CIHM Microfiche Séries (IMonograplis) ICIMH Collection de microfiches (monographies) Canadian IratHut* for Htotorical Mieroraproductions / Institut canadian da microraproductiona hiatoriquaa 1994 Tadinical and UbNorapItie Notn / Noim twhiMiuM «t biMiographiqiiw Th« Imtitutt has «tMmptid to obtain tiM bm orifiiwl eopy availaMt for f ilmint. FMturu of thit eopy whkh may ba WMiofraplièarfly unique, «vMdi may ater any of tha imaga* in tha raproduction. or wMah may «flnificMitty chante tha usual mathod of f ibninf. ara cnacfcafl balow. □ Co'curad covara/ Couvertwa dj eoutaur D Covart Couvanura □ Covart rattorad and/or laminatad/ Couvartura raslaw«a at/ou paHicuiéa □ Co«er titia mittinfl/ La titra de couverture manqua I I Coloured map>/ D Cartn «tefrapliiquM en couleur Coloured ink (i.e. other than Mue or Week)/ Encre de couleur (i.e. eutre que Weue ou noire) □ CokHired plates and/cr illuttratiom/ Planchai et/ou illuttrationt en couleur 0 Sound with other mattrial/ Relié evec d'autres documents QTIfht binding may causa shadowt or distortion along interior margin/ . La reliure serrée peut causer de l'ombre ou de la distorsion le hMfl de la marie intériettra D n Blank leaves addad durin« rattoration may i within tha text. 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AU ottMr original eopiaa ara fOmad baginning on ttM firat paga witti a printad or Wiiatratad impraa- alon. and anding on ttM iaat paga witti a printad or liluatratad Impraaaion. TIm laat racordod franM on ooeti •tMU contain ttM aymbel — » ( TINUEO"). or ttM aymbol ▼ ( wtiiclMwar appHaa. "CON- INO"). IWapa. plataa. ctMrta. ate.. may ba fNnMd ai diffaianl raduction ratioa. TiMaa toc iarga to ba antiraly inoludad in ona aiipoaura ara flbnad baginning in ttM uppar iaft iMnd eamar. iaft to rigtn and top te boctom. aa nMny framaa aa roquirad. TTm foMovwing L'WMnptair* filmé fut rtprodult gries è la générosité d«: Afrieiiltun CmmmIi U« ima«M «ulvwitM ont été roproduitM avoe lo piiM grand Min. compta twNi do la condition «t dota nottaté do l'oxompiaira filmé, ot on conformité avoe loa eonditiona du contrat do LMmmplairaa originauji dont la couvortura on paplor oat impHméa «ont fNméa an commençant P«^lapramiar plat at on terminant soit par la damiéra page qui comporte une smprsinte dTmprseeion eu dltlustration. soit par le second plat, selon lo ces. Tous lee autres exempleires •"•neux sont filmée en commençant par la Pjemiéra page qui comporte une smprsinte dlmpraeeion ou dlNuetration et en terminent per waarniéra page qui comporte une teUe Un dss symboioe suivants spparaftra sur la domiéra Imoge de choque mieroflelie. selon le oae: le symboio -» signifie "A SUIVRE", le aymbolo ▼ signifie "nN". ~i.. . . . JiJ"ii — T'' — "• etc.. peuvent étra «•niée à dee taux de réduction différents. 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Hn f"i.'°^ L^ ^^^"*^ ^^'°''^' ^" '"^^^^'■"' organiques et minéra- les dont elle a besoin, sous une forme soluble ou liquide. C'est ainsi n^ei^pouisse l'acide phosphorigue. l'azote et un peu de caZne passent dans les cheveux ou poils absorbants des racines, pour être transportes ensuite aux parties de la plante qui en ont besoin. ForinJ:^A^^^iTT' ^""^ u P^^"*' '^«^'^ ^" l'air sont surtout de Pongh^, de l hydrogène, beaucoup de carbone, et de l'azote dans ftrA ? k" légumineuses (i). H y a aussi une certaine quan- tUédoxt^ane absorbée par les racines, mais la plus grande quantité provient de 1 air. U nourriture ainsi acquise subit certaines transformations en passant par les différentes parties de la plante. Le but essentiel, vers lequel tend chaque plante est de se re- produire, et cela, au moyen de la graine. Il lui faut donc des organes qui, par leur concours mutuel, favorisent cette tendance Ces or- ganes sont les riâne., la tige, les feuiUe., les fleur, et les gntine.. RACINES Les racines ont pour fonctions : L— D'abMrber la nourriture du sol sous forme Kquide. 1^ J*~f* '*!'** K «>™^*«" A> «oi assimiUble en dUsolrsnt les particules qui sont demeurées soUdes. ^—^'«««"•«••iner de la nourriture pour les besoins futurs de la plante. 4— De servir de support à la plante et la tenir en place. Pour remplir ces fonctions, il y a plusieurs formes de racines spéciales a chaque espèce de plantes. Les principales sont les sui- vantes ; r^^l'Ll.Ttr:^ """"^ """ "" "' '• '^'* •'■"-»«i« — 4 — 1. RACINIt PIVOTANTES Elles se composent d'une branche verticale appelée pivot après lequel sont reliées les racines honzontales ou radicelles. Ces radicelles servent de transport pour la nourriture absorbée par le» cheveux ou poils absorbants qui les entourent. Le pivot peut servir de tige à la plante, et dans ce cas, il accumule des matières alimen- taires pour les besoins futurs. Exemple :— Racines de carottes, betteraves, choux-de-Siam, trèfle, luzerne, pois, fèves, etc. . . II. RACINES FIBREUSES OU CHEVELUES Ici le pivot est si ramifié qu'il disparait sous une masse de racines d'à peu près gale longueur qui partent toutes du même point. Chacune d'elles transporte la nourriture absorbée au noeud inférieur de la tige. Les plantes douées de cette forme de racines accompli --ent leur croissance complète et mûrissent leurs graines en une saison. Exenq^ : — Racines du blé, de l'orge, de l'avoine, du seigle et de certaines herbes fourragères. III. RACINES TRAÇANTES OU COURANTES Cette forme de racine appartient aux plantes les plus viva- ces. Chaque touffe de racines envoie des courants dans toutes les directions et ceux-ci développent, à leur tour, des touffes nouvelles d'où poussent les tiges. Les plantes douées de racines semblables envahissent l'espace laissé libre autour d'elles et bien souvent réus- sissent à étouffer celles qui les entourent. Ezenqtle : ; — Le chiendent. Il existe enfin une forme de racines qu'on appelle racines se- condaires. Leur but n'est pas tant de nourrir la plante que de l'aider à se tenir droite. Elles se développent des noeuds inférieurs et se fixent dans ie sol à la manière des cordages d'un mât de voilier. Les variétés de blé-d'Inde qui croissent très longfues sont munies, à la base, de ces racines de support. — 5 — Tiai La tige de la plante renferme les vaisseaux qui servent de passage à la sève montante et à la sève descendante. Chez certai- nes plantes elle est solide, comme les plantes racines ; chez d'autres elle est creuse avec des noeuds solides plus ou moins espacés. PKUILLU Les feuilles sont les appareils respiratoires et digestifs de la plante. Elles respirent par les ouvertures (stomates) situées sur le cote mférieur et absorbent le carbone de l'air pendant le jour et I oxigene pendant la nuit . De plus elles digèrent, avec le concours de la lumière, les matières nourrissantes absorbées par les racines et les retournent ensuite aux parties de la plante qui en ont besoin. PLEURS Les fleurs contiennent les organes reproducteurs de la plante et se forment lorsque cette dernière atteint la limite de sa crois- sance. Elles se composent d'un nombre plus ou moins grand d'etammes (organes mâles), selon l'espèce de plante, et d'un pistil (organe femelle) qui pe«t être simple ou composé. Lorsque le pol- len ^contenu dans l'anthère de l'étamine tombe sur le stigmate du pistil, Il y a fécondation de la fleur et le produit est un fruit ou grain contenant à l'état latent toute l'énergie nécessaire pour développer u..e autre plante de même espèce. Si la fécondation provient du concours d'un grain de pollen avec un pistil de la même fleur, la plante, développée par le grain provenant de cette fécondation, sera absolument identique à la plante mère. Si, au contraire, le pollen provient d'une plante de va- riété différente, on aura comme produit une graine croisée pouvant développer une plante dont les caractéristiques ressembleront aux plantes mères des deux variétés. Il n'y u de mélange possible qu'en- tre les variith d'une raême espèce. ^6 — OKRMINATION ,'^f^ "^ •*•**• n««»i*M 4. «,„ „^ 3^L'uaidon «t kt ml»-. ^ tÎM. ^ . C« conditions son, tré, ^TT^ "^^ «•™i««»«. vees par tous les cultivateur. ! "^'"'■'«■"" et doivent être nh. Pl-olilinue. Il ne ^„tcï '«"ttieux de ncolter „^.l ^"' ETUDE SOMMAIRE DES CEREALES LtUR. RltaiMILANCIt KT LIUR* OItMMiLANCM On appelle -céréales" les plantes de la famille des graminées ong,na.res pour la plupart de l'Asie Occidentale, dont TesTafn; nent te blé, l orge, le mgle, V avoine, le bU-dHnde et le riz. Les caractéristiques de cette famille sont une tige creuse et cylmdnque avec noeuds solides, plus ou moins espacés! Les feuilles prennent naissance à chacun de ces noeuds et ,e composent de la gain, qui entoure la tige, du «m^qui r^nlit le' fonctions d'appareil respin^toire et digestif, et de la /i^J^^Si é«- mt e deux parties. Le grain est un fruit sec appelé "Caryopse" dont 1 enveloppe est remplie de substances grasses protéiques ei Tnaer '" '"'''^*' ^^"^ °" "^'"^ ^^"^^ "'- '- «X' et temnor^r^'^'"' ^u «^"*"^"*' développe des racines séminales ou temporaires qu, absorbent l'humidité suffisante pour liquéfier les matières solides qu'il contient. Elles ne nourrissent pas a pTame mais la maintiennent en vigueur jusqu'à ce que les vraies racine! Z"elut^ '''"• "^^ '""''"^ s'appellent' 'racines fiTreuse: ou INPLORKtCENCe L'inflorescence, ou disposition des fleurs sur la tige, ne se fait pas de la même manière dans chaque espèce. Chez le blé elle es en epi. c est-a-dire que les grains sont réunis par groupe de deux a cinq dans une enveloppe qu'on appelle "épillet". Cet épilleres^ attache fortement à chaque coche de la branche centrale ou axe de 1 epi 11 se compose de deux glumes stériles en dehors et d'autant de glumes fertiles et de palea qu'il y a de grains. L'ensemble de ces parties constitue ce que l'on appelle ordinairement la balle du grain La gUime fertile, un peu plus petite que la glume stérile, se pro: onge. dans les variétés barbues, en une barbe semblable à celle de ..«, ^^'inflorescence d. diffère de ce dernier en c On les appelle bractées i ressemble u une petite hi grain et dans les variété peut y avoir i ou 3 épille est munie de petites poin i orge désagréable et difi . I-e seigle ressembl< son inflorescence est un é deble. La faculté qu'il a leu de 3, le caractérise de ieurs à cette particularité aux climats rigoureux Sa et plus forte que celle oes I^e genre de disposi ment différent des trois e« sur laxe central, chaque et dicelle plus ou moins longu 8-^,g:ée. Ce mode d'inflores stenles sont plus longues «-es dernières retiennent l'a veloppe, sans toutefois y , i orge. -^ Comme ensemble, les nent pas beaucoup. Leurs : df leur plante les rendent ver'est â?"'' ""''' ^"^'^"« ^er est a peu près semblable. - 8 — '««s à cause detrforl " '""' "''" ''™"«^ "ite barbe. ctque/X n?."" " '"°"«« "•" variétés ordinaires U^ """" 1"'"» «•" ^semble au blé dans son apparence générale .n,..- st un epi plus oetif ni,« i^ «cneraie, mais qu'il a de d" veloDoer ! ""^""^ ''" ™"''« rise des autes,lTp?ces*de 1'"*- ,"""""'"»' =«" "larité qu'on attrfb!. ". • "^'"- ^■"' <>■»"- «e .es aftret cSs """"P ^'"^ '""eue disposition des fleurs