had dneperinnh 2 2. Mr FE NEA 1% ( by the Inies w 4 Pt in Je “ k É pti UE ty of LÉ A ki &: Pur n À ra à Fées | VA J (Ans : NES a GLrLA* ‘ PS / has és VAR ss | sec IE AS + RE LC 114% LS A2 4 # "A LL L2 4 ÉTUDE DES FLEURS. PROPRIÉTÉ, LYON. — JIMPRIMERIE DE GIRARD ET JO$SFRAND, Rue Saint-Dominique, 13, ÉTUDE DES FLEURS BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE, DESCRIPTIVE ET USUELLE Pan Lupovic CHIRA'I DEUXIEME EDITION ENTIÈREMENT REVUE ET CONSIDÉRABLEMENT AUGMENTÉE PAR L’ABBÉ CARIOT. —I— TOME PREMIER BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE ET CLEF ANALYTIQUE. LYON, RS CP TR GIRARD ET JOSSERAND, LIBRAIRES-ÉDITEURS ; LE" ? Place Bellecour, 4. ne PA de 1854 d Ô ANT hs AT 1 rh. L = Er É OA CE EU f. PE 4 Lu dE IP A «HS IOMOUE : & Lu 23h 141 à = RTE ET) d'u ec a+ 4 ps fe é Le À Re? réa AL fb : dE CEA ü kr cu mr CHU no TL dl ét ge x 11e Lot sé N ME: SQUA 0) Ru or PRÉFACE DE LA PREMIÈRE ÉDITION. À MES ÉLÈVES. L'étude de la nature, si pleine de charmes, peut s'embellir encore de ceux de l'amitié. C’est elle qui vous offre un faible travail dont elle a adouei les peines, et dont, je l'espère, elle excusera les dé- fauts. Comment, sans elle, eût osé écrire celui qui n'aurait dû peut-être qu'apprendre et écouter ? Je devais un hommage à l’Argentière, abri mo- deste des vertus et des sciences, lieu foriuné où toutes mes années coulèrent heûreuses. J'en devais un à celui qu'avant vous je nommais mon père (1), et dont le cœur généreux sut étayer ma faiblesse (1) M. Beaujolin, alors supérieur du petit séminaire de l'Argentière, aujour- d'hui vicaire-général du diocèse de Lyon. pour la faire servir à vos besoins. Puisse cette Etude des Fleurs acquitter mon tribut, et être pour vous, mes amis, une compensation légère à l'insuffisance de mes leçons! Il vous fallait un livre élémentaire : j'ai essayé de le faire, et d’être ainsi, dans les jours de l'absence, quelquefois encore avec vous. Si, dans vos courses lointaines, vous revoyez une fleur de la vallée, peut-être vous rappellera- t-elle l'asile où de pieux sentiments vous rendirent heureux. Là, parmi tous vos amis, il en fut un qui l’est et le sera toujours. Heureux si, en vous fai- sant aimer la nature, il a pu quelquefois élever vos âmes jusqu’à son auteur ! Il n’a cherché que la plus grande gloire de Dieu, et ne demande que votre souvenir devaut lui, PRÉFACE DE LA DEUXIEME ÉDITION. Quand parut la première édition de cet ouvrage, elle fut saluée avec bonheur par tous ceux qui at- tendaient depuis longtemps un livre élémentaire sur la Botanique. Mettre cette science à la portée de toutes les intelligences, la rendre aimable en même temps que facile, tel était le but, modeste en appa- rence, mais aussi utile que diflicile à atteindre, de l'Etude des Fleurs ; et la rapidité avec laquelle l'ou- vrage se répandit put prouver à l’auteur que son temps et ses efforts n'avaient pas été perdus. Cette première édition étant complètement épui- sée, M. l'abbé Chirat, pressé par de nombreuses et honorables sollicitations, a dû songer à en pu- blier une nouvelle. Il eût été à désirer qu'il eùt pu y travailler lui-même, son livre eût mieux conservé ce parfum de grâce et de simplicité qui lui a con- = we cilié tant d'amis ; mais, entièrement absorbé par des occupations plus sérieuses, il a dû songer à confier à d’autres mains le soin difficile de recommencer son œuvre, Ce fut alors qu’ me dit, avec cet accent de bonté modeste que tous ses élèves lui ont connue : & On «< me demande une nouvelle édition de mon livre ; « comme le temps et les forces me manquent, char- . gez-vous de ce soin : je serai heureux, s’il peut continuer par vous le peu de bien qu'il a fait, « m’assure-t-on, à notre jeunesse chérie. » À une si touchante invitation j'avoue que je n'ai pas eu la force de résister, et que j'ai oublié mon insuffisance pour obéir au vœu de celui que j'ai- mais autrefois et que j'aime encore à appeler mon maitre et mon père. De concert avec M. Chirat, tout en conservant à son livre sa physionomie spéciale et son but par- iculier, j'y ai cependant introduit de nombreux changements qui en font, pour ainsi dire, un ou- vrage nouveau. Ainsi, j'ai tâché de conserver à la partie élémen- taire ce charme de style qu’on rencontre trop rare- ment dans les livres qui nous parlent des fleurs. cette clarté et cette simplicité si indispensables à un ouvrage destiné surtout à la jeunesse ; mais comme cette partie élait un peu trop abrégée, j'y ai ajouté tous les développements nécessaires pour en faire un traité complet. On y trouvera résolues toutes les questions proposées dans le programme = = gr pour l’enseignement de l'histoire naturelle , aux- quelles ont à répondre les candidats au baccalau- réat ès-sciences, Un résumé en forme de question- naire, placé à la fin de chaque article, rend cette réponse facile, et peut servir en même temps de vexte des analyses écrites. Celle partie élémen- taire a été complétée par un traité abrégé de patho- logie véyétale, dans lequel sont exposées les prin- cipalës maladies qui peuvent affecter les plantes . ainsi que les moyens de les prévenir et de les gué- rir. Les fléaux si funestes qui, depuis quelques années, attaquent la vigne et la pomme de terre, yontété spécialement décrits avec tout le soin ei toute l'étendue désirables. Dans la première édition, la clef analytique ‘ei la description des plantes avaient été à peu près confondues, dans le but de rendre l’ouvrage plus portatif. Dans celle-ci, je les ai complètement sé- parées, en donnant moins de développement à la première et plus à la seconde. Ainsi, la clef analy- tique, réduite à des caractères simples, courts et précis, ne formera qu’un cahier d'un petit nombre de pages, qu'il sera très-facile de porter en excur- sion; mais, de plus, chaque plante sera décrite avec Lous ses organes el tous ses caractères dans une partie entièrement nouvelle. Pour rendre ces descriptions plus exactes, nous les avons vérifiées en ayant les plantes sous les yeux, et contrôlées en les comparant avec celles des meilleurs auteurs. L'époque de la floraison, la localité, quand la plante M oe n’est pas trop communément répandue, ses princi- paux synonymes, et même sesnoms vulgaires, Om été soigneusement indiqués comme moyens de faci- liter sa recherche et sa détermination. Notre Etude des Fleurs guidera spécialement l'ami de Flore dans les départements du Rhône; de la Loire et de l'Ain, dont elle renferme toutes les plantes spontanées. Les montagnes de la Grande- Chartreuse sont un pèlerinage non moins attrayant pour le naturaliste que fécond en émotions pour le chrétien; cet ouvrage en fera connaître touces les richesses végétales. Mais si, dans ses courses aventureuses , le hardi botaniste veut affronter les sommets sourcilleux des Alpes et leurs neigesiéter- nelles, qu’il cherche un autre guide; il n'appartient qu'aux aigles de lui en tracer le chemin. Les mousses, hépatiques, lichens, champignons et algues ont été retranchés de cette seconde édi- tion ; leur étude, trop dificile pour le but que nous nous sommes proposé, doit être faite dans des ou- vrages spéciaux. La première édition contenait beaucoup: de plan- tes de jardin, la seconde en réunit un plus grand nombre encore. Les personnes qui ne peuvent faire des excursions lointaines aimeront à les y trouver, et les botanistes eux-mêmes seront contents de pou- voir les déterminer. Pour rendre cette étude plus facile et donner plus de netteté à notre travail; nous avons réuni toutes les plantes cultivées dans: une partie séparée, à laquelle nous avons donné le — NU-— nom de Flore horticole. Dans ce genre et dans ces limites , il n'existe encore aucun ouvrage élémen- {aire aussi complet. | Le dictionnaire avait procuré à la première édi- tion la plus grande partie de son succès ; je l'ai donc conservé fidèlement. Ses tableaux ingénieux. où setrahissait souvent le concours d'une main aussi délicate qu’exercée, offraient un éharme si pi- quant et si varié, que j'ai évité avec soin d'y tou- cher, de peur d’en flétrir la fraîcheur et la grâce natives.: Cependant la suppression de quelques articles qui, relatifs à la physiologie et à la clas- sification, ont été transportés dans la partie élé- mentaire, où ils trouvent plus naturellement leur place; m'a permis d'introduire dans celle-ci de nom. breuses etutiles additions. C’est ainsi que j'ai pu ajouter les détails les plus nouveaux sur le choix , la culture ; la multiplication, les usages même de plantes: très-variées, destinées à orner nos par- terres, à embellir nos bosquets et à enrichir nos vergers. Les amateurs qui, dans leurs moments de loisir, voudront s'amuser à faire un peu d'horti- culture pratique, trouveront expliqués dans notre dictionnaire, les différents procédés de gretle em- ployés de nos jours, avec les améliorations inven- tées par le génie et l'expérience modernes. La flo- riculture des salons, celle des fenêtres, y ont aussi trouvé leur place, et, par là, les personnes qui, re- léguées au sein des villes , n'ont pas de jardin à cultiver à la campagne, trouveront le moyen de s’en oh il os créer un qui ne sera pas sans charmes , sur leurs croisées pendant l'été, et dans leurs appartements pendant l'hiver. C’est ainsi que le dictionnaire, sans rien perdre de son agrément, deviendra, je les- père, encore plus utile. En terminant cette préface, c’est pour moi un devoir de payer un tribut de reconnaissance aux savants aussi bienveillants que distingués qui m'ont aidé dans mon travail et secondé dans mes-recher- ches. Je citerai avee bonheur et en première ligne le respectable M. AuNIER, qui m'a ouvert généreu- sement ses magnifiques herbiers, et, ce qui vaut nieux encore, aidé des conseils de sa longue expé- rience. Je me souviendrai toujours de la bonté ami- cale, du zèle éclairé, de la persévérance dévouée avec lesquels il a encouragé mes efforts , éclairci mes doutes el complété mes recherches. Je ne dois pas oublier non plus M. Alexis Jordan, Phonneur de la botanique lyonnaise, dont les savantes mono- graphies m'ont été très-utiles; M. Seringe, notre célèbre directeur du Jardin-des-Plantes ,. dont la Flore des Jardins (1) m'a fourni des renseigne- ments précieux ; M. l'abbé Madenis, qui, dans son Manuel du Botaniste herborisant (2), a donné le premier le catalogue exact avecles caractères précis de nos espèces nouveiles ; et M. l'abbé Bichet, bo- (aniste distingué , qui m'a fait connaitre avec la (1) Flore des Jardins et des grandes Cultures, par N.-C. Seringe, 3 vol. in-8 ; Lyon, 1849. (2} Manuel du Botaniste herborisant, par M. l'abbé M., 1 vol. in-18 ; Lyon, 1852. der plus cordiale complaisance les plantes spéciales du département de PAïin, dont jai pu ainsi enrichir notre Ætude des Fleurs. Qu'ils reçoivent ici, avec beaucoup d’autres, l'expression publique de ma vive gratitude ; si ce livre a quelque chose de bien, c’est à eux en grande partie qu'il en est redevable. Pour rassurer les personnes qui pourraient crain-- dre que le livre de M. Chirat n’ait été complètement changé , je.dois leur dire que c’est bien toujours son ouvrage que je publie; aucun retranchement n’a été effectué, aucune addition n'a été faite, qu'il ne les eût préalablement connus et approuvés. Malgré tous mes soins et toutes mes précautions, j'ai dù nécessairement commet{re beaucoup d’er- reurs dans cette Âlore ; je prie les botanistes qui s'en serviront de les noter avec exactitude et de vouloir bien me les transmettre : je recevrai avec reconnaissance toutes leurs observations, et j'en pro- fiterai plus tard pour perfectionner mon travail. Samnte-Foy-lès-Lyon, le 12° janvier 1853. AfHEOS atob 11108 el EAU LE EMA TLNQE PIE 1'>9h va SUB 9 nes :" A OT + . “ ù 3 TRES PLEA 4 [Ir FA al Fi #8 ii LIEU fit «a 74 Er 4 gs LV LES Art $ ) dE + & r 4 t ee L2 PR ENCT 2 Cu de 2h 4: SN ÈS se Le bxtahab ssh bus $ ads suog s +) 08 2gtdye 299 $ 407198 al age} DH phiBUt ss HiSkaio 1, 161p eoèiipr le anoWouDuiq es À Ib +918 bob à D08 0 UN ds! asie 19 Hroiloot Er A lo Ar nf Eiéont ST ON: avi est Ein sus ol vins 9 16 asb'onisto versie s pa Feist FOpgron doré g9b UN 10e SA AUS TOI 26 L'OE Line 87 KT IIS nr ef : 3 nes: a softoblonr aol 4e né: 6 Jar ivp ASNT 4h : sbgioneishni s sésies éeutd 2Sf TOUS io gb ul: 510 Hp PURE LACS ol, en + RUSSE MS Da INT se SOU nr #8 molvuusl sh ji am a BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE. 1. La Botanique (1) a pour objet l’étude des végétaux. On donne ce nom à ce magnifique tapis de verdure, à ces arbres de toute grandeur, à ces productions si variées qui croissent sur la terre, sur les rochers et dans les eaux. Ce sont des êtres organisés et vivants, mais privés de la faculté de sentir et d'exécuter des mouvements volontaires. Ils sont donc comme l'anneau qui, dans l’immense chaîne des êtres, unit le règne minéral au règne animal. 2. En effet, les minéraux ne sont que des êtres inorgani- ques et inertes. Ils ne vivent ni ne sentent ; s’ils grossissent, ce n’est que par juxtaposition , c’est-à-dire par des molécules de même nature qui viennent se placer sur les molécules précédentes. Aussi leur forme est-elle indéterminée : du mar- bre, par exemple, le sera toujours, qu’on le taille en colonne, globule ou statue. Leur durée est illimitée, en ce sens que, ne portant en eux-mêmes aucun principe de destruction, ils (1) De Boravn, herbe, 2 BOTANIQUE existent jusqu'à ce qu'une force étrangère vienne les dé- truire. 3. Les végétaux, au contraire, sont des êtres vivants, doués d’organes (racines, tiges, feuilles, fleurs) qui, par leur mu- tuelle action, entretiennent la vie dans le tout qu’ils com- posent. Ils grandissent en se nourrissant par infussusception, c’est-à-dire en empruntant au monde extérieur des principes alimentaires qu'ils s’assimilent, qui pénètrent leur tissu et le développent dans une forme déterminée. Enfin, après avoir existé pendant un certain temps, ils périssent quand leurs organes sont usés, viciés ou brisés. La mort est done pour les végétaux une conséquence de leur vie, et leur espèce péri- rait, si Dieu, dans sa sagesse, ne les avait doués de la faculté de se reproduire, en donnant naissance à d’autres êtres vi- vants et absolument organisés comme eux. 4. Ce jeu des organes, cette vie, ce mode de croissance, cette existence limitée, cette reproduction merveilleuse, les plantes la partagent avec les animaux ; mais elles n’en restent pas moins à une immense distance d’eux par l'absence de mouvement volontaire et de sensibilité. Recevant du milieu qui les entoure (l’air, la terre et l’eau) une nourriture toute préparée, ils n’avaient nul besoin de ces deux. admirables fa- cultés. Aussi, un savant naturaliste, Linné, a dit avec une parfaite justesse : «Les végétaux occupent l’avant-dernier rang dans « la série des êtres dont l’homme est le roi. Les minéraux « croissent; les plantes croissent et vivent; les animaux « croissent, vivent et sentent; l’homme croit, vit, sent et « pense. » | >. La Botanique étudie les végétaux sous un triple point de vue. Elle voit en eux des étres vivants, dont elle observe l’organisation ; des êtres distincts, qu'elle apprend à connai- tre, à décrire et à classer; des étres utiles, dont elle recher- che les propriétés et les usages. De là trois grandes parties dans notre ÉTUDE DES FLEURS : la botanique organique, ou étude de Forganisation et de la vie des plantes ; la taxono- ÉLÉMENTAIRE. à nie, où classification des végétaux ; la botanique usuelle, c’est- à-dire appliquée à l’agriculture, à Fhorticulture, à la méde- cine, à l’économie domestique et industrielle, 6. On voit donc que la Botanique ne consiste pas unique- nent, commetrop de gens se l’imaginent, dans la connais- sance pure et simple du nom donné aux différentes plantes. Réduite à ces termes, elle ne serait qu'un vain exercice de mémoire, aussi pénible qu'inutile, Si l'homme a cherché à décrire et à classer les végétaux, ce n’a été là pour lui qu'un moyen : son vrai but, c’est d'arriver à s’en servir pour son utilité.et pour son-agrément. Il trouve de plus dans l'étude des organes de la plante et du jeu de ces organes dans le phénomène de la vie, un vaste sujet d'instruction et de nombreux motifs d'admirer la sagesse, la puissance et la bonté de celui qui a écrit son nom,sur la corolle de la plus humble fleur de nos champs, tout aussi bien que sur le front scintillant des étoiles. k QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la Botanique ? — Qu'entend-on par végétaux ou plantes ? — Comment les plantes different-elles 1° des minéraux, 2° des animaux ? — Comment divise-t-on la Botanique ? — Quel est son vrai but ? mr rt me mm et mme, -— = = = EE = . PREMIÈRE PARTIE. 7. La Botanique organique comprend la description des différents organes des végétaux : c’est l’organographie; ex- plication des diverses fonctions de ces organes :-c’est la phy- siologie ; le détail des diverses altérations ou maladies qui peuvent affecter les plantes : c’est la pathologie végétale: : CHAPITRE PREMIER. ORGANOGRAPHIE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALES. 8. Nous réunirons ensemble ces deux parties qui, dans la réalité, ne peuvent être séparées. Pour donner plus d'intérêt à des détails ordinairement arides, nous décrirons les organes des végétaux et les phénomènes de leur vie, en faisant l’his- toire de la plante. La vie, comme endormie dans la graine, se réveille au moment de la germination, se développe par la croissance, déploie tout son éclat dans la floraison, atteint dans la fructification son but essentiel, et, enfin, disparaît quand la plante s’est préparé, dans des germes féconds, les principes d’une nouvelle existence. De là six âges dans la vie de la plante : sommeil dans la graine; germination : croissance ; floraison ; fructification ; fin de la végétation. BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE. a ARTICLE PREMIER. PREMIER AGE DE LA PLANTE,—— SOMMEIL DANS LA GRAINE, 9. La graine est comme l’œuf végétal; c’est par elle que la plante commence. On peut même l'y découvrir en minia- ture ; mais comme elle serait trop sèche à l’état de maturité parfaite, il faut l’examiner un peu avant, ou bien la faire ra- mollir dans l’eau. Danscet état de souplesse, l'anatomie d’une graine, de haricot, par exemple, nous la montre composée de deux parties : l'une supérieure et enveloppante, nommée épi- sperme; l'autre intérieure et protégée par la première: c'est l'amande. S 1°, — ÉPISPERME. 10. L’épisperme ({), comme l'indique son nom, est une en- veloppe plus ou moins membraneuse ou ligneuse, qui, par sa consistance sèche et coriace, préserve l’amande et la conserve ; il est comme la coquille de l’œuf. Souvent aussi il offre, comme elle, deux tuniques superposées : une extérieure, plus épaisse, et que l’on nomme teste (2); et une intérieure, plus souple et plus mince, qui s'appelle tégument (3). La chätaigne les offre toutes deux d’une manière très-sensible ; mais dans la plupart des graines elles sont moins distinctes, et tellement adhérentes l’une à l’autre, que l’épisperme parait être simple et ne former qu’une tunique. Dans tous les cas, il ne parti- cipe que très-peu, et même pas du tout, à la propriété nutri- tive de la graine : c’est lui que l’on sépare, sous la forme de son, de la fleur de farine. (11 D'êrt, sur, et oxépuu, germe. — (2) De testa, coquille. — (3) De tequmentum, couverture. 6 BOTANIQUE 11. Il est toujours un point de l’épisperme qui se distingue du reste, ou par une espèce de cicatrice plus ou moins grande, ou par une teinte particulière, si sensible dans le marron d'Inde ; c’est l'ombilic ou hile (1). Dans la graine müre, ce point a peu d'importance ; mais il en avait beaucoup -quand elle grandissait, car c’était par lui qu’elle adhérait à la mère plante. $ 2. — AMANDE. 12. L'étude de Pamande a plus d'importance et d'intéret. C’est toute la partie d’une graine müre contenue dans Pépi- sperme. On la savoure avec plaisir dans le fruitde l’amandier, qui lui a donné son nom. L'amande est tantôt uniquement formée par l'embryon, corps organisé qui remplit à lui seul toute la cavité intérieure de lépisperme, par exemple, dans le pors ; tantôt, outre lem- bryon, lamande renferme un autre corps accessoire qu’on nomme périsperme, Comme dans le ricin, le froment : par- lons de chacun d’eux. miss J EMBRYON (2). 13. C’est la plante encore enfant et endormie. Nous l’aper- cevons très-bien en continuant l'anatomie de notre graine de haricot. L'épisperme, déchiré avec une épingle et enlevé avec précaution, laisse à découvert (fig. 1"° cc) deux disques blancs appliqués lun contre l’autre et formant deux moitiés égales. Ce sont les cotylédons (3), premiers organes alimen- taires qui doivent se convertir à la germination en feuilles séminales (fig. 3 c). Sur un des points de la jonction des coty- (1) Dehilum, petite marque.—{2) D'év-Botwv, poussant dans un autre. __ (3) De xoTuÀn0&v, cavité, ou petite écuelle renfermant le lait-qui doit nourirr la jeune plante. ÉLÉMENTAIRE. 7 lédons glisse une pointe conique : c’est la radicule (4), ou prin- cipe de la racine (fig. 1"°7),et dans leur intérieur sont deux ou plusieurs petites feuilles, plissées diversement sur elles-mêmes, et parfaitement formées (fig. 4 g) : elles constituent la gem- mule (2), owpetit bourgeon qui est le rudiment de la jeune tige. 14. Ces trois organes, cotylédons, radicule et gemmule, forment la plantule (fig. 3), c’est-à-dire la petite plante qui doit se développer au moment de la germination, et n’est au- tre chose que l'embryon sorti de ses langes. L’amande n'offre pas toujours deux cotylédons, comme dans le haricot ; souvent elle n’en présente qu'un seul, comme dans le blé, l’asperge, la tulipe, ete.: Fembryon est nommé alors monocotylédoné (3). 1 est appelé dicotylédoné (4) quand lamande contient deux corps cotylédonaires réunis base à base : tels sont le haricot, la fève, etc. 15. Toutes les plantes dont l'amande offre un seul coty- lédon se nomment monocotylédonées ; toutes celles qui ont deux cotylédons se nomment dicotylédonées. On appelle aco- tylédonées (3) celles dont la graine, ou plutôt les corpuscules reproducteurs qui en portent improprement le nom, n’offrent ni embryon ni cotylédon : telles sont les fougères: Comme toutes les plantes ne sont en grand que l'embryon développé, leur division ancienne en dicotylédonées, mono- cotylédonées et acotylédonées pourrait être rigoureuse, si quel- ques, végétaux, appartenant surtout à la famille des coniféres ou arbres résineux, n’avaient été observés avec 3, 5, 10, et mème 12 cotylédons. + PÉRISPERME (6). 16. On le nomme encore endosperme (7) où albumen (8). ] (1) Deradicula, pelite racine, —(2) Degemmula, pelite perle, petit bourgeon. — (3) De 1L0VOS, unique, etxoTuhnY, cotylédon. — (4) De te, double, et XOTUXNÈSY . — (5) D'&, sans, et xoTuA NOV. -— (6) De repi-GrÉQUz, autour du germe. -— (7) D'ÉVOOV-GTÉpUX, au dedans du germe. — (8) D’albumen, blanc d'œuf. 8 BOTANIQUE C’est, comme nous lavons indiqué, cette partie de l’amande qui forme quelquefois autour ou à côté de l'embryon un corps accessoire et entièrement distinct. Le mot d’albumen, qui le compare au blanc d'œuf, indique très-bien sa des- tination, qui est de nourrir la jeune plante quand elle ger- mera (fig. 2 D): 17. Il est, du reste, parfaitement distinct de lembryon. Celui-ci, comme nous l'avons vu, offre une plante en minia- ture, très-bien organisée, qui se développera et grandira à la germination. Le périsperme, au contraire, est une simple masse, ordinairement blanchâtre, de substance très-variable, sèche et farineuse dans les céréales, cartilagineuse dans la .ca- rotte, charnue et grasse au toucher dans le ricin, cornée dans le café. À la germination, elle devient soluble, sert pendant quelque temps à alimenter la plantule, diminue. insensible- ment de volume et disparait peu à peu, 18. On conçoit que les positions différentes de l'embryon dans la graine, ainsi que la présence ou l'absence du péri- sperme, ont dûù servir à guider le botaniste dans le classement des végétaux. C’est un des caractères les plus sûrs dans Ja di- vision des familles, On trouvera dans le dictionnaire , au mot graine, d'autres détails assez intéressants; ceux que nous venons de donner suffisent pour montrer au botaniste toute l’importance de, ce premier organe, et au philosophe chrétien, les soins dont la Providence environne la jeune plante endormie, ainsi que sa prévoyance à ce que rien ne lui manque à son réveil, QUESTIONNAIRE. Qu’entend-on par organographie et physiologie vegetales ? — Quels sont les six âges de la plante ? — Qu'est-ce que la graine et quelles sont ses parties ? — Qu'est-ce que l'épisperme ? — De quoi se compose-t-il?— Qu'est-ce que le hile ? — Qu'est-ce que l’amande ? — De quoi.est-elle for- mee? — De combien de parties se compose l'embryon? — Que faut-il en- tendre par plantes dicotyledonées, monocotyledonées, acotylédonées ? — Cette division est-elle rigoureuse ? — Qu'est-ce que le périsperme ?— Quelle est sa destination? — Que peut apprendre l'anatomie de la graine ? ÉLÉMENTAIRE. Ci) ARTICLE TK. * DEUXIÈME AGE DE LA PLANTE. — GERMINATION. 49! Lä graine persévère dans la consistance sèche et dure que là Providence lui à dorinée pour pouvoir résister à l’in- témpérie des saisons, et conserver au germe son principe vital, jusqu’à cé que des circonstances favorables viennent se réunir pour commencer son second âge, où sa germination. Où com- prend sous ce nom la série des phénomènes par lesquels passe üne graine pour développer l'embryon qu'elle contient. 20. Mais, pour germer, il faut à la graine des conditions préalables. De ces conditions, les unes lui sont intrinsèques, les autres lui sont extérieures. Pour les premières, il est nécessaire que la graine soit mûre, que’soni embryon soit complet, et qu’elle ne soit pas trop an- éienne, car elle perd avec le temps sa faculté germinative. Il est cependant certaines graines qui la conservent pendant un grand nombre d'années, quand elles ont été préservées de action de Fair, de la lumière et de l’hamidité. C’est ainsi qué l’on'a vu des graines, trouvées dans des momies d'Égypte, lever de terre et venir à bien. 91. Comme conditions extérieures, là graine réclame en- suite le concours de trois agents très-puissants dans la nature : ce sont l’eau, la chaleur-et Pair. L'eau. L’eau ramollit les tuniques et porte à la plantule ses premiers aliments. I ne faut pas, pour les graines des plantes terrestres, que Peau soit en trop grande quantité; elle les pourrirait et s’opposerait à leur développement. Quant aux graines des végétaux aquatiques, les unes, et c’est le plus grand: nombre, germent étant plongées entièrement dans Véau ; es autres montent à la surface pour y germer à lair. 22. La chaleur. La chaleur, ce grand stimulant des forces 10 BOTANIQUE vitales, distend les vaisseaux, les pénètre et rend plus active l'influence des autres agents. Dans une température au des- sous de zéro, la graine reste inactive ; au dessus de 50°, elle se dessèche et perd sa force végétative. Entre ces deux limites, une chaleur de 25 à 30°, unie à une humidité convenable,est celle qui est la plus favorable à la germination. 23. L'air. L'air est aussi nécessaire aux graines pour ger- ner et pour s’accroitre, qu'il est indispensable aux animaux pour respirer et pour vivre. Voilà pourquei les graines enfon- cées trop profondément dans la terre ne peuvent y donner aucun signe de vie. Des deux gaz élémentaires dont il se compose, et qui sont l'oxygène pour les 0,21 de son volume, et l’azote pour les 0,79, oxygène seul est propre à la germination. Des graines pla- cées dans du gaz azote y périraient infailliblement ; mais aussi l'oxygène pur et isolé ne tarderait pas à détruire les germes. Son activité trop puissante a dû être tempérée parle mé- lange de l’azote dans la germination. L’oxygène de l'air s’em- pare de l’excès de carbone que contient la graine, et forme avec lui de l'acide carbonique qui est rejeté au dehors. Alors les principes laiteux ou sucrés des cotylédons et du périsperme se développent et servent de premier aliment à la jeune plante, trop délicate encore pour absorber une nourriture plus substantielle, 24. Ces conditions une fois réunies, que l’on place la graine dans la terre, siége naturel des plantes, ou sous un abri quel- conque, qui puisse, en communiquant l'humidité, intercepter la lumière, funeste à la germination en ce qu’elle fixe trop le carbone, et aussitôt commencera le grand acte de la germi- nation (lg. 3). Les tuniques dilatées se ramollissent, s’entr’ouvrent et don- nent passage à la radicule (r), qu'une tendance irrésistible entraine vers le centre de la terre. La gemmule (g), obéissant à un instinct contraire, quelle que soit la position de la graine, cherche l’air et le soleil, et s’élance hors du sol. Quelquefois les cotylédons restent sous terre, comme dans le pois-fleur ; ÉLÉMENTAIRE. 11 alorsils se flétrissent et finissent par disparaître ; mais le plus souvent ils-précèdent la gemmule dans son mouvement ascen- sionnel. Arrivés à la lumière, ils verdissent, se déroulent, s’étalent et commencent à puiser dans le sein de latmosphère une partie des fluides qui doivent être employés à laccroisse- ment de la jeune plante. Dès cet instant la germination est opérée. 25. Dans la germination des graines monocotylédones (fig.4), plusieurs radicelles (r) naissent ordinairement des parties inférieures et latérales de la tigelle. Quand elles ont acquis un certain développement, la radicule principale se détruit et disparaît. Aussi les plantes monocotylédones n’ont- elles jamais de racine pivotante (fig. 5). De plus, la gemmule sort le-plus souvent par la partie latérale du cotylédon et non par son sommet. 26, Toutes les graines n’emploient pas le même espace de temps pour germer. Ainsi, il en est qui lèvent dans un espace de temps très-court : il ne faut au cresson alénois que deux jours ; à l’épinard, au navet et au haricot que trois jours; à la laitue que quatre ; à la plupart des graminées qu'une se- maine. D’autres graines, au contraire, demeurent un temps fort considérable avant de donner aucun signe de développe- ment. : ce sont celles qui ont un épisperme très-dur, comme celles du pécher, de l’amandier, qui ne germent qu'au bout d’un an; du noïsetier, du cornouillier, qui ne se PORN que deux années après avoir été mises en terre. 27. Tout ce que nous venons de dire sur la germination ne convient évidemment qu'aux végétaux cotylédonés. Quant aux plantes acotylédonées, comme elles n’ont ni fleurs, ni graines, ni embryon, elles germent d'une manière toute différente, sur laquelle. les savants n’ont formé jusqu’à BRU que des conjectures très-incertaines. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la germination ? — Quelles sont les conditions nécessaires à læ graine pour qu’elle ait lieu ? — Quels agents extérieurs doivent y 12 BOTANIQUE concourir ? — Quelle est l'action propre à chacun de ces agents 2 Quels sont les phénomènes qui accompagnent la germination ? — Quelle différence présentent-ils dans les plantes monocotylédonées et dans les plantes dicotylédonées ?—Faut-il longtemps aux graines pour germer ? — Quelle remarque y a-t-il à faire sur les végétaux acotyledonés?"" ms ARTICLE HI. TROISIÈME AGE DE LA PLANTE. — CROISSANCE. 28. Voici la plante hors de terre ; elle est levée. La radi- cule et la gemmule, qui prennent dès lors les noms de racine et de tige, se développent. On nomme collet ou nœud vital (fig. 3 ce, fig. 5c) le point qui les réunit, point important, ou s'opère dans les fibres un changement tel, qu’en dessus à elles tendent toutes à monter, et en dessous, toutes à des- cendre. $ 1°7, — RACINE. 29. La racine ou caudex descendant (1) est cette partie du végétal qui sert à le fixer dans la terre, vers le centre de la- quelle une tendance invincible l’entraïîne (fig. 5, 6, 7). Quel- quefois pourtant elle flotte au milieu de l’eau, comme dans les lenticules, où bien elle s'implante, comme celle du gui, sur le tronc ou les branches des arbres ; il arrive même, comme dans les orobanches, qu'elle adhère à la racine d’autres plantes, aux dépens de laquelle elle se nourrit en vé- ritable parasite; mais régulièrement, le plus souvent, elle descend dans la terre. Un autre caractère qui sert à la distin- (1) De caudex, tige. ÉLÉMENTAIRE. 143 guer. durhizome, souche ou tige souterraine, dont nous par- lerons plus tard, c’est qu'elle n’émet jamais de feuilles, et que l’action de la lumière ne la verdit point, au moins dans son tissu. 30. Disons, en passant, que différentes parties des végé- taux sont susceptibles de produire des racines. Aïnsi, coupez une branche de saule ou de peuplier, enfoncez-la dans une terre convenablement humide ; au bout de quelque temps, son extrémité produira des racines. Le même phénomène aura lieu si, courbant la branche, vous enfoncez dans la terre les deux extrémités, ou bien encore si, sans séparer un rameau de la tige; vous le recouvrez en partie de terre, en laissant sortir son extrémité supérieure. C’est sur cette propriété qu'ont les tiges, et mème les feuilles dans certains végétaux, de donner naissance à de nouvelles racines, que sont fondées la théorie et la pratique de la bouture et du marcotage, moyens de multiplication très-employés dans l’art de la cul- Lure. 31. La racine peut se diviser en deux parties, qui sont : le corps (fig. 5 et 6 a), de forme et de consistance variées, et les radicelles où chevelus qui la terminent (fig. 5, 6). Les radi- celles sont de petits filaments plus ou moins déliés, terminés par de petites spongioles (4) fortement hygrométriques (2), et qui en font comme de petites pompes aspirantes. 32. Il existe une sorte de correspondance et mème de symé- trie entre la tige et le pivot de la racine, entre les branches de l’une et les ramifications de l’autre, et mème entre le feuillage et les chevelus. L’agriculteur a si bien compris ce secret, que, pour arrèter le développement trop considérable des racines ou des branches, il n’a qu'à retrancher la partie correspondante des branches ou des racines. Il paraît mème que la tige et la racine peuvent, dans de certaines limites, intervertir leur rôle. Ainsi, qu'on plante un jeune arbre de manière à mettre les racines en Pair et les (1) De spongiola, petite éponge. — (2) D'ÉYpov, eau, et LETOËL, mesure’, 14 BOTANIQUE rameaux en terre, on verra les racines libres se couvrir de: feuilles, et les rameaux enterrés donner naissance à des-che- velus. | 33. La racine remplit, relativement au végétal, une double fonction : 1° elle le fixe dans le sol, ou au corps sur lequebil doit vivre; 2 elle va y puiser une partie de la nourriture nécessaire à son accroissement. Les racines d’un certain nombre de plantes ne paraissent servir qu'au premier usage ; telles sont les racines des plantes grasses, plantes qui absorbent par tous les points de leur surface leurs principes alimentaires. Voilà pourquoi on peut couper une branche de cactus, la laisser trois semaines sur un mur, et la planter ensuite dans du sable presque pur; elle y végètera presque tout aussi bien que si on l'avait mise immédiatement dans une terre pius riche en matières nutritives. Si même celle-ci était trop substantielle, et surtout trop nn la plante ne tarderait pas à périr. 34. Le second usage des racines est de puiser dans le sem de la terre ou dans le corps sur lequel elles sont implantées les substances qui doivent servir à la nutrition et à Faccrois- sement du végétal. Cette absorption ne se fait que par les spongioles ou l'extrémité de leurs dernières ramifications. Il est facile de s’en convaincre en prenant deux navets, dont on fera plonger l’un dans l’eau par l'extrémité de la radicule qui le termine, et dont l’autre sera aussi plongé dans l’eau, mais de manière à ce que son extrémité inférieure soit hors du li- quide. Le premier poussera des feuilles et végètera, tandis que le second ne donnera aucun signe de développement. Les racines vont chercher les principes nutritifs avec un ad- mirable instinct, forçant souvent les plus grands obstacles, et perçant même les murs, pour se diriger vers le sol qui leur est le plus approprié. 35. Elles sont enfin pour les végétaux comme un organe d’excrétion, en laissant suinter dans la terre une matière par- ticulière, différente dans les différentes espèces. C’est par cette eæcrétion que la sève descendante enfouit dans le sol tous les ÉLÉMENTAIRE. 15 principes viciés dont elle s’est ‘aite le véhicule pour en dé- charger la plante. Il en résulte que ce terrain peut devenir mortel pour une plante de mème espèce qu'on placerait dans le même endroit. Aussi est-ce un principe bien reconnu en agriculture qu'il est des terrains qu’il faut absolument laisser reposer quelque temps, et même plusieurs années, avant de leur confier la mème récoite. Mais ces excrétions, nuisibles à lespèce où même au genre de la plante qui les a produites, sont quelquefois très-utiles à d’autres, auxquelles elles servent comme d'engrais. Ainsi, toutes les céréales s’approprient avantageusement les sécrétions des légumineuses, telles que pois, lentilles, trèfle , luzerne ; la salicaire croit au pied du saule, lorobanche rameuse vers la racine du chanvre, tandis que le cérse des champs nuit à l'avoine, lénule aulnée à la carotte, et livraie au froment. L'étude des sympathies ou antipathies végétales est pour le cultivateur du plus grand intérèt, et c’est sur elle qne repose toute la théorie des assolements. Elle consiste à savoir faire alterner dans un même terrain des récoltes successives de plantes qui demandent au sol des aliments différents. 36. Les racines, d’après leur ‘orme, ont reçu différents noms qu'il est important de connaitre. Ainsi, elles sont rameuses (fig. 6), quand elles ont, comme la tige, un tronc qui se divise en branches et en ramifications souterraines : c’est la forme la plus ordinaire aux plantes dicotylédonées. On les nomme fibreuses, quand elles ne sont formées que de filaments simples partant d’un même point, et fusciculées, quand ces filaments sont réunis en faisceaux. Les racines sont encore granulées ou en chapelet, quand elles présentent des renflements et des étranglements succes- sifs, comme dans la filipendule; pivotantes, fusiformes (4), napiformes (2), quand elles offrent un pivot unique, plus ou moins effilé, conique ou arrondi, s’enfonçant dans la terre, sans autres divisions que de minces chevelus à son extrémité : (1) De fusus, fuseau. — (2) De napus, navet. 15 BOTANIQUE Ex.: la carotte, la rave, etc. Ces dernières racines, char- nues pour la plupart, ne sont pas seulement pour la plante un réservoir de sucs nourriciers, mais offrent encore à l’homme et aux animaux un moyen d'alimentation facile. Elle est même si naturelle, qu’elle a dû faire celle des premiers hom- mes, avant que l’industrie et le besoin eussent appris à con- uaïtre toutes les propriétés nutritives des plantes, et à exploi- ter les richesses nombreuses que la Providence à déposées pour nous au sein du règne végétal. QUESTIONNAIRE. Quel est le troisième àge de la plante ? — Que deviennent la radicule et La gemmule ? — Qu'entend-on par collet ou nœud vital ? — Qu'est-ce que la racine ? — Quel est son caractère le plus essentiel ? — Sur quoi repose la pratique de la bouture et du mareotage ? — En combien de parties divise-t-on la racine? — Quelles sont ses fonctions relati- vement au vegétal ? —Sur quoi repose et en quoi consiste la théorie des assolements ? — Quels sont les noms principaux donnés aux racines, d'après leur forme ? — Donner des exemples. $S 2. — TIGE. 37. La tige, ou caudex ascendant, est cette partie de La plante qui, contrairement à la racine, tend toujours plus ou moins à s'élever vers le ciel. Elle en diffère encore essentielle- ment, parce qu’elle est toujours colorée en vert, au moins dans sa jeunesse, quand elle a été soumise à l’action de la lu- inière. La tige sert de support aux rameaux , aux feuilles et aux fleurs. Ce double caractère sert à ne pas confondre avec les racines trois espèces de tiges toutes souterraines, qui sont : la souche, le bulbe et Le fubercule. 38. On appelle souche ou rhizôme (4) les tiges souterraines (1) De pièæ, racine. ÉLÉMENTAIRE. à À de certaines plantes vivaces qui, courant sous terre, poussent de leur extrémité antérieure de nouvelles feuilles et de nou- velles fleurs, à mesure que leur extrémité postérieure se dé- iruit. Tel est ce qu'on nomme ordinairement racine dans l’éris flambe de nos jardins et dans le muguet qui embaume nos bois ombragés. On voit par là qu’un grand nombre de plantes appelées ordinairement acaules (4), c’est-à-dire sans tige, comme Ja pâquerette, Ja violette odorante, ont sous terre une véritable tige plus ou moins développée. Ce qu’on nomme la hampe est alors en réalité un pédoncule. 39. Le bulbe (2) ou oignon est une tige souterraine arron- die en bas, plus ou moins conique en haut (fig. 11, 12). De sa partie inférieure naissent des racines, et du milieu de ses écailles ou tuniques s’élance le rameau qui porte les fleurs, vé- ritable pédoncule auquel on donne improprement le nom de tige. Quelques auteurs regardent le bulbe comme un bourgeon souterrain : alors les pellicules ou bases des anciennes feuilles en forment les écailles ou tuniques; le plateau qui les soutient est la tige souterraine, et les filaments qui en descendent sont les racines, La jacinthe, le porreau ont des bulbes à tunique (fig. 41); le Lis blanc, un bulbe à écailles (fig. 12). On ne trouve de bulbes que dans les monocotylédones. 40. Enfin, le tubercule (3), dont on à un exemple si familier dans la pomme de terre, est aussi une tige souterraine, courte, renflée, et ordinairement assez irrégulière. Il diffère du bulbe en ce qu’il n’est jamais formé de tuniques ni d'écailles, mais d’une masse charnue et continue, enveloppée d’un épiderme ; en ce que les racines ne partent pas toutes ensemble d'un point commun, mais naissent sans aucun ordre déterminé sur toute sa surface; et, enfin, en ce que sur divers points de celle-ci sont répandus des bourgeons appelés yeux, qui pro- duisent des rameaux portant des feuilles et des fleurs. Ce sont (1) D'u, sans, el caulis. tige. — (2) De bulbus, oignon, — (3) De tuber, trufle. 15 BOTANIQUE ces yeux qui permettent de partager les pommes de terre en plusieurs morceaux quand on les plante. A. Anciennement, on nommait le bulbe et le tubercule racines bulbeuses, racines tubéreuses; mais cette manière de parler est évidemment inexacte, puisqu'il est facile de con- stater que le bulbe et le tubercule verdissent par l'action de la lumière. On ne peut plus donner ces noms qu'à certaines racines charnues, qui, comme celles des orchis (fig. 10), des dahlias (fig. 9), ne sont, à proprement parler, ni des tuber- eules, ni des bulbes. 42. De ces humbles tiges souterraines au séipe magnifique du palmier et au fronc gigantesque du peuplier et du sapin la distance paraît énorme, et pourtant leur mode de développe- nent est tout à fait identique. C’est dans ces tiges colossales qui portent jusqu'aux nues leur couronne majestueuse, et sem- ,blent défier les siècles et les vents, qu'il convient le mieux d'étudier le mode de croissance des végétaux. QUESTIONNAIRE. @est-ce que la tige ?— Quels sont ses caractères distinctifs? — Qu'en- tend-on par souche, par bulbe et par tubercule ? — Pourquoi ne sont- ils pas des racines ? $ 3. — MODE DE CROISSANCE DES VÉGÉTAUX (1). Pour le: faire mieux comprendre, nous devons placer aupa- ravant quelques détails sur les éléments dont les plantes se composent , sur les éissus dont elles sont formées, sur le fluide qui les nourrit, et ensuite nous pourrons voir plus clairement la manière dont ce fluide circuie dans leur intérieur, et par là leur mode de croissance. (1) Si quelques passages de ce paragraphe paraissent trop abstraits, les com- mençants pourront les Laisser à une première lecture. ÉLÉMENTAIRE. 19 + ÉLÉMENTS DES VÉGÉTAUX. 43. Les éléments primitifs des plantes sont : le carbone, qui prédomine et qui sert d’aliment à nos brasiers; Fhydrogéne , qui s’en échappe en flamme brillante; une grande quantité d’eau, qui, à la combustion, s’exhale en vapeur, et de l'oxry- gène, dont l’action se manifeste dans le vinaigre de bois et dans les sels alkalins où terreux qui se trouvent dans leurs cendres, et dont les plus importants sont la potasse et la soude. Outre ces trois éléments constitutifs, on trouve encore «ans les végétaux divers éléments accessoires : c’est ainsi qu'il y à de l'azote dans les champignons, du soufre dans les crucifères, du fer dans les rubiacées, de la silice dans les tiges des gra- minées, etc., etc. Ces divers éléments, combinéstentre eux par la divine sa- gesse, et mis en mouvement par la force vitale qu’elle imprime à la plante au moment de la végétation, forment les diflérents tissus dont les plantes se composent, et qu'on nomme pour cela tissus élémentaires. On ne peut bien les observer qu'à l’aide du microscope. ++ TISSUS ÉLÉMENTAIRES. 44. Le mot de #issu, qui convient aussi bien aux animaux qu'aux végétaux, indique que leur contexture est analogue à une série de mailles plus ou moins làches ou serrées, formant par leur réunion comme l'étoffe dont la plante se compose. Il y à deux espèces de tissus élémentaires : le fissu cellu- laire et le tissu vasculaire. A. TISSU CELLULAIRE. 45. Il est ainsi nommé parce qu'il est formé de cellules. On appelle cellules de petites vessies fermées par des cloisons qui leur sont propres, et contenant une substance liquide, demi-fluide ou solide (fig. 15). D'abord transparentes, elles se colorent peu à peu, et le plus souvent en vert. Elles ne sont 20 BOTANIQUE en réalité que soudées entre elles; mais insensiblement elles se durcissent tellement, elles deviennent en même temps si adhérentes , que leurs cavités paraissent creusées dans une masse continue. Leurs parois, tantôt minces, tantôt très-épais- ses, ont leur suriace quelquefois unie, quelquefois marquée d'un certain nombre de points et de lignes. Ces points et ces lignes ont été pris longtemps pour des pores ou des fentes, mais on à reconnu aujourd'hui qu'ils ne sont que de $ inbles inégalités dans l'épaisseur de la cloison. 46. Les dimensions des cellules sont variables selon Ja con- sistance du tissu. Quand celle-ci est molle, comme il arrive, par exemple, dans la moelle du sureau, les cellules sont tou- jours plus larges. Toutefois, elles ne prennent jamais un grand développement, puisque les plus volumineuses qu’on ait observées n’ont qu'un millimètre cube. Leur forme est naturellement sphérique où sphéroïde ; mais, avec l’âge, elles deviennent si serrées entre elles, que la pression les rend tantôt ellipsoïdes, tantôt polyédriques, quelquefois même aplaties en une lame très-mince. 47. Les cellules étant ordinairement arrondies ou de forme irrégulière , laissent entre elles des espaces vides nommés méats (4) où lacunes. Les méats sont destinés à la transm's- sion de la sève. Les lacunes ont probablement pour fonction de recevoir le gaz qui se dégage des cellules environnantes, et de contenir pete un certain temps air extérieur qui S’est in- troduit dans la plante. Les plantes submergées offrent des Z«a- cunes plus grandes, plus régulières , moins nombreuses que celles qui existent dans le tissu cellulaire vert; elles ne com- muniquent pas avec l'air extérieur, et sont probablement des organes de respiration. 48. Le tissu cellulaire existe seul dans la moelle des végé- taux et dans les jeunes pousses des plantes, presque seul aursi dans les parties charriues de certains fruits. On nomme plantes cellulaires celles qui, comme Îles cham- pignons, sont uniquement composées de cétlutes. (1) De meatus, passage. ÉLÉMENTAIRE. iS B. TISSU VASCULAIRE. 49. Il tire son nom des vaisseaux dont il est formé. On ap- pelle vaisseaux (fig. 16) des tubes allongés, tantôt eylindri- ques, tantôt en forme de fuseau, ordinairement étranglés de distance en distance. On observe aisément ce tissu dans une lame de bois coupée dans sa longueur, Elle présente des fibres compactes traversées par de petits canaux vides et communi- quant entre eux : ce sont les vaisseaux. 50. On divise les vaisseaux en deux grandes classes. Ce sont : 1° les vaisseaux ordinaires ; 2 les vaisseaux propres. 1° Les VAISSEAUX ORDINAIRES ont leurs parois toujours plus ou moins sculptées, Ce sont des tubes droits qui ne se rami- lient pas ou se ramifient peu. Les plus remarquables sont : les vaisseaux poreux, les vaisseaux en chapelet, les vaisseaux fendus ou fausses trachées, les trachées et les vaisseaux mirtes. Les vaisseaux poreux (1) sont des tubes criblés de petits trous disposés par lignes transversales; on les appelle aussi vaisseaux ponctués (fig. 16 p). Les vaisseaux en chapelet sont des tubes poreux successi- vément gonflés et étranglés d’espace en espace. On les trouve principalement au point de jonction de la racine et de la tige, de la tige et des branches, etc. (fig. 16 c). Les vaisseaux fendus ou fausses trachées sont, suivant l'opi- nion la plus adoptée, des tubes coupés par des fentes: trans- versales (fig. 16 f). Les trachées (fig. 16€) sont des tubes formés par un ou plusieurs fils d’un blanc nacré s’enroulant en spirale, de fa- çon que le tout a la plus grande ressemblance avec les élas- tiques en fil de laiton qu'on met dans les bretelles. A leur extrémité, les trachées finissent par une sorte de cône plus ou moins aigu. Dans les végétaux dicotylédonés , on les observe autour de la moelle; et dans les monocotylédonés, c’est ordi- nairement au centre des filets ligneux. Ils se trouvent quel- quefois dans les racines; mais on ne les rencontre jamais dans (1) De Op, ouverture 22 BOTANIQUE l'écorce ni dans les couches annuelles du bois. C’est dans la tige des roses trémiéres qu'on les distingue le mieux. Les vaisseaux mixtes sont, comme leur nom l’indique, ceux qui participent à la fois de la nature de tous lesautres, c’est- à-dire qu'ils sont alternativement en chapelet, poreux , fen- dus et en spirale, dans divers points de leur étendue. 2° Les VAISSEAUX PROPRES sont ainsi nommés parce qu'ils servent à conduire un suc propre à la plante dans laquelle ils se rencontrent, tandis que les vaisseaux ordinaires ne servent qu’à conduire la sève. Ils diffèrent des vaisseaux ordinaires par leur contexture. Leurs parois sont toujours unies, sans au- cune sculpture; et, au lieu d’être fermés aux deux bouts, ils communiquent librement entre eux, formant par leur réunion un réseau diversement ramifié. 51. On nomme plantes vasculaires celles qui, outre des cel- lules, ont encore des vaisseaux. La destination générale de ces vaisseaux est d'établir des canaux de circulation dans l'intérieur de la plante. Ils en sont comme les veines et les artéres, et supposent l'existence de différents fluides, dont le plus important est la séve ou lymphe (1), qui, dans les végé- taux, remplit les fonctions du sang dans l’économie animale. ++ SÈVE. — SUCS PROPRES. 92. La séve est un fluide incolore et transparent, formé d’eau qui tient en dissolution les divers principes solides et gazeux qui se trouvent dans les plantes. C’est elle qui, au printemps , coule si abondamment des branches de la vigne qui pleure quelques jours après qu’on l’a taillée. Elle tire son origine de l'humidité de la terre pompée par les racines, et de celle de l’air absorbée par toutes les parties du végétal, qui tend toujours à se mettre en équilibre avec le milieu qui l’en- vironne. x 53. La sève parcourt la plante d’une extrémité à l'autre, 1) De lympha, eau. ÉLÉMENTAIRE. 23 dans toutes ses parties. Elle prend le nom de sève ascendante, quand elle va des racines aux feuilles, et celui de séve descen- dante ou cambium. quand elle va des feuilles aux racines. C’est à la sève descendante, obstruée dans son cours par les : ligatures de la greffe, que sont dus les bourrelets circulaires qu'on remarque sur les troncs des vieux cerisiers. Le froid ralentit la marche de la sève, mais ne la suspend pas, puisque les bourgeons grossissent pendant l'hiver. La chaleur, au con- traire, la rend plus active, et l’électricité la développe puis- samment, comme on l’a observé par les pousses de la vigne, beaucoup plus longues dans les années d'orage. 54. Outre la sève, on distingue dans certaines plantes des sucs propres. Ce sont divers fluides plus épais que la sève et diversement colorés. Ils sont transmis par les vaisseaux pro- pres dont nous avons parlé plus haut. Ces sucs sont résineux dans le pin, gommeux dans le caoutchouc, colorés en blanc dans le figuier et le pavot, en jaune dans l'herbe aux ver- rues, etc. QUESTIONNAIRE. Quels sont les éléments primitifs des plantes? — Que forment-ils par leur combinaison et par l’action de La force vitale? — Qu'est-ce que Le tissu cellulaire ? — Qu’entend-on par cellules ? — Quelle est leur forme, leur dimension ? — 4 quoi sont destines les meats et les lacunes que l’on remarque entre elles? — Qu'est-ce que Le tissu vasculaire ?—Qu'en- tend-on par vaisseaux ? — Quelles sont les diverses formes desvaisseaux ordinaires ? — Qu'entend-on par vaisseaux propres ? — par plantes cellulaires eb plantes vasculaires ? — Qu'est-ce que la sève ? — Com- ment la divise-t-on? — Quelle est sur elle l’action de la chaleur et de l'électricité ? — Qu’'entend-on par sucs propres ? +++ CIRCULATION DE LA SÈVE. Do. La sève ne circule pas dans toutes les plantes et ne les développe pas de la même manière, parce que plusieurs d’entre a 24 BOTANIQUE elles manquent complètement de vaisseaux, et que, dans celles qui en sont pourvues, ils sont arrangés diversement. Étudions cette circulation successivement dans les plantes cellulaires et les plantes vasculaires, et nous verrons, par suite, comment elles croissent et se développent. A. PLANTES CELLULAIRES. 56. Les plantes cellulaires sont les plus simples de tous les végétaux : elles correspondent aux acotylédones. Leur tissu n’est encore qu’une masse homogène de cellules : on n’y dé- couvre ni fibres ni vaisseaux à travers lesquels la sève puisse monter et descendre. Tels sont les champignons, les dichens, les algues. 57. Dans ces plantes, la sève parait suivre, dans chaque cellule, un courant particulier, en longeant le contour des parois. Elle monte dans un sens le long d’une paroi latérale, tourne la paroi supérieure, redescend le long de l’autre paroi latérale, puis marche horizontalement, pour recommencer à monter au point d’où elle était partie. Ce mouvement, Circu- laire dans chaque cellule, constitue ce qu'on nomme le phé- nomène de la rotation (4). B. PLYNTES VASCULAIRES. 58. L'organisation des vasculaires, ou plantes à vaisseaux, est beaucoup plus intéressante et beaucoup mieux connue ; mais ici se présentent deux nouvelles subdivisions établies par la diversité du mode de croissance. Ces subdivisions corres- pondent aux monocotylédones et aux dicotylédones. a. Monocotylédones. 09. Prenons pour exemple le majestueux palmier du dé- (1) De rota, roue. ÉLÉMENTAIRE. 25 sert, dont le tronc cylindrique, nommé sfipe (1), s'élève uni- formément et toujours sans rameaux (fig. 18, 20). Après la germination, les feuilles se déroulent et déploient sur le collet de la racine un faisceau circulaire. La deuxième année, un second bouquet de feuilles part du centre du pre- mier, et le rejette en dehors. Mais, tandis que l'extrémité de ces feuilles se flétrit, leurs bases, durcies et adhérentes au sommet de la racine, persistent, et constituent, en se sou- dant, un anneau solide qui forme la base du stipe. La troi- sième année, un tagisième bouquet de feuilles produit le même effet sur le second, et ainsi, chaque année, se forme un nou- vel anneau qui se superpose à ceux qui existaient déjà. 60. Tel est le développement de la tige des monorotylédo- nes. On voit par là 4° que ce développement se fait entière- ment par l'intérieur, c’est-à-dire que les parties intérieures sont toujours les plus nouvelles et les plus tendres : de là le nom d'endogènes (2) (croissant par le dedans) donné à ces vé- gétaux. Le stipe, coupé en travers (fig. 18), ne présente pas des zônes régulières et concentriques de bois dur, de bois tendre et d’écorce, au milieu desquelles est un canal renfer- mant:la-moelle, comme nous le verrons pour les dicotylé- dones : ici la moelle remplit tout l'intérieur. Les fibres, dispo- sées par faisceaux, s’y trouvent dispersées sans ordre, et en quelque sorte perdues ; l'écorce, ou n'existe pas, ou n’est presque pas distincte des autres parties de la tige. On voit par là 2° que le séipe des monocotylédones croît très-peu en épaisseur. En effet, le développement latéral ne peut avoir lieu, qu’autant que l'anneau formé par la base per- sistante des feuilles de l’année précédente ne s’est point en- core assez endurci, pour résister à la pression que le nouveau bourgeon tend à opérer sur lui de dedans en dehors ; ce qui n'arrive pas ordinairement. Voilà pourquoi les palmiers, qui atteignent souvent 50 mètres de haut, ont une tige qui a sou- vent à peine 4 décimètres d'épaisseur. {1) De stipes, tige, tronc.— (2) "Evèov, en dedans, el yivouut , naître. 926 BOTANIQUE On voit par là 3° que le bourgeon terminal est l'agent essentiel de l'augmentation de la tige. Celle-ci périraitssi lon retranchait ce centre de végétation. Dans les monocotylé- dones, il n’y a donc pas de sève descendante. Enfin, on voit par là 4 que ces plantes ne peuvent point avoir de véritables ramifications. Si, dans nos. climats, quel- ques monocotylédones, comme l’asperge, le petit houæ, pa- raissent avoir des branches, il faut remarquer que les fais- ceaux de ces rameaux apparents ne parviennent pas au centre de la plante : ils descendent entre l'écorce et la tige, restent isolés de celle-ci, et se comportent comme elle pour leur croissance. C’est toujours leur partie extérieure qui est la plus dure. b. Dicotyledones. 61. L'étude des plantes dicotylédones nous est plus facile; elle est aussi plus importante, parce qu’elles sont plus nom- breuses. Pour bien comprendre leur mode de croissance et la marche qu'y suit la sève, il est nécessaire de connaître d’abord leur conformation. Leur tige se nomme fronc (fig. 47, 1991): Prenons pour exemple le tronc d'un sapin (fig. 17). Si nous le coupons transversalement, nous verrons au centre un canal qu’on nomme éfui médullaire (1) ; il renferme un petit rouleau de tissu cellulaire sec et blanchâtre : c’est la moelle (m). La moelle est entourée de couches formées de fibres et de vaisseaux fortement enlacés, plus durs et plus foncés vers le centre, plus tendres et plus blancs à l’extérieur. Ces couches se nomment les couches ligneuses (2) : la partie la plus tendre est l'aubier (3) (a); la partie intérieure et la plus dure forme le bois proprement dit (b). Après les couches ligneuses, on trouve l'écorce (é), résultant elle-même de deux couches, l’une intérieure, que l’on nomme léber (4) parce qu’elle est formée (1) De medulla, moelle, —{2) De lignum, buis. — {3) D'albus, blanc — (4) De hiber, écorce. ÉLÉMENTAIRE. 97 de minces feuillets se détachant les uns des autres, et l’autre extérieure. Celle-ci se compose de Pépiderme (1), pellicule qui recouvre toutes les parties du végétal, de l'enveloppe her- bacée, lame de tissu cellulaire, le plus souvent verte, située au dessous de l'épiderme, et de couches corticales (2) qu’il est ordinairement difficile de distinguer d’avec le Ziber, sur lequel elles sont appliquées. Une foule de rayons blanchâtres, nom- més rayons médullaires, unissent le centre ou la moelle avec la circonférence. Telle est l’anatomie du tronc dans les arbres dicotylédonés. © Cela-posé, examinons le mode d’après lequel la sève y circule. 62. En colorant l’eau que pompent les racines, on a re- connu que la sève monte par les vaisseaux de l’étui médul- laire. Arrivée au sommet, et modifiée à la surface des feuilles par le contact de l'air, elle se convertit en cambium, et redes- cend en dehors de ces mêmes vaisseaux, entre le bois et écorce. Là, elle forme deux couches, l’une qui, se joignant à l’écorce, ajoute au Liber un nouveau feuillet ; l’autre qui s’at- tache au bois, et l’augmente ainsi d’un anneau concentrique. Quand l’arbre devient grand, la sève abandonne peu à peu les vaisseaux oblitérés de l’intérieur, qui devient alors cœur de bois ou bois dur, et elle ne circule plus que dans les nou- veaux étuis, qui forment le bois blanc où aubier. De là leur différence de dureté et de couleur, si sensible dans l’ébéne, où laubier est d’un beau blanc, et le cœur du bois d’un su- perbe noir. Cette théorie, vérifiée par l'expérience, explique parfaite- ment l’accroissement des arbres dicotylédonés, soit en gros- seur, soit en hauteur. 63. ACCROISSEMENT EN GROSSEUR. — Elle résulte peu à peu, comme nous venons de le voir, d’une nouvelle couche de bois produite sous l'écorce par une partie du cambium qui se solidifie. L’aubier formé l’année précédente acquiert plus de densité et se change en bois dur. Quant au Liber, il (1) D'ért-Gépua, sur la peau. — (2) Cortex, écorce. 28 BOTANIQUE n’éprouve aucune transformation; seulement, il se dilate et s’aceroit par sa face interne d’un mince feuillet au EN d’une partie du cambium. 64. ACCROISSEMENT EN HAUTEUR. — Quand la germination est faite, et que les feuilles séminales sont, hors dé terre, la première couche de cambium s'organise et, forme un premier cône, lequel est composé des parois de l’éfui médullaire ven- fermant la moelle, et est terminé par un bourgeon. Vers Fau- tomne, quand cette couche est changée en liber et:ensaubier, son accroissement s'arrête. Quand, au retour du printemps, la végétation recommence, les sues nourriciérs et la-sèvet dont la plante est imbibée vivifient le bourgeon terminal, du centre duquel s'élève une jeune pousse, qui éprouve dans son. déve- loppement les mêmes phénomènes que la première. A cette seconde en succède une troisième qui, l’année suivante, est surmontée d’une quatrième, et ainsi successivement. 2 65. On voit par là que le tronc est formé. d’une suite de cônes allongés dont le sommet est en haut, et qui s’emboîtent les uns dans les autres. Le sommet du cône le plus intérieur, qui est le plus ancien, s’arrête à la base de la seconde pousse, et ainsi des autres, en sorte que ce n’est qu'en bas du tronc qu'on trouve autant de couches ligneuses que la plante a d'années. Ces couches n’ont pas toutes la mème épaisseur ; on à remarqué qu'elles sont d'autant plus minces que le cône est plus allongé. Du reste, un accident, une. maladie, une saison plus ou moins favorable peuvent modifier leur déve- loppement. On à également observé que leur épaisseur n'est souvent pas la même dans toute leur circon‘érence. Mais comme la plus grande épaisseur correspond constamment au côté où se trouvent les racines les plus considérables, elle ré- sulte évidemment de la nourriture plus abondante que celles- ci vont puiser dans la terre. C’est ainsi que, dans les arbres placés sur la lisière des forêts, les couclies ligneuses sont tou- jours plus épaisses du côté extérieur, parce que, de ce côté, les racines, n’éprouvant pas d'obstacles, y prennent un déve- loppement considérable. ÉLÉMENTAIRE. , DAS) 66. Chaque rameau, chaque ramuscule des arbres dicoty- lédones s'accroît en hauteur et en largeur, de la même ma- nière que le tronc principal. 67: 1Cette théorie explique comment ‘un vieux tronc de saule où de châtaignier peut être entièrement creux à l’inté- rieur-et ne recevoir la vié que par une mince lame de bois et d'écorce ; comment on peut compter les années d’un sapin par le-nombre des anneaux superposés à sa moelle vers sa base ; comment la tige et les rameaux d’un arbre dicotylédoné sont beaucoup moins gros en haut qu’en bas ; comment, enfin, toutes ces plantes, qui-offrent les mêmes phénomènes, quoique moins distincts quand elles ne sont qu'herbacées, ont reçu le nom d'exogènes (4), c’est-à-dire croissant par le dehors. Sur les lois de la physique végétale que nous venons d’ex- poser sont fondés quelques procédés pour là multiplication artificielle des végétaux. Ces procédés sont la marcotte, la bouture et la greffe. On les trouvera décrits au dictionnaire. QUESTIONNAIRE, Comment la sève circule-t-elle dans les plantes cellulaires ? — Dans les plantes vasculaires monocotylédonées ? — Quel est leur mode de crois- ‘sance ?=— D'où vient qu'on les nomme endogènes ? — Quelle est l'anato- mie, d'un, stipe de: palmier: coupé transrersalement ?— Quelle est celle d'un tronc d'arbre dicotylédoné ? — Qu’'entend-on par moelle, étui médullaire, bois dur, aubier, liber, enveloppe herbacée, épiderme, écorce ? — Quelle est la marche de la’ sève dans les arbres dicotylé- dônés ?-— Comment croissent-ils en grosseur, en hauteur ? — Cumment compter les années d'un sapin? — Pourquoi le nom d'exogène donné à toutes les plantes dicotylédonées ? S 4. = PARTIES ACCESSOIRES DE LA TIGE. Ce sont les feuilles, les bourgeons, les branches et rameaux, les vrilles, les épines et aiguillons, les poils, les stipules et bractées. (1) D'Ééw, en dehors, et YÉvoUt, naître. 30 . BOTANIQUE + FEUILLES. 68. Aux plantes vasculaires seules appartiennent les feuilles, ornement du printemps, brillante parure du végétal, principe de nos frais ombrages et riante toiture des oiseaux. Leur abondance, leur variété, et surtout cette teinte si douce qui semble faite pour reposer et réjouir nos yeux, tout en elles est une œuvre de bonté, de grâce et de fécondité: On a re- marqué que la nuance de leur verdure est toujours parfaite- ment harmonisée avec la couleur de la fleur, et contribue à en faire ressortir la fraîcheur et l'éclat. 69. Moins agréables encore qu'utiles, les feuilles contri- buent en leur manière à l'accroissement de la plante, disons plus, à l’épuration de Pair, dont elles décomposent l'acide carbonique pour s'emparer de son carbone et lui restituer oxygène pur. Cette double propriété, qui les rend si impor- tantes, résulte de leur respiration, phénomène non moins in- téressant que celui de leur transpiration, de leur sommeil et de leurs mouvements. Avant de les exposer, faisons l’anato- mie de la feuille et nommons quelques unes de ses formes nombreuses. À. PARTIES ET FORMES DES FEUILLES. 70. Ce sont des faisceaux de fibres qui, partant de la tige et se développant en minces lames, donnent naissance à la feuille. Ces fibres, au reste, ne sont que des vaisseaux, et voilà pourquoi il n’y a de feuilles que dans les plantes vascu- laires. Tant que ces fibres restent unies et serrées, elles for- ment ce support plus ou moins cylindrique, plus ou moins long, que l’on nomme pétiole (1). Ce pétiole se présente sous diverses formes : le plus souvent il est arrondi, plus rarement (à) De petiolus, petit picd. ÉLÉMENTAIRE. 34 canaliculé où creusé d’un sillon en dessus, comme dans le sycomore ; quelquefois comprimé, comme dans le peuplier et le tremble : c’est à cette dernière forme surtout qu'est due la plus grande mobilité des feuilles. 71. Bientôt les fibres du pétiole se désunissent, se ramifient diversement, et se dilatent en une sorte de réseau qui repré sente en quelque manière le squelette de la feuille, Les mailles de ce réseau sont remplies par un tissu cellulaire plus on moins abondant, qui porte le nom de parenchyme (4). On obtient aisément ce squelette des feuilles, lorsqu'elles sont sèches, en enlevant tout le parenchyme par les petits coujis répétés d’une brosse un peu dure. 72. L’évasement de Ja feuille porte le nom de Xmbe (2); les faisceaux de fibres qui la traversent en sont les nervures, dont la principale, formée par le prolongement du pétiole, est la côte ou nervure médiane (3). Si cette côte partage la feuille en deux moitiés semblables (fig. 49, 50), les nervures secondaires qui s’en détachent deux à deux, étant disposées comme des barbes de plume, se nomment, pour cette raison, nervures pennées (4). Elles sont dites nervures palmées (5), quand elles se divisent dès la naissance du limbe comme les doigts de la main (fig. 54, 70, 71), sans présenter de côte médiane, mais trois, cinq, sept, neuf nervures principales, se ramifiant elles-mêmes en petites nervures pennées. Les feuilles du chou cabus ont leurs nervures pennées ; celles de la courge romaine les ont palmées. 73. La disposition des nervures dans les feuilles peut servir à distinguer les monocotylédones des dicotylédones. Dans les premières, comme le lis, les graminees, les nervures sont parallèles ou convergentes (6) et sans divisions. Dans les di- cotylédones, au contraire, comme la vigne, la violette, elles sont ramifiées, divergentes (7) et formant un parfait réseau. Les (1) De RALÉY{UULA, épanchement. — (2) De limbus, développement. — {3) De medium, milieu. — (4) De penna, plume.—(5} De palma, paume de la main. — (6) De convergens, tendant à se réunir. — (7) De divergens, ten- dant à s'écarter. 32 BOTANIQUE aroidées, appartenant à la classe des monocofylédones, font exception à cette règle presque constante. 74. Si le parenchyme réunit toutes les nervures.de ma- nière qu'il n'y ait pas séparation totale de toutes leurs parties jusqu’à la côte médiane (fig. de 44 à 72), la feuille est dite simple, quels que soient ses dentelures, lobes, divisions ou segments. On nomme feuilles composées celles où chaque nervure secondaire, formant elle-même une, petite feuille complète ou foliole, s'articule sur la grande côte, qui sert de commun pétiole (fig. de 73 à 80). 79. Il ne faut pas confondre la feuille simple avec la feuille entière. Celle-ci, comme dans læillet, n’a absolument sur ses bords aucune échancrure (fig. de 48 à 52), tandis que la feuille simple peut les avoir divisés plus ou moins profondé- ment (fig. de 53 à 72). La feuille simple est. dite dentée, quand les saillies sont courtes et aigufs et les enfoncements arrondis; dentée en scie ou serrée (1), comme dans Portie (fig. 35), quand les dents et les enfoncements, sont aigus et regardent le sommet ; crénelée, comme dans le lierre terrestre (fig. 58), quand les dents sont obtuses et les emfoncements aigus. Ces dentelures peuvent elles-mêmes être décou- pées, et alors la feuille est bi ou fridentée, bi ou triserrée (fig. 62). 76. Il arrive souvent que les découpures qui bordent, la feuille sont plus profondes que les précédentes. Alors la feuille est appelée lobée (2) (fig. 70), si ces découpures sont larges et arrondies, sans s'étendre jusqu’au milieu du limbe; fendue ou fide (3), si, sans atteindre ce milieu, elles sont aiguës. et séparées par des enfoncements aigus (fig. 68); paréite (4), si elles s'avancent plus loin que le milieu (fig. 69); séquée (5) ou à segments, si elles arrivent très-près de la côte du milieu (fig. 72). La feuille peut être également bilobée, trifide, qua- (1) Deserra, scie.— (2) De Xo60c, partie arrondieet saillante.—(3) De fidr, j'ai fendu. — (4) De partitus, partagé. — (5) Desecatus, coupé. ÉLÉMENTAIRE. 33 dripartite, multiséquée (4), Selon la quantité de ses lobes, fentes, partitions où segments. La disposition des découpures est désignée par ces mêmes désinences que Font fait précéder du nom qui Pindique. Aïnsi, la feuille est pennatifide, quand lés divisions sont disposées latéralement comme les barbes dune plume (fig. 69); palmatiséquée, lorsque les segments partent de la même hauteur du limbe, en s’écartant comme les doigts de la main (fig. 71, 72). Les feuilles pennatifides, pennatipartités ou pennatiséquées sont dites roncinées, quand leurs divisions sont aiguës et re- courbées en bas, comme dans la dent-de-lion (fig, 66), et ly- rées (fig. 64), quand, semblables à une lyre, elles sont termi- nées par un segment arrondi et beaucoup plus considérable que les autres divisions. Les feuilles palmatiséquées sont ap- pelées pédalées (fig. 72),quand léurs segments Sont disposés comme les pédales d’un piano. 717. D'après leur figure, les feuilles sont nommées ovales, quand le limbe présente la forme d’un œuf : Ex.: la grande pervenche ; obovales, quand le gros bout dé l’œuf est tourné en haut : Ex. : la samole de Valérand; elliptiques, c’est-à-dire en forme d’ellipse, ovale plus allongé et également élargi aux deux extrémités : Ex. : le muguet odorant; oblongues, en el- lipse allongée, au moins trois fois plus longue que large, comme dans lhéléanthème commun; lancéolées, oblongues, mais se terminant insensiblement en pointe : Ex. : le laurier-rose ; linéaires, allongées et très-étroites, comme dans la plupart des graminées; subulées où en alène, quan elles finissent m- sensiblement en pointe très-aigué : Ex. : le genévrter ; séta- cées, c’est-à-dire semblables à des soies de sanglier, lorsqu'elles sont très-étroites, raides ét aiguës, comme dans le cédre du Liban; capillaires, c'est-idire fines et flexibles comme des cheveux : Ex. : l'asperge de nos jardins; filiformes, déliées et minces comme un fil : Ex. : les feuilles submergées de la re- noncule aquatique ; spatulées, en forme de spatule, c'est-à-dire {1) Debis ter, quater, multum, deux fois, Lrois fois, quatre lois, beaucoup 34 BOTANIQUE étroites à la base, plus larges et arrondies au sommet : Ex. : la paquerette ; en coin, cunéiformes, à peu près comme en spatule, mais plus larges et tronquées au sommet, comme dans la saxifrage à feuilles en coin. F 78. D’après les échancrures de leur base , les feuilles sont en cœur (fig. 57), quand elles ont de chaque côté de l’échan- crure deux lobes arrondis, et qu’elles sont moins larges au sommet : Ex. : la violette hérissée; réniformes, en rein, (fig. 58), plus larges que hautes, en cœur à la base et arron- dies au sommet : Ex. : le lierre terrestre; sagittées (4), c’est- à-dire en fer de flèche (fig. 39), aiguës au sommet, et à base prolongée en deux lobes pointus et presque parallèles : Ex. : la sagittaire ; hastées (2), c’est-à-dire en fer de lance (fig. 60), quand les lobes de la base sont très-écartés en dehors : Ex. : le gouet à feuilles tachées. 79. En les considérant par rapport à leur pétiole, les feuilles sont sessiles (3) (fig. 36), quand elles en sont dépour- vues : Ex. : le buis; pétiolées (fig. 35), quand elles en sont munies; peltées (fig. 54), lorsque le pétiole part du centre du limbe arrondi : Ex. : la capucine. 80. La disposition des feuilles relativement à la tige n'offre pas moins de variété, et leur a fait donner différents noms. Elles sont radicales (fig. A1), quand elles partent toutes du collet de la racine : Ex. : Ja primevére; caulinaires (4) (fig. 35 à 40), lorsqu'elles accompagnent la tige : Ex. : la bourrache ; florales (fig. 83), quand elles sont voisines de la fleur ; sou- vent alors elles sont colorées et ne sont pas différentes des bractées : Ex. : l’origan. On les appelle opposées (fig. 32), quand elles se regardent une à une de chaque côté de la tige : Ex. : la sauge; gémi- nées (fig. 35), quand elles naissent deux à deux du même point de la tige : Ex. : la belladone; alternes (fig. 36), quand elles sont disposées une à une et comme en échelons : Ex. : (1) De sagitta, flèche. — (2) De hasta, lance. —{3) De sessilis, assis. — (4) De caulis, tige. re ÉLÉMENTAIRE. 30 le tilleul ; éparses (fig. 34), lorsqu'elles sont dispersées sans au- cun ordre : Ex. : la inaïre commune; verticillées (4) (fig. 33), quand elles sont opposées plus de deux à deux : Ex. : tous les galium ; distiques (2), lorsqu'elles sont disposées sur deux lignes parallèles de chaque côté de la tige : Ex. : l’orme; unr- latérales, quand elles sont toutes rejetées d’un même côté : Ex. : le sceau de Sulomon ; et imbriquées (3), lorsqu'elles se recouvrent en partie commeles tuiles d’un toit : Ex. : letruyu. Enfin, on les nomme décurrentes (4) (fig. 39), quand le liinbe ou le pétiole se prolonge sur la tige en aile adhérente, comme dans le bouillon blanc : la tige est dite alors aifée ; amplexicaules (5) (fig. 37-38), lorsqu'elles embrassent la tige : Ex. : le pavot somnifére ; et engainantes (fig. 40), quand elles l'entourent d’une véritable gaine, comme dans le mais. 81. Quant aux feuilles composées (fig. 73 à 80), elles sont pennées où ailées (fig. 76), quand les folioles s’articulent sur les parties latérales du pétiole commum, comme dans lacacia ; et palmées ou digitées (6), lorsqu'elles partent toutes du som- met du pétiole Commun, comme dans le marronnier d'Inde (fig. 74). Alors, S'il n’y a que trois folioles, comme dans le tréfle, la feuille est dite trifoliolée (fig. 73). 82. Les folioles des feuilles composées peuvent affecter toutes les formes, subir toutes les modifications des feuilles simples, et porter, par conséquent, les mêmes noms. Tels sont les noms les plus communs donnés aux feuilles ; quant à ceux qui ne se rencontrent que plus rarement, ils se- ront expliqués dans le vocabulaire. QUESTIONNAIRE. f» Qu'est-ce que les feuilles ? — De combien de parties se composent-elles ? — Comment les divise t-on? — Quels sont les différents noms qui leur sont donnés ? (1) De vertez, tour. —(2) De ètç, deux, et ti, rang. — (3) D'im- brex, tuile, — (4) De decurrere, courir de haut en bas, — (5) D'am plecti, embrasser, caulem, la tige. — (6) De digitus, doigt. 36 BOTANIQUE B. RESPIRATIO* DES FEUILLES. 83. Quelles que soient la forme et la disposition des feuilles, il est à remarquer qu'une d’entre elles n’est Jamais entièrement recouverte par celle qui la précède immédiatement. Cet arran- sement n’est point sans but, non plus que la mince épaisseur du Hiinbe et son extrême mobilité sur son léger pétiole, L’ar en a plus de prise sur elles. Il est leur élément, le milieu dans lequel elles respirent ; car elles semblent être au végé- tal ce que les poumons sont à l’homme et les branchies aux poissons. Leurs deux surfaces, nommées pages, l’une supérieure ; l'autre inférieure, mais surtout celle-ci, sont criblées d’une inuititude de petits trous nommés sfomates (1), visibles au microscope. C’est par ces sfomnates que le végétal respire. La respiration est Facte par lequel la plante absorbe, au inoyen de ses feuilles, les gaz propres. à sa nutrition, et exhale ceux qui lui seraient nuisibles ou inutiles. 84. Nous avons dit plus haut que l’air atmosphérique se compose de 29 parties d'oxygène en volume et de 79 d’azote sur 100. Il contient en outre de la vapeur d’eau en quantité variable, et environ un millième de gaz acide Carbonique, qui résulte en partie de la respiration des hommes et des ani- maux. C’est aux dépens de cet acide carbonique, composé de 8 parties d'oxygène et de 3 de carbone en poids, que s'opère le phénomène de la respiration. Il pénètre pendant la nuit dans les feuilles par les stomates de la page in.érieure. Au retour du jour et sous l'influence de la lumière, les feuilles le décomposent, retiennent le carbone et exhalent l’oxygène. Elles restituent donc avec usure à la masse de l'air atmosphé- rique ce même oxygène ou air vital que l’homme et les ani- maux lui avaient enlevé par leur respiration: combinaison (1) De ctôuu, bouche. ÉLÉMENTAIRE. 37 admirable , où la science nous fait voir l’action -incessante d’une Providence aussi simple dans ses moyens qu'ineffable dans sa sagesse. 85. L'influence de la lumière, avons-nous dit, est néces- saire à la fixation du carbone dans les feuilles et à l’exhala- tion de Foxygène. En effet, lorsqu'on soustrait la plante à l'influence de la lumière, l'acide carbonique absorbé par les ra- cines s’exhale par les stomates des feuilles sans avoir subi au- cune décomposition, et l’oxygène n’y pénètre pour modifier les tissus que comme il le ferait dans une plante privée de vie. Voilà pourquoi les végétaux soustraits à l’action du so- leil s’étiolent, c’est-à-dire qu'ils perdent la couleur verte, de- viennent mous, et contiennent une grande proportion de principes sucrés. Les jardiniers appliquent cette théorie pour faire blanchir les feuilles de la chicorée et les tiges des cè- leris. 86. Le carbone déposé dans les feuilles les pénètre , se li- qüéfie, et redescend à l’état de cambium. C’est donc la respi- ration des feuilles qui fournit aux plantes la presque totalité du carbone dont ellés sont formées; car la quantité d'acide car- bonique dissous dans l’eau que pompent les racines est très- minime. Il pourrait même paraître étonnant qu’un millième d'acide carbonique, qui se trouve dans la masse atmosphé- rique, puisse suffire pour alimenter de carbone toutes les plantes de la terre; mais on se convaincra du contraire en cons:dérant que dans cet acide carbonique il entre 27 parties sur 100 de carbone, ce qui suppose environ 44 à 1500 bil- lions de kilogrammes de éarbone dans la totalité de l'air atmosphérique. Or, ce poids est bien supérieur au poids total de tous les végétaux qui existent, vivants sur notre globe, on fossiles dans ses entrailles. C. TRANSPIRATION DES FEUILLES. 87. Les feuilles ne respirent pas seulement, elles transpi- rent. La transpiration est cette fonction par laquelle la sève, 38 BOTANIQUE parvenue dans les feuilles, laisse échapper la quantité sura- bondante d’eau qu’elle contenait. C’est en général à l’état de vapeur que cette eau se répand «ans l’atmosphere ; mais si elle est trop abondante, si la tem- pérature est peu élevée, surtout si elle passe rapidement d’un degré plus chaud à un degré plus froid , alors on voit le li- uide transpirer sous forme de gouttelettes limpides qui res- tent suspendues sur le contour et à l’extrémité des feuilles. 88. Il est facile de se convaincre que ces gouttelettes sont dues à la transpiration et non point à la rosée, comme on Fa cru longtemps et comme on le croit encore communément. Au printemps ou à l'automne , quand la sève circule abondam- ment, on n'a qu’à mettre dans un vase une plante vigoureuse, un pavot, par exemple. On interceptera toute communication avec l'air extérieur en recouvrant le pavot d’une cloche de verre, et avec la terre en recouvrant le vase d’une plaque de plomb : le lendemain on trouvera suspendues aux feuilles du pavot des gouttelettes qui n'auront pu évidemment provenir de la rosée. 89. Pour qu'une plante se porte bien, il faut qu’il y ait équilibre entre l'absorption et la transpiration; quand une ‘le ces fonctions s’exerce avec une force supérieure à celle de l’autre, le végétal languit et finit par périr. C’est ainsi qu'une plante qu'on laisse trop longtemps, sans larroser, exposée aux ardeurs du soleil, se fane et perd sa vigueur, parce qu'elle transpire beaucoup plus qu’elle n’absorbe. 90. Le rôle de la transpiration des végétaux est presque aussi grand dans la nature que celui de leur respiration, et nous est un nouveau titre à bénir la sagesse du Créateur. Si la salubrité des montagnes et des forêts résulte en partie de l'air vital que les feuilles respirent , nous devons aussi en partie à leur transpiration nos bienfaisantes rosées et nos pluies salu- taires. Leurs fluides aqueux, attirant ceux de l'air, conden- sent les nuages; et, tandis que les déserts sablonneux ne man- quent d’eau que parce qu'ils sont privés de plantes, les ma- Jestueuses forêts qui couvrent nos montagnes sont pour nous ÉLÉMENT AIRE. 39 comme de féconds réservoirs. Combien donc il serait sage pour conserver la fertilité de notre patrie, de s'opposer à l'ef- froyable dévastalion qui aura bientôt fait disparaitre toutes nos grandes forêts ! D. SOMMEIL LT MOUVEMENT DES FEUILLES. 91. On remarque dans certaines feuilles, surtout dans celles qui sont composées et offrent des folioles articulées, comme les légumineuses, un singulier phénomène. Examinez un acu- cia pendant la nuit, vous verrez ses folioles étalées horizonta- lement, ou même baïissées vers la terre ; à mesure que le jour grandira , elles se redresserent , et à midi elles deviendront presque verticales. Considérez Poxalis cernux, charmante exo- tique dont les fleurs dorées peuvent, pendant l'hiver, orner nos appartements : durant la nuit, ses trois folioles en cœur renversé sont appliquées contre le pétiole et ressemblent à un parapluie fermé; à mesure que le soleil s'élève sur l'hori- zon, elles montent avec lui, et sont bientôt parfaitement éta- lées. Ce phénomène a été nommé par Linné sommeil des plantes; il est dû à l'influence de la lumière. En effet, en portant dans une cave des végétaux à feuilles composées , on est parvenu à les faire dormir le jour en les privant de lu- mière, et à les faire veiller la nuit en les éclairant fortement. 92. Les feuilles de certains végétaux exécutent encore d'autres mouvements d'irritabilité qu'on ne peut attribuer uniquement à Faction de la lumière. Tout le monde a en- tendu parler de la sensitive (mimosa pudica), qui embellit Les forèts d'Amérique et végète dans nos serres chaudes. S'il fait du soleil, ses feuilles et ses folioles sont étalées ; touchez une de celles-ci, aussitôt, comme effrayée, elle se redresse contre celle qui lui est opposée; successivement toutes les autres de la même feuille limitent, et, à la fin, celle-ci retombe comme alfaissée vers la terre. L’hedysarum qgyrans, espèce de sain- foin, originaire du Bengale, et le d'onæa muscipula (attrape- mouches), plante de FAmérique septentrionale, opèrent des _ ) 40 BOTANIQUE mouvements encore plus smguliers. Le nepeñthes distétlatorte (V. D.) (4) a pour feuilles de petites urnés dont le convercle, fermé Genélarté la nuit, s'ouvre chaque matin pour inontrèr l'eau qu'elles Ebubisinett et inviter le voyageur à s'en 2 à chir sous le soleil brûlant des Moluques. Quant à la question de la cause du mouvement des feuillé, eile n’est point encore complètement résolue, et de nouvelles observations sont nécessaires pour arriver à une solution sa- tisfaisante. QUESTIONNAIRE. Qu'est-ce que la respiration des feuilles ? — Comment s’opére-t-elle ? — Quelle est la condition nécessaire à la respiration des plantes? — L'acide carbonique de L'air peut-il suffire à fournir le Carbone de tous les végétaux ? — Qu'entend-on par la transpration des feuilles ? — Est-elle différente de la rosée du matin ?— Joue-t-elle un grand rôle dans la nature ? — Qu'est-ce que le sommeil des feuilles, et dans quelles plantes l’observe-t-0n ? — A quoi est-il dù ? — Les feuilles n’ont- elles pas aussi d’autres mouvements d'irritabilité? —'En connaît-on la cause ? ! 77 BOURGEONS. 93. Vers la fin de l’été, à l’époque de la seconde sève, où remarque dans nos arbres, à l’aisselle des feuilles et à Péktré- mité dés rameaux, un œil où bourgeon qui grossit peu à peu (ig. 24); c’est la promesse des feuilles et des fruits de Pan- née suivante ; c’est le berceau du nouveau germe : il len- ferme, l'enveloppe et le défend du froid. Prenez le plaisir, au mois de mars, de faire l'anatomie d’un bourgeon de marron- nier (fig. 25). A l'extérieur, de petites écailles, dureies et imprégnées d’un enduit visqueux , le rendent imperméable ; (1 V, D. ( Voyez le dictionnaire. } —-Ce signe indique que la plante x est traitée dans un article spécial. ÉLÉMENT AIRE. 41 à l'intérieur, un duvet épais et moelleux Jui fait une seconde enveloppe. Sous ce dernier abri sont les feuilles et les fleurs parfaitement formées, mais si bien appliquées, pliées, plis- sées, roulées les unes dans les autres, qu'il est impossible de ne pas admirer la main qui a su renfermer tant de richesses dans unsi petit espace. Aussitôt que la chaleur du printemps rend à Ja sève son activité, les écailles s’entr’ouvrent , les liens tombent, et les jeunes feuilles s'éparpillent avec la frai- cheur et la grâce de l'enfance. 94. C'est le moment le plus favorable pour observer la pré- foliation. On nomme ainsi la disposition des jeunes feuilles dans le bourgeon de manière à occuper le moins de place possible. Les botanistes qui l'ont étudiée l'ont trouvée sou- mise. à des lois constantes pour les mêmes espèces, les mênies genres, et quelquefois les mêmes familles. 95: Les modes de préfoliation les plus ordinaires sont les suivants : 1° Les jeunes feuilles sont appliquées face à face, comme dans la mélisse ; 2° Pliées, tantôt en longueur , moitié sur moitié, dans le sens de la côte médiane, comme dans le syringa ; tantôt de haut en bas et plusieurs fois sur elles-mêmes, comme dans Paconit ; 3° Plissées suivant leur longueur, de manière à imiter les plis d’un éventail, comme celles de la vigne, des groseilliers ; 4 Roulées sur elles-mêmes : tantôt c’est sur leurs bords, cormme dans les renouées; tantôt c’est autour des côtes mé- dianes servant d’axe commun , comme dans labricotier : tantôt c’est la côte médiane elle-même qui l'est comme une crosse d'évèque : telles sont les fougéres, 96. Les bourgeons ne sont pas seulement foliiféres, c'est- à-dire ne renfermant que des feuilles ; il en est qui sont fouriféres, ne contenant que des fleurs sans feuilles, et d’au- tres qui sont mixtes, renfermant à la fois des feuilles et des fleurs. Ainsi, les bourgeons qui terminent la tige du boës-gentil sont foliiféres ; tes poiriers et les pommriers ont des bourgeons 72 BOTANIQUE floriferes ; et ils sont mixtes Gans le lilas. Les jardiniers se trompent rarement sur la nature d'un bourgeon : ils le re- connaissent, en général, d’après sa forme. Le bourgeon florifére où bourgeon à fruit est assez gros, ovoide et arrondi ; le foliifére est, au contraire, affilé, allongé et pointu. C’est sur cette connaissance qu'est fondée la greffe des bourgeons à fruit, pratiquée avec succès depuis quelques années, et due au génie inventif et pratique d'un savant arboriculteur de nos conirées (1). 97. Les plantes herbacées n'ont pas de bourgeons propre- ment dits; mais dans les plantes vivaces, c’est-à-dire celles dont la racine subsiste indéfiniment et dont la tige se flétrit chaque année, il se forme au collef un bourgeon souterrain qui doit réparer cette même tige l’année Suivante ; il se nomme furion (2) : lasperge que nous mangeons n’est autre chose que son turion qui s’allonge, Du reste, le turion ne dière du bourgcon aérien que par sa position toujours "son- terraine. Ÿ++ BRANCHES ET RAMEAUX. 98. Les branches comme les rameaux commencent toutes par un bourgeon ; mais les branches sont les divisions de la ge, et les rameaux et ramusrules celles des branches et des rameaux (fig. 23). Ceux-ci comme celles-là offrent une or- ganisation toute Semblable à celle de la tige principale sur laquelle elles sont pour ainsi dire plantées. 99. Les bourgeons ne se développent pas tous ; ceperdant les branches et les rameaux conservent la régularité qu'on obser- vait dans les feuilles qui marquaient leur point de départ, Ils seront donc alfernes dans le chéne , opposés dans le marron- nier, verticillés dans le pin et le sapin. Us affectent, du reste, une grande variété dans leur direction. Ils sont dressés dans 1) M. Luizet, horticulteur à Écully. — (2) De turio. tendron. ÉLÉMENTAIRE. 13 le peuplier d'Italie , étalés dans le griottier, divergents dans l’érable , perdants dans le saule-pleureur. Mais l'angle que dans le principe le rameau formait avec la tige se trouve de plus en plus ouvert par le poids des feuilles, des fruits et des ans, comme aussi par leur besoin d’air et de lumière. + EYRILEES, 100. Les wrilles (Kg. 28) sont le plus ordinairement des es- pèces de petits rameaux sans feuilles, beaucoup plus souples que Jes autres, qui, se roulant comme un tire-bouchon, s'ac- “JIQAQUUA * ‘ * a1010904fH 8 Ex = ÉIVAENNEE auvuniSodiH L “à ‘ouydeq : : ‘ : * AUVWDASWUId 9 a ‘2U20[0ISUY ‘ * AUUVWDISUIT G "SI “ASSIOIEN : ‘ * "SIT ‘9S40dSy * : “UNIV AUAUOIX * : avuhbodhiyouor & "SASSNONN ‘SUAUOUT ‘SANBIY * : | ‘a1u0p21/109F I TT, ©, © : “auhbidaouom ÿ * aruhibrupdouor € "SA'TANAXA "SasSv19 . ‘SouÂ$19d " sauA8odif * sauf8id' x salauiue e sauÂ$id4 * “sau481194 * sauf$odÂH * * ‘sauf$l194 DRE : sautadz | * souf8id' * “sau4$l19d - sauf8od * © °° : sonbloip Sin] “sareladélod | *SAHN0G ‘sonblouowu no -414L0914 “saxeadouopm \ Saldies 1 | -wue19 & sanola sau1t1e19 e Sa[e1adv SAULUIE9 V + + + - SIINOGHTALOIONON Sn ses ville Mlallal é. « * SIANOQATALOIY *“AAISSAf A4 ATIAUNLYN AGOHLIN VIT 4Q ANÜILdONAS NVATAVL 426 BOTANIQUE 274. Auguste-Pyrame DE CANDOLLE, professeur de bota- nique à Genève au commencement de ce siècle, a modifié la méthode de Jussieu tout en en conservant les principes fon- damentaux. Son immortel ouvrage de la Flore française, chef-d'œuvre d’élégance et de simplicité, par lequel ül préluda au Prodrome ou Flore universelle, fut reçu avec en- thousiasme et est encore ce qui a paru de mieux en Bota- nique. 275. Le tableau suivant donnera une idée suffisante de la marche que de Candolle à adoptée. 127 ‘SiSsnoN °S9198n00,4 ‘souof ELITLA ‘[nu98-SI0Œ ÉLÉMENTAIRE. ‘A1QAOUI "SATANAXA \'‘SATATIAD V SALNVTd | no SANIX SAT Ut S0400NP2D * * * (NISSN 0P SA2U0pYIÉJ00 1e (RAISeC NP SOOUODATMoNN) | SNY XAVASSIVA T0 TONASAY “saumbopdhn "+ SNOUNSIPUE SANOA| ("nISSN£ 0p SOU0pA \ tt" asnagieog addof -AIOIOUON ) ‘sauañopuo te : 82200 UM)N -oau9 oun Jed Saoeqdmos sayepod jo sayed9s | no ‘oouoxaquoour S2P1010924d SOON SOfPd9S & SANT / EI € ANNA ND IUESSIO1D À CN VTNISVA STLN VIA NO XAVASSIVA “saophumyrouom “(a/o109 no aa1jeo) anbrun aje1oy addopoau (naissn£ ap sagu Sa ENVUSRO SAJFL S0407/1710409 ‘©: * * : * sapnos surouu no sud sape19q | -opayfooiq) ‘sawaboxe °: S240/900D * * * * * 9010 Of ANS S919SUE So1qu] Sate19q | no ‘anus ne aouot © SOAONUMIPUYT * * *ajoey dont Of ANS SYAPSUT SOA SajeI9Q / -Juoour e op uesstou) / ———— ‘ATIOQNVO AG A4 ACOHLAN VA AA ANÔILAIVNV AVATAYL. 128 BOTANIQUE 276. Quelque méthodique que fût cette marche, il fallait, pour pénétrer dans cet immense dédale, un chemin plus fa- cile à suivre, qui, par des indications successives, pût ouvrir le sanctuaire de Flore à ses amis avides d’y pénétrer. C’est ce que fit DE LAMARCK par la publication de ses clefs analyti- ques ou tableaux synoptiques. La marche dichotomique qu'il y emploie consiste dans le choix de deux caractères opposés, faciles à reconnaître, et se donnant exclusion l’un à l’autre, de sorte que l'individu dont on cherche le nom doit forcé- ment se ranger sous l’étendard de l’un des deux. Le pour- suivant ainsi par des caractères de plus en plus précis, on parvient à l’isoler de tous les autres, et on arrive à une des- cription qui ne convient qu’à lui ; cette marche, longue en apparence, est, en réalité, la plus commode et la plus courte, parce qu'avec une clef bien faite, elle est infaillible. 277. Dans notre Botanique descriptive, nous suivrons la méthode de Jussieu modifiée par de Candolle, et nous nous servirons d’une clef analytique analogue à celle inventée par de Lamarck, pour arriver au nom des familles, des genres et des espèces. C’est ainsi que sans peine nos jeunes et ardents lecteurs arriveront d’une manière plus ou moins prompte, mais toujours sûre, au véritable nom de chaque plante, tantôt en admirant les brillantes couleurs de sa corolle, tantôt en respirant le délicieux arôme de son parfum, toujours en con- sidérant attentivement les grâces de son port, de sa taille et de son attitude. Toute notre ambition est de rendre la Bota- nique aimable et facile, et de justifier ainsi l'épigraphe que nous avons choisie pour dédier notre ouvrage à celle que l’Église salue du nom de ROSE SANS ÉPINES : TOTA SPINIS CARENS, ROSA, VENI !… QUESTIONNAIRE. Quel a été l’état de la Botanique 1° chez les anciens; 2° dans le moyen âge jusqu'à la Renaissance; 3° depuis la Renaissance jusqu'à Tourne- ÉLÉMENTAIRE. 129 fort? -- Exposer le système de Tournefort.— Celui de Linne. — Les ap- précier.— En quoi consiste la méthode de Jussieu ? -— Que faut-il en- tendre par espèces, variétés, genres, familles ? — Quel est l’objet des travaux de l'école moderne? — Quelle valeur faut-il donner aux ca- ractères distinctifs des espèces, des genres, des familles? — Comment la méthode de Jussieu a-t-elle été modifiée par de Candolle? — 4 quor ont servi les clefs analytiques inventées par Lamarck ?—Quelle méthode suivrons-nous dans notre Flore ? FIN DE LA BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE. ane tuer Mas “EX Ù dt AMIE {avt à - o ART gd. (tee fl K Mu ex C ] De te h hi 3 = ev- * Role Ma à BOTANIQUE DESCRIPTIVE. PREMIÈRE PARTIE CLÉF ANALYTIQUE. LD : AO . dés: : 4 anus sat sg ve 13 LS t4 Fr DR à. AVERTISSEMENT. La clef analytique, dont nous avons donné une première idée aux n% 276 et277 de ce volume, est un moyen méthodique et facile d’arriver au nom de chaque plante. Elle se compose d’une suite d’acco- lades renfermant chacune deux propositions contra- dictoires, entre lesquelles on a à choisir, en les comparant avec la plante dont on cherche le nom. En prenant toujours celle qui lui convient, on est conduit, de numéro en numéro, d’abord à la famille dans laquelle la plante est comprise, ensuite au genre auquel elle appartient, et enfin à l’espèce même, c’est-à-dire, au nom sous lequel elle est dé- signée. Le numéro placé entre parenthèses, à côté du nom de chaque espèce, renvoie au numéro cor- respondant du second volume, où la plante est dé- crite avec tous ses caractères réunis. Pour déterminer une plante à l’aide de notre clef analytique, il faut quatre choses : 1° avoir une 134 AVERTISSEMENT. connaissance suffisante des notions de Botanique élémentaire développées dans la première partie de cet ouvrage; 2° avoir sous les yeux une plante croissant spontanément dans le rayon qu’embrasse notre Flore (1): les espèces qui lui sont étrangères ne sont pas décrites dans notre ouvrage, et l’étude de celles qui ne s’y rencontrent qu’à l’état de cul- ture est renvoyée au commencement du troisième volume ; 5° cueillir cette plante dans son intégrité et son développement parfait, c’est-à-dire, avec sa tige, ses feuilles, ses fleurs, et même, s’il est pos- sible, sa racine et ses fruits; 4° la tenir d’une main et parcourir de l’autre la série de nos ta- bleaux. Quelques exemples feront mieux comprendre la marche qu’il faut suivre. Supposons que nous ayons à déterminer la plante figurée dans la première planche de notre atlas. Voici la série des accolades par lesquelles nous au- rons à passer : Plantes à étamines ou ovaires apparents. . . 2 4 j Plantes fructifiant sans étamines ni ovaires APDATEMES 6, 2 Re Notre plante ayant évidemment des étamines et des ovaires, nous passons au n° 2 : Fleurs dépourvues de calice et de corolle. . . 3 2 { Fleurs ayant calice et corolle, ou au moins lune de ces deux enveloppes. . . . . . . . 6 (1) Voyez la préface, page vi AVERTISSEMENT. 135 Elie a un calice et une corolle trés-visibles, nous allons au n° 6, sans nous inquiéter nullement des n°*5, 4 et 5 que nous laissons en arrière : 6 Fleurs disjointes, etc. SMS 7 Mes conjuintes, @l6 LS he 0 4. .0 192 Chaque fleur a son calice particulier, nous pre- nons Îc n° Fleurs ayant un calice etune corolle. … ». . 8 Fleurs n'ayant qu'une de ces deux enveloppes. _ 141 Comme nous le voyons, le premier embranche- ment est la route qu’il faut suivre, elle nous con- duit au n° 8: 8 Plienolunélale, 5, 2, & {y cer 9 PiEnonnneiales.. 2 a f.cd. 21580 Les pétales sont PARoInen libres et distincts, allons au n° 9: ASH AOU:: 1. - Re QE RTE Aa PAU Etamines en nombre indéfini, c’est-à-dire, de 9 Etamines en nombre défini, <. à-d., de AE" 4 20 La fleur ouverte de notre figure nous montre u nombre considérable d’étamines, passons à 10 : A 10 Feuilles alternes, éparses ou toutes radicales. . 411 ÉETRES OR DSRES 7 2. ,, eue 0 90 Les feuilles étant alternes, nous sommes conduits à 12 : y Feuilles accompagnées de stipules, ete. . . 12 n } Feuilles toujours sans stipules. . . . . . 14 C’est la seconde proposition qui convient à notre espèce, elle nous mène à 14 : 136 AVERTISSEMENT. 14 | Plusieurs ovaires dans chaque fleur. . . . 15 | Un seul ovaire dans chaque fleur. . . . . 46 La figure 5 de la planche nous fait voir qu’il faut aller au n° 15: 5 ! 3 pétales. . . . . . 89°F. ALismAcÉes. | Plus de 3 pétales . . 4° F, RENONCULACÉES. Les fleurs de notre plante ayant 5 pétales, nous voyons évidemment qu’elle appartient à la famille des Renonculacées. Nous transportant à cette famille, à la seconde partie de notre clef analytique, nous arriverons, en suivant une marche analogue et en passant par les n° 1,2, 5, 4, 5, 6, 7 et 8, au genre Ranunculus, auquel nous trouverons que notre plante appartient. Enfin le genre Ranunculus, à la clef des espèces, nous conduira de même, par les n° 1, 15, 17, 18, 21, 27, 28 et 29, à constater que nous avons sous les yeux le Ranunculus philonotis, dont il ne nous restera plus qu’à vérifier l'identité en lisant sa des- eription dans le second volume, où il est inscrit sous le n° 28. Si nous avions à classer la plante représentée à la planche 2, les n°% 1, 6, 152, 155 et 154 de la clef des familles nous conduiraient à la famille des Composées; les n° 1, 58, 61, 69, 70 et 75 de la cief des genres nous amèëneraient au genre Chry- santhemum ; et enfin, à la clef des espèces, nous verrions, en suivant les n° 4 ct 2, que le nom de Chrysanthemum leucanthemum est eelui qui con- AVERTISSEMENT. 137 vient à notre espèce. On fera bien de s'exercer de même avec lÆnthozanthum odoratum, figuré à la planche 5. Les termes techniques erployés dans la elef étant tous expliqués dans le vocabulaire placé à la . fin du volume, on aura soin de le consulter pour toutes les expressions dont on ne connaitra pas par- faitement la valeur. Hall mm #8 said , " LE | PS CU D AN +4 PRIVE fr ETES 6 108 R3AA0 f dé &4 ebULCLT PASS fe tr ex d î 1 € Fr 7, W = ; En " Ê - F F . (ie Et 4 Ÿ y ‘ = f 7 . Ê ce PET tu w' Cp: e Re + 4 Là + . 4 0] J > * » < , p” ARTS hu, - 1 4 = } : * RE PF Partie. — CLEF DES FAMILLES. 1 19 (at) | | | | CLEF ANALYTIQUE. Plantes à étamines ou ovaires apparents (1). Plantes fructifiant sans étamines ni ovaires Qu à rents. : - : Fleurs dépourvues de calice et de corolle. Fleurs ayant calice et corolle, ou au moins l’une de ces deux enveloppes. : Plantes herbacées. Sera. oué fts Mt ef LS Grand arbre. . , . . 4° F, JASMINÉES. Fleurs non entourées d’une uns en forme de capuchon. : Fleurs entourées d’une enveloppe en forme de. capuchon. . . . . . 82°F. AROÏDÉES. Feuilles opposées ; 1 seule étamine. 99° F. HALORAGÉES. Feuilles alternes ; ‘étamines nombreuses. AS PRES 4"°F. RENONCULACÉES. (1) On trouvera tous les termes techniques expliqués dans le vocabulaire placé à la fin du volume. 140 1 10 18 CLEF DES FAMILLES. Fleurs disjointes, c.-à-d., n'étant pas réunies dans un Envoie commun. ; Fleurs conjointes, c.-à-d., réunies plusieurs en- semble dans un involucre commun. À Fleurs ayant un calice et une corolle. L Fleurs n’ayant qu’une de ces deux enveloppes. Corolle polypétale. Corolle monopétale . POLYPÉTALES. Etamines en nombre indéfini, e.-à-d., de 13 14100 LT Etamines en nombre ‘défini, 6: à-d., de 4 à 49. Feuilles alternes, éparses ou ne radicales. Feuilles opposées. … +: SOC Feuilles accompagnées de stipules, au moins dans leur jeunesse. - DU Feuilles toujours dépourvues de stipules. Etamines à filets libres. ; Etamines à filets soudés en un faisceau central. 44° KF. Mary ACÉES. Etamines et pétales MAR sur le calice. . . 27° F. ROSACÉES. Etamines et pétales non implantés sur le calice. 14 UNE ES IN CORRE 16° F. TILrACÉES. Plusieurs ovaires dans chaque fleur. Un seul ovaire dans chaque fleur. SHpélaless 2: .. . 89° F. ALISMACÉES. Plus de 3 pétales. . 17 F. RENONCULACÉES. Feuilles entières. Feuilles plus ou moins découpées. Feuilles non en cœur; plantes terrestres. Feuilles en cœur ; plantes aquatiques. RUE . . SF. NYMPHEACÉES. Sépales égaux ; LS supérieurs laciniés . . . 9° F. RÉSÉDACÉES. Sépales à inégaux pétales tous entiers. : 7e F. CISTINÉES. 10 23 11 20 12 14 13 30 31 3 A, ST TS A, LR PL TS RTS OT M CRE 2 Pt CLEF DES FAMILLES. Pétales DGA, les supérieurs laciniés. . . 9° F. RÉSÉDACÉES. pétales tous égaux et SA à eF. PAPAY ÉRACÉES. Feuilles pie et entières. Feuilles composées. . 1" F. RENONCULACÉES. Feuilles non charnues. Feuilles charnues. nt égaux ; plusieurs Je Plantes ue Plantes ligneuses ou sous- _ligneuses. Plantes sans feuilles. Plantes à véritables feuilles. Tige et fleurs d’un blanc jauntre. . An EYROL ACÉES. Tige verte ; fleurs bleues. 90° F. JONCÉES. Feuilles non peltées. Feuilles peltées. Fleurs régulières. Fleurs irrégulières. Calice à2-3 sépales ou divisions. Calice à plus de 3 sépales ou divisions. Feuilles n'étant pas en même temps orbiculaires, en cœur et nageantes. Feuilles orbiculaires, en cœur. nageantes. 88° F. TIYDROCHARIDÉES. Tige feuillée . Feuilles toutes radicales. 89° F. ALISMACÉES. Fleurs blanches ou d'un LU rosé. Fleurs jaunes. . . . & F. PORTULACÉES. Fleurs axillaires; feuilies Ras ou très-courte- ment pétiolées. … 49° F. CARYOPHYLLÉES. Fleurs en grappes; feuilles pétiolées ; 2 pétales ; 9 étamines . . . 28° F. ONAGRARIÉES. Fleurssolitaires ou en ombelle ; feuilles pétiolées ; 3 pétales ; 6 étamines. 89° F. ALISMACÉES. Feuilles plus où moins charnues. Feuilles nullement charnues . 3er. PORTULACÉES. Sépales inégaux ; 1 seul stéle. 7° F. CISTINÉES. RE de HyPÉRICINÉES. 392 F. OMBELLIFÈRES. 141 22 44 ai ss 19 D De 39 36 Sn | | | CLEF DES FAMILLES. Ovaire unique. . SN je À ec 1) CESR Plusieurs ovaires . . 30° F. CRASSULACÉES. Feuilles inodores. ‘ Feuilles à odeur forte et pénétrante. * À . 4e « . 934 F. RUTACÉES. Calice à 4-5 divisions; 8-10 étamines. À … VASE SAXIFRAGÉES. Calice à 12 dents : G étamines. ; ; 31° F. Lyrsr ARIÉES. Feuilles alternes, éparses ou toutes radicales. Feuilles opposées ou verticillées. Fleurs à plus de 4 pétales. “HAE Fleurs à 4 pétales. 6° F. CRUCIFÈRES. Moims de pétales que d’étamines. Autant ou plus de pétales que d’étamines. Feuilles composées ou plus ou moins découpées. Feuilles entières ou simplement crénelées. s 52° F. PYROLACÉES. Feuilles trifoliolées, à saveur acidulée. . 3 AL 1 S9DARE OXALIDÉES. Feuilles non trifoliolées, à à saveur non acidulée. 19° F. GÉRANIÉES. Feuilles non trifoliolées. she CNE Feuilles trifoliolées . . . 27° F. ROSACÉES. Feuilles et fleurs dépourvues de cils glanduleux. Feuilles ou fleurs pourvues de cils slanduleux. DT 11° F. DROSÉRACÉES. Feuilles toutes radicales. ; Feuilles plus ou moins nombreuses sur la tige. Fleurs réunies en tête serrée au sommet de chaque tige . 66° F. PLOMBAGINÉES. Fleur solitaire au sommet de chaque tige. TR 4" F. RENO NCULACÉES. Fleurs réunissant les étamimes et le fruit dans chaque corolle. . Fleurs monoïques ou dioiques. , ER. ci Tai de CUCURBITACÉES. 36 38 00 39 40 42 4 45 46 CS —{ 49 ES te TS Te, CLEF DES FAMILLES. Fleurs disposées autrement qu’en ombelle. Fleurs ner en ombelle. : ; 2 al . . 39° F. OMBELLIFÈRES. Feuilles sans stipules; pétales apparents. Feuilles à ni pétales peu apparents. à . 34 F. PARONYCHIÉES. 31° F. LYTHRARIÉES. + A3°F. LINÉES. Fleurs rouges . Fleurs jamais rouges. Feuilles opposées. Feuilles verticillées, au moins sur la tige e prin- cipale. es : À Feuilles entières ou seulement dentées. Feuilles lobées, incisées ou pennées. Absence de stipules, ou, s’il y en a, pétalés très- apparents. J Stipules scarieuses ; pétales peu apparents ; 10 Arles 34° F. PARONYCHIÉES. Plusieurs 5 : 1 seul style. Etamines légèrement soudées ensemble à la base. . HUMOUR RAITINEES. Etamines entièrement libres . 1 - 4 JO0H: CARYOPHYLLÉES. Ovaire sous la corolle. 28° F. ONAGRARIÉES. Ovaire dans la corolle. 31° F. LYTHRARIÉES. Fleurs ie jaunes ; fruit terminé par un long Dec”: . . A9 F. GÉRANIÉES. Fleurs ] jaunes ; fruit épineux ou tuberculeux, non terminé par un long bec. . à : . . 92F. ZYGOPHYLLÉES. Feuilles entières . Feuilles profondément divisées en segments s ca mirent 40e 206.F. HALORAGÉES. Calice très-marqué Calice presque nul . 439 F. RUBTACÉES. 3-5 styles oustigmates . . .… .. . . . 1 seul style. . . . 312 F. LyTarantéEs. Fi DS 60 65 66 67 68 69 A, es, — ( \ { CLEF DES FAMILLES. Feuilles dépourvues de stipules Feuilles munies de stipules. ; AA 34 F. PARONYCHIÉES. Ovaire dans la corolle. 42° F. CARYOPHYLLÉES. Ovaire sous la corolle. . 28° F. ONAGRARIÉES. Fleurs à éperon Fleurs sans éperon. 4 pétales 0 D pétales. + ... .'. ONMOEe. Feuilles très-profondément découpées den &. 2 5° F. FUMARIACÉES. Feuilles entières ou seulement dentées JR 91° F. BALSAMINÉES. pétales uniformes, irréguliers seulement en grandeur. . SH RSS Péfales de formes différentes 5 pétales A 4 pétales en croix. 6° F. CRUCIFÈRES. 40 étamines ; 5 carpelles ; 4 style à 5 stigmates. 19° F. GÉRANIÉES. 3 étamines; 2 ‘carpelles soudés en un seul; DustP le AT 3:23: SUR: OMBELLIFÈRES. Corolle non papilionacée ; pétales frangés Corolle POS pétales non frangés d . . 26° F. LÉGUMINEUSES. Calice régulier, à divisions toutes vertes. : 9F. RÉSÉDACÉES. Calice irrégulier, à sépales inégaux, les 2 plus grands colorés . 40° Ÿ. POLYGALÉES. Feuilles alternes, éparses ou ne Feuilles opposées . ; Fleurs régulières, non ion 3 Fleurs irégulières, papilionacées. £ 26° EF. LÉGUMINEUSES. Feuilles alternes ou éparses, à limbe plus ou moins élargi. . Ne HU: Feuikes imbriquées, linéaires , Feuilles à nervures pennées. Feuilles à nervures palmées. 6f 63 65 64 69 1 1 78 80 81 83 84 en, , , tt, St S CLEF DES FAMILLES. Tige ou feuilles épineuses Tige et feuilles sans épines . Feuilles caduques ; fleurs jaunes Feuilles persistantes; fleurs blanches ou légère- ment rosées. . . 53° F. AQUIFOLIACÉES. Feuilles bordées de cils épineux; fruit charnu. . 2°F. BERBÉRIDÉES. Feuilles non bordées de cils épineux; fruit sec. en forme de chapeau . 24° F. RHAMNÉES. Feuilles sans odeur aromatique ; Feuilles à odeur forte et pénétrante . x. tte 1298 F2 RUTACÉES: Arbrisseaux à rameaux dressés; 4-6 étamines. . 24° F. RHAMNÉES. Sous-arbrisseau rampant , à tiges filiformes ; 8-10 étamines . . . 50° F, VACCINIÉES. Feuilles décidentes; tige non munie de petits CTampons . . Feuilles persistantes ; tige munie de petits crampons . . . . 41°K. HÉDÉRACÉFS. Rameaux sans vrilles; calice couronnant le Étui = .. . . 37° F. GROSSULARIÉES. Rameaux munis de vrilles ; calice sous le fruit. AIT MIS CR PAT ETTDÉES. Fleurs axillaires, ei apparentes $ 75° F. Eupérrérs. Fleurs terminales, très-apparentes, en grappes ou épis .: .. . . 32° F. TAMARISCINÉES. Arbres ou arbrisseaux non parasites; feuilles à nervures. . Sous-arbrisseaux parasites : feuilles sans ner- VUTES. 2.420 .,1. 498 F.. LORANTHACÉES. Feuilles non lobées, à nervures pennées. Feuilles lobées, à nervures palmées Vas . AT F. ACÉRINÉES. Fleurs en grappes ; fruit sec, à 4-5 angles . . 2 F. RHAMNÉES. Fleurs en ombelle ou corymbe ; fruit charnu, AITONU. 7... .. A90-F. HÉDÉRACÉES. I Cr 1 L'ep) S0 83 84 8) 90 1 92 93 94 95 ES ne 2) ns TS LP , ho ti, CLEF DES FAMILLES. MONOPÉTALES. Plantes herbacées. Plantes ligneuses ou sous- —igneuses Fleurs régulières . Fleurs irrégulières Feuilles à limbe peu ou point charnu et non pelté . Feuilles à limbe très-charnu et pelté nn 36° F. CRASSULACÉES. Plantes munies de feuilles . . . Plantes sans feuilles. 58° F. CONVOLY ULACÉES. Feuilles alternes, éparses ou toutes radicales. . Feuilles opposées ou verticillées, au moins les inférieures etre CNE Etamines en nombre défini . Dit NES Etamines en nombreindéfini. 14°F. MALVACÉES. Plus ou moins d’étamines que de divisions à la corolle Autant d’étamines que de divisions à la corolle. 2 ou 4 étamines ; hampes uniflores ; très-petites Heu 2: 63° F. PERSONNÉES. 8-10 étamines ; hampes portant plusieurs fieurs très-apparentes. D2° F. PYROLACÉES. 1 seul ovaire s :1 RARE 2 ou 4 ovaires. 60° F. BORRAGINÉES. Etamines et ovaire réunis dans chaque fleur Fleurs monoïques ou dioïques A3 AA D CUCURBITACÉES. Corolle divisée en lobes ou segments plus ou moins profonds. Corolle sans lobes ni segments, à 5 angles et D'pliB: . cl 00 "F. CONYOLYULACÉES. Feuilles n'étant ni trifoliolées, ni flottantes sur lea Feuilles trifoliolées ou orbiculaires et ‘flottantes. 7e 57° F. GENTIANÉES. 55 124 87 110 88 89 g0 100 91 92 93 96 n. | 97 98 99 100 101 103 104 105 106 107 108 CLEF DES FAMILLES. Etamines correspondant à l’entre-deux des seg- ments de la corolle . . . . Etamines correspondant au milieu des seg- ments . . . . . 99° F. PRIMULACÉES. Fruit dans la fleur ; stigmate unique. Fruit sous la fleur ; 3- E. stigmates. 3 er 4, 49° F. CAMPANULACÉES. Corolle scarieuse ; 4 étamines; fleurs en épis ou capitules serrés . 67° F. PLANTAGINÉES. Corolle colorée ; 5 étamines; fleurs autrement qu'en épis ou capitulesserrés. 59° F. SOLANÉES. Feuilles verticillées Feuilles opposées, au moins les inférieures. Etamines correspondant à l’entre-deux des seg- ments de la corolle ; fruit sous la fleur. > 43° F. RUBIACÉES. Etamines correspondant au milieu des segments ; fruit dans la fleur. oo F. PRIMULACÉES. 4-3 étamines 4-15 étamines. Corolle en entonnoir, à 5 lobes; fruit sous la fleur . : … .. : 44 F. VALÉRTANÉES. Corolle en roue, à 4 segments; fruit dans la DENT L UE... 0: 697 F$, PERSONNÉES. 4ovaires . 4-2 ovaires. Fleurs alternes : 4 ovaires soudés . ARS CGR: VERBÉNACÉES. Fleurs opposées ou verticillées; 4 ovaires libres. Dr: À 622 F. LABILÉES. Etamines correspondant à l’entre-deux des seg- ments de la corolle Etamines correspondant au milieu des < seg- MIO Sue. : 00 FJPHINC LACÉES. Ovaire dans la corolle ; feuilles simples Ovaire sous la corolle ; feuilles composées . : à 40° F, CAPRIFOLIACÉES. Corolle colorée. Corolle scarieuse . 67° F. PLANTAGINÉES. 99 101 102 103 104 105 106 107 108 109 109 110 111 113 118 119 120 CLEF DES FAMILLES. Ovaire à 2 divisions; fruit s’ouvrant d’un seul CIE. «: 4X 14 M00%F:TAPOCANÉES: Ovaire simple fruit s’ouvrant en 2 valves. DE Ve 97° F. GENTIANÉES. Plantes munies de véritables feuilles. S Plantes à feuilles remplacées par des écailles. SA: 65° F. OROBANCHÉES. Corolle non papilionacée ; moins de 40 étamines. Corolle De RUPTAtee 10 étamines. ê . . . 96° F. LÉGUMINEUSES. Corolle munie d’un éperon à la base . Corolle sans éperon ! Feuilles toutes radicales ou sinon divisées en segments capillaires ; 2 étamines ; 64° F. LENTIBULARIÉES. Feuilles plus ou moins nombreuses sur : tige et nou divisées en segments capillaires ; 4 éta- mines. . . . . . 63°. PERSONNÉES. 4-5 étamines libres . . . URRE 8 étamines soudées en deux faisceaux 10° F. POLYGAL ÉES. 4 étamines . 4, 2, 3 ou 5 étamines. 4 ovaires PR 4 seul ovaire . . . . 63° F. PERSONNÉES. Corolle très-irrégulière ou sinon fleurs aroma- tiques. . ist4e à C2 FSLARIENS Corolle ep irrégulière ; fleurs toujours inodores. af ed: . 61° F. VERBÉNACÉES. Feuilles alternes ou toutes radicales . Feuilles opposées, au moins les inférieures . À seul ovaire hs Tee M OAI RTS Aovaires . . . . . 60° F. BORRAGINÉES. Corolle en roue, à 4 lobes; 2 étamines : . 63° F. PERSONNÉES. Corolle en entonnoir, A 8 lobes ; 5 étamines. SAAAFE TERRES 59e F. SOLANÉES. Corolle autrement qu'à 2 lèvres Corolle à 2 lèvresbien marquées. 62 F. L ABIÉES. 111 112 113 114 115 116 118 117 119 491 120 122 132 133 134 4135 ts CLEF DES FAMILLES. A EUT, : . er Fruit sous la fleur. . 44° F. VALÉRIANÉES. ! 2-3 sépales; corolle en entonnoir; 3 ou 5 éta- HMANES 4: . | -Hl. 95° F4 PORTULACÉES. Calice à 4 divisions; corolle en roue; 2 éta- nes. .r . 727 4"63° F: PERSONNÉES. TS ET, Feuilles alternes, éparses ou imbriquées. Feuilles opposées ou verticillées 4-5 étamines . 8-10 étamines. Feuilles épineuses . 53°F. AQUIFOLIACÉES. Feuilles. non épineuses. . 59° F. SOLANÉES. Calice couronnant le fruit. 50° F, VACCINTIÉES. Calice placé sous le fruit . 51° F. ERICINÉES. Fruit dans la fleur Fruit sous la fleur. . 40° F. CAFRIFOLIACÉES. 4-5 étamines ee DE MER 9 étamines. . . . . 54° F. JASMINÉES. Corolle régulière . AS MAR EE" 2L dat Corolle irrégulière. 62° F. LABIÉES. Corolle scarieuse ; 4 étamines ; feuilles linéaires, caduques. . ... (67*K. PLANTAGINÉES. Corolle colorée; 5 étamines; feuilles persis- tantes, à limbe élargi. 56° F. APOCYNÉES. FLEURS CONJOINTES. Fleurs réunies dans un véritable involucre. Fleurs entourées d’une spathe en forme de ca- puchonew": 0... :. 89% HF AROIDÉES. Etamines soudées par les anthères. Etamines libres Ki Fleurettes ayant un calice ou un involucre par- ticulier dans l’involucre général Fleurettes n'ayant ni calice, ni involucre parti- culier. .’»114 . . 47% F..Composées. Feuilles épineuses. 47° F. COMPOSÉES.. Feuilles non épineuses. 49° F. CAMPANULACÉES.. 149 193 125 128 126 127 129 130 131 150 136 ns | CLEF DES FAMILLES. Feuilles alternes ou toutes radicales. Feuilles opposées . A F. DiPsACÉEs. Involucre à folioles libres Involucre des fruits à folioles soudées en forme de capsule épineuse. 48° F. AMBROSTACÉES. Mmvolucre et feuilles sans épines Involucre et feuilles épineuses. ; à 30° F. OMBELLIFÈRES. Feuilles toutesradicales; fleursen tête terminale. Feuilles alternes sur la tige; petites fleurs axil- laires, peu ou point colorées. 77° F. URTICÉES. Corolle monopétale . 46° F. GLOBULARIÉES. Corolle polypétale. . 66° F. PLOMBAGINÉES. INCOMPLÈTES. Fleurs à corolle, sans calice Fleurs à calice, sans corolle. INCOMPLÈTES PÉTALOÏDALES. Plantes dépourvues de suc laiteux. Plantes à suc laiteux. 76° F. EUPHORBIACÉES. Plantes herbacées. Plantes ligneuses ou sous-ligneuses. Feuilles nulles, alternes, éparses ou toutes ra- dicales 2 eee Feuilles opposées ou verticillées NT Feuilles ne partant pou d'une gaine membra- neuse. Feuilles partant d’une gaine membraneuse qui entoure la tige. 60° F. POLYGONÉES. Etamines en nombre indéfini . Etamines en nombre défini. Feuilles sagittées; fleurs monoïques . 89° F- ALISMAGÉES. Feuillesjamaissagittées ; étamines et ovaires réu- nis dans chaque fleur. 47 F. RENONCULACÉES. Fleurs en ombelle. : Fleurs autrement qu’en ombelle . 6 pétales; 6-9 étamines. ra ki MEN: 5 pétales; 5 étamines. 39° F. OMBELLIFÈRES. 137 138 139 140 166 147 148 149 151 150 156 161 162 163 LE EE ed GS à Cu n CLEF DES FAMILLES. Plusieurs ovaires. . . 89° F. ALISMACÉES. 4seulovaire . : . . : 84° FDILIACÉES, Fleurs régulières ou symétriques . Fleurs entièrement irrégulières Plantes terrestres. . Plantes aquatiques. . 4-12 étamines. TT A Me es RONDES... 20), "86 K' TRIDÉES. Ovaire placé sous la corolle. Ovaire placé dans la corolle. Fleurs n'étant jamais d’un pourpre noir . Fleurs d'un pourpre noir 4 0.4 .-. . . . .« 14 F. ARISTOLOCHIDÉES. Plantes non grimpantes; étamines et ovaire réunis dans chaque fleur; feuilles iamais ovales ni en cœur . etre. Plantes grimpantes; élamines et ovaire dans des fleurs différentes; feuilles ovales et en cœury»2.01. 111: . 81° F. ASPARAGÉES. Feuilles toutes radicales; fleurs parfaitement colorées . . . . 83°F. AMARYLLIDÉES. Feuilles alternes sur la tige; petites fleurs à peine colorées en dedans. 72° F. SANTALACÉES. PREMIER) ES O0 MSG STRNT, Feuilles pennées . . 27° F. ROSACÉES 4 seul style, quelquefois même nul . . 3 styles . . . . . 85°F, COLCHICACÉES. Fruit globuleux, charnu à la maturité. De Lou varie cel ta EAP -ASRATANEES. Fruit triangulaire, non charnu à la maturité. MARNE MR ver SANEL MALTAGÉES. Feuilles sortant plus ou moins hors de Peau Feuilles flottantes sur Peau. . . . . . . MAN Un "68" F'HYDROCHARIDÉES. Fleurs jaunes ou d’un jaune verdâtre. Fleurs blanches ou rosées. 89° F, ALISMACÉES. Feuilles arrondies, un peu charnues ; 8-10 éta- mines; petites fleurs. 38° F. SAXIFRAGÉES. Feuilles en glaive, nullement charnues ; 3 éta- mines ; grandes fleurs s’apercevant de très- DO PT . ‘1,7 SO AN MIRIDEES. 151 152 164 153 160 154 155 158 156 159 160 153 ti, 1 165 166 } 167 168 169 | | | 170 CLEF DES FAMILLES. Corolle polypétale; feuilles engainantes, non pétiolées. . . . 165 Corolle monopétale : feuilles pétiolées. non ‘en- gainantes. . . 74° F, ARISTOLOCHIDÉES. Feuilles en glaive, regardant la tige par leur tranchant "0°. : RGP IRIDÉRS: Feuilles nulles ou non en glaive, ne regardant né la tige Fe leur tranchant. 4 SUP 87° F. ORCHIDÉES Feuilles opposées... LONONNPNERESR Pr Feuilles verticillées . ,. ,. : CNE SR Fleurs plus ou moins nombreuses, n'étant ja- mais d’un pourpre noir. . . 168 Fleur d’un DOUFRIE noir, solitaire au sommet de chaque tige. . . 74 F. ARISTOLOCHIDÉES. Fleurs De 8-10 étamines. ; f 38° F. SAXIFRAGÉES. Fleurs jamais ke 1-4 étamines. sa me F. VALÉRIANÉES. Corolle à 4-5 Nat 4-5 étamines. ; res .. 43° F. RUBIACÉES. Corolle blanche, à 6 dents verdètres ; 6 éla- mines. . . . 81° F. ASPARAGÉES. Corone rougeâtre, à 6 pétales; 6 étamines. : ce 84° F. LrLrACÉES. Etamines en nombre défini. . . . . . . 171 Etamines en nombre indéfini. à ATP: RENONCULACÉES. Feuilles non piquantes, ne portant pas les fleurs. 172 Feuilles piquantes, portant les fleurs sur leur face supérieure. . . 81° F. ASPARAGÉES. Feuilles éparses et entières; fruit charnu. . . 174 Feuilles opposées, à lobes palmés; fruit sec et AE. 7. Lie NAT FOR NS Corolle, monopétale "2%". RSS Re Corolle polypétale. . . 75° F. EMPÉTRÉES. 8 étamines; ovaire dans la corolle. . . 3 TP or LIEN A THYMÉLÉES. A: - 4 étamines ; ; ovaire sous la corolle. Mass 72° F. SANTALACÉES. 183 184 186 187 188 189 CLEF DES FAMILLES. INCOMPLÈTES CALICINALES. Plantes herbacées. : Plantes ligneuses ou sous-ligneuses. Plantes dépourvues de suc laiteux. Plantes à suc laiteux. 76° F. EUPHORBIACÉES. Plantes terrestres. Plantes aquatiques. Feuilles alternes, éparses ou toutes edicale Feuilles opposées ou verticillées. Fleurs pourvues d’un véritable calice où pé- rianthe : AMPLI. Ecailles tenant lieu de calice. Fleurs régulières. Fleurs irrégulières. Ovaire unique. RENE PAPA LS LEE 72 3 Plusieurs ovaires . . 1'° F. RENONCULACÉES. Feuilles ne partant pas d’une gaine membra- neuse. . Feuilles partant d’une gaine membraneuse qui entoure la tige. 70° F. POLYGONÉES. Plus ou moins de 6 étamines. + AM G'élamines. .:°. * 1,90 F; JoNCÉESs. Feuilles simples, entières on seulement lobées. Feuilles véritablement composées, pennées ou palmées. ".": .”., ., 27°F. ROSACÉES. Feuilles n’étant pas divisées en lobes palmés. Feuilles à lobes palmés. 27° F. ROSACÉES. Calice unique; étamines peu ou point saillantes. Calice double ; étamines longuement saillantes. 67° F. PLANTAGINÉES. Calice non entouré de paillettes. : Calice environné de petites bractées en forme de paillettes. . . 68° F. AMARANTACÉES. 8-10 étamines. 4-5 étamines Feuilles arrondies, un peu charnues. À 38° F. SAXIFRAGÉES. Feuilles linéaires, non charnues. CAS TEAES THYMÉLÉES. 87° F. ORCHIDÉES. 153 185 187 188 189 190 196 197 198 199 200 201 | lc CLEF DES FAMILLES. Ovaire dans le calice ; feuilles à limbe plus ou moins élargi. É ; Ovaire sous le calice ; feuilles linéaires, 72€ F. SANTALACÉES. Calice ? à : divisions. 77° F. URTICÉES. Calice à 2, 3 ou 5 divisions. 69°F. CHÉNOPODÉES. Tige à nœuds; feuilles à gaine fendue. 93e F. GRAMINÉES. Ti ige sans nœuds; feuilles à gaine entière. É PRONe PAQUET RÉ rot 92€ F. CYPÉRACÉES. Feuilles verticillées. Feuilles opposées. D Feuilles munies de stipules; 1-5 étamines . . 34 F. PARONYCHIÉES. Feuilles sans stipules: 6-8 étamines. 81° F. ASPARAGÉES. Fenill es ne faisant pas de piqüre brûlante. Feuilles faisant sur la peau des piqüres brü- Jantes. "0, 2, 077 AT AURIITERS: Feuilles nullement charnues. /Feuilles charnues. . . 38°F. SAXIFRAGÉES. Etamines et ovaire réunis dans chaque calice. ‘Etamines et ovaire dans des calices différents . Feuilles dépourvues de stipules. Feuilles munies de stipules. . . ; 34° F. PARONYCHIÉES. Calice à EF divisions. Calice à 4 sépales. . 12° F. CARYOPHYLLÉES. Feuilles ovales. 12° F. CARYOPHYLLÉES. Feuilles linéaires. . 34° F. PARONYCHIÉES. Feuilles à nervures pennées; plantes non grim- pantes. . . . . 76° F. EUPHORBIACÉES. Feuilles à nervures palmées; plantes grimpan- LOS. cs voue 0e: TIR) Tige sans nœuds visibles. - LH E: Tige à nœuds apparents. . 93°F. GRAMINÉES. Fleurs disposées en chatons cylindriques, ovales ou elliptiques. Fleurs disposées autrement qu ‘en chatons cylin- driques, ovales ou ÉLHETS >: 191 194 193 196 197 198 201 199 200 204 205 206 207 208 209 210 216 CLEF DES FAMILLES. Chaton jaunâtre, latéral, solilaire. | : 82: F. AROÏDÉES. Chatons d’un brun noirâtre, terminaux, 2 su- perposés . . . . . 91°F. TYPHACÉES. Fleurs disposées autrement qu’en têtes globu- leuses et alternes . Fleurs pi en tètes globuleuses et alternes. ‘ 91° F. TYPHACÉES. Feuilles nulles, alternes ou toutes radieales. Feuilles opposées ou verticillées. Plantes s’élevant plus ou moins hors de l’eau. Plantes submergées ou flottantes. 94° F. POTAMÉES. Feuilles TE. arrondies ou réniformes. Feuilles linéaires. Petites fleurs axillaires; 6 étamines. O1 LYTHRARIÉES. Fleurs très-visibles, en corymbe terminal; 8-10 étamines. . . 38°F F. SAXIFRAGÉES Calice véritable, à G divisions; 6 étamines. Ecailles tenant lieu de calice; 3 étamines . 91° F. CYPÉRACÉES. Fons en épi ji grêle et allongé. s TE 80e F. ALISMACÉES. Fleurs autrement que en épi grêle et allongé. DE AA JONCÉES. Honilles See Feuilles verticillées. Plantes sabmergées ou fottatites Plantes s’élevant plus ou moins hors de Veau. Plantes submergées ; feuilles à nervures paral- lèles ou convergentes. . 94° F. POTAMÉES. Plantes flottantes ; ; feuilles à nervures diver- gentes., ., . . … . 29° F.: HALORAGÉES. Fleurs axillaires . Fleurs en pop terminal. } RCE 5 LA FE SAXIFR AGÉES. Calice à à n iii 4 étamines . 3 1,20 Fe ONAGRARIÉES. Calice à 12 dents inégales ; G étamines. , MICIIOETNE 3e F. LYTHRARIÉES. 206 207 212 208 209 210 211 19 RO RO NO ne jun pu nn RO 1% c- n 216 218 219 293 229 226 19 £ Cu | ( a —, ht RE ee — SE ES Le CLEF DES FAMILLES. Feuilles entières ou simplement dentées. Feuilles profondément découpées en mir» 5 JINÉAITESS ER SN PE. < Feuilles entières, nombreuses à chaque verti- cille. . ; 292 F. HALORAGÉES. Feuilles bordées de petites dents piquantes, 3 seulement à chaque verticille. ; ; : « OASIS POTAMÉES. Fleurs verticillées à l'aisselle des feuilles ou des bractées. . . . . 29° F. HALORAGÉES. Fleurs solitaires à l’aisselle des feuilles. . . 30° F. CÉRATOPHYLLÉES. Fetles Simples "ORNE Feuilles pennées . © F. TÉRÉBINTHACÉES Feuilles dépourvues d’écailles roussâtres ou ar- gentées . . Je Feuilles à écailles roussâtres ou argentées AE sd 73° F. ELÉAGNÉES. Feuilles alternes, éparses, fasciculées ou im- ROBES ANIME CCE UMTS Feuilles opposées . . . Arbres sans résine; feuilles à limbe plus ou moins élargi. . . Arbres résineux ; feuilles linéaires à . .". « « 80° F: CONIFÈRES. Fleurs autrement qu’en chatons . . . Fleurs en chatons cylindriques, linéaires ou globuleux. . . 79° F. AMENTACÉES. Ovaire dans le calice. . EN CORRE Ovaire sous le calice. . 72° F. SANTALACÉES. Feuilles dentées, plus ou moins velues ou pu- bescentes... : 44. . 78° FOURS Feuillesentières, très-glabres. 71°F. THYMÉLÉES. Arbres ou arbrisseaux non pe ; feuilles à nervures. > Sous-arbrisseaux parasites : 5 feuilles épaisses, sans nervures . . 42°F. LORANTHACÉES. 218 219 221 299 225 223 298 —— 229 ee 230 =. ‘292 ) 233 | CLEF DES FAMILLES. Feuilles caduques, lobées, à nervures palmées. . ce LOT ACÉRINÉES. Feuilles persistantes, entières, à nervures pen- D. . 10°: "EUPHORBIACÉES. JRYPTOGAMES. Tiges sans gaines dentées; fleurs autrement qu'en chaton terminal Tiges à gaines dentées ; fleurs en chaton termi- Me. . NOTRIR EQUISÉTACÉES. Plantes terrestres. Plantes aquatiques. Feuilles linéaires et imbriquées ; fructifications axillaires ou en massue terminale . . … + 4100° F. LyCOPODIACÉES. Feuilles n'étant jamais ni linéaires ni imbri- quées; fructifications placées ordinairement sur la page inférieure des feuilles, rarement en épi, grappe ou panicule. 98° F. FOUGÈRES. Plantes à véritable tige, adhérentes au fond de EAU NT Petites plantes non adhérentes au fond de l'eau, sans tige, uniquement composées d’une ou plusieurs feuilles . . 95° F. LEMNACÉES. Fructilications logées dans les racines; jeunes feuilles roulées en crosse . . : à 99° F. MARSILÉACÉES. Fructifications portées par la tige; absence de RCE SR 967 F. CHARACÉES. as 157 230 231 232 233 158 SS Qt ES | Se ST Se Se CP —r CLEF DES GENRES. IL Partie. — CLEF DES GENRES. Are F, — RENONCULACÉES. Feuilles alternes ou toutes radicales. Feuilles opposées. VIII. CLEMATIS. Fieurs sans casque ni éperon. É Fleurs munies d’un casque ou d’un ou plusieurs éperons . RCE ETES Fleurs munies d’un ae et d’une corolle. Fleurs n’ayant qu’une de ces deux enveloppes. Fleurs jaunes ou blanches. SEP RES Fleurs rouges .: 14 .-. + MMA BONIE 5 pétales; fruit sec. ; … SHARE 4 pétales; fruit charnu. . . XVII. ACTÆA. Calice à 5 sépales. .. RP Calice à 3 sépales. : . .... "NFICARE Feuilles n'étant pas tout à la fois radicales, li- néaires et entières. ; Feuilles toutes radicales, linéaires et entières. £ 17, 0 II MYOSURUS: Feuilles toutes radicales. IV. CERATOCEPHALUS. Feuilles jus ou moins nombreuses sur la tige. LME ; . EE Là RANUNCULUS s. Fleurs jaunes, babe ou verdatres. ï Fleurs bleuâtres. XIII. NIGELLA. | 10 ul 12 13 14 15 16 me —, CLEF DES GENRES. Feuilles n'étant jamais en cœur arrondi. Feuilles ass en cœur arrondi. . AUS Te ST IX. CALTHA. Tige n'étant pas munie Je collerette foliacée. Tige munie d’une collerette foliacée. ; DT : . . VI. ANEMONE. Etamines non saillantes hors de la fleur. Etamines longuement saillantes; corolle très- ÉROUIQUE, y. «Los ee Vil. THALICTRUM: Fleurs blanches ou verdtres. . “ira e PIEMPAUUES OR 4e ue bte TRODLIUS, Fleurs d’un'blanc pur, inodores. AXE ISOPYRUM. Fleurs verdâtres, à odeur désagréable, XI. HELLEBORUS. Fleurs munies de { ou plusieurs éperons. Pier en Sale UE d’éperon. ; C . XVI. ACONITUM, b) 7" RL NN AR OUEN . 1 seul éperon. . . . , XV. DELPHINIUM, 2e F. — BERBÉRIDÉES, XVII. BERBERIS. 3° F. — NYMPHÆACÉES. Fleurs blanches . XIX. NyMPHÆA. Fléué dunes. :. . . : , XX. NUPHar. 4 F, — PAPAVÉRACÉES. Fleurs jaunes. ARRETE Fleurs rouges. XXI. PAPAVER. Fleurs solitaires, terminales. XXII. GLAUCIUM. Fleurs en ae ombelles. . à Un VOTE, CHELIDONIUM + F. — FUMARIACÉES. Fruit EE monosperme, indéhiscent. . XXIV. FUMARIA. Fruit wvale-oblong, aplati, bivalve, polysperme. re .. XXV. CORYDALIS. 8 159 14 16 160 CSS TS me TT — —_—— CLEF DES GENRES. 6° F. — CRUCIFÈRES. Fruit 4 fois au moins plus long que large (silique) Fruit n'étant pas 4 fois 338 long” que 19e (silicule). . . Re Silique non sRbEé: s’ouvrant par 2 valves. .' Silique indéhiscente, à articulations distinctes. IA TE PT : XL. RAPHANUS. Feuilles toutes entières ou simplement dentées. Feuilles, quelques unes au moins, pennées, pennatiséquées, HAT pennatifides ou lobées. . Re : GÈNE Fleurs jaunes ou ne Fleurs blanches, roses ou lilacées. Feuilles caulinaires sessiles ou atténuées à la base . . Feuilles caulinaires embrassant la tige ‘par 2 oreillettes. . . . . XXX. ARABIS. Feuilles lisses; sépales latéraux bossués à la base. .. . . . . XXVL' CHermRANTEES. Feuilles un peu rudes ; sépales non bossués. MSA TE XXXV. ERYsIMUM. Feuilles n’exhalant pes une odeur d’ail par le froissement. Feuilles exhalant une odeur d'ail quand on les froisse. . . . . XXXIV. SISYMBRIUM. Feuilles toutes plus ou moins velues. Feuilles de la de parfaitement glabres. : Ë .. XXIX. TurRiris. Petites rare inodores ; stigmate entier. 2 FAX ARABIS. Fleurs grandes, très-odorantes le soir ; stigmate PREIAGÉ en 2 lamelles rapprochées. A see XXXIII. HESPERIS. Fleurs blanches ou lilas . Fleurs jaunes . Graines disposées sur 2 rangs . Graines disposées sur 1 seul rang. 2 9 11 14 42 13 13 19 20 CLEF DES GENRES. Feuilles pennées ou profondément pennatisé- quées. . . . . . XXVIL NASTURTIUM. Feuilles simplement pennatifides . è he AS à QUE, REX SISYMBRIUM Racine horizontale, écailleuse, dentée; style allongé et filiforme. . XXXIL DENTARIA. Racine tout autre ; style court et conique ou presque nul. . . . XXXI. CARDAMINE. Graines disposées sur 2 rangs . . : Graines disposées sur 1 seul rang . Siliques comprimées, à valves marquées d’une nervure . . . . XXXIX. DIPLOTAXIS. Sea pe à valves sans nervure. : XXVIL NASTURTIUM. Pétales à onglet plan, faisant suite au limbe Pétales à onglet filiforme . XXXVIIE. Sixapts. Siliques n’offrant pas 4 angles bien marqués Siliques à 4 angles bien marqués . . SIL . XXVIIL BARBAREA. Siliques terminées par un bec distinct Siliques sans bec. . XXXIV. SISYMBRIUM. Calice bossué à la base ; graines globuleuses XXXVI. BRASSICA. Calice non Dossué ; ; graines ovales ou oblongues et comprimées. . XXXVIT. ERUCASTRUM. Silicules n'étant pas formées de deux disques rapprochés comme une paire de lunettes. Silicules formées de deux disques rapprochés comme une paire de lunettes. LI. BISCUTELLA. Feuilles toutes entières ou simplement dentées. Feuilles, quelques unes au moins, pennées, pen- mA ne PRRNanes pennatilides ou üpées. : : >. SR UNS TEE : Fleurs blanches, violettes, roses ou lilas. Fleurs jaunes ou jaunàtres . : Silicules globuleuses ou ovales-globuleuses , jamais aplaties . | Silicules plus ou moins aplaties. 161 15 16 17 19 24 31 36 A PS LT CS TS Te TT me ms me SU S, CLEF DES GENRES. Silicules globuleuses, s'ouvrant par 2 valves: pétales égaux . . XLV. MYAGRUM, Silicules ovales-globuleuses, indéhiscentes; pé- tales extérieurs un peu plus grands que les intérieurs 221,20.) ORENV CATERRES Fleurs régulières, à pétales égaux. k Fleurs irrégulières, à pétales extérieurs plus BARS RL XLIX. IBERIS. Pétales entiers ou peu échancrés . Pétales profondément fendus. XLIV. DRABA. Silicules manifestement échancrées au sommet. Silicules entières ou à peine échancrées. Silicules bordées d’une aile qui va ens ne à sant vers le sommet LACS : Silicules non bordées d’une aile is. nl LE NTENIIÉ CAPSELLA Plus de 2 graines dans chaque loge de la sili- CHIEN . XLVI THLASPL. 1-2 graines dans chaque loge. . L. LEpipiux. Valves de la silicule non pliées en carène . Valves de la silicule pliées en carène. Ni Edee . . =. L. LEPIDIUX. Feuilles toutes pétiolées; grandes fleurs vio- lettes sir 24% . + XLIL Lunarra. Feuilles caulinaires nulles où sessiles ; petites fleurs blanches. XLIV. DRaBa. Tige feuillée é st 5 GT OENIPRRE Feuilles toutes radicales. 1 XLIVYDRARA; Silicules plus ou moins aplaties. Silicules jamais aplaties . Silicules orbiculaires. ; Silicules ovales, elliptiques ou ‘songes Silicules entourées d’un petit rebord membra- neux ; stigmate sessile . XLIIL CLYPEOLA. Silicules non entourées d’un rebord; stigmate porté sur un véritable style. XLI. ALYSSUM. Silicules ovales, pubescentes-srisâtres XLI bis. FARSETIA. Silicules ‘oblongues, glabres . LIL Isaris. 26 31 33 34 37 35 36 37 38 39 40 M 42 43 #4 45 46 \ LS TS CLEF DES GENRES. Silicules n’offrant pas # angles inégaux et irré- güliers . . sise Silicules à 4 angles i inégaux ‘et irréguliers s . « . LVE BUNIAS. Silicnles ie et indéhiscentes. LIV. NESLIA. Silicules ovoïdes-oblongues ; s'ouvrant par HVAÏVeS. 1 LL N0e . XLV. MyYAGRun. Fleurs blanches, roses, lilas ou violacées. Fleurs jaunes . Res ; Fleurs régulières, à pétales tous égaux. : Fleurs irrégulières, à ons extérieurs po grands à Spete : : Fleurs blanches el AREA EE CEE leurs iTosc SE r PXILIV. DRABA. Tige droite ou redressée; silicules non dentées en crête sur le dos. Tige couchée; silicules dentées en crête sur le dos ATEN MANN HOMIIT A SENEBIERA. Silicules échancrées au sommet . . . . . Silicules entières . . . . . L. LEPIDIUM. Tige feuillée ; étamines dépourvues d’écailles à a base . . Feuilles toutes radicales : étamines munies à la base d’une petite écaille. XLVIIL. TEESDALTA. Silicules triangulaires ; plus de 2 graines dans chaque loge . . . . XLVIL. CAPSELLA. Silicules ovales-arrondies ou oblongues ; 1-2grai- nes dans chaque loge. . . L. LEPIDIUN. Feuilles plus ou moins nombreuses sur la tige. Feuilles presque toutes radicales et étalées en rosette 200. ." XEVII, TEFSDALIA. Silicules déhiscentes, CORTE échancrées au sommet. . . - XLIX. IBERIS. Silicules indéhiscentes, globuleuses, terminées en pointe... . . . . . LV. CALEPINA. Silicules n’offrant pas # angles inégaux et irré- ulièrement dentés : Silicules à # angles inégaux et irrégulièrement Héntes mir, À ESS LVL. BunrAS. 163 38 45 47 41) 164 19 + Tiges uniflores ; feuilles glabres ne EE — CLEF DES GENRES. Silicules indéhiscentes, offrant 2 articulations distinctes . : ..: 4 LVIL RAPISTRUX Silicules déhiscentes , n’offrant pas d’articula- tions distinctes. XLV. MyYAGRU». 7° F. — CISTINÉES. 5 sépales presque égaux ; capsules à 5-10 loges. COVER. 6) sépales tès-inégaux, les 2 extérieurs beau- coup plus petits; capsules à 1 seule loge ou à 3 incomplètes . LIX. HELTANTHEMUM. 8° F. — VIOLARIÉES. LX. VIOLA. 9° F. — RÉSÉDACÉES. LXI. RESEDA. 10° F. — POLYGALÉES. LXIE PoLyeaLa. 11° F. — DROSÉRACÉES. LXIIT. PaRNAssIA. Hampes multiflores ; feuilles à poils rougeàtres. ant. MOT E -: LXIV. DROSERA. 12° F. — CARYOPHYLLÉES. Calice monosépale, tubuleux ou campanulé. Calice à sépales libres ou à peine soudés à la base. 2-3 styles . RP UE. : 5 styles 2.20. rat LANCER: 2 styles. 3 styles . Calice tubuleux PP Es: "Te Calice campanulé. . . LXV. GypsoPHiILA. Calice muni d’écailles à la base Made cr EPL LXVLAEDTANTANS: Calice sans ‘écailles à la base. ; CN VIT SAPONARIA. IN [ee XX or =] TS TS, PP | —* TS, NN à À, LP LE ( 8 10 {4 16 17 ST CLEF DES GENRES. Calice campanulé; fruit charnu Dre | : . LXVIIL. CUCEBALUS. Calice tubuleux ; fruit sec. . LXIX. SILENE. 3-4 sépales. 5 sépales AISLYIES - : 3-4 styles . Pétales au moins aussi longs que le calice ; LXXIV. MOERRINGIA. Pétales beaucoup it courts que le calice . 2 à 1 LXXEI BUFFONIA. Plantes ne pétales égaux aux sépales. . LXXIX. ELATINE. Plantes terrestres; pétales nuls ou plus courts que les sépales . LXXIL SAGINa. Pétales véritables, plus ou moins apparents. Pétales nuls ou seulement rudimentaires PRE 7 Et jo LXXVIL STELLARIA. Pétales entiers, denticulés ou légèrement échancrés . . ie Pétales profondément bifides où bipartits 3 styles. styles. Pétales denticulés; fleurs en ombelle termi- nale . . . . . LXXVI. HoLosræux. Pétalesentiersouun peu échancrés; fleurs n'étant jamais en ombelle terminale. URLS HO ; / LXXV. ARENARIA. Feuilles opposées. . LE ADN éauitna Feuilles verticillées LXXIIL. SPERGULA. Feuillesästipules scarieuses. LXXV. ARENARIA. Feuilles sans stipules. . LXXIIE SPERGULA. 3 styles; capsule s’ouvrant par 6 valves. . LXXVIL STELLARIA. 6) styles; capsule s'ouvrant au sommet par 10 dents. . . . LXXVIIL CERASTIUM. 165 9 10 16 CLEF DES GENRES. 13° F. — LINÉES. DA pétales, étamines et styles au nombre e . + LXXX. Linux. Sépales, pétales, élamines et styles au nombre de 4 : . + LXXXI. RADIOLA. 44° F. — MALVACÉES. Calice extérieur à 3 sépales. LXXXII. MALva. Calice extérieur à 6-9 segments . . EME . LXXXHIL. ALTHÆA. 45° F. — HYPÉRICINÉES. LXXXIV. HyPERICUM. 16° F. — TILIACÉES. LXXXV. Trier. 17° F. — ACÉRINÉES. LXXXVI. ACER. 18° F. — AMPÉLIDÉES. LXXXVIL Vrris. 19° F. — GÉRANIÉES. Pétales tous égaux; arêtes des carpelles glabres en dedans et se roulant en cercle à la matu- rité. . ..:%12 LXXXVIIT GERANIEN Pétales un peu inégaux; arêtes des carpelles barbues en dedans et se tordant en tire-bou- chon à la maturité. . LXXXIX. ERODIUM. 20° F. — OXALIDÉES. XC. OxaLrs. 91° F. — BALSAMINÉES. XCI. IMPATIENS. 99° F. — ZYGOPHYLLÉES. XCIT. TRIBULUS. ©t ES EE SE ch Sr on 70 nm 0 CLEF DÉS GENRES. 23° F. — RUTACÉES. XCIIT. RuTA. 24° F. — RHAMNÉES. Calice à divisions caduques; étamines opposées aux pétales . Calice à divisions persistantes ; étamines alter- nant avec les pétales . . XCIV. EvOxYMus. Feuilles à stipules remplacées par desaiguillons ; fruit sec, entouré d’une aile membraneuse. XCVI. PALIURUS. Feuilles à stipules non aiguillonnées ; fruit CHAT RE ON RE KIOVERHAMNUS. 95° F. — TÉRÉBINTHACÉES. XCVII. PIsTACrA. 96° F. — LÉGUMINEUSES. Feuilles toutes simples ou réduites à une vrille. Feuilles, au moins quelques unes, composées. Tige herbacée. : Tige ligneuse ou sous-ligneuse. ARE ne à. . . CI GENISTA. Tige non ailée. . CXX. LATHYRUS. Calice à 2 lèvres ou à 2 segments. Calice à 1 seule lèvre. XCIX: SPARTIUN. Calice divisé à la bd en 2 segments dis- TINCISC EN An XCVIIL. ULEX. Calice à 2 lèvres, maisnon divisé j jusqu’à la base. nr: ‘ «+ CL GENISTA. Feuilles trifoliolées, au moins les inférieures. Feuilles pennées . Tige ligneuse ou “phare Tige herbacée. ; ; Calice à 2 lèvres distinctes . Calice non bilabié, à 5 divisions profondes. AUTANT, . CIE ONONIs. Rameaux sans épines. LS E Ne de Rameaux épineux *. . . . (Cl. .GeNisrA. 8, 167 2 168 15 14 16 CLEF DES GENRES. Feuilles supérieures entières. C. SAROTHAMNUS. Feuilles toutes trifoliolées . . CII. Cyrisus. Folioles à peu près toutes égales . . . Foliole terminale beaucoup plus grande que les 2 latérales . . . . (CXIV. CoRoONIELA. Plantes n’exhalant pas une odeur de bitume. Plantes exhalant une forte odeur de bitume. : ; CXI. PSORALEA. Gousse droite ou légèrement courbée. ; Gousse réniforme, courbée en faucille ou con- tournée enspirale . . . CV. MEDICAGO. Fleurs solitaires ou rapprochées en épi, ombelle ou capitules serrés” ; :::,. 1400 Fleurs en grappe allongée . CVIL MELILOTUs. Corolle à ailes RARES par leur bord su- périeur . . #5 Corolle à ailes libres et non ‘rapprochées. Corolle à étendard à peu près aussi long que les ailes; gousse sans ailes membraneuses - CX. Lorvs. Corolle à étendard manifestement plus long que les ailes; gousse munie de 4 ailes membra- neuses. . . . (CIX. TETRAGONOLOBUS. Corolle persistante ; gousse renfermée dans le calice ou le dépassant peu. CVIIL. TRIFOLIUM. Corolle caduque ; ue dépassant longuement le calice. 74 . + CVE TRIGONEELLA. Folioles en nombre impair . Folioles en nombre pair. Fleurs en grappe ou épi. Fleurs solitaires, en ombelle ou en tête. ne ligneuse ou sous-ligneuse. Tige herbacée. $ Fleurs jaunes . . . . EXIY. CORONILLA. Fleurs janais taunes . . CXIL ASTRAGALUS. Ailes de la corolle plus longues que la carène ou l'ÉSAAUE 202 Ka Ailes | DEREOTE LE courtes que la carène . ne CXVIL ONxOBRYCHIS. 12 13 14 15 23 31 32 33 CLEF DES GENRES. Fleurs d’un beau jaune. . . CXIIE Praca. Fleurs n'étant jamais d’un beau jaune 1 METRE . CXIT. ASTRAGALUS. D runs bleues sv" et ee en" Fleurs d’un beau bleu . CXIL ASTRAGALUS. Gousse saillante en dehors du calice . Gousse renfermée dans le calice . , FA . CIV. ANTHYLLIS. Tige herbacée. . Tige ligneuse ou sous-ligneuse, au moins à la Me + 22. NÉE V: CORONILLA. Carène de la corolle terminée en bec pointu; goussesnon réunies en forme de pied d'oiseau. Carène obtuse au sommet ; gousses réunies en forme de pied d'oiseau. CXV. ORNITHOPUS. Fleurs jaunes. . . . CXVI. Hrppocrepis. Fleurs panacliées de blanc et de lilas. : L'Art RNER CXIV, CORONILLA. Tige herbacée . ; : Tige sous-ligneuse, au moins à la base . 25 CS NPA . CXIL. ASTRAGALUS. Etamines soudées en une sine Re pie ment au sommet Etamines soudées en une gaine coupée à angle droit au sommet . L Calice à divisions beaucoup plus courtes que la corolle. . 2 x, VACTA. Calice à divisions égalant à peu près la corolle. ASE ; a. CN ICREX CT BAETUX. pétioles t terminés par une arête courteet simple. Pétioles terminés par une vrille rameuse CXX. LATHYRUS. 2-6 files de folioles . . . CXXI. OroBus. 1 seule paire de folioles . CXX. Larnyrus. 97: F. — ROSACÉES. Tige ligneuse ou sous-ligneuse. Tige herbacée ou faiblement sous- “ligneuse à la Pase . , 28 30 31 32 33 [Le 170 3) 10 11 > 1O 13 Ce LT, CS | | | | | Lu ( CLEF DES GENRES. 5 pétales ; styles non plumeux. . . . . . 8 pétales ; styles plumeux. . CXXV. Dryas. Ovaire dans le calice. Ovaire sous le calice. Rameaux munis d’épines ou dl Rameaux sans épines ni aiguillons Feuilles composées CXXXL. fbts. Feuilles simples, entières ou simplement den- FÉES ARS ...:: CXXI PRINT. Fleurs en nberlés. corymbes ou grappes ; Jeunes feuilles pue dans le sens de leur lon- gueur so de . . CXXIIL. CERASUS. Fleurs solitaires, géminées ou ternées; jeunes feuilles enroulées dans le sens de leur lon- BUEUL a. 2 à: see h OX KITS PURES Feuilles composées Feuilles simples, entières, ‘dentées ou plus où moins lobées Tige munie d'aigquions, plus de 5 que À : CXXXIL Rosa. Tige sans aiguillons : = jamais plus de 5 styles. ms . . CXLI. Sorgus. Rameaux sans épines".":" "0 MEN Rameaux épineux . CXXXVIIL CRATÆGUS. Fruit à noyaux, c’est-à-dire, à env eloppe dure et osseuse ; Fruit à pépins , c’est- à dire, à à env eloppe mince et cartilagineuse. Ar Calice à 5 dents ; 2-3 styles ; noyaux non entiè- rement recouverts par l épiderme . : CXXXIX. COTONEASTER. Calice à 3 divisions foliacées ; 5 styles; noyaux entièrement renfermés dans l’ épiderme . CXXXVII. MEspiLus. Pétales ne. obtus . Pétales lancéolés- linéaires . GXELE AMELANCHIER.. Fleurs anses en ombelles np ou en fais- Ceaux. : Fleurs nr en cory mbes rameux $ CXLI. Songs. os CCR LS 11 12 12 14 14 15 16 17 18 19 20 be LT, LT, 00, Ce TT CLEF DES GENRES. Styles soudés à la base; fruit creusé au point d'insertion du pédoncule. . CXL. MaLus. Styles libres ; fruit non creusé au point d’inser- tion du pédoncule. CXL bis. PYRUS. Fleurs ayant calice et corolle Ë Fleurs à un seul périanthe, ordinairement cali- cinal . REA PNR ; g Pétales blancs, rouges, rougeàtres ou jaunes ; plus de 3 étamines. . ARE Pétales d’un vert jaunâtre ; 3 étamines MA À CXXX. SIBBALDIA. Tigé sans aiguillons . . A ua Tige munie d’aiguillons . CXXXI RuBus. Tube du calice he de pointes accro- chantes . : Tube du calice hérissé au sommet de “petites pointes accrochantes. CXXXIIL AGRIMONTA. Calice à 10 ee alternativement larges et étroits Calice à 5 segments ég aux. CXXIV. SPIREA. Pétales arrondis, obovales ou obcordés . . . Pétales acuminés CXXVIIT. COMARUM. Styles courts, se flétrissant ou tombant après la floraison . épi D ot très- allongés après la floraison. ; ; CXXVI GEUM. Pétales arrondis ou obcordés ; réceptacle tou- jours sec. . . . CXXIX. POTENTILLA. Pétales obovales; réceptacle devenant charnu et succulent après la floraison . : res CXXVII. FRAGARIA. Fleurs en capitules serrés . : Fleurs axillaires ou en corymbes . À : £L Ee CXXXIV. ALCHEMILLA. 4 étamines ; stigmate simple : ; Ho CXXXV: SANGUISORBA. 20-30 étamines ; stigmate en pinceau dé D CXXXVI POTERIUM. 171 18 19 20 21 22 24 Lt er 1 à à CLEF DES GENRES. 28° F. — ONAGRARIÉES. Fleurs à calice et corolle . Fleurs à calice sans corolle. CXLVIL. IS. ARDIA. 4 pétales ; 8 étamines sde. : PME 2 pétales ; 2 étamines. . . CXLV. CIRCÆA. Graines sans aigrette soyeuse ; fleurs jaunes. “1e CXLIV. OËNOTHERA. Graines à aigrette soyeuse ; fleurs rouges, roses ou blanches. . . . CXLIIL EPILOBIUN. 29° F. — HALORAGÉES. Feuilles entières . Feuilles profondément pennatipartites, à parti- tions linéaires . CXLVII. MyRrIOPHYLLUM. Feuilles opposées . . CXLIX. CALLITRICHE. Feuilles verticillées . . CXLVIIL Hippumrs. 30° F. — CÉRATOPHYLLÉES. CL. CERATOPHYLLUM. 31° F. — LYTHRARIÉES. Calice Ep Le pétales très-appa- rents . . . < CLI LyYTHRUx. Calice campanulé ; 2 pétales nuls ou peu appa- Ten: 4-0. + CLIL, PEPHS- 32° F. — TAMARISCINÉES. CLIII. MYRICARIA. 33° F. — CUCURBITACÉES. Fleurs dioïques; tige grimpante, munie de À 15: | (E: ANRRON . .- CLIV. BRYONIA. Fleurs mOn ÏqUEs ; tige rampante, dépourvue de vrilles . . . . (CLIV bis. ECBALLION. 34° F. — PARONYCHIÉES. Feuilles opposées ou verticillées Feuilles alternes . . . CLV. CORRIGIOLA. [Re ES] [Ra] TS TS, TS | | CLEF DES GENRES. 173 Feuilles accompagnées de stipules . . . 3 Feuilles sans stipules ax CPAS SCLERANTHUS. Feuilles toutes opposées. 4 Feuilles verticillées 4 à 4 dans le milieu de la tige. . . . ... CLVIIL POLYCARPON. Fleurs set capsule déhiscente. k CLVIL ILLECEBRUM. Fleurs vertes où d’un vert jaunètre; capsule indéhiscente. . . . CLVI. HERNIARIA. 33° F. — PORTULACÉES. Plantes aquatiques; fleurs blanches uE . ù CLXI. MoNrTiA. Plantes terrestres; fleurs. jaunes. 5 LIENS . . CLX. PORTULACA. 36° F. — CRASSULACÉES. Corolle polypétale; feuilles jamais peltées. . 2 Corolle ni ar ; feuilles peltées. : SEA TAR . . CEXVI. UmgiLicus. Etamines et ovaires renfermés dans chaque fleur. 3 Etamines et ovaires renfermés dans des fleurs ie et ie sur des pieds différents. 127 CLXII. RHODIOLA. Etamines en His double de celui des pétales. 4 Etamines en nombre égal à celui des pétales. Tours ; CLXIIL. CRASSULA. 4-5 nu 67) pétales et autant d’ovaires. CLXIV. SEDUM. 6-20 pétales et autant d’ovaires. : PA UE: CLXV. SEMPERVIV UM. 37° F. — GROSSULARIÉES. CLXVIT. RiBES. 38° F. — SAXIFRAGÉES. Fleurs ayant un calice et une corolle. AA CLXVIIT. SAXIFRAGA. Fleurs ayant un calice, mais dépourvues de co- role. . . . CLXIX. CHRYSOSPLENIUM 174 11 | ( | | ki = | | CLEF DES GENRES, 39° F. — OMBELLIFÈRES. Involucre à folioles non épineuses. Involucre à folioles épineuses. : ’ ._. CLXX. ERYNGIUM. Feuilles jamais peltées. . - Feuilles peltées. . CLXXIIL. HYDROCOTYLE. Feuilles composées ou plus ou moins découpées. Feuilles Rene entières. : 2 SA AE CXCIIL. BUPLEYRUX. Feuilles à folioles digitées ou à lobes palmés. Feuilles pennées, pennatiséquées, D) tites ou pennatifides. ad k Ombelles simples ou irrégulières. Ombelles composées et régulièr ES ARE 2 CLXXX VI. HERACLEUX. ! Ombelles simples; involuere à folioles blanchä- tres ou purpurines et très-entières ; fruit com- primé, glabre. . . CLXXII ASTRANTIA. Ombelles composées et irrégulières; involucre à folioles vertes et laciniées; fruit globuleux, hérissé. . . . . . CLXXI. SANICULA. Etamines et carpelles réunis dans chaque fleur. Etamines et carpelles renfermés dans des fleurs différentes et Le sur des pieds différents. Ce CCIEL. TRINIA. Fleurs june ou jaunâtres. É - Fleurs blanches, blanchâtres, roses ou rosées. Involucre nul ou formé de 1-4 folioles. Involucre formé de plus dé 4 folioles. : CLXXXV. PEUCEDANUN. Involucelle composé de plus de 4 folioles. _Involucelle nul ou composé de 1-4 folioles. CXCIX. PETROSELINUM. Feuilles découpées en segments ovales, + ou lancéolés. Feuilles découpées en lanières fines comme des cheveux . . . . CCII bis. FOENICULUM. 12 15 16 17 18 19 21 22 23 CLEF DES GENRES. Feuilles 1 fois pennées; fruit entouré d’un re- bord plan. . . . CLXXXIV. PASTINACA. Feuilles 3-4 fois pennées; fruit sans rebord MARUer 7. +. CAXCGINVSESEEL. Fruit à aiguillons se ou moins forts et serrés. Fruit glabre ou velu, mais non aiguillonné. Involucre nul ou à folioles simples. Involucre à folioles pennatifides. ; CLXXIV. Daucus. Fruit sans bec, offrant des côtes distinctes dans toute sa longueur. . CLXXV. CAUCALIS. Fruit rétréci en bec au sommet, à côtes non distinctes dans sa partie inférieure. s CLXX VII. ANTHRISCUS. Involucre nul ou à folioles entières. Involucre à folioles pennatifides. Er PRET an: le OR CITES "AMML Fruit Ééinbé enun bec plus ou moins LS Fruit sans bec. ; : so prets Bec 4 fois au moins plus long que le reste du 4 EURE. 0 7.) à 2 CEXXNE. SCANDIX. Bec manifestement plus court que le reste du fruit. . . . . CLXXVII. ANTHRISCUS. Fruit glabre. Fruit velu sur toute sa surface. tte CLXX VII. ATHAMANTHA. Calice à dents PAR et persistant sur le eut. 7 Ur Calice à dents nulles ou très-courtes. Fruit globuleux; involucelle à 3 folioles déje- tées d’un même côté. . CC. CORIANDRUM. Fruit ovoide ou cpl; involucelle à plus de 3 folioles. . . CXCVIT. OENANTHE. Fruit 3 fois au moins aussi long que large. Fruit n'étant pas 3 fois aussi long que large. Involucelle à plus de 3 folioles membraneuses et ciliées sur les bords. Involucelle à 2-3 folioles sétacées, nullement ciliées, , . .… .”, CXCVI bis. PrycHOTIs. 175 14 16 15 17 18 19 20 21 25 30 31 33 " È CLEF DES GENRES. Fruit linéaire, sans côtes ou à côtes obtuses. CLXXIX. CHÆROPHYLLUM. Fruit oblong, mais non linéaire, à 5 côtes tran- chantes. . . . . CLXXX. Myrrais: Fruit à ailes membraneuses ou à bordure saillante. ee Fruit sans ailes membraneuses ni bordure saillante. : Fruit portant plusieurs chi ailes ou au moins très-aiguës . Fruit simplement entouré d’une aile où d'une bordure . | Fruit à côtes ailées, au moins es 9 raté dié Fruit à 5 côtes très-aiguës, mais non, ailées. , CLXXXVIIL LiGusTICUM. Fruit à 5 côtes, dont les 2 latérales seulement sont développées en aïles membraneuses. CLXXXIIL ANGELICA. Fruit à8 côtes, toutes développées en ailes mem- braneuses. . CLXXXII. LASERPITIUM. Feuilles velues ou RSR au moins en dessous et sur les bords . . Feuilles glabres. . CLXXXV. PEUCEDANUN. Involucre nul ou à 1-3 folioles. . % CLXXXVI. Her ACLEU x. Involuere à plus de 3 folioles. . L CLXXX VII. TORDY LIU. Inv A nul ou formé de 1-4 folioles . Involucre formé de plus de 4 folioles. Racine fibreuse. Racine en petit tubercule arrondi. . ; . CLXXXL CONOPODIUX. Obanes toutes ue et ne des om- bellules . . Ombelles latérales réduites à des ombellules irrégulièrement espacées le long des rameaux. Le + CXCIX. PETROSELINUM. Oiibeles toujours D oment pédonculées et à plus de 3 rayons. Ombelles sessiles ou à très-court pédoncule, ou sinon ne ÉRIEN que 2-3 rayons, . . CLXXXIX. Siuw. 26 31 27 8 5 30 32 43 33 34 35 39 36 37 39 10 43 CLEF DES GENRES, Feuilles plus ou moins découpées, mais jamais en lanières capillaires. PR. mr pa en lanières capillaires. . ses CXCV. MEUx. Involucelle à 3 folioles renversées et Asie du même côté. . Involucelle nul ou n’offrant pas 3 folioles ren- versées et déjetées du même côté. Tige marquée de taches rougeûtres; involucre À 3-5 folioles. CXC. CoxItx. Tige non tachée ; involucre nul ou à { seule fo- le aie rit à 1 OXONE ÆTHUSA. Fruit ovale ou ovale-oblong ; pétales à peu près égaux. . Fruit globuleux ; s pétales extérieurs manifeste- ment ne nie ire les intérieurs. à CC. CORIANDRUN. Folioles inférieures de chaque feuille n'étant pas disposées en x sur le pétiole commun. Folioles inférieures de chaque feuille disposées en x sur le pétiole commun. CCI. CARUx. Involucelle complètement nul. k Involucelle à { ou plusieurs folioles. Feuilles 1-2 fois ternées, les supérieures oppo- sées. . 1S CCIV. ÆGOPODIUM. Feuilles 1-2 fois pennées, les supérieures al- ternes Me, AN CCI MPINPINELLÀ. Involuere nul ; involucelle à plus de # folioles. CXCIV. SESELI. Involucre et ‘involucelle à 4-4 folioles. . : TN CXCVIIT. SISON. Involucelle à folioles non déjetées du même TO ed Moore + Involucelle à 3 folioles déjetées du même côté. MU L 5 opter El. CXC. ConIum. Tige droite, jamais radicante ni stolonifère . Ti ige ne | radicante ou stolonifère. Le vd CLXXXIX. SIum. 38 39 40 41 12 (21 45 18 © 19 nn hs ÉLEF DES GENRES. Racine tuberculeuse ; feuilles 2-3 fois pennées. . . CXCL Buniux. Racirie fibreuse : ; feuilles 4 fois pennées, tantôt à larges folioles oblongues, tantôt à folioles découpées en segments linéaires qui parais- sent verticillés. . . . CLXXXIX. Srux: 40° F. — CAPRIFOLIACÉES. Tige herbacée . Tige ligneuse . È Petites fleurs esp bé en tête globuleuse. . CCV. ADOXA. Fleurs blanches, en cory rmbe rameux. ; PESTE IT . CCVL. SAMBUCUS. Feuilles Se Feuilles pennées . Lo a COM SAMBUCUS. Corolle tubuleuse et campanulée; 1 style fili- forme. . . . . CCVIIT. LONICERA. Corolle en roue ; 3 di ES sessiles. N < + 1 CCVIT. ViIBURNUX. H° F. — HÉDÉRACÉES. Feuilles alternes et persistantes; tige grimpante. . COX. HEDERA. Feuilles opposées et décidentes ; tige se soute- nant d'elle-même. . . : CCX. CoRNus. 42° F. — LORANTHACÉES. CCXI. Viscux. 43° F. — RUBIACÉES. Fleurs disposées autrement qu’en épi imbriqué. Fleurs en épi imbriqué. CCXIV. CRUCIANELLA. Fruit non couronné par les dents du calice. Fruit couronné par les dents persistantes du calice. . . . . . CCXII SHERARDIA. Corolle en roue. Corolle en cloche ou en entonnoir. Vs TR CCGXHE ASPERULA. 10 CLEF DES GENRES. Corolle à 5 (rarement 4) divisions; fruit charnu. Pt CDR mA, Corolle toujours à 4 divisions ; (TH SeCR. HOUR. : ÉCXVL. GALIUN. 44e F. — VALÉRIANÉES. 2-3 étamines; corolle sans éperon. { étamine ; corolle à éperon. . . “ais CCXVIL. CENTRANTHUS. Tige dichotome ; fruit sans aigrette plumeuse. ; CCXVIIL. VALERTANELLA. Tige simple ou rameuse, mais non dichotome ; fruit couronné 1 une aigrette plumeuse. - CCXIX. VALERIANA. 45° F. — DIPSACÉES. Tige munie d’aiguillons. + CCXX. Drpsacus. Tige dépourvue d’aiguillons. CCXXLI. ScaBIOSA. 4G° F. — GLOBULARIÉES. CCXXIL GLOBULARIA. 47° F. — COMPOSÉES. Fleurs composées de fleurettes uniformes, c’est- à-dire, ou toutes tubuleuses et dentées {fleu- rons), ou toutes déjetées en languette aplatie (demi-fleurons). Fleurs radiées, € ’est-à-dire, ayant des fleurons au centre et des demi- fleurons à la circonfé- rence. Fleurs LR c 'est-à- 0 composées uni- quement de fleurons. ! Fleurs semi-flosculeuses, € ’est-à-dire, composées uniquement de demi-fleurons. pe AE FLOSCULEUSES,. Fleurons n’ayant pas un involucre particulier dans linvolucre général . Fleurons ayant chacun un involucre particulier outre l’involucre général. . TEA . CCXXXIV. Ecainors. 17) Le) 58 û 130 SL 10 11 13 CLEF DES GENRES, IMvolucre imbriqué, c’est-à-dire, formé de fo- lioles ou écailles inégales se recouvrant les unes les autres. Involucre tantôt formé de folioles égales, tantôt caliculé, c’est-à-dire, muni seulement à sa base d’un rang de petites écailles . Feuilles de la plante ou écailles de l’involucre plus ou moins épineuses ou accrochantes. Feuilles et involucre jamais des ni accro- chants. . bUUR NE VIE Ecailles de Pinvolucre terminées par une ou plu- sieurs pointes ou épines droites. Ecailles de l’involucre terminées par une pointe accrochante, recourbée en hamecon. . . AS TA EDe CCXXXIL. Larpa. Réceptacle garni de soies ou de petites paillettes. HéCERLMEe nu, creusé de petites fossettes. : Ce CCXXX. ONOPORDUM. Feuilles plus ou moins épineuses J Feuilles sans épines. . CCXXVI. CENTAUREA. Ecailles intérieures de linvolucre bien plus courtes que les fleurons . Ecailles intérieures de Pinvolucre très-allon- gées, formant des rayons à lafleur. . MUR où À “0 CCXXIV. CARLINA. Fleurs purpurines, blanches ou d’un blane j; jau- nûtre. À Fleurs d’un beau j jaune d'or. . . AS CCXX VIL KENTROPHYLLUN. Ecailles de linvolucre terminées par une fu ou pointe simple. : Ecailles extérieures de l’involucre terminées par un sos foliacé, divisé en lobes épineux. ne 5 CCXXIX. SILyBux. Graines portant une aigrette de poils simples. Graines portant une aigrette de poils rameux. « big à CCXXIIT. CrRSIUM. Feuilles décurrentes sur latige. . . ù CCXX VIIL. CARDUUS. Feuillesnon décurrentes. CCXXXI. SERRATULA. 1# SL 10 11 13 93 : 26 PRES PPT TE, SP CTP © OS EE eS AT LS CLEF DES GENRES. Feuilles opposées. Feuilles alternes ou éparses. Fleurs jaunes. . . . CCXLVE BIDENS. Fleurs rougeûtres. CCXXXVIIL EUPATORIUM. Fleurs pou Dee on co Re Ur Fleurs bleues. . . CCXXVI. CENTAUREA. Graines couronnées par une aigrette de poils. Graines non couronnées par une aigrette de poils. Aigrette à poils simples. . . . : . . . Aigrette à poils rameux. . CCXXV. LEUZEA. Involucre n'étant pas à écailles dorées Involucre à écailles dorées. . à hits CCXXXV. HELICHRY SUN. Fleurons très-apparents. Fleurons très-petits et peu apparents. Fleurs jaunes. Fleurs purpurines ou blanches. Fleurs d’un jaune d’or; plantes sans odeur fé- tide. . . . . . CCXLI. CHRYSOCOMA. Fleurs d’un raune pe: ; plantes à odeur fétide. , ù .. « CCLIIT INULA. Fleurons extérieurs plus grands et stériles. . En. re ACUXXN EE CENTAURE: Fleurons tous égaux et fertiles. ; ; 1 28 0 CURE SERRATULA. Involucre à écailles scarieuses et glabres. + CCXXXVI. GNAPHALIUM. Involucre à écailles cotonneuses, au moins dans leur moitié inférieure. CCXXX VIE FILAGO. Fleurs rouges, rougeâtres ou blanchâtres. Fleurs jaunes, jaunâtres ou verdâtres. Ecailles intérieures de l’involucre colorées en rose et dépassant les fleurons. nie CCXXXHI. XERANTHEMUM. Ecäilles intérieures de l’involuere jamais roses et ERNEAUE Les courtes que les fleurons. du SEUL à CCXXVT. CENTAUREA. 181 15 16 1 18 25 19 20 WND NN EN + 30 31 33 37 LP , CLS TS TS CLEF DES GENRES. Réceptacle non garni de paillettes. ne garni de paillettes. . . : . . CCXLV bis. CARPESIUM. F celles pennées, pennatifides ou lobées. ee très-entières ou à peine denticulées. CCXLIIL. BALSAMITA. Graines munies de côtes; fleurs en corymbe ; CCXLIT. TANACETUX. Graines dépourvues de côtes; fleurs en pani- cule. … . . . . CCXCNW-Sso Imvolucre non cotonneux; graines couronnées par une aigrette de poils. « LS SE Petits involucres cotonneux ; graines non cou- ronnées par une aigrette de poils . . SR CANILORE, «44 . CCXLV. MiCROPUS. Fleurs rougeâtres ou blanches . … HET Fleurs jaunes. . . . . . (CCE. SENECIO. Hampe ou tige simple ; fleurs en grappe ou so- litaires. . . . . CCXL. TussiLAGo. ne rameuse et feuillée ; fleurs en corymbe. : CCXXXIX. CACALIA. SEMI-FLOSCULEUSES. Graines, au moins celles du centre, couronnées par une aigrette de poils. Graines non couronnées BE une aigrette de poils . ; Speo : Aigrettes à poils ie Aigrettes, au moins celles du centre, à à poils rameux . AEAE Feuilles et involucre jamais épineux . Feuilles et involucre épineux . . - CCLX XXI bis. SCOLYMUS. Feuilles toutes radicales. Feuilles plus ou moins nombreuses sur la tige. Aigrettes sessiles, au moins dans les ia: du ord . Aigrettes év idemment pédicellées. e "597 RES EERE CCLXV, TARAXACUM. 31 32 37 39 39 40 M 42 43 44 45 46 CLEF DES GENRES. Involucre caliculé; aigrettes du centre pédi- cellées . . . . CCLXVI. PTEROTHECA. Involucre ip de aigrettes toutes sessiles. . CCEXIX. HrERACIUM. He nu ou à poils Je courts 1 les graines . À Réceptacle garni de poils plus longs que les graines. . . . CCLXIX bis. ANDRYALA. Involucre’ imbriqué . . . . . - + . . Involucre simple, ou ou à folioles sur 2 rangs égaux . Dr Aigrettes évidemment pédicellées, au moins celles du centre : APRES LT Aigrettes toutes sessiles. Plante très-glabre . CCLXIL LACTUCA. Plante pubescente ou velue-hérissée NTFS . CCLXVIIL. BARKAUSIA. Plantes à suc laiteux; aigrettes à poils d’un beau blanc, Hi sur plusieurs rangs . . CCLXI. SoNCHUS. Plantes à suc non laiteux: aigrettes à poils roussâtres ou d’un blanc sale, disposés sur dseulirang :: . . CCLXIX. HIERACIUM. Fleurons jaunes, au moins ceux de la circonfé- rence. . : ; Fleurons tous d’un rouge violet RE le PROANE . CCLXIV. PRENANTHES. Fleurons tous jaunes. . . Fleurons du centre d’un pourpre violacé. . . . CE: . . CCLXX. Tozpris. Aigrettes évidemment NE au moins celles du centre AE : Aigrettes toutes sessiles. Feuilles glabres; involucre à calicule serré. . CCLXIIE. CHONDRILLA. Feuilles pubescentes ou velues-hérissées ; invo- luere àcalicule lâche. CCLX VIIL. BARKAUSIA. 9 183 40 41 44 42 43 45 46 47 48 184 = © 56 57 ns D. 0 TT, LS CL TS TS TS TS D CLEF DES GENRES. Involucre à écailles extérieures lâches; graines plus étroites au sommet qu’au milieu ; ai- grettes à poils disposés sur plusieurs rangs. j CCLX VIT. CREPIS. Involucre à écailles imbriquées ; graines aussi larges au sommet qu’au milieu : aigrettes à poils disposés sur { seul rang ou sur F2 rangs peu marqués . CCLXIX. HrERACIUM. Involucre à folioles disposées sur 1 ou 2 rangs. Involucre à folioles Me sur plusieurs rangs. TRE RE El Involucre épineux, à folioles sur 2 rangs. . . CCLXXVIL HELMINTHIA. Involucre non épineux, à folioles sur { rang. CCLXXI TRAGOPOGON. Graines sessiles L Graines portées sur un petit pied creux et renflé. . . . CCLXXIIL PODOSPERMUM. Involucre à folioles non membraneuses sur les bords. RO fuvolucre à folioles membraneuses sur les bords : °°. . . CCLXXIT"SCORZONERA: Réceptacle non garni de paillettes. . . . Réceptacle garni de paillettes . . Ur rit CCLXX VIIL. HYPOCHÆRIS. Graines toutes à aigrette . Mb: Graines de la circonférence surmontées d’une couronne membraneuse remplaçant laigrette. CCLXXV. THRINCIA. Involucre à écailles toutes apprimées; graines lisses ou striées en long . : . CCLXXIY. LEONTODON. Involucre à écailles extérieures plus ou moins étalées; gens striées en travers. . As : CCLXXVE. PrcRis. Fleurs bleues, quelquefois blanches ou rosées . Fleurs jaunes . CCLXXXI. LAPsANA. Involucre imbriqué, à écailles scarieuses . . . . . CCLXXIX. CATANANCHE. Involucre à folioles vertes, disposées sur 2 rangs, . . CCLXXX. CICHORIUM. 50 o1 »2 93 54 bb) 97 98 99 63 64 65 66 67 6 © à on 7 [=] CLEF DES GENRES. RADIÉES. Feuilles toutes radicales. Feuilles plus ou moins nombreuses sur la tige. Fleurs blanches ou roses POSE SE SEE Fleurs jaunes . . . . CCXL. TussiLAGo. Graines sans aigrette de poils. CCLIV. Bezrrs. Graines couronnées d’une eue de poils. . à ARTE CCLTI. ARNICA. Graines couronnées par une aigrette de poils. Graines sans aigrette de poils . Involucre à folioles imbriquées È Involucre simple, caliculé ou à 2 rangs de fo- lioles égales. nr AE Fleurs entièrement Jaunes 5 Demi-fleurons au moins n'étant pas jaunes. 4-10 demi-fleurons ; plantes sans odeur fétide. < CCXLVIIL. SOLIDAGO. Plus de 40 demi- fleurons, ou sinon, plantes à odeur très-forte . CCLIIL. INULA. Involucre à écailles appliquées; demi-fleurons linéaires-filiformes . CCXLVIT. ERIGERON. Involucre à écailles extérieures lâches ou éta- lées ; demi-fleurons oblongs, un peu élargis. tee - . . . CCXLIX. ASTER. Involucre à 2 rangs de folioles égales ; Involucre caliculé ÊCL. SENECIO. Graines toutes couronnées par une aigrette de poils . Graines de la circonférence dépourvues d’ai- grette. . . . . . CCLIIL Doronicum. Fleurs nombreuses, en corymbe serré CCL. SENECIO. Fleurs solitaires ou peu nombreuses, jamais en corymbe Serré , .::. . ., CCLI ARNICA. Involucre à écailles imbriquées Involucre à folioles égales disposéessur 9-3rangs. Réceptacle se de paillettes . Réceptacle dépourvu de paillettes. 185 99 61 60 62 69 63 66 64 65 67 70 74 71 Tà =t Qt = 73 | | | 2 3 | CLEF DES GENRES. Plus de 8 demi-fleurons . . CM 5-8 demi-fleurons . © CCLVIHL. ACHILLÆA. Feuilles Ron ou pennatipartites . E CCLVIL ANTHEMIS. Feuilles entières où à peine denticulées. CCLIX. BUPHTALMUM. rer pa et hémisphérique. CCLV. CHRYSAN THEMUM. Réceptacle congé et conique . . : ; CCLVI. MATRICARIA. Réceptacle garni de paillettes . Do Mn u de paillettes. : CCLX. CALENDULA. Feuilles opposées . . . CCXLVI. BrnExs. Feuilles alternes . . CCLIX. BUPHTALMUM. 48° F. — AMBROSIACÉES. CCLXXXIL XANTHIUM. 49° F. — CAMPANULACÉES. Fleurs non réunies dans un involucre ; éta- mines à anthères libres Fleurs réunies dans un involucre commun ; éta- mines à anthères soudées. . 2R73. A CCLXXXIIT. JASIONE. Corolle en cloche ou en roue . . Corolle à 5 divisions linéaires, très- “profondes, d’abord soudées, puis étalées . . À CCLXXXIV. PHYTEUMA. Corolle en cloche . CCLXXXV. CAMPANULA. Corolle en roue. . CCLXXXVI. SPECULARIA. 50° F. — VACCINIÉES. CCLXXXVIT. VACCINIUM. 51° F. — ÉRICINÉES. Feuilles non imbriquées; corolle à 5 dents ou 10DEST 1e Feuilles inbiquées ; corolle à 4 dents ou lobes Ru : COXCI. Erica. 75 [La [D ps LL, 2 D. 0 CLEF DES GENRES Corolle en grelot, à 5 dents égales. Corolle en entonnoir, à 5 lobes i Inégaux . Note COXC: RHODODENDRON. Feuilles obovales ou oblongues, vertes des deux côtés; fruit charnu. CCLXX X VII. ARBUTUS. Feuilles linéaires-lancéolées, blanches en des- sous; fruit capsulaire. . AU . CRXXIX. ANDROMEDA. 52° F. — PYROLACÉES. Plantes munies de feuilles vertes. . . . . GOXCIT"PyROrA: Plantes dépourvues de feuilles. . ER CCXCHNIE. MONOTROPA. 53° F. — AQUIFOLIACÉES. CCXCIY. ILEx. 54° F. — JASMINÉES. Calice et corolle nuls ; grands arbres à feuilles composées ; Un calice et une corolle ; arbustes à feuilles MIE: 0 CCXCV. FRAXINUS. Feuilles persistantes, bordées de dents raides et piquantes; fleurs d’un blanc verdâtre, axil- RES 0. |... . CCXCVI PayÉLynEA, Feuilles caduques, très-entières; fleurs d’un beau blanc, en grappes terminales. . ME s : CCXCVIL. LIGUSTRUM. 55° F. — PRIMULACÉES. Feuilles entières, ou seulement sinuées, denti- culées ou crénelées Feuilles profondément pennatipartites, à divi- sions linéaires, CCCI. HOTToNrA, Tige feuillée . Feuilles toutes radicales. Calice et corolle à 5 lobes ou segments Calice et corolle à 4 lobes ou segments. s'AMENEE CCC: CENTUNCULUS. Fleurs jamais jaunes . 1274 DONC NET Fleurs jaunes. . . . CCCIT. LysImMACHrA. 187 D [Re 188 1 10 rs 0 TS CLEF DES GENRES. Tige à feuilles alternes. CCXCVIIL. SamoLus. Tige à feuilles opposées ou ternées RER. £ STUNÉE- - CCHIT. ANAGAELIS. Racine de segments de la corolle non renversés en arrière ! Racine tuberculeuse ; segments de la corolle - renversés en arrière. CCXCIX bis. CYCLAMEN. Fleurs jamais bleues . 3 OUTRE Fleurs bleues . . . (CCCIV. SOLDANELLA. Très-petites fleurs; corolle à tube très-court ; capsules à 3-5graines. CCXCIX. ANDROSACE. Fleurs assez grandes ; corolle à tube Are capsules à graines nombreuses. . RENTE CCC. PRIMULA. 56° F. — APOCYNÉES. Feuilles persistantes; fleurs solitaires. . CCCVL Vinca. Feuilles décidentes ; fleurs en grappes ou Co- rymbes.. . . . CCCVIL VincEToxiIcun. B7e F. — GENTIANÉES: Feuilles simples : Feuilles composées de 3 folioles . CCCVIIL. MENYANTHES. Feuilles n'étant jamais orbiculaires ni en cœur. Feuilles orbiculaires et en cœur . . CCCIX. V ILLARSIA 4-5 étamines MEME | 6=S étamines.: -: . . . CCE CHR Tige filiforme ; feuilles toutes linéaires Tige non filiforme; feuilles n'étant pas toutes linéaires. RC ie PSE Corolle à 5 lobes; 5 étamines à anthères con- tournées après Pémission du pollen . . . . . . CCCXIIT ERYTHRÆA. Corolle à 4 lobes; ; 4 étamines à anthères non contournées après l'émission du pollen . . EYE. 8 CCCXIV. CICENDIA. 19 #4 [Le] SR, nn. en ms ee CLEF DES GENRES. Fleurs S jamais roses ; étamines à anthères non contournées après l'émission du pollen Fleurs ordinairement roses, quelquefois blan- ches ; étamines à anthères contournées après Fémission du pollen. CCCXIIT. ERYTHRÆA. HMS jamais jaunes Lt A Fleurs jaunes . . . . CCCXIEL GENTIANA. Corolle en roue, à segnents portant à leur base de DU glandes “hordées de cils colorés. . EL CCCXI. SWERTIA. Corolle en entonnoir où en cloche, à segments dépourvus de glandes ciliées D on ue 1 DO NEL. GENTIANA. 58° F. — CONVOLVULACÉES. Tige munie de véritables feuilles . ù CCCXV. CONVOLYULUS. Tige filiforme, dépourvue de feuilles. 412,2. : A ACC XVI CUSOTRA 59° F. — SOLANÉES. Corolle en roue, à tube court . : Corolle en cloche ou en entonnoir, à tube allongé. Corolle à segments égaux ; anthèresconniventes. Corolle à seginents un peu inégaux ; anthères non conniventes. CCCXIX. VERBASCUN. Calice renfé en vessie très-ample, enveloppant entièrement le fruit après la floraison; éta- mines à anthères s’ouvrant en long. . us nn OCEXX XIE. PAYSALIS. Calice sans ‘développement considérable après la floraison; étamines à anthères s'ouvrant au sommet par 2 trous. . AE © NN .. CCCXXXIIL SOLANUN. Tige herbacée. PORN AN Tige ligneuse.. CCCXXX. Lycrun. Corolle régulière. Corolle irrégulière, coupée obliquement. LA. 1,000," CCCXVIIL HYOSCYAMUS. 2 4 190 (er) "© ES (14 a | 10 11 TS, CLEF DES GENRES. Corolle en entonnoir, à 5 plis et à 5 dents. . : CCCX VIT. DATURA. Corolle en cloche, à à 5 lobes courts. . d CCCXXXI. ATROPA. 60° F,. — BORRAGINÉES. Corolle à gorge fermée par des écailles. Corolle à gorge non fermée par des écailles. Corolle à tube plus ou moins allongé . Corolle en roue, à tube très- court. < : AD A AT Lee CCCXXXNIE BORRAGO. Corolle à gorge fermée par 5 écailles obtuses. Corolle à gorge fermée par 5 écailles en alène. RON . CCCXXXIV. SYMPHYTUM. Calice à segments égaux. . Calice à segments ’entremèélés de dents plus courtes. . . . CCCXXXVIIT. ASPERUGO. Corole;à ‘tübe.droit, . + COCO Corolle à tube coudé. CCCXXXVI. Lycopsis. Gorge de la corolle à écailles glabres. Gorge de la corolle à écailles portant des pin- ceaux de poils blancs. CCCXXXV. ANCHUSA. Corolle en entonnoir ; carpelles attachés au style par leur face interne . . CCCXXXIX. CYNOGLOSSUM. Corolle en soucoupe ;. carpelles n’adhérant pas au Style. ::. .: . . "CCEXE/PMrosSons. Plantes plus ou moins velues . Plantes parfaitement glabres. . . RC NE Te. 2 CODEX CERINTHE. Corolle régulière. Corolle irrégulière, à limbe coupé obliquement. DR AITE CCCXLV. Ecru. Corolle à 5 segments, sans dent intermédiaire. Corolle offrant une petite dent entre chacun des > segments principaux. ; Re . . . CCCXLVL HELIOTROPIUN. Corolle à lobes plus ou moins étalés . . Corolle à lobes dressés. CCCXLIIL ONosma. eAC 10 11 12 ES CLEF DES GENRES. Calice divisé presque jusqu’à la base. ._. GCOXLIL LITHOSPERMUM. Calice à dents ne dépassant pas son milieu. CCCXEIV. PULMONARIA. 61° F. — VERBÉNACÉES. CCCXLVIT. VERBENA. 62° F. — LABIÉES. 2 étamines . 4 étamines, dont 9 plus fortes Corolle à 2 lèvres bien marquées. . . . . CCCXLVIIL SALvIA. Corolle à 4 lobes presque égaux. . Ne à : CÜCXIX. LycoPus. Corolle à divisions très-inégales. Corolle à # lobes BreRue ÉEAUX . . re . … CCCL. MENTHA. Corolle à 4 seule lèvre. Corolle à 2 lèvres bien marquées. Lèvre supérieure de la corolle remplacée par 2 petites dents droites. CCCLXXI. AJuGA. Lèvre supérieure de la corolle non remplacée par 2 petites dents. CCCLXXIL. TEUCRIUM. Etamines inférieures QE longues Ge les supé- rieures. Etamines supérieures lus l longues que les infé- rieures LL RE Etamines inférieures non penchées sur la lèvre inférieure de la corolle Etamines inférieures penchées sur Ja lèvre infé- rieure de la corolle. CCCLX XIIE. LAVANDULA. Etamines parallèles également rapprochées dans toute leur longueur. Etamines écartées les unes des autres ou plus rapprochées au sommet qu’à la base. : Calice à 2 lèvres bien marquées. Calice à 5 dents presque égales, non à 2 9 lèvres. 9. 191 4 26 10 12 15 16 17 18 19 20 rt CE EE er CLEF DES GENRES. Calice fermé après la floraison et n’élant pas en cloche très-ample . . Calice en cloche tr ès-ample, ouvert & après la flo- raison. .,.. . . CCCEXVIIL MEezrTris. Calice à 2 lèvres dentées; étamines à 2 cornes. CCCLXIX. BRUNELLA. Calice à 9 lèvres entières; ; étamines sans cornes. CCCLXX. SCUTELLARIA. Etamines sallantes hors du tube de la corolle. Etamines renfermées dans le tube de la corolle. Calice à dents épineuses Calice à dents non épineuses . Lèvre inférieure de la corolle ne présentant pas de renflement saillant vers la gorge. Lèvre inférieure de la corolle présentant vers la gorge deux renflements saillants en forme de cônes. :. . 2e102-COCEXTICAPEOPSRS Lèvre inférieure de la corolle à segments non en- roulés ensemble ; anthèressans points brillants. Lèvre inférieure de la corolle à segments s’en- roulant de manière à figurer un seul lobe aigu; anthères à points brillants. i' AE CCCEX VI. LEONURUS. Lèvre inférieure de la corolle à lobes latéraux non réfléchis. . . CCCLXIV. BETONICA. Lèvre inférieure de la corolle à lobes latéraux réfléchis tre CCC SrieRrS: Fleurs jamals- Taunes, s..). SR Fleurs jaunes. . . CCCLX. GALEOBDOLON. Lèvre inférieure de la corolle à lobes latéraux remplacés par 2 petitesdents. . . : CCCLIX. LAMIUM Lèvre inférieure de la corolle à 3 lobes obtus. À HORAIRE COCEX VS PBATOPA Calice à 5 dents fortement épineuses. . . à CCCLXIIL SIpERrTIs. Calice à 40 dents non épineuses. . « . : OCCCLX VI Me Etamines droites, écartées au sommet . Etamines arquées, rapprochées au sommet . 11 13 19 1% 17 15 16 18 21 93 21 2% 19 Qt eo, =. ee nr CLEÉF DÉS GENRES. 193 Fleurs non ASE de larges bractées co- lorées. . . de Me 22 Fleurs accompagnées de larges bractées colo- rées. . . . . +1. CCCLIL ORIGANUM. Fleurs bleues, rarement blanches ; calice à 5dents peu inégales, non fermé par des poils après la floraison. . . . . CCCLIIT. Hyssopus. Fleurs roses, quelquefois blanches ; calice à 2 1è- vres, fermé nn des poils après là floraison. . à Le : . CCCLII. THyuus. Calice à 2 lèvres distinctes ; tige herbacée. . 24 Calice à 5 dents égales ; tige sous-ligneuse à la DAS Ra CCCLIV. SATUREI 1@ Fleurs non entourées de bractées linéaires et velues. . 25 Fleurs entourées ‘de bractées nombreuses, li- néaires et velues. . CCCLVI. CLiNoPoDiIu. Fleurs roses, lilas ou violacées; anthères à loges non soudées au sommet . . Le CCCLVE CALAMINTHA. Fleurs blanches ; anthères à loges soudées au Somerset e MCOCCLY OS. MErISSA. Feuilles réniformes, crénelées, non couvertes en dessous d’une poussière grisâtre; fleurs axil- laires, ordinairement d’un violet clair. . . tee : CCCLVNIT. GLECHOMA. Feuilles ove ales-lancéolées, dentées en scie, cou- vertes en dessous d’une poussière grisätre : fleurs blanches, en grappes terminales. LE ne SO ACOE NAN NÉE ei, 63 F. — PERSONNÉES, OMICPMMMES 2 7 ; he EAN Aa à 2 ARÉDAMITTESS itetur T a ee TANT ANNE: 3 Corolle en roue, à # segments M CLCLXXXIX, VERONICA. Corolle campanulée, à 5 lobes AE. VIA: CCCLXXXIL. LIMOSELLA . Base de la Corolle toute renfermée dans le calice. 4 Base de la corolle formant une saillie quelconque. 16 194 1 10 11 13 14. 15 ) { { ) « ( CLEF DES GENRES. Calice à 5 segments ou 5 dents. Calice à 4 segments plus ou moins profonds. Feuilles pennatiséquées ou pennatipartites . Feuilles entières ou seulement dentées . ! Calice renflé; corolle tubuleuse, à lèvre supé- rieure en casque. . RE CCCLXXX VII. PEDICULARIS. Calice non renflé ; corolle globuleuse, à lèvre supérieure non en casque. . Ë CCCLX XVI. SCROPHULARIA. Feuilles plus ou moins nombreuses sur la tige. Feuilles toutes radicales. . re : CCCLXXXIL. LIMOSELLA. Feuilles opposées. Feuilles alternes . Corolle à tube plus ou moins marqué. TH Corolle globuleuse. CCCLXX VI. SCROPHULARIA. Calice muni à sa base de 2 bractées linéaires. ù CCCLXXX. GRATIOLA. Calice dépours u de bractées à la base. . : ; CCCLXXXI. LINDERNIA. Corolle à #lobes inégaux. CCCLX XV. DIGITALIS. Corolle à 5 segments échancrés. . - LP TES CCCLXXIV. ERINUS. Calice non renflé en vessie. Calice renflé en vessie . . ; CCCLXXX VII. RHINANTHUS. Lèvre supérieure de la corolle à bords non re- pliés en dehors. Lèvre supérieure de la corolle à bords repliés en dehors. . . CCCLXXXVI. MELAMPYRUM. Calice vert. Calice d’un violet noirâtre. S : CCCLXXXY. BARTSIA. Corolle à 2 lèvres inégales . . : . CÉCLXXXIV. EUPHRASIA. Corolle à 3 lobes à peu près égaux. . QUE Je RTE CCCEXXXIIL. TozzrA. 12 13 14 15 16 17 ! = CLEF DES GENRES. Saillie de la corolle prolongée en éperon droit ou recourbé. ; Saillie de la corolle prolongée en talon obtus. : . . CCCEXXVIT. ANTIRRHINUM. Corolle à gorge entièrement ouverte . Leds . CCCLXXIX. ANARRHINUM. Corolle à à gore ce fermée ou à peine ouverte . 4 its . « CCCLXXVIIT LINARIA. G4° F. — LENTIBULARIÉES. (Feuilles entières; hampe uniflore . 2 | CCCXC. PINGUICULA. Feuilles découpées en segments filiformes; hampe pluriflore. CCCXCL. UTRICULARTA. 65° F. — OROBANCHÉES. Calice à 2 lèvres; stigmate échancré. . - CCCXCIL. OROBANCHE. Calice campanulé, à 4 lobes; stigmate entier. RTS ; CCCX CI. LATHRÆA. 66° F. — PLOMBAGINÉES. CCCXCIV. ARMERIA. 67° F. — PLANTAGINÉES. Etamines et ovaire réunis dans chaque fleur. . CCCXCV. PLANTAGO. Etamines et ovaire séparés dans des fleurs diffé- rentes. . . . CCCXCVI. LITTORELLA. 68° F. — AMARANTACÉES. CCCXCVIE. AMARANTHUS. 69° F. — CHÉNOPODÉES. Etamines et ovaire réunis dans chaque fleur. Etamines et ovaire séparés dans des fleurs diffé- rentes. . . . . . CCCCIIT. ATRIPLEX. Feuilles linéaires, mucronées et piquantes . Feuilles à limbe plus ou moinsélargi, non piquant. 17 Le ce 5 196 CS) Qt le F — CLEF DES GENRES. Périanthe à 5 segments . Périanthe à 2 2 segments ; à CCCXCIX. CORISPERMUM. 5 étamines ; sépales munis sur le dos d’un appen- dice scarieux. . . CCCXCVIIT. SALSOLA. 3 étamines; sépales dépourvus d’appendice sca- rieux.. . . . . -, GCCC. POLYCNEMUN: Graines toutes placées horizontalement. CCCCL CHENOPODIUM. Graines toutes ou presque toutes disposées ver- ticalement. . . . . CCCCIL Bzrrux. 70° F. — POLYGONÉES. Périanthe calicinal; stigmates en pinceau . . à CCCCIV. RuMEx. Périanthe pétaloïdal ; ‘stigmates en tête. . . Ur ir ."CCCCV. POLYGONUX. 71° F. — THYMÉLÉES. Tige herbacée. . . . (CCCCVI. STELLERA. Tige ligneuse. . . . . CCCCVIL DAPHNE. 72° F. — SANTALACÉES. Tige herbacée. . . . CCCCVII. THesiux. Tige ligneuse. . . . . CCCCIX. Osvris. 73° F. — ÉLÉAGNÉES. CCCCX. HyYPOPHAE. 7% F. — ARISTOLOCHIDÉES. Corolle irrégulière, jaunâtre . . : CCCCXI. ARISTOLOCHIA. Corolle régulière d’un pourpre noir. . SAT RE CCCCXIL. ASARU». 75° F. — EMPÉTRÉES. CCCCXIIL EMPETRUM. CSS PT TT CLEF DES GENRES. 76° F. — EUPHORBIACÉES. LU ee ES edit rt Tige ligneuse . . . . CCCCXIV. Buxus. Plantes à suc laiteux . CCCCXV. EuPHoRBrA. Plantes sans suc laiteux.CCCCX VI. MERCURIALIS. 77° F. — URTICÉES. Dee ODDOSÉeS ET EUR nn - Feuilles alternes. . CCCCXVIIL. PARIETARIA. Tige non grimpante ; feuilles occasionnant des piqûres brülantes . CCCCXVIT. URTICA. Tige grimpante; feuilles n’occasionnant pas de piqüres brûlantes. . CCCCXIX. HUXULUS. 78° F. — ULMACÉES. Fleurs paraissant avant les feuilles; capsule aplatie, entourée d’une aile membraneuse. . CCCCXX. Urmus. Fleurs paraissant en même temps que les feuilles; fruit charnu et globuleux. . nids List: CCCCXXI. CELTIS. 79° F. — AMENTACÉES. Fleurs monoïques. Fleurs dioïques Chatons à étamines cylindriques et allongés. Chatons à étamines globuleux. . RCE AGE SE . CCCCXXIV. FAGUS. Fleurs à étamines en chatons pendants . Fleurs à étamines en chatons raides et dressés. à CCCCXXY. CASTANEA. Fleurs carpellées solitaires, agrégées ou en épis, mais non en chatons . Fleurs carpellées disposées en chatons, aussi bien que les fleurs à étamines . 197 19 19 © DD [> 6 198 6 CS | [Le] & CT, PL CR rm » \ CLEF DES GENRES. Fleurs à étamines en chatons serrés; fruit en- touré d’un involucre foliacé . Ë CCCCXXIT. CORYLUS. Fleurs à étamines en chatons grèles et interrom- pus; fruit entouré seulement à la base d’une petite coupe hémisphérique, écailleuse et dure : . . . . CCCCXXIII. Quercus-. Chatons des fleurs carpellées non pee en grappes rameuses . . Chatons des fleurs ce carpellées disposés en grappes rameuses. . . . CCCCXXVIIL Arnus. Fleurs carpellées en cônes lâches ; fruits ovoïdes-comprimés, mais non entourés d’une aile membraneuse. CCCCXXVI. CARPINUS. Fleurs carpellées en chatons cylindriques ; fruits rs entourés d’une aile membraneuse. NRX : . CCCCXXVIL BETULA. Feuilles sessiles ou à court pétiole. . à CCCCXXIX. PoruLus. Feuilles toujours longuement pétiolées . . . cp RE are CCCCXXX. SALIx. 80° F. — CONIFÈRES. Fleurs monoïques; fruit en forme de cône formé d’écailles imbriquées. Fleurs ous fruit en forme de baie char- nue A NT. | Feuilles solitaires . Feuilles réunies par petits faisceaux de 2 à 20. Feuilles raides, persistantes; cônes oblongs-cy- lindriques . .. . CCCCXXXIT. AÂBres. Feuilles molles, tombant à l’automne; cônes oyoïdes. . . . . CCCCXXXI. Lanrx. Feuilles par petits faisceaux de 2 à 5 ; écailles des cônes épaissies au sommet. . : CCCCXXXIIL. Prvus. Feuilles par faisceaux de 15 à 20 ; écailles des cônes également minces dans toute leur lon- gueur . . 0... CCCCXXXE Tanix- + | | 1 CLEF DES GENRES. Feuilles verticillées 3 à 3; fruit globuleux, ren- fermant 3 graines. CCCCXXXIV. JUNIPERUS. Feuilles éparses ; fruit ouvert au sommet et ne contenant que À g graine. CCCCXXX V. TAxUS. 81° F. — ASPARAGÉES. Tige herbacée ; feuilles non terminées en pointe épineuse . Tige sous- ligneuse ; feuilles terminées en pointe épineuse . . . . . CCCOXLI. Ruscus. Tige non grimpante ; ovaire dans la fleur Tie CHAR ovaire sousla fleur. . ; CCCCXLIL. TAMus. Feuilles à limbe plus ou moins élargi, jamais fasciculées . Feuilles filiformes, réunies en petits faisceaux. CCCCXXXVE ASPARAGUS. Tige pluriflore ; fleurs blanches. . Tige uniflore ; fleur verte . CCCCXL. PARIS. Tige ou hampe simple . . Tige rameuse. . CCCCXXXVIL. STREPTOPUS. Périanthe tubuleux ou en grelot, à 6 dents; feuilles jamais en cœur . : CCCCXXXVIIL. CONYALLARIA. Périanthe à 4 pétales ouverts; feuilles en cœur. He CCCCXXXIX MATANTHEMUM. 82° F. — AROIDÉES. Longues feuilles en glaive ; fleurs non entourées d’une spathe . . . CCCEXLIV. ACORUS. Feuilles hastées ou sagittées ; fleurs entourées d’une spathe en forme de capuchon . . LÉ METRE CCCCXLIIT. ARUM. 83° F. — AMARYLLIDÉES. Périanthe dépourvu de couronne à la gorge. Périanthe offrant à sa gorge une couronne pétaloïdale . . . CCCOXLV. NARCISSUS. 199 200 [Da] = =! 9 f nn CS te CL TS CLEF DES GENRES. Périanthe à 6 segments égaux et de même forme .":/"CCCCXLVT LEUCOIUM: Périanthe à 6 segments inégaux et de forme dif- férente, les 3 extérieurs plus longs et lancéo- lés, les 3 intérieurs plus courts et échancrés. AL LAN CCCCXLVIT. GALANTHUS. 84° F. — LILIACÉES. Fleurs n'étant jamais en ombelle ; feuilles ino- dores. . Fleurs en ombelle simple : feuilles exhalant ordinairement une forte odeur . . Re CCCCLVE ALLIUM. Corolle polypétale. Corolle monopétale, en grelot er 1 fe RS CCCCLVIL MUSCaRL. Pétales sans marque particulière sur longlet. Pétales à onglet perte une mr particu- lière . Fleurs en grappe ou en corymbe . . Fleur solitaire . CCCCXLVIIL. TuiPa. Pétales non RÉ en dedans d’un profond sillon. c Pétales marqués en dedans d’un profond sillon. PATES IVe CCCCL. Lrziux. Fleurs en corymbe Fleurs en grappe . Fleurs jaunes en RU vertes en dehors . ; CCCCLIV. GAGEA. Fleurs blanches, rayées de vert. : ss COCCIN: ORNITHOGALUM. Elamines à filets filiformes, non dilatés à la base. Etamines à filets dilatés à la base. . . Hé: CCCCLV. ORNIT HOGALUM. Racine bulbeuse; fleurs bleues ou d’un violet lilacé, rarement blanches. CCCCLIIT. SCILLA. Racine fibreuse; fleurs toujours blanches. eds À . CCCCLIT. PHALANGIUM. 10 10 CLEF DES GENRES. Tige feuillée ; pétales marqués sur l'onglet d’une fossette nectarifère. CCCCXLIX. FRITILLARIA. Feuilles toutes radicales ; pétales intérieurs munis à leur base de deux tubercules necta- rifères. : … .. . .+CCCCLI. ERITHRONIUM. 85° F. — COLCHICACÉES. Tige plus ou moins feuillée. . Feuilles toutes radicales, ne paraissant ordinai- rement ne ‘après les fleurs. . . non: ue TACCCCLX: COLCHIQUN. Feuilles linéaires. . CCCCLVIIL TOrFIELDrA. Feuilles ovales-lancéolées . CCCCLIX. VERATRUN. 86° F. — IRIDÉES. Styles non élargis en forme de pétales. mn E élargis en forme de pétales. . 3 A CCC Us. Périanthe régulier; hampe uniflore. . : CCCCLXI. CROCUS. Périanthe irrégulier ; ; tige portant plusieurs fleurs. . . . : CCCCLXIIL. GLADIOLUS. 87° F. — ORCHIDÉES. Plantes munies de feuilles. Plantes dépourvues de feuilles. Tablier (pétale inférieur) non prolongé enéperon. Tablier prolongé en éperon. CCCCLXIV. ORCHIS. Se CYbnAPIQUE + + . .. : Tige triangulaire. . . CCCCLXIX. Lipanis. Racine tuberculeuse. Racine fibreuse Fleurs blanches, disposées en spirale. CCCCLXVIL NEOTTIA. Fleurs n'étant ni blanches ni en spirale . . RE CCCCLXV. OpnRis. Los [Ra A WW 202 | I CLEF DES GENRES. Périanthe à 6 divisions; tablier non creusé en forme de sabot. Périanthe à 5 divisions; tablier creusé en forme de sabot. . CCCCLXXIIL. CYPRIPEDIUM. Racine rampante ; feuilles veinées en réseau. . L CCCCLX VIII. GOODIERA. Racine non rampante ; feuilles à nervures paral- Tèles MEME 1, OCCCXNT EPA GRS: Plante rousse ou blanchâtre. . Plante violette. . CCCCLXXII. LINODORUM. {_ Tablier à éperon; racine ramifiée comme une branche de corail . Tablier sans éperon; racine formée de fibres en- trelacées. . . . CCCCLXVI. EPipACTIS: { Fleurs renversées, à éperon dressé, renflé en 10 LD forme de capuchon. CCCCLXXI. EPrPOGIux. Fleurs droites, à éperon très-court, caché dans les divisions latérales du périanthe. ; are CCCCLXX. CORALLORHIZA. 88° F. — HYDROCHARIDÉES. Feuilles arrondies et en cœur. É CCCCLXXIV. HyDROCHARIS. Longues feuilles linéaires . . à Zee CECCLXXV: VALLISNERIA. 89° F. — ALISMACÉES. Feuilles n'étant jamais en fer de flèche . Feuilles en fer de flèche. . c . CCCCLXXV IL. SAGITTARIA. Feuilles non filiformes . . ; Feuilles filiformes. CCCCLXXIX. TRIGLOCHIN. Feuilles pétiolées, à nervures convergentes. . CCCCLXXVIIT. ALISMA. Feuilles linéaires, à nervures parallèles. MAT CCCCLXX VI. Buromus. 90° F. — JONCÉES. Périanthe calicinal. . Périanthe pétaloïdal, bleu ou blanc . SR ; . CCCCLXXX. APHYLLANTHES. 10 LE] [D] [Le di CLEF DES GENRES. Feuilles glabres, plus ou moins cylindriques ; capsule à 3 loges. CCCCLXXXIT. Juncus. Feuilles plus ou moins poilues, toujours planes ; capsule à { seule loge. CCCCLXXXI. LuzULA. 91° F. — TYPHACÉES. Fleurs disposées en chatons cylindriques ou ellip- tiques. . . . . CCCCLXXXII. Typxa. Fleurs disposées en têtes globuleuses. : ; CCCCLXXXIV. SPARGANIUM. 92° F. — CYPÉRACÉES. Fleurs renfermant chacune des étamines et un ovaire. : Etamines et ovaire séparés dans des fleurs diffé- ÉD a COCO XCI CÂAREX. Ecailles disposées sur 2 rangs opposés. Ecailles imbriquées dans tous les sens. Fleurs en faux corymbe muni à sa base de brac- tées foliacées. . CCCCLXXXV. CyPERUS. Fleurs en tête compacte, munie à sa base de brac- tées scarieuses. CCCCLXXXVI. SCHOENUS. Graines nues ou à poils plus courts que l’épi. Graines accompagnées de longs poils blanes et DANPIIR ee 01e CCCCXC. ERIOPHORUM. Ecailles inférieures des épillets plus ETES que les autres et stériles Ecailles toutes ou presque toutes fertiles, les in- férieures plus grandes que les supérieures. à ; CCCCLXXXIX. SCIRPUS. Ovaire sd Se de soies à la base; style fili- forme et caduc. CCCCLXXX VII CLADIUM. Ovaire muni de soies à la base ; style conique et persistant. CCCCLXXXVIIL. RHINCOSPORA. 93: F. — GRAMINÉES. Fleurs sans glumes, n’ayant que des SFrpE M Fleurs ayant glumes et glumelles. Fleurs en panicule lâche. . DIIT LEERSrA. Fleurs en Ve GA) etunilatéral. . . DXXXIV. NaRDUS. 203 10 9 © 204 4 9 10 11 13 14 | | ee Po, CLEF DES GENRES. Fleurs disposées au sommet de la “ee en épis linéaires et digités. : Fleurs disposées autrement qu’ en épis digités Epillets comprimés par le dos . DE. à.” Epillets comprimés par le côté. DIE CyNopon. Glume inférieure plus grande que la supérieure. CÉCCX CIL. ANDROPOGON. Glume inférieure plus petite que la supérieure. LEE CCCCXCIIL DiGITARIA. Glumes ne contenant que { seule fleur. Glumes renfermant 2 ou plusieurs fleurs. Epillets tous distinctement pédicellés. à Epillets entièrement sessiles sur un axe échan- CTÉ ones = ++. DA XXI NHNNNNS Styles allongés; stigmates sortant au sommet des glumelles ou un peu au dessous Styles “nuls ou très-courts; stigmates sortant vers la partie inférieure des glumelles ou vers leur milieu . , « PRE Epillets comprimés par le dos . Epillets comprimés par le côté. Glume inférieure plus petite que la supérieure. Glume inférieure plus grande que la supérieure. pt ; CCCCXCIL. ANDROFOGON. Glume extérieure hérissée de petites pointes crochues ..: .. "OCCCXCYERMAERS Glume extérieure non hérissonnée . . SRE ES CCCEXCINE PANICUM. Glumes égales ou peu inégales; 3 étamines . Glumes très-inégales : 2 étamines. CCCCXCVIL ANTHOXANTHUM. Fleurs n’étant pas disposées en épis linéaires. . Fleurs disposées en épis linéaires et presque unilatéraux. . . . DL CHAMAGROSTIS. 2 glumelles ne portant Loges d’arète ge- nouillée . Glumelle unique, por tant sur le dos ou à la base une arête genouillée. . CCCCXCVIIL. ALOPECURUS. a+ 1% 15 CLEF DES GENRES. Glumelles plus petites que les glumes Glumelles plus longues que les glumes . . L ASTRA. CCCCXCIX. CRyPsis. Fleurs en panicule rameuse, ou ovale et serrée ; glumes accompagnées de glumelles stériles accessoires. . . CCCCXCOVI PHALARIS. Fleurs en épi cylindrique; glumes non accom- 5 de glumelles stériles accessoires. 0e . D. PHLEUN. Graine libre entre les glumelles Graine étroitement serrée entre les glumelles. Glumes non terminées par une arête. À Glumes terminées l’une et l’autre par une PER led sc - à DIV. POLYPOGON. Glumelles glabres à la base ou à poils très-courts. Glumelles entourées à la base de longs poils soyeux . . . . DVI. CALAMAGROSTIS. Glumes présentant inférieurement un petit renflement ; glumelles glabres à la base . à DVIL GASTRIDIUM. Glumes sans renflement à leur partie inférieure ; lumelles munies à la base d’un petit faisceau de poils très-courts . . . DV. AGROSTIs. Glumelles sans arête . . . DVIIL Mrcium. Glumelle inférieure terminée par une longue DONAUR osder- rare: DIX. -STIRA Epillets distinctement pédicellés : Epillets entièrement sessiles sur un axe échancré. Glumes très-grandes, embrassant presque entiè- rement l épillet. Glumes toujours beaucoup plus courtes que lépillet à Stigmates filiformes, sortant au sommet des glumelles Stigmates plumeux, sortant vers la base des glu- melles ù HAMA ITAr 7... Fleurs en tête arrondie, hérissée dé pointes raides. . . DX. ECHINARIA. Fleurs en épi ovale-oblong, non hérissé de pointes. : . (1h. . . DXI. SESLERIA. 23 46 24 39 25 26 30 31 33 CLEF DES GENRES. Fleurs munies d’une ou de plusieurs arêtes . Fleurs dépourvues d’arêtes . : Arèêtes naissant sur le dos ou à la base des fleurs. Arètes naissant au sommet ou près du sommet des fleurs . A RS, OP Epillets composés de fleurs toutes complètes et fertiles Epillets composés ‘de 2 fleurs différentes, Pune complète, l’autre n’ayant pas des étamines. Arète genouillée, pe plus longue que les fleurs. Arèête droite ou presque droite, plus ‘courte qe la fleur ou à peine plus longue. AE 2 BL E DXUL Arra- Feuilles toutes enroulées-filiformes; glumes n'ayant jamais que 2 fleurs. . DXIIE Arra. Feuilles planes, au moins celles de la tige ; glumes ayant souvent plus de 2 fleurs. LEE” TM DXVI AYENA. Glumelle inférieure entière au sommet; fleur stérile placée au dessus de la fleur complète. DXIV. HoLcus. Glumelle inférieure tridentée au sommet ; fleur stérile placée au dessous dela fleur complète. en AUS De . DXV. ARRHENATERUM. Epillets évidemment pédicellés et disposés en panicule ; chaumes penchés à la maturité. 3 DXVIL. DANTHONIA. Epillets à pédicelles si courts que la panicule ressemble à un épi serré; chaumes toujours dressés : du ©: : .: CDXI KO ER Glumelles obtuses ou acuminées, jamais bifides. Glumelle inférieure bifide au sommet et por- tant une dent dans l’échancrure ! DXVIL. DANTHONIA. Glumes en en carène aiguë. . . DXIL KoëLERIA. Glumesconv exes, adosarrondi. DX VII. MEL1ca. 30 34 43 44 45 46 CLEF DES GENRES. Epillets évidemment es et disposés en panicule . Epillets à pédicelles si courts que la panicule ressemble à un épi ou à une grappe Glumelles glabres à la base ou à poilstrès-courts. Glumelles ‘entourées de longs poils à la base. APE : DXIX. PHRAGMITES. Glumelles sans arèête. ; Glumelles munies d’une arête. plus ‘où moins longue ALLE : Epillets solitaires, ou non réunis en paquets compactes et tournés du même côté Epillets réunis en paquets compactes et tournés du même côté . DXXIV. Dacryuis. Glumelles à dos arrondi Glumelle inférieure comprimée en carène aiguë. DXX. Po. Petits épillets nes et assez consistants ; Gros épillets tremblotants.. . DXXIL Biz. Glumelle inférieure obtuse. DXXI. GLYCERIA. Glumelle inférieure très-aiguë. DXXV. FESTUCA. Epillets solitaires, ou non réunis en paquets compactes et tournés du même côté . Epillets réunis en paquets compactes et tournés du même côté. . DXXIV. DACTYLIS. Arête terminant la glumelle. DXXV. FESTUCA. Arèête insérée un peu au dessous du sommet de la glumelle . . . . DXXVIL Bromus. FRS non munis à la base de bractées pecti- nées . . HR munis à la base de bractées pectinées. ! DXXIIL CyNosurRus. Glumellesupérieure très- finement ciliée ; épillets serrés en épi rameux. . DXXYV. FESTUCA. Glumelle supérieure bordée de cils raides; si peu serrés, en grappe simple . , . . DXXVI BRACHYPODIUM. Caumelles sans arête ou à arête droite et ter- minale £ Glumelle inférieure portant sur le dos une arête genouillée. . . . DXXVIIL GAUDINIA. 10 #1 43 SC | = HI Partie. — CLEF DES ESPÈCES. — nn PL, CLEF DES ESPÈCES. re F, — RENONCULACÉES. I. ADONIS. | Pétales planes; carpelles à bec denté. , Pétales concaves; PHIPAIEEPES à bec non denté. Mis k : A. autumnalis (1). Pétales arrondis au sommet; carpelles à bec presque terminal et muni de deux dents . . . À æstivalis (2). Pétales linéaires-lancéolés, souvent denticulés au sommet ; carpelles à bec entièrement laté- ral et muni d’une seule dent. À. flammea (3). IL Myosurus. M. minimus (4). IL. RANUNCULUS. Fleurs blanches Fleurs jaunes . Plante flottante dans l’eau ou dass sur là terre . Plante jamais flottante dans Peau ni “rampante sur la terre . RCE . Feuilles toutes divisées en segments capillaires. Feuilles n’étant pas ou n’étant pas toutes divi- sées en segments Capillaires. + - . - - 211 La ES 1 CLEF DES GENRES. 210 Feuilles toutes semblables et fertiles; fructifi- cations disposées en lignes transversales 12 . . DL. ASPLENIUM. Feuilles de forme différente, les unes fertiles, les autres stériles ; fructifications disposées sur 2 lignes parallèles ; DLII. BLECHNUM. Fructifications entremèlées d’écailles brillantes qui recouvrent à la fin toute la face inférieure . DXLV. CETERACH. _ 13 des feuilles. . Fructifications disposées en groupes arrondis, non entremêlés d’écailles . . 1 . 167 -2DXDNE POLYPODIUN. 99° F. — MARSILÉACÉES. Feuilles à 4 folioles disposées en croix DLV. MARSILEA. Feuilles linéaires et très-entières ; : ï a DI VIS PILULARIA 100° F. — LYCOPODIACÉES. DLVII. LycOPODIUM. LIU PARTIE. CLEF DES ESPÈCES. dre F, — RENONCULACÉES. I. ADONIS. . Pétales planes; carpelles à bec denté. et CL Pétales concaves; carpelles à bec non denté. AA A : A. autumnalis (1). Pétales arrondis au sommet; carpelles à bec presque terminal et muni de deux dents . A æstivalis (2). Pétales linéaires-lancéolés, souvent denticulés au sommet; carpelles à bec entièrement laté- ral et muni d’une seule dent. À. flammea (3). IL Myosurus. M. minimus (4). III. RANUNCULUS. Fleurs blanches Fleurs jaunes . Plante flottante dans l’eau ou She sur la LOLEe nt L. Plante jamais flottante dans Peau ni rampante sur la terre . à ; rer: Feuilles toutes divisées en segments capillaires. Feuilles n’étant pas ou n'étant pas toutes divi- sées en segments capillaires. - __ CLÉF DES ESPÈCES. 211 D = 1 15 | | | | { | / | CLEF DES ESPÈCES. Feuilles divisées en segments plus ou moins di- variqués . Feuilles diviséesen segments allongés et REte para" SES TE ERER fluitans (10). Segments des feuilles n’étant pas disposés sur un même plan en un cercle rayonnant Segments des feuilles disposés sur un même plan en un cercle rayonnant. . RD NSNE PRE R. divaricatus (9). Feuilles se rapprochant en pinceau quand on les sort de l’eau. R. aquatilis (7). Feuilles ne se rapprochant pas en pinceau quand on les sort de l’eau. . R. fricophyllus (8). Feuilles toutes réniformes, en cœur, à 3-5 lobes. Feuilles de deux sortes, les unes réniformes à 3-5 partitions, les autres divisées en segments capillaires. . =. . . . R. aguatilis (7). Pétales à peine plus longs que le calice; feuilles à lobes entiers. R. hederaceus (5). Pétales beaucoup plus longs que le calice; feuilles à lobes crénelés. R. Lenormandi (6). Tige rameuse et multiflore. . . . . .. Tige simple et uniflore . R. alpestris (13). Pédoneules velus. R. aconitifolius (11). HÉAARENIESERDEES PURE pubescents. É ve R. platanifolius (12). Feuilles entières ou simplement dentées . Feuilles plus où moins découpées . Feuilles n'étant jamais en cœur arrondi. . . Feuille inférieure en cœur arrondi. R. fhora (14). Feuilles toutes linéaires-lancéolées ou lancéo- lées et sans pétiole. 2 à Feuilles radicales très-longuement pétiolées. Le . . _R. flammula (16). Tige pleine; calice glabre. R. gramineus (15). | Tige fistuleuse : : calice pubescent. R. lingua (17). Plantes sans stolons rampants et radicants . Plantes à stolons rampants et radicants : . ONE R. repens (20). 6 10 16 16 17 18 20 CLEF DES ESPÈCES. Feuilles à limbe entièrement glabre . Feuilles à limbe plus ou moins velu . Carpelles non disposés en cône saillant . Carpelles Apr en cône saillant. . 24 SATA Tr R. sceleratus (1). Tige et pétioles parfaitement glabres; pétales CAAUCS ia ue . R. auricomus (23). Tige et pe pubescents; pétales persistants. R montanus (24). calice dressé ou étalé. Calice réfléchi. Carpelles non hérissés d’aiguillons. ; Carpelles hérissés d'aiguillons. R. arvensis (30). PFédoncules sillonnés . Pédoncules non sillonnés. Fige rameuse, portant toujours plusieurs fleurs. R. nemorosus (22). Tige ordinairement simple etuniflore. . k BAUME Lots R, chærophyllos (18). Tige couverte de poils étalés ou réfléchis. Tige couverte de poils appliqués. R. acris (25). Carpelles à bec droit et très-court. . L . R. Friesanus (26). Carpelles à bec fortement courbé en spirale et égalant la moitié de leur longueur. . FRET OS ; R. lanuginosus (27). Racine à collet non renflé en bulbe, : Racine à collet renflé en bulbe. R. bulbosus (21). Racine fibreuse ; carpelles tuberculeux . itacine grumneleuse: carpelles non tuberculeux. AU . . R. Monspeliacus (19). Réceptacle glabre; carpelles entièrement cou- verts de petits tubercules. R. parviflorus (29). Réceptacle velu ; carpelles seulement bordés d’un rang de tubercules . R. philonotis (28). IV. CERATOCEPHALUS. . . C. falcatus (32). V. FICARIA. , , . F. ranunculoides (33) 218 17 19 18 [ Le) Ed 26 19] 7 214 [Le] à Qt ES tu Pen CLEF DES ESPÈCES. VI. ANEMONE. Carpelles non terminés par une arête plumeuse. Carpelles terminés par une arête plumeuse. Fleurs blanches, rosées ou lilacées. - Fleurs d’un beau jaune. A. ranunculoides (38) : Hampe uniflore. 3 Hs multiflore ; fleurs en ombelle. . . . ; 4 CILTE A. narcissiflora (37). Pétales glabres en dehors. A. nemorosa (39). Pétales pubescents en dehors. A. sylvestris (40). Fleurs d’un violet noir ou d’un violet lilacé. Fleurs blanches, rarement un peu jaunes. . . à PER TU , A. alpina (36). Fleurs d’un violet noir et velouté. . È . . À. montana (34). Fleurs d'un violet clair et lilacé Ë e AE A. pulsatilla (33) É VII THALICTRUM. Carpelles simplement striés, sans ailes. Carpelles à 3 angles ailés. - Les Es. . T. aqui legifolèum (4) : Etamines pendantes . Etamines dressées ou projetées en avant. Absence de stipelles aux premières ramifications des pétioles. Premières ramifications des pétioles munies de stipelles. . . . . T. Jacquinianum (45). Feuilles presque toutes à folioles obovales ou arrondies. Feuilles toutes ou presque ‘toutes à folioles li- néaires-lancéolées ou mème filiformes. . PE NE EE T. Bauhini (47). Pétioles secondaires marqués d’angles saillants. Pétioles secondaires peu ou point anguleux. Souche non stolonifère ; tige feuillée jusque dans la panicule. . . T. majus (42). Souche stolonifère ; tige non feuillée jusque dans la panicule. . . . . T. montanum (43). CA 6 dŒ &9 CLEF DES ESPÈCES. Pétioles sillonnés en dessous; carpelles à stries égales. . ._. T. collinum qe Pétioles non sillonnés en dessous; carpelles à . stries inégales. . . . T. sylvaticum (44). Tige dure; fleurs en panicule pyramidale . Tige se comprimant par la pression; fleurs en pa- nicule corymbifor@ie. . . T. flavum (50). Fleurs projetées horizontalement pendant la flo- raison; carpelles aigus. . T. medium (48). Fleurs dressées pendant la floraison; carpelles Î.: TNA à laserpitüifotium (49). VIIL. CLEMATIS. . : . - C.'vifalba (51). BC CGaArEmA .… « .. . (Cpalustris (52) NA TROLLIUS. . : . . : TEuropœus (63). XI. HEBLEBORUS. . . . H. fœtidus (54). XII. IsopyruM . . . I. fthalictroides (55). XIII. NiGELLA. . . . . N. arvensis (56). XIV. AQUILEGIA. . . . A. vulgaris (57). XV. DELPHINIUM. Fleurs d’un bleu vif; Ne glabres. . , . D. consolida (38). Fleurs d’un bleu pâle capsules pubescentes. ; 3 D. pubescens (59). XVI. ACONITUM. Fleurs bleues . Fleurs jaunes . Casque hémisphérique ; pédoncules toujours dressés; fleurs en grappe. A. napellus (60). Casque en croissant ; pédoncules à la fin étalés- PAS, fleurs en panicule . 5 he PALIN. à A paniculatum (61). Casque beaucoup plus haut que large. . : : é A. lycoctonum (62). Casque à peu près aussi haut à large . ; ne A. anthora (63). XVII. ACTæA. ©. . . . À. spicaia (64). 10. A5 9 © 10 Le 1Ù ER ) CLEF DES ESPÈCES, 2° F. — BERBÉRIDÉES. XVIIL BERBERIS. B. vulgaris (65). 3° F. — NYMPHÆACÉES. XIX. NYMPHÆA . . . . . N. alba (66). XX. NUPHAR. ® N. luteum (67). 4° F. — PAPAVÉRACÉES. XXI. PAPAVER. Capsule glabre. Capsule plus ou moins velue Capsule obovale. . . P. rhœas (6 68. Capsule oblongue, en massue. P. dubium (6 69). Capsule ovale-globuleuse. P. tués um g. à Capsule en massue oblongue. P. nu. one XXII GLAUCIUM. G. luteum FA XXIIL CHELIDONIUM. C. majus (73). 5° F. — FUMARIACÉES. XXIV. FUMARIA. Sépales atteignant ou dépassant le tiers de la corolle Sépales 5-6 fois au moins s plus courts que la co- rolle . : ARE: Fruit globuleux, non échancré au sommet . Fruit plus large que long, tronqué et souvent échancré au sommet. F. officinalis (74). Petites fleurs ; feuilles à segments linéaires. : F. densiflora (78). Fleurs blanches, noires au sommet, les plus grandes du genre; feuilles à segments ovales- cunéiformes . . . . F. capreolata (75). Fruit terminé en Pile, même quand il est mûr. F. parviflora (77). Fruit obtus, au moins à la maturité . . ; op «RE F. Vaillantii (76:. © 1© l | : | ( 1© 17 CLEF DES ESPÈCES. XXV. CORYDALIS. Racine tuberculeuse ; feuilles non terminées en yrille. . Racine fibreuse ; ; ‘feuilles terminées par une lens. 2.7. © C. claviculata (ST). Pédicelles beaucoup plus courts que le fruit; fleurs en grappes réfléchies après la floraison, C. fabacea (80). Pédicelles égalant le fruit en longueur ; fleurs en grappes toujours droites. C. sotidu (79). G° F. — CRUCIFÈRES. XXVI. CHEIRANTHUS. . . C. cheiri (82). XXVII. NASTURTIUM. PR MEMES à hr l ne 2 Libre nie on Fleurs blanches. . . . . N. officinale (83). Pétales up à longs que le calice . _N. sylvestre (84). Pétales égalant à à peine le calice. : : : à A: palustre (83). XXVIIL. BARBAREA. Siliques plus ou moins écartées de l'axe. Siliques serrées contre l'axe. . ; -j à Sd PAR RUE B. stricta (86 bis, p. 594). Feuilles supérieures profondément penvätilides. B. præcoxz (87). Feuilles supérieures entières, ou seulement si- nuées, dentées ou incisées. B. vulgaris (86). XXIX,. TORRITIS. - . . T. glabra (88). XXX. ARABIS. Plante plus ou moins velue ou pubescente . | Plante glabre, A. brassicæformis (9 bis, p. 594). Fleurs blanches, quelquefois rosées ; gite sans aile ou à aile très-étroite . Fleurs d’un blanc jaunûtre ; graines entourées d’une large aile membraneuse. A. turrita (95). 10 Le a 1 E CLÈF DES ESPÈCES. Feuilles caulinaires sessiles, mais jamais em- brassantes . . Feuilles caulinaires à oreillettes embrassantés. Siliques dressées contre la tige. Siliques pee ou moins étalées. . Fi Se À. Thaliana (89). Fleurs Abe LT ER grappe très-allongée après la floraison ; plante bisannuelle. LR À. hirsuta (93). Fleurs peu nombreuses ; grappe peu allongée su la floraison; plante” vivace. . MEME À. muralis (94). Pétales : à Jimbe linéaire-oblong et dressé. Pétales à limbe obovale et étalé. A. alpina (90). Siliques plus ou moins étalées ou obliques . AE do contre la tige. . À. hirsuta (93). etes siainairés à à breillettes aiguës ; graines entourées d’une aile étroite. A. saxatilis (91). Feuilles caulinaires à oreillettes obtuses ; graines sans aïe... … - A. auriculata(92); XXXI. CARDAMINE. Pétales étalés, 3 fois plus longs que les sépales. Pétales dressés, ne dépassant pas 3 fois le calice. Feuilles toutes pennées; pétales blancs ou lilas. Feuilles radicales entières ; pétales blancs, à on- glet jaune . . . . C. thalictroides (98). Anthères jaunâtres; feuilles supérieures à fo- lioles linéaires et entières. C. pratensis (96). Anthères violacées ; feuilles supérieures à folioles anguleuses et dentées. . C. amara (97). Pétiole totalement dépourvu d’oreillettes à la base . Pétiole muni à la base de 2 oreillettes sagittées. C. impatiens (101). Tige héri issée Sat Et Tige entièrement glabre. C. par viflora (102). Feuilles radicales étalées; siliques appliquées contre la tige. . . . . CG. hirsuta (99). Feuilles radicales dressées; siliques non appli- quées contre la tige. . C. sylvatica (100). a+ 1 = FN 6 CLEF DES ESPÈCES. XXXII. DENTARIA. Feuilles digitées. Feuilles pennées. XXXIIL HESPERIS. XXXIV. SIsYyMBRIUM. Fleurs blanches. Fleurs jaunes . D. digitata (103). D. pinnata (104). H. matronalis (105). Feuilles ovales, en cœur, bordées de grosses dents, exhalant une odeur d'ail quand on les froisse . . . . S.alliaria (106). Feuilles pennatifides, sans odeur d'ail. . DRE es S. supinum ( 107). Feuilles inférieures simplement pennatipartites, à divisions plus ou moins élargies . ; Feuilles toutes 2-3 fois pennées ou pennatisé- quées, à segments linéaires. S. sophia (110). Feuilles supérieures hastées ou entières ; siliques exactement appliquées contre l'axe. . . S. officinale (108). Feuilles toutes pennatipartites : siliques n'étant 4 entièrement SprtEr contre l’axe . . S. Austriacum (109). XXXV. ERrysImum. Fleurs d’un beau jaune, peu ou point odorantes. Fleurs d’un jun pâle, très-odorantes é arts T2 E. ochroleucum (413). Siliques parallèles à la tige; fleurs un peu odo- rames . E. murale (112). Siliques non parallèles; fleurs inodores . . VE NASE E. cheiranthoides (411). XXXVI. Brassica. B. cheiranthiflora (114). XXXVII ERUCASTRUM. {_ Pédicelles inférieurs munis de bractées. , E. Pollichii (115) Pédicelles inférieurs dépourvus de bractées. | if 0% . E. obtusangulum (116). 219 [Le tm CLEF DES ESPÈCES. XXXVIIL SInaprs. Siliques serrées contre la tige. . . . . . 2 Siliques non serrées contre latige . . . . . 3 Siliques à valves HHATqUÉES de 3 nervures : S. arvensis (117). Siliques à à valves marquées de { seule nervure. Loan di: TE S. incana (118). Feuilles d'un vert foncé; siliques ascendantes, ordinairement glabres, à valves marquées de 3 nervures. . . . S. arvensis (117). Feuilles d’un vert clair ; siliques très-étalées, toujours hérissées, à valves marquées de 5 nervures. . . S. alba (117 bis, p. 59%). XXXIX. DIPLOTAXxIS. Tige sous-ligneuse à la base ; pres 1-2 fois plus longs que lafleur. D. tenuifolia (119). Tige entièrement herbacée; pédicelles égalant à peu près la fleur . . D. muralis (120). XL. RAPHANUS . . R. raphanistrum (191). XLI. ALYSSUM. Fieurs d’un jaune pales calice persistant. : A. calicinuim (122). Fleurs d’un beau ; jaune ; calice caduc. - RES . À. montanum (123). XLI bis. FARSETIA. F. D + (123 bis, p. 595). XLII. LUNARIA. . . . L. rediviva (12%). XLIIL. CLYPEOLA . ., C. jonéhlasni (425). XLIV. DRABA. Pétales entiers ou à peine échancrés. . . . 2 Pétales profondément fendus. D. verna (130). Fleurs blanches ou roses DUR PTIT Fieurs jaunes. . . . . D. aizoides (127). Feuilles ovales ou lancéolées, non lobées au sommet ; fleurs blanches. . 4 Feuilles divisées au sommet en 3-3 lobes digiti- formes; fleurs ordinairement roses, rarement blanches... . . . D. pyrenuica (126). n Lo, Ce LT TS TT a —— — CLEF DES ESPÈCES. Tige feuillée, à feuilles caulinaires embras- santes. . . . . . D. muralis (129). Hampe nue ou ne portant que 1-2 feuilles non embrassantes, . . . . D. nivalis (128). XLV. MYAGRUM. Fleurs jaunes ou jaunâtres. . . . . . . Fleurs blanches . M. saxatile (131). Fleurs d’un beau jaune . Fleurs d’un jaune pâle . Feuilles Prod à segments linéaires. SR yrenaicumn (133). Feuilles entières, sinuées, dentées ou pennati- partites, mais jamais divisées en segments li- néaires. . . . . M. amphibium (132). Silicules en forme de poire, à 4 côtes bien mar- quées; graines jaunâtres. M. sativum (13%). Silicules o ovales, à côtes peu marquées; graines brunes . . M. sylvestre (134 bis, p. 595). XLVI. THLASPI. Fleurs blanches . SAONE GENE MOULE, Fleurs rosées ou violettes . T. saxatile (140). Silicule bordée seulement au sommet Silicule entièrement entourée d’un rebord membraneux . . . . T. arvense (135). Style dépassant visiblement leslobes de léchan- crure de Ja silicule Style plus court que les: lobes de l’échancrure ou les égalant à peu près Feuilles glauques ou d’un vert gai. Feuilles d’un vert foncé. . T. Gaudinianum (137 bis, D. 595 ). Etamines beaucoup plus courtes que les pétales ; anthères d’un gris blanchâtre à la fin de la floraison. . . . . T. montanum (139). Etamines presque égales aux pétales; anthères noirâtres à la fin de la floraison. T. virens (438). 291 1 3 « A TS | ( CLEF DES ESPÈCES. Style égalant à peu près les lobes de l’échan- crure ; anthères d’un violet noirâtre à la fin de la floraison T. sylvestre (137). Style beaucoup plus court que les lobes de l'échancrure ; anthères ne devenant jamais d’un violet noirâtre. T. perfoliatum (136). XLVII. CapseLLa . C. bursa pastoris (1M). XLVIIL TEESDALIA. Tiges toutes dépourvues de feuilles ; pétales ré- guliers D . - T. lepidium (143) Tiges latérales portant 2-3 petites feuilles; pé- fales irréguliers . . T. nudicaulis (142). XLIX. IBERIS. Feuilles plus ou moins dentées, lobées ou in- cisées. : Feuilles, les supérieures au moins, lancéolées et très-entières. = songé in ÉSEIRE Feuilles découpées au sommet en lanières étroites . . . . JL. pénnata (144). Feuilles bordées seulement de 2-3 dents obtuses au sommet. . . . . . [. amara (145). Lobes de la silicule formant plus d’un angle droit par leur écartement ; Lobes de l’échancrure formant à peu près un angle droit. . I. Prostii (147 bis, p. 596). Rameaux courts, très-étalés . S I Violetti (447, p- 396). Rameaux allongés, ascendants "ir Cat FOR K Timeroyi (446). L. LEPIDIUM. Silicule entière ou à peine échancréeausommet. Silicule visiblement échancrée au sommet. Feuilles toutes profondément pennatiséquées . Feuilles, les supérieures au moins, entières ou seulement dentées. 1 ; Feuilles un peu rougeàtres; pétales de à peine le calice L. petræum (148). Feuilles d’un beau vert ; pétales 2 fois plus longs que le calice. . . . L. alpinum (149). 19 + TS 4 2 19 19 = CLEF DES ESPÈCES. Feuilles caulinaires linéaires; silicule entière. ls graminifolium (150). Feuilles caulinaires ovales ou oblongues ; sili- cule un peu échancrée. L. latifoléum (454). Valves de la silicule largement ailées. G Valves non ailées ou étroitement bordées . 7 Plante glauque, glabre, à odeur fétide et à sa- veur piquante. . . . L. sativum (152). Plante blanchûtre, pubescente, inodore et insi- Me. . -°. - UL. carpestré (1453). Feuilles in'érieures 1-2 fois pennées. . . L. ruderale (454). Feuilles simplement si sinuées-dentées. . , sé : L. draba (453). LI. BISCUTELLA. Calice ayant 2 de ses sépales éperonnés ‘à [a base. . B. hispida (156). Calice non “éperonné à la base ; à B. variabilis (457). LIL. ne 1» . L finctoria (158). LIL. SENEBIERA . . . S. coronopus (159). LIV. NESLIA. . . . N. paniculata (460). LV. CALEPINA. . . . . C. Corvini (161). LVL. Bunras. .. . .. .. B. erucago (162). LVIL RAPISTRUM. Article supérieur de la silicule plus court que lestyle. . . . R. rugosum (163). Article supérieur de la silicule plus long que le MAN NYE #0" L (R Linnæanum (164). 7° F. — CISTINÉES. LVIIL. Cistus. . . . C. salvifolius (165). LIX. HELIANTHEMUM. ANNE A À. se 20. 2 PR RO nl: Doudou? ‘F2 Feuilles, au moins quelques unes, munies de stipules . . PTT 3 Feuillestoutes dépourvues de stipules ACTE 9 19 1Ÿ = ES =! 9 } 10 € CLEF DES ESPÈCES. Tige sous-ligneuse à la base Tige entièrement herbacée . Feuilles vertesou seulement cendrées en dessous. Feuilles blanches-tomenteuses en dessous . mr 5 mb . H. vulgare (466). Corolle n'étant pas 3 fois plus longue que le calice. à Corolle 3 fois plus longue que le calice . she 0 ET TROT OTUME (469). Feuilles vertes sur les deux faces, les cauli- naires oblongues. . . H. obscurum (167). Feuilles cendrées en dessous, toutes ovales- arrondies . . . M. aummularium (168). Pétales plus courts que le calice, jamais tachés. Pétalesplus grands que le calice etordinairement tachés sur l'onglet . . H. guttatum (172). Pédoncules dressés, plus courts que les feuilles. . H. Niloticum (171). Pédoncules étalés horizontalement, plus longs que les feuilles. . H. denticulatum (170). Feuilles opposées, ovales ou oblongues Feuilles éparses, toutes linéaires. Feuilles blanches-tomenteuses en dessous . . H. canum (174). Feuilles velues, mais non blanches-tomenteuses en dessous . . . H. OElandicum (173). Feuilles du milieu de la tige sensiblement plus longues que celles du sommet : . H. fumana (176). Feuilles du milieu de la tige de la même longueur que ceiles du sommet. H procumbens (175). Feuilles à bords enroulés en dessous . À Feuilles planes en dessous ou à peine enroulées. Feuilles oblongues-linéaires; calice pubescent. H. pulverulentum (177). Feuilles linéaires ; calice presque glabre. . . PR H. pilosum (178). Calice pubescent . . 50 SUCRE Celice à peu près glabre. H, polifolium (180). 4 QT 10 11 13 14 15 © 6 9 10 CLEF DES ESPÈCES. Rameaux florifères dressés. H. velutinum (179). Rameaux florifères plus ou moins étalés. à . H. Apenninum (177 bis, p. 596). 8° F. — VIOLARIÉES. LX. VIOLA. Corolle concave ; stigmate MR en en- tonnoir - PHP Corolle aplatie ; stigmate en entonnoir . Fleurs blanches, bleues ou violacées . Fleurs jaunes. . . . . V. biflora (494). Feuilles toutes radicales; plantes sans tige ni stolons Plantes munies d’ une “véritable tige centrale ou de stolons latéraux. . . . hate Feuilles ovales-lancéolées, à pétiole hériseé Feuilles réniformes-arrondies, glabres ainsi que leur pétiole .. . . . V. palustris (181). Capsule pubescente ou hérissée . Capsule glabre. V. sciaphylla (183 bis, b. 896). Fleurs inodores ; stipules bordées de cils plus courts que leur diamètre transversal . . V, hirta (182). Fleurs légèrement odorantes; stipules bordées de cils aussi longs que leur diamètre trans- mel 0 7 : 7 PEN TCOUNe" (ESS). Plantes munies de stolons latéraux et couchés. Plantes à véritable tige centrale, dépourvues de stolons latéraux MP Feuilles ovales ou réniformes, mais non acumi- nées ; stolons tous ou la plupart radicants. Feuilles ovales et acuminées ; stolons la plupart non radicants. . . . . V. alba (184). Feuilles toutes ovales. . V. multicaulis (185). Feuilles des stolons de l’année réniformes-ar- TONUIES. Mann VasOdoraia (186), Slipules du milieu de la tige beaucoup pus courtes que les pétioles Stipules du milieu de la tige plus longues: que les pétioles . : 225 2 16 6 10 9 11 15 296 13 14 16 17 18 LE \ 6 sépales et 6 pétales. { CLEF DES ESPÈCES. Tige n’offrant pasuneligne de poils unilatéraux. Tige bordée d’une ligne de poils placés d’unseul côté. 212 7357 00 0 niratnlis (123) Feuilles à pétiole ailé au sommet . Feuilles à pétiole non ailé au sommet. Eperon vert; fleurs d’un bleu violet. . V. Ruppii (489). Eperon blanchâtre ; fleurs d’un lilas blanchâtre. 3 V. stagnina (191). Eros 3-4 ee plus long que les appendices du alice: ; V. sylvestris (187). Eperon à peine 2 fois plus long que les appen- dices du calice. V. canina (188). Tige glabre ; feuilles ovales, arrondies ou atté- nuées en coin à la base, mais non en cœur. . . V. pumila (190). Tige pubescente au sommet ; feuilles oblongues- lancéolées, légèrement en cœur à la base. . We: V. elatior (192). En . court que les pétales ; stipules pen- . natifides ou palmatifides. Eperon aussi long que les pétales ; stipules en- tières ou n’offrant que 1-2 incisions . . RES V. calcarata (195). Pétales is ne que les sépales . Pétales plus courts que les sul ou les éga- lant tout au plus 3 5 Stipules palmatifides, à dividor dictées à . . V. Sudetica (196). Stipules pennatifides, à divisions non digitées. : . V. alpestris (196 bis, p. © 396). Stipules ayant le lobe terminal très-entier ou à peine denté; feuilles glabres ou presque glabres. . . . V. segetalis (197). Stipules ayant le lobe terminal denté ou crénelé : = feuilles couvertes d’une pubescence cendrée. : aie . V. agrestis (498). 9° F. — RÉSÉDACÉES. LXI. RESEDA. 4 cépales et #4 pétales. R. luteola (201). 12 17 18 19 = 19 7 | CLEF DES ESPÈCES. Feuilles entières ou trilobées au sommet . . à R. phyteuma (199). Feuilles 1-2 fois pennatipartites. R. lutea (200). 10° F. — POLYGALÉES. LXII. POLYGALA. Bractées ne dépassant jamais les fleurs . Bractées dépassant les fleurs avant leur épa- nouissement. . . . . P. comosa (203). Racine vivace ; ailes du calice à 3 nervures . Racine annuelle; ailes du calice à 4 seule ner- MB Aer re lue), : Pagrilis (908). Feuilles caulinaires toutes alternes ou éparses. Feuilles caulinaires inférieures opposées. . sens Poflepes P. depressa (204). Fleurs roses, blanches ou d’un bleu vif . Petites fleurs d’un bleu cendré ARE TTOMRRE P. Austriaca (207). Plante à saveur herbacée RENE PORN FA Plante à saveur amère P. amara (206). Feuilles inférieures obovales-obtuses. P. calcarea (203). Feuilles toutes ou la plupart elliptiques-lan- céolées ou lancéolées-linéaires 4 "Lx dé aile EE D P. vulgaris (202). 11° F. — DROSÉRACÉES. LXIIT. PARNASSIA. P. palustris (209). LXIV. DROSERA. Feuilles à limbe arrondi. D. rotundifolia (210). Feuilles à limbe oblong. D. longifolia (211). 12° F. — CARYOPHYLLÉES. LXV. GYPSsOPHILA. Calice dépourvu d’écailles à la base . Calice muni d’écailles à la base ; &.. Moss italie « ( sazifraga (212). Tige dressée ; feuilles vertes. G. muralis (213). Tige couchée; feuilles glauques. G. repens (21%). 297 ES [RS Lo 09 19 6 = RS D Lo, 0 SC CLEF DES ESPÈCES. LXVI. DIANTHUS. Fleurs réunies en faisceau ou en tête serrée. Fleurs solitaires, géminées ou en fausse panicule. Fleurs rouges . . SUP NE Fleurs d’un rose pâle. ._ D. prohifer (215). Calice à écailles vertes et velues ; pétales fine- ment ponctués de blanc D. armeria (216). Calice à écailles glabres, brunes ou d’un rouge Fermelnens pétales non ponctués . . s ndsidé D. Carthusianorum (217). Pétales dentés, peer ou presque entiers. Pétales profondément divisés en lanières multi- fides . Le dt - Gaine formée par les feuilles, nulle ou aussi large que longue . Feuilles soudées en une gaîne dont la longueur SUREe 4 fois la ne à .… D. Carthusianorum (247). Ecailles du calice toutes ovales et terminées brusquement par une pointe courte. Ecailles du calice linéaires et acuminées, au moins les extérieures . LR Pétales barbus ou pubescents à la gorge. . Pétales glabres à la gorge. D. sylvestris (219). Calice d’un brun-violet foncé. . (ED sylvaticus (222). Calice n'étant pas d’un brun-violet foncé. k rs re IE D. cœsius (220). Pétales parsemés de pes points plus foncés ou blancs. . . . D. deltoides GE Pétales non ponctués. .. D. graniticus (221). Pétales barbus à la gorge. D. superbus (223). Pétales non barbus à la gorge . . 4 ce D. Monspessulanus (224). LXVII. SAPONARIA. Calice cylindrique, sans angles saillants. Calice pond à 5 angles ailés. ; ‘ S. vaccaria (223). Lee] 10 d ll 10 | PR TS ST EL CLEF DES ESPÈCES. Calice glabre. . . . . S. officinalis (226). Calice velu. . . . . S. ocymoides (227). LXVII. CucupaLus. . C. bacciferus (228). LXIX. SILENE. Calice glabre . : Galice velu ou pubescent. Calice non renflé en ballon . . . .: . . . Calice renflé en ballon. . . S. snflata (229). Fleurs roses ou blanches, jamais dioiques. Fleurs d’un ee verdâtre , souvent dioiques SE “ ce Re S. otites (233). Fleurs roses. Fleurs bianches. Tige nulle ou très-courte ; plante gazonnante . | S. acaulis (232). Tige droite, rameuse, assez élevée. . : D - : . S. armeria (230). Pétales échancrés ou dentés. MORE - Pétales entiers. . . . . S. armeria (230). Pétales profondément bifides . .. S. saxifraga (231 bis, P. 597). Pétales à limbe divisé en 4 dents inégales. ITS LE S. quadrifida (231). Pétales bifides ou bilobés. Pétales entiers ou à peine échancrés.… 3 + dos COINEO (234). Pétales A OT IRD EXT : Pétales simplement bilobés. . S. conica (237). Pétales munis d’appendices à la gorge. . , S. nutans (233) : Pétales dépourvus d’ appendices à la gorge . . ; . S. Italica (236). LXX. Lycanis. Etamines et ovaire réunis dans chaque fleur. Etamines et ovaire séparés dans des fleurs diffé- rentes et sur des pieds différents . 229 9 10 ES] 230 10 4 ln SE ER. 0 D 0 LP Sr CLEF DES ESPÈCES. Pétales entiers ou à peine échancrés . Pétales pres en # lanières inégales . . : PPS L. floscuculi (239). Calice à à dents bien plus courtes que les pétales. . . L. viscaria (238). Calice à dents foliacées dépassant les Ée: * Sa L. githago (240). Fleurs He see MORE RE Fleurs rouges. . . . . L. syluestris (242). LXXI. BUFFONIA. Racine vivace; 8 étamines. B. perennis (244) Racine annuelle ; 4 étamines. . MT ee Us B. macrosperma | (243). LXXII. SAGIna. Plante verte ; sépales non argentés sur les bords. Plante glauque ue argentés sur les bords. J : S. erecta (248). pédicelles Fo ou léprement penchés après la floraison . Pédicelles recourbés en crochet après la florai- son. . . . . . .S. procumbens (245). Feuilles ciliées au moins à la base ; sépales étalés en croix à la maturité . S. apetala (246). Feuilles non ciliées; sépales appliqués sur le fruit à la maturité. . . S. patula (247). LXXIIL SPERGULA. Feuilles opposées et sans stipules . Feuilles verticillées et stipulées Pétales plus longs que le calice. S. nodosa (249). Pétales au courts nee le calice ; : S. saginoïdes (230). Feuilles non marquées en dessous d’un sillon . Feuilles M en dessous d’un sillon. RÉ AE Re . S. arvensis (251). Pétales aigus. . . . . S. pentandra (252). Pétales obtus. . . . . S. Morisoni (253). LXXIV. MOEHRINGIA. . M. muscosa (254) © 4 6 2 4 TT CLEF LES ESFÈCES. LXXV. ARENARIA. Feuilles munies de stipules scarieuses. Feuilles dépourvues de stipules. Fleurs blanches; tige glabre. A. segetalis 255, Fleurs rouges ; tige pubescente. A. rubra (256). Feuilles ovales ou Mu 0 Feuilles linéaires . Pétales beaucoup plus courts que le calice . Pétales nr le calice ou le EE un peu. À. ciliata (262). Feuilles Mitédrés pétiolées. fe trinervia (263). Feuilles toutes sessiles. A. serpyllifolia (261). Pétales beaucoup plus courts que les sépales. Pétales égalant les sépales ou les dépassant. Fleurs en panicule lâche. A. fenuifolia (257). Fleurs en faisceaux formant une panicule serrée. A. fasciculata (258). Feuilles à 3 nervures; Me aigus, membra- neux sur les bords. . À. verna (259). Feuilles sans nervures ou n’en ayant qu’une seule peu marquée; sépales obtus, membra- neux seulement au sommet. À. striata (260). LXXVI HoLosræum . H. umbellatum (264). LXX VIT. STELLARIA. Fleurs munies de véritables pétales Fleurs sans pétales ou n’en ayant que de rudi- mentaires . . . . . S. apetala (267). Pétales 1-2 fois plus longs que le calice. Pétales plus courts se le calice ou le di AL 2 à peine . è ; Feuilles toutes Sales | et ou linéaires- lancéolées , Feuilles ovales et en cœur, les inférieures lon- guement pétiolées S. nemorum (265). Bractées entièrement vertes; capsules globu- leuses . : : -: . S. holostæa (268). Bractées membraneuses sur les bords ; capsules ovales-oblongues S. glauca (269). 11 231 NO D =1 LS 4 232 6 oo A RS LT CLEF DES ESPÈCES. Tige entièrement glabre. . . Tige présentant latéralement une ligne de poils. M S. media (266). Feuiiles linéaires ; bractées ciliées. . Er: graminea (270). Feuilles oblongues-lancéolées : bractées non ci- et 7 uliginosa (271). LXXVIIL CERASTIUM. Pétales n'étant pas ou étant à peine eus longs que le calice Pétales 1-2 iois plus longs que le calice | Pétales n'étant pas divisés sql LonsiFt; feuilles jamais en cœur * Pétales profondément fendus jusqu à onglet ; feuilles un peu en cœur. C. aquaticum (272. Pédicelles fructifères 2-3 fois plus longs que le ealice. Macs: Pédicelles fructifères plus courts que le calice ou tout au plus aussi longs. C. glomeratum (273). épales glabres au sommet . épales “barbus au sommet . . D: C. brachi ypetalum (274). Tiges latérales radicantes à la base . C. triviale (275). s latérales non | radicantes à la base . C. varians (276). S S Grandes fleurs à pétales 2 2 fois plus longs que le calice ; tige munie de rejets radicants ue Ce GTDENSEMEMA): Pétales 4 fois plus | longs que le calice ; tige dé- pourvue de rejets radicants, C. vardans (276. LXXIX. ELATINE. : Feuilles verticillées. . E. alsinastrum pu Feuilles opposées . E. hexandra (279). 43° F. — LINÉES. EXXX. Lrnunw. Feuilles toutes ou pEsAne toutes éparses ou al- ternes. LS Feuilles toutes opposées. Le “catharcticum (282). ( ES] Qi A | | : | \ \ [Ra] CL AT TS “ CLEF DES ESPÈCES. Fleurs bleues ou roses Fleurs jaunes +. . : . L. Gallicum (280). Fleurs bleues . 1 PAËN, PORN ARLES. Fleurs roses . . . . L. fenuifolium (281). Fleurs d’un beau bleu d'azur . Fleurs d’un bleu clair et pâle . tr: ; A angustifolium | (283). Pétales ne se recouvrant pas dans la moilié de . leur longueur; pédicelles dressés après la floraison . . . . L. alpinum (284). Pétales se recouvrant par leurs bords dans toute leur longeur ; pédicelles au et Lo ii après la floraison. Ne 77 L. Austriacum (285). LXXXI. RaDIOLA . . . R. linoides (286). 44° F. — MALVACÉES. LXXXII MaLva. Fleurs solitaires à l’aisselle des feuilles Fleurs fasciculées à l’aisselle des feuilles. Calice extérieur à sépales ovales; carpelles Slabregsah.«. 1: . M. alcea (287) Calice extérieur à sépales linéaires; carpelles velus-hérissés. . . . M. moschala (288). Fleurs blanches ou d’un rose pâle. . M. rotundifotia (289). Fleurs veinées, "violettes ou d’un rose foncé ge M. sylvestris (290). LXXXIIL ALTHÆA. Feuillesblanches-lomenteuses surles deux faces. . À. officinalis (291). Feuilles hérissées de quelques poils raides, sur- tout en dessous. . . . A. hirsuta (292). 45° F. — HYPÉRICINÉES. LXXXIV. HypErICUM. Etamines soudées en 3 faisceaux ; ; fruit capsulaire. Etamines soudées en 5 faisceaux ; fruit charnu avant la maturité. . H. andr csæmum (302), 9233 4 ) ES] Qt 6 1 LL Ë | CLEF DES ESPÈCES. Sépales sans cils ni dents ; Sépales bordés de cils ou de dents. Tige à # angles plus ou moins saillants . Tige offrant seulement 2 lignes peu saillantes. Tige à 4 angles ailés et très-saillants. ! +. H. tetrapterum (295). Tige à à 4 angles non ailés et peu saillants ; j x . H. quadrangulum (296). Tige ferme et droite. . H. perforatum (293;. Tige grêle et couchée. . H. humifusum (294). Feuilles ovales ou oblongues, plus ou moins embrassantes ch GstA : Feuilles rondes, à court pétiole. a . H. nummularium (301). Sépales bordés de petits cils glanduleux . Sépales bordés de longs cils non glanduleux. Re ; H. fimbriatum (297). Feuilles dures demi-amplexicaules ou cour- tement pétiolées ; Feuilles en cœur, entièrement amplexicaules. UE H. pulchrum (299). \ Plante glabre. . . . H. montanum (298. Plante velue-pubescente . H. hërsutum (300. 16° F. — TILIACÉES. LXXXV. TrLra. Feuilles pubescentes sur toute la page infé- rieure ; Capsule à côtes saillantes : TL: platyphyllos (303). Feuilles n'étant poilues en dessous qu'à lem- branchement des nervures; capsule à côtes peu ou point saillantes. T. microphylla (304). 17° F. — ACÉRINÉES. LXXXVI. ACER. Arbre ou arbuste à écorce rugueuse et crevassée. Arbre à écorce lisse . AÊr Feuilles à 3 lobes. . A Monspessulanum (305). Feuilles à 5 divisions. A. campestre (306. TE SG os No 10 (SLA 6 | CLEF DES ESFÈCES. Fleurs en corymbes dressés. Fleurs en longues grappes pendantes. $ gi À. pseudo-platanus (309). Feuilles à 5-7 HER acuminées x Due . A. platanoides (307). Feuilles à 3-3 lobes obtus. A. opulifolium (308). 18° F. — AMPÉLIDÉES. LXXXVIL Viris. . V. vinifera (310). 19° F. — GÉRANIÉES. LXXXVIIL GERANIUM. Pédoncules biflores + LA ur . Pédoncules uniflores . G. sanguineum (311). Pétales glabres au dessus de onglet. . Pétales velus ou ciliés au dessus de l'onglet. Feuilles réniformes, à lobes palmés ie Feuilles profondément pennatiséquées, à seg- ments pennatifides . G. Robertianum (312). Plante glabre et luisante. . G. /lucidum (313). Plante mollement pubescente à s G. rotundifolium (314). Pétales LT crénelés ou à peine échancrés. Pétales échancrés où profondément bifides Carpelles poilus; fleurs violettes ou bleuâtres. FRelles 6 glabres ; fleurs roses . , k ; G. columbinunt (391). Feuilles supérieures alternes ; carpelles ridés en travers. sx .… . G. phœum (315). Feuilles toutes opposées ; ; carpelles non ridés en travers. . . . . G. sylvaticum (316). (_ Tige cylindrique, pe ou point renflée vers les nœuds Tige quadrangulaire, ! ‘fortement renflée vers les nœuds. . . . G. nodosum (317). Feuilles divisées presque sun au pétiole en segments étroits Feuilles divisées en lobes élars gis, On ’atteignant pas au delà des deux tiers du limbe. 1 OS: 936 Lt À gi 1© nn. OS | / \ ( Î CLEF DES ESPÈCES, Pédoncules plus longs que les feuilles . . G. columbinum (321). Pédoncules plus courts que les feuilles ou tout au plus les égalant. . G. dissectum (3922). Pétales profondément bifides . . . . . . 12 Pétales simplement échanerés. . 27 A C'e pusillum (819). Fleurs violettes ou d’un rose lilacé : - . G. pyrenaicum (318) : Fleurs roses, ‘rarement blanches. G. molle (320). LXXXIX. ERODIOM. . E. cicutarium (393). 20° F. — OXALIDÉES. XC. OxALTs. 9 Fleurs jaunes . RS OT | Fleurs blanches, veinées. ©. acetosella (324). Tige dressée; feuilles sans stipules . . : O. stricta (323). Tige couchée et radicante ; feuilles stipulées. sde hui vid . O. corniculata (326). 91° F. — BALSAMINÉES. XCI. IMPATIENS. . . [. noli tangere (327). 22° F. — ZYGOPHYLLÉES. XCIT. TRIBULUS. . . . T. terrestris (328). 23° F. — RUTACÉES. XCIIL. RuTa. . . . R. graveolens (323): 24° F. — RHAMNÉES. XCIV. Evoxyuus. Jeunes rameaux quadrangulaires; capsule à angles obtus. . . . E. Europæus (330). Jeunes rameaux comprimés-arrondis ; capsule à angles aigus et ailés. E. latifolius (331). XCV. RHAMNUS. Feuilles opposées ou fasciculées; rameaux épi- neux 27. d 2 Feuilles alternes : rameaux non épineux. UT 4 pee [te D CT 1 | Ê { l +O er) 1 CLEF DES ESPÈCES. * Arbrisseau petit et très-rameux ; stipules 3 lant ou dépassant le pétiole . . . 3 Arbuste élevé; stipules beaucoup plus courtes que le péiole. . . R. catharcticus (332). Rameaux à écorce cendrée; stipales dépassant le pétiole, . . OR. ‘sarafins (343). Rameaux à écorce d’ un brun rougeàtre ; stipules égalant le pétiole. . . R. Villarsii (334). Feuilles décidentes, à nervures latérales bien marquées . . 5 Feuilles persistantes, “coriac es, à nervures laté- rales peu marquées . . R. alaternus (334 bis, p. 597). Feuilles crénelées; 4 sépales et #4 pétales .…. .. * R. alpinus (335). Feuilles entières; Ë sépales et 5 pétales. rage à Re NU TOME (336) XCVI. PALIURUS. . . . P. aculeatus (331). 95° F. — TÉRÉBINTHACÉES. XCVIL. PisTaCrA. . . P. terebinthus (338). 96° F. — LÉGUMINEUSES. XCVIIT. ULEx. Calice très-velu, à bractées ovales. . . U. Europœus (339) Calice finement pubescent ; à bractées li- néaires. . . . . « U. nanus (340). XCIX. SPARTIUM. . . . S. junceum (341). C. SAROTHAMNUS. Style roulé en spirale pendant la floraison S. vulgaris (342). Style simplement arqué pendant la floraison. SN: D S. purgans (343). CI GENISrA. MRAIDIDAUSE RS 02. ue « mu st 0 2 ORRIPET CRINPMRR Al. «+ 2 «4 LORS. 4 PRIMES SIREN He 1. 3 Feuilles trifoliolées. . . G. horrida (3%#). 238$ 4 — LS CLEF DES ESPÈCES. Jeunes rameaux et feuilles glabres. . : G. Anglica (343). Jeunes rameaux velus ; feuilles ciliées . . PAS A5 G. Germanica (346). Tige ligneuse, arrondie, non ailée. Tige herbacée, aplatie” et ailée .… . Ur ET G. sagittalis (347). Etendard velu-soyeux en dehors; gousse velue. . G. pilosa (348). Etendard et. gousse glabres. G. tinctoria (349). CII. CyTisus. Fleurs en grappes. Fleurs disposées autrement qu’ en gr rappes Fleurs en grappes pendantes . Fleurs en grappes dressées. C. sessilifolius (352). Gousses pubescentes-soyeuses, à bord supérieur épaissi. . . C. laburnum (350). Gousses glabres, à bord supérieur ailé . ter er Ai . C. alpinus (351). Fleurs axillaires ou en ombelle terminale Fleurs solitaires, géminées ou ternées au som- met des rameaux . C. argenteus (356). Fleurs en ombelles terminales. Fleurs fasciculées le long des rameaux Lu RAP C. elongatus (355). Tige dressée; calice velu. C. capitatus (353). Tige couchée ; calice PRE glabre. . ’ AL MERE . C. supinus (35%). CITE. OxoxIs. Fleurs roses ou blanches. Fleurs jaunes . Tige dressée, non radicante à la base. . : . 0. campestris (357). Tige couchée et radicante à la base : : M LE O. repens (358). Fleurs pédonculées, en grappes terminales . . Fleurs axillaires et sessiles. O. Columiwe (361). UD NN & 1© 4 6 1 CLEF DES ESPÈCES. Pédicelles aussi longs que le tube du calice. À O. natrix (359). Pédicelles 2 fois plus longs que le tube du calice. : POTTRONRE O. viscosa (360). CIV. ANTHYLLIS. Feuilles à 20-30 folioles toutes égales . A. montana (363). Feuilles inféri ieures à 3-3 folioles très-inégales, la terminale beaucoup plus grande que les autres . . . . . À. vuineraria (362). CV. MEDICAGO. Gousse sans épines ni tubercules . Gousse épineuse ou tuberculeuse . Fleurs jaunes . A PAU RER, Fleurs violettes. M. sativa (361). Gousse n'ayant pas la forme d’un disque orbicu- laire et aplati . Gousse ayant la forme d’un disque orbiculaire et sage Sins de 4-6 tours de spirale à ; M. orbicularis (367). Très-petites fleurs en têtes serrées ; gousse réni- forme, à seule graine. M. Zupulina (366). Fleurs en grappes multiflores ; gousse courbée en faucille ou un peu en spirale, renfermant plusieurs graines . M. falcata (365). Folioles ne portant pas une tache noiràtre sur la page supérieure. Folioles marquées d’une tache noirâtre sur la page supérieure . M. maculata (370). Stipules découpées profondément en dents ou lanières sétacées. bi entières ou très-légèrement dentées ; à : . M. minima (369). Hébicules mr Le que les feuilles. | M. denticulata (368) 3 Pédoncules plus courts que les feuilles, . M. apiculata (368 bis, p. 597). CVI. TRIGONELLA. . T. Monspeliara (372). 11. 239 ©: IN 1 19 _ 1! Le. 6 AD. 2m CLEF DES ESPÈCES. CVIL MELILOTUS. Fleurs jaunes . di Ses à + + Fleurs blanches. M. leucantha (375). Pétales inégaux Pétales tous égaux . M. macrorhiza (374). Gousse ovale, courtement pédicellée. . M. officinalis (373). Gousse slobuleuse, entièrement sessile . . 2e de M. parviflora (376). CVIIT. TRIFOLIUN. Fleurs rouges, roses, blanches ou blancnâtres . Fleurs jaunes Calice à dents velues ou ciliées. Calice glabre . Calice à dents égales ou peu inégales. Calice à dents très-inégales. . . Fleurs en épis ou capitules pédonculés . Fleurs en capitules sessiles . a Calice n'étant pas renflé en vessie membraneuse après la floraison ; capitules ovales ou oblongs. Calice renflé en vessie membraneuse Fr "la floraison; capitules globuleux . . ME . T. fragifer um (389). Calice à tube velu; .capitules ne s'enfonçant pas dans la terre après [a floraison . Calice à tube glabre; capitules s’en’ ‘onçant dans la terre après la floraison. T. subterraneum (388). Folioles obovales ou obcordées ; calice à dents plus courtes que la corolle . . TT. incarnatum (389). Folioles linéaires-oblongues : calice à dents plus longues que la corolle. . T. arvense (383). Fleurs en capitules terminaux, ordinairément géminés . . . . . T. Boccont (385) Fleurs en capitules, les uns terminaux, les au- tres axillaires. . . . T. sfriatum (386. 10 - [l œu ox ru Mis …t 9 10 11 13 14 15 17: 18 19 CLEF DES ESPÈCES. Fleurs en capitules terminaux. Fleurs en capitules sessiles, les uns term: AUX, les autres axillaires T. scabrum (387). Fleurs en capitules globuleux ou ovales. Fleurs en capitules oblongs-cylindriques. Capitules sessiles ou presque sessiles au centre d’un involucre foliacé. à Gas PR sans involuere à la base. AUS FRE . T. medium (378). Fleurs rouges, rarement blanches. Fleurs d’un blanc jaunâtre. Re ochroleucun (381. ). Stipules à partie libre ovale, brusquement ter- minée par une arête. T. pratense (377). Stipules à partie libre linéaire et longuement HOMMNNÉE, 22. |. 1. alpestre (379). Fleurs rouges; és très-glabre . . T. rubens (380). Fleurs d’un blanc rosé ; plante velue- hérissée ) ’ T. lagopus (384. Tige feuillée ; fleurs nombreuses, en capitules serrés. . . Pédoncules tous radicaux ; leurs peu nombreu- ses, en ombelle. . . . T. alpinum (397. Fieurs blanches ou d’un blanc rosé ; Fleurs d’un beau rose. T. elegans (396). Capitules pédonculés. Capitules sessiles, terminaux et axillaires … | Mo 067 à T. glomeratum (394). Tige droite ou ascendante; folioles oblongues- elliptiques ou linéaires-lancéolées . Tige couchée ; folioles obovales. Folioles oblongues-elliptiques ; fleurs blanches. T. montarnum (390). Folioles linéaires- “lancéolées ; fleurs rosées. . Lu. «+ … Testrictum (393). Pédoncules aussi longs ou plus longs que les feuilles ; 6 Pédoncules plus courts que les feuilles . . Hu y T. parviflorum (392). 241 13 16 18 19 20 19 tt CLEF DES ESPÈCES. Tige couchée et radicante ; pédicelles tous réflé- chis après la floraison . T. repens (394). Tige couchée, mais non radicante ; pédicelles su- périeurs toujours dressés. . T. Thalii (395). Feuilles toutes alternes . Feuilles de opposées. . ; TE: RU . spadiceum (398). Fleurs brunissant après la floraison . ; Fleurs devenant blanchâtres après la floraison. Folioles toutes presque sessiles. : TC agrarium (399). Foliole du milieu longuement pétiolulée. . . nn . T. procumbens (400). Etendard finement strié ; ue plus larges à la base qu’au milieu. . T. filiforme Hoi) Etendard lisse; stipules aussi larges au Cia qu'a-la bises. At micranthum (402). CIX. TETRAGONOLOBUS. T. siliquosus (403). CX. Lorus. Dents du calice égalant tout au plus son tube. Dents du calice plus longues ee son tube. . | Folioles obovales-cunéiformes . Folioles des feuilles supérieures oblongues- li- NÉAIMES PAS «Ÿ .. 2) Or tenuifolius (405). Dents du calice dressées avant l'épanouissement des fleurs . . . . L. corniculatus (404). Dents du calice étalées ou même réfléchies avant l'épanouissement des fleurs. L. major (406). CXTI. PSORALEA. P. bituminosa (408). “CXIT. ASTRAGALUS. Tige herbacée. . Tige sous-ligneuse. À. aristatus (HA bis, p. 398). Fleurs jamais bleues ni violettes . . 5 Fleurs bleues ou violettes. A. montanus (19). Tige feuillée - ; Feuilles toutes radicales. x L A. Monspessulanus (411). 23 24 25 4 F n CLEF DES ESPÈCES. Gousse triangulaire, arquée et presque glabre. A. glycyphyllos (409). Gousse ovoide, hérissée de poils noirâtres . . {VER . À. cicer (M0). GX. ue «ns ut. Palpina (413). CXIV. CORONILLA. Tige ligneuse ou NN LUE au moins à la ase . Mae EE Tige entièrement herbacée | Tige couchée; onglets des pétales n'étant pas tous 3 fois plus longs que le calice. Arbrisseau dressé ; onglets des pétales tous 3 fois plus longs que le calice. . C. emerus (414). Folioles inférieures écartées de la base du pé- PRG Cd 2e . C. vaginalis (415). Folioles inférieures rapprochées de la base du PORUIE. 0 . . . .. . C. minima (A6). Fleurs jaunes. . . C. scorpioides (M7). Fleurs |'nUL de blanc et de lilas. . , à 3 Ad 4 TE C. varia (M8). EXY. stone: .…. O. perpusillus (419). CXVI. Hrippocrepis. . . H. comosa (420). CXVIL. OxOBRYCHIS. Carène plus longue que l’étendard ou seulement un peu plus courte. Carène de moitié plus courte que l'étendard. O. supina (422 bis, p. 598). Dents de la crête de la gousse de moitié plus courtes que celle-ci n’est large. O. sativa (421). Dents intermédiaires de la crête de la gousse aussi longues que celle-ci est large. UE NU O. arenaria (429). CXVII. Vrcra. Fleurs en grappes sur un pédoncule commun. Fleurs solitaires ou géminées . en Grappes égalant ou dépassant les feuilles. | Grepyes beaucoup pus courtes que les feuilles. V. sepium (435). 243 = 19 [he L=X Le) PS) 6 1 10 11 {4 , re , —_— ns. eo St CLEF DES ESPÈCES. Feuilles terminées par une vrille rameuse . Feuilles terminées par une pointe courte et simple. . .::. . . : V. orobus(428): Fleurs d’un beau bleu de ciel. : Fleurs rougeàtres, violettes, lilas ou blanches. Onglet de l'étendard aussi long que son limbe. , V. cracca (424). Onglet de l'étendard 2 fois plus court que son Linie M Cr Jin temuifolia (425). Stipules fortement dentées ou laciniées . Stipules entières, semi-sagittées . Fleurs d’un rouge violet, rarement blancues, peu nombreuses (3-7 à chaque grappe). . . V. dumetorum (423). Fleurs nombreuses 40- 15 à chaque grappe), blanchâtres, à étendard peint d'azur et de violet... ”. ,.. . 4 VS) En Fleurs nombreuses; gousse terminée en bee. . V. varia (426). Fleurs peu nombreuses (3- 5 à chaque grappe) ; gousse arrondie au sommet. . V. gracilis (429 bis, p- 598). Fleurs longuement pédonculées . Fleurs sessiles ou presque sessiles. Stipules uniformes. s Stipules de deux formes à chaque feuille. . . De ES pa V. monantha (430). Pédoncule aristé; gousse à G graines. . : V. gracilis (429 bis, p. 598). Pédoncule sans arête ; ; gousse à # graines. : ss tetrasper ma (429). Fleurs jaunes . Fleurs d’une autre couleur que le ; jaune. Folioles arrondies au sommet ; étendard glabre. V. lutea (436). Folioles tronquées et échancrées au sommet ; étendard velu en dehors. V. hybrida (437). Feuilies terminées par une vrille rameuse . Vrille remplacée par une petite pointe droite et simple. . . . . V. lathyroides (434). 1 10 12 fi 13 14 15 15 16 1) TS 4 EE SE 2m CLEF DES ESPÈCES: Gousse sessile. H 22 22 cat 1 Gousse pédicellée. V. peregrina (433). Gousse pubescente, jaunâtre à la maturité . . à V. sativa 31) Gousse glabre, noire à la maturité. . ..:. SRE Ve angustifolia (439). CXIX. Ervux». Féuilles terminées par une vrille rameuse. . …. . E. hirsutum (438). Vrille remplacée par une pointe simple et très- courte. . . . E. ervilia (438 bis, p. 599). CEXX. LATHYRUS. Feuilles simples ou nulles . : Feuilles composées d’une ou plusieurs paires de folioles. | MC. NDLR Vrilles rameuses ; fleurs nn L. aphaca (440). Point de vrilles ; fleurs roses ou violacées. . L. Nissolia (439). Pédoneules poriant {1-2 fleurs. Pédoncules multiflores . Tige ailée . . 5 : NME Tige anguleuse, mais non ailée. Gousse glabre . . . . . L. sativus (441) Gousse hérissée de poils blanchâtres. . . L. hirsutus (444). Fleurs d'un rouge de brique; graines globu- leuses et lisses. L. sphæricus (442). Fleurs d'un rouge bleuâtre : graines cubiques et tuberculeuses. L. angulatus (443). Fleurs roses, lilas ou blanches. ; Fleurs jauns. NÉ L. pratensis (446). Tiges ailée . … . SRE NM Tige mEAeUe, mais non ailée. sus ture ee À L. tuberosus (445). Feuilles à 1 seule paire de folioles. Feuilles à 2-3 paires de folioles. . va L. palustris (4 19). 16 RES (TS LS 10 12 Le) SE nr CLEF DES ESPÈCES. Stipules linéaires; fleurs d’un rose mêlé de vert. L. sylvestris (447). Stipules larges ; ‘fleurs d’un beau rose, rarement blanches. / . . . .L. latifolius (448). CXXI ORoBus. Racine fibreuse, sans tubercules; tige anguleuse, mais non ailée . LR: Racine à tubercules renflés ; tige ‘ailée Fa CUPET 70. tuberosus (430). Fleurs bleues, roses ou violettes . . Fleurs jaunes ou jaunâtres. . O. luteus (439). Plante restant verte à la dessication ; stipules fo- Hacéest' rte . . ©. vernus (451). Plante noircissant par la dessication ; stipules linéaires. . . . . . . O:niger (453): 97° F. — ROSACÉES. CXXHEL. PRUNUS. Pédoncules glabres ; fruits dressés. Pédoncules finement PS fruits p peri- CHÉSS ER Rte . P. insititia (456). Arbrisseau très-épineux ; feuilles larges de moins de 2 centimètres. . . . P. spinosa (454). Arbrisseau peu épineux ; feuilles larges de plus de 2 centimètres. . . P. fruticans (455). CXXIIL CERASUS. Fleurs en faisceaux ombelliformes. . . . . 2 Fleurs en grappes ou en corymbes . . . . 3 Feuilles un peu ridées, pubescentes en dessous, au moins dans leur jeunesse. C. avium (487). Feuilles planes, glabres et luisantes dès leur jeu- nesse. . . C. vulgaris (457 bis, p. 599). Fleurs en grappes pendantes. C. padus (458). Fleurs en corymbes dressés. C. mahaleb (459). CXXIV. SPIRÆA. Feuilles 1 fois pennées =". 11,4 LORS Feuilles 2-3 fois pennées. . S. aruncus (460). Ce ns El PS, PT CLEF DES ESPÈCES. Folioles pennatipartites, toutes égales; carpelles pubescents . . . . S. fiipendula (461). Folioles dentées, la terminale plus grande et es : “carpelles glabres. ; à . S. ulmaria (462). CXXV. Dryas D. octopetala (463). CXXVI. GEUN. Fleurs jaunes et dressées ; Fleurs rougeätres et penchées. G. rivale (463). Styles glabres, recourbés en hameçon au som- Met A: .. G. urbanum (46%). Le velus, non recourbés au sommet .… , . G. montanum (466). CXXVIL. FRAGARIA. Pédoncules à poils apprimés . . . . . . Pédoncules à poils étalés. . F. elatior (469). Calice très-étalé ou même réfléchi après la flo- raison. . . . F. vesca (467). Calice appliqué sur le fruit après la floraison. F. collina (468). CXXVIIT. COMARUM . C. palustre (#70). CXXIX. POTENTILLA. Feuilles pennées . Feuilles digitées ou trifoliolées Fleurs jaunes. . . . . P. anserina (471). Fleurs blanches . P. rupestris (#72). Feuilles digitées . . Feuilles toutes ou la plupart trifoliolées . 5 pétales ; 10 segments au calice . 4 is 8 segments au calice. ou . es . P. tormentilla (482). Fleurs jaunes . 3 : Fleurs blanches ou un peu r'osées Folioles blanches ou grisàtres-tomenteuses en dessous . Folioles plus ou moins vertes sur les deux faces. 247 45 NO 4 6 14 ŒS «I 248 | 10 11 12 15 13 PS OS CLEF DES ESPÈCES: Tiges droiles, ascendantes ou redress'es. Tiges couchées, étalées et même un peu radi- cantes à la base. P. collina (AB). Folioles à bords enroulés en dessous. . . . LE 2: Re TR E orbentes 1 (474). Folioles planes en dessous . .,,.: 1. 2%. . P. énclinata(KT5 bis, p. 599). Racine non stolonifère Racine munie de stolons allongés ‘et ‘radicants. pe reptans (481). Tige couchée, au moins à la base. . Tige droite et ferme . P. réa (473). Folioles non bordées de cils so ‘eux et argentés. Folioles bordées de cils soyeux et argentés. . P. aurea (#19). Pétales entièrement jaunes . Pétales marqués sur l'onglet d’ une tache safra- née : .",: : . POIDS AURE Stipules des feuilles inférieures linéaires; ear- pelles presque lisses. P. verna (476). Stipules des feuillesinférieures ovales-lancéolées ; carpelles évidemment ridés. P. opaca (477). Feuilles vertes sur les deux faces; étamines à filets hérissés. . . P. caulesrens (480). Feuilles soyeuses- -argentées sur les deux faces ; étamines à filets glabres. . P. nifda (48%). Fleurs jaunes . Fleurs blanches on un peu rosées. 4 pétales ; 8 HORS an-calicet 10e . . P.‘tormentilla (489). 5 pétales; 10 segments au calice . . ARE OUR : . P. minima 483). Réceptacle et carpelles glabres ou à peu près ; folioles vertes en dessus . À Réceptacle et carpelles longuement hérissés ; folioles soyeuses-argentées sur les deux faces. P. ritidu (48%). Tige stolonifère ; 1-2 feuilles caulinaires trifo- Tiolées. . £ P fragaria (485). Tige non stolonifère ; 1 feuille caulinaire simple. P. micrantha (486). 10 il 12 13 18. 4 10 A LT Cr. NT ne Ce 6 OS à EP e — PSS _ CLEF DES ESPÈCES, CXXX. SIBBALDIA. CXXXI. RuoBcs. Tige sous-ligneuse Tige herbacée ? . . . R. eratilis (188. Feuilles palmées ou trifoliolées s Feuilles pennées, au moins quelques unes, et surtout sur le vieux bois . R. Idœus (489. Feuilles toutes ou presque toutes trifoliolées. Feuilles des vieilles tiges à 5 folioles palmées. .S. procumbens (487. Pédoncules et calice hérissés de poils glandu- D. ne Re glandulosus (493). Pédoncules et calice sans poils glanduleux . é #0". :7 E CSIUS (AN). Tige arrondie ou à angles peu marqués . Tige anguleuse dans {oute sa longueur. Fleurs en RES allongées . . . R. corylifolius (491). Fleurs en grappes courtes, corymbiformes . . j Re T0, R, W ahlbergii (492). Calice non hérissé de poils glanduleux. Calice hérissé de poils glanduleux. . . . 5 R. ru: dis (493 bis, p. 600. Folioles blanches-tomenteuses en dessous Folioles vertes sur les deux faces . . R. fr uticosus (497). Folioles n'étant pas brusquement et longuement acuminées PS: Folioles brusquement et longue: nent acuminées. SL; EURE” LAS 3 . R. disrolor (496). Folioles non acuminées; pétales obovales, atté- nués en onglet bien distinct. L . R. tomentosus (49%). Folioles brièvement acuminées : pétales arron- dis à la base et au sommet . . . Mi arts . Racaiinus (493). CXXXIT, Rosa. Calice à segments tous entiers. Calice à segments alternativement entiers et penn atipartits Qt 1 10 19 2:50 #4 1 10 11 ns CLEF DES ESPÈCES. Folioles simplement dentées. NOR. Folioles doublement dentées. R. alpina (501). Styles libres Styles soudés en colonne. Folioleselliptiques, recouvertes d’une teinte pur- purine dans leur jeunesse. R. rubrifolia (498). Folioles petites, arrondies ou ovales, toujours vertes-glaucescentes. R. pimpinellifolia(499). Styles soudés en colonne glabre Styles soudés en colonne velue. . nuts . R. arvina (500 ter, P. 600. Arbrisseau rampant ou décombant ; pédoncules sans bractées . . . . R. arvensis (500). Arbrisseau dressé ; pédoncules pour us de 1-2 bractées vers leur base . . R. bibracteata (500 bis, P- 600). = Folioles simpleinent dentées Folioles doublement dentées Styles libres À :: :0 DORE Styles soudés en colonne. . R. systyla (504). Stipules des rameaux fleuris plus larges oi les autres. ; : Stipules étroites, toutes semblables . | ARR RE SELS R. geminata (807). Folioles à dents supérieures conniventes ; fruit elliptique ou obovale. . R. canina (502). Folioles à dents supérieures étalées; fruit sphé- FIQUE A deg ca LR TRE dumetorum (503). Stipules des rameaux fleuris plus larges ie les HAUTES : Stipules étroites, toutes semblables Folioles non recouvertes d’un duvet tomenteux. Folioles recouvertes, au moins en dessous, d’un duvet tomenteux R. tomentosa (511). Pédoncules glabres AR Pédoncules hispides . R. rubiginosa (509). Fleurs blanches ou d’un rose pâle. . . a! Ra sepétun (510). Fleurs d'un beau rose . 3 R. graveolens (309 bis, D. 601). 6 10 12 13 CLEF DES ESPÈCES. 9251 Folioles blanchâtres en dessous. _. . . . . 16 Folioles d’un vert noiràtre en dessous . R. trachyphylla (308). Fleurs roses, rosées, blanches ou blanchâtres. 17 Fleurs d’un beau rouge. . R. Gallica (505). Rameaux plus ou moins munis d'aiguillons ; fleurs blanches, blanchâtres ou rosées. . 18 Rameaux dépourvus d’aiguillons; fleurs d’ un beau rose clair. R. incarnata (505 bis, p. 600). Folioles dentées presque jusqu’à la base ; il aussi ue que les étamines . . è R. hybrida (506. Folioles non dentées dans leur tiers inférieur ; ne un courts que les étamines. . : ALT R. geminata (307). . CXXXIIT. AGRIMONIA. Feuilles couvertes en dessous de glandes odo- PANLES.. .… : « . . À. odorata (513). Feuilles pubescentes, mais non glanduleuses- odorantes en dessous . A. eupator ia (512). CXXXIV. ALCHEMILLA. Fleurs en corymbes pédonculés et terminaux. . 2 Fleurs en LEA Fest sessiles et axillaires. . A. arvensis (517). | Feuilles ire découpées en lobes plus ou 1} moins profonds. . . 3 Feuilles composées de 8-7 lolioles argentées- soyeuses en dessous. . . A. alpina (516). Feuilles glabres ou simplement pubescentes en dessous. . . . À. vulgaris (514). Feuilles soyeuses-blanchâtres en dessous. Re A. hybrida (515). CXXXV. SANGUISORBA. 5. officinalis (518). CXXXVI. POTERIUM. Fruit à # angles entiers. P. muricatum ER Fruit à #angleséchancrés. P. dictyocarpun (520 . CXXXVIE MespiLus. M. Germanica (521). 252 1© 3 = 19 es) \ —— CLEF DES ESPÈCES. CXXXVIIL CraTæeus. C. oxyacantha (522). CXXXIX. COTONEASTER. Fruits glabres et penchés. C. vulgaris (523). Fruits velus et dressés. . C. tomentosa (524). CXL. MALUS. . . . M. communis (525). CXL bis. Pyrus. P. communs (525 bis, p. 601). CXLI. SORBUS. Feuilles simples, lobées ou dentées A Feuilles pennées S. aucupartia (526). Fleurs blanches 4) 1607 ANNE OMR Fleurs roses. . . S. chamæmespilus (529). Feuilles blanches ou cendrées-tomenteuses en dessous j Feuilles ses et luisantes sur les deux faces. ra S. torminalis (528). Feuilles blanches-tomenteuses en dessous, den- tées ou un peu lobées seulement vers le sommet. : . . S. aria (527). Feuilles cendrées- tomenteuses eli dessous, pro- fondément incisées-lobées, surtout vers leur milieu . . S. scandica (527 bis, p. 602) CXLIT. AMETANCHIER. A. vulgaris (530). 98 F. — ONAGRARIÉES. CXLIIL EpPrLogrun. Etamines et style réfléchis et arqués . Etamines et style droits . Feuilles veinées, elliptiques-lancéolées . . . E. spicatum (531). Feuilles non veinées, linéaires. . ; E. rosmarinifolium (332). Stigmate à # lobes Stgmate entier Feuilles sessiles ou courtement pétiolées. : Feuilles amplexicaules. . E. hérsutum (533). = &e 19 15 Qt ©: 6 | 9 10 11 < ( L PSS tn LR. 0 LL, a — \ | CLEF DES ESPÈCES, Feuilles arrondies à la base. : Feuilles atténuées en coin à la base . . . E. lanceolatum (336. Feuilles ovales-lancéolées. E. montanum (535). Feuilles oblongues-lancéolées. . . E. parviflorum (834). Feuilles la plupart opposées. Feuilles la plupart verticillées 3 à 3 où 4 à 4. AMEN 4e E. trigonum (538). Racine émettant des stolons feuillés . Racine n’émettant point de stolons Tige offrant 9-4 lignes plus ou moins saillantes. Tige arrondie, sans lignes saillantes … . E. palustre (837). Tige filiforme ; feuilles toutes courtement pétio- io LE. alpinum (540). Tige raide ; feuilles moyennes sessiles. us et a E-.viryatum (539 ter, p- 602). Tige raide, dressée dès la base. È s Tige faible, couchée et radicante à la base . | tar, . . . . E.-origanifoltum (541). . . . . . . Feuilles moyennes sessiles, décurrentes sur la tige par le prolongement du Himbe . . : E. tetragonum (339). Feuilles moyennes courtement pétiolées, décur- rentes sur la tige par le prolongement du pétiole. . . Ë. Lamyi (539 bis, p. 602 CXLIV. OENOTHERA . CXLV. CIRCÆA. OE. biennis (542). Pédicelles munis de bractées linéaires Pédicelles dépourvus de bractées . . PAS C. Lutetiana (343). Capsule oblongue, en massue. GC. alpina (54%). Capsule obovale-globuleuse. C. intermediu (545. CXLVL IsNarpra. . . I. palustris (546. 10 [Ca QC + 1© © CLEF DES ESPÈCES. 29° F. — HALORAGÉES. CXLVIT. MYRIOPHYLLUM. Fleurs toutes verticillées Fleurs supérieures alternes . . La CES - M. alter niflorum (849. Bractées supérieures entières et plus courtes que les fleurs. . . . M. spicatum (548). Bractées toutes pectinées-pennatipartites et Fe M: cu les fleurs . . M. verticillatum (847. CXLVIIL. HippuRIsS H. vulgaris (550). CXLIX. CALLITRICHE. Feuilles supérieures obovales et flottantes Feuilles toutes linéaires et submergées . . . ; . C. autumnalis (552. Feuilles inférieures linéaires Feuilles toutes obovales, mème les inférieures. ne er stagnalis (551 bis, p. 602). Bractées à peine arquées; styles toujours dressés et très-caducs. C. vernalis (551). Bractées roulées en crosse ; styles persistants, d’abord divariqués, à la fin réfléchis 244 he . C. hamulata (551 ter, p. 602). 30° F. — CÉRATOPHYLLÉES. CL. CERATOPHYLLUM. Feuilles divisées en 2-4 lanières; fruit à 3 pointes. . . . C. demersum (553). Feuilles divisées en si 8 lanières; fruit à { seule OUEST. 2 + ( submersum (554). 31° F. — LYTHRARIÉES. CLI. LYTHRUM. Fleurs RENRT en épi terminal . . . . À L. salicaria (555). Fleurs solitaires à ‘Vaisselle des feuilles . e LUS L. hyssopifolia (556). 10 1. . 1 CLEY DES ESPÈCES. 255 CLII. PEPLIS. Feuilles toutes opposées. . P. portula (557). Feuilles toutes alternes. . P. Timeroyi (558). 32° F. — TAMARISCINÉES. CLTITL. MyRICARIA. . M. Germanica (559). 33° F. — CUCURBITACÉES. CLIV. BRYONIA. . . . B. dioica (560). CLIV bis. ECBALLION . E. elaterium (860 Bis, p. 603. 34° F. — PARONYCHIÉES. CLV. CoRRIGIOLA. . . C. littoralis (561). CLVL HERNIARIA. Calice et feuilles velus . . 2 Calice et feuilles glabres. H. glabra (362). Fleurs sessiles. . . . . H. hirsuta (563). Fleurs pédicellées. . . . H. éncana (564 )- CLVIT. ILLECEBRUM. . I. verticillatum (565). CLVIIT. PoLycarPon. P. fetraphyllum (566). CLIX. SCLERANTHUS. Calice à divisions aiguës, étroitement bordées de blanc. . . . S. annuus (567). Calice à divisions obtuses, largement bordées de blanc. . . . . . S. perennis (568). 35° F. — PORTULACÉES. CLX. PORTULACA . . . P. oleracea (569). CEXI. MonNTIrA. . . . M. fontana (570). 36° F. — CRASSULACÉES. CLXIL RHODIOLA. . . . R. rosea (571). CLXIIT. CRASSULA. . . . C. rubens (572). CLXIV. SEDUM. Feuilles planes. : Feuilles cylindriques ou “demi- ‘cylindriques. 6 Le 12 A L 6 1 10 15 st ie LT, AT ne EE EE sd CLEF DES ESPÈCES. Feuilles dentées ou crénelées . Feuilles très-entières. Feuilles alternes ou éparses. . Feuilles opposées ou ternées. S. marimum (874). Feuilles à base élargie; pétales recourbés en dehors. . . - - S. telephium (573). Feuilles atténuées en coin à la base ; pétales sim- plement étalés. $S. fabaria (BTX bis, p. 603). Feuilles alternes ou éparses ; fleurs en corymbe. - S. anacampseros (575). Feuilles opposées, ternées ou fleurs CH paRiCUIES 1e 2" 10e S. cepæa (576). Fleurs jaunes . . Fleurs blanches, rougeâtres ou “violacées. Fleurs d’un jaune vif. À Fleurs d'un jaune très-pèle. Feuilles obtuses . Feuilles terminées en pointe mucronée . Feuilles ovales ; planes à saveur très-àcre. . . S. acre (877). Feuilles linéaires ; ; ‘plante à saveur sans creté. RE a à PA. . S. sexangulare (578). Feuilles cd iques. S. reflexzum (581). Feuilles comprimées en dessus et en dessous. . OT TPE NON S. elegans (582. Etamines à filets entièrement glabres. . NS anopetalum (879). Etamines à à filets velus à Ja base . Suds: ARTE 3 . S. altissimum (80). Feuilles glabres Feuilles pubescentes . Feuilles obtuses , Feuilles terminées en pointe mucronée . Tige émettant à sa base des rejets stériles . Tige PEN +. sans rejets stériles à la base AE PR EU Li + US RS) Feuilles oblongues Feuilles Shoes ovales-globuleuses. , se dasyphyllum (885). 10 13 19 14 18 15 16 ë CLEF DES ESPÈCES. Feuilles toutes éparses ; pétales ne Feuilles inférieures verticillées #4 à 4; pétales terminés nn une du: arête. . ; S. cruciatum (583). Fleurs 5 ou rosées. . S. album (584). Petites fleurs d’un blanc verdâtre. . ; DE S. micranthum (58% bis, P. 603). Etamines à filets entièrement glabres. EUR anopetalum (379). Etamines à à filets velus à la base . S$. altissimum (380). Feuilles oblongues ou ovales-chlongues . Feuilles ovales-globuleuses. . À ae: S. dasyphyllum (383). Pétales terminés ps une petite arète. S. hirsutum (586). Pétales tigus, mais sans arête terminale, S. villosum (587). CLXV. SEMPERVIVUM. © Feuilles glabres sur le limbe, ciliées seulement sur les bords . . . . S. tectorum (589). Feuilles velues- cars sur les deux faces. S. montanum (590). CLXVI. Umgiicus. . U. pendulinus (591). 37° F. — GROSSULARIÉES. CLX VII RIBESs. Tige sans épines . CAE PE NÉE Tige épineuse. R. vva-crispa (592). Fleurs en grappes dressées. Fleurs en grappes pendantes . Fleurs rougeûtres. : Fleurs d’un Lruses ou d’un blanc verdâtre . allé ag R. alpinum (593). Feuilles parsemées en dessous de points jaunes et glanduleux ; baies noires, à saveur aroma- tique. . AT nigrum (594). Feuilles sans points glanduleux : baies rouges, à saveur très-âpre . R. petrœum (961. 257 17 & OT Oo 1© / 1 CLEF DES ESPÈCES. Feuilles à lobes obtus; baies tendres, à saveur aigrelette. . . . . . R. rubrum (595). Feuilles à à lobes acuminés; baies dures, à saveur très-âpre. . . . . . R. petræum (596). 38° F. — SAXIFRAGÉES. CLXVIIL SAXIFRAGA. Fleurs blanches, quelqueïvis marquées ou pi- quetées de rouge ou de jaune . : | Fleurs jaunes, roses, violacées où verdâtres. Feuilles non bordées de dents cartilagineuses. Feuilles bordées de dents cartilagineuses. , NE M ET S. aizoon (603). Fleurs entièrement blanches . Fleurs tachées ou piquetées de rouge ou de) jaune. Racine tuberculeuse ; feuilles radicales rénifor- mes, crénelées-lobées. S. granulata (603). Racine fibreuse ; feuilles radicales spatulées, en- tières, trilobées ou trifides. . Pris S. tridactylites (604). Feuilles radicales obovales-cunéiformes, atté- nuées en pétiole . Feuilles radicales réniformes-arrondies, en cœur, longuement pétiolées. S. rofundifolia (897) Tige légèrement ne .. S. cuneifolia (398). Tige parfaitement g glabre. . S. sfellaris (599). Fleurs jaunes ou verdâtres; feuilles éparses. Fleurs roses ou Es. feuilles opposées. . Sue S. oppositifolia (602). Fleurs jaunes . Fleurs d’un vert blanchâtre ou jaunâtre. ; Hi & S. muscoides (606). Tige mel indie au sommet ; feuilles lancéo- Tées, non bordées de cils rudes . ; S. hireulus (600). Tige simplement pubescente au sommet ; feuilles Yinéaires, bordées de cils rudes. DU de S. azoides (601). I © Le) OTS To, TS ot ie =, CLEF DES ESPÈCES. CLXIX. CHRYSOSPLENIUM. Feuilles opposées. . GC. oppositifolium (607). Feuilles alternes. . C. alternifolium (608). 39° F. — OMBELLIFÈRÉS. CLXX. ERYNGIUM. Involucre d’un vert blanchâtre ; feuilles penna- tipartites . . s dE campestre (609). Involucre et sommet de la tige ordinairement d’un bleu vineux; feuilles radicales en cœur hasté, simplement dentées. E. alpinum (610). CLXXI. SANICULA. S. Europæa (611). CLXXII. ASTRANTIA. Feuilles radicales Li Au: a. major (612). Feuilles radicales composées de 7-9 folioles di- DÉS erdaden + dau 04 rodminor (643). CLXXIIL HyprocOTyLE. H. vulgaris (614j. CLXXIV. Daucus. . . . D. carota (615). CREXVAICAUTCALIS: Ombelles terminales ou axillaires, plus ou moins longuement pédonculées. Ombelles opposées aux feuilles, sessiles ou pres- que sessiles. . . . . C. nodiflora (621). Involucre nul ou à 4 seule foliole. Involucre à plusieurs folioles . Fruits hérissés d'aiguillons seulement sur les côtes secondaires, qui sont très-saillantes. Fruits à côtes secondaires nulles, hérissés d’as- és accrochantes sur toute leur surface . PER s . C. segetum (620). Aiguillons crochus au sommet, disposés en 1 seul rang sur chaque côte secondaire. C. daucoides (616). Aiguillons droits, disposés a 2-3 rangs sur Cha- que côte secondaire. C. leptophylla (617). Plante glabre et luisante. C. grandiflora (618). Tige couverte de poils rudes. C. anthriscus (619). 259 266 19 19 CS] nn. 2 | \ CLEF DES ESPÉCÉS. CLXXVI. ATHAMANTHA. Tige profondément sillonnée, garnie inférieure- ment de fibrilles grisàtres. A. libanotis (622). Tige à peine striée, FÉDUREE de fibrilles à la dsé. “Me . . À. Cretensis (623). CLXXVIL SCANDIx . S. pecten (62%). CLXXVIIE ANTHRISCUS. Feuilles à odeur désagréable ; fruits hérissés de petits aiguillons crochus. A. vulgaris (625). Feuilles inodores : fruitslisses. À. sylvestris (626). CLXXIX. CHÆROPHYLLUM. Involucelle à folioles égales. Involucelle à folioles très-inégales. : AU LAS : C. hirsutum (627). Tige tachée de rouille; pétales glabres . Tige sans taches de rouille ; pee ciliés à ARE MERE TE ; . Villarsii (628). Folioles se terminant en une os pointe acu- minée et dentée en scie. C. aureum (629). Folioles divisées en lobes obtus et mucronés. . CUS RE 1 C. temulum (630). CLXXX. MYRRHIS . M. odorata (631) CLXXXI. Coxopopium. C. denulatum (632). CLXXXIE. LASERPITIUM. Tige rameuse et feuillée. . Tige si ils feuilles toutes radicales. ; ses” . L. simpleæ (637). Tige finement striée, entièrement glabre. Tige sillonnée, hérissée inférieurement . . + NEA Le L. Pruthenicum (633). Folioles dentées ou lobées au sommet Folioles lancéolées, très-entières. L. siler (636). Folioles largement ovales, dentées au sommet, les latérales obliquement arrondies ou un peu en cœur à la base L. latifolium (633). Folioles cunéiformes à la base, lobées au som- met. + War L'OdRmrEn. EN 2 l CEEF DES ESPÈCES. CLXXXII. ANGELICA. Folioles larges, ovales, dentées en scie . ‘ ; A. sylvestris (638). Folioles divisées en lanières linéaires. . ; se : A. pyrenæa (639). CLXXXIV. PASTINACA . . P. sativa (640). CLXXXV. PEUCEDANUM. Involucre nul ou à 1-3 folioles. Involucre à plus de 3 folioles . Feuilles 2-# fois pennées . Feuilles 1 fois pennées, à folioles multifides. MENT P. Chabræi (642). Tige finement striée . . P. Parisiense (6). Tige mraipndément sillonnée . . sta mi LA carvifolia (647). Folioles étroites ou linéaires, non bordées de dents épineuses. Folioles larges, ovales ou oblongues, bordéés de grosses dents épineuses. P. cervaria (643). Tige cannelée ou sillonnée . . Tige finement striée, . P. or eoselinum (644). Involucre étalé ; fleurs jaunâtres . Fe Alsaticum (643). Involacre réfléchi : fleurs blanches. Îlpat-<0s salt Al Fe palustre (646). CLXXX VI. HERACLEEM. Feuilles simplement palmatilobées Feuilles ORAN ARE pennatiséquées PAL 3 H. sphondylium (648). Feuilles hérissées en dessous. H. panaces (649). Feuilles glabres en dessous, excepté sur le bord etsur les nervures. H. alpénum (648bis, p. 603). CLXXXVIL TorpyLium. T. maximum (650). CLXX X VII. LiGusricux. L. ferulaceum (651). CLXXXIX. Siun. { Ombelles terminales. Ombelles opposées aux feuilles. 261 (14 6 12 > 19 262 1 ( © 4 Qc Pt TS nn Sn CLEF DES ESPÈCES. Folioles oblongues-lancéolées, dentées en scie. ; S. latifolium (652). Folioles décomposées en segments linéaires. 1: 00 SRE S. verticillatum (657). Involucre nul ou à 1-2 folioles caduques . Involucre à plusieurs folioles persistantes. ©: Ombelles sessiles où à pédoncules plus courts que les rayons. . . S. nodiflorum (654). Ombelles à pédoncules plus longs que les rayons ou au moins les égalant. . s RS NE Le inundatum (636). Tige couchée et radicante. . S. repens (655). Tige dressée, non radicante. . : CPE . S. angusti folium (633). CXC. ConiIum . . . C. maculatum (658). CXCI. Bunium. . . B. bulbocastanum (659). CXCIL. AMMr. . . . . A: majus" (660). CXCIIE. BUPLEVRUM. Ombelles munies d’un involuere. . . . . 2 Ombelles sans involucre. beton : sh eh B. rotundifolium (661). Involucelle aussi long ou plus long qe lom- bellule 3 Involucelle sensiblement e plus court que l'om- bellule . . . . É SR 9 Involucelle à folioles libres. . Involucelle à folioles soudées. B. stellatum (668). Feuilles caulinaires embrassantes . Feuilles caulinaires ee ES ou point em- brassantes ? RENTE & OT Feuilles inférieures obovales ou Hess ; B. longifolium (667). Feuilles inférieures linéaires ou linéaires-lan- céolées. . . . B. ranunculoides (669). Involucelle à folioles linéaires-lancéolées, aiguës ou acuminées . Imvolucelle à folioles elliptiques-lancéolées et aristées . . . . . B. aristatum (666). 1 Los — 0 CLEF DES ESPÈCES. Fruit non tuberculeux . 710. DE LICE Fruit tuberculeux . B. fenuissimum (662). Ramuscules dressés et presque ppt contre la tige . . . . B. affine (663). Ramuseules étalés-dressés. B. Gerar di (664). Feuilles inférieures oblongues ou ovales, atté- nuées en un long pétiole. B. falcatum (670). Feuilles toutes lancéolées-linéaires, les infé- rieures peu atténuées. . B. junceum (665). CXCIV. SESELI. Fleurs blanches. . RE Re NT A « Fleurs d’un jaune pâle . S. pratense (671). Involucelles à folioles étroitement membraneu- ses, plus courtes que Fombellule ou légalant à peine pendant la floraison . . 4416 montanum (672). Involucelles à folioles largement membraneu- ses, dépassant longuement l’ombellule pen- dant la floraison. S. coloratum (673). CXCV. MEUN. CXCVI. ÆrTausA. CXCVI bis. PTYCHOTIS . . ; . P. hcterophylla (678 bis, P. 604). CXCVII. OENANTHE. Tige sensiblement fistuleuse. Tige peu ou point fistuleuse. . M. athamanticum (674). Æ. cynapium 2 Feuilles toutes à folioles linéaires. . | CE. fistulosa ( (676). Feuilles émergées à folioles ovales-cunéiformes. D ent . CE. phellandrium (679). Feuilles toutes à folioles linéaires, restant vertes par la dessication. OE. peucedanifolia (677). Feuilles noircissant par la dessication, les radi- cales à folioles obovales ou cunéiformes . rats get OE. Lachenalii (678). CXCVIIL. Sisox. . S. amomum (680). 19. 263 [Re 964 10 PS she a , \ CLEF DES ESPÈCES. CXCIX. PETROSELINUM. Feuilles radicales 1 fois pennées ; fleurs blan- ches ou un peu rougeâtres, en ombelles irré- gulières . ._ P. segetum (681). Feuilles radicales 2-3 fois pennées; fleurs d’un vert jaunâtre, en ombelles régulières. à OH P. sativum (680 bis, p. 604). . C. sativum (682). C. carvi (683). CC. CORIANDRUM. CCI. CARUM. CCIT. PIMPINELLA. Tige anguleuse et fortement sillonnée . . . P. magna (68%). Tige à arrondie, finement striée. 3 : IPRNPES P: saxifraga (683). CCI bis. FOENICULUM . ; : . F. officinale (683 bis, D. 603). T. vulgaris (686). Æ. podagraria (687). CCIII. TRINIA . CCIV. ÆGoropIuM. 40° F. — CAPRIFOLIACÉES. CCV. ADOxA. A. moschatellina (688). CCVI. SAMBUCUS. Tige ligneuse . RER Tige herbacée . S. ebulus (689). Fleurs en corymbe. S. nigra (690). Fleurs en grappe ovoide. S. racemosa (694). CCVIL. ViBURNUM. Feuilles simplement dentées. V. lantana (692). Feuilles divisées au sommet en 3-5 lobes acu- minés et dentés. V. opulus (693). CCVIII. LONICERA. Tige grimpante; fleurs en capitales terminaux. Tige se soutenant d'elle-même ; pores axil- laires et biflores. Re CLEF DES ESPÈCES, Fleurs en capitules pédonculés. Fleurs en Fe sessiles. . Le. | L. caprifolium (694). Feuilles supérieures connées. L. Efrusca (695). Feuilles supérieures non réunies à la base . D 27 . L. periclymenum (696). Fruit formé de 2 baies distinctes dans la sr grande partie de leur longueur. 4 Fruit formé de 2 baies entièrement soudées en 1 seule . nl RD UErX : Fleurs et pédoncules pubescents . . Jus Le lost (697). Fleurs et pédoncules glabres. . nigra (698). Pédoncules plus courts que les fleurs. . L. cœrulea (699). Pédoncules beaucoup plus longs que les fleurs. Ce URECUIEC L. alpigena (700). M° F. — HÉDÉRACÉES. CCIX. HEDERA. H. helix (701). CCX. CorNuUs. Fleurs blanches, venant après les feuilles. ; C. sanguinea (702). Fleurs jaunes, partisan avant les feuilles . NES . C. mas (703). 42 F. — LORANTHACÉES. CCXI. Viscux. V. album (704). 43 F. — RUBIACÉES. CCXIT. SHERARDIA. CCXIIT. ASPERULA. Fleurs en tête terminale, entourée de bractées ciliées. Fleurs en corymbe ou ue, non entourés de bractées ciliées. PER D S. arvensis (705). 26 12 266 Le 19 5 nn SE CLEF DES ESPÈCES. Fleurs toujours blanches; feuilles toutes ep ques et verticillées 4 24 . . À. Taurina (709 bis, p. 605). Fleurs ordinairement bleues; feuilles Me à linéaires et verticillées par 6-8. . è MIeUNS © A. arvensis (709). Fleurs d’un blanc pur SORT]: 5 GRR Fleurs rosées . . . . A. cynanchica (708). Feuilles vertes, oblongues. A. odorata (706). Feuilles glauques, linéaires. A. galioides (707). CCXIV. CRUCIANELLA. Fleurs disposées en épis courts. . . a se angustifotia (40). Fleurs disposées en épis allongés . à n # . C. Monspeliaca 1710 bis, D. 605). CCXV. RugiA. Feuilles décidentes, ànervures fortement saillan- tes en dessous . R. tinctorium (T1). Feuilles persistantes, à nervures à peine visibles en dessous. . . . . R. peregrina (T2). CCXVEI GALIUM. Fleurs jaunes . Fleurs blanches ou blanchâtres. Feuilles ovales ou oblongues-elliptiques, verti- cilléés 4 à 4. . . G. cruciata (A3). Feuilles linéaires, verticillées par 6-12 . SORTIE, =, G. verum (714). Fruit glabre ou tuberculeux Fruit velu ou hispide. Feuilles obtuses ou aiguës, mais n'étant ni mu- cronées ni terminées par une soie. Feuilles mucronées ou terminées Le une petite soie SNÉTRr AE: Feuilles elliptiques à Feuilles linéaires, très-étroites. G. constrictum (717 bis, p. 603). n 2 ND D + Qt 1 10 1 12 13 14 16 17 18 CLEF DES ESPÈCES. Tige lisse ou à peine rude; rameaux de la pani- cule réfléchis après la floraison. SG: palustre (743). Tige distinctement rude au “rebours ; rameaux de la panicule étalés, mais non réfléchis après la floraison . . . . G. elongatum (T6). Tige quadrangulaire. ne Lai Ut 4 E Tige cylindrique. G. sylvaticum (731). Tige à angles lisses ou presque lisses. Tige à angles rudes de bas en haut . Feuilles linéaires-lancéolées ; plante restant verte ou brunissant à peine par la dessica- 1510): VPN Feuilles inférieures obovales ; plante noircissant par la dessication. G. saxatile (718). Feuilles très-lisses ou à cils rares sur les bords. Feuilles rudes, au moins sur les bords . Tiges non entrelacées en toufles inextricables. ee entrelacées en toufles inextricables. à Me . G. implezum (726). bit verticillées par 6-8 ou même#à #4 . Feuilles verticillées par 9-11. G. Tymeroyi (725). Feuilles égales entre elles à chaque verticille . Feuilles très-inégales entre elles aux verticilles supérieurs . . . G. anysophylion (722). Feuilles dressées-étalées, jamais à angle droit . Feuilles étalées à angle droit ou même réflé- Mes nt AS TP ane (20): Corolle à lobes aigus ou acuminés, mais non ATISLES 2 . . G. tenue (723). Corolle à lobes aristés. G. corrudæfolium (728). Tige à nœuds fortement renflés. Tige à nœuds peu ou point renflés. Feuilles minces, translucides, à veines très-visi- Dies... AT : . . G. elatum (729). Feuilles un peu épaisses, ge non visible- ment veinées . . . . (G. erectum (730). Corolle à lobes aigus ou acuminés, mais non aristés 4 Corolle à lobes terminés par une arête visible . 267 12 13 15 19 23 268 19 20 = Co LS TS, ed CLEF DES ESPÈCES. Feuilles rudes sur les bords et quelquefois en dessous, mais jamais sur la face supérieure . Feuilles rudes sur les bords et sur la face supé- rieure. « . . . . G:scabridum (124). Feuilles verticillées par 6-8. Feuilles verticillées par 9-12 . Le DD à ONE og (725). Tige à ae peu saillants et non argentés . Tes à angles saillants et argentés. . - DATA LUE A6 argenteum (721). Tige couchée à la base, non filiforme ; rameaux non capillaires, dressés-étalés . . es sylvestre (719). Tige dressée dès la base, filiforme; rameaux ca- pillaires, divariqués. G. divaricatum (732). Feuilles mollement velues, au moins daus le bas de la tige. . . . G. myrianthum (727). Feuilles toutes glabres et luisantes. . NÉE TEEN G. corrudæfolium (728). Fruits petits, dressés, lisses ou finement cha- grinés OR EEE ne | Fruits gros, pendants, garnis de tubercules verruqueux. . . . . G. tricorne (134). Feuilles verticillées par 6-7. Feuilles verticillées par 9-12 . : ever ; . G. scabridum (724). Tige à angles très-rudes dans toute leur longueur. Tige à angles Es rudes et seulement à la base. me : s G. divaricatum (732). Fleurs d’un ae blanc ; tiges faibles, tombantes. Ge uliginosum (747). Fleurs d’un blanc verdàtre, jaunàtre ou rougeà- tre ; tiges dressées . G. Anglicum (733). Feuilles linéaires-lancéolées ou D cn ques, verticillées par 6-8. Ag : Feuilles ovales, verticillées 4 à 4. à 2 FOUT 0 FACE rotundifolium (736). Tige à angles lisses ; fleurs en panicule termi- nale. . . G. boreale (737). Tige à angles très- rudes ; fleurs en petites grappes axillaires. . . . . . G. aparine (735). 21 27 & \ 1© CLEF DES ESPÈCES. 44° F. — VALÉRIANÉES. CCXVII. CENTRANTHUS. Feuilles toutes très-entières . . ; C. angustifolius (738). Feuilles caulinaires lyrées-pennatiséquées . . ; D C. calcitrapa (739). CCXVIIT. VALERIANELLA. Dents du fruit nulles ou très-petites, jamais cro- chues, ni plus de 3. Fruit couronné par 5-6 dents allongées ‘et cro- chues. . . . . . . V. coronata (740). Fruit velu-hérissé ou fortement pubescent . Fruit glabre ou à peine pubescent. Fruit terminé par un bec aussi large que lui; fleurs en corymbes serrés. V. eriocarpa (74). Fruit terminé par un bec de moitié plus étroit que LE fleurs en corymbes peu serrés . . ; : V. pubescens (746). Feuilles très-entières ou faiblement denticulées à la base. Feuilles supérieures lobées ou incisées à la base. : . V. membranacea (745). Fleurs d’un bleu cendré ; fruit à dents nulles ou peu distinctes Fleurs rosées; fruit terminé par une ‘dent obli- Quitte +2. <. , - . V. duriculg (744). Fruit oblong, creusé d’un sillon sur une face et relevé sur l’autre d’une nervure saillante. V. carinata (742). Fruit ovale- arrondi, comprimé des deux côtés, marqué d’un sillon et relevé de 2-3 côtes. . Lit. 48 APTE . V. olitoria (743). CCXIX. VALERIANA. Feuilles toutes entières . Feuilles caulinaires pennées ou découpées en segments. SPL RCE |. D Feuilles caulinaires ovales ou oblongues. J .. V. montana (750). Feuilles caulinaires linéaires. V. saliunca (751). 269 Fe © 6 & a LT, | | | | ( CLEF DES ESPÈCES. Feuilles toutes pennées ou pennatiséquées . Feuilles inférieures entières. 4 ; Feuilles composées de 15-21 folioles ou seg- ments entiers ou bordésseulement de quelques dents écartées. . . V. officinalis (747). Feuilles composées de 8- 10 folioles fortement et inégalement dentées en scie. . . V. sambucifolia (747 bis, P. 603). Feuilles caulinaires à plus de 3 segments . . V. dioica (748): Feuilles caulinaires divisées en 3 segments pro- AUS RE EU ANR RaS EN: : ipter is (749). 45° F. — DIPSACÉES. CCXX. Drpsacus. Capitules ovoides-oblongs, plus courts que lin- volacre n:0 à . D. sylvestris (752). wi rore élobuleux, plus longs que l’involucre. ; er: pilosus (753). CCXXI. SCABIOSA. Réceptacle garni de paillettes . Réceptacle dépourvu de paillettes. Limbe du calice intérieur terminé par 5 soies . Limbe du calice dépourvu de soies . . à) CCR. S. alpina (734). Feuilles caulinaires profondément pennatisé- quées, au moins les supérieures. Feuilles toutes très-entières ou seulement den- tes 2 "00 UT. NSÉOEi) Soies du calice intérieur 1-2 fois plus longues que la couronne formée par le calice extérieur. Soies du calice intérieur 3-4 fois plus longues que la couronne formée par le calice exté- TIEUF. 42 +, du - D. COMITE) Feuilles vertes, luisantes, glabres ou ee glabres . Feuilles d’un vert cendré, les inférieuresau moins mollement pubescentes. S. Gramuntia (760). où & IN [2e = [er] CL, =, é | / 3 CLEF DES ESPÈCES. Calice intérieur à soies noirâtres; capitules fructifères arrondis, aussi larges que longs. . à . S. glabrescens (761). Calice intérieur à soies jaunètres : capitules fruc- tifères ovales, plu longs que larges. : re. 07) . … $. suaveolens (762). Fleurs de la circonférence peu ou point rayon- nantes . Fleurs de la circonférence longuement ray on- PSS Le Mes vensis (755). Feuilles très-entières ou à peine denticulées. S. longifolia (756). Feuilles bordées tout autour de grosses dents ES -marquées, HAnUre même laciniées à Li" ie . . S. sylvatica (757). 46° F. — GLOBULARIÉES. CCXXII. GLOBULARIA. Tige entièrement herbacée . Tige sous-ligneuse à la base. G. cor difolia (76 3). Tige garnie de feuilles caulinaires nombreuses ; calice velu. . . . G. vulgaris (763). Feuilles caulinaires nulles ; calice glabre . . ; : . G. nudicaulis (764). 47° F. — COMPOSÉES. CCXXIII. CirstIUM. Feuilles hérissées en dessus de péHtss soies : à neuses Feuilles non hérissées en dessus de soies épi neuses UE 2 at : Feuilles décurrentes ; RE ue ou à peine laineux. . . . lanceolatum (766). Feuilles non : REMIETR : ’involucre très-gros, tout couvert d’une espèce de laine blan- châtre .:. . . . C. eriophorum (767). Feuilles longuement décurrentes . Feuilles non décurrentes ou à décurrence très- courte US à COPA. 19 — min [Le [Le & Qt LT LT, LS 13 CLEF DES ESPÈCES. Feuilles pennatipartites, laineuses-blanchâtres en dessous. . . . C. palustre (768). Feuilles oblongues-lancéolées, très-glabres . RE 21 Monspessularum (769). Fleurs d'un blanc jaunâtre, quelquefois lavées de violet. dt: Fleurs rouges, rarement blanches. Fleurs en capitules entourés de bractées à la Dasp ci. NC Capitules de fleurs non entourés de bractées cu n’en ayant que 1-2. :: RIM: Tige portant plusieurs capitules agglomérés. Tige ne Mie qu'un seul capitule de fleurs. 4. GTUGTEUTE NE) Feuilles caulinaires oblongues, entières ou den- fées. Fes . . C. oleraceum #8) Feuilles caulinaires pennatifides mea Écnie r € spinosissémaum (722). Capitules de fleurs dressés et munis de 1-2 brac- tées . Capitules de fleurs penchés et entièrement dé- Die us de bractées à la base ; TRE AN glutinosum (773). Feuilles caulinaires toutes pennatifides ou pen- natipartites . . . . C. hybridum (771). Feuilles caulinairessupérieures oblongues etsim- plement dentées. C. rivulari-oleraceum (775). Tige plus ou moins élevée . Tige nulle ou très-peu élevée. | C. acaule (776). Capitules sessiles ou courtement pédonculés. ne onesement pédonculés. . : En C. bulbosum (778). Tige simple; capitules réunis au nombre de 9-4 au sommet. . . . C. rivulare (774). Tige très-rameuse ; capitules nombreux, disposés en panicule corymbiforme. C. arvense (719). CCXXIV. CARLINA. Tige nulle, ou sinon simple et uniflore TE EE RER plusieurs fleurs . ; Éuo- C. vulgaris | (781). 10 [Se t» A , ee A EE CLEF DES ESPÈCES. Ecailles intérieures de l’involucre blanches-ar- gentées en dedans. . C. chamæleon (780). Ecailles intérieures de l’involucre | jaunes en de- dans. . . . C. cynara (780 bis, p. 606). CCXXV. LEUZEA. . . . L. conifera (782). CCXXVI. CENTAUREA. Involucre à écailles non épineuses. Involucre à écailles épineuses . Involucre à écailles terminées par un Use scarieux . . Involucre à écailles linéaires- lancéolées, non terminées par un appendice scarieux. . MP A EU a ve LG rupian (783). Fleurs bleues . . . € s Fleurs rouges ou roses, rarement blanches Tige simple et uniflore; feuilles caulinaires plus ou moins décurrentes . . . Tige rameuse et pluriflore ; feuilles caulinaires sessiles, nullement décurrentes . . PS. se 2 NC UONENE (789). Feuilles caulinaires décurrentes de lune à l’autre ; aigrette égalant tout au plus le quart de la graine . . . . C. montana (787). Feuilles caulinaires incomplètement décur- rentes; aigrettes égalant à peu près la moitié de la graine . . . C. Luydunensis (788). Involucre à écailles ciliées. . . Involucre à écailles entières ou déchirées, mais DOM CRÉES 1. . .° Cjueeu (784). Ecailles de l’involucre terminées par un appen- dice ovale ou triangulaire et dressé . . . Ecailles de l'involucre terminées par un Lee dice linéaire, recourbé au sommet. . PMR ni. .. . . C.EDECInUE (786). Feuilles caulinaires, les supérieures au EDS, profondément pennatiséquées; aigrette éga lant au moins le tiers de la graine. . . Feuilles toutes lancéolées et Simplement den- tées ; aigrelte plus courte que le tiers de la graine, *. -. 1, 7, 1) 'Oigran (785). 12 -1 SP | 19 | LS 11 13 16 { © a , Lo +, Lo ) l CLEF DES ESPÈCES. Involucre à écailles marquées de nervures; ai- grette plus courte que la graine. . . Involucre à écailles sans nervures; aigrette éga- lant à peu près la graine. C. scabiosa (7 (790). Ecailles de l’involucre terminées par un appen- dice roux, bordé de cils de la même couleur. 2 C. paniculata (194). Ecailles de l'involucre terminées par un appen- dice taché de noir et bordé de cils blancs. . C. maculosa (792). Fleurs jaunes : Fleurs roses ou rouges, rarement blanches . Ecailles de l’involucre terminées par une épine très-allongée, munie seulement à sa base de petites épines latérales. C. solstitialis (795). Ecailles de l’involucre terminées par une épine pennée, munie d’épines latérales Jusque vers son milieu. . C. apula (19%). Ecailles de l’involucre terminées pe une épine étalée, non palmée. Ecailles de linvolucre terminées par ‘une épine palmée et réfléchie. C. aspera (793). Fleurs roses ou blanches ; rameaux étalés . Fleurs rouges ; rameaux dressés . . . C. trichacantha (797 bis, p. 606). Graines sans aigrette de poils . Graines munies d’une courte aigrette . . . C. Pouzint (798). Involucre ovoïde, à écailles terminées par une épine très-allongée. . C. calcitrapa (196). Involucre oblong-cylindrique, à à écailles moyen- nes terminées par 5-7 épines peu inégales. APE UE De myacantha (197). CCXXVIL KENTROPHYLLUM. K. lanatum (199). CCXXVIIT. CARDUUS. Involucre. Cylindra éER ue LEE Involucre ovale ou arrondi . 10 12 : 14 15 16 se 19 19 ù ”) 5 L r ( l CLEF DES ESPÈCES. Capitules nombreux, sessiles. . k C. tenuiflorus (800). Capitules distinctement pédonculés, solitaires ou réunis seulement par 2-3 . ee Cu 1 pycnocephalus (801). Feuilles caulinaires plus ou moins pennatifides. Feuilles caulinaires lancéolées, entières, simple- ment dentées . . . C. personata (806). Pédoncules plus ou moins ailés-épineux . Pédoncules tomenteux, sans ailes ni épines. Involucre à écailles droites ou à peine étalées, terminées par une “ne faible . . ape tr crispus (803). Involucre à écailles moyennes et inférieures très-étalées et terminées par une forte épine. : LAVE ANEERS . C. crispo-nutans (804). Feuilles pubescentes, au moins en dessous ; in- volucre cotonneux, à écailles très-piquantes. C. nutans (802). Feuilles glabres, glauques en dessous; involucre glabre ou à peine pubescent, à écailles très- peu piquantes. . C. defloratus (805). CCXXIX. SizyBuM . S. Marianum (807). CCXXX. ONOPORDUM. Involucre à écailles inférieures étalées, mais non réfléchies. O. acanthium (808). Involucre à écailles inférieures réfléchies sf RES, PAS O. Illyricum (809). CCXXXI. SERRATULA. S. tinctoria (810). CCXXXII. Lappa. Involucre glabre ou à peine cotonneux . Involucre couvert d’un duvet cotonneux très- abondant. . . . . L. tomentosa (813). Involucre à écailles toutes vertes. L. major (811). Involucre à écailles intérieures rougeàtres . . # L. minor (812). CEXXXIIL/XERANTHEMUM 21516 lblet . PAIE CT *. X. inapertum (814). r t© LD [Ra CLEF DES ESPÈCES. CCXXXIV. Ecninors. E. ritro (815). CCXXXV. HELYCHRyYSUM . H. stæchas (816). CCXXX VI GNAPHALIUM. Fleurs dioïques Etamines et carpelles réunis dans “chaque capi- tule de fleurs . : Involucre à écailles blanches ou roses . . . G. dioicum (817). Inv olucre à écailles roussâtres, tachées de noir. Ce G. alpinum (818). Fleurs en grappe ou épi terminal, Le ut fois solitaires L : Fleurs en tête ou cory mbe 2 Fleurs nombreuses, en épi feuillé . . . - G. sylvaticum (821) Fleurs nombreuses, en grappe ou épi non feuillé, quelquefois solitaires. . G. supinum (823) Involucre à écailles noïirâtres ; capitules entourés de bractées ou de feuilles à la base. Involucre à écailles luisantes, d’un jaune pâle ; capitules non entourés de bractées ni de feuilles. . . . . G. lufeo-album (820). Capitules entourés de bractées blanches-lai- neuses . . . . G. leontopodium (819). “ApÈUE entourés de feuilles vertes . . or. re G. uliginosum (822). CCXXX VIT. FILAGO. Fleurs en paquets globuleux, formés chacun de 15-30 capitules. Fleurs en petits paquets formés chacun de 3-6 capitules . . . . À ÉMRME Feuilles nr plus e à la base qu’au sommet . Feuilles spatulées, plus larges ‘vers le sommet qu’à la base. . . . F. spatulata (824). [VI r — \ 1} CLEF DES ESPÈCES. Involucre à écailles rougeätres au sommet, en- tourées à la base d’un duvet jaunâtre . ; F. lutescens (825). Involucre à écailles d’un blanc jaunâtre au som- met, entourées à la base d’un duvet blan- châtre. . . . . . F. canescens (826). Bractées plus courtes que les paquets de fleurs. Bractées beaucoup plus longues que les paquets detfleurs: . .:. . F. Gallica (829). Involucre à écailles be dans leur moitié supérieure. . . . . F. montana (827). Involucre à écailles mollement tomenteuses presque jusqu’à leur sommet. F. arvensis (828). CCXXXVIIT. EUPATORIUM. . jte . E. cannabinum (830). CCXXXIX. CACALIA. Feuilles cotonneuses-blanchâtres en dessous, bordées de He dents très-inégales. . . C. petasites (831). Feuilles glabres sur les deux faces ou à peine pubescentes en dessous sur les nervures, bor- dées de dents simples et assez régulières . MS dirt . C. alpina (832). CCXL. TussiLAGoO. Fleurs rougeâtres ou blanches, toutes floscu- leuses. . . AE Put SITE Fleurs jaunes, radiées … + "T. farfara (833). Capitules nombreux, disposés en thyrse. Capitule solitaire et terminal. T. alpina (836). Fleurs rougeàtres, en thyrse oblong. . : T. petasites (834) 4 Fleurs blanches, en thyrse ovale. T. alba (835). COXLI. CarysocoMa. . C. linosyris (837). CCXLII. TANACETUM. . T. vulgare (838). CCXLIHII. BALSAMITA . . B. virgata (839). COXLIV. ARTEMISIA. Réceptacle velu Réceptacle non velu . Lo RC — CL A | CLEF DES ESPÈCES Feuilles caulinaires à pétiole muni à la base de 2 oreillettes; plante à odeur camphrée . À. camphorata (841). Feuilles caulinaires à pétiole non auriculé à la base ; AN à odeur fortement aromatique. . À. absinthium (840). Feuilles ee en segments linéaires, gla- bres ou finement pubescents. Feuilles découpées en segments lancéolés, blan- ches-tomenteuses en dessous ne A. vulgaris (843). Involucre glabre ou presque glabre ; plante ino- dore 12.1, . . À. campestris (842). Involucre cotonneux : ; plante exhalant une suave odeur. . . . A. suavis (841 bis, p. 606). CCXLV. MICROPUS . CCXLV bis. CARPESIUM. À ù . C. cernuum (844 bis, p. 607. M. erectus (844). CCXLVI. BIDENSs. Fleurs en capitules dressés . 15 ne de Fleurs en capitules penchés . B. cernua (847). Feuilles divisées en 3-5 segments. . ; B. fripar. tita (845). Feuilles ov ales, “bordées de grosses dents. . . Hal. Pb B. bullata (846). CCXLVII. ERIGERON. Fleurs à rayons lilas ou violacés, solitaires ou en . corymbe . Fleurs blanchâtres, en panicule pyramidale . \ Ni . E. Canadensis (848). Demi-fleurons dressés ; aigrette 3 fois plus lon- gue que la graine. . . E. acris (849). Demi-fleurons étalés ; aigrette 1-2 fois plus lon- gue que la graine. E. alpinus (850). CCXLVIIT. SOLIDAGO. Fleurs en grappes dressées, non unilatérales. Fleurs en grappes aires étalées et ar- quées tout: . . . S. glabra (854). % 10 Lo # =! — CLÉF DES ESPÈCES. Pédoncules portant plusieurs fleurs : : Pédoncules simples et uniflores. S. minuta (833) Feuilles D TE CE LE en dessous. S. virga aurea (851). Feuilles presque glabres, vertes en dessous . LT … … . S. alpestris (852). CCXLIX. ASTER. Mébromeusc'et multifliore:. … "9 2 à . Tige simple et uniflore . A. alpinus (855). Fleurs en corymbe simple, peu feuillé . . . A. amellus (856). Fleurs en grappe corymbiforme, très-rameuse, très-feuillée. : . A. serotinus (857). CCL. SENECIO. Fleurs flosculeuses Fleurs radiées . Feuilles pennatifides ou pennatipartites . Feuilles PANMURS Jan sÉcIées, denticulées . , S. cacaliaster (871). Involucre cylindrique, à calicule formé d’une dizaine de petites écailles. S. vulgaris (858). Involucre hémisphérique, à calicule formé de 2-5 petites écailles. S. flosculosus (859). Demi-fleurons courts et enroulés en dehors. Demi-fleurons étalés et rayonnants. Plante trè nl graines glabres s . S. viSCosus (860). Plante peu ou point visqueuse : graines pubes- CUS LCR 0 . ui Sylvatieus (861). Feuilles plus ou moins profondément découpées. Feuilles entières, simplement dentées Feuilles non découpées en lanières capillaires. Feuilles découpées en lanières capillaires. . SOA TRUE TP S. adonidifolius (863. Feuilles caulinaires pennatiséquées ou lyrées Feuilles caulinaires ovales, pennatifides à la base, incisées-dentées au sommet crucifolius (864). 17 Le 28D LR, 7 ee ge, mm, CLEF DES ESPÈCES. Feuilles du milieu de la tige non lyrées, à seg- ments peu inégaux. Feuilles du milieu de la tige lyrées, à segment terminal HÉEOUR plus grand que les autres. Dee S. aquaticus (866). Feuilles inférieures lyrées-pennatifides ; graines de la circonférence glabres. S. Jacobæn (865). Feuilles toutes pennatiséquées; graines toutes pubescentes . . . . S. Gallicus (862). 12-20 demi-fleurons à chaque capitule 3-5 demi-fleurons à chaque capitule . Feuilles toutes sessiles . S. paludosus (867). Feuilles inférieures atténuées en pétiole . . AA SA : S. doronicum (868). Feuilles minces, non embrassantes } Feuilles épaisses, charnues, les caulinaires moyennes embrassantes. . S. Doria (869). Feuilles caulinaires toutes atténuées en court pétiole. . . . S. Fuchsii (870). Feuilles caulinaires sessiles. S. cacaliaster (871). CCLI. ARNICA. Fleurs jaunes . Fleurs à rayons blancs ou rosés . 1). te ons AI bellidiastrum (872). Feuilles toutes sessiles et entières, les cauli- naires opposées. A. montana (873). Feuilles alternes, bordées de grosses dents iné- sl les inférieures longuement pétiolées. + VAS © scorpioides (874). CCLIT. DorONICUM. Fleurs d’un jaune pâle. D. pardalianches (875). Fleurs d’un jaune orangé. D. Austriacum (876). CCLHIE. INULA. Fleurs à rayons dressés, peu apparents Fleurs à rayons étalés, très-v isibles Aigrette non entourée d'une couronne à sa base. Aigrette entourée à sa base d’une couronne la- ciniée. . + . . . JL. pulicaria (884). 10 > =ù 9 RO [Le = ND 22 Si # CLEF DES ESPÈCES. Fleurs en corymbes terminaux. L. coxyza (877). Fleurs en panicule pyramidale . . Re bre tolé I. graveolens ( (878). Tige et feuilles plus ou moins velues. Tige et feuilles glabres ou à peu près. Feuilles caulinaires sessiles ou à peine embras- santes Feuilles caulinaires manifestement embrassantes. Tige portant 1 fleur, plus rarement 2-3 . Fleurs nombreuses, en vaste corymbe . 1 Vaillantii (882 bis, p. 607). Feuilles tomenteuses-blanchâtres . . RUE CRU DATE TS montana (880). Feuilles d’un vert sombre . . [. hirta (881). Feuilles de lancéolées . . : L Britannica (879). Feuilles en cœur, ovales Le oblongues L MORE LS L. dysenterica (885). Feuilles amplexicaules. . L. salicina (882). Feuilles sessiles. . . . [. squarrosa (883). CCLIV. BELLIS . B. perennis (886). CCLV. CHRYSANTHEMUM. Feuilles entières, simplement dentées ou créne- lées Feuilles profondément p pennatiséquées Graines toutes dépourvues de couronne. F C. leucanthemum (887). Graines de la circonférence terminées par une petite couronne ou au moins par une demi- couronne. . . . . C. montanum (888). Feuilles découpées en segments oblongs ou el- liptiques, incisés ou pennatifides Feuilles découpées en lanières capillaires et al- Jongées . : . . . C. #nodorum (891). Fleurs inodores ou à peine odorantes; feuilles supérieures sessiles. C. cor ymbosun (889). Fleurs à forte odeur de camomille; feuilles toutes PR ou moins pétiolées. È TES : . C. parthentumn (890. 281 _ LD Ua et D. 2 CLEF DES ESPÈCES CCLVI. MATRICARIA. . M. chamomilla (892) CCLVITL. ANTHEMIS. Fleurs à rayons blancs MY 4-0 NORNNRRE. Fleurs entièrement jaunes. A. ténctoria (893). Réceptacle conique ::52:- Meter e INR Réceptacle hémisphérique. A. montana (896). Plante très-odorante ; graines nues au sommet. Plante presque inodore ; graines couronnées par une petite membrane. . À. arvensis (894). Plante à odeur fétide; réceptacle à paillettes linéaires, très-aiguës A. cotula (895). Plante à odeur aromatique ; réceptacle à pail- lettes oblongues, scarieuses, obtuses . . MS De EE A. nobilis (897). CCLVIIL. ACHILLÆA. Feuilles pennatiséquées . Feuilles oblongues-lancéolées, simplement den- EE RE: ptarmica (898). Feuilles 2 fois pennatiséquées, oblongues-li- néaires ‘dans leur pourtour . . : À. millefolium (899). Feuilles 4 fois pennatiséquées, ovales-triangu- laires dans leur pourtour . . MON ET ISA A. macrophylla (900). CCLIX. BupaTaALMUM. B. salicifolium (901). CCLX. CALENDULA. C. arvensis (902). CCEXI. SoxcHus. Fleurs jaunes Fleurs bleues . Involucre glabre ou n ‘offrant que GRPIAUES poils glanduieux 4 s Involucre couvert de poils g slanduleux L OUT, SAGTUPIETS (903). Feuilles caulinaires embrassant la tige me 2 oreillettes arrondies. . Feuilles caulinaires embrassant la tige ‘par 2 oreillettes acuminées. S. oleraceus (90%). & 1ÿ © =. # CLEF DES ESPÈCES. Feuilles bordées de dents spinescentes; graines non lisses, striées en travers. S. asper (905). Feuilles non bordées de dents spinescentes ; graines forteinent striées en travers . . . D. US ES. HECTOURES (UD). Bractées, pédoncules et involucre glabres . M. 2 ous Su Plurnieri (907): Bractées, pédoncules et involucre hérissés de poils glanduleux . . . S. alpinus (908). CELXIT. LACTUCA. PIC RUNESEENENNT PNA AR CT Fleurs bleues ou violacées, rarement blanches. PEU, 5 pérennis (909). Feuilles caulinaires longuement décurrentes. Feuilles caulinaires embrassantes, mais non dé- CRETE SEULE PARA VA Fleurs d’un jaune pâle; bec de la graine aussi long que la graine elle-même . + . . . MR EAU Au, . L. viminea (911). Fleurs d’un beau jaune; bec de la graine de moitié moins long que la graine elle-même. . . . L. chondrillæflora (911 bis, p. 607). Feuilles caulinaires ovales où oblongues, pen- natifides ou dentées . . . . . . . . Feuilles caulinaires la plupart linéaires et très- CTITIÈT ER. de de L. saligna (910). Feuilles aiguillonnées en dessous sur la côte ROM 20 | à ON MOMENT . à Feuilles complètement dépourvues d'aiguillons. D Dar ce Ce RE PARTONS (O1). Feuilles dressées verticalement ou oblique- ment; graines grisètres, velues au sommet. 0, à à L.'scariolg (913) Feuilles étalées horizontalement; graines noirà- tres, entièrement glabres. . L. virosa (91%). CCLXIHIE. CHONDRILLA . C. juncea (915). CCLXIV. PRENANTHES. . P. purpurea (916). CCLXV. TARAXACUM. . T. dens-leonis (917). CCLX VI. Prenoraeca. P. Nemausensis (918). 283 Le + k 6 = PS] (9 a | Le j | | | | | \ CLEF DES ESPÈCES. CCEX VII. CREPIS. Aïgrettes à poils d’un blanc de neige . RE Aigrettes à poils roussâtres . Involucre à écailles très-inégales . Involucre à 2 rangs de folioles égales . 4 MelS A C. blattarioides (924). Involucre et pédoncules glabres ou pubescents, mais non hérissés de longs poils. Involucre et La doncules hérissés de longs poils. FE, , . C. grandiflora (925). Feuilles taféricures pennatE Res ou dentées ; fleurs d’un jaune clair. Feuilles inférieures entières ou à peine denti- culées ; fleurs d’un beau jaune d'or. . des ; C. succisæfolia (923). Involucre à écailles intérieures pubescentes ou poilues en dedans . Involucre à écaillesintérieures glabres en dedans. Feuilles raos à bords planes ; stigmates jaunes. . . . C. biennis (919). Feuilles supérieures à bords roulés en dessous ; stigmates bruns . C. tectorum (921). Tige hérissée et rude, surtout à la base ; stig- mates bruns. . . . C. Nicæensis 1920). Tige BD ou it eh stigmates jaunes. . C. virens (922). Tige rameuse et multiflore. C. paludosa (926). Tige simple et uniflore. . C. #ontana (927). CCLX VII. BARKAUSrA. __ Involucre non hérissé de soies raides et jaunàtres. Involucre hérissé de soies raides et jaunâtres. ; UNS 2e B. setosa (930). Plante à forte odeur; capitules penchés avant la floraison. . . . B. fœtida (928). Plante inodore; capitules dressés avant la flo- raison. . . . . B. taraæacifolia (929). CCLXIX. HIERACIUM. Tige munie à sa base de stolons rampants . Tige dépourvue de stolons à la base . QN 19 4 So 10 11 13 TS TS TT ot e —— —— LS + + CLEF DES ESPÈCES. Tige portant toujours plusieurs fleurs. . | Hampe simple et uniflore. H. pilosella (934) Tige portant 2-5 fleurs. . H. auricula (932). Tige portant 20-60 fleurs. H. præaltum (933). Tige munie de feuilles radicales étalées en ro- sette pendant la floraison. Tige dépourvue de feuilles radicales penaut PS floraison . RS dr de. Involuere à folioles régulièrement imbriquées. Involucre à folioles irrégulièrement imbriquées, les extérieures courtes, formant DEAR un calicule . EL - er RE SE Plantes glauques . Plantes vertes . Involucre non hérissé de poils laineux. Involucre hérissé de poils laineux. Pédoncules sans poils glanduleux . À Pédoncules munis de poils glanduleux . . : ren, H. saxatile (938). Souche nr” tige sites g ; H. staticefolium (934). Souche non ‘rampante ; tige couverte dans Île haut d’une pubescence blanchâtre . ; He de 2 H. glaucum (933). Feuilles hdi de poils laineux. . H. villosum 936. Feuilles caulinaires glabres ou ciliées ob sur les bords et sur la côte médiane 7 > à T'ON TREATE H. glabratum (937. Fleurs en corymbe ou panicule. Tige uniflore, rarement à 2 fleurs. . g H. alpinum (939. 1 Feuilles caulinaires cordiformes et embrassantes. H. amplexicaule (940. Feuilles caulinaires atténuées ou sessiles, ] Ver cordiformes-embrassantes ans H. pulmonar ioides (941. ) Involucre à poils plumeux . Involucre DORE mais jamais à poils plu- meux. C8 14 16 286 15 D DR LD 2 DT 0e F CL MT CLEF DES ESPÈCES. Tige couverte d’un duvet laineux. J Tige couverte seulement d’une pubescence fa- rineuse. . . . . H. farinulentum (944). Feuilles entières ou seulement un peu sinuées. H. lanatum (942). Feuilles dentées- -pennatifides à à la base ; s ie H. Kochianum (943). Tige et feuilles sans poils visqueux Tige et feuilles munies de poils glanduleux et Visqueux sauts 06e LES AMEN Jacquint (950). Tige sans feuilles caulinaires ou n’en nd que 4-2". : Tige portant plusieurs feuilles caulinaires . Involucre hérissé de pete poils glanäuleux. H. murorum (9%5). Involucre hérissé, mais non glanduleux. ù PR 4H “porrectuin (946). Feuilles caulinaires sessiles ou courtement pé- tiolées. Feuilles caulinaires moy ennes embrassant la tige par 2 oreillettes. H. elatum (93h). Tige glabre ou presque glabre. i Tige velue à la base. . H. Lortetie (949) à Styles d’un fauve livide. H. sylvaticum (9#7) Styles jaunes. . . . . H. lœvicaule (948). Demi-fleurons à dents ciliées . Demi-fleurons à dents glabres . Tige pubescente et un peu rude; graines d'un roux foncé. . . . . M. elatum (951). Tige mollement velue, surtout inférieurement ; graines d’un gris blanchätre. AMEN à H. lycopifolium (952). Styles bruns ou noïrâtres :. Eu 2000, : Styles jaunes. . . . H. wumbellatum (956). Feuilles inférieures sessiles ou atténuées en court pétiole. : Feuilles inférieures longuement atténuées en DOtIOlE TERRE L. tridentatum (953). 15 18 19 20 CLEF DES ESPÈCES. 287 Tige très-rude; feuilles à dents peu profondes. H. obliquum (954). Tige peu ou point rude, au moins dans sa moi- tié supérieure; feuilles bordées de grosses dents inégales . . . . H. boreule (955). CCLXIX bis. ANDRYALA. A. sinuata (957). CCLXX. Tours. T. barbata (938. CCLXXI. TRAGOPOGON. Pédoncules fortement renflés en massue au soin met. . + m0 Te nAjOr (959). FRAURARIeS peu ‘où point renflés au sommet. ‘ “ : T. pratensis (960. CCLXXII. SCORZONERA. Feuilles et graines glabres. S. humilis (961. Feuilles pubescentes et ciliées ; graines velues. AE he las NAPE S. hirsuta (962!. CCLXXIIT. PonosPERMUM. P. laciniatum (963. CCLXXIV. LEONTODON. Hampe simple et uniflore Tige rameuse et pluriflore. L. autumnalis (964). ie dépourvue de petites écailles ou n’en of- frant que 1-3 très-espacées . RL munie de petites écailles. à ro gs . L. pyrenaicus (968). ). Racine tronquée ; aigrette à poils extérieurs seu- lement denticulés. L. protheiformis (966). Racine pivotante, non tronquée ; aigrette à poils FOUSMUTREUX. 1. 2 à crispus (967. CCLXXV. THRiINCrA. Racine tronquée; bec de la graine n’égalant que le quart de sa longueur . . T. hirta (968). Racine pivotante, non tronquée ; bee de la graine égalant la moitié de sa longueur. . pren) T! hispida (968 bis, p. 607). CCLXXVI. Picris. . P. hieracioides (969). CCLXX VIT. Hecminrara. H. echioïdés (970. 115 LR 258 CL, M, Pt, —— CLEF DES ESPÈCES. CCELXX VII. HyPoCHÆRIS. Tige et involucre glabres ou presque glabres . 2 Tige et involucre hérissés. H. maculata (971). Feuilles glabres ou à poils rares sur les bords . 3 Feuilles A ou sur toute leur surface . . ARS Fa H. radicata (972). Aigrettes toutes plumeuses et pédicellées. _. H. Balbisii (974). Aigrettes de la circonférence sessiles et seule- ment denticulées. . . . H. glabra (973). CCLXXIX. CATANANCHE . C. cœrulea (975). CCLXXX. Cicaorium . . C. intybus (976). CCLXXXI. LAPsanA. Tige feuillée. . . . . L. communis (977). Feuilles toutes en rosace radicale. L. minima (978). CCLXXXI bis. SCOLYMUS . ; S. Hispanicus (978 bis, p. 608). 48° F. — AMBROSIACÉES. CCLXXXIL XANTHIUM. Tige dépourvue d’aiguillons . . 2 Tige bérissée d’ aiguilions. X. spinosum (981). Involucre fructifère à épines droites, crochues seulement au sommet. X. sérumarium (979). Involucre fructifère à épines arquées depuis leur milieu et terminées par un bec courbé en crosse . . . . X. macrocarpum (980). 49° F. — CAMPANULACÉES. CCLXXXIIL. JASIONE. Racine stolonifère ; involucre à écailles profon- dément dentées . . . J. perennis (983). Racine sans stolons; involucre à écailles en- üères ou à peine dentées. J. montana (982). 2 % 10 11 CLEF DES ESPÈCES. CCLXXXIV. PHYTEUMA. Fleurs en épi oblong P. spicatum (984. Fleurs en tête arrondie. . P. orbiculare (985). CCLXXXV. CAMPANULA. Calice à 40 divisions, dont 5 réfléchies . 2 Calice à 5 divisions dressées pendant la floraison. Corolle à lobes longuement barbus sur les bords. : C. barbata (986). Corolle à lobes peu ou point barbus sur les bords. M ESA ; C. medium (987). Feuilles caulinaires toutes alternes Feuilles caulinaires supérieures opposées . . MMOE Se nrioR trio C. erinus (992. Fleurs sessiles ou presque sessiles. Fleurs pédonCnlées.!,. : 1.422,54 etre Fleurs ordinairement bleues, rarement blanches. Fleurs d’un blanc jaunâtre. C. fhyrsoidea (991). Feuilles inférieures à base arrondie ou en cœur. . C. glomerata (989). Feuilles inférieures oblongues-lancéolées, in- sensiblement atténuées en un pétiole ailé. FT MEME C. cervicaria (990). Feuilles plus ou moins velues ou ed pa: ; Feuilles parfaitement glabres . : Tige droite et ferme . Tiges couchées et gazonnantes . Tube du calice plus ou moins hérissé et pubes- gen" FRE (RRQ Tube du calice parfaitement glabre Calice à segments entiers À Calice à segments denticulés à | Ja ‘base 3 JADE EE C. patula (993). Fleurs penchées, en grappe unilatérale . . . C. rapunculoides (996. Fleurs dressées, disposées en tous sens . . Bt. . C. trachelium (997). 289 4 I QT 13 16 18 19 LT, CLEF DES ESPÈCES. Feuilles caulinaires D DU eo € racine fibreuse . Feuilles caulinaires oblongues ou linéaires-lan- céolées ; racine charnue. C. rapunculus (995). Calice à segments oblongs-lancéolés ; grandes fleûrs 1 EPSON TIMES) Calice à segments linéaires; fleurs de moyenne SANTO à 5 LE LUE rhomboidalis (999). Feuilles radicales détruites au moment de la floraison . . . . C. Scheuchzeri (1001). Feuilles radicales persistantes au moment de la floraison .. . . . . C. pusilla (003). Feuilles n’étant pas toutes ovales-cordiformes et lobées. Feuilles toutes ovales-cordiformes et lobées. ET ea ee C. hederacea (988). Boutons et pédoncules dressés ou ascendants avant la floraison . Pédoncules recourbés au sommet et boutons. penchés avant la floraison Feuilles caulinaires linéaires-lancéolées . Feuilles caulinaires ovales ou oblongues, tou- jours dentées. . . C, rhomboidalis (999). Fleurs en grappe simple; boutons et pédoncules étalés-ascendants avant la floraison. . . . C. dinifolia (1000). Fleursen panicule ; boutons et pédoncules dressés avant la floraison C. rotundifolia (4002). Calice à segments dressés ou un peu étalés. Calice à segments réfléchis après la floraison. PP ER à. C. rhomboidalis (999). Tiges plus ou moins séruées au moins à la as" 1 sl, 2: fé OA - Tige droite et ferme. . C. persicifolia (99%). Feuilles radicales persistantes au moment de la floraison . Feuilles radicales détruites au moment de la floraison . . . . C. Scheuchzeri (1001). 13 16 i7 19 18 [te Le 12 © 1° 0 0, LS TS, 1 CLEF DES ESPÈCES. Feuilles radicales ovales-arrondies ou un peu en cœur à la base ; corolle à peu près aussi large que longue. . . . . (GC. pusilla (1003). Feuilles radicales ovales-cunéiformes ; corolle plus longue que large. C. cæspitosa (100%). CCLXXX VI. SPECULARIA. S. speculum (1095). 50° F. — VACCINIÉES. CCLXXX VII. VACCINIUM. Corolle en grelot, pEssque fermée ; baie noirätre ou bleuàtre . Corolle ouverte ; baie rouge Feuilles lancéolées et finement denticulées . V. myrtillus ( (1006). Feuilles obtuses et parfaitement entières . . RD V. uliginosum (1007). Feuilles obtuses; corolle campanulée. . V. vitis Idæa (1008). Feuilles lancéolées ; corolle en roue, à srl si LS ” ’elle parait polypétale De . . V. oœycoccos (1009). 51° F. — ÉRICINÉES. CCLXXXVIIT. ARBUTUS. Feuilles très-entières, parfaitement glabres. . . À. uva ursi (1010). Feuilles denticulées, ciliées. A. alpina (1011). CCLXXXIX. ANDROMEDA. A. polifolia (1012). CCXC. RHODODENDRON. Feuilles et calice glabres. R. ferrugineum (1013). Feuilles et dents du calice ciliées. . . . . 1 . R. hirsutum (101%). CCXCI. ERICA. E. vulgaris (1015). 52 F. — PYROLACÉES. CCXCIE. PyROLA. - Efamines et style droits . Etamines et style fortement arqués LE ; eee 9 P. rotundifolia 4016). 291 "à 2 999 CLEF DES ESPÈCES. Feuilles arrondies ou ovales, toujours obtuses et crénelées. :: . . P. minor (1017). Feuilles ovales- lancéolées, aiguës et finement dentées en scie . . . P. secunda (1018). CCXCIIL. MoxorroPpa. M. Aypopitys (1019). 53° F. — AQUIFOLIACÉES. CCXCIV. ILEx. . . I. aquifolium (1020). 54° F. — JASMINÉES. CCXCV. FRaAxINUS . . F. excelsior (1091). CCXCVI. PHYLLYREA. . P. latifolia (1022). CCXCVIT. LiGusrrum. . L. vulgare (1023). 55° F. — PRIMULACÉES. CCXCOVIIL. Samozus. . S. Valerandi (1024). CCXCIX. ANDROSACE. Plante hérissée de poils blancs. A. villosa (1025). Plante glabre. . . . . A. lactea (1026). CCXCIX bis. CYCLAMEN . : C. Europœæum (1026 ‘bis, P. 608). CCC. PRIMULA. Hampes multiflores : ::1% 01.00€ RNA. Hampes uniflores . . P. grandiflora (1027). Feuilles minces, non charnues, plus ou moins ridées. à : Feuilles es charnues, lisses, non ridées , PR 1 P. auricula (1030). Feuilles non recouvertes en dessous d’une poudre farineuse. : Feuilles recouvertesen dessous d’une fine poudre farineuse . . . . . P. farinosa (1031). Calice à tube appliqué au moins à la base. Calice à tube fortement Re s P: officinalis (1029). SH LS 1 CLEF DES ESPÈCES. Fleurs en ombelles toujours dressées. . BE grandifiora (1027). Fleurs en ombelles ordinairement penchées d’un même côté. . . . . P. elatior (1028). CCCI. HorTronrA. . . H. palustris (1032). CCCII. LysrMACHrA. Pédoncules uniflores ; tige couchée Pédoncules multiflores ; tige droite et ferme. À : ; L. vulgaris (1033). Feuilles rm calice àsegmentsen cœur ovale- aigu . . .. L. nummularia (1034). Feuilles ovales-lancéolées ; ; calice à segments linéaires. . . . . L. nemorum (1035). CCCIIT. ANAGALLIS. Feuilles sessiles, ovales-lancéolées. . £ ; A. arvensis 1036). Feuilles courtement PÉRIERS presque rondes. Re A. tenella (1037). GCCIY. À nent . . S. alpina (1038). CCCV. CENTUNCULUS. . C. minimus (1039). 56° F. — APOCYNÉES. CCCVI. VINCA. Feuilles finement ciliées sur les bords . . . V. major (1040). Feuilles parfaitement glabres. V. minor (1041). CCCVII. VinceroxiCuM. V. officinale (1042). 57° F. — GENTIANÉES. CCCVIIL. MENYANTHES. M. frifoliata (1043). CCCIX. ViLLARSIA. . V. nymphoides (104%). CCCX. CaLora. . . CG. perfoliata (1045). CCCXI. SWERTIA. . . S. perennis (1046). CCCXIT. GENTIANA. Corolle ‘barbue à la gorge où à lobes ciliés. Corolle n'étant ni barbue à la gorge, ni à lobes cihés . 293 6 294 de A | 10 11 TS, PL TS D ln." LT, A, he tr a ne LA CLEF DES ESPÈCES. Fleurs d’un jaune blanchàtre Fleurs bleues ou violettes, rarement blanches. Feuilles inférieures obovales-spatulées, très- obtuses. . . . . G. obtusifolia (1057). Feuilles toutes aiguës. G. flava (1058). Corolle barbue à la gorge, à lobes non ciliés. Corolle non barbue à la gorge, à lobes ciliés. . : G. ciliata (1055). . à 3 HR égaux ; Corolle à 5 lobes lancéolés . . . . G. Germanica (1056). Calice à # segments très-inégaux en largeur ; corolle à 4 lobes obtus. G..campestris (1059). Fleurs jaunes ou He sur un fond jau- nâtre. . Fleurs bleues ou violettes à ‘rarement blanches. Corolle en roue; fleurs jaunes. G. lutea (1047). Corolle campanulée; fleurs ponctuées de brun sur un fond jaunâtre. . G. punctata (1048). Corolle campanulée . Corolle tubuleuse . Tige uniflore Tige DATE plusieurs fleurs . , sa G. pneunonanthe (4 049) : Feuilles téieures non réduites à des écailles. Feuilles inférieures réduites à des écailles . . . G. pneumonanthe (1049). Fleurs d’un beau bleu de roi, marquées de points verdàtres à l'intérieur. . G. acaulis (1051). Fleurs d'un bleu clair, non ponctuées à linté- rieur... «cit FE 45 Gr, Fretéhiz (A0): Fleurs n'étant pas sessiles et verticillées . Ë Fleurs sessiles et verticillées. G. cruciata (1050). Tige simple et uniflore. . G. verna (1053). Tige rameuse et pluriflore. G. rivalis (105%) CCCXIIT. ERYTHRÆA. Fleurs sessiles ou presque sessiles, en corymbe serré . . . E. céntaurium (1060). Fleurs distinctement pédicellées, en Et lâche. . ... . . E. pulchella (4061). D 13 CT 2 ot, 10 CLEF DES ESPÈCES. CCCXIV. CICENDIA. Calice à dents courtes, triangulaires . . op AE fiiformis (1062. Calice divisé presque 7. la base en la- nières linéaires. . . . C. pusilla (1063). 38 F. — CONVOLVULACÉES. CCCXV. CONYOLYULUS. Bractées linéaires, placées sur le pédoncule et plus ou moins écartées de la fleur . } Bractées foliacées, en cœur, placées à la base en. .. - C sæpium (106%). Tige couchée ou grimpante. C. arvensis (1065; Tige ferme, se soutenant d'elle-même. . | LÉ 1:14 à . C. Cantabrica 1066). CCCXVI. CuscurA. Fleurs sessiles, en paquets serrés . Fleurs pédonculées, en petits corymbes . k RATE IG :SUateotens (1070). Styles divergents . AGP HSE EPL - Styles dressés. . . . . C. minor (1068). Etamines saillantes hors de la corolle. : , C. trifolii \ 1069. Etamines incluses dans la corolle ; } : . C. major (4067 | 59° F. — SOLANÉES. CCCXVII. DATURA. Fleurs blanches. . . D. sframonium(1071.. Fleurs d’un violet clair. . D. éatula (4072. CCCXVIIT. Hyoscyamus . H. niger (1073). CCCXIX. VERBASCUM. Feuilles caulinaires plus où moins décurrentes. au moins les supérieures. gts Feuilles caulinaires non décurrentes . Etamines supérieu es à filets laineux . Etamines à filets tous entièrement glabres . . sidetpr west V. crassifolium (1075). 19 [Re = +1 296 & 1 19 pe ne CLEF DES ESPÈCES, Feuilles entièrement décurrentes de l’une à l'autre. . . .. . . V.thapsus (4074): Feuilles un peu décurrentes, mais jamais en- tièrement, de l’une à l’autre. ’ PRERTTE va phlomoides (1076) Etamines à filets PRE de poils violets ou rou- geàtres Etamines à filets garnis de pois blancs ou jau- nâtres. rte Un EEE 5 Feuilles inférieures pétiolées SIL. ! Feuilles inférieures rétrécies à la base, mais non pétiolées . RE PERS R" Tige anguleuse au sommet . . . . + . . Tige arrondie au sommet . V. Chaixi (1080). Feuilles inférieures en cœur à la base . . V. nigrum (1079). Feu iles inférieures arrondies, mais non en CŒUr à la base. . . . . . V.mixtum (1081). Fleurs solitaires, à pédicelles 4-2 fois plus longs que le calice. V. blattaria (1082). Fleurs réunies par 2-4, à pédicelles tout au a aussi longs que le calice . , V. blattarioides (1083). Feuilles vertes en dessus, pulvérulentes en des- SOUË" LE .… . V. lychnitis (1077). Feuilles recouvertes sur les deux faces d’un du- vet blanc et floconneux. V. floccosum (1078). CCCXXX. Lycium. L. Barbarum (108%). CCCXXXI. ATROPA. A. belladona (1085). CCCXXXII. PaysaLis. P. alkekengi (1086). CCCXXXIIT. SOLANUM. Fleurs blanches; tige non grimpante. Fleurs violettes ; ige grimpante ; £ D. : S. dulcamara (4087) ). Corolle 1 fois mp longue que le calice . Corolle 3-4 fois Pis longue que le calice . . FD Aer à S. villosum (1089. [Ua 19 D m0 ï CLEF DES ESPÈCES. Feuilles gabrés ou presque glabres . . } S. nigrum (1088). Feuilles un peu velues, à petits poils étaiés S. mintatum (1089 bis, p. 609. 60° F. — BORRAGINÉES. CCCXXXIV. SYMPHYTUM. Feuilles MD décurrentes . . S. officinale 14090! L Feuilles à peine décurrentes . sr méfie ee . S. tuberosum (1091) : CCCXXXV. Ancausa . . A. Italica (1092). CCCXXX VI. Lycopsis. . L. arvensis (1093). CCCXXXVIL. BorrAGo. B. officinalis (1094). CCCXXXVIIL ASPERUGO. . ke A. pr ocumbens (1095). CCCXXXIX. CyNoGLOssUM. Carpelles soudés au style par le sommet seule- ment de leur face interne Carpelles soudés au style dans toute la longueur de leur angle interne. . C. lappula (1099. Feuilles pubescentes-grisatres . ; Feuilles luisantes et presque glabres en dessus. RS ei C. montarum (1098. Fleurs d’un rouge sale, non veinées . . . GC. officinale (1096). Fleurs d’un bleu pâle , veinées. . Dr D rte ; Te pictum | (1097). CCCXL. Myosorrs. Calice couvert de poils appliqués, non crochus à leur extrémité : Calice muni, surtout à la base, de poils étalés, crochus à leur extrémité . NA Calice ne se refermant pas sur le fruit après Ja floraison . Calice se refermant sur le fruit après la florai- son. . . . M. Sicula (1101 bis, p. 609). 297 LR 4 CA | CLEF DES ESPÈCES. Tige anguleuse; style égalant à peu près le ca- sf sr D. SO Ticesssn. . . M. palustris (1100). Tige arrondie ; style presque nui, beaucoup plus court que le calice. M. cæspitosa (#101). Corolle à limbe plane. Corolle à limbe concave. Calice à dents dressées et conniventes à la ma- turité du fruit . M. syluatica (1102). Calice ouvert à la maturité. M. alpestris (1103). Calice fermé sur le fruit à la maturité lice ouvert à la maturité. Corolle à tube renfermé dans le calice. . Corolle à tube dépassant longuement le calice. NE versicolor (1107). Pédicelles fructifères étalés, 2 fois plus longs que le calice à la maturité. M. tntermedia (110%). Pédicelles fructifères dressés, toujours plus courts que le calice M. stricta (1106). Corolle à tube renfermé dans le calice . . M. hispida (1103). Corolle à tube dépassant longuement le calice. ; 2 M. lutea (1108). CCCXLI. CERINTHE. C. minor (1109). CCCXLIT. LITHOSPERMUM. Carpelles lisses et luisants . Carpelles rudes et tuberculeux. Fleurs d'un blane jaunâtre. L. officinale (4110). Fleurs bleues ou rougeûtres . srpué L. cœr uleo-purpureum ait). Plante inodore, couverte de petits poils appli- qués. . L. arvense (1112). Plante à odeur fade, hérissée de poils étalés. . L. tinctorium (1113). GCCXLIL. OxosmA. O. arenarium (1114). CCCXLIV. PULMONARIA. Feuilles radicales atténuées en pétiole à la base. Feuilles radicales arrondies à la base, puis brus- dnarc contractées en pétiole. . PS d. P. saccharata (1116). Le 1 [Le 10 12 Le Tige FRERE à à la base, CLEF DES ESPÈCES. Feuilles couvertes de poils un peu rudes Feuilles couvertes de poils mous, doux où à peine rudes. . . . . P. mollis (1118). Gorge de la corolle poilue en dedans, au des- sous des 5 faisceaux de poils qu’elle présente d'abord. . .. . P. angustifolia (1115). Gorge de la corolle glabre en dedans, au des- sous des à faisceaux de poils qu’elle offre d’a- HP... .. .. omoido Pyoaureg (41217). CCCXLY. ECHIUM . CCCXLVI. HELIOTROPIUM . é De: ; H. Europœum (1120). E. vulgare (1119). 61° F. — VERBÉNACÉES. CCCXLVIT. VERBENA . V. officinalis (4121). CCCXLVIIL. SALyrA. Tige herbacée . ER officinalis ( (1199). Fleurs jamais jaunes . ea CRÉTEIL TER Fleurs d’un jaune sale. S. glutinosa (1123. Bractées colorées, dépassant les calices . $ S. sclarea (412). Bractées plus courtes que les calices. . 7 En a S. pratensis (4195. CCCXLIX. Lycopus . L. Europœus (1126). CCCL. MENTHA. Fleurs en épi terminal Fleurs en tête terminale ou en verticilles tous axillaires et distants . À AL ie Feuilles ovales ou BUtétibludh Mnbeoiéés: den- tées en scie . . Late à PERER Feuilles ovales-arrondies, crénelées . . M. rotundifolia 4129. Tige et feuilles blanches-tomenteuses. M. sylvestris (1127). Tige et feuilles vertes et ‘glabres CET Sr PV! ar M. wiridis (112 28). 299 3 [Re v— 19 ES] 300 [Le ES l ns " CLEF DES ESPÈCES. Verticilles de fleurs tous, ou au moins les su- périeurs, rapprochés en tête terminale 3 Verticilles de fleurs tous axillaires et distants. Feuilles velues-hérissées. . M. hirsuta (1130. Feuilles glabres . . . . M. citrata (4131. Calice non velu à la gorge. . , Calice velu à la gorge. . M. pulegium (413% : Calice fructifère oblong . _. 1 Calice fructifère g globuleux. M. arvensis (1133). Feuilles florales pétiolées . M. sativa (1132). Feuilles florales sessiles. M. 5 gentilis (1132 bis, D. 609. CCCLT. ORIGANUM. O. vulgare (1135). CCCLIT. Taymus. Feuilles glabres ou faiblement pubescentes sur le limbe. . .… T. serpyllum (1136). Feuilles à limbe hérissé de poils blanchâtres. ; T. lanuginosus (1437). CCCLII. Hyssopus. . H. officinalis (1138). CCCLIV. SATUREIA . S. montana (1139). CCCLV. CALAMINTHA. Calice bossué à la base ; pédoncules simples. Calice non bossué; pédoncules rameux . Feuilles plus longues El les fleurs. . ] C. acinos (4140). Feuilles plus courtes que les fleurs . . “og: tes . C. alpina (1141). Feuilles bordées de dents de scie bien marquées. Feuilles crénelées ou à dents peu marquées. Lobe moyen de la lèvre inférieure de la corolle en cœur renversé. . C. grandiflora (1142). Lobe moyen de la lèvre inférieure de la corolle entier et arrondi . C. officinalis (1143,. Lèvre supérieure du calice à 3 dents étalées ; fleurs d'un lilas rosé. C. menthæfolia (114%. Lèvre supérieure du calice à 3 dents dressées ; fleurs d’un lilas bleuâtre. C. nepeta 1145) CS RO 1Ù [Le 4 LT ST, TS ls, ns - CÉEF DES ESPÈCES. CCCLV bis. MELISSA. . . EE M. officinalis (1143 bis, p. 610. CCCLVI. Czinopoprum. . C. vulgare (1146. CCCLVIL NEPETA. N. cataria (1147. CCCLVII. GLECHOMA. G. hederacea (1148. CCCLIX. LamIuM. Feuilles toutes pétiolées. Ù Feuilles supérieures sessiles et amplexicaules L DSP . L. amplexicaule (1149). Fleurs purpurines. do sr . Fleurs blanches. .. L. album (1152). Fleurs serrées au sommet (le la tige . Fleurs disposées en verticilles espacés. SDS ÿ L. maculatum (1153. Tube de la corolle muni d’un anneau de poils à l'intérieur. . . . L. purpureum (1150). Tube de la corolle ne présentant pas un anneau de poils à l’intérieur. . L. #ncisum (1151). CCCLX. GALEOBDOLON . G. luteum (1154. CCCELXI GALEOPsis. Tige fortement renflée sous les nœuds. Tige peu ou point renflée sous les nœuds. Tube de la corolle égalant tout au plus le calice. . G. tetrahit (1155). Tube de la corolle dépassant longuement. le ca- lice. . . . . . G. versicolor (1156). Feuilles ovales-lancéolées . . : Feuilles oblongues ou linéaires- lancéolées M : M . G. angustifolia (4157). Tube FA la corolle dépassant à peine le calice. .. G. intermedia (AAST bis, p. 610). Tube de la corolle dépassant très- longuement di. 4 pégee-eiett ASRRSSS (2 grandiflora (4158. CCCLXI. SraAcHys. Fleurs rougeûtres ou rosées. Fleurs d'un blanc jaunàtre. 301 10 ES] _ =TI0 302 1 ( LS ‘CLEF DES ESPÈCES. Bractées égalant au moins la moitié du calice . Bractées nulles ou très-courtes, n de jamais la moitié du calice. 2 tons. Feuilles couvertes d’une laine blanchâtre. . . . S. Germanica Een). Feuilles vertes, ‘finement pabrecentes cages : S. alpina (4160. Feuilles ER : Feuilles ovales. AU Feuilles sessiles ou très-courtement pétiolées ; fleurs roses . . . . S. palustris (1162). Feuilles distinctement pétiolées; fleurs rouges. S. ambiqua (1162 bis, p. 610. Feuilles aiguës, fortement dentées. . S. sylvatica (4164). Feuilles obtuses, superficiellement crénelées. LIEN RE ERRRS TO ENS S. arvensis (1163). Feuilles glabres. S. annua (116%). Feuilles velues ou pubescentes. S. recta (1165). CCCEXIIT. SIDERITIS. Feuilles entières ou à peine dentées au sommet. S. hyssopifolia (1166). Feuilles fortement incisées-dentées . . d', ARSLE RE S. scordioides (4167. CCCLXIV. BETONICA. Fleurs rouges, rarement blanches. . Fleurs d’un jaune päle. B. alopecuros (4170). Lèvre supérieure de la corolle dépassant longue- ment les étamines. . B. officinalis (1168. Lèvre supérieure de la corolle égalant à peu près les étamines. B. hirsuta (1169. CCCLXV. BALLOTA. B. jœtida (A171). CCCLXVI. LEonurus. . L. cardiaça (1172). CCCLXVIL MarRuBIUM. M. vulgare (1173). CCCLVIIL. MELITTIS. 4e ME L'L'ANEE M. melissophyllum (1174) © Qt 15 12 ST rer) re 19 { | CLEF DES ESPÈCES. CCCLXIX. BRUNELLA. Epi de fleurs muni d’une ns de feuilles à sa base . . : He RP de feuilles à sa base. . = 74 B. grandiflora (1177). Corne stérile des étamines ayant la forme d’une etite dent droite ; fleurs ordinairement d’un leu violet. . . . . B. vulgaris (1175). Corne stérile des étamines ayant la forme d’une que dent arquée ; fleurs ordinairement d’un )lanc jauntre. B. alba (1176). CCCLXX. SCUTELLARIA. Fleurs axillaires, non accompagnées de bractées membraneuses Fleurs en épi serré, accompagnées de larges bractées membraneuses. S. alpina (1178). Feuilles toutes oblongues ou ovales . . Feuilles inférieures hastées. S S. hastifolia (1 180. Calice glabre; corolle à tube arqué . . S. galericulala 1 79). Calice hérissé ; corolle à à tube droit. S. minor (4181). je CCCLXXI. AJuGa. Fleurs bleues, roses ou blanches . Fleurs jaunes. . . . A. chamæpitys (4182. Racine non stolonifère . SVRÉTAURQUR, MEFONT, Racine stolonifère. . À. reptans (1183). Feuilles radicales plus couttes que les cauli- naires. . . À. Genevensis (1184). Feuilles radicales plus longues que les cauli- naires. . . . . A. pyramidalis (1185). CCCEXXIL TEUCRIUM. Feuilles dentées, crénelées ou entières . . Feuilles pennatipartites T. botrys (1186). Fleurs axillaires ou en grappes. Fleurs en têtes serrées . 14 303 1© 22 19 PS] Le OT De SR ES CLEF DES ESPÈCES. Fleurs roses, tiers ou pre rarement blanches . Fleurs jaunâtres , en “longues ‘grappes non feuillées. . . . . T. scorodonia (1189). Feuilles molles, pubescentes-grisâtres - . : T. scordium (4187). Feuilles fermes, d'un vert foncé et luisant en dessus . . . . . T. chamædrys (1188). Feuilles très-entières. . T. montanum (1190). |! Feuilles crénelées . . . T. polium (1191). — —__—, CCCLXXIIL LAYANDULA. . L. vera (1192). 63° F. — PERSONNÉES. CCCLXXIV. ErINus . E. alpinus (1193). CCCLXXV. DIGiTALIS. Fleurs d’un jaune blanchâtre Fleurs rouges, rarement blanches. LUS CORRE . D. purpurea (419%). Corolle pubescente en dehors; fleurs en grappe lâche . . RS: - grandifiora (1195). Corelle De en dehors; fleurs en épi serré. C : D. parvifiora (1196). CCCLXXVI. SCROPHULARIA. Feuilles profondément pennatiséquées Feuilles ovales ou ovales-oblongues, simplement dentées ou crénelées . 2 Le Lèvre supérieure de la cerolle 3 fois gi courte que le tube. . . . S. canina (1197). Lèvre supérieure de la corolle 2 fois plus longue que le tube. . . . . S. Hoppü (1198). Racine noueuse ; tige à 4 angles aigus, mais non ailés. . . 78. nodosa (1199). Racine fibreuse : tige à 4 angles ailés. S. aquatica (1200). CCCLXX VIT. ANTIRRHINUM. Petites fleurs axillaires. A. oruntium (1201). Grandes fleurs en grappes terminales. . : Nr” À. majus (1202). 19 19 1 10 CLEF DES ESPÈCES. CCCLXXVHI. LiNaRrA. Corolle à gorge entièrement fermée . Corolle à gorge un peu ouverte. L. minor (4213). Feuilles pétiolées, non linéaires Feuilles linéaires et sessiles. Feuilles ovales ou hastées; fleurs jaunes. Feuilles réniformes, lobées : fleurs violettes. (4 ’eymbalar ia (1203). Feuilles supérieures hastées. L. elatine (1204). Feuilles toutesovales-arrondies. L. spuria(1205). Fleurs bleuâtres, violettes ou Sr Fleurs jaunes . Eperon droit ou peu ne Eperon fortement recourbé ; très-petites fleurs. |: ) L. arvensis (1208). Fleurs violettes, non rayées. . Fleurs d’un blanc lilas, rayées de violet. L. striata (1241). L. alpina tre Fleurs à palais blanchâtre. L. Pelisseriana (1210). Fleurs à palais orangé . Fleurs à palais orangé Lie Très-petites fleurs entièrement jaunes. L. simplex (1207. Tige couchée; feuilles inférieures verticillées. L. supina (1206). Tige dressée ; feuilles toutes éparses . L. vulgaris (1212) CCCLXXIX. ANARRHINUM. à : A. bellidifotium | CCCLXXX. GRATIOLA. G. officinalis (1 CCCLXXXI. Linpernra. L. pyxidaria (191 ( ( CCCLXXXIV. EUPHRASIA. Fleurs rougeûtres . Fleurs, d’une autre couleur que le rouge. 1244). 215). 216). CCCLXXXII. LrmoseLLa. L. aquatica (1217). CCCLXXXIIL Tozzia. . T. alpina (1218). £e IC 2306 JL (Si 15 LT, CL AT — —— LS LS Ps LS TL { ) CLEF DES ESPÈCES. Bractées Pine longues que les fleurs. 54: E. verna (1222. Bractées ne dépassant: pas les fleurs . . le À E. serotina (4225). Fe de la lèvre inférieure de la corolle échan- crées ou bilobés . Lobes de la lèv reinférieure de Ja corolle entiers. Feuilles ovales, bordées de 4-5 dents de chaque COS, 70 Feuilles oblongues ou lancéolées, bordées de 9-3 dents de chaque côté . RES Se PR: Salisburgensis (1220). Fleurs blanches, à gorge jaune et rayée de lignes violettes. . . . . E. officinalis (1219). Fleurs bleues et jaunes ou entièrement jaunes. SIL VOTRE E. minima (1221). Feuilles linéaires-lancéolées, entières ou n'ayant que 1-2 dents peu marquées. E. lufea (1224. Feuilles oblongues-lancéolées, dentées en scie. bed Pl der E. lanceolata (1295). CCCLXXXV. BarTsra. . B. alpina (1226). CCCLXXXVI. MELAMPYRUM. Fleurs unilatérales. ! Fleurs disposées en tous sens . Bractées vertes. à Bractées supérieures d’un beau violet : s 8:06 Ce RON M. nemorosum (1229. Bractées incisées-pennatifides à la base . . . M. vulgatum (1230. M. sylvaticum (1231). Bractées imbriquées sur # rangs serrés ; épi qua- drangulaire, . . . M.cr istatum (1227). Bractées d’un beau rouge, non imbriquées sur 4 rangs; épi cylindrique. M. arvense (4228). CCCLXXX VIT. RHINANTHUS. Tige pubescente ; corolle à tube un peu arqué . . R. major GE. Tige ctubre: j corolle à tube droit . sr 7 0 A . R. minor (1233. Bractées entières. ! 4 6 19 En TS, TS 10 | | . | | | CLEF DES ESPÈCES. CCCLXXXVIIL. PEDICULARIS. Fleurs roses, rarement blanches . Fleurs d’un jaune blanchâtre. P. foliose (1237). Casque de la corolle tronqué et terminé par 2 petites dents. . PT À Ge de la corolle terminé en bec. . , . P. gyroflexa ( 1234). Tiges ch pas les latérales couchées . P. sylvatica (1235). Tiges droites, rameuses . P. palustris 1236. CCCLXXXIX. VERONICA. Fleurs en grappes axillaires. . . ,': Fleurs disposées autrement qu’en HR axil- laires. . . Mer È Tige et feuilles Te glabres . Tige et feuilles velues où pubescentes Feuilles ovales ou oblongues, à limbe ve Feuilles linéaires-lancéolées. V. scutellata (1240). Feuilles RES, courtement pétiolées . V. beccabunga (1238). Feuilles aiguës, : sessiles et demi-amplexicaules. SRPNEPER . V. anagallis (1239). Calice à # divisions ; Calice à 5 divisions, la supérieure très-courte. Poils épars également tout autour de la tige. Poils de la tige disposés sur 2 lignes paral- lèles et opposées. . V. chamædr, ys (1244). Feuilles ovales ou Hé ; Feuilles linéaires. V. scutellata 4240. Feuilles sessiles ou très-courtement pétiolées. Feuilles longuement pétiolées Le X NOTES V. montana A9241). Tige couchée au moins à la base et peu élevée. Tige de 3-6 déc., droite, ferme . ; Du A0: ; Le urticæfolia (1 1245). Fleurs d’un bleu clair ou d'un rose pâle, en grappes étroites V. officènalis (1246). Fleurs d'un beau bleu, peu nombreuses, 2-5 en corymbe . . . . . V. aphylla (127). 307 + Go KE 10 308 11 12 13 16 17 D RS D LS ES St nt ete tt) CLEF DES ESPÈCES. Feuilles ovales-lancéolées. V. feucrium (1242). Feuilles linéaires-lancéolées. . 3 De EMgeS OV. pr ostrata (1243). Fleurs en épi, grappe ou corymbe terminaux. Fleurs solitaires à l’aisselle des feuilles supé- rieures ss 6 RE ie ee SSSR Fleurs potes en corymbe ou ge courte . Fleurs en grappe ou épi allongé Feuilles radicales non étalées en rosette; tige feuillée dans toute sa longueur . Feuilles radicales étalées en rosette; feuilles caulinaires peu nombreuses et très-espacées. PILIERS € REP V. bellidioides (1252). Feuilles glabres . . LS ONE Feuilles pubescentes. V. alpina (1249). Fleurs d’un rose clair . V. fruticulosa (1250). Fleurs d’un beau bleu. . V. saxatilis (1251). Fleurs d’un bleu vif, en épi non feuillé ; feuilles pubesCentes ce SNA UPNNE spicata (1248). Fleurs blanches, veinées de bleu, en grappe feuillée ; feuilles glabres . . SEE Y. serpyllifolia (1233). Tige étalée et entièrement couchée . Tige dressée ou ascendante. Feuilles simplement crénelées-dentées ; Feuilles à 3-5 lobes . V.hederæfolia (1961). Pédoncules 2-4 fois plus longs que la feuille. . V. Buxbaumii Fu Pédoncules d’abord plus courts que la feuille, l’égalant à la fin, ou tout au plus la dé- passant un peu . V. agrestis (1959). Feuilles simplement dentées ou crénelées Feuilles, quelques unes au moins, nr JE ment découpées 1 EE 4 2 Fleurs à pédicelles plus longs que la Fous ou au moins l’égalant . Fleurs sessiles ou à peine pédicellées . se RU V. arvensis 4234). 13 16 19 21 20 23 1 19 19 & CLEF DES ESPÈCES. Feuilles inférieures légèrement crénelées-den- tées . . . V. acinifolia (1256). Feuilles inférieures profondément crénelées. ue V. prœcoæ (4258). Feuilles inférieures et: moyennes pennatipar- DIRES … - ; V. verna (1255). Feuilles inférieures ‘crénelées, tes PORURS à 3-5 id ou Rens digités. ; . V. triphyllos (1237). 64° F. — LENTIBULARIÉES. CCCXC. PINGUICULA. Fleurs bleues, violettes ou roses . Fleurs blancltres, à gorge Jaune. . sd ha ss Palpina (126%. Eperon légèrement recourbé, un peu pre court que le reste de la corolle. P. vulgaris 11962. Eperon droit, égalant à peu près le reste de la corolle. . . . . P. grandiflora (1263). CCCXCI. UTRICULARIA. Eperon égalant à is près la moitié de la co- rolle. . U. vulgaris (1265). Eperon réduit à une petite bosse beaucoup plus courte que la moitié de la corolle . . APR ner OÙ À U. minor (4966). 65° F. — OROBANCHÉES. CCCXCIL. OROBANCHE. Calice muni de 4 seule bractée. Calice muni de 3 bractées . Filets des étamines glabres à la base . Filets des étamines plus ou moins velus ou pu bescents à la base . PAPER ART Calice à sépales partagés en divisions linéaires. M dacstéene 21 - m0 rap (207). Calice à sépales entiers. . O. hederæ (1276). Filets des étamines très-velus à la base . Filets des étamines légèrement pubescents ou _. do de quelques is scie À la | ENS à ments 309 310 6 =! co ETES TT TS, mo, TS LT CL TS OS 10 {1 13 CLEF DES ESPÈCES. Corolle n’étant pas d’un rouge de sang à l'inté- rieur. . 1 Corolle d’un rouge de sang à l'intérieur + MES DT re 0. cruenta (1268). Filets des étamines velus seulement à la base. Filets des étamines hérissés dans toute leur longueur . . O. laserpitii-sileris (4271). Etamines insérées au dessus du quart inférieur du tube de la corolle. à Etamines insérées vers la base de la corolle. . Mr: ve at O. galii (1269). Corolle à tube allongé et arqué . ; O. medicaginis (1270). Corolle canpanulée, peu arquée . . ART - V2 0 ROME (1973). Stigmate jaune Stigmate rosé, noir ou d’un rouge foncé : Etamines insérées vers le fond de la corolle. O. hederæ (1276). Etamines i insérées un peu au dessous du milieu de la corolle. O. cervariæ (1277 bis, p. 610). Stigmate noir ou d’un rouge foncé Stigmate rosé, couleur de” VIN CIATEN RE nov Et > O. eryngiti (4277). Etamines insérées près de la base de la corolle. Etamines insérées vers le tiers inférieur de la corolle .. . . . … "Orne Fleurs peu nombreuses, en épi court et lâche. O. epithymum (1272). Fleurs nombreuses, en épi serré et allongé . SRE NE) O. scabiosæ (4274). Tige “roule fleurs d’un bleu violet . . ; . O. arenaria (1278). Tige rameuse : fleurs d’un blanc jaunàtre à bo SATA IR O. ramosa (1279). CCCXCIIE. LarTaRæ4A. L. squammaria (1280). 66° F. — PLOMBAGINÉES. CCCXCIV. ARMERrA . A. plantaginea (1281). | Be 13 LL 2 Lo LT Cm TT TS 19 LS tt ne. À \ l CLEF DES ESPÈCES. 67° F. — PLANTAGINÉES. CCCXCY. PLANTAGO. Feuilles toutes radicales. Tige rameuse et feuillée. Feuilles ovales ou oblongues-lancéolées . Feuilles linéaires . SE ME UIE Feuilles ovales . : Feuilles oblongues- lancéolées | Feuilles longuement pétiolées . Feuilles courtement pétiolées . Hampes dressées, pubescentes. P. major (1282. A Me très-velues, couchées à la base . . 3 FD AERS P. intermedia (1283. FANS ne dépassant pas les feuilles en lon- gueur . . P. minima (128%). Se beaucoup plus longues que les feuilles. . . . P. media (1985). Graikas Hésée- Éates ovales-acuminées à . P. lanceolata (1286). Graines fortement ridées : bractées très-obtuses. brusquement terminées par une pointe très- courte: « -.. . . ‘. ”P. montana (1287). Feuilles ne noircissant pas par la dessication Feuilles noircissant par la dessication. . : à 3 . P. alpina (1289. Fetilles non es. P. serpentina (1288). Feuilles bordées de quelques dents marion allongées en lanières. . Fee P. graminea (1289 bis, D. 611). Tige entièrement herbacée; fleurs en épi blan- châtre. . . . P. arenaria (1290). Tige sous-ligneuse à à la base ; fleurs en épi d’un run rougetre. P. cynops (4291). CCCXCVT. LiTroreLLa. L. lacustris (1292). 68° F. — AMARANTACÉES. CCCXCVIL AMARANTHUS. 5 sépales; 5 étamines. : 3 sépales; 3 étamines. .. . . CE Ce 312 19 D. 0 PS] 19 = Lt, nm TR. 0 2 RS D CLEF DES ESPÈCES. Tige droite ou un peu courbée à la base, puis redressée . . . . À. retroflexus (1293). Tige couchée-étalée, redressée seulement au sommet. ... ., ..:.10 À. pafulus (1494). Fleurs toutes disposées en paquets axillaires Fleurs, les unes en paquets axillaires, les autres en panicule terminale. : ; Bractées plus courtes que les fleurs ou tout au plus les égalant 4 Bractées beatcoup ghe longues que les fleurs . : A. albus (1295). SL s’ouvrant PA ie comme une petite boîte à savonnette. A. sylvestris (1296). Capsule indéhiscente, se déchirant irrégulière- ment au sommet . A. blitum (1297). Tige giabre, ascendante. A. ascendens (1298). Tige couchée, PRÈS au sommet. . she à : A. defleæus (1299). 69° F. — CHÉNOPODÉES. CCCXCVIIL. SALSOLA . S. tragus (1300). CCCXCIX. CORISPERMUM . te C. hyssopifolium (1301). CCCC. POLYCNEMUM. Bractées plus longues que les fleurs . . P. arvense (1302) Bractées égaant à à peine les fleurs. . ; ï .< P. verrucosum (1303). CCCCI. CHEXOPODIUX. Feuilles toutes très-entières. Feuilles, quelques unes au moins, pennatifides anguleuses , lobées ou dentées . Plante à odeur infecte; feuilles farineuses sur les deux faces . C. vulvaria (1310). Plante inodore; feuilles non farineuses . . LR C. polyspermum (1309). Feuilles anguleuses, dentées ou lobées, mais non pennatifides. MR Ne: à Feuilles pennatifides. C. botrys (1311). CS 19 4 I 10 CL AT TS TS, TS ES LR CLEF DES ESPÈCES. Feuilles non échancrées en cœur à la base . Feuilles échancrées en cœur à la base. . SE UE M'ONAYONIOUNE (130%. Fouilles couvertes en HAL d'une HÉRSAÈTE farineuse très-abondante. . Poussière farineuse nulle ou peu : abondante sur la face inférieure des feuilles . . . . Feuilles supérieures n'étant pas lancéolées-li- néaires et très-entières 2 Feuilles supérieures lancéolées- linéaires et très- Core re. L 'NEU ne Gdlbum (1307). Feuilles triangulaires ou rhomboïdales, profon- dément dentées; fleurs en grappes allongées, dressées contre la tige . . . . © intermedium (1305). Feuilles ov ales-rhomboïdales, divisées en 3 lobes peu marqués, irrégulièrement incisés-dentés ; fleurs en grappes “courtes, non dressées . . nr ne VC opulifolium (1308). Feuilles inférieures non hastées . . . . Feuilles inférieures hastées. . . me. C; ficifolium (1307 bis, p. 611). Feuilles bordées de dents profondes et inégales. Feuilles inférieures et moyennes simplement si- nuées ou dentées, les supérieures lancéolées- linéaires et très-entières. C. album (1307). Fleurs en grappes dressées et serrées contre la tige” . . . . C. intermedium (1305). Fleurs en grappes divergentes. . . PME TE aps. Le Ge nuRale (1306). CCCCIL. BLITUM. Feuilles dentées ou sinuées-anguleuses Feuilles hastées, très-entières . . PAR 7, . ‘D. Donus Henricus (1319). Feuilles non farineuses en dessous. . . . Feuilles blanchâtres-farineuses en dessous . . cn. 0» D, glaucum (1313 bis; p: 614). Feuilles rhomboïdales-triangulaires; fleurs en grappes axillaires, dressées et feuillées . . . B. rubrum (1313). Feuilles oblongues-tr iangulaires ; fleurs en petits paquets axillaires . B. virgatum (1314). 313 6 a {0 314 LD mm CLÉF DES ESPÈCES, CCCCIIT. ATRIPLEX. Feuilles la plupart à limbe élargi, triangulaire= hasté, plus ou moins denté. À patula 1313). Feuilles la plupart lancéolées ou lancéolées- linéaires et très-entières . . RG URELR, IE A. angustifolia (1316). 70° F. — POLYGONÉES. CCCCIV. RUMEXx. Feuilles hastées ou sagittées, à saveur acide. Feuilles n'étant jamais ni CES ni rte ni à saveur acide . ete , Feuilles vertes, au moins en dessus, sensible- blement plus longues que larges . . Feuilles d’un glauque blanchätre sur les deux faces, à de près aussi larges que longues. . Rés R. scutatus (1347). Feuilles à oreillettes non recourhées en dessus. Feuilles à oreillettes recourbées en dessus . . R. acetosella (1320) Feuilles à oreillettes parallèles au pétiole. . . . R. acetosa 1318). Feuilles à oreillettes divergentes à angle droit. 2 de sb "R. arifolius (1319). Segments intérieurs du périanthe entiers ou à peine dentés à la base. Segments + ue du périanthe ‘fortement dentés à la bas te LE Segments intérieurs du périanthe tous ou en partie munis d’un tubercule sur le dos Segments intérieursdu périanthe tous dépourvus de tubercule sur le dos. R. alpinus (1321). Segments intérieurs du périanthe ovales . : Segments intérieurs du périanthe PRE li- néaires BG Il + OCR Feuilles fortement ondulées et frisées sur les bordsiiue! 23 . . R. crispus (1323). Feuilles Le. ou point ondulées sur les bords. Et À R. hydrolapathum (1322). ESS 6 10 10 LR) ( CL AT, LS TT Ts TS ES CLEF DES ESPÈCES. Tige à rameaux dressés. R. nemorosus (1324). Tag à rameaux divergents. . "R. conglomer atus (1325). Feuilles radicales non échancrées de chaque OMÉ Feuilles radicales échancrées de chaque côté comme un violon. R. pulcher (1329). Feuilles inférieures en cœur à la base À Feuilles toutes atténuées en pétiole à la base. . : CAT ENEREER R. palustris (1328). Fleurs en verticilles non feuillés . Fleurs en verticilles tous ou la plupart feuillés. OMS sn 2 R. pulcher (1329). Segments intérieurs du périanthe prolongés au sommet en une languette obtuse et entière. : R. obtusifolius (1327). Segments intérieurs du périanthe non prolon- gés en languette. . R. prateñsis (1326). CCCCY. POLYGONUM. Tige volubile . Tige non volubile . Tige anguleuse et striée. P.conv A 1330). Tige cylindrique. P. dumetorum 1331). Fleurs en épis. . Fleurs solitaires ou en petits faisceaux à l’ais- selle des feuilles NAN 2 Tige simple, ne portant qu’un nul épi Tige rameuse, portant plusieurs épis . Feuilles ovales-lancéolées, les inférieures à pé- tiole ailé … :.,. . P. bistorta (13392). Feuilles oblongues ou elliptiques-lancéolées, les inférieures à pétiole non ailé 2 Sn P. viviparum (1333). Res ins dans le périanthe . Etamines longuement saillantes hors du pé- rianthe. . . . . P. amphibium (1334). Feuilles à saveur ordinaire ou à saveur peu io noncée : Feuilles à saveur poivrée Lrès-prononcée ; P. hydropiper ( 1338). 15 {1 12 is 10 {i 1) | — LS, CL TS CLEF DES ESPÈCES. Gaines des feuilles longuement ciliées Gaines des feuilles non ciliées ou bordées de cils très-courts . P. lapathifolium (1335). Fleurs en épis grêles et interrompus . Fleurs en épis serrés. P. persicaria (| (1336). Fleurs en épis dressés . P. minus Mecus Fleurs en épis penchés ou étalés. P. mite 1339). Tige feuillée ; a au sommet. . ; P. aviculare 4340). Tige à rameaux dépourvus de feuilles au som- met. ,.iiines à secte = DOHORAT IA) 71° F. — THYMÉLÉES. CCCCVI. STELLERA. S. passerina (1342). CCCCVII. DAPHNE. Fleurs d’un beau rose, rarement blanches . Fléurs d’un jaune verdâtre. D. laureola (1343). Fleurs en petits paquets latéraux, venant avant les feuilles . . . . D. mezereum (134%). Fleurs en ombelles terminales, venant sur les tiges feuillées. . D. cneorum (1345). 72° F. — SANTALACÉES. CCCCVIIL. THESIUM. Périanthe à 5 lobes Périanthe à 4 lobes, surtout dans les fleurs su- périeures. . . . . T. alpinum (1348). Périanthe tubuleux, égalant la capsule ou à peine plus court qu ’elle après la floraison. Périanthe arrondi sur la capsule et beaucoup Le court : ‘elle après la floraison : T. divaricatum (1346). Feuilles à 1 seule nervure; fleurs en grappe simple . T. fenuifolium (1347 bis, p. 612). Feuilles à 3 nervures; fleurs en paniculz . . Ù : T. pratense (1347). CCCCIX. Osyris. . O. alba (1349). 73° F. — ÉLÉAGNÉES. CCCCX. HyPOPHAE . H. rhamnoides (1350). 10 19 19 CL, Ce LT, A, A, Cm LS TT + CLEF DES ESPÈCES. 317 74° F. — ARISTOLOCHIDÉES. CCCCXL. ARISTOLOCHIA. À. clematitis (1351). CCCCXIT. Asarum. . A. Europæum (1352). 75° F. — EMPÉTRÉES. CCCCXIIL. EmPETRUM. . E. nigrum (1353). 76° F. — EUPHORBIACÉES. CCCCXIV. Buxus . B. sempervirens (1354). CCCCXV. EurxorBra. Glandes pétaloïdales arrondies ou ovales, mais non échancrées en croissant . : Glandes pétaloïdales échancrées en croissant Capsule non hérissée de tubercules Capsule hérissée de tubercules saillants . ‘CS O0 10 Feuilles obovales-cunéiformes, finement denti- culées au sommet . E. helioscopia (1355). Feuilles linéaires-cunéiformes, très-entières. ; PU E. Gerardiana (1356). Ombelle régulière, formée de 3-6 rayons . . 5 Ombelle irrégulière, formée de plus de 6 rayons. 4 E. palustris (1361). Glandes pétaloïdales jaunes ou verdâtres . . 6 Glandes pétaloiïdales d’un rouge foncé . . . AR me : "E. dulcis (1359). Bractées un peu en cœur à la A mucronées au sommet . Bractées atténuées à la base, non mucronées au sommet . . . + . É. verrucosa (1360). | Capsule munie de tubercules arrondis; graines d’un gris métallique. E. platyphyllos 1357). Capsule hérissée de tubercules cylindriques; graines d'un brunrougeûtre. E. stricta (1358). Feuilles éparses, sans disposition régulière . . 9 Feuilles opposées, PADNESS sur 4 rangs régu- MOTS Cr . . E. lathyris (1365). 318 13 15 CLEF DES ESPÈCES. {_ Bractées florales non soudées en une seule . [ Es Bractées florales soudées par leur base en une seule +... . . .. 06 sylualital(ieel Mo visiblement ridées ou ponctuées . Graines lisses . :. Hide sd Bractées ovales . Bractées linéaires-lancéolées. E. ex qua 1363). Feuilles toutes obovales ou ovales et obtuses. E. peplus (1362). Feuilles supérieures lancéolées, aiguës ou acu- HIDE Dee e 2 elle falcata (136%). Feuilles oblongues, lancéolées ou linéaires-lan- céolées, celles des rameaux stériles jamais filiformes. Feuilleslinéaires, celles des rameaux stériles très- A pEARe filiformes . . à E. cypar issias (1366). ST ou linéaires-lancéolées, atté- nuées depuis la base jusqu'au sommet. . E. esula (1367). Feuilles “oblongues- lancéolées, insensiblement atténuées depuis le milieu jusqu’au sommet. ; . E. lucida (1368). CCCCXVI. MERCURIALIS. Feuilles glabres; fleurs carpellées sessiles ou courtement pédonculées. M. annua (1370). Feuilles pubescentes; fleurs carpellées longue- ment pédonculées. M. perennis (1371). 77° F. — URTICÉES. CCCCX VII. URTICA. Feuilles ovales, en cœur à la base. Feuilles eliptiques, n non en cœur à la base. PAETE , U. urens (1374). Fleurs dioïques, toutes en grappes ou panicules. Fleurs monoïques, les fructifères en têtes glo- buleuses. . . . . U. pilulifera 1375). Grappes fructifères plus longues que le pétiole des feuilles. . . . . U. dioica (1372). Grappes fructifères égalant ou dépassant à peine le pétiole des feuilles. U. hispidula (1373). nn LAS a — CLEF DES ESPÈCES. CCCCX VII. PaRtETARIA. P. officinalis (1376). CCCCXIX. HuuuLus. . . H. lupulus (1377). 78° F. — ULMACÉES. CCCCXX. ULnus. Fruits glabres, presque sessiles. , U. campestris (1378) à Fruits clés, longuement pédonculés. . : De AE . U. effusa (4379) 4 CCCCXXI. CELTIS C. australis (1380. 79° F. — AMENTACÉES. CCCCXXILI. Coryzus. . C. avellana (1381). CCCCXXIIT. QuErcus. Feuilles sinuées-lobées sur les bords . Feuilles pipes entières ou dentées . . . s . Q. lex (1382). Feuillesglabres ou à peine pubescentes en dessous. Feuilles tomenteuses ou pubescentes en dessous. Feuilles distinctement pétiolées; glands sessiles ou courtement non disposés en épi. . . Q. sessiliflora (1383. Feuilles presque sessi iles; glands réunis en épi sur un long pédoncule. Q. pedunculata (1385. Feuilles glabres en dessus à l’état adulte Feuilles parsemées en dessus de poils très-fins etiétailés. % + à + 1 Q. foza (1387). Glands sessiles ou courtement pédonculés, non disposés en épi. . . Q. pubescens (138%). Glands réunis en épi sur un pédoncule allongé. CES À Q. apennina (1386). CCCCXXIV. Façus . . F. sylvatica (1388). CCCCXXV. CasTanEA. . C: vulgaris (1389). CCCCXXVI. Canpinus. . GC. betulus (1390. 419 Le # 320 19 4 © CLEF DES ESPÈCES. CCCCXX VII. BETULA. Arbre à épiderme blanc; jeunes pousses, pé- tioles et feuilles glabres. . B. alba (1391). Arbre à épiderme brun; jeunes pousses, DEEE et feuilles pubescents. : B. pubescens (4391 bis, D. 612). CCCCXX VIEIL. ALNUS. Feuilles obtuses ou échancrées au sommet; pé- doncules glabres ou couverts d’écailles gluantes. . . . . A. glutinosa (1392). Feuilles ovales-aigués ; 5 PRE pubescents. M NS : A. incana (1393). CCCCXXIX. PoPuLus. Chatons à écailles ciliées; 8 étamines. Chatons à écailles glabres ; 12-30 étamines . Feuilles couvertes en dessous d’un duvet blanc ou grisâtre . . IRAN Feuilles glabres sur les deux faces. pod Li." HN TM ER ë P. tremula (1396). Feuilles d’un blanc de neige en dessous ; écailies des chatons PEE entières au sommet . . : P. alba (1394). Feuilles d’un gris cendré en dessous; écailles des chatons laciniées au sommet - RER, LA . P. canescens 1393). Arbre à branches dressées contre le tronc; feuilles entières à la base. . QUE pyramidalis (1397). Arbre à branches étalées ; feuilles finement dentées jusqu’à la base. . P. nigra (1398). CECORSSMSAEERC Chatons latéraux . : Chatons exactement terminaux ; très-petit ar- buste à rameaux étalés. . S. retusa (1414). Ecailles des chatons d’un jaune verdàtre dans toute leur étendue. : Ecailles des chatons brunes ou noires au moins au sommet . dues à ut et 19 # 6 10 11 13 SE D On CS EE D. POS 0 CLEF DES ESPÈCES. Feuilles glabres sur les deux 16e au moins à l'état adulte. ï : Feuilles soyeuses-blanchtres en dessous. . "TETE S. alba (1400). 23 ins DEN EAN VAR 5-10 étamines S. pentandra (1399). 2 étamines; écailles tombant avant la maturité des capsules. ._. - - S. fragilis (1401. 3 étamines ; écailles persistant encore à la is turité des capsules. . S. triandra (1402) Anthères d’un beau rouge avant l'émission Fa pollen, devenant ensuite brunes ou noires. Anthères jaunes avant et er l'émission du pollen Feuilles planes; 1 sets re Paie très- EAU . . S. monandra (1403). Feuilles un peu roulées sous les bords ; 2 éta- mines soudées inférieurement ; style allongé. S. rubra (4404). is ou bles dressés et plus ou moins élevés. Arbustes rampants et peu élevés . E Capsules glabres . . . Capsules tomenteuses Feuilles velues-grisätres ou FA coton- neuses en dessous ; Feuilles glabres, vertes en dessus, ‘glaucescentes en dessous. . . . S. daphnoides (1405). Feuilles lancéolées-linéaires, blanches-coton- neuses en dessous ; étamines à filets plus ou moins soudés . . . . S.incana (1407). Feuilles ovales, elliptiques ou lancéolées, velues- grisètres en "dessous ; étamines à filets libres. . S. nigricans (1408). Feuilles ne noircissant pas par la dessication. Feuilles noircissant par la dessication. . . S. nigricans (1408). Feuilles elliptiques, oblongues ou obovales, glauques ou tomenteuses- cendrées en dessous ; 3 style très-court. ; Feuilles lancéolées- linéaires, soyeuses- _argentées en dessous . . . . S. vminalis 11406). 391 4 1 9 17 10 12 1i 13 1# 16 17 | — — Lo, . CLEF DES ESPÈCES. Feuilles obovales ou elliptiques, tomenteuses- cendrées en dessous . Feuilles oblongues-lancéolées, ‘très-grandes, ques mais non tomenteuses en dessous. eg: S. grandifolia (110). Bourgeons glabres à Bourgeons “couverts d’une pubescence cen- drée. :. +. 14. 6/1cnerea (109) Rameaux d'un brun luisant; feuilles obscuré- ment ridées ; ne très-caduques : s S. capræa (1441). Rameaux grisâtres ou brunâtres; feuilles forte- ment ridées ; stipules assez longuement per- sisfantes. "2..." S'OuTIMIEMA) Feuilles à fibres saillantes des deux côtés quand elles sont sèches . S. repens (1413). Feuilles à fibres saillantes seulement en dessous. 5) na S. ambiqua (1413 bis, p. 612). 80° F. — CONIFÈRES. CCCCXXXI. Larix. . L. Europæa (M5). CCCCXXXIT. ABIES. ( Feuilles d’un glauque blanchâtre en dessous; cônes dressés. . . A. pectinata (1M6). Feuilles entièrement vertes sur les deux faces ; cônes pendants. . À. excelsa (1417). CCCCXXXIIT. Pinus. Feuilles droites, glaucescentes ; cônes pédon- culés et pendants. . P. sylvestris (1418. Feuilles vertes, un peu arquées ; cônes sessiles CETESSÉS EME 0 ON PRE pumilio (1419). CCCCXXXIV. JUNIPERUS. Arbrisseau dressé, à rameaux étalés ; baies beau- coup plus courtes que les feuilles . J. communis 4490). Arbrisseau couché ou décombant, à rameaux arqués vers la terre; baies éexlant presque les feuilles . . . . . J. nana (1491). CCCCXXXV. Taxus . T. baccata (1422). 15 16 ! | CLEF DES ESPÈCES. 81° F. — ASPARAGÉES. CCCCXXX VI. AspaRAGUS. À. officinalis (1423. ie STREPTOPUS . . Que S. amplexæifolius (1424. GCREXXX VII CONYALLARIA. Corolle en tube cylindrique. Corolle en ge à dents renversées en dehors. ne, Ac C. maialis (1428). Feuilles FA - s so A le Devet Feuilles verticillées. . C. verticillata (1427. Tige anguleuse; pédoncules portant 1-2 fleurs. : C. polygonatum (1425. Tige cy indique; pédoncules portant 3-5 fleurs. C. multiflora (1426. CCCCXXXIX. MAIANTHEMUM . . ; : M. bifolium (1499). CCCCXL. Paris. . . P. quadrifolia (1430). CCCCXLI. Ruscus. . . R. aculeatus (1431). CCCCXLII. Tamus . . T. communis (1439). 82° F. — AROIDÉES. CCCCXLIIT. ARUN. ‘ Feuilles à oreillettes déjetées ou peu divari- 19 quées ; spadice à massue terminale d’un violet noirâtre . . À. vulgare (1433). Feuilles à oreillettes fortement divariquées ; mise à massue terminale jaune . . EAU À. Ialicum (143%). CCCEXLIV. ACORUS. . A. éalamus (1435). 83° F. — AMARYLLIDÉES. CCCCXLV. NaARCISSUSs. Hampe uniflore Hampe terminée par 2 fleurs. N. biflorus (4437). Fleurs jaunes . Fleurs blanches. . . . N. poeticus (1436). 323 d, 2 | CLEF DES ESPÈCES. Couronne égale aux segments de la corolle. ads pseudo- -narcissus (1438). Couronne de moitié plus courte que les segments de la corolle. . N. incomparabilis (1439). CCCCXLVI. Leucorum. . L. vernum (1440). CCCCXLVII. GaLanrTaus. G. mivalis (1441). 84° F. — LILIACÉES. CCCCXEVII. TurrpA. Fleur jaune. . . . . T. syluestris (1442). Fleur rouge . . . . T. præcox (1443). CCCCXLIX. FRITILLARIA. F. meleagris (144%). CCCCL. Lrzrum. . . . L. martagon (1445). CCCCLI. ERYTHRONIUM. E. dens-canis (1446). CCCCLIL PHALANGIUM. Pétales à onglet très-court, ouverts en étoile. Pétales à long onglet, réunis à la base de ma- nière à à former u une corolle en entonnoir . . P. liliastrum (1447). Hampe simple; style déjeté. P. Ziliago (1448). Hampe rameuse ; style dressé. P. ramosum (1449). CCCCLIIT. SCILLA. 2-3 feuilles oblongues, développées au moment de la floraison, qui a lieu au premier prin- temps. . . . . =. S. bifolia (1450). Feuilles linéaires , venant par touffes, n'étant pas ou étant peu dév eloppées au moment de la ARE qui, n'a lieu qu’à la fin de été . S. autumnalis (1451). CCCCLIV. GAGEA. Pédoncules velus . CPE RU: 1e Pédoncules glabres. . . . G. lutea (1454). Pédoncules ramifiés près de leur base. . £ G. arvensis 1459). ( Pédoncules simples. en fistulosa (1453). 19 12 6 1 CLEF DES ESPÈCES. CCCCLV. ORNITHOGALUM. PME ETAppe ©. SOA" . Fleurs en corymbe. . O. umbellatum (1455). Bractées plus courtes que les og ou tout au plus les égalant . Bractées beaucoup plus longues que les pédi- Celles. . . . . . . O. nutans (1456). Feuilles fanées au moment de la floraison. . . O. sulfureum (1458). Feuilles non fanées au moment de la florai- son. . . . . . O. pyrenaicum (1457). CCCCLVI. ALLIUM. Tige feuillée jusqu’à son milieu . Feuilles toutes radicales, rarement quelques unes au bas de la tige. 20 ee à Feuilles fistuleuses, cylindriques ou demi-cy- lindriques Feuilles non fistuleuses, planes ou canaliculées. Etamines à filets alternativement simples et à 3 pointes. . SUR OCR Etamines à filets tous simples : Fleurs d’un beau rouge . re sphærocephalum (1439). Fleurs d’un rose pâle. A. vineale (1460). Bulbe à odeur d’ail; feuilles demi-cylindriques, canaliculées en dessus dans toute leur lon- ueur. . .. À. oleraceum (1461). Bulbe à odeur herbacée ; ‘feuilles à peu près Cy- lindriques, canaliculées en dessus seulement vers leur base . À. intermedium (1462). Feuilles linéaires . . Feuilles oblongues- lancéolées, atténuées en “pé- tiole. . . . . . A. victoriale (1465). Fleurs entremèlées de bulbilles : A. carinatum (1463). Fleurs non entremèêlées de bulbilles . . Stie ; A. pulchellum (446%). 325 1 326 A TS CLEF DES ESPÈCES. Feuilles non fistuleuses, planes ou un peu cana- HCUIÉES CEE 8 Feuilles fistuleuses , “cylindriques où un peu comprimées. . . À. schœnoprasum (1466). Feuilles linéaires; fleurs roses. . A. fallaz (1467). Feuilles oblongues- lancéolées, longuement pé- tiolées ; fleurs blanches. _A° ursénum (1468). CCCCEMIE Muscari. Fleurs toutes bleues, en grappe courte . . k M. racemosum (4469). Fleurs en 1 grappe allongée, les inférieures d’un brun livide, les supérieures bleues et rappro- chées en toupet. . . M. comosum (1470). 85° F. — COLCHICACÉES. CCCCLVIIT. TortELprA. T. palustris (1471). CCCCLIX. VERATRUM . . V. album (1472). CCCCLX. Corcnicum . C. autumnale (1473). 86° F. — IRIDÉES. CCCCEXI. Crocus. . . C. vernus (1474). CCCCLXIL Iris. Périanthe à segments extérieurs barbus en de- dans . Périanthe à segments extérieurs non barbus. . 3 Fleurs d’un bleu violet. L. Germanica (1475). Fleurs blanches . . . 1. Florentina (1476). Fleurs d’un beau jaune. I. pseudo-acorus (4477). Fleurs d’un bleu triste, mêlé de jaune sale. . J I. fœtidissima (1478). CCCCLXIIT. GLADIOLUS. Anthères plus longues que leur filet; graines non ailées. . . , “G. sege! um (1479, Anthères plus courtes que leur filet; graines entourées d’une aile. G. tmbricatus 1480). ES] 10 CLET DES ESPÈCES. 87: F. — ORCHIDÉES. CCCCLXIV. OrcHIs. Eperon en forme de sac très-court, atteignant tout au plus le tiers de l’ovaire . Eperon linéaire, conique ou obtus, atteignant au moins la moitié de l'ovaire . ee Fleurs n'étant pas entièrement blanches. Fleurs blanches . O. albida (1483). Racine formée de tubercules entiers . , Racine formée de tubercules palmés au sommet Casque verdûtre ; tablier à 3 lanières, celle du milieu 6-7 fois plus longue que les latérales. O. hircina (1481). Casque noirâtre ; tablier à 3 divisions courtes. celle du milieu bifide et un plus longue que les latérales . . . . O. ustulata (1482). Fleurs d’un PE noir, rarement rosées . . . O. nigra (1483). O. viridis (148%). Racine formée de tubercules entiers . Racine formée de tubercules lobés au sommet. Eperon linéaire Eperon conique, oylindrique ou en sac élargi Fleurs verdâtres . au sommet . Tablier très-entier ; ours Énenitues es ! Tablier à 3 lobes ; fleursroses, rarement blanches. . . O. pyramidalis (1488). Anthère à lobes rapprochés et parallèles. . .. O. bifolia (1486). Authère demi-circulaire , à lobes divergents à la base, FABREAENE au sommet. . O. chlorantha (1487). Bractées à 1 éie nervure . Bractées à 3-5 nervures. Casque à pétales tous connivents . “ie à EÉFISE latéraux étalés ou réfléchis. gts vi 4 CAR O. mascula (1498). Tablier sibab: éperon plus court que l'ovaire. Tablier plié en deux ; chi. égalant à peu près l'ovaire: ..: (u6. 07, .. O. morio (1497). 15 12 = = ie CLEF DES ESPÈCES. { Tablier à division du milieu entière ou seule- ment denticulée À Tablier à division du milieu partagée en 2 lobes ou lanières . A PR: Fleurs d’un rouge sale mêlé de vert, disposées en épi oblong . . . Fleurs d’un rouge pâle, à tablier piqueté de pouce “Etne en épi globuleux . . à 0. ÿ globosa (4494). Casque à pétales connivents jusqu’au sommet; fleurs à odeur de punaise . 0. coriophora (4495). Casque à \ pétales désunis au sommet; fleurs à douce et suave odeur . O,. fragrans (1496). Tablier à division du milieu partagée en 2 lobes élargis ou étroits, mais jamais enroulés Tablier à division du milieu partagée en 2 la- nières filiformes et enroulées . . SU ei 7 . O. simia (1491). Tablier parsemé de ph peaus de poils 1 purins à : Ë Tablier HADÉÉ de rouge, mais glabre , à . … . O0. variegata 1493). Fleurs à casque rose ou d’un blanc cendré . Fleurs à casque d’un brun noirâtre . . Sao afin s O. fusca 4489). Tablier à division du milieu partagée en 2 lobes divergents. . . . . O.galeata (1490). Tablier à division du milieu partagée en 2 lobes SD pus Re parallèles. . : : O. cercopitheca (1492). Fleurs d’un rouge violet, purpurines, jaunes ou blanches; casque à pétales latéraux dressés ou renversés Fleurs d’un rouge de sang ; casque à pétales tous connivents. . . . O. rubra (1501). Eperon cylindrique, plus court que l'ovaire. Épeson coque, ss ou dépassant lovaire. O. sambucina (1507). 16 15 17 18 19 2 19 ER CLEF DES ESPÈCES. Tablier à lobe du milieu crénelé-denticulé, plus court que les latéraux, quelquefois presque Li | FRE ©. laxiflora (1499). Tablier à lobe du milieu bifide, égalant ou dé- passant les latéraux. . ©. palustr is (1500). Eperon linéaire et arqué . . : Eperondroit, conique ou cylindrique, assez épais. Eperon beaucoup plus long que l’ovaire. . . 120: conopsea (1502). Eperon égalant l'ovaire ou le dépassant peu. . . . . . . L. ©. odoratissima (1503). Eperon plus court que lovaire. nn Fran ou dépassant l'ovaire . : La O. sambucina (1507). Tige buis: tablier plié en deux . Tige pieie tablier F.pÈne ou presque plane. . ) ; O. maculata (150%). Feuilles rl souvent tachées; bractées la plupart plus longues que les fleurs. . à O. latifolia (1 503). Feuilles dressées, ; jamais tachées; bractées infé- rieures seules plus HE que les fleurs. . À Lan à O. incarnata (1506). CCCCLXV. OPHRys. Racine formée de 2 tubercules. Racine formée de 1 seul tubereule. . . . . Mae à ; O. monorchis (1508. Tablier pubescent-velouté, non Are en di- visions linéaires é Tablier US à divisions linéaires . . ; O. antropophora (1509. ). Tablier muni à son extrémité d’une pointe re- courbée . , Tablier sans pointe où à “pointe non recourhbée. Tablier entier ou seulement échancré, terminé par une pointe recourbée en dessus . . . 0. fucifera (1514). Tablier à 3 lobes très- -marqués, celui du milieu terminé FER une pointe recourbée en dessous. : à x 0. apifera (1512, 329 24 25 Le { 330 AS A CLEF DES ESPÈCES. Tablier d’un brun roussâtre, marqué de lignes ou taches livides . 0. aranifera (1510). Tablier d’un pourpre noirâtre, marqué d’une tache bleue. . . . O. muscifera (1513). CCCCEX VI. EPIPACTIS. Plantes munies de véritables feuilles . à Plante roussâtre, à feuilles remplacées par des écailles . . . . . E. nidus avis (1514). Tige munie de deux feuilles opposées Tige munie de feuilles alternes Largesfeuilles ovales, non en cœur; tablier à lobes oblongs, obtus, parallèles. E. ovata (1515). Petites feuilles en cœur ovale; tablier à seg- ments linéaires, très-aigus, divergents . . Hs os RÉ Hé E. cordata (1516). Fleurs dressées; ovaire sessile ou presque sessile. Fleurs étalées ou pendantes; ovaire distincte- ment pédicellé. se vue ON: Fleurs blanches ou d’un blanc jaunâtre . Fleurs rouges . E. rubra (1519). Feuilles ovales-lancéolées ; bractées égalant ou dépassant l'ovaire. * E. lancifolia (1517). Feuilles oblongues-lancéolées ; bractées beau- SU jé courtes que lovare . . : HBERTE E. ensifolia (1518). Feuilles Foree et moyennes ovales ou ovales-oblongues; plante des terrains secs 3 E. latifolia (4520). Feuilles toutes oblongues- lancéolées; plante des terrains marécageux. . E. palustris (1521). CCCCEX VII. NEOTTIA. Feuilles oblongues ou linéaires-lancéolées . . . . N. æstivalis (1522). Feuilles ovales-lancéolées. N. autumnalis (1523). CCCCEXVIIL. GoopierA . G. repens (1524). CCCCLXIX. Liparis . L. Lœselii (1525). CCCCLXX. CoraLLoRiZA. C. Halleri (1526). CCCCLXXI. Erxpocrum. E. Gmelini (1527). 4 Qt St 1 ST GT, CLEF DES ESPÈCES. CCCCLXXIL. Limoporux. L. abortivum (1528). CCCCLXXHI. CypriPeDIUM. C. calceolus(1529". 88 F. — HYDROCHARIDÉES. PRE. HYDROCHARIS . . i H. morsus-rance (4530. CCCCLX XV. VALLISNERIA. V. spiralis (1531. 89° F. — ALISMACÉES. CCCCLXX VI. Buromus. B. wmbellatus (1532. CCCCLXX VII. SAGITTARIA + : S. sagittæfolia (1533 L CCCCLXXVIIL. ALISMA. Feuilles tontes radicales. MIRE |: Tige feuillée. . . . . . A. natans (1535. Plus de 6 carpelles groupés confusément. 6 gros op en étoile ; : . À. damasonium (1 334). Feuilles linéaires ou oblongues-lancéolées . Feuilles ovales, à limbe élargi £ Fleurs en ombelle unique ou tout au plus en 2 verticilles superposés . ALE Gi. ranunculoides (1536. Fleurs en plusieurs verticilles formant une pani- cule terminale . A. plantago (1537. Feuilles aiguës au sommet, arrondies ou à peine en cœur à la base . A. plantago (1537). Feuilles obtuses au sommet, profonc ément échancrées en cœur à la base . . À À. parnassifolium (1538. CCCCLXXIX. TRIGLOCHIN. T. palustre (1539. 90° F. — JONCÉES. CCCCLXXX. APHYLLANTHES. . FEFA : A. Monspeliensis (1540). CCCCLX XXL LUZULA. Fleurs solitaires sur leur pédicelle. Fleurs ramassées en are À ou en épillets sur chaque pédicelle ; AR 334 332 ES I 15 | | CLEF DES ESPÈCES. Fleurs brunûtres . yes: NÉE Fleurs d’un jaune-paille . L. flavescens (1542). Feuilles linéaires, étroites ; pédoncules dressés à la maturité. . . . L. Forsteri (15H). Feuilles lancéolées, assez larges ; pédoncules ré- fractés à la maturité. . L. vernalis (1543). Pédoncules divisés en pssa poses Pédoncules simples L Feuilles linéaires; fleurs d’un sit de neige ou d’un blanc jaunâtre ; ace Feuilles lancéolées; fleurs brunes. è ER 0e L. maxima (454%). Fleurs d’un ne jaunâtre ; panicule à rameaux divariqués . . . . L. albida (1545). Fleurs d’un blanc de neige; panicule corymbi- forme, très-serrée . L. nivea (1546). Fleurs disposées en plusieurs épis . : Fleurs disposées en un seul épi lobé . . . . 21 F APTE L. spicata. (1547). Racine émettant des rejets traçants ; tiges soli- taires ou peu nombreuses dans chaque toufle. Racine sans rejets traçants ; tiges venant par touffes bien garnies. L. multiflora (1549). Etamines à anthères 5-6 fois plus longues que leurs filets; épis penchés à la maturité L L. campestris (1548). Etamines à anthères à peu près égales à leurs fi lets ; épis toujours dressés. L. Sudetica 1550). CCCCLXX XII. Juncrs. Feuilles nulles ou toutes radicales. Tige feuillée Se Feuilles nulles ou réduites à des tiges stériles ; fleurs latérales . Feuilles radicales distinctes de la à tige; fleurs terminales ENIE : L Tiges droites . . Tiges penchées au sommet. J. filiformis (1354). Tiges vertes, se cassant facilement : Tiges glauques, se tordant facilement sans se CASSer : 7 . "4 . . J. glaucus (1553). 1 10 {1 13 14 Ë Ê k Ê CLEF DES ESPÈCES. Fleurs en panicule compacte et sessile , : J. conglomeratus (4551). Fleurs pédicellées, en peus diffuse. effusus (1552) Fleurs en panicule Rs ARE J. SqUarrosus (1835) Fleurs en petites tètes globuleuses et serrées. MuÉ J. capitatus (4556). Feuilles mar noueuses quand on les fait glisser entre les doigts l Feuilles n'étant nullement noueuses sous les doigts. ; e Racine traçante ; 6 Sambss Racine fibreuse, non traçante ; 3 étamines . Divisions du périanthe toutes égales . . . Divisions intérieures du périanthe plus longues S que les extérieures et à pointe recourbée. TP J. acutiflorus (1559). Tiges cylindriques ENT CPP EE" Tiges comprimées . J. lamprocarpus (1558). Feuilles faiblement noueuses; divisions du pé- rianthe manifestement plus courtes que la Capsules. |. . -, *, .J. ustulatus (1557. i uilles fortement noueuses; divisions du E 1 «nthe PE à peu près la capsule . : J. oblusiflorus (1360). Fleurs dotées en une panicule irrégulière ; tiges couchées sur la terre ou flottantes dans Feng... ..:. . . J. supinus (1561). Fleurs réunies en capitules serrés ; tiges droites, venant a touffes gazonnantes . à J. pygmæus (1569). fons s périanthe plus courtes que la cap- sule, l’égalant ou la dépassant peu . : Divisions du | phas AS Re longuement la capsule . . : J. bufontus (1563). Tiges cylindriques ; dvisosdu PER ÉNEUPEs ou la capsule ou la dépassant peu. . } J. tenageia (1364). Tiges comprimées ; divisions du périanthe très- es de moitié plus courtes que la capsule. - 1 3e aie, J. compressus (1565). 333 11 14 LL + 19 Fr CLEF DES ESPÈCES. 94° F. — TYPHACÉES. CCCCLXXXIIL TypHA. Feuilles planes. ‘ Feuilles concaves ou canaliculées ‘en ‘dedans Feuilles linéaires; stigmate égalant les soies qui l'entourent. . . T. Shu#tleworthii (1566). Feuilles larges de 2- 3 centimètres ; stigmate dé- passant manifestement les soies qui l’entou- rent 2 : snwTs rio als): Feuilles égalant ou dépassant la tige fleurie. Feuilles Pan at er courtes que la tige fleurie. T. minima (1570). Chatons contigus . . Chatons sensiblement écartés 114 un de l'autre. ; L Par T. angustifolia (1568). Feuilles concaves en dedans sur toute leur lar- geur ; chaton inférieur cylindrique . . . T. Lugdunensis (1569). Feuilles linéair es, étroitement canaliculées en dedans ; chaton inférieur court, elliptique ou arrondiee 2 4e de à UT gracilis (1571). CCCCLXXXIV. SPARGANIUM. Tige simple dans toute sa longueur . Tige rameuse au sommet. S. ramosum ( 43 72). Feuilles fermes et dressées, triangulaires à la base. . PS: simple (1573). Feuilles planes, couchées ou flottantes . Sr - À PE . S. natans 137%). 99° F. — CYPÉRACÉES. CCCCLXXXV. CYPERUS. 2 stigmates. 3 stigmates. Epillets disposés en panicule composée ; tiges fermes et élevées . C. Monti 1573). Epillets ramassés en tête serrée ; tiges faibles et gazonnantes. . , . (C. flavescens (1576). LEA ® ES A ,* a, TT LT, (O4 1 9 CLEF DES ESPÈCES. Tiges élevées, feuillées ; épillets d’un roux fer- Tugineux. ; . =. C. longus (4577). Feuilles toutes ou presque toutes radicales ; tiges faibles, Re épillets noirâtres . . Jai 4: « . =. C. fuscus (1578). CCCCLXXX VI. SCHOENUS. S. nigricans (1579). CCCCLXXXVIL CLaprum. C. mariscus (1580. CCCCLXX X VIT. RaiNcOSPORA. R. alba (1581 |. CCCCLXXXIX. ScIRPUS. Tige terminée par un seul épillet . Tige portant plusieurs RAIN terminaux ou la- téraux Sony - 1 : Fruit entouré à la base de soies code" Fruit nu à la base ou à soies caduques . . . S. acicularis (4587). 2 stigmates. 3 stigmates. Racine horizontale, longuement traçante . S. palustris (1582). Racine fibreuse, non traçante. S. ovatus (1584). Tiges munies à la base d’une eine Pre ment tronquée au sommet : Tiges munies inférieurement d’une ‘gaine ter- minée pue une petite pointe foliacée . . ne x ; . S. cœspitosus (4586. Racine courte, EE épillet entouré à sa base par l écaille inférieure. S. multicaulis (1283). Racine filiforme, horizontale, traçante ; épillet entouré à sa base par les 2 écailles inférieures. “1 RESTE . S. bæothryon (1585). Epillets terminaux Epillets latéraux . Epillets en ombelle, panicule ou capitule. Epillets rapprochés sur 2 rangs opposés en épi terminal . . . . S. compressus (1588). Epillets en ombelle ou panicule Epillets serrés en capitule ovale- arrondi. . . 7 MR NÉ S. Michelianus (4591. 15. QT + 6 336 15 16 18 19 1Ù CLEF DES ESPÈCES. Epillets d’un roux ferrugineux, disposés en om- belle simple . . . S. maritimus (1589). Epillets verdâtres, disposés en panicule très- rameuse et très-décomposée. . S: sylvatieus (1390). Tee CY Marque ou RE Tige triangulaire . Epillets placés près du sommet id la ige FESSES Ho le milieu de latige . TEE S. supinus (1 393). Tiges assez épaisses, hautes de 5 à20 décimètres. Tiges filiformes, gazonnantes, hautes de 5 à 8 centimètres. S. setaceus (1592). Epilétsovales:." : °° 2, COR Epillets globuleux. . S. holoschænus (1594). Etamines à anthères Eee ovaire à 2 stig- mates. . Etamines à anthères velues ; ovaire à 3 stigmates. ; S. lacustris (4395). Tige glauque; écailles ponctuées et un peu rudes. . . . S. Tabérnæmontant (1596). Tige verte ; écailles lisses . te D te 0 DUGIEE (4596 bis, p. 613). Tige à 3 angles bien marqués . . Tige cylindrique d’un côté, plane de l'autre, de sorte qu'elle ne présente que 3 angies peu marqués. . S. Duvalii (1596 bis, p. 613). Epillets tous sessiles . D les uns sessiles, les autres pédonculés. 6 S. triqueter (1597). Tige à due aigus, mais non ailés . . S. Rothii (1398). Tige à angles ailés . . S. mucronatus (1599). CCCCXC. ERIOPHORUM. Epi solitaire et unique au sommet de come tige. ?. Plusieurs épis au sommet de chaque tige Tige rude; “a à soies crépues. . ! E. alpinum (1600). Tige 1 lisse ; évi à à soies droites . . E: vaginatum (4601). 15 16 18 19 LS IN 3 st ae CL TS an LOS ne CLEF DES ESPÈCES. Pédoncules rudes au rebours Pédoncules lisses . É Pédoncules glabres ; feuilles planes . . E. latifolium (1602 Pédoncules tomenteux ; feuilles canaliculées : E. gracile (1604). Ecailles ovales-acuminées . ; UE angustifolium (1603). Ecailles “oblongues- -linéaires , prolongées en pointe obtuse . E. intermedium (1605). ECLCOXCL CAREX. Tiges ne portant qu’un seul épi terminal. Tiges portant plusieurs épis ou épillets Fleurs dioïques Fleurs monoïques. Racine traçante ; tige et feuilles lisses : . C. dioica (1606. Racine fibreuse, non ‘traçante; tige et feuilles un ze rudes au rebours . ‘ C. Davalliana (4607). 2 stigmates; épi offrant plusieurs fleurs à éta- mines au sommet et plusieurs fleurs carpellées à la base. . . . . C. pulicaris (1608). 3 stigmates; épi offrant une seule fleur à éta- mines au sommet et 2-3 fleurs carpellées à ia base. . . . . . (C. pauciflora (1609). Etamines et capsules réunies dans le même épi. Etamines et capsules ARS dans des épis dif- férents ; bash ts Sr à Epi unique, formé d’épillets dont quelques uns n’ont que des étamines ou des capsules Epillets ayant chacun des étamines et des cap- DE LORD li LA RR EC ERNT CE TRAME Capsules entourées d’un rebord étroit et fine- ment denticulé . C. disticha (162%). Capsules entourées de deux ailes élargies, men - braneuses vers leur extrémité . . C. arenaria (1625). (SES Ox © re 6 21 . 10 11 153 1% 15 16 TT, (TES LM ER TR. D CLEF DES ESPÈCES. Epillets ayant les étamines au sommet et les capsules à la base . Epillets ayant les capsules au sommet et les éta- mines à la base. Epillets disposés en épi IS ou en à panicule ramifiée . : : ES réunis en capitule ovale-arrondi . . SEE . C. fœtida AB Epillets Far en épi some Epillets disposés en panicule ‘Tamifiée Tige à faces planes ou convexes et à angles lis- ses ou un peu rudes seulement au sommet. Tige à faces canaliculées et à angles très-rudes. : € vulpina (1611). ne ne non rampante ; tige tan laire, à faces planes : : Racine rampante ; tige à faces convexes, arron- die à labase. . . C. teretiuscula (1614). Epillets disposés en un épi continu ou un peu interrompu seulement à la base. . . C. muricata (1612). Epillets tous écartés les uns des autres, à l’ex- ception des supérieurs, et formant un épi très-allongé. . . . . C. divulsa (1643). Tige un peu rude lee au sommet ; cap- sules striées, convexes des deux côtés. . . C. paradoxa (1615). Tige très-rude ; : capsules lisses, planes d’un côté, convexes de l’autre . : GC: paniculata (4616). Epillets rapprocliés ou peu espacés, à bractées scarieuses et très-courtes. Epillets inférieurs très-espacés, placés à l'ais- selle de bractées foliacées et plus longues que jante: : AG remota (1623). Racine longuement tracante s Racine fibreuse, peu ou point traçante Epillets ovales-oblongs et droits; écailles rous- ses, aussi longues que les capsules. . . C. Schreberi (1617). Epillets oblongs-lancéolés et arqués; écailles blanchätres, Pis courtes que les capsules. j FPE ' C. brizoides (1618). 16 17 18 18 19 1 LŸ 27 CLEF DES ESPÈCES. Tige lisse ou un peu rude seulement au som- met; épillets ovales ou arrondis Tige très-rude au rebours ; épillets oblongs-cy- lindracés. . . . . . C. elongata (1622). Capsules dressées; épillets ovales . Capsules étalées, disposées en étoile; épillets ovales-arrondis. C. stellulata (1620). Ecailles rousses ; épillets tous rapprochés en épi terminal . . . . C. leporina (1619). Ecailles blanchâtres ; épillets inférieurs un jeu espacés . . . . . (C. canescens (1621). 2 stigmates . 3 stigmates . Racine peu ou point rampante; 1-2 épis à éta- mines. Racine rampante et stolonifère ; 2-3 épis ? à éta- eu 0. . erxabs qruia (1628). Feuilles à gaine ne se déchirant pas en réseau ; capsules nai sur 6 rangs. . : C. cæspitosa (1626). Feuilles à gaine se déchirant en réseau ; capsules imbriquées sur 8 rangs. . C. str icta (1627). Capsules glabres ou ciliées seulement sur les angles. Capsules entièrement velues ou | pubescentes. 1 seul épi à étamines. 2 ou plusieurs épis à étamines . Feuilles pubescentes sur les gaines ou poilues- ciliées sur les bords Feuilles glabres sur les gaines et sur le limbe. Racine fibreuse, non traçante; écailles d’un roux pâle dans lépi à étamines. . C. pallescens (1630). Racine traçante ; $ ‘écailles d’un brun noirâtre dans l’épi à étamines . C. pilosa (1636). Ecailles vertes, rousses ou noirâtres . . Ecailles scarieuses-argentées . C. alba (4643). Capsules sans bec ou à bec très-court et obli- quement tronqué . . ne : Capsules terminées par un bec allongé À 339 19 20 29 30 35 340 32 33 37 39 40 CLEF DES ESPÈCES. Bractées peu ou point engaïnantes. Bractées longuement engaïnantes . Bractées toutes linéaires et foliacées . . C. limosa (1629). Bractées supérieures entièrement ou presque entièrement scarieuses . C. nitida (1642). Racine fibreuse, non traçante . Racine rampante et stolonifère. Epis fructifères peu allongés et dressés . . . C. brevicollis (464). Epis fructifères très- allongés, pendants à la ma- turité. . . . . . C. mazima (1647). 2-3 épis fructifères assez épais, dressés ou peu penchés. . .… C. panicea (1644). 3-6 épis fructifères très- -grêles, arqués et pen- dants à la maturité . C. strigosa (1646). Feuilles planes ou un peu pliées en carène. Feuilles enrouléces-filiformes. C. tenuis (1639). Bractées étalées, à la fin réfléchies. Bractées dressées . Capsules terminées ce un bec recourbé. . . C. flava (1631). Capsules ‘terminées par un bec droit . . ; DER 7 1632). Tige lisse ou rude seulement au sommet ; brac- tées longuement engainantes. { Tige à angles très-aigus et très-rudes ; bractées su ou point engainantes. ' C. pseudo- cyperus (1648). Epis fructifères à écailles largement scarieuses- blanchâtres sur les bords, vertés sur le dos. Epis fructifères à écailles brunes, noirâtres, rousses ou ferrugineuses . 1 le: Epis fructifères droits, courts, composés chacun de 2-5 capsules. . C. depauperata (1640). Epis fructifères arqués et pendants, allongés , Us d’un Dar nombre de capsules. “jé #4. à C. sylvatica (1645). 33 34 39 M M 42 43 4% 46 47 49 5) — CLEF DES ESPÈCES. Bractées plus courtes que les in qu’elles ac- compagnent. Bractée inférieure plus longue que lépi Vs ’elle accompagne. Epis fructifères dressés; sapeuté un peu héris- sées près du sommet. Vi sempervirens (1637). Epis fructifères à la fin pendants ; capsules en- tièrement glabres. Ce. Scopolii (1638). Ecailles des épis fructifères obtuses ou aiguës, mais non prolongées en pointe distincte . Ecailles des épis fructifères à nervure médiane se SENS A EU en pointe distincte. . À . . . C. distans (1635). Tige lisse ou à peine rude au sommet; capsules ascendantes. . C. Hornschuchiana (1633). Tige sensiblement rude au sommet ; capsules EE: rie one (0e fulva (1634). Capsules marquées de nervures plus ou moins saillantes et terminées PE un bec acuminé et bitide . Capsules sans ne: vures j sans bec ou à bee tron- qué et très-court . C. glauca (166%). Bractées non engaïînantes ” Bractées inférieures munies d’un tube engai- DL ON, 0 Cu nuions (1004). Tige à angles rudes et aigus Tige à angles lisses et obtus . ne à. où Ce ampullacea (1649). Epis des élamines à écailles d’un brun noirâtre ou violacé Epis des étamines à écailles d’un roux pâle. à nai Je C. vesicaria (1650). Epis fructifères dressés . PT « Epis fructifères DA à la maturité. | F1) . C. Kochiana (1653). Ecailles du épis: à étamines toutes munies d’une arête . . . C. riparia (1651). Ecailles inférieures des 6 épis à étamines obtuses, sans arête terminale. . C. paludosa (1652). 1 seul épi à étamines. 2 ou plusieurs épis à étamines . 341 42 43 ES Lo #6 47 48 49 50 61 57 59 61 62 CLEF DES ESPÈCES. 3-4 épis fructifères disposés comme les pieds d’un oiseau . ; Epis fructifères non disposés comme un pied d'oiseau . Pédoncules saillants bin des gaines | 48 He fées. . . + C. digitata (1662). Pédoncules renfermés dans les gaines des brac- tées . . . . . C. ornithopoda (1663). Bractée inférieure plus ou moins engaïnante. . Bractées non engainantes es Bractée inférieure à pointe foliacée. Bractées entièrement mermbraneuses. . HS v 2 Fe 2 Oil (1661). Capsules Pr pubescentes. (agules tomenteuses-blanchâtres. . . C. fomentosa (4687). Epis fructifères tous PE au sommet de la tige c 1-3 épis fructifères portés sur de longs pédon- cules radicaux . » Racine traçante; feuilles ci courtes que la tige quand celle-ci est développée. . C. præcox (1653). Racine fibreuse , non traçante; feuilles allon- gées, égalant ou dépassant la tige . . : C. longifolia (1656). Rodie sicaute: bractée inférieure très-cour- tement engaïnante C. præcox (1655). Racine fibreuse, non traçante; bractées infé- rieures longuement engainantes . . 6 C: gynobasis (1660). Bractées entièrement et toutes scarieuses C. montana (1638). Bractée inférieure entièrement foliacée . . à : C. pilulifera (1639). Feuilles à gaînes glabres. - Feuilles à sus plus ou moins velues . A RICE C. hirta (1666). Epis fructifères dressés, sessiles ou courtement pédonculés . Epis fructifères longuement pédonculés et à la fin penchés. . . . . (C. glauca (1664), 29 62 63 63 CLEF DES ESPÈCES. 343 Bractées non engainantes, ou l'inférieure ne l'étant, que courtement. ne filiformis (1665). Bractée inférieure longuement engaïinante . . {De ass PE C. hirta (1666). 93° F. — GRAMINÉES. CCCCXCII. ANDROFOGON. Fleurs en épis linéaires et digités . A. ischæmum ( 1667). Fleurs en panicule terminale. A. gryllus (1668). CGCCXCIIT. DIGITARIA. Feuilles à limbe et gaine plus ou moins poils. 2 Feuilles à limbe et gaine entièrement glabres. . D. filiformis (1671). Glumelles à bords leo pubescents . . . + D. sanguinalis (1669. Glumelles à bords hérissés de cils raides et al- Iongés 220... ;-, “D: ciliaris (1670). CCCCXCIV. PANICUM. Fleurs serrées en épi. . Fleurs en Dre unilatérale. . us 2 crus-galli (167 72). Glines Léa de soies accrochantes de haut en bas . : 3 Glumes entourées de soies accrochantes de bas en haut . . . . P.verticillatum (1673). Soies vertes ou rougeàtres . . P. viride 1674). Soies d’un jaune roussâtre. P. glaucum (1675). CCCCXCV. TraGus. . T. racemosus (1676). CCCCXCVI. PHALARIS. Fleurs en panieuls rameuse P. arundinacea (4677). Fleurs serrées en épi ovale. . TRE P. Canariensis (1678). CCCCXCVIL. ANTHOXANTHUM. Racine vivace; arêtes coudées, à partie saillante égalant à peu près le quart 7des glumes . . . . A. odoratum (1679). Racine annuelle ; arêtes “droites, à partie sail- lante Mis à Drne la moitié des glumes. Ù . À. Puelii (1680). 19 19 + Te TS, LS, ET, CLEF DES ESPÈCES, CCCCXCVIIT. ALOPECURUS. Fit de la feuille FHDÉRÈUSE peu ou point ren- ée Gaïne de la feuille : cupérieure fortement renflée. Chaumes droits : Chaumes fortement genouillés inférieurement. REMES A. geniculatus (1683). Epis velus-soyeux . A. pratensis (1681). FE glabres ou presque glabres . : : ra A. agrestis (1682). Epis ue et oblongs; arête ne dépas- sant pas ou dépassant à peine les glumes. . : A. fuluus (1684). Epis ovales; arête dépassant longuement les CAMES Leg LI .. CAM iculatus (1685). CCCCXCIX. Crypsis. C. alopecuroides (1686). D. PHLEUM. Glumelle supérieure MER à sa base d’une écaille filiforme. Glumelle supérieure non accompagnée à sa base d’une écaille filiforme. . Glumes hérissées de cils sur la carène . . Glumes glabres. P. asperum (1687. Racine produisant, outre les chaumes fertiles, des fascicules de feuilles stériles ; épi allongé. Racine ne produisant pas des fascicules de feuilles stériles ; épi court . . Lee Le P. arenarium (1689). Racine de ; glumes tronquées au sommet. : P. Bæhmeri (1688). Racine noueuse, presque rampante ; glumes lon- guement acuminées. -. P. Michelit (1690). Arêtes 3 fois plus courtes que les glumes . . ; P. pratense (1691). Arètes aussi longues que les glumes . . : M HE P. alpinum 1692). DL. CRAMAGROSTIS. C. minima (1693). DIE. Cyxopox. . . . C. dactylon (169%). 2 4 & LL. 2 Qc CLEF DES ESPÈCES. DIT. LEERSIA. . . . LE. orizoides (1695). DIV. POLYPOGON . P. Monspeliensis (1696). DV. AGROSTIS. Feuilles toutes planes. . . Feuilles radicales enroulées-filiformes Glume inférieure plus longue que la supérieure. Glume inférieure plus courte que la supérieure. Gaïne des feuilles à languette courte, tes et quelquefois dentée. ; L Gaine à languette oblongue et allongée . 5 Rs à» LA stolonifera (1697). Gaine tronquée et dentée ; panicule à rameaux dressés et contractés après la floraison À. verticillata (1698). Gaïne très-courte, tronquée, non dentée ; pani- cule à rameaux étalés après la floraison . . LEA RE A. vulgaris (1699). Panicule pyramidale, à rameaux ouverts. A. spica venti (4700). Panicule étroite, contractée. À. nterrupta(1701). Arèête nulle ou insérée sur le dos de la glumelle inférieure, un peu au dessous de son milieu. Arête insérée vers la base de la pr infé- rieure. di CU US DNS PO PET Feuilles supérieures planes; pédoncules un peu rudes . . À. canina (1702). Feuilles toutes enroulées- sétacées ; pédoncules UE AE rupestris (1705). Panicule oblongue, à rameaux étalés pendant et après la floraison. . A. alpina (1703). Panicule étroite, lancéolée, à rameaux ne s ’éta- lant qu’un ou deux à la fois pendant la florai- son et se redressant immédiatement après. A. filiformis (A70%). DVI. CALAMAGROSTIS. Arète insérée sur le dos ou presque à la base de la glumelle inférieure. NES Arête terminale 345 Sœ CN += SN | or 346 CS 1 CLS, CL, TS LES LAS CLEF DES ESPÈCES. Glumelle inférieure accompagnée d’un pétagelle poilu en forme de petit pinceau. : Glumelle inférieure non EL d'un pé- dicelle poilu. . . . ; 4 co Glumelle inférieure 4 fois plus longue que les poils qui l entourent. . C. sylvatica (1705). Glumelle in'érieure égalant à à peu près les poils qui l'entourent. . . C. montana (1707). Arête droite. . . . . (C. epigeios (1713). Arèête genouillée. . . C. acutiflora (1708). Fleurs violacées, rougeàtres ou roussâtres . . 6 Fleurs argentées et luisantes. C. argentea (1709. Arèête très-courte, naissant au milieu d'une pe- tite échancrure qu’elle dépasse à peine Arête exactement terminale, à peu près aussi longue que les glumes. C. littorea (1712). Arèête un peu rude ; gaine des feuilles à languette SL courte et obtuse . . C. lanceolata (1710). Arête lisse ; gaine des feuilles à languette étroite et allongée . . . C. Gaudiniana (1711). DVII. GasTRIDIUM . G. lendigerum (1714). DVIIL Miium. . . . M. effusum (1715. DIX. SripA. Arèêtes plumeuses dans leurs trois quarts supé- rieurs. . . S. pennata (1716). Arèêtes chères ; dans toute leur longueur. . se À S. capillata (4747). DX. Ecninarra . . . E. capitata (1718). DXLI. SESLERIA. . . . S. cærulea (1719). DXII. KOELERIA. Epi non hérissé d’arêtes. . Epi hérissé d’arêtes molles. K. phleoides (1720). 19 Feuilles toutes planes; racine à collet non renflé. ; K. cristata (1721). Feuilles inférieures enroulées-sétacées ; racine à collet renflé en forme de bulbe . . FMUE K. Valesiaca (1722) ). 10 Es 6 1 Li CLEF DES ESPÈCES. DXIIT. ArRA. Glumelle inférieure dentée ou terminée par 2 petites pointes 3 Glumelle inférieure entière. A. canescens (1733). Glumelle inférieure tronquée et irrégulièrement bordée de 3-5 dents au sommet Glumelle inférieure terminée par 2 petites pointes De DT C5 AE Arête courte, presque droite Arête assez allongée, évidemment genouillée. LME TRAIEE A. flexuosa (1726). Feuilles planes. . . . A. cæspitosa (172%). Feuilles enroulées-filiformes. A. media (1725). Fleurs en panicule trichotome et étalée . Fleurs en panicule resserrée en forme d'épi. . LPO A. præcox (1731). Glumelle inférieure munie d’une arête dans les deux fleurs de chaque épillet à Glumelle inférieure dépourvue d’arète dans une des deux fleurs de chaque épillet à s ne rep . A. capillaris (1730). Chaumes droits ; rameaux étalés-dressés . Chaumes un peu couchés; rameaux fortement divariqués en tous sens. À. divaricata (1728). Chaumes venant isolés ou par touffes peu gar- nies; panicule petite. A. caryophyllæa (1727). Chaumes venant par toulles bien garnies; LL sonde, très-fournie . . . . A. mullicaulis (4729). DXIV. Hozcus. Racine longuement traçante; feuilles à gaines presque g glabres . . . M. mollis (1732). Racine fibreuse, non traçante ; feuilles à gaînes EAbRes 0. … H. lanatus (1733). DXV. ARRHENATERUM. Racine fibreuse ; chaumes à nœuds glabres. A. elatius (1734). Racine formée de tubercules superposés ; chaumes à nœuds pubescents. . A. bulbosum (1735). 341 CS | s4s —_ _S 15 SR nn. 0m CLEF DES ESPÈCES. DX VI. AYENA. Epillets pendants au moins après la floraison. Epillets jamais pendants. Glumelle inférieure glabre ou hérissée seule- ment au sommet. A. strigosa (1736). Glumelle inférieure garnie de poils roussâires ch sa base e jusqu à son milieu . . | x, 4e RL (4737. Feuilles inférieures velues ou nat à Feuilles toutes glabres Feuilles rudes sur les bords. A. pubescens (1738). Feuilles molles, lisses. . A. flavescens (Â7T43). Glumes n'offrant que 1-3 nervures; ovaire poilu au sommet ù Glumes marquées de 7-9 nerv ures : ovaire en- tièrement glabre . A. tenuis (1742). Feuilles rudes sur les bords . Ë Feuilles lisses ou re lisses . DL Er À. wersicolor (4740). Fleurs vertes ou un peu rougeâtres, en panicule resserrée en épi droit et allongé 'rrACTOR atensis | (1739). Fleurs panachées de vert, de blanc et de rouge, en ts étroite et un peu penchée. A. montana (1 7h). DXVIL DanTaoxtA . D. decumbens (1744). DX VIII. MeLica. | Glumelles glabres. Gtumelle inférieure bordée de cils allongés et Soyeux. :. « +. . McCain Fleurs en grappe penchée; glumes contenant 2-3 fleurs fertiles. M. rutans (1746). Fleurs en grappe droite ; glumes ne renfermant que f fleur fertile. . M. wniflora (1747). DXIX. PHRAGMITES . P. communis (1748). DXX. Poa. Feuilles poilues à l'orifice de la gaïne. Feuilles giabres à lorifice de la gaine. I LD CA 19 4 10 11 1 LS A CLEF DES ESPÈCES. Rameaux de la panicule solitaires ou géminés. Rameaux inférieurs verticillés a 4-5 . 3 : 4 i P. pilosa (4751). Epilletslancéolés, contenant chacun 15-20 fleurs. . P. megastachya (1749). Hpillets linéaires, ne renfermant que 8-10 fleurs. hrs Tac té P. eragrostis (1750). Chaumes comprimés de manière à offrir deux tranchants . Chaumes cylindriques ou à peine comprimés. Chaumes droits Chaumes eouchés et genouillés à à la base. : RME P. compressa (4760). Glumelles 0 ou à peine pubescentes à la base . . P. Sudetica (1757). Glumelles munies de longs poils laineux à la TIRE pratensis (1759). Chaumes non renflés en bulbe à la base . : Chaumes renflés à la base en forme de bulbe. “ee P. bulbosa (1753). Feuilles et gaines lisses . URSS. Feuilles et gaines rudes . P. trivialis (1758). Rameaux de la panicule solitaires ou géminés. Rameaux inférieurs semi-verticillés par 3-5. Glumelles glabres ou à peine pubescentes ; . . P. annua (1759). Glumelles velues- -soyeuses à à la base . . y SRE EE P. alpina (475%). Feuilles supérieures à languette très-courte, quelquefois même presque nulle Feuilles supérieures à languette oblongue- lan- CHOICE NET PER ENEORES R serotina (1756). Feuille onrieure à limbe plus long que sa CHE. à . . P. nemoralis (1755). Feuille supérieure à linnbe beaucoup plus court que sa gaine. . . . P. pratensis (1759). DXXI GLYCERIA. Fleurs en panicule rameuse en tous sens. Fleurs en | Brappe nue, PEAU unilatérale. .. G. fluitans (1763). 349 10 œ 19 350 1 6 CLEF DES ESPÈCES. Chaurmes couchés et radicants à la base ; épillets dt A à 2 fleurs . . G. airoïdes (1761). Chaumes droits et fermes ; ; épillets à 5-10 fleurs. “1e G. spectabilis (1762). DXXII. BRiza. Epillets ovales, arrondis ou un peu en cœur à la base ; languette très-courte, tronquée au som- IPLENS . . . B. media (176%). Epillets triangulaires : : languette aiguë et al- longée.,s …' . _. . 18 TA DXXIIL. CYNOSURUS . DXXIV. DACTyLIS. DXXV. FESTUCA. Glumelles à arête très-allongée. : Glumelles à arète nulle ou très-courte . C. cristatus (1766). D. glomerata (1767). Glumelles non ciliées. . . Glumelles bordées de cils blancs et soyeux + : : : . F. ciliata (Â771). Glumes non terminées par une arête. Glume supérieure terminée par une arête . . AE D Ta . F. bromoides (1768). Fleurs en grappe éloignée de la feuille supé- rieure. . . . F. sciuroides (1769). Fleurs en grappe très- rapprochée de la feuille supérieure. . . F.pseudo-myuros (1770). Epillets disposés en panicule. . . . . . . Epillets disposés en épi. . F. loliacea (1789). Racine vivace; pédoncules filiformes, un peu épaissis au dessous de la fleur . Ê Racine annuelle; pédoncules très-courts, égale- ment FRS dans toute leur longueur D. ile iese . F. rigida (1772). Feuilles filiformes ou enroulées sous les bords, au moins les radicales. Feuilles toutes planes, au moins dans leur j jeu- nesse . PR D 4 | œ CN = 1 17 16 CLEF DES ESPÈCES. Gaine des feuilles à languette très-courte, par- tagée en 2 oreillettes arrondies . Gaine des feuilles à languette ovale-oblongue, dé non ne en 2 oreillettes . . . a F. pumila (4781). Racine ei, non rampante. Racine rampante et stolonifère. . 10 ; F. rubra (4779). Feuilles toutes routine ou pliées en long . Feuilles supérieures planes ou presque planes plus larges que les inférieures . Glumelle inférieure munie d’une courte arête. Glumelles sans arête. . F. éenuifolia (Â774). Fleurs verdâtres, rougeûtres ou violettes Fleurs d’un glauque blanchtre. FE dre AL ee ve. *. Æ glaucg (A11D) Feuilles sensiblement rudes au rebours . Feuilles lisses . Fleurs verdâtres ou teintes de violet, en pani- nicule étroite et unilatérale. F. ovina (1773). Fleurs d’un violet noirtre, en panicule rameuse et un peu lâche F. nigrescens (1778). Fleurs verdâtres ou rougeâtres, en panicule droite et serrée F, duriuscula (1775). Fleurs violettes, en panicule un peu lâche . . LA. k ë F. violacea (1777). Fleurs a" un violet norâtre; feuilles supérieures un peu pliées, n'étant pas 3-4 fois plus larges que les inférieures. F. nigrescens (1778). Fleurs verdâtres ou bigarrées de violet; feuilles supérieures planes et 3-4 fois plus larges que les inférieures. . F. heterophylla (1780). Languette un peu saïllante . Languette très-courte , quelquefois presque nulle . nd - Racine fibreuse, non rampante ; ovaire pit au sommet . Racine FRpaMA; ovaire entièrement glabre. ee F. Scheuchzeri (1784). 16 301 10 11 16 12 15 14 15 352 19 20 10 { u \ | | | LT ds, CLEF DES ESPÈCES. Feuilles très-étroitement linéaires, les radicales à gaines renflées en forme de bulbe allongé. . . F. spadicea (1782). Feuilles largement lancéolées-linéaires, les ra- dicales à gaines non renflées en forme de bulbe . "+: . . .. F'sylvatica {fe Chaumes feuillés, offrant plusieurs nœuds . Chaumes presque nus, offrant un seul nœud très-près de la racine . F. cærulea (1785). ( Chaumes non entièrement recouverts par les gaines des feuilles . Chaumes presque entièrement recouverts par les gaines des feuilles . F. serotina (1786). _ Rameaux portant chacun 5-15 épillets , F. arundinacea (1787). Rameaux ne portant chacun que 1-4 épillets. Mure DR F. pratensis (1788). DXXVI. BRACHYPODIUM. Epi composé de 6-10 épillets En LE de 1-3 épillets. . . À : B. distachyon (1792). Epillets velus. . . . B. syloaficum(1790. a glabres ou à peine pubescents . . . 1e US . . =. B. pinnatum (1791). DXXVII. BRonus. Epillets plus étroits au sommet qu’à la base. Epillets plus larges au sommet qu’à la base. Glumelle supérieure bordée de petites soies rai- des et espacées . Glumelle supérieure à peine ciliée-pubescente. Feuilles à gaines velues ; glumelles étroitement imbriquées à la maturité. Feuilles à gaines glabres; glumelles ne se re- couvrant pas les unes les autres à la matu- rité.--dipe satétusheB.:secnitese (1793). Arètes toujours dressées. Arètes étalées presque horizontalement après la floraison . . . . B. squarrosus (1798). 21 10 [Le 10 & Qc 6 Su | 10 11 CLEF DES ESPÈCES. Epillets glabres Epillets mollement pubescents. B. mollis (4796). Glumelle inférieure évidemment plus speue que la supérieure . Glumelle inférieure égalant à à peu près la supé- de 0. . . B. arvensis (1797). Panicule py idalé, à rameaux allongés et éta- |. .. B. commutatus (1794). Panicule oblongue, à rameaux courts, resserrée après la floraison . B. racemosus (1795). Feuilles inférieures à gaines poilues . Feuilles toutes à gaines glabres . . sr HAN B. giganteus (1800) Panicule penchée; pédicelles allongés et ra- meux . -. : Brasper (1799). Panicule dressée ; pédicelles courts, simples ou presque simples. . B. erectus (1801). Pédoncules lisses ou à peine rudes Pédoncules très-rudes au toucher. . . . . JUNE ET EEL B. sterilis (1802). Pédoncules filiformes , allongés; panicule pen- chée après la floraison. B. fectorum (1803). Pédoncules courts ; panicule dressée et ramas- sée en faisceau serré après la floraison. . à . . B. Madritensis (1804). DXX VII. GAUDINIA . G. fragilis 805). DXXIX. TRITICUM. (_ Epillets unilatéraux ou alternes Epillets serrés sur 2 rangs ja et formant un épi aplati. Re , Epillets aristés, formant un épi exactement uni- latéral. . . . . T. unilaterale (1806). si ia sans arêtes, irrégulièrement disposés. À DLL ESS . T. poa (1807). Feuilles lisses en dessous; arête nulle ou plus courte que les glumelles. À Feuillesrudessur les deux faces ; arête plus lohgue que les glumelles T. caninum (1808). 353 11 [Le C2 n & (CR COS Le me Li CLEF DES ESPÈCES. Racine évidemment traçante . Racine LS pa ou point tracante NL NE my 2 T. rigidum (1809). Glumes acuminées T. repens (1810). Glumes Route ou très-obtuses. . - Miôg le VE T. glaucum 811). DXXX. ELymus. E. Europæus (1812). DXXXI. HORDEUM. Feuilles toutes à gaînes glabres. . . +. H. murinum (1813). Feuilles inférieures à gaines velues . 29 OMAN NE H. secalinum (481%). DXXXII. LoLrum. Chaumes dépourvus de fascicules de feuilles stériles à la base . Chaumes munis de fascicules de feuilles stériles à la base . . . . . L. perenne (1815): Fleurs en épi comprimé. . Fleurs en se filiforme et cylindracé. : - AL PM SL 2 L. tenue (1816). Epillets ne renfermant que 5-10 fleurs . RpiHepuR contenant 12-95 fleurs . . L. multiflorum (4847). Glumelles égalant la SlaRE ou la EE uu peu ; , Glumelles sus courtes que la glume . à re, ; L. arvense (1820). Glumelles toutes munies d’une arête . . 1 L. femulentum (1819). Glumelles toutes sans arête, ou les supérieures de SA SPÈe seules aristées . 3 L. rigidum (1818). < DXXXIIL. PsILURUS. . P. nardoïdes (1821). DXXXIV. NaRDuS. N. stricta (1822), © = [Re & ("14 es [er] do Le] Le) LE TT LT TS TS ST Ts ST Ce CLEF DES ESPÈCES. _ 94° F. — POTAMÉES. DXXXV. POTAMOGETON. Feuilles florales seules A les autres al- ternes < ; ES" Feuilles toutes opposées ; : EP: oppositifolium (1823). Feuilles, fe supérieures au moins, longuement pétiolées. Feuilles toutes sessiles, amplexicaules où à trés court pétiole Feuilles toutes pétiolées. Feuilles submergées linéaires-lancéolées et ses- siles. . . . . P.:heterophyllum (1826). Feuilles flottantes ovales où oblongues, un peu en cœur à la base. P. natans (1824. Feuilles flottantes oblongues-lancéolées, atté- nuées ou à Éeiae pins à la base . . pra re . flutans (1825). Feuilles à limbe élargi, + ou oblong. Feuilles toutes linearres . . Feuilles sessiles ou à court pétiole Fe uilles amplexicaules et en cœur. . ER A TE . P. perfoliatum (1828). Feuilles sessiles, ondulées sur les bords . . P. crispum c1829) Feuilles planes, courtement pétiolées. ; we . P. lucens (1897). Tige Énnidaus ou à peine PHRASE Tige comprimée et ailée. Fe Feuilles peu ou point engainantes à Ja base . Feuilles ne engainantes à la base . ND 5 P. pectinatum (1834). Feuilles étroitement linéaires . Feuilles lancéolées-linéaires, atténuées aux deux SxITémIES "0 . P. heterophyllum (1826). Fruits à dos crénelé-tuberculeux et à bec placé sur leur bord interne. P. fuberculatum (1833). Fruits à dos non crénelé-tuberculeux et à bec terminal . . . . . P. pusillum (1839). re [Le k 19 CLEF DES ESPÈCES. ! Epi crhinse plus court que son pédoncule. s . P. compressum (1830). Epi ov oïde-globuleux, aussi long ou un peu niss long que son pédoncule. ; à P. acutifolium (1831). DXXX VI. ZANICHELLTIA. Carpelles sessiles ou presque sessiles, 2 fois plus longs que le style . Z. repens (1835). Carpelles distinctement pénale égalant le style en longueur. Z. pedicellata (1836). DXXX VII. Naras. Feuilles largement linéaires, soudées à la base en une gaine entière; fleurs dioïques . . + N. major (4837). Feuilles étroitement linéaires, soudées à la base en une gaine ciliée-denticulée; fleurs mo- nOÏQUes EN er TN minor AR38). 95° F. — LEMNACÉES. DXXXVIII. LEMNA. Feuilles obovales ou arrondies, n'étant ni aité- nuées en pétiole, ni réunies 3à3. Feuilles lancéolées, atténuées en pétiole, réunies 3à 3en forme de croix. L. frisulca (ee, Feuilles planes des deux côtés . Feuilles gonflées et convexes en dessous. L. gibba (4844) Feuilles vertes des deux côtés ; racine solitaire. L. minor (1840). Feuilles rougeâtres en dessous ; ; racines en fais- ceau. . .'.:. . L.polyrrliza(82} 96: F. — CHARACÉES. DXXXIX. CHARA. Tiges fragiles, opaques, ordinairement recou- vertes d’une croûte sablonneuse Tiges flexibles, translucides, rarement recou- vertes d’une croûte sablonneuse : 19 Qt % co, 3 CRI TT nm CLÉF DES ESPÈCES. Tiges d'un glauque grisûtre. Tiges vertes, peu incrustées. C. fragilis (1846). Tiges pubescentes ou cotonneuses, hérissées, au moins au sommet, d’ aiguillons nombreux. Tiges pulvérulentes, à aiguillons nuls ou rares et très-petits. . . . C. vulgaris (1843). Tiges pubescentes; fructifications un peu plus courtes que leurs bractéoles; plante mo- HpIque. . C. hispida (184%). Tiges cotonneuses ; fructifications dépassant leurs eu à “plante dioïque = 7 polie : . . C. fomentosa (1845). Tiges d’un vert clair; fructifications agrégées. Tiges d'un vert foncé; fructifications solitaires. SF . C: flexilis (1848). Rameaux er RTE en tètes termi- nales. . .… . C. glomerata (1847). Rameaux allongés, non rapprochés en têtes ter- minales . . . . .’[C. syncarpa (1849). 97° F.— ÉQUISÉTACÉES. DXL. EQUISETUM. Tiges de deux sortes, les unes fertiles, les au- tres stériles . AS Tiges toutes semblables et fertiles. Tiges fertiles très-simples . _ Tiges fertiles munies vers le sommet de 4-2 ver- ticilles de rameaux . E. sylvaticum (4850). Tiges fertiles à gaines divisées en 8-12 dents ; tiges stériles d’un vert pàle. E. arvense (1851). Tiges fertiles à gaines divisées en 20-30 dents ; Pres stériles d’un blanc d'ivoire . F4 . E. telmateia (1839). Gaines à 45-20 dents. ; Gaines à 6-8 dents, rarement 8- 12 Tiges lisses; gaines vertes, à dents noirâtres. ? E. limosum (1854). Tiges très- rudes ; gaines noires au sommet et à la base, blanches au milieu. E. hyemale (1855). I. k 6 CENTS ES | 4 nd CLEF DES ESPÈCES. ; Gaïnes à tube vert ou blanchâtre . . Fi Gaïnes à tube noir. . E. variegatum (1837). Tiges à rameaux régulièrement disposés; épi oblong, obtus. . . . E. palustre (1853). Tiges à rameaux irrégulièrement disposés; épi ovoide, aigu. . . . E. ramosum (1856). 98° F. — FOUGÈRES. DXLI. OPHioGLossum . O. vulgatum (1858). DXLII. BOTRYCHIUM. Feuille à segments en croissant, entiers ou si- nués . . . . B. lunaria (1859). Feuille à segments ‘ovales-oblongs, obtus, irré- gulièrement incisés-lobés. B. rutaceum (1860). DXLIITL. Osmunxpa . . . O. regalis (1861). DXLIV. POLYPODIUM. Feuilles pennatipartites ou 1 fois me Feuilles 2-3 fois pennées Feuilles profondément pennatipartites, à jarte tions entières ou finement denticulées. . . P. vulgare (1862). Feuilles 4 fois pennées, à folioles pennatifides. dés À P. phegopteris (1863). Feuilles triangulaires dans leur contour. Feuilles largement oblongues-lancéolées dans. 1e CORTOUIUE | EE F. Hossss ds 66). 9 19 = un peu AL base. P. à ds 54 DXLV.CETERACH. . C. officinarum (1867). DXLVI. ASPIDIUM. Feuilles 4 fois pennées . A. lonchitis (1868). Feuilles 2 fois pennées. A. aculeutum (1869). DXLVII. POLYSTICHUM. Feuilles 4 fois pennées, à folioles pese ou pennatipartites. . 2 Feuilles 2-3 fois pennées ; à folioles plus ou moins incisées . . . ; 5 [Le ES De 10 ln L CLEF DES ESPÈCES. Pétiole nu ou à peine écailleux. Pétiole garni d’écailles rousses à la base . Folioles parsemées en dessous de petites glandes pre, résineuses et odorantes . . . P. oreopteris (1870). Folioles non glanduleuses en dessous. . ; P. fhelypteris (1871). Folioles tn de dents mucronées. . . P. cristatum (1873). Folioles denticulées, mais à dents non une MRND S .... MOPMART mMUS (1872 Feuilles largement ovales ou ÉmENE lées dans leur contour. P. spiénulosum (1874. Feuilles étroitement oblongues-lancéolées, brus- : épa terminées en “triangle au sommet. à ; À régidum (1875. DXLVIIT. CYSTOPTERIS. Feuilles oblongues-lancéolées dans leur contour. Feuilles triangulaires dans leur contour. . rx C: MOnÉaUa (1878. Pétiole un peu écailleux à la base, bordé d’une petite aile décurrente. . C. alpina (1877). Pétiole n'étant ni écailleux ni ailé . C. fragilis (1876). DXLIX. ATHyRIUM. A. filix fœmina (1879) x. _ DL. ASPLENIUM. uilles pennées . nières. . . . A. septentrionale (1880). | ”, illes linéaires, divisées a au sommet en 9- 3 la- ( _ Feuilles oblongues ou linéaires-lancéolées dans leur contour Feuilles ovales-triangulaires ou triangulaires- lancéolées dans leur contour. . Pétiole vert, au moins dans sa partie sf rieure . Pétiole d’un brun noir et luisant dans toute sa longueur. . . . A. trichomanes (1881). Folioles non bordées de dents mucronées Folioles irrégulièrement incisées-lobées ou pen- natiséquées, à lobules du sommet terminés par * de petites dents mucronées. A. Halleri (1883). 16. G % QT 360 EN Dr ln PR DR. 0 D CLEF DES ESPÈCES. Pétiole portant 5-9 folioles cunéiformes . : : A. Germanicum (1884). Pétiole portant au moins 45 folioles arrondies- rhomboïdales. . À. viride (1882). Pétiole entièrement vert ou à peine noirâtre à la base. . . . A. ruta muraria (1885). Pétiole d’un brun noirûtre et luisant, au moins en dessous, dans la plus grande partie de son étendue . . A. adianthum nigrum (1886). S. officinale (1887). D£IT. BLECHNUM B. spicant (1888). DLIIL. Preis. P. aquilina (1889). DLIV. ADIANTHUM. À. capillus Veneris (1890). 99° F. — MARSILÉACÉES. DLV, MARSILEA . M. quadrifolia (4891). DLVI. PILULARIA . P. globulifera (1892). 100° F. — LYCOPODIACÉES. DLVIT. LycoPoDiIum. Feuilles sans soie terminale Ye Feuilles terminées par une longue soie . DRE EU L. clavatum (1893). DLI. SCOLOPENDRIUM. Fructifications toutes disposées en épi terminal , à l’aisselle de bractées imbriquées . Fructifications placées à laisselle des feuilles tout le long des rameaux. L. selago (1896)... Feuilles dentelées en scie au sommet ou bor- dées de petits cils spinescents . Feuilles très-entières non ciliées . L. énundatum (| (1895). Feuilles denticulées seulement au sommet . . L. juniperifolium | (1894). Feuilles entièrement bordées de petits cils spi- nescents . . . . L. selaginoides (1897). FIN DE LA CLEF ANALYTIQUE. VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES EMPLOYÉS DANS CET OUVRAGE. ——————— Nora. Quand les termes ont déja été définis dans notre Botanique élémentaire. nous nous contentons de renvoyer au numéro où ils sont expliqués. À ACCESSOIRE. Organe secondaire qui accompagne un organe principal. (Fig. 28 ss, v.) ACCRESCENT. Organe qui prend de Paccroissement quand les organes voisins ont cessé de se développer. ACÉRÉ, Etroit, dur et terminé en pointe piquante. (Fig. 34.) ACIDE. Ayant une saveur aigre et piquante. ACIDULÉ. Légèrement acide. | ACUMINÉ. Finissant insensiblement en pointe aigué. (Fig. 47, 53.) ADHÉRENT. Attaché à une partie voisine et faisant corps avec elle. ADULTE. Parvenu à son complet développement. AGGLOMÉRÉS. Organes réunis ensemble et très-serrés les uns contre les autres. (Fig. 91.) AGRÉGÉS. Organes réunis en paquet et comme soudés en- semble. AIGRETTE. Poils couronnant une graine. (Fig. 132, 137. 138, 139.) AIGUILLONS. 102. (Fig. 27 à.) AIGUILLONNÉ. Muni d’aiguillons. 362 VOCABULAIRE. AILE. Mince membrane accompagnant une tige, un pétiole, nne graine,etc. (Fig. 39, 141, 142.) On nomme aussi ailes les deux pétales latéraux d’une corolle papilionacée et les sépales colorés des Polygala. (Fig. 99 à.) AILÉ. Tige, pétiole, graine, etc., munis d’une ou plusieurs ailes. AISSELLE. Angle interne formé par la feuille, le pédoncule ou les rameaux partant de la tige. (Fig. 30, où l’on voit des bourgeons à l’aisselle des feuilles.) AKÈNE. 165. (Fig. 137, 138, 139, 140.) ALÈNE (en). Terminé en pointe fine et piquante. (Fig. 45.) ALTERNES. 80, 139. (Fig. 30, 36, 113.) AMPLEXICAULE. 80. (Fig. 37, 38.) | ANASTOMOSÉ. Qui a des veines ramifiées, saillantes, et dont les extrémités se joignent. ANGULEUX. Dont la surface présente plusieurs angles suil- lants. ANNUEL. Qui naît et meurt dans la même année. ANNULAIRE. Qui a la forme d’un anneau. ANOMAL. Se dit de toute partie d’un végétal d’une forme irrégulière et indéterminée. ANOMALIE. Irrégularité dans les formes des parties des vé- gétaux: ANTRÈRE. 135. (Fig. 112 à.) ANTHÉRIDIES, Organes qu’on regarde -comme analogues aux anthères dans les plantes de la famille des Characées. APICULÉ. Muni d’une pointe courte, aiguë et peu consis- tante. APPENDICE. Partie accessoire à quelque organe. APPRIMÉ. Organe rapproché d’un autre et s'appliquant contre lui : c’est l'opposé d’éfalé. ( Fig. 121, où les 4 éta- mines intérieures ont leurs filets apprimés contre l’ovaire.) ARANÉEUX. Poils qui imitent les fils d’une toile d’araignée par leur nature et leur entrecroisement. ARBRE. Plante ligneuse, à bourgeons, offrant un tronc élevé et robuste, nu à la base, chargé dans le reste de son éten- due de branches et de rameaux. (Fig. 19.) RL Plante ligneuse, à bourgeons, se ramifiant dès a base. ARBUSTE. Ne diffère de l'arbre que par de plus petites di- mensions: tel est l’Oranger. . VOCABULAIRE. 363 ARÈTE. Pointe filiforme, plus ou moins raide, terminant une partie quelconque. (Fig. 82 bis.) ARILLE. 162. ARISTÉ. Muni d’une arète. ARQUÉ. Courbé en arc. ARRONDI. De forme cylindrique, orbiculaire ou globuleuse : quand il s’agit de la tige, c’est l'opposé d’anguleux. ARTICLE. Portion de tige, de feuille ou de fruit comprise entre deux nœuds ou deux étranglements. (Fig. 135.) ARTICULATION. Point de jonction d’un article à un autre. ou d’un organe articulé à un autre organe. ARTICULÉ. Muni d'articles. ASCENDANT. Se relevant après avoir été horizontal ou pen- ché. (Fig. 23 a c b.) ASTRINGENT. Qui a la propriété de resserrer et a ordinai- rement une saveur piquante et salée. ATTÉNUÉ. Diminuant peu à peu de largeur ou d'épaisseur. (feuilles de la fig. de la pl. 2; fig. 51.) AURICULÉ. Muni d’oreillettes. (Fig. 37.) AXE. Partie grêle et allongée d’une plante autour de la- quelle d’autres parties sont disposées : ainsi, l’axe des fleurs et des fruits est la partie d’un pédoncule commun sur la- uelle sont fixés les fleurs, les fruits ou leurs pédicelles. Fig. 82, 84, 85.) AXILLAIRE. Partant de l’aisselle ou y étant placé. (Fig. 33, 83.) B BACCIFORME. De la forme et de la nature de la baie. (Fig. 148.) BAIE. 170. BALSAMIQUE. Qui a quelque vertu ou quelque qualité ana- logue à celle du baume. BANDELETTES. Tome Il, page 476. BARBES. Poils droits; quelquefois synonyme d'arétes. BARBU. Muni de barbes. BEC. Pointe terminale d’un fruit. (Fig. 128, 130.) BI. Particule initiale ajoutant l’idée de deuæ au mot devant lequel elle est placée. 364 VOCABULAIRE. BIDENTÉ. Qui a deux dents. BIFIDE. Assez profondément fendu en deux. BIFLORE. Qui porte deux fleurs. BIFURQUÉ. En forme de fourche, c’est-à-dire fendu en deux branches partant du mème point. BILABIÉ. Partagé en deux lèvres, c’est-à-dire en deux lobes inégaux, l’un supérieur, l’autre inférieur. (Fig. 106.) BILOBÉ. Partagé en deux lobes. (Fig. 103.) BILOCULAIRE. Partagé en deux loges. (Fig. 129, 130.) BIPARTIF. Qui a deux partitions. BISANNUEL. Qui vit deux ans. BISPERME. Qui a deux graines. BIVALVE. Quis’ouvre par deux valves. (Fig. 129, 130, 132.) BOSSELÉ. Muni de petites saillies en forme de bosse. BOSSUÉ. Muni de bosses. BOUCLIER (en). Voyez PELTÉ. BOURGEON. 93. (Fig. 24, 25.) BRACTÉE. 108. (Fig. 83.) BRACTÉOLE. Petite bractée. BUISSONNANT. Ayant la forme d’un buisson. BULBE. 39. (Fig. 11, 12.) BULBEUX. Muni d’un bulbe. BULBILLE. Petit bulbe. Se dit aussi de petits bourgeons de même nature que les bulbes proprement dits, qui naissent sur différentes parties de certaines plantes, soit à l’aisselle de leurs feuilles, comme dans le Lis buibifère, soit à la place ou au milieu de leurs fleurs, comme dans plusieurs espèces d’Ail. C CADUC. Tombant avant que les organes voisins aient achevé leur végétation. CALICE. 120-124. (Fig. 103 c.) CALICIFLORES. Tome II, page 93. (Fig. 118.) CALICINAL. Ayant la forme et la couleur du calice. CALICULE. Petit calice placé à la base d’un autre. CALICULÉ. Muni d’un calicule. CALLEUX. Qui a des callosités. VOCABULAIRE. 365 CALLOSITÉS. Renflements arides et raboteux qui se déve- loppent sur certaines parties des plantes. CAMPANULÉ. En forme de cloche. (Fig. 101.) CANALICULÉ. Creusé d’un petit sillon en forme de canal. CANNELÉ. Creusé de sillons longitudinaux el parallèles, semi - circulaires ou à peu près. CAPILLAIRE. Très-grèle, ayant presque la finesse d’un cheveu. CAPITULE. 115. (PI. 1, fig. 5; fig. 91, 992, 93, 125.) CAPSULE. 169, 7°. (Fig. 126, 128, 133.) CARÈNE. Pétale inférieur d’une corolle papilionacée, formé par la soudure de deux pétales. (Fig. 99 c.) Se dit aussi de l'angle aigu que forme le dos de certaines feuilles ou celui des glumes et des glumelles. (Fig. 110.) CARÉNÉ. Plié de manière à former un angle aigu, semblable à la carène d’un vaisseau. CARIOPSE. 168, 1°. CARPELLE. 143. CARPELLÉ. Muni de carpelles. CARPOPHORE. Tome IL, page 175. CARTILAGINEUX. Ayant la consistance et la couleur d'un cartilage. CASQUE. Partie supérieure de la fleur des Orchidées et de quelques autres fleurs irrégulières. (Fig. 107 €.) CAULINAIRE. Appartenant à la tige. (Feuilles des fig. 31, 32, 33.) CAIEU. Petit bulbe produit par un autre bulbe déjà formé. CELLULAIRE. Muni de cellules. (Fig. 15.) CELLULE. 45. CHAGRINÉ. Muni de petites aspérités dures et rudes, sem- blables à celles de la peau de chagrin. CHARNU. De substance épaisse, tendre et ferme, analogue à celle de la chair. (Fig. 144-148.) CHATON. Fleurs sessiles à l’aisselle d’une écaille et formant par leur réunion un épi serré. (Fig. 95.) CHAUME. Tige munie de nœuds d’où partent des feuilles en- gainantes. Cette dénomination est propre à la famille des Graminées. (PI. 3.) CILIÉ. Bordé de cils. 366 VOCABULAIRE. CILS. Petits poils disposés sur un rang comme ceux des pau- pières. €CLOISON. Séparation membraneuse qui partage un fruit en plusieurs loges où sont les graines. (Fig. 129, 130.) COEUR (en). En as de cœur, l’échancrure en bas. (Fig. 57.) COIN (en). Voyez CUNÉIFORME. COLLERETTE. Réunion de plusieurs folioles, bractées ou bractéoles, verticillées de manière à figurer le vêtement dont elle porte le nom. (Fig. 89 1.) COLLET. 98. (Fig. 3 c’€’.) COLORÉ. De toute autre couleur que le vert. COLUMELLE. Voyez tome II, page 176. COMPACTE. Se dit d’un épi, d’une grappe, d’une ombelle, ete. dont les fleurs sont serrées les unes contre les autres: c’est l'opposé de lache. COMPLÈTE. 118. (Fig. de 98 à 102.) COMPOSÉES (feuilles). 74. (Fig. 43.) COMPOSÉES (fleurs). Formées de plusieurs petites fleurs réunies dans un involucre commun. (PI. 2 et fig. 94, 92,:93:) COMPRIMÉ. Plus ou moins aplati et formant deux angles. CONCAVE. Se dit de toute partie creusée et courbée sans former d’angles. CONE (en). En forme de pain de sucre droit. (Fig. 94 g.) CONE. 172. (Fig. 149.) CONFLUENT. Se dit des nervures des feuilles quand elles sont simples et se réunissent au sommet du limbe. (Fig. 28.) CONIQUE. En forme de cône droit. (Fig. 94 g.) CONJOINTES (fleurs). Réunies dans un involucre commun. (Fig. 94, 92, 93.) CONNÉES (feuilles). Opposées et soudées par la base. CONNIVENTS. Organes rapprochés par leur sommet. CONTIGU. Qui se touche sans adhérer, ou qui, tout en adhé- rant, peut être séparé sans déchirement sensible. CONTRACEÉ. Resserré. CONVERGENTES. Se dit des nervures qui dès leur base tendent à se rapprocher les unes des autres. (Fig. 81.) CONVEXE. Bombé comme une lentille ou un verre de montre. VOCABULAIRE. 307 COQUE. Enveloppe de certains fruits ou de certaines graines. CORDÉ. Voyez EN COEUR. CORDIFORME. En forme de cœur. CORIACE. Tenace, flexible et plus ou moins épais, comme du cuir. CORNÉ. Ayant la consistance, la dureté et la transparence de la corne. COROLLE. 128-133. (Fig. 98-107.) COROLLIFLORES. Voyez tome IE, page 309. (Fig. 117.) CORONULE. Petite couronne. CORYMBE. 116. (Fig. 87.) CORYMBIFORME. Ayant la forme d’un corymhe sans en réunir parfaitement toutes les conditions. COTE. Prolongement principal du pétiole au milieu du limbe de la feuille. (Fig. 47, 53.) On nomme encore côfes les parties saillantes du fruit des Ombellifères. (Voyez tome I, page 176.) CATAONNEUX. A poils blanchâtres. longs. donx an foncher COTYLÉDONS. 13. (Fig. 1 cc.) COUCHÉE (tige). Etalée sur le sol sans y jeter de racines. COURONNE. Appendice saillant des pétales à la gorge de la corolle. Se dit aussi des poils ou autres appendices qui ter- minent certaines graines. (Fig. 1440 c.) COURONNÉ. Muni d’une couronne. CRÉNELÉ. 75. (Fig. 58.) CRÉPUE. Se dit d’une feuille dont la surface oules bords sont irrégulièrement plissés. CRISPÉ. Contracté en plis irréguliers. CROISSANT (en). Fortement échancré et à deux cornes étroites et pointues. CRUSTACÉ. Dur, ferme et fragile comme une croûte. CRYPTOGAME. Plante sans ovaire ni étamines visibles et à mode de fructification peu connu. CUNÉIFORME. 77. (Fig. 52.) CUPULE. Petite coupe. CUSPIDÉ. Terminé par une pointe courte, aiguë et dure. CUTICULE. Voyez EPIDERME. CYLINDRACÉ. Approchant de la forme cylindrique. CYLINDRIQUE. Ayant la forme d’un cylindre, c'est-à-dire 368 YOCABULAIRE. offrant dans sa coupe transversale la forme d'un cercle et d'égale grosseur partout. CYME. 116. (Fig. 88.) D DÉCYHIQUETÉ. Découpé en plusieurs lanières étroites et iné- gales. DÉCIDENTES. Se dit des feuilles qui tombent chaque année : c’est l’opposé de persistan!es. DECOMBANT. Ne pouvant se soutenir et se laissant tomber. DÉCURRENTES (feuilles). 80. (Fig. 39.) DÉHISCENT. 166. (Fig. 127, 134.) DEMI-FLEURON. Fleurette de fleur composée déjetée en languette plane et unilatérale. (PI. 9, fig. 3.) DENTÉ. 75. (Fig. 43, 47, 62, 111.) DENTELE. A petites dents. (Fig. 98.) DEONFIGULÉ. À Lido-potiteo duuts. (Pig. J9, D.) DENTS. Découpures courtes et aiguës. (Fig. 43, 111.) DIADELPHES. Etamines soudées par leurs filets en deux corps. (Fig. 118.) DIAMÈTRE. Ligne qui mesure la plus grande largeur d’un organe. À DICROTOME. Divisé en deux branches qui elles-mêmes se subdivisent en deux autres. DICHOTOMIE. Angle formé par des rameaux dichotomes. DICHOTOMIQUE. Qui se divise et se subdivise de deux en deux. DICOTYLÉDONES. 15. (Fig. 3.) DIDYNAMES. Etamines au nombre de quatre. dont deux plus longues. (Fig. 117.) DiFFUS. Qui s'étale horizontalement, lâächement, sans direc- tion fixe. DIGITÉ. À plusieurs divisions partant d’un même point et éta- lées comme les doigts de la main. (Fig. 74, 75.) DIOIQUE. 150, 2°. DISJOINTES (fleurs). Ayant chacune son calice ou son pé- rianthe particulier, et n'étant pas réunies dans un invo- lucre commun. (PI. 1.) VOCABULAIRE. 369 DISQUE. Partie centrale des Radiées, couverte par les demi- fleurons. (PI. 2, fig. 6.) DISTINCT. Isolé et séparé. Signifie encore visible à l'œil nu. DISTIQUE. Disposé irrégulièrement sur deux rangs opposés. (Fig. 80.) DIVARIQUÉ. Formant un angle très-ouvert. DIVERGENT. Allant en s’écartant du point de départ. Les nervures sont divergentes quand dès leur base elles tendent à s’écarter les unes des autres. (Fig. 26, 41, de 47 à 65.) DORSAL. Placé sur le dos d’un organe. DOS. Revers d’un organe; partie intermédiaire entre sa base et son sommet. . DRESSÉ. Se dit de toutes les parties d’un végétal perpendi- culaires ou presque perpendiculaires au plan de leur base. DRUPACÉ. De la nature du drupe. DRUPE. Fruit charnu à noyau. (Fig. 14%, 146.) DUVET. Poils très-fins et soyeux qui recouvrent les tiges, les feuilles ou les fruits. EL ÉCAILLES. Petites lames minces, sèches, coriaces, quelque- fois vertes ou colorées, qui couvrent, accompagnent ou pro- tégent certaines parties des plantes. (Fig. 98 éé.) ÉCAILLEUX. Qui est accompagné ou revêtu d'écailles. (Fig. 12.) ÉCHANCRÉ. Présentant une échancrure. (Fig. 61.) ÉCHANCRURE. Entaille peu profonde. ÉCORCE. 61. (Fig. 17 e.) EFFILÉ. Long, grèle, droit et aminci de la base au sommet. (Fig. 22.) ELLIPTIQUE. 77. (Fig. 50.) ÉMARGINÉ. Voyez ECHANCRÉ. EMBRASSANT. Voyez AMPLEXICAULE. EMBRYON, 13. (Fig. 1 et 2 r-2.) ENDOCARPE. 199. (Fig. 14%, 145, 146.) ENDOGÈNES. 60. (Fig. 18, 20.) ENGAINANT. Formant une gaine, c’est-à-dire un étui ou long anneau autour d'un autre organe. (Fig. 40.) ENSIFORME. En forme de lame d'épée. ENTIER. N'offrant aucune division. (Fig. 50, 51.) 310 VOCABULAIRE. ÉPARS. Disposés sans aucun ordre. (Fig. 31.) | # ÉPERON. Prolongement tubuleux du calice ou de la corolle au dessous de la fleur. (Fig. 100 e, fig. 107 e.) ÉPERONNÉ. Muni d’un éperon. ÉPL. 115. (Fig. 82 bis.) ÉPICARPE. 159. (Fig. 14%, 145, 146.) ÉPIDERME. Membrane transparente et incolore qui recouvre toutes les parties du végétal exposées à l’action de Fair. ÉPIGYNE. Placé sur l'ovaire. ÉPILEET. Petit épi. Dans la famille des Graminées, on nomme spécialement épillet la réunion de plusieurs fleurs contenues dans les mêmes giumes. (Fig. 410.) ÉPINE. 102. (Fig. 26 e.) ÉPINEUX. Qui porte des épines. ESPÈCE. Réunion de tous les individus offrant les caractères essentiels d'un geuré et distingués entre enx par d’autres caractères spéciaux qui se conservent par les graines. La r re . ÉTALÉ, Les pédoncules, rameaux, etc., sont étalés quand ils foret Uu angle divit vu pivsque UrUIL ; 165 Ligues suut éta lées quand elles sont couchées sur la terre. ÉTAMINES. 134 149. (Fig. 112-191.) ÉTENDARD. Pétale supérieur des fleurs papilionacées. (Fig. 99 é.) ÉTIOLÉ. Décoloré par la privation de la lumière et du grand air. ÉTOILÉ. Disposé en forme d'étoile. (Fig. 144.) ÉTRANGLEMENTS. Parties étroites qui réunissent les arti- culations. (Fig. 7, 135.) EXOGÈNES. 67. (Fig. 17, 19.) F FAISCEAU (en). Assemblage de feuilles ou de fleurs rappro- chées en long. (Fig. 34.) FARINEUX. Recouvert d’une poussière fine et blanche qui adhère aux feuilles, tiges, etc., comme de la farine. FASCICULE. Petit faisceau. FASCICULÉ. Réuni en faisceau. FAUSSES (loges). Loges incomplètes ou n'étant pas fermées par de véritables cloisons. VOCABULAIRE. 311 FAUX (corymbe). Imitant le corymbe sans en réunir toutes les conditions. FENDU. Voyez FIDE. FERRUGINEUX. Ayant une couleur analogue à celle du fer. FERTILES. Fleurs, fleurettes, bourgeons ou tiges à fruit. FIBRES. Filaments très-menus, formant le tissu fibreux qu entre dans la composition des végétaux. FIBREUX. Composé de fibres. FIBRILLES. Petites fibres. FIDE. 76. (Fig. 68.) FILET. 135. (Fig. 112 f.) _ FILIFORME. Fin et allongé comme un fil. (Fig. 21 où le pé- doncule qui supporte les fleurs et les fruits de la plante grimpante est filiforme.) FISTULEUX. Creusé en dedans comme une flûte. FLEUR. 118. (Fig. de 81 à 110.) FLEURETTE. Chacune des petites fleurs des fleurs compo- sées. (Fig. 91, 92, 93.) FLEURON. Fleurette tubuleuse, régulière, communément à 5 dents. (PI. 2, fig. 2.) FLEXUEUX. Courbé ou plié en zig-zag. FLOCONNEUX. Poils disposés par flocons. FLORIFÈRE. Qui porte une ou plusieurs fleurs. FLOSCULEUSE. Fleur composée formée uniquement de fleurons. (Fig. 91.) FLOTTANT. Nageant à la surface de l’eau. FOLIACÉ. Qui est de la nature des feuilles, qui a l'apparence des feuilles. FOLIOLES. Petites feuilles partielles d’une feuille composée. Fig. 43 ff.) Se dit aussi des écailles de l’involucre des fleurs composées. (Fig. 91.) FOLLICULE. 169, 1°. (Fig. 132.) FOSSETTE. Petite cavité. FRANGÉ. Coupé sur ses bords en plusieurs petites franges ou lanières. FRONGÉ. Couvert de plis menus et serrés, égaux ou inégaux. FRUCTIFÈRE. Qui porte des fruits. 372 VOCABULAIRE. FRUIT. 155. (Fig. 127-147.) FRUTESCENT. Qui a le port d’un arbrisseau ou qui est de la nature d’un arbrisseau. FUGACE. Qui tombe facilement et peu de tomes après son apparition. FUSIFORME. En forme de fuseau. 36. (Fig. 5.) G GAINE. Etui que certaines feuilles forment à la tige (Fig. 40 g.) GAZONXNANT. Qui fait gazon par le grand nombre de ses tiges courtes, rapprochées et feuillues. GÉLATINE. Substance ayant la consistance d’une gelée. GÉMINÉ. 80. (Fig. 35.) GEMMULE. 13. (Fig. 1, 2,3 g.) GENOUILLÉ. Plié brusquement en forme de genou. GERMINATION. 19. GLABRE. Sans aucun poil. GLABRESCENT. Presque glabre. GLAND. 168, 5°. GLANDES. Petits corps vésiculeux de formes très-variées. d’où suinte une liqueur particulière, souvent visqueuse et odorante. GLANDULEUX. Muni de glandes. GLAUCESCENT. Qui tire sur le glauque. GLAUQUE. D'un vert bleuâtre ou blanchâtre. GLOBULEUX. Qui est de forme arrondie. GLOMÉRULE. Agrégation de fleurs réunies en tête serrée. GLUMACÉ. De la nature des glumes. GLUMES. Involucre extérieure des fleurs des Graminées, composé de deux petites folioles opposées. (Fig. 110 gg. GLUMELLES. Enveloppe immédiate de l’ovaire dans les Gra- minées, consistant, comme les glumelles, en deux petites folioles opposées; elles portent aussi le nom de fleurs. (Fig. 110, gl gl.) GLUMELLULES. On donne ce nom à une ou deux petites écailles plus intérieures encore qui se trouvent quelquefois entre les glumelles et l'ovaire. VOCABULAIRE. 3173 GLUTINEUX. Gluant et visqueux. GODET (en). Ofrant la forme d’un petit verre. GORGE. 123, 131. (Fig. 102 g, 106 g.) GOUSSE. 169. 4°. (Fig. 127, 135.) GOUTTIÈRE (en). Creusé d’un demi-sillon dont les bords se relèvent ou s’arrondissent. GRAINE. 9. (Fig. 193 GRANULÉ. 36. (Fig. 7.) GRANULEUX. Qui porte des tubercules en forme de petits grains. GRAPPE. 115. (Fig. 84.) GRÊLE. Mince et fluet. GRIMPANT. S'élevant en s'appuyant sur les corps voisins. (Fig. 21.) H HAMPE. 112. (Fig. 4{ h.) HASTÉ. 78. (Fig. 60.) HÉMISPHÉRIQUE. Offrant la forme de la moitié d’une boule. (PI. 2, fig. 5 où linvolucre est hémisphérique.) HERBACÉ. De couleur verte, de consistance molle, et par- ticipant à toute la nature des herbes. HERBE. Plante tendre qui, dans sa tige au moins, ne vit qu'une année. HÉRISSÉ. Parsemé ou garni de poils raides et droits. HÉRISSONNÉ. Hérissé de pointes piquantes. HÉTÉROGÈNE. Qui est de nature différente. HILE. 11. HISPIDE. 105. HORIZONTAL. S'étendant lacs à la surface de la terre. HYBRIDE. Plante dont la graine provient d'un végétal qui a été fécondé par une autre espèce. HYPOCRATÉRIFORME. Voyez EN SOUCOUPE. HYPOGYNE. Prenant naissance au dessous de l'ovaire. Se dit des étamines et de la corolle. (Fig. 120, 121.) I IMBRIQUÉ. À parties se recouvrant à moitié les unes les autres, comme les tuiles d’un toit. (Fig. 91.) 3714 VOCABULAIRE. IMPAIRE (foliole). Celle qui termine la côte des feuilles im- paripennées. (Fig. 43, 77, 78.) IMPARIPENNÉE (feuille). Se dit d’une feuille pennée dont le pétiole est terminé par une foliole solitaire. (Fig. 43, 77, 78.) INCISÉ. Offrant des découpures aiguës, plus Jonsite que larges. (Fig. 79.) INCOMPLÈTE (fleur). 118. (Fig. 81, 108, 109, 110.) INDÉFINIES (étamines). Au dessus de 12 et en nombre in- déterminé. INDÉHISCENT. Ne s’ouvrant pas naturellement à la maturité. (Fig. 123, de 137 à 140.) INFÈRE (ovaire). 144. INFLÉCHI. Fléchi ou courbé en dedans. INFLORESCENCE. 113. INFUNDIBULIFORME. Qui a la forme d'un entonnoir. (Fig. 102.) INONDÉ. Voyez SUBMERGÉ. INSÉRÉ. Qui est fixé sur ou sous. INSERTION. Attache d’un organe sur un point déterminé. INTROFLEXION. Etat d’un organe replié en dedans. INVOLUCELEE. Petit involucre des ombellules dans les Om- bellifères. (Fig. 89 in.) INVOLUCRE. Réunion de folioles ou bractées sous une om- belle. (Fig. 89 e.) IRRÉGULIER. Offrant quelque partie différente de toutes les autres. (Fig. 100, 105, 106, 107, 109.) L LABELLE. Voyez TABLIER. LABIÉ. Ayant une ou deux lèvres. (Fig. 106.) LACHE. Dont les parties sont écartées et distantes. LACHEMENT. D'une manière lâche. c LACINIÉ. Découpé en lanières étroites et inégales. (Fig. 116, extrémité de la lèvre inférieure.) LAINE. Poils longs, un peu crépus et rudes. LAINEUX. Couvert de laine. LAITEUX. À suc blanc comme du lait. VOCABULAIRE. 370 LAMELLE. Petite lame ; se dit de tous les organes minces des végétaux. LAMELLEUX. Offrant plusieurs lamelles. LANCÉOLÉ. Oblong et se terminant insensiblement en pointe (Fig. 46.) LANGUETTE. Appendice membraneux de la gaine des feuilles des Graminées; se dit aussi du prolongement du limbe d’une corolle irrégulière déjetée d’un côté. (PI. 2, fig. 3.) LANIÈRE. Segment étroit et allongé. LATÉRAL. Qui est inséré sur le côté de la tige, des rameaux ou d’un autre organe. LÉGUME. Voyez GOUSSE. LENTICULAIRE. Ayant la forme d’une lentille, c’est-à-dire à surface convexe des deux côtés et à bords amincis. LÈVRE. Segment supérieur ou inférieur d’un calice ou d’une corolle labiés. (Fig. 106 s, 1.) LIBRE. N'étant ni soudé ni adhérent, pouvant se détacher sans rien déchirer. (Les pétales de la fig. 98 bis sont libres ; il en est de même des étamines de la fig. 117.) LIGNEUX. Ayant la consistance et la dureté du bois. (Fig. 49.) LIMBE. Partie étalée de la feuille, du calice et de la corolle. (Fig. 47-61 et 111 à.) LINÉAIRE. Allongé et également ou presque également étroit dans toute son étendue. (Fig. 40, #4.) LISSE. N’offrant aucune aspérité. LOBE. Découpure large et arrondie, n'atteignant pas le mi- lieu du limbe. (Fig. 26, 67.) LOBÉ. Offrant des lobes. LOBULE. Petit lobe, lobe secondaire étant au lobe principal ce que celui-ci est à la feuille entière. LOCULAIRE. Qui est partagé en loges. LOGES. 163. (Fig. 127-132.) LONGITUDINAL. Dans le sens de la longueur. LYRE (en). 76. (Fig. 64.) LYRÉ. En lyre. 316 VOCABULAIRE, M MACULÉ. Parsemé de taches. MARCESCENT. Se desséchant, se flétrissant sur place sans tomber. MASSUE (en). En cylindre grossissant vers son sommet. MATURITÉ. Etat du fruit à son développement parfait. MÉDIANE. Occupant le milieu. On nomme nervure médiane la nervure principale d’une feuille, formée par le prolonge- ment du pétiole. 72. (Fig. 46-51.) MÉDULLAIRE. 61. (Fig. 17 m.) MEMBRANE. Espèce de peau molle, mince, demi-transpa- RUE ayant de l’analogie avec le parchemin, mais moins dure. MEMBRANEUX. Qui a la nature ou l'aspect d une membrane. MSNADELPHES. Etamines à filets soudés en un seul fais- ceau. (Fig. 115.) MONOCHLAMYDÉES. Plantes n'ayant qu'une seule enve- loppe florale, verte ou colorée. (Fig. 108.) MONOCCTYLÉDONES. 15. (Fig. 4.) MONOIQUE. 150. MONOPÉTALE. 130. (Fig. 101-107.) MIGNOPHYLLE. D'une seule feuille ou d’une seule pièce, au moins à sa base. Un calice monophylle est un calice mo- nosépale; une corolle monophylle est une corolle mono- vétale. MONOSÉPALE. 122. (Fig. 102 c, 103 ©.) MONOSPERME. À une seule graine. MUCRONÉ. Qui se termine par une petite pointe droite et raide. MUCRONULÉ. Terminé par une très-petite pointe. MULTICAULE. Produisant plusieurs tiges. MUELTIFIDE. Qui est partagé en nombreuses découpures ai- guës, séparées par des enfoncements aigus, n’atteignant pas le milieu du limbe, mais plus profondes que les simples incisions. MULTIFLORE. Portant un grand nombre de fleurs (Fig: 82-95.) MULTILOCULAIRE. Offrant un grand nombre de loges. VOCABULAIRE. 377 MULTIPARTIT. Offrant un grand nombre de partitions. MULTIPLE. Ofrant plusieurs parties distinctes. MUTIQUE. Sans arête ni pointe distincte. N NACELLE. Voyez CARÈNE. NAGEANT. Voyez FLOTTANT. NAPIFORME. En forme de navet. (Fig. 5.) NECTAIRES. 148. NECTARIFÈRE. Qui sécrète un suc sucré. NERVÉ. A nervures saillantes. (Fig. 43, 79.) NERVEUX. Voyez NERvÉ. NERVURES. 72. (Fig. de 43 à 79.) NOEUDS. Endroits où la tige des Graminées et de quelques autres plantes est renflée et comme articulée. (PI. 3.) NOIX. 170, 2°. NOUEUX. Qui est garni de nœuds de distance en distance. NU. Qui est privé des appendices qui laccompagnent ordi- nairement. NUCULAINE. 170, 3. NUCULE. Chacun des petits noyaux d’une nuculaine. 0 OBCONIQUE. En cône renversé. OBCORDÉ. En cœur renversé. (Fig. 61, 103.) OBLIQUE. Tenant le milieu entre une ligne horizontale et une ligne verticale. (Dans les fig. #7-51, les nervures se- condaires sont obliques par rapport à la nervure médiane.) OBLONG. 77. (Fig. 46.) OBOVALE. 77. (Fig. 49.) OBTUS. Qui se termine par une pointe émoussée ou par un bord arrondi. (Fig. 48-52.) OIGNON. 39. (Fig. 11, 12.) OLÉAGINEUX. Qui contient de l'huile. OLIGOPHYLLE. Composé d’un petit nombre de folioles. OLIGOSPERME. N'ayant qu'un petit nombre de graines. OMBELLE. 116. (Fig. 89, 90.) 378 VOCABULAIRE. OMBELLULE. Ombelle partielle portée par les rayons de lombelle. (Fig. 89.) OMBILIC. 11. OMBILIQUÉ. A convexité creusée ou marquée d’une dépres- sion à son milieu. (Fig. 146.) ONDULE. Onduleux, qui s'élève et s’abaisse alternativement en plis inégaux. ONGLET. 131. (Fig. 111 D.) ONGUICULÉ. Offrant un onglet. OPAQUE. Qui n’est ni transparent ni translucide. OPPOSÉ. Deux organes en regard sur le même plan: il y à des bourgeons opposés (fig. 25), des feuilles opposées (fig. 32), etc. On appelle éfamines opposées celles qui correspondent au milieu des pétales ou des segments. (Fig. 114.) OGRBICULAIRE. En forme de cercle. OREILLETTES. Petits lobes latéraux situés sur les feuilles, à leur base ou versleur base. (Fig. 37, 65 0.) ORGANE. Partie du végétal remplissant à son égard une fonction queleonque. 3. OSCILLATIONS. Vibrations, balancements naturels ou ar- tificiels. OSSEUX. Qui est d’une substance solideet dure comme un os. OUVERT. Ecarté. OVALE. 77. (Fig. 48.) OVOIDE. Approchant de la forme ovale. (Fig. 50.) P PAGE. Face supérieure ou inférieure du limbe de la feuille, PAILLETTES. Petites écailles servant de séparation aux fleurettes dans les fleurs composées ; écailles membraneuses etsèches placées à la base d’une fleur. PALMATIFIDE. Feuille à nervures palmées, à lobes aigus, fendus presque jusqu’à la moitié du limbe. PALMATILOBÉE. Feuille à nervures palmées et à lobes ar- rondis n’atteignant pas le milieu du limbe. (Fig. 26, 70.) PALMATIPARTITE. Feuille à nervures palmées et à divi- sions aiguës dépassant le milieu du limbe. PALMATISÉQUÉE. Feuille à nervures palmées et à segments à peine soudés à la base, atteignant presque au point de dé- part des nervures. (Fig. 72.) VOCABULAIRE. 379 PANICULE. 115. (Fig. 82.) PANICULÉ. Disposé en panicule. PAPILIONACÉE. Fleur irrégulière des Légumineuses, com- posée d’un étendard, d’une carène formée de deux pétales plus ou moins soudés et de deux ailes. (Fig. 99.) PAPILLES. Petites excroissances ou protubérances qui couvrent la surface de certains organes. PARALLÈLE. Egalement éloigné d’un autre dans tous ses points. PARENCHYME. 71. PARASITE, Plante croissant sur une autre et vivant à ses dépens. PARIPENNÉE. Feuille pennée sans impaire, c’est-à-dire, sans foliole à l'extrémité du pétiole. (Fig. 76.) PARTIT. 76. PARTITION. Division d’une feuille partite. PAUCIFLORE. N'ayant qu’un petit nombre de fleurs. PARIÉTAL. Qui s’insère à la paroi d’un organe voisin. PAROI. Cloison qui sépare une partie ou un organe d'un autre. PECTINÉ. Feuille à folioles ou segments étroits, opposés sur deux rangs et rapprochés comme les dents d’un peigne. PÉDICELLE. Division du pédoncule et support immédiat de la fleur ou du fruit (fig. 87, 88) ; se dit quelquefois d'un pédoncule court et grêle. PÉDICELLÉ. Muni d’un pédicelle. PÉDONCULE. Pied, support de la fleur et du fruit. (Fig. 145, pp.) PÉDONCULÉ. Muni d’un pédoncule. PELTÉ. 79. (Fig. 54.) PENNATIFIDE. 76. (Fig. 69.) PENNATILOBÉE. Feuille à nervures pennées et à lobes dis- posés latéralement. PENNATIPARTITE. Feuille à nervures pennées et à parti- tions disposées latéralement. PENNATISÉQUÉE. Feuille à nervures pennées et à seÿ- ments à peine soudés à la base, atteignant presque à la côte médiane. PENNÉ. 81. (Fig. 43, 76, 77.) PENTAGONAL. Offrant cinq angles et cinq côtés. 380 VOCABULAIRE. PÉPINS. Graines recouvertes d’une tunique propre (endo- carpe), épaisse et cartilagineuse. PÉPON, PÉPONIDE. 170, #. PERFOLIÉES. Feuilles embrassant si bien la tige que celle- ci paraît traverser leur limbe, (Fig. 38.) PÉRIANTHE. Enveloppe florale unique des plantes mono- chlamydées. (Fig. 108, 109.) PÉRICARPE. 157, 159. (Fig. 144-146.) PÉRIGONE. Voyez PÉRIANTHE. PÉRIGYNES. Etamines placées autour de lovaire ou sur le calice. (Fig. 118.) PÉRISPERME. 16. (Fig. 2 p.) PERSISTANT. Se dit de tout organe dont la durée se pro- longe au delà de l’époque qui semble fixée pour sa chute : c'est l'opposé de fugace, de caduc et de décident. PERSONNÉE. Corolle monopétale, irrégulière, à deux lèvres fermées par le renflement intérieur de la gorge, de ma- nière à représenter grossièrement le mufle d’un animal ; la lèvre supérieure se nomme palais. PÉTALE. 130. (Fig. 98, 99.) PÉTALOIDAL. Ayant la couleur et Ja nature des pétales. PÉTIOLE. 70. (Fig. 47-80 ) PÉTIOLÉ. Muni d’un pétiole. PÉTIOLULE. Division du pétiole. (Fig. 78.) PÉTIOLULÉ. Muni d’un pétiolule. PHANÉROGAMES. À organes et mode de fructification appa- rents. (PI. 1, 2, 3.) PHYLLODE. Pétiole allongé et aplani en forme de feuille li- néaire. Tome Il, page 485. PINNULE. Chacune des folioles d’une feuille pennée ; se dit aussi des segments d’une foliole pennatiséquée. PIVOT. Corps principal d’une racine pivotante. PIVOTANTE. Racine simple, droite, s’enfonçant perpendicu- lairement. (Fig. 3 r.) PLACENTA. 162. (Fig. 133.) PLAN, PLANE. Toute partie qui n'offre ni pli, ni courbure, ni ride, ni ondulation. PLIS. Saillies et enfoncements qu'on aperçoit sur la surface d'un organe, VOCABULAIRE. 381 PLISSÉ. Offrant des plis. PLUMEUX. A petits poils rangés sur deux rangs, comme des barbes de plume. (Fig. 139. \ PLURIFLORE. Portant plusieurs fleurs. POILS. 104. POILU. 105. POLLEN. 135. (Fig. 112 pp.) POLYADELPHES. Etamines dont les filets sont soudés en plu- sieurs faisceaux. POLYPHYLLE. À plusieurs folioles. POLYSPERME. Contenant plusieurs graines. PONCTUÉ. Marqué de petits points. PRÉFLORAISON. 117. PRÉFOLIATION. 94. PRIMAIRE. Principal. Un pédoncule primaire est le support principal des divisions d’un pédoncule composé. PRIMORDIALES (feuilles). Très-petites feuilles qui com- mencent à pousser sur la graine même. PRISMATIQUE. Offrant plusieurs côtés plans et plusieurs angles. PROJETÉ. Dirigé en avant. PROLIFÈRE. Organe qui en produit un autre semblable à lui-même. PUBÉRULENT. Légèrement pubescent. PUBESCENCE. Etat d’une surface pubescente. PUBESCENT. Garni de poils courts, fins, mous, plus ou moins rapprochés. PULPE. Partie molle et charnue, essentiellement formée de tissu cellulaire, qui se trouve dans plusieurs organes de la lante et plus particulièrement dans les fruits succulents. F Fig. 144-148.) PULPEUX. Qui est composé de pulpe. PULVÉRULENT. Couvert de grains très-fins, sensibles au toucher et à la vue, et se détachant facilement ; se dit en- core des plantes garnies d’un duvet très-fin et très- serré, semblable à de la poussière. PURPURIN. Qui approche de la couleur de pourpre ; désigne aussi les nuances intermédiaires entre le rouge et le rose. PYRAMIDAL. Avant la forme d’une pyramide, 382 VOCABULAIRE. PYRAMIDE. Solide ayant pour base un polygone, et pour côtés des triangles dont les sommets vont se réunir en un même point. En botanique , il ne faut pas donner à cette expression une précision trop mathématique. PYRIFORME. En forme de poire. PYXIDE. 169, 5°. (Fig. 134.) Q QUADRANGULAIRE. Offrant quatre angles et quatre côtés. (La tige de la fig. 83.) QUADRIFIDE. À quatre divisions aiguës, séparées par des enfoncements aigus, assez profonds, mais n’atteignant pas le milieu du limbe. QUADRILOBÉ. À quatre lobes. QUADRILOGULAIRE. À quatre loges. QUADRIPARTIT. À quatre partitions. QUATERNÉ. Parties disposées quatre par quatre et en oppo- sition. QUINAIRE. Affectant dans ses parties le nombre 5 ou un multiple de 5, tel que 40, 15, etc. QUINCONCE. S$e dit des feuilles lorsqu'elles sont disposées autour de la tige en une spirale simple formée de cinq feuilles, de telle sorte que la sixième se trouve au dessus de la première, la septième au dessus de la seconde, et ainsi de suite. QUINCONCIALE (préfloraison). 117. R RABOUGRI. Qui n’est pas parvenu à sa grandeur naturelle. RACINE. 29-36. (Fig. 3-9.) | RADICAL. Partant de la racine ou du collet. Feuilles radi- cales. 80. (Fig. 29 à.) RADICANT. Qui produit des racines. (Fig. 14.) RADICULE. Racine de l'embryon. (Fig. { r.) Petites racines. (Fig. 5 r.) RADIÉE. Fleur composée offrant des fleurons au centre et des demi-fleurons à la circonférence. Les fleurons consti- tuent le disque, et les demi-fleurons forment les rayons. (Fig. 92.) VOCABULAIRE. 383 RAIDE. Se dit d’une partie qui oppose de la résistance quand on veut la plier. RAMEAUX. 98. (Fig. 19, 23.) RAMEUX. Racine, tige, pédoncule ou pétiole se divisant et se subdivisant. (Fig. 6, 19, 79, 87.) RAMIFIÉ. Voyez RAMEUX. RAMPANT. Etendu horizontalement. Une racine est ram- pante quand elle court horizontalement en émettant des tiges de distance en distance. (Fig. 450.) Une tige est ram- pante quand elle est couchée horizontalement sur le sol en s’y enracinant çà et là. (Fig. 14.) RAMUSCULE. 98. RAYON. Dans les Ombellifères, on nomme ainsi chaque pé- doncule des ombelles. (Fig. 89.) Dans les Composées, on donne ce nom aux demi-fleurons placés à la circonférence. (Fig. 92.) Dans le tronc des arbres dicotylédonés, on ap- pelle rayons médullaires des fibres blanchâtres qui unis- sent le centre ou la moelle avec la circonférence. (Fig. 17.) RAYONNANT. Disposé en rayons. RÉCEPTACLE. Sommet du pédoncule ou du pédicelle qui supporte les fleurettes des fleurs composées. (PI. 2, fig. 4 ; fig. 97 t.) REDRESSÉ. Relevé après avoir été couché ou étalé. RÉFLÉCHI. Courbé vers la terre. (Fig. 1 b, fig. 101.) RÉGULIER. Dont toutes les parties sont égales en forme et en grandeur. (Fig. 98, 102, 108.) REIN (en). Voyez RÉNIFORME. REJETS. Nom donné aux pousses des arbres, des arbrisseaux ou des plantes vivaces qui sortent des racines et forment de nouvelles tiges. RÉNIFORME. 78. (Fig. 58.) RÉSEAU. Nervures, filaments entrecroisés comme les mailles d’un filet. RÉSINE. Substance odorante, insoluble dans l'eau, visqueuse à la chaleur, brûlant avec une flamme jaune et une fumée noire. RÉSINEUX. Qui produit la résine ou en a quelque propriété. RÉTICULÉE. Surface marquée de lignes entrecroisées en réseau. RHIZOME. 38. (Fig. 10.) 384 VOCABULAIRE. RHOMBOIDAL. En losange, c’est-à-dire.offrant quatre côtés parallèles deux à deux et quatre angles , les deux latéraux obtus, les deux terminaux aigus. RIDÉ. Qui est couvert de rides. RONCINÉ. 76. (Fig. 66.) ROSACE (en). Feuilles radicales étalées, formant comme une couronne au Collet de la plante. (Fig. 29 a.) ROSETTE (en). En petite rosace. ROUE (en). Corolle à tube très-court et à segments ouverts. (Fig. 10%, 105, 113, 114.) RUDE. A surface offrant des aspérités au toucher : c’est l’op- posé de lisse. RUDIMENT. Organe réduit à de très-petites dimensions. RUDIMENTAIRE. Etat d’un organe réduit à une ébauche si inpsrass et si petite qu'on ne peut le reconnaître qu’à laide de l’analogie. RUGOSITÉS. Espèces de rides qu’on voit sur une surface. RUGUEUX. Qui a des rugosités; est à peu près synonyme de ridé. S SAMARE. 168, 4°. (Fig. 141, 149, 143.) SAGITTÉ. 78. (Fig. 37, 59.) SARMENTEUX. Tige ou rameaux ligneux, rates flexibles, rampants ou grimpants. SAUTOIR (en). Organes disposés de manière à imiter une croix de saint André (X). SCABRE. Rude au toucher. SCARIEUX. Mince, sec, demi-transparent, jamais vert, et craquant comme ‘du parchemin. CIE (dents de). 75. (Fig. 35.) SCORPIOIBE. Roulé en queue de scorpion. (Fig. 86.) SECTION. Coupe, endroit où une chose est coupée. Nous avons aussi donné ce nom aux subdivisions des sous-tribus dans notre deuxième volume. SEGMENT. Division d’une feuille séquée. 76. (Fig. 79.) SEMI. Devant un mot, signifie demi. SEMI-FLOSCULEUSE. Fleur composée, formée uniquement de demi-fleurons. (Fig. 93.) | VOCABULAIRE. 385 SÉMINALES (feuilles). Les premières feuilles de la plantule. (Fig. 3 cc.) SEMI-SAGITTÉ. Qui a la forme d’un demi-fer de flèche. (Fig. 98 ss.) SÉPALES. 122. (Fig. 98 bis ©.) SÉQUÉ. 76. SESSILE. 79. (Fig. 36.) SÉTACÉ. Raide, étroit et aigu comme des soies de sanglier. SÉTIFORME. Qui a la forme de soies de sanglier. SÈVE. 52. SILICULE. 169, 3°. (Fig. 129.) SILIQUE. 169, 2°. (Fig. 130.) SILLONS. Raies ou stries profondes. SILLONNÉ. Marqué de sillons. SIMPLE. Poils, tige ou pédoneules non ramifiés. (Fig. 20, 81 p, 138.) Feuilles entières ou découpées, mais n’ayant pas de véritables folioles. (Fig. 44-72.) SIMULTANÉ. Organe croissant en mème temps qu'un autre. SINUÉ. Qui a des sinuosités ou des lobes peu profonds et inégaux sur les bords. (Feuilles de la fig. 41.) SOIES. Poils doux et longs; quelquefois poils raides, étroits et allongés. (Fig. 132.) SOLITAIRE (fleur). Fleur naissant seule sur une plante on sur un pédoncule. (Fig. 84.) SOUCHE. Voyez RHIZÔME. SOUCOUPE (en). Corolle monopétale, tubulée, à limbe très- étalé. (Fig. 103.) SOUS-ARBRISSEAU. Arbrisseau très-petit : telle est la Bruyère de nos contrées. SOUS-LIGNEUX. Faiblement ligneux; se dit aussi d’une plante dont la tige, ligneuse à la base, est herbacée au sommet. SOUS -TRIBU. Première subdivision de la tribu. SOYEUX. Revêtu de poils fins et serrés, brillants comme la soie. SPADICE. Axe simple portant des fleurs sessiles, unies ou séparées, enveloppées d’une spathe. (Fig. 96; celle qui est à gauche montre le spadice dépouillé de sa spathe.) SPATHE. 127. (Fig. 90 ss, 96 sp.) -386 VOCABULAIRE. SPATULE (en). 77. (Feuilles de la pl. 2 et fig. 54.) SPATULÉ. En spatule. SPHÉRIQUE. Arrondi en boule. SPICIFORME. En forme d’épi. SPINESCENT. Se terminant en épine. SPINULESCENT. Faiblement épineux. SPIRALE (en). En forme de spirale, c’est-à-dire, en forme de ligne courbe tournée plusieurs fois sur elle-mème comme une vis. (Fig. 41 t.) SPONGIEUX. À tissu poreux, compressible et élastique comme une éponge. SPONTANÉES (plantes). On nomme ainsi les plantes qui croissent d’elles-mèmes dans une contrée, sans y avoir été semées par la main de l'homme. SPORES. Tome Il, page 581. SPOR ANGES. Tome IL, page 576. STAMINIFÈRES. Fleurs portant des étamines. STÉRILE. Ne portant point de fruit. Les étamines stériles sont celles qui sont dépourvues d’anthères et de pollen. STIGMATE. 146. (Fig. 122 à, 124 à.) STIPE. 59. (Fig. 20.) STIPELLES. 107. STIPULES. 107. (Fig. 28 ss, 42'ss, 43 ss.) STIPULÉ. Muni de stipules. STOLONS. Filets grèles, rejets rampants et radicants que certaines plantes émettent de leurs racines; se dit aussi des tiges qui vont prendre terre à une certaine distance, s'y enracinent et produisent de nouveaux individus. STOLONIFÈRE. Qui produit des stolons. STRIES. Sillons peu profonds et parallèles. STRIÉ. Marqué de stries. STROBILE. 172, 1°. (Fig. 149.) STYLE. 143. (Fig. 122 s, 1245.) STYLOPODE. Disque qui couronne le fruit des Ombellifères et qui supporte les styles. SUB. Devant un mot, signifie presque. SUBMERGË. Entièrement plongé dans l’eau. SUBULÉ. 77. (Fig. 45.) SUCCULENT. Composé d'un tissu cellulaire abondant, charnu. rempli de sucs. VOCABULAIRE. 387 SUPÈRE (ovaire). 144. SUPERFICIEL. Qui ne s'arrête qu'à la surface. SUPERPOSÉ. Organe placé au dessus d’un autre. Ligne de jonction des bords des valves d’une cap- sule. SYMÉTRIE. Proportion, correspondance et rapport dans les divers organes ou les parties d’un même organe. SYMÉTRIQUES. Fleurs ou organes disposés avec symétrie. SYNANTHÉRÉES. Nom donné aux fleurs de la famille des Composées, parce que leurs étamines sont soudées par les anthères. (Fig. 119.) SYSTÈME. 246. , TABLIER. Tome If, page 469. (Fig. 109 tt.) TALON. Prolongement ou saillie ronde de la base de la co- rolle hors du calice. TÉGUMENT. Petite membrane recouvrant les fructifications de certaines Fougères ; en général, mince enveloppe. 10. TERMINAL. Placé au sommet de la tige ou des pédoncules. (Fig. 81.) TERNAIRE. Affectant le nombre 3 ou un multiple de 3, tel que 6, 9, 12, etc. TERNÉ. Opposé trois à trois ; signifie aussi à trois segments profonds partant presque du même point. (Fig. 71.) TÉTRADYNAMES. Etamines au nombre de six, dont quatre plus longues et deux plus courtes. (Fig. 121.) TESTE. 10. TÊTE (en). Fleurs ou fruits groupés en boule au sommet de la tige ou des rameaux. (PI. 1, fig. 5.) Stigmate analogue à une tête d’épingle. TÉTRASPERME. À quatre graines. THALAMUS. Partie du pédoncule qui se prolonge entre le calice et l'ovaire. THALAMIFLORES. Tome I], page 1. (Fig. 120.) THYRSE. 115. (Fig. 85.) TIGE. 37. TOMBANT. Se dit de la tige ou des rameaux lorsqu'ils sont trop faibles pour se soutenir. TOMENTEUX. 105. TORTILLÉ. Bouclé en anneau ou roulé en spirale. (Fig. 28.) 388 YOCABULAIRE, TORTUEUX. Courbé en différents sens. TOURBE. Substance formée par l’accumulation des débris des végétaux. FOURBEUX. Terrain ordinairement marécageux, renfermant beaucoup de tourbe. TRAÇANT. Une tige est traçante lorsqu'elle s'étend hori- zontalement en poussant des rejets à racine. (Fig. 14.) Une racine est traçante quand elle $étend entre deux terres à une distance plus ou moins considérable. TRANSLUCIDE. Laissant passer la lumière, sans permettre cependant de distinguer ni la couleur ni la forme des ob- jets; demi-transparent. TRANSPARENT. Corps au travers duquel on peut distinguer les objets. TRANSVERSAL. Qui coupe en travers. TRI. Lettres imitiales ajoutant l'idée de trois au mot qu'elles précèdent. TRIANGULAIRE. Offrant trois angles et trois côtés. TRIBU. Première subdivision de la famille. TRICHOTOME. Qui se divise et se subdivise par trois. TRIDENTÉ. À trois dents. TRIFIDE. 76. TRIFOLIOLÉE. Feuille composée de trois folioles. (Fig. 73.) TRIFURQUÉ. Qui est divisé en trois parties très-déliées au sommet. TRILOBÉ. A trois lobes. TRINERVÉ. A trois nervures. TRIPARTIT. À trois partitions. TRISÉQUÉ. A trois segments. (Fig. 65.) TRISPERME. A trois graines. TRONC. 61. (Fig. 17, 19.) TRONQUÉ. Terminé brusquement par une ligne horizontale. (Fig. 51, 52, 64.) TUBE. 193, 131. (Fig. 98, 102, 103, 106.) TUBERCULE. 40. (Fig. 7, 10.) TUBERCULEUX. Avant des tubercules; de la nature des tu- bercules. TUBÉREUX. Voyez TUBERCULEUX. TUBULEUX. En forme de tube. » VOCABULAIRE. 389 TUNIQUES. Membranes qui enveloppent un organe. Bulbe à tuniques. 39. TURBINÉ, EN TOUPIE. En cône renversé et un peu resserré au sommet. TURION. 97. TYPE. Individu dans lequel se trouvent réunis et bien dis- tincts les caractères de la famille, du genre, de l'espèce, etc. U UNIFLORE. Ne portant qu’une fleur. (Fig. 81.) UNILATÉRAL. Tourné d’un seul côté. (Fig. 86.) UNILOCULAIRE. À une seule loge. (Fig. 127, 132, 134.) URCÉOLE. Organe en forme de petit gobelet. URCÉOLÉ. Renflé comme une petite outre et resserré vers l'orifice. UTRICULES. Petites outres ou vessies qu’on remarque sur certains organes. On donne aussi ce nom aux cellules. 45. UTRICULAIRE. Portant des utricules ou formé d’utricules. Le tissu utriculaire est le même que le tissu cellulaire. V VAISSEAUX. 50. (Fig. 16.) VALLÉCULES. Tome If, page 176. VALVES. Portes ou battants des loges de la graine dans les fruits déhiscents. (Fig. 127-134.) VASCULAIRE. 51. VEINÉ. Marqué de veines ou pelites nervures ramifiées et apparentes. (Fig. 99.) VELOUTÉ. Couvert de petits poils courts et épais, doux au toucher comme du velours. VELU. 105. VERRUES. Petites aspérités ayant l'aspect des verrues qui viennent sur le corps humain. VERRUQUEUX. Garni de verrues. VERTICAL. Se dit de tout organe qui s'élève perpendiculai- ement, soit à l'égard de l’horizon, soit à l’égard de la par- tie qui 12 supporte. VERTICILLES. Anneaux formés autour de la tige par des 390 YOCABULAIRE. x rameaux, des feuilles ou des fleurs disposés au moins trois à trois en regard et sur le même plan. (Fig. 33, 83.) VERTICIELÉ. Disposé en verticille. VIOLON (en). Feuille oblongue ou ovale, creusée des deux côtés vers son milieu. (Fig. 63.) VISQUEUX. S’attachant aux doigts comme de la glu. VIVACE. 97. VIVIPARE. Plante qui, au lieu de fleurs, produit des reje- tons feuillés. VOLUBILE. 101. (Fig. 21.) VRILLE. 100. (Fig. 98 v.) FIN DU VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES. Page 12, ligne 11, fig. 3 ce, 47, 56, 56, 57, ERRATA DU TOME PREMIER. 2, TROISIÈME AGE DE LA LA PLANTE. 929, fig. 1921 b, lisez fig. 31, fig. 1 d a, Lisez fig. 3, fig. 98, lisez fig. 94, fig. 124, lisez fig. 28, fig. 129, lisez fig. 20, fig. 107, 120, lisez fig. lisez fig. DA CIC PLANTE, lisez QUATRIFME AGE DE 111 b. NN dNa; 98 bis. 114. 120. 107 et 117. 21, QUATRIÈME AGE DE LA PLANTE, lisez CINQUIÈME AGE D4 LA PLANTE. 2, CINQUIÈME AGR DE LA PLANTE, lisez SIXIÈME AGE DE LA PLANTE, 182, à l’accolade 33, Graines non couronnées par une aigrette de poils. 55 lisez Graines non couronnées par une aigrelte de poils. 5 hs A Mr; am ha (re 5, f à LCL TI EC ele AREA 0e Fa PAU lEt ver Like AL hrs vp : Mods: SU DAS ces ë 2 de RL 71 Ce sui: (Lt AE à lé 3 VIA " M ht BAT MOT ue AR LE V WURAS ni 2 L prie Dar | À 4 t Va} V + Vu it CEA : Ê , N 2 af , à à RAL 1 , 1 " CS 1 » q Ê NN LE QT LS 1 BL SUR AP UINTID trbl- rt ad 13 ve ré -\@ it volé Nb ft nf en, L'ORURNTS a AA BI an ui: a Lou" 174 Mi cul " j : URL TAN | 4 PTE au 1 y$s ytin 2 304) tua fé "re : ul à TEUR un nb. Vent EU va | ] La À hi vh 216 hi do rat A-tron ARNER O0 4 obrrte AR é tles f 12e ŒN à = rs. ñ noi TABLE DU TOME PREMIER. Préfacede:la première édition 24e.) 2." tement 1 Préfice detlardenxièrae édition, : 2. "on "IT BOTANIQUE ÉLÉMENTAIRE, NDDIONSMMÉNÉRATES ct Neue LU D der 1 PREMIÈRE PARTIE, -— BOTANIQUE ORGANIQUE. CHAPITRE EF. — ORGANOGRAPHIE ET PHYSIO- LOGIE VÉGÉTALES. : pe : n ARTICLE [°. — Premier âge de la plante. — Som- DÉDOARE ENe" Pc. sue une 7 US S 4%:Epispermet . . 5 $ 2. Amande, 6. D pribry cn! 6. pété 7. ARTICLE IL. — Deuxième âge de la phais — Ger- mination fs A cn. 394 FABLE. ARTICLE III. — Troisième ge de la Hits — Crois- sance, 0 à : - & 4°, Racine. 244 GONE OR 62: Tige PRE ES . ASIE $S 3. Mode de croissance Fa U : 18. — Tissu cellulaire, 49.— Tissu vasculaire, A. — Sève, sucs propres, 22. — Circulation de la sève, 23; — dans les plantes cellulaires, 24; — dans les plantes vas- culaires monocotylédones, 24; — dans les plantes vasculaires dicotylédone, 26. $ 4. Parties accessoires de la tige, 29. — Feuilles, 30. — Leurs parties et leurs formes, 30. — Leur res- piration, 36. — Leur transpiration, 37. — Leur sommeil et leurs mouvements, 39. — Bourgeons, 40. — Préfoliation, 41. — Branches etrameaux, 42. — Vrilles, 43. — Epines et aiguillons, 43. — Poils, 44. — Stipules et bractées, 45. ARTICLE IV. — Cane âge de la M — Flo- FASO: 0 7-0 È . 4 $ 1°. Mode d'insertion de la fleur. . . . . . 4 $S 2. Inflorescence. 8.3. Préflotison5F F6 082 50 S 4. Parties de la fleur, 51. — Organes ie 52. — Calice, 52. *— Corolle, DD. — Organes re- producteurs, 57. — Etamines, 758. — Carpelle, 60. — Organes accessoires, 62. $S 5. Anomilies des fleurs..." EE $ 6. Epoque et durée des fleurs . . . . . . 64 ARTICLE V. — Fanne àge de la pe — Fruc- tification . . . RE : M6 SA: PÉPICAPDE ML ONE : 66 $ 2. Des différentes espèces 4 DE 68. — Fruits simples, 70.— Fruits multiples, 73. — Fruits com- posés ou agrégés, 73. — Tableau synoptique de la classification des fruits, 74. ARTICLE VI — Sixième âge de la plante. — Fin de la végétationg. .. -°.. .. .CONNENR TS TABLE. 395 CHAPITRE IL. — PATHOLOGIE VÉGÉTALE. . . . . 78 ARTICLE [*'. — Viciation des milieux . . . . . 7 S 1%. Air atmosphérique, lumière, chaleur. . . 79 S 2/-Fau liquide où en vapeur. : ,.. . ..... . … 81 DPAITIEUSTERFESITe ANT 2. JUN. + [02 ARTICLE II. — Causes des maladies des plantes qui at- taquent leurs organes ou les empêchent d'agir. 85 $ 1%. Animaux et insectes nuisibles . . . . . 86 $ 2. Plantes parasites et excroissances . . . . 96 DEUXIÈME PARTIE. — TaxONOMIE. CHAPITRE I®. — DES DIFFÉRENTES ESPÈCES DE CLAS- SLDION St ER. 2 ue PE unes ADO CHAPITRE IL. — PRÉCIS HISTORIQUE SUR LA BOTA- NIQUE. — PRINCIPAUX SYSTÈMES ET PRINCI- PADES MÉTHODES 2e Et Pen Système de Tournefort, 112. — Tableau SRE du système de Tournefort . . . 114 Système de Linné, 415. — Tableau dut. du système de Linné : Méthode de de Jussieu, 120. — Tableau suontae de la méthode de de Jussieu à . 125 Tableau analytique de la méthode de de Candolle. 127 Clefs analytiques de de Lamarck . . . . . . 128 396 TABLE. BOTANIQUE DESCRIPTIVE, PREMIÈRE PARTIE. — CLEr ANALYTIQUE. Avertissement. Clef des familles . Clef des genres. Clef des espèces . Vocabulaire des termes Pre , FIN DE LA TABLE DU PREMIER VOLUME. 139 -14939 . 158 mL . 361 Fig. ot à QG 9 co ox EXPLICATION DES PLANCHES. Planche 14. Tige rameuse avec des feuilles palmatilobées, à lobes incisés-dentés. Calice polysépale, à sépales réfléchis. Pétale avec écaille sur l'onglet. Carpelle grossi, avec un rang de tubercules. Carpelles réunis en capitule. planche 2. Tige et feuilles : les inférieures spatulées, atiénuées en pétiole, dentées au sommet, incisées à la base; les supérieures oblongues, sessiles ou un peu amplexicaules, incisées-dentées. Fleuron isolé. Demi-fleuron isolé. Réceptacle convexe, sans paillettes, muni de trois fleurons et d'un demi-fleuron. Involucre hémisphérique, à écailles imbriquées. Fleur radiée, offrant des fleurons sur le disque et des demi-tleurons pour rayons à la circonférence. Planche 3. Racine fibreuse; tige noueuse (chaume); feuilles linéaires-lancéolées et engaînantes. Une fleur munie de deux glumes inégales, de deux valves ciliées et aristées accompagnant les glumes, de glumelles mutiques, de deux étamines et de deux styles pourvus de stigmates filiformes et plu- meux. Fleurs disposées en panicule serrée en forme d'épi ovale-oblong. Pianche 4. Graine de Haricot ouverte, avec ses deux cotylédons et son embryon : cc les cotylédons, » la radicule, gg la gemmule. Graine de Ricin coupée longitudinalement: a caroncule (*) en forme d'arille, p le périsperme, r la radicule, g la gemmule. Plantule de graine dicotylédone commençant à se développer au (*) On nomme caroncule un renflement de la surface de certaines graines vers le hile, 1 ig. 27. ig. 29. EXPLICATION DES PLANCHES. moment de la germination : r la racine avec ses radicelles, c’ c’ le collet, ce les cotylédons devenant feuilles séminales, g la gem- mule. Plantule de graine monocotylédone commençant à se développer au moment de la germination : » la racine, g la gemmule s’allongeant pour devenir la tige. Racine simple, charnue, pivotante, conique : c le collet, a le corps de la racine, r les radicelles ou chevelus. Racine rameuse. Racine en chapelet. Racine fibreuse. Racine fasciculée, à fibres renflées. Racine tubereuleuse, offrant un tubercule entier à droite et un tu- bercüle palmé à gauche. Bulbe à tuniques. Bulbe à écailles. Souche ou rhizôme oblique. Souche ou rhizôme horizontal : c c le corps de la souche. Cellules formant le tissu cellulaire. Différentes espèces de vaisseaux : f vaisseau fendu, p vaisseau pone- tué, c vaisseau en chapelet, £ trachée. Portion du tronc d'un arbre dicotylédoné : e l'écorce, a l'aubier, ble bois dur, m la moelle renfermée dans l'étui médullaire. Planche 5. Portion de stipe d’un arbre monocotylédoné : b la portion exté- rieure qui est la plus ancienne et la plus dure, ç la portion centrale qui est la plus nouvelle et la plus tendre. Arbre dicotylédoné, avec son tronc, ses branches, ses rameaux et ses ramuscules : les branches sont disposées en forme pyramidale. Arbre monocotylédoné, avec son stipe, ses feuilles et son bourgeon terminal. Tige grimpante ou sarmenteuse, offrant des fleurs et des fruits pen- dants, portés par des pédoncules filiformes. Tige noueuse (chaume) d’une Graminée (Sucre officinal), avec ses fleurs en panieule terminale : a un entre-nœud, b le nœud lui- même, n le sommet de la gaine d’une feuille où se trouve la lan- guette. Tige ligneuse et rameuse : c l'angle de bifurcation de deux ra- meaux; & c’b rameau courbé et ascendant. Bourgeons latéraux et terminaux enveloppés de leurs écailles. Bourgeons opposés, coupés par le milieu dans le sens de leur lon- gueur : ee les diverses enveloppes qui entourent les feuilles et les fieurs. Un tronçon de rameau muni d’épines avec une feuille palmatilobée, à lobes irrégulièrement incisés-dentés : e les épines. Un tronçon de tige de rosier avec ses aiguillons : & un aiguillon détaché de l'écorce. . Une feuille à 2 folioles, avec une vrille rameuse et des stipules semi- sagittées : f f les 2 folioles, v la vrille, s s les stipules. La Joubarbe des toits, offrant des feuilles radicales imbriquées, EXPLICATION DES PLANCHES. 113 étalées en rosace, et des feuilles caulinaires alternes : a les feuilles radicales, b les feuilles caulinaires. Feuilles alternes. x Planche 6. Ne éparses, les unes dressées, les autres étalées, les autres ré- chies. Feuilles opposées, offrant de petits bourgeons axillaires. Feuilles verticillées, avec un rameau axillaire. Feuilles subulées et fasciculées. Feuilles géminées, pétiolées, dentées en scie. Feuilles sessiles. Feuilles amplexicaules, sagittées, à oreillettes divergentes. Feuilles perfoliées. Feuilles décurrentes, formant une tige ailée : a a les ailes de la tige. Une feuille engaïnante : g la gaîne, c le limbe. Le Cyclame à feuilles de lierre : a le tubercule, b la fleur réfléchie avec ses segments relevés, À la hampe, € le pédoncule roulé en spirale après la floraison. Les feuilles sont radicales, pétiolées, en cœur ovale-lancéolé, irrégulièrement sinuées-lebées sur les bords. Stipules sagittées, remplaçant les feuilles. Feuille de Rosier : elle est imparipennée, pétiolée, munie de stipules, - He ovales, bordées de dents ouvertes : ss les stipules, f f les olioles. Feuille linéaire, entière. Feuilles subulées, entières. Feuille oblongue-lancéclée, entière. Planche 7. Feuille ovale-lancéolée, acuminée, dentée : ce la côte médiane. Feuille ovale, obtuse, entière : api la côte médiane. Feuille obovale : pi la côte médiane. Feuille elliptique, entière. Feuille spatulée : o sommet obtus et tronqué. Feuille obovale-cunéiforme. Feuille ovale-lancéolée, brusquement acuminée. - Feuille peltée, lobée-crénelée. Feuille ovale-lancéolée, arrondie à la base, denticulée dans sa moitié supérieure : p la côte médiane, qui n’est que le prolongement du pétiole. Feuille triangulaire-lancéolée, dentée en scie. Feuilles en eœur ovale : l'une légèrement en cœur et irrégulièrement dentée dans sa moitié supérieure, l’autre profondément échancrée en cœur et entière. Feuille réniforme, crénelée : p a nervures palmées, b crénelures. Feuille sagittée : LL les lobes. Feuille hastée : 21 les lobes, n la nervure médiane. Feuille obcordée : n la nervure médiane. Feuille ovale-lancéolée, tronquée à la base, doublement dentée ab les dents surdentées. 18 ig. 81. EXPLICATION DES PLANCHES. 63. Feuille en violon. 64. Feuille lyrée : t segment terminal, LL segments latéraux. 65. Feuille triséquée, à segments très-inégaux et dentés : e le segment terminal ou moyen, o les segments latéraux formant deux oreil- lettes à la base de la feuille. Planche $S. 66. Feuille roncinée. 67. Feuille lobée. 68. Feuille sinuée-pennatifide. 69. Feuille pennatipartite : b partition terminale, c partitions latérales. 70. Feuille palmatilobée, à lobes crénelés : c les nervures palmées. 71. Feuille triséquée, à segments égaux : cc les nervures palmées. 72. Feuille palmatiséquée et pédalée. 73. Feuille trifoliolée. 74. Feuille palmée ou digitée, à folioles entières. 75. Feuille palmée ou digitée, à folioles incisées. 76. Feuille paripennée, terminée par une vrille : p le pédoncule commun. . 717. Feuille imparipennée, à folioles inégales. 78. Feuille 2 fois pennée, à folioles entières et pétiolées. 79. Feuille 2-3 fois et très-profondément pennatiséquée, à segments irrégulièrement incisés, atténués en coin à la base. . 80. Feuille pennée, à folioles linéaires et distiques. Planche 9. Fleur solitaire, pédonculée, munie d'une feuille engaînante et on- dulée : p le pédoncule. . 82. Fleursen panicule . 82 bis. Fleurs en épi, aristées. . 83. Fleurs verticillées, sur une tige quadrangulaire. 84. Fleurs en grappe pendante. 85. Fleurs en thyrse. 86. Fleurs en grappe unilatérale et scorpioïde. 7. Fleurs en corymbe. 88. Fleurs en cyme. 89. Fleurs en ombelle composée : L l'involucre, in un involucelle. 90. Fleurs en ombelle simple : ss les spathes. 91. Fleur composée flosculeuse, avec un involucre à écailles imbriquées. 92. Fleur composée radiée. Planche 409. 93. Fleur composée semi-floseuleuse. 94. Fleurs en grappe pyramidale : f les feuilles radicales, k a hampe, g la grappe. 95. Fleurs en chaton. 96. Fleurs du Gouet(4rum vulgare) : elles sont disposées sur un spadice et entourées d’une spathe. La figure de gauche montre le spadice dépouillé de sa spathe et muni d’étamines et d'ovaires séparés et verticillés : e les étamines, s la massue terminale du spadice. La figure de droite présente le spadice enveloppé de sa spathe en forme de capuchon : sp la spathe, s la massue terminale du spadice. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. EXPLICATION DES PLANCHES. Y 97.. Fleur radiée à demi-fleurons réfléchis et à fleurons du disque tous enlevés, à l'exception d'un seul, pour faire voir le réceptacle : & le réceptacle, b les demi-fleurons réfléchis. 98. Fleur polypétale à calice monosépale tubuleux, muni d'écailles à la base : é les écailles. 98 bis. Fleur polypétale, crucifère, à calice poiysépale : c le calice. 99. Corolle papilionacée : e l’étendard, a a les ailes, c la carène. 100. Corolle polypétale, irrégulière : ç la corolle, d le calice, e l'éperon. 101. Corolle monopétale, campanulée : L le calice avec l'ovaire infère. 102. Corolle monopétale, infandibuliforme ou en entonnoir : # le tube, ele limbe, g la gorge, c le calice. 103. Corolle monopétale, hypocratériforme ou en soucoupe : € le calice. 104. Corolle en roue, présentée à l'envers pour montrer le tube. Pianche 44. 105. Corolle en rouc, vue de face. 106. Corolle labiée, à tube saillant hors du calice : s la lèvre supérieure, + la lèvre inférieure, c le tube du calice, g sa gorge. 107. Corolle personnée, munie d'un éperon : el'éperon, c le calice. 108. Périanthe régulier d'une Monochlamydée. 109. Périanthe irrégulier d’une Monochlamydée (c’est celui de la fleur de l'Orchis fusca) : c le casque à pétales connivents, £t le tablier à trois lobes, celui du milieu bilobé, avec une petite pointe dans l'échancrure. . 10. RENE de Graminée, épillet uniflore : gg les glumes, gl gl les glu- melles. g. 111. Un pétale isolé d’une corolle polypétale : d a le limbe, bd l'onglet. g. 112. Une étamine isolée et vue au microscope : @ l’anthère s’ouvrant ge des valves longitudinales, pp le pollen qui s’en échappe, f le filet. ig. 113. Étamines alternes avec les segments de la corolle. ig. 114. Etamines opposées aux segments de la corolle. g. 115. Etamines soudées par les filets en un seul faisceau (monadelphie) et insérées sur le calice (Caliciflores). Fig. 116. Corolle bilabiée, à lèvre supérieure tridentée et à lèvre inférieure in- cisée-laciniée, . 117. La même ouverte pour montrer les 4 étamines, dont 2 plus grandes (didynamie), et leur insertion sur le tube de la corolle (Corol- liflores). ; . 118. Étamines soudées par les filets en deux faisceaux (diadelphie). . 119. Étamines soudées par les anthères (Synanthérées). . 120. Étamines libres, égales, insérées sous l'ovaire (Thalamiflores). . 121. Étamines tétradynames, c'est-à-dire, au nombre de 6, dont 4 plus grandes. Planche 12. . 122. Carpelle : o l'ovaire, s le style, a le stigmate. . 123. Akènes munis de 2 stigmates sessiles, celui de gauche à stigmates entiers, celui de droite à stigmates plumeux. EXPLICATION DES PLANCHES. Fig. 124 (*). Ovaire composé de 4 carpelles avec un style central : o l'ovaire, Fig. 195. Fig. 196. Fig. 127. Fig. 140. Fig. 141. Fig. 142. Fig. 143. Fig. 144. Fig. 145. Fig. 146. Fig. 147. Fig. 148. Fig. 149. Fig. 150. s le style, a le stigmate. Carpelles réunis en capitule. Capsule de pavot s'ouvrant par des trous sous les stigmates rayon- nants et réunis en bouclier. Gousse ou légume s’ouvrant par 2 valves et montrant les graines attachées par le funicule à la suture supérieure. . Capsule bivalve et uniloculaire: la valve de gauche porte le style per- sistant. Silicule : vs les 2 valves, ç la cloison. Silique : vv les 2 valves, e la cloison. Capsule triloculaire, coupée en travers pour montrer les 3 loges. . Follicule ouvert, montrant ses graines couronnées d’une aigrette soyeuse. . Capsule polysperme s’ouvrant par 3 valves : la figure de gauche montre les 3 valves vuv ouvertes et les graines attachées à une cloison médiane. . Pyxide avec son couvercle relevé pour montrer les graines. . Gousse articulée. . Péponide ouverte. Planche 43. . Akène avec une aigrette sessile à poils denticulés : a l’akène. . Akène avec une aigrette pédicellée à poils simples : a l’akène, . Akène avec une aigrette pédicellée à poils plumeux ou rameux : a l’akène. Akène surmonté d’une couronne membraneuse : a l'akène, ç la çou- ronne. É Samare munie d’une seule aile latéraie. Samare munie de deux ailes latérales. Samare entourée d’une aile membraneuse. Drupe à noyau sillonné et raboteux (pêche). Drupe à noyau lisse (cerise). Mélonide à pépins (pomme). Sycone (ligue). Réceptacle accrescent, charnu, succulent (fraise). Cône ou strobile (fruit du Pin). Rhizôme charnu d’une Fougère, avec ses feuilles. {*) C'est par transposition de chiffres que cette figure porte le n° 142. FIN DE L'EXPLICATION DES PLANCHES. Ranunculus pAzonous .… Renoncule ze: mare: 1. Lige et Fe iilles 4. Carpelle frossi,avec ur à Caliet rlléchu A dauint d über: ie 3. Petale sep ta lesurl'onélet 15. (arpelles reuris en capilult Chrysanthemum Chen, Grande Marguerite. .Réceplacle de rons , sans paillettes. . Involucre imbrique . . eur radite. À Tite et | Fauil es leuron à Dem-fleuron Avec la graine sans aigrelle. Anthoxanthum PATES Flouve odrzrte . ROM RTEn ‘al | ge racine el feuilles 9. [ne fleur avec les élumes les lumelles les elamines eLles styles. * 3. Les [leurs réunies en frappe EITee . L ME TER | : L. ? ‘ - AY) À LES | = RE ST es ra LA PA ] * U ; ‘ , ‘ < - “ ‘ Li L = é u ® , SA Te , - . oi “ 0 ‘ “ + % t. 2 : ‘ ; . ' 71 + 4 — W hs ee: A lee nn .. AS a PT À EN Q Cp [le C0 DRE PRES; A | 1 «+ M Y | ' r ï d (] + < 0 1,47 : ps 4 L | y Fe" = ’ , 4 = *! L) + \ - « ‘ . 3 \ Zik. Charrasse à Lyvre. TABLE DES GENRES POUR LA CLEF ANALYTIQUE DU PREMIER VOLUME (1). À LCR SRE GET MEN T2 li RER ES SOPeS 293 JTE S'ÉPRORER 9340" Anarrhinum: . . . . . 305 TI ENTER DA MATIG USA TEE 297 JETTA TI SSSR H5PrAndTomelr ete 291 LÉ ITR 323 Andropogon. . . . .. 343 AGP SL, AADPATIATOSACE 299 Satan +". : ... 360! Andryala, . .. =: 287 AODIS RMS, AE Anemonerise 002 214 LÉO SOIR 264 Angelica. ...... 261 Ægopodium . ...., 264: Anthemis ... . .!.... 282 PRÉRSAM U ree à à 263 Anthoxanthum. . . . . 343 Serimona. >. .:. : . SEC AMEMESCUSS. LUE 260 LUE LUE TSF 345 Anthyllis. . . . . . . . 239 ele C0 RSR 347 Anticrhinum... "#7 304 TRUE ae der alle « 303 Aphyllanthes. . . . .. 331 Alchemilla. . . . . .. SL AqUieSIA ri. PAST 215 1 TE SORA ERRE SN ATADIS SU UT PA ES 217 0 ARR ES DSL APDUIUSE AE PA MERS 291 ARTS Tree JDN ATENATIA 1. RE TOAART AIODECHEUS.- 0". ,7: 344 Aristolochia . . . . . . 317 NRA 5 2 2e DO ATMETILE MS ITR Re 310 SEUL PARIS 220)0- ADM: 0 ER 280 ATHAPANTAUS + .: 4: > 3114 Arrhenaterum. . . . . 347 Amelanchier. . . . .. 292. Arlemisia : ! 4770 277 initie, APPEL POP ATUMN SUN 3923 (1) Cette table doit être placée à la fin du tome Ier, avant l'explication des planches. Elle sera utile à ceux qui, à l'inspection d’une plante, connaissant aussitôt à quel genre elle appartient, veulent procéder immédiatement à la dé- termination de l'espèce. TOME I. 17 0. 398 TABLE ANATUNT + 25151 708 AT AStrigilus. . LC ASUS: 7, L0.1 323 Astrantia. . . . .. 40, ASRÉTUBOSS 4 LL LR 297 Athamantha. . . . .. RÉpÉTUIR 2 201 SENTE 265 + AtRyUM : . LR ASDIEM ». 7.2. 1: Pr 2ne 356 Mnpler.;: 100724 Asplenium. . . . . . . 309 _“ AUOPA. 25, LR RE M ARE N RE 219 . AVENA 4 Ce TENCRR B Bon TETE 302 Botrychium . . . . .. Bahadide . Loue 271 Brachypodium. . . .. Barbare: Loc Li 217 Brassicar L'ORERS Barkausia : «2% "708 284 Briza ...: . CONS AMEL LS NS 306 Bromus :. . 0 EMI RES 1 PEN 281 Brunella. - . = PRENeRS 0. LR 216 Bryonia 5 SS HET NIUE SAME EL 302 Buflonia. . . .:. MM, LIT REA da ee 320 Bunias. ... RU ENS EL EAN 218 /Bunium 27000 cute. 0708 223 Buphtalmum. . . . . . Bihan: 360 Buplevrum . . .. .. LUE ES ERREUR ce à 313 Buiomus : RO RCA TSI ETS El 201 BUIXUS. 0 COR ‘C PACA... 17e 211 Centaurea. . MM Calamagrostis . . . . . 345 Centranthus . . .. .. Calamintha . . .... 300 Centunculus. . . . .. Calendulà "7: 24°." 282. Cerastium . 2 CMEPER 7, 223 Cerasus Ce Cbtnehe 1 0x. 234 Ceratocephalus . . . . RAR ue a QE 215 Ceratophyllum. . . . . Campanula. . . . . .. 289 Cerinthe. 17008 Cause. UNE 222, Geterach: Ce Cwdamime. :". .: 22. 218 Chærophyllum. . . . . Cdüus 2: OUR 274 Chamagrostis , . . . . TS RSR D Cr 331 ‘Ghara "CESSE ET 1H SERRE + à 272 Cheiranthus. . . . .. Carpesium. . . . . .. 278 Chelidonium. . . . .. Caspiaué. 60 319 Chenopodium . . . .. farum,. :: 01:00: 264 Chlora.- 2 ÉASLANGA NS; MAN OERS 319 Chondrilla. . . . . .. Catananche . . . . .. 288 Chrysanthemum. . , . BMEANS.: 5 LCA 259 Chrysocoma. . . . -. RPRS Se 319 Chrysosplenium . . . . at t710 TORRENT PE Dielonium. 2. . CGT RRRNRRERT NET ANNE Clinopodium. . . . .. DNREURE .. . . Colchicum. . . .-. .. Comarum Conium Conopodium. . . . .. CORvAATIA ST. . :. Convolvulus. . . . .. Corallorhiza Coriandrum Corispermum. . . . .. Cornus CITATION EURE us. cities rt ea ue rite PTE DAHNOMAS ru 7. Daphne DAROTAE ME 072. Daucus Delphinium . . . . .. Merad. ii DUT Dianthus.*: 220 0 27, BPDAlON.: - +: : Echinaria Echinops et ve eo edge Me: . . lus Epilobium. . . . . .. ÉMIDADUS 7: . Epipogium. . . . . .. Equisetum. . . . . .. Erica ÉBe Ton: 7 0. DES GENRES, Corrigiola Corydalis CDETIUS MA ae Cotoneaster CTASSUIAS CL RER CR NC Lost RATIO AT © CAT SOMEETE EF (5 US CNRS EE émeubalus. .°. 0 Ruscutd”. . .ÉLL Cyclamen Éaodon....77, 2163 Cynoglossum. . . . .. CHHOSUTUS. : 5 4 DAÉTUS. 6 Ur Cypripedium. . . . . . Cystopteris. -. .:.\.:.4 Cytisus Male." 1. 6e 1) PENUEN à € ARE EEE es Diplotaxis HMHEACUS, . 208 Dôfonicum. :.: ,: ! 1 Draba CRU MO IORMORE TS TC DEDLLS: PT de RE Eriophorum BED LE CNP PMU. - MR BYSUN +. 200 Erythræa Erythronium. . . . .. Eupatorium Euphorbia: Euphrasia Kvonymus és Us 12, Aie is ie) 400. HAUSSE MARSeLA. 07 7 op HPRIUCA AZ 2 SEAT He SNL HDD EE es CR Re Mar Galhnthus 07527 UE Galeobdolon . . . . : . Galebpsis: : :. . : . © ÉITITINS SRE ETS, Gaismidumr: 0. Neue ÉOUDinIA US: 0 CERTA PES GERHANAR US RS GERDUMNENUN ORE HPHETA RE OS Helianthemum. . . . . Helichrysum. . . . . . Heliotropium . . . .. Helleborus. 7:27 06 Hélmmthat 52 ve Héraclenm 2 Hésmara 1.528 HÉSBETIS-#.. .t.)100. Hieracium.!. 1:21." Hippocrepis . . . . . . ÉMppuris. 22,7. 17e HER TR EN TRE Tiécebrum: LAN Impatiens!. 72.702 TIRER LS PACE HASIONCT AIN JHAGUS À 24 LS TABLE F HSE Fenculem .". 772 264 220: Fragaria.t: CR 247 350 : FTAxXINUS. =... ES 219 FHUHATIAR Ce qe 324 216" Fumaria.7t: CET 216 G 322 { Gel. LA. LT 247 :324 : Gladiolus?."7% 508 326 301, : Glaueium "178620 216. 3014; ; Glechoma. . :. "400 301 266, : Globularia . : .: 000 271 346: L'Gtyceria. 0.2 VE 349 353 Gnaphalium. . . . . . 276 291,1 Goodiera. "760 330 293 1 Gratiola . :: "ESS 305 235 Gypsophila . . . . 221 H 265 Holcus.:. 27.117 347 223 Holostæum . . . . .. 231 216 Hordeum . . . . .". 354 299: Hottonia. "VE 293 215. Hamuluse. ES 319 287 ‘Hydrocharis . . . 12" 331 264" Hydrocotyle "ne 259 255 Hyoscyamus. . . . . . 295 219: Hypericum. EME 233 284 Hypochæris . . . . .. 288 243 Hypophae . .-. .. 2: 316 254* HNSSopus = TE rene 300 l 2oBr 1820. CNE 326 2092 1satis €... PRES 2923 255%. Isnardia 2.00 253 236; ISopyrum «12027 215 280 J 288 Juniperus . . . . .. . . 322 331 DES GENRES. K Kentrophyllum. . . . . arr Klerin se 7, ce L En Du Limosella, .": . ...: a . . . Se DE. 25 ue 0 2. 7. 219, Lindérnia. .... «.. Lapsonae "0... .. EEE USER L'UIIUT te ARRPNRMR DR. 2e MARAIS: SE Laserpitium . . . . .. 260 , Lithospermum. . . .. PE... o10 Bitiôrella . 1... LOTUS RE .+20 7 LUE ADR PARU... 52x01. 7 0000 Lavandula. . . . . .. S04% Eonicera. =..." EL CORRE ERERTE Ddne Los ee.) 2.1.1 2, FT SOS NARSRERIE 30e Enr... "7... "ir Leontodon. . . . . .. 127 LAS 7711 ERRERPEREERS R Lébnarua nt. . JUAN LyéRnis. sir... Lébtanmr. 1.7. Aa Lueum,.i.7.9.1.1.0.2 Ledegium. .:... .°." 324 Lycopodium. . . . .. ATOS TRANS Der CODES 7: 2 7 lieusheum . .,:.:. DEALENCOQUS Le 2. €: Lepsiaum 1. 292 Lysimachia . . . . .. Le POTTER QE CORAN Sen EylREum. .. . fo Limodorum . 331 M Maianthemum . . . .. D9H-Mesplus. . . . . . mit D 7. . 7, DA. MED 4 0.0. 7 ep D ge 2388 MACEOPUS: .: :2 4, 21.) Mareubium ... . . ... SO Mans. 1. ie LC OST 360 Mæhringia. . . . . . . MR GATIAE. 12. 982% Monotropa. . . . ..%. MEMIGRBO. . .: ... . 4. DO MD 0:27. Led Melampyrum. . . . .. 2007: MuSedeie. 2: 25/5007 12, TE TON SRE 348 Myagrum . . . .. .. Melo... ... 2240 Myosotis. "4 . : LR ARE ER A 0e Mvasurus. (Li, 1111517 11 C NSDRRIE RER JUS MNFICATIA.: 00.0 LL 2 TT EURE PRE 299 Myriophyllum . . . . . Menyanthes . . . . .. A MATOS AS FN, Fe iCRE Mercurialis . . : . .. 318 N DRE: SR Sue NAS. 15. 27.00 Muret sr 'e le 323 Nasturtium PAUNTAC TS VMC 1 402 Net es ER NON AE INVESTMENT OEnanthe PEuOthEra MN 7 MODEVORIS EE 0e Ononis Onopordum (ÉÉSN E PRRAEErAS Ophioglossum . . . . . Ophrys DRERIS. OMR Pa ROUE ner een re sa Us eee) aile PATULUS EE: 0e Se PARICUMIN. + MOMNEEE ROMANE UNE Parietaria Paris Parnassia Pastinaca Pedicularis. . . . . Pense Petroselinum . . . . . Péucedanum "07" TR RCE TRE Phalangium . . . . .. HA ER Les PIE ESS 2 Phragmites Phyllyrea pense PR mA Phyteuma Picris Sailor pelle le api = Voter CUS IE Phntaso SERRE CUETCUS ee TABLE 330 301 293 0 263 253 243 238 275 298 358 329 327 Nigella Nupbar NYNRREA, : CRE Orieanim.7. 1108 Ornithogalum . . . .. Ornithopus Orobanche: : . 742 Orobus Osmunda OSyrise Er... 20 Oxälis...:... tt ee . yes ee PRE RRE ee MS D ER Poa . Podospermum . . . .. Polycarpon Polyenemum Polygala "TOR Polygonum Polypodium Polypogon : 79570 Polystichumte 22 Populus . "70224808 Portulaca Potamogeton. . . . . . Potentilla Poterium Prenanthes Primula MORE Prunus Psilurus : 20e Psoralea. :". RES Pieris . LCR Pterotheca."-UR ee Ptychotis Pulmonaria CORRE — CRACSACR CR : es, 15e latte ee cata fiers © DES GENRES. AIO TT... 233 Ranuneulus . . . . . . 211 Raphanus "0." . . . 220 RARISIEUM: . . . . 293 : Reed. Li 11.à 92926 RRAMMUS UE re =. 5 236 Rhinanthus . .. . .. 296 Rhincospora . . . . . . 335 LATTES SRE 255 SEE CT ASPIRE 230 SAETAEAL 0 0... : à 331 SU IE SES LENS 329 SE ONCE 312 SAV 299 SAMOTEUS F2 cote 264 SAIS UE 5e. 292 Sanguisorba . . . . . . 251 SAT UEEO Mtu cit 259 DADOHATIA . . . . … . 2298 Sarothamnus . . . . 237 STONE MONTRES 300 SMATASRE, de .-. . . . 258 SET NES 270 STATE D LORS 260 SCRBDUSR: 0. Ru 335 SAUUIE TES NME 324 SCT IC SNPRRSEERRECR 335 SCIBTATUILS 22. ee LOS Scolopendrium. . . . . 360 SCORNUS 2... , 288 SCOTZONETA « . : . . 287 Scrophularia. . . . .. 304 SERBE. . .",!.4, 303 L'ÉLITE AN 255 SeMpervivum . . . . . 257 PRIE... AUS 293 coralie Ne) relie rt S ete CU TN RPC PEL AC UT act Ac a Pere ee en HET she to thorle Titouan SAADIS NE 2 0 2 0) ce SONCRUS: = RU SIACNVE LE LAURE SD TPE MANN 9279 DÉRDALU ae Es ve 975 LÉO VERRE 323 Taraxacum (EAnaCOUM. ::., .:.1, OL MAQUIS PAST NA VAS ES ER 404 TABLE DES GENRES. Tésdlali LE TRUC 292 Tragopogon . . : . .… 287 Tetragonolobus. . . . . 242 Tragus . . . . . . . . 343 Teucrium A 57.12. 303 Tribulus. Rs 236 TAC EUN Ce 1% -TTHONUM. NN 240 Dhésium es rene 816 Trislochin. 17.400 331 MHIASpI 20 0. 221 Trigonella RASE. - 239 Mhrincia. "20 Nec 287 Trinia sut SCORE 264 Thy US Mr 300: Tritieum C0 0e 353 TUE ERA TE 99%: Trelius’:: 21000 215 HoHeldia 67 nee 226 Tüipa., EPS 324 HAlDiSE te SANS 987 :Turrilis.: CRE 217 Locdy um: ue" 261 Tussilago’. . Um 277 HDPAR. 7: 305 - ÆNDRa. PRES 334 U NNEx R-T Er ANT 937 AUTUICA ERP 318 US 227027 "115 0 1949 UITICUATIA: CCR MMmbiicus Te OT V Vaeedium 5.2 929. Viburnum:. 278 264 NalenanaN: ie Re” 269" VicIa. 4 ER 243 Valeranella 7. 7 269: Villarsia 1,000 293 NAliSneLiA.. 2... TM 391 > VIN 2 LT RES 293 Vératrum 7: 2718 326 Vincetoxicum . . . . . 293 MerDascumMe "00e 995. AV10la: 2. SOES 295 Verbena nu us ne 999, NiscUM.: CRE 265 WVeéronicr ue tel 307: VIS AN 24 X XANÉRIUEN 78 mr 288 Xeranthemum. . . .. 273 Z Zanichellia. . . . . . . 396 Erreurs typographiques à rectifier: Page 136, lignes 16 et 17, ro les nos 13, 17, ne 21, 27, 28, 29 par 11, 15, 16, 19, 25, 26, 27 — 182, — %6, remplacez le n° 55 par 56. — 182, _— 29, remplacez le n° 48 par 49. , ñ és , * 4 "a ; SR, RE 12 D CPE PUR. QU en à De ne ne Da ml me ga fr nm tune mnt planer peigne sims voue cn PORERNR NE CET ns a nt in ont GA PS EE rm ane enengn mnn — +