Hi vu \JiÙ SEA AA AT Ne | LS M it AÉUUVE VE UL LE JYVEVUT EVENE AT) x ie tj "0 |. À: AN M0 ; A _Æ ex Le te : de At ee KE ) VU + w LAS :N LT " LUVOUUY Sue 5 Le UN os Fun VE pie * MUY VVy NE nn AN j M HMAE MY = RARE se US VA MER SUPER ï ARTE sue “ Ur EU UV sit V ot NE A A À Lu rs nr ne ne HU, pas ut UE _ MER y ge) ! A AR a d EM NN” sg " PAIE YU ( VS Est gt :! SE UION RL v CREER + à / |. Ml) W f À j Pi de ÿ (| HE a || SOMME | .V 7. | vw YIÈ] | A TAN dci » FRA , HA: vo Ne dos LATE AY A AT ; VAN $ , "A À \ à Me ve f Ù MANN | MES ee | En ie en NU UYV AU MU LIRE LA ER Fu Mae Me “ay nn NE UT mve DAME EEE TER PERRES CURE 4x ACTU MY Ÿ no 3 MA HAMS MEL PUS EU NV We AR 2e OM M, AM AA RAT AARARRA AAA ob A, CAR anne A Lu Xe AAARAA AP Are A AAA À ARAAAGE. Aaann° AA À ANR pa AA MMANAMR £ “un à PVall fa Mann Division of Mollusks Sectional Library AMAR AE RAA °° RAAAAMAAAAARAA ANA Pu MS Ÿ A alhlal) IARRA \ AA A AA ANR RAA A RErRR af A AAA NA ARR AR AR AC 20 AAA DA vd none x À AA AA ete A PsAîAS Dan Shane AAA NAta use Anna AEINA A Palau RTE AN NAS INA GR x 2 AA AT FYRE nAn EAANAM A RAA RNRAR Aa : À Ra Aer £ $ Var ue We rte MA /\ WA À: Pa AAA AE LA AA à: à) die le PEAR RAA AA MA on y ms co AAA D di AA À Aa dau AA QAR À k sa. Ana p un nn AA … AA MR ARANANAMA | A" HET FAN nt M ALILITEILIT ENS ou Ah un, M AAA: Van A ARS A SPA A AR FERA AM 0 à san AAA RAA AREAS :AA AMANA ana ni A - AA ot pe an A" sn hs … jt AAA M SA MA DANS AAA cs um AM À RASE AYVA VA Lean, AAA KA ARMANA MA ape D A FAAANA Ti KR rh PARAA ARE nits a Se ps ne ann As MA LE fu EN ot ft pan AAA pas MARNE RAR is AA ñ AA ANA AT At es … M re A AA AAA A AA RARES A Ru A A aARARA EE .. AA NA AAAAMNARREAER PnASAS k Mae EM M n REA nn A LAND PE Lee AnA RAS : re NA AE 2 Anteie 777 AAA AA Us la) a tes AA do. \ PT À A AAA nes RAT Division of Mollusks Sectional library APE Ar Na RL C ME ‘CR : hi + nous - D » 100 RL LAER At - 4 NP. A mt F L v/ * + CRT RÉ ” ns : 2/2 4 + . s s \# : Ta TL LL : 9 ,/ 1 . LR U v A ER © TA | 2 > je > À NCIe L ae. AR RSS Dr h Là LR LAN" s 4 ED Qi! MÉMOIRES PRÉSENTÉS ROLINSEITUT EGYPTIEN ET PUBLIÉS SOUS LES AUSPICES DE SA A PBBASIT RHÉDIVE D'ÉGYPTE ———— $e TOME VI.— FASCICULE 1 CATALOGUE DE: LA FAUNE MALACOEOGIQUE D'ÉGYPTE PAR P. PALLARY LE CAIRE LIBRAIRIE DIEMER Fixer et Baysæexper. Successeurs. = Rue Kamel. Novembre 1909. CGAPAEOGUE DELA PAUNE MALBACGCOLOGIQOUE DE L'ÉGYPTE par M. PAUL PALLARY Limites de la faune égyptienne. La faune terrestre de l'Egypte se relie, dans la portion septentrionale, pour la plus grande part à la faune paléarctique. et pour une faible part à la faune indienne, tandis que. dans la partie méridionale, elle se rattache à la faune équatoriale dont nous n'avons pas à nous occuper ici. La faune aquatique offre, au contraire, un caractère duniformité excessivement remarquable. Dans son ouvrage sur la Malacologie de FAbyssinie p. 190, Bourguignat a nettement défini ces deux grandes zônes de la faune malacologique : « Toute la partie nord du Continent africain n'est peuplé que d'espèces du systeme européen, appartenant, en plus grande partie, aux sous-centres hispanique et laurique, et aux espèces littorales méditerranéennes . . . .. « En Egypte, se montrent les formes tœuriques. Toute la faune terrestre de ce pays, en ellet, provient des contrées syriennes. 1 1, Ces conclusions qui élaient exactes en 1883, doivent être modifiées depuis les recherches du Père Teilhard de Chardin au Caire ; cet excellent observateur à en effet (rouvé dans cette ville el aux environs: Buliminus sennaaricus. B. insularis et Opeas grarilis, espèces qui ne peuvent être considérées comme appartenant à la faune paléaretique et qui paraissent plutôt provenir des Indes. Peut être des recherches plus étendues féront-elles encore découvrir d'autres représentants de cette faune. Mémoires pe L'Insrirur EGxPTiEN, tome VI. fasc. I. 1 210 648 « Cette influence taurique se fait sentir à intérieur, à peu près jusqu'en Nubie, ou elle disparait, tandis que, sur le bord des côtes, elle descend le long du littoral de la Mer Rouge et du golfe d'Aden jusqu'à Fextrémité du Cap Gardafui. « Le grand désert du Sabara ne possede pas de faune propre. Ses oasis sont peuplées de quelques espèces accidentellement importées qui proviennent, pour celles du nord, du Maroc de l'Algérie et de la Tunisie, et, pour celles du sud, du grand centre zoologique africain, Le point de jonction des deux faunes à lieu au niveau de loasis d'Insalah, vers la partie centrale du Sahara. « C'est au sud de cette immense région désertique que commence vraiment l'Afrique zoologique et que se montre 1e grande centre de création de ce continent. « Ce centre, caractérisé par tous ces genres et par ces espèces que les mala- cologistes connaissent, se développe, de FAtlantique à l'Océan Indien, sur toute la surface du continent jusqu'aux terres australes de Natal et du Cap, englobant dans son étendue, la région des grands Lacs, et projetant ses espèces par le cours du Nil jusqu'à la Méditerrannnée. « L'Egypte à donc une faune: fluviale essentiellement africaine ». 1 En résumé, la limite de la faune paléarctique est marquée sensiblement par le Tropique du Cancer à gauche du Nil, et par le 209 latitude N, entre le Nil et la Mer Rouge. La faune terrestre égyptienne s'arrête donc au désert de Nubie: c'est elle seulement que nous allons mentionner dans le catalogue qui suit, tandis qu'au contraire, la faune nilotique. maloré son caractère africain, est très homogène depuis la région des Grands Lacs jusqu'au Della. C'est ce qui explique pourquoi, dans notre bibliographie, nous n'avons cité que les ouvrages s'occupant de la faune ter- restre de la Basse Egypte, tandis que nous n'avons pas mentionné les publications relatives à la faune du Nil ni de la région de F'Albert Nvanza Oukérewé. I faut comprendre dans la faune de FEgvpte, celle de la péninsule du Sinaï qui se rattache à l'Egypte et à la Palestine. Voici d'après M. Ancey JC, 1905, n° 3, 274 la faune de cette région: Leucochroa {Sphinterochila) Boissierei Cuaur. | Helicella Obelus) philamnia Bér ae | ; = — filia Mocssox || — — plychodia Ber Helicella eremophila Boisster | Erenina desertorum Forsk — Beadlei Pisens — Ehrenbergi Rorn | — {Obelus) tuberculosa CoxrAn | Hydrobia musaensis FRAtENxrELD 1} Comparer avec le passage de Fischer (Man. de Conchyl., 1887, p. 222) et avec Jickeli Fauna N.OSE Afrikas, p. 303. — MM. Kobelt et Germain expriment, tous deux, une opinion iden- üque. — À. Morclel a, le premier de tous, fort bien résumé la question dans le Voyage du Dr. Welwitseh dans les royaumes d'Angola et de Bengucla 1868. pp. 28 et 29). po La constatation faite, d'une part, par von Martens (1, L. Germain (? et Boettger (*) que la faune du Lac Tchad ne diffère pas de celle du Nil et la communication positivement constatée, d'autre part, par Lenfant du Tehad avec le Niger permettent de conclure que, sinon la totalité, au moins une grande partie de la faune du Sénégal est identique à celle du Nil, et il sera nécessaire de reprendre les anciens noms de Spatha rubens Link Aetheria elhiptica Lmk. et autres que des auteurs modernes ont modifiés sous l'impression que la faune du Nil et celle du Niger ne pouvaient être identiques. On sera peut être surpris de voir dans ce catalogue la mention d'un grand nombre d'espèces inédites de Bourguignalt sans aucune description ou, simplement, une bonne figure. Comme tous les naturalistes, nous avons souffert de l'effrayant développement de la synonymie, et nous estimons qu'il faut, autant que possible. le réduire à sa plus simple expression. Or, dans le cas actuel, nous avons une excellente occasion d'éviter, pour Favenir, d'augmenter cette synonymie: c'est tout simplement d'aviser les malacologistes qui voudront étudier la faune de FEgypte. qu'il existe dans un des plus grands musées d'Europe, celui de Genève, la collection de Bourguignat, où se trouvent les espèces dont nous faisons mention plus loin, el que Bourguignat, dans ses publications cite le plus souvent sans aucune description parce qu'il espérait toujours entreprendre un important travail © Histoire malacogique de l'Egypte » que la mort ne lui à pas permis de publier. Mais. maintenant que nous avons essayé, de conserver à Bourguignat le légitime fruit de ses recherches, nous avons à confesser que nous ne partageons pas toujours sa manière de voir, en ce qui concerne la multiplication des especes. Il ne faut pas croire, par ce que nous mentionnons une cinquantaine d'Unios et autant de Corbicules, que nous adoptions ces espèces comme bonnes. Eà aus i une autre considération nous à fait respecter ces noms: lexpérience qne nous avons des Mollusques nous a prouvé qu'il y a des séries entières où les différences entre les individus sont tellement faibles que la connaissance de lespèce devient tres difficile si lon ne choisit pas ses types oonvenablement, de maniere à ce que les différences entre deux formes spécifiques soient assez tranchées pour étre sensibles sans étude approfondie. PI (1) E. von Manrexs : S'isswasser Conchylien vom Südufer des Tsadsees. in Gesellsch Naturf. Jahre "1905 N0u1" (2) L. Genuan : Note prél. moll. miss. Chevalier (Bull. Mus. Paris, 190%, 407 p. 470). do. : Sur les moll. recueillis par la Mission Foureau-Lamy dans le centre Africain, (Bull. Mus. Paris, 1905 — n° 4, p. 249(. 8) Boerrcer : Nachr. Malak. Ges., AN05, pp. 25 eb 26. Ov, beaucoup de naturalistes n'ayant pas eu la facilité d'établir des séries el n'ayant a leur disposition que des exemplaires isolés, ont institué des espèces qui pouvaient être bonnes quand la série était incomplete, mais qui ne létaient plus lorsque toute la série était formée. Il apparaissait alors aux veux des critiques que, si les espèces avaient été disposées autrement, il aurait été plus facile de les distinguer et de reléguer au rang de variétés. des formes qui avaient des caractères plus tranchés que lespece. C'est pour permettre d'établir des espèces bien caractérisées el bien distinctes que nous publions la liste des noms de Bourguignat, qui, dans notre idée, n'est qu'une simple liste de noms. C'est aux naturalistes qui feront une étude approfondie de ces groupes. qu'il appartiendra de décider quels sont ceux de ces noms qu'il faudra conserver comme {types spécifiques où comme variétés. où qu'il faudra rejeter purement et simplement. Dans le premier cas comme dans le second, nous croirons avoir rendu un véritable service aux malacologistes en leur signalant à Favance ce qu'ils pourront trouver dans la collection Bourguignat. En général, nous nous sommes borné pour les citations bibliographiques à citer la référence originale et nous avons ajouté quelques bonnes références iconographiques, ce qui nous à paru être plus utile qu'une iongue suite de citations. Pour le classement générique, nous avons suivi, à peu de chose près, le Weéthodus dispositionis Conchylioron ertramarnnmm de CG. A. Westerlund 1, Nous ne saurions terminer ces lignes sans adresser l'expression de notre gratitude à MM. le D' Innes bey, René Fourtau, Pachundaki, aux RR.PP. de Bélinay, Teilhard de Chardin et Clainpanain, auxquels nous sommes redevable d'une partie des matériaux qui nous ont permis de préparer cette étude et au concours desquels nous devons de pouvoir préciser un grand nombre de points encore douteux dans l'histoire de la Malacologie Egyptienne. Qu'ils reçoivent ici le témoignage de notre plus vive reconnaissance ! Mais, malgré l'importance de ces concours, bien des choses nous seraient encore restées inconnues ! Un chercheur perspicace, Juba de Lhotellerie avait fait deux longs séjours à Alexandrie, de 4874 à 1879, el il avait rapporté de cette ville une superbe collection de coquilles. Le décès de sa femme. puis le mauvais état de sa santé, lobligérent bien à regret de quitter ce pays. Apres bien des vicissitudes, je 1 Methodus dispositions Conehyl. extramar in Regione palacaretica viventium, familias, ge- nere, Sub genere el stirpes sistens. Ær. Actis Acad. scient. et art. Slarorum. meridion. vol. 151 Zagrabia 1902. le retrouvai enfin à Alger et lui fis part de mon projet d'étude de la faune égyptienne. Mais souffrant déjà de la maladie qui devait Femporter, il ne fut pas possible à ce 2616 chercheur de me montrer là riche série qu'il avait amassée, et ce ne fut qu'à sa mort qu'ayant acquis sa collection, j'ai pu mettre en œuvre les matériaux amassés par lui. Grèce à leur abondance et surtout à la précision des habitats, j'ai pu me rendre compte de la variabilité des espèces ct de leur dispersion. Comme, d'autre part. des naturalistes comme Bourguignat, Letourneux. Clessin et von Martens avaient déterminé bon nombre de ces espèces, j'ai été en état de résoudre bien de petites difficultés. J'espère que, présenté dans ces conditions, mon travail ne sera pas taxé de légèreté, et je souhaite de grand cœur qu'il soit utile à ceux qui s'intéressent aux productions naturelles d'un pays si visité, mais si peu connu encore sous ce rapport. Oran, le 4% octobre 1908. PESPATLARY: — Je n'ai pas cru devoir consacrer un chapitre spécial à l'historique des recherches. Cette question à été fort bien traitée d'une part par Bourguignat dans la partie relative aux mollusques du « Voyage autour de la Mer Morte et dans les terres bibliques, par F. de Saulcy », pag, F XIV., et de l'autre "part, par C. F. Jickeli dans l'introduction de la «Fauna der Land und Süsswasser Mollusken Nord-Ost Afrika’s» pp. A1 à 23. BIBLIOGRAPHIE 1797. — Kren. Iassezquisr. — [ter Palestinum. eller resa til heliga land etc, forrattad in fran. ar 1749, til 1752. 1779. — P, Forskaz. — Descript, animalium, avium., amphibiorum, piscium, insectorum. vermium, quæ in itinere orientale observ, P. Forskal. 1786. — J. I. 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Bourguignal (Paris 1890 » ee malacologiste mentionne, à la page 66, sa publication Species norissümæ molluscorum x Europæ systemate detectæ..….» dont il y 070 aurait eu deux centuries : la premiere de Juillet 1876, la deuxième de Juillet 1878. 0r la première a bien été publiée: mais n'ayant jamais vu la mention de la seconde dans les catalogues qui me sont passés dans les mains, j'ai concu des doutes sur son existence eb at prié le Dr André de s'assurer si cette publication figure bien dans la bibliothèque de feu Bourguignat, installée de son vivant au musée de Genève. Voici ce que na répondu le André : 4 ai consulté le catalogue de la bibliothèque Bourguignat et la bibliothèque elle même el je n'ai trouvé que la première partie du species norissünmæ...qui ne comporte, en effet, qu'une centurie. /E est done certain que la deuxieme partie n'a pas été publiée. — 1884. — Warren INNEs. — Recensement des Planorbes et des Valvées de l'Egypte in Bull. Soc. Malacol. 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Cette limace est facilement reconnaissable à sa limacelle interne dont le nucléus est d'une jaune clair. Les Parmacelles sont surtout nocturnes: on les trouve par groupes sous les pierres où elles restent, dans le jour, contractées. Elles répandent une odeur désa- gréable. Lorsque l'animal est vivant, la limacelle est très flexible, ce qui permet à la bête de passer par des ouvertures plus étroites que la limacelle. Mais celle-ci durcit après la mort de l'animal. Lorsque celui-ci est àgé, la limacelle est épaisse et lourde, el sa forme se rapproche davantage de celle du P. Deshayesr. Quoiqu'elle appartienne au groupe du P. Deshayesi M.-T., si répandu dans le N. O. de l'Afrique. cette espèce en diffère par sa taille plus faible, et surtout par sa limacelle plus courte et plus trapue. (Zouites (?) catoleius. BoureuIGNAT). 870. Boureuiexar. — Moll. nouvo. litigieux, 12° décade, n° AL, pl. 5, fig. 1-5. Environs d'Assouan. Le Zonites catoleius de Bourguignat n'a plus été retrouvé en Egypte : la figuration parait représenter un exemplaire non encore adulte. Si cette figuration est bien exacte, la coquille serait un véritable Zonttes et non un ÆHygromanes comme ladmet Westerlund, qui place cette espèce près des /f. zoni- tomaca Let., lenabaria Let.. et rusicadensis Let. de la Kabylie. D {Zonites(?) Savignyi Enrexeere). 1605. Descript. Egypte. pl. WF. 20. 1661. Helir Savignyana, Burexeere: Symb. phys. n°9. 1665. E. v. Manrexs : NA Mollusken, p. 19". 1670. Zonites Sacignyanus : bouretiexar ên Rev. et Mag. de zoolog. pt Bords du lac Mariout. Des différents auteurs qui se sont occupés de cette espèce, L. Pfeiffer in Monogr. Helie. viv.: HE p. 281: IV, p. 356. l'assimile à FAelir Pouzolzi de la Dalmatie: Albers Heliceen, 2° 6dit., p. 85 et E. v. Martens (Nil Mollusken. p. 194. l'iden- tifient aussi à 1. Pouzolzi. Mais Bourguignat loc. cit. p. 88 le considère comme un Zonites du groupe alqurus, voisin du caloleins. écrit « notre nouvelle espèce Z catoleins se distingue du Senignyanus que EL. Pieiffer à confondu, nous ne savons pas trop pourquoi, avee VA. Pouzolzi de Dalmatie . . . ». Celle espece et la précédente, n'ayant jamais plus été retrouvées en Egypte. il est à craindre qu'elles n'aient été importées avec des céréales, comme le cas s'est produit si fréquemment en Egypte pour d'autres espèces 12 Famille: CALCARINIDÆ. Genre: CALCARINA Moouix-Taxpox Nous avons renoncé à employer le nom de Leucochroa pour désigner ce genre : en effet, le genre Lencochroa Beck, 18387 Index. p. 16: est une section du genre Helir dont les espèces ont ie labre © intus marginatum » et dont le type est Helir albelle qui est bien éloigné des espèces que nous envisageons. Nous adoptons 16 nom qui a ete donné par Moquin-Tandon en 1848 et qui s'applique bien à cette série ie le {pe du genre est Helir candidissme. Calcarina alexandrina facot \WESTERLUND. PI. FL, fi. 6-9, 1666. Leucochroa bætica. Nr HMerandrèna. — Wisrersen: Fauna palæarct. Y. p.01. 150 Marsa Matrouh Pachundaki : Mariout. Le Mex. Alexandrie. Espece de pelite taille. Ja forme minor arrive jusqu'à 43 mm. de diamètre. comme rs tous les Calcarinæ ég\ptiens : facilement reconnaissable à ses tours supérieurs Voir, à Fa fin, une note sur les espèces adventices de la faune égvplienne chagrinés. À Marsa Matrouh. Favant dernier tour est parfois caréné, mais cette carene est simplement anguleuse. Comme Von Martens l'a déja écrit, la fig. 7 de la pl. 2 de l'expédition d'Egypte représente le Calcarina candidissima à test lisse. Ilest probable que lexemplaire figuré provenait de la Syrie, car cette forme parait manquer en Egypte : du moins jusqu'à ce jour, on ne l'y à pas trouvée. Calcarina pulchella P\rrar. PESTE Coquille déprimée, à protoconche saillante, lisse: les tours suivants sont chagrinés sauf la partie inférieure du dernier tour qui est finement striée. » tours bordés à leur partie inférieure par une faible dépression qui règne le long de là suture. Avant dernier et dernier tours ornés en leur milieu d'un cordon saillant recoupé par les rugosités de la sculpture, s'étendant jusqu'à l'ouverture. Dernier tour descendant à Î mm. 1 au dessous de ce cordon. Ouverture allongée. ovalaire, déprimée dans le sens longitudinal D'ametre majnne nr -n lS nm =— DONO 2 ON: HANTCULEE MP EI 20 9 min. Jolie petite espèce découverte par le R. P. Teilhard de Chardin, autour du Caire, dans le désert. Elle est caractérisée par sa forme globuleuse. son test chagriné, son cordon carénal. Elle offre en réduction le contour du €. argia de FAlgérie. (Voy. Malac MAIS pl. \T, fie. 10) Elle diffère du €. alerandrina par sa forme plus déprimée. son cordon médian qui manque dans . alerandrina et par son ouverture plus dilatée. Elle rappelle assez par ses tours déprimés le € argia, mais outre sa taille minuscule, elle en diffère encore par sa sculpture. Calcarina arabica PAL. DE en A TUUE 1904. Parvanv. — Apport à la faune malacologique de l'Arabie et de lFgypte. p. 210 fig. 1,2. /sp. Leucochroa). 1903. Koseit. — Iconographie, X, p. 38,99, fig. 1825 /sp. Leucochroa). Ouady Naouk, à 900 m. d'altitude (R. Fourtau. — Wadi Hoff environs de Hélouan) (R. P. Teilhard « Cette espèce diffère du €. prophetarum Bet. des bords de la mer Morte, avec lequel il se rapproche le plus. par sa faille plus petite, sa spire plus conique, ses deux derniers tours sub-carénés. son ouverture plus allongée et plus anguleuse et enfin par son péristome replié en dehors. CS Ce Calcarina présente trois particularités intéressantes : la première, c'est que son test est parfaitement lisse alors que. dans les €. hierochuntina Boissier et dans la plupart des pelites variétés du €. candidissima, Drpd.. les tours supérieurs sont plus où moins chagrinés: la seconde. c'est d'avoir son test mince, ce qui est excep- tionnel dans les Calcarina qui sent caractérisés au contraire par leur test crayeux et épais: enfin, la troisième, c'est d'avoir son péristome replié en dehors, ce qui donne à notre espece une analogie de forme bien singuliere avec certaines variétés lisses de FHelir muralis. Muller, » Le D". O. Reinhardt à signalé la trouvaille du Leucochroa cariosa, Olivier. faite par Ascherson près d'Abou Roasch., sur les limites dn désert de Lybie, au NX. 0. des Pyramides de Gizeh. Toutefois. cette recontre aurait besoin d'être confirmée par d'autres découvertes. Siützungb der Gesell. Natur. Freunde zu Berlin, À mai 1887. p. 79. Famille : HELICID_Æ. Sous-Famille : Helicintæ. Genre : VALLONIA kRisso. Vallonia pulchella Mtrrrer. A Te SE . “9. Mocier. — Verm. Hist. 22, p. 90. 1 664. BocrGciexar. — Malacol Ag. V. p. 174473 : pl. 16. fig. 31-37. lrouvé au Caire par le R. P. Teïlhard dans les jardins du Collège de la S'-Famille, et à Matarieh. La présence de cette petite espèce en Egypte étant assez inattendue. je me suis demandé si elle n'aurait pas été importée. J'ai donc prié lPauteur de cette trouvaille de me renseigner à ce sujet et voici ce qu'il n'a écrit: « Pour Helir pulchella. me parait vraisemblable qu'elle à été importée: dans les jardins du collège ont été plantés plusieurs arbustes achetés à des horticulteurs qui ont dù les faire venir avec leur terre de Belgique. Au moins, l'espèce parait-elle très bien acclimatée: ces petite coquilles se rencontrent par centaines dans les feuilles humides. » Dans la collection de Lhotellerie, j'ai retrouvé celle espèce, provenant d'Alexan- drie, sous le nom de eupleurolena Bat. Ramleh . Genre : GONOSTOMA Kb. Section : Caracollina EnReNBERG. Gonostoma (Caracollina) lenticula FEntssAc. Pl TMS USA 1622. Fénussac: Tableau Systém.. p. 37. n° 157. Ü 667. Boureciexar : Malac. Algérie. Ve pi 16 ie 94-906. Marsa Matrouh Pachundaki. Behig. le Mex. Mexandrie. Gabbari, Le Caire. lo — Genre : HYGROMANES [érussic. Section : Theba Risso. Hygromanes (Theba) syriaca EnRexsere. PNA te26.29 1805. Description de l'Egypte. pl. 2, fig. 18 (sine nome). 831. Eurennerc : Symb. physice n°8. 1839. RossuassLer : Zconogr.. A, fig. 568 (HA. onychina) et 569 (IL. gregaria, Zlr 1846. Küsvrer, Conchyl. Cab., p.179, pl. 98, fig. 4-6. [ 864. BourGuixar : Malac. Algérie, 1, p. 149, pl. 18, fig. 1-4. Espèce répandue en Egypte depuis la mer jusqu'à File de Phile. Dans sa Malac. Ale. LE p. 150, Bourguignat distingue celte espece de LL. ony- china de Rossmassler, mais il ne peut s'agir que de différences individuelles, car cette forme, comme la suivante. est tellement variable qu'on trouve difficilement deux exemplaires semblables. Cette espèce diffère de /£. obstructa par sa taille plus faible et surtout par sa coloration. A. syriaca est toujours ornée d'une bande claire qui borde la suture, d'une seconde bande le long de la carène. et d'une bande transversale jaune clair qui est parallèle au péristome: celui-ci est bordé par une bande étroite rouge-brun, tandis que /E. obstructa est d'une teinte d'un blane orné corneo-albida’, unicolore sauf vers le péristome qui est d'une teinte plus claire. Nous nous bornerons à signaler seulement une variété nunor. Hygromanes (lheba) obstructa FERUSSAC. PAL Ge MM AA 821. Fénussac : Tableau syst. pp. 43 et 69, n° 256. 46. Küsrer : Conchyl. Cab., p. 179, pl. 98. lis. 1-8. 892. Koser : lconographie M, 5 fig. 7o0. Espèce très répandue dans le Delta : Alexandrie, Damictte, le Caire. dans les terres humides ou les endroits ombragés. Elle est très variable dans sa forme et sa taille {mutations : major @t minor) Aussi Bourguignat s’en est servi pour distinguer plusieurs espèces. La var. minor porte 1e nom manuscrit de 71. morphine B. in collection Innès Jardin de l'ancien Khalig. le Caire. — D'autres formes à peine distinctes portent les noms également inédits de {1 pephisema B. calurina. B. near B. Var. catemphatia B. mss. — Cette variété différe du {Ype par sa taille plus faible et surtout par ses tours supérieurs très déprimés. presque plans. Du Jardin du Khalig, le Caire (Collection Innes . Dans la collection{de Lhotellerie cette espèce porte le seul nom de /£.subobstructa B. On trouve assez rarement des exemplaires de la variété ex colore: albide. Il serait sage, je crois de réunir les 4. syriaca et obstructa en une seule espèce, car en étudiant bien ces deux formes on ne trouve guere de différences essentielles que la coloration et la taille, 1e premier étant plus petit que le second ‘tout eomme carthusianella esU à carthusiana). Tous deux sont si polymorphes que je n'ai pas cru devoir distinguer les innombrables variétés que lon pourrait si facilement créer dans ce groupe si peu distinct lui-même des carthusiana Muller et Olivieri. Je n'hésite pas à avancer que si l'on présentait à un malacologiste des 1. Olivieri. Rothi, syriaca, gregarie, carthusiana. carthusianella et obstructa Sans lui en indiquer la provenance, il serait dans Fimpossibilité de les distinguer les uns des autres à coup sûr. Genre : ÆEREMINA PéEIrrFERr. Eremina Zitteli Borrcrr. 1699. Bœrréer : Nachr. D. Malak. Ges.. NV, 31, p. 1958. 899. Koreur: Couchyl Cab.: 64. 2, V, 1, Abth. 12, p. 99%, pl. 245, ie. 13. 1902. Koserr : /conogr.. VU, p. 29, fig. 162%. Oasis de Siouah. Eremina deserforum Fonski\l. Pl, TL 14, 15: 127 1779. Fonskas: Descript. anim. hp. 127. Synonvmes: Helir maculosas Bonx (pl 1 fig. 15-416: — Helicogena drregularis. Féressac : ist. natur. moll., pl. 25 {12. 9-10. — H. Forskali Eurexnerc. — 1/1. arabica, Roru. — H. Gemellarii (Aradas et Maggiore) in Bexorr: Test. extr. Sicil.. pl. 3, fig. 2— J1. irregularis var. Caen : Foy. à Méroé, , pl 60, fig. 1-3. — IL. phytophila, Vareyss mss.— Zouites psammitus, Beer. mss. 11 1605. Naviexy : Description Egypte. pl. 2, f 12, {vpique,. fig. 10. (var... 1646. Cneuirz : Conchyl. Cabèn. édit. 2, pl 9, fig. 15 à 16. 1881. Kogecr: fconographie. fig. FOTL. 1012. Tout le Nord de l'Afrique, depuis le Sud Tunisien jusqu'à la Mer Rouge. \ l'exception de FÆ. Duroi de la côte occidentale d'Afrique. tous les autres Erenina sont égyptiens. Les premiers auteurs qui se sont oceupés de ce groupe ont décrit comme spécifiquement distincts les ZZelir maculose Born. — Helir desertorion Forskal. — Helir rhodia Chemnitz. — Helicogena drreqularis. — Helix Forskali Ehrenberg). — Helir Hemprichi, ÆEhrenberg. — Helir Hasselquisti. ‘Ehrenberg . — Helir Elhrenbergi. Roth. — Helir arabica. Roth. — Helir Gemellarii. ‘Aradas et Maggiore. — Helir phytophila. Parrexs. — Zonites psannnitus. Bourguignat . 1 Les especes de ce groupe ont été classées soit dans des genres Synonvmes comme £rinna Morch 1669. soit dans Les Eremophil, Euparypha. {cactus Zonites. Helicogen«. ou /berus ! Û - == 417 — Tous ces noms prouvent la variabilité de l'espèce qui nous occupe et qui a conduit à des classements non concordants. Ainsi Pfeiffer, dans le vol. T de sa Monographia Heliceorum (1848) pp. 344.3. énumere les Helir desertorum et les variétés Æ. Forskali. H. arabica, H. Hemprichr, H. Hasselquistit, et p. 271, A. Ehrenbergii. En 1865. E. von Martens. (Nil Mollusken) p. 188-191. répartit les formes de ce groupe en quatre variétés : a. depressa : H. maculosa — desertorun var. arabica. D. énflata : H. rhodia, maculosa var. — irreqularis var. nolabilis. — de- serlortun, var. Forskalt. €. conoidea : H. desertorum var. Hasselquistir. MIE Hemprichi.— He reqularis, Fer. d. globosa : H. Ehrenberqu.— Chilembia, Bet. En 187%, Jickeli (in Fauna Mollusken Nord Ost Afrika’s) n'admet que deux des variétés de von Martens : à) var. depressa comprenant : À. maculosa, irregularis. Forskali. arabica. Hemprichi psammita, Gemellarii, et rhodia et +) var. inflata com- prenant 1. irreqularis var. H. Hasselquistié, 12 Ehrenbergi et chilembia. Dans son Nomenclator (1881, pp. 191.192). Pfeiffer a bien modifié son classement de 1848. Son nouveau groupement comprend en tête de liste : E. Ehrenberqgi et var. chilembia. puis E. Hasselquisti Ehrbg.. puis enfin Æ. desertorum avec variétés : ff. micæentis Févr. et y. Hemprichi Ehrg. Il donne tous les autres noms en synonymie de Æ. desertorum. Westerlund (1889, Fauna palkæarctica, genus Hélix. pp. 150,191) n'admet qu'une seule espèce /£. desertorum avec les variétés : Aschersoni, Hasselquisté. Hemprichi, pachytoichea et Kobelti. Enfin, dans son Iconographie (Register 190%) p. 208. le DE W. Kobelt conserve le méme classement que Westerlund. Cette espèce étant très variable. il est difficile d'en classer les diverses variétés. Nous avons suivi l'exemple de E. von Martens qui. dans le Malak, Blætter 1886. ré- partit les formes de ce groupe en quatre sections: depressa. inflata, conoidea et qlobosa, mais en associant éaflata à globosa. On obtient ainsi le classement suivant qui est très méthodique : 1. Formes à ombilic visible onbilicata. Depressa: spire déprimée, fortement striée. ombiliquée. labre tranchant. . typus. Depresso-globosa: coquille plus grosse, à stries plus fines, à ombilic en grande partemeconuventalabrenécerementtrepié M ON OT: Henprichi. l'ouverture est plus allongée. presque rectangulaire . 2: . var. Kobelti. 2, Formes à ombilic recouvert. ronbilicus oblectus). Coquille à spire un peu déprimée, tout en étant globu- leuse. à ombilic entièrement recouvert OU TOUT. a spire globuleuse. à test craveux et épais, brillant (les Globosa stries visibles à la loupe) non ombiliquée, labre replié . Æ. Ehrenbergi. l'ouverture se prolonge en avant sous forme de cylindre feuilleté var, chilembia. de taille plus faible. à tours supérieurs sphériques. var. Aschersoni. Conoïdea : à spire conique, à test tres épais. labre replié. à bords VE joints par une callosité columellaire. 2 EE. Landrmui. Entre les variétés ainsi distinguées existent toutes Ies formes intermédiaires. On peut relier directement 6 sans aucune interruption les deux formes extrêmes de la série 2 le deserlorun à spire déprimée. plane, fortement striée et ombiliquée au Landrini tres élevé, lisse el non ombilique. A titre documentaire el pour mieux préciser encore le {pe de cet intéressant groupe, nous reproduisons la diagnose originale de FHelir desertorum : « Testa umbilicala. subrotunda, depressiuscula. anfractibus rotundatis. oblique strialis. labio interiore nulle. « Descripl. — Apertura obovata-ovalis : supra parum convexa obtuse. Color grisco-ferrugineus, fasciis duabus tribusne transversis. albidis. Subtus convexior quam supra, diameter pollicaris : aläitudo sinipoll. Labium exterius sine limbo. « Inter Kabiran et Sués in arbusculis deserti. » (Forskahl. p. 127). Eremina Hemprichi EnReNBeRG. 1605. Description Egypte. pl. 2, lig. 9 ypique, et HET 2, 1831. Eunexeere 2 Symb. phys. Helie n° 4. Hemprichi. 1881 Koweit : Jconographie AN, f: 100. Le Mex : Dj. Mokattam (le Caire). Commun sur les collines de décombres qui entourent le Caire du coté de la Montagne Rouge (R. P, Teilhard). Var. : Kobeïti WesreRLUND. 1681. Kogeir: fconographie, Hg. 1007. 1660. VVESTERLEND. loc. ei. p. 9 Differe surtout du {pe par son ouverture allongée, à bords supérieur et inférieur subparalleles. Ereminia rhodia Cueunirz. — E. Hasselquisti EnRENBERG. Pl ie.148219207 D» 1786. Cueuxrrz : Conchyl. Cab. IX, fig. 1179, 1180 (Helix rhodia). 1805. Savicxy : Descript. Egypte, pl. 2. fig. 6 [sine nome). 820. Desnaves ix Férussac: Hist. nat. moll.. pl. 26, fig. 5-7 et pl. 28, B. fig. 879. 1831. EurexserG : Symb. phys. Helir, n° 3,6 (H: Hasselquistit). 1827. Cuzcaun : Voyage à Méroëé HW, pl, 60, tig. 2. 881. Koserr: /conographie, lg. 1003, 100%, 1009. 1889. WesrenLoxn : Fauna palæarct. Genus Helir, p. 151 (E. desertorum. var. pachytoichea). Alexandrie, Rosette. Eremina Ehrenbergi Roru. PIS 0257 1805. Descripl. Egypte, pl. 2, fig. 8. /sène nome). 820. Férussac : loc. cit, pl. 28 fig. 6. 1839. Roru : Moll. spec., p. 12, pl.E, fig. 15. 1846. Prmirrer : ên Conchyl Cab. 2 6d., pl. 9. fig. 19,20 et pl. 15, fig. 1-6. 1881. Konerr : lconographie, Hg. 1006. Diagnose originale : « T. imperforata, globoso-depressa, transverse dilatata cale carea, crassa. solida : anfr. # {/,, ultimus ventricosus : apertura angulosa, latior quam alta : perist. rectum, superstructum, margine columellart stricto, calloso, gibbo, albo : faux fusca. — Diam. : 18 : alt. 13 lin. » (Roth). Marsa Matrouh (Pachundaki), lac Mariout, le Mex, Alexandrie. Ramleh. — Dj. Attaka, 1700 m. — Suez — Ouady Naouk. Var. : chilembia Boureurexar. PI. III, fig. 2. Boureviëxar: Moll. nouv. litig.. n° 34, pe 69. pl 12, F 19. 1864 1881. Koreur : /conographie, His. 1005. Cette variété se rencontre sur le littoral : elle « diffère de l'Æ£hrenbergi ivpe. tel qu'il a été figuré dans le travail de Roth, par son péristome excessivement épaissi, projeté en avant sous la forme de nombreuses lamelles rugueuses, souvent irrégulières, qui, en se juxtaposant, les unes à la suite des autres, finissent par rétrécir louver- ture. Ces lamelles péristomales encadrent et enserrent parfaitement la bouche depuis l'insertion du bord externe jusqu'au bord columellaire. Quant aux autres caractères, ils sont, à peu de choses près, identiques ». (B). Cette excroissance parait être un cas pathologique comparable aux sécrétions — 91) — aperturales que Fon observe chez certains calcarina et les Hélices bidentées du Nord- Ouest de Afrique (9. serait intéressant de déterminer les causes de ce phénomène. L'£. Ehrenbergi et sa variété chilembia varient beaucoup sous le rapport de la taille et la hauteur de Ja spire. Nos exemplaires atteignent jusqu'à 40 mm. de grand diametre. Var. : Aschersoni Reivianpr. Plein) 1667. Renuaunr: Ste. Ber. Ges. naturfors. Berlin. n° 3-20 Déc. 1887 p. 43. Aboukir (D° Innès Bey) — entre EL Kantara et El Arisch, dans NYE le désert, au du Canal de Suez. — Ouady Hoff prés le Caire (P. Teilhard). Se distingue des autres variétés par ses tours complètement arrondis. en forme de dôme : elle ne mesure que 16 à 20 mm. de diamètre. Elle porte le plus souvent quatre bandes jaunàtres. Dans les exemplaires du Caire. Fouverture montre parfois une excroissance feuilletée semblable à celle de la variété chilembie. Eremina Landrini Piiian. PISTL fe 226: De forme tres élevée : diamètre 38. hauteur 33 mm. C'est espece la plus grande de ce groupe. Chez quelques exemplaires le péristome est épaissé comme dans E. chilembiu. Alexandrie. Uniforme, plus petite. mais à spire élancée (diam. 23 haut. 23 mm.) se trouve au Mex. ig. 1 ÆEremina Lardrini Eremina (?) desertela JickEeLr. PES A5 LC: 1874. Jiéren : Fauna N. Ost Afrika’s, p.77. pl. 4. fig. 26. 1 892. Koreur : fconogr. 1. vol. V, fig. 760. Abou-Saoud, Alexandrie. Abou Bakar. Ramleh. Aboukir. He de Kharaba pres d'Aboukir (D° Années bev). La position systématique de cette espèce n'est pas encore fixée : Kobelt la regarde comme un £remina, tandis que von Martens et Jickeli la considérent comme un Euparypha dont elle à d'ailleurs toutes les habitudes. D'apres Jickeli, cette hélice 1 Conf. P. Parsans : Sur des Hélices bidentées de FOligocène Algérien on Bull. Muse Hist. Nat. Paris 1899, n° 6, pp. 314-317. Op vit sur les bords de la Mer Rouge par milliers attachés aux tiges des plantes qui en sont littéralement couvertes. Il serait done désirable de pouvoir étudier Fanatomie de cette espèce pour décider sa vraie place. Genre : MARMORANA ÎIlinruaxx. — MACULARIA Vox Manrexs. Marmorana vermiculiata MüLLEr. PIERRE 1774. Müuser : Permes ‘1, p. 20: 1805. Descript. Egypte. pl 2, lis 9. 1837. Rossuassier : lconogr. VE fig. SUT. Partout dans les terrains cultivés au Nord de FEgypte : Alexandrie, Ranleh, Sidi Gaber (R. P. Teilhard) — Damiette (Zelebar). Alexandrie (M. Pachundaki). Grèce à lobligeance de M. Pachundaki, nous avons pu étudier une série assez importante de cette espèce si répandue sur tout le littoral méditerranéen. La forme uénérale ne diffère pas sensiblement de celle des sujets provençaux où aliens : mais la coloration est plus vive et chez quelques exemplaires. elle offre absolument la même livrée quelques certains sujets de FÆremina desertorum. Enfin plusieurs individus, quoique bien adultes, ont encore lombilie ouvert simplement échancré par le rebord columellaire qui est fort épais dans ce cas. Cette anomalie, qui n'est pas rare, nous parait assez curieuse pour être pour être signalée. Genre : POMATIA Beck. (1) Les Pomatia ({vpe : Helix pomatia Linné) peuvent être répartis en deux groupes principaux caractérisés chacun par la nature de leur épiphragme. Le premier comprend les espèces à spire conique et à épiphragme parcheminé : ce groupe forme la section Cryptomphalus M.-T. dont le type est /£. aspersa, Müller. Le second groupe, bien plus important: comprend les espèces globuleuses à épiphragme calcaire, et peut être subdivisé en quatre sections : Cantareus Risso (type : {1 aperta. Borx. Helicogena Risso (type : /1. pomatiu L.) et nous proposons la nouvelle section : Pomatiella pour les Helir melanostoma, nucula et formes voisines. 1) MM. Uaziol et Fagot (Etude sur la faune des Mollusques de Corse, 902, p. 24) ont proposé le nom de Pomatian« ain d'éviter la consonnance Pomatia pomatia : mais les règles de La nomenclature ne S'opposent nullement à cette consonnance, au contraire LI ny à donc pas lieu de maintenir cette dénomination. Section : CRYPTOMPHALUS Miouix-Taxpox. Pomatia aspersa MürLLEr. PI. JIL, fig. 241% 1774. Müsser : Verm. Hist. p. 1. 1539. Rossuasszer : fconogr. À, p. 9, fig. 3. t : [ 66%. Boureciexar : Malac. Alg. V pl 8 fig. Alexandrie, le Caire. Section : HELIGOGENA Risso. (Pomatia nilotica BouURGUIGNAT). En 1863, Bourguignat a décrit in Wollusques nouveaur, litigieur, p. 15 et figuré pl. 2, fig. 10-12, une grosse hélice provenant de Damiette sous le nom de P. Niotica. Or cette espece ressemble tellement à celles de l'Asie Mineure que je doutais toujours de son indigénat égyptien. Cependant dans le catalogue de la collection Hagenmüller publié en 1903 par Martial Couturier (in Annales du Musés Hist. Nat. Marseille NIK.) on peut relever encore (p. 30) le nom d'une Pomalia asemanis Bet. de provenance égyptienne. J'étais donc assez perplexe lorsque je reçus du R. P. Teilhard de Chardin, qui m'a tant aidé dans mes études. un exemplaire de Pomalia que je rapportai sans hésitations à FÆelir nilotica, mais qui ne fit qu'augmenter mes doutes sur la présence de ce groupe de Pomatia en Egvpte. Comme lexemplaire reçu, était vide, je priai le P. Teilhard d'en rechercher de vivants. M. Kobelt à qui j'avais fait part de mes doutes et communiqué Fexemplaire, m'écrivit qu'il ressemblait beaucoup au P. ciliciana B. de l'Asie mineure. On sait que la patrie du P. asenunis est la Syrie 1. Ma demande ne resta pas longtemps sans réponse. Le P. de Bélinay me répondit en effet: «Je sais maintenant, hélas !, d'où proviennent les coquilles d'ÆHelir nilotica : celte espèce remplit des tonneaux entiers chez les épiciers et il parait qu'elle est apportée de Syrie - . - ! ». Hasselquist avait déjà remarqué la.présence de cette espèce qu'il appelle rochlea pomalia chez les marchands du Caire : il raconte qu'au moment du jeune grec, cette coquille était apportée par milliers ‘des collines égyptiennes, ditil et que les paysans les nourrissaient avec de la farine de froment. [ter Palestinum. p. 132, © 1 Voyez: Bourguignat: Amén. malac. 1860, 1, p. 76, pl. 24, fig. 4-3 et Kobelt /conogr. lig.1032-1033. 2 Cette coutume de consommer des hélices duraut le Jeune grec a été également signalée par Mousson:4 pendant les longs jeunes de l'Eglise grecque. au printemps. il se fait à Janina une grande consommation de Helir Schlæfli ‘du groupe Pomatia) qu'on apporte en masse des villages du voisinage : (Mousson Coq. terr. et fluv. rec. dans l'Orient 59, p. 1840), Le même problème avait embarrassé feu Juba de Lhotellerie qui avait également cherché à se renseigner sur la provenance de ces gros Pomaltia alors qu'il habitait Alexandrie 1879). Je trouve dans ses notes l'indication que ces hélices proviennent des côtes anatoliques entre Bricos et Smyrne et surtout de Lattaquié ‘on Eatakieh dans les vignobles. Bourguignal. à qui ces coquilles avait été communiquées, leur avait donné les noms de Æ. Jubae, triroenostoma. et pleurorimia ce qui, avec les H. nilotica et asemmis, font cinq noms pour des espèces absolument étrangères à l'Egypte ! (Pomatia cineta MürLer). Cette espèce si commune dans FEurope méridionale à été rapportée d'Alexandrie par le D'. Stuhlmann. D'après les constatations que nous avons faites pour les P. asenomis et ntlotica, nous pensons également que le P. cincta a été importé de l'Asie mineure comme ses congénêres. [Il faut par suite exclure ces espèces de la faune égyptienne, comme aussi les P. ligata Müller et figulina Parreyss qui v sont mentionnées par quelques auteurs von Martens, Morelet et Kobelt. Jickeli ne les cite qu'avec doute pp. 81. Section : POMATIELLA Parran). Pomatia (Pomatiella) melanostomana DRAPARNAuD. An XIII (1805), Duararnaun: ist. nat. Moll. France, p. 2, pl. V. lig. 23. 1864. BourGuienar : Malac. Algérie 1. p. 96, pl 7, fig. = 4. Nord de FEgypte. Var. pachya BourGuiIGxar sp. 1860. BourGuiGnar : Aimé. malacol. I, p. 0, pl2, fig. 7. Egvple. « differe du type par son test plus épais, plus élancé, à bouche blanche _et moins arrondie » (B. Pomatia (Pomatiella) nuçeula PARreyss. PAT o Memo 1859. Preeerer : Monogr. Helic. IV, p. 60. 1864. Bouréviexar : Malocol. Algérie 1, pe 9, pl VIL fig. 9. Espèce très commune sur le littoral égyptien. On peut noter les variétés de coloration : unifasciata. bifasciate. quadrifasciata. et quinquefasciala où 528. WesrenLuxn : Aperçu Moll. Grece, pl. 5. fig. 27. 9. WesrenLexb: Fauna palæarct. p. 160. Egypte. Depuis FArabie jusqu'en Lybie et en Nubie. Variété de coloration caractérisée par deux grandes bandes foncées bordées par trois autres bandes tres étroites. Var. : zonata boureuiGNar. 69. Bocrécrexar : Malac. Algérie, V. pl 99, pl VIE fig. 0. « Coquille plus petite, moins élancée, à test plus fortement strié et orné de quatre bandes roussatres. »B. C'est done Ja variété ex. cof. quadrifasciata ei dessus nommée. \ar. ex. col. : albinos. \test dun blanc pur. Mariout De Lhotellerie. Var. : minor. Diametre et hauteur 20 mil. Il est peu aisé de distinguer les especes_ ég\ptiennes du groupe Pornatiella ? Va forme la plus commune est certainement FAHelir nucula qui. d'apres Bourguignat « se distingue de PAZ. melanostoma dont elle est très voisine, par sa coquille plus élancée. moins ventrue, par sa spire plus haute, plus obtuse : par ses premiers tours plus gros, plus développés. séparés par une suture beaucoup moins prononcée, par son ouverture plus haute el moins large, par conséquent moins exactement arrondie que celle de la melanostoma » Mal. Ale. F1. p. 99. Genre : EUPARYPHA ÏIIiRruaANx. Euparypha pisana \riier. PI. 1, fig. 4, 5, 19. — Var. : leucolena. PI. 1. fig. 6. 180. Description Egypte. pl 2, he. 19, 627 1%, 15, 16 et 19, 12 (jun Très commun dans les dunes et les jardins du Nord, spécialement à Alexandrie, et au Caire. LE. pisana est une hélice des plus variables: les formes littorales sont ordi- nairemept carénées. landis que celles de Fintérieur sont globuleuses. I est assez difficile de savoir ce que sont les variétés Chombardi etthinophila que Bourguignat el Letourneux mentionnent d'Egvple dans leur «€ Prodrome de la faune malacologique de la Tunisie », pp. 79.80 et 82, ces coquilles étant simplement nommées sans aucune autre désignation. Quant à l'A. leucolena B. id... c'est une forme albine de 77. pisana d'après une exemplaire de la collection de Ehotellerie aujourd'hui en ma possession. Genre : HELIOMANES FERussac. Sous-Genre : Xerophila Her. Xerophila vestalis (PArreyss) PFEIrFER. PAT ele 1805. Saviexy : Descripl. Egypte. pl. 2. fig. 17. Hg. 156? 1841. L. Premrrer : Symb. ad histor. Heliceorum. L. p.40: 1842. Panreyss in Hanruanx : Gaster. d. Schaceiz.. p. 4. pl 46. fig. 13 0H. palmarum). 1848. L. Preirrer: Monogr. Helie. L. p. 170. 1874. E. vox Manrexs : Poderasiat Conchyl.. pe 10. pl Hg. 1 1874. Jiekeu : Faune N. 0. Afrikas. pp. 88-91. pl IV. fig. 2. 1443. 1879. Kogeur : Jconographie L. 6 ig, 1472. J'ai eu beaucoup de peine à déterminer Ie nom qu'il convenait d'appliquer à cette espèce qui n'a pas moins de six synonymes: mivec. veslalis. clerandrina. pale marum. mivellina, et ramlehensis. La priorité appartiendrait à Æ nivea Ziegler ‘in Anton. Verzeichniss der Conchy- lien, p. 37 (1839 sine descriptione. 1° S'il n'existait pas déjà un Helir nivea Gmelin bien antérieur (Ed. Linné. vol. VI p. 3639. n° 176. 2° parce que, d'après Anton et L. Pfeiffer (Monogr. Helic. ver. p. 169-1661, la patrie de F'AHelir nivea Ziegler est Corfou et 3° parce que la diagnose ne paraît nullement se rapporter à l'espéce que nous avons en vue. Par conséquent, la recüfication de nivellina indiquée par Bourguignat en 1883 dans son Hist. Malacol. de l'Abvssinie, p. 42, est sans raison d'être. Chronologiquement le nom de vestalis arrive le second 1841 et le doute n'est pas permis pour cette espèce dont l'habitat indiqué est l'Egypte. Le nom d'alerandrina Parreyss ne peut ètre adopté puisqu'il existe déjà un Helix alexandrina Ebrenberg. (Nov. EL. Pfeitfer : Monogr. Helix. 1, p. 423, p. 1098. 1 Au surplus voici ce qu'écrit Albers au sujet des {1 nivea et alerandrina. « LA. nivea et FA. alerandrina qui lui a été jointe comme variété me sont complètement inconnues d'après la diagnose donnée par Pfeiffer : celle que j'avais recue de Parreyss. comme A. alexandrina est la petite forme... de 1. candicans. et la coquille qu'il à envoyée d'Alexandrie comme étant /. nivea, répondrait à la diagnose de Pfeiffer, si elle n'était pas manifestement et largement ombiliquée, alors 1) Il est assez dificile de savoir ce qu'est FHelx alerandrina d'Ebrenberg. Après avoir reproduit la courte diagnose d'Ehrenberg, L. Pfeiffer ajoute : Pupæ habitus. sed characteres Helicis — An H. crenulata olio. jun. ? 1 (p. 123. ES — 26 — que l'espece de Pleitfer. est simplement perforée. 1 Die Heliceen ed. p. 145). Martens. Quant à Helir palmarun Parreyss Hartmann il n'est pas douteux que ce ne soit la mème espece que 7. vestalis. Hartmann. et Pfeiffer considèrent cette forme comme variété p. de Æ. sphwrita. Or effectivement certains exemplaires trés foncés ont une coloration qui rappelle ‘surtout en dessous celle de FA sphærila d'Oran que je connais parfaitement bien. Hi nv a done rien de surprenant que ces deux espèces aient été rapprochées et même que certains auteurs Vox. Jickeli. p. 91 aient “mentionné FA. sphærita en Egypte. Mais comme ce nom de palmartum est postérieur d'un an à celui de restalis ne peut être accepté pour désigner le {pe spécifique. Il résulte done de cet exposé qu'il faut adopter le nom de Xeroplala restalis à l'exclusion de tous les autres. D'apres Pfeiffer. le pe du veslalis est déprimé, solide. brillant. blanc fnivea,, l'apex est noir, 3-3 12 tours. le dernier très large : lombilic étroit, ouvert: angustus, pervius) : ouverture sub-cireulaire 2 péristome simple, à bords rapprochés ‘marginibus approximatis). — Diam. 12, haut. 6-7 1/3 qu. — Commun à Alexandrie et le Mex, plus rare à Marsa Matrouh M. Pachundaki. Var. ex colorée palmarum PannRexss) FaRrmanx. PLAT fre La var. ex colore palmarun Parrevss Hartmann ne différée du type que par sa coloration qui rappelle celle de. Sphærita d'Oran el en dessous surtout celle de VA. millepunctata Btigr. qui en est d'ailleurs très voisine . On peut encore distinguer les mutations ex colore 2 vmifasciata, bifasciala, trifasciata el quadrifasciata. Var. ramlehensis Bouraviexar: WESTERLEND ranulensis. PAT 02 6 08etr1 0; 1889. Wesrercexn: Fauna palæarct. Genus Helir. pe 196. diffère du X vestalis par sa spire plus élevée. son ombilic plus serré et son ouverture plus oblongue. Dimensions : diam. 1117, — 12 13 mm, sur 6 17, — 9 1j mm. (W). Le Mex: Palais de la Khédivah. Alexandrie : Ramleh : Sidi Gaber. L Uwbilicus angustissimus, non pervius +, diteffectivement L. Pfeiffer (p.163 Cela seul sufirait à exclure H. nicea de la synonymie de 4. restalis puisque ee dernier est au contraire assez fortement ombilique. Var. : mahmoudiana BourGuiIGnar. PITASRS AC 1609. WesrenLuxn: loc. eit. p. 196. Plus petit que X. randehensis (12: 9-10 mm. mais à spire encore plus turriculée. Dans les terres jaunatres entre le lac Hadra et le canal Mahmoudieh. Partout le long du canal. Les formes du groupe vestalis Sont caractérisées par leur ombilie ouvert : les formes suivantes. à l'exception du X. Tanousi qui les relie, sont au contraire caracté- risées par leur ombilic très étroit. Xerophila Fanousi BOouRGUIGNArT WESTERLUND. PINS. 25 1691. Wesrencexn: Spicileg. malacolog.. pe 4 Différe du X. Guimeli par sa forme plus déprimée, ses avant dernier et dernier tours plus comprimés, son ombilic plus ouvert et son ouverture plus allongée. Mariout. sur les chardons (de Ehotellerie) : le Mex, Gabbari. Aboukir. Var. ex-colore : ferruginea PV. d'une teinte brun de rouille foncé en dessous. Gabbari. Dans sa notice, Westerlund complète la diagnose de X Guimeli el considere les formes eucallochroa et Fanousi comme des variétés de celte espece... Sur ce dernier point nous différons d'opinion. car nous estimons que eucallochroa Se rattache à NX. smulata. Entin. d'après la diagnose de X. Tanousi. donnée par Westerlund. cette coquille serait assez distincte des exemplaires que nous possédons sous ce nom. Voici la traduction du passage qui concerne la variété Tanousr. « Ombilic distinetement dilaté à partir de Fantépénultièéme tour. dernier tour presque evlindrique en commencant, également convexe en dessus et en dessous. ou un peu plus convexe en dessous: pas de trace d'angle. Larg. 8.5 — hauteur 7.5 mm. « Habitat: Ecvpte. près de Mariout et prés d'Alexandrie. » (Westerlund. p. 3D. Fa | Xerophila Pachundakii Pirrany. PI: 1 fig. 46, 47. Coquille tres déprimée à test mince. très finement striée : 9 tours !}, à croissance lente : le premier d'un brun foncé, les autres colorés par des flammuies transver- sales : dernier tour tres faiblement descendant. presque horizontal : Ouverture peu oblique, allongée. Intérieur blanchàtre. épaissi par un bourrelet parallèle à l'ouverture. Ombilic peu ouvert et profond. Diam. majeur 12. mineur 10. hauteur 7 mm. Var. minor. diam. 9%. haut. 6 min. Marsa Matrouh dans la Marmarique (Pachundaki. plus rare à Alexandrie. ‘De Lhotellerie). Il est juste que nous dédions celte espece à M. Pachundaki qui. le premier, à fait connaitre la faune de la Marmarique. Cette espece est vraiment commune dans la région et elle offre de nombreuses variétés de coloration dont quelques unes sont trés vives. Certains spécimens offrent des lascies identiques à celles que lon remarque sur les X. oranensis et Reboudi de l'Ouest de l'Algérie. D'autres sont d'une teinte fuligineuse uniforme. Cette xérophile est très distincte des groupes précédents par sa forme déprimée et son ouverture allongée. Xerophila Mariettei BOoURGUIGNAT miss. PAIE AM US Coquille à spire élevée. 6 tours bien enflés. apex brun noir, spire conoïde à tours pyramidés, les deux derniers très gros et bien arrondis. Dernier tour descendant brusquement un peu avant l'insertion du péristome, Ouverture ronde, un peu com- primée en dessus. toutefois plus longue que haute. Bord columellaire s'étalant très peu sur Fombilie, Ombilic médiocrement ouvert. Coloration très vive, formée sur le dessus de flammules blanches sur fond brun foncé, au milieu d'une zône blanchätre avec des ponctuations brunes et en dessous d'une large bande brune avec zônes ravonnantes blanches et un cercle de points bruns entourant Fombilie. Intérieur du labre d'un brun rouge avec deux bandes plus foncées. Diam. maj, 7 12, min. 7 : haut. 6 1-7 mm. Dans les dunes d'Ibrahimieh et Moustapha Pacha Lhotellerie. Cette jolie espèce est caractérisée par sa spire conique el sa coloration très vive, Elle différe des formes voisines par sa taille plus faible, sa spire plus conique et surtout par sa coloration bien caractéristique. Xeroplhila mexensis BoURGUIGNAT. PI Ts. 4710192021: 1891. Westencoxe : Spicileg. malcolog., p. 84. Coquille à spire turriculée (conico-pyramidale) élevée. globuleuse. Test mince, brillant, très finement strié. Coloration blanche, sur laquelle se détachent une bande brune, peu large. interrompue, supra-médiane. parallele à la suture et trois à quatre bandes très étroites qui entourent lombilie, Spire élevée. à tours étagés, pyramidés. Apex petit. brun foncé. 6 12 {ours convexes, croissant réguliérement. Suture linéaire. Dernier tour grand. légérement et _obtusément anguleux au milieu, très faiblement descendant. Ouverture grande, à bords rapprochés, presque circulaire, presque aussi haute que large, mince, faiblement colorée à l'intérieur. Péristome mince, très peu oblique, orné en dedans d'un où plusieurs bourrelets peu colorés. Bord columellaire peu arqué, très faiblement étalé sur l'ombilie qui est étroit et profond, Diamètre : 10 mm. hauteur 8-9 mm. Marsa Matrouh Pachundaki) — Le Mex. Cette coquille par son ombilic étroit et sa spire élevée se rapproche beaucoup des formes du groupe pyramidata: 77. spaelle. L.B. et zitonumica L. B.Toutefois l'ouverture au lieu d’être comprimée comme dans les espèces de ce groupe. est au contraire bien ronde et par ce caractère se relie à X, vestalis et mahmoudian«. Outre le type caractérisé par son dernier tour à peine anguleux. on trouve aussi de nombreux exemplaires à tours parfaitement ronds sans aucun sentiment de carène. Une variété minor, très commune aussi. ne mesure que : diam. maj. 7 41/,, minor 6 1/, : hauteur 6 1/4 mm. Xerophila Guimeti BOURGUIGNAT. PAL Goal NII E 7e e7bIS: 1876. Bouneuiëxar: Spec. nor., p. 91, 52. 1889. WesrerLann: Fauna palæarct, p.236. 1891. WesrerLexp: Spicileg. malacol., p. 30. « Coquille étroitement ombiliquée. petite. sub-globoso-conoïde, obtusément anguleuse, solide, opaque, brillante, d'un blanc uniforme, on ceinte de zonules noires interrompues et souvent presqu'obsolètes. dans le bas de la coquille, élégamment striée ; dernier tour portant des malléatures. Spire large, conoïde : apex petit, obtus, corné, lisse. — 6 tours convexes, sub-anguleux, croissant lentement. suture imprimée, dernier tour rond, le profil anguleux disparaissant insensiblement. et, à l'insertion du labre, droit : ouverture légèrement oblique, ronde, un peu en forme de croissant ; Péristome droit mince, légèrement encrassé, à bords rapprochés, joints par une callosité tres mince, bord collumellaire étalé. « Hauteur 7 1, diam. 8 !/, mm. » (B.) Marsa Matrouh (Pachundaki), Le Mex. Alexandrie, Ramleh, Gabbari. Var. ex colore : Favrei Laxprix. 1864. Lanprx : Coquilles nouvelles, pp, 2-4: fig. À à 5. ne diffère du type que par sa coloration Œun blanc pur. Le type de Landrin est toutefois légèrement moins haut (5 1} mm.) pour le même diamètre. Alexandrie. Le X. Guümeti diffère du NX. merensis par sa spire plus déprimée et ses deux derniers tours (surtout Favant dernier) anguüleux. Elle possède une coloration vague- ment bleuätre très particulière. Xerophila icmalea \VESTERLEND. PATRON MS CARE 1669. NVESTERLEND : Faune palæaret. Genus Heler,. jp. 186. Westerlund considère cette forme comme variété de XX. occonella. LE. et B. de la Tunisie. d'estime loutefois que cette forme se distingue suffisamment de locconella pour être considérée comme espece. Celte xérophile est tres distinete de celles que nous venons d'énumérer et de celles qui suivent, par son galbe très bombé, son test lisse et luisant. son ombilic peu ouvert, son dernier tour égalant la moitié de la hauteur totale. Cette espèce vient d'être décrite el figurée par le D Sturanv dans son article : Wollushen aus Fripolis und Barka in Zoolog. dahrbucl.. 1908. p. 298 et pl FE fig. 0. sous le nom de Æelicella Heliomanes cretica forme barkaensis SC L'espèce S'étend done jusqu'a Bengazi et Deérnah dans la Tripolitaine. Dimensions : diam. 16: larg. 14. haut. 13 min. Hammam, Marout. Le Mex. Xerophila Schweinfurthi Von Mantexs. 1672. Vox Manrexs: Jahrb. IV, p.56. pl. F2, fig. D Gebel Gallala (Schweinfarth). Xerophila Fourtaui Pia. PETER: POP. Passaus : App. à la faune mal. de L'Egypte. pe 22, li. 4. 3 et 6. Ras el Ouady Abiad. à 1295 m. (Fourtau). Espece tres voisine sinon identique à la précédente : le manque d'échantillons mempéche seul de les réunir. Xerophila eremophilé (Boissier) CHARPENTIER. 1647. Cuaureveen : Zedschr. [. Malak.…. p.150 Heélix cremnophila . 1693. Preirren : Wonogr. heliceor. WA, p. 132. 1877. Koweur: lconographie, 1,5 1. 1293. 1689. von Manrexs : Conchol. Mitth. pp. 3.4. pl. 37, fie: 16-20. Commun au sud et à Fest du Caire, — G. Abou Roach. au N. O. de Gizeh — G. Mokatlam où il sert de nourriture aux renards D. Innes bev — En revanche cette hélice dévore les excréments des renards d'après une observation du Pere Teilhard. Ouadi Dougla. Var. : amunensis Manrexs. 1869. v. Marrexs: Conch. Mitth. 5,6, pe 169, pl. 99, fig. 6-10 1899. Kogecr: Zconogr. VU, fig. 1427. Gebel Amupa entre Suez et le Caire Schweinfurth— Gebel Gariban Schwein- furth — Dans le désert arabique (Fourtau . Cette variété est très distincte du tvpe par sa taille beaucoup plus grande, sa spire moins déprimée, son ombilic plus large el sa coloration moins variée, Si nous avons pu identifier avec assez de certitude FAHehir Farvrei de Landrin avec l'Helir uimeti de Bourguignat. il n'en est par de même pour l'Helix Le Roi. La description de Landrin indique que cette espèce à une < perforation ombilicale petite », quelle mesure 71/, sur 41% mm.. et qu'elle habite au pied des Pyramides. Or la seule xérophile qui vive dans ces parages est le Xerophile eremophila qui est au contraire largement ombiliqué, dont la spire est déprimée, et dont la taille est aussi plus forte du double. Si habitat n'était pas précisé. on pourrait rapprocher avec plus de certitude cette espèce soit d'une pelite forme peu striée de X. smulata. soil d'une variété unicolore de X. icmaleu. Xerophila Erckeli Konerr. 1879. Koseur : Zconogr. VA, 1. 1554, 1512. Egypte. Forme assez voisine du X. eremophila dont il n'est pas facile de la distinguer. Var. : discrepans Piisery. 1892. Pissery : Manual of Conch. VI, p. 177. pl. 46, fig. 50,51. 1599. Kowerr: lconogr. WU, VIT, fig. 128. « Coquille un peu ombiliquée. comme le {ÿpe. tres solide. coloration blanche où ornée de bandes brunes dont, le plus souvent. une très forte dans la partie supérieure, et quelques-unes plus faibles dans la partie inférieure. 6 lours. Fapex lisse. saillant en forme de mamelon, les suivants nettement striés. le dernier presque lisse. Ouver- ture échancrée, ronde : blanche ou couleur crème à l'intérieur : bord de l'ouverture simple. émoussé, sans lèvre. — 32 — « Habife : presqu'île du Sinaï. — Description et figuration d'après Pilsbrs. C'est une forme un peu plus bombée, qui se relie du reste assez étroitement à À. Erckeli.» (Kobelt. Xérophila simulata FeRtssic. PT fIe 26-27 1905. Description Egypte. pl. PAR] 12 Le 1821. Kérussac: Prodr.. p. 45. n° 289 [sine descript. 1846. Kusren: Conchyl Cab. p. 254, pl. 37. lie. 23-34. 1579. Korerr : Jconogr. 1.6, fig. 1539, 1540. 1689. WesrenLoxn: Fauna palæarct. Genus Helir. OH Didieri) el pe. 18H. subrostrata, Fer. var. HamyiWh. Espèce striée. à spire élevée. à ombilie étroit. mesurant d'apres Pfeiffer diam. 15, minor 12, alt. 10. (Monogr. helic. 1, p. 154 Nous en possédons qui mesurent : long. 44, larg. 49 13. haut. 11115. La comparaison des figures de Savigny et des 4 Didier et Hart justifient pleinement leur réunion à FL sumulala de Férussac. Mariout, Le Mex, Alexandrie (Pachundaki) Ramleh. Sidi Gaber, He de Kharaba devant Aboukir (Années bey). I faut rapporter à cette espèce la citation de FHelie Lalastei indiquée du Mex par Letourneux et Bourguignat dans leur Prodrome de la Faune malacologique de la Tunisie (p. 63... Var.: eucallochroa, B. 1691. Wesrencunn: Spicil. malacol. jp. 31 De taille plus faible, à tours moins convexes {parfois même subanguleux et plus fortement striés. Constitue en somme la var. munor de FH. Simulata . Dimensions : long. 14, larg. 10 : haut, 8 1% mm. Mariout, Mex. Alexandrie, Aboukir. où le {vpe el la variété sont communs Pachundaki, de Lhotellerie). La description et les dimensions indiquées par Westerlund dans sa Fauna palkeartica, Ep. 184, pour X. Hamyt se rapportent non au {vpe, mais bien à la variété eucallochroa ! Ce n'est pas sans surprise que dans le même recueil de Westerlund, (Spic. malac., in Z. B. Ges. B. XLIT Abh. 1891) p. 30) je trouve la description d'un Helix (Xerophila) pinquis que je n'arrive en aucune façon à distinguer de là var. eucallochroa mentionnée a la page 51, lellement les deux diagnoses se ressemblent ! Aussi jusqu'à plus ample informé. je réunis le X pinguis à la var. eucallochroa. Xeroplhilax rhytiplhora (CHARPENTIER. 9 1847. Cuanrexrien : Zeutschr. [. Malek. p. 131. Voici la copie de la brève diagnose originale : « Testa umbilicata, globoso-depressa, subtus convexa, in medio angu'ata, rugoso- striata, efasciata, opaca, crelacea : apertura lunato rotundata : peristomate recto, aculo, intus rufo, remote albolabiato, marginibus approximatis ». « Diam. 10, alt. 5 mm. ; anfract. 4 1/,.» Le Caire (Boissier). Je n'ai rien recu du Caire qui puisse être assimilé à cette espèce cependant facilement reconnaissable à ses dimensions, à son test opaque orné de stries rugueuses, à sa coloration blanche, à sa spire très déprimée, à ses derniers tours anguleux et à son péristome rougeàtre à l'intérieur. Peut-être y a-t-il eu erreur de localité ? En tout cas, aucun des auteurs qui se sont occupés de la faune égyptienne ne donnent d'autres détails que ceux de Charpentier sur cette hélice. Section : JACOSTA (Gray. Xerophila (Jacosta) Ledcreri PFEIerER. 1856. Preirrer : Malak Bletter, p. 45. 1863. Bocneuexar: Mo!l. nouc litig.. p. 69, pl. I fig. 1-5. Synonymes : A. Ludersi Zelcbor in coll. Rossmassler. et 11. siderites Parrevss, apud Martens : Nachr. BL. 1877. Côtes orientales de l'Egypte, probablement au voisinage de listhme de Suez. Cette espèce syrienne ne vit sûrement pas dans le Delta. Xerophila (Jacosta) libyea, POxsoxey. 1883. Koneur : Nachr. Bl,, p. 181 et Zconogr. VI, p. 76, fig. 1092. 1892. Pissenv : Manua! of Conchol.:; vol. VHT, p. 185, pl. 27, fig. 53-57. Libye. Xerophila (Jacosta) Berenice, KogeLr, 1883. Kosevr: Nachr. BE, p. 182, et Jconogr. VE, p. 77, fig. 1095. 1892. Pissenv: Man. of. Conchol., p.155, pl. 27, fig. 58-60. Libye. Voici les caractères principaux de cette espèce donnés par Westerlund d'après Fexemplaire original appartenant à l'Amiral Spratt. « Coquille à perforation sub recouverte, globuloïdo-conique, complètement privée de sculpture, présentant seulement de petites rides et sillons, çà et là dans la croute calcaire bleue sàle qui recouvre le test presque partout ; tours 6 12 — les 2 12 premiers convexes, présentant un sommet saillant tres proéminent, Iles deux suivants carénés à la suture, carène comprimée et denticulée lavant-dernier très convexe séparé du dernier par une suture tres profonde. (West. in Spicil. malac., p. 46.) Xeroplhila (Jacosta) apaturia \ESTERLEND. 1891. Wesreniexp : Spicileg. malacol.. p. AG. 1894. Kowerr: fconogr. VA, fig. 409. Nous traduisons la diagnose originale de cette curieuse espèce « proche alliée et compatriote de lespece précédente : « Coquille assez étroitement ombiliquée. globuloso-conoïde. spire arrondie tres obtuse. sommet déprimé. brillant. à stries régulieres et serrées. abondamment et partout marqué de courtes et faibles impressions longitudinalement disposées. tacheté d'un blanc cendre pellucide. çà et là mais abondamment et irréguliérement recouvertes d'une croûte calcaires jaune sàle : tours 6 12. les quatre premiers plans, anguleux à la suture, ça et à saillants par endroits. complétement lisses sur le bord, le dernier et Favant-dernier convexes, arrondis, séparés par une suture étroite, le cernier pré- sentant en ävant une courte flexion, arrondi en dessous : ouverture oblique. en croissant. à bord interne blanc : péristome tranchant, bord columellaire assez large- ment réfléchi. Longueur 17, hauteur 14 mm. Habite la Libye. Section: KEROPTYCIEIA MoxiinosaTo. KXerophila (Xerepiychia) éuberculosa Coxxip. 1825. Coxran : Pescript. of the fuss. of Syria. etc: in Lyxen : Rep. UE. S. A. Exp. to erpl. the Read Sea and the River Jordan. p. 229, pl. 22, fig, 135. 1655. Roru: Spicileg. Moll. Orient, p. 28, pl. 4. fig. 6,7. ! 163. Bovréciexar : Mo!l. nouv. litig.: p. 60-63. pl. IX. fig. 5.7 (non 41. Despreanri). C'est probablement à tort que cette espèce est mentionnée dans la faune 6gvpe tienne par plusieurs naturalistes : elle a dû être confondue avec FA. philanmmna BB: : car, suivant la remarque faite par M. de Saint-Simon (Et. helices. groupe clegans, p. 7), « toutes les Hélices tuberculeuses provenant de Mariout ct que j'ai cues à ma dispo- Son jusqu'a présent, sont des philammia. » « L'Heliz tberculosa se trouve sur le versant oriental de la chaine de Jérusalem...» (loG CID ) « L'Helir philanummia diffère de VAL. tuberculosa par les tours de la coquille qui sont plus bombés en dessus ct en dessous, par la carène dont le cordon est peu marqué, Les dentelures sont plus espacées. On v remarque entre les deux carènes a+ RO une dépression et celles-ci sont à peu près égales sur les deux derniers tours. Entin l'ouverture est tres faiblement anguleuse. » (loc. cit. p. 9.). Xerophila (Xeroptychia) philammia, BourGuIGNAT. — EE. crenulata Lauarck, Desnayes et auct. (non MüLLer CNE TUE 1863. Bouneurexar: Mollusques nouveaur, litigicur, p. 6%, pl 10, fig, Là 3 1877. Koserr : Iconographie À, 5 lig, 1466, Marsa Matrouh (Pachundaki) ; Désert d'El Arish — Behiq (R. P. Teilhard) — Mariout — Ouadi Dougla — Depuis la Tripolitaine ‘Benghazi) jusqu'à la mer Rouge. Var. : semilœvigata Parrain. Pl LrGerÆ 1" Nous avons trouvé dans la collection de Lhotellerie de rares exemplaires d'une variété d'un blanc bleuàtre, à sculpture très atténuée, à tours très convexes mesurant : diam. 10 mm. provenant du Mariout. Xerophila (Xeroptychia) ptychodia, BourGuIGxar. 180%. Orcivier : Voyage emp. Ottoman, L. I . p. 69, Atlas, pl. 21, fig. 5. (4. crenatula non Müller). 1863. Bouneuiexar : Moll, nouv. litig.. p, 66, pl 10, fig. 4-7, 1877. Kogerr : Jconogr., V, NV, fig. 1467 Alexandrie (Olivier), — Ouadi el Tih au Sud-Est du Caire R. P. Teilhard. Var. B. Bourguignat. Isthme de Suez. Xerophila (Xeroptychia) Gharibounensis PALLARY. 1869. E. vox Manrexs : Concho!., Mitth. p. sympathique PNbl237 L'aimable et fig. 9, à 19. (A. ptychodia, non Bgt.) identifiant qu'était ainsi naturaliste cette espèce à 1. plychodia, comparant les fig DAV ANaNT S. Le von Martens, s'est trompé en qu'on pourra s'en convaincre en ures de Martens à celles de Bourguignat. (Moll. nouv. litig. 3° fase. ). Voici d'apres von Martens la diagnose de cette nouvelle espece Coquille étroitement ombiliquée, déprimée, conoïde, sub anguleuse, vermiculée, rugueuse, mince, d'un blanc opaque, parfois fasciée de brun on nuancée de noir : tours 6 1/2, croissant réguliérement, peu convexes ; le premier lisse, globuleux, saillant à l'instar d'un mamelon, les supérieurs distinctement anguleux, suture gros: siérement crénelée, le dernier sub-arrondi : base plane, ouverture très oblique, ovale, péristome droit, obtus, à bords convergents, le bord interne et le bord columellaire subarqués : columelle droite, à insertion réfléchie en forme triangulaire. Diam. maj. 18, minor 16 ; alt. 12 : — ouvert. diam. 9, haut. 5 mm. Habite sur le Gebel Ghariboun. sur 1e versant de la mer Rouge à 475 m. (G. Schweinfurth, 1869. On distingue facilement cette espèce de 7. ptychodia par sa taille plus grande, pius allongée, son test moins chagriné, sa bouche plus allongée. D'après von Martens, cette espèce differe de la précédente : 1° par son ouverture ombilicale qui. à àge égal, est proportionnellement plus orande. 2° le premier tour, également lisse ct bombé, ressort davantage en forme de mamelon. o' les tours moyens sont plus arrondis, tandis que les plis de la surface et les dentelures de la suture sont semblables dans les deux. 4° le dernier tour s'écarte moins du précédent : les rides restent les mêmes, ou ne sont qu'un peu moins faibles, la carène est plus ou moins apparente, mais les den- telures, plus serrées, persistent jusque près de l'ouverture : la base reste plate. L'ornementation des tours supérieurs rappelle celle des Æ. mograbina et mogado- rensis du Maroc. Mais l'ouverture et surtout Fembilic sont très différents. Xerophila (Keroptychin) galalaensis, PArLARy. 1889. E. vox Marrexs : Conehyl. mitth., p. 4, pl. 97, fig. 4 à 8 (41 philammia, non Bel). Coquille perforée, conico globu'cuse, solide, d'un blanc mat souvent lacheté de brun jaunätre clair, finement et irréguliérement plissée. notamment sur les tours moyens, avec la suture fortement dentelée. Tours 5 1}, — 6 1/3 : les premiers lisses, brillants, à croissance régulière ; les dentelures de la suture commencant au cours du 3° tour, ainsi que les plis, tandis que le second et une partie du 3° sont réguliére- ment s'riés par des stries fines et serrées dans le sens des lignes d'accroissement. Les tours supérieurs ont un profil rectiligne (c'est-à-dire non bombé) et une base assez plate, de sorte que l'ensemble à l'aspect d'un Trochus. Sur le dernier tour, tout cela change : arête et dentelures disparaissent totalement, les plis à peu prés, et la base S'arrondit considérablement. Ouverture ob'ique à peu pres circulaire : les bords se rapprochant Fun de l'autre et se reliant par un léger empatement. Le bord collumel- laire droit, émoussé, un peu dilaté à l'insertion des bords externes et recouvrant en partie la perioration ombilicale. (Traduit de v. Martens). Dimensions : diam. majeur de 15 à 20 mm. — mineur de 15 à 18 mm. hauteur de 11 17, à 18 17: mm. Ouverture : diam. de 7 à 9 mm: ; haut. de 5 à 7 1 mm. Habite le plateau du Galala sur le versant de la mer Rouge, à laltitude de 1500 m. (Schweinfurth 1883. Bien que von Martens ait nommé cette espèce 7. philammia, elle s'en distingue trop pour lui être identifiée. L'Helix galalaensis difiere du philamnua par sa taille bien plus forte (les plus grands exemplaires de philanunia mesurant un grand diamètre de 13 mm. sur 14 mm. de haut), son test moins chagriné. ses tours supérieurs plus plans, les inférieurs plus arrondis, presque lisses, son ombilic plus ouvert, sa bouche plus arronci non influencée par la carène. Dans l'AHelix philammia., les tours sont ornés à leur parlie inférieure. par un sillon subsutural bordé par deux rangées de granulations. Dans Æ. galalaensis, on ne remarque rien de pareil: les tours sont bombés sans dépression aucune. E. von Martens croyait que l'A. philammia, tel qu'il a été figuré par Bourguignat, n'était pas adulte et que cet auteur n'avait eu en mains que des exemplaires jeunes. Mais. ainsi que j'ai pu m'en assurer par les nombreux exemplaires de ma collection, la description et les figurations de Bourguignat se rapportent à des sujets parlaite- ment développés. Xerophila (Keroptychia) agenora WesTrRLUND. = 1669. WesrerLuxp : Fauna palæarct. Genus Helir, p. 353, n° 92$. Egypte. D'après M. Ponsonby, qui possède le type, cette espèce est probablement syno- nyme de 27. plychodia, B., à moins qu'elle ne se rapproche du X. gharibounensis. Section : TROCHAREULA Ilerp. Xerophila (Lrochula) pyramidata, var, capuana. BOoUnGUIGNAT. 4657. Boureuiexar : Prodr. Malar. Tunisie, p. 97, Alexandrie. C'est sur lautorité de Bourguignat que nous mentionnons cette espèce que nous n'avons jamais vue ni dans les récoltes de feu Juba de Lhotellerie, ni dans celles de nos correspondants. La forme minor de X. mexensis peut facilemeut être confondue avec une pyranidala, mais elle en différe cependant suffisamment par ses tours moins nombreux et surtout par son ouverture plus arrondie. Xeroplhila (Frochula) serrulata, Beck. PISE 07280800 1637. Beck: /nder moll., p. 10. 1842. Rossuasszen: Jconogr.. p. 3, fig. 692. Marsa Matrouh (Pachundaki) — Alexandrie, dans les détritus près le fort du lac Marcotis où Mariout (de Lhotellerie) — Côtes caillouteuses du Mariout, (P, Teilhard). à Hammam Le type, tel qu'il a été figuré par Rossmässler, est une coquille pyramidée à test chagriné, Mais M. Pachundaki à rapporté de Marsa Matrouh des exemplaires à test absolument lisse qui forment une variété lœvigata. En général, les échantillons à test sculpté, que nous possédons, sont encore plus déprimés que le pe : la hauteur est moindre que la largeur, tandis que, dans le tvpe. la hauteur égale la largeur : enfin, le test est aussi plus ornementé que ne l'indique la fig. 692 de l'iconographie. Genre : COCHLICELELA Risso. Cochlicella acuta. MüLLER. Muse : Verm. Hist., p. 100. BounGuicxar : Malar. Alg,, 1 pl. 32 . fig. 36 à 41 /H. Barbara). Mariout. Alexandrie, Le Caire. Cochlicella barbara, Lixvé. 1758. Laxxé: : Syst. Nat. Ed. X, p. 1805. Descript. Egypte, pl. 2, fig. 21. Mariout, Alexandrie, Sidi Gaber près Ramlch. Les jeunes de cette espèce sont probablement FA. alexandrina d'Ehrenberg (Symb. phys., n° 10), Par suite d'une ancienne confusion, la plupart des naturalistes ont confondu les Helir acuta et barbara, M. Fagot (Glan. mal., 1883) a rétabli l'ordre réel. L'Helir barbara n'est pas rare autour d'Alexandrie, mais tous les exemplaires qui m'ont été envoyés par M. Pachundaki appartiennent à une variété encore plus trapue que a variété major qui, d'après Westerlund, mesure 19 : 6 mm, tandis que les sujets d'Alexandrie ont 16 sur 7 mm. Sous-Famille: Pupintæ. Genre : CYLINDRUS FITzINGER. Sous-cenre : Buliminus EnRExBErRG. Section : MASTUS Beck) Kosrrr. Buliminus (Mastus) pupa BareuitrE. PÉMIIPA TS AS AS 1780. Encyclopédie méthodique. 1, p. 349. n° 8 1842. Rossuassier ; lconogr., XL. fig. 7 lo I Bocrouicxar : Malae. Ag: Il: pl. 2, fig. 53 à Marsa Matrouh (Pachundaki — Alexandrie. Buliminns (Mastus) Gaillyi, LETOURNEUX. REA EeS #07 1690. Wesrensoxp: Fauna palæaret.. 1 suppl. pp. 36-37. 1890. Konevr: Zconographie , V, 4, fig. 569. Behig à 30 k. Ouest d'Alexandrie (R. P. Teilhard,. Le Mex, bords du lac Mariout, sous les pierres, Marsa Marouh (R. Fourtau). Identifié d'abord à tort par Westerlund ‘Fauna palæarct, HE, p. 99, n° 474 au Bulinninus hedjazicus, comme le fait remarquer Ancey, in Journat de Conchyliologie, 1905, n° 3. p. 262. Depuis lors, cet auteur est revenu sur cette premiére appréciation. Il ny a guére à signaler, en plus du lype, que deux variétés : lune moins haute et plus trapue. et l'autre, au contraire, allongée, dont Favant-dernicr tour est sensiblement plus étroit que les sixième et septième. () Sous-Genre : Chondrula Brck. (Chondrula Bergeri Rori) 1899. Roru: Disserl., p. 19, pl. 2, fig. 1. (Pupa Bergeri). 1842. Rossuassrer : Zconogr. X1, fig, 721 /Pupa tricuspis, Beck. 1092 Küsier : Conchyl. Cabinet, pl. 6, lig, 7-0. Alexandrie, I n'est pas tres sûr que celle espece fasse partie de la faune Ceyplüenne. 1 M. de Saint-Simon à indiqué le Bulinius certanus (sic) des hypogées du lac Mariout. Cette détermination est erronte. Jusqu'à plus ample informé, nous supposons que c'est une espèce adventice, apportée eur la côte par les courants marins. On trouvera plus loin une note sur les espèces ainsi importées en Egypte. Chondrula sulcidens, Moussox. Mocssox : Cog. Roth. p. — (B.ovularis, On. var. sulcidens). 1561 1871. Boucréviëxar: Spec. nov. mot, n° 161 /Chondrus Lhotelleriei). Marsa Matrouh (Pachundaki) — Le Mex, sous les pierres, Ramleh, Siouf. — Lac Mandarah pres Alexandrie (R. P. Teilhard). Mariout (S'-Simon) — Alexandrie Aboukir. D'apres les exemplaires de la collection Innès bey, nommés Chondrus Lhotelleriei par feu Bourguignat, j'ai pu me convaincre de Fidentité des deux especes. IE faut aussi rapporter à cette forme la citation du Ch. seplemdentatus Roth du lac Mariout par O. Fraas. Chondrula heptodon V0\ MARTEXS. 869. vox Manrexs: Gesell. nat. Berlin, p. 81. 1867. WesrenLuxp: Fauna palæartica I, p, 56 (Amphiscopus œ@gyptiacus). 1901. Parcany : Bull. Inst. Egyptien, p. 242, fig. 7. 1903. Kosecr: fconographie, X, p. 36-87, fig. 1821. Mariout (R. P. Teilhard) — Port-Saïd — Dj. Galala (Scheinfurth et Fourtau) — Le Caire (Letourneux). Jai pu également m'assurer de l'identité de cette espèce avec le Chondrus Le- tourneurt B. 1878 : Spec. nov. Moll., n° 163 sine descriptio, par les exemplaires de la collection de Lhotellerie. Feu Ancey m'avait déjà indiqué cette synonymie. I faut également réunir au Ch. Heptodon le Buliminus (Amphiscopus! ægyptiacus Westerlund dont la description et les dimensions correspondent rigoureusement à celles de la présente espèce. Bourguignat, dans son Species nov. moll. n° 162 (1878) donne le nom seul d'un Chondula Pnesi et sous le n° 64, celui du Ch. subtricuspis. Ces noms n'étant suivis d'aucune description et étant restés manuscrits, nous ne pouvons décider si ce sont vraiment des tvpes inédits où s'ils se rapportent à des espèces déjà connues, comme nous venons de le voir pour les Ch. Llhotelleriei et Letourneuri. Sous-Genre : Lencochiloïdes Prcirrer. Leucochiloïdes sennaarieus PL. Prsiérer. STE 1ü99. L. Prurrer : Malae. Blætt.. hp. A77 (Pupa sennariensis. 1874. CO. K. Jiexers: Founa der Land und &ussie. Mol. N. 02 1frikas.. pl Ve ge FU b. ele, La trouvaille de cette espece de la région du Haut Nil au Caire est due au RP: Teilhard qui la recueillie en abondance dans les feuilles mortes (en compagnie de Vallon pulchella dans le jardin du Collège de la S'-Famille au Caire et dans un jardin à Matarieh, Le même observateur la trouvée morte et décolorée dans les apports du Wadi-Hoff aux environs de Hélouan. C'est un fait intéressant que la constatation de celte espece sous une latitude aussi élevée et son existence au Caire en compagnie dun Opeas modifie quelque peu les conclusions de Bourguignat relatives aux caracteres de la faune égyptienne. Genre : ZOOTECOUS \WESTERLUND. Zootecus insularis Ennreverre. PI. SIL, fig. 18. 831. Ennexeere : Symb. phys. (Pupa insularis!. 842. Resve: Conchol. Iconogr. Sp. 436 [Pupa pulla 1670. IHaxsex et Turconuo : Conchologica Indica, pl. 22, ie. 10 Piramides de Gizeh CR. P. Teilhard) — Wadi Hot (R. P. Teilhard —— Au dessus de la premiere cataracte (Letourneux) — Rives et iles de la mer Rouge. Genre : GRCULA llern. Oreula scyplhus | FRIVALSRY) PFEtFFER. DTA Io-222: 1646. Preirren : Monogr. Helie. M, p. 926. 1692. Küsren : Conchyl. Cabinet. Genus Pupa, pl As, fig. A0 1875. BoureuiGxar : Spec, nociss. moll., n° 4133 [Orcula turcica. 1664. Lerourxeux : Bull. Soc. Malac. France, p. 296. (d° Behig (R. P, Teilhard) — Alexandrie. Il n'est pas très sûr que cette espéce appartienne à la faune égyptienne, car Lelourneux (loc. cit, p. 298) dit que l'Orcula turcica «se trouve fréquemment aux environs de Smyrne, dans File de Rhodes et surtout sur la plage de Ramlel près d'Alexandrie, où elle est apportée par Ps courants cireumemarins de le Méditerranée. 6 M. Margier mécril aussi que. sur la plage d'Alexandrie, on trouve, apportées par les courants, des especes de Rhodes. de Crète, de Syrie. Le Pupa Oreula) turcica Bet. a ete trouvé dans ces conditions. probablement aussi le Chondrula Bergert Roth. On ne peut pas inscrire ces coquilles de transport comme vivant en Egvpte. Genre: PUPA DraraRNaup. Section : GRANOPUPA Baœrreer. Pupa (Granopupa) granmumn Dririn\itp. PIE Mel 1601. Diseanxaun : Tabl. Moll.. pp, 59. 1606. Draranxaco: His. Mol. de France. p.63, pl tie. 13-16. 166%, Bouneciexar: Malac. Mg. He, pe 84 pl VE tig À à 3. Marsa Matrouh (Pachundaki) — Alluvions du fac Mariout (SE Simon) — Sous les pierres. côtes rocheuses du Mariout (RP. Teilhard — Wadi Hoff R. P. Teilhard . ace. in Journal Conchyl.. 1905, n° 3, p. 269. dit que le groupe généralement connu sous le nom de Torquille = Granopupa) doit. d'apres les recherches des anteurs américains, porter le nom d'fbida Leach. Genre : RUMINA Risso. KRumina decotlata Liv. PIEAER IS 2240 SC: 1608. Naviens 2 Descripl. Egypte, pl. 2. fig. 22 Marsa Malrouh Pachundakn = Bebig RP. Teilhard). Mariout, Jardins d'Mexan- die. Gabbar. Cest la petite forme comparable à celle de la Provence. du Sabara Algérien et des iles Grecques que Fon trouve exclusivement sur le littoral égyptien. Genre : GOPEMS \ionees. Opeas gracilis [rrrox. PI'STIL 0 M4 ls 25% Morros : Journal Asiat. Sociely. HE. p. 64 el Rene: Conchol. Iconogr. V. sp. 19 sp. Bulinus.. 1660. Ainens : Heliceen, 2 6dit., p, 265. 824. ice: Fauna NO. Afrikas, p. 137 (Subulina gracilis.. 0. JOUSSEAUNE 2 Æxpér. nour. Aden, p. 09. \lentours de Suez D! Jousseaume). ., SR ee Var. : ægyptiaca (Bourguisnal Jousseaurur. 1890. Jocsseaeue: Especes terr. de Massouah. ete. pl HE fig. 4,6. Le Caire : Jardins du collège de la S' Fanulle et du voisinage RP. Teilhard Suez (D'. Jousseaume). Genre : CABLAXES BOURGUIGNAT. Calaxis unidentata JickeL. Ph nTEenc22/7 1874. Jicxeu: Kouna N. Ost Afrikas, p. 4952, pl V. fig. 20. 1896. Korezt: lconogr. IH \. 7, fig. 119$. Détritus du lae Marcotis où Mariout. — Mariout dans les hypogées et tes four- miliéres: dans une petite grotte entre Le Mex et le Gabbari — (de Ehotellerie = Alexandrie, Canal de Mabhmoudieh — Sous les pierres. désert d'Aboukir RP. Teilhard. — Dans les jardins du Caire ‘Collège de la Sainte Famille et de Matarieh sous Les feuilles mortes (R. P. Teilhard. Cenre: CÆCILIANELLA BOURGUIGNAT. Section : TFEREBRELLA 1. Marrzan. Cæcilianella (Terebrela) ægyptiaea PArrany. PILE iS-026: Coquille allongée, à spire obtuse, à test hyalin : 6 tours élagés, à peine bombes, e\lindroconiques, à bord supérieur marginé 1). Dernier tour égalant le üers de la hauteur. Ouverture étroite. oblongue, allongée. Péristome droit. mince. Golumelle arquée, tronquée à sa partie supérieure. Iaut. 5 mm.: diam. maj. À mm. Li Même habitat que les Calaris. — Behig. (R. P. Teilhard). sien que trouvé déjà par Lhotellerie à Gabbari, ce genre n'avait pas encore été signalé en Egypte: c'est le Pere Teilhard qui. le premier, nous à fait connaitre son existence à Behig, au Caire, et à Matarieh. Cette espèce peut ètre rapprochée du €. raphidia B. (Mal. Ale. pl VIE fig. 7 à 9) d'Algérie qui à également ses tours en retrait, mais dont elle différe par ses tours Ü Cesti-dire bordés à leur partie supérieure, tout le long de la suture. par un meéplan donnant à la coquille l'aspect d'une longue vue ouverte. plus étagés, par Fabsenee de pli sur le bord columellaire, par les tours moins renflés et sa marge infrasuturale plus marquée. Fai essné d'identifier cette Cæsilianelle au (2 sel Paladilhe. des environs dŒAden: mais, outre que la descriplhion originale n'indique pas que celle-cr a les tours supérieurs en retrait. notre espèce est nn peu plus étroite, puisque pour la mené hauteur D mm.) de 2 Asset. mesure E mm, 2 de plus grand diametre: Genre: CŒLOSFELE BExso. Celostele africinm BOURGTIGNAT. 1390. Bocreriexvr: Descrip. de die. esp. Cæloslele. pe VE Damiette: dans les alluvions du Nil au dessus de la ville Laurent Calostele ægy paca BOoURGtTIGNAT. 1820 BoureumeNiTe Lori D: 2 } Damiette : trouvée avec la précédente dans les mêmes conditions. Ces espèces. apparentées à la faune indienne, ont été décrites par Bourouignat, ais n'ont jamais été figurées. Je ne les connais pas autrement que par les des eripüons de lauteur. Famille : SUCCINIDÆ. Genre : SUCCINEZX Deiran\aun. Seclion : AMPHIBIENA ÏIfimruanx. (Succinen ægyptiaca. Ennexveene.) BU. Navieny: Descripl. Egypte. pl. 2, lis. 24. 590. Eunexmene: Sym. phys. l ! 1896. Boureriex\r: Per. el WMayas. de Zool.. pl. L. fig. 6-4. 1580. Komir: Zeonogr. 1 \. 7. lis. 2077. Damiette. La figure de Savigny représente sûrement nne jeune Succinée. Nous avons en collection des exemplaires absolument semblables el qui ne permettent aucune doute. Dans ces conditions. fil nous parait plus rationnel d'éliminer cette espece de la nomenclature. Succinea Amphibina) Cleopatræ Pircanr. Di EMtoR2 mo0 1674. Jickera: Fauna NO. Afrikas, p. 167, pl VE fig. LE, Succinea éndica, non Pteiffer,. Canal Mahmoudieh près Mexandrie — Gabbari — Ramleh — Xefiche — Lac Hadra pres Alexandrie. Nbondant sur les roseaux du bord, sur la terre légérement humide, bin du sel R. P. Teilhard). — Damiette. Dans la liste d'espèces de N°. Simon. figure un Succinea subindica B. Ramleh. Or ee non n'a jamais été publié, ainsi qu'on peut s'en convaincre en feuilletant la liste des œuvres de Bourguignat p. 247). Nous supposons qu'il se rapporte au NS. indica de Jickeli auquel nous avons attribué le nom d'Amplhibina Cleopatre. Nous venons de déclarer plus haut que le Succinea œgypliaca d'Ebrenbers était une Succinée non encore adulte. IF se pose à ce sujet une question de nomencla- Lure: cette succinée élant éncontestablement un individu jeune de la présente espece doit-on appliquer ce nom dægypliara à celleser, où, au contraire, ee nom tombe-tal en désuétude ? Les régles actuelles de la nomenclature sont muettes sur ce cas. Aussi pour éviter foute fausse interprétation. nous avons donné un pom à la pré- sente, espèce qui, grace à sa descripüion el à sa figuration ne laisse aucun doute sur son identité, Famille: PHYSIDÆ,. Genre : PIEXSA DrRiraRNAUD, Physia sentis DiiPaRNaup. 1805. Duavsnxaun : Moll. France, pe 95. pl 2, fig. HOIT, Le Phys acuta diffère du subopaca. d'apres li comparaison des figures originales, par sa taille plus grande, sa forme plus ventrue, sa spire plus courte, son ouverture plus oblique. Var. : minor BourGuIGNAr. Le Mex (de Lhotellerie). — Mexandrie (Jardin Nubar). Physa subopaea LANARCKk. 1844. Desesserr : Recueil Cog. Lamareck. pl S0 hs. 9. Le Physa subopaca à sa spire courte, mais conique et eflilée : son ouverture es! plus étroite, son bord columellaire est moins ineurvé (plus droit et ses deux derniers tours sont moins larges, plus allonges. Typique à Ismaïlia (Letourmeux. Var. : nilotica Paurrans. 1902. Parrianx : Moll. Innes bey. Haut Nil. p. 69, pl. 2. fig. 1. Differe du pe figuré dans le fecueil de Delessert par ses tours plus renilés. sa dullé plus faible. (haut. 7: larg. 5 mm. 14, sa columelle plus rectiligne. \lexandrie. Gabbari. canal de Moustapha Pacha. Mandara, Le Caire ({nnes bes — Matariech (RP. Toilhard). Marais avoisinant le Nil blanc à la hauteur de Gebelein (nnés bes == Var, : Lhotelleriei Bar. miss. Pl. III: fig. 40. Sur à Dilfere du pe par sa taille plus grande (atteignant num, de hautem de largeur) sa columelle plus rectiligne, ses tours supérieurs Tégérement plus ditatés, son ouverture moins oblique. Ramleh — Gabbari — Matarieh — Ancienne Place de l'Opéra fontaine de la au ‘Caire. Bourguignat donne une bonne représentation de cette variété dans sa Malacologie Ale. I, pl. X. fig. 54 et 55 (non Physa acuta Drpd . Famille : LIMN ÆIDÆ. Genre : LEMN EX Lauainer. Limnisen Cailliaudi BouretieNar. Q® »0 0 PI.-TII. fig. 36. 37. 1865. Boureciexar: Hist. mal. de l'Abyssinie. pp. 89, 90, fig. 100-101. du Grand Nif: == sur les bords de File de Choubrah Cours du Nil Bleu et (Letourneux.. Var. : minor Parrain. de taille moitié moindre que le type figuré. Alexandrie, Gabbari, Ramleh (de Lhotellerie = fsmaïlia EE. Vassel = Matarieh R. P. Teilhard) — Canaux du Marg près le Caire. Les exemplaires jeunes de cette espèce ont Ja Le Coret (Planorbe, pourrait même étre regardé comme une espece de Bulin, en ne considérant que certaines parties qui leur sont communes loc. it pe 7: Le genre) du Coret et celui du Bulin qui rentre lun-dans laure oc..cil p. 60. En résumé, il faut admettre le classement suivant : Genre Physa, Prep. — pe Physa fontinalis L. Geure Aplecta, Fiemxée — type Apt. hypnorum L. * « D 2] « . * . ñ . Genre PBullinus, Abaxsox — t\pe PBullinus Adansoni Gray ‘melius : Æullinus bullin Adanson, avec les sous genres ou sections : Isidora. Eure — 1Ype /s. Hemprichi, Ennnc. Pyrgophysa, Crosse — 1vpe Pyrg. Mariei Grosse. et Physopsis, Knauss — pe Phy. Africana, Krauss. Les genres Physa et Aplecta se rattachant à la famille des Physidæ et le genre Bullinus avec ses sections à celle des Limneæidæ ainsi que l'indique P. Fischer dans son Manuel de Conchyliologie, avec lequel nous sommes parfaitement d'accord. Les divers PBullinus ég\ptiens peuvent être ainsi groupés d'aprés là hauteur de leur spire : a. Especes à spire déprimée. 1. — Coquille à spire à peine saillante. . . . . DB: Brocchi Eunre. AN ANT CENT LOU COMPEIMÉ OM var. Hfarest D: b. Espèces à spire moyenne. 9. — Coquille plus ventrue, à taille égale, que le Broccchii, à spire plus élevée, formant le quart de la hauteur totale, à tours réguliérement COLTOULE SRE COOL SMIC TINUD: 4. — Tours ornés de plis parallèles à la suture. . . var. rugosa P. D. — Forme de transition, à tours renflés, mais à spire UDC UDIUS TANT EN EE TES Var Saut c. Espèces à spire élancée. 6. — Coquille élevée, à spire allongée, à tours peu MODS ER DOG TUNRINCIIER. 7. — Coquille à spire un peumoins haute,mais à tours DOCS VAT IEC NUID ü. — Coquille à tours très obliques, trés ventrus, RER SÉNATÉS 5e RER TEE J. — Les tours sont irréguliers, disjoints, plus petits var. distorta P. 10. — Coquille tres allongée, à tours élancés presque SCALE A M 0, orne done Dre Rons QUE UETERE GC: Bullinus Brocchii Enunreverre. 1830. EunexserG: Sym, phys. n° 2. 1862. Bocreciexar : Pa'éonto!. Alg. p. 8%, pl. V, fig. 20. 1880. Koneur : lconographie VV. 7, lig, 22. Le Nil, le Caire, Matarich, canaux et fossés (R. P. Teilhard). Lac Timsah. Ismaïlia ‘Letourneux). Les jeunes exemplaires de cette espece ent da spire déprimée et dans cet état, ils ont cté considérés comme espece particulière sous le nom de : (Bullinus (Isidora) truneatus EFsnessac Bouretiex\r). 1829. Desc-ipt. Egypte, pl. 2, fig. 27. 1605. Boureviexat : Hmén. malar. L. p.170, pl, 2 1864. Bocrecicxar : Malas. Alg. IL. pl. X. fig. A7. 1590. Kogerr : Zcono raphie, V. \. 7, lig. 1922. « On distinguera toujours le BD. truncalus de BP. Brocchii. à sa spire beaucoup» plus courte, à ses tours plus contournés, plus ventrus et surtout à sa suture, qui est tres profonde, ce qui rend la partie supérieure des burs de spire comme plate.» — Bourguignat Paléout. Alg., p. 86, pl. v. fig. 59. La var. Waresi B. (Paléontol. Ale, 1. 86 pl V. fig. 17, 18 differe du 2. Brochi par son avant dernier tour comprimé. Bullinus (Isilora) contortus Micra p. 629. Micuaco: Bull. Soc. Lin, Bordeaur, L 3. p. 262, fig. 13.46. 1630. Eunexsene : Sym. phys. n° 4 lsidora Hemprichi 1. Micuaun : Comp!. Hist. nat. Moll. France: p. 83, pl. 16, fig. 21, 22. 167%. Jickeu : Mo!l. N. O. Afrikas, pl. VIE, fig. 44 a et b cul. {var. 1650. Konesr: lconographie À, v. Tol. fig. 1918. Alexandrie (Lac Marcotis), Rosette, Boulac, Le Caire. I n'est pas rare d'observer dans cette espece et dans les suivantes, des exeme plaires dont Ie test est orné de trés fines lamelles : ce caractere parait être spécial au genre Pullinus. Var. : Saulcyi Bourätix\r. 696. Bocréciexar: Aménites mal. LE pp. 168-169, pl 21, PAG Phyia. 600. KonErr : Jconogr. vol. 7, p. 22, fig. 1921. (I. 16, larg. 101 Variclé de il: assez grande, à tours bien rentlés et à spire plus saillante que le dans le type. Elle établit la transition à l'espèce sunante. Aexandrie (de Saulcy, de Lhotellerie . Var. : rugosa Parrany. à tours ornés de plis paralleles à la suture. Tourah (RP. Ter hard). Rullinus Dybowskii, P. l'iscner. PI'MIT, fig 3% 55, 1891. LP. Fiseuer : Mol. Mission Dyborcski, p.365, pl 3, fig. 4, Le D° Innées bey nous à communiqué sous le nom manuscrit de Physe aleran- drina B. un Isidora de grande taille, provenant du Caire, qui nous parait se rattacher au B. Dybowskit décrit et figuré par P. Fischer. Cette espece qui à été d'abord lrouvée dans le Sahara Algérien à EL Goléa., à Fétat sublossile, &ssocié à une faune d'autres /sidora. Limnæa, et Corbieula prouve done bien que la faune nilotique s'est étendue dans tout le Sahara, le Tchad, et le Niger, comme l'ont prouvé les récentes trouvailles de nos explorateurs. Toutefois. le type à tours comprimés est vraiment rare, tandis qu'on observe plus fréquemment des exemplaires à tours bien convexes, tres bombés, à spire également plus haute que celle du. Brocchit (Elle atteint jusqu'à 16 mm. de hauteur) e‘ que l'on peut considérer comme variété alerandrina Wet que lon peut aussi 16 dont rapprocher du Physa Raymondiana B. d'Algérie. (Paléont. Ale. pl VE His. elle différe seulement par sa taille plus grande. Alexandrie (de Lhotellerie) et Matarieh (R. P. Teïhard). Bullinus Innesi BOURGUIGNAT. PME ic 4142! Var. : d'storta. PI. I. fig. 41-16. Espéce très curieuse, caractérisée par lenroulement régulier de ses tours, ce qui la rapproche de l'espèce précédente et du 2. Reymondi Bat. Malacol. Ale. HE pl x. lis. 41, 42), mais elle différe de ces deux formes par son avant-dernier tour plus allongé transversalement et son ouverture plus arrondie. La fig. 40, pl. X (sidora contorta se rapporterait assez bien à cette espèce, si les tours supérieurs étaient un peu pus élancés. Le type provient du bassin de la fontaine de la plie: de l'Opéra au Caire, qui a été démolie depuis. Mais le RP. Teilhard l'a recueillie dans les canaux de Matarieh. Je lai également trouvée dans les récoltes de feu Juba de Lhotellerie autour d'Alexandrie Canal Mahmoudieh. Enfin le D'Innès bey a recueilli dans une mare, au fond d'une carriere à Tourah, entre Le Caire et Hélouan, une variété distorla P.. de taille plus petite, et à tours quelque peu disjoints. Certains de ces exemplaires sont allongés et se relient au Pyrgophysa Forskalr. Section: PYRGOPHYXSA CROSSE. Bullinus (Pyrgophysa) Forskali ÉHRENRERG. 16931. Eunexaenc : Symb. phys. n° 3. 1874. Jickeur: Mol. N. O. Afrik; pl. VIT, fig. 13 fa ct f seules). 1690. Konezr : Jconographie, 1, vol. 7, Hg. 19 Var. : Jamellosa Rori sp. 1853. Roru: Malak Blætter, 11, p. 49, pl, 2. fig. 1%, 15. 1660. Kovevr : Jconographie FN. 7, fig. 1925. Var. : angulata Parrany, 1674. Jiexer: loc. ect pl VIE, fig. 15 a (seule. Le tvpe et les variétés dans tout le Nil et ses affluents. Marais avoisinant le Nil Bleu (D' Innes Dev). « A la fin de Septembre, j'en ai trouvé des quantités dans les canaux, collés sur les tiges flottantes ‘le maïs, autour de Matarieh et dans un ruisseau pres du Mariout ‘vers Sidi-Gaber, (R. P. Teilhard, in Hit... IV aurait lieu de vérifier si l'allongement de la spire ne serait pas dù au mode d'existence de lespece dans un milieu très encombré par les plantes. Les exemplaires très élancés, de grande taille, portent Je nom manuscrit de Phiysa micropleuros Bot. dans la collection du D Innèes bey. — Bahlem près du Caire. Sous-2enre : Physopsis KRAUSS. Dans son ouvrage : Description de Mollusques de l'Egypte, Abyssinie, ete. (187), Bourguignat donne les diagnoses des Physopsis Letourneurt (p. 16, 17 et Lhotelleriei p. 17), provenant tous deux de Damanhour. Ces Physopsis sont longuement décrits, nais n'ont jamais 6t6 figurés. Or, dans la collection de Lhotellerie, j'ai bien trouvé des Physopsis Letournetrt el Lhotelleriei, mais. vérification faite, ce sont des jeunes exemplaires de Physa acuta et de P. subopaca. Dans ces conditions, il me parait difficile de maintenir ces espèces, quoique. à priori, rien ne s'oppose à ce que ce genre vive en Égypte. On sait que les Physopsis sont caractérisés par leur columelle tordue, plissée el tronquée à la base. — 59 — Genre : PLANORBIS GUÉTrARD. Section : MENETUS Apius. Planorbis (Menctus) PBoissyi, Porrez £r Micuitp. LINE CES: 1805. Descript. Egypte, pl. 2, fig. 26. _ 1835. Ponez Et Micuaco: Galerie de Douaï, 1, p. 208, pl. 21, fig. 4-6. 1839. Roxn: Moll. spee. p. 2, pl 2 fig. 8 (PL alexandrinus non Enne?. 1878. Boureciexar : Spec. Moll. n° 180 [Planorbula ægyptiaca). 1860. Komevr: Zconographie, 1, v. 7, lig. 1931. 188%. NV, Ixxés : Recens. Plan. et Valvées Egypte, p. 329, 331, 332 ct p, 314 PI. Boissyi, subsalinarum, Planorbula œgyptiaca). Mariout — Canaux d'Alexandrie — Plage de Ramleh, dans les détritus — Gabbari — (anal de Mahmoudieh — Canal Zanadin à Fouest du village de Sambouk pres Samanoud (Province de Dakahlieh — le Caire En un mot, dans toute la Basse- Egypyte. Les exemplaires jeunes de ce Planorbe sont souvent denticulés et ont sert à établir plusieurs espèces de Planorbult. « J'émets aussi l'avis que le P{ subsalinarum lnnes Bull. Soc. Malac. de France, 1884, p. 381.) est la même espèce que le P/. Boissy, Pot. et Mich. ‘Galerie Douai, 1, p. 208, pl. 21, fig. 6-8). Dans son recensement € es Planorbes Egvptiens, M. le Docteur Innès attribue une valeur spécifique à diverses formes que la majorité des Malacologistes actuels ne saurait réellement considérer comme distinetes >. CF. AnCoMn- JA M1905 085 11-3211) Planorbis (Mencetus) alexandrinnus FnnE\sent. 1691. Eunexeerc : Sym. phys. n° 1 fep. Planorhis). 1874" Jickenr: Mol. fe 0. Afrik, p- 221, pl. VAL, fig, % seule. (1 l l 660. Kozerr: Zconogr, I, vol. 7, fig. 1936, 9] ; 867. NV, Lnvës loc, cit. p. 344 [sp. Planorbula!. Environs d'Alexandrie : — Alluvions du Nil au-dessous dù lac Mariout et du Caire — Kafr el Daouar. Le groupe du Planorbis Boissy comprend des exemplaires minces, déprimés, discoïdes. des exemplaires à tours plus gros : ce sont ceux-là qui constituent le type de l'espéce, et enfin d'autres exemplaires à tours encore plus gros et à ombilic trés exCavés : ce sont ces derniers qui se rapportent au Pl. alerandrinus. Lorsque l'espèce n'est pas encore adulte, les tours sont obtusément anguleux vers le tiers supérieur ou le milieu et le long de lombilie fig. 25 4 et b de Jickeli. 1 Les figures 25 à et b ont 66 rapportées par Bourgniguat à son Planorbula Jichkelr. — 960 — Planorbis (Mencetus) Pæteli Jickezr. PINS ACTE 3671. Jicketr: Faure N. 0. Afrik, p. 242, 215, pl. VEL fig. 19. 1560. Konesr: feonographie 1, Vol. 7, fig. 1995. 166. NN. Ixxés : lesens. Plan et Vale. Egypte. p.334. Bords du Nil dans la Basse Egvpte — Dans les marais, à la hauteur Gebelein (D' Junès be Dans sa belle monographie des Mollusques du Nord-Est de FAfrique, Jickeli p. 212 indique que celle espèce portait déjà deux noms manuserits dans la collection Parrevss. Dans ce cas. il eût ét bien préférable, au lieu de créer un nom nouveau, de choisir un de ceux de Parreyss, et le choix était d'autant plus facile que Fun des deux noms: PL alerandrinus avait été déja employé par Ehrenberg. Cest done le premier nom cité 2 Pl africanus que dickelhi aurait dû prendre de préférence au sien. Planorbis (Mencetus) Laurenti BouretIGxar) FNNES. 1894. NV. Inès : loc. cit. pp. 332, 333. Bords du lac TFimsah — Ismaïlia. Var. : minor B. Abondante dans un marais à FEst d'Ismaïlia. Cette espece est bien caractérisée par son ouverture très dilatée, quelque fois méme réfléchie extéricurement. Dans les collections Hagenmüller, Saint-Simon, de Lhotellerie, cette espèce porte le nom de P/ timsahieus, nom qui ne figure pas dans la monographie du D' Innès. Section : TROPIDISCUS Planorbis (Tropidiseus) Philippii Moxvreros\ro. 164%. Dune: ÆEnum. Moll. Sicile, HE, pl. XXE fig. 6. 1664. Bouneciexar: 1Walar. Alg. I, pl IX, fig. 27 à 50. Lac Hadra, Mahmoudieh (R.P. Teilhard —Nouzah Lhotellerie —dans les détritus du Mareotis 4. de Eh.) — Aboukir (Coll. Innès bev). Seclion : GYXYRAULUS A\cissir. Planorbis (G\raulus) Ehrenbergi BECK. 1631. Eunexéere : Sym. phys. Mol. n° 20 P. cornu non Brongniart,. 1837. Becx : Andes, p. 119. 1S55. J. Roru : Ma'ak. Blætter, pl. 2, fig. 6-9. (PE cornu, Ehr.). 1859. Rossuasseer: lconogr. HE, fig. 963, junior. = Planorbis eques, Ennneé. Symb. phys. ns. Mariout, Bords du Nil et Canal de Mustapha Pacha pres de Ramleh — entre Uadra et Nouzah -— Dans un grand fossé entre Sidi-Gaber et Haggar en Naoualieh — Samanoud. « On ne peut adopter le nom de corne attendu qu'il existe une espèce fossile publiée dés 1810 sous ce même nom par Brongniart in Ann, Mus. Hist nat, XV, p. 97) (D' Innès, p. 336). Sous le nom mss. de PE Ramltehensis B., nous avons trouvé dans lt collection de Lhotellerie, des Planorbes à tours renflés avec un sentiment de caréene qui peuvent servir dintermédiaires à Fespéce suivante : Planorbis (Gyraulus) marcotieus (LETeURNEUX) INNEX. PÉSINrTESSE7E 1904. NN. IxxEs: los. cit. p. 591. 1866. N. Cressix: Conchyl. Cabin. Physe und Planorbis. pl 1 fig. 6 (PE Ehrenbergi non Beck). 1902. Pauzany : Mo!l. Innès bey, p. 90, je 1, li: Basse Egypte — Mariout dans les détritus du ae, à FESE = Trés commun à Alexandrie, bassins et ruisseau du Gabbari — Petit canal de Mustapha Pacha — Canal de Haggar en Noualieh près Ramleh — Canal Damanhour. — Jardins de Ghizeh, environs du Caire — Canal d'eau douce de Xeliche — Lac Ballah. Var.: minor B. mémes localités : aussi abondante que le pe B). Moicitce quiécrit MAC. F5 Anceyrtio I C1905 EC m8" p 321) autsujet de ce Planorbe : € Après un examen attentif d'exemplaires d'Alexandrie déterminés ainsi par Bourguignat et pouvant ètre regardés comme authentiques. je suis d'avis que le PI. mareoticus Let. est synonyme du Pl. Ehrenbergi Beck Index Moïl.. 1837, p. 119. La figure donnée par S. Clessin (Monogr. Planorbes in Martini et Chemnitz. p. 201, du Pl. Ehrenbergi se rapporte parfaitement à ces exemplaires. » Si la figure de PL Ehrenbergi donnée par Roth est exacte, Fopinion de M. Ancer ne saurait étre admise, car la figure de Roth représente une espece à tours parfaitement ronds, tandis que le PE mareolicus est caréné 2 «€ Testla..……. angulata o o (anaitus sat acutus...) » Œttextuellement Lelourneux. ns a d'ailleurs qu'à comparer les figures de Roth (in Malak. Blätter 4659, pl. 2, fig. 6 à 9 avec celles publiées par nous in Bull. Inst Egyptien, 1903. pl 1. fig. 1. pour voir que lidentification proposée par M. Ances n'est pas justifiée. C'est feu de Ehotelerie qui est Fauteur de lerreur commise par Clessin (1 et \nces, à qui ce collectionneur à distribué des Planorbis mareoticus sous le nom de Elirenbergi. Vous es exemplaires de Ja présente espece qui proviennent qe la collection de Lhotellerie (que je possede actuellement sont nommés PL Ehrenbergi ! C'est donc bien le nom de mareolicus qui doit être admis pour désigner le petit Plinorbe caréné, si commun dans la Basse Egypte avec: La var. Pnnesi B. sp. loc. cit. pp. 387, 356 pour !es exemplaires de grande bulle (diam. 6 nm. Les noms de Sehceinfurthi Lelourneré et Calcertianns sont synonymes :°celu de pulchellus se rapporte à des exemplaires jeunes. Dans le « Recensement des Planorbes dEgvpte » Ie D fnnés mentionne encore le Planorbis marmoratus Michaud : Catal. test. vin. Alger. fig. 26-50, dont il a trouvé des « échantillons bien caractérisés sur les bords du lac Mariout. pres Alexandrie. Sechion : SEGMENTINA Freumic. Planorbis (Segmentina, Letourneuxi BouretiGxar. 1869. Bocneciexar : ist. malac. Abyssone, p. 129, fie. 49, 92 [Cailléandia 2. Canal pres de Ramleh. Planorbis (Segmentina) angusta JICRELI. 1874. Jicke: Fauna N. Ost. Afrikas, p. 220. pl. VIL fig. 21. Mariout. le Mex — Dans les merais avoisinant le Nil Blanc (D! Innes be En plus des Planorbes dont nous avons pu examiner des exemplaires où des figures, Bourguignat à décrit, sous le couvert du P'Annes, dans le travail ci-dessus mentionné, les Planorbis niloticus (p.830. arctespira (p.830 831. subsalinarton pb. 331, 332), charopus (p. 332), Savignyi (p. 333), eremiophilus (p. 33%. prochylostoma >, CONNUS (D. 999 306). cyclomphalus (p. 837). erinius eU var. ramsesicus (pb. 338), tanquerelianus (pe 841, Letourneuri (p. 31 82. tachygyrus p.83). Une { Comme je suis en possession de la correspondance scientifique de Lhotellerie, je peux cerlilier Le fait. I est regrettable que M. Clessin n'ait pas vérifié l'exactitude des déterminations qui lui étaent données par de Lhotellerie. 2 Le genre Cadliaudia avant été établi sur un exemplaire déformé de li présente espèce doit étre éliminé de la nomenclature. — 3) — telle profusion déconcerte Fesprit est bon d'être généreux, mais, en Fespece. Bourguignat abuse vraiment ! — Bien que tous ces Planoïbes soient très minultieuse- ment décrits, ces descripüions ne sauraient être utiles. faute d'avoir 616 completées par des diagnoses comparatives cE surtout par des figures, On comprendra que, dans ces conditions. el jusqu'à plus ample informé, nous n'avons pas cru devoir mentionner ces especes autrement que par leurs noms. Genre : PLANORBULA ÏJliLbEuaAx. PI. IV. fig. 10. Les Planorbula ne différent des Planorbis que par leur ouverture munie de denticulations. En se basant sur ce caractere. Bourguignal à énumeéré douze especes de ce genre (in Spec. noviss. Moll.n® 161 à 190 et Recens. des Planorbes de l'hgvpte (pp. 344 349): ssus les noms de Planorbule œgyptiaca. Biche. calliodon, odontostora. diodonta. Tanousi. Chambardiont. Calrertiana et Cleopatre. Ces espèces n'ont jamais été décrites. Mais, en étudiant de pres quelques unes de ces Planorbult nous avons pu nous convaincre que les denticulations n'affectaient. en certains cas que des jeunes exem- plaires (1) du Planorbis Boisyi = wgypliaca, que celles-et étaient résorbées par Fanimal et qu'elles manquaient dans la coquille adulte. comme nous nous en sommes assuré par des coupes transversales. Sans étendre celte conclusion au genre Planorbula en entier. ear nous ne connaissons pas les espèces américaines de ce genre, nous pouvons done affirmer que la présence des denticulations dans les Planorbes égxpliens n'est qu'un etat purement transitoire, marquant en quelque sorte un stade de développement ou peut- être un cas pathologique) eEque ces lamelles ne persistent pas à l'état adulte. Nous serions désireux de voir confirmer ces conclusions par une étude anato- mique de Fanimal. Sous-Famille : Ancylinie. Genre : ANCYXLUS GEorrRo. Section: ANCYLASTRUMNE \Moouix-Fixpox. Ancylus (Auev\lastrum) Clessini Jicrken. 1562, Jieneu: Johrb. der Deutsch Malak. Goes. 1682, pe 996. Alexandrie. Cette anexle à 65 découverte à Mexandrie par 4. de Ehotellerie qui en à envoyé D Jusqu'à 9 mm. de grand diamètre : aucune forme de P'anorbula n'excède cette tulle. des exemolaires à Clessin, lesquels exemplaires ont Gé communiqués à Jickeli qui à préféré leur donner le nom de Clessini plutôt que celui de hotellerie. Ret.…. lequel ils avaient été cavoyes ! SOLS Ancylus (Ancylastrum. EIsseli, BouRGtiGNar. PI NE Gone 1866. Bouréciexar: Moll. nour. litig. NU, pe 21%, pl 56, fig. 15-18. Alexandrie (de Lhotellerie . — Ramleh Issel. Cette petite coquille long. 3 mm., haut 2 mm.) est caractérisée par son sommet L'anchement rejeté à droite. Famille : AMPULLARIDÆ. Genre: AMPULLAREA Liuinen. Asmpulla ovata OnnviEr (D. 180%. Ouvien: Foyage dans l'Empire Ottoman, ME pe 99, AUS, HE pl 94, fi, 1 1891. Puuaeri: Monogr. AHmpull., pe 49, pl AN ic. 9. 1868. Bouneciexar: Moll. nour. litig. pe 74, pl Xe AT Lac Marcotis (Bruguière) — Canal Mahmoudieh. . Var. : Raymondi, (sp. 1863. Bocretiexar: Mol. nom. litig.. p. 76. pl. IX. lis. A. Décombres anciens d'A'exandrie de Lhotellerie. Bords du lac Ballah Raymond). Le »11 Cette variété diffère du type par sa taille plus forte (haut. 92 mm. diam. 0 mm.) :; celle en constitue en somme, la variété ayor. Ampullaria Bourguignati BirLorrr. 1865. Bivorre : Bull. Soc. Malur. Fr. pe 107, pl VE fig. 5 .,. Lac Ballah pres d'El Kantara. Nous n'inscrivons cette espèce qu'avec doute, car le Evpe figuré ne nous parait ètre qu'un exemplaire déformé de la var. Raymondi ci-dessus mentionnée, DOM L. Germain à donné une bibliographie {rés étendue de celle espèce dans Son mémoire Les Mollusques terrestres et fluviatiles de FAfrique centrale française. p. 327 DE TIC Ampullaria Kordofana Pinteyss. 1805. Saviexy : Deser. Egypte, pl. 2. fig. 25. 1823. Carriaun: Poyage & Méroë. Il. pl. 60, fig. 10 {f.orata!. 1854. Panavri: Conchyl. Cabinet: Genus AÆmpullarie. pe A pl AE Ge. 1. 1865. Bouréciexar: Moll. nour. litig.. fase. 5, p 78-79, pl XI fig. 12 et 15. Tres commun dans toute FEgvpte. Ampullaria Iucida Pinnerss I RREYSS. 1591. Puuavrs: Conchyl. Cab. Genre Ampullarie. p.45, pl AH die 2 et pl XIV, fie A LeNil. Ampullaria exignua Purarrr. 1691 Pasavri: Monogr. HDnpull, p. 46, pl NH, fig. 4. Egypte. Ampullaria Wernei Priirrr. 1691. Pauvres: Monogr. Æmpull. pl NI, fig. 2 et A Ail Blanc. M. L. Germain (Bull. Mus. Paris 1905, pp. 328-529 rapporte à celle espece Unpullaria Charmesi Bilotte (Bull. Soc. Mal. Fr. LE 1885, pp. 106, 107. Bourguignat (vel. Billotte) admet d'ailleurs que Fon peut rapporter à cette forme A. Charmesi) à titre de variété minor celte coquille figurée sous le nom d'A Werner (non Philippi pl V.. F4. dans la Monographie des Ampullaires de la seconde édition de Chemnitz. - Ampullaria vitrea Bonx. 1280. Bonx: Test. us. Vindob., pl. XV, lig. BA6 (Helir ritrea. 1896. Reeve : lconogr. Monogr. Ampull., pie XVI, sp. 60: Egvpte,. Genre : LANISTES Dexss De Moxronrr. Lanistes Bolteni CHEMNITz. PINS MAS" 286. Cueunirz : Conch. Cab. 1, p. 89, pl CIX, fig. 921-922 felir Boltenina). ! 1505. Descript. Egypte. pl. 2, lis. 51. 1825. Curciaun: Foy. à Méroé, WE, pl 60, fig. 9. Tout le cours du Nil et de ses affluents. La figure 314 de la Description de Egypte représente une espèce à spire lurri- culée. presque scalaire qui se rapporte au Meladomus Lelournenri Bet. | 16 scala il { Welad Let our Bot — (2 = Le Weladonus. Duveyrianns décrit par G. Révoil in Bull Soc. Mal. Fr. 188. pp. 99, 100, et figuré pl. VE F 5, doil être réuni à cétle espece. Chez certains exemplaires. la carène est obluse et d'autres. de grande taille, ont tous Ieurs lours parlaitement ronds sans 16 moindre sentiment d'angulosité 2 ils constituent li \arnété perlecta P. \ar. : Letourneuxi BornetiGN\r sp. 1605. Description Egypte. pl 2, is. 5164 soute. 1629. Boureciex\r: Mol Egypte. Abyssènie ete pp. 2 ep. Meladomus). 1669. Benruen : Bull. Soc. Meales. Fr. 14, pe OT. pl NE fig. 4. Environs d'Alexandrie. — Damiette. Forme à spire élancée. à ours presque scalaires. carénés, tantôt ronds. dont NOUS avons trouvé plusieurs exemplaires dans la collection de Ehotellerie. Elle se relie tres naturellement à Fespece précédente. Lanisies Innesi Pin. 1902: Paveaex 2 More Duo Lors ne EM TE 2, 1. PI | Haut Nil. Famille: PALUDINIDÆ, Genre: VEVEPARA Liane. Vivipara umicolor OLinier. 160%. Over : Dog. Ep. Oloman HE pe Ne les IE pl Gt he Cyclosloma unicotor 1608. Descripl. Egypte, pl 2, fie. 50, 1629. Curie: Foy. a Méroë. HE pl 60, fig. 7. oo 0). Kusren: Conchyl. Cab. genre Paludina. pe 24. n° 16, pl fige 12415 1 Tout le cours du Nil et de ses tributaires. Le tVpe mesure haut: On peut distinguer des variétés major elominor pour les Eulles extreme. Dans les Vivipares comm dans les Cléopatres. larme souvent que lt coquille L Pour plus ample bibliographie. consulter EL Germain: les Mol terr. et fus. de FAMfrique centrale francaise 1907, p. 319. LE 2 est ornée dune, deux et mème trois carènes : lorsque les deux carènes sont bien accusées espece prend le nou de Vivipara biangulata Küsren. PINCE ME 1hn3. Küsrer: Conchyl. Cab. pe 29. pl 9, fig. 11-12: Le Mex, Canaux des environs d'Alexandrie = Kordotan. « Plus peut être que toute autre espece du genre, le. roncolor présent un polymorphisme étendu portant à la fois sur la forme générale de la coquille, allure de la spire et la scuipture du test » Sur une importante série d'échantillons on observe facilement des individus dont les lours. nettement arrondis, ne présentent pas trace de carène spirale : d'autres ‘mode unicarinala) chez lesquels la caréne inféricure est très saillante. Ta supérieure avant plus où moins disparu : des exemplaires présentant le node bicari- nata (= biangulata Küster) : enfin des échantillons, beaucoup plus rares. du mode lricarinala. caractérisé par la présence Œune troisième carène médiane. Ces dite rentes manières d'être du test sont d'ailleurs indépendantes de la forme générale el se rencontrent aussi bien chez les individus présentant le mode globese que chez Ceux appartenant au mode clair. « L'ombilic. plus où moins ouvert. permet de distinguer un mode nacroporus et un mode perrins. « Enfin le test est lui-même très diversement coloré, Jai déja en Foccasion de signaler les variétés ex colore : vuridiss fusra et pallescens 2 0 Germain : Les moll. Lerr. el fus, Afrique centrale française. pp. 91491. Genre : CLEOPATRA Troscuer. Cleopatra bulimoïdes OLniER. DES LUE 180%. Ouvrier: Foy. Emp. OU pl GS ie. 6 (eycloston a Lulñuoides. 1805. Description Egypte. pl. 2. fie. 26. 1825. Cuuracn: Poy. à Méroé, pl, 60 He. 6. pl. 7, fig. 11-17. 852. Boureviexar : fnén. malar.. pl. 8, Hg, 5-7. (Cycl. Gaillardoti). 1874. Jiexeu : Moll. N. Ost Afrikas. p. 240, pl, VIL fig. 31, (opereule.. 1525. Küsrer : Conchyl. Cab. hp Tout le cours du Nilet les canaux qui S'Y rattachent Var. pulchella B. mss. plus petit que le type. — à tours supérieurs anguleux comme le V. biangulata. — Le Caire. Nan Tant. "11-12 mm" {Canaux ce Ifoch Issa: Variétés ex colore 2: nigra, pallida. (Cailand_. trifasciata (Varreyss et lutea Pr ins: que nous venons de le faire remarquer pour les Vivipares, les Cleopatres portent souvent aussi une où plusieurs carenes,. Dans son mémoire sur les Mollusques de FEgxpte. de FAbyssinie, ete. Bour- guignat décrit les Ceopatra Laurent. mareotica. et Lholtellerei 2 mais les dimensions seules qu'il donne de ces formes prouvent qu'il s'agit de jeunes exemplaires (bien qu'il assure pour Le CL Laurenti que celui-ci soit adulte). Mais, après avoir mesuré bon nombre de Cleopatres, je n'ai pu en trouver aucune vraiment adulte de tailles aussi faibles que celles que Bourguignat donne pour ses espèces. Cleopatra vexillata PainRexss. 1669. PanReyss : 40 coll Manrexs: Wal. Blatt., p. 205. CNT Cleopatra Verreanxi PB iURGUIGNAT. 16. Bocreciexve: ner. Male 1 pe 187 pl 20, 25-27 Bythinia Verrecuriana 629. Bocrecrexar : Mol! Egypte. Abyssinie. ete. p.26 = Paludina œgyptica Moblreldt Le Nil. Clecpatra cyclostomoides Kü br RSR OMS La dus ntitqé 23 TAF MON + L' (UE TS PLANCHE I. Fig. 1-2. — Parmacella alerandrina Ennec. 3. — d° jeune. 4-11. — Euparypha pisana MüLLer. 6. — variété leucolena Ber. 7. — Calcarina pulchella Pairary. 8-9. — Calcarina alexandrina [Facor) W. 10. — Calcarina arabica Piry. 12-13-14. — Helir (Hygromanes) obstructa Fénussac. 15-16. — £Eremina ©?) desertella Jickerr. 17-18-19-20-21. — Xerophila merensis Br. 22-23-21. Helir (Vallonia) pulchella Mürven (grossi quatre fois). 25. — erophila Tanousi Bcr. 26-27. — Xerophila simulata Finussac. 28-29. — Helir [Hygromanes) syriaca Eurv6. 30-81. — Helir lenticula Fénussac (grossi deux fois). 32-33. — \erophila serrulata Beck. 34. — de srossi deux fois). 39-96. — Helir barbara L. 37-38-40. — Xerophila philammia Ber. HA. — d° variété semilævigata Piry. 39. — Xerophila icmalea Wasr. Variété déprimée. 42. — Xerophila Guimeli Br, 43-44-45. — Xerophila icmalea WEsrEnLuN». 46-47. — Nerophila Pachundakii Piry. MÉMOIRES DE L'INSTITUT ÉGYPTIEN, TOME VI, FASC. I. Planche I 1 2 3 4 4] 6 9 11 7 8 10 CAES. Ni En A rÉER 13 14 12 18 19 20 ù 21 LEA LEA LL Lo 1 red 25 26 27 28 29) =. 4 = 34 30 41 + € é & é 46 Phototypes de l’auteur. Imp. Berthaud, Paris. P. PALLARY. — Catalogue de la faune malacologique d'Égypte. PO ae qui ce 1" LE = @ f#la M SHonaïs LE DT LITE) . G- St à a! À " AO ONE 4 ÉOINTANTUTTERE TPS h ñ È ! 8 one dre — seit TT 108 danchnbionn A7 nAmye ÈS LE LL ONU EN CEE IUT) CET SE BSSTTE ÿ "1h to a) qui s, 6 EM DO E nn aie 2280 Nora arhbpetÀ HE ET LRbierarg D 4 h 11-80} LE TCUTTIE) | ES Eur Mise -0É-01-81 Re 551€ piihena — ; ŸE à à ds or ai — RÉ Far. e Aron th nine — 46 PLANCHE Il. Fig. 1-2-3. — Xerophila vestalis Pannes. 4. — d° var. ex-colore palmarum (PaRREYS) HARTMANN. 5-6. — de var. mahmoudiana B. 7-7 bis. — Xerophila Guimeti Bcr. ü-9. Xerophila vestalis var. ramlehensis Bcr. 10. — d° var. ramlehensis minor P. 11-12-13. — Xerophila Mariettei Ber. 14-15. — Eremina desertorum Vorskauz, forme typique. 16-17. — d° forme de passage à : 18-19-20. — Eremina rhodia Cuexurz — Hemprichi Eursc. 21-22. — Eremina Hasselquisti Eunsc. 23. — Eremina Ehrenbergi Ron. 24-95, — Eremina Aschersoni REINHARDT. 26. — Eremina Landrini var. minor P. MÉMOIRES DE L'INSTITUT ÉGYPTIEN, TOME VI, FASC. I. Planche II a TZ 7 7 bis 8 9 10 11 12 13 Phototypes de l’auteur, Imp. Berthaud, Paris. P. PALLARY, — Catalogue de la faune malacologique d'Égypte, { | 9 'i, ; HU vrt Tapie munir — 25 anna ad so — 1€ …. ANSANON ER HAT out — cl A cet vou") "14 0e fr £a SCI LES MN ECT (LIT LEE A LL PRESS Pa ALU LE pat art tous À NOTA UUTE \shtsi sit © 5 à Lg foot ins MECS IREN DRPIE L'ERF CUT $ ù Lara An à FE à mit vus & sain qi rh “£ rush Mb 43 panthanah: Are ue NG-FE-hE raté trs talaue alt — va « 1 Fe paies ei En 1éhardie mnt = ) (NE «, ) Hé rte ob au: édayots | HAN = if M “ainN 7 uen A à Br À PAPA ARTE NS UNE ht out L Lgisimmnniine 50 (A EE RN à ; 1 il , CRT A | hate Roux - si po tt va lsavte mio ÊtAt PLANCHE II. Fig. 1. — Helir vermiculata Müzirer, 2, — Eremina chilembia Bcr. 3-4. — Buliminus pupa Bauctière. 2-6, — Buliminus Gaillyt LETourNEUx. 1-8. — Chondrus heptodon \. MaRTExs. 9-10. — Chondrus sulcidens Moussox. 11. — d° grossi trois fois. 12. = Leucochiloides sennaaricus L. Preirrer, grossi deux fois. 13. — Zootecus insularis Eurnc. 14-15. — Opeas gracilis Hurrox. 16. — Pupa granum Dern. 17-18. — Hlelix {Pomatic!la) nucula Panneys. 19-201. Nerophila Fourtaui Pins {= Schuceinfurthi v. Manrens ? ) 21E Helir ‘Pomatia) «persa MüLrer. D Orcula scyphus (nv. Prarrer grossi trois fois. 23. Xerophila nov. sp, ? 24-25-26. — Rumina decollata L. (La figure 25 représente un exemplaire à tours scalaires). 27. = Calais unidentata JiekEm grossi quatre fois. 28. — Cœcilianella ayyptiaca Parrary grossi quatre fois. 29-30. Succinea Cleopatræ PaLLanY. 91. — Limnæwa truncatula Müiser grosse deux fois. 32-33. — Pyrgophysa Forskahli Ennec. 34. — Bullinus Dyborwski V. Fisener var. 90. — Bullinus alerandrinus Br. 36-37. — Limnæa Calliaudi Bér. 38, Limnæa Laurente Bor. 99. — Bullinus contortus Micnaup, 10 Physa subopuca variété Lhotelleriei Ber. 11-42. — Bullinus Innesi Bcr. 43. -- Limnæa truncatula Mürrer. 44-45-46. — Bullinus Innesi variété distorta Pix. MÉMOIRES DE L'INSTITUT ÉGYPTIEN, TOME VI, FASC. I. 29 30 31 32 33 À Ô ‘& . 39 40 37 38 di 43 44 Phototypes de l’auteur. P. PALLARY. — Catalogue de la faune malacologique d'Égypte. Planche III [rS ex ii fi (3) 10 13 éBv?r : e24 30 é à 2} & 4 42 16 5 Imp. Berthaud, Paris. » = a r RS ui 1 BHonaïs, : 4 DONNEES : dis ve 143 af +. de NON uamnlé 1e Hyhoi | def, w. FL gl à nl DOAPORS: CEA SRE NA = Dh e FM sarko om — D 3 ' FL, do rss hong PALYA ts ane nr f nr 5 : _Affes. ARR TL Prat À FRERE not = 51 E TE TT ART CURETOPL LE DIET ET PT PTE IN ENT INN EN 0 DU RTL LEEALT ENT PATTES EL à EU VANNES DU (er Ce Ah ruob Weng aeraiaa ons ami 1 ‘ DUR UT QUES AO ae net lt ro mA à pt 2i6t 2 0btr iraotp rot CAR UE CRAN RER sæauiM DEsrtegat until = ne tE fe Ait comortuliy unie. »- BE Era DAME LUTTE 0e sé) a PLANCHE IV. 1-2. — Planorbis Philippiüi Moxrs (— subangulatus Pauarrr non Lamarck). 3-4. — Planorbis Boissyi Poriez et Micuaun — œgyptiacus Bcr. o-6. — Planorbis mareoticus (Lerourxeux) INNES grossi deux fois, 7. — Planorbis Pæteli Jickeur. 8-9. — Planorbis Laurenti (Bcr) INxÈs grossi deux fois. 10. — Planorbula. 11. — Ancylus Isseli Ber grossi 4 fois. 12. — A{mpulla ia ovata Ouvrier. 13. — Lanistes Bolteni Chemxirz. 14. — d° variété Letourneuxi Bcr. 15. — l'ivipara unicolor Ouvier variété biangulata Küsren. 16. — Cleopatra bulimoiles Ouvier. 17. —— Cleopatra cyclostomoides Küster. B-19, — Æupera paraïitica Parreyss (intérieur des valves grossi trois fois). 20. — Eupera parasitica Vanneyss (grossi deux fois). 21. — Bythinia Goryi Bér grossi deux fois. 22. — Bythinia subbadiella Bur grossi deux fois. 23-24-25. — Melania tuberculata MüLLer. 26. — Sphærium pharaonum Br. 27. — Spheœrium Teilhardi Pin. 26-29. — Valvata niotica Jicxeur grossi deux fois. 30-31-32-33. —— Noritina nilotica REEvE. 37. -— Pisidium casertanum Pour variété aleæandrina P. grossi trois fois. MÉMOIRES DE L'INSTITUT ÉGYPTIEN, TOME VI, FASC. I. Planche IV 1 2 D 5 “ 8 () 10 G (Ca @ 18 19 27 28 29 æ © Phototypes de l’auteur. 31 32 33 34 & © © Imp. Berthaud, Paris. P. PALLARY. — Catalogue de la faune malacologique d'Égypte. AHOAMT AA \( ee ; cÉ RTPTE TA MOT OT DS ÿ ve rt Moqie A vélo \ Say " 08 pay papa H l Mur, Pan tt ntaihar ; ; * L \ af «À : De. : L _ \ ï * e « D 1e pu EC PLANCHE V. Fig. 1-2. -— Nodularia nilotica CawLraun. 3-4. —- Nodularia teretiusculus Panier. D. — Chambardia Locardi Ber. 6. — Nodularia Parreyssi von Buson. 7-8. — Nodularia Gaillardoti Ber, MÉMOIRES DE L'INSTITUT ÉGYPTIEN, TOME VI, FASC. 1. Planche V Phototypes de l’auteur. Imp. Berthaud, Paris. P. PALLARY. — Catalogue de la faune malacologique d'Égypte. En vente à Ja même Librairie: Tome Ti LME TE RS CRD TE SE EVA RE RUE : Tome I. — G. Masreno : Les mémoires de Sinouit. — P. Asensnsox ot G: SAN EN rerru : Mustration de la flore d'Egypte. — À. Aueuxeat : En évêque de: Keft au VIF siècle. — Osuax sey Gnases: Une nouvelle espèce d'en Gi) lozoaire, — Marquis pe Rocnexoxren : Quelques contes nttbieñs:— AbRIEX k uv : Les quarantaine: de la Mer Rouge. — UC. Bocrmaxre Fragments bach- à mouriques. — Max vox Bereneu : Une mosquée du temps des Fatimites. — Pacs Ravusse: Sur trois mihrabs en bois sculpté. Vinas Pacs: Le réseau pentagonal et son application à F Afrique. - Nese vend pas en fascicules séparés. 2 vol. 821 pp. 29 planches. Tome HE. — Fascicule LE Arruce Loos : Recherches sur la faune parasilaire de L HESÇpte-Premicropariet2526 0) MG PRET ON EAU h LE A. Dercers : Les AN de l'Afrique tropicale. 930 pp. 6 pl. en couleurs. On MTS EE dr ON PE 0 AE P. Soxsno : Contmbuto alla entozoologia d° Egillo. 51 ppe \ V. W. Grore : Etude sur la sarcellerie égyplienne. 73 pp. Ù V. Max vas Bercuen : Inscriptions arabes de Syrie. 103 pp. SPL PRO EMBIPE EE OM Ne EN SEA ST EME l VI. @. Daressy : Le Mastaba de Mera. 34 pps L pl: : VII: EU. Bocmanr er Vexrre racns : Trois lables horaires copies. 30 DIT ANNE tte RS SA MAR R ARE UE RE NU. R. Fourrac : Révision des Fobiniles fossiles de FEgypte: 135 pp. STAR PARTS PRIRENT ET à IN. D Amar peus : La mort de Socrale 0 Le tome complet;& 0 PNEU Tome IV. — Fascicule EL D Fovouer : Contribution à Fétude de la céramique orien- ; tale. 466. pp. 16 pl. en noir ellen couleurs à 2 2 2 1 IL. E. SicxexuenGer : Contribution à la flore d'Egypte, 166 pp. Lertome complet.) 0 - M IRENENMENAEE Tome V. -- Fascicule 1 G. Ecnor Sur: contribution Lo {he study of mummie | ; fication in Egvpt. 53 pp. 19 pl phot 2: © , IL. Yacocr An acna : Essai sur les causes du renchérisse= ar ment de lavie matérielle au Caire dans le courant du NIX° SOLE TO UD. MR UNREAL RES 1 HI. R. Meosoucen: Enuméralion des Algues marines et d'eau douce observées jusqu'à ee jour en Egypte. AO Le tome complet. {1 9-0 0NRRnr Tome VI. — Fascicule LP. Passam : Catalogue de la faune malacologique d'Egvpie à QD DD DIRE DENON DU SCOR ET NE ESS LL. R. Focerac : Descriplion des échinides fossiles recueillis par MM. WF. Hume el dohn À. Ball. dansle désertliby =" que.ct le nord du désert arabique. 4 2 2 40e 0 IMPRIMERTE GÉNÉRALE A CHARI, ROCLEVARD ARDSEL-AZIZ. LE CARE. . Li FE + LAS) } si L) LE A È = E è je 12 - 5 . È É F L 7 : d ä r = JE - - |) Le \ # L et k L ; \ l x $ I ; + ï F + .. e è L nl IV AAN SA DARENAT RAAAANA A RAA Dr RAAAA Aa Re ve MA NE À PA À À AAA À A, D ,AnnA AAA AA MA À: Matra \ MER AAA AAAAAA a Me cn dm ND RAR AN: Ru À; f AA ARRAA Aa Fo Alala art SARA EAN x po je RUN ha, NA À QTAYA À Rue A : EN An ARE AAA Ye AAA A: ATAYAR AR AAA RAR nn ne A ANA TARN AAA ART AA AAA LARA AN NEA A4 PARARAMANA MAN A À p0hn Aana à ANS TN Des A ANNE “a ss À R£A AA ; A4 HE ue … vi M RACE MEN e MANIA AE aan’ AE A LA à #4 AA AA 20 ME … Mae à HAN FRA ARTE 2 Ti + AA al fan? A Ar Anana" A Fe Aa AAAR n AA PA *AA A2 AAA À AAA ie À AAA ss is ss À AA DA M AAMAAM | FR A AAA PR j a RTE \ ve AA FR pre VAN AY nn aNPÈn ARENA A PA VA À ARAAAEA LA AA à ie À \ RAS ANRT | ana RA AAC ARR? ni AARAA Mu A! AAA RMI dE mue En AAA LAN ARENA AV AR AAA AU A ‘à NU RÉ ne ; à AA. A AAA rAnA AAAA TA Re A RAS MAT MM Ni, RATE As AAAAAAA ss US ARAAAARARES AR : AAAS AA AN AT AnAñA, M | A Et tt AA AN RAA A ARTE AE "\ us PNA AAARIA on ae 453 A MAN AREAS AAA | VU. M a Dana agp AAA ph “ FM _— MAL NAT RRRNAR RASE La PARA AA ane AA A" A / AA A. 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