TR ner ces nes evene se ne mm ns es etre ee RCE ere saone Ene : RSA a nd de mn dt ed rt © 0e de D Ge vire and de he mu À À: . ue . Re Sr Tete CSS * es ne ee LS es men èe Enr craintes dune tete Een mdr 4 nv é n sale Crrer ee D ene anere et vo ve ET PC OP RE DEN VE SET EP PP a el ee ent TT sas 0 en Se re D ET D 0 md Dm ee tes - : RE o EX LIBRIS William Healey Dall | Division of Mollusks Sectional Library IRON ja 1h ù ; re fe ji à GÙ CATALOGUE MOLLUSOUES TERRESTRES ET FLUVIATILES — PARIS — IMPRIMERIE DE J. CLAYE ET C* RUE SAINT-BENOIT, 7 CATALOGUE RAISONNE DES MOLLUSQUES TERRESTRES ET FLUVIATILES 7 RECUEILLIS PAR M. F. DÉ SAULCY PENDANT SON VOYAGE EN ORIENT PAR J. R:. BOURGUIGNAT PARIS GIDE ET J. BAUDRY, LIBRAIRES-ÉDITEURS 5, RUE BONAPARTE 1853 SECEonal ï vision of } ibrory Autour de nous, au sein de cette vieille Europe, tout est connu, étudié, classé; si par hasard quelque être a jusqu’à ce Jour échappé aux regards du naturaliste, c’est tout au plus une espèce microscopique, une existence que son infime ténuité a placée aux limites du néant, —1Il faut donc s'étendre, sortir des régions qui appartiennent aux domaines de la civilisation actuelle, pour trou- ver du nouveau, pour atteindre les aliments destinés à entretenir l’insatiable avidité des amants de la nature, Voyages aux pays lointains, explorations dans les contrées que l’homme ne connaît pas encore, ou qu'il a oubliées, voilà les moyens qui nous donneront maintenant, qui nous procureront désormais les éléments des études à faire, des théories à consolider, ou plutôt des systèmes à créer. C’est ce que savait l'honorable M. de Saulcy quand il a effectué son voyage dans les régions oriento-méditerranéennes. I n’a pas borné ses recherches aux seuls monuments des temps bibliques, ainsi que le lui eût permis sa spécialité si connue, et si appréciée du monde érudit. S'il s’y füt arrêté, nul doute qu'il eût trouvé que c'était là un ample champ à explorer, un sujet suffisant d’informa- tons et d’études. Mais il a voulu être mieux que complet, il a surtout été - dévoué à la science en général, et la paléontologie, la botanique, l’entomo- logie, la malacologie, ont toutes également pris une large place dans les préoc- cupations et les recherches de son voyage. Le travail que nous donnons aujourd’hui ne serait pas destiné à être annexé a 11 à l’œuvre de M. de Sauley, que nous voudrions insister ici sur les services éminents qu'il a ainsi rendus à la science. En ne le faisant pas, nous man- querions l’occasion de lui adresser publiquement des remerciements auxquels s’associeraient certainement nos lecteurs. Mais nous nous rendons aux instances de l'homme trop modeste, qui veut que ses travaux parlent seuls de lui et pour lui, et qui refuse à ses collaborateurs la liberté d'être les interprètes de la reconnaissance que le monde savant éprouve à son égard. Ce sont les découvertes malacologiques de M. de Sauley qui vont spéciale- ment nous OCCUpeEr ICI, Pour faire apprécier les résultats notables que, sous ce rapport particulier, son voyage nous offre, 1l nous suflira de donner un rapide aperçu de ceux qu'ont produits les excursions et expéditions qui, dans les régions oriento-méditerra- néennes !, ont précédé la sienne. C’est au comte de Bernstorf, ministre de Frédéric V, roi de Danemark, que nous devons la première; il agissait en cela par les conseils du célèbre profes- seur Michaelis. Niebubr, né en 1733, à Lüudingsworth, village du duché de Lauenbourg, en recut la mission, avec l’ordre de visiter la Syrie, l'Arabie et surtout d’ex- plorer le littoral de la mer Rouge. — On lui adjoignit un mathématicien et un naturaliste. Ce dernier était Forskal. Pierre Forskal était né en Suède en 1736; élève de Linnæus, il sut si bien profiter des lecons de cet illustre maître, qu’il mérita d’être patroné par lui prés du comte de Bernstorf. L'expédition quitta le Danemark en 1761. Deux années étaient à peine écoulées que, sans pouvoir terminer sa mission, Forskal était emporté par une fièvre endémique. Niebubr revint seul en novembre 1767; et, quelque temps après, il com- mença à publier la relation de son expédition. Mais nous laisserons de côté cet ouvrage pour ne nous occuper que de ceux de Forskal, Ce naturaliste, enlevé prématurément, n'avait pu donner une dernière main à ses notes de voyage. Aussi Niebuhr, ne pouvant compléter l’œuvre de son compagnon, se chargea seulement du soin de l'impression. Les manuscrits de Forskal ont produit trois volumes in-#°, 1. Nous ne parlerons seulement que des explorations qui ont eu lieu en Syrie, ou dans les contrées voisines de ce pays. III Le premier est intitulé : Æora Ægyptiaca-Arabica, seu Descriptiones plan- tarum, ete... — Le second : Descriptiones animalium quæ in itinere orientali observavit P. Forskal, etc. Ces deux volumes ont paru en 1775. Enfin, le troisième a pour titre : /cones rerum naturalium, etc... et pour date, l’année 1776. Ce n'est que dans le second volume : Descriptiones animalium, ete... que se trouve la description des Mollusques recueillis pendant le cours de lexpé- dition. Parfait observateur, Forskal était également d’une rare érudition; aussi la constatation exacte des caractères chez les espèces dont il parle, n'est-elle pas moins remarquable que la clarté de ses descriptions et que le choix des expres- sions toujours Justes qu’il y emploie. Il poussa même la précaution jusqu’à accoler aux noms scientifiques l’appel- lation populaire. Heureuse idée que n’ont pas eue depuis ceux qui comme lui ont exploré ces contrées. Si son exemple eût élé suivi, nous aurions aujour- d’hui des notions plus complètes sur les connaissances malacologiques qui peuvent exister chez les Arabes. C’est sous le titre général de Vermes, dans sa classe des TesracEA, que ce savant classa tous les Mollusques qu'il put découvrir. Le nombre de ces ani- maux est peu considérable; la plupart furent recueillis par lui dans la mer Rouge; les autres, en Égy pte, ou dans le sud de la Syrie. Cependant, bien qu’en petite quantité, ces nouvelles coquilles sont décrites avec un tel soin, et avec tant d’exactitude, qu'il faut attribuer à Forskal un rang distingué parmi les conchyliologues. C'est à la première république française que nous devons la seconde explo- ration scientifique en Orient. En 1792, le ministre Rolland, qui avait en vue quelques négociations dans Pempire ottoman, en chargea Olivier, et en même temps, pour dissimuler le caractère diplomatique de cette mission, celui-ci recut l’ordre de choisir un naturaliste pour compagnon de route, Olivier s’adjoignit son ami Bruguicre. Bruguière, né à Montpellier en 1750, avait été amené à la conchyliologie par les recherches auxquelles il se livra sur les charbons de terre; ayant reconnu dans les différentes couches qu’il était à même d'examiner, des terrains très- riches en fossiles, insensiblement il passa de l’observation des terrains à celle des êtres qu’ils contenaient. Son coup d'œil était sûr et exercé, et son esprit très-porté à la synthèse. Aussi était-il arrivé dans la distribution des Mollusques à un classement plus méthodique, plus naturel que pas un de son époque. [l'avait publié déjà les deux premiers volumes de son Histoire des Vers, lorsqu'il partit avec Olivier. Malheureusement ilaccomplit ses excursions scientifiques au sein de l'empire ottoman dans des conditions de santé déplorables. Incapable de supporter la fatigue des courses, les privations inévitables d’une expédition de cette sorte, et surtout l’ardeur du soleil, il se traîna misérablement jusqu’en 1798, époque où, ayant à peine atteint les côtes d'Italie, il s’éteignit à Ancône, le 3 octobre. Son état continuel de souffrance ne le détourna pas cependant entièrement de la science, avait recueilli dans son voyage une collection remarquable de coquilles. Malheureusement Olivier, entre les mains duquel elle passa, ne con- naissait rien en fait de conchyliologie. Hit, à la vérité, paraître dans la relation de son voyage qu'il publia à son retour, les descriplions d’une vingtaine d'espèces nouvelles, et consacra à la représentation de ces Mollusques deux planches de Patlas qui l’accompagne. Mais cette partie de l'œuvre n'est pas sienne, bien qu'également placée sous son nom: il n’a pu l’exécuter que d’après les notes manuscrites de Bruguière, son ami, qu'il n'a pas même cité. Quant à la collection, il en disposa en faveur du baron de Férussac, qui la nomma en grande partie dans ses Tableaux systématiques parus en 1821. Nous ne devrions pas parler ici de la troisième expédition qui eut pour but d'explorer ces régions. Mais elle contribua tellement à enrichir la Science malacologique d'espèces aussi bien égyptiennes que syriennes, que nous ne pouvons la passer sous silence, Cette expédition fut mieux qu'un voyage, qu’une excursion. Ce fut une expédition dans le sens le plus complet, le plus absolu, le plus magnifique du mot, ce fut l'expédition d'Égypte sous les ordres du général Bonaparte. On sait qu'un certain nombre de savants, d’érudits, de naturalistes, acCOMpagnaient l’armée, et firent dans ces contrées des conquêtes plus durables que ne le furent les conquêtes de leurs compagnons. Nous jouissons de celles de la science, quand il ne nous reste plus rien, à peine un souvenir, de celles que nous avaient valu les armes. C'est C. Savigny qui fut chargé de la partie conchyliologique, et qui com- Vi menca à en donner la représentation dans ces magnifiques planches de coquilles que tous les amateurs connaissent. Elles resteront à jamais comme de précieux modèles dé fidélité et d'exécution. Malheureusement les soins incessants, l'attention soutenue, le fini qu'il voulut y donner, eurent sur lui de funestes effets; il perdit la vue. À chaque pas que fait la science, on le voit, elle aussi, a ses martyrs : « Etiam religio scientia. » Savigny ne put compléter son œuvre, dont le couronnement fut pour ainsi dire confié à Audouin. Mais le texte dont celui-ci accompagna les planches est d’une faiblesse telle qu’il est considéré comme un ouvrage absolument nul. On cite Les planches de Savigny, jamais personne ne s’est avisé d'accorder pareil honneur au texte d’Audouin. A la suite de l’expédition d'Égypte, il se fit une lacune dans les voyages scientifiques vers l'Orient. On avait alors d’autres préoccupations que les pai- sibles études. — Mais, en 1820, aussitôt que la paix se fut un peu affermie dans notre vieille Europe, la Prusse envoyait vers les contrées méridionales plu- sieurs savants, parmi lesquels il faut citer L. B. de Minuloti, et surtout les deux aataralistes de Berlin, Hemprich et Ehrenberg. Après cinq années de pérégrinations incessantes, à travers les déserts, les plaines de sables, ou les oasis de l'Égypte, de l’Abyssinie ou de la Syrie, Ehren- perg, autour duquel étaient tombés pour la plupart, les uns après les autres, ses compagnons de voyage, victimes de leur dévouement à la science, Ehren- berg revenait seul. Hemprich notamment était mort à Massaua, petite île de la côte abyssinienne. Le résultat des recherches scientifiques de cette expédition se trouve relaté dans une série de livraisons non paginées qui parurent consécutivement à diffé- rentes époques à partir du mois d'octobre 1828, sous le titre un peu préten- eux : Syrbolæ physice. Ces livraisons, accompagnées de planches magnifiques, forment deux volumes in-folio, et ont été entièrement rédigées par Ehrenberg. Le premier volume comprend les descriptions des animaux vertébrés; le second, celles des animaux invertébrés. Ce n'est qu’au commencement de ce dernier volume (1831) qu'Ehrenberg consacre une soixantaine de pages à peu près aux descriptions de Mollusques marins, terrestres et fluviatiles, recueillis par lui et Hemprich. Parmi ces animaux, vingl-sept seulement appartiennent aux sections des VI coquilles terrestres et d’eau douce, la plupart ont été récoltés en Égypte et dans les environs de Beyrouth, en Syrie. Sur ces vingt-sept espèces, dix-huit sont présentées comme nouvelles par ce célèbre voyageur. ILest fâcheux qu'il n'existe aucune figure représentant ces Mollusques, car maluré l'exactitude et la correction que ce naturaliste a apportées dans ses dia- gnoses, plusieurs espèces ne sembleraient peut-être pas douteuses. Du reste, cet ouvrage édité avec le plus grand luxe, renferme de bonnes observations, des renseignements utiles et importants, enfin de précieux documents, Mais pourquoi faut-il qu'Ehrenberg ait trouvé trop commun de paginer les feuillets de son ouvrage ? Les Symbolæ physicæ venaient à peine de paraître, que déjà deux autres naturalistes allemands partaient également pour visiter les régions orientales. M. Erdl et J.-B. Roth, compagnon du célèbre docteur de Schubert, s’adon- nèrent surtout aux recherches d'histoire naturelle; et, grace à leurs efforts combinés, ils réussirent à rassembler des collections assez nombreuses en tout genre. A son retour, Roth, qui s'était chargé de publier le résultat de leurs recher- ches conchyliologiques, fit paraître, en décembre 1839, ses Holluscorum spectres. Cet ouvrage, dédié au savant docteur G. H. de Schubert, contient 61 espèces terrestres et fluviatiles, et sur ce nombre 16 sont présentées comme nouvelles. Ce travail renferme de bonnes descriptions, et surtout de temps en temps quelques notes critiques excellentes sur diverses variétés de Mollusques, ou sur différentes erreurs synonymiques. Enfin, ce qui ajoute encore du mérite à cet ouvrage, est la constatation exacte de l'habitat où chacun de ces animaux a été rencontré. Une des dernières explorations qui contribua le plus à enrichir la faune malacologique de ces contrées orientales, est, sans contredit, celle qu'entreprit dernièrement un Suisse, M. Edmond Boissier. Ce savant, adonné depuis longtemps à l'étude de la botanique, résolut dans ces derniers temps, de visiter ces pays et de recueillir les plantes, encore si rares dans les collections, des déserts de la Palestine et de l'Arabie. Pour arriver à son but, il choisit l’époque de l'année où le sol, non encore brûlé par les rayons du soleil d'Orient, ou desséché par les vents du sud, possède en entier sa riche enveloppe de verdure. VII Il partit done de Marseille le 4 décembre 1845, et arriva en Syrie au commen: cement de l'hiver 1846, époque, pour ces régions, de la plus luxuriante végéta- tion. — Aussi ce naturaliste recueillit-il une multitude de plantes jusqu'alors inconnues, et que n'avaient jamais pu rencontrer ses prédécesseurs, qui d’ordi- naire avaient voyagé pendant les intolérables chaleurs de l'été. De retour en Europe, vers le commencement de l'automne de la même année, M. Edmond Boissier, qui, botaniste, n’avait cependant pas négligé compléte- ment les autres branches de l’histoire naturelle, désira faire profiter la science de ses découvertes en conchyliologie. Et pour cela, il ne put mieux s'adresser qu’en confiant ses espèces à M. Jean de Charpentier, directeur des mines et salines de Devens, près de Bex. Notre honorable ami, si connu depuis longtemps par ses remarquables travaux malacologiques, fit paraître en septembre 1847, dans un journal alle- mand, le Zeitschrift fr malakologie de Menke, un catalogue de coquilles de Syrie, parmi lesquelles il constata et décrivit huit espèces nouvelles. Ce travail, consciencieux sous tous les rapports, offre d'excellentes notes critiques, de bons renseignements de localités, enfin, renferme des descriptions où les caractères spécifiques sont indiqués avec précision et rendus avec la plus grande clarté. Tels sont les principaux naturalistes qui, par leurs recherches assidues, ont donné sur les régions oriento-méditerranéennes , les meilleures notions conchyliologiques. Quant à ceux qui, dans leurs voyages, n’ont pas eu pour but spécial des explorations de cette nature, comme : Hasselquist, Browne, Yrby, Man- gles, Henniker, Burkardt, de Hell, Buckingham, Desselben, Callier, Madden, Hogs, Boré, Blondel, Seetzen, Russegger, etc., nous n’en parlerons pas. Cependant, parmi cette phalange si considérable de philologues, de géogra- phes, de géologues, de romanciers même, qui ont parcouru en tout sens ces parages, il en est quelques-uns qui ont rapporté de temps en temps des coquilles que le caprice du moment leur avait fait ramasser, et souvent, ces Mollusques recueillis au hasard, et confiés ensuite à des naturalistes, se sont trouvés être des espèces inconnues. De là l’origine des diagnoses d’une foule d'espèces relatées dans plus de cent recueils différents, qu'il faut vérifier lorsqu'on s'occupe d’une faune conchy- liologique, sous peine de faire de doubles emplois. Parmi les malacologistes qui de cette manière ont été à même de publier vil ou de faire connaître le plus de Mollusques de ces régions, nous devons mentionner Férussac, Ludovic Pfeiffer, Lovell Reeve, Deshayes, Koch, Beck, Frivalsky, Gray, Rossmässler, Ziégler, Parreyss, etc. | Les ouvrages, les recueils scientifiques émanés de ces auteurs, joints à ceux plus spéciaux dont nous venons de parler, donneront une idée des richesses malacologiques que renferment ces contrées orientales. Mais quelque considérable que soient les éléments déjà connus de cette parte de l’histoire naturelle, tout n’est pas encore découvert et dit sous ce rapport. Il suflira d'examiner et d'apprécier les résultats de l'expédition de M. de Saulcy pour s'en convaincre: ils dépassent en importance ceux qu'ont pu obtenir les plus heureux des explorateurs dont nous venons de parler En effet, examinons d’abord au point de vue de l'accroissement du champ des connaissances malacologiques , quel est le voyageur à qui appartient l’honneur et la gloire d’avoir recueilli le plus grand nombre d'espèces incon- nues, | Pour cela, comparons. Dans l’ouvrage de P. Forskal, nous ne trouvons seulement que quatre coquilles à rapporter à la section des Mollusques terrestres et fluviatiles. Ces animaux sont indiqués sous les appellations suivantes : 1. Aya ovata. — (Sans indication de localité). (S . Mya pictorum. — Ad ripas Nil. Ces deux coquilles appartiennent au genre Unio. 3. Helix desertorum. — Inter Kàähiram et Sués in arbusculis deserti. 4. Helix Arabica. — (Sans indication de localité). Cette dernière espèce est un Bulime. Olivier a décrit et fait représenter les vingt-deux Mollusques suivants : 1. /elix castanea. — De Constantinople et de Ghemlek. 2. Bulimus retusus. — De Crête. 3. Bulimus inflatus. — De Crète. 4. Bulimus torticollis. — De Crète. Ces trois Bulimes appartiennent au genre Clausilia . >. Bulimus fasciolatus. — De Crête. 6. Bulimus teres. —— De Crête. Espèce du genre Clausilia. 7. Helix spiriplana. — De Crète. 8. Melania buccinoidea. — De Scio. Espèce du genre Melanopsis. 9. Bulimus denticulatus. — De Scio. Espèce du genre Clausilia. 10. Bulimus zebra. — De Ghemleck. 11. Planorbis orientalis. — De Scio. 12. Bulimus ovuluris. — De Syrie. 13. Æmpullaria ovata. — Du lac Mareotis. 14. Cyclostoma carinata. — Des canaux d'Égypte. Espèce du genre 4mpullaria. 15. Melania costata. — De l'Oronte. Espèce du genre Melanopsis. 16. Helix cariosa. — Des environs de Baruth (Beyrouth). 17. Helix crenulata. — Des environs d'Alexandrie. 18. Cyclostoma bulimoides. — Du canal d'Alexandrie. Espèce du genre Paludina. 19. Melanoides fasciolata. — Du canal d'Alexandrie. Espèce du genre Melania. 20. Helix guttata. — Des environs d’Orfa. 21. Cyclostoma unicolor. — Du canal d'Alexandrie. Espèce du genre Paludina. 22. Bulimus labrosus. — Des environs de Baruth (Beyrouth). Sur ces vingt-deux mollusques indiqués comme nouveaux par Olivier, il n'y en a que dix-huit qui le soient réellement. Voici maintenant les espèces qui se trouvent relatées dans le magnifique ouvrage d'Ehrenberg. 1. Linax variegatus. — Habitat Berytum Syriæ ad montis Libani radicem. 2. Limax agreslis, — Mab. Damiettam Ægypt. 3. Parmacclla Alexandrina. — Mab. Alexandrinam. 4. Helix adspersa. — Mab. Berytum Syriæ. 9. Helix melanostomn. — Hab. in Dongalam. Helix desertorum. — \n Ægypto. 7. Helix Hemprichii. — Prope Alexandrinam. 8. Helix Pisana. — In Ægypto. 9. Helix striata. — Hab. in Lybico. 10. Helix simulata. — Prope Berytum Syriæ. 11. Helix Savignyana. — Ad lacum Mareotidem Ægypti. 12. Helix Alexandrina. — Mab. prope Alexandriam. 13. Caracolla rummus. — Prope Berytum Syriæ ad rupes, Juxta pontem fluvii Nahr- el-Kelb. 14. Bulimus gastrum. — Ad Arissam, Syriæ monasterium prope Berytum in monte Libano situm, rupibus adhærentem legi. (Ehr.) 45. Pupa énsularis, — Hab. in insula Cameram, quæ prope maris Rubri ostium australe inter Loheiam et Moccham juxta Arabicæ Felicis littus sita est. 16. Bulimina Labrosa. — Mab. prope Berytum. 17. Clausilia tuba paradisi. — Hab. ad rupes humidas inter pagos Bischerre et Eden in superiore monte Libano. 18. Succinea Ægrptiaca. — Prope Damiettam. 19. Planorbis Alexandrinus. — Ynter Alexandrinam et Rosettam Ægypti, in limo habitat. 20. Planorbis cornu. — Prope Damiettam ac Fareskur et Rosettam Ægypti. 21. Planorbis eques. — Prope Damiettam Ægypti. 22. Isidora Hemprichii, — Ad Bulak et inter Alexandrinam et Rosettam. 23. 1sidora Brocchii. — Prope Berytum Syriæ et prope Cahiram Ægypti, in lacubus. 24. Isidora Forskali. — Prope Damiettam Ægypti. 25. Amplipeplea glutinosa Syrraca.— Prope Berytum Syriæ. 26. Limnæeus Pharaonum. — Ad plantas aquaticas prope Damiettam Ægypti. Parmi ces espèces, dix-huit seulement sont présentées comme nouvelles. Roth, dans ses Holluscorum species, a constaté les coquilles suivantes : Helix lucorum. — Chalcedone, Magnesiæ ad Sypilum, Smyrnæ. Helix ligata. — Magnesiæ ad Sypilum. Helix adspersa. — In hortis Byzanti. Helix naticoides. — Syra, Rhodo, Syme, Ænussæ. Helix desertorum. — In locis desertis Ægypti, Lybiæ, Arabiæ Petræ, Judææ. Helix Ehrenbergii. — Prope lacum Mareotidem. Helix vermiculata. — 1n Ægypto. Helix spiriplana. — Ynsulam Rhodum, montes Idumæos {montem Hor, Petræ me- tropoli imminentem) agrum Hierosolymitanum habitat. Helix Ferussaci. — 1n Peloponeso. 10. Helix phaleraia. — Xn Peloponeso 41. Helix Pisana. — Byzantii in hortis. 12. Helix variabilis. — Byzantii, Smyrnæ, Magnesiæ in hortis. 43. Helix striata. — Yn omnibus maris Mediterranei, imprimis Archipelagi litto— ribus. 14. Helix neglecta. — Byzantii in hortis. 45. Helix conspurcala. — Ynsula Syra, aliaque Græciæ littora. 16. Æelix Olivieri. — In insula Syra. 17. Helic carthusianella. — Mabitat Cacamo Cariæ, deserto portu prope Myram. 18. Helix peltita. — {n insulis Rhodo et Syra. 19. Helix pyramidata. — Byzantii, Smyrnæ; per totam Græciam. 20. Helir hydatina. — Smyrnæ. 21. Helixr barbata. — 1n Græcia. 99. Helix lenticula. — Cairi locis humidis. 23. Helix Schuberti. — In sepulcris necropoleos dictæ « Cacamo ». 2h. Helix Erdelii. — In insula Rhodo. 25. Helix granulata. — Cacamo Cariæ. 26. Helix gyria. — Cacamo Cariæ. 27. Helix Smyrninsis. — Smyrnæ, Sardi, in insula Syme . 28. Helix carica. — Cacamo Cariæ. 29. Bulimus decollatus. — Multis locis Asiæ Minoris, Græciæ et insularum Archi- pelagi. 30. Bulimus acutus. — In hortis Byzantii, Smyrnæ. 31. Bulimus pupa. — Smyrnæ, in insula Rhodo. 32. Bulimus fasciolatus. — Urbis Rhodi sepulcretum innumera multitudine occupat. 33. Pupa avena. — In Græcia. 34. Pupa doliolum. — Smyrnæ, in Græcia. 35. Pupa zebra. — In Peloponeso. 36. Pupa Bergeri. — In Peloponeso. 37. Pupa septemdentata. — {n insula quadam parva Ænussarum ; inter Chium et Melænam promontorium, et, in Syriæ vico quodam, dicto « Sasa » prope Da— mascum. 38. Pupa Rhodir. — 1n insula Rhodo. 89. Pupa umbilicus. — Yn insula Syra. 40. Clausilia bidens. — Smyrnæ. M. Clausilia sémilis. — In muris Byzantii. 42. Clausilia plicata. — Xn rupibus Smyrnæ. 43. Clausilia sulcosa. — In muris Smyrnæ. poil 44. Clausilia munda. — Yn muris Smyrnæ, urbis Rhodi. 45. Clausilia Cretensis. — In insula Syra. 46. Clausilia Olivieri. — In parietinis Ephesinis; in insula Rhodo. AT. Clausilia Anatolica. — In sepulcretis Cacamo. 48. Clausilia grisea. — Yn Peloponeso. 49. Cyclostoma elegans. — In Asia Minore, in insulis Græciæ. 50. Planorbis Ælexandrinus. — In Nili brachio Canopico. 51. Planorbis heliciformis. — An rivulo Gaulonitidis prope Canneytram. 52. Isidora Brochii. — In Nili brachio Canopico. 53. Melanopsis lœævigata. — \n Peloponeso ; in fluvio Mele Smyrnæ ; in fonte Cal- lirrhoë Athenarum. 54. Melanopsis Ferussaci. — Smyrnæ. 05. Melanopsis W'agneri. — Smyrnæ. 56. Melanopsis costata. — 1n flumine Jordano ; in mari Galilæo. 57. Paludina bulimoides. — Yn Nil brachio Canopico. 58. Ampullaria ovata. — In Nilo et canali Mahmudia. 59. Ampullaria Boltentana. — In Nilo. 60. Verilina stragulata. — In Peloponeso. G1. MNeritina Jordani. — 1n Jordano et mari Gahlæo. Parmi ces mollusques, seize espèces seulement s'y trouvent décrites comme nouvelles. Mais, en réalité, il n’y en à que douze qui méritent cette qualifi- cation. Enfin, dans le Zeitschrift fur Malakologie, vingt-quatre coquilles sont men- tionnées comme provenant de ces régions orientales. Sur les huit espèces qui y sont indiquées en tant qu'inédites, il n’y en a que cinq qui le soient vérita- blement. : Voici la liste de ces vingt-quatre Mollusques. 1. Helix cremnophila. — Environs de Gaza, mont Sinaï. 2. Helix rhytipora. — Environs du Kaire. 3. Helix oxygyra. — Nabr-el-Kelb, pres de Beyrouth. h. Helix Saba. — Coteaux entre Jérusalem et la mer Morte. 5. Helix Borssieri. — Environs de la mer Morte. 6. Helix candidissima. — L'Égy pte, l'Arabie et la Palestine. 7. Helix cariosa. — Mont Carmel, Beyrouth. 8. Helix desertorum. — Sud de la Palestine, Égypte. 9. Helix guttata. — Palestine. xXUI 10. Helix spiriplana. — Palestine. 11. Helix cinctu. — Jérusalem. 12. /elix ligata. — Jérusalem. 13. Bulimus ventricosus. — Égypte. 14. Bulimus fasciolatus. — Syrie, entre Latakieh et Tripoli. 15. Bulimus Sidoniensis. — Beyrouth. 16. Bulimus Jordarni. — Banias. 17. Bulimus septemdentatus. -- Beyrouth. 18. Claustlia Boissieri. — Beyrouth. 19. Clausilia bigrbbosa. — Karaman. 20. Clausilia mœsta. — Beyrouth. 21. Clausilia strangulata. — Beyrouth. 22. Cyclostoma Olivieri. — Beyrouth. 23. Melania virgulata. — Mer de Tibériade. 24. Melanopsis costata. — Mer de Tibériade. A côté de ces résultats malacologiques donnés par les expéditions antérieures, placons, maintenant, ceux qu'a obtenus M. de Saulcy. L'honorable savant présente cent trente*huit espèces, parmi lesquelles trente-huit sont par nous réputées inédites", C’est la, 11 faut l'avouer, un résultat magnifique, et supérieur non-seulement comme chiffre, mais surtout comme importance à raison du grand nombre d'espèces nouvelles. ILest la preuve la plus évidente de la vigilance et de l'activité que l’habile et savant voyageur a apportées à tous les détails scientifiques de son exploration. Pour nous qui maintenant avons à mettre en lumière ces découvertes mala- cologiques, nous avons voulu, autant que possible, suivre cet exemple; nous | nous sonimes efforcé d'apporter dans la classification et la description de toutes ces coquilles, un soin aussi consciencieux que celui qui a présidé à leur recherche, Or, voici, en peu de mots, comment nous avons compris le travail que nous présentons aujourd'hui. Nous nous sommes constamment fondé sur le principe d’antériorité pour établir les noms des familles, des genres, des espèces; partout nous avons adopté le nom le plus ancien. 4. Les Unio d'Olivier que nous avons décrits et fait représenter dans cet ouvrage, ne sont pas compris dans ce nombre, XIV Mais si nous avons repoussé impitoyablement toutes les dénominations postérieures, nous les avons du moins notées en synonymie, Nous avons tenu d’ailleurs à ce que cette synonymie fût d’une extrême exactitude, et pour qu'il en soit ainsi, nous nous sommes reporté, toujours autant que possible, à Pau- ; [l ; J ( > teur original, n’osant nous fier aux renvois qui y ont été faits par d’autres Q A PT, A . . A auteurs auxquels il eût été peut-être plus com mode mais moins sûr de les emprunter. Parmi les ouvrages cités, il en est cependant quelques-uns, mais en très- petit nombre, qu'il nous a été impossible de nous procurer, Dans ce cas, nous avons toujours noté l’auteur duquel nous tirons notre citation. A ce propos, qu'il nous soit permis, en terminant, d'exprimer notre vive reconnaissance aux illustres savants qui ont bien voulu nous prêter le secours de leurs bibliothèques, et Fappui de leurs conseils. MM, Deshayes, Ale. d’Or- bigny, Morelet et de Charpentier méritent tous nos remerciements pour ‘extrême bienveillance dont ils s € & le témoi 2, l'extrême bienveillance dont ils nous ont donné le témoignage J.-R. BOURGUIGNAT. Paris, le 4e décembre 1853. e LISTE DES AUTEURS CITÉS DANS CET OUVRAGE. ALDER. Catalogue of the land and fresh-water mollusca found in the vicinity of Newcastle-upon-Tyne, with remarks, by Joshua Alder. in-4. (Extract from the Transactions of the nat, hist. soc. of Northumberland ), Newcastle-upon-Tyme. 1830. — Supplement to a catalogue ofthe land and fresh-water testaceous mol- lusca found in the vicinity of Newcastle-upon-Tyne, by Joshua Alder. in-4.(Extract from the Transactions of the nat. hist, soc. of Northumberland), Newcastle-upon-Tyne. 1857. — Noteson the land and fresh-water mollusca of Great Britain, with a revised list of species. in : Magaz. zool. and botany, vol. Il, p. 101, aug. 1837. ALTEN. Systematische Abhandlung über die Erd und Flussconchylien um Augshurg, von J. W. U. Alten, in-8, mit 14 Kupfertafeln. Augsburg. 1812. ANDRZEJOWSKI, in : Bulletin de la société des naturalistes de Moscou, tom. VI, 1833. ANTON. Verzeichniss der Conchylien, welche sich in der Sammlung von Hermann Eduard Anton befinden. 1 vol. in-4, Halle. 1839. ARADAS et MAGGIORE. Catalogo ragionato delle conchiglie viventi e fossili di Sicilia. Mem. [. 1839. AUDOUIN. In : Description de l'Égypte, vol. 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Ces animaux se trouvent pourtant répandus dans toutes les parties du monde, ainsi que le prouvent les découvertes des voyageurs et des naturalistes; cependant c’est à peine si dans certaines régions, comme la Syrie par exemple, un ou deux de ces Mollusques ont été constatés. L'oubli dans lequel nous trouvons plongée cette partie de la science est facile à concevoir. Ces animaux, d'une apparence rien moins que gracieuse, sont généralement recueillis avec dégoût. Il faut aux voyageurs des précautions, des soins plus grands pour les transporter et les conserver. Enfin, à ces Mollusques sordides et dénudés, on préfère leurs congénères recouverts d’une coquille à la forme élégante et aux couleurs variées. Forskal, le premier, a appliqué à quelques espèces de ces contrées, la désignation de Limax, sous les noms spécifiques de mnarinus,—-tergipes, et mininus". Mais hâtons- nous de dire que ces dénominations sont erronées, et qu'elles ne conviennent nullement à ces animaux, qui sont des Mollusques marins. En 1804, Cuvier ? fit connaître un Mollusque nu, découvert par Olivier dans les plaines de la Mésopotamie. Cet illustre savant, en créant pour cette espèce son genre Parmacella, attribua à cet animal le nom de son inventeur, sous la désignation de Parmacella Olivier. 4. Descript. anim. etc., p. 99 et 100. — PI. xxvi, fig. G, 1,2. —E,1,2,et H, 1, 2.1775. 2. In: Annales du Muséum, etc., t. V, p. 435, pl. xxix, fig. 42-15. oi En 1828, Ehrenberg, dans ses Symbolæ physicæ, publia également une nouvelle parmacelle, sous la désignation d’#/exandrina, nom d’une ville d'Égypte, autour de laquelle ce Mollusque habite. En même temps, il constata l'existence de deux limaces, l’une des environs de Damiette, l’autre des environs de Beyrouth, en Syrie. Il rapporta la première à la Limax agrestis de Férussac; la seconde, à la Limax variegalus du même auteur. Quoique Ehrenberg n'ait point donné de figures représentant cette derniere espèce, il nous semble, d'après sa description, que le rapprochement qu'il a fait de ce Mol- lusque à la Limax variegatus de Férussac, constitue évidemment une erreur. Voici, en effet, de quelle manière cet auteur a traduit dans les Syrbolæ physicæ ses observations faites sur les lieux mêmes, et relatées dans son journal de voyage. « L. supra brunneus aut rufescens, obscurius reticulatus, fascia dorsali rufa media, tentaculis cærulescentibus, subtus pallide fuscescente albus. « Expansus tripollicaris, contractus pollicem æquans. Dorsum convexum postica attenuatur et Juxta finem subcarinatum acutum evadit. Scutum dorsale menbranaceum, concha inclusa nulla, 10 lineas fere longum subtilissime transverse rugulosum. Dorsum et abdominis latera lineis impressis reticulata. Pes planus lævis albidus, tentacula supe- riora oculos apice gerentia longiora sunt et subcapitata, inferiora breviora subeylin- drica. Dum repit oculorum pedicellos autrorsus extendit. Contractum animal scuto dorsali caput obtegit. 4pertura pulmonalis ad scuti dorsalis marginem Dextrum (pos- dicumm) sita est. » Donnons en regard, les caracteres de la véritable Limax variegatus. C'est un animal d’une couleur variable, ordinairement d'un jaune verdâtre où d’un gris jaunâtre; il offre en dessus une série de taches noirâtres plus foncées, qui forment par leur disposition une espèce de réseau; entre ses deux tentacules supérieurs il existe un sillon assez prononcé; enfin, l'extrémité postérieure de son corps n’est jamais carénée. Sous le manteau de cette limace, se trouve un rudiment calcaire que Brard ', en 1815, a caractérisé ainsi sous le nom de Limacella unguiculus. « Cette Limacelle, qui appartient à la limace blonde des caves, est d’un tiers plus petite que la précédente ?, ses couches d’accroissement sont peu prononcées, elle est blanche, nacrée, peu convexe en dessus, presque plate en dessous, elle présente à son sommet deux espèces d'apophyses qui lui servent de points d'attache avec les téguments. » Notons maintenant les différences ; l'une importante, l’autre décisive, en ce qu'elles font voir l'erreur d'Ehrenberg. La véritable variegatus n'a point le corps caréné à sa partie postérieure; en revan- che, il contient, nous venons de le voir, une Limacelle. L'animal décrit dans les Symbole physicæ est non-seulement caréné postérieurement, mais, surtout, il n'offre aucune Limacelle : concha inclusa nulla, a dit ce naturaliste. 1. Aist. des coq., etc., p. 445, pl. 1v, fig. 3, #4, et 14, 42. 2. Limacella parma, Brard, Hist. des cog., etc., p. 410, pl. 1v. fig. 4, 2,et 9, 40. 1815. — Cette Limacelle appartient à la Limax maximus. (Linn., Faun. suec., première édition. ) : no — L'absence de ce dernier caractère devrait donc immédiatement faire séparer ce Mol- lusque des Zimax pour le rapprocher des Æ{rions, lesquels, d'apres de Férussac, créateur de ce genre, ne contiennent postérieurement qu'«une couche de particules calcaires, cristailiformes, blanches et pulvérulentes, parmi lesquelles on trouve souvent quelques graviers plus gros. » Alors, nous tombons dans un nouvel embarras ; car la description de cet auteur renferme également cette autre phrase : « 4pertura pulmonalis ad scuti dorsalis mar- ginem Dextrum (posticum) sita est. » Or, c’est là un caractère qui ne convient qu'à une Limace, et nullement à un Arion ; les animaux de ce genre ayant l’orifice pulmonaire situé sous la cuirasse, à la partie antérieure du bord droit. Il faut donc, avant de classer cet animal, attendre de nouvelles recherches et des descriptions plus précises. Cependant, on pourrait supposer avec raison que la Limacelle fait moins défaut chez ce Mollusque qu'Ehrenberg veut bien le dire; seulement elle est sans doute assez mince et transparente pour avoir échappé à ses regards. Dans cette hypothèse, ce serait donc là, en effet, une Limace, mais non la vartegalus, dont la Limacelle est toujours grande et tres-épaisse ; il faudrait alors lui donner une autre dénomination. Dans ce but, pour rappeler le nom de son inventeur, nous proposons de la désigner ainsi : Limax Ehrenbersir. . A cette Limace, que nous venons de dédier au savant Ehrenberg, se termine le résumé que nous avions à faire des divers travaux publiés jusqu’à ce jour sur les Mol- lusques nus des régions orientales. Il existe bien encore dans les galeries du Muséum de Paris, quelques espèces de cette section, qui sont encore inédites. Nous eussions été heureux de les étudier et de les faire connaître en même temps que celles de M. de Saulcy; mais on ne nous a pas per- mis de les examiner. Ces Limaces proviennent de la collection du baron de Férussac, auquel lillustre voyageur Olivier les avait données. Voici comment elles ont été étiquetées par leur collecteur : 1° Limax antiquorum, recueillie dans l'ile de Chypre, et aux environs de Sayda, en Syrie. s° Limax variegatus, recueillie aux environs de Tripoli, en Syrie, ainsi que dans l'ile de Chypre. Cependant, si nous en croyons les quelques coups d'œil qu’il nous a été possible de jeter à distance sur ces animaux, il nous a paru que ce n'était point là les véritables espèces européennes, connues sous les noms d’antiquorum" et de variegatus. Nous relatons donc ici ces étiquettes comme simples documents. Nous arrivons maintenant aux espèces rapportées par M. de Sauley ; elles sont au nombre de trois. 4. Limaax cinereus. (Linn. Fauna suec., première édition. ) GEvwre LIMAX. LIMAX PHENICIACUS. Limax paenicraca !. Bourg. Test. Nov., etc., p. 9, n° 4. 1852. L. corpore mediocri, postice brevi carinato, albidulo vel luteolo; abdomine, maculis nigris irregulariter variegato; subtus albidulo vel luteolo ; dorsali albidula linea, dorso et abdominis lateralibus argute lineis impressis reticulatis; clypeo rotundato, levi, non striato, fere omnino nigrescente. Limacella oblongo-rotundata, parum convexa, candida, supra argute concentriceque striatula; ad anteriorem extremitatem dextram apice sita; subtus omnino apophysi crassa, productaque. Cette nouvelle limace, d’une taille ordinaire, est blanchâtre ou jaunâtre, tachetée sur le dos et sur les flancs d’une foule de linéoles noirâtres qui s’anastomosent entre elles ; ces taches diminuent et finissent par disparaitre en s’'approchant du pied, qui est d’un blanc jaunâtre. Son corps est terminé en pointe et caréné vers sa partie postérieure ; cette carène ne se prolonge pas sur le dos, mais elle se trouve remplacée par une linéole blanchâtre qui se poursuit jusqu'au manteau. Celui-ci est arrondi, mince, presque entierement noir, et n’offre point une surface sillonnée de stries concentriques. Le rudiment calcaire contenu dans le manteau de cet animal est oblong, arrondi, nacré, un peu convexe en dessus, et présente des stries concentriques d'une extrême délicatesse. Le sommet où viennent aboutir ces stries est déjeté à l'extrémité droite antérieure de cette limacelle, tandis que précisément au-dessous se trouve sur toute la longueur du bord antérieur un renflement cristallin épais, qui constitue ce que nous appelons l'apophyse des Limacelles. Longueur de l’animal .............., SOON UN 0 YO UD ON Le 00 millim Longueur de la Limacelle.............. SO TO D IPOT OU E D O0 ec AUI2 0 Largeur moon on nan so Tone SAC PAROI NÉE: id. La Linax Pheniciacus a été recueillie dans les environs de Beyrouth, en Syrie. Ce Mollusque se rapproche un peu par l’ensemble de ses formes et de sa couleur, des deux espèces françaises connues sous les noms de Zünax agrestis et sylvaticus. 1° On la distinguera de la Lénax agrestis?, à sa taille plus considérable, à son corps moins rugueux, plus maculé de taches noires, à sa limacelle qui est toute différente de celle de l’agreste, comme on peut s’en convaincre en se reportant à la description et à la figure qu'en a données Brard , dans son traité des coquilles de Paris 5. La mâchoire de notre Limax Pheniciacus diffère essentiellement de celle de l'agrestis. Notre espèce, en effet, possède une màchoire d’une extrême petitesse 4 proportion- . Erroris typhog. causa. . Linn., Syst. nat. (Fér., Hist. moll., p. 73, n°3, pl. v, fig. 7-10). Limacella obliqua. Brard, Hist.des coq., etc., p. 448, no 3, pl. 1v, fig. 5-6 et 43-45. 4815. . Demi-millim. de longueur sur un quart de largeur. à À 19 — Ni — nellement à sa taille; cette pièce nécessaire à la mastication, est blanchâtre, nacrée, et offre à sa surface supérieure une singulière dépression longitudinale. — Dépression que l’on ne remarque jamais sur celle de l’'agrestis. 2° La Limax sylvaticus * se distinguera toujours de notre espèce syrienne, par son manteau d’un violet rougeñtre, bossu à sa partie postérieure, et sillonné de stries concentriques, par ses deux linéoles brunes qui partent de la base des grands tenta- cules, et qui se poursuivent jusqu'au manteau, par son corps plus rugueux, par le bord de son pied plus étroit, et presque toujours marqué d’une large bande rousse. La mâchoire et la limacelle de la Siaticus sont trop distinctes de celles de notre limace, pour qu'il soit même nécessaire d’en donner les différences. LIMAX BERYTENSIS. Limax Beryrensis. Bourg. Test. Nov., etc., p.10, n° 2. 1852. L. Corpore gracili, postice obtuso, subcarinatoque ; dorso et abdominis lateralibus nigerrimis, subtus fusco-albidulo ; corpore rugoso; clypeo aterrimo , ovato-rotundato, gibboso , in parte corporis media sito ; sub ope lentis clypeum argute granulosum con- spicitur. Limacella tenui, candidissima, irregulariter oblonga, subcomplanata, non striata, subtus apophysi alta, in anteriore parte sita. Cette Limace est petite, grêle, obtuse à sa partie postérieure, et obscurément caré- née. Son dos et ses flancs présentent une couleur noirätre uniforme , qui s’efface, et finit par s'évanouir vers les bords du pied; celui-ci est d’un gris blanchâtre. Son corps, marqué de sillons assez prononcés parait rugueux. Son manteau, d’un noir très- foncé, est oval, bossu, et placé à la partie moyenne de l'animal. Le rudiment calcaire du manteau est fragile, nacré, oblong, presque aplati, et ne pré- sente en dessus aucunes stries concentriques ; en dessous, son test est raboteux, et offre à sa partie antérieure une petite apophyse assez marquée. Longueur de l’animal........... soneeoshieecse es ebeenee .. 28 millim. Longueur de la Limacelle.. .... do tC HORS où rte JDO PDO 4 Id. Largeur. .... DDR een ele cie eoleleleieleic (sise else ele oisiole ee DODOUDE 3 Id Cette espèce habite, avec la précédente, les environs de Beyrouth. GEvre T'ESTACELLA. TESTACELLA SAULCYI. TesrAcELLA SAuLoyI. Bourg. Test. Nov , etc., p. 10, n° 1. 4852. À. corpore gracili, dorso et abdominis lateralibus omnino nigrescentibus; subtus albi- dulo; corpore rugoso, sulcis dorsalibus 4 longitudinalibus. 4. Drap., Hist. d. Moll., p. 126, pl. 1x, f. 41. 4805. pre l'esta postice corporis sita, ovata, tenui, vitrea, succinea; sub lente supra argutis- simæ incrementi striæ conspiciuntur ; anfractibus duobus ; apertura apertissima. Animal grêle, entièrement noir en dessus et blanchätre en dessous; son corps est rugueux, et marqué sur le dos de quatre sillons longitudinaux qui se prolongent jusqu'à la tête. La Testacelle est petite, fragile, brillante, et diaphane; placée sous le foyer d'une len- tille, ses stries d’accroissement apparaissent à peine. Elle possède deux tours de spire, dont le dernier forme la presque totalité de cette coquille. Longueur de l’animal contracté dans l’alcoo!l.................... 13 millim. Éongueurdenlannestacelleenss-sces-cereecren--rnerree 5 Id. Laryeur Id sheet sonate entente 3 Id. Cette nouvelle espece de Testacelle a été rencontrée par M. de Saulcy, aux environs de Beyrouth, en Syrie. La Testacella Saulcyt est le premier Mollusque de ce genre constaté dans ces contrées oriento-méditerranéennes. II. — COLIMACEA. GEvrEe SUCCINEA. SUCCINEA' PFEIFFERI. Hezix puTRIS "...... (Cochlohydra), var. x. Férussac, Hist. Moll., t. TL, fig. 43. 481. TapaDA SUCGINEA.... Studer, System. verz., etc., p. 41. 1820. (Teste Férussac). SUGGiINEA amPuiBia?. Var. 8. Nilsson, Hist. Moll., etc., p. 41. 1822. AMPHIBULINA PUTRIS. Var. /ulra, et var. elongata, Hartm., àn Sturm, Deutschlands fauna, vi, 8, tab. vi, vi. 1823. SUCCINEA CALYGINA.. Menke, Syn. éd. 11, p. 44. 1830. — OgLoxGaA *. Turton, Man. of the land, etc., fig. 74. 4834. — Preirrert. Rossm., Zconogr., 1, p. 92, fig. 46. 1835. — LevanTiNa. Desh., Ho/l., etc. Morée, etc., p. 170, n° 265, pl. xx, f. 25, 26 et 27. 4836. — GRaGiLIS*.. Alder, in : Mag. of z00!. and Botany, 1, p.106. 4837 5. Cette Ambrette à été recueillie par M. de Saulcy dans la chaine du Liban. Les échantillons de cette espèce que nous avons examinés sont parfaitement iden- tiques à ceux que nous possédons de France et d'Allemagne. 1. Non Helix putris, Linn., Syst. nat, 64. x, p. 774, qui est une espèce différente du genre Succinea; — nec, Helix putris (cochlohydra), d'Orbigny, Syn., p. 2, qui est la Succinea æquinoctialis, d'Orbig., Foy. p.231; — nec, Helix putris, var. E. de Férussac, Hist., t. Il, A, f. 10, qui est la Succinea tahilensis, de Pfeiffer, in : Proc. 300!. Soc. 1846, p. 109. 2. Non, Succinea amphibia, de Drap., Tabl. des Moll., p.55, n° 4, quiest la Succinea putris (Helix) de Linn., Syst. nat., éd. x, p. 774. — Nec, Succinea amphibia, d'Audouin. — Savig., Descr. de l'Égypte, Moll., t. I, f. 24, qui est la Succinea Ægypliaca, d'Ehrenberg, Symb. physicæ. 3. Non, Succinea oblonga, de Drap., Tabl. des Moll., pb. 56, n° 2, qui est une espèce différente. 4. Non, Succinea gracilis, de Lea, in : Proceed. Amer., phil. soc. 18H, p. 31, qui est une espèce différente. 5. Il faut, d'après Pfeiffer (Monogr. Hel. viv. suppl., p. 8. 1853) rapporter encore à la Succinea Pfeifferi, comme synonymes, les noms des Succinea inlermedia, de Bean, et Mediolanensis, de Villa. GEvRE ZONITES, *X XX + ZONITES VERTICILLUS. Heuix vERTIGILLUS. . (Helicella). Fér., Tabl. syst., p. 40, n° 202. 1824. — LAPipicoLA.... Mühlf, } — OCULUS cAPri'. Hartm. | ÆGoris VERTIGILLUS. Fitzing. Syst. verz., p. 99. 1837. ZoniTEs Id..... Beck, Znd. Moll., p. 8. 1837. TraGomma Id..... Held, in Zsis., p. 916.837. HELIX ALGIRA ?...... Brumati, Cat. sist., p. 31. 1838. Teste Rossm., in : L. Pfeiff., Mon. Hel. viv., t. Ie, p. 127. 1847, Ce Zonite, rencontré Jusqu'à ce jour dans les provinces autrichiennes : la Styrie, la Dalmatie, etc., a été recueilli par M. de Sauley, çà et là dans le Péloponèse, ainsi que dans les îles de Corfou et de Rhodes. ZONITES PROTENSUS. Heëuix PROTENSA (Æelicella), Fér., Tabl, syst., p. 40, n° 207. 4821. — Id.... L. Pfeiffer, in : Chemn., éd, 2. — Helix, n° 506, t. LXXXII, f. 4-6. Cette espece qu'Olivier, le premier, a rapportée de Standié, en Syrie, a été recueillie par M. de Saulcy, dans deux localités différentes : d’abord, dans l’île de Rhodes, ensuite dans les environs de Naplouse, en Syrie. ZONITES SANCTUS. Hezix saNcTA. Bourg., Test. nov., etc., p.45, n° 7. 1852. Testa umbilicata, depressa, nitida, subpellucida, cornea, vix subtus sublactescente, levissima , ad suturam elegantissime radiato-striatula; spira subplanata; anfractibus 6 1/2 convexiusculis, regulariter crescentibus ; ultimo anfractu magno, rotundato, antice non deflexo ; sutura impressa; umbilico mediocri; apertura rotundato-lunari; peri- stomate simplice, acuto, non reflexo ; marginibus ultimo anfractu valde separatis. Cette coquille est déprimée, brillante, pellucide, presque totalement lisse, sauf vers la suture, où elle est striée avec la plus grande délicatesse; son test, d'une couleur cornée en dessus, offre en dessous une légère teinte d’un blanc de lait bleuâtre. 1. Non, Helix oculus capri, Linn., Syst. nat., éd. x, n° 573, p. 768. — Nec, Helix oculus capri, Müll., Ferm. Hist., 11, p. 39, n° 239, qui est le Zonites algirus, de Denys de Montfort. 4810. 2. Non, Helix algira, Linn., Syst. nat., éd. x, p. 769, qui est le Zonites algirus, de Denys de Montfort. — Nec, Helix algira, Dillw., Cat. 11, p. 892 (ex parte), qui est le Zonites Olivetorum (Helix), de Gmelin, Syst. nat., p. 3639, n° 170. so Ses six tours et demi de spire un peu convexe en dessus, s’accroissent avec la plus grande régularité ; malgré tout, le dernier est grand et arrondi. Sa suture est bien marquée et son ombilic est assez étroit. Son ouverture arrondie, est fortement échancrée par Pavant-dernier tour; enfin, son péristome est droit, aigu, et ne se réfléchit point vers l'ombilic. HAUTEUR Se See se ses ceenr cum aeenedemeecesetieees .. 61/2 millim. Diamètre: ......... els tie site si scadeeceel .. AD Id. Cette nouvelle espèce provient des environs de Jérusalem. Ce Zonite appartient à un groupe nombreux de Mollusques, qui par leur test brillant et fragile, leur couleur cornée, leur spire déprimée, ete..., se rapprochent assez les uns des autres. Parmi les espèces les plus voisines du Zonites sanctus, nous devons citer les Zonites Fuscosus*, Cellarius?, Lucidus3, Nitensi, Protensus, etc. On distinguera le Sanctus : 1° du Æuscosus, à son test plus déprimé, plus lisse, et non strié, à sa spire plus aplatie, enfin, à ses tours de spire plus nombreux. 2° Du Cellarius, à sa taille plus considérable, à sa couleur plus foncée, à ses tours de spire plus convexes, enfin, à son dernier tour qui est moins déprimé. 3° Du Lucidus, à sa coquille d’une couleur plus cornée, moins blanchâtre en dessous, à son dernier tour de spire moins comprimé inférieurement aux abords de l’ombilie, à son ouverture plus arrondie. 4° Du Witens, à sa taille plus considérable, à son test moins coloré en dessous, mais surtout à son dernier tour moins dilaté, et ne s’abaissant point vers l'ouverture. 5° Enfin, le Zonites sanctus diffère totalement du Zonites protensus, par ses tours de spire qui s accroissent régulièrement, par son ouverture plus arrondie, moins sublu- naire que celle du Protensus, etc. | ZONITES NITELINUS. HeLiX NITELINA.... Bourg., Test. Nov., etc., p. 46, n° 8. 1852. ZoniTEs Nireinus. Bourg., Descript. de quelques cog., etc., in : Journ. de conch., n° 4. 1853, p. 72, pl. ur, fig. 5 (pessima ). Testa umbilicata, superne subcomplanata, subtus rotundato-globosa, diaphana, tenera, parum nitida, supra nitelina, elegantissime arguteque decussata, infra sublactescente ; anfractibus 4 celeriter accrescentibus, superne subconvexiusculis, subtus globosis ac rotundatis ; ultimo magno, subangulato; sutura impressa ; apertura oblique angulato- rotundata; peristomate acuto ac simplice. Coquille ombiliquée, aplatie en dessus, ventrue inférieurement, fragile, un peu bril- lante, recouverte en dessus d’un épiderme fauve, passant en dessous à une teinte d’un blanc de lait; quatre tours de spire striés transversalement et longitudinalement, ce qui . Helix fuscosa, Ziégler, in Rossm., Zcon., vit, p. 35, f. 523. . Helèr cellaria, Müller, Ferm. Hist. 11, p.28, no 230. . Helix lucida, Drap., Tabl. Moll., p. 96, n° 46. 4801. . Helix nitens, Mich., Compl., p. 44, t. XV, f.4-3. DE — 1) donne à la coquille une apparence treillissée. La partie inférieure du test n'offre qu'une surface presque lisse et polie; les tours de spire s’accroissent rapidement, de telle sorte que le dernier est deux fois plus grand que l’avant-dernier, et ainsi de suite; le dernier tour présente à sa partie supérieure une carène assez prononcée, caractère qui donne à l'ouverture une forme ovale anguleuse ; le péristome est simple et aigu. Hauteur eee --EcEccce docooncbo0betoubuo ss ems eleraiee 3 1/2 millim, Diametres""t-cehetetcccccetee AOUD TAC TES 9à104/2 Id. Ce Zonite habite l'ile de Rhodes, où on le trouve dans les fentes des murailles, et notamment sur les murs d’un temple anciennement consacré à l’apôtre saint Jean. M. de Saulcy a encore récolté cette espèce dans les environs de Naplouse et de Jéru- salem. L’aplatissement supérieur et la convexité inférieure de cette coquille, sa carène, et surtout son test treillissé en dessus, et d’une apparence granuleuse, feront toujours dis- tinguer le Zonites nitelinus, de toutes les autres espèces de son groupe. ZONITES CAMELINUS. Hegcix CAMELINA. Bourg., Test. nov., etc., p. 14, n° 5 1852. Testa anguste umbilicata, lenticulari, depressa, arctispira, pellucida, nitida, cornea, elegantissimeque striata, præsertim ad suturam ; anfractibus 6 convexis, lente accrescen- tibus; ultimo rotundato; sutura impressa; apertura oblique lunari; peristomate recto, acuto, simpliceque ; margine columellari non dilatato. Ce Zonite, de forme déprimée, un peu convexe en dessus, est étroitement ombiliqué; son test brillant, transparent, d’une couleur cornée, est strié avec une extrême élégance, surtout vers la suture. Cette espèce possède six tours de spire qui s’accroissent avec beaucoup de régularité, et sur le dernier il n'existe aucune apparence de carène. L'ouverture est oblique et échancrée par l’avant-dernier tour, ce qui lui donne l’as- pect d’un croissant. Son péristome est simple, droit, aigu, et son bord columellaire n’est nullement dilaté vers la perforation ombilicale. HaUtEUReG ect Rienet selelelersre Diamètre ODA OT DS CLS ODO D 5 millim. Miss nanniieniclalele so oenielelte trees ss AIO IA Ce Zonite a été recueilli en Syrie dans deux localités différentes : aux environs de Naplouse et de Baalbech. On ne peut rapprocher notre espèce que du Zonites Friwaldskyanus *. Mais on la distinguera toujours de cette dernière, à son ombilie bien plus étroit, et qui ne laisse point apercevoir ses tours de spire; à son dernier tour parfaitement arrondi et non sub- caréné, comme dans le Ærévaldskyanus ; enfin, le Zonites camelinus possède six tours 4. Helix Früvaldskana, Rossmässler, Zcon. 1x, p. 3, f. 691. — ( Helix convexa (Helicella), de Férussac, Tabl. syst., n° 209. 4821. — (Non, Helix convera, de Rafinesque, et Arad. et Magg.). 2 40 = de spire, une ouverture un peu plus large, et un test recouvert d'un épiderme d'une teinte cornée uniforme. ZONITES HYDATINUS. Heuix prapnana'. Mévgerle von Mülhf. (Teste Rossmässler. } — Idees Beck, /nd. Mo!l., p. 7. 1837. — HYDATINA?. Rossm., Zcon., vin, p. 36, f. 529. 1838. Cette petite espèce a été recueillie en Grèce, à Phygaliæ-Bassæ. — Elle parait rare. ZONITES CANDIDISSIMUS. HeLiIX CcANDipissiMA..,... Drap., Tabl. Moll., p.75, n° 42. 1801. HELICOGENA caNDipissima. Risso, Hit nat., t. IV, p. 6!, n° 431. 1826. Leucocuroa INEPASS Beck., Znd. Moll., p. 17. 1837. ZoNiTES caNpipissimus ... Moquin-Tandon, Obs. mach. Hél. In : Mém. acad. de Toulouse, 3° série, 4. 1848. p. 374. HEUIX HIEROCHUNTINA.... Boissier, Mss. (Teste, L. Pfeiffer, Mon. hel. viv. Suppl., p. 147, n° 780. 4853). Cette espèce est très-répandue dans toutes les contrées du littoral de la Méditer- ranée 5. M. de Sauley l’a recueillie en Syrie, aux environs de Jérusalem et de la mer Morte. ZONITES CARIOSUS. HELIX carlosa...... Olivier, Foy. d. l'emp. Ottom., t. 1, p.221, tab. 31, f. 4. 1804. — Id (Helicogena), Fér, Tabl. syst., p. 37, n° 149. 1821. CAROCOLLA CARIOSA_. Gray,in: 4nn. of philos New-series 1x, p. 412. 1825. LEucocnroa cariosa. Beck, Znd. moll., ete., p. 16. 1837. Ce Zonite, découvert pres de Beyrouth, par Olivier, rapporté depuis ce voyageur, des environs de Tripoli et de Latakieh, en Syrie, a été également recueilli par M. de Saulcy aux environs de Beyrouth, surtout au Nahr-el-Kelb, où il est tres-abondant. — Il se trouve aussi répandu çà et là dans toute la chaine du Liban. ZONITES FIMBRIATUS. HeLix FIMBRIATA *.. Bourg, Testé. Non., etc., p. 11, n° 2. 1852. Zonires FiMBriATUS. Bourg, Descript. de quelques cog., ete., in : Journ. de conch., n° 2. 1853, p. 69, pl. im, fig. 9 (mala). Testa imperforata, globosa, solida, cretacea, candidissima ; anfractibus 5 planiusculis, anguste fimbriato-carinatis; anfractu superiore levi; duobus medianis subcariosulis ; 4. Nôn, Helix diaphana, Lamarck, An s. vert. T3, p. 85, qui est une espèce différente de l'île de Ténérifle. — Nec, Helix diaphana, Kryn., Bull. mosc., VE, p. 436, qui est l'Helix diaphanella du même auteur, in : Bull. mosc. IX, p. 204. — Nec, Helix diaphana, Lea, Obs. 1, p.166, t. XIX, f. 65, qui est l’Helix bistrialis (Na- nina), Beck, /nd. moll., p. 2. — Nec, Helix diaphana (Carocolla). Villa, Disposit., p. 19. 2. Non, {ydatina, Dupuy, Hist. des Moll., > fasc., p. 240, tab. xt, f. 5. 1849, qui doit être une espèce dif- férente. 3. On possède même ce mollusque des îles Mariannes. (Fér., in : Voy. de Freyc., Zool., p. #68.) 4. Nous avons reconnu dans les collections du Muséum de Paris, une espèce identique à la nôtre, et portant éga- EU ultimoque rotundato, striatulo ac antice valde deflexo; carina ad aperturam demum evanescente; apertura parva, subrotundata; peristomate subpatulo, intus subincras- sato; margine columellari strictiusculo, dilatato, perforationem obtegente. Var. B. Testa minore, globoso-contracta; sutura valde impressa, tuberculato-erosa ; apertura rotundata ; peristomate magis incrassato. Cette coquille est imperforée, globuleuse, solide, crétacée et recouverte d’un épi- derme d’une teinte blanche uniforme ; ses cinq tours de spire, tantôt aplatis, tantôt un peu concaves, offrent une carène dont l’arète présente une suite de petits tubereules ou de stries plus où moins prononcées. Cette carene, arrivée sur le dernier tour, loin d'avoir des stries bien marquées, n'offre plus qu'une arète presque lisse et régulière, qui finit elle-même par disparaitre. L'ouverture de cette coquille est petite, contractée, presque arrondie; son péristome bordé intérieurement est ordinairement droit, si ce n'est vers la partie inférieure, où il se trouve un peu réfléchi. Hauteurie........ Re CL Un lion ae ele nere 44 millim. DIAMÉES sers sn suce ae on messes Sdeo sc AC DHNAUS Some . 16 Id: Var. B. Hauteur ...... Frs NS VI nt AT d SE Lo AO DO OS Je 2Ide Diamètre........ ertle. COUCOU Ce MED P 000 E bb Do Sssce 12 Id. Ce Zonite habite le littoral de la mer Morte, aux endroits exposés aux ardeurs du soleil. Ce Mollusque diffère du Zonites candidissimus, par sa carène denticulée , par le nombre de ses tours de spire, par sa suture, et surtout par la contraction de son ouverture, On le distinguera également du Zonites cariosulus', à son dernier tour qui est arrondi, quoique caréné, à sa carène qui disparait avant d'arriver au péristome, enfin, à la forme arrondie que présente son ouverture, caractère que l’on ne retrouve jamais chez le Zouites cariosulus. ZONÏITES PROPHETARUM. HELIX PROPHETARUM... Bourg, Test. Nov., etc., p. 12, n° 3. 1852. Zonires proPHEraRuM. Bourse, Descript. de quelques coqg., etc., in : Journ. de conchyl., n° 1, 1853, p. 70, pl. ur, f. 8. Testa imperforata, depressa, solida, cretacea, candidissima, striatula; anfractibus A 1/2 pianiuseulis vel convexiusculis; ultimo anfractu subrotundato, obscure carinato (carina ad aperturam evanescente), ac, antice deflexo; sutura impressa; apertura obliqua, ovato-sublunari; peristomate subreflexo , intus incrassato; margine colu- mellari dilatato, reflexo, lateque adpresso, perforationem obtegente; marginibus callo jJunctis. lement la même désignation spécifique, celle de Fimbriata. W\ résulte de ce renseignement, que cette coquille a dû être autrefois rapportée par Olivier, de ces mêmes contrées orientales. 4. Helix curiosula, Michaud, Moll., etc., 4lg., etc., in : Mém. de la Soc. d'hist. nat. de Strasbourg., etc., t. I, p. 5, t. I, f. 14-12. 1830. AO 2 Var. B. — Testa depressiore; ultimo anfractu obscure bicarinato, subtus pla- niusculo. Var. C. — Testa minus depressa; ultimo anfractu subrotundato, subtus convexiore ; marginibus callo crassiore junctis. Cette coquille est imperforée, déprimée, solide, crétacée, blanchätre et irrégulière- ment sillonnée de stries fines ; ses quatre tours et demi de spire sont un peu convexes, ou légérement aplatis; le dernier est arrondi où subcaréné, quelquefois même il pos- sede deux carènes obsoletes, la première est située sur le milieu du dernier tour, la seconde vers la partie inférieure, comme cela se fait remarquer dans la variété B; mais toujours ces carènes disparaissent avant d'arriver à l'ouverture, qui s’abaisse subite ment; celle-ci est oblique, contractée, et de forme sublunaire; le péristome épaissi intérieurement, se réfléchit un peu. Hauteur... EE DO MO SORA RASE . 9 millim. DIAMÉIRO à eh semestres tele OCTO oteiueciete A0 me ITdE Var. BMHauteur...:....:. Sert Ses caches ete és sre si eele le 7 Id. VaRiGs HALO Sen e SC M nd Re Le ARR re SAC DNS À 10 Id. Ce Zonite à été recueilli par M. de Saulcy sur les coteaux arides de Jérusalem, ainsi que sur ceux du littoral de la mer Morte, notamment à Belad-Haçaca, sur la rive occi- dentale, et à l'ouad Katsrabba, sur la plage orientale. Cette espece se distingue facilement du Zoites candidissimus, par son test déprimé, par son dernier tour de spire constamment caréné ou biciréné, par son ouverture obli- que, sublunaire, et non arrondie comme dans le Candidissimus. On séparera également le /’rophetarum de notre Fimbriatus, à sa coquille plus déprimée, à son ouverture moins arrondie, à sa carene obtuse et ne présentant pas d’arete composée d’une suite de petits tubercules; enfin, à la simplicité de sa structure. ZONITES BOISSIERI. Heuix BoissiEnt. Charp., Uebersicht, ete., in : Zeitschr. für Malak., ete., p. 133, n° 5, sept. 1847. _— Id.... L. Pfeiffer, in : Chemn. et Mart., éd. 1, Helix, n° 79, t. CXIV, fig. 8, 9. Cette singulière espèce, caractérisée par la contraction irréguliere de son ouverture, fut rapportée d'abord par M. Boissier, de l'Arabie Pétrée, ensuite, par Zeetzen, de diverses localités situées entre Hébron et le mont Sinaï. M. de Saulcey l’a rencontrée en très-grande abondance aux environs de la mer Morte, à l’ouad Beni-Hammad, à Ain-Djedi-Sebbeh, à l'ouad-Eddraa, à Belad-Hacaca, enfin au Ghor, vis-à-vis la vallée de Katsrabba. Ce Zonite est une de ces espèces qui possèdent au plus haut degré cette odeur ara- liacée qui caractérise les Mollusques de son genre, et cela est si vrai, que toutes les fois que ce savant académicien a recueilli cet animal, ses mains étaient imprégnées, pour ainsi dire, de cette odeur désagréable. = 19 — GEevwre HELIX. HELIX LUCORUM. Heux Lucorum '... Linnæus, Syst. nat. éd. x, p. 773. 1758. — CaSTANEA *... Oliv., Joy. d. l'emp. Oft.,,t I, p. 224, t. XVIL, f. 4. 1801. — LUCORUM..... (Helicogena), Fér., Tabl. syst., p. 29, no 30. 4821. — MUTATA 5... Lam., 4n. s. vert., t. VI, 2e partie, p. 67, n° 7. 4822. POMATIA LUCORUM ET MNUTATA ......... Beck, /nd. Moll., p. 43. 1837. HELIX LEUCORUM ... Jay, Catal., p. #7. 1839. Dans les contrées orientales du sud de l'Europe, cette Hélice remplace la Pomatia. Suivant Lamarck, cette espèce serait le produit d’une variation de lHel:x Pomatia. — Quoi qu'il en soit, ce Mollusque se distingue très-facilement de cette dernière coquille. M. de Sauley a rapporté la Lucorum des environs de Constantinople. HELIX GRISEA. HELIX GRISEA !...... Linn, Syst. nat., éd. x, p. 773. 1758. — cncrA®...... Müll. f'erm., Hist. nn, p. 58, n° 251. 1774. POMATIA CINCTA . .... Beck, nd. Moll., p. 43. 1837. CÆNATORIA GINCTA... Held. in : sis, p. 910. 1837. HELIX OBTUSATA..... Ziégler, Rossm. (el. cincta, var.), Icon. v et vi, f. 288. 1837. — LEMNISCATA .. Brum. Cat. sist., p. 22. 1838. — PHILIBINENSIS. Frivaldsk.-Rossm. (Hel. cincta, var.), Icon. 1x et x, f. 581. 1839. — vuLGanis 7.... Parreyss, Rossm. {Hel. cincta, var.) Icon. 1x et x, f. 582. 1839. 1. Non, Helix lucorum, Pulteney, espèce qu'il faut rapporter à l'Helir aspersa de Müller. — Nec, Helix lu- corum, Studer, verz., p. 47, qui est l'Helix pomatia de Linnæus, Syst. nat., p. 1244. — Nec, Helix lucorum, Razum. Hist. nat., 1, 274, espèce qu'il faut rapporter à l'Helix montana de Studer, in : Core travels. — Nec, Helix lucorum, var. Kryn., Bull. mosc., IX, p. 151, qui est l’Helix taurica de Krynicki, in : Bull. mosc. VI, p- 423. 2, Non, Helix castanea, Mühlfeldt, (Teste, Anton.), qui est l’Helix arbustorum de Linn., Syst. nat., éd. x, p. 7714, n° 596. — Nec, Helir castanea de Müller. — F'erm. Hist. 11, p. 67, n° 262, qui est une espèce de l'ile Sumatra. 3. Non, Helix mutata, Hartmann, in: Slurm's Fauna, qui est l’Helix pomatia. Linn. Syst. nat., p. 1244. — Nec, Helix mutata, de Gould, 1846. Erpéd. Shells, p. 19, qui est une espèce des environs de Rio-Janeiro, au Brésil. 4. Non, Helix grisea, Gmel., ur, p. 3649, qui est l’Helir aspersa de Müller, Ferm. Hist., 11, p. 59, no 253. 5. Non. Helix cincla, Lea, Obs., 1, p. 168, t. XIX, f. 68, qui est une espèce de l’île Java. — Nec, Helix cincta, Perry, Conch., t. XV, f. 1 et3, qui est l’Helix versicolor, Born.;, Mus., p. 386, t. XVI, f. 9, 40. — Nec, Helix cincla, Sheppard, Linn. trans. XIV, p. 163, qui est l’Helix nemoralis, Linn., Syst. nat., ed. x, p. 773. — Nec, Helix cincta, Martm. (Teste, Charp.), in : L. Pfeiff., Won. Hel. viv., t. 1, p. 130, qui est l’Aelix Olivieri (He- lecella). Fér., Tabl. syst., n° 255. 6. Non, //elix lemniscata, Webb et Berthelot, Synops., p. 317, qui est une espèce des îles Canaries. — Nec, Helix lemniscata, Lesson, Foy. de la Cog., p. 306, qui est l'Helir zonulata (Helicogena) de Férussac, Tabl. syst., p 67. 7. Non, Helix vulgaris, Costa, Teste, Pfeiff., Mon. Hel. viv., t. I, p. #46, qui est l’HJelix aspersa, Müller, Verm. Hist. un, p. 59, n° 253. an HEEER CINCTAES. Rossm., /con. 1x et x, f. 583-584. 1839. — [OR ESE Var. Albina, de Betta, Sulla, Helir pollinii, ete., p. 4. 1852. — POLLINIT...... Da Campo, in : Wemorie Academische, xt, p. 113. (Teste, L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv., Suppl., p. 182. 4853)! Cette espece se rencontre en très-grande abondance à Larnaca, dans l'ile de Chypre. M. de Saulcy l’a, en outre, rapportée des environs de Jérusalem. M. Michaud, dans son complément des Mollusques de la France (P° 17, n° 22), a indiqué cette Hélice comme habitant les environs de Tonnerre, petite ville du départe- ment de l'Yonne. Aussi, la plupart des conchyliologues français, sur la foi de cet auteur, ont-ils regardé ce Mollusque comme une espèce réellement indigène. Pour relever cette erreur, nous devons dire que jamais aucun naturaliste n’est parvenu à recueillir cette coquille dans la localité indiquée par M. Michaud; et nous-même, dans nos explora- tions sur les collines avoisinant Tonnerre, nous n'avons pas été plus heureux dans nos recherches. 1] faut donc retrancher de la liste des Mollusques français cette espèce que M. Michaud y aura, sans aucun doute, comprise par mégarde, HELIX LIGATA. | HeziX LIGATA?.... Müller, F’erm. Hist. 11, p. 58, n° 252. 1774. PomaTiA LIGATA... Beck, Zad. Moll., p. 43. 1837. COENATORIA LIGATA. Held, in : Zsis., p. 910. 1837. HELIX DIGATA : --.. Var. Rossm., Zcon. v. f. 290. 1837. — ALBESCENS.. Jan, Rossm., Zcon. 1x, p. 10, f. 585, 586. 1839. — SECERNENDA. Rossm., in Zeitschrift für Malak., p. 164. 18475. M. de Saulcy a recueilli l/Ze/ix ligata dans deux localités différentes ; d’abord à Lar- naca, dans l’île de Chypre, en second lieu, aux environs de Jérusalem. Cette espece a de grands rapports avec l'Æelir grisea de Linnæus, mais les bords de son péristome qui sont moins rapprochés que ceux de la Grisea, son ouverture blanche et ovale, et non brune et arrondie; enfin, ses zones plus étroites, toujours au nombre de cinq, la sépareront facilement de l'Æelix grisea, qui possède au contraire un test recouvert d’un épiderme à zones plus larges et moins nombreuses. D'après L. Pfeiffer (Mon. Hel, viv., t. 1, p. 236 et 446), il faut rapporter à cette espece, les noms suivants : Helix Dalmatiea, Mühlf.; Helix oblusalis, Ziëézl., (Teste Menke); Helix Bessarabica et interposita, Ziégler; enfin, les Cœnatoria Bessarabica et inlerposila, de Held. 2. Non, Helix ligata, var. B., Férussac, Hist., t. XXE, B., f. 5? qui est peut-être l’Helix qussoneana de Shutt- leworth.— Nec, Helix ligata, var. D. de Férussac, Hist., t. XX, fig. 3, qui est l’Aelix fiqulina de Parreyss. Rossm., /con. 1x, p. 9, f. 580. 3. Il faut encore rapporter à cette espèce les ÆZelix decussata de Parreyss, {nterposita de Mégerle, J’arians dé ZLiégler (Teste, Pfeiffer, Mon. Hel. viv., t.1, p. #46). tn — HELIX ENGADDENSIS. HELIX ENGADDENsIs, Bourg., Test. nov., etc., p. 41, n° 1. 1852. Testa imperforata, turbinato-globosa, striata, fusco-albida, spadiceis ornata, fasciis 4 vineo-fuscis spiralibus cincta; anfractibus 4 convexiusculis ; supremo anfractu fusco, levissimo; ultimo permagno, inflato, 3/4 testæ altitudinis subæquante ; columella obli- qua, albida; apertura ovali, magna, apertaque, altitudine latitudinem suam valde supe- rante; peristomate simplice, acuto; margine columellari dilatato , reflexo, adpres- soque. Cette Hélice est imperforée, globuleuse et grossiérement striée. Son test recouvert d'un épiderme blanchâtre ou jaunâtre, offre quatre zones spirales d’inégale grandeur et d'une teinte de lie de vin ; ses tours de spire au nombre de quatre, sont convexes ; le premier, lisse et brillant, est d’une couleur brunâtre uniforme ; le dernier est ventru, strié à l'instar des autres tours, et forme à lui seul au moins les trois quarts de la hau- teur totale. Son ouverture oblique, ovale, grande et ouverte, est plus haute que large ; enfin, son péristome est simple, aigu, non réfléchi, sauf vers l’axe columellaire. Hauteur ...... ee ss eos ED ee else tr .. 35 millim. DIamMetrÉ Rec elecesese HOTTE na die me cest oleleciis BA (6 Hauteur dellOUvVertUre. 1.26 Rae eeslele cite se dore se 28m EI Largeur de l’ouverture......... nr Colrenepenenectlenenes 18 Id. Cette nouvelle espèce habite les environs de la mer Morte. Cette Hélice se rapproche surtout de la Ligata de Müller. On la distinguera toujours de cette dernière, à sa taille presque moitié plus faible, à son test moins globuleux, plus allongé, à sa columelle plus arquée, mais principale- ment à son ouverture plus oblique, plus ouverte, enfin, plus haute que large. HELIX FIGULINA. FELIX LIGATA Re ec Var. D. Férussac, Hist. Moll., t. XX, fig. 3. 18... PomarTiA ORIENTALIS ?. Beck, Zndex. Moll., p. #3. 1837. HELIX FIGULINA...... Parreyss, in : Rossm., /con. 1x, p. 9, . 580. 1839. Var. B. Omnino albidula; anfractibus ventricosioribus ; peristomate simplice, acuto, non incrassato. Cette Hélice a été recueillie en Grèce, dans les environs de Xamilia. La variété B habite les montagnes qui environnent la mer Morte, notanment à Mar- Saba. 4. Non, Helix ligata, var. B, Férussac, Hist., f. 21, B., t. 5, qui, d'après Pfeiffer, serait l'Helix gussoneana, Schuttleworth. — Nec, Heliæ ligatr, Müller, ferm., Hist. n,p. 58, n° 252, qui est une espèce distincte. 2. Non, Helix orientalis (Carocolla), Gray, in: Aun. of phil. 1x, p. #12. 1825. Espèce des Indes. 16 — HELIX ASPERSA. Heuix aspersa!. .. Müll., Perm. Hist. n, p. 59, n° 253. 1774. — HORTENSIS ?., Penn., Brit. Zool. 1V, 436, t. LXXXIV, f. 126. 1777. — GRISEA *..... Gmel., éd, xut, Syst. nat. 11, p. 3649. 4790. — VARIEGATA®.. Gmel., éd. xu1, Syst. nat., 190, p. 3650. 1790. — FLUMINENSIS.. Lang. (Teste Beck). — LUCORUM*.... Pulteney (Teste Montagu et Férussac). — ASPERSA..... (Helicogena), Fér., Tabl. syst., p.30, n° 51. 182, PomarTia anspersa.. Beck, Znd. Moll., p. 44. 1857. CoENATORIA ASPERSA. Held, in /sis., p. 910. 1837. HerixX ASPERSA..... (Cryplomphalus), Charp., Cat. suisse, p. 6. 18375. L'AHelix aspersa habite plusieurs contrées fort éloignées les unes des autres. On la connaît du Brésil, des forêts de Cayenne (Howe), de la Nouvelle-Espagne (Humboldt), des îles Açores, etc. Mais cette espèce abonde surtout dans toute l'Europe méridionale, ainsi que dans les régions septentrionales de l'Afrique. * Les échantillons d’Aspersa que nous avons examinés provenaient tous de l'ile de Syra et de la Palestine. HELIX LACTEA. HELIX LACTEA 7... ... Müller, J’erm. Hist. 11, p.19, n° 219. 1774. — PUNCTATA *... Müller, loc. cif., p. 21, n° 220. 4774. — FAUX NIGRA... Chemnitz, in : Mart.u. Chem. syst. conchyliencab, 1x, p. 2, p. 127, t. CXXX, fig. 4161. 1786. COcuLEA o$ NiGRuM.. Humphrey, Mus. Calonn. 1797. « OTALA aTomaRIA... . Schumach., Essai d'un nouv. syst., ete., p. 191. 1847. 4. Non, Helir aspersa, var. Rossm., Zcon. v, p 5, f. 295, 296, qui est l’Helix Mazzulli, de Jan, Mantissa, p. 1. 2. Non, Helix hortensis. Müll., Ferm. Hist. u, p.57, n° 247, qui n'est autre chose qu'une variété de l'Helix nemoralis, Linn., Syst. nat., éd. x, p. 773. 3. Non, Helir grisea, Linn., Syst. nal., éd. x, p. 773. 4. Non, Helix variegata, Chemn. 1x, p. 2, p. 152, t. CXXXII, f. 1207. — Nec, Helix variegata, Humphrey, Mus. Calonn. (teste Fér.), quiest l'Helix citrina, Linn., Syst. nat., éd. x, p. 771. — Nec, Helir varieqala, Friv., qui est une coquille voisine de l'Helir caperala, Montagu, p. 430, €. IE, f. 41. 5. Non, elix lucorum, Linn., Syst. nat., éd. x, p.773. — Nec, Helix lucorum, Stud., Ferz., p. 17, qui est l’Helix pomatia, Linn., Syst. nal., p. 1244. — Nec, Helix lucorum, Razum., Hist. nat. du Jorat, 1, 274, qui est l'Helix montana de Studer, in : Cove travels. — Nec, Helix lucorum, var. Kryn., Bull. Mosc. 1x, p. 151, qui est l'Helix taurica de Krynicki, in : Bull. Mosce. vx, p. 423, t. IX. 6. Il faut encore rapporter à ces noms : Æelir vulgaris, de Da Costa, le Cochlea restitutoris d'Humphrey, le Jardinier de Geoffroy, ainsi que Coclea major pullomaculata, ete., de Lister. 7. Non, Helix lactea, de Hartmann, in : Neue alpina 1, p. 244, qui est une espèce à rapporter à l’Helix ver- miculata de Müller, Ferm. Hist. nu, p. 20, n° 219. 8. Non, Helix punclata de Born, Test. mus. Vindob., p. 372, t. XIV, f.17, 48, qui est une espèce différente de l'ile de la Martinique. — Nec, Helix punctata de Wagner, in : Spix, T'es/. brasil., p. 23, espèce à rapporter à l'Helix (solarium) serpens, de Spix, loc. sup. cit, & XVIL, f. 2. — Nec, Helix punclata, Férussac, Hist., t. XLVIIL, f. 3, et Deshayes, £nc. méth. 1, p. 255, n° 125, espèce à rapporter à l’Heliæ obesa (Dentellaria) de Beck, Znd. Moll., p. 35. — T7 — HELIX LACTEA....... ({elicogena), Férussac, Tabl. syst., p. 32, n° 78. 1821. HEcicoGENA LACTEA.. Beck, Znd. Moll., p. 37. 1837. HELIX PUNCTATISSIMA. Jeniss., in Sched. ‘. M. de Sauley a recueilli cette Hélice dans l’île de Rhodes. C’est la première fois que l'on constate la présence de cette espèce dans ces contrées situées dans le bassin oriental de la Méditerranée. Jusqu'à présent, en effet, l’on ne connaissait ce Mollusque que des régions avoisinant la partie occidentale de cette mer, telles que la France, l'Italie, PAI- gérie, l'Espagne, et même le Portugal. Cette espèce a même de ce côté franchi le bassin méditerranéen, puisque MM. Webb et Berthelot l'ont constatée dans l'archipel des Canaries, à l’île de Ténériffe. Et ce qu'il y a de plus étonnant, c’est que M. Alcide d'Orbigny a recueilli cette Hélice européenne dans le sud de l'Amérique, aux environs de Montevideo. HELIX VERMICULATA. COCHLEA PISANA HORTENSIS. Petiver, Opera hist. nat. spectantia, ete, tab. Lu, fig. 44. 4695. COCHLEA TERRESTRIS VULGARIS, QUATUOR FASCIIS CINCTA ET ELEGANTER VARIEGATA. Gualtieri, Tesé., tab. 1, f. G, H, et tab. ut, f. A, B. 4742. HELIX VERMICULATA ?..... Müller, 7’erm. Hist., t. Il, p. 20, n° 219. 1774. — Id........... (Helicogena), Férussac, Tabl. syst., p. 31, n° 59. 4821. RL TACTEA eee Hartmann, in : Neue alpina, 1, p. 244. 1821. HELICOGENA VERMICULATA. Beck, /nd., Moll., ete., p. 38, n° 5. 1837. HELIX THALASSINA........ Porro, in : Villa, Disp. syst., p. 55. 1841. Cette Hélice habite les environs d'Athènes, les îles de l'Archipel, principalement dans l’île de Syra. — Elle a été également recueillie dans l'ile de Rhodes, et en Syrie, çà et là dans toute la chaîne du Liban. HELIX CIRTZÆ. UELIX CONSTANTINA.. Forbes, in : Jard. ann. n. 1838. — cRTÆ....... Terver, Cat. Moll. 4lq. p. 2, t. 1, f. 4. 1839. — VERMICULATA®, Var. Cirlæ, Rossm., /con. x, p. 12, f. 592, 1839. = Id...... Var., Rossm., in : Wagner, Reise Alq. atl.,t. XI, f. 1. 1844. Cette espece algérienne a été rencontrée par M. de Saulcy dans l'ile de Syra, ainsi que dans celle de Chypre, aux environs de Larnaca. Cette Hélice est très-voisine de l’Æelir vermiculata; cependant elle diffère par son animal, par sa coquille plus ventrue, plus élevée, par son péristome sinueux, enfin surtout, par la disposition constante de ses bandes brunes toujours au nombre de cinq. 1. D'après L. Pfeiffer (Won. Hel. viv. suppl, p. 194,853), il faudrait ajouter encore à ces appellations cette autre, Helix irrorata (Say, in : Philad. Journ. 11, p. 370). 2. Non, Helix vermiculata, var. Cantr. Malac., p.106, qui est l’Æelix Codringtoni de Gray, in : Proc. 001. Soc. 1834, p.67. — Nec, Helix vermiculata, var. Cirtæ, Rossm., /con. x, p. 12, f. 592, et Helix vermiculata, var., Rossm., in : Wagner, Reise Alg. atl., t. XII, f. 4, qui sont l'Helix cirtæ, Terver, Cat., etc., Alg., p. 2, tab. 1, [. 4. 1839. 3. Non, Felix lactea, Müller, f’erm. Hist. 11, p. #9, n° 219. 4. Non, Helix vermiculata, Müller, Ferm. Hist.n, p. 20, n° 249. — Nec, Helix vermiculata, var. Cantr. Malac., p. 106, qui est l'Helix Codringtoni, Gray, in : Proc. z0ol. Soc. 1834, p. 67. , 3 fe — HELIX ZAPHARINA. HELICOGENA ZAPHARINA. Beck, Znd. Moll., p. 39. 1837. HELIX ZAFFARINA...... Terv., Cat. Moll. Alg., p. 12, n° 8, pl.1,f. 2-3. 4839. — DUPOTETIANA... Terv., Cat. Moll. Alq., p.13, n°9, pl. 1, f. 4-6. 1839. — Idées Var., Rossm., Zcon. 1x, f. 552. 1839. — He SPAS Var., Rossm., in : Wagner, 4/g. atl., t. XI, f. 6. 4841. Cette espèce, recueillie par Berthelot, dans les îles Zaffarines , sur les côtes de la Barbarie, et si répandue dans nos possessions du nord de l’Afrique, aux environs de Tlemcen, Mascara, Oran, etc., a été également rencontrée dans les îles de Syra et de Rhodes. HELIX SOLUTA. HELIXISOLUTA ME secs Ziégler (Monente Genison. Teste Michaud). — Idées ete Michaud, Cat. des test. viv. d'Alger, etc., in : Mém. de la Soc. d'hist. nat. de Strasbourg, ete., t. 1, p. 3, n° 5, fig. 9-12. 4830. — ALABASTRITES...... Michaud, Loc. sup. cit , etc., p. #, n° 8, fig. 6-8. 1830. HELICOGENA ALABASTRITES. Beck, /nd. Moll., p. 39. 1837. HELIX ALABASTRITES....., L. Pfeiffer, Mon. Hel. vio., t. 1, 2e fasc., p. 278, n° 726. 1847. Cette espece algérienne habite également l'ile de Chypre, aux environs de Larnaca. HELIX CODRINGTONI. HELIX SPIRIPLANA ?...... Lam., An.s.vert.,t. VI, p. 95, n° 443. 4822. — FEnussaci®....... Jan et Cristo., Mant., p. 1. 1832. — CODRINGTONI ..... Gray, in : Proced. zool. Soc., p. 67. 1834. — SPIRIPLANA....... Desh., Erpéd. de Morée, Moll., p. 163. 1836. — IA asc. Var., Rossm., Zcon. vi, f. 369, B. 1837. — | CÉÉRSASS RENE Rossm., /con. VI, p. 39, f. 369, A. 1837. HELICOGENA copRINGTONI. Beck, Znd. Moll., p. 37. 1837. HELIX VERMICULATA 1..... * Var. Cantr., Malac., p. 106. 1840. — NAVARINENSIS. .... Leach, Olüm, (Teste L. Pfeiffer, Monogr. Hel. viv., t. I, p. 446. 1848). — nee ee Var. À, Férussac, in Mus. Paris. M. de Saulcy a rapporté cette magnifique espece des environs d'Athènes, ainsi que de diverses localités du Péloponèse. 4. Non, Helix soluta, Ziégler, Philippi, Enum. Moll. Siciliæ, etc. 1. p. 429, t. VOL, fig. 45, qui est l’Helix sicana, de Férussac, Hist. des Moll., ete., tab. xxvinr, B, fig. 7. 2. Non, Heliæ spiriplana, Oliv., Foy. d. l'emp. ott., t 1, p. M5, t. A7, f. 7, qui est une espèce tout à fait dis- tincte.— Nec, Helix spiriplana, var. Audouin, Descriplion de l'Égypte, tab. n, f. 5! quiest l’Helix vermiculata de Müller, 'erm. Hist. nu, p.20, n° 219, 3. Non, Heliæ Ferussaci, Lesson, Foy. de la Cog., zool. 1, p. 315, t. VIN, f. 5. 4830, qui est une espèce de la Nouvelle-Guinée. 4. Non, Helix vermiculata, Müller, Ferm. Hist. 11, p. 20, no 219, quiest une espèce différente. —Nec, /elix vermiculata, var. Cirtæ, Rossm., Zcon. x, p. 12, f. 592, et Helix vermiculata, var., du même auteur, in : Wag., Reise Alg., t. XI, f. 4, qui sont l’Helix Cirtæ, Terver, loc. sup. cit. 1839. RTE Ce Mollusque a été longtemps confondu avec les Felix spiriplana et guttata, d'Oli- vier; aussi est-il résulté des fausses déterminations attribuées à cette Hélice, une foule d'erreurs assez graves chez la plupart des auteurs qui ont eu à parler de cette espèce. Maintenant, les conchyliologues ne peuvent plus avoir de doute sur la valeur de cette Hélice, car Gray ’, en lui appliquant le nom que nous lui conservons ici, a parfaite ment fait ressortir tous ses caractères; et dernièrement, M. L. Pfeiffer, dans sa savante Monographie du genre Æelix, publiée par M. Küster?, en a donné une figure excel- lente. HELIX GUTTATA. Heuix GurraATA .... Olivier, Joy. d. l'emp. ott.,t. II, p. 334, tab. xxx1, fig. 8. 1804. — IRÉSoscece (Helicogena), Férussac, Hist. nat. génér. des Moll., tab. xxxvIm, f. 2.819. HELICOGENA GUTTATA. Beck, /nd. Moll., p. 41, n° 29. 1837. Heuix cæsAREA ..... Boissier, Mss. — Charp., in : Zeitschr. f. Malak., p.135. 1847. Cette espèce d'Égypte et de Syrie, habite dans ce dernier pays les environs de la mer Morte, à Mar-Saba. HELIX SPIRIPLANA. Heuix sprriPLaNaA#. Olivier, Foy. d. l’emp. ott., t. 1, p. 415, tab. xvir, fig. 7. 1801. Cette belle espèce a été rencontrée pour la premiere fois par Olivier, dans les îles de Crete et de Rhodes. Roth l’a recueillie plus récemment aux environs de Jérusalem, ainsi que dans les montagnes de l’Idumée. Enfin, M. de Sauley a rapporté cette Hélice de l'ile de Rhodes, de Jérusalem, où elle est très-commune, et de presque tous les environs de la mer Morte, principalement de Belad-Haçaca. HELIX SETIPILA HELIX SETIPILA. .... Ziégler, Rossm., Zcon. 11, p. 2, f. 89. 1835. CamPYLÆNa sETIPILA. Beck, Ind. Moll., p, 26. 1837. CornEoLA seTipiLA.. Held, in : Zsis, p. 912. 1837. Hecix minsura®..... Ziégler, in Sched., (Teste L. Pfeiffer.) . In: Proced. zool. Soc., p. 67, année 1834. . In : Mart., éd. 1, Helix, n° 27, p. 53, tab. vu, fig. 4, 2. . Non, Helix quttata, Le Guillou, in : Aev. zool., p. 141.1842, qui est une espèce de l'île de Céra. 4. Non, Helix spiriplana, Deshates, Expéd. de Morée, p. 163. — Lam. (éd. Desh.) 143, p. 95. — Rossm. vi, p- 39, f. 369, A, et 369, B. — Audouin, p. 162, Descript. de l” Égypte, t. IL, f. 4.—Fér., Hist., t. XXXVIIL, Ê. 3, qui est l’Helix Codringtoni, Gray, in : Proc zool. Soc., p. 67, 1834. — Nec, Audouin. Descript. de l'Égypte, t. Il, f. 5, qui est l’Helix vermiculata, Müller, Ferm., n, p. 20, n° 219. Suivant L. Pfeiffer (Mon. Hel. viv., t. I, p. 271), l’'Helir spiriplana, var. De Férussac, tab. xxxvin, fig. 4-6, ne peut être rapportée, ni à l’Æelir Codringtoni de Gray, ni à la véritable spiriplana d'Olivier. Nous partageons entiè- rement l'opinion de ce célèbre naturaliste. — La coquille représentée par Férussac, offre en effet, une forme plus globuleuse, et surtout un péristome plus dilaté, plus réfléchi, que celui que l'on remarque chez ces deux espèces. 5. Non, Helix hirsuta, de Say, in : Phil. Journ. 1, p. 17, ett. IL, p. 161, qui est une espèce différente. — Nec, Helix hirsuta, var. À, de Férussac, Tabl. syst., n° 101, qui est l'Helir convera, de Raffinesque. — Nec, /elir Co 19 — 01) M. de Saulcy a recueilli cette espece italienne, aux environs de Mavromati, en Grèce. HELIX CYCLOLABRIS. Heuix ecycLoLaBris. Desh., in: Fér., Hisf., p. 32. 181. — zONATA !... B, Fér., Hist. nat., gén., t. LXVUI, f. 7. 18... — HELDREICHH. Pfeifler, Symb. nr, p.78. 1846. Nous signalons l'ile de Syra comme une localité nouvelle, où lon pourra faire la recherche de cette coquille. Jusqu'à présent, en effet, on ne la connaissait que du Pélo- ponése (Deshayes), de l’Attique (Shuttleworth), et de l'ile de Naxos. HELIX ZONATA. HELIX ZoNATA ? ..... Studer, Naturwiss. Anzeiger, n° 11, $ 87. 1820. — Idea (Helicella), Férussac, Tabl. syst., p. 38, n° 165. 1821. CniLosroma zoNaTuM. Fitzinger, Syst. F'erz., p. 98? 1837. (Teste L. Pfeifler.) CORNEOLA ZONATA... Held, in : /sès, p. 942. 1837. CAMPILÆA Id .... Beck, /nd. Moll., p. 25. 1837. ZoNiTEs PLANOsPIRUS. Hartmann, Æ£rd-und Sü:swassergast., B, 1, p. 161, €. LI. 4840. Cette coquille a été recueillie en Grèce, aux environs de Corinthe. Nous avons fait figurer le seul échantillon de cette espèce que M. de Saulcy a rap- porté de son voyage, parce qu'il présente des caractères un peu différents de ceux du véritable Zonata de Studer. Cependant, nous pensons qu'il ne faut le considérer que comme une simple variété de cette Hélice. Voici, du reste, ses principales différences : Testa majore, omnino cornea, nunquam Zonata; apertura inferius magis rotundata ; umbilico paululum majore, ac, margine columellari in umbilico immerso. hirsuta, de Jan, Mantissa, p. 2, qui est l'Helix ciliata, de Venetz, in : Studer, Syst. Perz., p. 86. Nec, Helix hirsuta, de Brumati, Cat. sist., p. 29, f. 1, 2, qui est l’Æelix Lefebvriana, de Férussac, Tabl. syst., p.38, n° 471. 4. Non, Zlelix zonata, Studer, Naturiwiss. Anzeiger, 1820, n° 14, S, 87, qui est une espèce des Alpes. — Nec, Helix zonata, C. Pfeiffer, Naturq. deutsch. it, p. 49,t. V, f. 7,8, qui est l'Helir planospira, de Lamarck, 4n. s. vert, t. VI, 2 part., p.78, n°48. — Nec, J/elix zonata, var. Férussac, Hist., t. LXIX, A, f. 3, qui est l'Helix fœtens, de Studer, ferz., p.14 — Nec, Helix zonata, var. Férussac, Hist., t. XVII, f. 410 (med.), t. LXIX, A, f 6, quiest l'Helix trizona de Ziégler, Mus., Rossm., Zcon., 1, p. 4, f. 87. : 2. Non, Helix zonata, C. Pfeiffer, Naturgeschichte, ete., mt, p.19, t. V, f. 7-8, et Helix zonala, var. Férussac, Hist. Moll., t. LX VII, f. 40, et tab. Lxix, A, f. #, qui ne sont autre chose que l’Æelix planospira de Lamarck, An.s. vert., vol. VI, 2 partie, p. 78, n° 48. 1822. Nec, Helix zonata, var. Férussac, Hist. Moll., t. LXIX, A, f. 6, qui est l’AJelix trizona, de Ziégler, in : Rossm., Zcon. 11, p. 1,f. 87. — Nec, Helix zonata, var... Férussac, Hist., Moll., t. LXIX, A, f.3, et Helix zonata, var. Charpentier, in : Neue Denkischr.1, 1837, espèces qu'il faut rapporter à l'Æelix fætens de Studer, ferz., p. 14.—Nec, Helix zonala, var. B, Férussac, Hist. Moll..t. LXVII, f. 7, qui est l’Helix cyclolabris, de Deshayes, in : Férussac, Æist. Moll., p. 32. 3. Il faut encore rapporter à ces synonymes, suivant L. Pfeiffer (Mon. Hel. viv , I vol., p. 359, 1848) l'Aelix zonaria, var. À, de Hartmann, p. 228, t. I, f. 8. ET) LE HELIX LENS. Heuix LENS‘... (Helicigona), Férussac, Tabl. syst., p. 37, n° 153. 1821. — BARBATA. Deshayes, £xpéd. de Morée, Moll., p. 162. 1836, — LENS... Rossm., Zconogr. vu, p. 10, fig. 450, 1838. Cette Hélice a été recueillie par M. de Saulcy, dans les îles de Corfou, de Rhodes et de Chypre, aux environs de Larnaca ; ce savant académicien l’a en outre rencontrée très-abondamment dans les environs d'Athènes, ainsi que çà et là sur plusieurs points du Péloponèse, HELIX LENTICUTA. HELIX LENTICULA ?..... (Helicigona), Fér., Tabl. syst.,p 37, n°154. 1821. CAROCOLLA LENTICULA . Menke, Syn. meth. Moll., éd. 11, p. 24. 1830. HEC ISUBDILIS Eee - Lowe, Prüm. faun. Mad., p. 45, t. V, f. 13. 1833. CARACOLLINA LENTICULA. Beck, Znd. Moll., p. 28. 1837. HELIX PINTORELLA . .... Bonelli (Villa, Disp. syst., p. 15). Cete gracieuse petite coquille, répandue dans toutes les contrées du littoral de la Médi- terranée, depuis le détroit de Gibraltar jusqu'en Syrie et en Egypte, a été recueillie à Chypre, dans les environs de Larnaca, et en Syrie, dans ceux de Naplouse. HELIX NUMMUS. CaRocOLLA NuMmus. Ehrenberg, Symb. phys. Moll. 1831. HELIX HEDENBORGI . Pfeiffer, in : Proc. zool. soc., p. 132. 1815. — NUMMUS..... L. Pfeiffer, Monog. Hel. viv., t. Il, 2° fasc., p. 209, n° 549. 1847. — oxiGyra... . Boissier, Mss., Charpentier, Uebersicht...., etc....,in: Zeüchrift für malakol., p.134. ; 1847. — Id........ L. Pfeiffer, Monogr. Hel. viv., etc., t. I, p. 444. 1848. — BOTTÆ. 00e Valenc., in Mus. Paris. Cette Hélice, rapportée par M. Boissier, des environs de Beyrouth, au Nahr-el-Kelb, a été également recueillie dans cette même localité par M. de Saulcy. HELIX CORCYRENSIS. HELIX CORCYRENSIS....... Partsch, in Mus. cæs. Vindob. CARACOLLINA coRcyRENSIS. Beck, Znd. Moll., p. 28. 1837. 4. Non, Hel x lens, Webb et Berthelot, Syn. Moll. terr. et fluv. per. insul. Canar., etc., p. 41, n° 42, 1833. — Espèce qu’il faut rapporter à l’Helix afficta (Helicigona), de Férussac, Tabl. syst., n° 151. 4821. 2. Non, Helix lenticula, Held, in /sis, 4837, p. 304, qui est l’Helix pura de Alder, Catal. 12, n° 46. 1830. 3. Non, Helix subtilis, Anton, fers, p.38. n° 1327, qui est une espèce de l’ile Oheatora. HELIX /CONTORTA !.......: Ziégler, Mus. Rossm., Zcon. vint, p. #0, fig. 538. 1838. — CORCYRENSIS....... Desh.., in : Fér., Hist. Moll., n° 75,t. XVI, f. 23, 24. 4839°. Cette espèce habite l’île de Corfou. HELIX PELLITA. Heuix PELLITA. (Helicella), Fér., Tabl. syst., p. 38, n° 168. 1821. — PETTITA Lam, 4n.s. vert., éd. Desh., t. Vill, p. 91, n° 136. 1838. Cette espèce habite le Péloponèse (Deshayes), l’île de Rhodes (Olivier), enfin, l'ile de Syra (Roth, Forbes). C’est de cette dernière localité que M. de Saulcy a rapporté cette Hélice. HELIX HIEROSOLYMITANA. HELIX HIEROSOLYMITANA. Bourg., Test. nov., etc., p. 13, n° 4. 1852, Testa minima, auguste perforata, globoso-conoidea, argutissime striatula, fusco- cornea; anfractibus 4 convexis, regulariter accrescentibus; sutura valde impressa ; ultimo anfractu rotundato ; perforatione parva, angusta; apertura oblique rotundata ; peristomate simplice ac acuto ; margine columellari reflexo in umbilicari perforatione subdeflexo ; marginibus approximatis, vix ultimo anfractu separatis. Cette petite coquille de forme globuleuse, presque conoïde, est cornée et striée avec une extrême délicatesse. Ses quatre tours de spire sont convexes, et s’accroissent avec beaucoup de régularité; le dernier est parfaitement arrondi. Sa perforation ombilicale est petite, peu développée. Son ouverture oblique, à peine échancrée par l'avant-dernier tour, est tout à fait arrondie; enfin, son péristome sim- ple et aigu se réfléchit un peu vers l'ombilic. HAUTEUR Ses sens cseeneeneneree-c--: ce select . 21/4 de millim. DIAMÉFEs-ee-cer--c---re Screen De ses eee els OO D RO ne A) Id. Cette hélice est assez commune non loin de Jérusalem, dans la vallée de Josaphat. On la rencontre sous les pierres et sous les rochers. L'Helix hierosolymitana ne peut être rapprochée que de l'Helix umbilicata de Montagu ÿ. On distinguera notre espèce de cette dernière, à sa forme plus globuleuse, plus co- noïde, à son ombilic très-peu ouvert, à ses tours de spire moins nombreux, enfin, à son ouverture parfaitement arrondie. 1. Non, Jelix contorta, Férussac (Helicodonta), Hist., t. LI, À, f. 2, et Férussac, in : Foy. de Freycin., z00l., p-. #69, qui est une espèce des iles Sandwich. — Nec, Helix contorta, Held, in: 1sis, 4837, p. 304, qui n'est peut- être que l’Helix hyalina de Férussac (Æelicella), Tabl. syst., n° 224. 2. Il faut rapporter à cette espèce l’Æelix torsa de Ziégler, ainsi que l'Aelixr griva, Friv., qui est une variété plus petite, à péristome un peu plus épais, et à ouverture plus contractée. 3. Test. Bril., p. #34, t. XIII, f. 2 1803. — 23 — HELIX BERYTENSIS. Heuix BERYTENSIS.. (Helicella), Férussac, Tabl. syst., p. 43, n° 160. 4821. — GRANULATA'. Roth, Dissert., p. 16, t. I, f. 3. 1839. — BERYTENSIS . L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv., t. I, p. 138, n° 358. 1847. Les environs de Beyrouth et de Jérusalem, en Syrie. Cette espèce est assez rare. HELIX SOLITUDINIS. Hezix sozirupinis. Bourg., Test. nov., etc., p. 15, n° 6. 1852. Testa perforata, depressa, nitida, albido-cornea, eleganter striatula; anfractibus 6 , , , , 8 ; convexiusculis lente accrescentibus; ultimo vix subcarinato, ad aperturam deflexo; perforatione angustissima, pervia; apertura oblique rotundato-lunari; peristomate intus labiato, paululum reflexo ; margine columellari dilatato, in perforatione umbili- cari subdejecto. Cette Hélice, finement striée, est brillante et d'une couleur cornée peu prononcée ; ses six tours de spire un peu convexes, s’accroissent lentement, et avec beaucoup de régularité ; le dernier offre une apparence de carène obsolète, qui disparait totalement vers l'ouverture ; ‘celle-ci est oblique, échancrée, arrondie, son péristome intérieure- ment bordé, se réfléchit un peu, et, son bord columellaire, qui est dilaté, recouvre un peu la perforation ombilicale. Cette perforation est très-étroite, et, maïgré son exiguité, l'œil peut facilement plonger jusqu'à la naissance de la spire. HAUTEUR eee dites lens rte rare iee asus oc cuis COMM, D'aMeTe eee cent Dimees cine sie Stone tie ce alone 45 Id. Cette espece habite les environs de Baalbeck, en Syrie. HELIX CONSONA. HELrx coNsona....... Ziégler, in Sched. BRADYBOENA CONSONA. Beck, Znd. Moll., p. 20. 1837. FruTicIcoLA consoNa. Held, in : /sis., p. 914. 1837. HELIX CONSONA ...... Rossm., Zcon., 1x et x, p. 8, fig. 572-573. 1839. — URSULA....... Férussac, in Sched. Paris? (Teste Pfeiffer, Mon. Hel., viv., t. 1, p.140. 1847). Cette Hélice, rencontrée jusqu’à ce jour en Sicile, a été recueillie en Grèce, aux envi- rons d'Athènes. 4. Non, Helix granulata, Quoy et Gaimard, 4strol., n, p. 95, t. VII, f. 6-9, qui est une espèce de la Nouvelle- Guinée. — Nec, Helix granulata, Alder, Mag. zool. and bot., 1, p. 107, qui est une variété de l’Helix sericea, de Draparnaud, Hist. des Moll., p.103, tab. vi, f. 16, 47. HELIX CARTHUSIANA. HeLix carrausiANA ‘........ Müller, J’erm.‘Hist. 1, p. 45, n° 214. 1774. — NIMDA es .... Chemn., in : Mart. und Chemn.ix, p. 2, p.103, t. CXXVIT, f. 4130-1431. 1786. — CARTHUSIANELLA.. ... Drap., Hist. des Moll. France, p. 101, t. VE, f. 31, 32, ett. VIT, £. 3-4. 180%. — OLIVIER. 2 0. 0e Var. G., Fér., Tabl. syst., p. 43, n° 255. 1821, ZLENOBIA BIMARGINATA........ Gray, in : Med. repos. 1821. THEBA CARTHUSIANELLA . ..... Risso, AHist. nat. 1v, p. 76. 1826. — CHARPENTIERA #1. ..... Risso, ist. nat. 1V, p. 76. 1826. MONACHA CARTHUSIANELLA.... Fitzinger, Syst. verz., p. 95. 1837. BRADYBÆNA CARTHUSIANA..... Beck, nd. Moll., p. 19. 1837. FRUTICICOLA CARTHUSIANELLA. Held, in: 1sis, p.914, 18375. Les échantillons de cette Hélice que nous avons examinés, ont été recueillis en Grèce, à Xamilia, ainsi que dans l’ile de Corfou. L. Pfeiffer 6 regarde l’Æe/ix rufilabris de Jeffreys 7, comme n'étant qu'une variété de l'Helix carthusiana de Müller. Nous ne pouvons partager l'opinion de ce savant natu- raliste. L'Helix rufilabris, en effet, est d’une taille plus faible, tout en ayant un test moins déprimé et une spire plus élancée et plus aigué ; son péristome est toujours arrondi et bordé d’un labre peu épais, et d'une apparence brunûtre; sa perforation ombilicale est presque nulle ; enfin, elle n'habite point dans les mêmes lieux, ni dans les mêmes expo- sitions que l’//elix carthusiana. La Aufilabris ne se rencontre que dans les prés secs et arides, ou sur les pelouses exposées aux ardeurs du soleil, tandis que nous n'avons jamais recueilli la Carthusiana que dans des lieux humides et ombragés. 4. Non, Helir carthusiana, Drap., Hist. nat. Moll., p. 102, t. VI, f. 33, qui est l’Helix cantiana, Montagu, Test. bril., p. 422, t. XXII, f. 4. 2, Non, Helir nitida, Müller, ’erm. Hist. 1, p. 32, n° 234, qui est une espèce toute différente. — Nec, Helix nitida, Drap., Hist. nat. des Moll., p. MT, t. VII, Ê. 23-25, qui est l'Aelix cellaria, Müller, erm Hist. un, p. 28, n° 230. — Nec, /elir nitida, Risso (Teste Beck), qui serait l'Helir pura, Alder, Catal., p. 12, n° 46.1830- — Nec, Helir nitida, À, Jeffr., in : Linn. Trans. x, 339, 511, qui est l’Helix excavata, Bean, Mss., in : Alder, Cat., 13, n° 52. 3. Non, Helir Olivieri (Helicella), Fér., Tabl. syst., p. 43, n° 255, qui est une espèce différente, — Nec, Helix Olivieri, var. B, Férussac, Mus. Paris, qui n’est autre chose que l’Æelir syriaca, d'Ehrenberg, Symb.phys. Moll., 1831. — Nec, Helix Olivieri, var., Roth, Mol. spec. dissert., p.14, qui est l’Helir kRothi, Pfeiffer, in : Wiegm. Arch.1, p.218. 18#1. 4. Non, Helir Charpentieri, Scholtz, Schles. Moll. 1843, qui est l'Helir faustina, de Ziégler, in : Rossm., Icon. 11, p. #, f. 93. 5. On doit encore ajouter à tous ces noms de synonymies, les suivants : elix nemoralis, BB, Gmelin (non, /elix nemoralis, Linn., nec, idem, var. B, Gmelin, nec, idem, var. ZZ, Gmelin, nec, idem, Müller). —Helix claustralis, et Lucernalis de Ziégler. — Helix gilvina, Ziégler, (Fruticicola gilvina, Held, in : sis, p. 914. 1837). 6. Mon. Hel. viv., t. 1, p. 132. 1847 7. In: Linn. Trans., XVI, p. 509. = Où — HELIX OLIVIER. Hezix Ouivieri"..... (Helicella), Fér., Tabl. syst., p. 43, n° 255. 1821. BrADyBÆNA Ozivierr. Beck, Znd. Moll., p. 49. 1837. FruricicoLa Oriviert. Held, in: /sis, p. 914. 1837. HELix RiZZA......... Arad. (Puis., in: Zeitsch. für Malak., p. 105. 1844 ?.) L'Hélice d'Olivier est assez abondante dans la chaîne du Liban, on la rencontre sur- tout en Syrie, aux environs de Beyrouth et de Jérusalem. HELIX PISIFORMIS. Heix pisirormis. L. Pfeiffer, Symb, ad hist. Hel. 11, p. 95. 1846. — Id.... L. Pfeiffer, in : Chemn. et Mart., éd. 11. — Helir, n° M, t. XVII, fig. 8-10. Cette Hélice , rencontrée jusqu’à ce jour seulement dans le Caucase , habite égale- ment la Grèce, à Phrygaliæ-Bassæ. Elle y paraît rare. HELIX ROTHI. Heuix Ociviert®. Var. B. Roth, Dissert. inaug., p. 14. 1839. — Rorui... Pfeiffer, in : #iegm. Arch. für naturg., 1, p. 218. 1841. — Id..... L. Pfeiffer, in : CHEMNITZ, éd. 2. — Helix, n° 92, t. XVIL f. 5-7. Cette petite Hélice, du groupe des Carthusianelles, rencontrée jusqu’à ce jour dans l'ile de Syra, a été recueillie par M. de Saulcy, dans l’île de Rhodes, Elle y paraît rare. HELIX SYRIACA. HELIX SYRIAGA........ Ehrenb., Symb. phys. Moll. 1831. BRADYBÆNA syriACA... Beck, Zad. Moll., p. 19. 1837. FRUTICICOLA GREGARIA. Held, in : sis, p. 914. 1837. HELIX ONYCHINA...... Rossm., Zcon., 1x, p. 7, f. 568. 1839. — \(GREGARIA...... Ziégler, Rossm., /con., 1x, p. 7, f. 569. 1839. 1. Nou, Helir Olivieri, var. B, Férussac, Mus., qui est l'Helix syriaca, d'Ebrenberg, Symb. phys. Moll. — Nec, Helix Olivieri, var. Roth, Diss., p. 44, qui est l’Aelir Rothi, Pfeiffer, in : Wiegm., Arch. 1, p. 218. 1841. — Nec, Helix Olivieri (Helicella), var. +, Férussac, Tabl. syst., p. 43, n° 255, Hist., pl. vu, f. 3 à 5. — Nec non, Helix Olivieri, C. Pfeiffer, Naturg. Deutch. Land. und Süssw. Moll. ir, p. 25, t. VE, f. 4. — Nec non, Helix Olivieri, Mich., Compl. Moll., p.25, n° 39, qui sont l’Æelix carthusiana, de Müll., Hist. Ferm., nu, p.15, n° 244. 2. Il faut encore rapporter à ces synonymes, les Æelix cincta, de Hartmann (nou, Helix cincta, Müller, Lea, Perry, Sheppard, Küster). — Helix dilucida, Ziégler. — Helix parumcincta, de Parreyss. — Helix ocellata,de Parreyss. — Helir ornata, de Cristophori et Jan (non, Zelir ornala, Beck), et Helix bizona, de Mégerle. 3. Non, Helix Olivieri (Helicella), Férussac, Tabl. syst., p. 43, n° 255, qui est une espèce complétement distincte. — Nec, Helir Olivieri, var. B, Fér., Mus. Paris, qui est l’Helix syriaca, Ehrenberg, Symb. phys. Moll. 1831.— Nec, Helir Olivieri, var. 7, Fér., Tabl. syst; p. 43, n° 255, qui est l'Helix carthusiana, Müller, Verm. Hist. 11, p. 45, n° 214. 4774. Nec, Helix Olivieri, C. Pfeiffer, Naturg. Deutsch. land und Süssw. Mol. ur, p. 25, €. VI, f. 4, et Michaud, Compl. Moll., p. 25, no 29, qui ne sont autre chose que l’Helix carthu- siana de Müller, loc. jam cit. 4. Il faut encore rapporter à l'Helir syriaca : l’Helix incolata, de Ziégler, etl'Helix Olivieri, B, var. — Férus- Sac (non Helir Olivieri, Roth, — nec, Helix Olivieri, var. y, Férussac, — nec, el. Olivieri, Pfeiffer et Mich..) p # EG Habite, en Syrie, les environs de Tyr, de Jérusalem, de Beyrouth, au Nahr-el-Kelb, enfin, cà et là dans toute la chaine du Liban. Recueillie également dans le Péloponèse, ainsi que dans l'ile de Syra. HELIX OBSTRUCTA. Hezix ossrrucrTa. Férussac, Tabl. syst., p. 69. 1821. IRC. Fér., loc. cît., p. 43, n° 256. 1821. —1 1,8%: L. Pfeiffer, in : CnEMN., éd. 2. — Helix, n° 628,t. XCVIIE, f. 4-3. Cette petite espèce a de grands rapports avec l'Æ/elix carthusiana de Müller; mais on Ja distinguera de ce mollusque à la déviation rectiligne de son dernier tour de spire, qui recouvre presque totalement son ombilic. M. de Saulcy a rencontré F Obstructa aux environs de Tyr, en Syrie: HELIX TURBINATA. Heux TurRBINATA'. Jan, Mantiss., p. 2. 1832, — VIRLETI ... Férussac, in Mus. Paris. — CANDIOTA... Frivalsky, in Sched., Rossm. (Teste L. Pfeiffer). Cette Hélice, découverte dans Pile de Syra, par Spratt et Forbes, a été également rencontrée dans cette ile, ainsi qu'aux environs de Jérusalem, par M. de Saulcy. Cette espece est très-abondante dans Pile de Crète. (Raulin.) HELIX SEETZENI. Heuix sEETZENI, Koch, in : Zeitschrift für Malak., p. A4. A847. — sABÆa... Boissier, Mss. — Charp., in : Zeitschr. für Malak., p. 132. Sept. 4847. Cette Hélice habite les environs de la mer Morte, à Belad-Haçaca, au Ghor, vis-à-vis louad Katsrabba, au Ghor-En-Nemaireh, à Mar-Saba, à l'ouad Eddraà, ainsi qu’à Pouad Beni-hammad. Cette espèce est tres-répandue dans toutes ces localités, elle offre ordinairement deux variétés de coloration assez constantes ; elle est ou tout à fait blanche, ou fasciée à l'instar de l’/elix sünulata. On distinguera la $Seetzeni de cette dernière coquille à sa perforation ombilicale qui est excessivement rétrécie, et surtout à son dernier tour de spire qui est tres-ventru. 4. Non, Jelix turbinata (Nanina), Beck, Ind. Moll., p. #, n° 20, qui est une espèce de Tranquebar. — Nec, Helix turbinata, Deshayes, in : Encycl. méth. n, p. 265, n° 150, qui est l’Helix coniformis (Helicostyla), de Férussac, Tabl. syst., n° 321. 1824. oi HELIX PISANA. HeLrx pisana "........ Müller, Jerm. Hist., 11, p. 60, n° 255. 1774. — ZONARIA?...... Penn., Brit. Zool., 1v, p. 137, tab. 85, f. 133. 1771. — PETHOLATA..... Olivi, Zoo. Adriat., p.178. 1792. — CINGENDA...... Mont, Test. Brit. p. 418, tab. 24, f. 14.1803. — RHODOSTOMA.... Drap., Hist. nat. Moll., p. 56, t. V,f. 13-15. 1805. — STRIGATA %..... Var., Dillw., Descript. Cat., p. 911. 1817. THEBA EINGENDA....., Leach, Bril. Moll., p. 92. 1820. HELIX pisaNa......... (Helicella), Fér , Tabl. syst., p. 45, n° 290. 4821. MHEBA Id... RISsO 752.00. IV, D 072 AB26: Heuix sarpoA ........ Ziégler, ex: Menke, Synops., p. 23. 1830. CAROCOLLA MACULATA*. Menke, Synops., p. 25. 1830. XEROPHILA PISANA..... Held, in : Zsès, p. 913. 1837 5. Cette espèce est très-répandue dans toute la Syrie, on la rencontre vivant avec les Helix simulata, variabilis, etc., des auteurs. M. de Sauley a en outre rapporté ce mollusque du Péloponese, des iles de Rhodes, de Syra, et enfin, des environs de Larnaca, en Chypre. HELIX VARIABILIS. Heuix ERICETORUM 5... Chemn.. in : Wart.,1x, F. 119%, 1195? 1786. — VARIABILIS..... Drap., Tabl. d. Moll., p. 73, n° 8. 1801. — SUBALBIDA..... Poiret, Prodr., p. 83, n° 18? 1801. 1. Non, Helix Pisana, Chemnitz, in : Mart., 1x, p. 2, p. 139, t. CXXXIL, f. 4486, 1187, et Helix Pisana, Férussac, Hist., t. XXIX, A, f. 14-17? qui sont l’Helir varians, de Menke, Catal. Malsb., p.5. — Nec, Helix Pisana, Dillw., Cat. nu, p. 914, qui est l'Helix virgala de Montagu, Test. Brit, p. #15, t. XXIV, f. 4. 2. Non, Helix zonaria, Linn., Syst. nat., 64.12, p. 1245, n° 681, qui est une espèce des iles Moluques. — Nec, Helix zonaria, Chemnitz, in : Mart., 1x, p. 2, p. 440, t. CXXXIT, f. 4488, qui est l’Æelix zonalis, de Férussac (Helicella) Tabl. syst., n° 175. — Nec, Helix zonäria, Chemnitz, in : Mart. 1x, p. 2, p. 440, t. CXXXIT, f. 1189, qui est l’Helix coluber (planispira), de Beck, Znd. Moll., p.30. — Nec, Helix zonaria, Donovan, Nat. hist. of Brit” Shells. u, t. LXV, qui est l'Helix virgata de Montagu, Test. Brit., p. 415, t. XXIV, Î. 1. — Nec, Helix zonaria, Schranck, qui est l’Helix ericetorum, Müller, f’erm. Hist., 1, p. 33, n° 236. — Nec, Helix zonaria, var. À, Hartmann, p. 228, t. II, f. 8, qui est l’Helir zonata, Studer, Naturiwiss. Anzeig. A820, n. 11, s. 87. — Nec, Helix zonaria, var. B. Hartmann, p. 228, 1. Il, f. 9, quiest l’AHelix cingulata, de Studer, F'erz.. p. 14.— Nec, Helix zonaria, var. +, Hartmann, in : Neue alpina, 1, p. 228, t. I, f. 40, qui est l’Helix fœtens, Studer, Ferz., p. 14. — Nec, Helix zonaria, var. à, Hartmann, in : Neue alpina, 1, p. 228, qui est l’Helix cornea de Drap., Hist. nat., p. 110, t. VIE, . 1-3. 3. Non, Helix strigata, Müller, Z’erm. Hist. 1, p. 61, n° :56. — Nec, Helix strigata, Studer, qui est, d’après Pfeiffer, l'Hrlix caperata, de Montagu, Test. Bril., p. #30, t. XI, Ê. 11, — Nec, Helix strigata, var. B, Férussac, Hist.,t. LXVIT f. 8, qui n’est peut-être que l’elix strigata, Müller, précédemment citée, où plutôt l’Z/elix pla- norbella de Lamarck, An. s. vert., t. VI, 2 partie, p. 88, n°82. — Nec, Helix strigata, var. de Cantraine, Walac., p. 411, espèce qui se rapproche, où qui peut se rapporter : 1° A l’Helix Fontenillii, Mich., Bull. Bord. ur, p. 267, f. 13,14. — 2 À l’Helir alpina, Faure-Biguct (Helicella). — Férussac, Tabl. syst, n° 160. — 3° Ou à l’Aelix Ziegleri, Schmidt, Rossm., {con. nr, p. #, f. 154. 4. Non, Helix maculata, Müller, Ferm. Hist 1, p. 25, n° 227. — Nec, Helix maculata (carocolla), Anton, Verz., p. 40, n°1463, qui est une espèce des iles Baléares. 5. Il faut encore rapporter à l'Helix Pisana, les noms suivants : Helir Damascena, Parreyss. — ÆEuparypha rhodostoma, Hartmann. — Helix alboranensis, Webb et Berthelot, — Æelix albina, Müller? — /Zelix cinæ, Menke. — Helix Leucas, Linnæus? — Helix Pisana, Var. Rossm., Icon. x, p. 15, f. 614. — Helix Pisana, var. Chemn., éd. 41, Helix, t XXXVI, f. 1-42. — Helix albina, Ziégler. 6. Non, Helix ericetorum, Müller, F'erm. Hist.w, p.33, n° 236, qui est une espèce tout à fait distincte. — Nec, Helix ericetorum, var. Rossm., Zcon. vu, f. 518, qui est l’Helir instabilis, üe Ziégler, Pfeiffer, Symb. 11, p. 31. | 159 HÉLIX viRGATa !..... Mont., Test. Brit., p. 415, tab. xxiv, f. 1. 1803. — VARIABILIS..... Drap., ist. d. Moll., p. 84, tab. v,f. 41-12. 4805. — _PISANA %...... Dillw., Cat. 1, p. 944. 4847. — ZONARIAS...... Donov., Brit. Shells. 11, tab. Lxv. 4847. — ELEGANS ..... Brown, Wern. Trans. vi, p. 528. t. XXIV, f. 9. 4847. — DISIUNCTA..... Turt., Conch. dict., p. 61, f. 63. 4819. THEBA VIRGATA. ...... Leach, Brit. Moll., p. 93. 1820. Heuix moxitirera * .. Menke, Syn., éd. 2, p. 22. 1830. THEBA VIRGATA. ..... . Beck, /xd. Moll., p.14. 1837. — OBSOLETA °.... Beck, Ind. Moll., p. 14, n° 51? 1837. — MONILIFERA.... Beck, Znd. Moll., p. 43, n° 44° 4837. — CISALPINA...... Beck, Znd. Moll., p. A1, n° 16. 1837. XEROPHILA VARIABILIS, Held, in : Zsis, p. 913. 1837. HELIX VARIABILIS..... Var. Rossm., /con., vi, f. 356, C. 1837. — AGREABILIS .... Ziégler, in : Pfeiffer, Symb. 11, p. 64. 4842. — LINEATA 7..... . Olivi, Zoo!. adriat. Teste Beck, in : Pfeiffer, Symb. n, p. 97. 4842. — PYRAMIDALIS ... Hartm., in : Pfeiffer, Symb. 11, p. 97. 1842. — MENkEANA ... Stentz, in : Pfeiffer, Symb. 11, p. 88. 1842. — MULTIFARIA ... Ziégler, in : Pfeiffer, Symb. 11, p. 89. 4842. — VARIABILIS. .... Var. Pfeiffer, Symb. ur, t. VI, Ê. 10. 4846. Cette espece est tres-abondante dans toute la Grèce, le Péloponese, les iles de Rhodes, de Syra, etc. Nous ne la connaissons pas de Syrie. Aussi, Croyons-nous que c'est à tort que Férussac, dans ses 7abl. syst., p. 44 (1821), l'indique comme habi- tant ce dernier pays. 1. Non, Helir virgata, var. Jeffreys, qui, d’après Beck, serait l'Helix maritima de Drap., Hist. Moll., p. 85, t. V, f. 9, 40. 4805. 2. Non, Helir Pisana, Müller, Verm. Hist., 1, p. 60, n° 255, qui est une espèce différente. — Nec, Helix Pisana, Chemn., in : Mart.ix, p. 2, p. 139, t. CXXXII, f. 4186-87, qui est l’Helix varians, Menke, Catal. Moll., p. 5. 3. Non, Helix zonaria, Linn. — Nec, Helix zonaria, Chemn., p. 2, p. 440, t. CXXXIT, f. 4188. — Nec, Helix zonaria, du même auteur, p. 2, p. 440, t. CXXXIT, f. 1189. — Nec, Helix zonaria, Schranck. — Nec, Heliæ sonaria, var. À, Hartm. — Nec, Helix zonaria, var. B, Hartm. — Nec, Helix zonaria, var. y, Hartm. — Nec, Helix zonaria, var. à, Hartm.— Voir p. 27, la note 2, pour de plus amples renseignements. 4. Non, Helix elegans, Gmel., Syst. nat., 229, p. 3642, qui est l’Helix terrestris (trochus) de Chemnitz, in : Mart., 1x, P. 2,p. 47, t. CXXI, F. 1045. — Nec, Helix elegans, Flemning, qui, d’après Pfeiffer (Won. Hel. viv., t. [, p. 443) est l'Helir candidula de Studer, Syst. verz., p. 87. 5. Non, Helix monilifera, Webb et Berth., Syn., p. 315, qui est une espèce des îles Canaries. 6. Non, Helix obsoleta, Andrz. (Teste Krynicki), qui est l’Helix striata, Draparnaud, Hist. nat. Moll., p.106, t. VI, f. 48, 19. 7. Non, Helix lineata, Say, in : Philad. Journ. 1, p. 1, p. 18, p. 2, p. 373, qui est une espèce des États-Unis. 8. Non, Helix Menkeana, Pfeiffer, Symb. ad. Hist. Hel. viv. 1, p. 33, qui est une espèce de la Nouvelle- Zélande. 9. D'apres Rossmässler, Pfeiffer, ete., il faut rapporter à ces synonymes les divers noms qui suivent, ainsi : les Helix sionesta, Hartm. — Jstriensis, Még. — Decora, nebulosa, egregia, maculosa, obsoleta, festiva, pustu- losa, obesa, de Ziégler. — Meridionalis, mœsta, Ægypliaca, mixta, de Parreyss. — Filograna de Villa, etc. L. Pfeiffer, dans sa Mon. Hel, viv., t. 1, p. 458, range l’Helix striata de Brard (Hist. des cog. Paris, p. 36, tab. 11, 5, 6) parmi les synonymes de l’Æelix variabilis de Draparnaud. — Nous croyons que cet auteur commet ici une erreur, D'après sa description, en effet, Brard a voulu indiquer l’Helix striata, et non la variabilis, qui ne se rencontre pas aux environs de Paris. Du moins, dans nos courses aux alentours de cette ville, ne l'avons-nous jamais recueillie, tandis que nous avons vu la Sfriata abonder de tous côtés. 00) — HELIX SIMULATA. Heuix srMuLATA ‘. (Helicella), Férussac, Tabl. syst., p. 45, n° 289. 4821. — Savigny, Descript. de l'Égypte. — PI. de Mollusq., tab. 11, fig. 13! à Cette espèce ?, rapportée pour la premiere fois par Olivier, des environs d’Alexan- drie, en Égypte, se rencontre en Syrie, aux environs de Jérusalem, ainsi que sur les collines avoisinant la mer Morte. M. de Saulcy l'a également recueillie dans l'ile de Rhodes, HELIX CRETICA. Heuix crericA. Férussac, Tabl. syst., p. 45, n° 288. 1821. TueBa Id... Beck, Znd. Moll., p. 12, n° 35. 1837. Heux Id... L. Pfeiffer, in : Chemn. et Mart., éd. 11. — Heliæ, n° 233, t. XXXVII, f. 21, 22. Espèce trés-abondante dans la Grèce, les îles de Syra et de Rhodes. HELIX LAUTA. HELIX LAUTA...... Lowe, Faun. Mader. et Porto., in : Transact. of the Cambridge philos. soc. 1, p. 53, t. VL, f. 9. 4833. MHBBA MIA IS. 0... Beck, {nd. Moll., p. 12. 1837. HeLuix suBMARITIMA. Desmoul., in : Rossm., con. 1x, p. 8, f. 575. 1839. — variaBilis..… Var. submarilima, Terver, Teste Dupuy, Hist. Moll., ete., 3° fasc., p. 293. 4849. Cette espèce est très-commune dans l'ile de Chypre , aux environs de Larnaca, ainsi que dans les îles de Syra, de Rhodes, etc. HELIX MARITIMA. Heuix martTIMA,. Draparnaud, Hist. d. Moll., p. 85; n° 10, tab. v, f. 9-10. 4805. TBEBA Id..... Beck, nd. Moll., p. 12. 1837. — viRGATA... Var.5, Jeffreys (Teste Beck, loc cit.) HeLIx vaRIABILIS. Var. *, AUCT. PLER. Cette Hélice se trouve assez répandue en Grèce, aux environs d'Athènes, dans les îles de Corfou, de Syra, de Rhodes; enfin, elle se rencontre également en Syrie, çà et là dans toute la chaîne du Liban. La plupart des auteurs ont considéré cette espèce comme une simple variété de l'Helix variabilis de Draparnaud, A1. Non, Helix simulata, L. Pfeiffer, in : Chemn. et Mart., éd. 11. — Helix, ne 234, t. XXXVII, f. 23, 24, qui ne doit être autre chose qu’une variété de l'Helix Pisana, de Müller, Ferm. Hist. 1, p. 60, n° 255. — Nec, Helir simulata, var. y, de Férussac, Hist. des Moll., etc. 2. D’après Pfeiler, il faut rapporter à cette espèce l'Helix striatula, de Beck, Znd. Moll., p. 12, n° 32. 1837. (Non, Helix striatula de Linn., Müller, Gmelin, Fabr., Hartm., Gray, etc.) 3. Non, Helix virgata, Montagu, Test. Brit., p. 415, t. XXIV, f. 4, qui est l'Helix variabilis, de Draparnaud, Tabl. des Moll., p. 73, n° 8. 4801. 4. Non, Helix variabilis, de Draparnaud, Tabl. des Moll., p.73, n° 8. 1801, qui est une espèce distincte. are Cependant, la taille plus faible de la Mariténia, sa forme plus conique, sa carène un peu plus prononcée, sa perforation ombilicale plus étroite, enfin, la vivacité, et la dis- position souvent élégante de ses zones nous semblent être des signes suffisants pour la distinguer toujours de la Z’ariabilis de Draparnaud. HELIX ERICETORUM. Hezix ERICETORUM' .... Müller, J’erm. Hist. nu, p. 33, n° 236. 1774. — STRIATA®....... Müll., f’erm. Hist. 1, p. 38, n° 238. 1774. ( Zeste Beck, in : Pfeiffer, Mon. Hel.). — ALBELLA ® cesse Penn., Brit. zool. 1v, p. 132, tab. 85, f. 122. 1771. — ERICA..... ...... Da Costa, Test. brit., p. 83, tabl. iv, f. 8. 1778. —MNIVEAT ose Gmel., Syst. nat., 13° éd., 176, p. 3639. 1790. ZoNitEs ERICETORUM.... Leach, Syn. Moll., p. 104. 1820. HELIX NEGLECTA Ÿ...... Hartm., Syst. gast., p. 51, n° 53. 1821. HELICELLA ERICETORUM,. Risso, Hist. nat. 1v, n° 155. 1826. OxYcniLUus Id....... Fritzing., Sysé. verz., p. 100. 1833. THEBA IH HÉ#0D 0e Beck, Znd. Moll., p. 13. 1837. XEROPHILA Id....... Held, in: /sis, p. 913. 1837. HEr.ix Idees . Var. Alba. Charp., Cat. Moll., p. 42, t. 1, f. 48. 18375. Habite principalement les pelouses arides et exposées aux ardeurs du soleil des envi- rons de Constantinople, se rencontre également dans toute la Morée, les iles de Syra, de Rhodes, etc., ainsi qu'aux environs de Baalbeck. 4. Non, Helix ericetorum, Chemn. In: Wart. 1x, f. 1194, 95; espèce que Pfeiffer, dans sa Monographie des hélices place, avec un point de doute, parmi les synonymes de lYelir variabilis de Draparnaud. 1801. — Nec, Helix ericelorum, var. Rossm., Zcon. vu, fig. 518, qui est l’ÆJelix instabilis de Ziégler. Pfeiff., Symb. ad Hist. Hel. 11, p.31. 2. Non, Helix striata, Draparnand, Tabl. Moll., p. 91, n° 39. 4804, qui est une espèce différente. — Nec, Helir striata, Var. 1, Drap., qui est l’Helix limulata de Krynicki, Bull. mose. vtr, p. 433, IX, p. 201. — Nec, Helix striata (nanina) de Gray. In : Proced z0ol. soc. 1834, p. 59, qui est une espèce tout à fait distincte. 3. Non, Helix albella, Linn., Syst. nat., 64. 40, p. 768, qui serait, d’après Nilsson, de jeunes spécimens de l’'Helix rotundata de Müller. Ferm. Hist. n, p. 29, n° 231. — Nec, Helix albella, Drap , Hist. Moll., p. 113, t. VI fig. 25-27, qui est l’/Zelix explanata de Müller, Ferm. Hist.n, p. 26, n° 228. — Nec, Helir albella, Costa, qui, d’après Cantraine, serait l’Æelix cinctella äe Drap., Hist. Moll., p. 99, t. VI, f. 28. — Nec, Helir albella, Chemn. In: Mart., 1x, tk CXXVE, fig. 1105. — Nec, Æelix albella, Chemn. In : Mart. 1x, p. 1, p. 87, t. CXXVIT, f. 1106, qui est l'Helix ochroleuca (ILelicostyla), Fér., Tabl. Syst., n° 308. 1821. 4. Non, Helix nivea de Ziégler, Mus., Anton, l’erz, p. 37. 5. Non, Helix neglecta, Drap., Hist. Moll., p.108, t. VI, f. 12-13. 1805. Qui est une espèce différente. 6. Il faut encore rapporter à cette espece (Helir ericetorum, Müll.) les noms suivants : le Grand-Ruban, Geof- froy, Cog., p. 47, n° 13, 17607.— Les Aelir vindobonensis, (non, Helix vindobonensis, G. Pfeiff., Naturg. Deutsch, ui, p.15,t. IV, f. 6-7), Candicans (non, Helix candicans Ziégler), Homoleuca Alexandrina (non, Helix Alexandrina, Ehrenb.), de Parreyss. — L'ÆHelix Bathryomphala de Charpentier.—Les Helix Dubia, obliterata (non, Æelir obliterata, Fér.), de Hartmann.—L'Æelir cespitum (non, Helix cespilum, Drap., p. 109, t. VI, Ê. 14-15. — Nec, Caxrr. malac., p.120), de Studer. —L'Helix umbilicaris (non, Helix umbilicaris, Brumati, p.28), d'Olivi. — Les Helir trochlearis, obvia (non, Helir obvia, Hartm.—Neec, Jan), et Derbentina, d'Andrzejouski. —L'Helix rugosa, (non, /elix rugosa, Chemn., iX, pl. n, p.152, t. CXXXIIT, f. 4208. — Nec, Méz., Ziégl., Ant., Arad.), de Stentz. — l'Helix obvia (non, Helix obvia, Hartm., nec, Jan), de Ziégler. — L'Helix kusteri de Held, Wss. (Teste, L. Pfeiffer, 1853), etc., etc. = — HELIX KRYNICHIL. Heux Kaynicnir.. Andrzejowski, in: Bull. Mosc. vi, p. 434. 1833. — cesPiTuM... Var.? !, Fér., in : Bull 200ol., p. 21. 1835. —- BABONDUBIT. Parreyss, in : Anton, J’erz.,p. 37. 1839. — Kavniour.. L. Pfeiffer, in: Chemn., 2 éd. — Æelix, n° 240, t. XXX VIE, F. 1-3. — PALMARUM®, Parreyss, in Sched. (Teste L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv. suppl., p. 132, n° 671. 1853.) Cette Hélice est très-voisine de l Æelix cespitum de Draparnaud; mais elle s’en dis- tinguera toujours à sa taille constamment moindre, à son péristome qui est simple et à peine bordé, et surtout, à la forme toute particulière de son ombilic ; celui-ci, en effet, prend, en arrivant vers l'ouverture, une extension disproportionnée. M. de Saulcy a rapporté cette espèce de la Grèce, et des environs de Constan- tinople. HELIX NEGTIECTA. Heuix NeGLecrA®.... Drap., Hist. des Moll., etc., p. 108, t. VI, f.12-13. 1805. — 16 LÉSERSE (Helicella), Férussac, Tabl. syst. etc: n° 282. 1821. TaEeBA GLS E due Beck, Znd. Moll., ete., p. 13. 4837. XEROPHILA NEGLECTA, Held, in sis, 1837, p. 913. HELIX VARIANS ..... Stentz, ex : Lud. Pfeiffer, Symb. ad. Hist. 1, p. 76. 1841. — CLIVORUM..... Hartm., ex : L. Pfeiffer, Symb. ad. Hist. Hel. n, p. 71. 1842. — LUTEATA...... Parreyss,-in Sched. (Teste L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv. suppl., p, 132, n° 674. 1853.) Cette Hélice * a été rencontrée par M. de Saulcy aux environs de Xamilia, en Grece. HELIX ARENOSA. HELIX ARENOSA.. Ziégler. TueBa Id,.... Beck, 7nd. Moll., etc., p. 14. 1837. HER Id... Rossm., /con. vin, p. 34, fig. 519. 1838. Var. B. — DEJECTAS. Jan et Crist., in : Rossm., con. vint, p. 34, fig. 520. 1838. M. de Saulcy a rapporté cette Hélice de Naplouse, en Syrie. La variété B a été également recueillie en Syrie, ainsi qu'aux environs du monastère du Pentéli, près d'Athènes. 4. Non, Helix cespitum, Drap. Hist. Moll., p. 109, tab. vr, f. 44-15, espèce distincte. — Nec, Drap., loc. cit., tab. vi, fig. 16-17, figures que l'on doit rapporter à l'Helix ericetorum, de Müller, Ferm. Hist. n, p. 33, n° 236.— Nec, Helix cespilum, var. — Cantraine, Malac., p.120, qui est le Zonites Olivetorum (Helix) de Gmelin, Syst. nat., p. 3639, n° 470. — Nec, Helix cespilum, var. du même auteur, loc. cit., p. 120, qui est l'Helix fuscosa de ZLiégler, in : Rossm., Zcon. vin, p. 35. f. 523. 2. Non, Helir palmarum, Martmann, Erd und Süsswassergast. Bd. 1, t. XLVI, f. 1-2. 1840, qui est une espèce à rapporter à l’Helix sphærita, Hartm. Loc. sup. cit. Bd. 1, p. 147, f. 46, f 4-6. 1840. 3. Non, Helix neglecta, Hartmann, in : Sturm, Fauna, vi, n° 9, qui est l’Helix obvia (Helicella), de Hartm., Gaster.1, p.148, t. XLV. 4. Non, Helix varians, Menke, Catal. Malsh., p. 5, qui est une espèce différente. — Nec, Felix varians, Lié- gler (Teste Menke), ex : L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv., t. 1, p. 446, espèce qu'il faut rapporter à l’Helir ligata, Müller, Z’erm. Hist. 11, p. 58, n° 252. 5. Il faut encore rapporter à ces noms de synonymie, d’après Lud. Pfeiffer (Won. Hel. viv., t.1, p. 4#43.), l'Heli- cella varians de Risso, Hist. nat., etc., Nice... t. IV, p. 70, n° 154, 1826. 6. Non, Helix dejecta, Petit, in : Revue z0ol., 1842. p. 176, qui est une espèce différente appartenant au genre Streplaxis. — Ji — HELIX CAMPESTRIS. Hezix campesrris. Ziégler, in Sched. THEBA Id .... Beck, Znd. Moll., etc., p. 13. 1837. Henix pusruLaTA. Még. v. Mülhf. (Teste, Beck, loc. cit.). — PROTEA.... Ziégler, in : Rossm., Zconogr. vx, p. 34, f. 521. 1838. — oBviA'.... Jan, in Sched. (Teste, L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv., t. I, 2° fasc., p. 166. 1847). Cette espèce, recueillie jusqu’à ce jour dans les iles loniennes, notamment à Corfou, a été également rencontrée en Grèce, çà et là dans diverses localités, ainsi qu'en Syrie, à Souk-Ouady-Baradah. HELIX VESTATIS. Heuix vesrTaLIs. Parreyss, in Sched. — L. Pfeiff., Symb. ad Hist. Hel. 1, p. 40. 1851. Cette espèce, découverte pour la, première fois en Égypte, a été recueillie par M. de Sauley, à Beni-Hammad, près de la mer Morte. HELIX CAPERATA. LA GRANDE STRIÉE.. Geoffroy, Traité des cog., etc., p. 34, n° 5. 1767. HELIX STRIATA?..... Drap., Zabl. des Moll., ete., p. 91, n° 39. 4804. — CAPERATA .... Montag., Test. brit., etc., p. 433, €. IT, fig. 1. 1803. — STRIATA...... Drap., Hist. des Moll., etc., p. 406, n° 39, pl. vx, fig. 48-20. 1805. — CRENULATA®.. Dillw., 4 Desc. cat. of the recent Shells, etc., p. 895. 1817. — STRIGATA‘.... Studer, Syst. verz., etc., p. 87. 1820. THEBA CAPERATA.... Leach, Mo/l. syn., p. 97. 1820. XEROPHILA STRIATA. Held, in: Jsis, 1837, p. 913. Heuix TERGESTINA... Mégerle, ex : Rossm., /conogr. v et vi, p.28, n° 354. 1837. — OBESA Ÿ...... Ziégler, ex : L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. viv. 1, p. 96. 1842. — PULLULA ..... ZLiégler, ex : L. Pfeiffer, loc. sup. cit., p. 91. 1842. 4. Non, Aelir obria (Helicella), Hartm., Gaster. 1, p. 148, t. XLV, qui est une espèce différente, — Nec, Helix obvia, Andrz. (Teste Krynicki), qui, d'après L. Pfeiffer, (Wonogr. Hel. viv., t. 1, 2° fasc., p. 163) ne doit être autre chose que l’Æelix ericetorum de Müller, F’erm. Hist. n, p. 33, n° 236. 2. Non, Helix striata, Müll., Ferm. Hist. 11, p.38, n° 238, qui est une variété de l'Helir ericetorum, du même auteur. Loc. cit., p. 33, n° 236. — Nec, Helir striata, Var. Drap., Hist. des Moll., etc:, tabl. 6, fig. 21, espèce qu'il faut rapporter à l'Helix candidula de Studer, Syst. verz, p. 87. — Nec, Helix striata (Nanina), de Gray, in: Proceed. zool. soc. 1834, p. 59, qui est une espèce différente. 3. Non, Helix crenulata, Müller, Ferm. Hist. n, p. 68, n° 263. — Nec, Helix crenulata, Olivier, Foy. dans l'emp. ott.n, p. 40, t. XXXI, f. 5, (non, Müller), qui est l’Helix serrulata, Beck, {nd. Moll., p. 10. 4. Non, Helix strigata, Müller, F'erm. Hist. n, p. 61, n° 256, qui est une espèce différente. — Nec, Helix strigata, Dillwyn., 4 Desc. cat. 11, p. 911, qui est l’Helix pisana, Müller, J’erm. Hist. 11, p. 60, n° 255. — Nec, Helix strigata, var. B, Férussac, ist, t. LXVII, f. 8, qui, d’après Lamarck, doit être rapportée à l'Helix pla- norbella, Lam., An. s. v., p. 88, n° 82. — Nec, Helix strigata, var. CANTR. malac., p. it, qui doit être l’Æelix Fontenillii, Mich., in: Bull. soc., Linn. de Bordeaux 111, p. 267, fig. 13A4.—Nec, elix strigata, var. du même auteur, loc. sup. eit., espèce qu'il faut rapporter à l'Æelir alpina, Faure-Big., in: Fér., Tabl. syst., n° 160. — Enfin, nec, Helix strigata, autre variété du mème auteur (/oc. sup. cit.) qu’il faut rapporter à l'Helix Ziegleri de Schmidt, in : Rossm., Zcon. 111, p. #, f. 154. 5. Non, Helix obesa, Beck, Ind. Moll., p. 35, qui est une espece des Antilles. SE — Heuix oBsocera ‘... Andrz., (Teste Kryni.), in : L. Pfeiffer, Monogr. Hel. viv., ete., t. 1, p. 167. AS 47. — MERIDIONALIS ? Parreyss, Teste Dupuy, Hist. des Moll., ete. fase. 3e, p. 279, 1849. — POLYMITA®.... Parreyss, Teste Dupuy, loc. sup. cit., p. 279. 1819. Cette Hélice à été recueillie tres-abondamment dans l’île de Corfou, en Grece, et même en Syrie, dans les environs de Jérusalem. ‘ x «x x HELIX ERDELII. Heuix ERDELII. Roth, Moll. species, etc., D. 16, n° 24, pl. LÉ 4, 5, et 20. 1839. — Id... L. Pfeiffer. Monogr. Hel. viv., t. I, 1°° fasc., p. 105, n° 265. 4847. Cette charmante espèce, découverte par Roth, dans l’île de Rhodes, habite égale- ment les environs de Beyrouth ; elle y parait rare. HELIX PYRAMIDATA. HeELix PYRAMIDATA .... Drap., Hisé. Moll., p. 80, n° 4, tab. v, f. 6. 1805. — IKSeréone . (Helicella), Fér., Tabl. syst., p. 45, n° 298. 1821. THEBA IHéacésesse Risso, ÆHist. nat., 1v, p. 74. 1826. XEROPHILA PYRAMIDATA. Held, in : Zsès, p. 913. 1837. Heurx specrTagiLis $..,. Ziégler, Rossm., Zcon., v et vi, f. 349. 4837 7, M. de Saulcy a rapporté cette espèce de Corinthe, en Grece, ainsi que des environs de Constantinople. HELIX AMANDA. CAROCOLLA LIMBATA *. Pniz. en. Moll. Sic., t. 1, p. 137, t. VITE, f. 47. 1836. LEucocHROA LIMBATA. Beck, Znd. Moll., p.16. 1837. 1. Non, Helix obsoleta, Ziégler, espèce qu'il faut rapporter, d’après L. Pfeiffer (Mon. Hel. viv., t. 1, p. 158), à l'Helix virgata, Mont., Test., p. 415, t XXIV,f.1. 2. Non, Helix Meridionalis, Wood, Suppl. t. VIF, f. 42, qui est l’Helix ovum, Val. in : Humb., Foy zoo0l. 11, p. 240, t. LVIT, f. 1. — Nec, Helix meridionalis, Risso, Hist. nat., ete., Nice, t. IV, p. 76, n° 471, qui est une espèce différente. 3. Non, Helix Polymila, Beck, nd. Moll., p.13, n° #1, espèce différente. 4. Il faut encore ajouter à ces noms de synonymie, les suivants : Helix variegata de Friwalsky, Porro, etc., Theba tergestina de Beck, Ind. Moll., p. 12, n° 39, et, enfin, peut-être, l’Helix striatula, Müller, 7'erm. Hist. un, p. 24, n° 225. 1774. 5. Non, Helir pyramidata, var. Puis. Sicil., 11, p. 410, et Rossm. Zcon., xt, p. 3, f. 690, espèces qu'il faut rapporter à l’Helix Tarentina, Pfeif., Mon. Hel viv., t.1, p. #42. 6. Non, Helix spectabilis, Pfeiff., in : Proc. zool. soc., 1815, p. #1, et Helir spectabilis, var. Chemn., éd. 51, Helix, t. XXXIL f. 5, 6, espèces des îles Philippines. ; 7. Il faut encore ajouter à cette liste synonymique : les Helix agnata, arenaria, littoralis et sabulosa de Zi6- gler, ainsi que l’Heliæ Requienii de Jeniss., et le Theba Requienii, Beck, 1nd. Moll., p.11, n°7. 8. Non, Helix limbata, Drap., Hist. nat. Moll., p. 100, t. VI, f. 29, et Bradybæna limbata, Beck, Ind. Moll., p. 18, nec non, Fruticicola limbata, Held, in : Isis, p. 914, 1837, qui ne sont qu'une même espèce essentiellement distincte de l'Helix amanda (Rossm.). — Nec, Helix limbata, Kryn., Bu!l. Mosc., vi, p. 431, qui est l’Helix Ra- vergiensis, Férussac, in : Bull. z00l., 1835, p. 21. 5 = HELIX AMANDA... ... Rossm., /con., V1, p. 10, Î. 449. 1838. — Boissyi..... .. Terv., Cat.d Moll. alg., p. 24, t. Il, f. 13-45. 1839. CAROCOLLA AMANDA .. Villa, Disp. syst., p.19. 1841. Nous signalons comme localité nouvelle pour cette espèce de Sicile et d'Algérie, l'ile de Syra et les environs de Jérusalem. Les échantillons de cette Hélice, provenant de ces derniers pays, sont identiques à ceux que nous possédons des environs de Tlémecen, en Algérie. , HELIX LANGLOISIANA, Testa perforata, depressa, cretacea, omnino alba, supra crispato-rugellosa, infra striata; anfractibus 5 convexiuseulis; ultimo antice paululum vix descendente, rolun- dato, ac, obsolete carina mediana (ad aperturam evanescente), cincto; apertura obli- qua, rotundata ; peristomate intus albo-labiato, recto ac acuto; marginibus conniven- tibus; columellari paululum deflexo. Cette coquille crétacée, entièrement blanche, présente un test, orné en dessus de stries rugueuses et grossières, tandis qu'en dessous elles sont délicates et régulières. Ses cmq tours de spire sont convexes; le dernier, qui est arrondi, offre une marche spirale un peu descendante, et possède une carène obsolète, qui disparaît aux abords de l'ouverture, Celle-ci est tres-obliquefet arrondie; son péristome, intérieurement bordé, est simple et aigu; son bord columellaire seul se réfléchit un peu sur la perforation ombilicale. Ms ss ere secte : 6 millim. PONE Don eee . 9-10 Id. Cette Hélice habite les environs de la mer Morte; elle a été rencontrée notamment à Mar-Saba, et à l’ouad"Beni-Hammad. Elle est rare. Cette nouvelle espèce du groupe des Felix apicina*, costulata?, etc., ne peut être rapprochée d'aucun Mollusque de Syrie; de même, on ne peut la confondre avec les deux coquilles que nous venons de nommer; si la Langloisiana, en effet, possède, avec les Apicina, Costulata, etc., quelques rapports de facies, de ressemblance générale, elle en diffère totalement par tous ses autres caracteres particuliers. HELIX SYRENSIS. Hezix SERRULA *.... Férussac, Mss. { Teste Arth. Morelet). = | ESS Morelet, Descript. des Moll , etc., du Portugal, p.64, ne 12, pl. vin, f. 2. 4845. — syrensis".... L. Pleifler, Symb. ad. hist. Hel. nr, p. 69. 1846. — SETUBALENSIS. L. Pfeiffer, in : Zeitchrift für Malak., p. 88. 1850. 4. Lamarck, 4n. s. vert., vol. VI, 2° partie, p. 93, n° 402. (1822.) 2. Ziégler, in : Rossm., /Zcon., v et vi, 1837, p. 26, fig. 353. 3. Non, Felix serrula, Benson, in : Journ. as. soc., V, p. 352 (1836), espèce du Bengale. 4. L’Aelix argonautula de Webb (Syn. Mollusc., ete., insulas Canarienses, Appendix, p. 241, n° 3. 1833), et d’Alc. d'Orbigny (Holl., etc., des Canaries, p. 64, n° 60, pl. 11, fig. 13-18. 4839), ne serait-elle pas la même espèce que la Syrensis ? Re Cette singulière et charmante Hélice habite diverses contrées fort éloignées les unes des autres. D'abord, en Portugal, M. Arthur Morelet l’a rencontrée sur les collines rocheuses qui s'élèvent au nord de Sétubal, sur le bord de la mer ". Elle a été recueillie ensuite par M. Forbes, dans l’île de Syra, et, en dernier lieu, par M. de Sauley, aux environs de Beyrouth, ainsi que dans la chaine du Liban. Cette espèce est très-abondante dans les lieux arides et exposés aux ardeurs du soleil. HELIX DESPREAUXII. Heuix Despreauxit. Alc. d'Orbigny, Moll..... Canaries, ete., p. 65, t. IT, f. 21-23. 1839. OseLus PrEauxIt.. Hartm., £rd-und Süsswassergast. 1, p. 158, t. LIT, f. 1-3. 1840. Cette charmante espèce, rencontrée pour la première fois dans les îles Canaries par MM. Webb et Berthelot, a été recueillie par M. de Saulcy, aux environs de la mer Morte. Elle y paraît tres-rare. Les échantillons de cette Hélice, que nous avons examinés, sont identiques à ceux décrits par M. Alcide d’Orbigny, sauf pourtant cette différence que nous devons signa- ler, la carène supérieure de nos individus de Syrie est un peu moins prononcée et moins garnie de tubercules. HELIX CONOIDEA. Heuix coxotpea ©... Drap., Tabl. des Moll.,ete., p. 69, n° 4. 4801. — soLiTARIA®... Poiret, Coq. fluv ,etc., p. 85. 1801. — coNoibEA.... (Cochlicella), Fér., Tabl. syst., ete., p. 52, n° 375. 1821. ——IFIBULANE --.. Wood, Suppl., t. VIE, f. 66. 1828. Buzimus coNoipeus. Jan, Catal., p. 4. 1832. Heuix rurBina..... Küster, in i{t., Teste Rossm., /con., v et vi, p. #1. 1837. THEBA coNoineA.... Beck, /nd. Moll., etc., p.11, n° 6. 1837. OBELUS conorneus.. Hartm., £rd-und. Süssw. Gaster.1, p. 159. 1840, Buzimus socrrarius. L. Pfeiffer, Symb. 11, p. 122. 1842. Cette espèce habite cà et là dans la Grèce; M: de Saulcy Pa recuéillie dans les envi- rons d’Athenes. HELIX ACUTA. HET A CUDA PER eo Müller, Z’erm. Hist. 11, p. 100, n° 297. 1774. TunBo FAscIATUS......... Penn., Brit. zool., 1v, p. 131, t. LXXXII, . 149. 1776. 4. Morel., Descr. Moll. du Portugal, p. 62. 2. Non, Helix conoidea (Sowerby), qui est une espèce fossile. 3. Non, Heliæ solitaria, Say, in : Philad. Journ. 1, p. 157, qui est une espèce différente. — Nec, Helix solita- ria, Prunn, qui serait peut-être, d’après L. Pfeiffer (Mon. Hel. viv., t. 1, p. 447), l'Helix marmorata de Férus- sac, Tabl. syst., n° 63. 1821. 4. Non, Helix fibula (Carocolla), Broderip, in Sched., Reeve Conch. syst. un, t. CLXVII, f. 5, qui est une espèce différente. 3. Non, Helix acuta, Lam., Encycl. méth., t. 462, t. 1, qui est l’'Helix Lamarcki de Férussac, Tabl. syst., n° 129.—Nec,Helix acuta, Quoy et Gaimard, 4strol. nu, p. 98, t. VIL, Ê. 1-4, qui est l'Helix grata (Carocolla) de — 36 — Heux cRerAcEA! ....... Chemn., in: Mart. und Chemn. syst. conchyl. 1x, p. 2, p. 190, t. CXXXVI, f. 1263, n° 4, 27 1786. Buzmus acurus.......... Brug., Encycl méth. 1, p. 323, n° 12. 1789. HeLix BIFASCIATA ? ...... Pult., Cat. of the birds, Shells, ete., of Dors, p. 49. 1799. Buzmus VARtABILIS....... Hartm.,in : Sturm, Fauna. vi, n° 42. A815. ELISMA FASCIATA 17. Leach, Brit. Mo/l., p. 109. 1820. Heux acuTa............. (Cochlicella), Fér., Tabl. syst., p. 56, n° 378. 1824. CocnLicELLA MERIDIONALIS. Risso, Hist. nat., etc., t. IV, p. 78, n° 175. 1826. — TurRITA..... Risso, Hist.nat., etc.,t. IV, p. 78, n° 176. 1826. BULIMUS FASCIATUS ...... Turt., Man., éd. 1, p. 84, f. 67. 1834. — venrricosus © ... Turt., Man., éd. 1, p. 84, f. 69. 1831. COCHLICELLUS ACUTUS..... Beck, nd. Moll., p. 63, n° 8. 1837. LONGÆVA TURRITA ....... Mühlf., ex : Rosem., /con., v et vi, p. #2. 1837. HELIXACUTURA EN - eee .. Ziégl., ex : Rossm., Zcon., v et vi, p. #2. 1837. LYMNÆA FASCIATA.... ... Flem., Edinb. Enc., ex : Gray's Turt. Man., p. 145. 1840. Espèce 5 trés-abondante en Grèce, dans les îles de l'Archipel, à Chypre, à Constanti- nople, sur les murs et les pelouses exposés au soleil. M. de Saulcy l’a également recueillie en Syrie, à Souk-Ouady-Baradah. GEevne BULIMUS. BULIMUS DECOLLATUS. HELIX DECOLLATA..... Linn., Syst. nat, éd. x, p. 773, n° 608. 1758. — IEEE so Id. éd. x11, p. 1247. 4767. Buzimus pecozLaTus.. Brug., ÆEncycl. méth., t. 1, part. 1re, 326, n° 49. 1789. Heux pecoLLarTa..... (Cochlicella), Fér., Tabl. syst., p. 52, n° 383. 4821. Michelin, in : Guér., Mag., t. IX. 1831.—Nec, Jelix acuta,Da Costa, Test. Brit., p. 55, t. IV, f. 9, qui est l'Jelix lapicida de Linnæus, Syst. nat., éd. x, p. 768.—Nec, Helix acuta, Webb et Berthelot, Syn. Canar., p. 317, qui est le Bulimus ventrosus (Helix) de Férussac, Tabl. syst., n° 377. A821. — Nec, Helix acuta, Chemn., in : Mart.,1x, t. CXXXIV, f. 1224, n° 1-2, qui est le Bulimus (Helix) de Gmelin, Syst. nat., p. 3668, n° 252. — Nec, Helix acuta (Cochlitoma), Férussac, Hist. Moll., t. CXXIV, A. f. 2, qui est l'Achatina acuta, Lamarck, An. s. vert, 5, p. 129. - 4. Non, Helix cretacea, Born., Test. mus. Cæs. T'ind., p. 376, t. XVI, f. 1-2, 1780, qui est l’Æelix nemorensis de Müller, /'erm. Hist.w, in /nd. 2. Non, Helix (Trochus) bifasciata, Burrow, Elem., t. XXVIT, f. 2. — Nec, Helix bifasciata, L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. n, p.24, qui est l’Helix Hägeli, Pfeiffer, Symb., etc. nt, p. 31. — Nec, Helix bifasciata, var. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel.n, p. 24, qui estl'Helix (Carocolla) fibula de Broderip, in Scked (REEVE, conch. syst. u, t. CLXVII, f. 5. 3. Non, Bulimus ventricosus, Drap., Hist. des Moll., p.68, n° 9, qui n’est autre chose que le Bulimus (Helix) ventrosus de Férussac, Tabl. syst., n° 377. 1821. 4. Non, Helir acutula. Férussac, Tabl. syst., p. 2, n° 249. 4824. 5. J1 faut encore rapporter à cette Hélice, comme noms de fausse synonymie, les dénominations suivantes : le Bulimus articulatus, Lam. An. s. vert., p. 124. — Les Cochlicellus maroccanus, Beck, Ind. Moll., p. 63, n°5, et Cochlicellus articulatus du même auteur, au n° 3 du même ouvrage. — Le Turbo turricula maroccana, Chemn. xt, p. 280, t. CCIX, f. 2063, 64. — Le Bulimus littoralis, Brumati, Monf., p. 34, f. 9. — Le Bulimus turritella, Andrz., Kryn., im: Bull. Mosc. Ni, p. #15. — Les Bulimus acutulus et ambiquus de Ziégler (in : Pfeiff., Monogr. Hel. viv., vol. I, p. 215). — Enfin, le Bulimus maritimus de quelques collections de France.— (Non, Lam. 4n.s. vert., éd. Desh., 64, p. 250.) > BuLIMUS DECOLLATUS.. Hartm., in S/einm. Neue alpina, 1, p. 223. 1821. RUMINA DECOLLATA ... Risso', Hist. nat., ete., t. IV, p. 79, n° 178. 1826. OreLiscus DECOLLATUS. Beck, Znd. Moll., p. 61, n° 4. 1837. Bucimus TRUNCATUS * . Ziégler, in : Dup., Hist. nat. des Moll. terr. et fluv. de France, 3° fasc., p. 322. 1849. Ce singulier Bulime, caractérisé par la troncature constante de son sommet, a été fréquemment rencontré par M. de Sauley, en Grèce, et surtout à Syra, ainsi que dans plusieurs autres îles de l'Archipel. Cela devait être, car c’est une de ces espèces que nous pouvons appeler méditerranéenne, parce qu'elle se montre dans presque toutes les contrées avoisinant cette mer intérieure, En France, en Espagne, en Italie, en Sicile, etc., et surtout en Algérie, où elle atteint les plus belles proportions. Nous avons comparé les individus provenant du sud-est de l'Europe avec ceux trouvés dans sa partie occidentale, et nous n'avons remarqué entre eux aucune diffé- rence, si ce n’esl que les premiers sont d'une taille moitié moindre que les derniers. BULIMUS FASCIOLATUS. BuLiImus FAsCIOLATUS... Olivier, 7oy. d. l'emp. ott. 1, p. 416, t. XVII, f. 5. 1804. HELIX FASCIOLATA ..... (Cochlogena), Férussac, Tabl. syst., p. 53, n° 391. 1821. PUPA FASCIOLATA ...... Lamarck, 4n.s. vert. t. VI, 2 partie, p. 407, n° 8. 4822 BREPHULUS FASCIOLATUS. Beck, /nd. Moll., p. 72, n° 4. 1837. LEBRINA FASCIOLATA.... Held, in sis, 1837, p. 917. Buuimus EBURNEUS ..... L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. 11, p. 44. 1842. — UNicoroR*.... Andrz. (Tes/e L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv.,t. Il, p. 123. 1848.) — FAUX NIGRA... Parreyss, in Sched. (Teste, L. Pfeiffer, Monogr. Hel. viv., t. I, p. 123. 1848.) — EBURNEUS *... Lov Reeve, ConcA. iconica, Bulimus, pl. Lxt, Sp. 418. Jan. 4849. Ce Bulime présente ordinairement deux variétés : la première est colorée de flam- mules jaunätres où brunâtres, la seconde est entièrement d’un blanc d'ivoire. Dans le premier cas, c’est le Fasciolatus d'Olivier ; dans le second, l’£burneus de L. Pfeiffer. Cette espèce, recueillie par Olivier dans les îles de Crète, de Rhodes, etc., habite également les environs de Jérusalem. M. Langlois, qui vient d'explorer ces contrées, l'a aussi rapportée de Goudbé, près de Tarsous, en Anatolie. BULIMUS LABROSUS. 242, BuziNus LABrosus . Olivier, Foy. d. l'emp. oltom. t. I, p. 222, pl. 34, f. 40, A. B. 1804. HELIX LABROSA..... (Cochlogena), Férussac, Tabl. syst., etc., p. 55, n° 419. 1824. 1. Il faut rapporter encore à cette espèce l'Orbitina truncatella, Risso, Hist, nat. Nice, t. IV, p. 82, f. 21, 22, ainsi que l'Orbilina incomparabilis du même auteur, Hist, nat., etc., p. 82, t. IL, f. 23. 1826, espèces formées par Risso sur des individus non adultes du Bulimus decollatus 2. Non, Bulimus truncatus, L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel., 1, p. 43, qui est une espèce du Mexique. 3. Non, Bulimus unicolor, Sowerby, in: Proced. zool. soc.. p. 73, 4833, qui est une espèce différente. 4. Non, Bulimus eburneus de Lovel Reeve, Conch. iconica, n° 74, t. XIII, qui est le Bulimus politus du même auteur (Conch. icon., etc., in corrig.). 5. Non, Bulimus Labrosus, Küster, in Chemn. Bul., t. 18, f. 1, 2, qui est le Bulimus Fragosus (Helix), de Férussac, Tabl. syst, n° #21. — Nec, Helix Labrosa, Wood, Suppl., t. VII, f. 69 (1828), qui est l’Helir Alepi (Cochlogena) de Férussac, Tabl. syst., p. 55, n° 418 (4821). PuUPA LABROSA...... Lamarck, 4n. s. vert , vol. VI, 2° partie, p. 106, n° 5. 4822. BuLIMINA LABROSA .. Ehrenberg, Symb. phys., etc., Moll. 1831. BuLimiNus LaBrosus. Beck, /nd. Moll., ete., p. 69, n° 5. 1837. Pupa canpina...... Küster, in Chemn., etc., 2° éd. Pupa, p. 69, t. IX, f. 6-7. 184... Burimus J0RDANt ‘.. Boissier, Wss. In : Charp , in : Zeitschrift für malak., ete., p. 141, sept. 1847. Cette espèce, remarquable par sa spire obtuse, sa forme cylindrique, et surtout par son péristome évasé et réfléchi, habite les vignes et les jardins de la Syrie, où on la ren- contre principalement aux endroits ombragés, et à l'abri du soleil. MM. Olivier?, Martin, Boissierf, ont déjà fait connaître plusieurs localités de cette contrée habitées par ce Bulime ; quant à M. de Saulcy, il l’a trouvé aussi dans les envi- rons de Beyrouth, et en outre au Nahr-el-Kelb, aux environs de Jérusalem, à Sebbeh, dans le Ghor, vis-à-vis l'ouad Katsrabba, et enfin à l'ouad Beni-Hammad. BULIMUS ALEPI$. HELIX. ALEPI ....... Cochlogena Férussac, Tabl. syst., p. 55, n° 418. 1821. — LABROSA. .... Wood, Znd. Test. et Suppl., éd. 11, t. VII, F. 69. 1828. BuLrMINUS ALEPI.... Beck, /nd. Moll., p. 68, n° 4. 1837. Burimus HALEPENSIS. L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. 1, p. 45. 184. — ALErr..... Lov. Reeve, Conch. icon. Bul., pl. Lx, f. 413. 1849. D'après Wood et Charpentier, ce Bulime ne serait qu’une variété plus petite du pré- cédent ©, nous ne pouvons partager cette opinion. Nous croyons, avec L. Pfeiffer, que l'Alepi, bien qu'ayant quelques rapports avec le /abrosus, est cependant une espèce distincte. En effet, on le reconnaitra toujours à sa taille constamment moitié plus faible, à son test moins obtus, à son dernier tour de spire plus court, à son ouverture plus arrondie, à son labre moins réfléchi, enfin, aux bords de son péristome plus rapprochés l’un de l'autre. | Pour notre part, nous avons examiné un grand nombre d'échantillons provenant de Syrie, et toujours nous avons reconnu comme un fait constant, les caractères que nous venons de signaler. Le Bulimus Alepi qu'Olivier a rapporté des environs d'Alep, au lieu dit /a Coupe, à une demi-lieue de la ville7, se rencontre encore en Syrie dans toute la chaine 4. Nous placons en synonymie le Bulimus Jordani de MM. Boissier et Charpentier, comme n'étant en réalité qu’une variété à forme plus grande et plus ventrue du Bulimvus Labrosus d'Olivier. En effet, parmi les nombreux individus que nous avons été à même d'examiner, il existait des nuances intermédiaires tellement insensibles de l'un à l’autre, qu'il nous à été impossible de reconnaitre entre ces deux espèces une véritable ligne de démarcation. 2. Côte de Syrie, Baruth (Beyrouth), sur les murailles, dans les vignes et les jardins. (Oliv., Foy. d. l'emp. ott., t. IL, p. 222. — Fér., Tabl. syst, p. 55, n° 419). 3. Sur les rochers des environs de Seyde (Sayxpa.) Comm. D. MarriN. (Fér., Tabl. syst., p. 55, n° #19). 4. Environs de Banias, près des sources du Jourdain, Comm. Boisster. (Charp. in Zeitschr. f. malak., p. 1 sept. 1847). 5. Nous conservons à ce Bulime la dénomination d'4lepi, faute de ne pouvoir adopter celle d'Halepensis, pro- posée par L. Pfeiffer, et qui ne vaut guère mieux. 6. Il se rapproche aussi beaucoup du Bulimus carneus, Pfeiffer, in Phil. Icon. u, 12, p. 444, t. IV, Ê. 5, espèce de Lycie. — On distinguera surtout le Bulimus carneus de l'Alepi, à son ouverture plus grande, plus dilatée, et aux bords de son péristome qui sont plus distants l’un de l'autre. H, 7. Férussac, T'abl. syst, p. 55, n° #18. 1821. 0 du Liban, de l'Anti-Liban, à Aïn-Djedi, à Sebbeh, à Belad-Haçaca, aux environs de Jérusalem, de Baalbeck, etc., enfin, sur les coteaux avoisinant la mer Morte, où il est assez abondant. M. de Saulcey a recueilli au monastère du Pentéli, en Grèce, plusieurs échantillons de ce Bulime parfaitement identiques à ceux de Syrie. à BULIMUS SYRIACUS. Buuimus syriacus. L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. 111, p. 88. 1846. — Id... L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv., vol. IL, p. 66, n° 167. 1848. _ Id... Lov. Reeve, Conch. Icon. — Bulimus, pl. 1x, f. 406. 4849. Cette espèce habite la Syrie; elle est très-répandue aux environs de Jérusalem. BULIMUS SIDONIENSIS. HEuX sIbonIENSsIs .... (Cochlogena) Fér., Tabl. syst., p. 56, n° 426. 1821. Bccimixus siboniensis. Beck, /nd. Mol., p. 71, n° 47. A837. BuzImus SsIDONIENSIS .. Charp., in : Zeitchr. für Malak., p. 141. Septembre 1847. Pupa Burimoines ! ... L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv., L. I, p. 308, n° 49. 4848. BuLimus siponiEnsis .. Lov. Reeve, Conch. 1con., pl. Lxur, f. 433 41849. Ce Bulime à été recueilli aux environs de Beyrouth, de Jérusalem, ainsi qu'à l'ouad Feraoum, sur le lac Samachonites. M. de Saulcy l’a en outre rapporté du monastère du Pentéli, en Grèce. BULIMUS OBESATUS. Heurx o8Esara ... (Cochlogena), Fér., Tabl. syst., p. 58, n° 451. 1821. Buzimus oBesatus. Webb et Berthelot, Synops. Moll. terr.et fluv., p. 318. 1833. Masrus oBEsus ,.. Beck, /nd. Moll., p. T3, n° 3. 1837. Buzimus oBesarus. Lov. Reeve, Conch. icon. Bull., pl. Lxx, n° 504. 1849. Lorsque Webb et Berthelot recueillirent cette jolie espèce dans les îles Canaries, ils la crurent nouvelle; mais Férussac la connaissait déjà depuis longtemps. Elle lui avait été communiquée des environs de Beyrouth par Olivier, et de Sayda en Syrie par Mar- tin ?; depuis encore, on l’a rapportée de Gomer. Aujourd’hui, nous avons à signaler deux nouvelles localités où l’on peut la rencon- trer, la chaine du Liban et le Péloponèse, où M. de Saulcy l’a recueillie lors de son passage dans ce pays. Ainsi qu'on le voit, ce Bulime habite des contrées fort éloignées les unes des autres ; et cependant, de quelques pays qu'ils viennent, les échantillons de ce Bulime, consi- dérés dans leurs formes, n'offrent aucune différence. Il est à noter pourtant que les individus trouvés en Syrie et en Grèce sont constamment recouverts d’un épiderme noir olivätre, tandis que ceux que l’on rencontre à Gomer et aux îles Canaries, sont à peine colorés d’une légère teinte cornée 3. 1. Non, Pupa bulimoides, de Michaud, qui est une espèce fossile. 2. Férussac, Tabl. syst., p. 58, n° 451. 1821. 3. Lovell Reeve, Conch. icon. Bulimus, pl. Lxx, f. 504, signale également cette différence de coloration, qui existe d’une manière si tranchée entre les individus des iles Canaries et ceux de Syrie. 0 — C’est évidemment à cette différence de coloration présentée par les Bulimes de ces provenances si distinctes, que l’on doit cette hésitation de la plupart des conchyliolo- gues, qui n'ont pu reconnaitre dans l’Æelix obesata de Férussac, le Lutimus obesatus de Webb et Berthelot. Après avoir examiné attentivement des individus de ces deux espèces, nous avons cru reconnaitre que c’est uniquement à l'influence des climats divers sous lesquels ils habitent qu'il faut attribuer cette variation dans leur coloration; et il ne nous a pas paru qu'une circonstance aussi accidentelle puisse suffire pour autoriser et justifier leur séparation; alors, du reste, qu'ils ne different en rien les uns des autres, quant à la forme et à tous les autres caracteres spécifiques. d BULIMUS DELESSERTI. Buumus DeLEssenti '. Bourg., Test. Nov.,etc., p.17, n° 1. 1852. Testa perforata, abbreviato-cylindracea, obeso-ventricosa, oblique arguteque stria- tula, nitidiuscula, fusco-cornea, vel, corneo-olivacea. Anfractibus 6-7 plano-convexis ; ultimo anfractu 1/2 longitudinis subæquante; apertura obliqua, semi-ovali; peristo- mate albo, intus labiato, reflexo ; margine columellari subrecto, dilatato; marginibus tenuissimo callo junctis. Cette nouvelle espèce, recueillie dans l'ile de Syra par M. de Saulcy, est ventrue, obèse et recouverte d'un épiderme d’une couleur olivätre, ou d’une teinte fauve cornée assez prononcée.” Ses six à sept tours de spire un peu convexes, sont obliquement striés avec la plus grande délicatesse ; aussi cette coquille a-t-elle un aspect lisse et brillant. Son ouverture est oblique, presque ovale, et bordée intérieurement d’un bourrelet d’un blanc d'ivoire. Le péristome est un peu réfléchi. Hauteur teutst A n het as RIRE RE ARE Re 12-13 millim. DiamMbré es ssl des samesitssandacuc st oode ee fe 7 Id. Parmi les nombreuses espèces qui enrichissent ce genre, nous ne pouvons rap- procher ce nouveau Mollusque que du Sulinus reticulatus de Lovell Reeve', avec lequel, à premiere vue, il a de grandes ressemblances. Mais, les différences qui existent entre ces deux Bulimes sont tellement sensibles, qu'apres le plus léger examen, la séparation de ces deux espèces devient très-facile. On distinguera, en effet, le Delesserti a sa coquille plus ventrue, plus obèse, à sa taille moitié plus petite, à son ouverture plus arrondie, et surtout à ses stries transversales, obliques et régulieres, dernier caractère que l'on ne remarque point chez le reticulatus, qui au contraire offre un test strié transversalement et longitudinalement. Aussi, lorsqu'on soumet cette coquille au foyer d’une lentille, apparait-elle grenue et treillissée. C’est sur ce signe caractéristique que Lovell Reeve a basé le nom de son espèce. 1. Conch. syst, etc … Bulimus..……. pl. LxIV, f. 443. ri BULIMUS PUPA. HELIX PUPA.......... Linnæus, Syst. nat., éd. x, t. 1, p. 773, n° 609. 1758, BULIMUS PUPA.......ee Bruguière, Encycl. méth. — Vers, t. 1, 2° partie, p. 349, no 89. 1792. — TUBERCULATUS. Turton, in : Zoo. Journ., vol. Il, p. 363, t. XIII, f. 4. 1826. — EMARGINATUS.. Deshayes, Moll., in : Expéd. Morée, t. TE, p.165, t. x1x, f. 13-45. 1836. PUPA PRIMITIVA ....... Menke, Synops. melh. Moll., éd. n, p. 34. 1836. Masrus EMARGINATUS... Beck, /nd. Moll, etc., p.73, n° 1. 1837. — TUBERCULATUS.. Beck, Znd. Moll., etc., p. 73, n° 2. 1837. M PUPA-- Rec Beck, loc. sup. cit., p. 73, n° 9. 1837. Buzimus Bagaucrr .... Anton, ferz. der conch., etc., p. 42, n° 1547. 1839. — LABIATUS ..... Ziégler, Mus. (Teste L. Pfeiffer, Mon..Hel. viv.,t. Il, p. 128. 1848.) PupA NORMALIS........ Menke, olim. (Teste L. Pfeiffer, loc. sup. cit., p. 128. 1848.) BuLiMus TUNETANUS.... Reeve, Conch. icon., n° 581, tab. Lxx1Ix. 1849. Les échantillons de ce Bulime que nous avons examinés sont identiques à ceux que nous possédons d'Algérie; seulement ils sont d’une taille moitié moindre. Cette espèce a été recueillie en Grèce, dans les environs d'Athènes. BULIMUS TRICUSPIS. CaonpruLa rricuspis . Beck, Zad. Moll., p. 87, n° 3. 1837. PupA BERGERI ....... Roth, Dissert., p.19. t. II, f. 4. 1839. — TRIDENTATA ‘ .. Anton, J’erz., p. 47, n° 1741. 1839. — TRICUSPIS....... Rossm., Zcon., xI, p. 9, f. 721. — 1842. Buzimus TRIDENTATUS. Parr., Pfeiff., Symb. ad Hist. Hel.,n, p. 52. 1842. — rricusris.... Pfeifl., Symb. ad Hist. Hel., 1, p. 123. 1842. — BERGERI..... Pfeiff., Symb. ad Hist. Hel., 1, p. 52. 1846. Ce Bulime a été recueilli par M. de Saulcy, aux environs d'Athènes et de Sparte, en Grèce; enfin en Syrie, aux environs de Beyrouth, au Nabr-el-Kelb, ainsi qu'à Naplouse, au Garizim. BULIMUS OVULARIS. BULIMUS OVULARIS ....... Olivier, f’oy. dans l'emp. ottom. 1, p. 225, t. XVII, f. 12. 1804. VERTIGO IHcsacocone Férussac, Tabl. syst., etc., p. 65, n° 9. 1821. PupA OVULARIS 2... Lamarck, An. s. vert., etc.,t. VI, 2€ partie, p. 408, n° 43. 1822. = 16H Bobonuaco Deshayes, Enc. méth., Vers. 1, p. 403, n° 5. 1830. CHONDRUS PUPOIDES...... Krynicki, in : Bull. soc. imp. Moscou. vi, p. 410. 1833. CyYcLoDoNTINA ovuLaris.. Beck, nd. Moll., p. 88, n° 9. 4837. PupA SEPTEMDENTATA 5... Roth, Mollusc. species, etc., Dissert. inaug., etc., p. 19, n° 5, tab. 11, f. 2. 1839. Burimus sEPrEMDENTATUS. L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. viv. 11, p. 57, 1846. 4. Non, Pupatridentata, Lam., An. s. vert. 7, p. 106, quiest le Bulimus Tournefortianus (Helix) de Férus- gac, Tabl. syst., n° 457. 1821. — Nec, Pupa tridentata, Brard, Hist. nat. Cog. Paris, p. 88, Lab. 111, f. 44, qui est le Bulimus tridens (Helix) de Müller, Ferm. Hist.,u, p.106, n° 305. 2. Non, Pupa ovularis, Kurr, in : Küster, in : Chemn., 2° éd. — Pupa, p. 10, tab. 1, f. 16-18, qui est le Pupa Kurrii, de Krauss, in : L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. 11, p. 54. 3. Non, Pupa septemdentala (Jaminia), Risso, Hist. nat., etc., de Nice, t. IV, Moll., p. 91, n° 241, 4826. 6 A Cette espece est très-abondante dans toute la Syrie, principalement au Nahr-el-Kelb, à Beyrouth, à Tyr, à Naplouse, à Jérusalem, etc., enfin, dans toute la chaine du Liban et de l'Antiliban. M. de Sauley l’a même recueillie en Grèce, aux alentours du monas- tère du Pentéli, près d'Athènes. Ce Bulime varie à l'infini, et, il existe entre chaque variété tant de nuances inter- médiaires, qu'avec toute la bonne volonté du monde, on ne peut admettre aucune d'elles au rang d'espèce. Voici, du reste, les principales variétés de ce mollusque : 1° Var. B. — 7Jesta minore, apertura quinque dentata. Præsertim prope Neapolim Syriæ, collecta fuit. 2° Var. C. — Testa elongata, apertura sexdentata. Passim. 3° Var. D. — Testa obeso-ventricosa, apertura sexdentata. Præsertim circa Berytum ac Hierosolymam urbem, frequens. 4 Var. E. — Testa elongata, apertura septemdentata. 1° Subvar. — B. Testa minore. Circa Berytum, Neapolimque Syriæ a el. de Sauley, ac, olim, prope Damascum in Syriæ vico quodam, dicto « Sasa » a el. Erdl et Roth, collecta fuit. 2° Subvar. C. — Testa majore. Passim in Syria; ac « in insula quadam parva OEnussarum, sita inter Chium et « Melænam promontorium ? », habitat. 5° Var. F. — Yesta maxima, apertura septemdenta, peristomate magis incrassalo. Passim in Libano, ac, prope Lycum Syriæ. BULIMUS SAULCYI. Buzimus Sauicyi. Bourg., Test. Nov., etce., p. 18, n° 2. Août 1852. Id... Bourg., Descrip. de quelques coquilles prov. de Syrie, in : Journ. de Conch., n° 4.15 févr. 1853, p. 73, pl. m, fig. 6. Testa sinistrorsa, subperforata, ovato-cylindracea, ventricosa, cornea, apice magis colorata, striatula præsertim ad suturam ; anfractibus 6-6 1/2 planiuseulis, regulariter crescentibus ; apertura semiovata, coarctata, septemdentata, vel sæpissime sexdentata ; dentibus parietibus superis ad plicam unicam confluentibus ; peristomate reflexo, labio albo, valde incrassato. Coquille sénestre, ovale-cylindrique, ventrue, recouverte d’un épiderme corné, assez foncé vers le sommet de la spire; ses six tours et demi, aplatis ou à peine convexes, s’accroissent assez régulièrement, et sont striés avec une grande délicatesse. Ouverture échancrée par la convexité de l’avant-dernier tour, semi-ovale et con- tractée; son péristome d’une couleur blanchître, réfléchi, fortement bordé à l’intérieur, 4. Roth, Mollusc. species, etc., Dissert. inaug., ete., p.19. = — présente des denticulations ordinairement au nombre de six; ces dents occupent les positions suivantes : deux, quelquefois trois, sur la convexité de l’avant-dernier tour, deux sur l'axe columellaire, enfin, deux autres sur la paroi aperturale. malotsie tel ele ein eieleheteiicietelelofcleicie io ete ietere 8 millim. do as tee Dnnielieleteletelrietetio ci nielcialie ciaese 0e Lite Ce Bulime a été recueilli en Syrie, non loin de Nazareth, en un lieu appelé dans le pays : Khan-el-Bedaouieh. 11 habite sous les pierres et sous les rochers. Cette espèce ne peut être rapprochée que ‘du Bulimus ovularis d'Olivier ; mais la seule différence que nous allons signaler suffira toujours pour distinguer ces deux mollusques. Le Saulcyi est constamment sénestre, tandis que lovularis est toujours dextre. GENRE GLANDEN A. GLANDINA ALGIRA. BuLIMUS ALGIRUS ..... Brug., Enc. méth., Vers. 1, p. 364, n° 410. 1792. PoLYPHEMUS STRIATUS. Montfort, Conch. syst. 11, p. 415. 1810. Heuix Poireri ....... (Cochlicopa), Férussac, Tabl. syst., p. 50, no 358. 1821. Buzimus Pormerr...... C. Pfeiffer, Naturg. Deutsch., etc. 1, p. 34,t. VII, f. 3-4. 1821. AcuaTiNA BorEeti..... Gray, in : Ann. of phil., new-ser. 1x, p. 414. 1825. PoLYPHEMUS ALGIRUS.. Jan et Crist., Calal., ete., p. 4. 1832. ACHATINA Poirerr .... Rossm., Zcon. 11, p. 48, f. 423. 1835. — ALGIRA ‘.... Deshayes, £rpéd. de Morée, Moll., p.165. 1836. GLanDiNA Id....... Beck, /nd. Moll., p. 78, n° 19.41837. — POIREMI... Beck, loc. sup. cit., p. 78, n° 20. 1837. ACHATINA CORNEA..... Brumati, Catal. sist. Montf., p. 35, f. 5. 1838. Cette Glandine habite le Péloponèse, ainsi que l'ile de Corfou. GLANDINA DELESSERTIT. ; GLANDiINA DELESSERTI. Bourg., Test. Nov., etc., p. 19, n° 4. Août 4852. Testa ovato-ventricosa, pellucida, nitida, fusco-cornea, confertim costulato-striata, præsertim ad suturam ; anfractibus 4 planiusculis, velociter accrescentibus; ultimo 3/4 longitudinis æquante ; apice obtusissimo; sutura argutissime costulata vel granuloso- marginata; columella arcuata, supra basim aperturæ elliptico-oblongæ angustæque abrupte truncata, peristomate acuto, simplice, tenuissimoque. Cette Glandine ventrue, pellucide, brillante, d’une couleur cornée, est striée avec une extrème délicatesse, surtout vers la suture. Les stries forment vers celle-ci une série de petites saillies qui, par leurs rapprochements les unes des autres, imitent parfaite ment une zone délicate de tubercules. Le sommet de cette coquille est tres-obtus; ses quatre tours de spire s’accroissent très-rapidement, de telle sorte que le dernier forme à lui seul les trois quarts de la hau- 4. Non, Achatina algira, var. B, Phil., Enum. Moll. Sic. 1, p. 441, espèce qu'il faut rapporter à l’4chatina dilatata de Ziégler. = teur totale ; sa columelle est fortement arquée et brusquement tronquée à la base ; son ouverture est elliptique; enfin, son péristome est simple et aigu. Hauteur ...... si Stsie ae sions Élaalere sta e titan dsl aie ee seecee (OUI. Diamètre......... retlette Ciostcisse éspteioe secret 10) AI Hauteurnde LOUverIUrE ss tiriacsrmeeonerpeseses eresiasie creer 1 NI: Cette nouvelle espèce habite les lieux ombragés de l'île de Corfou. La Glandina Delesserti ne peut être confondue avec aucune autre de son genre. On peut pourtant lui trouver de la ressemblance avec de jeunes individus de la Glan- - dina algira. Mais on la distinguera facilement de ceux-ci, à sa taille moins effilée, à son test plus ventru, à ses stries plus sullantes, à son ouverture moins oblongue, enfin, surtout, à son dernier tour de spire, qui, au lieu de s’abaisser vers l'ouverture, suitau contraire une marche ascendante. GENRE CLAUSILIA. CLAUSILIA CORRUGATA. Toro cornuGaTus ‘., Cheran., in : Mart. wnd., Chemn. 1x, p. 4, p. 120, t. CXIL, f. 964, 962. 4786. — BIDENS ?...... Var. +. — Gmel., Syst. nat., 13e éd., vol. I, p. 3609. 1790. BuLimus coRRUGATUS.. Brug., Enc. méth., 1. 1, p. 354, n° 95. 1792, = VOTERES e..e Oliv. f'oy. d. l'emp. ott., vol. T1, p. 447, n° 5, t. XVII, f. 6. 4801. HELIX CORRUGATA .... (Cochlodina), Fér., Tabl. syst., p. 62, n° 519. 1821. — TERES, 2e. . (Cochlodina), Fér., Tabl. syst., p. 62, n° 517. 1821. CLAUSILIA TERES...... Lam., 4n. s. vert., vol. VI, 2 partie, p. 414, n° 7. 4822. _ CORRUGATA. Lam., 4n. s. vert., vol. VI, 2° partie, p. 444, n° 5. A822. Les échantillons de cette Clausilie qui ont passés sous nos yeux, ont tous été recueillis dans le Péloponèse et dans l'ile de Syra. Nous regardons la Clausilia teres d'Olivier comme n'étant autre chose que le Turbo corrugatus de Chemnitz, espece, d’ailleurs, qui habite le même pays que la teres d'Olivier, En comparant, en effet, nos échantillons types du teres à la description mal- heureusement trop succincte du corrugatus de Chemnitz, et, avec la figure qu’il en donne 1. Non, Clausilia corrugata, Drap., Hist. Moll., p.70, t. IV, f. 14, qui est la Clausilia Draparnaldi de Beck, Ind. Moll., p. 91, n° 34. — Nec, Clausilia corrugata, Menke, Syn., 64. 11, p. 29 (ex parte), qui est la Clausilia macarana, Liégler, Mus. — Rossm., con. 11, p. 6, f. 97. — x, p. 22, f. 631, B. — Nec, Clausilia corrugata, Menke, Syn., etc. (ex parte), qui est la Clausilia Dalmatica, de Partsch, in Mus. Cæs. P’indob. — Nec, Clausi- lia corrugata? Gartner, Wett., p.21, qui ne serait peut-être que la Clausilia plicatula de Drap., Tabl. d. Moll., p. 64, n° 24. 2. Non, Clausilia bidens (Turbo), Linn., Syst. nat., éd. x, p. 767, n° 566. — Nec, Clausilia bidens (Helix) de Müller, J’erm. Hist. un, p. 116, n° 315, et Clausilia bidens de Drap., Hist., p. 68, t. IV, f. 5-7, qui ne sont autre chose que la Clausilia laminata (Turbo) de Montagu, Test. Brit., p. 359, t. IL, f. 4. — Nec, Clausilia bidens, var. C, Pfeifler, Naturg. 1, p. 62, t. VIL, f. 44, 45? qui doit être, d’après L. Pfeiffer, la Clausilia fimbriata de Müblfeldt, Mus. — Rossm., /con. 11, p. 11, f. 406? ainsi que la Clausilia bidens, var. de Scholtz, in : Zeëtschr. Î. Mal., 1845, p.103. — Nec, Clausilia bidens, B, Dyodon, de Hartmann, in Neue alpina, 1, p. 217, qui est la Clausilia dyodon de Studer, F'erz., p. 19. 3. Non, Clausilia teres, Delle Chiaje, Scac. cat., p. 16 (Teste Phil.), qui est la Clausilia cinerea de Philippi, Enum. Moll. Sic., t. 1, p.148, t. VIII, f. 24, ett. IL, p. 147. dans son ouvrage, nous sommes restés convaincus de l'identité de ces deux prétendues espèces. Du reste, c’est également l'avis de M. Deshayes. CLAUSILIA BOISSIERT. CLausiciA Borssrerr. Charpentier, in : Zeitchr. für Malak., etc., p. 142. Septembre 1847. — BIRUGATA. Parreyss, Cat., p. 4. (Teste Charp., Essai d'une class. nouv. d. Clausilies, in : Journ. de Conch., n° 4. 1852, p. 374.) La Boissieri habite les environs de Beyrouth, notamment au Nabr-el-Kelb, où elle est excessivement commune. CLAUSILIA COERULEA. HELIX COERULEA...., (Cochlodina), Férussac, Tabl. syst., p. 62, n° 520. 1821. CLAUSILIA COERULEA.. Rossm., Zcon. 11, p. 8, f. 99. 1835. — BIFURCATA. Deshayes, in : Férussac, Hist. Moll., tab. 163, f. 4. (Teste Charp., Essai d’une class. nat. d. Clausilies, in : Journ.de Conch., n° 4. 1852, p. 374.) Cette Clausilie, remarquable par son test bleuâtre, a été recueillie par M. de Saulcy, aux environs de Constantinople, ainsi que dans l'ile de Syra, et çà et là dans tout le Péloponese. Olivier, qui le premier a découvert cette espèce, l'avait rencontrée dans les îles de Santorin, de Naxie et de Scio. CLAUSILIA OLIVIER. CLausizia Ouivierr. Roth, Moll. spec., etc., Dissert. inaug., p. 21, n° 7, tab. 14, f. 7. 1839. M. de Saulcy a recueilli cette Clausilie dans lile de Rhodes. CLAUSILIA BIGIBBOSA. CLAUSILIA BIGIBBOSA. Charp., in : Zeëtchr. für Malak., ete., p. 143. Septembre 1847. — Idée Küster, in : Chemn., Conch., t. VIIL, fig. 49-24. Cette Clausilie, rapportée de Karaman, en Asie Mineure, par M. de Boissier, a été rencontrée par M. de Saulcy dans l'ile de Rhodes. CLAUSILIA MILLERT. CLausicrA Mizceri. Pfeiffer, in : Küster, in : Chemn., Conchy.— Clausilia, t. IX, f. 16-19. — Id... Charp., Essai d'une class. nouv. des Clausilies, in : Journ. de Conch. 1v. Déc. 1852, p- 375, n° 95. Cette Clausilie a été recueillie par M. de Saulcy dans les environs de Sparte, en Morée. CLAUSILIA ALBERSI. CLAusiLIA ALBERSI, De Charpentier, in Lit. — Id... Bourg., Test. Nov., etc., p. 20, n° 4. Août 1852. — Id... Charp., Essai d'une class. nouv. des Clausilies, in : Journ. de Conch. 1v, p. 374, n° 92, pl. x1, fig. 4. Décembre 1852. Testa vix rimata, fusiformi, subopaca, fusco-cinerea, argute albido-costulata ; spira regulariter attenuata; apice fusca, acutiuscula ; sutura albo-filosa ; anfractibus 11 vix convexinsculis; ultimo anfractu ruguloso, pone aperturam leviter constricto, basi bicristato; cristis albis, compressis, inferne confluentibus, a margine (1 1/2 millim. remotis ; apertura mediocri, ovali, intus albida; lamella supera valde compressa, stricta, infera flexuosa; plica palato una, supera; subcolumellari immersa; lunella distincta, leviter arcuata ; lamella spirali disjuncta ; peristomate undique soluto, expanso, acuto. Cette Clausilie, d’une couleur grisâtre , est très-élégamment ornée de petites côtes blanchâtres, sauf son sommet qui est lisse et d’un brun uniforme. Ses tours de spire, au nombre de onze, sont à peine convexes; le dernier est très-rugueux, et offre à sa base deux fortes arêtes com primées, qui se terminent brusquement à une distance d’un millimètre et demi de l'ouverture; celle-ci est ovale, blanchâtre et contractée ; sa lamelle supérieure est tres-comprimée, tandis que celle inférieure est flexueuse et contournée ; dans l’intérieur de la bouche, le pli palatal supérieur se laisse seul apercevoir, le columellaire étant immergé ; enfin, le péristome est détaché, continu et réfléchi de toutes parts. 5 HAUTOUR ane soso secs iraniens eee doses (AS millim. Diamètre. ......... Seleneenet cesse reset cet 3 4/2 Id. * Hauteur de l'ouverture. .................. SAN side 3 Id. Largeur de l'ouverture. .......... ororee ARTS EU Id. Cette espèce a été recueillie au Nahr-el-Kelb, près de Beyrouth, en Syrie, où elle habite avec les Clausilia Boissieri, Delesserti, strangulata, mœsta*, etc. Nous croyons tout à fait inutile de donner ici les rapports de l4{/bersi avec les Mol- lusques que nous venons de citer, car il existe entre ces espèces des différences trop sensibles pour qu’il soit possible un seul instant de les confondre . CLAUSILIA VOITHIT. Crausiia Vorran. Rossm., /con. 1v, s 11, f. 246. 1836. Cette singulière Clausilie a été rencontrée assez abondamment en Morée, sur les ruines de l'antique Sparte. CLAUSILIA BIDENS. TURBO BIDENS........... Linn., Syst. nat., éd. x, p. 767, n° 566. 1758. HELIX PAPILLARIS .,.... . Müll,, f'erm. Hist. 11, p. 420, n° 317. 477 k TurBo I ÉRo ed Chemn., in : Mart., 1x, p. 4, p. 424, t. CXII, f. 963-64. 1786. BULIMUS IAE -Brug., Enc. méth.1, p. 3583, n°94. 1792. Pupa Ne Drap., Tabl. Moll., p.62, n° 20. 4801. CLAUSILIA PAPILLARIS.... Drap., Hist. Moll., p. TA, t. IV, f. 13. 1805. 4. Rossmässler, Zcon. x, p. 23, f. 634. ET 7 ES HELIX PAPILLARIS........ (Cochlodina), Fér., Tabl. Syst., p. 62, n° 528. 1821. TURBO MEDITERRANEUS ... Wood, Suppl.,t. VI, f. 40. 1828. CLAUSILIA MEDITERRANEA. Gray, in : Wood, Suppl., p. 34. 4828. — BIDENS ‘...... Turt., Man., p. 73, f. 56. 1831. — AFFINIS ?..... Phil., Enum. Moll. Sic. 1, p.139. 1836. — PAPILLARIS. ... Var. Rossm., Zcon. 111, p. 12, f. 170. 1836. — VIRGATA....... Beck, Zad. Moll., p. 94, n° 83. 4837. — AFFINIS ....... Beck, nd. Moll., p. 94. 1837. — VIRGATA... . . « .. Jan et Crist., Catal., p. 5. 1836-39. — VITREA........ Stentz, in : Anton, Verz., p. 45. 1839. — PAPILLARIS..... Var. Phil., Enum. Moll. Sic. 11, p. 116. 1844. Cette espèce se rencontre assez abondamment dans les environs de Constantinople, ainsi que dans l'ile de Corfou. CLAUSILIA DELESSERTI. Testa rimata, fusiformi, elegantissime striata, cornea, sutura papillis confluentibus candido-filosa ; anfractibus 12 planiusculis ; ultimo anfractu basi biturberculato-cristato, ac, prope aperturam paululum quasi strangulato, et, carina acuta, circumdato; aper- tura pyriformi-rotundata; lamella supera compressa, acuta, infera valida ; plicis pala- tibus 3 vix emersis, peristomate continuo, soluto, undique expanso, albo-labiato. Cette coquille fusiforme, d’une couleur cornée, est striée avec la plus grande élé- gance, sauf ses deux premiers tours qui offrent une surface entierement lisse. Sa suture est toujours accompagnée d’une zone blanchâtre, due à la décoloration des stries. Ses tours de spire sont au nombre de douze. Le dernier présente deux arêtes assez saillantes, et, de plus, une carene aiguë entourant complétement le péristome, de telle sorte que ce dernier tour offre l'aspect d’une ouverture, pour ainsi dire, à double labre. L'ouverture de cette Clausilie est pyriforme, et possède deux lamelles assez pro- noncées. La première est contractée et aiguë, tandis que la seconde, plus épaisse, plus forte, est contournée. Les plis palataux, au nombre de trois, sont presque immergés, sauf celui du milieu qui est le plus considérable. Enfin, le péristome continu, réfléchi de tous côtés, est blanchätre. 1. Non,Clausilia bidens, Drap., Hist., p.68, t. IV, f. 5-7, et Pupa bidens, Drap., Tabl. des Moll., p.61, n°18, 1801, qui ne sont que la Clausilia laminata (Turbo laminatus), Montagu, Test. Brit., p. 359, t. IL, f. 4. — (Il faut encore rapporter à cette espèce (Clausilia laminata) les noms suivants : Helix bidens, Müll., erm. Hist. 11, p. 16, n° 315. — Turbo bidens, Chemn., 1x, p. 4, p. 119, t. CXI, f. 960, n° 4. — Bulimus bidens, Brug., Enc. méth. 1; p. 352, n° 93, et Poiret, Prodr., p. 57, n° 26. — Clausilia bidens, var. Rossm., Icon. vil, fig. 463-464- 365-467.) — Nec, Clausilia bidens, var. C. Pfeiff., Naturgesch. 11, p. 62,t. VII, Ê. 44, 415, et Clausilia bidens, var. Scholtz, in: Zeitchr. f. Mal. 1845, p. 403, espèce que L. Pfeiffer, Mon. Hel. viv., L. Il, p. 399, rapporte à la Clausilia fimbriata, Mühlfeldt, Mus. — Rossm., Zcon. 11, p. 41, £. 106. — Nec, Clausilia bidens, B. Dyodon, Hartmann, in: Neue alpina.1, p. AT, qui est la Clausilia dyodon de Studer, Ferz., p. 19. 2. Non, Clausilia affinis, Ziégler, espèce que l’on doit rapporter à la Clausilia plicatula, Drap., Tabl. d. Moll., p. 64, n° 24. 4801. , Hauteur DOS ED 0 AE OA DAS . 49 millim. Diamètre........ Roc SU Seietoie HOT OO DE . CE Id Hauteur de l'ouverture. ......... DCDAn dE do ses e té AI Largeur de l’ouverture......... code one c do 3 Id Cette nouvelle Clausilie habite les environs de Beyrouth, en Syrie. Nous ne pouvons rapprocher cette espèce que de la Clausilia albocincta de XL. Pfeif- fer’; mais on distinguera toujours la Delesserti, à son test bien plus strié, à sa cou- leur, à ses tours de spire qui sont plus nombreux, enfin, surtout, à son dernier tour qui, vers l'ouverture, se contracte et offre une carène environnant complétement le péristome, caractère que ne possède par l'4/bocincta de Pfeiffer. K 2% CLAUSILIA PETROSA. CLAUSILIA PETROSA. Parreyss, in : L. Pfeiffer, in : Zeitchr. f. Malak., ete., p. 422. 4848. Cette charmante espece a été recueillie dans la Morée, aux environs de Sparte. CLAUSILIA GRISEA. CLAUSILIA GRISEA. Deshayes, £rpéd. de Morée, ete., Mol. nr, p. 168, t. XIX, f. 52-54. 1836. Assez commune en Grece et en Morte, principalement aux environs d'Athènes et de Sparte. CLAUSILIA MACULOSA. CLAUSILIA MACULOSA ?. Deshayes, Expéd. de Morée, etc., Moll. ur, p. 167, t. XIX, f. 67-69. 1836. _— MASSENÆ.... Potiez et Michaud, Gal., etc., Douai, etc. 1, p. 185, t. XIX, f. 3, 4. 1838. _— GRISEA %.... Roth, Moll. species, ete., Dissert. inaug., p. 21, n° 9, tab. 44, f. 6. 1839. Cette espèce habite çà et là en Grèce, c’est de cette contrée que proviennent les échantillons de cette Clausilie que nous avons examinés. CLAUSILIA BOURGUIGNATI. CLausiL14 BourGuIGNaTI. Charpentier, in Lité. — qe eeer Bourg., Test. Nov.,etc., p. 21, n° 2. Août 4852. _ Id... Charp., Essai d'une nouvelle class. des Clausilies, in: Journ. de Conch.1v, p. 404, n° 225, pl. x1, f. 44. Déc. 1852. Testa rimata, fusiformi, subtiliter costulata, tenuiscula, subpellucida, vix nitidula, sericina, pallide cinnamomea; spira superne sensim attenuata , acutiuscula; anfracti- A. Symb. ad Hist. Hel, 1, p. 48. 1841. : 2. Non, Clausilia maculosa, Beck, Ind. Moll., etce., p. 9, qui est la Clausilia Schuchii, Noith, Mss., in : Rossm., /con.1v, p.13, f. 253. k 3. Non, Clausilia grisea, Deshayes, Expéd. de Morée, Moll. in, p.168, t. XIX, t. 52-54, espèce diflérente. io bus 12-13; ultimo anfractu latere compresso, basi angusto, bicristato ; cristis fere æqua- libus, supera rugoso-costata ; apertura oblongo-ovali, basi subcanaliculata ; lamellis mediocribus conniventibus; plica palato una, supera, brevi, subcolumellari immersa ; lunella parva, perobliqua; lamella spirali nulla; peristomate continuo, soluto, leviter producto, expanso; margine externo reflexiusculo. Var. B. Testa minore; cristis basalibus plus minusve obliteratis. Cette coquille fusiforme, fragile, un peu stransparente, possède un test d’une teinte d’un gris jaunâtre assez terne. Ses douze à treize tours de spire, séparés par une suture nettement prononcée, sont très-élésamment sillonnés de stries ou petites côtes saillantes et très-régulières. Son der- nier tour, un peu comprimé sur le côté, offre à sa base, qui est un peu rétrécie, deux carènes d’égale grandeur, dont l’une se trouve ornée de stries plus rugueuses et plus saillantes. * Son ouverture ovale-oblongue, canaliculée à la base, possède de petites lamelles, un pli palatal supérieur assez enfoncé, et un pli subcolumellaire totalement immergé. Sa lunule est petite et oblique; enfin, son péristome assez fragile est continu, déta- ché et un peu réfléchi. HautEUR AAA rmeecee eiaetiee lol leieh elle eieiels secs . 16 millim. Diamétren reset Foenot rte Gone tou ou SO OUEE SUN: MA AB PHAUIEUT etes ee cs smic idee secure De 416) Id. Diamètre. ...,..... ÉHÉSbUSOC sms escale es leliels 2 3/4 Id. La Clausilia PBourguignaté habite çà et là dans le Péloponèse. M. de Saulcy a notamment recueilli la variété B de cette espèce dans les environs de l’ancienne Sparte. CLAUSILIA STRANGULATA. HELIX STRANGULATA ..... (Cochlodina), Férussac, Tabl. syst., p. 62, n° 816. 4821. CLAUSILIA STRANGULATA ‘. Beck, /nd. Moll., p. 91, n° 22. 1837. — RETUSA 2°... Parreyss, in Sched. Texte Charp., £ssai d'une class. nouv. des Clausilies, in : Journ. de Conch. 1v. Déc. 1852, p. 401, n° 228. Cette espèce habite les environs de Beyrouth, en Syrie. CLAUSILIA RUGOSA. PuPA RUGOSA.. ....... Drap., Tabl. des Moll., ete., p.63, ne 23. 1801. CLAUSILIA RUGOSA %... Drap., Hist. nat. des Moll., p. 73, t. IV, f. 49-20. 4805. HELIX RUGOSA......., (Cochlodina), Férussac, Tabl. syst , p 63, n° 543. 1824. CLAUSILIA PERVERSA *. (Pars), Dupuy, Moll. du Gers, p. 36, n° 3. 1843. (Teste Dupuy.) STOMODONTA RUGOSA .. Mermet, Moi. des Pyr. Occ., in : Bull. de la Soc. des sc. de Pau, p. #7. 1843. 4. Non, Clausilia strangulata de Saint-Ange de Boissy, qui est une espèce fossile. 2. Non, Clausilia (Bulimus) retusa, Olivier, Foy. dans l’emp. ott. 1, p. M6, t. XVII, f. 2, qui est une espèce à fait différente. 3. Non, Clausilia rugosa, C. Pfeiffer, Naturg. 1, p. 63, t. I, f. 30, et de la plupart des auteurs du nord de la tout France, qui n’est autre chose que la Clausilia (Turbo) nigricans de Pulteney, Cat. Dors., p. 46. 4. Non, Clausilia perversa, C. Pfeiffer, Naturg. 1, p. 62, t. IL, f. 28, qui est la Clausilia (Turbo) biplicata 7 50 — Habite sur les murailles, les rochers exposés aux ardeurs du soleil, aux environs de Constantinople. M. de Charpentier, à qui nous avons envoyé cette espèce, considère nos échan- tillons comme devant former une variété très-curieuse; voici de quelle maniere ce savant conchyliologue, dans son mémoire sur les Clausilies ", a caractérisé cette variété : Var à. Fentricosior, lamella supera perprofunda. CLAUSILIA SAULCYI. Testa rimata, cylindrico-fusiformi; apice acutiusculo; anfractibus 12 planiusculis vel convexiusculis, summis 4 albido-corneis, nitidulis ac levibus, sequentibus brunneis ac elegantissime costulato-striatis , ultimo basi compresso-cristato; apertura pyriformi- rotundata; lamella supera recta ac acuta, infera remota, profunda; plicis palatibus emersis (plica subcolumellari vix emersa), subparallelis ; peristomate continuo, soluto, breviter expanso, intus utrinque denticulis confertis marginem attingentibus munito. Cette coquille cyhndracée est d’une couleur cornée uniforme; ses douze tours de spire un peu convexes sont costellés avec la plus grande élégance, sauf les quatre pre- miers qui sont lisses et brillants; le dernier présente à sa base une arête assez pro- noncée. L'ouverture de cette Clausilie est presque arrondie, son pli supérieur est droit et aigu, l'inférieur, au contraire, est contourné et tres-enfoncé dans l'intérieur. Ses plis palatäux, au nombre de cinq, sont paralleles et tous visibles, si lon en excepte le pli subcolumellaire qui est un peu caché et recouvert par la base de l'axe. Le péristome est continu, détaché, un peu réfléchi, et offre intérieurement un labre garni d’une mul- titude de petites dents qui ornent son pourtour de la manière la plus gracieuse. ÉOnNSUOUTE EE Rome scebie-etntentaleentelieselee see 16 millim. DIAMPTÉE. 2.4 ss sous ee ae aie eseeectescrmeesecpes 4 Id. Longueur de l’ouverture............ eee Rate 3 Id. Carseur de l'OUVERtUTe- Me ee ceerecee rchecee 24/2 Id. Cette nouvelle espèce a été recueillie par M. de Sauley, aux environs de Jérusalem. La Clausilia Sauleyi ne peut être rapprochée que des espèces suivantes : Clausilia denticulata ?, plicata ?, corpulenta 4, ThessalonicaŸ, serrulata Ÿ, et oxystoma 7. de Montagu, Test. brit., p. 361, t. IT, f. 5. — Nec, Clausilia perversa, Fitzing., Syst. verz., p. 104, qui est la Clausilia ventricosa Drap., Hist., p.71, IV, f. 14, — Nec, C/ausilia perversa, Charp., Cat. Moll. Suisse, p. 47, qui est le Balea (Turbo) perversa, de Linnæus, Faun. suec., n° 2172. 4 Essai d’une classification naturelle des Clausilies, in : Journ. de Conchyl., n. 4. Déc. 1852, p. 394. 2. Clausilia (Bulimus) denticulata, Olivier, Foy. dans l'emp. ott. 1, p. 297, t. XVIL, f. 49. 3. Clausilia (Pupa) plicata, Drap., Fabl. des Moll., p.63, n° 22. à. Clausilia corpulenta, Friwaldsky, in : L. Pfeiffer, in: Zei/schr. für Malak., 1848, p. 7. Clausilia thessalonica, Friw., in : Rossm., /con. x, p. 22, f. 623. 6. Clausilia serrulata, L. Pfeiffer, in : Zeëtsch. für Malak., 1847, p. 71. 7. Clausilia oxystoma, Rossm., con. x, p. 19, f. 625. pu — On distinguera la Suulcyi : 1° de la Denticulata, à sa couleur cornée uniforme, à ses tours de spire moins nombreux, surtout à la présence de ses cinq plis palataux; 2° De la plicata, à sa couleur, à ses plis palataux en plus grande quantité et qui sont toujours émergés, enfin, à ses denticulations plus saillantes et bien plus nom- breuses ; 3° De la corpulenta, à ses tours de spire, à ses plis palataux qui sont tous d’égale grandeur, enfin, à ses denticulations qui sont tout à fait obsolètes à la base de l’ou- verture ; 4° De la Thessalonica, à ses tours de spire plus nombreux, à ses cinq plis palataux et à ses denticulations moins prononcées à la base aperturale qu'à son sommet ; 5° De la serrulata, à sa couleur, à ses tours de spire, à son ouverture plus arrondie, à ses lamelles plus fortes, à ses plis palataux plus nombreux, et à la position toute dif- férente de ses denticulations; 6° De l'oxystoma, à ses stries, à son dernier tour dont la base n’est pas bicarénée, à ses plis palataux plus nombreux, enfin, à ses denticulations qui sont exactement situées sur les bords du labre. CLAUSITIA PLICATA. PuPa PLICATA........ Drap., Tabl. des Moll., etc., p. 63, n° 22. 4801. CLausiLrA PLICATA ‘.. Drap., Hist. nat.,etc., Moll., p.73, t. IV, f, 15-16. 1805. HELIX PLICOSA....... (Cochlodina), Férussac, Tab!. syst., p. 67, n° 536, 1821. CLAUSILIA PULVEROSA. Menke, Syn. mélh. Moll., ete., éd. 1, p. 32. 1830. —PLICATA.... Var. Rossm., Zcon. x1, p. 7, f. 108-109. 1842. Hezix MuraLIS *..... Studer, in Coxe trav. — Teste, L. Pfeiffer, Moxog. Hel. viv., etc., vol.Il. p. 480. 4848. Les échantillons de cette espèce ? que nous rapportons à la Clausilia plicata ont été recueillis aux environs de Constantinople. GENRE PUF A. PUPA FRUMENTUM. PupA FRUMENTUM #.... Drap., T'abl. des Moll., ete., p. 59, n° 41. 1801. 4. Non, Clausilia plicata, var. +, Hartmann, in : Neue alpina. x, p. 217, qui est la Clausilia ventricosa (Pupa, de Drap., Tabl. des Moll, p. 62, n" 21. 1801.—Nec, Clausilia plicata, Gartner, Welterau, etc., Conch., p. 22, 1843, qui est la Clausilia biplicata (Turbo) de Montagu, Test. Brit, p. 364, t. IL, f. 5. 4803. 2. Non, Helix muralis. Müller, ’erm. Hist. un, p.14, n° 213, qui est une espèce du genre Zelix. — Nec, Helix muralis, var. Cantr., Malac., p. 109, qui est l'Helix carsoliana (Helicogena) de Férussac, Tabl. syst., p. 32, n° 67. 1821, etnec, Helix muralis, var. (allera pars) du même auteur au même ouvrage, espèce qu'il faut rap- porter à l'Helix serpentina (Helicogena) de Fér., loc. cit., n° 64 — Nec, Helix muralis, var. carinata, Fér., Hist. Moll., t. XLI, f. 5, qui est l'Aelix Paciniana de Philippi, Enum. Moll. Sic. 1, p.127, t& VIT, f. 9, et nr, p. 105. 3. D'après Rossm. (/con. 1, p. 79), il faut encore rapporter à cette Clausilie, comme noms de fausses synonymies, les dénominations suivantes : Clausilia pulverosa, de Parreyss, — les Clausilia liligiosa, odontosa, anceps, et consimilis de Ziégler. — Enfin, d’après L. Pfeiffer (Won. Hel. viv., t. IT, p. #80) il faut ajouter à ces noms ceux de Laciniaria semiplicata de Hartmann, et les C/ausilia plebeaïjet paradoxæa de Liégler. 4. Non, Pupa frumentum, var. Cantr., Malac. med., p. 142, qui est le Pupa polyodon, Drap, Tabl. des Moll., p. 60, n° 13. 1801. - ho Cnonprus varrABiLts !. Var. +, Frumentum, Hartm., Syst., p. 50, n° 20 bis. 4815. HELiX FRUMENTUM... . (Cochlodonta), Férussac, Tabl. syst., p.60, n° 487. 1821. CHONDRUS FRUMENTUM.. Cuvier, Aêgne animal, nr, p. 408. 4830. — caALLosUS ... Jan et Crist., Cafal., etc., n° 8. 1832. ToRQUILLA caLLosA.... Ziégler, in : Rossm., Zcon. 1, p. 81. 1835. TurBO TRIDENS *...... Alten, Sysé., p. 21. 1812. Teste Rossm., /conogr., etc. 1, p. 81. 4835. TORQUILLA FRUMENTUM. Fitzing , Syst. verz., p. 107. 1837. GRANARIA Idenees Held, in sis, 1837, p. 98. PüPA FRUMENTUM...... Var. /l/yrica et Elongata, Rossm., Zconogr. v, p. M, f. 312-313. 1837. PUPELLA FRUMENTUM... Swains, Malac., p. 334. 1840. Pupa PATULA ......... Menke, Syn ,p. 32. (4830). — Teste, L. Pfeiffer, Symb. ad hist. Hel. nn. 4842. — ADJUNCTA ....... Ziégler. Teste, L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. vivo. 11, p. 125. 4842. — SECALE %........ Joba, Cat. Moll. Mos., p. 9, n° 4. 1844 (Teste Dupuy). Ce Maillot # a été recueilli en tres-grande abondance par M. de Saulcy dans diverses localités de la Morée. PUPA QUINQUEDENTATA. L'ANTINONPAREILLE . . .... Geoffroy, Traité des cog., etc., p. 54, n° 28. 1767. TURBO QUINQUEDENTATUS. Born, Mus., p. 359, t. NUIT, f. f. 9. 4780. Buzimus siMiLIS. ,,...... Brug., Enc. méth., Vers, p. 355, n° 96. 1792. POPAUCINERRASS sec Drap., Tobl. des Moll., etc., p. 61, n° 17. 4804. HELIX CINEREA. ......... (Cochlodonta), Férussac, Tabl. syst, p. 60, n° 484. 1824. CLAUSILIA GINEREA ....,. Risso, Hist. nat., elc., Nice, etc., Mol. 1v, p. 85, n° 192. 4826. CHONDRUS CINEREUS.. .... Cuvier, Régne animal, n, p. 408. 1830. i — VARIEGELLUS. .. Crist. et Jan, Cat. gén., 12, n° 17. 1832. TORQUILLA CINÉREA...... Beck, nd. Moll., etc., p. 87, n° 20. 1837. Pupa VARIEGELLA.....,.. Ziégler, Mus., Teste, L. Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. 11, p.130. 4842. — QUINQUEDENTATA °.. L. Pfeiffer, Monogr. Hel, vie., t. 11, p. 345, n° 405. 1848. Ce Maillot a été rapporté de diverses localités du Péloponése. 1. Non, Chondrus variabilis, var. 9, Hartm., in : Neue alpina. 1, p. 218, espèce qu'il faut rapporter au Pupa polyodon, de Drap. (loc. sup. cit.), — nec, Chondrus variabilis, Cuvier, Règne animal, n, p. 408, qui est le Pupa variabilis, de Drap , Tabl. des Moll., p. 60, n° 44. 1801. 2. Non. Turbo tridens, Chemnitz, in Mart. 1x, pl.r, p. 415, & CXI, f. 957, qui est une espèce de Clausilie de l'île de Porto-Rico —Nec, Turbo tridens, Gmelin, Sys!. nat., p. 3614, n° 93, qui est le Bulimus (Helix)tridens de Müller, Z'erm. Hist. 11, p.106, n° 305. — Nec, Turbo tridens, de Pulteney, Cat. Dors., p. 46, t. XIX, f. 12, qui est le Pupa Menkeana de C. Pfeifler, Naturg. it, p. 62, L. VI, fig. 7, 8. (Bulimus Menkeanus, de Moquin- Tandon.) 3 Non, Papa secale, Drap., Tabl. des Moll., p.59, n° 12. 1801, qui est une espèce différente. — Nec, Pupa secale, Phil, Enum. Sic. Moll 1, p. 138, qui, d’après L. Pfeiffer, serait peut-être une espèce à rapporter au Pupa granum, Drap., Tabl. des Molt., p.59, m9; k. L. Pfeiffer rapporte encore à cette espèce la Clausilia Charlottia et Polita de Risso (Hist. nat., etc., Nice, Mol. 1V, p. 86-87, n°194 et 199, €. HI, F. 22, et tab. 4, f. 26), et le Pupa curta de Potiez et Michaud (Houl., etc., Douai. 1, p.164, t. XVI, f. 13-14): mais, nous croyons, avec M. l'abbé Dupuy, que c'est là une erreur de la part de ce savant conchyliologue : ces espèces ne peuvent être confondues avec le Pupa frumentum. 5. Non, Pupa quinquedentata, Mühlf., Mus., in : Rossm., Zcon. v, p. 9, f. 304, qui est une espèce de Bulime. — Nec, Pupa quinquedentata, Martm., in : Neue alpina. 1, p. 219, qui est le Pupa pygmæa de Draparnaud, Tabl. des Moll., ete., p. 57, n° 2. 4501. LL — 53 — PUPA SAULCYI. Pupa SauLeyt. Bourg, Test. nov., ete., p. 19, n° 4. Août 1852. Testa pygmea, minutissime perforata, oblongo-cylindrica, corneo-fusca, pellucida, sub ope lentis argutissime ac oblique striatula; anfractibus 6 1/2 convexis, regulariter crescentibus; sutura valde impressa; apertura semiovali, sexdentata; uno parvulo in callo, duobus majoribus profunde in ventre anfractus penultimi, ac tribus profundis- simis in aperturæ parietibus, sitis; peristomate acuto, simplice, reflexo; margine colu- mellari dilatato ; marginibus tenuissimo callo junctis. Coquille très-petite, de forme oblongue, cylindrique, transparente, fragile et de cou- leur cornée; ses six à septtours de spire sont convexes et très-finement sillonnés de stries délicates et élégantes. Sa suture est très-prononcée. Son ouverture échancrée par l’avant-dernier tour est ovale, et offre six petites dents ainsi placées : une d’abord sur la callosité de l'ouverture, deux autres inférieures pro- fondément situées sur la convexité du tour antépénultième (dont une surtout tout à fait immergée), enfin, trois autres plis palataux assez enfoncés viennent orner la bouche de cette espèce. Son péristome est simple, aigu, un peu réfléchi sur la fente ombilicale, qui est peu ouverte. Si sie eee es seins eee ANTIIM: DAME IR AE PEN Me elereisteleleelelelete pisleieietate|stefolete SAR CCE Le Pupa Saulcyi habite sous les pierres, les rochers, à Nabi-Younés, en Syrie. KKU + PUPA MICHONII. Testa cylindrico-oblonga , perforata, nitida, parum pellucida, lævi vel sub valido lente irregulariter striatula, pallide cornea; apice obtusiusculo; anfractibus 7 con- vexis, sutura sat impressa separatis ; ultimo basi carinato ac prope aperturam paulu- Jum coarctato, albiduloque. Apertura semi-oblonga, sexdentata; uno in callo; altero profunde in ventre penultimi anfractus; duobus ad marginem columellarem , ac, duobus ad externum marginem, sitis. Peristomate albo-labiato, non continuo, parum reflexo, præsertim in umbilicari perforatione. Coquille oblongue, cylindrique, perforée, brillante, un peu transparente, lisse ou irréguliérement ornée de pelites stries lorsqu'on l'examine avec une forte loupe. Son sommet est un peu obtus. Ses sept tours de spire un peu convexes, séparés par une suture sensible, sont colorés d’une légère teinte cornée; le dernier tour un peu caréné à sa base offre vers l'ouverture une légère contraction. Son ouverture, oblongue, sublunaire, est ornée de six dents qui occupent les positions suivantes : une sur la callosité, une autre sur la convexité du tour antépénultième, deux 4 — autres sur le bord columellaire, enfin, les deux dernieres sont situées sur la paroi aper- turale externe. Le péristome est blanchätre, un peu bordé, et se réfléchit légerement sur la fente ombilicale qui est assez prononcée. Hautour.tiss.tiee ee ect ele seche eenteo ner el millim. Diamètre... .….....3:. SRCUE TOO MD 0c -S00dma0eme pe GE Cette espèce habite aux environs du village de Tibériade, sur les rochers qui avoi- sinent le lac du même nom. PUPA DELESSERTI. Testa cylindrico-elongata, paululum cretacea, albidula vel pallide cornea, lævi vel sub validissimo lente irregulariter striatula ; apice obtusiusculo; anfractibus 8 planius- culis, sutura leviter impressa separatis ; apertura semiovata, obliqua, unidentata; dente valido in ventre penultimi anfractus ; peristomate albo, non continuo, breviter expanso; margine columellari recto, umbilicari perforatione paululum obtegente ac intus leviter dentato-incrassato ; margine dextro etiam intus dentato-incrassato ac ad partem supe- riorem valde introrsum sinuato. Coquille cylindrique, allongée, solide, non transparente, blanchätre ou légèrement cornée, lisse ou paraissant irrégulierement ornée de petites stries lorsqu'elle est sou- mise à une forte loupe. Haittours de spire à peine convexes, séparés par une suture peu sensible, Ouverture ovale, sublunaire, oblique et ne possédant qu'une seule dent, qui se trouve située sur la convexité de l’avant-dernier tour. Péristome blanchâtre, non con- tinu, un peu réfléchi; son bord columellaire ainsi que son bord externe, offrent cha- cun intérieurement un petit renflement; le bord externe présente, en outre, vers sa partie supérieure, une contraction assez prononcée. Hauteur. ..... does ass em sceesnsiese see .... 10 millim. Diamètre... elotenié Groie ofotniote solos ajefele a sé e 010tele #8 3: Id. Le Pupa Delesserti a été recueilli dans les environs de Baalbeck, en Syrie. — Il parait rare. PUPA SCYPHUS. Pupa scypaus....., Frivaldsky, in Sched. — In : Pfeiffer, in: Zeëtchr. für Malak., p. 7. 4848. — LiINDERMEYERI. Parreyss, Tesle Rossmässler, in : L. Pfeiffer, Monogr. Hel. viv , t. 11, p. 326, n° 61. 4848. Habite les environs de Baalbeck, en Syrie; se rencontre également dans toute la chaine du Liban et de l’anti-Liban. 0 ve $ II, — PULMOBRANCHIATA ‘ III. — LIMNACEA. GENRE PLANORBIS. PLANORBIS ATTICUS. PLanorgis ATrIcus. Bourg., Test. nov., etc., p. 22, n° 1. 1852. Testa depressa, pellucida, nitida, cornea, argutissime striatula, supra infraque umbi- licata ; anfractibus 4 1/2 convexis, infra carinatis, celeriterque accrescentibus ; apertura subovali ; labro simplice, supra extenso ; marginibus ultimo anfractu parum separatis, tenui callo junctis. Cette espèce, déprimée, brillante, transparente, d’une couleur cornée, est striée avec une extrême délicatesse. Elle est ombiliquée également en dessus et en dessous Elle se compose de quatre tours et demi, convexes des deux côtés et carénés vers leur partie inférieure ; ces tours croissent assez rapidement, puisque le dernier est deux fois plus grand que l’avant-dernier, et ainsi de suite. Son ouverture presque ovale, subanguleuse à la carène, est un peu échancrée par la convexité du tour antépénultième. Miamethese:seteemnenemlesecelereteest elfes esse 0 millim, ÉPAISSEU Dee ee Eee ee ee CT RS LE 2 4/2 Id. Le Planorbis atticus habite l'Ilissus, près d'Athènes, ainsi que les ruisseaux qui avoi- sinent le monastère du Pentéli. Parmi les nombreuses espèces qui enrichsssent ce genre, nous ne pouvons faire ren- trer celle-ci dans aucune de celles décrites jusqu'à ce jour, bien que ce Planorbe ait quelques rapports de forme avec plusieurs Mollusques de son groupe, notamment avec 4. Moquin-Tandon, — non, de Blainville, nec, Dupuy, nec, Bourguignat, Test. nov., etc., 1852. — 56 — les suivants : Planorbis orientalis ‘, lutescens ?, subangulatus 3, complanatus À, et sub- marginalus d On séparera notre Planorbis atticus : 1° Du Planorbis orientalis®, à sa taille plus fable, à son ouverture échancrée par la convexité de l’avant-dernier tour, à son test plus ombiliqué en dessus, enfin, à sa carène bien plus prononcée ; 2° Du Planorbis lutescens, à sa coquille transparente, d’une teinte pàle cornée, et non recouverte d’un épiderme d'une couleur jaunâtre, à son test plus comprimé, à sa carène plus aiguë, etc. ; 3° Du Planorbis subangulatus, à sa taille plus faible, et surtout à ses tours de spire plus carénés et ne s’accroissant pas d’une manière insensible et régulière comme ceux du subangulatus. Enfin, les P/anorbis complanatus et submarginatus, different totalement de notre espece par leur taille au moins six fois plus considérable, par leur test moins transpa- rent, plus épais, par leur carène bien plus marquée; enfin, par un facies et un ensem- ble de caracteres trop distincts, pour que nous croyions inutile de nous appesantir davantage sur ce sujet. PLANORBIS PISCINARUM. PLANORBIS PISCINARUM 7. Bourg., Test. nov., etc., p. 22, n° 2. 1852. Testa parvula, nitida, pellucida, fusco-cornea, subtiliter elegantissimeque striatula, supra complanata ad priorem anfractum parum concava, infra late umbilicata; anfrac- übus 3 1/2 rotundatis, regulariter crescentibus; ultimo dilatato, ac, antice ad apertu- A. Olivier, foy. dans l'emp. ottom., ete., t. T, p. 297, n° 3. — PI, xvir, f. 11, A, B. 4804. 2. Lamarck, 4n. s. vert., etc., vol. VI, 2° partie, p. 153, no 4. 1822. 3. Philippi, Enum. Moll. Siciliæ, ete., p. 419, pl. xx1, Ê. 6. 1844. 4. Studer, in : Coxe trav. Schu., ete, 1789 (llanorbis marginatus de Draparnaud). 5. Cristofori et Jan, Cat. rerum nat., ete., n° 9. 1832. — Cetie espèce n'est, à notre avis, qu'une variété plus ou moins carénée du Planorbis complanatus de Studer. 6. Nous avons examiné dans les galeries du Muséum d'histoire naturelle de Paris, les individus types du P/anorbis orientalis, rapportés par Olivier et étiquetés par de Férussac. En comparant les caractères de ces échantillonsavec ceux relatés dans le travail d'Olivier, nous nous sommes aperçus que la description et la figure qu'en a données cet auteur, n'étaient pas de la première exactitude. Voici, en effet, la diagnose d'Olivier : « Planorbis orientalis, parvulus, subtrisvratus, gyris depressiusculis; margine convexo, facie ovali depressiore ; « apertura subovali, » Or, les échantillons de ce Planorbe se composent tous (les adultes s'entend) de cinq tours de spire, et non de trois seulement. Il existe, en outre, chez eux, un rudiment de carene qu'Olivier ne mentionne pas. — Enfin, quant à la figure de l'Orientatis, il semblerait résulter de la disposition des lignes qui suivent la direction des tours de spire, que cette coquille possède des stries longitudinales. — 11 n'en est rien. Les individus que nous avons étudiés, n'of- frent que des stries transversales assez régulières et peu pænoncées. 7. D'après M. Stefano Moricand, de Genève, cette espèce ne serait autre chose que le Planorbis sericeus (Par- reyss), du lac Maréotide. Quoiqu'il en soit, la désignation de Piscinarum que nous avons attribuée à ce Mollusque doit être conservée, puis- qu'il existe déjà un Planorbe qui porte le nom de Sericeus (Voyez, Duuker, Diag. specierum novarum generis Planorbis collectionis Cumingianæ, in : Zool. proc. of London, etc., p. #2, n° 412. —14 march, 1848.) Ai ram descendente ; sutura impressa ; apertura rotundata ; labro supra parum extenso ; peristomate tenu , simplice, acuto; marginibus approximatis, ultimo anfractu vix separatis. Var. B. Minima, ultimo anfractu valde dilatato. Coquille brillante, transparente, d’une teinte cornée uniforme et très-élégamment sillonnée de stries transversales obliques. Ce Planorbe plan en dessus, sauf vers son sommet où il est un peu concave, offre en dessous un large ombilic. Ses trois tours et demi de spire s’accroissent réguliérement et sont arrondis; le dernier, qui est un peu dilaté, prend une marche descendante en arrivant à l'ouverture. Celle-ci est arrondie et possède un péristome fragile, simple, aigu, dont les bords sont à peine séparés par la convexité de l’avant-dernier tour. Damelres ceeee-s-c---re ares sets ets seins D millim. Épaisseur . . LR NOR 0e MO 5485209 Id. Var. B. Diamètre.......... nsc eee elco ee ceclesciee 1 Id. Épaisseur . ....... PR one Re dame eruce LA AÏE :Id Ce nouveau Planorbe habite les flaques d'eaux et les piscines de Baalbeck. La variété B a été recueillie dans les petits ruisseaux des environs de Damas, en Syrie. Nous ne pouvons rapprocher le Péanorbis piscinarum, que des Planorbis albus* et Leævis ?. On distinguera notre espèce de l’#/bus, à sa taille moins considérable, à son dernier tour qui s'abaisse vers son ouverture plus arrondie et moins échancrée, et surtout à son test simplement strié transversalement, et non sillonné de stries à la fois transversales et longitudinales comme chez l’#/bus. Enfin, on séparera le Piscinarum du Leœvis, à sa coquille plus forte, à son test bien plus ombiliqué en dessous, à son ouverture plus arrondie, à ses stries transversales par- faitement visibles et bien marquées, etc. PLANORBIS HEBRAICUS. PLANORBIS HeBraicus. Bourg., Test. nov., etc., p. 23, n° 3. 4852. Testa parvula, subdepressa, nitida, pellucida, cornea, argutissime striatula, supra complanata, ad priorem anfractum parum concava, infra late umbilicata ; anfractibus 4 rotundatis, celeriter accrescentibus; sutura valde impressa; ultimo anfractu antice in aperturam non deflexo ; apertura ovali; labro supra multo extenso ; peristomate tenuis- simo, simplice; marginibus approximatis, tenui callo junctis, ultimo anfractu vix separatis. Coquille petite, subdéprimée, transparente, très-finement striée et de couleur cor- née. Son test plan en dessus est un peu ombiliqué vers la naissance de la spire, tandis qu’en dessous il offre un large ombilic. 1. Müller, Verm. Hist. 11, p. 164, n° 350. 1774. — (Planorbis hispidus) de Draparnaud, Hist. d. Moll., ete., p. #3, n° 3, tab. 1, fig. 45-48. 1805, — et Planorbis villosus, de Poiret, Cog., ete., Paris, etc., p. 95, n° 9. 4801.: 2. Alder, Catal. suppl. Moll. Newcastle, etc. in : N. H. Transact. of Newcast., ete., vol. Il, p. 337. 8 iQ — Ses quatre tours de spire sont arrondis et s’accroissent assez rapidement; enfin, le der- nier tour ne prend point une marche descendante vers l'ouverture. Celle-ci est ovale, à peine échancrée, et possede un péristome simple, fragile, dont les bords sont rapprochés et réunis par une légere callosité. La suture est très-prononcée. Diamètre........... DB os on Sectes Épaisseur ...... HHÉ00DDOBHTHONODADOUPE millim. Id. . + 1 Cette espèce a été recueillie dans les petits ruisseaux et les eaux stagnantes qui environnent le Bahr-el-Houlé, en Syrie. Elle est assez rare. Le Planorbis Hebraicus ne peut être rapproché que de notre Planorbis piscinarum. Mais on distinguera toujours l’Æ/ebraicus de cette dernière coquille, à son test un peu plus déprimé, à sa spire plus régulière, surtout à son dernier tour qui ne prend pas en arrivant vers l'ouverture une marche descendante; enfin à sa suture bien plus pro- noncée, etc. Gevre LIMNÆA. LIMNÆA TERES. Heuix TERES ..,........ Gmelin, Sysf. nat., etc., p. 3667, n° 217. 1789. BULIMUS LIMOSUS,...... Poiret, Cog. terr. et fluv., etc., p. 39, n° 7. An IX (4804). LIMNÆUS OVATUS...... Draparnaud, ist. nat. Moll., etc., de France, p. 50, n° 2. 1805. Lyunæus Id......... Brard, Hist. coqg., etc., Paris, p.142, t. V, f. 4-5. 1815. Limxæus vuLGanris. . .. C. Pfeiffer, System. anord. und beschr. Deutscher, etc., 1°, p. 89, t. IV, f. 22. 1821. LIMNÆA OVATA ......o Lamarck, An. s. vert., etc., t. VI, 2e partie, d. 464, n° 8. 4822. LIMNÆUS OVATUS. ...... Menke, Syn. melh. Moll., etc., p. 37. 1830. _ acroNIcus !. Megerle von Mühlf, — (Teste, Menke, Syn. meth. Moll., etc., p. 37. 1830, — et Spi- nelli, Cat. Moll., ete., Bresciana, p. 30. 1851.) LIMNEA OVATA « soso Michaud, Compl. Moll., etc., p. 86, n° 2. 1831. LIMNÆA THERMALIS. ... N. Boubée, Bull. d'hist. nat., etc., p. 20, n° 48. 4832. — LINEATAS co Bean, Mag., etc., p. 493, f. 62. 1834. LIMNÆUS OVATUS...... Rossmässler, /con. der land-und Süsswasser, Moll., ete., 4° heft, p. 400, t. I, fig. 56. 1835. — NIGRINUS. .... Ziégler, Teste Rossm., Zcon., etc., 4e' heft, p. 97. 1835. LIMNÆA GLACIALIS...... Dupuy, Cat. extr. Gall. test., etc., n° 199. 4849. — TRENSCALEONIS. Gassies, Moll. de l'Agenais, p. 163, n° 2, tab. 2, f. 1. 4849. — NouLETIANA... Gassies, /oc. sup. cit., etc., p. 166, n° 4, tab. 2, f. 2. 1849. — BOISSIR Sete Dupuy, Hist.nat.des Moll., etc., 5° fasc., p. #79, n° 6, tab. xxv, f. 9. 4851. Lonæus PELLUuGIDUS ... Ziégler, ex Parreyss (Teste Dupuy, loc. sup. cit., etc., p. 475. 1854 ). — TENER. +. . ZLiégler, ex Parreyss ( Teste Dupuy, loc. sup. cit.). — PARTSCHIL. .... Parreyss (Teste Dupuv, loc. sup. cit., etc.). — NITENS....... Parreyss (Teste Dupuy, loc. sup. cit. etc.). Cette Limnée est tres-abondante dans le Céphise, près d'Athènes. 4. Non, Limnæus acronicus, de Studer. te LIMNÆA TRUNCATULA. LE PETIT BUCCIN....... Geoffroy, Traité des coq., etc., p. 75, n° 2. 1767. BUCCINUM TRUNCATULUM. Müller, Z’erm. Hist. 11, p. 130, n° 325. 1774. Turso RivuLUS........ Boys et Walk., Test. min rar., etc., f. 57. 1784. HELIX TRUNCATULA..... Gmelin, Syst. nat., etc., p. 3659, n° 132. 1789. BuLimus TRUNCATUS ‘.. Bruguière, Enc. méth., Vers, p. 310, n° 20. 1789. — oBscurus *... Poiret, Cog. fl. et terr., etc., p. 35, n° 3. 4801. HELIX FOSSARIA........ Montasu, Test. Brit., etc., p. 372, tab. xvi, f. 9. 4803. LIMNÆUS MINUTUS...... Draparnaud, Hist. nat. Moll., etc., p. 53, n° 8, tab. nn, f. 5-7. 4805. — Id........ Brard, Cog., etc., Paris, p. 138, tab. v, f. 8-9. 1815. STAGNICOLA MINUTA.... Leach, Brit. Moll., etc., p. 143. 1820. LIMNÆA MINUTA........ Lamarck, An. s. vert., etc., t. VI, 2° partie, p. 462, n° 42. 4822. LIMNÆUS TRUNCATULUS.. Jeffreys, in : Linn. trans., etc., vol. XVI, p. 377. 4825. LIMNÆA FossariA. ..... Flemming, Brit. anim., etc., p. 274. 1828. LiMNÆUS Fossarius .... Turton, Man., etc., éd. 1, p. 424. f. 408. 1831. LimNopnysA MINUTA .... Fitzinger, Sysé. verz., etc., p. 113. 1833. LIMNÆA TRUNCATULA ET MINUTA ... Goupil, Hist. des Moll., etc., de la Sarthe, p. 64-65, pl. n1, f. 1-3. 4835. LIMNÆUS MINUTUS ..... Rossmassler, Zconogr. der land., etc., À heft, p.100, tab. 2, f. 57. 1835. —- TRUNCATULUS. Gray, in : Turton, Man., etc., 2° éd., p. 240, n° 925. 4840. LINNÆA OBLONGA ...... Puton, Essai Moll., etc., des Vosges, p. 60, n° 14. 1847. LIMNÆUS NANUS........ Parreyss, Teste Dupuy, Hist. nat. des Moll., etc., 5° fasc., etc., p. 470. 1851. Cette petite Limnée a été rencontrée dans le Bahr-el-Houlé, ainsi qu'aux environs de Baalbeck. M. de Saulcy l’a également recueillie en Grèce, dans les petits ruisseaux qui avoisinent le monastère du Pentéli. 1. Non, Bulimus truncatus, Pfeiffer, Symb. ad Hist. Hel. viv., etc. 1, p. #3, qui est une espèce du Mexique. — Nec, Bulimus truncatus, de Ziégler, qui est une espèce à rapporter au Bulimus (Helix) decollatus, de Linnæus, Syst. nat., éd. x, p. 773, n° 608. 1758. 2. Non, Bulimus {Heliæ) obscurus, Müller, F'erm. Hist.n, p.103, n° 302, qui est une espèce différente, GASTEROPODA OPERCULATA SL PUEMONACE À IV. — CRBACEA. GEvwRE CYXCLOSTOM A. CYCLOSTOMA ELEGANS. NERITA ELEGANS. ..... ... Müller, J’erm. Hist. n, p. 177, n° 363. 1774. TURBO TUMIDUS. ...,.... Pennant, Brit. zool., etc. 1v, p. 128, tab, 82, f. 140. 1777. — ISTRIATUS ce ses 2 Da Costa, Brit. Conch., etc., p. 86,t. V, f. 9.778. = LINCINAN ee ces Chemnitz, Conch. cab. 1x, t. CXXUE, f. 1060, D. E. 1786. I ELEGANS secs Gmelin, Syst. nat., p. 3606, n° 74. 1789. CYCLOSTOMA ELEGANS *... Draparnaud, Tabl. des Moll., etc., p.38, n° 4. 4801. Cyccosromus Id....... Denys de Montfort, ConcA. syst., vol. I, p. 287. 1810. CYCLOSTOMA MARMOREUS .. Brown, in : Ædin. Journ. nat. and geog. science, etc., vol. [, p. 12, tab. 1, F. 40-44, 1827. — SAPUTUS , « « » e Mauduyt, Moll. Vienne, ete., p. 79, n° 404, tab. 11, fig. 8-9. 1839. — MARMORATUM?. Brown, ex : Gray, Turton, Man., ete., p. 275. 1840. — ELEGANS..... Var. Gray, Calal. cyclop., etc., p. 46. 1850. — Idée eerEr L. Pfeiffer, Monogr. pneumonop. viv., ete., p. 227, n° 64. 4852 5. 4. Non, Turbo lincina, Born, Test., p 355, t. XIII, f. 5-6, qui est le Cyclostoma (Turbo) dubium, de Gmelin, Syst. nat., ete., p. 3606, n° 75.— Nec, Turbo lincina magna, Chemnitz, Conch. cab. 1x, p. M, p. 56, t CXXUT, f. 1061 et 4062, qui est le Cyclostoma (Nerita) labeo, de Müller, Ferm. Hist. 11, p. 480, n° 367. 1774. — Nec, Turbo lincina, Chemnitz, Conch. cab. 1x, P. 1, p. 54, t. CXXIN, . 4060, A. qui, d’après L. Pfeiffer (Monogr. Preumonop. viv., p. 159. 1852), ne serait peut-être que le Cyclostoma fimbriatum, de Sowerby, Catal. of the Shells in the collect. Tankarville. — App. — p. vin, n°1015. 4825. — Nec, Turbo lincina, de Chemnitz, loc. sup. cit.ix, P.u, p. 55, & CXXIIE, F. 1060, b. c, espèce qui, d’après L. Pfeiffer, doit être rapportée au Cyclostoma sulcatum de Draparnaud, Hist. des Moll., p. 33, t. XI, f. 4. 4805. 2. Non, Cyclostoma elegans, var. C. Draparnaud, Tabl. des Moll., p. 38, et Cyclostoma elegans, var. A, Hartm., in : Neue alpina. 1, p. 215, espèces qui doivent être rangées parmi les synonymes du Cyclostoma sulea- tum de Draparnaud, Hist. des Moll., p. 33, t. XI, f. 4.805. — Nec, Cyclostoma elegans-antiquum de Bron- gniart, in : Deshayes, Desc. des coq. foss., etc., des environs de Paris, etc., qui est une coquille fossile. 3. 11 faut encore ajouter à cette liste synonymique les noms suivants : l'Élégante striée, de Geoffroy, Traité des cog. de Paris, etc., p. 108, n° 4. 4767. — Ainsi que le Turbo reflexus, d'Olivi, 4driat., ete., p. 170 (Teste, L. Pfeiffer, Mon. pneumonop. viv., etc., p: 229. 1852.) 68 — Cette espèce est très-voisine du Cyclostoma sulcatum de Draparnaud ". Mais on la distinguera à sa taille plus faible, à sa fente ombilicale moins ouverte, à son péri tome à peine détaché du dernier tour, à ses stries spirales plus rapprochées ; enfin, à la couleur intérieure de son ouverture, qui est d’un gris jaunâtre, tandis que dans le sulcatum, elle est d’un beau jaune rougeûtre. Ce Cyclostome a été recueilli par M. de Saulcy dans l'ile de Corfou, ainsi qu'aux environs de Beyrouth, et enfin, çà et là dans toute la chaine du Liban. CYCLOSTOMA OLIVIERI. CycLosroma OLivierr.. Sowerby, Mss. — SYRIACUM.. Ziégler (Teste, de Charpentier). = Ouviert .… L. Pfeiffer, in: Chemn., Syst. conch. cab. — Cyclostoma, p. 156, n° 169, tab. xx, f. 20-21. 1846. — Id..... De Charpentier, in : Zeitchr. für Malak., ete., p. 144. Sept. 1847. — ORIENTALE. Rossmässler, Mss. (T'este, L. Pfeiffer). Ce Gyclostome offre de grandes ressemblances avec les Cyclostoma sulcatum de Dra- parnaud, et costulatum de Ziéglèr ?. On le séparera du premier, par sa forme plus ramassée, par son ouverture plus circu- laire, par son péristome droit et non légèrement évasé comme dans le sulcatum, espece d’ailleurs qu'on ne rencontre point en Syrie. On le distinguera du second, à sa taille plus considérable, à son ouverture plus élar- gie, à ses tours de spire moins élancés, etc. Le Cyclostoma Olivieri est très-répandu aux environs de Beyrouth, ainsi que dans toute la chaine du Liban. GENRE POMATEAS. POMATIAS EXCISSILABRE. Cyecosroma ExcIssILABRUM. Mégerle von Mühlfeldt, Hss. PoMATIAS EXCISSILABRE .... Cristofori et Jan, Caé. rerum nat., etc., p. 6, n° 4. 1832. CyeLosromA AuRITUM...... Ziégler, Mss. — In : Rossmässler, Zcon., etc. vi, p. 50, f. 398. 1837. — EXCISSILABRUM. Potiez et Michaud, Gal. des Moll., etc., de Douai, t. I, p. 236, t. XXIV, f. 5-6. 1838. POMATIAS AURITA....... .. Troschel, in : Zeitchr. für Malak., etc., p. 43. 1847. = AURITUS ee eioe . L. Pfeiffer, Monogr. pneumonop. viv., etc., p. 297, n° 1. 1852. Cette remarquable espèce, rencontrée jusqu’à ce jour en Albanie, en Dalmatie, à Cattaro et à Montenegro, a été recueillie par M. de Saulcy, aux environs d'Athènes. 1. Hist. des Moll., etc., p. 33, tab. xnx, f. 14. 1805. 2. Ziégler, in : Rossmässler, /conogr., etc., vr, p. 49, tab. xxvur, fig. 395. 1837. S II — BRANCHIATA V. — PERISTOMACEA. GENRE BITHINTLIA. BITHINIA RUBENS. PALUDINA RUBENS ‘. Menke, Synops., p. 434. 1830. ; — Id..... Philippi, Enuwm. Moll. Sic., p.148, n° 3, pl. 1x, f. 4. 1836. Cette petite coquille, d’une couleur rougeàtre, mince et transparente, ressemble un peu à la Bithinia (Helix) tentaculata de Linnæus?. Mais elle en diffère par sa taille moindre, par sa spire obtuse, composée de six tours convexes, lisses ou plutôt striés avec la plus grande élégance et avec une extrême délicatesse; à ce point que les stries sont presque imperceptibles à l'œil nu; enfin, par son opercule oval, arrondi, à sommet presque central et orné de stries concentriques. Cette espece varie un peu dans les caractères que présentent sa suture et son péri- stome. Sa suture, en effet, suivant les échantillons, est plus où moins marquée; tandis que de son côté, le péristome, qui est continu, est plus ou moins accolé sur le tour antépénultième. Nous considérons cette Bithinie que nous à communiquée M. de Saulcy, comme n’é- tant autre chose que la Paludina rubens de Menke et de Philippi, découverte dans les ruisseaux de la Sicile. La comparaison que nous avons faite de cette éspèce avec nos échantillons de Syrie, nous a convaincu que ces derniers, bien que provenant de loca- lités fort éloignées, n’en devaient être pas moins rapportés au Mollusque décrit par ces auteurs. La Bithinia rubens à été recueillie assez abondamment dans le Bahr-el-Houlé, ainsi que dans les environs de Damas et de Baalbeck, en Syrie. 1. D'après Philippi, il faut encore rapporter à cette espèce la Paludina ferruginea (Jan et Cristof., Cat.), ainsi que la Paludina inflata (Parreyss, Sec. spec. mus. reg. Berol.) 2. Syst. nat., p. 774, n° 616.1760. pe — BITHINIA SAULCYI. Testa subconico-ventricosa, perforata, diaphana; epidermide atro-virescenti, lineolis nigris quasi venulis transversalibus costellatis, ornato ; post obitum autem, epidermide destituto, testa striatula, ac omnino rubella. — Anfractibus 5 convexis, sutura impressa separatis. Apertura pyriformi, superne subangulata; peristomate simplice, acuto, con- tinuo, Operculo nigro-rubello, Iævi, nucleo subcentrali. Coquille ventrue, conoïde, perforée, transparente, recouverte d'un épiderme noir verdâtre orné de petites lignes transversales plus foncées et un peu saillantes. Lorsque cel épiderme est enlevé, ce qui arrive le plus souvent, le test entier de cette Bithinie apparait rougeûtre et strié avec assez d'élégance. Ses cinq tours de spire convexes sont séparés par une suture profonde. Son ouver- ture pyriforme, un peu anguleuse à son sommet, possède un péristome aigu, simple et continu. Son opercule verdâtre, entièrement lisse, offre seulement un noyau subcentral. HAUTEUT Ma error ire DT T Ta Tan ne 6 millim. 31/2 Id. Cette charmante Bithinie a été recueillie dans les mares et les flaques d'eaux des envi- rons de Baalbeck, en Syrie. Cette espèce ne peut être confondue qu'avec la Zithinia Hawadierianu. Mais on la séparera toujours de cette dernière coquille par son épiderme d’un noir verdätre, orné de la manière la plus gracieuse de petites linéoles transversales, P opercule lisse, par son test rougeàtre, etc. ar son BITHINIA HAWADIERIANA. Testa ovato-conoidea, perforata, fragili, diaphana, lævi, vel sub lente argutissime striatula , cornea ; anfractibus 4 convexis, sutura valde impressa separatis; apertura rotundato-pyriformi, superne subangulata; peristomate simplice , acuto, continuo ; operculo striis concentricis, ac nucleo subcentrali ornato. Coquille ovale conoïde, fragile, transparente, de couleur cornée, Sommet obtus, per- foration ombilicale très-visible. Ses quatre tours convexes, séparés par une suture pro- fonde, offrent une surface lisse ou à peine sillonnée de petites stries fines et de la plus grande délicatesse. Son ouverture de forme arrondie, et un peu anguleuse à son som met, possede un péristome simple, aigu, continu et non échancré par la convexité du tour antépénultième. L'opercule offre plusieurs stries concentriques autour d’un noyau subcentral. HENEMPECcouduonccococboeconncodseecosccco toc enaooe drift DIAMÉRME PER EEE ee eee eee cesse 0 Id. Cette nouvelle Bithinie habite les eaux du Babr-el-Houlé, en Syrie. Cette espèce se rapproche assez de notre Bithinia Saulcyi. = Mais on la distinguera à sa taille un peu plus petite, à sa perforation ombilicale un peu plus prononcée, mais surtout à sa couleur cornée, à son test lisse et non costellé, pour ainsi dire, comme celui de notre Saulcyti. BITHINIA TRITONUM. HypROBIA TRITONUM. Bourg., Test. nov., etc., p. 24. n° 4. 1852. Testa minima, elongatula, ventricosa, tenuissima, pellucida, nitida, sub ope lentis vix striatula, fusco-cornea; anfractibus 4 convexis, lente crescentibus; anfractu priore decorticato, vel, sæpissime duobus superioribus truncatis ; spira obtusissima ; suturis impressis; apertura rotundato-ovali; peristomate tenui, continuo, simplice, vel, intus subincrassato. Operculo ignoto. Cette Bithinie, la plus petite des espèces recueillies par M. de Saulcy, est d’une telle fragilité, qu'on ne peut presque jamais la rencontrer intacte; le sommet de sa spire est ordinairement érosé ou tronqué. Son test corné, transparent, de forme ovale et un peu ventrue, est à peine strié. Ses quatre tours de spire convexes, s’accroissent avec régularité, et sont séparés par une suture profonde. Son ouverture est ovale et arrondie; enfin, son péristome est simple et continu. Hauteur R rte sous EE ETUDE Su ctsiei aie lee se so yete 2 millim. Diamétres st Meter TRE Sinieta role 0 aie la dleteretete DESSERT li LA Ce Mollusque habite sous les feuilles des plantes aquatiques des eaux fangeuses du marais de Lerne, en Grece. = La Bithinia tritonum se rapproche un peu par l'ensemble de ses caractères des Bithi- nia brevis * et Perrisii?. Mais on distinguera notre espèce : 1° De la Bithinia brevis, à sa forme plus ventrue, à sa suture plus prononcée, surtout à son ouverture plus pyriforme, moins arrondie, et plus latérale par rapport à l'axe de la coquille; 2 Dela Bithinia Perrisii, à sa taille plus considérable, à sa suture plus profonde, à ses tours de spire plus ventrus, à son ouverture moins arrondie, etc. 4. Cyclostoma breve, de Draparnaud, Hist. nat. des Moll., etc., p. 37, n° 40, tab. x, F. 2-3. 1805. 2. Hydrobia Perrisi, de M. l'abbé Pupuy, Hist. nat. des Moil., etc., 5° fasc. (Mai 1851,) p. 563, n° 9, et 6° fase. (Juin 4852), tab. xxvIn, f. 3. Een VI. — MELANIACEA. Genre MELANIHIA. MELANIA TUBERCULATA. NERITA TUBERCULATA.... Müller, /’erm. Hist. 11, p. 191, n° 378. 1774. STROMBUS COSTATUS..... Schrôter, Flussconch.,etc., p. 373, pl. van, Ê. 44. 1779. Mecanoines FascioLaTA, Olivier, Z’oy. dans l'emp ott, vol. IT, p. 40, pl. xxxt, f. 7. 1804. MELANIA FASCIOLATA.... Lamarck, 4n.s. vert., vol. VI, 2° partie, p. 167, n° 16. 1822. - Id........ Deshayes, in : Lam., 4n.s. vert., 2° éd., vol. VIIF, p. 434. 1838. C’est M. Deshayes ! qui a reconnu dans la fasciolata des auteurs modernes, l'espèce que Müller, le premier, avait nommée Verita tuberculata. — Nous partageons cette opi- nion, et en conséquence, nous rejetons comme des synonymes erronés, ces noms de fasciolata, de costatus, pour adopter celui du premier auteur. Ce Mollusque qu’Olivier avait recueilli dans le canal d'Alexandrie, et pour lequel il avait créé son genre HMelanoides, se rencontre en Syrie, dans les eaux douces et dans les mares des environs de Tyr. Genre MELANOPSIS. NET ir MELANOPSIS PRÆMORSA. BucciNuM PRÆMORSUM.... Linnæus, Syst. nat., éd. Halæ, p. 740, n° 408. 1760. — PRÆROSUM. .... Linnæus, Sysé. nat., éd. x11, p. 1203, n° 471. 1767. BULIMUS PRÆROSUS . ..... Bruguière, in : Enc. mélh., Vers, vol. I, p. 361, n° 105. 1792. — ANTEDILUVIANUS. Poiret, Prod.,elc., p. 37, n° 5. 1801. MELANIA BUCCINOIDEA. .. Olivier, /oy. d. l'emp. ott., t. 1, p. 297, pl. xvur, Ê. 8. 4801. MELANOPSIS BUCCINOIDEA. Férussac, Mém. géol., ete., p.54, n° 1. 1814. — CASTANEA ... Férussac, Mém. géol., etc. p. 54, n° 6. 1814. — LÆVIGATA.... Lamarck, 4n. s. vert., vol. VI, 2 partie, p. 468, n° 2, 1822. — FUSIFORMIS... Sowerby, Gen. of Shells, etc., fig. 5. 1823. — Ferussac.... Roth, Mol. spec. Dissert. inaug., p. 24, n° 2, pl. 1, fig. 10. 1839. — PRæÆrosA .... Rossmässler, /con., ix et x, p.41, n° 6, f. 676 et 677. 1839. — PRÆMORSA ... Dupuy, Hist. nat. des Moll., etc., 5° fasc., p. 450. 1851. La Melanopsis præmorsa est une des espèces fluviatiles les plus répandues en Syrie ?; elle se trouve dans presque tous les cours d’eau et les fontaines de cette contrée. 4. Lam., 4n.s. vert., 2e éd., vol. VIIT, p. 434. 2. Ce Mollusque, toujours très-abondant dans les localités qu'il habite, se rencontre dans presque toutes les régions du littoral de la Méditerranée : en Anatolie, en Grèce, dans les îles de l’Archipel, en Italie, en Afrique, en France, enfin, en Espagne, sa patrie. Linnæus, en effet, a établi cette espèce sur des échantillons recueillis dans les aqueducs de Séville. 9 ee M. de Saulcy l'a notamment observée dans les environs de Damas, de Beyrouth, de Jaffa, de Sidon , de Tyr, ainsi qu'également aux bords de la mer Morte à Ayn-Fes- chkah, et à Ayn-Djedy. Cette espece varie beaucoup dans la coloration de son test. Elle se montre tantôt brune, tantôt d’un jaune verdâtre. Quelquefois même, ce qui est plus rare, elle offre trois bandes brunes sur un fond vert jaunâtre, comme on peut le remarquer sur les échantillons recueillis dans les eaux du Nabr-el-Kelb, près Beyrouth. MELANOPSIS SAULCYI. Testa ovato-oblonga, nitida, brunnea, vel fusco-cornea ; apice acuto, semper decor- ticato ; anfractibus 7 planis, regulariter crescentibus, non gradatis, levibus, ad suturam autem costis elegantissime munitis; sutura parum impressa; apertura ovato-oblonga ; peristomate simplice , acuto; callo albo, parvo, vix convexo; columella albida , ac inflexa. Cette coquille, d’une teinte d'un brun foncé, offre un test entierement lisse, sauf vers la suture, où de nombreuses côtes transversales, assez saillantes, lui donnent une apparence des plus gracieuses. Le sommet de cette Mélanopside est aigu et constamment érosé ; ses tours de spire, au nombre de sept, à peine séparés par une suture peu profonde, s’accroissent avec régularité. Son ouverture de forme ovale, allongée, possède un péristome simple et aigu, une columelle blanchâtre et arquée, enfin, une callosité peu considérable et à peine convexe ". HAMIBRR 5.524 ne ac PA ID SOU Etes... 15 millim. Di AE RR. : : score sou 510 aise Lo ets sem sise sole s saisies 6 Id. Cette nouvelle Mélanopside a été recueillie par M. de Saulcy à Artouze, en Syrie. Nous ne pouvons rapprocher cette espèce que des deux suivantes : Melanopsis cos- lala et Melanopsis costellata?. On la distinguera de la premiere, à sa taille moins considérable, à son test plus fusi- forme, plus brillant, à sa suture peu profonde, à son ouverture un peu plus oblongue, à sa callosité moins forte, enfin, surtout à ses tours de spire qui sont lisses et garnis seulement vers la suture de côtes transversales moins saillantes, et qui ne se prolongent jamais, comme chez la costuta, jusqu'à la base des tours de spire. On la séparera de la seconde, par son test bien plus fusiforme, moins ventru, par sa spire plus aiguë, plus élancée, enfin surtout par ses tours de spire qui s’accroissent régulierement, et qui ne présentent point, comme chez la costellata, un dernier tour trois fois plus grand que tous les autres réunis. 4. Nous ne connaissons point l'opercule de cette Mélanopside. 2. Férussac, Honogr. des esp. viv. et foss. du genre Melanopsis, ete., p. 28, n° 6. 4823. = Ge MELANOPSIS COSTATA. MELANIA COSTATA..... Olivier, Joy. dans l'emp. ott., &.1E, p. 294, pl xxxr, Ê. 3. 4804. MELANOPSIS cosTATA ‘. Férussac, Monogr. des Mélan., ete., p.156, pl. 1. fig. 14-15. 1823. — Id..... Var. À. Jordanica, Roth, Moll. spec. Dissert. inauqg., p. 25, pl. 11, fig. 42-43. 1839. Cette espèce, recueillie dans l'Oronte, pres d'Alep, par Olivier, se rencontre encore dans tout le cours du Jourdain. Elle se trouve également à l’état subfossile sur les bords de la mer Morte. Il existe, dans le lac de Tibériade, une variété singulière de cette Mélanopside, qui diffère du type par l’ensemble de son facies, et même par le mode de son habitat, sans former pour cela une espèce distincte, ainsi qu'on pourrait le croire à première vue. Roth?, Rossmässler$ l'ont fort bien représentée dans leurs ouvrages, et, ainsi que nous, ils la considèrent comme une simple variété de la costata. Elle se rencontre sur les bords du lac, où elle adhère aux pierres et aux rochers, tandis que les individus types du costata nw'habitent que sur les plantes aquatiques qui bordent les rives du Jourdain. Cette variété possède, en outre, une ouverture moins oblongue, une callosité columellaire plus épaisse, des crénelures plus considérables, et plus prononcées, enfin, un test plus ventru, constamment recouvert de trois zones d’un noir rougeàtre très-foncé. Cette apparence assez extraordinaire pourrait faire prendre cette coquille du lac de Tibériade pour la Ye/anopsis (Buccina) maroccuna de Chemnitz#. Mais nous croyons que ce serait là une erreur aussi grande que si l’on prétendait l’ériger en espèce nou- velle. J Comme Roth et Rossmässler, cités plus haut, nous rapportons ce Mollusque à la Melania costata d'Olivier ?, d'autant mieux qu’en examinant en détail et avec attention, les individus recueillis dans le lac de Tibériade, et ceux trouvés dans le Jourdain, nous avons reconnu entre eux un si grand nombre de nuances intermédiaires, qu'il nous serait impossible de dire où finirait l’une des espèces, et où commencerait l’autre. 4, Non, Melanopsis costata, Férussac, Mém. géol., p. 54, n° 2, espèce qu'il faut rapporter à la Melanopsis costellata, du même auteur (Mon. des esp. viv. et foss. du g. Mélan., etc., p. 28, n° 6. 1823). 2. Moll. spec. Dissert. inaug., etc., tab. nn, fig. 12-13. 3. lconogr.,ix et x, pl. L, f. 679 (1839.) 4. Buccina maroccana, Chemaoitz, Conch., t. IT, p. 285, pl. cox, f. 2082-2083. 5. M. J. de Charpentier (in : Zeiÿfchr. für Malak., ete., p. 144, n° 24. Sept. 1847), considère cette Mélanopside également rapportée par M. Boissier de la même localité, comme n'étant autre chose qu'une variété de la Melanopsis (Melania) costata d'Olivier. 69 VII — VALVATIDEA. GENRE VALVATA. VALVATA SAULCYI. , Testa depressa, subtus umbilicata, diaphana, cornea, levi, vel sub lente argutissime striatula ; apice obtusiuscula; anfractibus 3 1/2 convexis, sat velociter accrescentibus; ultimo magno, rotundato; sutura impressa ; apertura exacte rotundata ; peristomate acuto, simplice; marginibus approximatis, vix penultimo anfractu separatis. Cette petite coquille, très-déprimée en dessus, est ombiliquée en dessous; son test d’une teinte cornée, est brillant, diaphane, et strié avec une extrème finesse. Ses tours de spire, au nombre de trois et demi, sont convexes, séparés par une suture profonde, et s’accroissent assez rapidement. Son ouverture, à peine échancrée par l'avant-deruier tour, est, malgré cela, par- faitement arrondie; enfin, son péristome est simple et aigu. Son opercule nous est inconnu. Hauteteerercre.er se roneeieie see esse eelele cesse oisisiete 4 2 millim. Diamètre........ DES D ein OU DEC ere POOUPCDAC : 8 Id. Cette Valvée, la première constatée dans les régions oriento-méditerranéennes, a été recueillie dans les environs de Damas, en Syrie. La f’ulvata Saulcyi ne pent ètre assimilée à aucune des espèces de son genre. Si, par son facies général, par sa forme déprimée, elle semble se rapprocher un peu des J’abvata spirorbis ‘et cristata”?, elle en diffère essentiellement par tous ses autres caractères, surtout par ceux que présente son ouverture. Il est impossible également de la confondre avec notre espece française, connue sous l'appellation de Falvata piscinalis *. Aussi, croyons-nous inutile d'établir ici les rapports et la différence de notre f’alvata Saulcyi avec les Mollusques que nous venons de citer. VALVATA DEPRESSA. VALVATA DEPRESSA. C. Pfeiffer, System. anord. und beschreib. Deutscher land-und W'asser-Schnecken, etc., p.100, n° 2, pl. iv, fig. 33. 1821. Cette petite coquille habite les environs d'Athènes, dans le Céphise. 1. Draparnaud, Hist. nat. des Moll., etc., p. #1, n°4, tab. 1, fig. 32-33. 1805. 2, Müller, Ferm. Hist. 11, p. 198, n° 384. 4774. (J’alvata planorbis de Drap., Tabl. des Moll., etc. p. 42, n°4. 1804.) 3. Müller (Nerita piscinalis), Verm. Hist.n, p.172, n° 358. 4774. 60 — M. l'abbé Dupuy! considere cette espèce comme une simple variété de la F’abata piscinalis ?. Aussi cet auteur a-t-il rangé ce Mollusque parmi les synonymes de la pésci- nalis. Nous croyons que cette réunion constitue évidemment une erreur. VIII. — NERITACEA. GENRE NERITINA. NERITINA JORDANI. NERITINA Jonpani. Buttler. Mss. _ Id... Sowerby, Conch. illust., Nerilina, fig. 49. 1832. — Id... Roth, Mollusc. spec. Dissert. inaug., p. 26, n° 2, tab. 11, fig. 14-46. 18395. Cette singulière Néritine, rapportée du Jourdain par Buttler, a été recueillie par M. de Saulcy dans le lac de Tibériade. M. Sowerby, dans son J’hesaurus conchyliorum, confond la Weritina Peloponensis de M. Recluzÿ, qu'il nomme par erreur Æl/eponensis, avec la N. Jordani. Nous ne pouvons concevoir ce qui a pu amener M. Sowerby à réunir ces deux espèces si distinctes. La Weritina Jordani est une des espèces les plus variables; son test épais est tantôt d’une teinte noire, brune, bleue ou blanchître, tantôt il est zébré de ces couleurs en lignes fulgurantes. Sa spire, quoique toujours ovalaire dans le sens de l’axe, n'en prend. pas moins également une apparence ou conique, ou plus où moins pyramidale; enfin, son bord columellaire est épais, gibbeux en arrière, et visiblement échancré vers le centre. La Neritina Peloponensis est au contraire une toute petite coquille, très-mince, à spire à peine élevée, et toujours demi-globuleuse, offrant invariablement une surface tigrée d’une foule de petits points blancs, et présentant un bord columellaire étroit, uni, et rectiligne à la marge. 1. Hist. nat. des Moll. terr. et d'eau douce qui vivent en France, 5° fasc., p. 583 et 584. Mai 1854. 2. J'alvata( Nerila) piscinalis, Müller, Zerm. Hist. 11, p. 472, n° 358. 4771. 3. Il faut encore ajouter comme synonyme de la Nerilina Jordani, la Neritina nitida de Parreyss, qui n’est qu’une variété plus petite, plus noire et moins globuleuse de cette espèce. Part 1x, p 531. 4849. Nerilina Peloponensis, Recluz, in : Journ. de conch., n° 2. Avril 4850, p. 449. — (Neritina Bætica, Deshayes, Moll., etc., Morée, pl. xix, f. 1-3.) 4. 5. 0 — NERITINA MICHONIT. NeriTiNA Micnonir. Bourg., Test. nov., etc., p. 25, n° 4. 1852. Testa parvula, ovato-globosa, transversa, tenui, rugostuscula, transversim crebre striatis subcancellata, semper nigerrima; anfractibus 2 1/2; spira laterali, minima, depressa, Sæplus erosa ; peristomate rotundato ; apertura intus nigrita ; septo colu-— mellari incrassato. postice gibbosiusculo, albido, antice recto, integerrimo ; labro semi- circulari. Var. B. minima; labio in medio valde gibboso. Cette petite Néritine, constante dans ses caracteres, est ovale, demi-globuleuse, trans- versale, tres-légérement ridée transversalement, tout en ayant le test sillonné de stries longitudinales d’une extrème délicatesse. Cette coquille, brillante, recouverte d'un épiderme d’un noir uniforme, est formée de deux tours et demi, dont les deux supérieurs constituent une spire latérale, tres-petite, rentrée, et souvent corrodée. Son péristome est circulaire; son bord interne comprimé en avant et trés-calleux en arrière est blanchâtre où brunâtre, selon les individus, et parfois il est teint d’un jaune plus ou moins pâle au côté postérieur; sa marge est droite, et son bord externe, demi- circulaire, est tranchant et noirâtre en dedans. L'opercule de cette nouvelle espèce, plan en dessous, blanchâtre et lavé de noir vers son côté antérieur, est bordé d’un rouge safrané. Hauteur...... sens cime ce een seed M ose nee 7 millim. PATeURs Rs... See. _ _ COROPOONNOE SCUNMUE Var. BR HAUTEUR... om cceosss s Dr 000 M - ere ec FOSC: Largeur... ACTA A BOT RC I CC Eee le le ee Se ie elae 6 Id. La Neritina Michont habite les eaux thermales d'Ayn-Djedy, d’Ayn-el-Rhoueyr et d'Ayn-Feschkah, sur les rives de la mer Morte. La variété B de cette espèce se rencontre dans les eaux des environs de Tyr; elle se fait surtout remarquer par la gibbosité plus considérable et plus médiane de son bord columellaire. Parmi les diverses Néritines de la Syrie, nous ne pouvons rapprocher notre Wichonii que de la Veritina nitida de Parreyss, espèce, d’ailleurs, qui n’est qu’une variété de la Jordani de Buttler. On distinguera néanmoins la Veritina Michonii de celle-ci, à sa forme transversale, nullement globuleuse, ni ovale dans le sens de l’axe spiral, à son test toujours plus mince, à son volume constamment plus petit, à son épiderme d’un brun noir uniforme et Jamais zébré ni maculé comme dans le Jordani, à sa spire rentrée , et nullement élancée, ni pyramidale, etc. Terminons en disant que chez la Wichonii, le bord externe du péristome ne se dilate jamais en forme d’aile, au côté supérieur, comme dans la Jorduni, mais continue sa rotondité, ou au contraire, se creuse même quelquefois en cet endroit. Enfin, l’opercule de notre espèce ne présente jamais cette teinte irisée de l’opercule de la Néritine du Jourdain. Et NERITINA SAULCYI. NERITINA SAULCYI. Bourg., Test. nov., elc., p. 25, n° 2. 1852. Testa subglobosa, tenuiscula, parvula, nigra, inter oculum et lumen violacea, lineo- lis nigris transversis ornata, nitida; anfractibus 3 convexis; anfractu priore subhyalino ; suturis impressis; labio compresso, simplice, edentulo, albo-lutescente, labro tenuis- simo ac acuto; operculo albo-roseo. Coquille petite, semi-globuleuse, entièrement noire. Lorsqu'on examine cette Néri- tine par transparence, son test paraît orné d’une foule de petites linéoles noires trans- sales, qui elles-mêmes se trouvent quelquefois sillonnées d’autres lignes longitudinales qui se croisent à angle droit. Ses trois tours de spire sont convexes et s’accroissent avec une extrême rapidité ; aussi la spire est-elle très-petite et peu développée. La suture est tres-prononcée. L'ouverture est ovale, noirâtre, et possède un péristome simple et aigu ; son opercule d’un blanc rosé, offre quelquefois de légères nuances orangées et noirâtres. HAnleLeE CEE. 09000 Dino 0e 50000040 1200710400 Toa0 000 .. 3 3/4 millim. Larseurs 2er Pdedae see toile oem ele eee nelle 5 1/3 Id. Cette Néritine habite les petits ruisseaux des environs du monastère du Pentéli, pres d'Athènes. NERITINA SYRIACA. NERITINA SYRIACA. Bourg., Test, nov., etc., p. 26, n° 3. 1852. Testa parvula, subglobosa, nigerrima, nitida, longitudinaliter substriata ; spira semi- globosa, anfractibus 4, duobus superioribus sæpissime erosis; apertura virescente ; labio compresso, albido, antice vix arcuato, edentulo; labro acuto. Petite coquille presque globuleuse, tres noire, brillante, et irrégulièrement sillonnée de stries longitudinales de la plus grande délicatesse. Son test, formé de quatre tours de spire arrondis, présente ordinairement ses deux premiers tours érosés ou corrodés. Lorsque la spire est intacte, cette Néritine parait demi-globuleuse à sommet mame- lonné. & Son ouverture, ordinairement verdâtre, est quelquefois entièrement noire; enfin, son bord interne étroit, comprimé, demi-circulaire, légerement arqué en avant, est simple et blanchâtre, tandis que son bord externe est aigu, et d’une grande fragilité. L’opercule est blanchâtre. Hauteur rte nneleheseneccerbeececEu se eeneoee 5 millim. Largeur ..... 100960000000 rer ete --nicelentienes cc se. D-0 Id. Cette nouvelle espèce a été recueillie en Syrie, dans les environs de Beyrouth. 4. — 719 — NERITINA FLUVIATILIS. NERITA FLUVIATILIS .... Linnæus, Syst. nat., etc., p. 777, n° 632. 1760. La NÉRITE DES RIVIÈRES. Geoffroy, Traité des coq., etc., p. 120. 4767. Tagopoxus Lurerranus. Denys de Montfort, Conch. syst , t. II, p. 351. 4840. NERITINA FONTINALIS ... Brard, Cog., etc., Paris, etc., p. 469, n° 2, tab. vis, Ê. 44 et 13. 1845. — FLUVIATILIS... Lamarck, 4n. s. vert., t. VI, p. 488, n° 49. 1822. — DALMATICA ... Sowerby, Conch. illust., Neritina, fig. 57. 1832". La Neritina fluviatilis est un Mollusque, il faut l'avouer, qui présente de nombreuses variétés de forme , de couleurs, etc. Mais, comme en même temps elle offre certains caractères invariables, il n’est pas permis à des conchyliologues sérieux de la mécon- naître, et surtout de confondre avec elle plusieurs autres espèces véritables ; ainsi que l'ont fait, avec leur légèreté habituelle, les auteurs anglais : Sowerby.et Lowell Reeve. Les échantillons de cette espèce que nous avons examinés viennent des environs de Nauplie, en Grece. Ils appartiennent à une variété qui se rapproche presque en tout point, pour la coloration et la disposition, des linéoles de la MVeritina elongatula de M. Arthur Morelet?. Aussi aurions-nous pu les confondre ensemble, sans un signe caractéristique tout spécial à cette dernière espèce. On distinguera toujours, en effet, l'elongatula de la fluviatilis, à sa gibbosité columellaire, gibbosité qui ne se rencontre jamais chez celle-ci. 4. D'après M. Recluz, on doit encore rapporter comme simples noms de synonymie, les espèces suivantes : Weri- tina Ticinensis, de Villa, — rhodocalpa, de Jan, — F'illæ, de Sandri, — Dalmatica, de Partsch, — f'idovichit de Sandri, — aurantia, de Kutzig, — rivalis, de Parreyss, — varida, de Zino, — Heldreichi, de Parreyss, — dendrilica, de Ziégler, — Halophila, de Klet, etc. — Nous croyons également que les Neritina Mittreana (Revue zoo! , p. 181 et 182, n° 46. 4842) et zebrina (Revue zool., p. 341, n° 48. 4841), de M. Recluz, ne doivent être considérées que comme de simples variétés de la Neritina fluvialilis. 2. Descript. des Moll. du Portugal, p. 96, n° #, pl. 1x, f. #4. 1845. MOLLUSCA ACEPHALA LAMELLIBRANCHIATA IX. — NAYADEA. GENRE UNIO, Bien que les Mulettes doivent abonder dans les cours d’eaux de Syrie, non moins que dans nos rivières et nos fleuves de France; nous devons dire que jusqu’à ce jour, les explorations de tant de naturalistes, n'avaient contribué en rien à enrichir ce genre. En nous exprimant ainsi, nous ne commettons aucune inexactitude, puisque les échantillons d’Unio que quelques conchyliologues, et notamment Olivier, avaient rap- portés d'Orient, étaient restés jusqu'à ce moment enfouis dans les collections du Muséum de Paris, sans recevoir aucune publicité. Nous avons été assez heureux pour obtenir communication de ces espèces. Elles sont au nombre de quatre seulement, savoir : les Unio Euphraticus, Bagdadensis, Tripoli- anus et Tigridis.— Nous les avons donc jointes à celles qu'a rapportées M. de Saulcy, afin de réunir dans ce seul travail tous les Mollusques de ce genre qui ont été jusqu’à présent recueillis dans les contrées oriento-méditerranéennes. Parmi les Mulettes que nous allons décrire, quatre appartiennent au prétendu genre Margaritana ; savoir : les Unio Saulcyi, Michoni, Tripolitanus et Euphraticus. Mais il est bon de faire observer que si nous n’avons point classé ces espèces sous la désigna- tion générique de Margaritana, c'est que nous ne l’admettons que comme une sec- tion purement artificielle, un moyen dichotomique de classification, et non comme indiquant un genre distinct et réel, ainsi que l’a proposé, en 1817’, le conchyliologue allemand Schumacher. 4. In: Essai d'un nouveau système des habitations des vers testacés. Copenhague, 4 vol, petit in-4°. 1817. 10 EG, — UNIO SAULCYI. Unio SauLcri. Bourg., Test. nov., etc., p. 27, n° 4. 1852. Testa elongato-ovali, valde inæquilaterali, sabcomplanata, supra infraque recta, pos- tice anticeque rotundata, concentrice striata, epidermide nigrescente ; nmbonibus pro- minulis ; dente cardinali exiguo, obtuso; laterali nullo. Cette Mulette est ovale, allongée, peu ventrue, recouverte d’un épiderme d’un brun noiràtre. z Ses bords inférieur et supérieur sont presque parallèles ; ses natès rejetés à sa partie antérieure sont peu proéminents ; enfin, sa charnière est de la plus grande simplicité, on n’y remarque, en effet, qu’une seule dent cardinale petite, obtuse et peu élevée. ÉONSUCURE es csm-esecme Feet rer enee enrichie 70 millim. DAPTEUL: ee lors era entame sie ec te sense sites 38 Id. ÉPAISSEUR Rec ees BR co cocr OCODOC tuent : 23 "Id: L'Unio Saulcyi habite les ruisseaux des environs de Jaffa, en Syrie. Cette coquille ne peut être rapprochée que de l'Unio Michonti. Mais on l'en distin- guera à sa taille plus considérable, à son test plus allongé, plus épais, et proportionnel- lement moins ventru, à sa couleur noirâtre uniforme, et non d’un vert jaunâtre radiée de bandes plus foncées, comme chez le Hichonti. Quant aux charnières de ces deux espèces, elles sont si simples, et pour ainsi dire si rudimentaires, qu'elles offrent entre elles peu de différences essentielles à noter. UNIO MICHONII. Uxio Micnonir. Bourg , Test. non., etc., p. 27, n° 2. 1852. Testa ovali, antice rotundata, posticeque subattenuato-truncata, fragili, concentrice striatula; epidermide virescente, viridi radiatula, ad umbones succinea; umbonibus subprominulis, rugosiuscalis; natibus acutis; dente cardinali satis crasso, alto, sub- acuto. Cette coquille ovale, fragile, antérieurement arrondie, est presque tronqaée à sa par- tie postérieure. Son test très-élégamment sillonné de stries concentriques d’une grande délicatesse, est recouvert d’un épiderme verdâtre (jaunâtre vers les natès), radié posté- rieurement de zones d’un vert éclatant. Ses nates aigus, un peu rugueux, sont peu proéminents; sa dent cardinale est épaisse. aigué, et d’une taille assez forte. One re re eau ee CR ne M ee 50 millim. L'ADOURS Essen ebicscleessenedsmmituenss eue 35 Id. ÉPAISSEUR ee: 2: cn ec ce seche eco. L le 15 à 17 Id. & 15 — Cette Mulette a été recueillie avec la précédente par M. l'abbé Michon, dans les cours d’eau des environs de Jaffa. L'Unio Michonit est assez voisine des Unio Delesserti et Bruguierianus. Mais cette seule différence, que nous allons signaler, suffira toujours pour faire distinguer cette espèce de ces deux dernières. l’Unio Michonit ne possède point de lames latérales à sa charnière, tandis que nos Unio Delesserti et Bruguierianus offrent au contraire de très-fortes lames latérales qui se prolongent sur toute la longueur du corselet. UNIO TRIPOLITANUS. Uxio TrirociTANUSs. Bourg., T'est. nov., ete., p. 28, n° 3. 1852. Testa ovato-rotundata, supra areuata, infra subrecto-arcuata, antice posticeque rotun- data, ventricosa, crassa, concentrice striata, epidermide luteolo vel fusco-virescente ; umbonibus valde prominentibus, recurvis, extremitati anterlori approximatis ; dente cardinali crasso, subacuto, valde altissimo. \ Cette Mulette est ovale, inéquilatérale, antérieurement et postérieurement arrondie. Ses bords supérieur et inférieur sont un peu arqués. Ses valves assez épaisses offrent à l’intérieur une nacre d’une teinte rosée, tandis qu’elles sont recouvertes en dessus d’un épiderme d’un jaune ou d'un brun verdâtre , sillonné de stries concentriques gros- sières. Ses natès proéminents, à sommets très-aigus, sont striés avec beaucoup d'élégance et une grande délicatesse. Sa charnière, qui est très-simple, ne possède qu’une seule dent cardinale épaisse, de forme trigonale et assez élancée. MDN EEE meet HA 000 70000 I0 0 7000010 A0OD ON 70 millim. LAN onen vise rencoodonuovgcoe nee nee ceci 40 Id. Épaisseur........1 UE Antec to sh n Rn Eur 20 0HE do ndrhr GE Cette espece a été recueillie par l'illustre voyageur Olivier, dans les environs de Tri- poli, en Syrie. UNIO EUPHRATICUS. Unio Eurnraricus. Bourg., Test. nov., etc., p. 28, n° 4. 185 Testa valde inæquilaterali, rotundato-subtrigona; supra angulato-arcuata, area com- pressa, valde elata; infra rotundata ; antice brevissima, angusta, posticeque magna ac dilatata, subattenuato-truncato-rotundata ; complanata , tenui, argute concentriceque striatula; fusco-virescente, præsertim ad margines ; umbonibus subprominulis, ante- riori parte dejectis, subrecurvis, decorticatis; natibus acutissimis ; dentibus : cardinali tenui, satis producto, parum alto ; laterali fere nullo. Coquille très-inéquilatérale, aplatie, comprimée, subtrigonale ; bord cardinal arqué, anguleux (région du corselet légèrement comprimée et dilatée), bord palléal arrondi ; partie antérieure courte, de forme arrondie, avec les sommets assez rapprochés, partie — 76 # postérieure allongée, subanguleuse; épiderme d'un brun verditre, sillonné de stries fines et régulières. : Natès peu proéminents, érosés, très-aigus. Charnière ne possédant qu'une seule dent cardinale, petite, mince, peu élevée ; lame latérale à peine sensible. LONPUBUR EEE eeepc ces ne sis niet sie socio celle see 2 10 INIIIM. TO HOMMAOPOUBUU COUT | ROMANE er teeie sere-mreue 603 Ie Épaisseur. +0. AAC de HS OICeE HN CS oo co Cette espèce habite les cours d’eau des environs de Bagdad ?. Cette singulière Mulette se distingue complétement de toutes celles qui vivent dans ces régions orientales. Par sa forme, en effet, par l'ensemble de ses caractères, ce Mol- lusque appartient plutôt au genre Ærodonta qu'au genre Unio; aussi, sans la petite dent cardinale de la charnière, aurions-nous pu classer cette coquille parmi les Ano- dontes. UNIO TERMINALIS. Unio rermiNauis. Bourg., Test. nov., etc., p. 31, n° 9, 4852. — Id.... Bourz., Descript. de quelques coq., etc., in : Journ. de conch., n° 1. 1853, p. 74, tab. mi, fig. 7, (Pessima). Testa multo inæquilaterali, subtrigona, antice subovali, postice rostrato-subacuta; crassa; ventricosa, præsertim ad partem testæ anteriorem ; concentrice striata; epider- mide nigrescente ; umbonibus valde prominentibus, recurvis; margine anteriore nati- bus fere omnino approximato ; dentibus : cardinali alto, crasso, denticulato; laterali crasso, productoque. Cette coquille se distingue à sa forme inéquilatérale et presque subtrigonale, à son test épais, antérieurement tres-ventru et se terminant postérieurement en un rostre tres- Pas; ] prononcé, à son épiderme d’un noir foncé. — Ses natès sont très-proéminents, recour- Dés sur eux-mêmes et situés presque à l'extrémité antérieure. l es et situé esque à l’ext t t Sa dent cardinale est grosse, épaisse et ur t nticulée; sa den éra st égale- Sa dent linale est grosse, épaisse et un peu denticulée; sa dent latérale est égal ment très-forte et se prolonge sur toute la longueur du corselet. OnUEUTE race ere. DOTE Scenes enen ere 50-60 millim. D'ATPOUR AR fete el aies Sisete rame late el etsia a ei eee TOR eee Pete e 28-35 Id. Épaisseur.…...... nets eiiee RE le 24 Id. L'Unio terminalis habite le lac de Tibériade. Cette espèce se sépare facilement de toutes celles décrites jusqu’à ce jour. Nous note- rons cependant comme une singularité digne de remarque, que par sa partie antérieure elle ressemble aux Unio platyrinchus* et platyrinchoideus 3; tandis que par son extré- mité postérieure, elle se rapproche de certaines variétés très-ventrues et tres-aigués de l'Unio tumidus de Retzius. A. Cet Unio a été rapporté par Olivier. 2. Rossmässler, Zcon., etc., v et vi, p. 20, f. 388. 1837. 3. Dupuy, Cat. extram. Galliæ test. etc., p. #, n° 336. Fév. 1849. = 7 — UNIO TIGRIDIS. Unio riGris... Férussac, Mss. in Mus. Paris. — TiGRinis.. Bourg., Test. nov., etc., p. 30, n° 8. 1852. Testa valde inæquilaterali, elongata, antice rotundata, postice subacuta, supra infra- que subrecta; concentrice striata, crassa, ventricosa; epidermide luteo-nigrescente, præsertim ad margines; umbonibus valde prominentibus, recurvisque, atque ad ante- riorem partem sitis, decorticatis ; dentibus : cardinali acuto, alto, parum crasso et sub- producto; laterali alto, tenui, productoque; in altera valva, receptis Coquille très-inéquilatérale, ovale, allongée, antérieurement arrondie et terminée postérieurement en un rostre assez prononcé; son test orné de stries concentriques fines et régulières, est recouvert d’un épiderme d’un jaune noirâtre, surtout très-foncé vers le bord palléal. Ses natès ventrus, proéminents, recourbés, sont situés presque à la partie antérieure ; enfin, sa charnière offre une dent cardinale assez forte, de forme trigonale, denticulée, et une lame latérale très-longue, mince et assez élevée. HONSUEUT ER Re eee see Cod 006E DÉbrSéetco Cod orne 60 millim. D'ATTOUReR eee e ere nb. 00000 UOD D dE 00 18066 0n 00 Cho MED E ÉDAISSOUR ae ee eme seems de ces leon ien so etes ot 22 Id. Cette espece, rapportée par Olivier, habite les mêmes localités que l'Unio Euphra- ticus. Cette Mulette ne peut être confondue qu'avec VUnio terminalis. Mais on la distinguera facilement de cette dernière, à ses valves moins épaisses, à son test un peu plus com- primé, à ses natès moins rapprochés de son extrémité antérieure, à son extrémité pos— térieure moins rostrée ; enfin, surtout à sa charnière, qui possède une dent cardinale plus mince, plus petite et plus allongée. UNIO DELESSERTI. Unio DeresserTi. Bourg., Test. nov.,etc., p. 29, no 6. 1852, Testa subovata, supra arcuata, nitidiuscula, luteo-fulva, fusco-radiatula, concentrice striata; umbonibus prominulis, rugosis vel decorticatis; dentibus : cardinali alto, acuto, crasso, denticulato ; laterali elongato, in altera valva inter dentes bene formatos, receptis. Cette coquille est presque ovale, supérieurement arquée, sillonnée de stries concen- triques et recouverte d’un épiderme jaunâtre, faiblement radié de zones d’une couleur brune assez prononcée. Ses natès sont proéminents, constamment rugueux ; mais ce dernier caractère ne se présente que chez les individus jeunes dont la coquille n’a pas encore eu le temps de se dénuder et de s'excorier. Sa dent cardinale épaisse, est grande, aiguë et un peu ro e— denticulée ; sa dent latérale est forte et se prolonge sur toute la longueur du corselet. La nacre intérieure de cette Mulette est rougeûtre. Éonoueure ste. So: 000 00000 00001000 000 SSHo00c 49 millim. Largeur... .., Oo c 00e SUD FUN Tau° 000000021200 000100 DROGUE 2 (6 Épaisseur:e M re OU Hire Pas Ce AT Id. L'Unio Delesserti habite les environs de Jaffa, en Syrie. UNIO BRUGUIERIANUS. Unio ortenrauis ‘. Bourg., Test, nov., etc., p. 29, no 5. 1852. Testa næquilaterali, ovato-elongata, supra subarcuata, infra recta, antice posticeque rotundata, concentrice striatula, parum ventricosa, epidermide luteolo, postice viridi radiatula ; umbonibus prominulis, recurvis, margine anteriori approximatis; dentibns : cardinali oblique parum producto, alto; laterali producto, tenui, alto, Coquille inéquilatérale, ovale, allongée, bord cardinal arqué, bord palléal rectiligne. parties antérieure et postérieure arrondies. Test orné de stries concentriques, recouvert d’un épiderme jaunâtre, radié vers sa partie postérieure de zones verdâtres. Sommets peu proéminents, recourbés, assez aigus; dent cardinale forte, élevée. tronquée supérieurement ; dent latérale mince, haute, se prolongeant sur toute la lon- gueur du corselet, Longueur. .s4.t drone chereeent Re tiTe de Re 47-49 millim. LATEOUT 2... Te Eee siens s dise eteltieltexs io sors see . 24-26 Id. Épaisseur . ....... HOTTE à S OOOONE SRE cent 1647 Id. Cette Mulette a été recueillie par M. de Saulcy dans les cours d’eau des environs de Smyrne, en Anatolie. Cette espece a été également rapportée par le célèbre voyageur Olivier, de ces mêmes contrées orientales : ce savant l'avait notamment rencontrée dans le Simoïs, non loin des ruines de l’ancienne Troie. UNIO BAGDADENSIS. Unio BAcpexsis... Férussac, Ass, in Mus. Paris. — BaGpapexsis. Bourg., Test. nov., ete., p. 30, no 7. 1852, Testa elongato-ovata, supra recta, infra subarcuata, antice rotundata, postice sub- attenuato-truncata, parum ventricosa, tenui, regulariter concentrice ac subtiliter stria- tula; epidermide fusco-nigrescente, præsertim ad margines; umbonibus prominulis, decorticatis; dentibus : cardinalibus duobus, parum altis, sat elongatis, tenuibus ; late- rali unico, subalto, producto ; inter dentes bene formatos in altera valva, receptis. Coquille ovale, oblongue, peu ventrue, antérieurement arrondie et subanguleuse 1. Non, Unio orientalis, Lea, in : Chenu, Z/ustrat. conch., pl. xxx. — Unio, fig. 6, — et voyez Lea, 4 Sy- nops. of the fam. of Naiades, etc.. p. 38, 1852. à sa partie postérieure, bord cardinal rectiligne, bord palléal un peu arqué. Valves minces, assez fragiles, très-finement ornées de stries concentriques régulières, et recou- vertes d’un épiderme d'un brun noirâtre, surtout très-foncé vers le bord palléal. Sommets peu proéminents, ordinairement érosés; dent cardinale consistant en deux petites lames minces, peu élevées, assez allongées, dont l’une est un peu plus forte que l’autre; dent latérale simple, mince, assez haute et de la longueur du corselet. Longueur roc Honocoéoour 66 doccontoooncccomioenllne EarseurÆe "5-00 : saone ecieines os Ce CHOC PCT E ÉPAISSEUR eee ee anche Lee - PROC CE ee . HOT: L'Unio Bagdadensis' a été recueilli par Olivier dans les environs de Bagdad. X. — CARDIACEA. GENRE CYRENA CYRENA FLUMINALIS. TELLINA FLUMINALIS. Müller, ’erm. Hist. 11, p. 205, n° 390. 1774, — FLUVIATILIS. Müller, F’erm. Hist. n, p. 205, n° 392. 1774. VENUS FLUMINALIS EUPHRATIS... Chemnitz, Conch. cab., etc., t. VI, p. 319, tab. xxx, f. 320. 1782. — FLUVIATILIS.. Chemnitz, Conch. cab., etc., t. VI, p. 320, tab. xxx, f. 321. 1782. CYRENA ORIENTALIS . Lamarck, 4n.s.vert., ete.,t. V, p. 552. n° 2. 1818, —— D 'COR eue ce Lamarck, An. s. vert., ete., t. V, p. 552, n° 3. 1818. — FUSCATA. . . . Lamarck, An. s. vert., etc, t. V, p. 552, n° 4. 1818. — consoBRINA. Caillaud, f’oy. à Méroé, Atlas (1823), t, Il, pl. zx, Ê. 10-11. — T. IV, (1827), p. 263. Cette Cyrène est très-répandue en Syrie, dans le lac de Tibériade, le Jourdain, les environs de Tyr, de Jaffa, etc. Nous sommes de l'avis de M. Deshayes, qui, dans la seconde édition des ani- maux sans vertèbres de Lamarck ', considère les {/yrena orientalis, cor et fuscata de cet auteur, comme étant des espèces à réunir. À raison des nombreuses variétés que l’on rencontre dans les rivières d'Orient, l'onne peut, en effet, établir entre elles de véritables lignes de démarcation. 1. T. VI, p. 273. 1835. — 80 — GENRE PESEDEU M. PISIDIUM CASERTANUM. CaRDIUM CASERTANUM.... Poli, Test. utriusque Siciliæ, etc., t. 1, p. 65, tab. xvr, fig. 1. 4791. Cyezas Fonrinauis !,,.. (Pars), Nilsson, Hist. Moll. Sueciæ, etc., p. A0, n° 6. 1822, — Id.......,... Dela Pylaie, Man. de conch., etc., p. 332, pl. xtv, f. 1. 1826. PiSsiDIUM AUSTRALE *..., Philippi, Enum. Moll. Sic., ete., vol. T, p. 39. 1836. — CINEREUM...... Alder, Cat. land and freshw. Moll. Northumberland.— Suppl., p. 4. 1837. — LUMSTERNIANUM. Forbes, On the land and freshiv. Moll. of Algeries, etc., nm: Ann. of nat. Hist., etc., p. 255, n° 45. 1838, — et pl. x11, f. 4 (mala). 1839. — OBTUSALE %.... Villa, Disp. syst. conch., etc., p.44. 1841. CycLas oBLiQuA *....... Dupuy, Mo/l. du Gers, etc., p. 91, n° #4. 1843. — CINEREA......... Hanley, The recent of speries, etc., t. Lup. 91. 1843. — LENTICULARIS Ÿ., Normand, Notice sur quelques nouv. esp. de Cyclades, etc., de F'alenciennes, p. 8, n° 4, f. 7-8. 1844. PISIDIUM IRATIANUM ..... Dupuy. Cat.extram. Galliæ test., etc., n° 234. 15 feb. 1849. — THERMALE. .... Dupuy, loc. sup. cit., n° 238. 1849. — CALYCULATUM... Dupuy, loc. sup. cit., n° 230. 1849. — SINUATUM. ..... Bourguignat, Descript. d'une nouv. esp. de Pisidium, in : Journ. de conch., n° 1, pl. 1, f. 6-10. 1852, — LENTICULARE ... Dupuy, Æist. nat. des Moll., etc., de la Franee, 6° fasc., p. 680, n° 2, tab. xxx, f. 2. 1852. 1. Non, Cyclas Fontinalis, var. obtusalis de M. l'abbé Dupuv, Moll. du Gers, ete., p. 89, n° 2. 1843, qui ne doit être autre chose que le Pisidium obtusäle de C. Pfeiffer, System. anordn.und Beschreib., ete, p. 125, n° 2, tab. v,f. 21-22. 4821. — Nec, Cyclas Fontinalis des auteurs suivants : Brown, in : Edinburgh Journ. of nat. and geol. se., vol. I, 2 partie, pl. 1, f. Set 7. — Alder, Catal. of land and freshw. Shells, etc., in : Transact. nat. Hist. of Newcastle, ete., vol. 1, partie 4r*, p. #1, n° 69. 4830. — Lamarck, 4n. s. vert., ete ,t. V, p. 559, n°7. 1818. — Deshayes, Encycl. mélh., F'ers,t. TE, p.37, n° 5. 1830. — Michaud, Complém., etc., p. 116, n° 4. 1831. — Deshayes, in : Lamarck, 4n. s. vert., 2e 6d., t. VI, p. 270, n° 7. 1835. — Mauduyt, Moll., etc., de la Vienne, etc., p. 3, n° 2. 1839. — A. Gras, Descript. des Moll. terr. et fluv. du département de l'Isère, etc, p.73, n° 3, pl. vi, f. 4. 1840. — Moquin-Tandon, Mémoire sur quelques Moll., etc., Toulouse, ete., p. 47, n° 57. 1842. — Hanley, The recent Shells, etc., vol. I, p. 90. 1843. — Puton, Essai sur les Moll. des l'osges, ete., p.78, n° 6. 1847, elc., etc., qui est une espèce à rapporter tantôt au Pisidium (Cyclas) vilreum, de Risso, Hist. nat., etc., de Nice,t.IV, Moll., p. 338, n° 914. 1826, et de Pfeiffer, in : Verany, Cat. del golfo di Genova e Nizza, etc., p. 13. 1836, où tantôt au Pisidium (Tellina) pusillum de Gmelin, Syst. nat., etc., t. I, pars vi, p. 3231, n° 46. 1789. (Pisidium qui n'est autre chose que le véritable Pisidium Fontinale de C. Pfeiffer, System. anordn., ete., p. 125, n°3, tab. v, f. 45-16. 1821.) — Nec, Cyclas Fontinale, de Draparnaud, Hist. Moll., etc., de France, etc., p. 130, pl. x, f. 11-12. 1805, qui est une espèce formée par cet auteur pour toutes les petites Sphéries ou Pisidies du midi de la France. — Enfin, nec, Cyclas Fontinalis, des deux auteurs suivants : Bouillet, Cat., etc., des Moll. de l'Auvergne, p. 86, n° 404, et p. 151, n° 86 (du Cat. des fossiles). 1836. — Fournel, Faune de la Moselle, ete., partie 4°, p.490. 1836, qui est un Mollusque sur lequel nous ne saurions émettre aucune opinion. 2. Non, Pisidium (Cyclas) australe, Lamarck, An. s.vert., etc , t. V, p. 560, n° 8. 1818, qui est une espèce différente de l'ile de Timor. 3. Non, Pisidium obtusale, C. Pfeiffer, System. anord., etc., p. 425, n° 2, tab. v, f. 21-22, 4821, qui est une espèce différente, — Nec, Pisidium obtusale, Ray et Drouët, Cat. des Moll. de la Champ. meérid., etc., p. 32, no 467. 4851, qui est une espèce à rapporter au Pisidium (Tellina) pusillum, de Gmelin, Syst. nat., etc., &. I, pars V1, p. 3231, n° 16. 1789. 4. Non, Cyclas obliqua, Lamarck, An. s. vert., ete., t. V, p. 559, n° 4.1818.—Nilsson, Æis{. Moll. Suec., etc., p. 99, n° 3. 4822. — Alder, Cat. of the land and freshw. Shells, etc., in : Trans. of the nat. Hist. soc., etc., vol. I, partie 4'e, p. 44, f. 71. 1830.—Deshayes, in : Lamarck, 4n. s. vert., etc., 2e éd. t. VI, p. 269, n° 4. 1835. — Dupuy, Essai sur les Moll., etc., du Gers, ete., p. 91, n° 5. 1843, etc., etc., qui n’est autre chose que le Pisi- dium (Tellina) amnicum, de Müller, Ferm. Hist., etc., 11, p. 205, n° 389. 4774. 5. Non, Cyclas lenticularis, de Saint-Ange de Boissy, in : Bull. de la Soc. géol. de France, etc., 2° série, L'PFLI Er Cette Pisidie a été recueillie par M. de Saulcy dans le Céphise, près d'Athènes. Cette espèce se trouve répandue dans toute l'Europe, ainsi que dans presque toutes les contrées du bassin méditerranéen. — Nous la connaissons et nous l’avons reçue des environs de Scarborough, en Angleterre, — des environs de Cassel et de Berlin, en Allemagne , — de Valenciennes, ainsi que du midi de la France, — de l'Algérie (Raymond, Morelet), — de l'ile de Crète (Raulin), — de l'Espagne (de Lorières), — des environs de Naples (Tenore), etc. Les échantillons de toutes ces localités, que nous avons étudiés et examinés avec le plus grand soin, se rapportent tous, malgré leurs différences de grosseur, de taille, d'obliquité, etc., à une seule et unique espèce, au Cardium Casertanum de Poli. vol, IV, p. 478. 1846, qui n'est autre chose le Sphærium (Cyclas) Verneuili, de Saint-Ange de Boissy, Descript. des coq. foss. du cac. lac. de Rilly-la-Montagne, in : Mém. de la Soc. géol. de France, 2: série, t. HE, 4r° par- tie, p. 269, n° 4, pl. v, f. 3, A, B. 1848. 11 Fig. EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE F. . LIMAX PHÆNICIACUS, Bourguignat. De grandeur naturelle. , Limacelle de la Limax PHÆNICIAGUS, vue en dessus, de grandeur naturelle et grossie. . Limacelle de la Limax PHÆNICIAGUS, vue en dessous et de grandeur naturelle. . Mâchoire de la Limax PHÆNIGIACUS, considérablement grossie, . LIMAX BERYTENSIS, Bourguignat. Animal contracté dans l’alcool. . Limacelle de la Limax BERYTENSIS, de grandeur naturelle, vue en dessus. . Mâchoire de la Limax BERYTENSIS, considérablement grossie. . TESTACELLA SAULCYI, Bourqguignat. Animal contracté dans l'alcool. . Test de la TESrACELLA SAULCYI, de grandeur naturelle. . ZONITES SANCTUS, Bourguignat. Grandeur naturelle, Coquille vue en dessus. — Id. Grandeur naturelle. Coquille vue de face. — Id. Grandeur naturelle. Coquille vue en dessous. . ZONITES NITELINUS, Bourquignat. Coquille grossie, vue en dessus. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessous. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. . ZLONITES FIMBRIATUS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessous. . ZONITES PROPHETARUM, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessous. . ZONITES CAMELINUS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessous. _ Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de face . ZONITES BOISSIERI, Bourguignat (Helix Boissieri, de Charpentier), var. zoNATA. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. = Id. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessous. . HELIX SOLITUPINIS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessous. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. . HELIX HIEROSOLYMITANA, Bourqguignat. Coquille grossie, vue de face. 3. Traits indiquant la grandeur naturelle de l'HELIX HIEROSOLYMITANA. . HELIX HIEROSOLYMITANA. Coquille grossie, vue en dessous. — Id. Coquille grossie; vue par le dos. . HELIX ZONATA, Studer, variété. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessous. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. Fig. 39. 40. A. 42. = — 83 — HELIX LANGLOISIANA, -Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. d — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. nds — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessous. HELIX ENGADDENSIS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. (L'ouverture de cette espèce devrait être plus rétrécie, plus haute, ses tours de spire plus obliques.) Eu — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos. (Les tours de spire devraient être plus obliques, la spire plus élancée.) | 44. HELIX FIGULINA, Parreyss. Variété, ALBIDULA. Coquille de grandeur naturelle, vue Pa le dos. 45. — JXd. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. PLANCHE IT. 1. BULIMUS DELESSERTI, Bourguignat. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 2 — Id. Grandeur naturelle, coquille vue par le dos. Se — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de côté, £. BULIMUS SAULCYI, Bourguignat. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 5. — Id. Ouverture grossie. 6. GLANDINA DELESSERTI, Bourguignat. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 7. CLAUSILIA SAULCYI, Bourguignat. Ouverture grossie. 8. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 9: — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de côté. 10. CLAUSILIA DELESSERTI, Bourguignat. Ouverture grossie. LE — Id. Grandeur naturelle, coquille vue par le dos. 12. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 43. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de côté. 44. CLAUSILIA BOURGUIGNATI, de Charpentier. Ouverture grossie. 15. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue par le dos. > 16. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de face. A7. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de côté. 18. CLAUSILIA ALBERSI, de Charpentier. Ouverture grossie. 49. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 20. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue par le dos. 21. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de côté. 22, PUPA SAULCYI, Bourguignat. Ouverture grossie. 23. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 24. PUPA MICHONII, Bourguignat. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 25. — Id. Ouverture grossie. 26. PUPA DELESSERII, Bourquignat. Ouverture grossie. 27. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 28. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de côté. 29. BITHINIA TRITONUM, Bourguignat. Coquille grossie, vue de face. . Traits indiquant la grandeur naturelle de la BITHINTA TRITONUM. 1. BITHINIA TRITONUM. Vue de côté, considérablement zrossie. . PLANORBIS PISCINARUM, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. — Id. Grandeur naturelle, coquille vue de face. — Id: Grandeur naturelle, coquille vue en dessous. . PLANORBIS ATTICUS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue en dessus. — Id. Grandeur naturelle, vue de face. — Id. Grandeur naturelle, vue en dessous. . … . .— 84 Æ a. Fig. 38. PL ANORBIS-HEBRAICUS, 2 Bourguignat. Coquille déniéte naturelle, vue en dessus. 39. 1" Id. Grandeur naturelle, vue de face. 40. — Id. Grandeur naturelle, coquille-vue en dessous. : 1. VALVATA SAULCYI, Bourguignat. De grandeur naturelle. à Æ 42. _ Id. Coquille grossie, vue de face. s 43. BIT HINIA SAULCYI, Bourguignat. Grandeur naturelle, coquille vue de face. 44. — Id: Coquille ns vue de face. à 45. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de côté. 46. BITHINIA HAWADIERIANA, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue de face, KT. — Id. Coquille grossie, vue de face. 48. NERITINA MICHONII, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. 49. — Id. Variété B. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. 50. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos. 51. — Id. Coquille grossie, vue de face. 52. MELANOPSIS SAULCYI, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue de face. D3: — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue de côté. 54. UNIO BRUGUIERIANUS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue du côté de la valve gauche. 55. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos pour faire voir les crochets. 56. — Id. Charnière et intérieur de la valve gauche. PLANCHE III. . UNIO SAULCYI, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue du côté de la valve gauche. A 2 — Id. Charnière et intérieur de la valve gauche. 3. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos pour faire voir les crochets. 4. UNIO TERMINALIS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue du côté de la valve gauche. 5. — Id. Charnière et intérieur de la valve gauche. 6. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos pour faire voir les crochets. 7. UNIO DELESSERTI, Bourquignat. Coquille de grandeur naturelle, vue du côté de la valve gauche. 8. — Id. Charnière et intérieur de la valve gauche. 9. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos pour faire voir les crochets. 40. UNIO MICHONII, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue du côté de la valve gauche. A1. — Id. Charnière et intérieur de la valve gauche. 12 — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos pour faire voir les crochets. * PLANCHE IV. . UNIO EUPHRATICUS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue du côté de la valve gauche. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos pour faire voir les crochets. — Id. Charnière et intérieur de la valve gauche. . UNIO BAGDADENSIS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue du côté de la valve gauche. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos pour faire voir les crochets. — Jd. Charnière et intérieur de la valve gauche. UNIO TIGRIDIS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue du côté de la valve gauche. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos pour faire voir les crochets. — Id. Charnière et intérieur de la valve gauche. UNIO TRIPOLITANUS, Bourguignat. Coquille de grandeur naturelle, vue du côte de la valve gauche. — Id. Coquille de grandeur naturelle, vue par le dos pour faire voir les crochets. — Id. Charnière et intérieur de la valve gauche. = D > © oœ 1 Ur OC RL > > x Le . | s Acbatina ..... su. Algird.....e.sosssseosse — Boretil.---+e.-..sece.f-tà . — COrNER. .Æ.. - - . + ohieiets 0 = Poïreti .. 5... ones » + co cie Æpgopis......... .. verticillus. ...... ” Dee Amphibulina. ..s.. PULrIS......ss-.sssseceee Antinonpareille (1) ...........ses+e.+sr..e.e Bithinia....,..... HAWADIERIANAee sommes — RUBENS» - - - « ce me eee sise — SAUECYIE se sc 210 01e eleiele la sine _— TRITONUM . cmromsess-seres ; Bradybæna....... Carthusiana...# ++... _— CONSONA. cososrerooosssee — Olivieri..... score — Syriacae me ....sse.esscse Brephulus ........ ASCIOlAÎNS ame mecs 56 Buccinum......... PrÆMOTSUM. «ss... — PrÆTOSUS. « «ss... — truncatulum................ Bulimina.......... labrosa.................... Buliminus ........ Alepi.......... D. e — 1ADLOSUST. . «ee nee — SIdOniBNSiS. ..ss.ssssssssese Bulimus........... ACUIUS = ess cesceccels eee — ATEPI. eo ce osisseot 5er — Algirus. .......s.ssesrses — antediluvianus.............. — HAhANCD II. . . + » » « + o oo sommes — Bergeri.....s.ehossse oc. _ conoideus........ereossoese —_— COTTUSALUS. +... es vis51e 0 — DECOLLATUS. .#...ss-e = — DELESSERTI........ -Abubooce — eburneus .......... Seovooc — emarginatus....s......... Soc — fasciatus. . .... Se. "HO0E _ FASCIOLATUS,. « « ee ss eee — faux nigra................. . TABLE GÉNÉRALE DES ESPÈCES ET NOMS SYNONYMIQUES CONTENUS DANS CET OUVRAGE. Gray... none 0 ol. + eee o cie eee eis es. BrumAi. ne. essor seneeseoee anrhio cut Rossmässler.s..... Bhooobooec ne . -- Fitzinger. à. ve eo ce cr -socossee Mocoe de. Hartmann..... "2 0 POI TTOONOOONC .. GOffROY......sessssesssess "CDDP AT OO Bourquignatm..........sessssesessesesese Bourguignat. .............. Ê_ - DODOOOOOCD Bourquignat. .......s.s.s.ssssersesesesse Bourguignat. ...........ss..... D... Beck. %......pooos ee PSC 000000000000 dc Linnæus....... ee er enetsteiee 5% Linnæus. ...emeerssorssenoossseseee Én0oc eo Müller. .. "0" A conseils ele Ehrenberg........s meet BecR.--=-22- Co 0 cr COODD Pocoo0honoc Bruguiêre.......sssssssesîsesesesenereesee POINTER = ee --- ele e elle = -leinelemesogieloiseieieiersie Bruguière........ el enees- ceci Bruguiêre. . »...ossesrmessspenerrereereee Bourguignat. ....suss.ss.ssessessersererse PfEIfET. ecole seen MR see Deshayes. ............s.ssossesssesrese DO TUNIOR es e ee ee se eo se mms ieelereleeeioieee sole OUDIET. se soc oem ie eee lejeoisteleciesieieiee PATTEYSS. .- o o10e ele) o vieiieleeleie vie eivieie o » 010 é- - HT BUQUSEE TE MHAIBPENSIS. M... ce: Cænatoria...,..:. Campylæa ........ Caraculla : . . : 2 Caracollina Chondrula (NOUS: Clausi lia Jordanie. ....-. eus este labiatus en... ste 360% LABROSUS.. . AO à CD AA limosus.... OBESATUS. «ter eee GDSCUTUS ee LE be eme - OVULARIS. . .... .- papilaris . à M. .......7. BOITE. eee. ss tmeee PIÆMOSUSE. «ee es co PUPA Get etre se f0te à SAULCYI- eee ccm ss ere septemdentaius:......:..%.e SIDONIENSIS es + » « see see SIIS ee eee pate Ole SOLHATIUS. . see» »- eee Te SYRIACUS ER: «20 de NOR à COOPER EE DRTGUSPIS: . 2e es lee ce 0 ee 00 TITOMAIUSEE SR EL fruncatus. .:.... RE --: fruncatus. 35 ire. tUDErTCUMEMS ER ER eEe- Tünetanteeen tr: :.:....... MUNICOIOP. 2202720 RE - VArIADINS, Re 7e D'yentricosus.. ...... NT HASPELS Aer a see neo CINCA arr e DH rc cp NÉE - Horse Je -verer SOUPE. Me essence imbata te NP. ris maculata.... DUIDIQUS SRE 7: ee eee .COFCYTENSIS "ER. IDC AE EE ee ec ere ne ZODAIUIN ES asc enses rs... .: LICUSPIS He 2. ÊS SOC OnE CATOSUSE< so ocre : Cinéreus. CANCER s frumentam.." 711.2. DUDOIDES ENS RE TA VATIANITS AVAL ANNEE ON ÉD OPA der 2 UNIS e seems dore rar . AIÉBERS Te A abtersreie oiete ares ae erelnie bidens. ...... HO D HO ORAN do DTUFCA AN REED BIGIBROSA, ..... ODRSOOEU Dirusata. CREER En. BOISSIERI LI ae. . 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TOMOAOE FT BHO Andrzejowski...... be oc JOB cu Dis HOntnANn ST RS eee à asset diese L'AMOUR DE _- A COTON ne - PRIDDI RES EL SE _ &UBo oc D BAD 0 0 & oo Menke:.:5% 54 Mt eee ne ce oueseteUU se Ehrenberg:#4.:.. ENT 10 : JOPPODHPE PODb 0: « , BEC TT RSR rec br obaBoc 0 d Filzinger..:.. ssossesieentes ee so 0 Du CHOC BECK RC ME 42 3 RSR 5 0000 dE ee Janet Ertstofort.. 2:00. 2 à BR ATOIIN (AT TARA DD. Hd: 0 0 0 > SCOOP 0 EDiutce - ANNE. APN: 20000060 TARN Harman nn NM eee ee » votes ee o Jan etOTISLOfONLER Fete OR 0 00 NES © Philippits. eur 0 Charpentier. "T#NeRemeN".... Sd voc T'urton ts: : 2: 10000 CAD: - CODEC Do. 20 00€ : DESRAYESE RO Charpentier es. .:.:: MR - - AÉCOUTAIOIQUE Parreyss.... ae s eee clore A > LOTO DONS HD ChATPENTIERTI NS SRE DOOONTC CODDEE ® : nn nn A1 LE 52 52 45 15 Te rer = Clausilia..., ..... BOURGUIGNATI. . .-........ DR CG OTPENTIET Rene dec cree -ectee 48 — COŒRULEA® =". ae ROSSLSSLENE eat e cielecieiete le seleicie etciclale cs... D — cinerea. ....... MES . 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BTOWN.. esse sreseene ressens 60 — MATMOTEUS, . «.s.sesssseosse BTOWTR........ bouc. : 1000 A0 TANT OUOUE 60 _ OLINIERIS nec DAOOWETOY. ee D ÉcoU ROC AO BSS 0 c 7... 61 — orientale. .... D ROSSMASSIET se... 0 = - : 1 HÉROS 0e CS COOCE . 641 — saputus..... co6066030006- 2 Mauduyl......... - : : 6808 OOT OO DO EC OO 60 d — Syriacum.:...... ee CZ ICUIET. rookie “Saone - -POEE 61 Cyclostomus . ..... élégans. . "1. D MONO = eee sn e(eis ele sjohee - eee voie cel 60 Cyrendn.....:. COMSODrIDA. A mM MCGTUAUE. eee siniee ++ ee clepeioiegie © o oo elle o\o)lole 79 — COM... eee DAMON... omeree ee sie MÉbebolconvcc LE — FLUMINALIS. . ++... ..... Bourquignal. ,...:.:.:....... soosssose ct E — … fuscata, ................... Lamarck........ se OMS e oolo oipioio olelolo à + Déc à 9 79 (CYrAna 00e EL. ErUREICOla = NS Glandma."#. : 22: Granaria. ........ Grande striée (la). Helicella. ...... :# Helicogena........ + ACUTA. ....n.. # CONSONA TS APTE - DLOMRNIAE est sie ce ONE Hédadee à ALGURA SL SES SAS RS DELESSERTIMES 2... doodanc Poireli. : Me. re FEUMENEUM see Ec eee Fe eéricetorumss"...... nee alabastritesÆh#. ..:....... de candidissima . ....:.. ANA Codringtoni. ..... pneu bé EMitala.-.:....0 7 sc. lactoaëe. ....: ATOS acuta (cochlicella).......... ACUtUIAL.-- 2-2 So 6 HAT agreabilis......... Be Jabe "e alabastrites. ........ babe - alDONERE "2. cotes albesCBRS" ......2... Mbne Alepi (cochlogena)... Se ETC Bloc à SOA Ce © de AMANDA Se re ee eee ARENOSA . «ee + sie or LEE COR S —. aspersa (Helicogena). ....... aspersa (Cryptomphalus)..... Babondubiis...." "het BERYTENSIS. 22e : Berytensis (Helicella)........ DIfAsCIAE PERS... Boissi@ris .......... Don ÉBOtE BoiSS VIRE . : -::.. Donéépac Boftæ. ..... db san oeret Cœrulea (Cochlodina)........ CæSarca M... :. 2... camelina.. 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ERDELIL MR... sd EIICAR . enmmeressssse ERICETORUM,. ...... ss S Qucetorum. -...-..... ericetorum, var. alba.. fasciolata (cochlogena) . .....# Férussac fix nisras e. HeLUSSACI. 27 --- 0-2 HDUIAS ee -c-ee- FIGULINA. + eee « oo 01. fn, . + tee sie credo LACTEA. coco. ..….. .….... ss s... ss. ss... .….... ….... ss... Montagu..... HENUER EC ee Hartmann... BOUM eee cel Draparnaud...….. Férussac..., Miegleñ. MOTOS. - Mieglen. ram BORISG.......... 0.608 Deshayes.......... CELLES Le DU oiororore/erererer ete os s'eimeielslele vie EVeosoeosseee e AOC LI EC LOL OODOOODODOOO HP OC LION sos T6 00 ACT LC OOONOONOL 0 ss... ….., .... …...... virer 0 010 0 01e o65 T1S8 7. co Eu sg ele QE Te o 0 o.0 eo... TRS. 0 2 0 0 010 0 0 0 ss... ms TOUT DOC ULDON soc c e Ferussac. -@....-Æme.t.. te... 00 . A 29 00505 TETE so bete ee 0 0 0.0 010 o .….... .. nn …... Chemnilz Férussac.. .... Deshayes..... "A. d'Orbigny..….… M... MCE IE Le -nere : DURADNR.- ere Terver.. = Rossmässler…....... Brown... Bourguignat.…....... 53 26m 03. . 0 0 0 0 Ro!REE....... DalCada ss... : Müller. num Chemniltae... 1538408. Charpentier Chemnitz. séssrrisosessssentee Linnæus.. ... BR E ., MÉTUSSA CR = Eee Jan et Cristofori... ee 455: none sms ss. ss... ….. Der GROUP OTNOOOOOC ss... ss... sr. ss... ss... - ses 0 00e » … « selotele sosoovesee ee se 200 00C PAT TEYSS.. se + . 410 sims. se Morocco .… Bourquignat...... . Montaqu........, Férussac..…..... Rofhir tee eriner … Zieqlers sh .n … Linnœus......…. Gmelin...... vs Férussac...….... Pfeiffer... .... Boissier.….....: Micgler....... ‘ RENMANE. ee ce Férussac... ..0 D=.......0 VÉSURE ERRE CD TC. CARS DUO etes. * Bourguignat.. . 5e... ME Rossmässler. ........ PE OO à - ODOOOOUC .. Andrzejowski....... ‘00 LE FPE LOC ECC AT ESANE dense «M7 LÉcarcpoccuce nc. 00006 Muller... M eee e co avi Helix... — — — —» — sors... lactea (hel cogena) . .... LANGLOISIANA.......:... lapidicola. .... sisloie siebte LAUTA. lemniscata. ........... LENS, os. lens (helicigona) ....... LENTICULA (helicogena). leucorum.#............. _ de …. …... ss... LIGATA, .. soso ss... ligata, var, Ô....... IMÉENE 20 00e Jineata.P2RE. ... .: ss bre LEUCORUM RER ects ME. MICORUME Se eee 01e ee LUC sosie s eo ALCATA cle ere. Once cos MARITIMA,. ooosecoseoes eee Menkean426........rece meridionalis. ....... == IMONILILEN A, >. 2. es + 6 MUITATIAS -mee-e-cece 55 murals.....--- RC 10 MAI cessera NAYAMENS IS ve mener st Navariensis, var..... “+: NEGLECTA. neplectas 7... .. neglecta (helicella). .......... MMA + à + se 060 0.0 0 DD > asie ene rs. pee nivea. obesata (cochlogena). ... Obsoletas 22. 05-.c- OBSTRUCTA .. a es s,0 0 > 0100 e Obtusalas.. Per ..... OV... oo OGHIUS CAPE ee se 0 oem 0 0 Olivieri, var. 7...... Olivieri (helicella) ........... Olivieri, var. B........ onychina.. 0... OXYEVI AE ep e-- Cf RAlMATUM... Eee papillaris. ..... tr papillaris (cochlodina) . . PELLITA (helicella)...... peltita..... 20000 peiholata 06.0 Philibinensis........... pintosella --,..." PISANA A GR EeRRe5e s016 + Pisana.. 4... Pisana (helicella)...... …... Még. von Mülhferldt.… PODe. ue ss = e/s1e1s a Brumati. ...... Rossmaässler.. ...... o RÉTUSSAR Me eee cree : HÉTUSSUG ere ere ES. Bourguignat................ 00000 ss . ss... … ss... …….. ..…... CE e CEE .. IH a 0000 eine sieisio le oeiseteelels ele .. Müller er... DOC FÉTUSSARR. Re... 25 AR AC HE... ROSSMIGSSIET … . +. » « + = 3 (OLD ve ÉTAT AE 6. SO AE © TOC Linnæus...….. Ssccceer Pulleney..........° 0002 5000 HéTUSSac. ..---rceeer PATTEYSS. eee eee à à ere als de 00 « HS... Draparnaud... ..... Stentz....:. Sade Parreyss ? …... . ss... .. ss... ss... .. ss... ss... …... ss... ss... ss... . CCE . ss... . .…. ss... ss. .... ss... … CRC .… . .. . sms... ….. ….. ons ss... ss... . .... . …. CC Menkes: ee OR es eiletietre Mode E.. PRET. eee ebieoceechietene se : SANT RARES - . HAAAODA HO ds. IKETTOTÉRE ES + AIO OAI ITU CFO LEQCh.. Re à RE ee coeie. ee ne ere FÉNUSSOC:.. eee TE ET ees cecile ee Draparnaud.:. EM ere ee soie ETOTIM ON IL siemelestectetsetelele eee e sieteieiolels JAN FF oo once. A Bourgquignal.. ... 0. 0. cocon . Chamnilrz.. ee. MBnA do OT : Gmelin..... Re -: < AOC 0 --: : Fe BIC ER reset -ooc OA nb TOES Ados : Ziegler-Æ…. oioje ce 1ote snoo eee 00 0 0 cles o HETUSSAC ET. se De ME creuse ect Andrzejowskis +. RER. Me. . %e Férussac...... seeresseerse tte -ocectes : Ziégler. .….... Se - ‘MER And AD anse Jane... DOODEEE sors OPA T EEE FLOMATIONN AE. + + « ce elmie ete cles - FÉRUSSO CR Mare s.o0e EE SAC 0 © : DA 80 Férussac. .... hacesce : POS 05 2 JOPE HGUID - LES TaeNon00a Dane 00 0000000 IDADAD IROSMEISSIOT.- ee ss ocre SHOTOE RAD HAE BOISSIER.. eee tleeiserectes 32 0 0 ADOUPONOE PArTTEYSSee.... 0 SO Do. DOS . MO llEREE 108 5 4315 5 DONED : Habbo 00e Férussac...... See te ECO d- SOU 0e 0 ETUIS... tien 664900 E … LOFT Deshayes. ......,.. 30 00000 00000 ‘ (CTI SSSR AO PRODOUNOGTDE 0000. - Enbalsky. …........ Bonelli....... LUZ PSE JR . Dilhoyn.. HERUSSAC. esnecheecrece | ee? = OÙ — DLL HEbXx. -. ..-0 PISLEORMIS. ..-.... rbrrntece plicosa (cochlodina).... Poireti (cochlicopa) .......... Pollinii. - "6e". polymita...…......... ee prophetarum. .............. protea......... protensa. ........ DRE EEE pullula. punctala. ....,.........o.e punctatissima....... De 0 PiNiEoouooocooouo ...ehete pustulata. ....... Sue. DURS eee 60 pyramidalis. ........ Dod--oc PYRAMIDATA. ce ee pyramidata (helicella)........ rhodestoma®æ. "7"... PIZZA eee cesse ROTH... FoAboue SETIPILA eee DOC LOU C0 00 SeLUDAlENSIS. ...-.....-.."- Sidoniensis (cochlogena) . .... SIMULATA (helicella)... solitaria, ...... Once oocece- SOLITUDINIS. ...e ee » D. ce SOLUTA NE eCer ecrit EEce FONDS EC eve vec - “bo spectabilis.…............0 SPIRIPLANA. 8. - Due oo 2 01 SpiriplAna. - ="... spiriplaua , Vare=æ.-e-s-t strangulata (cochlodina)...... striata. "4 ee striatas "1". OUovogodn -— strigata..-.".."--e.ct où strigata, var......,....... © subalbida. .,,... oocdenc. Ê submaritima............... subtilis. .. SYRENSISE EEE eee Doc co. SYRIA CAE 0° occocce teres eee chere. teres (cochlodina)....... ee tergestina. . .... thalassina. ................. ttuncatula.....°2. (UrDIdaR eee. eee EEeEt TURBINATA = ose cle = Ursula..." 0-22 re ee ss... sms. ss... IDE SET se ucige Dodo eee ee FHENUSSAC. Lee _.. HERUSSAC CES eee De -etEnpesccscceee 6oc Da Campo..... ele slels1e es dn0 BOLD CC o0c tn Parreyss. ..... oosoesee eee er. DOC > 0 Bourquignat........ TRITHAPAOOE PTS TO CEST" 0010000 0 : 60 MÉTUSSAC ec -mnbe-etele Ress. sabre Zi6Qlen--- RE Sonic a6 co douc 0060 Tb Te TOC LINANTRESSN SR RON TEE > 00. “CODE 5. OO ONTSSIRR: ==. eee citele Fouccs 00000 Groca Linnæus...... TOO -- Még. von Mülhferldt....... 5 --bon0cov 08e Hérussac. .... Hartmann. ..... FARM 0 0c CG >: 00 Draparnaud. ...... reoacst ee HÉRUSSACR Eee ere es Draparnaud. ...... DSC 00 00 00 Séogcodve LIRE Cou Rae a Ter DS0R0 70000 1000 re -Le EMA OMR RO 0 0 50000 0 BB dense Hérussac....... LS Pa Sa 00 EE PET 104008 0 1006 00D AC Bourquignat. . ....... Aüdo 200 0000000 500Q06 ZE ee AOODOO OO. COS 10000000 0 © Rossmassler.. . CCC … ss... TPE STIEE POP e : JC CCORC Lodénooce ZicOlEMee- Re ce -escrececes Pet fer. -----cep--be FÉTUSACEE---. eee CRReRR ere HONUS MC ere een BOITES see + selsishestete ol ne Bourguignat. ............ sorsorvooootonee .. ZEqlE TR: set -Lé-etereeeshoBeecccescee se Michaud....... Me fete tetetele Ziegler. Olivier... RER CARE 200 De FRS Lamanrtck.- RbROO O0 0 Sccooebonecoo0t ROSSMASSIET ee «oies alle - ee - ce 0 TOOO CE HÉTUSSUCe ne see = oies cs cesse o\e Malle ee eee So 18e Draparnaud. . .......... Dosconpe - 500000 CALE 008 0 C6 © 00 RE . Mo eccoDbuot Sete DilhEyn.. eee 2000500 00 c 2000002 Potrebee....... F0 JC Desmoulins...... SOUS coco 0d0bou-Tobe BOB. eee Hesdngosbcon 50000 « : AE Sreecreet PJCJMEr: decor : 18886000 ŒRTENDETG- eee es elsselsiere 000 - - 000 (EAST ORAN … - : CHOAODONC JO0E 4000 MÉTUSSAC= eee Rss ocseses Még. von Mülhferldt....................... Porro... TAILLE PROS PEPEN ose e HAS LE eee este Essen ctele JAN... ee HÉRUSSAC eee er ecbreee 60 COMMODE ns hs ne 18 .# —= gps HOMK +500 5653 VARIABILIS.. 22: 20 Hydrobia. ........ Leucochroa. ,..... LiMax. ns. Limnæa. 120 Limnæus. variabilis, var. submaritima. . variabilis, "var: 27 00 variobilis, var..s......:.... VAFIANB "120 » 27018 9 0 » 0 010 0 eee VAMORA tar See sers VERMICUEAPA 2-2... 20e. vermieulata (Helicogena)...... vermiculata, var. Cirtæ...... vermiculata, var... 48... vermiculata, var............ vorticillus: 45% : 52:22 0 VESTATIS RE = 0e eee cest VOA ER e 2 0e ere en Vivletliir ses 2e sus 270 MUC Re ere eee LANAMEA RM secs Sr ZAPHARINA... ZOMANIAS Rep rmes ree de ZONANIA ER ee Ace ses en ZONATAS Eee ee zonata (helicella) ............ zonata, var. Be... 2220 (rime... ..... ce. candidissima.......... see CANON e à ele re ele 0 = nie ee LUE TRAME do © BERYTENSIS. 00000, PR ÉRAENBERGIN, :.:.: 0.22 BREMEIACA:. 2. PHANTÉTACUS : 1... "02000 Boissni...….. 1OSSAPIAS = Ra ec UE DACIAlIS 2e esse eee cet HNCata RE Re UNE. CR oc Nouletiana. . ODIOTO AE eee eme seems (NÉE. - 1000 Don TERESO LE = ee emo tHerMaNs EN esse ÉrENSCAlEONIS 22 CRE SR TRUNCAMOLA ee scene trancatuli ess. AUS aCrOniCUS: 2.2.1... TE fOSSar IS: ;; -1hea ee MUMUEUS esse ae SE ENUTUS 2. 2220 ANUS ENS UNS: DIOTINUSMEE eee 2e à DONS Mme esse A OVAUUSE EE a ele lets eee ete ss te OV co occccc em: DVATTEE e ec sere ere see Pants eee sieste pellucidus#. "223; CEROPE ee ielefete e 0/0 /e ele 0e sainte Draparnaud.........:. 6... 0. Mervers ire nine eee ee oleloe ete se : 0 se c'e oies PIONIER SR ne us M: SR ROSSMASSENS LE cer secs na ce ecie e ».5 °° MRC SIENES.. ee dév'adcadt and enocob 3288000 Gmelin........................s.. LACET © AS AT AT ADO 00 cc METUSSAC RER Mb OBaGDéoocc : : ROSS MA ISEP A ER eme nee ee laine me se. 0 à ee ST ROSSMOSSIETR A Meet eee eue aieleio eee re mie a 0 à 2 eTIE CANNES MR 2: ee Me: cons ccecete HOPREC cb Ur PRO aQe IAUBRA : APDOMOOMSe Moon MON EE recette RCTUSS AE sas tee de see DAPPEUSS Ne ee ee je se sie ee ee ee sieiele ee Soie ÉRAABAIES de dobobo cHHobooon TAB OMR » : D BOUTIN ER - Me ee rie eee 0.0.0 Me DENTON eee ete eee: = ec eee close se DONOUCN ME + ces ne ces sise Messe DLUCEN see e1s ele eee eine eieieis à cjelehele «sis aie ee MÉTUSS IC" een mena es ose en sos ee s ete OO ee POELE RO OO OC A RES TE BOUNOUIUNAL ER PRE recense BETETE Re Mercredi teste OA ERARMaAbeTT 0 0 sudo 0 ÉTAPE BOUNO UNE ennemie esscsecrese BOUTTAUNQ ENS = Ces CET eee eee BOUT IUEIRE Se o1ete oo18e ee ste m eee oo de e sie» BOOT IEQ Ve eee e «0 lens ce ie « less eee DUPUY: en 0 0 o.o\e no 101210 0.910 s1e10 00/01» 2,0 ,010 e 10100 FLETÉRIRT NN Re den noise se me ses ee ee DID UE ttes eee ss eee eee do6eae MooDe DEQN A ER eee MR ans nee secesmesct COUPER Sens CE LR ee de cpiseneceiee CRISE Oo hadhosve ones Putone.. "2 dodtr 00: ‘ODID OO OU DÉCIDE Re eco ce dec mass secs BOURQUIQTEE. ........... 0. net erec Lie PROUDEBELS : SD scsi eonbentiene PUSSIES Re eee nee eme eee BOUTIN Te ER eee eee nes 0e nas eee eise es OUI Échos nes BOOBA ODUE ET CROP Ann UP CE DASCHOD TS VIRE HRoE Do oounte Ces oer D'EODONNRAUT. ee sens Css tee sie octo 01e » 01e ROSSTMISS IE ee ess re eee APE US Po dpe AE Codono cdot “crie. : … TOMODO OS CHTANLES eo doobnbo 2 5 10 É BAPE DUPNENSS Ass e eee ee sueneecececeeEE ROSSMOASSEETS NME re nas eee sun bobococ MERE NT LR Tri doses caca ec cote PDraparnaud.- Re... HN 0 DEC 2000 BOTMEYSSN ss sense e se ee eleeee see eleeiste ATOME re: esse eco eee else scie cie : « 28% 58 59 Limnæus. ........ Limnea. Limnophysa....... Longæva. ........ Lymnæa Lymnæus........ Mastus . ss... Melania. ......... Melanoides. ....... Melanopsis........ MOacha.:. 1... NERRas ere -c.e Nérite desrivières (la) ............ ARE ; .-.. DalmafiCderer.. er taste Neritina OBbliscus.+e.,.6 1 Obelus. sir: Otdta, 0.0 5 serrer Oxychilus . ....... Paludina hors. . Petit Buccin (le)... Planorbis......... Pisidium truncatulus truncatulus vulgaris... ovata..... minuta. ,. turrita.... fasciata. .. ovatus...... emarginatu obesus. .. pupa...... 9 — nn eur. verssssoies nr rsoosrsise nono ss. sos. ss... sms. . sons. Senseo ss... esse sis asso seie ….. tuberculatus. .....:. #.ssa. DuGcinoidea........ mme costata .. fasciolata .…. TUBERCULATA« sr. fasciolata.…. ss... ss... buccinoïidea. +... sas castanea. . COSTATA. ... ss. costatata, var. A. .... 4 see Ferussaci. fusiformis. lævigata. . PRÆMORSA. prærosa. . SAULeYI... sms isre so... es... . ss... ss... ss... ss... ss... ss. sms niss carthusianella.........10... ë elegans. .. fluviatilis.… tuberculata sssssss.s ss. FLUVIATILISe see. fontinalis…. JoRDANI. SAULCYE... SYRIAGA. . . decollatus … conoideus. Preauxi, . atomaria... ericetorum,. rubens .,... ATTICUS. . Hegraicus. sms... ss. ne nsnm nn e MicHonir, ..... nn uss ss ss... ms... DRE EEELLEEEE EE ss... es... ss. co... …... ss... ss. ss... CPP sis ss... PISCINARUM, ......s.s. ….. australe... calyculatum. ...... J0S03000c CASERTANUM. se rem. cinereum.. iratianum. lenticulare . … Lumsternia obtusale. users ss nn sessus ss QUMe,ss.ssssssses CPC CE EC EEE Jeffreys..... DHCÉDETO & CHRIS Mendes tre oo Sosoas Dieitfers 2er den heu DO MER RGNT. ee ces LC : Fibzinger. .. ose ddmidle ce oo nes de Még. von Mülhferldt.......:::........... ô Elemming... sise ile e doddoceoo FRAIS ESonaastnidndoanc TER eo en ese Le HT a honor nono 22 oc LOTO oO - Beck. Reason: se M sis see ete 6. Ido v'aéceate nn ete tels le ete MODs scies iso octetole BECRia nn. MNT» o - coca me DRDIETE = --ccreer-e---re site alt a 0 « ee TT PROS nd 0000 0 0 00000 or 0 BAmanChereureererree d'au Bourguignat..................0... DPPOOOOOC MPDIERE SEC EEE ; ME USSOC. ere SÉRIE. oo oee : MéTUSSAC- eee sine FETE A ele see) —. MÉTUSSUC- ---e-eere Se NENIRE TRE Soie mje1oe : HOT e-ee-ecec- JC PEU ccecocese RolMeE=eeee Pebeborcereee SAFRR ed ee - SOLETDY. .-.--e--e- T0 200 0 ROBOT DAMON creer RER ce re Dupuy... soso ses eee» sstetleetd e so eeleleste ROSSMUSSIETe ce s.see STD coin eles ie 2e Bourquignat........ soso e se eee DPEEETE Filzinger. ...... ce one ses ses sn ecerecese LDUT ES SSSR SR S TEE Te ee slot Ho TODo Dobor ŒINNEUS. ce... se s'e ste Lette eee 0 bovauuc Muller... etre ane Geoffroy......... reneroe Me deec-cce SOWETD Ye ss... --.. Lamarck. ..s...sosssss ss Brard. Butler re T0 Bourquignat. ….... Bourguignat............................ss. Bourquignat.... Hartmann. ........:... Hartmann. ...... s. Schumacher Filzinger. ......" . Menke... Geoffroy. ..…...... Bourquignat..….…. Bourguignat. ....... set. Bourquignat. Philipp 67 55 57 Pisidium.......... Polyphemus....... Pomatia. Pomatias. . Pupa..... Pupella. Rumina. ... Stagnicola ..…. = Mit sinuatum....... - thermales... Algirus....... SITIALUSS ces ess scrertees adspersa......, METEO toocdoonbsaddece [ucoramns.....3.. orientalis ...... mutata ..... orne. AND cause seclessele Dao Enilioonoctonacencbon PAC EXCISSILABRE. e - 0 ee sioeiiete is Stomodonta. .,.... Strombus.... ven. SUCLINOA cc Tapada. .... Tellina. Testacella Theba..... DRE AUJUNCLA. ee. cc 00 BOraert es eee oser bulimoides. ....... RP oo c candida...... : cinerea. ..... DELESSERTI fasciolata. ... FRUMENTUM...c...oe 3 IRUMENLUM, SVAT: eff tels labrosa. .... mme CR) Lindermeyeri.... MiIcHONII. ........ one 500 normalis. ..... Hotte Éouo OVUIATIS + ce este DOC OS papillaris..........-tee.ect patula. . plicata...... primitiva.... - QUINQUEDENTATA . sessssosoe EUPOSA eee eee SAULCYI SOYPHUS oser secale. . De septemdentata. .,... TIGUSPDIS Pc e-eete tridentata variecella, se... ITUMOENLUME cesser. decollata. sh secs. --a-bhitt MIDU LAS ee ere . tre EL OO TO AOL) 10000 COSTAIUS ce ce seoeect En amphibia, var. B. CalYCind ss eee PRACIS. sie se eee . OVAN INA eee see sise ae oblonga. .. PFEIFFERI SUCCINÉA Se ete se Pc c fluminalis. arenosa. .. campestris. ...... : : CAPEFALA EE Re ie sir eieie le . Bourquignat. . ......... DUPUY >... 5444 de semelle eoleee 0 0 » oo 11 Jan et Cristofori. ...... hote eee se eee 43 MOnNÉOr ES Rene -teeerr DORE ecrone 2 IBeGhise ete encre there . so Le A6 LABS EC EoUourtousoodoesacos : BC 4j: BEC... ee seenececese ss eesceeecc-csstit I Bechse-:-ce Doccvooondodooc ACDC oc c 40 BeCRE eee er there Poele ADODo LE] Troschel..... 5 88680000 De ete eee cerise bl Pfeiffenrreetrrc.e ë DH00000A 000 oc = 108 Cristojorteb Jan... SRB Costes senc see DL FATLUTT: à SERRE A Tee eee RON Eee ee a 0» 01e é srsetetete cle se cite oc M DfCIJIER een mmieererere : DOBTALObAT TOC doouoc on ELU OUTPRÉTT 00000800 D DOD OO DOVOCODOUE ebrese do Draparnaud... messes eee: OA Bourguignat................. eeece-oc-etirr MODE Lamarck..... sr serc2 ce ses esse 37 Draparnaud.................... LPO TOO #51 Rossmaässler. ..... Doom 10 TOO ne ss some 52 BAMATCR eee ele nent Meet ie 38 IPATTEYSS MS sroissie re ° sont cesse 54 Bourguignat.............. : … . 53 MEN KE. Lieree » ire PC AE MOUCHE AP 1 EAMOT CR ere AVR TON UE 0 00 AUTO nt] DrapaTuaudseeneeerseeretenes-ene ee 46 PMENRE Ne rieeblessetlensnetlent eee : 52 Draparnaud......... Do deuc oc COMOOES. OO MeNRE RS Cheivant : ATO0DocOBMDOINO0 O6 . M DCI as reire ceteteri CSS © UC HE oc oc 52 Draparnaud... ......... OC oc oc co OHDo ec 49 Bourguignat. .............e...... SAP. LUE Frivaldsky... .... THDO0 0 OO UC TOO DUD D ac 54 HObG: es Casece asce cie Slot -erent 52 BOLD es cceece nee LLC Co TT se All HRossmaässler..…. eee ee TS ne score l'A ANTON. = croco ee cesse es cite 1e : o FORTE M Ziegler.. me... .... 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Pages L'INNÉRconneoremenReonc eee ec ésaace . 62 NeETIUN as ss same dmeadeentee-ecceccepeeE 69 " COPRNIIIEE Fes AO PTE JS AR RENTE RE . 80 CAUSES ee messesce serbes 44 PT ONUSS ns. PACE 00 Roc oc . 55 Cyclostomn as. Tissus been POMAUAS Sade SA erbereres set ONE ee ds ares Aeiube Srogunc aid PUPA RE ere 7. bornes 51 Glandina....... dass DONC cv 43 SUCCINEAL . croiss oi date ote ete tn D... -6 Halix es. RtRe AA ATOOABANONOE tesseess . 13 Testacella. Serie UC ROO000O 5 DIMAX ee eseeeseee es DOUÉ oo Hi y4 UDIO CErteRebeceeit sec FAT OTOUTUOO CE 73 BIMNEA Re cer secsesees ec 58 Valvatas: cree. dpt AODSLoC Ne COS 68 MOlanide er. dns eccuhacecctse DÉRSCE S ae 65 Jones rer Me. eo ceeee 7 M@lanOpsis eee neteeer-ec----ce 65 D LS LA MOLLUSQUES 1 = 1D 19 FO @: Editeurs. L aUATY u2 [e CR ED = =, = n) == rs a 2 S F2 “ \ VOYAGE ‘Ve AUTOUR DE LA MER MORTE DANS LES TERRES BIBLIQUES - EXÉCUTÉ -_ DE DÉCEMBRE 1850 A AVRIL 1854 PR F. DE DAULEY élève de l'École polytechnique, membre de l'Institut PUBLIÉ SOUS LES AUSPICES DU MINISTÈRE DE "L'INSTRUCTION PULIQUE Le Quinsième Livraison MOLLUSQUES TERRESTREY ET FLUVIATILES, PARIS Û ï . GIDE ET J. BAUDRY, ÉDITEURS 5, RUE BONAPARTE . the cv LE Le Voyace AuTouR DE LA Mer MORTE ET pans LES TERRES BIBLIQUES comprend peux VOLUMES grand in-8° raisin et un ATLAS grand in-4° raisin, contenant : SOIXANTE PLANCHES (Architecture, Sculpture, Sites archéologiques et Vues pilloresques), gravées sur cuivre par les premiers artistes ; UNE GRANDE CARTE DE LA SYRIE et TREIZE PLANCHES D'ITINÉRAIRES, gravées sur pierre. avec le plus grand soin, par MM. Avril frères; Enfin unE PARTIE D'HISTOIRE NATURELLE (Malacologie, Entomologie et Botanique), impri- mée dans le même format que l'Atlas et accompagnée de plusieurs planches. Cet Atlas se publie en 16 livraisons. Chaque LVTAISONMPE RER er ET CIRE ET, 42 fr.» PRIX: Tes'deux-YOIIMIES MES TT. ER 15 fr: ON SOUSCRIT : À PARIS, CHEZ GIDE ET J. BAUDRY, ÉDITEURS 5 rue Bonaparte, ancienne rue des Petits- Augustins Bt chez les principaux Libraires de Paris, des Départements et de l’Étranger. L455 - F mn } PARIS. — IMPRIMERIE DE 3. CLAYE ET C€, RUE SAINT-BENOÎT, 7. LA. RUN EU AR ES STITUTION LIBRA )NIAN INS IA S,7397 À 8 000 00 [æ) [e)]