IMAGE EVALUATION TEST TARGET (MT-S) f // A^ 11.25 lâi|28 la ^ Ut 1^ 2.2 14.0 II U 11.6 — 6" ..Sciences Corporation 23 WIST MAIN STRHT WnSTIR,N.Y. Msao (7t«)«72.4S03 5^ !^-^• Htion ués Th« eopy filmad htri» hu bMn raproducsd thanka to tha o«naroaity of : Bibliothèque générila. Université Laval. Québec, Québec. Tho imagaa appaaring hara ara tha baat quality ^ Malbla eonaidaring tha condition and iagibility of tha original copy and in kaaping with tha filming contraet apacif icationa. Original copiaa in printad papar covara ara filmad baginning with tha front covar and anding on tha last paga with a printad or illuatratad impraa- aion, or tha baek covar whan appropriata. Ail othar original copiaa ara filmad baginning on tha firat paga with a printad or Illuatratad impraa- alon, and andin» on tha laat paga with a printad or illuatratad impraaaion. Tha laat racordad frama on aach microficha ahall contain tha aymbol ««> (maaning "CON- TINUED"). or tha aymbol ▼ (maaning "END"), whichavar appliaa. Mapa, plataa, charta, atc. may ba filmad at diffarant raduction ratioa. Thoaa too larga to ba antiraly includad in ona axpoaura ara filmad baginning in tha uppar laft hand eomar. laft to right and top to bottom, aa many framaa aa raquirad. Tha foliowing diagrama illuatrata tha mathod: L'axamplaira filmé fut raproduit grâce à la généroaité da: Bibliothéque générale. Université Laval. Québec, Québec. Laa imagaa auivantoa ont été raproduitas avac la plua grand aoin. compta tanu da la condition at da la nattaté da l'akampiaira filmé, at an conformité avac laa condisiona du contrat da filmaga. Laa mamplairoa originaux dont la couvartura •n papiar aat impriméa aont filméa %n commançant par la pramia: ;9lat at an terminant aoit par la darniéra paga qui comporta una amprainte d Impraaaion ou d'iiluatrition, aoit par la second plat, aalon le caa. Toua laa autrea exemplaires Originaux sont filméa an commencent per le première pege qui comporte une empreinte d impreasion ou d'illuatration et en terminant par la dernière pege qui comporte une telle empreinte. Un dee aymbolae suivents appareitre aur la dernière imege de chèque microfiche, selon le ces: le symbole — ^ signifia "A SUIVRE" le aymbola ▼ aignifie "FIN". Laa cartea. planchée, tableeux. etc., peuvent être filméa è dee taux de réduction différents. Lorsque le document est trop grend pour être reproduit en un seul cliché, il est filmé é pertir de l'engle «upérieur geuche, de gauche è droite, et de haut mn bea, en prenent le nombre d'imegea néceaaaire. Lea diagrammea suivants illuatrant le méthode. D 32X 1 2 3 1 2 3 4 5 6 1 1 ' ! II i : '1' 1 '\ î i! i! II il I !llil MU î S 6 « a là v^m s s 1S. B . <é e 0 '^ ? 1^ l§ 9 O 1 M P^ ^ êi H U â 2 A< 0 9 1 .* i II ri : I ) J.W Tyrtll P.LS. Ftc. T/i ■^^" *♦• criiririmli ii iitii ii 1 1 1 trTttiiii ilrrrrîliitiiln iiiiiiiniui-Li ■ tu DAVIS STRATT. ^^ Âj^*- W Showing the track of the % B»S.É.AL1«HT 18 86. PUBLISHE D BY THE Department of Marine OTTAWA- CANADA 168 7. fi. ArrcndfrtËftbrf^Lith Toronto. ■ '■ vA ■. c / L'EXPÎ F , 101,0.^1 RAPPORT SITB niPÉDITIOH À lA BAI£ D'HDDSON EN 1886 SOUS LE COMMANDEMENT \ - DU WEUT. A. R. GORDON, M. L'EXP l'honorab Min il MoNSIEl i la baie d'i Cerapp Bel Obi Not Kes Obs Rap Bap COD( BBLATI Suivant ^ loDtré à Otta^ Javire et l'ach Le 24 juii i lettre d'inst lAa liontenan "Hal " MoNPHD _Dtiée, il est à < ■épartement le ^'établissant i î laisse à votr haDgements <; Itiotreprendre liaître à propt ptre dispositioi ' 156 -IJ RAPPORT (CB |LmPÉDITION À U BAIE D'HUDSON EN 1886. BOM La COMllANDIlimT DO Lient. A. R. Gordon, M. R. l'honorable Gio. B. Fobmb, Ministre de la marine et des pêcheries Ottawa. ' ToBONTo, 18 mara 1887. "iZîoT ■"'"* """ '" "'«'•■"• '"«• «- 'OW =- Observations de la glace, Notes dos observatears, Irvars^^îœu^^^^^^^^ Conclusion aa sujet de laVa'Jïtioïïî dét?o?t""*"*'' '''" KBLATION DU VOYAGE DU NAVIRr pÈnt^DAr o . -«AViKlfi FEDERAL "ALBBT" laan SaivantvosinstrnctionH. î«n„w..: m-_. , . . "^' '^^*- (avire et l'achat du matériel des m„.iSf« P*''"' *''.'"'«" l'opération de l'arm [ ...^«24 juin, au momonr'^ùouTET.LL™! «' i -•"«""•'^•v*, iciemps à faire les soudes néceseaiies, et lï leré du ci.rlV^ ^P^^'^î^* '* rivière Nelson, Phoques (.Seal Jsland), en vu^ de conttalcr jusoïà ouel ^?n! ""^'"^ J"^1"''^ ''"« «"^ aux navires engagés dans le commerce ^ ^ ^ °' *^** P°'*« peuvent servir hyàroJrllll^Z: géologfqut'c'u ^J rd^iï^t^SÏ*"* 9\^ P?^^'*''^ «^« renseignements " Afiîi de constater les condkion«Sri. ?".Peoheriefl fo cotte région. Bible, TOUS ferez bien de reSJ iotre retôor"\T„'^^^ ^" ''^'T* *"««' ^^''^ i^^ P0«. denco et l'accomplissement de la partie de vn^rl^- ^"^ '''•1' '« po.mett.out la pru- hommes et ce qui leur a servi danK diffl nt« r"J.'''°^^ ?"* ^°"«'«t« à recueillir les " Vous prendrez à bord deVAl^t a«fléi«ntB postes d'observation. et tous les ofjets porta'tifrrqVefqt^LuTju'e ^u J^ ''^^'"'^*^^ ^«"^« °'«i«°»«> les débarquerez à Halifax, ^ ^ ^ °' ^"® ^°"'* trouverez aux postes, et vous J.eli:lrurc7et;%PeTd'e%;r^^^^^^^^ du commerce, et le de>rtemeSt oomp e IncyoXJi^ navigable pour les fine pouvoir pour atteindre cette fin. *^ ^ "'^®* *°"' «e qui sera en votre " Je suis, monsieur, " Votre tiôs obéissant serviteur " GEO. E. FOSTER." de bord— *^ '" ** J"^""- -û- cette date sont portés au livre 1 capitaine, 3 lieutenants, 1 aide météorologique, 1 maître d'équipage. 20 matelots, *^* 1 lampiste, 6 commis aux vivres et cuifliniore. 4 mécaniciens, 2 graisseurs, 6 chauffeurs. lo détr{ pié^-éde No mettre A roxo( i un dei de l'apn Lo deux na Le: (Bons l'épi la vapoui bon par I avooB, os sont tout il est cor livres de une coDst mettant i «omme j'i par la gla Le2î cfaonn une ployé par offrir do ft soins. A fraîche, no est brumeu mer unie, I nous oomp eont éohou< Le 30 é^rands iceb indique que un vent ira: ■quabio qu'il assez grosse du fiel à r« vent d'un in tudo etuvoii Le 1er hello brise ft et à la vapec fiont très gro de l'eau. 2 juillet. brumo ainsi < glaco détaché du bord de la prenons une I «'est considéi) aperçue le ma 10 heures du t 3 juillet, - « glaco flottai «ans trop d'em temps clair. 3 possible à l'entré© •coaeion qui ne pré- votre arrivée, vous i la condition de ia n, vous. vous intro- laquellepeut s'ou- troit. Vous aurea postes, ce que vous •etour. atioDs Eécespairee, mploierez le temps I la rivière Nelson, rejuequ'à l'île aux Tts peuvent servir le renseignements tte région, ussi tard que pos- iimcttiout la pru- îte à recueillir les n. rs, leurs maisons, X postes, et vous déterminer dans blo pour les fine li sera on votre «ont toutes robrûSô et In H*" ' ■ \* 'ﻫ"té du chîr'boa est Zu ^'""'«^ 9"« «<>«« il est consumé pi^èS do 2^?"' six heures de marche à^avan«.?'?'^ ' ^" «««dras livres de cendreWpràSJ'T ^" '^'"•'''>°. i» nW ^Jj Tla n'ion'"'"?' '^^î»'"»» nne consommation nnn!^ .^P'®.»^® que noas venons dlt-ltl *"^ Qu'environ 220 mettant môrnonnT iîf ""^ ^ ^* ^°»°« par IoJ''^"|,,'es S^'^JPf'ble donne mer uore rn^^Tm^ntir ^^ *^"^^ "- -"^« St ven Itï '.^^"^"^ "*^ nous comptons dans Icm «W? *,? ""« ^'*««^« de sept nœVd« I I'k ' ^^?®'' «' '» eont échouées hu7?« '«^^^i^^^.*^".'"" •«» de notre honW^?. if»ii..^i"«- . A 4 p. m.. enr, "OSTBR." Je quitte le quai i portés an livre j «ou. comVtonTdans Tes rn?°'.? "•"« ^'»««^« de sept nœadVà l'h '*''' ^T' «' '• Le 30 lùin an ?■« '^ f^'^ du détroit. -•""• "■' "«"q^ses dont la plupart m l'expédition Baie d'fludson, î, va que nousl et qu'en ce qui itive. C'est es tinion que dans, 10 heures d u eô r n„ *^°*''' ^««^^ <«> grand nomb?â d. hai* ^*°' ''^P''^«« '» g'«oe d'sbudooiiar s tenutive do fuira ««mlA .» i?.; 5^S î ""■"'• J« «"' dono forcé coup de plua épais, mais coïa ost dTâ l'«mnni«,?7 • ^ 12 pieds. 11 y en a beau- ijuand nn morceau dTg ace touche à la îiTir»^ "° P'^^"'* P''''1°« *°"J^'"-« rinfl„or.co du vent on ?e la marée. ^^ " '" "°® *"''« banquise, soub 6 jumet.— Le brouillard continue toute la ionmée iuson'A 4 ^în « «, «* ^ un peu; nous poussons 16 milles "^^10 XruLpf t^^Pf-'» brouillard se dissipe très épais înoSs stoppons et' nJusTmaJrcràrSa on ° ''°""'^' '^^'«°* «°^^'« 7 juiJlot.--Lo brouillard contioue iusou'À qin a m' oi«»= forte tombée de neige qui se change bieS Jn gré^l Vo™ n SS^^T'f °"' Béclaircit. Cependant, nous no nouvons nrendrAH'nKlLl*" . ?™' ^® *®™P« apercevions la erre à peu de rstKITfrnnnu '>'«° q«e nous rSn. et il est imposslb^:! la recon^'aL "'""''^ ' '"''"''PP'' P'^^'î'^^ »«"* F^^ de nons^cSS^s^VoTe^r'a'^^^^^ ' '« '''•°'"""«'d «'^tant dissipé, P.rtir de la terîe^s «"«""dîst^'ncTS^^'mirsiX^^^^ fa' s^oïe d""^ '^ ^"'- ^ fondeur de moins de JOO brasses ce nni «nr^^nJ/iT ^?' ^ *°°''® <^°"°® «"e pro- et escarpée, s'élevant abrupSm M^W^^^^^ ?Ôte estha^ute jusqu'à une hauteur de 1.200 à 1 500 Dieds A l nTl w ®" plusieurs endroits nous étions attaché, et, nCdir géant ver; Vb?™;;^^^^^^^ '« S^'^î»" «»q°«l «ettonslecapaunWensuivrnïïeborneia Ihce °''°''' ^°"' '^""^ ^'''■'•« «' le détri^t d1lTd1on'"irsu;vier un"bl7lla:f j'„?"' °-°'-'' t ^^^'^''«' ^* -*-- '^- ^° tournant au Tons aujourd'hui la première baleine deïa Sson ' "°'™ ™"*'^^- ^°°« ''^"''' lento santé. Les indigènes lonr ont fr , rnf /J i ' • ~,' ^''. .®* ^reelman, en excel- et n leur reste en^Wefne graTdeTaantl é" de' iomCsUb^^lî TTéV^^'j^ bord comme aide-hydrographe laissant M wVniTJÎ Ai ''® P™""^^ ^' T^"" « observations, et nous rofrJESns la mer à 6^*,?'"VT^J«lf"?" P°°!: "°°"°°«^ 1«« ^r«r/,>, capitaine Guy, appartenantTux MM* sienK« K "^ "PP'T'^ <1"« lestcaraer poste le 6 juin, «yanV mÇs^rois 8;ma?nes^ir vefee S^^^^^^^ d?T«""'^ ^ ^"^ Depuis, j'ai eu des nouvelles du canitaire Ouv «t i « „„ * • ? .^«"•!''euvo. TOBto qu'il a suivie. capiiaire wuy, et la carte oi-jointe indique la Le qaî l'en quoiqn'j qne VAl carte qi Le( de e'ava Slm Ma Itowe's-' détroits De fait. Gelé imf Je q possible, côte nort d'essayer banodeg appareno de la terr Les navire et de large, plusieurs mou, le re le percer i centre du temps plm carte fait i «t vers l'es courants, h nord ou au comme an Leoaf Inlet) nous d'épaisseur Queen et l'i baie d'Huds Le cap: à la route si de Nottingh ,. I5ijuill( oloo de gla ailes. Nous marche à 4a serre, appan 13 et 14 qui y est exi "La gl' possibilité de saison, le dét porter du fre A des assauts Les 15, 1 pour avancer 19.— A 1 port Lapcrriè Oao Galch, et nous 'OuraBlano plein© Je suis donc forcé mettant le cap sur 1 quinze milles de dadson. ronillard; il arrive é de palaces que la 0, je fais mesurer ds. 11 y en a beau- presque toujours >tre banquise, sous p.m., et e navire, l'épaisseur de la îhé la plu s grande au bord, en pla- ouillard s» dissipe rd revient encore fi 1 Vtnoaf Ia „_:- i • • . Côte nord, la gî^ce fStne m'i:8tomr; ' ."*" * «°^î'^" d'essayer à se frayer un Mssa^D^P**'.*®* *''«'«»'» laqne..„ ae commence une D a.m,, le temps t, bien que nous saque tout pràs de »rd s'étant dissipé, les vers le sud. A ie donne une pro- J la côte est haute plusieurs endroits le glaçon auquel is l'eau claire et 0, et entrons dans 33 éolaircies, dure Darant toute la t à demi-vitesse, isipe à 7 heures, lant vers le nord rons en eau par- •née nous voyons i d aient chassé les j En tournant au ). Nous aperce- •ns l'observateur, Iman, en eicel- lant tout l'hiver, ids M. Tyrell à r continuer les d que le steamer I lit arrivé à son Terreneuve. j •inte indique lai •Ppa^mo.d.c^.„ge„„Je^oml^S^Ff« 28 milles, m.H comliril iy\ d«» le percer au lieu de suivre ?« fil tv ' "^ '*^'"» «'»»dé le bousonlis et «omm ? ' centre du détroit ercT^ndrc^, 1^ gra'ceXJr^^*^' «-^^-«'"dS cols aSTuraî calfate; ""'"' '^^^ ^«" '« ch^ang^meK nSJ^V" r"*'"«'°«"* P«°C «n Wpo de glM» d'une grwde rS„™ ' iS'' ?"" ■""" '«"MB de l'ôwron ,.„ [porter du fret, môme s'il était renforcé S„lu °°° ""^""O ordinaire qui pourrait "rTî» ™ ''°°"''- ' P«»ibmMe ,„i ,e présentent 8 et comme la leispa n'est pas favorable et qae la maréo est sar le poiat de changer, je m'éloigae pour la nuit. 20.— Ce matin, après beanoonp de diffioaltés, noas réassiosons à entrer dans le tiort Laperriôre. Le navire est amarré pendant deax heures à la glace du bord sous 0 vent d'une pointe, pendant que la glace flottante dérive à raison de 4 nœuds à l'heare «t frappe de temps à antre le navire en passant. Au bout de deux heures, le vent ayaJt trotohi, les grosses glaces se 'détachent des rochers. Heureusement pour nous, la marée a été assez hante pour laisser on espace libre entre la glace flottante et les Toches, et nous entrons dans le port par cet étroit passage. M. Peroy Woodworth et ses dèu3 aides, Mil. fiissett et fiowditoh, qui étaient à ce poste, viennent à bord en passant sar la glace. Ils jouissent d'nne excellente eanté, et disent qu'ils ont passé an hiver agréable et confortable. M. Woodworth noas apprend que la glace da port n'est brisée que depuis quelques jours. Chose di^ne do remarque, la déb&ole s'est faite un mois plus tôt que l'année dernière : ce qui établit qu'à l'ouest comme à l'est du détroit la saison est d'un mois plus à bonne beare qu'en 1885. Nous passons les 20, 21, 22, 23 et 24 au port pour permettre aux mécaniciens do faire des réparations nécessaires aux machines, et noas faisons des observations de la position et déterminons la valeur des éléments magnétiques. 25.— A 5 heures da matin, nous sortons da port aprèd avoir examiné l'état de la glace do haut d'nne des collines. Nous n'avons pa faire que neuf milles, cependant, lorsque nous sommes assaillis par les glaces, dans lesquelles nous restons pris toute la journée, la glace oscillant avec la matée. 26.— A 7.40 a.m., la glaoa s'ouvre soudainement, et à 9 fa; nous pouvons aller à tonte vitesse. Un brouillard épaio obntinue jusqu'à la fin de l'aprèâ-midi, ce qui est très malheureux, car d'après la position donnée de l'Arctic, les deux navires doivent s'être trouvés aujourd'hui à quelques milles l'un de l'autre.* A 6 h. pas de glace en vue, sauf quelques glaçons épars à l'horiKon. Dès que le navire a passé la glace, nous sondons régulièrement, et toutes les observations sont prises pour'déterminer avec précision la position du navire. 2?.— Ce matin nous rencontrons un peu de glace libre, mais pas assez pour nuire aucunement à notre marche, et nous n'avons plus été retardés le reste du voyage. Vers 7 p.m., nous passons le cap Soathampton, mais comme le temps e6t quoique peu peu brumeux, nous ne l'apercevons pas. Il me fallait alors décider si je devais suivre mon plan primitif de visiter la partie nord-ouest de la baie, on me rendre directement à Churchill et à la factorerie d'ïork, pour faire les lovées hydrographiques que vous désirez que je fasse à ces endroits. Après avoir pesé les deux alternatives, je me décide à partir pour Churchill, parce que je considère que ponr ces travaux les chances de beau temps sont plus grandes au commencement d'août que plus tard dans la saison. De Soutbampton à Cnnichill la course est excellente, le navire faisant huit nœuds à l'heure presque tout le temps. On renc3ntre encore un peu de glace libre le 28 au matin ; mais c'est tout ce qui se présente qui ait aucun intérêt, et nous arrivons et jetons l'ancre an port de Churchill à 6.15 de l'après-midi du '^9, après avoir fait le trajet depuis le cap Sonthampton en quarante-six heures. Da 80 juillet au 3 août, le temps est employé à faire la levée hydrographique du port de Churchill, dont je vous envoie une carte. Le port de Churchill est formé par l'embouchure de la rivière Churchill qui, «lle-roème, se décharge dans la baie d'Hudson, à l'angle de la côte qui se trouve entre le cap Churchill et la rivière aux Phoques. Eatre ces deux points, les plus vieilles formations de roshe descendent jusqu'à la mer. A son embouchure, la rivière Churchill se dirige vers le nord. L'estuaire lui- même est étroit : il n'a environ que 600 verges de largo. A ce point, la maiée a une vélocité considérable — à pea près six nœuds à mi-marée. Le bassin de mouillage, avec une profondeur de plnu de quatre brasses à l'ean basse, est d'environ 1,500 ver^e! * Non.— Oeoi a ôté écrit avuit l'examen final des notes prises au poste. L'Aretetk 6téTaTe3l| passant l'tle de Digges et avait toute une journée L«a arrière de nous. Le capitaine (îny s'est ivideo «sent trompé de date. int de changer, je 18 à entrer dans le lace du bord aous ii nœuds à l'heure ujr heures, le vent lement pour noas, )e flottante et les itoh, qui étaient à d'une ezoellente , M. Woodwortb ues jours. Chose nnéa dernière : ce lois plus à bonne nx ntéoaniciens do as observations de zaminé l'état de la milles, cependant, stons priii tonte ia us pouvons aller à 1 àâ-midi, ce qui eât iz navires doivent | h. pas de glace en i >as8é la glace, nous ir' déterminer avec [ is assez pour nnire reste du voyage. ips e6t quelque peu de visiter la partie factorerie d'fork, asse à ces endroits, tinrohill, parce que int pins grandes au >ton à Chut Chili la que tout le temps, 'est tout ce qui se 1 port de Churchill tp Sonthampton en lydrographiqne da iàre Churchill qui, lui se trouve entre s, les plus vieilles "d. L'estuaire lui- int, la maiée a une .ssin de moaillage,j iviron 1,500 vergei li'Aretet^ été tu tel iae Uay s'est é?iden it IN to J» e« la té H («S futdTfvg^ es ■«M i et Q m'é porl 10 VI la i| TOCi cep eao^ noai qui I lieni liBir< jour! f « porti elle-r; le os]t formi À inèm4 Télooî «« «M pmlbnI«cer fa têto d f batture, qui , fœuds. Voici] J Port-Ne/soi laites de l'Amft ■^e'son. iiavai da nord au Hud ■ ^^^^^"^''^'^^ "'*'->'— ^ia^^—--^^^ io fiord do suite iusm.'i ' *'" 'ombo dans .L «O'ivernor O * «J **"°P* fonds 09t dur et S"f ?f 1"-^ ''«n so rotroSL °" *"*" '""•""'^ f'-ofoni n "i" '"' *«''••'* 'di'fction O 1 % ■ "^^ ''o calcaire d» „ •? ""''«'"o da.i.. •'(. k "' '' '•»"' ff«troer 1 '?. Point ^ux';jr,!L°5-«- «'oï';olr,fciîli« --. -•• vol Zl ^toZ' -r 1-1. r. ,'""*'« Ijodix brn»»e». |îiieoHani!;:;i!:l"°'"."»»"l»TOn"ïï™?°""«»- ' P' "• «ii»op.ir c. >«. ooDHtruiro lo« w 'T'" «^ "« terminus d« ..k... . _ ^epréaoVuE't'r?»'''''-^'^'^"? ï^ ^" Qui a"'" . '""^"«""^ **« '^ «« « 10 haie dan» laquelle la rivière se décharge fut appelée par lui baie de Batton. Sir TfaomuH Bution mit ees navires en hivornement dans la rivière Nel-on, près l'embou- «hures d'un petit ruisseau; il doit avoir établi «es quartiers d'hiver en amont de Flamborough Hoad, car il dit que la rivière en cet endroit a moins d'an mille de larjîo. Port-Nelson fut ainsi nommé d'après le patron de l'un de ces navires, mort pendant l'hiver. Le fait que le nom est ainsi consigné sur ios cartes peut avoir induit à croire qu'il cxiute quelque port ou cet endroit. Les rivières Nelson et Hayes déchargent ici leurs eaux dans hi baie d'Hudeon, et sur la langue de terre qui eéparo les embouchures de ces deux rivières b'élève la faotororio d'York, le grand comptoir d'autreioii do la Compagnie de la Baie-d'IIudson. La compagnie avait choisi cet emplacement non A cause d'un havre qui pouvait donner abri à ses navires, mais parce que la rivière Hayos était la meilleure route que les bateaux et les canots pouvaient suivre pour aller dans l'intérieur. Autrefois celte route était la grande, sinon la seule, voie de communication avec im premiers habitanis dus établissements de la Rivière Rouge et de Solkirk, et il fallait deux navires de ttà< grandes dimensions pour transporter les marchandises destinées, non seulement au commerce de la compagnie, mais encore à l'usage des colons. A cette époque les navires de la oompagnio n'arrivaient pas jusqu'au fort, mais les mar- chandises étaient déchargées, dans les rades extérieures, à bord de gcolettes que la compagnie tenait dans la baie, et transportées par oiles à la lactorerie; le transport de» marchandises de retour s'opérait de la même manière. Dans ces dernières années, d'autres voies de communication avec les territoires da Nord Ouest ayant été établies, les exigences de transport du commerce de la com- l>&gnio à ce poste ont beaucoup diminué, et depuis plusieurs années un petit navire tirant de 9 à 11 pieds a fait tout le service du district d'York et de Churchill, et sou- vent il a touché fond en entrant ou en sortant. Le mouillage extérieur, en face de la nvièro Nelson, est à dix milles de la terre la plus rapprochée, laquelle est si basse qaon ne la voit pas du pont du navire. Les courants de marée sont de 2 à 2J ou 3 sœuds k l'nenre ; leur direction variei avec le temps de la marée, et le seul objet visible est la balise do la pointe du Marais, qai s'élève à 80 pieds au dessus de l'eau haute et sans laquelle il serait à peu prèj impossible d'arriver au mouillage, même en temps clair. En temps de brume, un navi.e doit se tenir dans 30 brasses d'eau, sans quoi la maréo l'entraînerait dans un endroit d'oiî il ne pourrait revenir. ^ Une batture (colle de le Pointe du Marais) recouverte par moins de 6 pieds d'eau a étend à partir de terre jusqu'.* plus de 8 milles, et si on so rappelle que la terre envii ronnauto est uniformément basse et unie, n'ayant aucun point saillant qui puisse 8ervi^; d'amer, on peut voir qu'il est diflaoile de conduire un navire au mouillage. 11 est bien vrai qu'il existe un chenal dans la uoiede la rivière Nelson, mais il os étroit et passablement tortueux, et il faudrait le baliser sur tout son parcours, depui Jo mouillage jusqu'à l'île anx Phoques, distance de 27 milles marine. Les Sauva cd prétendent que le chenal change de pluco tous les ans, et je n'ai aucun doute qu'ail disent vrai. ^ L'embouchure de la rivière, depuis la crique de Sam, jusqu'à la balise de la point du Marais, a lOJ milles de travers, et le chenal en cet endroit a moins d'un mille d lartfc; il se rétrécit à 2,000 pieds vis-à-vis la crique de l'Ours-Noir, et 2 milles ù l'es do Flamborough-ïïoad, où la rivière a plus de 2 milles de travers, sa largeur n'est ou de 200 pieds. ° ^ Pour construire un chenal et un bassin capables de loger des navires à morchau dises, il y aura beaucoup de dragage à faire, et à nart le balisage du chenal il faudn ]»laoerun phare-flottait un peu en dehors du raouillase extérieur, pour permettre au navires d"y entrer e» temps partiellement clair. Dans les mois de juillet et d'août la baie est couverte de brume, et il surviendra mûrement des retards, sinon des désastres, si les navires essayaient d'entrer dans port autrement quo par des temps parfaitement clairs. Comme, cette année no avons rencontré uao grande quantité do glacô dôtachéa à l'est de l'embouchure' de rivière li créé par Les risques i tout ce «eoz de 1 Churchil Le ci varie de ] passer à r qu'un na\ Jeco Igerenx où bourrasqu qaacd le jusqu'à ce h'Alet [chaîne, ma one tempe [premier of té muni d lever l'anci )êcbait les incres et q Jeréit( tontes les d 14 août l'York. Je désii l'fludson, à i«8 grands I lanvages trè [emps. 15 août. 16 août. le rester ici it faire des c levaient détc Lorsque lordait pas, avire reste ( 'ancre et apr Nous resi Marbre, su reportant li 'tt« fin. Dan ot lapruden foute la nuit ( "npas. Le c leillenre fabi utile, et lo c ■S.-0. avec pt La même ■odnits dans I >réal38; cens ait pas moye lent dea et ne de Batton. Sir >l-on, prèa l'embou- hiver en amont de )iaH d'an mille de 8 ces navires, mort cartes peut avoir as Nelson et Hayea ]e terre qui ciéparo le grand comptoir I ''on* de la corstr Churofaiil. éricur. fgereax où les nav?re^ TÀlJ^t **n '* '''T^«''« ^"'«on est l'an de. nlrnl^?'" 7*''°''- )mraanication avec Iboarrasqae de nord^st^hJr^ "l'*'": ^'*"« '« «noailiaiJe «Urr^?' '^' P'"' ^«n- Soikirk, et il fallait Iqnand To baromètre baisse «^ n" ^'i''^' °' '«^ P^^'-'Ods de?navT e T^h^^'^'-g*'" °°« .haodises destinées J jusqu'à ce que leli^r H a^ss « *°-P^ — e. prernUeta,!^e *où n^^i iRe des colons. Al ^'^'«'•' se trouvait dina^- 1" s". ^'u ua restent ïever l'.ncre T." î- .1'. "'"» P»"'' J«<"- de ri„ iH ?^' i"" . ' '" °.»"'-<' " «ût p„ JUauuiDOB UUHllI n^e des colons. A fort, mais les mar- ie gcolettos que la rerie ; le transport avec les territoires namorce de la com-.^ Sos un petit navirel 3 Churchill, et sou- rionr, en face de la: aquelle est si basse ■ 15 août V I sauve oo;-"">"'. ""f "aïoine, mais n avait pas réussi à la capture î„5ll«f ^r J^" ^^^'^ PÏ^>.n <^e gJaces et nous n'y avons pas vu de balei us. Le 16 Ccât lo 2 juillet que j'a, vu la baleine que j'ai capturée; je n'en a' pas vu en juin 'En février le scorbut a commencé à attaquer l^uipage/ Les prSifl naturel so sont présentés le 21 avril ; nous avons acheté un dliim ;^p us twd^iZ eo 2lZllt".^M-7 ">"''•• i^",'""'^" ^« '»*'■' '«« ^^«««^ avaient matai emiîe Le fond A lit H "■ r'^u '* «'^'** ' ^ "«"^ ''"«««^ ^« profondeur la glace touchait le îaS s.ut«Ha f ?„.« '^^'^''^^f « «°t. ««^ployé.pràs de quarante lances à bombw pou de claco Sn a ^^T^.?7''^'^^ T'^ ^^ J^r»""" '« ^"^^«""^ Cpan) est collé au champ Mo?t7D.^l;,n^ !f ^ f -^7°' ^? »'0«««»l'« 8'est détaché de l'extrémité de l'île dS Moit (iJsarfman), et des lors le sciage a bien été. La glace dans le port avait 7* nieds d épaisseur. Lo scorbut avait mis près de la moitié des membres des équWel^ S deux navires dans l'impossibililé de faire le service, tandis que les antres eWtaiS îlbK TLuTmn'idtn' "î"'^r.^^'\^"« °°"« avo'nsétéeSrtStol^risonL nr.« „L ' f *<^"* j« ."on'Jo 08t aujourd'hui en bonne santé. Je pars d'ici demain dour ano courte expédition, après laquelle je terminerai mon voyagS. "^ ■ "ANTHONY BBNTON, " Patron de la barque Wave, Nevo-Bedford, Mass.' dans^f bVt'dJ^SS i!î <ï".\d«»/ baleinières ont passé l'hiver dans la baie d'Hudso. ?.= 1 i • ri* P®"''® * '* b^'®»»^®» ®* comme l'une d'elles y avait déjà pai oin ,1 Wn/; nf P'^'^^T'' on voit que les baleiniers de la Nouvelle-Ang eteSe^nl rïlij In jP^ confiance dans la baie d'Hudson pour leur industrie. Chose asse surmonîéâ d W ,"« 5"«"^'.^°r« P«« >* ^ort de l'un des matelots, dont la fosse récent débarque sur nfe. ""'' ^ "" "^'^ P'"™^""" ''^'^''' ^"' ^'"PP« '* ^°« ^°"î°« »'«■ 1« «.in P^'* est très petit et n'offre aucun abri contre les vents E. et S..B., mais ilesi la meilleure station do lest que j'aie vue dans la baie on le détroit d'Hudion O ÏZ'/ffr ^'"■!, Tn l'^^' ^"*"? J''^»'-*' d»* q°«' à l'aide de troS ohalSupeS; noV avons fait pies de 60 tonnes de lest entre 5 aTm. et 3 p.m. le 23 août. ADrès avoii embarque ce lest nous pi^onons la mer. Le temps a tr^ès mauvai 'e appare^nJe Tû Zlî o'Jn'nr ^ î' ^;"^ • ^'^l'^'"- ' '^^ baromètre baisse et la mer grossit dans le 1^ qui est complètement exposé aux vents qui viennent de cotte direction. *^ ^.)u. observations que nous avons faites cette année à l'île de Marbre confirmei celles que nous faisions en 1884, relativement à la latitude et à la longitude T position de i le se trouve changée de presque toute la longueur de celleôif * farii de 1 !!e de Marbre avec l'intention de me diriger vers le noi-d Jusqu'à Roe ■Welcome, et do visiter Chesterfield Inlet, jo trouve, une fois au largefla mwiri groîse, ti Su" à 90' et attend Lab de nous n je me dîri quelques 26 ao mioer not en pluie, e navire est vent est tr et sous va] Les machi Southampi 28.-1 'cap et prei que nous f miner le c nœud à l'h< Nousq [côte sud de •as du tout [Nid s'étendi 29.^h vume et de le 15 à 20 I lant les int >file teinte Humer les tout ce que j hommes se forte que si l >rds de SO < tette oc/^asioi m dépôt con Lèvent •ïd, permet >ut le temps, >t peu après 1 léterminer a lefsçonàtra [oute la journ< 'irt Laperrièi logmente de v lie 3 1 aoû vente tellem prendre à bo '•> port Tout •réparer le na^ Le 3, j'env •atours de la .uimaux, qu mdemain aprè «is Fana avoir Le 6 et le e irè» considéj 1 pendant quelqae ■e départ de l'île de lOa.m. Sarl'fleda inton, de la barque 1er août 1868. and Mary, Noas if, le thormomàtre doa tranchées dàs 9 George and Mary juillet noQs avons baleine avec son 7ons hèlé le George »ate pour Bepalbo apture»'. I bal'jiscs. Le 16 aa cap Hardi og, ' pas vu en juin, 'fi. Les premiers plus tard, nous ea iuvaise mine. Le a glace touchait le ses à bombes pour 3st collé au champ rémité de l'île da )ort avait 7^ pieds: les équipages dm antres en élaienf ortis, tons se son l'ici demain pou ON, Bedford, Mots.' la baie d'Hadsoo ' avait déjà past4 e- Angleterre bodI trie. Chose asnei it la fosse récentJ vue lorsque l'oi S.-E., mais itofij bd'Hudson. 0( chaloupes, noaj ût. Après avoif apparence et II 'ssit dans le porf ion. arbre confirmen longitude, et lleoi. oi-d jusqu'à Rot irge, la mer tri La brume continue nenH """ge ae tenir lu mer «Dteeurè, fort et in >ï! '■","'«';" '"» »« pelit fo° î î'i^l "^ "■■» brise, et le « ~«. ,.pear r,lJ,rri°jf! 'r ■■«".»' prends y. „alt\°r miner le co"?ni tt ni"'/" ""^^ «"^roit, nous prenonîdP» nK ' '^ '".''*"^«- Tand s Uad à rheure dans ,a reZ"^H"%«"« '« ^^loc^ilé maxta e^^r^'^"' P"""" '^«t^'- Noue quittoDsTe can So„r ''"/'"""^ ""««*• ' "° '* "'^ '^«'«i- côte sud dlnni. ?: ® ^_^P. ^onthampton cette anrà=.«..M: _. .. . 1er, 'il y a ouest I«>3lVeùt?eî"e I.,„ r , "P-ement .,,„„ 1. UâJwrMKiSeK.ÎT'"'''/"»'»*»" °'«P'«-I« dalestetà C»r,: u?;:. S" sr asî;s. :r?3;^; ^,*'«-™r cert^^^^ 14 ^i ''^!iri":^?' ^80 ^^' «h^î-'e- è baril de eirop ' barils de lard, ^•barils " barils de bœaf. r baril de encre, baril de farined'avoÎDe. sacs de farine, sao de fàvest poches de biscuit n<»I.) (matelot 37 46 1 boîte de savon. 1 boîte de légumes séobés. 2 caisses de mouton de con- serve. IJ caisse de bœuf de conserve. J oaisee de poires <' 1 caisse de pommes de terre 3 barils de biscuits (matelot ï tinette de beurre. 6 caisses de kérosine. 1 oaqne de vinaigre. 16 Ibj d'oignons eéchés. 10 Ibs de blé d'inde séché. i quintal de morue, i sac do riz. Ibs de choux Eéchés* Ibs de café moulu, boîto d'extrait de bœuf. Ibs de thé. caisses de jus de citron, bcîtes de pêches de conserve^ Ibs de navets séchés. Iba de pommes eéchées. caisse de poires de conserve. boîtes de moutarde. Ibs de raisin de Corinthe. boite de cacao. 1 35 3 8 35 98 1 3 40 1 C'est la meilleure réponse A l'imna- f baril de fèves. i baril de farine. Voilà les articles qui sont restés de surplus. C'est la m, ? Sti^lTW'^'''' i°*«ffl«an.ment'^.pproviB?oVné8 -- 7 septembre.--A 6 p,m. nous quittons Port-Laperrière nour l'île Nntf!n„i.«». mnnitioos et provi* le, je fais haler la 1 a trouvé ses nro- 1885-S6, on a fait )viBioDB ot de char- aoas avons pris à «tes; Sché. bœnf. tron. ï conservoi lées. conserve. • 'inthe. réponse à l'impa- '!Ie Nottingham. (le f;lace flottante »m, et à 8 am. lo inonde est i ni- es effdts. A sizi lotning, en exœl- , jSsantes pour an | charbon et en- « . *<» eopiembre.— Tout le mor r''°î:'.Vîi1,Ve«L'''S"Ji, • ■"'"" "■"""°" '" ■"•■■■«"■"«.'«p.* s'approvisionner ■"" ^fmpiies de fer maffoétion«".''T'"'''"'®^ ***"« ?«'''«* îles oui n««.A«. * 1118 la prévision Il"«"e les caBons ont éîétXVf"r°«^ «ar «ne l?aa(eS„®"* *'**?* *»»'' l'an pe£ d'builol /«rs Je «oir de ce ^0^0 ^r ?2n7"'' "« ^""«^'°°n« P^^^^^^^ t le temps ^Jr^^s^z^r::-!^^^^'' ''^'^-- '« -vrô. . ,a pi„i. la irranrfa „..»„.»'« H eoufflo une forte hrî V °*'°° '^^ prendre la mer c« mof îant .moaiqués. et nous aSîot p^ïr p^^l^ iTZZt'îV' *'°" ^"' ^*^*^ ^ 20he,.tembre.--A9.30am ncîus nn,^«n-^f ^°^P* * *°'*'''<''''8e. Le p fioixantain à partir de distance d' avons dou glaces, fut 8 ; lo navii aurait pu a La gla le navire ft fait la bruD ce travail, ( Le9, r du cap Chu née et celle Le 11, et ne laissai «ette Btatio "Ouscalis ; à A l'extrémit 156— 11 îurwoll, et faisons latitude et longi. la terre nous om- Prince de Galles le no HO trouve en )inte  une faible par le capitaine la position et on pas la terre. i^oir été bien éloî- l'île Verte, telle élevée. De plus, i;c mille?, par an Burwel! à 1 p.m. Il est trda faible nents ee produis t opéré chez lai, le d'ajouter que >mplôtemeot in- nu ont été faites i que les muni- quoique petite, ) aboodammeot >lus. justice chez les t le nom n'est )a« méchant." mal aux autres liera, il vint un oorritureet la ir saisi par le )ulat se • faire qu'il donnait a malheureux it un fléau qui é, et it le lut l'une tempête ians le dos un • saurait dire es et tous les B dernier acte 'ter la cause à. arder les fem- la compagnie. sont mainte- I. ussant par le côte du oap got'^p rendant . la Cec-r' r^''"''^*'"'''''''^'' "OO^^^^^^^^ "^'^^ •°"'«^ ^^ '^ ^ôte, nous ne large du porTBclip^Tu8l^"prIrd''ey ^m' T? i^'""^^'"' '<> ^ Juillet s'étend au l'est celuU, sur le^ôté sïïd^? chenal n ifon^' "* A'\ ^° ^«^«"««d situé oommï pour les navires qui se rendent dans I«^it?I^v' ^''^ **® '* P'»^» ««-ande importance Lir^^n^?^^'^"^ «'de là on sedi > verïïe^o'rd"%*'"P^^ ^''"^'^^- On^^ïend les Iles Button et entrer sans crainte daa^ledStï^u/^T''^*'''^ '°'° ?<>•"• do«bl« "^-/ot'^f'^'îf' 4--^^^^^^^^^ ^'''' mrfairhae" ments terminés, nous quittons le noste on«lm.l -^"f ''°''^ laissons. Las arrange, dans l'ange do Skynne? pour la nu'i? ^ ^ '' °*'°"*°' al>rà^midi et jotons l'an?re Ju'à^tŒ^^^ mais pousse vers l'est jus- de 70 milles do la côte. proionaeur do 100 brasses, ce qui n'a lieu qu'à plus c6teî:rard"or7ru?bea^ ^T' ^r^^^ ^« '-^ de la bonne heure lo 6 octobre au mathf ' ' ^"^'■°°' '^'*°" '« détroit de Boll^Isle àt juiaoursîrudTurdr^i^ reprends immédiateme''nt ^ mer PassanTi'a T' t ^ ^i ?' *' «*«^« «« N. 0.!lt je atteignons l'anse de la Viande et nnl '''*'^'^'^ ^«'°« ^«™ «"idi, le 7, nous ensuite à l'ouest du CapBreton It par îedétroird/SZ ^«"«-^"«l'^^ '« 8. fesZt les hommes néSs^eVr^'cC^rt^^^^^ ^ g«gea ordinaire. OBSERVATIONS DE LA GLACE GLACE BINOONTBÉE PAR l'<;4T»Dmi> ^. Tjfl . , ALBar" DANS SON VOTAQB DE lfc86 soixantaffdT4ltTs„îaferpr^^^^^^ iTS,-"^« ^'^ ^té le 2 juillet, à une à partir de ce point jusqu'au cao ChudfoS* .„ ^'"'* t°*'';"°' "^"'s très éparpillé, tt distance d'environ 15 milles au la,-r^« ,., • ^.5' J'' S'^°® '"''"dait la côto, sor4o sur nn« avons doublé les ÎIos CtVn? ^é^' "bSTS" i- 'M ÎT f/'"' VôAu"o7oa glaces, fu ontraîté jusqu'à environ 30 millerauud atl "' "'/" "'^''■«' «^"'«"^^ do ? J? "«^^"^ °'a P»i8 été entouré tout le emns car h^ X^ ^""'^^ ■ *'™P' «'éciaircît io aurait pu avancer s'il n'y .vait pas ou do bSlhrd ^ ' ^'«'«'g^ait souvent, et il len5.irf&^r:i^^«^^^ , Le 9, nous constatâmes aai l« Ul„ i ■ ^ • , ^"'dor leur retour. du cap Chudleigh, ali;!? à l^mmi's nuTrdZ'îf f R^lf '^ "'J'^« ' ^'^«t de la côte née et col e du lendemain, de grosses gE se t£n A ''^ 'Z^"^'*"* ''^"^^ ''°"« P^r- Le 11, nous vîmes qûo la elaon nnrfa-f "nront au aud du navire. '' et ne laJssijt qu'un étroU espace Kl ^î ".• 7'^ ^'^ «°'^«»' '» P-^^^^ion do la côte bouBeuhs ; ae pelils trous d'eau se montrS ;.A «f v"'' ^" ^^^^'^ "'^ formait qu'un 18 ^ÙV^ ^■'***''' f\ goulet d'Aêhe ; qaoJauesunes des banqaisoB avaient plus d'an SÏlTe 'a;ie°"^P.n-l'"*2*/î^?^^^^^'^-'« «"*- --^°-'« devenueTunrcJuîeïï «r^v- ^Â. ^ ^ """^ " u" iwuu coies, Bi Dien que, même da haut du irrand mât voua fA-r^'f.**""* nnlle part et vous êtes fermement convaincu que le nav?re va restï làjasqnàcequelaglacefondejsurvjentun changement de maréo ou dé îent et «n moins d'une dcmi-heure le navire marche à toute vapeur, se L^tant de temps àautîS au bouBcahs qm s'éparp le. D'autres foia, au contraire lorsque tout parTîtbien S fcede'nouvTaur' "''' "° "''^""*" ^''"^ ' '"''' ^'^^^ «"'"^™ paîScmment q^'U Da 11 au 19 juillet la glace couvrit le détroit, depu!; l'Ile Emma iusou'aa oan r.gge8, ot nous parcourûmes ces 200 milles en marchant un pfuTparlbïs^ïn demS mille seulement, chaque fois que la glace s'ouvrait. Une grande pan^ do ceUe S il™^l^T'* d'une nature telle qu'un navire ordinaire employé au tranS dos marchandises, lors même qu'il aurait été renforcé et doublé pouV ce service nC rait pu, dans mon opinion, la traverser à cette époque sans avaries ' r,^»,,!^''^' f^°Z **°'".^ '*', P**'* ^^ ''"« ^'g8«8 ^«"8 la matinée du 25, le navire fut de nouveau entouré par la glace et n'en sortit que le Icndenain malin. ApWs ceîa no„! ne rencontrâmes plus do glaces o^i pussent gêner notre navigaS ^ ' flotta H?Kr „^°y',<î» stearfer^cftc, une des plus puissantes baleinières d« la im- «f « ^ ®!'. * °° 1 «b'>geance de iifie communiquer des notée au sujet de oraii lui est arrivé cette année dans le détroit d'Hudson, et j'en extraie ce qui suit _ ^ nnJ ^^'''''.P'f ?" Saint-Jeande-Terreneuv; le 16 ma^S se ^dkigea 'vers le nord; Il rencontra la glace sur le côté sud du golfe de Camberland le 26 mai lî von lant entrer dans le golfe; cependant le navire fut pris dans la jrace à environ 10 Ta'^' tP^L^"". Monument,-le vent soufflant de l'est,-alla enVéHve sur le îôté sud de l' le EéBoIuuoD, dans le détroit d'Hudson, toujours pris dans la elace et n'en sortit qu'aux îles Savagû inférieures le 2 juin. p*»» uans mgiate, et nen Le capitaine Guy trouva la glace du S O., qui s'étendait à l'est de l'île R&jnlntînr, et du cap 6hudleigh. sonéo sur lo ou 50 miUes.^t dispersée sur 10 à 20 milKd^^^^^ r,»««^ H P'-*i''''^"^î*'' ^"^ ^^' ^'«« ^»^«g« inférieures au goulet d'A8he!il n'a pas eu de mieère; mais le voyage a pris trois jours, du 2 au 67 et la diltance nit que de 150 milles. I faut avouer que*ia marché de 'VArcticn'k pL été èrraîidî Après être sorti du goulet d'Ashe, le capitaine Guy trouva la g aoe beSn plus grosse; elle avait do 15 à 20 pieds d'épaisseur. S'avançïnîvîrf rnord^S Il remont.1 le canal de Fox jusqu'au cap Queon. Ici il se trouva devaSune baiière de glaces in ranchissable, et essaya de traverser le canal vers l'ouest : voyant QM?étSt impossible., Il Bo dirigea vers le sud. cherchant un endroit où il îruVraTSrî; la £î nere do glaces. Du lO juin au 25 millet. l'Arctir. maroha à u^«%.„„ ™ .?!T:-?f i?.^"^ et fût entré dans le port Laperrière. Le capitaine Guy attribue la cctodition fixe do la glace au fait qu'il nV nas eu de vents du sud tout le temps qu'il essayait de se frayer Sn passage • maiflîJJotes oue nous avocs prises dans le port UperVière démontoent qu^lTS eu de* vents de sT et de S..0. pendant 21 jourseur ào. Cependant, ces vents étJeît faiwL et lalarc^ur* du bouscu lis était si considérable que les vents, à moins deXer tonXmns M S IZ^'iTVTf'^' *ï«P'"'^.'« capitaine Guy tentait de si ??aSerTn ZCê KitL""'"^- • ^f ,' t"* '''^'"*°^' ,"'* °^«'« d'octobre, il essaya de passer par VdéSSt do Fisher, mais il le trouva rempli de grosses glaces dans lesquelles il ife voulut^ engager son navire; quoiqu'ilrfût à mi-chemintil vira de boS erpaïs^tirsud^ Southnmpton et do l'île Mansfield, il rencontra de nouveau d^ a S îwlée à l2 1 IZZ ^, 'f ^'°S"I' «P^«1.<1"0^ à l'exception dq bousculis du GroSdStqu'U apei çut à la hauteur du cap Fareweil, il n'a plus revu de glaces. ' 1. La g que de IJ pc 3. Eau ] 5. Une O..S..O. (frai 20. Un 25. Une auN.O.;dai . 26. Quel nzon. 27. Eau i 28, Banc 30, GIac( 1. La gla 16. On V 23. Une t 24. Eau il 25. Eau li [ ane grande na 26. Eau li ,^ . 29. Eau lii I brisée. oO. La gla {d'eau découvori 31. De pet 16Ô-2J raient plus d'an ue d'une coulear d'an cratère aa llement la glacot la navigation A ■e peut-être atta* grand m fit, voos navire va rester >u de vent, et en de temps à antre . {)araît bien, le laticmment qa'il la jusqu'au oap arfbis un demi- 3 do cette glace yé au transport e service, n'au- lo navire fut de LfÉ'ds cela, nous aleiniàres de la sujet de ce qui iui suit: — dirigea vers le '^6 mai, en voD- le à environ 10 ive sur le cSté i glace, et n'en l'Ile Bésolation milles aa delà. d'Âshe, il n'a i distance n'est \ié trôs rapide. ;laoe beaacoap le nord-oaest, ine barriàre de 'ant qoe c'était pénétrer la bar* ro le oap Qaeen nit l'extrémité rt y eût passé i [ n'y pas ea de a les notes que vents de S.-E. i, et la largeur smps, ne poa- )r on passage par le détroit ne vonlat pas wt au sud de loe isolée à la land-Ent, qu'il POSTE N" 1. POBT-BURWELL. 0BSIBVATI0N8 D« LX aiAC». On „>» Octobre 1885. PPOrt sur I élat d. la gl.„ p,„j„, „, ^^.^ P«8 de rapport, •Jmvier 1886. 26 T> R Février 1886 2 T , ... ^ara 1886. 25. Une nappe d'ean H^l ?"' * «"«l. 1 T - , , -âfat 1886. V so Juin 1888. p«rafsee^nrrtaciré" "''' *" ^••''" ''"* P'*"'" rivage ; au delà les banc» de glaoo 3. Glaco dans le même état qu'hier. 6. Grande nappe d'eau an S..0. 6. Olace fortement serrée. I. Glace fortement serrée, mais très brisée ; petits filets d'eau libre, loi»qYut';.'u°.';&d"r?;''''° «■•"•"•'"™ "' 81'" «>" "»• ■«"*• "«I 9. Bancs de glace au S.-O. 10. Eau libre jusqu'à 2 milles au large. II. Même état qu'hier. 13. Eau libre dans tontes les directions ; un peu déglace isolée se montre au larire 14. Brume ; pas de glace visible. f o » luumr» nu i»rge. "S* fl^i^JL^ '^T^ ^"T^^f 'f^ directions ; un peu de glace flotfunto au largo. *0. La glace est serrée le long delà côte et s'étend jusqu'à 1 horizon ifèinta bkne indiquant de l'eau au N.O. j oi^u » t uuriaoD. ternie 2i" £'°^^® S'ace impénétrable dans toutes les directions. 22, 23, 24, 25, 26, 27. Même état que le 21. 28, 29. Brouillard ; on voit de l'eau libre près du rivage 30. La glace se brise beaucoup, et les clairières se font voir en très grand nombrei Juillet 1886. 1. La glace est à peu près dans le même état. au large!'*""" ''°'*° *°"' ^'^^ '^° '''"'^''' '""*"' *"° P"'"^* ^*" P'"' ««"*° «>" P«" Plas partollt.^'*''* ''°'*" ''*'™ '* ""^' ""*" fortement sert .e au N.-O. Des lacs so montrent 4. Glace dans le même état qu'hier. 6. Brouillard. 6. Le brouillard se répand au large, t. Il neige presque toute la journée. 8,9,10,11. Eau découverte tout près du rivage. Bancs de olaoe au delà la plupart rès pressés de l'O. au N maii^des passes si font voir en o^eSreSdëlii DixiStLnf» *T*'/® ""^r^" ™"' de l'ouest au nord des bancs très soVrôa Dix-hmt montagnes de clace sont en vue aujourd'hui. ii' R ^^^^J^ la glace du port; au dehors la glace est plus isolée. 10, 16, 17. Eau découverte près du rivage; banquises au large. 1«. Un peu d eau découverte se montre au sud: ailleurs des bannnÏMd nu; paraissent très solides, quoiqu'elles aieni quelques trous d'eau ' ^*°*1'^>««« <1«' quises.' ^ ^"^ ^""'^ ^^*°' P"^'"' ^° P^"* *'^ maintenant rempli de grosses ban- penttir'àVrc.fletllfi.'" "''*^"' ""^ '^ ^^^^ est assez libre autant qu'on enJl\Xné:iZe: '*""'' ™"^ '^ '•■°- ^"^ N. grosses banquises ; le port est 2?. Pas de glace visible. S" o^"®^?'*®^ banquiPes à une certaine distance au N.-O. il' II' ^"'î.o* t°t"^®1^" **" ""^^ î banquises de l'ouest au nord. ♦V » • • ' n' : • ^1 ''°°?® quantité de glace se montre dans différentes direo tions, mais elle est isolée, et les clairières sont très considérables. '""®'^'°'®' ***"° àv, dl. tas de glàce en vue. Grosse mer an large. Août 1886. 4. 0 I 6,6, ^rectioni 9. fi 10. ] 11. ] 12. I montre et 18, Il tontes les 16, 1( 20. t 2i. P 20. Pfl MQr. Ooz mois, mais 26. De qai M deaai ^foohen le 1 2T. Pai 28, 29, P«ntiueQt s 1. Pas de glace en vue. 2. Quelques banquises éparses se montrent au nord. o. ras de glace en vue. 1. Paa< 3. Le t d'en?iron | ( 6. Glao( 8. Des I entre la côte 9. BronI 13. Pas 16. Un i à 10 milles ai le, 17, 1 21. Lap 22. Nom 28. La g . 29. Le Si Bpais broailla 30. Neigi , 1. Lagla [étroit. ?' ?' *f '^ , . 6. Le déti Iglaoe isolée. 7, 8. Led 21 loB bancB de gUoo Ibre. trÔB Borrés ftUBai ) montre au large, ute au iarffo. horizoD. ^eiote àa grand nombrei Ytéo an peu plus lacs se montrent glaoeaudelÂ, la ortuins endroits, nos trds serrés. 0. H banquises qui i do grosses ban- re autant qu'on ses; le port est a' «% ''fl ''t?° P*" ?* «'*°« * l'ouest. ! "3e et sort du ffoulef I 1 T , Dicemlre 1885. |« Jl"" «"^ • 8 ou 6 po.o«d'ép.,„e.„.r l.g„„„t , ,. „.,ge empêche d. ,oi, ,. '^^i^^^^'L&^J^T.f^^Tt^'^r.^K^^. Iglaee isolée. î, 8. Le détroit est obscurci par la poudrerie. OU 10 millQs ; an delà on voit de 1» ?n^n«!?r,f "V '^^^^l"*»»* «"««i 'oin que la vue p«at porter. ■ervatL ' ' ^^^ ^* ^'''^ ^"* "°''««'* »»''«' '««" q»^n ^t voir du poate d'ob- Janvier 1886. ^ &: brléo^'o; iTanS""* '' «««-«-«nto d.oB la condition de la glace. 22, 23, 34. Détroit obsonroi. n.ent'^;,J:; faXr^ttrirï'' '^ ''^"'* '« ^^'^«' '''^ "^ '^ -«« "«' -' Bolid- glace duVroit. ^^' ^^' ^°°"° «h«ngement perceptible dans la condition de la Février 1886. voir/' ^' ^' ^^'^P* '"'"''*''^- ^"'""' changement dans la glace anssi loin qu'on puiwe 4. Glace beaucoup brisée. ial M f/l'^P»??. J^f °°"P •'"'^!î ** *î°' »««««« d« ^»P«>"" surgissent de IW. ;i^a 7 au 15. Pas de changements dans la glace. J)n Hau 2? t1T^S*'*?T°P •'"'^*' "»«'» t""*» compacte maintenant, glace • ^«^**'0'*««t beaucoup obscurci; pas de changements dans U _ JUars 1886. la g wïsfqïïT^u 7:AA&^' ''" '^ ""''-««* ^ *" -^ «' - -^--t, ?,* a'BroSuaâ^*'"^** ** mouvante; eau à l'horizon S.-E. et S. 9. Glace toujours détachée et suivant les mouvements de la marée }?• n"i7' pP'"^"'"™ *'^"'"^'-«« P*™i 1«« glaces? * 1« iq' on' i5î ^'î'"® ^"'' '® *^*^'°'* J poudrerie. 21 Hn «; «'ace beaucoup brisée et oscillant avec la marée. Il' S"* «Reçoit de l'eau  l'horizon S.O. «o. iSrouiUard. sk' oî*î? '^i*^^®! ^'^'^*°* '«« °>o«^«°»«°t9 de la marée. 86, 26. Poudrerie toute la journée. ^7. Glace isolée ; plusieurs clairières se laissent voir. 29 T « ^fo"^*® ^!T .* ^*^ P°"«^« * plusieurs railles de la côte. , _, ilmn886. 1. Glace serrée dans toutes les directions. 3. Lia glace se détache un peu aujourd'hui. 4. L eau se montre. 6, 6. Glace isolée et ouverte. Q ?n ^'fcejsolée, oscillant avec la marée. », 10, 1 1. Neige et poudrerie ; détroit obscurci. 13.* oîaS'îerrte"''""*' "'* ^P^B-midi et s'ouvra de nouveau le soir. 14. Glace isolée au large. -Bj 16. x'ieig© et poudrerie. 83 ir du poflt« d'ofe. iods an-deMaa do s directions, mais up brJHée. des observatioas gement. litioQ de la glaoe« tte lie, est BoIid«. condition de la loin qu'on pnissa gissent de l'eaa. intenant. ements dans la et au sad-oaest| ts les clairiàres. ir. *i, £o, ^8. (Jluce molle. T0itf*Al'.'g'/;^e!''"°""*'^^''^°"'*P'"^^^^^ la côte; du posU oa S: &J"o^?r\e""""' ' '• ''''' ^»P-*- 29, 30. L'eau libre s'étend à plasieura milles de la côte. Mai 1886. 1. Glace assez loin de la côte. la vue peut porter vers l'est. °"®*^ ' ^"" «l^oouverto aurtsi loin que 8. Glace éparse, mais près do la côte. 6. Poudrerie ; détroit obscurci. ii D 'j '. ' ^^' ®'*o® serrée tout xsrhi de la tA'a 16. Glace serrée ; pas d'eau visible. 2?' «S'^vQ '?f,'"^* '« °*t""° ; el'« se disperse le soir 24 NêiS- ?a'ï'ho°"*V^'"'' *''"*«^ '«« directions 25 2fi 9? ' 9a ^A,*'® ^® disperse le soir. 29 2f) 'tÎ'k^ Glace serrée; pas d'oau visible. f^ A ;«*,*'-'""'°^«' '" P'°îo °oas ouohont le détroit 31. Aussi loin qu'on peut voir, la glace est la même qu'avant. Juin 1886. g, J: '- ^««"P^ »>— - Aussi loin qu'on peut voir, pas de changement dans I. , ^M^tVdtr/nïlX^ietcSrr^^^ P^^ perceptiblement. milles au large, et le 6 le steamer ArJwfnint-^' Pp™' '^ ^' '* S'*"*» ^'a^^à plusieurs dont la glace est encore solide ' °"P'''"°*' ^"y- "^O""'» * l'ontrée du Tit. 7. Brouillard. UArctic oart AS«»nT-i semS^^' "• «'--p-r^-s;^iiS:^rïï^z'^&^^^^ 16. Plusieurs clairières se montrent. : l^ir œS;-^^^^^^^^ de nouveau le soir. milles de \k côte. ^""'' ^ ''*"*' "'^^^ «^^ «°d et à l'ouest le bo.soulis est de 5 à 10 21, ^. Eau découverte à l'est. S* î'^^/^'Vde glace visible. glace a b^a^'u^'up foXresJneÏKT' '^ '* «'''«« «^«^ ^^^-î'- ^^ns le port la 26. Un peu de glace éSarse à ?«?? ^'P*?* *'* 'ï"«^1«»« «"droits. ^ ' '" 26. Brume épaisse! ^ ^ ^''' ^*°' '« P^"*' '» débâcle s'opère rapidement. 24 Juillet 1886. 1. Bfonillard. 2. La glace est à 8 oa 10 milles au large de la côte, aa S.-O., la glace du port est vax troiâ quarts brisée. 3. La glace du port est complàtoment brisée. La glace s'amonoolle sur la côte. 4. Le port est rempli de banquisofl. Tout le oorpa de la glaco est serré sur la côte. i>, 6. Brume épaisse. 8. Eau découverte et glace éparse à l'est. A l'ouest la glace est serrée. 9. Beaucoup d'eau découverte, et on ne voit que do la glace éparse. 10. Glace éparse. 11. L'Âlert arrive à 4:60 a.m., et repart à 6 a.m. La glace parait être à 8 milles au large. 12. Beaucoup d'eau le long de la côte. Le corps de la glace est un peu pla» impénétrable qu'hier. 13. Brouillard à l'ouest. On ne voit pas de glace à Test. 14. Brouillard. 16. Encore du brouillard, mais la glace est revenue à la o6te. 16. Un peu de glace éparse le long de la côte; c'est tout ce que nous voyons. 19. Un peu de glaoe isolée entre dans le port ; on n'en voit pas au dehors. 20. La glaco se montre à l'oaest dans l'après-midi ; houle considérable ; brame épaisse. 21. La glace s'amoncelle rapidement sur la côte. On ne voit d'eau dans aucune direction. 22. Glace encore serrée. 23. Glaoe éparse au dehors. 24. Brouillard trds épais. 25. Glace impécétrable aussi loin que la vue peut porter sur le détroit. 26,27,28. Brouillard épais. 29. Glace plus détachée et marchant, mais l'eau ne se montre pas. 30,31. Glace isolée. Avril 1886. 1, 2. Glaoe serrée jusqu'à 11 p. m. du 2, alors que l'eau commence à se montrer Je long de la côte. » 4. Glace isolée et marchant. 5. On voit beaucoup d'eau. 6. Glace isolée au dehors. 9,10,11,12. Epais brouillard sur le détroit 13. On voit très peu de glace isolée. 14. Une grosse houle dans le port. 16. Pas de bancs de glace en vue ; huit banquises peuvent être vues do poste d'observation. *^- 17, 18. Brouillard. On ne voit plus de bancs de glace après cette date. BAIE DE STUPART. B^LLITIN DC MOUVBMBNT DB LA OLAOl. Du 22 août au 28 septembre on n'a pas vu de glace. ^ 28 septembre. La glaoe se forme à rembouohure des petits cours d'eau, et après 8 on être détachée, elle emporte à la mer, avec elle, quantité d'algues, de coquillaffes et de gravier. o . i —o Octobre 1885. 17. Il ne s'est produit aucun changement depuis le 28 septembre. De grandes masses de nei^e durcie, amoncelées sur les rives, sont oontinneiiement emportées p« les marées qui se retirent. 26 ace du port est m dans aaoane tV ae montrer Ides J!^e^^T^tite^s*i&r """"^^ ' '' ''^'^«'- '^ "^««^ «' * »»«; elle se brise et s'amSnoelle, iraissent stationnaipes ^ ***''*'^*"' P***"^ ^* P'°P»rt- ^«8 bancs de glS Novembre 1885. ^n^d&,^;î&^^^S^^^^^^^ ^«^ ^•^-•- e' paraissent ét«. iîditSS'''Li ca^ *""°« '««''''^'««'^-^^^^ ioo'iteTei; e^S: l" ^-^ret^leT banc'^T ' f' '''-'^' ' '^ "-' «' maintenant 6. Les bancs de glLÎ ^uofaSe isolée»!, ^'-"t "l"' aPProohent'rapidement Jissent la plupart îr^rîndrbaS cCL^Tr'^'V?'/'^ ^^ flaoe de formation réoentl ' chassant et empilant devant eux la mince inellIsflTéK^tMefo^^^^^^ — a été impossible! I temps à aatrej kce est oompaotel lis, surtout pràsj Je. l'apràs-midi on| nsoulis. brume pour qu^ voir an delà dn «t et au snd-esl troit a empêcha oir une grandi randes étendue t complàtemenlj partout; va à l'est. 2, à cause de I ■oit maintonanl et avoir àévm it tonte la glaa Jtfûws 1886. JwnSe^"'*'^ ««* «>"»P«cte partout, et à 2 p.m. elle n'avait na« fi.-. . I s: On ne peut pas voira , . •"'"' ° *^"* P*« ««'t de mouvement de la glace à vlt ^ ' ''°'" * P'°« «^^ 3 milles du rivage. II paraît v «.«• ^.u , 4. La irlace esf oZ..x i *^ ^ *^°"' débâol© g «. es. 8«aérale™« c„p«.e. e.„,p,4 ,„, ,, ' 6.>tompsMtoliui-à2nn, , . , . "™8«. "i '1 y « M pe» 88 |i • reflte^compaf Jî!"* ^ ''*'* "'"'* ''*PP~°^*«' «"*« «"« ««* ^P««e. excepté au nord, où elle 23. La glace reste dans le mÔme état qu'elle était le 21. toute'?; gir Bt%l°;Trs'?l^^^^^ " ^ * ^'*"°°"P ''^'''^ ''''''' «* * ^*^ *-• «' 2 P-m. au sui'esY.''® '"*^*' ^'""^"^ **'^*° "''" "^^ **" ^- *" ^••^- î «^ ^«'t "«««^ '^° P«« d'eau ^nu HLI"^ ^\^ ^?u °»a''»te°ant beaucoup plus isolée dans toutes les directions et des étendues d'eau libre peuvent être vues 1 travers le bousoulia. °"^®°'><>°^' «' Avril 1886. 1. Il ne s'est pas produit de changement dans l'état de la glace, o* T °i""® •■ °° °® P®"* ^o^' a° delà du rivage, llbref' * *** compacte partout, excepté près du rivage, où il y a un peu d'eau peu pluï^JiîrâÎJïttïî^fi^S' ^"*°*"' *^'«'"^^^'>- P'^« «^-^ --««' ^«''disqa'un lô ^nnV«*^i-T ?"^1* de changement perceptible depuis le 4. . la glL;sWve«W.*"'**°''°*"" **'**" autour du ïivage, et à 2 p.m. toate 13. Il ne s'est pas produit de changements depuis le 10. 14. La glace est maintenant partout compacte, ib. l'as de changement depuis deux jours. trà« ïn:J:îlTî . "° g'acd changement s'est opéré dans l'état de la glace oui est *;t"£Z?p'ln*;'ZpS'"« ''' ^""^ navigue?, excepté prés de l'hoS.JS'e?!: onpeliSen^L'l'îaiïa^^ rivage* ^«^«*'««'««t '««serrée, et on ne voit plus qu'un peu d'eau libre près du Jliail886. •que k ^e* nSSt'lrter^o^lîÏÏ* "' "'offre ««cun symptôme de débâcle. Aussi loin ^é^n^eC.^^^:'.^^^^^^ ^^ «'-*on, tout s'est détaché? ^'^ '""*''^°° ^* changement avant cette après-midi, alors que la glaoej d'int?rîaUrslloï*l£'lSîi'«î "T*:** ** 'î^^'^'f" alternativement à quelques heures a inrqrvaue, selon les influences de la marée, et le mouvemant raoide oui «'«.t nnArl le b.^g du rivage tend à démontrer que la giace a plus d^pace^u'à Voîdindr?^ rivaifé e^leftif» rfi°iï°°" ^^^' ** ^^''"^ ^°^ «»* "^^^ f»""» tout l'hiver entre le S K!îi o«- .1° '"'«? " crevasse maintenant en plusieurs endroits La neiie aUinftCSu trnteSl'ï'^'r^?'^^^^»'^^^ ^"^''^ cJ^ins endroit -en t^m^t^^Sti^^^^^ .eige se détachent de tem? a. 14» glace est encore très isolée, et une large ceiaturo d'eau entoure ie rivage.! 1. On et l'eau esl de la glace maintenan 2,3. 1 4. Va intérieur di 5. Une voir le boug Du 6 a libre. La ^ telles que la J4, 15. 16. Bro Du 17 a 22, 33. dues d'eau li ! 24, 25, 2 27. La ^ et dans un gi 28, 29. J petits à mesu 30. Lo vi Maintenant v 1> La gla 2. Vers h Du 3 au 8 [pas navigable. . .®' I^a gJac IQj indique do 9, 10. Pas é au nord, où elle 10 a. m. et 2 p.m. >it. Aajoard'hai issi un peu d'ean es direotions, et ^ a an pea d'eau ige, tandis qa'an )t à 2 p.m. toate a glace, qai est 'horizon, où elle lorte navigable ; 1 libre près du tée à pea près marée. 3le. AoBsi loin > glaçon», toat Drs que la glaoel [oelques hearesl qci s'est opérél 'ordinaire pOQrl rivage"- ^' ^'«°* «'««* '^^^^^^^«^^^^^ 11. La tîlace ee r«nn. ... ' 7 « des espaoes navigables près du- resaemblo boaaoonp 12. La glace est beaaotfop plaa isolée. ^Toif«^i**'?o®** Pt"*^"*''^ «t presque navigable depuis le rivage jusqu'à l'horî- 1/ Ti^ïn^?r *'* Ç"*i* ^^^P^""* a»JO"n a trouvé des ohose que de la PORT DE BOUCHERVILLB. ILE NOTTINGHAM. Septembre 1885. ?,'*i?'«''"«Onn'apnsvude«Iace 26 A 2 D m » *• **•* donco sont gelés Lui flotte à l'aise du rivage. Il ) isolée qu'il y a »rizon. oe isolée s'étend >nt échoué dans » et dérive vers da glace, à l'ex- nombreux qu'il le la côte. Plus a apparemment 1 'que est en vue. re dont on peut Bt. On a vu laj rs. 'est. )nr& Octobre 1886. 3. La glace est mainf«nn«* „.„,. , ^ ' °°"'' 3 Ta 7 " i-— ' i«ao uu rivage, au nord !°°Trï''",'^- '"""°™""™«»™«'«'l»".«rte, parfois lïinlîbrïà'iw''.''^""""»»-»»»'»- |clelâ,^I M» Ubre att.tot l'l,„rf^„" """^ "" ' ■'» " «'étend 4 7 oa 8 mille, «u 1«^. ; „ 18. U.e ceinture detted^fiSf '''^}?^'^'^^^- ^'" ''' ''""^''^^ " ï'eïu libre n " '"'^' '"*°^^^ ^^ '^^«««- ^^- ^oin 24! Bâfâ.^''*^^ ^^««"^«; on voit beaucoup d'eau libre. 26. Ce matin la rface a ma ^^^ ± . , lo;ll'-fejJ'J^i«"'o«e.!esdirec.io„,. f» oerfin. «dj^ °°°"' »«>- »»««»' '» ^««1, M.i, „„ voit do, ..„k« d.„. 82 I I i < Novembre 1888. I, 2. LcB vent R d'ouest ont chaseé le boneoulifl du rivage, laissant l'eau libre, sauf quelques glaçons égarés qui flottent çà et là. On pont voir le banc de «lace à IhorizoD. ° 3. La glace est revenue an rivage, niais très éparse. Sur le détroit, moitié claco ot moitié eau. 4. La glace s'est reeserréo, ne laissant que qunlques étroites pièces d'eau libre. 6. La glsce est encore éparse. 6. A 3:15 p. m., sauf une étroite étendue d'eau libre tout près du rivage, on ne voit du côté de la mer que de la glace compacte. , ï, 8, 9, 10. La glace s'ouvre, s'éloigne à quelques milles du rivage et y revient s entaeser ; elle s'en va avec les changements de vent et de marée. II, 12, 13, 14. La glace est restée serrée. On ne voit pas d'eau libre. 16, 16. Pas d'eau libre. 17. Teinte bleue au sud, mais pas d'eau visible. 18. Neige et poudrerie ; on ne peut pas voir loin. 19, 20. Glace encore serrée. Pas d'eau libre visible. Une banquise qui se trou- vait au H.-E. a été entraînée au sud, et elle prend maintenant la direction du sud-est. 21. La glace est encore serrée sur 3 ou 4 milles du rivage ; au delà, elle est plus J»ohe. La banquise vue hier a disparu dans l'est. 22i Glace épaise «u sud ; ailleurs elle est s&rrée. 23, 24. La glace est un peu plus éparse, en général. 26. A 9 a. m. le vent a chaste toute la glace vers la mer, à l'est. 26. Tempête, mais pas d'eau libre aussi loin que la vue peut porter. 27. La glace est apparemment revenue au sud, mais la brume envelonno le détroit; • * *^ 28. Encore du brouillard. 29. Pas de glace on vue, excepté à l'horizon, vers le nord. 30. Neige et poudrerie. La vue du détroit est complètement cachée. Décembre 1885. 1. Il neige très foi ; on ne peut pas voir au delà de l'entrée du port. 2. La glace s'est resserrée, et on ne voit plus d'eau libre nulle pai-t. 3. 4. Pas d'eau libre visible. 6, 6. Tempête et brouillard ; on no peut pas voir sur le détroit. 7, 8, 9, 10. Pas d'eau libre visible. ^ 11, 12, 13. Eau libre près du rivage; mais la vapeur decse qui s'en élève m'em- pêche de voir à plus d'un mille. 14, Eau libre à l'horizon, au sud ; il y a aussi, sur le rivage, une étendue d'eaol libre qui, d'après ce que je puis voir, s'élargit à mesure qu'elle s'avance plus au nordl 15. La glace est venue plus serrée au sud ; vers le nord, pas beaucoup de chan- gement. ■ 16. Pas beaucoup do changement. 17, 18. La glace reste dans le même état. 19, 20, 21. On ne peut pas voir très loin, à cause de la vapeur qui s'élève de l'eaDl libre. r -i I 22, 23, 24, 25. 11 y a évidemment beaucoup d'eau libre dans le voisinage bioii que je ne puisse voir très loin, excepté par intervalles; la glace marche avec lé ven« et la marée. r 26. Temps clair aujourd'hui ; pour la première fois depuis plusieurs jours, je voiJ la côte du sud, le détroit et l'île Salisbury. Temps compaiativement clair dan tontes les directions. 27, 28, Neige et poudrerie ; on no peut voir sur le détroit. 29, 30, Encore de la neige et de la poudrerie . 1, 2. Il 3. Dep ^ïda serrée, 4, 6. In e. Ont t, 8. De 9, 10. I . J2.Ily aulenrs la gl 13. Glac 14, 16 64 17. Lac 18. Tom, 20. Pas ( 21, 22. G 23. Jmpo 24. Bêla "»aies do riva 26, 26 et ! 2a Délai qoediffloilemei 1, 2. La e 8, 4. Pas ( 6. Un peu «anse des nna» «n sud. * fi. UneJJBi, 156—3 88 près „ 8, L'eaa est libre iosan'A «„„• n impossible de voir l'«PI«renco de la glace °^" ^ *''^"^° 3 mille» du rivage. Pas de oh»n 9. impossible de voira /,„«! ^. » • ^«s de changement dans serrée an aud, pas de changement 1 9 Tw. .. , Février, 1886. 1 2 T- 1 ■*'»'^ 1886. , 1:13» ''"'°"""""""- ^'^^-'---"'^^ ' *• ï'ne Haiôre d'Mti i.K-^ «K'ace. ifaa d'eau libre -*» "au £nd, A environ cinq miUog du rivage. n, U, 13. Imponaible de voir à qmique disUnoe. ^^ 14. Pa« d'eau libre en vue. 16. Poadrerie. Vae da détroit obsearoie. H>.. Waco très serrée au Bod ainsi qu'entre ici et l'Ile Saliabnrv mais A l'Mt «» peut vo,p de grande, espaces d'eaa ùh^ à environ cinq ou riï S da rivU 11, 18. Fauvie vue. Pas d'eaa libre visible. ^ ** ' * """* »»» »»»•«•• 1». Bonne vue. Pas d'eaa libre visible. TisibS ici li )f: ^ *'"^ """'•'* *^** '• "••^« •» <»• P««*« ^P^ <»•••» Mbr» 80»t 27, 28, 2y, 30, 31. Glace serrée, pas d'eaa libre en vue. Avril, 1886. 1, 2. Pas d'eau libre visible. ?' J^riÇ'**'® *'**' <"»^«'t« «n P«a aujourd'hui. 4, fi. Glace serrée, pas d'eau libre. ?i*'T*®' }^' ^** *** ohangement dans la irlaoe. 12. La glaoe reste serrée toute la journée. ^hasis df k maîL"*'"'"' »™PO't'^''t, de peutes voies d'eau sont visibles à oertàln- It £",1™'™?°® '*°°°« quantité d'eau libre au S.-B. oft' Iv T ■ ^*"°P' orageux. Détroit invisible. «'ouvre occadionnellement. »"«»» e«io esi serrée par instauta, et on Hai, 1886. 1. La glace a marobé au sud et l'eau est libre jusqu'à l'horiaon : vers le sod-a.» peut .percevoir la gl^-e juste sur l'horiaon, plui au nord. 011^^" rivai» ' 2, 3, 4. 6. Temps orageux. La vue du détroit est obscurcie. ^ ae «o;L?t''p:îï.l*;S?e*t' "'^ ^^ «*'-" ««>-' »« ^^ quelques oiseaaK de mer 8, 9, 10. Pas de changement dans le glaoe. 11, 12, 13. Pas d'eau libre, glaoe serrée sur la côte. 14. La glace s'ouvre un peu aujourd'hui. îî' D * j?°**'"t'"ii** ^°® mauvaise sur le détroit. S: Sn perd'L'u'lfibraû^^^^^^^ ^"''•'^^ ''' *'*« '""'"^ ^^ '« <>««••' -"*• We^?laii:r<;;o'Xl^^^^^^^^ -•- «"« -* — ; eue eat ^ Brouillard pendant toate la journée. 4rtatlS: ^"°*'**' P« d'éau libre viiible du sommet de la oolline aa nord do U 30, 31. Pas d'eau libre visible. petits 63 7. I 8. L Lui 17. J 18. ] lihre, mai d'eau. 19. r 20. 1 milles du l'horiaon. , 21 L M maréo, j 24. L\ M oord-eHi 26, 2(i, 29. Dt très éparae 80. Lu eentaioos d( 1, 2. Gi 3. Un^ quo l'on pull 4. Brou 6. De 1', 8. Lacl l'île de SalFs endroits jusq », 10, 11 12. Un ^ 13. Li fi n»al9 le détrol les glaces prd 14. Vae< 16, 16. ( ^ 11. La gi endroits. 18, 22. Li 23, 24. Ek bri.ee''' ''• ^« 28, 8 p m. f , 30. Pa SI. ImpoBf «notement, au i Jer. Oinquj Va 2 au 7. I «.* *• ^* ff'"ce est nn esp8C6 p;- 10. Laglac saa libr» sont fl A oertàinea ean voir Do 1er aa 6 Ql '^*'"'' *®^' ^ Ï9. PaB dVn« libre "«pouvait plï, v< 2^. L» glace eHt nln- 4 '* °'°°*'« * '• tète de , , f. Du sud au noratt la ir""*.^«°» '« gJ'M'e. qud 6. Db l'oAii i.-k 4. Brouniurd" "' ''*"' '**""<» ^°' «t'iâ" ''°'' *"""'^*'"'»* «««wooap plus serrée, biea J'£ïi'C*»'ibrereralesud. estn» se |! I Da 11 au 16. La glaoe tiàs éparne toujours. 11 On no peut voir i\ distance, mais la" glace doit être toute partie, car on entenf de tràs fortes vagnes eo briser sur les battures. 18. Bonne vue ; pas de glace visible en mer. PORT LAPERRI ÈRE. MOUVIMINT DK8 OLA0I8— H. P. 0. WOODWORTH, OB8IBVATEUR. Octobre, 1885. 1er. Premier banc de glace vu aujourd'hui à 4 p m. La glace e(t libre et quel- ques gros bancB marchent avec elle. Cfes barca paraissent ee diriger vers le S.-B. 2, 4. Le détroit est couvert de glace flottante. C'est do l'ancienne glaoe épaisse, dont une partie est venue s'échouer dans le port. 8. Le port est rempli d'isbrôde épaisso que l'on pont voir partout dans le détroit et la baie aassi loin que la vue peut s'étendio. Elle paraît se diriger vers le nord. 14. Pas de glace visible dans la baie ou le détroit. 29. Il s'est formé environ 2 pouces de glace dans le port la nuit dernière, mais eue s'est briaée dans la matinée. Novembre, 1886. 1er. Pas de glace en vue. 3. Une lisière étroite d'isbrôde do vieille date s'étend du N. O. an N.-B. à envi- ron 8 milles de la rive. 6. Quelques bancs de glace se voient dans lo détroit. Le havro est celé com- plitement. ° . .. ?" ^®^ bancs de glace sont hors de vue, quelques blocs épars seulement sont ▼uibles aujourd'hui. 12. De la glace nouvelle se forme aujourd'hui sur la baie et le détroit, lii. 14. Un amoncellement d'isbràde venue du nord est aperçu dans le détroit aujourd'hui. '^ 15. L'isbràde est disparue vers l'est; il n'y en a plus en vue aujourd'hui. Du 11 au 23. Nouvelle glace ee formant dans la baie et au détroit. 24. Le détroit est étroitement bloqué de glace. 69. La baie et lo détroit complôtenient remplis de glace, la marée cependant la rend libre de temps à autre. Décembre 1885. 1er. Impossible de voir la baie ou le détroit aujourd'hui. Poudrerie aveuglante. 2. La glace paraît très serrée dans la baie e le détroit Je su i» certain que tonte la glaoe que j'ai vu d. le détroit et dans la caie est de l'isbrèdo, les blocs do gJaoe flottante ayant été cimentés par de la nouvelle glaoe. 3, 4. Glace compacte dans la baie et le détroit. 6. Poudrerie. 6. Un peu d'eau libre visible à un endroit dans le détroit; partout ailleurs la glace est solide. '^ I, 8. Pas d'eau libre visible. 9, 10. Un peu d'eau libre dans la baie, aucune dans le détroit. II. Eau libre dans la baie jusqu'où la vue peut s'étendre. On peut aussi aperco- ▼oir beaucoup d'eau libre dans le détroit. 13. Pas d'eau libre visible dans le détroit. 14, li. La glace ne change pas. 16. Nombreuses flaques d'eau dans o détroit. 17. Pas d'eau libre visible de la station aujourd'hui. Du 20 au 31. La glaoe ne change presque pas de position ; un peu d'eau libre se laisse apercevoir de temps à autre pans la baie et le détroit. Janvier, 1886. ^^icrau-i. x.m5 peu ae iaouvemeui daus la glace. Da grands nuages do -vapeur B élèvent constamment d ca 3 au 5. j. . ,-^" 6 au l{ 'â g:acô ôt la m 16. Trôi 01 car on entenci libre et qael- rB le S.-B. giaoe épaisBe, ans le détroit rs le oord. lerniàre, mais N.-B. à envi- est gelé oom- uleraent sont it. ifl le détroit i'hui. cependant la ) avenglante. s certain que , les blocs do it ailleurs la assi aperco- 1 d'eau libre 9 nuages do a glace ; ce M 16. Un peu d W lihr " '^'■*' ^""^^^' 20. Un peu dSTbvTlitT^r 'V"° ^^ détroit. ■Da 2i au 2tf Brm, iuL .! r"^'® P""*» du rivajre vue du détrou •^"'""'«'•''« «'«^lovant à quoique dliance du r.V. k 27. Un peu d'eau libr« i • ^^ obscurcissent l« P '"" '""•«' Mu.nze milles à peu prà. du rivage. J>a 19 aï 21 LaVhSr ^?"' '® ^**™it «t dans la baie 10 TTn!, 1- ■; ^''°'^'» '"• lo détroit et Ift K-- *"* obscurcie. . •^"' «Jne lisière d'eau iih,.« "r'^"'.'' ^^ '* baio. 2 3 pi j, -^ynï, 1886. Ba 21) m 23. Plus d'oM lîhi " '""° '"'* "f» '«P» à autre pnooipslement dan» I, h.!. . > " l"' '""" •■> Mon. vï. rf.»„°" «tro t. "IwiMo du. le diin> t et dam l« l»i». j. -,^'* ^^." '6. Eau Iibra en lisiàr»» '( •• 88 Pas d'eau libre dans I9 I ! détroH? " "^ ^®- ^*~**^ *«°*^«« <»•«« l'bre dans la baie. ./mw, 1886. détroit '" *" ^* ^'' "«•*'•«« '>•«'"» «ont visibles tons les jours dans la baie et le l^^^A"U\tl?t^^^^^^ TT' anj-rd-hui dans le détroit. 18. 19. L glace se Sue„t mobUe ' '^''"''^"P ^'•^*'' "^^« ««' «>» ^»«. 2Î: i ; te;t' U So':r H* ^--'^ !?•"«« «* °"»"^e »'•'«• ^n sUmer pourrait, je pense, entrer faoile- 24, 26 La giaœ est toujours éparse. •ependant, caron n'alercoit oué do tnf •^*>'*^«*»,f»°« 1* détroit, mais mmz peu porte jusqu'à l'horizon'^Bt Kvioravt TC^.""''' '^ ^"- "^''"^ ^* "aie la glac^:; .A«î7fe^, 1886. 2 L« ^.î T "•*? !'■*•*»'« «J»"» ïe détroit, petite; flaqfet"^ «tat o„ ,oit cependant quelques de glace. " '"*'* ^^'^'^ P'«* *>« 1 «!«. mais à 1 1 a.m. elle est encore couverte * qndqJÎ dî^Uni:. **'*°°''"''' ^''"^'^ «""«^^ '« d^t'oit. in^possible de rien distinguer , n: Êîat;%rd^,tt;f r r d^t'U'^'^^r'-^ ^P*'- ^-'««e ^'^^alt. gtaoe est compacte sur une irrandeTf«ni •''*°*® ^°'""« «" "««^ du havre. La ^■» Pf^«V'l^^ J»«<ï°'^î"e NoS^^^ *P"«°'' ""^ '•«•*«» d'eau lib^ libre'h'ier^"'^*" •''°"'""<* cache l'hSrizon vers l'endroit où l'on voyait de l'eau 13, 14. La glace demeure compacte dans le détroit îe î;Sr?°°"°*°°*' * «e briser dans le port 17. 1^ lÏX" aisé: ^"" 'P-K ^- <*'-" •■••>- - vue. tout à fait mobife7re glS^^^^^^^^^ ""it du 18. ceMe du havre est . 19. On «perçoit beMSunTelTa HhTL^^ '? ^.T *.^*'''^* '^''"« '« port J^^pa^isseîts^edirige;-^^^^^^^^ p.- !^^S^ "J-"*'^-'' I^'^fe^' -t entré dans le port et a jeté l'ancre un _ ece vu â i p. m. et païaîasalt pris dans les bancs de glioJf ' ^ '^^ '"*"'' 2. trésm( a. 4. 13. de large 22. observé 31. SOMAU Dam porttoDo maire sui An i commeno par/aitem août,ja8t< laes de Vi BKNsde m pense que presque se «'•ce épaic "•pports il "Mlement . l>Brai printemps tent Qse et lea directioi des vagues «>ût> elle ai . Alaba ▼pir de l'eat OMervée le «OBstate que «oût. Jedo A l'aDS( « cette demi presque se bi 10 ou 12 mill on a observé awparnt pend JO'llet, la gu P«»»tdéflnUi , Au port ] ■ est formée ei ?«oftt. En If Jusqu'à la ûo d libre, «pas de i libre dans !• par endroits, 8 la baie^ sar le paraît avoir [ne jour ; elle la baie et le le détroit. et en vue. ' vers l'ouost, entrer faoile- Bn vue. ais assez peu ie la glaoe ae int qaelqaea 'eaapartoat > de la glaoe ) d'eau libre ire couverte distinguer •elle l'était, havre. La d'eau libre it de l'eau havre est •t. ohamps de i au N.-E. l'ancre un oe matia IJ* ^«^nillard. — —_-----, 31. ^^^'««tauport/iaïatiîe'tdénSir iesoh» . " ' " "^^ «P»' *** X>an.nntrétdeceu,.. .^'^^^^^^^^^^^^^^ par/aitereïtTavtabr «-■"/> •°^" '« d^tr^M'aS?,^^^^^ '''>'« « «'* visible .eût jastemenTà iCqaeTù*!^ IJ joilln ^ U^Zr^l 'iXJt'V' ^''^^^^ -^- î?^ de l'mtérieDr. ï:nSfi«« i!f-^J««f d'eau douce comlen^^^ '« 22 r^m-" libre oTité ^hi? r.^»': '«• I>anB l'intrôt de oeu, „„• . '''' STATIONS: "^''" ' """"«'^ ^^^3 GLAOBS Ï-Jiàiter tTavtaTav^a f.^'ht'^^^Ù'ZT^^^^^ « ^'^ visible a» Jaw de l'intérienr ïln iftSR ^''^^^^ d'eau douce commi!! *°?* disparu le 22 ■Mrf» de mars. Le 17 ?„„ p' i^^^^nes espaces d'oaî Sf ?".* * «® former sur 1m JH.»8e qne Je détroVétai 'J'^^IT***"'' «Pporte «« la .î"*^ ?* ««'^«'v,» dÏÏ.V«; presque soudainement *t iS^^l^i . ^« aSKefoîs la fc ^**j* *'^^ «"oWr 5 «law épaisse qni se brisa /e % *? o®J"'"«*' 'nclusiveSent^U ha? ^*"'f ^ <*« "oaveao apports indiq^enVq? 1 n'y 1 n'inïf ^? *'^*'<"'t éS"?b4 lL «°" *'«'' «""P" d! •««•«ent av^o l'anJée iSe^s **''*' **" «'«°« '««We est le S'aoîf SS?'" J«"r «*^ '« . I»e l'autre côté dn dM^-4. ' d'nerence d'un joor K^?^?^^«''annr^,fc^*|',Portde Bpucherville. sur Hu ^.._ , "^ JH.»Be q«ÏÏe VoVéili^-JJ^^ir*"»^^^^^^^ î* ob^orvTs'drnVS Presqoe «oudaineSlnt « juTûtt • ^f ^^•^«-^S/la fe St ^'^'-obiC 5 «Î^Be qni ee brisa /e lï-^L oe-T» Il '''P^'''^'>^<>^Sl^iuIuMtt'' """'««'^ ^-x-r-- indiquent qu'il n'v a nl„f J ^? *'^*''<"* ^tait libre tÎI *'*" '^"•P'' de «•■lenient avec l'ancée '^ " '^ ® *^'*"° ^•«"''•'' -* ' "■-' Premier ionr «a i^ ^tèdu A la baie Stupart. en IfifiS 7^'S®. "î"*'*- °''*'**' ''"«'re le » 'Sf p* •'«« i'«n«ée 1885 '^ «"*"*' ''«•>'» «* le 22 août Sîff?'" J^'^f °*^ . I>e l'autre côté dn àM^-*. ' d'AiSrence d'uni "les aa arge nenrfan* i '• °° observa cependanf «ni S P'ace, sans presque se Drieer.jaaau'ftii 91 /iV"."" ""«"^eau la côte et a.^ — """" ""8ee, maje lSS.ftTs^rJif:^X'%^^^^^^ iWo.ne des deux aaoées glac/aî^SS:^^!^,^^^^^^^^ Pendant la saison de 188, ,es banc de marée durant l'été. Le 2 ootohTkVi^'^u- T^ *rJ""" *"«« «» ^enas av2^ u ^e glace aussi loin que la vue Doutait I^aJ^^'^^^T' '« ^^^''oit a été rapporté dL« fermé par la «lace ?o 26 oitobîe *iV nor^ r*"' *' 'observateur l'a dit coKemTnt descendu en quantité considérable ml^ *.*'^ observée le 1er obtobre e lai d'ouest «ii«„l ...... _-°*"îrf''»«>le, mais par suite d.. n,„„„„:„ temps r?u;w.î détroit a été définSivomeot'ferrr2?f^r^'^^ 1* novembre et le paru le 2tf octobre, mais le détrSt n'a pas étéZmL ^\ 1^?l'* Première ^kce a formée fe 20 noveLre. et ife^^'a^rrréle ^0 'nîtl'lr^^''^ «^^«^'^ déJ.u7Hutot1:;^eTeï^^^^^^^ du mouvement de la glace dans le hté même ou si elle vienTd'Xurs '°°'"^^''«^ «»' «^ I» g'^ce se forme^dajs lîTocï «CHS ^î^oTdlrrenl^uîf sûT^'SteTot'*!'''^'^ *"^ *^-« '« ^«^-t d'Hudson et eorteede glaces qui se formant dJns crréSns îfZ "" m'''''^ V'"**^ '«« dEtee fl^en trois classes : d'abord des bancs fccelS«.11îf"^ d HndBor, ensuite juequ'à la fin da iniuJiJ existent on tout temps dans le détroit de «lace flottante de foîmaWonréoiote^^^^^^ l'hiver précédent, «nn Jir.J^l^°.°?V^Li ««tends par ceci de la elace formi. "::^"? la moyenne e^Z^Z TuTÎT.r ^'} ^"^'^«"' ^ "ouvert„-re du dS à r^t • ponr l^glace qne l'o?retontrtTn?î:détrSt*d^R'ï '''' ««» '-^rée comm'eV,ro'ti glace bleue solide. Au deasns H« n^»/ ,^ ** Hadson, disons environ 6 nied« rf« pieds de neige forment à peu nrè^ <^MtJ]^L, a ■ ^'*"'' '® "»o'9 de juillet deux neige ensemble mesurent de 7à 9 pieds clu^J^ ^if' ^?' ^" ^«^^e que li giai, etï «i«n J[»'Ilot elle est tellement tr?uéea«'«""-?»''''^°*'''°'°P^^™^^ snS vïf- /5 "« «"'■« «o»^«»" eSgé'daniYe [^^^^^^^^^ ^« P'è««^ entièrement MIS VU forcé de reculer et do la eô^,?«n ««^ jI ''^ ^•'*<'°^ «^«o mon navire et ma la pwssion d'un vaisseîu ^'^^^"'^ P""'' ">« ^^««««^ Parce qu'elle ne Sde paTà premièyrée7e mi^oyagtTouttrmr^i'^'f'^ ^«^ "«- -PPO-» de la Cette glace est d'une épaissfur do 10 A 4n^,î? fr ^P*'»»® do l'océan Arctique'* livere pendant lesquels Son épaisseur sW^^^^ ^a' ''' ^' P^"^"*' de pBe„„ Ie£roTdTurn?o? i^Se^nT^IS;^^^^^^^ "^ « <^« cette glace dana ii^ttuCrero^Lt?:^-^^^ , sn^melona, uos ouvertures en forme de oratèrej rempl un bai d'eau 1 N glace ; de l'oo Ni montai nne épi fois pré quelque tilé ver En navigat; région e Ϋrsuad( ans le jailKli extrémit de mer, juin et jo ture de 1' ment ; a le mois d avant qu< Ledi courant A ment les ( glaciers, i €rroëolano anses. La énorme, ef mplàtement 3e a para le octobre, tembre. Le i Laperriàre, >tobre, elle a et da vent tobre; maia ioembre. laia la glaoe smbre, et le >re glaoe a smbie. Le glaoe s'est >AN3 LB ce dans le ans la looa- Hadsoo, et différebtee itêtrediri. s le détroit '0 pendant -ble Head, it. à l'eât ; me exacte » pieds da e, et aussi iilet deas ;lace et la :hambrée, tièrement rire et ma :ède pas à port de la irctique." plasieurs en deesas lace dans te l'hiver 9 aussi e( loratàreti jailletja glace remnlitWf'^.t"^^^'»'''» et d'avrnin^^^ ^"^ ^« navigatioa extrémité ouest esTdiUo''^*!;*"*' «* ««««me la temnli''^®"*"*- ^° mai, jain et <ïe mer. laglace n* «e brisfi^? î« 'K «-■<1««S Jr/o-^r^ ' 1? ^«''^O' ' * «oï jam et jaillot ^e ^randaL «^i^.^" ^*"^ ^e coa™ de ce n£î« ' ^ congélation de l'eau tnre de l'ey ^anaes quantités de glace annt „• -l. °.'^* "e™ 'es mois d» «^: mentjm! l°"*?*'^'^''*'roitestde3?° à 4no'^''V*'««1^^^ Je mois î. :, « .c:nS«"^".^>P'-^« ^«« rapports des 'stat ôn^'^^ «« ^''^^^ «^ LdSSt avant que îe détrS? sol^*'^''*'"''»*' ^e ^ôme qu'une wf-*'^°°'r« P^P'^e exS^T ^ I^e détrou &tnruï.r/ ^f ^°« du^^^^^P^^'^ «*« J-iliet^générSleme^^ ^'aciers, mais^co^e ffiZ« ' «'*°u" ^«»'*°' deTgC^TT»' r/'"i "°° «^î«- Oroëoland et les gïïces oLT^nn^'! ^''"P^ <^e ff'aoe descendant T'"î''*' «' ^'^-trea ^harriéedrolJrnV 13 pour lea gages et le muiSndtvéZvZ J'^ZT"}' ï\ ''''' ^*>""««" addltionneHol •oaaécotivos aa comptoir de Yor? Trai trnnr?"'"^''". ™PP°"« **«»'« arrivées •q>ten,bre. Sur «, nUbre 48 naviV« soC aSL T** i« ^"^^ -"^yenBe était le 4 bonne henre - riva le « août, ot 1 Wée fa nlnri-HT. ""''^ ',•'"'."' *J"' «"^'''^ '« P'"» ^ «B !• na-ire hiverna dans la baie. ^ "**""* *"** ^'«" ^« ^ octobre; dans ce ^^^P^Tu^'L^^^^^^ Wable dans l'année où le «■teu liea avant le 20 et si l'on Jo^HidàtA u * ^•'^"^ ^'^ ™°'» avire8 t^^pais, maie retint les deux navTreV ÏJ.J x* ^'"r'® ' '^ *«™P« devint ensuite Janipa B'éclaircit, l'Sêc/a étïft Ere rC^^îi ^^ ^'^' «°»^«"*' l^^que le les rapports de beaucoup de vojS faUs nîr l« ^' '^^ ^"''i'-" J'»* «'^«'«iné •eçtième siècle et ceux de date pfuf réoont« P^ '«f,P™™'«" explorateurs du dix- qu'il existe beaucoup de glace danala^éfrn?/ hS"^ '^ '"^HP'^'''* s'accordent à dire -aoina bri.ée, mais q^'eilf e'ujîjou/s prisol '°" "" J''"'"'' ^'''^^''^ ««^ Pi"« «« iK>rBHe";%î:;eTdt;Te'UïqtrJn^^^^^^^ ^* ?'T ^^ '^'-^ P-^'^'- P- »av.g.,ion pratique po,2 lea ^a ^ ^^m^:4e 4^' '^'*' ^'. '*°""'^^"« ^« '» M -_m_e.es Tsnepluaou moins, tout armateur î fait perdro un » additionnelles io 116 arrivées nne était le 4 entrA )o plna à tobre; dans oe l'année cù le , 13 eealement u détroit pour t pas la saison des navires de 18 la premier© nr construits perdu trang- on était telle^ pression. Jo 85, et que la ans les glaces ie de la Baie- Bfudson qui a cette période : " En 1727, voiles, deux serré dans la >ar un oalme emboucburfr prda des île» m maltraité, forme, mais nt quelques- i travers les plit presque les glcçons que le cap. a première u'un navire its produits tant ce qui t en 18^1. te date, les ettait. Ils nx navires int ensuite lorsque le 1 examiné rs du dix- ent à dire )Bt pins oo it-ètre pas Inre de la armateur ■"' P.B pluverts de glace.. tinotes. parition de mb arore boi^alo boréale de 3e e vélocité da té va aojoar- > mois, été de 66° ioard'liai. isaent dona le le 17 à 7. l'iiai. m. i l'ombre. b ooQvert ANSE ASHE. STATION N» 3 ^.J.W.TrftELL.A.P.,0B8EaVATKDB 29. Don^ éclats d« *. ^'P^'^^ntre, 1886. Î-Wo boréale brillante. '''''*"' ^'''• fi T-. ^«* Novembre, 1886 " '^^ '* Jaiûpe aujourd'hui. «». 24. Halos lunaires. 11 «ï A «, m. -fVyrJer, 188b'. A 'An 1». ^.. ■^<»^«> 1886. «"t pour "Look Ou\" 247 nlÏÏ '^t "^^^^'^^ ««tdite?S" ÎÎ^S^^^' '« ^«"tenr «iv«o moyen de lalr *^ '"^«' «* P^^'"' ^« «««" de laXtn 4o';ie;f T/*'*«""«» 21. Oora tué à la norte H« ]« .. *• »"Pied8 au-dessus du 1er. Deux b '^^^^' ^^^^' 3. La perdri"bîa*Sc1fo w&Jî? k n™!''?*?""'" '« Première fois ». Forte pluie. 30: LÎs°déSî t'^'^^^ «Pidement. « T^ . «/«in, 1886. ï: V?i,Ï;Î,^?£''' «"i^e et s'amarre A l» «,.„, a i. , , , y onse rapidement la glace. I il Il T.^7-* . JtiiiM,im. 20. Forte houle da sad entrant dans le port. 28. Neige aojoard'hnî. ^«^^886. 2 T, • Septembre, 1888. j: l£Ï°f r^^^^^^^^ - ^«-"geant ve™ le .ad. 12. L 4/er< arnve, et la atation eet abandoînJT BAIE STUPART-NOtSTSb L'OBSERVATEUR M. P. F. Patmï. R Tt . . Septembre, 1885. Win?" «P^^-- <»'0'-««> de poiaaon^ et d'inaectea ont été recaeiUia a«- œe animaux. ' "viennent de la cba«,e au ohevreoil rap^rtant plasieurs de iS: L^"S^J:STr^L'fT'' "" «o^-enœu.ent d'hiver. 20. Le lieamTd^irP^ùI^JIS^T'^ *•" 1^"°* d'épaieflenV. 24. L'^ferf repart aîjonThT "* *"''*' ^""« «°° ^°y««« de retour. ^8. Une brise très forte souffle aqjourd'hni, __-« n u Octobre, 1886. »nt«i.1°S'Pt.i°'Srd.r:l'" ••'"'•«'■- Oe for» «.„. u ™,^, ,u K T, .„ Jfovembre, 1885. — ?' Un i?* halo solaire vo aojoord'hui. V^^ hoquedegrandetailieesttné à coups de fusil; nous le donnons aux -16 ]5e*!!°nt '" '*' ^^ '»«»°'® * F^Mot 14 pouces. - ": Se EJnxTr "**"* ^" a-JoSS^hui. ^°"''- 19. teairvTbr"* '''''''' ' '* '*•«- P« laa Esquimaux. «7. Balo solaire visible. I>éeemire, 1886. 12.60 p.m. Bouaainement d'nae vitesse de 46 A 8 miU«8àl'lieor«^à 1 1 2 2 2; 2^ 3] 8 19 20. 21. 22. 23. ^-28. I. 2. 6. 9. 12.: 13.. 14. J 15. ] 16. J - 17.3 ïl.OÏ p.m 21. I 22. E '^3, A -ensuite un flolaire A 8, 24. L( «njonrd'hni 26. Ki 27. Vc 2. Cej 3. Bn 6. Cie 10. Le — 20. Cou rendent cou] ▼*nt quantit 21. Hal( . 22. Non jusqu'ici, 39o — 2«. Auti porte du mac 27. Halo 28. Halo '""l. Lettp 4. Halo s le BDd. 9oar obtenir •nr la chasse eoaeillia aa- [tlasieora de ir. noas anx 12. Halo!aDaîreà4.80p.m. jfHaft?atl?i^";rP-- 21. Halo an.orssvaViVVr*' ' " P-- 22. Halo environnant la InnVà liZ 23. Brise t.èe fraîche. * " P°*- -^ '•'''' ^'•^"•"««««•'qoent de vivres. I- Brillant halo solaire h ^ ^f'"'' '^®- . 24. Les phénomènes ana « firmament HaJo «njourd'hni. ^ **"** '"« ^o»» avons observés hier «« c. * 'kwurv^à 2«. Aut;e tentative de la part des ««,„• "''^'"^"' "*"" "*""" '^"^ ^'«^*» ïin a été brifi«5«. «,„• I **^nimaax sur no« nnn^^^-.- 'ol«ireà8p.m' '^'«^««^^•««ontétém^srSte """•"^*^ ^^ utoar dasSleil à 11 „ -. * - 30. On nonn nforme de l'exmJnnnl li. ,*••?• ^^^^ P-n». «ear. où demeurent deTomVre^uTE^^qiL^'J^^ 'nilles A Ti^té- 6. Ho 0 80 aire à 12. 05 p. m. J. Halo solaire à 11 a. m. . P«tie dn pays. """""^ ^"' P««-«»t encore se mouvoir ont abandonné cette — 11 tr L J»«&(, 1888, ■^ 2V%r ;"""^°"'''°' '«"-" — ^e f- et une ancre de navire fioftt de fumée qu'il es? Im^m é^rAT'" °" ''"'«^ '« P""'« • «"« » tellement . or^t S^tmbre, 1886. *« tjjes^r^^^^^^ ^« -face. Soixante^,, oies sauvage, ont 10. Halo environnant le soleil à 11 a. m. " 7 p. m. Nons 24 28 27. 80. 81. •qaatiqi 2. 11. on a'a pt 18. 16. ( 18. ] ▼iitbiag. 28. G aniM où I prendre d( anooès. Températi inttm,88«j le ooan do 1er. 6. oonvertes d rivage. Bfl . 8. Bai P'ioqueB. 8. Haloi que celles d' „ ^014 a «fiovages " d 2f.43f207l 13 jours d'ooi Wgers venta i 2Ï. Pren 1er. Les presone tous < J. CWati P?*8 de la fin ( 28. OonlAr ^erte et bleaei' 166^ f ailles a l'jnté- lire diins mon >8 terres, a 66 • Httlo autour ndonné cotte i ait donné les du gibier et cresson. 7 a quelque tout notre 'e s'éloigne de navire idemment tellement ^ages ont Hrfkî2: ^ foiMeanx et !«• i^a ^*«® «^^ "tour. *^ ▼JiiWee. Lei nt»!*.»* * '*°* «ont convartm J , ^e ««« da moia. ' ^'^•»- On . .perça ^l^elq^'^pQ^^^'^ll^^^^^ î?,?' ^*S- 1er. 6.1 pouoea de .i. ^''''*''*' '8»- ^^ " "'"^ '^"^ ^' •*^^°»«'' daim tué. °"^®* *^ """e quantité moyenne de 8 JM ™°"' *^®° "^^ 1er. Les ptarmi«i«- « * -«^ewir*, 1886. Preaaue toua C^»* °°t P^" leur pinmage d'L.. h • '«te M 1)1,0,; "" "««» «ni «Dto«« u Im, ..^v.. *•'"'""' 60 Décembre, 1885. On ÎV ^i".f ?i''i^"°" * rJ.'»* "•'^" •^^ ''' «^«"on eu qaôto d'aliments. oe moiB. Qaelquea renards blancs sont les aeals animaaz visibles îers lafin H„^«l! Janvier, 1886. «.Un brillant météore venant du N.-B. a tombé ici à 7.51 p. m Bnrto?rîe^l9 ;?Ϋ*.o'h "* °P"^-«' ""^^ *^* »''^« ««"»«'« dans le cours du mois, mais '^nil^'n'^^:^'^^^^^^ .uand le temps' é^ Février, 1886. 1er. Les collines paraissent couvertes de brume le matin. 11. Deux corbeaux. Mars, 1886. Fbénomdnes optiques communs pendant le mois. Avril, 1886. 20 Ti!Sî.'!iT^M ■" "«ratoires-vu un petit bruant de neige. les A.'to'^lX lïïstens'ÏÏÎSSJrLT' ^ H*'* '«" ^- «u sud. commencent àSsgelw ^ profondes, sur les roches nues exposées «tatiof: ëe^^SSsTa^s d'Lî'if foï:n?sn!f^f P''^%'»'^. f'» ^^'^ »» S"»- <»<» »* ^rî-îé-riorH^^^^^ «onsommer, pre««nt pins de viande de renne que nous pouvons en ] 1 granc 1 2 2 21 élevés, sont tu l'on re qui exi 27 sorface 31 épaisseï 3 ni exif eroiàr encore ( sont enc nombre Le cinq joui Lamojc oelnl où 1er. mais elle sont déjà de profon 2. I 3. I 1. I 10. L 14. L 21. L PlM ; l'hei viers, tons «t y ont dé 30. Le * eu peu de a «té faible pendant la 3. Débi 6. Vins encore de la «n marchant , 8. Un 1. dant quelque 12. Qae m^" '•" 25, 20. G „ 21. Une *1 p.». pour 16»^ > neige dana Lea rennes approTision- kble dn tout l'écrier. On laoe aoaa 8 ora joura de t fin da moia i vapeur qui m 018, maia tempa était plna aur la yonaobaer- teaae de 70 de vafuea •nt visioIeB de l'hiver. lea mati- de pondre- 9 la glaoe, variédans ibri de la > fois que exposées .0. de la apaaété ^aelqaes avons en grande épainHoor *'"P"'' **• "«'««. «« briao du nord I . • 2.: Lea ot' Xe:t7.XV^Î;;!iiîf P'-«-a .vivent. SA?nŒX?£i«i7i^^^^^^^ flanc dea roca l'on rencontre le «SS^l^on" ''"^^' "l* P«« di'paiâ àîï°°JîJJ* "«•«« «'««' log2 «nrr.?- ^*' 'nsoctoa commenc nf i - montrent près dea fissarea -urf.ee mooaauo da roa'°^'°' "* '^ «° "" '••«r. on aperçoit une petite «o u 4n.:, • ■^.®'«« t''d9 molle aven k " "°« P«ite moooho aur la Moore oonTopi/d.'.'vî" "I>«foevor la elao. m. Ç °^° P*"'!"»» la unuin. «tai 0. .„.. „„„. ,w?» '• -- «« d. M. c-sji *'îj,;rs.2 sB; 1«. Be.voMMd'0!- A-- ■''*''■«*«• ^^^kÎ-!/?"? «?«• le« lacs daïa t i'^^l^^'»*»- 21. U gCe eurTr'^î'"'*«^^«« di leur nei|,e *t y ont déposé ïnaT"'^""' «^ ^*-e C&' ffi^ ^!.^.*«^.»'-v fS^ C viers,' tous IM ^^«'ÎÎ'.P*' «"d'oita une waZde""! *P*!f «?«• <1« deux pieds ou 18. Jj'atmoaphàre est r«mJvi- î*°* «n fleura, brûle. *'"'"^® ««' remplie de fumée et a tont a fo-* i. ^ 25, 20. Température m. . * ^ "^"^ ^^ ^ ^^'^ qui " P- -4a P&n.iérîteM^rri-;„î^^^^^ * ^'Observation de 68 2?' ?'',"P«'«o't d« jennea canards dans l'eaa salée j'ai fVjLXXVW/Kï^ïe^^^^^^ «uccàs; IWlan^foisonnedansï^r? ^' '*''*°**''* ^^ '* °'°"»«. mawîS ouest de la'stS* ^' '' «"^^ "°°« * P<'''°«» <^« «mousse dan. une large vallée aa ,nd. IWqtàXtet ''«''* ''•°^P^«>'''*«"<ï« 27 pouoei,, mais sons l'herbe il ne ^oû*, 1886. H. ftsparilioii totale et permaneiite de^ bamnis» s?" S^ ™ "I" «"l" â'î=i » "iS . m '^ * I» ••■»• n Tir. Ji bord ». garon à 6 on 6 pouces. ^ ' °""* °° ^'O"»^® «ncore de la glace iouVle NOTES DES OBSBKVAO^ÉUiiâ Station r,- «..pon, LAp.HB,iE..-M. P. O.'woobwobth. %fm6r«, 1886. J; 2\te;snue?r;^réSnrorr ^ ^ ''"'«r * -« ^« -^. restés jusqu'au 21. "^* ^'*"«°' ^°'" Pa^w vers le ï; les goélands sont. TT . Octobre, Ï886, Vu vrai mois d'hiver, vents violents. f' J^ovmbre, 1886. balayée oomplèlement de temp, à antre. ' "' «"' *" ""*«*• »»' 1» glaoewt 1«. Halo solaire à 10.10 p.m. &l^ 30. Encore nne'parWl.î à 1 p^j^* ^* 3 j,.m. ^ «. Halo wl^iw 4 8 „ „ „ ^^'"^' ^^• JO. Halo aolaire tria dietfnot. lî. Volante;. «iS£j;-„,,,. i«« *"• ■'"»"on»flneoDtîanA«oJ*~'**i'^"*'*P™8tt6. "'~ •"" ^^ir, et j'ai 20«». B e passait rf«.î* a^' P^nwMait s'étendra iSIiik*^'^ oolonae de matiêra i^ ' "* On««W vos anjourt'hnî. 8. Canards vos anionM-i. • '^'"'''' ^^• v*" le nord. '"'^'^^'»J»Wl»l>remièrefois li«„.^. . «. DelairràlatrAo^ . '^ °"'' ^'* P^f^went tous se diriiwii. 9. iie preSfer bruant à. - ^^^om^t^m 4u>«po(ement visibles 3. D'énormes bandM h- — ♦ ^ ''^ '^'^* i i 64 Juin, 1886. ' .nné..'" ''" °^*°' ' "* "■ •°J°°1''">1. '•"t le premto ,.. mm .,0.8 .p.,çr. ctto pu s'y fraye? an passage. "^ * ^°® J® °™" ^° °° steamer aanit JW/fef, 1886. ilo<2;, 1886. 2. Denx Esquimaux abordent ici anjoard'huî. 22 Nnn« 0°^ '\'"?" **.*' ^*«°«8 S""- 1«8 pochèrs aujourd'hui II: U^^SgatrU'^JJt^^^^^^^^^ ilBBagiTeïîSL le havre. balise. ^ *«>rigantin est aperça « cinq miUes environ de la lumière delà 3 p. m.' ^°«"°'»»>'«°«« ^01^ ^'oies passe a^jouM'hui se dirigeant vers le sndf? granL'-pfurSnsSarat^iSedW^ Boiroeur exl««>rdinaire pendant la nuit>veo . thwgée de matières Soiantes * ^^^^ *^*^* °»*°^'^« «leur et 'était iî* feï?.î°*'* *^! '?:^°>''"«« ^'^^' *"i^o au port. 31. La station est abandonnée. '^ FOBT OHUBCHILL. Obsibvatbub, M. John B. SpwfoiB. 31. Tempête de neige. ^t,mii. 19. Gelée observée. Septembre. 1885. 23. Thermomètre indiquant 29'» à 10 p. m. 24. La glace se forme. ^ Octoftr*, 1S86. 1 « n I*'® *«°»P*t« <ï® oeipe, et coup de vent de l'ouest 28. Le thermomètre baisse au-dessous de «éro. Novembre, 1685. * Mon.tiiu^.^^'^' '^* ^°™*« «" <»"*« ï»» '«'«eur de la rivière en bas de la Pointe aux 13. Pluie an Vieux Fort, à 4 milles an nord. décembre, 1885^ 18. Kétéore brillant à 7.40 a. m. ,^ ,, ' Janvier, 1886. 19. Mercore congelé* . Xfeige très épaisse. o^ T ■ J&Tf 1886. 24. Les bruants de ûeige sont revenus. .■ > ( 1{ 22 4, 16. 16. 17. 22. 27. 29. 4,6. 11. 18^2 29.] 4,10 4. Bi 10. 24. Le 4. Br 8. Po] 28. Frt quatre heut 6. Brif 16. Por fféle à 100 pi 1er. P( 4. Aro« 9. Beau 4. Pren 1. Bloon 16. lie dé 24. Le dé perçn cette lajoord'hai. mer aurait rs le S.-0. lidre de la le sud, A noit'ayeo ■ et «tait inteaoz a^. ITemière oie aperçue volant vers le nord!^ * 1?: fcge!**" ~* °'^^<''*« à '• Pointe au, MouBtiques. 22: o4l a^rt^iï:^^! t:rn^^ r " «««>ouohure. " : 27.To^erreetS"veuT''°'"''**^*~'^^ Temiérature ïô'. 29. ««««-co^pagnédetonnerreetdegréletràBgrosse. 4, 0. Orage» avec tonnerre. «». i» 4fer< arrive ici. A m n ^oû?, 1886. 4, 10. Otages aocompagnés de tonnerre. • ■ NOTia DBS OBSBBTATEUKS j n . , . •WwmJre, 1885. « T»-i j ,. «/onwer, 1886. 16 5SS k'-****',*^*" Pï"»® «Iwndante. , —«•»«, 1000. 9. Beaucoup ae vieiue glaoe et 200 montiinM 1 u, -Wni, 1886. ■irj: 28. Thermomètre indiquant W à niai. PO^Of de plsie étideRt tombée. "^""^ " P'*"* fortement ; à 6 a-m!, le 3, éï» piwÏÏ rao^Jiïd^eï ^ÏÏ^ '^P^ ^ ^«'««^, ae flaiafcJean. tombe en 28. Forte briae; brouTltard épai. ^ humide. ■Août, 1888 NOTES DBS OBSEBVATEU^LA FA01OBBia»a>^QBK o « ^846. ^^^' ift "*'* ?" commence à entrer le foin. 4 .vril. âiir'"'""' * '"'^••^ «•«» r^^ le P««ige de la goélette. J*' "■*• S"""'*» «io tuée. ? « Sîl^l"°*"°5°*<'«l*débÉole sur la rivière fi înî« „^ "^*''« «»t^w«rte de «lace JmSal fojnillet. 0Eupe,et4eaurre ISeeptembrTïlnelJÏ!^* 16 octobre. I*Sti?r?L\ffiW'^'?'"«^"«' «6 novembre. LΫlaMlît^i22!***^^-5**^ w™. X» giace est prise BoUSeamt «gr la rfvlèw. «4«vril. Pluie. ^**'^- î^f'* ^"^'» oie tuée. 7 juillet Thermomètre à 90" B ^•oût.Arrivéedunaîire. '^• a septembre. Première neûre. M-novemhre. La glace mt S. «,, hi rlvltee «ilbii ÎJ"!?-^^';^'» de la rivière. *^ «2 . " i-iuie. 2« ootobre. Pluie. 1819 ,î ' Jwmière pluie. 5 . 1 ^'^le de la glace anr la fl««nIo«8. o .- *^ ' ^™ ' • '* compagnie arriva 8 octobre. Bert :èra yVjJa ^I«Knio part. 10 décembre. la ïivrèrô ^t .ouverte de jjlace. ^î "^riï.-^recifôre oie tuée. 1» °^' /"«iàr® plaie. * . . • ^ 8^*^ oe brise sur la rivière ïjnm. Dernière neige. *»"^'«ro. . 14 juUH Orage accompagné de tonnerre 16 août. IVotre navire ertlrrivî • J septembre. Nos foina Bont fkita. 12 Première neïge. iS ^ .. , •''® ""^ro repart. 17 octobre. La rivière ae eSTvr; de glace. 12 mai. Première pluie. ^^^• 2^""SSn^ï;^^'«-'*"'<'- fl ^*°'''k ^^^'«o« «PPOMÏt sur la rivière 9 novembre. Glace solide sur la rivière 17 avril. Première plu'-e. ^**- ZO " Dernière neige, v <^' 20 " La rivière est libre. SBSfi votre I Oanadi du Lai chDre( Le «anxso sonin, I( 1« saumi ezieto d ... ^ bien des New-Bec ^tgéné Jinit moii ment de J nord ouee septombn navires pi trouve aui muet des ( snito de le les équipaj croisent di ils se rend( ment pour <*« dénart. 1 ^P"P«ï . Je ibit que 1 ,,„ ^Msl' l'tle de Ha n'informe < kenre en jnii », -Le tabli ■NonvelIeAn •▼eo le résol' •ii :i ' f.\' ./>■/■•'.,. , navires prennent là S loi^°" ^® Po^ ettérieur "%^''*«»Jement dans le moS de 1^ • -~.. -.....- .....TT iÔm "•"•" u , -^ " "• ~~ --f. ^^^^ 1" —••••• .....»« » f......~,......„...,. .,,,.^„„^ 18S3 i fnw~.. ...... ^„. ,......., ..„^„.^ ' —•••••■-....-....». 1 J •"••H" M .....,...,..,.„^ iM •"••*- ^ ••.. ..,,.... iSn •'"• •^' — , ^ •••"«.-*.,•..,.„«.,„,,,.. ^^.... w .............. .........,,„..„, "v"'-,. > " •••f» ■•••• i«na 1« péri«de de Ifiifi M -*• _, ^^ • 400.00 6,800.00 I«« droits snr laa mAiv.i...4' «Kwn ao M bu* JDste que la ensuite oblij échangent 1, J'ouvcJIe-Ai pa^nie de la «nie de la B dentale de la JXWtes réguli Pe«nx de bce qne» et de ok ,. Maiaces qu'ils font à l ■nr la côte no deOttmberlan g-'Çginetde, "'«Iiams et Ci Pî*«We plnsie, bien formé les a ia rame, au < rement d'Bsqnj né* sur difféfeii Joe qu'ils pnia «perçoit ici au < veilJont constan commence à s'o Pendant les cette station, mj entrois ans ajou suffirait à assure J^'tée chaque at aeux on trois ai "tournant â Nev -Le steamer u et comme on l'a, "BepuJseBay."! '«sjîltats des prise baleines franches. teV' b«iein1 "2,600 par tonné; «on^oyageaunon .lia baleine frai quelle devient infii awtr"'^«Pêcî Ment piri on lèse « ûernière saison ; je , \^ Çfri un seul'hitt Hjaintenanto^g caster jusqu'au «>]*« ter «°* vS:?o trois baleiniew dans 1 Fopttes,cepréoionx « pAohe de )a ». I (fit^OBf), 61 jnste que la oomn* • ' ^pentu, DBtBéedi. ncr'^,/^Joomamm^?AT''V*'°*P""«^^^^^ d» vous pré- dans nos eaux. Cm haleines vaHerZ^/i^®' '* P'"' P''*^'*" « - aux prix actuels do Thuile'et do la baleine aEl ^^",P°'««?° do cette description m'a souvent demandé k quel ui Je les finonîTl i°? '''î'^'"' ^'environ IlS.oOO. On avoir u.:c aussi grande ïaleur ^Une Lranni^^ ''^ ^.T®^ P°"^*'* *tre employés pour fanons, C'.. introduite dans îesniemeurrsoteVaTÏ^^^^^ baleine des C et comme la demande pour^t oï «t exS^'n -^î ''??"®'' **° ^''Ps * o««e étoffe. seul .uffit pour en mainCrTep<ÎleV''^^^^^^ '« production, ceSl rçnd;;VÏ^;rne?rtor^^^^^^^ on calcule qu'il vieilles gmces amoncelées à l'entri du dïtJf^ Jw 1" «"""^ °°'°*""« «°«' !« bord de» ^ La Baleine blanche fi«/LJ« ^îtîl? ?'•' d'^udsou en juin et juillet. d'Hudson. Ces p.iïoM romTtfîî^^ est indiscutablement la baleine de la baie Nelson avec la «^0^0 ?eTa ^ï, s . «?a x^ï.-^^ ^'' "'i'^T CburchlU. York èî la Compagnie de la âiiW^HÎd™&r la nLtï h """ ** *^*''*°'*' * O^^rcbi". attrappes décrits dans mes ranXJ «J„iP * 'l® *^ P°»««»° ««> "'- •J de filets cet enSroit cette annéî. tSleSnïoïtv'éte-obS?4P5°V ' *^ t^t-'heoreuw en enfermassent encore beanoonp de baSîî^ «e obligé de lever les filets quoiqu'ils 4^tiMeut remplis d'huilo. La3u de ÏÏt an^ml^^'"'? que tous les barils disponible. de 17 à flO, et comme chMufbrioiL ionn- "^ ^' précieuse aussi et a une valeur <5hacane en moyennrde wTà Îm jîST T"^ f 8*'!°"« **'^'»"«. «"«« va eïî qne j'ai faite du chenal de la rivièw N^Jn /u'^l^' u"^'- '" ««un. de rexploration qui montaient et de8cendalen"?eSbonch^î« H« u '"•'•î »n"^«Wede ces .uimanx ait apprivoisa, apparaissan^et lïïiç^^^^^^^ ^/« montraient tout à bateau. Les Sauvages employés pwïïo^mf^nl! •„* ^ ''"'«.' °° *''«°*« P'«d« di dans la vase à l'eaoW ^t iSa m/JJ^™/ «i"® '*"' Plan^ent une rangée de pieoz d'une plunche, qu'ils ëtabi .^i i ® P ^^°''"*® composée de quatre poteaux ^ baleinis à mw^î^xS se m^^^^^ P»"^ plis SlevéTiK" li ^.tsont entraîné^^^rL iSïï »f 'lÏÏS^^^^^ imm'idiatemeit sous f^a^ chargement est prôC on env^T^niri^C^^*" ^? retiennent. Aussitôt qu'on jaroase^sàl. factorerie, où 2 e«so^«déDSS!r«^^^^^ •""* effet qui amèîe ïï J»a»le; les peaux sont prépar^a M«r lÀ ««S^ ®*.°,'^ '* «'""^ ««t transformée en «nni. I0 -«»*_I7.__- , préparée» pour le commerce et Un nAmucoo =, . . ^T ."" PODI géai 00 0 hnile; ie8"p^ux-rn7p5^'^t,H îf Sï^'' ^S°? '* grais^ •Tt-'-trlnsfo ponr la npu^ture des^chC^nTnt î'hTvT^L't "* l' h^T'^k^^ ^^ emmagasinée^ de ces animaux, suivant moi isttrâ^ «.?„!„ ^® ^^ '* carabine pou^^mparer ounesoatjetée's à la côTïn? iStS "T^^^nr^^^ enbetïïSJÎïïi^ft,^^ ^ iTta^^ofit et à peu de frai, rapporté qn^lies éS^nt vie^X iSier; dkn^^lf h^^^T k^\ "'''«-^ bffeinier m'É Si^n imaginer un Vl^ S^LT^^S:^^^ -jtdiffl. ^^î^?^^^ t S»-S.^i- ?-ie..Huds,n feis^une pèche oi^éS,lSS"ii^^^ ^* BaieKi'Hudson îœ^-" -sL?qT> srrçrî: r~ï£rîo»ssîîy:r£^ oonsi orne mors peau mais en 00 livre, qu'un aoixan d'Hudi seul hc vante : ('ntraln de lano crue de s'approt nn on di jette de Eperdu ( ' lemls > 'ant < «leMonre Iaba.<^. di paroe qu( est prépa sur la tai ■«i^able, J fveo du bt Je vendred 1 P"** les phoqne «•me légic Lemo feux ou trc lodioation s par B. Bpo*^ ditlon aroiic morse et déi lof» il a été G Josqne dans J grand nombi •nfaitaoSp; disparu dans •« ^^oqnes. •t,/ détroit d JuilsJesftvai Je Terreneav< ^t une gran tous temps leo ^= -saare Ces t ai de tous pré- Q0U8 poHsédona ) rendent indivi» i quantités bien dont comme ua et l'os 0 talon, avoir au moini et suivant l'état ai iuut on épaii- ette desoription D 118,000. On employé» pour eine des longs 3 à cette étofn, roduotion, cela n calcule qu'il )ur le bord des let. >ne de la baie Chili, York et A Churchill, ('/tm de filets- B heureuse en ilets quoiqu'ils ils disponibles a une valeur e, elles valent • l'exploration ) ces f aimanz traient tout à >nte pieds da igée de pieux "e poteaux et I ils tueni les nt sons l'eau, .nssitOt qu'an |ni amène les insforméA en m magasinées ur s'emparer lont perdues, é& pionr kar pea de frais, tleinier m'a serait diffl- la rivière ie^i'Hadson barrftfede a nordians cette pèohe delà Aiie- ♦ ■"-ruS Qui, de graiasê potir sa ffrossflni* ♦ i ^ ^_ mte^^ff '\"«9"«ài'«ttaqr^^^ ces animauî iST**"* ^" '^^^'oU, sur la t^hu P'^" comme on mîiJT-*^ ***"* quelque tomna t ™P «squ mau. tSràLuu\^' ^^ '^^bine do fj^li^''^^'^ ««" de bœuf 1^ « ^ °°''''' '^^ '^animS taoéa. ^® ''» regarde 'ladre la •ê di»lt régulièrement chercher Soi p«53iï c J ÎL«!îlî '^i'*"''" ^°''"> «•'^«••« ^e*. fottrraree qu'ils sont m.inten«n?ollSto dït««^ÏÏ S'i ^ K*rder«ient tonte, les J^ de 1. Compagnie de 1. siiïd'Cdeîn Tl?SS5«j'î!^S!?'f*"*" •*« •"'»••. •« et e» trullte «aumX lîîîiÏÏe !t IfJî,?"* '^ ?"*'"*''' °« «o»»'»»* qu'en Sïïon omtotelo de la baiTd'Hudîor *^ *** P"' "'"*"' * ''<"•«•* •« <>•!* de U Su d*n«ï?rWj«1.V^^*^^^^^^^ -« -"mon à préeent a- d*t..leBriTiére!;;rB:diohïgînTd«ri^^ -î-S jx proflUbJe d'expédier le Mumon ialé. oar^i'. fL iî/ï °^*ï" ''il*' *'^''^» P»«» que la compagnie ee proposait de faSre tJttl tiofcl ***** ■'"'^- O*» »'• d»* *ni»i r*^nir. D'autreeriAreBroi wnlent^e^u grande échelle i gttedee ouantités de sannion • ouant A il «l.ifS^J* '°*^ "^ '^^* ""*'' nourriaeen» de oâr je n'ai jamais mangé de plus dZleî, Z«iL1. t^ P^"^''' J* P"'» '• «««'•»tirt totit fyaîchement priOee 4aImiÏÏ de la BaTeStniïrt "•" '"* "°" «PPorUient and du détroit se dirige Tertl'e«r«tî^iSn^^ •*" ''f*'°"' '« «oo"" sar la Stî "Jd.ou«t, ensuite ïo^î^'e^iSïiSïïnïï;^^^^^^ ^"««^ ««t oiîni d? baie quelque temps après l'ouverldrl J^««?lïL !* ïi! '*, «"'^ stationne dans cette •» oon.éïnence î; .?îamerdriroŒM**'it'ÏÏ? ^JS*L"^» • "°« «^ônr^S emprisonné dan» les «rlace» ici Dend.«?î^ff ?* '* ^aie^l'Hudson, le "Labnrfor •' porta des gens de la œ'HXÏÏîW^ «* ™^p- dent tons à dire nn'il est î*in?ii« hT» J* V J® *"• ""'" entretenu à oe suiet R'armnV. inencementd'aoâ uïtiffd^^^^^ '»•«« P'"» tôt qÇ'»u"S2^ la Part des Collettes de Tett^enve ^n^îL^ÏÏ^l* ^^^^^^ oonTpétiSone 1 morue jusqu'^àl'UltimaThuSXoaDChïdli? Vi^'^'^TI «Î'^ÎP*»*» ponîwilvedt la : «oalet au sud de l'Ile Battoret pénXé dîns ia h.!*"" **i1'" «°»'««t«» «nt franchi e ™rSirqrd?iaî;i;;i^';^^^^^^^ d-Hudson. n'esta rautre; pour l'étude delà valBnriSliii^ P" P""®*"* "'""P'ement d'une main À dés indIgSnes forme'n?;i%MmLtrï?iSSr'?^^^^^^ du commerce des fourrures, dontles seSiiKS^;» ^t"? P"" «°*"'" <*»»» 1»» détails d'nn chemin defer; meêSpSVJ^Z^SnloT^^^^ *^°"''' ^"« P»' ''onvertuM me proaventque, tout canswr tout hcSHSfSft?®/*^*.?!*^"'® <*« '» B»'*-d'Hudson demandezIuiV «««nple. sPla îout^PdSrî^^?^^^^^ ^'T?'?^* ?»'»« «t^^ Oh I très rare, excessivement rare • irooBÎri'«f^/£ ^T répondra infailliblement qne dans l'intérêt des SanviVs Je W f.®f * °«"«»e«>t Profltable et n'est maintenu son poste était profitable àTcomïtifi fc sSe °nT.*l",° ^'^'^^ admettant qûj porté à croire que la compairnie n'eS^S'nnf t«?^4? * prendre leur parole on se^t wlossale, pay^^nt m,w6 ^VXa^^ZJ^Jt^^^^ etpatrioti^e lège de nourrir les Si^uvagM^de la sîTeS^SS!. '5* «anfdien pour le simple piïvi. nos traités. Je ne pnis pwl„ d^S^vf^lT •?*• V^"™*^"* P" «>« l'eitt de îfequimanx, de Peux surtout oui «?«?!« «êfi a •> *' ' P'"» *»«">*« opinion de» our aptitude à la civilisa^ leî« dSaCs ^affiT* *'^ '*'™" ^'^ »>lanî? qtSnrjaCJttre'-rrsdr^^^^ -ctères,U„rs,soiSoJ^ir;ï2'^^ UntH, Pagné Je ies est q a baleini J>'apr« IfiOOl n'est q trois et ailleurs nions, J biemeoi babitud, religiom Af. langage " me dit vais, iji certains Stupart, i aooun tra ^squimao certains | chaque ao ,. A pré tion du Ca pagnies de LeCa et le corn m nos relatioi et de /aire compagnie commerce. Jo dois P'ojées poai exclue du no L'expér ou elle trouv °»orue, elle a «•réfugie pi fothnie est 1 difflouKéa et ( passer de Bo? trouva le déti peut conclure a arriver au» qne ce moyen de rester très 1, « nne de ces pi Je suis d'à ^ a été des eaux patriotes de la ( soit notre voisii JJ est encoi développement nairesde UCai 156^6 ' àé ïmrih oq pour 1« 000* «oarrait être navire rin- >nt toatM Im lemill«#,«ax à UogsTa. l'en MamoB de la côte tréseat, qa« mmooa prit t frais dan» ro07e plQB n'A dit atiMi de éoh«ll6 à irrisa«nt de i» garantir, apportaient, Mnmon, et ie en oe qoi d'Ungava ar la oAt* t celui dn dans oette I avons VD Labrador," t lea rap- et s'aooor- ti'ao oom- étition do inivent la franohi le n peu de UBon était n, n'esta s main à oaraotdre les détails )avertDr« d'Hudson iase dtre, blement : tnaintena ttant que on serait triotiqne ïlepnvi- l'effet de Qion des- 8 blancs, lemment lia ne se manvais !)ieBVe!U antu. ifrarfiAnt a ^ — «noan travaij «r„ .'J""P''*« «^ir tué «„ L '*"'« opérations M p"""® ^ monde certains ooinf» ff *'''® ««-andoment wî! . ""''ement que Je pJÎ! ^* ^® ''"er d trouva le E>?t 5^f T,°J *" ^étroif d* Kl"!? ?"y' ^« ''^rcS AJÎv ^ """'^ «««« peut conclure dï u *'l(^'ddleton) cc„vert h ** ^^ '* *« «olfe de ' Ch '•P"'P^^ d« ^arriveraS'Iôt de^r''***''-*"^ ^ «'«ttntto« î'ér^ '"' i'« ^té de! :a„î7uffil*>'«'°«fta«che est oha, .. . ""*'"* P^'^' patriotes deTa VrLt i!îl°!-t«'' Pl«B au'^saS'rît^^ "» baie J'ff„d«.n ce l»i>da»t les drôiu ior SoZ iL ™«r;k.„iî. '3 °° Ç°°' î'""™"" «"Iw «talion^ r..o(;.\,, Soir, ffltt SZd. Teïi. °„T ' '""'I»»"" """«""t .8Lc?s toî ^X inclp^éhen^^^^^^^^ A la Factorerie d'York, perdues pour la seconde ftis dans le traispSrT^rZ^^ observations ont été i^^tr^Z.\TufZ7^Tatdf^^^^^^ I- corrections au niveau de la mer ' ** corrigées du baromètre ont été réduites suisdWeTet^Téffirrntifsrf^^ vingtcnq pour cent plus grandes que celles qui sont rappoSs ici!' ^*'"''' '* régie ester espac maill d'épa 1 attacl quatn même abri, i contei l'expo beauoo plui o L( Labrac i'ologiq temps-i d'après cadran dernier Da jours eu jours en valions £d la temp< varié co temps 01 la quant] dell3à de 1872 ) qui a atti climat réi la moitié Leti Barwell. A interval temps-tyj une long! dessus do à cette sta même dist distance d' thermooidi ■La colline hiver. L'< ouest, et su vélocités de leurs remai 1 ouragan. „ Le tabl Tyrell, A. f détroit, sur le nom de " tej^-a appela 15b- la colonie de } la partie da i les limitea treH stations, mne oe poste it de la diffé- les pèoberîe» vov» assurer dans la baie une période a baleine et privilège, et 0 potée pour maintenant M poor con- t pour faire 1 en vertu du les suffiront pendant la lorces oom* Dt adminia- iloppement toyens. le présent > sujet, is-unes des en feuilles 'erai aussi s les infor- d'Hudson r« '« mer. ouest, et sur Wauïes ni ntt^r^'''" *'«'* d^feotaeaae entJe î« n. '/*''• «"«•^''t en ISr '.«es. parle.te;?5iCt ^:?AîS^r ' -^-:^- ^ i^e tableau Ifl est I« .^ . . «"e.goait quelquefois ce le de le nom de " Baie du NoÎh .?"' '* *''<*"^e «" ««d de ce nZ . "''*«* '*'"« g^nlot du tei^-fl «,.p-i-.^_. ""^ord," maiâ qui «•».» _ " .®,?e 9"» les cartes nnt d^^i»- " ! ( «oTdTinrùmen^stfitrm^ «'"'« '« -om de " Grande Ile " T ' • .. .-labloau y. Extraif Hao ,,k« .. Tablean V T? ' " * '"*f'"^"''wu eiaii - .^ .— > — "wuu iuuiveDzie, . idaites aa niveau de la m^r t.' °îl°^'°° **""<*«* « été wortb, observateur Ceïe\1l-n„^'®7*V'T MPPW ^ TabIea«VII, Pé,„„«rf„„i, 0-. "Pproi.na.tive. 2^i^i^« lemperalures moyennes me* suel] idée moji S a.Do J'ai, J d'apr( I être r moyei L Mêmoi L Ja temi annoe] Le d'api ô^ groopei naire ; lectni-es Le année, d deux pr« employa minimo. -Dani cernant J le nombn vélocifé d Dans station, ot vitesse. Lo ta Belle Ile, I comparais( de brouilla tandis que JJes station heures, mai beures, à P Le tab Le tabl vées H bord Ed. Parry, e Ml . v (^uî at '..0 table i;^- r' dars i a observation ou lés d'aprôi ordinaire, et < mètre anéroïd de marine d'A observations c uier. La tempe! bureau météoi L'ezposi- ^momdtre se ion approxi- ». da service passage do lirge sur 20 >mme sait: I lête de la ai lion était le, île Not. triques ont instrument ndez a été était assez perpendi- 3. Woods- se trouve ùavre sur ne vue de que l'ané- du N. E. ions, La simative- ateur ici ss oDtier- nord de >areil de 'bri s'ou- » exposi- Bnt être adiation |e pense exacte, 'ant des la baie lase de la Baie- coin me enir les tempe- diurne lissant ]aente stence rment ehao* vents i leur uffeut ffava. Toçk meik lin ♦!»*>«.. , . ** mmmo. °"""i>'re ordinaire; dan, l'aot,"'!''"., '"'"'" -x.™,.. «„ _ J'«n8lMtable.,„^.v„ • °" "°'P'»>«'t «- ihermSiA'J USS S'i' "»- '» "0..b™ d'ieure, d ""''• * "» y « «le oDtenue , J'aMû ^' thermomètres linfir — . oonstra -N'egretti >t au et de 70 Lambra— attachés à nn cadre en nnvar- ^ i« *»* j pour laisser passer la roaTle Sdu Lrltir^'T T""'"'?'-* » ^'^^éoagée bas de deox pouces celui du thermlèirë l bo^Kh!'' ??'* T"'"*" dépassait^n contre les accidents par une lécère band« 'Im^u ^ H®' ^' ^"^^ ^«"* étaient protégés bulbes. ^ ""® '®Sôre bande métallique loiraant un arc au^evant des à sa station Z ^^ '"PP°'* ^« ^- ^«y°« «" 1» " Flore " et la " Faune " observées PLOBB .X ^-™^,Klf AOP, On^PB:.o..O.GA.LHS, F. F. Payne. mu dispoMtion du temps libre doEr?2 emplovéT r 'inf «^«'^/«'«giques, j'avais à 1 étude do l'histoire naturelle do celte ré-ion fjLl. f ^''*".^* P""""® P^'^^'b'© à d'oiseaux, de poissons, d'insecteset^e plantes i'aTirl"' '°'!^?t'«°« do mammifères, mes propres obse-vations et des informations n„WT' "^^ "ombreuses notes de sont do ti ôs bons observateurs de la nature ^ ^" ' **'' ^.quimaux. qui oiseaurq^rrbZt%r,i^ioSîarTerZ^^^ —itères et des Pr« Hayes et Kane, et autfes autSîrs habilel, ou-n^^^^^ ^'.' «^P^ditions des 10. de ces sujets. Je me bornerai donc maintâJln a h' l^'^^"?^ '"°^"« ^^ s'occuper quelque intérêt que j'ai observés peîsonnénerS«;r i*^ *°^'"'' ''^ P^"''»"' présenter sance. comme les dates des migrations e,.H«Z " ^"' f "t/enus à ma connais- trouve. a'grauons, eic , de chaque espèce, dans l'ordre où elle se MAMMIFÈRES. ^ ^ Ours Polaire. ^Unu, Mariti.us, Linn ^Nannook, Esquimau.) PrlncX^ritrêt^^ÏÏi^^^ rare à la passe du avons vu que quatre, dont un a é(é taé ^"** constamment, nous n'en du.t. ÎI arrive alors 80uverq7ilf se troù;;nrn^l^ '' ^f ^"^"'l **«« ^'^ dérivent à l'est avec le courait qui L n^inir hP " '""* '^' ^'"''«^ flottantes qui beaucoup dans leurs migrations ^ "^ ' *^'*"' ""^^^ direction, et qui aide l<^r^^^^^^^^^^^^^ principalement, sont très '^•"•a"qu^rs:irprqSbi^a^ ^"" T^-' - ^tu^r^itir «'^^^^^* «- il se ré,al?de jeSneSa^'et d Sd ^éland' TdV"''' !f ''"' ^« '«»P« ^ ««^tre. où da^a.monetdelatruiteenlest^:rr^^^^^^^^ souv^T^u'riorétii:-:;^ r^^^ i» di, .. «.«nt cas cù un des leurs c ùt éfé attaqtié SaTan onr? .« '"/ °.*.P" '^ '"»??«'«'• »" «eul femmes, qui ont toujours pris sîiïrnroas se rrSr''"^^ ,1 effraie beaucoup les TU plu.K.urs, et toutes ont^ru^ntoTrCVure^^^^^^^^^^ ''''"^ "^"^ «'^ *-«'^« Xcm;,. ((7an(s £«/,«« Occidentalis) {Armari^j, Em ) inoni2jo^PiS^ïe?:ri'.?ri?,-/ -r'. ^^nt pas un seul n' quoiqu'il y ait eu un-t,^ps-;;^iiritaLnï^S: SSeSx. P''°'"° é"^ vo nnndant p»s maintenant. Il été œéDagée dépassait en ient protégés i-oevant des lurface de la " observées ES, troit d'flud- 98, j'avais à possible à lammifôres, ies notes de limauz, qui ires et des JitioDs des le s'occuper t présenter ta oonnais- où elie se t passe du nous n'en imaaz on ies se pro- bantes qui qui aide , sont très sent sans autre, où e prendre peu pro- ar ajant • un seul coup las m avocis pendant ritenant, Ils causent beaucoup de trouble aut w...,- ' " ' «laplombeidulabao, * * "' "'" ''"""""'•■■Çantoooiitredetapoudî" humain mliEonïS ru'ut&qSî^rJSnTnonf T'"* «emblablesà celles d'un ê.re par ses compatriotes. ^ ^**'' °°''"° P<>" voleur est toujours appelé "Kubvie- le poil nouveau pendaiO l'h.vTentJe^ f,„ ""^ **«."»« demeurent emmêléVdan; attaqueront même ics vieuïr. ^ ^^""^ phoques, et s'il, «ont bien âffa. visitant na ïvA„». „..:«...._,., . '* mAa •\ 7 °"' '"•glace ei mes, ,18 attaqueront même ics vieu?. ' " x--— 1--. ». » us sont t)ien affa. Comme on doit le supporèr oai^ A." ^^I"'™"". q«i s'en servit pour son S ' «oarrit alors diZVs^'aXe^e^ïeaï^r™'' ^*™ "° «°'»«' tout différent On 1« pas I août besoi tnés; aussi rang< coaci] Eu creva côtés sqnelc C( timide, une bo sa /uit( colle cti Qa de déoe pouvait nourriti «n fouil ■^emmin C'ea ment qu d'en troB Pen< peut ent( nei^e, s'a bientôt 8( se précipi aisément La fo 1 approch< quelques i affectés pa ' Le me juillet; oc *Bau, qui e: et qne l'on Penda été capturéi Les dé] tètes de lan et employé O'est le renne, c'est i Il arrive — '•■j=iiia:3 îî couvre de gU ane maniàre pproohe pour ' pour sauver [>oq; le der> }Dte l'année ; t ans dépens >laisir de se Qt de robe. Occidentalis) é quand on 8 lemnjJng» 3S aliments loDgiemps on peut le chapeau de Q8, sans les lendemain n passant, on fusiJ. m; cepen- •8 mhîtres, t. On le lalheur au la charge e pauvre iment du B'it mor- al neaa et côtes du quimauz es mâles rapports terribles d'avril ) il était irmi les ufaaase, ienneot trouve ois à la on fil à ;al que voies étaient perneDHinnios " *^'"ne par raôtion H« û — "--««'"e; oôti ^Quoiqu'il demeure ici «««h . ,. »- » opt «té pns et ajoutés à ma de décembre • mai! h • P«'"'»Dt Tancée entière on «» pouvait voi^'sa^VC con"^ '^ J"^<ï "'^ ^^ S" "d^^irSa^r'"" -''"''"* '« «-«îs nourriture de netite« ni„i!f "°°""® '^^'s fouies les diL^f, **® ^ année 6ui vante on en fouillant àLTS^^^^hlr^oat de la raiXe CS «"; « "*;««• .1' tire sï ^mming de la Baie j^f^ °'"'''''' ' '^' ^° " °''"«''^ ,,„festIeplus,etit„....„.../_^"^''^-*'Vî "^^''^^^ ^^-•-. ^...., -Ces par «^P^S:^fïia--^£r« -^'?S«ce£^ . ,, I-e morse n'est^lil'^no 'f "' t*""'"^' ^""'•^ ('-^^> ^sa.) et qne l'on voit se dirfJfr ^ commet d'une colline vmf?. recherché par rBgqui. ^^^ Les défenses du mor4 «ôl'/ \^^''^^ ^'aiont tous t1ô7Ln„r'''°' '*" «"'' «"t 74 A.r.S.Z?'^'' 1®' ?'"■** P*"*^"»!''!* "ont tués à coups de .usi! ou harponnés lorsqu'ils dorment sur la glao« ou nagent dans l'eau libre. "«"Huii» Les Esquimaux disent que les grands phoques ne font jamais leurs petits dans *'1uJ'deT/' œo?e"^ "*"' *^''' °°' * ^"* *''' P*""**"' '°°° ^^J®" Punissaient âgés de La peau de ces animaux est employée à la construction des kayaks ou bateaux, et des lignes de harpons d'ate grancfe longueur en taillant d'étroites lanières autour du corps de l'animal absolument comme on pâle une pomme. On emploie aussi cette peau pour en fabriquer des semelles de bottes ; le poil est alors enle/ô. iuis a peau! après avoir é-é Bêchée au soleil est soumise à un procédé de mastica ion dont les femmes des Bsquimaux sont chargées. Phoque à harpe. (^Harp Seal.) (Fhoca Qroenlandica) (Kyro-lik, Esq.) -«^u" Fw**"!' °^"*i nommé à cause d'une marque qu'il porte sur le dos et qui res- semble distinctement à une harpe, arrive ici un peu plus tard que le grand Jhoque. n^^hiTTPP'?'°°'?P"^*i^"" ««'°î-«'' «' d'V«tt aussitôt que les glaces^ap. prochent en octobre. Il ne fréquente pas souvent les glaces, mais on peut le voir ?n^Zhi^«^'^^'*'•^"'*'**""I?8"' "«'' '"«°»«Pt «««'> «û en ape,ç.it presque invariablement plusieurs ensemble. r v f h"" Phoque à poil frisé. (Bough Seal) {Fhoca Fœtida, Fab.) (Natchuk, Esq.) .^.•n?!fI* ^'®^P**'.® '» p!«8 nombreuse que l'on trouve dans ces eaux, et constitue la princ pale nourriture des Esquimaux. Il passe l'année entière ici, mais il est rare dans les mois de février, mars et avril. nnt i^f rf^^rf •'®°?* phoque a été pris le 5 mars, et vers cette date plusieurs autres ^nlfin-« V ï'»"«>88«nt«»'*l?Kl5ce dans des lieux où la neige est épaisse, la mère ^«« S^ ^Ppi'' *" """ habitation confortable sous la neige? Ces retraités ne sont ^nnf^lr" «^^^o^Y^'^ff . on ne peut les trouver que parce qu'elles forment un petit monticule un peu plus élevé qne la surface de la ne.ge qui les environne. Un s est souvent étonné de voir les phoquos paraître soudain sur la glace lorsque Î^L!:?-,*™?"* î" °® Ppnvait y voir une seule ouverture, et quelques éorivains ont ayancé que le phoque s'ouvrait un trou dans la glace par en deslous à 1 aide de sa r„i"^i?° "P^'T*"' ^? °*^''"'' «asnrfacb inférieure. Ceci paraît si absurde que, pendant ma résidence ici, nous avons examiné attentivement tous les trous don- ^?«iPfT®*".* phoque* que nous avons vus, et nous les avons toujours trouvés f^ith u^ ^® '«"-g?» fi*«"es qui se forment constamment dans la glace son» in«„T A °'*''1f' ^'^"'°* °° '® comprendra facilement l'eau ne tarde pas à sa congeler dans ces assures, et cetto nouvelle glace se couvre de neige, mais le phoque L^tlo ! pendant quelque temps une ouverture libre en y plongeant sans ceswet Sonl^ntJr.^^'T''^"fl''?''^'l"*^'^*.° *!"''' f«t'oler en s'élançant à la mer «e congelant graduellement autour du trou le rend eodn trop étroit; il change alors sa position pour une autre près de la fissure la plus voisine. ^ l«nr« if.^«-'°^"/"R''''^ bien des ruses pour se saisir de cotte proie, mais la meil- <^JÎ1 ^^aa' f* f®"®."' '• den^obasseurs travaillent de concert, l'un d'eux ee couche enr le bord de la glace dans un endroit où l'eau est libre, tandis que l'autre reste à âfflînfT^ '^ T'^^' ^'1^!J°^<^° "^ord, là il gratte la glace à l'aHe de sa laroe en 6 fflant doucement; sous l'eflPet du charme que produit cetto musique sur lui, le pho- que, s il y en a un près de là, nage vers le son jusqu'au bord de la glace et reçoit Lm- prix de sa curiosité une charge de plomb, une bille ou un coup do lance. Baleine franche. (Balœm Mysticeius, Linn.) ««„«?^"'^ ^^ ces baleines seulement ont été vues, et comme loi Esquimaux les atta- quent rarement, je n'appris pas grand'choee de leurs habitudes. Il paraît qu'elle ne font que passer ici nour entrer nu aort''" de la h^^^ d'ïï-^dnon détroit*^ "* ^®"^*°' •'*'°**^ '® P*'"*^® "l"*""^ *'^* beaucoup de giwes dans le ■» i «. f ÏA . i- r le. ï^qaSmlXntTae IrTu^^ ?« ces ani.an, sur le rivage, et nombre ici, ils n'bé«itarent^JL à o2rnei un d« ««P"*""**' habitaient on pins grand kayaks, et parvena.ant quSSulu à en tnL IT;'--?'".' animaux Sans nours flottes. ^ "«iueiois a en tuer un à l'aide de leurs harpons et de Narval (Vonodon Monoceros, Linn.) (Uglungwar, Esq.) d-nster^reTutrtZî^ cinq pieds de longueur. Un S de «««l.- - * 5 9/ défense, qui souvent mesure trouvé sur le rivage les re.tês dïn seconj srSfnV'^? ^"" '* ^° '^' '"^f* i <>« * quatre pieds et demi de longueur spécimen dont la corne ou la défense avait Baleine blanche, (Béluga Catodon, Gray) (Kelleluak, Esq.) avant'^Sue'la gL?n^'tmrrà'"st?vtl ^"^"^ "^ ^« -»^''*- P- «- '« côte reau étoit libfe jusqu'à e^^ronoina mil l«« H P''""""' f *'* '"" '« =^« «'''". '«"qne a vu souvent dans l2 cour« H«°° ,A'°l^il'.'l'l" "^«S^- . 4 P"''."" d« cette date, on en Une^^r^^ne^h^bit XLTtr p^^^^^^^ P«*'«---' [«--ion de tire'r un animal facile à atteindre mais 8??^^» f ?'*'' 'î" "°® '"»'°'°e blanche est la balle ne paraît jam^sfra^Dr a uè V^^JtT\ ««^>°«^P^"»enté, la vérité est que Pendant l'été;* cet an maTau?Zn!t^îa« ,„'« '" ^T"""'^ V^^^ ^« ^" •'«•«i°e- ture, est poursuivie avec aX? parT Esq^SuP,! " considérable de leur nourri- OiSKAUX. Traquet. (Saxicola œnanthe, L.) •ves, le paléontolomsteda l'Prni«!-7^ nV . ^.®^' '* ^®"' «l"^' a été vu, et M. White- qui ; idKé touTiel oi8ea«tti°^^^^^^ et d'Histoire Naturelle du ornada, Pespôoe europé^ne qurn'avaÙ j^aîs ét^l^^^^^^^^^^ *^'"°*^ " """ '»*'« ^'^'^'^^ ^o qu'on le trouVe auGrtènland "^ reconnue comme existant en Canada, quoi- Ce petit oiseau, très vif, ; été tué après une ongae poursuite, le 19 mai. Oochevfs. (Bremophila Atpestria, Forster.) juillet.TuVoVr'la"d1;n?;S^^^^^ '^ ?««*« ont leurs plumes le 15 Ces oiseaux étaient très nombreux pendant l'été. Grive d'eau. {Siurus nœoius, Bodd.) Un grand nombre de ces oiseaux ont été vus. Brmnt de Laponie. (Ikctrphanes Lapomcus, L.) Arrivé le U mai. Ceci e.t le seul spé fmen vu et pris. Bruant, nu PauU J^ V-.-. . y n. . , . . _ ~ -^ -^ "-^"'S^' V^'-fj/j/ianeâ^iiyaàs) (Gopenoir, Esq) I 4 4 Ptarmigan de Rocher « /' r ^ Arrivés le 11 „.ai • «'ao ^ ^'''"' '"^''"''^' ^'««''»0 *" août; le dernier a I Ce 'ttois éc^ D'éi me petii H Tititi iponrait lonsse. . L'eic )» on lai On ti ll>»Milfic "ice. Le pi |nene,jfti liodei |an< I, ^u POI flnniM Je l 10m oii uraœttA-ç Birw . Deeœai juljlet,d'u «n «i va pei parurent partia • lU ,- tdl»parw/ ' '" '•• hq.) ni émigtw Tera ]« ,ud, 'idrent vers le 28 mal, et artont dana aea expédi- quelques verges seul». Oie de Butchm. (Bernicla Hutchinai m.,. . I l'un piège A reoard, oar septembre, on en vft nioraétéobwvéle20 ruMiok.) ant l'^të. Le. petit* '0 30 septembre. nous n'avons pu ]«« . , Ces cVeaox «ont «r,- ^ • '^ ^«'^A.w,; /î,,^^,^^, ensemble ddj que !>•« n'infère de c«« • ^" ^ """''' ^^"''^ ^i'^-*^"'*.) pendant un coup do venM "S"* «"-nVèrent io/ Canard à longue queue. (HAr.u. ^. ... " Un.) (rôs nomtreax. Les le dO octobre. •) ieoauxdansie mois .) ont été apportés en nn.) 'inga Bonapartii, Cannr^ A, r-"-'^ la septembre. ervé qaelques-une aoûtj le dernier a mr. œuft voisiLTi:*! 5°'îi'7?''» pendant tZ',û^°«^«'"'"'«- QP«goie d'oies de »au m'en apporta IMAGE EVALUATION TEST TARGET (MT-3) // W S// ^ >^ to /. .** .v A .^I^^ ^M% ^ z ^ 1.0 1.1 ItilM 12.5 lit 11:25 i 1.4 6" 1.6 _,Scienœs Corporation 23 WIST MAIN STRiCT WEBSTEii,N.Y. MSSO (716) «72-4503 %. V ■^ <> • '». '^ o «^ 18 Grand Plongeon du Nord. {Colymbus torquatuSj Brmnick.) Le premier a été va le 1er jain, et le dernier le 20 août. On n'a naa trou»* d« jeonea oiseanx ici, et je pense qae trts peu d'entre eux pZient iS. ^ * ' Plongeon à gorgi rouge. (Oolymbus Septentriotiali», L,),Coxzow, Esq.) Cet oiseau arriva ici vers le 30 juin ; on en a vu souvent pendant l'été ««r ir^w"''*"'"'*.^"'''°«''°»°>'^ ''•' !««> aua8 troavé de hq.) M. a d0 la haote lames, et tons aie il est pias etîfea nappes l'ils se prooa- lanes oisewaz te du rivage i apporté an leaaz ont été petit oiseaa l'auraient pa b de mooûhe, trdrent, sauf es joars plos i jaeqoe vers 1 voyait qae sars jours de des abeilles, de ooléop> re identifier èoea qae j'ai Va pour U dernière fois. 16 août. 17 août. SMOÛt. 4 août. 9 août. 10 août. 10 août. 6 Mût. k'A Flom. geanfe"dt;;rBseVr L^w^i;^^^^^^ '^XTdAZ "n^'.^f '°'^ ''^«-«'"P * ''oW- ma collection. ^"^so". «« collège Dalhoasie, à Halilax, qui a identifié toute spécim?nsTn?iv^ïulÎH:ÏZ;u^fsa^'Z'£^ '"•*•'* P"-««'.«*^*«Jenient sur des le mêoie sol, avaient ik mèmTeTpoaJtion! JiL "^to.'*°' '"^"^ '"'''''*' *'"'""'••»* «" Croiaiant dacs on lol trè» humide. Ji*nuneulttefe :— Rannncnlus niTalis, L R. bjperbjreuB, var pyginaeai Papavfraette .•— Pi apaver alpioum, L. (nndi- canle) „„. Crueiform .•— IJrabaaIpina. L.,Tar.... Uochleaiia cffloinvlis, L Ctrj/tphyllaefœ ;— Ceraitium alpinum, L 0. TuJptatuna, L Stellaria longipes, Tar. d |1S 1 u = (tMU, Rich%rdi), Lychnis apetala, L ' L. apetala, rar. affinis 8il«ne aeaalis, L , Houckenejra peploidei, Khr. ABtraKaJng alpinui. L. ... Uzjrtropii arctica, S. Br. Botaeeie:— Dryas integrifolia, Vahl. Potentniahivea, L P. maculata, Lebm ......... Babug ohacitemorai, L ... „ . , 30 jiln IS jain 22 Juin 26 mai' leriain 1A i»:.. nfi !f..f 10 jain 20 jain 6 jaill 2 jaill 20 août iO août iO 20 jain juin Onagrace» :— .Spilobium latlfolium, L..„„.. Saiora^rte : — Bippuru maritima, Hellen. gaiifiga cernuA. L 8. tricospidata, ReU 8 onpojiufolia, L 8. rfralaria, L S uiTallsT. S nivalli, L. Tar. B g. cae«pito.a, L ParaaMia palnstrij, L CcmpoHt»:— Krigeron anifloros, L Arnica alpina, Laejt Antenaarfa alpina, L Taraxacam omoinate, var. '> palaitre, Û. 0 l •I ..(B»*l'n'»n. B. Meyer)J Hattriearia inodora.Tar. nana 0 Jain as mai 20 jain 25 jain 2S 26 jain jain 18 jain 3 jain 6 jaill. S jaill. 22 août 8 sept. 10 jaill. 6 août leriept 30 juin 7 jaill. lerjuil 19 août2S août 20 août' C sept. 20 août 22 juin' 6 août 7 juin lerjail. 16 juill. 16 «ept.— Qaelquei feuil- iei encore Tertea. 20 jain 26 mai 10 jain '" mail lerjain 20 , lerjuil 23 juin 80 jain 20 mal 27 jain 26 mai 8 jain 1er jain 10 Jaill. 4 Jaill. 18 jain 10 Juill. 7 jnlll, 28 jain 6 août 6 Mpt. 1er 8i!'pt 2G août 1er sept 9 aept. 6 a«pt.— Quelques feuil encore vertes. 28 jain 6 jaill. 10 juin 20 juin 10 jaill 12 jaill. 22 JDia 4 juill. 18 jaill. 27 août 3 sept. 26 août 8 sept 8 sept. 20 acût 16 «oût 3 sept 26 .Mût • ••••■ la»»** 25 août 27 août 28 août 31 août 3 sept 3 sept 12 août 12 août 1er août 6 sept Liata dei plantes dans leur *>"'- ordre nature!. geon- oitat. OampanulaetiK ;— Campanula uniflora, L Eneaet» ;— Vaccinium nliginosum, L... V. Vitii-Idaet, L En r«aillM. Bn flsQra. Orainei mûrea, Oasaiope tetragona, L. Arctoataphylos alpina, Spr.. Ledum palustre, L i>lapeDzia Lapponica, h.!.".'.. Pyrola minor, L ''S j3in lerjuil, 16 juiniîS jaiD 20 mai lerjain lerjuio lerjain 35 20 mai mai 6 Juill.jie 1 7 joill. lerjuil 04péria aant août as août Obierrationa. 15 juin J8 jain 2S août aa juin 31 août Pyrola minor, L Rhododendron Lapponicum^L 16""m»i Borraginaccx ;_ J Mertensia maritima, Don hi juin SerophidaHactse :— Pedionlaria flammea, L . . P. birsuta, L. "."',!!!."!!]." P. Lapponioa, L " Plumiaginaeise .-—• ■ Armeria vnlgaria, Willd. 16 janr. Pohigotuieese :—. mla,Hook) Polygonum Tiriparum, L .... Smpttrattm :— Empetrum nigrum, J. Salieaeete ,■— Salix lierbaoe», L „, 33 juin 1er juin ierjuin IS mai IS mai 33 juin lerjuil 1er juil 10 juin. 30 m juin S août|lO aept i •oûtllO aept Lea feuillea reatent vertea I pendant l'biver entier, le» fmita ne tombent qu'en printempa. LeafemlieareateniTertea pendant tout l'hirer. Le fruit de cette plante eat mangé en grande giantitéparleaKaonim. . Quelques feuillea i«iten ▼ertes pendant rhirer entier. août •ofit août 5 juiL 25 août Bjuillet^ia jnil.L août I 3 juill. 12 juin. 17 Juil 33 Juin S aept. 14 aept. 8 aept 5 aept, 6 aept. aept 10 sept >S août 25 aoû> Juneatt» ;— Luïula eampeatria, 8m. rar (eongeau) .„ ^" Cj/ptraeeie f— g»"\*»P«n», Sw S"0Pi««m PalyaUchron, L BT«ginatnm./...„ ' ' "^ Oraminem:— Po» laxa, a. Br. fi3SKSirtev.r-""|^"sïi môiw"«'''p'*^*"'».^«-; ' ^'^'" œoi e, A. Or ^1 In juin , 18 août «out(2o août •oûtlso a»' ' 31 uv;. ^jj II aept. joil. 1er sept 10 aept. 10 aept Mûtl38 août B aept, Lorsque cette plante oat à l'abri elle reate rerte jusqu'au 90 septembre. 12 juin 10 Tuiï ii" 1er Juin 15 Juil. jg 16 juil 10 luil 16 Juil, 3< juin IS juil i août août août aept 8 aept. 1er sept 10 aept. 1er aept 8 aept. •oût 8 aept. iJOMpt-ûuelqae. feail- I lea foat enuoré Tsrfes. Obierrktioni. «feuillea restent Tertea pendant l'hiver entier, *» fruitg ne tombent lu'en printempi. • renilieareateniTertes wndant toot l'Iiirer. fruit de cette plmnte «t mangé «n grande 'lantité parles Bgqaim. slques feuilles Nsten ertes pendant l'hirer suer. ue cette plante est à m elle reste verte lu'aa 30 septembre. -Quelques feuil. nt eniior» rerfes. I 81 LiSM DBS PLANTES— An. Liste des plantes dans leur orare naturel. II Wit«n (Lastrea) fragrams, Oyatoptoris fragilis, Bernb ... •S a H ■yoopodium seligf , L. fucus Tesioalosui, L Laminaria saccharina, L Alarla Sp., possiblj A. mar- genata, Fostelîs and Ru. preobt- Cheetomorpha Piquotian^^ Bhodymeaia palmatai^LÏ.'!!!;. PtUoU serrata. ..^. 1 uiT. utissima, L ! ::.:;::: 1er juin. 30 juin. a O 1er juin. 30 juin. T a, Q Remarques. 10 sept.— Feuilles encore vertes. 10 sept.— Feuilles encore vertes. NOTES. «ignetr^TSrrïïW^^^^^^^^ —- ent à tnontrer des de chanS^A°s^ïfpUnter'^'^''^""' ^ P- '^ P-gr^«. «t l'on observe peu aprWtedîtfp'etdrp^SïSs'r^^^^^^^ '' -PÎ<»- P'-ogrès, mais un ohangemeot LrquéK^rïïui? °°°°*''°'''''°'« j"^"»"'^^ «lors lenw^ïî'rs^'nilStefafnn^^^^^^^ ^' »'>°^«»«« fe»>"e« depuis que premières nuits froX. A pXnTt>S****""°°P ''°"* ""«^^^^ ^«^t«« Au'îui sontjes feuilles en bie^diS^^îeit^^^^ **1P*" «« dlpéris^ elles en aatomn« dans les latitudSs Ss élevéïs *^" "^"^ *»"* ' ""^ observe oher tempï"prSrii?ne t\rtel%a«1eTn'!i P^^« *^«* P^^ ^--^. «» tout éloi«.é£ d'une distance SpKurï^entSde^i^f^^ '*"' lorsqu'elles' en sont ».ent!tV^et;ra^^^^^ P^nr beaucoup, ^.'dem- souvent s^ttrouper .ar les fleurs de SctnT^Tnil ' ' *""" °° P*"** ^^^ ^°'' uneirnn^\"ïôsiîio'^KyïïS^ri^^^^ '^^ «-"-* dans de jardin. . "« 7 semw aes pois, des épmards, des navets et du oresson les énYnSit'ttîîSnS S^tL^""" ''^'''' ^^^^ ' '"* ^^ <^« »«-. -^b cinqîSulStUtSr^&ql^l^^^aî^^^^^^ P°" — -* navets et le orwson. ^ ^ *^*" P*» °o o*»»n««ment perceptible dans les 166-^ Tt^lle des Esquimaux. ^, ^ F. F. PATNE, Observateur chargé de la station' de la Baie c^ Stupart, ^taxde au service météorologique du CwHida. KAPPOfir DB KOBERT BELL B A «in irn tt r. LmPLORATWNVÉOLbGifeft^-bl'^^^^^^ tai»e?rSTcÏÏt!fi\^^^^^^^^^ «nivant touchant oer. «n 1886, BUT le résulta d\ 'examen de^^^ ?°^«y*«à la BaiedSud?on même ou qui m'ont été remis ïïïrS'aîiri^lnT*™'' •!?« J'*' «>llectionn™mo° r*J«P*r.' «" l'expédition «TlSsî otTsSS au eSîet TïT ^JÏf' ^.°^^« *° contenue de cette région qui possèdent une valeur commidïleî ^*''°*^'^ ** *•*" minéraux J'ai l'honneur d'être, monsieur, Votre obéissant serviteur, X© lieutenant A. R, Gomok, M. R ROBERT BELL. Commandant des expéditions à la Baie d'Hudson. tes pendant le reste Csqaimaaz pour oeax bottes et des ohaus- >uoe. lei. Poucei, <^ Stupart, ^du Canada. )IBBCTBUfl DB A. Ht touchant oer- la Baie d'Badaon ^Ilectionnés moi- iite au contenu de I et des minéraux :rt BBLL. 83 wuf quelques colLes que 1 "n rêncônSe de «T.'T ^î^ "J"*^ ''» '^'' ^^"t ^^^. au dnft probablement, et qp'il nwTvI!]\!u^ïl - *"*'"*'' *'*'°*.'« formation est due par des couches siluriennes preBouehîriiZai "''''\?°.^, «et intervalle soit occuS base de la région située entreTSre S; ':/ f«"^'«^t« t?«"e8 qai forment^ Bequimaux. on dit de la roche fixe en beauiouo L'ensemble de L spécfmeî/do Jche^ni ol^î^fT'"!" «* OhesterfleinS sur la côte orientale do la baie Lee roche? fïrnn'^* Man.tounuck ou de Nipigon! tiennent les minéraux ayant une valenS,.* "T'!.'"'®* f*"»' ««"«« «"^ut qui oon et de la baie d'Hudson S de Marbre «n hÏ*"^*'"°' '* '^g'O" des Grands Laî. B'agit ici. a été explorée til8Me?SiV;±;2"^^ cette partie de la côte dont U dont j'ai parlé dans mon rap^rt Jour 1884 "^""f^^^ de quartzites blanch*treB géologique d'une côte très étendue quTZme?ded«li^^^^^ """T PO»'J°g«r de l'état XA «\*?'»*>/»'^ digne d'être^xEe avec Z '°"^'*""''' *° P"*''* ^« ^«« couleM^^^ argileuse dure etde dem^ransparent, optite rouge de moyenne textufef^«-»'*® '^'^i^^' ^°**^^ "»•»« à diorite gris consistant en felfspath de Sulenr n&lï «f '/^"'^ti^^".' ^ 6''*^° «° P«« An. distincts, lui donnant une apparence m^S- a® ^^^^ «° Petits cristaux «histeuse à grains fins, diS?rooh?ra;^l«fd'f«?J^^ H^' •^°"«' hornblondî dégénéré eAuartzite'et ciantdeS Cents cFlr^M^ «1? gris à gros grain, quartzeuse blanche à bandes compactes aveJSïïil ÏAfl^ Bohistenso rouge, roche unes des couches, quartzite légère reaSmbKàcelîf de ffi ?" î*,"^ ''"«'<«»«• hornblende cristalline, diorite consistant «nfAMo^tiu il '® **® Marbre, felsites grises, cristaux de hornblende d^co^r fôÏÏe ° Sf P?^^^ «'«c de^longa* grise et de quartz, dont QueiQuescrcErLiLK?^?^^^^ de bandes de hornblena» différentes ^spôcei micaJchS erhornbleTdeTn^^^^^^ ^'''T'''' '"^«««WBtes dj avec cristauy de feldspath couleur de chair et hÎI fl!-^' ^'^^7^^ *""»'«" «'••««olat We rouge avec f^ctSre terne, ïïès dur ^^1^12^%^^!^.?^*^!?.?^^^^ «™»»«te, "~ ::; -■T"" "° «"B'ear loncee. ganjrue de quarts a~i» ds ti^"?.. _*'.?. '"'.""^ " »■ nn peu de schiste verdâtre e*,t BitaohA â „ a . „ ^ S"P"fi"««- ^iJans quelqueB-nnîs des rSÔn« Hn '* ^"«Position sur de^raîde élevée ceçendant, commS dans les comtés do Frif P'^' occapant nne Jalimîé plw Argejiteu,J, quelques-unes de ses suSons^^nl*"'!"'*^"""^' ««"''«"'. Ottowa ej des distances coDMdérables par leur péSe^^r!*"* **'"® 'eoonnnes et suiviersur leurcaractére.-pjr;^:K\S5îJ--5««q-^^„ nr andustrielle se retcontrent. tels oïe lt?Ll°* '*' °» "^'•««^ q«i possè- .5'' j "J? ^*'^'"' 'uuuBirieue se retcontrAnf 4»io " ~i '*'"' '"" «meraux qui doshà. là auEBi nous observons beaucouo de minArL^v^ • ,*^® ^®*" «* ^» Phosphate de cbanî • les masses tordues de ^nei.s donî H a été Que^t^S' " °? P"" ^î,^ «^«««-v^^ encore parmi de tous les "jtéraux utiles ■qur;e;7ertïtré?u;é;/°"'°*"*««- ^-fti^enT tés auz membres de lî^xïéditK^^ pho^ffaute de tent en abondance. LesCe^rw L'"** f *"«^ de« environs éDriilni-iM j«»„ 1- ,,-*"°s"«'S8 le Jonirde cette nnwiii a^ i„ _î „, — «.«•MUA Ul chaux, ont été apportés aux membres d qnidisent qu'ils existent en abondance yr/ir"""/" °®« indigènes deuenvironR diffL^n""''""' ""« '•^««'arité to la dir^tifn de r '7« ^" ''«"^ P*»-"* ^o il riJJ dans le nord. ilvlutlïr..'Z^T'^'''^^ *°"<^« ^^'on ne rem B.l île Turenne. «l«mau qm i avait trouvé sur la terre ferme ^____ ^^ uiaujoiiro H eie ( * 'jw'*^?""""- - - -. .. .erre l.rm. des snecimenBH'n«« ««-...•-- . ^®nnant, de Kincr's r^]u^^ t„-j. . détaché de dolomite me a été trouvé sur d do la Puissanoe, aéraloment tordu et ion 6ur de grande : nne Jatiindo plaa Renfrew, Ottawa et nues et suivies sur t l'individualité de ninéraux qui possè- rislallins, les miné- OBpbate do chaux ; orvéa encore parmi détroit d'flndson, variétés plus inté- es. Des spécimens le phosphate de ÔDes de« environs 9 partie de la rive es couches, et des pas généralement • de sphàned'an nr la terre ferme 1 de calcaire cris- >mmune dans leS' lu Goulet d'Ashe, îinéce spécimen, îlinique et tricli- >t, et l'autre un t. torr d'hudson. 'une petite veine tn de-Rivière à la Le Dr Harring. de l'argent lors- les quantités de tredont l'île au elqaes milles an te ijord-ouest de I et oristallines- 9 veine. L'ami forme une corne ' spécimen a été Géologique, et 3. don, a examiné t)e'8 Wel corne," est du " quarts 8 la description localité, je suis ordinaires qui on a Êouvent veine comîo-éo d'un mf) "*'î '^'* '^'"'•"o 'J'«Q «ri^ verdlT,! r?> ' f rr" '"^"«"e ,,„ ^e gno.ss près de la station d'oKa ?'° *^f''ff«nt à la tonne do 2 000 Ibs nn ^nes 86 plus nombiousos on certaines Htti«nn« m*i/««!i • ^*" ' "* ^^ 8'"c« fl'>ttanto sont peut «ouvont en clS pTa« Sn cl 7 I'»^"^"'^^ complètement. On «•arrête A considérer le voVmo do chaoaî t t • " P""^ '^u", ''"'r''"- Q'"*'"* »" leur descente ininterrompS^n no Seut rnSnoZ dTnT r'^^'i^^'^r'"' *'*' «'"««' «* aue inconcevable do glacb qui ohaaur annîfl«?f LII * frappé do la quantité près- du golfo. Que devient c?t énorm« vn?.?^ ^ ,"'"®,"*S '"' *''°"*''°' *^«" '« <>«««•»«>* nner, jusqu'à ce qu'une forte marée on do Iî«nri: Ji«/ '^ *'*' **"' P"'aître dimi- mettoit do continuer son voyïgo '^''°^' ''"*' '" remettent à flot et lui por- au di^sVuTÉo" Fih":''fe\'^^^ -;. probablement de beaucoup froide, ot lot.in» ]. temps eet én.i« on noît dSnS^iî , . h?°k '"'■«'', "™" ^'f'" température do l'intérieur drbanfrbisen^mmf^^^^^^ retiennent encore la et 80 brisent successivement àZ^oTusan'À^^ninlrr '"' ""^'"*? >°fl"''°ce8 «te multitude do petits glaçons flottaSÎ' iSr^l^ «n V ^f""^ '■* °"*''® «'>•<' '"^^^'^e à entourés d'air chaî?Aif8iSerBr.îoZrï»/H''^f\''" *'°"'''*°* ^'«"" «^'^«do et férencedestempératufes et tZe trace ^ continue grâco à ladif- disparaître Afin d'armrfltVrn ««i * "*'"' ^^ ^'aoe doit nécessairement bientôt entendre de toutes les parties de l'aînaH«mi; A """^ distinctes, que l'on pouvait bancs do glace sont Tae'^^îuifois rLcTtrés^^^^^^^ ^^ ^^' ^^' ^^ peutsuggWqn'ilsLtdÛêtraî^«t««wr««i.A u X '*® ^®°'' ^""**® ordinaire, on Ses côtff de TerrenVuve, jusqiVc?o1t leur S^^^^^^ °" ^" ^f «'''^'^'^^ ^«^^^ P»"*» 87 viniblea do8 naviros onviron donx mille > gluoe flottante sont a oomplàtoment. Od ^aÎHBoau. Quand on a banoH de glace, et I do la quantité près- taot avec lo ooarant tout lea marina vodb irant d'eau ohande. e a'ôtro bien ronda in'oîlos frappent les obi de changements de leur voyage vers r ou do Torrenenvo, sanH paraître dirai- ent à flot et loi per- mont de beaucoup aciors des régions ure de ces latitudes it les court» hivers ) largo zone d'caa bancs A proximité rapérature A l'aide ail est accompagné loaphère. Lo cou- IX no sont proba- glaco, enfoncé dans ktivomont, dana le sont chaudes. La iatcment, exposant 3 colle à laquelle il 0, faire fondre la é par le haut doit 3n do l'eau chaude, iennent encore la mêmes influences isse soit réduite à d'eau chaude et inue grâce à la dif- sairement bientôt no basse tempéra- érionce suivante à ) livres qui avait 5" Fah. fut entré ï protéger contre ença à l'instant à que l'on pouvait m dn fait que des lite ordinaire, on [rands vems près m peu élevée, et portés à mi-océan dû rùuLes ont été ace dans les figes géologiques nncions, ot ano cnHn notWr^ „» paraiH.ont pu. toutef;iH avlir Z^^.SZLTllV "p"'"'''' .^'^-r'^^'-Iations no observés pendant les deux voyagorauHmentioSÎr ni ^'"''"' '"" """«hroux h.nca qoelquo matière étrangère ou mô JdeTtaïhoH V„ "''*""'°''"^^^ P"'-t'"ont fréquent à l'entrée du détroit d'Hpron nue nlSa" lofn ? T^^^ï^ •»"« ^««' ^^^^ Pl«« quoique matiùroaemblable, elle deviond?aitÎH?blLT»»n T'' ^' "" '"»"° «"""-^'«it do la glace fond soua l'action du «dèu rmoanie „„'„N •'''"'°*'"*' P'"'<'° «l"» '« «"faco avait, elle devrait être perceptible nar loTamn- ^ ^"«'qSî e transport des rochea^détacwirou de la teïrelTtTrS TJ' "" ^T P«'" '*'» '^^n! lee temps modernes. *"** *""' ^P"^^»* ' ^poqno pliocène soit dans V^-'^^^n^T^^^^^^^^ l'occasion de l'observer matières terreuses. lJs tefros du no Jl^^P^ "mportant pour le transport dos «.er qu'elles offrent une imme^e Ce do côt^s S'T' ''""'"?"' '^'^"'^°« P»"- ^ énormes quantités de glace oui encômhL il • ^*'*" ^«^««"'so '« formation des où les côtia sont élevéS^t r^a°ies TeT von s bSIvI nt "" IV'^'^^P'- ^""h ■«« partie petits fragments do rooho sur la élaco C^i^^ T . ''««"««"P de terre et de tent de plus gros débris arrachés dosflancS 5e mnl^""^ '* ^"^ avalknchos préolpr- Kit à leurs piods. Ceci ae produirsurtout dan«T„ ^^^'^ ««^--P^es sur la gl'ace qui du Labrador. Au printemL de a Co dr^"»^^ -'"^ h"^'"^^ ^° ^^"'^''^^ "o«» ces glaces par les torrents Lmés par R, nïo^des noi^l 7'*'"'''" '?"' ""^'"î"^" «w fiamment dépgé cette glace du rivace la nilmir^''^ ^^""T" '« «°'«'' « «uffl- Jes baies où î'ean est peu profonde et les 1^1^»/. ^'^""^^ ™*'"*« l'emporte. Dans g acos qui y arrivent ^pondant?automne et ïéchouonf 'a.^""'"" '".'"''« ^ U°««^«. '^ et la vase qui se cimentent par la «eMo sur leurs hord " "^«f « «'««corporent le sable nue à mesure que ces glaces aneE«nf ,1^! Tf-l ' " ™"i;^^ ^'»8«®' «'cela se conti- surface s'étantlondue, toîtroeKaco i?^^^^^^^^ ^^T'- ^"'"^ '« "'"«" ^e l'été, L complètement couvertes de vaïe do sabTo de ïlli» "T^P ^° °«« '"'"'l "'«'-'« «««t aussi des coquillages et de8heKmarino«'«npn^,T'" ''^ ^^ P'»"». OnVemarque ou moins de poussière, ce qSi leurdônna XTn- '*"°'?''' ** ^^''^^'^ o"' ^eçu plu* grisâtre. Lorsqu'une banquiîe oit eoudahielent »ï„"'"u""?. "'"'""■• branfitro^J devient de suite ezcessivemon^l S ^0,^^^^°'^"' '"•'*" «''"'•« ^« '* »<«• agent beaucoup plus important . i .?« tr^n. .''«"^"'«e» paraissent donc être on tagnes de giac?. '^Qud^es persinnL sr^oTiL^- T'^'"^' '«"«"««^ 1"° '«« ^on° lisse des roches, ou* l'on re£arnnn «n„^!«r ™''*?"'^ *"*"«' <1°« '* ^««-me ronde et arctiques est dûe'au ZtlZntTe ZlVZlTZt' r ''''''' T^^^'^ '' «« "- peu près dénué de fondement. Lorsouo llXi 1^ .F*"'"' P*""*^' «'™ «"«o™ à rarement bouleversée par les Vai^uéTa ui'f® a amoncelle sur le rivage, elle est ruban déglace co^par^ativeSétroh .Um ' Je\a^^''." •'"' «^P'àtemeut sur an du phoque ont l'habitude de chercher 'un abr? 3an« L^f f **"' "'*"* * ^* poursuite ont pénétré à quelque distance iU».!nnl^Ax . " ?®"® ^''*°°' «^ q«o dès qu'ils v poussées ot ne* s'empilen pas sur e Hvil ?' '° '^''}^\ ^'' «'«««« "« sont jamafs devant elles, commeUL^produTtavoriîs'S^^^ ''• .^«'"«"^ «^^ '« ♦fravier du puntemps. Au contraire, elles^wralLnrrfnZr 1»^' •T'*'""' '"'''* ^«« «^^^'««'«s la rive. Ceci est probablement dû aï Snn^r *™«q«'"ement et sans effort sur ixarties donne beaucoup dïKicilé A Ta ILlf P*,^! **"' *'^*«'« «°t'« '«« différentes B exerce rarement d'ailLrcoSi^varnttt^^^^^ 't P"«^'°° «i'» de la'^Kr ?a.t th^ rx°K^ri^':^^^f ^^^^^^^ couraot, qui atteint quelquefois une a. an^„.I^-?^* forte, augmente la vitesse da tear lo fait qu'il y IZut .le vitt a^ H ^^h"""''!""? '"P^" '« '^ ''' "'*'"'>i'-° d" '•««• do coapo« 'iSsomWS^i^^^^ZflS^^d^ do.Kran.loM .téproH.n.n, on forme qui Béjare la baio do ManitowaDZ 1^^^^ 8'oHt accumulée uu fond do coh rUnrl!«i^n °'^ ^*"."^" ^<' '"•^'' «""'s '" terre qui puit. profond, prl!;:l':r^r:nt\^^^^^^^^^ -»>- «1-. -t..nt de L NOT» Oo«0.aNANT .A NOXRCKUa .XTaAOBO,NA,B. ,, 29 AO.T OANa X,A BAIK BX t. DÉTBOIT D'HUUSON. da„B^a «;?; d;"2%^a?û?L;±a TS"«f ', '" ""'•''T^ P^nomenalo qui sV.t produite station n^ 67mSrr nSialt c!BUe° nl„r r' .^"P-f'^'^ »»^ l" >■« do Diggoa. dont l'eau oU haSuemen^t oS^ «a 8t.tU,n. noirâtre. Jl connorva poZ Li Tean au' ^^lll; T'^'lr^ T '*'* ^"' paraiBsait contenait ÔK de pouoo i^» plaT tomKanl S L^^n"""'* .^"''V''? "•^°'»^t''« ! il eau, qui paraissait comme iroubéenarllTmir^T'^f"''-™'"*^ P '" '»'*«'• Cette été examinée au micro.coDo et «nn^mU à .? ' i*"^*"* ?°* teinte juune-verdâtre, a microscope elle fourmiLt de lî^yiS^ **'°" ?^.o'?«'°ni»q"«, «baux . temps Klé^îfuKrSC ''*'"°°' "" ■"""' °f** •*""' '•"» ■'«P»'» '• 81 vo auo lu mômo cho«e ' A la mémoire do l'an- t -te marée chaque annéoZii.îsSrun trouble ;^^^^^ ^TÎ' ^r"' J'*' '"'"""^'l^'J l»'**!'»* ou ?o com.nonctCn * Hatimîn? toujours Ho..tir dans loTbôi^Z lïttrL r«rr*''i'*'''!' ^*Jl" V^ °""« ''« ''•^««"°' «« f^i' du Labrador n'ont ThvZ' a^ln^l^L^ Z ^i"* *^i ^^ »''ntérieur do la péninsule trois jours plus ta.d ^:!:^^^is^t!t::! ^x i:^T}:s '-'' ^" LiSTï Mi PLANTM DI l'Ile NOTTINOnAlI, DÉTROIT d'HuDSON. néta par le professeur Macoun, botaniste de l'Exploration Giologif^ue. 1. Ranunculus nivalis, Linn. 2. Draba Alpina, Linn. r I? 4 ^° ™. ^"■- «'«ciatis, Diokie. 4. Entrema Edwardsii, R. Br. o. Silène acaulis, Linn. 6. Lychinis apetala, Lynn. 7. Stollaris longipos var. Edwardsii, T. & G. «. <'0ra8tmm Alpinum. var. Pischoriannm, T. & G. 9. Astrag:ilu8 Alpinus, Linn. .*.«-»• io, an r-aarAtn^., T :-_ 12. 18. U. 15. 16. 17. do do do do do do caspitoéa, Linn. rivularis, Linn. cernua, Linn. HirouluH, Linn. tricaspidata, Retz, lo w . ; aizoides, Linn. ia ^P''o''ium Intifolium, Linn. 19. Erigoron uniflorus, Linn. 20. Crysanthemum integrifclium. Richards. 21. M..tr.car.o inyo uera, var. nana, Hook. 22. Vaccnium uliginosura, Linn. OA S*"*'^0P« totragona. Don. 24. Pyrola rotudifolia, var. pumila Hook. 25. Mortoosia maritima. Don. oî' ^ o"'"""" birsuta, Linn. 27. Polygonnm viviparnm, Linn. ia ^*g"» digyna, Campera. on *"?P«t"ïm Digrum, Linn. 30. Salin arctica, R Br. oo* c^° horbacca, Linn. 32. Salix chlorophjlla, Anders. ^d. do roticnlata, Linn. 34. Luzala spioota, Deav. ^6. Carex saxatilis, Linn. In è'°P>^'»'""8 AIpinuB, Smith. 37. f-eetuca ovina, var. brevifolia, S. Wat. 80 38. DnpoDtia Fischeri, R. Br. 39. Arctagrootis latifolia, Gris. 40. Tnsetum sabspicatum, var motle Grav 42. do arveneo, var. eeritimns. 44. l^'tilota serrata, Kûtz. KOBEBT BELL. ohargéV'nf^îrVri;;?^^^^^^^^^^ ne suis pas navigation peut être'îrofitabTe "e KtSrZ fJ= '' ou de fair2 Jnaître SJue fixant les limites comme ie le fairnnS?w- P^/f'^^ «on plus, en en tellement dans le détroît dIub tÀt'r?n h- *'* ™P0«8 »>le à un navire d'entrir ôcca-ion clencieu.ementétudinanWtion^ëil«r'-'' P'"« *«'^; mais après IvoTrZî navigation Pent, dans les alntsanSs^C.rJir'^^^ P«»^«»* laqTelIe la K-'f ^r '^?""' «idessous, non pasTerSant Zr H^^^'^f comme praticablerest toile pende frais, connus commiinétoUsouffîomKv' 'u®**"?*" ^ *"'•«* construits à ^ram;,,), mais pour des rMivires i^^LZ? *^ ^^«'^^^^^ de l'Océan» fOcean manière à pouvo^ir rfoisîJr auTXcCfoT JS^T .^'""P *°"°««". construit; navires doivent être d'une g?anfe sdiJué A îa^;; ^^'^'^ "" *''"'«P^t ^u fret cS 1 extérieur et avoir beaucoun d» ri^A™ ÎtJ 7?°» ' "^O"" «n doublage en boia A |ett diamètre et être proat^ntiKusS^^^^^^^ V ''^'"^« de'/ra'avoYr^uî 2,000 tonneaux, parce qu'un plus eros vS».? T' ^ '"dique une limite d'environ pas ..usa bien dans la glace flSnte Jrlf» vT'* P«" maniable, ne maroheïSt pins petit navire évitefaitrpîîce Sïil îo„rraTl- ^'"T''^ ^« «°°P« vioJenîs qu'un . Je pense que l'ouvertûfe de l5 t>L?-^" P P^'omptement. ^ viors do décrire pourrarêtreTSflo^«HJ^i^^^^ tel que celui nue îe tion et du mouve^mentt ll^^lî ef îltt S;n'o"inn/-f"?- ^''' déjà%arlé de lipoi do a KUKou peut être fixée virs la î»rem{A«c '"".t^'e de me répéter fci. La clôtore de Ij.brôdo (vieille glace) du détïoFtTl! T"'^^ d'octobre,*à cause de ladSte fréquentes quoique de peu de durée "P'dement, et les tempêtes de neige sont --.. .v^„,^u« aans le cas du " Furv " «t rf« » Ûct Y .. ''"'"«'s « l'Heure, et j'ai delà courants sur les navires est incertlfn fiÎL h ^®*''* ''^'^^^^^ l'e^et produit par ces emprisonné dans la glace, j'îiTa^é;; fSre uÏLT,t"r.°î J^"»^ «"■« ^° "^^EmèZ Jjes^^péronsdeglace entredeux eïui-lrus'^^^^^^^^^^ 91 ROBBBT BBLL. S LA BAIE ET LB Hudson, et soignenso- >rmation et le moove- Bonmettre le résamé eqneje ne snis pas ire connaître si cette «, non plus, en en e d'entrer occasion- s après avoir oons- pendant laquelle la le praticable, est telle I à fret construits à le l'Océan " (Océan 9aux, construits de ansport du fret. Ces ioublage en bois à lico devra avoir an une limite d'environ ■ble, ne marcherait nps violents qu'un ment. ^ue celui que je >jà parlé de la posi- er ici. La clôture cause de la descente 9t du détroit ; cette de glace flottante, arties ; un navire, le glace, A cette tes de neige sont navigation dans le l'heure, et j'ai déjà ffet produit par ces suis vu moi"; P" '°'^°<^*'°° ^*°« ^" ^«'«««a» en moï' 5^°'^^^^ T "^ * °*!"«^ '^^ corriger ufe eieur dV/ét du! Liverp(iTet1adJd'Knn '»"' '°' °Vî''T° «° ^r faisant la travereL entre ^St^J^^Sé^S^t^ïl mZt' "* ''""'' "^ fonctionnerait pas à so! beaufounî;^nKH°ÏÏ*™ "1"^ '* "«»^ig«tion du détroit d'Hudson est d'une difficulté Kde^la sonde et A ' i "^^^^ ^^ ***°S^'" «^onsistent^dans l'usage inces Arpentage. 92 permettrait la continuation dea trA™»- a» BaisonB et rendrait l^^^m^I^mS^l^^'l^'' P*"***"* "«^ o« doux autres ltenede8côte8;onpomSS?aS2do5S;LT°*^ Pour reconnaître facilement 5 ti3miïé ouest dû Détroit, où ïïfi»î& î^ ^?^ considérables de sondage à l'eï navigation. '' **** *^ wndages seraient d'une valeur inappréoiabft MurTL - _ l»onneur de présenter, sur efforts pour me conformer à nratmna ^Ut! i i "cation. ' " "* «onaages seraient d'une va iMtructions, et 1 wfn dï ;4;„C?r ^°^ T' ^®>^ •bation. ««men des résultats de nos observatio les ^ „ vos instructions, probation. Le tout respectueusement soumis. Par votre obéissant serviteur. _,_.„„„.«., jjuur (Qo oonrormer a observations, obtiendront votre ap- ANDREW B. QOBDON. ■*4« pour me conformer à \B, obtiendront votre ap- B. QOBDON, . PBxpédiUon B. M. '^'^"' 94 TABi..AuI..-BéHan.édeBobBervationsmétéorologiqaeapri.e8àBelle-l8le, Labrador, M isesàBelle-lBle. Labrador. I I«t. 51° 53' N., long. 55° 22' 0.. depuis octobre 1885 jusqu'à septembre 1888. Broaillard. 96 Tableau IL-Béeumé des observations prisea à Port.Barwell. station n- 1. du 1er Bwomètre. Mois. 1888. Oetobra NoTcmbre ... Dioembre.... 1880 JuTier Février. Mân.... ATril...., Mal Jnin . ... JnUlet . . Août Saptombre... e a a I I 9 'Si S i o 30-838|30-313 3* OOal •454 29' 707 'SOi J 3 3 o I u a E 28 '918 a9-360 a8-70« 30-034 •7S0 I 29-8a3| -OIS 800 Année .... •940 •861 •770 •783 •703 •782 29*840 •M4 •230 •244 •106 •106 •174 29-210 28-479 28>75S 29-244 29-429 28-863 29^449 29-219 29-204 90^422 29-070 I 1*394 1^094 1-898 1-S36 2-636 1*813 1-260 •801 1-381 •667 •887 •970 1-362 23-28 4-80 -11'48 —10-43 — -12 14-64 28-03 36-63 41-66 40-68 32-62 Tempéntnre. 3 "a. S 2 o j 9 eu m 2 o a is 29-99 42-0 36-0 33-6 17-8 27-8 36-3 89-9 47-0 46-a 66-0 67-4 46-6 18-13 67-4 16-6 — 6-0 —23 0 —31-0 -32-2 — 34^4 — 12*4 10^0 29^0 31 •O 31 ^8 27-0 I e « a S3 18 -83 I a I 86-97 33-90 26-30 — 22*70| 8 32-60 1-83 26-84 —32-2 12-93 36-48 33-43 34-60 42 07 40-68 60-70 64-47 41-92 64-47 I à —2806 -27-43 -20-67 -6-77 14-76 32-33 33-70 36-06 80-06 —27-43 -6-63. -4-11 4-77 18-49 31-76 38-66 46-84 44-64 87-84 23-29 28-00 18-91 f o 0 4-60 6-98 — 1-96 10-82 —18-14 — 16-97 — 6-63 9-7» 28-68 33-14 36-82 36-69 33-41 14-82 12-61 11-86 10-30 8-70 8-07 6-61 8-0» 7-85 4-43 8-47 ell, 8tation n" J, du 1er Vt are. i a I o a 33-60 28-00 35-84 18-91 8-86 06— 8 -68 '43—4-11 871 4-77 77 18-40 81-75 38-66 46-84 44-64 87-84 13 33-39 — 1-96 —18-14 — 16'»7 — 6-63 8-7» 38-68 33-141 86-83 36-69 33-41 14-83 I c 4-60 6-88 10-83 13-61 11-86 10-30 8-70 8-OT 6-61 8-0» 7-88 4-48 8-47 ^^^^^^^^^rrr^ -091 89 8 ••••••••a,*, 13-2 131 861 33-3 -196 91-8 33-3 •814 841 36-8 ■*" 84-4 372 '146( 84-4 SO-4 18*-.7 98 Tabliad 111. — fiéaomé des observations prises aa Goolet de Ashe, ' Observât ear, Mol!. Barooidtra. 1885. Septambn... Ootobn NoTcmbra ... DAeembra.... 1886. Janviar. Février. Mars Avril. aU *9—m ••»•■ Juin.. JaiUet Août Annie.. •Septembre... a S g- U-763 803 socea 29-667 30-004 M '824 ■889 •982 •786 •811 •781 •669 29-837 a»^604 3 m a "3. O 30^ai •36 •41 •17 •86 •96 •70 •47 •29 •33 •10 •07 30-96 30-Oe o I .S o 38-76 29-41 •57 38-61 29 01 28-60 •99 29 61 •27 •13 •46 •11 ?8^60 38-96 § -3 o a 1^46 •96 •84 1 56 1-84 3-36 1-71 •96 l'Ol 110 •64 •96 2 •36 1-08 e a a « I 33-68 26«64 13-61 - •U -19-34 19 27 — 7^96 8-37 24-64 36-62 41 08 40*23 14-766 34-51 Tempémtnre. o ►• o "3. o 46'9 36-1 27'8 29-8 6-4 16-8 22-4 28-8 38-3 46 1 36 0 66-2 66*3 40-7 "S. JS S o 21-7 11-7 — 16 0 n — T» •33 u m « a 1 si s- a 4fI2 32^87 24-36 —26-8 23-08 —33-2 -38 1 —26-9 ■16-0 2-8 27 6 32-8 309 — 38^1 3M 3^52 4^33 16-83 26-32 36-77 41-38 47^33 40^63 49-63 38-08 26 66 16-72 ' 11-22 20 93 29 02 34-62 23-82 9-66 9 26 3308 36 03 36^63 — 34*62 32^73 8 É 87-43 28 66 18-41 6-66 -i8-a6 -15-24 - 164 12 90 28-63 41-31 46- 56 44^79 19-41 37^37 80 19 80^70 7 47 - 5>I9 - 85 29 - 35-44 - ie'37 l 71 19*17 31-58 85^V2 34*61 906 8f75 8 S9 les au GoDl«t de A»heJ ' Observât «ar, 1 rature. ï W?tÎ;k\m;" W" ''''•- '' '«P*-»»- 1886.incla«ivement. ;s Moyenne dajoor plu froid. i 1 s ai i 1 1 2S 56 37-43 30 19 t-2« 15-73 38 65 80-70 T-81 - 11*33 18-41 7 47 10-S - 20*3 6-66 - 6'3» 10 « - 39 03 —18-26 - 36 2» 130 - 34-63 -16-24 - 35-4i 10-2 . 33<83 — 1-64 - 16-37 14-8 - 9-65 12 90 1 71 ll-I 9 36 38-53 19-17 93 3308 41-31 31-68 9-1 35 03 46-66 3S-72 9-1 35-63 44-79 84-61 10 -34-53 lS-41 9-06 10- 32-73 37-37 31-76 6- l\ lU-IJ 100 Tabliac IV.— Késniiié des Baromitre bk 32* »a Dir««a de U mer. obBervationa prig«8 à 1» B»{e de Stopart. «tationl* Température. e de Stnpart, «ution n*»" 4,N ' '■i4l«nn oap annsfo^ | ! •-« V oi «q3 «p ouoafom •Minni isp moi §§s& 40 00 CO 00 •■•n«in|q«q nid «I no))OM|a 19 « •ap : |9»9 3»-8 ■jnodvA «1 ep •aasXom noiMNj 'nr I ■pieoo • • • ■innai]i«i| 3898 • • ^ «• M^ t0 ■V <^ »^ "A ' 'Mr»C»'*O0O'-* ; CO C4 ^ (fi «O * CQ O O) ^O .-«■O ; ^Cl 00 Ok t« î O T ■—■'*• O 'oansXon I A tfl V 00 à a ■ao!)«ntonij OMe») aniaiinil g§ls ■mnai{n|| w w w ^ ■•oaaXoji 8SSS I W C« C4 < oSSn 00 CO 00 0> -^ lOiOOD fia r« ^ «p 94 -v : MiVieiifoonfor • I i Ili^SS 778RSS83 oooooooo T I I I I oo4»o — e w e ••••••■ • ne? . --««roio ss§§ simiisli ^< îsSili !S Q rt •" M W , »», 83... 84... 88., 8«., 8T... 88... 38... 88... St.. Mo» Hu : t ! : : I t 107 U ~"'*'«y*'"""''" '" temp^'ratnro journalière dopuÎM •fl,ttn PortChinin, Lubrador. Latitndo JoHobHorvulioiih pritoH h 7 u.in. et H |..m„ avoola m octobre 1H86 jiisqn'A lon^^'itndo Tabmau VIII.- nwirH 18- d'âpre» doHo...grvuii.,nh prH«H H 7 u.rn. et H ,,.m„ avoola moyot.iio monHaolIo. I» maximum ot lo nriinimum pour «hi.qtio moin ; do8 obsorvatiou» A U p.m. ont été pnsoB do tompH i\ uuti o ot f-ont oomj» Ihon duriH co tableau. Jour. 1., S.. 3.. 4. 5.. ■ •«■••• ••••••■•« •«) 8. 10 „. 12.. .....~. la u 14 u M , It Il u.. M.. 91. »H sa.. M.. M. M. », M Octobre. .«•«•• ••••.•.....• ««ofl»*»..) IUxIbwb.. Wiîiattà... •••••»••• • I 88-0 86-0 8H 83 81 81 38' 36' 38 80 81 33' 30 33 86 88 as 38' 88' 86' 81 30 39S 38 0 38 0 33-B 18-5 33 0 ai'5 10 7 80 38'» S'ô" Norctnbro. Décembre, T 3 6 13 16 Ul 32 33 33 18 81 88 83 19 82' 38 36' 31- 18 If 13' 6- 9- 17- 3- 7 17' — 0-5 — 11 0 — 76 16-a 8«0 — 16-0 — 3 17 7 — 7 —10 — » — 8 — 7 — 7' — 7 -10 —10 -13 — 4 —10" — 9' — 18- -18- — 18' — 19- -18-0 — ÎO-O -32-6 —36 0 —37 6 -18-0 — 36-0 — 60 — 90 — 11*8 aoT — 38 é Janvier. — iB-8 — 145 - 9 - 8 6 1 -16 -26 -16 -14 -21 -16 -16-0 -2a-6 -36 0 -36-6 -36 0 -30-0 -17-6 -9-6 -31 0 -19'0 -39 6 -26 -0 3 -36 -80 -33 -33 —28-6 — 84'6 -37'6 6-6 — 18-» 10 0 — 39-0 février. -19-8 iTâ' — 48T" U»ra. 37-6 360 300 12- 9- 6' 0- — 18' —ai' — 8'0 — 30'0 — 86'» — 88*6 -88-6 -36-6 — 14*0 — U'O — 6 0 — 9-0 — l'O 00 — l'O — 8-0 — 3- 0' — 7- •0 •B •6 — 16'0 -H-6 — 7'B 0 0 le'O -4-8 ' 84*0 — 87-0 108 i p'ssjr * S S S sVgT~STs^T=^ •9fnnv o l???rr*SSSSÇg7-aT2- ??FsssssIïïsg=T~â ?"'5?Tls oeoae : i J^ ^ ■* *T 5P •* OO i I «o 00 d5t« o i*0 yf r^ ^ I *- I III I I IÎTÎIÎ77 œ^-iw I et I I I I SSSggfcSSSlffSS 5SSSS5S2SSS5 9 _S£SS3gSgSS!gs rîssssssgsssss irSS2¥âS3S25S SSSlïïïSSggs^- jSssààgjwàsssà s 2 I ?! I I I I I III l'iiTiiÏMiT7 lîTiTT-ÎTTTiT iSIsliliiliii • r s à 41-82 43-93 40 40 44-18 8 • 3 S •o 67-47 66-40 60-7 ■ 68-96 s 8 SS^9 : S à ssggîe • 40 CD 00 00 C4 -""^OOO OO o(oeoc«m î 1 1 00^00 ««00 I I M i sssss s M^èc«^ r« 1 MÎT 1 1! 1 : t 1 "î M . j • t • 1 1 il h H M I I I I I I ç« «0 ■> <-■ a> o -4 £2 '• * t " *• •-' ÎII7TÏÏ ^ï* ^ C" O t^ «O 00 |i I s. tô 'S S à '3 Ai "5 «3 O ■«1 i 1 ■a o o £ a B V o 2: J3 a s o a a ■4 o 0 o o o o 0 Q o O e o 1812 44-37 29-40 8-20 — 3-11 1843 — 8-ao -19-14 -7-18 19-63 25-60 40 33 62-76 66-15 40-90 19-60 1010 -2-73 18-9S 1844 -24-06 - 8-26 -9-69 21-77 27-79 37-67 64-08 49-11 41-67 26 63 3-37 — 7 79 1T88 1846 -12-40 — 8 00 —4 67 1900 24-S8 40-60 53-08 69 U 42 '87 33-06 10 83 -12-16 1»*6S 1846 — 0-40 —1704 6 89 9-70 31-27 64-73 68 63 68 98 39-90 34-66 13-77 - 6-83 3a se 1847 —19 98 -10-82 -6 79 11-97 27 86 49 07 60-27 63 69 44-67 37-60 8-60 —10-31 19-6C 1848 -19-79 — 6-78 —4-41 21-33 28-37 41-33 64-83 60-63 33-67 38-47 8-73 —16-34 18-8S 1849 -16-34 -19 29 -0 24 1 02 29-24 39 83 66 79 62-11 40-63 30-60 18-63 -17-40 17-96 1860 —16-66 - 4-68 0-47 8-93 36-69 49-60 65-21 62 76 43-63 27-60 16 20 -13-60 20 80 1861 -16-11 -16 89 2 3! 14-67 27-6: 42-00 62-98 49'44 44-93 29-89 Il 03 — 9-37 19-4S 1863 -13 34 -8 64 -611 21 67 3243 43 67 63 73 6150 37 60 22-63 10-40 -18-08 18-94 1863 — 6-34 -18-50 —1-66 12 2. 27-73 40-37 68 60 62-34 41 53 30-37 -6-87 -11-11 18-31 1864 -27-24 -22-89 -13-33 —6 31 —3-10 17 30 29-69 61-30 61-79 49-76 38-93 27-74 3-28 -17 05 16-4S -14-93 14 93 28-26 44-19 65-22 62-64 41-60 26-67 8'87 -11-13 19 08 Tableau XIII.- Différence moyenne sans avoir égard aa sÎKne entre la température moyenne de chaque mois et de chaque annoe et les moyennes mensuelleo et annuelles de chaque groupe telles que données dans Je tableau .S I 1843 1 1864 J 1864 ».... I 1868....^/ 1876 ...... I *B63 »••••• J 6-7 0-9 4*3 •c 8-1 6-4 3-7 4-3 8*1 4-6 ■g •à a •g -_ ^ «ii!! aqneaDDëdd'aprdfr heares ordionirei ) 32-7 18' 14 8 10 a 32 s 10 6 83 S 5-3 14S ia-x 18-8 98*6 156—8 m Tablbau XVI.— Port Barw«II, Mola. 188S. ■Ootobra Novembre.. Décembre... 1886. JaiiTier. Pé»rier. «... Mars. »r.. ... Attu Mai Jain ......... , JuiUet Août.. ...... 8ep4embre.. ■ Année., 186 180 186 18f( 168 186 180 186 18C 186 186 1S4 1164 N. 18 41 28 22 33 39 27 28 29 33 43 19 360 IS 2 3 11 S 14 3 3 10 88 «> a a « g" B •o ■** •0 o 13 7-26 782 31 26-50 4- 17-18 14-40 26 20 ao 25-40 2b-0S N.N.B. o a •a o 13-20 1-66 50- a- 16 64t K.B. 18 23 7 B BK.B. 18-70 11-36 11-71 11 29 10 8 30 16 3 4 8 4 6 131 26-26 10-10 33-93 13 36-76 11-33 46- 4-33 19-05 94 25-38 27-42 13-40 28- 19- 9-17 38-66 15 57 35-55 18-33 42-23 4- 24-17 23 6 14 19 I 28 16 19 44 19 65 19 21 283 a •s o B.8.B. 8.B. 11-39 25-66 19-50 29- 33-26 21-62 24-16 24-90 34'63 38-11 22-58 26-43 2«'68 S a « a 4-87 o a 6-00 1 40- 20- 2» 77 »• 17-04 3-CO 4 33 11-68 3-00 6-60 3-60 6-m 6-08 13*8S 4'W 10-8S 8-10 IW I.— Port Barw«ll, Station So. 1 -Tableau d«8 voijta. B.S.B. o a •J 8.S. 4-87 6'00| 1 « a o a I 3'CO 4 3S 3'00 15 1 40- 2 6-SO 32 — — — — 16 — — 2 3C0 (0 a ao* S 5-m a — — 3 5-M 1 9 VI n 6 13>8S n 2 »• 6 4'M 13 23 — » lO'W « 17 -04 fiO «•10 1M-3| lis Tabliau XVir.— Goulot de Asbe— ■ 1 m N'. ^.S.K. N.B. E..V.B. s. BS.E. S.E. ■ Moii. 1 m M 2 P ■a c a a V S" s o 1 1 kl 1 i B Jî O 1 B s 0/ a 2 B 1 J a s- a 1 < il S a Cl S" a 1 t O a E.2 7. o >• o — > Sa: ■° S a. s J > B o as ■H I > If '3 1 S- ■° S 'u o Cri X) a S'a X ^ 1 1 1885. Septembre.. 180 10 13 8 73 3 7-00 (i 7-00 6 6 60 17 9-53 10 8-4' 25 16-80 Octobre ... 186 7 21 10 24 7 13'86 30 13-60 11 9-36 5 ll'SO 7 10-26 12 17-25 II Korembre... 180 6 36 IS 03 19 1206 60 10 73 13 9 77 31 13-50 2 ltJM> 8 22-00 { Décembre... 186 7 28 17 29 19 16-68 29 8M1 9 9 44 10 16 00 2 •i4-00 10 23 00- 30 1886. Janvier-.... 186 4 39 18-00 22 34 -et 26 9'23 11 6-05 17 7-36 2 Ï9'00 10 • lfl'50 15 Férrier»,... 168 26 39 23-06 34 19-41 18 8-83 fi 602 10 7-30 « __ 4 11'35 19 Mm 186 35 10 1410 24 )4-7e 48 676 10 5 80 2 8 00 •/ 18-00 n U-BO 4I Avril 180 9 19 13-16 39 18-41 34 17 13 19 1732 7 I8'29 1 19-00 2 10-00 3 liai 186 6 19 11 48 11 16-17 6 12 £0 1 8 00 3 7-33 2 10 00 6 10-00 14 Juin I8C 13 AK 10.K* 8 16-13 S 14-80 3 8-00 — — 1 13-00 4 13-60 1 13 Juillet 186 14 30 17-20 8 8 60 3 8 00 — — 1 9-00 ^ _^ 1 3 00 4 Août 186 37 31 13-C6 6 7-80 4 K-00 — — — — — — 3 12-50 " — ■"• Année. 2 190 164 318 16-05 196 12>68 366 10-63 87 10 01 9t 11-06 29 13 17 85 17 14 15» ] ■'""■"- Jîoulot de Anbe— BS.B. a S.E. as 8MI 10'J6 10 !)(i 34' 00 2 12 8 10 10 4 IS'OO 1 n d 19-00 2 10 00 S 13*00 4 — i 13 17 as 16-80 17-35 32'ao 23 OO' • lG-50 11-35 11-60 10-00 lO-OO 13-50 3 00 12-60 17 14 »B Tablsau XVIII .—Baie do Stupart, station n O 4« i3 § 1 J O 180 186 180 186 186 168 186 180 186 180 186 186 2190 90 m a> s "•5 9 8 3 20 30 13 63 15 24 38 75 40 338 6 N. H.N.B. N.B. B.N.B. B. B.S.B. 8.K. «ois. £ a o 27 17 9 2 5 5 i:- 15 14 16 132 4 a >« |§ > £ .Q a £ 1 8 3 1 4 , 1 4 6 7 7 36 4 > 1 a 18 4 1 1 1 2 2 2 3 3 3 2 42 g. «,5 > 1 4 6 2 2 2 4 2 6 6 1 1 •« . s o > 6-0 12-0 10-0 12-0 176 7-6 12-6 1-8 6-3 8 1 S .a a o 20 7 14 7 9 6 2 « 9 14 21 8 119 7 b a •« •|S ris > .o 1 6 2 7 6 4 4 10 21 3 13 10 86 10 i So- is >• 1 i 13 16 1 6 3 6 1 17 1 1 4 67 4 • o . > 1889. Septtubre . Octobre KoTcmbre... Décembre... 1886. Janvier FéTrier ,.._. Mars- ATril 11-2 16 C 10-7 13-6 7-6 II-O 11-9 11-3 9-7 8-7 6-0 11-8 6-7 12 0 8-6 lO'O 8-6 10-2 7-3 69 7-6 4 -S 3-0 310 6 0 10-6 13 0 3 6 8-3 10-7 6*0 0-0 13-6 lC-4 17-3 15-9 11-2 7-6 2-6 2-0 9-9 6-9 3-3 2-8 9-4 11-2 20 21 22-2 110 16-6 11-9 16-7 a-3 2-3 3-3 10 1 10-6 116 18-0 16-8 7-5 Mai Juin 4'0 12-3 Joillet Août • ■0 1-0 2-6 Année 11 3 9-6 8-0 33 11-6 Septembre f 16 jour») 110-6 6-2 — 19-4 13-2 10-8 Il» et * , station i o 4— 1 1er aeptemlm 1865 an 16 Beptentbr» 1886. .S.B. 8.E. a.9js. a .s.ao. S.O. O.S.O. 0. ON.O. N.O. N.N.O. k • 1 . 1 . 1 .. 1 o a S.- s 4. >• 1 a o te ■2 . .S «> S a > • § a .sa 1 nombre. Vélocité moyen n 1 Vélocité moyenne Nombre. II >• 1 a S o ? .sa J a i •3? jsa 1 a si • •S. s ir •• t- Nombre. Vélocité moyenne. S s -sf. 18 16 -ft U-2 13 10-5 ( 7-4 3 490 ..^ — 1 4-0 i 170 3 29-0 11 27-6 33 16-4 20 16 116 18-0 . 10 173 3 8-7 3 11-0 7 12-6 8 81 23 8-1 31 9-4 30 13 6 23 U« 21 1 ^ ^~> _ — 1 20-0 6 60 36 ia-5 84 lf6 33 11-6 39 17-4 22-3 6 16-S 4 ai -8 8 144 S 11-6 6 8-3 11 8-9 21 11-7 31 101 36 13 9 24 22-4 ll-O ^ — — — 2 15 0 — - 11 10-0 16 14 8 36 18-6 36 7-3 37 17-7 ! <2 %0H 16-6 3 7-5 ~ ^^ "" « 1 110 3 1-0 16 14-9 36 7-3 39 6-7 30 16 4 32 33-4 — 6 17'» 6 7-8 3 4-4 4 11-e • 7 10-4 7 19-4 11 ••3 13 6-3 33 340 27 13« 11-9 1 4-0 S a -4 4 7-7 5 4-2 7 61 3 4-7 11 81 9 6-3 ; 38 14-3 60 21» 18-7 17 13-3 » 6-» 3 3-4 2 11-6 3 8-7 12 16-8 13 11-8 9 4-4 21 10-6 21 lJ-7 a-3 1 »'0 1 10 1 10 4 6-6 — — 4 80 8 13 '0 8 11-6 44 213 2 9 18 « 2-3 1 1.0 4 1-8 - ■" — — 3 8-7 2 18-0 6 13-7 7 8-0 11 14-6 1 3 18-7 3-3 4 2-5 a 6-0 3 30 6 3>0 8 6'2 14 17-8 13 111 1 8-0 3 6 19-1 1 i U'I * -^ — - — — . — . ■^■^ 10 1 67 11-6 43 97 3 0 8-2 29 8-0 63 8*8 100 13-6 194 13-3 207 10-0 36 9 16-6 32: i 18-6 13-2 4 10-8 — " ' 1 8*2 J. 6-8 3 6-8 4 10-6 12 380 16 16-1 1 1 12-4 C t 10-5 126 Tabl,4p Xrx.~Tabloa, des vents, etat.oo n" 5. >t8, etatioa n" 5, I.S.B. a 12-28 14-40 9'00 15-00 7 00 8 50 20-00 4-33 4-35 6-00 4-50 »-94 S.B: .a a o a: » 17 13 8 ■3 •• 14*88 10-6T 16-38 I8-0O 13 OO 6 Il-oo 2 6 12 a IS 86 8-00 IS'BT 3-80 sso 6-83 10-58 ^i:::~EÏ!^î^^^^^^^^ vente; 199 TiiBLSAU XX.— II0 Dig^e, station n'' 6, dn 1er 1 ts s 0 -a 3 N. N.N.B. N.B. E.N.B. B. E.S.B. 8.8-. Jfoii. 1 1 i 2 il sa > 11-71 10-67 6-67 25-ao 16-00 19-67 15-77 17-00 13-66 8-60 14-44 1 22 14 17 11 7 12 14 16 13 16 26 16 183 § •2 S 3 S- II > 17-81 13-82 20 85 33-90 17-14 16-76 26-93 19-20 22-92 16-00 20 62 25-68 . 1 1 31 1 12 8 4 9 16 8 12 13 16 17 149 0 «s a °l :3a > 21-08 6-00 28-68 34-60 17-77 30-83 19-06 13 00 23-76 16-81 18-63 18 94 S 1 9 9 10 1 6 1 7 6 3 3 3 9 66 si 11 é •a 0 S5 6 11 9 7 2 2 6 3 4 10 2 -si "3 S" 0 g > 16-33 14-81 911 20-71 28-00 22-00 11-83 16 66 16-76 13-20 7-60 é a J_ 7 23 33 27 28 27 11 9 12 6 20 3 2C6 C « 3 .Si 1889. Septembre.. Oetobte KoTcmbre. . Séoeabre.. 1886. ■Janvier. ..... Février Uarfl J9i.Ffil ••• Juin Jrï'.ot JLoot • • M*««» 180 186 180 186 186 168 186 180 196 180 186 186 2190 6 8 9 12 9 14 13 7 4 20 16 17 133 IS 13 7 3 3 16 13 21 10 23 6 3 132 13-11 ir-84 17-67 36-33 24-C6 11-73 29-07 12-86 16-40 11-95 9 83 4-00 7 7 7 6 2 7 9 7 12 4 9 76 14-56 14-00 11-60 26-00 13-60 6-00 12-00 24-83 16-66 6-66 7-66 18-44 12-28 16-21 20-67 21-69 io-3a 9-62 19-27 20-33 32-41 7.00. 8-00- 6-3» A.IUIeO. ••• 14-88 14-30 20-63 21-47 14-63 63 14-79 11-08 n" 6, du 1er .B. si ■s g" > s 1 > 15-33 7 12-28 14-81 23 16>21 911 33 20-67 20-71 27 21-69 28-00 28 lo-sa 22-00 27 9-62 11-83 11 19-27 18 66 9 20-33 16-75 12 32-41 6 7-0» 13-20 20 8-00- 7-60 3 6-3» 14-79 2C6 11-08 i m floptombre 1888 an 31 août 188e.~Tableaa des vente. Bas. .a 8 o SB 6 16 9 96 36 ao 49 M 18 17 28 18 •« d ir 264 21-60 21*40 14-88 26-26 16 62 13*46 16*28 16*38 23*44 7 11 8-63 10-60 15-46 S. 7 13 7 o u •9 O 24 14 13-76 16-38 20 11-76 33 13 21 14 16 16 22 37 217 1706 13-84 14-38 14-07 17*73 7-76 11-13 11-49 13-76 S.S.O. Si s.o. o.s.o. 2 10 6 16 26 10 7 4 14 2 ? 16 116 24-60 13*60 1300 15 82 17*96 2J00 20-16 19-25 18-21 14-00 6*00 17-60 17*31 9 13 13 7 16 3 9 3 17 7 2 1 a "S s -21 98 14-22 20*46 30-60 16 28 2118 27-00 11*33 14 00 16-83 8-71 4-00 7-00 O.X.O. R >o a 3 S" > 16-83 7 00 18-00 9 17-22 24-00 16-79 45 9-33 10*83 7-60 10-00 7-00 13-60 97 7 1 7 13 s a *« s o o SB > 16 16 12 1 14 26 71 10-00 17-28 13-76 8-67 17-40 12-00 11-73 11*68 11-00 7 85 o o ••• •••##• •••««••«»••(•••« M«a*i « ie«*«*e»e«« 1886. JiMiTier .... Février Mars Avril Mai Jnia /uillet Août Septembre., Année 16 18 ai 17 19 21 17 6 7 6 17 4 o .a «1 "a o O 169 8 7 12 2) 17 16 19 14 12 13 10 17 163 S 9 12 10 6 4 7 10 9 8 S 8 98 a S 8 4 3 8 8 8 6 S 0 3 4 4 •I 61 3 3 4 4 4 0 0 0 31 «o 5 9 • 6 13 R 5 7 6 2 a 4 5 Sept( Uotol Nore; Décei JauTi FéMii Mars.. ATril. Mai... Jnin . Juin . Août. Beptei 70 Tablbap XXrr.~Indiqnant le nombre d'heyes de brouillard aux stations nomm<,e« Mois. 188S. <6 S Octobre..., Novembre Décembre.. lasc JuTier .. FiTrier. . Mars ATril «ai •■•••M »•••••••• ••••••»••••••■•• •••«teeee ••te ••ea»Mefl«eM4a«««aa« «••••••*! t«ee«e Jala ... Juillet. Août- ««>t»aibre .„ • Meaaaf « •••••«••««•• •■••*»••• • oaaea •••••• ••••■•••• ••«•!• •••••« ■■a •■•••••••• «cal Année. •••ê—tm Ma*«a*»«a«M>», at«*Mt I 162 88 82 168 144 812 34 216 948 868 104 186 1,9m" CD o eu 8 0 0 0 0 28 34 304 44 196 36 •3 o o 64 0 0 0 0 13 4 44 60 82 03 •9 'm B30 13 0 10 60 43 74 36 68 68 147 40 f •««• CÏCSSt •a a •s •*» o 13 0 0 0 0 0 4 13 30 66 80 13 38 C 0 0 8 16 76 134 188 308 'm. I 2 0 O 48 «6 73 48 0 0 42 44 R •16 * Oo 1er aa U MsleMeat. tiaqao station, ï.) i M) •3 2 s. 5 125 T.BLKAcr XXIII.>I.diq«ant pendanTTombicn d'henres il a tomb. ^ , • "^ __ diverses stations nommées ''^ ^"^ '** °''S« «"* 9 « 8 13 3 3 4 4 4 0 0 0 ..... . . 32 ÏO ns nomns^ei:*, Septembre „ Octobre IJoTembre Décembre 1886. JaoTier Féerier Mfire ;„;;;; ^::z ~3.:r: •;«"n Août Septembre ''Z!!":z"z:.'::z':.. Année.. 0 41 71 60 39 34 49 68 93 8 136 36 208 31 104 3 25 10 0 15 0 0 0 0 40 34 766 296 13 86 48 110 39 106 86 144 43 95 40 113 8 76 30 139 62 86 20 46 0 0 0 0 381 999 65 81 87 203 78 71 /16 49 114 15 0 0 809 68 77 40 57 5 19 95 P4 132 0 0 0 677 S >et*. I 2 o O la 48 as M c 7a 0 48 0 0 8 0 i< 4a ?« 134 M 188 R ao8 •1« — — «• ...»* lié Tabliau XXIY.— Observations mëtéorologiqaes, N.S.M. Fary— Oapt. sir Ed. Pany, M.R 1831 Juin Juillet ^oût Septembre.. Octobre NoTembre. ... Décembre.... 1833. Janrier Février Mara Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre NoTtmbre Décembre 1833. Janvier.. Février., Man Avril..... Mai. !•••• t ••••••• Jnin ......< Juillet Août.. Septembre.., -Octobre, '*•• ••■•■•• •••■•• i«r*Mt •••••• ••ta •••••••• Température. Uaz. 63-6 60' 48- 43 3S-6 38 3 - 6- - 4- 13' 39- 46- 80- 64- 60- 37- 39' 8- -10- +33- 31* 4- 33' 49*5 S3- 09- 65 • 61* Min. 30- 29- 38- 30 • —13- —20- 39- —37 • —87 • — 36' -13- — 6' 30- 30' 37- 11- ■9- — 33- —43- — 45- — 43- — 41* -36' — 8' 8- 30- 34- 33' Moyenne 40-46 36-38 36-60 31-08 13-61 7-76 -13-94 -33 '96 -34-97 -)l-64 6-61 33 09 33-97 36-34 33-68 34-46 13 79 -19-37 -*/-80 -17-07 -30-41 -19-76 - 168 34-86 33-16 40-04 87-17 33-76 Ean de mer 39 '36 31*8'2 32 32 31-99 Position. Traversée d'Angleterre an détroit d'Hndton. Détroit d'Hadson. Haut du détroit d'Hudson jusqu'à l'Ile Yanaeltart. Depuis l'Ile Vanseltar: jusqu'au goulet de Lyon. Port d'hivernement. do do do do do do do do De l'ile d'Hivernement au détroit Fary et HecU. Au détroit Fnry et Hecla. Du détroit Fnry ot Hecla à IglooUck. Igloolick. do do do do do do do do do D'Igloolick à l'ile d'Hivernement. Dn goulet de Lyon an Oap FarewelL B* le 8 16 32 39 6s 13 18 S8 3 81 9 18 as «0 7o i«r sir Ed. Forry, td'Hndaon. i l'Ile YauMltort. {oulet de Lyon. I i Fuiy «t HeclA. iek. ''^J^!^^^^^-^^^^^^^^^^^ steamer lerjalllet 8 do 15 do 32 do 39 do 6 août U do 19 do 38 do 3 septembre 0 do 18 do 33 do 30 do 7 octobre elL 128 TABLtAiT XXVI.-Tompéiaturo de la mer. Otte. Moi!. 3S jain , as Uo . 37 do . 38 do . a» do . 30 do . 31 do . ierjuill. a do . 8 do ., 4 do .. 5 do .. « do .. 1 do .. 8 do 9 do .. 10 do .. 11 do .. 13 do .. 13 do .. H do .. IB do .., 18 do ... lï do ... 18 do ... 1» do ... 20 d, ... 31 do ... 32 do ... 23 do 34 do 35 do % do 37 do 33 do 319 do 30 do 31 do 1er «eût. do do do d« do do do do 10 do 11 do 13 do 13 do 14 do 15 do i* do 17 do PoiItioD du narire. Lat. X. Long. 0. 44 S4 48 05 47 49 49 23 PI 30 63 33 56 "m ' 66 60 67 63 61 20 69 18 69 46 69 OS 66 42 66 23 "69"49' 59 49 61 17 60 46 60 68 60 20 •0 03 61 03 61 27 62 22 62 62 63 04 62 66 63 00 63 00 62 58 63 04 61 48 Port-LaperriAre.. 63 C2 et «8 61 00 63 33 6( 41 67 38 71 16 73 G» 74 03 75 13 76 46 77 01 77 14 77 06 77 28 (13 39 61 47 61 45 78 63 78 68 82 06 Fort-Churchill 68 06 67 11 57 11 87 11 91 30 sii 14 82 16 67 13 68 50 OfanrohlU .. 93 30 S « •V 3 a.» 64 03 6186 60.93 48 83 44 87 30-63 37-93 34-13 35 63 34-76 31 30 3i-63 31 16 31 23 Hi V>5 35 -t 8 35 0« 33-53 3135 32 ^M 31 21 30 76 3 23 31-J6 !.0-43 30 31 31 10 3148 3103 33-48 30-83 33-9 < 34 60 36 21 43 13 50-31 48-43 t017 6143 65 75 4073 38-'^6 48-67 48 04 4904 48-66 60-63 60-36 48-6] 46 96 48 18 43-83 60-40 65-31 Date. Uoi9. 18 août . 19 do , ■iO do , 21 do . n do . 2H do . a lio . 25 do . 36 do . i'I do . ^8 do . » do . 30 do „ 31 do ., leraept., a do .. 3 do .. •» do .. do .. Position du navire. Lat. N. LoDK. 0. 6 do 7 do 8 do 9 do 10 do 11 do 13 do 13 do 14 do 5 do 16 do 17 do 18 do 19 do ^0 do ^1 do 33 do i3 do i* do , M do , 36 Qo , 27 do . 28 do . 29 do . 30 do . 31 do . leroot. 3 do ., 3 do ., 4 do ., 5 do .. 6 do .. 7 do .. 8 do .. 9 do .. 10 do .. Ci .17 H» 36 61 28 88 09 61 16 82 •^'5 60 68 85 18 63 06 83 44 63 43 57 5? Port-Lnperr ère.. Sortie de port ...'.",',. ." Port-L BouchervilJe " 6» fi» 76 05 «3 61 3i 32 Goulet de Ashe ...,."... . Pasasnt le détroit . Baie de Stupart Départ de la baie 60 39 Pcrt-Burwell 65 39 LaisBÔ le mouillage . ,\uge de Slcjaner Déparrdë"i'anBë'de Skjnnèri 68 50 69 '61 66 13 57 63 60 55 SI 44 66 BaiePorteau *9 U 68 « Au large de " Heat Oore "-.., Port'HawkesbnrTM Halifax ...:..' •' 10 18 16 "43' § 63 63 54 29 60 63 43-74 4233 4183 44 35 42-11 41 33 40 08 40S1 .19 18 37-46 37 83 38 15 36 69 36 14 37 9S 35-63 33f^8 34-93 32 46 32-83 33 00 3i02 33 72 32 5S 33 78 33 18 :^93 31-43 34-57 34 05 33 63 34 04 33 57 32-94 3224 33-49 33-69 32-90 33-41 31-93 35 67 '34-69 " 34 98 36-69 87-80 40-19 4818 44'3;{ 49-31 5368 64 33 Ot pj ea mi po 001 res les rep née re. r. 0. 36 0» '^5 18 44 62 II S8 6> S4 2» fioes 43-74 4233 4189 44 39 4;i-ll 4133 40 08 40 m 39 18 37-46 37 83 38 IS 3S69 36 14 37 96 35 63 33f'8 34 '93 32-46 32-83 33 00 3i02 33 72 32 5^ 3J 78 33 18 :^93 3143 34-67 34 05 33 53 34 04 33 67 32-94 32 24 32-49 32-A9 32-90 33-41 3}-9a 35 67 34-6» 34 88 36-69 87 80 40-)« 4S18 44-3ii 49-31 03 58 ft4 33 1» respoctivoirt.d^a'i-Llllq^dsIote ^''M^^'^^ de« mois ,i 'avril et de m.î les autres stations les périodes choi^Sl ?' oomplôtomont couvert de Jhce aLT" r«« /"" l"'"« «»i^«"t« donne es cTnstanl/?^'*'"'''.^^ '-^ ««'«<>" ouverte *"* représentant que la hauteur moyenne de f '^°^™'*''*'?' '^ ''««ception de A oui n« x.écessaire pour connaître d'avar^^ul'r^lfZVe^"''»''- ''^ -rée>n?esl'pL' fllTai^P^nêfta^deti""?"-" («emi-diurne). " |. la principale -aré^ofar Lm^l ^î. 1^ '•^• H ' îa*'mnJ'""''">^':'' ««"""-diarne. S;;; l'an^drefa^riVuTei^^^^^^ '^ -"« -rée. ^ï marée luni solaire, diurne ^, marée solaire diurne. ^, marée lunaire diurne. I Port Barwell. iîKi-rrir-pJs:;?»?- M. Sa Ka fls .M32 pdi 262» 65' -6 2-329 Dds. 304» 43 -a 0 635 ud. 301» 43' a 0*476 pd. 113" 49'-6 0'158pd. 113° 49' -6 0-190 pd. m» ai '-8 Goulet de Asho.' 62» 33' S. 70? 35' 0. 10-995 pdg. 233° 52' -7 3 978 pde. 296» 23' -7 1-084 pd. 296» 23' -7 0-516 Pd. 107» 41' 4 0-172 pd. 107» 41' -4 0-213 pd. 348* 4fl' 156-9 •Marée» d'hiver, le détroit Baie de Stapart.* 61» 36' N, 71° 32' 0. O'Oia pdt. a36»5rf'-5 3 049 pdi. 288» 59' -2 0-831 pd. 388» 59' -2 0 468 pd. 102» 38' -3 0-IS6 pd. 102»88''3 0-307 pd. So2' 6 „ Ile Kottingham. 63» 12' W. 77° 28' 0. 4-736 pds. 259» 34' 1-7T1 pd. 3a0» 30' 0-483 pd. 320° 30' o-ai8 pd. ■ 91» 24' 0-073 pd. »1« 24» 0-253 pd. 16° 42* Port Laperrière. 62» 34' N. 78» 1' 0. 309 pds. 257» 26' 124 pd. 3I&<> 58' 0-34 pd. 315» 58' 0-14 pd. 64» ao' 0-05 pd. 64» 30» 0-04 pd. 136 00' eoBTert de glaoe. lao ' ' —rs En mettant la table oi-desana eoua la forme on usage poar lea ans ordinairea de lu n»TigatiOD. loa résaltats deviennent :— *^ wuiuuirw oe i» Port-Burmll. Temps des hantes eaux, pleine et nouvelle Inné 9* 26 Moyenne de l'intervalle entre lane et marée' 9 04 Moyenne entre baate et basée marée 14*24 Moyenne des hantes marées ' \" 18-90 Moyenne des boqses marées ...!!...!!!. 9>fi9 Goulet d'Âshe. Temps des H. B. P. et N. Ime g' 32 Moyenne de l'intervallo entre lune et marée 8 04 Moyenne entre entre hante et basse marée z2'()0 Hautes marées (moyenne) 29'96 Basses marées (moyenne) , .'...'...." H-OS Baie de Stupart. Temps des H. B. P. et N. Inné 8* H ^ Moyenne de l'intervalle entre Inné et marée .".*!!.*!!!! 7 fiO Moyenne entre hante et basse marée 18*04 Hantes marées (moyfinne) 24» 14 Basses marées (moyenne) *.,' n.94 Port de Boucherville, Ile Nottingham. Temps de H. B. P. et N. Inné "'Jo Moyenne de l'intervalle entre Inné et marée .!..". 8 61 Moyenne entre hante et basse marée ' 9Î47 Haates marées (moyenne'', ..,!.'.*.'.', 13«01 Basses marées (moyenne] .......!*.!.."! 5*93 11* ^Hgges (Extérieure.) Temps des H. B. P. et N. lane.... "'.."^^ Mcf^enne de l'intervalTe entre lane et marée..*...*....*.*.*...'*...*..'. 8*63 Soyenne entre bante et basse marée g. l'g antes marées (moyenne) ." 8'66 Basjses marées (moyenne) .««....'.*..'.'.*.*!.".*!!!!! S*'-'» Baie de Nachvak (Anae de Skytaiter.) ^ D'après observations du temps et de la hanteur des e»nx à hante et basse maré«. Temps des H. B. P. et N. lune 7* 08 Moyenne d^ l'intervaiMe entre Inné et marée ."".'.,'. 7 01 Age, d'après la méthode graphique , 1 12 42 Moyenne entre hante et basB^ marée 3.69 Moyenne des hantes m^^ 4*88 „ Moyenne de basses mari^ ! ir..'!.'.!*.!!!!!"'.*.*.*. 2-68 métrignen. --— — -» ".ywv. T^vtvag ^fuui onaugoiu-oai» mure- >rdiDaire» de la. H. M. 9 2S 9 04 Piadi. I4'24 18-90 9*69 H. M. 8 32 8 04 Piedi. 2 '00 !9-95 4-03 H. M. 8 11 7 60 Meda. 8-04 4*14 1>94 Port Churchill. Tompfl do8 D. B. P. «t N. lune " m. Moyenne de J'intervalloontrolu^oërmàrtë;;;;;; JOB mE°*' S"*? •"*"*« "' basHo marée '^«'i* Mojenne des hautes marée.M. «l-r JioyetiDe des banseH marées )6-5 8-0 lie du Marbre. 9é^y approximatifs d'après observations pendant de,. Jours. Tempfi dos HE. P. «t N. lune... h. m. Moyenne de l'intervllo entre lu'neVt mai^e ::: J '« «oy«»nf)odei«di. »'47 ^•01 1-93 I. M. le'':. M8 basse mare». [. H. ' 08 r 01 . X. I 42 ktdi. 1.69 1-88 1-88 emcûiâ bâte- Ihl! AN14EXB Copie du tableau résumant les ej^périences faifes pour connaître à quelle profoncjeur Latitude 57° N., Longitude 92" 26' Ouest. Nombre. Ià7 8 à 10 11 à 13 14 16 à 20 31 à 486 486 487 488-491 492 493 494 49S 496 497 498 499 COO «01 S02 003 fi04 006 603 607 808 609 610 611 613 813 Année. 1879-96 1879 1880 ItSl 1882 1882-83 1683 1884 1884 1885 1886 1886 1886 1836 1886 1886 1^86 1886 1886 1886 1886 1F86 1886 Date. Description de la localité. Jany., fcv. et mard.. . 25août .... 10 do ... 23 juillet. 10 sept. .. Décjanv. et fév 10 sept. ., 15 juillet. 30 août. .. 14 avril .. 18 juin .. 28 avril .. 4 mai .. 28 do .. 28 do 31 do 4 juin 4 do 14 do Epaisseur de la glace dans le chenal de la riv. Hayes. inn T' « ' fn^TA ^-^ ' «» 300 .S. de York. Mafoc. 1^'^* S,100g:p.,et:-.00 8 de York. Marô.ages. 400 vjçs. N. de York, tombe, terrain d'alluvion 20 pcs., arffilfi blanche, argile bleue compacte. 500 vgs. .V. de York, ancien cimetière indien, 6 tombes ouvertes, alluvion 4 pieds, argile sablonneuse. Rivière Nelson (à son embouchure et à 30 milles en 1« remontant) 7 milles an vrai nord de York, 486 son- daffes par les arpenteurs pour reconnaître le cbe- nal j argile blanche, sable et argile bleue. Kiv. Hayes, la rive exposée i toute l'int. de la gel6e hboulis de terre, rivière Hayes . 600 vgs. N. de York, 4 tombes ouvertes, aiiuvïôn'ÏO pouc(-3, argile sableuse. 400 Vga. N. de York, tombe, alluvion 22 pouces, argile blauche, argile bleue. Rboulis du terre, rivière Hayes N. de York, terrain ouvert, herbe moussue 400 vgs. N. de York, tombe, alluvion 21 pouces, etc! York, sol de jardin ;.,.. Terrain humide ou tcc. Sec do âec Très lec. Sec Humide Sum. et sec. f°-?AJ*''' N. de York, tombe, alluvion 21 pouces l 000 vgs 8. de York. Maréo.».,» ^ Humide. Marécage j^ 1886 1686 1886 1686 1886 1886 1886 1886 do do do do argile 26 do 30 août lerjuill.. 1er do .. 3 do .. 7 do .. 2 août .. 2 do .. chaux, York, tombe, alluvion 2.1 pouces, etc Marais euvironnant York Berge de la rivière Hayes, éboulis'dë terre,' blanche et vatie Bords de la rivière Hayes, sable et vase....*.'.! Sol de jardin Tombe, terrain d'alluvion 2 pouces, etc."!!..." 450 vgs N. de York, nouveau fourneau à* argile sableuse, ïO pieds tOlalrlère A Serern, B -d'H. à 300 miliës*'dè"'rork','"exc'avation pour une jetée (40 pds. de longueur sur 16 pds de profondeur), talus en arrière jusqu'à la surface. A 20 vgs. de distance de l'expérience a» 606 Marécage aux alentours de York .'.'.'.'.'.".'.'."!.'.' rv **? , . .. ^° (der.x jours de pïuieî Dana la clairière, no 506, beau temps...... ""t""'^' Marais autour de York Terrain ouvert, aux environs de York !!!..',* Sec 15 20 Hum. et seo. Très sec Uaréoag'use ijeo Mainten. Humide , do . Sec Humide , Sec. sec t La clairière mentionnée oi-dessus comme glace perpétuelle ; mais ceci se produit sur uneVien neiito eehilli rt^^^^^^^^ P*" *f'*°,^* P/î'»° j-ajouterai que j«'ai empldyé un Sauvage qui a* ?ra7a?lWta tetKprdanWf. S^JSSÎ Non.— La natare vanée des instruments employés quelques fois (tarière anirli!» «n .n „««„- j faelquen-nna des meaurages donnés dans les expéïience« oui nrôcèdent. »«««'»«• ou en gonge, de 81 £i «1 8o"r 31 PC 3 8 pu MX en ^trepé (de djx denr qt pailOi obtenir dinna ANKEXB :}aolle profondeur ide 92" 26" Ouest. Terrain humide ou tec. Bgof,'" d'r. rn^^tf 1 ?■•■„'■'! y.' » ■'!■ ^"""^ri. dTork, B.i.dB.d«,„, Pcs. à'èc' ".".'! .'.".■.' !••••#••• do Sec ••*•••••• .■•t* •••• ••••••••a Très sec 15 Sb'c '.'.'.'.'.'.. '."'.'. aumide Hum. et sec 20 Somide do 3eo •<•••••• - 1 lum. et sec. •#■•••■•• laréoag'use (ainten. sec do t ••••••• «c [nmide «c • 83 poneei. (»' PM- 1 a» pcj. I I «■piï«:::::::rr'i{S:-îr- l'I » » pouces «>pouoei......2j pouce..., 8" ronces lOpouMi |28 pouces 1 10 pieds a, „„ |Moy. 18 pcs. 3ï pouces do 14 do.. î„^? M pouces 8 pieds |14 do La terre n'était pas «.rlée à 33 pieds do 33 do do 10 do ^°j°„'ïï!"?'* obUgewnment fournie 17 do ËaVië'f )" »""• "«"• "•"«••«. " PM- argile bleue. 18 U ai •16 lê que l'on trouve a gelée et doit en mser une tranchée lus grande profon gpace n'excédant t trois jours pour e ou en goage, de À S S Jl "o & Pas de gelée à 17 pieds. Dégel dépendant de la nature dn ».i do do do 18 do 10 18 do do I P4 30 ponces IToy. aepcs... 37 pouces Moy. 37J PCS... do 48 do ... 10 pouvea •3 I ^ ?i°,"i?' •*'?'? K«'^ *'*lent logés sur la »nx enTirons de York être pénéué'a,! PlSs h'au"Vegrn?s"8lb?«°t'''"'"*?* «pourvue de neige , deur que peut atteindre pas 10 acres. Pour donner' obtenir cette information. différents diamètres et longneun, tranche. lîf i"'*" ^^ '^•"' "nts de gueur) Jusqu'au «u.iolnor«îraveriesrt«It.tr.'„?^^^ lâténÛemwt, à dre la gelée à York on dans R^ environ. .♦„„. '"diqués sons le n» 806. Cette donner une idée de ^^^moZ7'on'''ll>^ur'^,^t,l^hf^ travailler dan. un .ol .lD,l7eTé, M à glftoe, et«,) explique l'apparence quelque 166—10 peuarbitraiivde ii/f / i.n i