 2. Alaudinae. 104. Emberizoides. Temm. 105. 106. 107. 108. 109. 110. Vidua. Cvv. | Emberiza. Г. Bunting. Bruant. Plectrophanes. Mexen, Passerina. VıEıLL. i Alauda. L Mirafra. Honsr. Stirps. 3. Car ‘duelinae. 111. Linaria. Bzcusr. m STEPH. 112. 113. Linnet. Carduelis. Briss. Thistle - finch. Ploceus. Cuv. Weaver-bird. Tis- "serin. Agelacus. Vr. ) 114. 70 Sycobius. Vier. Stirps. 4. Fringillinae. 115. 116. Fringilla. L. Pyrgita Cuv. Temm. Passer. Baıss. Stirps. 5. Pyrrhulinae. 117. Pyrrhula. Briss. Bulfinch. Bou- vreuil. Fam. II. Srurnipae. S tirps Y. Icterinae. 118. 119. 120. 121. 122, 123. Xanthornus. Lac. Yphantes Vı- "EILL, Icterus. Lac. Pendulinus. VıeıLL.. Icteria. Vint. Quiscalus. — Cassicus. Lac. Leistes. Vicons. Stirps 2. Sturninae. 124. Sturnella. Утеил,. Stourne. 125. Sturnus. L. Starling. Etourneau. 126. Amblyrhamphus. Lzacn. 127. Dilophus. Vixirr. Slirps. 3 Lamprotorninae. 128. 129. Lamprotornis. ТЕмм. Acridotheres. Улепл,. Martin. Gracula. Cuv. Pastor. ТЕмм. 71 Stirps. 3. Pastorninae. ; 130. Pastor. Temm. Psaroides. Улепл, | Stirps. 4. Buphaginae. 131. Buphaga. Briss. Beef-eater. Pi- que-boeuf. Fam. Ш. Convipar. Stirps. 1. Baritinae. 132. Cracticus, Vieill Barita. Cuv. Temm. | 133. Nucifraga. Stirps. 2. Corvinae.. 134. Pica. Briss. Magpie. Pie. 135. Graculus. Briss. Jay. Geai. 136. Podoces. FiscuER. Coureur. 137. Corvus. x. Crow. Corbeau. Stirps. 9. Coracinae. 138. Coracias. т. Roller. Rollier. Gal- galus. Br. 139. Gracula. L. 140. Ptilonorhynchus. Конг. 141. _ Glaucopis. Forsr. “Wattle - bird. Callaeus. VıEıLL. > 142. Crysirina. Vien. 72 Strips, 4 Paradisinae. 143. Astrapia. Vienn 144. Рагойа. —— 145. Paradisea. L. 146. Lophorina. Vixir. 147. Cicinnurus. —— 148. Epimachus. Cuv. Stirps. 5. Fregilinae. 149. Fregilus. Cuv. Chough. Cora- cias, Briss. Fam. IV. Bucenwae. Fam. V. 150. Calao, Temm. Buceros. Horn-bill. Hydrocorax Briss. 151. Momotus. Briss. Prionites. Inu. Baryphonus. Ут. Lox1par. 152. Phytotoma. Moria; Gmer. Plan- tain - cutter. | 153. Hyreus. STEPHENS. | 154. Coccothraustes. Briss. Grosbeak. Grosbec. | | 155. Pitylus. Cuv. Pyrrhula. Temm. 156. Loxia. Rav. Cross = bill. 157. Psittirostra. Temm. re Te соб . 73 158. Colius. Briss. Coly. Coliou. / 159. Cissopis. Viemu.-Bethylus. Cuv., 160. - Согу из. Cuy. Strobilophaga. Уткил, Durbec. | Fam. 6. СевтирдЕ. 161. Dendrocolaptes. Невам. Den- 162. 163. 164. 165. 166. 167. 168. 169. 170. 171. 172. 173. 174. 175. 176. drocopus. Vier. Certhia. L. Creeper. Grimpereau. Climacteris..Tremm. à Orthonyx. ТЕмм. Tichodroma. Пл. Wall-Creeper. Upupa. L. Hoopoe. Huppe. Sitta. L. Nuthatch, Xenops. Пл. Sittine. Temm. _Меорз. Vr. Orthotomus, Honsr. Mniotilta. VigiLr. Thriothurus. Уших. Anabates. Temm. Pyrrhota. Vixirr. Opetiorhynchus. ТЕмм. Oxyrhynchus. *) Temm. Sharp = bill. *) Genus jam inter Enthelmintha adhibitum, 74 177. Philidor. Srix. 178. Figulus. Spıx. 179. Campylorhynchus. ых. 180. Sphenura. Spix. Trisus IV. TeNumosraEs. Fam. 1. Nectarinidae. 181. Nectarinia. Irr. 182. Dacnis. * ) Cuv. 183. Furnarius. Viri. Fam. 2. Cinnyridae. 184. Cinnyris. Cuv. Mellisuga Vier. | Certhia. Snaw. 185. Dicaeum. Cuv. Certhia Suaw. Fam. 3. Trochilidae. 186. Trochilus. Г. Humming-bird. 187. Mellisuga. Briss. Orthorhynchus. Lac. Honey - bird. 188. Grypus. Sprx. Fam, 4. Promeropsidae. 189. Promerops. Briss. Fam. 5. Meliphagidae. 190. Meliphaga. Lewin. Honey - su- cker. Pliledon. V. Philemon. Cvv. Merops. SHAW. *) Dacnis nomen, jam insecto tributum, m e rei EEE Lato c tni o n. dor Rm aU P OT T nen edo mp ax ee * ] 191. 192. 193. 194. 195. 196. 197. 79 Melithreptus. Vrxizr. Creadion. Улкпл, Philedon. Cvv. Mimetes, Kınc. Sericulus. Swains. Ptiloris. Swatvs. Pomatorhinus. Honsr. Prinia. Honsr. Овро. IV. Rasores. Пласев. Fam. 1. Columbidae. 1. 2. 3. 4. 5. Treron. Vieux. Vinago Cuv. STEPH. | Ptilinopus. Swains. Columba. L. Lophyrus. *) Vint. Goura, Txwx. Fam, 2. Phasianidae. 6. 7; 8. 9. 10. Meleagris. L. Turkey. Dindon. Gallopavo. Br. Pavo. L. Polyplectron. Temm. Gallus, Baıss. Lophophyrus. Temm. Monaulus. VIEILL. *) Lophyrus Larr. inter Tenthredines, 11. 12. 13. 76 Phasianus. L. Argus. Temm. Numida. L. Fam. 3. Tetraonidae. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26, Cryptonyx. Темм. Liponyx. Tetrao. Columb. Gmeu. Odontophorus. Vier, Goturnix. Cuv. Ortyx *) STEPHENS. Perdix. Briss. Partridge. drix. Francolinus. STEPHENS. Pterocles, Temm. Ganga. Bonasa. Briss. Tetrao. L. Grous. Lagopus. Ray. Ptarmigan. Syrrhaptes. Inn. Nematura . Heteroclitus. V. Ortygis *) Inu, Turnix. Tinamus. Lata. Crypturus Orvo V. Cursores.. Fam. 1. Struthionidae. VIEIL. Pers _*) Ortyx Steph. et Ortygis luy, idem per idem. 4 Fam. 2, 77 : 1. . Rhea. Briss. Struthio. L. 2. Struthio. L. Ostrich. Autruche. 3. Casuarius. Briss. Struthio. L. Cas- sowary. 4. Dromiceius. Vier. Casuarius. Lara. — Emu. 5. Didus. L. Dodo, Raphus. Briss. 6. Otis. Г. Bustard. Outarde. 7. Tetrax. Lzacn. Bastarnelle. Otis. L. Cracidae. | 8. Ourax. Cuv. Pauxi. Crax. L. D.- Crax. L. Gurassow. - 10. Penelope. Merrem. Guan. Me- leagris. L. 11. Ortalida. Merr. Phasianus. L, Pe- nelope. Temm. 12. Opisthocomus. Horrmansees. Or thocorys. Улепл. Phasianus. Lara. Crax Briss. — Serpent - eater. 13. Maenura. Larnaw. 14. Megapodius. Temm. II. Овро. I. GRALLATORES. Fam, I. Gruidae. Fam, 1. 78 GYMNOCNEMIAE. 1. Psophia. L. Trumpeter. 2. Anthropoides. Vigiz. Ardea. L. Grus. Bnuiss. 3. Balearica. Briss. 4. Grus. Pattas. 9. Cariama, Briss. Dicholophus. Itt. Microdactylus , Grorrr. Lopho- ‚rhynchus , VIEILL. ZA rdeidae. 6. Aramus. Vier. Grus. Cuv. Cour- lan. 7. Eurypyga. Пл. Helias. Vier. 8. Ardea. L. ! 9. Botaurus. Briss. Bittern. Ardea. L. 10. Nycticorax. Stern. Night - heron. Botaurus et Cancrophagus. Briss. 41. Cancroma. L. Boatbill. Cochle- arıus. Br. 12. Phoenicopterus, L. Flamingo, Flam- mant. : 13. Platalea. L. Spoonbill. Spatule. Platea , Briss. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 79 Ciconia. Ray. Mycteria. L. Jabiru. Scopus. Briss. Umbre. Ombrette, Anastomus, Пл, Hians Lac. Ardea. LATH. Tantaldés L. Ibis. Ibis Lac. Tantal. L. Numenius. Lars. Fam. Ul. Scolopacidae. 20. 21. 22. e d 24. 25 26. E. 28. Numenius. Ray. Curlew. Courli, Scolopax L. Limicula. Гелсн. Green-shanks. Totanus. Весизт. Sandpiper. Trin- ga L. Limosa. Baıss. Recurvirostra. L. Avocette. Limosa. Briss. Fedoa Ray — Scolop. L. Ereunetes. Iır. Macrorhamphus. Lracn. Scolopax Lara. Longbeak. Gallinago. Ray, Briss. Scolopax. L. Cuv. Viri. Scolopax. Rav. Woodcock. Ru- sticola V. 29. 30. 31. 32. 33. 34. 80 Rhynchaea. Cuv. Scol. L. Rostra- tula. V. | | Machetes. Cuv. Tringa L. Pavon- cella LxAcm. | Pelidna. Cuv. Tringa. Г. Dunlin, Numenius. Lar. Phalaropus. Briss, Lobipes. Cuv. Lobefoot. Tringa L. Phalarop. Briss. Tringa. L, Calidris. Briss, Cuv. — . Knot. 39. Phaeopns. Cuv. Wimbret. Scol. L. Numenius Brıss. Arquata. Ray. Fam. IV. Rallidae. 36. oT. 38. 39. 40. 41. 42. 43. Patra, 1. Jacana, Palamedea. L. Kamichi. Screamer. Chauna. Пл. Parra. L. Opistolo- phus. Viri. Glareola. Briss. Platincol. Rallus. L. | | Chionis. Forr. Sheatbill. Vagina- lis. Lara. Crex. Bzcusr. Crake. Zapornia. Leacu. Craker. Gallinu- la. Temm. Fam. V. 44. 45. 81 Gallinula. Ray. Porphyrio. Ray. Bnmiss. 46. Podoa, Пл. Plotus GMEL. Helicor« nis Virgin, Finfoot. Charadridae. 47. Haematopus. Г. Ostralega. Briss. 48. 49. 50. 51. Oyster-catcher. Huitrier. Calidris. Int. Sanderling. Are- naria. Темм. Charadrius L. Falcinellus. Cuv. Numenius. Larn. Tringa. Tru. Cursorius. Larham. Tachydromus, Iri. Charadrius. Gwrr. Strepsilas. Ил. Tringa. L. Arena- ria. Briss, Turnstone. Tourne- pierre. . Squaratola. Cuv. Vanellus. Temm. Charädrius. Parr. 53. Vanellus. Briss. Tringa Г. Squa- 54. | 59. 56. 97. tarola. Cuv. Lapwing. Vanneau. Pluvianus, Vire. Charadrius. Latn. Charadrius. L. Plover. Pluvier. Burhinus. Inr. Himantopus Ray. Macrotarsus. Lac. 6 Овро. II. Fam. I. Fam. 1. 85 58. Oedicnemus. Темм. Thick = knee. Charadrius L. NATATORES. Colymbidae. 59. Podiceps. Rav. Colymbus. L, Grebe. Podoa. Inu. Vid. n. 46, Alcidae. | 60. Utamania. Ray, Leacn. Alca L, Razor -bill. 61. Ома. Briss. Sea- dove. Alca L. Mergulus. Ray. 62. Fratercula. Briss. Mormon Itt. Ales i, Larva VIEILL. 63. Phaleris. Temm. Alca Larn. 64. Alca. L. 65. Aptenodytes. Forster. 66. Chrysocoma. Cuv. Cataractes. Briss. Eudytes Viet. Im Spheniscus. Briss. Diomedea L. Fam. 3. 68. Apteryx. Trww. Pelecanidae. 69. Phalacocorax. Briss. Pelecanus. . №. Halieus, Int. Hydrocorax Vir- iLL. Garbo. Temm. Fam. 4. 70. 71. 924. 73. 83 | Sula. Brıss. Pelecanus L. Morus Vie. Dysporus. Iu. Pelecanus. L. Fregatta. Briss. Pelec. L. Trachyp- tetis. Упал... Phaéton. L. Lepturus Briss. Tro- picophilus. Lzacu. Tropic - bird. 74. Plotus. L. Daster. Laridae. 75. Rhynchops. L. Rhygchopsalia. Dnus. Skimmer. 76. Anous, Lzacnr. Sterna. L. i ag À 77. Sterna. L. Tern. 78. Viralva. Leacn. Sterna. L. 79. Xema. Leacu. Larus. Temm. 80. Rissa. Leacu. Larus. Г, Kittiwake. 81. Larus. L. 82. Stercorarius. Briss. Larus, L. Les- - tris Пл. Praedatrix. Vigmi. — Jager. ! 83. Catharactes. Ray; Larus, L. Les- | tris Inu. 84. Procellaria, L. Petrel. 6 * 85. 86. Руб 88. 89. 90. 84 Puffinus. Ray. Procellaria. L. Laru. Темм. Shearwater. Fulmarius. Leacn. | Daption. Steru. ? Procellaria L. Pachyptila. Inu. Procellaria. Гатн. Halodroma. lii. — — Diomedea. L. Albatross. Fam. 5. Anatidae. Stirps 1. Cygninae. 91. 92. 93. 94. . 95. Plectropterus. Leacn, Anas. L, Cygnus Cuv. Cygnus. Ray. Anas. L. Anser Briss. Cuv. Anas L. Chenalopex Stern. Anas. L. Bernicla. Briss. Anas. L. Stirps 2. Cereopsinae. 96. Cereopsis. Laru. Stirps. 3. Anatinae. - Ча. 98. 99. Tadorna, Lracu. Anas. L. Shiel- drake. Cairina, Fremming. Moscha БеАсн; Anas L. Musk - Duk. i Anas. L. Duk. 100. Rhynchaspis, LrAcn. Anas GmEL. Chovler. 101. > 102. 85 Dafila , Lracn. Pintail. Mareca , Ray; Wigeon. 103. Querquedula , Rav. Teal. Stirps 4. Merginae. 104. Mergus. L. Sorew. Harle. 105. etu Merganser. Briss. Stirps 5. Clangulinae. 106. 107. 108. 109. 110. 111. Harelda, Ray, Leica. Querque- dula , Briss. Clangula , Fzemminc. Garrot. Fuligula , Rav. Pochard. Oidemia, Fremming,. Ania, Leacn. Scoter. Biziura. Leacu. Lobeduck. Somatheria, Гедсн. Anser Bniss. Eider. REPTILES. Depuis l'apparition de l'ouvrage de Lace- PEDE sur les Reptiles (en 1788) , Scuneiner , son éditeur allemand, y a porté beaucoup — d’additions. Al. BRONGNIART a ensuite mis tout son zéle pour en rectifier le systéme, qui s'est conservé jusqu'aujourd'hui. Daunin, dans l'édi- 86 i tion de Burron par Sonnint offre un recueil trés riche en observations d’especes nouvelles. u De nos tems Орркь, МеввЕм et WAGLER ont repris cette matiére et avancé la connais- saces de ces animaux. Michel Or»zr, ci-devant adjoint de l'Aca- démie des Sciences de Munic , avait préparé des materiaux aussi complets qu'on pouvait les rassembler à Paris dans les collections publi- ques et privées, mais une mort prématurée Га enlevé aux sciences, à la fleur de son age. Nous possédons de lui un Mémoire dans les Annales du Muséum d'histoire naturelle de Pa- ris et son prodrome d'un ouvrage plus grand, Le prodrome a paru sous le titre: Die Ord- nungen, Familien und Gattungen der Reptili- en als Prodrom einer Naturgeschichte der- selben. München. 1811. 86 pagg. 4. Le systeme est le méme que celui de Mr. Al. BronGnIART , qui, basé sur des bons principes et trés conforme à la nature de ces étres, est à peu près adopté de tout le monde, en changeant l'une ou l'autre dénominatiou. C'est ainsi qu’OpPEL expose dans son premier Ordre Beeb: hy 87 Testudinata, Cheloniens de Bronen. Dans son second ordre il comprend les Sguamata , qui réunissent les Sauriens et les Ophidiens de Broneniart, et ses nuda sont les Batraciens Br. Il a adopté des familles et établi les gen- res, Tortrix , nom qui est déjà employé par- mi les insectes, et Zrigonocephalus parmi les Crotales. Il était le premier qui, guidé par la structure de l'animal, éloigna des Serpens le genre Coecilia et larangea parmi les Datra- ciens. Mr. FirziwceR a aussi donné une Classi- fication de Reptiles, que je n'aài pu me pro- curer, Je ne parle point des mérites que LATRE- ILLE et Dumériz se sont acquis dans l'expositi- on de cette Classe ; ils sont connus et leurs noms se trouvera attachés aux genres qu'ils ont créés. LinnE , dans la dernière édition de son systéme, a distribué les Reptiles en trois Or- . dres; les Reptiles proprement dits, en Serpens et en. Zmphibia nantes, Ce dernier ordre com- prend les poisson à squelette cartilagineux , | 88 ( Pisces cartilaginei ). Les vraix Reptiles coms prennent = АмрнииА I Reptiles. Testudo. sp. 15, Draco. — 2. Lacerta — 49, Rana. — 17. Il. Serpentes. , Crotalus. sp. 6. Boa. — 10. Coluber, — 99. Anguis. — 16. " Amphisbaena 2. Coecilia — 2. Le total des espèces décrites par Linng | monte donc à 218. | Daunix publia son histoire naturelle en 1803 et décrit 607 espéces. Il a publié plus tard un superbe ouyrage sur les grenouilles, avec desfigures trés bien faites; il y en a deux éditions , l'une in folio , l'autre in quarto. Deux allemands Mrs. Merrem et Wacrrn ont traité cette classe d'animaux dans le tems le plus moderne, Ils ont donc pu, surtout 89 le dernier, mettre au profit. de la science tou- tes les découvertes dües aux derniers voyages. _ Те crois rendre service à nos Membres en leur exposant l'esquisse des travaux.de lun et de l'autre. | ; L'ouvrage de МеввЕм a pour titre: Vere such eines Systems der Amphibien. Marburg. 1820. 191 pagg. 8. Il adopte deux Classes les Pholidota , qui comprend trois ordres les Testudinata , Loricata et Squamata; et le. Batrachia , qui sont également divisés en trois Ordres : Apoda , Salientia et Gradientia. Classis I. : РнотлротА, ARISTOTELIS. Овро I. Testuoınara. Cheloniens Bronen. Fam. I PiswaTA. 1. Caretta. Chelonia Br, spec. ER 2. Sphargis. 1. Fam. IL. Dicirara, 3. Trionyx. sp. 7. 4. Testudo. a. Matamata. Chelys. Dum. b. Emys. | c, Terrapene. d. Chersine, — spec. 47. 90 | Onpo. II. Loricara. Crocodilini Oprer. 9. Crocodilus. a. Alligator. b. Champsa; | | с. Gavialis. == spec. 13. Овро. III. Seuamata. Fam. I. GrRaDreNTiA. A. Ascalabotae. | | . Gekko. Uroplatus. Duw. sp. 20. | . Anolis, Dum. sp. 11. . Basiliscns, Daun. sp. 2. . Draco L. sp. 3. 10. Iguana. Свомоу. sp. 4. oman Oo 11. Polychrus. Cuv. Agama, Daun. ; Iguana , Lamm. sp. 1. 12. Pneustes. — Stellio Scnxxip.; Aga- | ma. Daun. sp. 1. | 13. Lyriocephalus. — Iguana Lar. Agama, Daun; Lophyrus, Or- PEL. | 14. Calotes. 17. Agama. Dum. Trapelus. Guy.’ 18. Uromastyx. — Stellio. Guy. = spec. 40. 91 15. Zonurus. — Cordylus. Gnox. Lac. Stello , Larr. sp. 1. В. Saurae. Lacertini ОррЕгт, | 16. 17. 18. 19. 20. 21. Vranus. Tupinambis. Dux. sp. 11. Teius. Dragones et Sauvegardes, Cov. sp. 7. Lacerta. L. spec. 27. Tachydromus , Daun. spec. 3. C. Chalcidici. Scincoidens , Cuv. Scincus. Grow. Bren. ‚sp. 22. Gymnophthalmus. Scincus. Daun. sp. 1. . Seps. Ray. sp. 1. Tetradactylus, — Chalcides Dav». sp. 1. . Chalcis Lac. — Chamaesaura. SCHNEID. sp. 1. . Colobus. spec. 1. Chalcides Dav», " Monodactylus. — Chamaesaura 5снм. Chalcides , Larr. spec. 1, . Bipes. Anguis L. sp. 1. . Pygodactylus. — Chamaesaura. SCHNEID. sp. 1. . Pygopus , Proctopus Е1зсн. Shel- topusik , Larr. sp. 1. 30. Fam. 2, 31. 32. 33. Fam. 3. 92 Pseudopus. — Chaemosaura. Scan. Bipes, Bonnar; Sheltopusik, Latr. ; Seps , Daun. sp. 1. | RepentiA, Serpentes. Ophidii Br. Hyalinus. — Ophisaurus, Dum. SD. 1. ; Anguis. L. sp. 2. Acontia. Cuv. sp. 3. SERPENTIA. A. Gulones. - 34. 39. 36. 37. 38. 39. 40. 41. 42. Acrochordus, HonwsrEpr. Rhinopinus. — Erpeton Lac. Daun. sp. 1. Tortrix Orrzr. sp. 11. Eryx. Daun. sp. 2. * Boa. L. sp. 14. Python. лор. sp. 11. Scytale. Grow. spec. 4. Coluber. L. re spec. 198. Natrix. Laur. Dryinus. Bungarus. Daup. Pseudoboa, Op- PEL, Sp. 2. | 95 43. Trimeresurus. Lac. sp. 1. 44. Hydrus. Scun. | (50) Chersydrus , Hydo- phis Lars. | (51) Pelamis, Davo. Hy- | drophis. Latr. (52) Enchydris. Hydro- phis Cuv. sp. 16. 45. Platurus, Larr. sp. 1. 46. Elaps , Scunrin. sp. 17. 47. Sepedon. — Haemachate Lac. Vipera Глтв. sp. 1. 48. Ophryas. — Acanthophis. Daun. sp. 1. 49. Naia. Laur. — Vipera Larm. sp. 2. 50. Pelias. — Coluber Laur. sp. 2. 51. Vipera... (59) Echis, — Scy- tale Mte рес. 23: (60) Echidna. Vipe- X ra, Cobra. Laur. 52. Cophias. — Lachesis, "Vipera, Davp.; Trigonocephalus. Orr. Co- luber L. sp. 7. | 93. 54. 94 Crotalus. L. sp. 5. Langaha , BRuGuIÈRE. sp. 1. В. Typhlini. Doubles marcheurs. Cuv.' 95. Typhlops. Scnxein. sp. 9. . $6. Amphisbaena. L. sp. 3. Овро. IV. INcEDENTIA. Овоо. Овро. Orpo. 57. Chirotes. Cuv. Bipes Latr. Bima- nus Opp. sp. 1. V. PRENDENTIA. Chamaelioniens. Cuv. 58. Chamaeleon. Bron. sp. 6. CLASSIS IL. BATRACHIA. I. Arova. 1. Caecilia L. spec. 5. II. SALIENTIA. | 2. Calamita Scaneım. Hyla Laur. sp. 25. . Rana. Laur. sp. 21. . Breviceps. Rana L. Bufo Laur. Latr. sp. 1. . Bombicinator. — Rana SCHNEID. sp. 3. . Bufo. Laur. spec. 14. 95 Onpo. III. Grapientia. Urodeles Dum. Caudata | Orrrr. Fam. 1. Mutabilia. 8. Salamandra Сезм. Laur. sp. 3. 9. Molge. — Triton Laur. Fam. 2. Amphipneusta. . 10. Hypochthon. — Proteus Laur. 11. Siren. L. Merrem а établi beaucoup de genres nouveaux et decrit 623 espéces. Mr. Jean - Wagler , Professeur et Membre de l'Académie des Sciences de Munic a augmen- té le nombre des genres considerablement. Il faut lui rendre justice , que ses divisions reposent, pour la plus part, sur ses propres observations. Son ouvrage a pour titre : Natirliches System der Amphibien, mit vorangehender Classification der Säugthiere und Vogel , ein Beitrag zur vergleichenden Zoologie. Mit Kupfern in Gross - folio und einer Verwandschaftstafel. München , Stutt- gard u. Tübingen. 1830. 354 S. 8. On comprendra, sans ma remarque, que les noms des genres sans indication de l'auteur appartiennent à Mr. Waczer. Па eu soins 96 d'ajouter toujours létymologie du mot gréc , ce qui à ceux incapables de la deviner tout de suite , évite la peine de la chercher. Onpo. I. TrsrupiNEs. Fam. I. НЕРВАЕОСТО$ЗАЕ, Tribus. 1. Oracopodes. 1. Chelonia. BnoxcwianrT. 2, Dermatochelys. Геззом. — Sphar- gis. Мевв. Test. coriacea. L. Wagl. t. 1. £. 1 — 23. Tribus 2. Steganopodes, 3. Aspidonectes. — Trionyx GEOFFR. Trionyx aegyptiacus Georrr. An. d. M. 14. t. 2. 4. Trionyx , GEOFFROY. Test. granata Scnürr t. 30. A. В. Wacr. Syst. t. II. 5. Chelys, Dumzkır. | 6. Rhinemys. — Emys, Spix; ScHWEIGG. 7. Hydromedusa. — Emys, Mixax. 8. Podocnemis, — Emys, Scnweice. 9. Platemys. — Testudo Scnörr ; Emys, Spix. ca UMEN a EE Se nd 97: 10. Phrynops.— Emys, Scuw. Зых, 11. Pelomedusa, — Testudo. Scuó»r. 12. Chelydra. Seuwxicc. — "Testudo; Scu. УР 13. Clemmys: — Testüdo, Emys, Sch. 14, Saurotypus. —- Terrapene, Merk. _45. Pelusios. — Emys Scdw.; Ster- nothaecus:, Bru. 16.. Cinosternon, Spıx. — Emys, Sc: 17. Emys. — Test. to sack SCHÔPF. ul, | Tribus. 3. Trilopodes. * | ‘48. Cinixys , BELL. — homeana. Tr; "E of the Ly Soc, 15, t 17, Е 1. 19. Pyxis, BELL — arachnoides ; TOUR LIS | 20. Chersus , — Testudo marginata, 259 ee LE à D 21. Testudo Ligracca Sen. t. 8. Oro II. Croconits d ‚Fam. 1. Hennanoczosst T 04, Obarapsa; agnos, Henop. Alli- gator Cuv. . 2. | Crocodilus Cuv. 98 „er: Rhaniphostoma: To Gavial Су. Tanystus FiscH. | Onpo. Ш. Lacerrar. Fam. I. PLATYGLOSSAE. 1. »Ptychozoon. Кинь. — Pteropleus 4 ra, Gray. i | 3 2, Crossurus. — Uroplatus , Dum. | 3. Rhacoessa. — Uroplatus , Dum. 4.. Thecodactylus ; Cuv. — Gecko; = Daun. Mere. . 5. Platydactylus ; Cuv. — Gecko, | Dawn. Конг, | 6. Anoplopus. Gecko, Cuv. | Be 2 Hemidactylus Cuv, — Gecko, Dau, = Stellio , Scan: _ 8. Physodactylus Cuv. — Stellio, Scun. Gecko , GEOFFR. E 9. Sphaerodactylus. — Gecko, Daun, 10: Ascalabotes; Licarensr, — Steno- dactylus , Cuv. | | - 11. Eublepharis, Gray. — Hardwic- КН , Zool journ. 1827. 293. 12. Gonyodactylus, Конг. Gecko Gee = orFR. Cyrtodactylus , Gray. 13. Gymnodactylus, Srix. 99 Fam. II. Pactiyctossar. ©» Tribus 1. P achy glossae platycormae: Div. 4. Dentibus tomiorum ulmi innatis, e- 14. RE NE у Kaur, Lacerta, pron. Panta? cardi ^ 15. Trapelus , Cov. — Agama, Mer, 16, Stellio , Daupix. „17. Uromastix, Srıx. Mena. ‚Ancanthi= nurus Bell, Zool, deur. 1825. Ed | Div. 2. Dentibus toniiorum Jateri interno agglutinatis. | 18. Dani, | Kage. Lac. azurea, | L. ( SEBA , 9. b 62, f, 6.) itichde Phrynosoma „. Wızcm, — Agama, | Bert | 90. Platynotus. ay ‚ Зых. 21. Tropidurus , Nevwien *); Agama Licutenst.; Oplurus, Cuv.; Stel. lio, Daup. Sceloporus , Wircm, "Oe » Ir NETT Har *) Prince Maximilien Wird-Neuwisd, 7 * 100 Tribus 2. Pachyglossae stenocormae. .. Div. 1.. Dentibus tomiorum lateri interno 22. 93. 24. ' 25 26. a 4%. 25. 29. 30. iss 32. ~Lophyrus , bos ; "ag 34. agglutinatis. _ Cyclura , Harzan ; — Chenosura, УПесм. = Hypsilophus. — Ene Laur. Sprx. Metopoceros. — Iguana , Cuv. Amblyrhynchus , ‚ Bru. — Iguana, Laur. Cuv. Basiliscus , Lib: — Lacerta L. Oedicoryphus., Wircm. Dactyloa.. —. Anolis Cuv. Draconura. — us | WARS р. 149. Norops. Anolis $ Daun. Polychrus, Cuv. -acutirostris SPIX. t. 10. Sesa 1. t. 88. Е 4. Ophryoessa, H. Borr; — Lacerta L.; Enyalius,' — Agama, Neuw. Lo- phyrus ; Spix. | Hypsibatus. — Agoma,- Davo. Lophyrus , Srix, u E 39. - 101 Otocrypus , Wırem. - Div. 9. Dentibus tomiorum culmini innatis. ‘36. Lyrocephalus , Merr. — Lacerta , 37 - 38. 39. 40. 41. 42. 43. 44. L. scutata. Sera. 1. t. 109. f. 3. Gonyocephalus, Kaur. — Agama, Merr. Конг. | Brachyolophus , Cuv. — Iguana, Dacos. — Physiognathus > Cw. Lophura, (Gray. — Lacerta, ScHLOss. | Chlamydosaurus, Gray. Kings Voy. App. t. A. | Calotes, Cuv. — Agama, Кинь, Davo. Semiophorus. — Sitana, Cuv. Draco. Ш Fam. Ш. AUTARCHOGLOSSAE. Div. 1. Dentibus tomiorum culmini innatis. 45. 46. Thorictis. - Lacerta Г. Dracaena, Daun». Crocodilurus , Sex; Tupinambis, Daun. Tropidia Fiscn. 47. 48. 49. 50. 51. 52. 99. 54. 55. 102 Podinema. — Lacerta L. Tejus, Nevw. Tupinambis Зых, Ctenodon. — Tupinambis, Srix; Ameiva , Firzincen. | Cnemidophorus, — Seps Laur. Tejus , Merr. Monitor, Cuv. Acrantus. — Lacerta Daup, Te- jus, Merr, | | Tachygaster. — Centropyx, Sem; Lacerta Daun. Lacerta. L. ! Zootoca. — Lacerta Jaco. Wolf, Kunr. | Podarcis. — Seps, Laur, Las certa , Daun. ( Aspistis ) Notophilis. — Lacerta, Лосев. © . Zonurus, Merr. — Cordylus, H. Boie. . Psammuros, — Lacerta, L. | . Ablepharus , Fırzıscer ; Scincus LIcHTENST, . Gymnophthalmus. Merr. . Lepidosoma , Spix. . Chirocolus. — Heterodactylus, Эрих, 62. 63. 64; 65. 66. 67. 68. 74. 79. 103 Chamaesaura , Frrzncer. Lacer- ta L. | Tachydromus , Davp. Cercosaura. — ocellata. m. sp. p. 158. | | Gerrhonotus , Wieem. 3 sp. Isis, 1828. Gerrhosaurus , Wiecm. — Lac, Seps L. Saurophis , FrrzwGer. Lac. tetra- dact. Lacep. Ann. d. Mus. 2. t. 99, f, 2. Bipes , Orpen; Lacerta, Parr.; Proctopus. Fıscn.; Sheltopus, Latr. Pseudopus, Merk. = . Ophisaurus , Dum, Anguis L, . Anguis. L. . Ophiodes. — Pygopus Бых. Lac. Bras. t. 26. f. 1. + Pygodactylus, Firzine. (non Mrr- rem) Isis. 1828. . Pygopus , Merr. — Bipes, Lac, Lepidopus, An. d. Mur. 4.t. 55. Zygnis. — Anguis. L. Bipes. Mens. Seps, Daun. Lacerta L. Fam. 86. 76, 77. 78. 79. 80. 81. 82. 104 Lygosoma. Gray; Lacerta. Brocn; Scincus, Свом. Sphaenops. — capistrata. n. sp. p. 161. Scincus , Firzinc.. Lacerta L. Euprepis. —Scincus Spix ; Daun. Gongylus. — Scincus , Daun. Cyclodus. — Scincus , Bor; Ér- peton , Мевв. Tachysaurus, Gray. — Scincus Dum. IV. TuecoGLossAE. Div. 1. Dentibus tomiorum culmini innatis. 83. Chamaeleon , L. Div. 2. Dentibus tomiorum lateri in- — terno. adfixis. | 84. 85. 37. Heloderma , УМтЕсм. | Hydrosaurus.— Tupinambis. Одур.; | Конь. | Polydaedalus. — Lacerta Г. Мо- nitor, GEorrr. Tupinambis, Daup. | Psammosaurus, Fırzınc. Varanus, Merr. ; Monitor. GEorrr. 105 ,Ompo IV. SzmPENTES; Fam. I. Tnuzcocrossr. 1. Hydrophis, Daun. Disteira, Lac. Anguis Г. Hydrus, Boır. . Hydrus. Scun. Hydroph. nigro- cinct, D. Russel, 2. t. 6. . Enhydris, Scun. — Hydrophis Daun. ; Platurus, Lara. Coluber. Г. Hy- drus , Scan. . Pelamys , Daun. Anguis, Г. Enygrus. — Boa regia SHAW , Merr. Opp. ( Sepa 1. t. 62. II. t. 102.) 7. Eunectes, — Boa. L. Daun. mu- rina et scytale L. Sepa 2. t. 23. IN NI 8. Xiphosoma. — Boa, L. Mer. Corallus , Davp. 9. Boa, L. 10. Epicrates. — Boa cenchria L, (Sepa. 1. t. 56. f. 4.) 11. Python. Dau». — Python Реггопи Cuv. Wacr. Amph. t. f. 12. 13, _ 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 106 Constrictor; — Python Merr. ^ Boa Scan. Chersydrus , Cuv. — Hydrus, Scan, Acrochordus , Suaw. Acrochordus , HorssTteoTt, Herpeton , Lacer. Rhinopirus, Mere. Homalopsis, Конг, — Python, Merr. Coluber , L, -Hypsirhina , Bom. — Coluber , Opp. Hydrops. — Elaps Wacr. antea, Helicops. — coluber Daun. Nat- rix, Wacr. Serpentes Brasiliae, 1.13. Pseudechis. — Coluber Mtrnn; Acantophis , Less. | Heterodon , Lars. — Coluber МЕвв. Rhinostoma , Ригихс. — "Vipera, Opp. 23. Xenodon H. Bom. — inornatus, Isis. 1827. 24. Ophis. — Coluber L. Merr. Xe- nodon, Bou, я ~ ce I ra — м tn er ee ЧАЩЕ 39. 36. 107 . Acanthophis, Daun, —Boa Snaw; Vipera , Merr. ‚ Causus. — Sepedon , LicurENsT, Vipera , Cvv, . Sepedon Merr. — Haemachate , Lac. (Sepa 2. t. 58. f, 3.) Uraeus, — Coluber, Hasskro. GEOFFR. Sav. ‚ Aspis. — Coluber, L. Naia et Elaps , Menr. - . Alecto. — Trimeresurus, Lacep. р Trigonocephalus. Orr. Cophias Mere, . Megaera. — Vipera Dav». Tri- gonocephalus , Merr, . Bothrops. — Coluber, Daun.; Co- phias , Neuw. ; Vipera, LicurEN- STEIN ; Trimeresurus , Lacer.. + Atropos. — Trigonocephalus , Reinw. Tropidolaemus; — Cophias, Bor; Coluber , Rarrr. Lachesis, Dauo, -— Crotalus L, Bothrops , Wacr. 37. 38. 39. 40. 41. 42. 43. 44. 45. 46. 47. 108 Cenchris, Daup — Coluber Suaw; | Ancistrodon , Par. pe Brauvais. Caudisona , Frrzwc. Crotalus Г. Mznn. Uropsophus. — Crotalus Wiecn. Crotalus , L. Echis , Merr. — carinata. (Rus- SEL. Ir, 9.) Echidna, Мевв. Coluber, L. Lac. Vipera Cuv. Col. Atropos. L. Mus. Fri. EL TAPIE. Vipera , Daupin; Coluber L. Pelias, Merr. Coluber, L. Vipera, Daun. Gérastoëa — Vipera, HassELQ. Daun. Col. nasicornis SHAW., gen. Zool. 3. t. 104. Nota. Serpentes gastraeo scutato. scutis in vertice magnis ; cauda sensim in acumen desinente. Dasypeltis. — Coluber, L Tropidonotus , Kunz. — Coluber, Firzinc. Merk. 48. 49. . 50. 61. . Telescopus — Colub. - "Egypt. t. 5. . Dendrophis , Bom. . . Leptophis , Betz; — Colub. L. ‚ Oxybelis. — Dryinus. Wacr. Bet. 1109 | Spilotes,., — . Coluber : №. Daun. Мевв. Coluber , L. Herpedotrys, Bors. Natrix Wacı; Coluber At. | Dipsas > Bow ; — Coluber peru- viana, Snaw. gen.| 200]. Sea, 2. (1524. fe 1. . Pareas..— Dipsas. Reinw. . Dryophylax. — Coluber Mixa. . Thamnodynastes.—Natrix, Wact. Serp..: bras. t. 14. Coluber, Or»ErL. . Macrops..— Coluber L. saturni- nus, Mus. Ad. Fr. 1. t. 9. f. 1. GEOFFR. Dryophis, Box. — Col. pictus GEL. ( Sepa. 1. t. .99. 1^3.) Тгагорз. — Dryinus, Вил; Dryo- o'phis,; Remw. Мевв. Boır, Конг. 62. Сопуозота. = Colub. Reınw. - 63. 64. 65. 66. 68. 69. 110 Chlorosoma.: ——Colub. L. Одо, Philodryas, — N^ Licurenst, Neuw. Oxyrhopus. ооо 10 №, L. Lac; Lycodon , Bom. ^ Col. Davo. - Конг. 67. Rhinobothrium. — Col. Ва; Ophites. — Lycodon, Bor. Erythrolamprus, Fr. Ss. — Col. ob. -Licurensr. Ctoelia, Firzinc. — Col. L. Daup. +? Natrix, Wact, 71. 72 e 73. | 7 4. Scytale, — Boa, Daun. Pseudo- boa Scuw, $ Liophis. + Cole Di Natrix, WAGL. Zaminis, ++ Col. Daun. Chrysopelea.; Bore. -— Col. Menr. 75. Psammophis, Bow. | — Col. L 76. 87. 78. Suaw. Пера. — Col. L. Natrix WAGL. Periops. — diui Г. Georrr. Na- trix WAGL. | Zacholus. -—. Coronella ; Laur. Col. Daun. ; 49. 80. 81. B2, 83. 84. 85. 86 87, 88. 89. 90. 91. 92. 93. 94. 111 Brachyorrhos ; Kunz. Atractus , Wacr. Col L, Homalosomà. — Col. Lara. Mrnn. Elaps., Scan. Aspidura. -— Scytale, Bor. Cercaspis. — Hurria , Конь. Oligodon, H. Bois. ++ Co Reinw. ( Russen. IL. t, 24.) Calamaria, H. Bor. Col. 1, . Eryx, Dato, = Boa , LicHTENST, Scüw. Clotlionia Daun. Gongylophis. — Boa, Schw. Daun. SHAW. ‘Aspidoclonion, — Bungarus, Daun. Orr. Elaps, Scuszm. == Col Т, : lysia, Hemprecut. — Anguis, L. Uropeltis , Cuv. ( Catostoma ) Geophis chalyb. n. sp. p. 194. E Elapoidis, H. Boi. Isis, 1827. Xenopelus , Reınw. Isis. 1827. Cylindrophis. — Anguis > LAUR. L. Seux, | 95. 96. 97. Овро. V. ÁNGUEs. 112 Typhlops , Hemer. Anguis, Ш, Stenosoma , WaGr. Rhinophis, — 'Anguis, Scan. | Typhlina. — Acontias , Rzinw: Typhlops , Scuw. Fam. I. AUTARCHOGLOSSAE. 1. 2. 3. Acontias , Cuv. Anguis L: Chirotes , Cuv. Chalcides , Daun. Chalcis, — Chalcides, Плов: Orr, Brachypus, Fırzıne. Cha- maesaura , Scan. Colobus, Merr. Cophias , Gray. : Lepidosternon. — Amplisbaena, Neuw.: . Amphisbaena , Le . Blanus. — Amphisbaena ‚ Hrwri. NEtuw: Onpo. УТ. CarciriAE. Fam. I. HEDRAEOGLOSSAE. 1. Siphonops. — Coecilia, Mixax. 9. Coecilia. L 3. Epicrium. Coecilia, Van Hassett. | ee pet ee В TUER To Onpo. VII. RANAE. 113 Ms yn I. AGLOSSAE. : ‘Apicrodactylas’ — Pipa , SPIX. Rana L. ‚ PHANEROGLOSSAE. 1. Cauda have: . Xenopus, — Bufo , Daun. Pipa, Merr. . Microps. — Rana Senn. ‚ Calamites , FirzisGER. ‚ Hypsiboas. — Hyla , Dav». Srix; Rhaeophorus , Конг. . Auletris. — Hyla, Daur. Spix. ."(Hyas. ) Dendrohyas. — Rana “arborea L. С . Phyllomedusa. — Hyla bicolor. |. Dawn. | | . Seinax. — Hyla aurata, Neuw.— 10. variolosa, et bipunctata Spix ,. u EEE | Dendrobates: — Hyla Srix, Daun. Phyllodytes, — Hyla- luteola , New. о 8 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 114 Enydrobius. — Hyla . ranoides Spix. RN A : Cystignathus. —-. Rana Sp. Ra- na typhonia , ocellata , Daun. Rana, L. Pseudis. — Rana paradoxa E. Dav». ; Ceratophrys , Bore. Ran. corna- ta, Г. Daun. Megalophrys , Конг. (Java) Hemiphractus. — Rana scutata, SPIX. Systoma. — Breviceps, Merk. Rana Schw. Dav». Chaunus. — Bufo globulos. Srix. Paludicola. — Bufo albifrons , SPIX. ! Pelobates, — Bufo fuscus Laur. Alytes. — Bufo obstetricius Daur. Bombitator. — Rana bombi- na, L. Bufo , Scanemw. . | Brachycephalus , Fırzınc. Bufo Ephippium Spix, 415 прно s 4 Divis; À: Cauda: distineta.! h ^56 97, Salaniandra y! Laune? — 66v hon 28. Triton, Laur. Salamandra, Lat, Dw 2: (Od (npo Уи. Ichraxopt;. d p er d ee Fam, | I. HzpnároGLáossL.:- ud eb 025391075 fi Tribus: 1; Branchiis nullis pov wol 1. орд аб - ++) Crÿptobranehtis ^ Leacw , Frrainc. — | ^ coup 2. Amphiuma. GARDEN, — . Chryste " donta Mrrcanx; ^ 50000000 zwob Tribus 9. Branchiis ! distinda yos! 3. Siredon. LP Axoloil. eur. — 4. Hypochthon Mean. Proteus ‘angus nus Laur. | dco ед 5. Necturus. Rarın. ee et ctylus. Lacer. Triton, Says Me- | nobranchus , Hannan.) sine / 6. Siren, L, L'auteur a ajouté des observations Suites dans l'anatomie comparée de ces animaux ;.,(p, .211 — 320) et donne enfin .une déscription latine de dents de Crocodiles et. de: Lezards ; nm 321 — 338. | 0 A Fo t , , T" re B EN 116 Il explique en dernier. lieu quelques nouveaux termes qui s'est trouvé obligé de créer. ob. POISSONS. La Classe des poissons a été également augmentée de beaucoup de decouvertes par les voyageurs modernes. Deux ouvrages vont paraitre qui réuniront sans doute tout ce qu'on a pu trouver d'animaux appartenant à cette Classe. Mr. Acassirz à Munic a annoncé deux ouvrages l'un sur les poisons vivans et l'autre sur les poissons fossiles. J’ai vu des planches de lun et de l'autre, à l'assemblée des Naturalistes de Hambourg. Ces planches ont été soignées avec une perfection qui ne laisse rien à désirer. Mr. le Baron Cuvier et VALENcIENNES ont commencé à publier une histoire naturelle des poissons, qui, vu la richesse des materiaux qui sont à leur portée , et eu égard au génie connu de ces hommes célébres, atteindra, sans aucun doute, toute la perfection de la science et de l'art. J'en ai reca cing volumes qui ont paru en 1828 — 1830. J'en donne l'esquis- Mili eurem 117 se du systéme, kn énumerant: les ty Aapeces qui ont été caracterisées, Poissons ossEUX. А branchies en peignes. ou en lames. | A mächoire supérieure libre. ACANTHOPTÉAYGIENS. Percoides. Polynèmes. Mulles. Joues cuirassées. Scienoides. Chetodontoides. Scomberoides. Muges. Branchies labyrinthiques. Lophioides. Gobioides. Labroides. MALACOPTERYGIENS. Abdominaux: Cyprinoides. Siluroides. Salmonoides. ifs inp Boden of ee ub Lucioides. 05926930: Subbrachiems.: Gadoides. . Pleuronectes... ОА: Discoboles. ^ Apodes. | Murenoides. ‘A máchoire superieure fixée. Sclérodermes, zu Gymnodontes. | 4 branchies en formes de "houppes. Lophobranches. Lo | CARTILAGINEUX OU CHONDROPTÉRYGIENS. Les familles contenues dans les cinq vo- . № lumes sont les suivantes : ; io" ОврвЕ I. AcANTHOPTÉRYGIENS. Fam. I. Percoipes. Des dentelures ou des épines aux pièces operculaires; la joue non cuirassee; des dents au vo- mer ou aux palatins. ‘on A ventrales sous les pectorales; 119 A sept rayons aux branchies. A deux dorsales, ou à dorsale échan- crée jusqu'à sa base. "Les dents toutes en velours. Perches. Perca L. sp. 11. Varioles. Lates Cuv. sp. 3. " Lucioperca. sp. 4. Sandre. II. p. 110. Huro. sp. 1. Etelis. sp. 1. Niphon. Lac. sp. 1. II. p. 133. Enoplosus. Lac. sp. 1. II. p. 133. Diploprion. sp. 1. II. p. 137. Bars. Labrax. sp. m Centropomus. IL. p. 102. Sciaena. Br. " Grammistes. Вьосн. II. p. 201. sp. 1, Aprons. Aspro. sp. 2. II. р. 188. Ambassis. sp. 11; II. p. 175. et 1 in Add. III. 493. Apogon. sp. 16; IL. p. 142. et 3 in Add. III. 490. dents canines mélées aux autres. Cheilodipterus. Lac. sp. 3. II. p. 162. Sandres. | Etelis, sp. 1. Pomatomus. Lac. sp. 1. П. 169. | Vide supra.. 420 | A dorsale unique. Des dents. canines melées aux autres. Serrans. Serranus Guv. Spec. 105; II р. 210. et 1 in Add. Ш. 494. La- brus L. Perca, Gmer. Holocentrus, _ Anthias , Bodianus, Epinephelus , Cephalopholis, Brocn, Johnius, Scuw. Holocentrus, Sparus , Lac. Merous. Barbiers. — . Pletropoma. Lac. 11. 283. Holocentr. . Br. sp. 14 et Lin Add. Ш. 445. Diacope. spec. 22. Sciaena , Fonsk. Mesoprion. spec. 37; ПЦ. 439. et 1 in Add. III. 496. Anthias 5 Bodianus R Lutianus , Sparus , Boch. Toutes les dents en velours. Centropristes. Ш. 36. spec. 8. Lut- janus , Lac. | Growlers. Grystes. III. 54. sp. 2. Labrus , Lac. Cernier. Polyprion. Ш. 21. sp. 1. Pentaceros. YII. 30. sp. 1. 'Gremille, Zcerina. III. 13. sp. 2. Per- eas №. 121 ‚Savonniers. Rypticus. ПЛ, 60. sp 2. Anthias. Br. i 4 moins de sept rayons aux branchies. Des dents canines mélées aux autres. | Cirrites , Commerson. Ш. 66. sp. 6. "Làbrus Lac. — “A denis en velour. Chironemius. ПП. 78. sp, 1 Point de dents canines. A. Pomotis. Ш. 91. sp. 2. et 1 in Add. 498. Labrus , L. Centrarchus. sp. 5. Labrus Lac, Cy- са , Lesson. Trichodon , STELLER. Im. 152. Tra- | chinus Parr. Priacanthus. ТИ. 96. sp. 11. Lutjanus, Labrus , Lac. Anthias, Bu. — Dules. ПП; 111. ‘sp. 7. Gentropo- mus , Holocentrus , 2 | Therapon. Ш. 125. sp. 1 [ Datnia. Ш. 138. sp. 2. cuu Ham. BucHanan. Pelates. Ш, 145. sp. 3. Helotes. III. 149. Therapon, Quvov et Gaym. | | 122 Plus de cing She. ti ventrales. Plus de sept. CIA aux branchies. Myripristis. III. 160. CM NEN. „Holocentrum. Ill, 182. sp. 15. Sci- on e Dl Amphiprion.. Bu. Labrus, Lac. Beryx4 IH. 221, áp 2. Trachichthys. Suaw. III. 229. \ A ventrales jugulaires, c'est à dire , en avant des pectorales. Des dents toutes en velours. Uranoscopus. Ш. 285. sp. 12. Vive. Trachinus. L. Ш. 253. sp. 4. Percis, Вы TIL. 799. sm. 12, Pinguipes. TE 277. sp. 1. Des dents canines melees aux autres. Percophis. Ш. 281. sp. 1. A ventrales abdominales , c'est à dire, en ari- ère des pectorales. Des dents canines. Sphyraena, Antenr. Ш. 325. Esox , L. sp. 10. | Paralepis. MILI. 356. sp. 3. Corregus Risso; Sudis , Rarın. 123. ‚Des dents de velours. Polynemus; G&owov. Г. Ill. 362. sp. _ 11. Pentonemus , Автеог; Polyda- ctylus , Lac. | | | Sillago , Bu 398. sp. 7. Sciae- Es. Dt. 22027 : Appendice. | AMullus. L. Ш. 419. sp. 3 Upeneus. MI. 448. sp. 23. Mullus, Forsk. мкг. Br. Lac. Snaw. Fam. II. Jours cumassÉEs. Les sousorbitaux recouvrant une portion | plus ou moins grande de la joue ; et s'articu- lant avec le préopercule. | Sans rayons épineux libres en avant de la i dorsale. | | ad | A deux dorsäles. | | A tete parallelélipipède. Eo, x. HN rayons libres sous la pectorale. ng Trigla. L. IV. 9. sp. 15. Prionotus Lac. IV. 85. sp. 4. Tri- gla Bor. | Malarmat. Per istedion. Lac. ТУ. 101. 124 De trés longs rayons sous les pectora- les, réunis en une grande nageoire , . qui sert d'aile. | j | Dactylopterus. Lac. IV. 114. sp. 2, Cyanopter Commers. Trigla. L. Hi- rondelles de mer. Point de rayons séparés sous les pec- torales. | Cephalacanthus. Lac. IV. 138. sp. 1. | Gasterosteus L. A tête ronde ou deprimee. Ventrales sous les pectorales. Cottus. L. IV. 142. sp. 16. Chabots et Chaboisseaux. i Oplichthys. IV. 264. Hemitripterus. IV. 268, _ Bembras. IV. 282. Aspidophorus. Lac. IV. 198. sp. 8. Agonus , Dr. Phalangista. Patt. Ventrales en arriere des ventrales. _ Platycephalus. Bu. IV. 220. sp. 21. A une seule dorsale. 4 tete comprimee. Des dents en velours aux machoires, au vomer et aux palatins. | 125 ^ Hemilepidotus. IV. 275. Cottus Pau. Blepsias. IV. 373. sp. 2. | Apistus, ЛУ. 391. sp. 15, Perca L. ‚ Зсограепа, Gmer. Cottus Wuire. Scorpaena. L. IV.. 2806. sp. 18. Sebastes. IV. 326. Sp. 9. Регса L. Scopaena , LAROCHE. Des dents aux mâchoires et au devant du vieni "mais non aux palatins. | | Picrois, IV. 351. sp. 4. Scorpaena. Смег. A dl, Quelques petites dents aux mâchoires seulement. v : | j Taenianotus. Lac. IV. 371. sp. 1. Agriopus. ТУ. 380. sp. 3. Cory- phaena. Br. A Minous. IV. 121. sp. 2. A téte Bosse, comme monstrueuse , les yeux dirigés. vers le ciel. i T Des dents en velours aux machoires et au, devant du vomer. Pelor. IV..427. sp. 3. Suorpidas P PALL. Des dents: aux :mächoires seulement , au- cunes au vomer , ni aux palatins. 126 Synanceia Br. IV. 440. sp. 5. Scor- раепа\` L. | Des épines libres au lieu de première dorsale. "Corps couvert de grandes écailles imbri- quées ; huit rayons aux ouies. Monocentris. Bu. IV. 461. Lepisacan- thus Lac. ub Jn Hovlostethus. IV. 469. sp. 1, "Corps garni de plaques le:long: de tout ou en partie de ligne latérale; trois e rayons aux ouis. Gasterosteus. L. IV. 479. sp. 15. Gastre. IV. 509. Gasterosteus Spi- ‚ nachia. L. Oreosoma atlanticum. IV. 515. Fam. IH. Scrénoipts. Des Е ПИ ou des épines aux pié- ces operculaires , la joue non cuiras- ‚see; la bouche peu protractile; points de dents au vomer, ni aux palatins. A deux dorsales, ou la dorsale Mofes | echancree. 3 ‘Sans barbillons sous -ia mâchoire: infé- rieure. ‚127 Point de fortes canines. Museau bombé. Di i tio . Maigres. Sciaena Cuv. У. 28. sp. 3. | Labrus Lac. Bola, Bucnan. Corbs. : Corvina. 'V...86.. sp. 15. Sci- аепа. Г. Bodianus. Митснил,; Perca Lac. | joven ( Johnius BI. ) sp: 18. | Leiostomus. Lxcer. V. 140. sp. 2. Eques Brocn. V. 163. sp: 3. % Museau . non; bombé, Larimus. У. 145. sp. 1. ı Lepipterus. V. 151.;sp. 2. De grosses dents aux máchoires Boridia. N. 154. sp. TU Conodon. V. 156. Point de dentelures au préopercule. Nebris. V. 149. sp. 1. ÆEleginus. V. 158. sp. 2. De fortes canines. . Otolithus. У. 59. sp. 13. Johnius , Br. | | A | | MW и K à Ancylodon. У. 81. Sp, 2. 128 Un ou" plusieurs barbillons sous la mä- . choire inférieure. d n | _ Umbrina: 'V. 171. sp. 9; Sciaena. L. Lonchurus. Вт. V. 193. pz 2 2049 .e! Pogonias. Lac. V. 196. sp. 2. La- | brus. С. Митсн.; Sciaena , Lac. М!тсн. ‚Ad Micropogon. V. 215. sp. 3. Umbrina, Som ODEs A dorsale unique. А sept rayons aux ouies. Haemulon. V. 223. sp. 12. Anthias, ‘ Br. Lutianus, Labrus, Lac. Perca, L. Bnouss. Pristipoma. V. 243. sp. 30. Lutjanus Br. Lac. Pomadasis , Holocentrus , Lac. Sciaena * Br. Sparus. L. Digramma. V. 290. sp. 20. Lutjanus Bu. Plectorhynchus " Lac; ‚; Anthias Br. Holocentr. Lac. Perca, L. Тпохв.; Sciaena, Forsk. | "A moins de sept rayons aux Ouies. A ligne latérale continue jusqu'à la caudale. Point de rayons simples ‘aux pectorales. 129 Lobotes. N. 316. sp. 4. Holoc, Br. Bodian. Матси. Scolopsis. V. 337. sp. 19. Anthias, Br. Lutjanus, Lac. Holocentr, Lac. Lycogenis , Конь. Latelus. V. 368. sp. 2. Coryphaena. Lac. Macquaria. V. 377. sp. 1. Des rayons simples aux pectorales. Cheilodactylus , Lac. V. 336. sp. 5. Cichla. Br. 4 ligne laterale interrompue sous la fin de la dorsale | Des dentelures au préopercule. Amphiprio. Bi. Scax. V. 384, sp. 12. Lutjan. Lac. | Premnas. V. 404. sp. 2. Chaetodon, _ Вьосн. ^ Pomacentrus. Lac. V. 412. sp. 17. Dascyllus. 434. sp. 3. Chaetodon. L. Pomacentrus RuPPEL. 130 Point. de dentelures au préopercule. Glyp hisodon. Lac. У. 442. sp. 30. . Chaetodon , Forsk. Etroplus. ox. 486. sp. „3. Chaetod. Br. Glyphisod. Lac. | Heliases. V. 493. sp. 6. NNII SITE ЛА STE ла Рег ADO IARI IDDEDILOILOESLDOLODD ODDS SUR LES CEPHALOPODES ET EN PARTI- CULIER SUR LES AMMONITES. Si je pouvais étendre mon rapport sur les animaux de la seconde série ou sur les animaux aspondylophores , nos membres ne sauraient étre sans admiration des travaux qu'on a pré- parés depuis quelques tems, surtout sur les animaux fossiles. Je termineral mon rapport par quelques remarques concernant les Céphalo- podes et les Ammonites en particulier. | Les Céphalopodes que Mr. le Baron Cu- VIER a constitués en Classe particulière , com- prend les Sèches, les Calmars, les Poul- pes, et cette grande quantité d'animaux à test polythalame , ou cloisonne, dont le Nautile et la Spirule sont les seuls genres qui se trouvent encore vivans dans les mers. Tous les autres sont fossiles. Une grande partie de ces derniers est méme si petite qu'on a peine à les reconnaitre sous le microscope. DzssALINES Ока а fait un travail classique sur ces animaux, microscopiques qu'il * 9 132 a divisé en 5 familles, en 52 genres , qui comprennent 525 espéces. Voyez ma Bibliographie de Petromatagno- sie au second Volume de nos nouveaux Mé- moires. Les Ammonites qui ont occupé plusieurs auteurs , ont trouvé en Leopold de Buch, à Berlin , notre Membre trés honoré , depuis la fondation de notre Société , un collaborateur , qui y a porté et son génie et ses lumiéres. Les Ammonites sont des coquilles cloison- nées, disposées en tube droit ou courbé, tra- versées par un siphon dorsal qui est attaché à la circonférence des lobes. Les cloisons sont partagées dans leur pourtour en six lobes, qui s'enfoncent entre le bord de la cloison et le tube. Le premier de les lobes, le lobe - dorsal , embrasse le siphon et se termine vers le fond en deux bras, dont la cloison s'attache au siphon méme. Les deux lobes les plus voi- sins des deux cótés du lobe dorsal, sont les lobes latéraux supérieurs ; ceux qui sont plus éloignés, les lobes latéraux inférieurs ; enfin 133 celui qui se trouve opposé au lobe dorsal et au siphon, est le lobe ventral. Les Ammonites se divise, d'aprés l'auteur, en trois grandes sections : | 1. Les Baculites , à tube droit; 9. Les Hamites, à tube recourbé à l'ex- trémité inférieures; et. | 3. Les Ammonites, à tube tourné en spi- . rale. io19da Il existe une loi dans la distribution et dans les découpures des lobes des cloisons, tout à fait indépendante de l'état de la surfa- се, qui est générale pour toute espéce d'Am- monite, de quelque nature ou de quelque for- me qu'elle puisse, être , et qui prend une for- me différente: pour chaque езрёсе particulière, Cette loi ne paraît pas avoir attiré l'attention des naturalistes , autant qu'elle le mérite; sure tout puisqu'elle établit une séparation nette et tranchée entre les Ammonites et les Nautiles. | Le caractère distinctif entre ces deux genres de Céphalopodes, consiste en ce que le siphon des Ammonites est toujours dorsal, ét qu'il n'est jamais dans les Nautiles, Toutes N | 134 | les autres différences dérivent de cette. diffée. rence principale, Le Nautile qui fait passer un très-gros siphon par le milieu de ses cloi- sons, parait suflisamment attaché par cette membrane au fond sur lequel il repose. Le siphon dorsal et très mince des Am- monites ne suflirait pas pour empecher le bal- lottement de l'animal. sur sa cloison. Il est obligé de chercher d’autres appuis , et c'est eu nu Yop РТУ sfr: Il enfonce au dessous de la cloison six lobes , placés regulièrement dans le pourtour de sa coquille avec une symétrie admirable. Le premier de ces lobes, et ordinairement le plus considérable , s'appuie sur le dos du tour qui a précédé ; c'est le lobe ventral. (f. 1. V.) Vis à vis, et autour du. siphon es placé le lobe dorsal. (f. 1. D.) 1! se releve vers le fond pour s'attacher au siphon méme. De là vient qu'il est constamment: partagé vers le fond en ‚deux bras, qui s’ecartent plus oe Yun de lautre. N Au tiers de la hauteur de louverture depuis le dos, s'enfoncent de part ek d'autre le Zobe latéral supérieur (L), et 135 plus bas, le lobe latéral inférieur. (VU); également d'un côté et de l'autre. Ce dernier se trouve uu peu plus. élevé que le lobe ven- tral, ce qui le fait trés - facilement découvrir en cas quil ne fit pas appercu au premier coup d'oeil. Les séparations de ces lobes for. ment les selles ; nommés ainsi parceque lani- mal repose dessus; et ces selles se, distingue- ront de la méme manière que les lobes eux - mêmes. La selle entre le lobe dorsal et laté- ral supérieur est la selle dorsale ( d.); celle entre les lobes latéraux supérieur et inférieur forme la selle latérale (1); celle enfin entre le latéral inférieur et le ventral constitue la selle ventrale, (У). Telle est la disposition générale dans les Ammonites de toutes les formes et de toutes figures, qu'elles appartiennent à la section, qui, dans la savante dissértation de Mr. de Haan, est nommée Gonvatites, ou qu’elles ren- trent dans la section. des Cératites ou des Planites. Mais si le tour de spire augmente rapidement en largeur, de manière que le der- nier tour embrasse tous les autres entièrement | 136 ou en grande partie; ils se trouvent encore entre les lobes principaux de petits Zobes au- xiliaires qui augmentent en nombre à mesure que l'Ammonite s'aggrandit, © Nous résumons ici la table des lobes, d'autant plus que les lettres indiquent les mé- mes parties dans toutes les figures des plan- ches III et IV. D. Lobe dorsal; V. Lobe ventral ; L. Lobe latéral supérieur ; 3 L’ Lobe latéral inférieur. SV. Selle ventrale ; SL. Selle latérale ; SD. Selle dorsale ; a; Lobe auxiliaire, H. La Hasta; ou l'extrémitó du lo- be général, trés visible dans toutes les Ammonites . dont ces lobes sont découpés. (Pl. IV. f. 2.) L'auteur divise les Ammonites en 9 divie sions ow sous = genres’, 1. les Beliers ; 2. les Amalthés; 3. les Falciferes; 4. les Plauulites; 137 5. les Coronaires; 6. les Macrocéphales; 7. les Armes; 8. les Dentés; 9. les Comprimés. Familles des Ammonites. Y. Les Beziers. Zrietes. Leur siphon est saillant sur le dos et constamment en caréne, Les côtes des flancs sont simples et finissent de part et d'autre en saillie assez forte sur le bord de la caréne. La selle latérale s'élève du double au dessus dela selle ventrale et dorsale, et le Zobe dorsal est deux fois plus enfoncé que le lobe latéral su- périeur. | Voyez pl. III f. 1. Ammonites Turneri de Winterfingen , canton de Basle. | Les Ammonites de cette famille sont pres- que toutes particulières à la formation du dias. Les espèces les plus remarquables sont : A. Bucklandi. Conybeari. Turneri. rotiformis. iot? obtusus, Sow. t. 167. Brooki. Sow. t. 190. 138 stellaris. multicostatus , Sow. II Les Amatruts. Amalthei. А dos aigu; le siphon saillant , souvent erénelé. Les cótes passent au dessus du dos. Elles augmentent en nombre à mesure qu'elles en approchent ; ordinairement les tours sont embrassans , de maniére que le dernier tour de ‘spire enveloppe plus ou moins profondement les autres , et que par conséquent les lobes principaux sont augmentés de plusieurs petits lobes auxiliaires. Voyez. 4mm. Amaltheus. pl. IV. f. 3. Elles sont souvent garnies d'épines sur les cotés. L'ammonite Amalthé de Montrorrt, (Stocker, de Sowersy,) dont les lobes sont dessinés pl. IV. f. 3. d'aprés un assez grand exemplaire de Souabe, se reconnait par la grande largeur de la Hasta, surtout de celle du lobe latéral supérieur. Les selles ont beaucoup moins de largeur, que les lobes, et elles sont découpées trés profondément. La selle dorsale se reléve sur la selle latérale ; elle est un peu plus ab- | — | 139 baissée que celle-ci dans Z4mmonite hété- rophylle. |... | - L'auteur y rapporte : A. gAmaltheus Mowrr. gum Sow. cordatus Sow. acutus. Sow. nodosus. Sow, quadratus. Lamberti. omphaloides. Leachii Sow. crenularis. Pui. | clavelandicus ; Puis. flexicostatus. Pur. III. Les FarcirÈres. Falciferi. A dos aigu; siphon saillant, lisse; les côtes planes; l'aréte inférieure, de ces côtes très aiguës est élevée sur l'avant - dernier tour par un plan qui est plus ou moins perpendi- culaire au côté. Ces côtés sont garnis de plis contournés en forme de faux, et fortement recourbes dans le haut vers la partie antérieure, Les selles des lobes sont toutes dans un même 140 | niveau, de méme que les petits lobes dont - elles se composent. Les parois des lobes prin- cipaux descendent perpendiculairement. | Voyez pl. III. f. 2 Ammonites opalinus Rein, de Wasseralfngen prés d'Aalen en Souabe. La selle dorsale est ordinairement du doub- le plus large que le lobe latéral supérieur. Ses lobes secondaires sont par consequent assez apparens, L'extrémité du bras , du lobe dor- sal, se replie un peu obliquement vers l'ex- térieur du lobe. A cette famille appartiennent : A, serpentinus. Rew. Strangwaysil. Sow. depressus, Schloth. : concavus. | mw A енвд ST TE subradiatus. | signifer. Риш. Yorkshire. t. XIII. 1 f. 4. | | 5 ù lythensis; — f. 6. | .. exaratus, — f. 7. ovatus. — f, 10. elegans Sow. — f, 12. Walcotti. 141 Cette famille, si singulierement caractérisée par les cótes ou plis en forme de faux , par larréte aigué du bord inférieur et par les sel. les des lobes au méme niveau, renferme des Planites, des Ammonites, des Globites et des Discites. Ce serait done disperser les familles les plus naturelles , que d’admettre ces genres peu utiles a la science. | L'4mmonite de Walcott a le siphon en caréne, comme les Beliers, et larréte du bord est assez arrondie. Elle parait done mal pla- cée dans cette famille; mais la disposition des côtes et celles de lobes sont absolument celle des Falciféres, et ne conviennent nullement aux Beliers, et les plis des cotés ont la méme forme falcifère que les autres. La depression remarquable du côté se retrouve également dans l4mmonites depressus, très fréquent aux /environs de Soleure, ce qui rapproche encore plus l4mmonite de Walcott des Falcifères. Peut-étre fait-elle le passage à quelque autre famille. IV. Les Pıanutites. Planulati. Le dos et les cótés sont arrondis, de maniére que dans quelques espéces le contour 142 | . de louverture est un cercle parfait. Les plis des cótés se partagent à une plus ou moins grande élévation vers le dos et puis le passent sans interruption. Ce partage ‚est ou double ou triple, ou méme en plus grand nombre. Mais il ne part jamais d’un noeud ou dun tu- bercule décidé , et si le partage est plus que double , les différens plis ajoutés commencent a des hauteurs inégales. La disposition des lobes est assez partie euliere. Le lobe latéral supérieur est grand, trés enfoncé et se trouve au milieu du coté. Aprés le lobe latérale inférieur, suivent un ou plusieurs lobes auxiliaires qui s’interpossent dans une direction oblique , quelquefois méme horizontale. Pour cet effet ils s'enfoncent dans un lobe auxiliare commun , qui descend quelquefois bien au dessous du lobe latéral supérieur. | Voyez pl. III. f. 4 Ammonites decipiens Sow. de Kilchberg, canton de Вазе. Les selles sont trés-decoupées jusqu'à paraitre pres- que entièrement partagées en largeur. Cette position particuliére des lobes auxi- liaires, quoique presque générale pour la famille RET RC NER, RR meer dM — 143 des Planulites , ne lui appartient pas exclu- sivement. Elle se retrouve dans quelques es^ péces de la famille des Coronaires et démon- tre le rapprochement de ces deux familles. A. planulatus, Senr. polyplocus. REINECKE. | decipiens. Sow. mutabilis Sow. communis. Sow. plicatilis. giganteus. colubrinus, Rziw. fimbriatus. Sow. Brownii. Koenigii. Brodiaeı. Davaei. etc. Ces deux dernières espèces se rapprochent beaucoup des Coronaires. Il regne une grande confusion dans la dé- termination des espèces de cette famille. V. Les Cononwamzs. Coronati. Le dos est arrondi et très élargi , sans siphon apparent, Le côté est armé d’une ran- gée de tubercules ou de pointes, qui parais- 144 sent s'élever au _ dessus des tours de spire en forme de couronnes. | Les tours accroissent rapidement ; ce qui fait naître un ombilic souvent trés enfoncé. Le cóté est garni, depuis la base, de stries ou de plus simples $ ils se partagent en deux ou trois plis qui s'élévent des tubercules ou des pointes , et ils traversent le dos. Le lobe las téral supérieur est placé entre le dorsal et la serie des pointes; le lobe latéral iníérieur se trouve au dessous des pointes. Catte disposi- tion est constante et facilite beaucoup à гесоп= naître les Coronaires. Le lobe ventral est très grand et accompagné de deux bras qui ne lui cédent pas beaucoup en grandeur. Le lobe dor- sale est presque aussi large qu'il est profond. Voyez pl. II. f. 5 Ammonites coronarius Зсньотн. ( Dlagdeni ? Sow.) de Bayeaux, f. В. Drackenbridgii Sow. ( Inaequalis Merian, ) d'Arau en Suisse. - А. Blagdeni Sow. Humphreyianus. Danksii. Bechei. 145 Brongniartii. Brackenbridgii. Auceps. Rein, crenatus, Rein. gas Goniatites sphaeric. de Haan. VI. Les Macrocépnares. Macrocephali. Leur dos est arrondi et se combine avec les cötes' sans arrête. Les tours de spire aug- mentent si rapidement, que le dernier tour embrasse ordinairement tous les autres. Il en résulte un. ombilic trés profond. La disposition des lobes est ainsi: le lobe ventral trés grand est accompagné de deux bras aussi large. que lui; un ou plusieurs lobes auxiliaires les sui- vent. La division - principale du. ventral est opposée au dorsal comme à l’ordinaire; le lobe latéral supérieur est opposé au bras du ventral. Le lobe ‚lateral inférieur est opposé au premier lobe auxiliaire intérieur , mais il. ‘est’. toujours au dessus de larréte arrondie qui . représente la pointe. des Coronaires et par. laquelle le cóté se combine au plan plus ou moins ver- IO 146 - tical , qui joint le dernier tour à celui qui le précéde. Voyez pl. III. f.6 4. macrocephalus Scurorn. des Vaches noires , Calvados. Placez dans cette famille : A. macrocephalus. Scnrornu. Herveyi, Sow. | Bernoulli, Merıan. Gervilli , Sow. Sublaevis , Рни, Yorkshire. t. VL yf Convexus , Merıan. Inflatus , Rein. Nudfieldensis , Sow. VII. Les ARMÉES. Armati. Elles sont armées de plusieurs séries de varices ou d'épines sur les cótés , quelquefois aussi sur le dos. Ces séries laissent un espa- cé libre à peu prés au milieu. du cóté dans lequel s'enfonce le lobe latéral supérieur. Il en résulte que le cóté reste plan et quil nest un peu bombé que très rarement. Le dos est souvent aussi large que le cóté , et 147 se joint à lui en angle droit ,:de manière que l'ouverture en devient presque carrée. La selle dorsale est trés - large , elle est ordinairement le double de la largeur du lobe latéral supérieur. Les petites selles de ses lobes secondaires sont toutes au méme niveau. Le lobe secondaire du milieu de cette selle est assez grand pour pouvoir être méconnu pour le lobe latéral supérieur. Mais celui - ci le surpasse constamment très considérablement et en longueur et en largeur. Voyez pl. IL f. 2, Amptonites Spiniger , Menu ; de Zeglingen , canton de Basle, — f, 7 B. А, perarmatus , des Vaches noires, Cal- vados. i MR | I] faut rapporter à cette famille: А. perarmatus Sow. Spiniger , MrnuN. | Nodosoides р бенготн. de Boe héme. ou asi Inflatus , Sow. non Rein, Rhodomagensis, De France. Sus- sex, \ ii 'Monile Sow. 10 148 -Varians, Sow. Coupoei.. — Birch = 9 | .. longispinus. Тя. TER | ay Hystris. Pus RU. f, A4. ‚ Williamsopii. Punt. +: IV. f. 43° : Athleta, Pun. t. VI. f. 19. VIII. Les: ia thn i “A dos ‚plan et à à plis ou côtes. ‚saillantes sur (s dos sans le passer. A. (noricus, Sonnorra. "t X Bos n "Dentetus. Sow. T Splendens A Duncan. — Guilielrhi, — YLautusli 5 Nu Js Comenntins, Complanati. Elles ne БОННЕ ‚que des stries extré- mement fines à leur surface, extérieure , sans varices, ni côtes, ni plis saillans. Elles sont ordinairement trés minces, en comparaison de leur hauteur, embrassantes , de maniére qu'on 149 y observe. jusqu'à cing ou. six lobes auxiliai- res, au dessous du ventral Les petites sel- les secondaires , ou la partie supérieure: des dents des lobes , est, en forme de cuiller, ovale , et beaucoup . plus grande que la partie inférieure de ces dents, qui est pointue сот- ше. dans toutes les Ammonites. Voyez pl. Ш. f. Ammonites voii aen . Les .espéces suivantes appartiennent à cet- te famille: dis | ‚А. heterophyllus. Sow.. Complanatus. Rein. -. Rotula. Sow. Capellinus. СоесШа. Rei, | " Dans ces, diverses familles ‚ne sont pas compris l’Ammonites | Capricornus ( planicosta Sow.) , ni Ammonites costatus Reın., deux Ammonites fréquentes et. trés remarquables. . On n’y trouve pas non plus l’Æmmonites no- р р dosus du Muschelkalk , ГА. asper Ruin. , le Pollux , le Castor , le pustulatus ( probosci- deus Sow.), ou tant d'autres. Elles s'attendent d'être examinées plus particulièrement dans leurs rapports. | 150 i L'4mmonites nodosus, (pl. IV. f. 4.) appartient à la section appelée Ceratites par 'M. de Haan, dont les selles ne sont pas dé- coupées; mais elles sont atrondies comme tou- tes les autres selles, et la partie inférieure | des lobes est en pointe, comme dans le reste des Ammonites. Quoique ces pointes soient trés petites, on remarque sans peine quil se forme une pointe au milieu , qui est la plus basse, et d'autres symmétriquement à droite et à gauche , de maniére que la hasta , qui veut se former, devient apparente, C'est l'Ammonite si caractéristique et di- stinctive pour la formation du Muschelkalk. M.-Elie de Beaumont dans son beau Mémoi- re sur la constitution des Vosges, a trés ju- Stement remarqué que cette formation ne con- tient jamais d'Ammonites à lobes plus decou- pés, ou à lobes persillés, comme on s'exprime ordinairement. M. Bronx de Heidelberg ajoute à cette observation curieuse la remarque im- portante qu'en général les découpures des lo- bes deviennent de plus en plus rares , à me- sure qu'on avance vers les roches les plus anciennes. 151 Les Ammonites des houilles , ou des schi- stes de transition appartiennent tous à la se- ction des Gonialites de M. de Haan, dont les lobes sont pointus dans le Баз, mais sans aucune dent, ni sans la moindre altération des selles. Le lobe inférieur , dans ces Ammoni- tes , est méme ordinairement si rapproché du ventral , qu'il se cache presque dans la partie inférieure du tour, ou dessous d'une partie de lavant - dernier tour. А АА АА Ам \ А BEER PNE PAPE TP TNR АЛ А IDE STI SITE SO STE NOTICE SUR UNE MACHOIRE INFÉRIEU- RE FOSSILE DE RHINOCEROS. Par le Directenr G. E Voyes la planche. 1. _ Les ossemens fossiles. de Mammont et de Rhinocéros se trouvent si fréquemment en Rus- sie, surtout en Sibérie, quil est étonnant d'en rencontrer si rarement les machoires inférieu- res. Il y a 25 ans que je dirige les travaux du Muséum de l'Université et de la Société et ce n'est que la seconde máchoire inférieure du Rhinocéros que j'ai pu obtenir. L'une complète a été décrite dans les Nou- veaux Mémoires de notre Société Tom. 1. p. 293. et figurée pl. XVIII. #1. 2. Le fragment , la branche droite, dela máchoire inférieure de Rhino- céros, qui fait l'objet de cette notice, a été envoyé par Mr. Quazen de Wangenneim de Tchéliabinsk en Sibérie. Ce Membre se distingue en général par son zèle de nous envoyer tout ce qui est remarquable dans les contrées qu'il habite. 153 id C'est pour lui remercier publiquement et pour rendre nos Membres plus attentifs sur les ob- jets qui les entourent et qui souvent peuvent étre d'un grand intérét pour nous et pour la science que jinsere cette courte notice dans notre Dulletin. Cette branche droite de la ináchoire in- férieure de Rhinocéros n'est pas complete; la branche ascendante y manque. Elle contient cinq molaires et la pointe en est large, épais- sie, et arrondie, sans incisives. La premiere molaire ou celle d'en arrière est large et à deuble lune formée par les contours de l'émail sur la couronne; la seconde de derrière ne ce- dant que peu, pour la grandeur, à la premiè- re, ne montre qune petit entaille, représentant la place de léchanerure future. Les dents molaires de devant sont plus petites et plus simples; la cinquième ou la première de de- vant manque tout à fait. Il n'en est resté que la trace de l'alvéole. La partie antérieure est arrondie, assez épaissie à trois trous très distincts pour les vaisseaux et les nerfs, mais ne porte aucune trace 154 dincisives, Dimensions principales en lignes H \ francaises. Longueur totale, (la branche as- (4 cendante étant cassée) . 1° — 44 Depuis la dernière molaire jus= quà la pointe , 4 „we — 1100 | —— de l'espace devant les a dents $ ber wey ko Геры Des ote Hauteur de la mächoire au des- sous de la derniére molaire 55 ad e ——— immédiatement devant la première molaire . ., . — 2. 10. Largeur de la symphyse . . — 3. 6. Longueur de l'espace alvéolaire 3 MI de u-—-—————————————— RR INIRE ES Ó ——"— E — —— de la couronne de la dernière molaire . . . . — 1. 10. Largeur de la méme. . . . — te № Hauteur —— . . . . . — 1. 1. \ Ve4F SOS LAI SOS GBI SES IGE SOS DE LOL GE EG I IT ESS LOG LEG GLE LOS A EG I GIS NOLICE SUR UN BOIS FOSSILE DE CERF, ( CERVUS FELLINUS ) par le Directeur G. Fischer. Voyez la Planche. II. Le genre Cerf a recu, depuis la publica- tion des Mémoires de Mr. le Baron Cuvier sur cette matiere (V. ses Recherches sur les osse- mens fossiles. Tome. III.), une augmentation con- sidérable d'espéces fossiles de la montagne de Boulade dans le Département du Puy-de-Dome. Deux ouvrages ont paru sur cette intéressante découverte. L'un de J. S. Devize, de Cnuasnror. et de J. В. Bovitter а paru sous titre: Essai géologique et minéralogique sur les environs d'Issoire Dé- partement du Puy-de-Dome et principalement sur la montagne de Boulade ; avec la descrip- tion et les figures lithographiees des ossemens fossiles qui y ont été recueillies. à Clermond — Ferrand. 1827. fol. | 104 PR avec XXX planches. ~ 156 Les auteurs s'attachent davantage à la géo- gnosie générale de ces contrées et ne font que nommer génériquement les corps fossiles qui sy trouvent sans en donner une description de- taillée. On y trouve bien des lithographies as- sez exactes et les planches qui concernent le genre Cerf, sont : Pl. Ш. Os frontaux d'un Cerf, ( Cervus Ela- phus ) de grandeur ordinaire. Pl. IV. f. 1. Os frontaux d'un Cerf dont la taille est d'un tiers plus élevée que le cerf ordinaire. f. 9. Os frontaux d'un cerf dont la taille est d' environ un ciuquiéme | plus élevée que celle du Che- vreuil ordinaire, Cervus Capre- olus. Pl. V. £. 1. 2. 4. Màchoires inférieure d'un Cerf de la grandeur du précédent. Pl. VI. f. 2*. 9. 10*. 13. fragmens de mächoi- re inférieure d'un Cerf de la taille ordinaire du Cerf ordinaire. 157 PI. УП. f. 3. fragment de la mâchoire | supé- rieure d'un jeune Cerf, dune taille un peu moins élevée que celle du Cerf ordinaire. f. 4* fragment de la máchoire supé- rieure gauche d'un Cerf de taille plus élevée que celle du Cerf ordinaire, f. 7* Máchoire inférieure d'un Cerf de la grandeur du Chevreuil, Pl. VIII. Máchoires. Tl. IX. f. 1. 2. Bois d'un Elan. (Cervus Al- | | ces) f. 3. 4. 5. Fragmens de bois de Rennes. C. Tarandus. pa 2 XI. G autres fragmens de bois de Rennes. XII. | Je ne citerai point les représentations d'os isolés de Cerf. Les auteurs ont donné aussi un tableau comparatif des lieux et des différentes natures du terrain ой lon a trouvé des osse- mens fossiles, qui, sans être complet, offre un coup d'oeil assez .intéressant. 158 L'autre ouvrage qui nest pas encore complet et qui parait par Livraisons est am. d'4uguste Bravarv, lAbbé Croiser et Josenr dine. i Il a pour titre: Recherches sur les osse- mens fossiles du Département du Puy-de-Dome; dédié à Mr. le Baron Cuvier. Paris et Cler- mond - Ferrand. 1827. 4. Cet ouvrage aura beaucoup plus de prix pour le Zoologue, par- ceque les ossemens fossiles ne sont pas seule- ment dessinés avec beaucoup d’exactitude, mais aussi bien définis systématiquement. Douze plan- ches sont consacrées au genre Cerf. La richesse de ces découvertes a encouragé ces auteurs de diviser le genre Cerf en deux sous - genres, Cataglochis et Anaglochis. Les espéces fossiles ont été représentées sur les planches ci - dessous indiquées. / Cataglochis Isidoviensis. Pl. I. IL. IIL Ferreri Pl, JR N^. VL a Etueriarum. Pl. VII. VIII. IX. X. Pardinensis. Pl. XI. f 4 — 8. 159 Arvernensis. Pl. XI. f. 1 — 3. XII. 1 — 5. XII bis. | Hippelachus. Cuv. Pl. XIII. ‚Anaglochis. Ardei. Livr. V. pl. I. II. UL IV. » rpamosus. — pl. V. La dague de Gerf dont nous parlons ici appartient à la serie des espèces à bois pal- . més. Elle a été trouvée dans une couche de tourbe à 9 pieds de profondeur aux ouvrages du canal de Fellin. *) Le Lieutenant Lvorr était aux ouvrages, (le 28 Juin 1825) qui lenvoya à son chef, alors feu le Général Béthancourt. Le Général a eu la complaisance de me la remettre pendant mon séjour à St. Pétersbourg. Mr. le Baron Cuvier a représenté une dague d'Élan à 5 andouilliers ( Ossemens foss. Tome III. Pl. IV. f. 24) qui présente quelque analogie avec la nótre, mais les pro- portions en sont différentes. La longueur en est de 15 pouces francais et l'envergure des an- douiler en comprend 17. Ce qui me parait *) Fellin est une ville du gouvernement de la Li- vonie, district de Bernau, sur le bord du fleuve Fellin à 241 werstes de Riga. 160 constituer un caractère bb c'est la dis- tance de la peaume dilatée de la racine; elle est de prés de 6 pouces; les andouilliers sont. presque de longueur _ égale et à une distance réguliére les uns des autres. Le premier, le troisieme et le dernier faisant pointe sontles plus forts, les. intermédiaires un peu plus minces. PIGOLFLGOLIGELSGELILSD UEBER DIE VERAENDERUNGEN DIE DAS BLUT UND DIE SECRETIONEN DES MENSCHLICHEN ORGANISMUS DURCH DIE CHOLERA ERLEIDEN , VON. | R. Hermann, Mit Schüchternheit ergreife ich die Feder, um dem gelehrten Publicum Arbeiten vorzu- legen, die ich zu Aufklärungen in einem Fache anstellte , in dem ich Laie bin, und zu denen mich ein noch univerdientes Vertrauen berief, — Ich sehe mich aber zu diesem Schritte gend- thigt, indem mehrere Schriften diese Arbeiten erwähnen , auch Auszüge aus den Berichten 3 die ich dem Moskauischen Medicinal-Rathe er- stattete, geben, die wegen ihrer Kürze leicht Missverständnisse veranlassen, ünd somit Irr- ihümer verbreiten könnten. — Ich bitte des- halb um Nachsicht für diese ünbedeutenden Leistungen. Möchte man bei ihrer Beurtheilung weniger ihren wissenschaftlichen Werth , als den Wunsch des Verfassers: selbst mit Gefahr IL EE 162 des eigenen Lebens nützlich werden zu wol- len , berücksichtigen. * ) Die Russische Regierung entwickelte hei der unglücklichen Verbeitung der Cholera die weisesten und kräftigsten Massregeln. Ausser den colossalen Anstalten, die zur Hemmung der Krankheit , zur Hilfe der Erkrankten und zur Unterstützung der Armen getroffen wurden, richtete sie ihr Augenmerk auch auf die Er- gründung des innern Wesens der Cholera. — In Folge dieser Absicht erhielt ich von Sr. Erlaucht dem General-Kriegs-Gouverneur von *) Noch ehe dieser Aufsatz im Drucke erschien, hat er mir sowohl Lob als Tadel zugezogen. Ich ergrei- fe deshalb diese Gelegenheit um zu erklarent dass ich auf Persönlichkeiten nie antworten werde. Ehrgeitz hat an meinen Arbeiten den geringsten Antheil; ich wünsche blos nützlich zu werden, und bin deshalb wegen des Schiksals meiner Ar- beiten unbesorgt: denn habe ich etwas brauch- bares geleistet, so wird es seinen Weg finden, trotz Lob oder Tadel; fehlt dagegen meinen Leistungen der innere Werth, nun so mögen sie den Weg alles 'Schlechten gehen, ich erkenne sie dann selbst nicht an! Hermann. 163 Moscau Fürsten Golitzin , durch den Moskaui- schen Medizinal-Rath, den Auftrag, durch che- mische Untersuchungen zur Erreichung dieses Zweckes beizutragen. — In folgenden Aufsatze werde ich die Resultate dieser Arbeiten mit- theilen. | Ich richtete meine Aufmerksamkeit beson- ders auf die Untersuchung des Bluts und der wässrigen Ausleerungen Cholera-Kranker; später untersuchte ich auch iis Galle und den Urin derselben. — Gleich zu Anfange meiner Arbeiten über das Blut Cholera-Kranker wurde ich durch das Vorkommen von freier Säure in dem Blutku- chen desselben überrascht. Ich hielt diese freie Säure anfänglich für eine Eigenthümlichkeit des Bluts «Cholera - Kranker , bis ich mich durch Blut, welches ich mir im gesunden Zustande ablassen liess , überzeugte ÿ dass auch dieses freie Säure, und zwar in grösserer Menge als das der Cholera-Kranken enthielt. Ehe ich da- her zur Beschreibung der Untersuchungen der Secretionen Cholera-Kranker übergehe, sey es mir. erlaubt meine Versuche zur Ausmittelung der freien Säure im Blute Gesunder mitzuthei- re 164 len, damit jeder in den Stand gesetzt werde dieselben wıederholen zu können. Untersuchung gesunden Blutsé Mein Blut hatte sich nach 24 Spinal in - Serum und Blutkuchen geschieden. — Man brach- te den Blutkuchen desselben auf ein gewogenes Filter und liess ihn so lange darauf, als noch Serum vom Papiere eingesogen wurde, Man wog ihn hieräuf und erhielt auf diese Weise aus 100 Theilen Blut: 57 Theile Serum und } | 43 —— feuchten Blutkuchen, | Das Serum war klar und röthlich gelb ge- färbt. Es hatte ein specifisches Gewicht von 1,0270. Empfindliche blaue Lakmustinktur wur= de durch dieses Serum deutlich. geröthet. Goss man Lakmustinktur auf den Blutku- chen , so wurde sie noch intensiver geröthet als durch das Serum. Um mich zu überzeugen, dass diese Rôthung nicht einer Färbung durch aufgelöstes Blutroth zuzuschreiben sey, vertheil- te ich Blutkachen in 2 Gläser von gleicher Form und übergoss ihn in dem einen Glase mit reinem Wasser, in dem 2ten aber mit blauer 165 ' Lakmustinktur und liess sie ruhig stehen. Ehe das Wasser von aufgelóstem Blutrothe einen réthlichen Schein angenommen hatte , war die Lakmustinktur schon intensiv: und rein roth gefärbt. - Wollte man auch zugeben, dass sie etwas Blutroth aufgenomen habe, so hätte doch dadurch . nimmermehr ein reines ‚Roth, sondern nur violet entstehen können. jo Lakmustinktur wird: mithin von gesundem Blute geróthet. Um sicher zu seyn; dass diese : Röthung der Lakmustinktur durch eine im Blute ent- haltene freie Säure -bewirkt werde , so wurde das Serum sowohl als der Blutkuchen mit koh« lensaurem Baryt gemengt und hierauf in einem mit der Quecksilber - Wanne in Verbindung stehendem pneumatischen Apparate gekocht. — Es entwickelte sich während dieser Operation Kohlensáure, die, bei 28^ Par. Barometerhóhe und 10? R, gemessen, für 100 Volumen des Serums : | . 18, 1 Volumen gasförm. Kohlensäure, "und für 100 Volume Blutkuchen: 21, 2 Volum. - gasfürm. Kohlensäure - betrug. : 166 Diese Versuche beweisen mit Sicherheit die Gegenwart von freier Säure im Blute; ‘aber es bleibt noch übrig darzuthun, dass diese freie Säure nicht blos Kohlensäure sey. — Man kochte deshalb. gleiche Quantitäten des- selben Blutkuchens in demselben Apparate, aber ohne Kohlensauren Baryt, und erhielt hierbei nur ; 10,4 Vol. gasf. Kohlensäure. 100 Volume des untersuchten Blutkuchens enthielten mithin: 10,4 Vol. freier Kohlensäu- re und so viel einer andern stärkeren Säure, dass durch sie 10,8 Vol, gasf. Kohlensäure ausgetrieben wurden, Ich habe einige Versuche aogestellt um die Natur dieser stärkeren Säure darzuthuu. — So mischte ich z, B. Blutkuchen mit Wasser und Schwefelsäure , filtrirte das Magma und unterwarf das Filtrat der Destillation. Das Des- tillat enthielt Essigsäure. | Hierdurch würde nur bestättigt werden, dass das Blut Verbindungen der Essigsäure enthielt, die Berzelius schon als milchsaures Natron nachwies. Es glückte mir aber nicht , ausser Kohlensäure , Essigsäure , Phosphorsäure ee a ia ur 167 und Hydrochlorsäure noch andere Säuren im Blute vorzufinden. Da nun Berzelius darthat , dass in den Salzen des. Bluts essigsäure Verbin- dungen vorkommen *), so wird unter Berücksich- tigung der chemischen Verwandschaften und der eben angeführten Resultate klar , dass die freien Säuren im Blute ‘nur aus Kohlensäure und Essigsäure bestehen dürften. Uebrigens wird durch Erscheinungen , die bei der Ent- mischung des Blutes während der Cholera statt finden , und die ich später erwähnen werde, bestättigt , dass die im Blute neben der Kohlen- säure vorkommende freie Säure Essigsäure sey. Fast gleiche Resultate gab das Blut einer gesunden schwangeren Frau. — Serum und Blutkuchen reagirten sauer, und verhielten sich rücksichtlich ihrer Quantität in 100 Theilen Bluts , ше 55,25 Serum zu 44,75 feucht. Blutkuchen. 100, 00 *) Ich gehe hierbei von der, hauptsächlich von Gme- lin vertheitigten, Ansicht aus, dass Milchsäure und Essigsäure itendisch sind; wiewohl Berzelius der- selben noch nicht beigetreten zu seyn scheint. 168 Das Spec. См. des Serums betrug :1,0230, Untersuchung des Bluts Cholera - Kranker. Auffallend verschiedene Resultate gab dage- gen das Blut Cholera- Kranker. — Schon die äussern Eigenschaften characterisiren dasselbe, Es ist nämlich ungewöhnlich consistent und dunkel gefärbt. Seine Dickflüssigkeit ist bei höheren Graden der Krankheit sogar so gross, dass es beim Aderlass nicht ans den Venen fliesst. Diese auffallende Erscheinung richtete meine Aufmerksamkeit besonders auf die Er- gründung ihrer Ursachen. Ich untersuchte des- halb das Blut Cholera-Kranker namentlich riicke sichtlich der Verhältnisse des Blutkuchens zum Serum, und rücksichtlich des | spscifischen Gewichts und des Säure-Gehalts des Serums. in verschiedenen Stadien der Krankheit , und kam auf diese Weise zu folgenden Resultaten, Einem Manne, der gleich im Anfange des Aufbruchs der Cholera in Moscau (zu Ende des Septembers 1830 ) einem sehr heftigen Anfalle in wenigen Stunden erlag, wurde 4 Stunden vor seinem Tode, nach heftigem Erbrechen Blut abgelassen. Dasselbe zerfiel in 100 Thei- len, in: 169 40 Theile Serum und | 60 —— Blutkuchen. Also Blut, welches im gesunden Zustande 43p? - Cent Blutkuchen wi gegeben haben würde , gab , nachdem es durch die Cholera verändert worden war: 60p? - Cent. Es hatte mithin 28p? - Cent seiner flüssigen Bestandtheile verlohren. Go Das Serum reagirte deutlich -alkalisch. Es hatte ein Spec. Gw. von 1036, und bestättig- te dadurch die Entwässerung des Bluts auf . eine entscheidende Weise. * ) *) Das Serum des normalen Bluts hatte ein Spec. Gw. — 1027, Nimmt man nach Berzelius Unter- suchung des menschlichen Serums an, dass es 9,9 p° - cent wasserfreie ^ Bestandtheile enthalte, so würde das Spec, Gw. dieser wasserfreien Sub- . stanzen 1,904 betragen , und 100 Theile des nor- malen Serums müssten 55,7 Theile Wasser verlie- ren um ihr Spec. Gw. von 1027 bis 1056 zu erhöhen. Diess würde einen Wasserverlust von 19,2 Theilen für 100 Theile Blut geben: aus der Berechnung der Verhältnisse des Blutkuchens zum Serum ergab sich aber ein Verlust von 28 p°-c. der flüssigen Bestandtheile. Aus dieser Differenz im Der Blutkuchen dagegen reagirte deutlich sauer und gab mit Kohlensaurem Baryt im pneumatischen Apparate ont für 100 Vo- lume desselben 21,2 Volume Kohlensäure , mithin genau so viel als der Blutkuchen des normalen Bluts gegeben hatte. Dagegen be- wiess die alkalische Reaction des Serums des- selben Bluts, dass dieses letztere keine freie Säure enthalten könne , und dass das Blut des Cholera - Kranken so viel freie Säure verlohren haben müsse, als in dem Serum des normalen Bluts nachgewiesen wurde, nämlich für 100 Volume des Letzteren ein Aequivalent von: 18,1 Vol. gasförmiger Kohlensäure, würde folgen, dass sich die absolute Quantität des Faserstoffs oder Blutroths im Blute während der Cholera vermehrt habe. Ich halte aber die- sen Schluss für zu gewagt, indem die Quantität des feuchten Blutkuchens nicht allein von der Quantität des Faserstoffs und Blutroths abhängt, sondern auch von der Art der Ausscheidung des Faserstoffs, die mehr oder weniger dicht erfolgen. kann. 171 Diese Thatsache, nämlich die Scheidung des cholerischen Bluts in einen sauren Blut- kuchen und in ein alkalisches Serum erscheint auf den ersten Blick paradox. Sie erklärt sich aber durch die Eigenschaft des Faserstoffs mit Säuren Verbindungen einzugehen ohne sie zu saturiren. Sie würde nur eine grössere Verwand- schaft des Blutkuchens zu den im Blute ent- haltenen freien Säuren, als das Serum besitzt, darthun , die vielleicht mit der Erscheinung analog ist, die Holz darbietet , wenn man es mit Essig oder anderen verdünnten Säuren, namentlich Schwefelsäure, übergiesst. Die Flüssigkeit verliert dabei einen grossen Theil ihrer Säure , indem sie sich im Holze concen- tritt. Aehnlich mag der Blutkuchen auf das Serum wirken. Er absorbirt die freie Säure bis zu einem gewissen Sättigungs - Grade. Ist dieser erreicht , so hört die Absorbtion auf und das Serum kann in diesem Falle noch freie Säure enthalten. Enthält das Blut aber weniger freie Säure als der Blutkuchen zu sei- ner Sättigung bedarf, so wird dem Serum alle freie Säure entzogen und es wird sogar eine alkalische Reaction eintreten , | weil es einfach 172 phosphorsaures Natron enthält, welches be- kanntlich gegen Pigmente alkalisch reagirt. Die alkalische Reaction des Serums chole- rischen Blutes ist eine sehr constante Erschei- nung. Sie tritt stets ein i nachdem die Kran« ken Ausleerungen durch Erbrechen gehabt ha- ben; man bemerkt sie aber nicht im Serum solcher Kranken, denen das Blut gleich beim ersten Anfalle, ehe Ausleerungen statt gefun- den haben , abgelassen wurde; auch ver- schwindet sie wieder, nachdem die Kranken die Cholera überstanden haben. Ma Eben so constant ist das überwiegende Verhältniss des Blutkuchens zum Serum, und die Zunahme des spec. Gw., mithin die Ent- wässerung des Serums. Um nicht zu weitläuftig zu werden, so habe ich eine hinreichende Anzahl Blutunter- suchungen in folgender Tabelle zusammen gestellt. ai - 2275 ct A” > ———-— ee St Ze ЧР Blutku-| Serum | Reaction |Reaction |Speei- | chen aus ate des Blut-|des Se-|fisches kuchens |rums ge-|Ge- aus 100 |'Theilen ^ gegen |gen Lak- Theilen| pj, |Lakmus. | mus, Blut. | Blut eines gesunden jungen Mannes: 43 57 —— | t—— á— sauer sauer Blut einer gesunden schwangereü Frau: | 44,75 |55,25| Sauer | sauer — Blut, welches einem / Mádchen beim ersten 2 Anfall der Cholera , ehe wässrige Ausle- erungen statt gefun- den hatten, abgelas- sen wurde: 50 50 | sauer | sauer [1027 — t A. xx era " < — ~ - PERS > Blut von Männer, a 55 43 Sauer Jalka- die die Cholera lisch hatten, aber ge- rettet wurden > Sb] 60,3 nachdem wissri- 2 ge Ausleerun gen ‚erfolgt waren, ab- gelassen : c| 62,5 | 37,5 eiua pibe ет llisch Venen alka- sauer [lisch Blut eines Mannes, . der der Cholera er- lag, 4 Stunden vor | alka- seinem Tode: 60,0 | 40,0} Sauer flisch Ls aude, FORD wae? ) Blut einer Frau, die die’ Cholera über- standen hatte , aber in Folge davon noch an einem entzündli- chen Fieber darnie- derlag : 46,25'| 53,751 sauer Ineutral|1028 . Blut , welches aus der rechten Herzkam-- mer eines: an der Cholera Verstorbenen auf- 174 gesammelt wurde , war nur unvollkommen ge- ronnen. Schüttelte man es ein wenig, so ward es bald flüssig und vollkommen homogen. Eine wirkliche Scheidung in Blutkuchen und Serum konnte man nicht mehr in ihm bewirken. — Unter dem Microscope zeigte es keine Blut- kügelchen mehr. Nur hin und wieder. konnte man Spuren häutiger Hüllen, vielleicht Reste der ehemaligen Blutkügelchen , bemerken. Ich habe mir einige Mühe gegeben, beson- dere, dem normalen Blute fremde Bestandthei- le in dem Blute Cholera - Kranker aufzusuchen, aber nichts der Art vorfinden können. Nament- lich suchte ich nach Harnstoff. Es ist nämlich Thatsache , dass die Harn - Absonderung wäh- rend der Cholera fast gänzlich unterdrückt ist; man sollte deshalb vermuthen, dass sich der Harnstoff im Blute anhäufen müsse. Aber in dem Blute eines Cholera - Kranken , der 3 Tage hintereinander keinen Urin gelassen hatte, konnte ich keinen Harnstoff finden. — Auch bemerkt man bei der Section der Cholera-Lei- chen, nach der Versicherung meines Freundes des Hr. Dr. Jähnichen, nie einen Harn» 175 Geruch. — Doch werde ich später vieder auf diesen Gegenstand züruckkommen. ^ Untersuchng der von Cholera - Kranken ausgebrochenen wässrigea Flüssigkeit. Zu den charakteristischen Symtomen der Cholera gehören copiöse Ausleerungen einer wässrigen ‘Flüssigkeit durch Erbrechen. Diese Flüssigkeit ist trübe, wenig, gewöhnlich schmu- zig- gelblich, gefärbt und von säuerlichem Geruche. Ihr specifisches Gewicht wechselt; so betrug das der Flüssigkeit , die ein Kranker in einer früheren Periode ausbrach | 1,0060. E Später verminderte sich dasselbe bis auf: 1,0055. Das specifische Gewicht der von einem anderen Kranken ausgebrochenen Flüssigkeit betrug nur: | 1,0035. Lässt man diese Flüssigkeiten einige Tage ruhig stehen, so klären sie sich, indem sich ein grauer Schleim aus ihnen absetzt, dessen Quantität wechseln kann. Die klare Flüssigkeit 176 erscheint dann gelblich gefärbt und zeigt fole - gendes Verhalten gegen Reagentien. Lakmustinktur wurde ‚durch sie ziemlich lebhaft geröthet. Salzsaures Eisenoxyd brachte eine schwach rothe Färbung hervor, Salzsaures Silber gab einen ziemlich häufigen käsigen Niederschlag, der sich leicht in Aetz = Ammio- niak löst. Aetz«Ammoniak schlug einige Flocken phosphorsauren Kalks aus dieser Flüssigkeit nieder. - Kleesaures Ammoniak gab eine geringe Menge eines weissen Niederschlags. | Salzsaurer Baryt zeigte keine Spur einer Trübung. Galläpfeltinktur brachte einen AR fleischfarbenen Niederschlag hervor. Bleizucker gab eine ziemlich häufige , gelblichweisse Trübung. Phosphorsaures Ammoniak zeigte Spuren von Magnesiasalzen. , Schwefelsaures Kupfer gab keine Trübung. Salpetersäure brachte. keine Veränderung in dé Flüssigkeit hervor, | 177 Beim Kochen coagulirte sich die Flüssig- keit nicht; selbst nachdem sie bis auf — ver- dampft worden war, blieb sie klar. ' Aus diesen Reactionen geht hervor à dass die uhtersuchten Flüssigkeiten aus gleichen _ Bestandtheilen zusammengesetzt waren, und dass sie: Wasser , freie Säure , animalische Substanzen ‘und salzsaure Salze mit geringen. Меп- gen phosphorsaurer Kalk-und Magnesia- Verbindungen enthielten; zu gleicher: Zeit folgt. aus ihrem Verhalten beim Kochen und gegen: Salpetersäure, dass in ihnen kein Eiweiss, - kein Käsestoff und keine ‚Galle enthalten waren. Zur Ausmittelung der Natur der in diesen. Flüssig- keiten enthaltenen freien Säure und, animali- schen Substanzen unterwarf man 4 Unzen der- selben der Distillation. Das Destillat hatte einen etwas empreumatischen Geruch , war übrigens wasserklar und ungefärbt. — Es reagirte gegen Lakmustinktur sauer, brachte aber in den Auf- lösungen von Baryt-Kalk-Silber-Quecksilberoxy- I2 178 dul-und Eisenoxyd-Salzen keine Spur von Fär- bungen oder Trübungen hervor. — Man koch- te das Destillat mit kohlensaurem Kalk, filtrirte und verdampfte hierauf die Flüssigkeit. Es blieb hierbei eine geringe Menge eines Salzes , wel- ches mit Schwefelsäure versetzt, Dämpfe von Essigsäure entwickelte. Die von Cholera- Kranken ausgebrochene Flüssigkeit enthält mithin freie Essigsäure, aber keine Spur freier Salzsäure“ — In der Retorte blieb ein brauner Rückstand von der Consistenz eines dicken Syrups. Der- selbe löste sich nur theilweis in Alcohol von _80 2. Es blieben schmuzig weisse Flocken ungelóst , die sich aber leicht in Wasser auf- lösten. Nachdem man sie auf einem Filter gesammelt und getrocknet hatte, stellten sie eine zusammengeschrumpfte , spröde, braune Masse dar, die bei der Erhitzung den Geruch nach gebranntem Brode entwickelte, eine Stick- stoffhaltige Kohle hinterliess und sich in allem wie Speichelstoff verbielt. — Die weingeistige Lösung des oben erwähnten Rückstandes der Destillation wurde verdampft. Es blieb ein brau- EN Zu oaa Se ET Sm cur LL EN Bu nee 179 nes Residuum, aus dem Kristalle von essigsauren Natron und Kochsalz anschossen. — Salpeter- saure brachte in der concentrirten wässrigen "Lösung desselben keine Veränderung hervor. Bei dem Erhitzen entwickelte er die Producte der Verbrennung animalischer Substanzen , als Rest blieb eine voluminóse Kohle , die nach vollkommener Verbrennung eine Asche hinter- liess, die Soda und Kohlsalz mit geringen Men- gen phosphorsaurer Kalk und Magnesia - Salze enthielt. Der Weingeist hatte mithin aus dem Rück- stande der Destillation : Osmazom ? essigsaures Natron, salzsaures Natron und Spuren von Kalk - Magnesia - und Phosphorsäure- Verbindungen aufgenommen, Dagegen war kein Harnstoff darin enthalten. Aus diesen Versuchen folgt: 1, dass die von Cholera-Kranken ausgebrochenen Flüssig- keiten als freie Säure nur Essigsäure , aber keine andere stärkere Säuren enthalten können, da sich in dem Riickstande der Destillation 12 * I. noch ziemlich viel essigsaures Natron 'vorfand welches bei Gegenwart von anderen 'stärkeren Säuren , durch letztere hätte zersetzt werden müssen, und 2, dass sich als animalische Sub- stanzen nur Speichelstoff und eine dem Osma- zom ähnliche Substanz vorfanden. - Um die in diesen Flüssigkeiten enthaltene freie Essigsäure quantitativ zu Lestimmen , mischte man gewogene Mengen der Ersteren mit kohlensaurem Baryt und kochte das Gemen- ge in einem , mit der Quecksilber - Wanne in Verbindung stehenden , pneumatischen Appa- rate. Man erhielt dabei Kohlensäure, aus deren Quantität die Aequivalente an Essigsäure be- rechnet wurden. Auf diese Weise gaben jene oben erwähn- ten , verschiedenes specifisches Gewicht besit- zende Flüssigkeiten folgende Resultate : 100 Volume der Flüssigkeit , deren spe- cif. Су. 1,0060 betrug, gab, bei 10° В. und 984 Par. Baromstd. , — 30 Volum: Kohlen- saure, deren Aequivalent an wasserfreier Essig- siure, für 1000 Theile der Flüssigkeit: 1,204 Theile beträgt. 181 100. Volume der Flüssigkeit , deren Spec. Gw. 1. ,0055 ‚betrug, ‚gaben 23,9 Kohlensäure, oder für 1000 Theile 0,942 Theil wasserfr,- Essigsäure. : Nas oM 100 Volume der Flüssigkeit , deren. ‚spee. Gw. 1, 0035. betrug, gaben. 12,8 Vol. ‚Kohlen- säure, oder für 1000 Theile 0, 513 Theil Was= serfr. Essigsäure. Die übrigen Bestandtheile fanden. porn i Mittel der Untersuchung. dieser 3F lüssigkeiten, für 1000 Theile drm jin folgenden Verhältnissen: _ TEN "T Osmazom-ähnliche ВЕ im "Wassers o haltigen Zustande: =. 6, 51 Theile Speichelstoff : XA MR UH 4, 04 —— Essigsaures und les Natron mit |. ‚ geringen Mengen Phosphorsäure, Kalk, und Magnesia: „1 ..: 1,56 —— Wasserfreie Essigsäure 0, 89, —— Wasser. und Schleim T 990, 00. —— 1000, 00 . . *) Bei, späteren. Prüfeagen ider von Cholera-Kranken > : 1 ' " } geringe | Mengen Buiyrinsäure,, 182 Selbst einem oberflächlichen Blicke auf die Resultate dieser Untersuchungen kann die gros- se Uebereinstimmung nicht entgehen , den die von den Cholera-Kranken ausgebrochene Flüs- sigkeit mit der chemischen Beschaffenheit des Magensaftes hat. Diese Uebereinstimmung ist so gross, dass man diese Flüssigkeit unbedingt für Magensaft halten und mithin auch die Or- gane, die jenen erzeugen, für ihre Bildung in Anspruch nehmen Капо, Ich lege auf diese Bemerkung einiges Gewicht , da sie für die Theorie der Krankheits-Erscheinungen während der Cholera von Bedeutung ist. | Untersuchung der wässrigen Exkremente Cholera - Kranker. | Die copiSsen Stuhlgänge Cholera - Kranker stellen wüssrige ‚ trübe, wenig und schmuzig gefárbte Flüssigkeiten dar, die den eigenthüm- lichen Geruch des stinkenden Oels, ‘das sich den Exkrementen im Dickdarm beimischt, besit- zen. Lässt man diese Flüssigkeiten längere Zeit stehen , so setzt sich aus ihnen ziemlich viel Schleim ab; doch klären sie sich dabei nie vollkommen auf, sondern bleiben milchicht. Setzt man sie der Einwirkung der atmosphä- 183 rischen Luft aus ‚ so färben sich die mit der Luft jn Berührung ‘stehenden Schichten mit der Zeit ; unter Sauerstoff - Absorbtion , dunk- ler und bräunlich grün. "Das wässrige Exkrement , welches ich zu nachstehenden Versuchen. verwendete , reagirte alkalisch. Salpeter - Säure brachte darin Auf- brausen, von Kohlensäure-Entwickelung, hervor. Beim Kochen entwickelte es ebenfalls Kohlen- säure , worauf die gekochte Flüssigkeit stärker alkalisch reagirte als zuvor. In der Asche des Excrements fand sich Soda. Hieraus wird klar, dass die untersuchte F lüssigkeit doppelt kohlen- saures Natron enthielt. * ) Beim Verdampfen des Excrements schieden: sich Flocken von Eiweiss aus. Man schied dieselben durch Fil- tration ab, verdampfte die klare Flüssigkeit und mischte den Rückstand mit Alcohol, wo- bei sich Flocken von Speichelstoff ausschieden. Die weingeistige Lösung war braun gefärbt. | *) Später brachte ich in Erfahrung, dass der. Kran- ke kurz vor der Ausleerung Soda - Wasser zu. sich genommen hatte. Das doppelt kohlens. Natron war mithin zufällig im Exkremente enthalten, 184 Salpetersäure ändert die braune Farbe durch grün in roth um, und .deutete - durch, ; dieses Farbenspiel auf Farbestoff der Galle und mithin auch auf die übrigen Bestandtheile der Letzteren. Man verdampfte den weingeistigen Auszug ur Trockne. Es blieb ein sehr ‚salzhaltiger Rückstand , in dem animalische Verbindungen die untergeordneteren Bestandtheile ausmachten und die grässten Theils aus: einer dem Osmozom ähnlichen Substanz bestand, die mit sehr gerin- gen Mengen Picromel und Gallenharz gemengt war. Aus dem salzigen Theile dieses weingei- stigen Auszugs entwickelte Salpetersäure, Dämpfe von Essigsäure und Butyrinsäure. — Von Harn- Stoff war keine Spur im Exkremente zu findeu. Wie ich schon erwähnte, fand sich später, dass das untersuchte Exkrement nur zufällig doppelt kohlensaures Natron enthielt. Es blieb daher noch übrig. die Ausleerungen anderer Cholera - Kranker rücksichtlich eines möglichen Säure - Gehaltes zu prüfen, In der That fand ich bei späteren Reactionen nie wieder Alkales- senz, wohl aber freie Sàure dacin vor. auch er- laube ich mir, mich in dieser Beziehung auf das Zeugniss des Hr. Etats-Rath Dr. Reuss zu berufen, uiu i Fr ar ee ne ie beoe | ^ ABEST - . "n " NS S A - 2. " — 0 te Gant. ER ee ae LS —— X P nl I nn me U >> d 155 der , nach mündlicher Versicherung , die Ex- kremente Cholera Kranker stets sauer fand. t Was den Inhalt des Darmkanals der Cholera - Leichen betrifft ,. so habe ich sie rücksichtlich eines Gehaltes an freirer Säure nnr einmal durch die Güte des Hr. Drs. Dann, eines der von der Königl. Preussischen Regie- rung zur Beobachung der. Cholera abgeschick- - ten ausgezeichneten Aerzte, zu prüfen Gelegen- heit gehabt. In der Leiche eines Mannes, der einem heftigen Anfalle der Cholera schon nach 24 Stunden erlag, während der Zeit aber nicht gebrochen , sondern nur laxirt hatte, fanden sich bei der Section mehrere Pfunde Flüssichkeit im. Magen und. Zwölflinger-Darm , weniger ‘im Dickdarme vor. — Die in dem Magen enthaltene Flüssigkeit glich ganz derje: nigen, die von den Cholera - Kranken durch Erbrechen ausgeleert wird. Sie reagirte | sauer und enthielt die schon | oben angeführten Destandttheile . derselben. | Der Inhalt des Zwülffinger - Darms glich im Aeussern der im Magen enthaltenen Flüssigkeit , doch reagirte sie weniger sauer. Der Inhalt des Dickdarms hatte schon den widrigen Geruch des Exkre- \ 186 ments angenommen und war trüber und saurer als der Inhalt des Magens und Zwölffinger- darms. Ein anderes mal fand der Herr Dr. Dann im Darmkanal der Leiche eines Kranken, der der Cholera ebenfalls sehr schnell, und ohne Erbrechen gehabt zu haben, erlag, eine so saure Flüssigkeit, dass seine stählernen Instru- mente durch selbige angefressen wurden und der essigsaure Geruch, der sich aus ihr entwickelte , im hohen Grade merklich war. Diess wären die Resultate, die die Unter- suchung des Inhalts des Darmkanals und der Exkremente Cholera - Kranker darboten: Ich hätte gewünscht, mehr Sorgfalt auf diesen Theil meiner Arbeiten über die Cholera verwenden zu können, aber ich gestehe aufrichtig , dass ich nicht genug Selbstbeherrschung besass, um den natürlichen Abscheu vor so ekelhaften Substanzen in einem höhern Grade überwinden zu können. Doch halte ich sie für genügend um den Schluss daraus zu ziehen: dass die Eskremente der Cholera - Kranken die grösste Analogie mit der von ihnen ausgebrochenen Flüssigkeit besitzen. Denn zieht man das 187 Eiweiss , welches sich wahrscheinlich durch den pancreatischen Saft beimischt, und geringe Mengen Galle und stinkendes Oel ab, die sich im Exkrement vorfanden, so bleibt eine Flüssig- keit‘, die durch "freie Säure, Speichelstoff , eine dem Osmazom ähnliche Substanz, essigsaure und butyrinsaure Salze, ‘Schleim und viel Wasser characterisirt _ wird, die mithin alle Bestandtheile und noch dazu in anscheinend gleichern Verhältnissen als die ausgebrochene Flüssigkeit enthält. Untersuchung des Urins eines Cholera - Kranken. Während der Cholera ist bekanntlich die Urin - Secretion in hohem Grade unterdrückt. Ich hatte daher keine Gelegenheit mir Urin verschaffen zu können , der während höherer Grade der Krankheit abgeschieden worden wäre. Der Urin , der nachstehendes Verhalten zeigte, war der erste, den ein Kranker , nachdem n er einen starken Cholera - Anfall überstanden hatte , ausschied. 188 Derselbe stellte eine gelbliche etwas trübe Flüssigkeit dar, aus welcher sich kein Nieder- schlag äbsetzte. Gegen Lakmus verhielt er sich vollkommen neutral. Beim Kochen erlitt er keine auffallende Veränderung. Salzsaurer Kalk, salzsaures Silber, salzsaures Eisenoxyd und essigsaures Bley brach- ten Niederschläge in demselben hervor, de- ren Quantität durchgängig viel geringer war, als sie Urin gesunder Menschen nigegaben haben würde. à | Wurde er verdampfft , so hinterliess.. er einen braunen Rückstand , aus dem Леш - Natron , Ammoniak entwickelte. Mischte man etwas dieses Rückstandes mit einem ‚gleichen Volumen Salpetersäure, und erkältete man das Gemisch bis zum Frostpunk- te, so erhielt man Kristalle von a rem Harnstoff. Diese Versuche beweisen die Gegenwart von salzsauren, phosphorsauren und Ammoniak- Salzen, so wie von Harnstoff in dem untersuch- ten Urine, Doch war die En HR dieser Substanzen in einem viel geringeren Varhältnisse 189 darin enthlten , als in dem Harne gesunder Mes Dasselbe wird durch das specif. Gw. beider Flüssigkeiten bestätigt, denn das des untersuch- ten Harns betrug : 1,0060. Dagegen hat Harn Gesunder ein mittleres spec, Gw. von ne | 1,0200. Nimmt man bei dieser Schwere einen Gehalt von 6,72 fester Stoffe an, so kann ein Harn, der ein spec. Gw. von 1,006 hat, bei übrigens gleicher Qualität der Bestandtheile, nur 2° enthalten. ‘Der untersuchte Urin en- thielt mithin kaum den 3ten Theil der festen Bestandtheile des normalen. Dieses Resultat ist in der That überraschend 1 da man glauben sollte, dass nach der langen Unterdrückung der Urinsecretion während der | Cholera > derselbe bei seinem Wiederauftreten mit festen DBestandtheilen , namentlich mit Harnstoff , überladen seyn müsste. Der Grund jener ganz entgegen gesetzten Thatsache muss 190 mithin tiefer liegen , und ich erlaube mir des- halb folgende Bemerkungen beizufügen, Bis jetzt gehört es noch zu den Proble- men für die Physiologie das Organ für die Harnstoff - Bereitung nach zuweisen , denn aus den Untersuchungen von Prevost, Dumas, Meyer u.a. geht hervor, dass nach der Exstirpation der Nieren , Harnstoff gebildet wird, der dann, da der natürliche Abzugskanal abgeschnitten ist, sich theils im Blute anhäuft , theils auch in den Darmkanal u. s. w. ausgeschieden wird, Diese Versuche beweisen offenbar , dass die Nieren nicht das einzige Organ für die Harns- toff - Bereitung sind, wiewohl nicht aus ihnen folgt , dass gar kein Harnstoff in denselben gebildet werden könne. Der Zustand des Orga- nismus während der Cholera verleiht, aber letzterer Ansicht Gewicht, der Hr. Dr. Jähni- chen fand bei seinen zahlreichen anatomischen Untersuchungen , dass sich die Nieren der Cholera - Leichen in einen normalen und mit Blut angefüllten Zustande befinden. Könnte nun Harnstoff in den Nieren gebildet werden , so müsste sich derselbe, da keine Urin - Secre- tion statt findet , entweder im Blute anhäufen, | 191 oder die krankhaften Ausleerungen, die während der Cholera statt finden , entfernt werden. Ich habe mir aber viel Mühe gegeben denselben so- | wohl in den. ausgebrochenen Flüssigkeiten, als auch in den Stühlen und dem Blute Cholera- Kranker aufzusuchen , aber nie eine Spur desselben wahrgenommen. Wäre dia sichere Auffindung des Harnstoffs nicht mit viel Schwie- rigkeiten verbunden, so | würde ich mit ‚Bestimmtheit behaupten , dass während der Cholera gar kein Harnstoff gebildet wird , so aber glaube ich nur mit. Sicherheit erklären zu können , dass wenn er wirklich erzeugt wird, die Menge desselben viel unbedeu-. tender seyn muss, als während des gesunden Zustandes. — Da sich also während der Cho- lera bei normalem Zustande der Nieren, in der Haupt - Masse der Flüssigkeiten des Kör- pers , kein. Harnstoff vorfindet , auch durch Excretionen keiner ausgeschieden wird, so dürften die Nieren nicht das Organ für die Harnstoff-Bereitung seyn. Im Gegentheil muss derselbe in Theilen des Körpers bereitet wer- den, in denen eine grosse Störung ihrer Funk- tionen während der Cholera zu bemerken ist. 192 Ich mache deshalb besonders auf das Capillar- Gefäss-System der äusseren Oberfläche des Kor pers aufmerksam , in welchem die Blut-Circu- lation fast völlig erlischt, wie der matte Puls, die ‘ Kälte dieser Theile und ihr Blauwerden zur Genüge darthut. Ich glaube deshalb, dass der Harnstoff das Product der chemischen Zer- setzung seyn dürfte, die das Blut Am des _ Uebergangs aus den: Artexlón in die Venen der äussern ‘Hautfliche erleidet und sage mit Fleiss der äussern Hauifläche , weil die Circulation des Bluts besonderssin diesen Theilen gehemmt ist, dagegen in den innern, edleren heilen , vielleicht wegen grösserer Wärme derselben , mit geringerer Stórung fortgesetzt wird.— Die Unterbrechung der Urin-Secretion während der Cholera hat also ihren Grund darin: theils weil die Nieren im Blute keinen Harnstoff vor- finden , theils aber auch weil das Blut sich in einem entwässerten Zustande befindet. — Die Functionen der Nieren als Regulatoren der Blutmischung müssen demnach suspendirt wer- den, da dem Blute diejenigen Bestandtheile fehlen , für deren Ausscheidung sie bestimmt. sind. Diese Ansicht wird vollkommen durch 193 das Resultat bestättigt, welches sich aus der Beschaffenheit des ersten. Urins eines Kranken ziehen liess , der eben die Cholera überstan- den hatte. Da sich die. Mischung des Blutes nicht plótzlich nach dieser Krankheit wieder herstellt, wie aus der mitgetheilten Untersuchung des Bluts einer Kranken, die die Cholera überstan- den hatte , aber in Folge davon noch an ei- nem entzündlichen Fieber darniederlag, hervor- geht, sondern langsam erfolgt , so kann auch die Circulation des noch dicken Bluts in den Capillar-Gefässen der noch kalten äusseren Flä- - chen nur mit geringer Energie statt finden. Die Folge davon ist, dass wenig Harnstoff gebildet wird , und dass mithin auch die Nie- ren nur wenig Harnstoff ‘aus dem Blute extra- hiren können : der Urin kann deshalb wenig Harnstoff enthalten und sein spec. Gw. muss ‘am so leichter seyn. — Und so hätten wir denn gefunden , dass die auffallende Erscheinung des Aufhórens der Urin-Secretion während der Cholera, als eine Folge der dieselbe begleitenden Blut - Entmi- schung betrachtet werden muss. Pa 194 Untersuchungen über die Galle, die sich in den Cholera-Leichen vorfindet. Da ich keine gesunde menschliche Galle auftreiben konnte, so muss ich mich darauf beschränken, nachstehenden, mit der Galle an der Cholera Verstorbenen angestellten Versus . chen, dasjenige gegenüber zu stellen, was man über die Beschaffenheit normaler menschlicher Galle bisher beobachtet hat. — Ich beziche mich deshalb rücksichtlich des spec. Gw. und der Quantität der Galle auf Iohn und rück: sichtlich ihres chemischen Verhaltens auf die schätzbaren Untersuchungen von ‘Tiedemann und Gmelin. | Nach den Mittheilungen des Hr. Dr, Jähs nichen findet sich die Gallenblase in den Cho= lera-Leichen in der Regelin einem vergrósser- ten Zustande; und mit Galle strozend angefüllt. Die Gallengänge sind dabei keinesweges durch mechanische Hindernisse verschlossen. Er hatte die Güte mir 3 Gallenblasen zur Untersuchung zu übergeben, die die angeführten Eigenschaf- ten in hohem Grade besassen. Die darinn ents haltene Galle wog: _d de и rn in ee Ye. hen OA |a een 195 Von № 1 — 14 Drachen 33 № 3 = 16 — ' 5 №3 = 15 Ihr specifisches Gewicht betrug 1048. Iohn giebt die Quantität der Galle im äusgewachsenen menschlichen Körper zu unge= fähr 1 Unze ind ihr Spec. Gw. fü 1026 an; Die Quantität und das spec: Су; der Galle Cholera = Kranker würde demnach auf das Doppelté gestiegen seyn. — Ihre übrigen äus= sern Eigenschaften ; namentlich die Farbe; differirten nicht von den gesunder Ochsen - Galle; nur war sie consistenter: Sie zeigte in dieser Beziehung ganz die Consistenz des braunen Zuckersyrups und hatte auch dessen fadenziehendö Eigenschaft: Die Versuche ; die ich mit ihr änstellte ; sind kürzlich folgende : Man mischte 1 Volumen der Galle mit 4 - Nol. Alcohol von 802: Es schied sich dabei ешё grosse Menge einer Substanz aus; die Schleim, étivas Ei- weiss; eine der menschlichen Galle eigenthüme i3 * 196 liche in Weingeist unlösliche Substanz und viel- leicht auch noch andere Stoffe enthielt. Man trennte diese Niederschläge von der weingei- stigen Auflösung durch Filtration und verdampf- te den Weingeist. Den Rest löste man wie- der in Wasser und setzte Bleizucker zu dieser Auflösung. Es entstand dadurch ein beträcht- licher Niederschlag, der den ganzen Farbstoff der Galle nebst Gallenharz und etwas Picro- mel enthielt. Man filtrirte die Flüssigkeit noch- mals und setzte jetzt Bleiessig zu; dadurch entstand aber nur eine geringe Menge eines Niederschlags, ebenfalls Gallenharz und Picro- mel enthaltend. Man trennte ihn von der Flüssigkeit , leitete durch letztere Hydrothion- säure , entfernte das Schwefelblei und ver- dampfte die Flüssigkeit. Man erhielt als Rest rei- nes Picromel. — Ferner wurden 3 Volume Galle mit einem Volumen Aether geschüttelt. Der letztere färbte sich dabei gelblich. Man goss ihn in eine Glasschaale und liess ihn darinn verdampfen. Während der Verdünstung kry- stallisirte Cholasterin aus der Flüssigkeit. Als Rest blieb ein saures Oel, welches mit Soda Seife bildete, mithin Oel-Säure war. 197 Aus dieser Prüfung ergiebt sich , dass Weingeist und Aether aus der Galle an der Cholera Verstorbener . dieselben Bestandtheile auszogen, die Tiedemann und Gmelin ‚in den gleichnamigen Auszügen der normalen Galle nachwiesen. Nur auf eine Verschiedenheit muss ich aufmerksam machen. Die genannten Gelehrten sagen nämlich in ihrem vortrefilichen Werke über die Verdauung pag. 89: „Bleizucker trübte den weingeistigen Auszug der menschlichen Galle nicht, Bleiessig brachte dagegen einen star- ken Niederschlag hervor. “ | Die Galle der an der Cholera Verstorbe- nen verhielt sich in dieser Beziehung gerade umgekehrt. Sie brachte nämlich mit Bleizu- cker einen starken Niederschlag, aber mit Bleies- sig, nur eine geringe Trübung hervor. Diess würde auf einen stärkeren Gehalt an Gallen- harz in der Galle Cholera - Krauker hindeu- ten. — | Vergleicht man nun die Beschaffenheit der Galle Cholera - Kranker mit, der oben aufge- stellten Normal - Beschaffenheit , ‘so ergiebt 198 sich, dass sie in beiden Fällen dieselben Be- standtheile zeigte. Der einzige Unterschied scheint darinn zu bestehen, dass die Galle Cholera - Kranker consistenter , schwerer und mithin ärmer an Wasser ist, als die, Gesun- der. Trotz dieser Gleichheit der Mischung spielt die Galle aber doch eine Rolle bei der Zerrüttung des Mechanismus unserer Constitu- tion während der Cholera. Der Gallen - Er- guss in das Duodenum ist nämlich gehemmt , wie aus den Untersuchungen der Exkremente und ausgebrochenen Flüssigkeiten hervorgeht , und wie durch die Sectionen bastättigt wird , da die Gallenblase häufig vergrössert und mit Galle überfüllt angetroffen wird. Da die Gal- len - ‚Gänge aber nicht durch mechanische Hin- dernisse verschlossen sind, so muss das Hin- derniss in einer ee Verschliessung . derselben gesucht werden. — Uebrigens ist diese Erscheinung von secundärer Wichtigkeit, da es bekannt ist, dass die Gallengänge un- terbunden oder durch Gallen - Concretionen verschlossen werden können, ohne dass das Leben dadurch direkt gefährtet wird. Es tritt dabei nur Gelbsucht ein. Auffallend ist es 199 aber, dass während der Cholera nicht eben- falls Gelbsucht erscheint ! Diess wären die Resultate , die ich bei meinen Untersuchungen über die Cholera er- hielt. Da sie aber nur einigen Werth durch Anwenduug auf Physiologie und Pathologie er- langen können , so erlaube ich mir in dieser Beziehung einige Bemerkungen beizufügen. Vor allen mache ich auf die besondere Beschaf- fenheit des Bluts während der Cholera auf- merksam. Jedem, der diese Krankheit zu beobachten Gelegenheit gehabt hat, musste es auffallen , dass es bei höheren Grade der- selben so dickflüssig wird , dass es bei Ader- lassen nicht mehr aus den Venen fliesst. — Ich habe bewiesen , dass das Blut in diesen Zustande viel weniger Wasser und etwas we- niger freie Essigsäure enthält, als im norma- len Zustande : denn das Verhältniss des Blut- kuchens zum Blutserum war von 43$ auf 602 gestiegen, das ursprünglich. saure. Serum war alkalisch geworden. und sein spec. Gw. fand sich von 1,0270 auf 1,0360. erhöht. Nimmt man die Quantität des Bluts in einem ausge- wachsenen Manne zu 30 ib und (nach oben 200 angeführtem Experimente), als Aequivalent der im normalen Serum enthaltenen freien Säure für 100 Vol. desselben 18,1 Vol. gasförmiger Kohlensäure an, so ergiebt sich, dass der . Blutmasse während der Cholera 8,5 1b Wasser und 47 Gran wasserfreier Essigsäu- re entzogen wurden. * ) Die Blutverdickung geschicht mitbin durch Wasser und Essigsäure - Entziehung. Namentlich scheint die Entfernung der Essigsäure, noch während des Lebens , Faserstoff - Ausscheidung © aus dem Blute zu bewirken , und dadurch am meisten zur Verdickung desselben beizutragen. *) Anmerk. Зо ib normales Blut enthalten 17 № Se- rum. 100 Vol. Serum gaben als Aequivalent der darinn enthalenen freien Säure: 18,1 Vol. gasförm. Kohlenäure. Bei der Untersuchung des Blutku- chens ergab sich, dass die Hälfte dieser Kohlensäure ursprünglich als freie Kohlensäure im Blute enthalten war, die andere Hälfte aber als ein Aequivalent der neben ihr darinn enthaltenen Essig- säure zu berechnen sey. Es bleiben also für letz- tere 9 Volumen und diese geben für 17 Ib Serum 47 Gran wasserfreie Essigsäure, 201 Ich stütze diese Vermuthung auf folgende That- sachen : 1, Faserstoff ist an und für sich unauflös- lich im Wasser. | 2, Essigsäure ist ein Lösungsmittel für Faserstoff und Eiweiss , und 3, der Hr. Dr. Jähnichen. fand bei 50 Sectionen Choler - Leichen constant Ausschei- dungen von Faserstoff im Herzen vor, der sich polypenartig an die innern Wände, Mus- kelstämme und Klappen des Herzens angelegt hatte. Und zwar fand er sich in den Leichen, deren Tod langsam erfolgte, stets rein weiss , compact, fest anhängend und mannichfaltig mit den Muskelstämmen verschlungen; in den Leichen von Individuen aber, die sehr schnell der Krankheit erlagen, war die Ausscheidung nur unvollkommen erfolgt. Der Faserstoff bil- dete mit Blutroth gemengt , wenig Zusammen- hängende und leicht von den Wänden des Her- zens lósbare Massen. Dieser Unterschied kann nicht anders erklärt werden, als dass die Fa- serstoff - Ausscheidung aus dem Blute noch während des Lebens erfolgte und dass er sich 202 zwischen den , durch die Muskelstämme und Klappen gebildeten Verengerungen wie auf ei- nem Seihetuche absetzte. Es ist klar dass sich diese Ausscheidungen um so vollkommener aus- bilden mussten, je langsamer sie erfolgten und je häufiger das zersetzte Blut jene Theile durch- strömte. Hingegen wird bei plötzlichem Ein- treten der Blutentmischung die Circulation ein schnelles Ende erreichen , der Tod wird schnell erfolgen und es kónnen sich bei der allgemeinen Erstarrung der ganzen Blutmasse kei- ne örtlichen Anhäufungen von Faserstoff aus- bilden. — Diese Ansicht, dass nämlich die Verdickung des Bluts durch Faserstoff- Ausschei- dung bewirkt werde, die nach der Entfernung eines Theils seiner Lösungsmittel : der Essig-. säure und des Wassers, erfolgte , wird auf- fallend dadurch bestättigt, dass die Blutzerset- zung, während der Cholera, stets erst eintritt, nachdem jene wässrigen Ausleerungen erfolgt sind , deren Hauptbestandtheile gerade dieje- nigen Stoffe sind, die dem Blute fehlen, näm- lich : Wasser und Essigsäure. Man wird des- halb zu dem Schlusse gezwungen: ens ee ae ee ee en à | 203 Die wässrigen Flüssigkeiten, die während der Cholera von oben und unten ausgeleert wer- den, machten vorher Bestandtheile des Bluts | aus: durch ihre Entfernung wurde das Blut ».. decomponirt.* Gegen diesen Schluss , den ich schon in einem. Berichte aussprach , den ich am 13 October 1830 im Moskauischen Medicinal-Ra- the las > machte ein achtbarer Gelehrter den Einwurf, dass es auch Fälle geben könne, wo der Tod ohne vorhergegangene Ausleerun- gen erfolgt und dass wol dann auch keine Biu- tentmischung statt: gefunden haben dürfte. Ich erklärte dagegen, dass diese Fälle zu den sel- tenern gehörten, und dass dann der Tod sehr schnell erfolgen würde. Blutentmischung müsse aber stets während der Cholera eintreten und dass mann sicher annehmen könne , dass eine Leiche deren Blut bis zu ihrem Eude flüssig blieb , auch nicht an der Cholera gestorben sey. Dagegen gab ich zu, dass die Blutent- mischung bei sehr heftigen Anfällen der Cho- lera, in denen der Tod schon in wenigen Stunden erfolgt, auch ohne Ausleerungee statt finden könne ; fügte aber hinzu , dass man in 204 solchen Fällen so viel einer EN Flüssigkeit ia den Eingeweiden der Leiche vorfinden wür- de, dass sich die Blutentmischung aus ihrer Entziehung erklären lasse. Diese Vorher - Ver- kündigung fand sich später durch die oben angeführten Mittheilungen des Hr. Dr. Dann vollkommeu bestáttigt. — Also durch Entzie- - hung jener sauren und wässrigen Flüssigkeiten, die durch Cholera - Kranke von oben und un- ten ausgeleert werden , oder dié sich in Fäl- len wo der Tod schnell und ohne vorherge- gangene Ausleerungen erfolgte , in den Einge- weiden ansammelten , wird das Blut zersetzt. Es scheidet.sich dabei Faserstoff aus, der sich zum Theil in dem Herzen als Pseudopolypen ansammelt ; und durch Eniziehung einer gros- sen Quantität Wassers , die bis auf 8 1b stei- gen kann, wird das Verhältniss der plastischen Bestandtheile des Bluts bedeutend vermehrt. Diese Veränderung erhöht die Consistenz des Blutes und verhindert seine Circulation. durch die Capillar - Gefässe : daher kommt die. Kälte der äussern Hautflächen und das Blauwerden der Cholera- Kranken. Endlich hört bei fort- während steigender Verdickung des Bluts die - : u TS RL ee 205 Circulation ganz auf und der Tod muss da- durch erfolgen. | Die nächste Ursache des Todes der, Cho- lera - Kranken ist mithin die И erdickung des Bluts und das dadurch bewirkte Aufhoren sei- ner Circulation. Ich muss aber darauf aufmerksam machen, dass die Blutentmischung bei der allgemein anerkannten vis medicatrix belebter Organis- men nicht, oder wenigstens nicht in so schnel- ler Progression erfolgen könnte , wenn der Darmkanal seine Functionen verrichtete. Jene schnelle und das Leben so hart bedrohende Blutzersetzung , durch fast blosse: Wasser-Ent- ziehung, zwingt deshalb zu der Aunahme: dass die : Absorbtions - Fähigkeit des | Darmkanals während der Cholera absolut ertódtet seyn muss. Und hierdurch wird die Cholera characte- risirt. Sie würde sich bei ungestörter Abéorls- tions - Fähigkeit des Darmkanals nicht von ge- wöhnlichen Diarrhöen und Erbrechen unter- scheiden, denn auch hierbei werden dem Blu- te Flüssigkeiten entzogen. — Es entsteht aber hierbei Durst, und die Sauggefässe des Darm- e 906 kanals absorbiren aus den genossenén Geträn: ken schnell wieder so viel Flüssigkeit als zur Wiederherstellung der Blutmischung nöthig ist. Während der Cholera findet aber keine Vers dauung und Assimilation statt; wie Aerzte durch viele Erfahrungen bestättigen können; ( Als Beweis kann auch das doppelt kohlen- saure Natron dienen ; das ich im Exkreriente eines Cholera = Kranken fand; der kurz vorher Soda - Wasser getrunken hatte, ) Alle Erscheinungen; die die Blutentmi- schung während der Cholera bewirken und dadurch den Tod herbeiführen ; lassen sich mithin auf folgende Ursachen zurückführen : 1; auf die Ursache ; die Ausscheidung von Essigsäure und Wasser aus dem Biuté bewirkt ; und 2, auf die Ursache, welche die; Absorbtions: Fähigkeit des Darmkanals ertödtet: | Man hat über diese primitiven Ursachen der Krankheits - Erscheinungen während der Cholera sehr verschiedene Meinungen geäus- sert; und dies könnte schon als Beweis die- hen ; dass sie dunkel und wie jede letzte Ur- Sache schwer zu ergründen sind; Ich würde 207 deshalli diesen abstractén Gegenstand аш lieb: sten ganz mit Stillschweigen übergehen , wenn ich nicht die Verpflichtung auf mir kätte, die in diesem Aufsatze entwickelten Thatsachen auf - einen organischen Grund zurück zu führen: In neuster Zeit haben meine verehrten Freun- de: Sr. Excellenz der Herr wirkliche Etats-Rath v. Loder; der Hr: Kollegien-Rath Dr. Markus und der. Hr. Dr. Jänichen in geistreichen Schrif: ten die ersten Ursachen der Gliolera in einem dürch Einwirkung eines Miasmas bewirkten Lei- den des sympathischen Nervens, als Paralyse des Herzens und als; durch Einwirkung jenes Mias- inas bewirkte; chemische Zersetzung des Bluts darzustellen versucht: == Es kann mir, als Nichtarzt ; nicht einfallen jene ; auf Symptome begründeten Resultate der Forschungen so ausgezeichneter Aerzte kritisiren zu wollen; ich erlaube mir nur die Bemerkung: dass auch der nervus vagus Berücksichtigung zu werdie- hen scheint ; und finde die Belege dazu: 1, in dem die Anfälle der Cholera beglei- tenden kranipfhaften Reize im Kehlkopfe , 2, in der krampíhaften Verschliessung der Gallen « Gänge und 208 4, in den copiósen Ausscheidungen einer. sauren Flüssigkeit im Magen, die rücksichtlich ihrer chemischen Beschaffenheit vollkommen mit Magensaft übereinstimmt; die mithin, nach den Erfahrungen mehrerer Physiologen, die freie Säure im Magensafte verschwinden sahen, nach- dem der nervus vagus unterbunden worden war, nur unter reizender Mitwirkung jenes Nerven | erfolgen können. | | Durch diese Gründe bewogen, erlaube ich mir folgendes Bild der primitiven Ursachen der Krankheits-Erscheinungen, während der Cholera, Aerzten zur Prüfung vorzulegen. | Die erste Veranlassung zu dieser Krankheit ist ein Miasma, welches sich bei gewissen Ausbildungs-Graden der Cholera in den, mit dieser Krankheit behafteten, Individuen erzeugt, und von ihnen in die Luft ausgehaucht und ausgedünstet wird. leder der solche: verpestete Luft einathmet , setzt sich der Gefahr aus, angesteckt zu werden, wenn er zur Cholera disponirt ist. Die Anzahl der zur Cholera disponirten Individuen ist aber nicht «gross. (Hier in Moscau waren es nur 3$.) Doch kann die Disposition durch viele Veranlassungen | er- . 209 hóht.,' oder auch vermindert werden. | Als Verminderungs -Mittel nenne | ich | besonders: Gleichmuth und Geistesstárke ; als Erhóhungs - Mittel: Furcht, Sorge, Schlaftrunkenheit , Schlaffheit, Trunkenheit, Diätfehler und Erkäl- ^ tungen. Das Princip der Fortpflanzung der Cholera , jenes. Miasma , ist dasselbe als das der eigentlich contagiósen Krankheiten, Es ist nur flüchtiger , wird daher schnell durch Ver- dampfang in die Luft übergeführt , gehorcht in dieser Auflósung den Gesetzen für den Was- . serdunst und wird nicht durch die Haut, wohl aber durch. die Lungen‘, bei: der Respiration , absorbirt. (Daher leidet unter den Hausthieren vorzugsweise das Federvieh während . einer Cholera - Epidemie. ) ; ,. Diese Flüchtigkeit des Ansteckungs- Stoffs der Cholera und die Erforderniss einer Dispo- sition zu dieser Krankheit, erzeugt den Streit über die. Contagiositàt oder, Nichtcontagiositit derselben,, denn die Nichtcontagionisten können sich nicht. die Idee, einer durch genannte Bedin- gungen sehr beschränkten Möglichkeit der An- steckung, aneignen. — Also. auch ich bin der 14 210 Meinung, dass die primitive Ursache der Cholera in einem Miasma, Contagium oder viel- mehr in einem Krankheits - Saamen zu suchen sey. Dieser Saame erzeugt nur in den dazu disponirten Personen die Cholera. Meiner (viel- leicht sehr unreifen ) Ansicht » nach, scheint er vor allen eine Polarisation der Nerventhä- tigkeit zu bewirken. In den nervis vagis häuft sich Nerventhätigkeit an, dem Ganglien - Sys- tem’ wird sie entzogen und erzeugt dadurch eine Paralyse des Letzteren. Die Folge davon würde eine krampfhafte Ueberreizung der mit den nervis vagis in Verbindung. stehenden, eine Erschlaffung der von dem Ganglien-System versorgt werdenden Organ seyn. Jener durch die nerv. vag. bewirkte Reiz erzeugt den Krampf im Kehlkopf, das Verschliessen der Gallen - Gänge und jene copiösen Ausscheidungen eines sauren Magensaftes , der dem Blute entzogen ward und somit seine Entmischung veranlasste. Wegen der Paralyse des Ganglien - Systems hört die Absorbtion durch den Darmkanal auf, die Mischung des Blutes kann deshalb nicht 211 wieder hergestellt werden: es erstarrt und der Tod muss erfolgen, RS? Was die за der Cholera ibit ^M aufgestellten Theorie betrifft, ‹ so «muss. das Augenmerk des Arztes auf Wiederherstellung des ‚Gleichgewichts der Nerventhitigkeit, auf Verhütung, der Blutzersetzung , auf Wieder- herstellung der Mischung des Bluts: und der dadurch : ponen Circulation PRES ge- richtet seyn. Ich kann es mir erlassen, alle die Mittel, die diese Zwecke befördern ‚können, aufzuzählen, da 8000 Cholera-Kranke den Aerzten Moskaus in dieser Beziehung eine reiche Erndte von Erfahrungen verstattet haben ; | füge daher nur folgende Bemerkungen. bei, Der günstigste Momeht zur Bekämpfung der Cholera, ist der Zeitraum , der zwischen dem ersten Anfalle der Krankheit und der beginnenden Blutzersetzung 'verstreicht. In die- sem Stadium hat es der Arzt mit nichts wei- ter als mit dem gestörten Gleichgewichte der Nerventhätigkeit zu thun. Das kräftigste Mittel 14 * 212 dagegen ist der Wille des Kranken selbst. Der Arzt sorge also dafür, dass das höllische Angst- gefühl , welches den Beginn der Cholera be gleitet, den Kranken nicht den Kopf benehme. Er fordere ihn auf, allen seinen Willen auf- zubieten , unı der Neigung zum Erbrechen zu widerstehen. Er benutze die Augenblicke, in denen sich der Kranke freier fühlt, um seine Gedanken von der Cholera abzulenken und ihn zu zerstreuen, kurz er wirke ermunternd, stär- kend und beruhigend auf die Psyche des Kran- ken ein. Dabei gebe er ihm Mittel die das Blut nach der Peripherie treiben, er errege dadurch Hautthätigkeit und Schweis. Diess wird er leicht durch warme aromatische Getränke, besonders durch heissen schwarzen Kaffee und durch Dampfbäder bewirken können. Alles kommt dabei nur darauf an, dass der Kranke in ei- nen warmen Schweis gebracht werde, ehe Blut- ‚zersetzung eintritt. — Ich bin überzeugt, dass durch ein solches Verfahren leichte Anfälle von Cholera , bei Personen , deren Nerven- leben nicht zu zerrüttet ist, stets gehoben werden können, Zu beklagen ist es,aber, dass der Arzt die Kranken nur selten in jenen Zn ee 213 ersten Stadien der Cholera vorfindet. Meisten» theils trifft er sie, nachdem schon wässrige Ausleerungen und mithin auch Blutzersetzung statt gefunden haben. In allen solchen Fällen ist die drohendste Erscheinung das Aufhören der Blutcirculation. — Der Arzt muss deshalb seine-Bemühungen vorzugsweise darauf richten den , die Consistenz des Bluts erhöhenden Aus- leerungen ein Ziel zu setzen und das Stocken der Circulation zu verhindern. Ratanhia, Salep, Potio Riveri, mässige Gaben von Opium u. s © w. werden zur Erreichung des ersteren , Reibungen , reizende Bäder , Senfteig u. s. w. zur Erreichung des zweiten Zweckes beitragen. Aderlässe können beim ersten Anfalle der Krankheit, besonders bei sehr vollblütigen Personen von Nutzen seyn „ doch müssen sie nach häufigen Ausleerungen und dadurch be- wirkter Blutzersetzung grossen Schaden bringen. Oben angeführter Berechnung nach, nach welcher die Blutmasse eines Individuums!, dessen Blut 609 Blutkuchen gab: 84 35 seiner wässrigen Bestandtheile verlohren hatte , setzt diess in ein klares Licht: denn würde man es wohl gerathen finden einem Kranken, des- 214 sen Blutmasse sich schon um 8 № vermindert hatte , noch Blut zu entziehen ? Die eben erwähnte Thatsache , nämlich die grosse Entwässerung des Bluts , lässt mich sehr beklagen, dass der Vorschlag des Hr, Dr. Jähnichen: Wasser - Einspritzungen in die Venen зи versuchen unberücksichtigt geblieben ist. In verzweifelten Fällen scheinen mir der- gleichen Einspritzungen das Einzige zu seyn , von dem man noch einigen Erfolg hoffen könnte. Man berücksichtige nur den Zustand eines Menschen bei einem Mangel von 8 ib Blut! Während der Cholera fehlen dem Kran- ken kurz vor dem Tode 3 № Wasser, und die zurückbleibenden 22 1b Blut befinden sich in einem verdickten Zustande ! Die Thätigkeit des Herzens muss sich durch einen solchen Zustand ungewöhnlich vermindern , denn der : durch die Blutmenge hewirkte Reiz auf das- selbe , muss bei so grosser Verminderung der- selben ausserordentlich geschwächt werden, Würde man aber die Quantität der Blutmasse wieder durch Wasser - Einspritzungen herstel- len, so steht sehr zu hoffen, dass die Thä- 215 tigkeit des Herzens wieder angeregt und durch sie die Circulation , selbst in sehr verzwei- felnden Fällen, wieder hergestellt werden . könnte. DIESE IDEE IDE OLDS LILI LILO LL LL PANINI IL DEN DIE ОРУ EINE PN ak UEBER DIE ANSTECKUNGS - FAHIGKEIT DER CHOLERA. ( Auszug eines Schreibens an den Ritter Dr. Srruve in Dresden. ) vom Ritter R. Hermann. Uiber die Ansteckungsfähiskeit der Cho- lera sind die Meinungen immer noch getheilt. Ich habe mich rücksichtlich dieses Gegenstan- des indem vorigen Aufsatze sehr kurzgefasst , - da ich keine positiven Beweissmittel für oder wider die Ansteckungsfähigkeit der Cholera aufzustellen im Stande war, und da man den Versuchen , die ich an mir anstellte , um An- steckung zu bewirken, leicht den Schein von Bravaden unterlegen könnte. Ich werde Ih- nen aber, da zwischen uns die Furcht vor jenem Verdachte wegfällt, diese Versuche und meine Ansichten über die Art der Fortpflan- zung der Krankheit mittheilen. — Meine Be- mühungen waren darauf gerichtet, Ansteckuug durch von Cholera - Kranken ausgebrochene 217 Flüssigkeiten, durch ihren Schweiss und durch ihre flüchtigen Ausdünstungen zu be- wirken. Deshalb bestrich ich wiederhohlt die zartere Haut meiner inneren. Armfläche mit je- nen ausgebrochenen Flüssigkeiten , und liess sie darauf eintrocknen ; ich band trocknes Filtrir- Papier auf den blossen Lieb sehr- schwerer Cholera-Kranker und liess diese Bede- ckung bis nach ihrem Tode auf ihrem Körper, laugte hierauf das Papier mit destillirten Was- ser aus und verfuhr mit dieser Flüssigkeit eben so wie mit der Brechflüssigkeit; ferner con- densirte ich die Dünste in Krankensäälen , die mit sehr schweren Cholera-Kranken angefüllt waren, durch Eis enthaltende Glaskugeln , wusch mich mit dieser Flüssigkeit , liess sie in meinem Schlafzimmer verdünsten und athme- te ihren Dunst in ziemlicher Concentration , während der mikroscopischen Versuche, die ich mit ihr anstellte, ein; aber ich blieb bei allen diesen Versuchen a Auch liess ich junge Hunde diese Flüssigkeiten ‚ zu meh- rern Unzen pro dosi, verschlucken, und Hr. Dr. Jähnichen spritzte sie in die Bauchhöhle derselben ein, aber niemals beobachteten wir 218 Symptome, die Aehnlichkeit mit denen der Cholera gehabt hätten *). Wollte man aus allen diesen Versuchen ein Resultat ziehen, so würde es offenbar, *) Was das chemische Verhalten dieser Flüssigkei- . ten betrifft, so habe ich Ihnen schon meine Ana- lyse der ausgebrochenen Flüssigkeiten mitge- theilt, — Das Filtrir-Papier, welches die Ausdün- stungen der Cholera - Kranken eingesogen hatte , fand sich nach dem Aufweichen durch distillirtes Wasser mit einer schleimigen Substanz, die es sehr schlüpfrig machte, überzogen. — Der wässri- ge Auszug war vollkommen neutral; auch verände- ie rothes und blaues Lackmuspapier, welches ich oft auf den Leib Cholera - Kranker band, nie seine Farbe. — Die durch Eis condensirte Flüs- sigkeit war ebenfalls vollkommen neutral; sie wurde durch Bleizucker und Gerbestoff - Lösung gefällt. Bei längerem Stehen, setzte sie durch . Einwirkung der Luft einen schleimigen verbrennli- chen Stoff ab, — Auf einer Glasplatte verdünstet, hinterliess die genannte Flüssigkeit eine geringe Menge einer Substanz, in der gute Mikroscope fast keine Spur krystallinischer Formen entdecken konnten. Sie bestand aus unförmlichen Anhäu- fungen eines schleimigen Stoffes. Ed Se ae u a TE EG ege 219 Nicht - Ansteckbarkeit der Cholera seyn. Ich wage aber nicht aus diesen wenigen Versuchen ein so allgemeines Resultat zu folgern , ‘und gebe überhaupt wenig auf die Beweisskraft von dergleichen Experimenten rückichtlich der Ansteckungsfähigkeit von Krankheiten. Wir sehen bei offenbar contagiösern Krankheiten als die Cholera ist, dass ohne Disposition zu ihnen keine Ansteckung erfolgt. Die geistige Aufregung, in die der Experimentator während solcher Versuche an sich selbst, unwillkührlich versetzt wird, scheint aber diese Disposition ungemein zu vermindem , und ihn vor Anste- ckung zu bewahren. — Man muss durchaus seinen Gesichtskreis erweitern, wenn man über Ansteckungsfähigkeit der Krankheiten urtheilen will, und aus der Gesammtsumme der Erfah- rungen auf einzelne Erscheinungen schliessen , nicht aber auf einzelne Erfahrungen gestützt; den Character der Krankheit bestimmen , und nach ihnen die Schutzmittel abwägen wollen , die bestimmt sind, ganze Völker vor ihnen zu bewahren. . | , Als von ganz Europa anerkannte Thatsa- chen stehen gegenwärtig fest: 220 1. Dass sich die Cholera von einem Mittelpunk- te aus, allmählig, nach der Peripherie zu um sich greifend , verbreitet und dass sie dabei vorzugsweise lebhaften Handels- strassen folgt; 9. dass im Ganzen von denen mehr erkran- ken , die fortwährend mit Cholera - Kranken umgehen, als von denen, die sich von ih- nen entfernt halten ; 3. dass in feuchter, unreiner , mit fauligen Dünsten angeschwängerten Luft mehr er- kranken, als in reiner und trockner ; 4, dass man sich, bei mangelnder grosser An- lage zur Cholera, so lange den Kranken nähern und mit ihnen in vielseitige Berüh- rung kommen kann, ohne angesteckt zu werden, als man Ruhe und Gleichmuth zu - behaupten vermag und so lange man sich vor Diätfehlern und Erkältungen hütet, Nicht allein. diese Thatsachen, sondern der Gesammteindruck , den alle mir mitge- theilten und von mir beobachteten Eischeinungen bei der Verbreitung der Cholera auf mich ge- macht haben , und die näher auseinander zu 221 setzen hier zuweit führen würde, haben in mir folgende Hypothese erzeugt. Um die epidemische Cholera zu erregen sind zwey Bedingungem erforderlich , nämlich ein eigen= thümlicher Ansteckungs-Stoff , uud eine indivi- duelle Disposition zur Krankheit. | | Der Ansteckungs-Stoff der Cholera, (so wie der , anderer Epidemien ) zeigt in vielen Be- -ziehungen grosse Anologie mit den äusseren Ankindigungen belebter Wesen. — Am dunkel- sten ist der Akt seiner urspünglichen Schöp- fung , die in Indien zu suchen ist. Ich denke mir ihn aber ohngefähr so, wie die Bildung der Priestleyischen Materie in stehendem Was- ser, oder der Infusorien in faulenden Flüssig- keiten. Elemente in günstigen Verbindungen , vereinigen sich nämlich , unter nicht gehörig erforschten Bedingungen zu den untersten Stufen belebter Wesen. — So erzeugte sich der Cho- lera-Saame in den fauligen Sümpfen Indiens, ebenso wie der Ansteckungsstoff der Wechsel- fieber in den Ausdünstungen der stehenden Wäs- ser anderer Lànder. — Sie traten in die Rei- ‚Бе der Wesen, die sich selbst fortpflanzen , unter günstigen Bedingungen leben, bei man- 222 gelnden dagegen absterben, in Wechselwirs kung mit dem menschlichen Organismus aber auch dO. Functionen hemmend , giftig eins wirken. — So wie der Schöpfungsact einer solchen Substanz vorüber ist, so bedarf es der Intensität der Bedingungen zu seiner Erzeugung nicht mehr. Der Cholera-Ansteckungsstoff ve- getirt nun , ohne der Indischen Sümpfe, und- der Indischen Sonnerhitzé zu bedürfen , die ihn ursprünglich ausbrüteten ; sein Saame er- zeugt sich jetzt während der Krankheits-Syme ptome der mit der Cholera bahafteten Indi- viduen und wird nun von ihnen ausgehaucht und ausgedünstet. Jeder Cholera - Krauke ist deshalb mit einer Sphäre umgeben , die Cho- lera-Saamen enthält und Jeder , der in dies ‘ser Sphäre athmet, setzt sich der Gefahr aus, angesteckt zu werden, das heisst, er tritt in Wechselwirkung mit dem Saamen des Cholera- Ansteckangsstoffes , der in ihm, bei vorhan- denen günstigen Bedingungen , Wurzel fasset , vegetiren, und zur Reife kommen kann, und während dieser Processe die Symptonie der Cholera erregen wird * ). * ) Der Ansteckungs - Stoff der Cholera und anderer Epidemien dürfte sich von dem der eigentlich con- 223 Jene. 'bis'jetzt nicht erforschten günstigen Bedingungen zum Haften den Cholera-Saamens у L prés ct ‘ "WIL" LP } "tagiósen Krankheiten durch zu grosse Flüchtigkeit une "tersclieiden. Er wird desshalb von den Kranken’ nicht yo im fester ı Form: ausgeschieden , und haftet nicht nachweissbar an ihrer Haut oder ihrer Bedeckung , , sondern verdunstet schnell, und wird von der die Kranken umgebenden Luft gelöst. - Daher scheint "auch die Absorption des Ansteckungsstoffes der Cho- dera], nicht durch die Haut, sondern allein durch "die. Lungen während der Respiration zu erfolgen. In, der: Atmosphäre scheint der Ansteckungsstoff „aber,an den Wasserstoff gebunden und den Geset- zen für denselben unterworfen zu seyn. Ich ver- muthe ава, dass die organische Substanz , die Mich da Chalera- Kranken-Säälen mit den wässrigen "Dünsten durch Eis condensirte jener Ansteckungs- ` 810 gewesen seyn dürfte; auch stimmen meteori- ‘sche Erscheinungen und Zu-und Abnahme der Ere —krankenden häuffig auffallend mit dieser Annahme überein. So ist die Anzahl dersellen, während einer „warmen mit Wasserdunst überladenen Beschaffen- heit der Atmosphäre in der Regel am stärksten ; sie vermindert sich aber häuffig plötzlich nach starken : "Regengüssen ; auch verbreitet sich die Krankheit während strenger Winterkälte langsamer, als im Sommer u, s, w. 224 sind es nun, die man als qualitas occulta , | mit der Benennung Disposition bezeichnet. Denn eben so, wie ein Saamenkorn auf Fels nicht Wurzel schlagen wird, eben so haftet der Cholera-Saamen nicht in Individuen, die nicht zur Krankheit disponirt sind. Aber der Cholera - Ansteckungs - Stoff dürfte sich nicht allein in Cholera-Kranken wieder erzeugen. - Er scheint auch unter günstigen Verhältnissen in mit fauligen Dünsten angesch wängerter Luft zu wuchern. Wenigstens‘ deutet darauf. das schnelle Umsichgreifen der Krankheit in mit Menschen überfüllten, feucht gelegenen Gebäu- den, und ganzer Ortschaften; und in der That kann ich die Möglichkeit dieser Fortpflanzungs- art um so weniger bestreiten, da sich, mei- ‚рег Ansicht nach, der Cholera Ansteckungs - "Stoff in Indien, ursprünglich unabhängig’ von Menschen und faulen Dünsten erzeugte; — Doch bleiben die Cholera - Kranken in unsern Breiten die Hauptquellen derselben. Man könnte dieser Theorie vielleicht den Einwurf machen, dass nach ihr die Anhäufung des Cholera - ‚Ansteckungs = Stoffs unbegrenzt seyn müsse; aber dem ist nicht so, deun die Bildung des- 225 selben ist in gewisse Schranken geschlossen. Gegenden, die die Bedingungen zur Wiederer- zeugung des viel erwähnten Stoffes fortwährend entwickeln ( namentlich faule Dünste) können lange Träger desselben bleiben, aber die mensch- lichen Quellen des Cholera - Saamens versiegen schnell. Daher hält sich die Cholera ungleich lange in verschiedenen Gegenden. Ueberall aber ist die Wirkung ihres Saamens auf den '** menschlichen Organismus durch die Disposition der Individuen begrenzt. . Luft, die noch so viel- Cholera-Saamen enthält, wird durch keine Cholera - Kranke erzeugen, wenn sich die Men- schen an seine Einwirkung gewöhnt haben, oder wenn die disponirten ausgestorben sind. Auf diese Weise begrenzen sich die Cholera und andere epidemische Krankheiten von selbst. Macht man sich ‘die eben aus 'einander= - gesetzte Vorstellungsweise recht zu eigen, so findet man in der Verbreitungsart der Gholera, des gelben Fiebers und anderer Krankheiten , kein Räthsel mehr. Man wird weder Contagio- nist seyn , noch sich einer leichtsinnigen | Sorglossigkeit überlassen. вв 15 ——— EEE 322 2 226 Jetzt erlauben: Sie mir , noch einige. Be- merkungen über :: medicinisch - polizeyliche Maassregeln gegen die Cholera beizufügen. Sie werden gewiss consultirt werden, wenn. sich diese Geissel, wie zu erwarten steht, auch un- serm lieben Vaterlande nähern sollte, und dann würde es mich freuen, wenn Sie von ihnen Gebrauch machen könnten. — Was die Quarantainen betrifft, so verdan- ken sieihre Anwendung gegen die Cholera wohl hauptsächlich ihrem Rufe als Schutzmittel gegen die Pest, denn ich bin vollkommen überzeugt, dass man nicht auf den Gedanken gckommen seyn würde , Quarantainen gegen die Cholera einzurichten , wenn diese Maassregel bisher unbekannt gewesen wäre, Es lässt sich übri- gens ein recht vernünftiger Grund für die Nützlichkeit der Quarantainen gegen die Cho- lera anführen , nämlich die unbestreitbare Theishche » dass sie am schnellsten auf beleb- ten Heoratrasken vordringt. Der Grund dieser Thatsache kann nur in. Verschlesppung des Cholera - Saamens durch Individuen , vielleicht auch Effecten gesucht werden. Was ist also ^ 227 vernünftiger als diese Ursache durch Hemmung der Communication wegzuräumen. Aber leider sind die Menschen und Effecten nicht die ein- zigen Träger des Cholera - Saamens. Der allge- meine Träger desselben ist die Luft und diese lässt sich durch keine Quarantainen absperren, Deshalb glaube ich, dass letzere allerdings die Verbreitung der Krankheit aufhalten, aber keinesweges absolut verhindern können. Den Beleg für die Richtigkeit dieser Ansicht hat neuerdings wieder Petersburg geliefert, was mit der grössten Strenge durch Cordons und Quarantainen bewacht wurde, und seinem Schicksaale doch nicht entgehen konnte. Die Quarantainen sind demnach keineswegs unnütz, aber noch weniger kann man sie als sichere Schutzmittel betrachten. Es kommt des- halb dem Staatsmanne zu , zu entscheiden, ob der unzuverlässige Nutzen derselben, durch den zuverlässigen Schaden, der durch Hemmung des Handels, durch Anregung zu Unzufrieden- heit , durch grosse Kosten und andere Nach- theile , herbeigeführt wird, aufgehoben werden dürfte. | а | 228 Welche Maaessregeln sollen aber getroffen werden, wenn die Cholera in volkreiche Städ- te eingedrungen ist? Soll man die Gesunden von den Kranken trennen ? Soll man Lazare- the einrichten ? Welche Schutzmittel giebt es, um sich vor Ansteckung zu hüten ? Zu den zweckmästigsten Maassregeln , die man ergreifen kann, wenn die Cholera in volk- reiche Städte eingedrungen ist , würden fol- gende gehören : Man errichte Behörden, zu deren Pflich- ten eine strenge Beaufsichtigung des Ganges der Krankheit, Sorge für die Verpflegung, und für schnellen ärztlichen Beistand für die Er- krankten ,, Versorgung der Armen, Aufsicht über die Beschaffenheit der Lebensmittel, Sor- ge für Reinlichkeit in den Wohnungen, u. s. w. gehóren. | Diese Behórden müssen ihre Aufmerksam- keit noch ausserdem besonders darauf richten, die Bildung von Emanations - Heerden des An- steckungs - Stoffes zu verhindern ; denn fast in allen Stádten giebt es gewisse Bezirke , oder a e. 229 auch nur einzelne Wohnhäuser , in denen uns verhältnissmässig mehr erkranken , als an an- dern Punkten. Solche Emanations - Heerde müssen aufs baldigste von den Bewohnern ver- lassen und auf das sorgfältigste purificirt wer- den. — Im allgemeinen begünstige man die Auswanderung aus Städten in denen die Krank- heit stark herscht und sorge dann für das Un- terkommen der Emigrirenden in nahen , trok- nen und gesund - gelegenen Ortschaften. — Man isolire die Kranken, soviel als thunlich ist; dabei transportire man aber nicht die Kranken, sondern befördere nur die Entfer- nung der Gesunden. Das Transportiren der Kranken nach Lazarethen , war, meiner Ап- sicht nach, ein Missgriff, den man, nothge- drungen und noch nicht von der Erfahrung belehrt in Russland beging. Denn, wie ich schon oft ausgesprochen habe, so ist die Cholera mit dem günstigsten Erfolge nur in den ersten Stadien der Krankheit zu behan- deln. Dieser günstige Zeitraum verstreicht aber unter den Vorkehrungen zum Trans- port und während desselben. Auch ist die Erschütterung des Kranken bei vorgerückter 230 Blutzersetzung höchst schädlich. Daher kam es, dass bei so vielen Kranken die Hülfe zu spät kam. Aber, wird man fragen , wie ist es möglich, dass mehrere tausend Kranke in ihren Wohnungen behandelt werden können ? Ich entgegene dagegen, dass die Behandlung der Cholera in den ersten Stadien so einfach ist , dass jeder im Stande ist , den in seiner Nähe Leidenden zu retten. Die Regierung sor- ge nur dafür, dass dem Volke eine fassliche Anweisung in die Hände gegeben werde , mit deren Hülfe er die Krankheit erkennen und selbst behandeln könne. Schweissmittel und reitzende Reibungen bei den ersten Anfällen angewendet, sind in den meisten Fällen hin- reichend, um den Kranken zu retten. Auf die- se Weise findet jeder seinen Arzt in seinen nächsten Umgebungen. Was die Schutzmittel gegen die Cholera betrifft, so halte ich für das sicherste : die angesteckte Stadt zu verlassen und sich ‚nach Orten zu begeben, die eine hohe, trokene und gesunde Lage haben. Dabei setze ich aber voraus, dass man diese Ortsveränderung mit Bequemlichkeit und ohne grosse Entbehrungen 231. vornehmen kann, denn derjenige, der aus Angst nur der Krankheit zu entflichen sucht und sich dabei lieber allem Ungemach aussetzen will , der dürfte leicht aus dem Regen unter die Traufe kommen. Derjenige aber, dessen Ver- haltnisse : nicht gestatten seinen.’ Wohnort zu verlassen, dem empfehle ich seine gewohnte Lebensweise fortzusetzen , sich aber dabei der Mässigkeit und einer verdoppelten ‚ Aufmerk- samkeit auf seine Gesundheit zu befleissigen , vor Allem aber Seelenruhe; er findet Trost in dem Glauben, dass über uns Alle ein lieben- der und allmächtiger Vater waltet, der uns zu erhalten wissen wird, so lange er ‚uns noch als Werkzeuge seines heiligen Willen brauchen will! Ein solches Verhalten wird besser schüt- zen als Chlordämpfe , die hier. in Moskwa nichts genützt , wohl aber geschadet haben. NOTICE SUR UNE CAVERNE A OSSEMENS FOSSILES , SITUÉE SUR LES RIVES DU TSCHARYCH EN SIBÉRIE par Mr. le Dr. ‘et Chev. de GEBLER. . Während man in neuem Zeiten in so vielen Hóhlen Europas Knochen von vierfüssi- gen Thieren der Vorzeit entdeckt hat, war man doch bisher, meines Wissens , in Un- gewissheit; ob auch in Sibiriens Höhlen solche vorkommen ? Die Entscheidung dieser Frage schien mir aber um so interessanter , da die- ses Land sich durch die Menge der Knochen von Elephanten, Büffeln, Nashörnern u. s. w., die daselbst am häufigsten im Sande der Fluss- ufer ausgegraben oder vom Wasser ausgewa- schen werden, auszeichnet. Nach шергега , seit geraumer Zeit darüber angestellten Nach- fragen und besonders den von Hn. Oberberg- meister und Ritter Ulianoff erhaltenen Nach- richten zu Folge hatte ich grosse Ursache, solche Knochen in zwey, an den Ufern des 233 Flusses Tscharysch , in der Nähe des Dorfes Tschagyrskaja gelegenen Höhlen zu vermuthen; allein erst diesen Sommer hatte ich Gelegen- heit, durch einen Besuch desselben , in Ge- sellschaft des Hn. Markscheiders Kulibin, mich über meine Vermuthung in Gewissheit zu setzen. | Jenes Dorf liegt ohngefehr 90 Werst nordöstlich von Smeinogorsk ( Schlangenberg ), in einer romantischen Gegend, am linken Ufer des Tscharysch am Fusse eines Bergs, der einen Theil eines bedeutenden , von Nordest nach Südwest streichenden Kalkgebirgs aus- macht. In diesem wird, eine Werst von dem Dorfe, in der neuen tschagyrschen Erzgrube auf Gallmey , Kupferlasur, Malachit, Bleyglanz und weissen Bleyspath, mit Silbergehalt , der im Durchschnitte 1 — 2 Solotnik Silber im Pude Erz beträgt , Bergbau getrieben dr Àn keiner der Stellen , die ich untersuchte , fand ich Versteinerungen in diesem Kalksteine. *) Die tschagyrschen Erzgruben theilen sich in die alte, schon von Renovanz beschriebene, jezt ver- ^ lassene und in die neue, unlängst bearbeitete, 234 Der Weg nach dem Dorfe führt von Smei- nogorsk ads über die kolywanische Schleif-. fabrik und über das Dorf Bjelaja , ‘jenseit: welchem man den Fluss Jnjae passirt. — . Die erste der Höhlen. liegt am, rechten. Ufer des Tscharysch in einiger Entfernung von. demselben , eine Werst nördlich vom Dorfe Tschagyrskaja. Der Haupteingang derselben ist nach dem Flusse gerichtet , etwa 20 Faden über denselben erhaben und wegen der Stéils heit des Felsens sehr unzugaenglich. Die Rich- tung der Hóhle ist von Südwest nach Nordost, ihre Lange 20 Faden uud am Ende hat sie einen andern , etwas niedrigern , aber zugaen- glichern Ausgang, der durch die Kunst er- weitert zu seyn scheint. Die Breite dersel- ben ist von + — 3 Arschin, die Höhe 2 Arschin bis 10 Faden; lezteres aber nicht in breiten Gewölben , sondern in Klüften und da, wo sie einen Seitengang schief nach oben bildet. Tuff findet man nicht in ihr; auch. nur sehr wenig und ganz dünnen Tropfstein, da sie überhaupt sehr trocken ist. Ihre Sei- ten sind sehr ungleich und eckig; die Kan- 235 ten dieser durch Kalkblöcke gebildeten Ecken sind aber alle durch "Wasser oder Verwitte- rung abgestumpft. Der Boden ist mit thoni- ger Erde bedeckt, in der man noch Spuren von verwitterten Knochen findet. Allein ich stellte in ihr keine weitern Untersuchungen an, weil bey weitern ‘der grösste Theil dieser Erde mit den darin: gewesenen Knochen von Dauern, die Schaetze in der Höhle vergraben glaubten , ausgegraben und herausgeworfen ist. Ich eilte daher zu der zweytem Hôhle, in der nur vor 15 Jahren, und das nicht anhaltend á von ihnen gearbeitet worden war. Diese zweyte Höhle liegt ebenfalls am rech- ten Ufer des Tscharysch , 4 Werst nordwest- lich unterhalb der ersten, in einem noch hö- hern Berge, und bildet eben so, wie diese , mehr einen Felsengang , als ein: unterirdi- sches Gewölbe. Ihr Eingang ist nach Süd gerichtet, gegen 50 Faden über dem Flussufer erhaben und etwa 20 Faden unterhalb der Spitze des Bergs, in einem steilen Kalkfelsen. Vom Fusse des Bergs, der ebenfalls beynahe + Werst vom Flusse entfernt ist, möchte sie nur mit 236 Mühe zu erklettern seyn; aber von oben kann man etwas leichter zwischen den Blöcken he- rabglimmen. Um an die Oeffnung selbst zu kommen, mussten wir an einem, an den Felsen gelehnten und auf einen kleinen Vor- | sprung des Dergs gestützten , trocknen Baum- stamme mit bis nahe an den Stamm abgehaue- nen Aesten hinaufklettern ; beym Herausgehn fanden wir es aber für sicherer, uns an einem Stricke herabzulassen. Am Eingange ist die Richtung der Höhle horizontal von Südwest nach Nordost, aber sie ist da so niedrig, dass man sich nicht aufrichten kann. Nach einigen Faden wird sie höher und breiter; dann wen- det sie sich aber plötzlich nach Südost und senkt sich so schroff, fast perpendikulär, he- rab, dass man sich gegen zwey Faden tief an einem Stricke herablassen muss. Unten richtet sie sich mehr nach Süden , senkt und veren- gert sich immermehr, so dass man überall krie- chen muss, ja selbst in Gefahr ist, stecken zu bleiben und das eigentliche Ende nicht errei- chen kann. Ihre Laenge, so weit man sie ver- folgen kann, betraegt gegen 25 Faden; die Breite in der obern Hälfte ist 1 — 3 Ar- A 237 schin; die Hóhe eben so; unten ist die Brei- te 2 — 1 Arschin und die Höhe wenig be- deutender. Die äussere Form ihrer Seiten ist dieselbe , wie in der ersten Höhle und der Kalkstein, der sie bildet, ganz von demselben Ansehn; auch findet man keinen Kalktuff und nur äusserst wenig, dünnen Tropfstein in ihr. Ihr Boden besteht aus derselben thonigen Er- de mit Resten von Knochen vermischt; nur sind diese in ihr weit häufiger. Diese Erde füllt auch die Klüfte der Seitenwände aus, und nach den Aussagen der Bauern soll die Höhle, ehe die Schatzgrabungen darin angestellt wurden, fast ganz davon angefüllt gewesen seyn. Flusskiesel konnte ich nicht in ihr ent- decken. Ehedem fand man auch, wie mich ein ‘Schatzgraeber versicherte, in der obern Haelfte der Höhle Knochen die aber, nebst der Erde , den Felsen herabgestürzt wurden ; jezt muss man sie in der untern suchen. Be- stimmte Ordnung in der Lage derselben konnte ich nicht bemerken ; auch sind die feinern Knochen des Schaedels » die Rippen u. s. м. nicht aufzufinden , noch weniger ein ganzes Skelett. Die Ursache davon mag wohl in dem 238 rauhen Klima Sibiriens liegen ; denn ob ich gleich diesmal , in einem besonders trocknem. Sommer, gegen Ende Augusts, die Höhlen sehr trocken fand, so mögen sie doch bey ihren , häuffigen Stürmen und Schneegestö- bern ausgesetzten , weiten Oeffnungen einen guten Theil des Jahrs hindurch von Schnee und Wasser befeuchtet seyn. Auch kann ich die. Tiefe der knochenhaltigen Erdlage nicht genau bestimmen; in der ersten Höhle ist sie jezt nicht bedeutend ; in der obern Haelfte der zweyten ebenfalls nicht ; wahrscheinlich ist sie auch in der untern nicht tief oder en- digt sich in unzugaenglichen Klüften. Alles was ich von Knochen gefunden habe, besteht in einzelnen Zaehnen , einem. Stücke Kinnlade mit einem und einem andern mit 3 Backzaeh- nen eines fleischfressendem katzenartigen В Thiers und in Bein-und Fussknochen, Wirbeln — und, einer bedeutenden Anzahl von Zaehnen grosser pflanzenfressender Thiere. Die Re der Höhle des Triphonius ha- ben die tscharyschischen wohl nicht; denn von vielen Beschwerlichkeiten ermattet, schlummerte 239 ich in der einen eine Viertelstunde, aber ohne alle Visionen. Die dringendsten Dienstverhaeltnisse etlaub- ten mir nur, einige Stunden diesen Üntersuéhüi- gen zu widmen ; ich werde mich aber be- mühen, noch fernere Nachforschungen über diesen Gegenstand anzustellen , denn ich habe Gründe, in diesem Gebirgsstriche noch meh- rere Knochen enthaltende Höhlen zu vermuthen. Erinnere ich mich recht, so erwähnt” auch Pallas in seiner Reise, beym Besuche einer Höhle am Injae darin gefundener Thierknochen, die er aber einer neuern Zeit züschricb. Nach Schaetzen soll man auch da gegraben haben, und es ist ganz natürlich, dass die ‘sibirischen Russen, gewohnt, in den tschudis- chen Graebern Knochen neben goldnen und kupfernen Zierrathen raethselhafter Völker zu finden, durch vielleicht zufaellig in den Hö- len entdeckte Knochen verleitet wurden , auch in ihnen aehnliche Schaetze zu suchen. Hierbey habe ich die Ehre einen Theil der aufgefundenen Knochen, nebst Stücken des Kalksteins, welcher die Höhlen bildet, und 240 der Erde, in welcher sich die Knochen be- finden, zu übersenden. Sehr angenehm würde mir es seyn, wenn die Kaiserliche naturfor- schende Gesellschaft mich einer Belehrung wür- digen wollte, welchen Thiergattungen diese Knochen namentlich angehören mögen, ob der Kalkstein mit dem der Höhlen Europas, in wel- chen Knochen gefunden werden, von gleicher Formation ist und ob die Erde der hiesigen Höhlen mit der der europaeischen gleiche Be- schaffenheit hat ? Denn alles dieses zu bestim- men, macht mir der Mangel an den nöthigen Bü- chern und einer Sammlung zur Vergleichung unmóglich. Ich habe deswegen die Knochen, von welchen ich die gleichen oder höchst aehnlichen zurückbehalte , mit Nummern be- zeichnet, von denen № L. den Kalkstein: der Höhlen, N° M. die unmittelbar neben den Kno- chen im untern Theile der zweyten Höhle ge- nommene Erde, und N? N. die Erde aus dem obern Theile derselben bezeichnet. SIENNE SN IDLE DIGS ENUMERATIO LEPIDOPTERORUM FLU- VIUM VOLGAM INTER ET MONTES URA- LENSES HABITANTIUM. ( Secundum Systema Ochsenheimer ) Auctore E. Eversmann, M. D. Professore Casanensi. | Papiliones , Sphinges et Bombyces. Meurara. Maturna * ). Artemis Е. Cinxia. Didyma. Esp. Phoebe: Hibn. Athalia. Esp. Parthenie. Borkh. Arcynnis. Selene. F. Euphosyne. *) Nomina sine indice Auctoris sunt ea Linnatt; quae V notata, Viennenses designant, auctores operis: System. Verzeichniss von den Schmetter- lingen der Wi iener—Gegend. Neue Ausg. Braun- schweig. 1801. 2 Bande. 6. 16 ^ Limentris. Populi. 242 HipparcHIA Priseis. Dia. . Hecate. F. Ino. Esp. Daphne. А Latonia. Niobe. Adippe. Aglaja. Laodice. Esp. Paphia; Vanessa. Cardui. Atalanta. Jo. Antiope. . V. album. Viennens. Hübn. Urticae. C. album. Prorsa. Levana. Aceris. f. Lucilla. Esp. Camilla. А. APATURA. 243 Iris. Ша. V. Е Hübn. Hipparcuia. Briseis. Hermione. Autonoe , Zsp. Bryce. Hübn. Phaedra. Semele. Hippolyte. Herbst. Arethusa. V. Hübn. Clymene. Hibn. Narina. Tausch. Janira. - | Eudora. Е. | Hyperanthus. Tarpeia. Pall. Dejanira. Маега. Afer. Esp. Medea. Г. Hübn. Ligea. Oedipus. F. Hero. Iphis. P. Hübn. Arcania. Æübn: :b ^ LxcAERA. 244 Leander. 7. Orpheus , mihi. Pamphilus. Phryne. Pall. Clotho. Galathea, Arion. Alcon. Y. Hübn. Euphemus. Hiibn. Erebus. Knoch. Cyllarus. Р. Acis. К. Alsus. Р. Argiolus. 7. Damon. А. Daphnis. Hiibn. Rhymnus. mihi. Corydon. 7. Icarus. Esp. Alexis. 7. Agestis. 7. Optilete. HZbn. Argus. Aegon. 7. Amyntas. А. 245 Polysperchon. Bergstr. Batlus. F. Bavus , mihi. Polycarpus , mihi. Circe Vs. _ Hipponoé, Esp. Chryseis. F. Hippothoé. Virgaureae. Phlaeas. Thersamon. F. Rubi. Quercus. Spini.. F. Ilicis. 7. W. album. Anoch. Pruni. Betulae. Podalirius. Machaon. ZrnvwTHi Ро]ухепа. У. Donrrs Apollo. Mnemosine. Ponria Crataegi. Brassicae. 246 Варае. Мари. Sinapis. Daplidice. Chloridice. Hübn. — Fisch. Cardamines. Erothoé , mihi. Pyrothoé , mihi. Conus Myrmidone, Æübn. Chrysothome , Zübn. Nerine , Fischer. Hyale. Palaeno. ` Rhamni. Hesperia Malvarum , Hoffmanseeg. Tessellum , Zübn. | Fritillum , Zübn. Alveolus , Zübn. | Tages. | ‘Steropes , 7. Paniscus , А. Sylvius , Knoch. Comma. Sylvanus , £. Linea, №. 247 { Lineola , Ochsenh. Virgula , Zfübn. ATvcHiA Statices. " Globulariae , bn. Pruni, £F. gy ZvcAENA Minos, 7. Scabiosae , 7. Achillaeae , £'sp. Cynarae , Aübn. Trifoli , Æsp. Lonicerae , fbn. Filipendulae. Onobrychis, V. Ephialtes. Synromis Phegea. Tuvus Fenestrina ,* 7. Sesıa Apiformis. Asiliformis , 7. Spheciformis. V. X Formicaeformis, Zasp. Nomadaeformis , Zasp. - Macroctossa Fuciformis. | Bombyliformis , Ochsenh. 248 Croatica ,- Esp. Stellatarum. Oenotherae , F. Spsinx Tiliae SATURNIA AGLIA ' Enpromis Hanprsa Orellata errr » Populi Ochsenh. Porcellus. | Elpenor. " Lineata, F- ( Deilephila , Gali 7. Ochsenh. Euphorbiae Pinastri. Ligustri Atropos. ( Acherontia , Ochsh. Carpini. 7. Tau. Versicolora. Vinula. Erminea , Zsp. Furcula. Bifida , Zübn. NoropowrA Tritophus. 7. Dromedarius. } Sphinx ; Ochsh. | fos . '—— 249 Camelina, Dictaea. Bicolora. Е. Cossus. Ligniperda: Е. Terebra, 7. Fuchsianus , mihi. Caestrum , Zübn. Arundinis Zbn. Hxpiotus. Humuli. \ Sylvinus, Ochsenh. Hectus, Е. Татнози. Quadra. Griseola , Hübn. Complana. Luteola, 7. Aureola , ип. Rubricollis. Muscerda , Zübn. Rosea , Esp. Irrorea , 7. Eborina, 7. Jacobaeae. Ancilla. Punctata Г, Psycue Liparis OnGyJA. PYGAERA. 250 Graminella , V. Monacha. Dispar. ‚У. nigrum Asp. Salıcis. Auriflua , 7. Chrysorrhoea. Gonostigma , А. Antiqua. Fascellina. Anachoreta , F. Bucephala. САЗТЕВОРАСНА. Populifolia : Fr Quercifolia. Betulifolia , Ochenh, Pini. Potatoria. Medicaginis , Borkh. Quercus. Lanestris. Rubi. Castrensis. Neustria. 251 Franconia. £. Eypneria. Cribrum, | Pulchra. Grammica. Russula, Plantaginis. Dominula. Purpurea: , Aulica, — Matronula. Villica. Pudica. F. Caia. Flavia, А. Hebe. Fuliginosa. Mendica. Menthastri DEN ur Lubricipeda. Extrait de sa lettre au Directeur. ,,Ma collection d'insectes qui embrasse tous les Ordres avec le méme intérét, s'étend prin- cipalement sur le terrain entre les montagnes d’Oural et le Volga, que jai parcouru dans 252 toutes les directions. Les especes sont definies generalement , mais ils en trouvent de dou= teuses , de sorte que je n’ose pas encore en publier le catalogue. Ce ne sont que les Le- pidopteres que jai exactement definies jusqu’au genre Bombyx L., et jen joins le catalogue , de ceux qui se trouvent entre le Volga et les montagnes d'Oural, si Vous croyez qu'il puis- se présenter quelque intérét. Vous y voyez, que cette contrée est extrémement riche en insectes. Ochsenheimer cite pour toute l'Eu- rope 238 Lépidoptéres diurnes , et j'en ai de cette contrée seule 139 espéces. J'ai de ces mémes contrées, au de lá de 1500 espéces de Coléoptéres, pres de 400 d'Hymenoptéres et autant de Diptéres. “ Hom, nn IS nu ni vob ttl A N DILIIL A A A EZ LOL LOD = OBSERVATIONS DE VARIATIONS HORAIRES DE LA DECLINAISON MA» GNÉTIQUE FAITES à CASAN EN 1830 par Mns. SIMONOFF ET SCHESTAKOFF. 5 ieme Série le 4 et 5 Mai nouv. Style. Therm. 4 Mail Aiguille |[Réaum | Observateurs Etat du Ciel. h inill e 4. oof 13,350 0,0 Simönoff , Couvert 20] 13,286 0,0 | quelq. nuages 40] 13,275 оо — idem 5. oo| 13,275 0,5 ——— quelq. éclaircies 20| 13,265 0,5 ——— idém 4ol 13,235 0,7 M WM idem 6. oo| 12,205 1,0 — idém 20| 13,155 1,0 — Grandes éclaircies 4o| 13,145 1,3 mer Ses idem 7. 00! 13,125 1,4 ——— tres peu de uuages 20| 13,135 1,8 ——— idem 4o| 13,145 5,0 nn Serein 8. oo| 13,115 2,0 ess idem a0| 13,115 2,5 en idem Ao| 13,105 2,8 Am trés peu de nuages 9. 00] 13,105 2,8 ——— idem 20| 13,105 3,3 ne. idem 40] 13,145 3,8 ——— idem 10.00| 13,185 4,0 —— idem 20] 13,275 4,6 Schestakoff idem s idem | | bcaucoup de nuages 20| 13,585 6,0 | ‚Simonoff idem До] 13,675 6,0 idem midi| 13,730 6,0 —— idem 20] 13,799 6,5 — idem До] 13,890 6,7 —— Couvert 254 Therm. 4 Mai | Aiguille | Réaum.| Observateurs | Etat du Ciel. pp | a | p o0 | 13,945 6,6 ——. idem 20 | 14,005 | 6,0 — des éclaircies 4o | 13,965 6,0 [u idem . à. 00 13,945 6,5 —— idem 20 | 13,905 6,6 ——— idem 4o | 13,945 6,6 —— idem 3. oo | 13,905 6,8 idem 20 | 13,935 7,0 Schestako ff idem 40 13,885 6,7 idem 4. 00 13,875 6,2 idem * 920 13.835 6,0 idem Ao 13,785 6,1 idem 5.. OO | 13,745 5,8 zn idem 20 13,735 5,4 idem 4o | 15,685 6,0 idem 6. oo 13,685 5,7 idem 20 13,665 5,6 Sim onoff idem 4o | 15,625 5,5 Couvert 7. 00 | 13,615 ER idem 20 | 13,555 4,7 idem 4o | 13,555 4,5 idem 30° | 12,929 3,5 idem 40 | 13,575 3,5 ptes éclaircies 9. oo | 13,615 3,7 pluie $. oo | 13,554 4,2 —— idem 30 | 13,615 3,0 —— Couvert 4o | 13,615 3,5 Fun des éclaircics 10.00 | 13,615 3,0 = | Couvert. 20 | 13,625 3,0 Schestakoff idem ko‘) 13,615 3,0 idem 11. 00 | 13,645 2,9 quel. pet. nuages 20 | 13,455 ait Simonoff idem 4o 13,199 Couvert vo < < 255 za A , Therm. | 5 Ма | Aiguille | Réaum | Observateurs Etat du Ciel, Mi- mill nuit. | 13,175 3,0 Simono ff Couvert 20| 13,295 2,0 idem h. 4o| 13,245 2,0 —— quelq. éclairies 1. 00| 13,125 2,0 nds Couvert 20| 13,195 2,3 —— quelq. éclaircies Ao| 12,900 2,3 —— Couvert 3. 00| 12,905 2,3 ——— pluie 20| 12,925 2,0 —— Couvert 40] 12,925 1,9 _— idem 3. oo| 12,265 1,2 Ban idem 20| 125,890 EN ——— idem 4o| 12,890 1,0 —— neige 4. oo| 12,615 142 — Couvert 20| 13,255 1,2 PEN idem До] 13,495 1,0 — idem 5. 00| 13,495 1,0 ——- idem 20| 13,255 1,0 —-- idem 4o| 13,525 1,0 en des éclaircies 6. oo| 13,425 1,9 —— idem 20| 13,445 1,3 —— Gr. éclaircies 40] 13,525 | 1,6 —— idem 7. 00] 13.300 1,3 -——— idem 20| 13,465 1,4 nn quelg. nuages 4o| 12,555 2,1 — idem 8. oo| 13,340 2,8 MSS idem 20| 13,105 3,1 — la neige 40] 13,135 2,4 Te, idem 9. 20| 13,065 0,3 —— idem 20| 13,125 1,4 quelq. pet, éclaire. 4o| 13,095 1,1 Schestakoff idem 10.00| 13,095 Asi — pet. éclairc. et neige 20] 13,175 3,6 —— idem 4o| 13,205 2,8 — "pet. éclaircies 11.00| 13,285 1,2 —— neige et vent 20| 13,315 0,9 — q. pet. eclaircies 4o| 13,375 1,2 Simonoff idem midi | 13,495 1,5 idem ’ 20| 13,555 1,9 ——- des éclaircies 40] 13,655 1,7 — idem 256 Therm. 5 Mail Aiguille | Reaum | Observateurs Etat du Ciel. nm MM M n P—!áuü a Ó— 1. 00| 13,795 2,0 — idem 20] 13,855 2,0 а neige 4o| 13,815 2,2 ——— gr. éclaircies 2. 00! 13,845 2,0 - — quelq. nuages 20] 13,575 2,0 ——— idem 4o| 13,265 1,5 —— neige 3. oo| 15,845 2,0 gr. éclaircies ' 30[`113,935 3,0 Schestakoff idem 4o| 13,905 3,0 - idem 4. oo| 13,935 2,9 idem 20| 13,805 2,7 idem 40] 13,845 255 idem 5. oo! 13,505 2,5 20| 13,705 1,7 Couvert et neige quelq. pet. éclairc. 4o| 13,615 1,8 idem 6. оо] 13,575 2,4. idem . .20| 13,545 1,9 des éclaircies 4o| 13,555 2,0 idem 7. 00| 13,555 | 1,8 idem. 20| 13,585 1,7 4o 135385 1,4 8. oo| 13,565 1,3 20| 13,605 1,2 Simono ff До] 13,575 1,0 9. 00| 13,645 1,0 20| 13,555 1,0 q. pet. éclaircies ИНН 4o] 13,615 1,2 t Couvert. 10.00 13,435 1,0 VC Aid cpu 20] 13,199 1,0 tn 4o] 13,275 1,0 PE A 11.00| 12,825 1,0 20|. 12,805 1,0 4o| 12,545 1,0 —— pet. éclaircies 12.00! 12,475 1,0 stone a À 5| 12,605 pannes M 10] 12,605 RUES 151 12,625 bam. A zo| 12,929 257 OBSERVATIONS De VARIATIONS HORAIRES DE LÀ DECLINAISON MAG» NÉTIQUE FAITES à Casan EN 1830 par Mns. SIMONOFF ET ScHESTAKOFF. 6 Série le 21 et 22 Juin; nouveau style. 10. 00 11.00 mill. 15,230 13,190 13,225 13,225 13,150 13,195. 13,135 13,110 13,090 1353145 13,180 13,180 13,180 13,180 13,180 13,190 13,190 13,240 13,400 13,485 I 3,525 13,605 13,635 13,655 13,685 13,695 Schestakoff N | "Simonoff- M dà d |i LIEU État du Ciel | Seren. N 258 23 Juin] Aiguille —ы Therm, | Réaum. 5 Etat du Ciel. 3. oo | 13,765 20,0 20 | 13,815 20,0 ; 4o | 13,815 19,9 | 2. 00 | 13,815 19,9 Schestakoff- 30 | 13,815 | 20,3 До | 13,795 | 20, ped 3..00 | 13,800 20, M Li ao | 13,257 20,0 nr ho 13,705 20,0 4. oo | 13,635 19,9 Simonoff 20 | 13,610 19,7 4o | 13,500 19,1 —ÀÀ — 5. oo | 13,470 | 19, о 20 | 13,470 18,7 ——— до | 13,330 | 19, —— — 6, oo | 13,300 19,0 — 20 | 13,326 15,9 _ — Serein. 40 | 13,335 18,5 BR 7: 00 | 13,320 | 18,4 29 | 13,325 | 17,8 Schestakoff 4o | 13,320 17,3 8. oo | 13,320 17,0 —— зо | 13,315 | 16,8 —— Áo | 13,315 | 16,4 — 9. oo | 13,315 16,3 — 20 | 13,315 16,0 — до | 13,280 | 16,0 mes 27 10,00 | 13,345 15,4 —- ‘ao | 13,355 15,0 —- де | 13,375 15,0 11.00 | 13,375 | 14,9 Sinoholf 20 | 13,375 14,6. 4o | 13,345 | 14,6 259 Sr T i Tr ue Therm. 22 Juin| Aiguille. |Réaum. Observateurs : Etat du Clel, Minuit Simonoff 20 40 1. 00 HEUTE | | Schestakoff 10: 00 11.00 nnl État du Ciel. = ee Simonoff Serein, LEEREN Schestakoff | | HH Simonoff НН 261 OBSERVATIONS DE VARIATIONS HORAIRES DE ТА DECLINAISON МАС- NÉTIQUE FAITES à CAsAN EN 1830 par Ms. Simonorr ET SCHESTAKOFF, 7 Serie le 6 es 7 Aóut nouv. Style. 1 Therm. 6 Aout! Aiguille Obsevateurs État du Ciel. En o o DNE. Legers nuages 10. 00 11. 00 Midi 6 Aout] Aiguille 1. 00 13,770 13,505 13,550 13,550 13,540 13,850 13,805 13,779 I 3,720 13,665 13,600 13,525 13,485 13,455 13,442 13,402 113,402 13,402 -3 3,402 13.010 13,435 13,402 13,380 1235995 13,380 13,380 13,380 13,580 13,380 13,340 13,540 13,285 13,280 Therm. Reaum, 26 we Obsevateurs. nu Schestakoff HAE un T 8 о » © = НИИ État du Ciel. , Quelques nuages des nuages ‚9 Août] Aiguille. 263 Therm. Réaum.| Obsevateurs, Etat du Ciel. — mill. o Minuit | 13,250 |. 10,0 `бивопо 20 | 13,140 | 10,3 4o | 13,140 | 10,6 HARAS t (3. 00 | 13,085 | 11,0 ——— 20 | 13,180 | 11,0 —— 4o 13,210 | 11,0 — - | 2. oo | 13,170 | 11,0 —- : 20 | 13,120! | 10,9 — | 4o | 13,120 | 10,9 — 3: oo | 13,120 | 10,9 i: 20 | 13,135 | 10,9 | Schestakoff 4o | 13,155 | 10,7 | 4. oo | 13,150 | 10,5 —— | 20 13,120 10,0 — 4o | 13,125 9,6 Ar 5. oo | 13,090 | 10,0 — | 20 | 13,165 | 11,5 — Nu 4o | 13,245 | 11,6 —— | ae 6. oo | 13,185 | 12,0 ——— E 20 | 13,105 | 15,8 — + = Ao | 13,095 | 12,6 PW. PE 7. 00 13,1605 13,5 rode dde | -3 20 | 13,075 | 14,4 re 4o | 13,060 | 14,4 ——— . 8. oo | 13,035 | 14,5 —— 20 | 13,055 | 16,0 —— | 4o | 13,075 | 17,5 — | \ 9. 00 | 13,115 | 15,8 — Mes. T 20 | 13,125 [ 17,7 : 4e | 13,205 | 18,6 Simonoff un e 10,00 | 13,215 | 18,0 —— | 2с | 13,285 | 16,7 ——- | | 4o | 13,260 | 17.1 — 31.06 | 13,395 | 17,2 — | ; ` 20 | 13,520 | 16,0 — | | 40 | 13,600 | 15,6 —— | Midi 13,720 | 16,0 = 20 | 13,805 | 15,5 — 46 | 13,890 | 17,0 — 264 7 Aoüt| Aiguille. 2e 6. 10. ag. Therm. Réaum. Le cmm c. xe |<. 15,935 17,0 13,970 | 16,5 13,970 | 16,2 13,965 16,0 13,950 16,0 13,945 | 16,1 13,875 16,7 13,805 | 17,9 13,690 1506! 15,620 | 16,0 43,965 16,0 13,490 15,8 13,435 15,9 13,420 15,9 13,390 16 o 13,365 16,0 15,565 15,7 13,365 20,1 9.395 15,1 13,405 15,1 13,435 14,6 13,435 14,1 13,435 14,1 13,435 14,5 13,365 | 14,3 13,365 14,2 13,365 13,4 13,365 13,3 13,395 13,0 13,385 | 12,0 13,320 | 12,2 13,320 12,0 13,305 11,8 13,285 11,7 12384 12,90 1 13,245 11,9 13,265 f) 11,6 13:385 1Yi,i 13,265 10,9 13,265.15 10,3 12,308 aus [| Obsevateurs. Schestäkofk Simonoff Schestakoff | Simonoff . HH Schestakoff HH | État du Ciel. - de la pluie des éclaircies gs. éclaircies. | AUS АА ААА MINIER LIDS LIL LILO PPP NE SOS ДА АА ДА SIN SD GS OBSERVATIONS DE L'INCLINAISON MAG- NÉTIQUE A KASAN (au Champ d’Arsk ) 27 Mai . # MD. hu sue ОО à heure Inclinaison. Aiguille |" Limbe divisé Est. OuEsT. 67° 11° | 69° 11° | 67° 1655 67° 22 | 69° 7 | 69° 9 68° 1257 Milieu. = e| 67° 52° | 68° 34/ | 67° 58,5 a &| 68 5 | 68° 24 | 68° 29/ os 7 68° 13,7 ANT | 67° 43° | 69° 32 | 67° 4855 67° 54/ | 69° 28. | 69° 30° ^ 68° 394,2. ‚68° 28° | 68° 54 | 68° 337 _ 68° 38/ | 68° 48’ | 68° 51° 68° 42° Vraie inclinaison 689. 26’,9 Aiguille (A) de Mr. le Bar. de Humboldt Observ. par Mr. le Bar. de Humboldt et Mr, Simonoff. Pole Tourné tourné sur le pivot -266 ( Au Jardin de l'Université ) le = Juin ds 2 FR nr: 1830 — ` а 7 heure-du matin i 5 Inclinaison. ax RES = à Te TS See EL i hime divise er Bee 3 = Milieu. & = Est OverstT 10-12 | Oo 151) 68? 00: 70? Q' 67° 20/ 69° 15/ 69°. 45/ | 67° 30/ | | 70° 404 | 69° 15: 70° 10/ 69° 55,7 69° 10^ | 69° 45° | 69? 365,5. 68? 45/ | 69? 30/ 69° 2141 “SSS 1 6 4» | 66° Sf 12672974 67 0/ | 67° Of | 67° 6592 Est. 67° 224,5 67° 15° 7679 718. 67° 0 | 67° 15° : — 689 Of | 67° 7451 68° 848 | 67° 35/ | 67° 154 |-67? 47: 68?37/,5| 68° 15! | 67° 5749 68° 224,5) 68° 30% | T "d , Pole Su d. . QOgzsrT. Vraie inclinaison 68° 25,4 Aiguille № 3 Instr. de Mr. le Baron Schilling de Canstadt. Observé par Mr. le Baron et Mr. Simonoff, x 267 ( lu Jardin de [Universite d. 20 Septembre le 2: Octobre E ^ e 4 * E 1831 à 4 heures du soir ва Го с 11 па! з оп. (ab) 3 JE >| Limbe divisé. Milieu ee Est. | Ovzsr. | | 67° 57/,| 68° 55, | 67° 153/5 ae | ee. | Bz5 50, |^BSP Sa! | 689 55 д ST | ‘67° 574, | 68° 55: | 689 2412 » 67° 50^ | 68° 55° Е 69° 7^5 | 67° 45! 69° 715 di 5 69° 5', 67° 45! 9 451 > | 69° 109 OF 407 1728010 | A = 2 89 26/2 | 7 | 69° 745 | 67° 45: T ee | | | 69° 5°, "689 37^ 37‘ | 69° 4/4 $ | Es 69° 5°, 68° 40° | 68° 448 3 "| 69° 245 | 68 47^ "88e 5476. Jn Ug 3* 68° 554 s» | [68° 5 | 67° 30 | 68° 5 ^. ó 6 68° 5/ 67° 30" | 67° (324.5 Ay e 68° 5^ | 67° 35! 67? 4848. | 68° 5^ | 67° 354 Vraie inclinaison 68° 23,4 Aiguille de ВАМИ (А). obs. par Мг, Simönoff, 268 ( Au Jardin de l'Université ) 21 Septembre 3 Octobre à 3 heures du soir ~ 68° 40! 2 . 1831 Inclinaison. Ed ie ЗЕ Limbe divisé | wu [^ = p. E Ест. О цст. M .| 68° 12/5| 68° 20% 3 | pur, | 68° 15/5| 68° 20: = 68° 10/ | 68° 254 = 68° 12/5| 68° 25/ sx ue 688 226] 69" 907. — | & | 68? 2245|] 67° 58 a, | @ | 68° 25° | 68° & 68° 22/5| 68° 2/ TUR | 68° 37/5| 68° 15/ il | 68° 3745] “GBP 35 = 68° 32/51 68° 17/45 68° 256 » 68° 32/5| 68? 1745 n 68° 40° | 68° 2/5) 68° 37.5 о | & | 68° 40/ | 68° 2/5] 68° = | | 68° 30° | 68° 75 65° 216 68° 10/0 Vraie inclinaison 689 19’, 2 Aiguille de Gumbey (B) Obs. par Mr. Simonoff. 269 ( Чи Jardin de l'Université ) E le т Octobre N > 8 a 1 heure aprés iit. ? marque Bout Pole Nord. Pole Sud. Coté marqué. [4 | Est, _| 68,27,5 Ovzsr. Inclinaison. Limbe divisé. EST. 689 30° 68,30 OvEsT. 68° 245 68,2,5 68,10 68,7,5 68,22,5. 7 68,2,5 68,2,5 68,7,9 Vraie inclinaisou 68,21,3 Aiguille Obs. par Mr. Simonoff. Milieu. ox 68, 5,6 (68,47, 68,27.5 68, 7,5 | 68,17,5 | —— | — ————— p————— TE & 68.39 _ 68,18,7 68,28,9 (68,38, 68, 5,0. 68,21,8 68,7,5 de Gambey (в) 270 La moyenne de тез’ trois derniéres Observa- tions est: DW. OE X Ainsi l’Inclinaison de ГаваШе aimantee etait à Kasan ww en 1828 Août 68° 26/5 Mr. Hansteen — —— — 68, 23,8 Mr. Erman — 1829 Juin 68, 26,9 Mr. le Bar. de Hum- 1 | _ boldt. — 1830 Juin 68, 25,4 Mr. le Bar. Schilling | | de C. — 1831 Oct. 68, 21,3 Mr. Simonoff, | L'Inclin. moyenne 68°,24/,8 DEINE LO LG ddnde ПИ ID I IST I IS DH SOS IS IV CET IST BE POLI PUE L. x — ADDITION А L'ARTICLE DES МЕТАТАХУ- . MÈRES OU MONOTREMES. _ N par G. Еюснек; Mr. Georrroy Sr. Hiraing, vient de .don-. ner dans les Annales des sciences naturelles (Tome. 18. 1830. p. 157.) des considera- tions sur des oeufs @ Ornithorhynque , for mant de nouveaux, documens; pour la Classi- fication. des Monotrémes. Мг. :Georrroy y dit : „Les Monotrémes ne sont point de Mammife- res, comme on l'avait crü d'abord, et .com- me paraissait effectivement l'indiquer l'identité de plusieurs grands organes; tels que sont les appareils du mouvement, les tégumens communs, la respiration, la circulation, le coeur à deux ventricules , la poitrine fermée par un diaphragme etc.; et décidément il fal- lait les faire sortir de la classe des Mammi- fères , parceque Гоп était enfin informé que leur appareil: sexuel et plusieurs autres parties des grands’ systèmes organiques rangeaient ces j \ d P 272 aimaux parmi les ovipares. Des 1822, je n’en pus plus douter. “$ „Le Prof. Mecket - rapporta en 1824, d'avoir trouvé de véritables organes mammai- res chez un Ornithorhynque : c'était exciter à ramener les Monotrémrs parmi les Mammi- fères. En 1826 Mr. MeckeL publia sa de- scription anatomique et zoologique de l'Ornithor- hynque ‚ ouvrage établi sur une grande échel- | le pour son texte et ‘ses planches, et qui fait le plus grand honneur: à son ‘auteur, ТА Mr. MecktL inséra ‘за découverte d'un appa- reil’ d’une grande mammaire chez TOrnitho- rhynque.** Malls | —. Mr. de agri ae en adopta. de suite la détermination , dans un article qn'il lut à lAcadémie des sciences. V. Bulletin des sci- ences par la Société philomathique , année 1826. p. 147. Le fait enfin d'une évidence parfaite est parvenu à Mr. Georrroy, par une lettre de Mr. Rosznr Е. Brant M Professeur d'anatomie comparée et de :zoologie | de l'Université | de Londres ,, c'est. que l'Ornithorhynque pond dé- 273 cidément des oeufs. Mr. GEOFFRoY publie tex- [^ , tuellement la lettre que ce savant lui a ad- ressée. Il donne aussi la figure d'un oeuf d'Orni- thorhynque (Pl. 3) qui différe autant des oeufs d'Oiseaux que de.ceux de Reptiles. Sa conclusion est concue en ces termes: ai peut aujourd'hui regarder comme certain , que ‘le premier embranchement ihe ‘Se Zoologie » se composant des Animaux verlé- brés, doit être partagé dorénavant dans les cing types suivans : Mammiferes , Monotrémes, Oiseaux , Reptiles et Poissons.““ C'est le résultat de l'appréciation appro- fondie des. rapports naturels de ces mémes animaux , l'expression nette et précise du de- gré de leurs différences.** Je dois ajouter deux mots, pour convain- cre nos Membres, que nous ne nous étions pas écartés de la vérité , en assurant dans la troisième édition de ‚la Zoognosie de 1813, que les Monotrèmes ne pouvaient être réu- nis aux Mammifères , , parceque ces animaux 18 274 sont sans mammelles et que le developpement de leurs organes sexuels les rapprochaient plus des oiseaux. Nous les avions plac& comme un article intermédiaire , sous le titre de Mantis- sa ou Appendice, Mais apprenant en 1823, que lOrnitho- rhynque était un animal Ovipare , nous n’a- vons plus hésité à adopter cette Classe com- “me intermédiaire entre les Mammifères et les Oiseaux et nous les avons nommés Metataxy- méres. V. Enchiridion generum animalium. Mos- quae. 1823. 8. Mon assurance se fondait sur les observa- tions de Patrik Hit, qui annonçait dans une lettre, datée Sydney, South Wales le 3 Nov. . 1820, et adressée au Sécretaitre de la Socié- té Linnéenne à Londres, que lOrnithorhyn- que était réellement ovipare * ). *) Patrik Нил, surgeon in Royal Navy, on the Ornithorhynchus paradoxus or Mullingong, its venomous spur, and general structure, V. Trans. of the Linn. Society. Vol. XIII. P. II. Al. Tır- tock and Rich, 'Taxron, Philosophical Magazine Vol, LVI. p. 6 — то. ( 1025). \ 275 Mr. Hir décrit le nid d’un Ornithorhyn- que, trouvé par Mr Rawley (le 13 Oct.) dans un lac: près de la rivière de Campbell; il était construit de roseaux et de joncs avec un long tuyeau qui faisait lentrée et ne fit voir que le bec de l'animal. Il fallait le déchirer pour attraper l'animal. Cet animal fut placé dans un vase d'eau; oü pour quelque tems il parüt se plaire, se jettant sur son dos, pour se gratter la téte avec le pied de derriére. Les yeux sont petits et proéminens, d'une couleur d'un brun- sale; la pupille en était bleue. Ils se trouvent placés immédiatement derriere le lobe membraneux, A la base du bec. Peu de tems aprés l'animal parüt s'ennuyer dans l'eau, et en l’ayant sorti, on attacha une petite corde À sa cuisse, et on le fit aller. sur l'herbe, sur laquelle il rampa avec une difli- culté арразеще. Il parüt aimer qu'on grattät sa têtes car Mr. Нил, le fit, et l'animal se tint bien tranquille. Le 14 Octobre , lanimal étant mourant, on procéda a examiner sa structure. 18 * 276 Le rectum, le vagina et la vessie urinaire ont une ouverture commune. En oüvrant l'abdo- men, Mr. Нил, trouva dans lovaire gauche un oeuf rond et jaune , de la grandeur d'un petit pois. Шу eut encore deux plus petits et une grande quantité de petites vésicules, à peine perceptibles à l'oeil nu , mais qu'on pouvait parfaitement bien distinguer sous le microscope. Il n'y avait point d'uterus , ni un viscere, qui lui ressemblát , mais seulement un tube, qui allant au cloaque et se divisant en deux. con- duits qui passant aux ovaires , ressemble assez aux tubes Fallopiens ; il était cependant plus grand et plus large. L'ovaire gauche ne se trouva point impregné. Ces parties , conservées dans Tesprit de vin furent apportées en Angleterre par Mr. Scorr et deposées au Musée de l'Université d'Oxford. Cookoogong , un chef natif du tribus Boorah Boorah, a assuré Mr. Hii: ,que c'est un fait trés connu parmi eux, que cet animal pond deux oeufs, de la grandeur, forme et couleur de ceux d'une poule; que la femelle 4 277 couve les oeufs, pendant un tems considérable, dans un nid qu'on trouve toujours dans les joncs à fleur de l'eau; que cet animal peut marcher sur Pherbe et qu'on le trouve assez souvent à une distance Gone de l'eau ; quil s'est assuré que la plaie faite par l'éperon du mále est accompagné d'enflure, et de grandes douleurs, mais quelle n'est jamais mortelle, quoique il en ait vu beaucoup de cas; que la chair de l'a- nimal ne se mange point et que le nom‘ de cet animal, chez les indigenes, est JMullin- gong. [11 >< Lu SUR UNE NOUVELLE ESPECE DE CA- NARD DU KAMTSCHATKA. — par G. Fischer. Mr. de Gousmicutcnerr, Membre — hono- raire de notre Société au Kamtchatka, nous a fait, de ce pays, un envoi trés précieux d'oi- seaux qui nous manquaient. Parmi eux se dis- T. tinguent : 4. le Macareux du Kamtchatka: Alca cirrata. Г. Aptenodytes Gueux. Lunda cirrata Patt. Игульма. | 2, le Guillemot. Colymbus Troile №. Ома Bniss. Cepphus Lerwia Parr. Kaapa. 3. le Cepphus Columba Patt, . Colymbus Grylle L. Uria Briss. Lacep. Свисптунъ. Kaiypt. 279 4. La iouette parasite. | Catarrhactes parasita PAuL. : E us parasiticus Y,i:55555 . 19 Cet oiseau differe de la parasite par id couleur de sa poitrine. | ' 23H Cat. undulata,, pectore , end À ceterum parasitae simillima. La grandeur est moindre dans cette es- pèce.! Parmi les canards se trouvent le ca- nard à-collier , Anas. histrionica ; le: canard siffleur Anas : Penelope et une espèce que nous avons appelée Canard’ à eapwchon. Anas. cucullata. Corpore griseo-fusco, «cauda acuta , sub- tus albo - flavescente , fronte et vertice nigris albo cinctis, maculaque cruciata cuculli ad instar viridi-aenea. "d Front et sommet ainsi que le menton noirs; une bande noire descend des yeux pour se réunir à la geule noire ; les cötes de la tete et le cou sont blancs; une bande trian- gulaire verte-foncée à reflets métalliques - come 280 mence prés des yeux, va en arriére et forme la couverture de locciput, se divisant de nou- veau et descendant des deux cótés du cou. Une troisiéme bande noire réunit ce capuchon à la couleur brune-grisátre du dos. La poi- trine est rousse, ocellée de noir; les scapu- laires, rayées en zigzag se terminent en ban- des blanches. Les ailes sont trés alongées, les remiges sont terminées intérieurement d’un bord d'un blanc sale. Le miroir est composé de quatre couleurs, d'un vert à reflets et de noir foncé, ceinturé par devant par une bande rousse- maron ; elle est blanche en arrière. Les cou- vertures près des ailes sont composées de plu- mes noires au milieu et rousses de côté. Та queue pointue est en dessous blanche à la pointe , noire à la base et de coté teinte de noir et de marron. Longueur 14 — 15 pouces. = ДК — SNS И ПР ПП IDDGLDDD IID SUR LE GENRE DE POLYPIERS FOS- SILES Aulopora de Goldfuss , par C. Fischer. Eu établissant mon genre Harmodite parmi les tubipores fossiles ‚ qui se caractérise. par des tubes plus ou moins paralléles , réunis ou anastomosant entre eux par des tubes trans- versaux , courts , droits ou courbés, jai rendu attentif à plusieurs autres genres de cette fa- mille ‚qui se trouvent. dans les calcaires des environs de Moscou. Un des. plus remarquables est le genre Chaetetes , (( Máhnencoralle ) par sa grande étendue. Il forme pour ainsi dire la base des carrieres calcaires de Miatchkova, et se rencontre partout sous.différentes formes , tantôt calcaires, tantôt quarzeux. J'ai consacré une: seule planche ( T. XXXVI) à ce genre, dans mon Oryatographie de Moscou, dont les planches ont été publiées. 282 Mr. Gorpruss, Professeur à Bonn et Mem- bre de notre Société, dans son superbe ouvra- ge sur les fossiles conservés au Musée de l'Uni- versité de Bonn *) y a ajouté d'autres; | En reconnaissant le genre établi ici sous le nom d’Harmodite et auquel il a donné le nom de Syringopora ,'il propose :un nouveau sous le nom d’Aulopora , qui sans aucun doute doit être distingué des Harmodites. Nous en trou- vons dans nos carrières une espèce que je vais décrire. Voici d’abord lés caractères du genre: Aulopora , Gorpruss. ó&vAos, tibia; et zopos , porus. Oecema calcareum e tubulis obconicis', vacuis, e latere proliferis , singulis ostiolös terminalibus exsertis. “) Aug. Gorpruss, Petrefacta Musei Universitatis Regiae Borussicae Rhenanae Bonnensis nec non Hoeninghusiani Crefeldensis, iconibus et descrip- tionibus illustrata. Düsseldorf, 1020. fol. 2 fascic. cum №. tabb. lithographicis, V. С, Fiscuzr, Bi- bliographia Petromatognosiae in: Nouveaux Mém. de la Soc. Impér. des Naturalistes de Moscou Tome. II: | 283 Polypier calcaire ra de tubes obco- niques et creux, avec des branches latérales qui tous se terminent par une petite ouverture, Ce polypier paraît plutôt parasite’ que libre, en couvrant le ‚plus souvent d'autres polypiers. Les tubes sont creux, pendant que Mr. Gorp- russ a decouvert des lamelles latérales dans les Harmodites ou Syringopores : : Espèces décrites et figurées par Mr. Gozpruss $ 1. Aulopora serpens. Gorpruss Petrefacta Musei Bonnens. p. 82, genre XLI. t. XXIX. f. 1. а — d.- Aulopora incrustans , repens , tubulis strictis ex apicis latere proliferis , alternis vel in reticulum connexis, ostiolis eoarctatis ascen- dentibus. Tübipora serpens , tubulis cylindricis erectis brevissimis distantibus axillaribus , basi re- pente dichotoma divaricata. Otto Fasnicn , Fauna Grönland. 428. | gui Millepora dichotoma, repens, teres, poris axil- laribus 'solitariis eminentibus, Linn. Amoenit.- Academ. 1. p. 105. t. 4. f. 26. 284 Millepora liliacea , PALLAS , ZLlench. eye. p. 248. Millepora repens, Knorr, Peiröfen IV. p. 179. tab. suppl. VI* n. 173. f. 1. | Millepora liliacea , Schröter ,„ Lind. Ш. p. 467. 1. 8. £. 8. | " Catenipora axillaris , Lamarck , Hist. nat. des animaux s. verlebr. П. p. 267. n. 2. Tubiporites serpens, ScHLOTHEIM, Petref. p. 367. C'est un polypier parasite qui se irouve comme enduit sur le Calamopora Spongites G. et sur d'autres polypiers, dans la chaux de iransition prés de Bensberg et dans quelques contrées de Eifel. Mr. Gorpruss cite une va- riété dans le calcaire juraique de Strertberg en Baireuth. Elle est si petite qu'on a peine à la reconnaitre avec des yeux non armés. Les branches proliferes sortent trés. prés du bout supérieur. Ges branches le plus sou- vent dichotomes se croissent quelquefois et for- ment une espece de rét. 2. Aulopora tubaeformis Goupruss 1. c. p. 83. t. XXIX. f. 2. a, b. Aulopora incrustans , tubulis incurvis 285 alternantibus e latere medio proliferis , ostiolis obliquis ampliatis. Comme enduit sur Calamopora spongites , dans le calcaire de transition de l'Zifel. Elle se distingue de la précédente par des pores un peu plus larges à'bords un peu renflés. Les branches proliféres sortent du milieu des tuyeaux principaux. 3. Aulopora spicata Goupruss, 1. c. p. 83. t. XXIX. f. 3. a. b. Aulopora tubulis striatis strictis. e basi proliferis in spicam ramosam connatis , ostiolis - eonformibus obliquis. Les branches proliferes sortent prés de la base des tuyeaux principaux sous des angles. aigus. Leurs pores terminaux obliques conser- vent la largeur du tube. Dans le calcaire de lZifel et de Bensberg. 4. Aulopora conglomerata. Gorpruss, 1. c. p. 83. t. XXIX. +4. a. b. Aulopora tubulis elongatis flexuosis sub- cylindricis varie proliferis in glomerulum caes- spitosum conjunclis, ostiolis erectis conformibus, 288 Dans le calcaire de Bensberg. Les tuyeaux sont cylindriques , poussent des branches proliferes de tous les côtés et forment un peloton entrelacé, sur la surface duquel se trouvent les ostioles qui sont de la méme largeur que les tubes. 5. Aulopora complanata. | Goldfuss, 1. c. p. 84, & XXXVIIL £ 17. magnitudine decies aucta. Aulopora crustacea , repens, tubulis con- tiguis elongatis rectiusculis dichotomo proliferis, ostiolis conformibus ascendentibus. Découverte par Mr. le Comte Münsrer dans le fer argileux oolithique de Rabenstein et de Grafenberg. Lx iubes sont légérement comprimés , presque droits, trés rapprochés, faisant un enduit cortical sur des huitres ou des belemnites. Les branches proliféres sortent des deux cótés et s'élévent avec leurs ostioles presque à la méme — hauteur. 287 6. Aulopora macrostoma. m. Voyez tab. V. f. 6. de grandeur naturelle Aulopora incrustans e tubulis obconicis approximatis plerumque dichotomis , ostiolis magnis ," marginibus intumidis. Cette belle espéce se trouve comme en- duite sur le ‚Chaetetes radians m. dans le calcaire de transition de Grigorieva à 60 Ver- * stes de Moscou. Les tubes cont courts, obconiques lisses , les branches proliféres sortant de la base, sont d’egale longueur. Les ostioles sont larges, à , bords trés renflés. >_<, GIF рр I I GG IH BE II HH GRP LIC IOPLIEIIG | NOTICE DE QUELQUES CORPS FOSSILES. QUI SE TROUVENT INCRUSTÉS SUR UN MORCEAU.DE PYROMAQUE, Par С. FiscnhER. Tout dépend dans la définition des corps fossiles de la netteté et de la précision avec lesquelles on les trouves caractérisés. La peti- ‘tesse des objéts devient souvent un nouvel obstacle. C'est le cassavec ces corps microscopi- ques que je vais décrire. Le morceau de py- romaque en question fut trouvé par M. le Colo- nel de Buxsson , notre Membre, aux environs de Berlin. Son attention fut surtout attiré par un petit corps qu'il croyait étre une chenille pétrifiée Je le prends plütöt pour un genre de Cephalopodes ou pour une JVodosaire. 1. Nodesaria dubte Tab. Voto 4. aj ie N. corpore conico, transversim sulcato , longitunaliter striato. Il est impossible de se procurer une cer- titude quelconque sur la nature de ce corps, 289 étant trop petit et trop dur , pour en décou- vrir l'intérieur. 2. ‚Bigenerina hastata. Tab, Ve Longueur naturelle 32 lignes: Le genre Bigenerine établi par d’Orsıcny, appartenant à son troisième Ordre des | Fora- minifères a pour caractères: test droit, ou ar- qué à l’origine, cylindrico-conique.. . Loges al. ternantes seulement dans le jeune Аве; ouver- ture centrale ou marginale. L'espéce qui me parait appartenir à ce genre, est allongée , terminée en pointe et n'a des loges alternantes qu'à la base. Le corps lui-méme porte des cloisons paralléles. 3. Ceriopora clavata. Tab. V. f. 3. Grandeur naturelle: 22 lignes. Mr. Gozpruss ") a établi le genre Cério- pore, ( du grec Knpıwöns, favo similis et zró- pos; porus) presque aux depens du genre Alveolites Lam. Il lui donne pour caractère : Oecema **) lapideum , sessile vel affixum , e #) Petrefacta. p. 92. 40. t. X. XI. XII. Y* ) Mr. Gozvruss emploie également, comme Lamancx, le mot polyparium pour polypier ; il est impossi- 19 290 stratiscellularum plurimis concentricis, invicem sese involventibus. Cellulae iubulosae vel sub: prismaticae , subconicae, parallelae vel di- vergentes. L'auteur de ce genre y place des formes très différentes à l'apparence , de sorte que son ouvrage ne contient pas moins de 28 es- pèces. Cette: multiplicité de formes, nous y fait insérer deux espèces qui paraissent cependant essentiellement différer du genre en ce qu’elles paraissent libres, et non fixées. L'une à mas- sue est allongée , intumescente et sillonnde à la base, à pores trés approchés, placés par séries autour de la tige. On pourrait confondre ce corps avec l'épine d'un oursin de mer, mais dans ces épines d'oursins les petites épi- nes qui peuvent garnir la grande ne sont ja- mais placées aussi régulièrement, | Elle a quelque ressemblance avec la Сев! ОРОВА verticillata de Gotnruss, mais dans celle-ci les pores sont placés sur une petite ble d'accorder à ce mot factice les droits de la- tinité et nous nous servons, depuis longtems, du mot oecema , pour polypier. 291 élévation , et le corps est cylindrique, au lieu que la nôtre est en massue еп, фаз et’ termine en cone pointu, et que les pores sont placés sur un renflement presque insensible, ^14. — Ceriopora Siderolites. Tab. V. f. 5. Grandeur naturelle 4% lignes, d'une branche à l'autre, С: oécemate globoso, triradiato у radiis acıculatis , poris elongatis alternantibus, Ce corps fossile présente quelque ressem- blance avec un Siderolite, qui est une cos quille multiloculaire, présentant une ouverture. On n'y decouvre rien qui puisse défendre cete te ressemblance. Il n'y a au corps arrondi au milieu aucune ouverture et les rayons sont beaucoup plus longs. Les pores au contairele placent sans con- tredit parmi les polypiers. Nous avons placé , en attendant, ces deux espèces sous le genre Cériopore, jusqu’à ce que d'autres individus nous rendent plus certains , à en former un genre nouveau. 19 * 292 9. Dactylopora petiolata. Tab. V. f. 4. Grandeur naturelle 3 lignes, D. oecemate globoso : poris obducto, petiolo incurvo longitudinaliter sulcato. C'est encore une: espéce , trés. petite à la vérité , mais avec des caractéres suffisamment distincts. Je n'ai pas la méme conviction de ce qu'elle soit véritablement une Dactylopore. | | | | | Е Пт тет пе его NINE SRE UEBER DIE GENAUERE TEMPERATUR- BESTIMMUNG DES QUECKSILBERS IM BAROMETER BEI HÖHEN-MESSUNGEN MITTELST DESSELBEN, von Г. Pannor. Eben so einfach, als die Grundsätze , auf welchen die barometrische Höhenmessung. be- ruht, sind auch die Erfordernisse des dazu dienenden Apparates , des Barometers. In der That, dem Anscheine nach nichts einfacheres als die Ausmessung einer Barometersäule von ihrem untern Niveau bis zu ihrem obern; und dennoch bietet die Befriedigung dieses. Erfor-- dernisses in der Ausführung so. mannichfache Rücksichten dar, dass Gelehrte und Techni- ker über die Construction des besten Baro- meters sich bis auf dem heutigen Tag noch nicht haben vereinigen können. Manche von diesen Rücksichten sind freylich ‚durch, speci- elle Zwecke gegeben , als z. В. Tragbarkeit , Dauerhaftigkeit’, "Leichtigkeit u. dgl. Aber ei- 294 nige sind auch allgemein , wie namentlich alle . diejenigen, welche zur Genauigkeit der Be- obachtung in näherer oder entfernter Bezie- hung stehen. Aus diesen sey es mir vergönnt, hier. nur einen der wichtigsten ,. aber nichts desto weniger in der Construction des Baro- meters bis auf den heutigen Tag noch wenig beachteten zu erwähnen, ich meyne die Ein- richtung des Zhermométre barométrique , des- sen Bestimmung ist: die Temperatur des Queck- silbers im Barometer anzugeben , eine Anga- be, welche auf die Genauigkeit der barome- trischen. Höhenmessung . einen so wichtigen Einfluss ausübt , dass ein Fehler von einem Grade am Thermometer gleich einen Fehler von wenigstens fünf Fuss in der berechneten Höhe erzeugt. Nun istaber, bei den grossen Wechseln der Temperatur, welchen das Ba- rometer ausgesetzt ist, wenn. man es bei Mes- sungen aus dem Zimmer ins Freie und umge- kehrt bringt, oder wenn man es unter den brennenden Sonnenstrahlen auf dem Rücken getragen hat, und dann zur Beobachtung im Schatten aufstellt, oder wenn während der Beobachtung selbst, was häufig geschieht , die 295 — Luft - Temperatur sich ändert, ein "Thermome- ter von gewöhnlicher Art, wie es sich mei- stens an dem Barometer befindet , weit ent- fernt, genau immer dieselbe Temperatur zu haben, als das Quecksilber in der Barometer- röhre ; weil diese stets aus dickem, die Kugel der gewöhnlichen Thermometer aber, aus sehr _ dünnem Glase besteht, die Wärme also viel zu schnell durchgehen lässt, als dass man be- rechtigt wäre aus seiner Temperatur auf die Wärme des Quecksilbers im Barometer einen richtigen Schluss zu machen ; des Unistandes nicht zu gedenken, dass überdies noch sehr häufig die Hülle des Barometerrohrs die Mit- theilung der Wärme zwischen diesem tnd der Luft bedeutend erschwert. - Eine Einrichtung , welche solchen Nach- theilen abhilft , wird also gewiss zu den we- sentlichen Verbesserungen des Barometers zu zählen seyn undfeine solche verschafft man sich dadurch , dass man: 1: das Barometerrohr in keine Kapsel von Holz, Metall u. dgl. einschliesst , sondern 296 dasselbe frei vor einem Bret oder zwischen zwei eisernen Suiben., mit der zur Dauerhaftigkeit erforderlichen Anzahl. Stützen versehen, be- festishs 2. beim Thermometer, statt der gewöhn- lichen Kugel, an die feine Róhre ein, von dem Barometerrohr abgeschnittenes, oder doch mit demselben gleich dickes Stückchen Rohr , von etwa eines Zolles Länge, anschmilzt , und dann das Thermometer, wie ein. gewöhnliches füllt und eintheilt. Dieser kurze Cylinder kann, aus einfachen theoretischen Gründen, die Wär- me nicht schneller und nicht langsamer hin- durchlassen , als das lange Barometerrohr von gleicher Dicke , weil.die in beiden enthaltene Quecksilbermasse der Oberfläche des Rohrs und seiner Masse proportionirt ist, und wird folglich die wahre Temperatur des Quecksil- bers im Barometer jeden: Augenblick richtig angeben. Zum Ueberfluss habe ich einmal zwei Thermometer dieser Art angefertigt, eins mit einem Cylinder von einem Zoll und ein anderes mit einem Cylinder von 28 Zoll Län- ge, und ihren Gang bei den grössten und 237 schnellsten Wechseln der Temperatur äusserst harmonisch gefunden. Daraus geht aber, ne- ben der grössern Genauigkeit ; auch noch der bedeutende Vortheil hervor, dass man auch auf Reisen in jedem Augenblick eine völlig genaue barometrische Beobachtung machen kann, ohne dass man nöthig hat, wie es bei den gewöhnlichen Barometern zu einer genauen Messung unerlässig ist, eine halbe Stunde und drüber auf die Ausgleichung der Temperatur zwischen der Luft und allen Theilen des Ba- rometers zu warten. — Auch ist die Anferti- gung solcher Thermometer für jeden Glasblä- ser eine wahre Kleinigkeit und sind sie nur nicht ganz nachlässig gemacht, so haben sie denselben Grad von Dauerhaftigkeit als die gewöhnlichen Thermometer. Es ist zwar schon früher einmal (Schweig- ger’s Journal Bd. 19. p. 419) von dieser Er- findung die Rede gewesen, allein jetzt , nach- dem eine sechzenjährige Erfahrung mit den vielen Barometern, welche nach meiner Angabe gemacht , und sämtlich mit solchen Thermo- metern versehen worden sind, mich von der | 298 grossen Genauigkeit und Bequemlichkeit dieser Einrichtung vollkommen überzeugt hat, nehme ich keinen Anstand dieselbe den Freunden ba- rometrischer Operationen wiederholt zu em- _ pfehlen. — ААА ААА ААА ES SENT II LED II SÉ SOI IDOE IDEE SEE IIS SIDE ISIS EIS S I SIDE SITE SITE INDEX PLANTARUM PHANEROGAMARUM IN TERRITORIO KOLAENSI , LECTARUM. a Jucolip FELLMANN. ( sec. Syst. Linn. Ed. C. Sprengel. ) 1. Hippuris vulgaris. In aquosis frequens. 2. Callitriche verna. Ad Koddojaur ; Sulkes- jok, et alibi passim. 3. С. autumnalis. Ad flumen Kouda. 4. Pinguicula vulgaris. Locis uliginosis fre- quens. Var. В tenuior С. Wahlenb. Fl. Lapp. ad EN PR Kuolle et jus cd 9. Р. alpina , frequens. 6- E VIR ad Разом , Lutto , Kandalax à (C UR T AR ad paludes in Sphagno. 7. Veronica maritima. l'requens. 8. V. longifolia. Ad fluvios frequens. 9. У. alpina. In regionibus alpinis frequens. 10. V. serpyllifolia. In pascuis prope pagos maris albi, ex. gr. ad Kouda et Keret. 11. V. Chamaedrys. Ad Keret. 12. Salix hastata. Passim. 300 13. S. phylicifolia. Passim. 14. S. lanata. In superiori parte hujus Lap- poniae vulgaris. 15. S. pentandra. Ad Kouda et Keret. 16. S. Finnmarchica. Haud infrequens. 17. S. myrtilloides. Per partem sylvaticam hujus territorii superioris partis haud in- frequens. 18. S. herbacea. Ad cacumina alpium frequens. 19. S. nigricans. Ad flumen Kouda. 20. S. Myrsinites. Ad loca maritima , : maris glacialis , frequens. 21. S. limosa. Frequentissima. 22. S. livida. Ad flumina Kouda et Tuloma alibique. | 25. S. glauca. Frequens. 24. S. Wulfeniana. Frequens. 25. Anthoxanthum odoratum. Frequens. 26. Valeriana officinalis. Ad Keret. 27. Scirpus palustris. Passim. 28. S. acicularis. Passim copiose. 29. S. caespitosus. Ubique vulgaris. 30. S. lacustris. Passim. 31. Eriophorum alpinum. A Ress LUE vul sus septentrionem valde frequens. 301 32. E. vaginatum, Ad paludes frequens. 33. E. capitatum. Non infrequens. 34. E. triquetrum. Ad Pollomjaur. 35. E latifolium. Ubique frequens. 36. Nardus stricta. Ad flumina Lutto et Tu- loma. | 37. Alopecurus praienas y. nigricans, Ubique _ frequens. 38. A. geniculatus. In locis humidis et aquo- sis frequens. 39. Phleum pratense. Ad Keret parcius. 40. Ph. alpinum. Ubique frequens. 41. Milium effusum. Ad Кова ЕВЕ, Kandalax , Keret , Kouda et Pollomjaur. 42. Calamagrostis Epigeios. Passim e. gr. ad flumina Tuloma et Lutto, legi. 45. C. lanceolata. Ad. flumina Tuloma et Lut- to haud infrequens. 44. C. lapponica. Ad flumina Tuloma et . Niva ; nec non Kandalax , Imandra , Pol- lomjaur , Kuollejaur > passim copiose; 45. Agrostis vulgaris. Frequens. 46. A. stolonifera. Ad mare album raro. 47. А rubra, Ad vias humidas fluviosque frequens. | | | 302 48. A. alpina. Haud infrequens. 49. Phalaris arundinacea. Ad lacum, Мао tejaur, nec non ad flumina Kuollejok, Tulo- ma et Lutto. | | 50. Hierochloé borealis. Frequens. 51. Aira flexuosa. Frequens. 52. A. atropurpurea. In collibus ad Kuollejaur, Pollomjaur nec non ad Kuollejok, quibus= dam locis copiosissime. "53. Аша caespitosa, In humidis pratisque fera tilioribus frequens, 54. A. alpina. Ad alpem Kipina et Peisen. 55. Melica nutans, In sylvaticis subsylvaticise que frequens, 56. Molinia varia, Frequens copiose. 57. Triticum repens. Haud infrequens. .58. T. caninum. Ad flumen Tuloma. 59. Elymus arenarius. Passim copiose, 60. Avena subspicata Wahlenb. Fl. Sv. In regionibus borealibus alpinis sübalpinisque passim. 61. Poa trivialis. Haud infrequens. 62. P. nemoralis. Ubique. 63. P. pratensis. Haud infrequens, 64. P. annua. Ubique vulgaris, 303 65. P. maritima. Ad littora maris inter Ko- uda et Knasakuba raro. 651 P. alpina. In superiori parte hujus Lap- poniae in regionibüs alpinis inferalpinisque haud infrequens. 651 P. glauca Wahlenb. Fl. Sv. Passim. 653 Festuca ovina, Ubique. vulgatissima. 66. Festuca rubra. Frequens, 67. Arundo Phragmites. Ad Sokkeljok, Sokkels jaur nec non ad flumen Tuloma legi. . 68. Montia fontana. Ad fontes locisque humidis denudatis frequens. 69. Kónigia islandica. Ad p Karels gammen. | 70. Galium palustré. In pratis sylvisque gra- minosis humidis , ex. gr. ad Kouda flumen , Tuloma et Nuottejaur una cum sliginos passim. 71. С. trifidum. Ad flumen Tuloma et lacum Nuottejaur. / 12. Gi uliginosum. Locis uliginosis. 73. G. boreale. Ubique. 74. G. Aparine. In agris ad pagum Keret. 75. Plantago major, ad pagos Keret et Kouda atque ad oppidum Kola legi. 304 76. P. maritima. Ad littora maris frequens. 77. Cornus suecica. In nemoribus , sylvaticis , locisque dumetosis frequentissima, 78. Majanthemum bifolium. Haud i fred 79. Alchemilla vulgaris. In pratis locisque um- brosis passim. | 80. A. alpina. Ad radices alpium maris glaci- alis passim copiose, | 81. Sagina procumbens. Ad vias et ripas , fluminum marisque passim. 82. Potamogeton natans. Ad lacum Nuottejaur. 83. P. heterophyllus. Passim in aquis. 84. P. perfoliatus. Ad flumina Tuloma et la- cum Nuottejaur nec non in alis lacubus fluviisque legi. 85. Lithospermum maritimum, Ad littora mari- tuma frequens. 86. Myosotis caespitosa. Frequens. S7. M.Scorpioides variet. В parviflora Wahlenb. Flora Suec. ad Nuottejaur et flumen Tuloma. 88. M. arvensis. Ad Keret , Kouda legi. 89. Lysimachia vulgaris. Ad flumen Kouda se- mel observavi. | 90. Primula Hornemanniama. In monte Kapudsa haud procul a Keret. 305 91. P. norvegica. Ubique a Gongamo usque ad Kandalax in terra humida ad littora maris, ad ripas fluviorum meridionalium , passim etiam locis inundatis ^ occurrit; ad mare vero glaciale rarissime , ex. gr. Peisen et Pasvik. 92. Menyanthes trifoliata. In paludibus usque ad Kandalax copiose, deinde unico tantum loco haud procul ab oppido Kola observavi. 93. Diapensia lapponica. Ad Kipina Tuoddar, juxta lacum Imandra , deinde vero non ante quam ad littora maris glacialis et in alpibus subalpinisque maritimis visa. 94. Polemonium coeruleum. Locis graminosis passim, i 95. Azalea procumbens. In lateribus alpium о et montibus altioribus a Kipina Tuoddar us- que ad Kolmesoivemadaketsa , ubique. 96. Campanula rotundifolia. In утв locisque dumetosis frequens. 97. Lonicera Xylosteum. In nemorosis locisque dumetosis ad littora maris albi atque fluvio- rum Niva et Keret nec non ad lacum Imandra; 98. Viola palustris. Haud infrequens. 20 306 99. V. biflora. Ad superiorem partem hujus Lapponiae inprimis locis: occultis satis fre- quens. 100. V. canina. Ad Keret, Kouda, lacum Imandra et flumen Tuloma. 101. V. montana. Ad lacum Imandra et fluvi- um Tuloma. | 102. V. tricolor. Ad Huiciénba et Kouda. 103. Ribes rubrum. Usque ad Kandalax frquens, deinde tantummodo ad Porjakuba , Imandra, Nuottejaur et flumina Tuloma atque Lutto rarius occurrit. | 104. В. nigrum. Ad flumen Keret. 105. Glaux maritima. Ad littora maris albi passim. . 106. Gentiana aurea. Ad Peisen legit Deinboll. 107. С. nivalis. Ad sinum Warangricum. \ 108. G. barbata. Ad Vangetinjaur fluminis Patsioki et pagum Peisen. 109: ©. glacialis. Ad sinus Warangricum et Kola. Г 110. Carum Carvi. Ad pagos maris albi ; supra Kouda vero nunquam mihi occurrit. 111. Cicuta virosa. Ad flumen Kouda vidi. 112. Chaerophyllum sylvestre , passim. 307 113. Ligusticum scoticum, Ad littora maris haud infrequens. | 114. Thysselium palustre. Passim parcius. 115. Angelica Archangelica. Haud infrequens. 116. A. sylvestris. In sylvarum locis hu- midis. | i 117. Chenopodium album. Ad mare album haud infrequeus , caeterum. tantum ad si- num Kola observavi. 118. Parnassia palustris. Frequens. 119. Drosera rotundifolia. Ad paludes fre- quens. 120. D. longifolia’ Cum praecedente. 121. Sibbaldia procumbens. Ad alpem Kipi- na et mare glaciale haud infrequens. 122. Allium Schoenoprasum. Ad littora ma- ris frequens; caeterum ad flumina. Kuol- lejok, Keret, Kouda, Kiksesjok et Tuloma usque ad lacum Nuottejaur. 123. Convallaira majalis. In pratis collinis ad flumen Keret raro. 194. Juncus trifidus cum varietate monanthos Hornemann. Locis siccis apricis per latera omnium alpium et in montibus alpinis atque subalpinis ubique frequens. 20 * 308 | 125. J. Stygius. In paludosis profundis passim. 126. J. biglumis. Locis uliginosis sterilibus irrigatis alpis Kipina ‚ Tuoddar et ad lacum Imandra. 127. J. triglumis. Praecedente vulgatior , et occurrit ubique in paludibus profundis a Ki- virega usque ad Kolmesoivemadaketsa. 128. J. filiformis. In humidis frequens. $ 129. J. glaucus. Ad littora maris haud pro- cul a Keret. c | 130. J. botnicus. In littoribus maris frequens copiose. | 131. J. bufonius. Ad infimam partem hujus territorii passim copiose. 132. Luzula parviflora, Ad flumina Patsioki et Tuloma parcius. 133. L. spadicea. Ad Peisen tantum legi. 134. L, vernalis. Haud infrequens. 135. L. arcuata. Ad alpem Kipina et alias regiones alpinas unde ad mare glaciale flu- viosque quasi descendere videtur. 136. L. nivali Ad alpem Kipina, 137. L. campestris, ubique. 138. L. spicata. Passim. 309 139. Tofieldia alpina. In uliginosis et 'paludo- sis atque ad fluvios rivulosque frequens. 140. Triglochin maritimum. Ad littora maris haud infrequens. 141. T. palustre. In humidis passim. 142. Veratrum album. Ad Keret ac si satum esset, deinde ad ostia omnium fere flumi- num usque ad Kandalax parcius. 143. Rumex aquaticus, В crispatus Wahl. Flora | Тарр. аа Kuasakuba , Kandalax , Imandra et flumen Tuloma. 144. R. Acetosa. Frequens. 145. В. Acetosella. In aridis locisque deustis frequentissima, 146. Trientalis europaea. In nemorosis , pratis et sylvis frequens. 147. Erica vulgaris. Per territorii hujus par- tem inferiorem frequens. | 148. Menziesia caerulea. A lacu Imandra us- que ad Kolmesoivemadaketsa in collibus atque campis duris. nec non ad radices alpium frequens. 149. Vaccinium Myrüllus. In montosis fre- quentissimus. 150. V. uliginosum, Frequens. | 310 | 151. V. Vitis idaea. In collibus ubique vul- gatissima, 152. V. Oxycoccos. In paludibus muscosis frequentissime, 153. Epilobium angustifolium. In lapidosis in- primis deustis sylvaticis frequentissime. 154. E. alpinum, Passim copiose. = 155. Epilobium alpinum variet. 6 fontanum. Ad fontes fere omnes frigidos. 156. E. palustre. In paludosis ad Kandalax , Keret, Kouda et flumen Lutto legi. - 157. Populus tremula, exceptis alpibus frequens. 158. Polygonum viviparum. Frequens var. В alpinum Wahlenb. Fl. Lapp. ad alpes nec non littora maris glacialis passim. 159. P. Convolvulus. Ad Kouda. 160. P. aviculare. Ubique frequens. 160. P. amphihium. Ad lacum Nuotte * haud procul ab ostio fluminis Lutto copiose, ad lacus fluminis Lutto passim nec non ad Sjol- mejaur fluminis Patsioki legit Deinboll. 161. Adoxa moschatellina. Ad sinum Waran- gricum rarissime, 162. Paris quadrifolia. Ad flumina Patsioki , Kouda alibique raro. 311 163. Arctostaphylos Uva ursi. In collibus areno- sisque sylvaticis subsylvaticisque ubique fre- quens. 164. Arct. alpina. In subalpinis subsylvaticis- que nec non ad littora maris albi' valde frequens. 165. Andromeda Tee Ad alpem Kipina, Holmagardsfjallet et Peisen. | 166. A. calyculata y. angustifolia. . Wahlenb, Fl Lapp. Ad Torangijaur fluminis Kouda solum modo hanc, alis regionibus Gubernii Archangelopolensis vulgarem plantam , legi. 167. Andromeda polifolia р. Wahlenb. Fl. Lapp. In paludibus ubique. | 168. Ledum palustre. Locis paludosis fere ubique. | Var В. dilatatum. Wahlenb Fl. Lapp. ad Kouda, Tuloma , Khasakuba et alibi. 169. Pyrola uniflora. Ad Suonostroff , Keret , Kansas) inter lacum Imandra et alpem Ki- pina in lucis. 170. P. secunda. In sylvis frequens. 171. P. minor. Passim. - 172. P. rotundifolia. Locis umbrosis haud ififrequens. nn 312 173. Saxifraga stellaris. Per omnes regiones alpinas alpesque maritimis locis irrigatis nec non ad rivulos frequens. 174. S. cernua. Ad sinum Warangricum raro. 175. S. rivularis. Juxta rivulos et loca madi- da oceulta ad mare glaciale frequens. 176. S. Hirculus. Ad flumen Tuntsa tantum legi. | | 177. S. aizoides. Ad flumen Niva, littora lacus Imandra in umbra parcius; per omnes vero alpes ad rivulos locosque uliginosos fre- quentior, | 178. S. nivalis. Ad Warasjoksuollo in districtu Motkensi. 179. S. oppositifolia. In districtu Peisensi pas- sim; copiose alibi ad mare glaciale in rupi- bus inferalpinis rariorem legi. 180. S. tridactylites. Ad sinum Kola. 181. Saxifraga caespitosa, Ad littora maris albi ubique frequens. 182. Dianthus superbus. Per omne kolaicum territorium ad littora sabulosa fluminum, ex- ceptis in desertis , nec non in littore maris passim copiose. | . , 313 183. Chrysosplenium alternifolium. Ad Peisen et Normanssatel. | 184. Stellaria Nemorum. In lucis graminosis passim. 185. S. media. Ubique frequentissima. 186. S. cerastoides. Haud infrequens. 187. S. uliginosa. Frequens. 186. S. crassifolia. In littoribus maris juxta termimos, fluxus maris interdum capiosissime. - - Ex. gr. inter Kouda et Knasakuba , ad si- num Kola , Karelsgammen , Peisen, Nor- MORE 187. S. graminea. Frequens. 488. Arenaria lateriflora. Ad pagum Kanda- lax haudprocul a templo , ad flumen Niva copiose , caeterum nullibi a me lecta , nisi ad flumen Kemi in Ostrobotnia ibique inter villas rusticas Autti et Jimjarvi nec non ad Lausua in Kemitrask atque ostium fluminis Kemi haud procul a Kaakamaniemi. 189. A. peploides. Ubique ааа: matis. 190. A. biflora. Ad sinum Warangricum. 191. А. humifusa. Ad sinus Kola et Waran- gricum, 192. Arenaria lapponica. Ad alpem Kipina, 314 193. Silene nutans. Ad Kandalax. 194. S. inflata. Ad pagos passim. 195. S. acaulis. Frequens. | 196. Cerastium alpinum. Ad alpes ubique un- de ad littora maris fluviorumque omnium maris glacialis et maris albi partis septen- trionalis descendit. 197. C. vulgatum. Frequens. 198. Lychnis apetala. Ad Isthmum Karelsgam- men in arenosis lapidosis. 199. L. dioica. Locis fertilioribus graminosis frequens. i 200. L. alpina. Frequens. 201. Oxalis Acetosella. Ad infimam partem hujus territorii haud infrequens. 202. Spergula arvensis. Ad Keret. 203. S. nodosa. Ad sinum Warangricum raro. 204. S. saginoides. Haud infrequens. 205. Sedum Rhodiola. Ad littora maris, in scissuris petrarum locisque irrigatis et diclivi- bus vulgatissime. 206. S. acre. In saxis ad littora maris бе: quens. 207. S. annuum, Praecedente rarius. 315 208. Lythrum Salicaria. Ad flumina Keret et Niva. Altius versus septentrionem proce- dentem non observavi. 209. Prunus Padus. In regionibus maris albi australioribus frequens; deinde, ad lacum Imandra , flumina Patsioki , Tuloma et Lut- to, ad Matkakuoska observavi. 210. Spiraea ulmaria. In pratis humidiusculis rivulisque inter frutices frequens. 211. Mespilus Cotoneaster. In insulis inter Knasaküba et Kandalax nec non juxta Kanda- lax copiose ; ad lacum Imandra parcius. 212. Pyrus Aucuparia. Passim. 213. Dryas octopetala. In regionibus septen- trionalibus alpinis frequens. 214. Rubus Idaeus. Usque ad Kandalax fre- quens , ad lacum Imandra parcius ; deinde versus septentrionem non observavi. 215. В. saxatilis, Ad ripas lacuum fluminum- que lapidosas frequens. 210. R. arcticus. Exceptis alpibus, ubique frequens, baccae tamen rarius maturant. 217. Rubus Chamaemorus. In paludibus insulis- que maritimis , vulgatissimus. 218. Fragaria vesca. Ad Keret. 316 219. Potentilla ‘anserina. In littoribus maris о albi usque ad Kandalax juxta vias humidas atque pascua non infrequens, | 220. P. palustris. Frequens. | 221, P. verna. 6. Wahlenb Fl. Тарр. Ad sinum Kandalax, _ 222. Potentilla Tormentila. Ad flunima Niva, Kuollejok , Tuloma et Lutto observavi. | 223. Geum rivale. Ad flumina Keret, Niva et Patsiok nec non ad lacum Imandra pas- sim. 224. Rosa cinnamomea. Ad lacum Nuottejaur et flumina Tuloma atque Lutto. | 225. R. villosa. Ad infimam partem hujus ter- ritorii ex. gr. ad lacum Kouda. 226. Papaver nudicaule. Ad alpem Kipina- tuoddar-supra terminum betulae nanae. 227. Nymphaea alba. In fluviis lacubusque minoribus usque ad Kandalax haud infre- quens. í | 298. Nuphar luteum. In lacubus atque fluviis frequens. 299. N. pumilum. Cum praecedente ad flumen Luttojok et Soppeljaur inter flumen Lutto at- que lacum Enare. 317 230. Poterium Sanguisorba. Inter Keret et la- cum Imandra, locis humidis haud infrequens, ex. gr. ad montem Kapudsa, haud procul. a Keret, Suonostroff, flumen Niva et ad lacus Imandrae ripas australiores. [8] 231. Aconitum lycoctonum. А Krigina ( Gra- dinskai ) usque ad Kouda passim ; ad Keret el montem Kapudsa copiosius. 232. Sagittaria sagittifolia. In rivulis Wa- rangriae lectam esse refert Gunnerus , a me vero nullibi in Lapponia visa. 233. Ranunculus aquatilis. In aquis ubique, exceptis 115, quae juxta mare glaciale sunt. 934. R. Ficaria. Ad flumen Keret. 935. R. Flammula. Ad ripas lacuum et flu- viorum locisque paludosis udis exficcatis frequens. 236. В. glacialis. Ad alpem Kipina, 237. В. lapponicus. Ad Peisen et peninsulam Karelsgammen. 238. Ran. hyperboreus. A me Supra pagum оо l 4 Knasakuba , in Lapponia Russica et pagum Kyro Lapponiae Fennicae , nunquam lecta, 318 239. В. pygmaeus. Haud infrequens , ex. gr. о ad Peisen, Karelsgammen , Normansatel et alibi inprimis ad alpes maris glacialis. 240. R. nivalis. Haud procul a Kudrokuoska ad flumen Lutto. 241. R. auricomus. Ad Keret. 249. R. acris. Ubique. 243. R. sceleratus. Ad Kouda. 244. R. repens. Ad flumen Tuloma in grami- nosis subhumidis passim copiose et ad la- cum Nuottejaur juxta casas piscatorias. 245. Trollius europaeus. Ubique. | 246. Caltha palustris. In humidis frequentissima. 247. Thalictrum flavum, . Passim in inferiori parte hujus territorii. | 248. Th. alpinum. Ad omnes alpes , rivulos atque fluvios frequens. 249. Thalictrum majus Jacqu. Per totum ter- ritorium in nemorosis frequens. | 250. Thymus Serpyllum. In ripis arenosis flu- viorum lacunmque, ex gr. ad Kuollejok, Kan- dalax et Jacobselfven passim. 251. Scutellaria galericulata. Ad ripas fluvio- rum inprimis juxta cataractas Lutto et Kon- dajok raro. 319 2514. Mentha badensis (lapponica , Wahlenb. ‘Fl. Lapp.) Ad Lusotkekuoska fluminis Lutto. 252. Galeopsis Tetrahit. In stercoratis frequens. 253. Bartsia alpina. Frequentissima. 254. Limosella aquatica. Ad littora maris in- ter Kouda et Keret raro. 255. Alectorolophus Crista galli. Ubique. 256. Euphrasia officinalis. Ad habitacula ho- minum et in pratis elevatis frequens. 257. Pedicularis lapponica. Passim copiose. 258. P. palustris. Haud. infrequens. 259. P. Sceptrum. In humidis , inprimis ad ripas fluviorum et rivulorum frequens. 260. P. hirsuta. Ad jugum alpium inter fluvium Lutto et lacum Enare raro. 261. Melampyrum pratense. In nemorosis et sylvis passim. 262. M. sylvaticum. In sylvis passim. 263. Linnaea borealis. Ubique exceptis alpi- bus et littoribus maris glacialis extimis , frequens. | | | 264. Subularia aquatica. In fluviis et lacubus — mec non ad littora maris albi in sabulosis aqua inundatis minus frequens. 320 265. Draba incana. In pratis siccis et collibus graminosis non infrequens , var fj. contorta Wahlenb. Fl. Sy. rarius. 966. Cochlearia officinalis. Ad littora maris passim. 267. C. anglica. Ad littora maris frequentissima. 268. Thlaspi Bursa. Ubique ad habitacula. 269. Th. arvense. АЯ’ Kouda et Keret in agris. :270. Nasturtium amphibium. Passim ad ripas fluviorum lacuumque. | 271. Cardamine bellidifolia. In alpe Kipina. 272. C. pratensis. .Locis udis ad flumina Ke- ret, Kouda, Tuloma et lacum Nuottejaur. 273. Arabis alpina, Ad lacum Imandra et flue mium Niva raro. 274. A. Thaliana. Ad Keret. 275. Barbarea vulgaris. Ad flumen Tuloma. 276. Cheiranthus alpinus. Ad lacus Kuolle—et Pollomjaur, fluvios Kuollejok, Tuloma etJacobs- elfven nec non ad isthmum Karelsgammen. S nh Sisymbrium Sophia. Ad pagum Kouda. 278. Erysimum cheiranthoides. Usque ad Kan- dalax frequens , caeterum tantum ad fluvios: Kuollejok et Tuloma legi. 321 279. Brassicä campestris, Ad Kandalax: 280. Geranium sylvaticum. Locis fertilioribus sylvaticis: 281. Trifolium repens. Ad urbem Kola tantum observavi, — 282. 'T. pratense. Ad Keret, Kouda, Kandalax et fluvium Niva; dein vero versus septentrio= nem non observavi, 983. Pisum maritimum. Ad littora maris in. arenosis ad flumina Kola et Jakobselfven val- de longius procedentem ; quam fluxus maris adscendit , observavi. 284. Lathyrus pratensis. Ad mare album ex. gr. Suüonostroff et Keret. 285. Orobus vernus. Inter Keret et re pas- sim copiose. 286. Vicia Sepium: Ad Suonostroff et Kspndea liaud procul a Keret copiose. 287. V. Cracca. Frequens. 288. V. sylvatica. Ad mare album inter Kivi- rega et Keret passim copiose. 289. Ervuin hirsutum. Inter pagos Grigina . (Gradinskai ) et Keret observavi. 290, Phaca frigida. Ad littora fluviorum majo< rum minorumque lapidosa nec non in collis ar - 922 | bus. duris fruticosis ex. gr. ad Kuollejaur Hol. magardsfjallet, Toruesvarre juxta lacum Naot- tejaur et ad flumina Tuloma, Kiksesjok, Kuol- lejok , Jakobselfven. 291. Ph. astragalina. Ubique frequens, 292. Ph. uralensis. In littoribus arenosis ad flumina Kikses - et Kuollejok, Tuloma, Lutto et Jacobselfven nec non ad sinum Kola copiose. 293. Astragalus oroboides. Ad orientalem par- tem sinus Warangrici copiose; vide Wahlenb. Fl. Sv. | 294. Saussurea alpina. A Kandalax versus septentrionem fere ubique. 295. Carduus crispus. Ad Kandalax flumen Tuloma et alibi. 296. Cirsium palustre. Ad flumina Tuloma . et Lutto. 297. C. heterophyllum. Locis humidis umbro- sis haud infrequens. 298. Tussilago Farfara. Ad Torangijaur flue minis Копа. - | 299. T. frigida. Ad Torvesvarre haud procul a piscina Tullompaikke, ad peninsulam Karels- - gammen , Holmogardfiallet ad flumen Kola : haud procul ab oppido parcius. | 323 300. Gnaphalium dioicum. Ubique frequens, 301. G. alpinum. Ad alpem Kipina. 302. С. sylvaticum В fuscatum Wahlenb. Fl. Lapp. ad Ainesok in peninsula Karelsgammen, isthmum Karelsgammen et alibi locis inferalpinis legi. 303. С. uliginosum. In uliginosis passim. - 304. G. supinum. In alpibus passim. | 305. G. pilulare, Ad ostium fluminis Lutto in argilla. 306. Tanacetum vulgare. "Usque ad Kandalax passim; deinde excepto oppido Kola nullibi observavi. j 307. Erigeron acre. In inferiori parte hujus territorii tantum observavi. . 308. E. alpinum. Ad alpem Peisen. | 809. Solidago Virgaurea. Ubique frequens. 310. Cineraria campestris. Ad Keret, Kouda, Kusishüba ; collibus graminosis copiose, ad sinum Kola et isthmum Karelsgammen ' sive Bommen parcius, de caetero nullibi observavi, 311. Chrysanthemum Leucanthemum. Usque ad Kandalax haud infrequens. 312. Pyrethrum inodorum. Ubique. Cy Wd N 324 313. Achillaea Millefolium. Ubique in pratis graminosisque vulgaris. 314. Crepis Tectorum. Passim. 315. Hieracium alpinum. In collibus sterilibus apricis inter Imandra et Kola, ad fluvia Jacobs- elfven et Peisen , in deserto inter lacus Nuottejaur et Enare et alibi haud infrequens. 316. H. Murorum. Frequens. 317. H. sylvaticum. Ad ripas fluminum non infrequens. 318. H. Auricula. Passim. 319. H. dubium. Inter Kouda et Keret. 320. H. umbellatum. Haud infrequens. 321. Sonchus sibiricus. Ad flumen Tuloma. 322. S. oleraceus. Ad Suonostroff haud procul a Keret. | | . 323. Leontodon Taraxacum. Ubique. 324, Apargia autumnalis. In meridionali parte hujus territorii passim. 325. Orchis maculata. Passim. 326. Gymnadenia conopsea. Ad Peisen. 327. G. viridis. Ad sinus Keret, Kandalax et Waranger parce. 328. G. albida. Ad sinus Kola et Waranger nec non ad mare album raro. p 325 329. Platanthera bifolia. In meridionali plaga huius territorii raro. 330. Herminium Monorchis. Ad Peisen raris- sime. 331. Chamaerepes alpina. Ad peninsulam Ka- relsgammen. | 332. Neottia cordata. Ad flumen Tuloma rarissime. | 333. Corallorrhiza innata. Ad Peisen et Ekate- EN in sinu Kola. 334. Calla palustris. Ad paludes districtus Kouda; alibi vero a me non observata, 325. Carex dioica. Frequens. 336. C. pauciflora, Frequens. 337. C. rupestris. ad alpem Kipina. 338. €. capitata. Ad flumina Kola , Peisen , Kalkuoive fluminis Patsjoki minus frequens. 339. C. incurva. Ad sinus Waranger et Kola: 340. C. Chordorrhiza. In paludibus profundis vulgaris. 341. Carex loliacea. Inter pagum Kandalax et lacum Imandra. ; 342. C. Lagopina. Passim. 343. C. glareosa. Passim. 344. C. Heleonastes, Ad Knasacuba; 326 345. Carex norvegica. Ad ostium | fluminis Jacobselfven. 346. C. stellulata. Inter Kouda et Kandalax passim. 347. C. canescens. Ubique frequens. 348. C. atrata. Ad peninsulam Karelsgammen, Peisen et ostium sinus Kola. 349. C. Buxbaumii. Frequens. 350. Carex alpina. A fluvio Niva ad septentrio- nem frequens. 351. C. globularis. Passim ex. gr. ad flumina Niva, Tuloma et Lutto, per totam viam inter Kandalax et oppidum Kola; denique ad Ainejok in peninsula Karelsgammen visa. - 359. С: Иа. Passim: | 393. C. pedata. Supra Pasvig versus lacum ' Enarensem Wahlenb. Fl. Suecica, a me ad alpem Peisen et Kalkuoive lecta. 354. C. saxatilis. Frequentiss’ma. 355. C. pulla. In superiori hujus territorii plaga non infrequens. 356. C. caespitosa, Passim copiose. 357. C. rotundata. Haud infrequens. 358. C. panicea. Frequens. 359. C. livida. Ad flumen Tuloma. 360. C. limosa. Frequentissima. 327 361. Carex capillaris. -Passim, ex. gr. ad Kandalax, Kouda , Kuollejok , Jacobselfven , Peisen et Patsiok. 362. C. filiformis. Passim ad flumina Patsiok, Lutto et alibi ad rivulos paludesque. 363. C. vesicaria. Haud infrequens. 364. C. ampullacea. Frequens. 365. С. acuta. Haud infrequens. 366. C. maritima. Ad littora maris passim. 367. C. salina. In littoribus maris haud in- frequens. | 368. C. aquatilis. Frequens. 369. Sparganium natans. In fluviis et lacubus haud infrequens. 370. Urtica dioica. Ad habitacula ubique. 871. U. urens. Ad Kandalax, Sassceg, Imandra, Peisen et Kola. | 372. Alnus incana. Ad Kandalax adhue dia- metrum 7 pollicum habet , deinde minor ‘ atque minor fit, sed legitur frequens per to- tum territorium hoc ad fluvios. 373. Betula alba. Ubique, extra ipsas alpes frequentissima, 374. В. nana. "Ubique, exceptis cacuminibus _ summis alpium. 328. 375. Pinus Abies. Usque ad sinum Kola et su« periorem partem fluminis Peisen locis humi- diusculis haud infrequens. 376. P. sylvestris. Ubique, exceptis alpibus insulisque. et peninsulis maris glacialis , ubi tamen pluribus locis haud raro radices inve« nies. 377. Empetrum nigrum. Ubique vulgatissimum, quotannis fere baccas suas maturat, quas hic succosiores sapidioresque , quam in Fin- landia cognovi. 378. Juniperus communis. Ubique frequens. 379. Alriplex patulum. Ad sinum Kola haud infrequens. Jacob FELLMANN. Pastor in Utsjoki eique annexa ' Ecclesia Enaraénsi; Societt. Imp. Nat. studios. Mosquens. et Nat. Scrutat. Lips. nec non Soc. Imp. Oecon. Fenn. Membr. | Зулу, CONSPECTUS CLASSIUM ANIMALIUM RE« SPECTU ORGANISATIONIS EORUM. HABITO , auctore а. Fiscuer. Cum varia Sodalibus nostris communicae verim hisce pagellis observata , quae neces- sario in Classium animalium dispositionem plus minusve influere videntur , non abs re fore arbitror, conspectum Classium iis exhibere , quem observata haec desiderant. Non omni- bus haec dicuntur, sed iis quibus opus est. Animalia sunt corpora viva sive organica, sensibilia , motuque voluntario donata, I. Quaedam columnam vertebralem habent in- ternam , dorsalem , medullam oblongatam includentem , cumque cranio articulatam, Encephalum iisest in capsa ossea inclusum, et, exceptis novem paribus nervorum prae= cipuis , nervus intercostalis s. sympathicus. Omnia corde, sanguine rubro, vasis chy= liferis et lymphaticis donata sunt. 330 Sexus eorum distinctus. Haec sunt Spondylophora ; animalia sic dicta vertebrata ; spinivertebralia LarnziLLE ; vertebrata superiora GEorrroy ; haematophora ARISTOTELIS, II. Alia et haec maximam seriem animalium componunt, sceleto articulato — carent ; carent et encephalo ; locoque ejus col- lare nerveum oesophagum ambiens vices ejus gerit ( Encephaloide Larreure ), et fi- la nervea et ganglüfera adsunt, cum me- dulla spinali comparanda. Quibusdam syste- ma circulationis est, sed ventriculi cordis semper sejuncti conspiciuntur , structurae ad instar piscium et batrachiorum. In alüs vas dorsale pulsans pro corde haberi potest, arteriis et venis privato. Sanguis eorum albus est, si annulata ex- cipies. | Sexus distinctus in pluribus , multa vero hermaphrodita. : | Haec animalia Aspondylophora nomi- nantur. 331 Magna vero ista animalium series iterum in duas sectiones dirimi potest. } 1. Altera rudimento encephali et ganglio sub- oesophageo donata ; Cephalidia, LarkeıL- LE j | 2. Altera quibus nullum vestigium encephaloi- dis, nec ganglii oesophagei ; Æcephalaea , LATREILLE. Omnia itaque organa jure meritoque in . classificatione animalium ponderantur , | verum enim vero ad illud respirationis , quasi primia- rium, in omnia alia influens , inprimis respi- ciendum. Quibus rite perpensis sequens tabula ani- malium constitui potest. ANIMALIA I. SponpyLoPHoRA A. PNEUMONOPNUNTA. Respirantia per pulmones , 1. liberos in pectore ; Corde biloculari, biaurito ; Sanguine rubro et calido. a. Vivipara. I. Mamma. JZ. 332 b. Ovipara LLCOMETATAXYMERA Corpore tetrapodo piloso. Fischer. Monotre- mata, Geoffroy. 9. adhaesos costis. Gorpore bipedo, alata. | 4^. «4^4 TIT. Aves. L. 3. vesiculosos | Corde biloculari , biaurito ; . Sanguine rubro et frigido ; IV. ВЕРТИлА Corpore squamato, immutabili. FN Corde uniloculari, uniaurito ; Corpore nudo, mutabili. .. . . V. BATRACHIA. ! Merrem. Amphi=, bia. Latr. Blaino. В. BRANCHIOPNUNTA. Respirantia per branchias , a. per branchias externe adfixas , non opercula- tas «4 2 « « VL Iontavopera. Geoffroy. b. per branchias liberas , operculatas . . . УП, Pisces. £L, II. AsponDYLOPHORA. A. BRANCHIOPNUNTA. * Pedes nulli aut non articulati > eonpus velamento. inclusum. (Moırvsc4) Respirantia per branchias ; 333 1. internas, lamellosas, uvaeformes. Corpus velamento sacciformi inclusum, Cor tripbex, divisum. Caput tentaculatum. Oculi distincti, . Sexus dissinctus I. СЕРНАТОРОА Cup, 2. externas repentes suprapinnas; Corpus pinuis instructum ; Cor simplex. Vestigium capitis. Sexus conjuncti in eodem individuo. II. Preroropa _ Pluribus testa estexterna nullibi spiralis. : Си». 3. externas pinnatas et multi- fidas, vel per membranam vasculosam internam ; Caput tentaculatum et oculis | instructum ; | Diseus ventralis loco pedis; , Pluribus testa animal includens vel tegens — ^ ПТ. GasTEROPODA Cuv; et Perrococnuioes. Lair, 4. pectinatas sub lobis velamenti sitas; Corpus testa bivalvi inclusum fixum vel pedicello vel valva inferiore $ Corda duo. "Tentacula circa os, labiorum adin- IV. BracnyoPona Star, aut ciliata aut spiralia. | Cur 334 3. lamelloso-reticulatas , sub lobis velamenti sitas , Corpus liberum aut fixum , semper testa bivalvi inclusum , interdum testulis additionalibus ¢ Gr uod a Lola 37 ul. ae V. ConcHIFERA, Lan. 6. per branchias internas membra- naceas saccı ad instar intestina continentes. ; Corpus involucro cartilagineo s. gelatinoso inclusum ; Duo orificia, alterum branchiale (os); alterum anale ; Ventriculus aorticus | repraesentans cor ; Systema nervorum et ganglüs munitum ; VLC ASCIDIAE Savigny. N Chitonophora. Fis scher. Tunicata Lam. 7. externas fimbriatas : Corpus inarticulatum , breve aut parum elongatum , saepius petiolo sustensum. Cirri articulati, ciliati aut villosi, pedibus inserviunt ; | Cor in dorso situm. Testa multivalvis aut bivalvis. Oinim marina ar 2:035 МОРЕ АЙ | Strophosa. Fisch. 335 8. per branchias fimbriatas, ramo- sas , vel latere corporis vel medio ejus sitas , Corpus vermiforme , articulatum, libe- rum aut fixum ; | Arteriae et vénae; sanguis ruber; Quaedam in vagina inclusa, alia nuda; Quaedam terrestria, alia marina; р Annelides Lam. Annulosa. ** Pedes articulati. Animalia mu- tationi pellis aut metamorphosi m completae submissa; CowpYLo- PODA AZatr. 9. respirantia per branchias ramo- so - arcuatas. Corpus integumento calcareo tectum , ad minus 10 pedibus munitum Caput et thorax conjuncta ( Cephalo- thorax Latr.); antennae quatuor. ‚Cor dorsale. — | Organa sexus duplicia . . : IX. Crustacea Cuv. D. RHIGMATOPNUNTA. Respirantia per rhigmata s. ri- mas marginatas, s. vesiculas lamellis reticulatis repletas ; Vas dorsale , s. cor in sacco inclusum ; 336 Düo ad decem rhigmata ad basin infl : riorem cephalothoracis aut sub ab : domine respirationi inservientia ; Os cheliceratibus s. antennis forci- palibus munitum ; Mandibulae nullae, maxillae palpifomes; Caput eum thoraco conjunctum; (Ce phalothorax Lars.) Oculi ét ocelli 2 ad 8; . Organa sexus duplicia. X. ARACHNOIDA C. Sricmaropytn TA. Respirantia per stigmata s ! puncta impressa 1. stigmata seriatim. latere cor= poris sita. Corpus articulatum s. segmentis multis constructum pedigeris ; Organá sexus simplicia XI. 2. Stigmata latere abdominis utrinque sita. Vas dorsale, nec arteriae; nec venaej Metamorphosis completa ; Corpus statu perfecto hexapodum, Lam: MynIAPODA Leach. Laır. Apiropoda. Sav: Organa sexus simplicia | AIL Insecta. 2. 3. Stigmata branchoidea; in epis ‘dermide inclusa j Corpus elongatum $ vésiculosum ; Animalia in aliis anjmalibus viven- tia 4 4 + г XHLCEvTRELMINIBA. Es «TOZOA Rudolphi Emins thoprocta Lai. | D, Sırnonornunta. Respirantia per siphones s, tubulos; 1. per tubulos breves cirratos, Corpus forma varía; ore et and distincto ; Fila duo nervea; Organa séxus sejuncta } Animalia in partibus externist ániitaliuim: aquaticorum iniprimiis piscium , liabitan- tia à à à 5. XIVNHELSINTHOGAMA Lats. Epizoaires, Lum, Epiroa, Fischsr. 2, per tubulos vesiculosos, arbores« centes, prope anunt terminatos} Corpus liberum solitarium elongatum,, eylindricum n j Tentacula circa 03 rétraetilia . ХУ. И : Lat. 3; per tubulos- retractiles in core pore symmetrice dispositos. Systema vaseulosum sacci'alimentaris. 22 Corpus liberum solitarium , erusta 1. 57 Г ^ &. calcarea tectum XVI. ECHINODERMAT Leske. Latr. .4. per tubulos tentaculiformes. Corpus integumento coriaceo tectum; Vasa nulla XVII. Hevianruoipa. Latr. 9. per tubulos adpenciculares s. adpendices ad sugendem et respirandum aeque aptas; | Animalia mollia, solitaria, libera; Corpus in discum dispositum XVIII. ACALEPHAE, Cu, 6. per tubulos longos spirales; - Vesica aérea unica aut plures sustie nentes animal; Animalia quasi composita tris ten- taculis, quorum unum. functionem nutritionis, alterum eam generatio- nis teriamque eam respirationis agit г — XIXXPHYSETA Fischer. Acaleph hydrosta- ticae Cuv. Latr. 339. EN E. DERMATOPNUNTA. Organon respirationis non (o, distinctum tota epidermis functionem ejus gerere Li videtur. 1. Animalia linearia fixa , oció tentaculata , in. ^ oecemate vivo et:oerganico habitantia 5; . Omnia marina TIN XX HomoTuarami Fischer ` Polypi- pM nib; uer tubuliferi Lon, wt 2. Animalia linearia tentäculata, s. nuda ' 5, oecema praeparantia calcareum aut corneum, | 1 T 4 "eg TIT Quaedam in aquis dulcibus habitant ; | plurima in mari a XXI. P OLYPI. к div LE in st Lam. 3. Animalia linearia aut formae variae, | ore ciliato , cilüs rotatorüs. Animalia infusoria XXL Roraronu. © Y. DU | Bhxenbergy 4. Animalia minima corpore multiformi, ore nudo aut ciliato, ciliis rarioribus inertibus | | Animalia infusoria minima XXII. AMORPHOTA. : mutabilia, | ‚ Fischer. EXPOSITIO HELMINTHOGAMORUM (Epizoaires Lamarck , Vers cavitaires Cuvier.) Lernaeae. Blainville. Epizoa Fischer. Auctore Gs Fischer. Heminthogama LATREILLE ; quae jam antea Lamanck nomine £pizoaires tanquam singularem classem agnovit, sunt animalia quae semper supra animalia aquatica inprimis pisces , inque eoruin cavitate branchiali habitant; Organisatio eorum aeque аб mores etsi paruni Cognita sint; multa tamen debemus Cl. Bramviite > quae adcurätiorem eorum: cogtitionem promovent, et de loco, quem in systemate anitalium oceüpa- re possunt, nos Certiores faciunt, Forma eorum ita abnormis est ut sub Naturalistis de loco queni in classificationé animalium tenere des bent ; usque. ad hunc diem lis fuerit. Linnatus, qui primus genus Гегпаеаё constituit , id Molluscis adpropinquavit, etsi characteres ejus iiscim parum conveniant, Alii hoc genus adsumentes hac in re eum secuti sunt. Cel. Bosc eandem analogi- 341 am conservans , obseryat tamen , haec anima- lia potius cum. Enthelminthis convenire , et esse conjungenda, Lumanck ( Philosophie Zoologique ) pri- mus fuit, qui in dispositione - animalium syste- matica, Lernagas Hirudinibus , Lumbricis etc. adproximaverit basque primo suo Ordini Ап- nulatorum adnumeravit. Deinde ( Prodrome de son Cours) melius judicavit у singularem ex iis Classem constituere eamque nomine Epi- zoariorum ( Epizoaires ) designare. Cel. ОскЕх, nova quaedam genera hujus tribus animalium. constituens , Lernaeas tamen, etsi earum analogiam cum Caligis agnoverit , in sua Classe Molluscorum , inter Terebratulas et Balanos reliquit. Выммупле , itinere 1814 in Angliam in- stituto ad eundem finem pervenit, uti Cl. OckEN, nova genera creavit eaque Caligis ana- loga judicavit. Analogia vero haec eum con- duxit , ad haec } animalia typo Entozoariorum propiora judicanda , quam 6} Malacozoaris orum. 342 Lamarck in opere recentiori (Hist. nat: dés animaux sans vertebres Vol. III. p. 225.) Epizoarias quidem iterum exposuit , sed Clas- sem non ita rigorose circumscribit , uti antea fecit. Genera huc retulit sequentia: Chon- dracanthus, Lernaea , Entomoda. liscum ter- minavit animalia sic dicta apathica. . Cuvier Lernaeas veras vermibus suis ca- vitarlis adnumeravit » alias vero ad Crustacea branchiopoda retulit. LATREILLE, ductus observationibus Cl. Beli VILLE , hancce classem iterum suscitans no- mine Helminthogamorum (Vide ejus familles naturelles du règne animal * ). Paris. 1825. 8. p. 512 T 517.), eam nimis extendit illique et Lumbricoida adjunxit , quae excludenda et ad Entozoa s. Enthelmintha mihi referenda videntur. | Cuvier , in nova editione operis: le régne animal. Ed. 1830. III. p. 255. et sequ. has formas inter Enthelmintha reliquit. *) Versionem germanicam. praeparavit А. A. Brznrnorp, titulo: Natürliche Familien des Thierreichs пи Anmerkungen und Zusätzen. Weimar. 1027. 8. 243 Cá ^ MHerwiwrHoGAMA atr. og | Epizoa Fischer. Epizoariae. Lamarékir, ^C Vers cavitaires Guvırn ; Lernaeae PBramviLLE. Animalia mollia , subcrustacea , formae diver- sae ; semper super’ partes externas anima- . lium aquaticorum , imprimis piscium ‚еогит- » = que branchias habitantia. . .. , ..., Sa . | Pei. 4 | Os 'saepius aculeis armatum aut tentaculatum À ab ano distinctum. ый fi Fila duo nervea ‚ргоре. oesophagum \annulum formantia , et per longitudinem corporis de- currentia. ER T L Pr Jg Sexus distinctus: Saccus alimentaris liber et fluctuans , saepius coecis duobus longis, imo linearibus com- pensatur. € Овро I. : Enromoipa. - Vers extérieurs , Larreicze Nouv. Dict. d'Hi- $toire naturelle. Premiére édition. Adpendicibus instructa sunt, pedes aemulan- tibus et loco motioni dicatis; corpus femina- rum plerumque ovarlıs terminatum. | 344 L Corpore adpendiculato latere aut certe postice, | | / 1. Corpore brevi aut medio et postice sie ne adpendicibus pinnaeformibus,, Familia 1. Thoracica,. © Corpus in duas partes divisum , quarum altera caput et thoracem conjuncta (cephalothora- cem) repraesentans; et altera postica abdo- P. men. Gen. 1. Lernanthropus BLAmV, Chondracanthus Delaroche, Corpus ovatum, parum elongatum , in duas partes divisum ; in scutum cephalo - tho» racicum et abdomen, projectum in squamam extremitatem abdominis superantem; aculei duo fortes verticales frontis; paria tria adpendi- cum tenuissimarum et transversarum sub tho- race, о | Par brachiorum simplicium, intumidorum, et aliud bifidum quasi branchiale sub abdo- mine, Sacci oviferi longi et cylindrici. 345 — Spec. 1. Г. Musca Ву, L, albo - flavus, aculeorum fine fusco , globus lisque latere postico abdominis atris. Buainvittz Dict. des sc. nat. Tom, 26 p. 128, Similitudinem quandam habet cum corpore hoe minis, aut muscae alis in Micro conjune ctis, Hab, in pelle Diodontis parvi ori Gen, 2. Lerneopus. Bu, Chondracanthus Cuv. Corpus’ laeve , elongatum, in cephalothoracem et abdomen divisum; ille planus et scuto . erustaceo tectus ; Par oris palporum brevium , crassorum, coni» corum et subarticulatorum ; Paria duo pedum articulatorum et subungui- _ eulatorum sub thorace ; ‘Sacci oviferi breves et subcylindrici, Spec. 1. L. Brongniartü Bu, | Par pedum alterum anterius breve, biarticue latum et aculeatum ; alterum posterius mule 246 to longius » gracile, cylindricum , unguiculo terminal. «e pai Locus ubi inventus incognitus est. E colle- _ ctione Al. Brongniarti, | TU "m | Spec. 2. L. salmoneuss Os labiatum, labiis duobus horizontalibus ; superiore aculeis duobus duris et mobilibus , inferiore bifido ; : | Thorax .capite | latior , «basi. adpendicibus duobus linearibus, cylindricis , admodum lon- gis, conjunctis initio cartilagine orbiculari; in- ter hos eminentia transversalis. : Abdomen ovale, latius et convexius, sulcis superiore orbiculari, duobusque inferioribus longitudinalibus. | Ovaria recta et elongata. Hab. in branchiis Salmonis, Carpionis et in corpore Gadorum. Figurae Basteri , in Encyelopaedia repeti-. tae , non adcuratae. ; Familia. 2. Capitata. Extremitas anterior caput distinctum ae- mulatur. 247 Géh.:3. Lernacantha. BL : MO EDS i К cron Боба Corpus crassum, breve, admodum depres- sum , quovis latere adpendicibus rudimentariis munitum , planis , digitalis et IPSAM iini | 1501 Caput a thorace sulco sejunctum , quovis latere rüdimentum äntennae Sal 05 inferum, maxillis duabus aut palpis. | T Sacci oviferi grossi ‚ breves et compla- nati. NETT Spec. 1. Г. Delarochiana. Bl. Corpus quatuor zonis tuberculorum aculea-' torum donatum superius, infra adpendicibus semper eo latioribus et magis ch quo posteriores. Вьатмупле , |. c. p. 126. Chondracanthe du Thon, Derarocne, Bul- letin des sc. par la Soc. philomathique. Hab. in branchiis Scombri Thynni, maris Mediterranei ; etiam in Squalis el aliis. Adhae- rent aculeis oris. | 848 Gen. 4 Lernenthoma. Bu. Entamoda Zamarck, Chondracanthus Cuvier. Corpus quadratum, subdepressum, brachiis aut adpendicibus utrinque formae variabilis et inarticulatis ; Caput plus minusve distinctum ,* cornibus et oris aculeis armatum ; Ovaria claviformia. Spec. 1. Г, radiata Mürrrn. Corpore quadrato, depresso, supra convexo eL scutis duris tecto ; infra concavo; paribus brachiorum ternis, quorum unum quovis angulo. et duo infra; capite distincto cornuto, cornibus mollibus ; ore aculeato. - | Малев ; Zool, Dan; 1. t. 38. f. 4. Branvizce , |. c. р, 124. Longitudine pollicis et latitudine trium linearum, Hab. in cavitate buccali — Coryphaenae rupestris. 349 Spee. 2.. L. Gobina. Милли. Corpore depresso; rhomboidali , quovis üngulo brachio nodoso , extremitate . geniculatoj capite valde distincto ; cornibüs arcuatis ; ore trilobato ; adpendicibus oviferis cirratis et core tortis. Müxzzeh , Zool. Dan: 1: p. 39. t. 33, 6.3. BramvinLE , № с. p. 125. n. 2, Hab. in branchiis Cotti Gobii, Spec. 3. L. nodosa, MürLer, Corpore subquadrato, supra convexo, infra tontavo , dentibus quinque utrinque , quorum prittius subtus prolohgatur brachii brevis ad instar ; capite admodum distincto, tuberculis binis utroque latere ; ore àculei$ armato. Ovariis ао отно, Милен, Zool. Dan: 1, р: 123. t. 33. f. 5. Buamnniz, L c. p. 125. n. 3, Hab; prope introitüm oris Percae horvegicae; Spec. 4. L. asellina Zu Abdomine depresso, cordiformi, a thorace semilunari distincto; capité petiolato, ad pendis | tibus obtusis; altero pari adpendicum subtus prope basin abdominis ovärlis brevibus clavi- formibus; 350 Linnazı iter Westgoth...p. 171. t. 3. f. 4. "Bramvinte › l. e. p.^d23?'n, 4] Bab. in branchiis variorum Gadorum | maris septentric ronal. Spec. 5. L. Triglae Bram. b pore depresso, quadrato, imprimis an- tice convexo supra, infra concavo, antice pari adpendicum transversalium, digitatorum munito, ceterum quaternis dentibus utrinque donato " quorum posterior longior reliquis, Caput transversim dilatatum colloque. qe cylindrico adfixum. , (ua ln Os aculeatum , paribus duobus aculeöorum minimorum, TIME Hab. in branchiis Triglae, sese introducens An. usque ad basin abdominis. Spec. 6. Г. cornuta. Малев. Corpore oblongo; thorace extremitate pari- bus duobus adpendicum rectarum et bifidarum munito ; capite subovato , cornuto , cornibus tribus, uno frontali ; ore biaculeato ; 351 O varia . cylindrica et arcuata: - me Miter, Zool. Dan. p. 124. t. 33..f. 6. "^ Chondracanthus |, Cuvier, 3.:p.:258. «| Bramvimrir,; 1. с. p.126. n. 6.. el Hab. in "brarichiis Pleuronectis Platéssáe iet Linguatulae ut 5 iod. ris зе Фо Spec. 7. Dufresnii. BiAmv. | Corpore albo , molli , admodumi elongato, et quasi in quatuor secliones, diviso , quaevis adpendicibus donata, anterioribus, et inferiori- bus duplicatis ; capite distincto quatuor corni- bus munito; .ore inferiore rotundo, aculeis armato ; ovaria longissima, cylindrica et intorta. о Bramvmzr , | с. p. 126. n. 7. . Haec species a Се]. Cuvier ad Chondro- canthas relata, habet quidem quaedam tubercula; sed haec sunt obtusa, indivisa, et valde mollia. Habs aig A ee нии, à 3. и, Gen. 5. Lerneopenna. Briamv. | Corpus elongatum , cylindricum , subcarti- lagineum , terminatum antice. intumescentia cephalica , circulari , truncata , et circumdata 352 numero magno mammillarum , inter’ quas sine dubio os; munitum cornibus brevibus | obli- quis, acuminatis postice; quovis latere filamen- tis conicis cayis , barbatis donatum ; initio et supra seriem horum filamentorum, fila duo alia observantur tenuissima et longissima, sine dubio ovariis inservientia.. Spec. 1. L. Bocconica. Bramv, Corpore cylindrico , cartilagineo ; capite distincto , corpore latiore, postice Menus Л cornibus brevibus. . Extremitas corporis barbata , filamentis quae ductibus secretoriis inserviunt, Branviié , l. c. p. 129. LAMARTINIERE, Voy. de Lapeyrouse, t, IV, pl. 20. Pennatula, | | Eneyclop. method . . ; Lernuea setifera Boccone , Phil. trans. n. 99. art. IIL Hirudo s. acus cauda utrinque pennata, Ocxen, Naturgesch. Pennella. : CuaAmısso et ЕузЕмнлярот, Act: Nat, Cur, tom. X. t. 24. f. 3. Penella filosa, Cuvier regn. an. 3, p. 257. 353 Hab. in branchiis Diodontis Molae maris Pacifici. ‚Esonsonourz. | Spec. 2. L. Holteni. Bu. | Lernaea Exocoeti , | HorrEN Act, Dan. Holm. .1802. Differt a praecedente , absentia Ас, um circa oset capitis cirris longioribus. Spec. 3., L. Sagitta , Evus. : "Qorpore filiformi , pollicari, subcylindrico, - coriaceo , anlice ore, postice plumulis fere aequalibus , intumidis et extremitate perforatis, terminato. BramvinLE, |. с. p. 120. | Гилл. Phil Trans. 1763. tom. 53. f. 16. Pennatula Sagitta, Linn, Exsis, SoLANDER, | EspEr ‚ LAMARcK. | Dexay , Phil. journ. dia animal ad olypos: tubiferos "udis y" , Hab. in pelle Disdyitis pilosi МВт. et ‚al. Sales AU Onpo i: HELMINTHOIDA | Corpore elongato gracili.sine adpendidibus, ^ aut extremitate anteriore, sola adpendiculata. | 25 354 Familia 1. Rhizoda Extremitate anteriore adpendiculata. Gen. 6. Lerneocera , Buarnv. Corpore plus minusve prolongato , medio intumido , vel ventricoso , recto aut intorto , pelle laevi aut fere cornea tecto; terminato antice protuberantia . cephalica distincta ét petiolata, cornibus tribus extremitate ramosis munita. Oculi tres parvi laeves in. anteriore parte ' capitis. Os inferum suctorium. Vestigium nullum adpendicum lateralium. Spec. 1 L. branchialis. L. Gmet. Corpore tereti flexuoso, ore laterali inter cornua tria subramosa ; Ovaria ante extremitatem abdominis sita et valde intorta. Mürter Zool. dan. 3. p. 65. t. 118. f. 4. Fasricii, Fauna Grónlandica. p. 336. п. 325. Lernaea gadina. | Linn, Gmer. Syst. nat. p. 3144. n. 293. 355 ‘Hab. in Oceani: septentrionalis . Gadorum branchiis , Groenlandis ‘esculenta. Magnitudine calami anserini. Spec. . 2. L. cyclopterina , MüLLER. '^ oAffinis branchiali', sed differens - cornu tenui sursum verso, :.apice integro , cauda angustiore. Ovaria. simplicia: spiralia , in longitudinem extentilia.. Lud | Miter , Zool. dan. prodr. n. 2745. Fasnicii , in. Groenl. p. 337. Lim. Gmer. Syst. 1. 6. p. 3147. 1. 14. corpore tereti flexuoso, orificio duplici i in medio rostri. cornibus tribus tripartitis terminati. 3 Bramvirıe , l. c. pe 137. Hab. in Cyclopteri spinosi branchiis. ' Spec. 3. L. surrirensis , Buaımnv. | Corpore, recto subcylindrico , postice et inprimis | antice acumınato : protuberantia ce- phalica distincta , petiolata , cornuta + cornibus tribus - simplicibus ; ore infero tridentato ‘den= tibüs' in doe CRE e , inter. — limbus, labialis’; | 2 25 * 356 : «Ovaria cylindrica et recta , non longe ab «X extremitate abdominis nascentia. Bramvizze l. c. p. 117. Inventus fuit in pinna piscis. minoris a Dno. Surriray (М. D. Havre ,) qui et in vi- vo observationes instituit. Aliud individuum in oculo ejusdem piscis invenit. Spec. 4. L. cyprinacea. L. Corpore subcylindrico , recto, pellucido , restrictione divisum in abdomen claviforme tri- bus tuberculis, et in cephalo - thoracem cy- lindricum , extremitate , cornibus mollibus se- milunaribus munitum. | 2. Linn. Faun. Suec. t. II. f. 1. GEL. Syst. n. 1. 6. p. 3144. n. 2. Corpore obclavato thorace cylindro bifurco , tentaculis apice lu- natis. BLAmvIiLLE, |. c. p. 118. n. 4. Hab. supra corpus Cyprini Carassi. Gen. 7. Lerneomyzon. Buaınv. Corpus ovoideum , aut depressum, cum cephalo - thorace | angusto , cylindrico , termi- nato antice ore bilabiato , maxillis aculeatis et . "387 labio inferiori munito; suctorium plus minus- ve protractile basi inferiore abdominis. . ; Ovaria duo, parum elongata. Adpendices nullae corporis, sed soli oris. Adhaerent. ope: suctorii, ita ut locum volunta- rie mutare posse videantur. ^C Spec. 1. Ё. uncinata , Bramv. Corpore oblongo, molli, subdepresso , albescenti , sulco longitudinali medio dorsi et duobus lateralibus se se sub ventre conjun- gentibus; ore terminali bifido , suctorio abdo- minali parum prominente; ovariis clavifor- mibus. | gan ‘‚Mürter , Zool. dan. t. 33. f. 2. Lin. GmeL. Syst. nat, I. 6. p. ‚3145. n. "d Corpore. subcordato , rostro simplici curvo , ore terminali. ‚Bıamvizze , I. c: p. 122. п. 1. Hab. in maris Groenlandiam alluentis ^ Gado- run variorum pinnis et branchiis. Spec. 2.` Г. Pinnarum , Fasnic. Corpore depresso, plano, carnoso, ro- tuüdo; 'dorso:canaliculato , adpendice ‘media 1 358 antice in canali hoc condendo ; capite cylin- drico, rostro cum tentaculis duobus , lineari- bus apice bifidis , terminato ; ovariis elongatis cylindricis. | S. Ch. Fasricu, Iter ion p. 282. n. 3. Lis. Смеь. Syst. nat. I. 6, p. 3147. п. 15. rufa, capite cylindrico. anterius rostrato , tentaculis duobus lunatis api- ce bifidis , brachio unico. Hz. T €. Des 423,40, ae Hab. in Gadi barbati pinnis dorsalibus. Spec. 3. L. pyriformis , Bramv. Abdomine intumido , pyriformi, antice suctorio terminato valde prominente basi cephalo- thoracis arcuati , cylindrici, et antice squamula ovali tecti; ore bilabiato ; labio superiore longiore maxillis corneis munito; inferiore palpis duobus ; tuberculo anali valde prominente. BramvinLE, |. c. p. 123. n. 3. Locus incognitus. In collectione Blainvillii. Spec. 4. L. Pernettiana. Branv. Corpore cylindrico , postice in longas ad- pendices , ovaria concomitantes , terminato; 359 duobus ' paribus’ adpendieum medio; quorum inferius, multo crassius, adfixioni animalis inservit. LoT | .; , Puncta duo nigra supra os, quae PERNETUS pro oculis habet. Ревметту, Voy. aux iles Malouines. tom. l. p. 93. pl. 1. f. 5. 6. BramviLLE , |. c. p. 123. 124. n. 4. Hab. supra opercula Scombri Thynni. TM Spec. 5. L. elongata, Buainv. ° Corpore angusto , elongato, fere cylindrico; capite vix distincto, supra subquamoso, ore infe- riore aculeis corneis mobilibus (veris mandibulis) armato, et labio inferiore palpis aut adpendi- cibus aculeatis , mobilibus | iustructo. | Ovaria cylindrica grossa, fasciculo adpen- dicum inaequalium , molliam; flexilium vestita. BrAamviLLÉ hancce speciem vivam. in tela cellulosa' C heilodipteri. observavit. | Gen. 8 Lernaea. L. Bamv.^ ‘ Clavella, Ocken , Cuvier. Corpus parum elongatum , subcylindricum aut depressum, sine divisione aut rudimentis 360 .adpendicum lateralibus ; prominentia. cephalica plus minusve.distincta., ore inferiori aculeato ; ovaria plus minusve prolongata. BramviLE sub hoc genere species conjungit sine ullo vestigio adpendicum nec corpris néc capitis.; itaque species maxime abnormes. Spec. 1. L. clavata. MürLER. Corpore cylindrico, anterius rostro. quodam aculeato terminato , ore inferiori triplicato. | Ovaria cylindrica , longitudine corporis. Мама, Zool. lan. Lodo банить Ligh 124) n 1. Hab. supra pinnas , oculos, branchias et in ore Percae norvegicae. + ER | 8 Spec. 2. Г. Basteri , Dai ' Gorpore albido, restrictione in duas partes diviso ; abdomine multo crassiori, ovali; pro- minentia cephalica ovali; ore infero aculeato , aculeorum duobus. paribus quibuscum animal sese adfigit. — | BasTERI opusc. subi, II. p. 138, t. 8. f. 2. 361 ; BramvitLE ; № c. p. 121. n. 2. ^^ «iocus ejus incognitus. Dm em | Spec. 3. L. .cyclophora , Brainy. Corpore fusiformi и extremitate. anteriore prominentia discoidea , in cujus medio os. | | Ovaria longa et cyliudrica. Auctori species haec ex imagine delineata cognita est; itineratoribus anglis in Congo obser- vata. | | Fam. II. Acota Nulla adpendice exteriore; solis ovariis conspicuis. I. Ovaria externa extremitate postica cor- poris. Gen. 9. ÆForoculum. LaTr. Corpore elongato , cylindrico , extremitate altera valde acerata. | Ovaria duo postica elongata. Cum acumine corporis sese adfigit oculis variorum piscium. . II Ovaria non prominentia. Cel. Тлтвепле JVemertem Cuvier et Plana- riam Müzzer. huc traxit. 362 Sed dubius! adhuc .haereo , numne vere haec genera ad Zpizoa referenda. Tempus hoc nos mox docebit, nam classem hanc ingenio jam Ца video extensam , diligentia et opere aucto- rum plurimorum , ut amplitodine et numero i formarum alii ulli vix algae cederit. PRIS LIP DS IP DG LIDG IDEE IT TG DEE I II EI II III IE SITE SIDE Fd 4 SNS SIT SITE PPIGIPIILSLGILIIGG Notice sur quelques objets d'histoire naturelle 8 ne | des provinces méridionales du Caucase que l'on peut se procurer par les roins de Mr. Hohenaker. Prix Testudo. L. RN neufs d'Holl. 1. T. orbicularis L. Gm, Long. du Carapace 6/3”, Larg. 41— 217. préparé pour être | | 1: 9945, D. 4119 п 1 $ empaille TER = 2. T. graeca. L. Gm. Long. 83—5” | Larg. 62" — 9^ préparé. I 3. — —— Long. 1/ 2^ en esprit | de vin LIUM a E . . e EE 4. T.? Long. ‘744 Larg. 53° haut. 3^, Le. Carapace tubercu- Jeux , pointu en arrière ,. couleur d'un brun foncé olivatre ; le plätron : brun- noirätre avec peu de taches blanches ; prés les: pieds 364 Prix en Ducats. avec de grandes taches rou- ges d'orange. Tête et ex- . trémités noirätres avec de stries rouges d'orange; pré- tof parée pour ГетраШ. À 5. T. geometrica L. Gm. Long. 4 | 3 bang. 239 . LE Abe C0] 4 "Lacerta. L. en esprit de vin. 1. Г. Stellio Daud. Long. 1’ 1^ Largeur de l'abdomen, Larg. 2i" brun en dessus avec de taches blanchátres et noirátres , qui sont rou- geätres sur la tete et sur с A RE a 2. L. viridis? Г Bd) sn EE 3. L. ——— L. 1/semblable a No. om lm 9. avec une bande blanche en dessous, et une autre | bleuätre en dessus . . om 4. L. —— L. 15, ressemblant à No. :' 3. avec des grandes taches noires en dessus et de cótés. en D nn м 365 Г. —— trois petites espèces de Lezards; chacun . L. Scincus Daud. Long. 1/24, de la queue 7^, Largeur dela tête prés du cou 8%, du bas-ventre 9%, brun en dessus avec de petites taches rouges irréguliérement dis- posées, une bande mince jaune de safran sur les cö- tes, passant jusqu'aux cuis- ses; elle est jaune de cire depuis la cuisse jusqu’à la racine de la queue; abdomen blanc de lait, d'un violet clair de cóté; la queue jaune en dessous . . . 9. L. apoda. L.Sheltopusik Daud., Proctopus Pallasii Fischer. affinis.; Long. 3^ 5“, de la queue 2/ 6‘. Les petits Prix en ducats. >| to [e pieds avec un onglet; le | 366 Prix en Ducats. 2 „Nr corps présente 24 angles | par les carines des écailles imbriquées ‚ la queué prés delanus 18. Des plis nom-. breux sur les cotés garnis | de petites écailles. Brun- olivätre en dessus, d'un jaune-säle en dessous, avec. tS m de taches brunes et rouges. ||. 10, L. —1— . Semblable., à No.9, Long. du corps. 104, de | la queue 23°; en dessus brun d'ombre clair, avec. des stries transversales in- terrompues et en zigzag plus : foncées ; en ‘dessous d un. bleu-blanchátre sâle. Les cótés et la partie. in- férieure de la tete. blan- chätres avec des. ‚stries de |. travers d'un. brun, foncé... Boa. ENT; 1. B. tatarica , ‚Mus. Berol. Doubl. Verz. 1823. p. 104. L. to [e 367 Prix dra 4 en Ducats. 11^ 1° 9X4, Couleur prin- cipale - brune claire . . 1. _ Coluber. L. 1. C. 172. 46. Long. 4i/, de la queue 61^; Lars. du nez 1/, de la tête 2”, . du cou 1/4”, du bas-ventre 2/3”, Lives i Toutes. les ‚ @саШез, à l'exception de celles sous la queue carinées, obtuses en forme de lance; La tête cordiforme, couverte avec de petites écailles imbriquées +; qui entourent les yeux en cercle. Nez obtus. L'iris est jaune - rougeâtre avec beau- coup de. petits points noirs. ‚ Prunelle perpendiculaire, en forme de lancette, Brun en dessus nuagé, avec de taches plus foncées de côtés. L’abdomen est rougeätre parsemé de taches noires. Une peau seche; un individu en esprit de vin, 4 2” de larg. 368. 1. C. 199.193. Long. 34’ de la queue 104” Larg. 7 de lá téus et du cou LT l'abdomen 1 04, couleur principale grise - bleuätre , chaque ecaille avec des stries longitudinales d’un roux ferrugineux. houge de bri- que en dessous; Iris brun -'rouge- ätre. Peau sechée ét un autre en esprit de vin 44 de long. 3. i^ 177. 73. Long. 17 108%, de la 54; Larg de la tete 6/^^ du cou 5%, de Pad 62; brun - foncé en dessus , plus clair sur les cótés, les bords des écailles j jaune d'ocre. Blanc-sále en VITE es cc de l'abdomen avec une petite strie noire de côté. Les yeux ‚sont noirs. — 4. C. 177. 75, Long. aan, de la queue 10"; Largeur ‚de la. tete 1’, du cou RN, de l'abdomen 1/ 3/4, Les écailles du. dos Jusqu'à l'anus , a Vexception . de la serie la phis proche, ‚de, l'abdomen , enfoncées 369 au milieu, et en forme de lozan- ges. Un enfoncement sur la tête entre les yeux. Couleur en des« sus verte - noirátre , plus claire vers la iéte, jaune de soufre en dessous; sur les côtés deux stries - indistinctés blanches, dont lin- férieuré va jusqu'à l'anus, mais la supérieure passe au milieu du corps. Par devant les yeux | üne tache blanche. 5. C. 210. 80. Long. 3^ 3Í^, de la queue Bi"; Larg. de la téte 10%, du cou 74, de Yabdomen 11; écailles en lozanges obtuses. Brun foncé en dessus, avec une série de taches grandes, irrégulières souvent confluentes, noires, bor- dées de brun - clair. Une série semblable sur les côtes, de plus petites tâches, bordées de blanc en bas, qui passe sur la queue en une strie brune - foncé; abdomen blanc de lait (dans deux exemplai- res rougeätre ), parsemé de pe- 24 370 tites taches noires; levre superi- eure blanchatre; avec une tache brune sous l'oeil, et une strie passant de l'oeil jusqu'à la bouche, de la méme couleur. 6. C. 180. 70. Long. 101^, de la queue 21/4; Lars. de, а Wote 9^ ae cou 2’, de l'abdomen 22/5 en dessus brun d'ombre clair ( plus foncé avec des stries brunes d'ocre- clair sur les écailles rhomboi- dales); en dessous blanc - ver- dätre-säle. Téte et nuque noires, les deux entourées d'un arc rouge- vermillon. Éntre les yeux des taches con- fluentes de la méme couleur, le nez brun rougeatre. Les cótés du cou garnis de quelques petites taches noires. Liris est noir. Un autre exemplaire a 1^ 52^ de longueur. 7. С. 176. 72. Longueur 10", de la queue 211 2441: Largeur de la tete 4% du cou 24/4, de l'abdomen 4£/^; 371 les écuilles du dos arrondies et cárinéés “A l'exception de deux series prés de labdomen, mattes em dessus , et brillantes en des- sous. Gouleur de dessus grise-cen- .dré- foncé, avec) quatre séries de petites taches. noires placées en quinconce , qui alternent avec des blanches dans la série inféri- eure, Noir en dessous avec les bords des écussons gris, qui ter- '"minent. plus ou moins sensible- ment en jaune - sale. Les yeux proéminens. Liris en est noir avec un cercle jaune en dedans. Un exemplaire avec la pointe de la queue grise en dessus et noire en desous de iu de 1оп- gueur fut trouvé sous une pierre prés de la riviére Gandscha; il va aussi à Peau. Un autre exem- plaire de couleur principale grise- verdätre a 1^ 9^ de longueur. 8. С. 171. 58 -— 65. Semblable à No.7, sans taches blanchätres, avee les bords yp 372 des écussons rouges = orange, ou rouges de brique 1’ 3’; demeure prés des eaux. 9. C. 180. 67. Long. 1^ 31^, semblable à NO.7. hrun - fonce en dessus avec des taches noires indistinctes ; bleu- noirätre en. dessous, avec des bords des écussons rouges de cinnabre = clair ; pris dans l'eau. 10, C. 172. 62. Long. 1^ 10^ semblable à | NO.7. Brun - noirätre en dessus avec une série de taches noires, de chaque côté; gris - bleuätre en dessous, les bords des écussons et une partie des écailles de la queue blancs - rougeátre. Le des- sous et les côtés de la tête rougeätres, avec une petite tache rougeátre derrière les yeux, et une grande sémilunaire rouge - vermillon derrière les joues. 11. C. 177. 57. Longueur 2/10/, semblable à N.7. Vert d'olive en dessus, ` noir en dessous ; les bords des : 373 écussons dun jaune d'orange: clair. | 12. C. 221. 58. Long. 2/55”, de la queue (077544; Larg. dela tete 8%, du cou 444, de l'abdomen 6 Ecailles ovoides , imbriquées de côté. ‘Couleur principale en dessus rouge «de chair, étroitement parsemé de points noirs, avec trois séries ‘de taches grandes , arrondies et rhomboidales , rouges - brunätres qui alternent et dont la série du milieu est plus foncée. Tete en dessus noirätre, blanchätre en dessous , ovoide , avec des joues trés enflées. Les yeux proémi- nens , l'iris jaune de cire avec une prunelle perpendiculaire et - en förme de lozange. 13. C. Longueur 2/ semblable à N. 12. Bru- nàtre avec des taches brunes | foncées. 14. C. Long. 2/ 2^"' et un autre exemplaire 1/ 7^; semblable à М. 12. Gris iveo des taches brunes - noirátre. 374 15..€. 204. 70. Longueur 4/, de la queue 91^; Largeur de la tete 1^ 1%, “du cou, 9%, de l'abdomen 1” ^ 244, Les écailles supérieures ca- rinées. Couleur. principale en des- sus, et sur les côtés jaune de ^ cire ; une série de taches gran- des , arrondies et brunes = clair sur les cótés; deux séries de - plus petites en. bas jaunätres , tachetées de noiratre. La tête brune - noirätre en dessus, jaune de cóté et rougeätre en dessous. 16..C- 177. 65. Long. 2/ 52”, de la queue 53^; Largeur de la tête 85^, du cou 6'/^,. de l'abdomen 944. Les écailles supérieures sont ca- rinées; en dessus et des côtés noir de jay, .avec de petites taches brunes = clair en dessus et blanches de cótés ; les bords des écussons sont en alternant , plus ou moins blancs. Tête et cou de cótés et en dessous rou- 17. C. 216. 18. C. 216. 19. C. 218. 375 geätres. Des taches rouges de ^ einnabre derriére les joües. 58. Long. 11^, de la queue 14, Largeur de la tete 4^, hauteur 3! , de l'abdomen 44%; Cou- leur principale en dessus brune- « clair; une bande jaune - clair au milieu du dos, sur le cóté de laquelle une serie de taches noi- râtres ; gris- noirátre en dessous. 64.. Longueur 2/ 12", de la queue 27; Largeur de la tete 5//. hauteur 6‘; de l'abdomen 4, Couleur principale en dessus brune-clair avec de petites taches brunes-rougeátre et noirátre. Une série de taches grandes irrégulió- res noires sur le dos; deux séries sur les cótés de taches plus pe- tite dont linférieure est peu dis- tincte; brun - rougeátre- clair en dessous avec des taches noirá- tres. 103. Long. 3' 9", de la queue 1’; Largeur de la tête. 84, 376 hauteur 5, de l'abdomen, 5444, Brun-olivätre en dessus, blanc de lait en dessous. Des deux cótés du cou une série de taches ar- rondies foncées, bordées de blanc; ‚le long du côté. du corps une série. de petites taches noirátres; une strie blanche devant et ders riére. l'oeil ; deux sutures longis tudinales sur l'abdomen., Anguis. L. 1. P 140. 124. Longueur 9215 de a queue 4/7". Les yeux peuvent se fermer, Trace de l'oreille. Brun en dessus avec des lignes doublées noires. Les cótés sont brunes-rougeätre , un peu plus clair vers le dessus , nolrátre en dessous. L'iris est brun = rougeatre. 2. A. lumbricalis ? Г. Long. 10^ — 1'3^ Les yeux sous les écailles. La queue conique , plus grosse que la téte, avec un dard; brunátre en dessus, raugeätre en dessous. 377 3. А. 138, .126. Longueur 1’ 24”, de la queue 71^; Larg. de la tete et du cou 6, de l'abdomen 64‘, ‘Des yeux qui peuvent étre fermés. Oreille vi- sible. Langue large. Brun-olivátre et noiràtre en dessus avec trois - bandes caténulées noirätres. Der- riere la nuque et sur chaque . côté trois séries longues de dix taches irrégulières bleues d'azur. Rougeätre dessous, avec des ban- des longitudinales pointillées de. noir, Pointe de la queue conique et noire en dessous. Nota. Les couleuvres N. 4. 17. 19. et Anguis N. 1. ne se trouvent que dans un seul exemplaire et ne peuvent étre distribuées qu'aprés avoir recu un second exemplaire. Le prix des serpens est dans des grandes commis- sions , la pièce à 4 Ducat holl neuf; dans de petites commissions on paye pour un serpent de 3° + Ducat; pour de plus petits + Du- cats, Des qu'ils seront systématiquement de- finis, il y aura un autre prix. Des exempla. 378 ire? “endommagés- d'espéces rares peuvent étre donum à un prix wa médiocre. i ” Depenses pour. vases > . esprit de vin, em- ballage et transport sont. aux fraix de ГРа- 5 БУИО* ry EU e 4 i | у В " | ' cheteur. 379 Catalogue Че peaux; de squelettes, et de cranes de mam miferes et d'oiseaux des mé- mes provinces , et ve- \ nales chez le méme. t Ursus Arctos fuscus . , 3-———JMees| ор... Ganis Lupus’. ^. "con. aureus |. Parasani . + a. - Hyaena ©. + .1. Felis Batdus}. 5. |. i. —— Uncia , EV. —— Lynx . e. +. —— Chaus —— Karacal . .. Catus т... Equus caballus , var. pers. Camelus bactrianus mer Ovis dom, laticaudata solis pulvinarib. adıpos. ; mas. — | fem, Ovis laticaud. cum cauda 9”! г , long: mas. Capra caucasica. mas Long. ТА corn. 35 | Дет Antilope rupicapra . . . ——— subgutturosa, mas fem. ecorn. Bos Buffelus, (cornua 2' long.) Cervus pygargus , mas. ——— —— —- fem. ecornis. Sus Scrofa fer. mas ER Vultur niger Briss „ . . — fulvus + 3 "io m rc 31.0] 8 ны & 2 eo d ge: ec = 2 = ms ls £ DS D = p 2 . = a4 oO : pe] =. р [2m = ат ©. e em Ss ij — co o © ——ы— —— 2! ‚gr 1 1/5^ 3! À l' 2457", baat 4! w AU 2J 11 Pr 7 oum то” 9'6!! 1/9 4' xo! 1/6" Aig 1 5/! AT A E 1/4 44 93 pP n 5'9" [1,4 a, 14 IM 37,189 3'10'' 9! 3"' Prix en Ducats neufs , d’holl. ‘nead Y e] эр ee | x: € an vs = an i i CN = Wo a CANT OIN ] su > Phe de ei WO Yee A ere ex] EN] S I] x CX GS я or] ONO Ll Qo 429 в N * alto o> à MEL Gars Ge Gt oie -onbs np ie tet vw © = яна = | vor | pe | cal say v | as “ou Reg Da -va9 np Bag = cider NM "od к 4 |ска- peau. |squél ne, Vultur pcrenopterus . , 21 = Falco milvus - „IS EN , 2!4'' gr 4 ag Coracias garrula . + . à |? = Alanda tatarica Pall. , . sr 418 a Phasianus Colchicus т. f.fer.| 2’7’’ 7 38 Tetrao francolinus, m. f. 1532! 4 5 = Otis Tarda ; mas: | i. — — lib |» 3 -— Bette — — Е: Я Phoeuicopterus ruber , . — — | 4 3 Tantalus Ibis à Le 15d, — — 4 B Pelicanus Onocrotalus . , — — 3 » Strix Gobo N. Ns 2! — | т " Cinclus aquaticus Bechst . 81" | — % м J'espére à étre en état de donner plus tard un catalogue plus complet. Les couleurs des yeux des oiseaux sont peintes sur papier et seront ajoutées, ainsi que la couleur de la membrane cirée, des places nues, du pied etc. Les squélettes des grands animaux sont depurés de toute graisse. Les os isolés sont tellement joints qu'on peut les réunir facile- ment. On pourra aussi s'engager à forunir des Amphlbies, des Poissons et des Insectes qui ne se trouvent point en Russie. 381 On peut avoir aussi des plantes avec le nom du Systema plantarum ed. Sprengel, et lindication du lieu, du tems de floraison. La Centurie à 2 Ducats. En demandant 25 Exemplaires d'une et la méme espéce, le cent a 15 Ducats. L’emballage et le transport, ( comme il est dit auparavant) sont aux fraix de la cheteur. Aout, 1831. Fred. НонемМАКЕВ, Adresse: Фридриху Гогенакеру въ Eansae ветонолф черезь Тихлисъ. SIIS SOSS DOLE ID GIG DOLL ILS DS LLG DELI ODI IT DW DSG LO OS DOIG BIT Па ane SNP LITE 7 # i ) в} ‘NOTICE SUR LES OSSEMENS FOSSILES DES GAVERNES DES RIVES DU TSCHA- RYCH EN SIBERIE , ( voy p..232 ) par G. INN UN Les ossemens fossiles que Mr. le Dr. GEsLER a trouvé dans les cavernes situées sur les rives du Tscharych en Sibérie et dont il a donné une description détaillée p. 232, pro- viennent de boeufs et oe chevaux. Les parties que Mr. Gebler a adressées à la Société , sont: a Os metacarpi bovis. c. Calcaneus bovis. e. с, Astragali bovis. 383 b. Os metacarpi Equi d. Phalanx prima | pedum anteriorum Equi el ob vois) f. talus Equi | \ $ «^T ismppo g. В. Dentes molares Æqui, maxillae inferioris ; i. Dens molaris maxillae superioris. k. Dens caninus Equi. Les dents canines des Felis sont plus fortes plus arquées et n'ont point de facettes obtuses , comme celle qui accompagne cet еп- vol. П y a certainement une difference entre cette caverne du Tscharych et celles du Harz, en ce quil n'y a point de chaux stalacti- forme , en ce que ces ossemens paraissent enveloppées dans une marne friable et que le calcaire trés compacte , à cassure écailleuse présente une formation en couches ; et que cette formation doit appartenir aux monta- gnes de transition. Les cavernes de Baumann et de Gaylenreauth renferment beaucoup 364 d'ossemens fossiles mais presque tous empátés dans le touf calcaire. . Celles de la montagne de Gibraltar con: tiennent des os de quadrupedes mélés de coquilles. | _ МАЛА ЛА АЛЕ DE PINS ST SN Пели LD TABLE DE MATIERE SYSTE- MATIQU E. ZOOLOGIE С. Fiscuer ; Rapport sur les découvertes de [si u Mr. d’Ehrenberg sur les infuso- ires. p. 4. | Sur les Mammiferes. p- dd. Sur les Matataxyméres ou Mono- tremes. p. 52. | Addition à cet article. p. 271. Sur les Oiseaux p. 57. | | Sur les Reptiles. p. 85. Sur les Poissons. p. 116. | Sur les Céphalapodes > en par- ticulier sur les Ammonites. p. 131. Sur une mächoire inférieure fos- sile de Rhinocéros. p. 152. 29 386 С, Fiscner, Notice sur un bois fossile de Cerf, (Cervas fellinus) р. 155. — Sur une nouvelle espèce de ca- nard du Kamtschatka. p. 278. —— Sur le genre de polypier fossile Aulopora de Goupruss. p. 281. Notice de quelques corps fossi- les qui se trouvent incrustes sur un morceau de pyromaqué: 2.9298. . Classification des animaux р, 329. Exposition de la Classe des Hel- minthogames ou Epizoaires, p. 340. j E. Erpmann, Enumeratio Lepidopterorum flu- vium Volgam inter et montes Uralenses habitantium. р. 240. Fr. НонемАСКЕВ , Catalogue de Mammifères , Oiseaux , Reptiles, Poissons des P Us provinces du Caucase, qu'on peut obtenir par lui, p. 363. ij 387 BOTANIQUE. Ae Jacques Fruumann; Catalogue des plantes qui croissent, en Lapponie. p. 298. GEOLOGTE. Г. Gerster, Notice sur une caverne à osse- mens .fassiles située sur les ri- ves du Tscharych en Sibérie. p. c p E d gis а. Fischer , Note sur ces ossemens fossiles. . 382. p. 38 PHYSIQUE Г. Parnor, Uiber die genauere Temperatur- bestimmung des Quecksilbers im Barometer bei Höhenmessungen mittelst desselben. p. 293. SIMONOFF ET SCHESTAKOFF , Observations horai- res de declinaison magnetique faites- à Casan en 1830. p. 253. Observations de linclinaison ma- gnétique à Casan 1829 et 1830. p. 265. | vd 386 CHIMIE ANIMALE. В. Henmann , Uiber die Veraenderungen die das Blut und die Secretionen des menschlichen Organismus durch die Cholera erleiden. p. 161. PATHOLOGIE. В. Hermann, Uiber die Ansteckungsfähigkeit der Cholera, p. 216. TABLE ALPHABETIQUE DE MATIERE. Acalephae. 338. Acanthoptérygiens. 117. 118. Accipitrinae. 62. Accipitres. 65., Actinophrys. 16. Actinurus. 23. Adapis 47. Aéllo. 37. Agastriques. 4. Aiguille magnét. sa docli- nails, 253. son inclinaison. 265. Ailurus. 39. Alaudinae. 69. Alcidae. 82. Amalthei , Ammonit, 136. 138. Amoeba. 15. Ammonites. 132. 133. Amorphota. 4. 339. Amphileptus. 15. Amphipneusta. 95. Anas cücullata. 279. Anatidae, 84. Anatinae. $4. Angues. 1127 Ánimaux microscop. 4. Annelides, 335; à Annulata. 335. Annulosa. 335. Anoplotherium. 47. Antilope, 48. Anuraea. 26. Apiropoda. 336. Apludontia, 44. Apoda, Batrach. 94: Arachnoida, 336. Arcella. 19. Arctictis. 39. Arctomys. 44. Arctonyx. 58. Ardeidae, 78. Arietcs , Awumonit, 137. Armati , Ammonit. 146. Ascidiae. 334. Aspidisca, 20: Astasia. 14. Aves. 332. Aulacodus. 44e Aulopora. 251. complanata. 286. conglomerata. 255. macrostoma. 287, serpens. 283. spicata, 285. tubaeformis. 284. Bacillaria. 18. Bactirium. 13. Baculites. 133. Balaena. 49. Baritinae. 71. Batrachia. 94. 332. Beliers, Ammonit 137. Belluae. 46. Bigenerina , hastata, 289. Bisulca, 47, Boda, 13... | Bois fossile de Cerf, 155. Bos. 48. Brachionus. 26. Brachyopoda. 3:33. \ Bradypus. 45. Buceridae. 72. Buphaginae. 71, Bra 16. Buteoninae. 62. Caeciliae. 112. Callidina. 23. Camelopardalis. 48. Camelus. 47. Canard à capuchon. 279. Canis. 39. | Сарга. 48. Caprimulgidae. 68. Carchesium, 19. Cartilagineux , poiss. 118. Castor. 42. Caverne à ossem. foss. 235. Cavia. 45. à Cebus. 35. Celaene. 37. Centetes. 41. Ccphalotes. 41. Cephalopodes. 131, 333. Cercoleptes. 38: Ceriopora clavata. 289. Siderolites. 291. Certhiidae. 73, Cervus. 47. fellinus , foss. 155. Cetacea. 48. Cete. 48. Charadridae. §1. Chiromys. 44. _ Chitonophora. 334. . Cholera, son effet sur le sang 161. sur sa eontagion. 216. Chondracanthus. 344. 345. Chondroptérygiens. 118. Chrysochloris, 41. Cinnyridae, 74. Cirripeda. 334, Clangulinae. 85. Clavella. 359, Closterium. 19. Cocconema. 15. Coelogenys. 45. Coleps, 16, Columbidae. 75. Colurus, 23. Colymbidae. 82. Complauati , 148, Comprimés , 148.2 Conchitae. 334, Ammonit. Ammonit. Condylura. 41. — Conirostres. 68. Coracinae. 71. Coronaires, - Ammonit. 143. Coronati, Ammonit. 143. Corvidae. 71. Corvinae. 71. Cracidae, 77- Cricetus, 44. Crocodili. 97. Crossarchus. 39, Crustacea, 335. 391 Cuculidae. 60. Cursores, 76. Cuvier, В. n. des pois- sons. 116. | Cyclidium. 14. Cyclogena. 22, Dactylopora. petiolata. 292. Dasyprocta. 45. Dasypus. 45. Dasyurus. 42. be magnét, 253. Delpbinus. 48. Dendromys. 44. Dentati, Ammonit. 148. Declinaison l'aiguille Dentés, Ammonit. 148. Dentirostrés, 63. Desmodns. 38, Dichobune, 47. Diclidurus. 37. Dicotyles. 46, Didelphys. 41. Difflugia. 19. Diglena. 22. Dinocharis. 22. Dipus. 44. 3 . Distemma. 21. Dysopes. 37. Doxococcus. 13. Echidna. 46. Echinella, 19. Echinodermata. 33$. Enrensernc , sur les infuso- * ares. 4. | Elasmotherium. 46. Elephas. 46. Elminthoprocta. 337. Enchelys. 16. Enteroplea. 2v. Enthelmintha. 337. Entozoa. 337. Enydris. 4o. Eosphora. 22. Epistylis. 15. Epizoa. 337. 340. : Epizoaires. 337. 340. Equus. 47. Enpwasw , E. Lepidopteres du Volga, de l'Oural. 241. Erinaceus. 41. Euchlaris. 25, Euglenia. 14. Euploea. 20. Exilaria. 18. Falciferes, Ammonit. 139. Falciferi ; Ammonit. 139, Falconidae. 61. Falconinae, 62. Eelis. 4o. Fiscuer , Cr. sur l’Aulopora, 261, sur un bois fossile de Cerf. 155. sur un canard du Kamtschatka. 278. Sur les Céphalopo- des. 131, Conspectus animali- um. 329. Corps fossiles. 288, Sur la Classe : des Epizoaires. 340. Mächoire de Rhino- i ceros fossile. 152. Mammiferes. 30. Metataxymera. 52. Oisseaux, 57. Poissons. 110. Reptiles, 85, Fischer, J. В, Synops. mammal, 33. Fissirostres. 67. Firaincrr , Reptiles, 87. Floscularia. 24. Foroculum. 361. Fregilinae. 72: Fringillidae 68! Fuscularia. 21. Galago. 35. Galeopithecus. 36. Gasteropoda. 533. Guzszer, F4. sur une ca x verne & ossemens fossi- les. 232. Glaucoma. 17. Glossophaga. 37. Gomphonema. 18. ‘Gonium. 15. Gradientia , Reptil. до. Batrachia. 95. Grallatores. 78. Guay, Spicil, Zool. 52. Gruidae. 78. Gryphi. 53, Gulo. 39. Gulones. 92. Gymnocnemiae, Aves, 78. Gymnura. 38. Gypogeranidae. 61. Halcyonidae. 68. Halicore. 48. Hamites. 153. Harmodites. 282. Hauteurs, mesnre des, 293.. Helianthoida. 338. Helminthogama. 337. 340. R. über Chole- га, 161. Hermann , ihre Ansteckungsfä- higkeit, 216: 393 Hippopotamus. 47: Hirundinidae. 68. Holothirida. 337. Homo. 34. | Homothalami. 338. Hyaena. 40, Hydatina. 21. Hydrochaerus. 45. Hydromys. 43. Hyrax. 46. Hystrix. 45. Jacchus. 35. Ichthydium. 20. Ichthyodera. 332. Ichthyodi, 115. Ichthyosaurus. 53. Icterinae. 70. Incedentia , Rept. 94. Inclinaison de VAigu. ma» gnét. 265. . Indri. 36. Tufusoires. 4. Insecta. 336. | Joues cuirassées , poiss. 123 Kerona. 17. Kolpoda. 17. Lacertae. 98. . Lacinularia, 24. 394 Lacrymaria. 16. Triglae. 350, Lagomys. 45. | | Lerneomyzon. 356. Lagostomus. 44. | . elongata. 359; Lama. 47. Pernettiana. 358: Lamprotorninae. 70, > [i ine 357. Laniidae. 63. | _ pyriformis. 3568. Laridae. 83. uncinata. 357. Lemnus. 42. Lerneopenna, 351. Lemur. 36, . Bocconica. 352. Lepadella. 24. Holteni. 353. Lepus. 45. : | Sagıtta.. 353. Leucophrys. 16. Lerneopus. 345. Lernacantha. CUR Brongniartii, 345. Delarochiana. 347. salmoneus. 346. Lernaea. 359. Loncheres. 43. Basteri, 360. Lophiodon. 46. clavata. 360. Loricata, Rept. 9o. cyclophora. 361. Loricerta. 24. Lernanthropus. 344. Loxiidae. 72. Musca. 345. Loxodes. 17. Lerneocera. 354. Lutra. 4o. bronchialis. 354. cyclopterina. 353. Macrocephali, Amınon. 145. cyprinacea. 356. Macropus. 42. ) Surrirensis. 353. Macrosceles. 41. Lerneanthoma. 348. Madatoeus. 37. asellina. 349. Malacoptérygiens. 117. cornuta. 350. Mammalia. 331. Dufresnii, 351. Mammiferes, 33. gobina. 349. Manatus. 48. nodosa. 349. Mangusta. 30: vadiata, 348. Manis. 46. Mastigocera, 25. | Mastodon. 46. Megaderma, 37. Megalotrocha. 2.1 Megatherium. 45. Meles. 38. Meliphagidae. 76. Mephitis. 39. Merginae. 85. Meropidae. 68: Merrem „ Amphibien. 89. Merulidae. 64. Metataxymera. 52. 2971 332; Metopidia. 25. Microdon. 20. Milvinae. 62. Molossus. 36. Monas. 13. Monocera, 217 Monodon. 49. Monolabis. 23. Monophyllus. aie Monostyla. 25. Monotremes. 52. 271. 332. Monura. 23. Mormops. 37. Moschus. 47. Moule d’étang. 31. Mullingong. 277. "Mus; 43. Muscicapidae. 67. Mustela, 4o. Mydaus. 38. Myogalea. 41. Myopteris. 37: Myoxus. 43. Myriapoda. 336. Myrmecophaga. 46. Nasua. 58. Natantia , Mamm. 45: Natatores, Aves. 82. Navicula. 18. Nectarinidae, 74. Noctilio. 37. Nadosaria dubia. 268. Norops. 22. Noteus. 26. Notommata. 21. Nycticebus, 36. Nycteris. 37. 2 Nyctophilus. 38. Objéts d'hist. nat. à ven- dre, 363. Oiacopodes , Testud. 96. Oisseaux. 57. Ophrydium, 19. - Ornithocephalus. 54. Ornithorhynchus. 46. 53. Orycteropus. 48. Ossemens fossiles. 382: [ \ Oxytricha 17. | Palaeotherium. 46. Pandorina. 13. Pantotrichum. 14. Paradisinae. 71. Paradoxurus. 39. Paramaecium. 17. Pastorninae, 91. Pecora. 47. Pedetes. 44. | Pelecanidae. 82. Peltocochlidae, 333. Pennella, 352. Percoides, 118. Peridinium. 14. Perameles. 42. Petaurus. 43. Phalangista. 42. Phascochaerus. 47. Phasianidae. 75. — Phascolantos. 42. Phascolomys. 42. Philodine. 23. Phoca. 40. Pholidota , Rept. 89. Phyllostoma. 37. Physeta, 358. Physeter. 49. Phytozoa. 12, Picidae. 60. Pipridae. 66. 396 Pisces. 332. Plantes de Lapponie. 299, Planulati, Ammonih. 141. Plesiosaurus. 54. Poissons. 116. Polygastrica. 4. Polypes. 339. Polypi tabuliferi, 338. Prendentia, Rept. 94. Procyon. 38. Promeropsidae. 74. Proteles. 39. | Psittacidae. 58. Pterodactylus. 57. Pterodina. 26. Pteromys. 44. Pteropus. 36. Ptilocnemiae , Aves, 58. Pyrrhuliuae. 70. Ralliidae, So. Ranae. 113. Rasores. 75. Rhamphastidae. 59. Rattulus. 23. Repentia. 92. Reptilia. 85. 332, Rhinoceros. 46. máchoire fossile, 152. Rhinolophus. 38. Rhinopoma. 37. . Rotatoria. 20, 339. Rotifer. 23. Ruminantia. 47. Rytina. 48. Ryzaena. 39. Saccomys. 44. Saccophorus. 42: Salientia , Batrach. 94. Salpina. 25. Scalops. 41. Scaridium, 22: SCHESTAKOTF , Observat. sur Vinclinais. de WVaiguille magnét. 253. Sciénoides. 126. Sciurus. 44. Scolopacidae. 79. Scotophilus. 37. Serpentes. 92. 105. Simia. 35. Simonow, Observ. déclin. de l'aiguille mag- nét. 253. sur la sur l'inclinaison. 265. Sorex. 41. Spalax. 42. Spirillum. 13. Spondylophora. 330, 331. Squamata, Reptil. go. Squamella, 26. Steganopodes, Testud, 96. 397 Stenoderma. 36. Stentor. 15. Stephanops. 23. Strigidae. 62. Strophota. 334. Struthionidae. 77. Sturnidae. 70. Stylonychia. 18, Sus. 47. | Sylviidae. 65. Synedra. 15. Syringopota. 28%. Tacliyglossus, 53. "Talpa. 41. Taphozous. 37. Tapirus. 46. Tarsius. 36. Tenuirostres. 74. Testudinata. 89. Testudines. 96. Tetraonidae. 76. Theorus. 22. Thylacinus. 41. Tintinnus. 19. Todidae. 67. Trachelys. 17, Trichechus, 40. Trichoda. 16. Trichodina. 15. Trilopodes , Testud. 97. Trochilidae, 74. Tunicata. 334: Tupaia. 41. Typhlini. 94. _ Uromastix. go, Uroplatus: 90, Urostyla. 17. Ursus. 38. Vaginicola; 193 398 ` — Vespertilio. 37. Vibrio. 13. Viverra. 39. Volvox. 15. Vorticella. 15. Vulturidae, 60. WAGLER; Amphibien: 99.2 Xyphodon. 47. Vatenciennes, hist: nat. des poissons. 126. Zoobotryon. 21: Vers cavitaires. 340. extérieurs. 343. CORRIGEND A. р. 33. L 7. plusieurs. ‘a1. Fiscner. 12. tous, lisez sous. 47. 11. Bisulca 54. 14. Ornithorhynchus. бо. 9. Jacamerops. 64. 31, Cur. I. Cuvier 68. 9. Hirundinaceae. 87. 18. trouvera 1, trouveront. 126. $. Hoplostethus. 273. 15. Lerwia l. Lomvia 281. 2. d'en bas, Oryctographie (333. 3. triplex | 334. ult, Sirophota. 336. 7. thorace 337. 5, ENTHELMINTHA: | } | RA aa nv ли , iis { Gy rw | » j K LM. ni , ui | E" ha N | 1 ] WI 1 Y M d Ll LI 4 "t i ] сч к À WwW { Si Laur © , Tu [ | d ung : В у N к. 2! 1 vi et le 3 Ur Dd i Y 2 ul SAL | uu ^ AN ,) 7 PORE ele DCN, ry : UN Pj he v ENS " ^ I ut a ] 1 r % ù му ' E. * » г < Y - : « " ^ a » D M X D LI ) \ Ve E ^ : © val r4 ; N 1 zy n 2 ait T. aug a у Ww 42906 MS BS € A hy a) : | > i ^ ; LM. i Md DAS | ie T i any ой 1 à | у , » Y V Li en \ И ae‘ id. sono) ! à 4 ifs PE Er [a / ; avita gi i г à t À \ RY 4 " A. 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