HARVARD UNIVERSIFY. LEBRARY OF THE MUSEUM OF COMPARATIVE ZOÖLOGY. sd a wa Ka ale 3 J ’ \ | ‘a | J AL TN ‘ N A ” ME Kos Tour “ + =\4 u BULLETIN INTERNATIONAL DE LACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR S. M. ’EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. Prorecreur DE L’ACADEMIE: S.- 4.1. LARCHIDUC. CHAREES POUTRS Vice-Prorecreur: S. E. M. JuLıen DE DunAsewsk1. PRÉSIDENT: M. LE COMTE STANISLAS T'ARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($. 2). L’ Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. : Le ‘protecteur et le Vice-Protecteur sont nom- mes par S. M. l'Empereur. ($. 4). L'Académie est divisée en trois classes : a) classe de philologie, b) classe d’histoire et de philosophie, à c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($. 12). La langue offcielle de l’Académie est le polonais; c’est dans cette langue que paraissent ses publications. Le Bulletin international parait tous les mois, à l'exception des mois de vacances (août, seplembre), ef se compose de deux parties, dont la première contient {'’exbrait des procès verbaux des séances (en français), la deuxième les résumés des mémoires et communications (en français ou en allemand, au choix des auteurs). Le prix de l’abonnement est 3 fl. = 8 fr. Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. = 90 centimes. mms Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanisklawa Smolki. Krakow, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem A. M. Kosterkiewicza, BULLETIN INTERNATIONAL DE LACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE COMPTES RENDUS DES SEANCES DE L'ANNÉE 1895. = CRACOVIE IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE 189. te Bu & » 10 Table des matieres. Classe de philologie. Classe d’histoire et de philosophie. J. Baudouin de Courtenay. Essai d’une theorie des alternations phonétiques. I. C. Morawski. Sur lé style maniéré des écrivains latins de l’époque impériale 3 A. Miodonski. Une tredision romaine sur re germanique V. Lutostawski. Les trois premières tétralogies de Platon Bibliothèque des écrivains polonais du XVI® et XVlIe s. 30€ livraison Archives de l’histoire littéraire, Tome VIII. 3 M. Jezienicki. Sur un manuscrit de l’année 1515, contenant des poésies inédites de Paul de Krosno W. Nehring. Les sermons de Gnesen A. Brückner. Sermons du moyen âge, 2° partie L Luszezkiewiez. Restes romans de la cathédrale de Plock et de l’abbaye de Jedrzejöw ë ; 5 A. Jelski. Notice historique sur la fie de ceintures des Radzi- wit, à Stuck Collectanea ex Archivo Collegii historiei. Vol. VIT W. Ketrzynski. Sur la chronique de la Grande Pologne A. Prochaska. De l'authenticité des lettres de Gedymin — La Podolie, fief de la Couronne de Pologne 1352—1420 V. Czermak. La Croisade contre les Turcs projetée par le roi La- dislas IV. L. Abraham. La première ee entre l'Eglise É: l'Etat « en sn 62 147 F. Piekosinski. Contributions à l'analyse des Statuts dn roi Casi- mir-le Grand 2 ; A. Winiarz. Sur un se de re du Heat ı coutumier as la Masovie, rédigé par Laurent de Praämowo 3 5 Kasparek. Etudes sur le droit international pavessil are La conference de la Haye de 1893. 2° partie: La conference de la Haye de 1894 Ye) Comptes-rendus de la Commission d’Anthropologie, XVIIIe volume Classe des sciences mathématiques et naturelles. S. Kepinski. Sur les fonctions de Fuchs à deux variables complexes — Sur les relations bilinéaires entre les constantes des intégrales des solutions de certaine équation différentielles du second ordre C. Zorawski. Sur les grandeurs fondamentales de la théorie générale des surfaces : ! ; Ä ë : : : { — Sur les invariants integraux des groupes continus des trans- formations J. Nussbaum. Structure de la lysse et les rudiments de la sous-lan- gue chez les carnivores : A. Wierzejski. Faune des pus. de la Galicie (Auteiehe) L. Kulezynski. Attidae Musei zoologici Varsoviensis, in Siberia orientali collecti . : R. Gutwinski. Prodromus Höras an "Gnliciensis B. Debski. Sur la structure et sur le mecanisme des mouvements des organes foliaires chez les Marantacees 3 5 : M. Kowalewski. Études helminthologiques. II partie, Sur l’histologie de la peau de quelques trémapodes À 5 M. Siedlecki. Sur la structure et la division des VeneorrteR chez les Urodeles . : : à 5 DEE W. Szymonowicz. loge de la be N 3 : F. Kreutz. Le sel gemme et la fluorite, leur teinte, a ur ce et leur phosphorescence F. Grzybowski. Sur la faune du flysch carpathien. I. Les forami- nifères de la glaise de Wadowice ; W. Teisseyre. Sur le caractere de la faune fossile de Miodobory P. Rudzki. Contribution à la théorie des vagues L. Silberstein. Un théorème hidrokinématique ? A. Witkowski. Propriétés thermodynamiques de l'air a 329 161 288 T. Estreicher. Sur les pressions de la saturation de l’oxygene C. Olszewski. Determination de la temperature critique et de la température d’ebullition de l’oxygène . : : s L. Natanson. Sur la temperature critique de Ur Te — Sur la détente adiabétique au voisinage du point critique C. Radziewanowski. Sur l'emploi de l'aluminium métallique pour des hydracarbures aromatiques ; 5 ; ; 2 E. Bandrowski. Sur les phénomènes lumineux accompagnants la eristallisation . - ; : S. Niementowski. Sur la chinacridine : : . 5 S. Niementowski et B. Orzechowski. Sur les dérivées de chi- noline. Suite . N 5 E. Godlewski. Sur les niknemänes En la nitrifienkion 5 : S. Jentys. L'influence de l'oxygène sur la décomposition des matières azotées dans les excréments des animaux de la ferme. A. Beck et N. Cybulski. Recherches des phénomènes électriques dans l'écorce cérébrale (Suite) : ; : : É J. Zanietowski. Variations électrotoniques de l’excitabilité des nerfs. Expériences faites au moyen de décharges du condensateur A. Beck. Sur la formation d’urobiline F à \ ; N. Cybulski. Études sur les fonctions des capsules surrénales W. Szymonowicz. Sur les effects de l’extirpation des capsules sur- rénales chez les chiens et sur l'influence des extraits des capsu- les surrénales J. Nowak. Nouvelles Foeherehien sur la structure et le A on ne du placenta humain 5 ; C. Kostanecki. Recherches sur Le oeufs ondes 4 PAPE PE J. Prus Sur les corpuscules de Russell Comptes-rendus de la Commission de Physiographie, tome XXIX W. Satke. Recherches sur la vitesse et la direction des nuages à Tarnopol 56 109 212 313 41 19 Be 32 RU UE Ve > N DER HE ‚ NL fr LS rare Art a Er, ERS u | ACT CEE HU OR xs € ; E 2 MEL PET: TER AMC } BEN: (er Pr TE \ DENN RER | | Ce , AS 2 ÈS SA Aie PEL I ee SRE a Le À FE Me ; = x - RCA CT AE j ; DL: LE TA VE. NE AIT RE» AS LRU ME STONE ud e , k Di 2 + Q % cr LE ne ñ \ 4 h Æ 14 | CUS ART ; Le LT : JADE ME < a ; à PRE TER" À - RTE | RESORT cu j | E Kr 4 7 À } Lu me CAT x 12 \ u SR A L ; ] NO à Les. 5 Dr 2° n À APT x it + SCH # * #29, LE: LRO à SEELE SE à c , À, c k À ar 5 | + 2, Y RE TON ana t 5 5 j SC c. À 1® - LA JE, ; it J I “ 2 à À Ur, 1 Li , s « er à Fr N . x > ni R À Ce En La . mr 2 1 F5 are © i re . r ‘+ - + % 2 la ‘ à A LES u « ee | , L : \ per] u f' > » MAR © 18% 0] BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ANNÉE 1895. JANVIER CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ 71 1895. WACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR $. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH L 2 ProTECTEUR DE L'ACADÉMIE: SALE L'ARCHIDUCCHÉARLES-LOUTS Vrcæ-Prorecreur: S. E. M. JuLıen De Duxasewskt. PRÉSIDENT: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSRI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($ 2). L’ Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté ‘Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nom- mes par S. M. l'Empereur. ($. 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b/ classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($. 12). La langue officielle de l’Académie est le polonais; c’est dans cette langue que paraissent ses publications. Le Bulletin international parail fous les mois, à l'exception des mois de vacances (aout, seplembre), ef se compose de deux parties, dont la premiere conlient Ü 'extzait des procès verbaux des séances (en français), {a deuxième les résumés des mémoires et communicalions (en français ou en allemand, au choix des auteurs). Le prix de l'abonnement est 3 fl. = 8 fr. Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. = 90 centimes. Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem A. M. Kosterkiewicza. MAR © 1895 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. Non: Janvier. 1895. Sommaire: Séances du 10, 14, et 21 janvier 1895. — Résumés: 1. Collectanea ex Archivo Collegiü historici, Vol. VII: Bellum Polono- Moschicum ad Czudnow, A. D. 1660 expeditum, ed. V. Czermak. — Tarif des prix pour la ville de Varsovie, 1606—1627, éd. par A. Cunier. — Recensement de la population du diocèse de Cracovie, en 1787, éd. par J. KieczyNski. — 2. A. Wınsarz. Sur un projet de codification du droit coutumier de la Mazovie, rédigé par Laurent de PraäZmowo. — 3. M. Jezıenickı. Sur un manuscrit de l’année 1515, contenant des poésies inédites de Paul de Krosno. — 4. A. Beck. Sur la formation d’urobiline. — 5. L. SıLzerstein. Un théorème hidrokinematique. — 6. W. SArTkE, Recherches sur la vitesse et la direction des nuages à Tarnopol. Séances m Classe de Philologie Seance du 14 janvier 1895 Presidence de M. C. Morawski M. Jeax Baupoux DE Courrexay rend compte de son tra- vail intitulé: ZZ Catechismo Resiano con una prefazione del dott. Giuseppe Loschi. Udine. 1894. M. Marrax Zpzisecnowskı donne lecture de son travail: De Vinfluence de la poésie de Byron sur la littérature russe. 9 SÉANCES Classe d'Histoire et de Philosophie Séance du 21 janvier 1895 Présidence de M. L. Luszczkiewicz Le Secrétaire dépose sur le bureau le VII vol. des Ar- chives de la Commission d'Histoire !). M. B. Ulanowski rend compte du travail de M. A. Winrarz: Sur un projet de codification du droit coutumier de la Mazovie rédigé par Laurent de Prazmowo ?). Classe des Sciences mathématiques et naturelles Séance du 10 janvier 1895 Présidence de M. F. Kreutz M N. Cybulski présente le travail de M. Aporrne Beck: Sur la formation d’urobiline?). M. A. Witkowski présente le m&moire de M. L. SıLzEr- stein: Un théorème hydrokinématique *),. M. F. Karlinski rend compte du travail de M. W. Sarre: Recherches sur la vitesse et la direction des nuages à Tarnopol °). 1) Voir ei-dessons aux Résumés p. 3. — 2) ib. p. 7. — 3) ib. p. 14. — 4) ib. p. id — H)lunsp. 19 Résumés 1. — Collectanea ex Archivo Collegii historici. Vol. VII. 8-0, 478. p. Le tome VII des Archives éditées par la Commission d'Histoire renferme trois parties complètement différentes. Les deux premières sont composées de documents sur le XVII° siècle; la troisième est consacrée à des tableaux statistiques de la population, à la fin du XVIII siècle. Bellum Polono - Moschicum ad Czudnow Joanne Casimiro rege, Stanislao Potocki Palatino et Georgio Lubomirski Regni Marschalco ducibus, An. Dom. 1660, expeditum. Edité par M. V. Czermax. p. 1 — 50, Au cours de la longue guerre entre le tsar de Moscovie et la République de Pologne (1654—1667), guerre amenée parce que Boghdan Chmielnicki et ses Cosaques, révoltés con- tre la Pologne, s'étaient soumis au tsar Alexis, l’année 1660 fut, pour les armées polonaises, la plus brillante en faits d’ar- mes. Cette année-là en effet deux armées s'étaient avancées sur les territoires polono-lithuaniens. L'une, ayant à sa tête Cho- waüski, fut complètement battue par les hetmans de Lithuanie, et forcée d'abandonner les pays envahis. L'autre, sous les ordres de Szeremetiew, secondé par les Cosaques de Georges Chmiel- nicki, ayant occupé la Wolhynie et l'Ukraine, fut entourée, dans 1# 4 RÉSUMÉS les environs de Czudnow, par les hetmans de la couronne Potocki et Lubomirski et les contingents de Tatars qui leur prêé- taient main forte, de telle sorte qu’elle dut tout entiere mettre bas les armes et fut faite prisonniere. Le general du tsar, Szere- metiew, devint alors le captif des Tatars, et Chmielnicki, ainsi que ses Cosaques reconnurent de nouveau la suprématie de la Pologne. Ce succès inespéré suscita nombre de relations en latin ou en polonais, soit en vers, soit en prose. On en publia aussitôt quelques-unes; d’autres restèrent manuscrites. Le pré- sent opuscule, beaucoup plus exact que ses congénères, se trouve à la Bibliothèque Ossoliñski, à Léopol, d’où M. Czer- mak l’a tiré pour en faire l’objet de la publication dont nous nous occupons. L'auteur anonyme de cette relation était, ainsi que le démontre clairement M. Czermak, un homme de guerre, parfaitement initié aux choses militaires, et, sans doute témoin oculaire de l’expedition. Il destinait certainement son travail a l'impression, car il avait apporté le plus grand soin au style et à l’exact emploi des termes propres. C'était un partisan de Lubomirski, mais assez impartial cependant; et il est fort possible, ainsi que le prétend l'éditeur actuel, que la mort inopinée de Lubomirski, survenue peu de temps après, ait causé l’ajournement de la publication de l’ouvrage. Quoi qu'il en soit, c’est un document de grande valeur pour l’histoire militaire de la Pologne au XVII® siècle. A. Care. Ustawy cen dla miasta Starej - Warszawy. (Tarifs des prix pour la Vieille - ville de Varsovie). 1606—1627, p. 51—268. Dès le XV* siècle, sur les demandes réitérées de la noblesse, demandes exposées dans plusieurs diètes, on imposa aux Palatins l'obligation de promulguer de temps à autre des tarifs de prix pour les marchandises et produits de l’industrie locale des villes de leur palatinat. Ce n’est néanmoins que vers le milieu du XVI‘ s. qu'on commença à exécuter sérieusement ces mesures, en Conséquence desquelles, plus ou moins deux fois par an, les palatins dressèrent des tarifs, après avoir RESUMES 5 consulté les autorités et les chefs des corps de métiers des villes. On n’a encore livré au public que quelques documents de ce genre, si importants cependant pour l’histoire des condi- tions économiques de l’existence à cette époque. Nos archives en renferment des collections volumineuses qui ont jusqu'ici sollicité en vain l'attention des éditeurs et des érudits. Les archives de Cracovie, entre autres, possèdent une énorme série de ces décrets palatinaux, comprenant plus de deux siècles (1589—1795). Aussi la Commision d'Histoire de l’Académie a-t-elle résolu d’en faire l’objet d’une publication systématique qu'elle commencera bientôt. Comme introduction et préparation à cette publication, elle imprime aujourd’hui les tarifs de la Vieille-ville de Varsovie pour une période de vingt ans, d’après un manuscrit authentique de la Bibliothèque des prin- ces Czartoryski. Ces pièces ont été dressées d’une manière légèrement différente de celle qui était observée ailleurs, car, à Varsovie, capitale du royauine, siége des diètes et résidence du souverain, le maréchal de la couronne était appelé à prendre part à leur rédaction. Ces tarifs étaient établis plus ou moins souvent, de deux à neuf fois annuellement. Les ordonnances des prix du vin étaient promulguées séparément; de même celles qui concernaient les ouvrages de l’industrie. Toutefois sur chacun de ces tarifs on inscrivait en tête le prix du pain en rapport avec celui du blé, ceux de la bière et de l’hydromel. Les employés de la ville et les chefs des corps de métiers assistaient toujours et prenaient part à la confection de ces tarifs, de telle sorte que les ordonnances n'étaient qu'une con- firmation officielle des prix proposés par les magistrats. J. Kreezysskı. Spis ludnosei dyecezyi Krakowskiej z r. 1787. (Recense- ment de la population du diocèse de Cracovie, en 1787), p. 269—478. Dès le XVI° siècle, on fit en Pologne des recensements de la population, ou plutôt on établit des registres de perception, où furent inscrites surtout les terres soumises à l'impôt. Ces documents qui nous sont parvenus en assez grand nombre, 6 RÉSUMÉS sont l’objet, depuis quelques années, des publications de M. Pawinski (Zrödla dziejowe. Tom XIII i nastepne. — Sources historiques. T. XIII et suivants). C’est sur eux que ce savant érudit appuie ses si intéressantes et si remarquables études statistiques sur la densité de la population et la proportion des propriétaires du sol à cette époque. Mais ce n’est que vers la fin du XVIII siècle, qu'à l'exemple des pays étrangers et spécialement de la Prusse, on a commencé, en Pologne, à faire des statistiques proprement dites, ainsi qu'on l'entend aujour d’hui, sans but accessoire. On n’a cependant jusqu'ici publié aucun de ces actes; on n’en a étudié non plus aucun en détail. M. Kleczynski, directeur du bureau de statistique de la ville de Cracovie, après avoir déjà, dans un travail particulier, appelé l'attention sur la valeur et l’importance de ces docu- ments, publie aujourd’hui celui qui lui semble le plus complet de ceux qu'il est parvenu à examiner. C’est le recensement opéré par les curés des paroisses, au commencement de 1787, en exécution de l'ordonnance du 20 décembre 1786 de l'archevêque de Gniezno, administrateur du diocèse de Craco- vie, à l'exception des territoires de ce diocèse situés sur la rive droite de la Vistule. Ces derniers, en conséquence du premier partage de la Pologne, étaient échus à l'Autriche, comme faisant partie de la Galicie. L’original manuserit du registre de ce recensement se trouve aux archives du Üonsis- toire épiscopal de Cracovie. Ce registre contient outre la lettre de l’évêque ordonnant l'opération et le formulaire d’après lequel elle devait être faite, le tableau sommaire de la population par palatinats et doyennés, avec l'indication de l'étendue de ceux-ci et du nombre des paroisses qui les com- posaient. Ce tableau est reproduit par l'éditeur sous le Nr. I. On y trouve encore le dénombrement de la population par paroisses prises isolément, puis groupées en doyennés (Tableau VE): L'éditeur a en outre dressé 4 autres Tableaux (II à V) complémentaires où il présente les chiffres de la population par districts administratifs, villes et bourgades. Le formulaire RESUMES 7 à imposé pour ce recensement prescrivait de classer les habitants d’après leur culte, c’est-à-dire en catholiques, protestants, grecs-orthodoxes et juifs; et, de plus d’enumerer, pour chaque confession, à part, les enfants au-dessous et au-dessus de 7 ans; puis, les hommes et les femmes. Mais comme il n'avait pas été fait distinction des sexes parmi les enfants, l’editeur se contente de donner le total général des adhérents de cha- que culte. 2. — A. Wixiarz. 0 zwodzie prawa zwyczajowego mazowieckiego uktadu Wawrzynca z Prazmowa. (Über die Sammlung der masovischen Rechtsgewohnheiten von Lorenz von Praëmowo). Nachdem Masovien, beziehungsweise dessen neun östli- che Landschaften im J. 1526 der polnischen Krone einver- leibt wurden, bestätigte Sigismund I. mit dem Privileg von Piotrköw am 27. December 1529 sämmtliche Statuten, Pri- vilegien und Rechtsgewohnheiten des Herzogtums Masovien und verbürgte allen in Masovien aufgekommenen und dem königlichen Gerichte als Berufungsinstanz unterbreiteten Rechts- streitigkeiten die Entscheidung nach masovischen Gesetzen und Rechtsgewohnheiten. Eben dieser Umstand, dass von nun an beim königlichen Gerichte das masovische Recht angewen- det werden sollte, war wohl die Ursache, dass die Masovier den König um die Erlaubnis baten, ihre Statutar- und Gewohn- heitsrechte zu sammeln und niederzuschreiben. Der König willfahrte ihrer Bitte und berief im J. 1531 nach Warschau den Landtag des Herzogtums Masovien, welcher unter dem Vorsitz des Palatins und Vicesgerenten von Masovien Lorenz von Praämowo, die Statuten der masovischen Herzoge und die Rechtsgewohnheiten sammelte und niederschrieb. Bei dieser Arbeit bedienten sich die Verfasser der Gerichtsbücher, der älteren Urtheile und der Rechtssprüche eines masovischen Juri- sten aus dem XV. Jh., des Martin Oborski, wie auch der 8 RÉSUMES Sammlungen von Rechtsgewohnheiten welche aber nicht näher bekannt sind. Das Ergebnis der Thätigkeit dieses Land- tages ist bis heute noch nicht gedruckt, sondern blos in zwei Handschriften, welche derselben Zeit entstammen, überliefert. Eine dieser Handschriften befindet sich im Kronarchiv in Warschau, die andere in der Bibliothek in Wilanöw. Diese Sammlung erlangte die königliche Bestätigung nicht, weil deren Hauptverfasser Lorenz von Prazmowo bald starb und der masovische Adel bald nach seinem Tode den König bat, diese Sammlung nicht zu bestätigen, da sie angeblich noch nicht genau revidiert sei, Bestimmungen enthalte, welche gegen das Wohl des Adels gerichtet sind, und wider den Willen des Landtags von Prazmowski der Sammlung einverleibt worden seien; auch sei die Sammlung unvollständig, weil einige Hefte im Hause der Domvicare in Warschau, wo sie abgeschrieben wurden verbrannt seien. Diese Bitten bewogen den König, im J. 1536 abermals einen Landtag nach Warschau zu berufen. Dieser Landtag berieth unter dem Vorsitze des Peter Goryn- ski, des damaligen Palatines und Vicesgerenten von Maso- vien, überprüfte die Sammlung von Prazmowski und über- reichte das verbesserte Werk dem König zur Bestätigung. Der König bestätigte diese Sammlung mit dem Decret vom 17. Jänner 1540 in Krakau, wo sie im nächsten Jahre der Krakauer Buchdrucker Hieronymus Wietor druckte. Die Aus- gabe von Wietor gab Bandtkie in seinem „Jus Polonicum“ neu heraus. Die Vergleichung beider Sammlungen zeigt uns, dass die Sammlung von Prazmowski vorherrschend eine Überliefe- rung alter, seit jeher in Masovien gebräuchlichen Rechtsge- wohnheiten ist, obwohl sie auch manche neue Bestimmungen enthält, welche den Bedürfnissen der Zeit, in welcher sie ent- standen ist, Rechnung tragen. Die Sammlung von Gorynski ist aber eine Reform der Sammlung Prazmowski’s, deren Haupttendenz ist, dem Adel eine grössere Übermacht als frü- her über dem Bauernstand zu sichern, den Bauer fester als früher an die Scholle zu binden, und ihn der Patrimonialge- RESUMES 9 richtsbarkeit des Grundherrn im grössten Umfange zu unter- werfen. Dabei ist aber die Sammlung Gorynski’s eine Reform, welche Merkmale eines wirklichen Fortschrittes trägt. Dies tritt besonders in den Bestimmungen über den Process hervor, wo sie viele neue Vorschriften enthält, welche einer langjähri- gen Ungewissheit der Rechtszustände vorbeugen, der Streitsucht Schranken setzen und das Gerichtsverfahren von den Banden eines leeren Formalismus befreien. 3. — M. Jezienıckr. 0 rekopisie biblioteki krölewskiej i uniwersyteckiej we Wroctawiu z r. 1515, oznaczonym sygnat. IV. F. 36. tudziez o pismach w nim zawartych. ( Bericht über die mit der Signatur IV. F.36 versehene Handschrift der königlichen und Universitäts- bibliothek in Breslau vom J. 1515, und die darin ent- haltenen Schriften). Die genannte Handschrift enthält unbekannte lateinische Dichtungen von polnischen, schlesischen, deutschen und italie- nischen Humaristen. Ein aus 225 Blättern bestehender Band, auf welchen den Verfasser Dr. Albert Ketrzyhski, Director der Bibliothek des Ossolinskischen Nationalinstituts in Lem- berg aufmerksam machte, ist in braunes Leder gebunden und trägt oben auf dem Rücken die Überschrift: Publi Virgilit Maronis Minora Poemata, unten die Signatur IV. F. 36. Die Handschrift besteht aus einem älteren und aus einem jüngeren Theil, welche sich sowohl durch die Verschiedenheit der Schrift, als auch der Wasserzeichen , die die einzelnen Folio- blätter aufweisen, deutlich von einander unterscheiden. Der ältere Theil von Fol. 1—34-a, mit deutlicher und lesbarer lateinischer Schrift beschrieben, welche eine gewisse Ähnliehkeit mit späteren Minuskeln aufweist, ist aller Wahr- scheinlichkeit nach gegen das Ende des 15. Jahrhunderts ent- standen. Dieser Theil enthält Vergils Carmina Minora und Pseu- dovergiliana, deren verhältnismässig correcter Text mit dem 10 RÉSUMÉS Texte des Vossianus und Helmstadtiensis (vgl. Aemilius Baeh- rens, Poetae Latini Minores, Bd. IL. Appendix Vergiliana 8. 8, 17, 19, 46 ff.) am nächsten verwandt ist. Der jüngere Theil der Handschrift von Fol. 35° — 225° ist, wie die an den Blättern 46.”, 49.", 142°, 143°, 168°, 183* 186°, 188’, 191°, 195° und 225° (das Schlussblatt mit der Notiz: Finis vigilia pasce, hora tertia 1516) angeführten Daten be- weisen, in den Jahren 1515 und 1516 geschrieben worden. Nach der Verschiedenheit der Schrift lassen sich in diesem Theile drei Hände unterscheiden. Der ersten Hand weist der Verfasser zu die Blätter 35°— 49°, 71°— 87°, 98° — 101”, 103° — 172”, 180° — 225; der zweiten Hand die Blätter 49° — 70°, schliesslich der dritten Hand die Blätter 87°—-97*, 102°,173°—17%. Was aber die Schrift dieses Theiles der Handschrift anbe- langt, so weist sie alle characteristischen Merkmale auf, welche den Schriften aus dem Anfange des 16. Jahrh. eigen sind. Einzelne Blätter der Handschrift sind mit Interlinear- u. Rand- noten vom geringen Wert versehen, die zur Erklärung ein- zelner Redensarten und Wörter bestimmt sind. In der Hand- schrift findet man keine Andeutungen, die uns in den Stand setzten, gewisse Schlüsse auf die Person des Besitzers und des Schreibers (respeet. der Schreiber) der Handschrift zu machen. Der ernste Inhalt der darin enthaltenen Schriften und die be- deutende Anzahl Gedichte religiösen Inhalts legt die Vermu- tung sehr nahe, dass der Besitzer der Handschrift, der zu- gleich einen Theil derselben wahrscheinlich selbst geschrieben haben mochte, entweder dem geistlichen Stand angehörte oder sich erst diesem Stande zu widmen gedachte. Wenigstens in Betreff dieses Theiles der Handschrift, welcher vom Verfasser der ersten Hand zugewiesen wurde, lässt sich mit grösster Wahrscheinlichkeit annehmen, dass er von einem Bacalaureus oder Magister schlesischer oder deutscher Abkunft herrührt. Dies weist die deutsche Übersetzung eines lateinischen Ge- dichts des Aeneas Sylvius, die auf Fol. 71* (der Handschrift), derart angebracht ist, dass auf den lateinischen Text jeder Strophe die deutsche Übersetzung derselben folgt. Der Titel RÉSUMÉS 13 der aus 35 Strophen bestehenden Ode des Aeneas Sylvius lautet in der Handschrift: Ode Sapphica hendecasyllabis tribus, quarto Adonico trimetro, Aeneae Sylvi, poötae laureati de pas- sione Chri ti. (Fol. 71*— 75°). Es olgen rhetorische und philosophische Tractate auf Fol. 35° und 42° unter dem Titel: 1) Oratio G. P. in suscep- tione muneris scholastiei, 2) De eloquentiae ac Ciceronis laudi- bus oratiuncula G. P. Die Autorschaft der beiden Tractate weist die Handschrift einem Manne zu, dessen Name mit den Anfangsbuchstaben G. P. angedeutet ist. Wer darunter zu verstehen sei, darüber gibt die Handschrift gar keine Aus- kunft. Vorausgesetzt, dass die Oratio @. P. habita in susccp- tione muneris scholastici (Fol. 35°) vom Schreiber der Hand- schrift selbst herrührt, können wir aus der in dieser Oratio gemachten Erwähnung über Hieronymus Schwossheim, an den sich der Redner am Schlusse dieser Oratio mit dem Verspre- chen wendet, die übernommenen Schulpflichten mit allem Eifer zu erfüllen, den wahrscheinlichen Schluss ziehen, dass der Mann, dessen Name mit den Anfangsbuchstaben G. P. in der Handschrift angedeutet ist, Lehrer der Schule zu Set. Johan- nes in Breslau war, welche unter der Oberaufsicht des ge- nannten Hieronymus Schwossheim stand. Über den letzteren gibt uns Auskunft eine kurze Notiz, die in Æberi Calendarium Vitebergae, 1571, 4o min. (Exemplar der Breslauer - Stadt- bibliothek, Signat. 1839, mit wertvollen handschriftlichen Noten aus dem 16. und 17. Jahrh.) ad 5. April verzeichnet ist: „Venerabilis et eximius U. J. D. Dominus Hieronymus Sehwossheim, scholastieus et canonieus eccl. $S. Johannis obiit 1516“. Ausser den beiden genannten Reden scheint der Autor G. P. noch viele andere Traetate und Auszüge, die in unserer Handschrift vorliegen, bei denen aber die Buchstaben G. P. fehlen, verfasst zu haben, z. B. Fol. 36°, 46°, 49», 76*, 77° 77° — 78. Die meisten der eitierten Traetate und Aus- züge machen den Eindruck, als ob sie skizzenhafte Aufzeich- nungen wären, die zu Vortragszwecken in der Schule bestimmt waren. Zu ebendemselben Zwecke mochte aller Wahrschein- 12 RÉSUMÉS lichkeit nach der Schreiber der Handschrift auch die religiö- sen Gedichte, die in der Handschrift zahlreich vertreten sind, gesammelt haben. Dies scheinen einige Stellen der Handschrift selbst zu bestätigen (vid. Fol. 70" (gegen Ende) und Fol. 98*), welche ausdrücklich bezeugen, dass es in jener Zeit Sitte war, während der Schulvorträge Gedichte religiösen Inhalts vorzulesen, um die Gnade und Hilfe Gottes und der Heiligen zu erflehen. Schliesslich macht der Verfasser noch auf den Umstand aufmerksam, dass in der Handschrift eine verhält- nismässig grosse Anzahl Dichtungen des polnischen H:ma- nisten Paulus Crosnensis vorliegt. Sie enthält nämlich ausser 7 prosaischen Tractaten 22 Gedichte des Paulus Crosnensis (welehe zusammen 1815 Verse ausmachen) und zwar solche, welche von Paulus Crosnensis im Druck nicht veröffentlieht worden sind. Dieser Umstand aber spricht nach der Ansicht des Verfassers für die Vermuthung, dass der Besitzer der Handschrift aller Wahrscheinlichkeit nach ein gewesener Schü- ler der Krakauer Universität und vielleicht sogar des Paulus Crosnensis selbst gewesen ist, welcher als Professor der Krakauer Universität in den Jahren 1507—1516 viele elassischen Werke römischer Dichter und Prosaiker erklärte (vid. Liber dili- gentiarum Univers. Litter. Cracov. ed. Wlad. Wislocki, Craco- viae 1887 S. 432 s. v. Crosnensis Paulus). Die hohe Verehrung und Pietät dem berühmten Meister gegenüber mag wohl der Grund gewesen sein, dass der Besitzer der Handschrift mit unermüdlichem Eifer die zerstreuten und wenig verbreiteten Gedichte des Paulus Crosnensis sammelte und sie auf die Weise für die Nachwelt rettete. Abgesehen von einigen prosaischen Traetaten vom gerin- gen Wert und 11 Gedichten unbekannter Verfasser grössten- theils religiösen Inhalts, welche in der polnischen Abhandlung des Verfassers angeführt und besprochen werden. enthält der jüngere Theil der Handschrift sowohl einige prosaische und poetische Schriften des classischen Alterthums, der christlichen Zeit und des Mittelalters als auch zahlreiche Gedichte polni- scher, schlesischer, deutscher und italienischer Humanisten. RÉSUMÉS 13 I. Sehriften des elassischen Alterthums und der christlichen Zeit. 1) Plauti Aulularia, Fol. 207°—225". 2) Horatii Carmen saeculare, Fol. 43°— 44*. 3) Zactantii Carmen de resurrectione Salvatoris, Fol. 83° — 8A”, 4) Decii Magni Ausonii Precatio matutina ad omnipoten- tem Deum aus 75 dact. Hexametern bestehend, Fol. 102° 103%. Mm Sehriften des2Mittelalters 1) Aldhelmi poetae celebris et vetusti (Abt in Malmes- bury in England seit 675, + 709 als Bischof zu Sherburn) Scintillae descriptio aus 11 dact. Hexam.) et eiusdem Ciconia (aus 7 daet. Hexam.; beide Gedichte rühren wahrscheinlich aus Aldhelmi libro Aenigmatum her.). 2) Strabii Galli‘), poetae et theologi doctissimi, ad Gri- maldum , coenobii s. Galli abbatem, Hortulus; das Gedicht zählt ungefähr 400 dact. Hexam.) Fol. 87°— 97° Dem Hortulus gehen voran: a) Carmen Joach. Vadiant ad lectorem aus 12 jamb. Se- naren bestehend; b) Epistula s. t.: Joach. Vadianus Georgio Collimicino … 8. p. d. Viennae 4° Cal. Nov. 1510. Dieser Brief, welcher über das Leben des Strabius einige Notizen enthält, ist im Druck ver- öffentlicht worden vom Emil Arbenz in dem Werke: Die Va- dianische Briefsammlung der Stadtbibliothek St. Gallen SS. 231 u. ff. (Mittheilungen zur vaterländ. Geschichte Bd. XXIV. St. Gallen 1891). 1) Strabius Gallus, dessen eigentlicher Name Walahfrid lautet, war Abt in Reichenau vom J. 809—849. Sein didactisches Gedicht u. T. Hortulus ist von Joach. Vadianus (von Watt) bei Philovallis in Wien 1510 heraus- gegeben worden. Ein Exemplar dieser seltenen Ausgabe befindet sich in der Hofbibliothek in München Nr. 664. S. Reus: Walahfridi Strabi Hor- tulus, Würzburg 1834. 14 RÉSUMÉS III. Schriften der Humanisten. Die einzelnen Nummern dieses Theiles werden eingehend in der polnischen Abhandlung besprochen. Besonders interessant sind hier die 7 Tractate in Prosa (theils Reden , theils Vorträge über römische Autoren) und 22 Gedichte (Fol. 37*—128") des Paulus Crosnensis, des polnischen Humanisten aus dem Anf. des XVI. Jahrh. Die kritische Ausgabe obiger, bis jetzt un- bekannter Schriften dieses Humanisten, wurde von dem Ver- fasser bereits der Akademie vorgelegt. 4. — A. Beck. 0 powstawaniu urobiliny. (Ueber die Entstehung des Urobilins). Die Frage über die Entstehung des Urobilins beschäf- tigte seit der Entdeckung dieses Farbstoffes durch Jaffe eine grosse Anzahl von Forschern, ohne aber bis nun endgiltig ent- schieden worden zu sein. Bekannterweise herrschen gegenwärtig 5 Theorien (Urobilinuria enterogenes, hepatogenes, haematoge- nes, histogenes und nephrogenes), von denen jede von ihren Gründern und deren Anhängern stark vertheidigt wird. In ei- ner Reihe von im Institute für allgemeine Pathologie in Krakau angestellten Versuchen prüfte Vf. die Richtigkeit der herr- schenden Behauptungen. Vor allem suchte Vf. klarzustellen, ob unter Einwirkung der im Darme vorkommenden Mikro- organismen eine Reduction des Bilirubins zu Stande kommt und ob der dabei entstehende Farbstoff mit dem Urobilin des Harnes übereinstimmt, was von manchen Autoren bestritten wird. Er impfte Galle, der etwas Fleischpepton zugemischt war, mit verschiedenen Mikroorganismen (Fäulnisbacterien, B. coli commune, B. cholerae asiaticae, Typhusbacillus, Staphylococeus) und untersuchte nach 24—48 Stunden, ob, eventuell wie viel Hydrobilirubin unter dem Einflusse jeder Bacteriengattung ent- standen. Die quantitativen Bestimmungen führte Vf. vermittelst des Glan’schen Spectrophothometers aus. Zahlreiche diesbezüg- RESUMES 15 liche Versuche führten Vf. zum Schlusse, dass unter den er- wähnten Mikroorganismen die Fäulnisbacterien hauptsächlich jene Eigenschaft in hohem Grade besitzen, das Bilirubin der Galle zu reducieren. Der dabei entstandene Farbstoff ist nach B. mit Urobi- lin identisch, und glaubt Vf., dass le Nobel und Mae Munn mit einer Mischung des Urobilins und eines zweiten Farbstoffs zu thun hatten. Es gelang ihm nämlich in später zu schildern- den Versuchen, in der Hundesgalle einen Farbstoff zu isolie- ren, der neben Urobilin auftritt, wenn dasselbe in der Galle vorhanden ist, der aber für sich allein 2 oder 3 Absorptions- streifen im Roth-gelb gibt. Dieselben treten vorzugsweise nach Zusatz von ZnC], und NH, auf, was mit den Ergebnissen je- ner Autoren völlig übereinstimmt. Dieser Farbstoff besitzt mit dem Urobilin manche gleiche Eigenschaften, weshalb sie schwer zu trennen sind, wenn sie irgendwo gleichzeitig vorhanden sind. Auf diese Weise wäre zu erklären, dass das Hydrobili- rubin von Mac Munn ausser dem Absorptionsstreifen im Grün noch 2 im Rothgelb besonders nach Zusatz von ZnÜl, und NH, zeigte, worin es sich vom Urobilin unterscheiden würde, das nur einen Streifen im Grün zeigt. Einige Versuche an Hunden, denen der ductus choledo- chus unterbunden worden war, zeigten, dass während in nor- maler Hundegalle Urobilin vorhanden ist (trotz entgegenge- setzter Behauptungen anderer Autoren) in der Galle, die in der nach Ligatur des D. choledochus in der Gallenblase auf. gefundene Galle kein Urobilin nachgewiesen werden konnte. Dies bekräftigte den Gedanken, dass das Urobilin der Galle von dem Darme stammt, wo es aufgesogen wird und dann mit dem Blute der vena portae den Leberzellen zugeführt wird, die das Urobilin auffangen und der Galle zumischen oder etwa theilweise in Bilirubin umwandeln. Eine Reihe von Versuchen, welche Vf. an einem Hunde mit completer Gal- lenfistel angestellt hat, bestätigten vollends diese Anschauung. In der Galle dieses Hundes wurde stets ausser den nor- malen Farbstoffen jener oben erwähnte Farbstoff, der einen 16 RÉSUMÉS oder 2 Absorptionsstreifen im rothgelben Theile des Spectrums gibt, gefunden, aber kein Urobilin. Wurde dem Hunde Galle in den Magendarmtractus eingeführt, so zeigte sich nach etwa 30 Stunden Urobilin in der Galle (in oder ohne Beglei- tung jenes Farbstoffes). Der Gehalt an Urobilin stieg anfangs, wurde dann geringer, und nach etwa 50—80 Stunden ver- schwand das Urobilin wieder aus der Galle, bis nicht neuer- dings dem Darme Galle zugeführt wurde. Im Harne wurden kaum Spuren von Urobilin nachgewiesen. Diese Versuche wurden 5 Mal, immer mit demselben Erfolge, wiederholt. Das Urobilin der Galle ist kein Product der Leberzellen, somit fällt ein wichtiger Beweis der hepatogenen Theorie, nämlich der, dass bereits in der Galle Urobilin vorhanden ist, weg. Die normalen Leberzellen besitzen die Eigenschaft, das aus dem Darme hergebrachte Urobilin aufzufangen; ist diese Eigenschaft beeinträchtigt oder aufgehoben, so geht das Urobilin in grösserer Menge ins Blut und in den Harn über. Nur iu dieser Hinsicht könnte Vf. auf eine sog. Insuffisance hépati- que der französischen Autoren eingehen. In einigen Versuchen, in denen dem Hunde Blut oder veränderter Blutfarbstoff in den Verdauungscanal eingeführt worden ist, zeigte sich Urobilin weder im Kothe noch in der Galle, was gegen die Anschauung mancher Autoren spricht, die annehmen, dass aus dem in den Speisen enthaltenen Haematin im Darme Urobilin gebildet werden kann. Zum Schlusse berichtet Vf. über zwei Versuche, welche die Theorie der haematogenetisehen Urobilinurie controllieren sollten. Es wurde dem Hunde Blut unter die Haut gespritzt und wie vorher Urin, Galle und Koth untersucht. Beide Male trat eine geringe Menge Urobilin in der Galle und Spuren im Harne auf. Vf. spricht die Behauptung aus, dass die Hauptmenge Urobilin im Darme gebildet wird, dass normaler Weise ein grosser Theil des Urobilins von den Leberzellen aufgefangen und mit der Galle unverändert oder vielleicht auch theilweise in Bilirubin umgewandelt dem Darme zurückgeführt wird. RÉSUMÉS 1h) Es kann aber auch die Möglichkeit nicht ausgeschlossen werden, dass auch anderswo, im Blute oder in den Geweben Urobilin gebildet werde. Dass dies nicht durchaus auf dem Wege der verstärkten Gallenabsonderung (nach Blutungen etc.) geschehen muss, beweisen die zuletzt angeführten Versuche. 5. — L. Sırserstein. — Twierdzenie hydrokinematyezne. (Ein hydro- kinematischer Lehrsatz) Die Geschwindigkeitscomponenten u, %,, u, eines Flüs- sigkeitsteilchens im Punkte x,, z,, x, werden in der Olebsch’- schen Form: m2 +2, (AU 2:65) (1) dargestellt, wo ©, %, U Functionen der Coordinaten und der Zeit # sind, und es wird folgender Satz aufgestellt und bewiesen: Bilden in Jeinem Augenblicke # die Strömungslinien und die Wirbellinien ein orthogonales System von Curven, so haben die Flächenschaaren 9 = const., À — const., ) = const. in diesem Augenblicke gemeinsame Schnittlinien, und umgekehrt. Bei der gewählten Darstellung der « werden nämlich die Componenten der Wirbelgeschwindigkeit nach den Achsen der z;: a8 OX AU OX do - * m. Ir, 0x, 2 A) , LAS 0 2 @) Anderer Oro es folgt also aus der Gleichung: ue (3) 1 18 RESUMES welche ausdrückt, dass die Strömungs- und Wirbellinien einan- der senkrecht schneiden, nach Substitution der Werte (1) für die «, und nach Berücksichtigung, dass der Ausdruck ya &; identisch verschwindet, die Gleichung: Ki — 00 +. (4) um oder durch Substitution der Werte (2) für £,: 9 9x, à (5) CES eo IX, 0x, OZ, Er 9x, Oz, Or, dies ist aber die hinreichende und notwendige Bedingung für das gleichzeitige Bestehen der drei linearen homogenen Glei- chungen: 3 3 = 3 De Xi OX on (6) Y: a ? dx, HO Y: = dx, — 0, D: RE dr, 05 = or; ; CT; \ x; 1 1 und daraus folgt unmittelbar der erste Teil des Satzes. Die Um- kehrung aber wird bewiesen, indem man aus den simultanen Gleichungen 9 — const.,. X — Const )— eonst. das System (6) sammt der Bedingung (5) ableitet, die letztere mittels (2) auf die Form (4) und endlich, durch Hinzufügung 2, der identischen Gleichung > À €, = o und Benutzung der Gleichungen (1), auf die Form (3) bringt. RÉSUMÉS 19 6. — W. Sarre. Badania nad szybko$cia i kierunkiem chmur w Tarnopolu. (Beobachtungen über Geschwindigkeit und Richtung der Wolken in Tarnopol). Seit dem 1. Jänner 1894 fieng der Verfasser an, mittels ei- nes gewöhnlichen Spiegels die Wolkengeschwindigkeit und Richtung mehrmals täglich zu beobachten; in der vorliegen- den Abhandlung aber berücksichtigt er nur den Sommer, vom 1. April bis 30. September 1894. Die mittlere Höhe der ein- zelnen Wolkengattungen bestimmte er nach dem Wolkenatlas von Hildebrandsson, Köppen und Neumayer, und nach den Singer’schen Wolkentafeln. Auf Grund des angesammelten Materials (1277 Beobach- tungen) untersuchte derselbe: 1) die tägliche Periode der Wol- kengeschwindigkeit und 2) der Wolkenrichtung, 3) den Ein- fluss der Cyklonen und 4) der Antieyklonen auf die Wolken und endlich 5) die Wolkengeschwindigkeit und Richtung an Gewittertagen. Die Untersuehungen über die tägliche Periode der Wol- kengeschwindigkeit führten ihn zu folgenden Schlüssen : 1) alle Wolkengattungen, ausser den al-str. und cu., haben die grösste Geschwindigkeit zu Mittag; die Espy-Köppensche Theorie reicht hiemit höchstens nur bis 2000 m.; 2) die täg- liche Periode der Windstärke auf Berggipfeln, wie sie Dr. Hann gefunden hat, ist nur eine locale Erscheinung, die in der freien Atmosphäre nicht stattfindet. Aus der täglichen Periode der Richtung der ci, al-str., cu. und des unteren Windes folgt sodann: 1) in allen Höhen bemerkt man in der täglichen Periode eine Drehung des Win- des von W über N nach E; 2) im Verhältnis zum unteren Winde dreht sich der Wind in der Höhe der al-str. um 90°. in der der ei. um 270° nach rechts, so dass z. B. um 7° a. m. einem NE Winde an der Erdoberftäche in 5000 m. ein NW, in 9000 m. aber schon ein SE Wind entspricht. 20 RESUMES Die Wolkenbeobachtungen während der Cyklonen und Antieyklonen belehren sodann: 1) dass die Höhe der Cyklo- nen höchstens bis 4000—5000 m. reicht, oft aber ist ihre Achse wahrscheinlich nicht einmal 1000 m. hoch; 2) die Wol- kenrichtung über 4000 m. ist ganz unabhängig von den Zu- ständen an der Erdoberfläche; 3) die höheren Wolken spielen sehr wahrscheinlich eine wichtige, aber bis jetzt noch nicht aufgeklärte Rolle bei den Cyklonen; 4) dass die diesjährigen Wolkenbeobachtungen die bis heute giltigen Schlüsse, als ob der Wind in der Höhe der ci. über den Cyklonen gegen die Antieyklone gerichtet wäre, gar nicht unterstützen, — im Ge- gentheil flossen die ci. fast immer von der Cyklone gegen das Maximum; 5) dass endlich auch die Antieyklonen bei uns eine geringe Höhe haben, öfters selbst 1000 m. nicht er- reichen. Was die Gewitter anbelangt, so folgt aus den Beobach- tungen der wahrscheinliche Schluss: 1) dass im allgemeinen die Wärmegewitter eine geringere Geschwindigkeit zu besitzen scheinen, als die Wirbelgewitter; 2) dass die Wärmegewitter an besonders heissen Tagen erscheinen und 3) dass die Wir- belgewitter an südlichen und westlichen Rändern der Cyklo- nen vorkommen. Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakeya Sekretarza generalnego Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiellonskiego pod zarzadem A. M. Kosterkiewieza- 5. Lutego 1595. b | ; 1 | { ; PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1878 — 1894 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spölka wydawnieza polska) a Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie, Mémoires), in 4-to, vol. I—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 59 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Classe de philologie. Séances et travaux/, in 8-vo, volumes II—XXI (5 planches. vol. I épuisé). — 59 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzeñ Wydz. hist. filozof.« /Classe d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. III — XIII, XV—XXX (vol. I. H. XIV épuisés, 61 pl) — 68 fl. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« (Comp- tes rendus de la Commission de Phistoire de-lart en Pologne), in 4-to, 4 volu- mes (81 planches, 115 gravures dans le texte). — 20 fl. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commis sion de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 1350 fl. »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty w Polsce.« /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 7 vol. — 20 fl. 50 kr. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum us- que ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 3 volumes. Vol. H, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkie- wicz. 2 fl — Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 3 fl. — Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. x fl. 50 kr. »Biblioteka pisarzöw polskich.e /Bibliotheque des auteurs polonais du XVI siècle), in 8-vo, 29 livr. — 17 fl. 30 kr. ‘ Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illus- trantia, in 8-vo imp., 14 volumes. — 76 fl. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosinski. 10 fl. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol: saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 16 fl. — Vol. III, IX, X, Cod: dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski, 15 fl. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 5 fl. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. 10 fl. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 10 fl. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 5 fl. — Vol. XIII, Acta capitulorum (1408-1530) ed. B. Ulanowski. 5 fl. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 10 (I—IV, VI—-VII, X, XI, XV.) volumes. — 34 fl. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548,.1553, 1570. ed. Szujski. 3 fl. — Vol. IT, Chronicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 3 fl — Vol. III. Stephani Medeksza commentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 3 fl. — Vol VII, X, XIV Annales Domus professae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 7 fl. — Vol. XI, Diaria Comitio- rum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 2 fl. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 7 fl. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 6 vol.—18 fl. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 78 fl. Vol. J, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546-1553. 5 fl. — Vol. IL, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sôbieski 1629—1674 ed. Klu- czycki. 10 fl. — Vol. III, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674—1683 ed. Waliszewski. ı5 fl. — Vol. IV, IX, (pars r. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 15 fl. — Vol. VI, Acta Regis Ioannis III ad res expeditionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Klu- czycki. 5 fl. — Vol. VII (pars 1. et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—1795 ed. Piekosinski. 20 fl. — Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 5 fl. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576— 1586 ed. Polkowski. 3 fl. . - Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. HI—VI. — 51fl. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab ann MCCCCLXIX, ed, W. Wislocki. Tomi I. fasciculus I. II. II. in 8-vo. — 4 fl. 50 kr »Starodawne prawa polskiego pomniki.«e /Anciens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. H—X. — 36 fl. : = Vol. I, Libri iudic. terrae Cracov, saec. XV, ed. Helcel. 6 fl. — Vol. II, Correctura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. IV, Statuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 3 fl. — Vol. V, Monu- » menta literar. rerum publicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. VI, Decreta ‚in iudiciis regalibus a. 1507-1531 ed Bobrzynski. 3 fl. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzynski, Inscriptiones clenodiales ed. Ulanowski. 6 fl. — Vol. VII, An- tiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski. 8 fl. — Vol. IX, Acta iudicü feodalis superioris in castro Golesz 1405 -1546. Acta iudicii eriminalis Mu- szynensis 1647—1765. 3 fl. — Vol. X, p x. Libri formularum saec. XV ed. Ula- A nowski. ı fl. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 4 fl. Sciences mathématiques et naturelles. 3 »Pamietnik.« /Memoires), in 4-to, 17 volumes (1I—X VIII, 178 planches, : vol. I épuisé). — 85 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux}, in 8-vo, 26 volumes (181 planches). — 95 fl. 50 kr. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Comptes rendus de la Commis- sion de physiographie), in 8-vo, 25 volumes (III. IV—XXIX, 50 planches, vol. I. IL IV. V épuisés). — 104 fl. »Atlas geologiczny Galicyi.« /Alas géologique de la Galicie), in fol., 4 livraisons (19 planches) (à suivre). — 10 fl. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Com- mission d'anthropologie), in 8-vo, 17 vol. IX VII (99 pl., vol. I épuisé). — 59 fl. Kowalczyk J., »O sposobach wyznaczania biegu cial niebieskich.« (Methodes pour déterminer le cours des corps célestes), in 8-vo, 1889. — 5 fl. Mars A., »Przekr6j zamroZonego ciala osoby zmarlej podczas porodu skutkiem pekniecia macicy«. /Coupe du cadavre gelé d'une personne morte pendant Paccou- chement par suite de la rupture de la matrice), 4 planches in folio avec texte, 1890. — 6 fl. Kotula B., »Rozmieszczenie roslin naczyniowych w Tatrach,« (Distributio plantarum vasculosarum in montibus' Tatrieis), 8-vo, 1891.— 5 fl. Morawski C., »Andrzej Patrycy Nidecki, jego Zycie i dziela.« (Andre Patrı- cius Nidecki, humaniste polonais, sa vie et ses oeuvres), 8-vo, 1892. — 3 fl. Fin- kel L., »Bibliografia historyi polskiej.« /Bibliographie de l'histoire de Pologne), 8-vo, 1891.— 6 fl. Matlakowski V., »Budownictwo ludowe na Podhalu,« {Construction des maisons rurales dans la contrée de Fodhale), 23 planches in 4-to, texte explicatif in 8-vo imp. 1892. 7 fl. 50 kr. Teichmann L., »Na- ezynia limfatyczne w sloniowacinie.« /Æ/ephantiasis arabum), 5 planches in folio avec texte. 1802. — 3 fl. Hryncewicz J., »Zarys lecznictwa ludowego na Rusi poludniowej.« /La médecine populaire dans la Ruthenie méridionale), in 8-vo 1893.—3 fl. PiekosinskiF., »Sredniowieczne znaki wodne. Wiek XIV.« (Les marques en filigrane des manuscrits conservés dans les Archives et bibliothèques polonaïses, principalement celles. de Cracovie, XIVe siècle), in 4-t0, 1893. — 4 f1. Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.< /Zes populations riveraines de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 4 fl. Görski K., »Historya pie- choty polskieje /Æistoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1893. — 2fl. bo ct. »Historya jazdy polskiej« (Histoire de la cavallerie polonaise), in 8-vo, 1894. — gi. ho ct. \ »Rocznik Akademii.e /Annuaire de PAcademie), in 16-0, 1874—1893 19 vol. (1873 épuisé) — 11 fl. 40 kr. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.e /Memoire sur les travaux de l'Académie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 2 fi. ale nn II = BULLETIN INTERNATIONAL COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ANNÉE 1895. FÉVRIER CRACOVIE IMPRIMERIE DE LUN IVERSITE. 1895. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. PROTECTEUR DE L’ÄCADEMIE: S. A. LL’ARCHIDUC CHARLES LOUIS: Vicx-Prorecreur: S. E. M. Jurrex pe Dunasewskı. PRÉSIDENT: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($&. 2). L’ Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nom més par S. M. l'Empereur. ($. 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, 5) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($: 12). La langue officielle de l’Académie est le polonais; c'est dans cette langue que paraissent ses publications, Le Buflelin international parait fous Les mois, à l'exception des mois de, vacances (août, seplembre), el se compose de deux parlies, dont la première contient f 'extrait des procès verbaux des séances [en français), la deuxième les résumés des mémoires et communications [en français ou en allemand, au choix des auleurs). Le prix de l’abonnement est 3 fl. = 8 fr. Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. = 90 centimes. Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem A. M. Kosterkiewicza. à 3 Apr 5 1895 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. No 2. | Fevrier. e 1895. Sommaire: Séances du 4, 11, et 18 février 1895. — Résumés: 7. Archives de l’histoire littéraire, tome VIII: Actes de la République de Babin, éd. par S. Winpaxiewicz. — Matériaux pour servir à la biographie de Joseph Barthélemy Zimorowiez, ed. par K. J. Heck. — Matériaux pour servir à la biographie de Simon Zimorowiez, ed. par K. J. Heck. — Venceslas de Potok Potocki. Nouvelles contributions à la biographie du poëte, par J. Czusex. — Une page de l’histoire des écoles de Kalisz par B. WogycrecHowskt. — 8. A. Bkückner. Sermons du moyen- âge, 2° partie. — 9. F. Kasparek. Etudes sur le droit: international privé: 1e partie: La conférence de la Haye de 1893. — 2e partie: La conférence de la Haye de 1894. — 10. Comptes-rendus de la Commission de Physiogra- phie, tome XXIX: Résultats des observations metéréologiques executées en Galicie en 1893, classés à l’observatoire de Cracovie sons la direction de M. F. Karrisrr. — Les grêles en Galicie, en 1893, par M. D. Wıerz- BICKI. — Etat des eaux dans les rivières de Galicie, en 1893, par M. F. Karrısskt. — Observations phyto-phénologiques executées en Galicie en 1891, 1892, 1393. — Observations zoo-phenologiques exécutées en Galicie, en 1891, 1892, 1893. — Résultats des observations magnétiques faites à Cracovie, en 1893, par M. D. WierzBicki. — J Smezer. Les variétés des bourdons de Galicie. — R. Gurwısskı. Les argiles des étangs rive- rains du Zbrucz. — E. Woroszezar. La flore des Carpathes entre la rivière Oslawa et le cours supérieur du San. — J. Zuerzyckt. Flore des Piénines. Plantes à vaisseaux. — B. Gusrawicz. Supplément à la Flore des Piénines. — B. Gusrawrcz. Rectifications des mesures barométri- ques opérées en 1813 par G. Wahlenberg, dans les Tatres ainsi que dans les chaînes et vallées avoisinantes. — K. Bosrr. Contribution à l’étude de la faune des environs de Przemysl. — L. Trersseyre. For- mation géologique et configuration de la Podolie Autrichienne. — L. Teısseyee, Palémorphologie de la Podolie. — K. Mıczyxskı. De l’origine et de la composition du sol de la vallée de Sacz. — 11. W. Szymoxo- wıcz. Histologie de la dentine. — 12. W. Szymoxowıcz. Sur.les effets de l’extirpation des capsules surrénales chez les chiens et sur l’influence des extraits des capsules surrénales. 22 SÉANCES Séances ———$- — Classe de Philologie Séance du 11 février 1895 Présidence de M. C. Morawski Le Secrétaire dépose sur le bureau le VIII’ vol. des Ar- chives de la Commision d'Histoire littéraire (in 8°, 340 p. avec 2 planches) ?). M. L. Marınowskı m. t. donne lecture de ses Etudes sur la vie de St. Blas, ancien texte polonais. Le Secrétaire présente la 2° partie du mémoire de L. Arr- XANDRE BRÜCKNER, m. t.. professeur à l’Université de Berlin: Sur les sermons du moyen äge?). Classe d'Histoire et de Philosophie Seance du 18 fevrier 1895 Presidence de M. F. Zoll Le Secrétaire depose sur le bureau deux travaux, récem- ment parus, de M. F. Kasparex: Etudes sur le droit international 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 24. — 2) ib. p. 32. SÉANCES 23 privé: La Conference de la Hayede 1893 (Mémoires, XXXII° vol. p. 1--70); La Conference de la Haye de 1894 (ib. p. 71—90.1), ). M. Tuapper WoscıecHnowskı, m. t., donne lecture de son mémoire, intitulé: Le Piaste, charge à la cour des souverains de la Pologne, au moyen âge. Classe des Sciences mathématiques et naturelles 1 @ ———— Séance du 4 février 1895 Présidence de M. F. Kreutz Le Secrétaire dépose sur le bureau le XXIX* vol. des Comptes-rendus de la Commission de Physiographie (XL, 267 et 215 p., avec. 2 planches) ?). M. N. Cysursxr, m. t., rend compte de deux mémoires de M. W. Szymoxowicz, à savoir: 1) Histologie de la dentine*;) 2) Sur les effets de l’extirpation des capsules surrénales chez les chiens et sur l'influence des extraits des capsules surrénales *), 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 36. — 2) ib. p. 41. — 3) ib. p. 55. — 4) ib. p. 56. 1* Resumes 7. — Archiwum do dziejow literatury i oswiaty w Polsce. Tom. VII. (Archives de l'Histoire littéraire, tome VIII), in 8-0 340 p. avec 2 planches. Akta Rzeczypospolitej Babinskiej wydat Sraniszaw Winpaxiewicz / Actes de la République de Babin édités par M. StanısLas WINDARIE- wıcz), p. 1—160. La ,République de Babin“, dont les actes sont publiés pour la première fois, d’après le manuscrit original, était la plus curieuse et la plus gaie société humoristique de l’ancienne Pologne. Elle fut créée vers 1560 et dura sans interruption jusqu'en 1677, contribuant puissamment à déve- lopper, parmi la noblesse du palatinat de Lublin d’abord, puis de toute la Pologne, le goût des amusements intelligents, de la courtoisie, des relations délicates et joyeuses de la bonne compagnie. Les fondateurs de cette singulière institution co- pièrent, dans leurs statuts, la constitution d’un état régulier, de la République de Pologne; et un des divertissements favoris des assemblées de Babin était la nomination aux charges de ce gouvernement fantaisiste. Ces nominations étaient basées sur les défauts que l’on avait remarqués chez tel ou tel mem- bre de l'association, chez telle ou telle personne plus ou moins connue. Groupes sous la devise ,Omnis homo mendax“ les RESUMES 25 Républicains de Babin s’efforcaient de découvrir les côtés fai- bles de la nature humaine et de les reformer, de les amelio- rer, à l’aide d’une inoffensive et légère satire, d’une plaisante- rie indulgente et bienveillante. L’ambition politique tout aussi bien que le zèle réformateur, tombait sous les coups de leur bénigne ferule; mais c’étaient surtout les plaies de la vie mondaine qu’ils tâchaient de guérir: la vanité, le bavardage, la misanthropie, la légèreté: se donnant ainsi la noble mission de former ce qu’on appelait alors en France „les honnêtes gens“. A l’origine la République ne fut qu’une sorte de Cercle où se réunissait la jeunesse indépendante et amie du plaisir de la province de Lublin, sous la présidence de deux bons compagnons de la contrée, Stanislas Pszonka et Pierre Ka- szowski. Mais bientôt, la vive agitation politique et religieuse qui régnait au sein de la noblesse introduisit des éléments nouveaux dans l’État comique. Ce furent d’abord des littéra- teurs, comme Kochanowski; puis des Réformés, comme Rey et Sarnicki; enfin des partisans de la politique de la noblesse rurale, comme Zamoyski; de telle sorte que la République de- vint une société badine embrassant toute la Pologne. Dans le développement ultérieur de cette association, le courant politique s’affaiblit beaucoup et elle resta définitivement un salon, une espèce de casino (avec la signification que lon donne à ce mot en Allemagne) dont faisait partie toute la pe- tite noblesse des environs, et qui eut pour but exclusif l’orga- nisation de jeux et parties de plaisir ou de chasse, sans oublier les autres divertissements. C’est grâce à la large hospitalité que la famille Pszonka offrait dans sa terre de Babin, que la République put prospé- rer. Aussi prit-elle le nom de la résidence de ses protecteurs, nom d'autant mieux choisi qu'en Polonais le mot „baba“ signifie ce que les Français appellent „une comere“, c’est-à- dire parfois une vieille et radoteuse bonne femme, parfois tout simplement une énergique virago. Les Pszonka considéraient comme un devoir, un honneur de maintenir la République dans le plus florissant progrès, aussi n’hésitèrent-ils pas, pen- 26 RÉSUMÉS dant plus de cent ans, à faire les plus grands sacrifices pour subvenir à tous les frais de l'institution. En revanche elle leur faisait une popularité retentissante, étendait leurs rela- tions et leur procurait une influence incontestée sur la no- blesse. C’est pour cela que les chefs de cette maison furent de père en fils, pendant trois générations, les „Burgraves“, c’est-à-dire Présidents de la République, et c’est sans doute aussi à cette particularité que nous devons la conservation des actes de cette intéressante réunion, actes qui nous permettent une agréable ineursion dans la vie sociale de cette lointaine époque, de ce bon vieux temps. Les Actes de la République de Babin comprennent en- viron 400 nominations comiques de ses membres, de 1600 à 1677. Elles renferment en outre quatre procès-verbaux hu- moristiques des faits et gestes de la société, en 1582 et en 1617. C’est un monument unique et fort précieux du vieil esprit polonais: c’est un document de premier ordre pour l'étude de la société mondaine d’alors, un tableau sincère des moeurs et des habitudes qui régnaient parmi les gentils- hommes d’autrefois, des relations qu'ils avaient entre eux. La plupart de ces pièces ont été écrites à la hâte, au milieu du bruit des conversations et des saillies des tumultueuses réunions; aussi ont-elles un caractère incontestable de fraîcheur, de vérité non déguisée, prise sur le vif. L'éditeur s’est attaché scrupuleusement à reproduire dans toute leur sincérité les qua- lités de ce recueil étrange. Il y a ajouté des notes explica- tives, un avantpropos historique et un index; de telle sorte qu’en lisant les documents édités on eroit avoir sous les yeux l'original même de cette chronique, ajusté aux exigences de la critique moderne. K. J. Hecx. Materyaty do biografii Jüzefa Barttomieja Zimorowicza. (Maté- riaux pour servir à la biographie de Joseph Barthélémy Zimorowicz), p. 161—238. Ces matériaux sont ceux que l’auteur avait recueillis pour son travail: „Zycie i dziela Bartlomieja 1 Szymona Zimo- RÉSUMÉS 27 rowiezöw na tle stosunköw öwezesnego Lwowa“, (La vie et les oeuvres de Barthélémy et de Simon Zimorowiez, et la ville de Léopol à leur époque. Première partie. Travaux de la Classe de Philologie de l’Académie des sciences de Cracovie. Vol. XXI, p. 1—187). Dans cette monographie il ne s’est pas contenté de nous raconter la vie des deux poëtes, mais il nous a décrit en même temps la civilisation et les moeurs de Léo- pol au XVII® siècle. Il divise les documents sur Barthélémy en quatre caté- gories: 1° Jugements des contemporains sur cet écrivain (N 1—-7); 2° Lettres (N* 8—17); 3° Testament et inventaire des biens meubles lui appartenant (N° 18—21); 4° Epitaphes et autres petites pièces (N° 22—39). Les critiques des contemporains, point de départ de tout historien littéraire, nous donnent un précieux témoignage de la notoriété et de la gloire dont jouissait Zimorowiez, dans la société polonaise du XVII° siècle. A signaler surtout les ex- traits de deux pièces, l’une de Rudomiez, l’autre de Bieza- nowski qui touchent à une question qui jusqu'ici n’a pas été complètement élucidée. Les Lettres, publiées déjà en partie, nous font connaître Zimorowiez sous les trois aspects de conseiller municipal de Léopol, de citoyen mêlé à la politique de cette même ville et enfin de poëte. Ce sont des documents du plus haut intérêt pour la biographie de l'écrivain. Ils contiennent, en y joignant le testament et l'inventaire de ses meubles, non seulement une foule de détails concernant la situation matérielle de Zimoro- wiez, mais nous y trouvons encore le catalogue des livres composant sa bibliothèque. Ce catalogue a été l’objet d’un commentaire soigné du présent éditeur. Les Epitaphes déjà publiées, mais avec des erreurs, par le Comte Maurice Dzieduszycki, se trouvent à la cathédrale de Léopol. Parmi les petites pièces inédites ou déjà connues, nous noterons une liste des conseillers de Léopol, morts de 1585 à 1676, un discours au vice-chancelier Olszowski, et 28 RESUMES plusieurs morceaux qui devaient faire partie d’un ouvrage non terminé sur les églises de Léopol. L'éditeur a tiré ces documents des Archives de la ville de Léopol, des collections de la bibliothèque de l’Université de Cracovie, et du Musée National Ossoliriski. La seconde partie contenant des extraits de quelques centaines d’actes conservés aux archives de Léopol, paraîtra en même temps que la seconde partie du travail sur les deux Zimorowiez. K. J. Heck. Materyaly do biografii Szymona Zimorowicza. (Matériaux pour servir a la biographie de Simon Zimorowiez), p. 237—240. Les quatre pièces réunies ici nous apprennent que le jeune frère de Barthélémy, Simon, mort à la fleur de l’âge, était commis aux écritures au greffe du tribunal civil de Léo- pol, et qu’il ne suivit jamais les cours de l’Université de Cra- covie, se bornant à profiter des moyens d'instruction qu’il put se procurer dans sa ville natale, Léopol. J. Czusek. Waclaw z Potoka Potocki. Nowe szezegöly do Zywota poety. {/Venceslas de Potok Potocki. Nouvelles contributions à la bio- graphie du poëte), p. 241—305. Cette nouvelle étude biographique est basée principale- ment sur les documents conservés aux archives régionales de Cracovie (Actes de Bieez: Relationes, Protocolli, Faseieuli co- piarum; Actes de Cracovie: Inseriptiones, Oblatae, Decreta, Lauda, Capturalia). On y a tenu aussi grand compte des ou- vrages de Venceslas Potocki, trop négligés jusqu'ici comme source biographique, tels que: , Wety Parnaskie“ (Régals par- nassiens), „Periody“ (Périodes), et surtout les „Jovialitates“, ainsi que beaucoup d’autres écrits. Venceslas Ladislas de Potok Szreniawa Potocki, un des meilleurs poëtes polonais du XVII’ siècle, naquit à Wola Eu- zenska, (ancien district de Biecz) en 1623, d'Adam et de So- RÉSUMÉS 29 phie Przypkowska. Ses parents étaient Ariens. Il avait encore deux frères plus âgés que lui: Jean et Georges. On ne sait où il fut élevé. Son père, Adam, mourut, en 1635; son grand- père, Jean, en 1636. Ce n’est qu’en 1646 qu’eut lieu le par- tage du patrimoine familial, partage à la suite duquel Vences- las obtint la moitié de la terre de Kuzna, la ferme de We- solöw et deux domaines „ruthenes“: Kosie et Leszezyny. Deux ans après (1648) il épouse Catherine, fille d’Etienne Morsztyn. En 1651, il prend part à l'expédition contre les Cosaques ré- voltés et combat à la bataille de Beresteczko (28, 29 et 30 juin 1651). Rentré dans ses foyers, il s'occupe d’agriculture. En 1655, il fuit devant l'invasion suédoise et se réfugie en Hongrie. Il semble n’avoir pas été mêlé aux évènements mi- litaires de cette époque. A la suite des décisions prises par les Dietes de 1658 et de 1662 contre les Ariens, il abandonne cette secte, devient même un catholique zélé. Mais sa femme, Catherine, se refuse obstinément à suivre son mari dans cette voie: elle reste Arienne. Potocki eut à ce sujet nombre de désagréments et dut même, à deux reprises différentes, en 1662 et en 1675, comparaître devant le tribunal de Lublin. Lors de l'affaire Lubomirski il agit comme presque toute la noblesse de son palatinat, c’est-à-dire prend le parti du Grand-Maré- chal contre le roi. En 1667, élu membre du tribunal financier par la diétine de Proszowice, il fait son entrée dans la vie publique; (ces mêmes fonctions lui furent de nouveau con- fiées en 1684). C’est encore en 1667 qu’il est nommé vice- staroste et juge (sedzia grodzki) du district de Biecz, charge qu’il occupe jusqu’en 1674. En 1669, il marie sa fille Sophie à Jean Lipski, staroste de Czchöw. C’est à son gendre qu’il dédiera son meilleur ouvrage, la guerre de Chocim. En 1673, quelque temps après la bataille de Chocim, sen fils aîné Etienne, meurt à Miedzyborz, en Podolie, par suite des fatigues et des privations supportées pendant la campagne. Sa fille, Sophie, meurt à son tour, en 1677. Il ne lui reste plus alors qu’un seul fils, Georges, qu’il envoie à la cour du roi. En 1678, Jean III lui confère la dignité d’échanson du palatinat Cra- 30 RÉSUMÉS covie. L'année 1682 est particulièrement funeste à Potocki. Cette année-là en effet, son fils George tue son propre beau-frère, Jean Rosciszewski, et pour ce fait, est condamné par le tribunal de Lublin (1683) à un an et six dimanches de prison (in fundo). A cette même date (1683) Venceslas Potocki est délégué par la diète, comme commissaire à la frontière de Silésie. Mais son fils Georges, loin de se soumettre à la sentence prononcée contre lui, entre dans l’armée; Poto- cki se démet alors de sa charge d’échanson et réussit à obte- nir du roi qu’elle soit donnée à son fils. Celui-ci cependant ne tarde pas à mourir (1690); il succombe probablement comme son frère aîné, dans une expédition contre les Turcs. Notre poëte, seul au monde, ayant perdu sa femme, ses frères, tous les siens, accablé par les malheurs, languit encore pendant six années et enfin s’eteignit dans l’automne de 1696. Fragment z dziejow szköl kaliskich. Z rekopisu wspolezesnego przepisal, wste- pem i przypisami objaénit B. Wo,scıecnowskı. (Une page de l’histoire des écoles de Kalisz, d'après un manuscrit du temps, avec une introduction et des notes, par B. Wo,cıecHowskı), p. 305 —340. Les Prorecteurs ou directeurs des écoles organisées par la Commission d’éducation !) avaient l'obligation de tenir une sorte de chronique des établissements sous leurs ordres. Dans ces ,Mémoriaux scolaires“ devaient être consignés tous les évènements intéressant l’école et même la localité où elle se trouvait. Les visiteurs ?) ou inspecteurs avaient soin de se faire 1) Après la suppression de l’ordre des Jésuites, il fut décidé, en Po- logne, que les revenus des biens appartenant à la congrégation dissoute se- raient consacrés à l’entretien d'écoles publiques. A cet effet, la Diète de 1775, créa une „Commission d'éducation“ qui devait être la plus haute ma- gistrature scolaire. C'est le premier ministère de l'instruction publique qui ait existé en Europe. ?) Le visiteur était un membre délégué de la Commission d’educa- tion, ayant pour mission de visiter les écoles d’un certain district, de les inspecter. + RÉSUMÉS 31 montrer le registre en question, à chacune de leurs tournées. L'éditeur du présent travail a trouvé dans les archives du col- lege de Kalisz le manuscrit d’une , Chronique scolaire“ écrite par deux recteurs de cette maison, Przyluski et Gorezyezew- ski, de 1781 à 1793. Une courte introduction consacrée aux années écoulées entre 1773 et 1781, retrace l’histoire de la création du collège, après la dispersion de la Société de Jésus. Puis, successivement, une année après l’autre, nous voyons décrits: les fêtes célébrées à l’occasion des solennités des patrons de l’école, Saint Jean Cantius, Saint Stanislas de Kostka et Saint Casimir, cu de la fête du roi, les concours, les distri- butions de prix, ete. Nous apprenons que les bâtiments ont été agrandis, qu’on a créé un pensionnat!). Et c’est en- suite des incendies, des inondations, une église qui s'écroule. Voici encore des informations météorologiques: l’hiver est rude, il ne l’est pas: le 3 décembre 1786, on éprouve une secousse de tremblement de terre, cette secousse avait, paraît-il, été précédée par deux autres, senties à Cracovie, le 22 août 1785 et le 27 février 1786. Les Prorecteurs s'intéressent aussi aux élections qui ont lieu dans les diétines de Kalisz: ils rappor- tent les noms des personnages appelés aux dignités territo- riales. Pendant la Diète de quatre ans?) l'animation la plus vive règne parmi la bourgeoisie et la noblesse de la contrée. On institue à Kalisz une Commission d’ordre public. Aussi lorsque les états voisins s’opposèrent à l'application de la Con- stitution du 3 mai, très rapidement un corps de volontaires se forma-t-il à Kalisz pour la défense des réformes de l'Etat. 1) Ce pensionnat était destiné spécialement aux élèves boursiers, c’est- a-dire entretenus aux frais de l'Etat. ?) La Diète de quatre ans (1788 — 1792), par la Constitution du 3 mai 1791, reconnaissait des droits politiques aux villes, et accor- dait la protection de la loi aux populations rurales. V. Bulletin 1889, p. XV —XVIII. 32 RÉSUMÉS La Chronique note encore l’adhésion du roi à la Confédéra- tion de Targowica 1). Le manuscrit prend fin en 1793. La dernière note, à la date du 13 février, mentionne l’entree des Prussiens dans la ville. Ce college mérite d’attirer tout particulièrement l’atten- tion parce qu’il était vraiment une école-modèle. C’est d’ail- leurs le titre que lui donne un rescrit officiel de la Commis- sien d'éducation, rescrit adressé au corps enseignant du eol- lege qui — dit expressément cette lettre flatteuse — „peut être proposé en exemple à tous les autres établissements d’instruc- tion publique“. 8. — A. Brückner. „Kazania $redniowieczne“ cz. II. (Mittelalterliche Predigten) 2. Theil. Unter den hier besprochenen Handschriften, die Original- schriften von Polen, doch meist nur Abschriften fremder Predigt- werke enthalten, ragt eine Handschrift hervor, aus der Biblio- thek des alten Heiligenkreuzklosters auf dem Kahlenberg stam- mend und heute in der k. öffentlichen Petersburger Biblio- thek befindlich, durch die reiche Sammlung abergläubischer Meinungen und Mittel, welche der Prediger als Sünden wider den h. Geist zu bekämpfen mehrfach unternahm. Derselbe, ein ungenannter Pole aus der ersten Hälfte des XV. Jahr- hunderts, hat den Gegenstand allerdings weder erschöpft noch irgendwie systematisch dargestellt; dessenungeachtet dürfen seine Predigten de supersticionibus den reichsten der Art, die uns aus dem Mittelalter überliefert sind, beigezählt werden; alle Arten und Gruppen von Aberglauben: Amulette, Traum- 1) La confédération de Targowica, organisée sous le protectorat de la Russie, avait pour but de combattre, les armes à la main, la Constitu- tion du 3 mai. RESUMES 33 deutung, Angang, Festbräuche, Krankheitsmittel, Wahrsagung u. dgl. m., sind hier vertreten. Da jedoch der Prediger öfters statt die Sache auszuführen, mit einer blossen Andeutung sich begnügte und ausserdem ein wirres Durcheinander von Bräu- chen und Mitteln gegeben hat, hat der Herausgeber das Ma- terial zuerst geordnet, indem er das wahllos zusammengestellte nach den einzelnen Festen, sowie nach andern Criterien son- derte; hierauf dasselbe ergänzt und erklärt. Er hielt sich dabei streng in den Rahmen dieser Predigten selbst und zog nur hie und da auch noch eine andere fremde Einzelheit herbei. Ergänzung und Erklärung suchte er jedoch nur ausnahms- weise in den modernen Bräuchen des polnischen Volkes, die massenhaft in dem grossen Sammelwerke von O. Kolberg oder in den ethnographischen Publicationen der Krakauer Aka- demie verzeichnet sind; er zog es vor, auf ältere Quellen, vom XIV. bis zum XVII. Jahrhunderte, auf Handschriften und Brochuren aller Art, sich zu beschränken, um nicht durch allzu viel Citate seine Arbeit übermässig anschwellen zu lassen. Ausserdem berücksichtigte er bühmische Verhältnisse, für die er unmittelbar aus Handschriften oder aus den Zibrt’schen Arbeiten (Altböhmische Festbräuche 1889 und Indieulus super- stitionum 1894) schöpfte; auch deutsche, für die er sich jedoch fast nur auf den (handschriftlichen) Tractat des Nicolaus von Jauer (Anfang des XV. Jahrh.) beschränkte. Die Samm- lung und Erklärung bewies wiederum, wie verfehlt es war, im heutigen Brauche oder in dem des späteren Mittelalters er- heblichere Spuren heidnischer Vorstellungen oder gar. Culte aufzuspüren; fast alles, was uns über diesen polnischen aber- gläubischen Brauch im XV. Jahrhunderte überliefert wird, ist späten, christlichen Ursprunges, Verehrung des Uboze ge- nannten Hausgeistes, unter diesem Namen uns auch bei Weiss- russen im XVI. Jahrhundert überliefert — und Speiseopfer an „Pflanzen“: das wären hier die letzten, übrigens auch nicht unbestreitbaren Spuren altpolnischen Heidenthumes. Daneben zeichnen sich die Sermones unseres Anonymus durch Ausfälle gegen allerlei zeitgenössische Laster und Ge- 34 RÉSUMÉS brechen aus; er wettert gegen die Putzsucht der Frauen, gegen den Faschingsunfug, gegen Völlerei an den Sonntagen, wo der Wochenerwerb verjubelt wird, gegen Habgier und was sie in allen Ständen treibt, namentlich aber gegen ungenügende Ge- rechtigkeit, Milde gegen den Reichen oder Nahen, Strenge gegen den Armen und Fremden, wie sie in Polen den welt- lichen Richter wie den geistlichen beflecke. Späterhin werden aus einer anderen Handschrift zwei weitere Charakteristiken polnischen Wesens mitgetheilt, die durch Ton und Inhalt an die bekannte Charakteristik der Polen, wie sie Dlugosz (Longinus) im Eingang zu seiner Chronik bietet, erinnern. Unter den folgenden Handschriften ragen diejenigen her- vor, welche das Predigtwerk des Johannes Silvanus, be- kannter unter dem Namen Hieronymus de Praga, ent- halten. Johannes gehörte zu den Böhmen, auf welche Krakau und der Hof des Wladystaw Jagiello eine desto stärkere An- ziehungskraft ausübte, je misslicher Lage und Aussichten des Catholieismus in Prag selbst wurden. Als Beichtvater des Kö- nigs, später als Abt des Prämonstratenser Klosters in Neu Sandeez, war er in den Kreisen der höheren Geistlichkeit in Polen eine bekannte Persönlichkeit; an ihn wandte man sich, als man den Mangel eigener, einfach gehaltener, für unmittel- bare Belehrung des Volkes geeigneter Predigtwerke stärker empfand. Johannes Silvanus verfasste nun Sonntags- und Hei- ligenpredigten, Linea Salutis und Exemplar Salutis von ihm genannt, 1405 und 1409, die er dann, fast dreissig Jahre später, durch eine Sammlung von Fastenpredigten u. d. T. Qua- dragena Salutis vervollständigte. Die zahlreichen Abschriften, die von diesem Predigtwerke in polnischen Bibliotheken vor- handen sind, an zwanzig, beweisen dessen einstige Verbreitung und Beliebtheit hinlänglich. Einige dieser Abschriften behandelt der Verfasser näher; einen Abriss der Schicksale und Wirk- samkeit des Johannes Silvanus selbst, der nachher im Oriente nnd unter Litauern als Glaubensapostel, endlich als Camaldu- lenser Mönch auf dem Coneil zu Basel für Kirchenreform und gegen seine Landsleute, die Utraquisten, scharf auftrat (er starb RÉSUMÉS 35 1440 in Venédig) hatte der Verfasser in einem früheren Aufatze bereits gegeben. Ausserdem behandelt der Verfasser summa- risch eine Reihe von Predigthandschriften, deren Inhalt zwar für eingehenderes Studium nicht lohnend wäre, die aber durch Einzelnheiten apokryphischer Art oder durch Anderes, z. B. die Person des Schreibers u. a. kurze Erwähnung verdienten. Alle genannten Handschriften enthalten aber, neben cul- tur- und literarhistorischen Beiträgen aller Art, polnisch sprach- liches Material, meist nur in der Form von Glossen. Allerdings hat der Verfasser dieses Material nicht erschöpft, oft lohnt es sich gar nicht, immer wiederkehrende Glossen immer neu abzu- drucken, aber er hat alles Nennenswerthere, namentlich die in den Text selbst aufgenommenen Glossen veröffentlicht und das so gewonnene Material grammatisch und lexicalisch verwertet. Aus den Resultaten sei hier nur einiges wenige hervorgehoben ; aus der Schreibung z. B. der Versuch, die Laute y und i aus- einanderzuhalten (by wird bhy, bi by geschrieben, resp, bhi und bi); aus den Formen solche wie der acc. fem. dual. cie dwie siestrze, collect. plur. biskupia (wie bracia u. dgl.); das meiste jedoch kommt einem altpolnischen Lexi- con zu Statten, eine Reihe äusserst seltener oder sonst ganz unbekannter Wörter wie popaszela concubina, barezed rauschen, pazroczyc forschen, pyzad und wspyzaé ver- achten, sierdziaczka (siedleezka und sierleczka an- derer Quellen) Futterschwinge, urepny schön und urepnosé Schönheit, samnieé sie vereri (davon samnienie, heute sumienie Gewissen), procowaé zu proca Arbeit (sonst mit böhmischer Vocalisation praca und pracowaé), ldza man kann (die ältere Lautform für späteres 1za und lza) u. s. w. Besonders hervorgehoben werden vom Verfasser die Lehnwörter, sowohl die schwerer auszuscheidenden aus dem Böhmischen, als auch die aus dem Lateinischen und Deutschen. 36 RESUMES 9. — F. Kasparex. Z dziedziny prawa miedzynarodowego prywatnego. Kon- ferencya w Hadze z wrzesnia 1893. (Aus dem Gebiete des inter- nationalen Privatreehts. Die Haager Conferenz vom Sep- tember 1893.) Abhandlungen der hist.-phil. Cl. in 8°, XXXII Bd., Ss. 1—70. Druga konfereneya w Hadze celem kodyfikacyi prawa miedzynarodowego prywatnego od 25 czerwca do 13 lipca 1894. /Die zweite im Haag vom 25. Juni bis 13. Juli 1894 abgehaltene Conferenz zur Regelung des internationalen Privatrechts). Abhandlun- gen der hist.-phil. Cl. in 8°, XXXII Bd., S. 71—90. Im Anschlusse an seine im XVIII. Bande der Abhand- lungen der historisch -philosophischen Classe veröffentlichte Abhandlung über die Leistungen des Institut de droit international auf dem Gebiete des internationalen Pri- vatrechts, gibt der Verfasser in der erstgenannten Abhandlung eine kritische Übersicht über die seitherigen Versuche, eine Lösung der verwickelten und den Rechtsverkehr störenden Gesetzeseollisionen anzubahnen. In wissenschaftlicher Bezie- hung verdient hier die induetive Methode der Specialforschung Vorzug vor der deductiven — auch wird die Notwendigkeit des Zusammenwirkens der Rechtsgelehrten aller eivilisierten Staaten betont, weil nur hiedurch das Verständnis der ab- weichenden Gestaltung der einzelnen Rechtsinstitute in ver- schiedenen Ländern erschlossen werden kann und ermöglicht wird, für dieselben das Recht zu finden, dessen Herrschaft sie zu unterwerfen sind. Gerade in dieser Beziehung sind die planmässig und umsichtig fortgeführten Arbeiten des Instituts für das Völkerrecht von unschätzbarem Werte. Ein praktischer Erfolg lässt sich jedoch nur durch Auf- nahme übereinstimmender Grundsätze in das Rechtssystem der Culturstaaten erzielen — und da dies durch die Gesetzgebun- gen der Einzelstaaten nieht erreicht werden kann, ist eine internationale Vereinbarung über die Grundsätze des interna- tionalen Privatrechts unbedingt notwendig. Ob diese verein- barten übereinstimmenden Grundsätze dann in Form von RESUMES 37 Staatsverträgen oder im Wege materiell gleichartiger Gesetze in den einzelnen Staaten eingeführt werden, ist gleichgiltig. Der niederländischen Regierung gebührt das hohe Ver- dienst, diesen praktischen Weg eingeschlagen zu haben und die Bereitwilligkeit fast aller continentalen Staaten Europas der Einladung der kgl. niederländischen Regierung zu folgen und ihre Vertreter zur ersten officiellen Conferenz behufs Re- gelung des internationalen Privatrechts nach Haag zu entsen- den, ist ein Beweis, wie dringend das Bedürfniss, die Rechts- unsicherheit auf diesem Gebiete zu beseitigen, allseitig empfun- den wird. Den Arbeiten dieser ersten Conferenz, die vom 12. bis 17. September 1893 im Haag stattgefunden hat, ist der zweite Theil der erstgenannten Abhandlung gewidmet. Der Verfasser be- spricht eingehend die gefassten Beschlüsse, betreffend die Form der Rechtsgeschäfte, das Eherecht, das Erbrecht und mehrere eivilprocessuale Fragen. Der Verfasser glaubt, dass die Conferenz mit Recht eine allgemeine Regelung der Form der Rechtsgeschäfte abge- lehnt hat, umsomehr als der diesbezügliche Beschluss nicht alle einschlägigen zweifelhaften Fragen erschöpft, überdies der zweite Absatz zu unnötiger Härte führen könnte, wenn das Gesetz des Landes, dem das Rechtsgeschäft unterliegt, eine Form vorschreibt, welche im Auslande absolut nicht einge- halten werden kann z. B. Errichtung eines Notariatsactes, wenn dieses Institut im Auslande nicht besteht. Eingehend sind die Beschlüsse über Eherecht be- sprochen, einerseits im Vergleiche mit dem Reglement des In- stituts für das Völkerrecht v. J. 1888, andererseits im Ver- gleiche mit dem geltenden österreichischen Rechte. Im Art. 2 der Conferenzbeschlüsse erscheint dem Verfasser die Beschrän- kung der Wirksamkeit der lex loci actus blos auf die Ehe- hindernisse der Verwandtschaft, Schwägerschaft und des be- stehenden Ehebandes unzureichend, und der Verfasser glaubt, dass die Annahme dieses Artikels in Oesterreich auf Schwie- rigkeiten stossen dürfte, weil daselbst alle Ehehindernisse iuris Bulletin II. 9 38 RESUMES publiei einen unbedingt im Staatsgebiete zwingenden Charakter haben. Als Lücke in den Beschlüssen erscheint dem Verfasser das Stillschweigen über das Dispensationsbefugnis von Ehe- hindernissen. Die Bestimmungen des Art. 3 über die Nach- weise der Ehefähigkeit ercheinen dem Verfasser unzureichend, überhaupt glaubt derselbe, dass sich diese Frage nicht im Allgemeinen, sondern nur durch Specialverträge zwischen ein- zelnen Staaten regeln lasse. Mit den Beschlüssen über das Erbrecht und die ver- handelten eivilprocessualen Frage, erklärt sich der Verfasser vollkommen einverstanden. Die zweite Abhandlung bespricht die Ergebnisse der zweiten vom 26. Juni bis 13. Juli 1894 im Haag abge- haltenen Conferenz mit Ausschluss der noch nicht endsiltigen Beschlüsse über internationales Vormundschafts- und Concurs- recht. Die nunmehr im Schlussprotocolle vom 13. Juli 1894 enthaltenen Bestimmungen über das internationale Eherecht erschöpfen den Gegenstand, nur das eheliche Güterrecht ist weiteren Beratungen vorbehalten. Die gefassten Beschlüsse sind im Ganzen trefilich durchdacht und eignen sich vollkom- men zur Annahme seitens der europäischen Culturstaaten. Die Erweiterung der Wirksamkeit der lex loci actus auch auf das Ehehindernis der Mitwirkung zur Trennungsursache zwi- schen Personen, die einen Ehebruch begangen haben, wenn der- selbe die Auflösung der Ehe einer dieser Personen veranlasste (vgl. $ 119 a. b. G. B.), räumt bei Ehen zwischen Auslän- dern den Gesetzen des Landes, wo die Ehe eingegangen wird, denjenigen Einfluss ein, welchen dieses billigerweise bean- spruchen kann, jede weitere Rücksichtsnahme auf Ehehinder- nisse der lex loci actus wäre hier nicht gerechtfertigt. Da- gegen beseitigt auch die gegenwärtige Fassung des Art. 3 nicht die Schwierigkeiten über die Form, den Inhalt und die Wirksamkeit der vom Ausländer beizubringenden Zeugnisse über dessen Ehefähigkeit. RÉSUMÉS 39 Ebenso zustimmend äussert sich der Verfasser über die das internationale Erbrecht betreffenden Beschlüsse (Abschnitt V des Sehlussprotoeolls). Namentlich verdienen der Artikel 8, welcher die Grenzen der Anwendbarkeit der lex rei sitae bei unbeweglichen Nachlassgütern treffend bezeichnet — und der Art. 11, welcher statt der vagen Formel eines öffentlichen Interesses die Fälle präeisirt, in welchen die Anwendung aus- ländischen Rechtes ausgeschlossen ist, volle Anerkennung. Trotzdem kann man sich angesichts der ablehnenden Haltung, welche die Vertreter mehrerer Staaten gerade wegen der prin- eipiellen Unterwerfung auch des unbeweglichen Nachlassver- mögens unter die Herrschaft der Heimatsgesetze des Erb- lassers den erbrechtlichen Beschlüssen gegenüber einnahmen, leider nieht der Hoffnung hingeben, dass diese Beschlüsse bald zum geltenden Rechte erhoben werden. Die grösste Aussicht auf baldige praktische Durchführung gewähren die Beschlüsse über einige wichtige Fragen des internationalen Civilprocessrechtes (Zustellungen, Re- quisitionen, actorische Caution, Armenrecht, Personalhaft). Wenn auch die wichtigste Frage des internationalen Processrechtes — nämlich die Execution ausländischer Civilurtheile noch unge- löst bleibt, wäre die Annahme der Conferenzbeschlüsse eine wesentliche Erleichterung der internationalen Rechtshilfe. Be- sondere Aufmerksamkeit wendet der Verfasser dem gegen- wärtig in Oesterreich beratenen Entwurfe einer neuen Civil- processordnung zu, und vergleicht eingehend dessen Bestim- mungen mit den Conferenzbeschlüssen. Obgleich der Entwurf in allen durch die Conferenz geregelten Fragen Staatsverträgen den Vorzug einräumt — somit der Annahme der Conferenz- beschiüsse durch Staatsvertrag nicht hinderlich wäre, glaubt der Verfasser dennoch, dass einige Bestimmungen desselben mit Rücksicht auf die Conferenzbeschlüsse verbesserungsfähig sind. Namentlich wird gerügt, dass der Entwurf Zustellungen durch die Post ins Ausland gänzlich ausschliesst ($$ 123—130) und dass bei Requisitionen österreichischer Gerichte ($$ 39 —41) des Entwurfes einer Jurisdietionsnorm) das unzuständige öster- 2# 40 RÉSUMÉS reichische Gericht blos ermächtigt und nicht beauftragt wird, das Ersuchsschreiben an die zuständige inländische Be- hörde zu leiten — ferner dass die Notwendigkeii der Ver- ständigung des ersuchenden Gerichtes von dem Veranlassten nicht mit Nachdruck betont wird. Während das geltende öster- reiche Recht die Pflieht zum Erlage der actorischen Caution überhaupt jedem Kläger (Inländer oder Ausländer) auferlegt, welcher „in der Provinz, wo der Process geführt wird, nicht kundbar sattsam bemittelt ist“ — ist nach dem Entwurfe die actorische Caution eine Massregel, welche nur den Auslän- der treffen kann ($$ 57—61). Verfasser pladiert für die gänz- liche Abschaffung dieser vexatorischen Massregel, welche über- dies keine Sicherstellung für die Processkosten bietet, da man sich derselben dureh Ablegung des Armutseides entziehen kann. Da der Mangel feststehender Grundsätze über interna- tionales Privatrecht sich besonders für die Angehörigen der polnischen Nation, die unter der Herrschaft verschiedener Rechtssysteme leben, fühlbar macht — untersucht der Ver- fasser am Schlusse der ersten Abhandlung die zweckmässigsten Mittel zur Pflege des internationalen Privatrechts. Schon der erste polnische Juristentag hat am 9. September 1887 mehrere zweckdienliche Beschlüsse gefasst, Verfasser bringt diese Be- schlüsse in Erinnerung und betont mit Nachdruck die Notwen- digkeit einer intensiveren Pflege des internationalen Privat- rechts an den Universitäien und die Heranbildung eines tüch- tigen, auch diesen schwierigen Rechtsstoff beherrschenden Juristenstandes. Es wäre zu wünschen, dass der durch die Haager Conferenzen eingeschlagene Weg — mit Ausdauer verfolgt — und die Worte des hochverdienten Conferenzpräsidenten Asser, welcher die Erreichung des grossen Zieles durch Geduld und Ausdauer empfahl, allseitig beherzigt würden. RESUMES 41 10. — Sprawozdanie Komisyi fizyograficznej. (Berichte der physiogra- phischen Commission.) Bd. XXIX, 8°, XL, [267], 215 S., 1 Ta- belle und 2 Tafeln. Inhalt des 7. Theiles: 1) Bericht über die Thätigkeit der physiographischen Commission im J. 1893/94 (S. I—XX VII), 2) Verzeichnis der Mitglieder der Commission (S. XXVIII— XXXII), 3) Cassa-Bericht für das Jahr 1893. (S. XXXII— XXXVID, 4) und 5) Bericht über die Sammlung meteorologi- scher Instrumente und den betreffenden Fond (S. XXX VII— XL). II, Theil: Materialien zur Physiographie des Landes: 1) Von der meteorologischen Section gesammelte Materialien (S. [3]--[267)). Wypadki spostrzezen meteorologieznych dokonanych w Galicyi w roku 1893, zestawione w ce, k. Obserwatoryum astron. krakowskiem pod nadzorem Pror. Dra KaruXskieGo. (Ergebnisse der meteorologischen Be- obachtungen in Galizien im J. 1893, zusammengestellt an der k. k. Krakauer Sternwarte unter der Aufsicht des Pror. Dr. Karrınskı). S. [3—199]. Von den 37 Stationen, deren Namen, geograph. Lage und Seehöhe, nebst den Namen der betreffenden Beobachter, in der Tabelle S. [3—5] aufgeführt werden, waren 32 während des ganzen Jahres thätig. Für diese letzteren Stationen wur- den corrigierte Jahresmittel der Lufttemperatur (32 Stationen) und des Luftdruckes (13 Stat.) und Jahressummen des atmosph. Niederschlages (32 Stat.) berechnet. (Tabelle: S. [7]). Im Ver- gleiche mit dem J. 1892. war die Lufttemperatur niedriger: in Westgalizien. durchschnittlich um 0'6°C, in Ostgalizien um 0-99, der atmosph. Niederschlag dagegen grösser: in Westga- lizien um 192, in Ostgalizien um 238 Mm., der Luftdruck hat keinen bedeutenderen Unterschied aufzuweisen. — Als Re- sultat der von Dr. Wierzbicki durchgeführten Revision von 9 meteorologischen Stationen, werden auf S. [9] die für die be- 42 RÉSUMÉS treffenden Barometer berechneten Correcturen, nebst Bemer- kungen über die Aufstellung der Instrumente, angegeben. — Auf Grund der gemachten Beobachtungen werden ange- geben: 1) Lufttemperatur in 0°C (36 Stationen, darunter 32 ganzjährige) u. zw.: arithmetische Tages-und Monatsmittel und die beobachteten Extreme (absolut für Bielitz, Krakau, Szezaw- nica, Lemberg, Dublany, Sokal und Tarnopol) S. [10—57], 2) Luftdruck (14 Stationen, 13 ganzjähr.) auf 0°C reduciert, in Millimetern: arithmetische Tages-und Monatsmittel und die beobachteten Monatsextreme (absolut nur für Krakau); die für die einzelnen Instrumente bekannten, constanten Correcturen wurden dabei nicht berücksichtigt. S. [58—75], 3) Windrich- tung (33 Stat., 29 ganzjähr.): Tagesmittel und Zahl der in den einzelnen Monaten beobachteten Windrichtungen und Wind- stillen. S. [76—112], 4) Bewölkung (35 Stat., 33 ganzjähr.): Tages-und Monatsmittel S. |113—148], 5) Niederschlag (37 Stat., 32 ganzjähr.): Tages-und Monatssummen, nebst Angabe der beobachteten Niederschlagsformen und Gewitter. S. [149— 199]. D. Wirrzeicrı. Grady w roku 1893. (Hagelschläge in Galizien im Jahre 1893). S. [200—205]. Vorliegende Zusammenstellung beruht ausschliesslich aut Mittheilungen der Krakauer Versicherungsgesellschaft; andere Materialien, von welchen Verf. in früheren Jahren Gebrauch machen konnte, sind dieser Mal leider ausgeblieben. — Im J. 1893 sind die erste Hagelschläge erst gegen Ende Mai vorge- kommen, was wohl der durch starke Bewölkung und ziemlich reichen Niederschläge bedingten, mässigen Temperatur dieses Monates zu verdanken ist. Die Zahl grosser Hagelschläge be- trug 5 (am 20. und 26. Juni, 9. 13. und 30. Juli), ausserdem gab es im Mai 2, im Juni 8, im Juli 7, im August 10, im September 5 Tage mit Hagelschlag. Von der Calamität wur- den 379 Ortschaften in 60 Bezirken getroffen, u. zw. 59 je zwei, 11 je 3 und 2 je 4 Mal. RESUMES 43 F. Karrısskr. Wykaz stanu wody na rzekach galicyjskich w roku 1893. (Wasserstand der galizischen Flüsse im Jahre 1595). S. 1206246). Der Wasserstand wurde in 102 Stationen beobachtet, wo- von 67 auf das Flussgebiet der Weichsel, 30 auf jenes des Dniester und 5 auf dasjenige der Donau (am Czeremosz und Pruth) entfallen. Ganzjährige Beobachtungen liegen jedoch nur von 94 Stationen vor. Auf S. [207—223] werden die für die ein- zelnen Stationen berechneten Monats-und Jahresmittel und die beobachteten Extreme nebst dem betreffenden Datum aufgeführt. Es folgt eine Zusammenstellung von Beobachtungen über das Zufrieren und Freiwerden der Flüsse im Winter 1892/93 (8. [224—227]). Die von der Mehrzahl der Stationen gelieferten Notizen über die Zahl der Tage mit atm. Niederschlage und über die Art des letzteren finden sich auf S. [227—246]| nach Monaten geordnet. Spostrzezenia fitofenologiezne w latach 1891, 1892 i 1893. (Phytophaeno- logische Beobachtungen in den Jahren 1891, 1892 und 1893). S. [246— 260]. Phaenologische Beobachtungen erhielt die Commission von Fr. S. Birkenmajer (Czernichöw im Gr. Herz. Krakau), H. Fron (ebenda), H. J. Hawrysiewiez (Ozydöw in Ostgalizien) und H. H. Cybulski (Warschau). — Correspondierende, in Czernichéw und Ozydöw gemachte phytophaenologische Beob- achtungen finden sich in der Tabelle S. [247—258] zusam- mengestellt (dieselbe enthält: 1) Namen der Pflanze, 2) Ort und Jahreszahl der Beobachtung, 3) Datum der Belaubung, 4) der Blüte, 5) des Reifens der Frucht und 6) der Entlaub- ung). Beobachtungen, welche nur in einer von den beiden Stationen gemacht wurden, sind auf S. [259], und diejenigen von Warschau (Blütezeit im J. 1891) S. [260] angegeben. Spostrzezenia pojawöw w Swiecie zwierzecym w latach 1891, 1892 i 1893. (Zoophaenologische Beobachtungen in den Jahren 1891, 1892 und 1893). S. |261 —266]. Von den oben genannten Beobachtern in Czernichôw und Ozydöw gelieferte zoophaenologische Notizen werden in 44 RÉSUMÉS ähnlicher Weise zusammengestellt: S. [261-263] Beobacht- ungen über den Zug der Vögel, S. [264] das erste Erschei- nen anderer Wirbelthiere, S. [264—265] das erste Erscheinen von 14 Insectenarten; $. [266] Erscheinungen, welche nur in einer Station beobachtet wurden. D. Wierzeıczı. Wypadki spostrzezen magnetycznych zrobionych w Krakowie w roku 1893. (Resultate magnetischer Beobachtungen in Kra- kau im J. 1893. S. [266— 267]. Je zwölf Messungen der magnetischen Declination und der Inclination wurden an demselben Punkte des Krakauer botanischen Gartens und mit denselben Instrumenten, wie in den vorhergehenden Jahren vorgenommen. Die darnach be- rechneten Mittelwertbe betragen: Declination, westlich, 6° 50'63 (7. October 1893), Inclination: 64° 1395. 2) Von den Sectionen für Botanik, Zoologie und Geologie gesammelte Materialien. S. 1—215, Taf. 1 und 2. Jan Ssızzer. 0 krajowych gatunkach trzmieli. (Ueber galizische Bom- bus-Arten). S. [1—22]. Die Arbeit besteht aus zwei Theilen. Im ersten schildert der Verfasser die Lebensweise der Hummeln, indem er auf eigene Beobachtungen gestützt, das Aufsuchen eines geeigne- ten Platzes für das Nest, Anlegen der Waben, Aufzucht der Larven, Copulation und Überwintern der befruchteten Weib- chen beschreibt. Er weist die Ansicht Hoffers über die soge- nannten „Trompeter“ zurecht, indem er die musicierenden In- dividuen nicht für Wecker der Gesellschaft, sondern für „Lüfter“ des Nestes betrachtet. Zu Ende des ersten Theiles bespricht er die wichtigsten Parasiten und Feinde der Hummeln und stellt dabei gegen die allgemein anerkannte Ansicht Darwin’s die Ueberzeugung auf, dass die Mäuse keine Feinde der Hummeln, sondern im Gegentheile für dieselben nützlich sind, da die meisten Hummelarten sich in Mäusenestern ansiedeln. — Gegen Ein- RESUMES 45 dringen der Hummelmotte (Aphomia Colonella L.) in die Zuchtkästehen räth der Verfasser das Anheften einer langen, hölzernen Röhre vor die Ausflugsöffnung; die Motten fürchten den langen Weg durch die Röhre und das Nest bleibt ver- schont. Im zweiten Theile beschreibt der Verfasser 18 in Gali- zien gefundene Hummelarten und zwar: Bombus terrestris Li, hortorum L., Latreillelus Kirby, distinguendus Mor., fragrans Pal., silvarum L., arenicola Thom., pomorum Panz., variabilis Schmied., cognatus Steph., agrorum Fabr., hypnorum L., soroënsis Fabr., pratorum L., vorticosus Gerst., lapidarius L., Rajellus Kirby, confusus Schenk und Ihre Varietäten. Hervorzuheben wäre, dass der Verfasser einige bisher unbekannt gebliebene Nester von B. distinguendus Mor. ent- deckte. Die Nester wurden in der Erde gefunden, und zwar auf Stoppelfeldern. Die Gesellschaft bestand aus wenigen, etwa 100, Hummeln und alle Individuen waren gleich gefärbt. Des- halb betrachtet Verf. die vorgeschlagene Verbindung dieser Art mit fast gleich gebautem aber anders gefärbten D. La- treillelus Kirby, dessen Nester er auch in Menge antraf, für unrichtig. Unter anderen wurde auch ein Nest von B. hypnorum L. beobachtet, welches ausser Drewsen niemand gesehen hat. Dieses Nest befand sich im ausgefaulten Balken eines alten Hauses unter vielen Stroh- und Papierresten. Es war von sehr zahlreichen Individuen bewohnt, wurde jedoch schliesslich durch Raupen der Hummelmotte vernichtet. R. Gurwixsxi. Glony stawôw na Zbruczu. (Ueber die in den Teichen des Zbrucz-Flusses gesammelten Algen), S. |23—38]. In der Einleitung werden zwei, vom Zbrucz-Flusse in Podwoloczyska und in Ozygowee (in der Abhandlung irrthüm- lieh: Oczkowce!) gebildete Teiche, in Bezug auf ihre Phane- rogamen-Vegetation beschrieben; dieselbe zeigt einen ähnlichen Charakter, wie diejenige der meisten anderen Flussteiche Po’ 46 RÉSUMÉS doliens. — Das Verzeichnis selbst enthält 133 Algen-Arten, von denen die meisten in den genannten Teichen, einige we- nige aber in einer Quelle unweit des OZygowcer Teiches ge- funden wurden; von diesen Arten entfallen auf die Familie der Coleocheataceae 1, Oedogoniaceae 3, Ulotrichiaceae 2, Vol- vocaceae 1, Palmellaceae 19, Zygnemaceae 1, Desmidiaceae 29 (darunter Cosmarium Nymannianum Grun. in einer nur 16 u langen und 13 u breiten Form, welche forma pygmaea ge- nannt wird), Naviculaccae 19, Cymbellaceae 18, Cocconeida- ceae 3, Achnanthaceae 1, Nitschiaceae 2, Surirellaceae 4, Me- ridionaceae 2, Fragillariaceae 5, Eunotiaceae 6, Oscillarieae 3, Chroococcaceae 1. — Als neu für Galizien wird Amphora coffeaeformis (Ag.) Kuetz. aufgeführt (Teich in OZygowce). E. Wozoszezax. 0 roslinnosei Karpat miedzy görnym biegiem Sanu i Ostawa. (Über die Vegetation der zwischen dem Oberlaufe des San und der Ostawa liegenden Karpaten). S. |39—69). In der Einleitung wird das vom Verfasser während der Ferien 1892 durchsuchte Gebiet kurz charakterisiert. Die Grenzen desselben bilden: im Osten der obere Lauf des San- Flusses, im Westen der Ostawa-Fluss, im Norden der Parallel- kreis von Lisko, im Süden die Grenze von Ungarn. Der öst- liche Theil dieser Gegend ist, besonders gegen die Landes- grenze hin, stark bewaldet (meistens mit Buche, während so- wohl reine Fichtenwälder, als auch gemischte Waldbestände mit vorwiegender Tanne, nur geringe Ausdehnung haben). Das Ostawa-Thal, im Westen, ist einförmig und arm an Wäl- dern ; an der ungarischen Grenze finden sich schüttere Buchen- bestände auf Berggipfeln, den übrigen Boden nehmen Hafer- felder, ausgedehnte mit Wachholder bedeckte Strecken und kleine Wälder ein. In der ärmlichen Flora dieses Gebietes können drei Typen unterschieden werden: die Vegetation des Ostawa-Thales besteht aus wenigen und gemeinen Arten, die Flora des südöstlichen Theiles hat subalpinen Charakter (sie enthält z. B. Allium Victorialis, Tanacetum subcorymbosum, Hypochoeris uniflora, Gentiana caucasica, Campanula pseudo- RÉSUMÉS 47 lanceolata, Laserpitium alpinum, Dianthus compactus, Viola declinata); der dritte Theil, von dem vorhergehenden durch die Linie: westliches Ende der Wetliner Alpe--Anhöhe zwischen Krywe und Cisna — von da längs des Oberlaufes das So- linka-Baches bis Jaslik oder Hyrlata (was nicht festgestellt werden konnte) — getrennt, unterscheidet sich von dem Ostawa- Thale durch grösseren Reiehthum seiner Flora und das Vor- kommen von höheren Regionen eigenthümlichen Arten. Auch in Bezug auf das Klima, insbesondere die Niederschlagsmenge, sind in dem Gebiete drei Typen zn unterscheiden. — In der Einleitung werden schliesslich einige irrige geographische Na- men corrigiert. In dem nun folgenden Verzeichnisse werden die vom Verf. beobachteten Arten von Gefässpflanzen aufge- führt und für die meisten derselben auch die Höhengrenzen angegeben. Hie und da hebt der Verf. das Fehlen einzelner Arten hervor. J. Zusrzycki. Flora Pienin. Rosliny naczyniowe. (Flora der Pieninen : Gefässpflanzen.) S. [70— 95]. Auf Grund eigener Beobachtungen zählt der Verf. 546 in dem genannten Gebirgszuge wachsende Pflanzenarten auf. B. Gusrawicz. Dodatek do flory pieninskiej. (Supplement a la Flore des montagnes des „Pieniny“). P. [96 — 107). Les petites et tres-interessantes montagnes calcaires „Pie- niny“ qui s’etendent du village de Czorsztyn en Galicie jusqu” à la ville de Lubownia en Zips (Hongrie), ont 37:5 km. de longueur, et la largeur de leur massif ne surpasse nulle part 8 km. La rivière ,Dunajec“ passe à travers cette chaîne y formant une des plus charmantes brèches des Carpathes. Leur partie ouest appartient entièrement à la Galicie et le plus haut sommet, celui d’ Okraglica, s'élève a 9825 m. La partie est s’étend le long de la frontière galicienne et du Zips (Hongrie); la plus grande altitude qu’on y mesure est celle des „Wysokie Skatki“ (1032 m.). Ces montagnes quoique 48 RESUMES n'étant ni hautes ni larges, ont toujours attiré l’attention des botanistes polonais, parce qu’elles renferment plusieurs espèces de plantes très-rares dans leur pays. L'auteur M. Br. Gustawiez a passé chaque année, de 1871 à 1880, plusieurs mois d’été dans ces montagnes. Il s’y est occupé de la Flore de cette région et a publié dans le Vol. VI. des Mémoires de la Société des Tatres (Cracovie, 1881, pp. 1--23) le résultat de ses observations sous le titre: , Contribu- tion à l'étude de la Flore des Pieniny“ (Przyezynek do flory pieninskiej), énumérant 409 espèces de plantes qu'il a recueil- lies, de 1871—-1880. Il a de plus, pendant un séjour de 10 semaines, en 1885, augmenté la collection qu’il avait faite pré- cédemment de 216 espèces nouvelles, de sorte que tout son her- bier compte 625 plantes croissant dans la chaîne entière des „Pieniny“, sur le mont de „Luban“ et sur les collines calcaires du bord méridional du „Dunajee“, vis à vis de Czorsztyn. M. Joseph Zubrzycki ayant publié dans les Comptes- Rendus de la Commission Physiographique un traité intitulé: „La Flore des Pieniny“, contenant 546 espèces de plantes, M. Gustawiez, comparant cette collection à la sienne, a con- staté que 419 espèces se trouvent dans les deux collections, que M. Zubrzycki cite 127 espèces que M. Gustawiez n’a pas rencontrées et enfin que ce dernier a, dans son herbier, 216 espèces de plantes ne figurant pas dans celui de Mr. Zu- brzycki. Cette comparaison a engagé M. Gustawiez à publier dans l’opuscule mentionné ci-dessus les noms de ces 216 espè- ces de plantes, complétant son catalogue de 1881 et celui de M. Zubrzycki, ce qui donne pour la Flore des „Pieniny* un total de 762 espèces de plantes. B. Gustawıcz. Jerzego Wahlenberga pomiary barometryczne w Tatrach i przyle- gtych dzialach görskich i dolinach r. 1813 dokonane. Ponownie obliezyt ... (Mesures barométriques faites par George Wahlenberg dans les montagnes des Tatres ainsi que dans les chaînes et vallées adjacentes en 1813. Calculées à nouveau par....) P. [108—141]. Dans ce travail l’auteur, M. Gustawicz, assure que parmi les ouvrages dus aux premiers explorateurs des Tatres et des RÉSUMÉS 49 chaînes voisines des Carpathes, comme Robert Townson, Bal- thazar Hacquet et Stanislas Staszie, celui de Georges Wahlen- berg, professeur de botanique et de médecine à l université d’Upsal (Suède), intitulé: , Georg Wahlenberg Flora Carpa- thorum principalium. Goettingae. 1814* doit être considéré comme la meilleure dissertation scientifique à ce sujet. Ce fameux botaniste a visité presque entièrement, en 1813, la chaîne des Tatres, et partiellement les ramifications voisines comme: Fatra, Magöra de Turoez et Dzumbir, mesurant à l’aide du baromètre les hauteurs des sommets principaux et des autres lieux importants. Après cette introduction M. Gustawiez nous décrit exac- tement le voyage de Wahlenberg, indiquant minutieusement les points et les localités visitées, la durée et les dates des séjours. Il rend compte de la méthode dont s’est servi ce savant pour mesurer et calculer les hauteurs à l’aide du baro- mètre, et signale les corrections à faire aux résultats obtenus alors, pour avoir la hauteur exacte. Il y a en effet une erreur de 3:83 m. Elle provient de ce que Wahlenberg avait pris comme hauteur de Buda 154 m. 94 tandis que selon de très-exactes observations, faites en 1843 par M. Majer (directeur de cet observatoire), la hautéur réelle est de 158 m. 77 ce qui nous donne une différence de 3 m. 83 à ajouter à tous les résultats hypsométriques de Wahlenberg. La vérification des chiffres de Wahlenberg, calculée par Oesfeld en 1830 et par Dr. Jean Steczkowski, membre de l’ob- servatoire astronomique de Cracovie, ayant donné des résultats tout à fait différents, M. Gustawiez s’est chargé de contrôler encore une fois les éléments hypsométriques de Wahlenberg, à l’aide des tables de Gauss, contenues dans le manuel: ,Je- linek’s Anleitung zur Ausführung meteorologischer Beobachtungen nebst einer Sammlung von Hilfstafeln. Neu herausgegeben und umgearbeitet von Dr. J. Hahn. Wien. 1884“ et la présente brochure rend compte de son travail. Nous trouvons en outre à la fin de son opuscule de nombreuses notes très-importantes 50 RÉSUMÉS se rapportant à la description des Fatra des monts de Magéra de Turöez et d’Arva, de ceux de Dzumbir, ainsi que la rectification de la nomenclature topographique des sommets, des vallées et des autres points importants des Tatres. K. Boser. Przyezynek do fauny muchöwek ukolicy Przemysla. (Beitrag zur Dipteren- Fauna der Umgebung von Przemysl). S. [142— 167]. Verf. zählt 462 Dipteren- Arten aus der nächsten Um- gebung von Przemysl und den Gegenden von Radymno, Me- dyka, Mosciska, Krasiezyn, Dobromil, Chyröw, Starasél, auf. Als neu für Galizien werden aufgeführt: Rhamphomyia umbri- pennis Mg., Empis hyalipennis Fall.?, Microphorus clavipes Mg, Ocydromia pallidiventris Mg., Tachydromia lutea Fall., pallipes Fall., flavicornis Mg., exigua Mg., nigritarsis Fall., varia Walk., nigra Fall., fuscicornis Zett., Syntormon pallipes F., Chrysotus cupreus Meq., Dexia cenisia F., Syntomocera brevicornis Egg., Anthomyia Marquarti Wied., discreta Mg., lepida Wied., Spilogaster quadrum F., nigrita Fall., Aricia obscurata Mg., Norellia flavicauda Mg., Sapromyza quadırpun- ctata L., Balioptera venusta Mg., Scatella quadrata Fall, Dro- sophila fasciata Mg.?, Sciara humeralis Ztt.?, flavipes Pz., Brachycampta serena Wtz., Rymosia maculosa Mg, Docosia valida Wtz., Chironomus scalaenus Schk., pusillus L., minimus Mg., Tanypus nigropunctatus Staeg., ornatus Mg., Ceratopogon varius Wtz.?, murinus Wtz.?. lacteipennis Ztt.?, niger Wtz., niveipennis Mg.?, Culex cihiaris L., Erioptera annulata Mg., Anisomera bicolor Mg.?, hiemalis Deg., Tipula pictipennis Staeg. W. Teıssevre. Ogôlne stosunki ksztaltowe i genetyczne wyzyny wschodnio- galieyjskiej. (Über allgemeine morphologische und genetische Verhältnisse von Galizisch Podolien). S.[168—187]. Mit 1 Figur. Im westlichen Theile von Galizisch Podolien („Podole opolskie“) werden zwei von Flussthälern unabhängige Höhen- rücken unterschieden und als Przemyslany-Czernelica’er (I— UI in der Figur) und Mikolajöw-Böbrka’er Höhenzug (IV—IV in RESUMES 51 der Figur) bezeichnet. Während die Höhenzüge nach S-O ver- laufen und sowohl unter einander als auch zu den Ostkarpaten parallel sind, werden dieselben von einer Reihe einander pa- ralleler Flussthäler in südsüdöstlicher bis südlicher Richtung durchquert. Ihrer geographischen Lage nach stellen die Höhen- züge gleichsam eine Verlängerung der Lemberg-Tomaszower Hochebene dar. Die tektonischen Einflüsse, welche darnach in den so zu nennenden „primären“ Merkmalen der Bodenplastik zum Vorschein kommen, werden als geologisch jünger aufgefasst, als die obigen Querthäler. — Auf Grund dieser Studien er- gibt sich schliesslich der Versuch einer Eintheilung des ost- galizischen Plateau’s und der angrenzenden Tiefebenen in eine Reihe von besonderen Gebieten, von welchen jedes einzelne als eine geologisch-entwickelungsgeschichtliche Einheit aufge- fasst werden mag. Die Niederung am oberen Bugflusse ergibt sich als in der Weise gesetzmässig begrenzt, dass die allge- meine Richtung der dieselbe umrahmenden Plateauränder durch lange, fast gerade Linien praedisponiert erscheint, längs welcher die höchsten Punkte des Plateau’s sich aneinander- reihen !) (vergl. Linie I-I und I-II in der Figur). W. Teısseyre. Paleomorfologia Podola. Wiadomose tymezasowa. (Palaeo- morphologie Podoliens. Vorläufiger Bericht). S. [188—191], Es ist dies eine kurze Mittheilung über die palaeomor- phologischen Untersuchungen des Verfassers. Die Hauptresul- tate derselben werden angegeben, wie folgt: 1) Die Oberfläche des Senon ahmt all die localen Unebenheiten der heutigen Landesoberfläche nach. Das Tertiärgebirge überzog die senonen Hügel nach Art eines Mantels. Darnach muss das geologische Alter der heutigen Flussthäler nicht in das Pliocän, wie es bis Jetzt geschah, sondern bis in die vormiocäne Erosionszeit zu- rückdatiert werden. 2) Gewisse, als primär bezeichnete Merk- 1) Näheres darüber in: W. Teisseyre, Grzbiet gologörsko - krzemie- niecki, jako zjawisko orotektoniezne. (Kosmos, Lemberg. Jhg. XVIIL, S. 313). 52 RÉSUMÉS male der Bodenplastik spiegeln sich im Baue sämmtlicher, von oben nach unten aufeinander folgender Formationsglieder ab. Diese Thatsache beweist, dass den besagten primären orogra- phischen Erscheinungen tektonische Bedeutung innewohnt. 3) Ausserhalb des Gebietes, welches durch Zutagetreten palaeo- zoischer Schichten charakterisiert wird, sind in der Entwicke- lung der palaeozoischen Oberfläche ausser obigen primären, auch solche primären morphologischen Merkmale zu gewärti- gen, für welche keine Analogieen in der Gestalt der heutigen Landesoberfläche sich darbieten !)- K. Miczysskı. O0 pochodzeniu i skladzie chemicznym gleby w dolinie sadec- kiej. (Ueber die geologische Abstammung und chemische Zusammensetzung des Ackerbodens im Dunajec-Thale bei Sandez). S. [192—215]. Mit 1 Tabelle und 2 lith. Tafeln. Nach einer kurzen Uebersicht der letzten Fortschritte der Pedologie, gibt der Verfasser die Schilderung der von ihm benutzten Methode der Forschung an. Die Bodenproben wurden durch die drei Meter tiefe Bohrungen entnommen; bei jeder Bohrung wurde gleich das Bodenprofil festgestellt, mit Berück- sichtigung der geologischen Unterlage. Mehrere, den typischen Bodenarten des Gebietes entspre- chende Bodenproben, vom Ober- und Untergrunde, wurden aufbewahrt und dann weiter in Hinsicht auf die mechanische und chemische Zusammensetzung untersucht. 1) Da eine genaue Beschreibung dieser Beohachtungen soeben bevor- steht, mag vorläufig darauf hingewiesen werden, dass die erlangten Resul- tate durch das Ergebnis einer Tiefbohrung am Ausstellungsplatze in Lemberg im J. 1894 in glänzender Weise bestätigt erscheinen. Während nämlich durch diese Tiefbohrung der Beweis erbracht wurde, dass Galizisch-Podolien von noch unbekannt gewesenen Dislocationen beherrscht wird, konnte der Verf., gestützt auf seine langjährigen Localbeobachtungen, nicht nur dieses Ergebnis der Tiefbohrung voraussagen (Vergl. des Verf.: Caloksztalt plyty paleozoieznej, in Kosmos, Lemberg. Jhg. XVIII. S. 319), sondern es wurden von demselben bereits auch die geographischen Grenzen des Gebietes genau angegeben, in welchem ausschliesslich das besagte Dislocationssystem zur Entwickelung gelangte. o RÉSUMÉS 53 Die mechanischen Analysen wurden mit Hilfe des Schö- ne’schen Schlemmaparates ausgeführt in der von A. Orth u. A. angegebenen Weise. Die chemischen Analysen sind nach der Methode, die von den deutschen landwirtschaftlichen Versuch- stationen allgemein angenommen wurde (Jahresbericht 1890), gemacht. Es folgt hiernach die Charakteristik der einzelnen ver- schiedenen Bodenarten, die in dem bearbeiteten Gebiet auf- treten, nach ihrer geologischen Abstammung und nach dem Gehalt an den wichtigsten assimilierbaren Pflanzennährstoffen, zugleich mit einer kurzen Angabe der charakteristischen wild- wachsenden Pflanzenarten, die jeder von diesen Bodenarten eigen sind. Das betreffende Gebiet ist eine beekenförmige Erweiter- ung des Dunajec- Thales bei der Stadt Neu-Sandez. Die das Thal rings umher umgebenden Hügel des nörd- lichen Beskides bestehen aus Ablagerungen des unteren Oligo- cäns, das hier theils als Magöra- Sandstein, theils als „Bunte- Schiefer“ zu Tage tritt. Die Thalsohle bilden quartäre Abla- gerungen, wie Löss, Terassenschotter, Terassenlehm und jüngere alluviale Gebilde der Flüsse nnd Bäche. Den verschiedenen geologischen Formationen entsprechen die Bodenarten, die sich durch besondere Eigenschaften unter- scheiden lassen und deren allgemeine Verbreitung auf der I. Karte ersichtlich gemacht ist. Aus dem Magöra-Sandstein entsteht meistens ein sehr leiehter sandiger gelber Lehm — der an den Hügelgipfeln immer mehr locker und sandig — auf grobkörnigem Unter- grunde liegt, an den Abhängen dagegen je tiefer desto fein- körniger wird und oft im Untergrunde dünne undurchlässige thonige Schichten führt. Die chemische Zusammensetzung die- ser Böden ist durch grosse Armut an Kalk (0'095 pCt.), und Phosphorsäure (0:03°/,) gekennzeichnet. Der Kalk ist in Folge der grossen Durchlässigkeit dieser Böden ausgelaugt und findet sich oft in den unteren Schichten in Form mergeliger Conere- tionen. 54 RESUMES Die „bunten Schiefer“ kommen zum Vorschein haupt- sächlich im nördlichen Theil des Gebietes. Die von denselben stammenden Bodenarten haben einen ganz anderen Charakter. Es sind dies meistens sehr schwere Thonböden. Die chemi- sche Zusammensetzung scheint günstiger zu sein, als die bei der vorigen Bodenart, besonders in Bezug auf Kali- und Phos- phorsäuregehalt, das bringt jedoch den darauf gebauten Pflanzen wenig Nutzen wegen der grossen Bündigkeit und Undurchläs- sigkeit des Ober- und Untergrundes. Die quartären Ablagerungen nehmen den grössten Theil des Beckens ein. Der diluviale Terassenlehm bildet einen sehr guten Acker- boden. Es ist dies ein mässig sandiger milder Lehm mit durch- lässigem Untergrunde. Die Mächtigkeit dieses Lehmes ist ver- schieden — in der Nähe der südlichen Hügel ziemlich gross, vermindert sie sich, in Folge der Denudation, gegen den Fluss zu immer mehr — so dass der darunter liegende diluviale Schotter immer näher an die Oberfläche kommt, und einen sehr durchlässigen Untergrund bildet. — Die aus diesem Lehm gebildete Bodenart zeigt einen hohen Gehalt an Humus und Stickstoff — dagegen wenig Phosphorsäure und äusserst wenig Kalk. — Die Stickstoffansammlung kommt von der langjähri- gen reichen Düngung mit Stallmist und Stadtfäcalien. Die jüngsten Ablagerungen des Dunajee und der ihm zuströmenden Bäche treten als lehmiger Sand — viel öfter noch als loser Sand und Kies zu Tage. Die Ufer sind, wegen der Unbeständigkeit des Flussbettes, wenig anbaufähig und mei- stens von ausgedehnten Weiden, Erlen und Weidengebüschen bedeckt. In den niedrig gelegenen Stellen, wie nördlich von der Popradmündung sind ziemlich gute Wiesen mit humusreichem Ober- und Untergrunde, entstanden. Zum Schluss ist eine kurze Schilderung der landwirt- schaftlichen Verhältnisse, insbesondere die des Pflanzenbaues auf den beschriebenen Bodenarten beigegeben. Besonders be- rücksichtigt ist dabei das Dorf Zalubineze bei Neu-Sandez — das sich durch Vorhandensein von verschiedenen Bodenarten RESUMES 55 beisammen auf kleinem Gebiet auszeichnet, wie aus der bei- geheften speciellen pedologischen Karte II. ersichtlich ist. Am Ende findet man die tabellarische Zusamenstellung der Resultate der ausgeführten chemichen und mechanischen Analysen. 11. — W. Szymoxowicz: 0 budowie zebiny. (Ein Beitrag zur Histologie des Dentins). Der Verfasser hat zur Prüfung des Verlaufes und des Verhaltens der Dentincanälchen die Methode Zimmermanns angewendet, welche bisher zur Erforschung der Knochenca- nälchen gebraucht wurde. Die Ergebnisse dieser Methode sind äusserst klar und sicher. Der Zweck dieser Forschungen be- stand darin, den Unterschied im Verlaufe und Verhalten der Canälchen in verschiedenen Theilen eines und desselben Zahnes, in verschiedenen Zähnen desselben Individuums, schliesslich in den Milchzähnen eines Kindes und in den bleibenden Zähnen eines erwachsenen Menschen und eines Greises heraus- zufinden. Der Verfasser beschreibt genau den Verlauf und die Dicke der Canälchen in den einzelnen Zahntheilen, die Art der Theilung und das Verhalten der Canälchen zweiter Ord- nung, welche die Hauptcanälchen verbinden. Auf Grund seiner Forschungen gelangt der Verfasser zur Überzeugung, dass charakteristische Merkmale des Dentins einzelner Theile des- selben Zahnes bestehen und zwar lässt sich das Dentin der Krone von dem des Halses und der Wurzel leicht unterschei- den. Dagegen ist der Unterschied, welcher vom Alter des In- dividuums abhängt unbedeutend und man vermisst ihn gänz- lich in den Zähnen eines und desselben Individuums. 56 RÉSUMÉS 12. — W. Szrmoxowicz: 0 objawach po wycieciu nadnerczy u psöw i o dzia- kaniu wyciagéw z nadnereza. (Über die Erscheinungen nach der Nebennierenexstirpation bei Hunden und über die Wirkung der Nebennierenextracte). Die bisherigen Untersuchungen über die Funktion der Nebennieren haben ergeben, dass die Exstirpation der Neben- nieren immer letal ist; die Warmblüter lebten nie länger als 52 Stunden nach der beiderseitigen Exstirpation (Brown - Se- quard, Abelous und Langlois). Bei den operirten Thieren be- merkte man immer eine Abnahme der neuromusculären Er- regbarkeit (Abelous), Sinkung der Eigenwärme (Abelous und Langlois) und Tod unter schweren Erscheinungon einer immer fortschreitenden Lähmung der motorischen Nervenendigungen. (Abelous und Langlois). Die alkoholischen Extrakte aus den Muskeln eines Thieres, welches in Folge der Nebennierenex- stirpation zu Grunde gegangen ist, sind ebenso wie das Blut dieses Thieres giftig (Abelous und Langlois). Dagegen ver- längerten die wässerigen Extrakte aus den Nebennieren, sub- cutan oder imtrayenös eingeführt, das Leben des operirten Thieres und milderten die Erschelnungen. Endlich wurde kon- statirt, dass der wässerige Auszug aus der Nebenniere giftige Eigenschaften besitzt. (Guarnieri und Marino-Zuco). Szymonowiez wählte zwei Wege, um bezüglich der Fune- tion der Nebennieren zu einem sicheren Schlusse zu gelangen. Bei einigen Thieren exstirpirte er beide Nebennieren, (beobach- tete die Thiere nach der Operation) und forschte nach der Todesursache, bei anderen, sowohl bei gesunden, wie auch bei operirten Thieren untersuchte er die Wirkung der Nebennie- renextracte. Die Exstirpation nur einer Nebenniere hatte blos eine vorübergehende Apathie und eine leichte Steigerung der Tem- peratur zur Folge. Es trat keine Abnahme des Körpergewich- tes ein, sondern die Thiere nahmen im Gegentheile mit der Zeit an Gewicht zu und verhielten sich im Übrigen normal. RESUMES 57 In jedem Falle der Exstirpation beider Nebennieren er- folgte der Tod in 8-15 Stunden nach der Operation. Die Erscheinungen, welche Verfasser nach der Exstirpation beider Nebennieren beobachtet hat, waren nachstehende : Apathie, Mangel an Appetit zum Essen und Trinken, Parese der hin- teren Extremitäten. In zwei Fällen wurde das Blut untersucht, wobei Verfasser sich überzeugte, dass der Gehalt an Hämo- globin (vermittels des Glan’schen Spectrophotometers gemessen) zunahm, und die Zahl der rothen Blutkörperchen in einem Falle von 6 Millionen bis zu 11, und im zweiten sogar bis zu 14 Millionen anstieg. Betreffs des Verhaltens der Körpertem- peratur wurde in drei Fällen Folgendes beobachtet: in einem Falle fiel die Temperatur nur um 0'7°C., in einem anderen um 1'7°C., in einem dritten dagegen stieg dieselbe um 0:3° C. In zwei Fällen bestimmte man den Blutdruck mittelst des Ludwig’schen Kymographen ; die Athembewegungen wurden mittelst eines Pneumographen aufgezeichnet. Diese Untersu- chungen lieferten die interessantesten Ergebnisse. Einige Stun- den nach der Operation nahm der Blutdruck sehr bedeutend ab, der Druck fiel von normalen Werten bis auf 20 mm. herab, herab, der Puls und der Athem wurden unbedeutend verlang- samt. Wurden dem Thiere in diesem Stadium 1—4 cem. eines wässerigen 10°/, Nebennierenextractes intravenös eingführt, so entstand schon nach etlichen (12—18) Secunden eine bedeu- tende Steigerung des Blutdruekes, welche mehrere Minuten an- hielt, jedoch nach und nach abnahm, der Puls wurde sehr be- deutend langsamer, die Herzschläge stärker, die Athmung da- gegen wurde etwas beschleunigt und mehr oberflächlich. Es zeigte sich somit, dass in Folge der Exstirpation beider Neben- nieren, der Blutdruck nach einigen Stunden bedeutend abnimmt und dass die intravenöse Einführung des Nebennierenextractes im Stande ist, dieser Abnahme für die Dauer einiger Minuten entgegenzuwirken. Gleichzeitig nimmt die intravenöse Injection auf die Verlangsamung der Herzthätigkeit und Verkleinerung der Athembewegungen Einfluss. Die Untersuchung der Wir- 58 RESUMES kung der Nebennierenextracte an gesunden Hunden, ergab ebenfalls einen ähnlichen Einfluss. Der normale Blutdruck wurde bedeutend stärker, der Puls retardirte und der Athem wurde seichter und oberflächlicher. Ebenso wirkt sowohl der alkoholisch abgedampfte und im Wasser aufgelöste, wie auch der gekochte wässerige Ne- bennierenextract. Am stärksten wirkten die wässerigen Ex- tracte aus der Marksubstanz. Die Rindensubstanz steigerte nur unbedeutend den Blutdruck und verlangsamte den Puls. Der Einfluss der Nebennierenextracte nahm bei wiederholter Ein- führung nach und nach ab. Die intravenöse Einführung wäs- seriger Extracte aus anderen Thierorganen (Ochsen und Käl- ber), wie: Leber, Milz, Lymphdrüse, Hoden, Schilddrüse, Mus- keln und Gehirn, blieb wirkungslos. Man kann demnach behaupten, dass der Nebenniere allein die Eigenschaft der obgeschilderten Wirkung auf das Kreis- lauf- und Athmungssystem zukommt. Um sich von der Ursache der Steigerung des Blutdruckes zu überzeugen, durchschnitt Vf. in einem Falle das Halsmark. Es wurde nun wahrgenommen, dass die Einführung derselben Extracte keinen weiteren Einfluss ausübte, was den Beweis liefert, dass diese Steigerung des Blutdruckes eine Folge der Erregung der vasomotorischen Centren im verlängerten Marke war. Die Pulsverlangsamung dagegen hatte ihren Grund in der Erregung der Hemmungscentren im verlängerten Marke, worauf der Mangel der Verlangsamung der Action des Herzens nach Durchschneidung des N. vagus hinweist. m — ——— Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakeya Sekretarza generalnego Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895, — Drukarnia Uniw. Jagiellonskiego pod zarzadem A. M. Kosterkiewieza. 4. Marca 1895. ee ie ee ee |. QE > an 3 3 7 PUBLICATIONS DE L’ACADEMIE 1873 — 1894 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spölka wydawnieza polska) a Cracovie. Philologie. — Sciences one et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.e /Classe de philologte, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 59 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Classe de Philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II—XXI (5 planches. vol. I épuisé) — 59 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. III—XII, XV—XXX (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl) — 68 fl. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comp- tes rendus de la Commission de l'histoire de Part en Pologne), in 4-to, 4 volu- mes (81 planches, 115 gravures dans le texte). — 20 fl. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commis sion de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 13'50 fl. »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 7 vol. — 20 fl. 50 kr. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum us- que ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 3 volumes. Vol. I, Paul: Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkie- wicz. 2 fl — Vol. II!. Andr-ae Cricii carmina ed. C. Morawski. 3 fl. — Vol. IV. Nicolaı Hussoviani Caımina, ed J. Pelczar. ı fl. 50 kr. »Biblioteka pisarzöw polskich.e /Brbliothèque des auteurs polonais du XVI siècle), in 8-vo, 29 livr. — 17 fl. 30 kr. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illus- trantia, in 8-vo imp., 14 volumes. — 76 fl. Vol. I, VII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed Piekosiñski. 10 fl. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epist 1. saec. XV ed A Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 16 fl Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinskı. 15 fl. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Craciv. ed. Piekosinski et Szujski 5 fl. — Vol. V, VII, Cod dip sn. civitatis Cracov.-ed. Piekosinski zo fl — Vol. VI, Cod. dipl m. Vitoldi ed Pr chaska 10 fl. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed Lewicki 5 fl. — Vol. XIII, Acta capitulorum 1408-1530) ed B. Ulanowski. 5.f1. Seriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 10 (I—IV, VI—VII, X, XI, XV.) ae — 34fl Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 3 fl. — Vol. IT, agent Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski 3 li - Vol. III. Stephani Medeksza comm - ntarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 3 fl. — Vol VII, X, XIV Annales Domus professae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 5 fl. — Vol. XI, Diaria Comitio- sum R. Polon 1587 ed. A Sokolowski 2fl. — Vol. XV. An:lecta Romana, ed. J-: Korzeniowski. 7 fl. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 6 vol.—18 fl. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes, — 78 A. Vol I, Anir. Zebrzylowski, eoiscop: Vladisl. et Cracoy. epistolae ed. Wislocki 1546 1553 5fl - Vol II, purs r. et 2.) Acta Joannis Sobi-ski 1629-1674 ed. Klu- czycki. 10 fl. Vol. IIL,.V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum ext-rarum Gallici) 1674 1683 ed. Waliszewski 15 fl Vol IV, IX, (sars r. et 2.) Card. Stanisiai Hosii epstolae 1525 -ı558 ed Zikrzewski et Hipler. 15 fl. — Vol. Vi, Acta Regis loannis IH ad res exp: litionis Vind»bon:= sis a. 1683 illustrandas ed. Klu- ezycki,5 fl. — Vol VIII pars 1. et 2.1. XII (pars ı. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis ı507_ 1795 ed. Piekosinski. 20 fl. — Vol. X, Lauda conventtum particular um terrae Dobrinensis ed Kluczycki. 5 fl. — Vol XI, Acta Stephani Regis 1576 1586 ed: Polkouski. 3 fl Monumenta Polouiae historica, in 8-vo imp., vol, II—VI. — 51 fl. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno- 3 MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. Tomi I. fasciculus I. II. III. in 8-vo. — 4fl.5okr.. »Starodawne prawa polskiego pomniki.« /Anciens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. I—X. — 36 fl. Vol. IT, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 6 . — Vol. UT. Correctura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed Bobrzyñski. 3 fl. — Vol. IV, Statuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 3 fl. — Vol. V, Monu- menta literar, rerum publicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507—1531 ed. Bobrzyñski. 3 f. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones clenodiales ed. Ulanowski. 6 fl. — Vol. VIII, An- tiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374—1400 ed. Ulanowski. 84. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405 —1546. Acta iudicii criminalis Mu- szynensis 1647—1765. 3 fl. — Vol. X, p 1. Libri formularum saec, XV ed, Ula- nowski. ı fl. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 4 Al. Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.« /(Memoires), in 4-to, 17 volumes (1I—X VII, 178 planches, vol. I épuisé). — 85 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux), in 8-vo,. 26 volumes (181 planches). — 95 fl. 50 kr. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Comptes rendus de la Commis- sion de physiographie), in 8-vo, 25 volumes (III. IV—XXIX, 50 planches, vol. L IL IV. V épuisés). — 104 fl. »Atlas geologiczny Galicyi.« /Atlas géologique de la Galicie), in fol.,. 4 livraisons (19 planches) (à suivre). — 16 fl. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Com- mission d'anthropologie), in 8-vo, 17 vol. II—XVII (99 pl., vol. I épuisé). — 50 f. Kowalczyk J., »O sposobach wyznaczania biegu cial niebieskich.« (Methodes pour déterminer le cours des corps célestes), in 8-vo, 1880. — 5 fl. Mars A., »Przekr6j zamroZonego ciala osoby zmarlej podczas porodu skutkiem pgkniecia macicy«. /Coupe du cadavre gelé d'une personne morte pendant Paccon- _ chement par suite de la rupture de la matrice), 4 planches in folio avec texte, 1890. — 6 fl. Kotula B., »Rozmieszczenie roflin naczyniowych w Tatrach.« (Distributio plantarum vasculosarum in montibus Tatricis), 8-vo, 1891.— 5 fl. Morawski C., »Andrzej Patrycy Nidecki, jego Zycie i dziela.« (Andre Patri- cius Nidecki, humaniste polonais, sa vie et ses oeuvres), 8-vo, 1892. — 3 fl. 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Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nom: mes par S. M. l'Empereur. ($. 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, 5) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($. 12). La langue offcielle de l’Académie est le polonais; c’est dans cette langue que paraissent ses publications. Le Bullelin international parait fous les mois, à l'exception des mois de vacances (août, seplembre), el se compose de deux parties, dont la première contient l'extrait des procès verbaux des séances (en français), la deuxième les résumés des mémoires ef communications (en français ou en allemand, au choix des auteurs). Le prix de l’abonnement est 3 fl. = 8 fr. Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. — 90 centimes. EN ee (DVZIRNERTR! Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem A. M. Kosterkiewicza. DEREN: "L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR à CE LENS SE de Le ET NE GENS à AS ed LE dé à de SG Sd de à dd in. > MAY 20 1895 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. No 3. Mars. 1895. Sommaire: Séances du 4, 11, 18, mars 1895. — Résumés: 13. V. Czermax. La Croisade contre les Turcs projetée par le roi Ladislas IV. — 14. E, Banprowskı. Sur les phénomènes lumineux accompagnant la cris- tallisation. — 15. M. Kowarewskı. Etudes helminthologiques II. partie. Sur l’histologie de la peau de quelques trématodes. — 16. N. Cyeurskr. Etudes sur les fonctions des capsules surrénales. — 17. C. Zorawski. Sur les grandeurs fondamentales de la théorie générale des surfaces, — 18. S Kerisskı. Sur les relations bilineaires entre les constantes des intégrales des solutions de certaines équations différentielles du second ordre. — 19. L. Naraxsox. Sur la température critique de l'hydrogène. Séances —2-— _Classe de Philologie Seance du 11 mars 1895 Presidence de M. C. Morawski M. C. Morawski rend compte du travail de M. S. Scaxer- DER sur un traité grec traitant cette question: peut-on enseigner la sagesse et la vertu? Le Secrétaire rend compte des travaux des Commissions. La commission de l'Histoire de l’Art a entendu, dans sa: séance du 7 février, plusieurs communications présentées, entre autres par M. Sokolowski (un sculpteur du XVII s., Paul de Bydgoszez, de l’ordre des Franciscains; un peintre du XVIII s., B. Masurkiewiez, du même ordre, auteur des fresques de l’église des P. P. Franciscains, à Léopol), par M. J. Zacharyewicz (aigles peintes, récemment décou- vertes sur la voûte gothique de la cathédrale de Kaschau). — La Com- mission a procèdé à l'élection du Président pour l’année 1895. M. M. So- kolowski a été réélu. me Et) 60 SÉANCES Classe d'Histoire et de Philosophie Seance du 18 mars 1895 Presidence de M. F. Zoll Le Secrétaire dépose sur le bureau le 31"° volume des » Mémoires de la Classe d’histoire et de philosophie«, récemment paru. M. S. Sora donne lecture de son mémoire: Contributions à la critique des annales polonaises des XII et XIII siècles). M. B. Uranowskı présente une communication sur un fragment d’un manuscrit contenant une collection de formules d’Arnold de Procan. Classe des Sciences mathématiques et naturelles Séance du 4 mars 1895 Présidence de M. F. Kreutz M. E. Baxprowskı donne lecture de son travail: Sur les phénomènes lumineux accompagnant la cristallisation ?). M. L. Kulezynski rend compte du travail de M. Kowazew- ski: Etudes helminthologiques, IT partie: Sur l’histologie de la peau de quelques trémapodes *). M. N. Cysuzskr donne lecture de son mémoire intitulé: Suite des études sur les fonctions des capsules surrénales *). M. Zajaczkowski rend compte du travail de M. C. Zoraw- skı: Sur les grandeurs fondamentales de la théorie générale des surfaces ©). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 62. — 2) ib. p. 75. — 3) ib. p. 78. — 4) ib. p. 82. — 5) ib. p. 91. SÉANCES 61 Le même rend compte du travail de M. S. Kyrınskı: Sur les relations bilinéaires entre les constantes des intégrales des solutions de certaines équations différentielles du second ordre). M. L. Naraxsox donne lecture de son mémoire: La tem- pérature critique de l'hydrogène ?). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 92. — 2) ib. p. 93. 1* Resumes 13. — V. Czermax: Plany wojny tureckiej Wladystawa IV. (La Croisade contre les Turcs projetée par le roi Ladislas IV. Ouvra- ge couronné par l’Académie des Sciences de Cracovie). Mémoires de la Classe d'Histoire et de Philosophie. Tome XXXI, p. 1—403. Ce n’est pas la premiere fois que les plans de Ladislas IV sont l’objet d’un travail serieux. Les historiens polonais s'en sont occupés à plusieurs reprises. et nous devons citer tout spécialement la remarquable étude qu'y consacre Szaj- nocha, dans le premier volume de son ouvrage: „Dwa lata dziejöw naszych“ (Deux années de notre histoire), ainsi que quelques chapitres assez étendus qui traitent aussi cette ques- tion, dans l’excellente biographie de Georges Ossolinski, due à la plume de M. L. Kubala. Mais loin d’epuiser le sujet, ces deux écrivains se sont attachés surtout à nous raconter les évènements qui se déroulèrent alors, à nous montrer le rôle qu'y jouèrent respectivement le roi et les Etats, ainsi que les agents extérieurs qui apportèrent des modifications au cours de ces évènements; tout cela d’une manière incom- plète et quelquefois inexacte. Aussi l’auteur a-t-il voulu faire la lumière sur ces influences extérieures, étudier leur action dans la genèse et le développement des plans de Ladislas IV, RESUMES 63 suivre ce prince dans les démarches diplomatiques qu'il fit auprès des puissances voisines, pour obtenir d’elles une appro- bation, un appui pour ses vues hardies, dévoiler enfin les pen- sées secrètes, les ambitions inavouées que les projets de guerre contre la Turquie firent naître chez les principaux souverains de l’Europe et qui, naturellement, pesèrent d’un grand poids sur le sort de ces projets. La tâche était lourde, mais elle a été tout particulièrement facilitée à l’auteur par l’&norme quan- tité de documents recueillis, depuis quelques années, dans di- verses archives étrangères et qui se trouvaient ainsi sous sa main, dans les collections du pays. Il a eu à sa disposition: le fonds Lukas, de la Bibliothèque Ossoliiski à Léopol, com- posé d’extraits fort étendus et très volumineux des actes con- servés, soit aux Archives du Ministère des affaires étrangères de France, soit dans d’autres archives françaises, les registres dits ,de la Mission de Rome“, à l’Académie des Sciences de Cracovie, où sont copiés une foule de documents tirés de l’,Archivio di Stato“, de Venise, des Archives du Vatican et de plusieurs autres bibliothèques italiennes. Ces dernières pièces avaient d’ailleurs en grande partie été réunies par l’auteur lui-même, pendant un séjour de deux ans qu'il a fait a Rome, où l’Académie l’avait chargé d'exécuter des recherches; elles concernaient presque exclusivement le règne de Ladislas IV. M. Czermak a donc pu consulter tous les actes qui ont trait à l'ambassade du Vénitien Tiepolo (1645— 1647), à plusieurs nonciatures de 1632 à 1648, à quelques missions françaises fort actives à la même époque, sans compter les documents concernant le séjour de Walderode, plénipotentiaire de l’em- pereur à la cour de Pologne, de 1644 à 1647, qu’on lui a permis de compulser aux archives secrètes de la Cour et de l'Etat à Vienne. Ce trésor de matériaux inexplorés jusqu’à ce jour, compte plus de cinq cents pièces. Il y a joint encore les informations que lui ont fournies les manuscrits, également non étudiés, de la bibliothèque des princes Czartoryski, à Cra- covie, et une foule de documents publiés depuis l’apparition des ouvrages de Szajnocha et Kubala. 64 RESUMES Le travail est divisé en quatorze chapitres. L’auteur rentre dans les plus minutieux details de la question, s’ap- puyant surtout sur les données que lui ont procurées les ma- nuserits récemment mis à contribution, s’efforcant de combler les lacunes, ou le manque de précision des oeuvres antérieu- res sur le même sujet, omettant les choses déjà connues, au- tant toutefois qu’il lui a été possible de le faire sans porter préjudice à l’unité de son récit, présentant sous un jour nou- veau certains points autrefois traités, en un mot mettant tout en oeuvre pour épuiser la matière en une monographie dé- finitive. Souvent pour montrer les intérêts en jeu, pour faire toucher du doigt les mobiles auxquels obéissaient les eours de l’Europe, dans la politique observée à l'égard des plans de Ladislas IV, l’auteur a dû transporter la scène de sa narra- tion en dehors de la Pologne. Il consacre même tout le cha- pitre XIII à l’action plus prépondérante, plus décisive qu’exer- cèrent la France et la Suède. Quoique l’auteur ait l’intention d'écrire une étude spéciale sur l’histoire des rapports que Ladislas IV eut avec les Cosa- ques, il n’a pas cru pouvoir les passer sous silence lorsqu'ils étaient en connexion intime avec les évènements dont il par- lait, surtout avec ceux des années 1645 à 1648 (voir les chapitres VII, XII, passim, et le chapitre XI). Il a ajouté à son travail cinq notes critiques trop lon- gues pour trouver place dans le cours de l'ouvrage. Elles por- tent les titres suivants: 1° l’alliance russe en 1645; 2° l’alliance russe en 1646; 3° les Cosaques à Varsovie, au printemps de 1646; 4° la Guerre moscovite-tatare en 1646; 5° les Cosaques dans la guerre moscovite-tatare de 1646. Ces projets de guerre contre les Turcs ayant été une des pensées dirigeantes de la conduite et de la politique de Ladislas IV, une des grandes préoccupations de sa vie, l’au- teur a cru bon de nous faire, au début de son ouvrage, un por- trait complet de la personne de ce prince, de nous initier aux aspirations générales qui l’ont guidé dans tous les actes de son RÉSUMÉS 65 règne. Après avoir mis en relief les hautes qualités de caractère et d'intelligence qui le distinguaient, la noblesse de ses manières, la solidité de son instruction peu commune, M. Czermak essaye de nous prouver que c’est à la première édu- cation de Ladislas IV et aux circonstances dans lesquelles s'écoulèrent toute sa jeunesse et une partie de son âge viril qu'il faut attribuer l’ardente et persévérante ambition qui rem- plit l'âme de ce souverain, et semble être le mobile de toutes ses conceptions, de tous ses actes. L'amour de la gloire, pour lui-même d’abord, ensuite pour la maison des Wasa dont il sortait, la soif de la puissance et de la grandeur, le vif désir de jouer un rôle éclatant sur la scène de l’Europe — tels furent les éléments qui l’excitèrent et le soutinrent dans tous ses projets. Il faut donc le considérer sous le double aspect par- ticulier et général; le voir s’efforcer de réaliser ses désirs per- sonnels d’abord, puis le suivre dans le grand mouvement po- litique où ses intérêts privés se heurtent à des intérêts plus vastes, les combattent ou leur viennent en aide. Les visées personnelles du roi peuvent toutes se résumer en celle-ci: Se rendre puissant et indépendant et, par consé- quent, restituer du même coup à sa ligne de la maison Wasa le rang de puissance dynastique dont elle était déchue, en créant pour la branche polonaise de cette maison un point d'appui territorial lui assurant, où tout au moins lui facilitant l'hérédité du trône. Quant à celles d’une portée moins étroite, intéressant tout particulièrement le pays tout entier, la croisade contre les Tures tenait le premier rang. Dès son avènement au trône le roi Ladislas pense à cette grande expédition et veut la pré- parer. Il n’a pas seulement pour but la délivrance des Lieux Saints et des peuples qui gémissent sous le joug des infideles; il est convaincu que l'intérêt le plus immédiat de la Pologne exige la Croisade; qu’elle sera pour son pays, plus que pour tout autre, riche en heureux résultats. Cela n’est pas en effet une pure hypothèse. Pour assurer les frontières sud-est de la République il était indispensable de régler la question cosaque. 66 RESUMES Ladislas IV le sentait et nombre de fois il s’exprima très ea- tegoriquement là-dessus. Or il était absolument impossible de faire oeuvre durable avant d’avoir rejeté les Tatars des régions qu'ils occupaient entre le Danube et le Dniepr, et cette ex- pulsion des hordes terribles et puissantes ne devenait exécuta- ble qu'après l’écrasement de la Turquie, suzeraine des Khans de Crimée. Les plans militaires élaborés dans ce but avaient été conçus depuis longtemps, lorsqu’en 1645, à l'occasion de la guerre entre Venise et la Porte, à propos de l’île de Candie, le roi, croyant le moment propice, les dévoila, les propagea, apportant une fiévreuse activité à leur gagner des partisans et des soutiens. L’année suivante (1646), il les soumet aux dis- cussions publiques de la diète polonaise. C’est l’histoire de ces luttes avec les états, de cette agitation en vue d’une cam- pagne contre les Ottomans que l’auteur expose dans les cha- pitres II à XIII de son travail. Il n’a trouvé rien de bien nouveau (il l’avoue lui-même du reste) au sujet des &venements qui se deroulerent au sein même de la République. Les recherches de M. M. Szajnocha et Kubala avaient déjà élucidé ces questions. Cependant M. Czermak se sépare souvent en des points de première impor- tance de ses deux devanciers. Il nous montre par exemple le grand Chancelier Ossolinski sous un jour sensiblement diffé- rent de celui où l’avait produit M. Kubala. Ce n’est pas cet illustre personnage qui, ainsi que le prétend son historien, eut le premier l’idée de l’expédition contre les Turcs, et fut l’äme de l’agitation soulevée dans ce but. C’est le roi lui-même. Aussi la conduite équivoque d’Ossoliñski dans toute cette affaire fut-elle dictée tout autant par le souci de ses propres intérêts, que par celui des intérêts de la nation. Il prouve encore que l’hetman Potocki ne tut famais partisan d’une action offensive contre les Turcs, ainsi qu'on l’a prétendu. Le roi ne put ja- mais le gagner à cette cause, ni pendant l'été de 1646 (comme M. Kubala l’assure), ni plus tard. En revanche l’auteur appelle l'attention sur une particularité jusqu'ici passée sous silence: le zèle qu’apporterent à soutenir les vues du roi, les deux RÉSUMÉS 67 hetmans de Lithuanie, Janus Kiszka et Janus Radziwill, qui, dès le mois d’avril 1646, au plus tard, se prononcèrent hau- tement pour leur souverain, et, très probablement, n’obtinrent le bâton de commandement qu’à la condition expresse de se- eonder de toutes leurs forces les tentatives de Ladislas IV. Enfin la reine Marie-Louise que jusqu'ici on avait cru favora- ble à son mari, la reine qui, disait-on, avait soutenu les plans du roi, et par ses subsides pécuniaires, et par son ardente sym- pathie, fut loin de jouer le rôle qu’on lui a attribué. A l’aide des preuves les plus péremptoires, telles que les aveux de cette princesse elle-même, M. Czermak établit que jamais la reine ne vit d’un bon oeil les plans de son époux, et que, si elle lui versa des sommes considérables, pour l'aider à mener à bonne fin l’entreprise, ce fut seulement à titre de prêt et de prêt fort onéreux. Grâce à une grande quantité de lettres du roi Ladislas IV ou de ses partisans, l’auteur a pu suivre avec une ri- gueur qui jusqu'ici n'avait pas été observée, les phases succes- sives de la question, étudier les modifications apportées aux projets primitifs, sous la pression des circonstances et surtout de l’opinion publique très opposée à une action offensive con- tre les Turcs. Ces lettres ont aussi permis de mieux connaître les ressources matérielles dont disposait le roi, ressources fort restreintes dont la pénurie fut le motif principal des con- cessions trop facilement consenties aux gentilshommes, avant et pendant la diète de 1646. Ce sont encore les mêmes sour- ces qui nous renseignent sur les dépenses qu’entrainerent les préparatifs exécutés par le roi, et indiquent jusqu’à quel point ces préparatifs furent poussés. On y apprend aussi — choses dont personne jusqu'ici n'a fait mention — que le roi avait plusieurs desseins secrets, entr’autres celui de dissoudre la diète de 1647, au cas où elle lui aurait été hostile celui de faire un voyage en Ukraine, voyage projeté dès le printemps de 1647 et ajourné à cause de la mort du fils unique du roi, survenue au mois de septembre de la même an- née: etc, 68 RESUMES D’après les recherches de l’auteur, les rapports de La- dislas IV avec les Cosaques se présentent, en nombre de points, sous un aspect fort différent de celui que les historiens avaient fait prévaloir. Comme M. M. Kubala et Szajnocha, M. Czer- mak raconte l’arrivée et le séjour secrets à Varsovie de quel- ques Cosaques, Chmielnicki à leur tête; mais ce que ses prédé- cesseurs avaient avancé sans données solides, se trouve con- firmé dans le présent ouvrage par des documents probants, parmi lesquels le témoignage du roi lui-même, rapporté par l’envoy& vénitien, Tiepolo. Les Cosaques obtinrent de Ladislas IV deux priviléges signés du cachet particulier du roi et leur permettant, l’un, de faire des armements, l’autre, de porter leur armée de 6000 à 12000 hommes; ils recevaient en même temps une somme de 18000 florins de Pologne devant servir à la construction de bateaux de cuir. Dans la suite de l’histoire des Cosaques, de mai 1646 à décembre 1647, M. Czermak est souvent en contradiction manifeste avec ses prédécesseurs. Il prétend en effet, contraire- ment aux affirmations de M. Kubala, que pendant la période susdite, les Cosaques ne firent aucune , diversion“, c’est-à-dire ne tentèrent aucune expédition contre les Turcs, vers la mer Noire; la seule aventure militaire où nous les voyons engagés fut une lutte avec la Moscovie, sur les bords de la rivière Kagalnik, non loin d’Azow, lutte où prirent part quelques Zaporogues qui avaient rejoint leurs alliés par la voie de terre et non sur leurs bateaux (juillet 1646). En outre il est a peu près certain qu’en 1646—47 les Cosaques ne mirent nul- lement à profit les privilèges concédés par le roi, car ces pri- vilèges furent tenus secrets par Barabaszenko jusqu’à l’au- tomne de 1647. Enfin l’auteur consacre tout le onzième cha- pitre à montrer — et cela encore en contradiction avec les écrivains antérieurs — que nous n'avons aucune preuve irré- futable des visées secrètes prêtées à Ladislas IV, dans ses ar- rangements avec les Cosaques. Il n’est nullement certain que ce prince ait eu l'intention de préparer un coup d'état en s'appuyant sur ces alliés, coup d’état destiné à écraser la nob- lesse, à restreindre ses libertés et à restaurer la puissance roy- RESUMES 69 ale, en même temps qu'à ramener les vieilles franchises des Cosaques. Il est au contraire fort probable qu'il n'avait pas d'autre but que de se créer un puissant auxiliaire au cas d’une guerre contre la Turquie. Le roi ne dépassa jamais les con- cessions faites lors de l’entrevue de Varsovie, en 1646. Les actes stipulant les priviléges qui leur furent accordés en vette circonstance, actes confiés à Barabaszenko, furent volés au commencement de l'hiver de 1647 par Chmielnicki qui, complètement en opposition avec les intentions du roi et du chancelier, s’en servit pour faire prendre les armes aux Zapo- rogues et se mettre à leur tête. L'influence de Ladislas IV sur les soulèvements qui eurent alors lieu parmi les Cosaques fut done absolument involontaire, et l’on ne saurait, dans la con- duite de ce prince en toute cette affaire, trouver quoi que ce soit de contraire au bien et à la grandeur de la République. Mais Ladislas IV ne bornait pas ses désirs à l’approba- tion de ses projets par la République, il voulait que tous les princes chrétiens les soutinssent, les uns, comme les vassaux de la Turquie et la Moscovie, par une coopération effective et des armées de renfort, les autres, plus éloignés des fron- tières ottomanes, par des subsides en argent permettant d’au- gmenter et d'entretenir les forces militaires engagées. L’au- teur, par les études qu’il a faites dans les archives étrangères, est arrivé à la conviction que le roi attachait la plus haute importance à la réalisation de cette seconde partie de son plan, et que, beaucoup plus qu'on ne l’a dit, il subit les influences des diplomaties française et vénitienne. Aussi s’étend-il tout spécialement sur les relations de Ladislas IV et de la Répu- blique avec les puissances européennes. Il examine en détail — et cela d’après les documents originaux de la mission de Tiepolo, conservés aux archives d'état, à Venise — la conduite de la République des Doges à l'égard des projets de guerre du roi de Pologne. On ne connaissait jusqu'ici qu'une traduction polonaise abrégée d’une relation écrite par Tiepolo, en 1647, et, par conséquent, la ques- tion avait été traitée avec des lacunes et des erreurs regret- 70 RÉSUMÉS tables. Comparant les pièces laissées par Tiepolo avec les re- lations fournies par d’autres témoins contemporains, l’auteur démontre combien la maladresse et le mauvais vouloir de l’en- voyé vénitien contribuèrent à l'échec de la Croisade. D’après M. M. Szajnocha et Kubala, Tiepolo aurait versé 250000 écus au roi; or, pour obtenir une diversion de la part des Polonais, les Vénitiens leur firent parvenir seulement la modeste somme de 20000 écus, se tenant toujours sur la plus prudente ex- pectative, usant sans cesse de ruses équivoques pour pousser la Pologne à un conflit avec la Porte, sans vouloir prendre le moindre engagement, ni contracter aucune alliance, même défensive, se réservant au contraire la latitude de conclure la paix avec les Turcs, quand le moment leur paraitrait oppor- tun, et cela sans considération pour les autres états engagés dans la querelle. Cette manière d’agir de la ,Signoria“ sem- ble autoriser M. Czermak à croire que Venise ne voulait nul- lement la ruine de l’empire ottoman, ni l’établissement de la prédominance d’un état quelconque de l’Europe civilisée sur la Péninsule des Balkans. Elle craignait avant tout une con- currence qui eut sans doute porté atteinte au commerce lucratif qu’elle faisait avec lorient; elle ne voulait pas s’aliéner une na- tion dont l'incapacité dans les transactions commerciales et l’inertie incurable laissaient le champ libre à toutes les entre- prises hardies, aux corruptions faciles et productives (Chapitre X, p. 279 —290). Si le rôle joué par Venise à cette époque était plus ou moins exactement connu, la posture prise par la France dans cette même question est ici exposée pour la première fois. La correspondance de Mazarin avec Ladislas IV, Marie Louise et plusieurs autres grands personnages, les relations de l’envoyé de Brégy (1644—1648) sont les documents tirés des Archives du Ministère des affaires étrangères à Paris, sur lesquels lau- teur base ses conclusions. Mazarin, pendant longtemps, feignit d'entrer complètement dans les vues de Ladislas IV, lui pro- mettant l'appui matériel et moral de la France. Au commen- cement de l’année 1646, le cardinal semble même pousser le RESUMES 71 roi de Pologne à la guerre, et cette impatiente insistance de Mazarin détermine sans doute Ladislas IV à dévoiler ses pro- jets à la République (mai 1646). Cependant, à la fin de cette même année, le gouvernement français rétracte timidement ses promesses, sans cesser toutefois de maintenir le roi dans lil- lusion qu’aussitöt que les difficultés politiques au milieu des- quelles se débat la France, c’est à dire surtout la guerre en Allemagne), ‘auront heureusement pris fin, cette puissance n’hésitera pas à agir, de concert avec la Pologne, dans une campagne contre les Turcs et à faire, dans ce but, de grands sacrifices pécuniaires. Tout cela, ainsi que le démontre l’au- teur, n’était qu’une habile manoeuvre du cardinal pour détour- ner Ladislas IV de ses ambitions dynastiques, le forcer à con- server des relations amicales avec la Suède, alliée de la Fran- ce (Chapitre XIII: La France, la Suède et les projets de Ladislas IV). L’attitude de la papauté dans cette conjoncture ressort clairement des actes de la nonciature de l'archevêque de Tor- res qui séjourna en Pologne quelques années, à partir de 1645. Innocent X n’était pas, paraît-il, animé de l’esprit de Sixte-Quint. Il ne songeait ni à organiser des missions, ni mê- me à prendre l'initiative d’une propagande en faveur de la Croisade contre les Turcs, et la promesse d’un subside de 30,000 scudi, faite au roi de Pologne, — promesse qui du res- te ne fut pas tenue, — causa sans doute à celui-ci une vive surprise, car il s'attendait à recevoir de‘Rome 500,000 écus, payables en deux annuités, et il dut trouver bien mesquine la somme qu’on lui offrait, surtout en la comparant aux magni- fiques largesses prodiguées pour la cause sainte, par les prédé- cesseurs d’Innocent X. La vraie cause de cette parcimonie du Saint-Siége ne fut cependant, dit l’auteur, ni la mauvaisse vo- lonté du Souverain Pontife, ni la méconnaissance de l'intérêt capital qu'avait pour la chrétienté une action combinée géné- rale contre la Porte, mais tout simplement la situation lamen- table dans laquelle se trouvaient alors les finances des Etats de l'Eglise (Chapitre IX, p. 252—254). 212 RÉSUMÉS Telle fut la part que prit la papauté à l’entreprise. L’au- teur, après l’avoir bien déterminée, s'occupe de la mission di- plomatique du comte de Magni, en Italie, mission dont la re- lation, écrite par Magni lui-même, vient d’être découverte aux archives secrètes de Vienne. Cette pièce de premier ordre a permis de rectifier bien des assertions et de compléter les informations qu’on possédait déjà en la matière. Les matériaux que l’on a pu consulter à ces mêmes archives de Vienne et particulièrement les relations du rési- dent Walderode (1644 a 1647), ainsi que les instructions im- périales dont les minutes existent encore, permettent d’af- firmer que l’empereur Ferdinand III accueillit assez froi- dement les projets de Ladislas IV et se tint dans une in- différence invincible à leur égard. Malgré que la Turquie fût une ennemie naturelle de l’Empire, le souverain allemand dans tout le cours des négociations de 1645 à 1647, se montra d’a- bord fort réservé, puis contraire aux ouvertures du roi de Pologne. Leurs rapports en furent même considérablement ai- gris. Ferdinand III se voyait forcé de garder la plus stricte neutralité vis-à-vis de la Porte, et ne voulait à aucun prix engager des hostilités avec cette puissance, au moment où il avait besoin de toutes ses forces pour soutenir la guerre con- tre les états du Nord et de l'Occident (Chap. VII, p. 200— 205). Que fit alors la Russie? Les historiens russes et polonais ne nous donnent que de vagues et fort insuffisants renseigne- ments à ce sujet. Aussi l’auteur a-t-il fait de laborieuses recherches qui l’ont amené à la certitude qu’il n’y eut aucune alliance entre la Russie et la Pologne, et cela surtout à cause de l'opposition qu’y firent les Etats de Pologne. Cependant, en 1646, la Russie était sans aucun doute fort disposée à soute- nir la Pologne dans la lutte que celle-ci voulait entreprendre contre les Tatars; elle l’eüt fait avec toutes les ressources mili- taires dont elle disposait, et ses démarches pressantes pour obtenir la coopération de la Pologne dans une action contre la horde, son entrée en campagne, pendant l'été de 1646, RESUMES 73 sont des preuves catégoriques de la sincérité de ses intentions. L'auteur croit pouvoir affirmer que si la Pologne, ainsi que le voulait Ladislas IV, eût déclaré la guerre aux Tatars en sep- tembre 1646, la Russie eût marché à ses côtés dans cette expédition. Le récit de cette guerre de la Moscovie contre la horde, tel que le fait l’auteur, est dans ses traits essentiels sensiblement différent de celui que nous ont laissé les histo- riens dont nous avons parlé (Ch. IV. p. 85— 88; chap. VII, p. 209—214). La conduite de la Turquie, en présence de ces préparatifs menacants, a été clairement exposée par l’auteur, avec un luxe d'informations nouvelles, puisées en grande partie dans les matériaux publiés, par Hurmuzaki, dans le ,Recueil de documents concernant l’histoire de la Roumanie“. De l’examen de ces pièces il ressort clairement que les démonstrations belli- queuses de Ladislas IV firent naître, à Constantinople, les plus vives inquiétudes, et même, pendant l’automne de 1646, une véritable panique. La Porte mobilisa ses troupes pour protéger la ligne du Danube. Certains épisodes des rapports qui existè- rent alors entre la Pologne et la Turquie, entr’autres la mission à Constantinople du courrier Dziebaltowski, aux mois d’octobre et de novembre 1646, ont été sérieusement élucidés pour la première fois dans le présent travail. En ces circonstances, les hospodars de Moldavie et de Valachie se comportèrent d’une manière assez hésitante. Il ne pouvait d’ailleurs en être autrement. La position des vassaux de la Porte était alors des plus difficiles; ces princes, espionnés sans cesse, eussent perdu leurs biens et leur vie à la moindre suspicion. Il leur était done impossible d’avoir une politique à double face. Il n’est cependant pas douteux que la tyrannie odieuse qu’ils ne subissaient qu’en murmurant les rendaient avides de saisir toute occasion de s’en délivrer, et qu’il n’eussent pas hésité à se soulever contre le sultan, s’ils s'étaient sentis puis- samment soutenus, s’ils avaient espéré avoir des chances sérieuses de succès (Chap. IV, p. 88—92; chap. IX, p 257 —262). 74 RÉSUMÉS La Chapitre XIV, intitulé „Conelusion“, nous donne un tableau général de toute cette vaste entreprise et l’appreeia- tion de l’auteur sur ces fameux projets. La voici en résumé: Pour consolider les frontières Sud-Est de la République, garantir la sécurité des territoires touchant à ces frontières et régulariser leur situation économique et politique, pour atta- cher enfin les Cosaques à la Pologne par des liens durables, il fallait chasser les Tatars des régions situées entre le Dniepr et le Dniestr, et, les armes à la main, contraindre la Tur- quie à l’approbation de cette expulsion. Or, de 1645 à 1647, surgirent une foule de circonstances favorables à une expédition conre l’empire ottoman; le succès en semblait même assuré: il était done de l’intérêt bien entendu de la République d’en profiter, ainsi que le voulait si ardemment Ladislas IV. Les projets de ce prince ne reçurent pas même un commencement d'exécution; les Etats s’opposerent avec une ténacité insurmontable à toute action offensive contre la Porte. L'auteur attribue cette opposition, d'accord en cela avec Szajnocha, à l’apathie où était plongée alors la noblesse, amol- lie par les douceurs du bien-être, fruit de longues années de paix. Les magnats résistèrent aux vues du roi, parce qu'ils voyaient dans toute entreprise militaire une atteinte por- tée à leurs intérêts matériels: s’il l’on était entré en campagne, ils eussent dû enlever à la culture de leurs terres les Cosa- ques qu'ils étaient parvenus à y astreindre, et, par conséquent, leurs revenus en auraient été considérablement amoindris. Ils eraignaient d’un autre côté de renforcer la puissance per- sonnelle du roi, de lui rendre possible et facile un coup d'état qui, tout en grandissant les prérogatives de la couronne, eût diminué les leurs. Du reste, le roi Ladislas IV lui-même contribua à l’&chee de ses conceptions hardiess Au moment décisif où il fallait les exécuter résolument, les ressourses qui eussent été indispensables lui firent défaut, et il dut s’adres- ser, pour se les procurer en toute hâte, aux états voisins qui d’ailleurs ne les lui fournirent point. Le roi ne commit pas une moindre faute en ajoutant foi, avec une confiance ES RÉSUMÉS 75 tout à fait inconsidérée, aux promesses de coopération qui lui venaient de l'étranger. Enfin, l'entente secrète avec les Co- saques, l'accord par lequel ces derniers obtenaient, sans l’as- sentiment des Etats, à leur insu même, des franchises et des libertés exceptionnelles, fut aussi, pense l’auteur, une démar- che téméraire et maladroite. Les Cosaques devaient nécessai- rement devenir des mécontents, au cas où le pacte conclu ne serait pas observé, tandis que le fait lui-même de ces négocia- tions secrètes, de ces rapports cachés, de ces précautions prises pour tenir dans le plus profond mystére les conventions con- senties, initiait clairement les Cosaques à la situation inté- rieure de la République, les invitait à se montrer de plus en plus exigents, faisait naître en eux l’espérance que, dans de semblables conditions, rien ne leur serait plus aisé que de tirer de larges profits de cet état de choses. 14. — E. Baxprowsxr. 0 $wieceniu podezas krystalizacyi. (Über die Lichterscheinungen während der Krystallisation). Verfasser wiederholte die Versuche Heinrich Rose’s (Pog- gendorffs Annalen Bd. 35 S. 481—485 und Bd. 52 $. 443— 464, 585—609) über das Leuchten von Arsenigsäureanhy- drid und Kaliumsulphat und kam zu folgenden Schlussfolge- rungen: 1. Die Behauptung Rose’s, dass nur die glasige d. h. amorphe Modification des Arsenigsäureanhydrids beim Kry- stallisieren aus einer salzsauren Lösung leuchtet, ist nicht rich- tig. Das Lichtphänomen konnte sowohl bei der amorphen, als auch krystallisierten Modification in gleich starker Weise und beliebige Male hervorgebracht werden. 2. Arsenigsäureanhydrid leuchtet nur während der Kry- stallisation aus verdünnten sauren Auflösungen, wo- gegen in concentrierten der Lichteffect viel geringer ist auch sehr oft gänzlich ausbleibt, und in neutralen wässrigen oder alka- lischen die Lichterscheinung nie beobachtet. werden konnte. Bulletin II. 6) 76 RÉSUMÉS Aus diesen Thatsachen folgert der Verfasser, dass: a) die Behauptung Rose’s. als wäre die Ursache des Leuchtens im Übergange der amorphen in die krystallisierte Modification zu suchen, nicht aufrecht erhalten werden kann; 5) dass auch die Krystallisation selbst diese Ursache nicht bildet, da sonst nicht verständlich wäre, warum das Lichtphänomen nur in sauren Lösungen zum Vorschein kommt; ce) dass dieselbe vielmehr in einem chemischen Processe zu suchen ist, und zwar wahr- scheinlich in der Zersetzung der arsenigen Salze, welche in sauren Lösungen der Arsenigsäureanhydrids angenommen wer- den können, durch Wasser. Dafür sprieht: 1) die Thatsache, dass die sauren Lösungen v.rdünnt sein müssen, also eine grosse Wassermenge vorhanden sein muss, wenn das Lichtphänomen hervorgerufen werden soll, und 2) dass das Arsentrichlorid nach dem Auflüsen im heissen Wasser, beim Erkalten und Krystallisieren als Arsenigsäureanhydrid das Lichtphänomen dar- bietet. 3. Verfasser beweist, dass die Folgerungen, welche Rose aus seinen Versuchen über das Leuchten des Kaliumsul- phates gezogen hat, theilweise unrichtig sind. Die einschlägigen Ergebnisse des Verfassers sind: a) Reines Kaliumsulphat leuchtet nie beim Krystallisieren, wie dies auch Rose hervorhebt. b) Zur Lichterscheinung ist Natriumsulphat nothwendig, aber nicht deswegen, weil — wie Rose behauptet — beim Zusammenschmelzen beider Sulphate eine glasartige Masse ge- bildet wird, welche aus wässriger Lösung krystallinisch abge- schieden wird. Im Gegentheil beweist der Verfasser, dass die zusammengeschmolzene Masse beider Sulphate immer krystalli- nisch ist. Die Rolle der Natriumsulphats besteht darin, dass dasselbe mit Kaliumsulphat ein Doppelsalz von der Formel 2K,SO,+Na,SO, liefert, welches eben die Eigenschaft besitzt unter starker Lichtentwickelung aus neutralen Lösungen sich abzuscheiden. c) Verfasser beweist, dass es unnöthig ist, die beiden Sul- phate vorher zusammenzuschmelzen, da es vollständig genügt, 1 e .- TE EEE BE ET Th De RESUMES -T 7 dieselben mit Wasser einige Zeit zu kochen. Das beste Ver- hältniss beider Sulphate in der Lösung ist: 2K,SO, : 1Na,SO,. d) Das Salz 2K,SO,+Na,SO, kann jedoch unter gün- stigen Contractionsverhältnissen aus Lösungen, die die beiden Sulphate in andern Verhältnissen enthalten, ausgeschieden werden, namentlich aus Lösungen der Sulphate im Verhält- nissse 1'’5K,SO, : 1Na,SO,, ja sogar 1K,SO, : 1Na,SO,. Das letzie Verhältnis ist eben dieses, welches Rose angewendet hatte, und welches ihm sehr oft die Lichterscheinung nicht gezeigt hatte. Dieser Umstand erklärt sich einfach dadurch, dass Rose seine Versuche mit sehr concentrierten Lösungen gewöhnlich angestellt hatte, aus welchen beim Verhältnis K,SO,: Na,SO, Krystalle abgeschieden werden, welche mehr Natriumsulphat, als es der Formel 2K,SO, +Na,SO, entspricht, enthalten. So- bald jedoch die Lösung verdünnter gemacht wird, bleibt der Ueberschuss an Natriumsulphat in der Mutterlauge, wogegen die Krystalle 2K,SO,+Na,SO, langsam unter starker Licht- entwickelung abgesetzt werden. e) Das Doppelsalz 2K,SO,+Na,SO, kann auch in der Lösung eines Gemenges von Kaliumsulphat und Natriumchlo- rid, Natriumsulphat und Kaliumchlorid, Kaliumsulphat und Natriumcarbonat entstehen. Es braucht sogar die Mischung nicht vorher geschmolzen zu werden. Die Lösungen leuchten beim Erkalten. f) Die Lichtentwickelung bei der Krystallisation des Doppelsalzes erscheint in allen Puneten gleich der bei der Krystallisation des Arsenigsäureanhydrids. Die Ursache der Erscheinung scheint auch und zwar in Berücksichtigung der Thatsache, dass weder Kaliumsulphat noch Natriumsulphat leuch- ten, in einem chemischen Processe zu liegen. 4. In beiden Fällen erscheinen die ersten Lichtfunken, sobald schon eine gewisse Menge der Krystalle sich ausgeschie- den haben. Die ersten zum Absatze gelangenden Krystalle leuch- ten nie. 5. Bei der Lichtkrystallisation lässt sich immer ein Ge- räusch bemerken, das geradezu rhytmisch jedem Funken nach- I 78 RESUMES folgt. Dieses Geräusch erinnert unwillkürlich an kleine ele- etrische Entladungen, 6. Verfasser vergleicht die Krystallisations-Lichtphäno- mene mit denen der Fällungen von Natrium und Kaliumchlo- rid, sowie Kaliumbromid (mittelst Bromwasserstoffsäure aus wässrigen Lösungen). Die ersten sind stark und funkenartig, die letzten erinnern vollständig an das Phosphorescenzlicht mit dem Unterschiede, dass bei günstig angewendeten Concentra- tionsverhältnissen auch hier Funken auf dem Phosphorescenz- grunde zum Vorschein kommen. 15. — M. Kowarewskı. Studya helmintologiezne Il. Przyczynek do histolo- gieznej budowy sköry niektörych przywr. (Helminthologische Stu- dien II. Ein Beitrag zum histologischen Bau der Haut einiger Trematoden). Mit 1 Taf. Die Hauptergebnisse dieser Arbeit lassen sich folgender- massen kurz zusammenstellen: Verfasser betrachtet die Haut der Trematoden als ein epitheliales Gebilde, weiches durch directe Umbildung der zelligen Körperwand sehr junger Cerkarien, die unterhalb der später abzuwerfenden provisorischen Membran (Looss) liegt, entstanden ist, und sucht diese Umbildung durch beigegebene Schemata (Fig. 13) zu illustrieren. Nach Verfassers Meinung soll diese Wand, — auf Grund der definitiven Zustände bei erwachsenen Thieren, — in einem sehr frühen Entwickelungs- stadium der Cerkarien das Bild gewähren, wie es Fig. 13 A. zeigt (die Zellgrenzen sind hier so nur deutlichkeitshalber ein- getragen), also ein Syncytium darstellen, dessen Kerne an die basalen Theile (wie in Epithelien) desselben gebunden sind. Durch das sehr frühzeitige Auftreten des Hautmuskelschlau- ches diebt unterhalb der Körperoberfläche, dann des Körper- parenchyms etc., und das weitere Wachsthum dieser Elemente, werden die anfangs sehr breiten Protoplasmabrücken, welche die äussere kernlose Hautschicht mit den tieferen zelligen kern- ra ‘ ENT er, #3 CRE OT re D RÉSUMÉS 79 haltigen Theilen der Haut verbinden, durch den dadurch ver- ursachten Druck zu äusserst feinen Fäden umgebildet (Sche- ma, Fig. 13 B. und C.; g. in diesen Figuren bezeichnet Hautdrüsen). Durch diese dünnen Fäden oder Protoplasma- brücken (mp., Fig. 6) können natürlich die viel grösseren (brei- ten) Kerne nicht in die obere Hautschicht gelangen; aus die- sem Grunde betrachtet Verfasser das Suchen nach den Ker- nen hier als erfolglos. Die obere Hautschicht, welehe die äussere definitive Be- deckung des Trematodenkörpers bildet, zerfällt nach Verfasser in folgende Schichten: Zu äusserst liegt eine dickere (D. Froe- lichii, Fig. 1 wp. und D. echinatum) oder dünnere (D. hepa- ticum, Fig. 8, D. ovatum, Fig. 7, D. cylindraceum, Fig. 9, D. tereticolle, Fig. 10, und Polystomum integerrimum, Fig, 11, wp.) Stäbchenschicht, die aus einzelnen, dicht zusammen- gefügten, hellen, stark lichtbrechenden Stäbchen (Schema, Fig. 12 a. und b., p.) besteht, welche durch eine dunklere Masse mit einander verbunden sind. Dieselben erscheinen an ihren basalen Enden bei D. Froelichii und D. echinatum ver- dünnt, bei den übrigen hier untersuchten Arten aber nicht. Die Stäbchen stehen in regelmässigen, sich untereinander recht- winklig kreuzenden Reihen (von oben betrachtet, Fig. 2, Sche- ma Fig. 12 b.). Die diese verdünnten Enden (bei D. Froelichii) von einander trennenden Räume täuschen eine scharfe Linie vor — Stäbchengrenzlinie (lg., Fig. 1, Fig. 12 a.). Mit ihren proximalen Enden sitzen die Stäbchen unmittelbar auf der mehr (Fig. 8, wn.) oder weniger (Fig. 1, wn.) dieken hyali- nen Protoplasmalage — Ansatzschicht der Stäbchen. Verfasser meint, dieser letzteren entspreche die ganze Haut bei D. tere- ticolle (Fig. 10). Er betrachtet die Stäbchenschicht als eine lebendige, was aus dem Vergleiche derselben mit den euti- eulären Stacheln erhellt, aber zugleich als eine an der Seite der echten Cuticula stehende Schicht, was sich aus ihrer Lage, ihrem Bau, so wie besonders ihrem Verhalten gegen die Mün- dungen der Hautdrüsen (Fig. 3) kundgibt. Er macht auch aufmerksam auf gewisse Aenlichkeit des in Rede stehen- 80 RÉSUMÉS den Gebildes, einerseits mit der s. g. „Alveolarschicht“ (Bütschli), andererseits mit der „Zwischenstückenschicht“ der Cilien auf der Oberfläche der Haut der Turbellarien (Böhmig) und Ne- mertinen (Bürger) (hierzu Schema 12 a. rz.) Darunter liegt die breiteste Hautschicht — die Körnerschicht (wz., Fig. 1, 8, Schema Fig. 12 a.), in welcher die Protoplasmakörnchen in parallele, zur Oberfläche der Haut senkrecht stehende Reihen angeordnet sind. Die einzelnen Körnehen in derselben Reihe sind einander mehr genähert, als nebeneinander liegende Körn- chen zweier benachbarten Reihen. Ausserdem sind diese Rei- hen so angeordnet, dass die zwischen ihnen eingeschlossenen Theile des Protoplasmas mit den entsprechenden Stäbehen in einer Linie liegen (Fig. 1, 8, 12 a.). Die Bildungen, welche hier in Gestalt von allerlei Art Vacuolen öfters auftreten (stets auf Alkoholpräparaten — Fig. 6, zb), erklärt Verfasser für Kunstproducte. Die unterhalb der Körnerschicht sich befindende dünne basale Schicht (wp., Fig. 1 und 8) liegt unmittelbar der strukturlosen Basalmembran (bp., Fig. 6) auf. Diese letz- tere durchsetzen zahlreiche feine Protoplasmabrücken (mp., Fig. 6), welche die äussere Hautschicht, eigentlich ihre basale Sehieht, mit den tiefen, zelligen Elementen der Haut (Drüsen- zellen — Brandes, besondere Parenchymzellen — Looss) ver- binden. Dass die Basalmembran eine besondere Schicht dar- stelle, glaubt Verfasser aus ihrer Lage, ihrem Aussehen, so wie ihrem Verhalten gegen einige Farbstoffe im Vergleich mit dem ‘der Intracellularsubstanz des Parenchyıns schliessen zu dür- fen. Verfasser bespricht eingehender die Protoplasmabrücken und sucht zu beweisen, dass dieselben nicht die Enden der dorsoventralen Muskeln darstellen, welehe sich dicht unterhalb der Basalmembran befestigen u. s. w., — obwohl man die Frage nach der Natur dieser Brücken nach den Beobachtun- gen von Looss an D. variegatum und and. schon als gelöst betrachten könnte. Verfasser vervollständigt weiter die treffli- che Looss’sche Beschreibung der Hautdrüsen und zwar haupt- sächlich durch Angaben über ihre Mündungen, welche an der Grenze zwischen der Stäbchen- und Ansatzschicht liegen RÉSUMÉS 81 (Fig. 3,4, 5). Im Protoplasma der letztgenannten Schicht (theil- weise auch in der Körnerschicht) bei D. hepaticum (Fig. 8) so- wie in der ganzen Haut bei D. tereticolle (Fig. 10) konnte Ver- fasser deutlich Körnchen unterscheiden, welche viel blasser erscheinen, als gewöhnliche Protoplasmakörnchen, und welche gewiss einer der Hauptbestandsubstanzen des Protoplasmas entsprechen. Was die Untersuchungsmethoden anbelangt, so bemerkt Verfasser, dass die Stäbchenschicht und die Hautdrüsen nur an Osmiumpräparaten mit aller Deutlichkeit zu sehen waren, die Protoplasmabrücken und die Basalmembran wieder an Thieren, welche eine Zeit lang nach dem Tode ihrer Wir- the an ihrem Aufenthaltsorte geblieben und dann erst mit 35°%/,—70°/, Alkohol getödtet waren. In einem späteren Zusatze bespricht Verfasser kurz den Hautnervenplexus. Veranlassung dazu gab dem Verfasser die Arbeit von Blochmann (Biolog. Centr., Nr. 1, 1895) über den- selben bei den Cestoden. Verfasser hatte schon früher die Gol- gi’sche Methode auf die Trematoden angewandt, die Bilder waren aber nicht recht schön und Verfasser traute ihnen desshalb nicht. Nach abermaliger Durchmusterung seiner Präparate sah er ziem- lich ähnliche Bilder (bei, D, echinatum, siehe Holzschnitt!) ), wie die von Bloehmann bei den Cestoden. Auf Grund dessen eorrigiert er nun seine oben ausgesproenene Ansicht über „Pro- toplasmabrücken“ in dem Sinne, dass ein Theil derselben in die Kategorie der Nervenfasern, welche in der unteren Schicht der Haut mit becherartigen Anschwellungen endigen, gehört. !) Nach einem dicken Querschnitte. 82 RESUMES 16. — N. Cyeurskı, Dalsze badania nad funkcya nadnereza. (Weitere Un- tersuchungen über die Function der Nebenniere). Mit Rücksicht auf die Bedeutung der Thatsachen, wel- che die Wirkung der Nebennieren-Extracte betreffen, hat Ver- fasser eine Reihe von Untersuchungen einerseits über die Ex- tracte selbst, andererseits über ihre Wirkung auf den thieri- schen Organismus durchgeführt. Diese Untersuchungen haben Folgendes ergeben: 1) Die aus der Nebenniere des Ochsen, Kalbes, Schwei- nes und Kaninchens bereiteten Extracte (aus 1 Theile Neben- nierengewebe auf 10 Theile destilliertes Wasser, 50°/, oder rei- nes Glycerin, Alkohol, 1°/, Schwefelsäure oder 1°/, Salzsäure) hatten qualitativ eine ganz gleiche Wirkung, wenn sie auch in Bezug auf den Grad der hervorgerufenen Erscheinungen sich etwas von einander unterschieden. Diese Erscheinungen beruhten, wie bereits bei der vorigen Sitzung angegeben wurde, anfänglich auf Puls-Verlangsamung mit nachheriger Beschleu- nigung, ferner auf bedeutender Steigerung des Blutdruckes und starker Beschleunigung der Athmung. Es muss bemerkt werden, dass die Alkohol-Extracte vor der Einführung in die Vene abgedampft, und der Rückstand neuerlich in Wasser im Verhältnisse 10:1 der ursprünglichen Nebennierenmasse aufgelöst wurde; obgleich der Alkohol-Extract selbst nach der Abdampfung eine ganz geringe Menge fester Substanz lieferte, und letztere nur theilweise in Wasser sich auflöste, wirkte dennoch die Lösung nach dem Abfiltrieren ebenso energisch wie der gewöhnliche Wasser- oder Glycerin-Extract. Daraus muss demnach geschlossen werden, dass die auf die oben an- geführten Nervencentren wirkende Substanz sich in demselben Verhältnisse in Wasser wie in Alkohol löst. 2) Der ätherische, Chloroform- und Amylalkohol-Extract hatte nach Abdampfung und Lösung des Rückstandes sogar in 10-facher Menge keine Wirkung. RESUMES 83 3) Alkalische, nachher neutralisierte Extraete blieben eben- falls ohne Wirkung oder riefen nur solche momentane Verän- derungen hervor, wie sie gewöhnlich nach Injection von 1—2°/, Kochsalzlösung beobachtet werden, dagegen waren die Salz- und Schwefel-Säure-Extracte neutralisiert ebenso activ wie die wässerigen Extracte. 4) Wurde der wässerige Extract der Wirkung des Ma- gensaftes ausgesetzt und dann neutralisiert, so zeigte er eine etwas schwächere Wirkung, doch konnten auch in diesem Falle die hervorragenden Eigenschaften der Wirkung der Ne- bennieren-Extraete auf den Organismus constatiert werden. 5) Wurde die Nebenniere zuerst in Wasser gekocht und dann erst zerrieben (im Verhältnisse von 1 Theile Gewebe zu 10 Wasser), so war die Wirkung sehr gering. 6) Die Dialyse des Wasser- oder Glycerin-Extraetes oder direet einer Mischung von Nebennieren Gewebe mit Wasser lieferte eine Substanz, die dem wässerigen Extracte ganz ähn- lich wirkte, wenn die Menge des im Dialysator und in der Mischung angewendeten Wassers im Verhältnisse von 1:10 blieb. 7) Der wässerige und alkoholische Extract verlor seine Wirkung nach dem Aufkochen nicht. 8) Der wässerige Extract einer bei 110° C. ausgetrockne- ten Nebenniere hatte eine überhaupt sehr schwache Wirkung; der Alkohol-Extraet einer ebenfalls bei 110% C. getrockneten Nebenniere erwies sich ganz wirkungslos. 9) Wurde der wässerige Extract mit 1°/,-ger Natron- oder Kali-Lauge alkalisiert und hiernach neuerlich neutralisiert, so hatte er bei Einführug in die Vene dieselbe Wirkung wie vor der Alkalisation. 10) Der wässerige sowie der Glycerin-Extract, welcher durch Chamberlandsche Filter filtriert, völlig steril bereitet und in zugelötheten Gefässen autbewahrt wurde, hat sich in seineı Wirkung von den gewöhnlichen Extraeten gar nicht unter- schieden, sondern wirkte vielmehr etwas energischer, 84 RÉSUMÉS Die Wirkung dieser Extracte von 1 Theile des Nebennie- rengewebes zu 10 Theilen Flüssigkeit ist überhaupt so stark, dass manche Thiere, wie z. B. Kaninchen, schon nach Ein- spritzung von 1 cm? in die Vene zu Grunde giengen und in Folge dessen war die Untersuchung des Einflusses der Extra- cte in dieser Concentration unmöglich; dagegen haben die Versuche mit mehr verdünnten Extracten ergeben, dass fri- sche Extraete in einer sogar 50 mal kleineren Dose, als die obige, dieselben, jedoch kurz anhaltenden, Erscheinungen her- vorriefin. Ebenso konnte man noch einmal die Thatsache con- statieren, dass die Extracte aus der Cortical-Substanz der Ne- benniere bedeutend schwächer wirken, als die Extracte aus der Medullar-Substanz. Bei Verwendung eben dieser verdünnten Extracte konnte der Autor constatieren, dass der Tod des Thieres nicht in Folge der giftigen Wirkung der in der Nebenniere enthaltenen Sub- stanz erfolgt, sondern in Folge ihres erregenden Einflusses auf die Centren des verlängerten Markes, wie hievon bereits in der vorigen Mittheilung von Dr. Szymonowiez Erwähnung ge- macht wurde; beim Einspritzen von verdünnten Lösungen kann man in den thierischen Organismus eine viel grössere Menge als 1 cm? 10°/,-gen wässerigen- oder Glycerin-Extractes ein- führen und trotzdem bleibt das Thier am Leben; bei manchen Versuchen betrug die Menge der eingeführten Flüssigkeit bin- nen 1—2 Stunden über 30 em? bei Kaninchen und über 80 em3 10°/,-gen Lösung bei Hunden und das Thier blieb trotz- dem am Leben. In jenen Fällen, wo der Tod des Thieres rasch erfolgte, konnte man als unmittelbare Todesursache Extravasate in den Lungen, im Herzen, manchmal auch im Gehirn und im Marke constatieren, in manchen Fällen verbun- den mit Lungenödem, in anderen mit bedeutenden Infarcten; manchmal genügten zur Herbeiführung des Todes blos Extra- vasate im Herzen; demnach erfolgt der Tod nicht durch die giftende Wirkung der in der Nebenniere enthaltenen Substanz, sondern in Folge ihrer erregenden Wirkung auf das vasomo- torische Centrum und der dadurch hervorgerufenen Blutdruck- ui 7. His ne 2 di ET 7 OP VII PO RD TETE TS £ . 4 + RÉSUMÉS 85 steigerung, und aus diesem Grunde tritt derselbe fast aus- schliesslich nur bei Kaninchen ein, bei denen die Gefässe, na- mentlich die Lungengefässe, schr schwach sind; aus diesem Grunde werden auch bei Kaninchen Extravasate besonders aus den Bronchial- Arterien beobachtet. Bei der Einführung verdünnter Lösungen wiıd vor Allem die Wirkung auf die Herzthätigkeit ersichtlich. Es tritt eine bedeutende Verlangsamung der Herzaction ein, welche aber nach weiteren Injeetionen besonders bei Kaninchen aufhört und in Beschleunigung übergeht. Diese Erscheinung hängt ausschliesslich nur von der Wir- kung der im Nebennieren-Extracte befindlichen Substanz auf das Vagus-Centrum im verlängerten Marke ab, da nach Durch- schneidung der Nervi vagi sofort eine Pulsbeschleunigung eintritt und die Reizung ihrer peripheren Enden immer eine ganz exacte Verlangsamung oder Hemmung der Herzthätig- keit herbeiführt. Nur in dem Maasse, als immer grössere Mengen iniciert werden, sinkt auch die Erregbarkeit der peripheren Vagi- Stümpfe, bis sie zuletzt völlig erlischt, so, dass die Nn. vagi wie bei Atropin-Vergiftung keinen Einfluss mehr auf die Herz- thätigkeit ausüben. Doch ist in diesem Falle trotz der Unthä- tigkeit der Nn. vagi die Herz-Action im Vergleich zur Norm ein wenig verlangsamt, was auf eine Lähmung der motorischen Mechanismen des Herzens zurückgeführt werden muss. Am spätesten wird das vasomotorische Centrum gelähmt. Zwar sinkt nach jeder Injection einer grösseren Menge des Extractes der gesteigerte Blutdruck verhältnissmässig ziemlich rasch herab, doch ruft im Stadium des Rückganges des Blutdruckes zur Norm oder unter die Norm die Einführung einer erneuer- ten Dose des Extractes wieder eine Blutdrucksteigerung her- vor. Erst nach sehr grossen Gaben tritt Lähmung des vaso- motorischen Centrums ein, und dann bleiben weitere Injectio- nen ohne Einfluss auf den Blutdruck, doch lebt das Thier trotz dem Allem fort, & en RÉSUMÉS Beinahe so lange wie auf das vasomotorische Centrum, äussern die Extracte ihre Wirkung auf die Athmung, falls keine Extravasate in den Lungen erfolgen. Nach jeder Injection erscheint nämlich eine Beschleuni- gung der Athembewegungen, welehe dabei oberflächlicher wer- den. Doch wird dieser Einfluss auf die Athmung mit der Zeit immer schwächer. Bei manchen Versuchen hörte die Athmung nach Finführung von 1 cm? einer starken Lösung auf, und in diesem Falle vermochte künstliche Athmung das Thier nicht nur am Leben zu erhalten, sondern das Thier begann sogar nach einer Zeit spontan zu athmen. In diesen Fällen tritt offen- bar Lähmung des Athmungs-Centrum ein. Bei Fröschen sinken die Reflexe nach Einführung von 1 cm? wässerigen Extractes (1 : 10 Wasser) allmälig, aber beständig. Im Allgemeinen bemerkt man bei der Einwirkung der Nebennierenextracte auf verschiedene Thiere, wie: Kaninchen, Hunde, Katzen ete. und sogar auf verschiedene Individuen derselben Gattung, gewisse individuelle Unterschiede, doch blei- ben im Grunde die durch diese Extracte hervorgerufenen Veränderungen dieselben. Das rasche Verschwinden der durch die eingeführten Extractmengen hervorgerufenen Erscheinungen: drängte zur Annahme, dass entweder die active Substanz dieser Extracte sehr schnell durch die Nieren aus dem Organismus ausgeschie- den wird, oder im Organismus selbst irgend eine Umwandlung erleidet. Um sich davon zu überzeugen, wurde der Harn der Thiere, welchen durch längere Zeit eine grössere Menge des Nebennieren-Extractes eingeführt worden ist, untersucht und dessen Wirkung mit jener des normalen Harnes verglichen. Aus diesen Untersuchungen hat sich erwiesen, dass wenigstens ein Theil der eingeführten Substanz tbatsächlich in den Urin übergeht, weil der Harn solcher Thiere ähnlich wie der Ex- tract selbst, wenn auch viel schwächer, wirkt, während der normale Harn in derselben Menge (I—4 cm?) ins Blut ein- RÉSUMÉS 87 geführt, entweder gar keine oder ganz entgegengesetzte Verän- derungen hervorruft. Es erübrigte noch dem Vf. aufzuklären, ob die Substanz, welche die oben erwähnte physiologische Wirkung hat, aus dem Nebennieren-Gewebe erst nach dem Tode im Momente des Verreibens entsteht, oder ob dieselbe bereits in der leben- den Nebenniere vorhanden ist und dank ihrer oben erwähn- ten Eigenschaft zu diffundieren, fortwährend in das die Neben- niere durchströmende Blut übergeht. Zu diesem Zwecke sam- melte Vf. aus der Nebennierenvene eines Hundes nach Un- terbindung aller kleinen Venen, die durch die Nebennieren- vene in die V. cava inferior einmünden, vermittels einer Canüle das aus der Vene auströmende Blut in ein Gefäss, wo es defibriniert wurde; gleichzeitig entnahm er aus der V. jugularis desselben Thieres etwas Blut, welches er ebenfalls defibrinierte. Sodann führte er das eine und das andere Blut in Mengen von höchstens 4 em? Kaninchen, 12 em? Katzen und 30 em? Hunden in den Kreislauf. Die Versuche ergaben, dass während die Einspritzung des Blutes aus der V. jugularis oder aus irgend einer anderen Vene nicht die geringsten Veränderungen des Pulses des Blutdruckes oder der Athmung hervorrief, nach der Einführung des Nebennierenblutes dieselben Erscheinungen auftraten, wel- che oben angegeben worden, wenn auch in etwas geringerem Grade. Diese mehrmals wiederholten Versuche haben mit voller Bestimmtheit ergeben, dass die in den Nebennieren-Extracten wirkende Substanz löslich ist und der Osmose unterliegt; dieselbe ist auch in der lebenden Nebenniere vorhanden und übergeht von hier fortwährend in das Blut. Indem Vf. diese Ergebnisse mit denjenigen, welche Dr. Szymonowiez im Laboratorium des Verfasses nach Exstirpation der Nebenniere erhalten hat, zusammenstellt, nämlich Sinken der Temperatur, Herabsetzung des Blutdruckes fast auf Null, Erschwerung der Athmung und der Bewegungen, leichte Läh- mung oder eigentlich Rigidität der hinteren Extremitäten im 88 RÉSUMÉS ersten Stadium mit nachheriger dem Tode vorangehender Er- schlaffung der Glieder, wie auch mit den Symptomen der Ad- disson’schen Krankheit als Erschlaffung der Muskeln, hoch- gradige Ermüdbarkeit, vollständiger Kräftemangel, Herzschwä- che, Erschlaffung der Gewebe, ferner mit Rücksicht darauf, dass die in Rede stehende Substanz in mässigen Dosen nicht giftig ist, sondern hauptsächlich auf jene 3 Centren (vasomo- torisches-, Vagus- und Athmungscentrum), die durch das ganze Leben des Organismus fortwährend thätig sein müssen und die nach der gegenwärtigen Anschauung der Physiologie stets im Zustande tonischer Spannung sich befinden, wie auch aller Wahrscheinlichkeit nach die den Muskel-Tonus beherrschenden Centren einwirkt, gelangt Verfasser zu folgendem Schlusse. Die Bildung obiger Substanz ist die eigentliche Function der Nebenniere; der Organismus, der verschiedene Impulse er- hält, welche zur Quelle verschiedener Reize für die Nerven- Centren werden, dabei aber mehr oder weniger zufälliger Na- tur sind, besitzt eine eigene Drüse, welehe unaufhörlich eine Substanz bildet, die auch olıne das Hinzuthun jener Nebenreize die Thätigkeit obiger Centren zu erhalten im Stande ist. Diese physiologisch fortwährend in der Nebenniere gebildete Sub- stanz besitzt keine eumulative Wirkung, die manchen Alkaloi- den und anderen Giften eigen ist. Daraus folgt, wofür auch die Experimente mit Exstirpation der Nebenniere und die da- bei hervortretenden pathologischen Erscheinungen sprechen, dass ohne diese Drüse die Existenz des Organismus unmöglich wird, weil jene zufälligen Reize, welche auf den Körper ein- wirken, nicht im Stande sind, in gleicher unveränderter Thätigkeit das Athmungs- und Vagus-Centrum und, was viel wichtiger, das vasomotorische Centrum zu erhalten. In welche Gruppe von Körpern soll diese Substanz ein- gereiht werden ? Die Antwort auf diese Frage betrachtet Vf. aus dem Grunde als sehr schwierig, weil die Quantität, die man sogar aus grossen Mengen von Nebennieren erhalten kann, viel zu klein ist, um zur gründlichen Analyse dienen zu können. Ob RÉSUMÉS 89 diese Substanz als ein Antitoxin gegen andere im Organismus sich bildenden Gifte dient, kann dermalen schwerlich beant- wortet werden, vor Allem mit Rücksicht darauf, als wir diese Toxine gar nicht kennen. Ihre Bedeutung für die Thätigkeit oben erwähnter Centren lässt sich viel einfacher und rationel- ler als eine direet erregende Wirkung auf dieselben deuten, wie als eine neutralisierende Wirkung auf irgend welche ünbe- kannte Körper, die die Thätigkeit dieser Nerven-Centren herab- setzen sollten. Subeutane Injectionen des Nebennieren-Extractes rufen ebenfalls Veränderungen des Pulses und des Blutdruckes her- vor, aber in sehr geringem Grade. Dieser Umstand beweist einerseits, dass die Substanz langsam aus dem Unterhautzellgewebe resorbiert wird, ander- seits aber schnell eliminiert oder im Körper vernichtet wird. Das rasche Verschwinden der Folgen, welche durch die Extracte oder durch das Blut der Nebenniere hervorgerufen werden, beruht höchstwahrscheinlich auf Oxydation der Sub- stanz unter Mitwirkung der Gewebselemente selbst. Denn Arterien-Blut mit dem Extracte gemischt verringert die Kraft des Extractes nieht, sogar nach einige Minuten dauerndem Schütteln mit Luft, dagegen vernichtet die Zugabe einiger Tropfen 1°/, Kalihypermanganat-Lösung sofort die Wirkung der Extracte. Wenn daher im Organismus Mangel an Sauerstoff eintritt, z. B. während des Erstickens der Thiere (Dyspnoë), muss diese Substanz sich im Blute anhäufen und ihre Wirkung entfalten. In Wirklichkeit spricht die Vergleichung des Bildes, welches während des Erstickens der Thiere hervortritt, mit dem Bilde, welches die Injection der Lösungen hervorruft, völlig für diese Ansicht. Diese Bilder sind einander ganz ähnlich, besonders wenn kleine Mengen der Substanz angewendet werden. Auf Grund dessen gelangt Vf. zum Schlusse, dass die von anderswoher bekannte Toxicität des Blutes asphyctischer Thiere in der Ansammlung dieser Substanz im Blute ihren Ur- sprung hat, welche zwar in normalen Verhältnissen fortwährend 90 RESUMES gebildet wird, aber ebenfalls unaufhörlich durch die Gewebe verbraucht wird. Um sich zu überzeugen, ob diese Behauptung richtig hat Vf. noch folgende zwei Versuchsreihen durchgeführt. In der ersten verglich er die beim normalen Thiere auftre- tenden Dyspno&-Erscheinungen betreffend den Blutdruck, den Puls’ und die Athmung mit denjenigen, welche bei einem Thiere im Laufe einiger Stunden nach der Exstirpation beider Nebennieren auftreten. In der That constatierte er, dass in der ersten Stunde nach der Exstirpation das Thier unter dem Ein- flusse des Erstickens alle gewöhnlich auftretenden Dyspnoë- Erscheinungen aufweist (Blutdrucksteigerung, Pulsverlangsa- mung, Beschleunigung und Vertiefung der Athmung); nach Ablauf von etwa 2 Stunden werden diese Erscheinungen wäh- rend der Erstickung ganz verändert, der Blutdruck steigt nicht, sondern wird vielmehr herabgesetzt, die Athmung wird ver- langsamt, statt sich zu beschleunigen, und nur die Pulsverlang- samung kann noch constatiert werden. Nach etwa 3—4 Stun- den tritt auch diese Verlangsamung der Athmung zurück, das Sinken des Blutdruckes wird immer hervorragender, und das Thier verfällt schon in einigen Secunden nach dem Beginn des Erstickens ohne Krämpfe und, ohne forciert geathmet zu haben, in den Zustand der Agonie so, dass nach dem Aufhören der Luft- absperrung weder der Blutdruck, der bis auf Null herabgesunken war, stieg, noch Athembewegungen eintraten. In diesem Stadium konnte der Zustand durch eine Injection in die Vene von 1 em° des 10°/ dialysierten wässerigen Nebennieren-Extractes unterbrochen werden: das Blut stieg dann binnen einigen Secunden wieder fast zur Norm oder sogar höher hinauf, die Herzcontractionen wur- den voller und energischer, und nach Einführung eines zwei- ten cm? begann sogar das Thier zu athmen. Wurde bei einem solehen Thiere nach einigen Minuten wieder Erstickung her- vorgerufen, so traten bei demselben alle Dyspnoë-Erscheinun- gen wie bei einem normalen Thiere auf. In einer zweiten Reihe von Versuchen führte der Vf. Blut von einem in dyspnoischem Zustande sich befindenden oder von 1st, RÉSUMÉS 91 einem zum Tode erstiekten Thiere einem anderen Thiere intra- venös ein. In beiden Fällen traten stets Veränderungen im Blutdrucke, Puls und in der Athmung wenn auch nicht sehr ausgesproeben, so doch deutlich genug ein. Am deutlichsten war die Pulsverlangsamung nach Injection kleiner Mengen (4 em?) Blutes des erstickten Thieres. (Diese Versuche wurden an Kaninchen ausgeführt). Die obigen Untersuchungen haben den Vf. in der Über- zeugung gestärkt, dass ein bedeutender Theil der die Dyspno& begleitenden Erscheinungen der Anhäufung der von den Ne- bennieren herstammenden Substanz im Blute zuzuschreiben ist. Ob die Gegenwart von in den Nebennieren gebildeten Substanzen im Blute nur auf die drei erwähnten Gruppen von Centren ihren Einfluss ausübt, oder ob dieselben vielleicht auch auf andere Theile des Nervensystems oder sogar auf an- dere Gewebe einwirken, werden weitere im Laboratorium des Vert. unternommene Forschungen zeigen. 17.— K. Zorawskı: 0 wielkosciach zasadniezych ogölnej teoryi powierzchni. (Über Fundamentalgrössen der allgemeinen Flächen- theorie). In dieser Note werden diejenigen Differentialinvarianten der Gruppe der Euklidischen Bewegungen des Raumes x, y, 2 betrachtet, welehe man erhält, sobald man diese Gruppe in Bezug auf alle Differentialquotienten von x, y, z nach zwei unabhängigen Veränderlichen «, v erweitert. Es wird bewiesen: 1) dass alle diese Differentialinvarianten Functionen der Fundamentalgrössen erster und zweiter Ordnung (Z, F, G, L, M, N) der Flächentheorie und deren Differentialquotien- ten sind; 2) dass zwischen E, F, @, L, M, N und deren Diffe- rentialquotienten nur die bekannten drei Relationen (Siehe: Bulletin IM. 3 99 RÉSUMÉS Knoblauch. Einleitung in die allgemeine Theorie der Flächen. Leipzig. Teubner. 1888. p. 72—-82) und die aus denselben durch Differentiation sich ergebenden stattfinden; 3) dass Z, F, G und ihre Differentialquotienten allein durch keine Relation miteinander verbunden sind. 18. — S. KeriXski: 0 zwiazkach dwuliniowych miedzy stalemi catek roz- wiazan pewnych röwnan rözniczkowych rzedu 2-go. (Über bilineare Relationen zwischen den Constanten, welche bei Integralen der Lösungen gewisser Differentialgleichungen 2-er Ord- nung vorkommen). Indem Verfasser einen Weg einschlägt, ähnlich dem- jenigen, welchen Riemann und nachher Briot et Bouquet zur Erlangung der bilinearen Relationen zwischen den Perioden der Integrale der algebraischen Functionen gebraucht haben, stellt er auch für höhere Funetionen, nämlich für Integrale solcher Functionen, welche gewissen homogenen Differential- gleichungen 2-er Ordnung genügen, bilineare Relationen auf, die zwischen den Constanten der Integrale jener Functionen, oder anders: zwischen den bestimmten Integralen jener Func- tionen bestehen. Zu diesem Zwecke werden solche Differen- tialgleichungen gewählt, denen zugehörige Substitutionen durch- aus Determinante 1 besitzen und aus deren Lösungen gebildete Integralfunetionen überall endlich sind. Die erhaltene Bilinear- relation wird nachher in zwei Beispielen nebst den früher ge- fundenen linearen Relationen, welche zwischen denselben be- stimmten Integralen vorkommen, zur endgiltigen Bestimmung der Gruppe der Integralfunetionen benutzt. Im zweiten Bei- spiele wird noch die Identität (bis auf einen constaten Factor) zwischen der vom Autor aufgestellten und der von Riemann in kanonischer Form erhaltenen bilinearen Relation vermittelst einer Transformation der Integrale auseinandergesetzt. RÉSUMÉS 93 19. — L. Naranson: 0 temperaturze krytycznej wodoru. (Sur La tempe- rature critique de Uhydrogene). On sait que, parmi tous les corps, l’hydrogène est le seul dont l’état critique n’a pas été réalisé d’une manière per- manente. Aussi la température critique de ce gaz est-elle in- connue. M. Olszewski, dès 1884, en avait fixé la limite en démontrant qu’elle est située au-dessous de — 2200 C. En 1891 le même savant arriva à conclure que la pression critique, pour l’hydrogène, serait de 20 atm. (Bulletin Intern. de PAcad. d. Se. de Cracovie, 1891; voir $ 2). En prenant cette donnée comme point de départ nous avons cherché à dé- duire de la Thermodynamique les indications auxquelles, en cette matière, elle est capable de conduire. Nous exposons deux méthodes pour le calcul de la température critique de lhydrogène. La première repose sur une loi générale, appli- cable à tous les états d'équilibre thermodynamique de la ma- tiere, savoir la loi de correspondance: la seconde con- siste simplement dans une traduction analytique du mode de raisonnement adopté par M. Olszewski dans l'évaluation de la pression critique de l’hydrogène. $ 1. Considérons un certain nombre de corps gazeux dans des conditions de température et de pression telles qu’a- vee approximation suffisante les lois des gaz parfaits y soient applicables. Nous aurons done pv = Rt (1) p désignant la pression, v le volume par unité de masse, t la température absolue et À une constante inversement propor- tionnelle à la densité normale. En posant, par conséquent, JAN M t, (2) où M est le poids moléculaire habituel, nous trouverons pour tous les corps considérés la même valeur de la nouvelle con- stante ©. Admettons que ces corps dans de telles conditions 94 RÉSUMÉS suivent exactement la loi de correspondance; c’est la l’hypo- thèse sur laquelle notre calcul est fondé. Soit p., v., t. les valeurs de p, v, & au point critique; soit encore (3) ram tt; met, Pe Ve 2 De ce qui précède il résulte que les équations (1) et (2) doi- vent se réduire, pour chaque gaz, à la forme: (4) no = Kr, K désignant une constante qui pour tous les corps a la même valeur. Des lors nous aurons (8) t. = AM p.v A désignant une nouvelle constante qui, comme C'et Æ, ala même valeur pour tous les corps. Pour l'acide carbonique les ca éléments du point critique sont, d’après M. Amagat, les suivants: 1 gm i=2732 3139,78. 72" "20; Pate 0,464 Er : 3 ? adoptons 1 gramme comme unité des poids M et 1 dyne par centimètre carré comme unité des pressions; nous aurons (6) Aa EeS erg Le tableau suivant donne les valeurs de la constante À, cal- culées pour quelques autres gaz. Les éléments critiques adoptés sont ceux que M. Olszewski, MM. Cailletet et Mathias, MM. Cailletet et Hautefeuille, MM. Ramsay et Young, M. Saion- tchewsky, M. Janssen ont trouvés. (Les densités critiques sont généralement peu certaines, surtout celles de l’azote et de l’éthylène). Gaz M 2. À CO? 44 304,35 0,4344 . 107° C?H 28 283 0,424 „107° SO? 64 429 0,436 .1077 Az?O 44 309,4 0,389 . 1077 C#H10 74 467,4 0,430 .107 Az? 28 127 GATE TOI RESUMES 95 La concordance des valeurs obtenues est satisfaisante, sauf dans deux ou trois cas; les écarts ne paraissant avoir aucune relation avec les masses M, ni avec les températures #,, et l'exactitude des données expérimentales laissant malheureuse- ment beaucoup à désirer, nous supposerons dans la suite l’&qua- tion (5) confirmée et nous adopterons la valeur de A, déter- minée au moyen des expériences relatives à l'acide carbonique, comme celle qui probablement est la plus rapprochée de la valeur vraie de cette constante universelle ?). Nous avons calculé ainsi les densités critiques suivantes: 1 Gaz E Pe a Oxygène 0? 154,2 Borg 0,464 I, cm Oxyde de carbone CO 133,5 35,D 0,328 Bioxyde d’azote AzO 1795 712 0,524 Argon A 152,0 50,6 0,586 Methane CH! 1912 54,9 0,202 Ethane C?H® 307,0 50,2 0,216 Propane C5HS 370,0 44,0 0,230 Les valeurs # et p., consignées dans ce tableau, ont été tirées des mémoires de M. Olszewski. On remarquera la relation fort simple des densités critiques de CH, C?H5, C®H$ entre elles. Des recherches nouvelles sur les densités critiques seraient, ce nous semble, extrêmement désirables. L'application de l'équation (5) à l'hydrogène permettrait d’en calculer la température critique, si le volume critique de ce gaz était connu. Ce volume peut être évalué de la manière suivante. Regnault, Natterer et surtout M. Amagat ont montré 1) M. van der Waals, dans son Mémoire généralement connu, avait déjà indiqué une relation qui, sous une forme particulière, coincide à peu près avec (5). M. Young ainsi que M. Guye ont entrepris de nombreuses expériences de vérification qui fourniraient des valeurs de À peu différentes de celle que nous adoptons. 96 RESUMES qu’entre 100 et 600 atm. environ l’hydrogène suit fort exacte- ment la loi de compressibilité donnée par l’équation (7) Po by Ir (à laquelle dans une occasion précédente nous avons proposé de donner le nom d’équation de Jacques Bernoulli). Les expé- riences dont cette équation est tirée ont été faites à des tem- pératures variant entre 0° et 1000 C; la quantité 5 qui y entre devrait être une constante absolue. Un corps dont l’équation caractéristique serait représentée exactement par l’équation (7) ne passerait évidemment nulle part par un état critique. Mais supposons que l’équation (7) ne soit qu’approchée; dans ce cas l'équation de M. van der Waals: (8) (»+ %,)e-D=R sera également applicable sous la condition expresse de choisir pour la constante a une valeur suffisamment rapprochée de zéro. Or, de l'équation (8) on déduit pour l’état critique: JE: 80 — DD P\ : = . = pee (9) (æ) Dr 3b; B) De = 97 52? (y) be 27 b et. par conséquent, (2 Sb u en Pour P’hydrogene il est impossible de calculer a; aussi les équations (98) et (9 y) lui sont-elles inapplieables. Le contraire a lieu pour les équations (94%) et (10) parce que celles-ci ne dépendent de la valeur de a en aucune façon; elles subsistent, en effet, même lorsqu'on suppose a=0. Or les équations (9%) et (10) donnent immédiatement l’équation précédente (5) sous une forme particulière; et 35 sera bien la valeur approchée du volume critique. La valeur de 5 peut être calculée d’après les expériences sur la compressibilité. De celles que M. Ama- gat a publiées en 1881, M. Witkowski a trouvé 5 = 0,00067, entre les pressions de 30 et de 300 mmötres de mercure, le volume du gaz à 0°C. et sous 1 atm. de pression étant pris comme unité. En nous basant sur les expériences de M. Ama- gat publiées en 1893, nous avons trouvé, entre 150 atm. et RÉSUMÉS 07 550 atm., à 0°C., des valeurs allant de 0,00070 à 0,00074. Si l’on adopté = 0,00070 (avec l’unité précédente), le vo- P ) lume critique de l’hydrogene sera: 23,45 em3/gm. et | N D 8 la densité critique delhydrogène sera: 0,043 gm?/cm. Admettons ces valeurs, ainsi que la pression de 20 atm. que M. Olszewski (voir $ 2) considère comme pression ceriti- à que; l’équation (5) nous donnera # = 41,3; c’est-à-dire — 23290. environ. Telle est done la température criti- que que demande pour l'hydrogène la loi de correspondance thermodynamique. Avant égard à l'incertitude qui règne sur v q M D fe) la valeur de la constante 5, nous pourrons fixer à — 22900 2 et à — 234°C les limites théoriques dans lesquelles la tempé- rature critique de l’hydrogène doit être contenue. Admettons ces valeurs: — 2320C et 20 atm. comme celles qui conviennent au point critique de l'hydrogène; d’après la loi de correspondance thermodynamique il nous sera facile de P À calculer la température d’ebullition, sous 1 atm. de pression. A cette température en effet la valeur „speeifique* de la pres- sion de la vapeur saturée sera de ;'; ou 0,05; la valeur „spe- cifique“ de la température qui, pour tous les corps, correspond I ) ) I à cette valeur de la pression de la vapeur saturée est: 0,706; par conséquent la température d’ebullition de l’hydro- gène sera: — 2440C. En diminuant la pression exercée sur l'hydrogène liquide on aura les températures suivantes: à 608 mm. de presssion . . . —244,5°C; à 456 „ : en 24,306; à 304 , 1 TENTE: 2 02 1 ns 44=247,7C; à 121,6., : MU 248,100: DROLE) 5 Belt 28,00; a 60,8, L 20.1 249,300; 2,300 i 20 250,400; 2.152, à sent 2B, 400: Ay 1,65 b PAU: 282,300; 0738, ; No 253,200: SNL : QUE ETES 98 RÉSUMÉS $ 2. M. Olszewski a décrit de la manière suivante les obser- vations qui l’ont conduit à admettre 20 atm. comme pression critique de l'hydrogène. „Mon attention“, nous dit-il, „a été attirée par cette circonstance que l’ébullition de l'hydrogène se produit invariablement à la même pression pendant la détente, quelle que soit la pression initiale, sous la condition cependant que cette pression initiale ne soit pas inférieure à une certaine limite. Ainsi l’ébullition avait lieu invariablement à 20 atm., la pression initiale étant de 80, 90, 100, 110, 120, 130 et 140 atm.; elle se produisait au contraire à 18 atm., à 16 atm., à 14 atm. environ lorsque la pression initiale était de 70, de 60, de 50 atm. … Ces expériences m’obligent à conclure que cette pression de 20 atm. ... représente la pression critique de l'hydrogène. Supposons, en effet, que l'hydrogène, porté à —211° au moyen de l’oxygène bouillant dans le vide (c’est-à-dire à une température supérieure d’une dizaine ou plus de degrés à la température critique) soit soumis à la détente assez lente; la température dans ce cas s’abaisse jusqu'au point critique à présent inconnu. Cela arrive au-dessus de la pression eri- tique, si la pression initiale est supérieure à une certaine limite, dans mes expériences à 80 atm.; dans ce cas la liquéfaction du gaz se traduira par le phénomène d’ébullition brusque, des que nous aurons diminué la pression jusqu’à la pression eri- tique. Si la pression initiale n’est pas suffisamment élevée, l'hydrogène ne parviendra à la température de liquéfaction qwau-dessous de la pression critique“. (Mémoires de PAcad. d. Se. de Cracovie, Vol. XXIIL p.387. Philosophıcal Magazine, Febr. 1895, p. 202). Sans vouloir prétendre à une explication thermodynamique complète de ces phéno- mènes, nous admettrons, à titre d’approximation, que la de- tente, supposée adiabatique, qui s'opère depuis une certaine pression initiale p, et la température initiale #, se trouve être juste suffisante pour ramener le gaz simultanément à la tem- pérature critique é, et à la pression critique p,; nous aurons: on (2)-(&)° Fe RÉSUMÉS 99 k désignant le rapport des deux chaleurs spécifiques, égal pour l'hydrogène à 1,4 environ. Si dans cette équation nous posons, d’après les données que cite notre éminent collègue, 4=273 — 211=62; p.=20 atm.; po—80 atm. (12) nous aurons: t—41,7 c'est-à-dire: —231°C. environ. (13) Pour nous rendre compte de l'erreur que l’omission de l’ab- sorption de la chaleur pendant la détente a pu nous faire commettre, observons, en premier lieu, que la détente tout entière n’avait que peu de durée: une à deux secondes tout au plus, d’après ce que M. Olszewski a bien voulu nous ap- prendre; la température ambiante était de — 2110 C. Caleulons, en second lieu, par la même méthode, la température critique de l'oxygène, d’après les données qui se trouvent consignées dans le mémoire de M. Olszewski: 4=170,5; p.—51 atm.; p,—=80 atm. (14) L’équation (11) nous donne ici: —123°C, tandis que la tem- pérature critique de l’oxygene est, on le sait, de —118,89 C. Nous pouvons admettre par conséquent que la température critique de l’hydrogène se trouve nécessairement à quelques degrés au-dessus de —231°C; par exemple à —228°C environ. Ce résultat est parfaitement en accord avec le nombre que nous avons calculé par une voie purement théorique. Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakcya Sekretarza generalnego Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiellonskiego pod zarzadem A. M. Kosterkiewieza. S. Kwietnia 1895. PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1873 — 1894 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spölka wydawnicza polska) 5 à Cracovie. “4 Br - ARE Philologie. — Sciences morales et politiques. a »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologie, Classe …_ d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II—VIU (38 planches, vol. I épuisé). — 59 Ai. Ë »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e Classe de … philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II—XXI (5 planches. vol, I * épuisé) — 59 Al. X »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.«e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. HI—XII, XV—XXX - {vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl) — 68 fi. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comp- tes rendus de la Commission de l'histoire de Part en Pologne), in 4-to, 4 volu- mes (81 planches, 115 gravures dans le texte). — 20 fl. 7. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commis- - sion de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 13:50 fl. »Archiwum do dziejöw literatury i oswiaty w Polsce.« /Documents pour servir à l’histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 7 vol. — 20 fl. 50 kr. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum us- _ que ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 3 volumes. Vol. I, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkie- a . wiez. 2 fl. — Vol. Il. Andr-ae Cricii carmina ed. C. Morawski. 3 fl. — Vol. IV. 3 Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. ı fl. 50 kr. »Biblioteka pisarz6w polskich.« /Biblothegue des auteurs polonais du XVT siècle), in 8-vo, 29 livr. — 17 fl. 30 kr. 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ARE EN 5 Medeksza commentarii 1654 — 1668 ed. Seredynski: 3 fl. — Vol VII, X, XIV Annales # Domus professae S. J, Cracoviensis ed. Chotkowski. = fl. — Vol. XI, Diaria Comitio- rum RA Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 2 fl. — Vol. XV. Anilecta Romana, ed. “ J. Korzeniowski. 7 fl Collectanea ex archivo Collegiihistorici, in 8-vo, 6 vol.—ı8 fl. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes, — 78 fi. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisi. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546 —1553. 5 A. — Vol. H, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674 ed. Klu- czycki. 10 fl. — Vol. IH, Y, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1683 ed. Waliszewski. 15 fl. — Vol. IV, IX, (pars x. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. ı5s fl — Vol. VI, Acta Regis loannis III ad res expeditionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Klu- ezycki. 5 fl. — Vol. VIH (pars x. et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 —1795 ed. Piekosinski. 20 fl. — Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 5 fl. — Vol. XI, Acta Serhani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 3 fl. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. II—VE — s1 fl DT (is EA te Aa AC, 1 CNT 4 © u | NE MP ARS pds A HAL Er 2: pe : Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab ann MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. Tomi I. fasciculus I. TI. III. in 8-vo. — 4 fl. 50 kr. »Starodawne prawa polskiego pomniki.« /Anciens monuments du droü polonais) in 4-to, vol. H—X. — 36 fl. Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 6 fl: — Vol. I Correctura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed Bobrzyñski. 3 fl. Vol. IV, Statuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 3 fl. — Vol. V, Monu- menta literar. rerum publicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. VI, Decreta | in iudiciis regalibus a. 1507- 1531 ed Bobrzynski. 3 fl. — Vol. VII, Acta expedition. ; bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones clenodiales ed. Ulanowski. 6 fl. — Vol. VIII, An tiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374— 1400 ed. Ulanowski. 8 fl. — Vol. IX Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405 —1546, Acta iudicii criminalis Mu szynensis 1647—1765. 3 fl. — Vol. X, p. r. Libri formularum saec. XV ed. Ula nowski. x fl. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 4 fl. Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.« /Memoires), in 4-to, 17 volumes (1I—XVIIT, 1e planches vol. I épuisé). — 85 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzeh.« /Séances et tı ae. in 8-vo 26 volumes (181 planches). — 95 fl. 50 kr. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Comptes rendus de la Commis sion de physiographie), in 8-vo, 25 volumes (II. IV—XXIX, 50 rn vol = I. U. IV. V épuisés). — 104 fl. Be : »Atlas geologiczny Galicyi.< ‚Atlas géologique de la Galicie), in fol, 4 livraisons (19 planches) (à suivre). — 10 fl. % »Zbiér wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Com- ; mission d'anthropologie), in 8-vo, 17 vol. II—XVII (99 pl., vol. I épuisé). — 59 Fa = Kowalczyk J., »O sposobach wyznaczania bé cial niebieskich.e # (Methodes pour déterminer le cours des corps célestes), in 8-vo, 1889. — 5 A. Mars A., »Przekr6j zamroZonego ciala osoby zmarlej podczas porodu skutkiem 3 pekniecia macicy«. /Coupe du cadavre gelé d'une personne morte pendant laccow: 3 chement par suite de la rupture de la matrice), 4 planches in folio avec texte, ” à 1890. — 6 fl. Kotula B., »Rozmieszczenie m naczyniowych w Tatrach.e (Distributio plantarum vasculosarum in montibus Tatrieis), 8-vo, 1891.— 5 A. Morawski C., »Andrzej Patrycy Nidecki, jego 2ycie 1 dziela.« "(Andre Patri-. cèus Nidecki, humaniste polonais, sa vie et ses oeuvres), 8-vo, 1892. — 3 fi. Fin- kel L., »Bibliografa historyi polskiej.« /Bibliographie, de l'histoire de Pologne), 8-vo, 1 891. — 6 fl. Matlakowski V., »Budownictwo ludowe na Podhalu.« (C iron des maisons rurales dans la contrée de Podhale), 23 planches in 7 4-to, texte explicatif in 8-vo imp. 1892. 7 fl. 50 kr. Teichmann L., »Na-- À czynia limfatyczne w sloniowacinie.e /Æ/ephantiasis arabum), 5 planches in ° folio avec texte. 1892. — 3 fl. Hryncewicz J., »Zarys lecznictwa ludowego : na Rusi pöludniowej.« (La médecine populaire dans la Ruthenie MET 4 in 8-vo 1893.—3 fl. PiekosiriskiF., »Sredniowieczne znaki wodne. Wiek XIV.« (Les marques en filigrane des manscrits conservés dans les Archives et DTA, | Polonaises, principalement celles de Cracovie, XIVe siècle), in 4-t0, 1893. — 4f. Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.« /ZLes populations riveraines u de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 4 fl. Görski K., »Historya pie M choty polskiej« (Histoire de l’ infanterie bolonaise), in 8-vo, 1893. — 2fl.6oct. « »Historya jazdy polskieja (Zistoire de la cavallerie Dolonaise), i in 8-vo, 1894. = 3:.50rct: 1 »Rocznik Akademii.« /Annuaire de l'Académie), in 16-0, 18741893 | 3 19 vol. (1873 épuisé) — 11 fl. 40 kr. »Pamietnik 15-letniej Akademii.« /Memoire sur les trasaux À de l'Académie ‘187?—1888), 8 -vo, 1889. — 2 fl. nn — DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES D DE CRACOVIE © COMPTES RENDUS SÉANCES DE L'ANNÉE 1895. D | AVRIL CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ | "1895. L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR | S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. PROTECTEUR DE L’ÄCADEMIE: S. A. I L'ARCHIDUC CHARLES LOUIS. Vicg-Prorecreur: S. E. M. JuLıen De DunAsEwsKk1. Pr&sivext: M. LE CoMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRETAIRE GENERAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: (& 2). L’ Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté U Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nom mes par S. M. l'Empereur. ($. 4). L’Academie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b) classe d'histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($. 12). La langue offcielle de l’Académie est le polonais; c'est dans cette langue que paraissent ses publications. Le Bulletin international parail fous les mois, à l'exception des mois de vacances (août, seplembze), el se compose de deux parties, dont la première confient l'extrait des procès verbaux des séances (en français), la deuxième les résumés des mémoires et commumnicalions (en feançais ou en allemand, au choix des auteurs). à Le prix de l’abonnement est 3 fl. = 8 fr. Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. — 90 centimes, Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanistawa Smolki, Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem A, M. Kosterkiewicza. VUN 129 1099 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. No 4. Avril. 1895. Sommaire: Séances du 1, 2, 22, avril 1895. — Résumés: 20. A. Pro- CHASKA. De l’authenticité des lettres de Gedymin. — 21. A. ProcHaskA. La Podolie, fief de la Couronne de Pologne, 1352—1420. — 22. J. Bav- DOUIN DE CouxTENAy. Essai d’une théorie des alternations phonetiques. — 23. J. Nowax. Nouvelles recherches sur la structure et le développement du placenta humain. — 24. M. Sıeprecxı. Sur la structure et la divi- sion des leucocytes chez les Urodèles. — 25. F. Kreurz. Le sel gemme et la fluorite, leur teinte, leur fluorescence et leur phosphorescence. — 26. C. Zorawskı. Sur les invariants intégraux des groupes continus des transformations. — 27. L. Naranson. Sur la détente adiabetique au voisi- nage du point critique. Seances —— à - — Classe de Philologie Séance du 2 avril 1895 Présidence de M. L. Luszczkiewicz M. Joseru Trerrak, m. c., donne lecture de son travail “intitulé: Sur l’origine des poésies de la jeunesse de Bohdan Zaleski. M. Lucrex Marımowskı, m. t., présente son mémoire: Sur les glosses polonaises d’un manuscrit de 1438, conservé dans la Bibliothèque Ossolinski, à Léopol (Sign. N. 379). M. Jean Baudouin de Courtenay, m. t., rend compte de louvrage de Varexrix SkorocHöp Masewski, Grammaire de la langue turque, revue et augmentée par M. Dawex Rorıcz Lreper. 102 SÉANCES Classe d'Histoire et de Philosophie ©. Seance du 22 avril 1895 Presidence de M. L. Luszczkiewicz Le Secrétaire présente deux travaux de M. Anroımk Pro- CHASKA, M. C., De l'authenticité des lettres de Gedimin!) et La Podolie, fief de la Couronne de Pologne, 1352—1420 ?). M. Caarces Porkaxskr donne lecture de son travail inti- tulé: Sur les établissements des populations primitives en Pologne, 2° partie: Gardiens des ruches et leur organisation. Tg ——— _—_—_—_ er Classe des Sciences mathématiques et naturelles Séance du 1 avril 1895 Présidence de M. F. Kreutz Le Secrétaire présente le compte-rendu de M. T. Browicz, m. c. sur le travail de M. J. Nowak: Nouvelles recherches sur la structure et le développement du placenta humain *). M. J. Rostafinski, m. t., rend compte du travail de M. M. SIEDLECKI: Sur la structure et la division des leucocytes chez les Urodèles t). M. Ferıx Kreurz, m. t., donne lecture de son mémoire, intitulé: Le sel gemme et la fluorite; leur teinte, leur fluorescence et leur phosphorescence ). Le Secrétaire donne lecture du compte-rendu de M. A, Wierzejski, m. c., sur le travail de M. M. Kowarewskr: Etudes helminthologiques, ILI partie: Bilharzia polonica. 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 104. — 2) ib. p. 106. — 3) ib. p. 109. — 4) ib, p. 114. — 5) ib. p. 118. SÉANCES 103 M. Laniscas Naraxsox, m. c., rend compte du travail de M. Casımır Zorawskı: Sur les invariants intégraux des groupes continus des transformations !). Le même présente son mémoire: Sur la détente adiabéti- que au voisinage du point critique ?). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 127. — 2) ib. p. 130. m m u u —— ne 1* 20. — A. ProcHaskA. 0 autentycznosci listow Gedymina. (De Vauthenti- eite des lettres de Gedymin). Au début de son travail, l’auteur expose l’état de la question si Controversée de l’authenticité des lettres de Gédy- min. On sait que, dans ces documents, ce prince témoigne le désir d’embrasser le christianisme, prie à cet effet le pape Jean XXII d'envoyer des légats, et demande enfin aux prin- ces chrétiens ainsi qu'aux villes hanséatiques de le seconder pour mener à bien l'oeuvre de l'introduction de la religion catholique en Lithuanie. Ces projets échouèrent complete- ment; aussi prétendit-on immédiatement que les lettres étaient apoeryphes, que ce prince n’avait jamais pu avoir de sembla- bles desseins. Ces bruits, nés parmi les contemporains de ce grand-duc, furent surtout propagés par les Chevaliers de l'Ordre teutonique. L'auteur cite les preuves à l’appui de ces néga- tions, fournies par Voigt, Bonnell et Antonowicz; il rapporte aussi les preuves contraires exposées par l'historien Narbutt: il les soumet les unes et les autres À une sévère critique. D’après les matériaux publiés par Napierski dans les Russich- Livl. U. B. il est certain que ce sont les Franciscains de de Wilna qui ont écrit ces fameuses lettres, mais, à la solli- cation expresse de Gédymin. Il s’agit maintenant de savoir RÉSUMÉS 105 jusqu’à quel point les instructions de Gédymin furent dépassées. Y a-t-il eu mystification? a-t-on exprimé dans ces lettres des idées qui ne furent jamais dans la pensée de Gédymin ? Les contemporains l'ont prétendu et ont même assuré que cette supercherie fut exécuté d'accord avec la ville de Riga. Or il est certain que la lettre de Gédymin fut envoyée à Ro- me, au pape, en 1422, et qu’à cette date, ainsi que cela res- sort clairement de la lettre confidentielle adressée à Gédymin par les habitants de Riga, ceux-ci ignoraient complètement que ce prince eût envoyé un mandataire à Rome. D’un autre côté, la relation authentique des légats nous apprend que Gédymin ne s’adressa à la ville de Riga, pour la charger de la transmission de sa seconde lettre, que lorsque les Teu- toniques eurent outragé l’envoyé qu'il avait dépêché vers la Curie. Cette même relation dit encore que les secrétaires ont écrit ces lettres sous la dictée même du prince, sans ajouter un mot aux instructions qu’ils en recevaient, ainsi qu'ils l'ont d’ailleurs avoué eux-mêmes. Le roi avait, en 1322, et l’année suivante, l'intention de recevoir le baptême. Ce n’est qu'à la fin de 1323 qu'il fut contraint de renoncer à ce dessein. Dans les chapitres suivants, l’auteur nous expose les motifs qui décidèrent Gédymin à ajourner l’exécution de ses projets. Les voici: l'isolement où les Teutoniques tenaient la Lithuanie en lui fermant toute relation avec l'Occident; l’inuti- lité du traité d’alliance de Wilna, signé, en 1323, par Gédy- min et les chrétiens, juré par les Teutoniques, en octobre, tandis que dès le mois de novembre ceux-ci contractaient avec Novogorod-la- Grande, une alliance tout spécialement di- rigée contre Riga et la Lithuanie; la pression que l'Ordre exerçait en Livonie pour faire déclarer la guerre à la Lithua- nie; enfin les soulevements suscités en Ruthénie et en Samo- gitie, pour soustraire Ces provinces à la souveraineté de Gé- dymin, et, par la, menacer l'existence même de l’état qui venait à peine de se constituer. C’est ainsi que l'Ordre Teutonique fit obstacle à la con- version de la Lithuanie. Le roi qui, en 1323, lors de l’as- 106 RESUMES semblée de Wilna, avait déclaré ouvertement devant les réprésentants de la chrétienté qu’il était décidé à embrasser la foi catholique, mais qu'il attendait, pour réaliser eette pro- messe, l’arrivée des légats qu’il avait demandés, dut, en pré- sence de l'alliance des Teutoniques et de Novogorod, non seulement ne pas persévérer dans son entreprise, mais encore, en 1324, après l’arrivée des légats, annoncer solennellement qu'il y renonçait à tout jamais, seul moyen qu'il eut alors pour empêcher un soulèvement de ses sujets. (Ces faits sont péremptoirement prouvés, non seulement par les documents con- temporains qui jusqu'ici n’ont pas été étudiés avec l'attention qu'ils méritent, non seulement par ce traité de Novogorod dont la date elle-même avait été faussement déterminée, mais encore par la bulle d’excommunication fulminée contre les Teutoni- ques par Frédéric, archevêque de Livonie, bulle dans laquelle il est expressément dit que ces Chevaliers ont paralysé la bonne volonté du grand-duc et l'ont empêché d’abjurer le pa- ganisme. Cette excommunication fut lancée en présence d’un des légats qui était parfaitement au courant de la question. D'ailleurs les deux plénipotentiaires du Saint-Siège, après un séjour de plus d’une année à Riga, après avoir pris connais- sance de l’état de choses, loin de rompre avec Gédymin, même après que celui-ci eut renié son intention de passer au christianisme, ordonnèrent aux princes chrétiens de conserver, pendant quatre ans encore, leurs relations amicales avec la Lithuanie. Ils avaient évidemment l'espoir que l'Ordre Teuto- nique cesserait de faire obstacle à la conversion de Gédymin et de son peuple. 21. — A. ProcxasxA. Podole lennem Korony Polskiej (La Podolie, fief de la Couronne de Pologne. 1552—1420). Quelle était l’organisation intérieure des territoires ruthènes dépendant de la Couronne de Pologne? Quels liens les atta- RESUMES 107 chèrent à cette dernière après la conquête de Casimir-le-Grand ? Les historiens ont émis des opinions fort contradictoires au sujet de ces deux questions. Il nous semble pourtant que la seconde, tout au moins, peut être résolue en considérant la situa- tion de la Podolie vis-à-vis de la Russie Rouge. Aussi l’auteur s'est-il attaché à l'examen des moments qui, dans l’histoire de ces contrées, depuis Casimir le Grand jusqu'à la fin du règne de Ladislas Jagellon, peuvent fournir des éclaircissements sur les rapports juridiques et politiques qu’elles avaient avec la Pologne. A l’aide de la relation que nous a laissée un chroni- queur contemporain, Jean de Czarnköw, et du texte du traité d'alliance que Casimir-le-Grand conclut avec la Lithuanie, en 1366, M. Prochaska affirme que ce roi avait en Podolie des vassaux qui restèrent, à l'égard du souverain, dans la même condition feudataire, sous le successeur de Casimir, Louis d’An- jou, en même temps roi de Hongrie, comme on le sait. Üe- pendant les Hongrois, essayent bientôt de rattacher la Podolie à la Hongrie, et, dans ce but, un feudataire de la couronne de Saint Etienne, Théodore, fils de Koriat, s'établit en Podolie. Mais ces tentatives des Hongrois amènent la guerre entre ceux- ei et les Polonais, Des 1391, Ladislas Jagellon, s'empare de toute la Podolie occidentale. En même temps il arrache la Lithuanie aux entreprises conquérantes des Teutoniques, alliés à Witold. Deux ans après il fait Théodor prisonnier et place toute la province sous le gouvernement de ses starostes. En 1395, il cède la partie occidentale de la Podolie, comme fief dépendant de la couronne de Pologne, au fameux chevalier Spytko de Melsztyn, tandis que toute la partie orientale reste sous la domination immédiate des fonctionnaires désignés par le roi. Après la mort héroïque de Spytko, à la bataille de Worskla, livrée aux Tatars, le roi donne le fief de Podolie à son propre frère Swidrygiello qui bientôt, de connivence avec les Teutoniques, fait de cette province un foyer de ré- voltes contre le roi, une base d’opérations pour parvenir à la souveraineté de la Lithuanie. Cependant le roi réussit à étouf- fer cette sédition, et jusqu'en 1411, il délègue son pouvoir 108 RÉSUMES sur ce pays à des starostes. Swidrygiello qui s’était enfui en Prusse, est rappellé en 1404, et obtient en Podolie, non comme on l’a injustement prétendu, la restitution de la possession feu- dataire de la province, mais seulement les revenus de quelques domaines. Dès lors, il n’y a plus en Podolie que de petits vas- saux, soumis à l’autorité des starostes, représentants du pouvoir royal. Ces derniers, malgré les nombreuses mutations dont ils furent l’objet, surent si bien administrer les pays confiés à leur garde, et les défendre contre les incursions des Tatars, que l'abondance ne tarda pas régner parmi les .tenanciers des ter- res, en sorte qu'ils s’&tendirent rapidement jusqu'aux limites primitives de cette province, c’est-à-dire jusqu'à la Mer Noire, et que, lors de l’expédition célèbre contre l'Ordre Teutonique, expédition que termina la glorieuse victoire de Grunwald, la Podolie fournit à l’armée polonaise les deux meilleures com- pagnies de chevaliers armés. Ce n’est qu'en 1411 que le roi céda definitivement la Podolie à Witold, sans rompre toutefois les anciennes attaches de vasselage qui liaient cette terre et ses habitants à la cou- ronne de Pologne. La meilleure preuve de cette continuité de sujétion est le refus des gentilshommes de Podolie de rendre hommage à Witold (1418). Celui-ci eut alors recours au roi qui imposa alors à la noblesse podolienne l'obligation de recon- naître la suzeraineté de Witold, sans que cependant cette re- connaissance portât préjudice à la suzeraineté plus haute de la couronne. La Podolie resta donc fief de la Pologne, et com- me telle, prit part aux démarches que fit la noblesse polo- naise pour obtenir les priviléges attachés à la chevalerie de la Couronne, priviléges qui leur furent enfin accordés à l’assem- blée générale de Jedlno, en 1430. L'auteur signale les différences qui existaient entre ce fief podolien et ceux qui étaient situés à l’orient du royaume, en Ruthénie et en Lithuanie. Voici les principales. 1° En Podolie on n’exigeait pas du vassal ’humble hom- mage auquel les fiefs orientaux étaient soumis envers leurs RESUMES 109 suzerains. Cet hommage nommé en ruthénien ezolobitnia, pokora (front dans la poussière, soumission) était par ses manifestations extérieures, une marque d’humiliation si absolue qu’elle portait tout simplement atteinte à la dignité humaine. 2° Le vassal ne payait à la Couronne aucune redevance annuelle, comme cela avait lieu en Ruthénie. La Couronne au contraire lui fournissait une dotation sur les revenus des mines de sel de Wieliczka et de Bochnia, afin de l’encourager à re- doubler de zèle dans ses travaux et dans la défense du chris- tianisme, contre les payens et les Tatars. Ce subside avait une signification symbolique. La Couronne, mère et nourrice de ses vassaux leur offrait le pain et le sel, (elle y joignait aussi des secours pécuniaires) pour les exciter à rester fidèles aux idées chrétiennes et à résister fermement à toutes les atta- ques des barbares. 22. — J. Baupoum pe CourrenAy. Prôba teorji alternacyj fonetyeznych. Czesé I. ogölna. (Versuch einer Theorie phonetischer Alter- nationen. I. allgemeiner Theil). Rozprawy Wydz. filol. tom XX. 1894, S. 219— 364. Angesichts dessen, dass auch eine deutsche Bearbeitung desselben Themas in der Form eines besonderen Büchleins u. d. T. „Versuch einer Theorie phonetischer Alternationen. Ein Ca- pitel aus der Psychophonetik. Von J. Baudouin de Cour- tenay. Strassburg. Commissionsverlag von Karl J. Trübner. 1895° (S. VI + 124) erschienen ist, würde ein etwas ausführ- licheres Résumé über diese Abhandlung vollkommen überflüs- sig sein. 23. — I. Nowak: Dalsze badania nad budowa i rozwojem ludzkiego tozyska. (Weitere Untersuchungen über den Bau und die Entwi- ckelung des menschlichen Mutterkuchens). In der obigen Arbeit veröffentlicht der Verfasser die Re- sultate seiner weiteren Untersuchungen über den Bau und die 110 RESUMES Entwickelung des menschlichen Mutterkuchens. Die Untersu- chungen hat er theils an demselben Materiale durchgeführt, welches ihm zur Aufklärung der Frage, in welcher Weise die Communication zwischen den intervillösen Räumen und den müt- terlichen Gefässen zu Stande komme u. s. w. in einer schon frü- her hierorts mit Prof. Mars publieierten Arbeit, gedient hat. Dieses Material wurde noch durch zwei schwangere Gebärmutter bereichert, nämlich mit einer vom Anfange des zweiten Schwan- gerschaftsmonates, und einer anderen vom achten Monate. Hier beschäftigt sich der Verfasser mit dem Bau der Deei- duaund mit der Bedeutung, welche den in der Decidua zu fin- denden Drüsen und Gefässen [spongiöse Schichte], zukommt, mit der Verbindung zwischen den Zotten und der Deeidua und dem Aussehen der äusseren Oberfläche des Zottenepithels. Er verfügte über 1500 Senènpräparate, die von dem früheren Mate- riale stammen, und über einige hundert Serienschnitte, welche er von den oben angeführten Gebärmuttern verfertigte. Seine Re- sultate erläutert er an der Hand von 11 colorierten mikropho- tographischen Abbildungen seiner Präparate. Die Resultate sind folgende: 1) Das Epithel der Deeidua-Drüsen unterliegt mit der Zeit gewissen Veränderungen; aus einem eylindrischen wird es kubisch und später auch platt, in manchen Drüsen wird es auch von den Drüsenwandungen abgehoben und abgelöst und liegt frei in ihrem Inneren. Hier degeneriert es sehr oft, indem es in eine homogene feinkörnige Masse umgewandelt wird, deren Theil auch das im Lumen der Drüse sich befindende Drüsen- secret, bildet. 2) Die Drüsen der Decidua gehen während der ganzen Schwangerschaftsdauer mit dem Placentaraume keine Ver- bindung ein, es kann aber vorkommen, dass eine Drüse hie und da mit den intervillösen Räumen eine Verbindung eingeht; dies geschieht jedoch nur zufällig und ist für die Entwickelung der Placenta bedeutungslos. 3) Die Deciduadrüsen, die im Anfange der Schwanger- schaft eng sind, erweitern sich später und stellen Hohlräume RÉSUMÉS 111 vor, welche an Präparaten leer, oder mit den abgelüsten Drü- senepithelien, oder mit der oben beschriebenen feinkörnigen Masse, gefüllt sind. 4) Stellenweise verkümmern die zwischen den dicht bei- sammen liegenden Drüsen befindlichen Decidualsepta, wodurch eine Vereinigung mehrerer Drüsenlumina zu einer gemein- schaftlichen Lacune entsteht. Wenn nun in der Nähe solcher Drüsen sich Gefässe finden, so kommen auch diese mit den kurz zuvor beschriebenen Drüsenräumen in Verbindung und bilden blutgefüllte Lacunen, denen aber die von Gottschalk zugemuthete Bedeutung nicht zukommt. Solche bluterfüllte La- eunen finden sich zwar hie und da, dennoch bilden sie nur einen zufälligen Befund. 5) Stellenweise findet man bei volkommen intacten Drü- senwandungen im Inneren der Drüsen weisse und rothe Blut- zellen, die per Diapedesin eingedrungen zu sein scheinen. 6) Die Drüsen lagern meistentheils in den Oberflächenschi- chten der Decidua, während Gefässe in den tieferen zu liegen kommen; sie werden aber auch nebeneinander liegend gefunden. 7) Da Drüsen, wie schon früher bemerkt wurde, keine Verbindung mit dem Placentaraume eingehen, so können auch keine Zotten in ihre Lumina hineinwachsen. 8) In der Deeidua befindet sich auch eine grosse Anzahl von zumeist die tieferen Deciduaschichten durchziehenden Ge- fässen, welche somit über den Drüsen, manchmal jedoch neben ihnen zu sehen sind. Am zahlreichsten kommen sie an der Grenze zwischen der Decidua und dem muskulären Gewebe der Ge- bärmutter vor; sehr zahlreich sind sie auch in den Muskel- schichten der Gebärmutterwand, welche der Decidua angrenzen. 9) Die spongiöse oder ampulöse Schichte der Decidua wird also durch die erweiterten Drüsen wie auch durch die decidualen Gefässe gebildet. Die Spongiosität dieser Schichte verdankt auch zum Theil diesen Charakter der obersten Lage der Gebärmutterwand, in welcher, wie oben erwähnt, zahl- reiche Gefässe vorhanden sind. 112 RÉSUMÉS 10) Auf dieser spongiösen Schichte der Decidua befindet sich eine spärliche Lage eines compacten decidualen Gewebes, welches, wie weiter ersichtlich, später an Dicke zunimmt. 11) Wie bekannt, werden in den frühen Schwangerschafts- perioden und manchmal auch später die oberflächlichen Deci- duaschichten aufgelöst und ihre Zellen in ihrem Zusammenhange gelockert, auseinandergeschoben, sodann durch den Blutstrom auch in die decidualen Gefässe, wo man ihnen oft und zahl- reich begegnet, weggeschwemmt. Ein solches Gefäss, in dem sich mehrere Deeiduazellen finden, kann leicht einen Durchschnitt, der mit abgelösten Epithelien gefüllten Drüse, vortäuschen. Dies kann namentlich dann leicht vorkommen, wenn die Zellen den Gefässwänden dicht anliegen, wodurch das Gefässendothel gar nicht, oder nur undeutlich, sichtbar wird. 12) Man kann wiederum leicht mit Gefässen solehe Drüssen verwechseln, deren Epithel so abgeplattet ist, dass es den En- dothelzellen ähnelt. 13) Die Chorionzotten treten in den frühesten Entwicke- lungsperioden der Schwangerschaft mit der Decidua auf diese Weise in Verbindung, dass ihr Epithelplasma mit dem, die Decidua-Oberfläche bedeekendem Fibrinstreifen, sich verklebt; darin nehmen auch die Leukocyten des mütterlichen Blutes und Reste des umgewandelten Uterusepithels, d. h. die, auf der Deciduaoberfläche anhaftenden Syneithialinseln, einen Antheil. 14) Die Chorionzotten verbinden sich mit der Decidua, oder vielmehr mit dem Fibrinstreifen auch mittelst ihrer epithe- lialen Endsprossen, die hie und da der Decidua-Oberfläche in einer weiteren Ausdehnung anhaften, sich hier verbreitern, später sehr dünn werden und das Endothel oft vortäuschen. 15) Die Verbindung der Zotten mit der Decidua kommt in späteren Entwickelungs-Stadien auch auf diese Weise zu Stande, dass das epithellose Zottenstroma mittels des Fibrin- streifens mit der Decidua sich vereinigt. 16) Sehr wichtige Vermittler dieser Verbindung zwischen den Zotten und der Decidua, welche im Laufe der Schwan- gerschaft entsteht, sind die subepithelialen Zellen des Zotten- RÉSUMÉS 113 stromas, die sogenannte Zellschicht Langhan’s. Diese wuchern stark und bilden gegen die Decidualoberfläche sich erstre- ckende Fortsätze, an deren Spitze das sie bekleidende Epi- thel immer dünner wird und endlich zerreisst; die Zellen der Vorsätze vereinigen sich sodann mit dem Fibrinstreifen, oder wenn derselbe schon atrophiert ist, unmittelbar mit dem deci- dualen Gewebe. 17) Diese zelligen Fortsätze der Zotten (die sogenannten Zellsäulen) bilden nach Anwachsen an die Deciduaoberfliche eine foetale Schichte des decidualen Gewebes. 18) Die Decidua serotina besteht also in den späteren Entwickelungsperioden stellenweise aus zwei Schichten, einer tieferen der spongiösen, die mütterlichen Ursprungs ist, und einer oberflächlichen, compacten, fötaler Herkunft. Diese zwei Schichten sind von einander durch den Fibrinstreifen ge- trennt, obwohl hie und da dersalbe auch mangelt und die Zellen der beiden Schichten unmittelbar mit einander verwachsen. Im Bau beider Schichten finden wir in frühen Schwan- gerschafts-Perioden deutliche Unterschiede, nämlich die Zel- len der fötalen Schichte der Deeidua nehmen Farbstoffe krä- ftiger an, sind von mehr regelmässiger Gestalt als die, der mütterlichen, und während die letzteren schon vorwiegend spindelförmig geworden sind, zeigen die ersteren noch eine runde oder ovale Form, auch finden wir zwischen den letzte- ren kein, oder nur ein wenig intercelluläres Gewebe. Diese Schicht besitzt auch keine Drüsen und keine Gefässe, ist also compact. 19) Später werden die Zellen der fötalen Schichte der Decidua und ihre Anordnung immer ähnlicher denen des mütterlichen Theils; beide besitzen ein gleiches Quantum des interzellulären Gewebes und endlich wachsen sie so innig miteinander zusammen, dass man sich nur bei Durchmuste- rung completer Schnittserien von der fötalen Herkunft eines Theils der Decidua überzeugen kann. 20) Man betrachtet die mütterliche Decidua als binde- gewebigen Ursprungs: es wäre also schwer das innigste Zu- ‘ 114 RÉSUMÉS sammenwachsen und Ineinander-Übergehen des mütterlichen und des fötalen Theils der Decidua zu begreifen, wenn die letztere aus epithelialen Zellen gebaut wäre, welches innige Ineinanderwachsen beider Theile der Decidua aber leichter er- klärbar wäre, wenn auch der fötale Theil der Decidua als zelluläres Bindegewebe aufgefasst werde. 21) Beim Anwachsen der Zotten an die Decidua über- geht ihr Epithel stellenweise auf die Oberfläche der letzteren und haftet ihr in gewisser Ausdehnung an, es wird dann dünner, seine Kerne lang bis spindelförmig und es kann einen endothelialen Überzug auf der Oberfläche der Decidua vor- täuschen. 22) Die Angaben über das Hineinwachsen der Zotten in die Gefäss-und Drüsen-Lumina der Decidua behufs Verei- nigung haben keine Grundlage, obwohl man in den, mit den interwillösen Räumen communicierenden decidualen Gefässen hie und da Zotten finden kann, was aber nur zufällig vor- kommt und von keinerlei Bedeutung ist. 23) In den früheren Schwangerschafts- Perioden erscheint die äussere Oberfläche des, das Zottenepithelbildenden Protopla- smas, uneben und manchmalauch mit mehr oder weniger langen Cilien versehen, de- nen vielleicht eine Bedeutung bei dem, zwischen den mütterlichen und den fötalen Bestandtheilen der Placenta stattfinden- den Stoffwechsel zukommt. 24. — M. Smoreerı: 0 budowie leukocytow u jaszezurow i podziale ich jadra. (Über die Structur und Kerntheilungs vorgänge bei den Leukocyten der Urodelen). Der Verfasser studierte vornehmlich die Leukocyten der lymphatischen Randschicht der Salamandrinen-Leber und be- RÉSUMÉS 115 diente sich dabei aller neuesten Methoden der Fixierung und Färbung; vor allem benutzte er die Heidenhain’sche Haema- toxylin-Eisenlack-Methode, mit einer von ihm eingeführten Mo- dification derselben, die darin bestand, dass er anstatt Eisen- oxyd-Alaun milchsaures Eisenoxydul benutzte. Dabei wandte er verschiedene Protoplasmafärbungen an, mit jener Methode combiniert; vor allem aber bediente er sich der Ehrlich-Bion- di’schen Dreifarbenmischung. Das Protoplasma zeigte immer sehr deutlich, dass es aus zwei von einander streng gesonderten Theilen zusammen- gesetzt war. Der eine von ihnen, das Archoplasma, zeigt stets eine radiäre Structur, und zwar sind alle Fäden nach einem Punkte centriert. An den Radien konnte Verfasser deut- lich einen mikrosomalen Bau unterscheiden, und zwar so, dass einzelne Mikrosomen an allen Radien in gleichen Abständen von der Mitte lagen, was das Bild der concentrischen Kreise (Heidenhain) hervorruft. Manchmal fand er die Mikrosomen aller Radien so dieht neben einander gestellt und so zahlreich an- gehäuft, dass sie im Ganzen einen breiten Ring darstellten (Fig. 3). Den Verlauf der Radien fand der Verfasser immer ge- rade oder nur wenig gebogen. Sie giengen von der Mitte der Zelle aus und liefen bis an die äusserste Grenze dersel- ben, wobei sie sich aber nie an den Kern hefteten, noch ins Innere desselben einzudringen trachteten. Die Behauptung Reinke’s, dass sie innig mit dem Kerngerüst verbunden seien, hält der Verfasser für unerwiesen. Einige der oben genann- ten Radien waren von grüsserer Dicke, als die anderen (Fig. 1. und die folgenden). Diese betrachtet der Verfassser als Mutterfäden, aus denen durch Längstheilung neue Radien entstehen sollen. Als Insertionspunkt für alle centrierten Fä- den dient das Heidenhain’sche Mikrocentrum, das der Verfas- ser auf seinen Präparaten stets aus zwei oder drei, manchmal mit einander verbundenen Centralkörpern zasammengesetzt fand. 116 RÉSUMÉS Der Kern ist von sehr mannigfacher Gestalt und zeigt alle möglichen Übergangsformen von der typisch kugeligen oder ovoiden zur stark polymeren (mehrlappigen) Form. Alle diese Formen zeigen aber im Wesentlichen eine und dieselbe Structur. Abgesehen davon, dass das Verhältnis zwischen Chromatin, Linin und Lanthanin (Oedematin) in allen Kern- formen gleich ist, ist auch die Lage der Chromatinmassen in allen Fällen ebenso geblieben, wie sie in den Endstadien der Karyomitose durch die Lage der Chromosomen vorge- schrieben ist. Bei den sehr in die Länge ausgezogenen und dabei verbogenen Kernen stellen sich die durch Umwandlung der ursprünglichen Chromatinschleifen entstandenen Chromatin- fäden mit ihren Enden so, dass sich ihre Längsachsen verlängert in dem geometrischen Mittelpunkt der Kernmasse treffen würden. Diese polare Anordnung ist so stark ausgeprägt, dass sie selbst an Stücken der angeschnittenen Ringkerne deutlich zu erken- nen ist. Dieses Verhalten des Chromatins ist ein Zeichen der qualitativen Einheit des mehrlappigen Kernes, der in allen Theilen gleichzeitig dieselben Erscheinungen hervoruft. Das wäre also eine Ergänzung zu der Behauptung Heidenhein’s, dass die Summe der Lappen quantitativ gleich dem Mutterkerne sei. Die lappige Gestalt des Kernes findet der Verfasser am naturgemässesten durch das Heidenhain’sche Prineip der ur- sprünglichen Identität der Länge der organischen Radien erklärt. Alle Lappen des Kernes treten zugleich in die ersten Stadien der Mitose ein und setzen dieselbe stets gleichmässig fort, ohne dass dabei der Kern zur runden oder rundlichen Gestalt zurückkehrte oder irgendwie seine Gestalt als Ganzes zu ändern bestrebt wäre. Die sich differenzierenden Chroma- tinschleifen gehen auch bei den mehrfach gebogenen Kernen nach Verschwinden der Kernmembran gleich in ein Mutter- sternstadium über. (Fig. 5—7). Diese Gleichzeitigkeit und Gleichmässigkeit der Entwicke- lung der Mitose gibt dem Verfasser Anlass zu der Annahme, rs RÉSUMÉS 117 dass die mehrlappigen Kerne als ein Ganzes aufzufassen sind, da einzelne Lappen stets gleichzeitig und gleichmässig in Action treten. Der Verfasser betrachtet auf Grund seiner Präparate die Behauptungen, dass die polymeren Kerne als amitotische Kerntheilung aufzufassen seien, als gänzlich unerwiesen. Dege- nerierende Formen sind sie auch nicht, da, nach der Berechnung von 1000 Zellen, der Procentgehalt der polymeren Kerne in der lymphatischen Randschicht über 80°/, beträgt. Solche Masse von Kernen kann unmöglich dem Untergange zufallen. Das ringförmige Zwischenkörperchen, wie es Heidenhain beschreibt, hält der Verfasser für einen Färbungseffekt des Haematoxylin- Eisenlack - Verfahrens. Er bemerkte nämlich, dass an verschiedenen Geweben der Theil des Protoplasmas, der entweder selbst einen hohen Grad der Contractionsfähig- keit besitzt oder aus äusseren Gründen der Contraction unter- liegt, immer sehr schwer die schwarze Farbe bei der Differen- zierung aus sich extrahieren lässt. Der äquatoriale Theil der Mutterzelle befindet sich während der Theilung in dem eben geschilderten Zustande, gibt natürlich denselben Färbungseffekt und führt so zur Bildung des Ringes um die eigenschnürte Stelle (Fig. 13). Der Verfasser widmet besondere Aufmerksamkeit der Lage der <-Granulationen in den eosinophilen Zellen und findet die interradiale Anordnung derselben dadurch hervorgerufen, dass sie, als dem Deutoplasma angehörig, nur die zwischen den archoplasmatischen Radien befindlichen Räume ausfüllen. Die kleineren von ihnen nehmen in den engeren Interradierräumen näher der Sphäre Platz, die grösseren dagegen weiter bis an die Peripherie der Zelle. Dadurch wird die radiär-concentri- sche Lage vollbracht (Fig. 14) und eine eigenthümliche Lage- rung der Granulationen während der Mitose bedingt. In allen Stadien weichen sie von den Stellen, an denen sich die archoplasmatischen Fäden befinden, zurück; so wird im Knäuelstadium das Polfeld von ihnen gänzlich frei (Fig. 15). Während des Muttersternes werden sie in grösster Menge an Bulletin IV. 2 118 RÉSUMÉS beiden Seiten der Aequatorialplatte zusammengehäuft, so, dass der von der Centralspindel und den Mantelspindeln eingenom- mene Raum von ihnen gänzlich frei bleibt. Nur spärlich schie- ben sie sich zwischen die Polstrahlen ein, wo sie sich radiär anordnen; die feinen Enden der Chromatinschleifen ragen zum Theil auch in die Granulationen hinein (Fig. 16 u. 17). Zum Tochtersternstadium werden infolge der Annäherung der Pol- felder an die Peripherie der Zelle die Granulationen von dem Polfelde gänzlich verdrängt und sammeln sich dicht an der Einschnürungsstelle zusammen. Der Raum, durch den die zwei Spindelkegel, welche die eigenschnürte Centralspindel darstellen, zwischen den Kernen durchlaufen, bleibt aber gänzlich frei. Sobald die Tochterzellen sich fast gänzlich durchschnürt haben, bleibt an dem Zwischenkörperchen ein kleiner Rest der beiden Centralspindelhälften haften; der weitere fadige Zusammenhang des Polfeldes mit dem Zwischenkörper löst sieh durch den Zerfall der Faden gänzlich auf. In diesen auf diese Weise ent- standenen freien Raum am Gegenpolfelde rücken alle Granu- lationen ein, wobei sie die Durchschnürungsstelle (von der Rest der Centralspindel eingenommen) gänzlich frei lassen (Fig. 19). Ähnlich passiv, wie dieselben verhält sich das ganze Deu- toplasma und seine Bildungen, während das Archoplasma allein bei der Karyokinese die thätige Rolle spielt. 25. — F. Kreurz. Söl kamienna i fluoryt, ich barwa, fluorescencya i fos- forescencya. (Steinsalz und Fluorit, ihre Farbe, Fluorescenz und Phosphorescenz). Von der Beobachtung ausgehend, dass, um blaues Stein- salz zu entfärben, eine bedeutend stärkere Erhitzung bei Luft- abschluss als bei Luftzutritt nöthig ist, hat Verf. solches durch Erhitzen in der Flamme entfärbtes, als auch ursprünglich farbloses Steinsalz mit Natrium oder Kalium geglüht und hier- auf gleich in Wasser und Salzsäure abgewaschen. Die so be- RÉSUMÉS 119 handelten Stücke erscheinen meist stark blau gefärbt, manch- mal aber nur gelb oder bräunlich. Durch Erhitzen in der Flamme entfärben sich die blauen Stücke, wobei sie vorher meist violett oder licht purpurroth werden, die gelben und braunen werden vorher blau. Durch wiederholte leichte und kurze Erhitzung stark gefärbter Stücke wird ihre Farbe dauer- hafter. Zögert man zu lange die frisch mit Na geglühten Stein- salzstücke mit einer Säure zu behandeln, lässt man sie zu o, so verlieren lange in der stark alkalischen, wässrigen Lösung, sie ihre Färbung. Da diesbezügliche Abhandlung des Verf. „Über die Ursa- che der Färbung des blauen Steinsalzes“ !) bis jetzt nur in der mineralogischen und geologischen Literatur Berücksichtigung gefunden hat, so konnte sie auch Prof. E. Goldstein, dessen jetzt veröffentlichte Abhandlung „Über die Einwirkung von Kathodenstrahlen auf einige Salze“ ?) gebührendes Interesse erweckt, nicht bekannt sein. Er beschreibt darin seine uner- wartete Entdeckung, dass sich Steinsalz, KCl, LiCl, K,CO, u. a. unter Einwirkung von Kathodenstrahlen gelb, braun und blau färben. Die durch Kathodenstrahlen in diesen Substanzen erweckte Phosphorescenz ermattet bei ihrer Färbung. Aus der. sehr genauen Beschreibung der unter dieser Einwirkung erlang- ten Eigenschaften des Steinsalzes ersieht man gleich, dass diese ganz den vom Verf. (l. c.) beschriebenen, durch Glühen mit Na erworbenen, entsprechen. Der unwesentliche Unterschied besteht darin, dass bei letzterem die Färbung sich nicht auf eine feine oberflächliche Schicht beschränkt, daher nicht rasch in der feuchten Zimmerluft verschwindet. Goldstein stellt zwar vorderhand keine ausdrückliche Hypothese zur Erklärung der von ihm beobachteten Erschei- 1) Kreutz. Sitzungsb. u. Abhandl. d. Akad. d. Wiss. in Krakau. Bd. XXIV, 1892 u. im Auszug im Anzeiger (Bulletin international) d. Akad. April 1892. | ?) Goldstein. Sitzb. d. Akad. d. Wiss. in Berlin. Juli 1894 u. in Wiedemanns Ann. 1895. H. 2. 2% 120 RÉSUMÉS nung auf, doch erscheint es ihm denkbar, dass hiebei eine neue physikalische Modification von NaCl, respective von KCI, LiCl, Na,00, etc. entstehe. „Die Annahme chemischer Modi- ficationen wird aber“ nach seiner Ansicht (1. c.) „dadurch un- wahrscheinlich, dass verschiedene der farbigen Substanzen von selbst in anscheinend die gewöhnliche Beschaffenheit des ange- wandten Salzes zurückkehren, so Jodnatrium und Jodkalium nach kurzer, Chlorkalium nach längerer Zeit; bei allen Salzen aber reicht starkes Erhitzen der farbigen Substanzen aus, um so weit erkennbar, die ursprüngliche Beschaffenheit des Salzes wieder herzustellen“. Die wichtige Entdeckung und die anregenden Erörterun- gen Goldsteins veranlassten den Verf., seine Untersuchungen über das Steinsalz zu wiederholen und auszudehnen, wobei auch der Flusspath gewisserwassen mit in die Untersuchung gezogen wurde. Sie führten zur Erkennung weiterer bis jetzt am Stein- salz noch nicht beobachteter Eigenschaften und zu Beobach- tungen, welche zur Erklärung der Färbung von Steinsalz und Fluorit beitragen. Verf. hat Stücke von natürlichem blauen, als auch erst ‚durch Glühen mit Na blau gefärbtem Steinsalz, sowie vom blauen Fluorit in nur durch Korke verschlossenen Glasröhren der Einwirkung elektrischer Funken aus einer Holz’schen Maschine durch längere Zeit ausgesetzt und hiebei immer ein Lichterwerden, eine Schwächung der Färbung dieser Mi- nerale, manchmal auch stellenweise ihre vollständige Entfär- bung (vielleicht nur in Folge der Erschütterung und starker Erhitzung ?) beobachtet; werden hingegen Spaltstücke von farb- losem oder durch Erhitzen entfärbtem Steinsalz, sowie durch Erhitzen entfärbtem Fluorit ebenso der Einwirkung starker elektrischer Schläge ausgesetzt, so färben sich dabei sehr oft viele Stücke fleekenweise blau. Tief lazurblaue Flecke am Steinsalz findet man namentlich an Stellen, an welchen das Einschlagen des Funkens deutliche Spuren zurückgelassen hat. Beim Durchmustern der Stücke muss man sich hüten sie anzuhauchen, da die blauen Flecke hiebei gleich einschrumpfen RÉSUMÉS 121 und verschwinden. Dass durch Erhitzung entfärbter Flussspath sich unter Einwirkung elektrischer Entladungen gewöhnlich blau, selten nelken-auch lillaroth färbt hat bereits Pearsall !) beobachtet. Das Steinsalz hat auch die seltene Eigenschaft der Fluo- rescenz mit dem Fluorit gemein. In Kalusz finden sich, wenn auch selten, Steinsalzkrystalle, die im auffallenden Lichte vio- lette oder schwärzlich blaue, im durchgehenden hell lazurblaue oder grünlichblaue Farbe zeigen, ebenso erscheinen durch Glühen mit Na dunkelpflaumenblau gefärbte Steinsalzkrystalle im durchgehenden Lichte lazurblau. Die Fluorescenz von Steinsalz ist zwar bei weitem nicht so schön und rein wie des cumberländischen blauen Fluorits, aber immerhin auffallend, namentlich an den durch Glühen mit Na gefärbten Stücken. Auch in Bezug der Phosphorescenz-Eigenschaft verhalten sich Steinsalz und Fluorit sehr ähnlich. Beide Mineralien leuchten auf, wenn man sie im Dunkeln mit einem eisernen Instrument spaltet, sie leuchten auch in Folge der Einwirkung von Kathodenstrahlen sowie von elektrischen Entladungen. Durch letztere Einwirkung wird aber die Phosphorescenz in sehr vielen Mineralien ?2) erweckt; interessanter erscheint die folgende Erfahrung. Bekanntlich phosphoreseieren einige Varietäten von Fluorit beim Erwärmen, verlieren diese Eigen- schaft durch zu langes oder eher durch zu starkes Erhitzen, erlangen aber die Eigenschaft beim Erwärmen zu phosphorescie- ren wieder, wenn sie elektrischen Schlägen ausgesetzt werden. Wie sich Verf. überzeugt hat, leuchten beim Erwärmen nach soleher Behandlung auch solche Fluorit-Varietäten, welche vorher diese Eigenschaft nicht hatten. Dasselbe Verhalten hat Verf. am Steinsalz beobachtet. Wird Steinsalz, einerlei ob farblos, roth oder blau, auch durch Glühen mit Na blau gefärbtes, der Einwirkung elektrischer Funken ausgesetzt, so phosphore- 1) Pearsall. Pogg. Ann. XXII. 1831. p. 581. ?) Caleit, Siderit, Baryt, Coelestin, Gyps, Apatit, Quarz, Korund, Zirkon, Spinell, Cyanit, Feldspath, Glaukolith, Sodalith ete, 122 RÉSUMÉS sciert es ebenso stark wie der Fluorit noch einige Augenblicke nachdem es der Einwirkung der elektrischen Entladungen entzogen ist; am stärksten leuchtet durch Glühen mit Na pflaumenblau gefärbtes Steinsalz, und es dauert oft einige Mi- nuten, bis sein Licht erlischt. Wird solches Steinsalz, welches keine Phosphorescenz mehr zeigt, mässig erwärmt, so beginnt es zu phosphorescieren und leuchtet dann im Warmen z. B. neben dem warmen Zimmerofen gelegt oder in der warmen Hand oft stundenlang so hell und stark, wie der Chlo- rophan. Erlischt das Licht, so reicht gelindes Erwärmen aus, um es wieder zu erwecken. Wird solches Steinsalz aber zu lange oder zu stark erhitzt, so verliert es die Eigenschaft beim Erwärmen zu leuchten, erlangt sie aber wieder durch Einwir- kung elektrischer Schläge. Diese Eigenschaft besitzt auch der Sylvin und der Apatit, vorzüglich seine viol-blaue Varietät. Graues Steinsalz enthält Thon und Sand, trübes schmu- tzig-grünes von Wieliezka Thon und Glaukonitkörnchen. Trü- bes schwärzlichgraues, bräunliches und trübgelbes Steinsalz von Bochnia, Boryslaw und Starunia ist durch Kohlepartikel, Bitumen, Erdwachs, Erdöl und andere empireumatisch riechen- de organische Substanzen gefärbt. Das apfelgrüne Steinsalz von Hallstadt enthält Kupferchlorid mit Kupferoxyd, erhitzt wird es schwarz; seine ammoniakalische Lösung ist schön blau. Man kann es leicht künstlich nachmachen, wenn man in eine mit Steinsalzmehl und etwas concentrierter Steinsalzlösung ge- füllte Schale kupferne Kathoden einer galvanischen Batterie hineinsteckt und durch längere Zeit tropfenweise Salzlösung zugibt. Es bildet sich ein ziemlich festes, fein bis mittelkörni- ges Krystallaggregat, von dem ein Theil schön apfelgrün, der andere weiss ist. Wendet man eiserne Kathoden an, so erhält man ein zum Theil weises, zum Theil schön gelbes Krystallag- gregat, neben welchem häufig, namentlich beim durch eine Oel- schiehte gehinderten Luftzutritt, auch trüb.- grünlich-blaue Kry- ställchen entstehen. Letztere werden an der Luft schnell braun, die gelben beim gelinden Erwärmen schön roth. Nur auf diese Weise gelang es die in Kalusz u. a. O. häufigen Aggregate RÉSUMÉS 129 von weissen mit durch Eisenoxydhydrat und Eisenoxyd rothgelb und roth gefärbten Steinsalzkrystallen künstlich nachzuahmen. In solehen Krystallaggregaten von weissem und rothem Steinsalz und Sylvin findet sich in Kalusz oft auch violett- lazur- oder berliner-blaues Steinsalz vor. Es erscheint demnach natürlich, dass es nicht ganz eisenfrei sein kann und eine Spur von Eisen lässt sich in ihm unzweifelhaft nachweisen !). Verf. hat, um sicher zu sein, diesen Nachweis neuerdings vor Ana- lytikern von Fach, die er zur Beachtung aller nöthigen Vorsicht eingeladen, sowohl am natürlichen blauen, als auch am, durch Glühen mit Na blau gefärbten Steinsalz wiederholt ausgetührt. Deutliche Spuren von Eisen konnte Verf. auch in allen blau, gelb oder roth gefärbten Fluoriten, die er zur Untersuchung benutzen konnte, nachweisen; das Vorhandensein von Fe und Mn im Fluorit und Apatit war schon lange bekannt. Da ausserdem im gewöhnlichen blauen und rothen, sowie durch Glühen mit Na blau, gelb oder braun gefärbtem Steinsalz, keine anderen Beimengungen, denen die Ursache der blauen Färbung zugeschrieben werden könnte, namentlich weder Mn, Cr, Cu, Co, noch Na, Cl oder Ultramarin nachgewiesen werden könn- ten, so ist man gezwungen die Ursache dieser Färbung der Beimengung einer Eisenverbindung zuzuschreiben, wenn man nicht an einen neuen, etwa noch unbekannten, tief-blauen Stoff denken will und die unten angeführten Gründe die jetzt noch herrschenden Ansichten unzweifelhaft widerlegen. Da Steinsalz und Fluorit gewöhnlich, vielleicht sogar immer, Kohlenwasserstoff enthalten, und diesen, wie auch ihre Farbe beim Erhitzen verlieren, so wird der Kohlenwasserstoff als Pigment des blauen Steinsalzes, sowie des gefärbten Fluorits angesehen, andererseits wird die Ursache der blauen Färbung des Steinsalzes, und des Fluorits einer besonderen Anordnung der Hohlräume zugeschrieben, oder als Eigenthümlichkeit be- sonderer physikalischer Modificationen oder Structuren von Na Cl resp. Ca Fl, (Pearsall) gedeutet. 2) Kreutz 1. .c, 124 RÉSUMÉS Diese Anschauungen können nicht angenommen wer- den, da a) Kein tiefblauer Kohlenwasserstoff bekannt ist, der in spurenhafter Beimischung das Steinsalz oder den Fluorit dun- kelberlinerblau färben könnte; es erscheint auch ganz unwahr- scheinlich, dass verschiedenfarbige Kohlenwasserstoffe den Fluo- rit zonenweise z. B. rein gelb und rein blau färben sollten und es wäre unmöglich, dass durch flüchtigen Kohlenwasser- stoff gefärbtes Steinsalz und Fluorit, welche den Farbstoff durch Erhitzung verloren hätten, diesen entweder durch Glühen mit Na oder Einwirkung von Kathodenstrahlen resp. von elektri- schen Funken wieder erlangen. b) Die mikroskopischen Hohlräume in den blauen Partien von Steinsalz und Fluorit sind von den Hohlräumen in deren farblosen Theilen in Gestalt, Anordnung und Häufigkeit nicht zu unterscheiden, ändern sich auch nicht beim Entfärben dieser Mineralien durch vorsichtiges Erhitzen. c) Krystalle, deren Substanz zonenweise verschiedenen physikalischen Modificationen angehören würden, sind nicht möglich, es kommen aber zonenweise verschieden gefärbte Fluo- rite und, wenn auch sehr selten, zonenweise wiederholt farblose und blaue Steinsalzkrystalle vor; werden sie allmählig !) von +400° bis —100 oder —200° abgekühlt, so lässt sich hiebei weder eine Umwandlung der Zonen, noch ein Verrücken ihrer Grenzen beobachten. d) Nach Goldstein (l. c) werden nicht nur NaCl, KCI, LiCi... aber auch K,CO, dureh Entwirkung von Kathoden- strahlen gelb und dann bei gelinder Erwärmung blau, bei Ab- kühlung wieder gelb, CaFL wird, wie auch Steinsalz, unter dem Einfluss elektrischer Funken blau. Dieses gleiche Verhalten 1) Wird gelbes Quecksilberjodid langsam abgekühlt, so wird es zuerst roth und bei —60° bis —80° wieder gelb; wird es aber rasch z. B. durch Eintauschen in flüssigen Sauerstoff abgekühlt, so bleibt es ungeändert in der rhombichen gelben Modification, die rothe Modification wird über- sprungen. RESUMES 125 chemisch und krystallographisch verschiedener Substanzen ist nur durch die Annahme einer, wenn auch anders nicht nach- weisbaren Beimischung erklärlich. e) Werden Spaltstücke von Steinsalz verschiedener Fund- orte zusammen mit Na geglüht, so finden sich dann manchmal unter den gefärbten auch ungefärbte Stücke (oder auch solche, an denen nur ein Theil ungefärbt geblieben), die sich auch bei Wiederholung des Versuches nicht färben, was bei der An- nahme, dass bei der Färbung des Steinsalzes NaCl einer che- mischen oder physikalischen Umwandlung unterliegt, unerklär- lich wäre. Der Farbstoff des blauen Steinsalzes und des Fluorits ist ziemlich beständig. Handstücke in Museen, welche vor mehre- ren Jahrzehnten als blau eingeschrieben worden sind, sind blau geblieben. An den Steinsalzstücken, die vor drei Jahren durch Glühen mit Na gefärbt und gründlich in Wasser und Salz- säure von den weissen, an der feuchten Luft kohlensaures Natron bildenden, Producten der oft tief eingreifenden Einwir- kung des Na auf Na Cl gereinigt worden sind, ist nicht die geringste Änderung zu bemerken. Wird ein durch Glühen mit Na intensiv gefärbtes Steinzalzstück von der Seite etwas angeschmolzen und wiederholt immer weiter damit fortgeschrit- ten, so gelingt es oft den beim Krystallisieren der Schmelze ausgestossenen, meist roth gewordenen, Farbstoff an einem Fleck anzusammeln. Natürlich sind solche Partien am geei- gnetsten zum Nachweis des Eisengehaltes. Die Erkennung, in welcher Verbindung das Eisen den blauen Flussspath und das blaue Steinsalz färbt, ist sehr schwierig. Am natürlichsten und wahrscheinlichsten erscheint dem Verf. die Annahme, dass eine phosphorsaure Eisenverbindung das Steinsalz, sowie den Fluorit blau färbe; Phosphorsäure liess sich jedoch im Steinsalz nicht nachweisen, wenn der starke Knoblauchgeruch. der sich aus den Producten der Erhitzung von Steinsalz mit Na, bei deren Befeuchtung, entwickelt, hiezu für nicht ausreichend gelten sollte. Wird in einer Steinsalzlö- 126 RÉSUMÉS sung in sehr geringen Mengen phosphorsaures Eisenoxydul gebildet, so erhält man oft roth oder violett gefärbte Na Cl-Kry- stalle, die sich jedoch beim Erhitzen anders, als die natürlichen blauen oder durch Erhitzen mit Na gefärbten Steinsalzkrystalle verhalten. Na Cl Kryställchen von der Farbe und Verhalten des blauen Steinsalzes, hat Verf. nur durch Färbung von Na Cl mit Berlinerblau erhalten. Gibt man zu einer Steinsalzlösung mit einer Spur von einem Eisensalz etwas Blutlaugensalzlö- sung und Salzsäure und gleich darauf reichlich Alkohol hinzu, so setzt sich am Boden des Gefässes blau gefärbtes Na Cl ab, welches nach einiger Zeit nach dem Trocknen ein Krystallag- gregat bildet. An diesem kann man keinen Unterschied von dem natürlichen blauen Steinsalz auffinden; sie entfärben sich bei derselben Temperatur, ihre wässrige Auflösung erscheint farblos, obgleich sie stark gefärbt sind, ist das Eisen in ihnen schwierig nachzuweisen, durch Einwirkung elektrischer Schläge entfärbt sich auch das durch Berlinerblau gefärbte Salz. Würde es sich nur um das durch Glühen mit Na gefärbte Steinsalz handeln, so wäre die Annahme, dass eben Berlinerblau das Pigment sei, wohl gestattet und lässt sich noch durch weitere Beobachtungen und Erörterungen kräftig unterstützen. Im Steinsalz sind gewöhnlich, wie es anders bei seiner Bildung aus Meerwasser nicht möglich ist, Zersetzungsproducte von organischen Körpern vorhanden; Kohlepartikelchen findet man im Steinsalz beinahe immer bei starker Vergrösserung; Eisen- spuren lassen sich beinahe immer im Steinsalz nachweisen. Bei der Erhitzung dieser im Steinsalz vorhandenen Stoffe mit Na und den Zersetzungs-Producten von Na Cl bildet sich wohl Cyan, welches sich hernach mit dem Eisen verbinden kann. Es bildet sich auch Cyan, wenn elektrische Funken zwischen Kohlekathoden durch Stickstoff-Verbindungen schlagen. Wird natürliches blaues oder durch Glühen mit Na blau gefärbtes Steinsalz fein zerrieben, so erscheint es sehr oft smalteblau, (zerreibt man es in Alkohol so bleibt es auch blau); behandelt man solches Pulver mit Cl oder HCl, so entfärbt RÉSUMÉS 127 es sich niemals dabei, erscheint eher sogar reiner und inten- siver blau gefärbt. Glüht man eine grössere Menge Steinsalz mit Na, gibt hierauf gleich alles zusammen ins Wasser und setzt ohne langes Zögern genügend Salzsäure hinzu, so bil- det sich gewöhnlich in der Lösung etwas Berlinerblau, dessen Bildung man jedoch einer zufälligen äusseren Verunreinigung des Materials zuschreiben könnte. Würde es sich nur um die Erklärung der Färbung des mit Na geglühten Steinsalzes handeln, so würden diese Gründe wahrscheinlich als genügend erachtet werden, um sie einer Beimischung einer Cyan-Eisenverbindung zuschreiben zu kön- nen, doch sehr wenig plausibel erscheint die Möglichkeit der Entstehung dieser Verbindung im Schosse der Erde bei der Bildung der blauen Steinsalzkrystalle, welche in Kalusz bei der Auflösung von Carnallit durch Salzlauge gleichzeitig mit rothem und milchig-blauem Sylvin entstanden sind. 26. — K. Zorawskr. 0 calkach niezmiennych ciaglych grup przeksztalcen. (Über Integralinvarianten der continuierlichen Transfor- mationsgruppen). An die Spitze dieser Abhandlung wird eine Definition von Integralinvarianten der continuierlichen Transformations- gruppen gestellt. Ist nämlich eine endliche oder unendliche Transforma- genseruppe 7 n.den Veränderlichen x; ,..,@,3 yıy.., Wa: 215--, Zw. wo die y, Functionen von den x;, und die 2, Diffe- rentialquotienten dieser Functionen bis zu einer gewissen p-ten Ordnung bezeichnen, so beschaffen, dass jede Transformation dieser Gruppe die Gestalt des unter dem Integralzeichen des Integrals: (NEC an Zinn Zu) dE. der, stehenden Elementes invariant lässt, so wird dieses Integral Integralinvariante erster Art dieser Gruppe genannt, 128 RÉSUMÉS Bezeichnet man ferner die allgemeinste infinitesimale Transformation der Gruppe 77 mit: ro f= Ya + Yen; va Faye SL, wo £, und », Functionen von den x, und y,, & aber gewisse Functionen von den &,, %,, 2, sind, so ist die Function Q der Integralinvariante erster Art dieser Gruppe 7 eine Lösung desjenigen Systems von Differentialgleichungen, welches ver- möge der in 7” vorhandenen willkürlichen Grössen aus der Differentialgleichung: Tro+n): >) 9 folgt. Die runden Klammern bezeichnen hier, dass die Diffe- rentiationen nach den explieit und implieit vorkommenden x: ausgeführt werden müssen. Umgekehrt, liefert jede Lö- sung des genannten Systems eine Integralinvariante erster Art. Auf Grund dieser Thatsache wird nun abgeleitet, dass, sobald Integralinvarianten erster Art existieren, die allgemeinste sol- che Integralinvariante die Gestalt: es Hide ce hat, wo ® eine willkürliche Function, J,, /,.., I, alle von einander unabhängige Invarianten der Gruppe 7” und Æ irgend eine von Null verschiedene Lösung des genannten Sy- stems bezeichnet, also im Allgemeinen keine Invariante der Gruppe TP ist. Diese allgemeine Betrachtung wird durch einige Bei- spiele illustriert, von denen insbesondere dasjenige zu erwäh- nen ist, in welchem die von Poincaré in der Theorie der linea- ren Substitutionen benutzten Integralinvarianten (Acta math., Band I, p. 6—8) abgeleitet sind. Darauf werden Integralinvarianten zweiter Art der end- lichen eontinuierlichen Transformationsgruppen betrachtet. So- bald nämlich nach der Ausführung in dem Integrale: RESUMES 129 Ban Din, la) deram, Rd, jeder willkürlichen Transformation der r- gliedrigen Gruppe 7, in den Veränderlichen +, und der entsprechenden Transforma- tion einer mit 7’ isomorphen Gruppe Z, in den Veränderlichen l,, die Gestalt des unter dem Integralzeichen stehenden Ele- mentes invariant bleibt, nennt der Verfasser dieses Integral Integralinvariante zweiter Art der Gruppe 7 in Bezug auf die Gruppe Z. Entsprechen nun ferner den infinitesimalen Transforma- tionen: = o) X,f — DCE TEE = We Ir) T; der Gruppe 7 die infinitesimalen Transformationen: RU) y %®=1,2,..,r) ; I der mit 7’ isomorphen Gruppe Z, so findet man durch Inte- gration des Systems: HOT, D Lo) 2 Ski IX, et. .,n die allgemeinste Integralinvariante zweiter Art in der Form: [e(A,R,..,n Mau ar,..de n3 wo ® wiederum eine willkürliche Function, Z,, J,,. , I, alle von einander unabhängigen Invarianten der gesammten Gruppe T und Z, und H irgend eine von Null verschiedene Lösung des genannten Systems bezeichnet, also im Allgemeinen keine Invariante der gesammten Gruppe ist. Sobald die Gruppe 7 Integralinvarianten erster Art besitzt, so kann A der entspre- chenden Function Z, also einer Function, welche nur von den Variablen x, abhängig ist, gleich gesetzt werden. Ist Z die Parametergruppe der Gruppe 7 und sind die endlichen Gleichungen dieser Gruppe 7’ angegeben, so berech- 130 RÉSUMÉS net man die Integralinvarianten zweiter Art insofern einfacher, dass dann die Invarianten Z,, deren Zahl in diesem Falle gleich n ist, bekanntlich sehr leicht aufgestellt werden können. Endlich werden eingehender die Integralinvarianten der eingliedrigen Gruppen betrachtet. Es werden nämlich alle Integralinvarianten erster Art und alle Integralinvarianten zweiter Art der eingliedrigen Gruppe: En, )EE-=LR,..,n) in Bezug auf die Parametergruppen des Parameters # genau bestimmt. Umgekehrt werden alle eingliedrigen Gruppen, welche ein gegebenes Integral erster Art, respective ein gegebenes von t abhängiges Integral zweiter Art gestatten, aufgestellt. Der Verfasser schliesst mit der Bemerkung, dass die zuletzt genannten Probleme mit folgenden Problemen übereinstimmen: Aus den gegebenen Geschwindigkeitscomponenten der Theil- chen einer stationär sich bewegenden Flüssigkeit alle mögli- chen Vertheilungen der Dichtigkeit dieser Flüssigkeit zu be- stimmen und umgekehrt, wenn die Vertheilung der Dichtigkeit gegeben ist, alle möglichen Geschwindigkeitscomponenten auf- zustellen. 27. — L. Naransox. 0 rozprezaniu adiabatyeznem w poblizu stanu krytycz- nego. (Sur la detente adiabatique au voisinage du point eritique). Supposons que nous ayons un systeme qui se compose soit d’un liquide, soit d’une vapeur, soit encore d’une quan- tité de liquide et d’une quantité de vapeur saturée. La théorie des phénomènes qui, dans un pareil système, accompagnent la détente adiabatique a été constituée par Clausius et Ranki- ne et vérifiée par Hirn et Cazin; récemment encore MM. Du- hem et Raveau lui ont apporté des développements importants (Travaux et Mémoires des Facultés de Lille, To- me I, mémoire Nr. 5, p. 83. Journal de Physique (3) tome I, p. 470 et 461). Dans la présente Note nous tâcherons RÉSUMÉS 131 d'appliquer cette théorie à la solution de certains problèmes que les belles recherches de M. Olszewski sur la liquéfaetion de l'hydrogène nous ont suggérés. $. 1. Rappelons sommairement les principes de la théorie établie. Soit m la masse du liquide et M la masse de la vapeur que renferme le système. Admettons que le système soit tout entier à la température absolue 7. Désignons par p la valeur générale de la pression, par P la pression de la vapeur satu- rée, par w et W le volume du liquide et celui de la vapeur, par unité de masse, par s et & l’entropie du liquide et celle de la vapeur, pareillement par unité de masse. Soit V le vo- lume total du système et $ son entropie totale. Si le système, dans une transformation réversible élémentaire que nous lui faisons subir, absorbe une quantité dQ de chaleur, nous aurons dw AV = (W — u)da + (m Cr + ie a) 10 T&M L T(n 9 ar. (2) dans ces équations on a posé, pour abreger, d dP 9 77 = ne a N LE Désignons par L la chaleur de vaporisation rapportée à Punite de masse. Posons ds dÈ I pn TT; : . . . (4) y sera ce que l’on nomme „la chaleur spécifique du liquide saturé“; [U sera „la chaleur spécifique de la vapeur saturée“. L'égalité (2) peut s’écrire dQ = LdM + (my + MT) dT. ER ne )) Considérons une quantité A définie de la manière suivante; 132 RÉSUMÉS > (m + M) y dw daW (my + MD) (Wu) — L (m, + MT Si, avec M. Raveau, l’on admet que les chaleurs spécifiques sous volume constant du liquide et de la vapeur restent finies au point critique, on démontre aisément que la quantité À est positive à toute température; cette proposition est alors, en effet, la conséquence immédiate de celles que M. Duhem a données. Considérons le cas de la détente adiabatique en sorte que dV>O et dQ—0. Des égalités (1), (5), (6) il résulte dM my + MT N)... (3,) = A — m av), m+ My Designons par À la quantité suivante, fonction de la tempéra- ture absolue: nr EN LES, à (Say. = in et par 2 désignons le rapport M (9) . . . . . . l = m + M auquel nous donnerons le nom de , degré d’évaporation“. Consi- dérons le plan des (p, V) en prenant pour abseisses les volumes, et les pressions pour ordonnées. Dans ce plan traçons les courbes qui correspondent à des valeurs constantes de 2 et que nous proposons d'appeler „courbes isopsychriques“. Les deux isopsychriques / — O0 et = 1, se raccordant au point critique, constituent la courbe bien connue qui limite la ré- gion de la coexistence du liquide et de la vapeur et que nous nommerons „courbe de saturation“ (d’après M. Raveau). L'égalité (7) deviendra SD ANS JR ().-44-35) Par conséquent c’est l’isopsychrique Z=% qui, à chaque tem- pérature, est tangente à la courbe adiabatique. Les isopsy- RÉSUMÉS 133 chriques qui se trouvent à droite de l’isopsychrique 7 = à coupent les adiabatiques en sorte qu’en suivant l’adiabatique, à partir du point d’interseetion, dans la direction de l’axe des volumes, on descendrait au-dessous de l’isopsychrique. Au contraire, les isopsychriques situées à gauche de celle qui correspond à { — À coupent les adiabatiques de manière qu’en suivant l’adiabatique, à partir du point d’interseetion, dans la direction de l’axe des volumes, on se trouverait au-dessus de l’isopsychrique. Comme l'allure générale des courbes qui donnent les chaleurs spécifiques y et I’, en fonction de la température, est connue, il est aisé de se rendre compte des variations que subit avec elles le rapport À. Au zéro absolu le rapport X est probablement égal à zéro. Il augmente ensuite en valeur et il devient égal à l’unité, à une temperature 7*, appelée „pre- mier point d’inversion“, à laquelle la chaleur spécifique I’ change de signe, en passant du négatif au positif. Au-dessus de cette température le rapport À augmente encore jusqu’à une certaine valeur maxima que nous désignerons par À, il diminue ensuite et, à une température 7**, appelée „second point d’inversion“, il devient une seconde fois égal à l’unité, la chaleur spécifique I’ y passant du positif au négatif. Enfin, entre la température 7** et la température critique 7° la quantité y augmente et la quantité | diminue; elles devien- nent infinies au point critique, la première, infinie positive, la seconde, infinie négative; le rapport y/T, ainsi que l’a montré M. Raveau, tend probablement à devenir égal à —1; par con- sequent le rapport À tend à devenir égal à 4. Dans le plan des (p, V) traçons la courbe de saturation AcB (fig. 1) ainsi que le système complet des courbes isopsychri- ques, savoir: celles qui correspondent à des valeurs de / inférieu- res à l’unité, ainsi que celles qui correspondent à des valeurs de / supérieures à l’unité et qui représentent, par conséquent, des états impossibles du système. Traçons la courbe cN, lieu des points de tangence des adiabatiques et des isopsychriques; nous lui donnerons le nom de „ligne neutre“. De ce qui précède Bulletin IV. 3 134 RÉSUMÉS il résulte que les points I et II d’intersection de la courbe de saturation et de la ligne neutre se confondent avec les points d’inversion définis plus haut; et que la ligne neutre est tan- (Fig. 1.) gente à l’isopsychrique fictive qui correspond à / =. La ligne neutre partage en deux régions la portion du plan des (p, V) qui se trouve au-dessous de l’isotherme critique; ‚dans celle qui est située à droite une détente adiabatique devrait entraîner la condensation; dans celle qui est située à gauche elle devrait au contraire entraîner la vaporisation. Telle serait en effet la loi générale de la détente, si, pour les masses du liquide et de la vapeur que renferme le système, des valeurs négatives étaient admissibles. En réalité un changement d'état n’est possible que sur la courbe de saturation et dans son intérieur; donc, la condensation dans la détente, par exem- ple, n'aura lieu que dans les portions de la „region de coe- xistence“ qui, dans la fig. 1, ont été représentées ombrées. La construction de la ligne neutre (au dedans de la région de coexistence) est due à M. Raveau. Les équations (4) permettent de se rendre compte des variations que subissent les entropies « du liquide et £ de la vapeur saturée, rapportées à l'unité de masse, lorsque la tem- pérature varie. Les courbes qui expriment 6 et Ë en fonction de la température se raccordent à la température critique; leur ensemble constitue la courbe de saturation dans le plan RESUMES 135 des (7, S). Lorsque la température s’élève, l’entropie s augmente; d?6 / dT? a des valeurs qui, à des températures fort basses, sont probablement négatives, tandis qu’elles sont considérables et positives au voisinage du point eritique. L’entropie & di- minue jusqu'au premier point d’inversion; elle y passe par une valear minima, pour augmenter ensuite avec lenteur (Fig. 2.) jusqu’ à la seconde température d’inversion T**, à laquelle correspond une valeur maxima. Au delà, et jusqu’ à la température critique, l’entropie Ë diminue rapidement. La fig. 2. est destinée à servir d'illustration à ces variations. $. 2. Supposons que nous ayons un Corps gazeux à une température initiale 7, qui est supérieure à la température critique. Nous lui faisons subir la détente; la température s’abaisse jusqu’au point critique et au-delà. Quels seront les phénomènes que déterminera la détente? Lorsque celle-et s'opère, le point figuratif dans le plan des (p, V) se déplace 136 RÉSUMÉS en suivant une adiabatique. Toutes ces adiabatiques, comme dans les expériences de M. Olszewski (voir Bulletin In- tern. de l'Acad. d. Se. de Cracovie, Mai 1891 et Mars 1895), sont issues de l’isotherme initiale 7. Soient R,, R,, R,, R.,... les pressions, de plus en plus petites, auxquelles les points d’issue des adiabatiques correspondent. Soient &,, S,, 8 Sa... les valeurs de l’entropie du gaz (par unité de masse) à la température 7° et aux pressions R,, R,, R., R,,... Les adiabatiques suivant} lesquelles s'effectue la détente sont données par les équations (1) Sp TD=8; (12) S(p, T)=8; ete. Designons par Qu, 9 Qu Qa,... les pressions et par 7, 7,, T,, Ta,... les températures qui correspondent aux points d’in- tersection de ces adiabatiques et de la courbe de saturation. Soient Q,=P, et T, les valeurs qui conviennent au point eritique. Nous aurons dan. AN) ESS; (9, 7) = 8; (14) Er 6 (Q., 7.) > EL (Q., 7%) = 5. (LD) RO ET) = Sete ete: Considérons deux courbes adiabatiques infiniment voisines, celles par exemple qui correspondent aux valeurs $ et 84-88 de l’entropie; aux points d’intersection avec la courbe de satu- ration les pressions seront: Q et Q + 0Q, les températures: T et T +ÔT. Nous aurons Lo TU 33- (97 dr = ST; de 39 = (7) 57T, si l’on convient de substituer à @ les quantités y ou F selon que l'endroit où l’adiabatique vient franchir la courbe de sa- turation se trouve du côté du liquide ou de celui de la vapeur, RESUMES 137 Admettons qu’à la température initiale 7, les lois des gaz parfaits soient applicables avec approximation suffisante ?). Nous aurons SCT clos RS, 12 M (LE) C, ce et 8, désignant des constantes; par conséquent nes Le ER) et les égalités (16) et (17) donnent dP EZ SE ie (20) oR RG Au point critique: Y= +; T=—-x; >) a une valeur finie; (21) par conséquent la valeur de 3Q/ÔR au point critique est zero. Recherchons l’adiabatique qui aboutit au point critique et que nous désignerons sous le nom de critique“; soit À, la pression initiale, sur l’isotherme 7, qui appartient à l’adiaba- tique critique. De l’adiabatique critique passons aux adiabati- ques pour lesquelles la pression initiale R, est supérieure à A; ces adiabatiques pénétreront à l’intérieur de la „region de coexistence“ sous des pressions Q, en sorte que se, “2 (an), ok, Rıy par conséquent, lorsque les À, augmentent, les 9, diminuent. Ainsi, c’est du côté du liquide que se fera l'entrée dans la LR a 1) Dans les conditions d’expériences dans lesquelles M. Olszewski s'est placé cette assomption sera pleinement justifiée. En effet, 7 dans ces expériences était de — 211°C, c’est-à-dire de 62 degrés de l'échelle absolue. La température critique de l’hydrogène est de — 232° C. environ. Par conséquent l'hydrogène à — 211°C est comparable à de l’acide carbo- 4 nique CO? qu’on aurait porté à + 187°C, 138 RESUMES „region de coexistence“ et la pression Q, sera celle sous la- quelle apparaîtront les premières gouttelettes de vapeur; au-dessus, la masse toute entière demeurant homogène, il sera impossible de constater que son état est, en réalité, celui d’un liquide. De l’adiabatique critique passons maintenant aux adiabatiques pour lesquelles la pression initiale À, est in- férieure à À. Nous pénétrerons à l’intérieur de la région de coexistence sous des pressions Q, et nous aurons dP (DS) NME EE CE sn, (ar), OR, R,T en sorte que les Q, diminuent lorsque les %, diminuent jusqu’à ce que la température T** ne soit atteinte. L’interseetion avec la courbe de saturation se fait ici du côté de la vapeur. La valeur de 60, /$R, est infinie à T**, négative entre T** et T*, infinie à 7T* et positive au-dessous de T*. Nous désignerons par H les valeurs des Q, entre les points d’inversion T** et T* et par X celles que prennent les Q, au-dessous du premier point T* (voir la fig. 3.). Placons-nous maintenant dans les conditions d’experien- ces que M. Olszewski a réalisées. Considérons des variations égales de la pression initiale (en sorte que DR, —Ô2R,) et pro- posons-nous d'étudier les variations que subiront, à gauche du point critique, les pressions Q,. et à sa droite, les pressions @,. Comparons en particulier les variations $Q, et 60, qui cor- respondent à la même température: 7, = T,. On a alors ee) 0% À, % Au point critique, T/y a pour valeur — 1; ainsi le rapport °Q,/8Q, y est pareillement égal à — 1. A des températures plus basses la quantité y est grande et positive; la quantité T est négative et tend rapidement vers zéro; À, diminue, À; augmente. Il en résulte que $Q, /$Q, tend rapidement vers zero et devient égal à zéro au second point d’inversion T#*; (24) au voisinaee de cette température les variations $0, sont in- oO & RÉSUMÉS 139 finiment plus rapides que les variations 0Q,. Ce résultat thé- orique fournit l'explication des phénomènes que M. Olszewski a observés en faisant subir la détente à l'hydrogène porté à — 211°C. La pression de 80 atm. est évidemment celle que nous avons designée par À,; la pression de 20 atm. est la pression eritique P. ou Q.; on conçoit maintenant que le phénomène d’ébullition brusque se soit produit toujours à la pression de 20 atm. lorsque la pression initiale était supérieu- re à 80 atm., tandis que pour des pressions initiales moin- dres il avait lieu à 18 atm., à 16 atm. etc. Admettons, pour avoir un exemple numérique, que les adiabatiques pour les- quelles À, = 90 atm. et À, = 70 atm. soient précisément celles qui coupent la courbe de saturation à une même température T; = T,; et que le rapport ['/y, à cette température, ait par exemple — 0,05 pour valeur; 3Q, étant égale à 2 atm., nous aurons: 0Q, = — 0,078 atm.; ceci est inférieur de beau- coup, de par la nature de l’expérience et la construction du manomètre, à ce que l'observation pouvait faire constater, ainsi que M. Olszewski a eu l’obligeance de nous l’apprendre. Poursuivons maintenant notre discussion générale. D’après ce qui a été prouvé au $. 1., il est évident qu’à la seconde température d’inversion 7** l’adiabatique est tangente à la courbe de saturation (fig. 1, II) et ne pénètre nulle part à l’intérieur de la région de coexistence dont cette courbe constitue la limite. A partir de cette adiabatique particulière, toutes celles qui correspondent à des pressions initiales in- férieures seront situées dans la région de la vapeur surchauffée; dans le cas où l’une d’elles viendrait pénétrer à l'intérieur de la région de coexistence celà n’arrivera à coup sûr qu'à une température inférieure à la première tempéra- ture d’inversion T’*, et sous une pression À, inférieure à la pression P*. Toutes les adiabatiques qui correspondent, au contraire, à des pressions initiales supérieures à celle qui convient à l’adiabatique tangente au point II (fig. 1) et qui ont coupé la courbe de saturation, sous des pressions Q, en entrant dans la région de coexistence, la couperont nécessai- 140 RÉSUMÉS rement une seconde fois, sous des pressions H, en sortant de la dite région. La détente qui s'effectue suivant ces adiabati- ques aura par conséquent pour effet de faire apparaître un brouillard sous une pression @, et de le faire de nouveau disparaître sous une pression M. Les pressions @, augmente- ront avec les pressions initiales A; pour les pressions H c’est le contraire qui a lieu. La limite inférieure de ces pressions H est P*, la pression de la vapeur saturée au premier point (Fig. 3.) d’inversion; la limite supérieure est P** (fig. 3). Ces consi- dérations expliquent, nous semble-t-il, le mecanisme de ce que M. Olszewski a décrit sous le nom d’ebullition brusque. Dans notre opinion c’est plutôt à l’action même de la détente qu’ à une absorption supposée de chaleur qu’ il convient de rapporter la disparition des vouttelettes liquides; la détente, en effet, se prolongeant, aura vite diminué la pression au- dessous de Q et atteint la pression H. Aussi est-il vraisem- RESUMES 141 blable que les pressions de 18 atm., de 16 atm., que donne M. Olszewski, ne sont que des valeurs intermédiaires compri- ses entre les Q, et les valeurs de 77 correspondantes; et ce serait la une raison de plus pour que ces pressions observées diminuassent rapidement au-dessous du point eritique. Il appartiendrait à l’expérience de vérifier! les diverses conclusions auxquelles la discussion précédente nous a amenés. $. 3. La dernière question que nous nous proposons de considérer est celle de savoir quelle pourrait être, pour l’hy- drogene, la situation des températures d’inversion. Il serait inutile de chercher à les calculer avec quelque certitude, Aussi nous permettrons-nous de hasarder la supposition que les tem- pératures/dinversion ‘des différents corps se correspondent, du moins en première approximation; c’est- à-dire que les températures d’inversion spécifiques +* et T** (rapports des températures absolues T* et T** et des températures critiques) sont les mêmes. Voici quelques données cumériques dont la plupart cependant semble mériter peu de nonfiance: Eau: ....D>0,74 (d’après les calculs de Clausius) Sulfure de carbone: +* > 0,79 (M. Duhem) Agétone-t 0% 72 —:0,92.(M.. Cazin) Ether: . . . . =*<0,59 (Clausius) Benzme: . +: : 7° —0,66 (M. :Duhem) = — 0.67. (M Cazin) 7® = 0,70 (M. Dupré) Chloroforme: . . 7* = 0,74 (M. Cazin; M. Dupre) T# = 0,65 (M. Duhem) Chlorure de carbone: 7* = 0,72 (M. Cazin; M. Dupre) = — ON (ME Duhern) Admettons pour le moment 0,75 comme valeur de * pour l'hydrogène; nous aurons, dans ce cas, — 242°. comme premier point d’inversion 7*; cette température serait done 142 RÉSUMÉS peu différente du point d’ebullition de l'hydrogène (sous la pression atmosphérique) qui, d’après nos prévisions, est situé a — 2440C. Le second point d’inversion se trouverait entre — 242°C. et la température critique qui serait de — 232° C., d’après les calculs que nous avons publiés précédemment. — Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza generalnego Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiellonskiego, pod zarzadem A. M. Kosterkiewicza. 15. Maja 1895. D à AC un € PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1878 — 1894 Librairie de la Soeiete anonyme polonaise (Spölka wydawnicza polska) a Cracovie. Ta Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II—VII (38 planches, vol. I épuisé). — 59 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Classe de Philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II—XXI (5 planches. vol. I épuisé). — 59 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances et travaux), in 8-vo, vol. III— XIII, XV—XXX (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 68 fi. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comp- tes rendus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne), in 4-to, 4 volu- mes (81 planches, 115 gravures dans le texte). — 20 fl. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commis. sion de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 13:50 fl. »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 7 vol. — 20 fl. 50 kr. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum us- que ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 3 volumes. Vol. H, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkie- wicz. 2 fl. — Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 3 fl. — Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. ı fl. 50 kr. »Biblioteka pisarzöw polskich.« /Bibliothèque des auteurs polonais du XVT siècle), in 8-vo, 29 livr. — 17 fl. 30 kr. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illus- trantia, in 8-vo imp., 14 volumes. — 70 fl. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosinski. 10 fl. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 16 fl. — Vol. II, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosiñski. 15 A. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 5 fl. — Vol. V, VIT, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosiñski. ıo fl. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. ro fl. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 5 fl. — Vol. XIII, Acta capitulorum wa ed. B. Ulanowski. 5 fl. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 10 (I—IV, VI—VII, X, XI, XV.) volumes. — 34 fl. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 3 fl. — Vol. II, Chronicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 3 fl. — Vol. III. Stephani Medeksza commentarii 1654 — 1668 ed. Seredyñski: 3 fl. — Vol VII, X, XIV Annales Domus professae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 7 fl. — Vol. XL Diaria Comitio- rum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski. 2 fl. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 7 fl. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 6 vol. — ı8 fl. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes, — 78 fi. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546 —1553. 5 A. — Vol. U, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674 ed. Klu- czycki. 10 fl. — Vol. III, Ÿ, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1683 ed. Waliszewski. 15 fl. — Vol. IV, IX, (pars r. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 15 fl. — Vol. VI, Acta Regis Ioannis III ad res expeditionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Klu- czycki. 5 fl. — Vol. VII (pars r. et 2.), XII (pars 1. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—1795 ed. Piekosiñski. 20 fl. — Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 5 fl. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 3 fl. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol, III—VI. — sr fl. X Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. Tomi I. fasciculus I. II. III. in 8-vo. — 4 fl. 50 kr. »Starodawne prawa polskiego pomniki.« /Anciens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. I—X. — 36 fl. ; Vol. IT, Libri iudic. terrae Cracov, saec. XV, ed. Helcel. 6 fl. — Vol. IH, Correctura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyñski. 3 fl. — Vol. IV, Statuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 3 fl. — Vol. V, Monu- menta literar. rerum publicarum saec. XV, ed. Bobrzyñski. 3 fl. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507—1531 ed. Bobrzyñski. 3 fl. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones clenodiales ed. Ulanowski. 6 fl. — Vol. VIII, An- tiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374—1400 ed. Ulanowski, 8 fl. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405—1546,. Acta iudicii criminalis Mu- szynensis 1647—1765. 3 fl — Vol. X, p. 1. Libri formularum saec. XV ed. Ula- nowski. z fl. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 4 fl. Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.e /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVII, 178 planches, vol. I épuisé). — 85 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux), in 8-vo, 26 volumes (181 planches). — 95 fl. 50 kr. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Comftes rendus de la Commis- sion de physiographie), in 8-vo, 25 volumes (III. IV—XXIX, 50 planches, vol. I. I. IV. V épuisés). — 104 fi. » Atlas geologiczny Galicyi.e Atlas géologique de la Galicie), in fol, 4 livraisons (19 planches) (à suivre). — 16 fl. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Com- mission d'anthropologie), in 8-vo, 17 vol. I—XVII (99 pl., vol. I épuisé). — 59 fl. Kowalczyk J., »O sposobach wyznaczania biegu cial niebieskich.« (Methodes pour déterminer le cours des corps célestes), in 8-vo, 1889. — 5 fl. Mars A., »Przekröj zamroZonego ciala osoby zmarlej podezas porodu skutkiem pekniecia macicy«. (Coupe du cadavre gelé d'une personne morte pendant laccou- chement par suite de la rupture de la matrice), 4 planches in folio avec texte, 1890. — 6 fl. Kotula B., »Rozmieszezenie ro$lin naczyniowych w Tatrach.« (Distributio plantarum vasculosarum in montibus Tatricis), 8-vo, 1891.— 5 fi. Morawski C., »Andrzej Patrycy Nidecki, jego 2ycie i dziela.« (Andre Patri- cèus Nidecki, humaniste polonais, sa vie et ses oeuvres), 8-vo, 1892. — 3 fl. Fin- kel L., »Bibliografia historyi polskiej.« / Bibliographie de l'histoire de Pologne), 8-vo, 1891.— 6 fl. Matlakowski V., »Budownictwo ludowe na Podhalu.« (Construction des maisons rurales dans la contrée de Podhale), 23 planches in 4-to, texte explicatif in 8-vo imp. 1892. 7 fl. 50 kr. Teichmann L., »Na- czynia limfatyczne w sloniowacinie,e /Ælephantiasis arabum), 5 planches in folio avec texte, 1892. — 3 fl Hryncewicz J., »Zarys lecznictwa ludowego na Rusi poludniowej.« (La médecine populaire dans la Ruthénie méridionale), in 8-vo 1893.—3 fl. PiekosifskiF., »Sredniowieczne znaki wodne. Wiek XIV.« Les marques en filigrane des manuscrits conservés dans les Archives et bibliothèques polonaïses, principalement celles de Cracovie, XIVe siècle), in 4-to, 1893. — 4 fi. Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.e /Les populations riveraines de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 4 fl. Görski K., »Historya pie- choty polskiej« /Zistoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1893. — 2fl.boct. »Historya jazdy polskiej« (Æstoire de la cavallerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 3A. 50°: »Rocznik Akademii.«e /Annuaire de PAcademie), in 16-0, 1874—1893 19 vol. (1873 épuisé) — 11 fl. 40 kr. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.« /Mémoëre sur les travaux de l'Académie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 2 fl. PDT DL / KM DE LACADEMIE DES SCIENCES 24 DE CRACOVIE | COMPTES RENDUS SÉANCES DE L'ANNÉE 1895. sm EN d a An U 1 het re Lime, dé CRACOVIE IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE 2 ERS 71895. \ '« À N) #4 M x IN L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE EN 1872 PAR : S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. : PROTECTEUR DE L’ÄCADEMIE: S. A. IL D’’ARCHIDUC CHARLES LOUIS. EE En ME Fr a © 5 Vice-Prorecreur: S. E. M. Jurrex pe D'uNAJEwWSKI. PRÉSIDENT: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. : EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($. 2). L’ Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nom: mes par S. M. l'Empereur. ($. 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, 6) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($. 12). La langue officielle de l’Académie est le polonais; c’est dans cette langue que paraissent ses publications, Se Bulletin international parait tous les mois, à l'exception des mois de vacances (août, seplembre), el se compose de deux parties, dont la première contient L’extzail des procès verbaux des 1 séances (en français), la deuxième les résumés es mémoires et M communications (en français ou en allemand, au choix des auteurs). { Le prix de l’abonnement est 3 fl. = 8 fr. À Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. — 90 centimes. 5 & TR I # N Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem A. M. Kosterkiewicza. EEE IE pr 0 à JUL 20 1099 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. N° 5. Mai. 1895. Sommaire: Séances du 3, 6, 13, 20 mai 1895. — Résumés: 28. L. ABRAHAM. La première lutte entre l’Eglise et l'Etat, en Pologne. — 29. P. Rupzeı. Contribution à la théorie des vagues. — 30. J. ZANIETOWSKI. Variations électrotoniques de l’excitabilité des nerfs. Expériences faites au moyen de décharges du condensateur. — 31. R. GurwiNski. Prodro- mus florae algarum Galiciensis. — 32. C. Rapzrewaxowskr. Sur l’emploi de l'aluminium métallique pour des hydrocarbures aromatiques. — 33. Com- ptes-rendus de la Commission d’Anthropologie, XVIII® volume. Séances ——$- — Séance publique de l’Académie du 3 mai 1893. S. E M. Julien Dunajewski, Vice-Protecteur de l'Académie, ouvre la séance au nom du Protecteur, S. A. 1. l’Archiduc Cnarzes Louis. Le Président, M. le Comte Stanislas Tarnowski, remercie S. E. le Vice-Protecteur du puissant appui qu'il a ac- cordé à l’Académie pendant l’année écoulée. Le Secrétaire général, M. Stanislas Smolka, donne lecture du compte rendu des travaux de l’Académie, du 1° mai 1894, au 30”° avril 1895. Hommage est rendu à la mémoire des membres de l’Aca- démie, décédés dans le courant de cette année, MM. J. Hyrtl et E. Ogonowski. L'Académie a procédé, la veille de la séance publique, aux élections de 3 membres titulaires et de 6 membres cor- respondants. 144 SÉANCES Sont élus: membres titulaires: M. Antoine Kalina, professeur à l’Université de Léopol, Henri Hoyer, professeur à l’Université de Varsovie et M Henri de Zeissberg, professeur à l’Université de Vienne; membres correspondants: MM. Léopold Adametz, Guillaume Creizenach et Ladislas Szajnocha, professeurs à l'Université de Cra- covie, MM. Michel Hruszewski et le C“ Léon Pininski, professeurs à l’Université de Léopol, M. Ernest Muka, à Freiberg, M. Ladislas Abraham, m. c., donne lecture d'un mémoire intitulé: La première lutte entre l'Eglise et l'Etat, en Pologne!). Le Secrétaire général proclame les noms des lauréats de l’Académie : Le Prix Barczewski (1125 fl.) pour les ouvrages histo- riques, a été décerné à M. Ladislas Mickiewicz, à Paris, auteur de la Biographie d'Adam Mickiewicz. | Les deux Prix Barczewski (à 1125 fl.) pour les oeu- vres de peinture, ont été décernés à M. M. Henri Siemiradzki, à Rome, et Joseph Brandt, à Munich. Le prix Lindé (675 roubles) a été décerné à M. Boles- las Erzepki, à Posen, pour son ouvrage, intitulé: »Le Dictionnaire latin-polonais de Bartholomée de Bydgoszez de l’année 1532«. L'Académie ouvre les concours suivants: 1. Prix Niemcewicz, 3.500 et 1.500 francs: Les his- toriens polonais du XVI et du XVII siècle. Terme du con- cours: 31 décembre 1897. 2. Prix fondé par l'abbé A..Jakubowski, 500 et 250 florins: La législation synodale en Pologne. Terme du concours: 31 décembre 1897. 3. Prix Lindé, 675 roubles. A ce concours sont admis les travaux sur la langue polonaise (lexicographie, grammaire, histoire de la langue, dialectologie). Terme du concours: 31 décembre 1897. 4. Prix fondé par l’évêque S. A. Krasinski, 1200 fl. À ce concours sont admis tous les ouvrages polonais, imprimés 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 147. SEANCES 145 ou manuscrits, qui seront envoyés dans ce but, au bureau de l’Académie, jusqu'au 31 décembre 1896. 5. Prix Copernicus, 1000 et 500 fl. On demande de discuter les théories concernant la condition physique du Globe et de les perfectionner en un point important. Terme du con- cours: 31 décembre 1898. 6. Prix fondé par le général OÖ. Augustynowicz: Etudes sur l'histoire de l'abolition du servage dans les pays polonais. I. 850 et 450 florins: Histoire des populations rurales dans les territoires de la (Grande et de la Petite Pologne, de la Masovie, de la Cujavie et de la Silésie. II. 850 et 450 flo- rins: Histoire des populations rurales, en Lithuanie et dans les pays ruthènes faisant partie de l’ancienne République de Po- logne. III. 1200 et 800 florins: Histoire de l'abolition du ser- vage dans les territoires de l’ancienne Pologne appartenant à la Russie. IV. 1000 et 600 florins: Histoire de l'abolition du ser- vage dans les territoires de l’ancienne Pologne appartenant à la Prusse. V. 1100 et 700 florins: Histoire de l’abolition du servage dans les territoires de l’ancienne Pologne appartenant à l’Autriche. Terme du concours: 31 décembre 1897 1). Classe de Philologie .e. Séance du 2 avril 1895 Présidence de M. L. Morawski M. L. Marımowskı, m. t., donne lecture de son mémoire, intitulé: Textes polonais du XV” siècle, contenus dans le ma- nuscrit de la Bibliothèque du Chapitre de Prague, Sign. D. LIL. nf m th © 17 1) Selon les Statuts, la langue officielle de l’Académie est le polonais. Par consé- quant, tous les travaux présentés aux concours doivent être rédigés dans cette langue. 1* 146 SÉANCES Classe d'Histoire et de Philosophie | 7 | Séance du 20 mai 1895 | Presidence de M. V. Zakrzewski M. S. Suorxa, m. t., donne lecture de son travail: Con- tribution à la genèse de la Constitution du 3 mai. Classe des Sciences mathématiques et naturelles Séance du 6 mai 1895 Présidence de M. F. Kreutz M. L. Natanson, m. c., rend compte du travail de M. P. Runzxı: Contribution à la théorie des vagues !). M. N. Cybulski, m. t., présente le mémoire de M. I. Za- NIETOWSKI: Variations électrotoniques de l’excitabilité des nerfs. Expériences faites au moyen de décharges du condensateur ?). M. J. Rostafinski, m. t., présente le travail de M. R. Gurwisskı: Prodromus florae algarum Galiciensis ?). M. E. Bandrowski, m. c., rend compte du travail de M. C. Rapzrewaxowsxi: Sur l'emploi de l'aluminium métallique pour des synthèses des hydrocarbures aromatiques *). M. J. Niedzwiedzki, m. t., rend compte du travail de M. W. Trissevre: Sur le caractère de la Jaune fossile de Miodo- bory°). Le Secrétaire dépose sur le bureau le XVII: volume des Comptes-rendus de la commission d’ Anthropologie (Zbiér wiado- mosci do Antropologii krajowej), récemment paru ®). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 151. — 2) ib. p. 153. — 3) ib. p. 156. — 4) ib. p- 158. — 5) Le résumé de ce travail paraîtra dans le N-o prochain. — 6) Voir ci-dessous aux Résumés p. 161. ED Résumés 28. — L. Asranaw. Pierwsza walka miedzy Kosciolem a Panstwem w Pol- sce. (La première lutte entre l’ Eglise et l'Etat, en Pologne). Dans les pays de l’Europe occidentale les rapports entre l'Eglise et l’Etat subirent de profondes modifications, dues à l’action persévérante du Saint-Siége, dès le milieu du XI° siècle. Mais en Pologne le vieil état de choses, c’est: à-dire la dépendance complète vis-à-vis du souverain, subsista jusqu’à la fin du XII® siècle. Dans ce pays en effet, l'Eglise est alors une institution d'Etat, soumise entièrement au pou- voir absolu du prince !). C’est celui-ci qui pourvoit aux évé- chés, qui confère l’anneau et la crosse aux prélats, qui nom- me aux canonicats, qui excerce les droits de souveraineté sur les biens du clergé, s’attribue et conserve le „jus spolii“, im- pose les terres ecclésiastiques tout autant que les terres des propriétaires séculiers, cite à comparaître devant ses tribunaux les prêtres et les religieux. Deux causes principales maintinrent cette sujétion de l'Eglise de Pologne: le déplorable reläche- ‘) En vigueur du testament de Boleslas III (+ 1138), la Pologne fut divisée en prineipautes sur lesquelles le Grand-Duc de Cracovie exer- çait le droit de suzeraineté. 148 RÉSUMÉS ment de la discipline ecclésiastique, obstacle insurmontable à toutes les réformes utiles, et le pouvoir absolu du prince qui n’ était pas encore ébranlé. Il est vrai que dès le milieu du XII° siècle, il se manifeste une certaine disposition à intro- duire quelque modification dans les rapports entre l'Eglise et l'Etat. Mais en somme la situation ne fut pas sensiblement changée: le seul privilége que le clergé parvint alors à obte- nir, c’est-à-dire la suppression du „jus spolii*, privilége ac- cordé en 1179, à Leczyca, n’allegea pas effectivement les liens qui le soumettaient au monarque, puisque les stipulations qu'il contenait furent, par la suite, considérées comme lettre-morte. Pour briser le joug qui était si pesant à l'Eglise de Pologne, il fallait d’abord la réformer complètement, dans l'esprit qui avait présidé aux réformes de l'Occident, et puis entrer réso- lument et rationnellement en campagne contre les pouvoirs sé- culiers. Henri Kietlicz (sa famille était encore fixée en Bo- hême, au commencement du XII°Ss.), archevêque de Gniezno, depuis 1199, commença ardemment la lutte et fit la plus vive opposition à Ladislas Laskonogi, duc de la Grande-Pulogne, défenseur obstin& de ses prérogatives. (C’est en 1206 que le conflit traversa sa période la plus aiguë, la plus animée. Il se termina, d’un coté, par l’excommunication du Duc, fulminée par l’archevêque, de l’autre, par le bannissement du chef de l'Eglise polonaise, par celui-là. Kietliez se rendit à Rome où il trouva approbation et appui auprès du pape Innocent Il, de sorte qu'il ne tarda pas à revenir en Pologne avec un vaste programme de réformes. Ce programme comprenait trois points principaux: régénérer la discipline affaiblie de l'Eglise; rendre cette même Eglise indépendante de l'Etat, c’est-à-dire arracher à celui-ci le droit de promotion aux évêchés aussi bien qu'aux autres dignités ecclésiastiques, et la soustraire en même temps à la juridiction civile; enfin acquérir au profit des terres ecclésiastiques certaines faveurs, certaines libertés, tendant à rendre l’Eglise maîtresse absolue de ses propriétés. Le Duc Ladislas Laskonogi en avait appelé au Saint- Siege de la sentence d’excommunication prononcée contre lui. RÉSUMÉS 149 Le pape Innocent III chargea donc Conrad, ancien évêque de Halberstadt, en ce moment-là moine au monastère de Sychem, en Thuringe, et l’abbé de ce même monastère d’examiner la question et de trancher le différend. Ces juges se rendirent en Pologne, mais l’affaire fut loin de prendre la tournure souhaitée par le clergé. Par des con- cessions adroites et de peu d’importance, Laskonogi parvint à abuser les arbitres, évitant à l’aide de ces moyens dilatoires une solution définive et sérieuse du litige. Celui-ci, il est vrai, perdait le caractère passionné et irréconciliable, qu’il avait eu jusque là, mais en réalité, on piétinait sur place. Sur ces en- trefaites, Kietliez prend la résolution de faire servir au succès de son entreprise les circonstances politiques contemporaines, et joint sa cause à celle des ennemis de Laskonogi, Leszek- le-Blane, Conrad de Masovie et Ladislas Odoniez. Il y avait alors deux questions pendantes excessivement graves: celle du trône grand-ducal de Cracovie et l’affaire Odoniez. Laskonogi ne pouvait se résoudre à perdre Cracovie: aussi le voyons- nous faire alliance, pour acquérir la couronne grand-ducale, tantôt avec la Ruthénie, tantôt avec Mieszko, duc d’Opole et de Ratibor. Cependant il chasse Odonicz de la Grande Polo- gne et refuse de lui restituer son territoire héréditaire. En 1215, Leszek, Conrad, Ladislas Odoniez et Casimir d’Opole font alliance contre Laskonogi. Au cours de ces éve- nements Kietliez se rend deux fois à Rome, en 1210 et 1215, dans le but d'appuyer auprès du souverain Pontife les reven- dications des princes ses alliés et de réclamer le secours du Saint- Siège pour les réformes ecclésiastiques projetees; en 1215, il assiste aux séances du concile oecuménique. En Pologne il travaille énergiquement au succès de ses combinaisons, favo- risé dans sa tâche par l’obtention de la dignité de légat, en 1214. Laskonogi ne succomba pas dans la lutte avec les prin- ces qui s'étaient ligués contre lui; mais l’archevêque sut en tirer profit, puisqu'il parvint à obtenir de la part de ses alliés trois priviléges considérables et d’une portée immense pour l’eglise de Pologne. Ils réalisaient les points essentiels du pro- 150 RESUMES gramme économique et politique de Kietliez, et, dès lors ser- virent de base legale au règlement ultérieur de tous les rap- ports entre l’Eglise et l'Etat. Par le premier de ces actes, donn& en 1210, les princes renongaient au droit d’investiture ainsi qu'au droit à l’héritage des évêques, et accordaient au clergé la juridiction ecclésiastique. Par les deux autres, de 1215 et de 1217 (ce dernier accordé par le seul Odoniez) l'Eglise acquérait l’exemption de certaines charges publiques pour ses colons; on lui reconnaissait en même temps le droit de juridiction patrimoniale sur les populations de ses domai- nes. Le premier privilége libérait le clergé de la tutelle oné- reuse de l’Etat, les deux autres lui attribuaient une réelle puissance économique et sociale. Ils lui accordaient en outre le moyen d'attirer sur ses terres des paysans libres et pauvres et de les y retenir, en les attachant étroitement à l’endroit qu'ils étaient venus habiter. En sorte que ces populations ru- rales finirent par tomber de plus en plus sous la domination, non seulement économique, mais encore légale, de l'Eglise de- venue grande propriétaire de la terre. Kietliez parvint aussi à effectuer de grandes reformes dans le corps ecclésiastique: il fit établir l'observation stricte du célibat et détruisit le népotisme. A partir de ce moment l'Eglise polonaise, sévèrement et sagement disciplinée, put pré- tendre à jouer un rôle influent dans le développement de la civilisation de son pays. Mais Kietliez échoua presque entièrement dans sa lutte avec Laskonogi. Celui-ci, il est vrai, ne voulant pas risquer avec Rome un conflit dangereux, cessa de pourvoir effective- ment aux investitures d’évêchés, mais il ne se départit d’au- cune de ses prérogatives, au profit de l’Eglise, et ne voulut lui reconnaitre aucune immunite, aucune garantie d’indepen- dance, surtout en ce qui touchait aux propriétés ecclésiasti- ques. Il fut chaleureusement soutenu dans cette résistance par la noblesse de la Grande Pologne dont les intérêts semblaient menacés par l’accroissement de la puissance du clergé. Mais malgré cette victoire apparente, l’ancien système ne put se RESUMES 151 maintenir; et lorsque Odoniez eut chassé Laskonogi du pays, les nouvelles constitutions ecclésiastiques furent aussi appli- quées dans la Grande Pologne. 29. — M. P. Rupzeı. Przyezynek do teoryi fal. (Contribution à la théorie des vagues). L'auteur démontre que l’hypothèse des vagues irrotation- nelles ne peut être conciliée avec l'hypothèse d’après laquelle la surface libre du liquide serait une surface de pression cons- tante. Il considère le cas de vagues rectilignes et irrotationnelles se propageant avec une vitesse uniforme. Comme le mouve- ment du liquide est le même dans tous les plans verticaux et perpendieulaires aux crêtes des vagues, on peut considérer le mouvement dans un plan. De plus, la vitesse de la propagation des vagues étant constante, on peut convertir le mouvement en un mouvement indépendant du temps, en additionnant une vitesse égale mais de direction opposée à la vitesse de la pro- pagation. Comme le mouvement est irrotationnel, on aura, en désignant la fonction du courant par d: 2% 9% ai op | Enfin on doit avoir pour y = 0 (l’axe positif des y est dirigé verticalement en haut) L—0 et, sur une ligne =, | OL\2 (UN? se) + CA D OR de ce qui exprime que la pression est constante sur la ligne de courant =. Comme la fonction Ÿ ne saurait être développée suivant des fonctions connues dans un espace limité, d’un côté, par une droite et d’un autre par une ligne courbe onduleuse, l'auteur considère le problème inverse, le problème dans le plan ol, où les fonctions æ et y satisfont à l’équation diffé- rentielle: 152 RÉSUMÉS dans un espace limité par les deux droites parallèles 4 = 0 et V=4h. L'auteur démontre que les dérivées de x et y suivant o et Ÿ doivent être des fonctions périodiques par rapport à 9; par conséquent Di = = —- + fonction de ob périodique par rapport à ® CR PR . . . . . . . . . . . . 003 a désignant une constante. Les considérations qui amènent à cette conclusion deviennent tout à fait évidentes, si l’on des- sine les courbes onduleuses = et les droites y=const. dans le plan xy, et si l’on se rappelle que, dans le plan des ol, les premières deviendront des lignes droites horizontales et les se- condes des courbes onduleuses. Les fonctions æ et y peuvent être era de la manière suivante: y=—Vbt > sin hyp. il u). |4. cos a 0) Ua DR aa an où n=1, 2, 3... ete. (n’exeluant pas le cas où la série con- tiendrait une suite infinie de termes). À, et B, sont des cons- tantes jusqu'à present indefinies; À désigne la longueur de l'onde dans le plan des x, y. L'auteur fait remarquer que la fonction y doit devenir nulle pour —0 puisque, dans le plan des xy, Ÿ devenait nul pour „=0. Cette condition est évidem- ment satisfaite par (II). On voit d’autre part que, sur la limite $—=h, y peut devenir égal à une fonction quelconque donnée périodique par rapport à ©, puisque non seulement les coefti- cients A, B, mais aussi a et À sont encore entièrement indé- finis. Mais pour Ÿ— nous avions dans le plan des xy la con- dition de la constance de la pression, exprimée par l'équation (I). Ayant égard aux propriétés des fonctions harmoniques où plu- tôt aux équations bien-connues RESUMES 153 94 cé y l'auteur déduit de l'équation I la condition suivante valable dans le plan des ol: pour V=h om [+ 1-3 On vérifie aussitôt que l’expression II de y ne peut aucune- ment remplir cette dernière condition. Ainsi se trouve démontrée l’assertion que l'hypothèse des vagues irrotationnelles est inconciliable avec l'hypothèse de la surface libre et, en même temps, surface de pression con- stante. Il serait facile d’apporter au raisonnement que lon vient de lire des modifications qui le rendraient immédiatement applicable au cas d’une profondeur infinie. 30.—J. Zaxierowskr. 0 zmianach elektrotonicznych w pobudliwosci nerwôw. Rzeez przeprowadzona za pomoca kondensatora. (Variations élec- trotoniques de l’excitabilité des nerfs. Expériences faites au mo- yen de décharges du condensateur). L'auteur décrit une nouvelle méthode, permettant de me- surer les variations électrotoniques de l’excitabilité nerveuse au moyen de décharges du condensateur. Cette méthode est la seule qui nous permette, d’un côté, de mesurer strictement l'excitabilité et de l’exprimer en unités physiques; — de l’autre, en l’appliquant à l’étude de l’electrotonus intrapolaire, d’évi- ter toute complication provenant de l'emploi de deux courants, c’est-à-dire du courant excitant et polarisant qui se combinent de manière différente. — Le condensateur en effet ne repré- sente pas un circuit fermé en lui-même; ses décharges peu- vent être tout au plus amoindries ou augmentées par le courant polarisant, mais ces quantités sont, comme le montrent les ex- 154 RESUMES périences de Y’auteur, trop petites pour avoir de l’influenee sur l’effet de l’excitant, ou bien elles peuvent être rigoureu- sement mesurées et évaluées dans chaque cas. L'auteur a employé dans ses expériences un appareil spe- cial, destiné à mesurer l’excitabilité électrotonique dans diffé- rentes places du nerf et dans différentes directions, sans toute- fois changer sa position sur les électrodes; un „exeitateur absolu“, spécialement construit, lui a servi d’appareil destiné à mesurer l’excitabilité au moyen de décharges du condensa- teur. — Enfin, l’auteur a mesuré aussi l'intensité du courant polarisant et a exprimé quantitativement le tableau de Pflüger, ce qui jusqu'à présent n’avait pas été effectué. Nomenclature Intensité du courant d'après Pflüger en Ampères = Courant 0-0000001 — 0-000001 faible Core 0:000001 — 0:00002 „moyen | Courant Au dela de 0-00002 „fort L'auteur est arrivé aux conclusions suivantes: 1) On peut observer les changements électrotoniques, en employant des courants beaucoup plus faibles que ceux qui produisent la première contraction de fermeture, p. ex. 3.10"®A.; le seuil des changements électrotoniques est done beaucoup plus tôt, que le seuil du tableau de Pflüger. — L’intensit& des changements électrotoniques croît à mesure que le courant de- vient plus fort; en même temps l'espace des changements anélectrotoniques augmente en dépit de l’espace catélectroto- nique, c’est-à-dire que le point indifférent approche tou- RÉSUMÉS 155 jours plus près de la cathode. — C’est en employant des eou- rants produisant la première contraction de fermeture et d’ou- verture (100.10”° A) que nous trouvons ce point indifférent au milieu du nerf, c’est-à-dire que nous avons affaire avec une espèce d'équilibre électrotonique, où l’espace catélec- tronique est égal à l’espace anélectronique. — Si nous aug- mentons toujours la force du courant, nous pouvons observer que l’intensité des changements catélectroniques commence à di- minuer de plus en plus, et nous arrivons enfin à un terme où on ne peut plus obtenir de contraction musculaire sur toute l’espace nerveuse. — Ce dernier fait ne peut être expliqué, ainsi que le veulent certains auteurs, par l ,imperméabilité“ de la cathode, puisque ces variations d’abaissement inoui de l’excitabilité peuvent être observées et mesurées, au moyen de la méthode susdite, des deux côtés de la cathode. 2) Les variations électrotoniques, que subit l’excitabilité pendant la durée du temps, peuvent être exprimées par des courbes graphiques, différentes pour chaque endroit du nerf et pour chaque intensité du courant, mais ayant des traits carac- téristiques communs. (C’est donc avec une augmentation de l’exeitabilite, suivie d’une dépression jusqu’à un certain terme, plus bas que le niveau de l’excitabilité normale, que nous avons affaire auprès de la cathode, après la fermeture du courant; avec un rapide abaissement de l’excitabilité auprès de l’anode. L'ouverture du courant produit, dans les deux cas, un retour de la courbe jusqu’au niveau de l’excitabilité normale et même au delà de ce niveau, pour y retomber lentement au bout de quelque temps. 3) Les différentes conclusions auxquelles sont arrivés les physiologues, en ce qui concerne l’électrotonus, (fait de si grande importance pour lélectrothérapie), ne sont d’accord, ni entre elles-mêmes, ni avec la thèse de Pflüger, et peuvent être seulement expliquées par cette circonstance qu’on n’a jusqu’à présent mesuré strictement, ni le courant polarisant, ni le courant excitant, en perdant de vue par conséquent les combinaisons différentes de deux courants à direction homolo- 156 RÉSUMÉS gue ou inverse, — enfin par le manque d'expériences strictes concernant les changements que subit l’électrotonus pendant la durée du temps. 31. — R. Gurwisskı. Prodromus florae algarum galiciensis. Im ersten Theile dieser Abhandlung gibt der Verfasser eine historische Übersicht der algologischen Beobachtungen, welche bis Ende d. J. 1894 in Galizien gemacht wurden. Aus dieser Uebersicht ersieht man, dass die vier ersten, aus Galizien stammenden Algen-Species, von. Hyacinth Zoba- rzewski in der Umgebung von Lemberg entdeckt und im XIV. Bande der Zeitschrift Linnaea im J. 1840 publieiert wurden. 23 Jahre darauf wurden von K. Schliephacke 23 Algen-Spe- cies bei Jeziorki in der weiteren Umgebung von Krakau ge- sammelt, und von L. Rabenhorst in seiner Flora europaea alga- rum aquae duleis et submarinae beschrieben. Im J. 1865 be- suchte J. Schumann das Tatra-Gebirge und hat die dort ge- sammelten Diatomeen in den Verhandlungen der zool.-bot. Ge- sellschaft in Wien im J. 1867 veröffentlicht. Die Zahl der von Schumann aufgezählten Diatomeen beläuft sich nach seinen Angaben auf 205, nach der Abgrenzung des Verf. aber nur auf 168 Species. Erst im J. 1883 sind zwei Abhandlungen von Prof. Dr. J. Rostafinski erschienen, in welchen Hydrurus und 7 Species der vom Autor aufgestellten Gattung Sphaerogonium beschrieben und ausserdem Microspora amoena, Vaucheria hamata, Chan- transia pygmaea, Calothrixæ (Desmonema) Wrangelii aufgezählt werden. Alle diese Algen wurden von Prof. Dr. Rostafinski im Tatra-Gebirge entdeekt. Im nächstfolgenden Jahre hat Prof. Dr. E. Janezewski eine neue Cyanophyceen-Gattung, die er in Krakau auf Batraehospermum moniliforme entdeckt hat, beschrieben und Godlewskia aggregata benannt, der Verf. des in Rede stehenden Prodromus aber hat seine erste Algen-Auf- RÉSUMÉS 157 zählung (Materyaly do flory wodorostöw Galieyi) publieiert, welcher bald die Abhandlung von M. Raciborski (Desmidye okolie Krakowa) nachgefolgt ist. Von dieser Zeit an werden die Beobachtungen über die galizischen Algen-Flora seitens Raeiborski und des Verfassers fortgeführt und zum grössten Theil in den Schriften der Akademie der Wissenschaften in Krakau veröffentlicht. Dieselben werden vom Verfasser in einer chronologisehen Reihenfolge aufgezählt. Alle in den oberwähnten Abhandlungen beschriebenen und aufgezählten Speeies wurden vom Verfasser kritisch dureh- gesehen und nach De-Toni’s Sylloge (1859—1894), die Cyano- phyceen aber nach dem vom Dr. A. Hansgirg verfassten Prodromus (Th. II) zusammengestellt. Der Verfasser hat das im letztgenannten Werke befolgte System nur so weit aufge- geben, dass er Sphaerogonium Rostaf., als eine gut begrenzte und selbständige Gattung restituiert hat. Der Verf. kann nämlich den Ansichten des Dr. A. Hansgirg solange nicht beistimmen, bis es sich durch Culturen nicht constatieren lässt, dass Sphaero- gonium in günstigen Vegetationsverhältnissen zu einer mehr- zelligen Alge wird. Zuletzt unterscheidet der Verf. 2 Algen-Formationen in Galizien d. i. eine Berg- und eine Gemischte Forma- tion (zu der ersteren werden 7°0317°%/, der Gesammt-Anzahl der galizischen Algen gezählt und in systematischer Ordnung angegeben; zu der zweiten Formation gehören alle die Spe- cies, welehe sowohl in den Berg- wie Hügel-Regionen und in der Ebene vorkommen) und gibt an, dass 269 Species und Var. bis jetzt nur in dem westlichen, 514 Species und Var. nur im östlichen Theile, und 696 Species und Var. in beiden Theilen von Galizien aufgefunden waren. Der II. Theil enthält eine systematische Aufzählung aller Speeies, Varietäten und Formen der Algen. Daraus folgt, dass die Zahl der bis Ende 1894 in Galizien entdeckten Algen sich auf 1057 Species beläuft, und sie enthält zusammen 1479, Species und Varietäten, welche schon im I. Theile nach den einzelnen Classen und Ordnungen gruppiert und mit den Re- 158 RESUMES sultaten der Erforschung der Algen-Flora: von Schlesien, Böh- men, Bayern und Deutschland in einer vergleichenden Ta- belle zusammengestellt werden. Alle diejenigen Species, Varietäten und Formen, deren Abbildungen in den Schriften der Akademie der Wissenschaf- ten in Krakau enthalten sind, werden in der Abhandlung mit einem Sternchen * bezeichnet. 32. — C. Rapzırwanowskı. 0) zastosowaniu glinu metalicznego do syntez weglowodoröw aromatycznych. (Ueber die Anwendung von me- tallischem Aluminium zu Synthesen aromatischer Kohlen- wasserstoffe). Bei der Darstellung aromatischer Kohlenwasserstoffe aus Chloriden, beziehungsweise Bromiden, der fetten Radicale in Benzollösung wendet der Verfasser Aluminiumspäne und Salz- säuregas, beziehungsweise Aluminiumspäne und Quecksilber- chlorid, an. Es folgt aus mehreren Untersuchungen, welche be- hufs Darstellung einiger aromatischer Kohlenwasserstoffe durch- geführt wurden, dass, ohne die Ausbeute der Synthese zu beeinträchtigen, das Aluminiumchlorid durch Aluminiumspäne ersetzt werden kann, wenn nur das Benzol vorher mit Salz- säuregas gesättigt wurde. In der Siedetemperatur eines Gemisches von Benzol und Benzylehlorid, unter Anwendung einer kleinen Menge des Lösungsmittels, tritt die Reaction schon ohne vorherige Sätti- gung mit Salzsäuregas ein, doch vermindert sich hiebei die Ausbeute beträchtlich. Bei der Anwendung von Salzsäuregas wird Aluminium theilweise in Aluminiumchlorid umgewandelt, welches, wie bekannt, auf ein Gemisch von Chloriden, beziehungsweise Bro- miden, fetter Radicale so einwirkt, dass die Halogenwasserstoft- säure abgespalten wird, und die zurückbleibenden Reste, der fette und der aromatische, zu einem Molecül zusammentreten. Die Aluminiumspäne und die auftretende Salzsäure dienen als RESUMES 159 Material zur weiteren Bildung von Aluminiumchlorid, unter des sen Einwirkung die Reaction unaufhörlich vor sich geht. Aus 325 gr. Benzol, mit Salzsäuregas gesättigt, 2 gr. Aluminiumspähne und 50 gr. Benzylchlorid hat der Verfasser 42 gr. Diphenylmethan, das ist 63 pCt. der theoretischen Aus- beute erhalten. Aus 600 er. Benzol, 4 gr. Aluminiumspäne und 200 gr. Aethylbromid erhielt er 136 gr. Aethylbenzol, also 70 pÜt. der theoretisch berechneten Menge. Die Reaction wurde an- fangs in der gewöhnlichen Zimmertemperatur, und gegen das Ende in der Siedehitze des Benzols geführt. Aus 300 er. Benzol, 3 gr. Aluminiumspäne und 77 gr. Isopropylbromid wurden 78 gr. Isopropylbenzol erhalten, also 66 pCt. der berechneten Menge. Diese Methode eignet sich aber nicht zur Darstellung von Triphenylmethan aus Chloroform und Benzol, sowie auch nicht zur Darstellung von Anthracen aus Benzylchlorid und Benzol. Im ersten Falle erfolgt wahrscheinlich eine partielle Reduetion des Chloroforms, und anstatt des Triphenylmethans entsteht Diphenylmethan, neben einer bedeutenden Menge von theerartigen Körpern, im zweiten dagegen verläuft die Reaction nicht bis zum Ende, und der grössere Theil der Aluminium- späne bleibt ungeändert zurück. Es bilden sich dabei ölige Producte, vom Siedepunkte ca. 300°. Die Destruction der aromatischen Kohlenwasserstoffe mit mehreren Seitenketten zu Verbindungen mit einer Seitenkette, kann mittels Aluminiumspäne und Salzsäuregas nur bei to- taler Umwandlung von Aluminium in Aluminiumchlorid be- werkstelligt werden. Zu diesem Zwecke wird die Benzollösung von z. B. Di- und Triaethylbenzolen, nachdem sie mit der nöthigen Quantität von Aluminiumspänen versetzt wurde, mit Salzsäuregas gesättigt, dann einige Stunden in Ruhe gelassen und wieder derselben Operation unterworfen, und zwar so lange, bis sich die Späne schliesslich in eine gallertartige Masse von Aluminiumchlorid umgewandelt haben. Durch zwei- stündiges Erhitzen des Gemisches auf dem Wasserbade bis Bulletin V. 2 160 RÉSUMÉS zum Sieden, wird die Destruction von Di- und Triaethylben- zolen zu Monoaethylbenzol bewirkt. Bei diesen Reactionen lässt sich die Salzsäure leicht durch Quecksilberchlorid ersetzen, was besonders dort vortheilhaft ist, wo die Chloride, beziehungsweise Bromide, der fetten Reste der Reduction durch den nascierenden Wasserstoff unterliegen. Das Quecksilberchlorid wird durch die Aluminiumspäne zu Quecksilberchlorür oder zu metallischem Quecksilber reduciert, und Chlor verbindet sich mit Aluminium zu Aluminiumehlorid. In der Folge wird eine bedeutende Wärmemenge entbunden, welche die Energie des Verlaufes der Reaction vergrössert. Doch verläuft die Reaction in niedrigen Temperaturen, und zwar bei 0°, langsam, und man erhält unter diesen Umstän- den eine sehr gute Ausbeute. So bilden sich z. B. aus 410 gr. Benzol, 6 gr. Aluminiumspäne, 90 gr. Quecksilberchlorid und 205 gr. Aethylbromid — 106 gr. Aethylbenzol; durch Destruction höher siedender Fractionen, ebenfalls mittels Alu- miniumspäne und Quecksilberchlorid, bilden sich noch 40 gr. Aethylbenzol, was im Ganzen 146 gr. oder 73 pCt. Ausbeute ausmacht. Aus 350 gr. Benzol, 2 gr. Aluminiumspähne, 30 er. Quecksilberchlorid und 50 gr. Benzylchlorid hat der Ver- fasser 60 pCt. Diphenylmethan erhalten. Bei der Einwirkung von Aluminiumspänen und Quecksilberchlorid auf ein Ge- misch von Chloroform und Benzol, wird Triphenylmethan er- halten; die Reaction verläuft bis zum Ende in der gewöhn- lichen Zimmertemperatur. Diese Methode eignet sich jedoch nicht zur Darstellung von Anthracen, wegen des heftigen Verlaufes der Reaction. - Code De Bi oc he AE RESUMES 161 33. — Zbior wiadomosei do Antropologii krajowej, wydany staraniem Ko- misyi antropologieznej Akademii Umiejetnosei w Krakowie. (Comptes- rendus de la Commission d’Anthropologie de l'Académie des Sciences de Cracovie). T. XVII. in 8. p. IX., 76. i 492. Première partie. Recherches archéologiques. — Etudes anthropologiques. G. Ossowsxr. Sprawozdanie czwarte z wycieczki paleo-etnologicznej po Ga- licyi, w r. 1892. (Rapport sur lexcursion paléo -ethnologique faite en Galicie, en 1892). Les recherches de l'explorateur ont amené la découverte d’une vingtaine de sépultures en brique, enfouies à environ 2" de profondeur, dans la cour du château de Bileze-Zlote, dans la Galicie orientale. Ces tombeaux contenaient des ustensiles et objets funéraires, soit entiers, soit par fragments, ainsi que diverses productions céramiques, des objets en pierre, en os, en corne de cerf. L'auteur, dans 21 dessins, reproduit ces trouvailles; il les décrit. Il pense, en se basant, tant sur ses recherches antérieures qu’actuelles, que les „sepultures en bri- que“ furent surtout pratiquées par les peuples incinérant leurs défunts. Ces peuples vivaient à la période néolithique de l’âge de pierre. Certains caractères, certaines empreintes céramiques attestent des rapports de ces peuples avec les Grecs. L. Orzc#nowıcz. Charakterystyka antropologiezna szlachty drobnej gminy Gra- bowo, pow. szezuezynskiego, gub. lomäynskiej w Krélestwie Polskiem, [Caractéristique anthropologique de la petite noblesse de la paroisse de Grabowo, district de Szezuczyn, gouvernement de Lomza, dans le Royaume de Pologne). L'auteur n’admet pas la théorie qui attribue à la noblesse et aux paysans une origine différente. Confirmant les conclu- sions qu'il avait déja formulées au sujet de la noblesse de la 2* 162 RESUMES contrée de Lublin (Comptes-rendus. Anthr. Tome XVII) par les remarques que lui a permis de faire l’étude attentive des populations de Grabowo et des villages environnants, il soutient que la noblesse de ces contrées, ainsi que les paysans, appar- tient au type brachycéphale. Les conditions profondément diffé- rentes dans lesquelles ces deux classes de la population ont vécu, ont amené, dans leur développement physique, certaines modifications spéciales qui disparaissent lorsque ces conditions ont été sensiblement les mêmes, ainsi que cela a eu lieu pour la pauvre noblesse dont il s’agit ici. L. Orrcuxowicz. Charakterystyka antropologiezna Litwinöw z okolic m. Olity. (Caracteres anthropologiques des Lithuaniens des envi- rons d’Olita). L’auteur, s’appuyant sur 253 mensurations, affirme que les Lithuaniens appartiennent au type brachycéphale, c’est- à-dire à cette race de l'Europe centrale que Broca a désignée sous le nom de: race celto-slave, et que l’auteur propose de denommer, celto-lithuano-slave. Le Lithuanien ne diffère en rien du Slave riverain de la Vistule, si ce n’est toutefois une legere dissemblance de la forme du nez, surtout chez les femmes. Deuxième partie. Ethnologie. J. Rostarısskı. Zielnik ezarodziejski, to jest zbiör przesadöw o roslinach. (Les plantes miraculeuses. Recueil de croyances superstitieuses sur les vertus merveilleuses des plantes). L'auteur s’est proposé de démontrer que les croyances populaires sur les propriétés extraordinaires et surnaturelles de quelques plantes, ne sont pas d’antiques traditions conservées depuis les temps du paganisme, mais au contraire ont été ré- pandues parmi le peuple par le contact avec la eivilisation gréco-latine qui a détruit complètement les idées primitives que l’on avait sur ce point. Comme matériaux devant servir à l'ouvrage qu'il a l'intention de publier, il nous donne aujour- RÉSUMÉS 163 d’hui des extraits de 14 ouvrages, des XVI°, XV II’ et XVII siècles, qu'il groupe en trois catégories: 1° Documents sur les plantes miraculeuses, rangés d’après l’ordre alphabétique du nom de ces plantes, en polonais. 2° Emploi de ces plantes. 3° Effets de ces plantes. Un index des noms latins de ces plantes, et une table des matières fort détaillée, termine la publication. A. Cerny. Piesni biatoruskie z powintu dziänienskiego, gubernii wilenskiej. (Chants blane-rutheniens du dietriet de Dzisna, gouvernement de Wilna). L’auteur a recueilli ces chants en 1889, de la bouche de deux paysannes. L’une d’elles était du village de Podlipki, l’autre, de Kamienpol. Il en doit aussi quelques- uns à l’obligeante communication de M. Jean Swiatopelk - Hirski. Ce sont des chants de noces. des danses, des morceaux ehantes aux anni- versaires ou dans d’autres cérémonies, le tout fidèlement rap- porté dans l’idiome local, avec la musique jointe aux paroles. J. BaunouIN pe Courrenay. Dodatek do piesni biatorusko-polskich, z po- wiatu sokolskiego, gub. grodzienskiej, (Supplément aux chants blanc- ruthéno-polonais du district de Soköl, gouvernement de Grodno). Dans le tome XVI des Comptes-rendus de la Commis- sion, l’auteur a déjà publié une suite de chants ruthéno-polonais usités parmi les gentilshommes terriens de la paroisse de Hor- ezaki, district de Sokot, dans le gouvernement de Grodno. Il ajoute aux 20 morceaux alors imprimés, 5 autres pe- tites pièces. M. Masing y a joint la musique. Des ,correcta“ et „addenda* concernant tout ce travail, terminent cette com- munication. S. ULaxowska. Lotysze Inflant polskich, a w szezegölnosei gminy wielon- skiej, powiatu rzeZyckiego. (Les Letes de la Livonie polonaise. IIIe Partie. Contes et Légendes). C’est ici la fin du travail dont la Commission a commencé et continué la publication dans le XV* et le XVI°. vol. de ses 164 RÉSUMÉS Comptes-rendus. L’auteur rapporte, d’abord en polonais, quel- ques récits locaux; puis elle cite des légendes, dans le texte lete même, y joignant une traduetion polonaise qui permet de faire de curieuses comparaisons philologiques. Ce recueil est done important tout à la fois au point de vue de la lingustique et de l’histoire de la littérature populaire, et cela d’autant plus que les matériaux qui le composent ont été recueillis avec le plus grand soin, sur les lieux mêmes, et de la bouche des membres de cette branche de la famille lithuanienue qui, depuis quelque temps, sollicite si vivement l'attention des savants et à l’etno- graphie de laquelle nous ne possédons que quelques maigres contributions. Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakeya Sekretarza generalnego Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiellonskiego, pod zarzadem A. M. Kosterkiewicz4 7. Czerwea 1895. PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1873 — 1894 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spölka wydawnieza polska) a Cracovie. Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II—VII (38 planches, vol. I épuisé). — 59 fl. _ »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Classe de Philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II—XXI (5 planches. vol. I épuisé). — 59 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Classe d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. HI—XIHI, XV— XXX (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 68 fl. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comp- tes rendus de la Commission de Phistoire de l'art en Pologne], in 4-to, 4 volu- mes (81 planches, 115 gravures dans le texte). — 20 fl. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commis: sion de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 13:50 fl. »Archiwum do dziejöw literatury i o$wiaty w Polsce.e /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 7 vol. — 20 fl. 50 kr. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum us- que ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 3 volumes. Vol. U, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkie- wicz. 2 fl. — Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 3 fl. — Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. ı fl. 50 kr. »Biblioteka pisarzôw polskich.« /Bibliotheque des auteurs polonais du XVI siècle), in 8-vo, 29 livr. — 17 fl. 30 kr. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illus- trantia, in 8-vo imp., 14 volumes. — 76 fl. Vol. I, VII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosinski. 10 fl. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 16 fl. — Vol. II, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 15 fl. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 5 fl. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. zo fl. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 10 fl. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 5 fl. — Vol. XIII, Acta capitulorum (1408-1530) ed. B. Ulanowski. 5 fl. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 10 (I—IV, VI—VII, X, XI, XV.) volumes. — 34 fl. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 3 fl. — Vol. II, Chronicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 3 fl. — Vol. III. Stephani Medeksza commentarii 1654 — 1668 ed. Seredynski: 3 fl. — Vol VII, X, XIV Annales Domus professae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 7 fl. — Vol. XI, Diaria Comitio- rum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 2 fl. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 7 4. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 6 vol.—ı8 fl, Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes, — 78 Al. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546 —1553. 5 fl. — Vol. II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674 ed. Klu- czycki. 10 fl. — Vol. III, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674—1683 ed. Waliszewski. 15 fl. — Vol. IV, IX, (pars r. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 15 fl. — Vol. VI, Acta Regis Ioannis III ad res expeditionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Klu- czycki. 5 fl. — Vol. VIIE (pars 1. et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—1795 ed. Piekosinski. 20 fl. — Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 5 fl. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 3 fl. Monumenta Poloniae historica, in $-vo imp,, vol, IIT—VI. — 5tr fi. y Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab ann MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. Tomi I. fasciculus L. II. III. in 8-vo. — 4 fl. 50 kr »Starodawne prawa polskiego pomniki.« /Anciens monuments du droi polonais) in 4-to, vol. IX. — 36 fl. Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov, saec. XV, ed. Helcel. 6 f. — Vol. IH Correctura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzyñski. 3 fl. — Vol. IV, Statuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 3 fl. — Vol. V, Monu menta literar. rerum publicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 3 fl — Vol. VI, Decreta in iudicis regalibus a. 1507— 1531 ed. Bobrzyñski. 3 fl. — Vol. VII, Acta expedition bellic. ed. Bobrzynski, Inscriptiones clenodiales ed. Ulanowski. 6 fl. — Vol. VIII, An tiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374—1400 ed. Ulanowski. 8 fl. — Vol. IX Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405—1546. Acta iudicii criminalis Mu- « szynensis 1647—1765. 3 fl. — Vol. X, p. 1. Libri formularum saec. XV ed. Ula- nowski. 1 fl. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 4: f1. Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.« /Memoires), in 4-to, 17 volumes (1I—-X VIII, 178 planches, 24 vol. I épuisé). 2.8 fl. Er »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux), in N 4 26 volumes (181 planches) — 95 fl. 50 kr. + »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Comptes rendus de la Commis- sion de physiographie), in 8-vo, 25 volumes (III. IV—XXIX, 50 planches, vol. de I. II. IV. V épuisés). — 104 fl. BA » Atlas geologiczny Galicyi.« Atlas géologique de la Galicie), in fol, 4 livraisons (19 planches) (à suivre). — 10 fi. "# »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowei.« /Comples rendus de la Com- mission d'anthropologie), in 8-vo, 17 vol. II—XVII (99 pl., vol. I épuisé). — 5gfl. Kowalczyk J., »O sposobach wyznaczania biegu cial niebieskich.e « (Méthodes pour déterminer le cours des corps célestes), in 8-vo, 1889. — 5 fl. Mars A., »Przekröj zamroZonego ciala osoby zmarlej podczas porodu skutkiem " pekniecia macicy«. (Coupe du cadavre gelé d'une personne morte pendant laccou- w chement par suite de la rupture de la matrice), 4 planches in folio avec texte, « 1890. — 6 fl. Kotula B., »Rozmieszczenie ae naczyniowych w Tatrach.e (Distributio plantarum Rare in montibus Tatricis), 8-vo, 1891,—5 fl. Morawski C., »Andrzej Patrycy Nidecki, jego Zycie i dziela.« "(Andre Patri- cius Nidecki, humaniste polonais, sa vie et ses oeuvres), 8-vo, 1892. — 3 fl. Fin- kei L., »Bibliografia historyi polskiej.« / Bibliographie de l'histoire de Fologne), 8-vo, 1891. — 6 fl. Matlakowski V., »Budownictwo ludowe na Podhalu.« nd nn des maisons rurales dans la contrée de Podhale), 23 planches in « 4-to, texte explicatif in 8-vo imp. 1892. 7 fl. 50 kr. Teichmann L., »Na- czynia limfatyczne w sloniowacinie.« /Æ/ephantiasis arabum), 5 planches in folio avec texte. 1892. — 3 fl. Hryncewicz J., »Zarys lecznictwa ludowego na Rusi poludniowej.« (La médecine populaire dans la Ruthénie méridionale), : in 8-vo 1893.—3 fl. PiekosinskiF., »Sredniowieczne znaki wodne. Wiek XIV.« Les marques en filigrane des manuscrits conservés dans les Archives et bibliothèques polonaïses, principalement celles de Cracovie, XIVe siècle), in 4-to, 1893. — 4fl. Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po ‘Bochnis. < /Les populations riveraines de la Raba en Galicte), in 8-vo, 1894. — 4 fl. Görski K., »Historya pie- choty polskiej« /Æzstoëre de ?’ infanterie polonaïse), in 8-vo, 1893. — 2fl6oct. »Historya jazdy polskieje (Histoire de la cavallerie polonaise), in 8-vo, 1894. — SHHNSONCE à »Rocznik Akademii.e (Annuaire de l'Académie), in 16-0, 1874100822 19 vol. (1873 épuisé) — 11 fl. 40 kr. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.« Mémoire sur les travaux ax de PAcademie 1873—1888), S-vo, 1889. — 2 fl. g 3 BULLETIN INTERNATIONAL ref. DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES | DE CRACOVIE COMPTES RENDUS RL c'e DES SÉANCES DE L'ANNÉE 1895. CRACOVIE IMPRIMERIE DE L’'UNIVERSITÉ “1895. auront an den m 6 a hun nn OL Zu ER SES D VV PR PR CNT RER EPA PT Ps PER SRE AUS | 2 Sn L'ACGADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDÉE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. PROTECTEUR DE L’ÄCADEMIE!: S. A. IL. D’ARCHIDUC CHARLES LOUIS. Vrce-Prorecreur: S. E. M. JuLıen pn DunAJEwsKT. PRÉSIDENT: M. LE COMTE SrANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: (& 2). L’ Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nom- més par S. M. l'Empereur. i (8. 4). L’Academie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, 5) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($: 12). La langue officielle de l’Académie est le polonais; c'est dans cette langue que paraissent ses publications. Se Bulletin na parait bous les mois, à l'exception 2 des mois de vacances (août, seplembre), el se compose de deux parties, dont la première contient l'extrait des procès verbaux des | séances (en français), {a deuxième les résumés des mémoires el « communications [en français ou en allemand, au choix des auteurs). Le prix de l'abonnement est 3 fl. = 8 fr. Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. — 90 centimes, Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem A. M. Kosterkiewicza. LA BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DELCRACOMIE No 6. Juin. 1895. Sommaire: Séances du 3, 10 et 17 juin 1895. — Résumés: 34 Biblio- theque des écrivains polonais du XVI® et XVII® s. 30=® livraison. — 35. A. Wıerzesskı. Faune des Crustacés de la Galicie (Autriche). — 36. E. Goprewskı. Sur les phénomènes da la nitrifieation. — 37. C. OLszEwskı. Détermination de la température critique et de la temperature d’ébulli- tion de l’hydrogene. — 38. T. EsrtreicHEr. Sur les pressions de la satu- ration de l’oxygene. — 39. C. Kosranecxr. Recherches sur les oeufs fé- condés des échinodermes. — 40. W. Teısseyre. Sur le caractère de la faune fossile de Miodobory. Seances ——— —- ra Classe de Philologie Seance du 10 juin 1895 Presidence de M. C. Morawski Le Secrétaire dépose sur le bureau la 30” livraison de la Bibliothèque des écrivains polonais, récemment parue !). M. E. Pawlicki, m. t., et L. Sternbach, m. c., rendent compte du travail de M. Vixcexr Luroszawskr: Les trois pre- mieres tétralogies des oeuvres de Platon. Authenticité, chronolo- gie, logique. M. C. Morawski, m. t., présente le travail de M. Ax- TOINE KarBowiax: Les écoles paroissiales en Pologne, au XIII et au XIV* siècle. 1) Voir aux Résumés p. 168. 166 SÉANCÉS M. J. Tretiak, m. e., rend compte du travail de M. Lv- cıEn Ryver: La traduction polonaise d’Orlando Furioso de l’ Ario- ste par Pierre Kochanowski. Classe d'Histoire et de Philosophie Séance du 17 juin 1895 Présidence de M. F. Zoll M. LavısLas Wiszockr, m. t., donne lecture de son mé- moire sur les incunables de la Bibliothèque de l'Université de Cracovie. Classe des Sciences mathématiques et naturelles Séance du 3 juin 1895 Présidence de M. F. Kreutz Le Secrétaire dépose sur le bureau le travail de M. Ax- TOINE WIERZEISKI: »Przeglad fauny skorupiaköw galieyjskich« (Faune des Crustacés de la Galicie), récemment paru dans les Comptes-rendus de la Commission de Physiographie, XXXI vol., p. 160— 2151). M. Eve GopLewskı, m. t., donne lecture de son mé- moire: Sur les phénomènes de nitrification ?). M. CHartes OLszewskr, m. c., donne lecture de son mé- moire: Détermination de la température critique et de la tempé- rature d’ebullition de l'hydrogène *). 1) Voir aux Résumés p. 170. — 2) ib. p. 178. — 3) ib. p. 192. à | SÉANCÉS 167 Le même présente le travail de M. Trannée Esrrricner: Sur les pressions de la saturation de l'hydrogène ®). Le Secrétaire rend compte du travail de M. Casmır Ko- sTanEorı! Recherches sur les oeufs fécondés des Echinodermes ?). 1) Voir aux Résumés p. 203. — 2) ib. p. 212. — Kesumes 34. — Biblioteka pisarzöw polskich (Bibliothek der polnischen Schrift- steller). Nr. 30. Mikotaja Reja z Naglowic: Zwierzyniec, 1562. (Nicolaus Rej von Na- gtowice: Thiergarten). 8°. p. XVII, 347. N. Rey’s „Thiergarten“, zum ersten mal 1562 und dann nach dem Tode des Verfassers 1574 veröffentlicht, ist bis jetzt — mit Ausnahme einer Auslese, die nur den zweiten Abschnitt des ganzen Werkes enthält, — nie im Neudruck herausgegeben worden. Der „Thiergarten“, eine Sammlung von 654 achtzeiligen, gereimten Epigrammen, dem Johann Chodkowic, Truchsess von Litthauen, dediciert, zerfällt in vier Capitel: das erste enthält die so genannten „dieta et facta“, Anekdoten, Thaten, weise und treffliche Sprüche verschiede- ner historischen, der alten oder neueren Welt angehörenden Personen ; das zweite Epigramme auf polnische, berühmte Adelsgeschlechter, von dem König und der königlichen Fa- milie angefangen; das dritte Epigramme satyrischen oder schmähenden Inhalts auf politische, sociale und religiöse Ver- hältnisse Polens; das vierte endlich ist eine Mischung epi- grammatischer ohne System gesammelter Verse verschiedenen Charakters, von Parabeln, Fabeln und Emblemen, RESUMES 169 Die Zeit der Entstehung dieses Werkes kann nicht ge- nau bestimmt werden; viele Umstände jedoch erlauben die Folgerung, dass es nicht lange vor dem Drucke, und zwar in den Jahren 1556 — 1562 verfasst wurde. Der Zweck, den Rey im Auge hatte, indem er seine Sammlung schrieb, war derselbe, wie der seiner humanisti- schen Vorbilder: nämlich eine nützliche und angenehme Lec- türe für Zeitgenossen zu schaffen und an grossen Menschen des Altertums und der Neuzeit zu zeigen, wie man leben soll, um gut und rechtschaffen zu werden. Das Muster für seine Epigramme fand Rey, wie es J. Chrzanowski in der Dissertation „Rey’s Thiergarten“ (Ateneum, 1893) bewiesen hat, in der lateinischen Litteratur des Auslandes, in den „Apopthegmata“ des Erasmus von Rotterdamm, in den ,Facta et Dieta* des Baptista Fulgoso und den „Epigrammata“ des Aleiatus; zu diesem Quellenausweis Chrzanowski’s muss man jedoch noch andere Werke hinzufügen wie: Valerii Maximi: „Ulustria exempla*, Lycosthenis: „Apopthegmata“ und Fabel- sammlungen des Aesopus, Anonymus, Abstemius, — und dabei die Zahl der Verse, die in der angeführten Abhandlung als fremder Litteratur entlehnt angegeben werden, fast verdop- peln. — Am meisten originell ist das zweite und dritte Ca- pitel des „Thiergartens“ auf fremden Vorbildern beruht das erste und Manches aus dem vierten Capitel. Der „Thiergarten“ ist eins der wichtigsten Werke der polnischen Litteratur des XVI. Jh., — seine Bedeutung ist nicht in dem poetischen Wert zu suchen, sondern vielmehr darin, dass er eine neue Gattung, das Epigramm, in die polnische Diehtung einführt und einen ungemein inhaltreichen, biographischen und histo- rischen Stoff enthält, der in mancher Hinsicht die todten Quellen der Geschichte zu vervollständigen vermag. Die jetzige Ausgabe beruht auf der editio princeps 1564, — aus der zweiten Ausgabe 1574 sind alle Varianten und Zu- sätze berücksichtigt worden. 170 RESUMES 35. — A. Wierzesski. Przeglad fauny skorupiaköw galicyjskich. ( Übersicht der Crustaceen-Fauna Galiziens). Mit 1 Doppeltafel, Den Gegenstand dieser Arbeit bilden ausschliesslich Süsswasser-Arten, landbewohnende sind derzeit noch viel zu wenig bekannt, als dass sie in dieselbe hätten aufgenommen werden können. In der Zusammenstellung der bisher bekannten Daten war der Verfasser fast ausschliesslich auf seine eige- nenen Forschungen angewiesen, da dieses faunistische Arbeits- feld bis auf die allerletzten Jahre hierzulande brach gelegen hat. Seine Untersuchungen erstreckten sich anfänglich bloss auf die Wasserbecken der hohen Tatra, später wurden sie auch auf diejenigen des Flachlandes ausgedehnt. Unter letzteren wurde jedoch nur den stehenden Gewässern in der Umgebung von Krakau grössere Aufmerksamkeit gewidmet dagegen wur- den entferntere, namentlich an Flüssen gelegene grosse Landseen Ostgaliziens entweder gar nicht oder nur gelegentlich unter- sucht und aus denselben ein verhältnismässig spärliches Ma- terial aufgebracht. Demzufolge können die bisher gemachten Funde keineswegs ein, wenn auch nur annäherend vollständi- ges Bild der Süsswasser - Crustaceen - Fauna des ganzen Landes liefern, was vom Verfasser in der Einleitung ausdrücklich betont wird. Es wird daselbst der Schwierigkeiten gedacht, mit denen der Forscher in Ermangelung von geeigneten Fahrzeu- gen und entsprechenden Arbeitslokalen zu kämpfen hat und da- raus Anlass genommen die möglichst baldige Gründung einer bio- logischen Süsswasserstation an einem der grösseren Teiche wärm- stens zu befürworten, was seitens des Verfassers bereits im J. 1888 (während der Naturforscher - Versamml. in Lemberg) geschehen ist. Leider gestalteten sich die Umstände nicht darnach, um den dazumal mit Beifall aufgenommenen Vorschlag ins Leben zu führen. Anlässlich der Gründung einer biologi- schen Station werden die neueren Aufgaben der limnetischen Forschung kurz besprochen, an deren Lösung Galizien sich bisher nicht betheiligen konnte. Die neulich von Hensen in der RESUMES 171 Seefauna und von seinen Schülern in der Süsswasser-Fauna an- geblich festgestellte gleichmässige Vertheilung des Planktons nimmt der Verfasser mit Vorbehalt auf. Seiner Erfahrung nach ist eine solche wenigstens in kleineren Wasserbecken sehr problematisch. Über den allgemeinen Character der Crustaceen - Fauna Galiziens ist der Verfasser noch zu keinen sicheren Schlüssen gelangt, denn einerseits ist das ihm gegenwärtig zur Verfü- gung stehende Materiale für stichhaltige zoogeographische Ver- gleiehungen noch zu spärlich, anderseits lässt die systematische Bearbeitung der bisher bekanten europäischen Formen noch viel zu wünschen übrig. Die Art der Vertheilung galizischer Entomostraken auf einzelne, für die terrestrische Fauna dieses Landes festgestellte Gebiete lässt sich ebenfalls vor der Hand nicht bestimmen. Unter den vom Vertasser beobachteten Formen gibt es sehr wenige solche, die man als charakteristisch für ei- nen geographischen Bezirk ansehen könnte. Zu diesen gehört Dieptomus pectinicornis, Wierz. aus den Trichterseen in den Gypslagern Podoliens, der sonst nirgends in Galizien wiederge- funden worden ist und die hocharktische Form PBranchinecta paludosa O. M., welche nur in einem einzigen See im Tatrage- birge lebt. Die übrigen Arten gehören meistentheils zu den weitverbreiteten Kosmopoliten. Als besonderes Merkmal der galizischen Crustaceenfauna ist das Fehlen einiger in West-Europa verbreiteter Arten zu verzeichnen, so namentlich Bythotrephes longimanus, Leyd., Bos- mina coregoni, Baird, ferner die Calaniden-Gattungen ZLimno- calanus, Eurytemora. Die alpine Fauna betreffend stellt der Verfasser mehrere Betrachtungen an. Es wurden bisher gegen 30 Wasserbecken im Tatragebirge untersucht und überall eine auffallende Ar- mut an Arten festgestellt, was mit den Befunden in Seen anderer Hochgebirgsketten Europas vollkommen übereinstimmt. Ferner stellte sich heraus. dass die Fauna einzelner, sogar auf derselben Höhe liegender Seen, verschieden ist und beinahe von See zu See wechselt. Eine stetige Abnahme des Thierlebens 172 RÉSUMÉS nach der oberen Grenze hin ist nicht beobachtet worden, im Gegenteile überrascht die Thatsache, dass manche der höher gelegenen Seen eine viel artenreichere Thierwelt beherbergen, als einige der tiefer gelegenen — ein Beweis, dass die Eigen- schaft des Wassers einen mächtigeren Einfluss auf die Ent- wickelung der Thierwelt ausübt, als die Erhebung über den Meeresspiegel. Unter den Gebirgsbewohnern aus der Entomostra- kengruppe gibt es nur wenige, welche im Flachlande bisher nicht wiedergefunden worden sind, es sind namentlich die Calani- den: Heterocope saliens Lill, Diaptomus tatricus, Wierz., D. denticornis, Wierz.. D. bacillifer, Kölb. var. montanus, Wierz., ferner Branchinecta paludosa M. und Daphnia caudata Sars. D. helvetica, Stin., sonst gehören alle zu den auf dem Flach- lande weitverbreiteten Arten, manche zu Kosmopoliten. Einen ausgeprägten Gegensatz zwischen der pelagischen, der Ufer- und Tiefseefauna konte der Verfasser nieht finden; viel- mehr sind die wenigen Bewohner einzelner Seen im Allgemei- nen ziemlich gleichmässig verbreitet. Diese Erscheinung ist in der Natur der Tatraseen begründet, die fast durchgehends ein sehr reines, fast destilliertes Wasser besitzen und eine äusserst karge Vegetation; eine reichere Uferflora ist an kei- nem See vorhanden. Ausserdem fallen gewöhnlich die Ufern der Tatra-Seen steil ab, ihr Untergrund besteht aus Granit- blöcken-Gerölle und Sand, ihre Umgebung ist öde, oder nur ausnahmsweise waldig. Die vertikale Verbreitung einzelner Arten reicht sehr hoch, namentlich sind es Chydorus- und Alona-Arten die auch in den kältesten Seen zu finden sind, unter den Copepoden sind Cyclops serrulatus und C. strenuus Fisch. die am weite- sten verbreiteten Arten. Was den systematischen Theil dieser Arbeit betrifft, muss hervorgehoben werden, dass bisher manche Gruppen einer ge- nauen Durcharbeitung und Bestimmung harren, namentlich Cladoceren und Ostracoden. Mit der Aufstellung neuer Arten sing der Verfasser sehr vorsichtig zu Werke, um die bereits bestehende Verwirrung in der Systematik der Entomostraken RÉSUMÉS 178: nicht zu vermehren. Abweichungen der Hauptmerkmale ein- zelner Arten werden jedoch berücksichtigt und an entspre- chenden Stellen hervorgehoben, zweifelhafte, seltenere oder ungenau bekante Arten näher gekennzeichnet, einige dersel- ben sogar abgebildet, um deren Identificierung anderen For- schern zu erleichtern. Im Ganzen enthält das Verzeichniss 137 Arten und 7 Varietäten, deren Vertheiluug auf einzelne Ordnungen und Fa- milien nachfolgende Tabelle ersichtlich macht. Phyllopoda 6 Arten Cladocera al, 0) Variet. Ostracoda Se Copepoda DEN , Argulidae 1008 Gammaridae AS Pa Asellidae I ae Astacidae 1 ee a 5 137 Arten 7 Varietäten. Da das Arten-Verzeichnis allgemein verständlich ist und bei den meisten Arten bloss der Fundort, die geographische Verbreitung und hin und wieder oekologische Daten angege- ben sind, so sollen an dieser Stelle bloss diejenigen derselben einzeln besprochen werden, welche in systematischer oder geo- graphischer Beziehung ein besonders Interesse beansprechen. Unter Phyllopoden verdient Dranchinecta paludosa, 0. F. M. erwähnt zu werden. Diese arktische Form bewohnt nur einen einzigen See im Tatragebirge nämlich den „Dwoisty“ 1648 Mt. ü. d. M. Mehrmals wiederholte Versuche, dieselbe in benachbarte Seen zu übersiedeln, misslangen. Im genannten See ist Branchineeta die ganze warme Jahreszeit hindurch ziem- lieh häufig, erscheint nicht periodisch wie andere Phyllopo- den, sondern alljährig, wie dies 14 Jahre hindurch beobachtet wurde. Junge Larven wurden Mitte Juni gefischt, volkommen entwickelte Thiere, Weibehen mit ganz reifen Eiern findet man Ende August. Ausserhalb Galiziens ist diese Art nur noch 17, RS RESUMES aus Dovre-Fjeld in Norwegen bekannt. Sie scheint ein Mit- glied der Relieten-Fauna Europas zu sein. Eine andere Phyllopoden-Art Zimnetis brachyura, Grube wurde bloss einmal in der nächsten Umgebung von Krakau in einem austrocknendem Wasserbecken entdeckt; dieselbe scheint auch zu sehr seltenen Funden zu gehören und perio- disch aufzutreten. Unter den Cladoceren sind folgende Arten nennenswert. 1. Holopedium gibberum kommt fast in allen grösseren Seen des Tatragebirges vor, wurde dagegen auf dem Flach- lande nur einmal in der Umgebung von Krakau gefischt. Die- selbe Bemerkung bezieht sich auch auf Polyphemus pediculus. 2. Als Daphnia Aktinsonü, Baird betrachtet der Verf. eine Form mit gehelmtem Kopf, dessen Unterrand mit dem oberen Schalenrande einen stumpfen Winkel bildet, ferner be- ginnt die doppelte Stachelreihe des oberen Schalenrandes ge- genüber der Ansatzstelle des ersten Muskels der Ruderantennen. Diese Form ist in Fig. 1 abgebildet; ob sie mit der von Baird beschriebenen identisch ist, das könnte nur letzterer nach eitier- ter Abbildung sicher entscheiden. 3. D. pulex, Leyd. Um Missverständnissen vorzubeugen führt der. Verf. sämmtliche in die Gruppe D. pulex autorum gehörende Formen, die bekanntlich sehr oft verwechselt und unter verschiedenen Namen beschrieben worden sind, unter obi- ger Bezeichnung an, mit der Reserve, dass dieselben mit der von Leydig beschriebenen übereinstimmen. Dagegen werden abweichende Formen als Varietäten der D. pulex, Leyd. an- geführt. Siehe d. Verzeichn. 4. Eine alpine Form der D. pennata. 0. F. M. scheint D. helvetica, Stingelin zu sein, desgleichen seine D. Zschokker. Im Tatragebirge sind diese beiden Formen vertreten, ihre Artberechtigung dürfte aber noch genauer geprüft werden müssen. 5. D. caudata, Sars. Diese Art hat neulich Sars selbst unter Varietäten der D. longispina gestellt. Verfasser hat ihr aber den Rang einen Art aus dem Grunde gelassen, weil er RÉSUMÉS 175 aus dem Flachlande keine identische Form kennt. Sie ist bisher nur aus zwei in der Waldregion gelegenen Seen des Tatrage- birges bekannt. Merkwürdig konnte Verf. trotz vieler Be- mühungen keine Männchen finden, wiewohl die Art im Früh- linge und Herbst mehrmals gefischt worden ist. Die Abbildung derselben findet sich in einer seiner früheren Abhandlungen.!) 6. Die Certodaphnia-Arten erheischen noch einer Nach- prüfung namentlich alpine Formen, die vorläufig als ©. qua- drangula, O. T. M. bezeichnet worden sind. Möglich sind es neue Arten. 7. Die Familie der Bosminiden ist allem Anscheine nach dureh mehrere Arten in den Gewässern Galiziens vertreten, wenn somit nur 3 Arten angegeben werden, so kommt es daher, dass zur genauen Bestimmung ein systematisch gesammeltes Material nöthig ist, über welches der Verfasser vorläufig nicht verfügt hat. 8. Unter den Zyncodaphniden gehört Macrothrix serri- caudata, Daday zu sehr seltenen Arten. Ob die galizische Form mit der ungarischen genau übereinstimmt, mag Daday selbst entscheiden, zu diesem Zwecke ist eine genaue Zeichnung des ganzen Thieres, sowie einzelner Organe beigegeben worden. Das Männchen ist dem Verf. unbekannt geblieben, das Weib- chen ist im polnischen Text genauer beschrieben; eine Wie- derholung dieser Beschreibung scheint überflüssig zu sein, da die Abbildung die wesentlichsten Merkmale genau veranschau- licht. Ebenso selten wie die vorangchende scheinen M. hir- suticornis, Norm. et Brady und Acantholeberis curvirostris, Müll. zu sein, Verf. fand sie nur im Tatragebirge, letztere ist in f. 9—11 abgebildet, um die Bestimmung derselben zu erleichtern. 9. Die Lynceiden sind im Verzeichnisse verhältnismässig schwach vertreten, was einen doppelten Grund hat, einmal sind sie noch nicht sorgfältig genug gesammelt worden, ferner wollte !) Materyaly do fauny jezior tatrzanskich. Diese Zeitsch. 1882 f. 3. Taf. H. 176 RÉSUMÉS der Verfasser nahe stehende Formen nicht zu besonderen Arten erheben, namentlich die kleineren Alona-Formen, die drei Hauptgruppen anzugehören scheinen: der Gruppe Alona lineata Fisch, A. costata, Sars. u. A. parvula, Kurz. Auffallende Art- Charaktere zeigen diese Formen nicht, und es bleibt dem sub- jeetiven Ermessen überlassen, ob man gewisse derselben als be- sondere Arten oder Varietäten ansehen will. Als einen für die geographische Verbreitung der C/ado- ceren wichtigen Fund darf man die Dunhevidia setigera, Birge betrachten, die bisher nur aus den Vereinigten Staaten, aus Klein-Asien und aus Ungarn bekannt gewesen ist. Die gali- zische Form ist in Fig. 14 und 15 bildich dargestellt. 10. Leptodora hyalina Lillj. ist bisher nur in zwei Was- serbecken Ostgaliziens gefischt worden; in den Tatra-Seen und denjenigen der Ost-Karpathen (Czarna-Hora) ist sie nicht ge- funden worden. Ostracoda. Repraesentanten dieser Ordnung sind nur gele- gentlich vom Verf. gesammelt worden, unter den 11 bisher gefundenen Arten gehören 3 der Gebirgsfauna an: Candona pu- bescens, C. candida und Cypria ophtalmica, jedoch nicht aus- schliesslich, denn auch im Flachlande scheinen sie ziemlich verbreitet zu sein. Typlocypris eremita Vejd. fand Dr. Jawo- rowski in den Brunnen Lembergs. Die Familie der Cyclopiden ist in der galizischen Fauna durch 19 Arten vertreten; wahrscheinlich wird die Nachlese nur sehr unbedeutend sein, da Schmeil in seiner Monogra- phie nur 22 Arten aus Deutschland anführt. Den von Dr. Jaworowski in einem Brunnen der Stadt Lemberg gefundenen C. nanus Sars hat der Verfasser nicht vergleichen können. Aus der Fam. der Calaniden sind die Arten Diaptomus graciloides Lill., D. baeillifer Kölb. var. montanus, Wierz, D. denticornis, Wierz, D. tatrieus, Wierz, und Heterocope saliens als alpine und subalpine Formen zu betrachten. D. ta- tricus ausgenommen, welcher bisher nur aus Galizien (Tatra- gebirge und Ost-Karpathen) und Ungarn bekannt ist, sind die RÉSUMÉS 177 übrigen Arten in der Literatur vielfach angeführt und zum Theil sehr genau beschrieben worden. Von der ersteren Art werden die charakteristischen Lappen am letzten Cephalothorax-Segmente nochmals abgebildet (fig. 16), da die betreffende Figur in einer der früheren Arbeiten nicht ganz gelungen ist. Vom D. bacillifer, Kölb. wird die Varietät montanus, Wierz. angeführt, welche im J. 1887 als Art beschrieben wurde. Schmeil !) hat auf Grund einer sorgfältigen Vergleichung aus verschiedenen Gebirgen stammender Formen zu zeigen versucht, dass D. alpinus, Jmh. und D. montanus, Wierz. höchstens als locale Formen des D. bacill. angesehen werden können. Ver- fasser schliesst sich zwar seiner Ansicht an, verleiht doch der alpinen Form einen besonderen Namen, um dieselbe als solche zu kennzeichnen. D. denticornis, W ierz. kannte der Verf. bisher bloss aus einem See in Tatragebirge. Ende Mai |. J. hat er dieselbe in einem anderen, nämlich dem Csorba-See 1350 Mt. u. d. M. (aut der ungar. Seite) gefischt. Allen aus diesem Fundorte stammen- den Exemplaren fehlt durchgehends der Zahn am letzten Gliede der rechten männlichen Antenne, statt seiner ist nur ein stumpfer hyaliner Vorsprung vorhanden. Ob dies eine Frühlingsform oder eine constante Varietät ist, das müssen weitere Beobach- tungen entscheiden. Verfasser erklärt sich für den ersten Fall. Heterocope saliens ist im Tatragebirge bloss auf zwei Seen in der Waldregion beschränkt, vielleicht erscheint sie in an- deren nur periodisch und entgieng deshalb der Beobachtung. Es erübrigt noch einige Worte der Varietät des Fluss- krebses A. fluv. var. leptodactylus, Eschr. zu widmen. Dieselbe ist nur in den Teichen Ostgaliziens verbreitet, und zwar denje- nigen, die am linksseitigen Stromgebiet des Dniester-Flusses und an denjenigen des Bug-Flusses liegen. Die galizische Va- 1) Copepodon des Rhaetikon-Gebirges. Abh. d. Naturf. Gesell. zu Halle Bd. XIX. 1893. 178 RÉSUMÉS rietät stimmt mit der aus verschiedenen Gewässern Russlands bekannten überein. Sie erreicht eine Länge bis 20 Cm. wobei die Länge des Scheerenbeines 23 Cm. beträgt. Die Scheeren sind viel schmächtiger und länger als bei Ast. fluviatilis, ihre Branchen sind gerade, langsam verjüngt, die äussere ohne den für A. fluviatilis charakteristischen Ausschnitt. Ob die von Carbonier als fontinalis bezeichnete Art der Variet. lepto- dactylus entspricht lässt sich nach dessen Angaben nicht ent- scheiden. 36. — E. Goprewskı. 0 nitryfikacyi. (Zur Kenntnis der Nitri- fication). In der Sitzung der Akademie vom December 1892 hat der Verfasser einige Resultate seiner Untersuchungen über Nitrification mitgetheilt. Er hat damals nachgewiesen, dass die Nitrification einer ammoniakalischen und mit Nitrosomo- nos infizierten Lösung unterbleibt, sobald die Luft, mit welcher die Lösung in Berührung steht, nach aussen mit Kalilauge abgesperrt wird. In diesem Falle vermisst man die Nitrifica- tion des Ammoniaks auch dann, wenn die Lösung reichlich kohlensaure Salze z. B. basisch kohlensaures Magnesium enthält. Daraus folgerte der Verfasser, dass kohlensäure Salze den Nitromonaden als Kohlenstoftquelle nicht dienen können, dass aber diese Mikroben den Kohlenstoff höchst wahrscheinlich aus freier Kohlensäure schöpfen. Um diesen Schluss zu bekräftigen und den möglichen Einwand, dass vielleieht nieht Kohlensäure, sondern gewisse flüchtige durch Kalilauge absorbirbare organische Verbindungen der Luft, den Nitromonaden als Kohlenstoffquelle dienen, definitiv zu besei- tigen, hat der Verfasser schon damals einen Nitrificationsver- such in vollständig geschlossenen Gefässen durchgeführt, wo- bei nach dem Schlusse des Versuches Luft und Lösung der Gefisse quantitativ untersucht wurden, RESUMES 179 Eines der bei diesem Versuche verwendeten Gefässe war mit reiner, ein anderes mit kohlensäurehaltiger Luft gefüllt. Der Versuch ergab einige interessante Resultate z. B. dass bei der Nitrifieation ein Theil des Stickstoffes frei wird, was aber die Hauptfrage anbetrifft schlug der Versuch fehl. Es stellte sich nämlich heraus, dass die Nitrification nicht nur in kohlensäurehaltigem Gefäss, sondern auch in diesem statt- fand, zu welchem man keine Kohlensäure zugeführt hat. An dieser unerwarteten Erscheinung trug die Verschliessung der Versuchsgefässe mit gewöhnlichem Korke schuld. Der Kork, wie sich später ergab, unterlag einer langsamen Oxydation, wodurch Kohlensäure sich entwickelte und den Nitromonaden zur Nahrung dienen konnte. Es war aber auch eine andere Möglichkeit nicht von der Hand zu weisen. Man konnte näm- lich annehmen, dass bei der Zersetzung des Korkes, nicht nur Kohlensäure, sondern auch irgend welche flüchtige orga- nische Verbindungen sich bildeten und dass diese letzten und nicht die Kohlensäure den Nitromonaden zur Nahrung gedient haben. Dieser Unsicherheit halber war dieser Versuch nieht geeignet, die Frage nach der Kohlenstoffquelle der Nitromona- dennahrung endgiltig zu entscheiden. Aus diesem Grunde entschloss sich der Verfasser den Versuch im abgeschlossenen Raume unter Benutzung neuer besonders für diesen Zweck eonstruierter Glasapparate, in welchen also jeder Zutritt irgend welcher organischer Verbindungen zur Culturflüssigkeit voll- ständig ausgeschlossen wäre, nochmals zu wiederholen. Die Construction dieser Apparate war folgende: Eine conische (Erlenmayersche Gestalt) Kolbe 13 Cnt. hoch, 14 Cen- tim. Bodendurchmesser und ungefähr 1 Liter Inhalt, stark in Glas, ist mit einer aufgeschliffenen Glaskappe verschliessbar. Der Schlief zwischen dem Halse der Kolbe und der Kappe wird mit Quecksilber gedichtet. Zur Aufnahme des Queck- silbers dient ein besonderer Aufsatz auch im Glas. Derselbe umgibt den Hals der Kolbe und wird mittelst eines Kau- tschuksringes unterhalb des Halses der Kolbe an dieselbe be- festigt. In die Kappe sind zwei Glasröhren eingeschmolzen. 180 RÉSUMÉS Die eine ist unter rechtem Winkel gebogen und am Ende etwas ausgezogen ; sie dient zur Einführung der Kohlensäure in den Apparat und zur Entnahme aus demselben einer Gas- probe zur Analyse. Die andere Röhre ist zweimal unter rechtem Winkel gebogen und taucht in Quecksilber. Der absteisende Arm dieser Röhre ist mit einer Millimeterthei- lung versehen und dem Volumen nach genau kalibrirt. Um den Apparat weniger zerbrechlich zu machen und ihn zum wiederholten Gebrauch behalten zu können, sind beide an die Kappe angeschmolzenen Röhren in zwei auf einander aufgeschliefene Theile zerlegbar. Auch diese Schliefe werden bei der Zusammenstellung des Apparates mit Quecksilber gedichtet, wozu wieder besondere Aufsätze welche über die Schliefe geschoben werden, dienen. Das innere Volumen eines jeden dieser Apparate wurde genau bestimmt, indem man zunächst den trockenen und dann mit destilliertem Wasser von bestimmter Temperatur gefüllten Apparat wog. Diese Volu- mina sammt den Volumina der beiden Röhren (das Volumen der doppelt gebogenen Röhre bis zur O0 Punkt der Theilung gerechnet) massen : Bei dem Apparate I 926.06 e. ce. SAW: 2 114905.58 SL, ” ” ” III 923.91 ” ” In jeden Apparat wurden 1 Gr MgOMeCO, und 100 e. ©. Culturlösung gebracht. Die Lösung wurde bereitet in dem man in 1 Liter zweifach destillierten Wassers (das letzte mal unter Zusatz von Kaliumhypermanganet und Ansäuerung mit Schwefelsäure) 1 Gr. KH,SO, und 2,5012 Gr. reines Schwe- felsäures Ammoniak gelöst hat. Jede dieser 100 e. c. Lö- sung enthielt demnach 0,25012 Gr. (NH,),SO, = 0,05305 Gr. Stickstoff. Die Bestimmung des Ammoniakstickstoffs durch Abdestillieren von 100 e. e. dieser Lösung mit Natronlauge ergab 0,0529 Gr. also eine Menge welche nur um 0,00015 Gr. von der berechneten abwich. Am 25 Juni 1893 infieirte man die Lösungen in allen drei Kolben mit reiner Nitromadeneultur. Zwei der Apparate sollten mit kohlensäurehaltiger, werden. RESUMES schliessung der Apparate enthielten dieselben: Apparat I 703,31 e. e. gewöhnlicher Luft. Apparat II 646.50 e. e. gewöhnlicher Luft + 25,51 e. e. Kohlensäure Apparat III 677 Kohlensäure Um den Verlauf der Nitrifieation zu beobachten , =D EUlere: Gar: .69 e. e. gewöhnlicher Luft + 40.29 e. e. 717.95 e. e. Gas. 181 einer mit reiner Luft gefüllt Nach der endgiltigen Zusammenstellung und Ver- WUE= den von Zeit zur Zeit die Gasvolumina der Apparate abgele- sen. Cie Verminderung ungefähres Mass der Nitrification gelten. dieser Gasvolumina konnte als ein Der Verlauf dieser Volumenverminderung wird durch folgende Tabelle wiedergegeben: Apparat I Apparat II | Apparat III reine Luft Luft + CO, | Luft + CO, | D'atu m Volumen- Volumen- = Volumen- Gasvolu- | verminde- Gasvolu- verminde- | Gasvolu- | yerminde- men in |rung vom} MEN in | „ung vom | men in | Jung vom ce. © 30. Juni ec 30. Juni | 30. Juni [Zinze.e. in c. e. in e. €. 25 Juni vor der Einführung | | von CO, 703.31 — 646.50 — 677.69 — 25 Juni nach der Einführung von CO, 70581 — 671.01 — 41795 — 26 Juni 703.39 — 649.63 — 708.41 | — 28 Juni 702.61 — 648.02 — 683.15 | — 30 Juni 703.05 — 647.75 _ 680.46 — 12 Juli 702.54 0.51 647.71 0.04 680.47 —0.01 21 Juli 702 51 0.54 644.50 2.94 675.73 4.73 5 August 703.42 | —0.37 622.507 | 25:25 651.01 29.45 7 September | 703.08 | —0.03 566.98 80.77 | 583.08 97.38 13 October 702.34 | 0.71 HAb. 22.17 101453 571.93 102.53 27 October 701.73 1.32 545,75 | 102.00 578.16 102.30 20 November 702.43 0.62 — | — 577.20 103.26 12 December -- _ = = 576.07 | 104.39 15 Januar 1894] 701 61 1.41 — — _ = Bulletin VI, 182 RESUMES Schon aus dieser Tabelle ist zu ersehen, dass nur in die- sen Apparaten eine Volumenverminderung der Gase eintrat, welehe mit kohlensäurehaltiger Luft gefüllt waren; in dem Appa- rate I, welcher nur gewöhnliche Luft enthielt, war keine deutli- che Volumenverminderung der Luft zu beobachten, auch dann nicht, wenn der Apparat das ganze Jahr hindurch stand. Daraus ist zu folgern, dass in diesem ‘Apparate trotz der Infection mit Nitrosomonas keine Nitrifieation des Ammoniaks stattge- funden hat. Sobald das Gasvolumen eines Apparates sich zu vermin- dern aufgehört hat, schritt der Verfasser zur Gas und Lö- sung Analyse. Die Resultate dieser Analysen waren folgende: Apparat II. Schluss des Versuches 27. October. Die Gasanalyse des Apparates ergab folsende °/, Zu- sammensetzung desselben. 00, 2,89% 0 — 3,35%, N — 93,760), Demnach stellt sich die Bilanz der Gase im Apparate folgenderweise: CO, O. N Zusammen CREIEIICHT LEHRE: Ce Am Anfange des Versuches 24.77 135.31 510.93 671.01 Am Ende des Versuches 15.77 18.28 511.75 545.71 1 Differenz —12.0 —117.03 +0.83 — 125.30 1) !) Zu dieser Bilanz ist zu bemerken, dass nur die Unterschiede in der Menge des Sauerstoffes und des Stickstoffes am Anfange und am Ende des Versuches auschliesslich durch Nitrification verursacht worden sind, dagegen die Unterschiede in der Menge der Kohlensäure hauptsächlich mit der Absorbtion der Kohlensäure durch das basisch kohlensäure Magnesium zusammenhiengen. Dass eine solche Absorbtion wirklich stattfand, ersieht man deutlich aus der starken Volumenverminderung in dem Apparate II und III während der ersten 5 Tage des Versuches, also zur Zeit, wo die Nitrification des Ammoniaks kaum beginnen konnte. Eben aus diesem Grun- RÉSUMÉS 183 In der Flüssigkeit sammt dem Niederschlage wurde ge- funden: Stiekstoff in Form des Ammoniaks . . . . . 0.0018 Gr. 5 0, der salpetrisen Säure,. .'. 00484 „, Summa des in der Lüsung wiedergefundenen Strabag =. PRINCES ARR 210.050 GR Hierzu 0,83 e. e. des Plus an Stickstoff in der Luft = 0.0011 „ Der ganze wiedergefundene Stickstoff . . . . 0.0513 Gr. Die ursprüngliche Lösung enthielt . . . . : 0.0529 „ Differenz als Fehler der Analysen und von Mi- krokent fixierte Strekstofi N. Te. 10:00,0 Er Apparat III. Schluss des Versuches am 12. December. Die Gasanalyse ergab CO, 2,958%, 073,328%, N 793,114%), Demnach stellt sich die Bilanz der Gase in diesem Apparate wie folst: CO, O N Zusammen C. C. ENGE, Leute: ee Am Anfange des Versuches 40.53 141,85 535.57 717.95 Am Ende des Versuches 17.04 22.62 536.41 576.07 Differenz —23.49 — 119.23 —0.84 +141.88 In der Lösung sammt dem Niederschlage wurde gefunden Stickstoff in Form des Ammoniaks. . . . 0.0007 Gr. = Sr den salpelzieen Saure‘... 0,0490 2, (mit Kameleon Titrist) 5 in or. von: Salpetersäure, .-.-. 1. 0,0000 „u... de sind in der Tabelle Seite 6 die Volumenverminderungen der Gase in den Apparaten nicht vom Anfange des Versuches, sondern vom 30. Juni ge- rechnet, da eben um diese Zeit die Absorbtion der Kohlensäure durch ba- sisch kohlensäures Magnesium bereits zu Ende war. :) 50 e. e. der Lösung, welche zur Bestimmung des Ammoniaks ge- dient haben, wurden in alkalischer Lösung mit Zink-Eisen reduciert und 2# 184 RÉSUMÉS Summa des in der Lüsung wiedergefundenen Stickstoils . I... UN 0004070 Hierzu 0,84 e. e. Plus an Stickstoff in der Luft Aa rel EC a ONE Der ganze wiedergefundene Stickstoff. . . 0,0508 Gr. Die ursprüngliche Lösung enthielt . . . . 0,0529 „ Differenz als Fehler der Analyse und von Mikroben hxierter Stickstoff 21. = »1-.n..2,0.0021 Er: Apparat L Wie in der Tabelle Seite 181 angegeben wurde, hat bis zur 15. Januar keine deutliche Verminderung des Gasvolu- mens in diesem Apparat stattgefunden. Der Apparat wurde auch weiter ruhig stehen gelassen mit der Absicht, nach Ab- laufe eines ganzen Jahres die Gase und die Lösung einer Analyse zu unterwerfen. Bis zur Juli 1894 ist keine Steigung des Quecksilbers in der Steigröhre beobachtet worden. Der Verfasser war in der Arbeit verhindert und musste die Aus- führung der Analyse auf die Zeit nach den Ferien ver- schieben. Leider hat während seiner Abwesenheit in Kra- kau, der Diener des Laboratoriums durch einen Zufall den Helm des Apparates zerbrochen und somit ist die Möglich- keit der Ausführung der Gasanalyse verloren gegangen. Die Analyse der Lösung wurde 5 Wochen später ausgeführt und hat keine Spur von salpetriger Säure aufgedeckt. Von den ur- sprünglichen 0,0529 Gr. Ammoniakstickstoff wurden 0,0462 Gr. in unverändeter Form wiedergefunden, 0,0067 Gr. wur- den überhaupt in der Lösung nicht wiedergefunden. Diese aus der Lösung verschwundene Stickstoffmenge entwich ohne Zweifel aus derselben als Ammoniak. Wie erwähnt, war der Helm des Apparates zerbrochen, und in Folge dessen war der Ap- parat während der letzten 5 Wochen nicht luftdicht geschlossen. das gebildete Ammoniak unter Vorlage von '/,, Normalschwefelsäure ab- destilliert; (Methode Kühn) Es wurde gefunden 0,02439 Gr. Sauerstickstoff, was auf ganze 100 e. e. Lösung berechnet 0,04878 Gr. ausmacht. Dem- nach war keine Salpetersäure vorhanden, RÉSUMÉS 185 Unter diesen Bedingungen ist es begreiflich, dass unter allmäh- ligen Wirkung des basisch kohlensäuren Magnesium auf das schwefelsäure Ammoniak ein Theil des Ammoniaks frei wurde und sich aus dem Apparate verflüchtigt hat. Durch die Resultate dieses Versuches sind die letzten noch bestehenden Zweifel über die Kohlenstoffquellen bei der Ernährung der Nitromonaden vollständig beseitigt worden. Zu den Culturgefässen dieses Versuches war der Zutritt irgend weleher Kohlenstoffverbindungen ausser den, welche in die Kolben absichtlich zugeführt worden sind, vollständig aus- geschlossen. In die Culturgefässe wurden aber nur zweifache Kohlenstoffverbindungen eingeführt: basisch kohlensaures Ma- gnesium in alle drei Gefässe und freie Kohlensäure in die Apparate II und III. Nun ergab sich Folgendes: In dem Apparate I, wo nur basisch kohlensaures Magne- sium zugegen war, blieb die Nitrification des Ammoniaks voll- ständig aus. Folglich: 1. Entgegen den .Angaben Winogradzki’s kann das kohlensaure Magnesium den Nitromo- naden als Kohlenstoffquelle nicht dienen. In dem Apparat II und III, wo ausser dem kohlensau- ren Magnesium auch freie Kohlensäure vorhanden war, wurde fast die ganze Ammoniakmenge der Culturlôsung zur salpetri- gen oxydirt, folglich: 2. Die freie Kohlensäure kann von den Ni- tromonaden als Nahrung verwertet werden und ihnen als alleinige Kohlenstoffquelle vollstän- die hinreichen. Die Sicherstellung dieser beiden Sätze betrachtet der Verfasser als das wichtigste Ergebnis seiner Untersuchungen. Ausserdem ergibt sich aber aus seinen Analysen noch Folgendes: 3. In Übereinstimmung mit den Angeben Winogradzki’s wird festgestellt, dass unter dem Einfluss des Nitro- somonas aus Ammoniak nur salpetrige Säure und keine Salpetersäure gebildet wird. 186 RÉSUMÉS 4. In Übereinstimmung mit dem Versuche vom Jahre 1892 wurde auch jetzt gefunden, dass nicht der ganze bei der Nitrification verschwundene Ammoniak- stickstoff als Salpetrige-Säure in der Lösung wiedergefunden wird, sondern dass ein Theil desselben als freier Stickstoff aus der Löswns entweicht. 5. Die Menge des frei gewordenen Stick- stoffs steht zu der Menge des zu Salpetrigen- säure oxydierten Ammoniaks in keinem constan- ten, Verhältnisse, ist aber. grösser, oder kier ner je nach dem unter welchen Bedingungen sich die Oxydation des Ammoniaks vollzieht. Dieser Satz ergibt sich aus der Vergleichung des Re- sultates des eben beschriebenen Versuches mit denen vom Jahre 1892. Wir sehen dabei Folgendes: Wiederge- fundener Salpetrig- säure Stickstoff Das Manco Salpetrig- in 2, des des N in Ammo- säure vers 0 ii des ver- niakstick- Stickstoff schwunde- schwunde- stoff ver- wiederge- Das Manco nen Ammo nen Ammo- schwunden funden in des N in niakstick- niakstick- in Gr. Gr. Gr. stoffs. stoffs. Versuch 1892 Sulturgefäss B 0.0465 0.0413 0.0052 88.80%, 11.2%, Culturgefäss A 0,0429 0,0369 0,0060 86,0 14,0%, Versuch 1894 Culturgefäss II 0,0511 0,0484 0,0027 94.7 5.306 Culturgefäss III 0,0522 0,0490 0,0032 93.9 6.00% Wir sehen demnach, dass das Manco an Stickstoff in der Lösung in °/, des aus der Lösung verschwundenen Ammo- niaks ausgedrückt, war im Versuche vom 1892 doppelt so gross als im Versuche vom 1894. Dem entsprechend ist auch das Plus an Stickstoff in der Luft der Apparate im Versuche vom 1894 bedeutend kleiner gefunden worden als im Versuche von 1892. RESUMES 187 Dieses Plus betrug nämlich: Im Versuche 1892 Ap. A. 5.52 e. e. =0,0069 Gr. also 16, |; s + RE vi ABOU ATNEL OBS ME DID rue DoDiy, VERS 3) 9) » Ap.II10,84 „ =0,0011 „ „ 2 ale Bei den unumgänglichen analytischen Fehlern, namentlich bei der Gasanalyse, wo die Fehler bei der Analyse der Gas- probe beinahe um das 30-fache bei der Umrechnung auf das Gesammtgasvolumen des Apparates multiplicirt werden mus- sten, kann es nicht befremden, dass das Plus an gefundenem freien Stickstoff, mit dem Manco des Stickstoffes in der Lö- sung nur annährend und nicht genau übereinstimmen. Im Versuche vom 1894 war diese Übereinstimmung sogar etwas weniger befriedigend als im Versuche vom 1892. Die wahr- scheinlichen Fehlerquellen, welche eine etwas zu niedrige Be- stimmung der Stickstoffmenge in den Gasen der Apparaten zur Folge haben konnten, sind in der ausführlichen Abhandlung des Verfassers näher besprochen. Jedenfalls finden die oben sub 4 und 5 formulirten Sätze in den angeführten Zahlen eine vollständig hinreichende Begründung. Was die Ursachen anbetrifft, welche zur Folge hatten, dass im Versuche von 1894 die Ausbeute an salpetriger Säure für eine gleiche Menge des verschwundenen Ammoniaks eine reichlichere war als im Jahre 1892, so glaubt der Verfasser dieselben in Zusammenhang mit dem Gestalt der Culturgefässe in beiden Versuchserien bringen zu müssen. Der Boden der Culturgefässe vom Jahre 1894 hatte einen Durchmesser von 14 Cent. also eine Fläche von 154 cent. I. dagegen der Bo- den der Apparate von 1892 mass im Durchmesser nur 10 cent., hatte also eine Fläche von 79 e. DJ. Die Bodenfläche der Apparate von 1894 war also doppelt so gross als die der Apparate von 1892. Da aber hier wie dort die Menge der Culturfllüssigkeit 100 e. e. betrug, so bildete diese Flüssigkeit am Boden der Apparate bei den Versuchen von 1894 eine nur halb so dieke Schicht als bei den Versuchen von 1892. Diese ungleich dicke Schicht der Culturflüsigkeit konnte aber der 188 RÉSUMÉS Meinung des Verfassers nach folgender Weise die Ausbeute der salpetrigen Säure aus Amoniak beeinflüssen. Wie bekannt, ist die Anwesenkeit einer Base, welche die Acidität dersich bildenden Salpetrigensäuren neutralisiren konnte, für die Nitrification nothwendig. Als solche Base wurde bei unseren Versuchen basischkohlensaures Magnesium den Cul- turlösungen zugesetzt. Dieses, in Wasser unlösliche Salz, setzt sich an den Boden der Culturgefässe ab. Es ist anzunehmen, dass die Oxydation des Ammoniaks zu Salpetrigensäure in den Zellen der Nitromonaden verläuft, und dass die sich bil- dende Säure aus denselben nach aussen diffundirt. Der Haupt- sache nach wie schon Winogrodzki angegeben hat, häufen sich die Colonien des Nitrosomonas dieht am Boden an und umgeben hier die Theilchen des kohlensäuren Magnesiums, ein- zelne Nitrosomonasellen aber schwermen in der Lösung. Wird die Salpetrigesäure von den die Theilchen der Magnesia unmit- telbar umgebenden Mikroben ausgeschieden, so begegnet sie sofort der Base mit welcher sie sich verbinden kann und wird in Folge dessen sofort neutralisirt; wird sie aber von den in der Lösung schwermenden Nitrosomonas ausgeschieden, so verläuft eine gewisse Zeitlang bis die gebildete Säure die am Boden des Gefässes liegende Magnesia erreicht. Während die- ser Zeitlang kann die freie salpetrige Säure auf das Ammo- niak der Culturflüssigkeit einwirken und der bekannten Re- action nach laut der Gleichung NH, + HNO, =2H,0+N, die Abspaltung des freien Stickstoffs bewirken. Mann kann kaum darüber zweifeln, dass die Abspaltung des freien Stickstoffes bei der Nitrification einer solchen Re- action seinen Ursprung verdankt. Dafür sprechen nicht nur die Versuche des Verfassers sondern auch diejenigen von Schlüsing. Dieser eminente Gelehrte fand, dass manchmal, na- mentlich, wenn nur wenig Ammoniak im Boden zu Salpetersäure oxydirt wird, diese Oxydation ohne jeglichen Stiekstoffverlust zustande kommt, bei einem grösseren Ammoniakgehalt des Bodens aber, und ganz besonders bei der Anwesenheit grös- RÉSUMÉS 189 serer Menge von salpetrigsäuren Salzen in dem nitrificiren- den Boden, sogar ziemlich bedeutende Mengen von freiem Stickstoff bei der Nitrification des dem Boden zugesetzten Ammoniaks frei werden. Nimmt man aber an, dass in den Versuchen des Verfas- sers die Ausscheidung des freien Stickstoffs nach der obigen Reaetion zu Stande kamm, so ist leicht zu verstehen, dass je ein Theilchen der sich bildenden salpetrigen Säure um so leichter in diese Reaction treten konnte, je weiter sein Entstehungsort, d. h. die es bildende Nitrosomonaszelle von dem magnesiahaltigen Bodenabsatz des Apparates entfernt war. Demnach ist es begreiflich, dass in einer dickeren Schicht der Culturflüssigkeit die Bedingungen der Reaction, welche die Ausscheidung des freien Stickstoffs hervorruft im höheren Masse und für eine grössere Anzahl der Nitromonadenzellen erfüllt werden als in einer düneren Schicht, und dass in Folge dessen für eine gleiche Menge des nitrificierten Ammoniaks um so mehr des freien Stickstoffs ausgeschieden werden muss, um so geringer die Ausbeute an salpetriger-Säure ausfallen wird, je dicker ist die Schicht der Culturflüssigkeit. Eine willkommene Controle der analytischen Daten und der oben zusammengestellten Resultate derselben bildet die Bilanz des Sauerstoffes, d. h. die Vergleichung des wirklich aus den Apparaten verschwundenen Sauerstoffes mit der Men- ge desselben, welche laut der Berechnung verbraucht werden musste, um die aus der Analyse der Lösung sich ergebenden Oxydationen des Ammoniaks zu bewirken. Apparat Il Die Gasanalyse ergab einen Sauerstoffverbrauch von Ba OBre.ge..=:0,16735) Gr: Aus der Lösung verschwundener Ammoniakstickstoff 0,0511 Gr. Als salpetrige Säure wiedergefundener Stiekstoff 0,0484 Gr. In der Lösung nicht wiedergefundener Stickstoff 0,0027 Gr. 190 RÉSUMÉS Nehmen wir ant), dass von diesen 0,0027 Gr. 0,0002 Gr. in der Lösung als in organischer Form von den Mikro- ben fixirter -Stickstoff verblieben sind und 0,0025 als freier Stickstoff ausgeschieden wurden, so ergibt die Rechnung folgendes. Die Verwandlung vom 0,0484 Gr. Ammoniakstickstoff zu salpetriger Säure beansprucht laut der Gleichung. NH, + 0, = HNO, + H,0 0,1654 Gr. Sauerstoff. Die Verbrennung von 0,0025 Gr. Ammoniakstiekstoff beansprucht laut der Gleichung: : 2NH, +0, =3H, 0 + N, 0,0043 Gr. Sauerstoff. Die beiden Oxydationsprocesse beanspruchen also 0.1654 + 0.0043 = 0.1697 Gr. Also ‘um 0.1697 — 0.16735 = 0,00235 Gr. = T.IeIe mehr als der durch die Gasanalyse gefundene Sauerstoff- verbrauch. Apparat IT. Durch Gasanalyse gefundener Sauerstoffverbrauch = MI2DIREre =0.1703 GE Aus der Lösung verschwundener Ammoniakstickstoff — 00521976 Als Salpetrige Säure wiedergefundener Stickstoff = 0,04901 Gr. In der Lösung nicht wiedergefundener Stickstoff = 0.00318 Gr. Wahrscheinlich als freier Stickstoff ausgeschieden: 0.00298 Gr. Daraus ergiebt die Rechnung: Die Verwandlung von 0,04901 Gr. Ammoniakstickstoff in salpetrige Säure beansprucht 0,1675 Gr. Sauerstoff. 1) Nähere Begründung dieser Annahme in der ausführlichen Ab- handlung. RÉSUMÉS 191 Die Verbrennung von 0,00298 Gr. Ammoniakstickstoff zu freiem Stickstoff beansprucht 0,00511 Gr. Sauerstoff. _Die beiden Oxydationsprocesse beanspruchen also: 0,1675 Gr. + 0.00511 Gr. = 0,17261 Gr. Sauerstoff. Doom 0.172261 - 04705-==+0,00211. Gr. = 1,47 €. e. Sauerstoff mehr als der durch Gasanalyse gefundener Sauer- stoffverbrauch. In beiden Apparaten ist also der wirkliche Sauerstoffverbrauch um etwa 1,5 e. c. kleiner gefunden wor- den, als es dem zu salpetriger Säure und zu freiem Stickstoff oxydirten Ammoniak entspricht. Dieses Resultat kann als eine weitere Bestätigung der Thatsache gelten, dass die Nitro- monaden den Kohlenstoff wirklich aus Kohlensäure schöpfen, da es auf der Hand liest. dass bei der Assimilation der Kohlensäure durch diese Mikroben der Sauerstoff derselben abgespalten werden muss und also sammt dem freien Sauer- stoffe der Luft zur Oxydation des Ammoniaks benutzt wer- den kann. Dass der berechnete Überschuss an beanspruchter Menge des Sauerstoffes über den wirklichen Verbrauch derselben, in dem beschriebenen Versuche wirklich durch die von den Mikroben assimilierte Kohlensäure geliefert werden konnte, ergibt folgende Berechnung: Winogrodzki fand, dass für je 35 mgr. des zu salpetrigen Säure oxydirten Ammoniak- stickstoffes 1 mgr. Kohlenstoff von den Nitromonaden als organische Substanz derselben fixirt wird. In dem beschrie- benen Versuche wurde in jedem Apparate ungefähr 49 mer. Ammoniakstickstoff zu salpetriger Säure oxydirt, den Anga- ben Winosrodzki’s nach mussten also die Mikroben 1,4 mgr. Kohlenstoff dabei fixiren. Um diese 1,4 mgr. Kohlenstoff sich anzueignen, mussten die Mikroben 5,13 mgr. — 2,61 c. c. Kohlensäure zerlegen und von derselben 2,61 e. e. = 3,74 mgr. Sauerstoff abspalten. Dass diese berechnete Menge mit dem oben bereehneten Überschusse an beanspruchtem Sauerstoffe über dem wirklichen Verbrauche derselben (2,35 mgr. im Apparate II. 2,11 mgr. im Apparate III.) nicht ganz genau übereinstimmt, ist den unumgänglichen analytischen Fehlern 192 RÉSUMÉS zuzuschreiben; bei der absoluten Kleinheit der Zahlen, um welche es sich hier handelt, kann auch diese Übereinstimmung als ausreichend bezeichnet werden. 37. — K. Orszewskı. Oznaczenie temperatury krytycznej i temperatury wrzenia wodoru. (Bestimmung der kritischen und der Siede- temperatur des Wasserstoffes). In einer seiner früheren Abhandlungen !) hat Verf. eine neue Methode zur Bestimmung des kritischen Druckes der Gase beschrieben, die man kurzweg als Expansionsmethode bezeich- nen könnte. Sie beruht nämlich darauf, dass ein Gas, welches sich unter hohem Drucke befindet und eine höhere Temperatur als seine kritische besitzt, während einer langsamen Druckver- minderung für kurze Zeit in den flüssigen Zustand übergeht. Man erkennt denselben stets an einer Trübung des Gases, wel- che immer in dem Augenblicke sich zeigt, in welchem bei der Expansion der kritische Druck des beobachteten Gases erreicht worden ist. Mittelst dieser Expansionsmethode zeigte Verf. da- mals, dass der bis dahin unbekannte kritische Druck des Wasserstoffes 20 Atmosphären beträgt; gleichzeitig bewies Verf. auch an zwei anderen Gasen, deren kritischer Druck genau bekannt war, und zwar an Aethylen und an Sauerstoff, dass die angewandte Methode richtig und zur Bestimmung des kri- tischen Druckes der Gase im Allgemeinen anwendbar ist. Zu- gleich hat er darauf hingewiesen, dass solange wir keine ande- ren neuen Kältemittel kennen, welche uns noch niedrigere Tem- peraturen zu erzielen ermöglichen würden, als dies bei Anwen- dung des flüssigen Sauerstoffs und der verflüssigten Luft erreich- 1) K. Olszewski, Über den kritischen Druck des Wasserstoffs, Ab- handlungen der Akademie der Wissenschaften in Krakau, Bd. XXIII, S. 385, 1891 (polnisch); Bulletin Intern. de l’Ac. de Cr. Mai 1891, S. 192 (deutsches Resume); Philosophical Magazine [5] 39, p. 199, 1895, ; /? RÉSUMÉS 193 bar ist, die Expansionsmethode als das einzige Hilfsmittel zur Bestimmung nicht nur des kritischen Druckes des Wasserstoffes, sondern auch seiner kritischen Temperatur, verbleibt. Denn wenn es gelingen möchte, die Temperatur des Wasserstoffes während seiner Expansion bis zum kritischen Drucke (d. i. im Augenblieke des Aufkochens) mittelst eines äusserst empfindli- chen Messapparates zu bestimmen, so würde diese Temperatur ohne Zweifel der kritischen Temperatur dieses Gases entsprechen. Als nun Verf. seine im Jahre 1891 begonnene Arbeit von Neuem aufnahm, glaubte er ein aus sehr dünnen Argen- tan- und Kupferdrähten bestehendes Thermoëlement zur Tem- peraturmessung mit gutem Erfolge anwenden zu können. Er kam aber auf Grund einiger. in dieser Richtung vorgenom- mener Versuche sehr bald zur Einsicht, dass sich ein Thermoële- ment zu derartigen Experimenten keineswegs eignet. Erstens ist nämlich ein aus zwei zusammengelötheten Drähten beste- hendes Thermoëlement nie dünn genug, um die Temperatur des dasselbe umgebenden Gases augenblicklich anzunehmen. Fer- ner verliert das Thermoëlement bei ganz niedrigen Temperaturen sehr rasch seine Empfindlichkeit und deshalb stehen die Aus- schläge des Galvanometers in keinem proportionalen Verhältnis zu der mittelst eines Wasserstoffthermometers gemessenen Tem- peraturerniedrigung. Somit ist das Messen niedriger Tempera- turen vermittelst eines Thermoëlementes nur in diesen Grenzen möglich, innerhalb welcher dieses mit einem Wasserstoffther- mometer genau verglichen wurde; jede Extrapolation würde zu ganz falschen Resultaten führen. Nach misslungenen Versuchen mit einem Thermoëlemente beschloss nun der Verf. die Bestimmung der kritischen Tempe- ratur des Wasserstoffes vermittelst eines Platinthermometers vor- zunehmen, welches auf der Abhängigkeit des Eleetricitätslei- tungswiderstandes eines Platindrahtes von der Temperatur be- ruht. Auf die Anwendung dieses Grundsatzes beim Messen niedri- ger Temperaturen haben zwar schon Cailletet und Collardeau !), 1) Journal de physique, 1888. 4 RÉSUMÉS wie auch Guillaume‘) aufmerksam gemacht, doch hat ihn ın der Praxis thatsächlich zum ersten Male Witkowski?) ange- wendet. Die Versuche dieses Gelehrten zeigten, dass nach dem Wasserstoffthermometer das Platinthermometer beim Messen niedriger Temperaturen die grössten Vortheile bietet. Es erfor- dert zwar einen sorgfältigen Vergleich mit einem Wasserstoff- thermometer, weil die Veränderungen des Leitungswiderstandes im Platin denjenigen der Temperatur nicht genau proportional sind, jedoch in diesen Grenzen, innerhalb welcher es mit einem Wasserstoffthermometer verglichen wurde, kann es zu sehr ge- nauen und schnellen Bestimmungen niedriger Temperaturen ver- wendet werden. Angesichts dessen, dass die Curve, welche das Verhältnis der mittelst eines Wasserstoffthermometers ge- messenen Temperaturen zu den Widerstandsänderungen des Platins zum Ausdrucke bringt, einer Geraden sehr nahe kommt, erachtet es der Verf. als zulässig, beim Messen sehr niedriger Temperaturen mittelst des Platinthermometers eine nicht zu weit gehende Extrapolation anzuwenden, zumal dabei der Fehler, welcher aus der unvollkommenen Proportionalität der Wider- standsänderungen zu den Temperaturänderungen resultiert, nicht mehr als 0,5° bis 1° betragen dürfte. Ein Platinthermometer in der von Witkowski angegebe- nen Form entspricht vielerlei practischen Zwecken, besitzt jedoch nicht die erforderliche und bei den vom ‚Verf. vorgenommenen Versuchen unbedingt nöthige Schnelligkeit der Angaben. Die Ursache dieser ungenügenden Schnelligkeit des Witkowski- schen Thermometers ist der zu wenig feine Platindraht (9,06mm im Durchmesser), welcher ausserdem behufs Isolierung noch mit Seide übersponnen und zwischen zwei concentrischen, aus sehr dünnem Kupferblech bereiteten Hülsen dicht eingeschlos- sen ist. Um das für seine Zwecke erwünschte "Thermometer thunlichst empfindsaım zu machen, trachtete Verf. nach Möglich- !) Archives des sciences physiques et naturelles de Genève, 1888. ?) Bull. internation. de l’Acad. des sciences de Cracovie, Mai 1891. RÉSUMÉS 195 keit Alles die Geschwindigkeit der Wärmeleitung störende und ermindernde zu beseitigen. Es wurde somit ein bei weitem feinerer Draht aus chemisch reinem Platin benützt, der nur 0,025 mm im Durchmesser hatte und mit Seide gar nicht über- sponnen wurde, wodurch er die Temperatur des ihn umgebenden (Gases äusserst schnell annehmen konnte. Der Draht wurde spiralfürmig auf einem sehr zarten, aus Ebonit oder aus dün- nen Glimmerblättehen bestehenden Träger umwunden, und zwar derart, dass die einzelnen Windungen von einander um Imm oder !/, mm entfernt, nirgends mit einander in Contact waren. Die Drahtwindungen wurden auch nicht mit Kupferblech um- hüllt, sondern blieben in unmittelbarer Berührung mit dem sie umgebenden Wasserstoffe, wodurch die Wirkung des Thermo- meters ausserordentlich beschleunigt wurde. Die Zusammenstellung des vom Verf. zur Bestimmung der kritischen Temperatur des Wasserstoftes angewandten Appa- rates war grösstentheils dieselbe, wie diejenige, die er bei Be- stimmung des kritischen Druckes dieses Gases an den oben angeführten Stellen beschrieben hat. Deshalb glaubt Verf. sich blos auf die Beschreibung derjenigen Theile des Apparates beschränken zu dürfen, welche in den jetzigen Versuchen eine Veränderung erlitten haben. So lange es darauf ankam, den kritschen Druck des Was- serstoffes mittelst der Expansionsmethode zu bestimmen, konnte Verf. nicht umhin, ein Glasgefäss anzuwenden, in welchem der abgekünlte Wasserstoff von hohem Drucke expandiert wurde, da es doch bei jenen Versuchen sich darum handelte, den Druck im Augenblicke des Aufkochens des Wasserstoffes zu beobachten, was wohl nur in einem durchsichtigen Gefässe mög- lich war. Nachdem aber der kritische Druck des Wasserstoffes bestimmt worden ist, durfte man das brüchige und keinerlei Sicherheit gewährende Glasgefäss gegen ein metallenes eintau- schen. Nun konnte man die Versuche mit volkommener Ruhe vornehmen, ohne eine Explosion befürchten zu müssen, was natürlich die Anwendung von Drahtmasken und anderen Vor- sichtsmassregeln entbehrlich machte. Das an der Stelle des 196 RÉSUMÉS gläsernen benützte Metallgefäss konnte viel umfangreicher sein und erlaubte gleichzeitig die Expansion von beträchtlich höhe- ren Anfangsdrucken auszuführen, was insgesammt die Expansion be- deutend erfolgreicher machte, und zur Genauigkeit der Temperatur- messung im Augenblicke der Ex- pansion viel beitrug. Die beifolgende Zeichnung (Fig. 1.) stellt den Querschnitt des zur Temperaturbestimmung des Wasserstoffes im Expansionsau- genblicke dienenden Apparates dar. a ist ein auf 220 Atm. Druck erprobtes Stahlgefäss, in welchem sich der aus Ebonit oder Glimmer verfertigte Träger d, sammt dem um ihn gewundenen Platindraht, befindet. Fig. 2 stellt die horizon- tale Projection des Trägers dar. Die Dimentionen der Zeichnung entsprechen °/, der natürlichen Grösse. Das eine Ende des Pla- tindrahtes ist an das kupferne Röhrchen c angelöthet, welches durch den oberen Theil des Ge- fässes a herausragend, mit einer Klemmschraube d versehen ist; das zweite Ende des nämlichen Platindrahtes ist an das untere Ende des isolierten Kupferdrahtes e angelöthet, welcher, in das Röhr- Kio. de chen 7 fest eingekittet, durch das- selbe durehgeht, und oben gleichfalls mit einer Klemmschraube d versehen ist. RÉSUMÉS 197 Im Laufe seiner Versuche bediente sich Verf. dreierlei Träger verschiedener Grösse, aus Ebonit oder aus Glimmer. In einigen der ersten Versuchsreihen gebrauchte er einen Ebo- nitträger, dessen Höhe 20 mm, der Durchmesser 12 mm be- trug. Die Abstände zwischen den einzelnen Platindrahtwindun- gen betrugen je ein halbes Millimeter, und der Leitungswider- stand des ganzes Drahtes bei 0° C. 241,4 Ohm. Bei einem weiteren Versuche gebrauchte er einen Ebonitträger von 11 mm Höhe und 10 mm Durchmesser; der Leitungswiderstand des ebenfalls in !/;, mm-Abständen aufgewickelten Drahtes betrug 117,5 Ohm. Bei seinen letzten Versuchen dagegen bediente sich Verf. eines aus dünnen Glimmerblättchen verfertigten Trägers, der 20 mm hoch war und 11 mm im Durchmesser hatte; der Leitungswiderstand des in Abständen je eines Milli- meters aufgewickelten Platindrahtes betrug 104,9 Ohm. Auf die präcise Ausführung dieser Träger legte Verf. sehr grosses Gewicht, da wohl von der sorgfältigen Herstellung derselben die Genauigkeit der Temperaturmessungen in hohem Grade abhängig ist. Verf. sorgte also dafür, die Träger aus schlechten Wärme- und Electricitätsleitern anzufertigen, dieselben möglichst leicht und ihre Flügel an den mit Platindraht in Berührung kommenden Stellen mögliehst dünn zu machen, damit dadurch die Berührungspunkte des Trägers mit dem Platindrahte thun- liehst unbedeutend seien. Die Ausführung der Träger aus Ebonit ist bequemer, dafür sind diejenigen aus Glimmer bedeutend leichter, und zwar wiegt der grössere Ebonitträger des Verf. sammt Platindraht 0,679 g, der kleinere sammt Platindraht 0,218 g, der Glimmerträger hingegen sammt Draht nur 0,177 g. Der Platindraht des letzteren Trägers wiegt 11 Milligramme und ist etwa 595 mm lang. Das sehr dünnwandige Glasröhr- chen f, welches den Träger 5 umgibt, isoliert ihn während der Wasserstoffexpansion von dem Einflusse der wärmeren Wände des Stahlgefässes à. Der obere Theil des Stahlgefässes @ ist mittelst einer leicht schmelzbaren Wismuthlegierung dicht verschlossen. Die Röhre g dient als Zuleitungsröhre für den Wasserstoff, der sich Bulletin VL 3 198 RÉSUMÉS in einer drei Liter fassenden eisernen Flasche unter einem Drucke von 170 Atm. befindet. Der untere Theil des beschrie- benen Apparates taucht in flüssigen Sauerstoff, dessen Tempe- ratur durch Evacuieren bis zu —210° erniedrigt werden kann; der Kautschukstöpsel % dient zur Befestigung des Apparates in dem oberen Deckel des Sauerstoffbehälters. Die Drähte 44 dienen zur Einschaltung des ganzen Messapparates in eine Wheatstone’sche Brücke, zum Zwecke der Widerstandsbestim- mung des um den Träger gewundenen Platindrahtes. Zum Messen des Widerstandes gebrauchte Verf. den schwachen Strom eines einzigen Leelanch&-Elementes, und schwächte ihn noch durch Einschaltung eines 1000 Ohm betragenden Widerstandes; hiedurch vermied er die erwärmende Einwirkung auf das Platinthermometer, welche sich ohne Einschaltung des äusseren Widerstandes unverkennbar zu bemerken gab. Der Verlauf des Versuches war folgender: Um die Abhängigkeitscurve der Widerstandsänderungen des Platinthermometers von den mittelst eines Wasserstoffther- mometers gemessenen Temperaturänderungen aufzeichnen zu können, tauchte Verf. den ganzen beschriebenen Apparat der Reihe nach in schmelzendes Eis, in ein Gemisch von fester Koh- lensäure mit Aether, in flüssigen Sauerstoff unter atmosphäri- schem Drucke und zuletzt in solehen unter vermindertem Drucke von 15 mm Quecksilber, und bestimnite die Wider- stände des Platinthermometers in den niedrigen Temperaturen: O0, — 78,20, — 182,5°, — 208,5°, die mit einem Wasserstoffther- mometer gemessen wurden. Es soll jedoch nicht unerwähnt bleiben, dass die Temperatur des Kältegemisches von Aether und fester Kohlensäure nur dann constant ist (—78,2°%), wenn das Gemisch im Überschusse aus Kohlensäure besteht und eine butterartige Consistenz zeigt; sobald nur Aether sich an der Oberfläche abzuscheiden anfängt, steigt auch allmählich die Temperatur des Gemisches. Die Widerstandsänderungen aller drei in des Verf. Versu- chen gebrauchter Platinthermometer waren vollkommen pro- RESUMES 199 portional, und zwar waren sie, auf 1000 Ohm Widerstand bei 0° Temperatur umgerechnet, wie folgt: Mittelst Wasserstoffthermometers Widerstand des Platin- gemessene Temperatur: thermometers : 0° 1000 Ohm 78,90 800 , — 182,50 523 , — 208,59 453 7 Einem Grade des Wasserstoffthermometers entsprechen also: im Intervalle von 0° bis —782° . 2,557 Ohm n n » — 78,20 >) FX 182,50 © 2,655 ” N n 1 mi 182,59 „ er 208,5° . 2,692 „ Die letztere Zahl, d. i. 2,692 Ohm = 1° benützte Verf. bei der Extrapolation, um Temperaturen unter — 208,5°, bei wel- chen schon das Platinthermometer mit dem Wasserstoffther- mometer nicht verglichen werden konnte, zu bestimmen. In- dem Verf. nun annahm, dass die Widerstandsänderungen den Temperaturänderungen unter —208,5° proportional bleiben, begieng Verf. augenscheinlich einen Fehler, welcher jedoch, in Betracht der sehr unbedeutenden Krümmung der den obigen Zahlen entsprechenden Curve, nur gering sein konnte, umso- mehr als die extrapolierten Temperaturen nicht sehr tief un- ter — 208,5° lagen. Um die Widerstände des Platinthermometers während der Expansion des Wasserstoffes von hohem Drucke zu messen, führte Verf. in das mittelst flüssigen Sauerstoffes auf — 208,5° abgekühlte Stalilgefäss a Wasserstoff unter einem Drucke von 120 bis 160 Atm. ein. Durch entsprechende Verminderung des Widerstandes im Widerstandskasten war das Gleichgewicht in der Wheatstone’schen Brücke aufgehoben, und es erfolgte ein bedeutender Ausschlag des Galvanometers. Nachdem der Was- serstoff im Stahlgefässe die Temperatur des ihn umgebenden flüssigen Sauerstoffes bereits angenommen hatte, unterwarf ihn Verf. einer langsamen Expansion, und zwar bis zu seinem kriti- 200 RESUMES schen Drucke (20 Atm.), wenn er seine kritische Tempe- ratur messen wollte, oder bis zum gewöhnlichen Atmosphären- drucke, wenn er seine Siedetemperatur, bestimmen wollte. Infolge der Abkühlung des Platinthermometers während der Wasserstoffexpansion und der dieser Abkühlung entsprechenden Abnahme seines Widerstandes, kehrte das Galvanometer zur Nullstellung zurück, wenn der Widerstand des Widerstands- kastens so gewählt war, dass er dem Widerstande des Platin- thermometers im Augenblicke der Expansion gleich kam. Falls beim ersten Versuche das Galvanometer nicht genau auf den Nullpunct zurückkehrte, änderte Verf. den Widerstand des Widerstandskastens entsprechend, und wiederholte die einzelnen Versuche so lange, bis die gewünschte Galvanometerstellung erreicht worden ist. Auf diese Weise führte Verf. sechs Reihen von Versuchen aus, und jede von ihnen bestand aus mehreren Bestimmungen der kritischen und der Siedetemperatur des Wasserstoffes. Wie schon erwähnt, gebrauchte Verf. bei diesen Versuchen drei Platinthermometer von verschiedener Grösse. Als Kältemittel bediente sich Verf. in fünf Experimenten flüssi- gen Sauerstoffes, welcher unter dem Drucke von 18 bis 12 mm Quecksilber siedete; in einem Experimente wandte Verf. flüssige Luft an, die unter ebenso kleinem Drucke siedete. Die erhaltenen Resultate stimmten trotz bedeutender Schwie- rigkeiten in der Ausführung derartiger Experimente genügend überein. Es ergaben sich die mittleren Werte, berechnet auf Grund mehrerer übereinstimmender Versuche und entsprechend dem Widerstande von 1000 Ohm bei Temperatur 0°, wie folst: Der Wasserstoff wurde Widerstand des Die entsprechenden Tempe- expandirt bis zum Drucke Platinthermometers: raturen berechnet durch von: Extrapolation: 20 Atm. (kritischer Druck) 383 Ohm — 234,50 (krit. Temp.) 10°; 369 , —239,70 I 359 „ — 243,59 (Siedetemp.) Aus Obigem ist zu ersehen, dass die kritische Tempera- tur des Wasserstoffes bei — 234,50 und seine Siedetemperatur bei — 243,5° liegt. In einer vorläufigen Mittheilung in , Na- RESUMES 201 ture“ 1) hat Verf. —233° als die kritische Temperatur des Wasserstoffes und — 243° als dessen Siedetemperatur ange- geben. Diese Zahlen differieren somit nur wenig von denen, die Verf. auf Grund mehrerer jetzt ausgeführter Versuche erhielt. Zieht man ausserdem in Betracht, dass die durch Extrapola- tion berechneten Temperaturen aus oben angegebenen Grün- den etwas zu niedrig ausfallen mussten, so sind vielleicht die ursprünglich angegebenen Zahlen sogar wahrheitsnäher. Verf. zeigte oben, auf welche Weise man vermittelst der Expansionsmethode die Abhängigkeit der Temperatur vom Drucke des verflüssigten Gases sogar in dem Falle bestimmen kann, wenn uns die angewendeten Kältemittel nieht erlauben, die krıtische Temperatur des Gases zu erreichen. Dieser Methode gegenüber könnte man folgende Einwendungen ma- chen: zuerst könnte man fragen, woher wir die Gewissheit haben, dass Wasserstoffgas, dessen Temperatur höher als seine kritische ist, während der Expansion eine Temperatur annimmt, welche derjenigen des verflüssigten Gases entspricht, wenn es sich unter einem Drucke von 20 Atm., respective einer Atmosphäre, befindet. Wenn es wirklich der Fall wäre, so könnte man weiter Zweifel hegen, ob das gebrauchte Pla- tinthermometer genau die Temperatur des ihn umgebenden Gases im Augenblicke seiner Expansion annimmt. Um sich zu überzeugen, inwiefern diese Einwendungen gelten können, wandte Verf. dasselbe Verfahren an, dessen er sich auch bei der Bestimmung des kritischen Druckes des Wasserstoffes be- diente, d. h. er vollführte eine Reihe analoger Versuche mit Sauerstoff, dessen kritische Temperatur und Druck, wie auch die Dampftensionen bei intermediären Temperaturen, von ihm bereits vorher unter Anwendung des Wasserstoffthermometers bestimmt wurden ?). !) Nature, Nr. 1325, March 21, 189. ?) Comptes rendus, 100, p. 350, 1885. 202 RESUMES Diese Versuche vollführte Verf. in der oben beschriebe- nen Weise, mit dem Unterschiede, dass er die mit Wasser- stoff unter 170 Atm. Druck gefüllte eiserne Flasche durch eine andere ersetzte, die Sauerstoff unter 110 Atm. Druck enthielt, und zum Kühlen des Stahlgefässes flüssiges unter ge- wöhnlichem Atmosphärendruck siedendes Aethylen (—103°) ge- brauchte. Verf. kühlte also den Sauerstoff unter dem Drucke von 110 bis 100 Atm. bis zu einer Temperatur ab, die um 16° höher war als seine kritische Temperatur, hernach unter- warf er ihn einer Expansion bis zum Druck von 50,8 Atm. (kritischer Druck), von 32,6 Atm., von 19 Atm., von 10,2 Atm. und schliesslich bis zum gewöhnlichen Atmosphärendruck. Das Messen der Widerstände des Platinthermometers gieng bei diesen Versuchen viel schneller vor sich, denn Verf. kannte aus seinen früheren Versuchen die Abhängigkeit der Temperatur des flüssigen Sauerstoffes von seiner Dampftension und konnte daher beinahe genau die Widerstände im voraus berechnen welche vor der Expansion in die Wheatstone’sche Brücke eingeschaltet werden sollten. Die erzielten Resultate sind in nachstehender Tabelle zusammengestellt. Die Tension des Sauer- Die mittelst Wasserstoff- Die Temperatur des flüssigen stoffes: thermometer bestimmte Sauerstoffes, gemessen mit Temperatur: dem Platinthermometer unter Anwendung der Expansions- methode: 50,8 Atm. (kritischer — 118,89 (kritische —118° bis — 119,29 Druck) Temperatur) (kritische Temperatur) 32.6 , — 130,30 — 1309 N Ale =\ — 140,50 10:2. — 151,69 — 1520 war. — 181,4 bis —182,7° —181,30 bis 182,50 (Siedetemperatur). (Siedetemperatur). Die beinahe unverhoffte Übereinstimmung der mittelst bei- der Methoden erhaltenen Resultate zeigt, dass die oben ge- machten Einwendungen unbegründet sind, und dass die Ex- pansionsmethode zur Bestimmung der kritischen und der Sie- detemperaturen der Gase mit gutem Erfolge anwendbar ist. Zur Übereinstimmung der Resultate trug unzweifelhaft auch RÉSUMÉS 203 der Umstand bei, dass man die mittelst eines Platinthermome- ters gemessenen Temperaturen nicht zu extrapolieren brauchte, sondern dieselben durch Interpolation berechnen konnte. Die Anfangstemperatur des Sauerstoffes, bei welcher er der Expansion von hohem Drucke unterworfen wurde, lag zwar nur um 16° höher als seine kritische Temperatur, wo hinge- gen die Anfangstemperatur des Wasserstoffes um 26° höher war als seine kritische. Den unvortheilhaften Einfluss, wel- chen dies auf das Messen der kritischen Temperatur des Wasserstoffes ausüben konnte, trachtete Verf. jedoch durch hö- heren Anfangsdruck des Wasserstoffes auszugleichen, welcher den bei Versuchen mit Sauerstoff angewendeten Anfangsdruck um 50 bis 60 Atm. überstieg. Zu Gunsten dieser vom Verf. angewandten Expansionsme- thode spricht auch die Übereinstimmung seiner Resultate mit den durch die Theorie vorhergesehenen. Des Verf. College, Prof. L. Natanson, hat nämlich, noch bevor Verf. seine soeben be- schriebenen Versuche angestellt hatte, auf Grund des Gesetzes der therinodynamischen Übereinstimmung die wahrscheinliche kriti- sche und Siedetemperatur des Wasserstoffes berechnet!), und die von ihm angegebenen Zahlen weichen von den durch Ver- suche ermittelten nur unbedeutend ab. Ausserdem hat Prof. Natanson bewiesen, dass diese Methode sich durch thermody- namische Gesetze begründen lässt ?). 38. — T. Esrreomer. 0 ci$nieniach nasycenia tlenu. (Über die Sätti- gungsdrucke des Sauerstofjs). Da der flüssige Sauerstoff ein vorzügliches Kühlungsmit- tel ist, welches immer mehr in den Laboratorien behufs Erzeu- !) Bulletin International de l’Acad. des sciences de Cracovie, Mars, p. 93, 1395. 2) Ibidem, Avril, p. 130, 1895. 204 RESUMES sung sehr niedriger Temperaturen angewendet wird, indem er durch Druckerniedrigung eine Temperatur von unterhalb — 211° annehmen kann, so ist die Kenntnis seiner Sätti- sungsdrucke unterhalb einer Atmosphäre, abgesehen vom theore- tischen Interesse, deshalb von Wichtigkeit, weil man dann bei der Temperaturbestimmung nur den Druck, unter welchem der Sauerstoff siedet, zu kennen brauchen würde, um daraus die Temperatur direet abzuleiten. Aehnlich verhält es sich mit Ae- thylen, für welches Prof. Olszewski seiner Zeit die Sättigungs- drucke unter halb einer Atmosphäre bestimmt hat). In seiner, in den Sitzungberichten der Wiener Akade- mie veröffentlichten Abhandlung?) hat Wröblewski die Sät- tigungsdrucke von Sauerstoff zwischen 160 und 20 mm Hg. gemessen. Er liess oberhalb 160 mm. und unterhalb 20 mm. eine Lücke zurück; ausserdem lässt die Krümmung seiner Siedepunktseurve Manches zu wünschen übrig, da die von ihm bestimmten Punkte gewöhnlich ziemlich weit von einer regelmässigen, idealen Linie abweichen. Schliesslich war Wröblewski der Ansicht, dass das Wasserstoffthermometer in den Temperaturen unterhalb — 193° viel zu niedrige Resul- tate liefert, und wandte bei diesen Messungen ein Thermoë- lement als Thermometer an; infolge dessen war z. B. die » Wasserstofftemperature — 207:2° gleich der »thermoëlectri- schen« Temperatur — 200°4°; die Unterschiede variierten un- regelmässig mit der Temperatur. Wir haben keinen Grund anzunehmen *), dass das Was- serstofithermometer in den Temperaturen oberhalb seiner kri- tischen Temperatur versagt, weil die Untersuchungen Olszew- ski’s über Stickstoff, Sauerstoff und Stickoxyd *), sowie Chap- 1) Rozprawy Ak. krak, W. M.-P. XII. xxvı.; C. R. 99.133. 1884. ?) Über den Gebrauch des siedenden Sauerstofis ete. Sitz. -ber., M.—N. Cl. Bd. 91,, S. 705. ®) Witkowski, Rozprawy Ak. W. M.-P. [2] III. S. 380. *) Rozpr. Ak. W. M.-P. XIV. 283; Wiedem. Ann, XXI. 69. Bu a EEE BB RÉSUMÉS 205 puis’ !) über Kohlenstoffdioxyd, als Thermometerfüllung an- gewendet, bewiesen haben, dass alle diese Gase richtige Temperaturbestimmungen liefern, sogar weit unterhalb des kritischen Punktes. Auch der Vergleich des Wasserstoffther- mometers mit einem eleetrischen Widerstandsthermometer zeigt, dass beide ziemlich gut übereinstimmen, während die ther- moëlectrischen Messungen beträchtlich abweichen. Wröblew- ski soll nach seiner Angabe (l. e. S. 691.) zum Calibrieren seines Thermoëlements siedenden Stiekstoff (—193° nach sei- ner Bestimmung) angewendet haben; wäre dies der Fall, so sollte bis zu dieser Temperatur das Thermoëlement mit dem Was- serstoffthermometer übereinstimmen; doch beträgt der Unter- schied zwischen der thermoëlectrischen Temperatur —190:5° und der entsprechenden Wasserstofftemperatur — 198-2° schon beinahe 8°. Der Unterschied vermindert sich mit der Tempe- ratur: bei — 200°4% beträgt er 7°. Niedrigere Temperaturen sind von Wröblewski nicht erzielt worden. Ausserdem hat schon im Jahre 1888 Ch.-Ed. Guil- laume ?) gezeigt, dass wir keinen Grund haben, dem Wasser- stoff in den niedrigsten Temperaturen, welche erreicht wurden, zu misstrauen; dass die Extrapolation der Temperaturen eher mittels eines eleetrischen Widerstandsthermometers ausgeführt werden kann, und schliesslich, dass die von Wröblewski an- gewendete Formel nicht richtig war, weshalb sie zu hohe Resultate liefern musste. Angesichts dessen schien es erwünscht, die Bestimmungen der Sättigungsdrucke des Sauerstoffs, unter Anwendung eines Wasserstoffthermometers, durchzuführen; die Leichtigkeit, mit welcher man heutzutage bedeutende Men- gen flüssigen Sauerstoffs erzeugen, und damit manipulieren kann, erlaubte zu hoffen, dass man zu positiveren Ergebnissen gelangen wird. 1) Trav. et Mém. d. Bureau Intern. d. Poids et Mesures, T. VI. p- 98—104. ?) Archives de Genève 1888, später auch L’Industrie électr. I. 77 206 RÉSUMÉS Der Sauerstoff wurde in Prof. Olszewski’s grossem Ap- parate verflüssigt 1). Aus dem Stahleylinder, in welchem der Sauerstoff verdichtet wurde, wurde er in ein Glasgefäss ge- gossen, welches noch mit drei anderen concentrisch umgeben war, um die Flüssigkeit von der äusseren Wärme zu isolieren, und um dem Umfrieren des Gefässes vorzubeugen; zu glei- chem Zwecke war auf den Boden des äussersten Gefässes etwas Phosphorsäureanhydrid gegeben. Das vorletzte Gefiss hatte oben eine messingene Einfassung, an welche ein eben- falls messingener Deckel gasdicht angeschraubt werden konnte; er bessas vier Öffnungen, welehe zum Einführen des Wasser- stoffthermometers, einer Kupferröhre vom Verflüssigungsgefäss, einer Glasröhre, durch welche ein langsamer W asserstoffstrom hineingeführt werden konnte, und einer T-Röhre, behufs Ver- bindung mit der Luftpumpe und mit den Vacuummetern, dienten. Es waren zwei Vacuummeter vorhanden; der Eine erlaubte die Drucke bis 100 mm direet abzulesen, der An- dere diente zur Bestimmung höherer Drucke. Zwischen dem Apparate und der Luftpumpe war ein Schraubenhahn einge- schaltet, welcher die genaue Regulierung des Gasdruckes zuliess. Wie es vom Prof. Olszewski schon vor einigen Jahren hervorgehoben wurde), hält sich der flüssige Sauerstoff sehr lange unter gewöhnlichem Druck; sogar stundenlang, wenn man sich des oben beschriebenen Grefässes bedient. Bei Anwendung des Vacuums, behufs Erzielung niederer Temperaturen, wird ein derartiges Gefäss, was die Idee anbelangt, den Dewar’schen »vacuum-jacketed vesselse ähnlich; ob ein derartiges leere- umgebenes Gefäss sich in der Praxis besser bewährt, als ein von drei Schichten trockener Luft umgebenes, scheint noch nicht sicher zu sein; jedenfälls erscheint der von Dewar an- gewendete Anflug von Quecksilber, (abgesehen davon, dass er 1) Bull. Intern. 1890, 177; Rozpr. Ak. W. M.-P. [2] III, 385. Philos. Mag. [5] 39. 193. ?) Bullet. Intern. Janvier 1891, 45. Wiedem. Ann. XLII. S. 664, RESUMES 207 das Gefäss undurehsichtig macht und deshalb eher nachthei- lig wirkt), weleher die strahlende Wärme von der Flüssigkeit abhalten soll, nach Pietet’s Untersuchungen »Über Wärme- strahlung bei tiefer Temperature !), als zwecklos. Es wurden im Ganzen drei Reihen von Messungen an- gestellt; einem jeden Sättigungsdrucke entsprach eine mehr- malige (gewöhnlich dreimalige) Ablesung des Thermometer- standes; das Mittel der daraus bestimmten Temperaturen wurde als richtig angenomen. Erste Reihe. Druck in mm. Temperatur Druck in mm. Temperatur LITE GE ER . — 182:7° GMAO En 20070 30 59000 0 1895-10 2100, 2,6 19:00 3) 4339 . Re ter D TO QE ot 4) 3339 . 1894) I 30 re 22 5) 2339... . — 1929-10 Die kleine Ungenauigkeit, welche in den beiden letzten Temperaturbestimmungen ersichtlich ist, ist dem Einflusse des Wasserstoffs zuzuschreiben, welcher in den verflüssigten Sauer- stoff eingeleitet wurde, weil bei sehr niedrigen Drucken eine derartige Erleichterung des Siedens von nöthen ist. Zweite Reihe. Druck in mm. Temperatur Druck in mm. Temperatur Br Tall > 202. 182,29 8) Baal Nr 201:6° 2). 629:1 . — 183:3° aa: — 204:90 So VE BER — 185:8° 0,7 33:98. — 205:2° FETE EN — 190:5° u N — 208:8° ©) ie VLC ES — 19409 12)MIGIONE — 209-309 671291. — 196:25° 13,.,13:07 — 209:7° Be — 199-50 14) 130. __ 9210-20 1) Zeitschr. f. physik. Chemie, XVI. 417. 208 RESUMES Dritte Reihe. Druck in mm. Temperatur Druck in mm. Temperatur 1) 743:87.0 1 1825569) 12) 11547... 0720555 2) 1418. . — 19599 13} 11077. 20ER SOSE 1987. 14) 105.20 AJNIGIS Zu‘ 15)" 9570 210 5) 41:8. 7720320 16) 790000 Re 6) 318. . — 20480 17) 0 8:75 70 0 NEO Ze 21.8. 9, OS 18) -85° 2 2210: SJ D % 2 208:62 19) 80. zz 9) 130. . — 2089 20) 77 . PME 10) 125... — 9209-20 a) en 11) 120. . — 209-30 Alle Temperaturen wurden auf zwei Decimalstellen be- rechnet, wobei die zweite Stelle nur als eventuelle Correctur diente. Die auf solche Weise erhaltenen Zahlen wurden auf Theile der kritischen Constanten umgerechnet, und mit den correspondierenden Drucken und Temperaturen für zehn an- dere Körper verglichen. Nach van der Waals?) sollten bei glei- chen redueierten Drucken die-reducierten Temperaturen eben- falls gleich sein; aber ähnlich wie es schon mehrmals be- obachtet wurde ?), sind auch hier die reducierten Curven der Span- nungen nicht für alle Körper identisch gefunden worden. Den Grund dafür sucht Verfasser in der Association der Molecüle; er zeigt auch, dass der Wert des f in der van der Waals’- T schen Formel): —log x = f. —— (wo x und r die redu- T cierten Drucke und Temperaturen sind) damit in Zusammen- hang steht, da man aus dieser Gleichung für zwei Körper bei !) Die Temperatur — 182:56° ist das Mittel aus 22 Bestimmungen. 2) Continuität, übers. v. Roth. S. 128. ®) Young, On the Generalizations... Phil. Mag. [5]33. p. 173. 4) Continuität, S. 147, RÉSUMÉS 209 ! gleichen specifischen Drucken das Verhältnis I-— — b L ne + Mio T gleichen specifischen Temperaturen das Verhältnis ade + D erhält. Da aber das x vom x’, und das + vom +’ für verschie- dene, und speciell für associierende Körper, verschieden ist, so ist folglich auch das f von f’ verschieden. Die Abhängigkeit des f von der Assoeiation hat schon Guye!) zum Gegenstande einer speciellen Untersuchung gewählt. Die folgenden Körper sind nach wachsendem f geordnet. Kritische Daten. Te (absol,) P. mm. nach Sauerstoff 154-290 38608 Olszewski Schwefelkohlenstoff 546-05° 553797 Battelli Aethylen 283° 39292 Olszewski Fluorbenzol 559-550 33912 Young Aethyläther 46749 27060 Ramsay und Young Wasser 63732 1479036 Battelli Essigsäure 59460 43400 Ramsay und Young Methyl-Alkohol 513% 59660 Ramsay und Young Aethy- „ 16:10 47850 Ramsay und Young n-Propyl- „ 536:79 38120 Ramsay und Young i-Butyl- , 538° 36685°2 Nadejdine. Sauerstoff. Druck in mm. Temperatur / Druck in mm. Temperatur f 1) 775 — 21120 2:471 9) 91:8 — 19870 2:440 2) 875 — 210:69 2-477 10) 129-1 — 196:25° 2454 3) 10:55 — 209:8% 2-476 11) 1791 — 19400 2451 4) 130 — 208-909 2-471 12) 2791 — 1905 2:464 5) 218 — 206:80 2-445 13) 4791 — 185.80 2-481 6) 318 — 204:8° 29-446 14) 629-1 — 18339 2:487 7) 418 — 20349 2:440 15) 7311 — 182-20 2467 8) 618 — 201:1° 2:442 ‘) Archives de Genève 1894. p. 463. 210 RÉSUMÉS Aethylen. (Drucke nach Olszewski). Druck in mm. Temperatur ya Druck in mm. Temperatur f 1) ::9°8 —: 15040 2:752 7) 146 — 1220 2778 2) 22 — 148° 2.7181 8) 246 — 11559 2:763 Bra — 1399 2788 9) 346 — 1110 2749 4) 56 — 1329 2'824 10) 441 — 108° 2724 Hr 12 — 129:7° 2:806 11) 546 — 105° 2710 6), HOT 2 2777 Wasser. (Drucke nach Zeuner). Druck in mm. Temperatur JE Druck in mm. Temperatur VA 1) 31:55 +30! 3°328 8) .288:50 , 757735200 2) 4183 35° 3'319 9) 43300 850 3:248 3), 00491 400 ol 10) 633697 "05062506 4) 71:39 459 3'303 11) 90641 1059773225 5) 91:98 50° 3298 12) 1269417 11503215 6) 11748 9. 3'287 13) ‘1743:88 12577 3208 7) 18694 0 3213 14) 235373 135073200 (Tafel 8. 211). Aus den angeführten Daten ersieht man, dass die Con- stante f im grossen Ganzen mit der Association der Molecüle verbunden ist: Sauerstoff, Schwefelkohlenstoff, Aethylen, Flu- orbenzol und Aether sind als Flüssigkeiten nicht assoeiiert, dagegen Wasser, Essigsäure und die Alkohole sind nach Ram- say und Shields !) associiert. Doch kann / nicht ausschliess- lieh von der Association abhängen, denn es würde z. B. in der Reihe der homologen Alkohole abnehmen, anstatt mit dem Moleculargewicht zu wachsen, da von den citierten Alkoholen das Methylalkohol am stärksten, das Isobutylalkohol aber am wenigsten assoctiert ist. Nach der von Guye aufgestellten Re- gel zu urtheilen, wären die meisten von ihm untersuchten Ester associiert, da sie den kritischen Werth von f, nämlich 3-06, überschreiten; dagegen sind ihre Molecüle nach Ramsay !) Ztschr. f. physik. Chem. XII. 468, 211 » RESUMES | | > „ |2888 | 0762 | | 2 | o08T LFO | 8.078 | so 38 |L86| 8080 | 2 = 2 | 0017 820-7 | 1.084 | 222€ | 1.678 LES | En |9686 Er me 3 = | 5007 860-F | 7.884 |c62.€ | 7.280 ss © loore| ee = | à 7 | 006 Let. | aacelcese| 268€ | rase 16-818 | 979.6 | Zr.geaT | 907-8 | 8202 2 076-3 86:79 3 | 008 6g7-F | 9.87 [098.4 | 0.0 | 698-8 ST-TFC |6TZ-E | 07-208 |EIT-E| 0.967 [206 3 |08-797 = | 002 step, 896 |668-8 | 0-2E7 | 928-8 Te.088 [781.8 86-620 | 087.6 76:88 | à [896-8 20.984 009 Gear, 298 |ar66) 0:76 [2066 06612 | 14LE 89.186 |oer.e 90.90 LS 1626-3 91-822 | 189-8 20.208 | 00° 898-7 9-18 |886-8 | 8-89 [836-8 69-881 |FrL.E Tecra |TFRE 22H6 8 |rcce ocerr | 29.8 euro | cor £62-F | O-LT |980-F | 7.62 | 206-8 80:82 |992-& 66.671 | 967.8 19.08 [ro 56.06. |789:2 \a0.rer | 0€ 2 |zsor) act |e26.8 9-77 |292.8 2988 |zor.e ez-ır [100€ 9e-@77 | 980% 86-69 | 089-7 60 868 | 008 | a = [7666 8472 |c8ze er 0g = & [0208 82.162 GPO |ITI-9E | 1893 97-867 | 607 + ne 7 |600-+ 02:21 |808 € | 28:98 Sn 170: | 6-787 | 290-8 86:03 | 969.8 16.2271 | 60 E. cl FI0-F [27-9 |LESE | ZFET 25 |290:8 18117 [720-8 19-17 |60-8 97:62 | 007 — 2 & 8 | vor: [86:29 | 09.2 | &27 | 008 — | | | 4 \pma| 4 Izonzal # Iyonaal À | mg | mal * song! Isonal # [song — - — Ä — | — - 0 HO’ 1 (HO’’H’d.u| HO HD | ‘HO ‘H9 |H00) "Ha oO CHO) | SRH d Ss) 212 RÉSUMÉS and Shields (L e.) im flüssigen Zustande einfach. Um also die Nichtübereinstimmung der „übereinstimmenden Zustände“ von van der Waals zu erklären, wird es nöthig sein zu erfor- schen, welche Factoren es sind, welche auf f den grössten Einfluss üben; Verfasser glaubt, dass es am ehesten beim Studium der Verhältnisse in homologen Reihen der organischen Säuren und Alkohole gelingen würde, wozu aber eine Erwei- terung unserer Kenntnisse der kritischen Constanten und Dampftensionen der Körper aus jenen Reihen unent- behrlich wäre. 39. — K. Kosraneckr. Badania nad zaptodnionemi jajkami jezowcöw. (Un- tersuchungen an befruchteten Echinodermeneiern). Während seines Aufenthalts in der zoologischen Station in Neapel in den Monaten März und April hat der Verfasser die Befruchtung bei den Eiern der Echinodermen zunächst in frischem Zustande untersucht und dabei eine Reihe von T'hat- sachen, die aus den Arbeiten von Fol, O. u. R. Hertwig, Boveri, Selenka, Flemming bekannt sind, bestätigen können (Entstehung des cöne d’attraction, Wanderung des Spermakopfs mit vorangehender Strahlung u. s. w). Zur näheren Einsicht in die feineren Vorgänge reichen jedoch die Untersuchungen frischer oder auch in toto gefärbter Eier nicht aus, und deshalb hat der Verfasser die befruchteten Eier fixirt, gehärtet, eingebettet und auf Schnitten, die nach- träglich gefärbt wurden, näher studirt. Die Präparate wurden, von 1—2 Minuten nach der Be- fruchtung an begonnen, in regelmässigen Zeitabständen bis zu 2 Stunden mit möglichst grossen(!) Mengen von Fixirungs- flüssigkeit fixirt. Hierzu dienten: in 0,5°/, Kochsalzlösung heiss gesättigte und abgekühlte Sublimatlösung, Sublimatlösung mit Pikrinsäure aa, Sublimat mit 1—2°/, Eisessig, Sublimat mit 1/9—11/, Osmiumsäure oder mit Salpetersäure, 1°/, Chromsäure, ai RÉSUMÉS 213 Flemming’sche Lösung. Darauf kamen die Eier in 30, 50, 70, 90, 96°/,, und absoluten Alkohol, dann in Alkohol zum vierten Teil, sodann zur Hälfte, schlieschlich zu drei Vierteln mit Berga- mott- oder besser noch Lavendelöl gemischt, dann in reines Öl, ferner in eine successiv gesteigerte Lösung von Öl und Paraf- fin, schliesslich in reines Paraffin. Hier wurden sie geschnitten (bu), aufgeklebt und vorwiegend nach der Heidenhain’schen Eisen-Haematoxylinmethode gefärbt, wobei statt des schwefel- sauren Eisenammonoxyds (NH,), Fe,(SO,), auch andere Eisen- salze verwendet wurden. An den Schnittpräparaten gelang es dem Verfasser eini- gemale das Spermatozoon noch im Empfängnishügel zu beo- bachten (Fig. 1, 2). Wenn dasselbe bereits etwas weiter vor- gerückt ist, kennzeichnet ein wegen des Mangels von Dotter- körnern hellerer Protoplasmastreifen den vom Spermatozoon zurückgelegten Weg; zum Theil rührt derselbe wohl auch von dem darin aufgehenden Schwanze des Samenfadens her, der zum grössten Teil mit ins Ei eindringt. Sofort vom ersten Augenblick des Eindringens des Sa- menfadens kann man hinter seinem Kopf (Kern) sein Centro- soma nachweisen (Fig. 1); dasselbe liegt also auf der Grenze zwischen Kopf und Schwanz, im Verbindungsstück, und löst sich nicht von der Kopfspitze, wie Fol angibt, ab. Kurz darauf kann man wahrnehmen, dass der kegelför- mige Kopf des Samenfadens etwas schief zu liegen kommt; das Centrosoma liegt dann neben ihm, und zwar wieder an seinem stumpfen Ende. Der Kopf quillt sodann beim weiteren Vor- rücken auf und nähert sich immer mehr seiner späteren Ku- gelgestalt, wobei nur die Seite, wo das Centrosoma liegt, ebenso wie vorhin, stets etwas plattgedrückt ist. Diese platt- gedrückte Seite und das an ihr liegende Centrosoma sieht jetzt aber bereits nach der Eimitte zu (Fig. 4, 5, 6). Die gegensei- tige Lage von Spermakern und Centrosoma ist dieselbe geblie- ben, nur die Lage beider Teile zugleich im Verhältnis zur Mitte der Eizelle hat sich geändert. Es findet demnach eine Um- drehung des Spermakopfes und seines Centrosomas, welche Bulletin VI, 4 214 RÉSUMÉS beiden Theile mit einander fest verbunden sein müssen, statt, derart, dass das ursprünglich hinter dem Spermakopte gelegene Centrosoma dem Kopfe vorangeht. Da Ähnliches von Fick beim Axolotl und von Hen- king bei Pyrrhocoris beobachtet wurde, so glaubt der Verfasser, dass diese Umdrehung des ins Ei eingedrungenen Spermatozoons, die den Zweck hat, dass das Centrosoma vor den Kopf zu liegen kommt, ein allgemeines Vorkommnis ist. Diese Umdrehung erklärt sich aus der Tendenz, das fentrosoma möglichst schnell aus seiner „unnatürlichen® Lage zu befreien und dasselbe womöglich bald der Eimitte zu nähern. Dies steht im Einklang mit dem, was wir heutzutage von der Lage der Centrosomen im Zellleibe überhaupt wissen, wo sie stets womöglich das geometrische Centrum der Zelle einnehmen (vergl. M. Heidenhain’s Untersuchungen an Leukoeyten). Bezüglich des Mechanismus dieser Umdrehung sowie be- züglich der ganzen Wanderung des Spermakopfes sammt seinem Centrosoma nach dem Eikern, nach der Einmitte — (oder sagen wir gleich allgemeiner nach dem archoplasmatischen Centrum der Zelle, denn dasselbe braucht gerade bei der Eizelle keineswegs mit der Mitte des ganzen Zellleibes zusam- menzufallen) — glaubt der Verfasser, dass der Kopf des Sper- matozoons sich rein passiv verhält; die active Rolle fällt den um den Spermakopf entstehenden Archoplasmastrahlen zu, welche die Wanderung sowohl des Centrosomas wie des Kopfes ver- ursachen. Einen Beweis für die rein passive Rolle des Kopfes des Spermatozoons sieht der Verfasser auch darin, dass bei künst- lich beeinflussten befruchteten Eehinodermeneiern der Kopf an der Peripherie der Eizelle im Dotter liegen bleiben, die Strah- lung sammt dem Centrosoma sich aber trotzdem dem Eikern nähern kann (Boveri). Anstatt eines Centrosomas hat der Verfasser oft am stump- fen Ende des Spermatozoons, also in seinem Verbindungstück, zwei nahe bei einander gelegene Centrosomen gefunden (Fig. 2, 5, 6), was wiederum angesichts neuerer cellularhistologischer ee ee A ee ET CS ET RÉSUMÉS 215 Arbeiten nur als ein spezieller Fall einer allgemeinen Regel erscheint. Bezüglich der im befruchteten Ei zu beobachtenden Pro- toplasmastrahlungen gelangt Verfasser zu folgenden Ergebnissen: An Schnittpräparaten beobachtet man im unbefruchteten Ei überhaupt keine Strahlung, obgleich Flemming an frühen, resp. in toto gefärbten Eiern eine in der Peripherie auslau- fende nnd nach der Eimitte gerichtete Strahlung erwähnt; diese wäre also jedenfalls nicht durch eine typische Anordnung von strahlenförmigen Protoplasmafäden bedingt. Erst mit dem Augenblick, wo der eingedrungene Samen- faden sich derart schief gedreht hat, dass sein Centrosoma im Verhältnis zur Eimitte neben den Kopf zu liegen kommt und dadurch mit einer grösseren Protoplasmamasse in Berührung kommt, entsteht nach dieser Seite hin ein Strahlenbündel (Fig. 3), welches das Centrosoma zum Mittelpunkt hat. Je mehr das Centrosoma vor den Spermakopf zu liegen kommt, desto deutlicher und reichlicher werden die Strahlen, es entsteht nach kurzer Zeit eine förmliche Strahlenkugel (auf Durehsehnitten ein Strahlenkranz); nur fällt von dieser Kugel dasjenige Segment aus, das von dem Spermakopf eingenommen wird (fig. 4—7), was wiederum mit den Befunden an Leuko- eyten (dem Prototyp der Metazoenzellen) im Einklang steht, wo die Kerne gleichfalls die protoplasmatischen Radien zum Ausweichen nötigen und interfilar zu liegen kommen. Bei Anwendung von protoplasmatischen Farbstoffen kann man sich überzeugen, dass die um das Centrosoma sich aus- breitende Strahlung nicht nur einer strahligen Anordnung der Dotterkörner zuzuschreiben ist, sondern dass es sich um wir- kliche, starke Protoplasmafäden handelt. Allerdings wird dadurch, dass sich die Dotterkörner in den interfilaren Räumen aufstellen, die Strahlung noch deutlicher. Die Ansammlung der Dotter- körner findet aber nur in den grösseren interfilaren Räumen statt; in nächster Nachbarschaft des Centrosomas, wo die Radien sehr dicht bei einander liegen, finden sie keinen Platz und müssen nach der Peripherie ausweichen. Es ist dies wiederum 4# nur ein Einzelfall einer bezüglich der Zellstructur allgemein giltigen Regel. Bezüglich der Herkunft dieser Protoplasmastrahlen, glaubt ‚der Verfasser, dass dieselben ihre ersten Anfänge dem Verbin- dungsstück des Samenfadens verdanken. Das Verbindungsstück des Samenfadens fasst der Ver- fasser als das bei der letzten karyokinetischen Teilung der Sper- matocyte in die Spermatide übergegangene Archoplasma auf, für welches er eine typische radiäre Gruppirung um das Cen- trosoma annimmt. Das Archoplasma wäre hier auf einer kleinen Stelle zusammengedrückt — die radiären Fäden wären in ihm ebensowenig zu sehen, wie etwa die Chromosomen im Sperma- kopfe. Erst wenn der Samenfaden ins Ei eingedrungen ist, breiten sich die von Anfang an ums Centrosoma radiäir ange- ordneten Protoplasmafäden rasch aus. Diese Protoplasmafäden sind ungemein activ, lebensfähig; sobald sie mit dem Protopla- sma der Eizelle in Berührung kommen, assimiliren sie dasselbe sehr rasch und wachsen auf Kosten desselben, so dass, wenn die Strahlensonne vor dem Spermakopfe bedeutender angewa- chsen ist, die Strahlen in ihrem überwiegend grösseren Teile aus Eiprotoplasma gebildet sind, das also durch die dem Ver- bindungsstück des Samenfadens entstandenen Archoplasmastrah- len assimilirt, von seinem ursprünglichen Centrum abgelenkt und dem Spermacentrosoma zugewendet wurde. Somit glaubt der Verfasser, dass man auch beim Befruchtungsvorgang die Cen- trosomen lediglich als „Insertionsmittelpunkte der organischen Radien“ (Heidenhain) auffassen kann, und dass man nicht zur Theorie der materiellen Herrschaft der Centrosomen, zur Annahme einer „Attraetion“, einer „unmittelbaren Action“, eines „Reizes“ des Centrosomas auf das Eiprotoplasma (Boveri, Henking, Häcker, Prenant u. a.) seine Zuflucht zu neh- men braucht, so bestechend auch die im befruchteten Ei auf- tretenden Bilder nach dieser Richtung hin sein mögen. Diesen um das Centrosoma radiär angeordneten Proto- plasmafäden glaubt der Verfasser die Hauptbedeutung, die active Rolle, bei der Wanderung des Centrosomas nach dem RÉSUMÉS 217 archoplasmatischen Centrum der Eizelle (das in unmittelbarer Nähe des Eikerns seine Lage haben muss) zu. Er fasst näm- lich die aus dem Verbindungsstück entstehenden Radien als im Prinzip morphologisch und physiologisch gleich auf, diesel- ben sind alle gleich lebensfähig, vermögen alle die gleiche Masse des Eiprotoplasma zu assimiliren, so dass sie alle poten- tiell gleich lang sind, oder vielmehr nach der gleichen Länge streben, welche erst erreicht werden kann, wenn ihr Insertions- mittelpunkt, das Centrosoma, das archoplasmatische Centrum der Eizelle erreicht hat. Der Verfasser glaubt, dass durch diese Archoplasmastrah- len, die contractil sind, das Centrosoma und der mit ihm ver- bundene Kern geradezu nach ihrem Bestimmungsort, nach dem archoplasmatischen Centrum der Eizelle, herangezogen werden. Sobald die Strahlen das Eiprotoplasma so weit assimilirt haben, dass sie mit dem Eikern in Berührung kommen müssten, wei- chen sie zur Seite des Eikerns aus und fangen an, sich der jenseitigen Hälfte der Eizelle zu bemächtigen; der Eikern wird wie von einem Strahlenmantel umfasst. Dabei müssen, je näher dem Eikern das Spermacentrosoma zu liegen kommt, die Strahlenbündel immer divergenter verlaufen, so dass nun- mehr von der Strahlensonne ein zweites, nnd zwar immer grös- seres Segment ausfällt (fig. 7, 8, 9, 11). Wenn die Protopla- smastrahlen das Spermacentrosoma und den Sparmakopf an den Eikern herangezogen haben, findet sich das Strahlensy- stem und sein Insertionsmittelpunkt, das Centrosoma, meist zwischen die beiden Kerne, den Ei-und Spermakern, einge- klemmt. Aus dieser für die Strahlung höchst ungünstigen Lage wird das Centrosoma dadurch befreit, dass es seitwärts hinge- zogen wird, so dass es an die Seite des Ei- und Spermakerns, die sich dann unmittelbar berühren, zu liegen kommt. Der Verfasser glaubt, dass der ganze Mechanismus im befruchteten Ei sich durch dieselben Gesetze wird erklären lassen, die für einen viel allgemeiner verbreiteten Process, nämlich die Mitose, sowie für die Structurverhältnisse der Zelle überhaupt Geltung haben, so dass auch hier der Satz sich 218 RESUMES bewahrheiten wird: „Es ist die gegenseitige Lage von Mikro- centrum, Kern und Zellsubstanz das Resuitat der Wirkungs- weise der bewegenden Kräfte, welche allein vom Zellprotopla- sma ausgehen“. (M. Heidenhain). Bis zu dem Augenblick, wo der Sperma und Eikern sich berühren, hat der Verfasser stets nur die zum Spermakern zu- gehörige und um sein Centrosoma als Mittelpunkt angeordnete Strahlung gefunden. (Fig. 7—10 und Fig. 11, wo lediglich die zum Sperma zugehörigen Centrosomen getroffen sind, während der Spermakern auf dem folgenden Schnitt sich fand.) Eine besondere Strahlung am Eikern konnte der Verfasser niemals wahrnehmen. Die Centrosomen des Eis, die Fol bereits in einem viel früheren Stadium abbildet, sah Verfasser erst nach Annäherung der beiden Kerne an der dem Spermacentrosoma gegenüberliegenden Seite; in einigen, allerdings ganz verein- zelten, Fällen fand er nähmlich zwei nahe bei einander liegende kleine Kürperchen, die er als Centrosomen glaubt deuten zu können. (Fig. 9, 10, 11). Ob die Eicentrosomen und Spermacentrosomen wirklich die von Fol beschriebene „quadrille des centres“ durchmachen, konnte Verfasser an den 5u. dieken Schnitten (— und bei der angewandten Methode konnten nur solche verwendet werden —) nicht entscheiden. Es wäre ein Zufall, auf den man kaum re- chnen kann, dass die 4 Centrosomen, die um den Kern herum- wandern, in eine Schnittebene zu liegen kämen. Zwischen den in Fig. 9—11 und den in Fig. 13 u s. w. dargestellten Stadien sah der Verfasser auf Schnitten Bilder, die den in Fig. 12 dargestellten entsprechen. Die Strahlen waren ziemlich gleichmässig in der ganzen Eizelle verteilt, eine Gruppirung um bestimmte Centra konnte nicht mit Sicherheit nachgewie- sen werden. Falls die Centrenquadrille stattfindet, müsste eine fortwährend sich ändernde Gruppirung der Strahlen um 4, wenn nicht, um 2 Centra stattfinden. Der Veränderlichkeit der Strah- lenanordnung schreibt der Verfasser es auch zu, dass die Prä- parate in diesen Stadien sich sehr schwer fixirten und Bilder gaben, die eine Schrumpfung oder ein Zerreissen der Fäden « Ehe a a à Ge RESUMES 219 vermuten liessen, obgleich Eier, die zusammen mit ihnen fixirt wurden und entweder etwas in der Entwicklung vorausgeeilt oder etwas zurückgeblieben waren, die schönsten Bilder ergaben. Dafür, dass die Centrenquadrille stattfinden kann, sprä- che die Existenz von Centrosomen, die dem Ei zugehören (fig. 9—11), sodann — wiewohl dies kein zwingender Grund zu der Annahme ist — der Umstand, dass im zweipoligen Sta- dium (fig. 13—16) öfters auf den Polen je zwei Polkörperchen zu finden sind. Von Angaben in der Literatur, die die Cen- trenquadrille bestätigen, wäre bisher vor allem die Arbeit von Guignard von grosser Bedeutung, der den gleichen Process bei Lilium Martagon beschreibt. Ein ähnlicher, wenn auch mo- difieirter, Vorgang könnte wohl bei der Forelle stattfinden, bei der nach Blanc während der Annäherung des Spermakerns gegen den Eikern eine ,copulation et fusion des sphères“ des Spermakerns und Eikerns stattfindet, so dass „elles n’en font plus qu’une“. Jedoch konnte Blanc bezüglich der Centro- somen selbst nichts ausmachen. Rein theoretische Betrachtungen sprächen auch zu Gun- sten, wenn auch nicht einer Notwendigkeit, so doch einer Mö- glichkeit der Existenz der „quadrille des centres“. Verschiedene Beobachtungen (Mark, Lebrun. Fol, Stauffacher) weisen darauf hin, dass neben dem Kern der Eizelle Centrosomen nachgewiesen werden können; dass sie daselbst vorhanden sein müssen, war a priori anzunehmen, da doch das bei der Ausstossung des zweiten Richtungskür- perchens zum Ei zugehörige Centrosoma in demselben als Cen- trum seiner Archoplasmastrahlen zurückbleit. — Dies Archo- plasma sammt dem Centrosoma konnte R. Hertwig sogar künstlich dazu veranlassen, im unbefruchteten Ei Protoplas- mastrahlungen auszulösen und eine zweipolige karyokinetische Figur zu erzeugen. Wo die Kräfte für den Mechanismus der „quadrille des cen- tres“ zu suchen wären, kann heutzutage überhaupt nicht diseu- tirt werden. Die Bilder, die Fol in seiner Arbeit gibt, weisen hochgradige Schrumpfungen auf, wie ein blosser Vergleich der 220 RESUMES Abbildungen der zur vorliegenden Arbeit dienenden Präparate mit den Zeichnungen Fols ergibt. Vor allem scheinen bei Fol alle Protoplasmafäden in der Umgebung der Kerne sowie der Centrosomen zerrissen zu sein. Wenn jedoch die Proto- plasmafäden bei der von Fol angewandten Methode zerrissen, die Centrosomen aber wirklich in ihrer Lage erhalten wurden, so würde die „quadrille des centres“ diesem Zufall gerade ihre Entdeckung verdanken. Von dem Augenblick an, wo bereits zwei Pole um den Furchungskern sich gebildet haben, sieht man auf den beiden Polen je eins oder häufiger noch je zwei Polkörperchen. Um dieselben sieht man gewöhnlich eine hellere Zone (Sphäre), die durch einen körnigen Kreis (Analogon des van Bene- denschen Körnerstratums) abgegrenzt ist. Jenseits derselben sieht man sehr deutliche Protoplasmastrahlen, die bis zur Peri- pherie der Eizelle verfolgt werden können. Die Deutoplasma- körner sind wieder in die grösseren interfilaren Räume ausge- wichen, so dass sie vorwiegend in der Peripherie angesammelt liegen. Die Bilder, welche die zur vorliegenden Untersuchung dienenden Präparate liefern, weicher von dem Stadium an noch mehr, als früher, von den Bildern Fols ab; auch kann der Verfasser Fols Unterscheidung der Asterradien und der „blossen Strahlungen im Dotter“, sowie seine Auffassung der Sphäre, die zunächst eine schwach färbbare Substanz, dann blos Flüssigkeit oder eine dünne Gallerte enthalten soll, nicht teilen. Der Zwischenraum zwischen dem Kern und den zunächst ihm nahe gelegenen Polkürperchen vergrüssert sich allmälig. Man bemerkt alsdann auf beiden Seiten je einen Strahlenke- gel, zusammengesetzt aus feinen, dicht gelegenen und sich intensiv färbenden Fibrillen, der vom Polkörperchen gegen den Kern vordrinst (fig. 13.). An der Stelle, wo der Strahlen- kegel an den Kern stösst, ist seine Membran, die im Übrigen noch unversehrt ist, eingedrückt, oder vielleicht angenagt. Bald schwindet die ganze Kernmembran, die Chromosomen liegen umgeben von einem intensiv gefärbten Strahlenmantel (fig. 14), DD DD RÉSUMÉS der gewiss aus der Verbindung der ursprünglich ausserhalb des Kerns gelegenen Strahlen mit den Lininfiden des Kern- gerüstes hervorgegangen ist. Der Verfasser glaubt, dass sich die Spindelmantelfasern in ganau derselben Weise bilden, wie in allen Zellen während der Mitose nach den Untersuchungen von Hermann und Flemming. Ebenso entsteht auch die Centralspindel in genau der- selben Weise, wie bei Andern Zellen, lediglich im Zellproto- plasma. Die Entstehung derselben an normal befruchteten Ei- ern zu beobachten ist in der Regel nicht möglich, in Anbe- tracht dessen, dass die Centrosomen, zwischen denen sie sich ausspinnt, um den Kern in seiner nächsten Nähe herumgleiten, die Centralspindeltasern also im Bogen auf der Kernmembran verlaufen müssen. Doch stehen bisweilen die Pole nicht gera- de in der längsten Achse des Kerns und man kann dann neben dem Kern von Pol zu Pol die Centralspindel (fig. 15) wahrnehmen. Da die Kernmembran noch erhalten ist, so ist dies ein Beweis dafür, dass auch hier die Centralspindel ledig- lich im Zellprotoplasma ihren Ursprung nimmt. Dafür liefern einen Beweis auch die polysperm befruchteten Eier, wo die Centralspindeln, die je zwei Pole der pluripolaren karyokine- tischen Figur verbinden, zur Seite neben dem noch völlig un- versehrten gemeinsamen Furchungs - Kern liegen. Nach den vorhergehenden Bemerkungen geht der Ver- fasser zur Besprechung der von Boveri aufgestellten Be- fruchtungstheorie über. Auch er glaubt, dass die Befruchtung bei den Metazoen auf der Vereinigung von zwei in umge- kehrter Richtung differenzirten Zellen beruht, und dass diese Differenzirung lediglich den Zellleib der Geschlechtszellen, nicht aber den Kern — wenigstens in Bezug auf die wesentlichen Merkmale — betrifft. Boveri legt den Hauptnachdruck auf die Differen- zirung der Centrosomen, indem nach ihm dem grossen Zell- leibe des Eis ein Centrosoma abgeht, oder das vorhandene ein rudimentäres Gebilde vorstellt, zu szwach, um die Tei- lungsvorgänge in Bewegung zu setzen; dagegen führt der DD DD DD RÉSUMÉS Samenfaden sein actives Centrosoma, das nur wegen Proto- plasmamangels im Samenfaden keine Thätigkeit entfalten konnte, in die Eizelle hinein. Während also Boveri in der gegensei- tigen Ergänzung der Geschlechtszellen nach dieser Richtung hin, die Hauptbedingung der Befruchtung sieht, glaubt der Verfasser, der die Centrosomen auch bei der Befruchtung nur als „Insertionsmittelpunkte der organischen Radien“ auffast, ihnen also (in gewissem Sinne) eine weniger selbständige physiologische Bedeutung zuschreibt, den Schwerpunkt in das Protoplasma selbst, in das Archoplasma, verlegen zu müssen. Das Protoplasma, in dem die bei der Mitose wirksamen Kräfte zu suchen sind, ist in der Eizelle „zu schwach“, um von selbst in dem colossalen Zellleibe die Teilungsvorgänge einzuleiten und durchzuführen. Es bedarf hierzu einer „Ergän- zung“ seitens des im Verbindungsstück des Spermatozoons enthaltenen Archoplasma. Dasselbe ist auf eine kleine Stelle zusammengedrängt, ist völlig frei von jeglichen deutoplasmati- schen Produkten und hat deshalb nichts von seiner Lebens- fähigkeit, von seiner Activität eingebüsst. Den Grund der „Schwächung“ des Eiprotoplasma erblickt der Verfasser in der übermässigen Anhäufung von deutoplasmatischen Massen. Das unreife Ei besass die Teilungsfähigkeit in hohem Grade, denn es vermochte rasch hinter einander die zwei zur Ausstossung der beiden Richtungskürperchen dienenden Mito- sen durchzuführen. Diese beiden letzten Mitosen, die das unreife Ei behufs Reduktion der Chromosomen durchmachen muss, benutzt es nun dazu, um sich im Interesse des zukünftigen Embryo der gesammten Deutoplasmamasse zu bemächtigen, während die Richtungskörperchen als rudimentäre Zellen im Vergleich zu dieser Riesenzelle erscheinen. Hierdurch hat aber das Ei seine wichtigste Lebensfunction, nämlich seine Teilungsfähigkeit einge- büsst. Dies um so mehr, als nach der Ausstossung des zweiten Richtungskörperchens die in der Eizelle zurückbleibende Archo- plasmamasse reducirt ist (s. unten), und jedenfalls zu gering ist, um die Masse des Zellleibes zu bewältigen. Während also RÉSUMÉS 323 Boveri meint: „Das Befruchtende am Spermatozoon ist das Centrosoma“, glaubt der Verfasser, dass für die Befruchtung, für die Anregung des Eis zur Teilung die Einführung des Ver- bindungsstücks des Spermatozoons, welches das um das Cen- trosoma gruppirte Archoplasma desselben enthält, notwendig ist. Bezüglich der in neuerer Zeit aufgeworfenen Frage der Reduktion der Centrosomen in den Geschlechtszellen glaubt der Verfasser, dass eine solche vor der Befruchtung nicht stattzufinden braucht. Die morphologische und physiologische Rolle der Centrosomen braucht dies keineswegs als Postulat erscheinen zu lassen. Erstlich nämlich besteht die von Fol und Guignard beschriebene Vereinigung der männlichen und weiblichen Centrosomenhälften während der Befruchtung, deren allgemeines Vorkommen dieser Annahme zu Grunde liegen müsste, sicher nicht bei allen Tieren und Pflanzen. Sodann ist eine zweite hierzu notwendige Voraussetzung bisher nicht gegeben und überhaupt wohl kaum zu erwarten: nämlich die Con- stanz der Grösse der Centrosomen in allen Körperzellen, ähnlich etwa, wie die Constanz der ('hromosomenzahl in den Kernen. Aus Gründen, die sich aus seiner Auffassung der Bedeutung der Centrosomen ergeben, kann der Verfasser den Centroso- men auch keine Bedeutung für die Vererbung zuschreiben, wie dies Bergh annimmt; zumal, da die Hypothese Berghs wiederum die Fol-Guignard’sche Vereinigung der Centro- somenhälften als allgemeines Vorkommnis für die ganze Tier- und Pflanzenwelt zur Voraussetzung hat. Bezüglich der Verer- bungstheorie schliesst sich der Verfasser vollkommen Boveri an, der auf Grund seiner Experimente den Sitz der Vererbungs- substanzen in die Kerne der Geschlechtszellen verlegt. Während der Verfasser für das Postulat der Reduktion der Centrosomen keinen zwingenden Grund sieht, glaubt er eine Reduktion der achromatischen, oder, sagen wir, der ar- choplasmatischen Substanzen der Geschlechtszellen feststellen zu können. Diese Reduktion vollzieht sich während der beiden letzten in schnellem Tempo auf einander folgenden Mitosen, zwischen denen die Geschlechtszellen keine Zeit haben, ihr DD en RESUMES no Archoplasma auf die normale Menge anwachsen zu lassen. Was diejenigen Archoplasmafäden betrifft, welche die Chromosomen mit den Centrosomen (Polkürperchen) während der letzten Mi- tose (Ausstossung des zweiten Richtungskörperchens, Teilung der Spermatoeyten II. Ordnung) verbanden, so lässt sich, da hier die Reduktion der Chromosomen stattfindet, und nur die Hälfte derselben in die reife Geschlechtszelle übergeht, direkt feststellen, dass dementsprechend auch die Zahl dieser die Chro- mosomen mit den Centrosomen verbindenden Fäden auf die Hälfte redueirt sein muss. Ob auch die übrigen Archoplasma- fäden (Centralspindel, Polstrahlungen) durchaus auf die Hälfte redueirt sein müssen, lässt sich quantitativ nicht feststellen, auch theoretisch insofern nicht bestimmen, als wir kein Kriterium besitzen, wie gross die Archoplasmamasse in einer lebensfähi- sen Zelle sein muss, da wir ja Zellen mit, im Verhältnis zum Kern, grossem oder auch kleinem Protoplasmaleib haben. 40. — W. Trissevre. 0 charakterze fauny kopalnej Miodoboröw. (Über den Character der fossilen Fauna der Miodobory). Die von Olszewski als „übersarmatisch“ bezeich- nete Fauna wurde von dem Autor in dem sarmatischen Kalksteine des Hügelzuges der Miodobory gewöhnlich in seiner ganzen Mächtigkeit, wenn auch ungleichmässig vertheilt, vorge- funden. Einerseits ist demnach thatsächlich im Hangenden dieser sarmatischen Kalksteine kein ,übersarmati- seher“ Horizont im Sinne der Ausführungen von Olszewski unterscheidbar. Andererseits wird aber vom Autor auch die Richtigkeit der Meinung von Wolf und Hilber in Abrede ge- stellt, wonach die „übersarmatische* Fauna Olszewski’s nichts mehr als einen Übergangs-Horizont (von gemischtem medi- terran-sarmatischem Character der Fauna) im Liegenden der genannten Kalksteine zu bezeichnen habe. RÉSUMÉS 295 Es kommt in Podolien die „übersarmatische Fauna“ that- sächlieh nirgends in zweifellosen mediterran - sarmatischen Übergangsbildungen zum Vorschein, wo immer diese letzteren geschichtet sind. Vielmehr hat man es hier mit einer Fauna zu thun, welche bezüglich ihres Auftretens an das Vor- kommen von ungeschichteten Kalksteinen, aus wel- chen die Höhen der Miodobory aufgebaut sind, gebunden er- scheint. Dieser letztere Umstand dürfte umsomehr beachtenswert sein, als es sich früher ergab, dass in den Lagerungs- verhältnissen der in Rede stehenden ungeschichteten Kalksteine der Miodobory die Riffnatur der letzteren sich deut- lich kundgibt !). Eine an derlei Kalksteine gebundene, in den an dieselben anstossenden geschichteten Bildungen nicht bekannte Fauna schien aber darum von umso grösserer Wichtigkeit zu sein, als ja die Kalksteine der sarmatischen Stufe zuge- zählt werden müssen. Der Verfasser gibt nun eine Liste der von ihm bis jetzt be- stimmten Vertreter der fossilen Fauna der Miodobory. Es sind dies zum Theil solchen mediterranen Typen angehörige Arten, welche bereits früher von Olszewski aus den Miodo- bory angegeben waren (Conus, Turbo, Trochus, Haliotis, Arca, Lima, Pecten, Ostrea), zum Theil aber treten uns hier auch andere mediterrane Typen entgegen, welche früher, sei es aus den Miodobory, sei es aber aus sarmatischen Bildungen überhaupt, nicht bekannt waren (Cypraea, Murex, Fissurella, Emarginula, Spondylus, Buceinum, Korallen, Seeigelsta- cheln, Krebsscheeren u. s. w.). Statt der wenigen früher aus dem Gebiete der Miodobory bestimmt gewesenen, s. g. medi- terranen, (»übersarmatischen“) Arten konnten jetzt mehrere soleher Formen aufgezählt werden. Zum Theil sind es neue 1) Der podolische Hügelzug der Miodobory als ein sarm. Bryozoën- Riff. Jahrb. geol. R. A. 1884, 296 RÉSUMÉS Arten (Haliotis), während es sonst nur selten solehe Formen darunter gibt, welche den ungeschichteten Kalksteinen der Miodobory mit geschichteten (mediterranen oder sarma- tischen) Bildungen gemeinsam zukommen. Es wird von dem Autor diese ganze für den sarmatischen Hügelzug der Miodo- bory bezeichnende Vergesellschaftung von s. g. mediterranen Arten als die Fauna mit Haliotis volhynica bezeichnet. Es pflegt dieselbe nesterweise, hie und da, in dem Kalk- steine der Miodobory zum Vorschein zu kommen, wobei dem- selben niemals zahlreiche Individuen von noch anderen Arten fehlen, welche zu bezeichnenden sarmatischen Typen gezählt werden (Trochus Kreutzi nv. f., Celinae Andrz, papilla Eichw., Card. protractum, Modiola marginata ete.). Wo überhaupt Fundstellen der Fauna mit Haliotis vol- hynica zu constatieren sind, dort nimmt die Felsart der Mio- dobory stets das Gepräge eines deutlich organisierten Bryozoën- Kalkes, oder aber eines mehr oder weniger feinkörnigen De- tritus-Kalkes an (Riffdetritus, Bohöter Kalkstein). Diese Kalke enthalten wohl ausserdem noch Versteinerungen, welche s. g. sarmatischen Typen angehören, allein es sind hier diese Ver- steinerungen nicht sehr zahlreich. Der dichte, graue, s. g. „Serpulenkalk“ („Tarnopoler Kalk von Olszewski) führt hin- gegen in überaus grosser Menge Versteinerungen, welche aus- schliesslich s. g. sarmatische Typen repräsentieren (aus den Genera Cardium, Modiola, Trochus). Die Fauna mit Haliotis volhynica ist aber in dem Tarnopoler Kalke nirgends zu finden. Die felsigen Hügel, welche mehr oder weniger entfernt von dem Höhenrücken der Miodobory, isoliert aus dem Plateau auftauchen, und gemeinhin als Toutry bezeichnet werden, sind fast überall nur aus dem Tarnopoler Kalke aufgebaut. Im Gebiete des Höhenrückens der Miodobory tritt der Tar- nopoler Kalk oft in Form von grösseren und kleineren ne- sterartigen Partien inmitten des organisierten Bohöter Kalkes auf. Der erstere füllt gleichsam Hohlräume im zweiten aus. Ganz ähnliche Hohlräume pflegt der organisierte Kalk der heutzutage lebenden Riffe aufzuweisen. Bohrmuscheln (zumeist RÉSUMÉS 397 Lithodomus) sind dem Autor, im Gebiete der Miodobory, nur aus dem organisierten Kalke bekannt. Die faunistischen Unterschiede zwischen dem Tarnopoler und Bohöter Kalke haben natürlich nicht geringe Bedeutung für die Auffassung der sarmatischen Fauna überhaupt je nach ihren Beziehungen zu mediterranen Faunen. In der dem Aufsatze beigegebenen Fossilienliste sind Artenaus dem BohöterKalke mit einem,jene des Tarnopoler Kalkes hingegen mit zwei Sternchen bezeichnet. Die übrigen aufge- zählten Formen kommen bald in dem Bohö- en baldaberin dem larnopolerKalke xor, oder aber sind es Arten, welche ausserdem in geschiehteten sarmatischen Bildungen nicht selten sind. Da das Vorkommen der Fauna mit Haliotis volhynica im Bereiche der sarmatischen Stufe nicht nur auf die Gegend der Miodobory, sondern vielmehr auf den Hauptkamm der Miodobory beschränkt erscheint, ist es Regel, dass durch die Fundpunkte dieser Fauna zugleich jene Bodenerhebungen bezeichnet sind, welche im ganzen Gebiete der galizisch - po- dolischen sarmatischen Bildungen überhaupt die markantesten sind. Dieser Umstand war es sichtlich, welcher Olszewski seiner Zeit Anlass gab zur Vermuthung, dass es eine strati- graphisch selbständige „übersarmatische* Zone im Hangenden der Miodobory-Felsen gebe (mit Haliotis volhynica). Olszewski kannte übrigens die Fauna mit Haliotis volhynica nur aus einigen wenigen Localitäten, während es gegenwärtig ge- lang, dieselbe fast überall, wo Bohöter Kalk entblösst ist, folglich an zahlreichen längs der Kammhöhe der Mio- dobory vertheilten Fundstellen nachzuweisen. Nun mag aber darauf hingewiesen werden, dass diese Art von hypso- metrischer Vertheilung der Fauna mit Haliotis volhynica wohl an Wohnsitze erinnert, welche heutzutage Faunen von aus- gesprochenem Rifthabitus beherbergen, und welche zwar auf die jeweilige Riffkante zu entfallen pflegen. Bei dem Hügelzuge 398 RÉSUMÉS der Miodobory tritt übrigens diese Erscheinung deutlich hervor, wobei uns hier speciell der Typus von Riffbildun- gen vorliegt, welche nach Art von gleichsam mützenartigen, relativ geringmächtigen Bänken über marine Bodenerhebungen sich ausbreiten, und als deren Beispiel, nach Walther, die Riffe des Rothen Meeres angeführt werden mögen. Wohl wird man auch durch den Erhaltungszustand der Fauna mit Haliotis volhynica an Riffverhältnisse gemahnt. Gegenwärtig kann die Fauna, nicht bereits an der Hand der Literatur, sondern vielmehr durch Vergleich von gut er- haltenen Faunen verschiedener Länder bestimmt werden. Die vorgenommenen Bestimmungen werden demnach vorwiegend durch Merkmale gestützt, deren gewöhnlich bei Artbeschrei- bungen keine Erwähnung geschieht, so oft nämlich die letz- teren aus der Betrachtung von ausschliesslich gut erhaltenen Exemplaren hervorgehen. Von Allem möge es am Platze sein, zu constatieren, dass innerhalb der Fauna der Miodobory speciell an das Erschei- nen von Haliotis volhynica eine Vergesellschaftung von For- men sich stets anknüpft, welche ausgesprochene Riffcharaktere an sich trägt. Wie bereits erwähnt, bieten sich uns auffällige Analogien zu Riffverhältnissen dar, und zwar in der geogra- phischen und hypsometrischen Vertheilung der Fauna mit Ha- liotis volhynica, und ferner in der Art und Weise, wie die- selbe inmitten der Felsen der Miodobory an Partien mit orga- nisierter oder aber Detritus-artiger Structur (nicht an solche mit mikrokrystallinischer Structur) gebunden ist. Allein vor Allem wird von dem Autor auf die eigenthümlichen Bestand- theile der in Rede stehenden Fauna Nachdruck gelegt. Man werde durch dieselben an die bezeiehnenden faunistischen Verhältnisse erinnert, welche felsigen und überhaupt riffarti- gen Gegenden des heutigen Meeresbodens zu Gute kommen. Von den für die Miodobory bezeichnenden Typen pflegen sich an den genannten Stellen des Meeresbodens namentlich fol- gende Formen wiederzufinden : Haliotis, Cypraea, Turbo, Trochus, Ostrea, Chama, Peeten pusio, manche Arten von Lima RESUMES 229 und Venus, Bryozoën, Korallen, Seeigeln, Krebse, Serpulen ete. Das massenhafte Erscheinen von Bohrmuscheln ist für die Hügeln der Miodobory ebensowie für heutige Riffe bezeichnend. Einige Miodobory’er Typen, wie z. B. die Gattung Haliotis, + treten im Tertiär überhaupt sehr selten auf, allein in den Miodobory erscheinen dieselben oft gleichsam haufen- weise, erreichen mitunter relativ riesige individuelle Dimen- sionen (Haliotis sp.) und gehören überdies zum Theil ganz neuen, ausschliesslich den Miodobory eigenthümlichen Arten an. Es sind dies Thatsachen, welche, so zu sagen, für sich selbst sprechen. | Ken Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakeya Sekretarza generalnego Stanisfawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiellonskiego, pod zarzadem A. M. Kosterkiewieza. 10. Lipca 1895. Ah ih ul MN Li Fa U and Klara eh oe Band Er Y “ Ki la! 2} Ad DE EN FE vi pe rk elnul Ve Anl Ale ER a TE AIT, Tune) ne A roi re ; Kr. 13 Kr st du A he EN Jar | à: RTE LU dan LOC TRES LH Agen Fe f real De ui.) NIET D CA à I a ON PTT SE Far ie dub (US = a ur al rrettl) FT Ode re OL UT VOL UNE De Ne PET RnB KE er ft iu IR ERTL ft ß, “_, gr | EN ir Zum | u Ne Fr A FR. W Ni aa MR NA St: à FN. L LU CT TR PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1878 — 1894 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spölka wydawnieza polska) a Cracovie. _ — = 0 — — a. Philologie. — Sciences orales et uns »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de Philologie, Classe d'histoire et de Philosophie. Memeires), in 4-to, vol. II—VIH (38 planches, vol. I épuisé). — 59 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzeñn Wydz. filolog.« /Classe de | phitologe. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II—XXI (5 planches. vol. I » épuisé). — 59 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.« /Classe d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. III—XIII, XV—XXX (vol. I. IL. XIV épuisés, 61 pl.) — 68 fl. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comp- tes rendus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne), in 4-to, 4 volu- mes (81 planches, 115 gravures dans le texte). — 20 fl. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commis. sion de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 13:50 fi. »Archiwum do dziejéw literatury i o$wiaty w Polsce.« /Documents = pour server à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 7 vol. — 20 fl. 50 kr. > Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum us- que ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 3 volumes. Vol. II, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkie- wiez. 2 fl — Vol. III. Andr-ae Cricii carmina ed. C. Morawski. 3 fl. — Vol. IV, Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. x fl. 50 kr. »Biblioteka pisarzéw polskich.« /Brbliothèque des auteurs polonais du XVT siècle), in 8-vo, 29 livr. — 17 fl. 30 kr. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illus- trantia, in 8-vo imp., 14 volumes. — 76 fi. . Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosinski. 10 fl. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 16 fl. — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 15 fl. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 5 fl. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. 10 fl. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi . ed, Prochaska. 10 fl. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 5 fl. — Vol. XIII, Acta capitulorum (1408-1530) ed. B. Ulanowski. 5 fl. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 10 (I—IV, VI—VII, X, XI, XV.) volumes. — 34 fl. Vol. I, Diaria Comitiorum Polsniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 3 fl. — Vol. II, Chronicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 3 fl — Vol. nt. Stephani Medeksza commentarii 1654 — 1668 ed. Seredynski: 3 fl. — Vol VII, X, XIV Annales Domus professae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 7 fl. — Vol. XI, Diaria Comitio- rum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 2 fl. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 7 fl. Eollortanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 6 vol. —ı8fl. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp., 15 volumes. — 78 fi. . Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Viadisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546 —1553. 5 A. — Vol. II, (pars r. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674 ed. Klu- czycki. 10 fl. — Vol. III, Y, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674— 1693 ed. Waliszewski. 15 fl. — Vol. IV, IX, (pars ı. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 15 fl. — Vol. VI, Acta Regis Ioannis III ad res expeditionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Klu- czycki. 5 fl. — Vol. VIIL (pars 1. et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 -1795 ed. Piekosinski. 20 fl. — Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 5 fl. — Vol. XI, Acta Stephani Regis * 1576—1586 ed. Polkowski. 3 fi. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. IHI— VI. — 51 fl. MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. Tomi I. fasciculus I. IL. III. in 8-vo. — 4 fl. 50 kr. »Starodawne prawa polskiego pomniki.« /Anciens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. I—X. — 36 fl. Vol. II, Libri iudic. terrae Cracov, saec. XV, ed. Helcel. 6 fl. — Vel. mw. Correctura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. IV, Statuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 3 fl. — Vol. V, Monu- menta literar. rerum publicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507— ı53r ed. Bobrzyñski. 3 fl. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzynski, Inscriptiones clenodiales ed. Ulanowski. 6 fl. — Vol. VIH, An- tiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374—1400 ed. Ulanowski, 8 fl. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405 —1546. Acta iudicii criminalis Mu- : szynensis 1647—1765. 3 fl. — Vol. X, p. 1. Libri formularum saec. XV ed. Ula- nowski. 1 fl. ? Volumina Legum. T. IX, 8-vo, 1889. — 4 fl. de Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.« /Memoires), in 4-to, 17 volumes (1I—X VIII, 178 planches, vol. I épuisé). — 85 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux), in 8-vo, 26 volumes (181 planches). — 95 fl. 50 kr. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Compftes rendus de la Commis- sion de physiographie), in 8-vo, 25 volumes (III. IV—XXIX, 50 planches, vol. I. Il. IV. 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L’ Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nom- mes par S. M. l'Empereur. ($. 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($. 12). La langue offcielle de l’Académie est le polonais; c'est dans cette langue que paraissent ses publications. Se Bulletin international parait fous les mois, à l'exception des mois de vacances (août, seplembre), el se compose de deux parbies, dont la première conlient {extrait des procès verbaux des séances (en français), la deuxième les résumés des mémoires et communications (en français ou en allemand, au choix des auteurs). \ Le prix de l’abonnement est 3 fl. = 8 fr. A Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. = 90 centimes. | | + Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod Zarzadem A. M. Kosterkiewicza. BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. No 7. Juillet. 1895. Sommaire: Séances du 2, 8 juillet 1895. — Résumés: 41. L. Luszcz- KIEWICZ. Restes romans de la cathédrale de Plock et de l’abbaye de Jedrzejöw. — 42. A. Jerskı. Notice historique sur la fabrique de cein- tures des Radziwilt, à Stuck. — 43. K. Morawskı. Sur le style maniéré des écrivains latins de l’époque impériale. — 44. A. Miopoxsxt. Une tradition romaine sur l’Hercule germanique. — 45. L. KurczyNsrt. At- tideae Musei zoologici Varsoviensis, in Siberia orientali collecti. — 46. B. Dessxi. Sur la structure et sur le mécanisme des mouvements des or- ganes foliaires chez les Marantacées. — 47. A. Beck et N. Cyeurskr. Re- cherches des phénomènes électriques dans l’écorce cérébrale (Suite). Séances — à — Classe de Philologie Séance du 2 juillet 1895 Présidence de M. C. Morawski Le Secrétaire dépose sur le bureau deux travaux qui vien- nent de paraître dans les Comptes-rendus de la Commission de l'Histoire de l’Art: L. Luszczkıewicz. »Dwa zagubione po- mniki naszej romanszezyzny w Plocku i Jedrzejowie« (Restes romans de la cathédrale de Ptock et de l'abbaye de Jedrzejôw ; *) A. Jecsrr. » Wiadomosé historyczna o pasiarni Radziwillowskie) w Stucku« (Notice historique sur la fabrique de ceintures des Radziwitt, à Stuck) ?). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 234. — 2) ib. p. 238. 232 SÉANCES M. Casrum Morawskı m. t. donne lecture de son mémoire: Sur le style maniéré des écrirains latins de l’époque impériale"). M. Anam Miopoxskr m. c., présente son travail: Une tra- dition romaine sur l'Hercule germanique ?). M. Leon Maxkowsrr donne lecture de son travail: Pan- catantra source de l’Hitopades’a. M. Ferpınanp Hôsicx donne lecture de son travail: Nou- velles contributions à la biographie de Jules Stowacki. Kl} —e— Classe d’Histoire et de Philosophie Seance du 8 juillet 1895 Présidence de M. F. Zoll M. THannée Korzon m. c., présente son travail: Etudes sur la généalogie de la maison Sobieski. M. Josern Brzezisskı fait une communication sur son {ra- vail: Le V” concile de Latran en ses rapports avec la Pologne. Classe des Sciences mathématiques et naturelles Séance du 8 juillet 1895 Présidence de M. F. Kreutz M. Lanisras KuzczyXsxi1, m. e., donne lecture de son mé- moire: Attideae musei zoologiei Varsoviensis, in Siberia orientali collecti?®). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 241. — 2) ib. p. 241. — 3) ib. p. 243. ni IE EL SÉANCES 233 M. Emile Godlewski, m. t., présente le travail de M. Bro- NISLAS Dezsxi: Sur la structure et sur le mécanisme des mouve- ments des organes foliaires chez les Marantacées ?). M. Napoléon Cybulski, m. t., donne lecture du mémoire de MM. Apozrn Beck et Naporeox Cyeurskr: Recherches des phénomènes électriques dans l’écorce cérébrale (Suite) ?). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 244. — 2) ib. p. 259. 1* Résumés 41. — L. Evszezeırwicz. Dwa zagubione pomniki naszej romañszezyzny, w Plocku i ledrzejowie. (Itestes romans de la cathédrale de Ptock et de l'abbaye de Jedrzejöw). Dans ce travail l’auteur, informé par des études sur les lieux mêmes, essaye de reconstituer la cathédrale de Plock dans son état primitif, au XII° siècle, et décrit les débris d’architee- ture romane que l’on remarque encore aujourd’hui dans la vieille abbaye cistercienne d’Andrzejöw. Il détermine limpor- - tance que cet antique monastère, complètement détruit 1l y a une vingtaine d'années, a eue dans l’histoire de l’art, en Pologne. La vieille capitale de la Mazovie, Plock, était, aux XII° et XIII° siècles, un brillant foyer de culture intellectuelle et artistique. On n’en saurait douter, après les recherches des historiens qui ont mis au jour nombre de documents attestant la splendeur de la cité, les richesses de ses princes. Plusieurs églises romanes qui se rencontrent encore dans les environs de cette ville, les nombreux objets d’art datant de cette loin- taine époque et exécutés à Plock, les témoignages recueillis dans les récits des voyageurs étrangers, au XII siècle, tout confirme cette opinion. Parmi les vraies magnificences dont s’enorgueillissait la ville, la cathédrale devait, sans aucun doute, occuper le premier rang, avoir un caractère grandiose et mo- 22:7 = - * z à k RESUMES 235 numental, se distinguer hautement en un mot des autres égli- ses et constructions religieuses de la contrée. L’edifice actuel, oeuvre de la Renaissance du XVI siècle, ne nous permet pas de reconnaître le type primitif roman de la cathédrale, mais sa situation au sommet d’un monticule, à côté du château, les traces des fossés parfaitement visibles en plusieurs endroits, la disposition du plan de l’église enfin permettent d'affirmer que le monument du XVI: siècle n’est qu’une restauration, une transformation de celui du XII’. Après avoir fait la topogra- phie de l'emplacement de la cathédrale et dit quelques mots sur les ruines du vieux château de Plock, l’auteur trace l’his- torique de l’antique sanctuaire lui-même. Au moment où fut créé l’évêché de Plock, on bätit une église dans l’enceinte du château. Nous n’avons aucun renseignement sur ce monu- ment qui disparut au XII° siècle et fut remplacé par une im- posante et vaste cathédrale, construite par l’évêque de Plock, Alexandre de Szrensk, (1129—1156). Les annales de Sochaczew fixent à 1144 la date de la consécration de l’édifice; d’autres chroniqueurs racontent qu’on ensevelit dans les caveaux de cette église les ducs Ladislas Herman et Boleslas Krzywousty. La porte en bronze que l’on admire aujourd’hui à Nowogorod et que l’évêque Alexandre fit faire pour le cathédrale de Plock, les joyaux offerts par le prince Conrad et qu'ont reproduits MM. le comte Przezdziecki et le baron Rastawiecki, les savants éditeurs des „Wzory sztuki odrodzenia i sredniowieeznej (Ob- jets d’art de la renaissance et du moyen-äge)“, nous donnent une idee de la beauté de cette basilique et du luxe de son trésor. | Au XIV° siècle, la cathédrale menace ruine, et le roi Ca- simir-le-Grand exprime l'intention de la restaurer; mais il meurt en 1370, avant d’avoir réalisé son dessein. Les documents du commencement du XVI siècle parlent de ce monument et nous apprennent qu'il est dans un état lamentable et dangereux. Le chapitre s’efforce de sauver son antique sanctuaire ; il le répare, le conservant encore dans son style roman, à l’excep- tion toutefois des clochers modifiés au XV siècle. Mais la 236 RESUMES foudre le frappe, en 1530. L’evöque André Krzycki fait alors un contrat avec l’architecte italien, Jean de Giannotis, à l’effet de démolir complètement l'ancien édifice, et de construire à sa place une nouvelle église, dans le style de la renaissance (1531). Les écrivains contemporains s’accordent à attribuer à ce prélat la réalisation de ce plan; mais il n’en est pas moins vrai cependant que Krzycki ne bâtit pas la cathédrale; il res- taura l’ancienne, lui permit de subsister jusqu’au milieu du X VI® siècle, époque où l’évêque André, Noskowski (1546—1567) entreprit et mena à bonne fin la reconstruction totale du vieux monument, en lui faisant perdre complètement le carac- tère roman. Des documents incontestables appuient cette assertion. On fit une nouvelle voûte, on prolongea le choeur, on éleva un dôme renaissance, on changea les colonnes et les arcades qui séparaient les nefs, on réédifia en partie les murs extérieurs. Après avoir signalé les adjonctions qui furent faites au monument pendant le cours du XVIII: siècle, spécialement à la facade, l’auteur se demande enfin si dans la cathédrale actuelle, il subsiste quelques traces de celle qui, au XII® sie- cle, fut bâtie par l’évêque Alexandre de Szrensk. Il dessine alors un plan exact de la basilique de Plock; il la compare avec les églises romanes de Üzerwinsk, au bord de la Vistule, et de Tum, près de Leezyca, et fait ressortir les caractères qui sont communs à ces trois monuments. Ces caractères sont: les matériaux de construction des murs extérieurs en pierres éra- tiques (granit), à peine @quarries; un air de forteresse accusé par les meurtrières pratiquées dans les murs et les tours qui les flanquent. La cathédrale de Plock avait beaucoup plus d'importance que les deux autres églises, aussi y abandonna- t-on le système de plafonnement de ces deux églises, pour adopter celui des voûtes. Elle eut encore une nef transversale, et probablement, au croisement des nefs, une tour octogonale de peu d’élévation. L'auteur base ses conjectures sur l'examen du plan des nefs, limitées par des murs de granit. La voûte de la nef centrale se divise en trois travées, sur un plan carré, celles des bas-côtés en six petites travées, également carrées. RESUMES 237 Le rapport de la longueur à la largeur de la grande nef est de 1 à 3, et celui de la largeur des nefs de côté à celle de la nef centrale, de 1 à 2. Cette particularité indique clairement que la reconstruction de l’évêque Noskowski n’apporta aucune modification au plan de l’église romane; que celle-ci avait des voûtes. On voit encore sur place les piliers romans destinés à soutenir les ares doubleaux de la voûte primitive. L'auteur explique ensuite que le prolongement actuel du choeur en demi-cercle n’est pas l’ancienne abside de la cathédrale, mais est dû à l’évêque dont nous avons parlé, et que les chapelles rondes latérales actuelles sont des restes d’une incastellation primitive, semblable à celle que l'architecte de l’église collé- giale de Tum établit, en 1161. L'auteur termine sa notice par quelques considérations sur la construction des clochers de la façade et apprécie justement l'excellent système des arcades et colonnes toscanes adopté pour l’edifice, au XVI siècle, par l’évêque Noskowski. Dans la seconde partie de son mémoire l’auteur s’occupe de l’antique abbaye cistercienne de Jedrzejöw qui ne fut cons- truite qu’au XIIT° siècle, mais qui dut subir par la suite tant de changements et additions que le caractère roman de l'édifice primitif en fut totalement aboli. Le plan de l’église d’aujourd’- hui est sensiblement le même que celui des autres constructions cisterciennes du temps. Aussi a-t-on pu le comparer à ceux des édifices dans un état de conservation plus ou moins parfaite. Ce qui, dans l’église de Jedrzejöw, accuse nettement le style roman, ce sont les deux chapelles jumelles, disposition fort pra- tiquée chez les moines de Citeaux. L'auteur les décrit soigneu- sement, ajoutant ainsi une nouvelle contribution à l’histoire de l’art roman en Pologne. Quant au couvent, il a éprouvé plu- sieurs modifications importantes, entr’autres: l’entrée principale a été changée de place et avancée; la cour, d’abord à l’est, a été placée ensuite à l’ouest. Il a ainsi perdu le caractère eistereien; mais cependant ce type se retrouvait encore dans toute sa pu- reté, il y a peu d’années, dans la galerie orientale du cloître, la , librairie“, la salle capitulaire, la prison ete. L'auteur a pu 238 RESUMES se souvenir de l’état de cette belle salle capitulaire, aujourd’hui complètement détruite. Sa mémoire fidèle lui a permis de nous en tracer le plan exact, plan qui suffit pour donner une idée de cette pièce à dimensions grandioses dont la voute d’arête re- posait sur quatre colonnes centrales. Les dessins joints au texte représentent ce plan, ainsi que certains détails des colonnes et du portail, détails qui autorisent à affirmer que ce monument remontait à 1220, date de la consécration du monastère par l’évêque Vincent Kadlubek. L'auteur nous promet de nouveaux aperçus et la description de quelques fragments architectoniques provenant de Jedrzejöw, fragments dont le Musée National de Cracovie vient d’enrichir ses collections. Dans une note mise à la fin du travail, l’auteur joint aux deux monuments ci-dessus, la cathédrale de Kielce qui, suppose-t-il, est encore une oeuvre de l’art roman, modifiée, transformée plus tard. Mais le plan actuel est probablement celui de la basilique élevée au XII’ siècle par Gédéon, évêque de Cracovie. Ce qui semble confirmer cette hypothèse c’est la dis- position générale du bâtiment, le mode de construction adopté pour les murs, et nombre de particularités qui ne peuvent se concilier avec le style renaissance du monument actuel. 42. — A. Jerskr. Wiadomost historyezna o pasiarni Radziwiltowskiej w Siucku. (Notice historique sur la fabrique de ceintures des Radzi- witt, a Stuck). Les ceintures de laine, de soie, de soie brochée d’or commencèrent à être fort en usage en Pologne, en même temps que le pittoresque „Kontusz“ (tunique polonaise), vers la fin du XVII siècle. C’est de l'étranger, surtout de Turquie et de Perse, qu’on fit d’abord venir à grands frais ce luxueux orne- ment du costume des gentilshommes. Mais bientôt on fonda dans le pays même des fabriques qui se consaererent spécia- lement à la production de ce magnifique article et ne tardèrent er a; ; ee RESUMES 239 pas à y exceller. La plus ancienne et la plus fameuse de ces „pasiarnie* (ceintureries) fut celle de Stuck. Depuis l’exposition universelle de 1878, à Paris, les ouvrages sortis de cette célèbre manufacture, dont quelques spécimens attirèrent alors l’attention des connaisseurs, sont uni- versellement connus et tout particulièrement recherchés. L'auteur, grâce à de patientes études et à la découverte de documents originaux qui, jusqu'ici, avaient échappé aux in- vestigations des érudits, a pu nous fournir une monographie très complète de cet établissement, comblant ainsi une lacune dans l’histoire des beaux-arts industriels de son pays. La maison de Stuck fut créée par le prince Michel Ca- simir Radziwilf qui signa, le 24 janvier 1758, un contrat par lequel le sieur Jean Madzarski, arménien, originaire de Cons- tantinople, s’engageait à fabriquer à Stuck des tapisseries et des ceintures dans le genre persan, et cela d’après les com- mandes et besoins du prince, contre rémunération spécifiée d'avance et fixe. Au cas où le prince ne voudrait pas accepter tous les produits de la fabrique, Madzarski avait le droit de ven- dre à qui bon lui semblerait ceux que le prince refuserait. Les circonstances politiques, les évènements auxquels les Radziwilf furent mêlés, les forcèrent bientôt de quitter temporairement le pays, en sorte que Madzarski resta seul directeur respon- sable du commerce qu’il conduisit en son privé compte, four- nissant à tout acheteur les produits de son industrie. Parvenu rapidement à la réalisation d’une belle fortune, il prit en ferme la fabrique, en 1776. Ce Jean Mad?arski, fondateur de l’éta- blissement, meurt entre 1778 et 1780, laissant à son fils, Léon, la direction de son oeuvre. L'auteur nous donne en reproduction, dans le texte, la signature de Jean Madzarski. Cependant quoique les ceintures de Stuck fussent fort recherchées, et malgré les marques publiques d’estime qui furent prodiguées à Léon Ma- dZarski (anobli en 1790, chambellan du roi en 1792), la fabrique de Stuck fut loin de prospérer à cette époque troublée par les révolutions et les guerres. Elle ne fit même que décroître de jour en jour et à un tel point que, en 1795, Léon Madzarski 240 RÉSUMÉS redoutant une catastrophe, proposa sa démission des fonctions de directeur et demanda à rendre ses comptes. Les propriétaires de la fabrique, les jeunes princes Ra- dziwiit, n’ayant pas encore atteint leur majorité, on ne répondit pas tout d’abord aux prières de Madzarski. Celui-ei continua done à conduire la fabrique; mais lassé d’une attente infruc- tueuse et réduit à la dernière extrémité, il dut, après avoir épuisé toutes ses ressources et les matières premières qu’il avait en magasin, fermer lui-même Stuck, en 1807. Cette résolution décisive amena enfin l’administration des domaines des princes Radziwilt à régler ses comptes avec Madzarski. Elle placa alors à la tête de la fabrique Joseph Borsuk, collaborateur zélé et entendu de Léon Madzarski. Borsuk fut le dernier directeur de l'établissement de Stuck qui resta en activité jusqu’en 1844. Après 1831, on défendit de porter, en Lithuanie, le costume polonais. La fabrique de Stuck cessa donc alors de faire des cein- tures, bornant ses travaux à la production des „zalozki“ sorte de bandes étroites, en soie brochée d’or, que les juives portaient sur la poitrine, en réminiscence des costumes orientaux. Mais un ukase prohiba bientôt pour les juifs le port du costume antique. Ce fut le signal de la chute de la célèbre fa- brique, condamnée ainsi à disparaître. Les papiers où sont relatées les conventions intervenues avec Madzarki, après la cloture de 1807, papiers conservés dans les archives de la famille Radziwilt, à Nieswiez, nous fournissent une foule de details fort intéressants sur la manière de fabriquer les ceintures et leurs genres, sur le nombre des ouvriers. employés à ces ouvrages, ete. L'auteur en cite de nombreux et Curieux extraits. Il rapporte aussi le texte de plusieurs lettres de commande, trouvées dans ces mêmes archives. Ces lettres nous apprennent qu’à Stuck on ne se bornait pas à tisser des ceintures, mais qu’on y faisait encore plusieurs genres d’étoffes brochées d’or ou d’argent, destinées à la con- fection de certaines parties des costumes d’hommes ou de da- mes, ainsi qu'à l’ornementation des housses de cheval, ete. ps u Te RS D TS ST FES bebe RÉSUMÉS 2 Les premières ceintures fabriquées à Stuck ne portaient aucune marque de provenance. Quelques-unes cependant ont l'inscription: , Factus est Sluciae“, ou abréviativement: „F. S. 43. — K. Morawskı. 0 marieryzmie w stylu autorow tacinskich srebrnej epoki. (Über die Manier im Stile der Schriftsteller der silbernen Latinität). An verschiedenen Beispielen wird in dieser Abhandlung nachgewiesen, wie verschiedene Phrasen und Redewendungen bei verschiedenen Schriftstellern wiederkehren, wie diese Er- scheinung zum Theil auf Nachahmung früherer Schriftsteller, theils auf den Einfluss der Rhetorenschule zurückzuführen ist. Geringere und bedeutende Autoren stehen gleichmässig unter diesem Banne; es entwickelt sich im Stile etwas dem Verwandtes, was die Neueren Manier zu nennen pflegen. Wir finden solche Erscheinungen bei den Historikern der Kaiserzeit, bei dem Philosophen Seneca und bei Tacitus. Des letzteren Bericht über den Fall des Kaisers Vitellius trägt an sich sichtbare Spuren des Einflusses der Schule, was durch Heranziehung analoger Stellen aus Justinus und Florus erhärtet wird. 44. — A. Mıoposskı. Tradycya rzymska o Herkulesie germanskim. (Ein römischer Bericht über den germanischen Hercules). Der Taciteische Bericht über den Hercules (Germania, Cap. 3 Fuisse apud eos et Herculem memorant primumque omnium virorum fortium ituri in proelia canunt) wird dahin aus- gelegt, dass Hercules einen germanischen Gott bezeichne, höchst wahrscheinlich den altdeutschen Thunar (Donar, nord. Thôr), den Sohn des höchsten Gottes Wödan. Gegen die Identificierung des römischen Hereules mit einer innerlich verwandten deutschen Gottheit lässt sich nichts einwenden (vgl. R. Peter, Roschers 242 RÉSUMÉS Ausführl. Lex. d. griech. und röm. Mythol. I. 2 col. 3013), nur kann der Vf. die Behauptung, dass von diesem alt- deutschen Gott die Anfangsworte des Capitels „Fuisse apud eos et Hereulem memorant“ gelten, keineswegs als gerecht- fertigt anerkennen. Denn er heisst hier der erste aller Helden, dagegen kommt er Cap. 9 als Gott vor, dem geopfert wird (Hereulem ac Martem concessis animalibus placant) und der seine heiligen Haine hat (annal. 2, 12). Es fällt ferner der Infinitiv fuisse auf, da ja der Gott noch zur Zeit des Tacitus existiert (vgl. Cap. 9 Herculem... placant), sowie die Verbin- dung primumque canunt. Man erwartet entweder: primumque... ituros in proelia canere, oder: quem primum... ituri in proelia canunt. Vielmehr muss der Satz (Fuisse... me- morant) mit der nächstfolgenden Sage zusammengehalten wer- den, welche meldete, dass auch Ulixes Germaniens Länder besucht habe: Cap. 3 ceterum et Ulixen quidam opinantur... adisse Germaniae terras. Analog theilt also hier Tacitus die An- gabe mancher Gelehrten mit, dass der römische Hercules in Germanien gewesen sei, eine Ansicht, auf die er ebenso- wenig Gewicht legt, wie auf die genannte Sage von Ulixes. Vgl. Cap. 3 quae neque confirmare argumentis neque refellere in animo est. Tacitus hält im Gegentheil an seiner Cap. 2 aufgestellten These von der Unvermischtheit der Germanen fest (vgl. Cap. 4 ipse eorum opinionibus accedo, qui Grermaniae populos ...propriam et sinceram ...gentem extitisse arbitrantur — und dazu die Amn. von Baumstark). Daraus folgt, dass die Worte: „ituri in proelia eanunt“ unmöglich auf den römischen Hercules bezogen werden können. Die Germanen besingen ja nur ihren einheimischen Gott, wenn sie in die Schlacht gehen, und da derselbe nach der interpretatio romana auf Grund einer Wesensverwandtschaft ebenfalls Hercules genannt wurde, so glaubt der Vf. den ganzen Wortlaut folgendermassen emen- dieren zu müssen: Fuisse apud eos et (?) Herculem memorant, pri- mum{que] omnium virorum fortium. Ituri in proelia canunt su o illie Hereuli (die Handschriften: sunt illis haee) quoque carmina, quorum relatu u. s. w. Der römische Hercules wird ee vo... Br ni ar ne ONE Be a ee RÉSUMÉS 243 bezeichnet als ,primus omnium virorum fortium“, der germa- nische als ,suus illic“. Zu illie (= apud Germanos) vgl. Tacit. Germ. 18 severa illie matrimonia. Kap. 19 nemo enim illie vitia ridet u. s. w. Zu suo illie vgl. Taeit. hist. 5, 17 suam illic victoriam Grermanis obstitisse. 45. — L. Kurezysskı. Attidae Musei zoologici Varsoviensis, in Siberia orien- tali collecti. Verf. zählt 28 Attiden-Arten auf, welche von Dr. B. Dybowski u. A. vor längerer Zeit in Ost-Sibirien gesammelt wurden und gegenwärtig Eigenthum des zoologischen Muse- ums in Warschau sind. Eine Marptusa, in einem einzigen jun- gen Exemplar vertreten, konnte nur generisch bestimmt wer- den; von den übrigen 27 Arten kommen 14 auch in Europa vor (Heliophamus dubius C. L. Koch, H. flavipes Hahn, Marp- tusa pomatia Walck., Philaeus bicolor Walck., Attus terebratus Clerck, A. foricola C. L. Koch, Aelurillus festivus C. L. Koch, Pellenes tripunctatus Walck., Ergane arcuata Clerck, E. fal- cata Clerck, Maevia castriesiana Grube, Æuophrys erratica Walck., Eu. frontalis Walck., Neon reticulatus Blackw.), eine, bisher nur aus Ost-Sibirien bekannt, wurde schon 1861. von A. E. Grube kurz charakterisiert (Fellenes ignifrons), 12 wer- den als neu beschrieben, u. zw. Salticus lugubris, Heliophanus ussuricus, H. baicalensis, Epiblemum latıdens, Pseudicius orien- talis, Marptusa Dybowsküi, Dendryphantes Thorellii, Attus God- lewskii, A. albolineatus, A. viduus, Pellenes limbatus, Ergane albifrons). — Beachtenswert ist der Unterschied, welchen der sibirische Pellenes tripunctatus von dem europäischen Typus in seinen Copulationsorganen aufweist. — Von den 13 von A. E. Grube im J. 186!. beschriebenen ost-sibirischen Attiden- Arten fanden sich in der behandelten Sammlung nur drei, nämlich, ausser dem schon erwähnten Pellenes ignifrons (Attus 944 RÉSUMÉS ignifrons Grube) noch Attus melanotarsus Grube (= Aelurillus festivus C. L. Koch) und Attus castriesianus Grube, wovon die Maevia multipunctata E. Sim. ein Synonym ist. 46. -— B. Desskr: 0 budowie i mechanizmie ruchöw lisci u marantowatych. Über den Bau und den Bewegungsmechanismus der Blät- ter der Marantaceen. Der Verfasser hatte hauptsächlich die Absicht die Ver- schiedenheiten im anatomischen Baue des Gelenkpolsters der Marantaceen-Blätter im Vergleich mit den übrigen Blatttheilen festzustellen, ihre Bedeutung für die Bewegungen der Blätter klar zu legen und zu zeigen, welche Rolle bei diesen Bewe- gungen die verschiedenen Gewebe spielen, aus welchen das Gelenkpolster aufgebaut ist. Da er aber zu diesem Zwecke die Blätter von fast 50 Arten dieser Familie untersucht hatte, so knüpfte er die Frage an, in welchem Grade die anatomi- schen Verhältnisse der Blätter verschiedener Gattungen und Arten auf den Grad ihrer Verwandtschaft schliessen lassen. Zum anatomischen Theile dieser Arbeit war schon Vieles durch Arbeiten von Körnicke, Schwendener, Petersen, Petit bekannt geworden, aber zum physiologischen Theile waren nur einige Bemerkungen über das Äussere und die Verbreitung der Schlafbewegungen bei diesen Blättern in den Werken von Darwin und Hansgirg vorhanden. Im polnischen Text gibt der Verfasser eine ausführliche Besprechung der Angaben die- ser Autoren und eine Zusammenstellung der betreffenden Stel- len. Dort findet sich auch eine Zusammenstellung des dem Verfasser zur Verfügung stehenden Materials des botanischen Gartens in Bonn und des Materials, welches er durch gütige Vermittelung des Prof. Strasburger aus Kew bekommen hat. Im ersten, anatomischen Theile seiner Arbeit be- schreibt der Verfasser zuerst ausführlich den Bau der verschiede- Pa Zee RÉSUMÉS 245 nen Theile des Blattes dieser Pflanzen. Die äussere Epidermis der Blattscheide und des Blattstiels ist aus rechteckigen in lon- gitudinalen Reihen stehenden Zellen gebildet, die Seitenwände sind häufig wellig und getüpfelt, die Zellen in radialer Rich- tung flach; sie enthalten häufig Antocyan und eine braune, nach Entternung des Antocyans allein übrig bleibende Masse, welche in Wasser, Alkohol und Chloroform selbst nach dem Oeffnen der Zelle unlöslich ist und in Kalilauge nur schwer sich löst. Gefärbte Zellen wechseln ohne Regelmässigkeit mit farblosen ab, sind aber um die Basis der Haare viel häufiger. Die Spaltöffnungen sind nicht besonders häufig, 4— 30 auf ein Quadratmillimeter. Sie liegen in einer Ebene mit den übri- gen Zellen der Epidermis und haben gut entwickelte Neben- zellen. Die oben und unten an die Spaltöffnung angrenzenden Zellen der Epidermis sind grösser, besonders breiter, als die übrigen, und zwar so breit, wie die ganze Spaltöffnung sammt den Nebenzellen. Haare sind sehr häufig vorhanden, im ausgebildeten Zustand immer einzellig, borstenförmig, in der Jugend kommen auch ganz dünne Querwände vor, welche aber später verschwinden. Sie führen gewöhnlich Luft, aber nach Entfernen derselben sieht man auch Reste von Plasma. Die braune Färbung ist gewöhnlich bedingt durch den Inhalt derselben braunen Masse, welche in den Epidermiszellen vor- kommt. Die Zellen der Epidermis um die Basis der Haare sind immer mehr oder weniger in radialer Richtung langge- streckt und bilden häufig ansehnliche, mit blossem Auge wahr- nehmbare Hügel (fig. 6). Die innere Epidermis der Blattscheide ist ähnlich gebaut, aber der Zellinhalt immer farblos, die Spalt- öffnungen viel spärlicher, und Haare kommen vor nur bei Tha- lia dealbata. Das Parenchym in der Blattscheide und im Blattstiel ist wie gewöhnlich gebaut, mit kleinen dreieckigen Intercellular- räumen. Die Zellen enthalten Chiorophyll, Kalkoxalatkrystalle, häufig in grosser Menge, aber nie als Raphiden und häufig von, in einer und derselben Zelle, wechselnder Gestalt, und in der Nähe der Gefässbündel häufig Stärkekörner. Der Zellsaft 946 RÉSUMÉS reduciert stark die Fehlingsche Lösung, gibt aber keine Naphtol- Reaction; Bleiacetat erzeugt einen braunen Niederschlag, wel- cher auf reichen Aepfelsäuregehalt hindeutet; nach dem Ver- halten des Zellsafts gegen Weinsäure kann man als Base Am- moniak oder eines seiner Alkylsubstitutionsprodukte vermuthen. Die an die Epidermis angrenzenden Lagen des Parenchyms sind häufig aus engeren, längeren Zellen zusammengesetzt, de- ren Wände dicker sind und einen höheren Pectingehalt auf weisen. Bei einigen Calathea-Arten, besonders bei Cal. zebrina, ist in den Zellwänden ein Stoff vorhanden, der sich im fri- schen Zustand schwach blau färbt; mit Kalilauge oder Salpe- tersäure behandelt, tief gelb wird; mit Chromsäure eine leb- hafte Gasentwickelung gibt und mit Alkohol sich schwarz- braun färbt. In diesem Zustande sind die Wände in der Schwe- felsäure unlöslich, während sie früher (vor Alkoholbehandlung) leicht löslich waren, und ändern nur ihre braune Färbung zu- nächst in blau, später in grün; Chromsäure zerstört die braune . Färbung und macht die Wände wieder farblos. In diesem Pa- renchym sind Sclerenchymbündel und Gefässbündel eingelagert. Die Sclerenchymbündel sind im Querschnitt meist enger als eine Parenchymzelle und aus durch eine deutliche Zwischenla- melle gesonderten, gewöhnlich verholzten Fasern zusammenge- setzt. Diese Fasern sind stark prosenchymatisch, gekammert, die Wände sehr fein und spärlich getüpfelt. Nach Aussen sind diese Bündel mit kieselkörperhaltigen „Stemmata“ bedeckt, die Kieselkörper der Innenwand angewachsen, irregulär oder hut- föormig. Die Gefässbündel sind im Querschnitt langelliptisch, mit der längeren Achse radial gerichtet, in der Mitte, an der Grenze des Xylems und Phloems stark verengt. Xylem und Phloem sind von dem Parenchym mit Sclerenchymscheiden abgegrenzt, welche einen ähnlichen Bau besitzen, wie die Sele- renchymbündel, nur dass die Xylemscheide gewöhnlich schwä- cher oder nicht verholzt ist. An der Grenze des Phloem und Xylem ist diese Scheide bei allen grösseren Bündeln unter- brochen. In dem Xylem findet sich nur eine longitudi- nale Reihe von sehr grossen Spiraltracheiden, welche immer RESUMES 247 vorhanden ist; auf seiner inneren Seite liegen eine bis zwei, aus voneinander gerissenen Ringen bestehende Primanen, auf der äusseren 1—7 sehr enge Tracheidenstränge, mit in 3—4 oder selbst mehreren dichten Schrauben verlaufenden Verdickun- gen. Echte Gefässe und netzförmige Verdickungen sind nie- mals vorhanden. Den Raum zwischen den Tracheiden und der Scleren- chymscheide füllt ein stark prosenchymatisches Xylemparen- chym aus, welches stets vorhanden ist, so dass die Tracheiden nie mit den Sclerenchym in Berührung kommen. Das Phloem be- steht aus Siebröhren und Cambiformzellen, welche aber nur bei Thalia dealbata etwas grösser sind und deutlicher ihre Struc- tur zeigen. Der Verfasser beschreibt die Anordnung der Ge- fässbündel auf den Querschnitten, aber die Anführung der von ihm dafür eingeführten Terminologie würde hier zu weit füh- ren, da sie hauptsächlich zum Zwecke der Beschreibung der Bauverhältnisse der einzelnen Arten ausgearbeitet wurde. Es ist Jedoch hervorzuheben, dass bei Calathea die Sclerenchymbün- del nur auf die Peripherie beschränkt sind, bei anderen Gat- tungen aber auch zwischen dem inneren Parenchym vorhan- den sind, und dass in der Nähe der äusseren Epidermis eine Lage von Bündeln mit stark entwickeltem und stark verholz- tem Sclerenchym ausgebildet ist, welche entweder nur aus Ge- fässbündeln, oder nur aus Sclerenchymbündeln oder aus bei- den zusammenbestehen kann. Die Bündel sind gewöhnlich ge- trennt, bei einigen Arten aber verschmilzt ihr Sclerenchym zu breiten Platten. In den Interwallen zwischen den inneren gros- sen Gefässbündeln, welche dort eine bogenförmig verlaufende Reihe bilden, liegen fast immer ansehnliche Luftgänge, welche in einer zwischen lysigen und schizogen intermediären Weise entstehen und im Innern zwei Arten von Diaphragmen zei- gen: eine von diesen ist aus drei Lagen von Zellen gebildet, von denen die mittlere aus kleinen, runden Zellen besteht, welche grosse Zwischenräume zwischen einander bilden, die obere und untere Lage ist aus sternförmigen grossen Paren- chymzellen gebildet, welche auch die zweite Art der Diaphra- Bulletin VII. 2 248 RESUMES gmen, die einschichtigen, für sich allein bilden, oder die gan- zen Luftgänge filzartig erfüllen. Die Zellen der Epidermis des Gelenkpolsters sind von unregelmässiger Gestalt, meist breiter als lang, die Seitenwände gerade, stark verdickt, der Radialdurchmesser viel grösser als im Blattstiel. Die Spaltöffnungen sind sehr zahlreich, meist 150 — 250 auf ein Quadratmillimeter, die Haare ähnlich und nur häufig kürzer, selten länger, als auf dem Blattstiel, ge- wöhnlich besonders zahlreich auf der oberen Seite oder nur dort vorhanden. Unter der Epidermis liegt eine dünne Lage von stark verdickten, sehr chlorophyllreichen Zellen, welche meist einschichtig, seltener, und dann auch gewöhnlich nur stellenweise, 2 bis 5 schichtig ist. Unter dieser Lage liegt eine, nur selten zwei Schichten, von sehr stark, ursprünglich in ge- nau radialer Richtung, langgestreckter Zellen, welche aber nur bei Maranta bicolor, leuconeusa, Kerchoveana in dieser Stellung verbleiben, bei anderen Arten dagegen später mit dem Radius einen Winkel von ungefähr 45° fast immer bilden, so dass ihr aüsseres Ende näher der Blattlamina liegt als das innere. Ihre Gestalt ist die von langen sechseckigen Prismen; ihr äusseres Ende liegt immer in derselben radialen Ebene, wie das innere; ihre ursprünglich horizontalen Wände sind dünn, einfach, die radialen sind stark verdickt und jede aus zwei Seiten des sechseckigen Prisma gebildet. Von Tüpfeln und Intercellular- räumen ist keine Spur vorhanden. Die Wände bestehen, nach den mikrochemischen Reactionen (sie zeigen deutliche Cellu- lose- und Pectinreactionen erst nach Einwirkung starker Al- kalien oder starker Schwefelsäure), wahrscheinlich aus einer esterartigen Verbindung von Cellulose und Peectinsäure. Ein solches Verhältnis scheint dem Verfasser auch für andere Fälle wahrscheinlicher, als blosses Nebeneinandervorhanden- sein von Cellulose und „Incrustationstoffen®, welche ihre Rea- ction verdecken; die Alkoholnatur der Cellulose scheint ihm bis jetzt zu wenig berücksichtigt. Von Protoplasma ist nur ein s:hr dünnes und schwer nachweisbares Häutchen vorhanden, der Kern ist stets nur in Einzahl und klein, von zahlreichen .r.% Tee Vons ds RESUMES 249 kleinen Leucoplasten umgeben; er liegt stets an der Wand in der Mitte der Zelllänge. Die Gefässbündel sind in die Mitte des Querschnittes zu- sammengedrängt, von den verlängerten Zellen durch eine dicke Lage von Parenchym geschieden; die Zellen dieses Paren- chyms sind gewöhnlich annähernd isodiametrisch, ohne jede Spur von Intercellularen, ihr Inhalt ähnlich den Parenchym- zellen des Blattstiels. Die Zellen des Parenchyms zwischen den Gefässbündeln sind ähnlich, es sind aber zwischen ihnen so grosse Intercellularräume, dass dieses Parenchym ganz schwammartig gebaut ist. Da nun die Luftgänge in dem Gelenkpolster enger sind und ihr Sternparenchym gewöhnlich filzartig ist, so ist die Grenze zwischen diesen Gängen und dem umgebenden Parenchym häufig mehr oder weniger verwischt. Reine Sele- renchymbündel ohne Mestom verschwinden immer im Gelenk gänzlich. Im Bau der Gefässbündel selbst ist hervorzuheben, dass die Sclerenchymscheiden mit Ausnahme von nur zwei Calatheaarten nie verholzt sind; dass die Xylemscheiden gleich stark oder stärker, als die Phloemscheiden sind; und dass die Primanen nicht zerrissen und die engen Gefässe, besonders an der oberen Seite des Gelenkes zahlreicher sind als im Blattstiel. Der Uebergang zwischen dem Gelenkpolster und dem Blattstiel geschieht ziemlich plötzlich und nur der Uebergang zwischen dem Parenchym des Blattstiels und den langgestreckten Zellen des Gelenkes beginnt schon früh im Blattstiel und geht ganz allmählich vor sich. An der Grenze zwischen dem Ge- lenk und der Blattlamina ist auf der oberen Seite das Gelenk ganz plötzlich und steil abgebrochen; an den Seiten geschieht der Uebergang allmählig aber rasch, und nur auf der Un- terseite setzt sich der Bau des Gelenkes auf eine mehr oder weniger lange Strecke fort in der Mittelrippe der Lamina, und hört dann ganz langsam auf. Diese Strecke der Unterseite ist ganz so gebaut, wie das Gelenkpolster; die übrige Mittelrippe im Ganzen so, wie der Blattstiel. Die Anordnung der Ge- fässbündel entspricht im ganzen nur der unteren Seite des Blattstiels und des Gelenkpolsters, und an der Unterseite der 250 RÉSUMÉS Mittelrippe verschmelzen häufig nach dem Verschwinden der langgestreckten Zellen die Sclerenchymstränge der peripheri- schen Bündeln zu einer einzigen Platte, sebst bei Arten, wo sie im Blattstiel getrennt sind. Die Epidermis der Blattlamina ist nur an der Unterseite reich an Spaltöffnungen; an der Oberseite fehlen sie ganz oder sind sehr spärlich. Den grössten Theil der Dieke der Lamina nimmt ein gut entwickeltes Hypoderma ein, welches immer an den beiden Seiten der Lamina einschichtig vorhanden ist, aber an der Oberseite gewöhnlich viel mächtiger entwickelt ist, als an der Unterseite. Das eigentliche Mesophyll ist verhältnismässig dünn und entweder aus undifferenzierten kleinen runden Zellen gebildet oder in ein, ein- oder zweischichtiges, Palissadenparen- chym und ein schwach differenziertes Schwammparenchym ge- schieden. Nach dieser Beschreibung hebt weiter der Verfasser die Unterschiede zwischen dem Baue des Gelenkpolsters und dem der übrigen Blatttheile hervor, was aber hier ganz überflüs- sig ist, denn diese Unterschiede sind oben schon genügend horvorgehoben. Der Verfasser bemerkt ferner, dass ein Vergleieh mit Canna, wo solche langgestreckte Zellen nur auf der Unterseite der Mittelrippe der Lamina vorkommen, annehmen lässt, dass das Gelenkpolster der Marantaceen dem unteren Theile der Blattlamina der übrigen Scitamineen entspricht und nicht dem oberen Theile des Blattstiels. Die langgestreckten Zellen will der Verfasser, im Widerspruch mit Schwendener und trotz der unzweifelhaften mechanischen Function dieser Zellen, nicht als modificierte Bastfasern betrachten, denn die Morpho- logie braucht sich, nach ihm, nicht um die Function der Or- gane zu kümmern, sie betrachtet nur ihre phyllogenetischen Beziehungen; und dazu noch konnte er, trotz der dafür ange- wandten Mühe, keine der Thatsachen, welche Schwende- ner zur Stütze seiner Ansicht angibt, bestätigt finden; we- der vom Luftgehalt noch von den schrägen, in linksschiefen Spiralen angeordneten Tüpfeln war etwas zu sehen. Dagegen RESUMES 251 fanden sich so wichtige Unterschiede in dem Baue und der Entwickelungsgeschichte vor, dass an eine Homologierung nicht zu denken war: namentlich die radiale und ursprünglich genau horizontale Streckung, sowie vollständiges Fehlen von Theilungen der Zellen während der Streckung. Dafür finden sich alle Uebergänge zu den Parenchymzellen, und man muss daher diese Zellen als den übrigen Parenchymzellen homolog betrachten. Am Schlusse gibt der Verfasser noch eine Ver- gleichung seiner Resultate mit den Resultaten einer Arbeit von Heald über die Anatomie der Leguminosen-, Malvace- en-, und Oxalideen-Gelenke. An diese anatomische Beschreibung knüpft weiter der Verfasser Betrachtungen über die Bedeutung der ana- tomischen Verhältnisse der Blätter der Ma- rantaceen für die Systematik dieser Familie. Hier muss man gleich hervorheben, dass vier Gattungen: Clinogyne, Trachyphrynium, Thaumatoeoceus und Marantochloa, dem Verfasser gänzlich fehlten und dass daher alle seine Schluss- folgerungen unsicher sind, was noch durch den Umstand ver- stärkt wird, dass ihm von jeder Art nur ein oder wenige Exemplare oder nur wenige Blätter zur Verfügung standen, und dass alles Material in Gewächshäusern, also in künstlichen Verhältnissen, gezogen war, und in Folge dessen individuelle Variationen keine Berücksichtigung finden konnten. Die Ver- wandtschaftsbeziehungen zwischen den einzelnen Arten und die ausführliche Beschreibung des Baues ihrer Blätter kann im Auszuge nicht mitgetheilt werden und muss im Text nachge- lesen werden, wenn der Leser dafür Interesse haben sollte. Von den Musaceen unterscheiden sich die Marantaceen durch den Mangel von Raphiden, Gerbstoffschläuchen, und einer zweiten Reihe von Luftgängen, innerhalb der Reihe zwischen den grossen Gefässbündeln, und stimmen darin mit den Zingi- beraceen und Cannaceen überein. Von den Zingiberaceen unter- scheiden sie sich aber durch den Besitz von verlängerten Zellen, durch stärkere Entwickelung der Gefässbündel nach Aussen von 252 RESUMES der Hauptreihe und der Stemmata. Sehr nahe verwandt mit den Marantaceen sind die Cannaceen, welche sich nur durch das Fehlen eines Gelenkes, Beschränkung der langgestreekten Zellen auf die Unterseite der Mittelrippe, Ausbleiben der wei- teren Veränderungen, welche das Gelenk der Marantaceen zeigt, und durch gerade und nicht wellige Seitenwände der Epidermiszellen der Lamina unterscheiden. Dazu kommt noch, dass wir in der Gattung Calathea in gewisser Hinsicht alle Uebergänge zwischen den Cannaceen und den Marantaceen, so in der Form der Kieselkörper in den Stemmata, in der Form der Epidermiszellen der Lamina, in der Ausbildung und Anordnung der Sclerenehymbündel finden. Das Gelenkpolster ist auch bei Calathea gut ausgebildet, aber die Rückbildung der zweiten, inneren Schicht der langgestreckten Zellen, wel- che nur bei Canna und einigen Calathea-Arten ebenso gut, wie die äussere Schicht ausgebildet ist, lässt sich nur bei Calathea gut verfolgen; bei anderen Marantaceen ist diese ganz ver- schwunden und nur bei Stromanthe noch gut. aber nur stellen- weise ausgebildet. Da aber Canna offenbar eine viel primiti- vere Form, als die Marantaceen ist, so muss man Calathea als den Ausgangspunkt der übrigen Marantaceen betrachten. Calathea grandifolia und Verwandte bilden den Uebergang zu Phrynium, Ischnosiphon und Thalia. Diese zwei letzteren Gat- tungen scheinen näher mit einander verwandt zu sein, wäh- rend Phrynium wohl der Ausgangspunkt der Gruppe Maranta, Stromanthe, Ctenanthe, Saranthe ist; aber die Arten Maranta bicolor, leuconeusa, Kerchoveana zeigen im ihren Baue gar keine Achnlichkeit mit dieser ganzen Gruppe und zeigen eine grosse Uebereinstimmung mit Calathea, besonders mit Cala- thea Körnieheana. Eine anatomische Charakterisierung der ein- zelnen Gattungen findet sich im polnischen Text. II. (Physiologischer) Theil. Mit Hilfe der oben erwähnten Gelenke führen die Blät- ter der Marantaceen nyktitropische, heliotropische und parahe- ne à AR a a en ds) ne RÉSUMÉS 253 liotropische Bewegungen aus. Der Verfasser hat hauptsächlich die heliotropischen Bewegungen untersucht und die parahelio- tropischen nur, um festzustellen, dass sie in Bezug auf ihre Mechanik sich gleich verhalten; auf die nyktitropischen Bewe- gungen wurde er zu spät aufmerksam gemacht (durch die Ar- beit von Hansgirg), und dazu ist ihre Untersuchung mit so grossen Schwierigkeiten verknüpft, dass er sie unberücksichtigt lassen musste. Die Krümmungen erfolgen nicht nur im Ge- lenke, sondern auch in dem ähnlich gebauten Theile der Mit- telrippe; ja bei Calathea zebrina und violacea erfolgen sie nur in der Mittelrippe (wenigstens die heliotropischen und parahe- liotropischen); und auch bei anderen Arten kann man, wenn das Gelenkpolster durch Umhüllung mit Gyps verhindert wird sich zu biegen immer Krümmungen der Mittelrippe bekom- men. Die untere Seite der Mittelrippe wird dabei immer concav. Zuden Experimenten wurden benützt Ctenanthe setosa und Ca- lathea Lietzei, von welchen dem Verfasser eine grössere Zahl von Exemplaren zur Verfügung stand, aber zum Vergleich wurden immer auch Ctenanthe Kummeriana, Calathea zebrina und Maranta bieolor und Kerchoveana herangezogen. Der Verfasser stellte zunächst durch Messungen fest, dass im Verlauf eines Monats die Gelenkpolster einer in Ruhe gelassenen Pflanze ihre Länge nicht ändern und also nicht wachsen. Aber auch in Folge von selbst mehrmals wiederhol- ten Krümmungen ändert sich die Länge des Gelenkpolsters kaum: bei Calathea Lietzei überhaupt gar nicht, bei Ctenan- the setosa wird die erste Krümmung und höchstens noch die zweite mit einer kleinen Verlängerung des Gelenkes verbun- den; die folgenden Krümmungen ändern aber dann auch hier die Länge nieht mehr. Dazu ist diese Verlängerung so klein, dass sie nur zu einer äusserst schwachen Krümmung ausrei- chen könnte, da aber die Krümmungen sehr ansehnlich wer- den (nicht selten bis zu 180°), so müssen hier noch andere Um- stände mitwirken. Es kommt noch dazu, dass diese Verlän- gerung später nach einigen Wochen Ruhe wieder verschwin- det. Wachsthum ist also nicht die Ursache dieser Bewegungen. 254 RÉSUMÉS Da man aber durch Ausbleiben der Begiessung der Pflanze die Krümmungen leicht rückgängig machen kann, da auch bei der Plasmolyse diese ganz verschwinden, so muss man annehmen, dass sie durch Veränderungen des Turgors der an- tagonistischen Seiten bedingt sind. Durch Messungen stellte ferner der Verfasser fest, dass die Convexseite nur sehr wenig ihre Länge verändert und die Krümmung fast ausschlieslich durch eine starke Verkürzung der Concavseite zustandekommt, was sich auch unmittelbar aus dem Verhalten der Mittelrippe ergibt, wo die Unterseite, welche im Baue dem Gelenke ähn- lich ist, immer concav wird und eine Verlängerung der Ober- seite in Folge von dieken und stark verholzten Sclerenchym- massen ganz ausgeschlossen ist. Bei der Plasmolyse wird diese Verkürzung wieder rückgängig gemacht. Naclı Entfernung der Epidermis und des darunter liegenden Chlorophyllreichen Pa- renchyms kann man noch Krümmungen bekommen, wenn auch nur schwache. Wenn man die langgestreckten Zellen ent- fernt hat, so ist das übrig bleibende innere Parenchym zu schwach, um das Gewicht der Lamina zu tragen, und Bewe- gungen sind also selbstverständlich unmöglich. Aber auch, wenn man nur stellenweise die langgestreekten Zellen entfernt hat, bleiben die Krümmungen aus, und nur das innere Parenchym wölbt sich gewöhnlich durch die Wunde nach Aussen, wenn man die Pflanze umgekehrt hat. Auf einem Querschnitte durch ein gekrümmtes Gelenkpolster schen wir, dass die Intercellu- larräume in dem Parenchym zwischen den Gefässbündeln ver- schwunden sind; die Zellen des Parenchyms zwischen den Ge- fässbündeln und den langgestreckten Zellen auf der Concav- seite ein wenig, aber deutlich, weiter sind, als auf der Con- vexseite, und, wie ein Längschnitt zeigt, ein wenig kürzer; die Schicht der langgestreckten Zellen auf der Concavseite viel dünner und die Zellen selbst sehr deutlich und unzweifelhaft comprimiert sind. Nach Durchschneiden der Epidermis und der Schicht der langgestreckten Zellen an einer Stelle des Quer- schnittes bekommt diese Schieht auch auf der Concavseite ihre ursprüngliche Dieke, wenn auch diese Zellen auf dem Quer- RESUMES 255 schnitt alle geüffnet sind. Auf Längsschnitten sieht man das- selbe, aber die Beobachtung ist sehr schwer, denn die lang- gestreckten Zellen nehmen in hüchstens einigen Minuten auch auf der Concavseite ihr gewöhnliches Aussehen an. Durch Plas- molyse werden alle diese Veränderungen rückgängig gemacht, ebenso durch Tüdten der Zellen, selbst bei der Fixierung im absoluten Alkohol. Durch Plasmolyse kann man auch feststel- len, dass der Turgor in dem Parenchym zwischen den lang- gestreckten Zellen und den Gefässbündeln auf der Concavseite höher ist, als auf der Convexseite und dem nicht gekrümmten Gelenkpolster. Bleiacetat bildet dort einen reicheren Nieder- schlag. Glueose und Stärke verschwinden in Folge von wieder- holten Krümmungen, im Gelenke allmählig. Aus dem oben Mitgetheilten geht ohne weiteres hervor, dass die Krümmungen nicht durch Wachsthum, sondern durch Veränderungen des Turgors bedingt sind und zwar durch die Verkürzung der Concavseite in Folge von der Steigerung des Turgors daselbst, denn durch Plasmolyse wird diese Ver- kürzung ganz rückgängig gemacht. Wenn wir uns aber die Frage vorlegen, durch welche Zellen diese Verkürzung ange- regt wird, so kommen die Epidermis und die darunter liegen- den chlorophyllreichen Zellen gar nicht in Betracht, da sie nicht notwendig sind, und ebenso das Parenchym zwischen den Gefässbündeln in Folge dieser Nachbarschaft und seiner cen- tralen Lage. Die langgestreckten Zellen befinden sich auf der Concavseite in einer Zwangslage und können also auch nicht die Ursache der Krümmung sein. Es bleibt also nur das Pa- renchym zwischen den langgestreckten Zellen und den Gefäss- bündeln und diese Vermuthung wird durch direkte Messung des Turgors und die Gestaltsveränderung dieser Zellen auf der Concavseite bestätigt. Das active Gewebe ist also dieses Pa- renchym auf der Concavseite. Aber auch die langgestreckten Zellen haben in Folge ihrer Gestalt eine grosse, wenn auch mehr passive, Bedeutung für das Zustandekommen der Krüm- mungen. Abgesehen davon, dass ohne die durch sie bedingte Steifheit des Gelenkes die Krümmungen ganz unmöglich wür- 256 RESUMES den, vergrössern sie durch ihre Compression die Verkürzung der Concavseite; dass aber diese Compression nur auf der Concavseite erfolgt, setzt eine active Betheiligung dieser Zel- len voraus, insofern, als dort eine Verminderung des Tur- gors eintreten muss, damit diese Compression nur dort zustande kommt. Diese Compression hat aber eine Verkürzung in der Längsrichtung zur Folge. Wenn wir nämlich mit m die Breite jeder der zwei Wände des sechseckigen Prismas, wel- che die langgestreckte Zelle darstellt, aus welchen die radiale Wandung dieser besteht, bezeichnen, (diese zwei Wände sind der Einfachkeit wegen als gleichbreit angennomen), mit à die Länge dieser Zelle, mit ce die Dicke der ganzen Schicht der langgestreckten Zellen, mit @ die Länge dieser ganzer Schicht, wenn der Winkel, zwischen den Wänden m gleich 180° wäre, mit d den Winkel, welchen dann die langge- streckten Zellen mit der Achse des Gelenkes bilden würden, mit & diesen Winkel und mit e die Länge der Schicht bei einem anderen gegebenen Wert à des Winkels zwischen diesen beiden Wänden »n, bezeichnen, so können wir durch die Führung einer radialen Ebene durch die Linie, welche diesen beiden Wänden gemeinsam ist, und einer tangentialen Ebene senk- recht zur dieser radialen, und durch Anwendung der Formeln der sphärischen Trigonometrie auf die zwischen diesen zwei Ebenen und den Wänden m eingeschlossenen Dreiecke, und eine einfache Umbildung der Gleichungen leicht bekom- ba 603% k men dass e sn und dass also jede Compression von einer Verkürzung begleitet werden muss. Die ganze Rechnung ist im polnischen Text ausgeführt und braucht hier nicht wie- derholt zu werden. Was die Bedeutung der Eigenthümlichkeiten des Baues des Gelenkes für das Zustandekommen der Krümmungen an- belangt, so haben die schwammige Beschaffenheit des Paren- chyms zwischen den Gefässbündeln, das Ausbleiben der Ver- holzung des Sclerenchyms und das Zusammenrücken der Ge- fissbündel in die Mitte des Querschnittes wohl den Zweck den a ” 4 à - er EEE een RESUMES 257 Widerstand der Gefässbündel gegen die Krümmungen zu ver- mindern. Die grössere Zahl der engen (fefässe steht wohl in Verbindung mit der Wasserzufuhr zur Erhöhung des Turgors, um so mehr, als diese Zahl am grössten ist bei den Gefäss- bündeln der oberen Seite, welche bei den nyktitropischen Krüm- mungen concav wird. Warum keine Intercellularen in der activen Parenchym vorhanden sind, weisst der Verfasser nicht zu erklären, aber das ist bei allen Blattgelenken auch der an- deren Familien der Fall. Die Bedeutung der langgestreckten Zellen ist aus dem oben Mitgetheilten klar: das ist ein me- chanisches Gewebe, welches aber so eingerichtet ist, dass es die Krümmungen nicht nur ermöglicht, sondern selbst erleich- tert. Ein solches Gewebe war hier nothwendig in Folge der Grösse und des Gewichts der Blätter. Die abweichende Ge- stalt der Epidermiszellen ist wohl durch die grösseren Ansprü- che an die Festigkeit in tangentieller Richtung bedingt. Über die Bedeutung des Chlorophyllreichtums des angrenzenden Pa- renchyms und der wohl damit in Verbindung stehenden grös- sen Zahl der Spaltöffnungen ist dem Verfasser nichts bekannt; vielleicht steht dies mit der Perception der Lichtreize im Zu- sammenhang. Die starke Entwickelung der Haare aut der Ober- seite des Gelenkes ist wohl ein Ersatz für das Fehlen einer solchen Vertiefung, wie an dem Blattstiel, und erleichtert wohl die Abfuhr des Wassers aus der Lamina in der Richtung des Stengels. Der in einigen Einzelheiten verschiedene Bau des Gelenkes an der Oberseite steht vielleicht im Zusammenhang mit den nyktitropischen Krümmungen, wobei diese Seite con- cav wird. Beschreibung der Figuren. Alle Figuren waren gezeichnet mit einer Abbe’schen Camera. Die Vergrösserungen wurden ermittelt durch einen Vergleich einer entsprechenden Zeiehnung der Theilung des Zeiss’schen Objectmicrometers mit der wahren Länge. Fig. 1. Ctenanthe setosa Epidermis der Blattscheide mit einer Spaltöffnung. Vergr. 250, 9. RESUMES Cten. setosa. Epidermis des Gelenkpolsters. 250. Cten. setosa. Epidermis des Blattstieles eines jungen Blattes. 250. Stromanthe lutea. Epidermis des Blattstiels. 250. Thalia dealbata. . n = 250. Cten setosa. Unterer Tbeil der Blattscheide. Quer- schnitt durch die Basis eines Haares. 125. Cten. setosa. Oberer Theil der Blattscheide. Rand eines Querschnittes. 125. Cten. setosa. Oberer Theil der Blattscheide. Rand eines Längsschnittes. 125. Cten. setosa. Blattstiel. Querschnitt eines grossen Gefässbündels. 125. Thalia dealbata. Dasselbe. 125. Cten. setosa. Blattstiel. Radialdurchschnitt eines Gefäss- bündels. 150. Cten. setosa. Der Blattstiel. Längsschnitt eines Luft- ganges. 40. Calathea Lietzei. Querschnitt des Blattstiels. 20. Calathea Litzei. Querschnitt des Gelenkpolsters. 20. Thalia dealbata. Die mittlere Lage der Parenchyms der dreischichtigen Diaphragmen der Luftgänge. 250. Calathea Lietzei. Querschnitt des Blattstiels. Luft- gang mit einem einschichtigen Diaphragma. 125. Thalia dealbata. Ein einschichtiges Diaphragma. 125 Thalia dealbata. Längsschnitt durch ein dreischichtiges Diaphragma, und eine Gefässbündelanastomose. 125. Cten. setosa. Rand des Querschnittes durch das Ge- lenkpolster. 150. Cten. setosa. Querschnitt des Gelenkpolsters. Lang- gestreckte Zellen und das peripherische innere Pa- renchym. 150. Cten. setosa. Radialdurchschnitt durch das Gelenk. Langgestreckte Zellen. 300. Cten. setosa. Langgestreckte Zellen. Ein Quer- schnitt. 300. RÉSUMÉS 259 Fig. 23. Cten. setosa. Rand eines Radialdurchschnittes durch die Grenze des Blattstiels und des Gelenkes. 45. + 24. Cten. setosa. Radialdurchschnitt durch das Parenchym zwischen den langgestreckten Zellen und den Gefäss- bündeln. 125. „ 25. Üten. setosa. Rand eines Radialdurchschnittes des Ge- lenkes. 45. » 26. Maranta bicolor. Rand eines Querschnittes. 90. » 27. Mar. bicolor. Rand eines Längsschnittes. 30. » 28. Cal. Lietzei. Das Gelenk. Querschnitt durch das Pa- renchym zwischen den Gefässbündeln. 250. „ 29. Cten. setosa. Radialdurehsehnitt eines Gefässbündels des Gelenkes. 125. „ 30. Cten. setosa. Radialdurchschnitt der Oberseite des Gelenkes an der Grenze mit der Lamina. 45. „ 31. Cten. setosa. Querschnitt eines Gefässbündels des Ge- lenkes. 125. „ 32. Calathea eximia. Rand eines Radialdurchschnittes des Gelenkes. 90. „ 33. Calathea rotundifolia. Querschnitt der Lamina. 125. » 34. Cten. setosa. Querschnitt eines kleinen peripherischen Gefässbündels der Oberseite des Gelenkes. Grosse Entwickelung der engen Tracheiden. 250. 47. — A. Beck 1 N. Cysutskı: Dalsze badania zjawisk elektrycznych w ko- rze mözgowej. (Weitere Untersuchungen über die elektrischen Erscheinungen in der Hirnrinde). Die Vff. berufen sich auf die Ergebnisse der I. Serie der im Anzeiger der Akademie der Wissenschaften in Krakau De- cember 1891 und im Centralblatt für Physiologie 1892. Heft 1. publieierten Untersuchungen und berichten über weitere in der- selben Richtung ausgeführte Forsehungen. 260 RESUMES Vor Allem besprechen B. u. ©. gewisse Modificationen, welehe sie bestrebt waren in der Einrichtung dieser schwieri- gen Versuche selbst einzuführen. Diese Modificationen betrafen sowohl die Fixierung des Kopfes des Thieres, die Unterbrin- gung der entblössten Hirnrinde in einem erwärmten und mit Wasserdampf gefüllten Raume, wie auch die Anwendung ver- änderter unpolarisierbarer Elektroden. Diese Einrichtungen er- wiesen sich aber nur theilweise nützlich und die Vortheile, welche dieselben gewährten, wurden durch andere Nachtheile gedeckt, so, dass die Vff. ihre weiteren Versuche in früherer möglichst einfacher Form ausführten. In der ersten Reihe dieser Versuche lenkten die Vff. ihre Aufmerksamkeit hauptsächlich auf den Einfluss der Aether- narkose auf die elektrischen Erscheinungen in der Hirnrinde und constatierten dabei Folgendes: Bei nicht aetherisierten oder nur sehr schwach aetheri- sierten Thieren (besonders Affen) treten wohl stets elektrische Erscheinungen auf, doch sind dieselben hochgradig compli- ciert und unregelmässig. Die Erscheinungen gestatten nicht den Schluss, dass sie von den auf die centripetalen Nerven wirkenden Reizen abhängen, sie tragen oft das Gepräge auto- matischer Erscheinungen und deshalb vermuthen die Vff., dass in diesen Fällen die elektrischen Erscheinungen die bei den Thieren auftretenden psyehischen Zustände begleiten oder auf dieselben folgen. | Zuweilen bemerkte man bei derartigen Thieren gänzli- chen Mangel selbstständiger Stromesschwankungen, besonders nach centripetalen Reizen, was B. u. C. als Ausdruck einer Hemmung der psychischen Functionen betrachten. Eine Ausnahme bildeten manchmal Hunde, welche: nach Entblössung der Hirnrinde sich ganz ruhig verhielten und bei denen die elektrischen Erscheinungen sehr ausgesprochen wa- ren. Man konnte in diesen Fällen mit völliger Genauigkeit nachweisen, dass die Erscheinungen nur in gewissen Gegenden auftreten und vollkommen loealisiert sind. RÉSUMÉS 261 Eine zu starke Narkose erwies sich ebenfalls gänzlich ungünstig, da die Erregbarkeit der Hirnrinde bei solchen Thie- ren völlig schwand, damit auch die selbstständigen elektri- schen Schwankungen aufhörten, und auch gar keine Verände- rungen bei Reizung centripetaler Nerven auftraten. Am besten traten die Erseheinungen während des der völligen Narkose oder dem Erwachen vorangehenden Stadiums. Weiterhin haben die Verfasser nochmals wiederholt Un- tersuchungen über die selbstständingen Schwankungen bei nicht-oder halb narkotisierten Thieren durchgeführt. Diese Untersuchungen wurden auf diese Weise veranstal- tet, dass die durch’s Fernrohr die Ablenkungen des Galvano- meters ablesende Person gleichzeitig den Augenblick des Ab- lesens auf einer berussten, rotierenden Trommel signalisierte. Auf diese Weise konnte man hiernach den Verlauf der Schwan- kungen in der Zeit construieren. Auf dieselbe Art wurden auch die unter dem Einflusse von Reizungen centripetaler Nerven entstehenden Erscheinungen untersucht. Diese Versuche, wie auch diejenigen, welche vermittels zweier Galvanometer angestellt, und in der vorigen Mitthei- lung geschildert worden sind, ermöglichten den Verfassern den Unterschied zu schätzen zwischen den Ablenkungen, welche im Falle auftraten, wenn eine Elektrode in der Gegend der Hirnrinde sich befand, zu der aller Wahrscheinlichkeit nach zuallererst von den gereizten Nerven Impulse zugeleitet wer- den, und in jenen Fällen, wo beide Elektroden an indifferen- ten Stellen, oder eine Elektrode an einem symmetrischen Punkte der zweiten Hemisphäre, die andere an einem indifferenten Punkte sich befand. Auf Grund obiger Untersuchungen kommen die Verfasser nochmals zu folgenden Schlüssen : Die selbstständigen Schwankungen stehen in gar keinem Zusammenhange mit dem Pulse oder der Athmung. 262 RÉSUMÉS Berührt eine Elektrode jene Gegend der Hirnrinde, wo die Centren der gereizten Nerven sich befinden z. B. der cen- tripetalen Nerven der Finger, oder des Sehnerven, so wird diese Gegend im Verhältnisse zu anderen elektronegativ, was eine entsprechende Ablenkung im Galvanometer hervorruft. Diese Ablenkung beginnt ziemlich rasch, erreicht einen ge- wissen Grad und bleibt grösstentheils während der ganzen Zeit der Reizwirkung bestehen; zuweilen aber, wenn die Rei- zung länger andauert, nimmt die Ablenkung noch während der Dauer derselben ab, oder — was noch seltener ist — ändert ihre Richtung: die Gegend wird elektro-positiv. Letztere Ergebnisse soeben wie diejenigen, wo gleich vom Beginn der Reizung statt negativer, positive Ablenkung auftrat, schreiben die Vff. einer Hemmung des Actionszustan- des in den gereizten Centren zu. Eine solehe Hemmung, somit positive Schwankung, trat um so öfter und stärker auf bei Reizung centripetaler Nerven anderer Hirngegenden derselben oder der anderen Hemisphäre. Diese Hemmung, die sich entweder in der Sistierung der selbst- ständigen Schwankungen (der Galvanometerspiegel blieb stehen) oder in positiver Schwankung äusserte, während in einer be- stimmten Gegend, auf sehr beschränkter Oberfläche negative Schwankungen auftraten, betrachten die Vff. als neuen Beweis, dass, wenn der nervöse Impuls zur Hirnrinde gelangt und hier in einer bestimmten Gegend Thätigkeit hervorruft, er gleich- zeitig die Thätigkeit anderer Centren unterdrückt. Negative Schwankungen können auch in der symmetri- schen Gegend der anderen Hemisphäre beobachtet werden, doch erscheinen dieselben bedeutend später als in der den gereizten Nerven correspondierenden Hirngegend. Die elektrischen Erscheinungen müssen nach den Vff’n, als Erscheinungen, welche Thätigkeitszustände der Hirnrinde begleiten, also als psychische Erscheinungen betrachtet werden und auf diese Weise kann die Unregelmässigkeit und Verän- derlichkeit, mit der sie auftreten, erklärt werden. RESUMES 263 Die Vff. betrachten ihre Untersuchungen als neuen, zwei- fellosen Beweis des Vorhandenseins einer Localisation der Fun- etionen in der Hirnrinde. — ee Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakcya Sekretarza generalnego Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiellonskiego, pod zarzadem A. M. Kosterkiewieza. 22. Sierpnia 1895. kiriitiiie Brasil in 1° Turallena Sri ae Amen PME TES Ann SAHARA ee RETTEN iu a ee Be AE ü 170 den ter jy” = “hs à ist BETTEN han "Le rt te in net 25 d'A cité EP TOM SN PORTES GES SN SSSR zit PUBLICATIONS DE L’ACADEMIE 1878 — 1894 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spôika wydawniceza polska) à Cracovie. ee BD Philologie. — Seiences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologie, Classe d’histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. I—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 59 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog,e /Classe de Philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II—XXI (5 planches. vol. I épuisé). — 59 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Classe + d'histoire et de philosophie. Séances ettravaux/, in 8-vo, vol. III—XIII, XV—XXX (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl) — 68 fl. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comp- tes rendus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne), in 4-to, 4 volu- mes (81 planches, 115 gravures dans le texte). — 20 fl. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commis sion de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 13:50 fl. »Archiwum do dziejéw literatury i o$wiaty w Polsce.e Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 7 vol. — 20 fl. 50 kr. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum us- que ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 3 volumes. Vol. IH, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkie- wicz. 2 fl. — Vol. III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 3 fl. — Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. ı fl. 50 kr. »Biblioteka pisarzöw polskich.e /Bibliothèque des auteurs polonais du XVI siècle), in 8-vo, 29 livr. — 17 fl. 30 kr. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illus- trantia, in 8-vo imp., 14 volumes. — 76 fl. Vol. I, VIIT, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosinski. ro fl. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 16 fl. — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosinski. 15 fl. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 5 fl. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosiñski. ro fl. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 10 fl. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 5 fl. — Vol. XIII, Acta capitulorum (1408-1530) ed. B. Ulanowski. 5 fl. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, ro (I—IV, VI—VIII, X, XI, XV.) volumes. — 34 fl. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 3 fl. — Vol. II, Chronicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 3 fl — Vol. III. Stephani Medeksza commentarii 1654 — 1668 ed. Seredynski: 3 fl. — Vol VII, X, XIV Annales Domus professae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 7 fl. — Vol. XI, Diaria Comitio- rum R. Polon: 1587 ed. A. Sokolowski 2 fl. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J. Korzeniowski. 7 fl. : Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 6 vol.—ı8 fl. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp. 15 volumes, — 78 fi. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546-1553. 5 fl. — Vol. IL, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Klu- czycki. ro fl. — Vol. II, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674—1683 ed. Waliszewski. 15 fl. — Vol. IV, IX, (pars r. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. ı5 fl. — Vol. VI, Acta Regis Ioannis III ad res expeditionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Klu- czycki. 5 fl. — Vol. VII (pars 1. et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507—ı1795 ed. Piekosinski. 20 fl. — Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 5 fl. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 3 fl. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. III—VI. — 5ı fl. Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. Tomi I. fasciculus I. TI. HI in 8-vo. — 4 fl. 50 kr. »Starodawne prawa polskiego pomniki.«e /Anciens monuments du droit polonais) in 4-to, vol. I—X. — 36 fl. Vol. If, Libri iudic. terrae Cracov, saec. XV, ed. Helcel. 6 l. — Vol. II, Correctura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed Bobrzynski. 3 fl. — Vol. IV, Statuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 3 fl. — Vol. V, Monu- menta literar. rerum publicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. VI, Decreta in iudicüs regalibus a. 1507-1531 ed Bobrzyñski. 3 fl. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones clenodiales ed. Ulanowski. 6 fl. — Vol. VIII, An- tiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374—1400 ed. Ulanowski. 8 fl. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405— 1546. Acta iudicii criminalis Mu- szynensis 1647—1765. 3 fl. — Vol. X, p. 1. Libri formularum saec. XV ed. Ula- nowski. 1 fl. { Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 4 fil. Sciences mathématiques et naturelles. »Pamietnik.e /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVIII, 178 planches, vol. I épuisé). — 85 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux}, in 8-vo, 26 volumes (181 planches). — 95 fl. 50 kr. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Comptes rendus de la Commis- sion de physiographie), in 8-vo, 25 volumes (II. IV—XXIX, 50 planches, vol. I. II. IV. V épuisés). — 104 fl. »Atlas geologiczny Galicyi.«e /Allas géologique de la Galicte), in fol, 4 livraisons (19 planches) (à suivre). — 16 fi. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Com- mission d'anthropologie), in 8-vo, 17 vol. II—XVII (99 pl., vol. I épuisé). — 59 fi. Kowalczyk J., »O sposobach wyznaczania biegu cial niebieskich.e (Methodes pour déterminer le cours des corps célestes), in 8-vo, 1889. — 5 fi. Mars A., »Przekröj zamrozonego ciala osoby zmarlej podczas porodu skutkiem pekniecia macicye. /Coupe du cadavre gelé d'une personne morte pendant Paccou- chement par suite de la rupture de la matrice), 4 planches in folio avec texte, 1890. — 6 fl. Kotula B., »Rozmieszczenie roSlin naczyniowych w Tatrach.e (Distributio plantarum vasculosarum in montibus Tatricis), 8-vo, 1891.—5 fi. Morawski C., »Andrzej Patrycy Nidecki, jego Zycie i dziela.« (Andre Patrı- cius Nidecki, humaniste polonais, sa vie et ses oeuvres), 8-vo, 1892. — 3 fl. Fin- kel L., »Bibliografia historyi polskiej.« /Bibliographie de l'histoire de Pologne), 8-vo, 1891. — 6 fl. Matlakowski V., »Budownictwo ludowe na Podhalu.« Contour des maisons rurales BE. la contrée de Fodhale), 23 planches in 4-to, texte explicatif in 8-vo imp. 1892. 7 fl. 50 kr. Teichmann L., »Na- czynia limfatyczne w sloniowacinie.« /Æ/ephantiasis arabum), 5 planches in folio avec texte. 1892.— 3 fl. Hryncewicz J., »Zarys lecznictwa ludowego na Rusi poludniowej.« (La médecine populaire dans la Ruthenie méridionale), in 8-vo 1893.—3 fl. PiekosifiskiF., »Sredniowieczne znaki wodne. Wiek XIV.« (Les marques en filigrane des RR LE conservés dans les Archives et bibliothèques polonaïses, principalement celles de Cracovie, XIV® siècle), in 4-to, 1893. — 4fl. Swietek J., »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia.« (Les populations riveraines de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 4 fl. Görski K., »Historya pie- choty polskiej« /Zistoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1893. — 2fl. 60 ct. »Historya jazdy polskiej« (Zzstorre de la cavallerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 3 fl. 50 ct. »Rocznik Akademii.« Annuaire de l'Académie), in 16-0, 1874—1893 19 vol. (1873 épuisé) — 11 fl. 40 kr. 4 »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.e /Mémorre sur les travaux de l'Académie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 2 fi. PTS JAN 1896 | 12.229 BULLETIN INTERNATIONAL DE LACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ANNÉE 1895. OCTOBRE-NOVEMBRE CRACOVIE IMPRIMERIE DE L'UNIVERSITÉ A SM 1895. L’AXÄDEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 PAR S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. PROTECTEUR DE L’ÄCADEMIE: S. A. I L'ARCHIDUC CHARLES LOUIS. Virce-Prorecreur: S. E. M. JuLıen pe Dunarewsxr. PRESIDENT: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRETAIRE GENERAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: ($& 2). L’ Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté Imperiale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nom- mes par S. M. l'Empereur. | . ($. 4). L’Academie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b) classe d’histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. ($. 12). La langue officielle de l’Académie est le polonais; c’est dans cette langue que paraissent ses publications. Le Bulletin international parait lous les mois, a ( exception des mois de vacances [aoûl, seplembre), el se compose de deux parties, dont (a première contient l'extrait des procès verbaux des séances {en français), la deuxiöme les résumés des mémoires et communications (en français ou en allemand, au choix des auleurs). Le prix de l'abonnement est 3 fl. = 8 fr. Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. = 90 centimes. Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem A. M. Kosterkiewicza. # À 3 4 # 3 JAN 2 1896 BULLETIN INTERNATIONAL DE L’ACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. No 8. Octobre — Novembre. 1895. Sommaire: Séances du 14 et 21 octobre, du 4, 11 et 18 novembre 1895. — Résumés: 48. V. Luroszawskı: Les trois premières tetralo- gies de Platon. — 49. W. NeurinG: Les sermons de Gnesen. — 50. W. KerrzyXski: Sur la chronique de la Grande Pologne. — 51. S. Kr- PINSKI: Sur les fonctions de Fuchs à deux variables complexes. — 52. A Wırkowskı: Propriétés thermodynamiques de l’air atmosphérique. — 53. S. NıEmEnTowski et. B. OrzEecHowskı: Sur les dérivées de chinoline. Suite. — 54. F. GrzyBowski: Sur la faune du flysch carpathien. I. Les foraminiferes de la glaise de Wadowice. — 55. J. Prus: Sur les cor- puscules de Rusell. — 56. S. Jexrys: L’influence de l’oxygene sur la décomposition des matières azotées dans les excréments des animaux de la ferme. Séances ———$- — Classe de Philologie Séance du 14 octobre 1895 Présidence de M. L. Luszczkiewicz Le Secrétaire présente le travail de M. Casımır Nrrscu: Sur l'orthographe et la langue des Sermons de Paterek, d’après les matériaux recueillis par M. L. Malinowski. M. L. Malinowski, m. t., rend compte du travail de M. S. Dosrzyerı: Sur les adverbes en 0 et 6, dérivés d’adjectifs, dans le paléo-polonais, d'après les monuments du XIV* et XV siècle. 266 SÉANCES Séance du 11 novembre 1895 Présidence de M. C. Morawski M. C. Morawski rend compte du travail de M. Vixcexr Lurostawskı, intitulé: Les trois premières tétralogies des oeuvres de Platon !). Le Secrétaire présente le travail de M. LanısLas NEHRriıng, m. t., intitulé: Les sermons de Gnesen ?). —t ent Classe d'Histoire et de Philosophie Seance du 21 octobre 1895 Presidence de M. L. Luszczkiewicz M. Aparserr Kerezysskı, m. t., donne lecture de son mémoire: Sur la chronique de la Grande Pologne °). Seance du 18 novembre 1895 Présidence de’M. F. Zoll M. Francois Prexositsxr, m. t., donne lecture de son mé- moire: Contributions à l'analyse des Statuts du Roi Casimir- le- Grand. Le Secrétaire présente le travail de M. Axroxe ProcHA- SKA, M. C., intitulé: Etudes critiques sur l'Union de Horo- dio (1413). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 268. — 2) ib. p. 278. — 3) ib. p. 284. = ES SÉANCES Classe des Sciences mathématiques et naturelles Séance du 3 novembre 1895 Présidence de M. F. Kreutz M. F. Karlinski m. t., rend compte du travail de M 267 USE Kerisskı: Sur les fonctions de Fuchs à deux variables com- plexes !). M. A. Wrrxowskt, m. t., donne lecture de son mémo Propriétés thermodynamiques de l'air atmosphérique ?). ire : M. C. Olszewski, m. e., rend compte du travail de MM. S. Nıementowskı et B. Orzecnowskı: Sur les dérivées de chino- line. Suite. ). M. E. Niedzwiedzki, m. t., rend compte du travail de M. F. Grzysowssı: Sur la faune du flysch carpathien. 1. foraminifères de la glaise de Wadowice “). Les M. F. Browiez, m. c., présente le travail de M. J. Prus: Sur les corpuscules de Russell). M. E. Godlewski, m. t., présente le mémoire de M. Errexxe Jexrys: L'influence de l'oxygène sur la décomposition des matiè- res azotées dans les excréments des animaux de la ferme ‘). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 288. — 2) ib. p. 290. — 3) ib. p. 302. — 4) ib. p. 305. — 5) ib. p. 313. — 6) ib. p. 316. 1* Resumres 48. — W. Luroszawskı. 0 trzech pierwszych tetralogiach Platona. (Sur les trois premières tetralogies de Platon). L’auteur passe en revue les méthodes proposées depuis Ueberweg pour la solution du problème de la chronologie des oeuvres de Platon, et il trouve que beaucoup de recherches, indépendantes les unes des autres, tendent a confirmer la vé- rité, peu reconnue jusqu'ici et cependant déjà suffisamment prou- vée, que le Sophiste, le Politique, le Philèbe, ainsi que le Ti- mée, Critias et les Lois forment le dernier groupe des écrits de Platon. Le premier logicien qui s'était proposé l'étude de cette question, Ueberweg, avait déja entrevu cette solu- tion, et indiqué beaucoup d'arguments en sa faveur. Plus tard, il s’est laissé persuader par Schaarschmidt, que le So- phiste et le Politique n’ont pas été écrits par Platon, et il a abandonné sa propre thèse. Mais depuis d’autres recherches, malheureusement trop peu connues, ont toujours confirmé les vues d’Ueberweg. Une grande découverte fut faite en 1867 par Lewis Campbell. Il prouva que le Timée, Critias, et les Lois contiennent 1492 mots qui ne sont employés par Platon dans aucun autre écrit, et que la même originalité de style règne dans les autres dialogues de la dernière épo- que. Le Sophiste contient 93 mots que Platon n’emploie pas RÉSUMÉS 269 hors de ce dialogue, et le Politique 164. Non seulement l’ori- ginalité de style de ces dialogues les rapproche entre eux, mais ils ont une considérable quantité de mots qui leur sont com- muns et qui unissent le Sophiste et le Politique au Timée et aux Lois, d’une manière détruisant tous les arguments, inventés par Schaarschmidt et répétés par Huit, contre l’authen- ticité des dialogues dialectiques. Campbell a prouvé que si l’on prend comme base de comparaison le groupe formé par le Timée, Critiasetles Lois, reconnus comme oeuvres de la vieillesse de Platon, aucun dialogue de ce philosophe ne leur ressemble autant que le Sophiste et le Politique, et cela malgré la grande différence du contenu de ces dialogues. Le Sophiste a 1,08 expressions rares, par page, (de l’éd. Estienne) particulières au groupe Timée, Critias, Lois, et introuvables dans tous les autres dialogues. Pour le Politique, ce chiffre monte à 1,36; tandis que pour la République il descend à 0,87, pour l'Eutyphron, !’Apologie, le Gorgias et le Cratyle à 0,25. Cela prouve que, sous le rapport du langage, la République ressemble beaucoup moins aux Lois que le Sophiste et le Politique. Si cette vérité eût généralement connue, elle aurait évité à la plupart des auteurs qui ont écrit sur Platon beaucoup de graves erreurs. Malheureusement, Lewis Campbell /avait enfouie dans l’Introduction de son édition du Sophiste, que personne ne paraît avoir lue. Ni Zeller, nn Ueberweg, ni aucun autre savant allemand ne cite nulle part les re- cherches de Campbell sur le style de Platon, quoique le texte de son édition du Sophiste ait été apprécié par Schanz. Cependant la découverte de Campbell fut refaite en Allemagne, indépendamment, environ 15 années plus tard, et une série de travaux, dits statistiques, établirent la similitude du Sophiste, du Politique et du Philèbe, sous le rapport du style, avec le Timée, Critias et les Lois. La première observa- tion de ce genre remonte à 1874, où Blass, dans son oeuvre „Attische Beredsamkeit“, dirigea l’attention des philolo- gues sur ce fait que Platon évite l’hiatus seulement dans les 6 dialogues ei- dessus; ce qui lui paraissait un argument en 270 RÉSUMÉS faveur de la supposition que ces dialogues appartiennent à la même époque, etsont, comme les Lois, des oeuvres de la vieil- lesse de Platon. En 1874, Roeper indiqua quelques autres coïncidences stylistiques entre les Lois et le Sophiste, le Politi- que et le Philèbe. Cependant ce n’est qu’en 1881 que la statisti- que du style de Platon attira l'attention générale par le tra- vail très remarquable de Dittenberger qui, sans s’en douter, confirmait en tous points la découverte de Ca m p- bell, en indiquant plusieurs particularités de style communes à tous les dialogues du groupe des Lois. Dittenberger étudiait les particules qui se répètent souvent dans les écrits de Platon, et qui distinguent certains dialogues de tous les autres. Il trouva des imitateurs qui, tous, confirmerent ses con- clusions. Les monographies de Jecht, Frederking, Hoefer, Schanz, Kugler, Gomperz, Walbe, Siebeck ont été couronnées par l’oeuvre de Constantin Ritter, parue en 1888, qui indiquait 40 expressions com- munes et particulières au dernier groupe des écrits de Platon, et établissait aussi l'existence d’un autre groupe plus ancien, formé par la République, le Phèdre et le Théétète. Cependant toutes ces recherches si laborieuses ne sont point du tout gé- néralement reconnues. E. Zeller ne s’est pas laissé convain- cre par elles, et son autorité entraîne la grande majorité des savants à se méfier de la statistique du style. La raison prinei- pale de cette méfiance consiste, pour l’auteur, dans l'ignorance generale de l’aecord parfait qui règne entre les recherches de Campbell et celles de la statistique du style de Platon, en Allemagne. Campbell étant mieux informé des recherches alle- mandes que les savants allemands ne le sont pour ce qui se fait au dela de la Manche, essaya encore, en 1889, d'appeler l'attention du monde savant sur la priorité de sa découverte et sur la coïncidence de ses résultats avec ceux des statisti- ciens allemands. Il écrivit un compte-rendu du livre de Cons- tantin Ritter dans la Classical Review, et deux articles, l’un dans les Transactions of the Oxford philo- RESUMES 271 logical Society, l’autre dans la Bibliotheca Pla- tonica, revue publiée à Osceola, en Amérique. Ces deux articles sont restés tout aussi ignorés que l’Introduction au So- phiste de 1867. Le seul écrivain qui les mentionne, Mr. Huit, paraît ne pas les avoir lus, car il ignore que Campbell a pré- cédé la Statistique stylistique allemande, et il ne parle pas de l'Introduction au Sopbiste et de l'identité des ré- sultats de Campbell et des savants allemands, qui con- stitue la coïncidence la plus instructive dans l’histoire des re- cherches relatives à Platon. Après Constantin Ritter, Lina (1889), Tiemann (1889) et van Cleef (1890) seulement ont encore fourni quelques matériaux pour la connais- sance du style de Platon, et depuis cinq ans ce genre de re- cherches est entièrement délaissé. Campbell a continué à travailler et il a fourni, dans le 2” volume de son édition monumentale de la République de Platon, de nouvelles obser- vations sur le langage de Platon, qui confirment ses recher- ches antérieures, et qui cependant sont restées tout aussi in- aperçues que "Introduction au Sophiste par les nombreux critiques allemands de cette oeuvre. En vue de cet état de choses, qui paraît être un symp- tôme d’une certaine anarchie dans les recherches platoniques récentes, l’auteur du présent ouvrage s’est décidé à entre- prendre une nouvelle vérification des résultats obtenus par l’é- tude du style de Platon, à l’aide d’une méthode qui doit donner des résultats d’une certitude absolue. Comme le premier logi- cien qui s’est occupé de la chronologie des dialogues de Platon, a entrevu déjà la première verité, ensuite confirmée par beau- coup de recherches indépendantes, c’est à l’aide de la logique et de l'étude des théories logiques que l’auteur prétend réaliser un nouveau progrès dans ces recherches. Personne n’a encore essayé de comparer les théories lo- giques des dialogues de Platon dans le but d'établir leur ordre chronologique. Cependant aucun autre genre de doctrines ne se prête si bien aux comparaisons que les doctrines logiques. En morale ou en métaphysique il y a généralement des points 272 RÉSUMÉS de vue opposés, pour lesquels il est difficile ou même impos- sible de déterminer la priorité, car l’évolution des théories aurait pu s’opérer dans un sens contraire à celui que nous supposons, sous l'influence des circonstances psychologiques variables et inconnues. Ce n’est qu’en logique qu’il est bien difficile d'abandonner la vérité une fois reconnue, ou la mé- thode une fois éprouvée. La logique et la méthode nous donnent une mesure objective de la maturité du philosophe. C’est pourquoi la comparaison des théories logiques nous per- mettra d'établir l’ordre des dialogues d’une manière plus cer- taine que la comparaison des théories morales ou métaphysi- ques, qui n’ont pas d’aussi profondes racines dans l’âme du philosophe, L'auteur entreprend en outre de réunir tous les argu- ments qui ont été énoncés jusqu'ici en faveur de chaque sup- position chronologique, relative à chaque dialogue, et surtout de comparer soigneusement les résultats de toutes les études sur le style de Platon, ce qui n’a encore été fait par per- sonne. Pour se rendre indépendant de toute supposition préli- minaire sur l’ordre véritable des dialogues, l’auteur entreprend leur étude dans l’ordre traditionnel des tétralogies, commun à tous les manuscrits. L'auteur se limite, dans le travail présent, aux trois premières tétralogies, parce qu’elles sont les plus impor- tantes, sous le rapport des théories logiques qu’elles contiennent, et parce que l'étude des 12 dialogues dont elles sont formées conduit à des résultats importants, méritant d’être publiés avant que l’étude des 6 autres tétralogies soit terminée. 1) L’Euthyphron est reconnu généralement comme un dialogue de la jeunesse de Platon, écrit probablement après l'accusation et avant la mort de Socrate, comme l’ont suffisam- ment établi Schleiermacher, Socher, Schierenberg, Stallbaum, Steinhart et Zeller. Les théories logiques de ce dialogue, analysées par l’auteur, le placent au commen- cement de la carrière de Platon, car elles ne dépassent en rien l’enseignement de Socrate. Sous le rapport du style, C a m p- bell et tous les auteurs allemands s’unissent à trouver l’Eu- RESUMES 273 typhron très éloigné du dernier groupe des écrits de Platon, et même encore éloigné du groupe moyen, ce qui confirme les conclusions précédentes. 2) L’Apologie a fort peu de théories logiques; cependant ce qui s’y trouve la place à côté de l’Eutyphron, ce qui est d'accord avec les recherches de Schleiermacher, Su- semihl, Steinhart, H. Ritter, Ribbing, Miche- lis, Peipers, Christ, Dümmler, Weygoldt, Win- delband, Bergk, et Zeller. Aussi toutes les recherches stylistiques, depuis Campbell jusqu'à Van Cleef, ont-elles démontré la grande: affinité de l’Apologie avec l’Euthyphron. Cependant l’auteur ne peut accepter l'opinion de Zeller et d’Ueberweg, d'après lesquels l’Apologie serait le véritable discours de Socrate devant ses juges. Les travaux anglais de Riddel et Stock ont prouvé le contraire. 3) Le Criton appartient, sous le rapport logique, au même groupe que les deux dialogues qui précèdent. Il contient une allusion à l’Apologie, ce qui prouve qu’il est écrit plus tard. Mais, ni sa logique, ni son style (dont l’auteur énumére tous les caractères) ne permettent de l’assigner à une époque beau- coup plus proche de la République. Le Criton doit avoir été écrit bientôt après la mort de Socrate. 4) Le Phédon contient des théories logiques de la plus grande importance, que l’auteur analyse en detail, et dont la comparaison avec les trois dialogues qui précédent établit clairement que le Phédon doit avoir été écrit beaucoup plus tard. L'égalité des Hellènes et des Barbares, affirmée dans le Phedon (78 a), n'est pas un trait socratique, et la prophétie que Platon met dans la bouche de Socrate, devait probablement être déjà réalisée quand il l’écrivait, c’est-à-dire qu’il ne l’a écrite que quand il sentait bien clairement, (après tous ses vo- yages), qu'il était le premier philosophe du monde, après la fondation de l’Académie. Le Phédon contient, d'après Cam p- bell, 0,70 ınots rares, par page, propres au dernier groupe, ce qui le met près de la République, où ce chiffre monte à 0,83. RÉSUMÉS DO SI HD Les savants allemands ont indiqué en outre beaucoup d’autres details de style qui rapprochent le Phédon de la Ré- publique, en l’eloignant des trois dialogues précédents. L'auteur s'efforce de prouver que le Phédon a dû pri céder la République et succéder au Banquet, c’est-à-dire est po térieur à l’année 385. 5. Le Cratyle est moins impor: :nt quant à la logique Phéd n. La logique le place av: it le Phédon et après la mort de Sc: 1te. Les idées, entr vues comme en songe dans le Cratyle (439 d), sont déjà „bi 1 connues“ dans le Phé- don. Sous le r.pport du style, ©. Ritter a trouvé dans le Cratyle 4 part :ularites propres au de nier groupe. Sous tous les rapports, le Cratyle est intermédiaire entre le Criton et le Phédon, un pc ı plus proche du Phédon que du Criton. Il doit avoir été écrit entre 395 et 385. 6. Le s'héétète, plein de théories logiques, est plus avancé que le Cratyle. Il contient la critique de Héraclite, qui a été ajournée dans le Cratyle. Il présuppose également le Phédon, dont il se distingue par un moindre mépris des sens, ce qui le ra,»proche du Timée. Les recherches de Munk, Ueberweg, Campbell, Berkuski,.H. Schmid Teichmü ler, Jackson. Rhode, Berek be pers, Christ, Siebeck, Jezieniecki, Archer- Hin. ont ascumui& des arguments irresistibles, qui prouvent avec une tele évidence l’impossibilite de placer le Theetete avant le Ba «wet et le Phedon, que Susemihl, qui était de l'avis contraire. s’est laissé convaincre de son erreur, et que Zeller seul tient encore à la tradition du séjour de Mé- gare où Platon cst supposé avoir écrit le Théétète, avant 390. En réalité le Fhéétète a la plupart des particularités de style du dernier groupe des écrits de Platon, et il a été écrit après la République, comme le prouve non seulement son style, mais surtout sa logique, ici, comme toujours, d'accord avec le style. 7. Le Sophiste vient naturellement après le Théétète et présente beaucoup de théories logiques de premier ordre. L'art du raisennement, exigé dans le Phédon (n ze Too; Aöyovg Téyvr\, est devenu ici la méthode (1.200005) de la RÉSUMÉS 275 division des idées. La comparaison des nombreuses théories logiques du Sophiste avec celles des autres dialogues, déve- loppée par l’auteur, prouve avec évidence qu’il doit avoir été écrit beaucoup plus tard que le Banquet, le Phédon, la Re- publique et le Phèdre. Les doutes sur l’authenticité du Sophiste ont été si bien réfutés par Hayduck, Alberti, Ma- ckay.uDeussen, Petersen, Tocca, Pilger et Jezieniecki, que ceux qui aujourd’hui osent encore nier l'authenticité de ce dialogue, comme E. Appel et Huit, dé- montrent seulement leur ignorance de la littérature du sujet. L'auteur regrette qu'un savant aussi distingué que M. Win- delband partage cette erreur. Quant à la date du Sophiste, presque tous les Platonis- tes de la première moitié de ce siècle croyaient que le So- phiste, ainsi que le Théétète, a été écrit à Megare, vers 390, avant le Banquet. Aujourd'hui Zeller seul garde cette opi- nion, car depuis Lowndes (1827) on a une suite de tra- vaux qui démontrent que le Sophiste est une oeuvre de la vieillesse de Platon. Munk, Ueberweg, Lewis Camp- bell et tous ceux qui ont étudié le style de Platon sont d’accord pour faire entrer le Sophiste dans le dernier groupe de ses oeuvres. La comparaison des théories logiques ayant tout à fait confirmé ces recherches, l’auteur conclut que le So- phiste a été écrit après 367, par Platon sexagénaire. 8. Le Politique, dans lequel le Sophiste est cité, vient naturellement après ce dialogue; ce qui est confirmé par les théories logiques qu’il contient, et par l’étude du style qui présente toutes les particularités des Lois. L'auteur indique des textes parallèles qui prouvent que le Politique présuppose les dialogues qui précédent. 9. Le Parménide est intermédiaire entre le Théétète et le Sophiste, sous le rapport de sa logique aussi bien que du style. Son authenticité a été contestée encore plus que celle du Sophiste et du Politique, mais tous les arguments avancés par Schaarsehmidt ont été suffisamment refutés par J o- wett, Zeller, Benn, Jackson, Archer Hind, et 276 RÉSUMÉS ceux qui récemment encore sont retournés aux athétèses de Schaarschmidt, n’ont rien ajouté de nouveau, et n’ont pas ébranlé la certitude de l'authenticité établie contre Schaar- Bre)h mot. Le Parménide, comme le montre sa logique et son style, a été écrit par Platon vers sa 60" année, après le Théétète et avant le Sophiste. 10. Le Philèbe est un des dialogues les plus impor- tants, quant à sa logique, et Poste, Badham, L. Camp- bell ont suffisamment démontré ses relations avec les autres dialogues de Platon pour réfuter tous les doutes sur son au- thenticité. Quant à sa date, il vient après le Sophiste, et pro- bablement aussi après le Politique, comme le prouvent les comparaisons de son contenu logique et de son style avec les autres dialogues. 11. Le Banquet ne contient pas beaucoup de logique, mais le peu qu'il contient est très important, puisque sa date est fixée depuis longtemps par le célèbre anachronisme qu'on a essayé en vain d'interpréter autrement. La comparaison du Banquet avec le Phédon et le Phedre nous prouve qu'il doit avoir précédé ces deux dialogues. Le style du Banquet cepen- dant se rapproche extrêmement du Phédon et il ne l'aura pré- cédé que de peu. 12. Le Phèdre est un des dialogues les plus impor- tants pour la logique de Platon. Si les savants qui l’attribuent, tantôt à Platon dans sa 20"° année, tantôt le mettent après Ja 50°, avaient pris la logique comme critérium de la ma- turité, de pareilles différences d'opinion auraient été impossi- bles, car, comme l’a bien remarqué Thompson, Platon développe dans le Phèdre les idées qu'il n’a commencé à ap- pliquer que dans ses derniers écrits. Le Phedre vient, pour sa logique comme pour son style, après le Phédon et après au moins une partie de la République. Il n’est pas aisé de déci- der sa relation avec le Théétète, mais il est évident que le Phèdre a dû précéder le Parménide, car le Parménide aban- donne la théorie des idées telle qu’elle est encore contenue RÉSUMÉS 277 dans le Phèdre. Quant à la date du Phèdre, l’auteur croit que ce dialogue a été écrit vers 380, avant la mort de Lysias, et après le Panégyrique d’Isocrates. Conclusions. L'auteur insiste sur l’accord parfait qui règne entre les résultats de sa méthode des comparaisons logiques et les deux méthodes de l'étude du style: celle de Campbell et celle des Allemands. Les trois méthodes se sou- tiennent mutuellement et démontrent que la solution du pro- blème de la chronologie des dialogues de Platon, réputée dif- ficile, n’est pas impossible, si l’on profite de tous les efforts faits dans ce but, sans en ignorer aucun, et si l’on s’attache à étudier surtout la logique de Platon. Pour les trois premiè- res tétralogies l’auteur prétend avoir démontré ce qui suit: 1. L’Eutyphron, l’Apologie et le Criton ont été écrits vers 399. 2. Le Cratyle a été écrit plus tard, mais avant 385. 3. Le Banquet, vers 385, et le Phédon bientôt après ont précédé la deuxième époque de l’activité de Platon, qui s’est étendue depuis sa 45" jusqu’à sa 60" année et a été unique- ment occupée par la République, le Phèdre et le Théétète. 4. Enfin, vers la 60" année de la vie de Platon com- mence, avec le Parménide, une nouvelle série de travaux qui diffèrent, sous beaucoup de rapports, de ceux qui ont précédé et qui introduisent une réforme dans la logique de Platon ainsi que d'importants changements dans son style. Au Par- ménide succède le Sophiste, le Politique et le Philèbe (ainsi que le Timée, le Critias et Les Lois) L’auteur espère avoir dirigé l’attention des savants vers les recherches aussi origi- nales que profondes de Campbell, sans lesquelles ses propres études auraient été impossibles. 978 RÉSUMÉS 49. — Kazania Gniezienskie, tekst i glosy z rekopisu wydal, uwagami i stow- nikiem opatrzy? We. Neurıng (Gnesener Predigten, Text und polnische Glossen aus der Handschrift herausgegeben, mit Vorrede und Lexicon von W£. NEHRING). Der Text der Gnesener Predigten, welche schon im Jahre 1857 unter dem Titel: Zabytek dawnej mowy polskiej herausgegeben waren, wird vom Verf. nach wie- derholtem Studium der Handschrift neu festgestellt und ge- würdigt; diese neue, von der ersten unabhängige Ausgabe dürfte erwünscht sein, weil jene erste Ausgabe nunmehr sehr selten geworden und nicht ganz zuverlässig ist. Die Ausgabe des Verf. zerfällt in drei Theile: Vorrede, Texte, wozu auch eine Gnesener Predigtordnung aus dem XV. Jahrhundert gehört, und Wörterbuch. Zunächst wird die Gnesener Handschrift genau beschrie- ben, was selbst Dr. Erzepki in seiner Dissertation „Der Text der Gnesener Predigten“ u. s. w. 1885 in nicht ausreichen- dem Masse gethan hat und dabei gezeigt, dass der Schreiber der polnischen Predigten f. 1—14 und 171 ff., den der Verf. mit (A) bezeichnet, zugleicherzeit der Urheber der allermei- sten polnischen Glossen in vielen der hundert und drei latei- nischen Predigten ist (f. 15 bis 176 5) und dass von ihm die Sammlung der lateinischen und polnischen Predigten herrührt, weil von ihm zu einem Codex vereinigt. Der Verf. weist auf Grund von Papier und Schrift nach, dass die lateinischen, von drei Schreibern: (a), (b) und (c) geschriebenen Predigten aus dem Ende des XIV Jahrhundertes stammen, und dass die pol- nischen Eintragungen, Glossen, in vielen lateinischen Predig- ten, sowie die vollständigen polnischen Predigten etwa aus dem Anfang des XV. Jahrhundertes herrühren. Der Urheber der lateinisch geschriebenen, doch polnisch vorgetragenen Predig- ten ist nach seiner Vermuthung ein Predigermönch polnischer Nationalität, von dem aber auf Polen, polnische Zustände u. s. w. nur wenig Rücksicht genommen ist; mehr Interesse Dr We — RESUMES 279 zeigt er für die Verherrlichung des Festes der Verkündigung Mariae. Die jetzt allgemein anerkannte Thatsache, dass latei- nisch aufgezeichnete Predigten in nationaler Sprache vorge- tragen wurden, beleuchtet der Verf. von neuem durch mehrere Momente und Hinweise, so durch den Hinweis auf polnische Glossen in lateinischen Predigten, durch Aeusserungen des Ni- colaus Lucas von Kozmin über polnische Predigten, welche von ihm e. 1430 lateinisch aufgezeichnet wurden (in einer Prager Hdsch. E. XXII nach den Citaten von Patera in Cas. & Mus. 1880. S. 536 und L. Malinowski in Rozprawy Wydz. filol. XXII, 343), des Michael von Janowiec (nach dem Citate von Brückner im Archiv für slav. Phil. X, 391); schliesslich durch eine bis jetzt unbekannt geblie- bene Notiz in einer lateinischen ?redigtensammlung aus dem Jahre 1342, welche in der Bres auer Universitäts- Bibliothek sich befindet (Speculum eccl:siae, sig. I. fol. 467). Hier schreibt Johann von Zary „Joh: nes von Zoraw“ f. 7 a: Ad omnes sermones debes primum 7ersum latina ligua (sic) pro- nunciare, deinde paterna ligua ic) explanare. De Sto Sthe- fano (sic), worauf eine Predigt a heil. Stephanstage folst. Mehr Interesse widmet der Verf. selbstverständlich den 10 polnischen Predigten, die er zun'ichst mit ihren Titeln auf- zählt und als Abschrift eines früheren ”redigtentextes nachweis’, indem er sich auf Fehler, Auslassungei. 5:21 'r den Text uuf- genommene Glossen stützt. Weil der Abschreiber (A) seine Vor- lage treu copierte, so bietet der Text der Gnesener Predigten sicher ein Bild der polnischen Sprache des XIV. Jahrhunderts. Der Schreiber gestattet sich nur wenige Aenderungen beim Abschreiben, vornehmlich in der Orthographie, welche sowohl in ihrer alterthümlichen Fassung, als auch in den wenigen Ab- weichungen dargestellt wird. Als Niederschläge einer älteren orthographischen Praxis erweisen sich zunächst im Bereich der Vocale das Zeichen 6, (oder ähnliche), mit wenigen Ausnah- men, welche sich der Abschreiber nach seiner Praxis erlaubte; die nahezu ausnahmslose Nichtbeachtung des Unterschieds 280 RÉSUMÉS zwischen harten und weichen Silben; im Bereich der Conso- nanten der Gebrauch von einfachen Buchstaben zum Ausdruck von slavischen, speciell polnischen zusammengesetzten oder wei- chen Lauten: c, d,r, für cz, dz, (dé), rz z. B. clouek, veiniez, difny, cris ete.; ausführlich werden die sehr mannigfachen Eigenthümlichkeiten der orthographischen Darstellung der Laute besprochen, darunter die Neigung zum phonetischen Ausdruck von auslautenden tönenden Consonanten durch tonlose, wie bok für bög (bezeiehnenderweise an zwei in heiligen Texten seit alter Zeit zur Aufzeichung gelangenden Bibelstellen), auch im In- laut vor Consonanten. Mit wenigen Fällen der phonetischen Orthographie bietet das aüssere Gewand der Gnesener Predig- ten ein in sich abgeschlossenes System aus alter Zeit, in wel- chem z. B. g fast der einzige Vertreter des 7 Lautes ist. Die eingehende Darstellung der orthographischen Eigen- heiten des Sprachdenkmals erschien nothwendig, weil in dem äusseren Gewande sich wohl erhaltene Zeugnisse eines frühe- ren Textes kundthun; sie erschien auch nothwendig, um in der aüsseren Hülle die lautlichen Eigenheiten der Sprache der Gnesener Predigten zu erkennen. In dieser Beziehung macht der Verf. auf die Behandlung der Silbe -ir- zwischen Conso- nanten mit den von dieser älteren Aussprache abweichenden Wörtern; auf die consequente Vernachlässigung des wurzel- haften i-Lautes in einigen (meist zusammengesetzten) Wör- tern, wie przyé, nadzie, namuje, zemie (szeme) für z(d)ejmie besonders aufmerksam. Im Besonderen werden die Silben gie und gi, welche durch dzie und dzi wiedergegeben sind, nach dem Vorgange von Hanusz in der Abhandlung. Slady niektörych odcieni dyjalektyeznych w Kaza- niach Gnieénienskich in Rozpr. Wydz. filol. 1880. t. VOII, 64 ff, und andere Erscheinungen, speciell auf dem Gebiete der Assimilation und Dissimilation besprochen und erklärt, wie z. B. die Wiedergabe der Silbe ie für späteres jo: eze für ezcie (dziesiecie) in den Zahlwörtern ezwarty und piaty na cie; nabozejstwo, sukiejny und andere, wobei auf Blatts Abhandlung Kleinere Beiträge etc. hingewiesen RESUMES 281 wird. So wie in diesen und ähnlichen Erscheinungen mehr nur dialektische Eigenthümlichkeiten erkannt werden, so tragen andere Kundgebungen der Sprache der Gnesener Predigten im Gebiete der Stamm- und Formenbildung den Charakter einer verhältnissmässig früheren Sprachepoche, so in der Bildung der Comparative und Superlative der Adverbia ohne angehängtes 7: in der Bildung der Superlative der Adiectiva und Adverbia durch das Präfix na, wiece, dale, narichle, napirzwe u. s. w., wofür gleichsam zur Erklärung der Bedeutung auch nadwiet- sze (milosierdzie) sich vorfindet, wobei auf die gleiche Bedeu- tung von na und nad hingewiesen wird. Sodann folgt eine Uebersicht der alten Declinations- und Coniugationsformen, wie obyczaja, barloga; wole boze; krölu, ludu; wiesielim, mi- losierdzim; we zdrowi, w wiesieli, swiatlem obloce; ptaszkowie, duszam, zlodziejmi, w domech; jesm u. s. w. Im allgemeinen bieten die Formen ein Bild der älteren Sprache mit Zugeständ- nissen an neuere Bildungen; in einem Punkte ist Einfluss des Czechischen zu bemerken, nämlich in der Deelination der Adiectiva und Pronomina im gen., dat., loc. sg. der fem. z. B. wole boze, u swe matuchny u. s. w. Auf die ziemlich häufige Berücksichtigung der Dualform, vornehmlich in zwei Predigten, auf Weihnachten und auf den heil. Johannes, wird hingewie- sen z. B. Maria i Jozef przyszla etc. und dwa bracienca etec., doch dringt in diese im Bewusstsein des Urhebers der Gnese- ner Predigten lebendige Anhänglichkeit an das Alte auch schon das Neue ein, indem in diesen Stellen auch Pluralfor- men vorkommen, Der Gebrauch des Pronomens bietet wenig Bemerkens- werthes, insbesondere Formen ohne das von Baudouin de Cour- tenay richtig erkannte n, wie z. B. naprzeciw jemu, opiekal sie ja, und die Accusativform des pluralis, wie wszytki. Den Schluss dieser grammatischen Erörterungen bilden Hinweise auf alterthümliche syntaktische Eigenheiten, wie den Gebrauch der nominalen Form des Adiectiv und des Partici- pium, z. B. star; auf den überwiegend consequenten Gebrauch des Nominativ als Praedicat; den Gebrauch des Locativ ohne w Bulletin VII. 9 982 RÉSUMÉS als Bezeichnung des Ortes: Swiatlem obloce für w $wiatlem obloce; den Gebrauch des instrumentalis zum Ausdruck der Gemeinschaft: Maria swym synkiem chodzila, (worüber Seme- nowitsch schon im Archiv f slav. Phil. VII, 423 sich geaüssert hat). Eine nicht uninteressante Beobachtung in den sprachlichen Eingenheiten der Gnes. Pred. ist der Nachweis des ziemlich consequenten Gebrauches des Plusquamperfectum für den Ausdruck der in der Vergangenheit vorgestellten Thatsachen, anstatt des Perfectums, z. B. A kdyzei wiee tento lud israhelski jestei on teto mowe... ustyszat byl (Pred. 7); in conditionalen Nebensätzen und Absichtssätzen wird die zusam- mengesetzte Form mit byl, byli gebraucht. Der Verf. macht gelegentlich einen Vergleich zwischen den von Brückner ent- deckten und in Prace tilologiezne III herausgegebe- nen Kahlenberger Predigten (Kazania Swietokrzyskie) und den Gnesener, indem er den ersten aus aüsseren und inneren, sprachlichen Gründen die grössere Alterthümlichkeit unbedingt zuerkennt, die Gnesener Predigten aber an dem Alterthümli- chen einen nicht unbedeutenden Antheil nehmen lässt. Der Text der Predigten ist treu abgeschrieben und mit der zwei Mal nach Breslau auf längere Zeit gütigst übersandt- ten Handschrift wiederholt verglichen und genau nach dersel- ben wiedergegeben, Zeile für Zeile, mit Bezeichnung des Blattes, der Seite und des jedenmaligen fünften Verses, behufs einer leich- ten Auffindung aller Citate, und mit allen vom Schreiber nach- träglich zwischen die Zeilen oder am Rande gemachten Ein- tragungen, welche in Klammern () gesetzt sind; der Text ist, wo nothwendig, mit unumgänglichen Bemerkungen versehen, welche unter die letzte Zeile angebracht sind. Dem Text der zussammenhängenden polnischen Predig- ten sind an zweiter und dritter Stelle beigefügt zunächst die polnischen Glossen in vielen lateinischen Predigten, welche von dem ersten Herausgeber auch berücksichtigt worden sind, die aber hier vollständiger und stellenweise richtiger wieder- gegeben werden, sodann die Predigtordnung aus dem XV. Jahr- RÉSUMÉS 283 hundert, welehe der Gnesener Handschrift auf vier kleinen Quartblättern beigeheftet worden jst. In das Wortverzeichniss sind nur solebe Wörter aufge- nommen, welche zunächst in lexicaler, sodann aber auch in lautlicher, etymologischer und formeller Hinsicht bemerkens- werth sind, auch solehe durften nicht übergangen werden, welche wegen ihrer syntaktischen Fügung Beachtung verdienen; in dieser Beschränkung auf nur mehr ungewöhnliche Wörter und deren Formen, sowie Verwendung im Satze ist die möglichste Vollständigkeit der in Betracht kommenden Citate und Erläute- rungen versucht, wenn auch nicht erzielt worden. Es zeigt sich hierbei, dass der Sprachschatz der Gnesener Predigten eine ziem- lich reichhaltige Fülle des Bemerkenswerthen bietet. Vor allem sei die Aufmerksamkeit gelenkt auf den ungewöhnlichen, sonst unbekannten Gebrauch von ize zur Anführung von gesprochenen oder geschriebenen Worten in der oratio reeta, nach verbis des Sprechens oder verwandter Bedeutung, z. B arzekae mu tako: ize, dzie (inquit), jest obraz niebieski; alezby niektöry rzekl: ize jaé, dzie, nie moge byd $wiat; der Gebrauch von iZe in diesem Zusammenhange und in anderer Fügung wird möglichst vollständig nachgewiesen; ferner wird wieliki (nur einmal kommt wielki vor), wiece, wiecszy, wietszy u. s. w. in villständigen Citaten verfolgt und gezeigt, dass auf Grund der regelmässigen Bildung wiece, altslow. game, dem ein adiec- tivum wiecy (Rawrin) entsprechen würde, in den Gnesener Predigten durch weitere Anfügung des Comparativsuffixes -szy zunächst wiecszy und durch Dissimilation wietszy auftritt. Das sonst nicht vorkommende verbum wlodaé, praes. wlo- dze, wird besonders hervorgehoben; auf die Mannigfaltigkeit der Bildungen von wszyciek, wszy$ciek, wszytek, wszeliki u. s. w. aufmerksam gemacht; jenze und ktöry in das rich- tige Licht gestellt; das in der Predigtordnung mehrfach vor- kommende Wort Zändny durch Hinweise auf Erklärungen von Miklosich, J. Jiretek u. a. als eine bemerkenswerthe Er- scheinung notiert, wobei auf nijeden und nizaden hingewiesen wird. Besonders hervorzuheben sind noch: dolicenie probatio, 2# 284 RÉSUMÉS harnasz, bojarzyn pugil, mieszkaé für das gewühnliche miesz- kaé cunetari, pochebowaé, pozedlié bauen, si (sien) mit Be- zugnahme auf J. Przyborowskis Abhandlung in Biblioteka Warszawska 1889, II, 206, wszegdynei u. and. 50. — W. KerrzvNski. 0 kronice wielkopolskiej (Die grosspolni- sche Chronik). In der Einleitung bespricht der Verfasser die bisherigen Hypothesen, welche in Betreff der Entstehung der grosspolni- schen Chronik und deren Verfasser aufgestellt sind; es sind deren eine ganze Reihe. Die einen behaupten, der Verfasser der ersten Hälfte der Chronik sei Bischof Bogufal von Posen, der der zweiten Hälfte aber Godyslaus Baszko, Custos der Cathedralkirche in Posen, gewesen; andere schreiben dem letzteren die Autorschaft der ganzen Chronik zu, wieder andere vertreten die Ansicht, die Chronik sei im XIV interpoliert oder überarbeitet worden; noch andere meinen, dieselbe sei überhaupt ein Werk aus der zweiten Hälfte des XIV Jahr- hunderts. Jede dieser Hypothesen hat achtbare, der Chronik ent- lehnte Beweise für sich; was mit den Hypothesen nicht in Ein- klang steht, wird in Folge dessen als spätere Interpolation be- trachtet. Dass solches möglich ist, daran ist schuld die Edition der Chronik, die wissenschaftlichen Anforderungen nicht ge- nüge thut. In einem kritisch herausgegebenen Werke darf kein Raum für so verschiedene Meinungen sein, da der Text derart festgestellt sein muss, dass Jedermann wisse, was Eigen- thum des ursprünglichen Verfassers ist. Um dies nachzuholen, beschäftigt sich der Verfasser im ersten Abschnitte mit dem Texte, im zweiten mit den Quel- len und im dritten mit dem Verfasser der Chronik. I. Text. Über den Text kann nur eine kritische Ver- gleichung der Handschriften Auskunft geben. Die grosspol- nische Chronik hat sich nirgends selbstständig erhalten, son- RÉSUMÉS 285 dere betindet sich stets in Gesellschaft anderer Chroniken und Annalen, welche Sammlung den Titel »Magna oder Longa Cronica Polonorum« führt. Von dieser Sammlung sind 9 Hand- schriften erhalten, von welchen jedoch die der Krakauer Uni- wersitäts- Bibliothek als Copie des sog. Codex Lubinensis für die Untersuchung ohne Bedeutung ist. Nach der Zusammenstellung des Inhaltes zerfallen diese Handschriften in zwei Familien oder, wenn mann will, Re- dactionen. Die erste Familie enthält das Material in jener zufälligen Ordnung, in welcher es der Copist im Auftrage eines Geschichtsliebhabers aus wahrscheinlich 5 verschiedenen Handschriften zusammengeschrieben hat. Zu dieser Redaction gehören die Codices: Ottobonianus, Regiomontanus, Sandivogii und Stanislai Augusti; die beiden letzten bilden jedoch eine Unterabtheilung der ersten Familie. In der zweiten Redaction, zu welcher die Codices: Vratislaviensis (Rhedigeranus), Sienia- viensis, Villanoviensis und Lubinensis gehören, ist eine mehr ordnende Hand sichtbar; dieselben Stücke werden zwar aus denselben Handschriften, aber in anderer Reihenfolge abge- schrieben, dabei wurde jedoch auf die Chronik des Archidiacon Janko von Czarnkow, deren Anfang verloren gegangen war, insofern Rücksicht genommen, als man eine Reihe kürzerer oder längerer annalistischen Nachrichten so ordnete, dass die einen, die zeitlich früheren, der Chronik vorangestellt, die späteren aber derselben nachgestellt wurden. Das späteste Datum in der Magna Cronica ist 1395; die Sammlung ist also erst nach 1395 angelegt worden. Die in dieser Sammlung enthaltene grosspolnische Chro- nik weist ebenfalls, wie die »Magna Cronica« zwei Familien der Abschriften auf, die sich durch ihre verschiedenen Lese- arten vortrefflich charakterisieren. Beide Handschriftenfami- lien stammen von zwei Abschriften ab, die aber nicht direet aus dem Original, sondern aus der ersten unbehilflichen Copie der Urhandschrift, welehe der Verfasser, der sein Werk nicht vollendet und deshalb keine Reinschrift angefertigt hatte, zu- rückgelassen hatte. 286 RESUMES Diesem Ausweise zufolge kann nur das der eigentliche Inhalt der grosspolnischen Chronik gewesen sein, was den beiden Handschriftenfamilien gemeinsamm ist; der Druck in den Monumenta Poloniae historica enthält sechs kleinere In- terpolationen, die jedoch nicht von besonderer Bedeutung sind. Wie verhält sich nun zu diesen Resultaten die Perga- menthandschrift des Hodiejowski, welche Dobner noch im vergangenen Jahrhunderte benutzte und die angeblich aus dem XIV Jahrhunderte stammte? Ein Vergleich der von Dobner mitgetheilten Stücke erweist, dass diese. Handschrift der zweiten Handschriftenfa- milie angehört, also der Magna Cronica entstammt, und daher nur so weit Werth haben kann, als sie mit dem Codex Vra- tislaviensis ete. übereinstimmt, da sie entweder aus derselben Abschrift, wie jene Texte der zweiten Familie oder aus einem Exemplare der Familie selbst abstammt ; deshalb können auch die Auslassungen und Abweichungen dieses Textes nur will- kürliche oder zufällige sein; eine wissenschaftliche Bedeutung ist ihnen vollständig abzusprechen. II. Quellen. Die wichtigsten der von der grosspolnischen Chronik benutzten Quellen sind: die Chronik des sogenannten Mierzwa, wozu auch die sog. Annalen der krakauer Franzis- kaner gehören, welche Bielowski willkürlich von der Chro- nik abgetrennt hat, die Chronik des Bischofs Vincentius von Krakau, das Chronicon Polono-Silesiacum, die vita maior s. Stanislai, die Annalen des posener Domcapitels und die klein- polnischen Annalen (Annales Polonorum). Das Verhältnis der einzelnen Quellen zur Chronik wird hier ausführlich nachgewiesen und nebenbei noch festgestellt, dass die posener Capitelannalen — die grosspolnischen Annalen Bielowski’s sind dessen eigene Combination, die in den Hand- schriften überhaupt keine Berechtigung findet — nicht ein ein- heitliches Werk, sondern das zweier Verfasser sind, von denen der eine, wahrscheinlich Dekan Gerard, die Jahre 1190 — 1247 verfasste, während der andere, Godislaus Baszko, Custos von Posen, seiner Fortsetzung 1247— 1273 eine neue Einlei- Pr? RÉSUMÉS 287 tung gab, die mit dem Jahre 965 beginnt. Beide Annalen erhielten spätere Zusätze gleichsam als Fortsetzung. Von diesen Quellen gehören Mierzwa und das Chronicon Polono-Silesiacum dem Anfange des XIV Jahrhunderts an, die Annales Polonorum, deren erste Redaction eine bis 1325 reichende Quelle ausschrieb und bis 1348 reicht, können kaum von 1350 — 1360 niedergeschrieben sein; daraus folgt nun, dass die grosspolnische Chronik nicht früher als 1350 — 1360 und nach Abschnitt I nicht später als 1395 hat entste- hen können. III. Der Verfasser. Die bisherigen Ansichten über die Autorschaft Bogufals und Baszkos stützten sich hauptsächlich auf Zeugnisse der Chronik, welche, wie die Quellenanalyse zeigt, wörtlich den Quellen entlehnt sind, daher wohl für die Quel- len, nicht aber für die Chronik Beweiskraft besitzen ; wollte man ihnen eine solche zuschreiben, so müsste nicht nur Bo- gufal und Baszko, sondern auch Bischof Vincentius u. Mierz- wa zu den Verfassern gezählt werden. Um den Verfasser zu eruieren, muss man also vor allem solehe Zeugnisse berücksichtigen, die fremden Quellen nicht entlehnt sind und daher für eine Enuntiation desselben gehal- ten werden müssen. Diesen zu Folge gehört der Verfasser, wie auch schon oben dargethan, dem XIV. Jahrhunderte an; so erwähnt er beiläufig die Verlegung des Klosters der hei- ligen Clara von Skala nach Krakau, was im Jahre 1320 ge- schah. In einem ausführlichen, der Kastellanei und Probstei Santok gewidmeten Abschnitte spricht er von den posener Bischöfen Andreas Szymonowiez 1298—1311, Domarad 1311— 1325 und Johannes Lodzia 1335 — 1346 und da er Johannes Lodzia den unmittelbaren Nachfolger der beiden anderen nennt, so musste wohl geraume Zeit vergangen sein, dass Johann Doliwa, der wirkliche Vorgänger des Johannes ZLodzia, in Vergessenheit gerathen konnte. Was aber der Verfasser über die Probstei Santok schreibt, zeigt so viel Localkenntnis, dass wir wohl mit Recht in dem Schreiber den Probst von Santok selbst vermuthen dürfen, was noch besonders durch die An- 288 RÉSUMÉS gabe bestärkt wird, derselbe habe besessen »villam Kyow ad suam praeposituram spectantem, quam nune castrenses de Santhok aliquando oceupant et aliquando castrenses de Mye- dzyrzeez usurpare contendunte. Da die Urkunden von Kyow schweigen, lässt sich die Zeit des »nunc« nicht sicher be- stimmen. Wenn aber der Probst von Santok der Verfasser der Chronik war, so konnte er als Pole wohl nur in den Jahren 1365 — 1370 die Probstei erlangt haben, da damals Santok, das nach 1296 an Brandenburg gefallen war, als Lehen an Polen kam und somit auch mit dem Bisthum Posen von neuem vereint wurde. Der Verfasser schrieb also zwi- schen 1365 und 1395, oder wahrscheinlich zwischen 1365 u. 1370. Dass er an der nördlichen Grenze des Reiches ge- wohnt habe, zeigt auch seine Bekanntschaft mit den nördli- chen Slaven, sowie mit den dortigen Städten, deren deut- sche und slavische Benennungen ihm bekannt waren. Er ist wohl auch in Lübeck gewesen, ebenso wie in Böhmen, wo er die Chronik des nach 1314 schreibenden Dalimil kennen lernte und wahrscheinlich auch in Krakau, von wo er die Sage von Walter und Helgunda mitbrachte. 51. — S. Kermiskı: 0 funkeyach Fuchsa dwu zmiennych zespolonych (Sur les fonctions de Fuchs à deux variables compiexes). Le present mémoire s’oceupe des fonctions définies par le prof. Fuchs, en 1880, (Note I, Nachrichten der k. Gesell- schaft der Wissenschaften zu Göttingen), au moyen de solutions d’&quations différentielles, homogènes, du second ordre, aux coefficients rationnels et de la même manière qu’on le fait pour les fonctions abéliennes, au moyen de fonctions algébriques. En effet, y,, y, étant des intégrales d'équations différen- tielles, les équations | Y1 de + \ Y2 de=u, (4 1 2 RÉSUMÉS 289 m a Je, t, déterminent z2,, 2, comme fonctions des variables %,, , et les expressions symétriques 2+2, = F(u;,u), 22 — Æ,(u,w:) présentent les fonctions demandées, que l’auteur appelle simple- ment fonctions de Fuchs, à deux variables. Le but que M. Fuchs s'était proposé consistait à déterminer les conditions nécessaires et suffisantes pour que #, F, soient des fonctions uniformes. Pourtant quelques inexactitudes se sont glissées dans l’un de ces mémoires (Über eine Klasse von Functionen mehre- rer Variabeln, welche ete., Crelles J. t. 89.) ainsi que dans la thèse de doctorat de M. Lohnstein („Über lineare homo- gene Differentialgleichungen, welche ete.“, Berlin, 1890). En outre, cette dernière contenant quelques restrictions superflues qui rétrécissent la généralité du raisonnement, il en est résulté un doute relativement à l'étendue de l'existence des fonc- tions A, F, ainsi qu'à la question de savoir s’il n'existe d'autres équations différentielles conduisant aux fonctions F,,F,, en dehors de celles qu'ont fait connaître les deux au- teurs nommés. L'auteur a entreprit de soumettre à une critique rigoureuse les résultats en question. Se basant sur les conditions de M. Fuchs,qui sont indispensables pour que les fonctions Æ, F, soient uniformes (Über Functionen zweier Variabeln ete.“, Abh. der k. Gesellschaft d. W. zu Göttingen, 1891) et ensuite sur le théorème de M. Fuchs, qui expose les conditions sous lesquel- les les équations différentielles possèdent des solutions algé- briques, l’auteur démontre qu’en effet un cas particulier im- portant a été omis dans les travaux que nous venons de citer, qu'en dehors de ce cas et en dehors des exemples connus et cités par MM. Fuchs et Lohnstein, il n'existe pas d’équa- tions différentielles aux coefficients rationnels conduisant aux fonctions fuchsiennes #,, F, uniformes. La question peut dorénavant être considérée comme résolue. 290 RÉSUMÉS 52. — A. Wırkowskı: ,,0 wlasnosciach termodynamicznych powietrza“. (Proprietés thermodynamiques de Vair atmosphérique). Ce mémoire doit être considéré comme la suite des re- cherches sur la dilatation thermique et sur la compressibilité de l'air, présentées à l’Académie, en 1891 1). Il contient une relation détaillée des expériences et des calculs, portant sur la chaleur spécifique de l’air et ses variations. 1. Méthode calorimétrique et description de l'appareil. Ayant en vue la détermination de la cha- leur spécifique aux températures très basses, l’auteur a modi- fi& en quelques détails le calorimetre à eau, employé dans un but semblable par M. M. Régnault et E. Wiedemann. La quantité de gaz est mesurée directement par la balance; à cet effet on comprimait l’air pur et desséché dans des flacons ré- sistants, en acier ou en cuivre, jusqu'à 80—100 atmospheres. On employait des masses d’air, variant de 13 à 60 grammes. Pour éliminer l'influence des variations de température que le gaz éprouve en passant de la chaudière (réfrigérant) au calorime- tre, on mesurait directement la température de l’air à l'entrée au système des tubes plongés dans l’eau du calorimètre. Pour ces mesures on s’est servi d’un couple thermoélectrique, com- posé de fils très fins, en cuivre et nickel. On obtient ainsi la petite différence des températures du gaz et de la chaudière (réfrigérant), tandis que la température de cette dernière est de- terminée au moyen d’un thermomètre à hydrogène. Pour ob- tenir la température exacte du courant de gaz, à l'abri des radiations des corps environnants, l’auteur a fait usage d’un principe, appliqué dans les thermomètres-frondes et dans la methode thermométrique dite „d’aspiration“. L'appareil se compose de deux parties indépendantes: le calorimètre avee son enveloppe, et la chaudière jointe au 1) Voir ce Bulletin, Mai 1891. VE un wm ge an io “ „ep FA 299 RÉSUMÉS système des tubes métalliques, où a lieu l’égalisation des tem- pératures du gaz et de l’eau. La fig. 1 et 1, en montre la disposition : k, calorimètre en argent; volume: 250 em; poids: 98,310 gr; z, son enveloppe à double paroi, contenant de l’eau, iso- lée à l’extérieur par une couche de coton et de papier; M, agitateur et sa tige, dont le mouvement est entretenu par un pendule; T, thermomètre à 0'02°, comparé au thermomètre nor- mal à hydrogène; A, trembleur électrique; t, Ü, thermomètres secondaires; D F, tube en laiton, livrant passage au couple thermo- électrique, fermé en # à la glue-marine; 9, petit réservoir à eau, pour protéger le ciment contre le froia; A, B (fig. 1a), soudures du couple; W, thermomètre à hydrogène: S, système de tubes en argent, remplis de fil en argent très fin et comprimé: C, tube en verre, à mince paroi, joignant DFetS, collé en D à la colle de poisson, en 8, à la cire; s, (fig. 1a) tube en argent, très mince et hautement poli, destiné à transmettre le gaz de D à S, joint à la flanche r, également en argent; à cause de la conductibilité de l'argent la température de s diffère très peu de celle de la chaudière; à son extrémité inférieure on voit la soudure B, du couple attaché au moyen d’un fil de cocon à une mince traverse d'argent poli, soudée à l’orifice de s, et destinée en même temps à protéger la soudure contre le rayonnement de 5; p, serpentin en cuivre, 1 m de longeur, d’un diamètre intérieur de 2 mm environ, communiquant, d’une part avec l'intérieur de D F, par l’orifice w, d’autre part (par un tube épais de caoutchouc), avec: P', ou sont joints les flacons contenant l’air comprimé, et avec: N, conduisant à un manomètre à mercure, de construc- tion simple: RESUMES 293 f, refrigerant auxiliaire dont on fait usage en opérant avec l'oxygène liquide, pour refroidir d’avance le gaz au moyen d'acide carbonique solide; R', réservoir en verre, contenant la matière refroidissante (acide carbonique solide et éther, ou bien l’éthylène ou l’oxy- gène liquefie); À, enveloppe isolante en verre. 2. Résumé des résultats. La signification des diverses colonnes dans le tableau ci- joint est la suivante: I, masse de l’air en grammes; Il, masse équivalente du calorimètre, réduite à l’eau; III, vitesse du courant de gaz, en grammes par minute; IV, élévation de température du calorimètre, par minute, avant et après l'écoulement du gaz, en 0,0001° C. V, durée de l'écoulement (de la chaleur, pour parler avec plus de précision) en minutes; VI, températures du calorimètre, initiale et finale (cor- rigées) ; VII, élévation totale de la température du calorimètre (corrigée), en degrés C; VII, différence de température du thermomètre à hydro- gène et de l'air entrant au calorimètre, indiquée par le galva- nomètre, en degrés C; IX, température initiale et finale de l’air, en degrés C; X, chaleur spécifique c, de l'air, à pression constante, peu différente de celle de l’atmosphère, calculée d’après les données de Bartoli et Stracciati, en calories 15°. XI, la même, valeurs moyennes. voir table I. pag. 294.) On a donc: der REDON cr —=n0,2372 de — 77 à + 16%... c, = 0,2374 de — 102 à + 17°... c, = 0,2372 de 170% —,18%.... ec, =: 0,2427 L’auteur conclut, que la chaleur spécifique de l’air,ä pression constante atmosphérique, est indépendante de la tem- 204 RÉSUMÉS | I | Il jun | IV | Y | VI 30,9966 | 244,602 [17,81 436| 178 [2,5 [17,444 | 29.0050 | 243,233 [1451| 305 179 [2,5 | 18,192 98.6766 | 245,394 l195| 364, 132 [2.5 | 18,898 39.6677 | 243.634 |119| 4355| 140 [40 [15.912 | 37.9241 | 245,035 [1905| 4296| 176 |25 | 18,950 13.9628 | 244.613 | 68| 3883| 310 [25 | 18/483 228137 | 244,613 |224| 310 177 |1,5 | 19,985 13.5829 | 212,004 |17,8| 488) 186 130 | 18,390 42.0960 | 245,651 |[141| 488) 168 [335 [18,135 37.8245 | 246,311 |ı95| 371) 110 [25 | 16,550 37.3140 | 244.572 |16.1| 4441| 166 |35 [16331 35.9751.| 244.928 [1190| 422 135 [335 |17217 34.8900 | 242,864 |16,1| 372| 118 |3.0 | 17,933 33.2050 | 245,282 | 16,1 | — 474| —137 |3,0 | 15,333 31.5150 | 245,108 [17.8 |-— 655 | —294 |25 | 16,841 30.8105 | 244.678 | 17,8 |— 656 | —295 [2,5 | 16.439 36.9644 | 244,900 | 16,11 — 623) —236 |3,5 | 17,339 41.3894 | 244.221 |17,8|- 684) —232 | 3:95 | 18,998 38.7752 | 244,698 | 17,8|-- 607 | —159 [30 | 18,530 28,1913 | 231.881 | 12,9] — 718 | 3232 3,02 sr 42,5293 | 242,867 | 14,7 | — 700 | —209 | 3,6 | 18,183 32,7068 | 244,477 | 13,2 | — 500| —105 |3,5 [17,111 25,1471 | 241,115 | 13,2] = 794| --359 |2,5 114899 31,5668 | 249,563 | 14,7 | — 608 | —159 | 3,0 | 16,582 37,5887 | 250,459 | 13,2] — 694 | —183 |3,5 | 17,582 36.5490 | 241,241 | 9, |— 692 | —137 |4,5 | 19,286 34,7109 | 239,144 | 15,5 | — 807| —ı99 |3,0 | 18,585 49.8522 | 240,536 | 13,5 | — 974 | —143 [5,0 | 20,645 46,5155 | 246,813 | 14,1 | —1042| —302 [4,0 | 18,615 42,5208 | 239,541 | 13,7 | — 807| —168 [4,0 | 17,782 53,369 | 241,330 | 15,4 | — 985 | —134 |45 | 20,365 48,8842 | 253,829 | 15,3 | — 894 | —195 |4,0 | 20,162 61,0257 | 242,628 | 15,3] — 896 | + 89 |4,6 | 20,827 {11221 | —214 |4,0 [19,930 2 |—1063 — 12 13,5 [20,977 7 |—1186| +130 [3,5 [20,388 5,3 [—1032 | —619 [30 |21,435 35,1263 | 245,201 |1 341221 | 240,587 |1 31,7672 | 240,533 |1 30,4962 | 240,812 |1 5, 4 RÉSUMÉS 295 vi | vor | van | EX | NT '19,909| 2,388l 1,771 97,75 18,57|0,2379 | 20,490| 2,225 1,79 | 97,54) 19,23|0,2381 21,110! 21561 1,661 97,55 19.8510,2373 | 119,107| 3,080| 2,041 9721| 17,44[0,2371 121,874| 2,849 142| 97 81 20,33|0,2374 ı9,628| 1,058| 1.98] 97,43| 19,02|0,2362 21,692! 1.670| 1.42] 97,99, 20,6610.2366| | 0,2372 21,804| 3,313] 1,57| 97,70) 19,95[0,2365 21,411| 3,161 1.92) 97,57, 19,67|0,2366 19.544| 2,934| 1,60| 98,20) 17,96|9,2380 119,357| 2919| 1,2| 98,32] 17,73|0,2373 20,073] 2,758| 1,68| 97,99, 18,55[0,2362 20,696] 2,689| 1,98] 97,76. 19,19|0,2381 12,284 | —2,957 | —1,68| —78,11|-+14,05|0,2371 | 13,855 | —2,867 | —1,10| — 78,70 +15,54|0.2366 113,523 192,797 | —1,29| — 78,31! 15,14|0,2377 13,823 | —3,365 | —1,14| —77,76,+15,74[0,2384 ‚15,010[—3,839 | —1,54| — 78,36 +17,15[0,2373 0,2374 114,872 |—3,543 | —2,80| — 76,70 + 16,88|0,2388 111,762|—2,593| —1,40| — 77,43 +13,28|0,2328 | 114,132|—3,888| —1,94| — 76,80 + 16.26|0,2380 | 14,074|— 2,931 | —2,64| — 75,78 +15.65[0,2396 1,8861 2,869 | —1,33| — 102,65 +13,58[0,2367| 119,939 | 3,528 | — 1,87 | 101,82, +14,96|0,2388 113 2350| 4,179 | 1.94 | 101,744 15,56|0.2374 114790|—4.310| —2,14|— 101,514 17,09[0,2398 14,330 | —4,104 | —1,57 | —102,05 + 16,59|0,2383 114,471 |--5,893 | — 1,60 |— 102,654 17,92 n 2357| : 0,2372 '13,072|—5,274| —1,55 | — 102,27 | + 16,06|0,2364 12,656 | —4,931 | —1,72 | —102,07|+ 15,42 113,880 |—6,233 | —1,69 | — 101,84 | + 17,33 [0,2364 14514 | 5,430 | — 2.01 | 101,49 +17,55[0,2368 13,565 | — 7,076 | —2,02 | —101,61|+17,44|0,2362 13,250 | —6,393 [12,8 |—169,7 |417,31[0,2386 13,769| 6,420 1163 |—1662 |+417,59|0 2469|| 49457 114,044 | 6.159 1— 7,74 | 174.76 +17.790,2421 2 | 15,888 | —5,861 | —11,55 | —170,95 + 18,87 02137|] 206 RÉSUMÉS pérature. L’elevation de 2°/, qu'on a observée aux plus bas- ses températures est due, selon l'opinion de l’auteur, au petit ex- ces de pression (48 cm de mercure environ) nécessaire pour entretenir le courant de gaz dans le système des tubes S. En effet on verra plus loin que l'influence de la pression sur la chaleur spécifique, est bien plus considérable aux températu- res basses (0,03 par atmosphère à — 144°), qu'à la tempéra- ture ordinaire. 3. Variations de la chaleur spécifique à pression constante (c). Dans son mémoire cité sur la dilatation et la compressibilité de l’air, l’auteur a donné les valeurs des coëfficients x et 7,, pour calculer le volume de l'air, au moyen de la formule suivante: N (14.0) p 4 signifie le coëfficient de dilatation moyen de 0° a 60, à pression constante p; c'est une fonction variable de 9 et p. % est une fonction de p, dite couramment le coëfficient d’Amagat, réduit à 0°. On trouve les valeurs de « et 7, aux p. p. 185 et 186 (Bulletin, Mai 1891). En différentiant deux fois la formule précédente, par rapport à la température 9, on obtient D. p 20! pi on À l’aide d’un calcul graphique l’auteur a trouvé les valeurs Où DE de —- et — "0 06 en fonction de 9, de — 144° à 0°. Soit £ la température absolue, correspondante à 0. On a les relations bien connues: t—0+273, et t (? 0% a & pour diverses pressions de 15 à 130 atmosphères, =. — — RE ES Un FU u FT ” RESUMES 297 c, est la chaleur spécifique à pression constante atmos- phérique, qu'on doit regarder comme une constante 0,2372 ($. 2.); m et J sont la masse du gaz et le coëfficient de Joule. Il suffit de calculer les valeurs de l'intégrale (par voie d'intégration mécanique) pour obtenir les valeurs de c,. Voici un tableau abrégé des résultats obtenus par l’au- teur, (dans le mémoire, auquel se rapporte ce résumé, on trouve les données numériques, correspondant aux différentes opéra- rations du caleul): Table II. | | = | —1400 | — 130° | —120° | — 100° | —500 | | P Valeurs de 1000 c, 10 408 202272 258 244 20640 1397 322 283 252 30772993 536 389 309 262 40 2607 873 479 334 274 50 | 1826 614 363 | 286 Dot ae 1905 802 408 300 70 = 1855 | 777 469 | 312 Une représentation graphique de ces résultats se trouve sur la pl. I, sous la forme de courbes isothermiques de c,, considéré comme fonction de la pression p. On remarquera, que la chaleur spécifique augmente, en même temps que la pression et d’autant plus rapidement que la température est plus basse. Elle atteint un maximum, pour une pression qui est particulière à chaque température, et diminue ensuite. Il semble que pour des pressions encore plus élevées les varia- tions de c, s’annulent presque entièrement. À l’état critique il doit être c, = © comme cela résulte d’un théorème connu de la thermodynamique. Récemment M. Lussana a mesuré les chaleurs spécifiques des gaz comprimés, à pression constante (Nuovo Cimento, Bulletin VIII. 3 298 RÉSUMÉS 1894— 95) à des températures élevées. Il trouve une variation semblable de c, avec la pression; cependant l'influence de la température est de signe contraire à celle que j'ai trouvée aux températures basses. 4. Coëfficient de la pression & volume constant. Pour obtenir d’une manière semblable les va- riations de la chaleur spécifique à volume constant, il faut étudier d’abord les variations de la pression, causées par une variation de température, a volume constant. Imaginons une quantité d’air, comprimé à une densité égale à o fois la den- site normale (à 0° et 760 mm). Soient p, et p les pressions à 0° et 0°; on aura: p=m (+8) Po — Po L'auteur a calculé les valeurs du coëfficient 6, d’après les données de son mémoire déjà cité; il trouve: Table III, | | 28 | “| 0 s0 | 100 120 ) Valeurs de 100000 ß +100° | 386 | 406 | 426 | 447 | = | — — 78,50 387 | 409 | 431 | 452 | 474 | 496 —103,5% 389 | 412 | 435 | 457 | 480 | 501 —1300 | 392 | 416 | 439 | 462 | 484 | 505 —1400 | 394 | 420 | 444 | 467 | 490 | 513 —145° | 396 | 424 | 449 | 479 | 495 | 517 On remarquera que le volume restant invariable, la pres- sion augmente avec la température à peu près suivant une ligne droite (loi approximative de Ramsay et Young); en effet les valeurs de ß sont peu variables, quand la température s'élève, mais beaucoup, si l’on augmente la densité du gaz. RÉSUMÉS 999 5. Variations de la chaleur spécifique à volume constant. En premier lieu on pourrait songer à faire usage de la relation thermodynamique oc, t 0%» dv Im 06 > mais, comme il a été remarqué au $. 4., la courbure des lig- gnes p=f (t) est si faible, qu'il est difficile d’arriver par cette voie à des résultats numériques assez sûrs. L’auteur a préféré dériver les valeurs c, de celles de c,, au moyen de cette autre relation générale : 9p\” art G TFT an Ov On obtient aisément les . des valeurs de ß ($. 4), ou preferablement d’une table contenant les valeurs directes 9 p=f (6). Quant à la dérivée = (d=const.) on la trouve à l’aide du diagramme des valeurs de n (l. e. pl. II); en effet De cette maniere l’auteur a caleul& les valeurs de c,, pour les différentes densités de o=10 à po —100 et pour une série de températures de 0° à —140°. La fig. 2. montre les résultats: les points marquent les valeurs de c, données par le calcul. La chaleur spécifique y est représentée en fonction de la pression, au moyen des lignes isothermiques. Il paraît que les variations de la chaleur spécifique à volume constant obéissent, avec une grande appro- ximation, à une loi de simple proportionnalité aux variations de la pression. En effet, on déduit de la fig. 2. les expressions suivantes : 300 RESUMES Fig. 2. c, = 0,169 + 0,0135 (p—1) = —135° oc, = 0,169 + 0,00722 (p—1) = —130° c, = 0,169 + 0,00432 (p—1) 0 = —103,5° c, = 0,169 + 0,00056 (p—1) = —78,55° c, = 0,169 + 0,00038 (p—1) d= —35° c, = 0,169 + 0,00024 (p—1) 902 c, = 0,169 + 0,00008 (p—1) M. Joly a étudié d’une manière directe les variations de c, aux températures élevées (Phil. Transact. London, vol. 182, 185, A). Il trouve par exemple, à la température moyenne de, 150%: e, = 0,1715, pour p = het c, - "0 212 pression moyenne de 19,51 atm. Il en résulte un coëfficient de variation, égal à 0,00003 par atmosphère, ce qui s’accorde bien avec les valeurs susdites. RÉSUMÉS 301 6. Rapport de c, à c,. Calculons en dernier lieu les valeurs de k=e,:c, à l’aide des données précédentes. On les trouve dans la table suivante (p. 302): Fig. 3. Pour se former une idée claire sur les variations du rapport il est préférable de le représenter en fonction de 302 RESUMES Table IV. = 10 20) 20 50! 60. 80 | 100 ] Valeurs de k 0 |1.42| 1.43 | 1.44 1.51 | 1.53 1.55 4.60 on \142|143\145 | 1.51 \1.53.|1.55 | 1.61 —40 |1.42 | 1.48 | 1.46 | 1.53 | 1.55 | 1.57 | 1.65 60 | 1.42 | 1.44 | 1.49 | 1.55 | 1.58 | 1.61 | 1.72 _ go | 1.42 | 1.45 | 1.50 | 1.58 | 1.64 | 1.69 | 1.85 __100 | 1.44 | 1.47 1.53 163 171 1.80 | 2.10 —120 | 1.45 en 1.92 | — —140 | 1.38 | 1.41 | 1.46 | 1.50 | 1.54 | 1.70 | 1.80 | la température, la densité o restant constante, On trouve sur la fig. 3. un diagramme de ce genre (les valeurs calculées y sont marquées par des points) Aux températures élevées les variations de Æ sont très faibles (Wüllner trouve: k=1,40289 à +100, et 1,40526 à 0%); cependant % augmente toujours, quand la température s’abaisse, et d’autant plus rapidement que le gaz est plus dense. À une température voisine de — 120°, % atteint un maximum, pour diminuer rapidement ensuite. On sait qu’à l’état critique il est: k=»®. Laboratoire de physique de l'Université de Cracovie, Octobre 1895. 53. — S. Nıementowskı & B. Orzrcaowski: Syntezy zwiazköw chinolino- wych z kwasu antranilowego i aldehydöw. (Synthesen der Chino- linderivate aus Anthranilsäure und Aldehyden). Die Ab- handlung bildet die Fortsetzung der unter dem Titel: „Synthesen der Chinolinderivate‘ vor zwei Jahren von Niementowski publicierten Arbeit (Rozprawy.... t. XXVIII. 13). Es wurde die Darstellung der y-Oxychinolinderivate aus Anthranilsäure und aliphatischen Aldehyden angestrebt. Nur Bat Bulletin international de !’Academie des Sciences de Cracovie, 1895, p.297. [l | | AS N I ee | | LE ds = 2; ue RSR 1 il = — = = Er er I SES | SEEN) ES = En Eu |" = J > 1 | | | | | en 1 I | — | a ji N | | 4. — 4 1 | | —— her A.Witkomski. | | RESUMES 303 in einem einzigen Falle wurde das Ziel erreicht, sonst ver- liefen die Reactionen entweder im Sinne der Döbner & v. Miller'schen Chinaldinsynthesen , oder es entstanden Schiff’sche Basen, die derartig unbeständig waren, dass sie als Ausgangs- material für weitere Condensationsprocesse nicht verwendet wer- den konnten. Die Verfasser beschreiben: Aethylidenanthranilsäure C,H,NO, als eine in Anthranilsäure und Aethanal sehr leicht zerfallende Mat- terie: 0,H,N0,+H,0=C,H,NO,+CH; . COH. Triehloraethylidenanthranilsäure C,H, NO,Cl, dargestellt aus Chloral und Anthranilsäure. Krystalli- siert nach Messungen von A. Fock in rhombischem System. Schmilzt bei 152°. Unter dem Einflusse der Säuren oder Alka- lien zerfällt analog der vorhergehenden. Propylidenanthranilsäure C;,H,,NO.. Erstes Einwirkungsprodukt von Propanal auf Anthranil- säure. Gelbes amorphes Pulver, schmilzt zu bernsteingelbem Oele bei 110—115°, entwickelt reichlich Gase bei 140—145°, Löslich in Alkalien, unlöslich in Mineralsäuren. 8-Methyl-:-Aethyl-Chinolin-o-Carbon- säure 0,H,NO,. Entsteht als weiteres Condensationsprodukt von Propa- nal und Anthranilsäure nach der Gleichung — COOH CH, +2CH, . CH, . COH = NH 2 COOH N FINIS C—C,H =2H0+H+ | J&_cH. NT an Blassgelbe Nadeln. Schm. 221°. Zeigt gleichzeitig basi- schen und sauren Charakter. In organischen Solventien meist schwer löslich. 304 RESUMES Als Nebenprodukt entsteht bei dieser Reaction eine gla- sige Masse von der Zusammensetzung der Schiffschen Base __COOH CH— CH, —CH, CH, | moon ß-Methyl-x-Aethylehinolincarbonsäure zerfällt bei der trocknen Destillation in Kohlensäure und das bei 56° schmelzende ß- Methyl-z-Aethylchinolin von F. H. Kugler. (Ber. d. deut. chem. Ges. XVII. 1714). Polymere Heptylidenanthranilsäure Cs, H,,N,O,. Entsteht als erstes Einwirkungsprodukt von Oen- anthol auf Anthranilsäure. Nadeln. Schm. 183°. Besitzt wahr- scheinlich die Structur: — COOH CHI N EL CRECREC ES | — NH —CH—C,;H,;; C,H,— COOH Bei längerem Erhitzen geht in monomolekulare Form der Heptylidenanthranilsäure C,,H,,NO, über. Grosse Krystalle aus Aether. Schm. 93°. Löslich in Al- kalien, unlöslich in Säuren und Wasser. Stellt die normale Schiff- sche Base vor: — COOH C,H,— N —-CH . GH»: 8-Amyl-x-Hexylehinolin-o-Carbonsäure. Entsteht aus der vorhergehenden Verbindung unter dem Ein- flusse von Alkalien, Säuren, Essigsäureanhydrid, Oenanthol ete. COOH Coon De COOH 2 | z | & C-H + | + NEN NN "= NAN RESUMES 305 Krystallisiert nach Messungen von A. Fock rhombisch. Schm. 69%. Lüst sich in Alkalien und Säuren zu sehr unbe- ständigen Salzen. Über Zinkstaub oder trocken destilliert zerfällt die Säure in Kohlensäure und 6-Amyl-z-Hexylchinolin (Sdpkt. 355°C.), wel- ches sich als identisch erwies mit der gleichnamigen Verbin- dung von Doebner u. v. Miller (Ber. d. d. chem. Ges. WII 1719). -Oxy-ß-Amylchinolin entsteht bei 200°C aus Heptylidenanthranilsäure. Schm. 93°. N BUNT NYN | CH En a, Fo Seideglänzende Nadeln. Schm. 85°. Verbindung C,, H,N, O, wurde ein einziges Mal in minimaler Menge bei der Condensation der Anthranilsäure mit Oenanthol aufgefunden 2C,;H;NO,+C,H,,0=0,,H,,N;,0,+3H,0+H, Strohgelbe Nadeln. Schm. 243°. 54. — J. Grzysowskı. Mikrofauna utworöw Karpackich. I. Otwornice czerwo- nych itöw z Wadowic. (Die Mikrofauna der Karpatenbildungen. I. Die Foraminiferen der rothen Thone von Wadowice). Der Karpatische Flysch, für welchen der ausserordentliche Mangel an Versteinerungen so characteristisch ist, indem ausser der Kreideversteinerungen und seltenen Numuliten bis vor kur- zer Zeit keine anderen Fossilien bekannt waren, besitzt doch eine verhältnismässig reiche Mikrofauna, die mehr oder weni- ger reichlich in allen Horizonten verborgen liegt. 306 RÉSUMÉS Dieser Mangel an Versteinerungen gab wenn auch nicht in den Karpaten, so doch im Flysch-Gebiet Herrn F. Karrer Veranlassung, zu versuchen, ob es nicht gelinge „durch vorsichtiges Schlemmen der in der kalkigen Zone des Wiener- sandsteins mitunter nicht unbedeutenden mergeligen Zwischen- lagen, wenigstens kleine mikroskopische Organismen, namentlich Foraminiferen zu erlangen“. Der Erfolg war aber für ihn kein besonders günstiger. (Sitzungsberichte der Akad. d. Wiss. in Wien. Bd. 52). Prof. Rzehak aus Brünn erlangte beim Untersuchen der Sandsteine vom Waschberge und Michelsberge bei Stockerau sowie der grünen Thone von Nikolschitz in Mähren bessere Resultate, die er in einigen Notizen in den Verhandlungen der geolog. Reichsanstalt (1887, 1888), wie auch in den Annalen des natur-historischen Hofmuseums (1888, 1891) veröffentlichte. Aus den galizischen Karpaten hatte zuerst Prof. Uhlig die bartonisch ligurische Mikrofauna aus Wola tuzañska (Jahrbuch der geolog. Reichsanstalt 1886) und später Grzybowski die gleichalterige Mikrofauna aus Folusz bei Dukla (Rozprawy Wy- dzialu matem.-przyrod. Akademii Umiejetnosei w Krakowie 1894. T. XXIX) beschrieben. Einer Subvention des galizischen Landesausschusses und dem Beistande des Prof. Dr. Szajnocha verdankt der Verfas- ser, dass es ihm möglich war, die mikrofaunistischen Studien weiter fortzusetzen und eine reiche Mikrofauna aus verschiedenen Horizonten der Karpathen zu sammeln. Der Verfasser gedenkt das Material nach und nach zu bearbeiten, zunächst für die von anderswo besser charakterisierten Horizonte, um auf diese Weise, den Überblick und Vergleich verschiedener Faunen zu ermöglichen. Die vorliegende Arbeit betrifft die rothen Thone von Wadowice und bildet den erstan Theil dieser Studien. Das Material von Wadowice wurde bei Gelegenheit des Abbaues eines daselbst auf vermuthetem Kohlenlager angelegten Schachtes erlangt. Der Schacht, gegen 500 m. südwestlich vom Gerichtsgebäude in Wadowice entfernt erreichte 8% m. Tiefe und durchteufte von oben an folgende Schichten: - RESUMES 307 — bis 26 m. Dünnbankige glimmerhaltige Sandsteine mit Zwischenlagen von sandigen Thonen; im Liegenden seltene Sferosideritknollen. (Die Schichten treten unweit am Abhange eines kleinen Hügels zu Tage). 26—64. Graue Thone mit Zwischenlagen von weissen Mergeln und grünen glänzenden Thonen, die zahlreiche Piryt-Knollen von Sand- bis Faustgrösse führen. 64—70. Rothe Thone mit seltenen Zwischenlagen von weissem zuckerartigem Sandstein. 70—80. Schwarze glänzende Letten. von 80. Menilitschiefer. Das Streichen in dem Schachte war h. 14 mit geringem südlichen Fallen. Für die grauen Thone mit Mergeln und Eisenkies ist ein analoges Auftreten in Bezmichowa bei Lisko in den Mittel- Karpaten bekannt, wo auch über den rothen Thonen, graue Mergel mit Eisenkies abgelagert sind, In den rothen Thonen, die eine compacte rosenfarbene Masse bilden, wurde ein Bruchstück eines Belemniten gefunden, der gewiss von anderswoher eingeschlemmt war. Die schwarzen bituminösen Schiefer, die schon zu den Menilitschiefern gezählt werden müssen, enthalten seltene, aber gut erhaltene Fischreste. In den Sammlungen des geologischen Universitätsinstituts zu Krakau befindet sich ein 2 em. grosser Lamnazahn und eine Kopfplatte von Echeneis sp. (45 cm. lang 1:5 breit) in zwei Exemplaren, beide vom Prof. Dr. Szajnocha bestimmt. Die Menilitschiefer, die das Liegende im Schachte bilden, sind kalkig, hellchocoladefärbig, verwittern weiss und haben hie und da parallell verlaufende Streifen, ohne jedoch Hornsteine zu enthalten. Erst gegen 1:5 Km. weiter westlich, sieht man, in Chocznia, da wo der Weg nach Kenty den Choczewkabach passiert, dieselben Menilite, die auch dasselbe Streichen H. 14. S. 15°. zeigen, hier aber typisch entwickelte Horn- steine besitzen und gewiss die Unterlage der in dem Schachte entdeckten Menilitschiefer bilden. Fischreste, wie lose Schup- pen, Flossstacheln u. s. w. sind darin nicht selten vorhanden. 308 RESUMES Die Foraminiferen wurden hauptsachtlich in den rothen Thonen wie auch in den höherliegenden Mergeln und pirythaltigen grünen Thonen gefunden. Von den 112 bestimmbaren Arten ent- fallen auf die rothen Thone 77, auf die Mergel 44; gemeinsam haben beide Horizonte nur 9 Arten. Sämmtliche Arten gehören zu 39 Gattungen, die alle von Brady unterschiedenen Familien mit Ausnahme der: Gromidae, Chilostomellidae und Nummu- litidae repräsentieren. Es folgt das Verzeichnis der bestimmten Arten mit der Angabe der Häufigkeit ihres Vorkommens und ihres Lagers. r. T. = rother Thon, M. = Mergel, s. s. = sehr selten, 8. = selten, h. = häufig, s. h. — sehr häufig. Nubecularia tibia Jones et Park. r. Th. s. s. Kerammosphaera irregularis n. sp. M. s. h. Psammosphaera fusca Brady. r. Th. s. s. Saccammina sphaerica Brady. r. Th. h. Hyperammina dilatata Rzk. r. Th. s. s. 2 vagans. Brady. r. Th. h. nodata. n. sp. r. Th. s. Rhabdammina abyssorum. Brady. r. Th. h. ni annulata Rzk. r. Th. s. A subdisereta. Rzk. r. Th. h. = linearis. Brady. M. s. Rheophax ovulum. n. sp. r. Th. h. a duplex. n. sp. r. Th. s. ss pilulifera. Brady. r. Th. s. 8. N lentieularis n. sp. r. Th. M. =. s. guttifera. var. scalaria. n. sp. r. Th. =. s. Halo rit turpe. n. sp. M. =. Wazaczi. Rzk. r. Th. =. s. er (Reussina) quadrilobum. r. Th. s. 8. r (Reussina) bulloidiforme. r. Th. s. Ammodiscus involvens. Rss. r. Th. s. a angygyrus. Rss. r. Th. s. : polygyrus. Rss. 5 spare DNS RESUMES 309 Ammodiseus sp. r. Th. s. à choroides. P. et Jon. M. h. gordialis. P. et Jon. M. s. à fallax. Rss.) 6 Th,s."s. : Schoenanus Siddall. M. 5. s. aberrans. Jon. M. s. s. nan dubiaèn sp2. The ss 24 Th, ss, 8. Trochammina subglobulosa. n. sp. M. s. subcoronata Rzk. M. s. n = intermedia. Rzk. r. Th. s. M. =. 5 acervulata. n. sp. r. Th. 8. s. : pauciloculata. Brady. r. Th. h. a Carpenteri. n. sp. r. Th. s. =. Cyelammina suborbieularis. Rzk. r. Th. h. M. =. 5 retrosepta n. sp. r. Th. h. M. h. . setosa n. sp. r. Th. =. =. globulosa. n. sp. M. =. Penn attenuata Rss. r. Th. s. 5 subhaeringensis. n. sp. r. Th. s. 5 flabelliformis. Gümb. r. Th. h. & calin \sps/r&Th.8.48: Plecanium sublime n. sp. r. Th. =. =. Verneullina abbreviata Rzk. r. Th. s. h. 5 Szajnochae. n. sp. r. Th. s. h. Bigenerina fallax. Rzk. r. Th. h. ; nuda#n%ep:er#Th: 8:18 Spiroplecta lenis n. sp. M. h. : deflexa n. sp. r. Th. s. Gaudryina pupoides d’Orb. M. s. : chilostoma Rss. M. s. s. à Schwageri. Rzk. M, =. Clavulina subparisiensis n. sp. r. Th. s. s. Ataxophragmium conulus Rzk. M. s. s. Virgulina digitalis. n. sp. M. s. Pleurostomella wadowicensis n. sp. r. Th. h. à Zuberi n. sp. r. Th. h. 310 RESUMES Pleurostomella sp. r. Th. s. Lagena subapieulata n. sp. r. Th. s. globosa d’Orb. r. Th. s. d’Orbignyana Seguenza. M. 5. s. (Cidaria) cidarina. r. Th. =. s. » (Cidaria) coronata r. Th. s. Nodosaria calomorpha. Rss. r. Th. s. M. s. s. pungens. Rss. M. s. simplicissima. n. sp. r. Th. s. s. cornuta. Batsch. r. Th. s. s. 5 alternans. n. sp. r. Th. s. Dentalina Boueana. d’Orb. r. Th. 8. s. subtilis Neugeb. r. Th. s. s. indifferens Rss. r. Th. s. s. laticollis n. sp. r. Th. h. n Spider VD 2528 acuticauda. Rss. M. s. a deflexa. n. sp. M. =. vermicularis. Rss. M. s. Cristellaria lunaria n. sp. r. Th. s. s. cymboides. d’Orb. r. Th. s. M. =. s. concava. n. sp. r. Th. s, s. Kochi Rss. r. Th. =. 5 abscisa n. sp. r. Th. s. Robulina Kressenbergensis. Gümb. r. Th. s. subangulata. Rss. r. Th. s. s. gracilis n. sp. r. Th. =. s. cincta Grz. r. Th. h. h pectinata n. sp. r. Th. h. Lingulina dentata n. sp. r. Th. s. s. Glandulina subinflata n. sp. M. s. Vaginulina? sp. r. Th. =. s. Flabellina n. sp. ind. r. Th. =. Polymorphina dubia. n. sp. r. Th. s. Globigerina triloba Rss. M. s. h. bulloides. d’Orb. M. s, N n n ” » ” 7 n n RÉSUMÉS 311 Sphaeroidina austriaca. Rss. r. Th. h. M. h. Pullenia communis. d’Orb. M. s. à compressiuscula var. quadriloba. Rss, M. s. Truneatulina propinqua Rss. M. s. 4 mirabilis n. sp. r. Th. s. s. 2 Hantkeni Rzk. r. Th. =. Anomalina complanata. Rss. M. s. à parvula n. sp. r. Th. s. x tenuis n. sp. M. =. Pulvinulina subcandidula. n. sp. r. Th. s. h. M. s. en megastoma Rzk. r. Th. h. \ Karreri. Rzk. M. h. „ Haidingeri. d’Orb. M. s. Rotalia Römeri Rss. M. s. „ Dunikowskii n. sp. M. h. » Niedzwieckii n. sp. M. =. aaa ee Dhs Was die Systematik und Philogenese der Foraminiferen anbelangt, so muss das Auftreten eines neuen Typus in der Gat- tung Lagena hervorgehoben werden, der in den bisher ange- nomenen Rahmen dieser Gattung nicht hineinkommen kann. Die Abweichung besteht darin, dass die Formen eine ringför- mige Wulst um den Mündungstheil der Kammer besitzen. Verf. schlägt für sie den Namen des Subgenus Cidaria vor. Bemerkenswert ist auch das häufigere Vorkommen von Haplophragmiumarten, die nach dem Globigerinentypus gebaut sind. Bisher war nur eine einzige Art dieses Typus aus den recenten Meeren bekannt: Hapl. globigeriniforme Brady. Zum Zwecke einer genaueren Präcisirung des genetischen Zusam- menhanges, schlägt der Verf. für die nach dem Globigerinen typus gebauten Haplophragmien den subgenerischen Namen Reussina vor. Was das geologische Alter der Foraminiferen Fauna von Wadowice anbelangt, so gibt es hauptsächlich zwei Horizonte, deren Foraminiferen die grösste Verwandschaft mit derselben besitzen. Es sind das nämlich einerseits die grünen Thone von 312 RESUMES Nikoltschitz, die nach Rzehak der unteren ligurischen Stufe entsprechen, anderseits die Septarienthone, also das obere Ton- grien. Gewisse Analogien giebt es auch mit den von Hantken beschriebenen Clavulina Szaboischiehten. Das Verhältniss des Auftretens der Arten stellt sich, in Zahlen ausgedrückt, fol- gendermassen dar: Mit der ligurischen Fauna von Nikoltschitz besitzt die Wadowicer Fauna 27 gemeinsame Species also 50°/, der bisher bekannten (in Wadowice giebt es unter 112 bestimmen Arten 55 neue); mit den Septarienthonen hat sie deren 21 also 370/,; mit der bartonischen Faunen 10 d. i. 17°/,; mit dem Miocen 1202772190. Die meisten gemeinsamen Formen befinden sich also in der ligurischen Stufe und in den Septarienthonen, und daraus schliessend sollte man die Wadowicer Fauna zwischen beide Horizonte und zwar dem Ligurien näher stellen. Eigentlich dürfen jedoch nur die Textulariden, Lageniden Globigeriniden und Rotaliden zum Vergleichen dienen. Die Milioliden, Astrorhiziden und Lituoliden, die in Wadowicer Fau- na eine nicht geringe Anzahl von 40 Arten vorstellen, sind in den Septarienthonen entweder gar nicht — denn drei Arten von Haplophragmium kann man nicht in Rechnung ziehen — oder wie die Milioliden durch ganz andere Gruppen vertreten. Die zu den letzten drei Familien gehörigen Arten, stellen eher eine Faciesausbildung der Fauna dar, was ja schon aus dem petrographischen Charakter der Schichten zu ersehen ist. Sieht man von diesen drei Familien also ab, so ist das Zahlenver- hältniss ein anderes, und zwar von den 35 übrigen bekannten Arten sind 10 also 28°/, mit der Fauna von Nikoltschitz ge- meinsam, mit der der Septarienthone dagegen 19 also 540/,. Diese zur Vergleichnung herangezogenen Familien sind in allen alttertiären Faunen gut vertreten, und können als besseres Vergleichsmaterial dienen. Wenn wir noch dazu berücksichtigen, dass der Wa- dowicer Fauna die Numulitiden vollkomen mangeln, und von den von früher her bekannten Arten 12 also 21°/, im Miocen RESUMES 313 auftreten, so kann man mit aller Wahrscheinlichkeit behaupten, dass die Wadowicer Fauna der unteren tongrischen Stufe an- gehört, während die deutschen Septarienthone das obere Ton- grien bilden. Wenn wir die neuen 55 Arten und ihre Verwandtschaft mit den bisher bekannten betrachten, so finden wir, dass 8 von diesen mit ligurischen, 6 mit den aus Septarienthonen, 9 mit miocenen Species verwandt sind. Mit Bezug auf die liguri- sche und tongrische Stufe, verändert sich dieses Verhältniss nach Abzug der drei bereits hervorgehobenen Familien fol- gendermassen, dass wit den ligurischon 2, mit den tongrischen Formen 5 Species verwandt sind. Damit wird auch das Überge- wicht der aus jüngeren Ablagerungen bekannten Formen sichtbar. Dieser Schluss wird auch durch die stratigrafische Lage bestätigt. Die rothen Thone liegen über den Menilitschiefern, für welche Meletta erenata als Leitfossil gilt. Die Meletta cre- nata Schichten der Alpinen Provinz entsprechen ja auch der tongrischen Stufe. Weitere Studien über die Mikrofauna der Karpatensand- steine werden uns vielleicht nähere Aufklärungen über die genauere Stratigraphie der Flyschgesteine liefern. 55. — J. Prus. 0 ciatkach Russella. (Ueber Russell’sche Fuchsin- körperchen). Angesichts der herrschenden Meinungsverschiedenheit über das Wesen der Russell’schen Fuchsinkürperchen gab sich der Verfasser, durch das Auffinden einer bedeutenden Anzahl dieser Gebilde in einer krankhaft veränderten Darmwand dazu an- gespornt, mit der genauen Untersuchung derselben ab. Die von Russell im Jahre 1890 nebst Angabe der Färbungs- methode beschriebenen, sich mit Fuchsin intensiv färbenden Gebilde wurden von ihm als Sprosspilze gedeutet, welche seiner Bulletin VIH. 4 314 RÉSUMÉS Meinung nach, von besonderer Bedeutung und characteristisch für das Careinom sein sollen. Nach der Zusammenstellung der diesbezüglichen Literatur, aus der hervorgeht, dass man den Russell’schen Körper- chen nicht nur die Behauptung ihrer aetiologischen Bedeutung nicht zuerkannte, sondern gar ihren parasitären Charakter in Abrede stellte, indem man sie bald für das Product einer be- sonderen Gerinnung des Zelleiweisses, bald für Gebilde, die bei der Fettmetamorphose der Geschwulstzellen betheiligt sind, bald für Altmann’sche Zellgranula, bald für Derivate von Zellkernsubstanz, bald für Gebilde, die von der Zerstörung rother Blutzellen abstammen, bald für Producte einer beson- deren Art der Zelldegeneration, bald endlich für Gebilde, die aus einer in den Blutgefässen vorhandenen, homogene („hyaline“) Thromben bildenden Substanz hervorgegangen sind, gehalten hatte, tritt der Verfasser an die genaue Beschreibung derjeni- gen Gebilde, welche in der Darmwand im Verlaufe der bei den Pferden vorkommenden Krankheit, [die gewöhnlich Pferde- typhus, Werthof’sche Blutfleckenkrankheit oder auch Pete- chiallieber genannt wird und sich grundsätzlich vom Bauch- typhus des Menschen unterscheidet], anzutreffen sind. Die Ursache dieser Krankheit, die sich durch zahlreiche Haemorrhagien nebst nachfolgender entzündlichen Anschwellung hauptsächlich in der Submucosa des Darmes und im Subeutan- gewebe mit der Neigung zur Gewebsnecrose auszeichnet, bilden, der Ansicht des Verfassers nach, die durch ihn entdeckten kurzen, recht dicken Baeillen, welche sich hauptsächlich im den Gefässwänden localisieren und die hyaline Degeneration derselben hervorrufen, was wieder die, während dieser Krank- heit, so oft vorkommenden Haemorrhagien verursacht. Den verschiedenen Krankheits-Stadien gemäss traf der Verfasser in der Darmwand anderartige Gebilde an, welche aber dies gemeinschaftlich hatten, dass sie sich mittelst R us- sel’s Methode schön purpurn färbten. Im Anfangs - Stadium des Typhus, (nämlich im Stadium der Hyperaemie des Darmes), kommen Gebilde von grös- RESUMES 315 stentheils runder Gestalt, I'5—2 im Durchmesser (allgemeiner gesagt, von 0:5—5u. im Durchmesser oder noch grösser) von einem hellen Hofe umgeben , vor, welche unter den Geweben einzeln, oder auch in aus einigen oder mehreren (rebilden bestehenden Gruppen von verschiedener Grösse (5—1:0 p.) und Gestalt (rund-, ei-, spindel-, halbmondförmig oder unre- gelmässig) liegen. Diese Gruppen befinden sich im Protoplasma derjenigen Zellen, die im lockeren Bindengewebe, hauptsäch- lich in der Submueosa, wie auch in den Blut- und Iymphati- schen Gefässen vorkommen. In den kleinzelligen Infiltrationen, die den Grund der Typhusgeschwüre umgeben, und im Fibrinnetze, welches sich hauptsächlich in der Submucosa ausbildet, sind von diesen oben beschriebenen Gebilden verhältnismässig nur wenige zu finden. Dafür aber sind sie sehr zahlreich in den necrotischen Herden, und zwar sowohl einzeln zerstreut, wie auch in intra- cellulären Gruppen; ausserdem freie, purpurene, ringförmige Gebilde, sowie auch Zellen, die bald mit purpurenen, vergrös- serten, oder in Gruppen zusammengedrängten Gebilden ange- füllt sind, bald grünliche oder farblose Gebilde enthalten, welche der Grösse nach den gewöhnlichen purpurenen gleichen. Nachdem sich der Verfasser überzeugt hatte, dass diese Gebilde alle morphologischen und mikrochemischen Kennzei- chen, welche den Russell’schen Körperchen eigen sind, besitzen, und zu der Erkenntnis gelangte, dass keine der vor- handenen Theorien das Wesen dieser Körperchen ausführlich erklärt, beschloss er, die grosse Aehnlichkeit der mit den be- schriebenen Gebilden genau ausgefüllten Zellen mit den eosi- nophilen Zellen im Blute des Pferdes berücksichtigend, eine Reihe vergleichender Untersuchungen in dieser Hinsicht vorzunehmen. Als es sich erwies, dass nicht nur die morphologischen Kennzeichen [die Gestalt und Grösse der Zellen, wie auch die der einzelnen das Zelleib ausfüllenden Gebilde, die Gestalt und Lage der Zellenkerne], sondern auch die mikrochemischen [die Verwandschaft zu allen saueren Anilinfarben, die Färbungs- 316 RÉSUMÉS fähigkeit mit den combinierten Methoden: Gram’s, Weigerts, Carbol-fuchsin, Kühne’s, Ziehl-Neelsen's u. a. das Sich- nichtfärben mit den gewöhnlichen Lösungen der basichen Ani- linfarben] dem Benehmeu der eosinophilen Zellen entsprechen, bezeichnete der Verfasser diese für Russel’s Körperchen be- trachtete Gebilde als eosinophile Granulationen (x Körnung Ehrlich’s), die aber mit diesen Gebilden genau aus- gefüllten Zellen als eosinophile Zellen, indem er gleich- zeitig erklärt: dass die Zellen, deren Protoplasma purpurene vergrösserrte, oder in grössere purpurene Schollen zusammen- gedrängte, oder auch grünliche oder farblose Gebilde enthält, krankhaft veränderte eosinophile Zellen sind, deren einzelne eosinophile Granulationen angeschwollen, oder die Färbungs- fähigkeit mit Fuchsin verloren haben, sich dafür entweder mit Jodgrün färben oder auch gar keine Farbstoffe annehmen. Nachdem der Verfasser die Beschreibungen und Zeich- nungen der „Kugelzellen* Goldmann’s (von Touton angegeben) mit den oben beschriebenen Zellen verglichen hatte, kam er zu der Annahme, dass Goldmann’sche Kugelzellen auch eosinophile Zellen seien. 56. — E. Jexrys: 0 wpiywie tlenu na rozklad zwiazköw azotowych w od- chodach zwierzecych. (Influence de l'oxygène sur la decom- position des matières azotées dans les excréments des ani- maux de la ferme). Dans le mémoire présenté à l’Académie, il y a deux ans, l'auteur a démontré que dans le crottin animal, se décom- posant en présence de l'oxygène, l’ammoniaque ne se forme pas, et qu’au contraire la quantité initiale d’azote ammoniacal, ordinairement très minime, diminue le plus souvent pendant la décomposition dans ces conditions. Ce fait permettait de supposer que l’assimilabilité de l’azote des déjections solides, fraîches ou décomposées, en présence de l’oxygene, est très in- RÉSUMÉS 317 suffisante, ce que les expériences physiologiques de l’auteur ont entièrement confirmé !). Cette question présentant un intérêt énorme pour la pra- tique agricole, Mr. Jentys a taché de trouver, dans ses recher- ches, les facteurs dont l'influence pourrait accélérer la forma- tion de lammoniaque du crottin et augmenter, par ce moyen l'assimilabilité de son azote. Or, il a déjà eu l’occasion d’ob- server que la quantité d’ammoniaque augmentait, quand les excréments solides se décomposaient, en l’abscence complète de l'oxygène ou dans un milieu insuffisamment aéré?). Il restait cependant encore à étudier si la mobilisation de l'azote du erot- tin peut atteindre un degré assez élevé, et si l'assimilabilité de l'azote pour les plantes augmente en effet notablement, pen- dant la conservation des crottins, en l'absence de l'oxygène. Les nouvelles expériences, organisées dans le but prin- cipal d’elucider ces questions, présentaient une bonne occasion pour l'étude continue des conditions du dégagement de l’azote gazeux, pendant la fermentation du crottin. L’auteur en a profité et le mémoire récemment présenté à l’Académie, contient les observations, sur la formation de l’ammoniaque ainsi que celles sur le dégagement de l’azote libre. Pour les nouvelles recherches on a employé du crottin de cheval tout à fait frais, provenant d’une écurie militaire, et ramassé très soigneusement, sans urine. Ce crottin, mélangé et analysé immédiatement, avait la composition centésimale sulvante: matière sèche . . . 2668 % azote total, . . . . 0'348 0j, azote ammoniacal . . 0:0159°%, On a pesé de ce crottin pour les expériences: 1) v. Bulletin de l’Académie des Sciences de Cracovie, Novembre 1892, p. 382. *) v. Bulletin de l’Académie des Sciences de Cracovie, Mai 1892, p. 193, et Décembre 1893, p. 345, 318 RESUMES 1. Deux portions à 1750 grm., dont l’une a été compri- mée très fortement dans une vase cylindrique en verre, cou- vert d’une plaque, et l’autre a été étalée sur trois grandes capsules en porcelaine. 2. Six lots à 75 grm., dont deux se décomposaient pen- dant la durée de l'expérience, à l’état très comprimé, dans de petites vases cylindriques, bouchés à l'émeri, deux, sans compression, dans des vases plus vastes, couverts de plaques en verre, et les deux derniers étalés dans des cristallisatoires. Le crottin comprimé occupait un volume de 75 et 95 cm.3 tandis que le crottin conservé dans des vases plus vastes mesurait le volume de 225 em. Toutes ces portions ont été humectées de temps en temps avec de l’eau distillée, le plus abondamment et le plus souvent naturellement celles qui étaient as sujeties à la décomposition dans des capsules et dans des cristallisatoires, et se desséchaient le plus facilement. L'expérience a duré: pour les grandes portions, 66 et 69 jours, pour la première série de petits lots, 72—78 jours, et pour ceux de la seconde série, 540 jours. IR Pertes de l'azote pendant la décomposition. On trouve dans le tableau I qui suit, les chiffres repré- sentant les changements constatés dans la quantité de matière sèche et d'azote total. On voit donc dans ce tableau que la quantité d’azote a diminué dans tous les lots, sans exception. Les expériences anciennes de l’auteur ne permettant pas décidément d'admettre que la perte a eu lieu à cause de la volatilisation de l’ammo- niaque, il faut absolument mettre le déchet observé au compte du dégagement de l'azote gazeux. La déperdition assez insignifiante, constatée dans les petits lots Nr. 5 et Nr. 8 ne doit pas étonner, quoiqu'il soit incontestable que l’azote gazeux ne se dégage pas pendant la fermentation, dans un milieu RÉSUMÉS 319 Tableau I. perte de l’azote mode de | poids du durée de | al: = War: RSC] RE Nr an crottin l’experien In ER 2100 pour 100 ; RG LEN ee organique | pour 100 |" zote erottin a RE. % Erle exot- initial | tin grm. 1 |, étais 1750 66 26:26 00055 1:59 2 | comprimé | 1750 | 69 400 | 0‘0104 | 3:10 3 étalé 75 72 26:42 0:0052 1:49 4 herisse 75 78 30:46 0‘0055 1:57 D | comprimé 75 72 1:84 0.0035 1:00 6 | étalé 75 539 41:62 0:0127 3:64 7 herisse 75 539 59:32 0:0308 8:85 8 comprimé 75 | 540 12:90 0:0037 1:07 privé tout à fait d’oxygene, car l'accès de l’air, quoique en effet très restreint, n’était pas, pendant la conservation de ces ) pas, P deux lots, complètement empêché. La grande portion de crottin ) BD p Nr. 2 a cependant subi une perte d’azote un peu trop élevée RB , pour qu'on puisse l'expliquer exclusivement par la décomposi- tion plus active dans les couches supérieures, à cause de la surface plus grande et de l’accès de l’air plus libre. Or, com- me les dosages dans le lot Nr. 2 très rapprochés, à la fin de l’expérience, témoignent que la diminution observée dans b 8 1 la quantité d’azote surpasse de beaucoup les limites des erreurs de la méthode, il faut l’attribuer, pour le moment, du moins ’ ’ ? partiellement, à l’action de facteurs encore inconnus, qu'on parviendra peut-être à découvrir dans de nouvelles recherches. Les pertes si peu élevées de l’azote dans les portions Nr. 1 et Nr. 3 sont beaucoup plus étonnantes. Ces portions de crottin étaient étalées sur une grande surface et se décom- posaient en présence d’un accès de l'air très abondant. Or, comme les expériences précédentes de Mr. Jentys indiquaient l'existence d’un rapport entre l'intensité du dégagement de l'azote et l'abondance de l'oxygène, on pouvait supposer que 320 RESUMES ces portions devaient éprouver justement les pertes les plus notables, et surtout beaucoup plus grandes que le petit lot Nr. 4, aéré insuffisamment, pendant la décomposition dans un gobelet couvert. C’est cependant ce qui n’a pas eu lieu, et le fait observé serait en vérité difficile à expliquer, s’il n° y avait pas les lots Nr. 6 et Nr. 7, fermentant dans les mêmes con- ditions que les lots correspondants Nr. { et Nr. 3, mais pen- dant un temps beaucoup plus long. Comme on le voit dans le tableau I, le erottin étalé dans un cristallisatoire a perdu, pen- dant 540 jours, à peu près deux fois et demi moins d’azote que le crottin conservé sans Compression dans le vaste gobelet. Ayant en vue cette grande différence, 1l faut admettre que dans tous les trois lots étalés sur une grande surface et aérés le plus abondamment, le dessèchement du crottin entravait le dégagement de l'azote libre. Cette explication n° est pas du tout en contradiction avec l'opinion de l'auteur, énon- cée auparavant, que l'intensité du dégagement de l'azote libre tombe et monte au fur et à mesure que l'énergie de la fer- ımentation change, mais, au contraire, elle la confirme: la perte de la matière organique dans les lots Nr. 4 et Nr. 7, toujours suffisamment humides, ayant été plus élevée que dans les lots Nr. 3 et Nr. 6, exposés à la dessication. L'influence marquée de l’humidité sur la formation de l'azote gazeux, comme Mr. Jentys le fait remarquer, a pu être aussi observée dans les résultats de ses expériences précéden- tes 1). Il a trouvé nommément les différences suivantes dans les pertes de l'azote, pendant la décomposition des exer&ments: perte de l’azote a) crottin de cheval . . 19:08—20'74°/, b) ” ” 9 ns 12:880/, ©) 5» mouton . . 178 et 5°430/, d) » „ Cheval . . 0--155%, 1) v. Bulletin de l'Académie des Sciences de Cracovie, juillet 1893, p. 302. RÉSUMÉS 321 Or, les lots d’excréments sub a se décomposaient dans des cylindres en verre, en présence de l’oxygene pur et hu- mide, qu'on faisait passer par les appareils fermés, trois fois par jour; la portion sub 5, humectée avec de l’urine et cou- verte d’une cloche, conserva presque sans changement son hu- midité jusqu’à la fin de l'expérience; le lot sub c, tenu sous une cloche très vaste, était exposé à la dessication, et enfin les portions sub d se décomposaient pendant 8—40 jours, étalées dans des cristallisatoires, par conséquent dans les mêmes conditions que les lots Nr. 1, Nr. 3 et Nr. 6 de la nouvelle série d'expériences. IE Influence de l’oxygène sur la formation de l’ammoniaque. Pour faciliter la comparaison des résultats, l’auteur donne dans le tableau II les chiffres concernant l'augmentation ou la déperdition de l’azote ammoniacal, rapportés aux 100 grm. de crottin frais. Tableau II. le quantite d’azote poids | durée ammoniacal Are ie du de ‚| pour 100 grm. de Difference Nr. | tion du | Crottin l'expé- crottin frais 2 frais |rience, |- una erottin 5 ARE | grm. | jours | initiale finale sy: 0 grm. grm. a û | etale 1750 | 66 0:0159 00050 | —0:0109 | —68°5 2 |comprime | 1750 | 69 0:0159 0:0469 | +0:0310 | +195:0 3 | tale 75 | 72 | 0.0159 | 0-0057 | —0-0102| —6#1 4 | hérissé 75 | 78 | 00159 | 00052 | —00107| —673 5 |comprimé| 75 | 72 | 00159 | 00560 | +0-0401 | +2523 6 étalé | 75 | 539 00159 | 0:0072 | —0-0087 | —547 2 hérissé 75 | 539 0:0159 | 0.0124 | —0:0035 | —22:0 8 comprimé 75 | 540 | 0:0159 | 00060 | —0-0099 | —62:3 4a 322 RÉSUMÉS On voit done que la quantité d’azote ammoniacal n’a augmenté que dans les lots de crottin bien comprimés, Nr. 2 et Nr. 5, tandis que dans tous les autres, elle a diminué plus ou moins. Le tableau III contient les chiffres présentant les changements constatés dans la quantité d’ammoniaque, rappor- tés à la quantité d’azote total, contenu dans le crottin frais, comme aussi à celle du crottin consommé. Tableau III. quantité finale d’azote car de ammoniacal STE mode de | perte de total, initial, la Nr. |conserva- la matière. pour 100 | pour 100 quantité d'azote tion organique, d'azote de | d'azote du > crottin | erottin à RAA té consommé frais a 1 etale 26:26 147 144 — 313 2 |comprimé| 400 1391 13:48 + 891 3 étalé 2642 1:67 1:65 — 2:92 4 herisse 30:46 1:52 1:49 — 3:08 b | comprimé 1:84 16:25 | 16:09 +11 52 6 étalé | 41:62 214 2:07 — 2:50 7 herisse 59 32 3:91 3:56 — 101 8 |comprime 12:90 174 1-72 — 285 La formation de ’ammoriaque dans les deux lots com- primés, Nr. 2 et Nr. 5, bien abondante, témoigne que la trans- formation de la matière était assez vive, quoique la perte de la matière organique fût dans les deux cas peu élevée. La quantité d'azote ammoniacal trouvée, à la fin de l'expérience, dans le lot Nr. 5, un peu plus grande que dans le lot Nr. 2, coïncide avec la perte de l’azote, plus élevée dans ce dernier lot, savoir: perte de l’azote quantité finale de l’azote ammoniacal Nr. 2 9100/, 13°489/5 Nr. 5 1:090/, 16:09%/, difference + 210%, — 261% RÉSUMÉS 323 Dans tous les lots de crottin qui se sont décomposés en présence de l’oxygene, la quantité initiale d’azote ammoniacal a diminué, comme il était à prévoir, pendant la conservation. La diminution, un peu moins notable dans les deux petits lots de la seconde série (Nr. 6 et Nr. 7) que dans les lots correspondants de la première série (Nr. 3 et Nr. 4) et dans la grande portion de crottin Nr. I, ne doit pas étonner, ear il est possible que, pendant la longue durée de l’expé- rience (540 jours), ait eu lieu une insignifiante mobilisation de l'azote organique, même en présence de l’oxygene. Ce qui est cependant assez curieux, c’est la disparition presque complète de l’ammoniaque dans le lot Nr. 8, conservé pendant 540 jours, qui selon toute probabilité, en contenait, après 72 jours, autant que le petit lot correspondant N. 5, de la première série. Pour expliquer ce fait il faut admettre que, seulement jusqu'à un certain temps, la production de l’ammoniaque a été dans le erottin comprimé, beaucoup plus abondante que la consomption par les microorganismes divers, et qu’ensuite c’est la transfor- mation rétrograde en composés azotés organiques qui à pris le dessus. En ce cas cependant il est possible que la quan- tité assez élevée d’azote ammoniacal, trouvée dans le lot de erottin Nr. 5, savoir 16-090/, d’azote total du crottin frais, ne représente pas encore ce maximum que la production de l’am- moniaque, pendant la putréfaction, en l'absence de l’oxygène, peut effectivement atteindre. Dans les trois petits lots de crottin appartenant à la se- conde série, l’auteur a dosé encore, à la fin de l’expérience, la quantité d’ammoniaque volatile Dans ce but il a distill& avec de l’eau pure les échantillons destinés aux dosages de l’ammonia- que totale, avant la distillation avec de la magnésie calcinée. Les résultats obtenus sont les suivants: quantité d'azote ammoniacal volatil pour 100 grm. de crottin frais Nr. 6 crottin étalé .,.. . . . 00013 grm. Nr... rhénssée 74 2200 0:0004 >, Ne Ge comprimé + 100004". 324 RESUMES Comme on le voit la quantit& d’azote ammoniacal volatil était, dans tous les trois lots, presque nulle. A la fin de ce chapitre du mémoire l’auteur ajoute qu’on a employé les deux grandes portions de crottin, Nr. 1 et Nr. 2, pour les expériences végétatives dont les résultats n’ont pas confirmé l'hypothèse que, dans le crottin putréfié, en l’absence de l'oxygène, l’azote est beaucoup plus assimilable que dans le crottin frais ou consommé en présence de l’oxy- gène. Mr. Jentys se propose d'étudier bientôt les facteurs qui n'ont pas permis aux plantes cultivées d’assimiler, en quan- tité assez considérable, l'azote ammoniacal contenu dans le crottin appartenant à la portion Nr. 2. LT Conclusions principales. 1. L’azote gazeux ne se dégage, pendant la décom- position des excréments solides d’animaux de la ferme en pré- sence de l’oxygène — que dans un milieu toujours suffisamment humide. Il reste encore à étudier quel degré d’humidité est le plus favorable pour ce procès. 2. La dessication, même temporaire, des déjections ani- males, pendant leur décomposition, entrave le procès de dégage- ment de l’azote libre. 8. Dans le fumier exposé au dessèchement, même avec accès très libre de l’oxygène, comme par exemple, étalé sur la terre avant l’enfouissement, l'azote gazeux ne se dégage pas, selon toute probabilité, dans une quantité notable, et il n’y a pas lieu de craindre que la déperdition de l’azote soit, dans ces conditions, considérable. 4. Pendant la putréfaction des déjections solides, en l’ab- sence absolue de l’oxygène, ou dans un milieu mal aéré, la mobilisation assez notable de l'azote a lieu en effet, et la quan- tité d’ammoniaque augmente, dans ces conditions, jusqu’à un certain temps, considérablement, pour diminuer ensuite, pendant la décomposition prolongée. RÉSUMÉS 325 5. Le tassement le plus fort du fumier, pendant la con- servation, recommandé aux agriculteurs, tant par la pratique que par la théorie, présente un avantage, non seulement à cause de ce que, dans le fumier tassé parfaitement, la matière orga- nique se décompose avec moins d'énergie et l’ammoniaque ne se volatilise pas aussi facilement, mais encore à cause de ce que, dans ces conditions, la formation de l’ammoniaque des composés azotés organiques du crottin (peut-être aussi de ceux de la paille) est beaucoup plus abondante. un 22 Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakeya Sekretarza generalnego Stanistawa Smolki. Kraköw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiellonskiego, pod zarzadem A. M. Kosterkiewieza. 7. Grudnia 1895. MERE ih. 0 Gé sut Û POT MP RS NT PUBLICATIONS DE L'ACADÉMIE 1873 — 1894 Librairie de la Société anonyme polonaise (Spöika wydawnieza polska) à Cracovie. = = —— — = Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.e /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II—VIIL (38 planches, vol. I épuisé). — 59 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e /Classe de philologie. Séances et travauzx), in 8-vo, volumes II—XXI (5 planches. vol, I épuisé). — 59 fl. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.« /Classe d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. II—XUI, XV—XXX (vol. I. II. XIV Epuises, 61 pl.) — 68 fl. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comp- tes rendus de la Commission de Phistoire de Part en Pologne), in 4-to, 4 volu- mes (81 planches, 115 gravures dans le texte). — 20 fl. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commis- sion de linguistique), in 8-vo, 5 volumes. — 13:50 fl. »Archiwum do dziejéw literatury i oswiaty w Polsce.« /Documents pour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 7 vol. — 20 fl. 50 kr. Corpus antiquissimorum poëtarum Poloniae latinorum us- que ad Joannem Cochanovium, in 8-vo, 3 volumes. Vol. H, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis carmina, ed. B. Kruczkie- wicz. 2 fl — Vol. III, Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 3 fl. — Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. ı fl. 50 kr. »Biblioteka pisarzéw polskich.« /Brbliothèque des auteurs polonais du XVI siècle); in 8-vo, 29 livr. — 17 fl. 30 kr. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illus- trantia, in 8-vo imp., 14 volumes. — 70 fl. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosinski. 10 fl. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol, saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 16 fl. — Vol. III, IX, X, Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosiñski. 15 fl. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosinski et Szujski. 5 fl. — Vol. V, Vil, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. zo fl. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed. Prochaska. 10 fl. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 5 fl. — Vol. XIII, Acta capitulorum (r408—1530) ed. B. Ulanowski. 5 fl. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 10 (I—IV, VI—VII, X, XI, XV.) volumes. — 34 fl. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski, 3 fl. — Vol. II, Chronicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 3 fl. — Vol. III, Stephani Medeksza commentarii 1654 — 1668 ed. Seredyhski: 3 fl. — Vol VII, X, XIV Annales Domus professae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 7 fl. — Vol. XI, Diaria Comitio- rum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski. 2 fl. — Vol. XV. Analecta Romana, ed. J- Korzeniowski. 7 fi. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 6 vol.—18 fl. Acta historica res gestas Poloniae illustrantia, in 8-vo imp. ı5 volumes. — 78 fi. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopi Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546-1553. 5 fl. — Vol. IL, (pars r. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Klu- ezycki. ro fl. — Vol. IH, V, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674—1683 ed. Waliszewski. 15 fl. — Vol. IV, IX, (pars r. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 15 fl. — Vol. VI, Acta Regis Ioannis III ad res expeditionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Klu- czycki. 5 fl. — Vol. VIII (pars 1. et 2.), XII (pars r. et 2.), Leges, privilegia et statuta civitatis Cracoviensis 1507 —ı795 ed. Piekosinski. zo fl. — Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 5 fl. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 3 fl. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. III—VI. — 51 fl. ur Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCLXIX, ed. W. Wislocki. Tomi I. fasciculus I. II. III. in 8-vo. — 4 fl. 50 kr. »Starodawne prawa Br pomniki.« /Anciens monuments du droit Bolmrass) in 4-to, vol. II—X. 36 fi. Vol. Air, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 6 4. — Vol. IH, Correctura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed Bobrzyñski. 3 l.— Vol. IV, Statuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 3 fl. — Vol.. V, Momı- menta literar. rerum publicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. VI, Decreta . in iudiciis regalibus a. 1507—ı531 ed PBobrzyñski. 3 fl. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzynski, Inscriptiones clenodiales ed. Ulanowski. 6 fl. — Vol. VIII, An- tiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374—1400 ed. Ulanowski. 8 f. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Gulesz 1405-1546. Acta iudicii criminalis Mu- szynensis 1647—1765. 3 fl. — Vol. X, p. r. Libri formularum saec. XV ed. Ula- | nowski. ı fl. | Volumina Legum. T. IX. S-vo, 1889. — 4 fl. Sciences mathematiques et naturelles. »Pamietnik.« /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVII, ı78 Dr vol. I épuisé). — 85 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Seances et travaux), in 8-vo, 26 volumes (181 planches). — 95 fl. 50 kr. 3 »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« {Comptes rendus de la Commis- à = 3 sion de physiographie), in 8-vo, 25 volumes (III. IV—XXIX, 50 planches, vol. Be: I. IE IV. V épuisés). — 104 fl. »Atlas geologiczuy Galicyi.e Atlas géologique de la Galicie), in fol., 4 livraisons (19 planches) (& suivre). — 16 fi. =: »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Com- ÿ 4 mission d'anthropologie), in 8-vo, 17 vol. II— XVII (99 pl., vol. I épuisé). — 5gfl. … Kowalczyk J., »O sposobach wyznaczania biegu cial. niebieskich.« (Methodes pour déterminer le cours des corps célestes), in 8-vo, 1889. — 5 fl. Mars A., »Przekr6j zamroZonego ciala osoby zmarlej podezas porodu skutkiem . pekniecia macicy«. /Coupe du cadavre gelé d'une personne morte pendant l'accou- " chement par suite de la rupture de la matrice), 4 planches in folio avec texte, 1890. — 6 fl. Kotula B., »Rozmieszczenie roslin naczyniowych w Tatrach.e (Déctributio plantarum vasculosarum in montibus Tatricis), 8-vo, 1891.—5 fl. Morawski C., »Andrzej Patrycy Nidecki, jego Zycie i- dziela.« (Andre Patri- cius Nidecki, humaniste polonaïs, sa vie et ses oeuvres), 8-vo, 1892. — 3 fl. 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Görski K., »Historya pie- choty polskiej« /Zestoire de l'infanterie polonaise), in 8-vo, 1803. — 2fl.boct. »Historya jazdy polskiej« (Z/stoire de la cavallerie polonaise), in 8-vo, 1894. — 3-1.350:cL; »Rocznik Akademii.e /Annuaire de PAcademie), in 16-0, 1874—1893 19 vol. (1873 épuisé) — 11 fl. 40 kr. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.« /Mémoire sur les travaux de PAcademie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 2 fl. > ee EN Dr. = Ei 1 1396 ai BULLETIN INTERNATIONAL DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE COMPTES RENDUS DES SÉANCES DE L'ANNÉE 1895. DÉCEMBRE CRACOVIE IMPRIMERIE DE L’UNIVERSITE "1895. . L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE A ÉTÉ FONDEE EN 1872 P/ S. M. L'EMPEREUR FRANÇOIS JOSEPH I. PROTECTEUR DE L'ACADÉMIE: S. À. L L'ARCHIDUC CHARLES LOUIS. Vice-Prorecreur: S. E. M. Jucrex pe Dunasewsxr . PRÉSIDENT: M. LE COMTE STANISLAS TARNOWSKI. SECRÉTAIRE GÉNÉRAL: M. STANISLAS SMOLKA. EXTRAIT DES STATUTS DE L’ACADEMIE: (& 2). L’ Académie est placée sous l’auguste patronage de Sa Majesté. Impériale Royale Apostolique. Le protecteur et le Vice-Protecteur sont nom- més par S. M. l'Empereur. \ ($. 4). L'Académie est divisée en trois classes: a) classe de philologie, b/ classe d'histoire et de philosophie, c) classe des Sciences mathématiques et naturelles. : ($. 12). La langue officielle de l’Académie est le polonais; c’est dans : cette langue que paraissent ses publications. me a Man nn Bra ee \ Le Bulletin international parail fous les mois, à (exception 1 des mois de vacances (aoul, seplembce), el se compose de deux 3 parties, dont la première contient I 'extzarl des procès verbaux des séances (en français), la Oeuxième les résumés des mémoires ef communicalions (en français ou en allemand, au choix des auleuzs). Le prix de l’abonnement est 3 fl. = 8 fr. Séparément les livraisons se vendent à 40 kr. — 90 centimes. N Fe ares em 3 Le se Nakladem Akademii Umiejetnosci pod redakcya Sekretarza generalnego Dr. Stanistawa Smolki. Le Le Krakôw, 1895. — Drukarnia Uniw. Jagiell. pod zarzadem A. M. Kosterkiewicza. FEB 19 1896 BULLETIN INTERNATIONAL DE WACADEMIE DES SCIENCES DE CRACOVIE. No 9. Decembre. 1895. Sommaire: Séances du 2, 9, 16 décembre 1895. — Résumés: 57. F. Prerosısskı. Contributions à l’analyse des Statuts du roi Casimir-le- Grand!) — 58. S. NIEMEnTowskI1, Sur la chinacridine. — 59. J. N.s- BAUM. Structure de la lysse et des rudiments de la sous-langue chez les carnivores. Seances — @- Classe de Philologie I — —— Séance du 9 décembre 1895 Présidence de M. C. Morawski M. L. Srerxsaca, m. c., donne lecture de son mémoire, intitulé: Caton l'Ancien, imitateur des Grecs. La Commission d'Histoire littéraire a décidé, dans sa séance du 19 novembre, de publier dans ses Archives le travail de M. M. Jezre- NiCKI sur un manuscrit de la Bibliothèque de l’Université de Breslau (sign. IV. F. 36) contenant des poésies de Paul de Krosno; des ma- tériaux récemment découverts par M. S. Wasicewskr et concernant les sociétes des Philarètes et des »Promienisei« à l'Université de Wilna, ainsi que des documents tirés des archives de Koenigsberg par M. S. Cericaow- ski et ayant trait à la biographie du poète Martin Kwiatkowski. 1) V. Bulletin p. 266. —— ee 328 SÉANCÉS Classe d'Histoire et de Philosophie Séance du 16 décembre 1895 Présidence de M. L. Luszczkiewicz M. B. Uraxowskr, m. t., donne lecture de son travail: Le procès de Jean Jelita Pieniaèck archidiacre de Gnesen et doyen de Leczyca (1466). Classe des Sciences mathématiques et naturelles Séance du 2 décembre 1895 Présidence de M. F. Kreutz M. C. Olszewski, m. e., rend compte du travail de M. S. Nremexrowsri: Sur la chinacridine ?). M. B. Dybowski, m. t., rend compte du mémoire de M. J. Nussauu: Structure de la lysse et des rudiments de la sous- langue chez les carnivores ?). 1) Voir ci-dessous aux Résumés p. 331. — 2) ib. p. 332. à Rresumes .— 57. — F. PrerosiNskr. Slowo o Statutach Kröla Kazimierza Wielkiego. (Contributions à Vanalyse des Statuts du roi Casimir -Tle- Grand). L'auteur propose de diviser la collection des Statuts de Casimir -le-Grand en cinq statuts spéciaux, dont quatre por- teraient le nom de: Statuts de la Petite Pologne, et le einquie- me s’appellerait: Statut de la Grande Pologne. Passant à l’examen de ces Statuts, l’auteur remarque que le statut de Wislica, de 1346, fut adopté absolument dans . la forme préalablement élaborée à la Chancellerie royale; que cette même chancellerie soumit aussi aux décisions de la diète de Pyzdry, (1346), un projet de lois qu’elle avait préparé. Il compare ensuite les dispositions du statut de Wislica, de 1346, avec celles du statut de la Grande Pologne, donné à Piotrköw, en 1347, et conclut que le projet royal fut loin d’être accueilli avec la même faveur à Piotrköw qu’a Wislica, et que, dans ce statut de la Grande Pologne, il ne reste presque rien des articles proposés par les conseils du souverain. Il expose enfin son opinion sur l’oeuvre juridique de Casimir-le-Grand. La voici: En 1346, avant la Pentecôte, peut-être à Paques, se réunit à Wislica la diète législative de Petite Pologne. Le roi Casimir-le-Grand soumit à l'approbation des magnats 330 RESUMES - de la province un statut de 40 articles (42 d’après Helcel) qui avait été rédigé par ses scribes, et qui, probablement, fut adopté, sans modifications, par l’assemblée des seigneurs de la Petite Pologne. Cette même année, 1346, le roi convoqua, pour la Pen- tecôte, une diète des seigneurs de la Grande Pologne, à Pyzdry. Comme à Wislica, il soumit à leurs diliberations un projet préparé d’avance; mais ce projet déplut aux gentilshommes et ils se séparèrent sans avoir pris aucune décision. Désirant vivement faire promulguer ce statut pour la Grande Pologne, le roi pria l'archevêque de Gniezno de vou- loir bien lui prêter son concours à ce sujet et de lui servir d’intermédiaire avec les magnats Grand-Polonais. L’archevöque réussit en effet à faire reconnaître à ces derniers la nécessité d’un statut, mais ils ne voulurent pas entendre parler de celui que leur offrait le roi. En ces circonstances, Casimir-le-Grand voyant qu'il n’était pas possible de vaincre la résistance qu’on opposait à ses vues, céda et convoqua une diète statutive, pour le 11 mars 1347, a Piotrköw. Cette diète formula un statut com- prenant 56 articles. Le 20 janvier 1356, se tint a Wislica la seconde diète legislative qui adopta un second statut de 17 articles. (C’est . alors que fut probablement aussi décidée l’organisation de la cour suprême de droit allemand siégeant au château de Cracovie. En 1361, la troisième diète de Petite Pologne se réunit à Cracovie et s’occupa de la création des cours de justice, définit leur fonctionnement ainsi que leurs attributions. On réforma aussi en même temps l’organisation de la haute cour de droit allemand au château royal. Enfin, en 1368, eut lieu, à Cracovie vraisemblablement, la quatrième et dernière assemblée législative de Petite Po- logne, qui édicta un quatrième statut de 47 articles, dont 26 touchant les Casus secundum ordinem juris. RÉSUMÉS 991 58. — S. Niemexrowskr. 0 chinakrydynie (Über das Chinakridin). Unter dem Namen „Chinakridin“ beschreibt der Verfasser eine neue Base von der empirischen Zusammen- setzung C,, H,, N,, die als Muttersubstanz eines Condensa- tionsproduktes der Anthranilsäure mit Phlorogluein erkannt wurde. Die beiden genannten Körper reagieren nach dem Schema CO COOH NERCHONH PA FTIR 2 2 | | | | a ET CO\ CO AU ER NY CH, NH CO COH CO unter Bildung des Oxychinakridons. Dieser Körper bildet eine mikrokrystallinische, gelbe, in sämmtlichen orga- nischen Solventien praktisch unlösliche Masse, die erst bei 425° sich zersetzt. Seine Struktur wird gestützt dnrch: Bildung eines M o- noacetylderivates C, Hı Ns 05.0.CO CE, einer amorphen grau-gelben Substanz, vom Zersetzungspunkt 370°; dann eines Nitroderivates des Trinitroxychinakri- dons (C,,H,(NO,),N50;,+H,0. Zersetzungspunkt 270—280°, ein auf chromgebeizter Wolle und Baumwolle in hellrehbrau- nen Tönen ziehender Farbstoff; — und schliesslich durch Bil- dung bei der Zinkstaubdestillation des Eingangs erwähnten Ch i- nakridins C,H,,N,. Schm. 220°. Krystallisiert aus Benzol oder Alkohol in farblosen breiten Plättchen. Reizt die Schleim- häute in bedeutend geringerem Masse als Acridin. Schwer lös- lieh in organischen Solventien; in Benzol fluoresciert grünlich ebenso in schwefelsauren Lösungen. Seine Struktur kann durch eine der beiden folgenden Formeln wiedergegeben werden: 332 RESUMES OH SCH CH DEN SON ZB SAN TUR ll ee | ade ES) NAN AS at AN ANR N N NA VER | vw Es ist aber nicht ausgeschlossen, dass beiderartige Sub- stanzen gleichzeitig entstehen. - Natriumamalgam in alkoholischer Lösung reduziert es zum Tetrahydrochinakridin C,H,.N,. Schm. 272°; goldgelbe Blättehen von neutralem Charakter. Einer besonderen Erwähnung werth erscheint der chro- mogene Charakter der neuen Kürperklasse. 59. — J. Nussaum: Budowa Iyssy i szezatki podjezyka u zwierzat mieso- zernych. (Structure de la lysse et rudiments de la sous- langue chez les carnivores). On connaît depuis longtemps, dans la langue des carni- vores, un organe spécial, nommé lysse ou lytte, vermiforme, situé sur la ligne médiane de la partie inférieure de la lan- gue, au dessous de la muqueuse, separé de celle-ci par une mince couche de fibres musculaires du muscle lingual. La structure et l'importance morphologique de cet organe ne sont pas jusqu’à présent suffisamment connues. La figure 1. présente une coupe transversale d’une lysse appartenant à un grand chien; la coupe a passé par la partie centrale de l’organe. A l'extérieur on distingue une capsule, formée d’un tissu eonjonetif fibreux résistant (t. z.). A la sur- face externe de la capsule s’attachent les fibres musculaires qui appartiennent, tantôt au muscle lingual, tantôt au musele génioglosse. Dans l’intérieur de la lysse on voit quatre syste- mes de fibres musculaires: a) Les fibres transversales (m. p.) RÉSUMÉS 333 qui, dans la partie supérieure de la lysse, se dirigent transver- salement, un peu sous la forme d’un arc et s’attachent aux parois latérales de la capsule. b) Les fibres transverso-obliques, (m. s.) situées de même dans la partie supérieure de la lysse; elles vont plus ou moins obliquement en avant, de la surface capsulaire interne d’un côté, jusqu'à la surface capsulaire in- terne de l’autre (quelques unes de ces fibres n'atteignent pas le côté opposé). c) Les fibres longitudinales (m. p. d.) situées dans la partie inferieure de la lysse; dans la plupart des cas elles occupent principalement les régions supérieures et laté- rales de cette partie. d) La plupart de ces fibres longitudinales ont dans la lysse une direction horizontale, mais quelques-unes d'entre elles s’écartent de cette ligne et se dirigent un peu obliquement de haut en bas et d’arrière en avant; ce sont les fibres obliquo-longitudinales (fig. 3, m. p. d.) Toutes ces fibres sont striées. Les interstices entre les fibres musculaires sont en grande partie remplis par un tissu conjonctif lâche. Ce tissu est aceu- mulé principalement: 1°) dans la partie inférieure de la lysse, d’où il envoie des faisceaux fibreux vers la capsule (Fig. 1, t.t.) et 2°) à la surface interne de la capsule (Fig. 4, t. t.). Entre ces faisceaux se trouve un tissu conjonctif graisseux, trés ca- ractéristique (voir t. t. figures 1, 4, 5, 10). On compréndra la disposition des éléments musculaires et conjonctifs dans l’in- térieur de la lysse, en examinant aussi les fig. 2 et 3 qui présentent des coupes longitudinales, ventro-dorsales de cet or- gane (voir l'explication des planches). La couche de fibres musculaires transversales et transverso-obliques est très inéga- lement développée chez les individus d'une même espèce, par suite sur une coupe longitudinale, dorso-ventrale elle presente, tantôt des formations interrompues, comme dans la fig. 2, tantôt une couche complète, dont la surface inférieure est plus ou moins ondulée. Les vaisseaux sanguins de la lysse (Fig. 3, n. k.) commu- niquent avec les rameaux sanguins de la langue, à laide de petits troncs qui perforent la paroi capsulaire dans la partie 334 RÉSUMÉS antérieure de la lysse, où ils sont abondamment accompagnés par les faisceaux du tissu conjonctif de la langue. (Fig. 3, p.). Toutes les fibres musculaires disparaissent graduellement dans la partie antérieure de la Iysse, fortement amincie, et il ne reste alors que les autres tissus cités plus haut (Fig. 4). La partie la plus antérieure de cet organe contient exelusive- ment les éléments de la capsule externe (Fig. 6) et s’étend sous la forme d'un fil mince jusqu'à la muqueuse de la pointe linguale. La partie postérieure de la Iysse contient des formations cartilagineuses, qui sont d’une grande importance morpholo- gique. A droite de la fig. 2, on voit l’extr&mit& postérieure de la Iysse; ici elle s’allonge de même en un fil fibreux, formé presque exclusivement des éléments de la capsule externe; il s’etend souvent jusqu'à l'os hyoïdal. A mesure que la lysse devient fileuse, son diamètre s’amoindrit graduellement et c’est dans cet endroit là que se trouvent les formations cartilagi- neuses. Le degré d’évolution du cartilage est inégal. Le plus souvent, dans les lysses trés grandes, j'ai trouvé en avant deux ilöts arrondis, cartilagineux, qui en arrière s’unissaient en une formation impaire et styliforme (Fig. 10 ch.) Dans d’autres cas on trouve seulement un ilöt d’une forme irregu- lièrement ovale, ou deux ou trois ilöts complètement séparés (Fig. 2 ch.). Assez souvent les faisceaux du tissu conjonctif fibreux et graisseux pénètrent dans l’intérieur des cartilages, d’où il résulte la séparation de ces derniers en plusieurs petits groupes de cellules cartilagineuses. Souvent on voit, au centre de masses cartilagineuses, des éléments cellulaires beaucoup plus grands, que dans la partie périphérique (Fig. 10). Dans ce cas les cellules centrales sont habituellement douées de capsules externes: les cellules périphériques en sont dépourvues. De tout ce que nous avons dit, on voit que les éléments du squelette de la lysse se trouvent en voie de réduction. C. Gegenbaur a demontré que le „pli médian“ et la »fimbre« (plica mediana, fimbria) de la langue sont les rudi- ments de la sous-langue (Morphologisches Jahrbuch, vol. IX - RESUMES 335 et XI). Jusqu'à présent il n'y avait aucune mention sur l’exis- tence de ces rudiments dans la langue des carnivores et spé- cialement du chien. Quant au pli médian, j'ai le trouvé, non seulement chez les embryons du chien, mais aussi, dans quelques cas, chez des individus jeunes, sous la forme d’une éminence longitudinale de la muqueuse, qui s’étend sur la ligne médiane, au - dessous de la lysse. La figure 8, représente une coupe (l'embryon avait une longueur de 3 — 4 cm.), où nous voyons la lysse dans une jeune phase de développement; cet organe se trouve dans le régime de la muqueuse sous-linguale et pénètre avec une partie du tissu conjonctif de celle- ci, dans la masse musculaire de la langue. Dans la même figure on voit au-dessous de la lysse un épaississement de la mu- queuse qui correspond au pli médian (p. m.). Chez les embryons plus développés (4 — 5 cm. de lon- gueur) j'ai trouvé deux plis longitudinaux, situés à la face inférieure de la langue, à droite et à gauche du frenule, et s'étendant en arrière jusqu'à la base de la langue. Ces plis ont leur plus grande hauteur postérieurement; en avant, ils deviennent moins haut et convergent l’un vers l’autre. Ils cor- respondent à la fimbre (Fig. 7 f.). A la base de la langue, la ou sa muqueuse passe dans la muqueuse du fond de la cavite orale, on distingue une seconde paire de plis qui cor- respondent aux plis sous-lingaux (plicae sublinguales) de Ge- genbaur (p. s.). Les parties squelettaires de la lysse et les tissus con- jonctifs et graisseux environnants correspondent très probable- ment au squelette et aux tissus qui l’entourent dans le noyau (Kern) de la sous-langue des lémurides etc., d’après les re- cherches de Gegenbaur. En faveur de cette opinion on peut citer le fait mentionné plus haut, que la lysse se développe dans le régime de la muqueuse sous-linguale. La musculature de la lysse et sans aucun doute le cordon musculaire rudi- mentaire, décrit par le comte Ferdinand de Baworoie, dans la langue des souris (Anatomie der Zunge 1884) repré- sentent probablement les rudiments d’une partie de la museu- 336 RESUMES lature linguale des oiseaux et des reptiles, à la langue des- quels correspond très probablement (Gegenbaur) la sub- © < lingua des mammiferes Le fait que les rudiments susdits du squelette et de la musculature sont entourés par une commune capsule de tissu conjonetif qui, physiologiquement, joue le rôle de support pour les muscles lingaux, doit être consideré phylogénetiquement comme un phénomène secondaire. Cette capsule n’est autre chose qu’une partie différenciée du septu m linguae, comme le prouvent les plus jeunes phases du développement, quand on peut reconnaître que la capsule est une continuation directe du septum linguae (Fig. 9 sp. 1). Quant au cordon de cellules graisseuses (Fettzellenstrang) de Gege n- baur, chez le Stenops etc. ete. je suppose, que c’est de même une partie différenciée du noyau (Kern), qui a été se- condairement entouré par la partie inférieure du septum lingual. Ren EISEN ER! Nakladem Akademii Umiejetnosei pod redakeya Sekretarza generalnego Stanistawa Smolki. Kraköw, 1896. — Drukarnia Uniw. Jagiellonskiego, pod zarzadem A. M. Kosterkiewieza. 7. Styeznia 1896. La DO PE PT US TE CF UNE 0 COS CUIR RE Acta rectoralia almae universitatis Studii Cracoviensis inde ab anno MCCCCEXIX, ed. W. Wislocki. Tomi I. fasciculus I. II. III. in 8-vo. — 4 fl. 50 kr. »Starodawne prawa polskiego pomniki.« /Anciens monuments du droit polonats) in 4-to, vol. U—X. — 36 fi. „= an. Vol. I, Libri iudic. terrae Cracov. saec. XV, ed. Helcel. 6 fl. — Vol. II, " Correctura statutorum et consuetudinum regni Poloniae a. 1532, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. IV, Statuta synodalia saec. XIV et XV, ed. Heyzmann. 3 fl. — Vol. V, Monu- menta literar. rerum publicarum saec. XV, ed. Bobrzynski. 3 fl. — Vol. VI, Decreta in iudiciis regalibus a. 1507—ı531 ed Bobrzyñski. 3 fl. — Vol. VII, Acta expedition. bellic. ed. Bobrzyñski, Inscriptiones clenodiales ed. Ulanowski. 6 fl. — Vol. VIII, An- tiquissimi libri iudiciales terrae Cracov. 1374—1400 ed. Ulanowski. 8 fl. — Vol. IX, Acta iudicii feodalis superioris in castro Golesz 1405-1546. Acta iudicii criminalis Mu- szynensis 1647—1765. 3 fl — Vol. X, p. 1. Libri formularum saec. XV ed. Ula- nowski. 1 fl. Volumina Legum. T. IX. 8-vo, 1889. — 41. Sciences enöinstinuen et naturelles. »Pamietnik.« /Memoires), in 4-to, 17 volumes (II—XVIII, 178 planches, vol. I épuisé). — 85 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen.« /Séances et travaux), in 8-vo, 26 volumes (181 planches). — 95 fl. 50 kr. »Sprawozdania komisyi fizyograficznej.« /Comftes rendus de la Commis- sion de physiographie), in 8-vo, 25 volumes (III. IV—XXIX, 50 planches, vol. I. II. IV. V épuisés). — 104 fi. »Atlas geologiczny Galicyi.e Atlas géologique de la Galicie), im fol. 4 livraisons (19 planches) (à suivre). — 16 fl. »Zbiör wiadomosci do antropologii krajowej.« /Comptes rendus de la Com- mission d'anthropologie), in 8-vo, 17 vol. I—XVII (99 pl., vol. I épuisé). — 59 fl. Kowalczyk J., »O sposobach wyznaczania biegu cial niebieskich.« (Methodes pour déterminer le cours des corps célestes), in 8-vo, 1889. — 5 fl. Mars A., »Przekröj zamroZonego ciala osoby zmarlej podczas porodu skutkiem pekniecia macicy«. /Coupe du cadavre gelé d'une personne morte pendant Paccou- chement par suite de la rupture de la matrice), 4 planches in folio avec texte, 1890. — 6 fl. Kotula B,, »Rozmieszczenie roslin naczyniowych w Tatrach.« /Distributio plantarum vasculosarum in montibus Tatrieis), 8-vo, 1891.— 5 fi. Morawski C., »Andrzej Patrycy Nidecki, jego Zycie i dziela.« (André Patri- cius Nidecki, humaniste polonais, sa vie et ses oeuvres), 8-vo, 1892. — 3 fl. Fin- kel L., »Bibliografia historyi polskiej.« /Brbliographie de l'histoire de Pologne), 8-vo, 1891.— 6 fl. Matlakowski V., »Budownictwo ludowe na Podhalu.« (Construction des maisons rurales dans la contrée de Podhale), 2 3 planches in 4-to, texte explicatif in 8-vo imp. 1892. 7 fl. 50 kr. Teichmann L., »Na- czynia limfatyczne w sloniowacinie.« /Zlephantiasis arabum), 5 planches in folio avec texte. 1892. — 3 fl. Hryncewicz J., »Zarys lecznictwa ludowego na Rusi Bene wel: (La médecine populaire dans la Ruthenie méridionale), in 8-vo 1893.—3 fl. PiekosiniskiF., » Sredniowieczne znaki wodne. Wiek XIV.« (Les marques en lie grane des manuscrits conservés dans les Archives et bibliothèques polonaïses, principalement celles de Cracovie, XIVe siècle), in 4-to, 1893. — 4 fl. Swietek J-, »Lud nadrabski, od Gdowa po Bochnia, « (Les populations riveraines de la Raba en Galicie), in 8-vo, 1894. — 4 fl. Görski K., »Historya pie- choty polskiej« /Zstoire de ?’ infanterie polonaïse), in 8-vo. 1803. — 2f1 60 ct. »Historya jazdy polskiej« (Æzs/oire de la cavallerie polonaise), in 8-vo, 1894. — al, HO CE L »Rocznik Akademii.« /Annuaire de l'Académie), in 16-0, 1874—1893 19 vol. (1873 épuisé) — 11 fl. 40 kr. »Pamietnik 15-letniej dzialalnosci Akademii.« /Memoire sur les travaux de l'Académie 1873—1888), 8-vo, 1889. — 2 fi. —460b— > PUBLICATIONS DE L’ACADEMIE 1878 — 1894 Librairie de la Société anonyme polonaise (SbôIKkäi Wydaiwnicza polskA) à Cracovie. Est TR Philologie. — Sciences morales et politiques. »Pamietnik Wydz. filolog. i hist. filozof.« /Classe de philologie, Classe d'histoire et de philosophie. Mémoires), in 4-to, vol. II—VIII (38 planches, vol. I épuisé). — 59 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. filolog.e (Classe de philologie. Séances et travaux), in 8-vo, volumes II—XXI (5 planches. vol. I épuisé). — 59 fi. »Rozprawy i sprawozdania z posiedzen Wydz. hist. filozof.e /Casse d'histoire et de philosophie. Séances el travaux), in 8-vo, vol. III—XII, XV—XXX (vol. I. II. XIV épuisés, 61 pl.) — 68 Al. »Sprawozdania komisyi do badania historyi sztuki w Polsce.« /Comp- tes rendus de la Commission de l'histoire de l'art en Pologne), in 4-to, 4 volu- mes (81 planches, 115 gravures dans le texte). — 20 fl. »Sprawozdania komisyi jezykowej.« /Comptes rendus de la Commis- sion de linguistigue), in 8-vo, 5 volumes. — 13'50 fl. »Archiwum do dziejöw literatury i oSwiaty w Polsce.e (Documents Dour servir à l'histoire de la littérature en Pologne), in 8-vo, 7 vol. — 20 fl. 50 kr. Corpus antiquissimorum po&tarum Poloniae latinorum us- que ad Joannem Cochanovitüm, in 8-vo, 3 volumes. Vol. H, Pauli Crosnensis atque Joannis Visliciensis cärmina, ed. B. Kruczkie- wicz, 2 fl. — Vol, III. Andreae Cricii carmina ed. C. Morawski. 3 fl. — Vol. IV. Nicolai Hussoviani Carmina, ed. J. Pelczar. x fl. 50 kr. »Biblioteka pisarzôw polskich.e /Brbliotheque des auteurs polonais du XVI siècle), in 8-vo, 29 livr. — 17 A. 30 kr. Monumenta medii aevi historica res gestas Poloniae illus- trantia, in 8-vo imp., 14 volumes. — 70 fl. Vol. I, VIII, Cod. dipl. eccl. cathedr. Cracov. ed. Piekosinski. 10 f. — Vol. II, XII et XIV. Cod. epistol. saec. XV ed A. Sokolowski et J. Szujski; A. Lewicki. 16 fl. — Vol. III, IX, X,.Cod. dipl. Minoris Poloniae, ed. Piekosiñski. 15 fl. — Vol. IV, Libri antiquissimi civitatis Cracov. ed. Piekosifiski et Szujski. 5 fl. — Vol. V, VII, Cod. diplom. civitatis Cracov. ed. Piekosinski. 10 fl. — Vol. VI, Cod. diplom. Vitoldi ed Prochaska. ro fl. — Vol. XI, Index actorum saec. XV ad res publ. Poloniae spect. ed. Lewicki. 5 fl. — Vol. XIII, "Acta capitulorum (1408-1530) ed. B. Ulanowski. 5 fl. Scriptores rerum Polonicarum, in 8-vo, 10 (I—IV, VI— VII, X, XI, XV.) volumes. — 34 fi. Vol. I, Diaria Comitiorum Poloniae 1548, 1553, 1570. ed. Szujski. 3 fl. — Vol. II, Chronicorum Barnardi Vapovii pars posterior ed. Szujski. 3 A. — Vol. III. Stephani Medeksza commentarii 1654 — 1668 ed. Seredynski: 3 fl. — Vol VII, X, XIV Annales Domus professae S. J. Cracoviensis ed. Chotkowski. 7 fl. —. Vol. XL Diaria Comitio- rum R. Polon. 1587 ed. A. Sokolowski 2 fl. — Vol, XV. Analecta Romana, ed. J- Korzeniowski. 7 fl. Collectanea ex archivo Collegii historici, in 8-vo, 6 vol.—ı8 fl. Acta historica res gestas Poloniae illusträntia, in 8-vo imp. ı5 volumes, — 78 fi. Vol. I, Andr. Zebrzydowski, episcopı Vladisl. et Cracov. epistolae ed. Wislocki 1546-1553. 5 fl. — Vol. II, (pars 1. et 2.) Acta Joannis Sobieski 1629—1674, ed. Klu- czycki. 10 fl. — Vol. III, Y, VII, Acta Regis Joannis III (ex archivo Ministerii rerum exterarum Gallici) 1674 — 1683 ed. Waliszewski. ı5 fl. — Vol. IV, IX, (pars x. et 2.) Card. Stanislai Hosii epistolae 1525—1558 ed. Zakrzewski et Hipler. 15 fl. — Vol. VI, Acta Regis Ioannis III ad res expeditionis Vindobonensis a. 1683 illustrandas ed. Klu- czycki. 5 fl. — Vol. VIII (pars r. et 2.), XII (pars t. et 2.), Leges, privilegia et stätuta civitatis Cracoviensis 1507 —1795 ed. Piekosinski. 20 fl. — Vol. X, Lauda conventuum particularium terrae Dobrinensis ed. Kluczycki. 5 fl. — Vol. XI, Acta Stephani Regis 1576—1586 ed. Polkowski. 3 fl. Monumenta Poloniae historica, in 8-vo imp., vol. II—VI. — 51 fl. INN 273 675