PAR Le Frère HÉRIBAUD JOSEPH VROFESSEUR AU PENSIONNAT DE CLERMONT-FERRAND LAURÉAT DE L'INSTITUT DE FRANCE ! ‘ d (Académie des Sciences) __ MEMBRE HONORAIRE ÉLU DE L'ACADÉMIE DE CLERMONT + FERRAND (” ET DE LA SOCIÉTÉ BOTANIQUE DE FRANCE \ dl DEO scientiarum Doinino laus et gloria, HU Tu Prix ÆrFRANCS L |. PARIS de Dre DES FRÈRES ! LIBRAIRIE ves SCIENCES NATURÈLLES Ds ÉCOLES CHRÉTIENNES LS PAUL KLINCKSIECK Rue Godefroy-de-Bouillon 8, rue Corneille, 8 1903 » DISPOSITION MÉTHODIQUE reste ; DES DIATOMÉES D'AUVERGNE DISPOSITION MÉTHODIQUE DES DIATOMÉES D'AUVERGNE PAR NEV Le Frère HÉRIBAUD JOSEPH VROFESSEUR AU PENSIONNAT DE CLERMONT-FERRAND LAURÉAT DE L'INSTITUT DE FRANCE (Académie des Sciences) MEMBRE HONORAIRE ÉLU DE L'ACADÉMIE DE CLERMONT - FERRAND ET DE LA SOCIÉTÉ BOTANIQUE DE FRANCE DEO scientiarum Domino laus el gloria. CLERMONT-FERRAND | PPANRIS PENSIONNAT DES FRÈRES & LIBRAIRIE nes SCIENCES NATURELLES DES ÉCOLES CHRÉTIENNES | PAUL KLINCKSIECK Rue Godefroy-de-Bouillon 8, rue Corneille, S 1903 LISRAE\ NEW YORI RQ! LAC PRÉFACE Après avoir consacré une quinzaine d'années aux Diatomées vivantes et fossiles de l'Auvergne, nous avons pensé qu'il y aurait quelque intérêt à publier le tableau récapitulatif des faits acquis au cours de nos labeurs. | D'autre part, nos dépôts diatomifères, que nous avons étudiés avec le plus grand soin, nous ayant donné une très belle série de formes inédites, et un assez grand nombre d'espèces non mention- nées dans notre Mémoire de 1893, 1l nous à paru utile de grouper l’ensemble des résultats, en les disposant sous une forme méthodique. Réunir et classer les faits épars dans nos mo- destes publications diatomiques, tel est donc l'objet des pages que nous offrons en toute con- fiance aux diatomistes. | La classification suivie dans ce catalogue, ne diffère pas sensiblement de celle des Déiatomées YI PRÉFACE d'Auvergne (1893). Les quelques modifications introduites nous ont été suggérées par les travaux récents de MM. Clève, Van-Heurck et des com- mandants Peragallo. Pour justifier le titre de cette publication, nous avons classé les espèces et les groupes plus ou moins élevés, d'après leurs affinités naturelles, seule disposition vraiment rationnelle. Nous prions notre savant ami, M. le Comman- dant Maurice Peragallo, d'agréer nos meilleurs remerciements, pour nous avoir prêté le concours de son profond savoir, dans l’arrangement mé- thodique de nos petites Algues. Pensionnat de Clermont-Ferrand, 25 Mars 1903. F. HÉRIBAUD JOSEPH. DISPOSITION MÉTHODIQUE DES DIATOMEÉES D'AUVERGNE FAMILLE UNIQUE. — DIATOMÉES Algues colorées très petites, isolées ou réunies en nombre plus ou moins grand par des attaches gélati- neuses, formant alors des thalles visibles et simulant des Algues supérieures. Endochrôme composé de chlorophylle et d’une subs- tance particulière brune nommée diatomine, Frustule normal constitué par une seule cellule, dont la membrane est siliceuse, composée de deux valves rigides, l’une un peu plus grande que l’autre, réunies par un anneau connectif capable de se développer. Membrane cellulaire entourée d’une enveloppe géla- tineuse (col/éoderme), servant quelquefois à réunir les frustules en rubans (}ragilaria) ou en tubes (Melosira ; le plus souvent, les prolongements du coléoderme aident à fixer les frustules aux corps immergés. L'intérieur de la cellule contient, outre l’endochrôme, un liquide incolore (de l’eau probablement), un nucléus et des gouttelettes huileuses. L’endochrôme est disposé en plaques plus ou moins perforées, ou en petits gra- nules arrondis. Multiplication par division géminipare : l'anneau connectif s’élargit, le noyau se dédouble et deux nou- 2 DISPOSITION MÉTHODIQUE velles valves se forment jointives, autant que leur sur- face le permet, et opposées aux deux valves primitives. Reproduction par conjugaison, de différentes ma- nières suivant les espèces. Ce mode de reproduction est encore assez obscur et exige de nouvelles observations. À l'état vivant, les Diatomées habitent les eaux douces et salées, les eaux thermales dont la température est comprise entre 0 et 45° centigrades. À l’état mort, on les trouve dans les vases des fossés, des mares, des étangs et des lacs, dans le sol des prairies turbeuses, ainsi qu'à l’état fossile. Pour tous les détails concernant la nature, la récolte et l'étude de ces microphytes, voir l’Zntroduction aux Diatomées d'Auvergne, pages 7-40. La famille des Diatomées se divise, d’après les carac- tères de l'enveloppe siliceuse, en trois sous familles : les RaAPHiDÉEs, les PSEUDO-RAPHIDÉES et les CRYPTo- RAPHIDÉES. Sous-FAuILLE I. — RAPHIDÉES Frustule présentant, au moins sur une des valves, un vrai raphé, où ligne brillante sur le fond lisse de la valve, séparé en deux parties par un nodule central et deux nodules terminaux. Le raphé peut être double. 1e Trisu. — ACHNANTHÉES Frustale à valves dissemblables, une seule portant un raphé et des nodules, l’autre un espace hyalin dépourvu de sculpture (pseudo-raphé), linéaire ou plus ou moins élargi, central ou excentrique. / DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 3 GExre Rhoicosphenia Gruxow (1860) Frustule cunéiforme et genonillé; valves cunéiformes et courbées parallèlement au petit axe ; face connective également cunéiforme, et montrant des cloisons paral- lèles aux valves. (Eaux douces et saumâtres). Rh. curvata Grun. Rh. Van-Heurckii Grun, GENRE Achnanthes Bory DE Sr-VixcExT (1822) Frustule courbé parallèlement au petit axe des valves, non cloisonné; valves symétriques, courbées parallèle- ment au petit axe; raphé de la valve inférieure droit ou légèrement ondulé, placé suivant l’axe de symétrie de la valve; pseudo-raphé quelquelois excentrique. (Eaux douces et saumâtres). a) Valve inférieure stauronéiforme. Ach. coarctata Grun. Ach. hungarica Grun. — subsessilis Ktz. — exigua Grun. b) Frustule présentant sur un des côtés une cloi- son semi-circulaire ; stries de la valve supérieure inter- rompues sur l'emplacement délimité par la cloison. Ach. Flahaulti F. Hérib. Ach. Peragalli F. Hérib. et Br. — lanceolata Grun. — joursacense F. Hérib. — — var. elliptica CI, c) Frustule sans cloison; valve inférieure stauro- néiforme. Acb. trinodis Grun. Ach. minutissima Ktz. _— gibberula Clève. — Biaso'ettiana Gran. — exilis Ktz. — delicatula Gru. — microcephala Grun. 4 . DISPOSITION MÉTHODIQUE NL Gexee Achnanthidium Gruxow (1880) Frustule tordu et courbé parallèlement au petit axe; raphé et pseudo-raphé sigmoïdes, et aboutissant sur les bords de la valve et non aux extrémités. (Eaux douces). Ach, flexellum Bréb. | Ach. flexellum var.alpestris Br, GENRE Cocconeis EHRENBERG (1835) Frustule courbé parallèlement au grand axe des valves; valves elliptiques ou subquadrangulaires; raphé et pseudo-raphé droits ou sigmoïdes, passant par le centre des valves. (Eaux douces et salées), a) Frustule sans anneau marginal interne. Coc. molesta Ktz,. b) Frustule muni d’un anneau marginal interne et crénelé. a Coc. tenuissima Næg. Coc. lineata Grun. — trilineata F, Hérib.et M.P. — — var. rotunda #0b. — californica Grun. — — var. euglypta Grun. — salina Rab. — — forma minor #0b. — Pediculus Ehrb. — intermedia F.Hérib.et M.P. — — var. rotunda 00. M var MINON 00 — Bonnieri F. Hérib. — Rouxii F. Hérib. et Br. — Placentula Ehrb. — — var, minor n0b. — — var. minor A0. — speciosa Greg. / (1) On devrait peut-être séparer les espèces qui ont le raphé sigmoïde pour en faire un nouveau genre, comme on sépare les Achnanthidium des Achnanthes et les Pleurosigma des Navicula. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 5 œ Trigu. — NAVICULÉES Frustule à valves semblables, portant chacune un raphé ordinairement droit, plus rarement ondulé ou sigmoide, également développé des deux côtés du no- dule médian, dans le sens de la longueur de la valve. Section L°. — NAVIQOULÉES (vraies) Frustule ni tordu ni caréné ; valves droites, non sig- moides. GExre Mastogloia TnwaiTes (1848) Frustule possédant deux diaphragmes, composés cha- cun d’un anneau marginal divisé en cellules; valves rhomboïdales ou allongées ; cellules du diaphragme iné- gales, formant un rang de chaque côté de la valve, celles des extrémités, de forme triangulaire. (Eaux douces et salées). Mast. Dansei Thw. | Mast. Smithii Thw. Gexre Navicula Bory pe Sr-Vincenr (1822) Raphé droit ou légèrement ondulé, formé quelque- fois de deux lignes, dont l’une beaucoup plus fine que l’autre, non compris entre des bourrelets siliceux nota- bles ; nodule central petit, relativement à la longueur de la valve, non dilaté en stauros allant jusqu'aux bords de la valve; valves ne présentant pas de plis ou sillons profonds, mais simplement des interruptions de la striation ou de légers sillons ; striation non régulière- ment décussée. Groure pes MICROSTIGMATICÉES Frustule très petit, ou à valves striées finement. 6 DISTOSITION MÉTHODIQUE 1. Mixurissiuæ. — Espèces trop petites pour que leurs caractères peu visibles, même à un fort grossisse- ment, puissent permettre de les classer dans les autres catégories. (Eaux douces et salées}. Nav. pelliculosa Hilse. Nav. Rotæana Grun. — atomus Grun. — — var. oblongella Grun. -- minuscula Grun. — — var, minor Grun. —- atomoides Grun. — binodis W, Sm. — falaisensis Grun. — perpusilla Gran. — minima Grun. — trinodis W, Sm. — seminulum Grun. — Creguti F. Hérib. — — var. fragilarioides Grun. | — — var. lanceolata n0b. 2, Fusirormx. — Valves étroites, lancéolées- linéaires, très finement striées. (Eaux douces et salées). Nav. gibbula Clève. Nav. crassirostris Cl. et Grun. — — var. Cantalica n0b. 3. BACILLE. — Valves bacillaires, à striation fine; nodules terminaux renforcés. (Eaux douces). Nav. Pupula Kitz. j Nav. Bacillum Ehrb. — — var, minuta Ktz. — — var. minor V. Heurck. — — var. major Rob. — pseudo-bacillum Gran. — lævissima Ktz. — — var. Major 70b. — — var. elongata n0b. — americana Ehrb. D. — jepida Greg. — — var. bacillaris n0b. — bacilliformis Grun. — — forma minor #0b. 4. Limosx. — Diffèrent des Pacille par leur con- tour plus ou moins ondulé, et par un léger sillon sou- vent marginal et peu visible. (Eaux douces). (1) Le Navicula americana est souvent considéré comme formant une section à part, celle des AMÉRICANÉES. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 7 Nav. ventricosa Donk. Nav. limosa var. gibberula Grun. — — var, cuneata n00, — — var.subinflata Grun. — — var. decrescens 704. — — var, undulata Grun. — — forma minor V. Heurck. — — var. curta Grun. — Heribaudi M. Per. — — forma major n0b. — jimosi Ktz. 5. Formosx. — Valves plus ou moins renflées, rhomboïdales, elliptiques, rostrées ou capitées ; sillons latéraux fins mais visibles. — Les espèces de ce groupe sont comprises par Clève dans le genre Colonets. (Eaux douces et salées). Nav. patula W. Sm. | Nav. amphisbæna Bory. 6. ArFINÆE. — Stries fines, parallèles, interrom- pues par un sillon submarginal assez large, parallèle aux bords de la valve, et accompagné de plusieurs autres de plus en plus faibles à mesure qu'ils se rap- prochent des bords. — Ce groupe forme le genre Nes. dium Clève et Pftz. (Eaux douces et saumâtres). Nav. producta W. Sm. Nav. Columnaris Ehrb. — amphirhynchus Ehrb, | — Hitchcockii Ehrb. — —- var. major A0. — amphigomphus Ebrb. — affinis Ehrb. — bisulcata Lag. — — var, undulata Grun. — — var. major nob. — ampliata Ehrb. — dubia Ehrb. — — var. minor Aob. — Peisonis Grun. — firma Ktz. — dilatata Elrb. — Jridis Ehrb. : — dubitata F. Hérib. et M. P. — — var. angustata nob. — — var, subproducta n0b. 7. CRASSINERVIE. — Valves lancéolées, à striation fine, uniforme, presque parallèle au petit axe, moins distinctement striées parallèlement au grand axe; pré- sentant souvent la forme craticulaire. (Eaux douces et saumâtres). 8 DIPOSITION MÉTHODIQUE Les Crassinerviæ pourraient être réunies au Navicula Johnsoniana Grev. pour reformer le genre Stictodesmis. Nav. cuspidata Ktz. Nav. ambigua Ebrb. — — var. Heribaudi M. Per. | — Bouhardi F. Hérib. — — forma craticula n0b. 8. SERIANTÆ. — Valves lancéolées ; stries fines, sub- parallèles, diminuant d'intensité des bords vers le raphé. (Eaux douces). Nav. serians Ktz. Nav. serians var. minor Grun. — — var. Peragalli nob. — exilis Grun. — — var. minima Grun. 9. ScuLPTÆ. — Valves lancéolées capitées; stries ra- diantes, décroissant d'intensité Jusqu'à disparaitre, puis reparaissant près du raphé en une double ligne de points très visibles qui accompagne le raphé. (Eaux saumâtres). Nav. Malinvaudi F. Hérib. Nav. sphærophora Rtz. — sculpta Ehrb. — — yar, minor Aob. 10. STAURONEIDÆ. — Valves À aspect stauronéi- forme ; stauros formé, soit par le raccourcissement des stries médianes, soit par leur écartement. (Eaux douces et saumâtres). Nav. Gendrei K, Hérib. Nav. mutica Ktz. — tuscula Grun. ——"var, Connu V. H. — nivalis Ehrb. — — var. producta n0b. 11. CoMPLExx. — Valves non stauronéiformes, sou- vent engaînées, à zone connective plissée. (Eaux sau- mâtres et thermo-minérales). Nav. aponina Ktz. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 9 Groupe DES LINEOLATÆ Valves lancéolées étroites, à striation un peu forte, ordinairement formée de côtes finement divisées en travers. 1. RaDpiosE. — Valves lancéolées, plus ou moins allongées, à extrémités variables, À stries centrales ra- diantes. — Les adiosre représentent le type des ANa- vicula vrais. a) Stries toutes radiantes (Eaux douces et sau- matres. Nav. lanceolata Ktz. Nav. Chaberti F. Hérib. — rostellata Ktz. — Placentula Ehrb. — — var. minor V. Heurck. — — var. major #ob. — slesvicensis Grun. — anglica Ralfs. — gastrum Donk. — dicephala W. Sm. — — var. elliptica 0b. — — var. minor W. Sm. — — var. major n0b. — acephala M.P. et F. Hérib. — Gomontiana F. Hérib. b) Stries radiantes au centre et droites aux extré- mités. (Eaux douces et saumâtres). Nav. Corbieri F. Hérib. Nav. trianeulifera M, P. FE. Hér. — joursacensis F. Hérib. | — digito-radiata Greg. — Reinhardtii Grun. — — var. obesa »ob. — — var. elliptica ob. | — Cyprinus W. Sm. c) Stries terminales courbées en crochet. (Eaux douces). Nav. Costei F. Hérib. — — var. bacillaris #00. Nav. oblonga Ktz. d) Stries centrales radiantes, les moyennes droites et les terminales convergentes. (Eaux douces et sau- matres). 10 DISPOSITION MÉTHODIQUE A. — Slauronéiformes B. — Non slauronéiformes Nav. peregrina Heib. Nav. viridula Ktz. — — var. obtusa n0b. — radiosa Ktz. —. — var. fossilis nob. — — var, acuta Grun. — gracilis Ehrb, — tenclla Bréb. — cincta Ktz. — rhyncocephala Kiz. — Heufleri Grun. — Gregaria Donk.. -— leptocephala Bréb, — humilis Donk. — menisculus A. Sch. — cryptocephala Ktz. — — var. upsalensis Grun. — pumila Grun. — — var. minor #0b. — perminuta Grur 2, DirecTx. — Valves allongées; stries droites. Nav. longa Greg. Groupe DES COSTATÆ Valves à côtes plus ou moins robustes, ne portant ni points, ni perles, ni divisions fines. 1. PiNNuLARIx. — Valves de forme généralement bacillaire, élargies ou ondulées, munies de côtes lisses ou indistinctement granulées. a) Distantæw. — Côtes très fortes et très espacées. (Eaux douces). : Nav. lata Bréb. Nav. borealis Ktz. — — var minor n0b. — — var. major n0h.. — megaloptera Ehrb. — — var, minor n0b. — costata Ehrb, b) Complexæ. — Valves bacillaires; côtes ro- bustes, quelquefois séparées les unes des autres ; raphé complexe. (Eaux douces). Nav. rupestris Ktz. Nav. viridis forma anomala no. — viridis Ktz. — nobilis Ehrb. — — var, curta A. Sch. — — var. gracilis #0b. — — var. commutata Grun. — gentilis Donk. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE qu e) Majoræ. — Valves linéaires, à centre souvent un peu renflé; raphé simple, plus ou moins oblique ; aréa ordinairement peu développée. (Eaux douces et saumâtres). Nav. Dactylus Ehrb. Nav. Dariana A. Sch. — gigas Ehrb. — — var. miocenica n0b. — — var. gracilis 200. — aquitaniæ F, Hérib. et Br. — major Ktz. — — var. undulata n0b. — — var. horrida #00. — Porrecta Ehrb. — — var. interrupta n0p. — Esox Ehrb. — — var. convergentissima 20. — — var. recta n0b. — transversa A. Sch. — Olivieri F. Hérib. — subacuta Ehrb. d) Tabellarie. — Valves linéaires, étroites, sou- vent gibbeuses au centre et aux extrémités ; aréa modé- rément large, souvent stauronéiforme. (Eaux douces et saumâtres). Nav. decurrens Ehrb. Nav. icostaurum CI. et Grun. — — var. hyalina »0b. — — var. conifera #0b. — — var. curtecostata n0b. — Hue F. Hérib. — gibba Ehrb. — stauroptera Grun. — — var. hyalina #00. — — var. gracilis P. Petit. — tabellaria Ehrb. — Bogotensis Grun. — interrupta W. Sm. — stomatophora Grun. — Leveillei FE. Hérib. e) Divergentæ. — Stries du milieu de la valve très divergentes ; aréa ordinairement stauronéiforme. (Eaux douces). Nav. notata M. Per.et F,. Hérib. | Nav. macra Grun. — Brebissonii Ktz. — divergens W. Sm. — — var. diminuta Grun. Pre 2 VO prolongata 10. < < é — — var. undulata n0b. — — var. ovalis H. a. — — var. undulato-cuneata Rob. — — var. subproducta Grun ndlr. CO) — — var. elongata nob. — Legumen Ehrb. — microstauron Ebrb. — — var, vix-undulata V. H. (1) Cette belle espèce est placée à tort, par Clève, dans la section des Complexe. 2 1? DISPOSITION MÉTHODIQUE f) Capitatæ. — Valves ordinairement stauronéi- formes, à extrémités rostrées ou capitées, et à contour plus au moins ondulé. (Eaux douces) ". Nav. mesolepta Ehrb. Nav. bicapitata Las. — —vyar. SaintignyiE. Hérib, | — — var. hybrida Gran. — — var. stauroneiformis Gr. | 7 = ar sulcata nob. —— decrescensF.Hérib.etM.p, | — Sübcapitata Greg. . , — — var.stauroneiformis Gr. — gracillima Pritch. — — var. paucistriata Grun. — — var. lucida xob. — appendiculata Ktz. — Termes Ehrb. — — var. irrorata Grun. — — var. stauroneformis V. H. — Braunu Grun. — nodosa Ktz. — — var. moissacensis N0b. — biceps Greg. — globiceps Greg. g) Brevistriatæ. — Aréa large, quelquefois stauro- néiforme; côtes très courtes. (Eaux douces et sau- mâtres). Nav. parva Grun. Nav. brevistriata Grun. — acrosphæria Bréb. — hemiptera Ktz. — — var. minor #ob. — — var. Bielawskii n0b. — — var. bacillaris ob. — — var. gibba nob. — — var. elongata nob, — — var. angusta n0b. — — var. badeana n0b, — hybrda M. Per.et F, Hérib. — — var. lævis 20b. — acuminata W. Sm. h) Abbreviw. — Aire centrale large, aire axiale plus étroite; stries rayonnantes, obscurément ponc- tuées. (Eaux salées et saumâtres). Nav. basalt. var. undulata n0b. — — var. longistriata n0b. Nav. cellesensis F. Hérib. — basaltæproxima F, Hérib. GROUPE DEs GRANULATÆ Stries distinctement granulées ; aire axiale peu dé- veloppée, aires latérales nulles. (Eaux douces et salées). (1) Nous comprenons, dans cette section, celle des Gracillimæ de Clève. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE - 13 Nav. Renauldi F. Hérib. Nav. seut. var. minor A. Sch. — — var, Major 20b. ° = amphibola CI. — pusilla W. Sm. — — var, perrieri nob. — arverna M. Per.et F. Hérib. — —-var.stauroneiformisnob. — --var.stauroneiformis #0. — Berriati.F. Hérib. — scutelloides Grun. — — var, minor n0b, GExre Trachyneis CLÈve (1894) Frustule ordinairement développé sur la face connec- tive; valve bacillaire ou rhomboïdale allongée ; raphé souvent sinueux, avec une aire axiale inégalement dé- veloppée des deux côtés du raphé; aire centrale stauro- néiforme, souvent accompagnée de sillons ou aires latérales sinueuses ; stries radiantes, formées de gra- nules allongés et décussés. Les Trachyneis sont souvent considérés comme groupe des Naviculées sous le nom d'Aspræ. (Eaux salées). Tr. scotica Clève. Gexre Stauroneis Enrenserc (1843) Nodule central dilaté transversalement en stauros ; stries ordinairement fines, plus ou moins distinctement granulées. 1. Pleurostauron. — Frustule cloisonné. (Eaux douces et saumâtres). St. parvula Grun. St. Lesumen Ehrb. — antediluviana M. P.F. Hérib. | — acuta W. Sm. — Smithii Grun. — javanica Gr. var. arvernense 20. 2. Stauroneis. — Frustule non cloisonné. (Eaux douces et salées). 14 DISPOSITION MÉTHODIQUE St. Baïleyi Ehrb. St. gallica F. Hérib. et M. Per. — Bruni F, Hérib. et M. Per. | — gracilis W. Sm. — amphilepta Ehrb. — acutinscula M. Per. F. Hérib. — platystoma Ehrb. — anceps Ehrb. — mesopachya Ebrb. — — var. amphicephala Ktz. — Phænicenteron Ehrb. — — var. linearis Grun. — — var. crassa 20. — — var. hyalina #0b. — — var, lanceolata n0b. — dilatata W, Sm. — — var, gracilis 200. — quadrata F. Hérib. et M. Per. GExre Diploneis ExrEexBErG (1841). Valves ovales ou panduriformes ; raphé entouré de bourrelets siliceux, séparés de ia valve par un sillon profond ; nodule central carré, allant jusqu'aux sillons ; côtes plus ou moins robustes, quelquefois ponctuées ou granulées, ou divisées en travers par des sillons pa- rallèles. 1. Elliptice. — Valves non contractées au milieu, plus ou moins ovales; côtes ponctuées ou granulées. (Eaux douces et salées). Dipl. elliptica Ktz. Dipl. elliptica forma minor no. — — var. oblongella Næp. — ovalis Hilse. — — var, minutissima Grun, | — Pagesi F. Hérib. — — var. major n0b. — Smnithii Bréb. 2. Didymce. — Valves rectilignes allongées, à extré- mités arrondies ou plus ou moins panduriformes. (Eaux salées). Dipl. recta F. Hérib. et Br, Dipl. bomboiïdes var. minor n0b. — bomboides A, Sch. — — yar. limanense »00. — — var. media #0b. Gexre Van-Heurckia px BrÉBissox (1868) Nodule central petit; raphé entouré de chaque côté DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 15 de nervures siliceuses; nodules terminaux allongés ; stries très fines, parallèles. ou légèrement radiantes, formées de points fins et bien égaux, de sorte qu'on aperçoit également une striation longitudinale parallèle au raphé. (Eaux douces et saumâtres). V.-H. vulgare V. Heurck. V.-H. rhomboides Ehrb. — — var. lacustris Br. — Julieni F. Hérib. — Jlineolata Ehrb. — — var. elliptica #6b, — crassinervia Bréb. GENRE Colletonema DE Brégissox (1849) Valve légèrement asymétrique, ayant un côté un peu plus large que l’autre ; nodules terminaux éloignés des extrémités de la valve, et entourés par les stries ; frus- tules engaînés. (Eaux douces). Coll, Cesatii Rab. GExre Amphipleura KuTzIxG (1844) Frustule fusiforme; valves très allongées ; raphé à deux petits segments rejetés tout à fait vers les extré- mités ; nodules terminaux allongés. (Eaux douces). Amph. pellucida Ktz. SECTION II. — PLEUROSIGMÉES Valves ordinairement sigmoïdes, ainsi que le raphé; aire axiale nulle; aire ile ou très petite; strla- tion composée de petits points alignés formant des stries rectangulaires, ou décussés et donnant alors des stries suivant trois directions. (1) Dans les Diatomées d'Auvergne (1893), et dans notre premier Mé- moire sur les Diatomées fossiles d'Auvergne (1902), les genres Diploneis, Van-Heurchia et Colletonema, sont compris dans le genre Navicula. - 16 DISPOSITION MÉTHODIQUE GENRE Pleurosigma W. Surrx (1853) Valves symétriques par rapport au centre; frustule ni tordu, ni caréné ; stries croisées à angle droit perpendi- culairement et parallèlement au raphé. (Eaux douces et salées. PI. attenuatum Ktz. PI. Spencerii W, Sm. — acuminatum Grun. — Kützingii Grun. — — var. scalproides Rab, SECTION III. — AMPHITROPIDÉES Valves plus ou moins carénées, à contour non sig- moide; raphé droit ou sigmoïde,'central ou latéral, placé sur la carène; stries rayonnantes, formées de points non décussés sur les valves, mais qui le sont quelquefois sur la carène. GENRE Amphoropsis GRuNoWw (1883) Valves à raphés opposés, c’est-à-dire placés d’un même côté du frustule ; raphé biarqué. (Eaux salées). Ampb. recta (Greg.) Grun. — Amphiprora recta Greg. 3° Trieu. — CYMBELLÉES Valves semblables, munies chacune d’un raphé plus ou moins arqué ou biarqué, inégalement développées des deux côtés du raphé, la partie du côté convexe du raphé (côté dorsal) plus développée et ordinairement plus fortement striée que la partie concave du raphé (côté ventral). ‘tél : '4te DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 11 Gexre Amphora EnrexBerG (1831) Valves inégalement développées des deux côtés du raphé, bombées ou anguleuses ; striation ordinairement différente des deux côtés du raphé, le côté dorsal plus complètement et plus fortement striéque le côté ventral. 1. Amploroidæ. — Valves cymbiformes ou linéaires, côté ventral assez développé ; striation robuste, compo- sée de côtes ou de perles formant une striation rayon- nante et des lignes continues ou ondalées parallèles au raphé ; zone simple. (Eaux douces et salées). Amph. Borneti F. Hérib. : Amph. Ped. var. minor Grun. — Proteus Greg. — affinis Ktz. — ovalis Ktz. — gracilis Ehrb. — Pediculus Gran. — libyca Ehrb. — — var. exilis Grun. — distincta M. P.F. Hérib. — — var. major Grun. 2, Intermediæw. — Valyes bacillaires, à extrémités aiguës ou obtuses, avec ou sans stauros; côté ventral peu développé; stries fines; raphé fortement iufléchi en arrière. (Eaux douces et salées). Amph. hyalina Ktz. 3. Cymbelloidæ. — Valves cymbiformes, côté ventral plus développé; zone complexe. (Eaux douces et salées). Amph. veneta Ktz. Amph. Ergadensis Greg. — salina W. Sm. — Normanii Rab. — acutiuscula Ktz. GENRE Cymbhella Acarpn (1830) Valves ordinairement plates, à zone connective très 18 DISPOSITIONS MÉTHODIQUE étroite; raphé excentrique et plus ou moins arqué; stries granulées ou finement divisées en travers. (Eaux douces et lécèrement saumâtres). 1. Lunatæ. —: Valves à bords courbés dans le même sens; raphé assez fortement arqué; nodules récurvés vers le bord dorsal. Cymb. Harioti F. Hérib. Cymb. Creguti F. Hérib. — radiosa M. Per, F, Hérib. — Bouleana F, Hérib. — cymbiformis Ehrb. — stomatophora Grun. — helvetica Ktz. — conifera F. Hérib. et Br, — hungarica Pant, — Foucaudi F. Hérib. — parva W. Sm. — tumida Bréb. — maculata Ktz. — Pagesi F. Hérib. — — forma curta Gran. — lanceolata Ehrb. — Brevieri F. Hérib. — aspera Ehrb. — Pauli M.Per.ct F. Hérib. — gastroides Ktz. — cistula Hempr. — — var, minor V. H. — — var. fusidium #0b, 2, Tumidæ. — Valves courbées en sens contraires; raphé droitou légèrement arqué; nodules terminaux pla- cés aux extrémités des valves et peu ou point récurvés. Cymb. alpina Grun. Cymb. Hauckii V. H. — — forma minor nob. — — var, fossilis 200. — Charetoni F, Hérib. — obtusa Greg. — Ehrenbergii Greg. — affinis Ktz. — — var. minor V. H. — turgidu'a Ktz. — — var. Conica #0b. — meniscus F. Hérib. M. P. — delecti À. Sch. — — var. major 20b. — cuspidata Ktz. — Rhodesi F. Hérib. — — var. Minor 200. — leptoceras Ktz. — anghca Lag. — —- forma curta n0b. — Laubyi F. Hérib. — — forma minor n0b. — — var. lanceolata »0b. — subæqualis Grun. — capitata M. Per. F. Hérib. — lævis Næg. — navculæforms Aucrs. — _ pusilla Grun. — amphicephala Nxg. . — microcephala Grun. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 19 GExre Encyonema KurzinG (1833) Nodules éloignés des extrémités, placés près de la face dorsale, récurvés vers la face ventrale, et entourés par les stries ; raphé rectiligne ou peu arqué. Frustules engainés. (Eaux douces). Enc. prostratum Ralfs. Enc. ventrisosum Ktz. -- Grandi F. Hérib. — — var, exCisa n0b. — turgidum Grun. — — var, minuta Hilse. — Girodi F. Hérib. — norvegicum Grun. — intermedium M.P.F.Hérib. | — lunula Grun. — cæspitosum Ktz. — gracile Rab. — — var. latà V. Heurck. — — var. lunata W. Sm. — — var. Auerswaldii V. H. — — forma minor Grun. — Pediculus Ktz,. 4 Trigo. — GOMPHONÉMÉES Frustule à valves semblables, ayant chacune un raphé et des nodules, asymétriques par rapport au petit axe, c'est-à-dire à un plan perpendiculaire au raphé, et passant par le nodule central; la partie la plus courte du frustule (partie supérieure) est ordinairement la plus large et de forme variable; la plus longue (partie inférieure) est presque toujours conique; face connective conique, avec la partie inférieure plus étroite. GENRE Gomphonema A&Garpx (1824) Frustule non genouillé; stries lisses ou granulées. 1. Stigmaticæ. — Valves portant un point unilatéral 20 UPPADES “ v SET er VEN CAT DISPOSITION MÉTHODIQUE bien visible près du nodule central. (Eaux douces et saumâtres). Gomph. cantalicum F. Hérib. — var. costalonga n0b. — var. lepida nob. — forma major 10b. rigidum M. P. F. Hérib. Cygnus Ehrb. Vibrio Ehrb, latestriata F. Hérib. affinis Ktz. Hebridense Greg. intricatum Ktz. — var, pamila Grun, — var. dichotoma Grun, clavatum Ehrb. — forma curta V, H. commutatum Grun, Mustela Ehrb. — var curvata 20b, — forma minor 20b, Brebissoni Ktz. elongatum W. Sm. — var. minor n0b. geminatum Ag. eriense Grun, — var.acuminata n0b. capitatum Ebxb. — var. curta 20b. coustrictum Ehrb. — var, subcapitata Gr. — var. elongata 20b. acuminatum Ehrb. — var. lrigonocephala Ehxb. — var. pusilla Grun. — var. coronata Ehrb. — var. intermedia Gr. — var. gigantea nob. Gomph. acum. var clavus V. I. — var. laticeps Grun. dichotomum W. Sm. auritum À. Br. subclavatum Grun. — var. acuminata n0b. — var. major 20b. angustatum Grun. — var intermedia Grun, — var. subæqualis Grun var. producta Grun. micropus Ktz. — var, minor Grun. — forma major 10b. tenellum Ktz. montanum Schum. — var. pumila Grun. biventralis M. P. F. Hér. subtile Ehrb. parvulum Ktz. — var, lanceolata Ebrb. — var subcapitata V.H. Augur Ehrb. — var, Gautieri V. H. insigne Greg. — var. acuminata »0b. — forma minor Greg. semiapertum Grun. — var. T'ergestina Grun. sarcophagus Greg. brevistriata F. Hér. M.P. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 21 2, Ashigmaticæ. — Valves ne présentant pas de point unilatéral près du nodule central. (Eaux douces et sau- mâtres). Gomph. excissum M. Per. F. Her. parvum F. Hér. M. Per. olivaceum Ehrb. accessum FE. Hér. M. Per. Kamtschaticum Grun. Gomph. Gilloti F. Hérib. arcticum Grun. Licmophoraoides M.P. FI. exiouum Ktz. abbreviatum Ktz. GENRE Peronia DE BuÉéBissoN ET ARNOTT (1868) Valves à nodule central et raphé atrophiés, dontil ne reste que les nodules terminaux et des amorces de raphé, qui parfois manquent à la partie inférieure et même sur toute la valve. (Eaux donces, fossile). Per, Heribaudi M. Per, 22 DISPOSITION MÉTHODIQUE Sous-Famiize IL — PSEUDO-RAPHIDÉES Frustule ne portant de raphé sur aucune des valves, présentant quelquefois des nodules très petits accompa- gnés parfois de sillons ou de côtes simulant un raphé; valves ayant souvent une aréa lisse, linéaire, ou plus ou moins élargie, séparant les sur É ligne mé- diane de la rare mais ne portant ni appendices, ni cornes, ni grosses épines. -1* TriBu. — ASTÉRION ELLÉES Frustules coniques, très a presque bacillaires, à extrémités plus ou moins renflées, ordinairement réu- nis en éventail par une des extrémités des valves; valves striées transversalement, présentant un pseudo- raphé étroit, plus ou moins visible, élargi aux extré- mités, surtout à celle du contact, qui est presque dé- pourvue de striation. GExre Asterionella Hassaz (1850) Frustules bacillaires, renflés aux extrémités, tant sur la face valvaire que sur la face connective, réunis en forme d'étoile par l'extrémité la plus ee stries transversales assez fines. (Eaux douces et salées). Aster. formosa Hass. Aster. antiqua F. Hérib. et M. P. — — var. gracillima Grun. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 23 92e TriBu. — SYNÉDRÉES Frustule très allongé, ordinairement bacillaire et sy- métrique par rapport au plan perpendiculaire au milieu du grand axe: valves striées tranversalement, présen- tant un pseudo-raphé plus ou moins apparent, quelque- fois élargi au milieu en pseudo-stauros uni ou bilatéral. GExrE Synedra EnrexBErG (1831) Frustules bacillaires, libres, géminés ou réunis en éventail par une des extrémités des valves; face val- vaire striée transversalement, présentant une aréa nee ou moins large, quelquefois stauronéiforme au milieu de la valve l'un ou des deux côtés. Les Synedra d'Auvergne ne présentent qu'un seul pseudo-raphé central, et forment le groupe Æusynedreæ. (Eaux douces et salées). Syn, capitata Ehrb. Syn. delicatissima W. Sm. — joursacensis F, Hér. M. Per. — var. mesoleia Grun. — Ulna Ehrb. — var. angustissima Grun, radians Ktz. crotonensis Edw. hyperborea Grun. acuta Ktz. — var. oxyrhynchus Ktz. Acus Grun. — — var. danica Ktz. — — var.amphirhynchus Eh. — — var. bicurvata Grun, — — var. lanceolata Ktz. — — var. longissima W, Sm. — — var. spathulifera Grun. — — var. ventricosa #0b. — — var. obtusa W. Sm. — var, fossilis Grun. — — var. subæqualis Grun. — var, subtilis Grun. — — var. vitræa Ktz. rumpens Ktz. == barbatula Ktz. Ramesi F. Hérib. here Ki pliocenica F. Hérib. M. Per. — — var. truncata Ktz. affinis Ktz k gracilis Ktz. — — var. parvula Ktz. \ CS ee elite Gru closter1ol es run. de Le — var, fossilis Grun, 24 DISPOSITION MÉTHODIQUE GENRE Fragilaria Lyxegye (1819) Frustules analogues à ceux des Synedra, mais en général moins longs, réunis en rubans par leurs faces valvaires; face connective exactement bacillaire. 1. Staurosira. — Pseudo-stauros très visible, quel- quefois lancéolé; striation assez forte. (Eaux douces). Fragil. brevistriata Grun. Fragil. construens Grun. — — var. pasilla Gran. — — var. Capitata #0b. — — var. Mormorum Grun. — — var. genuina Grun. — — var. elliptica nob. — — var.subcapitata Grun. — lapponica Grun. — æqualis Lag. — — var. Capitata nob. — . Harrisonii Grun. — — var. pumila Gran. — — var. Venter Grun. — — var, circulare n0b. — elliptica Schum. — — forma minor Grun. — minutissima Grun. — — var. major n0b. — mutabilis Grun. — Lancettula Schum. — Gustavei F. Hérib. — _intermedia Grun. — binodis Ehrb. — ZAeïlleri F. Hérib. — — var, obliqua nb. — — var. nitzschioides 20b. — parasitica Grun. — — forma anomala n0b. — — var. subconstricta Gr. — bigibba M. Per. F. Hérib. — capucina Desm. — — var. acuminata Grun. — — var. acuta Grun. — — var, mesolepta Rab. — bidens Heïb. — — forma major Heib. — — forma minor HHeib. — producta Grun. 2. Eufragilaria. — Pseudo-stauros très étroit et peu visible; valves striées en général finement. (Eaux douces et salées). Fragil. undata W. Sm. Fragil. nitzschioides Grun. — virescens Ralfs, — —- var. brasiliensis Grun. — — var. exigua 20. — hyalina Grun. — — var. ventricosa 200. — nitida M. Per. F. Hérib. — — var. clongata nob, — — var. delicatula nob, — striatula Lyngb, — — var, minor X0b, DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 25 GExre Ceratoneis EurexperG (1840) Frustules de Synedra pliés sur une des faces connec- tives, parallèlement à l'axe normal aux plans des valves, et passant par le centre de celles-ci; face connective à flancs parallèles. (Eaux douces). Cerat. Arcus Ktz. | Cerat Arcus var. amphioxys Rab. 3° Trisu. — EUNOTIÉES Frustule arqué; face connective rectangulaire; face valvaire arquée, striée transversalement, présentant des pseudo-nodules marginaux, et quelquefois un pseudo- raphé ou des sillons plus ou moins marginaux. Gexre Actinella Lewis (1865) Valves à extrémités inégales, dont l’une au moins est plus large que le milieu de la valve, présentant des pseudo-nodules marginaux et un sillon excentrique rap- proché du bord concave. (Eaux douces et saumâtres). Act. pliocenica F. Hérib. M. Per. | Act. plioc. var. serpentina 04. — — var. tenuistriata #00. -_ Gexre Eunotia EnrenserG (1837) Valves à extrémités égales ; pseudo-nodules tout à fait marginaux; sillon marginal, ordinairement invi- sible. (Eaux douces et légèrement saumâtres). 1. Eueunotia. — Frustules libres, parasites, isolés ou réunis par deux; face connective étroite. 26 DISPOSITION MÉTHODIQUE Eun. flexuosa Ktz. Eun. robusta Ralfs. — var, bicapitata Grun. — — var. endecaodon Ralfs. — parallela Ehrb. — — var. tetraodon Ehrb. — lunaris Grun. — prærupta Ehrb. — — var, subarcuata Grun. — — var, bigibba Ktz, — — var. excisa Grun. — — var. inflata Grun. — — var. bilunaris Grun. — — forma curta Grun. — paludosa Grun. — monodon Ehrb. — polydentula Ebrb. — — var. diodon Ehrb. — — var. fossilis nob. — impressa Ebrb. — — var, bidentula W, Sm. — — var. angusta Grun. — — var. tridentula Ehrb. — polyglyphis Grun. — Rabenhorstii CL. et Grun. — incisa Greg. 2. Himantidium. — Frustules réunis en bandes plus ou moins longues; face connective développée. Eun. minor Rab. Eun. gracilis Rab. — pectinalis Rab. — — yar, Major 20b. — — var. stricta Rab. — — var. capitata ob. — — var. ventricosa Grun. — Arcus Ehrb. — — var, undulata Ralfs. — — var. plicata nob. — — var. elongata Rab. — — var, hybrida Grun. — major Rab. — — var. bidens Grun. — — var. bidens W. Sm. — Faba Ehrb. 4 Trigu. — EPITHÉMIÉES Frustules arqués dans la vue valvaire, plus ou moins turgides dans la vue connective; valves ordinairement bombées ou angulaires, couvertes de côtes radiantes étroites mais fortes, et de stries intercostales plus ou moins granulées. GExre Epithemia pe BRrÉBisson (1838) Valves présentant un pseudo-raphé assez large et x DES DIATOMEES D'AUVERGNE 27 visible, formé de deux lignes courbes tangentes au bord ventral, et se rejoignant, sous un angle plus ou moins aigu, au milieu de la valve; stries granulées, ou lignes de granules très visibles intercalées entre des côtes fines mais fortes. Le genre Æpithemia se relie au genre Denticula par l'£pithemia ocellata, et au genre Hantzschia par V Epi- themia turgida. (Eaux douces et saumâtres). Epith. ocellata Ehrb. Epith. Zebra var. undulata n0b. — Argus Ktz. — turgida Ktz. — — var. alpestris W. Sm. —. — var. Vertagus Ktz. — — var. amphicephala Gr. — — var. porcellus n0b. — Sorex Ktz. — — var. granulata Grun. — Zebra Ktz. — —— Var. Crassa 20b. — — var. minor #0b. — Westermannii Ktz. — — var. proboscidea Grun. — Hyndmannii W. Sm. — — var. longicornis n0b. — — var. curta nob. — — var. longissima n0b. — — var perlonga n0b. GENRE Rhopalodia O. Muzcer (1895) Valves présentant une côte formant arête, et portant au milieu un nodule plus ou moins apparent, et aux extrémités des nodules terminaux moins visibles; stria- tion plus serrée et plus délicate que dans les Æpithemia. (Eaux douces et saumâtres). Rhop. constricta W. Sm. (1) Rhop. rupestris W. Sm. — succincta Bréb. — gibba Ehrb. : E: gibberula Ehrb, — — var. ventricosa Grun. — — var. parallela Grun. 7. \ ce — — var. producta Grun. — — forma longissima nob. (1) Les Rhopalodia sont compris, dans nos Diatomées d'Auvergne (1893), dans le genre Epithemia. ; 3 28 DISPOSITION MÉTHODIQUE 5° Tripu. — NITZSCHIÉES Frustule en général allongé, asymétrique, caréné ; valves angulaires, la carène formant l’arête de l'angle; les deux plans de la valve sont réunis près de la carène par des amorces de cloisons plus ou moins longues; vues par les côtés de la valve ces amorces présentent l'aspect de points carénaux arrondis ou allongés; valves striées transyersalement. Gexre Hantzschia Gruxow (1877) Frustule arqué dans la face valvaire, rectangulaire dans la face connective; carènes marginales, placées sur l’aplomb du bord ventral, et opposées par rapport au plan connectif. c'est-à-dire du même côté du frus- tule; points carénaux allongés ou prolongés en côtes transversales; nodule médian parfois visible. (Eaux douces et salées). Hantz. amphioxys Gran. Hantz. amph. var. major Grun. — — var. mtermedia Grun. — elongata Grun. — — var. vivax Grun. Genre Bacillaria GMELIN (1788) Carène centrale, c'est-à-dire placée au milieu de la valve, dont les deux faces latérales sont alors égales; valves longuement lancéolées, striées finement en tra- vers; frustules réunis en rubans par la face valvaire. (Eaux douces et salées). Nous avons repris l’ancien genre de Gmelin, parce que, par la carène centrale, il établit une transition très naturelle entre les /Z/antzschia et les Nitzschia. Bacil, socialis Greg. | Bacil. socialis var. basaltica nod, DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 29 Gexre Nitzschia [assaz (1845) Carènes excentriques sur les deux valves et diagona- lement opposées dans le frustule. Groure DEs SCALARIFORMÆ Frustules allongés, droits, fusiformes ou légèrement sigmoïdes; carène presque centrale; points carénaux allongés, et prolongés tous ou en partie sur la valve; valves lancéolées délicatement striées en travers. (Eaux douces et saumâtres). Nitz. dissipata Grun. | Nitz. dissip. var. media Grun. GROUPE DES SIGMATÆ Frustules sigmoïdes dans les deux sens (valvaire et connective); carène plus ou moins excentrique; points carénaux ronds et non prolongés sur les valves. 1. S'gmoidcæ. — Carène un peu excentrique ; valves sinueuses, les extrémités récurvées d’un même côté; face connective sigmoïde; points carénaux légèrement allongés transversalement. (Eaux douces). Nitz. Brebissonii W. Sm. — vermicularis Hantz. Nitz. sigmoidea Nitz. — — var. armoricana Grun. _ 2. Nizschiellæ. — Carène très excentrique; frustule turgide au centre et À extrémités prolongées, fines, linéaires, courbées du même côté ou en sens différent. (Eaux douces et salées). Nitz. acicularis W. Sm. | Nitz. ignimontana F, Hérib. 3. Obtuscæ. — Frustule légèrement sigmoïde; valves 30 DISPOSITION MÉTHODIQUE bacillaires À extrémités atténuées et tournées en sens contraire; carène à inflexion centrale, présentant au mi- lieu de l’inflexion deux points carénaux plus distants que les autres ; quelquefois un rudiment de nodule existe entre les deux points. (Eaux saumâtres). Nitz. obtusa W. Sm. | Nitz. obtusa var. scapelhiormis Gr. GrouPE DES LINEARIÆ Frustule bacillaire, à carène très excentrique; face connective bacillaire ou très longuement lancéolée ; face valvaire lancéolée ou bacillaire, à extrémités plus ou moins acuminées; points carénaux ronds ou à peine allongés. 1. Lanceolatæ. — Valves lancéolées, ou lancéolées- linéaires, plus rarement ovales; carène très excentrique, À points carénaux ronds. (Eaux douces et salées). Nitz. ovalis Arn. Nitz. Frustulum Grun. — _inconspicua Grun. — — var. minutula Rab. — microcephale Grun. — — var. perpusilla Rab. — fonticola Grun. — — var. Bulnheimiana Rab. — tubicola Gran. — Palea Ktz. — subtilis Grun. — — var. exilis Grun. — fossilis Grun. — — var. tenuirostris Grun. — miouta Bleisch. — Hantzschiana Rab. —- acutiuscula Grun. — “amphibia Grun. — communis Rab. — —var. Frauenfeldii Grun. — — var. obtusa Grun. 2. Lineariæ. — Valves à carène excentrique, longue- ment lancéolées ou linéaires, à points carénaux ronds ou subanguleux, un peu allongés transversalement; face connective baciilaire, quelquefois légèrement rétrécie au milieu, à extrémités atténuées et tronqaées. (Eaux dou- ces où saumâtres.) NE 7 ete POTTER a A DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 81 Nitz. recta Hantz. Nitz. vitrea Norm. — tenuis Grun. — —- var. gallica nob, — Jincaris W. Sm. — Kitilii Grun, — — var. major V,. Heurck. 3. Spectabilæ.— Valves grandes, faiblement arquées, à carène excentrique; points carénaux un peu prolon- gés sur la valve. (Eaux saumâtres). Nitz. spectabilis Rab. Gnoure nes CONSTRICTÆ Frustule rétréci au milieu; face connective bacil- laire ou légèrement contractée, à extrémités plus ou moins arrondies ; points carénaux sensiblement prolon- gés sur la valve. 1. Dubiw. — Face valvaire légèrement contractée, ainsi que la face connective; celle-ci à extrémités acu- minées, quelquefois rostrées capitées; points carénaux ronds ou légèrement allongés dans le sens transversal. (Eaux douces et saumâtres). Nitz. thermalis Auersw. | Nitz. dubia W. Sm. — commutata Grun. 2. Bilobatæw. — Faces valvaire et connective plus contractées que dans la section précédente; carène moins excentrique; points carénaux plus allongés en général; face connective À extrémités acuminées et récurvées vers le connectif. (Eaux saumâtres). Nitz. bilobata W. Sm. | Nitz. bilobata var. hybrida Gr. GrouPE DES EPITHEMIOIDÆ Points carénaux prolongés par des côtes bien déf- 32 DISPOSITION MÉTHODIQUE nies; carène tout à fait excentrique; côtes traversant toute la valve, tout en diminuant iusensiblement de largeur. (Eaux douces). Nitz, Denticula Grun. Grourz DES TRYBLIONELLÆ Valves présentant un sillon plus ou moins large, lisse, ou une ondulation longitudinale où les stries sont moins accusées; carène marginale; frustule ordinaire- ment contracté. TER 1. Apiculatcæ.— Valves linéaires, longuement acumi- nées, présentant un sillon sur lequel les stries manquent Dre v. 4 ou sont très affaiblies. (Eaux douces et saumâtres). 4 Nitz. hungarica Grun. | Nitz. acuminata Grun. 2. Panduriformeæ. — Valves larges et contractées à la partie médiane, présentant un sillon ordinairement net et étroit; stries granulées, formées de points dé cussés; carène très excentrique. (Eaux salées). Fe .Nitz. panduriformis Greg. | Nitz. constricta Greg. — — var. lucida #00, 8. Tryblionellæe. — Valves ordinairement larges, contractées ou non au milieu, ondulées dans le sens de la largeur, mais dépourvues de sillon ®. (Eaux douces et salées). | Nitz. angustata W. Sm. Nitz. Victoriæ Grun. — calida Grun. — Tryblionella Hantz. (1) Nous avons compris dans les Zryblionelle, les Pseudo-Tryblionellæ qui n’en différent que par la forme des points carénaux. DES DIATOMEES D'AUVERGNE 33 Gexre Grunowia RaBexnorsr (1864) Valve carénée comme dans les Néfzschia, à flancs plus ou moins ondulés, à extrémités capitées; côtes fortes et alternes, s’arrêtant brusquement au milieu de la face valvaire; stries intercostales fines et souvent peu visibles. Grun. Tabellaria Rab. Gran. moissacensis EF, Hérib, — sginuata Rab. 6 Teipu. — SURIRELLÉES Frustule à valves symétriques, présentant, de chaque côté de la valve, une carène plus ou moins marginale, mais dont le bord se projette presque toujours très près des bords de la valve, et ne se voit bien que dans la vue connective; striation formée de côtes plus ou moins fines, terminées au bord de la carène par une cupule ou par une perle, et entre lesquelles sont souvent des stries beaucoup plus fines. GExre Gymatopleura \W. Surrx (1851) Frustule à valves ondulées longitudinalement, à ca- rène marginale; poiuts carénaux gros; stries très fines; pseudo-raphé peu distinct. (Eaux douces et saumâtres). Cym. hibernica W. Sm. Cym. ellip. var. rhomboides Gr. — — var. major 0h. — -, Martyi F. Hérib. — elliptica W. Sm. Ü — Kolea Bréb. — — var.subconstricta Gr. — — var. apiculata Pritch. — — var. constricta Grun. 34 DISPOSITION MÉTHODIQUE GEexre Surirella Turpix (1827) Frustule naviculaire ou tordu en spirale; face connec- tive présentant des ailes formées par les carènes des valves; carènes semi-marginales; striation formée de côtes plus où moins robustes, terminées sur la carène par une cupule. 1. lPinnatcæe. — Carènes peu saillantes, presque mar- ginales; striation formée de côtes fines et souvent de stries Intercostales. (Eaux douces et saumâtres). Sur. graoilis Grun. Sur. ovata Ktz. — — var. minor Br. — — var. pinnata W. Sm. — — var. constricta n0b. — — var. minuta Bréb. — — var. eximia #0b, — crumena Bréb. _— angusta Ktz. — Patella Ehrb. — — var, contorta P, Petit. — Bruni F. Hérib. — salina W. Sm. — elegans Ehrb. — ovalis Bréb, — norvegica Ehrb. 2. Robustæ. — Carènes saïillantes, semi-marginales ; côtes robustes, sans stries intercostales visibles dans le baume. (Eaux douces et saumâtres). Sur, tenera Greg. Sur. bis. var. subacuminata V.H. — — var. splendidula Greg. — bifrons Ktz. — splendida Ehrb. — turgida W. Sm. : 4 — helvetica Br. — saxonica Auersw. — Pagesi F. Hérib. — robusta Ehrb. — biseriata Bréb. — striatula Turp. À — — var. elliptica P. Petit. — — var. Gautieri 20b. — — var. linçearis W. Sm. 3. Sprralæ. — Frustule tordu en spirale; axes des deux valves parallèles; côtes robustes et longues. (Eaux douces). | DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 85 Gexre Campylodiscus EurexserG (1841) Frustule tordu en sens contraires suivant deux axes rectangulaires passant par le centre de figure du frus- tule, et situés dans les plans de symétrie des valves; celles-ci ont, par conséquent, leurs axes courbes; l'axe longitudinal, c’est-à-dire celui qui accompagne le pseudo-raphé, est ordinairement le plus long, mais presque toujours les deux axes sont sensiblement égaux, de sorte que les valves sont orbiculaires ou quadrangu- laires à angles fortement arrondis. (Eaux douces et salées). Camp. Thureti Bréb. | Camp. noricus Ehrb. — çostatus W. Sm. 4 Gexre Stenopterobia DE BréBisson (1865) Valves très allongées, linéaires acuminées, carène tout à fait marginale; face connective sigmoïde. (Eaux douces). Stenop. anceps Lewis. 7° Trisu. — RAPHONÉIDÉES Valves couvertes de ponctuations ou de granulations en général grosses et très visibles, disposées eu lignes rayonnantes et parallèles au pseudo-raphé, qui est linéaire ou lancéolé et très apparent. GENRE Opephora P. Prrir (1888) Frustule conique, tant en vue connective qu’en vue 36 : DISPOSITION MÉTHODIQUE valvaire; valve présentant des côtes robustes, laissant au milieu de la valve un pseudoraphé très net et plus ou moins large. (Eaux douces et salées). Op. Martyi F. Hérib. Op. pacifica var. trigona n0b. — — var. robusta n0b. — cantalense F. Hérib. M. Per. — — var. Capitata nob. — — var. Capitata nob, — pacifica P, Petit. GExre Raphoneis EnrEeNBerG (1844) Valves symétriques, lancéolées, plus ou moins tur- gides et apiculées, couvertes de granules formant des lignes rayonnantes et parallèles au pseudo-raphé, qui est très visible. (Eaux salées). Raph. belgica Grun. : Raph. amphyceros Ehrb. — — var, clongata Grun. | — — var. minor Grun. GExre Campylosira GRuxow (1882) Valves dissymétriques par rapport à l’axe longitu- dinal, cymbifonnes, couvertes de ponctuations éparses' quelquefois peu visibles; face connective élargie au centre et aux extrémités M. (Eaux salées). Camp. Peragalli F. Hérib. . (1) Le D' Van-Heurck place le genre Campylosira dans la tribu des Fragilarises, tribu qui n'a aucune raison d'être puisque les Z'ragilaria ne diffèrent presque pas des Synedra; nous devons aussi faire observer que le genre n'est guère mieux placé dans les Raphonéidées ; il serait peut- être préférable de le réunir au Cyma‘osira, pour en former une tribu par- ticulière. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 87 8° Trigu. — DENTICULÉES Frustule normalement dépourvu de cloisons; valves présentant des côtes transversales et des stries intercos- tales, interrompues par un pseudo-raphé souvent peu visible, GExre Denticula KurzinG (1844) Face valvaire ordinairement lancéolée, présentant des côtes transversales robustes, et des stries intercos- tales ponctuées, sans pseudo-raphé apparent; face con- nective rectangulaire à angles arrondis, montrant le prolongement des côtes qui s’y recourbent et viennent se terminer contre l'anneau connectil par une perle très brillante. (Eaux douces, salées et thermales). Dent. elegans Ktz. Dent. tenuis Ktz. — — var. thermalis Ktz. — — var. intermedia Grun. — _inflata W. Sm, — — var, meso'epta Grun. — frigida Ktz. Gexre Diatoma pe CanpoLce (1805) Frustule comme dans le genre précédent, mais à val- ves souvent plus bacillaires, à côtes moins fortes, et qui, sur la face connective, s’amincissent vers l’anneau, au lieu de s’y terminer par un granule brillant; frustule muni quelquefois de cloisons internes courbes, situées entre la valve et le connectif. (Eaux douces). Diat. pectinale Ktz. Diat. hyemale var. acuta 70b. — — var. Capitata n0b. — anceps Grun. — — forma elongatum Ktz. — — var. anomalum W. Sm. — vulgare Bory. — Ehrenbergii Ktz. — — var. lineare W. Sm.. — — var. gracile W. Sm. — Mesodon Ktz. ; — elongatum Ag. — hyemale Heib. — tenue Ag. 38 DISPOSITION MÉTHODIQUE GExre Meridion Acairpn (1824) Le genre Aeridion ne diffère du genre Diatoma qu'en ce que le frustule est cunéiforme, tant dans la vue val- vaire que dans la vue connective; frustules réunis en bande spiralée. (Eaux douces). Merid. circulare Ag. | Merid, constrictum Ralfs, 9 Trigu. — TABELLARIÉES Frustule présentant, dans la face connective, des cloi- sons ou des fausses cloisons parallèles aux valves, GEXRE Tetracyclus Gruxow (1862) Valves munies de côtes transversales fortes, plus ou moins courbes, et, assez souvent, avec des stries inter- costales très fines, interrompues par un pseudo-raphé étroit et peu apparent; face connective montrant de nombreuses fausses cloisons, ordinairement alternantes d'un côté à l’autre, et percées d’une ouverture centrale. (Eaux douces et saumâtres). Tetr. Braunii Grun®, Tetr. stella (Ehrb.) n02. — ellipticus (Ehrb.) n0b. — Pagesi F. Hérib. — rhombus Ralfs. — stellare F. Hérib. M. Per. — Boryanus (Pant.) var. minor #00. | — elegans (Ehrb.) #00. — Lancea (Ehrb.) nob. — — var. eximia 200. — compressus (Ehrb.) ::0b. — emarginatus W. Sm. — Lamina (Ehrb.) nob. — — var. Crassa 20b. — castellatus (Ehrb.) nob. — Peragalli F. Hérib. — — var turris n0b. — — var. eximia n0b. — tripartitus F. Hérib. et Br. | — — var. major nob. — — var, gracilis 200. — decoratus F. Hérib. et Br. (1) Le Tetracyclus Braunii Grun. est élevé au rang de genre, par plu- sieurs auteurs, sous le nom de (omphogramma rupestre À. Br. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 39 L 2 Gexre Tabellaria EnrexBerG (1839) ” Valves striées transversalement, sans côtes interpo- sées, à pseudo-raphé apparent; fausses cloisons n’arri- vant que jusqu'au milieu de la valve. (Eaux douces). Tab. RCA Ktz. Tab. flocculosa Ktz. — — var, nodosa Ehrb. — — var. biceps Ehrb. — — var. trinodis Ehrb. GENRE Striatella Acarpn (1832) Valves munies d’un pseudo-raphé très apparent, dé- pourvues de côtes; stries très fines; face connective montrant un grand nombre de fausses cloisons très dé- licates. (Eaux salées). Str. Girodi F, Hérib, 40 DISPOSITION MÉTHODIQUE Sous-Famiie III. — CRYPTO-RAPHIDÉES Frustule à valves circulaires, elliptiques ou angu- laires, plus rarement bacillaires, largement arrondies, ue présentant jamais ni raphé, ni pseudo-raphé ,eni nodules. 1° Trigu. — MÉLOSIRÉES 53 ; | , | KI Valves circulaires, ne portant ni grosses épines, ni appendices, ni ocelles, quelquefois bombées ou globu- laires ; face connective rectangulaire, à extrémités plus ou moins arrondies. a GENRE Melosira AGarpx (1824) Valves plates ou bombées, mais non ondulées trans- versalement; frustules souvent très développés dans la face connective, ordinairement assemblés en rubans par les faces valvaires. x 1. Orthostra. — Face connective étroite; frustules réunis en grand nombre pour former un long ruban solide; valves plates. (Eaux douces et saumâtres). F2 Melos. undulata Ktz. Melos, Sol Ehrb. — — var. producta A. Sch. — varennarum M. P. F. Hér. — — var. debilis n0b. — Boulayiana M. Per. — — forma hungarica A. Sch. — imperfecta F. Hérib. — arenaria Moor. 2, Aulacostra. — Face connective développée; valves DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 41 plates, se joignant par toute la face connective; frustules formant de longs rubans. (Eaux douces et saumâtres). Melos. Dickiei Ktz. Melos lincolata Grun. — minuta M. Per.et EF. Hér. — — var, robusta #0b. — nivalis W. Sm. — granulata Ehrb. — distans Ehrb. — — var.australiensis V. I. — — var. alpigena Grun. — — var, arcuata #00. — tenuissimai Grun. — spiralis Ktz. — tenuis Grun. à — — var.hemisphæricanob. — Jævis Grun. — — var. sphærica 70b, — crenulata Ktz. — lyrata Ehrb. — — var, ambigua Grun. — — var. lacustris Grun. — — var. valida Grun. — canalifera F, Hérib. et Br. — — var, andulata nob. — — var.anastomosans n0b. — Camusi F, Hérib. — striata F. Hérib. et Br. — — var, Conica 20), — Bruni F, Hérib, 3. Lysigonium. — Face connective développée; val- ves légèrement bombées, à centre plat; frustules réunis en bandes; structure générale très fine. (Eaux douces et saumâtres). Melos. orichalcea Mert. Melos. Borreri Grev. — varians Ac. — — var. ignimontana 20b. — Heribaudi Br. 4. Liparogyra. — Valves légèrement bombées, mu- nies d'une couronne de petites épines; stries radiantes ponctuées, ponctuation devenant de plus en plus fine vers le centre, qui est muni de deux à cinq gros gra- aules. (Eaux douces, mousses humides). Melos. Ræseana Moor. Gexre GCyclotella Kurzixa (1833) Frustules réunis par deux au plus et jamais en ru- 42 DISPOSITION MÉTHODIQUE ban; face connective étroite, montrant les ondulations de la face valvaire: valves circulaires, bombées ou on- dulées circulairement ou en travers, couvertes de stries rayonnantes, laissant ordinairement un centre lisse ou légèrement granulé. (Eaux douces et saumâtres). Cyel. cperculata Ktz. | Cycl. comensis Grun. — — var. antiqua W. Sm. — stelligera CI. et Grun. — Kutzingiana Chauv. — Temperei F. Hérib. — — var. gemmatula n0b. — Charetoni F. Hérib. — perforata M. Per. F. Hérib. | — — var. scutiformis n0b, — Comta Ktz. — — var. radiata nob. — — var. radiosa Grun. — Iris F. Hérib. et Br. — — var, arverna #00. — — var. ovalis n0b. — Bodanica Eul. — — var.cocconeiformis nb. — Meneghiniana Ktz. — — var. integra n0b. — — var. rectangulata Grun. 2e Trreu. — COSCINODISCÉES Frustule peu développé en général dans la face connective; valves plates, bombées ou ondulées, cou- vertes d'une structure de même nature, et semblable sur toute la surface, n'ayant que rarement un centre hyalin et petit. GExRE Stephanodiscus EnrexBerG (1845) Valves ondulées concentriquement, couvertes de faisceaux de ponctuations fines, séparés par des rayons hyalins, à la naissance desquels se trouvent de petites épines formant un cerele complet submarginal. (Eaux douces et saumâtres). Steph. Astræa Ktz. | Steph. Havtzschianus Grun, — — var, minutula Grun. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 43 Gexre Coscinodiscus EnrexBerc (1838) Valves plates ou plus où moins bombées, ayant la même structure sur toute la surface des bords au cen- tre, sans rayons hyalins; centre hyalin peu étendu ou nul; bords de la valve portant quelquefois une couronne _ d'épines marginales. (Eaux salées et thermo-saumâ- tres, jamais dans les eaux douces). Cosc. radiatus Ehrb. Cosc. pyg. var. crassipunctala n0b. — exasperans Roth. — dispar M, Per. et F. Hérib. — pygmæus M.Per. F.Hérib., | — — var radiata nob. — — var. micropunctatanob. | — — forma inermis #04. — — var, minutissima #00. — chambonis M. Per. F. Hérib. &æ Targu. — EUPODISCÉES Frustule peu développé dans la face connective; val- ves circulaires, ovales, crénulées, rarement subangu- laires, couvertes d’une sculpture uniforme, granulée ou _ réticulée, présentant des ocelles plus où moins mar- D cindux. - Gexre Heribaudia M. PEracarLo (1893) Valves circulaires à expansions ailées; ocelles nuls, ou, s'ils existent, placés sur la face connective. (Fossile). EE Hérib. ternaria M. Per. (1) (1) L'Heribaudia ternaria se place à côté du Cerataulus subanqulatus Grov. qui, d'après A. Schmidt, ne peut être considéré comme un Ceratuu- lus, et devrait appartenir à un autre genre; ces deux espèces pourraient donc être réunies dans le genre ÆZeribaudia. 4 44 DISPOSITION MÉTHODIQUE 4 Triec. — CHÆTHOCÉRÉES Frustule hyalin ou à structure excessivement fine; face connective très développée par rapport à la face valvaire; valves circulaires ou elliptiques plus ou moins | allongées, munies de soies où d'épines piquantes pl CR ou moins bifurquées; valves d’un même frustule sou- vent dissemblables. 1 2 Gexre Periptera EurexgerG. (1844) Valves dissemblables, elliptiques ou circulaires, l’une d'elles très bombée, lisse ou à bords granulés, l’autre moins bombée et portant une couronne d’épines lamel- F liformes, plus ou moins bifurquées, placées dans le pro- 26 longement de la surface du connectif. (Fossile). mn : Perip. saxogallica F. Hérib.. DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 45 CONCLUSION Nos premières recherches sur les Diatomées vivantes et fossiles de la flore d'Auvergne datent de 1888. Le nombre des espèces et variétés, relevées dans les publi- cations diatomiques antérieures à cette date, est de 122, comprenant 86 Diatomées fossiles et 36 appartenant à la flore actuelle ; les 86 espèces fossiles proviennent des dépôts de Ceyssat, des Rouilhas, de Randanne et de Saint-Saturnin, sommairement étudiés par MM. Paul Petit et Leuduger-Fortmorel ; les 36 Diatomées vivan- tes ont été trouvées par W. Smith, J. Brun, P. Petit et Max. Roux. Dans notre mémoire de 1893, nous en avons men- tionné 716, c’est donc une augmentation numérique de 594 espèces ou variétés, parmi lesquelles 126 ont été reconnues nouvelles pour la flore générale. Enfin, nos deux derniers mémoires sur les Diatomées des dépôts tertiaires du Puy-de-Dôme et du Cantal por- tent le nombre de ces microorganismes de 716 à 908, comprenant 564 espèces et 344 variétés bien définies, avec 281 formes inédites, décrites avec soin, et figurées daus douze belles planches dessinées par M. J. Brun, professeur de micrographie à la Faculté de Genève, et par le savant diatomiste français, M. le commandant Maurice Peragallo. Tel est l’état actuel de la flore diatomique de l’Au- vergne, 46 DISPOSITION MÉTHODIQUE Pour avoir l’ensemble des Diatomées du te) te Central, il nous suffit d'ajouter à celles de ce catalogue F les espèces et les variétés des dépôts de la Haute- Loire Le -et de l’Ardèche, qui n’ont pas encore été constatées dans ceux d'Auvergne. ‘4 Quant aux Dan. vivantes nous ne pensons pas 3 que les recherches ultérieures ajoutent notablement aux espèces déjà connues, à en juger, du moins, par le résul- tat insignifiant que nous a donné l'étude récente d’ un assez Brand nombre de récoltes provenant de stations très diverses. de Voici les Diatomées des dépôts tertiaires de la Haute- É Loire et de l'Ardèche, qui n’ont pas encore été trouvées en Auvergne. Achnanthes ligeriana nov. sp. (dépôt de Ceyssac, Haute-Loire). — lanceolata var. ovalis nov. (Le Rance, Ardèche). Cocconeis scutellum var. minutissima Grun. (Le Ranc). Navicula Bacillum var. major nov. (Ceyssac). — ovata M. Per. (Le Ranc). | — halophila var, major no». (Ceyssac). 1 520 — radians nov. sp. (Ceyssac). | — heroïna A. Sch, (Ceyssac). — gastroides var. elliptica nov. (Pourchères, Ardèche). — Jambertensis nov, sp. (La Roche-Lambert, Hte-Loire). Van-Heurckia rhomboïdes var. amphipleuroides Grun. SE Roche- 2) ù Lambert). : LAN Cymbella delicatula Ktz. (Le Ranc). — Ehrenbergii var. conica #ov. (Le Monastier, Hte- Loire). — australica var. fossilis nov. (La Roche-Lambert). | — meniscus var. major #02. (Le Monastier). — Bruyanti nov. sp. (La Roche-Lambert). Gomphonema brasiliensis var. fossilis nov. (La Roche- Er Fragilaria Zeilleri var. densestriata no. (Ceyssac). — ovata M. Per. (Le Ranc). — brevistriata var. capitata now. (Ceyssac). — bigibba nov. sp. (Ceyssac). . — æqualis var. capitata nov, (Le Monastier). DES DIATOMÉES D'AUVERGNE 47 Ceratoneis antiqua 20v. sp. (La Roche-Lambert). Eunotia polyglyphis var. excisa nov. (La Roche-Lambert). Epithemia fenestrata M. Per. (Le Ranc). Opephora Martyi var. minor nov. (Gourgouras, Ardèche). Melosira bellicosa nov, sp. (Ceyssac). — sphærica nov. sp. (Ceyssac). Cyclatella comta var. decrescens nov. (Ceyssac). — — var. trinotata nov, (Ceyssac). — — var, quadrinotata nov. (La Roche-Lambert). —— — var. quinquenotata nov. (La Roche-Lambert). — aatiqua var. mirifica nov. (La Roche-Lambert). — Guignardi #ov. sp. (La Roche-Lambert). — Temperei var. inermis #0. (La Roche-Lambert). Terpsinoe trifoliata Clève (Ceyssac et La Roche-Lambert). Coscinodiscus Boulei H. Peragallo. (Le Monastier et Gourgouras). Les Diatomées observées dans les dépôts de Charay (Ardèche) et de Vals (Haute-Loire) appartiennent à . ceux du Cantal. Le nombre des espèces et variétés de la liste précé- dente est de 37, ce qui donue un total de 945 Diatomées pour le Plateau Central. ; Pages _ Achnanthes Bory..... ..... 3 Achnanthidium Grun ....... 4 PAICHINELARIEMRS ee -2". sec. 25 Amphipleura Ktz..:........ 15 D'EEr RRSTERREE 17 Amphoropsis Grun ..... ... 16 Asterionella Hassal ......... 22 Bacillaria Gmelin ........... 28 Campylodiscus Ehrb ........ 30 Campylosira Grun .... ..... 36 GeratoneiséBhrbe......... 25 Cocconeis Ehrb .. .......... 4 Colletonema de Bréb. ....... 15 Coscinodiseus Ehrb.......... 43 Gelotella Riz. Men 41 Cymatopleura W. Sm. ...... 35 Cymbella Ag... ......:.... 17 Dénticuln Riz. :..5.,....:: oT Diatoma de Candolle ..,..... Eÿyl Diploneis Ehrb........... Ole HuevonemaRtz "2... 19 | Epithemia de Bréb.......... 26 A T Etotin Ehrbe. me... 29 : Fragilaria Lyngb. .......... 24 Es Gomphonema Ag. .......... 19 a Grunowin Rab.............. 33 Mastonloaslhw. me. MElOS RAA ER RE drerceires MER ONEAD EMA ENT AL EEE, NAVIGUER DEV M. et eee Nitzschia Hassan Opephora P. Petit . ......... BErpie ra hr). e... Peronia de Bréb. et Arn. .... Pleurosigma W. Sm......... Raphoneis Hrbier.......... Rhoicosphenia Grun ........ Rhopalodia O. Mull. ........ Stauroneis Ehrb............ Stenopterobia de Bréb....... Stephanodiscus Ehrb. ...... SONIA ee Re ee DUTITE AR NUTPIN ee ess... SYHÉNAAENTD ec. --.0 NOIRE INTER ME ro Trachyneis Clève .........., Van-Heurckia de Bréb....... he CLERMONT-FERRAND IMPRIMERIE MALLEVAT, 3, PLACE DE LA TREILLE AUTRES PUBLICATIONS BOTANIQUES Du F. HÉRIBAUD JOSEPH Le Puy-de-Dôme et le Cantal ou Tableau comperatif de la Flore des deux départements (1876). Florure des terrains arrosés par les eaux minérales de l’Au- vergne (1878). Note sur quelques Menthes observées dans le département du Cantal (1878). La Flore d'Auvergne (1883), en collaboration avec mon premier maître en botanique, le très regretté F. Gustave. Les plantes parasites de la Flore d'Auverzsne (1889). Eléments de Botanique, comprenant l’organographie, la physiologie et les principales familles végétales ; ouvrage en rapport avec les programmes officiels de l'Enseignement secondaire (1890). Analyse descriptive des Rubus du Plateau Central (1891). Supplément à la Flore d'Auvergne (1592). Application de l'électricité atmosphérique à l'Agriculture (1892). Note sur le dépôt diatomifère marin du Puy de Mur (1893), en collaboration avec M. A. Julien, professeur de géologie à l'Université de Clermont. Les Diatomées d'Auvergne (1893). Ouvrage couronné par l’Institut de France (Académie des Sciences). Influence de la lumière et de l'altitude sur la striation des valves dés Diatomées (1894). Nouvelles additions à la Flore d'Auvergne (1895). Quelques mots sur la Truffe, au point de vue de sa nature, de sa culture et de son importance économique (1896). Recherches sur les Diatomées des calcaires tertiaires de la Limagne et sur l’origine de ces terrains (1897). Les Grimmia de la Flore d'Auvergne (1898). Les Muscinées d'Auvergne (1599). Ouvrage couronné par l’Institut de France (Académie des Sciences). La Flore d'Auvergne en 4901 (1902). Un Carex nouveau pour la Flore française, en collaboration avec M. frnest Malinvaud, Secrétaire général de la Société botanique de France (1902). Les Diatomées fossiles d'Auvergne (premier mémoire, 1902), Les Diatomées fossiles d'Auvergne (second mémoire, 1903). Pour paraître prochainement: Flore miocène de Joursao (Cantal), en collaboration avec notre savant compatriote, M. Pierre Marty, le paléobotaniste cantalien bien connu, CHERMONT-FERRANT, TYP, ET LITH MALLEVAL, ?, PLACE DE LA TREILLE