= | = NC XACT RAR LIRE RAN AA IS AL AT VO TA AR BA TA JA à = = " en — NE À V4 Dr MAS (PHANÉROGAMES ET CRY FE $ ee PTOGAMES OUVRAGES DE M. J.-L. DE LANESSAN Manuel d'Histoire naturelle médicale (Botanique et Zoologie), 3 vol. in-18 jésus, formant 2,300 pages et contenant 1,700 tee dans le texte (ouvrage complet) :......,..... 1T ner He re Ms» à Flore de Paris (Phanérogames et Cryptogames), 1 joli aol in-18 car- tonné diamant de 900 pages, avée 700 figures dans le texte... 9fr. » Traité de Zoologie. Protozoaires, M beau volume grand in-8& de 350 pages âvec table alphabétique et 300 figures dans le texte... 10 fr. » Le traité de Zoologie parait par volumes ou parties de 300 à 400 pages, ornés de très nombreuses figures, contenant chacun l'histoire complète d'un ou plusieurs groupes d'animaux et terminés par une table analy- tie ire partie. Les Protozoaires (paru). 9e — Les OEufs et les Spermatozoïdes des Métazoaires, Les Cœlen- térés. 3e, 4e et 5e parties : Les Vers et les Mollusques. Ge 7e parties : Les Arthropodes. 8e, 9e et 10e parties : Les Proto-Vertébrés et les Vertébrés. Le Transformisme. { vol. in-18 de 595 pages.............s.s 6 fr. » Histoire des drogues d'origine végétale, par MM. FLUCKIGER, pro- fesseur à l'Université de Strasbourg, et HanBurY, membre de la Société linnéenne de Londres. Traduit de l'anglais, augmenté de très nombreuses. notes par J.-L. de LanNESsAN, 2 vol. in-$° d'environ 700 pages chacun, avec 390 figures dans le texte, dessinées pour cette traduction.. 25 fr. à Manuel de Zootomie, guide pratique pour la dissection des animaux vertébrés et invertébrés, à l'usage des Étudiants en médecine, des Écoles vétérinaires et des élèves qui préparent la licence ès sciences naturelles ; par August Moysisovics ELDEN von Moysvar, privat Docent de zoologie et d'anatomie comparée à l'Université de Gratz, traduit de l'allemand et annoté par J.-L. de LANESsAN, 1 vol. in-8 de 300 pages avec 128 figures dans le texte........ Sue de HE ETES Éreder-TNep- Or. » Flore générale des CH pie ES organisation, propriétés et carac- tères des familles, des genres et des espèces, par WUNSCHE, professeur au Collège de Zwickau ; "traduit de l’allemand et annoté par FE; LE La- NESSAN. 1 vol. in-8 cartonné de 550 pages..." 8 fr, La botanique (Tome IX de la Bibliothèque des sciences PV *: : LA 1 vol i n-18 de 550 pages avec 132 figures (Reinwald Editeur). 5fr: » Du protoplasma végétal, in-8 de 150 pages (thèse d’agrégation) Æ4fr. La lutte pour l'existence et l'association pour la lutte. (Tome II de la Bibliothèque biologique), 1 vol. in-18......,...,........ 1 fr 50 Œuvres complètes de Buffon. Nouvelle édition, avee des notes, une Notice biographique et une Introduction de plus de 400 pages par cer DE LANESSAN, 14 vol. grand in-8°, avec 160 planches gravées et coloriées. Sous presse pour paraître dans le courant de 188% ’ Les Œufs et les Spermatozoïdes des Métazoaires. Les Cœlen- térés (2e partie du Traité de Zoologie), 1 vol. in-8° de 400 pages avec OU HEURES... Le 02. saone CT CRE sonores COULOMMIERS. — Imp. PAUL BRODARD et Cie, = Lu FLORE DE PARIS (PHANÉROGAMES ET CRYPTOG eg CONTENANT LA DESCRIPTION DE TOUTES LES ESPÈCES UTILES OU NUISIBLES, AVEC L’'INDICATION DE LEURS PROPPRIÉTÉS MÉDICALES, INDUSTRIELLES ET ÉCONOMIQUES Et des tableaux dichotomiques très détaillés permettant d'arriver facilement à la détermination des familles des tribus, des genres et des espèces de toutes les Phanérogames et Cryplogames de la région parisienne Augmentée D'UN TABLEAU DONNANT LES SYNONYMES LATINS, LES NOMS VULGAIRES, L'ÉPOQUE DE FLORAISON, L'HABITAT ET LES LOCALITÉS DE TOUTES LES ESPÈCES, D'UN VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES, ET D'UN MÉMENTO DES PRINCIPALES HERBORISATIONS, Avee 07 figures dans le texte, PAR J.L. DE LANESSAN Professeur agrégé d'histoire naturelle à la Faculté de médecine de Paris. ' | ins + L REV Y JR GA & D'ÉRA, PARIS DOVE -DOLIN ;- ÉDIPEITE 8, PLACE DE L'ODÉON, 8 - 1884 Tous droits réservés, LES L À > à F PRÉFACE AUX ÉTUDIANTS DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PaRIs Je dédie cette Flore, commencée, il y a près de dix ans, pendant les herborisations où j'avais le plaisir de récolter avec eux les plantes de nos environs, sous la conduite de notre savant et excellent maïtre, M. H.Bail- lon, achevée pendant les quelques loisirs que me laisse une vie plus agitée, mais non moins dévouée à la science. Gette Flore de Paris se distingue de tous les ouvrages analogues qui sont aujourd’hui à la disposition des herborisateurs, par l’adjonction des Cryptogames infé- rieures (Algues, Champignons et Lichens), par l’addi- tion de figures destinées à faciliter aux débutants la reconnaissance des formes principales, enfin par l’in- dication des propriétés utiles ou nuisibles des diverses espèces qui poussent naturellement ou qui sont ceul- tivées dans les environs de Paris. . Toutes les espèces nuisibles et toutes celles qui four- nissent des produits utiles à la médecine, à l’industrie, à l'économie domestique, sont décrites en détail. Les caractères principaux de toutes les autres sont indi- qués dans des tableaux dichotomiques très détaillés, à , l’aide desquels il est facile d’arriver à la détermina- Bn successive des embranchements, des ordres, des ms _ familles, des tribus, des genres et des espèces. ns LE VI PRÉFACE Pour dresser ces tableaux dichotomiques, j'ai tou- jours fait usage des caractères les plus saïllants et les plus aisément constatables.J’ai eu soin également, afin de faciliter le diagnostic, de multiplier autant que pos- sible le nombre des caractères employés. À la fin du volume se trouve un tableau de toutes les espèces disposées par ordre alphabétique dans chaque famille. En regard du nom de chaque espèce J'ai placé l'indication de ses synonymes latins et de ses noms français et vulgaires, celle de l’époque de sa floraison et de sa fructification, celle de son habitat et des localités dans lesquelles on la trouve. La table alphabétique qui figure en tête du volume renvoie à la page du texte et à celle du tableau. Je souhaite que ce petit livre inspire à quelques- uns de ceux qui en feront usage l'amour de la bota- nique, et rende des services à ceux qui ont déjà le goût de cette science. Paris, le 6 avril 1884. J.-L. DE LANESSAN. TABLE ALPHABÉTIQUE DES NOMS, FAMILLES, TRIBUS ET GENRES Le uen te 449, 788 AUrélinées. ….<. iévexe 449, 788 CT LS us 176, 698 AUOPOBÉES 4525 te pv à 175 PR ee nr ere 3917, 158 2 II 52e PERSAN 130, 681 AÉMMMMES..S 4 es eue 52 853 Achnanthidium....,....... 853 }. (TITI N 11 SÉENRENNENARERE 151 DORA. ee o sos” 406::008 SE ospre ce 5 89, 676 Ægopodium ....,...... 305, 734 P'TIT MASON PPS 178, 699 PAS. ho lave 302, 7135 Agari icinés . D Sentier, DOSNEDE APPITAOMEA :. 4 4400 0» 242, 711 Agrimoniées . A cie OR 1.114 ALP) 1: PHRNPONANNRER E 429, 711 LL EEE RRRERESRESEent 441, 111 AITOPSISE . : nee 440, 7171 Re LT ans su 52, 661 2.7 (PH TIFONNPERERERSS 52 Miehemula. 4:12. 244, 717 Algues ..... PART ES 2 528, 828 i. 11 :UTT DORAECRERPE RES" 318,158 Alismacées = 311, 153 ASUS 560: 312 PMR et avre . 249;#106 2 LITRES 311, 104 LIT FPS ARRETE 368, 152 Alopecurus .......,.. 426, 111 ‘TON PROPRES 195, 701 }... 11e RER 195 ALL UT EP CTI 171, 697 AASSÉOS Tourne 210 ARRET ES PRE, cn 582, 868 Amarantacées ........ 333. 745 AA TA. se 25 334, 145 Amaryllidées ......... 383, 158 Ambrosiacées ........ 142. Amelanchier ......... 258 ARE Li uvre 306, Ampélidacées ........ 177 Amphiloma .......... 641, Amphipleura ....,,..,.2. AMIS 5 à soiree DIR Amygdalus........... 25% Anacamptis .......... 400, Anagallées …. .......".. 19 Anasalhs:.... core 19, AnBhtRËes. "2 28 DNS Je soce pe 30, Andreas... 1 JR 508, Andropogon.......... 429, Androsæmum .,...... 229, AMÉIRORG LS, cac 161, Ame re es 314, it ii NOR PERS 519, ARR. oo ee 311, Anomodon'.....,..... 506 Antenarid...:2... 122, ADO 5 de «25 132, AREDPAFOS... ee suc doter 521, Anthocérotacées ...... 521. Anthoxanthum ....... 493, AANATIS ES. Les 309, PNR me aiciorsie re ne 263, 7 Antirrhkinces:. .…;....: 21 Antirrhiaum . ........ 27, AnTICRIA.. . 2 NE 506, DOTE Se à - 5 20 cn 430, APIUM + : … » -e eee sais e 305, Apocynacées ....,.... 62, AUTEUR en 146, Aquilégiées .… . 145 ir 2 SN 201, Archidium MR d'u Qu 508, MOREL: Le asser ee 196, 69% 905 817 102 VII TABLE ALPHABÉTIQUE Anistolochid.s.....c: 9391, 146 -| Betnla2 Per O0: 153 Aristolochiacées ...... 331, 146 Bélulinées ........ .. 307 MUMETIA ... seance 15, 623 Bidens.i 255 8 RE 682 MPDICA 2. ik PR 140, 682 Biscutella..:::420: Te AE (Ur Armillaria........... 584, 869 DHSHES CN se <= DE) AEDDSENIS ce css. 100, 082 Blechnum ..... se ER LUE AROUIBES.. 2 23 Les DOTE Biiiumensrres de SE Arrhenatherum ....... 440, 778 Bolbitius ..,,... sie: + 009 809 Artemisia ...... :: 533" 126,682 Biletus ss tre 598, 884 APLÉMAISIÉES , Lee res LD “| Borraginacées.....,. "28,659 ATDONIA 75: HA A TES 651, 893 Bora ra 0Re 2554120 0099 ATIALODESMUS 2: « se 2e ou 843 Botrychium .,..,... .. 466, 701 AN A ME ER EE 410, 767 Bovists "ve ... 613, 889 ASArU 0 FE A MN PE à | Brachypodium...,.... 445, 7179 Asclépiadacées ....... 63, 669 Br'AssiCa 44: 0 : SSSR OT AACOIODOIUS ES: 00. 618, 891 Brass less state . 206 Ascomycèles ........: 616 DEava A een dés TON Asparagées ...... RD OUT PMR ES has ete s.. 399) 119 SASPATAGUS . se, 384, 753 Bromus ..... Me és ces TEMUITS HMOUNED RU eee a 35, 659 Brunel 22.50 3 F9" 062 ARNO Re es 080610 Bryactes. Jr: 207 1:48 50082 ASIA 4 ee 0 :.. 464, 790 BÉVoniA® secs suce 0 Asplenium-..,,......, 461, 790 BTVIDS à. de c68 TETE LE ARR PERS PO 141, 682 Bulbochæte....... .. 5DT 7838 ASITAPAIUS. 10005 ve 212, 122 Bulgaria. 4.452250. 618, 891 Astrocarpus......... LOTS ITÉ Bulliarda .: 2.4: 02/2800 ATV 4425 se ... 481, 104 Bunias ...., sie .12860;"107 DIDIER era 332, 144 Bupleurum..,,..... .. 904, 755 ATOUT Mer ments 8, 654 Butontées 62:22 800000 Le pl) RENTREE D Butomus , es aires 31935 153 Aulacomnium .,...... 479, 795 Buxbaumia : .....:24 4602599 RADEUlATIA de. . 609, 889 Buxbaumiées ......... 492, 748 FAUNE AS A CNET 438, 118 BRU en MEEse 354, 148 Byssacés, 5. save CES OUR DÉDDINCES 22 Se. 627, 893 DAIDPETA ee 0... 424, 719 Calamagrostis ., .. 430, 780 Dao. ou see M DDE Calamintha .......,... 44, 662 Balsaminacées ........ 185 Calendula 24:27: 07% 135, 683 Bambusina ..... DRE 843 Calepina: 2,6 311 342 0200008 BADATÉ MS 3 4 23 ces ADD MOT Caliciunt see ... 626, 098 ENV VPN RS PE 483, 795 Callitriche:.%.0.%,6 359, 149 DarkhanSia sr dia 111, 682 Callitrichées. . ..:.... 355, 149 ParirAMIA : 2 ss dre 419, 7198 Callunaré ;; ie 088en Basidiomycètes....... 461 Calocera ....... ..... 609, 889 PBatrachospermées..... 559, 843 Cane eee ... 160, 694 Batrachospermum..... 560, 843 Calypogeia .. ......, 515, 819 MR En ae à ue à 187, 682 Calysthegia. ..... ‘3. +22 063"609 Berbéridées .......... 167 Camelnx.: 24544 ed 2008 Bérbelis. 0.366 168, 697 Campanula ...... s COS GT BEA ee es oo e .… 332, 144 Campanulacées ...... 91, 677 HOIOMICA cuisse (#9) 682 Campanulées.....….. EE TABLE ALPHABÉTIQUE. Campylodiseus........,,.. 854 Campylopus ......... 488, 799 Cannabinées ......... 341 Cannabis......, ares = JDA Cantharellus ...... ..+ 001, 869 Caprifoliacées ........ 86, 676 Gaphèlles,....... sous lo US GapsiCue. ... . 10, 654 Cardamine....., .:.,e 204,108 Carduncellus ......... 119, 683 Carduus.......s... 118, 683 CAR... e ARPERE 415, 168 CLÉS Lee 5e s0.0 0.0 415 PR nano cé cc. 4120; 683 Carpinus ..... cobnise JUS BETETE RER «.. 306, 136 Caryophyllacées ...... 190, 701 Castanéacées........, 361, 152 Castanea.......,. ss. DORA CAMIONS. ee se ee à . 433, 180 Caucalis.…. ........... 307, 136 Caulinia....... sense 2014100 Gélastracées .......,. 171, 698 Centadgrea .. ......,. 124, 683 Centaurées........... 124 Centranthus ......... 103, 679 Centrophyllum ....... 125, 683 Cuntunculus ........, 80, 674 Cephalanthera .. ...... 394, 759 Cerastium ...... sus. Le 102 Cerasus............ 200 Ceratodon ........... 486, 800 Cératophyllées ....... 356, 150 Ceratophyllum ....... 356, 150 Ceterach ....... suc. 4D9, 191 Cétrariés.. se." 032 Getrarid, .. ... soute 0927 898 Chærophyllum ....... 309, 736 Chætophora .......... 554, 840 Chætophoracées ....., 553, 840 Champignons... ...... 561, 868 GhARITARSIT,.. ae ce 559, 843 RAT Sen once ros 203020 Gharacées ......;...: 525, 825 Cheiranthées ........, 199 Cheiranthus ...,..,.. 199, 708 Chelidonium ....,... . 219, 713 Chenopodium ........ 330, 745 Chiloseyphus ....,... 515, 819 Chlamydococcus.....,. 534, 829 Chlamydomonas...,.. 534, 829 IX Gnlorais: ..- M CL: Chlorococcées ........ 532 Chlorococcum.. ... sr. JC 02 Chonae 12 112, 68 Chrysanthemum ...... 135, 684 Chrysosplenium ...... 320, 741 Gicendia:. . se. sos C1: 071 Cichorium...... Émsex: L00 BE CURE SE) 307, 136 < CIDAT ALES - 6 «5 ss sensor TO UD Cinclidotées .......e. 495 Ginélidotus:. ss saace 496, 800 GineraA ans es 138, 684 CRE... ds ce I TI Circéacées. ..:... Sec 02 T6 AUTEUR cesse 100 0 Cislacéen, à un ve som 226, 155 Cladiums. :.:.. saree ETUIS Gladodes.:. 1... 627 Ghadon'…. .: 2. » 628, 894 Cladophora ........,, 547, 837 Glhaudepus..…... 0... 086, 869 Clavaria.. See 607, 888 Clavariacés ........ .. 607, 888 Cleistocarpes .......,. 507 Clématidées ....... 166 Clematsr. .:<. APE" 166, 894 Climacium .....,.. .. 504, 809 Clinopodium......... 44, 662 Clitocybe ......., se. 219,869 Gliopiins. sus. sea DOTERIO CREER: Le HUE 844 - Cnidium..,....s.sses 302, 136 COÉOREIS 58 des re à SE Goccopema ;.......1 520 854 Coccophycées......... 530 Cochléaria .. .. 211, 708 Colchicacées ....:, 314, 154 Colchicum.......... 314, 151 Coleochæte ........., 555, 841 LR AT FRERE 624, 893 Collémacés........ .… 623, 893 Collybia.........: D. 5415810 COMME 4e. 16 dax 2125 422 Comamim..:...14 241, 717 Composées:.... is 105, 681 DAT SL: DRAP 547, 838 Confervacées ......... 541, 837 CES Ts de ae 448, 788 Comogyhe .......…. ... 626, 895 Conium .,......00.: 310, 136 a. Li «, * TABLE ALPHABÉTIQUE Conopodium. 309, Convallaria . 5... 381, Convoloulacées...… .... 63 Convolvulées …. ....... 65 Convolvulus ..,....4.. 66, CGAaDTUUS, À nude es 588, COHADATUN ee a vie due « ds GOAMUSE Lee FUME 296, GPODRIA. eime 280, LRDRDIPAQE Le ein me mmerote 286, CORSA une: crafe ne 050 Da, RIM en ne 606, Gotydales 220 ON AAMS maniere 220, CONTINS Sous... o1. 10008 Corynephorus.....,…. 441 STATION ae seu ae vide Crassulacées .…......,. 287 F6 CTP CARRE: 259, Craterellus RENE 603, LE NN 112, DOTE das à vue eur 386, CRUCUYENES ere 198 ND... eos ue à 206, Cryphées .......,.,.. 506 CDS. Se if raus 425, Cryptogames.........… 453 RP ADAANS Su cut ee dre 195, CRAN nes see 2 400, GHCUTDIL ee se 6 100 Cucurbitacées ......... 98 :Gupressinées .. 401 RCA ia os us otre 66, Gusculées ....... use Los (54 Or CRETE OMAN sente ve 251. Cylindrothecium ...... 505, CGylndrocystis.-.....i.s Gymatopleura ............ RnB... COMME .-.5.... 427 Cynoglossées ......... 34 Cynoglossume. ..... Poe 2° Cymnosurus .5% 6: Jess 431, ÉURÉTAGEES 2. ae 442, RU DÉTOOS dass a o0 3 = 415 DMÉRUS ss Le ous 415, CARE ae ma se à 605, CNMODLETIS. 2e à 4 «co 462, DNMSUEES - ee paie n 2 à e 261, Dactylis.. . REA RS 434, 7136 155 669 673 136 134 721 181 Dædalea ans 2020602, 884 Ditthoma See 440, 786 DAiphnets ner 290$ 141 DATA ES arte tele 12, 654 DUT mme af 11 DRGEUS TS. sens 410 315, 131 DEEE inner se 150, 69% HÉDARA ne vrente 204 709 Heñtiohte ste he Gus + 000 Démptybe "7. «0 593, 872 Desmidiacées ....... Sa me 843 Dianthuss ee 191, 703 Desmidiim..s 58 846 Diatomacées ser 893 Diaio4... 100 856 Dicotylédones- Dialypé- ÉUIERR Ts ve ere 280 143 Dicrantel 5e... at 486 CAR étain 486, 800 Didymodontées ..,.... 489 Did MOdOR. 490, 802 DIGUQIOOS Li nretme cars 23 Digitals Lessons 23, 665 DA eue deb 424, 181 Dioscarees isa 389, 151 Diphyscium.,...4% 492, 802 Diplotaxis ......,.... 209, 709 Dipsadées.;. 222228 103, 680 Dipsagus:. ss 104, 680 DOCIUME :, . éuu de les MS 847 DoroniGumn. ce ues 138, 686 Brabassi.s ÉTAPES 212, 841 Draparnaldia ....,.. .. D54, 841 DroSeRd, ste “Ds eee 16 Droséracées ...., va HOT UE Echmospermum .,.,.. 35, 660 EC UES er oes doses 39, 660 ETAUNOËE scores es à 2 SAN Elatinées 3, 2% 190 Elodediir see es es2t 391, 758 Encalypta........ 491 802 Encalyptées .......,.. 491, 802 Endocarpon ........., 625, 243 EphebBi: 2. ssesñreer 625, 890 Ephemerum .....,.... 508, 817 Epicomodés se. 578 625 Epilobium .....,..... 291, 138 Epipactis s...sc.ose +. 399, 198 Epijhemia 884 857 Equisélacées .,.,,..,.. 466, 194 TABLE ALPHABÉTIQUE XI Equisetum......:.,,. 166, 794 CARRE nee: goes 595, 875 ÉHAgreSUS.s. : sie 433, 181 Galium ..... RENE à 84,612 4. TPE EMNET EE . 68, 670 Gamochæta ..... ses. 148: 08B ÉTACUCOS nn rue 68, 6710 : Gasléromycèles....,.. GI Érigeron ..... > PES 141,686 À Gatdiiia..........,. 445, 183 Eriophorum .,,.... .… 414, 7113 GAS... en 612. 889 Erodium..... Rio DD: OIL CARTE AS. esse 262, 123 es suergre 206, 709 Gentiana . ...... Su TBE RASE 0 62 206, 709 Gentianiacées ......... 69, 671 Eryngium..........,. 299, 136 Géntlianées..,.....17 T0 DEVSIDMMN , « soso, 205, 709 Geoglossum.......... 618, 890 PAM A ne > 2 ses oo à 10, 671 Géraniacées ...... sa ASTIR Euastrum. .. TN RE REUTS 8#1 GÉFOMME. =... 189, 701 Eupatoriüum . :. .,. 0 123, 686 UT RAR VE VE 231; 118 Euphorbia ........... 350, 148 CÉCHONR +. 1 71 55, 663 Euphorbiacées ....... 350, T#8 GioDuPa: eS E 76, 613 EUPhrASIA , . ......... 22, 659 Globulariées......... 716, 6175 ACTE EE RPREeRS 334, 146 Glyceria. ........ ... 4933,1183 Evermia-:..... bee 630, 895 Gnaphalium...,....... 128, 687 HSONVEMS de ou. 177, 698 Gomphidius .......... 594, 872 PE. irons 610, 889 Gomphonema............ 858 GOniUM . ; «5 2 «lue é:2 7993877829 Paba:.:.:..,. ÉTAPE 214, 7123 Goodyera ............ 394, 109 RE tue sr : 300 108 Graminbes se: 420, 711 iirtee NPSNENPRPERTE 3017, 137 GAMERS 0 67, 669 OBAMA he 521, 823 Graciola..... Sie 23 SSI SPC Festuca ..... FAR SI De 436, 180 Grandin ;.T 35520 604, 886 LIT LR ANSE sie 340, 148 Graphidées ..... css. 630 Filago :+..-....... «+ 429, 686 CPRDURNS. Sr 650, 895 Fissidens .. ......... 489, 802 Grimmia ..... Hire 493, 803 A HILL SAME ARPENE 600, 885 Grimmiées........... 493 Flammula ......... .. D96, 872 Grossulariées ........ 320, 141 Fæœniculum ........ + HIT Gymnadenia ......... 401, 759 Fontinalées .....,.. AE: Gymnostomum ,....., 490 . 804 Fontinalis ....... sr... 1307, 809 Gypsophila .......... 193, 703 Fossombronia ........ 511, 819 CYrophorés. 5. 640 FOUEENOS 3 Jade mette 451, 790 Fragaria ..... PETER 234, T18 Haloragées . .…...,.. .. 293, 134 Fragaritesis Se 233 Hébeloma:s::.:..4:3 596, 8173 Fragilaria ....,.... ÉLIRE HOME, 55 2. :.4.2. 208000 AE IT TER PME . 62, 668 Hédéragées”.:....,..3 295, 134 Meullatta 2.522 517, 819 Hénin . 5... ie 49% FuMANA.. . 555... . 2973145 Hédysarées .......... 219 RAA eu cu ae à 5 à à à VODOY TS Heleocharis.......... 443, 114 li it a SR PEN 675, 803 Helianthemum ....... 221, 115 Funaeibes 3e; su. cuve 019 Héhanthus … 2502 M PT Heliotropium ........ 36, 660 PAPANTANS ue 20 07e 11889501 HeRÉNONnSi es 2. 147, 69% Cle". sise save 212) 128 Helminthia ...... .…. 114, 687 Galeobdelon ........ « 46,°663 1 TL RACE EE 228, 716 Galeopsis ............ 41, 663 Helosciadum......,.. 308. 131 ; de XII ” Holosteum.,....... ser 849, Hépatiques ...…....... 510, Helvella. ..... np 616, HIDE ES ie suscite 616, MPacIenmes ee 2. 313, HéRMIMUM .. ...,.... 400, li STATE | 5e SENTE 285, Heésperis.. ........... 205, MRCTAEIDM … : save 112, Hinanthidium .......... Hipocheens.. 4... 116, Hippocastanéacées . ...1 178 Hippocrepis...... Re Hippuridées.…...... MT EDS ee dde 21 se 340 11 (ot PAS EN 440, HOIOS En. 200 497, RAS orale eo 503, POP, 16, 105 02 444, FHOMMISCIA 22. : 4 .. se: MOI. LS es ee a eee 18, LE ALTER 348, MOICHINSIA 2. 244, 153 2 LU UE PERRET ANOOUS un de ee «à 602, ED se 603, Hydrocharidées....... 389, HYdrOCHATIS. sacs 390, Hydrocotyle.....,.... 297, Hydrodyctées......... 599 Hydrodyetion ........ 533, HVerotMhe,.. 0... 513, Hyménomycèles ....... 562 Hyoscyamus.......... 14, HMPÉTOULÉES Se ae à 221, POMELIEURÉ 5... 228, ANPAOIOMA .:...,:, 0. 092, IRPNAUCES 4 5 00 0.0 496 151) 1171: NARERRPNE ... 496 JE) UT. CSP 496, Hypochenis.::....... 116, Hyssopus...... buses 20 ÉMIS... es. ERÉNS EN 6e s'ofs 2.0 244, Hex7. 25, ali «de .… 68: LE, LOT CRE” 68, Hlecebrum........... 286, ne re erece » 186, Tee eu. 506: PROlOMA Le concu se 009, 701 819 239 890 131 760 473 81% TABLE ALPHABÉTIQUE "MAIRE SRE TER .. 136, 688 Tridédeks ss re MODO T Iris. AR see ENS Filets. 5. ee 2e ON FASO TEE 215, 110 ÉRTAR ui 0020 294, 133 JOEL 11 0856018 Joncacées...... és s » ea E02EGS Joncaginées.......... 401, 163 Juglandées.,,.... se OS Juglans..... TAPER 321, 150 JBCUSE. 5 6 IE 403, 763 Jungermannia........ 512, 820 Jungermanniacées..... 514, 819 Jungermanniées......, 512, 819 JumMperus.. ...... c... 451, 188 Knautia ,.... .… 104, 680 KlérEs a .... 439, 184 Labiéesi;s es. 18e 37, 66 Lactarius....... eus. 60; Ua EUR LEURS 109, 688 Lamium...... ns es LRU ORS Lampaon 520. . 106, 689 Lappadiis ass ... 111,:689 LAX EE us Pen 451, 189 Laserpitium. .. ....... 316,131 Lathyrus ....., uns 18 28 avan . bb, 664 Lavandulées.......... 55 LéPANOME 55. Lane 642, 895 Lectnorés.. Nes 640 Letidéans ss . 646, 896 LéBRSIA ELLE UE 424, 184 Léqumineuses ........ 259, 722 Lejeunia.. ... RER . b16, 821 Lemanea ...... on.» 2. 1D00) OA Lefifnais. se ss. 084100 Lemnagées 5, 407, 767 Lentibulariés.. ....... 80, 675 Lentinus:. ...., SAR 566, 815 Lenzites. ... cs. DOTE Leontodon, .... sous , 14551008 Leonurus....., das 50, 664 Leofia,: 5.030, RON Lerdiuit}. sis 243, 140 Lepidozia.. 6... "545, 824 Lepiota.. see. 15841010 Leptogium.... .…. 625, 893 re" ET LS : TABLE ALPHABÉTIQUE XIII LOPIORM see ous 586, 8176 Marchantiacées....., + 020, 823 DÉBKGM . For ever .. 204, 864 Marrubium........... 48, 664 Leucobryam.......... 489, 180 Marsihiées. :..,..:.. 456 ÉCRCMORL 2 0e 506, 816 Mastigobryum........ 516, 822 Libanotis ........ .... 304,17738 Mastogloia.......,.. SMILE SNS Thchénabés.. &< os 625, 893 Marie savez: 133, 689 IF UT CREER ETS 621, 892 PRIYOÉES. ces TT Liguliferes........,.. 105 MedICALO .… . «es care . 271, 724 Hisustram…....:..... 60, 668 Meesea..... RE 480, 80% BORGTÉES.. ous ce 315 154 Melampyrum......... 22, 656 PORN à 4 à sn 010 375, 154 Melia cs... 432,184 LIT ETS LCR MISNEPRNNNRRES 513, 816 Meklotus… :. :2::- .. 210,725 Limnanthemum....... 73, 672 MORE cd PR 43, 664 Limodorum.......... 395, 760 MORE ce fe 41, 66% FiMosell. de 19, 655 Melosira..... csv ske RTS LT re 4 PNR PE 26, 655 Menianthées..:....... 72 11100 ER NRINRNRE 181, 699 Menianthes .......... 12, 672 PASS à: did os 122, 689 Mens. ei .. 38, 664 Linum . ss sovus 1020699 Menthées. si: 38 Liparidées.… da Pas sr 0 395 MAD ces crue 0e 860 LT LT NP 396, 760 Mercurialis.. ... csv. 309, 149 Lithospermum CAÉTENS 32, 660 Mesocarpus .......... 544, 830 | 1111 190 E | RSNENENROREES 59, 667 Mespilus.:.,.:., «.. 280578 fin + TPE 95, 6178 MORÉÈRUE. Le ages 518, 822 LODEHÉES : 4. 0 95 Metzgériées frs PNR RS A dau de ne vds 129, 689 DHPSER I ESS oUe 426, 785 PP ele Eu de 444, 784 Mivprasténas.: Sr 0e 848 Lonicera..... cos . 90, 676 Micropus ........ «se « 128;7009 HOmCPrees . 190 MG. 5 san 430, 185 Lophocolea . .... 514, 821 Mitrula., ...........:"641; 894 Loranthacées ......... 321, 742 Mniées ..... RCE 475 Ho Se. Kfode . 265, 724 Mani re. ... 418, 804 1 F5 1 PL ANRNNRERRER 403, 765 Moins 2 432, 185 EYES... …, ..19%4;704 Monotropa........... 180, 699 CORRE 10, 654 Monotropées ......... 119 699 Ft rep srhrire Sr ae 611, 889 MONTRE. nc 285, 130 Lycoperdon. ......... ‘613, 890 Morchella.. .......... 617, 891 Lycopodiacées........ 454, 189 MONÉPE nov Ed pe Hbvesss . 454, 189 MEN ec cs 349, 148 Lycopsis.. sève: 01000 MASCARR EE: . noce 3802798 Lycopus...... save: : OP OE Mousses js. 669, 794 Lysimachia.......,..: + 18, 614 Myéendie. ous 7 SION Luihrartées..,.:. :. 282, 130 Myosotis....... sets SUR Lythrum........ ..... 282, 130 Myosurus..,......... 160, 695 Myrica 11e .. 369, 753 Madotheca........... 516, 821 Mirijelee: - cad ad s 73087188 Maianthemum. ....... 383, 65 Myriophyllum ...,.... 294%, 734 MANS, is soc se 170, 697 Myxacium ....... ss. 92, 8197 Malvacées. … 169, 697 MariSmus.. …. : 566, 876 Naiadées .......,,... 406, 766 Marchantia. . .. 520, 823 Naiïas toutes res 407, 167 bd |'EXT" LR > ” LE: B. 2 PAR ad { & n XIV TABLE ALPHABÉTIQUE NAFCISSUS eu 2531980 7181 Ornithogalum......... 380, 755 hi P'ESAORPPE RER EE 446, 785 Ornithopus ....... «+. 280; 726 NaSCUPUMR nues 202142 Orobanchées.. ...,,... “13, 612 NAMRCATIA vers 8 04 596, 87à Orébandtie sis ss 13, 672 NAMUR Se ns 0 050 6 0 à à Se 860 OFONURE es RE 214, 726 NÉPREPA ee dés e 505, 817 Orthotrichées.. ....... 494 INÉGÉÉRÉES «nn 4 oo de 50% Grthotrichum'.,....:.. 492, 805: INOOLLILE.: 3 4 ete 0 6 6 0 302 319, 160 Osmundds ver isyess 465, 193 INPOIIPONS, ee arr 593 Osmundées........ ... 46% NÉDÉLAR cu dore à HE 46, 66% Oxalidées..…,...… ... 184, 700 Nephrodium..:....., 462, 792 Oki. ARTE 184, 700 Nephromium......... 63%, 246 OxYEDEC OS... na 0485 000 O0 NOR rase ie De 216, 711 IMÉCUAMA de se scie d'os 11, 654 Palimelan. :14:.sevar d31, 828 ROC SENS ETES 146, 695 Palmellacées .…....... 530, 828 Î SAONE SORA PERMET TES 521, 826 Pan os is anus Lee 091, 879 DAC, ee me ne Ur 863 Pandortfa. test 535, 829 NOlanen... MPRTRE 581, 819 PARnaTidh 4.4 641, 246 Normandina........ . 652, 246 Pause D6, 819 NOSOBEE à serge ae 1e DORE PAPA VERS Lan Lis 217, 714 NOSEAEBeS. ee. 60 556, 841 Papaveracées......... 211, 113 111: CSA EE 169. 697 POpuibnées. is 806 217 INRA AS Se de otu te 9e 0 561, 819 Papillionacées........ 259, 122 NYIDPRBA. ee de ver à 169, 697 Parietaria. rues 342, 147 Nymphæacées ....,... 168, 697 Paris hr ceseatnaR 383, 700: . Parmelai.…..airreié 635, 246 CORAN rues t 56, 664 Parméhées ........... 635 Gonesse ie es, 23, 656 Par had, ti 230, 117 OŒdogoniacées....,.... D48, 838 Parongchées......2 285, 130 OEdogonium......,... 949, 838 PASTIMAER. reg 313, 738 MACEUANINE". fete, 003, 138 Pan ee rt ae 593, 819 OEnothera. . aus... 291;493 Péthasiräes. su" 10008 (LME DRE PRES 60, 668 Pédiastnume.... it 532, 828 Ombellifères. . 296, 734 Pédieutanis..ne men 20, 657 Ombellifères imparfai- (QI: CAS RSC AE SET 518, 822 | CMS APP CRE + A9 Peltigera. ….… ses ad 633, 899 Ombellifères par ‘faites. 299 Hé EN 849 CMARR. Le ce ass je 515, 879 Péphs sure 283, 130 Onagrariées....…., rs 2907183 PEIGRÉS 422242 fu DIE 632 Onobrychis . ......,,e 219, 725 Periusaria. .…...,.... 6451899 Onpnis Le, MRIPPEUNE 263, 125 PtASUES . Less NT 129, 690 Onopordum....,....., 119, 689 Petroselimum ........ 301, 138 Opegraphia.. sus 650, 898 Peucedanum., 13021088 Ophioglossées ..,...,. 465 PS A VA SR TT RE 618, 891 Ophioglossum...,.... 466, 793 Pézrizacés.....…. Le cie 618NSN ASS % ML EE 05 396, 161 PRÆAOPUE ur ruine 113, 756 Ophsmenus ....,.. 1420) 185 Phalinéium.ss 43508 381, 756. Orchidées... ..... sus DOTE Phäbladés. sise 614, 890 LOC SRE PRE és ÉÉSIBSNIGE Philo sta re sl 614, 890 Origanum....,.,.,.... 40, 664 Phascurr...4:46 sir O0 SES Orlaya sense ne 00 IIS Phaseolüis sure . 266, 666 _ TABLE ALPHABÉTIQUE er AE ‘#2 AS 2 Phelipæa......,.... … 14, 673 Phlegmacium......... 592, 880 PRICE ne 50e . 426, 186 PhlyetiSt.s mecs. 646,900 Phohd 2.235041 594, 880 Phragmites.. 441 434:;-486 Phyllodés.........,.. 632 PONS nr ovspne 8, 654 PANSDAUE ste 0 .- 038: 900 Physcomitrium . ...... 415, 805 PhyIeumMa. …...:.... 94, 678 LT SRE 145, 189 RAR er sue eee 115, 690 PARAMIOS. , $6 suce AM: 490 PARTS. sn 306, 139 Pinguicula........….. 80, 675 PR LL ere 450, 789 PROD ue 25e 215, 126 Piacadéss......... 3 640 REDMIUR C à 2 Lu 642, 890 Plagiochila..... ...... b14, 822 Piantaginées. …....... 58, 668 Plantes. 4. a 59, 668 Pidtanthera .…........, 401, 763 PAG DÉ OS. crce 358, 750 PRRAAEE. 2. r *..:.: 38844100 PAYS... 0 850 » 2 632, 900 Pleurococcus..,...... 330, 828 Pleurotus..... ....... 014, 880 Plombaginées......... 15, 623 Pluteus..... PRO LLS 581, 881 |: 01 PRE ACCESS SR A 433, 186 Podospermum........ 115, 690 PROS cuve .. 422 Pogonatum .......,.: 481, 805 Polycarpon .......... 196, 704 Polyenemum....,.... 394, 146 Polygala....... ss. 180:3699 Polygdlacées …......…, 180, 699 Polygonacées...... 323, 142 Polygonatum......... 382, 156 Polygonum.......,.,. 326, 142 Polypodiées:......... 459 Polypodium.......... 460, 193 POPPONÉES.. à 0 0 » ne PORN DOME .: , Len 500 «. 600, 885 Polytrichées Polytrichum...….. A ex ee :3043 700 Populus .... .…..... .. 480 ..... 481, 807 Porphyridium........ 531, 828 | Portulaca ee de SEE Portulacées ........ -,. 284, 130 UC : PRE 40%, 765 Potamogeton......... 405, 165 Potentillass........' 936149 Ds DANS . 246, 749 POP RE te aa sise 490, 506 BARRE, nee ne 11, 614 Primulncées..i..: 14568 16, 673 Premiers... 1:20 11 Protococacées ........ 531, 826 PRODELRSE 5. à A 24 PaunbS is... e à as 2403 LE TT 0 ARR 590, 881 BRON nee ducc 591, 884 Psathyrella ....... s «=. BID;881 RÉMOCMMRE,e soerue 591, 882 EN OPA 160, 793 Ptérogomum..,:....s 905, 817 Btlménaria. ...,. 1... 32, 661 PRÉC » ARE PIPÉTMES éco rs 651 TE PERRIN 13%, 690 Je TENNIS SEM 2HUTET PaPolaties... 2... 52 230, 117 LRU PERTE 256, 120 Quercus..... sens ess OUI RAMORE.. 25e 183, 700 PR an à en 516, 822 Ramalina............ 631, 901 Ramalinés .....,...:. 630 Rarhalodés: >... . 8 629 Ranuneulus .....,.,.. 153, 695 Raphdfuss ses. A0 TEA Raphanées......…... 209 Renonculacées........ 145, 693 Renonculées ........., 153 Résa. : 1... nue 223, 714 Résédacées.....:..... 222, 114 Phacomitrium........ 493, 807 Rhamnacées .......... 280, 729 Phamnus..... Re 5 1. Rhinanthées ...... « LES AT Rhinanthus. 124651 Rhizocarpées ..…....... 455, 790 Rhynchospora,....... 414, T5 Ribesies: : tions 320, 741 BieCiQMe. set. se B22 824 RichiaGées. en ess 0 BRAS O2E ROMANE. Se snn case AR NAR ve We Ts D Re Le ra CE XVI ROSa....:,.. PATRNAES 241, 720 HOSGOUES ee srmres 233 110 24 ANT APRES se PAT PRE endroits cl 83, 616 AMDLACÉES SE are 1820) DURS unions oies gra 239,721 MAIDEN 324, 744 CARS lese-ctc) mcteiie 384, 156 LT STI CREME 561, 882 12 LEP IS APRRERERERAE TS 173, 697 Rutacées ..... ee rs 172, 697 SACCOLYNA .....e ee BH; 823 ARÉTEN te era ayst ares ue «eur 495, 705 EGUEULLS CREME ER 373, 153 DMAENPS à ins eve cods 1or$ 358, 101 2,2 VEN AL PESRREENNNE s.11860,4091 Sulsolacées........... 329, 745 DAVIS ee 01e AA SCRESE 06665 MÉUMUSS à 22e. cuisine 45 56 SAMDUCÉes. 2... ee 81, 671 PAMIÈUS Lines vo 87, 611 EI ET TORRES 18, 67% Sanguisorba......... . 245, 121 DCR QE mac mac 298, 139 DARÉGIROPES de 05 0 339, 741 SAND à 3» sos à à sv 192, 705 SAICOSONDUS., au» 0 518, 823 Sarothamnus ......... 260, 726 AUOT. L à ie 0 « sv. 405100 LAIT VRAIES 400, 763 SE TO CES NENRINR «919; SATINAQÉES es » « o à 318, 741 BÉADMISA Lane sue à 156, 681 Scandix abuse ss 60008189 BOADAUR ee 04 o- 514, 823 Scénédesmées .. ....... 532 SCenedésMmUus......... À 532, 829 Schizogonium...,..... 553, 839 Schizophyllum RME 563, 883 DOTE eine ns sd x 415, 115 SUR à 2 eu m Es 380, 156 OUR OPEL: à «fa os msière . 412 OPUS Las a ets LED 413, 775 Scleranthus....,.. 986; M94 Sleroderma ...... + 20185896 Scolopendrium ......, 461, 194 POULADHETA 5 à à 114, 694 BCPOEMATIA comes se 2 PET Scrofulariacées PRE 2 SeutellaTia 525066 TABLE ALPHABÉTIQUE ÿ Seti EU TE . 442, 781 Sedumii. à ns AE ER 281, 731 Seligeria...... ec . 486, 807 Sehiniit...., 0-0 312, 139 Semi-Liguliflores...... 130 Semper VIVUM. ... . « se128050182 Sehehiéra.. 5. vs 215,,712 DADEMOR sea 138, 691 Serratula ..... sms CNE SÉBELLA ie TR 307, 140 Sesleria. ..…..., SPAS 427, 181 SÉRIE LS NES OR 424, 751 Sheraha ere . 86, 6176 Silaus... .10u 24/5000 302, 740 SARL. crea 193, 705 SÉENCES, « Sie on vse ae 193 SUV. ss. 118, 692 SATABIERS «See ..… 208 42 SITOLODLUM. + 24 1020 0 544, 830 MÉOnRRE Er LE er 306, 740 Sisymbriées ….....,..,. 203 Sisymbrium.......... 204, 712 Simac sress ... 308, 828 Solanacées. 55. 4, 65% Solanüin. esse + D, 654 Solidago..... DATES 137, 691 Soloritak.s #20 634, 901 Sonchus...,.. re 20 414, 691 SOPDUS LS me eee ee 251, 120 Specularia .. . 46. 54108678 Sphærocarpus.....,.. 023, 82ÿ Sphærozosma ....,. .. 191, 849 Sphinctrina...…,...06 62832001 Sparganium.....,,... 411, 161 Spergula .:.... ds Te A 196, 706 Spergularia.......... 196, 106 Sphagnacées ......... 509, 848 Sphagnæcetis ....,... D14, 823 Sphagnum,..,.,...... 509, 848 Shaw sas sat 332, 145 SRILRL NS nuls ia dat 241, 122 SPTÉESRSS sde amies das 241, 7122 Spiranthes...,....... 395, 163 SPITOGYTA.. ....«.. .. D38, 830 Spirotænia., ... PRE 849 Splachnées...... ..... 495,808 Splachnum...,....... 495, 808 Squamaria..,... score 042904 Stachysit 0. 10800066 Staurastrum. . semer «0849 Stauroneis........ serons RODE LEA ORNAT ESS de CFA La k k Fa FR “ Lo] À at _ TABLE ALPHABÉTIQUE Staurosira :. PR 865 Staurospermum....... 545, 835 DICHAER re or 197, 706 Stephanosphæra...... 535, 829 Stereum......... .... 606, 881 Stigeoclonium.....,.. 554, 841 | LS RAP SRE 430, 787 Stictina..... SRE SE 638, 901 DÉPARIOÉCS ere «eee é-o10 20 390, 158 Stropharia........... 589, 883 LT LT ARR 566 (1e 47 1): SRNRNARSNRRRES 14, 672 Symphitum........., 34, 661 Synanthérées où Com- POSÉES. ete e 5, 681 SynEdra ..,..............e 866 PARLER. 6 29, 668 Tabellaria ...,......:144. 861 171111) PES SREREETARRES 386, 158 Tanacetum. 127, 692 EVE 00) 1 0 PRESSE 522, 824 Tagrioniacées ........ D22, 824 TAC... à 108; 692 TL 714 À EN SNNNRES 215, 712 ST LT. CORRE REINE 593, 883 Thelephora .......... 605, 887 Thelephorés..…..…..... 604, 887 Thelometra ..... ce... 646, 901 Tetragonolobus....... 265, 121 Tétraphidées ......... 492, 807 Tétraphis....... ..... 493, 807 Teucrium....... =... 51-565:607 Fhaliétum..:.s.....0 164, 696 RER. coli eus 339, 141 Thlaspi....... . 214, 712 Thorea....., sess ces 1060643 PANMOCS ES: cer. +. sc 100 RATER +: core 115, 692 Emme... 335, 746 Thymélæacées........ 334, 746 LT ON ENT E LE 42, 661 RE ne ne co ne 174, 698 Dilracées........<. «4349550908 Tilleea: . . des Ge 289, 732 TORSMMIN Le 05e 314, 740 Pois Ps. x. 18480 140 MRnNid.. ia e 627, 901 Tragopogon.......... 113, 692 RES re de. dont 425, 188 d 1: OPERA RE ET 294, 752 Tremella.... .. RE Trémellinés..... ..... Tremellodon.......... Trichocolea .. ... RTE TrichOÏOMmX 0... Trichostomées........ Trichostumum........ Frifohiées.....23208: Tisiolai...:. 122 Triglochin........ + PALAU. LES ere ; Trnrél -:.: LE. ER RUE Trisetum ..... Se auel rare Trilicées DR PER AS Tropéslées.…... Tropeolum..... res Tryblionella LUE St D Tububhflores.…......... Tühpa <. risorsus Fulostoma.:s. ,.. Turgenia..... SsrannRr Tarmiis :.... PRE: Tussilago ..... asso Fyphas.. scene Typharëes:, Lines Ulmus = SR T'HSAANTE" Le d Ulothrix ERET NT STE Umbilicaria....,.... Fra: Uiceohh 250% Urtiledées 25,75. 00 DERASÉ LS nan Utricülaria....... ue Vacciniées..….... 0. Vaccin. 2: Valerie ; :: sué Valérianacées......... Valerianella .. ........ Vallisneria.., ... Vauchéfii.. 44.235309: Verbascées ... ,..,...: Verbascum.......... A ob... sut RP Re SRE us We LS PE 2 Ver .. XVIII TABLE ALPHABÉTIQUE Verbénacées.......,.. 36, 661 Volvox.: sise be829 ÉPMIBAE = 50010 non à ve 17, 658 VerPUCATIA eos. 651, 902 Wahlenbergia .......,. 93, 618 Niburaum..…........: 883 001 ARC De 2e 77e 491, 809 MAGIE se nee 60 0 © 216, 128 ; PABUPES et en 0 ve sente 274 Xatthidium.. 2. ee 852 MIRPA IL de 0 ete 0 0 10 63, 668 Kant, me 142, 693 Nincetoxicum......... 63, 669 MONDE Le. Le Ra 225, 114 Zannichellia..…. :. 5.6.» 407, 761 RAD IUCEUS saines 224, 114 LR PE Sr re 416, 788 Viscum.............e 123, 142 Lygnena, ss es 531, 836 NS RER benne à 178, 698 Z'yghéa ces. 7er 636, 830 Volvatian 2... 586, 884 ZVS0dpne raie Joue 480, 808 Volvocinées.…..,...... 533; 829 Zygophycées...,... + 0936 YOCABULATRE DES TERMES TECHNIQUES LES PLUS USITÉS AcauLe. Se dit d'une plante à tige non apparente. F ACCRESCENT. Organe (calice, co- rolle, style, etc.) qui continue à croître après la floraison et la fécondation. ACÉPHALE. Qui n'a pas de tête, ACHAINE. Fruit sec, indéhiscent, ne contenant qu'une seule graine, AcICuLAIRE. En forme d'’aiguille. AcicuLe. Petite pointe aiguë. ACOTYLÉDONE. Plante dépourvue de cotylédons. AcROCARPE. Mousse dont la tige se termine par le fruit. ACULÉOLE. Aiguillon très petit. ACUMEN. Pointe allongée reposant sur une base assez large. ACUMINÉ. Terminé par un acu- men. ADHÉRENT. Organe soudé ou qui parait soudé avec un organe Voisin. ADNÉ. Organe confondu avee un autre dans, une partie de sa lon- gueur. Fâme d’un champignon hyménonycèle qui adhère au pied sans se prolonger sur lui. ADVENTICE. Organe qui nait où il n'a pas l’habilude de venir. ADVENTIVE (racine) Qui part de la tige ou des feuilles. AGAME. Plante sans organes se- xuels. AGGLOMÉRÉ. Disposé en groupe. AGGLUTINÉ. Réuni en une masse et paraissant collé, AIGRETTE, Poils plumeux, qui cou- ronnent les fruits des Composées. p LS É Ë É re à AiGu. Organe se terminant en pointe. AIGUILLON. Organe pointu, produit par l’épiderme, AILE. Saillie qui borde certains organes, fruits, tiges, etc. AILÉ. Pourvu d'ailes membraneuses. AILES. Pétales latéraux des Papil- lionacées. AISSELLE. Angle situé au-dessus du point d'insertion d'une feuille avec la tige, d'un rameau avec la branche, ete. AKÈNE. Fruit sec, indéhiscent, à péricarpe n’adhérant pas à la graine. ALBUMEN. Partie de la graine qui sert à nourrir l'embryon pendant la germination. ALTERNES. Se dit des feuilles ou des rameaux disposés de façon à alterner les uns avec les au- tres. ALVÉOLES. Petites fossettes qui se trouvent sur certaines parties des plantes. AMANDE. Ensemble de l'embryon et de l’albumen, AMPHIGASTRE. On donne ce nom à des appendices lamelleux in- sérés sur la face veuntrale de la tige de certaines Hépatiques. AMPLEXICAULE. Se dit d'une feuille embrassant une partie de la tige. ANCIPITÉ. Organe à deux bords tranchants comme un glaive. ANDROCÉE. Ensemble des organes mäles des Phanérogames. XX VOCABULAIRE DES ANDROGYNE. Ensemble de fleurs mäles et femelles réunies sur un même pédoncule. - ANDROPHORE. Nom donné à len- Le semble des filets des étamines quand ils sont connés. ANNEAU. Débris membraneux du voile qui adhère au pied de certains champignons, ANNUELLE. Plante qui fructifie l’année où elie est née, puis meurt. ANTHÈRE. Partie de l'étamine qui contient le pollen. ANTHÉRIDIE. Organe des plantes Cryptogames qui produit les cel- lules mäles. ANTHÉROZOÏDE. Cellule mâle, mo- bile, des Cryptogames. ANTHÈSE. Epanouissement complet de la fleur. APÉTALE. Fleur sans pétales. APHYLLE. Plante dépourvue feuilles. APICULÉ. Organe terminé par une petite pointe molle. Apopnyse. Nom donné à un ren- flement du pédoneule qui porte l'urne de certaines Mousses. APOTRÉGIE Nom donné dans la description des Lichens à la partie du thalle qui porte les asques (v. p. 621). D noce Organe supplémentaire, accessoire. APPENDICULÉ. Organe pourvu d’un appendice. APpRIMÉ. Se dit d’un organe qui est appliqué contre un autre. APTÈRE. Organe qui n’a pas d’aile. ARANÉEUx. Organe garni de poils fins, soyeux, longs, enchevètrés comme en une toile d’araignée. de ARBORESCENTE. Plante à tige li- gneuse. ARBRE. Plante ligneuse, forte et simple à la base, ARBRISSEAU. Plante ligneuse, ra- mifiée dès la base. ARBUSTE. Plante peu élevée, her- bacée au sommet, ligneuse à la base, sans bourgeons écailleux. TERMES TECHNIQUES ARCHÉGONE. Organe femelle des Cryptogames vasculaires, des Mousses et des Hépatiques. ARDELLINES. Épithète donnée aux apothécies du genre de Lichens Arthonia, qui ont la forme de petites cautérisations ou brü- lures. ARÈTE. Organe en forme de pointe allongée, raide, qui accompagne les glumelles des Graminées. ARILLLE, Epaississement localisé ou généralisé des enveloppes de la graine. ARILLÉE. Graine pourvue d'un arille. ARISTÉ. Organe terminé en arête. ARQUÉ., Organe courbé en are ARTICLE, Se dit de la partie com- prise entre deux articulations. ARTICULATION. Réunion de deux parties qui, à un moment donné, se séparent sans déchirure ARTICULÉ. Organe ayant de dis- tance en distance des articula- tions. ASCENDANTE. Plante dont la base est couchée et qui se redresse petit à petit. Asque. Nom donné, dans les Cham- pignons Ascomycètes et les Li- chens, à la cellule dans laquelle se forment les spores. Ascospores. Nom donné souvent -aux spores qui se forment dans les asques. ATTÉNUÉ. Organe qui graduellement. AurICuLE. Se dit du prolongement arrondi ou aigu de la partie in- férieure du limbe de la feuille. AURICULÉE. Feuille pourvue de petites oreillettes, ou auricule. AVORTÉ. Organe imparfaitement développé. AxiLe. Se dit de l'embryon qui occupe le centre de la graine. AXILLAIRE. Organe placé dans l'ais- selle d'une feuille. Ê s’aminceit BacciroRME. Fruit ayant les appa- rences d'une baie. ? f : VE : VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES BaïrE. Fruit mou, charnu, conte- nant une ou plusieurs graines. Bazzes. Enveloppes écailleuses de la fleur des Graminées. BANDELETTES. Nom donné à des lignes colorées, renflées, du fruit des Ombellifères, répondant aux canaux sécréteurs. Basine. Cellule qui supporte les spores des Champignons Basi- diomycètes. Basirixe. Se dit de l'anthère qui est fixée au filet par sa base. Bec. Se dit de la pointe qui ter- mine certains fruits. BIATORINES, Se dit des apothécies des Lichens qui ont un bord propre d'une couleur différente de celle de l’épithécium (voyez ce mot) ou bien qui sont con- vexes sans bord visible, et qui sont intérieurement pourvues d'un hypothécium pâle ou in- co'ore. Bicore. Organe surmonté de deux cornes. BIDENTÉ. Organe surmonté de deux dents. BiFine. Organe découpé en deux lobes allongés. BIFLORE. Qui porte deux fleurs. BIFuRQUÉ. Divisé en deux bran- ches. BuGuée. Se dit d'une feuille qui a deux paires de folioles. BiLABIÉ. Qui a deux lèvres (calice, corolle). BILOBÉ. Organe divisé en deux lobes. BiLOGuLAIRE. Organe divisé en deux loges. BiPARTIT. Organe qui est entière- ment divisé en deux parties. BtPINNÉE. Se dit d’une feuille dont les folioles sont deux fois pinnées. BivaLvE. Divisé en deux valves. BISANNUELLE. Se dit des plantes qui durent deux ans; elles ne fructi- fient que la seconde année. BourGEoN. Se dit du rameau en- core très jeune. Bourox. Fleur non épanouie, BRACTÉE. Petite feuille modifiée, dif- férente de la feuille par sa taille réduite, souvent par sa couleur, et qui accompagne la fleur, Dans les Chara ou nomme bractées (ou papilles) involucrales, des cel- lules courtes, disposées au-des- sous des verticilles des feuilles. BRACTÉIFORME. Qui à la forme d'une bractée. BRACTÉOLE. Petite bractée. Buse. Tige souterraine, SE à feuilles réduites. BuLzBeux. Organe renflé en bulbe. Buzsizce. Bourgeon renflé, se dé- veloppant dans l'aiséelle des feuil- les ou à la place des fleurs. BursiCuLe. Petite cavité qui, dans la fleur des Orchidées, glande désignée sous le nom de rétinacle. CaDnuc. Qui tombe prématurément. Carice. La plus extérieure des enveloppes florales, formée de folioles (sépales) ordinairement vertes. CALICIFORME. Se dit des bractées qui par leur forme ou leur posi- tion ressemblent à un calice. CALICINAL. Qui appartient au ca- lice. CazicuLe. Enveloppe extérieure au calice et lui ressemblant, qu'on trouve dans certaines fleurs (Po- tentille, Mauve). CaLicuLÉE. Fleur pourvue d'un calicule. CazLEux. Organe épaissi et durci. CAMPANULÉ. En forme de cloche, CanazicuLé. Creusé longitudinale- ment en gouttière. CANNELÉ. Muni de petites côtes longitudinales, CAPILLAIRE. Qui a la finesse d'un cheveu. CapriLziTiuM. Nom donné, dans la description des Champignons Ly- copodiacés, à une masse d’hy- phas entre-croisés, au milieu se loge la : XXII VOCABULAIRE DES ; desquels sont. les spores (voyez Périprum et GLÉBA). Caprré. Terminé en une tête ar- rondie. CaprTuLe. Inflorescence formée de fleurs sessiles, réunies sur un ré- ceplacle commun (Composées). Carsuce Fruit sec, déhiscent par des valves ou des pores. Dans les Mousses, on donne ee nom, ou mieux celui d'urne à un sac qui renferme les spores ; il s'ou- vre par un couvercle (opercule) et présente à son entré une mince colonnette (columelle) au- tour de laquelle sont disposées les spores. CapsuLaIRE. Fruit qui a les ca- ractères d'une capsule. CarÈène. Ligne saillante. Se dit, dans les Papilionacées, de l'en- semble des deux pétales infé- rieurs. CarÉNÉ. Muni d'une carène, ou en forme de carène. CARONCULE. Variété d'arille situé près du point d'insertion de la graine. CarPELLES. Feuilles modifiées, com- posant l'ovaire. CARTILAGINEUX. Qui a la consis- tance du cartilage, c’est-à-dire dur et élastique. CarvoPpse. Fruit sec, indéhiscent, dont le péricarpe adhère aux en- loppes de la graine (Graminées). Caupicuze. Nom donné au pédi- celle des masses polliniques des Orchidées et des Asclép'adacées. CauzescenTE. Se dit d'une plante pourvue d’une tige. CauriNAIRE. Qui nait sur la tige. CEnrrRiFuGE. Se dit d'une inflo- rescence dans laquelle la fleur centrale se développe la pre- mière. CEenxTriPèTE. Se dit d'une inflo- rescence dont les fleurs externes se développent les premières. CÉRÉBRIFORME. Se dit d'un organe munid'éminences sinueuses,sem- Le TERMES TECHNIQUES blables cerveau. CHAGRINÉ. Organe couvert de très petites granulations rugueuses. CHapeau. Se dit de la partie di- latée des Champignons supérieurs qui porte les organes reproduc- teurs. CHarnu. Se dit d'un organe mou et succulent. CHATON. Inflorescence en forme d’épi ne portant que des fleurs mâles. CHauME. $e dit des tiges fistu- leuses, noueuses, et qui portent des feuilles engainantes (Grami- nées). CueveLu. Qui est couvert de fila- ments capillaires, fins et nom- breux, Cizté. Qui est muni de poils sail- lants et droits. Cizs. Poils saillants, droits. CLAVIFORME. Organe renflé de la base au sommet, en forme de massue. - CLoisons. Se dit de la ou des membranes divisant une cavité en deux ou plusieurs comparti- ments. CouÉReNT, Se dit d'un organe agglutiné ou collé, mais non soudé. Cæœxosium. Nom donné à la fa- mille, ou agrégat que forment certaines Algues uni-cellulaires. Cotïrre, Se dit du petit chapeau qui recourve l'urne des Mousses, La coiffe des Mousses est formée par la partie supérieure de l'ar- chégone ou organe femelle, sou- levé par la capsule à mesure que son pédicelle s'allonge. Dans les Hépatiques, la coiffe, c’est-à-dire l'archégone vieilli, n'est pas sou- levée par la capsule, mais sim- plement déchirée à son sommet, et elle persiste autour de la base du pédicelle. Cocéoruize. Sorte d'étui qui en- toure la radicule des Graminées. aux cCirconvolutions du p Lu k | VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES CozLaréraux. Organes placés l'un près de l’autre, Cozrecreurs. Se dit de poils ou _ papilles qui garnissent le pistil et qui sont destinés à recueillir le pollen. CozrereTTE. Ensemble d'appen- dices membraneux qui garnissent la gorge de certaines corolles. Cozurer. Se dit du débris du voile qui adhère au pied de certains Champignons. Cocoré. Se dit de tout organe qui n'est pas vert. CoLuMELLE. Axe filiforme qui réu- nit les akènes dans le fruit des Ombellifères et qui occupe le centre de l'urne ou capsule des Mousses. Commissure. Se dit du point de contact des deux akènes d'un fruit d'Ombellifère. En général, point de jonction de deux or- ganes. Composé. Qui est formé de plu- sieurs parties distinctes. Composée. Se dit d’une feuille qui présente plusieurs folioles portées par un même pétiole, ete. CoxcerrTacLe. Nom souvent donné, dans les Cryptogames, à l'organe qui contient les corpuscules re- producteurs. Dans les Lichens on nomme conceptacle la portion du thalle qui répond à l'hymé- nium, c’est-à-dire qui est formé par les extrémités des hyphas sun lesquelles s’insèrent les asques. CoxcoLore. Qui est d'une seule couleur. CoNpuPLiQué. Se dit d’un organe plié dans le sens de la longueur. Coxe. Fruit composé, formé d'écail- les à l'aisselle desquelles se trou- vent les fruits. CoxJucaison. Mode de reproduc- tion de certaines Algues carac- térisé par la fusion du contenu de deux cellules qui se rappro- chent l’une de l’autre, se mettent en contact et bientôt communi- XXII quent par destruction de leurs paroïs au niveau du point de contact. CoxsuGués. Se dit d'organes qui sont disposés par paires. Se dit aussi dAlgues en conjugaison. Conxecrir. Portion du filet des étamines qui unit les anthères à deux loges. CONNIVENTS. Organes rapprochés par le sommet. CoxTiGus. Organes qui se touchent sans adhérer. CONvOLUTÉ. Roulé en cornet. CopuLaTion. Nom donné, dans cer- taines Algues, à la fusion de deux cellules. Coque. Paroi d'un fruit qui tombe à la maturité après s'être ou- verte. CORALLIFORME. Se dit de certains Champignons ramifiés comme le corail. CorpiFoRME. En forme de cœur. CoRNÉ. Qui a la consistance de la corne. CoroLzLEe. Enveloppe la plus inté- rieure de la fleur; elle est formée de folioles (pétales) ordinairement colorées, presque jamais vertes. CorTIcAL. Qui appartient à l'écorce. CoryMse. Inflorescence formée d’un axe commun duquel partent, à des niveaux différents, des ra- meaux qui se terminent tous à peu près à la même hauteur. CoORYMBIFÈRE. Plante dont les fleurs sont en corymbe, CORYMBIFORME. Qui a l'aspect d'un corymbe. Côres. Lignes saillantes, longitu- dinales, de certains organes. Coronxneux. Couvert de poils longs et enchevètrés ayant l'aspect du coton. CoTyLépoxs. La ou les premières feuilles de l'embryon. CoucHE GONIDIALE. Nom donné, dans les Lichens, à la portion du thalle dans laquelle sont accumu- lées les gonidies (voyez ce mot). XXIV VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES Couronne, Ensemble des appen- dices qui garnissent la gorge de certaines corolles. CraAMPON. Racines adventives à l'aide desquelles certaines tiges se fixent à des corps étrangers (Lierre). CRÉNELÉ. Organe muni de dents arrondies et implantées perpendi- culairement. CréÉPu. Organe fortement plissé. Crusracé. En forme de croûte dure, cassante, CucuLLiFoRnME. En forme de ca- puchon. CunÉiFoRME. En forme de coin. CrPuLe. Organe formé par l’union des bractées, enveloppant la base de certains fruits (Chêne). Dans certains Lichens, on nomme cap- sule la portion dilatée d’un pédi- cule qui porte les apothécies (Cladonia). Cuspipé. Terminé en pointe aiguë et dure. CYATIFORME. En forme de gobelet. CyuE. Inflorescence ramifiée dont les axes de chaque génération® sont terminés par une fleur qui met fin à leur croissance. CysTipes. Nom donné, dans la des- cription des Champignons Basi- diomycètes, aux basides stériles ou paraphyses, en forme de sacs arrondis. DÉGLINÉ. Organe qui se courbe vers le bas, DéÉcomBanTe. Tige d’abord droite, puis courbée vers le bas. DécoMPoséE. Feuille à pétiole deux fois divisé en pétioles se- condaires. DécurRENTE. Feuille dont le limbe se prolonge sur le pétiole ou sur la tige. Lame d’un Champi- gnon Hyménomycète prolongée sur le pied. DéuiscenT. Fruit qui s'ouvre à la maturité. DEMI-FLEURON. Se dit des fleurs 3 des Composées dont le limbe est déjeté d'un seul côté. DENTÉ,. Qui est muni de dents aiguës et inclinées. DÉPRIMÉ. Organe comprimé verti- calement. DiADELPHES, Etamines connées de façon à former deux faisceaux. DichoTOME. Ramifié en deux bran- ches égales et naissant en même temps. DicHoTomiE. Ramification dicho- tome. Dicuines. Fleurs unisexués.. DicoTYLÉDONES. Plantes pourvues de deux cotylédons. DipymME. Divisé en deux lobes égaux. DipyNAME. Fleur à quatre éta- mines de tailles différentes : deux grandes, deux petites. Dirrus. Rameaux disposés et éta- lés sans ordre apparent. DiciTé. Organe divisé en lobes rappelant les doigts de la main par leur disposition. Dimipié. Organe dont une moitié seule s’est developpée. Dioïques.. Plantes dont les fleurs sont unisexuées, les fleurs mâles et les fleurs femelles étant por- tées par des individus distincts. Discoïpe. En forme de disque. Disque. Dans les Composées, on donne ce nom à la partie cen- trale du réceptacle et aux fleurs qu’elle porte, On nomme encore disque un organe glanduleux qui entoure l'ovaire’ de certaines fleurs. Dans la description des Pézizacés, on nomme disque la portion concave du réceptacle qui porte les asques. Dans la descrip- tion des Lichens on nomme parfois disque ou capitule, la portion dilatée et portant les asques des apothécies pourvues d'un pédicule. Disriques. Rameaux ou feuilles alternes, insérés sur deux lignes longitudinales. =. "1 = VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES XXV * DivariQué. Rameaux, pédoncules qui s’écartent fortement en tous sens. Dorsaz. Qui est inséré sur le dos d’un organe. Douge. Fleur dont les pétales ont augmenté par la transformation des étamines ou des pistils en pétales, Drupacé. Qui a les caractères d’une drupe. DrupPE. Fruit charnu, contenant un ou plusieurs noyaux. EcaiLe. Organe aplati, plus ou moins épais, charnu ou coriace, ordinairement produit par trans- formation des feuilles ou des bractées. EcaiLLEux. Formé d'écailles. Ecussox. Appendice porté latéra- lement par la tigelle des Gra- minées ; il ne constitue proba- blement qu’une hypertrophie localisée de la tigelle. Dans ‘les Characées, on nommé Æcussons les huit cellules qui forment les parois de l’anthéridie, chacun porte sur sa face interne une cellule cylindrique (manubrium) terminée par une autre cellule arrondie (tête). Chaque tête porte six cellules également arrondies nommées têtes secondaires ; enfin chaque tête secondaire porte quatre longs filaments enroulés (fouets) dont les cellules produi- sent chacune un anthérozoïde. ELATÈRES. Filaments tordus, élas- tiques, accompagnant les spores de certaines Cryptogames (Equi- sétacées, Hépatiques). EMARGINÉ. Légèrement échancré. EMBRASSANTE. Feuille, stipule ou bractée qui entoure par sa base l'axe qui la porte. EMBRYON. Plantule rudimentaire contenue dans la graine, EMERGÉE. Plante aquatique dont la majeure partie se développe hors de l’eau. FLORE DE PARIS. Eee - Expocarpoines. Se dit des Apo- thécies des Lichens qui sont en- foncées dans le thalle. ENGAINANT. Feuille, stipule, pé- tiole développé en une gaine autour de l'axe. ENSIFORME. En forme de glaive tranchant des deux côtés. Epars. Rameaux ou feuilles insérés sans ordre apparent. EPEroN. Appendice tubuleux de certains sépales ou pétales. EPERONNÉ. Pourvu d’un éperon. Epr:. Inflorescence formée par un axe sur lequel se développent des fleurs sessiles, en nombre in- défini. : Epr coMPosÉ. Epi ramifié. ÉpiGyne. Se dit de la corolle, des étamines, du disque, insérés au- dessus de l'ovaire. Epizzer. Dans les Graminées, on nomme ainsi une portion de l'nflorescence formée d'une ou plusieurs fleurs enveloppées dans une ou deux bractées connues sous le nom de glumes. EPixe. Organe pointu et dur, formé par transformation des rameaux, des feuilles ou des stipules. EPiNEux. Pourvu d'épines. EpipyLLe. Organe inséré ou pa- raissant inséré sur la feuille. ErrraéciumM. Nom donné, dans les Lichens, au disque étalé et coloré des apothécies de la plu- part des genres, ou bien au pore terminal qui existe dans le périthécium du genre Verru- saria. EraLé. Se dit d'un rameau, d'une feuille, ete., qui s'écarte de l'axe en formant un angle droit. Eramie. Foliole transformée, con- stituant l'organe mäle des Pha- nérogames.Une étamine complète est formée d'une tige grêle (filet), d’un sac (anthère) à un ou plus souvent deux compartiments (loges) qui contiennent les cel- lules mâles (pollen). XXVI + Exenparp. Nom donné au pétale supérieur, ordinairement étalé et redressé, de la corolle des Pa- pilionacées. ExserT. Organe qui dépasse les parties qui l'entourent. ExTRORSE. Anthère qui s'ouvre par la face qui regarde au de- hors de la fleur. FaLGIFORME. En forme de faux. Farineux. Couvert de poussière blanchälre. FasciCuLÉé, En faisceau. FasriGiée. Plante à rameaux dres- sés et rapprochés. FAUX PÉRIANTHE. Nom donné, dans la description des Hépali- ques, à une enveloppe en forme de sac charnu et pendant, fixé latéralement à la tige et enve- loppant le pédicelle de la cap- sule; on lui donne aussi parfois le nom de ÆRéceptacle où Péri- gyne. FEMELLE. Fleur pourvue seulement des organes femelles. Plante ne portant que des fleurs femelles. FeuiLze. Organe aplali, produit par l'axe, très ordinairement vert et pourvu de stomates. FIBREUSES. Racines formées de branches peu ramifiées, allon- gées. FILAMENTEUX. Formé de filaments. Fizer. Portion de l’étamine qui porte l’anthère, Frrirorme. Mince et allongé comme un fil. FimMBRié, Découpé en franges min- ces. Fisruzeux. Organe allongé, creux. FLABELLIFORME. En forme d'éven- tail. 4 FLeur. Ensemble des organes de la reproduction et de leurs enve- loppes. Dans les Phanérogames, la fleur se compose ordinaire- ment d’une enveloppe extérieure verte (calice), d’une deuxième enveloppe colorée (corolle), d'un L n VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES verticille d'étamines (androcée) ét d'un ou plusieurs sacs (carpelles) contenant les ovules et cellules femelles, Dans les Mousses on donne souvent le nom de fleurs aux feuilles modifiées qui entou- rent les organes reproducteurs. FLEuron. Dans lès Composées, on nomme ainsi les fleurs régu- lières ou à peu près régulières, FLORAL. Qui appartient à la fleur, qui a rapport à la fleur, FLORIFÈRE. Qui porle les fleurs. FOLIACÉ. Qui a l’aspectede la feuille, ForioLes. Limbes des feuilles com- posées. FOLLICULE. Fruit uniloculaire, aplati, sec, déhiscent par l’un de ses bords. FONGUEUx. Organe mou, épais. élastique, spongieux. Focer. Voyez Æcusson. FRONDE. Nom donné, dans les Cryptogames, à des organes apla- {is représentant soit la tige, soit des feuilles et portant les organes reproducteurs. FRONDACÉES. Plantes dont les or- ganes végétatifs sont en forme de lames (Marchantia). FRUCTIFÈRE. Qui produit et porte les fruits. FRUCTIFICATION. Développement du fruit, FRUIT, Organe "femelle fécondé et accru, prêt à donner une plante nouvelle. FRUTESCENT. Ayant l’aspect d’un arbrisseau. FruTIGULEUX. Se dit des Lichens dont le thalle est ramifié et dressé. FuGacE. Organe qui disparait très rapidement. FUSiFORME. En forme de fuseau. Gaixe Portion du pétiole qui en- veloppe la tige des Graminées. GAzONNANT. Petites plantes qui poussent en touffes serrées, sem- blables à un gazon. 12 | pe VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES GÉMINÉS. Organes disposés par paires, GÉNÉRATION ALTERNANTE. On dit des plantes qu'elles sont à géné- ration alternante, quand des in- dividus produisent, sans aucun acte sexuel, des cellules destinées à produire d’autres individus pourvus d'organes sexuels se multipliant en donnant des indi- vidus semblables aux premiers, c'est-à-dire dépourvus d'organes sexuels. GÉNÉRATION AsExUÉE. Ensemble des individus qui, dans les plan- tes à génération alternante, se multiplient sans organes se- xuels, GÉNÉRATION SEXUÉE. Ensemble des individus qui, dans les plantes à génération alternante, portent des organes sexuels. GÉNICTLÉ. Courbé en forme de genou. GERMINATION. Développement de l'embryon. GiBBEux. Pourvu d’une bosse, GLABRE. Sans poils ni duvet. GLANDE. Organe de sécrétion. GLanpuLeux. Muni de glandes. GzauouE. Vert blanchätre ; eolo- ration due ordinairement à un revêtement cireux. LÉBA. Dans les Champignons Gas- téromycètes, le réceptacle fruc- tifère est ordinairement en forme de masse arrondie dont la péri- phérie est formée par un tissu coriace (péridium) et dont le cen- tre, formé dun tissu d'abord charnu nommé gléba, est creusé de fossettes tapissées par l'hy- ménium. La gléba se résout sou- vent à la maturité en une masse de filaments ou hyphas entre- mêlés (capillitium), et en spores noiràätres. GLOMÉRULE. Inflorescence en forme de tête, à fleurs très nombreuses - et pressées. GLUMACÉ. Pourvu de glumes. XXVII "à GLuMES. Bractées situées à la base des épillets des Graminées. GLUMELLES. Folioles situées à la base des fleurs des Graminées. GLUMELLEULES. Petites folioles en- veloppant les organes reproduc- teurs des Graminées: elles re- présentent le périanthe. GLuTixEUx, Couvert d'un liquide gluant. GoxipiE. Nom souvent donné, dans les Cryptogames non vaseu- laires, aux cellules reproductrices asexuées. Elles sont souvent de deux sortes, les unes petites et nombreuses (microgonidies), les autres moins nombreuses et plus volumineuses (macrogonidies) ; les deux sortes se comportent d'ordinaire différemment. Dans les Lichens, on donne improprement le nom de gonidies aux cellules vertes qui représentent l'Algue associée à un Champignon pour former le Lichen. GorGe. Portion d’une corolle gamo- pétale ou d'un calice gamosé- pale répondant au point jonction du tube avec le limbe. Gousse. Fruit see, formé de deux carpelles, uniloculaire, déhisecent en deux valves. GRaiNxE. Ovule développé. Elle est formée par l'embryon et ses en- veloppes et souvent par un albu- men ou réserve alimentaire plus ou moins abondante. GRAMINIFORME, Qui a le port d'une Graminée, GRANULES GONIDIQUES. Nom donné à de petits amas de gonidies, remarquables dans certains Li- chens. GraAPPe. Inflorescence à croissance terminale, formée d’un axe prin- cipal portant des axes secondai- res terminés chacun par une fleur (grappe simple) ou ramifiés (grappe composée). GRIMPANTE. Plante qui s’aceroche par des vrilles aux arbres et aux de XXVIII autres objets qui se trouvent à sa disposition. GueuLe. Se dit de l'ouverture des corolles bilabiées quand elle est formée par une saillie à laquelle on donne le nom de palais (An- thirrhimum majus). GYALECTINES. Se dit des apothécies des Lichens qui ont une forme urcéolée et une apparence cireuse ou marmoréenne. GYNOSTEMNE. Nom donné à la colonne qui, dans les Orchidées et les Asclépiadées, porte le stig- mate et les anthères. HampEe. Se dit d’un axe d’inflores- cence partant d’un bouquet de feuilles radicales, nu, et ne por- tant des fleurs que dans sa partie supérieure. HASTÉE. En forme de fer de lance, triangulaire, avec deux pointes dans le bas. HERBAGÉE. Plante peu consistante. HÉRissé. Couvert de poils raides et droits. HERMAPHRODITE. Fleur qui con- tient les organes des deux sexes. HÉTÉROGAME, Capitule de Com- posée contenant des fleurs de sexes différents. HiLE. Point de la graine sur le- quel s'insère le placenta. HoMoGaMmE. Capitule des Compo- sées qui ne contient que des fleurs d’un même sexe. HYMÉNIUM. Partie du réceptacle fructifère des Champignons qui porte les spores. Hypxas, Hypxes. Cellules ordinai- rement très allongées et unies bout à bout qui forment les tissus des Champignons et de beaucoup de Lichens. HYPOCRATÉRIFORME. En forme de coupe à tube allongé, étalé à. l'extrémité seulement. HYPOGYNE. Inséré au-dessous de lovaire. HyPoTHÉciUuM. Nom donné, dans les VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES Lichens, à la portion de l'apo- thécie qui porte les asques. IMBRIQUÉS. Organes qui se recou- vrent comme les tuiles d’un toit. IMPARIPINNÉE. Feuille composée, dont le pétiole est muni d’une foliole à son extrémité. INcISÉ. Organe à bords découpés irrégulièrement. INcUBES. On dit des feuilles des Jungermanniacées qu’elles sont incubes quand la feuille inférieure recouvre en partie la feuille su- périeure. INCLUS. Qui ne fait pas saillie en dehors de l’organe enveloppant. Les étamines, le pistil sont in- clus quand ils ne dépassent pas le tube de la corolle. INDÉFINI. Se dit d'organes (étami- nes) dont le nombre n’est pas rigoureusement limité, et d'orga- nes, comme l'inflorescence, dont l'accroissement n’est pas limité par une fleur terminant chaque axe. INDÉHISCENT. Qui ne s'ouvre pas. INDUPLICATION. Préfloraison dans laquelle les bords des pétales ou des sépales sont repliés en de- dans. INERME. Sans épines, ni aiguillons. IxbustE. Membrane qui recouvre les spores de certaines Fougères. INFÈRE. Ovaire situé au-dessous des étamines. Il résulte d’un développement des bords du ré- ceptable beaucoup plus considé- rable que celui de son sommet. IxFLÉCHI. Incliné en dedans. INFLORESCENCE. Mode de disposi- tion des fleurs. INFUNDIBULIFORME. En forme d’en- tonnoir. INNÉES. Se dit des apothécies des Lichens qui sont enfoncées dans le thalle. INNOVATIONS. Nom donné, dans les Mousses, aux pousses qui naissent sur les vieilles tiges. Vs TT , UE [NrRoRSESs. Anthères qui s'ouvrent sur la face interne, celle qui re- garde le centre de la fleur. INVOLUCELLE. Couronne de bractées à la base des ombellules des Ombellifères. Ixvozucre. Couronne de bractées à la base des ombelles des Om- bellifères. Ensemble des bractées qui entourent le capitule des Composées et d'autres inflores- cences. {Voy. Périanthe.) IRRÉGULIER. Corolle, calice, ete., qui ne sont pas symétriques. x JUNCIFORME. Qui ressemble à une feuille de jonc. LABELLE, Lobe inférieur de la co- rolle des Orchidées. LaABIé. Calice, corolle dont les fo- lioles sont disposées de façon à simuler deux lèvres. LACINIÉ. Organe découpé en la- nières étroites. LaiNeux. Organe couvert de poils longs et mous. LAnNCÉOLÉ. Organe en forme de lance, c’est-à-dire plat et atté- nué avec deux extrémités. LANGUETTE. Organe en forme de langue étroite. LÉCANORINES. Les apothécies des Lichens sont dites Lécanorines ou scutelliformes lorsqu'elles sont pourvues d'un rebord formé par le thalle, LÉciDÉINES. Se dit des apothécies des Lichens entourées d'un re- bord fourni, non par le thalle, mais par le pourtour du concep- tacle. LÉPIcÈNE. Nom formé par quelques botanistes à l’ensemble des glu- mes des Graminées. LÉPROsSÉ. Se dit du thalle de cer- tains Lichens qui s'étale en pe- tites taches irrégulières. Lire. L'ovaire est dit libre quand il est indépendant du réceptacle. Les étamines sont libres quand VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES XXIX elles ne sont connées ni entre elles ni avec le périanthe. LiGneux. De la consistance du bois. Licuze. Appendice lamelleux si- tué à la base du limbe des feuilles des Graminées. LiGuLée. Feuille pourvue d'une li- gule. Les fleurs des Composées sont dites ligulées quand leur limbe est déjeté tout entier d'un côté. : LiMBE. Portion étalée, membra- neuse, des feuilles ou des pé- tales, des sépales, ete. LINÉAIRE. Organe allongé et étroit. Loses. Portions d'un organe sépa- rées par des dépressions. Locuzicibe. (Déhiscence), Se dit des fruits secs à plusieurs loges qui s'ouvrent en plusieurs valves portant chacune une cloison dans leur portion centrale. LocEe. Cavités des anthères, des fruits, etc. LOMENTACÉ. Fruit qui se sépare en plusieurs articles dans sa lon- gueur. Lyrée. Feuille pinnifide dont le lobe terminal est beaucoup plus grand que les autres. MaACROGONIDIES. Voy. Gonidies. MacroPoDe. Se dit des embryons à radicule très volumineuse, comme celui des Potamées. MaAcRoOSPORANGES. Nom donné dans les Cryptogames vascu- laires à des sporanges spéciaux contenant des spores volumi- neuses (Mmacrospores) ; par oppo- sition à d'autres sporanges (mi- crosporanges) qui contiennent des spores plus petites (micro- spores). D'ordinaire, les macro- spores et les microspores pro- duisent des individus différents, MacrosPpores. Voy. Macrospo- . ranges. MacrozoospORE. Voy. Zoospore. MaLe. Fleur ou individu qui ne possède que des organes mâles. b. XXX VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES “HÈRS 2 = Mameconné. Rae muni de sail- _ lies arrondies, en forme de ma- melons,. Manugrium. Voy. Æcusson. MaRCEScENT. Se dit d'un organe, surtout de la corolle ou du calice qui sèche sur place et ne tombe que tardivement. MARGINAL. Qui ‘est silué sur le bord d'un organe. MarGiNÉ. Se dit d’un organe fo- liacé dont les bords sont épaissis. MicROGONIDIES,. Voy. Gonidies. MICROSPORANGES, Voy. Macrospo- ranges. MICROSPORES. Voy. ranges. MicrozoosporE. Voy. Zoospore. MrriFoRME. En forme de mitre Macrospo - d'évèque. MoniziFoRME. En forme de cha- pelet. MONOCOTYLÉDONES. Plantes dont l'embryon n'a qu'un seul coty- lédon. Moxoiques. Plantes dans lesquelles le même individu porte des fleurs mâles et des fleurs fe- mel es, MoxoPréraLe. Corolle à pélales con- nés dans le bas. MonosépaLe. Calice à sépales con- nés dans le bas, MONOSPERME. Fruit à une seule graine. MucronN. Pointe aigu, courte, ter- minant un organe atrendi. MUuCRONÉ. Terminé par un mu- cron. MURALI-LOCULAIRE. Se dit des spo- res de certains Lichens qui sont divisées en plusieurs cellules par des cloisons disposées comme les joints d'un mur en pierres de taille ou en briques. MuriQue. Feuille, sépale, pétale, qui n’est terminé ni par un mu- crop, nl par une arête. MuRiQuÉ. Organe muni de pointes courtes, à base large. MycéLium, Portion végétative des Chanpitiobe supérieurs, Il est formé de filaments (hyphas) grèles et enchevêtrés ; il vit dans le milieu nutritif et produit l'ap- pareil fructifère. NECTAIRES. Glandes sécrétant des liquides sucrés, situées à la base des organes floraux, sur ces or- ganes ou entre eux, NECTARIFÈRE. Pourvu de nectaires. NERvVURES. Côtes saillantes des feuil- les, sépales, pétales répondant aux faisceaux. Noyau. Enveloppe ligneuse, très dure, de certaines graines. Il est formé par la portion interne des parois de l'ovaire. OBCORDIFORME. Organe en forme de cœur, ayant la base plus étroite que l'extrémité. OBLowG. Organe allongé, très ar- rondi aux extrémités et un peu renflé au milieu, comme une ellipse. OBovaLE. Organe en forme d'œuf, fixé par l'extrémité la plus mince. OgTrus. Terminé en pointe mousse, arrondie. OLIGOSPERME, Fruit à un petit nombre de graines. OMBELLE. Inflorescence formée par un axe principal de l'extrémité duquel partent un nombre d’axes secondaires plus au moins con- sidérable, terminés chacun par une fleur ou par un bouquet d'axes tertiaires portant chacun une fleur. Des bractées entourent d'habitude le point d'insertion des axes secondaires et tertiaires. OMBELLULE. Nom donné à l’en- semble des axes tertiaires d'une ombelle composée. OmBuic. Dépression au centre d'une surface convexe. Syno- nyme de hile. OMBiLiQué. Qui offre un ombilic. ONGLET, Portion rétrécie ou plus L' TA 4... , VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES sax ce ee | hs" ST ITA ou moins allongée par laquelle PALMATISÉQUÉE. Feuille sé uée, | 45 à s'insèrent certains pétales. c'est-à-dire découpée Dre Sr OxGuicuLé. Muni d'un onglet. jusqu’au pétiole, à lobes disposés - OoGEmmEe. Nom donné dans les Characées aux organes femelles. OoGone. Organe contenant l’oos- pore (V. ee mot). OosPpores: Noms souvent donné, dans les Cryptogames, aux cel- lules femelles. OPERGuLE. Sorte de couvercle qui se soulève pour permettre l'ou- verture de certains fruits, dé l’urne des Mousses, ete. Opposé. Se dit de feuilles, de ra- meaux, etc., qui naissent à la même hauteur, de chaque côté de l'axe. OPPOSITIFOLIÉ. Se dit d’un organe, comme les doigts de la main. PALMÉE. Feuille polygonale-ar- rondie, à nervures disposées en éventail à partir du sommet du pétiole. PANICULE. Inflorescence formée par un axe principal portant des axes secondaires très allongés, ra- mifiés, les supérieurs plus courts que les inférieurs, PAxICULÉ. En forme de panicule. PAPILIONACÉE. (Corolle des Légu- mines Papilionacées; elle est formée de einq pétales : l’un su- . périeur, ordinairement large et étalé (étendard), deux latéraux fleur, vrille, rameau, qui naît en souvent étalés (ailes), deux infé- # face de la feuille. rieurs rapprochés à angle aigu ORBICULAIRE. Organe aplati et ar- par leur bord inférieur (carène). rondi. PARAPHYSES. Filaments stériles fré- ; Osseux. Qui a la consistance de quemment mèlés aux cellules re- |. l'os. productrices des Cryptogames. OvaiREe. Portion de l'organe fe- PapiLres. Pelits appendices allon- : melle qui contient les ovules. gés, arrondis à l'extrémité. OvaLe. Organe aplati, à contour PAPILLES INVOLUCRALES. Nom ovoïde. donné, dans les Characées, à des Ovoïpe. En forme d'œuf. cellules situées au-dessous des s Ovuze. Portion de l'organe fe- vertieilies des feuilles. melle renfermée dans l'ovaire et PARASITE. Plante qui vit sur une RE contenant la cellule femelle. autre et à ses dépens, ou sur | des matières organiques qu'elle PAILLETTES. Appendices minces, absorbe directement. écailleux, allongés, qui tapissent PARIÉTAL. Placenta inséré sur la le réceptacle de certaines Com- paroi de l'ovaire qui reste unilo- $ posées. culaire. PaLaIs. Portion saillante de la PARIPINNÉ. Feuille pinnée, à fo- gorge des corolles en forme de lioles disposées par paires, sans gueule. foliole terminale impaire. k i PALÉACÉ. Ayant le caractère des PATELLIFORMES (apothécies). Voy. paillettes ou portant des paillet- Lécidéines. ; tes. PAUCIFLORE. Muni de peu de fleurs. ; PALMATILOBÉE. Feuille lobée, à PauctFoLié. Muni d'un nombre lobes disposés comme les doigts restreint de feuilles, de la main. PaucrFoLioLé. Muni d’un nombre PALMATIPARTITE. Feuille partite, restreint de folioles. c'est-à-dire très profondément PEGTINÉE. Feuille pinnatifide, à découpée, à lobes disposés comme lobes étroits, semblables aux les doigts de la main. dents d'un peigne. 5 M + La *- + ; LI XXXII VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES PépaLéE. Feuille dont le pétiole principal se divise en deux branches divergentes qui portent les folioles (Æelleborus niger). PÉDICELLE, Petit axe qui porte la fleur. PÉDONCULE. Axe qui porte la fleur ou le fruit. . PÉDONCULÉ. Pourvu d’un pédon- cule. PELTÉE. Feuille à limbe orbiculaire inséré par le centre sur le som- met du pétiole. Les apothécies des Lichens sont dites peltces quand elles sont larges et sans rebord distinct formé par le thalle. PENNATIFIDE. Syn. de Pinnatifide. PENNATIPARTITE. Syn. de Pinna- tipartite. PENNATISÉQUÉE. Voy. Pinnatisé- quée. PENNÉE. Voy. Pinnée. PENTAMÈRE. À cinq parties. PERFOLIÉE. Feuille dont la base du limbe embrasse la tige de façon à paraitre traversée par cette dernière. PÉRIANTHE. Ensemble des enve- loppes de la fleur. Dans les Hé- paliques, on donne ce nom à un sac ouvert qui enveloppe le pé- dicule de l’urne. En dehors de lui se trouve souvent un ?nv0- lucre formé de feuilles modifiées; en dedans se voit un autre sac duquel sort le pédicule de l'urne, qui représente l’aschégone déchiré et que l’on nomme la coiffe. PÉRICARPE. Partie du fruit formée par le développement de l'ovaire, Il contient les graines. PÉRICHÈSE. Ensemble des feuilles modifiées qui, dans les Mousses, entourent les organes reproduc- teurs, et forment une sorte de fleur. PÉRiDIUM. Portion enveloppante du réceptacle fructifère des Cham- pignons Gastéromycètes, ee NT #T Te Tee es E \ k * Lagr _ ; PÉRIGYNE. Corolle, androcée, in- sérés autour de la base du pistil un peu plus haut et sans rela- tion avec le pistil. Cette inser- tion résulte de ce que le pour- tour du réceptacle se soulève autour de la base du pistil. Dans les Hépatiques, on nomme Péri- gyne un sac qui parfois remplace le périanthe, PÉRISPERME. Tissu d'approvision- nement contenu dans la graine. PÉRISTOME. On donne ce nom, dans les Mousses, à l’ensemble des appendices qui garnissent le pourtour de l’orifice de l’urne ; on le distingue en p. externe et p. interne. PÉRITHÉCIUM. Nom donné dans les Lichens à une portion du thalle soulevée autour des apothécies, PERSISTANT. Organe qui dure plus que ne le font d'ordinaire ses semblables, PÉrALESs. Folioles qui constituent la corolle. PÉTALOÏDE. Qui a l'aspect d’un pétale. PÉTIOLAIRE. Organe qui adhère au pétiole. PÉTIOLE. Portion rétrécie par la- quelle la feuille s’insère, Prep. Portion du réceptacle fructi- fére des Agaricinés, cylindrique, portant le chapeau. PINNATIFIDE. Feuille découpée jus- que vers le milieu du limbe en lobes latéraux, opposés. PINNATIPARTITE. Feuille découpée jusqu'au delà du milieu du limbe en lobes latéraux opposés. PINNATISÉQUÉE. Feuille découpée jusqu'auprès du pétiole en lobes latéraux, opposés. PINNÉE. Feuille composée, à fo- lioles latérales, opposées. Pisriz. Ensemble de l'organe fe- melle des Phanérogames; il est composé d’un sac (ovaire) conte- nant les ovules, surmonté d'une petite colonne (le style) plus ,% € _ VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES ou moins allongée, parfois nulle, terminée par une surface papil- leuse (stigmate, sur laquelle ger- ment les cellules mäles ou grains de pollen. PLACENTA. Portion de l'ovaire qui porte les ovules. PLUMEUX. Poil barbelé comme une plume, PLEeuROCARPE. Se dit des Mousses dont téralement par la tige ou les ra- meaux dont l'accroissement n’est ainsi pas arrêté. PopéciE. Portion rétrécie, pressée, du thalle de certains Lichens au sommet de laquelle se trouvent les apothécies. Porex. Cellules mâles contenues dans l’anthère des Phanéroga- mes. POLLINIQUE (masse). Se dit du pollen à grains agglutinés des Asclépiadacées et des Orchida- cées. POoLLINODE. Syn. de masse pollini- que, dans les Orchidées et les Asclépiadacées. PozyGAMEs. Plantes portant à ja fois des fleurs hermaphrodites et des fleurs unisexuées. POLYMORPHE. Organe susceptible d’affecter des formes variées. PozyPérALE. Corolle à pétales in- dépendants. PorzyPHYLLE. Formé de plusieurs feuilles ou folioles. PoLyséPaLE. Calice à sépales in- dépendants. POLYSPERME. graines. Poncrué. Muni de petites taches, de petites dépressions, de très petites éminences. Port. Aspect général, habitat de la plante. PRÉFEUILLE., Nom donné, dans les Joncacées, à la gaine tubu- leuse qui enveloppe les inflores- cences. PRÉFLORAISON. État de la fleur, Fruit à plusieurs les fruits sont portés la-… XXXHE. rapport de ses différentes parties avant l'épanouissement. PRÉFOLIATION. Disposition des feuil- les dans le bouton. PRÉHENSIBLE. Pétiole capable de s’énrouler autour des objets. PRoEMBRYON. Nom donné, dans les Mousses, à un corps lamelleux (Proembryon lamelliforme) ou filamenteux (Protonéma) sur le- quel naissent par bourgeonne- ment les individus de la généra- tion asexuée. PROTHALLE. Nom donné, dans la description des Cryptogames vas- culaires, à la génération sexuée, cest-à-dire aux individus qui portent les organes reproduc- teurs sexuels, C'est ordinaire- ment une lame verte, plus ou moins développée; mais parfois il est très rudimentaire. PROTONÉMA. Voyez Proembryon. PuoBescenT. Muni de poils courts et mous. Puzpe. Portion succulente du fruit. PuLvÉRULENT. Couvert d’une sorte de poussière. Pycnipes. Organes qui, dans les champignons Ascomycètes, con- tient des cellules reproductrices d’une sorte spéciale, encore peu connues. PyrÉNOCARPÉES. Se dit des apo- thécies des Lichens en forme de cavités ouvertes par un orifice étroit. PYRÉNODINES. carpées. PyrironmME. En forme de poire. Pÿxive. Fruit déhiscent par un couverele qui se soulève et se détache. Quaprr. Préfixe indiquant une di- vision en quatre parties. QuinQue. Préfixe indiquant une di- vision en cinq parties. Racuis. Se dit d'un axe qui porte d'autres axes ou des organes divers (rachis d’une feuille com- posée, rachis d’un épi, ete.). Syn. de Pyréno- XXXIV RAGINE. Portion souterraine des plantes. Rapicaz. Organe émis par la ra- cine. RapicanrTe. Tige qui émet des ra- cines adventives. RaDiecLE. Partie qui dans lFem- bryon représente la racine. On nomme souvunt radicules les branches terminales de la racine. Raptrés. Capitules des Composées formés de fleurs régulières au centre et de fleurs irrégulières, ligulées, à la périphérie. Rampanre. Tige couchée sur le sol. RéÉCEPTACLE, Partie du pédicule ou axe floral sur laquelle sont insé- rés les organes floraux. Dans les Marchantiacées, on nomme réceptacle un plateau pédiculé sur la face inférieure duquel se trouvent les organes reproduc- teurs sexuels, Dans les champi- gnons on nomme réceptacle où mieux réceptacle fructifère , la portion du Champignon qui porte les organes reproducteurs. RÉCEPTACLE FRUCTIFÈRF. Voyez Réceptacle. REDRESSÉE. Tige couthée à la base, puis dressée. Rérzécur.Organe courbé en dehors. RéGuLier. Se dit d'un calice, d’une corolle, d'une fleur, dont toutes les parties sont symétriques el symétriquement disposées. RÉNIFORME. En forme de rein. RéricuLé. Couvert de lignes en- trecroisées en réseau. RÉTINACLE. Petite glande qui sécrèle le liquide par lequel les grains de pollen des Orchidées et des Asclépiadées sont agglutinés. RévoLurTÉ. Enroulé en dehors et en bas. RuizomE. Tige souterraine. RoNGINÉE. Feuille pinnatifide, à lobes aigus, dirigés vers le point d'insertion de la feuille. Rosacée. Corolle à pétales indé- pendants, étalés. RoserTe. Feuilles insérées à la base de la tige, très rapprochées et étalées. Rosrre. Terminaison en forme de bec de certains organes, RoTacÉé. Corolle gamopétale, à tube très court et à limbe étalé. RUDIMENTAIRE. Organe imparfai- tement développé. SAGITTÉ. En forme de flèche aiguë terminée inféricurement par deux prolongements également aigus. SAMARE. Fruit see, indéhiscent, plat et ailé. SARMENTEUX. Plante à rameaux très ‘allongés, grèles, flexibles, s'attachant par des vrilles aux corps voisins. ScaBREe. Organe rendu rude par de très petites aspérités. ScaPpeE. Tige sans feuilles, droite, terminée par des fleurs. SCARIEUX. Organe sec, non vert, mince, translucide. ScorploiDe. Cyme contournée comme la queue d'un scorpion, portant les fleurs sur une seule de ses faces. ScuTELLE. Petit écusson. SCUTELLIFORME. En forme d'écus- son. Voyez aussi Lécanorines. SEGMENT, Portion d'une feuille profondément découpée, SÉMINAL. Qui appartient à la graine ou à l'embryon. SÉMINIFÈRE. Qui porte les graines. SépALEs. Folioles qui forment le calice. SEPTIGIDE. Déhiscence d’un fruit see, pluri-loculaire, caractérisée par le dédoublement des eloi- sons. SEssiLE. Sans support. La feuille sessile est sans pétiole; la fleur sessile est sans pédoncule, etc. Séracé. Ayant la forme et la con- sistance d’une soie de cochon. SiricuLE. Silique plus large que longue. SILIQUE. Fruit à deux fausses loges s'ouvrant en deux valves, qui se séparent de la cloison sur les bords de laquelle s’insèrent les graines. SILIQUIFORME. En forme de silique, SILLONNÉ. Organe muni de sillons dans le sens de la longueur. SIMPLE, Organe non ramifié, non divisé. SINUÉ. À bord découpé en dente- lures arrondies, séparées par des échanerures peu profondes, éga- lement arrondies, SiNUS. Echancrure qui sépare les dents, les lobes, ete. Sores. Appendices grèles, raides et allongés. SorE. Ensemble des parties qui forment l'appareil asexué des Fougères. SorÉDIES, Nom donné, dans les Lichens, à des corpuscules for- més par l'association de quel- ques filaments ou hyphas inco- lores et de quelques cellules vertes ou gonidies. SOUCHE. Portion basilaire, chargée de racines et de feuilles, de cer- taines tiges. SOUS-ARBRISSEAU. Plante à base ligneuse, de petite taille. SOUS-FRUTESCENTE. Plante à base ligneuse, à rameaux herbacés. Soyeux. Couvert de poils fins, mous, brillants. SPADICE. Infloreseence formée d'un axe qui porte à la base des fleurs mäles et des fleurs femelles sé- parées. SPATHE. Grande bractée qui en- toure d'ordinaire les spadices, ou qui enveloppe loute l’inflores- cence de certaines plantes (Oi- gnon). SPATULÉ. En forme de spatule, c'est-à-dire formé d'une partie étroite, allongée, terminée par une lame plus large et arrondie. SPERMATIES. Cellules reproductrices des Lichens, en forme de courts bâtonnets cylindriques. CABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES XXXV SPERMOGONIE. Organe qui dans les Lichens renferme les sper- maties. SPICIFORME. [nflorescence l'aspect d'un épi. SPINESCENT. Organe transformé en épine, SPINULEUX. Muni de petites épines. SPORANGE. Organe en forme de petit sac contenant les spores de certaines Cryptogames. SPORES. Cellules reproductrices asexuées des Cryptogames. SPORIDIES. Nom donné à des spores qui se trouvent à la sur- face des apothécies de certaine Lichens. SPOROCARPE. Nom donné, dans les Champignons Trémellinés, à une portion de la face supérieure du Réceptacle fructifère qui est rugueuse et qui porte l'hymé- nium. SPOROGONE. Parfois employé comme synonyme de sporange. SQUAMIFORME. En forme d'écaille. STAMINIFÈRE, Qui porte les éta- mines. STAMINAL, Qui appartient aux éta- mines. 2 STAMINODE. Etamine stérile, STÉRIGMATE. Petite saillie conique des basides (voy. ce mot), qui porte la spore, dans les champi- gnons Basidiomycètes. STIGMATE. Extrémité papillaire du pistil sur laquelle les grains de polien germent. STIPE. Pied, support. STIPITÉ, Muni d'un pied, d'un sup- port. STIPULES. Appendices foliacés qui accompagnent la base de cer- taines feuilles. STIPULÉ. Pourvu de stipules. STOLON. Rameau couché, produi- sant des racines et des bourgeons ayant susceptibles de vivre indépen- . dants. STOLONIFÈRE. Plante munie de sto- lons. XXXVI STROBILE. Synonyme de cône. STRIÉ. Muni de sillons très peu profonds. STYLE. Portion du pistil qui sur- monte l'ovaire et qui porte le stigmate, SuB. Préfixe signifiant presque. SUBÉREUX. Ayant l'aspect et la consistance du liège. SUBMERGÉE, Plante vivant sous l’eau. SUBULÉ. Organe mince, allongé, cylindrique, terminé en pointe aiguë. SUCCUBES. Dans les Jungerman- niacées on dit que les feuilles sont succubes quand la feuille supérieure recouvre en partie la feuille immédiatement inférieure dont le bord supérieur se trouve caché. SUPÈRE. Ovaire situé au-dessus du point d'insertion des pétales et des étamines, SURDÉCOMPOSÉE. Feuille à pétiole trois fois ramifié. SUTURE. Ligne ordinairement dé- primée répondant au point de jonction des deux valves d’un fruit. SYMBIOTIQUES. Se dit des végétaux formés par l’association de deux sortes de plantes (Lichens), SYNoïquEs. Se dit des Mousses dont les anthéridies et les archégones sont réunis dans une même en- veloppe de bractées ou fleur. TABLIER. Synonyme de labelle, dans la fleur des Orchidées. TERMINAL. Organe qui en ter- mine directement un autre. TERNÉS. Organes disposés par trois. TÈTE, Portion terminale arrondie d'un organe, Voy. Æeusson. TÈTES SECONDAIRES. Voy. Écusson. TÉTRADYNAME. Fleur à six éta- mines, dont quatre grandes et deux petites, TÉTRAMÈRE. Fleur, calice, corolle, à quatre parties. VOCABULAIRE DES TERMES TECHNIQUES" > 2 THALAMIUM . Synonyme, dans la description des Lichens, de Æy- ménium. THaLLE. Ensemble des organes végétatifs de certaines Crypto- games. THÈQUuE (ou asque). Organe en forme de sac contenant les spores des Champignons Asco- mycètes et des Lichens. Tayrse, Nom donné souvent des grappes composées, fusi- formes. TiGe. Portion de la plante qui porte les feuilles et les fleurs. TOMENTEUxX. Organe ,couvert de poils courts, feutrés. TRaAGANTE. Tige qui rampe et pro- duit des racines adventives. Tri. Préfixe indiquant une divi- sion en trois parties. TRIANDRE. Fleur à trois étamines. TRICHOGYNE. Filaments qui,dans les Batrachospermées, surmonte l’or- gane femelle et par l'intermédiaire duquel s'opère la fécondation. TRiGyne. Fleur à trois carpelles. TRIQUÉTRE. Organe à trois faces et trois angles. TRONQUÉ. Organe terminé brusque- ment par une surface plane. Tuséreux. Rhizome irrégulière- ment renflé. TuBErRCULE. Tige souterraine ou racine renflée, arrondie ou ovoïde, très riche en fécule ou en autres substances de réserve. Tunique. Enveloppe membraneuse mince, solide, de certains bulbes, TURBINÉ. En forme de toupie. UNiIFLORE. À une seule fleur. UNILATÉRAL. Organe inséré d’un seul côté de l’axe. UnicocuLatRE. À une seule loge. UNISEXUÉ. A un seul sexe, Univazve. À une seule valve. UrcéoLé. En forme d’outre, à ori- fice étroit. URNE. Sac qui, dans les Mousses, contient les spores. DÉNRR UT ea von VOS ÿ# | “ x urine DES TERMES TECHNIQUES UrricuLe. Sac qui, dans les Carex, enveloppe le fruit, Sacs remplis d'air de certaines plantes aqua- tiques. En général, petit sac. VAGINuLE. Gaine qui entoure la base du pédicelle de l’urne de certaines Mousses. VALLÉCULES. Sillons situés entre les côtes du fruit des Ombelli- fères. VALvES. Parties d'un fruit qui se séparent à la maturité. Souvent chaque valve répond à un car- pelle. VELu. Couvert de poils longs. VERRUQUEUX. Couvert de verrues ou saillies coniques, assez volu- mineuses. VERSATILES. Anthères fixées au filet par un seul point et basculant au moment de la déhiscence. VERTICILLE. Ensemble de parties disposées sur un même cercle. VERTICILLÉS. Organes disposés en verlicilles, c'est-à-dire en un ou plusieurs cercles. VÉSsicuLE. Petite vessie, VÉSICULAIRE. En forme de vessie. Vivace. Plante qui fructifie pen- FLORE DE PARIS. XXXVII dant plusieurs années de suite. Voice. Membrane étalée entre les bords du chapeau et le pied de certains Champignons. VozuBiLE. Tige grèle, allongée, s'enroulant en spirale autour d'un support. Vozva. Membrane qui enveloppe tout le réceptacle fructifère jeune de certains Champignons. VRILLES. Organes grèles et enrou- lables, à l'aide desquels certaines plantes se fixent à d’autres corps. ZOOSPORANGES. les zoospores. ZoosPpores. Cellules reproductrices mobiles, asexuées, de certaines Cryptogames. Elles sont par- fois de deux sortes dans une même plante, les unes moins nombreuses et plus grosses (macrozoospores), les autres plus nombreuses et plus petites (mi- croz00spores). Zycospores. Nom souvent donné aux cellules nées par la conju- gaison (voy. ce mot) de deux autres cellules, Cavités contenant Quelques herborisations aux environs de Paris. Nous ne donnons sous ce titre que quelques herborisations particulièrement intéressantes pour les débutants, parce qu’on y trouve un grand nombre d'espèces communes, et parce qu’il est très facile de les faire en partant de Paris le matin pour y rentrer le soir. Nous n’indiquons, parmi les plantes qu’on peut récolter au cours de ces hebborisations, que celles qui sont rares soit dans les localités elles-mêmes, soit dans les autres régions parisiennes. Il arrive souvent, en effet, qu'une plante, très abondante dans une région limitée, est extrêmement rare dans les autres. Il suffira de consulter le tableau placé à la fin du volume pour avoir une idée exacte des diverses localités dans lesquelles on peut rencontrer toutes plantes assez rares ou rares. LE. — Clamart, Bellevue, Meudon, Chaville, Viroflay. On peut descendre du train à Clamart, gagner les bois et se diriger vers l'étang de Villebon, puis vers les étangs de Chaville, remonter à Velisy et aller prendre le train, le soir, à Viroflay. Les plantes les plus curieuses qu'on trouve dans cette excur- sion sont : Anagalis tenella, Typha latifolia, Sparganium ra- mosum (dans l’ancien étang de Trivaux); Ophioglossum vulga- tum (abondant sur les bords de l'étang du Tronchet); Primula elatior; Lychnis Flos-Cuculli (abondant dans la plupart des endroits marécageux); Carex pallescens, C. hirta, C. pulicaris, C. paniculata (dans les étangs): Oxalis acetosella (abondant autour de l'étang de Trivaux); O. s{ricta (abondant dans les champs secs); Scufellaria Columnæ (introduit dans le bois de Bellevue, où il abonde en un point, près de l'étang du Tronchet); Veronica Pannularia, Heleocharis ovata (près de l’étang de Villebon); Pyrola rotundifolia, dans les bois, près de l’ancienne route pavée de Versailles, à Chaville); Hyperichum pulchrum ' HERBORISATIONS XXXIX (assez abondant dans les parties élevées des bois); Maïanthe- num bifolium (dans les bois, près de Villebon) ; Myosurus minimus (dans les champs, près de Villebon); Batrachospermum monili- forme (tous les ans, au printemps, dans une fontaine près de l'étang de Villebon); Riccia fluituns (abondant dans un petit étang entre Villebon et Chaville); CAlora perfoliata, Bupleurum tenuis- simum (rare dans les bois entre Chaville et Viroflay); Hydro- charis Morsus-ranæ (abondant dans l'étang Vert, à Chaville): Nymphæa lutea (dans les étangs de Chaville), avec Polygonum amphibium. Hydrocotyle vulgaris autour de l'étang de Villebon et de l'étang des Écrevisses, à Chaville. On trouve encore en divers points de cette intéressante région : Ægopodium Podagraria (près d’un mur au-dessus de Bellevue); Paris quadrifolia (dans la même région); Isopyrum thalictroides(près de Velisy),ete. Les étangs et les marais de cette région sont riches en Algues, et les Champignons croissent en abondance dans les bois. II. — Montmorency. On descend à Enghien et l’on se dirige vers Montlignon en visitant le petit bois qui se trouve près du champ de courses. De Montlignon, on gagne le château de la Chasse dont on visite le voisinage, puis on se porte à droite vers les tourbières qui entourent le trou de Tonnerre et qui sont coupées par la route qui monte vers Domont. On visite les tourbières et le trou de Tonnerre, puis on revient soit par Domont, soit par la Croix- Blanche, Blémur et Ecouen. Les principales plantes qu’on peut recueillir sont : Zanichellia palustris (dans un fossé, près d’En- ghien); Anthyllis vulneraria, Tamus communis (dans le bois, près du champ de courses); Callitriche aquatica (dans les fossés qui entourent le bois); Œnothera biennis (assez abondant près du champ de courses). Dans les champs jusqu’à Montlignon : Myosurus minimus, Linaria vulgaris, Lithospermum arvense, Herniaria glabra, ete. Près du château de la Chasse : Allium ursinum (très abondant derrière le château, au bord d’un ruis- seau) ; Carex marima (dans les fossés du voisinage); Eriopho- rum latifolium (dans les tourbières au-dessus du château), avec Orchis coriophora, Erica letralix (rare dans les bruyères au-dessus des tourbières) ; Blechnum spicant (abondant dans un fossé au delà des tourbières, sur le bord d’une petite route qui descend vers la grande route de Domont). Près du trou de Tonnerre, on trouve en abondance : Ophioglossum vulgatum, Allium ursinum, Iris pseudoacorus, Valeriana dioïca et offici- nalis, divers Cirsium, etc. Au-dessus du trou de Tonnerre, dans XL HERBORISATIONS les tourbières, entre la route qui monte à Domont et celle qui monte à la Croix-Blanche, on voit en abondance Osmunda regalis. Dans le fossé de la route de Domont, on récolte le Drosera rotundifolia, qui y est abondant au-dessus d’une mare servant de lavoir; plus haut, avant d’arriver à Domont, on cherchera dans le bois le Drosera rotundifolia, qui est extrême- ment rare; il existe aussi-près de la route montant du res- taurant du château de la Chasse à la Croix-Blanche. Derrière la Croix-Blanche, on trouvera en abondance Primula elatior, Phy- leuma spicatum, Gnaphalium dioïcum. Dans toute la forêt de Montmorency, on trouvera en abondance Mespilus germanica, Rhamnus Frangula, cathartica (moins abondant), Vaccinium Myrtillus, Asperula odorata, etc. En revenant par Ecouen, on trouve, sur les murs d'enceinte du château de Blémur, Scolo- pendrium officinale. Dans le bois d'Ecouen : Paris quadrifolia, Carex maxima, Ophris myodes, Cornus mas, Sambucus nigra, Vinca minor, Ornithogalum pyrenaicum, Asper ula odorata, Iris fœtidissima, Callitriche aquatica, eic., sont abondants; Hel- minthia Echioïdes y est rare. Les mares, ruisseaux, fossés, de toute la région située entre Montlignon, le château de la Chasse et Ecouen sont riches en Algues. III. — Isle-Adam, forêt de Carnelle. On descend du train à L’Isle-Adam, on visite les parties basses derrière L’Isle-Adam, on gagne le haut de l’avenue qui conduit à Presle, on se dirige vers Presle, on entre dans la forêt de Carnelle près des cressonnières, derrière le château de Presle, on traverse la forêt, on va reprendre le train à Viarmes. Dans les parties basses, Carex maxima et Mari, Thalictrum minus et flavum. Dans les bois, près de l’abbaye de L’Isle-Adam, Do- ronicum Pardalianches, au-dessus de L’Isle-Adam, près de la grande route de Presle, sur le bord des carrières : Thesium humifusum, Satyrium hircinum, Orchis Simia, galeata, divers Ophris, etc. La région située au-dessus de L’Isle-Adam, en haut de la grande avenue, est très riche en Orchidées. Sur le bord de la route de Presle : Euphorbia gerardiana, Campanula per- sicæfolia, Saponaria officinalis, etc. Dans la forêt de Carnelle, un grand nombre de champignons. LV. — Mortefontaine. Ermenonville. On descend à la station de Survilliers, on se rend à Morte- fontaine, on traverse le parc si possible,et on étudie avec soin æ HERBORISATIONS XLI 4 - la flore des bords du lac et celle des marais voisins. On y trouve : Drosera rotundifolia et D. longifolia, Epilobium pa- æ lustre et spicatum, Impatiens noli-tangere, Juncus squamosus, Naias minor, Pinguicula vulgaris, Utricularia minor, Potamo- geton fluitans, Salix arenaria, Pedicularis palustris, Potentilla splendens, etc. On traverse le bois, puis le désert et l’on visite les bords du lac d'Ermenonville, d'où on regagne la gare de Le Plessis-Belleville ; on trouve dans le voisinage d'Ermenonville : Teucrium chamaædris, Geranium sanguineum, Ranunculus gra- mineus, Vaccinium Myrtillus, Scleranthus perennis, etc. V. — Bouray. Lardy. On descend à la gare de Bouray, on fait le tour du château du Mesnil, près duquel on trouve, au sommet de la colline : Botrychium lunaria, Thesium humifusum, Helianthemum fuma- ria, Ophris anthropophora, apifera, arachnites, Geranium luci- dum, Ononis columnaæ, Trifolium rubens, Alsine segetalis, Lych- nis viscaria, Anemone Pulsatilla, Globularia vulgaris, Satyrium hircinum, Cardunculus mitissimus et un grand nombre d’Or- chidées plus ou moins rares. On descend à Lardy, on visite les bords de la petite rivière de la Juine, puis le bois, par- ticulièrement le voisinage de la tour de Pocancy. On trouve : Carez paradoza, Ceterach officinarum, Hippuris vulgaris, Limo- dorum abortivum, Myosotis stricla, Peucedanum cervaria, Vale- rianella eriocarpa, Sedum lucidum, etc., on revient par la gare de Bouray. VI — Charenton. Bords de la Marne. Saint-Maur. Joinville-le-Pont. On descend à Charenton, on visite les bords de la Marne et du canal, la plaine de Saint-Maur, on revient par les bords de la Marne à Joinville-le-Pont; on trouve dans cette excursion : Allium scorodonium, Amini majus, Anchusa italica, Anthyllis vulneraria, Bidens cernua, Cochlearia Draba, Cucubalus bacci- * fer, Limosella aquatica, Lepidium latifolium, Rumex palustris, Glyceria fluitans, Villarsia Nymphoïdes, etc. Sisymbrium supi- num, Ammi glaucifolium, majus, etc. VII. — Fontainebleau. L'une des herborisations les plus intéressantes à faire à Fontainebleau est celle de Franchart. On peut partir de Bar- XLIL HERBORISATIONS bizon le matin, se diriger à travers la forêt vers Franchart, dont on explore les mares et les rochers, puis on revient par le champ de manœuvres. Les autres localités les plus importantes à visiter dans la forêt de Fontainebleau, sont : Bellecroix, le mont Merle et le Mail Henri IV, le bois de la Madeleine, etc. Les plantes les plus importantes de ces diverses localités sont : à Franchart, Sorbus latifolia, Sagina nodosa, Batrachium tripar- litum, etc.; au champ de manœuvres : Scabiosa suaveolens; à Bellecroix, Ranunculus nodifiorus, Bulliarda Vaillantii, Elatine hexandra, Helosciadum inundatum, Elodes palustris, Euphorbia Esula, Ilecebrum verticillatum, Montia fontana, Tillæa muscosa, Scirpus fluitans, Asplenium lanceolatum, Sedum villosum, ete. au mont Merle et au Mail Henri IV : Thalictrum minus, Sesleria cærulea, Amelanchier vulgaris, Hypochæris maculata, Ranun- culus gramineus, Sorbus latifolia, Helianthemum umbella- tum, etc.; au bois de la Madeleine : Euphorbia dulcis, Carex digitata, etc. EXPLICATION DES ABRÉVIATIONS ET DES SIGNES MIOP A, 2 ce Floraison. En 17 NRA ME Fructification. Ho belkin Habitat. DER TIR UE : Plante annuelle. PERS sv ec Plante bisannuelle. EL. RER ERP . Plante vivace. FREE .. Arbrisseau ligneux ou arbre. SPP SRE ONE Potasse (dans la description des Lichens). SMS ARTE Hypochlorite de chaux. (K—C—) indique que ni la potasse, ni l’hypochlorite de chaux ne font changer la couleur du Lichen. (K jaune C rouge) indique que le Lichen devient jaune quand on le traite par la potasse et rouge par l’hypochlorite de chaux. ERRATA Page 643, n° 3, n° 4 et n° 5, au lieu de Hypochlerite de soude, lisez : Hypochlorite de chaux. Page 645, n° 1, au lieu de Hypochlorite de soude. lisez : Hypochlorite de chaux. Page 648, n° 12, au lieu de (K—C), lisez : (K—C—). Page 648, n° 14, au lieu de (K—C), lisez : (K—C—). Page 690, {re colonne du tableau, au lieu de Onopordum, lisez : Petasites. Page 763, 1re colonne, au-dessus du mot Spiranthe, ajoutez : Satyrium hircinum (Zoroglossum hircinum Pac, Aceras hircina LinpL). Page 817, 1r° colonne, au-dessus du mot Arehidium, placez le mot : CLEISTOCARPES. Page 818, 4r° colonne, au-dessus du mot Andræa, placez le Mot : SCHISTOCARPES, Page 818, 1re colonne, au-dessus du mot Sphagnum, placez le mot : SPHAGNACÉES. Page 819, 4re colonne, au-dessus du mot Jungermanniacées. placez le mot : HÉPATIQUES. Page 888, au lieu de Cyphula, lisez : Typhula. CL? ps _FLORE DE PARIS DIVISIONS PRINCIPALES DU RÈGNE VÉGÉTAL Le règne végétal se divise assez naturellement en deux grands Embranchements ou Phylums : A. Plantes pourvues de fleurs véritables. Em- bryons munis de cotylédons.....,.,....., Phanérogames. B. Plantes dépourvues de fleurs véritables, Embryons sans cotylédons ......, sens... Cryptogames. Phylum I. — PHANÉROGAMES. Toutes les Phanérogames se multiplient à l’aide de graines constituées par un embryon qui présente, d'habitude, à l’état rudimentaire, les trois parties essentielles de la plante : uüne tige, une racine et des feuilles, et qui est souvent accompagné d’un tissu formant provision de matières alimentaires, l’albu- men. Dans la majeure partie des Phanérogames, les organes reproducteurs se développent au milieu de feuilles transformées, presque toujours colorées et très visibles, formant par leur ensemble une fleur. Les Archispermes et quelques Dicotylé- dones apétales ont cependant des fleurs très rudimentaires, mais encore suffisamment développées pour permettre de distinguer toutes les Phanérogames des Cryptogames. Les Phanérogames se subdivisent en deux grands rameaux : a. Endosperme ne se développant qu'après la fécondation. Feuilles véritables. Ovules toujours très manifestement enveloppés d’un ovaire (angiospermes)................. Métaspermes. b. Endosperme se formant avant la fécondation comme dans les Cryptogames vasculaires. Feuilles remplacées par de simples aiguilles. Ovules considérés par beau- coup de botanistes comme dépourvus d’ovaires (gymuo- nr a ne des o2 de du Ve ANR UE Fe Archispermes. FLORE DE PARIS. 1 MÉTASPERMES Le) Rameau I. — MÉTASPERMES ou ANGIOSPERMES Les Métaspermes sont plus souvent nommées Angiospermes, parce que leurs M à toujours logés dans un ovaire formé d’une ou plusieurs feuilles florales modifiées, désignées sous le nom de carpelles. Il existe toujours des fleurs véritables, com- posées, d'habitude, d’un premier verticille extérieur, le calice, d’un deuxième, la corolle, habituellement coloré, d’un troisième, l'androcée, formé par l’ensemble des organes mâles ou éfamines. Ces dernières sont terminées dans le haut par une anthère à une ou plus souvent deux loges qui contiennent les cellules mâles (grains de pollen). Le quatrième et dernier verticille de la fleur, gynécée, est formé de carpelles en nombre variable, indé- pendants ou connés et formant une cavité, l'ovaire, qui con- tient les ovules. L'ovaire est surmonté d’un stigmate sessile ou porté par un pédicüle, le style. C’est sur le stigmate que les grains de pollen germent et produisent un {we pollinique qui va jusque dans se féconder la cellule femelle contenue dans l’ovule. Après la fécondation, la cellule fêmelle se seg- mente pour produire l'embryon, et autour de ce dernier il se forme un albumen ou tissu qui le nourrit et qui tantôt est ab- sorbé entièrement pour son développement, tantôt persiste dans la graine. Tous les membres de la plante sont bien dis- tincts; les feuilles sont, très habituellement, des lames aplaties, et les rameaux foliaires ou floraux naissent presque toujours dans leur aisselle. L’embranchement des Métaspermes se divise en deux ra- meaux : Le . Embryons pourvus de deux cotylédons. Feuilles Re d’une nervure principale, médiane, longi- tudinale, de laquelle partent des nervures latérales near ete dure ON .... Dicotylédones. 2. Embryons pourvus d’un. seul cotylédon. Feuilles à nervures principales toutes longitudinales et pa- TERRE ER eee aan e mien ses e SE <......... Monocotylédones. 97 À. — DICOTYLÉDONES. Embryon pourvu de deux cofylédons ou feuilles primaires. Trois ordres : 2.LFlenis. sans corolle .…,.:2.421.....40 RE Ne 7 ER b. Fleurs pourvues d’une corolle à divisions indépendantes. ialypétales |1,4 c. Fleurs FROBTRES d'une corolle à divisions plus ou moins FOTOS ON MS came Ne bn eee de do ser CS ...... Gamopétales. OPUS, FLORE DE PARIS a. — DICOTYLÉDONES GAMOPÉTALES Emiryon pourvu de deux cotylédons. Corolle à divisions plus ou moins connées,. Deux sous-ordres : et . Réceptacle convexe. Corolle et étamines 1 ées au-dessous de la base de l'ovaire (hypog eu Ovaire tout à fait indépendant du réceptacle. . Réceptacle plus ou moins concave, tantôt enve- loppant l'ovaire sans y adhérer, tantôt se déve- loppant de manière à former une partie ou la totalité des parois ovariennes. Corolle et étamines insérées au-dessus de la base (périgynes) ou même au-dessus du sommet de l’ovaire (épigynes) 1..... Lo (Gr. hypogynes. G. péri- ou epigynes. a. — GAMOPÉTALES HYPOGYNES Corolle gamopétale. Réceptacle convexe, à base toujours située plus bas que le centre. Calice souvent gamosépale. Éta- mines souvent inséréés sur le tube de la corolle et presque toujours en altérnance avec les divisions de cette dernière TABLEAU DISHOTOMIQUE DES FAMILLES GAMOPÉTALES HYPOGYNES Ovaire uniloculaire, formé de deux ou plusieurs ACER EL Us a cé dune Ve dx an Ovaire bi- ou pluriloculaire........ Ovaire uniloculaire, formé de deux ou plusieurs carpelles, à ovules insérés sur les parois de l’ovaire ou sur son fond non soulevé......... Ovaire uniloculaire, formé de plusieurs car- pelles, à ovules insérés sur la portion centrale du réceptacle faisaut saillie au centre de l’ovaire sans adhérer à $es parois (placentation cen- DÉMO es ane ohe ee nd UD sut 0 è La Fleurs Éniieres Etamines en même nombre 3 que les lobes de la corolle et opposées à ces DA OOERIBRSR ES 16 dem me an dd eme» ne « cite Fleurs irrégulières. Corolle bilabiée. Étamines 2 Ovaire uniloculaire, contenant un seul ovule.. Ovaire uniloculaire, présentant deux ou plu- sieurs placentas pariétaux portant chacun plu- sieurs ovules rs ation ee FRE 5 IMAIVIS: rene Re *) Ovaire uniloculaire, ‘’uniéwulé, surmonté ‘de 3 NA UE ET OT FÉES Lis Fleurs régulières ou à peu près rs encio à Ba corolle jamais bilabiée..... MC CRORE Fleurs très irrégulières, à corolle toujours bi CEE er 0 CT TP CPP Primulacées. Lentibulariées. 5 ô Globulariées. Plombaginées. (Gentlianaceées. Orobancheées. 1. Tous les intermédiaires existant entre les gamopétales à étamines périgynes et les gamopétales à étamines épigynes, il est impossible de séparer les deux formes. 4 GAMOPÉTALES HYPOGYNES Ovaire biloculaire, formé de 2 carpelles indé- pendants u l'état adulte... Tea 8 Ovaire 2-, 4-, 5- loculaire, à carpelles intime- 7:) ment re à l’état adulte. Ovules insérés au centre de l’ovaire dans l’angle interne des loges (placentation axile)...:......:....... SAS Ds an) Anthères adhérentes au style. Grains de pollen 8 unis En Massés. ; 2e cn 0 CARRE Asclépiadacées. *) Anthères indépendantes du style. Grains de Per len distincts... ... BRAS sante 00 ER «es. Apocynacées. Ovaire à plus de 2 carpelles et plus de 2 Loeb: 10 9 Ovaire à 2 carpelles, à deux loges, dont L chacune se subdivise ou non en deux fausses _ loges par une cloison verticale..... » dan ee HP U 10 Re hrs -Fre Dat-ne Site PR EL Li | 4 Gitsa”rD l6ebs. 7: Sr soupete sstée sûe.e, : ETiCACÉES: 1 Ovaire à 2 carpelles, à 2 loges : non subdivisées. Exit hioonlaire 2... Gérer a 12 il Ovaire à 2 carpelles et à 2 loges se subdivi- ‘[ sant chacune en deux fausses loges par des cloisons longitudinales. Fruit composé de qua- tre nucules représentant chacun une des fausses 17 IBERS REus AS Sr eie creNer te ADS RER Fleurs régulières ou à peu près régulières, à 12 | corollejamais bflabiée :, ....5.4.. 0052000 13 *) Fleurs toujours irrégulières, à corolle habituelle- ment bilabiée. 4 étamines 1. ................ Scrofulariacées. 13) Deux étamines (corolle parfois absente). int .. Oléacées. ‘| Quatre ou cinq étamines....,..... Lo 4 RES 14 Corolle à limbe indivis, 5 orne PA Convolvulacées. | Corolle à limbe nettement divisé en 5 (rare: ment'4) lobes... 2 MAL SOL UUIS .TERENRE 15 Plantes RRRUTR , Sans feuilles, munies de 15. | SAOMIPRS 3 22 «Jus Pros entr sn SRE ..... Cuscutées ?. Plantes non parasites, feuillées, sans suçoirs.. 16 16 Calice et corolle à 4 divisions. ñ étamines..... Plantaginées. ‘| Calice et corolle à 5 divisions. 5 étamines..... Solanacées. Fleurs régulières ou presque régulières. 5 éta- 17 | mines. Feuilles alternes. ............. Borraginacées. Fleurs irrégulières, plus ou moins bilabiées . Petlies nhppsées... ve een te le, 48 SIC SYNONANIQUE - . : «4 case eee sas DAMIEDES ‘| Style terminal........ OR AE Lo Verbénacées. FAMILLE 1. — SOLANACEES. Caractères constants %. — Fleurs régulières, hermaphrodi- 1. Les Verbascum seuls ont cinq étamines. 2. Nous en faisons une simple tribu de la famille des Convolvulacées. 3. Je ne parle bien entendu que des caractères des espèces de la famille des Solanacées qui existent dans les environs de Paris. La même remarque, faite ici une fois pour toutes, s'applique à toutes les familles dont il est question dans cet ouvrage. mise lite ut … te ua AE RSS +: «| SOLANACÉES D tes. Réceptacle convexe. Périanthe double, pentamère. Calice gamosépale. Corolle gamopétale. Etamines connées par la base de leurs filets avec le tube de la corolle. Anthères biloculaires. Ovaire ordinairement biloculaire, à loges pluriovulées. Pla- centation axile. Ovules anatropes. Graines albuminées. Feuilles alternes, sans stipules. Odeur vireuse. Affinités 1. — Les Solanacées sont très voisines des Scrofu- lariacées dont elles se distinguent par leurs fleurs régulières et leur androcée pentamère. Elles sont également très voisines des Apocynacées, qui n’en diffèrent guère que par leurs feuilles opposées, et des Convolvulacées, qui ne s’en distinguent que par leur ovaire à loges biovulées. Deux tribus : Fruit charnu, indéhiscent...,............ men sr ne RS Atropées . Fruit sec, déhiscent....,...... er, ARS AE PROESS Fe Daturées. Tribu I. — ATROPÉES. Fruit charnu, indéhiscent. Calice vésiculeux, enveloppant le fruit........... .. Physalis. Calice n’enveloppant pas le fruit....... Re OT 22 2 Anthères déhiscentes par des pores terminaux..... Solanum. Anthères déhiscentes par des fentes longitudinales. 3 RUE NE UT ERP RENE ET ES ET Lycium. | Plante herbacée ou sous-arbrisseau non épineux.... 4 Baie succulente à la maturité. Plante herbacée...., 5 Baie à chair mince, creuse à la maturité. Sous-ar- PERRIER. 122000 se due sa de .. Capsicum. Baie noire à la maturité, de la grosseur d’une cerise. Atropa. Baie rouge à la maturité, grosse comme un œuf au RE ER ET dun ee RE RL Le BR TE CCE Lycopersicum. SOLANUM T. — Calice gamosépale, pentamère, persistant, peu ou pas accrescent, non vésiculeux. Corolle rotacée ou campanulée-rotacée. Anthères conniventes, déhiscentes par des pores terminaux. Ovaire biloculaire, à loges pluriovulées. Baie charnue et succulente, de taille très variable, polysperme. Fleurs blanches ou violettes. Feuilles alternes, simples ou pinnatisé- quées. LS 5 d: Plante sarmenteuse.......... bia dau S. Dulcamara L. Plante herbacée.. ......... REMOTE ee PA { Rameaux souterrains tuberculeux,............,... S. tuberosum L. | Pas de rameaux souterrains tuberculeux...... BAIE LE 3. Fruit noir à la maturité, de la grosseur d’un pois... S. nigrum L. Fruit violet à la maturité, beaucoup plus gros...... S. Melongena L. . Avec les familles représentées dans la Flore de Paris. 6 GAMOPÉTALES HYPOGYNES S. Dulcamara L. (Douce amère, Morelle grimpante). — Fleurs violettes, disposées en petites cymes ramifiées, rendues très ir- régulières par lentrainement des rameaux; inflorescences elles- mêmes entrainées bien au-dessus de la feuille dans Paisselle de laquelle elles naissent. Calice peu développé, à cinq lobes courts, triangulaires. Corolle rotacée, à lobes munis chacun à la base de deux glandes..Baies de la grosseur d’un pois, ovoïdes, Fig. 1. — Solanum Dulcamara. Rameau. Kio, 2, — Solanum Dulca- mara, Fleur. rouges à la maturité. Feuilles les unes simples, cordées à la base, ovales-acuminées, les autres trifoliolées. Tige longue d’un à deux mètres, sarmenteuse, ramifiée, cannelée. — Flor. : juin- septembre. — Habit. : haies, bords des fossés, bois humides. Commune. 7. La tige est d’abord amère, puis douceâtre, d’où le nom de la plante. On l’'emploie en décoction comme dépurative. On en a retiré de la dulcamarine et de la solanine. Les fruits sont vomitifs et considérés même comme toxiques. a S. nigrum L. (Morelle noire, Bonbon noir). — Fleurs petites, blanches, en cymes pauciflores, ombelliformes, courtement pé- donculées. Calice très petit, à lobes triangulaires. Corolle rota- cée, à lobes ovales, aigus. Baie globuleuse, ordinairement noire, de la grosseur d’un pois. Feuilles simples, ovales, à peu près slabres ou plus ou moins velues. Tige haute de 40 à 50 centim., dressée, ramifiée. — Flor. : juin-octobre. — Habit. : voisinage sé déèet SOLANACÉES 7 des habitations, lieux cultivés, décombres, bords des routes. Commune. (4) La Morelle noire est considérée comme toxique; elle contient de la solanine. On s’en est servi autrefois pour faire des cataplasmes calmants que l’on’appliquait sur les ulcères, les cancers, ete., et pour préparer des décoctions usitées contre les hémor- rhoïdes ; sa décoction passe pour faire dilater la pupille, à la manière de la belladone, mais à un moindre degré. S. tuberosum L. (Pomme de terre.) — Fleurs blanches ou violacées, grandes, en cy- mes corymbiformes terminales ou latérales, longuement pé- donculées. Calice grand, velu, à divisions lancéolées, un peu accrescent. Corolle rotacée, à lobes très courts. Baies succu- lentes, de la grosseur d’une cerise, violacées ou jaunâtres à la maturité. Feuilles pinnatiséquées, à segments très inégaux. les grands alternant avec de très petits. Tiges aériennes dressées. Rameaux hauts de 30 à 60 centim. Rameaux souterrains ren- flés en tubercules très riches en amidon. — Flor. : juin-septem- bre. — Habit. : cultivé dans les jardins et les champs ; origi- naire de l'Amérique du Nord. 7”. Fig. 3. — Solanum nigrum. Rameau. Le tubercule de la Pomme de terre est un aliment féculent de premier ordre. Son amidon est en grains souvent arrondis quand ils sont de petite taille, toujours elliptiques, avec le hile à une extrémité, quand ils sont de grande taille. Oa en prépare une eau-de-vie à laquelle l’alcoo! amylique, ou alcool de pommes de terre, fusel oil des Anglais, donne une odeur et une saveur désagréables et des propriétés toxiques. Les parties vertes de la plante et la partie externe des tubercules contiennent de la solanine. La fécule de pommes de terre et le tubercule râpé font d’excellents cata- plasmes, retenant longtemps leur humidité. Les parties vertes sont consi- dérées comme légèrement calmantes ; on a fait usage de leur deécoction et d’elles-mêmes en cataplasmes pour calmer certaines douleurs. Les fruits passent pour être toxiques. S. Melongena L. (Aubergine). — Fleurs blanches, purpu- rines ou violacées, grandes, habituellement solitaires. Pédoncule floral et calice munis de quelques aiguillons courts. Fruit charnu, de la grosseur d’un œuf au moins, arrondi ou allongé, oblong, atteignant jusqu'à 20 centimètres de long, violet, lisse, parfois jaune, à chair blanche et à graines aplaties, très nombreuses. Feuilles simples, ovales, sinuées, cotonneuses. Tige haute de 30 à 50 centim,, herbacée, dressée. — Flor. : 8 GAMOPÉTALES HYPOGYNES juin-septembre. — Habit. : originaire des pays chauds; cultivé dans les jardins. Le fruit de l’Aubergine est comestible. On le mange cuit. La plante ne jouit d'aucune propriété médicale connue et n’a jamais été employée à aucun usage. Elle ne croit que difficilement dans les jardins des environs de Paris, mais on la cultive beaucoup dans le midi de la France. o PHYSALIS L. — Calice vésiculeux, s’accroissant en même temps que le fruit, qu’il enveloppe entièrement à la maturité. Corolle campanulée-rotacée. Anthères déhiscentes par des fentes. longitudinales, conniventes avant la déhiscence. Baie bilocu- laire, colorée en rouge orangé à la maturité. P. Alkekengi L. (Alkékenge, Coqueret). — Fleurs blanchä- tres, avec la gorge de la corolle verdâtre, solitaires et oppositi- foliées. Calice accrescent en une très vaste vésicule, rouge à la maturité, ombi- liquée à la base. Baie globuleuse, rouge, lisse, de la grosseur d'une cerise. Feuil- les simples, entières ou sinuées. Souche vivace, rhizomateuse , ramifiée ; tige aérienne haute de 40 à 50 centimètres, dressée , anguleuse, finement pubes- cente. Flor.: juin-septembre. — Habit. : champs cultivés. Assez commun. Ÿ. Fontainebleau, Compiègne, etc. De | Les baies de l’Alkékenge sont aigrelettes. Eles sont comestibles. Elles étaient autrefois employées par les médecins contre la gravelle, l’ictère, l’hydropisie. Elles sont rafraichissantes et légèrement diurétiques. Les baies desséchées donnent une poudre amère qui a été employée contre la goutte (Pilules antigoutteuses de Laville) associée au silicate de soude. On a extrait de cette poudre un principe actif, la physaline. Les feuilles ont été employées en cataplasmes émollients et sédatifs, , Fig, 4, — Physalis Alkekengi. Fruit. ATROPA L. — Calice accrescent, étalé autour du fruit mûr. Corolle campanulée, à cinq lobes courts. Etamines à peu près incluses, à anthères non conniventes, déhiscentes par des fentes longitudinales, à filets insérés sur le tube de la corolle. Baie succulente, biloculaire. Feuilles simples. A. Belladona L. (Belladone). — Fleurs grandes, pédicellées, un peu penchées, colorées en violet pourpre foncé, veiné de brun, solitaires ou géminées au niveau des feuilles. Calice pro- fondément découpé en cinq lobes verts, pubescents, beaucoup plus courts que la corolle, accrescents autour du fruit. Corolle x campanulée, rétrécie à la base, pubescente, divisée en cinq SOLANACÉES Fig. 5. — Atropa Belladona. Fig. 6. — Atropa Belladona. Fleur, Fleur (coupe longitudinale). Nacre Fig, 7. — Atropa Belladona. Sommité fleurie. Fig. 9. — A/ropa Belladonae Fruit (coupe longitudinale). Su) Lé Fig, 8. — Alropa Belladona. Fruit. 10 | GAMOPÉTALES HYPOGYNES lobes courts, arrondis et réfléchis en dehors. Baie de la gros- seur d’une cerise, d’abord verte, puis rouge et enfin noire, lisse, très succulente. Feuilles simples et entières, géminées par entrainement, glabres ou finement pubescentes, ovales, acumi- nées, atténuées à la base en un pétiole court. Souche vivace. épaisse, charnue, ramifiée, un peu tracante. Tiges aériennes dressées, charnues, ramifiées, à rameaux entrainés. — Flor. : juin-août. — Habit. : lieux frais, bois montueux. Assez rare. Forêts de Marly et Chantilly, forêt de Villers-Cotterets, où elle est abondante ainsi que dans l'Oise. Les feuilles et les souches de la Belladone sont employées en médecine et servent à l'extraction de l’afropine. Les feuilles servent à la préparation de l'extrait et de la teinture de belladone. L’atropine est employée surtout pour provoquer la dilatation de la pupille. L’extrait et la teinture sont des calmants puissants. Toutes les parties de la plante sont puissamment toxi- ques, Les baies, à cause de leur ressemblance avec des cerises et de leur saveur douceâtre, ont causé un très grand nombre d’empoisonnements, d’or- dinaire mortels. CAPSICUM L. — Calice très petit. Corolle rotacée. Anthères conniventes, déhiscentes par des fentes longitudinales. Baie x > SE Fig. 48. —S. # officinale, Fleur. - ÿ Fees S. offici- nale. Fleur coupe longitudinale. Fig. 47, — Symphytum officinale. Sommité fleurie. S. officinale L. (Grande Consoude). — Caractères du genre. Fleurs violacées ou blanchâtres. Feuilles rudes, hérissées, les 32 GAMOPÉTALES HYPOGYNES basilaires ovales-lancéolées, atténuées en un pétiole allongé, les caulinaires lancéolées, sessiles, longuement décurrentes. Tige hérissée, charnue, anguleuse, haute de 60 centimètres à 1 mètre. — Flor. : mai-juin. — Habit. : prairies humides, bords des fossés. Très répandue. ‘ La Grande Consoude est employée comme émolliente et béchique. Sa racine est épaisse, charnue, riche en mucilage. Les nourrices l’emploient contre les gerçures du mamelon; elles creusent une racine fraiche, épaisse, en forme de dé et introduisent le mame- lon dans cette cavité. La douleur est rapidement calmée et les gerçures ne tardent pas à se cicatriser. Les fleurs sont employées à la préparation d’in- fusions émollientes, béchiques et dia- LL 277 phorétiques. dents par sa corolle infundibuli- forme à gorge ouverte, pourvue d’écailles très petites ou indistinc- û () () LITHOSPERMUM T.— Se dis- tingue de tous les genres précé- je tes et remplacées par des lignes Fig. 50. — Lithospermum saillantes de poils. Nucules à sur- officinale. Corolle coupée. face basilaire plane, sans rebord Sillant. Fleurs petites en cymes terminales, feuillées. Feuilles simples. 1 Nucules tuberculeux..... re A To L. arvense L. JeNncules lisses :luisants#... er 0e 2 Corolle petite, blanchâtre.....,......... .. ZL. officinale L. ‘| Corolle grande, bleue........ ARR ANA - L. purpureo-cæruleum L. Les graines des espèces de ce genre, surtout celles du Z. officinale con- nues sous le nom de Grémil, Herbe aux perles, étaient autrefois considérées comme jouissant de la propriété de faire résoudre les calculs; cette opinion venait de leur dureté, qui est très grande. Quelques auteurs les considè- rent comme diurétiques; ils attribuent les mêmes qualités aux parties her- bacées de ces plantes. PULMONARIA T. — Corolle à tube infundibuliforme assez allongé, à lobes suborbiculaires, à gorge sans appendices, munie seulement de cinq bouquets de poils. Nucules lisses, à base étroite, entourée d'un rebord saillant, Fleurs en cymes courtes, terminales. Feuilles simples. P. officinalis L. (Pulmonaire, Herbe au lait de Notre- Dame). — Caractères du genre. Fleurs assez grandes, d’abord rouges, puis violettes et bleues. Feuilles à poils peu rüdes, souvent tachées de blanc, les radicales longues, ovales, atté- nuées en pétiole, les caulinaires sessiles et amplexicaules. Tige & QU in a Le ge où het (Elle ORPTT PIRE En a Ce OX él Fo ARE ER LL AR TA és 1 CE nd Le “all M EE PET ET | A 59." $ UE + : : ÈS rt à L É < | - x BORRAGINACÉES RS haute de 20 à 40 centimètres, non ramifiée, velue. — Flor, avril-juin. — Habit. : buis- sons, bois. Répandue. 7”. Les feuilles sont émollientes; on les emploie dans les campa- gnes contre toutes les maladies pulmonaires ; elles doivent leur réputation aux taches blanches qu’elles portent et qui leur fai- sait attribuer par les anciens une ressemblance avec le poumon malade. LYCOPSIS L. — Se dis- tingue de tous les genres précédents par le tube de sa corolle, qui est infundi- buliforme, allongé et forte- ment coudé sur le milieu de sa longueur; la gorge est munie de cinq écailles poin- tues. Nucules rugueux à base pourvue d’un rebord saillant. Fleurs petites. Fig.51.— Pulmonaria Fig. 52, — P. officinalis. Fleur. officinalis. Co- rolle coupée. L. arvensis L. (Petite Buglosse). — Cas ractères du genre. Fleurs bleues en cymes terminales. Feuilles hérissées, lancéolées, les inférieures constamment atténuées en pétiole, les supérieures sessiles, un peu am- plexicaules. Tige haute de 25 à 50 centimètres, dres- sée, ramifiée, hérissée. — Flor. : mai-octobre. — Habit. : bords des che- mins, champs. Répan- due. @). Cette plante jouit des mê- mes propriétés que la Bour- rache et la Buglosse, et est souvent employée à leur place. ECHIUM L. — Se dis- tingue de tous les autres genres de la famille par sa corolle subbilabiée, à - Fig. 54. Fig. 53. — Lycopsis 47- gorge largement ouverte Æchium officinale vensis. Sommité fleurie, FRERE Fleur. E. vulgare L. (Vipérine). — Caractères du genre. Fleurs 24 GAMOPÉTALES HYPOGYNES bleues, en larges grappes terminales, feuillées. Feuilles héris- sées de poils très longs et très durs, lancéolées, les inférieures atténuées en pétiole. Tige hérissée comme les feuilles, haute de 30 à 80 centimètres, robuste, ne portant que des rameaux flori- fères. Flor. : juin-septembre. — Habit. : bords des routes, champs, décombres. @). Très commune. La Vipérine jouit des mêmes propriétés que la Bourrache, mais est beau- coup moins employée, Tribu II. — CYNOGLOSSÉES. x Nucules rapprochés au centre et fixés à un prolongement central du réceptacle par une surface allongée. i | Corolle à gorge dépourvue d'écailles .....,....... . Îleliotropium. Corolle à gorge fermée par cinq écailles convexes. 2 Calice fructifère très développé en deux valves ap- 2.2 pliquées l’une contre l'autre. :...... Men Asperugo. Galice fructiière normal... ....,..::.. traces : Nueules triquètres, unis à la colonne centrale par 3 toute la longueur de leur bord interne..... hs . ÆEchinospermum. Nucules déprimés, unis à la colonne centrale seule- ment par le haut de leur bord interne.,...,....,. Cynoglossum. =CYNOGLOSSUM L.— Corolle hypocratériforme ou presque rotacée, à lobes obtus, à gorge munie de cinq écailles obtuses, convexes, Nucules déprimés, adhérents à la corolle centrale par la partie supérieure seulement de leur bord intérieur, cou- verts de tubercules épineux sur toute leur surface; colonne cen- trale allongée se continuant par le style, qui est allongé, dur et persistant. Feuilles pubescentes et grisâtres sur les deux faces. C. officinale L. Feuilles vertes, luisantes et presque glabres sur la face supérieure......., RSS RL AE ENE .….... C. Mmontanum Link. C. officinale L. (Cynoglosse, Langue de chien). — Caractères du genre. Fleurs rouges violacées, assez petites, en cymes non feuillées, axillaires ou terminales. Feuilles molles et douces au toucher, pubescentes, grisäâtres sur les deux faces, les infé- rieures oblongues, lancéolées, atténuées en pétiole, les supé- rieures étroites et presque amplexicaules. Tige à pubescence molle, dressée, haute de 30 à 80 centimètres, très feuillée, ramifiée dans le haut. Flor. : mai-juillet. Habit. : bords des routes, lieux incultes. Assez rare. (2). Toute la plante exhale, quand on la froisse, une odeur forte, désagréable, musquée. On emploie les feuilles et les racines fraiches à la préparation de cataplasmes émollients et calmants, On attribue à la plante fraîche des pro- E | BORRAGINAUÉES 33 priétés toxiques légères qui disparaissent par la dessiccation. On considère la poudre et l'extrait comme légèrement narcotiques, et on les utilise dans la fabrication de pilules prescrites contre la toux. HARAS E) Ge ZONE 14 EN Fig. 55, — Cynoglossum officinale. Fig. 57. = C. officinale. Fruit. Sommité fleurie. ECHINOSPERMUM Sw. — Se distingue du précédent par x ses nucules triquètres, adhérents à la colonne centrale par toute l'étendue de leur bord interne et munis d'épines seu- lement sur leur face dorsale. Fleurs assez petites, bleues, en grappes terminales feuillées. L. Lappula Lcam. — Seule espèce. Plante pubescente, velue, haute de 20 à 30 centimètres. ASPERUGO T. — Se distingue de tous les genres de la famille par son calice fructifère presque foliacé, très développé, com- primé en deux valves planes, réticulées, appliquées l’une contre l’autre, et par sa colonne centrale présentant des prolonge- ments membraneux. A. procumbens L. — Seule espèce. Petite plante couchée. diffuse, anguleuse et munie d'aiguillons sur les angles. 36 GAMOPÉTALES HYPOGYNES ; HELIOTROPIUM L. — Se distingue des genres voisins par la gorge de sa corolle, qui est dépourvue d’écailles, mais par- fois barbue. H. europæum L. — Seule espèce. Plante dressée, haute de 10 à 50 centimètres. On cultive beaucoup dans les jardins l’Z. Peruvianum L., bien ‘connue par l’odeur suave et forte de ses fleurs. ; £ “ Fauizce IV. — VERBENACEES. Caractères constants. — Fleurs un peu irrégulières, herma- Fig. 58. — Verbena officinalis. Sommité fleurie. veau desquels il se fend à la phrodites. Réceptacle convexe. Calice gamosépale, 4-5-mère. Corolle. gamopétale, sub-bila- biée, 4-5-mère. Etamines #4, par avortement de la supérieure, didynames, parfois les 2 supé- rieuressans anthères.Anthères déhiscentes par des fentes lon- gitudinales. Ovaire supère, à deux loges subdivisées cha- cune en deux fausses loges uni- ovulées. Style terminal. Ovules anatropes. Fruit formé de qua- tre achaines (nucules), qui se séparent ou restent unis à la maturité. Graines sans albu- men. Feuilles opposées, jamais tout à fait simples. Affinités. — Les Verbénacées sont très voisines des Labiées par leur androcée, leurs nu- cules, leurs feuilles opposées, mais s’en distinguent, pour se rapprocher des Borragina- cées, par le peu d'irrégularité de leur corolle et par leur style entier et non gynobasi- que. VERBENA T.— Caractères de la famille. Calice tubuleux, 4-5-denté, à 4-5 angles, au ni- maturité. Corolle à tube cylin- u : : - FO = < LABIÉES + 37 drique, arqué, 5-fide, sub-bilabi lobes inégaux. Etamines 4, incluses. Fleurs en épis termi effilés. LU V. officinalis L. (Verveine, Herbe sacrée). — Caractères du genre. Fleurs très petites, bleu-lilas, en épis grêles, très lâches, solitaires à l’aisselle de chaque bractée. Feuilles opposées, oblon- gues, atténuées en pétiole, profondément incisées ou pinnati- fides, à lobes dentés ou crénelés. Souche vivace, émettant un nombre variable de tiges dressées, hautes de 50 à 60 centimèe- tres et plus, ramifiées, anguleuses, couvertes comme les feuilles de poils apprimés. — Flor. : juin-octobre. — Habit. : bord des routes, lieux incultes, voisinage des habitations. Commun, 7. Toutes les parties de la plante sont un peu amères. Elle a été autrefois employée contre les fièvres intermittentes et comme antispasmodique, dia- phorétique, etc. Elle est tout au plus un peu tonique. Fawuzze V. — LABIÉES. Caractères constants. — Fleurs hermaphrodites, toujour: plus ou moins irrégulières. Réceptacle convexe. Calice gamo- sépale, persistant, 5-mère, à divisions plus ou moins distinctes, parfois subdivisées à l'état adulte. Corolle gamopétale, irré- gulière, 5-mère, bilabiée (sauf dans la tribu des Menthées), à lèvre supérieure composée de deux pétales, l'inférieure de trois. Androcée ordinairement à #4, parfois à 2 étamines insérées sur le tube de la corolle; anthères déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, à deux loges subdivisées chacune par une fausse cloison en deux fausses loges uniovulées. Style gynobasique, bilobé. Ovules anatropes. Fruit composé de 4 nucules. Graines sans albumen ou à albumen mince. Embryon droit ou rarement plié. Feuilles opposées. Tiges quadrangu- laires. Affinités. — Les Labiées sont très voisines des Borraginées, dont elles représentent la forme irrégulière, à feuilles opposées. Elles sont encore plus voisines des Verbénacées. Elles sont aussi très étroitement alliées aux Scrofulariacées, dont elles se distinguent par leur gynécée. Six tribus : Corolle à lobes presque égaux, non bilabiée..,...... ... Menthées. Corolle nettement bilabiée, à lèvre RER parfois AOC SFr STE, taie svt té ‘msi Corolle nettement bilabiée, à lèvre supérieure toujours 9.) avortée............ fianms na e sai Sn Be AE . Ajugées. *) Corolle nettement bilabiée avec les deux lèvres bien dé- TL LES AN PEN CE 2 C RE: FLORE DE PARIS. 3 Fa EDR L AR PALM PCT SE PAT IR NS ÉRDMF RATS À PORT RO T GET CT VAT TRI EE dc ÉRET PR UM T, MM RE Le A +. D à LS LA EM se CR VINS SÉRE tee Pa Ve #'e 38 GAMOPÉTALES HYPOGYNES 3 Etamines 4, fertiles........m...ss.sesssi. Ve à Ne à ‘| Etamines 9%, fertiles...... re oise 47e LACS ga à dre d'00 Se AIALOTEES+ , { Efamines 4, déclinées..... 5... SRE ss... - Lavandulees. ‘} Etamines 4, non déclinées ou droites..... EME ER RE SANT Etamines 4, plus ou moins droites et divergentes....... Zhymées. Etamines 4, rapprochées et parallèles sous la lèvre ur rieure de la COroIle. ss. ee seveucersnus en sente: sms HOMICES. Qr Tribu I. — MENTHÉES. Corolle infundibuliforme ou campanulée , à “imbe non bilabié, divisé en lobes presque égaux. Etamines 4 ou 2. droites, distantes, divergentes. Etamines 4. Fleurs rosées....... uté lei ets a ET SE . Mentha. Etamines 2. Fleurs blanches.......,..,..4,.20. da d ... Lycopus. MENTHA L. — Calice campanulé ou tubuleux, 5-mère, à lobes aigus, à peu près égaux. Corolle infundibuliforme, à tube plus long que le calice, à # lcbes apparents, le supérieuy plus large que les autres, formé de deux lobes indistincts. Etamines 4, à peu près de même longueur, droites, distantes et divergentes, toutes fertiles; anthères biloculaires, à loges parallèles et déhiscentes par des fentes longitudinales. Récep- tacle lisse. Fleurs petites, en glomérules axillaires opposés, très nombreux au sommet des rameaux, où ils forment par leur ensemble des grappes lâches ou, au contraire, denses. et capitées-allongées. { Calice à à gorge nue. DS TRE SRI 1.4 Calice à gorge fermée par un anneau de poils convergents..,....... space sers se cs ee Cat I SNS Feuilles très (éleubes a. US .. A. rotundifolia L. 2.4 Feuilles simplement velues ou presque gla- HP, RÉEL AE CAES VE AN PE RENE 3 Feuilles toutes nettement sessiles........,.. M. sylvestris Kocn, 3.1 Feuilles pétiolées ou nettement atténuées en HEHIDIG. duos seisre es ane RE 4 Glomérules floraux en épis allongés-cylindri- ques ou capités, non surmontés d’un bouquet HORAIRES te ven dom eœuir/e sie e ie Tate DECO 6) Glomérules à l'aisselle de idées écartées ou les supérieurs en épis surmontés d’un bou- quefide eue. se ecole ce «à ORRE PRO ; { Epis oblongs-cylindriques............,..... . M. piperita L. Epis en forme de tête globuleuse .......... M. aquatica L. —. Calice fructifère tubuleux, campanulé, à dents * étroites... ... sonne An AS CORRE M. sativa L. 8:{ Galice fructifère, tubuleux, campanulé, “urcéolé, à dents triangulaires, aussilarges quelongues. Æ. arvensis L. S + . . . BREL E ER, 5e EL Mentha piperita L. (Menthe poivrée). — Fleurs roses, dis- posées en glomérules à l’aisselle de bractées lancéolées, étroites, À iiie dt a É és DES ENT ENT UC 17 ee LE SA . # « + FEr À « LE 0 * LABIÉES 39 formant des épis allongés- -cylindriques, non surmontés d'un bouquet de feuilles. Feuil- les pétiolées, oblongues- lancéolées, à dents aiguës, Ge? glabres. Tige haute de 30 à 50 centimètres, dres- ê tree , sée, ordinairement rami- DER, jé fiée. — Flor. : juillet- septembre.— Habit.: cul- tivé dans les jardins. Toutes les parties de la plante sont très odorantes, ce qui fait rechercher cette espèce de pré- férence à toutes celles qui crois- sent spontanément dans notre pays. L'espèce la plus cultivée cependant pour l'extraction de l'essence de Menthe est le 47. iridis, plante très voisine de la précédente et considérée par certains auteurs comme une va- riété du 47. sylvestris Kocn, produite par la culture. L’huile essentielle des Menthes est sé- crétée par des poils glanduleux dont la cuticule se soulève pour former des réservoirs dans les- quels l’huile essentielle s’accu- mule, Ces glandes se retrou- coRDiee }) vent avec de simples variations ] - de structure dans toutes les Labiées. En Angleterre, le 47. viridis est cultivé sur une grande échelle pour la produc- Fig. 59, — Mentha piperata. tion de l’Essence de Menthe. En France et en Allemagne, on cultive le 47. Pulegium L , qui fournit V’Essence de Pouliot et l'Eau distillée de Pouliot. Fe De ve am LYCOPUS L. en distingue nettement du genre précé- dent par son androcée, formé de deux étamines seulement, par suite de l'avortement des deux supérieures. Fleurs blanches, ponctuées de rouge, disposées en glomérules assez écartés. L. europæus L. — Seule espèce. Haute de 40 centimètres à 1 mètre, presque inodore. Tribu II. — THYMÉES. Corolle nettement bilabiée, à lèvres bien développées, la supérieure bilobée, l'inférieure trilobée. Etamines 4, distantes, plus ou moins droites et divergentes. L'Art 40 GAMOPÉTALES HYPOGYNES Deux sous-tribus : Etamines tout à fait droites et divergentes..... ses... T'hymoïdées. Etamines un peu arquées, conniventes.,................. Melissoidées, Sous-tribu I. — THYMOIDÉES. Etamines 4, fertiles, distantes, droites, divergentes { Calice à dents presque égales....... PS 0 0 EE CR 1.) Calice nettement bilabié.......... ..........s.us.. Thymus. Anthères-à connectif très étroit...,..,.....,,..0. …. Hyssopus. -‘} Anthères à connectif très large, presque triangulaire. Origanum. ORIGANUM T.— Calice à 10-13 nervures, à 5 dents presque égales, les supérieures seulement un peu plus longues. Corolle nettement bilabiée, à lèvre supérieure droite, émarginée, à lèvre inférieure trilobée, étalée, à lobes égaux. Etamines 4, fertiles, exsertes, droites, nettement divergentes. Anthères à loges divariquées, séparées par un connectif large, triangulaire. Inflorescences corymbiformes. O. vulgare L. (Origan). — Caractères du genre. Fleurs petites, rosées, rarement blanches, en glomérules à l’aisselle de bractées souvent rouge-pourpre ; glomérules rapprochés en épis compacts au sommet de rameaux florifères nombreux disposés de facon à constituer une sorte de corymbe terminal. Feuilles pétiolées, ovales, sinuées-dentées, velues, surtout en dessous. Tige haute de 50 à 70 centimètres, dressée, ramifiée. Flor. : juillet-septembre. — Habit. : buissons, pâturages secs, bords des champs, lisières des bois. Commun. 2. Toutes les parties de la plante exhalent une odeur aromatique très pro- noncée, un peu analogue à celle du Thym. Sa saveur est chaude et amère. On en fait des infusions utilisées comme sudorifiques, stimulantes et toni- ques; on en a également fait usage contre la bronchite chronique, dans laquelle elle facilite l’expectoration. HYSSOPUS L. — Calice à dents presque égales, à 15 ner- vures. Corolle bilabiée, à lèvre supérieure droite, plane, émar- ginée, l'inférieure trilobée, à lobes inégaux, le moyen plus srand, échancré ou bifide. Etamines #4, fertiles, longuement exsertes, distantes, divergentes, les inférieures plus longues; anthères à loges divergentes, à connectif très étroit. Glomé- rules unilatéraux, rapprochés en épis terminaux. H. officinalis L. (Hysope). — Caractères du genre. Fleurs bleues, plus rarement rouges ou blanches, en glomérules rejetés d'un seul côté et rapprochés en épis feuillés. Feuilles sessiles, lancéolées, plus ou moins étroites, glabres, vertes sur CPR TO . NT €, ré 0 OT “#4 A? ne PR RE 423 5 + ete a RS TR ST TE RTL: DS PAS LAS LE NME Te à - " “ x es" x: “ L , € : - v F # i 3 # Es . LABIÉES F2 Fig. 60. — Thymus Serpyllum. Fig. 61. — Thymus Serpyllum. Fleur, Fleur ; coupe longitudinale. | Fig. 62, — Thymus Serpyllum. Fig. 63. — Thymus vulgaris. ; 12 GAMOPÉTALES HYPOGYNES les deux faces. Plante à souche traçante, ligneuse, à tiges rap- prochées en touffes, pubescentes, hautes de 20 à 50 centimè- tres. — Flor. : juillet-septembre. — Habit. : originaire du Midi, acclimaté sur les coteaux arides, murailles des vieux châteaux, fentes des rochers. Rare. Côte des Célestins, près de Mantes. 2. THYMUS L. — Se distingue par son calice nettement bilabié, à 10-13 nervures, à lèvre supérieure tri-dentée, l’infé- rieure bifide. Corolle bilabiée, à lèvre supérieure plane, droite, émarginée, l’inférieure trilobée, à lobes à peu près égaux. Etamines 4, petites, distantes et divergentes, égales ou les infé- rieures un peu plus longues. Anthères à loges parallèles ou divergentes et alors séparées par un connectif large et triangu- laire. Glomérules floraux rapprochés en épis allongés. T. Serpyllum L. (Serpolet). — Caractères du genre. Fleurs petites, roses ou purpurines, en glomérules rapprochés en épis plus ou moins lâches. Feuilles petites, oblongues, pubescentes, ciliées à la base. Plante à souche traçante, émettant de très nombreux rameaux aériens couchés, dressés au sommet, ramifiés, pubescents. — Flor. : juin-octobre, — Habit. : lieux sablonneux, arides, bords des routes. Commun. 7}, Toute la plante exhale une odeur aromatique, douce, très prononcée, et possède une saveur chaude, aromatique, Son infusion est stimulante et tonique. T. vulgaris L. (Thym). — Se distingue de la précédente par. ses rameaux tous dressés, par l'absence de souche traçante et par ses feuilles à bords enroulés en dessous. — Flor. : juin- septembre. — Habit. : cultivé dans les jardins, en bordure : originaire des bords de la Méditerranée. 7}. Il est plus aromatique encore que le précédent et est employé plus volon- tiers en médecine et dans l’économie domestique. On le distille pour la préparation de l’Æssence de thym, employée surtout dans la parfumerie. Sous-tribu II. — MELISSOIDÉES. Etamines 4, fertiles, distantes, un peu arquées-conniventes sous la lèvre supérieure de la corolle. 1. { Calice à dents presque égales....,........ sosie SC UMENT: ‘1 Calice nettement bilabié......... SL A%E ave Re » Anthères à connectif très étroit.....,..... «a 06680" 0s TONNES ‘4 Anthères à connectif très large, presque triangulaire. ment de bractées.,...., A Se ed cs cr eat VC, Glomérules floraux munis d’un grand nombre de bractées sétacées formant involuere......,........ -Clinopodium. RE is: 5 LABIÉES 43 SATUREÏIA L. — Calice à dents presque égales, à 10 ner- vures. Corolle bilabiée, à lèvre supérieure droite, plane, à lèvre inférieure étalée, trilobée, à lobes à peu près égaux, le moyen émarginé. Etamines 4, fertiles, distantes, un peu con- uiventes sous la lèvre supérieure de la corolle, les inférieures plus longues et exsertes ; anthères à loges écartées par un con- nectif large, triangulaire. Fleurs 2-3, sur des pédoncules axil- laires. S. hortensis L. (Sariette). — Caractères du genre. Fleurs petites, d’un blanc rosé, réunies par 2-3 à l'extrémité de pé- doncules axillaires. Feuilles lancéolées-linéaires, atténuées à la base, pubérulentes. Tige haute de 30 à 50 centimètres, dressée, ramitfiée, pubescente, d’un vert rougeâtre. — Flor. : juillet-août. — Habit. : originaire du Midi; cultivé dans les jardins. Z”. Toute la plante exhale une odeur aromatique très prononcée et possède une saveur aromatique chaude, agréable. Elle est stimulante, tonique et carminative ; autrefois considérée comme aphrodisiaque, elle n'est plus usitée que dans la cuisine. MELISSA T. — Calice bilabié, à lèvre supérieure tri- dentée, l'inférieure bifide. Corolle ; tubuleuse - arquée - ascendante , bilabiée, à lèvre supérieure étroite, émarginée, l'inférieure étalée, trilobée, à lobe moyen plus grand, émarginé. Etamines 4, distantes, un peu conniventes sous la lèvre supérieure de la corolle, les inférieures plus lon- gues. Fleurs en glomérules axil- laires. M. officinalis L. (Mélisse, Citronnelle). — Caractères du genre. Fleurs petites, blanches, en glomérules à l’aisselle des feuilles ordinaires. Feuilles pé- tiolées, ovales, larges, dentées, un peu pubescentes. Tige haute de 60 à 80 centimètres, très ramifiée, dressée, pubescente. — Flor. : juin-septembre. —Habit. : —= originaire du midi de l'Europe. . 2GR re Cultivé dans les jardins, Ze 9: 0: — Mélissa official. Toutes les parties de la plante sont douées d’une odeur agréable, qui RE PR RE TR UE NT ENT OU TD Pa NT 1) EG ITR L4 L u A7 à + Ces - _ 1 . TU : + à L ? ne 1 - 2 r 4% GAMOPÉTALES HYPOGYNES s’exhale surtout quand on la froisse et qui rappelle celle du citron. Après la floraison, l’odeur est beaucoup moins agréab'e et rappelle un peu celle de la punaise. La saveur est chaude, aromatique, un peu amère. La Mé- lisse est stimulante, tonique; on l’administre en infusion; on en fait aussi une teinture, une eau distillée, une essence; elle est Ja base de l'Eau de zMélisse des Carmes. CALAMINTHA T. — Calice bilabié, à 10-13 nervures, à lèvre supérieure tri-dentée, l’inférieure bifide, à gorge fermée par un anneau de poils. Corolle bilabiée, à lèvre supérieure droite, l'inférieure trilobée, à lobes ordinairement égaux. Eta- mines #, distantes, plus ou moins conniventes sous la lèvre supérieure de la corolle, les deux inférieures plus longues; an- thères à loges séparées par un connectif triangulaire. Fleurs roses ou roses-bleuâtres, en glomérules opposés, accompagnés seulement d'un petit nombre de bractées. 1.4 Fleurs en glomérules sessiles........... sb . ©. Acinos Gaun. ‘| Fleurs en glomérules pédonculés..,....,.,,.... 2 Calice ordin. coloré, à dents inférieures deux fois plus longues que les superieures, à poils de la ‘ gorge ne faisant pas saillie entre les dents..., C. officinalis Mœxcx. *‘)] Calice ordinairement vert, à dents presque égales, | à poils de la gorge faisant saillie entre les PURE A2 ait o d'alemie dette: à ee ve 7 CNT «ONE C. Nepeta CLaïrv, On faisait autrefois usage du Calament (C. officinalis) au même titre que de la Mélisse. Il est aujourd’hui oublié. Il est stimulant et tonique comme les autres Labiées aromatiques. » CLINOPODIUM T. — Ce genre ne se distingue du précé- dent que par ses glomérules, qui sont accompagnés de brac- tées plus nombreuses que les fleurs et formant une sorte d’in- volucre. C. vulgare L.— Seule espèce. Plante de 30 à 60 centimètres de haut, à fleurs purpurines, rarement blanches. * Tribu III — LAMIÉES. Corolle nettement bilabiée, à lèvres bien développées, la su- périeure concave, bilobée, l’inférieure trilobée. Etamines #4, -ertiles, rapprochées, parallèles et cachées sous la lèvre supé- rieure de la corolle, parfois saillantes au dehors après la déhis- cence des anthères. Trois sous- tribus : Etamines inférieures plus longues que les supé- rieures ....... 2 nos ..... CRE Etamines inférieures plus courtes que les supé- MOUFES. eme unes ae de itiaie 00 0 616 ES ie Es . PAT : RO SRE ne DM RP É se EE E E Aeree FOOT ANNEES M ie = , rs LABIÉES Calice tubuleux, rarement bilabié, ouvert à la 9 RO LS Rd nmpenes qi US ver SAERRET « Stachydoïdées. Calice nettement bilabié, fermé à la maturité par le rapprochement des lèvres.........,.,...,. Brunelloïdées, Sous-tribu I. — GLÉCHOMOIDÉES. Calice tubuleux, non bilabié, ouvert à la maturité. Etamines inférieures plus courtes que les supérieures. n Lèvre inférieure à lobe moyen plan............ Glechoma. ‘| Lèvre inférieure à lobe moyen concave en avant.. !Vepeta. GLECHOMA L. — Calice tubuleux, non bilabié, à 5 dents à peu près égales, les supérieures un peu plus longues. Corolle bilabiée, à gorge très dilatée, à lèvre supérieure droite, plane ou réfléchie en dehors, bifide ou émarginée, l’inférieure éta- lée, trilobée, à lobe moyen plus grand, plan, émarginé ou bi- lobé. Etamines 4, fertiles, iné- gales, les deux inférieures plus courtes, toutes parallèles et rap- prochées sous la lèvre supérieure de la corolle, à anthères dispo- sées en croix. Fleurs en glomé- rules pauciflores. G. Hederacea L. (Lierre ter- restre). — Caractères du genre. Fleurs de moyenne taille, bleues ou roses, en glomérules 1-4-flores. Feuilles réniformes - suborbicu- laires, longuement pétiolées, gaufrées, crénelées. Tige cou- chée et radicante à la base, puis Fig. 65. — Glecoma hederacea. dressée, haute de 10 à 20-30 centimètres, émettant de nombreuses pousses rampantes et radicantes. — Flor. : avril-mai. — Hab. : lieux humides et ombragés. Commun. 77. Toutes les parties de la plante exhalent quand on les froisse une odeur forte, aromatique, un peu analogue à celle du Lierre ; la saveur est amère, . un peu âcre, balsamique. Les infusions de Lierre terrestre sont excitantes et touiques; on les emploie avec avantage pour faciliter l’expectoration, dans la bronchite chronique. On a fait usage des feuilles pour panser les ulcères atoniques, 3. Fig. 66. — Nepela Cataria. Corolle. 10 . TT ie M + ee ds .. . gaux, les latéraux plus petits, Fleurs grandes, GAMOPÉTALES HYPOGYNES NEPETA L. — $e distingue du genre précédent par la lèvre inférieure de sa corolle ‘à lobe moyen former des épis terminaux. N. Cataria L. que les supérieures, Fleurs d'un beau jaune..... ide ÉS ME Fleurs roses, rouges, purpurines, blanches où ‘d'un blanc jaunâtre..… VE PRE PTE à FAN TAUÉC FR AE Glomérules réduits à une, deux ou trois fleurs au plus, Glomérules pluriflores..........., sua. ee Etamines inférieures se déjetant latéralement en dehors de la corolle après la déhiscence des anthères....... Étamines ne se déjetant pas en dehors après la déhis- cence des anthères.....,...., « ii di pH BR EE Lobes de la lèvre inférieure de la corolle s’enroulant bientôt après la floraison.......... sas e tu Lobes de la lèvre inférieure de la corolle ne s’enrou- AOL PASS ne ei CS RE A “Er sas Gorge de la corolle + munie de piis latéraux......,.., Gorge de la corolle non munie de plis latéraux...,.., Glomérules floraux très rapprochés en épis terminaux. Glomérules floraux non rapprochés en épis terminaux. Calice à 10-20 dents. Etamines incluses dans le tube CBS IE LOTO AS TER, à de tuto n ce ee D NE SEE PS Callceràa S'dents...:.......f The tfal «plane ae Se Lèvre inférieure de la corolle à lobes très inégaux, le moyen très grand et obcordé, les latéraux rudimen- M nee ns ve cross NON RS M LE Lèvre inférieure de la corolle à lobes obtus, peu iné- gaux, le moyen cependant plus grand, ........,.,.., concave en avant et crénelé et par ses anthères non disposées en croix. Fleurs rosées ou blanches, ponctuées de rouge, en glomérules rapprochés de manière à Plante haute de 60 centimètres à 1 mètre et plus. Sous-tribu II. — STACHYDOIDÉES. Calice non bilabié, ou, plus rarement, bilabié, toujours ouvert à la maturité du fruit. Etamines inférieures plus longues (Graleobdolon. dittis. cr CN ce Lo Leonurus. Stachys. (raleopsis. 6 Betonica. 7 Marrubium, 8 Lamium. Ballota. GALEOBDOLON Huds. — Calice à 5 dents un peu iné- gales, les supérieures plus longues. Corolle à lèvre supérieure courbée en casque, l’inférieure étalée, trilobée, à lobes iné- en glomérules 3-5-flores, d'un beau jaune, G. luteum Huds. — Seule espèce." Plante haute de 40 à 60 centimètres. | | LABIÉES - a GALEOPSIS L. — Se distingue du genre précédent, dont il est très voisin, par sa corolle à gorge présentant de chaque côté un pli qui se termine par une dent conique, à lèvre infé- rieure étalée, trilobée, le lobe moyen plus orand, les latéraux ovales. Fleurs rouges, roses ou blanches, à lèvre inférieure tachée de jaune ou de rouge, en glomérules ordinai- rement pluriflores. Tige succulente, renflée au-des- i sous des nœuds, hérissée.,... G. Telrahit L,. ‘) Tige non renflée au-dessous des nœuds, finement pubescente.. 2 Corolle rose purpurin ........ G. Ladanum L. 2.4 Corolle jaune pâle ou un peu rosée, beaucoup plus grande. (G. dubia Leers Fig. 07. — Galeopsis Ladanum. Fleur. MELITTIS L. — Calice campanulé, très ample, irrégulière- ment bilabié. Corolle très grande, à lèvre supérieure droite, entière ou à peine émarginée, à lèvre inférieure étalée, trilobée, le lobe moyen plus grand. Anthères rapprochées par paires en croix, non déjetées en dehors après la déhiscence. Fleurs grandes, solitaires ou géminées, rarement ternées. in Fig. 68. — Melillis melissophyllum. Fig. 69, — Lamium album. M. melissophyllum L. — Seule espèce, Plante de 30 à 50 centimètres. 48 A GAMOPÉTALES HYPOGYNES LAMIUM L. — Calice à 5 dents presque égales, les supé- rieures un peu plus longues. Corolle à lèvre supérieure ob- ovale, en casque, entière ou émarginée, l’inférieure trilobée, à lobes très inégaux, le moyen très grand, obcordé, rétréci à la base, les latéraux dentiformes ou presque nuls, situés près de la gorge. Etamines non déjetées en dehers après la déhiscence. Fleurs très grandes, rouges, purpurines ou blanches, en glo- mérules pluriflores. 4,4 Corolle à tube droit et à gorge très dilatée.... 2 ‘| Corolle à tube ascendant et à gorge peu dilatée, 4 9.{ Feuilles sub-orbiculaires réniformes.,....,..,., ÆL. amplexicaule L. ‘| Feuilles ovales-triangulaires....,.. NAT SOS Tube de la corolle muni vers la base d’un an- DT LDPAR CE MON 2. : a ser open at ie ce ST TU L, purpureum L. Tube de la corolle sans anneau de poils....... L. hybridum Vire. Fleurs purpurines, à lèvre inférieure ponctuée de RO Se lente dat à wa NE SES L. maculatum L. Bibi Dianehees, end one von ss ea URe JA L. album L. MARRUBIUM L. — Calice ordinairement à 10-20 dents re- courbées en crochet au sommet. Co- rolle à lèvre supérieure droite, plane, ordinairement bifide, l’inférieure éta- lée, trilobée, à lobe moyen beaucoup plus grand, les latéraux parfois nuls. Etamines incluses dans le tube de la corolle, caractère spécial à ce genre dans la tribu. Fleurs petites, blanches, en glomérules multiflores, très com- pacts. Feuilles tomenteuses. Odeur forte, désagréable, Feuilles ovales- suborbiculaires, Calice à 10-12 APRES: ae M. vulyare L. Feuilles cunéifor- mes. Calice à 15-20 dents.... Æf. Vaillantü C. et G.St, P. M. vulgare L. (Marrube). — Ca- ractères du genre. Fleurs blanches, petites, en glomérules multiflores, très Fig. 70. — Marrubium denses et munis de bragtées subulées vulgare. aussi longues que les calices. Feuilles ovales-suborbiculaires, un peu cor- dées à la base, pétiolées, toutes plus longues qüe les glomé- rules, gaufrées, tomenteuses-blanchâtres en dessous. Tige haute LABJIÉES 49 de 50 à 80 centimètres, dressée, ramifiée, tomenteuse-blanchâtre comme les feuilles. — Flor. : juin-octobre. — Habit. : bords des routes, voisinage des habitations, décombres. Commun. 77. Les feuilles exhalent quand on les froisse une odeur forte et désagréable ; leur saveur est amère et âcre. Elles sont employées comme toniques, stimu- lantes et contre les bronthites chroniques. On en faisait autrefois grand usage contre la leucorrhée, le scorbut, les scrofules, etc., et pour le pan- sement des ulcères atoniques. BALLOTA T. — Calice campanulé-infundibuliforme, à dents de formes très variables, à 10 nervures. Corolle à tube dépas- sant à peine le calice ou incluse, à lèvre supérieure droite, peu concave, entière ou émarginée, à lèvre inférieure droite, un peu étalée, à lobes obtus, le moyen plus grand, émarginé. An- thères ne se déjetant pas en dehors après la déhiscence. Fleurs en glomérules multiflores, brièvement pédonculés. B. Nigra L. (Ballote, Marrube noir). — Fleurs purpurines. Feuilles ovales-suborbiculaires, cordées, pétiolées, ridées, pu- bescentes, crénelées. Tige haute de 50 à 80 centimètres, dressée, ramifiée, pubescente. — Flor. : juin-septembre. — Habit, : bords des routes, décombres, voisinage des habitations. Com- mun. Z’. Toutes les parties de la plante exhalent une odeur trèss désagréable; leur saveur est amère et àâcre. On en fait des infusions stimulantes, toni- ques, emménagogues. On lui attribuait autrefois une valeur considérable, aujourd’hui oubliée. BETONICA L. — Se distingue de tous les genres de la sous- tribu par ses glomérules floraux rapprochés au sommet des rameaux, à l'aisselle de feuilles très réduites, de manière à former un épi cylindrique. Calice à 5 dents très aiguës, presque égales. Corolle à tube courbé, à lèvre supérieure d’abord droite, puis redressée, l’inférieure trilobée, à lobes obtus, le moyen plus grand. Etamines #4, les inférieures plus longues, non déjetées en dehors après la déhiscence. B. officinalis L. (Bétoine, Beltête). — Caractères du genre. Fleurs purpurines, à peu près sessiles, petites. Feuilles radi- cales et inférieures longuement pétiolées, oblongues-lancéolées, cordées, les supérieures sessiles, plus étroites, toutes crénelées. Souche vivace. Tiges aériennes hautes de 30 à 60 centimètres, émergeant sur le côté des rosettes de feuilles, dressées, raides, non ramifiées. — Flor. : juin-septembre. — Habit, : pâturages, clairières et chemins des bois. Commun. 7”. Les feuilles de la Bétoine sont amères et légèrement salées; les racines ont une saveur plus prononcée, amère et nauséeuse. La poudre fait partie 50 | GAMOPÉTALES HYPOGYNES des anciennes poudres sternutatoires. Les sommités sont considérées comme très utiles, en infusion, dans les catarrhes chroniques. Autrefois, la Bétoine jouissait d’une réputation telle que l'on disait en Italie des per- sonnes douées de qualités rares : « ha piu virtu che Bettonica. » LEONURUS L. — Calice à 5 dents épineuses, les inférieures plus longues, Corolle à tube courbé, à lèvre supérieure droite ou un peu courbée en casque, l'inférieure trilobée, à lobes obtus, le moyen plus grand, s’enroulant sur lui-même peu de temps après l'épanouissement, ce qui caractérise nettement le genre. Anthères inférieures se déjetant en dehors de la corolle après la déhiscence. Fleurs en glomérules compacts. L. Cardiaea L. — Plante haute de 80 centimètres à ! mètre et plus, à fleurs roses, ponctuées de pourpre. STACHYS L. — Calice à 5 dents épineuses, les supérieures un peu plus longues. Corolle à tube présentant au dessus de sa base un anneau de poils, à lèvre supérieure concave, l’infé- rieure étalée, trilobée, à lobes obtus, le moyen plus grand entier ou émarginé. Etamines inférieures déjetées en dehors de la corolle après la déhiscence des anthères. Fleurs en glo- mérules formant parfois des épis terminaux lâches. Bractéoles égalant la longueur ou la moité au moins dè la longueur des calices. Glomérules DACRSMAUIGTIOLES tee eo e Line bee se deals eee STE SIT 2 Bractéoles très petites ou à peu près nulles. Glomérules 1-G-flores..;.......,... A drive 3 s | Plante laineuse, blanchätre.......... eee D S. Germanica L. “| Plante pubescente-laineuse, jamais blanchätre.. %S. Alpina L. 3 | Het purpuriInes: LUS à 7e SAR CEE 4 ‘| Fleurs blanchâtres ou blanc-jaunâtre........... 7 4.1 Feuilles très brièvement pétiolées ou sessiles... S. palustris L, ‘| Feuilles à pétiole allongé...... RE ie Te 5 | Corolle dépassant longuement le calice........ 6 ° ‘{ Corolle dépassant à peine le calice............. S. arvensis L. Tige glanduleuse dans le haut. Corolle pourpre- 6 foncé, à gorge tachée de blanc......,.:.,,.... S, sylvatica L. ‘) Tige non glanduleuse. Corolle rouge- pourpre ES nn oc eus de 25 0) OMIS S. ambigua Sm. Corolle blanchâtre, à lèvre inférieure jaune.... S. annua L. 1. Corolle blanc-jaunâtre, à lèvre inférieure tachée desbrus. as + PO NT PE Ses bre stipule MS SMODORNIEE S. sylvatica L. (Grande Epiaire, Ortie puante). — Carac- tères du genre. Fleurs en glomérules 3-4 flores, à calice velu glanduleux, à corolle colorée en pourpre foncé et tachée de jaune à la gorge. Feuilles molles, ovales, acuminées, assez grandes, dentées, longuement pétiolées, les inférieures cordées. Souche vivace, traçante. Tige aérienne, dressée, haute de 60 cen- de l’anthère. Fleurs en glomérules 2-4-flo- OU PTT PANNE « LABIÉES »1 timètres à 1 mètre et plus, ordinairement simple, velue, glan- duleuse dans le haut. — Flor. : juin-août. — Habit. : chemins des bois, buissons. Commun. 7. Toute la plante exhale une odeur forte, assez désagréable; sa saveur est amère et un peu âcre. On la considère comme stimulante, tonique, emmé- nagogue et antispasmodique; on prescrit son infusion contre la toux chro- nique. Ses feuilles trempées dans l'huile sont employées, dans quelques loca- lités, pour panser les blessures. Sous-tribu IL. — SCUTELLAROIDÉES. Calice nettement bilabié, à lèvres rapprochées après la chute de la corolle. Etamines #, fertiles, les inférieures plus longues que les supérieures. Calice à lèvres entières, la supérieure portant une écaille dor- sale saillante........ RELRPANE T AN NES ERRE QÉE 27 à M EEE FA Seutellaria. Calice à lèvre supérieure, 3-dentée, sans écaille dorsale, l’in- Paie a one MON RE ARR CAE SEE ARR EU Brunella. BRUNELLA T. — Calice bilabié, 10-nervié, à lèvre supé- rieure 3-dentée, l'inférieure bifide, les deux rapprochées et fermant le calice à la maturité du fruit. Corolle bilabiée, à lèvre supérieure en cas- que, entière, l’inférieure trilobée, à lobe moyen arrondi, concave, les latéraux oblongs et réfléchis. Etamines rapprochées et parallèles sous la lèvre supérieure de la corolle, les inférieures plus grandes: filets staminaux appendiculés au-dessous res, rapprochés en épis terminaux à l’ais- selle de bractées très amples. Corolle petite. Epis présentant À à la base une paire de feuilles. B. vulgaris L. Corolle grande. Epis ne présen- tant pas à la base une paire AU OMIESS rie octeecss B. grandiflora JacQ. B. vulgaris L. (Brunelle). — Caracte- res du genre. Fleurs petites, bleu-violet ou blanc-jaunâtre, rarement roses. Epis Z présentant à la base une paire de feuilles. Feuilles longuement pétiolées, ovales- oblongues, ordinairement entières. Tige haute de 10 à 40 centim., dressée, mais P/#ella vulgaris. souvent radicante à la base, ramifiée. — Flor, : juillet-août. — Habit. : chemins des bois, prairies. Commun. 7°”. REA Done nv rl. LT A ES PR OPA DR nn En de ee ENS 52 GAMOPÉTALES HYPOGYNES La Brunelle n’a pas d'odeur; sa saveur est up peu amère et désagréable. On la considère comme stimulante et antispasmodique. On l’a employée en salade contre les hémorrhoïdes. On en fait usage en gargarisme dans les angines légères. 7 { SCUTELLARIA L. — Se distingue par son Lt calice à lèvres entières, la supérieure munie sur Fig. 72.— Seutet- le dos d’une écaille saillante. Corolle bilabiée, laria galericu- à tube beaucoup plus long que le calice, à lèvre lala. Calice. supérieure en casque, l’inférieure étalée, concave, trilobée, avec le lobe moyen émarginé, les laté- raux tantôt libres, tantôt soudés soit avec le lobe moyen, soit avec la lèvre supérieure, Fleurs solitaires. i Fleurs à l’aisselle de feuilles semblables aux autres. 2 ‘| Fleurs à l’aisselle de bractées distinctes des feuilles. S. Columneæ Ar. 9 Corolle bleue ou violacée, à tube courbé.......... S. galericulata L. À RuRiUorolle rose à tube dpi, 1, NC RER . S; minor L. Tribu IV. — AJUGÉES. Corolle bilabiée, à lèvre supérieure avortée. Etamines #, fer- tiles, rapprochées, parallèles, longuement exsertes, les inférieu- res plus larges que les supérieures. |; Corolle marcescente, à lèvre supérieure presque vnulle..... Ajuga. 1.{ Corolle caduque, à lèvre supérieure divisée en 2 lobes re- APE MERS DAS... rer esse us EE PES à UP AJUGA L. — Calice à 5 divisions à peu près égales. Co- rolle non marcescente, mais assez durable, à lèvre supérieure presque nulle, à lèvre inférieure trilobée, les lobes latéraux pe- tits, triangulaires, le médian très grand, muni de deux dents latérales. Etamines 4, très longuement exsertes, les infé- rieures plus courtes. Fleurs solitaires ou en glomérules pauci- flores, formant ou ne formant pas des épis. i Fleurs bleues, roses ou blanches............ 2 \t-Pleurs jaunes, solitaires... .....:.:..:.,40%4 A. Chamæpitis ScurEs, Tiges velues sur deux faces opposées seulé- 2 | ee CE CS DO PR Tr A. reptans L. Tiges velues sur les quatre faces........... A. genevensis L. A. reptans L. (Bugle). — Caractères du genre. Fleurs assez grandes, ordinairement bleues, striées de blanc sur la lèvre inférieure de la corolle, rarement roses ou blanches, en glo- mérules rapprochés au sommet des rameaux, mais ne formant pas de véritables épis. Feuilles presque glabres ou pubescentes, oblongues, les radicales en rosette et longuement pétiolées, les supérieures sessiles, les florales rougeâtres. Souche rampante, VOTENT Eee 4 à nredtp À F 2 RS. EE CAT, CAT + RE D DEN RM de CUP PE NON … LABIÉES 53 . , ee . + vivace, émettant des stolons stériles nombreux, et des tiges aériennes florifères, hautes de 10 à 20 centim. — Flor. : mai- » 4 juin. — Habit. : bois humides, buissons ombragés et humi- des. Commun. 7}. # ro pre k ZX Fig. 73. — Ajuga replans. _ Fig. 74, — Ajuga reptans. Fleur. L’odeur et la saveur sont peu prononcées, et les propriétés sont à peu près nulles; cependant, on en a fait usage comme astringente et vulné- raire; on la prescrivait jadis contre les hémorrhagies , la leucorrhée, etc. ; en gargarisme, son infusion est encore employée, dans quelques localités, contre les angines légères. TEUCRIUM L. — Calice à 5 dents presque égales ou la su- périeure très grande. Corolle à lèvre supérieure bifide, les deux divisions déjetées sur le côté, contre la lèvre inférieure, qui est étalée, trilobée, à lobes latéraux semblables à ceux de ‘la lèvre supérieure, à lobe médian beaucoup plus grand, con- cave. Etamines 4, rapprochées, longuement exsertes par la fente de la lèvre supérieure de la corolle, les inférieures plus longues. Calice à lobe supérieur très grand et écarté des Mes. Au eeE EE ARE ENT ARE T. Scorcdonia L. Calice à 5 dents presque égales............. ERA 4 9 | Feuilles pinnatipartites................ Ne SN Ne POSE Et L ‘| Feuilles entières, dentées ou crénelées......... r 3.1 Feuilles tout à fait entières........... ER ETIE FÉ montanum L. 4: Feuilles dentées ou crénelées........... LPS Du. GAMOPÉTALES HYPOGYNES taires ou géminées à l’aisseile de feuilles florales HDCP The de ne ave 2 4 à 0/9 se ete et de ON T. Scordium L. Feuilles sessiles, fortement dentées. Fleurs soli- | Feuilles crénelées, atténuées en un court pétiole. Fleurs solitaires ou géminées à l’aisselle de feuilles florales très rapprochées.......... sos TOR MAEUTIST.. T. Chamædris L. (Petit Chêne, Sauge amère, Chasse- fièvre). — Caractères du genre. Fleurs purpurines ou rosées, rarement blanches, réunies par 2-3 à l’aisselle des feuilles supé- rieures qui sont souvent colorées. Calice pourpré, pubescent. Feuilles d’un vert pâle, oblongues, lancéolées, courtement pétiolées, crénelées, lisses, un peu velues en dessous. Souche vivace, émettant des tiges hautes de 15 à 25 centimètres, nom- breuses, grèles, un peu couchées dans le bas, velues. — Flor. : juillet-septembre. — Habit. : buissons, lisières des bois, endroits pierreux, Abondant. 7”. Les sommités fleuries ont joui autrefois d'une grande réputation, due à une saveur amère très prononcée. On les prescrivait contre la scrofule, le scorbut, l’ictère, les fièvres intermittentes. Elles ne sont en réalité que légèrement toniques et apéritives. Fig, 75. —= Teucrium Fig. 76. — Teucrium Fig. 77. — Teucrium Chamedris. Scorodonia. Scorodonia. Fleur. T. Scorodonia L. (Sauge des bois, Germandrée sauvage). — Se distingue par ses fleurs jaunâtres, solitaires à l’aisselle de a $ Dites LABIÉES »> feuilles réduites à l’état de bractées courtes, suborbiculaires, et formant ainsi de longs épis terminaux lâches. Feuilles d’un vert foncé, ridées, réticulées, blanchâtres en dessous, pétiolées. crénelées, oblongues, cordées. Souche vivace, émettant une touffe de tiges hautes de 30 à 60 centim., dressées, ramifiées. — Flor. : juillet-septembre. — Habit. : bois, buissons. Com- mun. Z°. Jouit des mêmes propriétés que l'espèce précédente et a été employée aux mêmes usages. : M : : È Il en est de même du 7. Scordium ou Germandrée aquatique, qui habite les marais et les endroîïts inordés. Tribu V. — LAVANDULÉES. Corolle nettement bilabiée. Etamines #4, déclinées, c'est-à- dire rapprochées et parallèles au-dessous de la lèvre supérieure de la corolle. puis fortement courbées vers le bas. LAVANDEULA T. — Calice tubu- leux, à 5 dents inégales, la supé- rieure très grande et souvent appendi- culée, les 4 inférieures très courtes. Corolle nettement bilabiée, à lèvre supérieure bilobée, l’inférieure trilo- bée, à lobes subégaux. Etamines #, déclinées, les inférieures plus longues. Fleurs en glomérules pauciflores rap- prochés en épis terminaux. L. vera D. C. (Lavande). — Carac- tères du genre. Fleurs petites, bleues, en glomérules 3-5 flores, formant de longs épis grèles, terminaux, pressés dans le haut, lâches dans le bas. Brac- tées florales scarieuses, ovales-subor- biculaires. Feuilles oblongues, étroi- tes, à bords enroulés en dessous, blanchâtres - tomenteuses à Pétat jeune. Tige vivace, haute de 30 à 60 centim., ligneuse dans le bas, rami- fiée. — Flor. : juin-septembre. — Habit. : originaire du midi de l'Eu- S rope. Cultivé dans les jardins. Z”, OR tee ©: dus L. Spiea D. C. — Ne se distingue guère de la précédente que par ses bractées linéaires. A TA 7 7, Vs RC LARRE 2N N CPL TRES ER ex Mr, MERS s + ANT RO CES ON ITR TNA RES Pr. Le DM ' " eo CAE ES Mr 50 GAMOPÉTALES HYPOGYNES Ces deux espèces sont très aromatiques. Leur saveur est chaude, amère, aromatique. Elles sont cultivées dans les jardins, surtout pour les usages domestiques et pour la parfumerie. On peut les administrer avec quelque avantage comme stimulantes et toniques. On en a fait une teinture et on en distille une essence à odeur très agréable. L'alcool de Lavande est d’un excellent usage pour la toilette. OCIMUM L. — Se distingue du précédent par son calice à dent supérieure très ample, foliacée, orbiculaire; par sa corolle à lèvre supérieure 4-lobée et à lèvre inférieure entière: par ses étamines supérieures munies d’une dent au-dessus de la base. Fleurs en fascicules verticillés formant des épis terminaux. 0. Basilicum L. (Basilic,. Oranger des savetiers, Plante royale). — Caractères du genre. Fleurs purpurines ou blanches, petites. Feuilles ovales, lancéolées, pétiolées, planes, lisses, d’un vert foncé. Tiges hautes de 10 à 30 centim., droites, ramifiées, pubescentes. — Flor. : juin-septembre. — Habit. : cultivé dans les jardins. (). Toutes les parties exhalent une odeur très prononcée, aromatique, sur- tout quand on les froisse. Leur saveur est amère et brülante, On en retire une huile essentielle très odorante. On l’emploie en infusions stimulantes et toniques. Tribu VI. — SALVIÉES. Corolle nettement bilabiée. Etamines 2. SALVIA T. — Calice bilabié, à lèvre supérieure tridentée, l’inférieure bifide. Corolle nettement bilabiée, à lèvre supérieure en casque, l’inférieure trilobée, à lobe moyen plus grand. Eta- mines supérieures nulles ou très rudimentaires, les inférieures à filet très court, portant un connectif très allongé, filiforme, dont l'extrémité supérieure présente une loge anthérique fertile et l’inférieure une loge avortée. Fleurs bleues, roses ou blan- ches. Style réfléchi sur la lèvre supérieure de la corolle. i Glomérules multiflores, subglobuleux. ........... S. verticillata L. ‘) Style non réfléchi sur la lèvre supérieure de la co- rolle, plus court ou plus long qu’elle............ 2 Style dépassant longuement la lèvre supérieure de ù lnxpprolle 2.1, 1#002 doté. die CREER 3 “‘) Style ne dépassant pas la lèvre supérieure de la DRM us à uns v ete RE OT OR SBareet CAES 97 S. Verbenaca L. Bractées florales plus courtes que les calices, vertes. 4 3.{ Bractées florales très amples, dépassant les calices, DATÉE Eee te nes ve cute ve ER sa Re IS ODISTEA IE, ‘ LABIÉES 57 Fleurs très grandes, bleues. Feuilles très amples, 4 vertes..... TT RE Lee AT eee da iSre e S. pratensis. Fleurs et feuilles plus petites. Fleurs rose-lilas. Feuilles jeunes tomenteuses-blanchâtres....... .. S. officinalis L. S. officinalis L. (Sauge). — Fleurs colorées en rose-lilas. rarement blanches, en glomérules 3-6-flores, à l'aisselle de bractées caduques, ovales, lancéolées, foliacées. Feuilles lan- céolées, rugueuses, finement crénelées, courtement pétiolées. Tige ligneuse à la base, ramifiée. Feuilles et rameaux jeunes tomenteux-blanchâtres. — Flor. : juin-août. — Habit. : origi- naire de la région méditerranéenne, cultivé dans les jar- dins. 7°. Les feuilles exhalent une odeur aromatique très prononcée; leur saveur est un peu amère, chaude, On en prépare une essence très odorante, On en fait usage en infusions qui sont stimulantes et toniques. Fig. S0, — Salvia officinalis, Fleur. Fig. 79. — Salvia officinalis. Sommité florifère. Corolle ouverte. S. pratensis L. (Sauge des prés). — Fleurs grandes, bleues, rarement roses ou blanches, en glomérules 3-4-flores formant des épis terminaux lâches, à bractées caduques, herbacées, plus courtes que les calices. Feuilles radicales très grandes, réticu- lées, gaufrées, vertes, longuement pétiolées, oblongues, cordées à la base, les caulinaires au nombre de 3-4 paires seulement, cé" TPE, V\g ue OMS GO APR ARS MC À, © — "7 PAG SA SE Nr RE UT TA A AE A Re à Ne ARS PE CET Pet en j* En 0 La «ed 4 - / , G * 58 GAMOPÉTALES HYPOGYNES beaucoup plus petites, courtement pétiolées ou sessiles. Tige ligneuse à la base, ramifiée, haute de 30 à 80 centimètres. — Flor. : mai-juillet. — Hab. : prairies, bords des chemins, talus des voies fer- rées. Abondant. w. Cette espèce n'a qu’une odeur faible et beaucoup moins agréable que la précédente. Elle paraît jouir des mèmes propriétés, à un moindre degré. S. Sclarea L. (Sclarée, Toute- bonne, Orvale). — $e distingue net- tement de toutes les autres espèces du genre par ses bractées très amples, dépassant les calices, mem- braneuses, blanchâtres à la base, roses au sommet. Fleurs d’un bleu lilas, en glomérules 1-3-fiores. Feuil- les très amples, pétiolées, ovales ou oblongues, réticulées. Tige haute de 40 à 80 centim.. très ramifiée. — Flor.: juillet-août. — Habit. : voi- sinage des vieux châteaux, carrières. coteaux calcaires. Rare. 77. Fig.82, — Sulvia pralensis. Son odeur est forte, très agréable, analogue à celle du baume de tolu. On l’emploie comme stimulante et tonique; on faisait autrefois volontiers usage de son infusion dans le vin, FAMILLE VI —— PLANTAGINACÉES. Caractères constants. — leurs régulières, ordinairement hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice à 5 ou plus souvent 4 sépales persistants. Corolle gamopétale. à 3 ou plus souvent 4 divisions, scarieuse, persistante. Etamines ordinairement #, alternes avec les pétales et insérées sur le tube de la corolle, hypogynes. Anthères biloculaires, déhis- centes par des fentes longitudinales, oscillantes. Ovaire supère, à 1-2 loges parfois subdivisées en fausses loges par une fausse cloison verticale. Ovules anatropes. Fruit monosperme, indé- hiscent, crustacé, entouré par le calice et la corolle persistants. Graines à albumen charnu, à épiderme dévenant mucilagineux dans l’eau. Affinités. — Les Plantaginacées sont voisines des Ilicinées. Se Fa STE Éd a É = PRÉ re PET vi £} SRE PLANTAGINACÉES 59 dont elles offrent les fleurs habituellement tétramères et l'ovaire biloculaire, mais elles s’en distinguent par leur fruit, qui est sec, tandis que celui des Ilicinées est charnu et dru- pacé. Fleurs hermaphrodites. Plantes terrestres..... Plantago. : Fleurs monoïques. Plan- À dE tes aquatiques........ Littorella. Fig. S4 — Plantago media. Fruit. PLANTAGO L. — Fleurs hermaphrodites. Plantes ter- restres. Calice 4-partit. Corolle tubuleuse, 4-partite. Etamines 4. Fruit capsulaire, déhiscent par une fente transversale, bi- loculaire, à loges parfois sub- divisées, pluriovulées. Graines peltées. Fleurs très petites, en épis très denses, cylindriques ou globuleux. gt LA dd tt Fig. 83. Plantago media. Plantago major. FR Inflorescence. Fleur. Coupe longit. i { Plante caulescente, à tige feuillée..... P. arenaria WaLpst. et Kir. ‘| Plante acaule.......... D ve LA APE 2 Corolle à tube glabre. Capsule à 2 loges nonssubdivisées.ss sh dune dos 3 2.4 Corolle à tube velu. Capsule à 2 loges subdivisées chacune en deux fausses MR UE LE. 0 0 diet nai P. Coronopus L. Capsule 2-sperme, Feuilles lancéolées ou linéaires-lancéolées, Epis ovoides ou oblongs, courts, compacts..,.... P. lanceolata L. Capsule 5-8-sperme ou 8-sperme...... 4 Capsule 8-16-sperme. Epis ordinaire- 4. Co ment très allongés. Corolle brunâtre. P. major L, Capsule 5-8-sperme. Epis assez courts. Corolle blanche, luisante, argentée... P, media L. Les Plantains offrent quelque intérêt à cause de leurs graines dont les enveloppes se gontlent dans l’eau pour former un mucilage. LITTORELLA L. — Fleurs monoïques. Plantes aquatiques. - Fleurs mâles solitaires au sommet de longs pédoncules axil- laires. Fleurs femelles géminées à la base des pédoncules qui portent les fleurs mâles. Fleurs mâles : calice 4-partit ; corolle 3-partite; étamines 4. Fleurs femelles : calice à 3-4 sépales x . 60 GAMOPÉTALES HYPOGYNES inégaux; Corolle urcéolée, 3-4-dentée. Fruit monosperme, indé- hiscent. Plante acaule, submergée. Feuilles toutes radicales. L. Lacustris L. — Seule espèce du genre. Petite plante à rhizome vivace, ne fleurissant qu'après la disparition de l’eau dans laquelle elle vit. Famizze VIL — OLÉACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites ou unisexuées. Réceptacle convexe. Périanthe double, simple ou nul. Calice gamosépale, 4-mère ou nul. Corolle gamopétale, 4-mère ou nulle. Etamines 2, hypogynes. Anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes longitudinales, in- trorses. Ovaire supère, bilocu- laire, à loges bi-ovulées. Ovules anotropes. Graines albuminées. Feuilles opposées. Arbrisseaux ou arbres à rameaux opposés. Affinités. — Les Oléacées sont voisines des Solanacées, aux- quelles elles ressemblent par leur ovaire biloculaire, mais dont elles se distinguent par leur androcée Fig. 86. — Littorella lacustris. à deux étamines seulement et par leurs loges uniovulées. i Fleurs hermaphrodites. Feuilles entières......:.......,. 2 Fleurs polygames. Feuilles imparipinnées...,........... Frazxinus. 9 { Fruit constitué par une baiëi, 75,2. 2988 Ligustrum. Fruit constitué par une capsule coriace, bivalve ......... Syringa. LIGUSTRUM T. — Fleurs hermaphrodites. Calice urcéolé, 4-denté, caduc. Corolle 4-partite. Baie globuleuse. Fleurs blan- ches, en panicules terminales. Feuilles entières. Arbrisseaux. L. vulgare L. (Troëne, Pruène, Bois noir). — Seule espèce du genre. Arbrisseau abondant dans les bois et les haies, à fleurs petites, blanches et à baies noires, de la grosseur d’un pois. Les fleurs du Troëne sont odorantes; les feuilles sont acerbes et légère- ment piquantes. On a extraif des baies une matière colorante noire et une autre bleue dont on se sert pour coiorer le vin et faire de l’encre. On a 6? Fig. 89. — Frarinus Syringa vulgaris. À J J excelsior. Fleur. Fleur. Fig, 91. — Fraxinus Ornus. Fleur femelle ; coupe longitud. Fig. 92. — Frarinus s Ornus. Fleur herma- Fig. 90, — Fraxinus Ornus. phrodite. PS FLORE DE PARIS, 62 GAMOPÉTALES HYPOGYNES employé les feuilles comme astringentes, en décoction, contre les angines, les ulcères atoniques, etc. SYRINGA L. — Fleurs hermaphrodites. Calice urcéolé, 4- denté, persistant. Corolle 4-partite. Capsule coriace, bivalve, loculicide. Fleurs lilas ou blanches, en panicules terminales, Feuilles entières. S. vulgaris L. (Lilas). — Arbrisseau originaire d'Orient, cul- tivé dans les jardins. On cultive aussi le Lilas de Perse (S. Persica L.) à panicules plus läches et à rameaux plus grêles ; le Lilas de Rouen ou Lilas Varin (S. dubia Pers.), qui est plus buissonneux et porte des fleurs plus foncées. FRAXINUS T. — Fleurs polygames, avec ou sans calice et corolle. Etamines 2. Fruit ordinairement uniloculaire, aplati, entouré d’une aile membraneuse (samare). Feuilles impari- pinnées. Fleurs en panicules développées avant les feuilles. Arbres à rameaux opposés. Fleurs verdâtres, sans calice ni coro!le................ . F, excelsior L, Fleurs blanches, avec calice et corolle.................. I, Ornus L. Le }, excelsior ou Frène commun est abondant dans les bois. 1] est indigène des environs de Paris. Le Æ, Ornus, Frêne à manue, Frêne fleuri,est originaire de la région méditerranéenne ; on le cultive dans les ù À parcs. Dans son pays d'origine, il fournit la Fruit ; coupe longit. manne, constituée par un suc durci à l'air. La manne a une saveur sucrée ; c’est un purgatif doux, qu’on adminisire surtout aux enfants. Fig. 93, — Fraxinus Ornus. Fauize VIH. — APOCYNACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double, pentamère. Calice ga- moséphale, 5-partit, persistant. Corolle gamopétale, 5-lobée, à préfloraison contournée. Etamines 5, alternes avec les pétales, hypogynes, insérées sur la corolle. Anthères biloculaires, dé- hiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, bicar- pellé, à carpelles distincts. Style simple, terminé par un plateau que surmonte un bouquet de poils. Fruit composé de deux capsules déhiscentes par la face ventrale. Graines albuminées. Feuilles entières, opposées ou verticillées. Plantes ligneuses. Affinités. — Les Apocynacées sont voisines des Solanacées, auxquelles elles ressemblent par leurs fleurs régulières et penta- mères et par leur ovaire bicarpellé, mais dont elles se distinguent par l'indépendance de leurs carpelles dans la portion ovarienne et par leurs feuilles opposées. Elles se distinguent des Asclé- piadacées par leur pollen granuleux, tandis que celui des Aselé- piadacées est aggloméré en masses. ASCLÉPIADACÉES 63 VINCA L. — Seul genre. Caractères de la famille. Fleurs orandes, bleues ou violettes, rarement blanches. Calice à lobes glabres, beaucoup plus courts que le tube de la coroller es... 12. Calice à lobes ciliés, TV. minor L. V. major L. L { Fig. 95, — Style de Finca minor. CL Fig.96.— Vinca. À Étamine. val . — Vinca minor. V. minor L. (Petite Pervenche, Violette de serpent). — Fleurs grandes, bleues ou violettes, portées par de longs pédicelles. Calice glabre, à divisions beaucoup plus courtes que le tube de la corolle, Feuilles entières. glabres, vert foncé, luisantes, coriaces, pétiolées, ovales-lancéolées. Petit arbrisseau couché, sarmenteux, radicant, glabre, ramifié. — Flor. : mars-mai. — Habit. : haies et bois humides. Abondant. 7”. Les feuilles de la Pervenche ont une saveur amère et astringente: elles n’ont aucune odeur. La Pervenche jouissait autrefois d’une très grande réputation ; on l’employait contre les angines, en gargarisme,; on la consi- dérait même comme très efficace contre la phthisie. Sa décoction est encore administrée dans les campagnes pour faire passer le lait. Ses feuilles font partie du thé suisse. Elle est, en réalité, légèrement tonique et astringente. Fauizze IX. — ASCLÉPIADACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. . Réceptacle convexe. Périanthe double, pentamère. Calice gamo- sépale, 5-mère. Corolle gamopétale, 5-mère. Etamines 5, hypo- GE GAMOPÉTALES HYPOGYNES gynes, alternes avec les pétales, insérées sur le tube de la corolle, à filets unis en un tube qui entoure le style, à con- nectifs surmontés chacun d’un appendice qui recouvre l’an- thère, les appendices formant en dehors des anthères une La Fig. 133. — Adoza Moschatellina . Fig. 134. — Adora Moschatellina. Pied florifère. Pied fructifère. A. Moschatellina L. (Moschatelle, Moschatelline). — Caractè- res du genre. Petite plante à rhizome charnu, blanc, écailleux. à feuilles radicales peu nombreuses, longuement pétiolées, palmatiséquées, à 3 folioles principales pétiolulées et elles- mêmes tziséquées; les caulinaires opposées, simplement trisé- 90 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES quées, à lobes dentés. Tige aérienne haute de 5 à 10 cen- tim., verte, charnue, grêle, supportant une seule paire de feuilles, ou nue et terminée par 3-4-5 fleurs sessiles verdâtrés, très pressées en tête. — Flor. : avril-mai. — Habit. : bois hu- mides. Commun. 7. | La Moschatelline doit son nom à la légère odeur de musc que possèdent ses fleurs et ses feuilles. Le fruit a un peu l'odeur et la saveur de la fraise. On en a extrait un principe à odeur de musc très prononcée, nommé "muse végétal, que l’on considère comme ayant les mêmes propriétés physiologi- ques et thérapeutiques que le muse animal. À haute dose, cette substance orovoque quelques accidents. Tribu II. — LONICÉRÉES. Fleurs irrégulières. Loges ovariennes pluri-ovulées. Style indivis. LONICERA L. — Fleurs irrégulières. Calice à 5 sépales très petits. Corolle tubuleuse, bilabiée, à lèvre supérieure 4-lobée, l’inférieure entière. Etamines 5. Ovaire 3-loculaire, à loges 2-k-spermes, devenant parfois uniloculaire par résorption des Fig. 135. Fig. 136. Fig. 137. Lonicera caprifolium. Lonicera xylosteum. Chèvrefeuille, Fruit. Fleur. Deux fleurs connées dans le bas. cloisons. Style indivis, à stigmate capité, entier ou incomplé- tement 3-lobé. Baie succulente, 3-loculaire, à loges 3-4 ovulées ou uniloculaire. Feuilles opposées, entières, sans stipules. CAMPANULACÉES 91 Fleurs axillaires, géminées. Arbrisseaux dressés, Z. æylosteum L, 1.{ Fleurs en inflorescences terminales, capitées. Ar- brisseaux volubiles ............., rt ri Die ? 2 Feuilles florales indépendantes ....... MEN -re L. Periclymenum L,. | Feuilles florales connées .......... nn t SpiE . L. caprifolium L. Les fleurs du Chèvrefeuille sauvage (ZLonicera Periclymenum) de nos bois et celles du Chèvrefeuille des jardins (Z. caprifolium) ont une odeur très agréable. Elles ont été employées autrefois comme antispasmodiques et expectorantes, On prépare un sirop de Chèvrefeuille recommandé contre les bronchites légères. | Famizze XXI. — CAMPANULACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières ou irrégulières (dans les Lobelia), hermaphrodites. Périanthe double. Calice, corolle et étamines 5-mères. Corolle gamopétale. Etamines insérées directement sur le réceptacle, alternes avec les péta- les. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire plus ou moins infère, 2-3 ou rarement »-carpellé, 2-3 ou, rarement, 5-loculaire, à loges pluriovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Fruit capsulaire, à 2-3, rarement 5-loges polyspermes. Graines albu- minées. Feuilles alternes, simples, sans stipules. Affinités. — Les Campanulacées sont voisines des Caprifo- liacées, dont elles se distinguent surtout par leur fruit et par leur ovaire, souvent incomplètement infère, mais auxquelles elles tiennent étroitement par les Lobéliées, qui ne sont que des Campanulacées à fleurs irrégulières. Deux tribus : PRENONS MA RET- nu Les ae dead - à cute Campanulées . RER OP 7 le mel «end oide Was a à o 2: dt ao vue Re Lobéliées. Tribu I. — CAMPANULÉES. Fleurs régulières. Corolle partagée jusqu’à la base en divisions linéaires. ? 1.4 Corolle à lobes plus ou moins larges, ne pénétrant pas pius loin que le milieu de la hauteur de la corolle.., 3 Anthères soudées à la base. Fleurs en capitules entourés 2 ( d'un involuere 2443 diese 6 6 ratle.. TRES Jasione. { Anthères libres. Fleurs en têtes ou en épis, sans invo- MERE. 7m cote - URI EEE . lPhyteuma. 3 { Corolle rotacée......................7.... Presse + Specularia. *| Corolle campanulée ou tubuleuse-campanulée...,.... 4 92 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Fleurs solitaires, axillaires et terminales. Tige cou- è BHBO Se. .e sense sot nee SA CRE .. Wahlenbergia. £:° Fleurs formant des épis ramifiés ou des panicules. Tige FR PR A CR à Campanula. CAMPANULA T. — Calice à 5 sépales. Corolle campanulée, à à divisions plus ou moins profondes. Filets staminaux très dilatés à la base. Style simple, à 3-5 stigmates distincts. Cap- sule 3-5-loculaire, déhiscente par des trous dorsaux correspon- dant à chaque loge. Fleurs bleues, parfois anormalement blan- s“hes. Feuilles simples. entières on dentées. Fig. 139. = C, Rapunculus, Fleurs, Fig. 18. Campanula Rapunculus. Fig. 140. — €. Rapunculus. Sominité fleurie. Fleur; coupe longit. \ Fleurs pédonculées, jamais réunies en glomé- rules. Capsule déhiscente par le haut......... 2 5 Fleurs sessiles, réunies en glomérules, au moins les terminales. Capsule déhiscente par le bas. 6 > | Pédoncules fructifères dressés .....:...,.....,.. 3 71 Pédoncules fructifères courbés vers le bas..... 4 Fleurs en grappes simples, pauciflores, termi- \ nales. Feuilles raides, glabres..........:..... C. persicæfolia 1. -3,° Fleurs en panicule terminale ramifiée. Feuille: / molles, glabres ou pubescentes, Racine pivotante, CMORBTAUE .L:.,. 2, d'A 2 ec NE CT IEC C. Rapuneulus . CAMPANULACÉES (PR Corolle glabre. Feuilles glabres ou presque gla- bres. Feuilles radicales orbiculaires-réniformes. (. rotundifolia . Corolle à lobes plus ou moins poilus ou hérissés. 5 Corolle à lobes hérissés-ciliés. Souche cespiteuse. Tige anguleuse. Sépales dressés après la florai- dr em mue 2e guetta Lam ds C. Trachelium L. Corolle à lobes simplement ciliés. Souche ram- pante, très allongée. Tige non anguleuse. Sé- \ Q! pales dressés après la floraison............... C. rapuneuloïdes L. g { Sépales linéaires, aigus ....................... C. glomerata 1. Sépales courts, ovales, obtus.................. C. cervicaria LE. C. Rapuneulus L. _(Raiponc e). — Caractères du genre. Fleurs assez grandes, pédonculées, solitaires à l’aisselle de feuilles réduites, formant par leur ensemble une panicule ter- minale ramifiée, allongée, à rameaux dressés. Réceptacle gla- bre. Sépales linéaires, subulés. Réceptacles fructifères portés par des pédoncules dressés, Feuilles membraneuses, molles. glabres ou pubescentes, les radicales oblongues-obovales, on plus ou moins lancéolées, atténuées en pétiole, un peu créne- lées, les caulinaires sessiles, étroites, lancéolées. entières, Ra- cine pivotante, napiforme, charnue, blanche. Tige haute de 50 à 80 centim., dressée, glabre ou finement hérissée, surtout à la base. — Flor.: juin-août. — Habit. bords des chemins et des fossés, prai- ries, lisières des bois. Très commun.®,. On cultive cette plante pour sa racine qu'on mange en salade. Sa saveur est un peu doucr et agréable, On la considère, dans les cam- pagnes, comme très bonne pour les nourrices, dont on dit qu'elle augmente le lait, WAHLENBERGIA ScHRaD. — Se distingue du précédent par ses filets staminaux à peine dilatés à la base : par sa capsule qui s’ouvre au sommet en trois valves portant les cloisons sur leur milieu, et par ses fleurs solitaires. longuement pédicellées. WW. hederacea Rcu8. pèce. Plante à rhizome grêle, à tige couchée, à feuilles pétiolées, cordées à la base, palmatilobées. Rare dans les pâturages humides. SPECULARIA Her. — Se distin Fig. 41. gue des précédents par sa corolle tatenbergia hederacea . rotacée. Filets staminaux dilatés à la hase. Capsule 3locukaire a à, 9%, GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES déhiscente dans le haut par trois pores dorsaux. Fleurs vio- lettes, rarement rougeätres ou blanches, en panicules terminales, feuillées. Feuilles crénelées, les inférieures atténuées en pétiole, les caulinaires sessiles. Corolle aussi longue que les sépales...... OR ON-T- .. S. Speculum A.DC. Corolle beaucoup plus courte que le calice, souvent fermée et-avortée.x. .........: 4. PR Es EE: S. hybrida A.DC. Pa Fig. 143. Phyleuma spicatum. Fleur. Fig. 142 Phyleuma spicalum. Fig. 144. — Jasione montana. PHYTEUMA L. — Se distingue de tous les genres précédents par Sa coroile divisée jusque vers la base en cinq pétales li- néaires, d’abord connivents en tube, puis étalés. Filets stami- naux élargis à la base. Anthères libres. Capsule 2-3-loculaire, à loges déhiscentes par des trous dorsaux. Fleurs bleues ou . mcéétiéce CAMPANULACÉES 95 blanches, sessiles, en épis multiflores, compacts, ou en une sorte de capitule terminal, non involucré; tige florifère ordi- nairement simple. Fleurs en épi allongé, terminai, à bractées linéaires... P, spicatum L. Fleurs en un capitule d’abord globuleux, puis ovoïde, SPORE eu bee SR à ef the HUE s man MUC ed à P. orbiculare L, JASIONE L. — Ressemble au précédent par sa corolle di- visée presque jusqu'à la base en pétales linéaires, d’abord connivents en tube, puis étalés; s’en distingue par ses filets staminaux filiformes, non dilatés à la base, et par ses anthè- res soudées à la base, d’abord conniventes, puis divergentes en étoile. Style filiforme, terminé par 2 stigmates. Capsule 2-loculaire, déhiscente par une seule ouverture terminale. Fleurs bleues ou accidentellement blanches, en ombelles globuleuses, terminales, J. montana L. — Seule espèce. Plante des lieux secs et sablonneux. Tribu II. — LOBÉLIÉES. Fleurs irrégulières. LOBELIA L. — Calice à à sé- pales linéaires. Corolle gamopétale, tubuleuse, à tube fendu dans le haut, à limbe plus ou moins bila- bié, 5-fide. Etamines 5, à filets et anthères adhérents en un tube que traverse le style.Ovaire 2-3-lo- culaire. Style simple, filiforme, terminé par 2-3 stigmates. Capsule 2-5-loculaire, déhiscente par le sommet. Fleurs bleues, formant des grappes spiciformes, terminales. L. urens L. (Lobélie brülante). — Caractères du genre. Plante à souche vivace, courte, de laquelle partent des tiges dressées, hautes de 20 à 50 centim. et plus, angu- leuses, ordinairement non rami- 1 « fiées, terminées par une longue grappe de fleurs bleues, très cour- Fig: H5.— ZLobelia urens. tement pédicellées. Feuilles glabres, simples, crénelées, les ra- 96 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES dicales souvent en rosette, oblongues, atténuées en pétiole, les caulinaires plus aiguës, sessiles. — Flor. : juillet-août. — Habit.: prairies tourbeuses, bois humides. Très rare. 7”. Toutes les parlies de la plante contiennent un latex blanchätre, àcre, caustique, doué de propriétés purgatives drastiques très prononcées. On n’en fait pas usage, et cependant son étude offrirait un inlérèt sérieux aux thérapeutistes. Elle contient de la Zobéline. FauiLze XXII — VACCINIÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle très concave. Périanthe double, 4-5-mère. Calice à sépales persistants ou caducs. Corolle gamopétale. Etamines en nombre double de celui des pétales, alternes avec ces der- niers. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des pores terminaux allongés en tubes. Ovaire 4-5-carpellé, 4-5-lo- culaire, à loges pluriovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Style simple, terminé par un stigmate capité. entier. Fruit bacciforme, 4-5-loculaire, à loges polx- spermes. Graines albuminées. Feuilles alternes. Affinités. — Les Vacciniées sont des Ericacées à ovaire in- fère; nous ne les séparons des Ericacées que pour la commo- dité des herborisations. Dans un ouvrage systématique à cadre plus large, elles doivent être unies aux Ericées dans une même famille, Deux genres : Corolle rotacée. Tige filiforme, couchée, radicante....,..... Oxycoccos. Corolle campanulée ou urcéolée. Tige dressée ou ascen- dante: nn...) ... site CE Vaccinium. OXYCOCCOS T. — Calice à 4 sépales membraneux, courts. Corolle rotacée, 4-partite, à lobes lancéolés, réfléchis. Etamines 8. conniventes. Baie succulente, 4-loculaire. Feuilles entières, à lobes enroulés en dessous, persistantes. Fleurs roses, soli- taires. Fruits rouges. Sous-arbrisseaux couchés. 0. palustris Pers. (Canneberge). — Seule espèce. Sous-ar- brisseau à tiges filiformes, couchées, radicantes, des marais tourbeux. Rare. VACCINIUM L. — Calice à 4-5 divisions courtes. Corolle campanulée ou urcéolée, 4-5-mère, à lobes réfléchis. Etamines 8-10. Baie succulente, 4-5-loculaire. Feuilles simples, persistan- tes ou caduques. VACCINIÉES 07 Fleurs solitaires. Fruit noir à la maturité. Feuilles Caduques :.....s.s... nessssrsess sessosnse messes Fleurs en grappes terminales. Fruit rouge à la matu- rité. Feuilles persistantes ....,..................... V, Myrtillus T.. V. Vitis-Idæa I. ji \ (ll ; 6) ÿ at] 1) 1 4 Fig, 147. = VW. Myrtillus. Fruit. Fig. 146, — Vaccinium Myrtillus. Rameau fleuri. Fig. 148. — V. Myrtillus. Fig. 149, — Vaccinium Vilis-ldau. Fleur; coupe longit. Rameau fleuri. V. Myrtillus L. (Airelle, Myrtille, Abrètier, Abret noir). — Caractères du genre. Petit arbrisseau haut de 30 à 60 centim., dressé, anguleux, très ramifié ; à fleurs verdâtres ou rougeâtres, à corolle urcéolée, à anthères munies sur la face dorsale du connectif de deux appendices filiformes: à fruits noirs, glau- cescents, acidules. Feuilles caduques. ovales-aiguës, courtement FLORE DE PARIS, 6 ‘1 PETER A 98 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES pétiolées, dentées. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : juin-juillet. — Habit. : Bois montueux. Commun. 7”. Les feuilles de l'Airelle sont astringentes, mais on n’en a jamais fait un usage sérieux, Les fruits sont riches en matière colorante rouge; on s’en sert pour colorer le vin; ils donnent eux-mêmes un vin assez agréable et de l'alcool. On les employait autrefois contre la diarrhée et la dyssenterie : ils sont simplement rafraichissants et légèrement astringents. V. Vitis-Idæa L. (Faux Abrètier, Abret rouge). — Se distin- gue par ses fleurs en grappes penchées, terminales des rameaux, par ses anthères dépourvues d’appendices filiformes, par ses fruits rouges à la maturité, et par ses feuilles persistantes. Ar- brisseau ascendant ou dressé, haut de 10 à 30 centim.. à rameaux cylindriques, non anguleux, ordinairement dichotomes, à feuil- les ponctuées sur la face inférieure de glandes noires, courte- ment pétiolées, ovales, obtuses, à bords enroulés en dessous. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : juin-juillet. — Habit, : bois mon- tueux. Très rare. Z>. Les feuilles et les fruits jouissent des mèmes propriétés que ceux de l’es- pèce précédente. Fauizze XXII — CUCURBITACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières et unisexuées. Réceptacle très concave dans les fleurs femelles, cupiliforme dans les fleurs mâles. Périanthe double, 5-mère. Calice à 5 sé- pales bien développés. Corolle gamopétale, périgyne dans les fleurs mâles, épigyne dans les fleurs femelles, à 5 divisions plus ou moins profondes. Etamines 5 dans les fleurs très jeunes, alternes avec les pétales, à anthères uniloculaires, quatre de- venant ensuite connées deux à deux pour former 2 anthères biloculaires, à loges contournées, tandis que la cinquième reste indépendante. 11 n'existe ainsi dans la fleur adulte que 3 étamines : 2 biloculaires et 1 uniloculaire. Ovaire uniloculaire, 3-carpellé, à 3 placentas pariétaux, bifides, se rejoignant au centre, de manière à donner à l'ovaire l’apparence d’une divi- sion en 3 loges contenant chacune deux rangées d’ovules ana- tropes insérés dans les angles internes. Fruit bacciforme, à en- veloppe coriace, en apparence triloculaire, à loges polyspermes. Graines sans albumen. Feuilles simples, accompagnées de vrilles représentant des rameaux transformés. Fleurs assez grandes, solitaires ou bien en panicules ou en corymbes. Tiges cou- chées ou grimpantes et s’accrochant par leurs vrilles aux vé- gétaux voisins. Affinités. — Les Cucurbitacées se distinguent de toutes les 1. CUCURBITACÉES 99 autres familles gamopétales hypogynes par leurs placentas pa- riétaux. Elles se rapprochent par ce caractère des Gentianacées. dont elles se distinguent par leur ovaire infère et par le rap- prochement de leurs placentas au centre de la cavité ova- rienne. 1 À Fleurs TONER A enr platetialite en so date © or Un S .... Bryonia. *) Fleurs monoïques ou polygames......,...............4:.. 2 Anthères mucronées au niveau du connectif, Fleurs mo- DROITE SONY SAMES EN LS Se ee eee nhnlen site esse Cucumis. Anthères non mucronées. Fleurs toujours monoïques .... Cucurbita. BRYONIA L. — Fleurs dioïques. Fleurs mâles : réceptacle campanulé; sépales 5, bien développés, triangulaires; corolle 5-partite; anthères à loges contournées en S: ovaire représenté par une glande trilobée. — Fleurs femelles : réceptacle glo- buleux ; sépales 5; corolle 5-fide ; ovaire à 3 fausses loges pluri- spermées ; stigmates 3. Baies globuleuses, à parois minces, rouges à la maturité. Fleurs en corymbes axillaires pauciflores, ou solitaires. Vrilles simples. Fig. 151. B. dioïea, Étamine. Fig, 150. — Bryonia dioïca. Portion de rameau femelle. B. dioïca JAco. (Bryone, Couleuvrée, Rave de serpents, Navet du diable). — Caractères du genre. Fleurs dioïques, jaune-verdâtre, petites. Fruit d’abord vert, puis rouge, de la grosseur d’un pois. Vrilles simples. Feuilles palmatilobées, à 3-1 lobes anguleux-sinués, le terminal plus grand, velues. Souche vivace, tuberculeuse, émettant des rameaux annuels nombreux. Flor. : juin-juillet. — Habit. : haies, buissons. Commun. 7°. Le rhizome tuberculeux de la Bryone est très gros ; il peut atteindre la taille de la cuisse d’un enfant ; il est cylindrique, charnu, très riche en amidon. Il possède une odeur vireuse et nausécuse et une saveur âcre et {00 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES caustique. Son suc frais est irritant et même vésicant; il agit à l'intérieur comme un purgatif drastique très énergique. La dessiccation atténue ses propriétés, mais ne les fait pas disparaitre. On en a extrait un principe très amer, la Bryonine, encore mal connu. En râpant la racine et faisant fermenter sa pulpe dans l’eau, on détruit la substance active et on extrait ‘une grande quantité de fécule. CUCURBITA L. — $e distingue du précédent par ses fleurs monoïques, son fruit volumineux, à écorce très épaisse et dure, par ses graines à bords épais, par ses anthères non mucronées, à loges plusieurs fois repliées. Feuilles rudes, grandes, sinuées, à 5-7 lobes peu profonds. Fleurs grandes, solitaires, axillaires. Feuiiles à lobes peu profonds. Fruit très volumineux, à placentas s'affaissant peu à la maturité........... C. maxima Ducx. Feuilles à lobes beaucoup plus profonds. Fruit à pla- centas s’affaissant beaucoup à la maturité.......... C. Pepo SEr. Le C. maxima (Potiron) et le C. Pepo (Citrouille, Girau- mon) sont cultivés dans les jardins sur une grande échelle pour leurs fruits. Les principales variétés sont : Le Turban., qui est aplati, à côtes très saillantes; le Potiron; de Giraunon; le Bonnel d'électeur ou Patisson, etc. Fig. 153. Cucumis Melo. Fig. 152. — Cucumis Melo, Portion de rameau. Fleur femelle, CUCUMIS L. — Fleurs monoïques ou polygames. Anthères à connectif mucroné. Fleurs grandes, jaunes, les mâles faseicu- lées, les femelles solitaires. Graines à bords minces. Feuilles 5-7-lobées. Feuilles à lobes aigus. Fruit à saveur fade.......,......,.. C. sativa L,. Feuilles à lobes arrondis, Fruil à saveur douce............. C. Melo L. Le C. satirus (Concombre, Cornichon) et le €. Melo (Melon) sont cultivés pour leurs fruits. VALÉRIANACÉES 101 Famizze XXIV. — VALÉRIANACÉES. Caractères constants. — Fleurs plus ou moins irrégulières, ordinairement hermaphrodites, rarement unisexuées par avor- tement. Réceptacle très concave. Périanthe simple, Calice absent. remplacé par un disque divisé en lanières enroulées en dedans, persistant au-dessus du fruit, sous le nom d’aigrette. Corolle gamopétale, 5-mère, imparfaitement bilabiée; épigyne. Etamines 3 (1 dans les Centranthus), insérées sur le tube de la corolle, alternes avec les pétales. Anthères biloculaires, intror- ses, déhiscentes par des fentes longitudinales, indépendantes. Ovaire infère, 3-carpellé, 3-loculaire, puis 1-loculaire par avor- tement, 1-ovulé. Ovules anatropes, insérés au sommet de la loge. Fruit sec, indéhiscent, monosperme, surmonté du disque (aigrette). Graines sans albumen. Feuilles opposées. Fleurs en cymes corymbiformes ou en cymes formant des glomérules, jamais en capitules involucrés. Affinités, — Les Valérianacées se rapprochent des Lobélia- cées par l’irrégularité de leurs fleurs, mais s’en distimguent par leur ovaire uniloculaire à la maturité et leur androcée rédui à 4 étamines, Caractère qui les rapproche des Dipsacées, qui ont comme elles les fleurs irrégulières et quatre étamines, mais qui s’en distinguent par leur ovaire toujours uniloculaire. Enfin l'absence du ealice, la présence d'un disque se développant en aigrette, les rapprochent des Synanthéracées; mais, dans ces dernières, lovule s’insère dans le fond de la loge, l'androcée est composé de 5 étamines, et les anthères sont adhérentes en un tube qui enveloppe le style. . ( Corolle munie d'un éperon allongé. 1 seule étamine. Centranthus. 4: | Corolle munie d’une simple bosse ou presque régulière. ne a a PRE. ne terne » 2 > { Disque à lobes roulés en dedans pendant la floraison. Valerianu. 7‘ Disque à lobes droits pendant la floraison........... Valerianella. VALERIANA L. — Disque à lobes enroulés en dedans pendant la floraison. Corolle tubuleuse-infundibuliforme, à tube bossu dans le bas, à limbe presque bilabié, 5-lobé. Etamines 3. Fruit 1-loculaire, 1-spermé, surmonté par le disque déve- loppé en une aigrette formée de dix longues soies barbelées de chaque côté. Feuilles pinnatifides. Fleurs en cymes réunies en corymbes terminaux. Flêurs hérmaphrodites::.........,,.,. LE. … V. officinalis L, PRE QUES. D. ne de in «cr de SÉRIE ..." V. dioîiea L: a Ge s 102 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES V. officinalis L. (Valériane, Herbe à la meurtrie, Herbe aux chats). — Caractères du genre. Fleurs petites, blanches, légè- rement rosées, en cymes formant des corymbes axillaires et terminaux. Feuilles pubescentes, pinnatiséquées, à segments oblongs, entiers ou dentés. Souche vivace, à racines fasciculées, charnues. Tige haute de 50 centim. à 1 m. et plus, dressée, simple, fistuleuse, sillonnée. — Flor. : juin-août. — Habit. : bois humides, marécages. Commun. 7”. Fig, 154 et 195, — Valeriana officinalis. Sommité florifère, feuille, fleur coupée longitud, et fruit, Les racines exhalent une odeur très forte, désagréable, que les chats aiment beaucoup, d'où le nom d'Æerbe aux chats qui a été donné à cette plante; ils se roulent sur ses racines, la couvrent de leur salive et de leur urine et semblent entrer en ivresse, La racine de la Valériane est un excel- lent antispasmodique: on la prescrit contre un grand nombre de mala- dies nerveuses, notamment contre la chorée et l’épilepsie. Elle est mani- festement vermifuge. A haute dose, elle peut déterminer des accidents, On l'emploie surtout à l’élat de poudre. VALERIANELLA T. — Se distingue par son disque à lobes dressés pendant la floraison, par son ovaire à trois loges visi- bles, dont une seule fertile, monosperme. Feuilles simples, les radicales en rosette, entières, les caulinaires sinuées-den- tées. Fleurs blanches, petites. Tige ordinairement très ramifiée dichotomiquement, L DIPSACÉES 103 Fruit à loges stériles plus grandes que la loge 24 RECU LRO ET ee ET EN CR INR URSS DEEE ie QI 2 *) Fruit à loges stériles beaucoup plus petites que l la fertile, filiformes......... PLEMET 4 Cloison de la loge fertile du fruit très épaissie AAA Shobrieusié. dada dasare ét. soie ce bras » » pie V. olitoria Poit. Cloison de la loge fertile du fruit mince....... 3 Fruit subtétragone, oblong, creusé en nacelle 3 CNE HORREUR V. carinata Lots. ") Fruit subglobuleux, trilobé, non creusé en na- ET ARR PRG nodanenesne dun te V. auriculata DC. 4, Fruit terminé par une pointe aiguë............ D ‘| Fruit couronné par 6-10 dents................ V. coronata DC. 5 Fruit glabre ou à peine pubescent........... +. V. Morisonii DC. "À Fruit pourvu de lignes de poils raides....,... . V. eriocarpa DEsv. Le Valerianella oliloria (Mâche, Doucette) est cultivé pour ses feuilles, qui se mangent en Salade avant la formation des tiges florifères. La plupart des autres espèces ne sont peut-être que des variélés de celle-là, CENTRANTHUS Neck. — Se distingue très neltement par son androcée formé d’une seule étamine et par sa corolle dont le tube est muni dans le bas d’un éperon allongé. Feuilles entières. Fleurs rouges, rarement blanches, en eymes formant des corymbes. C. ruber DC. — Seule espèce. Originaire de l'Europe méri- dionale, est cultivé dans les jardins pour ses fleurs qui forment de magnifiques corymbes de cymes. Famizze XXV. — DIPSACÉES. Caractères constants. — Fleurs irrégulières, hermaphrodites. Réceptacle très concave. Périanthe simple, Calice absent, rem- placé par un disque persistant formant une aigrette sur le fruit. Corolle gamopétale, 5-mère, irrégulière, subbilabiée. Eta- mines 4, insérées sur le tube de la corolle, alternes avec les pétales. Anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes lon- gitudinales, introrses, indépendantes. Ovaire infère, unilocu- laire, uniovulé. Ovules anatropes, insérés au sommet de la loge, suspendus. Fruit uniloculaire, sec, indéhiscent, couronné par le disque en forme d’aigrette. Graines albuminées. Feuilles opposées, sans stipules. Fleurs en capitules involucrés, dont le plateau est souvent muni de paillettes, et entourées cha- cune d’un irvolucelle membraneux, tubuleux. Affinités. — Les Dipsacées sont très voisines des Synanthé- racées, dont elles ont le mode d’inflorescence et l’ovaire unilo- culaire, uniovulé, mais dont elles se distinguent par l'insertion de lovule et par l’androcée, formé seulement de 4 étamines indépendantes. 4 [0% GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Trois genres : Plateau du capitule hérissé de pailleties scarieuses ou épi- PM nENSES . 44... 140 010 MN REV SANTE PE à 2 Plateau du capitule dépourvu de paillettes. ..... Se Gé e ÆKnaultiu. Paillettes du plateau terminées par une longue pointe. 9 Disque tétragone..::.":2%42 0890 NE IRC Dipsacus. **) Paillettes du plateau scarieuses ou membraneuses. Disque l terminé par 5 arêles............. LES RE RM Nr OS cab iosd. SCABIOSA L. — Disque terminé par 5 arètes. Corolle tubu- leuse, infundibuliforme, sub-bilabiée, à lèvre supérieure bilo- bée, à lèvre inférieure trilobée. Plateau du capitule muni de paillettes scarieuses où membraneuses. Involucre formé de folioles herbacées. Feuilles entières, pinnatifides ou pinnatisé- quées. Fleurs ordinairement bleues ou violettes, rarement blanches ou jaunâtres. ! Fleurs blanc-jaunätre, Corolle à 4 divisions. .... S. ucranica L. SA Fe D ETES CIS SNS D en 2 2 Feuilles radicales et caulinaires entières.....,,., S. succisa L,. 7‘ Feuilles caulinaires pinnatiséquées...,...,.,...... 3 Feuilles des fascicules stériles très entières, les 3 radicales détruites lors de la floraison....,...... S. suaveolens DESsr. ; | Feuilles des fascicules stériles crénelées ou lyrées- ABS ST RSR RER MER SN S. columbaria L. On cultive beaucoup dans les jardins le S. maritima var. atropurpurea, sous le nom de Fleur de veuve, pour la beauté de ses fleurs, qui sont très grandes et colorées en pourpre plus ou moins foncé, DIPSACUS L. — Se distingue par son plateau du capitule hérissé de paillettes scarieuses très développées et terminées par une longue pointe raide, épineuse. { Capitules fructifères ovoides-oblongs.......,.. 2 ‘| Capitules fructifères globuleux...........,.... D. pilosus L. "À Involucre formé de folioles linéaires plus lon- 2 guesrque le capitales... MTuMeR .... D. sylvestris Mie. 34 Involucre formé de folioles lancéolées, plus courtes que-le capitulé.. RSR RICA D. Fullonum Wicis, Le 2. Fullonum (Chardon à foulon, Cardère) est cultivé dans quelques localités pour ses capitules fructifères, dont on fait usage dans le cardage des draps, Sa racine était jadis considérée comme diurétique. KNAUTEIA Court. — Se distingue par son plateau du ca- pitule dépourvu de paillettes et muni seulement de soies. K. arvensis Cour. (Scabiosa arvensis L.). — Seule espèce, très commune dans les prairies, sur la lisière des bois, dans les buissons, remarquable par ses capitules rose-lilas. SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 105 Faizze XXVI. — SYNANTHÉRACÉES ou COMPOSÉES, Caractères constants. — Fleurs régulières ou irrégulières, hermaphrodites ou unisexuées. Réceptacle très concave. Pé- rianthe simple. Calice absent, remplacé par un s == disque souvent persistant et formant une ai- srette au-dessus du fruit. Corolle gamopétale, 5-4-mère, tantôt régulière et tubuleuse, tantôt irrégulière et ligulée, c’est-à-dire fendue d’un côté et rejetée de l’autre. Etamines 5, alternes avec les pétales, insérées sur le tube de la corolle. Anthères introrses, biloculaires, déhis- centes par des fentes longitudinales, adhé- rentes entre elles en un tube que traverse le style. Ovaire infère, uniloculaire, uniovulé. Ovule anatrope, inséré sur le fond de la loge, ascendant. Fruit uniloculaire, monosperme, indéhiscent, ordinairement surmonté du dis- que formant aigre‘te. Graines sans albumen. — Fleurs disposées en capitules involucrés. Affinités. — Les Synanthéracées sont très voisines des Dipsacées et des Valérianacées, dont elles se distinguent très nettement par leurs anthères adhérentes en tube, par leur ovule ascendant et par leur androcée ordinai- Androcée de rement pentamère. Elles sont également très Syaanthéracée. voisines des Ambrosiacées, qui ne s’en distinguent que par leurs anthères indépendantes. Trois tribus : Capitules ne portant que des fleurs ligulées, hermaphro- RU RO RE EC ue Ce PER 0 CR Liguliflores. Capitules ne portant que des fleurs tubuleuses.......... Tubuliflores. Capitules portant des fleurs tubuleuses au centre et des fleurs ligulées à la périphérie........,.....,......,.. Semi-tubuliflores. Tribu I. — LIGULIFLORES. Capitules ne portant que des fleurs ligulées et hermaphro- dites. | Trois sous-tribus : Fruils surmontés d'une aigrette de soies capillaires toutes plumeuses (sauf parfois celles de la périphérie). Tragopogonées. 106 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Fruits surmontés d'une aigrette de soies capillaires non plameuses, lisses ou scabres......... SALES ne à Taraxacées. Fruits tout à fait dépourvus d’aigrette ou ne présentant qu'une aigretie très courte, formée de petites écailles.. Cichoriées. Sous-tribu I. — CICHORIÉES. Fruits tantôt absolument dépourvus d’aigrette, tronqués ou munis d’un simple rebord, tantôt pourvus seulement d’une aigrette très courte, formée de petites écailles. Fruits tronqués, sans aigrette ni rebord. Fleurs jaunes.,.....…. Lampsana. Fruits pourvus d'un rebord en forme de couronne. Fleurs jaunes ne... s.... Dance pen eiiae see NE SE RE . Arnoseris. Fruits pourvus d'une aigrette courte, formée de paillettes mem- brangnSes'obtuses. Fleurs bleuesi.....4:..::214 64e Cichorium. ELAMPSANA L. — Involucre à 8-10 folioles égales, 1-sériées, dressées à la maturité, accompagnées à la base d’écailles cour- tes. Plateau nu. Achaines sans aigrette ni rebord. Capitules petits, en panicule lâche. Fleurs jaunes. EL. communis L. (Lampsane, Herbe aux mamelles), — Ca- ractères du genre. Plante de 30 centim. à 1 m., grèle, dressée, ramifiée, glabre ou pubescente dans le bas. Feuilles inférieures lyrées, à lobe terminal très grand, denté, tronqué ou cordé à la base, les supérieures simplement dentées. — Flor. : juin- août. — Habit. : lieux cultivés, voisinage des villages. Com- mun. (A). ARNOSERIS GzrI\. — Se distingue du précédent par son involucre à folioles conniventes à la maturité, par ses achaines subpentagonaux, anguleux, sillonnés, terminés par un rebord en forme de couronne. Fleurs jaunes. Capitules 1-3, terminaux. Tige non feuillée. Feuilles toutes radicales, en ro- sette, oblongues, dentées, velues au bord. A. minima Kocu. — Seule espèce. Petite plante de 10 à 30 centim., assez rare dans les champs sablonneux. CICHORIUM L. — Se distingue des précédents par son in- volucre à folioles nombreuses, 2-sériées, les extérieures cour- tes et dressées, les intérieures plus longues et étalées à la maturité, et par ses aigrettes formées de soies écailleuses très courtes, 2-sériées. Fleurs bleues, rarement blanches. Capitules en fascicules axillaires. €. Intybus L. (Chicorée sauvage). — Caractères du genre, Plante vivace, haute de-50 centim. à 1 m. et plus, forte, dres- 2 SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 107 sée, anguleuse, à pubescence rude, ramifiée, à rameaux étalés. Feuilles inférieures roncinées, à lobes dentés, les supérieures sessiles, lancéolées. — Flor. : juillet-août. — Habit. : bords des chemins, lieux secs. Commun. 77, Fig. 157. — Lampsana communis, Fig. 158. — Cichorium Intybus. Sommité florifère, Sommité florifère et fruit. Les feuilles ont une saveur amère très prononcée. Elles sont ioniques, apéritives, laxatives ; on les considérait mème autrefois comme fébrifuges. On cultive cette espèce pour la manger en salade, mais surtout pour la préparation de sucs d'herbes amers et pour sa racine, qu'on fait sécher, qu’on torréfie et qu'on moud pour faire la poudre connue sous le nom de Chicorée, avec laquelle on falsifie le café; on en fait même des infusions destinées à le remplacer. On cultive aussi dans les jardins plusieurs variétés du €. ÆEndivia L. (l'Escarolle, la Chicorée frisée, la Barbe de capucin). Toutes ces plantes sont plus ou moins amères et se mangent en salade; on a l'habitude de les faire blanchir en les liant (Escarolle et Chicorée frisée) ou en les faisant étioler dans les caves (Barbe de capucin). 108 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Sous-Tribu II. — TARAXACÉES. Fruits surmontés de soies capillaires, non plumeuses, lisses ou scabres. 1 Plantes acaulés.2.t rer sr Mere NC CR NS PRE F1 Plantes cauleseentes..2.5.:.21 0722 NUE RTE Involucre formé seulement de 5 folioles 1-sériées, accom- 7 pagnées d’écailles courtes à la base......,............ : Involucre formé de plus de 5 foholes.< 2. ee 3 Aigrette à soies 1-sériées............. Ne EN ÈRE rS Aigrette à soies pluri- SÉTIÉES.. ere PPS RS T z Achaines atténués en un long bec capillaire...,........ "| Achaïnes tronqués, sans bec. .....:.....Nami2r pp - Involuere à 7-10 folioles seulement, 1-2 sériées......, M ‘| Involucre à folioles nombreuses, 2-pluri-sériées......,... 6.| Achaines pourvus d'un long bec capillaire............. ; ‘| Achaines dépourvus de bec, tronqués. .: 1.2: PET - { Achaines presque cylindriques, atténués dans le haut, …. : : Achaines comprimés, tronqués dans le haut........ à tele Jonenner.1e 28 RQ ANT aucon Tarazacum . 2 Phœnopus. Lactuca. Hieraciun . ie - cit L En a. Ch Sonchus. Fig. 159. Fig. 160. Tarazacum officinale. Taraxacum officinale. Fruit; coup. long. TARAXACUM Juss. — Involucre à folioles nombreuses, inégales, pluri-sériées, imbriquées, les extérieures souvent ré- fléchies à la maturité. Plateau nu. Achaines surmontés d’un long bec filiforme, munis de côtes longitudinales striées, mu- riquées, épineuses ou tuberculeuses. Aigrette à soïes capillaires, SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 109 non plumeuses, pluri-sériées. Plantes acaules, à feuilles ronci- nées, à capitules solitaires au sommet d’un pédoncule court, nu, fistuleux. Fleurs jaunes. À T. officinale Wicc. (Pissenlit), — Caractères du genre. Souche épaisse. Racine pivotante, très riche en laticifères. Pé- doncule floral haut de 10-20 centim. et plus, dressé ou couché- ascendant. Feuilles en rosette dense, roncinées, à lobes dentés- incisés irrégulièrement, triangulaires. Aigrettes formant par leur ensemble une tête globuleuse. — Flor. : avril-octobre. — Habit. : bords des chemins, lieux cultivés, prairies, etc. Très répandu. 7”. &. T. Dens-Leonis. Plante très glabre. Lobes foliaires presque entiers; amples. Folioles extérieures de l’involucre réfléchies. Pelouses, prairies, voisinage des habitations. Très commun. B. T. lævigatum. Plante plus grande, glabre ou pubescente. Lobes foliaires pro’onds, étroits, entiers ou incisés, ou pinnatifides-incisés. Folioles externes de l'involucre étalées, non réfléchies. Endroits secs et sablonneux. Commun, y. T. palustre. Plante plus petite, glabre. Feuilles presque linéaires, en- tières, ou seulement sinuées- -dentées. Folioles de l’involucere dressées. Prairies humides, marais, Assez rare. La racine de Pissenlit doit au latex abondant qu’elle contient ses pro- priétés laxatives légères, Elle est beaucoup employée en Angleterre. Sa saveur est extrèrnement amère et âcre. On en a extrait un principe très amer, la faraxacine. On administre en Angleterre l’extrait de la racine contre toutes les maladies du foie, dans la convalescence des fièvres inter- mittentes, etc. Les feuilles sont mangées en salade; elles ont une saveur amère très prononcée, mais assez agréable. Elles sont toniques et apéritives. LACTUCA L. — Involucre à folioles nombreuses, pluri-sé- riées, inégales, les extérieures très petites. Plateau nu. Achai- nes comprimés, terminés par un long bec capillaire. Aigrette à soies 1-sériées, capillaires, lisses ou un peu scabres. Plantes caulescentes, à tige ramifiée, glabre ou pourvue de poils raides. Feuilles inférieures roncinées, pinnatipartites ou pinnatifides, les caulinaires souvent entières et sagittées, habituellement pourvues d’aiguillons sur les bords de la nervure médiane. Fleurs jaunes ou violacées. Capitules formant un corymbe irré- gulier ou une panicule terminale. ne SAS TSÉT Mar masctoiise 2 ? Hlennivialgcées.4: 2: ice ments ce Mise . L. perennis. Feuilles PRES d'aiguillons sur la nervure mé- 2.1 diane...…... PTE ONE BEN SRE .. L. sativa L. Feuilles pourvues d'aiguillons sur la nervure médiane. 3 Feuilles caulinaires roncinées, pinnatifides ou pinnati- Feuilles caulinaires linéaires-acuminées, très entières... S. Saligna L. 7 NN ET PE eu cn Le Mu CE) "+ L. sativa L. (Laitue cultivée). — Caractères du genre. Plante FLORE DE PARIS. 7 110 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES caulescente, à tige haute de 60 centim. à 1 m. et plus, dressée, à peu près pleine, ramifiée dans le haut, très glabre, lisse, sans aiguillons. Feuilles ordinairement entières, parfois pinnatipar- tites, plus souvent sinuées ou ondulées, en rosette très fournie. Capitules formant une panicule corymbiforme, compacte. — Flor. : juin-septembre. — Habit. : cultivée en abondance dans les jardins; peut être produit par la culture du L. Scariola. (2). Le Z. sativa est cultivé dans les jardins pour ses feuilles, qu'on mange en salade. Beau- coup de botanistes le considè- rent comme une simple variété du Z. Scariola obtenue par la culture. Fig. 162, — Lacluca Scariola, virosa. Fleur. Fig. 161. — Lactuca Scariola, virosa, Sommité florifère, Les variétés cultivées sont : %. L. romana (Laitue romaine). — Feuilles oblongues, carénées, imbri- quées avant la floraison. _. L. capitata (Laitue pommée). — Feuilles suborbiculaires, très-ondu- lées, imbriquées avant la floraison. ,Y: L. crispa (Laitue frisée). — Feuilles étalées avant la floraison, profon- dément pinnatipartites, sinuées, très ondulées et crispées. SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 111 L. Seaxiola L. (Scariole). — Caractères du genre. Plante caulescente, à tige haute de 80 cent. à 1 m. et plus, fistuleuse, très ramifiée dans le haut, glabre, lisse, où munie d’aiguillons dans le bas. Feuilles pourvues d’aiguillons sur la face inférieure de la nervure médiane, à bords ciliés-épineux, rarement en- tières, ordinairement roncinées et plus ou moins profondément découpées. Capitules formant une panicule terminale étalée. — Flor. : juin-août. — Habit. : lieux incultes, bords des chemins, décombres, vieux murs. æ. Scariola. — Feuilles roncinées-pinnatipartites ou pinnatifides, B. virosa (Lactuca virosa L.). — Feuilles entières ou simplement sinuées. Le Z, virosa est cultivé, surtout dans la Prusse rhénane, pour le Zactu- carium. Au mois de mai, on coupe la tige à 30 centim. au-dessous du sommet et on recueille le latex qui s’en écoule; on ravive ensuite la plaie, chaque jour, pour procéder à une nouvelle récolte. Le lactucarium jouit de propriétés narcotiques analogues à celles de l'opium, mais moins pro- noncées. SONCHUS L. — Involucre à folioles nombreuses, inégales, pluri-sériées. Plateau nu. Achaines sans bec, tronqués, compri- més, pourvus de côtes longitudinales. Aigrette formée de soies très fines, pluri-sériées, connées par fascicules à la base. Fleurs jaunes. Plantes caulescentes, à tige très fistuleuse. Feuilles inférieures roncinées, plus ou moins profondément découpées ou indivises, les supérieures ordinairement entières. 4. { Involucre glabre ou à peine velu...............,., 2 | Involucre couvert de poils glanduleux............. 3 9 Achaïnes à côtes longitudinales striées..........., S. oleraceus L. 7" Achaines à côtes longitudinales non striées, lisses.. S, asper ViL. Feuilles caulinaires auriculées, à oreilleties lancéo- 3 LES EE OO Le A LE OR .. S. palustris L. ©") Feuilles caulinaires auriculées, à oreillettes courtes, arrondies : 2212 nn RGP. TOME 0e 0 S, arvensis L. BARKHAUSIA Moexcx. — Involucre à folioles nombreuses, 2- ou pluri-sériées, les intérieures égales et dressées, les exté- rieures inégales, plus courtes. Plateau glabre ou simplement velu. Achaines presque cylindriques, atténués en bec, marques de stries longitudinales rugueuses ou denticulées. Aigrette à soies pluri-sériées, fines, lisses ou un peu scabres, Fleurs jaunes. Capitules formant une panicule ou un corymbe. Feuil- les presque toutes roncinées, plus ou moins profondément dé- coupées. 4 Pédoncules très allongés, penchés avant l’épa- nouissement des capitules. Odeur fétide....... B. fœtida DC. Pédoncules dressés avant l'épanouissement des captules "7. RAR PE Nu IT ETS 112 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Involucre atteignant presque le sommet des ai- 9 BPELEES. ceroire vosapneee pepe copies see B. setosa DC. Involucre ne recouvrant que la moitié infér, des aigrettes..... 4. 42, LIMONE CR PE PIS . B, taraæacifolia DC. CREPIS L. — Involucre ventru à la base, à folioles nom- breuses, 2- ou pluri-sériées, les intérieures égales, dressées, les extérieures inégales, courtes. Plateau glabre ou simplement velu. Achaines sans bec, atténués dans le haut, marqués de stries longitudinales rugueuses ou denticulées. Aigrettes à soies blanches, lisses ou un peu scabres, 2-sériées. Fleurs jaunes. Capitules formant une panicule ou un corymbe terminal. Feuilles presque toutes roncinées, plus ou moins profondément découpées, les supérieures sessiles ou amplexicaules. Invblaere rés Dlabres: ecole nette sets C. pulchra L. 1.} Involucre plus ou moins pubescent ou velu-glan- duienmae 8 x viande orenra dre nn ae frièdus 21e 2 Feuilles caulinaires enroulées en dessous, linéaires. C. éectorum L,. Feuilles caulinaires planes..." ee tnnttnnr Involucre pubescent-blanchâtre, sans poils glandu- 3 en AUS Len SALE 4 VRAIES C. virens WiLL. Involucre pubescent-blanchätre, couvert de poils glandüleux noirs. 5... RU C. biennis L. HIERACIUM T. — Involucre à folioles nombreuses, égales, 2- ou pluri-sériées. Plateau glabre ou simplement velu. Achaines cylindroïdes, tronqués, surmontés d'un rebord annulaire peu saillant. Aigrettes à soies 1-sériées, fragiles, blanc-sale-roussä- tre, scabres. Plantes acaules ou caulescentes. Fleurs jaunes. Inflorescence très variable, Tiges florifères aphylles ou feuillées seulement à 1 la base. Souche produisant des stolons........ *) Tiges florifères feuillées. Souche ne produisant pas de stolons..... sstssélsisiefiriets SCT OO Mnpicle 4 Capitule solitaire au sommet de la tige........ H. Pilosella L. Capitules en nombre variable sur la mème tige florifère.. . .... RM Co AC D ANR RE 3 3 Capitules 2-5, en enrsrile terminal... Sr H. auricula L. ‘| Capitules 20- 60, en corymbe terminal lâche, . 2. H. præaltum WiLr,. Feuilles radicales détruites au moment de Ja 2 HORLISON. #43. me NE IS AMENCREE 6) ‘) Feuilles radicales persislantes au moment de la LP) QE A A D RE IE ta ninie a DS SR H. Murorum. Folioles extérieures de l'involucre recourbées en 5 dehors. 5, PER re net Pa SRI H. umbellatum L. ‘) Folioles extérieures de l’involuere apprimées, non recourbées en dehors... ..,..2.,.,44.4,%%% tt 6 Feuilles caulipaires dd cordées-amplexi- É eCaules.. à a cd ST asie SES ER Linosyrées. SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES Sous-tribu I. — CARDUÉES. 117 Fleurs de chaque capitule toutes tubuleuses, semblables, hermaphrodites. Style renflé au-dessous des branches stigma- tiques. Feuilles alternes. Aigrette persistante ou tombant soie à soie, jamais 1 d’une seule pièce...................s.s.s........... 2 *) Aigrette caduque, tombant d’une seule pièce, à soies connées à la base............ TE eu SU 3 Folioles extérieures de l’involuere terminées par une 2 ) épine recourbée en crochet......................... Lappa. *) Folioles extérieures de l’involucre non terminées par une épine recourbée en crochet.....,......... ...... Serratula. Involucre à folioles terminées en épine, au moins les Jet CMPFIEUTÉS. 207.28 PINS AU FSU. AUX Sue | Invoiucre à folioles foliacées, même les extérieures.... Carduncellus. 4.4 Plateau des capitules dépourvu de soies. :....: 5... Onopordum. | Plateau des capitules hérissé de soies....... LOC ETC - { Etamines à filets pubescents, unis en tube............ Silybum. °*| Etamines à filets non pubescents, indépendants...... 6 Anthères surmontées d’un appendice linéaire et subulé. 7 6.4 Anthères non surmontées d'un appendice linéaire et su- 51 | NRA De one SR PT PS AE 8 5 METEO LEUICS DITNREUSOS Sete dater ours s À Cirsium. ‘| Aiïgrette à soies scabres........,... SR TES A! Carduus. Anthères surmontées d’un appendice très obtus....... Cinara. 8. Anthères non surmontées d’un appendice. Involucre à *) folioles intérieures scarieuses-colorées beaucoup plus longues quérles fleurs: fs issus STE AE Carlina. LAPPA T. — Involucre à folioles nombreuses, inégales, pluri-sériées, les extérieures linéaires, terminées par une pointe dure, re- courbée en crochet, les intérieures droites ou à peine courbées. Plateau couvert de soies raides et dressées. Fleurs toutes semblables, purpurines, anormalement blanches. Capitules formant une panicule irrégulière- ment feuillée. Feuilles très grandes, entières, ondulées ou simplement si- nuées. L. officinalis Spracu (Bardane, Glouieron, Herbe aux pouilleux). — Caractères du genre. Plante à souche vivace et à racine pivotante, charnue, blanche. Feuilles radicales en rosette, très grandes, pétiolées, ovales, cor- dées à la base, entières ou sinuées, Fig.16%. — Lappa officinalis. Sommité florifère. blanches-tomenteuses en dessous, les supérieures ovales- re 118 __ GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES lancéolées, atténuées, non pétiolées. (Capitules nombreux, axillaires ou terminaux, formant par leur ensemble une grande panicule très lâche, irrégulière. — Flor. : juin-septembre. — Habit. : voisinage des habitations, décombres, bords des che- mins. Commun. Z°. a. minor (L. minor DC., Arctium Lappa L.). — Capitules petits. Invo- lucre glabre, à folioles purpurines. B. major (L. major DC.) — Capitules gros. Involuere glabre, à folioles toutes vertes. 4 tomentosa (L. tomentosa Lamx). — Capitules gros, pubescents, — arañéeux, à folioles intérieures ordinairement purpurines, La racine de la Bardane est inodore; sa saveur est douceàtre, un peu astringente et amère ; elle est riche en inuline. On la considère comme sudorifique et diurétique. Elle était autrefois administrée contre le rhuma- tisme, la goutte, les dartres, etc. On se servait des feuilles pour panser les vieux ulcères. Les feuilles appliquées sur la peau provoquent une certaine irriltation; on les a recommandées pour remplacer les emplâtres de poix de Bourgogne dans la médecine rurale, SERRATULA L. — Involucre à folioles nombreuses, iné- sales, pluri-sériées, les extérieures aiguës mais non épineuses, les intérieures membraneuses-scarieuses. Plateau couvert de soies dressées. Fleurs égales, purpurines, anormalement blan- ches. Capitules nombreux, formant une sorte de corymbe ter- minal. Feuilles non épineuses, plus ou moins longuement pétiolées, dentées, lyrées, pinnatifides ou pinnatipartites. Sou- che vivace. Tige ramifiée, non ailée. S. tinctoria L. — Seule espèce. Plante à tige haute de 50 centim. à 1 m. et plus. Commun dans les bois, les taillis et les pâturages. CARBUUS L. — Involucre à foliololes nombreuses, imbri- quées, atténuées en épine. Plateau hérissé de soies. Anthères surmontées d’un appendice linéaire-subulé. Aigrette caduque, à soies pluri-sériées, longues, scabres. Fleurs purpurines, anormalement blanches, toutes semblables. Capitules solitaires ou groupés, terminaux. Feuilles plus ou moins découpées, épineuses. Tige ailée-épineuse, ordinairement ramifiée. { Capitules gros, sub-solitaires, plus ou moins pen- 1 | 'EMOS RTS ATEN ee TARN LA SRE 2 C. nutans L. 4 Capitules dressés, agglomérés au sommet des ra- CREUSER ON ARR US SP RE EE TP D HS: 5 | Capitules petits, sessiles, cylindriques, allongés... C. tenuiflorus Sum. Capitules petits, pédiculés, sub-globuleux........ C, crispus L. SILYBUM VaiLL. — Involucre à folioles nombreuses, pluri- sériées, imbriquées, les extérieures terminées par un appen- dice découpé en lobes épineux. Plateau hérissé de soies. Eta- 3 RENE VTT SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 119 mines à filets pubescents, unis en tube, caractère qui distingue ce genre de tous ceux de la sous-tribu. Fleurs purpurines. Capitules terminaux de la tige et des rameaux, solitaires. Feuilles ordinairement décou- pées, épineuses. Tige ramifiée, non ailée. S. Marianum GÆRTN (Char- don-Marie). — Caractères du = genre. Racine pivotante, al- longée, épaisse, fibreuse, Tige | haute de 50 centim. à 1 m. 50. robuste, ordinairement rami- fiée, un peu pubescente-ara- néeuse. Feuilles maculées de blanc, sinuées ou pinnatifides, à lobes ciliés-épineux, les radi- cales atténuées en pétiole, les À caulinaires sessiles, amplexi - D SE caules, à peine décurrentes. Fig. 165. — Silybum Capitules très gros, sub-globu- Marianum. Sommité florifère, leux. — Flor. : juin-août. — Habit. : voisinage des habitations, décombres, bords des chemins. Rare. 4) ou @). Les feuilles sont amères et toniques. La racine était autrefois employée comme pectorale et apéritive. CARDUNCELLUS DC. — Involucre à folioles nombreuses, plurisériées, imbriquées, les extérieures foliacées, les inté- rieures terminées par un appendice scarieux, lacéré. Plateau hérissé de soies. Filets staminaux pourvus d’un anneau de soies au milieu de leur hauteur. Fleurs bleues. Un seul capitule au sommet d'un pédoneule peu feuillé, non ramifié. Feuilles presque toutes radicales. ordinairement découpées, non épi- neuses. Plante sub-acaule. C. minutissimus DC. — Seule espèce. Presque acaule, à pédoncules ne dépassant pas 20 centim. de haut. Rare sur les pelouses sèches et les coteaux pierreux. ONOPORDUM L. — Involucre à folioles nombreuses, pluri- sériées, imbriquées, atténuées en épines. Plateau des capitules dépourvu de soies, ce qui distingue ce genre de tous ceux de la sous-tribu. Aigrette caduque, à sôies scabres, pluri-sériées. LI 120" GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Fleurs purpurines. Capitules solitaires, 2-3 au sommet de la tige et des rameaux. Feuilles sinuées-épineuses. Tige ramifiée. O0. Acanthium L. (Chardon aux ânes, Pédane). — Racines épaisses, ramifiées. Tige haute de 50 centim. à 2 m., robuste, raide, ailée-épineuse, pubescente-aranéeuse, blanchâtre. Feuil- les pubescentes-aranéeuses, tomenteuses et blanches en des- sous, sinuées-pinnatifides, à lobes épineux, les caulinaires très décurrentes, à décurrences foliacées. Capitules globuleux, volumineux. — Flor. : juin-septembre. — Voisinage des ha- bitations, bords des routes. Commun. @). La racine, les capitules jeunes et les tiges décortiquées sont alimen- taires, mais aujourd’hui inusitées. Les graines contiennent une assez grande quantité d'huile grasse, bonne à brüler. On employait autrefois les feuilles écrasées contre le lupus de la face. CARLINA T. — Involucre à folioles nombreuses, pluri-sé- riées, imbriquées, les extérieures foliacées, atténuées en épine, les intérieures scarieuses, colorées, étalées, beaucoup plus longues que les fleurs. Plateau hérissé de soies. Fleurs jaunä- tres. Capitules terminaux de la tige et des rameaux, solitaires. Feuilles sinuées, épineuses. Tige ramifiée. C. vulgaris L. — Seule espèce. Plante à tige haute de 30 à 80 centim., pubescente-aranéeuse, ramifiée dans le haut, Très commun sur les coteaux secs, sablonneux, au bord des chemins. CIRSIUM T. — Involucre à folioles nombreuses, pluri-sé- riées, atténuées en pointe ordinairement épineuse. Plateau hérissé de soies. Anthères surmontées d’un appendice linéaire, subulé. Fleurs purpurines ou jaunâtres, anormalement blan- ches. Capitules solitaires ou agglomérés au sommet de la tige et des rameaux. Feuilles plus ou moins découpées, épineuses. Tige ramifiée, rarement très courte ou à peu près nulle. 1.4 Fleurs purpurines ou roses............,.,.... FORTS PAU ARE 2 208 s oo m0 6 ao aie des es ll Face supérieure des feuilles couverte de petites PE ANR <) CT: : DHCP RAS CERN pu AREAS EC Va Face supérieure des feuilles dépourvue d'épines. 3 Tige non HI RC. ÉPREUVE CREER A Tipe aïlée, épineuse ki: unies 4 Tige allés, Épinenné.- fe 2er ire. Ron 21166. Se RES 5. Souche à racines épaisses, napiformes......... ©. bulbosum DC. Souche à racines non napiformes..….. 6. Tee à peu près nulle.....,.... So he dé gone ‘1 Tige bien développée, simple ou ramifiée....., . eriophorum Scop. . lanceolatum Scor. . palustre Scop. .…. ST Labs © 19 .......s . acaule ALL, IQ SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 121 Tige très ramifiée dans le haut............... C. arvensis LAMK. 7.! Tige simple ou divisée seulement en 2 branches gréles..:... RRRIRE EE ERP T ANRT ET LE . C. anglicum LAMx. Capitules solitaires à l'extrémité de pédoncules STAGES. 2 LU le de eee dx os à ne RER tira à C. rigens WaALLR. | Capitules rapprochés au sommet des rameaux. 9 Capitules entourés de longues bractées déco- 9,) lorées...................................... C. oleraceum ALL. *) Capitules entourés de bractées étroites, non dé- DOIOEES. danse valse den nues. Ca) tybram one CINARA Val. — Involucre à folioles très nombreuses, pluri-sériées, très larges, très épaisses, les intérieures atténuées en épine, les extérieures obtuses et mucronées au sommet. Anthères surmontées d’un appendice très obtus. Réceptacle muni de soies raides et longues. Aigrette caduque, à soies lon- gues et plumeuses. Fleurs toutes semblables, bleues. Capitules très gros, terminaux de la tige et des rameaux. Feuilles pinna- tipartites. Tige ramifiée, robuste, cannelée. C. Scolymus L. (Artichaut). — Plante à souche vivace, émettant des tiges aériennes peu nombreuses et peu ra- mifiées, hautes de 80 centim. à 1 m. 50; dressées, robustes, cannelées. Feuilles très grandes, étroites, la plupart radicales et pinnatipartites, les supérieures moins découpées, seule- ment sinuées ou même entières. Involucre à folioles exté- rieures ovales, très charnues à la base, émarginées au sommet et mucronées. — Flor. : août-septembre. — Habit. : patrie in- connue, Cultivé dans les jardins. Z. On cultive l’Artichaut pour ses capitules, dont on mange le plateau, qui est très épais et charnu, et la base charnue des folioles. On cueille les capi- tules avant qu'ils soient épanouis. Les feuilles et les racines sont très amères et ont élé préconisés autrefois contre la fièvre intermittente, l'hydro- pisie; on les considère comme diurétiques. Elles sont simplement amères, toniques et apéritives. On les faisait autrefois macérer dans le vin blanc pour faire un breuvage diurétique et apéritif. Les fleurs sont employées dans quelques pays pour faire cailler le lait. C. Carduneulus L. (Cardon). — $e distingue de l'espèce précédente par ses feuilles toutes pinnatipartites, à lobes épi- neux ou non, et par son involucre moins volumineux, à brac- tées coriaces à la base, les extérieures ovales, lancéolées et atténuées en épine. — Flor. : août-septembre. — Habit. : cul- tivé dans les jardins. Z°. On cultive le Cardon pour ses feuilles, qu'on fait blanchir en les entou- rant de terre et qu'on mange cuites. La racine, les feuilles et les fleurs jouissent des mêmes propriétés et ont eu la même réputation que celles de l’Artichaut. 122 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Sous-tribu II. — LINOSYRÉES. Fleurs de chaque capitule toutes tubuleuses, semblables et hermaphrodites. Style non renflé au-dessous des branches stig- matiques, Feuilles alternes. LINOSYRIS DC. — Involucre. à folioles peu nombreuses, pluri-sériées, imbriquées. Plateau un peu convexe, sans pail- lettes, creusé d’alvéoles profondes, à bords dentés. Fleurs toutes tubuleuses, semblables, hermaphrodites. Achaines comprimés, à aigrette formée de soies capillaires scabres, 2-sériées. Fleurs jaunes. Capitules formant, d'habitude, un corymbe terminal. Feuilles entières, linéaires, étroites. Tige simple. EL. vulgaris DC. — Seule espèce. Plante à souche vivace et à tige simple, haute de 20 à 60 centim., rare sur les coteaux pierreux. Sous-tribu III. — ANTENNARIÉES. Fleurs de chaque capitule toutes tubuleuses, semblables, unisexuées, les mâles et les femelles portées par des capitules différents, eux-mêmes portés par des pieds distincts. Style non renflé au-dessous des lobes stigmatiques. Feuilles alternes. ANTENNARIA Wepp. — Plante dioïque, ce qui distingue ce genre de tous les autres de la famille des Synanthéracées. Involucre à folioles nombreuses, pluri-sériées, imbriquées, sca- rieuses, colorées. Plateau sans paillettes. Anthères pourvues d’appendices basilaires. Fleurs toutes tubuleuses, semblables, uni-sexuées, sur des capitules portés par des pieds distincts, les femelles à tube de la corolle grêle. Fleurs blanchâtres ou roses. Capitules formant des corymbes terminaux. Féuilles entières, A. dioica GÆRrTN. — Seule espèce. Plante vivace, tomen- teuse-blanchâtre, à tige haute de 10 à 30 centim., non rami- fiée, rare sur les pelouses arides, dans les bruyères. Sous-tribu IV. — EUPATORIÉES. Fleurs de chaque capitule toutes tubuleuses, semblables, hermaphrodites. Style non renflé au-dessous des lobes stig- matiques. Feuilles opposées. Pier annes... .5,..4.:.. ace ce cote te RCE Bidens. Fleurs rougeälres....., AR TR RCE sesserser.. Æupatorium. SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 123 + EUPATORIUM T. — Involucre à folioles nombreuses, pluri- sériées, imbriquées. Plateau sans paillettes. Fleurs toutes tubu- leuses, semblables, 5-fides, hermaphrodites, rougeâtres. Style beaucoup plus long que la corolle. Anthères non pourvues d’appendices basilaires. Capitules pauciflores, cylindriques-al- longés, formant un corymb® terminal. Feuilles opposées, palmatilobées. E. cannabinum L. — Carac- ères du genre. Plante à souche vivace, à tige simple ou rami- fiée seulement dans ie haut, haute de 80 centim. à 1 m. 20 et plus, pubescente, un peu rougeâtre. Feuilles inférieures palmatilobées, pétiolées, à 3-5 segments pétiolulés, dentés, le moyen plus grand, les supé- rieures sessiles. Capitules 5-6- flores. — Flor. : juillet-septem- bre. — Hab. : bords des ruis- seaux, marécages. Z°. Toutes les parties de la plante ont une saveur amère très prononcée; on en extrait un alcaloïde, l’eupatorine. Elles sont toniques, apéritives et même purgatives à dose suffisante. BIDENS L.— Involucre à fo- Fig. 166. — Eupatorium cannabinum. lioles nombreuses, 2-3-sériées, Sonaue”forifère: imbriquées, les extérieures étalées, plus longues que le capitule, les intérieures dressées. Fleurs toutes tubuleuses. semblables, hermaphrodites, jaunes. Anthères dépourvues d'appendice basilaire. Achaines sans aigrette, parfois sur- montés de 3-5-arètes. Capitules solitaires au sommet de la tige et des rameaux. Feuilles opposées, tantôt indivises, tantôt profondément tri-partites, Tige ramifiée, Feuilles tri-partites ou tri-séquées.........,.. AS ET . B. tripartita L,. Feuilles simples, lancéolées, dentées .........,.....,.... LB, cernua L. Les feuilles de ces deux espèces ont une saveur äcre et piquante très prononcée et excitent très fortement la salivation, Le B. cernua a élé employé dans la teinture en jaune. B. — TUBULIFLORES HÉTÉROMORPHES. Chaque capitule présente des fleurs de deux sortes, dissem- blables ou différemment sexuées, mais jamais ligulées, a & # “+ 124 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Deux sous-tribus : Fleurs de la périphérie plus grandes que celles du centre, stériles’et: à, dents inégales::4.24444,%..20m 0e. soie CeRtAUTEeS. Fleurs de la périphérie plus grêles que celles du centre, régulières. d'un sexe différent, habituellement femelles.... Artémisiées Sous-tribu I. — CENTAURÉES. Chaque capitule présente des fleurs de deux sortes : celles du centre tubuleuses, régulières, hermaphrodites, celles de la périphérie tubuleuses, plus grandes, stériles, à dents du limbe inégales. Involucre à folioles extérieures pinnatilobées, à lobes épineux. Fleurs semblables, ou celles de la circonfé- rence plus grandes, stériles, et à dents inégales....... Centrophyllum. Involucre à folioles entières, souvent denticulées- ciliées au bord ou terminées par un appendice scarieux ou une épine droite ou étalée, non recourbée en crochet...... Centaurea, Fig. 167. — Centaurea C'yäânus. A. capitule; B. fleur; E. stigmate ; F. fruit coupé longitudinal. CENTAUREA L. — Involucre à folioles nombreuses, iné- gales, pluri-sériées, denticulées-ciliées ou terminées par un appendice scarieux, denticulé-cilié, ou rarement par une épine. Plateau couvert de poils dressés. Fleurs de la périphérie ordi- nairement stériles, plus grandes et déjetées en dehors, rare- ment semblables à celles du centre et hermaphrodites. Fleurs purpurines, bleues, jaunes, anormalement blanches. Capitules SYNANTHÉRACÉES OÙ COMPOSÉES 195 sub-solitaires ou formant des corymbes irréguliers et termi- naux. Feuilles de formes variables. Tige ramifiée, rarement ailée. Fleurs d’un jaune citron, toutes semblables et her- 1 maphrodites. Involuere à folioles terminées en *) épine robuste ..... ARE gg PE LR ET ARE C. solstitialis L. Fleurs purpurines ou bleues, rarement blanches... 2 x Involucre à folioles terminées par une is ro- ? ten ne A SO RUE Tente COR Per Oe à 0 à C. Calcitrapa L. è Involuere à folioles non terminées par une épine LL NS here ph ge NM er gd GE EE 3 Fleurs bleues (rarement rose-violet ou blanches). 3 Fleurs de la circonférence très grandes, stériles, "À déetéesren dehors... 1.23. 00. RTE = TN RES C. Cyanus L. Fleurs purpurines ......... nee en RL RE % Involucre à folioles scarieuses au bord et munies dans le haut d’une bordure incisée-ciliée. Feuilles pin- natipartites, à lobes pinnatifides..........,.,.... C. Scabiosa L. 4.< Involucre à folioles terminées brusquement par un appendice scarieux, incisé ou pectiné, rarement en- tier. Feuilles ordinairement entières, dentées ou É T PORT ATE EE See : ES Du ARS ae Loi e C. Jacea L. On a jadis employé le Bluet (C. cyanus L.) contre une foule de ma- ladies. ses belles fleurs bleues sont simplement un peu astringentes; à ce titre, on s’en sert encore quelquefois pour préparer des collyres. On prétend que macérées dans la bière elles la rendent apéritive. Les feuilles et les fleurs du C. Calcitrapa L. (Chardon étoilé, Chausse- trape) ont une saveur très amère qui les a fait employer autrefois comme apéritives, toniques et même fébrifuges. La racine et les fruits passent pour être diurétiques. CENTROPHYLLUM Necx. — Involucre à folioles nom- breuses, pluri-sériées, imbriquées, les extérieures foliacées, pin- natilobées, à lobes épineux, les intérieures atténuées en une pointe épineuse. Plateau muni de poils dressés, raides. Fleurs toutes semblables, ou bien celles de la périphérie plus grandes et neutres. Fleurs jaunes. Capitules solitaires et terminaux au sommet de la tige et des rameaux. Feuilles pinnatifides ou pinnatipartites, à lobes épineux. Tige ramifée. C. lanatum DC. — Seule espèce. Plante à tige haute de 30 à 70 centim., pubescente ou laineuse, non ailée, commune dans les lieux pierreux, au bord des chemins. Sous-tribu II. — ARTÉMISIÉES. Fleurs de la périphérie plus grêles que celles du centre, mais régulières, d’un sexe différent. Tige florifère simple, aphylle, écailleuse, terminée par 1.) une grappe ou une panicule Ne FANS de capitules.. Patasites. Tige florifère plus ou moins feuillée........,..,,,,... 126 GAMOPÉTALES PÉRIGINES ET ÉPYGINES » | Plateau entièrement dépourvu de paillettes........... 3 2.1 Plateau pourvu de paillettes à la périphérie... ..... PO , { Achaines dépourvus d’aigrette à soies capillaires...... 4 3.1 Achaines surmontés d’une aigrette à soies capillaires.. 6 , { Anthères pourvues d’appendices basilaires ............ Micropus. 2 Anthères dépourvues d'appendices basilaires...... A Capitules disposés en corymbes terminaux............ Tanacetum . 5.] Capitules très petits, formant des épis dont l’ensemble constitue une grande panicule terminale........ .... Artemisia. Capitules rapprochés en glomérules disposés en co- rymbe....14516% RSS se sed 6 ES .. (Gnaphalium. 6:) Capitules rapprochés en fascicules disposés en panicule l spiciforme, effilée, feuillée .............. Se SMEU ..... (Gamochæta. Achaines extérieurs renfermés dans les folioles de l'in- 71.4 volucre.....2....... ARR EE ER OP cesse node LOG Achaines tous libres....... RÉ ES Le ... _Filago. ARTEMISEA L. — Involucre à folioles nombreuses, pluri- sériées, imbriquées. Plateau toujours dépourvu de paillettes, ordinairement glabre, rarement hérissé de poils. Fleurs toutes tubuleuses, celles du centre hermaphrodites ou rarement sté- riles, celles de la périphérie plus grêles, filiformes, femelles. Achaines dépourvus d’aigrette à soies capillaires et de rebord membraneux, terminés par un disque très étroit. Fleurs jaunes. Capitules très petits, très nombreux, sessiles ou très courtement pédonculés, formant des épis dont l’ensemble constitue une grande panicule terminale. Feuilles pinnatipar- tites ou pinnatiséquées. Tige ramifiée. Etrvolucre“omentenux : 2.51... 6s Lrccss ee Involucre:glabre. Inisant.. .:...,.14, stress pomaentris-L. Feuilles glabres en dessus, tomenteuses-blanches en dessous. Plateau glabre...........,....... "A. vulgaris L. Feuilles soyeuses sur les deux faces....,... .... À. Absinthium L. 2 CA A. vulgaris L. (Armoise, Herbe à cent goûts, Herbe de la Saint-Jean, Herbe de feu). — Caractères du genre. Plante vi- vace, à tiges dressées, hautes de 60 centim. à 1 m. 20, ramifiées dans le haut, à feuilles glabres et colorées en vert sombre en dessus, tomenteuses-blanchâtres en dessous, pinnatipartites ou bi-pinnatipartites, à segments étroits, aigus, incisés, les caulinaires auriculées. Plateau glabre. — Flor. : juillet-octobre. . . . . 93 — Habit. : bords des chemins, lieux incultes. Commun. Z. Toutes les parties vertes de la plante sont très amères et ont une odeur aromatique très prononcée. On emploie les sommités pour faire des infu- sions toniques, stimulantes et emménagogues. Certaines femmes emploient pour provoquer les règles, en même temps que la tisane prise à l’intérieur, une décoction d'Armoise dont elles dirigent la vapeur sur la vulve et l’ou- verture du vagin, les jambes étant tenues écartées. On faisait autrefois. usage, dans le même but, de supositoires fabriqués avec de la myrrhe et de l'extrait d’armoise, À. Absinthium L.(Absinthe, Herbe sainte, Herbe aux vers). dé à. SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 127: — $e distingue de l'espèce précédente par ses feuilles soyeuses sur les deux faces, blanches-argentées en dessous, les cauli- paires non auriculées, et par son plateau du capitule hérissé de poils raides. — Flor. : juillet-septembre. — Habit. : cultivé dans les jardins. Les parties vertes de l’Absinthe sont extrêmement amères. Elles servent à préparer des infusions toniques, apéritives et stimulantes. On les emploie aussi beaucoup contre les ascarides, chez les enfants, soit en infusion, soit dans des beignets. On en a fait autrefois usage contre la fièvre intermit- tente et une foule d’autres maladies. Elle entre dans la fabrication de la liqueur alcoolique connue sous le nom d’Absinthe suisse. On cultive également dans les jardins, sous le nom de Petite Absinthe, Absinthe romaine. l'A. pontica L., petite plante à tiges hautes de 30 centim. environ, à feuilles finement incisées. Elle jouit des mêmes propriétés que l’'Absinthe. On cultive encore sous le nom d'Estragon l'A. Dracunculus L., qui se distin- gue de toutes les autres espèces dont nous parlons ici par ses feuilles entières, lancéolées, allongées, glabres, à saveur et à odeur aro- matiques. On les ajoute à la salade pour l'a- romatiser. Fig. 168. — Artemisia pontica. Fig. 169. — Tanaceltum vulgare, Sommité florifère. TANACETUM L. — Très voisin du genre précédent; ne s’en distingue que par ses capitules étalés, très nombreux, 128 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES disposés en corymbes terminaux. Fleurs jaunes. Feuilles pin- natiséquées. Tige ramifiée dans le haut. T. vulgare L. (Tanaisie). — Caractères du genre. Plante à souche vivace, à tiges hautes de 60 centim. à 1 m., dressées, ramifiées seulement dans le haut. Feuilles à peu près glabres, pinnatiséquées, à lobes pinnatipartits. — Flor. : juillet-sep- tembre. — Habit. : bords des routes, des rivières. Commun. 7”. La Tanaisie jouit des mêmes propriétés que l'Absinthe. Ses graines pas- sent pour être aussi efficaces contre les Ascarides que celles du semen- contra. Chez les enfants, de simples cataplasmes de feuilles de Tanaisie appliqués sur le ventre Suffiraient, d'après certains auteurs, pour déter- miner l'expulsion des Ascarides. Les graines agiraient également contre le tœnia MICROPUS L. — Involucre tomenteux, à folioles 2-sériées. Plateau très filiforme, Aepotrse de paillettes. Fleurs toutes tubuleuses, les extérieures 5-7, femelles, filiformes, les centrales. 2-1, mâles. Anthères pourvues d’appendices basilaires. Achai- nes dépourvus d’aigrette à soies capillaires, sans rebord au sommet. Fleurs blanc-jaunâtre. Capitules petits, formant des glomérules latéraux et terminaux. Feuilles entières, sessiles. M. erectus L. — Seule espèce. Petite plante tomenteuse- blanchâtre, à tige haute de 10 à 30 centim., rare, sur les coteaux arides. GNAPHALIUM L. — Involucre à folioles nombreuses, pluri- sériées, imbriquées, glabres, scarieuses, colorées. Fleurs cen- trales hermaphrodites, fertiles; celles de la périphérie femelles, filiformes, pluri-sériées. Platean dépourvu de paillettes. An- thères dépourvues d’appendices basilaires. Achaines munis d’une aigrette de soies capillaires, indépendantes. Fleurs peu apparentes, jaunes. Capitules en glomérules formant par leur ensemble des corymbes. Feuilles entières. Plantes tomenteu- ses-blanchâtres. Corymbes des capitules non feuillés........... G. luteo-album L. Corymbes des capitules feuillés ..... RP Se KP GAMOCHÆTA Wepp. — Involucre à folioles pluri-sériées, imbriquées, scarieuses, glabres, colorées. Fleurs du centre hermaphrodites, fertiles, celles de la périphérie (plusieurs rangées) femelles, filiformes. Plateau sans paillettes. Anthères dépourvues d’appendices basilaires. Achaines surmontés d’une aigrette à soies capillaires connées en anneau à la base. Fleurs peu apparentes, jaunâtres. Capitules en fascicules formant une panicule effilée, feuillée. Plante tomenteuse-blanchâtre 1e.hù oéchde sf). à née ‘di SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 129 G. sylvatica Wen. — Seule espèce. Plante à tige haute de 20 à 60 centim., commune dans les bois montueux, parmi les bruyères. LOGFIA Cass. — Involucre à folioles 3-sériées, opposées, conniventes, les intérieures transformées en paillettes. Plateau nu au centre, muni de paillettes à la circonférence, caractère qui le distingue de tous les autres genres de la sous-tribu. Fleurs centrales hermaphrodites ou mâles par avortement; les extérieures femelles, 2-séries, celles de la rangée extérieure entremèêlées aux folioles de l’involucre. Anthères sans appen- dices basilaires. Achaines surmontés d’une aigrette à soies capillaires, sauf les plus extérieurs. Fleurs peu apparentes, d'un blanc jaunâtre. Capitules très petits, réunis par 3-7 en glomérules latéraux et terminaux. Feuilles entières, sessiles. Plante tomenteuse-blanchâtre. L. galliea Coss. et G. Sr. P. — Seule espèce. Plante à tige haute de 10 à 30 centim., assez commune dans les champs moissonnés, sur les coteaux pierreux. FILAGO T. — Involucre tomenteux, à folioles conniventes, 2-3-pluri-sériées, celles des rangées intérieures transformées en paillettes. Plateau filiforme, pourvu de paillettes à la circon- férence ou au centre. Fleurs toutes tubuleuses, les centrales peu nombreuses, hermaphrodites, fertiles ou stériles par avor- tement, les périphériques tubuleuses, grêles, insérées à l’ais- selle des folioles de l’involucre, mais non entremêlées à ces folioles. Anthères sans appendices basilaires. Achaines tous libres, pourvus d’une aigrette à soies capillaires pluri-sériées, les extérieurs sans aigrette ou avec une aigrette à soies 1-sé- riées. Capitules très petits, en fascicules ou en glomérules compacts, latéraux ou terminaux. Fleurs toutes blanches-jau- nâtres. Feuilles entières, sessiles. Plantes tomenteuses-blan- châtres. Folioles de l’involucre toutes munies d’une fleur à leur aisselle.............. © 2 Folioles de la rangée extérieure n ‘offrant pas defleur. à leur aisselle. , .....:..,2%...,. 1. 3 Capitules enveloppés d’un tomentum épais.. F. germanica L,. Capitules non enveloppés d’un tomentam épais. F., spathulata PRESL. sinus profonds...................... ....... À, montana L. Capitules à 8 côtes peu prononcées. sir éap F. arvensis L. : | Capitules à 5 saillants séparés par des PETASITES T. — Involucre à folioles 4-2-séries, souvent accompagnées à la base de petites écailles. Réceptacle pres- que plan, sans paillettes. Fleurs tubuleuses, ordinairement 130 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES presque toutes femelles filiformes, sauf quelques mâles au centre, ou bien presque toutes mâles. Achaines pourvus d'une aigrette à soies scabres. Souche vivace, rhizomateuse. Tiges simples, ne portant que des écailles, et plusieurs capitules disposés en grappe où en panicule spiciforme terminale. Feuilles toutes radicales, très amples, réniformes, ou sub-orbi- culaires, cordées, tomenteuses en-dessous. P, vulgaris Desr. (Pétasite, Herbe aux teigneux, Chapelière). _—_ Tige haute de 20 à 50 centim., épaisse, pubescente, côton- neuse, rougeâtre, en grappe spiciforme, ovoïde. Très semblable au Tussilago Farfara par son mode de végétation et ses feuilles, cette espèce en diffère par ses capitules en grappe, tandis que ceux du T. Farfara sont solitaires. — Flor. : mars-avril, — Habit. : lieux humides, marécageux,ombragés. TZ. Rare. Le rhizome du Pétasite était autrefois considéré comme astringent, su- dorifique et vermifuge. Ses capitules sont regardés comme pectoraux. On prépare avec les feuilles des cataplasmes contre les gonflements goutteux et on les emploie dans le traitement des ulcères. Tribu III. — SEMI-LIGULIFLORES. Capitules présentant toujours, à la fois, des fleurs tubuleuses au centre et des fleurs ligulées à la périphérie. Trois sous-tribus : 1.{ Plateau du capitule entièrement couvert de paillettes.. Achillées. : Plateau du capitule entièrement dépourvu de paillettes. 2 Achaines dépourvus d’aigrette à soies capillaires.....,. ÆMatricarices . Achaines tous ou presque tous pourvus d’aigrette à soies. capillaires... . ...dessucesoe es opter sese .. Jnulées. “2 Sous-tribu I. — ACHILLÉES. Plateau des capitules entièrement couvert de paillettes. Anthères dépourvues d’appendices basilaires. Achaïines dé- pourvus d’aigrette à soies capillaires, parfois surmontés de 2-5- arêtes. Fleurs toutes de même couleur...............,1.. Mr 1.? Fleurs ligulées blanches, ou seulement jaunes à la base, les tubuleuses jaunes... 42.5 ,202.2 RRr EUENt Anthemis. __{ Fleurs jaunes. Capitules très grands (5 à 10 et 15 cent, - 2. de digmétre)s 552. DER RE en rs Er dau . Helianthus. Fleurs blanches ou rosées. Capitules très petits......... Achillea. ACHILLE A L. — Involucre à folioles nombreuses, pluri- sériées. Plateau à peu près plat, couvert de paillettes. Fleurs extérieures ligulées, femelles, fertiles, à limbe suborbiculaire. E - a” SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 131 * Fleurs centrales tubuleuses, hermaphrodites. Anthères sans appendices basilaires. Achaines comprimés, sans aigrette, ni arêtes, ni rebord. Capitules petits, formant des corymbes ter- minaux. Fleurs toutes blanches ou rosées. Feuilles pinnatisé- quées ou simplement dentées. Feuilles bipinnatiséquées, molles, pubescentes......., . À, Millefolium L. Feuilles simplement dentées, raides, glabres.......... . A. Ptarmica L. A, Millefolium L. (Millefeuille, Herbe aux Charpentiers, . Herbe aux coupu- res, Sourcil de Vé- nus). — Caractères . du genre. Plante à souche vivace, tra- çante,émettant des tiges hautes de 20 à 50 centim., dres- sées, ramifiées seu- lement dans le haut en corymbes flori- fères, pubescentes ou velues. Feuilles 2-pinnatiséquées, à segments linéaires très nombreux, molles, velues ou pubescentes.Fleurs ligulées 4-5 seule- ment. —Flor.: juin- octobre.— Habit. : bords des chemins, voisinage des ha- Fig. 170, — Achillea Millefolium. bitations. Com- Sommité florifère. mun. Z. Toutes les parties vertes ont une odeur aromatique assez forte et une saveur amère très prononcée, astringente, aromatique. La racine fraiche a une odeur camphrée due à une huile essentielle. Les feuilles sont toniques, stimulantes. Elles passent pour être antispasmodiques. On a administré cette plante contre la fièvre intermittente, le catarrhe bronchique. les hémor- ragies, etc. À l'extérieur, on s'en est servi pour panser les plaies, et son nom vient de ce que l’on attribue à Achille l'honneur d'en avoir fait usage le premier pour le pansement de ses soldats. .L'A. Ptarmica jouit à peu près des mêmes propriétés. Sa racine est sialagogue et donne une poudre insecticide qu'on mélange souvent à celle de la racine de Pyrèthre. HÉLIANTHUS L. — $e distingue du précédent par ses ca- pitules très grands, atteignant jusqu’à 18 et 13 centim. de 132 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES - diamètre, disposés au sommet de tiges ayant jusqu'à 2 mè- tres de haut, et par des achaines surmontés de 2-4 écailles ca- … duques. Fleurs toutes jaunes. Feuilles opposées, les supériéures.… souvent alternes, très grandes, simples, dentées. Capitules terminaux, solitaires ou sub-solitaires. Capitules penchés, d’an très grand diamètre. Pas de tu- à bercules ....... sr SN Re 5 Me re de TE ET SR Se Æ. annuus L. Capitules dressés, d’un diamètre moyen. Tubercules char- ; BUS SE D eee men donnes e de Ne H. tuberosus L. On cultive ces deux espèces dans les jardins: l’Æ. annuus (Grand So- leil) pour ses fleurs, qui sont très belles, et pour ses achaines, qui consti- tuent une excellente nourriture pour les vo- (Topinambour) pour ses tubercules, qui sont co- mestibles, d'une saveur agréable, riches en inu- line. ANTHEMIS L. — $e distingue des deux genres précé- dents par ses fleurs de deux colorations distinctes : les ligu- lées blanches, ou jaunes seulement à la base, les tubu- leuses extérieure- ment jaunes. Tube de la corolle des fleurs tubuleuses prolongé au-dessous du sommet des a- chaines. Capitules solitaires à l’extré- mité des rameaux. Feuilles pinnatiséquées, ou 2-pinnatiséquées, à segments linéaires. Fig. 171, — Anthemis nobilis. Sommité florifère. 1,{ Fleurs ligulées stériles................ VIN RaRe - Fleurs ligulées fertiles ............ RER ASE ir lle Fleurs ligulées stériles, jaunes à la base, blanches ? dans le Haut. ..::.1. ds es dors ee TE .:. À; miata DC, Fleurs ligulées stériles, entièrement blanches ...... A. Cotula L. lailles ; l'A, éuberosus SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 133. Fe Fleurs ligulées fertiles , ‘entièrement blanches. :3 Achaines jaune-brunâtre, à trois côtes seulement. A, nobilis L. … ‘‘) Fleurs ligulées fertiles, entièrement blanches. Achai- FE A nes blanchätres ou bruntres, à 10 côtes... 7 270 A. arvensis L. Les parties vertes de toutes ces plantes étaient une odeur forte et ont une saveur aromatique, amère, très prononcée. Æ On cultive dans les jardins, sous le nom de Camomille romaine, une + variété de l’A. nobilis obtenue par la culture, à fleurs toutes ligulées, + blanches. Toutes les parties vertes et les capitules de la plante ont une d saveur amère, chaude et âcre, très prononcée, et une odeur aromatique . très forte. On ne se sert que des capitules; on en fait des infusions toni- + ques et stimulantes. Par la distillation de la plante entière, on obtient une: _ huile essentielle verdâtre, très odorante, qu'on emploie en frictions stimu- lantes. On cultive encore, parfois, dans les jardins, une espèce d’Anthemis ori- ginaire d'Algérie : l'A. Pyrethum (Anacyclus Pyrethum L.) dont les racines fournissent une poudre insecticide très active et constitue un sialagogue puissant, 2 Sous-tribu II. — MATRICARIÉES. Plateau des capitules entièrement dépourvu de paillettes. Achaines dépourvus d’aigrette de soies capillaires. 41,{ Anthères dépourvues d'appendices basilaires...... “ Anthères munies d’appendices basilaires........... Calendula. Fleurs ligulées blanches ou rosées, les tubuleuses 2 AUHES ee anne à à ae se selle bee NH rt : Fleurs toutes jaunes...... De PRES c à soc AMOR Chrysanthemum . : | | Plantes à peu près acaules, à pédoncules floraux . jamais ramifiés ..... SR CRE SRE SR m7 Bellis. Plantes pourvues d’une tige ramifiée au sommet. 4 | Plateau du capitule conique à la maturité. Achaines à 3-5 côtes, sans côtes sur la face externe........ Matricaria. 4.4 Plateau du capitule hémisphérique ou davantage aplati, non conique. Achaines à côtes très nom- breuses sur toutes les faces......,.........,.:.... Pyrethrum. MATRICARIA L. Involucre à folioles nombreuses, pluri- sériées, imbriquées. Plateau conique à la maturité, dépourvu de paillettes. Fleurs extérieures ligulées, blanches, femelles, à. limbe oblong; fleurs centrales tubuleuses, hermaphrodites, jaunes. Achaines sub-cylindriques, sans ailes latérales, à 3-5-cô- tes, la face extérieure en étant dépourvue, surmontés d’un rebord membraneux court. Capitules solitaires à l'extrémité des rameaux. Feuilles 2-3-pinnatiséquées, à segments linéaires. Plateau des capitules très conique, aigu, creux, très odorant...... PROE SEE ON ETES Sr M. Chamomilla L. Plateau des capitules hémisphérique- conique, plein, s presque ‘Inodere. 4e eeane as de mans cc ou is)» DÉTOUR EL M. Chamomilla L. (Camomille commune). — Caractères du genre. Plante annuelle, à tige haute de 20 à 60 centim., dres- sée, ascendante ou diffuse, très ramifiée dès la base, glabre, à FLORE DE PARIS, 8 134 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES feuilles 2-3-pinnatiséquées, à segments linéaires, allongés. Ca- pitules très odorants. Plateau du capitule plein, très conique. . Involucre à folioles scarieuses-blanchâtres au bord. — Flor. : … mai-juillet. — Habit. : moissons, bords des chemins et des ri# vières. Commun. (1). Toutes les parties de la plante, notamment les capitules, ont une odeur forte, aromatique, et une saveur très amère, chaude, un peu âcre. Elles à sont toniques, apéritives et stimulantes. On en fait usage contre l’anémie, la chlorose, les pertes blanches. On doit lui préférer le Pyrethrum Parthe- nium SM. (Matricaire). + Fig. 172. = Pyrothrum Parthenium. Fig:173.— Pyrethrum Leucanthemum. Sommité florifère. Sommité florifère. PYRETHRUM GæÆrix. — Se distingue du précédent, dont il est très voisin, par ses achaines présentant des côtes sur toutes leurs faces, surmontés ou non d’un rebord membra- neux. Capitules à plateau hémisphérique plus ou moins aplati, solitaires à l’extrémité des rameaux, qui sont parfois dis- posés en corymbe. Feuilles pinnatiséquées, à segments souvent pinnatifides ou pinnatipartits, parfois indivises et simplement crénelées ou incisées. Feuilles toutes pétiolées. Capitules très | DUDRAMIS nee eue NN . P, Parthenium Su. SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 135 d P. Parthenium Sx. (Matricaire, Espargoutte, OEil de soleil). … — Caractères du genre. Plante vivace, à tiges dressées, ramifiées _ Frise dans le haut, atteignant 50, ‘60 et 80 centim., plus ou _ moins pubescentes. Feuilles toutes pétiolées, molles, pinna- … tiséquées, à 3-7 paires de segments oblongs, obtus, incisés- : dentés. Capitules très odorants, nombreux, solitaires à l’extré- »- mité des rameaux qui forment un corymbe terminal. Fleurs de la périphérie ligulées, blanches, celles du centre tubuleuses, … jaunes. — Flor. : juin-août. — Habit. : voisinage des habita- tions, décombres. Commun. 27. La Matricaire jouit d'une grande réputation contre la leucorrhée, la chlorose, l’anémie des femmes. Elle est tonique, stimulante, emména - gogue et antispasmodique. Toutes les parties de la plante ont une odeur aromatique très prononcée et une saveur amère, chaude, äcre. On emploie surtout les sommités fleuries, en décoction. CHRYSANTHEMUM DC. — Se distingue nettement des genres précédents par ses fleurs toutes jaunes et par ses achaines de deux formes : ceux de la circonférence pourvus de deux ailes latérales, ceux du centre dépourvus d'ailes, munis de 10 côtes égales, parfois surmontés d'une couronne membraneuse. Capitules solitaires à l’extrémité des rameaux et de la tige. Feuilles simples, dentées ou pinnatipartites. C. Segetum L. — Seule espèce. (Plante annuelle, à tige dressée, ramifiée dans le haut, haute de 30 à 50 centim. Com- mune dans les moissons et les champs en friche. BELLIS L. — Se distingue de tous les genres précédents par l’absence de tige véritable. Les fleurs sont solitaires à l’ex- trémité de pédoncules courts, non ramifiés, nus. Les fleurs périphériques, ligulées, sont blanches ou roses, tandis que les fleurs centrales, tubuleuses, sont jaunes. Involuere à folioles 2-sériées. Feuilles toutes radicales, en rosette, simplement cré- nelées. B. perennis L. (Pâquerette). — Seule espèce. Petite plante à pédoncules uniflores, hauts de 8 à 15 centim., très commune dans les prairies, sur les pelouses, au bord des chemins. CALENDULA L. — Se distingue de tous les genres de la sous-tribu par ses anthères pourvues d'appendices basilaires. Fleurs toutes jaunes, celles de la circonférence ligulées, femelles, celles du centre tubuleuses, hermaphrodites ou stériles. Invo- lucre à folioles 2-sériées. Achaines falciformes-linéaires, les ex- térieurs souvent épineux dans le dos, Capitules solitaires au sommet des tiges et des rameaux. Feuilles entières ou sim- plement sinuées-dentées. Le 136 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES C. arvensis L. (Souci des vignes). — Caractères du genre. Plante annuelle, à tige haute de 10 à 40 centim., dressée, ra- mifiée, à feuilles pubescentes, en- tières ou lâchement sinuées-dentées, à capitules assez grands, à fleurs d’un beau jaune foncé. — Flor. : toute l'année. — Habit. : champs cultivés. Commun. (@). Toutes les parties de la plante exhalent une odeur forte, peu agréable et une saveur amère, àcre. On les considère comme sudo- rifiques, emménagogues, slimulantes. On cultive dans les jardins le C. offi- cinalis L., qui jouit des mêmes propriétés à un plus haut degré. | Ces plantes sont aujourd'hui tombées, avec quelque raison, dans l'oubli. Sous-tribu III. — INULÉES. Plateau des capitules dépourvu 19} de paillettes. Achaines extérieurs ÉZ surmontés d’une aigrette de soies capillaires. Fig. 174. — Calendula arvensis. Sommité florifère. 1 Anthères munies d’appendices basilaires............... ZJnula. *| Anthères dépourvues d’appendices basilaires........... 2 Tiges florifères non ramifiées, pourvues seulement | 9 d’écailles et terminées par un seul capitule.......... Tussilago. ©") Tiges florifères plus ou moins ramifiées et pourvues de (l feuilles... RARE Re 3 Fleurs ligulées de la même couleur que les tubuleuses. 4 3. Fleurs ligulées d'une couleur différente de celle des tubuleuses . . 4,4 essor se UC RRENEERS 1 k Feuilles opposées ....,.... rase ARTE TEE As ass ares D 'OMOT, Feuilles allérnes......./3%. rte < tie Dre 5 Involucre à folioles 1-sériées ............... d'Ae at 'ate es 6 ‘{ Involucre à folioles 2- ou pluri-sériées....... HSEX AETA CE 7 Involucre à folioles 1-sériées, accompagnées à la base : d'écailles accessoires ................................ Senecio. ‘) Involucre à écailles 1-sériées, non accompagnées à la base de folioles accessoires........................... Cineraria. Aigrettes à soies capillaires {-sériées.................. Solidago. ‘| Aigrettes à soies capillaires pluri-sériées.............. Doronicum. Fleurs tubuleuses jaunes ; fleurs ligulées bleues, 1-sériées. Aster. 8.) Fleurs tubuleuses jaunes; fleurs ligulées rose-violet où blanc-jaunâtre. ....... RE M nc d Er Erigeron. INULA L. — Involucre à folioles pluri-sériées, imbriquées. Plateau sans paillettes. Fleurs toutes jaunes, les centrales SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 137 tubuleuses, hermaphrodites; les périphériques femelles, ligu- lées, à limbe dépassant plus ou moins, parfois très peu, les fleurs tubuleuses. Anthères munies d’appendices basilaires. Ca- pitules solitaires au sommet des rameaux et de la tige, for- mant parfois une panicule ou un corymbe. Feuilles entières ou seulement dentées. Aigrettes à soies capillaires 1-sériées, non con- 1 nées en une COUTONNE. . ss Hire 2 ‘} Aigrettes à soies capillaires 2- “sériées, les exté- rieures connées à la base en une couronne. 7 9 Fleurs périphériques longuement ligulées..... 3 "À Fleurs périphériques à peine ligulées . D 6 2 Involucre à folioles internes oblongues, obtuses, Z . Æelenium L. ‘| Involucre à folioles internes linéaires, aiguës.. 4 Feuilles molles, velues, soyeuses ou rudes et PRO SO PP RES Res un JE Feuilles coriaces, glabr es, luisantes | RER TS ZI, salicina L. Feuilles et folioles de l'involucre molles, velues, 5] SOyeuses........,.......................... I. Britannica. L. *) Feuilles rudes-hérissées. Folioles de l'involucre raides, hispides, presque épineuses........... I. hirta L. Capitules nombreux, en corymbes terminaux.. 7, Coniza DC. 6.{ Capitules nombreux, en grappes axillaires for- mant une vaste panicule pyramidale ......... I. graveolens Desr. Fleurs périphériques dépassant à peine les cen- 7 ÉDAÉS SE D dec Sd ee PO ne le LS d I. Pulicaria L. ‘) Fleurs périphériques dépassant beaucoup les CR EE LS A Ne DER cépas de I. dysenterica L. Quelques espèces d’Znula ont autrefois été employées en mé- decine. La racine d’Znula Hele- nium (Aunée), qui est très riche en inuline, était considérée comme diurétique, tonique, ex- citante, emménagogue et vermi- fuge. Elle exhale une odeur forte et possède une saveur un peu amère, très caractéristique. La racine, les feuilles et les fleurs de l’Znula dysenterica ont une saveur àcre, un peu aro- matique et amère. Elles ont été employées contre la diarrhée et la dyssenterie. Elles sont toni- ques et astringentes. SOLIDAGO L. — Invo- lucre à folioles pluri-sériées, imbriquées. Plateau des ca- pitules presque plan, sans paillettes. Fleurs périphé- riques 5-10, femelles, 1-sé- riées, ligulées, les centrales Fig. 175. — Jnula dysenterica. Sommité florifère. Va tubuleuses, hermaphrodites, toutes jaunes, Anthères dépourvues 8. 138 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES ” d’appendices basilaires. Achaines pourvus d’une aigrette à soies- capillaires 1-sériées, Capitules en grappes formant une grande- panicule terminale. Feuilles entières ou seulement dentées. S. Virga-aurea L. (Verge d’or). — Seule espèce. Jolie plante à tige haute de 30 centim. à 1 m., dressée, ramifiée dans le haut, terminée par une grande et belle panicule de fleurs jaunes. Très commun dans les buissons, sur les lisières des bois. DORONICUM L. — Involucre à folioles 2-sériées, linéaires- acuminées, presque égales. Plateau sans paillettes. Fleurs toutes jaunes, les périphériques ligulées, 1-sériées, femelles, à achaines sans aigrette ou à aigrette réduite à 1-3 soies, Fleurs centrales tubuleuses, hermaphrodites, à achaines surmontés d’une ai- grette de soies capillaires pluri-sériées, courtes. étalées.Capitules : assez grands, solitaires à l'extrémité des rameaux ou formant un corymbe pauciflore. Feuilles entières, ou dentées, ou sinuées. Souche traçante, à rhizomes terminés en tubercules charnus. Tige sans feuilles, simple, terminée par un seul ca- DIDIER ES eine 4 JOUE. DCE D. plantagineum 1. Tige ramifiée dans le haut, à capilules formant un corymbe pauciflore....... SUEDE SPORE . D. Pardalianches L. Les deux espèces de Doronic ont joui, autrefois, d’une certaine réputa- tion oflicinale. La racine a une saveur douce, assez agréable. Elle est, en réalité, sans propriétés médicinales. CINERARIA L. — Involucre à folioles l-sériées, égales. sans écailles accessoires. Plateau sans paillettes, un peu con- vexe. Fleurs toutes jaunes, les périphériques ligulées, femelles, 1-sériées, à achaines pourvus d’une aigrette, les centrales tubuleuses, hermaphrodites, à achaines également pourvus d'une aigrette. Aigrette à soies capillaires pluri-sériées. Capi- tules réunis en un corymbe ombelliforme terminal. Feuilles. entières, dentées ou pinnatifides. Feuilles radicales simplement crénelées, les cauli- naires sessiles, non embrassantes......... dose C:lanceolata L'AMX. Feuilles radicales ordinairement pinnatifides, les cau- linaires amplexicaules....... NAN: Be ni st UE nelustrs Le SENECIO L.— Involucre à folioles 1-sériées, accompagnées à la base d'écailles accessoires, courtes. Plateau sans paillettes. Fleurs toutes jaunes, les périphériques ligulées, 1-sériées, fe- melles, les centrales tubuleuses, hermaphrodites. Achaines surmontés d’une aigrette à soies capillaires pluri-sériées. Ca- pitules disposés en un corymbe terminal irrégulier. Feuilles v entières, dentées où pinnatipartites, EPS 2, | | | | | | ES . + SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES Capitules à fleurs périphériques avortées ou courtement: ligulées:.....5:...5...., 0000 0 Capitules à fleurs périphériques longuement li- gulées rayonnantes dar micrrcete Capitules à fleurs périphériques ligulées totale- MIO BUDPLPENS- same emeusnesegeses en e een ee Capitules à fleurs périphériques courtement li- gulées, enroulées en dehors................ Achaines pubescents. Feuilles pubescentes-ara- DLL US OA cu Dr et ex Achaines glabres. Feuilles pubescentes- glan- duleuses ..... SES TR EROS ETes : Feuilles simplement dentées................ Feuilles plus ou moins profondément décou- FE PAR IR CE SP PET Fleurs ligulées 3-6. Capitules odorants.. Fleurs ligulées 10-15. Capitules non odorants. Feuilles tri-pinnatiséquées, à segments linéai- res, d'un beau vert..... Mo CE » 218 Éécu mass Feuilles simplement pinnatipartites.......... Souche tracante. Achaines tous pubescents- Souche courte, tronquée. Achaines périphéri- ques glabres, ceux du centre pubescents- PER ee rade dVeseUe. CNRS S. vulgaris L. S. sylvaticus L. viscosus L, . paludosus L. . nemorensis L. 139 S. adonidifolius Lois. 4 à S. erucæfolius L. S. Jacobza L. On a préconisé autrefois le Senecio vulgaris comme adoucissant, résolutif et apé- ritif. En lavements et en ca- taplasmes, il est un peu émol- LS TUSSILAGO L. — Involucre à folioles 1-2 sériées, PRPRETASS à la base d’écailles plus petites. Plateau presque plan, sans écailles.Fleurs toutes jaunes, les péri- phériques femelles, plu- ri-sériées, très étroite- ment ligulées, les cen- trales tubuleuses, peu nombreuses, mâles. Aï- grette des achaines pé- riphériques à soies capil- laires pluri-sériées; aigrette des achaines centraux à soies 1-sé- riées. Capitules solitai- res au sommet de tiges Fig, 176. — Tussilago Farfara. es courtes, non ramifiées, dépourvues de feuilles, ne portant que 140 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES des écailles rougeâtres. Souche traçante, charnue, émettant un grand nombre de rameaux florifères et, chaque année, une ro- sette de feuilles grandes, suborbiculaires, cordées, pétiolées, sinuées, blanchâtres-tomenteuses sur la face inférieure. T. Farfara L. (Tussilage, Pas d'âne). — Seule espèce. Pe- tite plante à pédoncule florifère haut de 10 à 20 centim., à feuilles ne se développant qu'après la floraison, longuement pétiolées, très amples. — Flor. : mars-avril. — Habit. : terrains sablonneux humides, voies des chemins de fer, lieux inondés en hiver. Commun. 7. Les fleurs du Tussilage font partie des espèces pectorales des pharmacies. Elles entrent dans la préparation d’un grand nombre de sirops pectoraux, ARNICA L. — Se distingue très nettement de tous les au- tres genres de la sous-tribu par ses feuilles opposées. Invo- Fig. 179, Arnica Arnica montana. montana. Fleur ligulée. Fleur tubuleuse. Fig. 177. = Arnica montana. FR folioles 2-sériées, à peu près égales. Fleurs toutes dun beau jaune foncé, les périphériques longuement ligulées, Dh Male SYNANTHÉRACÉES OU COMPOSÉES 141 femelles, 1-sériées, les centrales tubuleuses, hermaphrodites, nombreuses. Achaines tous pourvus d’une aigrette à soies capillaires 1-sériées. Capitules solitaires à l'extrémité de la Lige et de rameaux opposés. A. montana L. — Caractères du genre. Plante à souche vivace, oblique, émettant une rosette de feuilles assez épaisses, fermes, vert pâle, pubescentes en dessus, glabres en dessous, oblongues, entières, à 5-7 nervures longitudinales. Tige haute de 20 à 50 centim., dressée, peu ramifiée, à rameaux opposés, terminés chacun, comme la tige, par un capitule. — Flor. : juin-juillet. — Habit. : indigène dans les régions montagneuses de la France; très rare dans quelques localités voisines du bassin de Paris. Z. Les fleurs et la racine sont employées à la préparation de la teinture d'Arnica; leur odeur est assez agréable, très faible; on en a retiré de l’arnicine. La teinture d’Arnica est prescrite à l'extérieur pour le panse- ment des contusions ; à l'intérieur, elle est stimulante et diaphorétique. ERIGERON L. — Se distingue nettement de tous les gen- res précédents par ses capitules à fleurs centrales jaunes, tandis que les périphériques sont roses ou blanches-jaunâtres. Invo- lucre à folioles pluri-sériées, linéaires. Plateau sans paillettes, Fleurs périphériques étroitement ligulées, pluri-sériées, femelles, les centrales tubuleuses. hermaphrodites. Achaines comprimés, tous munis d’une aigrette à soies capillaires 1-sériées. Capi- tules petits, formant un corymbe ou une panicule feuillée. ‘Feuilles entières ou légèrement dentées. Fleurs périphériques rose-violet. Capitules peu nom- breux, solitaires, ou 2-3 au sommet de rameaux for- NL CO ve: 4 die 0e sde cure da mon ST E. acris L. Fleurs périphériques blanc-jaunàtre. Capitules très nom- breux, en grappes latérales formant une grande pani- cule terminale........., Æ HO Ge nd ne = La .. Æ. canadensis I, ASTER. — Se distingue par ses capitules à fleurs périphé- riques bleues, plus rarement lilas, purpurines ou blanches, celles du centre jaunes. Involucre à folioles pluri-sériées, lâchement imbriquées. Plateau sans paillettes, creusé d'alvéoles à bords dentés. Fleurs ligulées femelles, 1-sériées ; fleurs cen- trales tubuleuses, hermaphrodites. Achaines comprimés, sur- montés d’une aigrette à soies capillaires pluri-sériées. Capitules rarement solitaires et terminaux, plus souvent en corymbes ou en panicules. Feuilles entières ou dentées. A. Amellus L. — Seule espèce. Plante à souche presque ligneuse, à tiges hautes de 30 à 60 centim., dressées, ramifiees dans le haut. Très rare dans les clairières des bois sablonneux et pierreux. 142 GAMOPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Faure XXVIL — AMBROSIACÉES. Caractères constants. — Fleurs’ régulières, dioïques. Récep- tacle très concave. Périanthe simple. Calice absent. Corolle parfois absente dans les fleurs femelles, gamopétale, tubu- leuse, 5-mère. Etamines 5, insérées sur le tube de la corolle. Anthères biloculaires, indépendantes, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire rudimentaire, et style indivis dans les fleurs mâles. Ovaire infère, 1-locu- laire, 4-ovulé, dans les fleurs femelles, qui n’ont pas d’étamines. Style filiforme, divisé. au sommet en 2 bran- ches stigmatiques. Fruit sec, 1-loculaire. l-spermé, enfermé dans l’involucre deve- nu sec et ligneux. Graines sans albumen. Fleurs réunies en ca- pitules; les mâles en- tourées d’un involucre à plusieurs folioles, les femelles dans un invo- lucre à 1-2 folioles connées et durcies em un tube qui enveloppe le fruit et qui est épi- neux et terminé par deux becs droits ou courbés en crochets Fig. 180. — Xanthium Slrumurium. par lesquels sort le style. Capitules rare- ment solitaires, ordinairement réunis en faseicules ou en grap- pes. Feuilles alternes, pétiolées, sans stipules. Plantes annuelles, souvent épineuses. XIANTHEUM T. — Seule genre. Caractères de la famille. 1j TISE Sans ‘épines... 14. iurceue ce 2 Tige épineuse. Epines tripartites, jaune dot .ceber ... À, Spinosum. DICOTYLÉDONES-DIALYPÉTALES 143 Involucre femelle fructifère couvert d'épines droites, à deux becs coniques, droits, dressés, non courbés en crochets, laissant passer le SylO:s éutuet .….. À. Strumarium. 2.4 Involucre femelle fructifère beaucoup plus g gros, velu, glanduleux, muni d’épines arquées et courbées en crochet, terminé par deux becs coniques, recourbés en crochet à l'extrémité............. SCT ... À. orientale L. Les feuilles du X. Sérumarium (Lampourde, Herbe aux écrouelles) sont amères et astringentes. Elles étaient autrefois employées contre les dartres, le goitre, la scrofule, le cancer. Les anciens s’en servaient pour se teindre les cheveux en jaune. b. — DICOTYLÉDONES DIALYPÉTALES. Embryon pourvu de deux cotylédons. Corolle à divisions indépendantes. Deux sous-ordres : 1. Réceptacle convexe. Corolle et étamines insérées au-dessous de la base de l'ovaire (hyposynes)- Ovaire tout à fait indépendant du réceptacle... D. hypogynes. 2. Réceptacle plus ou moins concave, tantôt enve- loppant l’ovaire sans y adhérer, tantôt se déve- loppant de manière, à former une partie ou la totalité des parois ovariennes. Corolle et étamines insérées au-dessus de la base (périgynes) ou même au-dessus du sommet de l'ovaire (épigynes)...... D, péri- et épigynes. 4. — DIALYPÉTALES HYPOGYNES. Corolle dialypétale. Réceptacle convexe, à bords toujours situés plus bas que le centre. TABLEAU DICHOTOMIQUE DES FAMILLES DIALYPÉTALES HYPOGYNES. 4,4 Placentation RIRE ES ea nel « - den en dos 2 Placentation pariétale..... ra lcten de a be 9 LE mie Fleurs tout à fait régulières ou à peine irrégu- lières . sosine Ve Rues sont ae ee QUE Fleurs très ‘manifestement irrégulières. <.43::.:"-1 Fleurs très légèrement irrégulières (irrégularité due seulement à un peu d'inégalité des sépales ou des pétales), ..:...:..2.:: lier gesdt(is is | Fleurs toujours très régulières... ............. Plantes décolorées, blanchàtres, ne portant que des écailles ......... FD ana 0 2e SPL Monotropées. Plantes vertes, pourvues de feuilles véritables. Géraniacées. { Gynécée formé d'un seul carpelle ou de plu- sieurs carpelles indépendants ou bien unis seu- 5.4 lement par la base.......................... 6 Gynécée formé de deux ou plusieurs carpelles connés en un ovaire bi-ou pluri-loculaire.,.. 7 2. Qt 4. DIALYPÉTALES HYPOGYNES Gynécée formé d'un seul carpelle. Sépales, pé- tales et étamines 6 Gynécée formé de plusieurs carpelles indépen- dants ou unis seulement par la base. Etamines très habitueilement en nombre indéfini.. Feuilles opposées ou verticillées Feuilles alternes Arbres ou arbrisseaux entièrement ligneux.. .... CCC Herbes ou plantes sous-frutescentes, à peine li- gneuses à la base seulement..............., Arbres. Ovaire biloculaire. Fruit composé de deux éoqués ailées........::e+ eee Arbrisseaux peu élevés. Calice, corolle et an- drocée 4-5-mères, Ovaire 3-5-loculaire. Fruit capsulaire, cartilagineux, 3-5-loculaire ...... Feuilles alternes, trifoliolées........... EAN ELA Feuilles alternes, jamais trifoliolées... Arbres ou arbrisseaux entièrement ligneux... Herbes ou rarement plantes sous-frutescentes à la" Base SOMOMREME 5020 à 2 su sans Arbres de grande taille. Fruit presque li- gneux, indéhiscent. Inflorescence connée à la bractée axillante Arbrisseaux très ligneux. Fruit bacciforme... Calice accompagné d’un calicule. Corolle à 5 pétales unis entre eux par les onglets. Ent thErES uni vues. . EU ere PRE NE Calice non accompagné d’un calicule. Anthères biloculaires . Calice à 4-5 sépales dont un prolongé en un long éperon Calice dépourvu d'éperon Sépales 5. Fruit charnu Sépales 4. Fruit anna, à déhiscence élas- tique ; Arbres à feuilles Shppséce, composées- ess. Herbes à peine sous-frutescentes à la base, à feuilles entières, ordinairement alternes. CCC ed" ele eee 610 00 5 0 ets» 107 n) d'a else rs CC CCC ss... . Feuilles opposées............ : Sen Heubles"aliernes: 22,74 dns error eue : Calice et corolle 4-mères. Étamines 6, tétrady- names. Fruits siliqueux ou siliculeux. ....... DORE eus ME dun bien eo 3e PRE E 7 LE Fleurs irrégulières........ Fa ne be 02 SN RE : Fleurs régulières .......... sine Ée 05 de UE ENT ER Pétales inférieurs prolongés en éperon........ Corolle sans aucun éperon. Ovaire et fruit ou- veris au sommet..,... .… 6] 22 Toujours 2 Spleen see Toujours plus de deux sépales... Etamines en nombre indéfini.... Etamines en même nombre que les pétales ou en nombre double Plantes aquatiques. Fleurs très grandes, Rouilles très grandes, flottantes Plantes terrestres, Corolle à préfloraison con- tournée …..... ...... ss... ss... sn tissie Berbéridacces . Renonculacées. 8 £ 10 9 Caryophyllées. Acéracces. Célastracées. Oxalidées. at 12 “ \5/ Tiliacées. Ampélidacées . Malvacées. Linacées. 15 16 Tropæolées. Balsaminées. Hippocastanéacées . Polygalacées . Hypéricinées. 18 Crucifères . 19 20 21 Violacées. Résédacées. DIET - 23 24 Nymphéacées. Cistinées. “ | RENONCULACÉES 145 Feuilles couvertes de très longs poils glandu- ‘ leux. Anthères à loges déhiscentes par des EX rene lODEMEUdIDAIES F8. 0 or Nate. ver Det ge Droséracées. Feuilles non glanduleuses. Anthères déhis- centes palililes pores....:.:....:..:.....,1.. Pyrolacées. Fame XXVIII — RENONCULACÉES. Caractères constants, — Réceptacle convexe. Calice dialysépale. Corolle (souvent absente) dialypétale. Étamines libres, en nombre jamais rigoureusement défini. Anthères bilo- culaires, déhiscentes par des fentes longitudinales. Carpelles libres ou connés seulement par la base. Ovules anatropes. Graines albuminées. Embryon petit, droit, situé dans le voisi- nage du hile et enveloppé par l’albumen. Affinités. — Les Renonculacées sont très voisines des Ro- sacées, mais en diffèrent par leur réceptacle convexe. Cepen- dant, les Pivoines, avec leur réceptacle légèrement concave, et, d'autre part, les Potentilles et les Fraisiers, dont l'axe floral est très élevé dans sa partie centrale, relient les deux familles. Elles touchent aux Berbéridacées, dont il est à peu près impos- sible de les séparer d'une facon absolue; mais le genre Ber- beris, qui seul nous intéresse ici, diffère de toutes les Renon- culacées par la déhiscence de ses anthères à l’aide de panneaux. Très voisines des Papavéracées, les Renonculacées en diffèrent par l'ovaire, qui est toujours formé, dans les Papavéracées, de deux ou plusieurs carpelles connés en un ovaire uniloculaire, à placentation pariétale. Enfin, les Alismacées doivent être con- sidérées comme des Renonculacées à embryon monocotylé- doné. | Trois tribus : | {.{ Feuilles alternes. Préfloraison imbriquée ............... 2 Feuilles opposées. Préfloraison valvaire ........ ........ Clématidées. 2 Bent déhéranms 20706 sescuscsccatees de Rene ire Aquilégiées. _ ‘1 Fruits indéhiséénés; . : 2 22: Sercosecociies ee STRÉPA TER ANÉMONEES. = Namsue, Tribu I. — AQUILÉGIÉES. Réceptacle convexe. Carpelles libres ou unis par la base, plu- riovulés. Fruits polyspermes et déhiscents. Préfloraison imbri- quée. Feuilles alternes. Fleurs régulières...... Had es: = PURES CUPREN: res - Fleurs irrégulières......... ERA TA à Ds de SJ Delphinium . Périanthe double....... D nt dt TE die ER ...... Aquilegia. Périanthe simple................ ARR D JO CESS 3 Staminodes pétaloïdes, bifides au sommet....,......... MNigella. 4 Staminodes en forme AR COPRETS. essences ..... Helleborus. FLORE DE PARIS. : 9 * CASE MIE FLE À AR ER FES à nel da Es 4 3 ; : ï LR + CONTE At re AU ". # + 146 DIALYPÉTALES HYPOGYNES AQUILEGIA T. — Sépales 5, caducs, colorés. Pétales 5, alternes, à limbe en forme de cornet, prolongé au-dessus de l’on- glet en un long éperon creux, qui fait saillie entre les sépales. Étamines sur 8-10 verticilles pentamères, le plus extérieur al- terne avec la corolle, les suivants alternes les uns par rapport aux autres, les deux supérieurs formés d'étamines stériles (sta- minodes) en forme de languettes. Carpelles 5, sessiles, libres, allongés, terminés par un style effilé. Ovules en nombre imdé- fini, insérés dans l'angle interne de l'ovaire, sur deux rangées verticales. Fruit formé de follicules déhiscents par toute la lon- gueur du bord ventral, entre les deux rangées de graines. Graines petites, noirâtres, à raphé très saillant. A. vulgaris L. (Ancolie, Aiglantine, Cinq-doigts, Clochette, Colombine, Cornette, Gants de Notre-Dame). — Fleurs grandes, penchées, bleues, violettes ou purpurines, rarement blanches, terminales, solitaires ou en cymes lâches. Sépales dressés, pubescents en dehors. Pétales à limbe tronqué au som- met, plus court que l’éperon; à éperon recourbé en dedans en crochet. Feuilles ver- tes et lisses en dessus, blanchâtres et pu- bescentes en dessous. Feuilles radicales lon- ouement pétiolées, décomposées, ternées, à HU folioles pétiolées trilobées, à lobes cunéifor- Fig. 181. mes, arrondis, crénelés. Feuilles caulinaires Aquilegiavulgaris. subsessiles. Bractées mères des fleurs divisées SES en trois segments ordinairement entiers. Tige souterraine vivace, épaisse, ramifiée, Rameaux aériens dres- sés, ramifiés dans le haut, un peu pubescents, multiflores, hauts de 30 à 90 centimètres. — Flor. : mai-juillet. — Habit. : lisières des forêts, coteaux, prairies. Cultivé dans les jardins, où il est recherché pour la beauté de ses fleurs qui doublent faci- lement. Le sirop de fleurs d’Ancolie est plus sensible que celui de violette aux acides et aux alcalis, Il a été employé comme calmant contre la bronchite. Les semences sont considérées comme ‘diaphorétiques, diurétiques et dépu- ratives, particulièrement chez les enfants. On les emploie en infusion. L'Ancolie a été considérée comme emménagogue. Les vétérinaires em- ploient le rhizome en poudre, Les pétales fournissent à la teinture une belle couleur bleue naturelle. | NIGELLA T. (Nigelle ou Nielle). — Sépales 5, cadues, étalés, pétaloïdes. Staminodes (pétales de certains auteurs) co- lorés, pétaloïdes, opposés aux sépales, ordinairement par paires, bifides au sommet, munis vers la base d’une fossette profonde, recouverte par une écaille, Étamines en nombre indéfini, spi- ho el: it dé ét di RENONCULACÉES 147 ralées. Anthères introrses. Carpelles 2-5, connés par leur bord interne dans une étendue variable. Follicules déhiscents seule- ment par la partie supérieure, libre, du bord interne. N. arvensis L. ! (Araignée). — Fleurs dépourvues d’invo- lucre, colorées en blanc bleuâtre veiné. Sépales longuement onguiculés, à limbe ovale, acuminé. Staminodes 8, coudés au niveau de la fossette, à limbe divisé en deux lobes concaves en dehors, velus en dedans, terminés par une pointe élargie au sommet, les deux laté- raux solitaires en face des deux sé- pales latéraux, les autres disposés par paires en face des sépales anté- rieur et posiérieurs. Etamines insé- rées sur 8 rangées spiralées partant des staminodes. Anthères apiculées. Follicules 5, plus rarement 3-7, connés dans leur moitié infé- rieure seulement, divergents dans le haut, oblongs, étroits, un peu atténués à la base, munis dans le dos de3 nervures, termi- nés par un bec stylaire aussi long que l'ovaire. Graines triangu- laires, à angles très marqués et un peu marginants, amincies en pointe à l'extrémité ombilicale, petites, colorées en gris noir foncé, chagrinées, mais dépourvues de plis transversaux sail- lants, à odeur aromatique plus prononcée quand on les écrase, analogue à celle du Cumin, d’où le nom de Cumin noir qu'on leur a donné. Tige striée, glauque, haute de 10 à 30 centimètres, droite, rameuse, à peu près glabre. Rameaux dressés. Feuilles alternes, bi- ou tri-pinnatiséquées, à segments linéaires. Plante annuelle. — Flor. : juin-août. — Habit. : moissons des terrains sablonneux ou calcaires peu fertiles. 7°. Nigella arvensis. Fleur. Les graines out une saveur âcre et chaude rappelant quelque peu celle du poivre, mais beaucoup plus âcre et moins aromatique. Elles sont suscepti- bles d'être utilisées, ainsi -que celles des JV. sativa el damascæna, comme condiment, mais elles sont moins actives. A haute dose, elles peuvent pro- duire des accidents, HELLEBORUS T. (Hellébore ou Ellébore). — Calice à 5-6 sépales verdâtres ou colorés, persistants. Staminodes (pétales de certains auteurs) en nombre variable, courts, en forme de cornets à ouverture oblique. Étamines insérées sur plusieurs rangées spiralées qui partent des staminodes. Anthères extrorses 1. On trouve encore souvent au voisinage des jardins où il est cultivé le Nigella damascæna (Cheveu de Vénus, etc.), qui se distingue par ses fleurs à involucre multiséqué,. 4 148 ; DIALYPÉTALES HYPOGYNES ou introrses. Carpelles libres ou unis seulement par la base. Fruit formé de follicules déhiscents par presque toute la lon- sueur du bord ventral. Calice vert.............. n Star lon eat eu ee fine Re Fu 1. Calice blanc-rosé ......,........,..4vene sr ans Ja PEL DEDERS Tige feuillée dès la base. Sépales dressés.......... 0 NE ftiqus. 2. Tige feuillée seulement à partir de la ramification. Sé- Kix pales étalés.......................... SRE OL H. viridis. H. fœtidus L. (Pied de griffon, Rose de serpent). — Fleurs verdâtres, penchées, terminales, en cymes pauciflores. Calice à Fig. 184, ITelleborus fœtidus. Feuille. SN Fig. 183. — AÆelleborus fœtidus. A, sommet florifère. B, staminode. 5 sépales verts, souvent bordés de pourpre, dressés, concaves. Staminodes tantôt 5, alternes avec les sépales, tantôt 8, dont 2 opposés aux 2 sépales latéraux, et 6 opposés par paires aux autres sépales. Étamines en séries spiralées, ordinairement plus nombreuses que les staminodes desquels elles partent. Anthères extrorses. Carpelles 3-5 (ordinairement 3). Graines noires, lui- santes. Souche souterraine vivace, sinueuse. Tiges aériennes persistantes pendant l'hiver, hautes de 30 à 60 centimètres, cylindriques, ramifiées. Feuilles alternes, glabres, d’un vert foncé; pétiole élargi à la base; limbe pédalé, à lobes étroits, allongés, dentés. Feuilles supérieures, axillantes des fleurs, ré- duites à une lame aplatie, les inférieures trilobées au som- met, les supérieures simples. Odeur vireuse très prononcée. — N RENONCULACÉES 149 Flor. : février-mai. — Habit. : lieux pierreux ; bords des che- mins ; lisières et clairières des bois; terrains calcaires. 7”. Toutes les parties de la plante sont amères, âcres, toxiques. On a fait usage surtout du rhizome et des racines ; à dose faiole, ils sont purgatifs et constituent un bon vermifuge. Les vétérinaires emploient le rhizome comme purgatif drastique et pour faire des sétons. H. viridis L. ! (Herbe à sétons). — Se distingue du précé- dent par : sa tige pourvue seulement d’écailles jusqu’au niveau de la ramification ; ses feuilles radicales pédalées, à folioles oblongues, lancéolées, dentées, d'un vert clair, glabres ou fine- ment pubescentes; ses feuilles raméales et florales sessiles, pal- matipartites; ses fleurs solitaires, ou 2-5, au sommet des ra- meaux ; ses sépales à peine concaves, étalés, verdâtres ; ses stisgmates droits. — Flor. : mars-avril. — Habit. : lieux pierreux, humides et ombragés. Rare dans les environs immédiats de Paris; naturalisé dans le parc de Trianon. Propriétés semblables à celles de l’H. fétide, mais plus énergiques. Il figure dans la FPharmaco- pée allemande, qui pre- scrit son rhizome (Grüne Grieswurzel), comme pur- gatif drastique, et con- seille de le recueillir soit au printemps, avant la floraison, soit à l'automne. À \N QU) EE * D Fig. 185. — Xelleborus niger. Fig. 186. — Helleborus niger. Fleur. Feuiile, \ 7 H. niger L. (Rose de Noël). — $Se distingue des deux pré- cédents par : ses grandes fleurs à sépales d’un blanc rosé; ses 1. Les A. viridis et fœtidus sont les seules espèces d’Æelleborus indi- gènes des environs de Paris. LA. niger est seulement à l’état cultivé. 150 DIALYPÉTALES HYPOGYNES feuilles toutes radicales, pédalées, à segments obovales, lan- céolés ; ses rameaux aériens courts, 15 à 25 centimètres, non ramifiés, dépourvus de feuilles, terminés par une fleur et por- tant seulement une ou deux bractées, dont chacune produit parfois dans son aisselle une fleur. — Flor. : au cœur de l'hiver, novembre-janvier. — Habit. : n'appartient pas à la flore de Paris, mais est très cultivé dans les jardins. Le rhizome frais est rubéfiant et mème vésicant. Saveur âcre, brülante, Purgatif drastique très irritant. Toxique à haute dose. On emploie le rhizome sec en poudre ou en teinture. DELPHINIUM IH. Bn. — Sépales 5, pétaloïdes, le posté- rieur éperonné ou en forme de casque ; staminodes (pétales de certains auteurs) 4-5, opposés aux sépales, souvent 8 par dé- doublement, le postérieur souvent double, très développé, pro- longé en éperon ou terminé par un casque. Étamines en nombre indéfini, insérées sur huit verticilles qui partent des stami-. nodes. Carpelles 3-5, sessiles, libres, pluriovulés. Ovules ana- tropes, horizontaux, insérés dans l’angle interne du carpelle sur deux rangées verticales. Follicules déhiscents par une partie ou la totalité de la longueur du bord ventral. Tel qu'il est compris par M, Baillon, ce genre se divise en deux sections, considérées avant lui comme deux genres dis- tincts : 1° Sépale postérieur éperonné,........... “sep ae /Delphiniunt. 2° Sépale postérieur en forme de casque.....,.............. ACOnitumM. Section I. — DELPHINIUM. D. Consolida L. (Pied-d’alouette sauvage, Pied-d'alouette des champs, Bec d'oiseau, Eperon de chevalier). — Fleurs bleues ou très rarement blanches, en grappes courtes, diva- riquées, formant par leur ensemble une panicule terminale lâche ; à bractées et bractéoles simples, 3-4 fois plus courtes que les pédoncules. Pédoncules uniflores. Sépales inégaux, pu- bescents en dehors, le supérieur muni au-dessus de la base d'un long éperon creux, horizontal, les latéraux plus petits, graduellement atténués vers le bas, oblongs. Staminodes alternes avec les sépales, réduits à 4 par avortement de l’anté- rieur, unis dans le bas; les latéraux à peu près orbiculaires, petits, le pestérieur plus développé, oblong, bifide, prolongé dans le bas en un long éperon qui s'enfonce dans l’éperon du sépale postérieur. Etamines à anthères introrses, à filets recourbés vers le milieu et réfléchis en dehors, appliqués par leur extrémité inférieure contre l'ovaire. Carpelle ordinaire- RENONCULACÉES 151 ment unique, sessile. Follicule glabre ou presque glabre, déhiscent par une ouverture obovée à bords peu saillants, sur- monté d'un style en forme de bec grèle, tout à fait latéral, égal à la moitié de la capsule. Graines noires, à surface cou- verte de rides membraneuses en forme d’écailles. Herbe an- nuelle. Racine fusiforme, petite. Tige pubescente, dressée, D Fig. 187. Fig. 188. Fig. 189. Delphinium Consolida. Delphinium Consolida. Delphinium Consolida. Fleur. Coupe de la fleur, Fruit. haute de 80 à 60 centimètres, rameuse. Rameaux divergents, Feuilles alternes, biternées, découpées en lanières longues et linéaires ; les inférieures pétiolées. — Flor. : juin-août. — Ha- bit. : champs cultivés. (1). Les diverses parties de la plante, et surtout les fleurs, sont amères. Elles ont été considérées comme diurétiques. Les semences pulvérisées détruisent les poux. Leur décoction est employée dans quelques localités contre les maladies de la peau et surtout la gale, Les graines sont moins énergiques que celles du D, Staphisagria, qui est étranger à la flore de Paris. Section II. — ACONITUM. D. Napellus H.Bn.(Aconitum Napellus L. — Casque de Jupiter, Char de Vénus). — Se distingue par : son sépale postérieur en forme de casque, les deux latéraux orbiculaires, les deux anté- rieurs étroits et obovales ; son staminode postérieur dédoublé en deux longues baguettes étroites, logées dans la cavité du sépale postérieur, terminées chacune par un petit casque à sommet re- courbé en arrière et à orifice oblique terminé en avant par une petite pointe saillante ; ses staminodes antérieurs et latéraux en partie avortés ; ses carpelles 3-5. C'est une plante à souche vivace, courte, portée par une longue racine napiforme charnue, qui se détruit après la floraison. Un ou deux des bourgeons 152 DIALYPÉTALES HYPOGYNES situés dans l’aisselle des feuilles inférieures souterraines et squamiformes produisent, pendant l'été, une racine adventive qui devient napiforme et se gorge d'amidon, tandis que son bourgeon reste stationnaire. Au printemps suivant, ce dernier grandit rapidement et se transforme en une nouvelle tige Fig. 191. Delphinium Napellus . Fleur entière. Fig. 192. . Delphinium Napellus. Fleur sans le calice, Fig. 190. Delphinium Napellus. Sommité florifère. aérienne à fleurs et à fruits. La tige aérienne est dressée, haute de 80 centim. à 1 m. 20, simple ou un peu ramifiée vers le haut, pubescente ou presque glabre, terminée par une longue grappe de fleurs bleues. Feuilles à face supérieure d'un vert foncé, luisante, à face inférieure plus pâle ; les inférieures lon- guement pétiolées, les supérieures presque sessiles, pédalées, à trois segments primaires subdivisés en languettes étroites et pointues, à bords entiers et un peu repliés en dessous. — Flor. : juillet-septembre. — Habit. : prairies humides, tourbiè- RENONCULACÉES 153 res ; marais des environs de la forêt de Villers-Cotterets, Ma- reuil-sur-Ourcq, etc. Z. Plante très toxique, narcotico-àcre. Fraiche et broyée, elle irrite fortement les muqueuses et la peau et peut même produire la vésication, On emploie les feuilles et les racines. Les sommités fleuries sont employées vertes en Au- gleterre; sèches, elles servent à préparer un Extrait d’'Aconit. En France, on emploie la Teinture d’Aconit surtout à l’extérieur. A l’intérieur, il est préférable d'employer l’aconitine. qui est ie principe actif le plus impor- tant de la plante et qui est surtout abondante dans la racine, Tribu II. — RENONCULÉES. Réceptacle convexe. Carpelles en nombre indéfini, libres, uniovulés ou pluriovulés. Fruits monospermes, indéhiscents. Préfloraison imbriquée. Feuilles alternes. n Plusieurs carpelles.............. FABREE- CAE EEE 2 DRM SEURMERFROUE: JR ae es sen are Sata ae à » . Aciæa. 2. Carpelles uniovulés, périanthe double....... RE 3 : À Garnelles uniovulés, périanthe po RE ecree Let e 5 3 Réceptacle simplement convexe. aa Fe Ranunculus . “| Réceptacle très allongé..........,...... FERErEr sue 4.5 MyYOSUrUS. 4 Carpelles verticillés sur un à seul Lang as M AS ot Caltha. : Carpelles insérés en spirale ou HR os ce S -» { Fleurs accompagnées d’un involucre............,.. .., Anemone. PE Fleurst sains idvolaere.L.. :.. lies ve cdeatse M ee ds . Thalictrum. RANUNCULUS L, — Réceptacle plus ou moins renflé en tête. Galice à 3 ou 4 sépales plus ou moins colorés, caducs. Corolle à pétales colorés, réguliers, munis au-dessus de l’on- glet d’une fossette nectarifère souvent surmontée d'une écaille. Pas de staminodes. Etamines nombreuses, libres, à anthères extrorses. Carpelles nombreux, insérés en spirale. Ovule unique dans chaque carpelle. Achaines secs, surmontés d’un style per- sistant, court, recourbé en bec. Graine dressée, aplatie. Le genre Ranunculus peut être divisé en deux sous-genres : Cakire-à.5 sépales. 5.45. CCS RCA STE CR RES De . Ranunculus. Calice à 3 sépales................,.,...,............ .… Ficaria. SOUS-GENRE Ï. — RANUNCULUS. Caractérisé par un calice à cinq sépales ; ce sous-genre se laisse facilement diviser en deux sections : Fée Miam a das a ceû on DO va 0 cpmiaete cn CONFINS Fleurs jaunes............. RER 2 CON PESTE COR OIE Section I. — Batrachium. ! Pétalestentièrement blanes. :..:..4.. 5, Rem 00 Pétales blancs, à onglet jaune.....,...,.....,....,.. * 4 154 2.) 3.{ d 5.) Feuilles toutes réniformes, 3-5 lobées..,...,.... Feuilles dimorphes, les inf. laciniées..,........... Pédoncules floraux de la longueur des feuilles... .... Pédoncules floraux plus longs que les feuilles...,,.... Feuilles multiséquée:, à segments rayonnants..... Feuilles multiséquées, à segments parallèles.......... A. Segments rapprochés en faisceaux au sortir de l’eau. Segments restant étalés au sortir de l’eau........... « DIALYPÉTALES HYPOGYNES hederaceus. ... ... F. 3 R. tripartitus. R. hololeucos. 5 fluitans. R. aquatilis. ÆÀ. divaricatus. R. aquatilis L. (Grenouillette). — Réceptacle sphérique, hérissé. Fleurs grandes, à pédoncules dépassant les feuilles. Fig, 193. — Ranunculus aquatilis. Calice étalé, à 5 sépales. Pé- tales obovales, plus longs que les sépales, à onglet jaune, à fossette nectarifère dépourvue d’écaille. Carpelles hérissés ou plus rarement glabres, non amincis à la base, ridés trans- versalement, dépourvus de rebord, surmontés d’un bec stiomatique élargi, recourbé au sommet. Souche vivace. Ra- meaux aquatiques fistuleux, anguleux, nageants,submergés ou couchés et radicants. Feuil- les ordinairement dimorphes, les supérieures flottantes, réni- formes, 3-b lobées, souvent ve- lues sur la face inférieure, accompagnées de stipules con- nées au pétiole dans une gran- de étendue ; les inférieures submergées, à pétiole court.et comprimé, à limbe découpé en un grand nombre de segments capillaires, divergents, élalés en rayonnant dans tous les sens, flasques, se rapprochant en pinceau quand on les retire de l’eau.— Flor.: avril-août.— Ha- bit. : fossés, mares, eaux stagnantes, ruisseaux et rivières à courant peu rapide. Très commune. Z. Section II — Euranunculus, 1 Feuilles entières ou seulement dentées..... A EE > { Feuilles lobées ou incisées...,.....se.ssss se... STE 9 éeuilles ‘entières ..æ ste e « à, 4 Feuilles légèrement dentées.......1.102202 re j Fleurs pédonculées ...... d'a st o LL EL RRCRCENERPREE R. gramineus L. 18: | Fleurs sessiles, axillaires. ..... se 5 4 is dnjets sdste ete . R. nodiflorus L. RENONCULACÉES Tige dressée robuste..,..................,,.... Tige radicante à la base, couchée LADA RE Tige uniflore..,...s.eer see ae RSC Er E | Tige CAT VRP RER EEE SR RES DES. Carpelles lisses ou seulement pubescents. . Carpelles tuberculeux ou hérissés.........,.... : Souche bulheuse:..s.s cut. see sise s sos ère o Souche non bulbeuse. ..,,.....2 4... e Rameaux rampants, à racines adventices....... Rameaux non rampants..........,,. 2-8 si Carpelles pubescents ...... BAS ATERA r A tive des : Qt « Carpelles glabres........,... MC DEEE CE Réceptacle glabre................... hais Réceptacle HORISB sand nas NÉE 2 . Carpelles épineux sur les deux JACOB se tetes Carpelles rugueux ou tuberculeux............ .. Carpelles rugueux au centre des faces latérales. Carpelles tuberculeux....,.essse.esssessssoree Tubercules sur le bord des aspelles seulement, Tubercules sur les deux faces, surmontés de poils erOeHaSE es RES UE s RD ee m4 SP RES US de { N CORDIER 155 R. Lingua L. R. Flammula L. R. Chærophyllos L. 6 7 11 R. bulbosus L,. 8 R. repens L. 9 P. auricomus L. 10 R. acris L. R. sylvaticus L. R. arvensis L. 12 R. sceleratus L. 13 R. Philonotis Euru. R. parviflorus L. Fig, 194, — A. Ranunculus Lingua. Fig, 195. — ARanunculus Lingua, B, R. Flammula. Sommité florifère. R. Flammula L. (Petite Douve). — $Se distingue par : son calice couvert de poils apprimés; ses pétales assez petits; ses carpelles lisses; sa souche ordinairement divisée en rhizomes 156 DIALYPÉTALES HYPOGYNES obliques; sa tige aérienne, longue de 20 à 80 centimètres, as- cendante, étalée ou couchée, radicante à la base, souvent mul- tiflore, glabre dans le bas, pubescente vers le haut, ainsi que les pédoncules ; ses feuilles glabres, ordinairement dentées, à nervure moyenne plus saillante que les autres, les radicales et les inférieures oblongues ou ovales, très longuement pétiolées, les supérieures à peu près sessiles, lancéolées ou linéaires. — Flor. : juin-octobre. — Habit. : bord des mares, fossés, bois argileux, prairies humides. Abondant. 2. R. Lingua L. (Grande Douve). — Se distingue par : ses car- pelles lisses, à bec large, très comprimé; ses feuilles aériennes toutes sessiles, longuement lancéolées, glabres en dessus, fine- ment pubescentes en dessous; sa tige aérienne haute de 80 cen- timètres à 1 m. 50, dressée, robuste, pubescente vers le haut ; sa fsouche verticale, émettant au niveau des nœuds des sto- lons radicants et produisant sous l’eau des feuilles longue- ment pétiolées, à limbe large, ovale, cordiforme. — Flor. : juin-août. — Habit. : bords des étangs et des rivières, marais, tourbières ; lieux très humides, ombragés et couverts d'herbes ou de roseaux. Abondant. 77. R. acris L. (Clair-Bassin, Bassinet, Bassin d'or, Bouton d'or). — Réceptacle glabre. Calice à sépales dressés ou un peu étalés, jaunâtres, velus. Pétales à fossette nectarifère recou- verte d’une écaille tronquée, saillante. Carpelles 20-30, bordés, plans sur les deux faces, glabres, lisses, à bec stigmatique recourbé et plus court que la moitié du carpelle. Souche simple, horizontale ou un peu oblique, vivace. Tige aérienne dressée, haute de 30 à 70 centimètres, fistuleuse, non sillonnée, plus ou moins velue, à poils apprimés. Feuilles velues ; les radicales longuement pétiolées, à contour pentagonal, palmati- partites, à 3-5 lobes primaires sub-rhomboïdaux, incisés-dentés ; les caulinaires inférieures semblables, à pétiole moins long, à lobes plus étroits ; les caulinaires supérieures 3-5 partites, à divisions linéaires, entières ou incisées à la base. Pédoncules floraux non sillonnés. — Flor. : mai-juillet, — Habit. : lieux humides. Très commun. Z'. R. auricomus L. (Tête d’or). — Se distingue par ses pé- tales souvent avortés en tout ou en partie dans les fleurs qui se développent au printemps; ses pétales à fossettes nectarifères dépourvues d'écailles. Son calice dressé ; ses carpelles pubes- cents, à bec stigmatique recourbé en hameçon; ses feuilles glabres ou à peu près glabres ; les radicales longuement pétio- RENONCULACÉES 157 lées, réniformes ou suborbiculaires, crénelées ou incisées, à lobes crénelés; les caulinaires sessiles, palmatiséquées, à 5-7 seg- ments linéaires, divergents. — Flor. : avril-mai. — Habit, : bois, buissons, lieux herbeux. Très abondant. Z”. R. seceleratus L. — Se distingue par : son réceptacle très renflé en forme de tête; son calice réfléchi; ses pétales à fos- sette nectarifère dépourvue d’écaille, à peine aussi longs que le calice; ses carpelles rugueux au centre des faces latérales, à bec stigmatique très court ou à peu près nul. Plante annuelle, à tige solitaire, dressée, haute de 20 à 70 centimètres, fistuleuse, multiflore, rameuse, dichotome vers le haut, un peu pubes- cente ou glabre. Feuilles à peu près glabres ; les inférieures pétiolées, réniformes, à 3-5 lobes plus ou moins profonds, les supérieures presque sessiles, à segments plus étroits. — Flor. : mai-août. — Habit. : lieux humides, bords des fossés. Très commun. Ÿ. Pie." 1975 Ranunculus sceleratus. Fig. 198. Coupe verticale de la fleur, ÆRanunculus arvensis. Fruit entier. x Fig. 200 Fig. 199. Ranunculus acris. Ranunculus repens. Ranunculus arvensis. Sommité florifère Feuille radicale. Coupe verticale d'un et pétale isolé. achaine mûr. R. arvensis L. (Bassinet des champs). — Se distingue par : son réceptacle velu; son calice à sépales velus, étalés, plus dei. 158 DIALYPÉTALES HYPOGYNES courts que les pétales ; ses pétales jaune-verdâtre, veinés, à fossette nectarifère surmontée d’une écaille triangulaire aussi grande au moins que l'onglet : ses carpelles au nombre de 3 à 8, bordés, couverts sur les deux faces de pointes très sail- lantes et surmontés d’un bec subulé, presque droit, atteignant plus de la moitié de la longueur du carpelle. Plante annuelle, à tige haute de 20 à 40 centimètres, dressée, pleine, ramifiée parfois dès la base, glabre ou légèrement pubescente. Feuilles tripartites ou triséquées, à segments pétiolulés subdivisés en lobes étroits, linéaires même dans le haut de la tige. Les feuilles radicales sont longuement pétiolées et les caulinaires supérieures presque sessiles. Flor. : mai-juillet. — Habit. : champs cultivés. Très commun. (@). R. repens L. (Clair-bassin, Pied de poule, Piépou). — Se distingue par : son réceptacle un peu velu ; son calice à sé- pales velus, étalés; sa corolle à fossette nectarifère munie d’une écaille en forme de cœur renversé, plus étroite que l’on- glet ; ses carpelles, au nombre de 20 à 30, glabres, très com: primés, surmontés d’un bec stigmatique arqué, subulé, n’égalant pas la moitié de la longueur du carpelle. Plante à souche vivace, courte, simple, à rameaux aériens longs de 20 à 50 cen- timètres, les uns ascendants, les autres couchés, rampants, émettant des racines au niveau des nœuds. Feuilles plus ou moins velues, ternées ou biternées, à segments trifides, incisés- dentés, le moyen plus longuement pétiolulé que les autres. Feuilles radicales longuement pétiolées, souvent marbrées de blanc et de noir sur la face supérieure. — Flor. : avril à sep- tembre. — Habit. : bords des fossés, prairies. Très répandu. Z”. R. bulbosus L. (Pied de coq, Pied de corbin, Rave de Saint- Antoine). — Se distingue par : son calice à sépales réfléchis, velus, ses pétales à écaille courte, tronquée, presque aussi large que l’onglet; ses 20-30 carpelles glabres, à peu près lisses, très comprimés, à bec large, arqué et beaucoup plus court que la moitié du carpelle. Plante à souche vivace, renflée, bulbiforme, à rameaux aériens dressés, pubescents ou velus, hauts de 20 à 50 centimètres. Feuilles ternées ou biternées, à segments subdivisés, dentés, le moyen plus longuement pétio- lulé. — Flor. : mai à août. — Habit. : bords des chemins, prai- ries, gazons. Très commun. Z. SOUS-GENRE II. — Ficaria. Calice à trois sépales. Ranuneculus Figaria L. ! (Ficaria Ranunculoïdes MoENcu. 1. Seule espèce existant dans les environs de Paris. de md italie Lace - RENONCULACÉES 159 — Ficaire, Herbe au fic, Éclairette, Petite Éclaire, Petite Chéli- doine). — Fleurs solitaires, d’un beau jaune doré. Calice à 3 sépales ovales, étalés, verdâtres, cadues. Corolle à 6-9 pé- tales munis d’une fossette nectarifère surmontée d’une écaille. Carpelles 15-20, très convexes, couverts de poils courts, à bec stig- matique presque nul. Souche vivace, courte. Rameaux aériens courts, ne dépassant pas 10 à 20 centimè- tres, couchés ou ascen- dants, produisant dans l’aisselle des feuilles des bulbilles ou bour- geons ovoides gonflés de sucs, dont les su- périeurs se détachent et vont reproduire une plante nouvelle, les in- férieurs s’enfonçcant dans le sol nourrissent l’année suivante les : rameaux aériens. Feuil- les ovales, co. dées, par- fois subtrilobée *,épais- ses, à bords ondulés, % Fig. 201. crénelés, à faces lui- santes, à pétiole- assez long, amplexicaule, presque engainant. — Flor. : mars à mai. — Habit. : bords des fossés, endroits humides et ombragés. Très commun. °. — Ranunculus Ficariu. Propriétés des Renoncules. — Toutes les Renoncules jouissent de propriétés énergiques irritantes. Toutes sont des poisons narcotico-àcres. L'eau distillée de ces plantes contiendrait, d'après Schwartz, une huile es- sentielle âcre qui, par des oxydations successives, donnerait l’anémonine et l'acide anémonique. L'anémonine est très toxique, et c’est à elle qu’est due sans aucun doute l’action produite par les Renoncules, les Anémones, les Clé: matites prises à l’intérieur. Il existe dans la Ficaire un autre alcaloïde, la ficarine, et un acide volatil très âcre, décomposable, l'acide ficarique, qui paraît exister dans toutes les Renonculacées. Les parties vertes des Renon- cules, broyées et appliquées sur la peau, produisent rapidement &@e la rou- geur et déterminent la formation de phlyctènes. Si leur contact se pro- . longe, il s'ensuit des ulcères profonds, Ces plantes peuvent donc constituer d'excellents vésicatoires. Elles étaient autrefois beaucoup employées en applications externes révulsives contre certaines affections inflammatoires des yeux, les rhumatismes, la goutte, les affections cutanées, etc. Les plus actives paraissent être les ÆÀ. sceleratus, acris et bulbosus. Le bulbe de ce NE D Bee RE 5) ét 160 DIALYPÉTALES HYPOGYNES dernier est très-irritant. Les parties vertes du À. Ficaria jouissent des mêmes propriétés à l’âge adulte; mais les jeunes pousses sont, paraît-il, mangées dans quelques pays. La décoction de cette plante était autrefois employée en lotions et à l’intérieur contre les hémorrhoïdes, sur lesquelles on prétend que son action est très efficace. Elle est purgative. Ces plantes, peu employées aujourd’hui, méritent d’être sérieusement étudiées au point de vue de leur composition chimique et de leur action physiologique et thérapeutique. S SES E Entre 7 Fig. 202, — Myosurus minimus. Fig. 203. — Myosurus minimus. Coupe d’une fleur. MYOSURUS L. — Réceptacle très allongé, cylindro-conique. Calice à 5 sépales colorés, prolongés en éperon à la base, ca- ducs. Corolle à 5 pétales courts, à limbe porté par un onglet tubuleux plus long que lui. EÉtamines 5-10. Carpelles nombreux, imbriqués en épi sur toute la longueur du cône réceptaculaire. Feuilles toutes radicales, en rosette, linéaires, très étroites. Fleurs jaune-verdâtre, solitaires au sommet de pédoncules grèles, non ramifiés. M. Minimus L. — Seule espèce. Petite plante à pédoncules floraux hauts de 5 à 10 centim., assez commune dans les mois- sons. CALTHA L. — Réceptacle hémisphérique. Calice à 5-7 sé- pales colorés, caducs. Gorolle nulle. Étamines très nombreuses, à anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Carpelles 5-12, indépendants, insérés en spirale sur toute la surface du réceptacle. Feuilles presque toutes 1 à nb RENONCULACÉES 161 radicales, en touffe, longuement pétiolées, sub-orbiculaires, crénelées ou dentées, Fleurs grandes, d’un beau jaune, soli- taires à l’extrémité de pédoncules florifères allongés, cylin- driques. = C. palustris L. — Seule espèce. Belle plante à feuilles lui- santes et à grandes fleurs jaunes, assez fréquente dans les lieux marécageux. ANEMONE L. — Calice formé de 3-15 sépales imbriqués, pétaloïdes, caducs, les extérieurs verts dans quelques espèces qui formaient le genre Adonis. Pas de corolle. Androcée à éta- mines nombreuses, insérées en spirale, les plus extérieures fréquemment transformées en languettes stériles (staminodes), d’où la facilité de faire doubler la fleur par la culture. Anthères biloculaires, à déhiscence à peu près latérale. Carpelles en nombre variable, spiralés, contenant au début cinq ou six ovules insérés dans l'angle interne sur deux rangées verticales, quatre abortifs, l’inférieur seul fertile. Graine unique , suspendue. Fleurs accompagnées d'un involucre plus ou moins rapproché du calice. Périanthe à folioles toutes pétaloïdes, colorées... 2 Périanthe à folioles extér. vertes, simulant un calice, les intér. colorées, simulant une corolle...... “16 { Involucre très rapproché de la fleur, formant cali- 2. CRISE ER NE. a RÉAOSE .…... À. Hepatica L. Involucre éloigné de la fleur. Denon LR nt eh 3 Involucre composé de feuilles sessiles............ 4 | Involucre composé de feuilles pétiolées.........., 5 4 | Style accrescent en une longue queue plumeuse. . À. Pulsatilla L. ‘| Style non accrescent en queue plumeuse...,..... A. ranunculoïdes L. 5 Sépales pubescents ....,.,..............:....... A. sylvestris L. WSOpalEs pialires 5.55, oo en sésér-c esse. As nemOrOsa E. | Folioles intérieures du périanthe rouges...... SET Folioles intérieures du périanthe jaunes. rss. A4 æstioalis L. 7. Carpelles à bec continuant le bord supérieur... A. autumnalis L. Carpelles à bec perpendiculaire au bord supérieur. À. Flammea JacQ. A. sylvestris L. — Fleur terminale, unique, dressée, grande. Calice à 5-7 sépales blancs, étalés, pubescents en dehors. Carpelles très nombreux, petits, imbriqués, laineux, à style court et glabre. Involucre à 3 folioles longuement pétiolées, semblables aux feuilles radicales. Plante à rhizome vivace, grêle, court, tronqué, à rameau aérien simple, haut de 20 à 50 centimètres, uniflore, velu. Feuilles radicales 5 séquées, à segments cunéiformes, bi-trifides, dentés. — Flor. : mai à juin. — Habit. : parties découvertes des bois sablonneux et mon- tueux. Rare. 2”. 162 DIALYPÉTALES HYPOGYNES A. nemorosa L. (Sylvie, Paquette, Fleur du Vendredi saint). — Se distingue par: ses sépales glabres, blancs, roses ou lilas ; ses carpelles pubescents et non laïneux, étalés ; son rhizome grêle, très allongé, rameux ; ses feuilles radicales et ses folioles de l'involucre découpées en 3-5 segments pétiolulés, incisés- dentés, le moyen trifide, les latéraux bifides. — Flor. : mars à avril. — Habit. : parties ombragées des bois. Très abon- dant. Z. A. ranuneuloïdes L. — Se distingue par : ses fleurs d'un beau jaune; ses sépales pubescents en dehors; ses carpelles pubescents, étalés ; son rhizome grêle, rameux, très allongé; ses feuilles radicales souvent nulles par avortement, 3-5 séquées, à segments pétiolulés, cunéiformes, incisés-dentés. — Flor, : mai à avril, — Habit. : prés élevés, humides. Rare. Z”°. [AS | NS = Fig. 204. — Anemone nemorosa. Fig. 205 — Anemone Hepatica. L- Sommité florifère. A. hepatica L. (Hépatique, Herbe de la Trinité), — Calice à 6-9 sépales glabres, étalés, colorés en bleu, rose ou blanc. Carpelles 12-15, tomenteux, à bec stigmatique court, glabre. D RENONCULACÉES 163 Involucre à 3 folioles ovales, entières, velues, sessiles, très rap- prochées du calice et formant un calicule. Pédoncule floral court. Plante à souche vivace, à rameaux aériens uniflores, entourés à la base de larges écailles, hauts de 5 à 15 centimè- tres. Feuilles radicales apparaissant après les fleurs, persistant l'hiver, longuement pétiolées, trilobées, à lobes entiers, ovales, cordés à la base, coriaces, glabres et lisses à l’âge adulte, cou- verts de longs poils cotonneux à l’état jeune. — Flor. : mars à avril. — Habitat : lieux humides et ombragés, buissons. Fré- quemment cultivé. 7. gusoN Fig, 206. — Anemone Pulsatilla L. Fig. 207. — Anemone autumnalis. Sommité florifère, 4 À. pulsatilla L. (Pulsatille, Coquelourde, Coquerelle, Herbe au vent). — Fleur terminale, grande, violette, penchée, à pé- doncule se relevant à la maturité. Calice à 6 sépales dressés dans le bas, repliés en dehors dans le haut, campanulés, ellipti- ques, velus en dehors, une fois plus longs que les étamines. Carpelles étalés, velus, surmontés à la maturité d’un long style persistant, plumeux. Involucre éloigné de la fleur, à trois folioles connées, sessiles, velues, divisées jusqu’à la base en de 164 DIALYPÉTALES HYPOGYNES : x lanières nombreuses et étroites, dressées. Plante à souche vivace, épaisse, ligneuse, ramifiée, à rameaux aériens uni- flores, hauts de 15 à 50 centimètrés. Feuilles radicales 3-sé- quées, à segments courtement sub-pétiolés, divisés en lanières linéaires, velues. — Flor. : avril-juin. — Habit. : parties dé- couvertes des bois montueux, sablonneux ou calcaires. Abon- dant. Z. A. autumnalis (Adonis autumnalis L., Goutte de sang, OEil de perdrix). — Réceptacle creusé de fossettes bordées de membranes. Périanthe à 10-15 folioles, étalées, glabres, les extérieures colorées en pourpre noirâtre, les intérieures colorées en rouge pourpre, souvent tachées de noir à la base, obovales, concaves, conniventes, imbriquées dans la préfloraison. Car- pelles nombreux, à surface réticulée, à bord supérieur dé- pourvu de dents, bossu dans son milieu, à bec prolongeant presque le bord supérieur. Plante annuelle, à peu près glabre, à tige dressée, rameuse, haute de 20 à 50 centimètres. Feuilles multiséquées, à segments linéaires. — Flor. : juillet-août. — Habit. : moissons. . Propriétés des Anémones. — Les Anémones sont, comme les Re- noncules, âcres et irritantes, et doivent également ces propriétés à un prin- cipe qui disparaît par la dessiccation. Elles renferment de l’anémonine et de l'acide anémonique. L'Anemone nemorosa était autrefois employée contre la teigne. On appliquait sur le cuir chevelu des cataplasmes de la plante fraiche, Leur action prolongée ne serait pas sans danger, Le vinai- gre d’Anémone préparé avec la même plante agit très bien, paraît-il, contre la gale, mais il est également très irritant et même vésicant. La Pulsatille a été employée par les médecins anciens contre le rhumatisme, la goutte, les dartres, etc. Aujourd’hui, ces plantes sont complètement aban- données. Elles pourraient cependant, sans aucun doute, si elles étaient mieux connues, rendre à la thérapeutique des services importants. THALICTRUM L. — Les Thalictrum se distinguent des Renoncules par l'absence d’involucre. Réceptacle étroit, plan. Calice ordinairement à 4, parfois à 5 sépales, colorés, caducs, plus courts que les étamines. Androcée à étamines nombreu- ses, spiralées. Carpelles 3-12, à ovule unique, anatrope. Fruit sec, indéhiscent, monosperme. T. Flavum L. (Pigamon jaunâtre, Rhubarbe des pauvres, Rue des prés). — Fleurs petites, jaunâtres, dressées, disposées en un long panicule de genre terminal. Calice à 4-5 sépales courts, caducs. Etamines dressées, plus longues que les sé- pales, à anthères mutiques. Carpelles sessiles, courts, obtus, munis de côtes longitudinales. Ovaires surmontés d'un style persistant, court. Plante à rhizome vivace, ramifié, jaunâtre, à rameaux souterrains horizontaux. Rameaux aériens dressés, Fi CVs = Le . RENONCULACÉES- _ 465 hauts de 50 centimètres à 1 mètre et plus, compressibles, can- nelés, glabres ou glanduleux. Feuilles tripennatiséquées, à segments latéraux plus courts que le médian, à pétiole com- mun, fistuleux, muni de stipules; pétioles secondaires éga- lement fistuleux et accompagnés de stipelles; folioles en- tières ou lobées, colorées en vert foncé en dessus, en vert pâle en dessous, glanduleux. — Flor. : juin à juillet. — Habit. : endroits humides et ombragés, fossés, prairies marécageuses, bord des marais et des ruisseaux. Rare. 7. Um 2 Le rhizome doit sa couleur jaune 0 à la berbérine. Il contient un suc jau- \ S 1? nâtre un peu amer. La décoction du \Ù Z rhizome est purgative,sans provoquer Al » de coliques, à la dose de 30 à 60 gram- \ mes pour 300 à 50) grammes d’eau. 7 La décoction des feuilles est égale- LT ment purgative. On a utilisé la tein- ture jaune fournie par le rhizome et les feuilles. Fig. 208. — Thalictrum flarvum. Fig. 209, — Aclea spicata. Fleur. ACTÆA L. — Se distingue de toutes les autres Renon- culacées par son gynécée formé d’un seul carpelle. Calice à 4 sépales colorés, cadues. Corolle à # pétales spatulés, parfois absents. Carpelle solitaire, uniovulé. Fruit bacciforme, indéhis- cent. A. spicata L. (Herbe de Saint-Christophe). — Fleurs petites, d’un blanc verdâtre, disposées en une ou deux grappes, l’une opposée à la feuille supérieure, l’autre souvent avortée, axillaire. Sépales ovales, blanchâtres. Pétales à onglets très longs et étroits, à limbe dilaté et arrondi à l'extrémité, imbri- qués dans le bouton. Carpelle ovoïde, surmonté d’un style court, à stigmate dilaté. Fruit charnu, noir qüand il est mür, petit, ovoide. Plante à rhizome vivace, épais, noirâtre en # 166 DIALYPÉTALES HYPOGYNES dehors, blanc en dedans. Rameaux aériens dressés, ordinaire- ment non ramifiés, dépourvus de feuilles dans le bas, hauts de 50 centimètres à 1 mètre. Feuilles longuement pétiolées, bi-tripinnatiséquées, à folioles acuminées, ovales, incisées, den- tées, les segments primaires pétiolulés, les autres ordinairement sessiles. — Flor. : mai-juin. — Habit. : lieux frais et ombragés. Rare. 7. Le rhizome jouit de propriétés narcolico-àcres énergiques et détermine la mort, à haute dose. Il tue les poux. On l’a employé à l’extérieur contre la gale, en poudre et en décoction. A l’intérieur, il constitue un purgatif violent : on j’a souvent employé pour falsifier le rhizome d’Hellébore. Il s’en distingue, parce qu’étant riche en tannin, il se colore en noir par les sels de fer, ce qui n’a pas lieu avec le rhizome d'Hellébore. ! Tribu III. — CLÉMATIDÉES. Réceptacle convexe. Carpelles libres, pluriovulés. Fruit mo- nosperme, indéhiscent. Périanthe simple. Préfloraison valvaire. . Feuilles opposées. CLEMATIS L. — Réceptacle pétaloïdes, valvaires ou valvaires- indupliqués dans la préfloraison. Eta- mines nombreuses, spiralées, à filets libres, à anthères extorses. Carpelles en nombre indéfini, libres, conte- nant dans le jeune âge 5 ovules dont un seul se développe, anatrope, sus- pendu. Style persistant, court et glabre ou très al- longé et flexueux. C. Vitalba L. (Herbe - aux - {ueux, Viorne). — Fleurs blan- ches , odorantes, disposées en grappes de eymes axillaires, lâches, Fig. A0. Fig. 211. très développées. Clematis Vilalba. Clematis Vitalba. Fruit. Réceptacle velu. Sommité florifère. Sépales ovales, ai- gus, étalés, épais, velus sur les deux faces, valvaires dans la préfloraison, Car- étroit, convexe. Calice à 4-5 sépales à : iles Here BERBÉRIDA CÉES 167 pelles nombreux, aplatis, surmontés à la maturité d’un long style plumeux. Plante vivace, à tige ligneuse, grimpante, crêle, très longue. Feuilles opposées, composées, imparipin- nées, à segment terminal souvent: transformé en vrille, à 1-4 paires de segments latéraux pétiolulés, cordiformes, den- tés. Plante entière un peu velue. — Flor. : juin-août. — Ha- bit. : buissons, taillis, haies. Abondant. 3. Toutes les parties de la plante fraiche ont une saveur âcre et brülante. Les feuilles vertes, écrasées, sont rubéfiantes et mème vésicantes. Les mendiants s’en servaient jadis pour se donner des ulcères. A l’intérieur, elles constituent un purgatif drastique et bydragogue énergique. La dessic- cation et la coction paraissent les rendre inoffensives. Il parait qu’on mange en Italie les jeunes pousses bouillies. Les propriétés actives doivent être dues à l’anémonive et à l’acide anémonique. FauILLe XXIX. — BERBÉRIDACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Calice et corolle trimères, à deux verti- Fig. 214. Fig, 215. Berberis vulgaris. Berberis vulgaris, Étamine. Coupe longitud. du fruit. Fig. 212. — Berberis vulgaris. Fig. 213. — Berberis vulgaris. Coupe longitudinale de la fleur. cilles chacun. Androcée trimère, à deux verticilles alternes. Anthères biloculaires, chaque loge s’ouvrant par un pan- LATE. k EE te A4 L RON CT ET Rare nr en TRE RE ; + A , À & FAI L d PAL a Fa doit 2 < Cds ; : Hate y EUR ‘ (ah a: Tdi eh v 4 î 168 DIALYPÉTALES HYPOGYNES neau qui se soulève de bas en hâut. Ovaire unicarpellé, uni- loculaire, à placentation pariétale. Ovules anatropes. Graines albuminées. Affinités. — Les Berbéridacées pourraient être définies des Renonculacées à folioles florales verticillées et à gynécée réduit à un seul carpelle; mais elles se distinguent, par leurs anthères déhiscentes à l’aide de panneaux, de toutes les familles représentées dans la flore de Paris. BERBERIS L. — Caractères de la famille. B. vulgaris L. (Epine-vinette). — Fleurs petites, odorantes, en grappes simples, allongées et pendantes. Feuilles des ra- meaux principaux tranformées en épines palmées, à trois bran- ches aiguës. Dans leur aisselle naissent des rameaux courts, ter- minés par un bouquet de feuilles véritables, simples, dentées, oblongues, au centre desquelles s’insère la grappe des fleurs. Fruit de la grosseur d’un pois, oblong, rouge à la maturité, contenant un noyau allongé. — Flor. : mai-juin. — Fruct. : septembre-octobre. — Habit. : haies. 2. Les fruits ont une saveur aigrelette, agréable. Ils servent à la préparation de boissons acidules, de limonades et de sirops. Verts, ils peuvent être con- fits comme les càpres, L’écorce de la tige et de la racine est riche en matière colorante jaune. Elle est amère, tonique et a été considérée comme fébri- fuge. Elle doit ses propriétés à deux alcaloïdes : la berbérine et l'oxyacan- thine. Il faut éviter de planter l’Epine-vinette dans le voisinage des champs de blé et autres graminées, parce que c’est sur ses feuilles que vit pendant l’hiver le Pueccinia Graminis, champignon qui produit de grands dégâts dans les céréales, sous le nom de Rouille du froment. FamiLLe XXX. — NYMPILÆACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe, se développant beaucoup au-dessous des carpelles. Calice et corolle à folioles nombreuses, indépendan- tes. Etamines en nombre indéfini, à anthères biloculaires, in- trorses. Gynécée formé de plusieurs carpelles umis par leurs faces latérales en un ovaire pluriloculaire, à loges polyspermes, surmonté d’un plateau stigmatiqne offrant autant de divisions qu'il y à de carpelles. Fruit indéhiscent, offrant à sa base les cicatrices des pétales et des étamines. Graines à albumen double. Affinités. — Les Nymphæacées sont très voisines des Papa- véracées, dont elles se distinguent par leurs carpelles formant chacun une loge distincte. LA 17 - 70 MALVACÉES 169- Penrs-blanohes.:9 00 réa t es ....… Nymphæa. FICHES RARES. esp oder en sus os seneersr esse Nuphar. NYMPHÆA T. — Calice à 4 sépales lancéolés. Corolle à 16-18 pétales insérés sur la portion du réceptacle qui se. soulève pendant la maturation de l'ovaire et paraît faire partie de. ce dernier. Fruit portant les cicatrices des pétales et des étamines. Nymphæa alba L. (Nénuphar, Lis des étangs.) — Caractères du genre. Fleurs blanches, odorantes. Feuilles alternes, simples, à pétiole cylindriqué, très allongé, à limbe très vaste, coriace, entier, ovale, cordé à la base. Plante à souche vivace, rampante. — Flor. : juin-septembre. — Habit. : Marais, étangs, rivières à # eau peu courante. 2. Le rhizome est riche en amidon et en tannin ; sa décoction a été recom- mandée comme astringente contre la diarrhée, la leucorrhée, etc. Les graines étaient autrefois considérées comme anaphrodisiaques, mais, en réalité, elles n’out aucune action. Fig. 217. Fig. 218. Nymphea alba. Fleur. Nymphea alba. Fruit. fuphar luteum. Fleur. NUPHAR Sir et Su. — Se distingue par son calice à 5 sépales et son fruit dépourvu de cicatrices. Nuphar luteum SiBTu. et Su. (Nénuphar jaune, Plateau.) — Fleurs jaunes, un peu moins grandes que celles du Nénuphar blanc. Feuilles très larges, épaisses, cordées à la base. Flor. : juin-septembre. — Habit. : étangs, rivières à faible courant. On lui a attribué les mêmes propriétés qu’au précédent. FaiLze XXXI. — MALVACÉES. |; Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites, Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice accompagné d'un calicule. Calicule formé de folioles vertes, indépendantes ou FLORE DE PARIS, pi 10 170 DIALYPÉTALES HYPOGYNES connées. Calice ordinairement 5, rarement 3-4mère, persistant, à sépales connés à la base. Corolle hypogyne, 5-mère, à pétales légèrement unis par les onglets entre eux et avec la base des filets staminaux, imbriqués-contournés dans la préfloraison. Etamines hypogynes, en nombre indéfini, à filets tous connés à la base en un tube qui entoure l'ovaire, à an- thères uniloculaires, déhiscentes par une fente longitudinale. Ovaire supère, pluri-carpellé, à carpelles 1-ovulés, tantôt dis- posés en verticille autour du centre du réceptacle et se sépa- rant les uns des autres à la maturité, tantôt (quand ils sont peu nombreux) unis en un ovaire pluri-loculaire, à loges pluri- ovulées. Styles connés dans la majeure partie de leur étendue, terminés par autant de branches stigmatiques qu'il y a de carpelles. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des . carpelles ou des loges. Fruit sec, formé tantôt de carpelles indéhiscents, 1-spermés, se séparant, à la maturité, tantôt d’une capsule à plusieurs loges, à déhiscence loculicide. Graines réni- formes, à albumen mince ou presque nul. Feuilles alternes, stipulées, plus ou moins découpées, jamais composées. Affinités. — Par sa corolle, dont les onglets sont unis à la base, la famille des Malvacées, sans qu'on puisse dire qu’elle soit tout à fait gamopétale, sert d’intermédiaire aux Gamopé- tales hypogynes et aux Dialypétales hypogynes. Elle confine aux Renonculacées par son gynécée à carpelles souvent pres- que tout à fait indépendants; ce caractère la rapproche éga- lement des Rutacées. Par ses élamines à loges uni-ovulées, elle confine à certaines Euphorbiacées (Ricin); mais ces dernières s’en distinguent par leurs fleurs uni-sexuées et l'absence de co- rolle. Par les types à ovaire pluri-loculaire , les Malvacées touchent aux Tiliacées et aux Géraniacées. Deux genres : Calicule à 3 folioles indépendantes........................... Malva. Calicule à 6-9 folioles connées dans le bas........ ARR PPRE Althæa. MALVA L. — Calice à 3 folioles indépendantes. Calice et corolle 5-mères. Etamines en nombre indéfini, à filets connés à la base en un tube qui entoure l’ovaire, à anthères uni-locu- laires. Ovaires formés de nombreux carpelles disposés en ver- ticille autour du centre du réceptacle, à styles unis en une colonne terminée par autant de branches stigmatiques qu’il y à de carpelles. Fruit formé de coques monospermes, se sé- parant à la maturité. Feuilles pétiolées, pinnatilobées ou pal- matiséquées, stipulées. 1 Fleurs solitaires à l’aisselle des feuilles.......... 2 + + » 4 MALVACÉES 171 Calicule à folioles linéaires. Carpelles hérissés de n JOUER. rire RTS PERS presente 21 le DSCRQE, Calicule à folioles oblongues-aiguës. Carpelles gla- + r Re DCS RP RENAN EE . M. alcea L. OM; Carpelles pubescents, non réticulés, Tige couchée. 3 Fleurs blanc-rosé ou rose-lilas.................. M. rotundifolia L. *) Carpelles glabres, nettement réticulés. Tige dres- sée. Fleurs purpurines ........ssssssesssssecss M. Sylvestris. L. ) Les feuilles de toutes ces espèces sont beau- QZ See coup employées dans les campagnes pour faire ZE QUE, des cataplasmes émollients. Leur infusion est NY 2, très usitée en lavements. On la boit aussi comme tisane rafraichissante et légèrement laxative. Les Romains mangeaient les jeunes rameaux cuits; ils cultivaient pour cet objet surtout le M. Sylvestris ou Grande Mauve. La racine est un peu mucilagineuse; on ne l'emploie que fraiche pour faire des infusions nZ émollientes et pectorales. + *, 1 4 REA ii x Ë = MAN ? = d ë à A s NX |. æ Nr 3 Fr Fig. 219. Fig. 220. Malva sylvestri's. Malva sylvestris. Fleur; coupe longit. ALTHÆA L. — Se distingue du précédent par son calice à 6-9 folioles connées dans le tiers inférieur et par ses fleurs plus grandes. Fleurs solitaires à l’aisselle des feuilles........... sine a OA 0 RTS OL EE Fleurs fasciculées à l’aisselle des feuilles.............. A, officinalis L. À. officinalis L. (Guimauve). — Caractères du genre. Fleurs assez grandes, fasciculées à l’aisselle des feuilles, colorées en rose pâle, à calice et carpelles tomenteux. Feuilles grandes, longuement pétiolées, molles, tomenteuses-blanchâtres, les * inférieures 5-lobées, les supérieures 3-lobées, à lobes irrégu- lièrement crénelés. Souche vivace. Racine pivotante, charnue, épaisse. Tige haute de 1 m. à 1 m. 50, dressée, non ramifiée, pubescente-tomenteuse, — Flor. : juin-août. — Hab. : cultivé dans les jardins. 77. + + be F7 24 DIALYPÉTALES HYPOGYNES Les feuilles de la Guimauve ne sont pas aussi mucilagineuses que celles des Mauves et ne sont que peu employées, mais on se sert beaucoup de . la racine, qui est très riche en mucilage. On en fait des décoctions émollientes et pectorales. Le mucilage en- tre dans la composition de la pâte de Guimauve et d'une foule de bonbons pec- toraux, Les fleurs font par- tie des Quatre fleurs pecto- rales de la pharmacopée. Il faut les cueillir peu de temps après leur épanouis- sement et les faire bien sé- cher pour les conserver. On cultive beaucoup, dans les jardins, pour la beauté de ses fleurs, l'A. rosea (Rose trémière, Bâton de Saint-Jacques), É FamiLce XXXIL. RUTACÉES. Caractères con- stants!.— Fleurs ré- sulières, hermaphrodi- tes.Réceptacle convexe. Périanthe double, 4 ou 5-mère. Calice dialypé- tale, hypogyne. Etami- nes en nombre double de celui des pétales, à filets indépendants. An- thères biloculaires, dé- hiscentes par des fentes longitudinales.Gynécée formé de 5 carpelles indépendants dans la portion ovarienne, uniloculaires, pluri-ovulés. Style conné en une colonne simple. Ovules anatropes. Fruit formé de 5 coques pluri-spermes. Grai- nes albuminées. Feuilles alternes. 4: Fig, 221. — Althæa officinalis. Sommité florifère. 1. La famille des Rutacées est une des moins naturelles de tout le groupe des Dicotylédones. Elle se divise en un grand nombre de tribus ou -de séries, dont une seule nous intéresse en ce moment, celle des Rutées. -Ce sont les caractères constants de cette tribu que je décris et non ceux de toute la famille. Voyez pour l'étude complète de celle-ci. : H. BAILLON, Histoire des plantes. TILIACÉES 173 Affinités. — Les Rutacées tiennent aux Malvacées par leurs carpelles indépendants dans la partie ovarienne, mais elles s’en distinguent nettement par l'indépendance de leurs pétales et de leurs filets staminaux et par leurs anthères biloculaires. RUTA T. — Caractères de la famille. R. graveolens L. (Rue, Herbe de LA SE grâce, Péganion). — Plante à sou- + che vivace, ligneuse, émettant de ge nombreux rameaux herbacés, très ramifiés, dressés, hauts de 50 cent. à 1 m., terminés par de grandes pani- SC UE cules corymbiformes de fleurs jaunes, DE pédonculées, la fleur centrale de cha- que cyme ordinairement 4-mère et à 1/1 Fig. 222. Ruta graveolens. Sommité florifère, Ruta graveolens. Fleur ; coupe longit. 8 étamines, tandis que toutes les autres sont 5-mères, à 10 étamines. Feuilles alternes, composées, les unes trifoliolées, les autres décomposées, à folioles étroites, glaucescentes, riches en glandes pellucides. — Flor. : juin-août. — Habit. : cultivé dans les jardins. Z”. Toutes les parties de la plante exhalent une odeur très forte et très désagréable, due à l’huile essentielle contenue dans les glandes. Leur saveur est âcre, amère, nauséeuse. La dessiccation diminue l’odeur et la saveur. On en a extrait un acide rutique et de la rutine. Les feuilles vertes, broyées, irritent très fortement la peau et produisent de la rubé- faction et même de la vésication. A l’intérieur, elles agissent à la façon des substances stimulantes et narcotico-âcres. La Rue est un emména- gogue puissant et un abortif très fréquemment employé dans un but cou- pable. Elle agit en déterminant une congestion très grande de l'utérus et détermine même souvent des hémorrhagies graves. Les graines sont an- thelminthiques, La décoction des feuilles administrée en lavement convient très bien à la destruction des oxyures. Famizze XXXIIL — TILIACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double, Calice dialysépale, 10. F 174: DIALYPÉTALES HYPOGYNES 5-mère. Corolle dialypétale, hypogyne, 5-mère. Etamines en nombre indéfini, à filets indépendants. Anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, pluri- loculaire, pluri-ovulé. Ovules anatropes, insérés dans l'angle interne des loges. Fruit sec, indéhiscent, pluri-loculaire, pluri- ovulé. Graines albuminées. Feuilles alternes, simples. Arbres. Affinités. — Les Tiliacées sont très 2 voisines des Malva- > (HF NN r = À) cées , dont elles se ÆZ ALUVN . . 1) V distinguent par leurs | \lé di | & étamines indépendan- } De tes et leurs carpelles entièrement connés en un ovaire pluri- loculaire. ÆHLIA T. — Carac- tères de la famille. Calice et corolle 5- mères. Etamines très nombreuses, rappro- chées en 5 faisceaux oppositipétales, Ovai- re 5-loculaire. Fig, 225, — Tilia sylrestris. Fig. 226. — Tilia sylvestris. Fruits, Fleur; coupe longit. Feuilles pubescentes sur toute la face inférieure. T. platyphyllos Scor. Feuilles glabres en dessous, pubescentes seule- ment au niveau des angles de ramification dès nervures .4 4... fx RAR AS MEET dni dE «sr T, sylvestris DESr. T. sylvestris Desr. (Tilleul à petites feuilles). — Arbre d'une assez grande taille. Feuilles glabres sur les deux faces, fais ACÉRACÉES | 175 pubescentes seulement au niveau des angles de ramification des nervures, suborbiculaires, obliquement cordées à la base. acuminées, dentées. Fleurs jaunâtres, odorantes, disposées en cymes 3-8-flores, dont le pédicule commun est conné, dans une très grande étendue, avec une bractée axillante membra- neuse, blanchâtre, réticulée. Fruit de la grosseur d'un pois, sec, blanchâtre, pubescent, à parois minces, fragiles, souvent uniloculaire et monosperme, par destruction des cloisons et avortement de la majeure partie des ovules. — Flor. : juin- juillet. — Habit. : bois et forêts. Cultivé dans les jardins et les parcs. 2. T. platyphyllos Scor. — $Se distingue de l'espèce précé- dente par ses feuilles plus grandes, pubescentes sur toute l'étendue de leur face inférieure, par ses bourgeons velus et par son fruit à parois plus épaisses et plus résistantes. — Flor. : juillet. — Habit. : bois, forêts. Cultivé dans les jardins et les parcs. 3. Les fleurs de ces deux espèces sont beaucoup employées à la préparation d’infusions dont la saveur et le parfum sont très agréables et que l’on considère comme diaphorétiques et antispasmodiques. On emploie au même usage les fleurs du 7. argentea Desr., remarquable par ses feuilles très blanches-tomenteuses en dessous et de grande taille, et celles du T. intermedia DC. qui ne diffère du 7. sylvestris que par ses feuilles plus brièvement pétiolées et ses fruits deux fois plus gros, ellipsoïdes, à côtes plus saillantes. Famizze XXXIV. — ACÉRACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, polygames. Ré- ceptacle con- vexe. Périan- the double.Ca- lice ordinaire- ment 5-mère, rarement 4-9- mère, dialysé- pale. Corolle hypogyne,dia- lypétale, à pé- tales en même nombre que les sépales et alternant avec eux. Etamines en nombre variable, 5-12, ordinairement 8, à filets indépendants, 476 DIALYPÉTALES HYPOGYNES insérés sur un disque annulaire. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 2-car- pellé, 2-loculaire, à lôges biovulées. Style simple, terminé par 3 stismates enroulés en dehors. Ovules anatropes, insérés dans l'angle interne des loges. Fruit sec, biloculaire, à loges com- primées perpendiculairement à la cloison et munies chacune d’une grande aile dorsale, membraneuse. Graines sans albu- men. Feuilles opposées, sans stipules. Arbres. Affinités. — Voisines des Célastracées, dont elles ont les feuilles opposées, le disque annulaire, les loges biovulées et les fruits capsulaires, mais s’en distinguent par le nombre moins défini de leurs étamines, ce qui les rapproche des Tiliacées, et par leurs fruits formés d’une double samare. L ACER L. — Caractères de la famille. Arbre élevé, à bois blanc, dur, à feuilles palmatilobées, longuement pétiolées, à fleurs jaunes ou verdâtres. * Fig. 228, — Acer platanoides. Fruit. Feuillles vertes sur les deux faces, l’infé- rieure pouvant être plus pâle............, 2 1.4 Feuilles blanches sur la face inférieure. Fleurs verdätres, en grappes allongées, pen- dantes:. ARR TR AN ARE . A. Pseudo-Platanus TL. Fleurs verdâtres, en corymbes ramifiés; dressés. Feuilles à 5 lobes entiers, obtus, ou le médian et les latéraux divisés en lo- bules entiers et obtus..............2%24 A, campestris L. Fleurs jaunâtres, en corymbes ramifiés , dressés. Feuilles à 5-7 lobes profondément divisés en dents acuminées............... À. platanoides L. æ CÉLASTRACÉES — AMPÉLIDACÉES 177 * FamiLLe XXXV. — CÉLASTRACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites ou monoïques. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice 4-5-mère, à sépales connés à la base, Corolle dialypétiale, 4-5-mère. Etamines 4-5, à filets indépendants, insérés au bord d’un disque annulaire. Anthères biloculaires, introrses, déhis- centes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 3-5-car- pellé, 3-5-loculaire, à loges biovulées. Ovules anatropes, insérés dans l'angle interne des loges. Style simple. Stigmate ordinai- rement 3-5-lobé. Fruit capsulaire, 3-5-loculaire, à déhiscence loculicide. Graines albuminées, enveloppées d’un arille charnu et coloré. Feuilles opposées. Affinités. — Les Célastracées sont très voisines des Acéracées, dont elles se distinguent par leur fruit déhiscent et par leurs étamines en nombre toujours égal à celui des pétales. EVONYMUS L. — Caractères de la famille, E. europœus L. (Fusain, Bonnet de prêtre, Bonnet carré). — Arbrisseau ramifié, à rameaux opposés, verts, lisses, sou- vent quadrangulaires, à feuilles simples, oblongues, finement dentées, courtement pétiolées, opposées, à fleurs petites, en cymes pauciflores axillaires, à fruit 3-4-lobé, affectant la forme d’un bonnet de prêtre, à graines blanches entourées d’un arille orangé. FamiLce XXXVI. — AMPÉLIDACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice 5-mère, très réduit. Corolle dialypétale, 5-mère, hypogyne. Etamines 5, op- posées aux pétales, à filets indépendants. Anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 2-car- pellé, 2-loculaire, à loges 1-2-ovulées. Ovules anatropes, insé- rés dans l'angle interne des loges sur un placenta axile. Fruit bacciforme, succulent. Graines albuminées. Feuilles alternes, simples et palmatilobées ou composées-digitées. Affinités. — Les Ampélidacées se rapprochent des Célastra- cées par l’organisation de leurs fleurs. Elles s’en distinguent par leur fruits bacciformes et par leurs feuilles alternes, mais cer- taines formes exotiques de la famille ont des feuilles opposées. Elles sont très voisines des Rhamnacées, mais celles-ci s’en distinguent nettement par leur périgynie. ; | [1 3 178 DIALYPÉTALES HYPOGYNES VITIS L. — Caractères de la famille. Fleurs hermaphrodites, 5-mères, disposées en grappes composées oppositi-fohées, à pétales valvaires, agglutinés dans le haut et se détachant tous ensemble. Baies très succulentes. Feuilles palmatilobées. Vrilles ramifiées, très développées, oppositifoliées, représentant des rameaux. | V. vinifera L. (Vigne). — Caractères du genre. Arbrisseau ligneux, sarmenteux, grimpant et se fixant par ses vrilles aux plantes voisines. Fleurs petites, verdâtres, en grappes allongées. Feuilles glabres en des- sus, pubescentes-blanchâtres en dessous, grandes, longuement pétiolées, suborbicu- laires, cordées, palmatilobées, à lobes den- tés, rarement palmatiséqués. — Flor. : mai- originaire de l'Orient. 2. Cultivé Sous le nom de Vigne pour ses fruits qu'on mange frais et secs et qui servent à la fa- brication du vin. Les fruits sont rafraichissants et légèrement laxatifs. Fig. 229. On cultive beaucoup aux environs de Paris là Vilis vinifera. Vigne vierge (Cissus quinquefolia DESsr.), qui se Fleur: coupe long. distingue par ses feuilles composées-digitées, remar- quables en automne par leur belle couleur rouge. FamILLe XXXVIL —— HIPPOCASTANÉACÉES. Caractères constants. — Fleurs irrégulières, hermaphrodites où anormalement unisexuées par avortement. Réceptacle con- vexe. Périanthe double. Calice gamosépale, 5-mère, irrégulier. Corolle dialypétale, 5-mère ou rarement 4-mère, à pétales iné- gaux. Etamines 5-10, habituellement 7, hypogynes, à filets indépendants, insérés sur un disque annulaire. Anthères bilo- culaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 3-carpellé, 3-loculaire, à loges 2-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Fruit capsu- laire, à enveloppe épineuse, ordinairement 1-2-loculaire par avortement, à loges 1-spermées, à déhiscence loculicide. Graines très volumineuses, à cotylédons très gros, sans albumen. Feuilles opposées, composées-digitées, sans stipules. Fleurs en panicules dressées. ÆSCULUS L. — Caractères de la famille. Fleurs poly- games. juin.— Fruct.: septembre-octobre. —Habit.: . MONOTROPÉES 179 Æ. hippoeastanum L. (Marronnier d'Inde). — Bel arbre, originaire d'Asie, cultivé dans les pares, dans les rues, sur les promenades publiques. Les feuilles sont composées-digitées, très grandes, à 5-9-folioles sessiles, obovales, acuminées, den- tées. Fleurs blanches, tachées de jaune ou de rose, assez grandes, disposées en grandes panicules pyramidales, dres- sées. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : août-septembre. 3. Fig. 230, —_Æsculus hippocastanum. Fig. 231.— Æsculus hippocastonum. Fleur. Fleur ; coupe longit. Son fruit est très riche en fécule; maïs on n’en peut pas faire usage, pèàrce qu'il contient une substance toxique, amère, dont on n’a pas encore su débarrasser la fécule. L’écorce du Marronnier d'Inde est amère et as- tringente ; à haute dose, elle détermine quelques effets toxiques. Pendant la période du bloeus continental, on en a fait usage en France en place du quinquina. On en a retiré un alcaloïde, l'Æsculine. Famizze XXXVIH. — MONOTROPÉES. Caractères constants. — Fieurs un peu irrégulières, herma- phrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice dialy- sépale, 4-5-mère, à sépales inégaux. Corolle dialypétale, 4-5- mère, hypogyne, à pétales inégaux, prolongés inférienrement en éperons courts. Etamines en nombre double de celui des pétales, hypogynes, à filets indépendants. Anthères unilocu- laires, déhiscentes par une fente semi-circulaire. Ovaire supère, 4-5-carpellé, 4-5-loculaire, à loges pluriovulées. Ovules ana- tropes, insérés dans l’angle interne des loges. Fruit capsulaire, 4-5-loculaire, à loges pluri-spermées. Feuilles toutes écailleuses. Plantes sans chlorophylle apparente. Aïfinités. — Les Monotropées se rapprochent par l’organisa- tion de leur fleur des Ampélidées et des Célastracées; mais elles en diffèrent absolument par la réduction de leurs organes végétatifs, et par l'absence de chlorophylle, au moins apparente. . 180 DIALYPÉTALES HYPOGYNES MONOTROPA L. — Caractères de la famille. M. Hypopitys L. (Sucepin). — Seule espèce. Petite plante décolorée, blanchâtre, sans chlorophylle apparente, réduite à une souche écailleuse à fibres radicales épaisses, charnues, et à une tige aérienne simple, dressée, haute de 10 à 30 centim., pubescente ou velue-glanduleuse, ne portant que &es écailles apprimées, entières, épaisses et terminée par une grappe simple de fleurs décolorées, blanc-jaunâtre pâle, à pétales den- ticulés. — Flor. : juin-août. — Habit. : dans le terreau pro- venant de la décomposition des feuilles, dans les boïs, au pied des arbres. 7. FamILLE XXXIX. — POLYGALACÉES. Caractères constants. — Fleurs irrégulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice dialysépale, per- sistant, 5-mère, à sépales très inégaux, les 3 extérieurs herba- cés, les 2 intérieurs pétaloïdes, très grands (ailes). Corolle hypogyne, 5-mère, à 3 pétales formant avec les tilets des éta- mines un tube fendu, les 2 autres plus petits; l’un des trois premiers, le postérieur, plus développé, lacinié à l'extrémité, enveloppant l’androcée et le style. Etamines 8, hypogynes, à filets connés avec les pétales. Anthères biloculaires, déhiscentes par un pore terminal. Ovaire supère, 2-carpellé, 2-loculaire, à loges uniovulées, surmonté d’un style aplati, pétaloïde. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Fruit capsu- laire, 2-loculaire, comprimé perpendiculairement à la cloison, à loges monospermes. Graines caronculées, albuminées. Feuilles alternes ou en partie opposées, entières. Fleurs en grappes sim- ples, terminales. Affinités. — Les Polygalacées sont très voisines des Linacées, dont elles ont le périanthe pentamère et l’androcée diplosté- mone, mais dont elles diffèrent par leur ovaire biloculaire et surtout par la très grande irrégularité de leur fleur. POLYGALA T. — Caractères de la famille. Plantes à souche vivace, considérées comme vivant en parasites sur les racines des plantes herbacées au milieu desquelles on les trouve, à tiges aériennes nombreuses, de petite taille, à feuilles étroites, entières et à fleurs bleues ou violettes, rarement roses ou blanches, disposées en grappes simples, terminales. Feuilles toutes altermes. 157 4. 0 8 Feuilles en partie opposées, jamais en rosette. Fleurs bleu-pàle ou blanches, en grappes 3-10 HIOPCS,; COUTLES : ; . 2 0e eee ee TE P. depressa WEND. 4 Fr LINACÉES 18! Feuilles presque toutes rapprochées en rosette 2 au sommet des rameaux......... nee ier ..... P.calcarea Scuuzrz 7") Feuilles ne formant pas de rosettes au sommet des rameaux......... Rs lale ne A eo lebs RATE e See 3 Feuilles inférieures rapprochées en rosette dans le bas des rameaux, beaucoup plus larges que RU ON MENT 2 = me mani ace sudo eue ue dec es P, amara Kocx. Feuilles inférieures éparses, plus courtes que les supérieures...... SRE SU RNR sauts OR ACTU P. vulgaris L. Fig. 232. — Polygala vulgaris. Fig. 233. — P.vulgaris. Fleur ; coupe long. Toutes ces espèces, très voisines les unes des autres, jouissent des mêmes propriétés et sont confondues par les herboristes qui en font le commerce. Toutes leurs parties, mais surtout les racines, sont très amères, On les prescrit en infusion comme toniques et apéritives. Famzze XL, — LINACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice dialysépale ou gamosépale, 5-mère, plus rarement 4-mère. Corolle dialypétale, hypogyne, 5-mère, plus rarement 4-mère. Etamines en nombre double des pétales, à filets indépendants, 5 fertiles, 5 stériles souvent avortées. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, ordinairement 5-carpellé et 5-loculaire, à loges biovulées, subdivisées chacune en deux fausses loges par une cloison longitudinale, Ovules FLORE DE PARIS, 11 182 DIALYPÉTALES HYPOGYNES anatropes, insérés dans l'angle interne des loges. Fruit cap- sulaire, ordinairement 5-loculaire, à loges subdivisées chacune en deux fausses loges monospermes, à déhiscence septicide en 5 carpelles qui se partagent chacun en deux segments monos- permes. Graines sans albumen ou à albumen très mince, à enve- loppes se transformant en mucilage dans l’eau. Feuilles habi- tuellement alternes, entières, sans stipules. Aïfinités. — Les Linacées sont très voisines des Malvacées, dont elles se distinguent par leurs anthères biloculaires et leurs loges ovariennes subdivisées. Le dernier de ces caractères les distingue aussi des Géraniacées dont elles ont l’androcée di- plostémone. Deux genres : Calice à: sépales-shdépéndants...;........... 0... UNE LeRE Linum x Calice ASE PRAREE.......,..,. Les RUE Radiola .+ : LINUM L. — Caractères de la famille. Calice dialysépale, 5-mère. Corolle dialypétale, 5-mère. Etamines fertiles 5. Styles 5, rarement 3. Fruit 5-loculaire, plus rarement 3-loculaire, à loges subdivisées. Feuilles alternes ou opposées, toujours en- tières et étroites. Feuilles altèrnes..... nn ee ee 0 ones 0 DO TS 1.2 Feuilles opposées. Fleurs blanches, très pe- ÉItES de d'os RU, 5 ae 0 Sosa dote rocisce Se COMTN O"e 2 | Fleurs bleues ou rose-lilas.,..,...,...,......, 3 ] Fleurs jauness net. sos occesss see ee DONNE. Tige toujours solitaire , dressée, annuelle, 3 Féurs lens Re RL Eee eue secte cote SERIES TNUR Ts. *) Tiges toujours assez nombreuses, partant d’une souche }CESDLEUSES hit re sure nt ose CRI Fleurs bleues, en grappes subscorpioïdes. Sé- z pales non glanduleux ....... voter ent Lolminuns ace Fleurs rose-lilas, en corymbe terminal. Sé- pales à bords glanduleux ....,.......,..... ÆP. tenuifolium L. L. usitatissimum L. (Lin, Lin commun). — Caractères du genre. Plante annuelle, à racine pivotante, à tige toujours solitaire, dressée, plus ou moins ramifiée, haute de 40 à 60 cent. terminée par un corymbe ramifié de fleurs bleues, les rameaux du corymbe se terminant chacun par une sorte de grappe enroulée de fleurs longuement pédonculées. Feuilles très nom- breuses, alternes, éparses, entières, lancéolées, étroîtes. — Flor. : juin-août. — Habit. : cultivé pour sa tige, dont le liber sert à la fabrication du fil de lin. Indépendamment de son importance industrielle considérable, le Lin est intéressant par ses graines, dont l'embryon est très riche en une ma- tière grasse que l’on extrait sous le nom d’huile de Lin. Les graines broyées donnent la farine de graines de Lin, avec laquelle on fait des cataplasmes LINACÉES ; 183 émollients. Elles doivent leurs propriétés au mucilage abondant que leur épiderme forme quand on les met dans l’eau. On en fait des tisanes ra- fraichissantes et légèrement laxatives, mais d’un goût désagréable, et des lavements émollients et laxatifs. Fig. 234. — Linum catharticum. Fig. 235. — Linum usitatissimum. L. cathartieum L. (Lin purgatif). — Petite plante annuelle, à racine pivotante grêle, à tige grêle, haute de 10 à 30 centim.. dressée, ascendante ou étalée, ramifiée dichotomiquement dans le haut, à feuilles linéaires, opposées, oblongues, les inférieures obovales ; à fleurs très petites, blanches, longuement pédoncu- lées, formant une cyme irrégulière. — Flor. : juin-août. — Habit. : clairières des boïs, prairies humides. Toute la plante possède une saveur amère et nauséeuse. Elle est assez énergiquement purgative et pourrait remplacer le Séné, RADIOLA Guez. — Se distingue du genre précédent par son calice gamosépale, à 4 lobes 2-4-fides; sa corolle 4-mère : son androcée à 4 étamines fertiles; 4 styles, et une capsule 4-loculaire, à loges 2-spermes, subdivisées chacune en 2 fausses 184 ë DIALYPÉTALES HYPOGYNES loges monospermes. Feuilles opposées, ovales-aiguës. Fleurs très petites, blanches. R. linoïides GMEL. — Seule espèce. Petite plante annuelle, à tige filiforme, dressée, ramifiée dichotomiquement, à fleurs solitaires dans l'angle de bifurcation des rameaux, assez com- mune sur les pelouses humides, au bord des étangs, dans les sentiers des bois sablonneux. FamiLe XLI. — OXALIDÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites, Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice 5-mère, gamosé- pale. Corolle 5-mère, dialypétale, à pétales parfois un peu connés à la base, à préfloraison imbriquée-contournée. Etamines en nombre double des pétales, toutes fertiles, 5-oppositipales, plus longues, toutes à filets indépendants. Anthères biloculai- res, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 5-carpellé, 5-loculaire, à loges bi- pluri ou rarement 1-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Fruit capsulaire, 5-loculaire, à loges polyspermes, à déhiscence loculicide. Graines enveloppées d’une substance d’abord succulente qui se dessèche ensuite et se contracte en expulsant la graine. Feuilles alternes, trifoliolées. Affinités. — Les Oxalidées ressemblent aux Linacées par leur périanthe pentamère et leur androcée diplostémone; mais elles s’en distinguent par leurs étamines toutes fertiles et par leur ovaire à loges non subdivisées en fausses loges. OKALIS L. — Caractères de la famille. Plante acaule.. 2... ner ss 08 fee eine PALELOS ELITE Pr: Plante à Lion TAB, eee cent ee ARE ee ROLL Be 0. acetosella L. (Surelle, Pain de coucou, Alléluia). — Petite plante à rhizome traçant, grèle, ramifié, couvert d’écailles charnues, émettant des bouquets de feuilles longuement pétio- lées, trifoliolées, roulées en crosse avant leur épanouissement, et un pédoncule floral non ramifié, dressé, haut de 5 à 10 centim., terminé par une seule fleur à pétales blancs, jaunes au niveau de l'onglet et veinés de pourpre. — Flor. : avril- mai. — Habit. : bois humides. Commun. (). ©. stricta L. — Se distingue de l’espèce précédente par l’ab- sence de rhizome, par sa tige annuelle ramifiée, dressée, haute de 10 à 30 centim., pourvue de feuilles éparses, trifoliolées, à BALSAMINACÉES 185 l'aisselle desquelles naissent de petites cymes 1- 2-flores, lon- guement pédicellées, et par ses pétales er à onglet blan- châtre. — Flor. : juin-octobre. — Habit, : champs cultivés et en friche. Commun. (). Fig. 236. — Oxalis acetosella, Fig. 237. — Oxalis stricla. Les feuilles de ces deux espèces ont une saveur aigre très prononcée, agréable. Elles sont très riches en acide oxalique. On en faisait autrefois un grand usage contre le scorbut et une foule de maladies inflamma- toires. Fauizce XLIIL, — BALSAMINACÉES. Caractères constants. — Fleurs irrégulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice 4-mère, dialysé- pale, à sépales très inégaux, les 2 extérieurs petits et membra- peux, les 2 intérieurs pétaloïdes, l’un très ample, en forme de casque, l’autre prolongé en éperon dans le bas. Corolle 4-mère, à pétales inégaux, connés par paires dans le bas, à préfloraison chiffonnée. Etamines 5, hypogynes, inégales, à filets aggluti- nés. Anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes longitu- dinales. Ovaire supère, 5-carpellé, 5-loculaire, à loges inégales, pluri-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’a nale interne des loges. Style à peu près nul. Stigmate à peu près ‘sessile, imparfaitement 5-lobé. Fruit capsulaire, 5-loculaire, à loges 186 DIALYPÉTALES HYPOGYNES pluri-ovulées, à déhiscence septifrage en cinq valves très élas- tiques s’enroulant sur elles-mêmes au moment de la déhis- cence. Graines sans albumen. Feuilles alternes ou rarement “opposées. Affinités. — Les Balsaminacées sont voisines des Oxalidées, dont elles ont le périanthe peñtamère et l'ovaire 5-loculaire, mais dont elles se distinguent très nettement par leur androcée isostémone et par l'irrégularité très grande de leurs fleurs. Elles sont également voisines des Géraniacées, dont les distin- guent les mêmes caractères. IMPATIENS L. — Caractères de la famille. I. Noli-tangere L. (Balsamine sauvage). — Plante annuelle, à tige cylindrique, succulente, dressée, ramifiée, haute de 50 à 80 centim.; à feuilles molles, pétiolées, dentées; à fleurs jaunes, ponctuées de rouge, grandes, disposées en cymes axil- laires pauciflores ; très rare dans les endroits humides et om- bragés. On cultive dans les jardins l'Zmpatiens Balsamina L. dont les fleurs grandes et belles forment de grandes panicules terminales. Dans cette espèce, les valves du fruit s’enroulent en dedans, tandis que dans l’Z. Noli- tangere elles s’enroulent en dehors. Fig. 238. — Balsamina Impaliens. Fig. 239. — Tropæolum majus. Fruit ouvert. Fleur; coupe longit. Faurzce XLII. — TROPÉOLÉES. Caractères constants. — Fleurs irrégulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double, 5-mère. Calice à 5 sé- GÉRANIACÉES 187 pales connés dans le bas, subbilabié, à lèvre supérieure trifide, munie à la base d’un éperon conique, creux, très allongé, à lèvre inférieure bipartite. Corolle à 5 pétales inégaux, les deux supérieurs insérés sur la lèvre supérieure du calice, plus petits ou avortés, les trois inférieurs plus grands, longuement onguiculés, laciniés et barbus au voisinage de l'onglet. Eta- mines 8, inégales, à anthères biloculaires, introrses, déhis- centes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 3-carpellé, à loges 1-spermées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Fruit d'abord charnu, devenant ensuite subéreux, formé de trois carpelles monospermes qui se sépa- rent à la maturité. Graines sans albumen. Feuilles alternes, simples, peltées. Plantes grimpantes. Affinités. — Les Tropéolées sont très voisines des Géra- niacées, dont elles se distinguent surtout par l’irrégularité très prononcée de leurs fleurs. TROPŒOLUM L. — Caractères de la famille. T. majus L. — Plante cultivée dans nos jardins sous le nom de Capucine, pour la beauté de ses fleurs, qui sont grandes, jaunes ou rougeâtres, panachées de brun. Les fruits verts peuvent être confits dans le vinaigre, comme les boutons du Càprier ; ils ont une saveur piquante, chaude, assez agréable. Les fleurs, les feuilles et la tige, qui est succulente, ont la même saveur. On ajoute souvent les fleurs à la salade pour en relever la saveur. La eapucine était autrefois prescrite, à l'instar des Crucifères dont sa saveur la rap- proche, comme antiscorbutique, tonique et stimulante. Fame XLIV. — GÉRANIACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières ou un peu irrégu- lières. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice dialysépale, 5-mère, persistant. Corolle dialysépale, 5-mère, à pétales égaux ou inégaux, caducs. Etamines en nombre double de celui des pétales, les 5 oppositipétales plus courtes, parfois stériles, à filets plus ou moins connés à la base. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 5-car- pellé, 5-loculaire, à loges biovulées, à carpelles se séparant les uns des autres, verticillés autour d’un prolongement central, conique, du réceptacle, auquel ils adhèrent par leur face interne anguleuse. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Styles 5, connés au prolongement axile du réceptacle, terminés par 5 branches stigmatiques. Fruit sec, 5-carpellé, 5-loculaire, à loges se séparant les unes des autres, déhiscentes par leur face interne. Graines sans albumen. Feuilles oppo- : 188 DIALYPÉTALES HYPOGYNES sées, ou alternes dans le haut. Ramification ordinairement dichotome. | Fig. 241. — Geranium Robertianum. Fleur ; coupe longit. Fig, 242, — Geranium Robertianum. Fleur et fruit, à / Fig. 243. — Geranium Robertianum . Fruit mür. _ Affinités. — Les Géraniacées touchent aux Malvacées par l'organisation de leur gynécée et la facon dont les carpelles se séparent les uns des autres à la maturité, ainsi que par leurs filets staminaux connés en tube à la base; mais elles en diffè- Pl LIRE TES €. GÉRANIACÉES 189 rent par le nombre limité de leurs étamines. Leur androcée diplostémone les rapproche des Oxalidées. Deux genres : Etamines toutes fertiles. ......4.. 5e... ne .. Geranium. Elamines oppositipétales stériles, les ‘alternipétales seules fer- tes eee DS Pad ent ee à ox «Sieiststslate M Re cree .… ÆErodium. GERANIUM L’Hérir. — Calice et corolle 5-mères. Pétales égaux. Etamines 10, toutes fertiles, les 5 oppositipétales plus courtes. Feuilles palmatilobées ou palmatipartites. Fleurs pur- purines, roses ou lilas, portées par des pédoncules uni-ou biflores, à pédicelles réfractés après la floraison. Pétales émarginés, échancrés ou bifides. Velus 1 au-dessus) denl'onmlet nr see cames ces: 2 *) Pétales tout à fait entiers et arrondis au sommet, glabres au-dessus de l’onglet.,.... ASP EESE En Pédoncules ordinairement uniflores. Pétales . fois plus longs que le caliee......,........... G. sanguineum L. Pédoncules biflores .......... Hoi dde de ges 3 Pétales ne ST s ne le calice ou le deb SAR UMDENEN Sas arate ere et oimloiele laelale à se se . Pétales plus longs que ‘le calice... AREAS 21.0 Pétales bifides. Coques pubescentes. Feuilles palmatifides, à 5-7 divisions.....,,.,.... …... G. pusillum L. Pétales simplement échancrés ou émarginés, non RSR en te mafa e me die RES ERP ENS jen floraux dépassant longuement les & Co feuilles. Pédicelles très inégaux. Coques glabres. G. columbinum L. Pédoncules floraux plus courts _que les feuilles ou égaux. Pédicelles à peu près égaux. Coques ve- lues. Feuilles très profondément découpées... G. dissectum L. Pétales deux fois plus longs que le cali g- bifides. Coques lisses, RE lo cui PE To SE UE à de era es G. Pyrenaicum L. ee peu profondément ie Se G. molle L. Tige et sépales très glabres. Fleurs roses. Feuil- lespalmatifides. 570% 2e ne Jen HTC S Tige et sépales velus ou pubescents. . ES D Feuilles palmatilobées. Fleurs roses. Graines DARGIUCES Le. AT iso NRA MANS usa G. rotundifolium L. Feuilles palmatiséquées, à 3-5 segments pétio- lulés, Fleurs purpurines. Graines lisses..... . C. Robertianum L. = . lucidum. ee #2) Toutes ces espèces exhalent une odeur forte, désagréable, comparable à celle de l'urine des personnes qui ont mangé des asperges. On les considère comme légèrement astringentes. ERODIUM L’Hérrr. — Se distingue du genre précédent par son androcée; il y a également 10 étamines, mais les 5 éta- mines oppositipétales sont dépourvues d’anthères. Feuilles pin- 11. 490 DIALYPÉTALES HYPOGYNES natiséquées, à segments incisés. Fleurs portées par des pédon- cules ordinairement pluriflores. Feuilles pinnatiséquées, à 7-11 folioles pinna- tipartites ou pinnati- séquées. Peu d'’odeur. Æ. cicutarium L'HÉRIT, Feuilles pinnatiséquées, à 9-13 segments in- ; cisés dentés. Odeur MUSQUÉE . «esse JE. MOSChatuMm WILLD, / : FAmizzE XLV. CARYOPHYLLACÉES. Caractères constants. — Fleurs régu- lières, hermaphrodites, rarement polyga- mes ou dioïques. Calice dialysépale ou gamosépale, 5-mère, rarement 3-4-mère. Corolle dialypétale, 5-mère, rarement i-mère, hypogyne, très rarement avortée. Androcée isostémone ou diplostémone, dans ce cas les étamines intérieures plus courtes, à filets mdépendants; les filets oppositipétales souvent connés à la base avec les pétales. An- thères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitu- ‘ dinales. Ovaire supère, 2-5-carpellé, 2-5-loculaire, parfois unilocu- laire par avortement des cloisons. Loges pluriovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges ou sur un pla- centa central libre. Styles 2-5, indépendants. Fruit capsulaire, ordinairement 1-loculaire par suite de l'avortement des cloi- sons, plus rarement 2-5-loculaire, polysperme, déhiscent par des valves ou des dents, parfois bacciforme et indéhiscent. Graines albuminées. Feuilles opposées, entières. Ramification dichotome. Fig. 244. Erodium moschatum. Affinités. — Les Caryophyllacées confinent aux Géraniacées par leurs feuilles opposées et par leur androcée souvent 1iso- stémone, mais elles en diffèrent par leurs fleurs toujours régu- lières et par leur fruit habituellement uniloculaire par avorte- ment des cloisons. Je joins aux Caryophyllacées les Élatinées qui ne s’en distinguent que par leurs fleurs 3-4-mères. Trois tribus : Fleurs 5-mèêres 2. NET l'E EE PRUENOUES 3-4:nières:, ., 14 CIN NL HR SANTE tartes : 6 ” CARYOPHYLLACÉES 191 Calice toujours gamosépale, : au moins dans sa moitié infér, Silénées. Calice dialysépale ou à sépales connés seulement tout à L ft EN base. 2 Lee in Gr des Scala sam stes > AE . Tribu I. — SILÉNÉES. Calice à sépales connés au moins dans toute leur moitié in- férieure. Ovaire supporté par un pédicule sur lequel s’insèrent les étamines et les pétales connés. Fleurs 5-mères. ñ LES TROP EEE es ISA EC RE 4 Styles 3 ou 5 sets nes niss Rene rss r-ctr he st Calice accompagné d'u un calieule de 26 bractées sca- 2. | FERA ad. nc à 0i5 1e En M AUS A à noue donneur DEEE TETE Dianthus. Calice dépourvu de calicule. sus sacs Es ce Let 3 3 Pétales courtement onguiculés........ Ads . Gypsophila. ‘{ Pétales longuement onguiculés.......... ATP RATS , Saponaria. LI EEREeES De vs rapapees SR INR ES ee irele Sens 5 M SENRES E Se RIT Anis Dune Re RES assrose. LUCE 3 Fruit bacciforme, indéhiscent, ..,....,...... ras vote see COUCHES Fruit capsulaire..,... smsosssee dun Made ie Rec das Silene. DIANTHUS L. — Calice tubuleux-cylin- drique, 5-denté, accom- pagné d’un calicule de 2-6 bractées scarieuses, imbriquées. Corolle à pétales longuement on- guiculés. Style 2. Cap- sule 4-dentée. Feuilles entières, les caulinai- Fig. 255. D sie res connées à la base. Fleur d'Œille. Pétale d'Œillet. a, limbe; b, onglet; c, appendice frangé. Fleurs pourvues, en dehors du calicule, d'un involucre de ? ou plusieurs bractées égalant 1.0 au moins la moitié de la longueur du calice. 2 Fleurs pourvues, en dehors du calicule, de bractées très courtes....,.......,.. DARCOS: Involuere à bractées nombreuses, très iné- 2 ) gales, scarieuses, larges, obtuses........... D. prolifer L. ©") Involucre à 2 bractées seulement, aiguës ou RSR NS SOS ee mondes dune» NET) Invotucre à 2 bragiées linéaires, très aiguës, 3 égalant ou dépassant les CAIICES, se . D. Armeria L. Involucre à ? bractées longuement aristées, ne dépassant pas la moitié de la longueur des SORT ares ru red se Le: D ee cussssssess D, Carthusianorum L: {4 192 DIALYPÉTALES HYPOGYNES Pétales divisés profondément en lanières mul- MRMADAOES 72. ee rireeesserc-es RP ..….. D. superbus L, Pétales simplement dentés ou incisés........ © - ( Tige et feuilles glabres, glauques...,..,... . D, deltoides L. re) E . 7 À Tige et feuilles scabres-pubérulentes ,....... D. Caryophyllus L. On cultive dans les jardins plusieurs espèces de Dianthus, notamment le D. barbatus (OEïllet de poète), le D. sinensis L. (OEillet de Chine), le D. superbus L. (Mignardise des prés), le D. plumarius (OEïllet-plame, Mi- gnardise à plume), ete., et un grand nombre de variétés produites par ces espèces. On faisait usage autrefois des fleurs du 2. Caryophyllus L. (OEillet des fleuristes, OEillet rouge), comme diaphorétiques et excitantes. SAPONARIA L. — Calice tubuleux, cylindrique, 4-5-denté. Pas de calicule. Corolle à 5 pétales longuement onguiculés. Etamines 10. Styles 2. Capsule déhiscente par 4 dents. Feuilles elliptiques ou lancéolées. Ovaire 2-3 loculaire. Pétales sans écailles à la ÉD eds tin eue one VA Ms vehe 9 VHC Ovaire 1-loculaire. Pétales munis d’écailles à la GE PARA ATEN TRS SR RE ER € dusssee 08e oO REMOE. S. officinalis L. (Saponaire, Savonière). —Caractères du genre. Plante à souche vivace, ramifiée, traçante, à tiges hautes de 30 à 60 centim., dressées, ramifiées, presque gla- bres. Feuilles ellipti- ques ou lancéolées, en- tières. Fleurs roses ou lilas-pâle, en fascicules axillaires formant une panicule compacte. Pé- tales munis d’écailles au niveau de la gorge. — Flor.: juillet - sep- tembre.— Habit. : lieux humides. Commun. (2). La Saponaire est à peu près inodore; toutes ses parties, mais surtout la Fi PE | TUEER racine, ont une saveur un ig. 847. — Saponaria officinalis. peu amère et savonneuse, Sommité florifère. On en a extrait de la sapo- nine. La Saponaire est to- nique. On l'emploie encore comme sudorifique, en infusion, dans le rhuma- tisme, les affections vénériennes, etc. EE | CARYOPHYLLACÉES 193 GYPSOPHILA L. — Calice campanulé, 4-denté. Pas de ca- k licule. Corolle à 5 pétales courtement onguiculés. Etamines 10. Styles 2. Capsule déhiscente par 4 dents. Feuilles linéaires. Fleurs en cymes feuillées. CRE > ; r G. muralis L. — Seule espèce. Petite plante annuelle, à tige haute de 5 à 15 centim., très ramifiée, à rameaux filiformes, à fleurs roses, longuement pédonculées. Commune dans les lieux arides. Fig. 248, — Gypsophila muralis. Fig. 249. — Silene inflatas SILENE L. — Calice tubuleux, cylindrique ou renflé-vési- culeux, 5-denté. Pas de calicule. Corolle à 5 pétales longuement onguiculés. Etamines 10. Styles 3. Capsule 3-loculaire, déhis- cente par 6 dents. Feuilles entières. Fleurs hermaphrodites, polygames ou dioïques. Pétales entiers ou simplement échancrés ou dentés, 2 tePétales-bifides ou bipartites. ,:........4..228:.0 Pétales dépourvus d’écailles au-dessus de la gorge, linéaires, entiers. .....,... RS Re Er s.. S. Otites SM. Pétales pourvus d’écailles au-dessus de ia gorge.... 3 2. 194 DIALYPÉTALES HYPOGYNES { Calice pubescent. conique, ombiliqué à la base, à 3 30 nervures, à dents longues, subulées ts da S. conica L. *) Calice laineux, ovoide, à 10 nervures, à dents lan- céolées, aiguës... reset seree IX. M 8%" Gallicat. Pétales dépourvus d'écailles au-dessus de Re 2 -*Calice renflé-vésiculeux set RCE Sete Pétales pourvus d’écailles au- dessus de l'onglet. . S, inflata Su. 5 Calice à 10 nervures, à 5 dents courtes, le FU fère fendu presque jusqu'à la base. Fleurs blanc- sale ou rosées, en panicule allongée jack dans S. nutans L. 5,{ Calice à 10 nervures, -à 5 dents très longues, subu- lées, le fructifère non fendu. Fleurs jaunâtres en dehors, rose-päle en dedans, en cyme dichotome pauciflore ou solitaires et terminales... ..... sue Sa ROCHOPE L. LYCHNIS T. — Calice tubuleux, cylindrique ou renflé. Pas de calicule. Corolle à 5 pétales longuement onguiculés. Etami- nes 10. Styles 5. Capsule déhiscente par 5 dents, 1-loculaire, parfois 5-loculaire à la base. Fleurs hermaphrodites ou dioi- ques. Fig. 250, Lychnis Githago. Capsule à 5 dents... è Capsule à 10 dents. Fleurs dioïques .…. 4 Pétales à limbe entier ou simplement émar- giné, sans écailles au- dessus de l'onglet .. 3 Pétales à limbe profon- dément divisé en 4la- MÉTES se. Nr Pétales dépourvus d’ é- cailles au-dessus de l'onglet. res L, Githago LaMx. Pétales pourvus d’écail- les au - dessus de l’on- glet., :.: RUES .. L. Viscaria E. = Fleurs blanches...... Z. dioica L. Fleurs purpurines ou ‘a voses. Tee L. sylvestris Hoppex. &w * Z. Flos-Cuculi L. L. Githago Laux (Agrosthemma Gi- thago L., Nielle des blés, Couronne des blés). — Plante annuelle, à tige dres- sée, haute de 50 à 80 centim., ramifiée dichotomiquement dans le haut, velue, à feuilles opposées, linéaires, très al- longées, à fleurs grandes, colorées en rouge violet, solitaires à l'extrémité des rameaux.— Flor.: juin-août. — Habit. : moissons. Commun. (@). Toutes les parties de la Nielle contiennent de la sapbnine, qui leur donne des propriétés nuisibles. Les graines mélangées à celles du blé CARYOPHYLLACÉES _ 4195 donnent assez souvent lieu à des accidents , quand elles sont en grande quantité. On a employé autrefois la décoction de la Nielle dans le traite- ment de la gale, de la teigne et d’autres maladies de la peau. CUCUBALUS Gzrtx. — Se distingue de tous les autres genres de la tribu par ses fruits bacciformes, noirs, luisants, indéhiscents. Pas de calicule. Pétales longuement onguiculés, pourvus d’écailles au niveau de la gorge. Styles 3. Fleurs soli- taires ou géminées, formant par leur ensemble une panicule feuillée, lâche. C. baeciferus L. — Seule espèce. Plante à fleurs d’un blanc verdâtre, rare, dans les buissons. Tribu II. — ALSINÉES. Calice à sépales indépendants ou connés seulement tout à fait à la base. Fleurs 5-mères. 1% Feuilles accompagnées de stipules......,.. RS ARE Feuilles sans stipules.......... anse au RC à à a: Stylen Some De ARRETE D CCC PRE TE 3 » Ga Styles 5...... SL PE « RAD EE . Spergula. Feuilles tontes Opposées. 2,20 40e Japrer ass . Spergularia. 3. Feuilles verticillées par 4, au moins dans le bas..... Polycarpon. Valves de la capsule en même nombre que les styles, 35 1.) Valves de la capsule en nombre double des styles... 6 Styles 3 ...... REP NTM EME CRE RPENNNRERNENUNT à +... Alsine. 5.) PRE Re enr ee anne mes = e urine soi Sagina. RIRE sand ates ans uses censuaes durées sue LE 6. DOME D SEM ere RTE, 2 se dome à TES .….….. Cerastium. Styles 3. Pétales bifides ou bipartits....... SRE RE Stellaria. 7 Pétales entiers ; émarginés ou denticulés, jamais bi- TEE ne em dan ee some ser ne ne es duése NP TERME ES me repas sat de2de ge se . Holosteum. s. Pétales entiers ou à peine émarginés.............. «. Arenaria. ALSINE Wuarxgc. — Sépales et pétales 5. Pétales entiers. Etamines 10. Styles 3. Capsule à 3 valves se séparant jusqu'en bas. Feuilles sans stipules, linéaires, connées à la base. Fleurs blanches, en cymes dichotomes terminales. Pétales plus courts que le calice............ A. tenuifolia WuaLNBG. Pétales plus longs que le calice.......,... -. A. setacea MERT. et Kocx. SAGINA L. — Calice 4-5-mère. Corolle 4-5-mère, parfois avortée. Pétales entiers. Etamines 45-10. Styles 4-5. Capsule à 4-5 valves. Feuilles sans stipules, connées à la base. Fleurs blanches, en cymes terminales. Fleurs 4-mères. Pétales plus courts que le calice y) ou avortés................s...ss..s...sr.e. 2 *) Fleurs 5-=mères. Pétales plus longs ou aussi longs Mot cRhee. rer as ee s me PRE ie LEE 196 . DIALYPÉTALES HYPOGYNES lose RER AR AT SE dénude Et dm bee .. 19, procumbens L. Feuilles non ciliées. Pédicelles floraux droits à la floraison: .2:2,-cremeteeer ES RENE S. apetala L. Pédicelles floraux droits à la floraison. Pétales une fois plus longs que le calice......... ..... S. nodosa MEy. Pédicelles floraux courbés à la floraison, Pétales égalant le calice...., ....... RUE UE .... S. subulata WimM. | Feuilles ciliées. Pédicelles floraux recourbés à la SPERGULA L. — Sépales 5. Pétales 5, entiers. Etamines 5-10. Styles 5. Capsule à 5 valves. Feuilles linéaires-su- bulées, pourvues de stipules scarieuses, opposées-rappro- chées. Fleurs blanches, en cymes. Feuilles sillon- nées à la face inférieure ..... S. arvensis L. Feuilles non sil- lonnées à la face inférieure S. pentandra L. SPERGULARIA PERS. — Sépales 5, Pétales 5, entiers. Etamines 10. Styles 3. Cap- sule à 3 valves. Feuilles li- néaires ou subulées, pourvues de stipules scarieuses. Fleurs blanches ou purpurines, en cymes. Fleurs blan- Chess . S. segetalis FENZL, Fleurs pur- purines ... S. rubra PERS, POLYCARPON L. — Sépales 5, un peu connés à la base. Pétales 5, entiers ou émarginés. Etamines 5. Styles 3. Capsule à 5 valves. Feuilles verticillées au moins dans le bas, par #4, pourvues de stipules scarieuses. Feurs en cymes dichotomes. P. tetraphyllum L. — Seule espèce, haute de 5-15 centim., très rare, ARENARIA L. — Sépales 4-5. Pétales 4-5, entiers ou un peu émarginés. Etamines 8-10. Styles 2-3. Capsule à 4-6 valves. Feuilles sans stipules. Fleurs blanches, en cymes. en, CARYOPHYLLACÉES 197 Graines sans strophiole...............,.... tree ù Graines pourvues d’une Strophiole RAA as» A trinervta: L. Feuilles ovales. Pétales plus courts que les sé- 2.) pales...............................se..ese A. serpyllifolia L. Feuilles linéaires. Pétales beaucoup plus longs : que les sépales...,........ Ride: Dee À. grandiflora L. HOLOSTEUM L. — Sépales 5. Pétales 5, denticulés. Eta- mines 3-5. Styles 3. Capsule à 6 valves. Feuilles sans stipules, oblongues. Fleurs blanches ou rosées, en cymes ombelliformes. H. umbellatum L. — Seule espèce, haute de 3 à 20 centim., très commune dans les lieux incultes et sablonneux. STELLARIA L.— Sépales 5. Pétales 5, bifides. Etamines 10. Styles 3. Capsule à 6 valves. Feuilles sans stipules. Fleurs blanches. 1 Pétales plus courts que les sépales ou de mème taille, 2 Pétales beaucoup plus longs que les sépales.. ...... 3 Feuilles molles, ovales-acuminées, les inf. cordées.. %$S, nemorum L, 2.2 Feuilles coriaces , à bords scabres, linéaires- lancéo- LE TP + DAME RETIRE Sr Le dite do moe MR S. Holostea L. 3 Feules mrofles.-"#.. cn mt DE DE LE Ge QU “ Hé ENTACPS TS Se Se nes e pied Mine « AU Que 2e 8 5 Feuilles infér. pétiolées. Fleurs en cyme pauciflore 4 ÉD RE RE sn chaire Lrnies n'eut ve Mes . S. media VILL. Feuilles toutes sessiles, Fe Fleurs en CHNES PATES RS TE ee As oasis ss PA ae S.uliginosaMvre. = { Feuilles à bords scabres à ÉANREE RPRSRNSPAS nee S.graminea L. Penilless à bordsilisses.s Moissac dE S. glauca Wir. CERASTIUM L. — Sépales 4-5. Pétales 4-5, bifides. Etami- nes 8-10 ou 4-5. Styles 4-5. Capsule à 8-10 valves. Feuilles sans stipules. Fleurs blanches. 1 Styles opposés aux sépales............... nette Styles alternes avec les Sepale es .. UT ..…... C. aquaticum L. X Fleurs 5-mères. Capsule plus longue que le ca- : 6 lice, arquée..........................,-..... 3 Fleurs 4-mères. Capsule plus courte que le ca- lice, droite .....: M = nr pe neue C. erectum L. . | Pédicelles floraux beaucoup plus longs que les HÉROS ne ee ae MCD DES ae mets à à QU as i L Pédicelles floraux plus courts que les bractées ou dpeine-plus lon Le eee ce eos des aa'ne … C.glomeratumTuauizz. Tige, feuilles et calices très tomenteux........ C. tomentosum L. Tige, feuilles et calices non tomenteux........ s] leur sommet. Pétales beaucoup plus courts que TERRE se sde à C. brachypetalum L. Sépales sans poils ou à poils ne dépassant pas leur sommet. 5e, CSST PRE Mes PER 76 Feuilles ovales ou oblongues...... MEL Sox ve caiel Feuilles linéaires ou lancéolées- linéaires. Sé- pales obtus...,.... De are he Ge ER NEE .. C. arvense L. Sépales obtus, scarieux au sommet.....,... .… C. triviale Link. Sépales aigus........ RE ane SES SO DE 8 \ Sépales munis de poils qui dépassent beaucoup ë ‘ 198 DIALYPÉTALES HYPOGYNES Bractées presque toutes herbacées, les supérieures seulement parfois scarieuses au bord. Etamines EP ordinairement 10: »e. 1e MAR eus. C< pumilum CURT. Bractées toutes scarieuses. Etamines 5......... C. semidecandrnm L. PET = ( Fig. 255, Brassica oleracea. Capsella Bursa-pastoris. Fleur sans le périanthe, Silicule. Fanizze XLVL — CRUCIFÈRES Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double, à folioles indépendantes. Calice à 4 sépales en croix. Corolle à #4 pétales en croix. Six étamines tétradynames. Gynécée formé de deux carpelles unis par les bords, à deux placentas pariétaux se prolongeant en dedans et formant une fausse cloison. Fruit (silique ou sili- cule) habituellement déhiscent en deux valves qui abandonnent *CRUCIFÈRES 199 la fausse cloison sur les bords de laquelle sout insérées les graines. Graines campylotropes, ordinairement sans albumen. Embryon à radicule repliée tantôt sur les bords des cotylédons, qui sont plans (radicule accombante), tantôt sur la face dorsale de l’un d'eux (radicule dorsale, incombante) ou sur les bords des deux cotylédons condupliqués. Affinités. — Très voisines des Papavéracées, dont elles se distinguent par leurs étamines tétradynames; voisines aussi des Résédacées, qui en diffèrent par leurs fleurs irrégulières et leurs fruits capsulaires. Sept tribus : 1 Fruit siliqueux (allongé et étroit).....,.......,...... ve ‘| Fruit siliculeux (court et large)........ LPSC 5 3 Fruit siliqueux, déhiscent......................... 8 “| Fruit siliqueux, indéhiscent, se divisant en articles. Raphanées. Cotylédons plans ..............o...ss.sessss.ssssssse 4 3.2 Cotylédons condupliqués; radicule embrassée par leurs bords (radicule incluse)........................ «... Brassicées. x. { Cotylédons plans; radicule COMMISSUTAIE. . rer Cheiranthées. ”"| Cotylédons plans; radicule dorsale........... RC UR LR e Sisymbriées. 5.4 Fruit siliculeux, déhiscent.….. .. means : é.e eçe aie à PRET ‘| Fruit siliculeux, indéhiscent. PT 0e El durs US Sd Br Isatidées. 6 Silicule comprimée parallèlement à la cloison......... Alyssées. ‘| Silicule comprimée perpendiculairement à la cloison... Zbéridées. Tribu I. — CHEIRANTHÉES. Fruit allongé, étroit, (silique) déhiscent, polysperme. Coty- lédons plans ; radicule repliée sur les bords des cotylédons (radicule commissurale et cotylédons accombants). k Graines unisériées........ es À NA RUE EP Graines 2 ou 2-4 sériées..... Re 6 F'ieurs KiGRES! ui eue: nos Rs ane AL VE Flegs blanches ou roses................ Rens Æ Stigmate à deux lobes réfléchis. Silique subtétra- GONG. ..….sssemersssemse sense eseneserense Cheiranthus R. Br. Stigmate entier ou échaneré. Silique subecylindri- que..... NN EL ES ed See Doveie Ses ane .... Barbarea R. Br. Silique linéaire-comprimée...,................. D 4.4 Silique lancéolée-comprimée. Rhyzome à écailles gharaues 0. FREE Mer ent et .. Dentaria T. = Valves de la silique pourvues de nervures..... . Arabis L. Valves de la silique sans nervures............. Cardamine L. Silique cylindrique, à valves convexes..... …... MNasturtium R. Br. Silique comprimée, à valves planes.........,.. Turritis DILL. CHEIRANTHUS R. Br. — Fleurs jaunes, odorantes, en srappes corymbiformes, terminales, dépourvues de bractées. Sépales connivents, les latéraux gibbeux à la base. Stigmate 200 bilobé, à lobes réfléchis. Silique allongée, étroite, cylindrique, rendue subtétragone par une nervure longitudinale saillante sur chaque valve, polysperme. Graines campylotropes, disposées sur une seule rangée dans chaque fausse loge, membraneuses sur les bords. Feuilles simples, entières. DIALYPÉTALES HYPOGYNES C. Cheirii L. (Giroflée jaune, G. NC de muraille, etc.).—Caractères du genre- aa d Plante sous-frutescente, vivace, ligneuse A \ WP co à la base, haute de 30 à 60 centim. — À L D Flor.: mars-juin. —Habit.: vieux murs. VA On en cultive dans les jardins un cer- NY tain nombre de variétés. 77. S A) [y TS EN, > D Fig. 256, — Cheiranthus. Fleur. Fig, 257. — Barbarea vulgaris. L'odeur et la saveur fortes de la Giroflée l'ont fait autrefois employer à divers usages On recommandait son infusion dans le vin blanc pour hâter la délivrance des femmes en couche, provoquer les règles, ete, La semence était usitée contre la dyssenterie; on préparait avec les fleurs une Auile de Keiri, qui était employée contre les contusions, les douleurs rhumatis- males, ete. Il est inutile de dire que ces propriétés sont imaginaires ; mais la Giroflée est certainement antiscorbutique comme un grand nombre d’au- tres Crucifères. BARBAREA R. Br. — Fleurs jaunes. Sépales dressés, non gibbeux. Stigmate entier ou simplement échancré. Silique sub- cylindrique, à valves munies chacune d'une nervure saillante. Graines disposées sur une seule rangée dans chaque loge. ne pinnatipartites dans le bas, embrassantes dans le iaut. Feuilles supérieures pinnatipartites. Silique très longue. Z. præcox R. Br. Feuilles supérieures obovales, dentées. Silique courte.. B. vulgaris R. BR, Barbarea vulgaris R. Br. (Barbarée, Herbe de sainte CRUCIFÈRES 201 Barbe). — Caractères du genre. Siliques courtes, terminées par un long bec. Feuilles lyrées dans le bas, à lobe terminal très grand, obovales et dentées dans le haut. Plante vivace, dressée, ramifiée dans le haut, atteignant 50 à 60 centim. de hauteur. — Flor. : avril-juin. — Habit. : Fossés, champs humides cul- tivés. 2. Les feuilles et le suc sont antiscorbutiques; les feuilles ont une saveur chaude, prononcée. Les graines, dont la saveur est plus chaude et âcre, sont considérées comme diurétiques. On mange les feuilles en salade. On en cultive dans les jardins une variété à fleurs doubles, ornementale, sous le nom de Giraude jaune, ou Julienne jaune. Le B. præcox R. Br. jouit de propriétés semblables à celles de l'espèce précédente. On le préfère pour la culture potagère ; ses feuilles sont man- gées en salade. ARABIS L. — Fleurs blanches ou roses. Sépales dressés, les latéraux gibbeux ou non gibbeux à la base. Stigmate entier ou à peu près entier. Silique linéaire, aplatie, à valves manies chacune d’une nervure longitudinale ou de nervures irrégulières très fines. 1 Feuilles caulinaires embrassantes....,............ 2 | Feuilles caulinaires non embrassantes....,........ A. arenosa Scop. > { Siliques très longues, arquées, écartées de la tige. A. Turrita L. *’ jSiliques droites, pressées contre la tige.....,..... A, sagittata DC. Les diverses espèces d’Arabis, connues sous le nom d’Arabette, jouissent des propriétés dites antiscorbutiques si répandues dans la famille des Cru- sifères, mais elles n’ont guère jamais été employées. Les bestiaux recher- chent ces plantes, mais elles donnent au lait une saveur désagréable. On extrait des graines une huile analogue à celle que fournissent celles du Colza. DENTARIA T. — Fleurs lilas ou blanches. Sépales dressés, non gibbeux. Stigmate à peu près entier. Silique lancéolée, comprimée, à valves planes et sans nervures. Graines disposées sur une seule rangée dans chaque fausse loge. Embryon à cotylédons pétiolés et.involutés au niveau des bords. Plantes à rhizome écailleux. Feuilles supérieures indivises et accompagnées de bul- BIS PARAIT A Se at dre sene sacsbasesav es 0. DUBIfera ES Feuilles supérieures et inférieures pinnatiséquées, sans RTE ER Era sn es nor etes sue cie .. D. pinnata LAMK. CARDAMINE L. — Fleurs blanches ou lilas. Sépales dres- sés, non gibbeux. Stigmate entier. Silique linéaire, à valves planes. Graines unisériées. Feuilles pinnatiséquées. Pétales au moins 2-3 fois plus longs que le calice. 2 1.4 Pétales de même longueur ou à peine une fois plus longs que le calice..,...,....... Re à DR 3 Plemestblanches.%2,.6..:...... de set NAN . “C., amara_L. Penn as SENS Le, «0 cn LR .…... C. pratensis L. » - La f < : « LR TOUT a: : L < 202 DIALYPÉTALES HYPOGYNES Feuiles à pélioles non auriculés..... cs sese roule CAIN 3) Feuilles à pétioles auriculés-embrassants..,...... C. impatiens L. C. pratensis L. (Cresson des prés). — Fleurs lilas, rarement blanches par albinisme. Pétales trois fois plus longs que le calice. Etamines de moitié moins longues que la corolle. Silique linéaire, comprimée, à valves planes et sans nervures, terminée par un bec court obtus. Feuilles pinnatiséquées, les inférieures à segments obovales, sinués, le terminal plus grand, les supé- rieures à segments linéaires entiers. Tige dressée, peu ramifiée, haute de 30 à 40 centim., émergeant d’une souche vivace. — Flor. : avril-mai. — Habit. : haies humides, bords des fossés communs. 2°. Cette plante jouit à peu près des mêmes propriétés que le Cresson de fontaine (voy. plus loin), mais on n’en fait usage ni dans la médecine ni dans l’économie domestique. mn Lx = W= | NA Wii) À Fig, 258, — Cardamine pratensis. Fig. 259. — Nasturtium amphibium. NASTURTIUM |R. Br.£— Fleurs jaunes ou blanches. Sé- pales étalés, non gibbeux. Stigmate échancré. Silique cylin- drique, à valves convexes, parfois très courte. Graines disposées sur 2 ou # rangées. 1,4 Pétales blancs .............................. AN. officinale R. Br. ‘ Pétales jaunes. verre ae 60) ue NLeis OR EE 2 G CRUCIFÈRES 203 2 Silique au moins de la longueur du pédicelle. 3 ‘| Siique 3-4 fois plus courte que le pédicelle.. 5 3 { Pétales à peu près de la longueur du calice.. 4 "| Pétales plus longs que le calice........ .... AN. sylvestre R. Br. , 4 Silique couverte de tubercules blanchätres... MN. asperum Coss. 3. Silique non tuberculeuse .. Tee N. palustre DC. 5 Feuilles caulinaires non auriculées........... N. amphibium R. BR. Feuilles caulinaires auriculées ...... NET { Silique 7-8 fois plus longue que le pédicelle. S. Alliaria Scop. ‘| Silique à peine plus longue que le pédicelle.. S. Thalianum J. Ge Siliques appliquées contre la tige........,... S. officinale Scor. 4 ‘À Siliques étalées-ascendantes ........ aésaepaiss Pétales plus courts que le calice. Feuilles bi- : tri-pinnatiséquées...,.,....,.. RSR RE er S, Sophia L. Pétales plus longs que le calice. Feuilles ron- cinées-pinnaliséquées. .....:.., eee e es 010: en 19 1110 Le S. Alliaria Scor, (Alliaire). — Fleurs blanches, petites. Feuil- les simples, dentées. Tige dressée, peu ramifiée, velue-hérissée, haute de 40 à 80 centim. Feuilles exhalant quand on les froisse : CRUCIFÈRES 205 une odeur d'ail très caractéristique. — Flor. : avril-juin. — Hab. : lieux humides et ombragés. (2). Toutes les parties de la plante ont une saveur alliacée, chaude et âcre. Les feuilles et les sommités jouissent de propriétés antiscorbutiques ana- logues à celles du Cresson et ont joui autrefois d'une grande réputation. Elles sont stimulantes et expectorantes, Les graines ont des propriétés rubéfiantes semblables à celles de la Moutarde noire, mais moins pro- noncées. Les feuilles pilées constituent un bon pansemeut contre les vieux ulcères. S. officinale Scop. (Vélar, Herbe aux chantres, Tortelle). — Fleurs jaunes très petites. Pétales plus longs que le calice. Siliques velues, portées par un pédicule très court, terminées par une pointe grêle, étroitement appliquées contre la tige. Feuilles inférieures pinnatipartites , pétiolées, rudes, les supérieures has- tées, à lobes étroits, le terminal très allongé. Tige ramifiée, haute de 30 à 80 centim. — Flor. : mai-septem- bre. — Habit. : bords des chemins, décombres, Les sommilés ont joui autrefois d’une grande réputation comme expectorantes et stimulantes. Le Vélar jouit, en réalité, de propriétés analogues à celles de l'espèce précédente. ERYSIMUM L. — Fleurs jaunes ou blanc-jaunâtre. Sépales dressés, | corner Silique rendue tétragone par la sail- Fig. 262 5 g. 262. lie de la nervure dorsale des val- Sisymbrium Alliaria. ves. Graines unisériées. Feuilles simples. ÿ Fleurs jaunes.............. Pers SNA: LD ‘1 Fleurs d’un blanc jaunâtre........ .... Æ. orientale R. Br. Pétales à onglet séparant à peine le ca- D JC. seen cet sursis eee s....... ZE. cheiranthoides DC. 7* ) Pétales à onglet dépassant longuement loto 075008 TE cheiifiorum \N ALER: BRAY%A SrTerns. et Hop. — Fleurs blanches, très petitesken grappes feuillées. Sépales dressés, non gibbeux. Stigmate en- tier. Silique linéaire, à valves convexes, munies d’une nervure longitudinale. Graines bisériées. Feuilles pinnatipartites, pé- tiolées. B. supina Kocx. — Caractères du genre. HESPERIS L. — Fleurs lilas ou blanches. Sépales dressés, FLORE DE PARIS, 12 206 DIALYPÉTALES HYPOGYNES les latéraux gibbeux. Stigmate divisé en deux lobes lamelleux connivents. Silique subcylindrique, à valves munies de trois nervures dorsales peu marquées. Graines unisériées. Feuilles simples. H. matronalis L. (Julienne, Girarde). — Fleurs odorantes, blanches ou lilas. Siliques glabres, ascendantes, 8-10 fois plus longues que le pédicelle. Feuilles simples, dentées, les radi- cales oblongues, pétiolées, les caulinaires sessiles, ovales, acu- minées. Tige simple ou rameuse dans le haut, dressée, haute de 50 à 80 cent., velue-rude. — Flor. : mai-juin. — Habit. : voi- sinage des habitations. Echappé à la culture. #°. La Julienne est douée d’une saveur âcre et d’une odeur aromatique très prononcée ; elle jouit à un haut degré des mêmes propriétés que le Cresson, le Cochlearia, le Raïfort, etc. L’infusion des parties fraiches est stimu- lante, diaphorétique et diurétique. En cataplasmes, les feuilles sont mani- festement rubéfiantes. Tribu III — BRASSICÉES. Fruit allongé, polysperme, (silique) déhiscent. Cotylédons condupliqués, embrassant la radicule (radicule incluse). 1 Graines bisériées...... se dette de SURESNES 2 * | Graines unisériées. 4.4. sl. se HEURE NS 3 2 Silique comprimée, non carénée........,. co... Diplotaxis. ‘| Silique subcylindrique, carénée......,.......... . Eruca. 3 Silique à valves 3-5 nerviées longitudinalement.. EDe Silique à valves uni-nerviés longitudinalement.... 4 Graines globnleuses 24 20e tee -oreeeee . DBrassica. "| Graines ovales ou oblongues comprimées,....... Ærucastrum. ERUCA T. — Sépales dressés, non gibbeux. Silique sub- cylindrique, oblongue, à valves convexes, cavérées, à bec com- primé, ensiforme. Graines globuleuses, bisériées. Feuilles pé- tiolées, lyrées, pinnatipartites. Fleurs d’abord jaunâtres, puis blanchâtres, veinées de violet. E.sativa Laux (Roquette). — Plante à tige haute de 40-80 cent., ramifiée, velue. Très rare dans les champs arides ; parfois cul- tivée. ERUCASTRUM Presz. — Sépales latéraux un peu gibbeux. Silique sub-cylindrique, linéaire, à valves convexes, 1-nerviées, à bec court, conique. Feuilles pétiolées, pinnipartites. Fleurs jaunâtres. E. obtusangulum Rens. — Plante à tiges peu nombreuses ou solitaires, hautes de 30-70 centim. Très rare. Lis ie CRUCIFÈRES 207 BRASSICA L. — Fleurs jaunes ou blanches. Silique linéaire, sub-cylindrique, à valves munies d’une seule nervure longitu- dinale. Graines unisériées, globuleuses ou pinnatifides-lyrées, les caulinaires sessiles et amplexicaules, simples. 1 Sépales dressés ...,.... UN AT O TC PPEPE .. B. oleracea L. 2p'Sépales étalés:,. 0 He su. Srineispanas cause 2 2 Siliques étalées ou étalées-ascendantes........... 3 ‘À Siliques pressées contre la tige........,..... ..… PB. nigra Kocx. 3 Feuilles glaucescentes, glabres...,,.... sas nuses Da IVIMMEE ES "| Feuilles vertes, hérissées de poils raides.,......... PB. Rapa L. B. oleracea L. (Chou). — Fleurs jaunes ou blanches, par- fois veinées, en grappes lâches. Sépales dressés. Etamines dres- sées. Siliques étalées-ascendantes, allongées, linéaires, à valves munies de plusieurs nervures flexueuses. Feuilles glauques, épaisses, glabres, les inférieures pétiolées, pinnatifides, lyrées, les supérieures sessiles, non amplexicaules. Tige haute de 60 cent. à 1 m,. et plus. — Flor. : mai-juin. — Habit. : cultivé dans les jardins. @). ; Fig. 265. 2 ù | . oœ <<; = 2 Brassica alba. Fig. 266. Brassica nigr@. Graine; coupe transv. Fruit, Fig. 263. Fig. 264. Fig. 267. Brassica oleracea. Brassica oleracea. Brassica nigra. Graine Inflorescence. Fruit, dépouillée des téguments. Les nombreuses variétés de Brassica oleracea sont cultivées comme plan- tes comestibles. Les plus importantes sont : le Chou frisé, à feuilles on- dulées-frisées, vertes ou rouges : — le Chou pommé, à feuilles concaves, étroi- à) *: 208 DILYPÉTALES HYPOGYNES tement appliquées les unes contre les autres et formant une tête; — le Chou Rave, à partie souterraine de la tige renflée en une tête charnue; — le Chou- fleur, à pédoncules floraux très ramifiés, connés, charnus et chargés de fleurs stériles; — le Chou vert, à feuilles non imbriquées; — le Chou de Bruxelles, à tige très élevée, portant des feuilles réduites et de nom- breux bourgeons capités, etc. B. Napus L. — Se distingue du précédent par ses feuilles caulinaires cordées et amplexicaules à la base et par ses sé- pales étalés. — Flor. : avril-juin. — Habit. : cultivé dans les jardins et en plein champ. On cultive comme plantes économiques deux variétés de cette espèce: Le B. Napus, var. oleifera (Colza), cultivé pour ses graines oléagineuses qui servent à l'extraction de l’huile de colza; cette huile sert à l’éclairage et à la fabrication du savon. Elle est de couleur jaune, épaisse et dorée à l'état brut, d’une odeur forte et désagréable; après épuration, son odeur est plutôt agréable et sa saveur douce; on peut alors la manger. Elle est laxative et vermifuge à la dose de 60 à 100 gr. Le B. Napus var. esculenta (Navet) est cultivé pour sa racine, qui est conique, très charnue et succulente. B. Rapa L. — Se distingue des précédents par ses fleurs d'un jaune plus pâle, très rapprochées au sommet de la grappe avant l'épanouissement, ne s’écartant que plus tard par suite de l'allongement intermédiaire de l’axe floral; ses sépales étalés et ses feuilles hérissées de poils raides, les inférieures lyrées-pinnatifides et pétiolées, les supérieures amplexicaules. — Flor. : avril-juin. — Habit. : cultivé dans les jardins et en pleins champs. On cultive pour les usages économiques deux variétés : Le B. Rapa var. esculenla (Rave, Rabidouille), pour sa racine charnue, turbinée, blanc-jaunâtre, colorée en violet à la base. Cette racine est ali- mentaire, mais elle est plutôt réservée pour les bestiaux. Le B. Rapa var. oleifera (Navette) est cultivé pour ses graines, qui ser- vent à l'extraction de l'huile de navette; celle-ci est douce et comestible. B. nigra Kocn (Moutarde noire, Sénevé noir). — Se distin- gue par ses fleurs jaunes, rapprochées au moment de l’épa- nouissement; ses feuilles toutes pétiolées, vertes, les infé- rieures lyrées-pinnatifides, les supérieures lancéolées, non amplexicaules ; ses siliques pressées contre la tige, à valves carénées; ses graines noires. — Flor. : juin-août. — Habit. : champs cultivés, buisson, etc. La graine réduite en poudre sert à la fabrication de la moutarde de table et à la préparation des sinapismes. Elle doit ses propriétés à une essence sulfurée et azotée qui ne se forme que quand on triture les graines ou leur poudre avec de l’eau. SINAPIS L. — Se distingue des Brassica par ses siliques à valves munies de cinq nervures dorsales saillantes et termi- nées par un bec long et large. CRT CRUCIFÈRES 209 Valves de la silique plus courtes que le bec.. S. alba L. *| Valves de la silique plus longues que le bec.. 2? > { Sépales dressés et appliqués contre les pétales, S..Cheiranthus Kocu. 7 NHÉpAIES CAES SR Res us CURE S, arvensis L. S. alba L. (Moutarde blanche). — Fleurs jaunes. Sépales étalés. Silique étalée, héris- sée de poils, toruleuse, con- E& tenant 2-3 graines jaunâtres ; \ dans chaque fausse loge. Feuilles toutes lyrées-pinna- tipartites. Tige haute de 50 à 80 centim., ramifiée dans le haut, hérissée de poils. — Flor. : mai-juillet. — Habit. : champs cultivés, calcaires ou argileux. Les graines, triturées dans l’eau, acquièrent une saveur brûlante, mais elles sont inodores et ne produisent pas d’huile essentielle ; cependant la poudre est rubéfiante, mais à un moindre degré que celle de la Mou- tarde noire. On mélange cette pou- dre à celle de la Moutarde noire, dans la fabrication de la moutarde de table. Administrées entières les graines agissent comme laxatives. Les graines du Sinapis arvensis ont à peu près les mêmes propriétés, mais à un degré moindre, DIPLOTAXIS DC.— Se distingue des genres précé- dents par son calice à sépales non gibbeux et un peu étalés, par ses siliques linéaires et comprimées, à valves uninerviées et à bec conique, court, et par ses graines bisériées et comprimées. Les fleurs sont jaunes. Les feuilles sont pétiolées, sinuées-dentées ou bien pinnatifides ou pinnatipartites. Fig. 268. — Sinapis arvensis. 1.4 Pétales beaucoup plus longs que le calice........ 2 ‘| Pétales dépassant à peine le calice.............. D. viminea DC. 9 { Calice hérissé de poils raides...,..,,.......... .. D. muralis DC. ‘| Calice glabre ou velu seulement au sommet..... D. tenuifolia DC. Tribu IV. — RAPHANÉES. Fruit indéhiscent, formé d'articles superposés qui contiennent chacun une graine et se séparent à la maturité. 12. 210 DIALYPÉTALES HYPOGYNES RAPHANUS L. — Sépales dressés, les latéraux gibbeux. Siliques offrant les caractères de la tribu. Graines globuleuses. Fleurs jaunes, blanches ou violettes, veinées. Feuilles infé- rieures lyrées-pinnatifides, les supérieures oblongues-dentées ou incisées-dentées. Siliques linéaires-cylindriques, à articles se sépa- rant à la maturité.:....,4444,4%... 00000 RS RO RRREMRIUT Siliques oblongues-lancéolées, renflées, à articles ne se séparant pas à la maturité..............,.... À. sativus L. R. sativus L. (Radis). — Fleurs blanches ou violettes, vei- nées de violet. Siliques relativement courtes, épaisses, renflées, spon- gieuses, à articles peu marqués et ne se sépa- rant pas, atténuées en un bec conique épais. Tige dressée, rarement haute de 50 à 80 centim, Racine conique, pivo- tante, charnue. — Flor.: mai-août. — Habit. : cul- = En = 7 7 ==) Fig. 269. tivé dans les jardins Fig. 270. Raphanus Raphanistrum. en grande quantité. (4) Rhaphanus sativus. Fruit. ou (). Fruit. Deux variétés : 4. vulgaris (Radis rouge, petite Rave). — Racine blanche, rose ou rouge à l'extérieur, de petite taille, ronde ou allongée. B. niger (Radis noir). — Racine noire en dehors, blanche en dedans, très grosse, à saveur très piquante. On cultive ces deux variétés sur une grande échelle, la première surtout pour ses racines qui sont comestibles et qu'on mange crues. L'’odeur est forte, un peu piquante, âcre. La saveur est piquante, plus ou moins âcre, Toute la plante jouit de propriétés antiscorbutiques prononcées, mais elle n'a guère jamais été utilisée par les médecins. L'écorce du Radis noir, râpée et appliquée sur la peau, exerce à la longue une action rubéfiante analogue à celle de la farine de moutarde, mais on n’en fait pas usage. On préconisait autrefois la décoction de Radis noir additionnée de miel contre la toux. Les graines contiennent une assez grande quantité d'huile fixe, fe la plante n'en produit pas assez abondamment pour qu’on puisse es utiliser. Tribu V. — ALYSSÉES. Fruit à peine plus long que large, déhiscent (silicule), plus où moins comprimé parallèlement à la cloison, à valves ne retenant pas les graines. CRUCIFÈRES 211 rale...........sssssssneeseee Ets il déesse AE se PRINT, Loges polyspermes, Radicule commissurale............. 2. { Fleurs blanches. Radicule commissurale...,,..,......... 3 ‘| Fleurs jaunes ou jaunâtres. Radicule dorsale........,,.. Camelina. 3 Silicules oblongues, à valves planes ou à peine convexes. Draba. Loges ne contenant que 1 à ? graines. Radicule commissu- 1, x Silicules subglobuleuses, à valves très convexes..,..,.., Cochlearia. CAMELINA Cr. — Sépales non gibbeux. Etamines non ap- pendiculées. Silicules obovales-pyriformes, surmontées du style persistant, à valves très convexes, pourvues d’une nervure qui se termine par un appendice appliqué contre le style, à loges polyspermes. Embryon à radicule appliquée contre le dos d'un des cotylédons (radicule dorsale). Fleurs jaunâtres. Feuilles caulinaires amplexicaules, sagittées. C. sativa Cr. (Cameline). — Caractères du genre. Fleurs jaunâtres, en grappes terminales. Feuilles inférieures oblon- gues, atténuées à la base; feuilles eaulinaires lancéolées-sagit- tées, entières ou denticulées. Tige haute de 50 à 80 cent., dressée, velue-rude. — Flor. : juin-juillet. — Habit. : lieux pierreux, dans les moissons, ou cultivé en grand. (). Deux variétés : a. Sylvestris, — Sauvage, très velu. GB. glabrata.—Cultivé en grand, glabre. La variété glabrata est cultivée sur une assez grande échelle pour ses graines qui renferment une huile fixe employée dans l'éclairage, la fabrication du savon et la peinture. La graine est considérée comme laxative; on en fait des cataplasmes émol- lierts; pilée et mélangée avec du blanc d'œuf, elle constitue un onguent que l’on emploie souvent, avec avantage, dans les campagnes, contre les brülures. A Fig.271.— Cochlearia officinalis. Fig. 272. — Cochlearia officinalis. Fleur; coupe longit. €COCHLEARIA L. — Se distingue par ses fleurs blanches, 219 DIALYPÉTALES HYPOGYNES sa silicule subglobuleuse, à valves sans appendices prolongeant les nervures, qui ne sont guère visibles, par sa radicule com- missurale, par ses feuilles non sagittées. C. Armoracia (Raïfort, Cranson, Cran des Anglais, Mou- tarde des capucins). — Caractères du genre. Feuilles radi- cales en bouquet, très longuement pétiolées, ovales-oblongues, crénelées; feuilles caulinaires oblongues-pinnatifides dans le bas, lancéolées, crénelées ou entières dans le haut de la tige. Fleurs blanches, petites, en grappes réunies en une panicule terminale. Souche vivace, très épaisse, émettant chaque année un bouquet de feuilles et une tige rameuse dans le haut, attei- gnant À m. et plus de haut. — Flor, : juin-juillet. — Habit. : cultivé dans les jardins. Z”. De la souche, qui est très courte, part une racine épaisse, charnue, cylin- drique, atteignant un et même deux mètres de long, usitée dans l’alimen- tation par les habitants de quelques contrées. La saveur est piquante, chaude et âcre. Elle donne, sous l'influence de l’eau et par le même procédé, une huile essentielle analogue.à celle de la moutarde ; fraichement râpée et mêlée à l’eau, elle produit la rubéfaction avec autant de rapidité et d'intensité que la graine de moutarde noire. Les feuilles sont également rubéfiantes, mais à un moindre degré. La racine de Raïfort est considérée par beaucoup d'auteurs anciens comme puissamment diuré- tique. On l’a également recommandé: contre les toux opiniâtres, Elle est stomachique et antiscorbutique. DRABA L. — Se distingue des deux précédents par sa silicule à valves planes ou à peine convexes. Les fleurs sont blanches. Les feuilles sont entières ou dentées au sommet, at- ténuées à la base. HET À S D. verna L. (Drave). — Plante haute de, 40 SRE à 1 m. 20, remarquable par ses fleurs très petites, à à pétales profondément bifides. :. ALISSUM L. — Se distingue de tous les précédents par ses silicules à loges ne contenant qu’une ou deux graines et à valves convexes au centre, planes au bord. Les fleurs sont jaunes ou jaunâtres. Les feuilles sont entières, atténuées à la base. Fleurs d'un beau jaune. Etamines à filets appendiculés. A. montanum L,. Fleurs jaunâtres. Etamines à filets non appendiculés..,.. À. calycinum L. Tribu VI. — IBÉRIDÉES. Fruit à peine plus long que large, déhiscent (silicule), com- primé perpendiculairement à la cloison, qui est par suite très étroite ; valves munies d'une carène souvent ailée. TE CRUCIFÈRES 213 Radicule: commissurale ;. 44. eee semaees anse À 1.4 Radicule dorsale (ou obliquement commissurale dans Hutchinsia) ..... Pie À re ere Sosa ses eme ER 2 Loges monospermes .....,...,.. SORA S een es cut PER *| Loges di- ou tétra-spermes.......,... Ma sers Soc LÉ 3 Filets staminaux dilatés en appendices membraneux... Teesdalia. ‘| Filets staminaux non appendiculés....,..,..... ue. FORCES: 4 Loges monospermes...... avan eans der ass Se ... Lepidium. ‘| Loges di- ou poly-spermes....... Sa evenaga se ec +3 5 Silicule obcordée. Loges polyspermes.............,... Capsella. ‘| Silicule suborbiculaire. Loges dispermes ......,..... .. Hutchinsia, LEPIDIUM L. — Sépales non gibbeux. Pétales tous de même taille. Etamines à filets non appendiculés. Silicule sub-orbicu- laire, à loges monospermes. Fleurs blanches, très petites. Feuil- les entières, ou bien dentées ou pinnatipartites. Feuilles inférieures pinnatifides, pinnatipartites 1 ou pinnatiséquées....... NUE detes cnn Ne PME RS PA Feuilles inférieures entières ou simplement den- rare NV PRES EE TE Se ER CVS EU à SR 2 Pédicelles fructifères étalés ...., ..,...... VOTRE ‘| Pédicelles fructifères pressés contre la tige.... ZL. sativum L. 3 Silicule à sommet aigu...... ......,........ L. graminifolium L,. ‘1 Silicule à sommet émarginé......,...,..... .… LL. ruderale-L. Feuilles caulinaires ovales-lancéolées, atténuées 4 ER DOME D -Se MEiTu MSc . L. latifolium L. Feuilles caulinaires sagiltées, amplexicaules..,. 5 - { S'licule à valves largement ailées dans le haut. Z. campestris R. Br. "| Silicule à valves non ailées.........,....,.... L. Draba L. L. sativum L. (Cresson des jardins, Cresson alénois, Nasi- tort). — Feuilles glabres, étalées en rosette dans le bas, où elles sont pétiolées, pinnatipartites ou pinnatifides: les caulinaires linéaires et entières. Pédicelles fructifères pressés contre la tige. Silicules suborbiculaires, à sommet échancré, à valves ailées dans le haut. Graines à cotylédons tripartits. Tige haute de 40 à 60 cent. ramifiée, glabre. — Flor. : juimfjuillet. — Habit. : cultivé dans les jardins, parfois subspontané dans le voisinage des jardins. (1). On cultive pour leurs feuilles deux variétés, l'une à feuilles planes, l’autre à feuilles très crispées. Les feuilles ont une saveur piquante très prononcée et un peu äâcre. On les mange en salade ou comme condiment de la mème façon que celles du Cresson de fontaine, dont elles possèdent les propriétés antiscorbutiques et autres. On a aussi employé jadis, en médecine, comme antiscorbutiques et diu- rétiques, les feuilles de Z. ruderale et L. latifolium, mais ces deux espèces sont aujourd'hui tout à fait abandonnées. CAPSELLA Vexr. — Se distingue du genre précédent par sa silicule obcordée, à loges polyspermes. Fleurs blanches, très petites. Feuilles caulinaires supérieures entières, amplexicaules- sagittées. 214 DIALYPÉTALES HYPOGYNES C. Bursa-pastoris Mosxcx (Bourse à pasteur). — Caractères du genre. Feuilles pubescentes. Pédicelles fructifères étalés. Silicules en grappes allongées. Tige haute de 10 à 50 centim., dressée, simple ou ramifiée. — Flor. : toute l'année. — Habit. : bords des che- mins, décombres, etc. Très répan- du. (). Il en existe une variété à feuilles toutes entières. L'odeur et la saveur des feuilles sont, la première nulle, la seconde très faible, On les a autrefois employées comme astringen- tes, dans la diarrhée, contre les hémorrhoï- des , et aussi comme emménagogues et comme toniques. Elles sont aujourd'hui, avec raison,tout à fait abandonnées. HUTCHINSIA R. Br. — Se dis- tingue des précédents par ses silicu- les suborbiculaires et oblongues, en- tières au sommet, à valves non ailées et à loges ordinairement dispermes. Radicules dorsales ou obliquement Fig. 273. commissurales. Fleurs petites et blan- Capsella Bursa-pastoris. ches,. Feuilles pinnatipartites. H. petræa R. Br. — Seule espèce. Petite plante de 5 à 10 centimètres. THLASPI Dir. — Pétales un peu inégaux. Filets staminaux non appendiculés. Silique suborbiculaire ou obovale, à valves ailées dans le haut, à loges habituellement tétraspermes, par- fois di-spermes. Radicule commissurale. Fleurs blanches, de moyenne taille. Feuilles entières ou sinuées-dentées. 1,4 Silicules à loges contenant quatre graines ou plus. 2 Silicules à loges contenant deux graines ou plus.. 7. montanum L. > { Silicules très grandes, à graines fortement striées, T. arvense L. Silieules moins grandes, à graines lisses......... T, perfoliatum L, IBERIS L. — Se distingue du précédent par ses pétales très inégaux, et par ses silicules à valves plus étroitement ailées et à loges monospermes. Fleurs blanches ou rosées. Feuilles entières ou dentées. EL. amara L. — Seule espèce. Petils plante à tige haute de 10 à 20-30 centimètres. Me te CRUCIFÈRES 245 TEESDALIA KR. Br. — Se distingue des précédents par ses étamines à filets staminaux munis latéralement d’appen- dices membraneux. Fleurs blanches, petites. Feuilles lyrées- pinnatifides, en rosettes, absentes sur la tige, « T. nudicaulis R. Br. — Seule espèce. Plante à tige haute de 60 centim. à 1 m. et plus. Tribu VII — ISATIDÉES. Fruit à peine plus long que large (silicule), indéhiscent ou s’ouvrant par des valves qui portent les graines. 1. Fleurs blanches ........vssssssosssssocssesosssesooces ” { Fleurs jaunes DE Lésscsseoss cos sepsesvenese des Silicule aplatie, à deux loges monospermes.......,...... Senebiera. Silicule subglobuleuse, à une loge monosperme.....,..,.. Calepina. Co 10 © tt ru 3 Siienle DUoeulaire : 555: peser es récente Rétro res : "LSilicule sailoculaire es; .02. ete. «0 are aies Clin ces Sat 9 Valves de la silicule s’écartant de bas en haut à retenant AN = leB-prames.. 24. 2. 40. Re 8 teen sa ce à casses. - Biscutella:. Silicule indéhiscente.....,....,... rs ee denin CE is srns HUM. 5 | Silicule aplatie en forme d'aile.,...... RS . Jsatis. ‘| Silicule subglobuleuse ..,.......,.... Sri exe à ane sr: LYEMUR BISCUTELLA L. — Sépales non gibbeux. Etamines non appendiculées. Silique biloculaire, comprimée perpendiculaire- ment à la cloison, qui est linéaire, à loges monospermes, à valves s’écartant de bas en haut de la cloison, retenant d’abord la graine, puis la laissant échapper. Graines horizontales, comprimées. Radicule commissurale. Fleurs jaunes. Feuilles radicales ordinairement pinnatifides ou rarement entières: feuilles caulinaires ordinairement entières. B. lævigata L. — Seule espèce. Plante à tige haute de 30 à 50 centimètres. SENEBIERA Porr. — Se distingue par ses silicules indéhis- centes à deux lobes monospermes, par sa radicule dorsale, par ses fleurs blanches. Feuilles pinnatipartites. S. Coronopus Porr. — Seule espèce. Plante à tige haute de 10 à 30 centimètres. ISATIS L. — Se distingue nettement par sa silique uni- loculaire, monosperme, indéhiscente, très aplatie, obovale-al- longée. Radicule dorsale. Fleurs jaunes. Feuilles toutes entières. L. tinctoria L. (Pastel, Guède, Vouède). — Caractères du genre. Fleurs petites, es. Calice étalé. Silicules pendantes, CA 53 ee 2 216 DIALYPÉTALES HYPOGYNES Feuilles radicales atténuées en pétiole, oblongues, velues; feuilles caulinaires sagittées, glabres ou presque glabres. Tige haute de 50 à 80 cent., dressée, ramifiée en corymbe dans le haut. — Flor. : mai-juin. — Habit. : décombres, vieux murs; assez rare. ©). Fig« 274. Fig. 275. Fig. 276. Isatis tincloria. Tsalis tincloria. Tsatis tincloria. Fleur; coupe longit. Fruit. Fruit; coupe longit. Les feuilles ont une saveur piquante et âcre comme celles du Cresson et jouissent à un moindre degré des mêmes propriétés; on les a autrefois employées contre le scorbut et contre la jaunisse. On extrait du Pastel une matière colorante jaune, autrefois assez re- cherchée dans la teinture. NESLEA Desv. — Se distingue par sa silicule indéhiscente, subglobuleuse, ordinairement uniloculaire et monosperme. Radicule dorsale. Fleurs jaunes. Feuilles simples, entières ou légèrement dentées. N. paniculata Desv. — Seule espèce. Plante à tige haute de 30 à 70 centimètres. CALEPINA Desv. — Se distingue du précédent par sa silicule subglobuleuse, indéhiscente, monosperme, terminée par une pointe conique épaisse; par ses fleurs blanches; par ses feuilles radicales lyrées-pinnatipartites ou sinuées. C. Corvini DeEsv. — Seule espèce. Plante à tige haute de 15 à 30 centimètres. BUNIAS R. Br. — Se distingue du précédent par sa silicule ovoide ou tétragone, indéhiscente, biloculaire, à loges mono- spermes ou à loges dispermes et alors partagées, d'habitude, en deux fausses loges, par une cloison transversale. Cotylédons linéaires et enroulés en” spirale. FQuES jaunes. Feuilles radi- cales pinnatifides ou pinnatipartites® PAPAVÉRACÉES 217 B. orientalis L. — Seule espèce; naturalisée, Plante à tige haute de 40 centim. à À m. et plus. Face XLVIIL — PAPAVÉRACÉES. Caractères constants. — Fleurs hermaphrodites, régulières ou irrégulières. Réceptacle convexe. Calice, corolle et androcée à folioles indépendantes. Calice à 2 sépales. Corolle à 4 pétales sur deux verticilles. Anthères biloculaires. Ovaire uniloculaire, à deux ou plusieurs carpelles, à placentation pariétale, à 2 ou 4-20 placentas plus ou moins saillants. Ovules anatropes. Graines albuminées. Aïfinités. — Voisines des Nymphéacées, dont elles se distin- suent par leur ovaire uniloculaire, et des Crucifères, que leurs étamines tétradynames ne permettent de confondre avec au- cune autre famille. Deux tribus : Fleurs régulières ou à peu près régulières...,........ …«.... Papavérées. Fleurs irrégulières: . ..,...,sueue ones FOUser ss... Fumariées. Tribu I. — PAPAVÉRÉES. Fleurs régulières ou à peu près régulières. Pétales tous sem- blables. Etamines en nombre habituellement indéfini. Ovaire à 4-20 placentas. Stigmales 4-20..........,..,..., Papaver T. Ovaire à 2 placentas. Stigmates 2...,,..,.......... -…….….. Chelidonium T. PAPAVER T. — Calice à 2 sépales caducs. Corolle à 4 pé- tales semblables, sur deux verticilles alternes. Etamines très nombreuses, à filets grèles, à anthères biloculaires, introrses. Gynécée formé de 4 à 20 carpelles unis par leurs faces latérales en un ovaire uniloculaire, imparfaitement subdivisé en autant de fausses loges. Fruit capsulaire, arrondi, surmonté d’un pla- teau stigmatique à autant de divisions qu’il y a de carpelles. Latex blanc dans tous les organes. ' Fendi Siahren 57 SO D uv ce P. somniferum L. ones veltes EC USD Rs ce ae 0 ee 2 Capsule glabre. Filets staminaux filiformes........ 3 2. Capsule hérissée de poils. Filets staminaux épaissis | SUPÉTICUrEMENT ..-,.....t essor cees ces nmneses ss 3 Stigmates 8-12. Capsule obovale-subglobuleuse.... P. Rhæas L. ‘| Stigmates 5-10. Capsule oblongue-claviforme...... P. dubium L. 4 Fleurs rouges-purpurines. Capsule subglobuleuse.. P. hybridum L. ‘| Fleurs rouge-clair. Capsule oblongue-claviforme... P, Argemone L. Papaver somniferum L.(Pavot). — Fleurs grandes, pourpres, violettes ou blanches, solitaires, terminales, Etamines à filets FLORE DE PARIS. 15 æ: 218 DIALYPÉTALES HYPOGYNES épaissis dans le haut. Stigmates 8-15, aplatis. Capsule arrondie, souvent déprimée, allongée dans d'autres variétés, glabre. volumineuse. Feuilles amples, glabres, glauques, découpées en dents très prononcées, les caulinaires amplexicaules, oblon- Fig. 278: Fig: 279, Papaver somniferum. Papaver somniferum. Paparer somniferum. Graine. Sommet de la capsule. Graine ; coup. long. Fig. 280, — Papaver somniferum album. Fruit; coupe? longit. gues ou ovales. Herbe annuelle, à tige simple ow peu ra- mifiée, haute de 50 centimètres à 1 mètre au plus, glabre. Plante riche en: latex. — Flor. : juio-septembre, — Habit. : origi- naire d'Orient, cultivé dans les jardins. (4). 1 : 4 x à PAPAVÉRACÉES 219 a. P. somniferum album. Graines blanches. Capsule indéhiscente. . P. somniferum nigrum. Graines noirätres. Capsule déhiscente par des pores. Aux environs de Paris, le P. somniferum n’est cultivé que comme plante ornementale. Le latex contenu dans les diverses parties de la plante sert à la préparation de l’opium. On ne l'extrait dans ce but que de la capsule, avant que celle-ci parvienne à la maturité. La variété album est la seule qui soit cultivée pour l’opium. La variété nigrum est cultivée pour ses graines, dont on extrait une huile comestible; huile d’œillette. On cultive aux environs de Paris une sous-variété de l’album, nommée de- pressum, pour ses capsules, qui sont employées à faire des décoctions légè- rement narcotiques. (Voy. DE Lanessan, Man. d’hist. nat. médic.) P. Rhæas L. (Coquelicot, Pavot coq.) — Fleurs rouges. Sé- pales couverts de poils raides et étalés. Filets staminaux filiformes. Stigmates 8-12 formant un plateau conique à lobes se recouvrant par leurs bords. Capsule glabre, subglobuleuse. Feuilles velues, pinnatipartites, à lobes découpés en dents terminées par une scie. Herbe annuelle, à tige couverte de poils raides, ramifiée, haute de 30 à 50 centimètres. — Flor. : maï- juillet. — Habit. : moissons. Très répandu. (1), Les fleurs servent à la préparation d’infusions calmantes. Les capsules et les autres parties de la plante sont riches en un latex blane, qui contient un alealoïde spécial, non toxique, la rhæadine. 4 Fig. 281. — Paparer Rheæas. Fleur. Fig. 282. — Chelidonium majus. CHELIDONIUM T. — Calice à 2 sépales. Corolle à 4 pétales sur deux verticilles, en croix. Etamines nombreuses. Gynécée formé de deux carpelles unis par les bords en un ovaire unilo- ë sie . que - à , PR die © nd ns ©: n _ rai 220 DIALYPÉTALES HYPOGYNES culaire, allongé, offrant deux placentas pariétaux peu saillants qui portent les ovules. Capsule s'ouvrant en deux valves qui se détachent des placentas. Latex jaune. Chelidonium majus L, (Grande Eclaire, Herbe aux ver- rues.) — Fleurs jaunes, en cymes terminales ombelliformes, pauciflores. Sépales jaunâtres. Pétales jaunes. Feuilles pinna- tiséquées, à 3-7 segments lobés, incisés. Herbe vivace, à souche épaisse, à rameaux aériens dressés, ramifiés, pubescents. Toutes les parties de la plante sont très riches en latex jaune. — Flor. : avril-septembre. — Habit, : vieux murs, décombres, lieux hu- LA mides, pierreux. Commun. 77. Le latex est très âcre, irritant et même escharotique, ce qui le fait em- ployer dans les campagnes pour détruire les verrues. 11 contient deux alca- loïdes, la chélérythrine et la chélidoxanthine. Tribu II. — FUMARIÉES. Fleurs irrégulières. Calice pétaloïde. Corolle à 4 pétales dis- semblables, les deux latéraux munis d’une saillie longitudinale en forme d’aile, le supérieur pourvu d’une épine. Etamines en deux faisceaux. Fruit polysperme, déhiscent............................. Corydalis. Fruit monosperme , indéhiscent.....................,...,.. Fumaria. CORYDALIS DC. — Fleurs jaunes ou purpurines, très rarement blanches. Fruit en forme de silique, comprimé, déhiscent, contenant un assez grand nombre de graines munies d'un arille (strophiole) en forme de crête. Fleurs purpurines ou blanches. 125042000000 C. solida Sn. Kieurs Jaunes.".........0.... (NOR NC RER C. lutea DC. FUMARIA L. — Fleurs purpurines ou blanches, souvent tachées de pourpre foncé dans le haut des pétales. Fruit indé- hiscent, contenant une seule graine sans arille. { Fruit globuieux............................,..... 2 | Fruit plus large que long......................... FF, officinalis L. Sépales plus étroits que le pédicelle floral.......... F. Vaillantii Lors. Sépales plus larges que le pédicelle floral......... 3 Sépales cinq ou six fois plus courts que la corolle.. Æ.parvi/flora Link, Sépales atteignant le tiers ou la moitié de la hauteur de la corolle.. .... 4:44. .1éntna See PSE Sépales ovales-aigus, atteignant la moitié de lacorolle. F. capreolata L. Sépales suborbiculaïres, dépassant le tiers de la co- ne ele Vo TUE SOOPRSPRCENREE F. densiflora DC. PAPAVÉRACÉES 221 F. officinalis L. (Fumeterre.) — Fleurs purpurines, pe- tites, en: grappes lâches, allongées. Sépales lancéolés, n’attei- 6 : Fig, 284. — Fumaria officinalis. LAN Fig. 285. Fig. 286, Fig. 283. Fumaria officinalis. Fumaria offieinalis. Corydalis solida. Fleur; coupe longitud. Androcée. Snant pas la moitié de la hauteur de la corolle, aussi larges Lu L4 Q r - r x . . qu'elle. Pétale inférieur canaliculé, à limbe concave. Fruit plus large que long, tronqué et invaginé au sommet. Feuilles ‘ 8 À T-AUTEE . > AREA EES r'} de en 2e 222 DIALYPÉTALES HYPOGYNES bi ou tri-pinnatiséquées. Tige très ramifiée, haute de 30 à 80 centim. — Flor. : mai-octobre. — Habit. : champs cultivés, bords des routes. (4). Les parties vertes de la Fumeterre possèdent une saveur légèrement amère ; elles ont joui autrefois d’une certaine réputation comme antiscorbu- tiques et stomachiques. Faire XLVIIH. — RÉSÉDACÉES. Caractères constants. — Fleurs irrégulières, hermaphrodites. Réceplacle convexe, Périanthe double. Calice ordinairement 6-mère, plus rarement 4-8-mère, à sépales inégaux, indépen- dants ou connés à la base. Corolle à pétales en même nombre que les sépales, inégaux, d'autant plus grands et plus décou- pés qu'ils sont plus postérieurs. Disque hypogyne, en forme de croissant, très haut en arrière, presque nul en avant. Etamines nombreuses, insérées sur le disque. Anthères biloculaires, in- trorses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, tantôt uniloculaire, ouvert et 3-4-denté au sommet, 3-4-car- pellé, à 3-4 placentas pariétaux, pluri-ovulés, tantôt formé de 3-4-carpelles indépendants. Ovules anatropes. Fruit capsulaire. ouvert au sommet. Graines sans albumen. Affinités. — Les Résédacées sont voisines des Papavéracées, dont elles ont les étamines en nombre à peu près indéfni; mais elles s’en distinguent par l'irrégularité particulière de leur fleur, qui ne permet de les confondre avec aucune autre famille. Par les formes à carpelles indépendants, elles se rap- prochent beaucoup des Renonculacées, mais ces dernières en diffèrent par la régularité de leurs fleurs et par leurs carpelles spiralés. Deux genres : Carpelles indépendants, monospermes........ ss idee ..... Astrocarpus. Carpelles connés en un ovaire uniloculaire, à 3-4 placentas DATE PAURRRRE. ski rredunster RE EE NE MR 0 ASTROCARPUS Necx. — Calice à 5 sépales. Corolle à 5 pé- tales, les postérieurs 4-7-partits. Etamines 7-15. Carpelles 5, indépendants, étalés et pédiculés à la maturité, monospermes. Feuilles simples. Fleurs en grappes effilées, lâches. A. Clusii J. Gay. — Plante à tige haute de 20-50 centim., à feuilles radicales en rosette, oblongues-spatulées, les caulinaires linéaires; à fleurs jaunâtres: très rare dans les lieux arides. RÉSÉDACÉES 223 RESEDA L. — Calice ordinairement à 6 sépales, rarement | 4 ou 7-8, inégaux. Corolle à pétales en même nombre, les postérieurs tripartits, les antérieurs très réduits. Eta- mines 40-40. Ovaire 3-4-ear- pellé, uniloculaire, à 3-4 placentas pariétaux, large- ment ouvert et 3-4-denté au sommet. Feuilles infé- rieures ordinairement indi- vises, les supérieures pinna- tipartites. Fleurs en grappes très longues. Fig. 287. Fig. 288. Reseda Luteola, Sommité fleurie. Reseda lutea, Fleur. « Capsule à carpelles connés presque jusqu’en haut. Placentas filiformes, prolongés jusqu'au sommet des cœpellesz:tis. série PA ete M ER eee, DEP 2 Capsule à carpelles connés seulement dans la moitié ou les deux tiers inférieurs. Placentas épais, ne dé- passant pas la partie connée des carpelles, ..,,.... R. Luteola L. Si. Fée hoflones 2 Sie Tease RER Cn Dee ds 3 "PLEleuesutrès odorantes. ©... esse ose e LH PIRE R. odorata L. 3 PRE nee 2 A ucnne manne dise. te RE VOIRE DIE ce mme ce ect a mie de LE PRE R. PhyteumaL.. Les racines de ces espèces sont amères et âcres. Les infloreseences ‘ont été jadis employées en tisane, mais n’ont jamais eu une grande réputation . Le R. Luteola (Gaude, Herbe à jaunir) est employé dans la teinture; il donne une belle couleur jaune. Le À. odorata est beaucoup cultivé pour ses fleurs très odorantes, qu'on utilise dans la parfumerie. 22% DIALYPÉTALES HYPOGYNES FauiLze XLIX. — VIOLACÉES. Caractères constants. — Fleurs irrégulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice 5-mère, à sépales indépendants, ou légèrement connés à la base, prolongés dans le bas, persistants. Corolle 5-mère, à pétales indépendants, hypogynes, inégaux, l’inférieur prolongé en éperon creux. Fig, 289. — Viola odorala. Fig. 290. — Viola tricolor. Etamines 5, hypogynes, à filets indépendants: Anthères bilo- culaires, introrses, appendiculées au sommet, déhiscentes par des fentes longitudinales, les deux inférieures munies de lames appendiculaires dorsales qui s’enfoncent dans l'éperon du pétale. Ovaire supère, 3-carpellé, uniloculaire, à 3 placentas pariétaux pluriovulés, surmonté d’un style simple, terminé par un stigmate courbé en crochet, étalé en disque oblique ou creusé en cornet. Fruit capsulaire, 1-loculaire, polysperme, à déhiscence loculicide en 3 valves qui portent les graines en leur milieu. Graines strophiolées, albuminées. Feuilles alter- nes, simples, involutées dans la préfoliation, Fleurs axillaires, solitaires. Affinités. — Les Violacées sont voisines des Résédacées dont elles se distinguent par leur irrégularité moindre, et par leur VIOLACÉES 225 androcée à étamines rigoureusement en même nombre que Îles pétales. Ce caractère les distingue des Cistinées, qui ont des fleurs un peu irrégulières et des étamines en nombre indéfini. Fig. 291. Fig. 292. Viola odorata. Fleur; coupe longit. Fig. 293. Fig. 294. Viola odorata. Fleur sans la corolle. Viola odorata. Capsule ouverte, VIOLA T. — Seul genre. Caractères de la famille, Corolle à 2 pétales supérieurs dirigés en haut, les deux latéraux et l’inférieur dirigés 1 ém'Dis.. ruse Ne DCPEEEEPONCEEEEE 2 *) Corolle à 2 pétales supérieurs et 2 pétales latéraux dirigés en haut, l’inférieur seul di- rigé en bas. Stigmate subglobuleux, creux. 6 Stigmate en bec pointu, recourbé..,....... 3 2,4 Stigmate évasé en disque oblique. Plante aie Es ture MATE DS Saniele de bee à « _V. palusiris L. Plante acaule. Fleurs solitaires à l'extrémité de pédoncules radicaux. Capsule subglo- 3./ buleuse, volue. ass tros Mae % °* Plante à tiges florifères ramifiées, ascen- dantes ou couchées à la base, Capsule ovale- oMongne. glabre 44,45. 42e 830 s 13. 296 DIALYPÉTALES HYPOGYNES { Fleurs inodores. Souche non stolonifère...,. V. kinta L. 4) Fleurs odorantes. Souche stolonifère.,.... V. odorata L. Tiges florifères partant de la base d’une rosette de feuilles............. ec. voor We SYIVESTIS LAMK. 5.{ Tiges florifères partant des rameaux de la souche, qui ne portent pas de rosettes de fenilles :.....:% ain cie ANNEE V, canina L. Feuilles glabres ou presque glabres. Fleurs mélées de jaune, de blane et de pourpre. V. tricolor L,. Feuilles couvertes de longs poils. Fleurs vio- lotie Hess KT PS Re see .……... V. Rafhomagensis DESr. On cultive beaucoup dans les jardins le Viola odorata pour ses fleurs à cdeur suave qui font partie des quatre fleurs pectorales de la Pharmacopée. On prépare avec elles un sirop de violettes employé dans la bronchite. Il est légèrement laxatif. Les feuilles sont inodores, un peu mucilagineuses et faiblement laxatives. Les racines ont une saveur nauséeuse, assez ana- losue à celle de l'Ipécacuanha; elles sont vomitives à haute dose; on en a extrait de l'émétine. à La racine du V. canina (Violette de chien, Violette sauvage) est égale- ment vomitive. Les fleurs du Viola tricolor (Pensée sauvage) et celles de la Pensée cul: livée, qui n’est qu'une variété du type sauvaye, sont légèrement laxatives et diaphorétiques. On prescrit leur décoction contre les ceroûtes du lait des enfants. Famizze L. —"CISTACÉES. Caractères constants. — Fleurs un peu irrégulières, herma- phrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice 5-mère, à pétales inégaux, les inférieurs plus petits ou avortés. Corolle 5-mère, à pétales indépendants, très caducs, contournés-chif- fonnés dans la préfloraison. Etamines en nombre indéfini, hypogynes, à filets indépendants. Anthères biloculaires, déhis- centes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 3-5 ou rarement 6-10-carpellé, 1-loculaire, à 3-5 placentas pariétaux, plus rarement à 6-10 loges incomplètes, pluriovulé. Style unique. Ovules anatropes. Fruit capsulaire, polysperme, 1-locu- laire, plus rarement à 6-10 loges incomplètes, à déhiscence loculicide. Graines à albumen mince. Feuilles éparses où 0p- posées, au moins les inférieures. À. Affinités. — Les Cistacées sont voisines des Violariées, dont elles diffèrent par leurs fleurs à peu près régulières et par leurs étamines en nombre indéfini. Ce dernier caractère les rappro- che des Papavéracées. x Deux genres : Etamines toutes fertiles. Feuilles stipulées, opposées, au . moins les inférieures... ,.,... dos sr ese nee ee dde ee OO RONEUM. Etamines extérieures stériles. Feuilles sans stipules , ÉDALSES nu arr Re nu à A2 HYPÉRICACÉES 297 HELIANTHEMUM T. — Etamines toutes fertiles. Graines sans raphé. Feuilles toutes ou, au moins, les inférieures oppe- sées, munies de stipules. CRE ARR hs andS ce 2 FE Fleurs DISREROS rennes ece ans 4 !: Stigmate à peu près sessile, Pétales jaunes, tachés de brun à la base............. H, quttatum Mirx. 2.4 Stigmate porté par un style au moins aussi long que l'ovaire. Pétales entière- mem jaunes.2e 7... 05. here ee dé Feuilles accompagnées de stipules étroi- 3.4 tes, plus longues que le pétiole..... .… 1. vulgare GærTx. Feuilles sans stipules. cnreesmnsenocns H. Œlandicum Was. { Feuilles duvetées-blanchâtres en dessus, tomenteuses - blanchätres en dessous. 4 Fleurs en grappes terminales,........ A, pulverulentum DC. Feuilles vertes en dessus. Fleurs verti- | cillées ou en ombelles terminales... .. A. umbellatum Mux.. FUMANA Sracu. — Etamines extérieures stériles, à filets srèles, moniliformes. Graines munies d'un raphé saillant. Capsule divisée en 3 loges. Feuilles éparses, sans stipules. Fleurs subsolitaires, jaunes. F. vulgaris Spacu. — Seule espèce. Plante haute de 10 à 30 centim., très ramifiée, à rameaux étalés, rare dans les lieux polvspermes. Fanire LI. — HYPÉRICACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières ou à pen près régulières , hermaphrodites . Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice 5-mère ou rarement 4- -mère, à sépales persis- tants, indépendants ou connés vers la base. Corolle dialypé- tale, 5-mère, ou rarement 4-mère, imbriquée-contournée dans la préfloraison. Etamines en nombre indéfini, à filets connés inférieurement en faisceaux oppositipétales. Ovaire supère, 3-5-carpellé, 1-loculaire, ou plus souvent 3-5-loeulaire, à loges pluriovulées. Ovules anatropes, insérés tantôt sur des placentas pariétaux, tantôt dans l’angle interne des loges. Fruit habituel- lement capsulaire., à déhiscence septicide, rarement bacciforme, indéhiscent. Graines sans albumen. Feuilles opposées, sens stipules, entières. Fleurs jaunes. Affinités. — Les Hypéricacées sont très voisines des Malvacées, dont elles ont les étamines connées en faisceaux, et l'ovaire souvent pluri-loculaire, mais dont elles diffèrent par leurs feuilles opposées. Elles ressemblent beaucoup aux Cistacées 228 DIALYPÉTALES HYPOGYNES par leur périanthe et leur androcée, mais en diffèrent par leurs étamines connées en faisceaux. Trois genres : Fruit bacciforme indébiscent, Calice à sépales très iné- ANT EMMX::.2- crea Die RES AMEN enoisoetes es MATMOTONENTUM. Fruit capsulaire. Calice à |‘ sépales presque Égaux..,.…. | Fleur pourvue de 5 glandes PAIE alferies avec 2 CR les faisceaux staminaux........,.... AP pe CET E Helodes. Fleur dépourvue de glandes pétaloïdes. . serie es con MO DAPTICUR . HYPERICUM L. — Sépales 5, à peu près égaux. Pétales 5, marcescents, égaux. Pas de glandes pétaloïdes. Styles 3, rare- ment 5. Capsule 3-loculaire, rarement 5-loculaire, à déhis- cence septicide en 3, rarement 5 valves. Feuilles opposées. ordinairemeut ponctuées de glandes transparentes. Fleurs jaunes. Tige à 2-4 lignes saillantes. Sépales sans cils 1 glanduleux. DE PRE EN NU F2 ÿ Tige sans lignes saillantes. Sépales à bords mu- l nis de cils “portant des glandes noires........ o 2 Tige couchée, munie de 2 lignes très fines... H, humifusum L. ÿ Tige dressée, à ? ou : j lignes saillantes........ 3 { Tige à 2 lignes peu EE des 5 due 6 ce CT APM EAN TX ; : Tige à ; lignes Sarliantes,.: chésase RE : Tige à 4 lignes plus ou‘moins s saillantes, Sépales r extérieurs obtus...… d'énrous 8 ds ane SP ED H. quadrangulum L. *) Tige à 4 lignes très saillantes, presque ailées, Sépales tous lancéolés- -ACUMINÉS, ..s.sc.ccss.s Æ. etrapterum L. 5 Tioé Hahn ee Len es à EAP 6 ATiSO VeIDO DD be se sss rase eu . A. hirsutum L. Sépales larges, arrondis, à glandes noires ses- siles. Feuilles cordées, amplexicaules..,,.... A7. pulchrum L. 6,4 Sépales linéaires, à glandes noires stipitées. dées. ds AR LE LI PRE CO ........ 21, montanum L. L’'AÆ. NM L. (Millepertuis, Chasse-diable) exhale quand on froisse ses feuilles une odeur aromatique très prononcée, due à l'huile essentielle contenue dans de nombreuses glandes pellucides. Il a joui autrefois d’une grande réputation comme vulnéraire, à l'intérieur et à l'extérieur. On l’em- ployait aussi contre les affections chroniques et aiguës des poumons, contre la leucorrhée, l’aménorrhée, etc. Il est tonique et un peu stimulant. ( Feuilles oblongues, non amplexicaules, non cor- HELODES Spacx. — Sépales 5, à peu près égaux. Pétales 5, marcescents, égaux. Glandes pétaloïdes alternes avec les pétales et en même nombre qu'eux, bifides. Styles 3. Capsule 1-locu- laire, à 3 placentas pariétaux, pluri-spermée, déhiscente en 3 valves. Feuilles tomenteuses-blanches, sans glandes pellu- cides. H. palustris Spacx. — Seule espèce. Plante de 10 à 30 cent., couchée, radicante, rare dans les tourbières et marais. 2 4, 1 | | DROSÉRACÉES 229 4 ANDROSÆMUM T. — Sépales 5, très inégaux. Pétales 5, | caducs. Styles 3. Pas de glandes pétaloïdes. Fruit baceiforme, indéhiscent. Feuilles sans glandes pellucides. A. officinale ALL. — Seule espèce. Plante à tige dressée, ramifiée, haute de 50 à 70 centim., très rare dans les parties humides et ombragées des forêts. Cette espèce jouit à peu près des mêmes propriétés que le Millepertuis. Fauizze LI. — DROSÉRACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice 5-mère, à sépales Fig. 295. — Drosera rotundifolia. Fig. 296. — Drosera longifolia. indépendants ou connés à la base. Corolle 5-mère, dialypé- tale, hypogyne. Etamines en nombre égal ou double des péta- les, à filets indépendants. Anthères biloculaires, extrorses, 230 DIALYPÉTALES HYPOGYNES : déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 3-5- carpellé, 4-loculaire, à 3-5 placentas pariétaux, pluriovulés. Styles 3-5, indépendants. Fruit capsulaire, 4-loculaire, locu- licide, à 3-5 valves, Graines albuminées. Feuilles toutes radi- cales, en rosette. Affinités. — Les Droséracées sont voisines des Hypéricacées, dont elles se distinguent par leur androcée plus réduit, leurs fleurs tout à fait régulières, et leur ovaire toujours uniloculaire. Elles sont également très voisines des Pyrolacées dont elles se distinguent par leur ovaire uniloculaire. Deux genres : Feuilles couvertes de poils glanduleux très longs. .....,,..... Drosera. Feuilles glabres, coriaces...... ad rte se dusalee : ot RON TANT. DROSERA L. — Caractères de la famille. Fleurs dépourvues d'écailles nectarifères, petites, blanches, disposées en une sorte d'épi unilatéral, allongé, enroulé avant l'épanouissement. Feuil- les toutes en rosette, molles, couvertes de longs poils capités, glanduleux, sécrétant un liquide visqueux et se rabattant sur les insectes qui se posent sur la feuille. | Pédoncule florifère droit, naissant du centre de 1 la'rosette desifegiles.s. . ..20 Re a ee 2 *) Pédoncule florifère coudé à la base, naissant au-dessous de la rosette des feuilles. ..,.,..... D, intermedia HAYNE. Feuilles arrondies, longuement pétiolées.,.,... D. rotundifolia L. 2 | Feuilles oblongues, étroites, longuement atté- nuées en pétiole..........,. Se USE ER .. D. longifolia L. Les Drosera ont été rendus célèbres dans ces derniers temps par les expériences dont ils ont été l’objet en tant que plantes carnivores. Leurs clandes sécrètent un liquide riche en une sorte de pepsine qui digère les insectes, PARNASSIA T. — $e distingue du précédent par ses fleurs assez grandes, pourvues de cinq écailles nectarifères oppositi- pétales, lacimiées, et par ses feuilles coriaces, très glabres. P. palustris L. — Seule espèce. Plante à pédoncules flori- fères hauts de 10 à 40 centim., dressés, à fleurs blanches. Com- mun dans les marais tourbeux et les marécages. Fauizce LIT. — PYROLACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe double. Calice 5-imère, à sépales connés à la base. Corolle 5-mère, à pétales indépendants, hy- Re où PYROLACÉES 231 pogynes, cadues. Etamines en nombre double de celui des, pétales, à filets indépendants. Anthères biloculaires, extrorses, déhiscencentes par des pores ba- silaires, baseulant et se déjetant en dedans après la floraison. O- vaire supère, 5-carpellé, 5-locu- laire. à loges polyspermes. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne. Graines albuminées. Fruit capsulaire, 5-loculaire, à loges polyspermes, à déhiscence loculicide, en 5 valves. Feuil- les simples, sans stipules, co- riaces, entières ou crénelées. Fleurs blanches, en grappes dres- sées. Affinités. — Les Pyrolacées peuvent être définies des Erica- cées à corolle dialypétale. PYROLA T. — Caractères de la famille. Style plus long que les pétales. Fleurs en grappe làche ...... P.rotundifolia X.. Style plus court que les pétales. Fleurs en épis court ...... P. minor L, b. — DIALYPÉTALES PÉRIGYNES et ÉPIGYNES. Corolle dialypétale. Réceptacle plus ou moins concave, tan- tôt enveloppant les carpelles sans y adhérer, tantôt se déve- loppant de manière à former une partie ou la totalité des parois ovariennes. Corolle et étamines insérées autour de l'ovaire (périgynes) ou au-dessus de lui (épigynes). TABLEAU DICHOTOMIQUE DES FAMILLES. 4 { Corolle et androcée périgynes........,.. 2 ‘| Corolle et androcée épigynes...,.,..…,.. 8 vo . LS Qt D (®ù LT en ce ne DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Gynécée à un seul carpelle ou à plusieurs carpelles indépendants.......,,........ Gynécée à 2 ou plusieurs carpelles connés en un ovaire 1-2-ou pluri-loculaire, ..... Corolle papilionacée. Un seul carpelle IUTIOVUlÉ eee eseceeeessseserses. . Léquinineuses Papilionacées. < | } Corolle régulière ou à peu près régulière. Un seul ou plusieurs carpelles indépen- Arbres, arbrisseaux ou herbes à feuilles membraneuses ......... AR TE Herbes à feuilles succulentes...,...,...... Ovaire 1-loculaire à l’état adulte..,...,.. Ovaire ?- ou pluri-loculaire à l’état adulte, Calice à 2? sépales, Fruit 3- ou poly-sperme, débiscents.....4....". « Calice à 5 sépales. Fruit 1-sperme, indéhis- CON ID T se aie ee ele ee aie sida eee le jofe r = re le A “, » Étamines 4-5, 1-verticillées , oppositipé- Halbs Fruit d'Upare...... 2... Étamines 8-12, 2-verticillées, alternipétales. Pot ccapsulairers... :,.,... ess res, Ovairé 2-pluri-loculaire , à placentation ARE LS RER nn ES 2e ae à nie 00 eV Oveine rt locale à cu ste de CR Ovaire 2-carpellé, à carpelles se séparant en- tièrement à la maturité, indéhiscents, mo- nospermes, munis ordinairement de côtes et de canaux sécréteurs (méricarpes)... Ovaire à carpelles ne se séparant pas à la MAR ATNNDE EE Poe D Ales Dies cie een sie eee GE CCC ECC ET HAT OS MN ME See 2 nie don ele le Etamines:#, 5, 8, 10 au plus.,..,...,.... Etamines ordinairement 10, rarement 8. SUR TE OI RTE SR ORNE UE Hfamimes 2, 45 DO: :..h:e ere Sépales, pétales et étamines 2..,........ Sépales et pétales 4, 5. Etamines 4 ou $, charnu, bacciforme ou drupacé......... # Sépales et pétales 4. Etamines 4 ou $&, Fruit sec, 4-loculaire....... AR Es sont Plantes terrestres hescesece cr e:ccheee Plantes :aqualiquess "104 HrL cree Un seul ovule inséré sur le fond de la loge. Plantes DArdlles. ei... Ne : Plusieurs ovules insérés sur 2? placentas PAFIÉ LAURE ARE PSE RER. CE LEONE 3 o & _ Rosacées. , Crassulacées. — : 6 7 Portulacées. 4 D4 4e Paronychiées. * ? f , El Rhamnacées. : Lithrariées. 9 15 Ombellifères, 10 f Pyrées1, 11 Saxifragacées. # 12 Circéacées. 13 «Ke Hédéracées, 21 14 é Onagrariées. +" Haloragées. Loranthacées. Crassulacées. { f 1. Les Pyrées constituent une simple tribu des Rosacées; je les fais figu- rer dans ce tableau pour la facilité du diagnostic ; leur ovaire est infère et les étamines sont épigynes, tandis que dans les autres Rosacées l'ovaire est libre et les étamines sont périgynes, ROSACÉES | 233 FAMILLE LIV. — ROSACÉES. Caractères constants, — Fleurs hermaphrodites , régu- lières. Réceptacle plus ou moins concave, souvent relevé au centre. Calice et corolle pentamères, à folioles indépendantes. Etamines plus ou moins nombreuses, verticillées, à filets indépendants, à anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par deux fentes longitudinales. Embryon dépourvu d’albumen. Feuilles alternes, stipulées. Affinités. — Les Rosacées sont très voisines des Renoncu- lacées, dont elles diffèrent par la périgynie habituelle de l'androcée, l'absence d’albumen et la présence de stipules. Des Renonculacées Pæoniées, à réceptacle cupuliforme et à carpelles en nombre égal ou inférieur à celui des sépales, on passe aux Rosacées Spirées, à carpelles peu nombreux; celles-ci condui- sent'aux Prunées, qui n’ont qu'un seul carpelle, et aux Pyrées, à cinq carpelles tout à fait infères. Les Renoncules conduisent aux Fragariées, qui ont le réceptacle élevé au centre, et de ces dernières, par affaissement de la portion centrale du réceptacle, on passe aux Agrimoniées et aux Rosées. Les Saxifragacées ue diffèrent des Rosacées que par leur placentation pariétale. Les Légumineuses ont le réceptacle cupiliforme et le carpelle unique des Prunées. Les Pyrées, avec leur ovaire infère, con- duisent aux Rhamnacées. Six tribus : 1.4 Gynécée infère, ou libre dans un réceptacle très concave. 2 ‘| Gynécée non inclus et libre...,,......... Hnsvabe SCe ui 9 | Gynécée inclus et libre dans un réceptacle concave..... 3 "‘4& Gynécée- infère ........,,... St OR d'est ae . Pyrées, Coupe réceptaculaire charnue à la maturité............ Rosées. ‘| Coupe réceptaculaire sèche à la maturité.... ..,.... ... _Agrimoniées. 4 Carpelle ordinairement solitaire; fruit drupacé....... =. : Prunées. ‘| Carpelles plus ou moins nombreux,................ re 3 Réceptacle cupuliforme, non soulevé au centre.......,,. Spirées. ‘| Réceptacle cupuliforme, soulevé au centre.......... .… Fragariées. Tribu I. — FRAGARIÉES. Réceptacle convexe au centre, relevé sur les bords qui por- tent le périanthe et l’androcée. Carpelles nombreux, indépen- dants, insérés sur la portion convexe du réceptacle. Ovules solitaires ou géminés. Tige herbacée ou frutescente. ,{ Portion centrale du réceptacle charnue.....,. ...... Fraÿaria ‘| Portion centrale du réceptacle sèche....... 234 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES 4 Ovaires charnus à la maturité........,.,.......... Rubus. “| Ovaires secs à la maturité........... nine ERA ER 3 3. { Styles accrescents, genouillés au sommet...... 4) GEUNE. e Styles marcescents ou cadues ...,.......,... SR - 4 , 4 Styles marcescents, non caducs....... rss Comtrurm: GS | Styles cadurs mere es CR .. Potentilla. FRAGARIA T. — Calicule à cinœæ folioles souvent dédou- blées, considérées comme les stipules des sépales. Calice à 5 sépales valvaires et légèrement indupliqués ou imbriqués. Corolle à 5 pétales onguiculés, imbriqués dans le bouton. Ordinairement 20 étamines sur trois werticilles. Carpelles insérés sur la portion convexe du réceptacle, très nom- breux, indépendants, uniovulés, surmontés chacun d’un style latéral ou presque basilaire, accrescent. Ovule anatrope, descen- dant, à micropyle dirigé en haut et en dehors. Fruit multiple, formé de mombreux achaines secs, portés par un réceptacle charnu, succulent, lisse, caduc à la maturité, entouré à la base par le calice et le calicule persistants. Feuilles radicaleS, lon- sguement pétiolées, à trois folioles dentées, à stipules latérales, soudées au pétiole dans presque toute leur longueur: Tiges allongées en stolons. A i { Calice étalé ou réfléchi à la maturité. 2 ‘| Calice appliqué contre le fruit.... 3 » 4 Pédicelles à poils apprimés....... Æ. vesea L. "| Pédicelles à poils étalés..... .….. Æ, elatior Eur. ( Stolons munis d’écailles dans les in- tervalles des bouquets de feuilles. 7. Hagenbachiana Lawxc et Kocu. 4 Stolons dépourvus d’écailles, sauf \ dans l'intervalle inférieur, ....... FF, collina Exrx. Fig. 298. Fig. 299. Fig. 300. Fragaria vesca. Fragaria vesca. Fragaria vesca. Fleur avec son calice Coupe longitudinale Fruit mûr. et son calicule. de la fleur, | F. vesea L. (Fraisier commun, F. des bois, F. Fressant). — Fleurs en cymes terminales, pauciflores, sur un axe floral nu ou muni d'une seule feuille florale, haut de 10 à 30 centi- ROSACÉES 235 mètres. Pédicules floraux couverts de poils apprimés, courbés à la maturité du fruit. Calice vert, persistant. étalé ou réfléchi au moment de la maturité du fruit. Corolle blanche. Eta- mines aussi hautes que le réceptacle, au moment de lépa- nouissement de la fleur. Réceptacle succulent, rouge, ovoïde ou sub-globuleux, chargé d’achaines noirâtres sur toute sa surface. Feuilles blanchâtres et pubescentes en dessous, à pétiole couvert de poils étalés, à folioles larges, oblongues, dentées. Fruit très parfumé et savoureux. — Flor. : avril-juin. — Habit. : surfaces découvertes des bois, bords herbeux des sentiers, etc. Très commun. — On en cultive une variété sous le nom de Fraisier de tous les mois. F. elatior Eurx. — Se distingue de la précédente par des fleurs plus grandes; des pédoncules floraux ordinairement plus élevés ; des pédicelles couverts de poils étalés; un fruit ovoïde, rétréci à la base qui est dépourvue de carpelles. — Flor. : même époque. — Habit. : mêmes lieux; plus rare. — Cultivé sous le nom de Fraisier caperonnier. TER F. collina Enru. (Craquelin, Fraisier, Breslinge). — Se dis- tingue des deux espèces précédentes par ses pédoncules flo- raux plus courts et par son calice appliqué contre le fruit au moment de la maturité. — Flor. : maïi-juin. — Habit. : clai- rières des bois, pelouses des coteaux arides. Assez rare. — Les variétés cultivées ont des fruits à saveur musquée. Les rhizomes de ces trois espèces de Fraisier sont assez riches en tannin, qui les rend astringents. On employait autrefois leur décoction contre l4 diarrhée et l’angine. Les fruits ont une saveur acidule, sucrée; ils sont riches en acide malique et légèrement laxatifs ; ils donnent de l'alcool par la fermentation. Le genre Potentilla se divise assez naturellernent en deux sections : Fléurs Cblanélés 1... ses Mn tisse Fragariastrum. Fleurs jaunes_......... PR SR APN PTE 2. FRE Potentillastrum . Section EL. — Fragariastrum. Fleurs blanches, Pétales dépassant à peine le alice .................... P. Fragaria. Pétales une fois aussi longs que le calice............... P.. splendens. Section II. — Potentillastrum. Fleurs jannes. 1.{ Feuilles palmatiséquées. .….... PE She 19 SE ses ES 2 tt Feuilles pinnéhisequées : -.322%.2.21...:40...2. 2 6 2 4 Calice et corolle à 4 divisions ..................... P. Tormentilla. {Galice et corolle à 5 divisions..................... 3 3 { Rameaux couchés ou rampants..................... “ HrrmenEx. danssés Li PEL. dus. SuiR Tee : ETS 5 K À >. TS DT LR 236 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES 4.4 Fleurs solitaires. ................................. « P. reptans 1. ‘| Fleurs en cymes pauciflores......,....,,.....4.... . P. verna L. »- { Feuilles vertes sur les deux faces............... * Potreclta:T: 5. Feuilles blanches et tomenteuses en dessous........ P. argentea L. 6.{ Pétales beaucoup plus longs que le calice.......... P. Anserina L. "| Pétales plus courts que le talice. : 1.712.440 Ans P. supina L. POTENTILEA L. — Fleur très voisine de celle des Frai- siers, habituellement jaune. Calicule à 5 folioles, rarement 4. Calice à 5 folioles, rarement 4. Réceptacle convexe au centre, sec, persistant, portant des carpelles secs, petits. Feuilles radi- cales pinnatiséquées ou palmatiséquées, à stipules plus ou moins soudées au pétiole. Souche donnant naissance à des tiges rampantes, parfois sousfrutescentes à la naissance. F.g. 301. — Polentilla Tormentilla! P. Tormentilla Sisru. (Tormentilla officinalis L. — Tormen- tille). — Fleurs jaunes, tétramères, petites, en cymes terminales, feuillées, pauciflores. Pétales et sépales à peu près de même taille. Carpelles à peu près lisses à la maturité. Feuilles florales ou caulinaires sessiles, à folioles oblongues, atténuées à la base. Stipules amples, 3-5 lobées. Feuilles radicales pétiolées, à 3 ou rarement à folioles plus ou moins nettement obovales, pubescentes, vertes sur les deux faces, à 4 ou 5 dents de chaque côté, la terminale plus longue que les latérales. Souche vivace, courte, épaisse, dure, portant une rosette «le feuilles et des rameaux nombreux, grêles, longs de 10 à 40 cen- timètres, étalés. — Flor. : mai-juillet. — Habit. : bruyères, par- ties découvertes et sèches des bois.»Commun. 7}. La souche est riche en tannin qui la rend très astringente. P. reptans L. (Quintefeuille). — Très voisine de la précé- dente, dont elle se distingue par ses fleurs pentamères, soli- taires, opposées aux feuilles ou latérales; par ses feuilles Lo ROSACÉES 237 à 5 ou 7 folioles, rarement 3, glabres ou pubescentes seulement en dessous, à dents nombreuses, la dent terminale étant plus courte que les latérales; ses carpelles un peu rugueux à la maturité. — Flor. : juin-août. — Habit. : fossés, pâturages, bords herbeux des chemins, lieux découverts et herbeux des bois. 77. La souche contient du tannin, mais elle est beaucoup moins astringente que celle de l'espèce précédente. Fig. 302. — Potentilla Anserina. Fig. 303.— Potentilla Anserin«. Fleur. P. Anserina L. (Ansérine, Argentine, Herbe aux oies). — Se distingue des deux précédentes par ses fleurs beaucoup plus grandes, solitaires à l’aisselle des feuilles et portées par de longs pédoncules velus, blanchâtres ; par ses pétales beaucoup plus longs que les sépales ; par ses feuilles allongées, longues de 20 à 25 centimètres, pinnatiséquées, à 15-25 grandes folioles den- tées sur les bords, vertes en dessus, couvertes en dessous de poils tomenteux argentés, et des folioles plus petites, entières ou inci- sées, situées entre les premières ; les stipules des feuilles cauli- naires sont engainantes et multifides. Souche épaisse ; rameaux rampants, radicants au niveau des nœuds. — Flor. : mai-juil- let ; automne. — Habit. : lieux humides, bords des prairies, des chemins herbeux, etc. Très commun. 7}. La souche est riche en tannin, qui la rend très astringente, Les rameaux et les feuilles en contiennent également, mais en moindre quantité. On employait autrefois sa décoction contre la diarrhée, la dysenterie, les pertes blanches; on l’a même préconisée contre la fièvre intermittente ; mais on n’en fait plus aucun usage. GEUM L. — La fleur présente, comme celle des Poten- tilles, un réceptacle concave avec élévation centrale portant les carpelles. Le calicule, le calice et la corolle sont formés chacun de cinq folioles. Le fruit est formé d'un réceptacle sec 238 DIALYPETALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES à la maturité, portant de nombreux carpelles secs, poilus, surmontés de styles accrescents, genouillés et articulés. Feuilles pinnatiséquées. Tige herbacée, dressée, portée par une souche épaisse. l |. Caliee.-vertl..:2..:451902 M MI GS. OEE TRE Geum urbanum L. "rÉdice robe tre RER. CPR RETE re 2 ; { Sépales étalés après la floraison.............. G. intermediunm Eurx. —‘} Sépales dressés après la floraison. ...... | FRE G. rivale L. G. urbanum L. (Benoïte, Herbe de Saint-Benoît). — Ca- licule bien distinct, à folioles linéaires, vertes. Calice pubes- cent, vert, à sépales triangulaires, aigus. Corolle jaune ou jaune-rougeâtre, à pétales obovales, courtement onguiculés. Etamines très nombreuses, courtes, à anthères jaunes. Portion centrale du réceptacle cylindrique, sèche et hérissée à la matu- vité, Carpelles très nombreux et très petits, secs, uniovulés; styles allongés à la maturité, genouillés, à article terminal recourbé, caduc. Souche épais- se, émettant une ou plusieurs tiges herbacées, cylindriques, anguleuses, velues, hautes de 56 centimètres à 1 mètre, or- dinairement ramifiées au som- met en branches courtes, ter- minées chacune par une seule fleur. Feuilles radicales pin- natiséquées, à segments iné- gaux, lobés où mcisés-dentés, les latéraux beaucoup plus pe- tits que les terminaux, qui sont larges et souvent con- fluents. Feuilles caulinaires à trois lobes à peu près sessiles sur un pétiole commun, long de % à 5 centimètres, muni à la base de deux stipules latérales très amples, arron- dies, lobées ‘et dentées. — Flor.: mai-juin-juillet. — Habit. : lisières des bois, bords des sentiers ombragés, des routes humides, etc. Très commun. L°. Fig, 30%. — Geum urbanum. La souche exhale à l’état frais une odeur faible de girofle et possède une saveur amère, àcre, astringente. Son amertume est due à la géine, prin- cipe pew connu; elle contient du tannin et une huile volatile. Son astrin- gence l'& fait préconiser contre la diarrhée et même contre la fièvre in- termittente. ROSACÉES 239 RUBUS L. — Pas de calicule. Calice à 5 sépales. Corolle à 5 pétales. Etamines nombreuses. Élévation centrale du ré- ceptacle sèche à la maturité, portant de nombreuses drupes succulentes. Feuilles imparipinnées ou palmatiséquées. Sou- che vivace. Rameaux aériens sarmenteux, ramifiés. Fleurs blanches ou rosées, en cymes pauciflores, axillaires ou termi- nales. i Tige herbacée, à aiguillons nuls ou sétacés.......... R. saxatilis L. ‘| Tige frutescente, à aiguillons robustes.............. 2 > { Fruit odorant, rouge à la maturité................. R, Idæus L. RAR RE DNP IE... ......:...:.0., (4 3 3 Sépales connivents à la maturité.................. . ÆRÀ. cæsius L. ‘| Sépales étalés ou réfléchis à la maturité............ R. fruticosus L. Fig 305. — Rubus Ideus. Fig. 306, — ÆRubus Ideus. Fruit mür et fleur après la chute de la corolle. Coupe longit. du fruit, R. Idæus L. (Framboisier). — Fleurs blanches. Calice à 5 sépales réfractés à la maturité. Corolle blanche, à 5 pétales dressés, courtement onguiculés. Pertion centrale: du réceptacle conique, spongieuse, très développée. Fruits drupacés, rouges à la maturité, pubescents, à odeur et saveur agréables, se dé- tachant ensemble très facilement du réceptacle. Feuilles des rameaux stériles imparipinnatiséquées, à 5 folioles; celles des rameaux fertiles palmatiséquées à 3 folioles, toutes tomen- tueuses, argentées sur la face inférieure. Tiges glabres, rami- fiées, dressées, hautes de 1 à 2 mètres, munies d'aiguillons sétacés, droits, faibles. — Floraison : mai-juillet. — Habitat : bois hu- mides et montueux. Rare; cultivé en grande quantité dans les environs de Paris pour ses fruits. .Les fruits sont acidulés et sucrés, rafraichissants. Les feuilles sont assez riches en tannin, Eu Le L LE D en er, Min: ON 240 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES R. fruticosus L. (Ronce, Müûrier des haies). — Fleurs blanches, grandes, distinctes de celles de l'espèce précédente par leurs pétales étalés. Drupes noires à la maturité, acides, peu savoureuses, sans odeur. Tiges longues de 2 à # mètres, plus ou moins tombantes, munies d'aiguillons recourbés, très forts. Feuilles inférieures pinnatiséquées, à 5 ou 7 folioles pubescentes ou tomenteuses en dessous, ovoïdes, doublement dentées, cour- Fig. 308. — Rubus frulicosus. Coupe verticale de la fleur. Û | Fig. 307, — Rubus frulicosus. Fig. 309. — Rubus frulicosus Rameau florifère. Fruit jeune. tement pétiolés; feuilles supérieures palmatiséquées, à 3 folioles; stipules latérales peu développées. Fleurs en cymes pauciflores réunies à l'extrémité des rameaux en longues grappes axillaires portant des feuilles de plus en plus réduites. — Flor. : mai- septembre. — Habit. : bords des routes, buissons, fourrés des bois. Très commun. 7}. Le fruit est acidule, un peu sucré; il sert à la préparation d’un sirop employé aux mêmes usages que le sirop de Müres. Les feuilles et surtout les jeunes pousses sont riches en tannin et servent à préparer des lotions, des lavements, des injections, des gargarismes astringents, R. cæsius L. (Ronce bleue). — $e distingue de lespèce précédente par son calice à sépales connivents après la flo- raison; par son fruit à drupes peu nombreuses, grosses, cou- vertes d'une pruine glauque; par ses feuilles plus glabres; par ses tiges plus courtes et à aiguillons faibles et droits. — Flor. : mai-août. — Habit. : buissons des lieux frais et ombragés. Z°. ROSACÉES 244 Son fruit est plus acidule que celui de l'espèce précédente. Ses pro- priétés sont identiques. COMARUM L.— Calicule pentamère. Calice pentamère. Corolle à à pétales oblongs, aigus. Ovaires surmontés de styles marces- cents, latéraux. Fruit composé d’un nombre variable de car- pelles secs, disposés sur un réceptacle spongieux et velu. Fleurs pourpres, en cymes irrégulières, pauciflores. C. Palustre. — Seule espèce. Petite plante à souche vivace des marais à Sphagnum. Tribu II. — SPIRÉES. Réceptacle peu concave, non soulevé au centre, portant sur ses bords le périanthe et l’androcée. Carpelles peu nombreux. non inclus dans le réceptacle, contenant un seul, deux, ou un petit nombre d’ovules. SPIRÆA T. —- Fleurs ordinairement hermaphrodites, rare- went dioïques ou polygames. Réceptacle concave, doublé d'un disque charnu. Pas de calicule. Calice pentamère, valvaire. Corolle pentamère, imbriquée. Androcée formé d’une ving- taine d’étamines en #4 verticilles. 5 carpelles au plus, contenant chacun 2 ou plusieurs ovules. Tiges vivaces, herbacées. Feuilles très vivaces. ,.{ Carpelles contournés en spirale. ................. S. Ulmaria L. DU + RMI) CSST CNT PET RER EEE 2 . Carnelies) DABESPORNE EEE TIR 0.1.1 Route S. Filipendula L. OP ER PRO 3 de Mo ee nas à nan pie à de dose S.hypericifolia L. S. Ulmaria L. (Ulmaire , Reine des prés), — Fleurs petites, blanches, très odorantes, en grandes grappes termi- nales de cymes. Calice à # ou 5 sépales persistants. Corolle à 4 ou 5 pétales très caducs. Carpelles 3 ou 4, rarement 5, allon- gés, secs, glabres, tordus en spirale à la maturité, déhiscents par le bord ventral, contenant chacun de 2 à 6 graines, Feuilles très allongées, impari-pinnatiséquées, ayant de 5 à 9 paires de grandes folioles très inégales, doublement dentées, slabres, blanchâtres en dessous, entremèêlées de folioles beau- coup plus petites; les 3 dernières grandes folioles unies par la base en une seule foliole trilobée, très ample, un peu embras- sante. Stipules latérales, dentées, foliacées. Souche vivace, courte, à racines non renflées. Tiges aériennes herbacées, glabres, poly- sonales, arrondies, hautes de 60 centimètres à 1 mètre et plus. FLORE DE PARIS. 14 242. DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES — Flor. : juin-juillet. — Habit. : prairies humides, marais. Commun. 7. Fig. 311. — Spirea Ulmaria. Fleur entière. Fig. 310. — Spirea Ulmaria. Fig. 312, — Spirea Ulmaria. Sommité florifère. Coupe verticale de la fleur. La souche et les feuilles étaient autrefois employées contre les hémor- rhoïdes, la fièvre intermittente, l'ascite, etc. ; elles contiennent une certaine quantité de salycine. Tribu III. — AGRIMONIÉES. Réceptacle non soulevé au centre, très concave, formant à la maturité un sac qui enveloppe les carpelles. Carpelles unio- vulés, 1,{ Fruit couvert d'épines subulées, crochues............ Agrimonia. | Fruit dépourvu d’épines..... nids Has » HAE nd 85: 9. Calice à quatre sépales. Pas de calienle. œcues 28 er dvtet4 3 Calice à 4-5 divisions, accompagné d’un calicule...... Alchemilla. 3,{ Quatre CMMBS TE Fund one on de OT CNE Sanguisorba. Vingt. à trente -étamines. .....,........ 11.242 Poterium. AGRIMONIA T. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Calice et corolle pentamères. Etamines peu nombreuses. Gynécée formé de 2 ou 3 carpelles enfermés dans le tube réeeptaculaire. Fruit formé par le réceptacle sec, presque ligneux, muni au sommet de plusieurs rangées concentriques d'épines subulées, ed: RÉTE - ROSACÉES 243 crochues, Inflorescences en grappes spiciformes terminales. Feuilles pinnatiséquées, à lobes de deux dimensions alternants, à stipules latérales, foliacées, très amples. Fig. 314. Fleur. Fe. 313. — Agrimoia Eupaloria. Fig. 315. — Agrimonia Eupaloria. Sommité florifère. Fruit. A. Eupatoria L. — Fleurs jaunes, petites, disposées en une longue grappe terminale, dressée. Réceptacle en forme de tube oblong, marqué de 10 sillons longitudinaux et muni en haut de plusieurs rangées d’épines crochues. Fruit ordinairement formé d’un seul carpelle. Feuilles impari-pinna- tiséquées, pubescentes en dessus, pâles et velues en dessous, à 5, 1 ou 9 grands lobes ovales-oblongs, très profondément dentés, entremêlés de nombreux petits lobes incisés ou entiers. Stipules latérales foliacées, embrassantes, profondément in- cisées-dentées. Souche vivace, cespiteuse, émettant un petit nombre de rameaux aériens dressés, herbacés, simples ou un peu ramifiés au sommet, hauts de 50 à 60 centimètres. — Flor. : juin-septembre. — Habit. : bords des chemins om- bragés, lisière des boïs, pâturages, etc. Très commun. 7”. Les infusions théiformes préparées avec les feuilles et les sommités fleuries de l’Aigremoine sont légèrement aromatiques; on les employait autrefois comme sudorifiques. Les décoctions des mêmes parties de la plante sont employées en injections vaginales légèrement astringentes et en gargarismes contre les angines chroniques, 24% DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES 3 On doit préférer pour les infusions la variété qui, à cause de son odeur aromatique plus prononcée, a été désignée sous le nom d'A. odorata. Elle possède un grand nombre de glandes résinifères. ALCHEMILELA T. — Fleurs régulières, hermaphrodites ou polygames. Réceptacle concave, à orifice rétréci par un disque charnu. Calicule à 4-5 folioles. Calice à 4-5 sépales valvaires. Pas de corolle. Androcée formé de 1 à 5 étamines alternes avec les sépales. 1 à 4 carpelles indépendants, uniovulés, à style basilaire ou ventral. Fruit formé de 1 à # achaines inclus dans un réceptacle membraneux à la maturité. ( Plante vivace. Fleurs en cymes corymbiformes axil- PR PE ER A. vulgaris L. l Plante annuelle. Fleurs en fascicules opposés aux feuilles. A. arvensis Scor. Fig, 317, — Alchemilla vulgaris. Coupe verticale de la fleur. A AN } W/ Fig, 316. — Aichemilla vulgaris. Fig. 318. — Alchemilla vulgaris. Etamine vue par sa face et par son dos. A. vulgaris L. (Pied de Lion, Manteau des dames). — Fleurs petites, verdâtres, tétramères, disposées en cymes corymbi- formes terminales. Calice et calicule pubescents. 5 étamines alternes avec les sépales, à filets incurvés, articulés au-des- sous de l’anthère, qui est formée de 2 loges très divariquées, déhiscentes par une fente unique, transversales. Carpelle unique, libre, à style gynobasique, capité au sommet. Fruit formé par le réceptacle sec logeant un seul achaine. Feuilles pubescentes ROSACÉES ‘245 ou velues, réniformes, palmatilobées, à 5-9 lobes peu profonds, suborticulaires, découpés en dents ovales-mucronées. Feuilles radicales longuement pétiolées, pourvues de stipules oblongues, entières, scarieuses ; feuilles caulinaires courtement pétiolées et pourvues de stipules membraneuses, dentées, connées en un tube court. Herbe à souche épaisse, vivace, brunâtre, ligneuse, couverte de racines fibreuses, à rameaux aériens dressés, hauts de 20-30 centimètres, un peu velues. — Flor. : mai-juillet. — Habit. : pâturages ombragés, montueux, bords des chemins. des bois, clairières. Commun. 77. Toutes les parties sont riches en tannin. Les feuilles sont acerbes ; on peut en préparer des décoctions astringentes, utiles en injections contre la leucorrhée, en lotions contre les ulcères atoniques, en tisane contre la diarrhée. Hoffmann recommandait cette décoction en injections et lotions vaginales pour tonifier et raffermir les organes copulateurs, On récolte la plante avant Ja floraison, SANGUISORBA L. — Pas de calicule. Calice à 4 sépales décussés et imbriqués. # étamines opposées aux sépales, à an- thères trilobées, déhiscentes par des fentes longitudinales. Style terminal. Fig. 320. Sanguisorba officinalis. Coupe verticale de la fleur. Sanguisorba officinalis. Fleur. Fig. 321. — Sanguisorba officinalis. Inflorescence. S. officinalis L. (Pimprenelle des prés). Fleurs petites, en épi cylindrique, terminal. Calice à limbe caduc. Feuilles glabres, imparipinnées, à 9-15 folioles oblongues, cordées à la base, coriaces, dentées, luisantes ou glauques en dessous, parfois munies de stipelles. Stipules latérales, foliacées, falci- formes, dentées. Souche vivace, épaisse, émettant des rameaux aériens dressés, raides, glabres, ramifiés au sommet, hauts de 50 centimètres à 1 mètre ou 1 m. 20. — Flor. juillet-sep- tembre. — Habit. : prairies humides et marais. Très rare, sauf dans la vallée du Loing, où il est abondant, 7°. | ARTS 246 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Toutes les parties de la plante contienvent une certaine ‘quantité de tannin et peuvent être employées en décocetions astringentes. POTERIUM L. — Fleurs monoïques ou polygames. Pas de calicule. Calice tétrameère. 20-30 étamines, à anthères déhis- centes par des fentes longitudinales. 2-3 carpelles à style ter- minal, à stigmate en pinceau. 2-3 achaines enfermés dans le réceptacle tétragone. Fig.323.— Poterium Sanguisorba . Fleur hermaphrodite ; coupe longitud. Fig. 322. — Polerium Sanguisorba, Fig. 324.— Polerium Sanguisorba. Fleur femelle ; coupe longitud.. P. sanguisorba L. (Pimprenelle). — Inforescence en épis terminaux oblongs ou subglobuleux , très compacts, les femelles en haut, les hermaphrodites et les mâles en bas. Fleurs petites, à l’aisselle de bractées squamiformes. Calice verdâtre, caduc. Etamines à filets très allongés, pendants. Feuilles imparipinnées, glabres, ordinairement à 11-17 fo- lioles suborbiculaires, cordées ou tronquées à Ja base, à bords découpés en un petit nombre de dents dont la terminale est plus petite. Stipules foliacées. dentées, falciformes. Souche vivace émettant des tiges aériennes dressées, hautes de 40 à 80 centimètres, ramifiées au sommet, sillonnées anguleuses, glabres ou pubescentes. — Flor. : mai-septembre. — Habit. : prairies, borde des routes, des bois montueux et arides. Cultivé 47 FAO ROSACÉES dans les jardins ou en plein champ pour les bestiaux. Très commun. Les feuilles de la Pimprenelle ont une odeur et une saveur aromatiques très prononcées ; elles sont légèrement amères et poivrées. On les a consi- dérées comme diurétiques et vulnéraires: elles sont seulement un peu as- tringentes. La Pimprenelle n’est guère utilisée actuellement que dans l’éco- nomie domestique, pour aromatiser les salades. Tribu IV. — ROSÉES. Réceptacle très concave, non soulevé au centre, envelop- pant les carpelles à la maturité. Pas de calicule. Fruit formé par le réceptacle devenu charnu, contenant un grand nombre d'achaines indépendants. ROSA T. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Calice et co- rolle pentamères. Etamines nombreuses. Gynécée formé de nombreux carpelles insérés sur la face interne d'un tube récep- taculaire rétréci en haut, élargi dans le fond. Styles latéraux. Réceptacle charnu à la maturité. Achaines osseux, couverts de poils rudes. Arbrisseaux munis d’aiguillons aigus et recourbés : à feuilles pinnatiséquées, stipulées. Carpelles, au moins ceux du centre, à pédicule éga- n lant leur longueur.............................. 2 ‘| Carpelles à pédicules nuls ou erépalant pas la moitié PACIGRP RENE..." 2 Sens rot ou 4 9 { Fleurs blanches, blanc-rosé ou rose-päle.......... 3 hs Tr 6: OR SSP TR RO ENT R.rubiginosa L. Fleurs blanches ou blanc-rosé. Feuilles non tomen- 3.4 teuses, ordinairement glabres.................... À. canina L. Fleurs roses ou d’un blanc rosé. Feuillestomenteuses. ZX. {omentosa Sn. 4.4 Fleurs blanches, roses-ou Togges....::...:....... 5 ‘4-FlennssnnibERR JAURe 8. le, postes « mess À. Eglanteria L. 8 7 RO NE Fe us ane cat oe de 08 ‘1 Fleurs roses ou TOUES........................... 7 Styles libres, plus courts que les étamines........ R.pimpinellifoliaL.. Styles soudés, aussi longs que les étamines........ ÆR. arvensis Huos. 7. PAAURE FOERS. ut tres dun cn pisser essye vpnfrsinsess ed Pie oje R. cinnanomea L. Fleurs rouge-pourpre........,..... Ce À. Gallica L. R. eanina L. (Eglantier, Eglantine). — Fleurs blanches ou légèrement rosées, assez grandes, solitaires ou en cymes corymbiformes. Réceptacle ovale-oblong ou sub-globuleux, charnu et coloré en rouge vif à la maturité, devenant pulpeux après ies premières gelées, lisse en dehors, velu sur k face interne qui porte les carpelles. Calice pentamère, à folioles dissemblables, plus ou moins pinnatipartites, dépassant beau- coup Ja corolle dans le bouton, puis étalés, ensuite réfléchis, et enfin caducs un peu avant la maturité. Corolle pentamère, LE 1€ + $ e" n _ 248 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES à pétales larges, courtement onguiculés, imbriqués en quin- conce dans la préfloraison. Etamines très nombreuses, sur 5 à 6 verticilles. Carpelles nombreux, insérés sur la face interne du réceptacle, stipités, munis de styles latéraux, devenant velus Fig, 325. — Rosa canina, Fig. 326. — Rosa canina. Fruit entier. Coupe longitudinale du fruit, et osseux à la maturité. Feuillles pinnatiséquées, à 5 ou 7 fo- lioles ovales ou oblongues, doublement ou simplement dentées, acuminées ; dents supérieures presque conniventes. Stipules la- térales, connées au pétiole dans une portion de leur longueur. Arbrisseau vivace, très ramifié, à rameaux hauts de 1 à 2 cet mème 3 mètres, sarmenteux, dressés ou étalés, couverts d’aiguil- lons disséminés, tous semblables, très forts, aplatis à la base, recourbés au sommet. — Flor. : juin. — Habit. : haies, buis- sons, lisières des bois. Très commun. 7. On distingue, aux environs de Paris, # variétés de cette es- pèce : a. canina, à feuilles et à pédoncules des fruits glabres. 8. Andagavensis, à feuilles glabres, à pédoncule et tube récep- taculaire hérissés de soies raides et glanduleuses, La Rose à Peurs blanches, des jardins (R. alba L.), est considérée comme la forme cultivée et à fleurs doubles de cette variété. x y. Dumetorum, à feuilles velues ou pubescentes, parfois mème tomenteuses en dessous et à pédoncules et tubes récep- taculaires glabres. à. Sepium, à pétioles couverts de poils glanduleux, à folioles étroites, atténuées aux deux extrémités, munies en dessous de glandes odorantes ordinairement rougeâtres. Les feuilles du AÆosa canina contiennent une certaine quantité de tannin et peuvent être employées à la préparation de lotions ou injections astrin- Ex ROSACÉES 249 gentes. Les pétales sont considérés comme laxatifs. Les fruits servent, sous le nom de cynorrhodons ou gratte-culs, à la préparation d’une sorte de con- fiture désignée par les pharmaciens sous le nom de confectio rosæ, acidule et légèrement parfumée. En Orient, on en fait des confitures sucrées, très recherchées. La confection de cynorrhodons est utile contre la diarrhée des enfants et des phthisiques. Les poils des cynorrhodons peuvent être em- ployés contre l’Ascaris lombricoïdes. 11S agissent mécaniquement, comme ceux du Dolichos pruriens; ils ne provoquent aucune irritation manifeste du tube digestif, tandis qu’ils tuent les lomnbrics. Cazin dit en avoir obtenu de bons effets, à la dose de 15 à 30 centigrammes, mélangés avec du miel. La racine du Rosa gallica était considérée par les anciens comme très efficace contre la rage : de là le nom qui a été donné à cette espèce. Les galles spongieuses, qui se développent sur les jeunes rameaux de l’Églantier à la suite de la piqûre du Cynips Fosæ et qui sont connues sur le nom de bédé- quars, étaient autrefois employées contre une foule de maladies; elles sont simplement un peu astringentes, R. Gaïliea L. (Rose de Provins, Rose rouge, Rose offici- nale). — Elle se distingue nettement de toutes les autres espèces par ses fleurs colorées en rouge pourpre, très grandes. Fruit sub- globuleux, rouge foncé. Carpelles sessiles, à 3-5 ou plus rare- ment 5-1 folioles pubescentes en dessous, oblongues ou suhor- biculaires, simplement ou doublement dentées, à dents larges ou glanduleuses. Stipules latérales, oblongues-linéaires, diver- gentes au sommet. Arbrisseau à souche traçante, à rameaux dressés ou étalés, munis d’aiguillons caducs, inégaux, les uns droits, entremèêlés de soies glanduleuses, les autres forts, com- primés à la base, recourbés au sommet. — Flor. : juin. — Habit. : Provins Magny, etc. Cultivé dans les jardins à l’état de fleurs doubles, 7. Les Pétales des roses de Provins contiennent une petite quantité de tannin et de quercitrin ; ils sont employés pour préparer des infusions légè- rement astringentes; on les récolte avant l’épanouissement de la fleur; on les coupe tout d’une pièce au-dessus des onglets qui sont blanchâtres et on les fait sécher. Leur odeur est très délicate et leur saveur astringente. Tribu V. — PRUNÉES. Réceptacle cupuliforme, peu concave. Carpelle unique, non inclus dans le réceptacle, biovulé. Fruit charnu, drupacé, formé par le carpelle non inclus. Feuilles simples. PRUNUS T. !. — Fleurs régulières et hermaphrodites, en forme de coupe et doublée d’un disque glanduleux. Calice et corolle pentamères, imbriqués en quinconce dans la préflo- 1. Peu d’espèces de Prunus sont véritablement indigènes des environs de Paris, mais un grand nombre y sont cultivées en abondance, et quelques - unes de ces dernières sont devenues subspontanées. Dans le genre Prunus, nous faisons entrer, à l’exemple de M. H Baillon, les Prunus, les Cerasus, les Lauro-Cerasus, les Persica, les Armeniaca et les Amygdalus. 250 raison. Androcée formé d'une vingtaine d’étamines sur trois DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES verticilles. Fruit drupacé, monosperme. Graine sans albumen. Feuilles simples, à stipules caduques. ue genre Prunus se divise très naturellement en six sous- nres : Drupe glabre.:..:4.:5... me cos etes Drupe pubescente.…..........s.ues. montent cars Drupe glabre, sans efflorescence .................... Drupe glabre, couverte d’une efflorescence glauque .… lisse, arrondi. 5... celle dre 05 etre eh ù Fleurs petites, en grappes, axillaires ; fruit à | noyau HISSB A DVAIB. Coste nee calecieeatie vs sie ea ESP ERE ETC CR à Drupe plus ou moins arrondie...................... Drupe oblongue, comprimée ; fruit à noyau sillonné. Noyau à peu près lisse, aplati...................... Pole épais, creusé d’anfractuosités profondes, irré- 4 ë Fleurs grandes, en cymes corymbiformes; fruit à x Drupe elabre, dépourvue de pruine ; noyau très lisse, mince ; fleurs en cymes formant des corymbes simples ou des grap- pes; pédoncules plus longs que le fruit; feuilles pliées dans guhères .::... afin ares he soin ir SEM E Sous-genre CERASUS. la préfoliation. > t9 e 1 | Prunus. Cerasus. Lauro-Cerasus . 5 Amygdalus. Armeniaca. Fleurs se développant avant les feuilles... 2 Fleurs se développant après les feuilles... 3 Feuilles pubescentes en dessous....... .. Prunus avium H. B\. Feuilles glabres sur les deux faces...... . Prunus vulgaris H. Bx. Fleurs en cymes corymbiformes simples... P. Mahaleb L, ‘ Fleurs en grappes longues, cylindriques... P. Padus L. Fig. 327 Prunus Cerasus. Fruit; coupe longit. Fig. 328. — Prunus Padus. Unfloresecence. P. vulgaris H, Bu. (Cerasus vulgaris Taux. — Cerise aigre). — Fleurs blanches, longuement pédicillées, en cymes fascicu- $ 4 Rs ss Cris ROSACÉES 251 lées, pauciflores, épanouies avant Les feuilles. Fruit globuleux, déprimé, glabre, marqué d'un sillon sur une face, coloré en rouge vif passant au noir, à pulpe épaisse, acidule, se sépa- rant assez facilement du noyau, qui est presque arrondi, mince, à bord un peu saillant. Feuilles simples, pliées longitudinale- ment avant leur épanouissement, obovales-oblongues, acumi- nées, doublement dentées, slabres. Arbre peu élevé, à écorce se détachant en plaques circulaires, à rameaux étalés ou pen- dants. — Flor. : juin-juillet. — Habit. : originaire de lAsie : cultivé en quantité dans les environs de Paris; on y réussit surtout une variété brevipes, connue sous le nom de Cerise de Montmorency, à pulpe acidule, à pédoneule à peine plus long que le fruit. 3. Le fruit est légèrement laxatif. Les rameaux et le tronc laissent exsuder une gomme connue sur le nom de gomme nostras. Les pédoncules du fruit sont employés journellement sous le nom de queues de cerises à la prépara- tion d’une tisane légèremennt calmante et diurétique; ils fournissent au contact de l’eau une petite quantité d’essence d’amandes amères et d’acide cyanhydrique. P. Avium H. Bn. (Cerasus Avium Moexcn). — Se dis- tingue du précédent par ses fleurs très longuement pédicu- lées ; ses fruits plus petits, à pulpe acide, adhérente au noyau qui est épais, à bord obtus; ses feuilles ordinairement pu- bescentes en dessous ; ses rameaux jamais pendants. Flor. : avril-mai. Fruct. : juin-juillet. — Habit. : forêts ou jardins. 4 a. sylvestris (Merisier). — Fruit petit, globuleux, noir, à pulpe sucrée, acidule, un peu amère. — Forèts, bois, à l’état sauvage. 8. Juliana (Guigne, Cerise douce). — Fruit gros, rouge foncé ou noir, à pulpe épaisse, molle, très sucrée, à suc rouge, — Cultivé. y. Duracina (Bigarreau). — Fruit rouge pâle, ou blanc jau- nâtre, à pulpe ferme, cassante, sucrée, à suc peu abondant, incolore. — Cultivé. Les queues de ces cerises jouissent des mêmes propriétés que celles du Prunus vulyaris et sont employées de la même façon. Les troncs et les ra- meaux produisent également de la gomme nostras, surtout dans les variétés cultivées. Sous-genre LAURO-CERASUS. Fleurs petites, blanches, en grappes. Fruits lisses, noirs, oblongs, à noyau mince. Feuilles épaisses, coriaces, à odeur d'amandes amères quand on les froisse, 252 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES P. Lauro-Cerasus H, Bn. (Laurier-Cerise, Laurier à lait). — Se distingue nettement par ses fleurs petites, blanches, disposées en grappes axil- laires, dressées, ordinaire- ment simples, à peu près aussi longues que les feuil- les; son fruit, noir, à chair mince, insipide ; ses feuil- les, très épaisses, coriaces, luisantes, à bords légère- ment réfléchis en dessous, exhalant quand on les froisse une odeur très pro- noncée d'essence d’aman- des amères. Petit arbre ou arbrisseau toujours vert, glabre.—Flor.: juin- ‘juillet. — Habit. : origi- naire du Caucase, cultivé en abondance, en pleine terre, dans les environs de Paris, où il fleurit et fruc- tifie assez volontiers. CorDIER Fig. 329. — Prunus Lauro-Cerasus. Les feuilles sont employées à la préparation de l'Eau de Laurier-Cerise. Distillées avec l’eau, elles fournissent de l’essence d'amandes amères et de Pacide cyanhydrique. Les feuilles les plus jeunes sont celles qui en produi- sent le plus; la proportion d’acide cyanhydrique obtenue est également plus forte quand les feuilles ont été coupées en morceaux avant d’être dis- tillées. L'Eau de Laurier-Cerise est un calmant très utile. Sous-genre PRUNUS Fleurs solitaires ou géminées. Pédoncule plus court que le fruit. Drupe lisse, couverte de pruine. Noyau épais, lisse ou un peu rugueux, jamais sillonné. Feuilles roulées longitudinale- ment dans la préfoliation. 1.4 Arbrisseau épineux................................ F, spinosa L. ‘| Arbrisseau ou arbre non épineux................... 2 > À Fruit de la grosSeur d'üne cerise. :....,,.,..000. P.cerasiferaEunx. A Fruit-plus gros qu'une cbrise.: 1.00 3 4 { Jeunes rameaux glabres...........:............... P: domeslica L. ""t Jeunes rameaux pubescenfs”, 1, "402,005, . P. insilitia L. P. domestica L. (Prunier commun, Prunier de Damas). — Fleurs blanches, assez grandes, naissant en même temps que les feuilles, géminées, à pédicules pubescents. Fruit penché, uros, oblong, souvent un peu arqué, lisse, coloré en noir, violet ROSACÉES 253 ou jaunâtre à la maturité, à pulpe abondante, sucrée, peu adhérente au noyau. Noyau dur, aplati, elliptique, à bord très saillant, épais. Feuilles oblongues, aiguës, finement dentées ou crénelées, un peu pubescentes sur la face inférieure. Arbre sans épines, à jeunes rameaux glabres. — Flor. : mars-avril. — Fruct. : juillet-septembre. — Habit. : probablement originaire de Asie Mineure; cultivé depuis la plus haute antiquité dans notre pays; réussit assez bien aux environs de Paris. 4, Les fruits de cette espèce, ceux surtout de la variété Juliana, que l’on cultive beaucoup dans la vallée de la Loire, constituent après dessiccation les véritables Prunes médicinales. On les fait sécher d’abord au soleil, puis au four; ils sont alors très ridés, colorés en noir, souvent couverts, surtout quand ils sont vieux, d’une efflorescence sucrée. Quand on les fait bouillir dans l’eau, leur pulpe se gonfle beaucoup en se ramollissant. Les pruneaux cuits sont iaxatifs. P. insititia L. (Prunier Reine-Claude, Prunier Sainte-Ca- therine, Pruneautier). — Se distingue du précédent par la forme globuleuse ou sub-globuleuse du fruit, et par la pubes- cence des jeunes rameaux. — Flor. : mars-avril, — Fruct. juillet-septembre. — Habit. : probablement originaire de l'Asie ; cultivé de temps immémorial. 3, Il en existe un grand nombre de variétés produites par la culture. Les fruits sont très sucrés et très riches en suc. P. spinosa L. (Prunellier, Epine noire, Aubépine noire). — Se distingue des deux précédents par sa petite taille : ses épines nombreuses et longues, formées par des rameaux avortés ; ses fleurs petites, ses fruits gros seulement comme un pois, noirs, très astringents et acerbes. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : octobre-décembre. — Habit. : buissons, lisières des bois, bords des routes; souvent planté en haies. — Très commun. 4. La variété fruticans (P. fruticans Wei.) a la tige plus haute et moins épineuse, les feuilles plus amples et les fruits plus gros. L’écorce du Prunellier est amère et a été autrefois préconisée comme fébrifuge, mais cette action est plus que douteuse. Les fruits sont très astringents, et peuvent être employés avec avantage dans les diarrhées atoniques, soit cuits, soit macérés dans le vin. Les fleurs sont laxatives, à la dose d’une petite poignée, surtout chez les enfants. Sous-genre ARMENIACA. Fleurs solitaires ou géminées. Pédoncule extrêmement court, épais. Drupe pubescente. Noyau dur, aplati, lisse ou un peu rugueux, jamais sillonné. Feuilles roulées longitudmalement dans la préfloraison. FLORE DE PARIS. 15 25% DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES P, Armeniaca L. (Armeniaca vulgaris Laux. — Abricotier). — Fleurs blanches au dehors, teintées de rose au:dedans, assez grandes, développées avant les feuilles. Fruit gros, presque globuleux, marqué d’un sillon longitudinal profond, pubescent, velouté, jaune, et taché de rouge sur la face ex- posée au soleil, à chair se détachant avec facilité du noyau, épaisse, odorante, très succulente, aromatique et sucrée. Feuilles simples, longuement pétiolées, ovales, un peu cordées, créne- lées, acuminées, glabres, luisantes. Arbre de petite taille, pro- duisant souvent de la gomme. — Flor. : février-mars. — Fruct. : juillet. — Habit. : originaire de l'Asie; cultivé dansles jardins. 3. Le ‘fruit est rafraichissant, La gomme est recueillie en assez grande quantité et vendue avec celle d’autres Prunées sous le nom de gomme nostras. La graine est souvent amère et peut fournir de l'essence d'amandes amères. Elle sert à préparer la liqueur connue sous le nom de noyau; on en retire aussi une huile douce, connue sous le nom d’huile de marmotte. Sous-genre AMYGDALUS. Fleurs solitaires ou géminées. Pédoncule court, Drupe aplatie, pubescente, veloutée. Noyau dur, marqué de sillons irréguliers, souvent facile à diviser en deux couches dures, sépa- rées par une substance spongieuse. Feuilles pliées longitudina- lement dans la préfoliation. P. Amygdalus H. Bn, (Amygdalus communis L, — Aman- dier commun). — Fleurs assez grandes, blanches ou rosées, PTE se développant en même À [| | n temps que les feuilles ou ie 17 un peu avant. Fruit vert, à chair sucrée, astrin- gente, non comestible. Graine à cotylédons épais, doués d'une saveur douce, agréable, ou bien très amère. Feuilles simples, courtement pétiolées, el- liptiques-lancéolées, den- Fig. 330. — Prunus Amygdalus. tées. Arbre de petite taille. Coupe longitudinale de la fleur. Flor. : février- mars. — Fruct. : août-septembre. — Habit. : originaire de l'Asie; résiste mal au climat de Paris. 3 ‘On'en distingue cinq variétés : .% amara. — Noyau dur et fragile ; graines amères (Aman- dier amer). ROSACÉES 255 8. dulcis. — Noyau dur; graines douces (Amandier à petits fruits, Amandier doux). y. fragilis. — Noyau mou; graines douces (Amandier des dames, Coque molle). à. macrocarpa. — Fruits grands; noyau très dur; graines douces (Amandier à gros fruits, Amandier sultane). cz. Persicoides. — Feuilles semblables à celles du Pècher ; fruits obtus ; sarcocarpe peu charnu et bivalve. L’amandier fournit une certaine quantité de gomme nostras. Les graines sont employées comme dessert quand elles sont douces. Quant aux graines amères, elles servent à la préparation de l'essence d'amandes amères et de l’acide cyanhydrique. On extrait des amandes douces une huile d'amande douce très employée dans la préparation des loochs pectoraux, pour faire des frictions, pauser les brûlures, etc. Les parfumeurs vendent, sous le nom d2 pâte d'amandes, une sorte de pâte faite avec les débris des amandes dont on a extrait l'huile. Cette pâte adoucit la peau. Sous-genre PERSICA. Fleurs développées avant les feuilles. Pédoncule court. Drupe sphérique, pubescente, veloutée, rude. Noyau très dur, ovoïde, marqué de profondes anfractuosités très irrégulières. Feuilles pliées longitudinalement dans la préfoliation. P. Persica H. Bn. (Amygdalus Persica L., Persica vulgaris Mizz. — Pêcher), — Fleurs colorées en rose vif, grandes. Fruit arrondi, atteignant la grosseur du poing, marqué d’un sillon longitudinal peu profond, variant du jaune rougeâtre au rouge, très riché en suc, légèrement acide et sucré, très par- fumé. Noyau ovoïde, très dur, marqué d’une crête saillante et creusé de sillons anfractueux profonds. Amandes amères. — Flor. : février-mars. — Fruct. : août-septembre. — Habit. : ori- ginaire de l'Asie; très cultivé en espalier dans les environs de Paris, où il donne des fruits excellents. 2, La variété lævis, à fruit lisse, est connue sous le nom de Brugnon. La pêche est un fruit rafraichissant. Sa graine est employée aux mêmes usages que celle de l’Abricot; elle contient de l’essence d'amandes amères. Tribu VI. — PYRÉES. Fleurs pentamères, hermaphrodites. Réceptacle très concave. Etamines verticillées, 20 environ, épigynes. Ovaire infère, plurilo- culaire, ordinairement à 5 loges uni-, di- ou pluri-spermes. Fruit drupacé, à endocarpe osseux ou cartilagineux. n Fruit à endocarpe osseux................. pee st 2 ‘1 Fruit à endocarpe cartilagineux, mince......., Sert TS 256 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Fruit à 1 ou rarement 2-3 noyaux osseux......,....... (Cratæqus. 2.1 Fruit à 5 NOyAUX OSSEUX.. . ue. sé ne mens 0 eee .. Mespilus. Feuilles pinnatiséquées ou lobées...........:...,....... Sorbus 1. 3. Feuilles simples, entières ou dentées.................. 4 Pétales lancéolés............. Ft dent ne Amélanchier. 4.1 Pétales ,suborbiculätres 96% Enr re OP ERER CRE RER 5 Loges contenant chacune 1-2 graines sans mucilage.... Pyrus. 5.) Loges contenant chacune 10-15 graines entourées de mu- | cilage ........ REA LEE RS: Sessasese NON, PYRUS T. — Fleurs en fascicules ombelliformes, sur des rameaux très courts. Calice à 5 sépales 5-fides, Corolle à 5 pé- tales blancs, suborbiculaires. Gynécée à ovaire infère, divisé en 5 loges bi-ovulées, à 5 styles libres. Fruit piriforme ou arrondi, très charnu, à endocarpe cartilagineux, à cinq loges dispermes, monospermes par avortement. Arbres souvent épineux à l’état sauvage, à feuilles simples, à stipules caduques. Fruit piriforme....:.....%4 002 sets tes FRA AE Pyrus communis L, Fruit arrondi......... ina el raie bad at INR Pyrus Malus L. P. communis L. (Poirier). — Fleurs grandes, longuement pédicellées. Fruit piriforme, atteignant la grosseur du poing et plus, glabre, à chair contenant presque toujours des concré- =>, tions ligneuses.Feuil- ] les ovales, oblon- gues, dentées ou cré- nelées, glabres à l’état adulte, un peu velues en dessous dans la jeunesse. — Flor. : avril-mai. — Fig. 331. — Pyrus communis. F ù Coupe verticale de la fleur. ruct, : septembre- s A octobre. — Habitat : origine inconnue; cultivé depuis une haute antiquité; souvent subspontané dans les bois. 3. A la maturité, le fruit (poire) est très sucré, succulent, et doué d’une saveur fort agréable. On le mange cru ou cuit et il sert en Normandie à la préparation d’une boisson alcoolique, le poiré, Avant la maturité, La poire est très acerbe et riche en taunin. P. Malus L. (Malus communis Laux. — Pommier). — Se distingue du Poirier par ses fleurs courtement pédicellées; ses 1. M. H. Baillon (ist. des pl.) a très rationnellement réuni le genre Sorbus au genre Pyrus, et j'ai moi-même suivi son exemple dans mon Manuel d'histoire naturelle médicale; mais, pour la commodité des herbori- sations je crois préférable de maintenir ici le genre Sorbus. nddts dl ROSACÉES 257 feuilles ordinairement pubescentes en dessous à l'état adulte, courtement pétiolées, oblongues-amincies, dentées ou crénelées ; ses fruits arrondis, déprimés autour du pédoncule, qui est très court. Arbre de taille moyenne. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : septembre-octobre. — Habit. : origine inconnue; cultivé depuis très longtemps dans notre pays. 3. Les fruits mürs (pommes) sont très sucrés et parfumés; on les mange crus ou cuits et ils servent à la fabrication du cidre. Avant la maturité ils sont très astringents, aigres et riches en tannia. CYDONIA T. — Diffère des Pyrus par des fruits tomenteux et des loges plurispermes. C. vulgaris Pers. — Fleurs solitaires, presque sessiles, blanches. Pétales et styles laineux à la base. Fruit de la gros- seur du poing, piriforme, couvert de poils laineux, blancs, à cinq loges con- tenant chacune de dix à quinze graines envelop- pées de mucilage. Feuilles courtement pétiolées, ova- les, très cotonneuses en dessous, légèrement coton- neuses en dessus, entières. fr: Arbre de petite taille, très Fig. 332. — Cydonia vulgaris. irrégulier, souvent rameux Coupe verticale de la fleur. dès la base. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : septembre-octobre. — Habit. : cultivé depuis une antiquité très reculée dans notre pays; se trouve parfois à l’état subspontané dans les haies. On distingue une variété à fruit rouge connue sous le nom de Cydonia vulgaris maliformis. 3. Les fruits (coings) sont très odorants, acerbes et acides avant la matu- rité, succulents, un peu sucrés et astringents à la maturité, qui n’est jamais parfaite. On ne les sert pas sur la table. Ils servent seulement à la pré- paration de gelées d’une saveur très agréable et de pâtes sucrées et astrin- gentes. Les graines sont employées en médecine sous le nom de semences de coings, à cause de leur mucilage, qui est formé par l’épaississement des cellules de l’épiderme et qui est très abondant. La décoction des semences de coings est émolliente. Le mucilage est employé dans les arts comme agglutinatif. SORBUS L. — Se distingue de tous les genres de la série des Pyrées à endocarpe cartilagineux par ses feuilles pinnatisé - quées ou lobées. 1 Feuilles pinnatiséquées ........ ue. ste 2 ‘| Feuilles lobées ou sub-lobées dentées......... mode SEE 2 Fruit turbiné, de la grosseur d’un œuf de pigeon.... S. domestica L ‘| Fruit globuleux, plus petit........,................ S. aucuparia L 258 DIALYPÉTALES PÉRIYNES ET ÉPIGYNES 3 { Feuilles glabres et luisantes à l'état adulte... S. torminalis CRANTZ. Feuilles tomenteuses en dessous à l’état adulte. 4 4,4 Feuilles lobées ......... sun ven es nes Casa ON IT ON ENS . Feuilles non lobées:’.:.%, 455 eee 00 I CRANIZ, Le Sorbus aucuparia (Sorbier des oiseleurs) n’est pas comestible; il est très ornemental par ses feuilles et par ses gros corymbes de fruits d’un rouge vif. Dans les campagnes, on mange les fruits du S.{orminalis (Alisier); ils sont astringents, de goût peu agréable; on les a recommandés contre la diar- rhée. S. domestica L. (Pyrus Sorbus H. Bx. — Sorbier, Cormier). — Fleurs petites, blanches, en corymbes de cymes. Feuilles à 15-17 paires de segments oblongs, serretés sur les bords, velus à l’état jeune, glabres à l’âge adulte. Fruit turbiné, ombiliqué au sommet, à cinq loges munies de parois peu épaisses et conte- nant chacune deux ovules. Arbre pouvant atteindre 15 mètres de haut. — Flor. : mai-juin. — Fruct. : septembre-octobre. — Habit. : cultivé dans notre pays depuis très longtemps. 4. Le fruit (sorbe) est rougeâtre à la maturité. Il est alors très acerbe. Quand il est devenu blet et noirâtre, il est comestible, sucré et laxatif. AMELANCHIER Morxcu. — Se distingue de tous les autres genres de Pyrées à endocarpe cartilagineux par ses loges sub- divisées chacune en deux fausses loges monospermes, par une cloison incomplète. A. vulgaris Morxca, (Amélanchier). — Seule espèce du genre. Arbrisseau à fleurs blanches de la forêt de Fontaine- bleau. MESPILUS L. — Se distingue de tous les genres précédents de la tribu des Pyrées par les parois des loges de son fruit, qui sont épaisses, ligneuses, et se séparent de la pulpe sous forme de cinq noyaux allongés, trigones, très durs, et du genre suivant par son ombilic très iarge entre les dents persistantes du calice. M. Germanica L. (Néflier, Merlier, Nèle). — Fleurs grandes, blanches, accompagnées de bractées linéaires. Ovaire laineux à l'état jeune, glabre à la maturité. Fruit de la grosseur du pouce, noirâtre, turbiné, surmonté des dents du calice et pourvu entre elles d’un ombilic très large. Feuilles courtement pétiolées, oblongues, un peu pubescentes au dessous, entières ou légèrement dentées. Arbrisseau très rameux ou petit arbre. — Flor. : mai. — Fruct. : août-septembre. — Habit. : forêts des environs de Paris, surtout Fontainebleau; cultivé dans les jar- dins et en haies. 5 LÉGUMINEUSES-PAPILIONACÉES 259: À ja maturité, le fruit a une chair blanchâtre très acerbe; quand il est devenu blet, sa chair est noiràtre, sucrée, légèrement acidule, de saveur agréable, légèrement laxative. CRATÆGUS L. — Très voisin du précédent, dont il se dis- tingue par son fruit à ombilic étroit. C. Oxyacantha L. (Aubépine, Epine blanche). Seule espèce du genre aux environs de Paris. Arbrisseau épineux, cultivé en haies, à fleurs odorantes. | Fauze LV, — LÉGUMINEUSES-PAPILIONACÉES :. Caractères constants 2. — Réceptacle concave. Calice plus ou moins irrégulier, souvent bilobé, gamosépale. Corolle tou- jours irrégulière et papilionacée, à préfloraison vexillaire, dialypétale {sauf dans certains Trifolium, où elle est gamopé- Fig. 333. Corolle de Papilionacée. Corolle de Papilionacée. a, étendard; bb, ailes; c, carène. tale). Etamines 10, mono- ou di-adelphes, ou libres indépendantes de la corolle, insérées sur le bord du réceptacle, et, par conséquent, périgynes comme les pétales. Anthères bilocu- laires, déhiscentes par des fentes longitudinales. Gynécée à deux carpelles unis par les bords et formant un ovaire uniloculaire, à placentation pariétale. Ovules en nombre variable. Fruit sec, polysperme, ordinairement déhiscent (gousse, légume), parfois divisé en deux loges longitudinales par un épaississement de la paroi, d’autres fois divisé en autant de loges qu’il y a de graines 1. La grande famille des Légumineuses est subdivisée en trois sous- familles (L. Mimosées, L. Cæsalpiniées, L. Papilionacées); une seule, celle des Papilionacées, est représentée dans les environs de Paris. 2. Des genres représentés dans les environs de Paris. 260. DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES par des épaississements transversaux des parois. Graines sans albumen. Embryon à cotylédons épais, à radicule accom- bante. Affinités. — Les Légumineuses-Papilionacées ressemblent aux Rosacées et surtout aux Prunées par leur réceptacle con- cave; elles s’en distinguent surtout par leur gynécée à deux carpelles et par leur fruit. Elles réssemblent par leur gynécée aux Crucifères et aux Papavéracées de la tribu des Chélidoniées, mais elles diffèrent des unes et des autres par leur androcée et leur fruit. Elles se distinguent de ces familles et de toutes les autres par leur corolle papilionacée, à préfloraison vexil- laire. Trois tribus : Feuilles à rachis jamais prolongé en vrille........... ne E 1.) Feuilles à rachis prolongé eu vrille, rarement réduites LR VEINE. Rue de Dee 0e na sua eu de ee EE Viciées. Gousse à une seule loge, rarement à deux fausses loges 2:1.-1mparfaites, longitudinales, ........:..-:2. test Trifoliées. Gousse à plusieurs fausses loges transversales......... Hédysarées. Tribu I. — TRIFOLIÉES. Gousse habituellement à une seule loge polysperme, parfois divisée en deux fausses loges collatérales par un épaississe- ment longitudinal des parois. Feuilles imparipinnées ou trifo- liolées, parfois unifoliolées ou réduites à un rachis court, épi- neux. Deux sous-tribus : Étamines MONATOIPAES EE ue: due» due OR Génistées. Etamines Giadelphes ser ent SR RER Eutrifoliées. Sous-tribu I. — GÉNISTÉES. Étamines monadelphes. a 1 Feuilles réduites au rachis épineux............ sraniriet Ulez. ‘t Feuilles non réduites au rachis épineux............... 2 9 L Calice vésiculeux, enveloppant tout à fait le fruit...... Anthyllis. ‘1 Calice non vésiculeux, n'enveloppant pas le fruit....... 3 3 CaltoiQlabié.< 56e PREU LL OAeE RDA RUE 4 "{ Calice campanulé, à divisions linéaires................. Ononis. Feuilles toujours unifoliolées. Etendard non ascendant... Genista. 4. PERD très habituellement trifoliolées. Etendard ascen- Anse el, di SR MA Dre tte te TR de 5 Style roulé en spirale dans la préfloraison............. Sarothamnus. ‘| Style ascendant, non roulé en spirale." ce Cytisus, SAROTHAMNUS Wim. — Calice bilabié, scarieux, à lèvres très écartées, la supérieure bidentée, l’inférieure tridentée. Co- LÉGUMINEUSES-PAPILIONACÉES 264 rolle à étendard ascendant. Ovaire allongé, aplati, à style long, enroulé en spirale pendant la préfloraison. Gousse uniloculaire, comprimée, polysperme. Feuilles trifoliolées, les supérieures unifoliolées. S. scoparius Kocu. 1 (Cytisus scoparius Lx, Spartium scoparium L., Sarothamnus vulgaris Win. — Genèt à balais.) — Caractères du genre. Sous-arbrisseau haut de 1 à 2 mètres, buissonneux, à rameaux très nombreux, nerviés, souples, pen- tagonaux, sans épines. Feuilles courtement pétiolées, trifolio- lées, celles du sommet unifolio- lées. Folioles oblongues- obo- vales. Fleurs d’un beau jaune. Gousse plate, large de 3 à 4 centimètres, velue, noirâtre, à 8 ou 10 graines. — Flor.: avril- juin. — Habit.: lieux sablon- aeux, arides; très abondant. 3. CORDIER (is De \ Fig, 335. — Sarothamnus scoparius. Fig. 336. — Cytisus scoparius. Fleur. Toutes les parties de la plante ont une odeur désagréable, une saveur: amère et nauséabonde. La décoction des pousses est diurétique, purgative et même éméto-cathartique à haute dose. La décoction des fleurs est pur- gative. On a recommandé la décoction des cendres comme diurétique contre les hydropisies. On a retiré de la plante deux principes actifs : la scoparine et la spartéine. Cette dernière parait jouir de propriétés narcotiques très marquées. | CYTISUS L. — Se distingue du précédent par son calice non scarieux, subherbacé, et par son style ascendant, non enroulé en 1. Seule espèce du genre aux environs de Paris. — On cultive dans les jardins sous le nom de Genét d'Espagne, à cause de ses belles fleurs jaunes, une espèce très voisine, le S. scoparius (Spartium junceum L.). Cette espèce jouit des mêmes propriétés que le Sarothamnus scoparius, mais avec une intensité plus grande. 15. = 02 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES spirale dans la préfloraison. Les feuilles sont habituellement unifoliolées. Feuilles trifoliolées.... elle tree tee ERREt 2 Feuilles :nnifohHoldes:. 22207000 er RER C. decumbens. 9 Fleurs en grappes pendantes, allongées.......... C. Laburnum 1. Fleurs en cymes capitées, 2-5 flores............... C. supinus. GENISTA L. — Se distingue des précédents par son éten- dard non ascendant, comprimé latéralement; sa carène obtuse, droite, plus tard refléchie; son style recourbé au sommet, ses feuilles unifoliolées. Rameaux latéraux épineux. Fleurs, feuilles et fruits AR Os ct à DT EE ON fe eee ae . G. Anglica L. Rameaux latéraux non épineux ............. A 9 À Rameaux munis d’ailes foliacées..........,..,., . (G. sagittalis L. | Rameaux dépourvus d’ailes foliacées, .....,...... 3 3 Hténdar -pubescent. 544.214. ,: LOIReS .. G. pilosa L. | biendard Sabre... 5, eue. es noble nest 4 4 Frntstglabres..s.. fs, 4 JR RER G. tinctoria L. | oaiis posté. :ialanl.….. GU “huss IR G. Germanica L, LÉ G. tinctoria L. — (Genê- UE trelle, Genestrolle, Spargelle, } æ Herbe à jaunir) — Fleurs f jaunes, en grappes termina- ak \ | 47 les compactes. Etendard \ | /) glabre. Gousse comprimée, glabre, polysperme. Feuilles unifoliolées, oblongues-lan- céolées, planes, glabres ou légèrement ciliées. Arbris- seau haut de 30 à 60 centi- mètres, à rameaux dressés, slabres, cylindriques, sillon- nés. — Flor.: juin-août. — Habit.: dans les bruyères,sur la lisière des bois, sur les co- teaux incultes. Abondant. 7. Les fleurs, les racines et les feuilles sont purgatives; les graines sont éméto-cathartiques. On a pré- | conisé les graines pulvérisées con- "997: tre l’hydropisie. Les sommités et Fig. 338. Genisla lincloria. D CL donnent une teinture | Oyonis spinos®. 1. Cette espèce est cultivée dans les jardins sous le nom de Cytise à grappes, C. de Virginie, Aubour, Faux-ébènier. Elle se développe en un petit arbre. On y a découvert deux principes actifs : la cytisine et la labur- nine, dont les propriétés physiologiques et thérapeutiques méritent d’être étudiées. LÉGUMINEUSES-PAPILIONACÉES 263 ULEX L. — Se distingue nettement de tous les genres de la sous-tribu par ses feuilles réduites à leur rachis devenu épineux. Fleurs jaunes. Bractées calicinales plus larges que le pédicelle.....,... U. europœus: I. Bractées calicinales plus étroites que le pédicelle........ U. nanus Su. ONONIS L. — Se distingue de tous les genres précédents par son calice campanulé, à cinq sépales linéaires; sa carène pro- longée en bec; sa gousse courte, renflée, oligosperme. i Fleurs roses. ........... her Le ARR PRE EE 2 ‘| Fleurs jaunes........ Ne at de aEnfen seed dede Ve ss 118 4 Gousse plus longue que les sépales...., RL CE - O. spinosa L. “*) Gousse plus courte que-les sépales............... O, repens L, = Gousse à peu près de la longueur du calice....... O. Columnæ Acc. °*) Gousse beaucoup plus longue que le calice........ O. natrix L. O. spinosa L. — (Bugrane, Arrète-bœuf, Herbe aux ânes, Chauproin, Tenon). — Fleurs solitaires, axillaires, roses ou d’un blanc rosé, avec des raies d’un rose plus foncé; étendard très ample, séparant les ailes; carène prolongée en bec. Gousse pubescente, renflée, plus longue que le calice. Feuilles trifolio- lées, les supérieures unifoliolées, pétiolées, à folioles ovales, obtuses, dentées. Plante à souche vivace, non traçante, à racines très résistantes, ascendantes, à rameaux couchés, à ramuscules épineux, très aigus et durs. — Flor. : juin-septembre. — Habit. : lieux arides, bords des chemins, pâturages. Abondant. 7}. La racine a une odeur désagréable, une saveur dou- ceâtre et nauséabonde. Elle a été autrefois très em- ployée comme diurétique contre les hydropisies. Elle paraît n'être pas totalement dépourvue de propriétés de cet ordre. On en a extrait un principe connu sous le nom d’ononine et un autre analogue à la glycirrhi- zine de la racine de Réglisse, ANTHYLLIS L. — Se distingue de tous les genres précédents par son calice vésiculeux, accrescent, enveloppant la gousse müre. A. Vulneraria L. (Vulnéraire). — Fleurs jaunes ou rarement rougeâtres, à corolle pe- tite, dépassant à peine le calice. Gousse courte, comprimée, suborbiculaire, monosperme, sti- pitée, terminée par un bec recourbé. Feuilles imparipinnées, pétiolées, les inférieures à fo- £ rs 889. liole terminale beaucoup plus ample que les 7? A Haha. , . ss eur, autres. Plante herbacée, vivace, à tige haute de 20 à 30 centimètres, — Flor. : maiïi-juillet. — Habit. : lieux 264- DIALYPÉTALES PÉRI@YNES ET ÉPIGYNES arides, sablonneux et pierreux, bords des chemins. Assez com- mun. C1$ On lui attribue des propriétés astringentes et vulnéraires dont nous ne faisons mention que pour mémoire, AA Fix, 340, — Etamines Fig, 341. -—- Lotus corniculatus. Fruit, diadelphes de Légumineuse, Sous-tribu IL — EUTRIFOLIÉES. Etamines diadelphes. 7 { Corolle à carène prolongée en bec................ 2 ‘| Corolle à carène non prolongée en bec............. 3 9. { Gousse cylindrique................................ Lotus. ‘| Gousse tétragone, à quatre ailes longitudinales.... Tetragonolobus. 3 Feuilles trifoliolées ou pinnées-trifoliolées.......... 4 2{- Feuilles imMparipinnées , . . .. 4. .m ave «ss ei ati 8 Corolle à carène contournée en spirale..........,.. Phaseolus. Corolle à carène non contournée en spirale......... 5) Gousse enfermée dans le calice, ou ne le dépassant LE € PC EE PP PR En A 2 DA | Trifolium. Gousse plus longue que le calice......... SOS ee 6 L Fleurs en capitules ombelliformes. Gousse arquée, 6 Dnéairess . : Sheet 8 cure Re CIRE Trigonella. ï Fleurs solitaires, en grappes ou en capitules non om- belliformes. Gousse falciforme, spiralée ou réniforme. 7 Gousse droite. Fleurs en grappes spiciformes effilées. ÆMelitotus. Gousse réniforme, falciforme ou spiralée........... Medicago. Stipules ‘épineuses.; 9.124.020. ssesnstes ROUTE Stipules non épineuses........... Per See PE 9 Gousse divisée en deux fausses loges longitudinales par l’introflexion de la nervure dorsale............ Astragalus. Gousse non divisée en deux fausses loges longitudinales. 40 / LÉGUMINEUSES-PAPILIONACÉES 265 Gousse très renflée, vésiculeuse, à parois membra- 3 LOT A SR en Ne net dde Un à à PTT Tite Ar Colutea. Gousse non vésiculeuse, cylindrique, toruleuse...... Galega. LOTUS L. — Fleurs jaunes, avec l’étendard souvent veiné de rouge ou rougeâtre. Calice campanulé. Corolle à étendard et ailes à peu près de la même longueur, les ailes rapprochées par leur bord supérieur, à carène prolongée en bec recourbé. Gousse droite, linéaire, cylindrique, déhiscente en deux valves qui se tordent sur elles-mêmes, contenant un nombre assez grand de graines entre lesquelles les parois de la gousse sont épaissies. Feuilles trifoliolées, accompagnées de stipules foliacées, libres; folioles entières. Sépales dressés dans le bouton...................,.... L. corniculatus L. Sépales étalés horizontalement dans le bouton......... L. major Scop. TETRAGONOLOBUS Scor. — Se distingue du précédent par son étendard beaucoup plus long que les ailes et par sa ‘gousse tétragone, pourvue de quatre ailes longitudinales, fo- liacées. T. siliquosus Rotx. — Seule espèce du genre. TRIGONELLA L. — Voisin des précédents; se distingue du dernier par son étendard de la même longueur que les ailes, du premier par sa carène obtuse et ses ailes étalées, de tous les deux par sa gousse, qui est linéaire, comprimée, arquée. Les fleurs sont très petites et disposées en capitules ombelli- formes axillaires, presque sessiles. Feuilles pinnées-trifoliolées, à stipules libres, petites. T. monspeliaea L. — Seule espèce du genre dans les envi- rons de Paris 1. Fig. 343. — Trigonella Fœnum Fœnum-grecum. Graine. græcum. Graine ; coupe longitud. 1. On cultive parfois dans les jardins une espèce de ce genre, T. Fœnum græcum L. (Fenugrec), qui est originaire de la région méditerranéenne. Elle est intéressante par ses graines qui servent à la nourriture du bétail et qui entrent dans la composition du Curry. Elles contiennent un albumen rudi- mentaire, qui devient mucilagineux quand la graine est plongée dans l’eau. 266 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES FHASEOLUS L. — Calice bilabié. Corolle à étendard réfléchi en arrière ; à carène enroulée en spirale ainsi que les étamines et le style qu'elle renferme. Gousse droite ou légèrement arquée, longue, polysperme, à graines séparées par des épaississements des parois. Fleurs en grappes pauciflores, opposées aux feuilles. Feuilles pinnées-trifoliolées, accompagnées de stipules libres !, Phaseolus vulgaris L. (Haricot, Flageolet). — Fleurs blan- ches, blanchâtres ou violacées, en grappes à pédicelles géminés. Gousses pendantes, à peu près droites, aplaties, légèrement étranglées entre les graines. Feuilles longuement pétiolées, à pétiole canaliculé, à trois folioles grandes, ovales, acuminées. Herbe annuelle, souvent volubile. G). La variété P. nanus se distingue par des tiges non volu- biles. On cultive plusieurs races de ces deux variétés; les plus fixes sont : 19 Haricot de Soissons. — Graines grosses, réniformes, blanches. 20 Flageolet.—Graines plus petites, à peine réniformes, blanches. 3° Haricot rouge. — Graines de grosseur très variable, nette- ment réniformes, rouges ou violettes, souvent panachées. P. tumidus SAv. — (Haricot-riz). — Espèce distincte de la précé- dente par ses graines très petites, ovoides, renflées, blanches. P. sphæricus SAv. — (Pois Coco.) — Espèce distincte par ses oraines presque globuleuses, de taille moyenne, rarement blanches, plus souvent jaunes, rouges ou panachées. Ces espèces, variétés et races sont cul- tivées pour leurs graines, dont l'embryon possède des cotylédons très épais, riches en amidon et en une matière azotée nour- rissante, la légumine. L’amidon du Hari- Fig. 344, cot se présente en grains arrondis ou el- Phaseolus multiflorus. Fleur. liptiques avec un hile en forme de ligne : allongée de laquelle partent souvent, sur les côtés, d’autres lignes plus courtes, transversales 2, Z”. 1. Aucune espèce du geure Phaseolus ne croit à l’état sauvage dans les environs de Paris; mais celles que nous décrivons y sont cultivées sur une grande échelle dans les jardins ou en plein champ. C’est à ce titre qu’elles figurent ici. 2. Une autre espèce de ce genre, le ?. multiflorus Wico., est cultivée dans les jardins sous le nom de Haricot d'Espagne, pour ses fleurs, qui ea ha grandes, blanches ou brillamment colorées, d'ordinaire en rouge écarlate. LÉGUMINEUSES-PAPILIONACÉES 267 TRIFOLIUM T. —- Calice tubuleux ou campanulé, imparfaite- ment bilabié, enveloppant le fruit mür. Corolle dialypétale ou samopétale, habituellement persistante ou marcescente, deve- nant souvent scarieuse, à carène obtuse, à ailes ordinairement divergentes. Gousse très petite, peu déhiscente, souvent mo- nosperme ou ne contenant jamais plus de 3 à 4 graines. Fleurs en capitules ou en épis plus ou moins compacts. Feuilles trifoliolées ou pinnées-trifoliolées. On peut diviser le genre Trifolium en deux sections : PLU IT RO OM EN PR Et Chloranthemum . Fleurs blanches, roses ou purpurines.......,,........ Erythranthemum. Section E — Chloranthemum. Fleurs jaunes. Gousse stipitée. 1,4 Style à peu près de la longueur de la gousse... 2 ‘| Style à peu près trois fois plus court que la gousse. 3 9 Stipules ovales ou ovales-oblongues............. T,. patens SCHRES. *| Stipules linéaires ou lancéolées aiguës........... T. agrarium L. 3 Feuilles à foliole moyenne pétiolulée............ 4 ‘| Feuilles à foliole moyenne sessile........,....... T.micranthum.Viv Étendard dépassant à peine les ailes, pas ou peu ñ RÉMIÉ RM Rene pere sms re renverse e es T. filiforme. L. *) Étendard dépassant longuement les ailes, forte- TROT NE D A EM Tea mar couvre cite eee Me ARE T, procumbens. L. Section II. — Erythranthemum. Fleurs bianches, roses ou purpurines. Gousse sessile. Cette section peut être subdivisée en trois sous-sections : 1.{ Corolle rose, blanche ou purpurine, non caduque... 2 | Corolle: blanchâtre, caduque..................,...:.. Subterranea. { Calice non vésiculeux après la floraison. Corolle rose D'OR NIIR CRE UR NE ne ns » Muse mac de ca ie qe RE 7e Trifohastrum. Calice vésiculeux après la floraison. Corolle rose..... Fragifera. Sous-section À. — Trifoliastrum. Capsules ou épis multiflores. Calice ne devenant pas vésiculeux après la floraison. Corolle purpurine, rose ou blanche, non caduque, marcescente ou persistante, scarieuse. 1 Gorge du calice munie d’un anneau saillant.... 2 ‘| Gorge du calice dépourvue d’un anneau saillant. 9 9 L Fleurs en épis oblongs ou cylindriques......... 3 Fleurs en capitules subglobuleux ou ovoïdes.... 5 Fleurs blanches ou rosées. Tigestrès pubescentes, 7, arvense L, Fleurs pourpres ou purpurines-rosées........ sie Fleurs purpurines-rosées. Tiges très glabres... T. rubens L. Fleurs pourpre vif. Tiges très pubescentes..,.. 7, incarnatum 1 L. 3. 4. di, 4, Le T. incarnatum est cultivé sur nne grande échelle en prairies arti- ficielles sous les noms de Farouche et Trèfle anglais. Se POSE ES DER A ES AT ee j L r CPE NTTEN NA L , A 1044 Nr ANS - ( if Kk er Pr ‘ 4 LE 268 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Calice à tube glabre................ LS HARTRES T, medium L. 5.) Calice à tube velu ou pubescent.. 4e 05:00 Calice fructifère à divisions presque épineuses, di- 6 | VErBONLES ....sessssreseresssesssesssesss... TZ. SCabrum L. Calice fructifère à divisions non épineuses..... 7 Sp SE AL D LEE Fig, 345. — Trifolium incarnalum. Fig. 346. — Trifolium arvense, DO { Calice à divisions filiformes ou linéaires....... 8 Calice à divisions lancéolées-subulées, les supé- rieures deux fois plus courtes que l’inférieure. Fléura janndtires.. etre ee à Jane cmtetars s 1 00 OTeUEUE Le. { Calice à divisions filiformes, l’inférieure ne dé- passant pas la moitié de la corolle, Fleurs roses purpurines..... Se MO AS Me nine T. pratense L. Calice à divisions linéaires subulées, plus lon- gues ou plus courtes que la corolle. Fleurs blanches ou rosées........... se HAN .... TT. striatum L, LÉGUMINEUSES-PAPILION ACÉES. 269 Fleurs sessiles ou subsessiles.........,........ 1) 9,4 Fleurs nettement pédi’ellées, surtout les supé- PIDENOS. Se dan ERP RER PU 12 Fig. 347, — Trifolium pratense. Fig. 348. — Trifolium pratense. Fleur. 10 Calice.pubescent.....s0...,.54..0.,0.00: 70.04 ..... ZT, montanum L. TORRES PR none vo meet aan fee 11 ui Gousse ne dépassant pas le calice............. T. glomeratum L. ‘| Gousse dépassant le calice............ sssensue Un SITIBRIER Le { Tiges couchées, radicantes. Fleurs blanches ou 42 lOSÉES .........esosssenseseseoseseeseneese T. repens L. ") Tiges dressées ou ascendantes, non radicantes. RER ee RE A le alone Docie ne Da moe à T. elegans SAYI. Sous-section B. — Fragifera. Capitules multiflores. Calice devenant vésiculeux par la face dorsale. Corolle rose, marcescente. Gousse sessile, beaucoup plus courte que le tube calicinal. T. fragiferum L. — Seule espèce de la section. LA 270 DIALYPÉTALES PÉRICYNES ET ÉPIGYNES Sous-section CG. — Subterranea. Capitules pauciflores. Calice dilaté. Corolle blanchâtre, ca- duque. Capitules s’enfonçant dans le sol après la floraison, T. subterraneum L. — Seule espèce de la seetion. MELILOTUS T. — Fleurs jaunes ou rarement blanches, en grappes spiciformes, allon- gées et minces. Calice campa- nulé. Corolle caduque, à carène obtuse,adhérente aux ailes au dessus de l'onglet. Gousse à 1-4 graines, indéhiscente, droite, plus longue que le ca- lice. Feuilles pinnées-trifolio- lées. Stipules adhérentes au pétiole. Fig. 349. — Melilotus ofiicinalis. Fig. 350. — Melilotus officinalis. Inflorescence. Gousse. } Fleurs blanches.....::,.....,,,.:. 0 M, alba Lamk. VPHleurS jaunes. 2 me eee sieste 2 9 Etendard beaucoup plus long que les ailes. Æ/. Indica L. ‘l EÉtendard pas plus long que les ailes..... 3 Goussd:plabre nine: chevet M. arvensis WALLR. ‘| Gousse couverte de poils apprimés........ M. officinalis WiLLo. Les fleurs du 4. officinalis exhalent une odeur agréable rappelant celles du miel et de la fève Tonka et due à un principe qu’on trouve aussi dans la fève Touka, la coumarine. On se sert de ces fleurs pour éloigner les insectes des fourrures et aromatiser le linge. Elles ont été considérées comme jouissant de propriétés émollientes et carminatives qui sont fort douteuses. Le M. alba passe pour jouir des mêmes propriétés. Le M. cæ- rulea, à fleurs bleues, cultivé dans les jardins, est très aromatique. "4 LÉGUMINEUSES-PAPILIONACÉES 271 MEDICAGO L. — Fleurs jaunes, jaunâtres ou rarement violacées. Calice campanulé. Corolle caduque, à étendard plus long que les ailes et la carène, qui est obtuse et échancrée. Gousse ordinairement plus longue que le calice, réniforme, falciforme ou spiralée, monosperme ou polysperme. 1,4 Gousse réniforme, monosperme................. M. Lupulina L. "1 Gousse falciforme-spiralée ou spiralée........... 2 Gousse monosperme, falciforme-spiralée, à un seul 2.4 tour de spirale, monosperme................... M. falcata L. Gousse polysperme, à plusieurs tours de spirale.. 3 Gousse à spirale laissant un vide central. Fleurs EE RE nn ae smchon n à se: © ec FER EIoe,- M. sativa L. Gousse n’offrant pas de vide au centre de la spi- rale Fig. 351. — Medicago sativa. Fig. 352. — Medicago sativa. Fleur. Gousse. Gousse non épineuse, glabre, en hélice discoïde 4 ET ME NE A RE et M. orbicularis Arr. CARE ÉPINEUSBE ae nie ne me ee De Re 5 Une seule rangée d’épines espacées sur le bord ex- s 5 RETRO ARIPURBE SAS Le nord ne ee ee Sas M. Gerardi Wizzo. ‘À Deux rangées d’épines sur le bord externe de la ETES CRM RE AR PEN EE RTE SORT D OT OO 6 6. Pédoncules portant 5-10 fleurs.................. DM.apiculata Wire. *{ Pédoncules portant 1-4 fleurs................... 7 7.4 Stipules LE UE TER ORPI pe Re M. minima Lam. , ÉTAT ER E RRr, CORSMARCE M.maculata Wiceo. Le M. Lupulina est quelquefois cultivé en prairies artificielles sous les noms de Petit- Violet, Minette, Mignonnette. à < Le M. sativa L. est cultivé sur une grande échelle en prairies arti- ficielles sous le nom de Luzerne. A } 212 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES ASTRAGALUS L. — Fleurs jaunes-verdâtres ou purpu- rines. Calice campanulé ou K! Pr TZ FX € V2 tubuleux. Corolle à étendard S VW DD Z plus long que les ailes, à ca- aU à (EL rène obtuse. Gousseallongée, -" U Fe divisée en deux fausses loges D | longitudinales. Feuilles pin- nées. Fig.353. — Astragalus glycyphyllos. Fig, 354. —Astragalus. Fruit ouvert. Fleurs jaune-verdätre. Gousse glabre, pubérulente, SODIR ODA ee à à ode eve ouno ete CT RE A. glycyphyllos L. Fleurs blanc-jaunâtre. Gousse velue, ovoïde-glo- « DUIOUEE Rue à Mu va vec Seam ren soc. As CEE. Fleurs purpurines-violettes. Gousse glabre, arquée. À. Monspersulanus L. L’A. glycyphyllos a été employé sous les noms de Aéglisse sauvage, Réglisse bâtarde, comme adoucissant. Il est très recherché des bestiaux et pourrait faire de bonnes prairies artificielles. GALEGA T. — Fleurs blanches, rarement bleuâtres, en grappes pluriflores, axillaires. Calice campanulé, à 5 dents à peu près égales. Etamines submonadelphes, la postérieure n'étant libre que dans sa moitié supérieure. Gousse polysperme, sub- cylindrique, toruleuse. Feuilles imparipinnées. G@. offieinalis L. — Seule espèce du genre (Lavanèse, Rue de Chèvre). Croît sur le bord des ruisseaux. A été considérée jadis comme sudorifique, vermifuge, etc. COLUTEA L. — Fleurs jaunes, veinées de rougeâtre. Calice campanulé, à 5 dents. Gousse polysperme, très vésiculeuse, à valves membraneuses. Feuilles impari-pinnées. C. arborescens L. — Seule espèce (Baguenaudier, Faux Séné). Cultivé dans les jardins. dés A “tar: Ne en rl ” ETS D TES L SRE CRE RE eat 4 TR RP SCT « LD ES 7 2 LT E 4 HE DES | PET Q TA a Le, À [RO 1 9 LÉGUMINEUSES-PA PILIONACÉES Fig. 357. — Colulea arborescens. Fig. 358. — Colutea arborescens, Gousse ; coupe transvers. Gousse. ROBINIA L. — Fleurs blanches ou roses, en longues grappes. Calice campanulé, sub-bilabié, à 5 dents. Gousse po- lysperme, comprimée, à bord interne présentant une bordure saillante. R. Pseudo-Acaeïa L. — Seule espèce. Arbre cultivé dans . D “FE D De : ” Enscost by + 2 ER Le LOS, 5" 27% a Nr AS #4 TAN RE MRET AE PR RE 6 . 35 SON RCIP PAM TE m/f “ £ r d ? $ Ÿ Vs ‘ r M L + 4 LR 1 ES 974 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES les jardins, les promenades, sur le bord des routes (Faux-Acacia ou vulg. Acacia) {. Tribu II. — VICIÉES. Gousse à une seule loge, parfois subdivisée entre les graines par des épaississements transversaux des parois latérales. Feuilles paripinnées, à pétiole terminé par un filet court, ou plus souvent par une vrille allongée, rarement transformé en phyllode. Cotylédons souterrains après la germination. Graines oblongues, tronquées et comprimées, à hile 1:12 torminal.. 1... ..1, 40e... 4e OR Faba. | Graines globuleuses, subglobuleuses ou lenticulaires. 2 Pétiole terminé par un filet court....,..........,... Orobus. 2, Pétiole terminé par une vrille allongée, rarement | transformé en phyllode............. A Se: 1 .…. 3 3 Stipules orbiculaires, très amples........,..,...... Pisum. ‘| Stipules sagittées ou semi-sagittées............... . 4% 4 SETID ANDRE. San net - ose dore E RRe Vicia. ‘| Style plan, élargi au sommet.......... 6 con as ve DOLRIUE. FABA T. — Fleurs blanches ou rosées, à ailes tachées de noir, en grappes axillaires courtes. Calice tubuleux, à cinq dents, les 2 supérieures plus courtes. Etamines monadelphes. Style filiforme, un peu aplati. Gousse allongée, aplatie, terminée par une pointe recourbée. Graines oblongues-comprimées, tron- quées ; hile allongé, situé à une extrémité. F. vulgaris Moxca. (Fève, Féverole, Fève de marais). — Caractères du genre. Herbe annuelle, à tige dressée, haute de 40 à 80 centimètres, anguleuse, fistuleuse, peu ramifiée, à feuilles paripinnées, sans vrille, composées de 1 à 3 paires de folioles irrégulièrement alternes, oblongues, entières, épaisses, d'un vert glauque, à pétiole terminé par une courte pointe. — Flor. : juin-août. — Habit. : originaire de l'Asie. Cultivé en plein champ. (1). Les graines de la Fève sont mangées vertes et sèches. Elles sont très riches en amidon et en légumine. Il est bôn de débarrasser la graine de ses enveloppes, qui sont très dures et indigestes. L’herbe est un bon fourrage. La farine de fève est un bon aliment pour les personnes débiles. La cendre de la tige est riche en carbonate de potasse; on l’employait au- trefois, infusée dans le vin blanc, contre les calculs rénaux et vésicaux et comme diurétique. OROBUS L. — Fleurs roses-violacées, en grappes axillaires. Caïice campanulé, les 2 dents supérieures plus courtes. Etamines 1. Les Acacias véritables appartiennent à la famille des Légumineuses Mimosées, dont les fleurs sont régulières. Aucune espèce n’est indigène des environs de Paris; aucune ne peut y ètre cultivée en plein air. LÉGUMINEUSES-PAPILIONACÉES 975 monadelphes ou diadelphes. Style aplati, velu au sommet. Gousse polysperme. Graines globuleuses ou subglobuleuses. Feuilles pari-pinnées, à 1-5 paires de folioles, à pétiole terminé par un filet court. Rhizome pourvu de renflements au niveau des nœuds..., ©. tuberosus L. Souche dépourvue de renflements........,.............. O. niger L. PISUMT. — Fleurs blanches ou rougeâtres, en grappes axil- laires pauciflores ou rarement solitaires. Calice campanulé. Etamines diadelphes. Style triangulaire, canaliculé en des- sous, terminé par un stigmate velu. Gousse oblongue, renflée, polysperme. Graines globuleu- ses, à hile arrondi. Feuilles pari-pinnées, à 2-3 paires de folioles, à pétiole terminé par une longue vrille habituelle- ment rameuse. Stipules très amples, presque orbiculaires. Fleurs blanches. Grai- nes non tachées..... P. sativum L. Fleurs à ailes et éten- dard rouge - violet. Graines tachées de DORE roue ce . P. arvense L. P. sativum L. — (Pois, Pois vert, Petit Pois). — Caractères du genre, avec des fleurs blan- ches et des graines jaunâtres. Herbe annuelle, à tige haute de 80 centimètres à 1 m. 50, glabre, glauque. — Flor. : mai- septembre.— Habit. : originaire de l'Asie. Cultivé en grande quantité dans les jardins et les champs. (M). Les graines de cette espèce sont très recherchées, à l’état frais, sous le nom de Pois verts, On les mange L > : s aussi à l’état sec. Elles sont riches en Fig. 359. — Pisum salivum. - amidon et en légumine. Mais il ést bon : Sommet d'un rameau florifère, de ne les manger, à l’état sec, qu’en purée, parce que leurs enveloppes sont dures, épaisses et très indigestes. Les gousses vertes constituent un bon aliment pour les lapins et les vaches. L’herbe verte ou sèche est un bon fourrage. P. arvense L. — (Pois gris, Pisaille). — Se distingue de _ 276 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES l’espèce précédente par ses fleurs à étendard et ailes rougeâtres et par ses graines tachées de brun et plus déformées. C’est une herbe annuelle, haute de 30 à 80 centimètres, glabre et glauque. Flor. : mai-juillet. — Habit. : originaire de l'Asie. Cultivé en plein champ. (@). Les graines sont légèrement amères. Elles ne servent guère qu’à l’ali- mentation des pigeons et des poules. VICIA T. — Fleurs ordinairement roses ou purpurines, rare- ment blanches où jaunes, solitaires, en cymes pauciflores ou en grappes pluriflores. Calice tubuleux-campanulé, à divisions égales ou inégales, aussi longues ou plus courtes que la corolle. Etamines diadelphes ou sub-monadelphes. Style filiforme. QVGO 7. Gi DANS Fig. 360, — Vicia sepium. Fig. 361. — Vicia sativa. Gousse tantôt allongée et polysperme,; tantôt courte et oli- gosperme. Graines globuleuses, anguleuses ou lenticulaires. Deux sections : Calice beaucoup plus court que la comble, 20 serote e. Euvicia. Calice aussi long que la corolle...,.......,.....,.....2%0.:. 1Ervum. LÉGUMINEUSES =PA PILIONACÉES dE Section I. — Euvicia. Calice beaucoup plus court que la corolle. Fleurs solitaires ou géminées................. 2 1. Fleurs en cymes ou grappes pauciflores ou HÉDITONE RTE RE RO EEE 4 ES TR DR LA Ni ane nues due do ges «4 V. lulea L. 2.1 Fleurs purpurines ou purpurines-bleuâtres.... 3 Graines subglobuleuses, lisses ; stipules ordinai- 3 rement tachées-de noir...........::.....,.. V. sativa L. ‘) Graines presque cubiques, tuberculeuses-ponc- ETS RSR NP PO RE A TS EME RTS V. lathyroides L. / Fleurs en cymes courtes, portées par un pédon- \ cule commun plus court que l’une des fleurs. 5 4.4 Fleurs en grappes multiflores ou pauciflores, à pédoncule commun plus long que l’une des HEULS EE at eme neo datiye dou « 7 Graines subglobuleuses , à hile occupant les É deux tiers de la circonférence............... V. sepium L. 4 Graives à hile n’occupant pas le quart de la cir- DR D Ses: Mepeanass cv ttes de 6 Fleurs pourpre-foncé. Etendard glabre....,... V. narbonensis L. 6.4 Fleurs roses-purpurines. Etendard pourpre, vio- let, velu ....... PROD Se ITA MEME DAMES ae V. pannonicä Jaco. Fleurs en grappes unilatérales, égalant ou dé- 7,4 Dassont Ie ientiless..2.., sde 27e 5e 8 [Mæxca, | Fleurs en cimes plus courtes que les feuilles.. V. {etrasperma 8 Galice: bé a ia base AC RE TE V. villosa RoTx. "l Gakce-non Bôssu: à la base ....::..::.:%::::5: 9 9 Etendard rétréci au milieu..........,:.....:. V. Cracca L. Etendard rétréci dans le quart inférieur....... V. tenuifolia ROTH. Le Vicia sativa L. (Vesce, Pasquier) est fréquemment cultivé comme fourrage. Les graines servent à la nourriture des volailles. Sect. II. — Ervum. Calice aussi long que la corolle. Graines lenteulires sen. ae de de rnnioe ae V. Lens L. Grames sl0B0leseSE Et ne. ve 0 Net o à na dtee se V. hirsuta Kocu. V. Lens — (Ervum Lens L. Lentille). — Fleurs blanchi - tres, teintées de bleu, disposées au nombre de 1-3 au sommet de pédicules à peu près aussi longs que les feuilles et terminés en arête. Calice velu, à divisions linéaires à peu près égales, aussi longues que la corolle. Gousses pendantes, glabres, rhom- boïdales, dispermes ou monospermes. Feuilles paripinnées, à folioles nombreuses, à pétiole principal terminé par une vrille ou une arête. Herbe annuelle, à tiges hautes de 20 à 40 centi- mètres, pubescentes. — Flor. : juin-juillet. — Habit. : cultivé en. grand pour ses graines. (1), Les graines de la Lentille sont comestibles, riches en fécule et en légu- mine ; mais leurs enveloppes sont dures et indigestes, et il est préférable de faire usage de la purée que des graines entières. La farine de lentilles faisait FLORE DE PARIS, 16 £" PPT 4 si « € ni LT ES Qt, L' MR Epilobium . EPILOBIUM L. — Sépales 4, caducs. Pétales 4, Etamines 8. Stigmates 4, en croix ou rapprochés en massue. Ovaire très allongé, tétragone. Capsule très allongée, linéaire, 4-logulaire. à loges polyspermes, loculicide. Graines surmontées d’une ai- grette. Feuilles opposées, ou éparses, entières ou dentées. Fleurs roses ou purpurines, en grappes allongées, spiciformes, termi- nales, ou en panicules feuillées. Feuilles He ses. Pétales entiers ou à peine I ÉMAPSINÉS. ss. .sses ee AS AR Æ. spicatum Lamx. ‘) Feuilles opposées , au moins dans le bas. Pétaléméthangrés .....,.....sssusesoc..e 42 Stigmates étalés en croix....,......,...... 2 5 2. Stigmates rapprochés en massue...,....,,. Sépales fortement mucronés, à mucrons con- 3 nivents en pointe au-dessus du bouton... Æ, hirsutum L. ‘) Sépales non mucronés ou à peine mu- CORRE re css an soon conne: Tiges et feuilles gisbre es ou presque glabres. A Feuilles fortement dentées....… ee E, montanum L. ") Tiges et feuilles velues ou pubescentes. Feuilles finement denticulées .,.......... E. parviflorum SCHREs. 5 Tiges pourvues de 2-4 lignes snillantes 6 5.| Tiges dépourvues de lignes saillantes..,,.. Æ, palustre L. 6 Feuilles sessiles ou subsessiles.,.......,... £E. tetragonum L. Feuilles toutes pétiolées.....,,....,...... Æ. roseum Scures. ŒNOTHERA L. — Sépales 4. Pétales #. Etamines 8. Stig- mates 4, en croix. Ovaire très allongé, surmonté d'un disque qui porte le périanthe et l’androcée et qui se détache de l'ovaire à la maturité. Capsule coriace, 4-loculaire, à loges polysper- mes, loculicide en # valves. Graines sans aigrette. Feuilles éparses. Fleurs jaunes, axillaires, solitaires à l’aisselle des feuilles supérieures, formant par leur ensemble une grappe terminale, feuillée. Œ. biennis L. — Seule espèce. Belle plante à grandes fleurs jaunes, assez commune dans les lieux cultivés, sur les talus des chemins de fer. ISNARDIA L. — Sépales 4, persistants, Pétales nuls. Eta- mines #. Stigmate simple, capité. Ovaire court. Capsule 4-lo- culaire, à loges polyspermes, loculicide en 4 valves. Graines sans aigrette, Feuilles opposées, entières. Fleurs herbacées, solitaires, axillaires, LL 7 202 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES L palustris L. — Seule espèce. Plante aquatique à tiges nageantes, ou couchées et radicantes. Fig. 376. — Œnolhera biennis. Fig, 3171. — Œnolhera biennis. Sommité fleurie. Fleur ; coupe longit. Fame LXIL — CIRCÉACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle très concave, formant les parois de l’ovaire. Pé- rianthe double. Calice 2-mère. Corolle 2-mère, épigyne. Eta- mines 2, épigynes, à filets indépendants. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire infère, 2-carpellé, 2-loculaire, à loges 1-ovulées. Ovules ana- tropes, insérés dans le haut de l’angle interne des loges. Fruit capsulaire, indéhiscent, 2-loculaire, à loges 1-spermées. Graines sans albumen. Feuilles opposées, simples, sans stipules. Fleurs en grappes terminales. Affinités. — Ne se distingue des Onagrariées que par ses. fleurs 2-mères et son fruit indéhiscent, Er Frs Dar « 2 Pont 3 à . CIRCÆA T. — Caractères de la famille, HALORAGÉES 293 LA C. Lutetiana L. (Herbe aux sorcières). — Petite plante, à tige haute de 40 à 60 centim., ramifiée, grêle, à feuilles lon- guement pétiolées, à fleurs petites, blanches, en grappes très Jâches, effilées. Commune dans les parties humides des bois. MAL VA ( D \y A ANAQLER TEE \ y A en ff j ni NCA V2 ÿ f AUS SS SS (ai N \\ Et il #4 EX SN h, d RS LL QU (LE È for + ee #7 KQ\ (M) 11/1) er F Fig. 378. — Circa Luleliana. Fig. 379.— Myriophyllum verticillalum. Fuuzze LXII — HALORAGÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites ou unisexuées. Réceptacle très concave, formant les parois de l'ovaire. Périanthe double. Calice 4-mère, parfois très rudimen- taire. Corolle 4-mère, parfois nulle. Androcée isostémone ou diplostémone, hypogyne. Ovaire infère, 2-4-carpellé, 2-4-locu- laire, à loges uni-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l'angle interne des loges. Fruit sec, 4#-loculaire, à loges 1-sper- mées, indéhiscent. Graines sans albumen ou à albumen mince. Feuilles verticillées, rarement opposées, sans stipules, pecti- nées, immergées, ou les supérieures entières, en rosette, na- geantes. Fleurs très petites. Affinités. — Les Haloragées sont vo'sines des Onagrariées par leur ovaire et leurs fleurs 4-mères, mais elles s’en distin- 29% DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES guent par la réduction fréquente du périanthe et par leur ha- bitat. Ce sont en effet des plantes aquatiques immergées, Deux genres : Stigmates 4, sessiles, Feuilles toutes pectinées...,..,.... Myriophyllum. Stigmate simple, sur un style filiforme. Feuilles immer- gées pectinées, les nageantes entières.....,..........., Trapa. MYRIOPHYLLUM Vaizz. — Fleurs monoïques. Sépales #4, cadues. Pétales 4. Etamines 8, rarement 4. Stigmates 4, sessiles, volumineux. Fruit formé de # coques 1-spermes, surmon- tées du stigmate persistant. Feuilles verticillées, sessiles, toutes pectinées, les florales seules souvent squamiformes. Fleurs en verticilles rapprochés au sommet des rameaux et formant une sorte d’épi, dont les mâles occupent le sommet et les femelles la base. Fleurs naissant toutes à l’aisselle de bractées in- divises, de la longueur des fleurs......,....... M. spicatum L. Fleurs naissant toutes à l’aisselle de feuilles pec- tinées plus longues que les fleurs, ............ . M. verticillatum L, Fleurs femelles naissant à l'aisselle de feuilles pec- tinées, les mâles à l’aisselle de bractées indi- VIS OBS potes lai sémmene soscscocecccse secs COL; TRAPA L. — Fleurs hermaphrodites. Sépales 4, persis- tants. Pétales 4. Etamines 4. Style simple. filiforme.Fruit ligneux, volu- mineux, muni de #%# cornes latérales for- mées par les sépales per- sistants et sur- monté par la base du style, 1-loculaire et 1-sperme par avortement. Graine sans al- bumen. Feuil- les submer- gées opposées, | pinnatisé- Fe. 0 TS quées, les nageantes en rosette. entières, pétiolées. Fleurs blanches. Les. HÉDÉRACÉES 295 T. natans L. (Cornuelle, Châtaigne d'eau). — Jolie plante commune dans les étangs du centre de la France, introduite dans quelques bassins des environs de Paris, notamment au bois de Boulogne. Fauzze LXIV. — HÉDÉRACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle très concave, formant les parois de l'ovaire. Périan- the double. Calice 4-5-mère. Corolle épigyne, 4-5-mère, val- vaire. Etamines 4-5, épigynes, à filets indépendants. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudi- nales. Ovaire infère, à à, 2, rarement 3 carpelles et loges, à loges 1-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Fruit charnu, bacciforme ou drupacé, à 5, ou 3-2-lo- ges 1-spermes. Graines albuminées. Feuilles alternes ou oppo- sées, simples. Fleurs en ombelles simples. Arbrisseaux, Affinités. — Les Hédéracées sont très voisines des Ombelli- fères, dont elles se distinguent par leur ovaire typiquement à plus de deux carpelles, par leur fruit charnu et par leurs feuilles toujours simples. Deux genres : Feuilles alternes, persistantes... ces mecs cesoscesosuae secs LICUEPTES Feuilles \epposées ;raduqués..%,......022asecsau. en. ., Cornus. HEDERA T. — Sépales 5, très courts. Pétales 5, Etami- nes 5. Style simple. Baie à 5 loges en partie avortées. Feuilles alternes, coriaces, persistantes. Fleurs en ombelles simples. formant des panicules terminales. H. Helix L. (Lierre). — Arbrisseau sarmenteux, grimpant, se fixant aux murs et aux arbres par des crampons développés au niveau des nœuds. Feuilles coriaces, luisantes en dessus. persistantes, les caulinaires cordées, 3-5 ou 6-7 lobées, celles des rameaux florifères atténuées à la base, entières. Fruits noirs. — Flor. : septembre-octobre. — Fruct. : janvier-mai. — Habit. : vieux murs, arbres. La sous-variété prostata croit sur le sol et reste toujours stérile. Les in- dividus qui poussent sur les murs et les arbres ne portent de fleurs que sur les rameaux qui abandonnent le support et qui se développent dans l'air, Les feuilles froissées exhalent une odeur très forte, aromatique, un peu résineuse. Leur saveur est amère et àcre, nauséeuse Elles sont employées, dans les campagnes, pour panser les vésicaloires que l'on veut faire sup- purer. On les considère comme emménagogues. Les fruits sont éméto- cathartiques et peuvent, à haute dose, produire des accidents toxiques. _ 296 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Des incisions du tronc découle une gomme-résine connue sous le nom de gomme de Lierre, ou gomme hédérée Elle exhale en brûlant une odeur agréable et passe pour être emménagogue et excitante. On s’en sert dans certains pays pour calmer le mal de dents et pour tuer les poux; mais elle passe pour être susceptible de faire tomber les cheveux. Fig. 381, — Hedera Helix. Fleur. Coupe longitudinale. CORNUS T. — Sépales #4, courts. Pétales 4. Etamines #4. Style simple. Drupe à noyau biloculaire. Feuilles opposées. Fleurs en ombelles simples. Arbrisseaux dressés, ramifiés. Fig. 382. — Cornus mas. Rameau florifère et fleur, Fleurs blanches, sans involucre. Fruit noir, globuleux... €. sanguinea L. Fleurs jaunes, très petites, involucrées. Fruit rouge, ellip- rene RnB Por Li Pen de ee SANT POUR Les fruits du C. mas (Cornouiller mâle, Courgelier) sont comestibles et légèrement laxatifs. Ils ont une saveur acidule, sucrée, agréable, On en fait des conserves, L'écorce du C. sanguinea (Cornouiller femelle, Sanguine, Sanguinon) est astringente. Son fruit n’est pas comestible; mais ses graines fournissent une huile bonne à brüler et utilisable dans la fabrication des savons. FAMILLE LXV. — OMBELLIFÈRES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites, polygames ou dioïques. Réceptacle très concave. Périanthe double. Calice 5-mère, souvent très réduit. Corolle épigyne, OMBELLIFÈRES 297 5-mère, dialypétale. Étamines 5, alternes avec les pétales, à filets indépendants. Anthères biloculaires, introrses, déhis- centes par des fentes longitudinales. Styles 2. Disque bilohé, surmontant l'ovaire. Ovaire 2-carpellé, 2-loculaire, à loges primitivement 2-ovulées, puis 1-ovulées. Fruit sec, se séparant, à la maturité, en deux méricarpes monospermes, qui aban- donnent entre eux un prolongement de l’axe réceptaculaire très allongé et grêle {columelle). Méricarpes pourvus chacun de cinq côtes séparées par des sillons ou vallécules. Dans ces der- nières, il existe parfois des côtes secondaires; on a alors cinq côtes primaires et quatre secondaires. Dans les sillons existent souvent des canaux sécréteurs plus ou moins visibles au dehors, où ils se montrent sous l'aspect de bandelettes foncées. Graines albuminées. Feuilles alternes, souvent composées. Fleurs très ordinairement en ombelles. Affinités. — Les Ombellifères peuvent être définies des Ru- biacées à corolle dialypétale et à ovaire infère. Deux tribus : Fleurs sessiles ou à peu près, en capitules ou en verticilles solitaires ou superposés....... . Ombellifères imparfaites. Fleurs en ombelles régulières, composées... .,. Ombellifères parfaites. Tribu I. — OMBELLIFÈRES imparfaites. Fleurs sessiles ou presque sessiles, disposées en capitules ou bien en verticilles solitaires et terminaux ou axillaires et su- perposés, jamais disposées en ombelles composées. Deux Sous-tribus : Fleurs en verticilles solitaires ou superposés........... .. Hydrocotylées. Fleurs eu 'espdtles: nids este dont our ae eus . Saniculées, Sous-tribu I. — HYDROCOTYLÉES. Fleurs disposées en verticilles solitaires ou superposés. Fruit sans épines ni écailles, à côtes non distinctes, sub-orbiculaire sur la coupe. HYDROCOTYLE T. — Seul genre. Caractères de la tribu et de la sous-tribu. Fleurs disposées en verticilles entourés chacun d’un involucelle à bractéoles peu nombreuses, et portés par des pédoncules nus, naissant isolément ou en fascicules de la souche. Feuilles simples, sub-orbiculaires, peltées, lon- guement pétiolées. Fleurs petites, blanches. LEA 298 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES N H. vulgaris L. — Seule espèce. Petite plante commune dans les prairies humides, au bord des étangs, à pédoncules flori- fères portant 2, 3, 4 verticilles pauciflores superposés. Fig. 383. — Æydrocolyle vulgaris. Fig. 384. — Sanicula europæu. Sous-tribu II. — SANICULÉES. L2 . Fleurs disposées en capitules ou en ombelles simples; à pé- doncules courts, s'allongeant après la floraison. Fruit sans côtes visibles, couvert d’épines ou d’écailles,. Deux genres : Fleurs accompagnées de bractées florales épineuses, très dures et longues. Feuilles épineuses....,...... ME Ne .….. ÆEryngium. Fleurs accompagnées de bractées herbacées. Feuilles non ÉPIRCRSOS,. L'on: av riens em end rm TER el ee CINE. SANICULA T. — Fleurs en capitules subglobuleux dispo- sés en une ombelle entourée d’un involucre et à rayons s’allon- eant après la floraison, accompagnées de bractées et d’un involucellé à folioles herbacées, membraneuses. Fruit couvert de longues épines courbées en crochet. Fleurs blanches, pe- lites, polygames. Feuilles palmatipartites. à S. europæa L. — Seule espèce. Caractères du genre. Plante à souche vivace, à feuilles disposées en rosette, glabres, lui- : à. sb en faisait aussi usage + OMBELLIFÈRES 299 e santes, longuement pétiolées; palmatipartites, à tige haute de 50 à 60 centim., portant des feuilles de même forme, plus pe- tites. — Flor. : avril-mai. — Habit. : bois humides. La Saniele jouissait autrefois d'une: grande réputation officinale. On l’employait surtout comme vulnéraire ; on contre la diarrhée, la dyssenterie, les héma- turies, etc. Elle est seulement un peu as- tringente. ERYNGIUM T. — $e distingue par ses fleurs en ca- pitules multiflores, accompagnées de bractées épineuses, par son fruit cou- vert d'’écailles et par ses feuilles pin- natipartites, épi- neuses. E. campestre L. — Seule espèce. Remarquable par ses feuilles d’un vert glauque, très coriaces et épineuses, et par ses capitules subglobuleux, for- mant des corymbes terminaux. Très commune dans les lieux arides et au bord des chemins. Fig. 385. — Eryngium campestlre. Tribu II. — OMBELLIFÈRES parfaites. Fleurs disposées en ombelles composées, régulières, ou, ra- rement, réduites à des ombellules latérales. | Sept Sous-tribus : La | Méricarpes munis chacun de 5 côtes primaires, sans altés secondaires: : 222 SRE LA is ve TE 1. | Méricarpes munis chacun de 5 côtes primaires et d 4 côtes secondaires: : ss: sos cssicéécccc cé e sectes 20 0 2 | Graine à face commissurale plane ou convexe........ 3 ‘| Graine à face commissurale creusée d’un sillon profond. 4 30 3. | | : | ri 6. DI ALYPÉTALES PERIGYNES ET ÉPIGYNES Fruit presque cylindrique ou comprimé perpendiculai- rement à la COMMISSUrRES CC CRE EE Fruit comprimé parallèlement à la commissure....... Méricarpes atténués au sommet ou prolongés en bec. Méricarpes non atténués ni prolongés en bec, renflés et presque didymes es er ee... CCE Graines à face commissurale plane ou convexe....... Graines à face commissurale très concave ou à bords infléchis.6l enroulES... e 26 ROC Fruit presque cylindrique ou comprimé perpendiculai- rement à la commissure. Côtes secondaires couvertes d’épines ou de tubercules...... déorart scies CE Fruit subglobuleux. Côtes primaires flexueuses ; côles se condaires peu saillantes, non tuberculeuses ni-épi- neuses. 4.1 en RE T0 OLD AO CET ete Sous-tribu I. — CICUTÉES. Cicutées. Angélicées. Seandicées. Conices. Laserpitiées. 6 Caucalinées. Coriandrées. Méricarpes pourvus de à côtes primaires, sans côtes secon- daires. Fruit cylindroïde ou comprimé perpendiculairement à la commissure, souvent presque didyme. Graine à face commis- surale plane ou convexe. Coupe horizontale du fruit orbiculaire ou sub-orbicu- laire. Fruit non comprimé DerPon cie à la PANIER ee see A laser RNA. Coupe horizontale du fruit oblongue. Fruit comprimé perpendiculairement à la commissure.......,....... Fleurs jaunes ou jaune-pâle...............,........ Fleurs blanches ou rosées ..... suce ee eee TOR : Méricarpes à côtes non ailées. Vallécules à 1 canal ré- STONE LE OS M M D0-0 do core 5e oo cac Méricarpes à côtes ailées. Vallécules à 3-4 canaux rési- MÉTES Eee A DA 00e O oo0ue nn Méricarpes à côtes ailées sub-membraneuses.. Méricarpes à côtes plus ou moins saillantes ou épaisses, mon :ailées......... ST RE FPE x Fruit à peu près cylindrique ou sub-tétragone...... ; Fruit ovoide sub-globuleux...... TOR DCS Columelle bipartite .............. PO co Columelle indistincte ............. RE sou 4 Sépales courts et épais..... ss. He FAR Cu Sépales allongés et subulés..... A DR arr HUE On Fleurs: blanches ou blanc-verdätre .................. Se SON RE Tr Se je Fleurs HENRA SR OES LE RARE A OR Fleurs ‘diiques .7 Late Sa euMMEN RER AAN ES Involucreset involucelle absents. : 4. Involuere et involucelle présents, à folioles plus ou Moins, n0MbTEUSÉS.. 0. ne: senes etre An NN Vallécules dépourvues de canaux sécréteurs......... cel pourvues d’un ou plusieurs Canaux sécré- eurs RARES sense nes tee pee LE: Fœniculum. Silaus. Cnidium. ) 6 Æthusa. { Œnanthe. Seseli. Libanotis. 9 Bupleurum. 10 Trinia. 11 13 Ægopodiuin. 12 Méricarpes sub- cobalt sains mou dernbre Cite en CCR TEE Méricarpes linéaires- -0blongs ss 0 nelRE: . . . . A A Te is OMBELLIFÈRES Pétales bifides ou bilobés.. Pétales entiers ou simplement émarginés.....,..,. Pétales bifides, à pointe réfléchie. Involucre el invo- lucelles à folioles DÉUAROMPTEUSES 6... 2e. eme « Pétales bilobés, infléchis, à lobes inégaux. Involu- celles à folioles nombreuses... . Aseplesaeesesetcet Sépales à peu près nuls..........,. Sépales distincts et plus où moins développés SRE Pétales obovales, émarginés, à pointe infléchie,. Pétales suborbiculaites, entiers ou à peine émar- ginés par l'inflexion de la pointe......,........... Sépales courts... Sépales larges et membraneux.... MenPtEnes obloes. Sn ne, cie MÉCOR co Méricarpes linéaires... Vallécules à 1 canal sécréteur. Sr Vallécules à plusieurs canaux sécréteurs..... _— CRE …...... ss... .... CCC 301 Sison. Carum. Petroselinum. 18 Cicuta. 19 Falcaria. Helosciadium. Sium. FŒNICULUM Apaxs. — Sépales presque nuls. Pétales entiers, sub-orbiculaires, tronqués au sommet, roulés en dedans. Fruit Fig. 386. — Fæniculum officinale. Fruit au moment de la séparation FN tale à peu filiformes. Méricarpes oblongs, à 5 à peu près égales, épaisses. Val- lécules à 1 canal sécréteur. Co- lumelle bipartite. Involucre et involucelles nuls ou nuls. Fleurs jaunes. 2-4-pinnaliséquées, à segments cylindroïde, à coupe horizon- près orbiculaire. côtes presque Feuilles des méricarpes. F. offieinaie L. (Fenouil). — Caractères du genre. Fig. 387. — Fæniculum officinale. Fruit. Coupe transvers, schémat,. Seule espèce. Plante à souche vivace, émettant des tiges hautes de vp 302 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES 80 centim. à À m. et plus, dressées, très ramifiées, glauques, à feuilles grandes, très découpées en lanières filiformes, à gaine très développée surtout dans le haut. — Filor. : juillet-septem- bre. — Habit. : voisinage des villages, vignes, carrières, terrains calcaires. Assez commun. 2”. Toute la plante exhale une odeur forte, aromatique, agréable. Sa saveur est chaude, un peu amère, aromatique. On. la cultive pour ses feuilles et surtout pour ses fruits qui sont utilisés comme condiment aromatique dans la cuisine. Les fruils sont riches en une huile essentielle très aroma- tique, formée en majeure partie d’anéthol ou camphre d’anis. Ils sont stimulants et carminalifs, SILAUS Bess.— Il a, comme le précédent, des fleurs jaunes, et le fruit cylindroïde, à coupe horizontale à peu près orbieulaire. Sépales à peu près nuls. Pétales larges à la base, terminés par une pointe infléchie. Côtes du fruit égales, aïilées, presque membraneuses. Vallécules à 3-4 canaux sécréteurs peu dis- tincts. Involuere 1-2-foliolé. Involucelles pluri-foliolés. Feuilles 2-4-pinnatiséquées. S. pratensis Bess. — Seule espèce. Très commune dans les prairies et les marécages. CNIDIUM Cuss. — Se distingue des précédents par ses fleurs blanches. Fruit sub-cylindrique, à coupe horizontale sub-or- biculaire. Sépales à peu près nuls. Pétales obovales, émarginés, _infléchis au sommet. Côtes des méricarpes égales, ailées, mem- braneuses. Vallécules à un canal sécréteur. Involuere nul ou rudimentaire. Involucelles pluri-foliolés. Feuilles 2-3-pinnatisé- quées. €. apioides SPRENG. — Seule espèce. Très rare dans les laillis, ÆTHUSA L. — Fleurs blanches. Fruit ovoïde-subglobu- leux, à coupe horizontale sub-orbieulaire. Sépales rudimen- laires. Pétäles obovales, émarginés, infléchis au sommet. Mé- ricarpes hémisphériques, à 5 côtes égales, épaisses, carénées, les latérales à carène un peu ailée. Vallécules à 1 canal sécré- teur. Involucre nul ou 1-foliolé; involucelles unilatéraux, pluri- foliolés. Feuilles 2-3-pinnatiséquées. Æ,. Cynapium L. (Petite Ciguë, Faux Persil). — Caractères du genre. Plante à tige haute de 10 à 50 centim., ramifiée, striée, rougeâtre ou violacée à la base, glaucescente, à feuilles. d'un vert foncé, noirâtre, 2-3-pinnatiséquées, à segments rhomboïdaux-triangulaires. Involucelles unilatéraux, 3-foliolés, à folioles déjetées en dehors et réfléchies. — Flor. : juillet- OMBELLIFÈRES 303 octobre. — Habit. : dans les jardins, parmi le GE et le Persil, dans les lieux frais cultivés, Toute la plante exhale une odeur désagréable, nauséeuse, qui suffit pour la distinguer du Persil et du Cerfeuil, avec les- quels'on est exposé à la con- fondre. Elle jouit de propriétés très analogues à celle de la Grande Ciguë et détermine des accidents toxiques graves et assez fréquents, mais elle n'a: pas été employée en médecine, Fig. 388. — Æthusa Cynapium. Fig. 389, — Æthusa Cynapium . + Sommité florifère et fructifère. Fruit; coupe transv. ŒNANTHE Lawx. — Fleurs blanches. Fruit cylindrique ou sub-téltragone, à coupe horizontale sub-orbiculaire. Sépales accrescents après la floraison. Pétales obovales, émarginés, infléchis au sommet. Méricarpes à 5 côtes obtuses, inégales, les marginales plus développées. Vallécule à 4 canal sécréteur. Columelle indistincte. Involucre nul ou pluri-foliolé. Involu- celles pluri-foliolés. Feuilles 2-3-pinnatiséquées. Involucre nul ou 1-foliolé..,........... ME. Involucre plurifoliolé, caduc..........,..., Œ. Lachenalii GMez. Ombelles à 5 rayons au plus , ordinaire- 2. DU ON ET mens tie dos css OR ASCAIOSE Li: Ombelles à 5-12 raYOnS.… nes RE \ Ombellules à fleurs périphériques munies de 3 pétales extérieurs beaucoup plus grands È up LEE; 2UÉEERSS oaere au ........ Œ. peucedanifolia Pour. Ombellules à fleurs toutes semblables. ....… @. Phellandrium LaMx. L'Œ. Phellandrium (Phellandrium aquaticum L.) [Phellandre, Cigué d'eau] est une plante dangereuse, agissant à la facon de la Grande Ciguë. ll a joui, au commencement de notre siècle, d'une grande réputation contre La 304 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES la phthisie. On le considère encore ‘comme diaphorétique, diurétique el narcotique. On a employé les racines et les fruits; on en a extrait de la phellandrine.'Les fruits ont une odeur forte, aromatique, désagréable el une saveur äcre et chaude très prononcée. Les vétérinaires en ont fait usage contre la toux chez les chevaux. Mangé vert, il détermine chez ces animaux des accidents paraplégiques graves, SESELI L. — Fleurs blanches ou rosées. Fruit sub-cylin- drique, à coupe horizontale suborbiculaire. Sépales courts, épais. Pétales obovales, terminés par une pointe infléchie, en- tiers ou à peine émarginés. Méricarpes oblongs, à côtes égales, non ailées. Vallécules à 1 canal sécréteur. Involucre nul ou rudimentaire. Involucelles pluri-foliolés. Feuilles 2-3-pinnati- séquées. Souche vivace, émettant toujours plusieurs tiges. .,... S. montanum L. Souche vivace, n'émettant qu'une seule tige souvent vio- IEMe TS .--eec neue Che ans OR DR. séosse 18. COOP UUR, LIBANOTIS CRANTZ. — Fieurs blanches. Fruit sub-cylindrique, à coupe horizontale sub-orbiculaire. Sépa- les allongés, subulés, marcescents ou caducs. Pétales obovales, ter- iminés par une pointe infléchie, entiers ou à peine émarginés. Côte égales, peu saillantes. Vallécules à 1 canal sé- créteur. Involucre et involucelles plurifolio- lés. Feuilles 2-pinnati- séquées. L. montana ALL. — Seule espèce, assez rare sur les coteaux secs, calcaires. BUPLEURUMT. — Fleurs jaunes. Fruit comprimé perpendicu- lairement à la commis- sure, à coupe horizon- tale oblongue. Sépales rudimentaires. Pétales sub-orbiculai- res, entiers, repliés en dedans. Méricarpes à côtes plus ou Fig. 390, — Bupleurum falcatum. Sommité florifère. OMBELLIFÈRES 305 moins saillantes. Vallécules à canaux sécréteurs plus ou moins distincts. Involucre nul ou plurifoliolé. Involucelles pluri-fo- liolés. Feuilles entières, non engainantes, coriaces. i Ombrelles à 5-10 rayons.....,....,......., B. falcatum. : 2 Ombelles à moins de 5 rayons........... ka Fruit à vallécules gränuleuses et à côtes on=m 2 | DHIRPS EF... 5, a. ne spears ste .... DB. tenuissimum L. Fruit à vallécules non granuleuses..,....... Fruit à côtes saïillantes. Feuilles ovales-sub- 3 orbiculaires, perfoliées....... EU ie ce .... B. rotundifolium L. Fruit à côtes très fines. Feuilles linéaires- lancéolées, acuminées....... A LA .... B. aristatum BARTL. Le B. rotundifolium (Perce-feuilles, Oreille de souris) @ joui autre- fois d’une très grande réputation, On le considérait comme l'astringent par excellence et comme un vulnéraire précieux. Le B. falcalum passait pour être fébrifuge. Ces plantes sont aujourd'hui, avec raison, tombées dans l'oubli. TRINIA Horrs.— Fleurs dioïques, blanches. Fruit comprimé perpendiculairement à la commissure, à coupe horizontale oblongue. Sépales rudimentaires. Méricarpes à côtes filiformes, à canaux sécréteurs situés en face des côtes. Involucre et involucelles nuls ou très rudimentaires, Feuilles 2-3-pinnati- séquées. T. vulgaris DC. — Seule espèce. Petite plante à tige haute de 10 à 30 centim. Rare sur les coteaux et les pelouses arides. Par ses fleurs dioïques, cette espèce se distingue de toutes les autres Ombellifères de notre flore. ÆGOPODIUM L. — Fleurs blanches. Fruit comprimé per- pendiculairement à la commissure, à coupe horizontale oblon- gue. Sépales rudimentaires. Pétales obovales, émarginés, à sommet infléchi. Méricarpes oblongs, à côtes filiformes, à val- lécules sans canaux sécréteurs. Involucre et involucelles nuls. Feuilles pinnatiséquées. Æ. Podagraria L. (Podagraire, Herbe aux goutteux). — Seule espèce. Belle plante à tige haute de 60 centim. à 1 m., à feuilles palmatiséquées, à segments 3-séqués, ovales; assez rare dans les lieux ombragés. Cette plante a joui d’une certaine réputation contre la goutte. APIUM Horem. — Fleurs blanches, Fruit comprimé perpen- diculairement à la commissure, presque didyme. Sépales ru- dimentaires. Pétales entiers, sub-orbiculaires. Méricarpes sub- globuleux, à côtes filiformes, à vallécules à 1 canal sécréteur. Involucre et involucelles nuls. Feuilles 1- ou 2-pinnatiséquées, à segments 2-3-lobés, r 2 306 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES A. graveolens L. (Céleri, Ache). — Belle plante àtige haute- de 30 centim. à 1 m., cannelée, ramifiée, fistuleuse, glabre. Feuilles luisantes, à segments larges, rhomboïdaux. Ombelles nombreuses, latérales et terminales, sessiles ou courtement pédonculées. — Flor. : juillet-septembre.. — Habit. : oniginaire des régions maritimes. de la France. Cultivé dans: les jardins. et subspontané dans leur voisinage. #”. Le Céleri est cultivé pour ses feuilles, que l’on mange crues; en salade, ou cuites, après les: avoir fait décolorer en couvrant de terre toute leur por- tion inférieure. Il en existe une variété à souche tubéreuse, atteignant de- grandes dimensions (Céleri-Rave), Le Céleri ques ou cultivé, jouissait autrefois d’une grande réputation comme diurétique, résolutif, fondant, expectorant. On. administrait le sue des feuilles contre les fièvres intermittentes ; sa racine faisait partie des-cing racines apéritives majeures de l’ancienne pharmacopée. Le fruit est stimu- lant et carminatif; il faisait partie des quatre semences chaudes majeures. Les anciens avaient une prédilection spéciale pour l’Ache; les convives s’en couronnaient, et on en déposait des guirlandes sur les tombeaux. Le Céleri cultivé jouit encore de la réputation d'aphrodisiaque. PIMPINELLA L. — Fleurs blanches. Fruit comprimé per- pendiculairement à la commissure. Sépales rudimentaires. Pé-: tales obovales, émarginés, infléchis au sommet. Méricarpes linéaires-oblongs, à côtes filiformes, rudimentaires, à vallécules contenant chacune plusieurs canaux sécréteurs. Columelle bi- fide. Involucre et involucelles nuls. Feuilles 1- ou rarement 2-pinnatiséquées. Tige anguleuse, sillonnée.......,.., css :........ À. magna L. Tige cylindrique, finement striée...,.,...... Le .…. P. Saxifraga L. SISON Kocn, — Fleurs blanches. Fruit comprimé perpendi- culairement à la commissure. Sépales rudimentaires. Pétales suborbiculaires, bifides, infléchis au sommet. Méricarpes ovoi- des-oblongs, à côtes filiformes. Vallécules à 1 canal sécréteur. Feuilles pinnatiséquées. S. Amomum L. — Seule espèce. Plante à tige haute de 60 centim. à 1 m., très ramifiée, rare dans les haies humides. au bord des ruisseaux. AMME T. — Ne se distingue du précédent que par ses pé- tales seulement bilobés, à lobes inégaux, infléchis, et par son. involucre à folioles nombreuses, triséquées ou pinnatiséquées. Feuilles 1-2-pinnatiséquées. A. majus L. — Seule espèce. Plante à tige haute de 10 à 60 centim., glabre, ramifiée dans le haut, très rare dans les- moissons. CARUM Koca, — Fleurs blanches. Fruit comprimé perpen- OMBELLIFÈRES 307 diculairement à la cloison. Sépales rudimentaires. Pétales ob- ovales, émarginés, infléchis au sommet. Méricarpes linéaires- oblongs, à côtes filiformes. Vallécules à 1 canal sécréteur. Feuilles 2-3-pinnatiséquées. Souche globuleuse, bulbiforme.. ......... .... C. bulbocastanum Kocu. Souche courte, non bulbeuse............ ..... 0 verticillatum Kocu. PETROSELINUM Horru. — Fleurs blanches ou vert-jaunâ- tre. Fruit comprimé perpendiculairement à la cloison. Sépales rudimentaires. Pétales suborbiculaires, entiers ou à peine émarginés, infléchis au sommet. Méricarpes oblongs, à côtes filiformes. Vallécules à 1 canal sécréteur. Feuilles 4 ou 2-3-pin- natiséquées. Involuere 1-3-foliolé. Involucelles multi-foliolés. Feuilles 1-pinnatiséquées. Fleurs blanches......... P. Segetum Kocu. Feuilles 2-3-pinnatiséquées. Fleurs vert-jaunâtre... P, sativum HorFru. P. sativum Horru. (Persil). — Caractères du genre. Plante à feuilles presque toutes radicales, en bouquet, luisantes, 2-3-pin- natiséquées, à segments cunéiformes, divisés en trois lobes den- tés ou incisés, les supérieures à trois lobes plus étroits. Tige haute de 50 à 60 centim., dressée, ramifiée, glabre, striée. Ombelle à rayons nombreux. — Flor. : juin-août. — Habit. : cultivé dans les jardins. (0) ou @). CICUTA L. — Fleurs blanches. Fruit comprimé perpendicu- lairement à la commissure. Sépales larges, membraneux. Pé- tales obcordés, infléchis au sommet. Méricarpes subglobuleux, à côtes peu saillantes. Vallécules à 1 canal sécréteur. Involucre nul ou rudimentaire. Involucelles multifoliolés. Feuilles 3-pin- natiséquées. €. virosa L. (Ciguë aquatique, Ciguë d’eau, Cicutaire). — Ca- ractères du genre. Plante à souche vivace et à racine épaisse, charnue, pivotante, à tige haute de 60 à 90 centim., dressée, ra- mifiée, cylindrique, glabre, lisse, fistuleuse, verte, souvent rou- geâtre à la base. Feuilles 3-pinnatiséquées, grandes, à pétiole cylindrique, fistuleux, strié, à segments lancéolés, étroits. aigus, dentés. Ombelles à rayons nombreux. — Flor. : juillet- août. — Habit. : bords des étangs, marais. Très rare. Z”. Cette plante est éminemment toxique; elle agit à la facon de la Grande Ciguë, mais avec plus d'énergie. Elle n’est pas employée en médecine. FALCARIA Host. — Fleurs blanches. Fruit comprimé perpen- diculairement à la commissure. Sépales moyennement déve- loppés. Pétales obovales, émarginés, infléchis au sommet. Mé- ricarpes linéaires, à côtes filiformes. Vallécules à 4 canal sécré- teur. Involucre et involucelles pluri-foliolés. Feuilles palmati- séquées. ; LÀ 308 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES F. Rivini Hosr. — Seule espèce. Très rare dans les lieux calcaires et secs HELOSCIADUM Kocu, — Fleurs blanches. Fruit comprimé perpendiculairement à la cloison. Sépales courts. Pétales ovales, entiers, droits ou infléchis au sommet. Méricarpes oblongs, à côtes filiformes. Vallécules à 1 canal sécréteur. Involucre nul ou pluri-foliolé. Involucelles pluri-foliolés. Feuilles 1-2-3-pinna- tiséquées. Plantes aquatiques ou des marais. { Involucre plurifoliolé........ snvee sasessree Li TONER, | Involucre nul ou 1-2? foliolé...... Z'HÉEPPSS C 2 -Ombelles sessiles ou courtement pédonculées, à - RS OR RS PO RE UT .. 1, nodiflorum Kocu, Ombelles longuement pédonculées . à" 9 DAVONS PET cl D de tte FÉRRTE ER .… JH. inundatum Kocu, SIUM L. — Fleurs blanches. Fruit comprimé perpendiculai- rement à la commissure. Sépales courts. Pétales obovales, émarginés, infléchis au sommet. Méricarpes oblongs, à côtes filiformes. Vallécules à plusieurs canaux sécréteurs. Involucre et involucelles pluri-foliolés. Feuilles pinnatiséquées. Etangs et fossés. Involucre et involucelles à folioles entières....,.... S. latifolium L, Involucre et involucelles à folioles découpées en lobes linéaires, entiers ou incisés ....,..... Ra .…... S, angustifolium L. Sous-tribu II. — SCANDICÉES. Méricarpes pourvus de 5 côtes primaires, sans côtes secon- daires. Fruit comprimé perpendiculairement à la commissure, atténué ou prolongé en bec au sommet. Méricarpes à côtes égales. Graines creusées d'un sillon profond sur leur face com- missurale, ou à bords commissuraux enroulés. Fleurs blan- ches. | Méricarpes prolongés en un bec aussi long, plus long, ou moins long que la graine ...... cie ARE re Méricarpes non prolongés en bec......,...,..... . 3 Bec des méricarpes moins long que la graine. Canaux 2 sécréteurs peu distincts où presque nuls: « SPA Anthriseus. Bec des méricarpes FE ae que la graine. Canaux sécrétéurs indistintts 42. à sivûle ee oraelèste d'ocaadeuisote TOOL 3 Vallécules à 2-3 canaux sécréteurs..,............... Conopodium. Vallécules à 1 canal sécréteur ............. ss... Chærophyllum. SCANDIX GzÆr1N. — Méricarpes atténués en un bec linéaire, beaucoup plus long que la graine. Sépales rudimentaires. Pé- lales obovales, infléchis au sommet. Vallécules à canaux sécré- teurs indistincts. Involucre nul ou 1-foliolé. Involucelles pluri- foliolés. Feuilles 2-3-pinnatiséquées. OMBELLIFÈRES 309 S. Pecten-Veneris L. — Seule espèce. Très commune dans les moissons, à tige haute de 20 à 40 centim. ANTHRISCUS Horrx. — Méricarpes surmon- tés d’un bec plus court que la graine, à côtes distinctes seulement dans le haut. Vallécules à canaux sécréteurs peu distincts ou presque nuls. Involucre nul. Involucelles 1-3-pluri-fo- liolés. Feuilles 2-3-pinnatiséquées. Fruit couvert d’épines..,... A, vulgaris PERS. ET QUES DORE 2 2 2 { Ombhelles sessiles, oppositifol. A. Cerefolium Horru. ”" | Ombelles pédonculées, term. A4. sylvestris HOFFM. On cultive dans les jardins, comme plante comesti- ble, l'A. Cerefolium (Cerfeuil). On s’en sert pour aroma- tiser les salades, les potages, etc. On le considérait autre- fois comme diurétique et résolutif, et on le prescrivajt contre l'ictère, les engorgements des ganglions lympha- tiques, les catarrhes chroniques, etc. Ses fruits sont stimulants et carminatifs. On a fait un usage analogue de l'A. sylvestris. CHÆROPHYLLUM L. — Sépales rudimen- taires. Pétales obcordés, infléchis au sommet. Méricarpes atténués, mais non surmontés d’un bec. Côtes obtuses, distinctes sur toute la lon- eueur du fruit. Vallécules à 1 canal résinifère. Involucre nul ou 1-2-foliolé. Involucelles pluri- foliolés. Feuilles 2-pinnatiséquées. C. temulum L. — Seule espèce, très com- mune dans les haies, les buissons. CONOPODIUM Kocx, — Sépales rudimen- taires. Pétales obovales, émarginés, infléchis à l'extrémité. Méricarpes atténués, mais non pro- Fig. 391. Scandiz Pecten- ‘Veneris. Fruit. longés en bec, linéaires-oblongs. Côtes filiformes, égales. Val- lécules à 2-3 canaux sécréteurs. Involucre nul ou rudimen- taire. Involucelles nuls ou 2-3-foliolés. Feuilles 2-3-pinnatisé- quées. Souche bulbeuse. C. denudatum Kocx, — Seule espèce, à souche bulbeuse, très rare dans les prés secs et les bois. Sous-tribu III. — CONIÉES. Méricarpes munis de 5 côtes primaires, sans côtes secon- daires, ni atténuëés ni surmontés d'un bec. Fruit comprimé # 310 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES perpendiculairement à la commissure, presque didyme. Graines à face commissurale très concave. 3 CONIUM L. — Sépales très rudimentaires. Pétales obovales, légèrement émarginés, recourbés au sommet. Méricarpes ova- les, ni atténués ni prolongés en bec. Côtes saillantes, bossuées. Vallécules à canaux sécréteurs non distincts. Involucre et involucelle 2-5-foliolés. Feuilles 3-4-pinnatiséquées. Fleurs blan- ches. K N Fig. 393, — Conium maculalum. Fig. 394, — Conium maculatum. | Fruit, Fruit; coupe transversale schémat. €. maculatum L. (Grande Ciguë, Ciguë officinale). — Carac- tères du genre. Plante à tige haute de 80 centim. à 1 m. et - plus, dressée, ramifiée dans le haut, striée, glaucescente, tache- tée de pourpre-violacé, surtout dans le bas. Feuilles 3-4-pinna- tiséquées, à lobes courts, entiers ou incisés, colorées en vert foncé et exhalant une odeur vireuse très prononcée. Ombelles terminales, à 12-20 rayons. Involucre et involucelles à folioles réfléchies, — Flor. : juin-août. — Habit. : décombres, voisinage des habitations, bords des chemins. Commun. (@. OMBELLIFÈRES 311 La Grande Giguë est la seule Ombellifère vireuse qui soit actuellement “employée en médecine. On a fait longtemps usage de l'extrait, obtenu soit avec la plante entière soit avec les fruits, mais on a dû y renoncer, à cause de l'inégalité de son acticn. On fait usage plus volontiers, aujour- d'hui, de la conine, alcaloïde liquide qu’on retire de la plante. La Grande Ciguë est éminemment toxique et provoque des accidents assez fréquents. Indépendamment de ses caractères botaniques, son odeur vireuse très forte ‘suffirait à la faire reconnaitre. Sous-tribu IV. — ANGÉLICÉES. LQ Méricarpes pourvus de 5 côtes primaires, sans côtes secon- daires. Fruit comprimé parallèlement à la commissure, sou- vent lenticulaire. Côtes inégales, les 3 dorsales filiform®s, les 2 latérales dilatées en ailes. Graines à face commissurale plane. Fruit entouré de deux ailes membraneuses formées par les côtes latérales des deux méricarpes écartées l’une HORUEELS 2. 2 eue sa ce © USE ro ch NET PTE 2 LA Fruit entouré d'une seule aile membraneuse, formée par les côtes latérales des deux méricarpes accolées bane ailauire.........: SOA € rad pis ao L 3 | Mériearpes à côtes dorsales filiformes, Pétales entiers... Angelica. ‘1 Méricarpes à côtes dorsales aïlées. Pétales émarginés... Selinum. x ( Fleurs blanches ou rosées.........., dat orcen À ?-} Fleurstjaunes .......... Er à 5 ner alu CE - 6 Pétales ‘extérieurs ‘bifides ...,,.,........... Percasnener, el 4.) Pétales, même les extérieurs, entiers ou simplement émarginés....... AE PERTE RE «5 mar us Peucedanum. Côtes marginales formant une bordure mince.......... Heracleum. 3.4 Côtes marginales formant une bordure très épaisse, ru- gueuse-tuberculeuse. ......,........ ANS EN AR AN Tordylium. { Feuilles ?2-1-pinnatiséquées , à segments ovales ou 8.1 _oblongs...... LEA RC APR RCE sons. .. Pastinaca. *) Feuilles 2-4-pinnatiséquées, à segments très étroits, : lmédires,.:.2...... nm ad de aie né dx eus eds Us De Anethum. ANGELICA L. — Sépales rudimentaires. Pétales entiers. Méricarpes aplatis, à côtes dorsales filiformes, les latérales dilatées en ailes écartées. Vallécules à 1 canal sécréteur. Invo- lucre nul ou 1-2-foliolé. Involucelles pluri-foliolés. Feuilles 2-3- pinnatiséquées. Vallécules à 1 canal sécréteur. Segments foliaires : ” ovales, Hincealés, dentés.. .............. LS A. sylvestris L. Vallécules à canaux sécréteurs nombreux. Segments é foliaires sub-cordés, 2-3-lobés.............,.. .… À. Archangelica L. ° M A. Archangelica Horr. (Angélique). — Belle plante à tige haute ‘de 80 centim. à 1 m. 50-et même 2 m., dressée, ramifiée dans le haut, robuste, fistuleuse, charnue, cannelée, rougeâtre. Feuilles très grandes, 2-3-pinnatiséquées, vertes en dessus, blanchätres en dessous, à segments opposés, sessiles, sub-cor- «és, 2-3-lobés. Ombelles très grandes, à 30-40 rayons, à fleurs LA 312 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES d’un vert jaunâtre. — Flor. : juillet-septembre. — Habit. : FE originaire des régions monta- gneuses de l’Eu- rope. Gultivé dans les jar- dins. Les tiges et les pétioles charnus, succulents et aro- matiques de l'An- gélique servent à faire des conserves sucrées dont la sa- veur est agréable, aromatique, un peu amère. Par la di- stillation de ces parties. après fer- mentation, on ob- tient une eau-de-vie qui a la saveur à- romatique de la plante.L'Angélique machique et em- ménagogue. SELINUM Horrm. — Sépa- les rudimentai- res. Pétales Fig. 395. — Angelica Archangelica. Sommité florifère, obovales, émar- ginés. Méricar- pes à côtes dorsales étroitement ailées, les marginales très lar- ges, membraneuses, écartées. Vallécules à 1 canal sécréteur. Involucre nul ou 1-2-foliolé. Involucelles pluri-foliolés. Feuilles 2-3-pinnatiséquées. Fleurs blanches. ! S. carvifolia L. — Seule espèce. Plante à tige haute de 50 à 80 centim., anguleuse-ailée, assez commune dans les prai- ries et les bois très humides. PEUCEDANUM Kocn, — Sépales plus ou moins développés. Pétales plus ou moins émarginés, infléchis à l'extrémité. Mé- ricarpes à côtes dorsales filiformes, les marginales aiïlées et rapprochées. Vallécules à 1 ou rarement 3 canaux sécréteurs. Involucre et involucelles ordinairement pluri-foliolés, rarement nuls ou 1-3-foliolés. Feuilles 2-3, rarement 4-pinnatiséquées. Fleurs blanches ou rosées. ee FA æ est stimulante, sto<. NE CRT ER PSN CRUE LR, os CT OMBELLIFÈRES 313 Involucre nul. Involucelles nuls ou 1-3-fo- 1,4 HoléS en RER SRE Caunes eee e P. Chabræi Gaur. Involucre et involucelles pluri-foliolés....,. 2 Tige striée. Ombelles à 10-20 rayons...,.. 3 2.1 Tige non striée. Ombelles à 20-40 rayons LIT VORPETREATE 1e P. palustre MŒNc&, 3 { Segments foliaires plus ou moins découpés. 4 ‘| Segments foliaires entiers, linéaires, allongés. P. parisiense DC. Segments foliaires verts sur :es deux faces, à : lsbésg non mucronés:.….....:..#2ém8 «0 P. Oreoselinum Mæxcu, Segments foliaires glauques en dessous, à lobes mucronés, presque épineux.,....... P. Cervaria. “ La souche des Peucedanum est plus ou moins riche en suc jaunâtre, doué d’une odeur vireuse très prononcée. Ce suc est surtout abondant dans une espèce étrangère à notre flore, le ?. officinale L., qui était autre- fois employé comme emménagogue et stimulant, contre les catarrhes, la paralysie, ete. HERACLEUM L. — Sépales distincts. Pétales obovales, émarginés, infléchis au sommet, les extérieurs plus grands. rayonnants, profondément bifides. Méricarpes comprimés, à côtes dorsales filiformes, peu saillantes, les marginales ailées. aplaties, rapprochées. Vallécules à 4 canal sécréteur. Involucre pauci-foliolé, caduc, rarement nul. Involucelles multi-foliolés. Feuilles pinnatiséquées, à segments entiers ou pinnatipartits. Fleurs blanches. H. Spondylium L. (Berce, Branc-ursine). — Belle et grande plante à souche bisannuelle, à tige haute de 60 centim. à 1 m. 50, dressée, ramifiée dans le haut, robuste, fistuleuse, can- nelée, hérissée de poils raides. Feuilles très grandes, pinnati- séquées, à segments pétiolulés, très grands, 2-3-lobés, ou pin- natipartits, à lobes eux-mêmes dentés. Ombelles à 15-20 rayons inégaux. — Flor. : juin-septembre. — Habit. : fossés. lieux humides, Très commun. (@). L'écorce et la racine de la Berce sont très àcres, irritantes, rubéfiantes et même vésicantes. Après avoir enlevé l'écorce, on mange, dans certains pays, la portion interne de la tige et les jeunes pousses Le suc frais était autrefois employé contre la gale et d'autres maladies de la peau. On a, dans ces derniers temps, proposé d'employer le fruit dans la blennorrhagie, à la place du cubèbe. On paraït en avoir obtenu de très bons effets. En réalité, la Berce est une plante à propriétés énergiques qui mériteraient d’être étudiées. PASTINACA T. — Sépales rudimentaires. Pétales entiers, sub-orbiculaires, enroulés en dedans. Méricarpes sub-orbicu- laires, à côtes dorsales très fines, souvent décomposées en 3 lignes, les marginales ailées, aplaties, rapprochées. Vallécu- les à 1 canal sécréteur. Involucre et involucelles nuls ou 1-2- . f . . . 2 , . L2 foliolés. Feuilles pinnatiséquées. Fleurs jaunes. : P. sativa L. (Panais). — Caractères du genre. Plante à tige FLORE DE PARIS. # 18 2 314 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES haute de 50 centim. à À m., ramifiée, à feuilles pinnatiséquées, à segments très larges, de forme variable, 3-lobés, à lobes cré- nelés ou dentés. Ombelles à 10-20 rayons. — Flor. : juillet- août. — Habit. : moissons; cultivé. (2). a. sylvestris (L. sylvestris L.) Panais sauvage). — Feuilles très pubes- centes. Moissons, bords des routes. Commun: B. sativa (Panais cultivé). — Feuilles glabres ou presque glabres, lui- santes, au moins sur la face supérieure. Cultivé pour sa racine pivotante, charnue et succulente, alimentaire. TORDYLIUM T. — Sépales linéaires, subulés. Pétales ob- ovales, émarginés, infléchis au sommet, les extérieurs plus grands, bifides. Méricarpes sub-orbiculaires, à côtes dorsales très peu saillantes, filiformes, les marginales très épaisses, ru- gueuses-tuberculeuses, rapprochées. Vallécules à 1 canal sé- créteur. Involucre et involucelles pluri-foliolés. Feuilles pinna- tiséquées. Fleurs blanches ou blanc-rosé. “T. maximum L. — Seule espèce. Plante à tige haute de 30 à 80 centim., ramifiée, scabre, hispide, assez rare sur les coteaux pierreux. ANETHUM T. — Sépales rudimentaires. Pétales suborbicu- laires, entiers, enroulés en dedans. Méricarpes oblongs, à côtes dorsales saillantes, carénées, les marginales ailées. Vallécules à À canal sécréteur. Involucre et involucelles nuls. Feuilles 2-4-pinnatiséquées. Fleurs jaunes. A. graveolens L. (Aneth odorant, Fenouil bâtard). — Carac- tères du genre. Plante à tige haute de 10 à 50 centim., rami- fiée dans le haut, striée, glabre, un peu glauque. Feuilles 2- 4-pinnatiséquées, à segments linéaires. Ombelles très larges, à nombreux rayons. Fleurs jaunes. — Flor. : juillet-août. — Habit. : cultivé dans quelques jardins. Les fruits broyés exhalent une odeur forte, agréable. Ils sont riches en huile essentielle formée en majeure partie de carvol. Par la distillation avec l’eau, ils donnent un liquide très aromatique, stimulant, carminatif. Dans quelques pays, on les emploie dans la cuisine comme condiment. 4 Sous-tribu V. — LASERPITIÉES,. Méricarpes pourvus de 5 côtes primaires et de 4 côtes se- condaires. Fruit sub-cyliñidrique ou comprimé perpendiculai- rement à la commissure. Graines à face commissurale plane ou convexe. - den à ss OMBELLIFÈRES 315 Trois genres : Méricarpes à % côtes secondaires ailées, entières, non | épineuses: … .... 2 er. DE U Es c'e dede ER .… Laserpitium. Méricarpes à 4 eôtes secondaires ailées, découpées en PRE OS ER ICS CAO: 0 Rance mens eue eo es = 14 > $ Côtes secondaires à soies 1-sériées....,... ............ Daucus. *’| Côtes secondaires à épines subulées, 2-3-sériées.…. ...... Orlaya. LASERPITIUM I. — Sépales distincts. Pétales obovales, émarginés, infléchis au sommet. Méricarpes à 5 côtes primaires, peu saillantes, filiformes, à 4 côtes secon- | daires ailées, membraneuses, entières. 1 ca- 4 SE SE = = ; nal sécréteur en face de chaque côte secon- daire.Involucre et involucelles pluri-foliolés. Feuilles 2-pinnatiséquées. Fleurs blanches. L. latifolium L. — Seule espèce. Plante à souche épaisse, à tige haute de 80 cen- tim. à 1 m. et plus, à segments foliaires amples. à ombelles à 15-40 rayons. Très rare. Fig. 396. Laserpitium latifolium. DAUCUS T. — Sépales distincts. Pétales ù Fruit. obovales, les extérieurs plus grands, rayon- nants, profondément bifides. Méricarpes oblongs, à 5 côtes pri- Fig. 397. — Daucus Carota. Fruit. Fig. 398. — Daucus Carota. Fruit ; coupe transv. schémat. maires filiformes, munies de soies courtes, 1-3-sériées, à 4 côtes Lo 316 DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES d secondaires découpées en soies 1-sériées, très allongées. 1 canal sécréteur en face de chaque côte secondaire. Involucre et involucelles pluri-foliolés. Feuilles 2-3-pinnatiséquées. Fleurs blanches. D. Carota L. (Carotte). — Plante à tige haute de 30 à 80 cent. dressée, ramifiée, rude, hispide, à feuilles 2-3-pinnatiséquées, à segments oblongs ou linéaires, mucronés, velus. Ombelles à 30-40 rayons très inégaux, formant une surface concave. — Flor. : juin-octobre. — Habit. : Pâturages, bords des chemins. jultivé. @). &. pusillus, — Racine pivotante grèle. Plante naine. B. sativus (Carotte cultivée). — Racine pivotante charnue, épaisse. On cultive celte variété pour ses racines, qui sont colorées en jaune plus ou moins foncé, charnues, sucrées, d’une saveur agréable. ORLAYA Horru. — Sépales distincts. Pétales obovales, les extérieurs plus grands, rayonnants, profondément bifides. Méricarpes à côtes primaires filiformes, à soies courtes, 1-3-sé- riées, à côtes secondaires découpées en épines subulées 2-3-sé- riées. À canal sécréteur en face de chaque côte secondaire. Involucre et involucelles pluri-foliolés. Feuilles 2-3-pinnatisé- quées. Fleurs blanches. | O. grandiflora Horrm. — Seule espèce. Très rare dans les moissons et les champs maigres calcaires. Sous-tribu VI. — CAUCALINÉES. Méricarpes pourvus de 5 côtes primaires et de 4 côtes secon- daires. Fruit subeylindrique où comprimé perpendieculairement à la commissure. Graines à face commissurale infléchie ou en- roulée par les bords. Trois genres : Méricarpes à côtes primaires et secondaires à peu près l égales, découpées en épines 2-3-sériées.....,..,,....... Turgenia. é Méricarpes à côtes primaires et secondaires dissem blables ....., RE RUPTURE ja ste se 6 ASE ; ue Gôtes primaires létiaes. Côtes secondaires PU » en épines {-sériées.......,............,.... RÉF ERRES Caucalis. 7‘) Côtes primaires filiformes, Côtes secondaires à épines pluri-sériées ou à tubercules très nombreux....,:.... Torilis. TURGENIA Horrm. — Sépales sétacés. Pétales obovales, les extérieurs plus grands, rayonnants, bifides. Méricarpes à côtes toutes semblables et presque égales, découpées en épines subu- lées, robustes, 2-3-sériées, les marginales seules à épines 1-sé- riées. Î canal sécréteur en face de chaque côte secondaire. FE a À Cars Ce } : rs À F4 > - D . - OMBELLIFÈRES 317 Imvolucre 2-3-foliolé. Involucelles 5-foliolés. Feuilles pinnali- partites ou pinnatiséquées. Fleurs purpurines ou blanches. T. latifolia Horru. no espèce, à tige haute de 20 à 60 centim., à ombelles à 2-4 rayons; assez rare dans les mois- sons. CAUCALIS L. — Sépales lancéolés. Pétales obovales, inflé- chis au sommet, les extérieurs plus grands, rayonnants, bifides. Fruit presque didyme. Méricarpes à côtes primaires filiformes, un peu tuberculeuses, les secondaires découpées en épines . subulées, 1-sériées. 1 canal sécréteur en face de chaque côte Li secondaire. Involuere nul ou rudimentaire. Involucelles pluri- foliolés. Feuilles 2-3-pinnatiséquées., Fleurs blanches. C. daucoides L. — Seule espèce. Plante à tige haute de 10 à 50 centim. Commun dans les moissons. TORILIS Apaxs. — Sépales lancéolés. Pétales obovales, in- fléchis au sommet, les extérieurs plus grands, rayonnants, bifi- des. Méricarpes à côtes primaires filiformes, un peu épineuses, les secondaires découpées en épines subulées ou en tubercules pluri-sériés. Involucre nul ou 1-pluri-foliolé. Involucelles pluri- foliolés. Feuilles 1-2-pinnatiséquées. Fleurs blanches, \ Ombelles longuement pédonculées, terminales de la tige ef des rameaux................ 2 | Ombelles sessiles ou courtement pédonculées, oppositifoliées, à 2-3 rayons..........,..... T. nodosa GÆRTN. Involucre nul ou rarement 1-3-foliolé. - Om Met ONE RS NE. ne. «+ « Bic s e T. infesta DuBy. | Involuere pluri-foliolé. Ombelles à 4 “10 rayons. T. Anthriscus GMEL. Sous-tribu VII. —_ CORIANDRÉES. Méricarpes pourvus de 5 côtes primaires et de # côtes secon- daires. Fruit globuleux. Graines à face commissurale très con- cave. CORIANDRUM L. — Sépales inégaux, linéaires, aigus, persis- tants. Pétales obovales, infléchis au sommet, émarginés, les extérieurs plus grands, rayonnants, profondément bifides. Fruit globuleux. Méricarpes à côtes primaires très peu saillantes, flexueuses, à côtes secondaires plus saillantes, droites. Canaux sécréteurs absents au niveau des côtes ou des vallécules, n’exis- tant que sur les faces commissurales. Involucre nul ou 1-fo- liolé. Involucelles 3-foliolés, unilatéraux. Feuilles 1-pinnatisé- quées dans le bas, 2-3- -pinnatiséquées dans le haut. Fleurs blanches. D #2] L p: 318 DIALYPÉFALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES C. sativum L. (Coriandre). — Plante à tige haute de 50 à 60 centim., dressée, ramifiée dans le haut, glabre. Feuilles inférieures 1-pinnatiséquées, à segments suborbiculaires, divi- sés en lobes dentés, les supérieures 2-3-pinnatiséquées, à seg- ments linéaires, entiers ou divisés en lobes linéaires. Ombelles à 3-6 rayons. — Flor. : juin-juillet. — Habit. : cultivé dans les jardins et les champs. Fig. 400. — Coriandrum sativum. Fig, 401, — Coriandrum salivum . Fruit; coupe transv, schémat, Fruit. On cultive le Coriandre pour ses fruits, qui sont stimulants et carmi- natifs. Ils exhalent, comme touies les autres parties de la plante, une odeur forte, analogue à celle de la punaise. Leur saveur est forte, piquante, aromatique, désagréable. Famizze LXVI. — SAXIFRAGÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières ou presque régu- lières, hermaphrodites. Réceptacle plus ou moins concave. Pé- rianthe normalement double. Calice 5-mère ou rarement 4-mère. Corolle dialypétale, 5-mère, plus rarement nulle, plus ou moins SAXIFRAGÉES 319 épigyne. Etamines 10 ou rarement 8, épigynes, à filets indépen- dants. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire plus ou moins infère, 2- ou rare- ment 3-4-carpellé, 1-loculaire, à placentas pariétaux, ou 2-locu- laire. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des car- pelles ou sur des placentas pariétaux. Fruit capsulaire ou charnu, 1-ou 2-loculaire, polysperme. Graines albuminées. Feuilles alternes, sans stipules, simples. Affinités. — Les Saxifragacées forment le passage, d’une part, entre les familles à placentation axile et les familles à placentation pariétale, d'autre part entre les familles périgynes et les familles épigynes. Aussi y a-t-on fait entrer, avec rai- son, un grand nombre de tribus que nous laissons ici de côté pour ne nous occuper que de celle des Saxifragées ou, pour mieux dire, des Saxifragées qui appartiennent à notre flore. Deux genres : Corolle 5-mère. Capsule 2-loeulaire............,....... Sazxifraga. Corulle"auiler Capsule loculaire..............,........ Chrysosplenium . SAXIFRAGA L. — Réceptacle plus ou moins concave, formant une por- tion plus ou moins considérable des parois de l’ovaire. Sépales 5. Pétales 5. Etamines 10. Styles 2. Capsule 2-lo- culaire. Feuilles alternes ou opposées sur le même individu, sans stipules. Fleurs blanches, en cymes irréguliè- res. Fig. 403. — Sazifraga granulala, Fig. 402. — Sazifraga lridactyliles, Fleur; coupe longit. Feuilles palmatilobées, à 2-3-lobes digités. Pas” de bulbilles. Tige haute de 5 à 15 centim,....... .. S, tridactylites L. La 320%. DIALYPÉTALES PÉRIGYNES ET ÉPIGYNES Feuilles inférieures réniformes, crénelées; les supé- rieures palmatilobées, à 4-8 lobes. Souche produi- sant de nombreuses bulbilles.,.,...... des vase cat 08 OPEL Li? CHRYSOS?PLENIUM L. — Réceptacle formant en totalité les parois de l'ovaire. Sépales 4. Pétales nuls. Etamines 8, rare- ment 10. Styles 2. Capsule 1-loculaire. Feuilles opposées ou alternes. Fleurs entourées de feuilles colorées en jaune, et à calice jaune. Feuilles opposées.. ..... a iiete poire NE .… C. oppositifolium L. Feuilles alternes .......:..., ARS TES SR .…… C. alternifolium L. Fanmize LXVIL — GROSSULARIÉES. Caractères constants. — leurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle très concave, formant en totalité les parois de l’ovaire. Périanthe double. Calice à-mère, rarement 4-mère. Corolle épigyne, 5-mère, rarement 4-mère, à pétales très petits. Etamines 5, rarement 4, à filets indépendants, épigynes. An- thères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longi- tudinales. Ovaire infère, 1-loculaire, à 2 placentas pariétaux, pluri-ovulés. Ovules anatropes. Fruit bacciforme, succulent, 1-loculaire, polysperme. Graines albuminées. Feuilles alternes, palmatilobées, sans stipules. Fleurs en grappes. Arbrisseaux parfois épineux. Affinités. — Les Grossulariées ne forment réellement qu'une tribu, à fruit bacciforme, de la famille des Saxifragacées. RIBES L. —_ Caractères de la famille. Arbrisseau épineux, à épines 3-partites. Fleurs 1 réunies 1-3 sur un pédonecule commun axillaire. Æ?. Uva-crispa L. À Arbrisseau sans épines. Fleurs en grappes plu- Cifloreses. 2. L à > { Fruit rouge. Réceptacle et calice glabres ....,. A. rubrum L. Fruit noir. Réceptacle et calice pubescents.... /?. nigrum L. CRE S R. Uva-erispa L. — Arbrisseau très ramifié, à feuilles fas- ciculées sur des rameaux très courts, à l’aisselle d’épines 3- partites représentant des feuilles transformées. Feuilles nor- males petites, 3-5-fides, à lobes obtus, dentés, velues. Fleurs réunies par 2-3 sur des pédoncules courts. Fleurs verdâtres, à calice rougeûtre. Fruit gros, nervié, jaunâtre ou rougeâtre. — Flor. : avril. — Fruct. : juin. — Habit, : haies, buissons. Com- mun. Cultivé, 3. œ. Uva:crispa. Variété sauvage, à feuilles velues sur les deux faces, à fruit glabre. Buissons, haies, Commun, LORANTHACÉES 321 B. Grossularia (Groseillier à maquereaux). — Variété cultivée, à feuilles plus grandes, presque glabres, à fruits plus gros et plus succulents, velus, hérissés. Le fruit est acidule et sucré; il est rafraichissant et un peu laxatif. R. rubrum L. (Groseillier). — Arbrisseau très ramifié, sans épines. Feuilles non fasciculées, alternes, glabres en dessus, pubescentes en dessous, 3-5-lobées, à lobes dentés. Fleurs jaune-verdâtre, en grappes pluriflores, pendantes. Calice glabre. Fruits rouges ou blancs, glabres, de la grosseur d’un pois. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : juin-août. — Habit. : bois humides. Commun. Cultivé dans les jardins. 3. Le fruit est très acide, sucré, de saveur agréable. Il est rafraichissant et un peu laxatif. On en fait des gelées excellentes, un peu laxatives. R. nigrum L. (Cassis). — Se distingue du précédent par son réceptacle et son calice pubescents et par son fruit noir. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : juin-août. — Habit. : cultivé dans les jardins et les champs. 2. Les fruits ont une saveur sucrée, légèrement acidule et astringente, très aromatique, un peu résineuse. On les mange peu à l'état naturel; ils servent surtout à la fabrication de la liqueur connue sous le nom de cassis. On cultive fréquemment dans les jardins et les pares le Æibes sangui- neum PurscH. d'Amérique, pour ses fleurs rouges, en longues grappes pendantes. Fauwizze LXVIIL. — LORANTHACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, dioïques. Récep- tacle très concave, formant les parois de l'ovaire. Périanthe double dans les fleurs femelles, simple dans les fleurs mâles. Fleurs mâles : calice 4-mère, valvaire; corolle nulle; étamines 4. réduites aux anthères connées avec les sépales, divisées en plu- sieurs loges distinctes. Fleurs femelles : calice 4-mère; corolle 3-mère, à pétales squamiformes, charnus, valvaires; ovaire infère, 1-carpellé, 1-loculaire, 1-ovulé; ovule sans enveloppes. inséré sur la base de la cavité ovarienne. Fruit bacciforme, succulent, à chair visqueuse. Graine albuminée. Feuilles oppo- sées, entières. Rameaux dichotomes. Arbuste ligneux, buis- sonneux, parasite sur les arbres, vert. Affinités. — Les Loranthacées se distinguent des autres dia- lypétales épigynes par l’état rudimentaire de leur fleur et de leur ovule et par leur parasitisme. Leur organisation générale, leurs feuilles opposées, leur ovule inséré sur le fond de la loge unique de l'ovaire, les rapprochent des Paronychiées. PA # 322 APÉTALES NON AMENTACÉES VISCUM T. — Caractères de la famille. toc pe LAN LEE Z T7 h où, QU 77 EN À P à Fig. 404. — Viscum album. Fig. 405, — Viscum album. Fleur mäle ; coupe longit, Rameau, V. album L. ‘Gui, Morvé). — Arbrisseau vert, ligneux, buis- sonneux, parasite sur les poiriers, les pommiers, les peu- pliers, etc., à feuilles entières, épaisses, coriaces, oblongues, à fleurs jaune-verdâtre, à fruits blancs, de la grosseur d’un pois. Flor. : mars-avril. — Fruct. : août-novembre. Commun. 4. L'écorce du Gui est légèrement purgative ; elle a une saveur amère, et âcre, désagréable. On a employé ses fruits écrasés en cataplasmes, c.—DICOTYLÉDONES APÉTALES. Corolle toujours absente. Caliee parfois absent. Fleurs mâles disposées en chaton ou non. Deux groupes : Fleurs mâles non disposées en chatons......... Apétales non amentacées. Fleurs toujours unisexuées, les mâles toujours disposées en chatons... .....ssseoussssssesese Apétales amentacées. a. — APÉTALES NON AMENTACÉES. Fleurs hermaphrodites, ou unisexuées, ordinairement pour- vues d’un calice, toujours dépourvues de corolle. Fleurs mâles jamais disposées en chaton. POLYGONACÉES 323 TABLEAU DICHOTOMIQUE DES FAMILLES. Ovaire supère............ LU PA ER Pireinibre ss Se uen tes Moce sens dtese of VER Fleurs normalement hermaphrodites. LUE PRE en Fleurs dioiques ou monoïques......,........ #8 Ovaire et fruit uniloculaires......... ne 4 Dre -Dilosnlaire JS se das nes » oo Feuilles munies d’ochréas........,...,........... Polygonacées. Feuilles sans ochréas........ OEM EE ha ME Calice gamosépale,tubuleux...,.............… Thyméléacées. — Calice plus ou moins s gamosépale, mais non tubu- Em. L'SCRRE ne nt ae mPNro ses sisete ES Sépales plus ou moins scarieux.....,...... Amarantacées. mn Sépales herbacés, souvent épaissis et indurés à la DOME à nm tie Lies « c ESP PE ... Salsolacées. — Fruit 2-loculaire, à loges non subdivisées, uniovu- , lées. Sépales 5. Etamines 5. Arbres ou arbustes. Ulmacées. — Fruit 2-loculaire, à loges biovulées, subdivisées chacune en deux fausses lôges. Sépales 2, Eta- mines 1-2. Herbes aquatiques......,... m4 33e Callitrichées. — | | | Le a ne DOS | | | | | OR = oi & 1 e 2] Ovaire triloeulaire, rarement biloculaire. Fleurs monoïques ou dioiques...,..,..... PC UEEE * .. Zuphorbiacées. -— Plantes terrestres...... RM RSER ee LEE : 10 Plantes aquatiques. Fleurs pere me sans s périan- the. Feuilles verticillées® 445. ..... Cératophylléess — Pan ibS Er DA I Se ane es anne IUT Arbres ou arbrisseaux. Fruit enfermé dans le ca- lice membraneux ou charnu, succulent. Fleurs en épis, ou enfermées dans le réceptacle succulent.. Morées. A Etamines 5. Fleurs dioïques. Styles ? ou style 1, bifide..... neo ns ee PC EE ER Cannabinées. -_- Etamines 4. Fleurs monoïiques ou dioïques. Style DENISE dun a à de doi p à MST a Me VE eee RUE MS . Urticées. Plantes terrestres. Feuilles alternes ou opposées... 13 ‘| Plantes aquatiques. Feuilles vertieillées, linéaires. Âippuridées. Ovaire uniloculaire, Calice à 4-5-lobes......... Santalacées. Ovaire 6-loculaire. Calice à 3 lobes, parfois indis- tinets. #50 nue srieu sunlyste dues derits die SIPONIONNERINCO ST. 10, que Face LXIX. — POLYGONACÉES. ! Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites, polygames ou dioïques. Réceptacle convexe. Périanthe simple. Calice habituellement 3-mère, 2-verticillé, herbacé ou coloré. Corolle absente. Etamines hypogynes, en nombre égal à celui des sépales ou plus grand, à filets indépendants ou connés à la base. Anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes lon- gitudinales, toutes introrses, ou les unes introrses et les autres extrorses., Ovaire supère, 3-carpellé, 4-loculaire, 4-ovulé. Ovule orthotrope, inséré sur le fond de la loge unique. Fruit sec, in- déhiscent, i-sperme. Graine albuminée. Feuilles alternes, sim- 324 APÉTALES NON AMENTACÉES ples, stipulées, à stipules connées en une gaine (ochrea) qui enveloppe la tige. Fleurs petites, ordinairement verdâtres. Affinités. — Les Polygonacées se distinguent nettement par leur ovaire uniloculaire, uni-ovulé, à ovule orthotrope. Deux genres : Sépales 6. Etamines 6. Stigmates multifides. .............. Rumex. Sépales 5, rarement 4-3. Etamines plus nombreuses que les sépales, Stigmates capités..... 4,1... Ne Polo. RUMEX L. — Fleurs hermaphrodites, polygames ou dioi- ques. Sépales 6, herbacés, 2-sériés, les 3 intérieurs plus grands, accrescents. Etamines 6. Styles 3. Stigmates multifides, à divi- sions rapprochées en pinceau. Feuilles alternes, simples. Fleurs petites, verdâtres, Feuilles hastées ou sagittées à la base. SAVEUR TES ACIOPA. ce cc ceeLei SA il 1.{ Feuilles atlénuées, tronquées ou cordées à la base, jamais hastées ni sagittées. Saveur herbacée ou très peu acide..,.. Sépales internes accrescents, dentés..... 3 Sépales internes accrescents, entiers ou à peine denticulés......:............... x D Feuilles inférieures cordées à la base, longuement pétiolées.:..0.."2. "000 # Feuilles toutes non cordées, lancéolées, ou linéaires, atténuées en pétiole...... à #0 Tige à rameaux dressés, formant une sorte dé panicile 4.14. Soin ue s . R, obtusifolius L. Tige à rameaux divergents ou divariqués. Feuilles souvent en forme de violon... A. pulcher L. Sépales intérieurs munis de ? dents laté- rales au moins aussi longues qu'eux.... Z?. maritimus L. Sépales intérieurs munis de 2 dents laté- pales {plus couries qu'eux. :.......41..6 BR. palustris L. | Feuilles ondulées-crépues aux bords. Ver- _SS ticilles floraux dépourvus de feuilles brac- DORE EE tee ceccerenre CRE R, crispus L,. Feuilles planes ou presque planes, non CEDDIESE RE A een rierae eus: d eo me RU : Verticilles floraux pourvus chacun d’une reudle branéaie Lin. steel li, conglomeratus L, Verticilles floraux tous ou la plupart dé- pourvus de feuilles bractéales...,,,... Brie Feuilles toutes ou la plupart cordées ou arroñdies-äa base: 4, 20,040 9 6. 7 (#2 MOULES" SON Me PR e De ais 0 ES ..... À. Hydrolapathum Hups. granule . Tige haute de 1 à 2 mètres.... A. maæximus SCHRES. Un seul sépale interne fructifère muni d'un 5 (ON TE SR AE Re 1 D ren 10 POLYGONACÉES 325 Sépales internes fructifères très amples, 40 saborhitulaifes. «25, te does o ôve ole R. Patientia L. ‘) Sépales internes fructifères lancéolés- LL Le Ton Re OR LP ASE EE R. sanguineus L. Sépales internes accrescents en valves plus grandes que le fruit, diaphanes, fortement nerviées, non adhérentes au us éponge ee :- Sépales internes non accrescents, ne dé- passant pas le fruit, étroitement adhé- Re Re dre suore vis 2 R. acetosella L, Fleurs dioïques. Feuilles toutes pétiolées, 2. scufatus L. Fleurs polygames. Feuilles supérieures sessiles, amplexicaules....,..... emssrc. Je GCELOSG L. 12. R. acetosa L. (Oseille commune, Parelle). — Plante à souche vivace, à feuilles ra- dicales nombreuses, en bou- quet, à tige florifère haute de ou Fig. 406, — ARumez acelosella. Sommité florifère et fleur, Fig. 407, — Rumex acelosa. 60 centim. à 1 m. et plus, dressée, ramifiée dans le haut, sil- FLORE DE PARIS, | 19 . # 326 APÉTALES NON AMENTACÉES lonnée. Feuilles glaucescentes en dessous, les inférieures lon- guement pétiolées, sagittées, les supérieures sessiles, amplexi- caules. Fleurs dioïques. Verticilles floraux dépourvus de feuilles bractéales. Sépales internes accrescents en valves beau- coup plus larges que le fruit, membraneuses, sub-orbiculaires toutes munies à la base d’un granule. Sépales externes réfléchis et rabattus sur le pédieelle. — Flor. : mai-juin, automne. — Habit. : commun dans les prairies, les pâturages, les clairières des bois. Cultivé dans les jardins. 77. L'Oseille est beaucoup cultivée dans les jardins pour ses feuilles, qui sont très acides et qu'on mange cuites. Les feuilles contiennent beaucoup d’oxalate de potasse et de l’acide tartrique. On prescrit l'Oseille contre le scorbut. On en mélange souvent le suc à celui des plantes antiscorbutiques de la famille des Crucifères. La racine passe pour être diurétique. R. Patientia L. (Patience). — Plante à feuilles toutes pétio- . lées, très grandes, planes, cordées ou atténuées à la base, à pétiole canaliculé, à tige haute de 80 centim. à 1 m. 50, dres- sée, robuste, cannelée, ramifiée dans le haut. Verticilles floraux multiflores, tous ou presque tous dépourvus de feuilles brac- téales. Sépales internes accrescents en grandes valves subor- biculaires, cordées à la base, entières ou à peine denticulées, l’extérieure seule munie d’un granule très petit. — Flor. : juin- août. — Habit, : originaire de l'Orient. Cultivé dans les jar- dins. Z”’. La souche de la Patience a joui, sous le nom de racine de Patience, d'une grande réputation médicinale. Son odeur.est faible; sa saveur est amère et acerbe; elle jaunit la salive. On la considère comme tonique et diaphorétique; elle serait encore purgative à haute dose. Elle est, en réalité, à peu près inerte. Dans certains pays, on mange les feuilles comme celles de l’Oseille, dont elles n’ont pas la saveur acide. La racine a été em- ployée dans la teinture en jaune. D'autres espèces de /umex à feuilles non hastées ont été employées concurremment avec la Patience, notamment le À. sanguineus, dont la variété à feuilles entièrement vertes (fB. nemorosus) est commune dans les endroits humides des bois, et dont on cultive dans les jardins la variété à feuilles rouge-sang au niveau du pétiole et des nervures (4. sanguineus, Sang-de-dragon), POLYGONUM L. — Fleurs hermaphrodites. Sépales péta- loïdes, 5, ou rarement 4-3, 1-verticillés, connés à la base, sub- égaux, à peine accrescents, marcescents, persistants, connivents et appliqués contre le fruit. Etamines ordinairement plus nom- breuses que les sépales (8), 2-verticillées. Styles 2-3. Stigmates capités. Fruit trigone, dépassant peu le calice. Embryon à cotylédons linéaires, non contournés, ou foliacés, contournés et plissés. Feuilles alternes, simples. Fleurs petites. POLYGONACÉES 32 La Sépales connivents. Embryon à cotylédons li- < 1 néaires, jamais contournés- DOS, enr 2 ‘) Sépales élalés. Embryon à cotylédons foliacés, : contournés-plissés .. ........ PEAR ee Spas . P. Fagopyrum L. Stigmates sessiles ou presque sessiles........ 3 Stigmates portés par un style plus ou moins long. PE ce HÉROS AAA =" 1 Plantes non volubiles...... DURS CE SÉRIE dorer 4 Plantes volubiles .............. OU oo C 5 ( Rameaux feuillés jusqu'en haut............. P. aviculare L | Rameaux dépourvus de feuilles dans le haut. 2: Bellardi ALL Tige cylindrique. Sépales extérieurs munis = | d’une carène aiïlée...... RE 2 5 der P. dumetosum L. ‘) Tige anguleuse , striée. Sépales extérieurs | munis d’une carène non ailée...... NN en ».4 P. Convolvulus L. Etamines longuement exsertes. Plantes vivaces. 7 Etamines incluses. Piantes annuelles. ........ & Souche contournée, ligneuse Tige simple..... P. Bistorta L. | Souche tracante, non contournée. Tige très- LAURE ORNE .s... À. amphiowumrel.. Plante à saveur poivrée, brülante. Calice cou- vert de poils glanduleux..................., P. hydropiper L Plante à saveur non poivrée. Calice d£ pourvu de poils glanduleux ou n’en présentant qu'un très petit nombre ....., Nue. rat ee 9 Fleurs en EE oblongs-cylindriques compacts, » 9 \ ATOS EE M AM ner dosnaaue re ane nc ona a 10 | Fleurs en épis filiformes, liches, interrompus, penchés:. Sin seb sense satñercoccs sue e P. M0 SCHRANK 10 Ochréas à cils fins et courts......... .….... P lapathifolium L. Ochrea a culs lines Ones SLA en nee te ose P. Persicaria L. P. Bistorta L. (Bistorte). — Plante à souche vivace, rhizo- mateuse, contournée sur elle-même, sub-ligneuse, à feuilles en bouquet, à tige haute de 50 à 80 centim., dressée, non ramifiée. terminée par un épi oblong-cylindrique, compact, de petites fleurs roses. Feuilles assez grandes, cordées ou atténuées à la base, ovales, plus ou moins aiguës, pétiolées, à limbe décurrent sur le pétiole, glauque en dessous. Styles 3. Fruits trigones, acuminés, à angles aigus, à faces concaves. — Flor. : mai- juillet. — Habit. : endroits humides des bois et des prairies. Très rare. Z’. Le rhizome de la Bistorte est employé sous le nom de Racine de Bis- torte. Sa saveur est astringente, acerbe; il contient une grande quantité de tannin et jouit de propriétés astringentes énergiques. On le preserit surtout contre la diarrhée, la leucorrhée, les hémorrhagies passives. Le Polygonum Persicaria (Persicaire douce) a été employé comme astringent contre la diarrhée, la leucorrhée, ete. : Le P. hydropiper (Persicaire âcre, Poivre d'eau, Piment d’eau), très remarquable par sa saveur poivrée et brûlante, a été employé comme exci- tant et diurétique, Son action mériterait d’être étudiée avec quelque soin par les thérapeutistes, Le P, amphibium a été préconisé comme succédané de la Salsepareille. æ La 326 APÉTALES NON AMENTACÉES AE ED (re CE CSN > Al a — Aer C2 Fe mr | 7 — Fig. 409. — Polygonum hygropiper. Fig. 408. — Polygonum Bistorta. Fig. 410. — Polygonum avicularia. eee © |. = ç ms : " D | : SALSOLACÉES 329 P. Fagopyrum_L. (Fagopyrum esculentum Moencu. — Sarra- sin, Blé noir). — Plante annuelle, à tige dressée, ramifiée, haute de 30 à 80 centim.., à feuilles pétiolées, ovales, sagittées, à fleurs blanches ou rosées, disposées en grappes lâches, axillaires ow terminales, ces dernières formant un corymbe par leur ensem- ble. — Flor. : juin-août. — Habit. : originaire de l'Asie. Cultivé- en grand. (1), On cultive le Sarrasin pour ses fruits qui sont très riches en fé- cule. On lui associe souvent le P. éa- taricum GÆRTN., qui en diffère seu- lement par des fleurs plus petites et des fruits à angles sinués. Fig. 411. — Polygonum Fagopyrum. Fix, 412. — Polygonum Fagopyrum. Sommité florifère. Fleur; coupe longit. FamiLze LXX. — SALSOLACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites, plus rarement polygames, monoïques ou dioïques. Réceptacle convexe ou cupuliforme. Périanthe simple. Calice ordinairemen 5-mère, rarement #-3-2-mère ou nul. Corolle nulle. Etamines hypogynes, ordinairement 5-oppositisépales. Anthères bilocu- laires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales, Ovaire supère ou légèrement infère, 1-loculaire, 1-ovulé. Ovule anatrope, inséré sur le fond de la cavité ovarienne. Styles 2, rarement 3-4. Fruit sec, charnu ou presque ligneux, indéhis- 330 APÉTALES NON AMENTACÉES cent, 1-loculaire, 1-sperme, ordinairement enveloppé par le calice. Graine albuminée. Embryon annulaire ou semi-annulaire ou en hélice. Feuilles alternes ou, rarement, opposées, simples, plus ou moins profondément découpées. Fleurs petites, verdä- tres ou rougeâtres, peu apparentes. Cinq genres : QU pe DER APR ST Fleurs hermaphrodites ...,,....... se seut FU ce Fleurs monoïques ou dioïques....... 0e > oo Fleurs accompagnées de 2 bractées latérales...,..,... Fleurs non accompagnées de bractées latérales......., Graine horizontale....... AR RS: AO - oies Graine verticale......... NEO ce Fotioltse site fier Fleurs femelles sans calice, accompagnées de ? brac- tées:accrescentes en valves. .....0..,.3,%., AC Fleurs femelles munies d’un calice à 2-% ‘sépales connés en un tube ventru qui enveloppe l'ovaire et le fruit.. 2 4 Beta. à Chenopodium. Blitum. Atriplez. Spinacia. CHENOPODIUM T. — Fleurs hermaphrodites, sans bractées latérales, Sépales 5, rarement 3-4, connés à la base, herbacés. Etamines 5. Styles 2 ou 3, filiformes. Fruit déprimé, ordinai- rement enveloppé par les sépales connivents. Graine horizon- tale, à enveloppe crustacée. Feuilles alternes ou très rarement -opposées, entières, dentées ou pinnatifides. Fleurs en glomé- rules formant des grappes ou des panicules spiciformes, laté- rales ou terminales. FU ORE EME... . ose soo nee 2 Feuilles sinuées, ou dentées, ou lobées, au moins les inférieures. Sera eee + Feuilles non pubérulentes, vertes sur les ROUE RER à 2e un ne ae Htc C, polyspermum L. ue très pubér ulentes blanchätres sur les deux faces, exhalant quand on les froisse une odeur de crevettes avancées......... C. Vulvaria L. Sépales carénés, enveloppant le fruit...... 4 Sépales non carénés, enveloppant le fruit. 7 Feuilles à 3 ou 4 lobes::...,.....-.000 Feuilles simplement dentées ou sinuées... 6 Feuilles ovales-triangulaires, cordées à la base, vertes sur les deux faces.......... C. hybridum L. Feuilles rhomboïdales 5 pubérulentes- -blan- châtres en dessous......,.......... ... C. opulifolium Scurzan, Feuilles vertes sur les dede ds luisan- tes, toutes -dentées..;.si «je : veieeifle sis C, murale L. Feuilles blanchâtres- “pubérulentes en des- sous, les inférieures dentées ou sinuées, les supérieures éntières -J. 141206: se Ca Ts Feuilles triangulaires, aiguës ou acumninées, , verles en dessus, blanchâtres ou parfois verles en. AOSSOUS sm mousses 4 Ce WROURE: Feuilles oblongues, obtuses, vertes en des- sus, glauques « et très farineuses en dessous. C. glaucum L. | SALSOLACÉES D Le Chenopodium Vulvaria (Vulvaire), très remarquable par l'odeur qu'il exhale, était autrefois considéré comme antispasmodique et employé contre l'hystérie, la dysménorrhée, etc. Il est tombé dans l'oubli. On s’en ser- vait à l'état frais en décoctions, en lavements, en injections vaginales ou à l’état de conserves, } f h = LES Fig. 413. — Blilum Bonus-Herricus. Fig. 414. — Chenopodium Vulvaria. Sommité florifère, BLITUM T. — Fleurs hermaphrodites. Sépales 5-3, libres ou connés à la base, souvent carénés et enveloppant le fruit, ou devenant charnus. Etamines 5. Styles 2. Graine verticale. Feuilles alternes, simples. Fleurs verdâtres ou rougeûtres, en glomérules formant des grappes parfois très courtes, latérales ou terminales. Æ . 332 / APÉTALES NON AMENTACÉES Pi Feuilles charnues, luisantes, non hastées...... PB, rubrum Rcus. Feuilles membraneuses, un peu pubérulentes, ires hastéesra sn erres RU er {ne ouserecsooe D. Ponus-Henricus RCHB. Le Blitum Bonus-Henricus (Chenopodium Bonus-Henricus L., Toute-bonne, Epinard sauvage ‘est émollient et légèrement laxatif, On peut le prescrire- comme légume aux personnes habituellement constipées. Son suc sucré peut remplacer la manne. ATRIPLEX T. — Fleurs monoïques ou dioïques. Fleurs mä- les : sépales 5-3; étamines 5-3. Fleurs femelles semblables ou dissemblables, souvent asépales. Styles 2, Fruit à péricarpe membraneux , mince , enveloppé par les bractées latérales dans les fleurs asépales et par les sépales dans les autres. Feuilles alternes ou rarement opposées, simples. Fleurs ver- dâtres, en glomérules formant des grappes ou des panicules latérales ou terminales. Valves fructifères non connées ............... en OR or lenstis Le Valves fructifères connées à la base..,...... cesse RS paiule Le On cultive dans les jardins l'A. hortensis (Arroche, Bonne-Dame) pour ses feuilles, qui sont comestibles et, émollientes. On en fait du bouihton d'herbes que l’on prend à la suite des purgatifs. Le fruit est, dit-on, éméto- cathartique. BETA T. — Fleurs hermaphrodites, accompagnées de 2 brac- tées latérales. Sépales 5, connés en un tube urcéolé, qui enveloppe l'ovaire et adhère à la base de ce dernier. Etamines 5, insérées sur un disque qui entoure la base de l'ovaire. Styles 2, rarement 45. Fruit enveloppé par le tube calicinal épaissi et presque ligneux. Feuilles alternes, pétiolées, simples. Fleurs verdâtres, solitaires ou en glomérules 3-4-flores, formant des épis termi- naux. B. vulgaris L. — Seule espèce, produite par la culture et provenant probablement de la transformation du B. maritima. On en cultive dans les jardins et les champs deux variétés principales : le B. cicla (Poirée, Bette-Carde), dont la racine est cylindriqne et le B. rappacea (Betterave), dont la racine est fusiforme ou napiforme., La racine de la Betterave est comestible. Elle contient une grande quantite de sucre. pour l'extraction duquel on la cultive sur une grande échelle, SPINACIA T. — Fleurs dioïques, sans bractées latérales. Fleurs mâles : sépales 4-5, connés à la base. Etamines 4-5, à filets accrescents. Fleurs femelles : sépales 2, rarement 3-4, connés en un tube ventru qui enveloppe l'ovaire. Styles #4, ra- rement 5. Feuilles alternes, simples. Fleurs verdâtres, en glomé- rules, les glomérules mâles en épis lâches, les glomérules femelles solitaires. Calice fructifère sans épines.. .....,..c. ss... ss. Sglabra Mix. Calice fructifère muni de 2-4 épines robustes. .,..... .. S, oleracea TL. AMARANTACÉES 333 Ces deux espèces sont cultivées dans les jardins pour leurs feuilles, qui sont comestibles, la première sous les noms d'Epinard de Hollande, . Gros Epinard, la seconde sous celui d'Epinard d'hiver. On mange les feuilles cuites, seules ou mélangées avec celles de l’oseille. On en fait des cataplasmes émollients, des dé- coctions laxatives, des lavements. Fig. 416. — Beta vulgaris. Portion d'inflorescence, Fig, 413. — Beta vulgaris, Fig. 417. — Beia vulgaris. Sommité florifère. Fleur; coupe longit. FauiLce LXXI — AMARANTACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières ou à peu près régulières, rarement hermaphrodites, ordinairement monoï- ques ou dioïques. Réceptacle convexe. Périanthe simple. Calice 5. rarement 3-mère. Corolle nulle. Etamines hypogynes, 5, rarement 3, à filets indépendants ou connés. Staminodes alter- nant parfois avec les étamines fertiles. Ovaire libre, 1-loculaire, 1-ovulé, rarement pluri-ovulé. Ovules anatropes, insérés dans le fond de la cavité ovarienne, Styles 2-3. Fruit membraneux, 19% 7 Lo 334 APÉTALES NON AMENTACÉES 1-loculaire, ordinairement 1-sperme, indéhiscent, ou déhiscent par un couvercle (pyxide). Graines albuminées. Embryon annu- laire ou semi-annulaire. Feuilles alternes ou rarement oppo- sées, simples, sans stipules. Fleurs petites, verdâtres ou colo- rées, en glomérules formant des panicules spiciformes. Trois genres : Fleurs à l’aisselle des feuilles. Feuilles $essiles. .....,. Polyenemum. i.! Fleurs à l’aisselle de bractées scarieuses. Feuilles pébtlolées is eue ee run ER sas e à { Fruit s'ouvrant par un couvercle..... “--cE Mist Amarantus. Fruit se déchirant irrégulièrement...,..........…... .. ÆEuxolus. AMARANTUS T. — Fleurs monoïques ou polygames-monoi- ques, naissant à l’aisselle de bractées scarieuses. Etamines à filets indépendants. Anthères biloculaires. Fruit déhiscent par un couvercle (pyxide). Feuilles pétiolées, entières ou simple- ment sinuées. Sépalésis. Efamines 35.,0...:.....:,.000 lee . A. retroflezus L.. Sépales 5. Etamines 5........... CALE D 00 soso RC ACER Le On cultive dans les jardins quelques espèces de ce genre pour leurs belles - Là , ? ) inflorescences colorées en rouge, notamment l'A. caudatus L. et l'A. pani- culatus L. EUXOLUS RaArIN. — Fleurs monoïques ou polygames-monoï- ques, naissant à l’aisselle de bractées scarieuses. Etamines à filets indépendants. Anthères biloculaires. Fruit indéhiscent ou se déchirant irrégulièrement. Feuilles pétiolées, entières ou simplement sinuées. Fleurs petites, verdâtres. E. viridis MooQ.-Tann. — Plante glabre, annuelle, haute de 30 à 80 centim., très commune dans les lieux cultivés, au voi- sinage des habitations. PGLYCNEMUM L. — Fleurs hermaphrodites, naissant cha- cune à l'aisselle d’une feuille, mais accompagnées de deux brac- tées scarieuses. Sépales 5. Etamines 5, à filets connés à la base. Anthères biloculaires. Fruit membraneux, indéhiscent. Feuilles sessiles, coriaces, linéaires, subulées, entières. Fleurs très pe- tites, sessiles, solitaires ou géminées. P. arvense E. — Plante à tige haute de 10 à 40 centim., étalée-diffuse, ascendante, assez rare dans les champs arides, au bord des chemins. FamiLLe LXXII — THYMÉLÉACÉES. Caractères constants, — Fleurs régulières, hermaphrodites. THYMÉLÉACÉES 339 Réceptacle convexe. Périanthe simple. Calice gamosépale, 4-5- fide. Corolle nulle. Etamines en nombre double de celui des sépales, ou en mème nombre, insérées sur le tube du calice. Anthères biloculaires , introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire libre, 1-loculaire, 1-ovulé. Ovule anatrope. inséré sur le haut de la loge. Fruit sec ou drupacé, indéhiscent, 1-loculaire, 4-sperme. Graine albuminée. Embryon droit. Feuilles alternes, rarement opposées, simples, entières, sans stipules. Fleurs verdâtres ou colorées. Affinités. — Les Thyméléacées se rapprochent par leur ovaire des Salsolacées et des Amarantacées, mais elles en diffè- rent par leur calice tubuleux, par leur androcée d’ordinaire ré- gulièrement diplostémone et par leur ovule suspendu. Deux genres : Fruit sec. Fleurs verdâtres..... soute ed rar rite ress : LAYIMNELEZ. Fruit drupacé. Fleurs plus ou moins colorées... Wréemses is. Daphne. THYMELEA T. — Fleurs habituellement hermaphrodites. Calice verdâtre, herbacé, tubuleux, 4-fide. Etamines 8. Ecailles hypogynes nulles. Fruit sec, indéhiscent, enfermé dans le calice. Feuilles sessiles, petites. Fleurs verdâtres, axillaires, solitaires ou fasciculées par 2-5. T. Passerina L. — Seule espèce. Tige haute de 20 à 50 cen- tim., grêle, dressée, assez rare dans les terrains maigres. DAPHNE L. — Fieurs hermaphrodites. Calice coloré, tubu- leux, 4-fide. Etamines 8. Disque hypogyne rudimentaire, annu- laire. Fruit drupacé, non enveloppé par le calice. Feuilles assez grandes, atténuées en pétiole ou sessiles. Feuilles persistantes. Calice glabre, jaune-verdâtre..... D. Laureola L. Feuilles eaduques. Calice rose ou pourpré, pubescent.. 9. Mezereum L. D. Laureola L. (Lauréole). — Petit sous-arbrisseau à tige dressée, ramifiée dans le haut, haute de 50 à 80 centim., flexible. Feuilles alternes, formant des rosettes au sommet des rameaux, oblongues ou lancéolées-oblongues, coriaces, persistantes, colo- rées en vert foncé. Fleurs à calice coloré en jaune verdâtre, glabre, disposées en petites grappes. Feuilles 5-7-flores. Fruit noir. — Flor. : mai-avril. — Habit. : bois humides. Assez rare. 5. D. Mezereum L. (Bois-gentil, Garou, Morillon). — Sous-ar- brisseau à tige haute de 50 centim. à 1 m., à feuilles caduques, à fleurs se développant avant les feuilles, roses ou pourpres, A # 336 APÉTALES NON AMENTACÉES ou rougeâtres, disposées en fascicules 2-3-flores, le long des ra- meaux supérieurs. Feuilles alter- nes, entières, minces, glabres, lancéolées, atténuées à la base. Calice pubescent. Fruit rouge. — Flor. : février-mars. — Habit. : bois montueux. 7. Fig. 419. — Daphne Mezereum. Sommité fleurie. 7 \(N Ed \ CORDIER Fig. 418. — Daphne Laurecla. Fig. 420. — Dapline Mezereum. Rameau, Fleur. Coupe longit. RE écorce de ces deux espèces, mais surtout celle du 2. Mezereum, jouit % Ps So irritantes énergiques. Appliquée sur la peau, elle la rubéfe Pre ement . On l'emploie à la préparation de pommades, d'onguents, de ures rubéfiantes et vésicantes, dont on se sert surtout pour panser les vésicatoires que l’on veut faire supp ; Æ 2 = Ù e suppurer. L'odeur de l'écorce est nulle: 5: saveur est très brülante. ÿ Der AE ARISTOLOCHIACÉES 337 FamiLze LXXIIL. — ARISTOLOCHIACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières ou irrégulières, hermaphrodites. Réceptacle très concave, formant les parois de: l'ovaire. Périanthe simple. Calice tubuleux, à limbe régulier ou irrégulier, ordinairement 3-fide. Corolle nulle. Etamines 12 ou 6, insérées sur un disque qui entoure le sommet de l’ovaire, à filets très courts ou nuls. Anthères biloculaires, extrorses, dé- hiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire infère, 6-locu- laire, à loges pluri-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Style court, surmonté de 6 lobes stigmatiques. Fruit capsulaire, 6-loculaire, à loges polyspermes. à déhiscence variable. Graines albuminées. Feuilles alternes ou opposées, simples. Affinités. — Les Aristolochiacées sont voisines par leur ovaire des Dicotylédones à ovaire infère et à placentation axile; mais elles seu distinguent par l'absence de corolle. L'organisation de leur ovaire les sépare des Polygonées, Salsolacées, etc., qui n’ont qu'une seule loge, Deux genres : Calice régulier, 3-fide, valvaire. Etamines 12......,....... Asarum. Calice irrégulier, en forme de tube coudé et terminé par une languette unilatérale. Etamines 6...... ae . Aristolochia.… ASARUMT.— Calice campanulé-urcéolé, 3-fide, à lobes égaux, persistant. Etamines 12. Anthères libres. Capsule coriace, sur- montée du calice persistant. Rhizome vivace, traçant, émettant des rameaux très courts qui portent 1-2 paires de feuilles op- posées radicales, réniformes, longuement pétiolées, puis s’allon- seant en sorte de hampes terminées chacune par une seule fleur. A. Europæum L. (Asaret, Cabaret d'Europe, Rondeile, Oreillette, Oreille d'homme). — Petite plante à feuilles amples, coriaces, réniformes, couvertes de poils courts et rares, à face supérieure luisante, veinée, à feuille inférieure plus pâle. — Flor. : avril-mai. Habit. : lieux pierreux et ombragés. Très. rare, 7°. Toutes les parties de la plante exhalent une odeur forte, un peu poivrée, Leur saveur est âcre, amère, nauséeuse. On fait surtout usage du rhizome, qui est un excellent émétique. Son action est aussi énergique, sinon plus énergique que celle de l’Ipécacuanha, mais elle est moins régulière. ARISTOLOCHIA T. — Calice à tube très allongé, coudé, terminé par un orifice oblique et une languette unilatérale 338 APÉTALES NON AMENTACÉES très développée. Etamines 6. Anthères sessiles, connées au style par leur face dorsale, de manière à former une colonne que surmontent six lobes stigmatiques. Capsule coriace, à déhis- cence septicide en 6 valves. Feuilles alternes. Fig. 421. Fig. 422. Asarum Europeum. Aristolochia Clematitis. A. Clematitis L. (Aristoloche commune). — Plante à rhizome vivace, émettant un petit nombre de tiges hautes de 50 à 80 centim., dressées, simples, glabres, anguleuses. Feuilles assez grandes, coriaces, cordées, ovales, sinuées. Fleurs jaunâtres, en fascicules axillaires 3-8-flores. Capsule piriforme, volumi- neuse, pendante. — Flor. : mai-septembre. — Habit. : vignes, lieux incultes, haies. Commun. Le Toutes les parties de la plante exhalent une odeur désagréable, nau- séeuse, et ont une saveur amère, âcre, nauséeuse. Le rhizome est éner- giquement purgatif., On en faisait autrefois un très grand usage contre la goutte, en macération dans le vin blanc: il est aujourd’ hui abandonné. A Cod Re 2 do dé AGE NEC. és de 4 SANTALACÉES 339 Famizze LXXIV. — SANTALACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle très concave, formant les parois de l'ovaire. Périanthe simple. Calice 4-5-fide, à lobes égaux, valvaires. Corolle nulle. Etamines 4-5, oppositisépales, à filets insérés sur les lobes du calice. Anthères biloculaires, in- trorses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire in- fère, 1-loculaire, 2-4-ovulé. Ovules æ \ anatropes, insérés sur le fond de < ë la loge, tous abortifs, sauf un. Fruit indéhiscent, 1-loculaire, DE l-sperme. Graine albuminée. / of Feuilles alternes, sessiles, sans ® & stipules. Fleurs très petites, ver- De dâtres. Fig. 423. — Thesium humifusum. Fig. 424. — Thesium humifusum. Rameau florifère. Fleur; coupe longit. Affinités. — Les Santalacées sont voisines des Salsolacées, dont elles se distinguent par leur ovaire infère. THESIUM L. — Caractères de la famille. T. humifusum DC. — Petite plante à souche vivace, à ra- meaux grêles, couchés sur le sol, très nombreux, portant des feuilles sessiles, lancéolées, étroites, entières, épaisses, glabres et: des fleurs très petites. Assez rare sur les pelouses sèches, pierreuses. =— LA 340 APÉTALES NON AMENTACÉES FAMILLE LXXV. — HIPPURIDEES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites, Réceptacle très concave, formant les parois de l'ovaire. Périan- the simple. Calice rudimentaire. Etamine 1, épigyne. Anthère biloculaire, introrse. Ovaire infère, 1-loculaire, l-ovulé. Ovule anatrope, inséré dans le haut de la cavité ovarienne. Fruit 1-loculaire, 1-sperme, drupacé, indéhiscent. Graine à albumen mince. Feuilles entières, verticillées, linéaires. Fleurs très petites, axillaires. Plantes aquatiques. Affinités. — Les Hippuridées sont voisines des Santalacées par leurovaire infère, mais elles s’en distinguent par leur ovule suspendu, par l'étatrudimentaire deleur fleur et par leurs feuilles verticillées. Elles sont également très voisines des Onagrariées, dont les distingue la réduction de leur ovaire et de leurs fleurs. 25. — Hippuris vulgaris. Fig. 426. — Hippuris vulgaris. Fragment de tige florifère, Fleur femelle. HIPPURIS [. — Caractères de la famille. H. vulgaris L. (Pin d’eau , Pesse). — Petite plante aquatique à souche rhizomateuse, vivace, assez rare dans les fossés et les ruisseaux à courant peu rapide. FamiLze LXXVI. — URTICÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières ou presque régu- lières, monoïques ou dioïques. Réceptacle convexe. Périanthe simple. Calice 4mère, à sépales presque égaux, plus inégaux URTICÉES 344 dans les fleurs femelles. Etamines (dans les fleurs mâles) 4, hypo- gynes, à filets recourbés en dedans dans le bouton, s’étalant avec élasticité. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire (dans les fleurs femelles) supère, 1-loculaire, 1-ovulé. Ovule inséré sur le fond de la cavité ova- rienne. Fruit indéhiscent, enfermé dans le calice persistant, 1-loculaire, 1-sperme. Graine albuminée. Feuilles alternes ow opposées, simples, stipulées. Affinités. — Les Urticées sont très voisines des Morées, dont elles se distinguent surtout par leur port. Deux genres : Fleurs polygames. Feuilles alternes........... ee Me .. Urtica. Fleurs monoïques ou dioïques. Feuilles opposécs........ Parietaria . URTICA T. — Fleurs monoïques ou dioïques. Feuilles oppo- sées, dentées. Tige quadrangulaire. Plante couverte de poils longs, raides, urticants. 1.{ Fleurs MORE S.à eue Tee ie Le ee (0e, Mince E. Fleurs monoïques... ....,... SAR Ce 6 Nitro » $ Fleurs mâles et femelles en grappes.......,...... U. urens L. *’} Fleurs femelles en tètes globuleuses,............. U, pilulifera L. U. dioïea L. (Grande Ortie, Ortie). — Plante à souche vivace, à tige haute de 30 centim. à 4 m., dressée, raide, peu rami- fiée. Fleurs dioïques, en grappes axillaires, grèles, rameuses, les mâles plus longues que le pétiole de la feuille axillante, les femelles pendantes, petites, verdâtres. Feuilles pétiolées, cordées, ovales acuminées ou lancéolées, à dents larges, aiguës. — Flor. : juin-octobre. — Habit. : voisinage des habitations, buissons, etc. Très commun. 7}. U. urens L. (Petite Ortie, Ortie grièche). — Se distingue de la précédente par ses fleurs monoïques, les mâles et les femelles étant réunies dans chaque grappe; par ses grappes plus courtes que les pétioles ; par ses feuilles plus petites et à dents étroites, et par sestiges moins hautes. — Flor. : mai-octobre. — Habit. : voisinage des habitations, décombres. Très-commun. (1). U. pilulifera L. {Ortie romaine). — Se distingue très net- tement des espèces précédentes par ses fleurs monoïques, les fe- melles en têtes globuleuses, les mâles en grappes, — Flor. : juin- octobre. — Habit. : voisinage des jardins. Très rare. 7} ou). Les tiges et les feuilles de ces trois espèces sont couvertes de longs poils aigus, urticants, formés chacun par une seule cellule élargie à la base: et recourbée au sommet, qui est très aigu. Ce dernièr se casse dans læ peau et permet au liquide urticant contenu dans le poil de se répandre 342 APÉTALES NON AMENTACÉES dans: les tissus, en provoquant la formation d’une petite papule et des dé- mangeaisons très vives. Les Orties sont légèrement astringentes. On les employait autrefois contre les hémorrhagies utérines, les hémoptysies, etc, Dans quelques pays, on mange les jeunes pousses. En Suède, on cultive la grande Ortie sur une grande échelle comme fourrage vert pour le bétail ; elle constitue une excellente nourriture, produit énormément et pousse dès le début du printemps, alors que tous les autres fourrages verts font dé- faut, Fig. 427. — Urtica urens. Fig. 428. — Urlica pilulifera. Sommité florifère. Sommité florifère. PARIETARIA T. — Fleurs polygames, accompagnées cha- cune de 1-3 bractées formant involucre. Sépales 4, presque égaux, connés à la base, persistants. Etamines 4. Feuilles alternes. pétiolées, sans stipules. Fleurs très petites, verdâtres. Plantes sans poils urticants. É P. officinalis L. (Pariétaire). — Plante à souche vivace, émettant de nombreuses tiges aériennes couchées, ascendantes. Feuilles lancéolées-ovales, pubescentes, rudes, glanduleuses. entières où simplement sinuées. Fleurs très petites, vertes, en ULMÉES 343 cymes denses plus courtes que les pétioles. — Flor. : juin- octobre. — Habit. : fentes et pied des vieux murs. 7. Com- mun. Fig, 429. — Parictaria officinalis. Fig. 430. — Parielaria officinalis. Fleur. La Pariétaire jouit encore d’une réputation assez grande dans les campa- gnes. On l’emploie comme émolliente et diurétique, dans les maladies de la vessie et de l’urèthre, Elle est en réalité à peu près inerle. Famiie LXXVIIL — ULMÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe simple. Calice gamosépale, ordi- nairement 5-fide, parfois 4-8-fide. Etamines 5, rarement #-8, hypogynes. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 2-loculaire, à loges 1-ovulées. Ovules anatropes, suspendus. Fruit sec, indéhiscent, comprimé, ailé (samare), 1-loculaire et 1-spermé par avorte- ment. Graine sans albumen. Feuilles alternes, simples, stipulées. Fleurs petites, en fascicules latéraux se développant avant les feuilles. Arbre de grande taille. Affinités. — Les Ulmées sont très voisines des Urticées et des Morées, dont elles se distinguent par leur fruit ailé (samare). ULMUS L. — Caractères de la famille. 344 APÉTALES NON AMENTACÉES Fleurs et fruits courtement pédicellés, Fruits gla- brest see Pre ses ass + Fe a PR CRE Fleurs et fruits longuement pédicellés. Fruits velus- ciliés .4. asus tie seat es Sade eee eee EN RE De Graine située au-dessus du centre du fruit. Feuilles longues de 3-5 centim., courtement acuminées.... U. campestris L, Graine située au-dessous du centre du fruit. Feuilles longues de 8-15 centim., longuement acuminées.. U, montana Su, Fig, 432. Fig. 433. Ulmus campestris. Ulmus campestris. Fleur. Fleur; coupe longit. Fig. 431. — Ulmus campestris. Fig. 434, — Ulmus campeslris. Rameau fleuri, Fruit, Les Ormes sont plantés dans les parcs, les promenades, sur le bord des routes comme arbres d'ornement, Leur écorce est légèrement astringente et mucilagineuse et parfois emplovée à ce titre. dés MAT ae Es lo DA ASE _ = | MORÉES 3 1.4 . He s Fame LXX VII. — MORÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, monoïques ou dioïques. Réceptacle convexe. Périanthe simple. Calice 4-mère. Etamines #, à filets dressés ou infléchis dans le bouton. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudi- nales. Ovaire supère, 2-loculaire, puis 1-loculaire par avorte- ment. Styles 2. Ovule anatrope. Fruit drupacé, indéhiscent, 1-loculaire, 1-spermé par avortement. Graine albuminée. Feuilles alternes, stipulées. Affinités. — Les Morées ne forment réellement qu'une tribu de la famille des Ulmacées, se distinguant par son fruit. Deux genres : Filets staminaux dressés dans le bouton. Fleurs en épis unisexués. ÆMorus. Filets staminaux infléchis dans le bouton. Fleurs enfermées dans le réceptacle piriforme, charnu . Ficus, Fig. 435. — Morus alba. Fig. 436. — Morus alba. Inflorescence femelle. Fleur mâle. MORUS T. — Fleurs monoïques, disposées en épis axillaires unisexués , les mâles en épis allongés, les femelles en épis subglobuleux. Calice 4-mère, devenant charnu, succulent et enveloppant le fruit dans les fleurs femelles. Etamines 4, à filets dressés dans le bouton. Ovaire 2-loculaire, à loges iné- gales. Fruit drupacé, enveloppé par le calice charnu et succulent. Feuilles alternes, stipulées, simples, entières ou lobées. Arbres à suc aqueux, lactescent. Sépales glabres au bord, blancs, à suc incolore et fade.... M. alba L. Sépales hérissés au bord, noirs, à suc rouge et sucré..... M. nigra L. Ces deux espèces, connues sous les noms de Mürier blanc et Mürier noir sont cultivées dans les pares et les jardins. Elles sont originaires de l'Orient.” Les fruits du Mürier noir sont comestibles et servent à la préparation d’un sirop légèrement astringent et acidule, FICUS T. — Fieurs monoïques, enfermées dans le réceptacle Los 346 APÉTALES NON AMENTACÉES développé en un sac piriforme qui offre, au niveau de Sa grosse extrémité, une ouverture très étroite, bordée de petites bractées. Fleurs mâles : sépales 3, connés dans le bas; étamines 8, à filets capillaires, infléchis dans le bouton. — Fleurs femelles : sépales 5, connés en tube ; ovaire stipité; style latéral, bi- fide au sommet. Fruits très petits, 1-spermes , secs. enveloppés dans : =. le calice charnu et DA N A) | = tous contenus AA TN RS dans le réceptacle à parois épaisses et charnues. Feuil- les alternes, pé- tiolées, grandes; palmatilobées, sti- pulées. Arbres plus ou moins grands, à latex lai- téux, abondant. Fig. 437. — Ficus Carica, Rameau florifère et fruit. Fig.438.—Ficus Carica. Fig.439.—Ficus Carica. VFig.440.— Ficus Carica. Fleurs et portion Fleur femelle ; Réceptacle florifère ; du péricarpe. coupe longit. coupe longit. F. Carica L. (Figuier). — Arbre cultivé dans les jardins et en plein champ pour ses fruits, que l’on mange frais et séchés au four. Les figues sèches les plus estimées sont celles de Smyrne; elles sont légèrement laxatives et émollientes. ja PA ENT CANNABINÉES 347 FaniLLe LXXIX. — CANNABINÉES. Caractères constants, — Fleurs régulières ou à peu près régulières, dioiques. Réceptacle convexe. Périanthe simple. Fleurs mâles : sépales 5; étamines 5, à anthères biloculaires, extrorses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Fleurs femel- les : bractée 1, embrassant l'ovaire; périanthe nul; ovaire 1-lo- eulaire, 1-ovulé; stigmates 2, très longs. Fruit 1-loculaire, 1-spermé. Graine sans albumen. Feuilles opposées, ou les supérieures alternes, stipulées. palmatiséquées ou palmati- lobées. Fleurs petites, verdâtres. Fig. 441, — Cannabis sativa. Fig. 442. — Cannabis sativa. Sommité florifère femelle. Sommité florifère mâle, ‘348 APÉTALES NON AMENTACÉES Affinités. — Les Cannabinées se rapprochent des Morées par la réduction de leur fleur, leur ovaire uniloculaire ; elles s’en distinguent par leurs feuilles opposées et leurs fleurs dioïques. Tige dressée. Feuilles palmatiséquées. ..... se ss Cannabis. Tige volubile. Feuilles palmatilobées.....,.,.... ..... ..... Humulus. CANNABIS T. — Fleurs mâles en grappes axillaires et ter- minales : sépales 5 ; étamines 5. Fleurs femelles en glomérules axillaires pauciflores : sépales nuls, remplacés par 2 bractéoles -connées qui enveloppent l’ovaire et le fruit; ovaire 1-loculaire. 4-ovulé. Feuilles palmatiséquées. Plantes à tige dressée. C. sativa L. (Chanvre, Pan- tagruélion). — Plante origi- naire de l'Asie, cultivée en grand pour ses tiges, dont le liber donne le chanvre. Dans l'Inde ses sommités fournis- sent le haschich. Fig. 444. Cannabis saliva Cannabis salive. Cannabis saliva. Fleur femelle. Coupe longit. Fleur mäle. Fleur femelle, HUMULUS L. — Fleurs mâles en grappes rameuses axil- laires : sépales 5, étamines 5. Fleurs femelles en épis subglo- buleux, pourvus de folioles dont une partie s’accro'ssent beau- coup pendant la maturation du fruit. Fruit enveloppé d’un sac formé par une paire de bractéoles connées, habituellement considérées comme des sépales 1. Plantes à feuilles palmatilo- bées, à tiges volubiles. H. Lupulus L. (Houblon). — Plante très-abondante à l’état sauvage dans tous les bois et buissons humides. 1 L'organisation des chatons femelles du Houblon a été très discutée. -J'en ai déterminé la nature d'après l'organogénie (Bullet, Assoc. fr. pour l’avanc. des sc., Congrès de Paris, 1878). Fig. 447, — Humulus Lupulus. Inflorescence femelle. Fig. 448, — Humulus Lupulus. Fleur mâle. » ant Fig. 450. Humulus Lupulus. Fruit; coupe longit. Humulus Lupulus. Fruit. Fig. 451. Fig. 452. Humulus Lupulus. Humulus Lupulus. Fleur femelle, Fleur femelle ; coupe longit. FLORE DE PARIS, 20 L TN 350 APÉTALES NON AMENTACÉES On cullive le Houblon pour ses inflorescences femelles, qui sont très riches en glandes (lupulin: sécrétant une matière odorante, amère, qui donne à la bière son arome particulier. On en fait aussi des tisanes amères et toniques. ‘ Fami LXXX. — EUPHORBIACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites ou unisexuées, monoïques ou dioïques. Réceptacle plus ou moins concave, à bords plus ou moins relevés autour de l'ovaire, : mais ne prenant jamais part à la formation deses parois. Calice 3-5-mère ou nul. Corolle toujours absente. Etamines en nom- bre variable. Anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire (dans les fleurs femelles) libre, 3-capellé, ordinairement 3-loculaire, rarement 2-loculaire, à loges 1-2- ovulées. Fruit capsuluire, à 3-2 loges se séparant à la matu- rité, déhiscentes ou indéhiscentes. Graines albuminées, ordi- nairement arillées. Feuilles alternes ou opposées, ordinairement sans stipules. Fleurs peu apparentes. Affinités, — Par leur ovaire, les Euphorbiacées touchent aux Malvacées et aux Géraniacées, mais elles s'en distinguent nettement par l'absence de corolle. Trois genres : Fleurs hermaphrodites.,..,..... HN © PORTES CT. ss. ÆEuphorbia. Flouts mon à. ES ecrans RP Rieurs DIMM nes msi en see tou cossocns se: SORAPNDUTIAS. EUPHORBIA L. — Fleurs hermaphrodites 2. Réceptacle très concave, cupuliforme, relevé autour de l'ovaire et des étamines. Sépales 5, triangulaires. Avec les sépales alternent 5 appendices charnus glanduleux, représentant un disque. Pétales nuls. Eta- mines 10-20, à filets insérés sur la face interne du réceptacle, 1. La place du genre Buæxus a été très discutée. M. Baïllon, dans son Histoire des plantes, le met dans la famille des Célastracées, à côté du genre: FEvonynus, auquel il ressemble en effet par un grand nombre de caractères. La plupart des botanistes le rangent parmi les Euphorbiacées. J'ai suivi ici cette manière de .voir pour la commodité du diagnostic.-Les Buæus sont, en effet, apétales, tandis que toutes les autres Célastracées sont pourvues d’une corolle. 2. Les botanistes ont beaucoup discuté l’organisation de la fleur des Euphorbia, et ïls sont encore loin d’ètre d’accord sur cette question. Les uns considèrent la fleur d’une Euphorbe comme une inflorescence formée. de nombreuses fleurs mâles réduites chacune à une seule étamine et d'une: seule fleur femelle occupant le centre de l'inflorescence. La cupule qui enveloppe le tout est considérée par ces botanistes comme un involuere gamophylle. Nous nous rangeons à l'opinion de M. Baillon, qui regarde ce prétendu involucre comme un réceptacle concave et l’ensemble des organes qu'il enveloppe comme une seule fleur hermaphrodite. EUPHORBIACÉES 35 à anthères biloculaires. Ovaire porté par un pédicule cylindrique qui s’allonge beaucoup après la fécondation et fait saillir le Fig, 453, — Euphorbia sylvalica. Fig. 494, — Euphorbia sylvatica. Fleur ; coupe longit. Portion d'inflorescence. fruit hors du ré- ceptacle. Ovaire 3-carpellé, 3-lo- culaire, à loges 1-ovulées. Cap- sule 3-coque. Feuilles alternes ou opposées. Fleurs verdûtres, jaunâtres ou rou- geàtres, en Cy- mes formant souvent des om- belles terminales munies à la base de folioles for- mant un involu- cre, pédicelles qui portent les fleurs souvent accompagnées de bractéoles for- mant un involu- celle. Fig. 455. Euphorbia sylvatica. Fig. 456. Euphorbia Cyparissias. Sommité florifère. Sommité florifère. TN Se her CEE NES TES cu Da, Les Fig. 497. — Euphorbia Lathyris. Fig. 458. — ÆEuphorbia Lathyris. Rameau fructifère. Fleur sans le périanthe. Appendices du disque jamais en forme de l Chocbant se ue ses A Ce 2 ") Appendices du disque “toujours en forme de NE EE. «conne de cut NE RQ > { Graines réticulées ou tuberculeuses. ....... . Æ. helioscopia L. CUPRÉPRMESAIESDS. 000. HOUR MER 3 3 À Capsule lisse ou presque lisse. ..... ééessoce PF. GerRAriant JAco. Capsule! tuberculeuse., .....,.:.4.sso.e Se Plantes annuelles ou bisannuelles, à racine pi- 4 VOTE. 6e 00 + sm De lsinle 2 ele 0er ES Sa ‘) Plantes vivaces, à souche rhizomateuse ou cespiteuse...... Sc uss Ombelle irrégulière, à 3 rayons...... . E, stricti®, Ombelle régulière, à 5 rayons... ....,.... Æ. platyphylla L. E ot -1 1 TL, A Rhizome tracant. Feuilles courtement pé- HIDIGOSL ETS, ee. so UP, Foot » Souche non rhizomateuse, cespiteuse ou très DS RL Ne à «sie Gun bis es e à sens 7 Ombelle régulière, à 4-5 rayons...., . Æ. verrucosa LI. Ombelle irrégulière, à rayons nombreux ... Æ. palustris L. Graines lisses. Plantes vivaces.....,,..... 9 Graines réticulées ou tuberculeuses. Plantes ANUHOHOS. ere auas cena tas ten se 11 Feuilles larges, la plupart en rosette à l’extré- mité des rameaux stériles ou vers le milieu . duleis. 9.4 dés-rameävx florifères..…:.,..........1. Æ. sylvatica L, Feuilles étroiles, lancéolées ou linéaires, Éparses . 4e vote NO RD D 10 Tige produisant au-dessous de l’ombelle de 10.) ,nombreux rameaux tous stériles .......... E. Cyparissias L. Tige produisant au-dessous de l’ombelle des | rameaux presque tous florifères...,....... . Z.Æsula L. | dpi 393 11,4 Feuilies opposées, alternant en CHOÉE . Æ. Lathyris L. ‘| Feuilles éparses......,...... 2, 2 Peur “pa li 12 12 ROIS DORE ennemies eee ces vence E. Peplus L. Sectes. APR SFR 13 Feuilles linéaires. Tige haute de 5 à 15 cen- 13 UT A LES PRE AE RP NE EN PT E, exigua L, *) Feuilles lancéolées. Tige haute de 10 à 40 centimètres. ............................. E. falcata L. - Toutes les espèces du genre Euphorbia sont riches en un latex blanc, âcre, très irritant. La seule de nos espèces qui soit employée est l'£. Lathyris L. (Epurge), qui se distingue nettement de toutes les autres par ses feuilles opposées. Ses fruits sont purgatifs. Six à douze graines produisent un effet con- venable. On en retire une huile qui est un purgatif analogue à l'huile de Ricin. Les ra- cines de presque toutes les espèces sont éméto- cathartiques. Fig. 459. Fig. 460. Fig. 461. Mercurialis annua. Sommité florifère, Mercurialis annua. Etamines, MERCURIALIS T. — Fleurs dioïques. Calice 3-mère, val- vaire. Corolle nulle. Etamines (dans les fleurs mâles) 8-12 ou plus, à filets indépencants. Ovaire (dans les fleurs femelles) ac- compagné de deux appendices alternes avec les carpelles , 20. À PME 35% APÉTALES NON A TACÉES glanduleux. Ovaire 2-carpellé, 2-loculaire, à loges 1-ovulées, rarement 3-carpellé, 3-loculaire. Capsule à 2-3 coques mono- spermes se séparant à la maturité. Feuilles opposées, stipulées, simples. Fleurs verdâtres, les mâles en glomérules espacés formant des épis axillaires nus, les femelles solitaires ou en fascicules. Plantes herbacées. Tige ramifiée. Fleurs femelles sub-sessiles. Plante an- N nuele.6 es. et SANS à hé SO AE RS M. annua L.. Tige non ramifiée. Fleurs femelles longuement pédon- culées. Plante vivace. à rhizome traçant........ .. M, perennis L. + M. annua L. (Mercuriale, Foirolle, Aremberge). — Petite plante annuelle, dioïque, à racine pivotante; à tige haute de 20 à 50 centimètres, dressée, très ramifiée dès la base, à rameaux opposés et dressés; à feuil- les pétiolées, ovales, lan- céolées, légèrement ciliées, dentées, à fleurs vertes: petites. — KFlor. : juin- octobre. — Habit. : jardins et lieux cultivés. Comm. (1) On emploie, dans certaines localités, la Mercuriale à la pré- paration de lavements laxatifs. On emploie aussi, comme pur- gatif doux, le miel de mercuriale ou sirop de longuevie; mais l’u- sage de cette plante disparait chaque jour davantage. BUXUS T. — Fleurs monoïques. Calice 4-mère, à sépales inégaux, accom- pagné, dans la fleur mâle, d'une bractée apprimée et, dans la fleur femelle, de trois bractées, dont une inférieure et deux latéra- les. Pétales nuls. Etamines (dans la fleur mâle) #, op- positisépales, à filets indé- | pendants. Ovaire (dans la Fig. 462. — Buzxus sempervirens. fleur femelle) 3- carpellé, Rameau fructifère, 3-loculaire, à loges 2-ovu- lées. Fruit capsulaire, 3-loculaire, à loges 2-spermes, à déhis- cence loculicide. Feuilles opposées, persistantes, entières. Fleurs très petites, jaune-verdâtre, en glomérules formés de plusieurs fleurs mâles autour d’une seule fleur femelle. « x _ CALLITRICHÉES 399 B. sempervirens L. (Buis). — Seule espèce, assez rare sur les coteaux pierreux, beaucoup cultivée dans les jardins. Les feuilles ont une odeur désagréable et une saveur amère nauséeuse ; elles sont purgatives. Le bois a été préconisé contre la syphilis. Famizze LXXXI. — CALLITRICHÉES. » Garactères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites ou . polygames. Réceptacle convexe. Périanthe simple. Calice 2- mère. Corolle nulle. Etamines 1-2, alternes avec les sépales, à filets indépendants. Anthères uniloculaires, déhiscentes par une fente transversale. Ovaire supère, 2-carpellé, 2-loculaire, à loges 2-ovulées, se subdivisant chacune, par une fausse cloi- son, en 2 fausses loges 1-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Styles 2. Fruit capsulaire, à #4 coques 1-spermes, indéhiscentes, carénées ou aïlées dans le dos. Graines albuminées. Feuilles opposées, entières, sans sti- ules, les inférieures souvent linéaires, les supérieures rappro- chées en rosette, obovales ou oblongues, 3-nerviées. Fleurs très-petites, axillaires, solitaires. Plantes submergées ou na- geantes, à tige grèle, filiforme. Affinités. — Les Callitrichées peuvent être considérées comme une simple tribu de la famille des Euphorbiacées, auxquelles elles ressemblent beaucoup par leur ovaire jeune. Fig. 463. Fig. 464. Fig. 465. Callitriche aquatica. Callitriche aquatica. Callitriche aquatica. Rameau folié. Fleur mäle. Fleur femelle. CALLITRICHE L. — Caractères de la famille. C. aquatiea L. — Seule espèce. Plante aquatique très com- mune dans les ruisseaux, les fossés, les fontaines. On en dis- tingue quatre variétés : Lol 356 APÉTALES AMENTACÉES a. C. stagnalis (C. stagnalis Scor.). — Feuilles toutes obovalesou oblon- gues, les inférieures atténuées, les supérieures en rosette. 8. C. platycarpa (C. platycarpa KurTz.). — Feuilles inférieures linéaires, les supérieures obovales, en rosette nageante. Sépales courbés en faux, con- nivents. Y. C.verna (C.verna L.). — Feuilles comme dans la précédente. Sépales presque droits, non connivents. an 0. C. hamulata (C. hamulata Kurz.). — Feuilles toutes linéaires ou lan- céolées, étroites, toutes submergées ou, rarement, les supérieures, «de même forme, en rosette lâche, nageante. FamiLze LXXXIL, — CÉRATOPHYLLÉES. Caractères constants. — leurs régulières, monoïques. Ré- ceptacle convexe. Périanthe nul. Involucre à 10-12 divisions. Etamines 10-25. Anthères sessiles , biloculaires , déhiscentes par des pores terminaux. Ovaire 1-loculaire 1-ovulé. Fruit 4-loculaire, 1-spermé. indéhiscent. Feuilles verticillées, sessiles, découpées dichotomiquement ou trichotomiquement, à segments étroits, sétacés, sans etipules. Fleurs solitaires et sessiles à l'aisselle des feuilles. Plantes submergées, vivaces, herbacées. Communes dans les étangs et les marais. Affinités — Par leur androcée à étamines en nombre indéfini et leur ovule suspendu, les Cératophyllées se rapprochent des Euphorbiacées, dont elles se distinguent par leur ovaire 1-lo- culaire et par l'absence complète de périanthe. CERATOPHYLLUM L. — Caractères de la famille. Feuilles ordinairement deux fois dichotomes, à seg- ments linéaires-filiformes, fortement denticulés... C. demersum L. Feuilles ordinairement trois fois dichotomes, à seg- ments sétacés, légèrement denticulés.........,.. C. submersum L, b. — APÉTALES AMENTACÉES. Fleurs unisexuées, monoïques ou dioïques. Fleurs mâles sou- vent dépourvues de périanthe, toujours disposées en chatons. Fleurs feme les parfois disposées en chatons, plus souvent mu- nies d’un calice. Arbres ou arbrisseaux. TABLEAU DICHOTOMIQUE DES FAMILLES. 1 Kleurs,mônoïques: 2... .....:,. Ce PEN EE 2 974 Feuilles simples: Us NN Feuilles composées, impari-pinnées................. Juglandées. _ JUGLANDÉES 357 Fruit enveloppé en totalité ou à la base seulement par le réceptacle accru en sac dur ou membraneux 3 2 ca *) ou en cupule..... PR NAT Stan D cute d'OS Le VAUT S Castanéacées. Fruit non enveloppé par le réceptacle accru,......., , 3,4 Chatons cylindriques ou ovoïdes.................... Bélulinées. DL RE OT TR PO PO IEEE ES Are Platanées. - { Feuilles parsemées de points résineux............... Myricées. AT eURES SûS points résineux... .....: 117... 5... Salicinées. Famizze LXXXIHII. — JUGLANDÉES. Caractères constants. Fleurs incomplètes, monoïques. Réceptacle convexe dans les fleurs mâles, concave et formant les parois de l'ovaire dans les fleurs femelles. Fleurs mâles en chatons cylindriques, pendants, très caducs, chaque fleur à l’aisselle d’une bractée avec laquelle le calice est conné ; sépales 5-6; étamines 14-36, à filets très courte, à anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. — Fleurs femelles solitaires ou groupées en petit nombre, 2-5, à l’extré- mité de jeunes rameaux, enveloppées chacune d'un involucre de # folioles connées à la base, persistantes ; sépales #4; ovaire infère, 1-loculaire, 1-ovulé, subdivisé, par de fausses cloisons imparfaites, en 4 fausses loges dans le bas et en 2 fausses loges dans le reste de son étendue; ovule orthotrope, inséré sur le fond de la cavité ovarienne, dressé. Fruit drupacé, à portion charnue se déchirant irrégulièrement et se détachant à la ma- turité, à noyau déhiscent en 2 valves. Graine sans albumen, à cotylédons très grands, cérébriformes. Feuilles alternes, com- posées-pinnées, sans stipules. Affinités. — Les Juglandées sont très voisines des Castanéa- cées, dont elles se distinguent surtout par leur ovule ortho- trope. Ce caractère les rapproche des Polygonacées, dont elles se distinguent par leur inflorescence femelle, la réduction de leurs fleurs et leur ovaire infère. JUGLANS L. — Caractères de la fa- mille. J. regia L. (Noyer). — Arbre de gran- des dimensions, à tronc droit, couvert d'une écorce blanchâtre et terminée par j une belle cime de branches. Feuilles pig, 466, — Juglans regia. composées, impari-pinnées, à 7-9 folioles Fleur femelle ; ovales-aiguës, coriaces, d’un vert sombre, coupe longitudinale, noircissant par la dessiecation. Chatons mâles sessiles à l’extré- 398 APÉTALES AMENTACÉES milé des rameaux de l'année précédente, très cadues. Fleurs femelles réunies par 2-3 à l’extrémité des jeunes rameaux. Involucre des fruits vert, lisse, luisant. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : septembre-octobre. Cultivé. 3. Les feuilles et l’involucre exbalent une odeur aromatique très forte, sur- tout quand on les froisse. Leur saveur est très amère, àâcre et astringente. Ils sont très riches en tannin. On prescrit beaucoup la décoction des feuillles de Noyer en injections vaginales contre la leucorrhée, et leur infusion à l’intérieur contre la serofule. Le sirop de brou de noix est tonique et digestif. On prépare aussi, avec les fruits encore jeunes ma- cérés dans l’eau-de-vie, une liqueur de table très agréable, L'extrait du brou passe pour être anthelmintique et purgatif. La partie interne de l'écorce de la ‘racine est rubéfiante et mème, dit-on, vésicante. L'embryon donne en abondance une huile douce, comestible. On le mange lui-même frais ou sec. FamILLE LXXXIV. — PLATANÉES. Caractères constants. — Fleurs incomplètes, les mâles et les femelles sur des rameaux distincts. Fleurs mâles en chatons olobuleux, très compacts, longuement pédonculés. Périanthe nul. Etamines en nombre indéfini, entremêlées d'écailles, à filets très courts, à anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. — Fleurs femelles en chatons sem- blables aux mâles. Périanthe nul. Ovaires en nombre indéfini, entremêlés d’écailles, 1-loculaires, 1-2-ovulés, velus. Ovules suspendus. Fruits petits, coriaces, sub-claviformes, velus, I-loculaires, 1-spermes, indéhiscents. Graines peu ou pas albu- minées. Feuilles simples, palmatilobées, alternes, pétiolées, à pétiole creusée à la base d’une cavité dans laquelle est logé le bourgeon axillaire; stipules très développées sur les jeunes ra- meaux et sur les rameaux floraux. Affinités. — M. Baillon considère les Platanées comme for- mant une tribu de la famille des Saxifragacées (voy. son His. des plantes). PLATANUS LI. — Caractères de Ja famille. Feuilles profondément 3-5 ou 7-palmatilobées........ PI. orientalis L. Feuilles obscurément 3-5-lobées ou simplement 3-5 ANGES Re LE 5 008 see ne eee et Rae eee Le ODO CLS Les Platanes, surtout le P. orientalis, sont beaucoup plantés sur les pro- menades publiques et dans les parcs, Ils sont originaires de l'Orient. FAmLce LXXXV. — SALICINÉES,. Caractères constants. — Fleurs incomplètes, dioïques. Ré- ceptacle convexe. Périanthe nul. — Fleurs mâles en chatons SALICINÉES 399 cylindriques ou oblongs, portant un grand nombre d'écailles à l’aisselle de chacune desquelles se trouve une fleur. Etamines 2-12, indépendantes ou connées, accompagnées de 1-2 glandes nectarifères. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par deux fentes longitudinales. — Fleurs femelles en chatons sem- blables aux mâles. Périanthe nul. Ovaire supère, entouré d'un disque, 1-loculaire, à 2 placentas pariétaux, pluri-ovulés. Ovules anatropes. Fruit capsulaire, polysperme, loculicide. Graines sans albumen, entourées de longs poils soyeux. Feuilles alter- nes, simples, stipulées. Fig. 468. — Salir alba. Fleur mâle. Fig. 470. Salix. Graine, LI Fig. 467. — Salix alba. Fig. 469, — Salix alba. Rameau mâle, Fleur femelle, Affinités, — Les Salicinées se rapprochent beaucoup par leur ovaire des Dicotylédonées pétalées à placentas pariétaux, mais 360 APÉTALES AMENTACÉES elles s’en distinguent par leurs fleurs en chatons et par l’ab- sence de périanthe. Deux genres : Disque formé de 2 glandes. Écailles des chatons entières. ..... Salix. Disque cupuliforme. Ecailles des chatons incisées ou laciniées. Populus. SALIX T. — Chatons à écailles entières. Fleurs à disque formé de deux glandes. Etamines 2-3, rarement 5. Stigmates 2. Feuilles entières ou dentées. Ecailles des chatons caduques avant la maturité des capsules. Arbres élevés. Etamines 2, anthères jaunes............ 2 Ecailles des chatons persistantes. ....... 3 4 faces à l’état jeune et à la face inférieure DR... UNIL TER NE S. alba L. Feuilles blanchäâtres, soyeuses sur les deux 2. Feuilles glabres ou presque glabres, lui- santes en dessus, plus ou moins glau- TRES dERSOUS ... 4 Re Re rs S. fragilis 1. Ecailles des chatons entièrement jaunes, 3 verdäires ou rosées.... 5 nets 4 ‘) Ecailles des chatons brunes ou noires, au moins dans la moitié supérieure....... 6 ; Etdimmes "3.2. 25.0 HODEP ACRRE S. triandra L. A ÉtORINRe 2.142.271 SCORE 5 Capsule à pédicelle deux fois aussi long 5.) que la glande. Ecailles jaune-verdätre. S. undulata Enr. ‘) Gapsule à pédicelle pas plus long que la glande. Ecailles rosées..... TR 3 de S. hippophaefolia Tauizz. 6. Anthères jaunes ....................... 7 ‘| Anthères pourpres, noires ou brunes.... 11 Pédicelle de l'ovaire plus court que la ; glande .......... Fanense ON dr MR S. viminalis L. | Pédicelle de l'ovaire 2-6 fois plus long rique lirélande ...:......: #80... 8 Feuilles assez longuement ou longuement pétiolées. Arbrisseaux élevés ou arbres. 9 8 Feuilles très brièvement pétiolées, petites. ‘) Chatons petits. Sous-arbrisseaux n'ayant pas plus de 20 à 60 centim., à tige sou- FPE) ques F2 COMENT LL: PRES S. repens L. 9,{ Bourgeons pubescents-blanchâtres....... S. cinerea L. “À Bones glabres.. 4. 24 sue dé 10 Feuilles obovales ou oblongues-obovales, 10 Stigmates émarginés ou échancrés..... S. aurita L. ‘) Feuilles ovales ou oblongues sub-orbicu- laires. Stigmate bilobé ou bifide....... S. caprea L. Feuilles adultes glauques en dessous. Filets staminaux connés dans toute 1,1,” leur longueur..... Re NAME dns S. purpurea L. *} Feuilles adultes d'un vert gai sur les deux | faces. Filets staminaux connés seule- Vament dans [6 ‘bas: 7.4 RATE S. rubra Huns. CASTANÉACÉES 361 L'écorce de la plupart des Saules est amère et astringente. On emploie depuis un temps immémorial l'écorce du Saule blanc (Saliz alba) contre les fièvres intermittentes, en décoction aqueuse ou vineuse. Dans ces der- nières années, on en a extrait un principe actif qui prend une importance chaque jour plus considérable dans la pratique médicale, la salicine. C’est le Saule blanc qui en fournit la plus forte proportion. : POPULUS T. — Il ne se distingue du genre précédent que par ses chatons à écailles incisées ou laciniées sur les bords, par son disque en forme de cupule, et par ses étamines au nombre de 8-12 ou plus. Feuilles alternes, simples, dentées ou sinuées, stipulées, à stipules caduques. Ecailles des chatons velues-ciliées. Jeunes i pousses tomenteuses. Etamines 8.......... 2 ") Ecailles des chatons glabres. Jeunes pousses glabres. Etamines 12 ou plus ............ Ni Æ Feuilles glabres ou à peine pubescentes en dessous, longuement pétiolées, très mobiles. P., Tremula L. 3 LEA is Feuilles tomenteuses en dessous ..... FOR £ Stigmates jaunes. Face inférieure des feuilles 3 couverte d'un tomentum d’un beau blanc... P, alba L. “‘) Stigmates purpurins. Face inférieure des feuilles à tomentum moins épais et grisàtre. P,. canescens Sum. " Branches étalées et formant tête............ 9 Branches dressées et formant pyramide..... P, pyramidalis Roz. 5 Feuilles glabres, même au débnt........... P. nigra L. ‘| Feuilles pubescentes au bord, même au début. P. monilifera Arr. L'écorce du Peuplier blanc a joui d’une certaine réputation comme toni- que, astringente et fébrifuge. Elle est amère et,astringente et contient de la salicine, mais en moins grande quantité que celle des Saules. Les bour- geons du Populus nigra (Peuplier suisse) et du P. pyramidalis (Peuplier d'Italie) sont employés comme balsamiques, au même titre et dans les mêmes conditions que les bourgeons de Sapin. Ils doivent leurs propriétés à la matière résineuse qui les recouvre. C’est encore avec les jeunes bran- ches du Peuplier qu'on fait le charbon végétal employé dans la médecine comme absorbant, sous le nom de magnésie noire. à -E SL . Face LXXXVI. — CASTANÉACÉES! : Caractères constants. — Fleurs incomplètes, monoïques, Réceptacle peu concave dans les fleurs mâles, très concave et formant les parois de l'ovaire dans les fleurs femelles. Pé- rianthe simple ou nul. Fleurs mâles en chatons ordinairement cylindriques, rarement sub-cylindriques, formés d'écailles qui portent directement les étamines sur leur face interne ou dans l’aisselle desquelles se trouve une fleur sessile pourvue d’un calice à 4-6 sépales valvaires. Etamines 4-20. Anthères 1-2-locu- laires. -— Fleurs femelles solitaires ou réunies 2-5 dans un involucre commun et formant par leur ensemble soit des grappes soit une sorte de bourgeon écailleux. Calice nul ou rudimen- FLORE DE PARIS. 21 et É FAN ER NES DRE . 4 FE 362 APÉTALES AMENTACÉES taire. Ovaire infère 2-3 ou rarement 4-6-loculaire , à loges 1-2-ovulées. Ovules anatropes. Styles 2-3 ou rarement 4-6. Fruit sec, ordinairement 1-loculaire et 1-sperme par avortement, en- touré de l’involucre très accru et enveloppant entièrement plu- sieurs fruits ou n’en enveloppant qu’un seul incomplètement. Dans le premier cas, l’involucre s'ouvre en plusieurs valves. Graines sans albumen, à colylédons très volumineux. Feuilles alternes, simples. Affinités — Les Castanéacées ne manquent pas d'’affinités avec les Dicotylédones pétalées à placentation axile et à ovaire infère, mais elles s’en distinguent nettement par leurs inflores- cences et par la réduction de leurs fleurs. Cinq genres : Fleurs mâles en chatons cylindriques ou filiformes...., 2 x Fleurs mâles en chatons globuleux et pendants....... .. Fagus. Fleurs mâles en chatons "cri ues non interrompus, 2.1 pendants,.......4.. messe coter ele sane cd Fleurs mâles en chatons filiformes, interrompus........ 4 3 { Fleurs femelles enfer mées dans un bourgeon écailleux... Corylus. °«1 Fleurs femelles.eni grappes. 12.452201). SO ANNE . Carpinus. 3 { Chatons mâles dressés... ee .. Castanea. *l Chiatons'mâles perdants ss... 24.100 7e save, toQuercis. CORYLUS T. — Fleurs mâles disposées en chatons cylin- driques , non interrompus, pendants, de la grosseur d’une plume d'oie ordinaire, formés d'écailles bractéales épaisses, imbriquées. Avec la face interne de cette dernière est connée une écaille florifère bilobée, portant 6-8 étamines, à anthères uniloculaires, introrses, déhiscentes par une seule fente longi- tudinale. Fleurs femelles enfermées 2-3 dans un bourgeon écailleux dont les écailles internes présentent chacune dans leur aisselle un involucre 2-3-lobé, campanulé, velu, accrescent, à lobes laciniés, enveloppant 1-2 fleurs, et destiné à former la cupule foliacée qui entoure les fruits. Calice très rudimentaire, ovaire, 2-loculaire au début, devenant 1-loculaire et 1-ovulé par avortement. Styles 2, très allongés, filiformes, rouges, faisant saillie hors du bourgeon florifère. Fruit see, ligneux (noisette), l-sperme, enveloppé de l’involuere aceru (cupule), vert, lacinié, membraneux. Feuilles simples, dentées ou légèrement lobées. Chatons disposés par 2-3 au sommet des rameaux ou de ramuscules très courts. Bourgeons des fleurs femelles solitaires, latéraux ou terminaux. Arbrisseaux ou petits arbres. C. Avellana L. (Noisetier., Coudrier). — Seule espèce. Arbrisseau à rameaux flexibles, grisâtres, à feuilles ovales-subor- biculaires , acuminées. — Flor. : février-mars. Fruct. : août- CASTANÉACÉES | 363 septembre, — Habit. : très commun dans les bois taillis. Cultivé dans les parcs et les jardins. 3. La graine est comestible. Elle est très eu riche en huile douce, dont on fait usage > fY\) surtout pour la fabrication des huiles de ss FA) toilette. Fig. 471, — Corylus Avellana. Fig. 472. — Corylus Avellana. Chatons mâles, Fruits jeunes. CARPINUS L. — Fleurs mâles en chatons cylindriques, non interrompus, pendants, formés d'écailles bractéales imbri- quées, portant directement sur leur base 6-20 étamines à anthère uniloculaire, déhiscente par une seule fente longitudi- nale. Fleurs femelles en grappes dont les écailles offrent cha- cune dans leur aisselle 2 fleurs pédicellées, formées d’un invo- lucre 3-lobé, foliacé, accrescent, d’un calice rudimentaire et d’un ovaire infère, 2-loculaire, à loges 1-ovulées. Styles 2, fili- formes. Fruit ovoide, comprimé, 1-loculaire et 1-sperme par avortement, ligneux, enveloppé en partie par l’involucre accru (cupule), foliacé, réticulé, 3-lobé, à lobe moyen beaucoup plus grand. Feuilles simples, dentées. Chatons mâles pendants, laté- raux, solitaires. Grappes femelles solitaires au sommet de ra- muscules. Arbres, C. Betulus L. (Charme). — Seule espèce, commune dans les forêts, les bois, les taillis, souvent cultivée en charmilles. Feuilles pétiolées, obovales, cordées, acuminées ou aiguës, doublement dentées, à face inférieure vert pâle, à nervures pubescentes. CASTANEA T, — Fleurs mâles en chatons filiformes, inter- rompus, dressés, formés de petits glomérules 3-4-flores, nais- & . - - + AT EN l- Qt 4. ft. pe Le OA OR HN % ARTS RQ : tx 4 A ) cn HE SRYE. É 3 MRC ë 4 114 # 364 APÉTALES AMENTACÉES sant chacun à l’aisselle d’une bractée et entourés chacun d'un involucre pluri-bractéolé. Chaque fleur est formée d’un calice Fig. 479. Carpinus Belulus. Carpinus Betulus. . Carpinus Belulus. Fleur femelle. Fruits. Fleur mâle. . 5-6-mère au fond duquel s’insèrent 8-15 étamines, à anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Fleurs femelles réunies 1-5 dans un involucre commun, accres- cent, urcéolé, conné par sa face externe avec un grand nombre de bractées linéaires. Chaque fleur femelle est formée d’un calice rudimentaire 5-8 lobé et d'un ovaire infère, d'abord 3-8- loculaire, à loges 2-ovulées. Stigmates 3-8. Fruits 2-3, dans un involucre commun accru, vert, très épineux, fermé, déhiscent en # valves. Embryon à cotylédons très volumineux, farineux. Feuilles simples, pétiolées, dentées. Chatons mâles axillaires, raides, dressés. Inflorescences femelles à la base des chatons mâles ou à l’aisselle des feuilles. | CASTANÉACÉES 365 €. vulgaris Lamk (Châtaignier). — Arbre devenant très grand, à tronc court, à branches irrégulières, étalées. Feuilles pétio- lées, lancéolées, aiguës, dentées, glabres, à nervures latérales principales très saillantes. Fruit brun, lui- sant, ordinairement aplati sur une face au moins par pression ; entouré d’un invo- lucre très épineux. — Flor. : mai-juin. — Fruct.:septem- bre-octobre. — Habit. : bois; cultivé dans les pares. Très commun. /. Fig. 476.— Castanea vulgaris. Fig. 477. — Caslanea vulgaris. Rameau florifère. Inflorescence femelle. Les fruits sont comestibles; ils sont très riches en fécule ; on les mange cuits. QUERCUS T. — Chatons mâles filiformes, grêles, inter- rompus, pendants, formés de fleurs sessiles, distantes les unes des autres, situées chacune dans l’aisselle d'une bractée mem- braneuse et constituées par un calice à 6-8 sépeles libres et par 6-8 étamines superposées aux sépales, à anthères biloculaires, extrorses, déhiscentes par des fentes longitudinales. — Fleurs femelles en glomérules pauciflores, entourées chacune d'un involucre pluri-foliolé, accrescent, se développant en une cupule qui entoure la base du fruit. Ovaire infère, 3-4-loculaire, à loges 366 APÉTALES AMENTACÉES biovulées. Style court, terminé par 3-4 stignates. Fruit sec, ovoïide, surmonté des restes du calice et des stigmates et entouré de l'involucre (cupule) devenu ligneux, hémisphérique. Feuilles | pétiolées, simples, pinnatilobées ou sinuées. Chatons réunis par 2-3, se développant en même temps que les feuilles. Glo- mérules femelles axillaires ou terminaux. Fig. 479. Quercus Robur. Fruit. Fig. 478. — Quercus Robur. Rameau florifère. Fig.480.—Quercus Robur. Fleur femelle ; coupe longit. Pédoncules des fleurs femelles plus courts ou à peine plus longs que les pélioles ...... ..... Q. sessiliflora SALiss, Pédoncules des fleurs femelles beaucoup plus longs que les pétioles......... RAT RE ... Q. pedunculata Enr. L'écorce du Chène est très riche en tannin. On se sert de sa décoction en injections vaginales astringentes, contre la leucorrhée. Elle est employée eu grande quantité dans le tannage des peaux. FAGUS T. — Chatons mâles globuleux, longuement pédon- culés, pendants, formés d'écailles très petites, caduques, dans l’aisselle desquelles se développent des fleurs constituées par un calice campanulé, 5-6-lobé, et 8-12 étamines, à anthères biloculaires, déhiscentes par des feuilles longitudinales. Fleurs femelles en chatons, réunies 1-3 dans un involucre commun, accrescent, 4-foliolé, à folioles connées, urcéolé. Chaque fleur 1. Ces deux espèces sont considérées par un grand nombre de botanistes comme de simples variétés du Quercus Robur L,. BÉTULINÉES 367 femelle est formée d’un calice rudimentaire et d’un ovaire infère, trigone, 3-loculaire, à loges biovulées. Styles 3, filifor- mes. Fruit 1-loculaire, 1-sperme, par avor- tement, sec, indéhiscent, trigone, à an- gles tranchants, à faces déprimées, réu- nis 1-2-3 dans un involucre urcéolé, épi- neux, déhiscent en quatre valves. Embryon à cotylédons volumineux. P. sylvatiea L. (Hêtre, Fayard, Fou- teau). — Arbre élevé, à tronc droit, à écorce lisse, blanchâtre ou grisâtre. Feuil- les pétiolées, ovales, aiguës ou acuminées, dentées, soyeuses au bord, à nervures d’a- Fig. 481. bord soyeuses, puis glabres. Commun Fagus sylvatica. dans les forêts et les bois. Cultivé dans les FE RS, parcs. L’embryon donne une huile douce, comestible, connue sous le nom d'huile de faine. 3 ” nmauaes* Fauizze LXXXVIL — BÉTULINÉES. Caractères constants. — Fleurs incomplètes, monoïques, les mâles et les femelles en chatons à écailles épaisses ; 2-3 fleurs à l’aisselle de chaque écaille. Fleurs mâles 3 dans l’aisselle de chaque écaille, recouvertes par un involucre commun formé de 2 écailles latérales, constituées chacune par un calice 4-mère dont 3 divisions peuvent avoir 2-4 étamines, à anthères bilocu- laires, déhiscentes par des fentes longitudinales. Fleurs femelles sans involucre ni calice, formées d’un ovaire infère, 2-loculaire, à loges 1-ovulées. Stigmates 2, filiformes. Fruit indéhiscent, 1-loculaire et 1-ovulé par avortement, comprimé, muni de deux ailes latérales membraneuses, non entouré d’un involucre, situé dans l’aisselle des écailles très épaisses du chaton femelle. Graine sans albumen. Feuilles simples. Affinités. — Les Bétulinées sont très voisines des Castanéa- cées, dont elles ne diffèrent que par l'absence d'involucre et par leur fruit ailé. Deux genres : Chatons femelles cylindriques, solitaires, pendants ...... vas as du HCRIE Chatons femelles ovoides, dressés réunis en grappes rameuses, CO- PRDIIO PATES. 08 ARE A MAL VAR PH AT re MERS. BETULA T. — Chatons mâles cylindriques, pendants, formés de grandes écailles peltées, accompagnées chacune de deux 368 APÉTALES AMENTACÉES écailles latérales recouvrant 3 fleurs, ce qui représente une cyme triflore. Chaque fleur formée d'un seul sépale et de deux étamines. Chatons femelles formés de grandes écailles trilobées (formées par 3 écailles connées) recouvrant chacune trois fleurs et devenant ligneuses à la maturité. Chaque fleur formée seulement d'un ovaire 2-loculaire, à loges 2-ovulées, surmonté de 2 stigmates. Chatons murs à écailles ligneuses, formant une sorte de cone et recouvrant des fruits comprimés, ailés, ordinairement 1-loculaires et 1-spermes par avortement. Feuilles entières, dentées, pétiolées. Chatons mâles fasciculés 1-2-3 au sommet des rameaux, se développant avant les feuilles. Chatons femelles solitaires à l'extrémité de ramuscules feuillés. Fig, 482. Fig. 483. Fig. 484. Belula alba. Betula alba. Betul« alba. Fleurs femelles. Fleur mâle. Ecailles. B. alba L. (Bouleau). — Arbre à tronc droit; à écorce blan- che; à rameaux grêles; à feuilles petites, pétiolées, glabres, dentées. Commun dans les bois, sur les coteaux sablonneux. Fig. 485. Fig, 486. Fig. 487. Alnxs g'ulinosa. Alnus glulinosa. Alnus glulinos«. Inflorescence femelle. Inflorescence mâle, Fleur mâle. : ALNUS T. — Se distingue du précédent par ses fleurs mâles à calice 4-mère et à androcée formé de # étamines; par ses chatous femelles ovoïdes, dressés, réunis en grappes rameuses, corymbiformes. MYRICÉES 369 Feuilles sub-orbiculaires, obtuses, glabres ou pubes- centes seulement en dessous au niveau des angles A as AQU FIN PME MENT Pa eee A. glutinosa GÆRTX. Feuilles ovales, aiguës ou acuminées, pubescentes- blanchätres en dessous ........,..... HMS CEE A. incana DC. FawiLzze LXXXVIIL — MYRICÉES. Caractères constants. — Fleurs dioïques, les mâles et les femelles en chatons cylindriques ou ovoïdes. Chatons mâles à écailles canaliculées, offrant chacune dans le bas 4 étamines à anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes longitudinales latérales. Chatons femelles à écailles principales accompagnées chacune de 2 écailles latérales accrescentes et offrant à la base une fleur réduite à un ovaire 1-loculaire, 1-ovulé. Ovule ortho- trope. Styles 2. Fruit sec, 1-loculaire , 1-spermé, accompagné des 2 bractées latérales accrues, un peu charnues. Graine sans albumen. Feuilles simples, entières ou dentées, sans stipules. Chatons formant des épis terminaux, or- dinairement développés avant les feuilles. Sous-arbrisseaux résineux. Affinités. — Par leur inflorescence, les Myricées se rapprochent des Castanéacées et des Bétulinées, mais elles en diffèrent par leur ovaire et leur ovule. MYRICA L. — Caractères de la famille, M. Gale L. (Bois-sent-bon, Galé, Piment royal). — Seule espèce. Sous-arbrisseau haut de 60 centim. à 1 m. au plus, très DE ramifié, à feuilles et écailles parsemées de RAS slandes résinifères. Rare dans les marais PAPE D J : Inflorescence femelle, sablonneux et les bruyères humides. Toutes les parties de la plante exhalent une odeur aromatique très pro- noncée et sont astringentes. On employait autrefois les feuilles contre la diarrhée, les flueurs blanches, etc. Cette plante est aujourd’hui oubliée. 310 MONOCOTYLÉDONES B. — MONOCOTYLÉDONES. Embryons pourvus d'un seul cotylédon. Feuilles à nervures principales toutes longitudinales et parallèles ou parallèles- convergentes 1. Fleurs ordinairement trimères , à périanthe formé habituellement de folioles toutes semblables et disposées sur 2 verticilles 3-mères , ou réduites en nombre, parfois même à peu près nulles et herbacées ou scarieuses. TABLEAU DICHOTOMIQUE DES FAMILLES, Périanthe entièrement pétaloïde ou à folioles ex- ternes seules HéFDaCébs . 2: sec see rente . 8 1.4 Périanthe à folioles toutes herbacées ou scarieuses, ou bien remplacé par des écailles ou des soies, ou TOUL IA TAILLE Lee ee -CeCLCEELCRER Are FO D MON AITENSUDETE. eco cec-ceeucn ce >: AO ALT MMTOT EN 2 ee 2e reie veine se CEE ont Périanthe 6-mère, à folioles toutes pétaloïdes.... 4 3 Périanthe 6-mère, à folioles externes herbacées, les °°) internes pétaloïdes. Carpelles plus ou moins indé - pendants.les uns des autres............... ..... Alismacées, Carpelles indépendants dans leur partie supé- _ r FIEUDRE Pi nn o de rtipariaue auf TER ....... Colchicacées. ‘) Carpelles intimement connés dans toute leur : étendue. ...... De donnee re M SEE ..... Liliacées. ; Fieurs-hermaphrodites.…..:..:..,..#1NWiR 02h Lt ASE IBUSAdioIqUuEs 1. ; course de. He rer EA 6 Etamines 6. Fleurs régulières......,........, .... Amaryllidées. NAME MINES MOULE. eee CE PETER 7 Fleurs régulières ou peu irrégulières, Etamines 3, indépeudanties du style. .:.4, #00 ONCE Zridées, 7.4 Fleurs très irrégulières. Etamine 1, portée par une colonne {gynostème) au sommet de laquelle se trouve également le stigmate.......... ...... Orchidées. Plantes terrestres, volubiles, Etamines 6....... . Dioscorées. 8.{ Plantes aquatiques, submergées ou submergées- HAPORDUES. 1e LE eue este vue dort CR Hydrocharidées. Plantes nageantes ou submergées, ou submergées- 4 9 | RE ET EE PO RO nc oc 2e Eh (L. *) Plantes vivant sur le sol, dans les marais ou dans l'eau, mais jamais nageantes ni submergées....,. 12 Plantes très petites, flottant à la surface de l’eau. 10 Périanthe nul. Graines saus albumen........., . Lemnacées. ‘) Plantes sumergées ou submergées-nageantes, fixées au fond de l’eau, sur le sol...,.., RO coul 1. Parmi les plantes appartenant à la Flore de Paris, les Z'anus seuls font exception à celte règle et possèdent des feuilles à une seule nervure principale longitudinale, émettant de chaque côté des nervures secondaires transversales, NE TR EURE LU NO > ARMOR Er e Parf RESULT ae + A RER EVE RAC à PU TE QUE ? LE > 7 - + ; ALISMACÉES : 371 Fleurs hermaphrodites. Périanthe 4-mère, Eta- PP pe NE CA NA RE ARR ER bee ep Potameées. Fleurs dioïques ou monoïques. Périanthe nul ou remplacé par une spathe membraneuse. Eta- CTI DRE ARR RCE TR OR ee Naiïadées. Périauthe régulier, à 6 folioles. Etamines 6. Graines'sanstalbumen 2222: UD, 2904 CT a Joncaginées., Périanthe à moius de 6 folioles ou nul. Etamines 0 nd et due ee sémeen ee e 13 Fleurs monoïques, les mäles et les femelles réu- nies sur un axe allongé, charnu (spadice), en- touré d'une grande spathe monophylle, roulée en cornet Fruit bacciforme. Feuilles à nervures ra- M RE NE ee Ar Se due die sie UN Aroïdées. Fieurs non réunies sur un spadice charnu entouré d'une grande spathe. Fruit sec, déhiscent ou in- .déhiscent. Feuilles à nervures parallèles..,...... 14 } capsulaire, loculicide en trois valves. Pé- ! 12. 15. rianthe à 6 folioles sur ? rangs. Etamines 6, ra- DOME ER RE de Shen Guen fe à messes © Joncées. Fruit indéhiscent (achaine ou caryopse). Périanthe nul ou imparfait. Etamines 3, 2 ou 1, jamais 6, 15 Fleurs monoïques, les mâles réduites à 1 étamine, les femelles à 1 ovaire, les unes et les autres en- tremêlées de soies nombreuses et groupées sépa- rément en épis compacts, cylindriques, ou en Mtesglobnieuses :2.,..:..,...:. "snae Dee 2% Typhacées. RS me tes o Lise Dre « RDC 16 Tige non interrompue par des nœuds. Fruit sec, indéhiscent, à graine indépendante du péricarpe (achaine). Fleurs en épis multiflores ou pauci- LR SE SE OA PR CRE MORE PIS Er re À Cypéracées. Tige interrompue par des nœuds. Fruit sec, în- déhiscent., à graine adhérente au péricarpe (ca- ryopse). Fleurs en épillets 2- ou pluri-flores. dispo- sés en épis ou en inflorescences de formes variables. (Graminées. 14. 15. 16. Fame LXXXIX. — ALISMACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites ou monoïques. Réceptacle convexe. Périanthe 6-mère : 3 folioles externes herbacées, 9 folioles internes pétaloïdes. Etamines 6-12, ou en nombre indéfini, hypogynes. Anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, libre, pluri-carpellé , à carpelles indépendants ou plus ou moins’ connés par la face ventrale, 1-2 ovulés. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des carpelles, ou sur des placentas qui tapissent la face interne des carpelles. Fruit formé de carpelles plus ou moins distincts, pluri-carpellés. Graines sans albumen. Feuilles alternes, à nervures principales toutes parallèles. Affinités. — Par leurs carpelles indépendants en totalité ou en grande partie, les Alismacées rappellent les Renonculacées, dont elles se distinguent nettement par leur embryon monoco- 372 MONOCOTYLÉDONES tylédoné et par leurs feuilles à nervures principales toutes pa- ralèles. Deux tribus : Ovules insérés dans l’angle interne des cacpelles............ Alismées. Ovules inserés sur des placentas qui tapissent la face interne des carpelles "116% LE MER NE ice DATA . Butomées. Tribu I. — ALISMÉES. Ovules insérés dans l’angle interne des carpelles. Fleurs hermaphrodites..,......,.4.L.h--tune tea A lisma. Fleurs :monoïques +... 4.150200 ORNE TES Sagittaria < . SN | JE y ", KV Fig. 489. — Alisma Plantago. Fig. 490, — Sagittaria sagillifolia,. Portion d’inflorescences. Inflorescence. ALISMA L. — Fleurs hermaphodites. Périanthe 6-mère 3 folioles extérieures herbacées, 3 folioles intérieures pétaloïdes, blanches, toutes idépendantes. Etamines 6, opposées par paires aux sépales internes. Carpelles nombreux, 1-ovulés, indépen- “ éd sf de tt: ni PER +2 TPE LS € BA OÙ, : 1rn p 2 i MN TE INEET Te ÿ hé "M +, ; : # L 7 ALISMACÉES 373 dants, disposés en verticille ou en tête. Plantes vivaces, aqua- tiques. Feuilles entières, pétiolées, à limbe avorté quand elles se développent sous l’eau, atténué, arrondi ou cordé à la base. 1 { Carpelles tout à fait indépendants.........,... 2 *| Carpelles connés dans le bas.........,.,...... A. Damasonium L. IR CarRelesS vertes, 27 ER, Mines °... A. Plantago L. | us En NE De ÉCRAN ES EER RER 2 Carpelles à 5 angles saillants.......,...,,...... A. ranunculoïides L,. ‘| Carpelles simplement comprimés, non anguleux. A. natans L. SAGITTARIA L. — Fleurs monoïques. Etamines en nombre indéfini. Carpelles indépendants, nombreux, en tête. Feuilles sagittées. S. sagittifolia L. — Seule espèce, remarquable par ses feuilles sagittées. Commun. Tribu II. BUTOMÉES Ovules insérés sur des placentas qui tapissent la face interne des carpelles. Carpelles plus ou moins connés dans le bas, au ni- veau de la face ventrale. BUTOMUS L. — Fleurs hermaphrodites. Périanthe 6-mère: 3 folioles extérieu- res herbacées, 3 intérieures pétaloïdes. Etamines 9 : 6 } opposées par paires aux sépales externes, 3 oppo- sées aiéx sépales internes. Fruit formé de 6 carpelles verticillés, connés dans le bas par leur face ventrale. Ovules nombreux insérés sur des placentas qui tapis- sent la face interne des carpelles. Feuilles linéaires, à base dilatée, canaliculée. Fleurs en ombelle simple, Fig. 491, — Bulomus umbellatus. terminale. Sommet florifère. B. umbellatus L. — Seule espèce, abondante dans les étangs et les marais. » 31% MONOCOTYLÉDONES Famzze XC. — COLCHICACÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe 6-mère, pétaloïde, à folioles toutes à peu près semblables, disposées sur deux verticilles alternes, connées à la base dans une grande étendue en un tube étroit. Etamines 6, insérées sur le tube du périanthe. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, 3-carpellé, 3-loculaire, à carpelles connés par la face ventrale sur une hauteur variable. à loges pluri-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l'angle interne des carpelles. Styles 3, ordinairement libre. Fruit capsulaire, à 5 carpelles unis dans une étendue variable par la suture ventrale et s’ou- vrant par cette suture. Graines albuminées. Souche bulbeuse, tuniquée. Feuilles toutes radicales, aplaties, à nervures paral- lèles. Fleurs grandes, portées par un pédicule grêle et court qui reste souterrain, puis s’allonge en une tige haute de 15 à 20 centimètres, au sommet de laquelle se voit le fruit. Affinités. — Les Colchicacées servent d’intermédiaire entre les Alismacées, dont les carpelles sont tout à fait indépendants, et les Liliacées, dont les carpelles sont entièrement connés en un ovaire 3-loculaire. Elles ressem- blent aux Liliacées par le nombre des étamines et celui des car- pelles et par la souche bulbeuse. COLCHICUM T. — Caractères de la famille. C. autumnale L. (Colchique, Safran bâtard, Veillote, Veilleuse.) — Plante à bulbe tuniqué,oblong, à tunique externe membraneuse, noirâtre. Fleurs se développant avant les feuilles, émergeant di- rectement du sol et atteignant 10 à 15 centim. de haut, à tube grêle, très long, à folioles oblon- Fig. 492, — Colchicum autumnale. gues,. les extérieures un peu plus longues, toutes colorées en lilas. Feuilles larges, en bouquet, longues de 20 à 25 centim. Fruit porté par une tige simple, cylindrique, haute de 20 à 25 cen- q ! 4 r LILIACÉES 379 tim. — Flor. : août-octobre. — Fruct.: mai-juin. — Habit, : prairies humides. Commun. 77. Le bulbe du Colchique est amer et àcre, d’une odeur désagréable qui disparait par la dessiccation. Il sert à la préparation d’une teinture de Colchique très employée contre le rhumatisme, la goutte, ete Il doit ses propriétés à la colchicine. Les graines contiennent aussi ce principe, mais dans une moindre proportion. / s Faure XCI. — LILIACÉES. / Caractères constants — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe ordinairement 6 mère, rarement 4-S-mère. Etamines ordinairement 6, rarement 3 ou 4-8, hypo- gynes ou insérées sur les sépales. Anthères biloculaires, in- trorses, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire su- père, ordinairement 3-carpellé, 3-loculaire, rarement 2-4-carpellé et 2-4-loculaire, à loges pluri-ovulées. Ovules anatropres, insérés dans l’angle interne des loges. Stigmates 3, rarement 2-4. Fruit capsulaire, 3-loculaire, à loges polyspermes, à déhiscence locu- licide, ou charnu et indéhiscent. Graines albuminées. Feuilles à nervures toutes parallèles, linéaires ou lancéolées. Affinités. — Les Liliacées ressemblent beaucoup aux Dicotylé- dones dialypétales à ovaire supère et à placentation axile; elles ressemblent aux Alismacées par leur androcée et leur périanthe. mais s’en distinguent par leur ovaire, Deux tribus : Fruit capsulaire, déhiscent............... MO Ne ce PP ES Liliées. Fr CAF ATORISCPRE. . - mt aouv o man se Asparageées. Tribu I. — LILIÉES. Fruit capsulaire, déhiscent, loculicide. | DR RS RUBENS... 2. da mem as eme dedepertes SOU CHeNURIDOIDENSE 2 70606 sue ve Ress pete Phalangium . 2 EN SE TI CE SRE RE RER Tulipa. ‘| Sügmates portés par un style filiforme.............. 3 Périanthe à divisions élalées ou rapprochées en cluche, 3-9 HO ON IMMO EURE... 111.242 Re 4 Périanthe à divi-ion< connées en un tube urcéole.... Muscari. 4.\ Fleurs blanches, blanc jaunâtre, ou jaures.......... b) | Meur Rise MARS eee Rs UE tes LS AT Seilla. Fleurs en ombelle simple, enfermées dans une spathe 5 | tie fonds. LE. TES . Allium. Î Fleurs en grappe spiciforme ou en corymbe terminal, sans spathe...... Mrlnitenadieetessnontee ne a TUNER 376 MONOCOTYLÉDONES TULIPA L. — Bulbe tuniqué. Périanthe campanulé, 6-mère, à sépales indépendants. Etamines 6. Stigmates 3, sessiles, épais, semi-orbiculaires. Fruit trigone. Feuilles oblongues ou lancéo- lées. Tige ordinairement 1-flore. Fleur très grande. T. sylvestris L. (Tulipe sauvage). — Seule espèce, à fleurs d’un beau jaune, les sépales extérieurs verdâtres dans le bas. Rare dans les vignes. Parc de Saint-Cloud, voisinage de Beau- vais. Il en existe une sous-variété pluriflora, à hampe ramifiée en 2-3 pédon- cules 1-flores. On cultive dans les jardins le T. Gesneriana L. (Tulipe), dont on a pro- duit un très grand nombre de variétés. On cultive aussi quelques espèces d’un genre très voisin qui n'existe pas à l'état sauvage dans notre flore, le genre Zilium. Je me borne à citer : le Lilium candidum Lis blanc), à fleurs d’un beau blanc; le Z. bulbiferum, à fleurs jaune-rougeâtre tachées de noir, à feuilles présentant des bulbilles dans leur aisselle; le Z. croceum (Lis jaune). à fleurs jaunes, sans bulbilles ; le Z. Martagon L., à fleurs rose-violacé, tachées de pourpre-noirätre. Fig 493. Fig. 494, Tulipa Gesneriana. Tulipa Gesneriana. Ovaire; coupe transy. Fruit ouvert. Fig. 495. — Allium ursinum. Inflorescence. Fig. 496.—- Allium ursinum. LILIACÉES 377 ALLIUM L. — Souche bulbeuse, tuniquée. Périanthe 6-mère, à folioles étalées ou conniventes, indépendantes ou connées à la base. Etamines 6, insérées sur le réceptacle ou sur la base du périanthe, à filets un peu élargis et parfois connés à la base Ovaire déprimé au centre, entre les loges. Style naissant du fond de cette dépression, filiforme. Capsule trigone, à loges 1-2-spermes. Fleurs ordinairement blanches ou rosées, rare- ment jaunes, toujours en ombelle simple enveloppée d’une spathe avant la floraison. Fleurs blanches, verdätres, roses ou ju 0 MONS PUCES ADO OO ‘ Hieursid'un beauvjaune.::......0..... Feuilles planes, lancéolées, pétiolées. Fleurs d'un blane pur............. : Feuilles de mème largeur à peu près d'un bout à l’autre (linéaires), planes ou canaliculées, ou cylindriques fistu- leuses, jamais pétiolées. Fleurs jamais MARINA DITS use Une y asvns nee Souche formée d'un rhizome tracant, portant plusieurs bulbes. Feuilles li- néaires, planes ou légèrement carénées, PIC RES == ame Joue ne Souche formée par un ou plusieurs bul- bes, sans rhizome traçant.......... 1 Périanthe à folioles étalées. Feuilles cy- hndriques,/nstulenses...:.....2:..... Périanthe à folioles dressées, conni- VERS se D215.4 RER er Nate Tige fistuleuse, renflée au milieu ou au- dessous du milieu..... ASE A ie DNA Tige fistuleuse, cylindrique, non renflée. Tige renflée au-dessous du milieu. Filets staminaux munis à la base de dents latérale ne. A, CR. à Tige renflée au milieu. Filets staminaux SANS CERN CS tonte slteleeie ed SI en RS Filets staminaux pourvus à la base de dents latérales. Fleurs souvent rempla- cées par des bulbilles, Bulbe ovoide, renfermant des bulbilles violets...... Filets staminaux sans dents. Bulbes réu- MERAIOMEEE JO SU ne ete 2 ... Filets staminaux sans appendices, seu lement dentés ou non à la base...... Filets staminaux inférieurs munis d’ap- pendices subulés dépassant l’anthère.. Feuilles fistuleuses, semi-cylindriques. Feuiiles non-fistuleuses, planes, un peu CARANCHIOPRE ac ab en as monss Feuilles fistuleuses, cylindriques ou se- hecylindriques. 27... ne SSr de Feuilles non fistuleuses, planes use 2 A. flavum L. A. ursinum L, A. fallaxz RŒ&M, et ScHuLT. A. Cepa L. A. fistulosum L. A. ascalonicum L. A. Schænoprasum L. 9 10 A. oleraceum L. A, salivum L,. 11 12 + 318 MONOCOTYLÉDONES Feuilles cylindriques, Fleurs rose-pàâle. A. vineale L. Feuilles semi-cylindriques. Fleurs d'un DEQU TOUSO.. esse see ec CE A. Sphærocephalum L. Fleurs blanchâtres, striées de rouge. Ombelle globuleuse, compacte...... s. tAs'Rorrunils Fleurs purpurines. Ombelle lâche...... A. Scorodoprasum L. 145 12. A. sativum L. (Ail). — Souche composée d’un ñombre va- riable (10-16) de bulbilles ovoïdes-oblongs, arqués, tuniqués, à tunique très épaisse, enveloppés d’une tunique commune mince. Feuilles non fistuleuses, linéaires, planes, légèrement canaliculées. Tige fistuleuse, cylindrique, non renflée, feuillée jusqu’à la moitié de sa hau- teur. Ombelle enveloppée d’une spa- pointe très longue. Fleurs blanc-sale, à folioles du périanthe dressées, con- niventes. Filets staminaux munis à la base de deux dents latérales cour- Fig. 497. — Allium Porrum. VeS- — Flor.: juillet-août. — Habit. : | LE originaire de l’Asie centrale. Cultivé dans les jardins pour son bulbe. Toutes les parties de la plante, surtout le bulbe, exhalent une odeur forte, spéciale, très pénétrante et très durable. La saveur du bulbe est hrülante, aromatique ; elle est due à une huile essentielle, qui est très e. On fait usage de l'ail cru et cuit ou conservé dans le vinaigre comme coudi- ment. Le bulbe, broyé et appliqué sur la peau, produit de la rubéfaction à la façon de la moutarde et peut même déterminer la vésicalion. L'’Ail a été peudant longtemps considéré comme un excitant important, On l’a employé contre les fièvres intermittentes, contre le choléra, dans la période algide, etc. A. Porrum L. (Poireau, Porreau). — Bulbe allongé, ne pro- duisant pas de bulbilles latéraux ou n’en produisant qu’un ou deux. Feuilles non fistuleuses, planes, linéaires-lancéolées, assez larges, glaucescentes. Tige fistuleuse, cylindrique, non renflée, feuiliée dans sa moitié inférieure. Fleurs blanchâtres, striées de rouge, en ombelle globuleuse, volumineuse, dense. Filels staminaux intérieurs munis de deux longs appendices subulés, atteignant l’anthère. — Flor. : juin-août. — Habit. : cultivé dans les jardins et en plein champ. — @). Le Poireau est cultivé par ses bulbes et ses feuilles dont on mange toute la portion inférieure, blanche, à l’état frais. On mange également, à l'état frais et cuit, le bulbe, qui n'est formé que par la base simpiement épaissie des feuilles. A. Cepa L. (Ognon, Oignon). — Bulbe semi-sphérique, plus ou moins déprimé, à tuniques très nombreuses, très succulentes, the 1-foliolée, terminée par une 1 Na LILIACÉES 379 les plus superficielles minces et parcheminées. Feuilles fistu- leuses, cylindriques , renflées. Tige fistuleuse , cylindrique, renflée au-dessous du milieu. Ombelle volumineuse, sphérique, bre, Fig. 49, — Allium Cepa. Inflorescence après l'ouverture de la spathe. Fig. 498. — Allium Cepa. Inflorescence avant l'ouverture de la spathe. Fig. 500, — Allium Cepa. Fig. 901, — Scilla nutans. Bulbe; coupe longit. enveloppée d'une spathe 1-foliolée, prolongée en une longue pointe. Fleurs blanc-verdâtre. Filets des étamines intérieures 380 MONOCOTYLÉDONES munis à la base de deux dents latérales courtes. — Flor. : juin-août. — Habit. : cultivé dans les jardins et en plein champ. (@). Le bulbe de l'Ognon est très riche en une huile essentielle âcre qui s'éva- pore quand on le coupe et fait larmoyer les yeux. On le mange cru et surtout cuit. Il jouissait autrefois d’une grande réputation comme diuré- tique. On cultive encore dans les jardins trois espèces très voisines de l’A. Cepa et qui ont, comme lui, des feuilles fistuleuses, l'A. fistulosum L. (Ciboule), qui se distingue surtout par ses feuilles moins développées, par sa tige renflée au milieu et par ses étamines sans dents; l'A. Ascalonicum L. (Echalote) se distingue du précédent par ses étamines à filets dentés et par ses fleurs très souvent remplacées par des bulbilles ; l'A. Schænoprasum L. (Civette, Ciboulette), à feuilles grèles et à fleurs purpurines rosées, jamais entremèlées de bulbilles. SCILLA L. — Périanthe 6-mère, à folioles étalées ou con- niventes, indépendantes. Etamines 6, à filets insérés sur le ré- ceptacle ou sur la base des sépales. Style filiforme. Fruit à loges pauci-spermes. Bulbe tuniqué. Tige simple. Feuilles non fistu- leuses, planes. Fleurs bleues ou lilas, en grappe terminale. Périarthe à folioles étalées. "2.6... 2 1.4 Périanthe à folioles conniventes. Feuilles toutes ra- monles LR M EL nee ; se ER S. nutans SM. Plusieurs feuilles très étroites, ne “sovtani du sol qu'après la floraison, qui a lieu en août ou sep- Rs HÉBIDDTO... une ds rorcesenious due Coe de TTEE S, autumnalis L. Feuilles ? ou rarement 3, développées au moment de la floraison, qui a lieu en mars-avril. se... S. bifolia L. ORNITHOGALUM L. — Périanthe 6-mère, à folioles étalées ou un peu dressées, marcescentes. Etamines 6, insérées sur le réceptacle ou sur la base des sépales, à filets aplatis ou fili- formes. Anthères fixées au filet par la base ou par le dos. Style filiforme. Capsule à loges pauci-spermes. Bulbe tuniqué. Feuilles toutes radicales, linéaires, planes. Tige simple ou ramifiée en corymbe dans le haut. Fleurs blanches ou blanc-jaunâtre................ 2 1.{ Fleurs jaunes Filets siaminaux filiformes. Anthères fHséPS Apr 14 base... 4... 0 CE O. arvense PERS. o | Fleurs en grapse simple, terminale... .....f...... O. Pyrenaicum L. Fleurs en corymbé;terminal, lâche. 34.26" 2000 O. umbellatum L. MUSCARI T. — Périanthe 6-mère, à folioles connées dans la plus grande partie de leur longueur en un tube urcéolé, à 6 dents courtes. Etamines 6, insérées sur le tube du périanthe. Style filiforme, court. Capsule trigone, à loges 1-2-spermes. Bulbe tuniqué. Feuilles toutes radicales, planes, linéaires. Tige simple, sans feuilles, terminée par une grappe simple de fleurs bleues, dont les supérieures sont souvent stériles et forment une sorte de plumet bleu. LILIACÉES 381 ! Fleurs supérieures stériles, très longuement pédicel- F4 LAB e Rene dd dune na fe M. comosum MiLL. Fleurs supérieures stériles, brièvement pédicellées ... Fleurs bleu-foncé, à odeur de prune très prononcée. » Feuilles linéaires-étroites. AM, racemosum Mir. Fleu:s bleu-tendre, à odeur nulle ou faible. Feuilles linéaires-larges.......... M. botryoïdes Mic. 9 PHALANGIUM T. — Périanthe 6-mère, à folioles formant à la base un tube grêle, éta- lées dans le haut. Etamines 6, insérées sur la base des sépales. Ovaire pédicellé. Style fili- forme. Capsule globuleuse, à loges pauci- spermes. Fleurs blanches, en grappe simple ou en panicule terminale. Souche non renflée en bulbe, à racines cylindriques, épaisses, charnues. Fleurs en grappe simple,terminale. P, ramosum LAMK. Fleurs en panicule terminale..... P, Liliago ScBRes. Tribu II. — ASPARAGÉES. Fruit charnu, indéhiscent, ordinairement à 3 loges pauci-spermes, ou uniloculaire et yys monosperme par avortement. Fig. 502. cari COMOSUM. Inflorescence. PO TS ER EN ee à du dote can 920 SUR 2 MIEUES REED OAtEES 2. LE à à andere nec à 0 3 formes, allongés, simulant des feuilles. .....,...... Asparagus. 1. SO ET CREER EEE . Ruscus. 3 { Feuilles toutes radicales. Tige florifère aphylle....... Convallaria. subie fortfere dedlléers])?. URL. A ATEN Ten 4 à Feuilles de la tige florifère verticillées par 4-5, au- dessous de la fleur solitaire qui termine la BB our Paris. Feuilles de la tige florifère alternes.................. o Feuilles ordinairement 2. Fleurs formant une grappe nomremiloe RiCEnNbales LS ILAMTU JE. AOC UN Maianthemum. alone EEE LS Zonut de done ie cie Bd ... Polygonatum . CONVALLARIA L. — Fleurs hermaphrodites. Périanthe ga- mosépale, urcéolé, 6-denté. Etamines 6, insérées à la base du tube. Ovaire 3-4-loculaire, à loges 2-ovulées. Style simple. Stig- 382 MONOCOTYLÉDONES mate trigone. Feuilles toutes radicales, disposées par 2. Fleurs formant une grappe simple, penchée, au sommet d'une tige florifère aphylle. Souche rhizomateuse, traçante. C. maïalis L. (Muguet). — Seule espèce, à fleurs blanches, très odorantes, portées par une tige haute de 10 à 15 centim.; à baies rouges. Abondant dans les bois. Li Fig. 503, — Convallaria maialis. Fig. 504, — Polygonatum vulgare. POLYGONATUM Desr. — Fleurs hermaphrodites. Périanthe 6-mère, tubuleux, cylindrique. Etamines 6, insérées sur le mi- lieu du tube. Ovaire 3-loculaire, à loges 2-ovulées. Style simple. Stigmate trigone. Feuilles de la tige florifère alternes, toutes déjetées d’un côté. Souche rhizomateuse, épaisse, marquée de grosses cicatrices répondant aux rameaux aériens des années précédentes. Rarmeäu florifère simple, allongé, penché. Fleurs blanches, en petites cymes à l’aisselle des feuilles, formant par leur ensemble une longue grappe feuillée. Tige anguleuse-striée. Fleurs solitaires ou gémi- nées dans l’aisselle de chaque feuille. Filets sta- minaux, glabtes.zo! if ides ns een LEE P. vulgare DESF. Tige cylindrique, non striée. Fleurs en cymes 3-5- flores, à l’aisselle de chaque feuille. Filets stami- naux. velus...... ST PRO Mme Re À …… P, mulhiflorum DEsr. LT NT RE ES. M E eCNErS be GERS vx L s L Û Dave NUS ; \ . « LILIACÉES 383 MAIANTHEMUM Wicc. — Fleurs hermaphrodites. Périanthe :-mère, à folioles connées seulement à la base, étalées ou réflé- chies. Etamines #, insérées à la base des sépales. Ovaire 2-locu- laire, à loges 2-ovulées. Souche rhizomateuse, traçante. Tige florifère ne portant d'ordinaire que 2 feuilles, parfois 1 ou 5, alternes, pétiolées, et terminée par une grappe courte, non feuil- lée, de fleurs blanches, disposées en petites cymes 2-5, rare- ment 4--flores. M. bifolium DC. — Seule espèce, facile à distinguer, par ses p feuilles, du Muguet auquel son in- Se A florescence la fait ressembler. à CA NE 4 VS At 4 PA 72 1 Ü SLT D DR : Fig. 505. — Maianthemum bifolium. Fig. 506, — Paris quadrifolia. PARIS L, — Fleurs hermaphrodites. Périanthe persistant, vert, 8-mère, à folioles indépendantes, les extérieures lancéo- lées, les intérieures linéaires. Etamines 8, à filets dilatés et connés à la base. Ovaire 4-loculaire, à loges pluri-ovulées. Styles 4, libres, filiformes, Souche rhizomateuse, traçante. Tige 384 MONOCOTYLÉDONES aérienne terminée par une seule fleur, au-dessous de laquelle s'étale un verticille de 4, plus rarement à feuilles. P. quadrifolia L. — Seule espèce, très facile à reconnaître à son port spécial. Assez rare dans les bois humides. . RUSCUS L. — Fleurs dioïques. Périanthe 6-mère, à folioles indépendantes. Etamines 3, à filets connés en tube. Ovaire 1- loculaire, 2-3-ovulé, entouré d’un tube staminal sans anthères. Fruit ordinairement mono-sperme. Sous-arbrisseau toujours vert, à feuilles réduites à l’état d’écailles très petites, minces, à ramuscules aplatis, elliptiques, / terminés en épine, portant les fleurs sur leur face supérieure. R. aculeatus L. (Petit houx). — Espèce unique, bien facile à recon- naître à ses rameaux aplatis, flori- fères. Assez rare dans les bois. Fig. 507. = Ruscus aculeatus. Fig. 508. — Asparagus officinalis. Sommité florifère. . Rameau florifère. ASPARAGUS L. — Fleurs” dioïques. Périanthe 6-mère, à folioles connées en un tube campanulé, très étroit à la base. De” 7 An AMARYLLIDÉES 385- Etamines 6, insérées à la base du périanthe. Ovaire 3-loculaire, à loges 2-ovulées. Style simple. Stigmate 3. Souche vivace, courte, oblique, portant un grand nombre de racines cylindri- ques, charnues (griffe) etémettant chaque année plusieurs tiges grêles, très ramifiées, à feuilles réduites à l'état de petites écailles membraneuses, à ramuscules grêles, allongés, simulant des feuilles et portant des fleurs jaunätres, petites. A. offieinalis L. (Asperge). — Seule espèce, très remar- quable par son port. Tige haute de 70 centim. à 1 m., très ra- ramifiée, à rameaux très grêles, d’un vert gai. Fleurs jaunâtres, en petites cymes géminées. Baies rouges, de la grosseur d’un pois. — F'or. : juin-juillet. — Habit. : clairières des bois, co- teaux incultes. 7”. On cultive l’Asperge pour ses jeunes pousses, que l’on mange cuites et que l’on cueille dès qu'elles sortent de terre. Elles sont diurétiques et don- nent à l'urine une vdeur forte, très désagréable. On prescrit surtout les ra- cines comme diurétiques. Famizze XCII. — AMAR YLLIDÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle très concave, formant les parois de l'ovaire. Périan- the 6-mère, à folioles pétaloïdes, connées en tube dans le bas. Etamines 6. Anthères biloculaires, introrses, déhiscentes par des fentes longitudinales ou par des pores terminaux. Ovaire infère, 3-carpellé, 3-loculaire, à loges pluri-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Fruit capsu- laire, 3-loculaire, à loges pluri-spermes, à déhiscence loculicide en trois valves. Graines albuminées. Plantes à souche ordinai- rement bulbeuse. Feuilles toutes radicales, à base engainante, à nervures parallèles. Fleurs grandes, terminales, solitaires ou non. Affinités. — Les Amaryllidacées ne se distinguent des Li- liacées que par leur ovaire infère. Deux genres : Périanthe muni à la gorge d’une couronne pétaloide....... . lVarcissus. Périanthe non muni à la gorge d’une couronne pétaloïde..... (Galanthus. GALANTHUS L. — Périanthe à tube ne dépassant pas l’ovaire, à limbe campanulé, à sépales inégaux; les extérieurs plus grands, concaves, les intérieurs plus courts de moitié, dressés. Pas de couronne pétaloïde à la gorge du périanthe. Etamines insérées sur le disque qui surmonte l'ovaire. Anthères déhiscentes par des pores terminaux. Souche bulbeuse, tuni- FLORE DE PARIS, 22 386 MONOCOTYLÉDONES quée. Feuilles toutes radicales. Tige florifère terminée par une seule fleur entourée d’une spathe monophylle. G. nivalis L. (Perce-neige). — Seule espèce. Petite plante à feuilles linéaires, obtuses, à fleurs blanches. Rare dans les prairies et les clairières des bois. NARCISSUS L. — Périanthe à tube dépassant l’ovaire, à limbe régulier, à sépales égaux. Gorge du périanthe munie d’une couronne pétaloïde. Etamines insérées sur le tube du périanthe. Anthères déhiscentes par des fentes longitudinales. Souche bulbeuse, tuniquée. Feuilles toutes radicales. Tige flori- fère aphylle , terminée par une seule ou rarement un petit nombre de fleurs enveloppées d’une spathe monophylle. Périanthe blanc. Couronne jaunâtre, bordée de TOURE,. LES CONTE es 1227 era 0: ef ae PS . A. poeticus L. Périanthe à limbe jaune-pâle. Couronne entière- ment jaune, aussi longue que le limbe........ AN. Pseudo-Narcissus LL, Face XCIN. — IRIDÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle très concave, formant les parois de l’ovaire. Périan- the pétaloïde, 6-mère, à folioles 2-verticillées, connées en tube à la base. Etamines 3, insérées sur la base des divisions exté- rieures du périanthe. Anthères biloculaires, extrorses, déhis- centes par des fentes longitudinales. Ovaire infère, 3-carpellé, 3-loculaire, à loges pluri-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l'angle interne des loges. Style indivis. Stigmates 8. Fruit capsulaire , 3-loculaire, à loges polyspermes, à déhiscence loculicide, en 3 valves. Graines albuminées. Souche habituelle- ment rhizomateuse, rarement bulbeuse. Feuilles alternes, en- gainantes à la base. Fleurs grandes. Affinités. — Les Iridées diffèrent des Liliacées, dont elles sont très voisines, par leur ovaire infère, par leurs étamines ré- duites au nombre de 3 et par leurs anthères extrorses. Elles sont encore plus voisines des Amaryllidées, dont elles ne diffe- rent que par le nombre des étamines. Deux genres : Stigmates pétaloïdes. Souche rhizomateuse.. ...,..sess.sesenesee Îris. Stigmates non pétaloïdes. Souche bulbeuse................,..,.. (Crocus. CROCUS T. — Périanthe à tube grêle, très allongé, à limbe régulier, campanulé-infundibuliforme. Style filiforme j très allongé, divisé en trois stigmates très longs, en forme de cor- IRIDÉES 387 nets à bord dentelé et irrégulier. Souche bulbeuse, tuniquée. Feuilles toutes radicales. Fleurs sortant directement du sol, portées par un pédicule très court et paraissant naître direc- tement du bulbe. €. sativus AL. (Safran). — Plante à bulbe arrondi, plein, émettant 1-2 fleurs violettes, enveloppées d'une spathe mem- braneuse, violacée, formée de 1-2 bractées, apparaissant avant les feuilles ou en même temps qu’elles. Stigmates d’un jaune rougeâtre, aussi longs que le périanthe. Feuilles linéaires, très étroites, longues de 8 à 10 centim., à bords enroulés. — Flor.: septembre-octo- bre. — Habit. : Cultivé dans le Gâtinais, aux environs de Pithi- viers, de Beaumont. Ori- ginaire d'Orient. 77. Fig. 510. Fig. 511. Crocus sativus. Crocus sativus.Stigmates. Crocus sativus. Bulbe ; : coupe longitudinale. On cultive le Safran pour ses stigmates, qu'on arrache au moment de la floraison et qu'on emploie sous le nom de safran. On les considère comme puissamment emménagogues, mais rien ne prouve qu'ils méritent la réputa- tion dont ils jouissent et surtout dont ils ont joui dans le passé Ils sont riches en une matière colorante jaune, la polychroïte, qui les fait employer dans l'industrie. On s’en sert aussi comme condiment, dans la cuisine, à cause de leur coloration et de leur saveur spéciale. IRIS L. — Périanthe à tube très long, trigone, à limbe régu- lier, 6-mère, les trois sépales extérieurs réfléchis en dehors, les trois intérieurs étalés, dressés ou connivents, ordinairement plus petits. Stigmates pétaloïdes, carénés en dessus, concaves en dessous, recouvrant chacun une étamine. Souche rhizoma- teuse, rampante, volumineuse. Tige florifère simple ou rami- 388 MONOCOTYLÉDONES fiée, portant un petit nombre de fleurs très grandes, protégées par des spathes membraneuses formées de deux bractées quand -elles recouvrent une seule fleur et de plusieurs bractées quand elles recouvrent plusieurs fleurs. Fig. 514. — Jris Pseudo-Acorus! Style. Fig, 512. — Jris Florentina. Fleur. Fig. 513. — Jris Florentina. Rhizome. Tige non ramifiée, uni ou pluriflore....,........ 2 Tige. ramifiée, plañifiore. !..-..:..:. 20082 9 Tige simple, uni-flore. Périanthe bleu-violet-veiné 9 où Dieu pale. ee M ere dre ce F0 AR ET I. pumila L. "4 Tige simple, pluriflore. Ordinairement plusieurs fleurs dans chaque spathe. Périanthe bleuàtre- VOLRÉ Le RS ie nacre te Nas CD MORE I, fœtidissima L. Fleurs odorantes. Périanthe bleu-violet......... I, Germanica L, Fleurs inodores. Périanthe jaune-citron......... I. Pseudo-Acorus L,. .L'Jris Germanica contribue à fournir le rhizome d'iris, employé en méde- cine à la fabrication des pois à cautères, aujourd’hui tombés en désuétude, et, dans la parfumerie, pour la préparation de la poudre d'Iris. Mais l’es- pèce la plus utile, à ce dernier point de vue surtout, est l’Zris Florentina, que l’on cultive seulement en lalie. Sn en 2 Pie Te À + rt L LES "4 : ENT, A : « : # L + DIOSCORÉES — HYDROCGHARIDÉES _ 389 Fauizze XCIV. — DIOSCORÉES. Le Caractères constants. — Fleurs régulières, dioïques. Récep- tacle très concave, formant les parois de l’ovaire. Périanthe pétaloïde, jaune-verdâtre, à folioles connées à la base. Etamines (dans les fleurs mâles) 6, insérées sur la partie inférieure des sépales. Ovaire infére, 3-carpellé, 3-loculaire, à loges 2-ovulées. Ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des loges. Fruit bacciforme, charnu, succulent, oligosperme. Graines albumi- nées. Tige volubile, ramifiée. Feuilles alternes, cordées à la base, pétiolées, à limbe muni de nervures ramifiées. Fleurs petites, en grappes axillaires. Affinités. — Les Dioscorées ressemblent aux Dicotylédones par leurs feuilles. Elles ne diffèrent des Iridées que par leur fruit bacciforme et leurs fleurs dioïques, et des Asparagées par leur ovaire infère. TAMUS L. — Caractères de la famille. T. communis L. (Herbe à la femme battue, Haut-Liseron, Sceau de Notre-Dame). — Jolie plante à tige grêle, sarmenteuse, volubile, haute de 2-3 mètres, verte, à feuilles longuement pétiolées, ovales, cordées, acuminées, luisantes. Fleurs petites, jaune-verdâtre, en grappes axillaires, lâches. Baies rouges, de la taille d’un gros pois. Racine fusiforme, grosse, blanchâtre. — Flor. : mai-juillet. — Habit. : Bois, taillis, buissons hu- mides. 7. La racine est purgative. Sa saveur est âcre et nauséeuse. On peut admi- nistrer la poudrè de la racine sèche à la dose de 2? à 4 grammes. On la considère également comme diurétique. Dans certaines régions, on mange, contre les fièvres intermittentes, les pousses jeunes, de la mème manière que les asperges On emploie aussi la racine fraiche, pilée, contre les con- tusions et les ecchymoses. On a recommandé la poudre de la racine pour détruire les poux de la tête chez les enfants. FamiLLE XCV. — HYDROCHARIDÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, dioïques. Récep- tacle très concave, formant les parois de l’ovaire. Périanthe 6- mère , plus ou moins pétaloïde, rarement 3-mère par avorte- ment. Etamines (dans les fleurs mâles) ordinairement 12, rarement 3, à anthères biloculaires, déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire (dans les fleurs femelles) infère, ordi- nairement 6-carpellé, Ste 3-carpellé, ordinairement 6- : 29 _. 390 MONOCOTYLÉDONES loculaire, à loges pluri-ovulées, rarement 1-loculaire. Ovules anatropes, insérés sur les cloisons des loges quand l'ovaire est 6-loculaire, sur les parois de la cavité ovarienne quand il n’y a qu'une seule loge (placentation pariétale). Fruit charnu, poly- sperme, Graines sans albumen. Plantes aquatiques, submergées- nageantes ou submergées, herbacées, stolonifères, à souche non bulbeuse. Feuilles nageantes ou submergées. Fleurs mâles ordinairement réunies plusieurs dans une même spathe axil- laire. Fleurs femelles solitaires dans chaque spathe. Affinités. — Par l’organisation de leur fleur et de leur fruit, les Hydrocharidées sont assez voisines des Dioscorées, mais elles en diffèrent par leur genre de vie. Elles diffèrent de toutes les familles de Monocotylédones à périanthe pétaloïde par la placentation pariétale de leurs ovules. 4,{ Feuilles longuement pétiolées, à limbe réniforme... Æydrocharis. $ 2 Feuilles sessiles, à limbe oblong ou linéaire...,.... Feuilles toutes radicales, sessiles, en rosette......., 3 2.1 Feuilles verticillées par 3 sur de longs rameaux grè- les, cylindriques; submeorgés "CURE Elodea. Feuilles raides, linéaires-larges, à bords dentés-épi- 9 DEUX sn evo altornvite NO DELL RE Stratiotes. ‘) Feuilles molles, linéaires-rubanées, à bords denti- CUIÉS 5 aie se munie se sta /eusie ete on à 20e cet EE Vallisneria. HYDROCHARIS L. — Etamines 12, dans les fleurs mâles Ovaire 6-lo- culaire, dans les fleurs femelles. Fruit charnu, 6-loculaire. Feuilles nageantes, très longuement pétiolées, orbiculai- res-réniformes. Fleurs blanches. H. Morsus-Ransæe L. — Seule espèce. Petite plante assez abondante dans les étangs, les mares, les ruis- seaux. STRATIOTES L. -- Etamines très nombreuses, les extérieures (22-26) stériles, les intérieures (12-13) fertiles. Ovaire 6-loculaire. Fruit 6-loculaire. Feuilles toutes submergées, disposées en rosette radicale, sessiles, linéaires- larges, dentées-épineuses aux bords. Fleurs blanches, s’épanouissant hors Fig. 515. de l’eau, portées par de longs pédon- Hydrocharis Morsus-rane. cCules axillaires. S. aloides L. — Plante du centre de l’Europe, introduite: ORCHIDÉES 391 dans les mares de la forêt de Marly, où elle s’est acclimatée. Il n'existe que des mâles. VALLISNERIA Micx. — Périanthe 3-mère. Etamines 3, Ovaire 4-loculaire. Fruit 1-loculaire. Feuilles toutes sessiles, en rosette, linéaires-rubanées, à bords denticulés-scabres. Fleurs mâles portées par des pédoncules axillaires courts. se détachant avant l'épanouissement pour aller flotter à la surface de l’eau de manière à féconder les femelles, qui sout portées par de longs pédoncules. V. spiralis L. — Seule espèce, très caractéristique, accli- matée dans le canal de la Marne, près de Charenton. Il n’existe que des femeiles. ELODEA Ricx. — Périanthe 6-mère. Etamines 3-9. Ovaire 1-loculaire. Fruit 1-loculaire. Tiges très ramifiées, à rameaux tous submergés, allongés, cylindriques, portant un très grand nombre de verticilles de 3 feuillles sessiles, oblongues, entières. E. canadensis Rica. — Seule espèce. Plante américaine acclimatée depuis quelques années dans tous nos étangs, nos canaux, nos rivières, où elle prend une extension dangereuse. Il n'existe que des individus femelles. FAMILLE XCVI. — ORCHIDÉES. Caractères constants. — Fleurs très irrégulières, hermaphro- dites. Réceptacle très concave, formant les parois de l'ovaire. Périanthe 6-mère, pétaloïde, les 3 folioles extérieures souvent convergentes avec les 2 intérieures supérieures en un casque, la foliole intérieure inférieure très différente de toutes les autres, plus développée, souvent prolongée en éperon et diver- sement découpée , connue sous le nom de lahelle Etamines 3, 1 seule fertile, les deux autres nulles ou avortées et réduites à l’état de glandes, situées de chaque côté de l’étamine fertile. Celle-ci est située au-dessus du stigmate, connée ou non avec la colonne (gynostème) qui porte le stigmate, sessile, bilocu- laire, à loges déhiscentes par des fentes longitudinales. Les grains de pollen sont unis, dans chaque loge anthérique, en une masse pollinique (pollinode) piriforme, terminée par une petite tige (caudicule). Cette dernière est renflée à son extré- mité inférieure et les deux masses sont souvent réunies l'une à l’autre par une glande (rétinacle) qui sécrète ie liquide vis- queux qui agglutine les grains de pollen les uns aux autres. 392 MONOCOTYLÉDONES Les deux rétinacles sont tantôt indépendants, tantôt unis entre. eux de manière à rattacher l’une à l’autre les deux masses polliniques. Les rétinacles sont souvent logés dans un repli qui Fig. 516. Orchis maculal«, Anthère et portion stème. surmonte le stigmate et auquel on a donné le nom de bursicule. Stig- mate représenté par une surface concave, située au sommet de la colonne qui porte l’anthère et au- dessous de cette dernière, dans une position telle que le pollen d’une fleur ne peut jamais tomber sur le stigmate de la même fleur. Ovaire infère, 3-carpellé, 1-locu- laire, à 3 placentas pariétaux pluri- ovulés. Fruit capsulaire, 1-loculaire, du gyno- Poly-sperme, déhiscent en 3 valves qui restent unies en haut et en bas, portent les placentas et se déta- EE dt chent de leurs nervures moyennes, de sorte qu'après la déhis- cence il semble y Fig. 917. Orchis maculala. Masse pollinique. avoir six valves. Graines extrêmement petites, sans albumen Feuilles ordinairement toutes radicales, simples, entières, à nervures paral- lèles ou parfois anastomosées. Tige florifère toujours simple, portant parfois quelques feuilles, terminée par une grappe simple de leurs. Souche vivace, tantôt rhizomateuse, courte, chargée de racines cylindriques épais- ses, tantôt bulbeuse, à bulbe entier ou pal- mé. Il existe ordinairement deux, parfois trois de ces bulbes, au bas de chaque tige florifère. Cette dernière se continue manifes- tement avec l’un d’eux, tandis que sa base en porte latéralement un second plus jeune. Chacun de ces bulbes représente un bour- geon très renflé, gorgé de fécule, qui se déve- loppe l’année suivante en produisant une tige florifère et des feuilles. La base de la tige flo- rifère émet toujours un grand nombre de lon- gues racines cylindriques, simples, charnues. Affinités. — Par leur ovaire à placentation pariétale, les Orchidacées confinent aux Dioscorées et aux Hydrocharidées, mais elles se distinguent de toutes les autres Monocotylédones par la forme de drocée. leur périanthe et l’organisation de leur an- #2 CASE 1° & Lit _ PER : ; ORCHIDÉES 393 Trois tribus : Souche bulbeuse....,........ Rasdee Mais ce ee es sets n'ai ‘| Souche rhizomateuse.................. des af no ae MNéottiées. Bulbes entourés d’une ou plusieurs tuniques ...,,..... Liparidées. 2.4 Bulbes dépourvus de tuniques, couverts d'un épiderme UE Cr idee eee nat a te sit d'e à ca e à o 2e Orchidées. Tribu I. — NÉOTTIÉES. Anthère n’adhérant au gynostème que par sa base. Masses polliniques à grains peu adhérents, sans caudicule. Souche formée par un rhizome grèle, couvert de très nombreuses ra- eines cylindriques, épaisses, charnues, nôn ramifiées. Neottia Nidus-avis. Fleur. Fig. 519. | Fig. 520. Androcée de Neottia Nidus-avis. Neottia ovala. er. 'éénies 394 MONOCOTYLÉDONES 1 { Labelle prolongé en éperon........... croit LMOONUMRE *)} Labelle non prolongé:en éperon.2. "re “à Labelle brusquement rétréci au milieu de sa lon- 72 gÜeGPar se ecbvcs ere CEE DEEE AS Labelle non rétréci au milieu de sa longueur..... 4 Ovaire tordu en spirale. Labelle muni de plusieurs 3 ) nervures dilatées en crêtes longitudinales......... Cephalanthera. ‘) Ovaire non tordu Labelle muni de deux bosses saillantes au-dessous du rétrécissement......... .. ÆEpipactis. Epi floral très fortement contourné en spirale..... Spiranthes. 4.4 Epi floral non contourné ou à peine contourné en Spirale /143 MGR lee ee RAREUTR TENTE RER ca - f Labelle profondément bifide........ nsteint mate SET ET 5. | Labolle int 0,02 RSS ne Sr .. Goodyera, NEOTTIA Ricu. — Périanthe à 3 folioles extérieures conni- ventes avec les 2 folioles intérieures supérieures, qui sont un peu plus étroites. Labelle sans éperon, pendant, allongé, non rétréci au milieu, profondément bifide. Anthère sessile, adhé- rente au gynostème seulement par sa base, appliquée contre un prolongement lamelleux du gynostème. Masses polliniques unies par un rétinacle commun. Ovaire non tordu en spirale. Souche rhizomateuse couverte de racines très nombreuses. Pas de feuilles véritables Tige florifère ne portant qu'un petit nombre de feuilles rudimentaires Tige, feuilles et fleurs brunâtres, sans chlorophylle appa- ‘ renté. Odeur d'é£crément.: ;1.,:........--220 00 N. Nidus-avis Ricx. Pas de feuilles radicales. Tige florifère portant deux grandes et larges feuilles ovales, sessiles, opposées. Tige, feuillés et fleurs”vertes. . 4... LUN OPA GOODYERA R. Br. — Périanthe à folioles extérieures laté- rales étalées, l’extérieure moyenne et les deux intérieures laté- rales conniventes. Labelle sans éperon, non rétréci au milieu, entier à l’extrémité, très concave. Anthère appliquée contre un prolongement lamelleux du gynostème. Masses polliniques unies par un rétinacle commun. Ovaire non tordu en spirale. Souche rhizomateuse, grêle, longuement traçante, ramifiée. Fleurs en épi presque unilatéral. G@G. repens R. Br. — Seule espèce. Fleurs blanches. Tige florifère feuillée, à feuilles d’autant plus petites qu’elles sont plus supérieures. Très rare. CEPHALANTHERA Ricu — Périanthe à folioles à peu près conniventes. Labelle non prolongé en éperon, brusquement rétréci au milieu, entier à l’extrémité, muni, au-dessous du rétrécissemsnt et quelquefois au-dessus, de nervures dilatées en crêtes longitudinales. Gynostème dépourvu de prolongement lamelleux au-dessous de l’anthère. Masses polliniques sans réti- à FE ie ART AN PER DT NT EU rh ». À ke, Le LR » ORCHIDÉES 395 | à nacle. Ovaire tordu en spirale. Souche rhizomateuse courte, Fes portant un grand nombre de racines. Tige florifère feuillée. IS ERA A ESRI 00 Te rs à 1 ; Fleurs roses avec le labelle blanc, bordé AO rOSE LE re » totrine D ARR Ne eo Hoigornrs à 3 C. rubra Ricx. Bractées aussi longues ou plus longues que 2) DOMAI TE Et ee rie ere tartes en MAR ne € à re CG: grandiflora BABINGT. Bractées beaucoup plus courtes que l'ovaire. €. Xiphophyllum Rcus. EPIPACTIS Rica. — Périanthe à folioles à peu près conni- ventes. Labelle sans éperon, brusquement rétréci au milieu, entier à l'extrémité, muni, au-dessous du rétrécissement, de deux bosses saillantes. Gynostème muni au-dessous de l’an- thère d’un prolongement lamelleux. Masses polliniques unies par un rétinacle commun. Ovaire non tordu en spirale. Souche à rhizome court, à racines nombreuses. Tige florifère feuillée. Labelle plus court que les sépales extérieurs laté- raux. Feuilles inférieures ovales.....,...,...,.. E. latifolia Ar. ‘Labelle aussi long ou plus long que les sépales extérieurs latéraux. Feuilles inférieures oblongues- lancéolées ..... et Catane sels et sole e ..... Æ. palustris CRANTz SPIRANTHES Ricx. — Périanthe à folioles conniventes, les latérales extérieures plus tard étalées. Labelle sans éperon, non rétréci au milieu de sa longueur, entier à l'extrémité, Gynostème muni d’un prolongement bifide au-dessous de l’an- tère. Masses poliniques unies par un rétinacle commun. Ovaire non tordu en spirale. Souche à racines 2-4, épaisses, napiformes. Fleurs petites, blanches. Epi floral fortement tordu en spirale. Tige feuillée, à feuilles radicales et caulinaires lan- CODIÉCS=MNÉAITES. : 2: se ere ce «does cac ee ss... S. æstivalis RICH. Tige non feuillée, munie de bractées seulement dans le haute: 1: AREAS RÉ ete Cp D SRE S, autumnalis Ricu. LIMODORUM T. — Périanthe à folioles conniventes, em- brassant le labelle. Labelle prolongé en éperon, rétréci en onglet à la base, entier à l'extrémité. Gynostème sans prolon- gement lamelleux au-dessous de l’anthère. Masses polliniques unies par un rétinacle Commun. Ovaire non tordu en spirale. ‘Souche à racines nombreuses. Feuilles réduites à des écailles engainartes. L. abortivum Sw. — Seule espèce, remarquable par sa tige haute de 40 à 80 centim., violacée, couverte d’écailles engai- nantes, et par son long épi de fleurs lilas-violet. Tribu II. — LIPARIDÉES. Anthère n’adhérant au gynostème que par sa base, caduque, 396 MONOCOTYLÉDONES affectant la forme d’un opercule. Masses polliniques non atté- nuées en caudicule. Souche bulbeuse, recouverte d’une ou plu- sieurs tuniques membraneuses. LIPARIS Ricx. — Fleurs à labelle regardant en haut, non prolongé en éperon, entier, concave-canaliculé sur la face su- périeure, plus large et aussi long que les autres folioles du périanthe , qui sont étroites et étalées. Gynostème allongé. Masses polliniques bipartites. Ovaire non tordu, porté par un pédicelle tordu. Bulbes assez gros, rapprochés. L. Lœselii Rica. — Seule espèce. Plante à tige haute de 10 à 20 centimètres, anguleuse-ailée, à feuilles 3-5 les exté- rieures réduites à la gaine, les 2 intérieures minces, oblon- gues-lancéolées, pliées longitudinalement. Rare dans les marais et tourbières. | Tribu III. — ORCHIDÉES. Anthère entièrement adhérente et connée au gynostème. Mas- ses polliniques pourvues d’une caudicule. Souche bulbeuse, charnue, sans tuniques, à bulbe formé par la base renflée des bourgeons, qui se développent en tige foliacée et folifère, dont la base produit des racines non ramifiées. Labelle sans. épéron........4.4..1., Jet ORN MERS e | Labelle prolongé à la base en éperon plus ou moins long ou simplement bossu:... Re TR 3 Ovaire tord. iso tee eee eee Aceras. Ovaire non Lordu:. 3, SERRE Ophrys. Labelle simplement bossu à la base, connivent avec les 2 autres folioles du périanthe, 3-lobé................... Herminium. ‘) Labelle prolongé en éperon plus ou moins long, non connivent avec les autres folioles..................... Æ % Labelle indivis, linéaire. Eperon très long............. Platanthera. 'Labelle 2-lobé ou 3-denté..... RS PNR. 5 Lobes du labelle enroulés en spirale, très longs, li- DS DOAIRES,. eu een tic ape eos nec CNE ETIE Satyrium . Lobes du labelle non enroulés en spirale.............. 6 Masses polliniques unies par leurs rétinacles soudés en un seul corps logé dans une bursicule uniloculaire.... Anacamptis, 6.4 Masses polliniques distinctes. Rétinaces logés chacun dans une des cavités d'une bursicule biloculaire, ou non renfermés dans une bursicule..............:.,. sat Rétinacles logés chacun dans une des cavités d' une bur- sicule biloculaire..........eset escale Jet 00 NN . Orchis. Rétinacles non enfermés dans une bursicule....... .…. Gymnadenia. OPHRIS L. — Périanthe à folioles extérieures étalées, les intérieures latérales plus petites, dressées. Labelle sans éperon, entier ou 3-lobé, Masses DONRUES à rétinacles Ds L4 ORCHIDÉES 397 = logés chacun dans une bursicule distincte. Ovaire non tordu. Bulbes entiers. 1 Labelle entier ou era émarginé....... 2 Lébellé trilobé........,.: LÉ ALT ENST EEE 5 to Labelle velouté, brun- pourpre , marqué d'une tache verdâtre, glabre, terminé par un ap- (4): ° pendice glabre, ‘vert jaunâtre, dirigé en avant. O. arachnites HoFFM. *) Labelle velouté, brun-jaunätre, marqué de 2-4 lignes blanchâtres ou verdâtres, disposées sy- métriquement, sans appendice terminal. ...... O. aranifera Hups. Labelle velouté, brun roussätre, marqué d'une tache glabre blanc bleuâtre, 3-lobé, à lobe moyen s-1bé.... 4: 40: #54 Ses: O. muscifera Hups. 3.4 Labelle velouté, brun pourpre, marqué d’une tache glabre verdàtre; 3-lobé, à lobe moyen 3-lobé, le lobule médian terminé par un ap- pentdiee 2iabres: 2e ere raoadaseé dus .... ©. apifera Hups, Fig. 521. — Ophrys aranifera. Fleur. ACERAS R. Br. — Périanthe à fo- lioles extérieures toutes conniventes en casque avec les deux intérieures supérieures. Labelle sans éperon, pen- dant, allongé, à lobes linéaires, le moyen bifide. Rétinacles des mas- ses polliniques unis en un seul corps logé dans une bursicule uniloculaire. Ovaire tordu. Bulbes entiers, A. anthropophora R. Br.-—Seule espèce. Plante à feuilles oblongues lancéolées, à fleurs jaune-verdâtre, bordées et rayées de rouge-brunâtre, Rare. Fig. 522. — Ophrys muscifera. FLORE DE PARIS, 23 7 + 398 MONOCOTYLÉDONES ORCHIS L. — Périanthe à folioles extérieures conniventes avec les deux intérieures supérieures , ou bien les latérales extérieures étalées ou réfléchies. Labelle prolongé en éperon, trilobé, à lobe moyen entier, bifide ou bilobé. Masses polliniques à rétinaeles indépendants, logés dans une bursicule biloculaire. Ovaire tordu en spirale. Bulbes entiers. Périanthe à folioles extérieures toutes conniventes en casque avec les deux intérieures supérieures. Périanthe à foliole extérieure supérieure seule connivente en casque avec les deux intérieures, les deux extérieures latérales étant étalées ou ré- HéCRIES APN MER PER ECTS PART DC 0 cs Lobe moyen du labelle entier ou simplement émar- TR RE AC TEE A Je PURES HONTE Lobe moyen du labelle bifide........ share Lobe moyen du labelle entier. ue: arqué, aigu à l'extrémité. Fleurs à casque rouge vineux, à labelle verdâtre ou pourpre-brunâtre, blanchâtre à la base, ponctué de see Forte odeur de DUMAS MEN Ce esiene oo de PE à Lobe moyen du labelle émarginé. Eperon presque droit, élargi et tronqué à l'extrémité. Fleurs rose- lilas où violettes, à casque veiné de vert, à labelle offrant des taches blanches ponctuées de LTAS TE TRE ARS CE des er scores tee y] Lobe moyen du labelle bifide, à peine plus large que Îles Taléraux......4,.e.:.cecce SOUS Lobe moyen du labelle bifide, beaucoup plus large que les latéraux, très élargi de la base à l'extrémité, ses lobes secondaires étant beaucoup plus larges que les lobes latéraux............... Lobe moyen du labelle bifide, à lobes secondaires courts et presque parallèles, Fleurs petites, à casque pourpre foncé, presque noirâtre, à labelle blanc, ponctué ou taché de pourpre..........., Lobe moyen du labelle bifide, à lobes secondaires allongés, linéaires. Fleurs à casque rose, blanc ou cendré, labelle blanc ou rosé, ponctué de pourpre où couvert de petites houppes pourprées. Fleurs à casque rose ou blanc cendré, ponctué et strié de lilas en dehors, à labelle blanc ou rosé, ponctué de houppes purpurines.:, 12.242 Fleurs à casque pourpre foncé, veiné-ponctué, à labelle blanc ou rosé, ponctué de RourRes purpu- rINESUS AE dlalteeleite ss. sers oesssoses.e Bülbés ENTIER. NT. eee ASE RER Bulbes palmés........... 2 nie eee tee ISLE nr Bractées florales membraneuses, colofées, à une seule nervure peu distincte. Fleurs en épi lâche, purpurines ou rarement blanches....... PTE Bractées florales membraneuses, herbacées ou co- lorées, à 3-5 nervures très visibles. Fleurs en épi lâche, colorées en pourpre foncé ou en violet pâle -ou presque "blanches... Mmaseti ene O. coriophora L. O. Morio L. 5 O. ustulata L. O. Simia LAMK. O. militaris L. O. purpurea Hups. 8 9 O, mascula L. O. laxiflora LaMK : Fig. 524. Fig. 525. Orchis militaris. Orchis militaris. Fleur. Fleur; coupe longitud. Fig. 523. — Orchis militaris. Fig. 526. — Orchis militaris. Fruit; coupe transversale. Fig.527.,— Orchis mililaris. Bulbe, Fig. 528,— Orchis maculata. Bulbeë - 400 MONOCOTYLÉDONES Bractées presque toutes plus courtes que les fleurs, herbacées. Fleurs blanches, veinées ou tachées de pourpre ou de violet, rarement rose-päle ou 0.) Lilas 502" s.. cr0 O. maculata L. Bractées presque toutes plus longues que les fleurs, colorées. Fleurs rouge-vineux ou rose-päle, ponc- tuées ou striées de pourpre.......,........... . O latifolia L. Les Orchis militaris et mascula et, à un moindre degré, les O0. Morio, coriophora, ete., dont les bulbes sont entiers, ainsi que les O. maculata et latifolia, dont les bulbes sont palmés, contribuent à fournir le Salep, Le Salep est constitué par les bulbes desséchés, flétris. On l’emploie dans l’ali- mentation des enfants et des malades. Il est riche à la fois en fécule et en mucilage. SATYRIUM L. — Périanthe à folioles extérieures toutes conniventes en casque avec les folioles intérieures supérieures. Labelle prolongé en éperon court, divisé en lobes linéaires, très allongés et roulés en spirale pendant la préfloraison. Masses poliniques à rétina- cles soudés en un seul corps logé dans une bursicule uni- loculaire. Ovaire tordu en spi- rale. Bulbes entiers. S. hircinum L. — Seule espèce. Très facile à distin- ouer à ses fleurs colorées en blanc-verdâtre, rayées et ponctuées de pourpre en de- dans, avec le labelle brun verdâtre, à base blanche, ponctuée de houppes pur- purines. Odeur de bouc très “forte. Fig. 529. — Satyrium hircinum. Fleiit. ANACAMPTIS Ricx — Périanthe.à foliole extérieure supérieure dressée et un peu connivente avec les folioles inté- rieures supérieures, les deux folioles intérieures latérales étant étalées. Labelle large, prolongé en éperon filiforme et divisé en trois lobes courts, pourvu, au-dessus de sa base, de deux petites lamelles saillantes. Masses polliniques à rétinacles sou- dés en un seul corps logé dans une bursicule uniloculaire. Ovaire tordu en spirale. Bulbes entiers. A. pyramidalis Rica. (Orchis pyramidalis L.) — Seule es- pèce. Fleurs en épi compact, roses. HERMINIUM Ricu. — Périanthe à folioles extérieures toutes «a JONCAGINÉES 404 conniventes en cloche avec les deux intérieures supérieures. qui sont munies d’une dent vers le milieu. Labelle connivent avec les autres folioles, divisé en trois lobes linéaires, entiers. Masses polliniques à rétinacles indépendants, sans bursicules. Ovaire tordu. Bulbes entiers. H. Monorchis R. Br. — Seule espèce. Fleurs petites, nom- breuses, jaune-verdâtre, à odeur de fourmi très marquée. Bulbe principal globuleux, émettant au niveau de sa base 2-3 autres bulbes beaucoup plus petits et longuement pédicellés. GYMNSDENIS B. Br. — Périanthe à folioles extérieures toutes conniventes en casque avec les deux intérieures supé- rieures, ou les latérales extérieures plus ou moins étalées. La- belle prolongé en éperon et 3-denté ou 3-lobé. Masses pollini- ques à rétinacles indépendants, sans bursicules. Ovaire tordu en spirale. Bulbes palmés. Fleurs en épi compact, allongé, aigu, ro:es ou pur- purines, à odeur faible, agréable. Périanthe à fo- lioles extérieures latérales étalées................ G. conopsea R. Br. Fleurs en épi oblong, lâche, verdâtre, avec le labelle jaune-verdätre ou rougeûtre. Périanthe à folioles extérieures toutes conniventes avec les folioles inté- FEU SUREMNOURES Des Échos ST nés RU 2 de G. viridis Ricx. PLATANTHERA Ricx -- Périanthe à foliole extérieure supérieure connivente avec les intérieures supérieures, les ex- térieures latérales étalées. Labelle linéaire, allongé, indivis, prolongé en un très long éperon. Masses polliniques à rétinacles indépendants, sans bursicules. Ovaire tordu en spirale. Bulbes entiers. P. chlorantha Cusr. — Plante n’offrant, d'ordinaire, que deux feuilles situées au bas de la tige. Fleurs en épis lâches, très odorantes, assez grandes, blanches, avec le labelle et l’épe- ron vert jaunâtre. Famizze XCVII. — JONCAGINÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Réceptacle convexe. Périanthe 6-mère, à folioles herbacées, indépendantes, sur deux verticilles alternes, presque toutes semblables. Etamines 6, hypogynes, à anthères biloculaires, extrorses. Ovaire supère, 3-6-carpellé, à carpelles indépendants ou unis seulement par la base, 1-2-ovulés, à ovules anatropes, insérés dans l’angle interne des carpelles. Fruit sec, composé de 3-6 follicules. Graines sans albumen. Plantes à tige non 402 MONOCOTYLÉDONES ramifiée, à feuilles alternes, engainantes à la base, munies Fig. 530. Triglochin. Sommité florifère. d’une ligule au point d'union du limbe et de la gaine. Fleurs en grappe ou en épi terminal. Affinités. — Par l’organisation de leur fleur, les Joncaginées se rapprochent des Alismacées et des Liliacées. Par leurs organes végétatifs, elles ne manquent pas d’analogies avec les Joncacées et les Graminées. TRIGLOCHIN L. — Caractères de la famille. T. palustre L. — Petite plante des marais, à souche cespiteuse, à tige grêle, haute de 15 à 45 centim., effilée, non ramifiée, à feuilles toutes radicales, semi-cylindriques. Fame XCVIIL — JONCACÉES. Caractères constants, — Fleurs régulières, hermaphrodites. Périanthe 6-mère, à folioles scarieuses, brunâtres, sur deux verticilles. Etamines 6, rarement 3 par avortement, hÿpo- gynes, à anthères biloculaires, introrses, dé- hiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, indépendant, 3-carpellé, 3-loculaire, à loges multi-ovulées, ou 1-loculaire, à loge 3-ovulée. Ovules anatropes, insérés sur le bord interne des cloisons ou au fond de la loge. Fruit capsulaire, 3-loculaire, loculicide en 3 valves, ou 1-loculaire, 3-sperme. Graines albu- minées. Plantes terrestres, à souche cespiteuse ou traçante, ordinairement vivace. Tiges feuil- lées ou aphylles, terminées par un nombre variable de rameaux courts qui portent les fleurs et qui nais- sent à l’aisselle d’une bractée membraneuse ou foliacée. Ra- meaux floraux formant d'habitude une cyme ou un corymbe, munis chacun à la base d’une gaine tubuleuse (préfeuille). Fleurs petites, brunâtres. Feuilles engainantes à la base comme celles des Graminées, tantôt planes, linéaires, étroites, ressem- blant à celles des Graminées, tantôt cylindriques et offrant alors, parfois, de distance en distance, des renflements ou des diaphragmes épais simulant des nœuds et perceptibles surtout quand on presse la feuille entre les doigts. Affinités. — Par l’organisation de leur fleur, les Joncacées JONCACÉES 403 sont très voisines des Joncaginées. Par leur port, elles se rap- prochent davantage des Graminées et des Cypéracées. Deux genres : Feuilles à limbe plan, ordinairement poilu. CORRE 1-loculaire, 3-SPETME ...s.sss server LUE 5 HU JS ER SAR Luzula. Feuilles à limbe cylindrique ‘ou canaliculé, ‘rarement presque plan. Capsule 3-loculaire ..... DAS LITE VE ses ati Den SP AMRCUS. LUZULA DC. — Capsule 1-loculaire, 3-sperme, loculicide en 3 valves. Graines insérées sur le fond de la loge. Feuilles planes, poilues, semblables à celles des Graminées. Inflorescence affec- tant d'ordinaire la forme d’un corymbe terminal, dont les rameaux portent des fleurs solitaires ou des fleurs réunies en glomérules ou en épis. Fleurs solitaires au sommet de ra- muscules formant de petites cymes 2-4 flores dont l’ensemble constitue 1 un CORPS 24. dune nan « - Fleurs en glomérules ou en épis formant des cymes............. . 3 { Rameaux et ramuscules de l'inflo- rescence dressés ou à peine étalés à la maturité. Feuilles linéaires, ° ET: Le VPN RER NRSSRRECRES EEE L. Forsteri DC. 7") Rameaux et ramuscules de l'inflo- rescence étalés ou réfractés à la maturité. Feuilles linéaires, lan- VASE an eu safe e Jenna lee ets L. vernalis DC. Fleurs en glomérules 2-5 flores ; glomérules nombreux, formant 3 des cymes composées, étalées à LR TE CT ART AE A L. maxima DC, Fleurs en épis 6-15-flores, disposés ERCOPAREOSS.. F7. 5310 NCAA L. campestris DC. JUNCUS L. — Capsule 3-loculaire, à loges polyspermes, déhiscente en trois valves portant les cloisons sur lesquelles sont insérées les grai- nes. Feuilles glabres, rarement presque planes, ordinairement canaliculées ou cylindriques.Fleurs solitaires ou en glomérules sur des ramuscules qui forment des corymbes ou des panicules termi- naux, semblant parfois être latéraux, parce qu’une feuille continue la direction de la tige florifère. Fig. 531. Juncus effusus. Tige nue, munie à la base de feuilles sans limbes, réduites à l'état d'écailles engai- FR nantes. Inflorescence en apparence latérale. 2 Tige ordinairement feuillée, rarement nue. Feuilles pourvues d'un limbe cylindrique, canaliculé ou plan. Inflorescence terminale. 3 L Le 4, +9 LPNÈRE SK a 40% MONOCOTYLÉDONES Tige à moelle non interrompue. Ecailles en- gainantes vertes ou brunâtres, non lui- 2,4". sanles. re de vers SE OMR . J.effusus L. Tige à moelle interrompue. Ecailles engai- nantes brunes, luisantes..... ge nn pre TRI . J. glaucus Eurn. Fleurs en glomérules. Feuilles cylindriques ou cylindriques-comprimées, plus ou moins 3.4. NOUCUSEBA.. LATE MON EEE Ce DE 4 Fleurs solitaires. Feuilles planes ou canali- culées, sans nœuds............ CR Te 8 Plantes annuelles, à racines fibreuses....... o 4, Plantes vivaces, à souche cespiteuse, ou ram- papte;Qu'irarante.. 22%... +-m-cr-rc CES 6 - Feuilles filiformes ou presque sétacées, à 5 nœuds espacés. Glomérules 1-4....,....,.. J, pygmæus THUILL. °‘) Feuilles canaliculées, sans nœuds. Glomé- rules: Solar à rc tue ae Re . J. capitatus WEIG. \ Souche longuement traçante............... 7 Souche subcespiteuse, un peu rampante. Feuilles cylindriques-comprimées , forte- ment noueuses. Glomérules 4-12 flores, en cymes formant un corymbe irrégulier, peu ÉD. = rune cou soeur RUE J, lamprocarpus Exrx. Feuilles radicales toutes réduites à l’état de gaines jaunàtres, sans limbe, où à limbe très court en forme de mucron. Feuilles supé- rieures fortement noueuses..,............. J, obtusiflorus Enrx.. Feuilles toutes munies d’un limbe fortement RO ORRS . M res re CEA ... J. sylvaticus REICH. Tiges nues. Feuilles toutes radicales......, J. squarrosus L. Figes portant 1-2 feuilles...........,..,02. 9 Plantes vivaces, à souche traçante ......... J. bulbosus L. Plantes annuelles, à racines fibreuses...... Tige portant 1-2 feuilles. Capsule non dé- passée par les folioles du périanthe........ J. Tenageia Eur. Tige portant une seule feuille. Capsule lon- guement dépassée par les folioles du pé- PRE + « suce dau ne RAA ass ns soin este se ON NOIRE, fl 8. © 10, Fauizze XCIX. — POTAMÉES. Caractères constants. — Fleurs régulières, hermaphrodites. Périanthe 4-mère, herbacé. Etamines #4, à anthères biloculaires. déhiscentes par des fentes longitudinales. Ovaire supère, à 4 carpelles indépendants, sessiles ou pédicellés, ordinairement 1-ovulés. Ovule orthotrope, suspendu. Fruit formé de 4 carpelles indéhiscents. Graines sans albumen. Embryon macropode, à cotylédon enroulé en crosse à l’extrémité. Plantes aquatiques, vivaces, herbacées, ramifiées. Feuilles toutes submergées ou les terminales seules nageantes, à limbe plus ou moins large, ordinairement stipulées. Fleurs en épis axillaires. Affinités. — Les Potamées sont voisines des Joncaginées, dont elles ont le gynécée pluri-carpellé, à car- pelles indépendants. Leur ovule orthotrope les rapproche des Gra- minées. POTAMOGETONT. — Fleurs régulières et complètes, hermaphro- dites, en épis pauci- ou pluri-flores, axillaires. Périanthe à 4 folioles. Etamines #4. Ovaire à 4 carpelles. Feuilles al- ternes, celles des rami- fications dichotomes étant seules opposées, ou bien toutes oppo- sées. Fleurs se déve- loppant hors de l’eau. POTAMÉES LI Baur Pine Fig, 532, — Polamogelon perfoliatus. Feuilles alternes, celles des dichotomies 1.9 étant seules opposées. ..,.:..4...:2...... Feuilles-toutes opposées... se ee P. densus L. Stipule connée avec la face interne de la gaine de la feuille qu'elle dépasse sous forme HER one « P. pectinatus L,. Stipule non connée avec la gaine de la feuille. Pas de ligule Me RP EE LL Feuilles toutes submergées, transparentes, membraneuses, de même forme.......... 4 larges et d’une autre forme que les infé- D re ON ES PR Io Feuilles supérieures nageantes, coriaces, plus: AA RM ES EST ER 9 { Feuilles toutes submergées, exactement li- néaires, à nervures droites et parallèles, semblables à des feuilles de Graminées.... 5 4.4 Feuilles toutes submergées, rarement les supérieures émergées, toutes ovales-oblon- gues, ou lancéolées, à nervures très ordi- \ nairement arquées-convergentes.......... 6 Tiges comprimées, ailées, presque foliacées. Feuilles linéaires, à nervures nombreuses. P. aculifolius Link 9.4 Tiges presque cylindriques ou légèrement comprimées, mais jamais ailées. Feuilles linéaires, étroites, aiguës, à 3-5 nervures... P. pusillus L. 23. 406 MONOCOTYLÉDONES Feuilles fortement ondulées, crispées, sessi- 6 les, oblongues, étroites......,.,..,.. « P, crispus L. Feuilles planes ou un peu ondulées, non CTISPÉ Rise » se es «rene se 7 Feuilles sessiles, à base fortement cordée et « Feuilles ‘Détiolées same. RS . Feuilles toutes exactement de même forme, courtement pétiolées, oblongues, lancéolées, atténuces à la Re ondulées et scabres au Feuilles supérieures pétiolées, ovales, aiguës, légèrement cordées à la base, les “infé- rieures non cordées, pétiolées ou atténuées amplexicaule, paraissant L'ps à ED a perfolialus L. bords 55 SR TT RARE NES P, lucens L. en pétiole, oblongues, lancéolées.......... pe plantagineus Ducr. 1 Feuilles toutes longuement pétiolées. serie Feuilles supérieures pétiolées ou atténuées en pétiole, les inférieures sessiles..... 68 ET après la floraison. Epis fructifères làches et présentant des lacunes par l'avortement Feuilles inférieures à limbe persistant après la floraison. Epis fructifères courts et com- d'une partie des carpelles.......,...2... . P. natans L. PACS Ted ER à de Ra D De RUE ee EU P, polygonifolius Pourr. Feuilles supérieures oblongues-obovales, in- sensiblement atténuées en pétiole, les in- férieures sessiles, lancéolées, allongées, Pé- Feuilles supérieures ovales ou oblongues, longuement pétiolées, les inférieures ses- \ | inférieures à limbe pourrissant { [l | siles, petites, étroites, ondulées. Pédon- doncules non renflés au sommet.......... P. rufescens ScHRAb. cules renflés au sommet.........,....... ÆP. gramineus L. Fame C. — NAIADÉES. Caractères constants. — Fleurs incomplètes, monoïques ou dioïques. Périanthe nul ou remplacé par une spathe membra- neuse, monophylle. Etamine 1 (dans les fleurs mâles). Ovaire (dans les fleurs femelles) libre, à 2-3 ou 2-6 carpelles, uni- loculaires, uni-ovulés. Fruit formé des carpelles indépendants, indéhiscents. Plantes submergées, à tiges ramifiées, à feuilles alternes, opposées, ou ternées. Fleurs très petites, peu appa- rentes, axillaires. Affinités. — Les Naïadées sont très voisines des Potamées, dont elles ont les carpelles indépendants, mais dont elles se distinguent par leurs fleurs plus réduites. Trois genres : 1,{ Fleurs dioïques........ FES LR EN LOL OC Cr Fleurs monoîques.:,.. Mets, ONG : Fleurs mâles sans RS réduites à l'étamine. Anthère 2 à 2- ou 3-4 loges........1.:....4..: uen etre csssie Fleurs mâles munies d’une spathe tubuleuse, envelop- pant l'étamine. Anthère à une seule loge....,,...,... Naïas. 2 Zannichellia, Caulinia. cdd idée: NAIADÉES-LEMNACÉES 407 ÆZANNICHELEIA L. — Fleurs monoïques, solitaires, ou une mâle «et une femelle à l’aisselle de la même feuille. Fleur mâle formée par une seule étamine, sans spathe, à anthère 2-locu- laire ou 3-4 loculaire. Fleur femelle formée d’une spathe mo- nophylle entourant la base de l'ovaire, qui est formé de 2-6 rant de l’endocarpe, qui est osseux........ .. Cladium. ©") Achaines à épicarpe ne se séparant pas de l’en- JOCAPDE La sen sr na 8 ete à 640 DIE DNE 3 Epillets pauciflores, à plusieurs écailles infé- rieures stériles, plus petites que les supérieures. Æhynchospora. 3. Epillets ordinairement multiflores, à 1-2 écailles inférieures stériles, plus grandes que les supé- ROUTES are ee 2 ns ee Ge ee? Sa te o ee s PIE L' 118 mé >, CYPÉRACÉES 413 - _ f Epillets solitaires , terminaux. Achaine sur- __ \ monté de la base du style renflée........... Heleocharis. - 4.< Epillets ordinairement plus ou moins nombreux. Achaine mueroné par la base du style non M. a mened-c ge que seenaseuipase ee Scirpus. SCIRPUS L. — Epillets ordinairement multiflores, à écailles inférieures 1-2 stériles, plus grandes que les autres: Soies hypo- gynes 6 ou nulles, plus courtes que les écailles. Achaine mu- croné par la base non renflée du style, à épicarpe ne se sépa- rant pas de l’endocarpe. Epillets ordinairement plus ou moins nombreux, rarement solitaires et terminaux. Tige rameuse ou simple, feuillée ou aphylle. Inflorescences terminales ou ren- dues en apparence latérales par une bractée parfois très longue- qui prolonge la tige. Epillets solitaires et termipaux............ 2 ‘| Epillets plus ou moins nombreux.......... 4 Tige cylindrique, sans feuilles, munie à la base d'une gaine itronquée ou terminée #. paran. très peut Mmbe......... 2... Tige feuillée, couchée ou nageante........ S. fluitans L. Gaine basilaire de la tige tronquée, sans 3 aucune trace de limbe................... S. pauciflorus LiIGHTF. ‘) Gaine basilaire de la tige surmontée d’un HÉDD ES ÉCES EURE Se 20 same te de S, cespitosus L. Inflorescence terminale, jamais pseudolaté- s. ralos.. site made de url à RO rc à EE 6) Inflorescence pseudolatérale .............. 7 Epillets nombreux, disposés en un épi ter- 5 | oi te Lo I I PL LS PR ET OR S, compressus PERS. *) Epillèts nombreux, disposés en une pani- cule simple ou composée.......,........ Su: Feuilles plus courtes que la tige. Ecailles obtuses ou aiguës, jamais bifides au som- GB < me. 2e ag ad A dde S. sylvaticus L, Feuilles plus longues que la tige. Ecailles bifides au sommet....,.......... 1. dat S. maritimus L. Plantes annuelles, sans rhizome, Ecailles , non échancrées...... Des ct Aer anis mx 8 *) Plantes vivaces, à rhizome très longuement traçant. Ecailles échancrées, mucronées.. S. Zacustris L. Bractée terminale beaucoup plus courte que 8 la tige qu’elle prolonge.................. S. setaceus L. ) Bractée terminale presque aussi longue et aussi épaisse que la tige qu'elle prolonge. S. supinus L. HELEOCHARIS R. Br. — Epillets ordinairement multi- ù flores. Ecailles imbriquées sur plusieurs rangs, les 1-2 infé- rieures stériles, plus grandes que les supérieures. Soies hypo- gynes 6, ou moins, ou nulles, plus courtes que les écailles. Achaine surmonté par la base renflée et persistante du style. - Epillets solitaires, terminaux. Tige sans feuilles, munie à la base de gaines foliaires sans limbe. 41% MONOCOTYLÉDONES 1. { Stigmates 2.............. PPT das ELLE MOSHEMALRS Sue LED AE ES DE 4 Ecailles de l'épillet aiguës. Plantes vivaces, * à rhizome traçant.................... 3 "‘) Ecailles de l’épillet obtuses. Plante an- nuelle . PRE AO De En 4 ma H. ovata R. Br. Ecailles infétieures (2) vertes, stériles, n’em- brassant chacune que la moitié de la base de-l'épillet. ibn #2: dut osent H. palustris R. Br. Ecaille inférieure (1) scarieuse, stérile, em- brassant presque toute la base de l’ épillet. À. uniglumis R. Br. Souche cespiteuse, n’'émettant pas de rhi- zomes. Achaine brun-noirätre, à trois an- gles dieus) ss... made . 11, multicaulis Drerr. 4.4 Souche cespiteuse, émettant des rhizomes fiiformes. Achaine blanchätre, obscuré- ment trigone, marqué de côtes longitudi- nales et de rides transversales....,...... 7, acicularis R. Br. we) RHYNCHOSPORA Van. — Epillets pauciflores, à fleurs tantôt toutes hermaphrodites, tantôt l’inférieure hermaphrodite ou femelle, les autres mâles. Ecailles imbriquées sur plusieurs rangs , les inférieures stériles, plus petites que les autres. Soies hypogynes 6, ou plus ou moins, parfois avortées. Achaine surmonté par la base du style renflée et persistante. Epillets assez nombreux, rapprochés en glomérules ou en fascicules formant un corymbe ou une panicule terminale. Tiges feuillées. Souche cespiteuse. Epillets blanchätres....... À, alba Vaur. Souche traçante. Epillets brunätres........., À. fusca Rœm. et Scuzr. CLADIUXM P. Br. — Epillets 1-2-flores. Ecailles imbriquées sur plusieurs rangs, les inférieures stériles, plus petites que les autres. Pas de soies hypogynes. Achaine mucronulé par la base non renflée, persistante, du style. Epicarpe crustacé, se séparant de l’endocarpe, qui est osseux. Epillets nombreux, en glomérules formant des corymbes axillaires et terminaux. Tiges feuillées. €. Mariscus R. Br. — Seule espèce. Souche épaisse, éme - tant des rhizomes traçants. Tige atteignant plus d'un mètre de haut, ERIOPHORUM L. — Epillets multiflores. Ecailles imbriquées sur plusieurs rangs, presque égales. Soies hypogynes très nom- breuses, beaucoup plus longues que les écailles, accrescentes, d’un blanc brillant. Epillets solitaires, à l'extrémité de rameaux assez nombreux, penchés, ou un seul à l’extrémité de la tige. Tiges feuillées. Un seul épillet à l'extrémité de la tige, EUrERSe . evo rRen ce sense cesdete is OUUDNUNE Plusieurs épillets au sommet de la tige...... CYPÉRACÉES 415 Pédoncules des épillets scabres ou rudes-to- MENTON Se M ds 10: ele où Looeie ad 6 Sac 3 Pédoneules des épillets lisses et glabres. Feuilles canaliculées, carénées, PARUS au SOMMEL.......... Dre LAN TON R'HLTE TS E. angustifolium RoTx. Pédoncules des épillets scabres, non re 3.) teux. Feuilles planes, triquêtres au sommet. Æ. latifolium Hope *) Pédoncules des épillets rudes, tomenteux. Feuilles canaliculées, carénées, triquêtres.. Æ. gracile Kocu w Tribu II. — CYPÉRÉES. Fleurs hermaphrodites. Epillets comprimés. Ecailles imbri- quées sur 2 rangs opposés. Pas de soies hypogynes. Epillets multiflores.......,......... .… Cyperus. Soies hypogynes 3-6 ou moins. Epillets 1-6 flores......,.... .… Schœnus. CYPERUS L. — Epillets multiflores. Ecailles imbriquées sur 2 rangs opposés, pliées-carénées, toutes fertiles et égales ou les 1-2 inférieures stériles et un peu plus petites. Pas de soies hypogynes. Epillets en fascicules formant une tête ou un corymbe terminal. Inflorescence entourée d’un involucre de bractées plus longues que les épillets. Blammes 2. -Sugmrates 3... 1.2 dise Soganrenee + GC’ fusoue-E. Himminens 2. chpmates 2. .<.:.25au un SNS Rte C. flavescens. L. Ftamines 3, fiemales 3 ....,L87:. 002246. 2 DUR. C. longus L. SCHŒNUS L. — Epillets 1-6-flores. Ecailles imbriquées sur 2 rangs opposés, les inférieures stériles, plus petites. Soies hypogynes 3-6 ou moins, ou nulles. Epillets en fascicule termi- .nal, compact. Inflorescence entourée de bractées larges et scarieuses dans le bas. S. nigricans L. — Seule espèce. Souche cespiteuse, produi- sant de nombreuses tiges hautes de 30 à 60 centimètres. Tribu III. — CARICÉES. Fleurs monoïques ou dioïques. Ecailles des épillets imbriquées sur plusieurs rangs. Pas de soies hypogynes. Ovaire enveloppé d’une bractée utriculeuse, ouverte au sommet et laissant pas- ser les stigmates. CAREX L. — Fleurs disposées en épis ou en épillets tantôt ne portant que des fleurs d’un seul sexe, tantôt portant à la fois des fleurs mâles et des fleurs femelles. Ecailles imbriquées sur plusieurs rangs. Fleur mâle réduite à 2-3 étamines. Fleur femelle réduite à un ovaire enveloppé d’une utricule munie au 416 sommet d’une ouverture par laquelle passe le style, accrescente avec le fruit. Tiges simples, trigones, feuillées. > © MONOCOTÉLYDONES Tige terminée par un seul épillet.. Tige portant un nombre variable d' épis ou d’épillets diversement dis- posés .... Epillet ne portant que des fleurs d'un seul'et:même Sexe. EAU eee Epillet portant à la fois des fleurs mâles et des fleurs femelles, les femelles en bas, les mâles en haut....... Souche cespiteuse. Tige scabre ..... Souche rhizomateuse, grêle, traçante. IMPOSER Fleurs en épis ne portant chacun que des fleurs d'un seul et mème sexe; épis terminaux mâles, les inférieurs nn nn mm temelles tr APR ENLEeRTIRRNER Fleurs en épillets disposés en épi ou en \pamonteses ! eine dde aire NA Stigmates 2...... PARU nine e Stigmate net pie ee Feuilles linéaires, plus longues que la tige. Bractée inférieure ï, étroite, atteignant à peine le sommet de la tige Feuilles linéaires, plus ‘courtes que la tige. FPT ei Bractée inférieure 1, étroite, dépassant à peine l’épi femelle inférieur. Epi MATOS Arte enceinte et els Bractées inférieures 2-3, larges, dé- passant la tige. Epis mâles 2-3..... Utricules sans bec ou à bec court et cylindrique, tronqué obliquement ou bidenté, à dents non divergentes. Epillet mâle ordinairement solitaire. Utricules à bec aplati, allongé, bi- denté ou bicuspidé..... Utricules pubescents ou tomenteux. Utricules glabres ou hispides seule- ment sur les angles...... Bractées non engainantes... Bractées engainantes., Utricule simplement pubescent....,. Utricule tomenteux. Souche à rhizo- mes tracants..,... . Ecailles aiguës, terminées par le pro- longement de la nervure médiane. Epis femelles sub-globuleux .... Ecailles obtuses ou échancrées, mu- cronées, non terminées par le pro- longement de la nervure médiane. . Ecailles finement ciliées, brunes, sca- rieuses, blanchâtres aux bords.. Ecailles brun-noirâtre, non ciliées, obtuses ou échancrées, mucronées., CCC …........ pv... ss... CE 2 4 C. pulicaris L. C. Davalliana Su. C. dioica L. C. Goodenovii J. Gay 7 C. cæspitosa L. C, acuta L. 9 22 10 17 11 14 12 C. tomentosa L,. C. pilulifera L. 13 C. ericetorum PoLL C. montana L. Fig. 541. Fig. 542. Carex cæspilosa. Carex pallescens. Feuilles aussi longues ou plus lon- She Que la Ge... 1... eus Feuilles plus courtes que la tige. Feuilles beaucoup plus longues que la tige, sétacées, canaliculées, rai- des. Epis femelles 2-3, courts, 2-3- 14. a Feuilles aussi longues ou un peu plus longues que la tige, planes ou carénées. Epis femelles 1-2, multi- HORDE. 5% sûre patrons etes it . Epis femelles 4: 3, ovoides, oblongs, Maifares... cc RS Epis femelles 3-4, nés allongés, läches, 6-8-flores.. sossnsossouse Fig. 543. Carex hirta. 15 16 C. humilis Leyss. C. polyrrhisa WaALLr, C. præcox JAcQ. C. digitata L. 18. | | 28. MONOCOTYLÉDONES Epis femelles dressés ou simplement ÉtAléSL eh sie seules et eeedete ent Epis femelles penchés à la maturité. Utricules non luisants, à bec très court, tronqué. Epis femelles 2-3, espacés, dressés, cylindriques, lâches. Utricules Aluisants- nee Utricules luisants, sans bec, verts. Epis femelles ?- 3, ovoides, rappro- chés, un peu étalés à la maturité. Feuilles molles, pubescentes...,.... Utricules luisants, brunâtres, à bec bidenté. Epis femelles 2-3, ovoïdes, oblongs, dressés, un peu rappro- chés, Feuilles raides........ RE A Epis mâles 2-3, très rarement un seul, Epis femelles longuement pédoncu- lés, cylindriques, espacés. Souche rhizomateuse, traçante..,...." Epi male solitaire. Epis femelles courtement pédonculés, ou sessiles. SoOUCHE CÉSMITEUSE . res esse Epis femelles tous sessiles ou à pé- doneule inclus dans la gaine, cylin- driques, compacts. Tige de 80 cen- ins. à ADO. Se ad ee 2025 600 Epis femelles courtement pédoneu- lés, les inférieurs seuls à pédoncule dépassant la gaine, lâches, linéaires, grèles. Tige 40 à 80 centim, de haut. Utricules bidentés, à dents non diver- gentes:..ssshecsssssossesese. ae Utricules bifides, à pointes diver- gentes........ SOIO FOOD O0 ….... Epi mâle. Ssolitaire......,...... sa te Epis mâles 2-3. Feuilles beaucoup plus longues que la tiers Ecailles aiguës, à nervure médiane disparaissant vers le sommet....., Ecailles à nervure médiane prolongée ancdeli dussommet,......1.. 40. Bractées très étalées ou réfractées à laématnritet. .....:. see se sens Bractée inférieure dressée. ......,.. Dincules dressés. .....1..0. Utricules étalés, vert-glauque, gla- bres, atténués insensiblement en un bec bifide, bordé de cils raides..... Epis femelles 3-6- flores, lâches..,,..…. Epis femelles multiflores, compacts, ESPACÉS , conne oser ès so cesess Ecailles obtuses, mucronées par le prolongement de la nervure mé- diane. Partie de la ligule qui adhère au limbe foliaire très courte, tron- quée horizontalement....... Fe AC Ecailles ovales-lancéolées, cuspidées par le prolongement de la nervure médiane SE Se ET eee 18 20 C. panicea L. 19 C. pallescens L. C. obesa ALL. C. glauca Scor. 21 C, maxima Scop. C. strigosa Hups. 23 30 24 C. hordeistichos VILL, 29 26 C. flava L. C. fulva Goo. 27 C. Mairii Coss. et G. St, P, C. depauperata Goon, 28 C. distans L. 29 TT HÈ "D qi CYPÉRACÉES . 1 Partie de la ligule qui adhère au limbe foliaire allongée, oblongue. 29 Feuilles planes, raides............. ‘) Partie de la ligule qui adhère au limbe foliaire très courte, ovale ou tronquée. Feuilles planes, molles... 30 Utricules glabres........ re Une Utricules velus-hérissés. .... er Epi mâle solitaire. Epis femelles 4-6, pendants, groupés au sommet de la IPB De L ec ee Dares. Mae Epis mâles 2-5....... Ce Tige à angles obtus, lisses. Epis mäles 2-3. Utricules jaunâtres, presque globuleux.... SE CT Hurt Tige à angles aigus, plus ou moins scabres. . PÉDERERRERTENT Feuilles glaucescentes. Epis mâles à écailles brunes...... es 20e MR Feuilles jaunes-verdàtres. Epis mâles à écailles jaunâtres. Utricules jau- nâtres, ovales, coniques et renflés.. { Epis mâles à écailles brunes, toutes cuspidées, Utricules brunätres, con- vexes sur les deux faces.......... Epis mâles à écailles brunes, les in- férieures obtuses. Utricules blanc- brunâtre, comprimés. :...... Feuilles linéaires pubescentes...,... Feuilles linéaires, canaliculées, en- TOUS LATE. 7 eme ue ue | Souche cespiteuse, ou courte ‘et obli- 36. 31. UE... SR RE PT TT se Souche rhizomateuse , horizontale, - longuement traçante............... Epillets mäles au ie ; formelle Renée 54. 425: : ce Epillets femelles au sommet; épillets RER AR OS EE LL aVerreouse Souche cespiteuse... Souche rhizomateuse, courte, oblique. Epillets en épi serré, compact..... ‘ Epillets nombreux, en panicule al- longée, plus ou moins lâche....... Epillets en épi oblong, plus ou moins TORLHAUUENO M ee MAIRE sr se Utricules luisants, convexes et bossus sur le dos, non striés, présentant 1-3 plis divergents.......,......... Utricules ternes, convexes et bossus sur le dos, … est marqué de stries régulières. . Tige triquête, à angles aigus, à faces excavées. Feuilles “linéaires, larges. Tige triquêtre, à angles peu pronon- cés, à faces planes. Feuilles linéai- MOT AE LEOIROSE » Env retrait vote COR 38. ..... sun C. lævigata L. C. sylvatica Hups. 31 39 C. Pseudo-Cyperus L. 3? C. ampullacea Goon, 33 34 C. vesicaria L. C. riparia Curr. C. paludosa Goop. C. hirta L. C. filiformis L. C, teretiuscula Goo. 40 4l C. paniculata L. C. paradoxza Wizzo. C. vulpina L. C. muricata L. 490 MONOCOTYLÉDONES Epillets rapprochés en un glomérule subglobuleux, entouré d’un involuere 42. de 2-3 bractées allongées...... éà C. cyperoïides L. Epillets plus ou moins espacés ou en OPL. serre nee AE 43 ! Utricules dressés..... ARTS 44 43.1 Utricules étalés à la a ou ‘di- vergents en étoile............ sta: 40 Utricules plus longs que l’écaille axil- lante, non aïlés aux bords......... 45 Utricules pas plus longs que l'écaille axillante, comprimés aux bords en une aile membraneuse............ C. leporina L. Epillets 5-7, espacés, les inférieurs accompagnés de bractées foliacées plus longues que la tige........... C. remota L. Epis 5-6, espacés, les fuférieurs. ac- compagnés de bractées courtes.. C. canescens L. Ecailles ovales, obtuses. Utricules (ne ténués aux deux extrémités, étalés À Ta ROBE se un some ue e OS C. elongata L,. Ecailles ovales, aiguës. Utricules oblongs, divergents en étoile....... C. stellulata Goo. Epillets tous unisexués, nombreux, en épis, les supérieurs .et les infé- rieurs femelles, les intermédiaires males. nf ses ee mia ous» ee 2 0e TONER C. disticha Huos. Epillets les uns unisexués, les autres PRACEY nes, c’est-à-dire contenant à la fois des fleurs mäles et des fleurs femelles, ou bien tous androgynes.. 49 f Epilleis tous androgynes...... 50 Epillets les uns unisexués, les autres androgynes, les supérieurs mâles, les inférieurs femelles, les intermé- diaires androgynes. Utricules munis d'une large bordure membraneuse, \ denticulée....... Me ne sal px C. arenaria L. Utricules munis d’une Den luee Si 8 C. Ligerica J. Gay 49. Utricules sans bordure ou à peine bordés dans le haut............ ... C. Schreberi Scarancx Fame CV. — GRAMINÉES. Caractères constants. — Fleurs réduites , habituellement hermaphrodites, parfois unisexuées, monoïques ou plus rare- meut dioïques, disposées, en nombre variable, sur de petits axes qui ont recu le nom d’épillets et qui eux-mêmes sont tantôt sessiles sur un axe commun, de façon à former un véritable épi composé, tantôt longuement pédonculés et formant par leur ensemble une sorte de panicule. À la base de chaque épillet, on trouve soit une seule, soit deux bractées, désignées sous le nom de glumes (Richard donnait à l’ensemble de ces deux bractées le nom de /épicène). Le nombre des fleurs formant PO ON RE PAL RC D pe M dns ete à SRE Le à nu 7 GRAMINÉES | 421 chaque épillet et enveloppées, pendant la préfloraison, par les deux glumes est toujours peu considérable, et fréquemment une ou plusieurs d’entre elles avortent. Chaque fleur offre d’abord deux bractées inégales, nommées glumelles ou bäles : l’une, extérieure, à une seule nervure mé- diane ; l’autre, intérieure, à deux nervu- res latérales, sans nervure médiane. Cette dernière est considérée souvent comme for- mée de deux pièces, et les deux glumelles sont envisagées comme constituant un À périanthe typiquement trimère. En de- Fig. 544. dans et en face de la glumelle extérieure Androcée et Gynécée se trouvent deux écailles nommées glumel- de Graminée. lules; puis un androcée, à six, trois, deux ou une seule étamine, à anthère biloculaire, déhiscente par des fentes longitudinales. Fig. 545, — Anthozanthum odoralum. Fig. 546. — Diagramme d’un épillet Epillet uniflore. (à trois fleurs dont une stérile) d'Avoine. gl, gl, glumes; 6, 6, glumelles; p, p, glumellules; a, fleur stérile. Le gynécée se compose d’un ovaire uniloculaire et uni-ovulé, surmonté de deux ou rarement de trois stigmates. Le fruit est un caryopse, c’est-à-dire un fruit sec, indéhiscent, mono- perme, à graine adhérente au péricarpe et albuminée. L’em- bryon occupe l’une des extrémités de l’albumen; il est petit et offre une organisation très spéciale. La tigelle est courte: elle se termine en haut par une petite gemmule conique, en bas par une racine principale enveloppée d’une sorte d’étui qui a reçu le nom de coléorhyze; elle donne naissance sur les côtés à un FLORE DE PARIS, 24 422 MONOCOTYLÉDONES appendice latéral, désigné sous le nom d'écusson, qu’on a sou- vent considéré comme un cotylédon. L'opinion la plus pro- bable est que l’écusson constitue une simple hypertrophie laté- rale de la tigelle. Herbes à tiges aériennes fistuleuses, noueuses, à feuilles simples, allongées, pourvues de nervures parallèles, engainantes sur une longueur souvent considérable et munies,au niveau du point de jonction de la gaine et du limbe, d’une lan- guette membraneuse, de nature stipulaire, nommée ligule. Affinités. — Les Graminées ressemblent aux Typhacées par leur fruit à graine adhérente au péricarpe (caryopse) et par la réduction de leurs fleurs; mais leurs organes végétatifs, leur in- florescence et l'organisation de leur embryon les distinguent de toutes les autres Monocotylédones. Trois tribus : ‘ Epis toujours unisexués, dissemblables, les mâles termi- 1 \ naux, les femelles axillaires............ sessinese seeds TE: *) Epis hermaphrodites ou ROME RE Jamais tous uni- SU Re cree 0 2e Species sasr en Rs er à ds ets AUIE Epillets logés dans des excavations du rachis de l'épi... Triticées Epillets non logés dans des excavations du rachis de TE RENARD PEN cesse ee AS: Tribu I. — POÉES. Epis hermaphrodites ou polygames, jamais unisexués. Epillets: non logés dans des excavations du rachis de l’épi. Fleurs étalées ou fermées pendant l’anthèse. Deux sous-tribus : Fleurs fermées pendant l’anthèse.,......,,.........,... Anthoxanthées, Fleurs ouvertes pendant l’anthèse, .....,..,,..,........ Andropogonées. Sous-tribu I, — ANTHOXANTHÉES, Epis hermaphrodites ou polygames, jamais unisexués. Epil- lets non logés dans des excavations du rachis de l’épi. Fleurs fermées pendant l’anthèse. Epillets à une seule fleur hermaphrodite, toujours accompagnée d’une fleur inférieure mâle ou neu- tre réduite à 1 ou ? glumelles....... DE 2 1.4 Epillets formés soit d’une seule fleur hermaphro- dite, sans fleurs rudimentaires, soit de plusieurs » fleurs hermaphrodites accompagnées ou non de fleurs supérieures rudimentaires. ..,..,.,..... sièie Glume supérieure mucronée-aristée. Glumelles de 9 la fleur inférieure mâle ou neutre 2, l’inférieure 2}, -MucrOnée Où armée... lose 0 sente somee ie INR Glume supérieure mutique.............:4......0 GRAMINÉES Epillets entourés chacun d'un involucre unilatéral, formé de 2 ou plusieurs arêtes sétiformes. Epillets en panicule spiciforme . Epillets non entourés d'un involuere d'arêtes séti- formes ..... | Fleur hermaphrodite accompagnée à la base d’une nettes ones ns CRE fleur neutre représentée par une glumelle unique. Fleur hermaphrodite accompagnée à la base de deux fleurs neutres représentées chacune par une glumelle ......... OS AT | Glumelle unique, représentant la fleur neutre, mu- 4. tique ou sans épines. Epillets en panicule simple, D Te ane do 28 «= Glumelle _unique, représentant la fleur neutre, mu- nie de 5-7 nervures chargées d’épines. Epillets ED PÉIDDO racÉMIOEME; .s ss der, eee e 0e ee à e < = 7] EU ss ss esse sn enseressnses 9, Glumelles 2, représentant les fleurs neutres, ‘toutes les deux aristées et plus longues que la fleur hermapirqUEe. Eee ee Glumelles 2, représentant les fleurs neutres, toutes les deux mutiques, égales ou inégales... 6. Glumelles ?, représentant les fleurs neutres, beau- coup plus courtes que la fleur hermaphrodite, squamiformes . .......sresossecesessesesseten ce Glumelles 2, représentant les fleurs neutres, plus longues que la fleur hermaphrodite, grandes et coriaces, l’inférieure plus large ....,..,....... Epillets formés d’une seule fleur hermaphrodite.… . Epillets formés de 2-3 ou rarement 4-6 fleurs her- maphrodites ....... STE ES EP LES TE | Epillets disposés en épis unilatéraux formant une paniecule digitée .…. Epillets disposés en panicule spiciforme. Ces Glumes et glumelles toutes muliques, non acu- minées. Glumes et glumelles au moins en partie aristées OU aCUMINÉES .......ssss.e Sartre Glumes dépassant la fleur... BR AIT Glumes plus courtes que la fleur... f Glumes CEA RE EUX mutiques, rarement mucro- nées-aristées. Glumelle inférieure munie d’une | arête dorsale ..... Fur iner Tan vos: ete Glumes acuminées ou tronquées-acuminées, à | pointe souvent aristée. Glumelles ordinairement mutiques, la supérieure bi-carénée... 9. CRE _...... ..…. EE 12. Setaria. # bi) Digitaria. Tragus. Anthoxanthum. 7 Baldingera. Leersia. 9 Sessleria. Cynodon. 10 11 12, Mibora. Crypsis. Alopecurus Phleum. ANTHOXANTHUM L. — Epillets formés d'une seule fleur hermaphrodite, accompagnée de 2 fleurs neutres, inférieures, réduites chacune à une glumelle aristée plus longue que la fleur. Glumes de l’épillet 2, inégales. Glumelles 2, mutiques. Squamules nulles. Etamines 2. Styles 2, terminaux, sortant par le sommet de la fleur. Caryopse à mant une panicule spiciforme. hile ponctiforme. Epillets for- A. odoratum L. — Seule espèce, très commune dans les prairies, à 60 centim., à rantes. tige haute de 10 à fleurs un peu odo- « 424 MONOCOTYLÉDONES BALDINGERA F1. Wesr. — Epillets formés d’une seule fleur hermaphrodite accompagnée inférieurement de 2 fleurs neutres, réduites chacune à une glumelle squamiforme très courte. Glumes 2, presque égales. Glumelles 2, membraneuses, muti- ques. Squamules 2. Etamines 3. Style 2, sortant par le sommet de l’épillet. Caryopse à hile linéaire. Epillets en panicule ra- meuse. B. arundinacea Dumont. — Espèce commune au bord des ruisseaux, des rivières, des étangs, à souche traçante, haute de 80 centim. à 1 m, 20. LEERSIA Sw. — Epillets formés d’une seule fleur ordinaire- ment hermaphrodite, parfois stérile par avortement. Glumes de l’épillet nulles. Glumelles 2, presque égales, l’inférieure mutique, la supérieure à 3 nervures. Squamules 2. Etamines 3. Styles 2, terminaux, sortant par les côtés de la fleur. Caryopse à hile linéaire. Epillets en panicule rameuse, presque unilaté- raux, courtement pédicellés. L. oryzoides Sw. — Seule espèce. Plante vivace, rare dans les prés humides, à tige haute de 60 centim. à 4 m. DIGAITARIA Scor. — Epillets formés d’une seule fleur her- maphrodite accompagnée inférieurement d'une fleur neutre réduite à une glumelle mutique, 5-7-nerviée, aussi longue ou plus longue que la fleur hermaphrodite. Glumes de l’épillet 2, mutiques, très inégales, l’inférieure très petite ou parfois nulle. Glumelles 2, mutiques, presque égales. Squamules 2. Etamines 3. Styles 2, terminaux, sortant par le sommet de la fleur. Ca- ryopse à hile ponctiforme. Epillets en épis simples, rapprochés en une panicule simple, digitée. Stigmates"et anthères violets. Feuilles souvent rougeâtres. Epillets souvent violacés. Tige haute de 10 à 50 centim., souvent ramifiée, couchée-ascendante. Glume supérieure de moitié plus courte que la fleur hermaphrodite......., res SR STE ..... D, sanguinalis Scor, Glume supérieure aussi longue et aussi large que da fleur bérmapghrodite.s..nr- #4... 40 D. filiformis KæL. SETARIA P. Br. — Epillets entourés d’un involucre uni- latéral, formé de deux ou plusieurs arêtes sétiformes. Ce carac- tère distingue les Setaria de tous les autres genres de la sous- tribu. Epillets formés d’une seule fleur hermaphrodite, accom- pagnée inférieurement d’une fleur neutre ou rarement mâle, à 2 glumelles et à 3 étamines, souvent avortées. Glumelles des fleurs hermaphrodites 2, presque égales, mutiques. Squamules 2. Etamines 3. Styles 2, terminaux, sortant par le sommet de la GRAMINÉES 425 fleur. Caryopse à hile ponctiforme. Epillets en panicule spici- forme, souvent interrompue. { Glume supérieure à peu près aussi longue que la fleur hermaphrodite. Soies de l'involucre vertes ou rougeàtres....... ww 1.) Glame supérieure de moitié plus courte ‘que la fleur hermaphrodite. Soies de l’involucre JURE-TOUS AO re La... nue se aid tn 0 De 02 » .. S. glauca P. Br. Soies de l’involucre à denticules dirigés de bas 2 en tan ne Qu Vie este de ct . S. viridis P. BR. *] Soies de l'involucre à ‘denticules ‘dirigés ‘de Hagt qu bas... sde séseedianest 8, vonRGlate EE OPLISMENUS P. Br. — Epillets formés d’une fleur her- maphodite, accompagnée inférieurement d’une fleur mâle ou neutre. Glumes 2, ordinairement très inégales, l’inférieure plus petite, 3-nerviée, la supérieure 5-nerviée, mucronée-aristée. Glumelles de la fleur mâle ou neutre 2, l’inférieure 5-7-nerviée, mucronée ou aristée, la supérieure très petite ou avortée. Glu- melles de la fleur hermaphrodite 2, presque égales, l'inférieure ordinairement acuminée- mucronée. Squamules 2. Etamines 3. Ovaire glabre. Caryopse à hile ponctiforme, indépendant. Epillets en épis formant une panicule ou un épi composé. ©. Crus-galli Kuxrx. — Seule espèce. Plante annuelle ou bisannuelle, à tige haute de 30 à 80 centim., à épillets his- pides ; assez commune. TRAGUS Hair. — Epillets formés d’une seule fleur herma- phrodite, accompagnée inférieurement d’une fleur neutre ré- duite à la glumelle inférieure, 5-7-nerviée, cartilagineuse, à nervures épineuses. Glume supérieure petite, membraneuse, plane, l’inférieure nulle. Glumelles 2, membraneuses, aiguës, mutiques, un peu inégales. Squamules 2. Etamines 3. Styles 2, terminaux, sortant au-dessous du sommet de la fleur. Caryopse à hile ponctiforme. Epillets réunis par 2-4, sur des rameaux courts, disposés en une grappe spiciforme, les épillets supérieurs plus petits et souvent stériles. T. racemosus Harz. — Seule espèce, très rare dans les sables arides, à tige haute de 10 à 20 centim. CRYPSIS Arr. — Epillets formés d’une seule fleur herma- phrodite. Glumes 2, membraneuses, à peu près égales, muti- ques, non acuminées, indépendantes. Glumelles 2, membra- neuses, mutiques, l’inférieure un peu plus longue. Squamules nulles. Etamines 3-2. Styles 2, terminaux, sortant par le sommet de la fleur. Caryopse comprimé latéralement, à hile poncti- 24. 426 MONOCOTYLÉDONES forme. Epillets en panicule spiciforme pressée, entourée de feuilles en forme de spathe. C. alopecuroïdes ScarAn. — Seule espèce. Plante annuelle, en touffe, à tiges hautes de 5 à 30 centim., très rare dans les lieux humides, sablonneux. ALOPECURUS L. — Epillets formés d’une seule fleur her- maphrodite. Glumes 2, aussi longues que la fleur, à peu près égales, ordinairement connées entre elles dans le bas. Glumelle supérieure nulle ou très courte, l'inférieure comprimée, carénée, souvent utriculiforme, munie dans le dos d’une arête genouil- lée. Squamules nulles. Etamines 3. Styles 2, terminaux, sortant par le sommet de la fleur. Caryopse comprimé latéralement, à hile ponctiforme. Epillets en panicule spiciforme , pressée, cylindrique, ou rarement ovoide. 1 Glumes non renflées-ventrues........ PRE RE. NP Glumes renflées-ventrues....., Some RE ES A utriculatus PERS. Tiges couchées-genouillées dans le bas, parfois 2. nageantes....... LR A 2e ÉPÉTENIESS seat 0 A, génieuiaiasstl: Tiges dressées ou ascendantes....:. os... 3 Panicule spiciforme, cylindrique, obtuse, velue- SOVEUSO LE aie 8 de mare oc moe a 0,0 200 ce ER A. pratensis L. Panicule spiciforme , cylindrique , atténué aux deux extrémités, glabre, souvent violacée,.... À, agrestis L. PHLEUM L. — Epillets formés d’une seule fleur herma- phrodite, parfois accompagnée inférieurement d’un rudiment pédicelliforme d’une autre fleur. Glumes 2, plus longues que la fleur, à peu près égales, acuminées, ou tronquées-acumi- nées par une pointe souvent prolongée en arête, indépendantes. _Glumelles 2, minces, membraneuses, linférieure tronquée, mutique ou mucronée, rarement aristée. Squamules 2 ou nulles. Etamines 3. Styles 2, terminaux, sortant par le sommet de la fleur. Caryopse à hile ponctiforme. Epillets en épi cylindrique ou en panicule spiciforme, serrée. Epillets sans rudiment pédicelliforme d'une se- i Conde AEUR2 re, ee ane ses eee RER ES P. pratense L *) Epillets présentant un rudiment pédicelliforme d'une seconde fleur....,..... Masse as RE Glumes insensiblement atténuées en pointe A POUTIBS pre ircutets Red PRE - éco Parent. Glumes brusquement ‘acuminées. Fes TES Ce Glumes à dos renflé, ventru, scabres-tubercu- leuses, brusquement acuminées, à pointe courte. P. asperum VIiLL. Glumes à dos non renflé, à carène scabre ou ciliée, obliquement tronquée et acuminée...... P. Bœhmeri Wis. MIBORA Apans. — Epillets formés d’une seule fleur herma- phrodite. Glumes 2, plus longues que la fleur, à peu près PTE es ta A GRAMINÉES 427 égales, arrondies-tronquées, pote Glumelles 2, fimbriées au sommet, mutiques. Styles 2, sortant par le sommet de l’épil- let. Caryopse à hile ponctiforme. Epillets très courtement pé- dicellés, en épi filiforme. 5» M. minima Desv. — Seule espèce, plante annuelle, à tiges hautes de # à 10 centim., capillaires, simples, feuillées seule- ment à la base. CYNODON Ricu. — Epillets formés d’une fleur hermaphro- dite, accompagnée ordinairement d’un rudiment pédicelliforme d'une seconde fleur. Glumes 2, étalées, lancéolées, carénées, plus courtes que la fleur, égales ou presque égales. Glumelles 2, inégales. Squamules 2. Etamines 3. Styles 2, terminaux, sor- tant au-dessus du milieu de la fleur. Caryopse à hile poneti- forme. Epillets disposés sur deux rangs, en épis linéaires, fili- formes, formant une panicule simple, digitée. C. Dactylon Ricx. — Seule espèce , vivace , à souche rhizomateuse longuement traçante, à tiges hautes de 20 à 40 centim., ramifiées dans le bas. SESLERIA Arp. — Epillets formés de 2-3 ou rarement 4-6 fleurs hermaphrodites, la supérieure étant souvent impar- faite ou mème réduite à un rudiment pédicelliforme. Glumes 2, membraneuses, minces, presque égales, les deux ou l’infé- rieure seule mucronée. Glumelles 2, membraneuses, minces, l'inférieure 3-5-dentée au sommet, à dents mucronées ou aris- tées, la supérieure tronquée ou bilobée au sommet. Squamules 2, inégalement 2-5-fides. Etamines 3. Styles 2, terminaux, sor- tant au sommet de la fleur. Epillets en panicule spiciforme, compacte, ordinairement ovoïde, ou oblongue, comprimée. S. cærulea ArD. — Seule espèce, vivace, à tiges hautes de 20 à 50 centim., à épillets luisants et bleuâtres, rare sur les coteaux secs et les pelouses arides. Sous-tribu II. — ANDROPOGONÉES. Epis hermaphrodites ou polygames, jamais unisexués. Epil- lets non logés dans des excavations du rachis de l’épi. Fleurs ouvertes pendant l’anthèse. Epillets contenant tous au moins une fleur herma- i DCE: secs een sans FN 9 GER CE Epillets géminés, l'an sessile, contenant une fleur hermaphrodite, l’autre pédicellé, mâle ou neutre.. Andropogon. MONOCOTYLÉDONES Epillets formés d'une seule fleur hermaphrodite par- fois accompagnée d’un rudiment pédicelliforme d'une seconde HeUl 2.2: eren meet eee Epillets formés de ?, 3 ou plusieurs fleurs, soit toutes hermaphrodites, soit les unes hermaphrodites, les autres mâles.......... cc ne HR Glumelles membraneuses, herbacées à la a ateriés Glumelles coriaces ou presque cartilagineuses à la PAUUTILE etre à eme lee tale, 5 nee SA RP AE EE Epillets Coutrnent une seule fleur hermaphrodite, sans rudiment pédicelliforme d'une seconde fleur. Epillets contenant une fleur hermaphrodite accompa- gnée d'un rudiment pédicelliforme d'une seconde fleur... te TRAIT cms nbten ee RE Fleur entourée à la base de longs poils............ Fleur non entourée à la base de longs poils. ACT Glumelle inférieure mutique, très concave.,....... Glumelle inférieure terminée par une arête très lon- gue, tordue, articulée à la base...... sé passe soie Epillets à fleurs hermaphrodites toujours accompa- gnées d’une fleur mâle inférieure ou supérieure... Epillets à fleurs toutes hermaphrodites ou bien la ou les supérieures rudimentaires.,,..........,.,... Epillets ?-flores..... noise D el AS DT Are Epillets 3-7-flores. Fleur inférieure mâle. elle RQ Epillets 2-flores. Fleur supérieure hermaphrodite, l'in- Dane. Male Le ere sand Epillets 2-flores. Fleur supérieure mâle, aristée, l'in- férieure hermaphrodite, mutique.....,,.,......... Epillets fertiles entremèêlés d'épillets entièrement sté- riles, bractéiformes ..….............,... irons Epillets fertiles non entremèlés d’ épillets entièrement stériles ‘et bractéiformes ....:...2.....40. Epillets à fleurs toutes hermaphrodites, sans fleurs radiMentAires tt Te MEN INSEE Epillets à fleurs hermaphrodites accompagnées d’ une ou plusieurs fleurs LE ieures rudimentaires.... PIANPESMEPTESTERS se anses ee Re Plantes aquatiques... LEE Pc 25 Glumelle inférieure bifide ou 3-5- dentée à au sommet, aistéssur le dos. .15... Mes ES Glumelle inférieure non bifide ni dentée au som- Net ATISLER OUFMULIQUES vs... «cie ele en Moose este Glumeile inférieure aristée dans le dos, dus de SA DAS. Mantomieie ea men ae ES : Glumelle inférieure mutique, plus ou moins large. Glumelle inférieure tri-nerviée, carénée, à nervures satilantes.st: 22 RARES SE ST CR EU Se Glumelle inférieure très large, obscurément sub-tri- lobée. ÆEpillets :2-flares.... Lien ee NTENTENE Glumelle inférieure concave, semi- “cylindrique, atté- nuée en cône aigu. Epillets 2-5 flores..... den rasta Glumelle inférieure mutique, ni dentée ni aristée au sommet ni dans le dos......... NS Mt AU à Glumelle inférieure dentée ou aristée au sommet, aristée ou non aristée dans le dos............,.., Apera. Agrostis. Calamagrostis. Milium. Stipa. 8 10 9 Phragmites. Arrhenatherum. Holeus. Cynosurus. sk 12 18 13 Catabrosa. Aira, 15 Corynephorus. 15 Eragostis. 16 Airopsis. Molinia. 18 21 GRAMINÉES 429 Glumelle inférieure carénée ......... MEET ren 17 PE. Glumelle inférieure non carénée.................. ._ 19 Plantes aquatiques. Epillets-pluriflores. Panicule ra- meuse, étalée........... SRE PS Mao aNe de ausenc es VINCI Plantes non aquatiques................. PE - 7 Epillets 3-5-flores, les 1-2 fleurs inférieures herma- phrodites, les supérieures rudimentaires, enveloppées par la plus inférieure d’entre elles, qui est claviforme. Molica. PU Epillets pluri-flores. Glumelle inférieure suborbicu- Rires cordeer&, le Hasena a spi asie Java BTE 2, { Ovaire glabre.................................... — Ovare poilnvau, sommet.......:.{..,..0 0 HS Panicule unilatérale. Glumelle inf, concave, carénée 22.4 vers le haut, mucronée-aristée au sommet........ Dactylis. PAHICUIeNHOR ANALOTAIOMNE AS MEME Se le moe sente de D 23 { Glumelle inférieure bifide, bi-dentée, bi-cuspidée, ou 23 \ bi-aristée au sommet....... sensstesrsess snssssnee } Glumelle inférieure entière, aiguë, prolongée en une SOIENT AU SOIIMOE - se nes De se DUe een en Dee Festuca. Glumelle inférieure non aristée dans le dos........ 25 24.{ Glumelle inférieure aristée dans le dos, bicuspidée ou DiSarIS BB AUESO MINES 2 2 SU Te vides Le ms oies out Trisetum. { Glumelle inférieure bi-dentée au sommet, munie \ entre les dents d’une arèête très courte, aplatie CR Danthonia. SE Glumelle inférieure bidentée au sommet, tantôt mu- tique, tantôt aristée au sommet ou vers le sommet. ÆXœæleria. { Glumelle inférieure aristée sur le dos, bi-dentée, bi- cuspidée ou bien aristée au sommet. Arète du dos 26 genouillée, tordue dans le bas................... . Avena. ”-‘) Glumelle inférieure aristée au-dessous du sommet ou vers le sommet, qui est bi-denté ou bifide. Arête non torduer se MSN RE A Eee Bromus. ANDROPOGON L. — Epillets géminés sur les côtés de l’épi, ternés au sommet, un fertile, sessile, l’autre mâle ou neutre, pédicellé. Epillets hermaphrodites comprimés dans le dos, formés d’une seule fleur hermaphrodite, sessile, accompa- gnée inférieurement d’une fleur neutre réduite à une glumelle membraneuse mince, mutique, plus longue que la fleur herma- phrodite et l'embrassant. Epillets mâles formés d’une fleur mâle à glumelles souvent nulles, à squamules 2, à étamines 3, accompagnée inférieurement d’une fleur neutre réduite à une glumelle. Epillets formant des épis linéaires, rapprochés en une panicule terminale, simple, digitée, ou fasciculés à l’extré- mité de rameaux axillaires. Rachis, pédicelles et bases des épillets barbus ou longuement poilus. A. Ischæmum L. — Seule espèce. Plante à souche sous- cespiteuse, vivace, à tige haute de 40 à 80 centim., à nœuds colorés en rouge violet, assez rare sur les coteaux calcaires. AGROSTIS L. — Epillets formés d’une seule fleur herma- phrodite, sans rudiment de seconde fleur, comprimés latérale- 430 MONOCOTYLÉDONES ment. Glumes 2, mutiques, presque égales, dépassant la fleur. Glumelles 2, rarement la supérieure avortée, inégales, l’inférieure tronquée, aristée dans le dos, rarement mutique. Squamules 2. Etamines 3. Styles 2, terminaux, très courts, sortant par la base de la fleur. Caryopse à hile ponctiforme. Epillets petits, nombreux, en panicule rameuse, étalée ou contractée. Glumelle supérieure nulle ou très rudimentaire, .......,... A, canina L. Glumelle supérieure plus courte que l’inférieure, mais bien développéé.. ; sers areeis stars es ot RE Le APERA Apaxs. — Epillets formés d’une fleur hermaphro- dite accompagnée d’un rudiment pédicelliforme d’une seconde fleur, comprimés latéralement. Glumes 2, aiguës, mutiques, carénées, inégales, l’inférieure plus courte que la fleur. Glu- melles 2, l’inférieure 5-nerviée, aristée au-dessous de l’extrémité. Squamules 2. Etamines 3. Styles 2, terminaux, courts, sortant par la base de la fleur. Caryopse à hile ponctiforme. Epillets nombreux, en panicule rameuse, étalée ou contractée. Panicule large, étalée. ......: sossssss css A. MSfica vente, BR, Panicule étroite; contractée. ............,..... A. interrupta P, Br. CALAMAGROSTIS Apaxs. — Epillets formés d’une seule fleur hermaphrodite entourée de longs poils et parfois accom- pagnée d’un rudiment pédicelliforme d’une seconde fleur, com- primés latéralement. Glumes 2, presque égales, beaucoup plus longues que la fleur. Glumelles 2, inégales, l’inférieure plus grande, bifide ou émarginée, aristée à l'extrémité ou sur le dos. Squamules 2. Etamines 3. Styles terminaux, plumeux, sortant par la base de la fleur. Caryopse à hile linéaire, court. Epillets en panicule rameuse. Plantes vivaces. Glumelle inférieure aristée sur le dos.,..,........ C. Epigeios RoTx. Glumelle inférieure aristée à l’extrémité.......... . C. lanceolata RoTx. MILIUM L. — Epillets convexes sur les deux faces, formés d’une seul fleur hermapbrodite. Glumes 2, égales, aiguës, con- caves. Glumelles 2, l’inférieure très concave, mutique. Squa- mules 2. Etamines 3. Styles 2, terminaux, courts, plumeux, sortant par les côtés de la fleur. Caryopse à hile linéaire, court. Epillets pédicellés, en panicule rameuse, étalée. M. effusum L. — Seule espèce, à souche vivace, traçante, à tige haute de 80 centim. à 1 m. et plus. Commun dans les bois montueux. | STIPA L. — Epillets comprimés sur les côtés, formés d’une seule fleur hermaphrodite stipitée. Glumes 2, aiguës ou plus ou GRAMINÉES 431 moins longuement acuminées, canaliculées ou concaves et un peu carénées à l’ex- trémité. Glumelles 2, l’'inférieure atténuée da et indurée à la base, enroulée, terminée par une arête trés “longue, tordue et articulée à la base. Squamules 3. Eta- mines 3. Styles 2-3, SD... SN terminaux, courts, Zi Æ | SNS plumeux, sortant par +8 AT Re les côtés, au-dessus Ts \ À SSS S. pennata L. — Seule espèce. Plante vivace, à souche ces- piteuse, à tige haute de 40 à 60 centim.; très rare, au milieu des rochers, sur les coteaux sablonneux, -arides. PHRAGMITES Tri. — Epillets là- ches, à 3-7 fleurs, à rachis glabre dans le bas, couvert entre les fleurs de longs Fig. 547. — Milium effusum. Inflorescence. poils. Fleur infé- rieure mâle, les autres hermaphrodites. Glumes 2, espacées, inégales, plus courtes que les fleurs, aiguës, carénées. Glumelles 2, inégales, l’inférieure beaucoup plus longue que l’autre, 3-ner- viée, subulée à l'extrémité. Squamules 2. Etamines 3. Caryopse ordinairement avorté. Epillets en panicule rameuse, très diffuse. de la base de la fleur. | Ce = Caryopse à hile li- Ë 2004 LES néaire. F "Arab RÈ P. communis Tri. — Seule espèce. Plante à rhizome tra- çant, à tiges florifères hautes de 1-2 mètres, à épillets violacés ou jaunûtres. CYNOSURUS L. — Epillets, les uns à 2-5 fleurs toutes her- 432 MONOCOTYLÉDONES maphrodites, les autres ne portant que des fleurs neutres, ré- duites à leur glumelle inférieure. Glumes 2, À à peu près égales, carénées, acuminées. N Glumelles 2, inégales, l’inférieure plus gran- de, 3-5-nerviée, aiguë, ordinairement biden- tée, mucronée ou aristée, rarement mutique, la supérieure bifide. Squamules2. Etamines /\ 3. Caryopse adhérent à la glumelle supé- | EN: SE SUR A s E A] rieure, à hile linéaire. Epillets en panicule Q À () spiciforme, unilatérale. / C. cristatus L. — Seule espèce. Plante \ Fi à souche cespiteuse, à tige haute de 40 à 80 _. centim.Commun dans les prairies et les lieux herbeux. C7 MELICA L. — Epillets 3-5-flores, à fleurs inférieures, 1-2, hermaphrodites, les autres stériles. Fleur stérile la plus inférieure cla- viforme, enfermant les autres qui sont ré- duites à 4-2 elumelles. Glumes 2, variables, mutiques. Glumelles 2, inégales, l’inférieure plus grande, 5-pluri-nerviée, mutique, la su- périeure bidentée. Squamules 2. Etamines 4. Caryopse libre, à hile linéaire. Epillets en panicule rameuse. Plantes à souche cespi- l teuse ou à rhizome grêle, traçant. Fig. 548. Melica uniflora. Souche cespiteuse. Glumelle inférieure de la fleur hermaphrodite munie sur les bords de longs poils D PDYOUR,. «nca usco see ed rt . M. ciliata L. Rhizome grêle, traçant. Glumelle inférieure de la fleur hermaphrodite glabre.........,............ - { Epillets à 1 seule fleur hermaphrodite. Panicule très lâche, à rameaux inférieurs étalés, portant 9 2 OU PInSienrs JEPAMOtS à 20 000 MR Epillets à 2 fleurs hermaphrodites. Panicule moins lâche, à rameaux dressés, ne portant qu'un seul épillébs Lost LS « Je se AGREE CRE M. nutans L. MOLINIA Morxcx, — Epillets 2-5-flores, à fleurs hermaphro- dites, la supérieure seule souvent rudimentaire. Glumes 2, mu- tiques, inégales, plus courtes que les fleurs. Glumelles 2, à peu près égales, l’inférieure 5-nerviée, mutique. Squamules 2. Etamines 3. Caryopse libre, à hile linéaire. Epillets en pani- cule rameuse. M. uniflora RETz. GRAMINÉES 433 M. cærulea Morxcx. — Seule espèce. Plante à souche cespi- teuse; à tige haute de 40 à 80 centim. Epillets souvent vivi- pares. CATABROSA P. Br. — Epillets ordinairement 2-flores, à fleur inférieure sessile, la supérieure pédicellée. Glumes 2, cour- tes, mutiques, inégales, l’inférieure plus courte, la supérieure .-obovale, arrondie, crénelée ou denticulée. Glumelles 2, à peu près égales, mutiques, l’intérieure 3-nerviée, tronquée et ar- rondie à l'extrémité. Squamules 2, indépendantes. Caryopse libre, à hile ponctiforme. Epillets en panicule rameuse, étalée. C. aquatiea P. Br. — Seule espèce. Plante vivace, aquati- que, à tiges hautes de 30 à 80 centim.; assez commune. GLYCERIA R. Br. — Epillets pluri-flores, à fleurs toutes hermaphrodites , la supérieure ordinairement rudimentaire. Glumes 2, inégales, plus courtes que les fleurs, mutiques. Glu- melles 2, à peu près égales, l'inférieure 5-11-nerviée, semi- cylindrique , mutique, la supérieure bifide. Squamules 2, connées. Etamines 2-3. Caryopse libre, à hile linéaire parcourant toute sa longueur. Epillets à rachis fragile, articulé, disposés en panicule rameuse. Plantes aquatiques. Etamines ?. Tige grèle, dressée. Feuilles li- 1. {-xnéaires, étroites, planes. ....:,.......e mors INETUAIELS TREN. Etamines 3. Feuilles linéaires, larges........ À (HIPC-dIESSBe TÜDHSIB er ce aa son e me es aimee te . G. aquatica WHLNB. 2 4 Tige couchée, radicante, souvent nageante dans PONS dns SA LE OPRE ST PRER ET UREE G. fluitans R. Br. ERAGROSTIS P. Br. — Epillets 3-multi-flores, à fleurs toutes hermaphrodites. Glumes 2, beaucoup plus courtes que les fleurs, mutiques, caduques. Glumelles 2, l'inférieure 3- nerviée, carénée, mutique, caduque, la supérieure plus persis- tante. Squamules 2, indépendantes. Etamines 3. Caryopse à hile ponctiforme, sans sillon à la face interne. Epillets oblongs ou linéaires, en panicule rameuse. Ligule des feuilles réduite à une rangée de poils. Panicule à rameaux solitaires ou géminés. Odeur désagréable... ... ss ARE RS . Æ. vulgaris Coss. et G. ST. P. Panicule à rameaux réunis par 4-5...... . Æ. pilosa R. Br. POA L. — Epillets 2-multi-flores , à fleurs ordinairement hermaphrodites, la supérieure rudimentaire. Glumes 2, plus courtes que les fleurs, mutiques. Glumelles 2, se détachant ensemble, l’inférieure carénée, ordinairemeut mutique, à 5 ner- vures velues dans le bas, la supérieure émarginée ou sub- FLORE DE PARIS. 29 43% MONOCOTYLÉDONES bilobée à l'extrémité. Squamules 2. Etamines ordinairement 2. Styles 2, rarement 3. Caryopse à hile ponctiforme, sans sillon, libre. Epillets à rachis fragile, se divisant en articles qui se détachent avec les fleurs, disposés en panicule rameuse. 1 Plantes à souche cespileuse. ......... RS UE *| Plantes à souche longuement traçgante. ........ 6 Tiges ayant moins de 30 centim. de haut. Pani- cule à rameaux solitaires ou SÉMINÉS. . de dore oies tt re CURE Li. Tiges ayant plus de 30 centim. de haut... tee 1 NE Tiges renflées en bulbe à la base, hautes de 30 à 50 FE AUD CA NP SRE PET ER DR CU Ù # see e mia a IDE NS ie pa Tiges non renflées en bulbe à la base......... Ligule très courte, presque nulle. Tiges de #0 à SD Cent, 2 2; 22 à 320 04 MOSS TE x + nemoralis L. Ligule plus ou moins allongée......…. RARE Glumelle inférieure à nervures latérales presque indistinctes ou très peu saillantes, Tiges de 50 5%. centin. à 4 mêtre... 2... 0.510 DEN RUE P. serotina Eur. Glumelle inférieure à nervures latérales saillantes. Tiges de 60 centim. à 1 mètre ...... su. .. P. trivialis L Tiges cylindrique, hautes de 30 à 80 centim. P. pratensis L. Tiges comprimées, à deux angles aigus, hautes de 20 A 407 dNER 5. 0 OS EN SRE BR SET P. compressa L. DACTYLIS L. — Epillets 2-4-flores ou pluri-flores, à fleurs toutes hermaphrodites, la supérieure rudimentaire. Glumes 2, plus courtes que les fleurs. Glumelles 2, se détachant ensemble, inégales, age as plus grande, carénée dans le haut et mu- cronée-aristée, 5-nerviée, la supérieure bifide. Squamules 2. Etamines 3. Caryopse libre, à hile ponctiforme. Epillets en fascicules formant une panicule dont les branches s’étalent hori- zontalement. D. glomerata L. — Seule espèce. Plante à souche cespiteuse, à tige haute de 50 centim. à 1 m., à épillets souvent tt très commune. BROMUS L. — Epillets 5- pluri-flores, à fleurs NE SUN dites, la ou les supérieures rudimentaires. Glumes 2, plus courtes que les fleurs, mutiques. Glumelles 2, inégales, l’inférieure plus grande, ordinairement 2-dentée ou 2-fide, aristée au-dessous du sommet. Squamules 2. Styles 2, naissant au-dessous du sommet de l'ovaire, qui est velu. Caryopse à hile linéaire, allongé, adhérent à la glumelle supérieure. Epillets à rachis fragile, disposés en panicule rameuse. | Epillets élargis à l'extrémité supérieure après la floraison. Glumelle inférieure aristée au-dessous du sommet, à arête aussi longue ou plus longue qu'élles Siitis. SAULT. LES SRE | Epillets non élargis à l'extrémité supérieure après la floraison. Glumelle inférieure aristée au sommet ou au-dessous du sommet, à arête plus courte qu'élle.…. is si MISE. de, RCE 2. 6, 3 GRAMINÉES 435 Panicule à rameaux étalés dans tous les sens. Arête 2.) plus longue que la glumelle..................... «+ B. sterilis L. *) Panicule à peu près unilatérale. Arête de même lonsueur, que la glumelle.. asser cu retro che ste B. tectorum L. Plantes annuelles. Glumes à peu près égales, l’in- 3 férieure 3-5 nerviée, la supérieure 7-9 nerviée.... Plantes vivaces. Glumes inégales, l'inférieure 1-ner- = viée, la supérieure 3-nerviée.,......... TE iCere î Fig. 549, — Dactylis glomerata. Fig. 550, — Bromus mollis. z Glumelles à peu près de mêmé longueur...... ER ‘| Glumelles inégales, l’inférieure plus longue........ 6 Epillets à fleurs se recouvrant par leurs bords à la maturité. Feuilles molles, poilues; gaines pubes- centes res GE EE St ESS tr B, arvensis L. Epillets à fleurs ne se recouvrant pas par leurs À bords à la maturité. Feuilles peu poilues: gaines DlQREESS te. cbres + ose slafégentiaiste o ° LRRRRENAR IRL TT] N : secalinus L. 436 MONOCOTYLÉDONES 6,4 Epillets glabres.............................. .. B.racemosus L, ‘| Epillets mollement pubescents................... . B. mollis L. Panicule droite, à rameaux dressés...... TE UND Verectus EDS. + ‘*} Paniculée penchée, à rameaux pendants........... B. asper Mure. Fig. 551. — Bromus slerilis. Inflorescence. FESTUCA L. — Epillets 2-multi-flores, à fleurs hermaphro- dites, les supérieures souvent rudimentaires. Glumes 2, plus courtes que les“ fleurs, ordinairement mutiques, plus rarement aristées, égales ou inégales, linférieure parfois rudimentaire. Glumelles 2, l’inférieure aristée, mucronée ou mutique, la supé- rieure tronquée, émarginée ou bidentée. Squamules 2. Etamines 3, rarement 2-1. Stigmates 2. Caryopse à hile linéaire ou GRAMINÉES 437 rarement presque ponctiforme, adhérent à la glumelle supé- rieure. Epillets à rachis persistant ou fragile, disposés en épi, en grappe, ou en panicule. Plantes vivaces, à souche produisant des 1 bouquets stériles de feuilles........... 2 *) Plantes annuelles, à souche ne produisant pas de bouquets stériles de feuilles....... 8 Feuilles toutes planes.........,.......... 3 2.4 Feuilles, au moins les ‘radicales, enroulées par les bords................ ER EE Cr 6 Épillets en grappe spiciforme , distique , 3.) étroite, rappelant l’épi des Lolium....... F. loliacea Huos. *) Épillets en panicule plus ou moins étalée ou contractée, non distique.......... Brie AU * Souche cespiteuse, n’'émettant pas de rhizo- RE CCE RL ne ee ta duaia e 6) 4.) Souche cespiteuse, émettant des rhizomes ‘| traçants. Panicule à rameaux géminés, iné- gaux, ramifiés, portant chacun de 4 à 15 épillets. Tige haute de 60 cent. à 1 m. 80. F. arundinacea Scures. mucronée-aristée, Tige haute de 60 à 80 CENTIMELE. ER . » RL = nd oies ete see F, pratensis Hups. Glumelle inférieure munie d’une arète ‘grêle, deux fois aussi longue qu’elle. Tige haute de 00" Pa ee. 0 en se .. PF, gigantea Vicz. | Feuilles toutes enroulées par les bords au 6. | Glumelle inférieure mutique ou rarement point de paraître cylindriques........... F. ovina L. Feuilles radicales enroulées, les caulinaires arme ddoessone 4 Souche émettant des rhizomes longuement traçants ........,,...................... F. rubra L. Souche cespiteuse, n'émettant pas de rhizo- RE rue de sd au nue LÉPESAGPE F, heterophylla Lamr Epillets plus larges au sommet après la floraison.................. med 9 Epillets de même épaisseur ou PÈe étroits au sommet après la floraison............. 11 Pédicelles des épillets plus larges au som- | met qu'à la base. Panicule racémiforme, étroite *uRIEPErTAalO. 22:52, INA Lie 10 Pédicelles des épillets de même épaisseur | au sommet qu'à la base, très courts. Epi simple, unilatéral...... OL TEt CU F. unilateralis ScHrAD. Glume supérieure aristée, l one li- néaire, 9-10 fois plus courte, ou presque UTP | OPERA PTE PRE TUE F. bromoïdes L. Glume supérieure mutique, aiguë, l'infé- rieure égalant le tiers ou la moitié dé la SORA 2 AU. anna es de de .. FF. Myuros L. Epillets en panicule raide, presque unilaté- 11 PA M RE Rens des netis eladieinte anus aa à F. rigida KunTx * ) Epillets en épi raide, distique, simple, ou rarement ramifié à la base........,..... . F. Poa KUNTH BRIZA L. — Epillets très comprimés latéralement, pluri- flores, à fleurs hermaphrodites, la supérieure souvent stérile, 438 MONOCOTYLÉDONES étroitement imbriqués sur deux rangs. Glumes 2, ventrues, suborbiculaires, à peu près égales, plus courtes que les fleurs. Glumelles 2, inégales , l’inférieure beaucoup plus grande, suborbiculaire, ventrue, mutique. Squamules 2. Etamines 3. Caryopse à hile linéaire. Epillets en panicule rameuse, étalée, à rameaux pendants. B. media L. — Seule espèce. Plante à souche cespiteuse, un peu tracante, à tige haute de 20 à 50 centim, dressée, remar- quable par la forme spéciale de sa panicule et de ses épillets. Fig. 552. Fig. 553. Briza media. Inflorescence. Avena sativa. Inflorescence. AVENA L. — Epillets 2-3-pluri-flores, à fleurs hermaphro- dites, la supérieure souvent rudimentaire. Glumes 2, mutiques- Glumelles 2, inégales, l’inférieure plus grande, ordinairement GRAMINÉES 439 atténuée à la base, bidentée, bicuspidée ou biaristée à l’extré- mité, aristée sur le dos, à arête tordue à la base. Squamules 2. Etamines 3. Caryopse sillonné sur la face interne, à hile li- néaire, très long. Epillets en panicule rameuse. Plantes vivaces, émettant des bouquets stériles ÿ de feuilles. Epillets pendants.............,.. 2 ‘) Plantes annuelles, n’émettant pas de bouquets l stériles de feuilles. Epillets non pendants..... 4 - Fleurs non articulées avec le rachis de l’épillet. Rachis de D rs0 et ER inférieure ae 7 nn depasse clous do dd 3 2» Fleurs, ‘au roine. Pinférieare, articulées. avee le rachis de l’épillet et caduques à la maturité. Rachis de l'épillet velu; glumelle inférieure munie de longs poils dans le bas........ ... À. fatua L. Panicule à rameaux étalés dans tous les sens, Arèle de la glumelle inférieure tordue....... A. sativa L. Panicule étroite, à peu près unilatérale; arête | de la glumelle inférieure non tordue...,..... A. orientalis SCHRESB. Epillets à rachis couvert de poils dans toute sa longueur; poils presque aussi longs que les fleurs ou égalant la moitié de leur longueur. Rameaux inférieurs -de la panicule solitaires FA LED 0e NORD ARNO RES CS AMEN 6 A. pratensis L. Epillets à rachis ne présentant des poils qu'au- dessous des fleurs. Rameaux inférieurs de la \ -1paniculeirétis par 5.4 comragmsians e .. À. pubescens L. TRISETUM Pers. — Epillets 2-6-flores, à fleurs toutes her- maphrodites, les supérieures pédicellées, la terminale souvent rudimentaire. Glumes 2, mutiques, presque égales, plus courtes que les fleurs. Glumelles 2, inégales, l’inférieure plus grande, aristée sur le dos, biaristée ou bicuspidée à l'extrémité, la su- périeure bifide ou bidentée. Squamules 2. Etamines 3. Caryopse sans sillon, à hile peu distinct. Epillets en panicule rameuse, ordinairement contractée. 3. T. flavescens P. Br. — Seule espèce. Plante vivace, à souche cespiteuse, à tige haute de 50 à 80 centim., commune. KŒLERIA Pers. — Epillets 2-7-flores, à fleurs hermaphro- dites, les supérieures pédiculées, la terminale ordinairement rudimentaire. Glumes 2, presque égales, aiguës, mutiques, aussi longues ou plus courtes que les fleurs. Glumelles 2, iné- gales, l’inférieure plus grande, ordinairement bidentée, et aris- tée, à arête non tordue, prolongeant l’axe de la glumelle, la supérieure bifide ou bidentée. Squamules 2. Etamines 2. Caryopse sans sillon, à hile peu distinct. Epillets en panicule spiciforme, ordinairement contractée. Plantes à souche vivace, cespiteuse, émettant des bouquets stériles de feuilles et offrant toujours un grand nombre de gaines desséchées des années précé- dentes. 440 MONOCOTYLÉDONES Gaines des années précédentes indivises............ ÆX. cristata PERS. Gaines des années précédentes divisées en un grand nombre de filaments entremèlés..........,...... ÆK. Valesiaca Gauv. DANTHONIA DC. — Epillets 2-6 flores, à fleurs hermaphro- dites, la supérieure rudimentaire. Glumes 2, presque égales, aussi longues ou plus longues que les fleurs, mutiques. Glumelles 2, l'inférieure bifide et aristée ou mucronée entre les dents. Squamules 2. Etamines 3. Ovaire glabre. Caryopse libre, à hile linéaire. Epillets en panicule rameuse. D. decumbens DC. — Seule espèce. Plante à souche cespi- teuse, émettant des bouquets stériles de feuilles, à tige haute de 10 à 40 centim.; commune. ARRHENATHERUM P. Br. — Epillets 2-flores, la fleur su- périeure hermaphrodite, l’inférieure mâle, avec un rudiment pédicelliforme d’une troisième fleur. Glumes 2, inégales, muti- ques. Glumelles 2, inégales, l'inférieure plus grande, bidentée ou bifide, aristée sur le dos, la supérieure bifide. Squamules 2. Etamines 3. Ovaire poilu. Caryopse pubescent, sans sillon, à hile linéaire. Epillets en panicule rameuse. A. elatius Merr. et Kocn, — Seule espèce. Plante à souche cespiteuse, un peu traçante, à tige haute d'environ 1 m.; très commune. HOLCUS L. — Epillets 2-flores, à fleur inférieure herma- phrodite, mutique, la supérieure mâle, aristée. Glumes 2, plus longues que les fleurs, à peu près égales, l’inférieure acu- minée, uninerviée, la supérieure trinerviée, acuminée ou aristée. Glumelle inférieure de la fleur mâle munie sur le dos d’une arête genouillée ou flexeuse. Glumelles de la fleur hermaphro- dite presque égales, mutiques. Squamules 2. Etamines 3. Ovaire glabre, Caryopse libre, à hile linéaire. Plante à souche cespiteuse, non traçante. Arête de la fleur mâle ne dépassant pas ou dépassant à peine les glumes.....,.......,...,.......sss.ese ces UT, Lana ils. Plante à souche rhizomateuse, longuement traçante, Arête de la fleur mâle dépassant beaucoup les glumes.....,.. À. mollis L. AIROPSIS Desv. — Epillets 2-flores, à fleurs hermaphro- dites. Glumes 2, à peu près égales, mutiques, plus longues que les fleurs. Glumelles Z, inégales, l’inférieure très large, subtri- lobée, mutique. Squamules 2. Etamines 3. Ovaire glabre. Ca- ryopse libre, à hile ponctiforme. Epillets très petits, en panicule rameuse. A. agrostidea DC. — Seule espèce. Plante très rare, habi- GRAMINÉES 441 tant les marécages et le bord des mares, vivace, à tiges couchées ou radicantes, longues de 10 à 30 centim., à épillets ordinaire- ment violacés. AIRA L. — Epillets 2-3-flores , à fleurs hermaphrodites. Glumes 2, à peu près égales, aussi longues ou plus longues que les fleurs, mutiques. Glumelles 2, l'inférieure bifide ou 3-5- dentée au sommet, aristée sur le dos, à arête plus ou moins tordue dans le bas, la supérieure émarginée ou bifide. Squa- mules 2. Etamines 3. Ovaire glabre. Caryopse libre ou adhérent à la glumelle supérieure, à face interne avec ou sans sillon. Epillets petits, en panicule rameuse. Plantes annuelles ou vi- vaces. Plantes annuelles. Glumelle inférieure bifide. Ca- ryopse sillonné, adhérent à la glumelle supé- LETTRE RL RS RP NL 2e 2 Plantes vivaces. Glumelle ‘inférieure 3-9- -dentée. Caryopse sans sillon, DH ne sh ne ee dfele.s Le A. caryophyllea JL. Panicule diffuse, à rameaux étalés.,........,... Panicule spiciforme, compacte, à rameaux dres_ DRE ES AIRE CE su Mere JUS LS cata « A, precox L. Feuilles planes, assez larges, Arète presque k droite..... SL RARE PORN US old ait A SOLS HILOS Es. Feuilles presque capillaires, enroulées.......... 4 Fleur supérieure à peu prés sessiles =. 40e . À. fleruosa L. 4, Fleur supérieure portée par un pédicelle moitié AHSSDIDAENQUIPLE NS PRET ER ner s.. A: vérpolor. TAUIEL- CORYNEPHORUS P. Br. — Epillets 2-3-flores, à fleurs hermaphrodites. Glumes 2, à peu près égales, plus longues que les fleurs, mutiques. Glumelles 2, linférieure munie dans le bas d’une arête terminée en massue, et munie au milieu d'un anneau de poils, la supérieure trilobée. Squamules 2. Etamines 3. Ovaire glabre. Caryopse adhérent à la glumelle supérieure. Epillets en panicule rameuse. C. canescens P. Br. — Seule espèce. Plante à souche cespi- teuse, vivace, à tige haute de 10 à 30 centim., à épillets petits, rosés ou blanchâtres, luisants et argentés. Tribu II. — TRITICÉES. Epis hermaphrodites ou polygames, jamais unisexués. Epillets logés dans des excavations du rachis de l’épi. Epillets uniflores, à fleur hermaphrodite, sans fleur rudimentaire. .Glumes nulles..:.41%.. 52.2... .. Nardus, Epillets biflores ou pluriflores, avec ou sans fleurs rudimentaires. Glumes ordinairement 2.......,.,,., _ 5 442 MONOCOTYLÉDONES Dents du rachis de l'épi ne portant chacune qu’un seul épillet. . ee sue sos ess eee ee se se ssotes ee eer ca de Dénis du rachis de l’épi portant chacune 2? épillets. Epillets uniflores, avec un rudiment EE d'une seconde fleur, rarement biflores: "0456.00 Epillets biflores, avec le rudiment pédicelliforme d'une 3 troisième fleur. Glumes 2, étroites, lancéolées-acu- * ] DIMINÉES . >: soie osistelolet aciers dela eines css sos. Epillets tri- ou pluriflores. ect sonore EE Epillets tous munis de ? glumes....... SCENE | Epillets pourvus d'une seule glume, le supérieur seul ER, AYANE 2 «sos salon sie «pepe ne 20e ble TS Le ss ile Glumelle inférieure aristée sur le milieu du dos, à arète genouillée dans le bas...... Sax LRRECRERE | Glumelle inférieure non aristée dans le dos, prolongée ou non en arète à l'extrémité. ass ssnsesos.e Caryopse adhérent à la glumelle supérieure. essor. | Caryopse non adhérent à la glumelle supérieure... Hordeum. Secale. . 4 5 Lolium. Gaudinia , 6 Bachypodium . Triticum.. TRITICUM L. — Epillets solitaires sur chaque dent du rachis de l'épi, 3-pluri-flores, à fleurs hermaphrodites, avec la ou les supérieures rudimentaires. Glumes 2, entières ou dentées-aris- tées au sommet. Glumelles 2, presque égales, entières ou dentées, mutiques ou prolongées en arête à l'extrémité. Squamules 2 Ovaire velu dans le haut. Caryopse à hile allongé, à face interne canaliculée, non adhérent à la glumelle supérieure. Epillets en épi simple ou composé. Epi à rachis fragile, se détachant en en- EME O A ce OO à 1e EU 2 Epi à rachis non fragile......... és SE Le Glumes toutes 3-4 dentées, à dents aris- EE S 0 LS A TO DT TES MT D 0 AO RE A 0. Glumes ?-dentées, à dents aiguës, non LAN] AIS TOO RES D ut dev Re PERD T. monococcum L. dents développées en arêtes ayant la même longueur dans tous les épillets, ou celles de l’épillet terminal plus pe- Epi linéaire, allongé. Glumes 3- dentées, à dents développées en arêtes, celles des Ne L BOL NORRIS 3 - T. ovatum GREN. et Gopr. épiliets supérieurs plus longues........ T, triunciale GREN. et Gopr. [ Epi à rachis offrant des ral‘ très courts EDIMELASONE. ....-....08 Epi à rachis offrant des entrenœuds al longés. Epi comprimé........... so... QD © Glumos à carène à peine saillante...... 7, sativum LAMK Qt Glumes à carène très saillante, presque sl. Le ; ais de CCE . T. turgidum L. Souche HodiEnaes très longuement | Epi ovale, court. Glumes 3-4 dentées, à rampante et traçante..,.........,..... 1. repens L. Souche cespiteuse . RME co sesss et TN CONMINAUM ÈCHRER, SECALE L. — Epillets solitaires sur chaque dent du rachis x de l’épi, 2-flores, à fleurs hermaphrodites, avec un rudiment GRAMINÉES 443 pédicelliforme d’une troisième fleur. Glumes 2, étroites, lan- céolées, acuminées, carénées. Glumelles 2, inégales, l’inférieure carénée, à carène ci- liée, terminée par une très longue arète. Squamules 2. Etamines 3. Ovaire hérissé dans le haut. Caryopse à hile linéaire, ca- naliculé sur la face interne, poilu au som- met, libre. Epillets en épi simple, à rachis fragile ou persistant. S. cereale L. — Plante annuelle, à tiges hautes de 1 m. à 1 m. 50, dressées, subso- litaires ou peu nombreuses; à feuilles pia- nes, scabres, grandes, à épi un peu penché, Fig. 594. — Trilicum repens. Fig. 555, — Secale cereale, ergoté. très longuement aristé. — Flor. : mai-juin, — Fruct. : juillet. Habit, : patrie inconnue. 44% MONOCOTYLÉDONES Cultivé en grand nombre pour ses fruits, qui servent à la nourriture des animaux et à la fabrication du pain de seigle. Les ovaires sont souvent envahis par un champignon, le Claviceps pur- purea, dont le selérote, employé sous le nom d’ergot de seigle, constitue un puissant agent de contraction de l'utérus et un bon hémostatique. HORDEUM L. — Epillets ordinairement disposés trois par trois, rarement deux par deux, sur chaque dent du rachis de l’épi, constitués par une fleur hermaphrodite, accompagnée d’un rudiment pédicelliforme d’une seconde fleur; les épillets latéraux de chaque groupe sont, parfois, neutres ou mâles. Glumes 2, raides, herbacées, planes. Glumelles 2, l'inférieure aristée. Squamules 2. Etamines 3. Ovaire atténué à la base, velu dans le haut. Stigmates plumeux, sortant sur les côtés et près de la base de la fleur. Caryopse à hile linéaire, allongé, à face interne canaliculée, plus ou moins adhérent aux glu- melles. Epillets en épi simple, à rachis ordinairement fragile. Epillets de chaque groupe tous RS ge dites DÉGETIBSE 2 0. SE ed rie TD 2 1. Epillets latéraux de chaque groupe mäles ou neutres, el le Re hermaphrodite, SeSSIB EEE de. à . RO He de ee TR Plante vivace, sauvage, à souche cespiteuse, courtement traçante. Epi cylindrique, peu compact. Arêtes seulement 1-2 fois aussi 2.{ longues quelles glumelles.........4... 4.4. H. europæum ALL. Plantes annuelles cultivées, Epi polygonal, à - épillets disposés sur six rangs. Arêtes plus longnes quenl'épl.. 5... ner ee 0 Epillets sur six rangs dont deux opposés peu 3.4 saillants et quatre proéminents ............ . J. vulgare L. Epillets sur six rangs tous également saillants. 7, hexastichum L. Plantes cultivées. Epillets sur six rangs, dont quatre formés par les mäles très peu saillants. 4.< Epillets latéraux mâles non aristés..,..,...... H. distichum L, Plantes sauvages, Epillets tous plus ou moins longuement aristés. DA MO oc ARS PAE 5 Plantes annuelles ou bisannuelles. Epillets tous aristés et à arêtes atteignant toutes la même longueur.........,............... . 27, murinum L, Plantes vivaces, à souche cespiteuse, ‘émettant des bouquets stériles de feuilles. Epillets laté- raux, mâles ou neutres, pourvus d’arêtes beau- coup moins longues que celles des épillets her- maphrodites....,..,........................ À. secalinum ScHREs. On cultive pour leurs fruits et leur paille les Æ. distichum, vulgare, hexastichum, et plus rarement l'A. zeocriton, très voisin du distichumr, dont. il ne diffère guère que par son épi plus compact et plus comprimé et par ses arêtes divergentes en éventail. Qt LOLIUM L. — Epillets solitaires sur chaque dent du rachis de l’épi, très comprimés latéralement, à fleurs hermaphrodites, la supérieure ordinairement stérile ou rudimentaire. Glumes 2, GRAMINEES 445 presque égales sur l’épillet terminal, l'inférieure absente sur les autres épillets. Glumes 2, presque égales, l’inférieure concave, mutique ou aristée. Squa- mules 2. Etamines 3. Caryopse à hile linéaire, adhérent à la glumelle supérieure. Epillets distiques, sessiles, en épi simple, lâche, à ra- chis non articulé. Plantes à souche cespiteuse, vivace, émettant des bou- 1.4 quets stériles de feuilles. Plantes annuelles, sans bou- quets Stériles de feuilles... 3 1 Epillets appliqués contre l’axe pendant l’anthèse. Fleurs mutiques, rarement quel- ques-unes aristées. Feuilles pliées longitudinalement dans leur jeunesse ........ L. perenne L. 2.!{ Epillets écartés de l’axe pen- dant l’anthèse. Fleurs aris- tées, au moins les supérieu- res, plus rarement toutes mutiques. Feuilles enroulées par les bords pendant leur Jenressé.”…..éa it es. à L. Italicum A. Br. [ Fleurs oblongues -lancéolées à la maturité. Epillets à 3 FO DPMBUESE Le mee .. L. multiflorum LAMK Fleurs ovales-oblongues, ren- flées à la maturité. Epillets FRE AU TT TONER . L. temulentum L. ® BRACHYPODIUM P. Br. — Epillets mul- tiflores, à fleurs hermaphrodites, les supérieu- res souvent rudimentaires, à rachis fragile. Glumes 2, aiguës, inégales, l’inférieure plus petite, plus courtes que les fleurs, mucronées. Glumelles 2, presque égales, l’inférieure mu- cronée ou aristée, la supérieure à 2 carènes poilues. Squamules 2. Etamines 3, rarement Fig. 556. 2. Ovaire poilu dans le haut. Caryopse à hile Z/i#m perenne. Epi. linéaire, allongé, adhérent à la glumelle supérieure. Epillets dis- tiques, en épi lâche. Plantes vivaces. Souche cespiteuse. Fleurs supérieures à arêtes plus longues que la glumelle.. ZB. sylvaticum RœM. et SCHULT. Souche rhizomateuse, traçante. Fleurs supérieures à arêtes plus courtes que Imetameolé: 22 te 0 dues". B. pinnatum P. Br. GAUDINIA P. Br. — Epillets solitaires sur chaque dent du rachis de l’épi, 4-7-flores, à fleurs hermaphrodites, les supérieures 446 MONOCOTYLÉDONES pédicellées, la terminale rudimentaire. Glumes 2, inégales, l'inférieure plus courte, 3-nerviée, la supérieure 7-9-nerviée, toutes les deux plus courtes que les fleurs. Glumelles 2, iné- gales, l’inférieure plus grande, concave, aristée sur le dos, à arête genouillée et tordue dans le bas, la supérieure bifide. Squamules 2. Etamines 3. Ovaire poilu dans le haut. Caryopse à hile ponctiforme, libre. Epillets sessiles, en épi. G. fragilis P. Br. — Seule espèce. Plante annuelle, à tiges grêles, hautes de 30 à 60 centim., rare, introduite avec le gazon. NARDUS L. — Epillets solitaires sur chaque dent du rachis, 1-flores, à fleurs hermaphrodites. Glumes 0. Glumelles 2, l’infé- rieure 3-nerviée, carénée, subulée. Squamules 0. Etamines 35. Ovaire glabre. Style indivis, à stigmate filiforme, muni de longs poils simples. Caryopse linéaire, à hile linéaire. Epillets en épi simple, unilatéral. N. stricta L.— Seule espèce. Plante vivace, à souche rhizo- mateuse courte, à tiges grêles, hautes de 10 à 40 centim., à épillets bleuâtres. Tribu III — MAYDÉES. Epillets monoïques, les mâles en panicules ou en épis termi- naux, les femelles en épis axillaires. ZEA L. — Epillets mâles 2-flores. Glumes 2, concaves, mu- tiques. Glumelles 2, mutiques. Squamules 2. Etamines 3. — Epillets femelles formés d’une fleur femelle et de 1-2 fleurs neutres, réduites aux glumelles. Glumelles larges, oblongues, concaves. Squamules 0. Ovaire sub-globuleux, glabre. Style terminal, très long, cilié, terminé par deux stigmates subulés, pubescents. Caryopse subglobuleux, aplati, luisant. Epillets mâles géminés, en grappe spiciforme , terminale. Epillets femelles en plusieurs séries spiralées, plongés en partie dans les cavités du rachis de l’épi. Z. Maïs L. (Maïs, Blé de Turquie) — Plante annuelle, à tige dressée, robuste, très épaisse, pleine, haute de 1 à 2 m., à feuilles très larges, planes, ciliées. Epis femelles longs de 45 à 20 centim., entourés de larges bractées imbriquées. Caryopses irès gros, luisants, jaunâtres. — Flor. : juin. — Fruct. : sep- tembre. — Habit. : originaire de l'Amérique méridionale. Cultivé. On cultive 1: Maïs pour ses caryopses, qui servent dans certaines régions de la France, notamment dans le voisinage des Pyrénées, à la fabrication d’un pain de qualité inférieure. L'amidon du Maïs est formé de grains polygonaux, Æ> + +] CONIFÈRES Rameau II. — ARCHISPERMES ou GYMNOSPERMES Endosperme se formant avant la fécondation, comme dans les Cryptogames vasculaires. Feuilles remplacées par de sim- ples aiguilles. Ovules considérés par beaucoup de botanistes comme dépourvus d’ovaires (gymnospermes). Une seule famille (dans notre flore). Fig. 557, — Pinus sylvestris. Fig. 558, — Pinus sylvestris. Ecaille florifère jeune, Ecaille florifère jeune, vue par la face supérieure. vue par la face inférieure. Fig. 559. Fig. 560. Fig. 561. Pinus sylvestris. Pinus sylvestris. Pinus sylvestris, . Écaille adulte et fruits Inflorescence mâle. Inflorescence femelle. Coupe longit. &, bractée, b, écaille florifère ; e, fleur. Æ > (e 2) ARCHISPERMES OÙ GYMNOSPERMES AL FamiLce CVI. — CONIFÈRES. Caractères constants. — Fleurs monoïques ou dioïques, dis- posées en chaton. Périanthe nul. Chatons mâles composés d’écailles anthérifères dilatées ou pellées; à anthères au nom- bre d’une à vingt, uniloculaires, disposées parallèlement ou en rayonnant sur la face inférieure de l’écaille, déhiscentes par des fentes longitudinales. Chatons femelles formés de bractées foliacées plus ou moins développées, souvent très rudimen- taires, dans l’aisselle desquelles se forment soit des fleurs femelles sessiles (Genévriers), soit des écailles florifères aplaties, portant à la base deux fleurs collatérales (Pin). Chaque fleur est constituée par un sac béant, qui enveloppe un ovule orthotrope. Pour certains auteurs, le sac représente l'enveloppe de l’ovule, et il n’y aurait pas d’ovaire, d’où le nom de Gymno- spermes donné à ces plantes. M. Baïllon a démontré, à l’aide de recherches organogéniques, que le sac enveloppant con- stitue un ovaire formé de deux carpelles et que l’ovule est réduit au nucelle nu. Le fruit des Conifères est un fruit composé, désigné sous le nom de cône, dont les écailles sont tantôt charnues et simulent par leur ensemble une baie (Genévrier), tantôt sèches et ligneuses (Pin). Les ovaires müris sont eux-mêmes souvent ailés, avec un péricarpe dur et cas- sant. Les graines sont albuminées. Le fruit exige souvent deux années pour parvenir à la maturité. L'embryon est fréquem- ment pourvu d’un nombre variable de cotylédons provenant de la division de deux cotylédons primitifs. Arbres ou arbrisseaux généralement résineux. Feuilles dépour- vues de stipules ; plus souvent persistantes, éparses ou distiques, ou bien opposées ou ternées, ou fasciculées, parfois imbriquées ; ordinairement simples et entières, rarement denticulées ou lobées linéaires, ou squamiformes, rarement elliptiques ou flabel- liformes, quelquefois dimorphes. Affinités. — Le pollen et le sac embryonnaire des Coni- fères offrent des particularités d’un grand intérêt qui permet- tent de rattacher les Conifères aux Cryptogames vasculaires. Deux tribus : Cône court, subglobuleux, à écailles connées, charnues. Cha- tons mâles à écailles peltées, portant 3-8 loges anthériques. Cupressinées. Cône allongé, ovoïde ou oblong-cylindrique, à écailles tou- jours indépendantes, Chatons mâles à écailles portant cha- cune deux loges anthériques...........,..... cn on se jmeais D ADEONNMEOT. CONIFÈRES 449 Tribu I. — ABIÉTINÉES. Fleurs monoïques. Cône plus ou moins allongé, ovoïde ou oblong, formé d'écailles ligneuses, indépendantes, situées cha- cune à l'aisselle d’une bractée mince, plus ou moins dévelop- pées, et portant elles-mêmes sur leur face supérieure, près de leur point d'insertion, deux ovules devenant des fruits ailés. Chatons mâles formés d’écailles portant chacune deux lobes anthériques. Arbres à feuilles linéaires, raides, subulées, épar- ses ou fasciculées, et à branches ordinairement verticillées. 41,{ Feuilles fasciculées par ?-3 ou en grand nombre.......... 2 ‘| Feuilles éparses ou éparses-distiques....................... 3 Feuilles caduques, se renouvelant en totalité chaque année. 3 Cône atecalles minces..2...........,.2 PRE LUE NL Larix. 7‘) Feuilles persistantes. Cône à écailles très épaisses, mucronées à l'extrémité ...... Le SO PER PER CRE Pinus. Cône à écailles minces, se détachant avec les graines. Feuil- 3 ER A: sn ne a us ee me me de à de Picea. ) Cône à écailles minces, persistantes, ne se détachant pas avec les graines. Feuilles éparses........................ Abies 1. ABIES T.— Chatons femelles terminaux, habituellement s50- litaires et situés de préférence sur les branches les plus éle- vées, sessiles, oblongs, formés d’écailles étroitement imbriquées, portant chacune deux ovules et situées chacune dans l’aisselle d’une bractée membraneuse bien développée. Cône à écailles minces, non épaissies au sommet, persistantes et laissant échap- per les graines en s’écartant un peu les unes des autres. Feuilles tout à fait éparses, aciculées, persistantes. A. excelsa DC. (Epicéa, Pesse). — Arbre atteignant une grande taille, pyramidal, à branches verticillées, étalées et un peu inclinées vers le sol. Feuilles assez courtes. Cônes pendants, à bractées et à écailles un peu denticulées. — Flor. : avril-mai. — Habit. : cultivé dans les jardins, les parcs et les forêts. On extrait de cet arbre, par incision. dans certains pays (Thuringe, Forêt-Noire), une grande quantité de résine. C’est surtout lui qui fournit la poixz de Bourgogne. PICEA D. Don — Les Picea ne se distinguent des Abies que par leurs écailles, qui se détachent en même temps que les graines, et par leurs bractées membraneuses très développées, apiculées. Feuilles éparses-distiques. P. pectinata Lou. — Arbre de très grande taille, pyra- 1. Les genres Abies, Picea et Pinus doivent être confondus en un seul. Nous les maintenons ici séparés pour la facilité du diagnostic. 450 ARCHISPERMES OU GYMNOSPERMES midal, à branches verticillées, étalées, souvent un peu pen- dantes. Bractées plus longues que les écailles et faisant saillie entre elles à la maturité. Flor. : avril-mai. — Habit. : cultivé dans les parcs et les forêts. Dans certains pays on en extrait de la résine. Il est surtout cultivé pour son bois. Il contribue à fournir la poix de Bourgogne. Ÿ ms, JOHANNET,SC Fig. 563. — Pinus sylvestris. PINUS L. — Se distingue des précédents par ses cônes à écailles très épaissies et mucronées à l'extrémité, et par ses feuilles fasciculées par 2-3 sur des rameaux extrêmement courts, indistincts, entourés à la base d’écailles minces, sca- rieuses. Cônes sessiles, ovoïdes-coniques, aigus. Cime pyramidale...... IS = ere one etes serve derce ee DAPICLO ONE Cônes pédoneniés: 4... LE RIRE 2 Cônes assez baidiotient pédoneulés, à pédon- cule recourbé, ovoïdes- -coniques. Cime pyra- Ida JP EE ES sus mass NUE 1e Cônes à pédoncule court, droit.) an “di à | jé ovoides ou oblongs-coniques, aigus. 2 Feuilles longues de 10-20 centim. Cime pyra- idole... 2. er Se P. maritima C. BAUX. Cônes très gros, ovoides- subglobuleux. Feuil- les longues de 7-12 centim, Cime en parasol. P. Pinea L. 3. CONIFÈRES 451 Toutes ces espèces sont cullivées pour leur bois. Le P. maritima est le plus utilisé pour l'extraction de la résine dans le sud-ouest de la France. LARIX T. — Se distingue des genres précédents par ses feuilles molles, presque planes, se renouvelant en totalité chaque année, fasciculées en grand nombre sur de petits rameaux distincts, courts, et par ses cônes à écailles minces, uon épaissies au sommet, portant chacune deux graines persis- tantes. L. europæañDC. (Mélèze). — Seule espèce; arbre de moyenne taille, à branches flexibles, horizontales ou pendantes, à feuil- les d'un vert gai, à cônes ovoïdes, à peu près sessiles, petits; * p'anté dans les parcs et les forêts. Tribu II. — CUPRESSINÉES. Cônes subglobuleux, formés de 3-4 écailles charnues, connées. Chatons mâles à écailles portant chacune 3-8 loges anthéri- ques. Feuilles ordinairement linéaires, éparses ou ternées, parfois écailleuses et imbriquées. NS LL v H ALEZY LT Fig. 564. Fig. 565. Juniperus communis. Femelle. Juniperus communis. Mâle, JUNIPERUS L. — Caractères de la tribu. Feuilles toujours linéaires, subulées, assez longues, étalées, Fes mdles….....) : dededeness réslaste sus soda on 0 SES! Feuilles plus courtes, habituellement réduites à l'état d'écatllesieourtes; imBriquéen LU caen. SRE EL. 452 ARCHISPERMES OU GYMNOSPERMES J. communis L. (Genévrier). — Arbrisseau dioïque, très ramifié dès la base, à rameaux diffus. Feuilles étalées, éparses, linéaires-subulées, piquantes, canaliculées en-dessous. Cônes subglobuleux, noirs, charnus, couverts d’une pruine glauque, persistants pendant l'hiver. — Flor. : avril-mai. — Fruct. : août-octobre. — Habit. : commun dans les bois secs. Les fruits sont employés comme diurétiques et expectorants, sous le nom de baies de Genévrier ; ils sont riches en huile essentielle. Fig, 567. — Juniperus communis. Fig, 566. — Juniperus communis. Fruit entier. Fruit; coupe longit. Fig. 568. Fig. 569. Juniperus Sabina. Juniperus Sabina. Juniperus Sabina. Inflorescence mäle. Inflorescence femelle. J. Sabina L. (Sabine). — Arbuste souvent couché et étalé. rès ramifié dès la base, à feuilles courtes, parfois étalées, plus souvent réduites à l’état d'écailles très petites, étroitement imbriquées. — Flor. : avril-mai. — Habit. : cultivé dans quelques jardins. Toutes les parties de la plante exhalent une odeur forte, désagréable, La Sabine est emménagogue et puissamment abortive. CRYPTOGAMES 453 Phyium II. — CRYPTOGAMES Plantes dépourvues de fleurs véritables. Embryons sans cotylédons. Dans les Cryptogames, les procédés de reproduction asexuée sont plus nombreux et plus fréquemment mis en usage que dans les Phanérogames; ils varient avec chaque groupe. La reproduction sexuée s’effectue à l'aide de cel- lules mâles très souvent mobiles, comme dans les animaux, et désignées alors sous le nom d’anthérozoïdes. Ces cellules se développent dans des organes désignés sous le nom d’an- théridies. La cellule femelle ou œuf porte des noms qui varient avec les groupes et se développe dans des organes à formes et à organisation très diverses. Les organes végétatifs ont une organisation beaucoup plus rudimentaire que dans les Phané- rogames. Les Cryptogames se divisent assez naturellement en deux groupes : a, Organes végétatifs nettement divisibles, comme dans les Phanérogames, en racine, tige et feuilles, et pourvus de véritables faisceaux fibro-vasculaires. Organes re- producteurs sexuels portés par un pro- thalle plus ou moins rudimentaire , la plante feuillée ne produisant que des organes reproducteurs asexués.......... Cryptogames vasculaires. b. Organes végétatifs moins nettement ou pas du tout divisibles en racine, tige et feuilles, Pas de faisceaux fibro-vascu- laires. Organes reproducteurs sexuels portés par la plante parfaite............ Cryptogames non vasculaires. Rameau I.— CRYPTOGAMES VASCULAIRES. Les Cryptogames vasculaires ont une organisation assez ana- logue à celle des Phanérogames; on y distingue très facilement des racines, une tige et ses ramifications, et des feuilles, Ces organes possèdent des faisceaux fibro-vasculaires véritables, mais d’une structure spéciale. Leur accroissement s’effectue par une seule cellule terminale, pendant toute la durée de l’exis- tence. La plante feuillée ne produit jamais directement les organes reproducteurs sexuels, d’où le nom de génération aseæuée qui lui a été donné; elle produit seulement des cellules spé- ciales (spores), qui donnent naissance à une lame celluleuse plus ou moins développée (prothalle), sur laquelle se dévelop- 45% CRYPTOGAMES VASCULAIRES pent les organes mâles (anthéridies) et les organes femelles (archégones), d'où ie nom de génération sexuée donné au prothalle, Les organes mâles et les organes femelles ont une * organisation assez semblable à celle qu'ils offrent dans les Phanérogames Archispermes ou Gymnospernes. Les Cryptogames vasculaires se laissent assez facilement diviser en quatre familles : Prothalle se développant dans la spore, faisant ou ne faisant pas saillie au dehors d'elle, mais ne se déve- loppant pas en une lame indépendante............. “I 1.{ Prothalle se développant hors de la spore en une lame celluleuse verte, ayant une existence propre et vi- vant dans le sol ou sur le sol à l’aide de racines rudimentaires et de la fonction chlorophyllienne.... 3 Prothalle ne faisant pas saillie hors de la spore..... Lycopodiacées. 2.1 Prothalle faisant saillie hors de la spore, mais sans se séparer d’elle........... d'u curel se t0 0 Lie AGE Rhisocarpées. Plantes à feuilles véritables, analogues à celles des Phanérogames et portant les organes reproducteurs 3.4 ASOXUÉS. Punsrosnroose ensseeossesrerese HS 55 Fougères. Plantes sans feuilles véritables. Organes reproduc- teurs asexués portés par des écailles spéciales...... Æquisétacées. Fawizce CVIL — LYCOPODIACÉES. Caractères constants. — Plantes à racines, tiges et feuilles bien développées et munies de faisceaux fibro-vasculaires. Tige et racine toujours ramifiées dichotomiquement. Feuilles toujours simples, de petite taille, insérées en spirale sur plu- sieurs rangs, nombreuses el très rapprochées, les inférieures donnant naissance dans leur aisselle à des radicules filiformes. Organes reproducteurs asexués développés à l’aisselle des feuil- les normales ou de feuilles modifiées et constitués par une sorte de sac (sporange), dans lequel se développent les spores. Sporanges et spores tous semblables et d’une seule sorte 1. Sporanges déhiscents en 2 valves. Spores polygonales. Prothalle très rudimentaire, se développant dans la cavité de la spore. Affinitée. — Par leur prothalle réduit, les Lycopodiacées se rapprochent des Conifères et servent à relier ces dernières aux Rhizocarpées. LYCOPODIUM L. — Caractères de la famille. 1. Dans des Lycopodiacées étrangères à notre flore, et formant la tribu des Sélaginellées (Selaginella, Isoetes) il existe deux espèces de spores : les unes plus grosses (macrospores) produisant un prothalle femelle, les autres plus petites (microspores) produisant un prothalle mâle. Chaque sorte de spores est enfermée dans une variété particulière de sporanges, RHIZOCARPÉES fn) Sporanges disposés en épis, à l’aisselle de feuilles modifiées....... RECENT re 7 Sporanges disposés à l’aisselle de feuilles non modifiées de tous les rameaux..........,..... L. Selago L. Sporanges disposés à l’aisselle de feuilles termi- nales des rameaux, semblables aux feuilles cau- 9 linaires, de manière à former un épi peu distinct. Z, inundatum L. LS Sporanges disposés à l'aisselle de feuilles Lermi- nales des rameaux modifiées, de manière à for- nr /CpIS Dien- UISMNCIS. .. ..-essoomcrace À 3 Feuilles terminées par'un long poil......,....... L. clavatum L. ‘| Feuilles non terminées par un poil............. Z. complanatum L. Rae PRÉ é - "2 EE F Fig. 571. — Lycopodium clavatum. Fig. 572. — Lycopodium clavatum. s Bractée sporangifère et spore, Les spores de toutes les espèces de Zycopodium, mais surtout celles du L. clavatum, sont employées, à cause de leur petitesse, sous forme de poudre de Lycopode dans le traitement de l'intertrigo des enfants, dans la fabrica- tion des pilules, ete. Fauizze CVIIT, — RHIZOCARPÉES. Caractères constants. — Plantes à racines, tiges et feuilles bien développées et munies de faisceaux fibro-vasculaires, vivant dans l’eau ou dans les tourbières et les marécages. Racine et tige toujours ramifiées dichotomiquement. Feuilles tantôt formées d’un limbe et d’un pétiole, tantôt réduites au pétiole. Organes reproducteurs asexués constitués par des feuilles transformées en sacs (sporocarpes) contenant les spo- ranges, Sporanges de deux sortes, les uns plus grands (acro- 456 CRYPTOGAMES VASCULAIRES sporanges), produisant des spores volumineuses (macrospores), les autres plus petits (microsporanges), produisant des spores de moindre taille (»ricrospores). Les macrospores produisent uniquement des prothalles femelles et les microspores des prothalles mâles. Prothalle rudimentaire, développé dans la spore, mais faisant saillie en dehors d'elle. Affinités. — Les Rhizocarpées sont voisines des Lycopodia- cées, dont elles ont le prothalle réduit, mais dont elles se distinguent par leurs sporanges toujours de deux sortes. Tribu des MARSILIÉES. Rhizome filiforme, rampant. Feuilles linéaires, subulées, roulées en crosse dans leur jeunesse, réduites au rachis (dans — Fig. 573. -— Marsilia quadrifolia. Fig. 574, — Pilularia globulifera. FOUGÈRES 457 lespèce de notre flore), ou bien terminées par 4 lobes obovales (dans Marsilia quadrifolia). Sporocarpes globuleux ou ovoides sub-globuleux, velus, naissant sur le rhizome, à la base des feuilles, déhiscents en 2 ou # valves, contenant des sporanges de deux sortes. Plantes aquatiques. PILULARIA L. — Caractères de la tribu. Feuilles réduites au rachis, roulées en crosse dans leur jeunesse. P. globulifera L. — Plantes aquatiques, vivant au bord des mares, des étangs sablonneux, dans les tourbières, parmi les bruyères humides. Rhizome ramifié, filiforme, rampant. Feuil- les glabres, longues de 3-10 centim. Sporocarpes de la gros- seur d’un pois, velus. 4 Face CIX. — FOUGÈRES. Caractères constants. — Plantes à tiges, racines et feuilles bien développées et pourvues de faisceaux fibro-vasculaires. Tige rhizomateuse, souterraine (dans toutes nos espèces), ramifiée dichotomiquement ou simple. Feuilles ordinairement très grandes, roulées en crosse dans leur jeunesse (sauf dans les Ophioglossées) et s’accroissant par l'extrémité. Sporanges Fig. 576. — Prothalle donnant ù | naissance à une jeune fou- Fig. 575. — Rhizome de Fougère mâle, gère. naissant sur la face inférieure des lobes foliaires, tantôt pas du tout, tantôt peu ou beaucoup modifiés. Sporanges d'une seule sorte, contenant des spores toutes semblables. Prothalle déve- loppé en dehors de la spore en une lame verte, qui se fixe au sol par dés filaments radiculaires et qui porte à la fois des : organes mâles et des organes femelles. Affinités. — Les Fougères se rapprochent des Rhizocarpées par leur organisation générale et par leurs feuilles bien dévelop- pées, roulées en crosse dans la jeunesse; mais elles en diffe- FLORE DE PARIS, 26 458 CRYPTOGAMES VASCULAIRES rent nettement par leurs sporanges d’une seule sorte. Ce caractère les rapproche des Equisétacées, dont elles diffè- rent par leurs feuilles et par l'absence d’élatères. Fig. 578. Fig. 577. Fig. 579. Fig. 580. Nephrodium Filir-mas. N. Filix-mas. IN. Filix-mas. Prothalle adulte. Sporange après Sporange jeune. «+ la déhiscence, S ae, ET 4 X NZ or, Q (? SK h RE Si Q CS ( nu fa o a —ù ESS DD TRS . Fig. 581. — Nephrodium Filix-mas. Coupe verticale d’un lobe de feuille, passant par un sore, Trois tribus : Feuilles au nombre de 2? seulement, non enroulées en crosse, une seule produisant les sporanges... Ophioglossées. ‘) Feuilles en nombre indéfini, enroulées en crosse dans leur jeunesse. .4. 400 4e ot eu ee 0 60 Re FOUGÈRES Sporanges naissant sur la face inférieure de lobes 2. foliaires pas ou peu modifiés.............., . L Sporanges naissant sur des lobes foliaires terminaux D .J le ane mt Æ OL & Polypodiées. Osmundees. Tribu I. — CNE Sporanges se développant sur la face inférieure de lobes foliaires peu ou pas modifiés, recouverts ou non par le bord replié de la feuille ou par une membrane (zndusie), pédicel- lés et pourvus d’un anneau vertical incomplet, formé de cel- lules à parois épaisses qui, en se rétractant, déterminent la rupture en travers du sporange. lées en crosse dans leur jeunesse. f Sporanges disposés par groupes (sores) sur les ner- vures secondaires des lobes foliaires, sans indusie 1.4 et non recouverts par le bord replié des feuilles... Sporanges recouverts par le bord replié des feuilles L' oupar une indusie: 5. » NAN É RAA à | Sores oblongs-linéaires, entremélés de poils squa- JOIDEMEN........ - à + ARR INT dnles aie ds lin | Sores arrondis, non entremêlés ‘de poils squami- formes... SÉANCES TEE SR Sa pe Pen d: + Sporanges recouverts par le bord replié feuilles, ( insérés sur le bord de la face inférieure des lobes foliaires . EL CR ee = ee | Sporanges recouverts par une indusie distincte du bord des feuilles........ = LH 0860 EE TOR 20 Sores linemiressouteblongatn. nn .:.........52 Sores arrondis, naissant toujours sur le trajet des | nervures secondaires ou de leurs ramifications, Popamois nitrate. 00 Te. PAOOE E : PR TA Sores unilatéraux, linéaires ou oblongs...... : Sores formant deux lignes étendues sur toute la longueur des sements foliaires, de chaque côté de la nervure médiane. CEE ECC + SUR UE { Feuilles indivises. Sores rapprochés par paires re- ) couvertes chacune d’une indusie à deux valves... | Feuilles 1-2-3-pinnatiséquées. Sores non rapprochés NAS DATES: LE OUR, 2e SIMS mien à aie o to ee { Indusie peltée, insérée par un pédicule au centre du sore, libre par toute sa circonférence......,...... Indusie lancéolée-ovale ou sub-orbiculaire-réni- forme, insérée par une portion plus ou moins étendue de sa circonférence..... «see eee Indusie lancéalée ou ovale... ........... re à la maturité, Feuilles enrou- 2 3 Ceteracn. Polypodium Pteris. Blechnun. Scolopendrium . Asplenium. Aspidium. 8 Cystopteris. Nephrodium. CETERACH C. Baux. — Groupes des sporanges ou sores oblongs-linéaires, insérés sur les ramifications des nervures secondaires des feuilles. Sporanges entremêlés de poils squa- miformes. Pas d’indusie. Bords de la feuille non repliés pour couvrir les sores qui sont tout à fait nus. Feuilles pinnatipar- tites. 460 CRYPTOGAMES VASCULAIRES C. officinarum C. Baux. (Cétérach, Herbe dorée, Daurade). — Souche cespiteuse, émettant une grosse touffe de feuilles lon- gues de 5-15 centim., à petiole court, couvert de poils squa- miformes, à limbe pinnatipartite, à lobes alternes, ovales, arrondis au sommet, entiers, plus ou moins confluents à la base, glabres et verts en dessus, velus-squameux en dessous. Ner- vures des folioles peu marquées, visibles seulement par trans- parence. — Fruct, : juin-octobre. — Habit. : vieilles murailles, rochers humides. Rare. Le Cétérach a joui autrefois d’une certaine réputation comme béchique, diurétique, astringent. On employait le rhizome frais ou sec, en infusions ou en poudre. POLYPODIUM L. — Sores arrondis,épars ou en séries régu- lières, insérés au sommet ou au milieu des nervures Secon- daires et de leurs ramifications. Sporanges non entremêlés de poils squamiformes. Pas d’indusie. Bords de la feuille non repliés pour couvrir les sores, qui sont tout à fait nus. Feuil- les pinnatipartites, ou 2-3-pinnatiséquées. Sores insérés sur l'extrémité épaissie des ramifications internes des nervures secondaires, Feuilles pinnatipar- CIÉRS. eee ce cn ME neue uen seb C EDEN P. vulgare L. Sores insérés sur le trajet des nervures secondaires. Feuilles 2-3-pinnatiséquées............ PT OS OU, À in SUR Le rhizome du P. vulgare (Réglisse des bois) est doué d’une saveur sucrée qui l’a fait employer contre les mala- dies des bronches. Il est légèrement laxatif. f PTERIS L. — Sores formant une ligne continue sur chaque bord de certains lobes foliaires, recouverts par les bords repliés de ces lobes. Feuilles 2-3-pinna- tiséquées. P,aquilina L. — Plante à rhi- zome allongé, tracant, à feuil- Fig. 583. Fig, 582. — Polypodium vulgare. Pteris aquilina. Foliole ; face inférieure. FOUGÈRES 461 les très grandes, hautes de 60 centim. à 1 m. 50. Très abon- dant. BLECHNUM L. — Sores insérés sur deux rangées, de cha- que côté de la nervure médiane, sur la ramification interne des nervures secondaires qui s’anastomose avec la nervure située au-dessus. Sores recouverts par une indusie membraneuse, linéaire, insérée sur la face inférieure de la foliole par son bord externe, libre au niveau de son bord interne. Folioles fructifères plus étroites que les stériles. Feuilles pinnatipar- tites. B. spicant Rorx, — Seule espèce, à souche cespiteuse, à feuilles en touffes, raides, hautes de 30-60 centim. ; assez rare. SCOLOPENDRIUM Su. — Sores linéaires-allongés, unilaté- raux, insérés sur les bifurcations des nervures secondaires. recouverts par une indusie membraneuse, qui s’insère sur la nervure secondaire. Chaque masse linéaire de sores étant for- mée par deux groupes insérés sur les. deux branches d’une même ner- vure secondaire, et très rapprochés l’un de l’autre. Par suite de cette disposition, chaque masse linéaire paraît être pourvue d’une indusie à deux valves. Feuilles entières, allongées, oblongues - lancéolées, plus ou moins cordées à la base. S. officinale Sum. (Scolopendre, Langue de cerf). Souche cespiteuse, souvent surmontée des restes des pétioles des feuilles détruites, émet- tant un bouquet de feuilles sim- ples, hautes de 30 à 60 centim., les fructifères non modifiées, toutes longuement pétiolées, à pétiole cou- vert de poils squamiformes, à limbe lisse, ferme, glabre. — Fruct. : juin- septembre. — Habit. : puits, vieilles murailles. Assez rare. Le rhizome du Scolopendre était autre- à \D 1 fois considéré comme diurétique. Il est Fi. 584 aujourd'hui , avec raison, complètement SRE PR abandonné. Scolopendrium officinale. ASPLENIUM L. — Sores linéaires ou oblongs, unilatéraux, insérés sur les nervures secondaires, non rapprochés par pai- 26. 462 CRYPTOGAMES VASCULAIRES res, recouverts d’une indusie membraneuse, linéaire ou oblon- gœue, inséré par son bord externe sur la nervure secondaire qui porte le sore. Feuilles 1-2-3-pinnatiséquées. ne i Feuilles à 2-3 segments terminaux....... A. septentrionale Sw. Feuilles 4-2-3-pinnées...:.......,....... 1 Indusie à bord libre entier............., 3 Indusie à bord libre fimbrié.........,.. 6 3 { Feuilles 1-pinnatiséquées............. RATE ”‘) Feuilles 2-3-pinnatiséquées..... PRE 9 Feuilles à circonscription oblongue- Te néaire , à 5-11 segments cunéiformes k allongés , incisés-dentés au sommet, les supérieurs sessiles, confluents à la base, les inférieurs atténués-pétiolés, subdivisés en 3-4, 10b6S:...,. + a ame appris ….…. À. Germanicum Weiss. Feuilles à circonscription linéaire, ‘atté- nuées aux deux extrémités, à segments nombreux, ovales-rhomboïdaux, es in- férieurs non subdivisés .. ss... A. Trichomanes L. Indusie oblongue. Feuilles 2-pinnatisé- quées, à circonscription oblongue-lan- DÉDIP OM MEN RE CUN ceuir ee te pe OST À. lanceolatum Huns. Indusie linéaire, Feuilles 2-3- “pinnatisé- quées, à circonscription triangulaire- lan- dbolbe:.:... MA Sbee. ct. rl A. Adiantum-nigrum L. Segments foliaires sessiles. Feuilles 2-pin- natiséquées, à circonscription oblongue- 6.) Jlancéolée...... ROM ce se Vel A, Filix-femina BERN4. *) Segments foliaires 3-10, tous pétiolulés. Feuilles 1-2 pinnatiséquées, à circons- cription ovale-triangulaire.....,.... ... A. Ruta-muraria L. LS . > L'A. ARuta-muraria (Doradille, Rue des murailles) a joui autrefois d’une certaine réputation. Son rhizome était employé comme diurétique el béchique. 11 est aujourd'hui tout à fait oublié. L’A. Adiantum-nigrum (Capillaire noire) jouissait de la même réputation, était employé aux mèmes usages et est tombé presque dans le même oubli. On l'emploie ce- pendant, parfois, à la place de la Capillaire de Montpellier, pour préparer des sirops contre le rhume (ue ne doivent leur action qu’à l'opium qu'on y ajoute. CYSTOPTERIS BEervx. — Sores arrondis, insérés sur les nervures secondaires des feuilles ou sur leur ramification interne, épars ou en séries régulières, couverts d’une indusie très mince, ovale ou lancéolée, insérée au-dessous des sores par sa base, libre dans le reste de son étendue, disparaissant à la maturité. Feuilles 2-3 pinnatiséquées. €. fragilis BErxvx. — Plante à souche épaisse, émettant un petit nombre de feuilles hautes de 10-40 centim., rare sur les vieux murs et les rochers humides. NEPHRODIUM Rica. — Sores arrondis, insérés sur les ner- vures secondaires ou sur leurs ramifications, épars ou en séries régulières, couverts d’une indusie sub-orbiculaire-réni- FOUGÈRES 463 forme, membraneuse, insérée au centre des sores par des plis de sa portion échancrée. Feuilles pinnatiséquées, à segments pinna- tifides ou pinnatipartits, ou pinnatiséqués. 1. Indusie très mince, fugace............. Indusie coriace, persistante. SENS fe Souche grèle, longuement tracante. Pé- 9 tioles sans poils squamiformes......... **) Souche cespiteuse. Pétioles et rachis cou- verts de poils squamiformes........... Feuilles 2-pinnatiséquées, à lobules munis 3.{ de. dents cuspidées-aristées............ Feuilles simplement pinnatiséquées..... Feuilles à lobes munis de dents mucero- n nées non: anis tés. RTL ANS AE Feuilles à lobes munis de. dents aiguës, MATIQUES ER des ose ae .. Fige 985, = Nephrodium Filir-mas. 2 3 N. Thelypteris Srremp. N. Oreopteris Kunrs. N. spinulosum STREMP, NN. cristatum Micax. N. Filiz-mas STREMP. Fig. 586. Nephrodim Filix-mas. Foliole fructifère. Fig. 587. Nephrodium Filir-mas. Anthérozoïdes, 46% CRYPTOGAMES VASCULAIRES N. Filix-mas Srremp. (Fougère mâle). — Plante à sou- che volumineuse, cespiteuse-traçante, couverte des restes des vieux pétioles, chargés de poils squamiformes brunâtres. Feuilles assez nombreuses, en touffe, hautes de 50 centim. à 1 m. et plus, à pétiole et à rachis couverts de poils squami- formes scarieux, pinnatiséquées, à circonscription oblongue- lancéolée, à segments lancéolés, pinnatipartits, ayant chacun 15- 25 paires de lobes munis de dents aiguës, non mucronées ni aristées. — Fruct. : juin-septembre. — Habit. : chemins creux, fossés, lisières et clairières des bois. Commun. FL La poudre du rhizome de la Fougère mâle a été employée contre tous les vers intestinaux. Elle est particulièrement efficace contre les Tænias et les Bothriocéphales. ASPIDIUM Sw. — Sores arrondis, insérés sur les ner- vures secondaires ou sur leurs ramifications, épars ou en séries régulières, couverts d’une indusie membraneuse, suborbiculaire, peltée,insérée au milieu des sores par un pédicule central, libre sur toute sa circonférence. Feuil- les 1-2-pinnatiséquées. A. aculeatum Sw. — Plante à souche cespiteuse, épaisse, à feuilles en touffes, hautes de 40 à 80 centim., rare dans les bois humides et les buissons ombragés. Tribu II. OSMUNDÉES. Feuilles enroulées en crosse dans la jeunesse. Lobes fo- liaires fructifères très rami- fiés, presque réduits au rachis, portant un nombre extrême- ment considérable de spo- ranges, très pressés les uns Fig. 588. — Osmunda regalis. contre les autres, sans indu- sie. Sporanges sans anneau vertical, s’ouvrant en deux val- ves du sommet à la base. | OC FOUGÈRES 46 OSMUNDA L. — Caractères de la tribu. 0. regalis L. — Belle plante à souche cespiteuse, épaisse, émettant des feuilles hautes de 60 centim. à 1 m. 50, très amples, bi-pinnatiséquées, à segments supérieurs seuls fructi- fères. Assez rare dans les bois marécageux. . Tribu III. — OPHIOGLOSSÉES. Feuilles non enroulées en crosse dans le jeune âge, au nom- bre de deux seulement, connées par toute la longueur des pétioles, l’une stérile, l’autre fructifère réduite au rachis. Spo- AN GX fn ce] A] NN J le FRS > \ K LES Fig. 590, — Ophio- glossum vulgatum. || Rameau sporangi- | fère. Coupe longit. du sommet; s spo- ranges. Fig. 5S9, — Ophioglossum vulgatum. Fig. 591. — Botrychium lunaria. ranges disposés sur deux rangs, de chaque côté du rachis, en forme de logettes creusées dans la cavité du rachis,'déhiscentes par une fente transversale. | 466 CRYPTOGAMES VASCULAIRES Deux genres : Feuilles entières. {4.44 eat tone seche CC OISE Feuilles: pinnatiséquées: . 4... :,.4..4.21tie. de 06e 262 case UNE OPHIOGLOSSUM L. — Caractères de la tribu. Feuilles stérile et fertile entières, la fertile réduite au rachis, la sté- rile ovale-lancéolée. x O6. vulgatum L. — Petite plante à souche grêle, à feuilles hautes de 10-15 centim. Rare dans les bois et les prairies tour- beuses ou marécageuses. BOTRYCHIUM Sw. — Caractères de la tribu. Feuilles sté- rile et fertile pinnatiséquées, la fertile réduite aux rachis prin- cipal et secondaires, la stérile à lobes cunéiformes. B. Lunaria Sw. — Petite plante à souche courte, verticale ou un peu oblongue, à feuilles longues de 10-15 centim., rare dans les pâturages montueux et les pelouses sablonneuses. Famizce CX. — EQUISÉTACÉES. Caractères constants. — Plantes à tiges et racines bien dé- veloppées et pourvues de faisceaux fibro-vasculaires disposés en un cercle régulier, à feuilles remplacées, au niveau de cha- que nœud, par une gaine dentée que l’on peut considérer peut- être comme formée de feuilles connées. Sporanges disposés en épi à l'extrémité de certains rameaux et insérés sur la face inférieure d’écailles épaisses, polygonales, peltées. Spores munies d’appendices filiformes, renflés au sommet, d’abord enroulés autour de la spore, puis se détendant avec élasticité et servant à la dispersion des spores (élatères). Sporanges et spores d’une seule sorte. Prothalle se développant en dehors de la spore, constitué par une lame verte qui porte les or- ganes sexuels. Affinités. — Par le mode de développement de leur prothalle et par la nature de leurs sporanges, les Equisétacées se rappro- chent des Fougères, mais elles s’en distinguent par la présence d’élatères sur les spores et par l’organisation de l'appareil végé- tatif, qui est très caractéristique. EQUISETUM L. — Caractères de la famille. Tiges toutes semblables et fructifères.......:... 2 1.4 Tiges de deux sortes, les unes fructifères, les l autres stériles. ..... d'obtras an Ve ue TEE MT ÉQUISÉTACÉES 467 Fig..592. Equisetum arvense. Soramité fructifère, Fig. 593. = Equiselum arvense. A, prothalle portant aa, anthéridies : B,C,D,E, anthérozoïdes à divers états. NRA Mate KR RER NN = K Fig. 595. — Equiselum arvense, Ecaille fructifère vue de profil. Fig. 594. Equiselum arvense. Prothalle femelle; k, rhizoïdes; a, a, archégones. Fig. 596. Equiseltum arveñse. Spore avec ses élatères, 468 CRYPTOGAMES VASCULAIRES ESS Epi surmonté d’un mucron conique, aigu. Tiges présentant 15-20 sillons assez marqués, très rudes, ne portant que rarement des verticilles de rameaux ou seulement en petit nombre et par 2-4 au verticilles.. .saniaeles den tee Epi non surmonté d’un mucron., Tige portant d'ordinaire des rameaux verticillés par 8-12 ou par .15-25 au verticllle. ... :0.,.4240.6800, 2. Tiges à 6-8 sillons profonds. Gaines ordinaire- ment à 6-8, rarement 12 dents. Rameaux verti- cillés par 8-12 ou moins par avortement...... . Tiges à 15-25 sillons. Gaines à 15-25 dents. Ra- meaux verticillés par 15-25 ou moins par avor- tement... lee .tae e m'da see eee lesaienaieleste Tiges stériles se développant en même temps que les tiges fertiles. Tiges fertiles produisant des verticilles de rameaux après la maturation de ITS RP L'abitatrs de das See ele Su TR bat , Tiges stériles se développant après les tiges fer- tiles, ne produisant pas de rameaux, se détrui- sant après la maturation de l'épi............ . Tiges fertiles brun-rougeätre, hautes de 10-20 cen- timètres, à gaines découpées en 8-12 dents. Tiges stériles hautes de 20-60 centimètres, vertes, plus grèles que les fertiles, à rameaux verticillés, simples on à Déinb XAMPUX,..., 2... Tiges fertiles blanc-rougeûtre, hautes de 10-40 centimètres, à gaines découpées en 20-30 dents. Tiges stériles hautes de 50 centimètres à 1 mè- tre 20, blanc-d’ivoire, portant un grand nombre de verticilles de rameaux grèles, très longs, or- dinairement simples ........,.... ste E. L F7. hyemale L. palustre L. ÆE, limosum L. E. E. E, sylvaticum L. arvense L, Telmateja Eure, Fig, 597, Equiselum Telmaleja. Un nœud avec sa gaine et ses rameaux. Lt (t D \ MOUSSES 469 Rameau II. — CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES. Les Cryptogames non vasculaires se distinguent de tous les autres groupes des végétaux par l'absence de véritables fais- ceaux fibro-vasculaires. Ces derniers sont seulement parfois re- présentés par des cordons de cellules plus allongées que les autres. Dans quelques groupes, on peut encore distinguer des tiges, des racines et des feuilles ; mais d’autres ne présentent pas cette différenciation. La reproduction s’effectue fréquem- ment par des procédés asexués très divers. Il existe souvent une génération alternante, comme dans les Cryptogames vasculaires. Les appareils de la reproduction sexuée sont très variables. On peut diviser les Cryptogames non vasculaires en six grands groupes. Plantes toujours dépourvues de chlorophylle.....,. Champignons. 1 pig ‘| Plantes pourvues de chlorophylle........:..... Sr Plantes présentant habituellement des appendices o semblables aux feuilles des Phanérogames....... 3 7") Plantes ne présentant jamais d'appendices sembla- bles aux feuilles des Phanérogames.......... 2 n { Feuilles bien développées et souvent munies d'ü une \ nervure médiane. Plantes toujours pourvues d’une FORCES IRIS drOndaeées LL: cr ON se Mousses. ) Feuilles beaucoup plus réduites, toujours dépour- | vues de nervure. Plantes tantôt pourvues d’une | tige et de feuilles, tantôt frondacées....!...,...... Hépatiques. { Plantes ordinairement frondacées, composées d'un mélange d'éléments verts et d'éléments incolores, offrant des organes reproducteurs semblables à ceux des Champignons Ascomycètes............. Lichens. Plantes ordinairement filamenteuses ou formées d’un très petit nombre de cellules vertes, sans organes reproducteurs semblables à ceux des Ascomy cètes. 5 ‘ Cellules femelles fécondées donnant naissance à un prothalle filamenteux (prolonéma) sur lequel se développe la plante fruetifère.............. ..... Characées. Cellules femelles fécondées donnant naissance direc- ment à une plante semblable à celle qui les a pro- DIE a nee same Pass sa smeeme dt esse tte lIQues: > A. — MOUSSES. 6 Caractères constants. — Plante sexuée toujours formée d’une tige plus ou moins allongée, fixée au sol par des racines filamen- teuses et portant des feuilles bien développées, toujours sim- ples, souvent pourvues d’une nervure médiane plus ou moins saillante. Pas de faisceaux fib'o-vasculaires. Organes reproduc- FLORE DE PARIS, 27 470 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES teurs sexuels toujours disposés au sommet, soit de la tige principale qui cesse de s’accroître (Mousses acrocarpes), soit de rameaux latéraux de seconde ou de troisième génération (Mous- ses pleurocarpes). Organes reproducteurs mâles et femelles tantôt portés par le même pied, tantôt portés par des pieds différents (Mousses dioïques). Dans le premier cas, les organes mâles et femelles peuvent être situés en des points différents de la plante (Mousses monoïques) ou réunis sur le même point (Mousses synoïques ou à fleurs hermaphrodites). Les organes reproducteurs sont ordinairement entourés de feuilles modifiées formant une sorte de #eur. Les organes mâles sont représentés par des sacs (anthéridies) contenant des cellules mâles mobiles (anthérozoïdes). Les organes femelles sont des sacs (archégones) contenant une cellule femelle (oospore). L'oospore fécondée se développe dans l’intérieur de l’archégone; elle donne naissance à un sac pédiculé ou sessile (sporogone, sporange) dans lequel se développent des spores asexuées. Celles-ci produisent d’abord un proembryon, tantôt frondacé (proembryon lamelliforme), tantôt filamenteux (prolfonéma), sur lequel se développent une ou plusieurs plantes feuillées. Le sporogone adulte se compose d’un sac (capsule) qui contient les spores et qui s'ouvre sou- vent à l’aide d’un couvercle (opercule) au niveau de son extré- mité supérieure. Sa cavité est parcourue, d'habitude, de haut en bas, par une colonne celluleuse (co/umelle) autour de laquelle sont disposées les spores. L’orifice mis à nu après la chute de Vopercule est limité par une bordure circulaire saillante (péri- stome) souvent surmontée d’appendices disposés sur un ou deux rangs concentriques (péristome simple ou double). La rangée externe (péristome externe) se compose de dents à aspect va- riable. La rangée interne {péristome interne) est souvent formée d'une membrane basilaire surmontée de lanières parfois entre- mêlées de cils. Tous ces caractères jouent un grand rôle dans la classification des tribus, des genres et des espèces. Le cou- vercle est souvent surmonté d'une coiffe à aspect variable, constituée par la portion supérieure, desséchée, de l’archégone. Les Mousses se reproduisent par des procédés asexués très divers. Il se produit très fréquemment au-dessus de la fleur deux, trois ou quatre bourgeons qui s’allongent rapidement tandis que l'axe qui les porte se détruit; on a donné à ces bour- geons le nom d'innovations, parce qu'ils renouvellent la plante. Par suite de la destruction de la tige qui les a produites, les in- novations deviennent indépendantes et forment autant de pieds distincts. Certains articles du protonéma peuvent (Funaria hygro- metrica) s'isoler des autres, rester au repos pendant quelque temps, puis s'allonger et se segmenter pour former un nou- Fig. 598. — Fragment de rameau Fig.599. — Fontinalis antipyrilica. et feuille de mousse. Péristome. Fig. 601. — Mnium hordeum. Poil transformé en protonéma qui produit des bourgeons foliacés, 472 » CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES veau protonéma qui produira des tiges feuillées. Tout poil radiculaire d’une plante feuillée peut donner naissance à un protonéma qui produira des tiges feuillées (Bryum, Mnium, TT. sé ITS Ch 2=S rasetssis au Fi LIELIL2 [] ses à Fig. 602. — Funaria hygro- melrica. Sporange. Coupe longitudinale; «a, anneau; c, columelle ; d, opercule; h, lacune aérifère; p, péri- stome ; s, cellules mères des spores. Barbula , etc.). Les poils radiculaires peu- vent produire directe- ment des bourgeons feuillés (Barbula, Fu- naria,etc.) Les feuilles Fig. 603. — Funaria hygro- melrica. Anthéridie laissant échapper les anthérozoïdes encore enfermés dans la cellule mère D; c, anthéro- zoïde libre de Polythrichum Fig. 604. — Fu- peuvent allonger certaines de leurs cellules en poils qui se ramifient en-véritable proto- néma, lequel produit des tiges feuillées (Or- thotrichum, Onchorus, etc.). Dans un certain nombre de Mousses, il se produit au sommet de la tige feuillée, à la place d’organes sexuels, des bulbilles ou propagules constituées par des corps pluricel- lulaires, pédicellés, qui, après avoir atteint une certaine dimen- naria hygrome- trica. b, arché- gone contenant la cellule cen- trale ; k, col ;"m, orifice du col encore fermé. BRYACÉES 473 sion, se détachent, tombent sur le sol et y donnent naissance à un protonéma qui produira des tiges feuillées. Enfin, dans certaines Mousses {(Bryum annotinum, etc.), il se forme des bourgeons qui se détachent et produisent directement des plan- tes feuillées. Affinités. — Par l’organisation de leur appareil végétatif et par leur alternance de générations, les Mousses ressemblent aux Cryptogames vasculaires, mais elles en diffèrent nettement par l’absence de vaisseaux. Elles sont très voisines des Hépatiques, dont il est à peine possible de les séparer d’une manière ab- solue. Les Mousses peuvent être divisées en quatre grands groupes f : Capsule toujours pourvue d’un opercule, s’ouvrant par la chute de l’opercule ou ne s’ouvrant pas du L Li STE Feite At he se Éhedsesee LE À Stégocarpes. Capsule sans opercule...... SERA eee ele RTS a Capsule s’ouvrant par la déchirure irrégulière et la deStrnetion ide SESSDATDIS Pete + M eee moe o ee 29 ae Cleistocarpes ) Capsule s’ouvrant par l'écartement de 4-6 valves ”*) longitudinales retenues au sommet..... Re .… Schistocarpes. Capsule s’ouvrant par une fente circulaire qui déta- che d’une pièce toutes les parois de la capsule... Sphagnacées. I. — STÉGOCARPES. Capsule toujours pourvue d’un opercule, s’ouvrant par la chute de l’opercule ou ne s’ouvrant pas du tout. Deux familles : Fructification terminale.,..,.....,...... he sisocst, BryaCÉeS. Penaonbonilatérale.. 7... RE se secs ereocs es.vcse Hypnacées. Fanizze CXI. — BRYACÉES. Caractères constants. — Fructification terminale, c’est-à-dire prolongeant un axe végétatif, soit l'axe primaire, soit un ra- meau feuillé de cet axe. Tiges habituellement dressées, rami- fiées d'ordinaire dichotomiquement et innovant au-dessous des 1. Pour la rédaction de la partie de ce livre relative aux Mousses et aux Hépatiques, j'ai fait surtout usage des excellents ouvrages suivants : BouLay, Flore cryptogamique de l'Est : Muscinées. T. Husnor, Flore analytique et descriptive des Mousses du Sud-Ouest. Hepatologia gallica. Flore analytique et descriptive des Hépatiques de France et de Belgique. J'ai fait figurer dans mes tableaux dichotomiques toutes les espèces qui ont été signalées dans la région parisienne par les différents eryptoga- mistes qui se sont occupés de la question, notamment par les auteurs cités plus haut et par MM. Roze et Bescherelle. M. Verlot, dans son exeel- lent Guide du Botaniste herborisant, a donné les listes des espèces qu'on trouve dans les principaux points de la région parisienne. 47% CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES fleurs. Feuilles à cellules le plus souvent rectangulaires ou hexa- gones-tronquées Capsule toujours pourvue d'un opercule. Pé- ristome tantôt double, tantôt simple ou nul. Coiffe tantôt se déchirant latéralement, tantôt ne se déchirant pas. Tribus : nt Lo) Co rSS 1 (er) © ee] = © en [= . [= LAS) Qt Te ee Te TT M APS 0 DIS ee TS 1 AT = cs Coiffe à section transversale circulaire, jamais tétra- gone, même à l’état jeune.... Coiffe à section transversale létragone dans le jeune àge, à la fin renflée-vésiculeuse, déchirée latérale- ment ou seulement lobulée à la base...... Coitfe déchirée latéralement et déjetée sur le côté. … Coiffe conique ou campanulée, symétrique, entière, non déjetée sur le côté, ciliée ou lobée à la base... Péristome double (rarement nul dans quelques espèces dé. 7y004d0h). fus: Sie Péristome simple ou nul, ‘jamais double... Péristome à 32-64 dents indépendantes. Coiffe denti- culée, papilleuse au sommel ou couverte de longs CCC CC CC poils jaunûtres ‘Hombants-* 7 rc de sr Péristome nul, ou à 16 dents simples ou plus où moins profondément bihdests. 5-4 CEE RER RESTE Péristome à 16 dents divisées jusqu’à la base en deux branches filiformes. Coiffe glabre.…....:... Péristome nul ou à 16 dents tantôt entières, tantôt plus ou moins profondément bifides, mais jamais plus que jusqu'au tiers inférieur... Péristome à 16 dents entières, larges, lisses, orangées ou pourpres...... Péristome nul ou à 16 dents plus ou moins profon- dément bifides, mais jamais plus que jusqu’au tiers INTÉMIEUT A ele noce PCÈLE SADÉS So Péristome formé de 16 dents fermes, colorées en rouge vif, libres jusqu’à la base, divisées chacune, jusqu'au milieu ou au tiers inférieur, en 2 branches subulées , He Péristome nul ou à 16 dents plus ou moins divisées irrégulièrement..... 5 nul munie d'une apophyse très développée... Capsule sans apophyse., Plantes flottant dans les eaux des terrains calcaires. Plantes vivant sur la terre, le fumier, ete., jamais flottantes dans l’eau.....,.... Péristome double (rarement nul), jamais simple... Péristome simple ou nul, jamais double............ Coiffe très grande, descendant jusqu'au-dessous de la capsule, glabre, lisse, terminée par un bec long, en forme de stylel. Périsltome double, bien déve- ns calais sie e)ofe tie: (ste /are ss ss... CCC sms ete 45» versie se ss... ss. loppé, ou rarement nul......... PREAE A c SE 0 Coiffe moyenne , non terminée par un bec styli- MDN ELA HOME BAR MONDES Sel DU sers iteel este Péristome externe bien développé..... SPAS ha Péristome externe rudimentaire ou formé de plu- sieurs séries de dents courtes, l'interne formé par une membrane conique, plissée............ Far Coiffe plissée Péristome formé de 4 dents.......,.. Coïffe non plissée...,.....4... Ses eee ne d . d LU] Funariées . 3 8 Mniées. 4 Polytrichées. D Trichostomeées. 6 Séligériées. Dicranées. Didymodontées. Splachnées . 10 Cinclidotées. 10 1 13 Encalyptées. 12 Orthotrichées. * Puzxbaumiées. Tétraphidées. Grimmiées. BRYACÉES 415 Tribu I. — FUNARIÉES. Capsule munie d’un col distinct, globuleuse ou obovée, plus ou moins longuement pédicellée. Coiffe d'abord tétragone, pris- matique, puis souvent vésiculeuse, se déchirant sur le côté ou seulement lobulée à la base. Opercule convexe. Péristome double, simple ou nul. Fleurs mâles discoïdes. Plantes an- nuelles. Feuilles obovées, acuminées, délicates, à cellules hexagonales. Habitent les lieux humides, sur le sol. Péristome double.......,.... SN JUNE 'iotte QUE Funaria. Péristome nul ou rudimentaire..,.7......... aa duo, PU PAYSCORETIUME FUNRAREIA Scures. — Capsule pi- CR riforme, longuement pédicellée, munie l fl d’un col atténué, sillonnée dans la vieillesse et alors plus ou moins ar- quée. Péristome double, l'extérieur à 16 dents obliquement tordues, lin- térieur à 16 dents opposées, mem- braneuses. Coiffe grande, mitréforme, fendue latéralement, tétragone puis ventrue à la base. Tige simple, très petile. Capsule lisse, Pédicelle AFESS EN te stef: ote F. hibernica H. et T. Capsule striée. Pédi- celle flexueux et COURONNE Rs coue F.hygrometrica HeDw. PHYSCOMETRIUM Brin.— Capsule Fig. 605. moins longuement pédicellée, symé- Funaria hygrometrica. trique, à pédicelle droit ou peu cour- bé. Péristome nul ou rudimentaire. Coiffe ne se fendant pas latéralement, seulement lobulée à la base. Tige très courte, ordinairement simple. Coiffe vésiculeuse à la fin, déjetée obliquement, fendue latéralement sur un ou deux points... P. fasciculare B. E. Coiffe relativement petite, 4-5-lobée dans le bas. P. piriforme Brin. — Tribu II. — MNIÉES. Capsule longuement pédicellée, ordinairement symétrique et munie d’un col distinct, parfois aussi long qu'elle. Péristome double, très développé, l’externe composé de 16 dents allongées, lamellifères, et d’une membrane basilaire interne carénée, attei- . < ; LA a RS, L D ot ER TE. JT à, 476 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES gnant la moitié de la hauteur des dents; l’interne formé de 16 lanières lancéolées, acuminées, et de 1-4 cils lisses, noduleux ou appendiculés, parfois rudimentaires. Coiffe petite, fugace. Plantes croissant presque toujours sur la terre ou dans les fissures des rochers, à tiges dressées ou ascendantes, pourvues ou non de stolons, à feuilles délicates, pourvues de grandes mailles hexagonales, lisses, souvent marginées, de forme va- riable. Péristome toujours double..... sn ee et Péristome nul (dans l'espèce de notre flore)........ Zygodon. Capsule pourvue d'un col bien distinct, plus ou moins allongé .......... ses tante one MEET rues _ 1.| 3 Capsule sans col distinct. 5: Je 0) 3 ÿ Capsule lisse. Col long....................... SE a "‘{ Capsule striée-cannelée à la maturité Col court.... Aulacomnium. Capsule arquée, rétrécie à l’orifice. Col long, droit. Pédicelle ordinairement très long. Plantes des lieux 4,4 marécageux ou des roches humides...,........... Meesea. Capsule régulière ou à peine arquée, pas ou peu ré- trécie à l’orifice. Plantes des lieux découverts..... Bryum. Opercule convexe, apiculé ou longirostre. Capsule 5 oblongue;, lisse :. :.,:..140 0026: CORRE Mnium. *) Opercule petit. Capsule subglobuleuse , cannelée à È 5 AT OR RE S Pen e 2a ORNE EN TR Bartramia Fig. 606, — Bryum cespilitium. Fig. 607. — Bryum cæspilitium. Portion du péristome. BRYUM L. — Capsule lisse, inclinée ou pendante, pourvue n # = _ F1" %. ml SET NO SIRET EE De et G BRYACÉES | 477 d'un col distinct. Opercule convexe, obtus ou apiculé, mais jamais longirostre. Péristome double, bien développé, l’externe formé de 16 dents lancéolées, l'interne formé d’une membrane basilaire surmontée de lanières , entre lesquelles se voient d'habitude des cils noduleux ou munis au niveau des articula- tion d’appendices en forme de crochets. Coiffe en forme de capuchon. Fleurs mâles presque toujours gemmiformes, très rarement discoïdes. Paraphyses des fleurs mâles toujours fili- formes, jamais renflées en massue. Feuilles ordinairement ovales ou lancéolées. Pas de stolons. Tiges innovant de la base ou au- dessous des fleurs. Plantes de petite taille, habitant de préfé- rence les lieux découverts. Péristome interne pourvu de cils, non 1 adhérent à l'externe.............. Æ *) Péristome interne sans cils, ou à cils rudimentaires, adhérent à l’externe.. Z, pendulum Sc. Cils appendiculés ................ RENTE Cils non appendiculés....,..... PRES EDS Tige presque nue, terminée par une large rosette de feuilles. Plante dioï- que, haute de 20-50 millim. Fleurs males discoides en emo rs ne CE Tige non terminée par une large rosette CEMETNIESORESRRRRERPRETE RD Je SC Feuilles blanches-argentées, très con- caves. Plantes dioïques, hautes de 1-3 centim. Fleurs mâles gemmiformes. Capsule arrondie, pourpre........... B. argenteum L. Rentilésyertess Re ---ccpecs--crte RES 5 Feuilles marginées ....... LR CE RE 6 ‘| Feuilles=non marginées......... rt: B. roseum SCHRES. Feuilles fortement contournées en spi- rale à l'état-sec...:..." RO RE Ée 7 Feuilles non contournées en spirale à l'état sec, entières. Capsule jaunûtre, ordinairement arquée. Plantes dioï- ques, en gazons làches et mous, vert pâle, hauts de 5-40 millim. Fleurs mà- les gemmiformes...,..... FREE, die . D. pallens Sw. Feuilles oblongues-obovées ou subspa- tulées, à cellules à parois minces. Plantes dioïques, en gazons hauts de 5-20 millim. Fleurs mäàles capituli- formes. Capsule rousse, puis brune, oblongue-obovée, à long col......... B. capillare L. Feuilles ovales ou oblongues-lancéo- lées, rétrécies, finement acuminées. Plantes monoïques, en touffes très denses, vert-jaunâtre, hautes de 10 à 20 millim. Fleurs mâles capituliformes, sur des rameaux distincts du mème pied. Capsule jaunätre, puis brune, oblongue-claviforme, à col atténué... B. pallescens ScuL, 21 478 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Feuilles longuement apiculées, rappro- chées et imbriquées au sommet des rameaux, révolutées aux bords. Plantes dioiques , en touffes jaunâtres au 8. dehors, rousses en dedans, hautes de 5-25 millim. Capsule pendante, oblon- gue, cylindrique ou obovée, atténuée SAP DAS. ere nee PRES PB. cœspititium L. Feuilles mucronées, non apiculées.... 9 { Feuilles dressées, étroitement imbri- quées. Plantes dioïques , en touffes rougeûtres, à reflets métalliques, éten- dues. Tige décombante, haute de 20-30 millim. Capsule pendante, pourpre, à pollen: sets Ni tt ans tte Me B. alpinum L. | Feuilles inférieures espacées, étalées. 10 Feuilles entières. Capsule arrondie à la base, pourpre. Plantes dioïques, en gazons peu élendus, lâches, vert-jau- nâtre ou brunes à la surface, rougeà- 10 tres à la base, hautes de 5-6 millim.. B. atropurpureum W. et M. ‘\ Feuilles dentées. Capsule atténuée à la base en col assez long, coloré en rouge-sang-clair. Plantes dioïques, k en touffes peu étendues, vert-brun, : | hautes de 5-15 millim..... SHÉsRot eee B. crythrocarpum Scuw. Plantes dioïques, en gazons tendres, vert-clair. Tiges hautes de 15-25 mil- limètres. Capsule pendante, couleur chair PUIS NOTE... 28e Re B. carneum L. il Plantes monoïques, en touftes _vert- ‘\ foncé ou jaunàtres à reflets métalli- ques. Tiges hautes de 5-30, millim., simples, dressées, innovant de la base. Capsule d'abord pendante, puis obli- queméht dressée 3e... 0.7 ... DB. nutans SCHREB. MNEUM L. — Capsule pendante ou très inclinée, lisse, grande, symétrique, elliptique , sans col distinct. Opercule convexe, mamelonné, apiculé ou longirostre. Péristome double, bien développé, l'externe formé de 16 dents allongées, lancéolées, lamellifères, l'interne formé d’une membrane basilaire carénée, surmontée de lanières ordinairement percées de grandes ou- vertures, et entremèêlées de 3-4 cils bien développés. Coiffe cuculliforme, petite, fugace. Fleurs mâles toujours discoïdes. Paraphyses renflées en forme de massue. Feuilles grandes, entières ou dentées, souvent marginées. Plantes souvent sto- lonifères, se plaisant dans les haies, dans les bois, dans les fissures des rochers, au bord des petits ruisseaux, 4,{ Plantes pourvues de stolons rampants ..,. ? ‘| Plantes dépourvues de stolons rampants.,. 4 BRYACÉES 479 Feuilles liguliformes, allongées, très ondu- lées. Plantes dioïques, en touffes molles ou en gazons étendus, d’un vert foncé ou jau- 2: nätre, frais, à rhizome horizontal flexueux, à tiges aériennes dressées, dendroïdes..., A7. undulatum Henw. Feuilles ovales-arrondies, peu ou pas on- HHIEe Eee cet se OR LR PM UN EEE 3 . j Feuilles dentées sur presque toute la lon- gueur de leurs bords. Plantes dioïques, à souche stolonifère souterraine, à tiges dressées, hautes de 3-4 centimètres, for- mant des gazons làches, vert-foncé....... I. affine Scaw. 3.< Feuilles dentées seulement sur la moilié terminale de leurs bords. Plantes à fleurs : hermaphrodites, à tiges dressées, hautes de 10-20 millim., formant des touffes ou des gazons vert-foncé, à stolons nom- DORE 0 sou sales ER are deb MAR à RS M. cuspidatum HEeow. Feuiiles marginées, entières. Opercule lon- | girostre. Plantes d'oïques, à tige dressée, haute de 4-8 centim., en touffes lâches, vert-sombre, à feuilles très espacées.,.., M, punctatum L. 4. Feuilles marginées, dentées. Opercule ma- melonné. Plantes dioiques, à tige dressée, haute de 2-3 centim., en touffes denses, vert-olivätre, passant au roux....,...... M. hornum L. AULACOMNEUM Scaw.— Capsule fortement striée-cannelée à la maturité, oblongue, symétrique ou légèrement bombée, munie d’un col distinct, court. Péristome comme dans les Mnium. Coïiffe en forme de capuchon. Plantes dioïques. Tige dressée, dichotome, d'assez grande taille. Feuilles lancéolées, nerviées jusque près de l'extrémité. Tige haute de 2 à 3 centim. Plante des lieux secs, en touffes verl-tendre......,........ PRES A. androgynum ScHw. Tige haute de 6 à 12 centim. Plante des maré- cages, en touffes vert-jaunätre, garnies intérieu- rement d'un tomentum ferrugineux.....,....., À. palustre Scuw. BSRTRAMEA HEenw. — Capsule subglobuleuse, oblique, cannelée à l’état sec. Opercule petit. Péristome double, l’externe formé de 16 dents lancéolées, acuminées, rongeâtres , l'in- terne formé d'une membrane basilaire jaune, surmontée de lanières bifides, entremèêlés de 2-3 cils. Coiffe en forme de capuchon , petite. Fleurs mâles discoïdes dans les espèces dioïques, semmiformes dans les espèces monoïques. Tige à rameaux dichotomes ou fasciculés. Feuilles lancéolées ou subu- lées, nerviées jusqu’à l'extrémité. Plantes croissant sur la terre, dans les endroits humides et dans les fissures des rochers. Rameaux fasciculés. Fleurs mâles discoïdes. Plan- tes dioïques, à tige dressée, haute de 6-10 cen- üim., en touffes larges, épaisses, vert-jaunâtre chair. JUS Te IDE Se de TRS ssssesssonsoie D, fontanc Bram. 480 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Rameaux dichotomes. Fleurs mäles gemmiformes, Plantes monoïques, à tige haute de 15-25 milim., en touffes arrondies, vert-tendre à la surface.... B. pomiformis HeDw. MEESEA Henw. — Capsule lisse, inclinée, oblique ou ar- quée, obovée, atténuée en un long col droit et rétrécie au ni- veau de l’orifice. Péristome double, l’externe formé de 16 dents courtes, larges, obtuses; l'interne formé d’une membrane basi- laire peu élevée, surmontée de 16 lanières beaucoup plus lon- gues que les dents, libres ou reliées par des lamelles irrégu- lières. Cils rudimentaires ou nuls. Feuilles nerviées, oblongues, lancéolées ou linéaires. Tige radiculeuse, innovant au-dessous des fleurs. Plantes croissant sur la terre, dans les lieux maré- cageux ou dans les fissures humides des rochers. M. longiseta HEpw. — Seule espèce. Plante à fleurs her- maphrodites, à tige dressée, flexeuse, dichotome, haute de 10- 45 centim., en touffes molles, peu denses, colorées en vert foncé à la surface. Dans les marais et les prairies tourbeuses. ZYGODON IHoox. et TAYL. — Capsule striée à l’état sec, symé- trique, pourvue d’un col distinct, court. Opercule surmonté d’un bec oblique. Péristome double, simple ou nul (nul dans la seule espèce de notre flore). Fleurs mâles gemmiformes. Feuilles étroites, denses, papilleuses, souvent crépues à l'état sec. Tige ramifiée dichotomiquement. Plantes croissant sur les arbres et sur les rochers. Z. viridissimus Brib. — Seule espèce. Plante dioïque, sans péristome, à tige dressée, en coussinets bombés, arrondis, denses, vert-foncé à la surface; tige haute de 5-20 millim., sur les troncs des arbres isolés. Tribu III — POLYTRICHÉES. Capsule prismatique ou cylindrique, longuement pédicellée. Péristome simple, formé de 32-64 dents courtes, ligulées, in- curvées, fermant l’orifice de la capsule et maintenant les bords d’une membrane portée par la columelle. Coiffe denticulée, pa- pilleuse au sommet ou couverte de poils longs, feutrés, jaunâ- res, retombants. Fleurs mâles discoïdes. Paraphyses renflées. Feuilles raides, garnies sur la face supérieure de lamelles verticales. Plantes dioiques ou monoïques. Capsule à section transversale polygonale, Coiffe garnie de poils longs, retombants, feutrés, très ramifiés.....,. Polytrichum. Capsule à section transversale circulaire 2 Coiffe garnie au sommet de poils feutrés, retombants... Pogonatum . 2.) Coiffe sans poils, munie au sommet de quelques papilles raides et ÉpInEUSeS esse sean te «0 a M TOI 1x .s...... ….... BRYACÉES - 481 POLYTRICHUM L. — Capsule prismatique, à coupe trans- versale polygonale, munie d’un col sub-discoïde. Péristome ordinairement à 64 dents. Coiffe couverte de poils longs, feutrés, très ramifiés, retombants. Plante très robuste. Feuilles très raides, dentées sur une étendue variable de leurs bords. Fleurs dioïques. Fleurs mâles discoïdes, à anthéridies grandes et très nombreuses, à paraphyses renflées en massue. Piantes mâles innovant par le centre des fleurs, les femelles par la base de la tige. Plantes vivant sur la terre, dans les marais, les lieux humides ou secs. Feuilles planes, à bords dentés sur toute la 1 moitié termimalese KT ER NO er a aus 2 *) Feuilles à bords recourbés, dentés à l’ extré- mité RÉ PR NE TO REA 4 Capsule à angles arrondis. Opercule à bec long. Tiges hautes de 3-5 centim., en touffes 2.4 lâches, colorées en vert passant au brun.... P. gracile MExz. Capsule à angles très saillants. Opercule à bec court ou simplement conique.......... 3 Capsule à 5-6 angles. Plante habitant les lieux secs. Tiges hautes de 5-10 centim., isolées ou en touffes làches et peu étendues......,. P. formosum HEDw. 3.4 Capsule à 4 angles seulement. Plante des marais. Tiges hautes de 20-40 centim. , en touffes läches, très étendues, souvent mêlées de Sphagmum.…..… SCORE sasne..... LL, Commune L. / Feuilles terminées par un poil blanc, long. fortement denté. Tiges dressées, hautes de 3 centim., en touffes läches, verles, glauces- centos pus /rhrunes. 2.222222 P. piliferum Scures. 4,4 Feuilles non terminées par un poil blanc. Capsule 2 fois aussi longue que large. Tiges très flexueuses, contournées à la base, puis dressées, hautes de 3-5 centim , isolées ou espacées, ne formant pas de gazons......,,. P. juniperinum HEDw. POGONATUM Brin. — Capsule ovale ou sub-cylindrique, à coupe transversale circulaire, sans angles. Péristome ordinai- rement à 32 dents, rarement à 32-64. Pas de col. Opercule con- vexe, surmonté d'un bec fin. Coiffe garnie au sommet de poils feutrés, retombants. Plantes dioïques, vivant sur la terre hu- mide ou sèche. Capsule oblongue subeylindrique, jaune-orangé. Feuilles lancéolées, aiguës, à dents grandes, aiguës, tout le long des bords. Tiges hautes de 5-20 millim., dressées, isolées ou en petits gazons denses, verts, puis bruns...... : . P. aloïdes PAL.-BEAUvY. Capsule subglobu! euse, ‘fauve, puis plombée. Feuil- les moins “dentées. Tiges hautes de 5-8 millim. P.nanum PAL.-BEAUY. ATRICHUM PaL.-BEeauv. — Capsule ovale ou sub-cylindri- que, arquée, à coupe transversale circulaire, sans angles. Pas de col. Opercule convexe, surmonté d’un bec long. Péristome 482 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES à 32 dents seulement. Coiffe sans poils, munie au sommet d’un petit nombre de papilles raides et épineuses. euilles crépues à l’état sec. Plantes vivant sur la terre. Fleurs monoïques Feuilles supérieures gulées, marginées, fortement ondulees. Tiges dressées, rougeûtres, hautes de 2-4 centim., en touffes peu compactes, vert sombre. Ou jaunätre.…......... SLA EE A. undulatum PAL.-BEAUY. Fleurs dioiques. Feuilles supérieures plus étroites, dentées seulement au sommet, Tiges hautes de 10-20 millim........... . A. angustatum B. E, Tribu IV. — TRICHOSTOMÉES. Capsule longuement pédicellée, à col peu distinct. Péristome simple, formé d'une membrane basilaire plus ou moins élevée, Fig. 608. — Trichostomum flericaule. surmontée de 16 dents divisées jusqu’à la base en!deux bran- ches filiformes, très papilleuses, dressées, souvent tordues en spirale. Opercule conique. Coiffe glabre. Plantes molles. LEE Lan PO dE CORRE SPEARS d + E V Pr ; 4 ë be Es Les BRYACÉES | 183 Capsule lisse. Col peu distinet ou pal:/..7-3..: Capsule sillonnée à la maturité, Col distinct, goi- ÉTEUR 2e ar men timle Mate 2 LC sie DA 1e ns PONS SOS . Ceratodon. Membrane basilaire du péristome peu élevé ée. Br anches filiformes des dents du péristome cohérentes deux à deux au niveau des articulations, non tordues en Re 2 ARE RE STE Trichostomum. Membrane basilaire du péristome très élevée, tubi- forme. Branches filiformes des dents du péristome non cohérentes, très tordues en spirale......... .... Barbula. 2. TRICHOSTOMUM Henw. — Capsule lisse, à col presque nul. Péristome simple, formé d’une membrane basilaire peu élevée et de dents filiformes, dressées, à peine contournées, cohérentes deux à deux au niveau des articulations. Tige dicho- tome, dressée. Feuilles dépourvues de filaments et de lamelles sur leur face supérieure, munies d’une nervure étroite. Plantes croissant sur la terre ou sur les rochers humides. Plantes dioïques, à feuilles longues, étroites, sans ; papilles, à tiges flexueuses, “grèles, longues de . 2-6 centim., en touffes denses vert-jaunàtre.. T. flexicaule Br. Scu. Plantes monoïques, à feuilles étroites, sans pa- pilles, à tiges d'abord nues, radicantes, arquées, flexueuses, puis dressées, longues de 1-3 millim., sans les feuilles ............... = TR ne T. pallidum Hepw. BARBULA Br E. — Capsule lisse, à col peu distinct, symétrique ou à peine courbée. Péri- stome simple, formé d'une membrane basi- laire ordinairement très élevée, tubuleuse, et de dents filiformes, forte- ment contournées en spirale, décrivant 2-5 tours. Opercule conique, acuminé. Feuilles ordi- nairement surmontées d'un poil blanc allongé, et parfois munies sur la face supérieure de fila- ments celluleux, qui par- tent de la nervure. Fig. 609, — Barbula aloides. 4 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Nervure des feuilles pourvues d’excrois- sances celluleuses sur la face supérieure. Nervure des feuilles dépourvue d'exerois- sances celluleuses sur la face supé- To à NS CA A + 2 9-1 SE Excroissances celluleuses en forme de lamelles flexueuses. Feuilles terminées par un poil blanc, non denté. Plantes à fleurs monoïques, à tiges molles, en gazons lâches, vert tendre........, Excroissances celluleuses en forme de flaments. 710. ere Feuilles terminées par un Tong poil prolongeant la nervure. Bords des feuilles plans ou presque plans.. Feuilles non terminées par un poil, à bords repliés en dedans au sommet... Feuilles vertes au sommet. Poil brun, à peine denticulé. Plantes à tige courte (5-10 millim.), en coussinets très peu développés, livides ou bru- PARLES nds» done eee Feuilles diaphanes au sommet. Poil blanc. Plantes à ‘fleurs monoïques, à tiges courtes (3-10 millim.), en cous- sinets convexes, HRRE à la sur- face . onédonn done set : Coiffe dcondants NE ’au A de la capsule. Plantes annuelles, à fleurs dioïques, à tiges courtes (2-3 millim.), en gazons lâches, brins Fe Terents Coiffe couvrant seulement l'opereule.. Capsule dressée. Plantes annuelles, à fleurs dioïques, très voisines du 2. rigida, dont il n'est probablement qu'une tvariéle-.2-5: 6, -LLedCoseee Capsule penchée. Plantes ‘annuelles, à fleurs dioiques, très voisines des B. ri- gida et ambiqua........,,........... Feuilles terminées par un poil prolon- geant la nervure....... DE D TEE Feuilles non terminées BE un poil, mutiques ou mucronées. .... see se Fleurs monoïiques.…......:....»see"." Fleurs dioïques. Poil fortement denté sur les bords Tiges hautes de 20-50 millim. , en gazons ou coussinets étendus, vert-olivâtre............... : Poil blanc, à peine denticulé. Mem- brane du péristome tubuleuse. Tiges hautes de 8-15 millim., en coussinets peu étendus, vert- foncé Etes = Poil blanc, non -denticulé Membrane du péristome très courle. Tiges hautes de 10-15 millim., en coussinets denses, arrondis, vert-tendre. emma nRee Membrane basilaire du NA SO tu- buleuse ARS RENE ee Ë Membrane basilaire du péristome peu développée. ......,.....,,........... 2 B. cavifolia Scu. 3 B. papillosa C. Müzr. B. membranifolia ScHuzrz B. rigida SCHULTZ 6 B. ambigua Br. SH. B. aloides Br. ScH. 8 10 9 B. ruralis HEpw. B. lævipila Brio. B. muralis TIM. 11 12 12. 13, 16. AN 18. 19. | BRYACÉES Feuilles mucronées , à bords plans. Plantes à fleurs monoïques, à tiges hautes de 10 millim., en gazons éten- AUS VOLE IONC ES A." ele een ment e Feuilles mutiques, à bords repliés en dessous jusqu'au delà du milieu . Plantes à fleurs monoïques.... Feuilles très crispées à l’état sec...... Feuilles peu ou pas crispées à l'état SÉDREU rue …... Feuilles squarreuses, dentées à l’extré- mité. Plantes à fleurs dioïques, à tiges hautes de 3-5 centim., en touffes..... Feuilles non dentées, tout à fait en- tières. Fleurs dioïques. Tiges dicho- tomes, hautes de 20-40 millim, en coussinets arrondis, bombés, très dé- veloppés; vert-tendrer: :2.,7:49.1 Feuilles ovales-spatulées, arrondies à l'extrémité. Plantes vivant isolées, sur l’argile, au bord des fossés. .... Feuilles ovales-lancéolées ou lancéolées linéaires... Feuilles nettement mucronées. Fleurs .…. OC .. internes de l'involucre fe- melle à bords se rejoignant ou se re- couvrant à l’état adulte (engainantes). Feuilles internes de l'involuere femelle à bords ne se rejoignant pas à l'état adulte (demi engainantes)... Feuilles à bords non repliés en dedans à l'extrémité. Fleurs dioïques. Tiges sautes de 15-25 millim., en coussi- nets ou en gazons plans-convexes, vert-clair-jaunâtre.,...,.... Feuilles à bords repliés en dedans à l'extrémité . Fleurs dioïques. Tiges hautes de 8-10 millim., en coussinets d'abord vert-clair, puis bruns........ Nervure des feuilles dépassant le limbe et l’acumen qui termine ce dernier, Fleurs dioïques, Tiges hautes de 8-15 millim., grèles, en touffes vert-olivà- (ER pus DrAnESE Eee MS se ep Nervure des feuilles ne dépassant pas l'acumen qui termine le limbe.….. { Feuilles à bords révolutés jusquà la base de l’acumen, Fleurs dioïques. Tiges en touffes denses, olivâtre terne... Feuilles à bords révolutés seulement jusqu’au milieu. Fleurs dioïques. Tiges hautes de 5-10 millim., en touffes ar- rondies, vert-olivâtre, puis brun-noi- 1e Le ne NE AE CS LE PERS …..... nn ns 485 B. subulata Brin. B. inermis Brucux 13 14 B. squarrosa Br. Sc. B. tortuosa WEe5 et Moxe. B. cuneifolia Wss. et Mour. 15 unguiculata HEDw. 17 18 B, convoluta HEeow. B. revoluta Scaw. B. gracilis Scuw. 19 B. fallax Hepw. B. vinealis Brio. - = 486 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES CERATOBON Brin. — Capsule sillonnée et arquée à la ma- turité, pourvue d'un col goitreux. Péristome simple, formé de 16 dents divisées jusqu'à la base en deux branches égales, su- bulées, dressées, en partie adhérentes au niveau des nœuds des articulations, qui sont très rapprochés. Feuilles nerviées, nues sur la face supérieure. Plantes croissant sur la terre. €. purpureus Brin. — Seule espèce. Plante à fleurs dioïques, à tiges dichotomes, formant des touffes étendues, d’un vert foncé. Tribu V. — SÉLIGÉRIÉES. Capsule subglobuleuse ou obovée, symétrique, lisse, pourvue d'un col distinct, Péristome simple, formé de 16 dents larges, lancéolées, plus ou moins bifides ou percées de trous, orangées ou pourpres. Feuilles nerviées, linéaires, subulées, lisses, fermes. SELIGEREA Br. Scu. — Capsule portée par un pédicelle droit ou géniculé. Périsitome à dents courtes, entières ou peu di- visées. Fleurs monoïques. Plantes de petite taille. S. pusilla Br. Scu. — Plante à tiges très courtes (1-2 mil- lim.), simples ou à peine ramifiées, formant des touffes d’un vert sombre, dans les creux des pierres et des rochers. Tribu VI. — DICRANÉES. Capsule symétrique ou un peu bossue, lisse ou striée, pourvue d’un col goitreux. Péristome simple, formé de 16 dents indé- pendantes, divisées jusque vers le milieu de leur hauteur cha- cune en deux branches subulées. Feuilles fermes, ordinaire- ment subulées, souvent homotropes ou crépues à l'état sec. Feuilles disposées en tous sens autour de la tige ...... 2 1. Feuilles distiques, prolongées sur le dos et au sommet | en une longue lame foliacée....... de SUR CRÉES RER l'issidens. ( Feuilles à une seule couche de cellules......:........ 3 > ) Feuilles formées de grandes cellules poreuses, subrectan- GA œulaires, entre lesquelles s'étendent d'autres cellules linéaires, canaliformes........ Pare CET halle Leucobryum. { Coiffe à bords entiers, Pédicelle toujours dressé... ... . Dicranum, ©’ Coïffe à bords ciliés. Pédicelle courbé à l’état humide... Campylopus. DICRANUM Hepw. — Capsule munie d’un col court, non goitreux, portée par un pédicelle toujours dressé. Coiffe à bords entiers, non frangés ni ciliés. Feuilles disposées en tous LE | | BETAGÉRBERO NUE 487 sens autour de la tige, et formées, sauf au niveau de la ner- vure, d’une seule couche de cellules toutes semblables. OÙ GTV Fig, 610. Fig. 611. Dicranum Dicranum heleromallum. heteromallum. Portion du péristome. Capsule ouverte. À Fig. 612. — Dicranum heteromallum . Capsule dressée, subcylindrique ou oblon- UC, SYIDETEIQUE,. 220 2 5e lo Mes 2 Capsule inclinée, aiguë ou bombée..... . 3 | Feuilles très papilleuses sur le dos, munies à l'extrémité de dents saillantes. Fleurs dioïques. Tiges hautes de 10 à 40 mil- lim., en touffes compactes, vert-foncé... D. flagellare HEeDw. Feuilles non papilleuses sur le dos, à dents de l'extrémité peu marquées. Fleurs dioïques. Tiges hautes de 15-30 millim.., en touffes compactes, arrondies, vert-clair. D. montanum HEDw. Involueres présentant chacun plusieurs capsules pédicellées. Feuilles ridées, on- dulées en travers. Tiges hautes de 4-8 ii 3 centim., dichotomes, en touffes peu cohé- rentes, vert jaunätre brillant........... D. undulatum Br. Scx. Involucres ne présentant chacun qu'une seule capsule pédicellée........... SEE 4 z À Feuilles ondulées, ridées en travers....... 5 ‘| Feuilles non ridées en travers.:..,...... 7 à Era 4 1 1 5 6 7 8 9 | | \ Feuilles terminées par un long acumen subulé formé par le prolongement de la nervure, Tiges grèles, hautes de 6-10 centim., en gazons profonds, jaune-clair. Feuilles non terminées par un acumen... Feuilles papilleuses et tordues sur elles- mêmes à l'extrémité. Tiges en touffes arrondies, jaune päle, profondes de 3-6 centim..- Feuilles non papilleuses ni tordues à l’ex- trémité. Tiges en touffes peu denses et peu étendues, jaunâtres, profondes de ST end Dan Boo s obrenc GE Feuilles très étalées en tous sens, diver- sn ss TNA MAL EME E Se ont aie ee Feuilles au moins les supérieures dressées ou courbées, homotropes....,.......... ; Feuilles obluses, entières, brusquement arquées, renversées en tous sens. Tiges hautes de 3-6 centim., en touffes denses, jaune-brillant.- 4.7. .4.3.2.,%..:-247 Feuilles aiguës, denticulées, étalées en tous sens Tiges hautes de 10-25 millim., en touffes molles, peu denses, vert foncé. Tiges hautes, robustes (3-10 centim.), en touffes feutrées radiculeuses. Feuilles munies à leur base d'oreillettes brunes. Tiges courtes (3-10 millim.). Pas de feutre radicuiaire. Pas d'oreillettes à la base Feuilles longuement sétacées, canalicu- lées, munies de denticules peu distincts à la base, assez distincls au sommet. 0 Tiges hautes de 5-8 millim., en gazons étendus, vért'supér..442%4. etes Feuilles non sélacées....... bee iee Capsule sillonnée à l'état sec, large- ment ouverte après la chute de l'oper- cule. Tiges hautes de 3-6 millim, en 1 touffes ou gazons vert jaunâtre brillant. Capsule lisse, rétrécie au-dessous de l’ori- fice après la chute de l'opereule. Tiges hautes de 6-10 millim , en touffes denses, brunes ou olivätres.,...... AO MOI CS L - CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES D. Bonjeani DE Not. 6 D. spurium HEDw. D. Bergeri BLAND. 8 9 D. squarrosum SCHRAD. D. pellucidum HEDw, D. scoparium HEDw. 10 D. heteromallum HEepw. 11 D, cerviculatum HEepw. D, varium HEDw. CAMPYLOPUS Brin. — Capsule cylindrique, à col court, habituellement striée, portée par un pédicelle arqué. Coiffe d; Feuilles pourvues à la base d'oreillettes concaves. Tiges flexueuses, dichotomes, hautes de 10-20 millim., en gazons serrés, vert jaunâtre ou olivätre à la surface, rourelviatla base nn menece Feuilles dépourvues d'oreillettes à DAS MER Thon den Dal leur ss. ese ciliée autour de la base. Feuilles subulées, à nervure habi- tuellement très dilatée. C. flexuosus Brio. 2 BRYACÉES | 489 Feuilles terminées par un poil..........., 3 Feuilles dépourvues de poil,....... Le san PE $ Poil long. Nervure sillonnée sur le dos, Tiges raides, hautes de 20-30 millim., en 3,4 gazons bruns ou vert-cuivreux........... C. polytrichoïdes De Not. Poil court, à peine visible, Nervure non sillonnée sur le dos...... 5h A EES-AEEE C. brevipilus Br, Scu. Rameaux nombreux, fasciculés, très fra- giles, blanchâtres. Tiges hautes de 13-25 millim , en coussinets bombés, peu éten- dus, denses, soyeux, verts ou jaunàtres.. C. fragilis Br. Scu. Pas de rameaux fasciculés blanchâtres. Feuilles courtes, raides, dressées. Tiges courtes, 1-2 fois dichotomes...... I ET C. brevifolius Scu. LEUCOBRYUM Ham, — Capsule arquée, cannelée, à col court et goitreux, portée par un pédicelle droit. Feuilles for- mées de grandes cellules rectangulaires entremêlées de cellules linéaires, canaliformes. qi L. glaueum HamP. — Seule espèce. Tiges dressées, 2-3-cho- tomes, noduleuses, à innervations fastigiées, formant des touffes très denses, épaisses de 15 à 25 centim., bombées, vert-glau- cescent. FISSIDENS Hepw. — Capsule symétrique ou un peu bombée, lisse. droite ou presque horizontale, portée par un pédicelle droit. Péristome à dents pourpres, divisées jusqu’au milieu de leur hauteur en deux branches subulées. Feuilles distiques, munies sur le dos et à l'extrémité d’une lame foliacée. Fleurs femelles latérales ou terminales. Fleurs 1 monoïques, les femelles portées par un pé- dicelle latéral ou basilaire axillaire... ..... 2 Fleurs monoïques, les femelles terminales. 2:58 Fleurs femelles portées par un pédicelle qui part de la base de la tige. Tiges hautes de 9-15 millim., en touffes vert-clair ou brunes. FÆ. taxifolius Hepw. 2.{ Fleurs femelles portées par un pédicelle qui part du milieu de la hauteur de la tige. Tiges hautes de 20-50 millim., dichotomes, | peu ramifiées, en touffes làches, vert- foncé. FÆ, adianthoïdes Hepw. 3. Feuilles non marginées, Tiges de 3 à 7 millim. #. exilis Henw. Peniles AMarainebs 4. 20 dense ie has {/ Feuilles à marge très large. Tiges hautes Se 15-30 millim., en gazons étendus et serrés, 5 M ne ee ne F°. crassipes WiLs. Feuilles à marge étroite, mais épaisse. Tiges de 35-10 millim., en gazons fournis, vert- CA ee: ess TS SANTE = RES ……....... À. bryodes Hebw. Tribu VII. — DIDYMODONTÉES. Capsule symétrique, ordinairement dressée, lisse ou striée, 490 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Péristome nul ou simple, à 16 dents plus ou moins divisées d’une facon irrégulière. 1,.{ Pas de péristome...... SANS à APE DE TL OR sous... (Gymnostomum. Péristome plus où moins développé, simple......... Se { Opercule caduc..... se PRISE RS UE barbe eee MM EST TE HE lOperCulEpETSIS ANSE MR TEE Fotos vanne 3 { Dents du péristome bien développées........, ....…. Didymodon. Dents du péristome médiocres ou nulles,...,........ Pottia. DIDYMODON Hepw. — Capsule oblongue ou sub-cylin- drique, longuement pédicellée. Opercule persistant. Péristome jamais nul, simple, formé de 16 dents linéaires, allongées, percées d'ouvertures sur la ligne médiane ou divisées en deux branches cohérentes au niveau des articulations, qui sont assez distantes. Feuilles lancéolées-acuminées ou subulées. Tiges dichotomes. Plantes vivaces. D. rubellus Br. Scu. — Tiges hautes de 15 à 20 millim., en touffes molles, arrondies, vert sale superficiellement, rouge vif en dedans. Fleurs hermaphrodites. PONTEA Br. Sc. — Capsule ordinairement subglobuleuse, dressée, exserte. Péristome à 16 dents médiocres, rudimentaires ou même nulles. Tiges très courtes, Fleurs monoïques. Plantes annuelles ou bisannuelles. Péristome formé de dents linéaires. Tiges de 1.2 1-3 millim., en gazons vert-rougeàtre....... P. lanceolata C. Mürr. Péristomesnul.f"2 13117 eue ERP ÉRETRRSE 2 Feuilles à face supérieure pourvue de la- melles. Tiges de 1-3 millim., en gazons roux 9 ou rendus grisonnants par la saillie des poils it des. fonilles.sss sans nes tnt MERE P, carifolia Enr«. Feuilles à face supérieure dépourvue de la- MES ER retenu CREED CRT ER 3 Opercule surmonté d’un bec oblique. Tiges de 2-5 millim., en gazons fournis, vert RSR TEIDE ven dt pe dise aie aus à 2 cute a tiers let SD P. truncata Br. SCH. Opercule arrondi ou surmonté d’un mamelon obtus. Tige de 1-2? millim., simple, isolée... 2. minulula Br. ScH. GYMNOSTOMUM Henw. — Capsule symétrique, dressée. exserte, lisse, Péristome nul, à orifice parfois fermé par une membrane hyaline. Feuilles lancéolées-linéaires. Fleurs dioïques. Tiges de 1-3 millim., dicho- 1.{ tomes, en gazon dense, vert tendre......... (G. tenue SCHRAD, MleürsMODoiques ne ARR ANR EE 2 Capsule peu rétrécie à l’orifice, qui est rouge. Feuilles fortement crépues à l'état sec, planes sur les bords de la moitié du tiers inférieur, Tiges de 8-10 millim., dichotomes, en touffes dénses, vért: pale hn rent. core the G. tortile Scaw. Capsule très rétrécie à l’orifice, Feuilles non crépues, fortement enroulées, infléchies au niveau des bords. Tiges de 5-8 millim., très divisées, en touffes petites, denses, vert gai. (G. microstomum HEDw. 4 NL ‘ " { BRYACÉES 491 WVEISIA Hepw. — Capsule dressée, exserte, ovale, oblongue ou sub-cylindrique. Opercule caduc. Péristome jamais nul, simple, formé de. 16 dents plus ou moins divisées d’une facon irrégulière, au niveau de la ligne médiane. DATE QUE SN RER RS OR PTS 2 1,) Capsule sillonnée, puis cannelée. Tiges de 8-10 | millim., en touffes denses, vert-foncé ou jau- ME re ee eh ane PUS ER EUEUL W. fugaz HEDy. Fleurs dioïques. Tiges de 10-30 milles très 2.4 divisées, en touffes compactes, glaucescentes... W. verticillata Brin. Flers-monoiques:,)..e #4. Lit ARTS 2 4 Plantes robustes. Tiges de 10-30 millim...... 2 Plantes peu dév eloppées. Tiges de 4-8 millim., # dichotomes, en coussinets très petits, vert-jau- MAÉ SERRES. SO RSR NE MN ER W. viridula Biro. Feuilles lisses ou à peine papilleuses. Tiges de 10-15 imillim., dressées, très divisées, en cous- Eu denses, verts à la surface, bruns en de- ANS MN PRET RU ee MUR SRE ele Ne Se W. cirrata HEDw. Feuilles très papilleuses. Tiges dichotomes, en coussinets bombés, arrondis, vert-jaunâtre à la surface, bruns en dedans........... os tsomss eur MW LNUNIONL BOT: Tribu VIII. Capsule symétrique, cylindrique, dressée, exserte. Coiffe très grande, descendant jusqu'au-dessous de la capsule, en- tière, ne se déchirant pas latéralement, lisse, terminée par un bec long et droit. Péristome double, simple ou nul. Feuilles lancéolées, nerviées, papilleuses. Tiges dichotomes, dressées. ENCALYPTA Scarez. — Caractères de la tribu. E. streptocarpa HEpw. — Péristome double; l’externe formé de 16 dents pourpres, papilleuses, plus ou moins divi- sées ; l’interne formé d’une membrane hyaline, ciliée. Tiges de 2-5 centim., en touffes vert-foncé à la surface, brunâtres en «edans. Tribu IX. — ORTHOTRICHÉES. Capsule régulière, ovale, oblongue ou obovée, pourvue d’un col plus ou moins allongé, cachée entre les feuilles ou courtement exserte et portée par un pédicelle droit. Coiffe conique ou campanulée, plissée, ordinairement lobulée à la base. Péri- stome double, simple ou nul, l’externe formé de 32 dents plus ou moins cohérentes deux à deux ou quatre à quatre, ce qui réduit leur nombre à 16 ou 8; l’interne formé, quand il existe, de 8-16 cils. Feuilles lancéolées ou oblongues, entières, ner- 492 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES viées, papilleuses, souvent contournées. Plantes croissant en coussinets sur les arbres et les rochers. ORTHOTRICHUM Hepw. — Caractères de la tribu. Péristome simple, formé de 16 dents striées, non pointillées, Tiges de 15 millim., en touffes étendues, vert-oli- vâtre à la surface, noirâtres en dedans. ©. Sturmi Hope et HornscH. Péristome double, l'externe formé de 8 dents, Fleurs monoïques. Feuilles ré- trécies à l'extrémité. Tiges de 10-20 mil- lim., plusieurs fois dichotomes, en cous- sinets arrondis, peu développés, vert fonCes en me nelile Use consscosar ee O0: tenellumIBRUCE Tribu X. — BUXBAUMIÉES. Capsule asymétrique, oblique, ovale-comprimée, plane en dessus, convexe en dessous, plus ou moins longuement pédi- cellée ou sub-sessile. Coiffe conique, glabre, sans plis, persis- tante, couvrant la moitié ou le tiers de l’opercule, qui est petit et conique. Péristome double, l'externe formé de plusieurs rangées de dents courtes ou rudimentaires, l’interne formé d’une membrane conique, plissée. Feuilles vertes, lingulées ou très rudimentuaires. Tiges extrèmement petites. Péristome externe développé.........:.............0. .….. Duxbaumia. Péristome externe rudimentaire........................... Diphyscium . BUXBAUMIA Hazz. — Capsule exserte, oblique. Dents du péristome externe développées, ordinairement 32. Pas de folioles florales. Feuilles très courtes, visibles seulement pendant la jeunesse. Tiges extrêmement courtes. B. aphylla Hazz. — Plante colorée en rouge foncé, à capsule ovale sub-orbiculaire, croissant dans les bois, sur le bord des sentiers. DIPHYSCIUM Monr. — Capsule presque sessile. Péristome externe rudimentaire. Folioles florales distinctes, Feuilles assez développées. D. foliosum Monr. — Plantes colorées en vert foncé, très petites, formant des tapis continus ou de petits groupes, au bord des vieux chemins creux des bois et sur les pentes très raides. Tribu XI. — TÉTRAPHIDÉES. Capsule symétrique, exserte, dressée. Coiffe glabre, plissée, BRYACÉES 493 souvent laciniée sur le bord inférieur. Péristome formé de ‘4 dents épaisses, dressées. Tige développée, foliée. : TETRAPHIS Hepw. — Caractères de la tribu. T. pellucida Hepw. — Plantes à tiges hautes de 10 millim., à innervations nues sur une grande étendue, naissant de la base; en gazons colorés en vert foncé ou terne. Tribu XII. — GRIMMIÉES. Capsule globuleuse, ovale ou sub-cylindrique, symétrique, sans col distinct. Coiffe conique, petite, non plissée. Péristome simple, formé de 16 dents rouges, papilleuses, entières ou sub- divisées en deux branches subulées. Feuilles ordinairement terminées par un poil blanc. Plantes très développées. RO D = dus == ne ta he De dena den Hedwigia. MPEbristomne men développé... 1/.....:.14 ete. 2 Dents du péristome divisées jusqu'à la base en deux nes ne 2 M ne Ra aus Rhacomitrium. 2.4 Dents du péristome entières et percées de trous, rare- ment divisées jusqu’au milieu seulement en ? bran- D RS AR RE PET ED CD 2 LE e PRE ST ...... Grimmia. RHACOMITRIUM Brin. — Capsule exserte, lisse, rarement plissée, ovale ou oblongue, portée par un pédicelle ordinaire- ment droit, rarement courbé. Péristome à dents divisées jusqu’à la base en deux branches subulées. Coiffe conique, longirostre, lobulée à la base. Opercule longirostre. Fleurs dioïques. Feuilles nerviées, terminées par un poil blanc (dans nos espèces). Feuilles couvertes sur les deux faces de pa- pilles saillantes. Tiges à 3-8 branches dres- Ÿ- sées , en gazons fournis, très étendus, vert jaunâtre à l'état humide, grisàtre à l'état see. ZÆ, canescens Brio. Feuilles à peine papilleuses.........:....... 2 Pointe hyaline des feuilles incisée ou érodée, granuleuse. Tiges allongées, couchées, lon- gues de 8-15 centim., à 2-3 branches char- gées de ramuscules, en touffes déprimées, 2.4 très étendues, grisätres ou jaunätres....... R. lanuginosum Brio. Pointe hyaline des feuilles simplement dentée. Tiges décombanties, ascendantes, ramifiées, longues de 2-6 centim., en touffes làches, \ vert-olivâtre ou noirâtre................,. R. heterostichum Bain. : GRIMMEA Enr. — Capsule sub-sessile ou courtement exserte, subglobuleuse ou ovale-oblongue. Dents du péristome percées de trous ou divisées jusqu’au milieu seulement en deux bran- ches. Coiffe conique, lobulée à la base, parfois fendue sur le côté et oblique. Feuilles souvent terminées par un poil blanc. FLORE DE PARIS. 28 494 Fig, 613. — Grimmia apocarpa. Capsule à peu près sessile, immergée dans l'involucre. Tiges décombantes, dichoto- 1.4 mes, hautes de 1-5 centim., en touffes ar- rondies, jaune-brun ou roux............. {. apocarpa. Capsule à pédicelle distinct exserte....... e Fleurs dioiques. Feuilles terminées par un poil lisse ou à peine denticulé. Tiges dres- sées ou ascendantes, peu ramifiées, en 2,4 coussinets NÉ Ag | A grisonnanis à la supface. :..1% SR RL a EE EN G. trichophylla Br. Scu. Fleurs monoïiques. Poil des feuilles denti- CB nat ES came sentence es 3 / Tiges longues de 10-25 millim. ., en Coussi- nets très compacts, hémisphériques, net- 3 tement délimités, denses, grisàtres....... G. pulvinata Sn. Tiges longues de 20-30 millim.. en touffes peu compactes, mal délimitées, olivâtres ou jaunâtres, grisonnantes à la surface... G. Schultsii Wixs. HEDWWIGIA Enrx — Capsule sessile, globuleuse, lisse. Opercule obtus. Péristome nul. Coiffe conique, laciniée. Feuilles énerves, hyalines au sommet. Plantes croissant sur les rochers siliceux. D LT ét pe À Æ __ + Dre L. + De" ri +» bn “+ 2 e— RME RL ET be RÉ 0 CO ER RE NS PV PÉNES € e. À LS | , q s - = æ ! ” - BRYACÉES -. 495 H. ciliata Henw. — Tiges hautes de 2-10 centim., dressées, peu divisées, dénudées à la base, en coussinets ou tapis étendus, peu cohérents, vert-jaunâtre-terne. Tribu XIII — SPLACHNÉES. Capsule pourvue d’une apophyse très développée. Péristome formé de 16-32 dents lancéolées-linéaires. Coiffe petite, lisse et glabre, fendue latéralement, mais non déjetée sur le côté. s 5 TI Me == = | LS (ont en es ot l Le. Fig. 614. — Splachnum ampullaceum. SPLACHNUM L. — Caractères de la tribu. S. ampuliaceum L. — Tiges grèles, dressées, divisées dès la base, hautes de 6-20 millim., en touffes molles, vert-clair. Tribu XIV. — CINCLIDOTÉES. Capsule symétrique, lisse ou légèrement plissée. Péristome formé de 16 dents divisées, ou rudimentaire, ou formé d’une membrane basilaire treillissée surmontée de dents nombreuses, filiformes, dressées. Coiffe lisse, glabre, parfois ouverte sur le côté. Feuilles nerviées, entières, marginées. Plantes flottant dans les eaux des terrains calcaires, grandes. 496 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES CINCLIDPTUS Paz.-BEauv, — Caractères de la tribu. Capsule sillonnée, cachée ou presque ca- chée dans l'involucre. Péristome à 16 dents pourpres, divisées en 2-3 branches filifor- mes, unies à la base et formant un treillis. Tiges allongées, flexueuses, en touffes là- ches, colorées en vert foncé........... . C. fontinaloïdes PAL.-BEAUv. Capsule lisse, exserte. Péristome rudimen- taire, Tiges atteignant 25 centim., dénu- dées à la base, en 1ouffes très dévelop- pées, vert foncé passant au noir....,.,..,. C. aquaticus Br. Scx. Fauzce CXIL — HIYPNACÉES. Caractères constants. — Fructification latérale, c’est-à-dire se développant sur le côté de la tige ou des rameaux végétatifs. Péristome jamais nul dans nos espèces, ordinairement double, plus rarement simple. Quatre tribus : Coiffe déchirée longitudinalement et déjetée d'un côté. 2 Coiffe campanulée-conique, non déchirée longitudinale- ment ni déjetée d'un côté...... eee MODE Te Sen e Capsule rarement symétrique. Péristome parfait, double. Aypnées. Capsule toujours symétrique. Péristome peu développé, LU] SOUVENT UBACE, à Mens sde sec re C ss... -JNeckérees, 3 { Plantes flottant sur les eaux courantes.................. F'ontinalées . ‘ | Plantes croissant sur les arbres ou les rochers secs..... Cryphces. Tribu I. — HYPNÉES. Coiffe déchirée longitudinalement et déjetée d’un côté. Cap- sule longuement pédicellée, rarement symétrique, ordinaire- ment bombée, lisse ou faiblement striée, droite, inclinée ou arquée, mais jamais pendante, à col peu marqué. Péristome double, l’externe formé de 16 dents, l'interne formé d’une membrane basilaire à 16 plis, surmontée de 16 lanières entre- mêlées ou non de cils. 1 Capsule symétrique, dressée... .:.... 2. Fier le ‘{ Capsule asymétrique, oblique ou sub-horizontale..,..... . Hypnum. Opercule surmonté d'un bec oblique. Feuilles LME 2.4 distiques, cultriformes ou lingulées....,....,....... ... Homalia, Qpervcule sans bec oblique.:..,, sue este Tiges déprimées ou procombantes..................... Leskea. Tiges stoloniformes à la base, puis dressées et dendri- formes .... ........ SRE EE sous se dense TS UNE HYPNUM L. — Capsule asymétrique, oblique ou sub-hori- zontale. Péristome double, l’interne cilié entre les lanières. ‘ £ | HYPNACÉES 497 ti J0) (a) \ Ü nd 0Q gUU 9000 a) nd ce 1965 (@] 220 Fig. 615. — ZZypnum lutescens. Fig. 016. — Æypnum lulescens. Portion du péristome. Pédoncule tout à fait lisse dans toute Pédoncule plus ou moins scabre...... 2 1: 4 SASIOBPUBUT SRE d'a ejeet aps diovals fe ale 21e ee 8e 12 Pédoncule entièrement scabre........ 3 Pédoncule seabre seulement dans sa moitié supérieure. Feuilles ovales, larges. Tiges primaires couchées, ra- dicantes, émettant des branches ar- quées procombantes, en gazons com- pacts, raides, vert-foncé ou jaunätres. 7. plumosum. Opercule conique, à bec court.....,... Æ 3.4 Opercule surmonté d'un long bec fili- : TOO RL nn M des LE LG Feuilles lancéolées, longuement acu- minées, à 4-5 plis longitudinaux très saillants. Fleurs monoïques. Tiges ascendantes, dénudées à la base, ra- mifiées, hautes de 8-15 centim., en 5 touffes irrégulières, jaune-brillant.... 7. lutescens Hups. Feuilles lisses ou à plis peu prononcés, 1 4, 28. CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Feuilles lancéolées, à nervure pro- longée jusque vers le sommet. Fleurs monoïques. Tiges grêles, arquées, procombantes ou couchées, radican- tes, ramifiées, hautes de 4-6 centim., en touffes variant du vert foncé au jaune brillant. .......... "0". Feuilles à nervure ne dépassant pas le milieu ou les trois quarts de leur loto REP PET 20 0 cobomoou c « Feuilles lancéolées, longuement acumi- nées. Fleurs monoïques. Tiges grèles, couchées, radicantes, très ramifées, hautes de 4-6 centim., en touffes veri-jaunâtre brillant....,,......4% Feuilles ovales, larges, courtement ACUTBNOES : à » Mes same eee arr onPIR Feuilles concaves, imbriquées, pressées Fleurs dioïques. Tiges flexueuses, de- primées, peu radicantes, à branches courtes, hautes de 3-3 centim., en gazons déprimés, vert-jaunàtre-brillant,. Feuilles lâächement imbriquées. Fleurs monoïques. Tiges primaires molles, dénudées à la base, longues de 8-10 centim., déprimées, peu radicantes, émeltant des branches procombantes divisées en rameaux dressés , en gazons étendus, vert foncé ou vert AUDIT MDTIIANE Se Tarnos Feuilles terminées par un long poil fili- forme. Fleurs dioïiques, Feuilles con- caves, dressées, imbriquées, Tiges sans stolons, flexueuses, longues de 8-10 centim., décombantes, produi- sant des branches pennées, en touffes très làches, vert-foncé-brillant....,., Feuilles aiguës ou acuminées, sans poil, Tige émettant 2-3 grandes branches pinnées ou bipinnées. Feuilles cauli- paires triquêtres. Fleurs dioïques, en LOGS METLAONCE,. . 3 22 - ce Nestes Tiges irrégulièrement ramifiées......, Feuilles lancéolées, étroites, concaves, étalées-dressées. Fleurs monoïques. Tiges grêles, couchées, se dénudant, émettant des rameaux grèles, flexueux, ascendants, longues de 3-5 millim., en petits gazons vert-foncé, ...,,....... Feuillesiovales, larmes... "..0.. 102 Feuilles caulinaires décurrentes, pla- nes, imparfaitement distiques. Fleurs dioïques. Tiges flexueuses, couchées, longues de 6-12 centim., à branches assez régulièrement pennées, en tapis vert-foncé ou presque isolées........ Feuilles non décurrentes. Fleurs dioï- ques. Tiges courtes (10-20 millim.), très grèles, en tapis denses, vert-obs- CU MEPNES EC TR ÉLREESS HT, populeum HEDw. H. velutinum IL.. 7 I, Illecebrum L. H, rutabulum L. piliferum SCHREB. © H. Stokesii Turx. A, Geesdalii Su. , prælongum L. H. pumilum Wiss. HYPNACÉES Feuilles couvertes de papilles sur les FOURS CES RES NRNREEREe Le EE Feuilles lisses (dans Æ7. triquetrum seul, elles sont finement papilleuses sur le tiers supérieur de la face inférieure). Tige 1-pinnée, couchée, longue de 6-10 centim., en touffes très làches, vert HDIAERES ATEN See «9 D'aun tune so Tige 3-pinnée, arquée, procombante et radicante, longue de 15-20 centim., en Jarges tapis vert foncé..…....... Pénnes diS tiques... 1... enenicne, Feuilles non distiques, uniformément disposées autour de la tige......,... Feuilles très ondulées, ridées en tra- vers. Tiges molles, presque simples, longues de 10-12 centim., isolées ou en touffes très lâches, vert pàle...... Feuilles non ondulées................ Opercule surmonté d'un rostre long. Capsule striée à la maturité. Tiges grèles, molles, flexueuses, radicantes, stolonifères, simples, un peu ramifiées, en touffes läches, vert foncé.......... Opercule courtement apiculé. Capsule lisse. Tiges peu stolonifères, en gazons Jannaires belaniss LA 2 res 1 14. Capsule courte, ordinairement renflée, HOME NI MR MESSE Er ATEN RASE ! | Capsule allongée, cylindrique, souvent \ 12. 15. 16. 17. AÉDEB EL 0 ain eee te ete PSS Feuilles énerves ou à 2 nervures n'’at- icisnautpassie MUNIEUS. Sen erue Feuilles toujours nerviées jusqu'au delà DAT ENT ET PRE ARE PCT EARRR PERE S 18. Tige ?-pinnée. Feuilles à 2 nervures très minces n’occupant que le tiers de la longueur. Tiges ropustes, raides, procombantes , formant 5-6 étages superposés, longues de 10-15 centim.. Tige 1-pinnée ou irrégulièrement ra- ARC de douce ave Me MA ONRE 2 3 b) 6 S 9 il Plantes sans feuilles accessoires....... Plantes pourvues de feuilles acces- soires, formant entre les feuilles un feutre filamenteux. Tiges raides, ar- quées, procombantes, à 2-3 branches, longues de 10-20 centim., isolées, ou en touffes raides, vert-jaunàtre...... Feuilles triangulaires , pointues , à pointe dressée. Tiges très robustes, dressées, raides, longues de 15-20 centim., en gazons làches, étendus, VELÉ-jaunAiTe te NA LU TERRE Feuilles ovales, pointues, à pointe re- courbes fi CR dede dur asie 0. 2 21 13 H, abietinum L. H. tamariscinum HEDw 45 47 1. undulatum L. 16 A. sylvaticum L. H. denticulatum L. H. splendens Henw. H. brevirostrum Euru. HÆ. triquetrum L,. 22 500 22. Te LT FA] © En. PA D. D A TR & DS æ Q 26. 27, 29. 30, 31, CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Feuilles denticulées. Tiges robustes, flexueuses, ne se dénudant pas, lon- gues de 20 centim., en vastes tapis peu denses, vert-jaunätre........... Feuilles entières. Tiges plus grèles et moins raides, longues de 10-15 cen- tim., en vastes gazons làâches, vert jaundtre ss PT ee areas Opercule simplement conique , sans DOC Ta ee ce mer Ac 0 Opercule surmonté d'un long bec... Feuilles dentées sur toute la longueur des bords. Fleurs monoïques. Tiges couchées, longues de 6-12 centim., entouffes vert soyeux...-#.0"-r-r00 Feuilles entières ou dentées au sommet seulement. Fleurs dioïques.......... Feuilles striées, à stries profondes. Ra- meaux sub-fasciculés. Tiges couchées, déprimées, longues de 3-6 centim., en gazons jaune-d'or, brillant ..,....... Feuilles peu striées, à stries faibles. Rameaux presque simples. Tiges grè- les, longues de 5-10 centim., en tapis läches, jaune-päle........ To dn e Plante non arbusculiforme..,......... Plante arbusculiforme. Tiges robustes, longues de 8-12 centim.., en larges touftes d’un vert très foncé. ds PURE Plante robuste. Feuilles ovales, larges. Plante faible. Feuilles lancéolées, très étroites, Tiges très grèles, filiformes, longues de 2-4 centim , en gazons d'un beau vert-tendre-soyeux.....,.. Feuilles très plissées à l’état sec, très étalées. Tiges robustes, longues de 10-15 centim., en tapis raides, vert sombre, terne où jaunâtre........... Feuilles lisses ou à peine plissées à l'état sec, dressées ou presque dres- TERRE. “000 RL © Feuilles longuement acuminées..:.... Feuilles mutiques ou très brièvement acuminées, très concaves. Tiges cour- bes, de 4-6 cent., en tapis assez den- ses, vert-jaunâtre-terne ..,......... Feuilles nerviées dans les trois quarts de leur longueur.:4:::.5..%21280008 Feuilles nerviées seulement dans leur moitié inférieures 2e ere ue Plantes stolonifères, à stolons grèles et munis de petites feuilles spéciales, espacées.. "0 MR UENEL RTE Plantes sans stolons. Tiges grèles, lon- gues de 10-12 centim : Joel I, 9 ot He FT, 27 VER 28 Ve He 0) 22 30 Æ. ol 33 32 He loreum L. squarrosum L. salebrosum HorFM. glareosum BRUuGH. albicans NEcK. alopecurum L, tenellum Dicks. striatum SCHREB. murale HEDW. striatuluin RoB. SPR. : | HYPNACÉES Feuilles ovales, très concaves. Tiges primaires couchées, radicantes, sto- loniformes, à branches principales ar- quées On dépREES). LR ee one à à à Feuilles lancéolées, étroites. Tiges dressées, nues à la base, très rami- fiées dans le haut, longues de 3-5 centim., en touffes vert-jaunàtre..., Feuilles se torlillant sous l'influence de la sécheresse. Tiges molles, flexuceu- ses, en petites touffes làches, vert- ND AL TO MODO D TL Feuilles ne se tortillant pas sous l'in- fluence de la sécheresse. ............ Tiges en touffes assez compactes, sur les murs ct les pierres, longues de 20:30 millim., vert-clair..:...,.2.. Tiges en touffes lâches, sur la terre, longues de 3-6 centim., vert-jaunàtre. Tige simple ou presque simple....... ARE PAMEUSE. 20 Tee sos emse dons Tiges longues de 8-20 centim., colo- rées en jaune clair, ordinairement isolées parmi d’autres mousses ..... Tiges longues de 20 30 centim., colo- rées en vert-brunâtre, en touffes den- SEMBLER Sen elles 0 d'a aio a ae ca Feuilles sans nervure ou à nervure très courte, n'allant pas jusqu'au milieu... Feuilles pourvues d'une nervure allant jusqu'au milieu de leur longueur ou FT TE SO dir So nn Feuilles disposées uniformément au- DUR Del A tien cree. see see Feuilles secondes. .........v.sssr.ess Feuilles obluses.0, 2.2 esse Feuilles longuement acuminées....... Plantes croissant dans les marécages. Feuilles étalées. Tiges de 8-25 centim., en touffes làches, vert jaunâtre ou HISRNS EM REOR Te DOME NET ETS Plantes croissant dans les lieux secs. Feuilles étroitement imbriquées. Tiges raides, longues de 8-10 centim., en toutfes larges, peu denses, vert-jau- nore-brilant 07 ne. 2e des ee * Feuilles entières. Tiges robustes, peu ramifiées, longues de 5-10 centim., en touffes profondes, vert-jaunâtre-lu- DIN En ee ccm otre Feuilles denticulées. Tiges grèles, irré- gulièrement pinnées, longues de 20-25 millim., en gazons déprimés, denses, vert-foncé ou vert-jaunätre....,...,. Tiges très régulièrement pinnées, cou- chées, longues de 3-5 centim., en coussinets denses, vert-foncé......,.. Tiges très irrégulièrement pinnées.... o01 H, strigosum HoFFM. H. myosuroides L. H. rotundifolium Scor. H. confertum Dicxs. H. megapolitanum BLAxo. H. stramineumn Dicxs. Æ. trifarium Wess. et M. 3 (2e) H. cuspidatum L, Æ, Schreberi Wizzo. Æ. stellatum ScurEs. H. Sommerfeltii Myr, H. molluscum HEpw. 43 002 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Feuilles denticulées. "Teener Feuilles entières, très concaves, obtuses ou courtement apiculées. Tiges ro- bustes, longues de 10-20 centim., en touffes molles, volumineuses, inon- dées, jaune-brunâtre. 2.7... 247% Fleurs-monoiques Ari. Fleurs dioiques..:...,....,..1.2.02% bres pourris. Tiges radicantes, grèles, longues de 15-20 millim , en gazons déprimés, lâches, vert-pàle ou jau- nâtre-brillanti zeste 16. Plantes croissant sur les murs et les rochers, Tiges grèles, peu radican- tes, lonsues de 15-20 millim., en | Plantes croissant sur les trones d'ar- | touffes petites. vert-clair. "44400 ! Opercule surmonté d’un bec allongé. | Feuilles à puinte très étroite. Tiges déprimées, en touffes vert-foncé ou TAURAITE creer retient CCC ) Opercule mutique. Feuilles à pointes lancéolée aiguë. Tiges molles, lon- gues de 6-8 centim., en touffes mol- les; svert-clair. ss... LOMME n ( Feuilles disposées uniformément au- fourdena tee ere re PT Uoe Feuilles’ secondes..." 4. it 282 20 { Feuilles plissées, à plis profonds. Tiges dressées, flexueuses, longues de 6-8 centim., isolées parmi d'autres mous- ses, ou en touffes profondes, jaune vif, à reflets métalliques....,.....1. Feuilles lisses ou à peine plissées..... Feuilles squameuses. Tiges grèles, cou- chées, appliquées, en touffes dépri- mées, jaune-pale.…. ...:. mate rehee Feuilles non squameuses...,.......... Feuilles étroitement imbriquées. Tiges déprimées ou ascendantes, molles, ré- gulièrement pennées, à rameaux dis- tiques, longues de 10-20 millim., en touffes molles, larges, vert-pâle...... Feuilles très lâchement imbriquées.... Feuilles lancéolées, très étroites, Tiges grèles, couchées, radicantes, à ra- meaux très nombreux, souvent fasci- culés, en tapis vert-foncé ou olivàtre. Feuilles ovales. Tiges robustes, dépri- mées, à rameaux nombreux, dressés, longues de 6-12 centim., en touffes molles, jaunâtres, brillantes...,..... Tiges couvertes d’un feutre formé de radicules fauves tie sua SO Tiges sans feutre radiculaire......... 44 | IT, scorpioides L. 45 46 IT, silesiacum SELIG I, incurvatum ScurAD. H, cupressiforme L, À, pratense Kocx H. nitens SCHREB. Æ. chrysophyllum Bri. H. purum L, H. serpens L. H. polyganum Scnarme. rt SR RL D ES RATE et EST rh r s 2 He HYPNACÉES 903 Feuilles dentées à l'extrémité, nerviées dans toutes leurs longueurs. Tiges raides, ramifiées, pennées, longues de 6-10 centim., en touffes raides, dé- primées, vert-foncé, jaunèâtre ou cli- vâtre à la surface, brun en dedans... 77, filicinum L. 53. Feuilles simplement. denticulées à l'ex- trémité. Nervure cessant en arrière de l'extrémité. Tiges décombantes, pennées, longues de 3-5 centim., en touffes profondes, denses, vert-foncé, vivant dans les lieux humides ou dans l’eau, souvent chargées d’incrustations (Es TL 1 7 PNA TPE RENNES FASQRRS Tan H. commutatum HEbw. se \PFieurs-monoïques..........:... EP 55 L2 CES _ Mleurs-dibiquesi sut see SR 57 [ Feuilles très plissées. Tiges décom- bantes et dénudées à la base, divisées 55,) en 3-6 branches ascendantes, pennées, longues de 8-10 centim,, en touffes étendues, -vert-jaunâtre....... esse H. uncinatum HEepw. Feuilles lisses ou à peine plissées..... 26 [ Capsule dépourvue d'anneau. Tiges grèles, molles, décombantes, à 2-3 branches pennées, longues de 6-30 cent., en louffes très molles, jaunä- 56./ tres à la surface................1... H. fluitans L. Capsule pourvue d'un anneau large. Tiges molles, à plusieurs branches brièvement pennées, longues de 8-12 centim., en touffes molles, vertes à la HOT C RMS RER PRET RER Æ, revolvens Sx. Feuilles pourvues à la base d’oreillettes distinctes. Tiges grêles, flexueuses, émettant de nombreux rejets filifor- mes, en touffes molles, lâches, vert jaunâtre à la surface. ............... H. aduncum HEepw. 57 Feuilles dépourvues d’oreilllettes. Feuil- ’\ les plissées, bosselées à l'état sec. Ti- ges allongées, molles, flottantes dans l'eau des marais, peu ramifiées, lon- gues de 10-20 centim. en touffes lar- ges, molles, vert-jaunâtre ou doré à Snap H. Lycopodioïides Scaw. HOMALEIES Br. — Capsule dressée, RE vUes oblongue. Opercule surmonté d'un bec oblique. Péristome double : l'externe formé de dents lancéolées, linéaires, peu lamellifères, l’interne formé d’une membrane basilaire atteignant le tiers de la hau- . teur des dents, et de lanières linéaires, allongées, sans cils ou avec des cils rudimentaires. Feuilles aplanies-distiques, eultri- ormes ou lingulées, lisses. H. trichomanoïides Brucn et ScaimP. — Seule espèce. Tiges stoloniformes, à branches arquées, dressées ou procombantes, garnies de 2-4 rameaux étalés, en touffes déprimées, vert clair ou vert foncé. 50% CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES LESKEA Hepw. — Capsule dressée, symétrique, sub-cylin- drique ou ovale-oblongue. Coiffe petite. Péristome double, l’externe formé de dents lancéolées, l’interne formé d’une mem- brane basilaire distincte, mais n’atteignant pas la moitié de la hauteur des dents, et de lanières étroites, souvent rudimen- taires, sans cils ou avec des cils peu développés. Feuilles (dans nos espèces) lisses et munies d’une nervure épaisse atteignant ou dépassant le milieu de leur longueur. Tige non stoloniforme, couchée, radicante, se dénudant, longue de 3-8 centim., pennée ou divisée en plu- sieurs branches pennées, en coussinets bombés, verts à l'ombre, Jaune-vif au soleil :...,.1.2-*-tt---- L. sericea HEDW. Tige stoloniforme, radicanie, garnie de feuilles squami- formes espacées, se déoudant, longue de 3-8 centim., émettant des branches dendroïdes, dressées, en touffes (77 lâches, étendues, vert-terne ou jaunàtre-päle......,, ÆL. myura Bour. CLIMACEUM Wes. et M. — Capsule dressée, symétrique, oblongue. Coiffe descendant jusqu’à la base de la capsule. Pé- ristome très développé, double : l’externe formé de dents li- néaires, acuminées, munies de lamelles internes médiocres; l'interne formé d'une membrane basilaire ne dépassant pas le quart de la hauteur des dents, et de lanières linéaires, aussi longues que les dents, percées d’orifices confluents. Feuilles disposées en tous sens autour de l’axe; tiges stoloniformes, à branches dressées. C. dendroïdes Wes. et M. — Seule espèce. Tige souter- raine, stoloniforme, sortant de terre après un assez long trajet sous forme d’une pousse vigoureuse, dressée, puis très ramifiée, à rameaux dendroïdes, d’un vert plus ou moins foncé ou jau- nâtre-brillant. Tribu II. — NECKÉRÉES. Capsule symétrique, longuement pédicellée ou sub-sessile, dressée ou inclinée. Péristome peu développé, souvent fugace ou nul. SIX genres : Tige déprimée, Feuilles aplanies-distiques, subsca- 1.) rieuses. .......... so... PE 0e 200 DR aies ….... Neckera: Tige arrondie. Feuilles imbriquées sur plusieurs rangées irrégulières, 2... se LEE So staie 2 { Pédicelle long, dressé... RE ‘| Pédicelle court, courbé. Capsule penchée. ...…. Antitrichia. Feuilles lisses, énerves. Coiffe grande, PT 3 jusqu'à. ladbase dela capsule. 27 :e200r ere 2e 4 ‘) Feuilles munies d’une nervure très nettement pro- = noncée. Coiffe médiocres... CT CRE 0 ___ HYPNACÉES ii ‘ 505 ; | Feuilles non plissées......... RER AT ss... Cylindrothecium. LT FES DRSAURS eee » à 28 6e so à a 2. mûe sus se Fe LOC ONON. Plantes très stolonifères, à branches dressées..... . Anomodon. Plantes peu stolonifères, à tige couchée et à bran- ches procombantes....... nn aeageesus mon 4228000 UOTE D NECKERA Hrpw. Capsule à pédicelle médiocre, très court ou même presque nu. Coiffe ne descendant que jusqu’au tiers ou au milieu de la capsule. Péristome double : l’externe formé de dents lancéolées-linéaires, parfois percées de trous sur la ligne médiane ; l’interne formé d’une membrane basilaire peu élevée, molle, et de lanières très réduites, filiformes ou rudi- mentaires. Feuilles aplanies-distiques, lisses, subscarieuses. Plantes croissant sur les troncs d'arbres et les rochers. Capsule exserte. Fleurs dioïques........ ? Capsule subsessile, cachée dans l’involu- cre. Fleurs monoïques. Tiges allongées, 1.4 raides, dénudées à la base, couchées, longues de 6-10 centim., imparfaite- ment pennées, en touffes lâches vert jaunätre........ RSA 7 FERRÉ CFE . AN. pennata HEenw. / Feuilles ridées transversalement. Tiges flexueuses, couchées, longues de 4 20 centim., à branches ascendantes, en touf- fes vert-jaunâtre ou brun-ferrugineux Fr DEOOMUE TDIL ET Aves ne nes Le CAE OREEEREES N. crispa HeDw. Feuilles sans rides. Tiges longues de 40-15 centim., en tapis vert-jaunàtre ‘brillants, reconnaissables à de nombreux \ filaments stoloniformes........... .…... NN. complanata Br. et Scu. CYLINDROTHECIUM Sc. — Capsule portée par un long pédicelle droit. Coiffe grande, descendant presque jusqu'à la base de la capsule. Péristome sans membrane basilaire, à la- nières aussi longues que les dents externes. Feuilles énerves, lisses. Plantes vivant dans les lieux secs ou frais. €. coneinnum ScH. — Seule espèce. Tiges dénudées à la base, régulièrement pinnées, rarement fructifiées. PTEROGONIUM Sw. — Capsule portée par un long pédicelle droit. Péristome externe fugace, à dents acuminées, entières: péristome interne formé d’une membrane basilaire très courte et de 16 lanières en forme de cils, courtes, fugaces. Feuilles imbriquées en tous sens. Tiges et rameaux procombants. Tiges primaires stoloniformes, très grèles, très radi- culeuses, portant des feuilles squamiformes, et émettant des branches robustes, très ramifées, en touffes peu étendues, raides, vert-olivätre ou jaunâtre en dehors..........,...,............,. F. gracile Sw. FLORE DE PARIS, 29 906 rs CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Tiges non stoloniformes, grèles, couchées, radicu- leuses, très ramifiées, longues de 2-3 centim., en tapis étendus, très fournis, vert clair brillant pas- sant au jaune.. 004 4.04 M MR Omer ANOMODON Hook. et Tayz. — Capsule portée par un long pédicelle droit. Péristome formé de dents, lancéolées, linéaires, acuminées, d’une membrane basilaire presque nulle, de lanières filiformes, irrégulières, fugaces. Feuilles papilleuses, imbriquées en tous sens. Plantes très stolonifères. A. viticulosus Hook. et TAyz. — Seule espèce. Tige flexeuse, stoloniforme, se dénudant, très radiculeuse, très ramifiée, longue de 10-20 centim., à rameaux dressés, renflés au sommet, longs de 3-5 centim., en gazons étendus, profonds, raides, vert foncé à la surface, bruns en dedans. + ANTITRICHIA Brio. — Capsule portée par un pédicelle médiocre, un peu courbé. Péristome fugace, sans membrane basilaire, à 16 lanières filiformes, fugaces. Feuilles lâchement imbriquées en tous sens, sans papilles. Tiges stoloniformes. Plantes croissant sur les arbres, les rochers et les pierres. A. curtipendula Brin. — Seule espèce. Tige couchée, radi- cante, stoloniforme, se dénudant, émettant des branches lon- gues de 10-12 centim., ramifiées pennées ou bipinnées, en touffes lâches, jaune-sale terne. LEUCODBON ScaworGr. — Capsule portée par un pédicule long et droit. Péristome simple, formé de dents pâles, entières ou ouvertes dans le bas. Feuilles entières, lisses, énerves. plissées. Tige stoloniforme, émetttant des rameaux nombreux, simples ou ramifiés. L. sciuroides ScHworcr, — Seule espèce. Stolons grêles, émettant des branches de 3-6 centim., en tapis étendus, raides, vert-olivâtre terne ou jaunâtre à la surface, roux en dedans, sur les troncs d'arbres, les pierres ou les rochers. Tribu III. — CRYPHÉES. Capsule sessile ou sub-sessile. Coiffe scabre ou velue. Oper- cule conique. Péristome double (dans notre espèce), l'externe formé de dents ponctuées au sommet; l’interne sans membrane basilaire, à lanières étroites, allongées, libres. Plantes crois- sant sur les troncs d'arbres ou les rochers secs. CRYPHÆA Monr. — Caractères de la tribu. ue Pr mnt il - East 29 LT LUTÉS Ja, RE Le AC ES LT HYPNACÉES 507 C. heteromalla Mour. — Tiges primaires couchées, radi- culeuses, émettant un grand nombre de branches ascendantes ou dressées, en coussinets lâches, vert-jaunâtre; longueur 45-25 millim. Tribu IV. — FONTINALÉES. Capsule sub-sessile, immergée dans l’involucre (dans notre espèce). Péristome double : l’externe formé de 1-6 dents li- néaires, allongées, lamellifères ; l’interne formé de 16 lanières filiformes, unies par des pièces transversales. Plantes flottant dans les eaux courantes. FONTINALIS L. — Caractères de la tribu. F. antipyretica L. — Tige longue de 10-15 centim., dé- nudée à la base, ramifiée, en touffes flottantes, étendues, vert foncé ou noirâtre. II. — CLEISTOCARPES. Capsule sans opercule, s’ouvrant par la déchirure irrégulière et la destruction de ses parois. Plantes très petites, ayant de 1/2 à 1 ou de 5 à 10 millim., croissant sur la terre humide des prairies et des fossés. Trois genres : 1,{ Capsule pédicellée, à pédicelle court ....... de 2 “-Capsule'sessile.. 2... LEP Re SMART CES …. Archidium. > Fleurs monoïques ou synoïques....,........... Pt su et PRASCU: A EG PET es Le EE: RO Re RSR END EEE ... Æphemerum. PHASCUM Scares. — Caspule courtement pédicellée, exserte ou cachée dans l’involucre, à pédicelle droit ou arqué, sans col. Coiffe petite, souvent fendue latéralement. Plantes très petites, isolées ou plus grandes et formant des gazons. Feuilles supérieures longuement subulées. Fleurs synoïques, les mâles pourvues d'un involucre distinct. Coiffe fendue d’un seul 1.4 côté, oblique, Tiges dressées, simples ou peu ramifiées, longues de 3 millim., en gazons denses, jaunâtres .......... ss. P. subulatum L. Feuilles larges, courtement acuminées..... > Capsule exserte, apiculée.....,::,.,...... 3 Capsule immergées. Ji, eme tn, 7 SP EE A. Ve re A LA er re 508 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES | Tige longue de 5-10 millim., dressée, émet- tant des innovations grêles au-dessous des 3.< fleurs, en gazons lâches, vert-jaunätre..... P. bryoides Drcrs. Tiges de 1 millim., isolées, ou en groupes peu denses, d’abord vertes, puis brunes... P. cwrvicollum Hepw. Plante bulbiforme, isolée ou en petits grou- DE A x . SA pes vert-brun ou jaunâtre, à tige extrème- 4.4 ment courte, presque nulle.....:......... PP. muticum SCHRES. Plante à tige de 1 millim , en gazons plus ou moins étendus, vert lerne.s . 4.0... P. cuspidatum HEeow. ARCHIDIUM Brio. — Fleurs monoïques ou synoïques. Cap- sule sessile, globuleuse, sans columelle. Coiffe irrégulièrement déchirée à la base. A. alternifolium Sc. — Tiges grêles, courtes, dressées, terminées par une fleur et émettant au-dessous de celle-ci des innovations feuillées, en petits gazons peu denses vert sombre ou jaunâtre. EPHEMERUM Hawr. — Fleurs dioïques, mais les fleurs mâles portées pas des pieds qui naissent ordinairement sur le même prothalle que les pieds femelles. Capsule immergée dans l'involucre, sans columelle. Coiffe petite. Tiges très courtes, annuelles, sur un prothalle persistant en forme de feutre con- fervoiïde. Feuilles nerviées. Tiges très courtes, sur un pro- thalle formé de filaments courts, peu ramifiées, VéLL LenUTE 2. 2e SR ORNE AE PEAR .. Æ. recurvifolium Bou. Feuilles énerves. Tiges très petites sur un pro- thalle vert soyeux, à ramifications allongées ; capsules rouges......... NO RU € .. Æ. serratum HaMp. III. — SCHISTOCARPES Capsule s’ouvrant par l’écartement de 4-6 valves longitudi- nales, retenues au sommet. ANDRÆA Eur. — Capsule courtement apiculée, d’abord sessile et immergée dans l’involucre, puis exserte par suite du soulèvement du réceptacle. Pas d’opercule proprement dit, déhiscence s’effectuant par 4-6 valves retenues par le sommet. Coiffe conique, lacérée à la base, très petite, fugace. Plantes à tige courte (5-20 millim.), ramifiée dichotomiquement, croissant seulement sur les rochers siliceux, en coussinets fragiles, très adhérents. A. petrophila Eux. — Caractères du genre. ER HYPNACÉES 509 IV. — SPHAGNACÉES. Cellules des feuilles pourvues de grandes ponctuations. Cap- sule déhiscente par une fente circulaire qui sépare toute la paroi du sac spori- gène en forme de ca- C7 lotte. Péristome nul. CAE | Plante feuillée se pro- Ag ru À - 5 é Lu duisant soit directe- ment sur le protoné- ma filamenteux issu de la spore, soit sur un proembryon la- melleux développé . sur le protonéma fila- Fig. 617. — Sphagnum aculifolium. menteux. Plantes des Proembryon lamelliforme (pr) produisant une marais et des tour- Plante feuillée m. bières. SPHAGNUM Dir. — Caractères de la famille. 1,4 Fleurs dioïques........ RAT NE Fleurs monoïques......... ct br 4 Feuilles des rameaux obluses... 3 Feuilles des rameaux acuminées. Tige dressée, ferme, jaune foncé, longue de 8-10 centim., ramifiée, à rameaux groupés par 6, dont un ascendant-contourné; en touf- fes peu étendues, vertes ou ta- chées de jaune rouille....,,.... S, subsecundum NEES et Horxscu. Cellules de la zone corticale pour- vues de 1-2 spores et de fibres spiralées entrecroisées. Tige de 15-20 centim., à rameaux espacés ou plus souvent rapprochés par 3-9. Plantes vert pale ou glau- . cescentes, passant au roux-brun ou au violet päle, occupant de ÉrARTS CSPAEDSX . 2-0 Co moe = ame S. cymbifolium Eur. Cellules de la couche corticale sans fibres spiralées. Tige longue de 5-8 centim., simple ; en petites touffes vert-päle , glaucescentes z \ où jJaunâtres..........s.sssssse 9. MOUUSCUM BRUCH. 3510 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Feuilles étroites, lancéolées, lon- guement acuminées. Tige longue de 20-40 centim., grèle, àrameaux groupés par 3-5; en touffes sou- vent inondées, flottantes, vertes à la surface, décolorées en de- : dans arte pote als re .…... S. cuspidatum Euru. Feuilles ovales-oblongues . non acuminées. Tige longue de 4-10 centim., à rameaux groupés par 3-4, flexible; en touffes vert jau- nâtre, très étendues............ S, acutifolium Euru. rer B. — HÉPATIQUES . # x » Caractères constants. — Plante sexuée, tantôt formée d’une tige filiforme, peu ramifiée, portant des feuilles réduites, sans nervures, disposées de chaque côté sur deux rangées et parfois accompagnées d'une troisième rangée d’appendices foliacés plus réduits, insérés sur la face ventrale de la tige (amphigastres); tantôt constituée par une lame verte, plus ou moins découpée Fig.618.—Marchantia polymorpha. Chapeau femelle, vu par-dessous, morpha. Chapeau male. Coupe longitudinale. «, an- théridies ; D, feuilles ; 4, poils radicaux; Au,{, branche qui porte le chapeau, Fig. 619. — Marchantia polymorpha. Coupe longitudinale du chapeau femelle. a, deux archégones ; pc, feuilles du périchèze. (fronde), sans feuilles véritables. Racines filamenteuses. Pas de faisceaux fibro-vasculaires. Organes reproducteurs sexués por- tés par la plante parfaite; les mâles et les femelles tantôt réu- PONT A CPE ER RTE EE ee OT Vie yet) SAT TRI EN ES CS er LR JUNGERMANNIACÉES o11 nis sur le même pied, tantôt disposés sur des pieds distincts. L’organe mâle est constitué par un sac (anthéridie) dans lequel se développent des anthérozoïdes mobiles. L’organe fe- melle est constitué par un sac (archégone) contenant une seule cellule femelle (oospore); après la fécondation, l’'oospore se dé- veloppe sur place en un sporogone dans lequel se forment des spores asexuées. Celles-ci donnent par leur germination un proembryon rudimentaire, sur lequel se développe la plante sexuée. Les organes reproducteurs sont parfois entourés de feuilles modifiées. Parvenu à la maturité, le sporogone est constitué par un sac (capsule) souvent parcouru par une €o- lonne centrale (columelle) autour de laquelle se développent les spores. La capsule s'ouvre tantôt irrégulièrement, tantôt par des valves en nombre défini et constant. Elle peut être ses- sile ou pédiculée. Elle est entourée soit de feuilles simplement modifiées dans leur forme (faux périanthe), soit d’un sac ouvert et denté (périanthe). En dehors du périanthe se trouve souvent un éinvolucre formé par des feuilles distinctes des feuilles cau- linaires. Tous ces caractères, ainsi que la forme de ces parties, jouent un rôle important dans la classification des Hépatiques. Ces plantes se reproduisent asexuellement par divers procédés. Affinités. — Les Hépatiques ne se distinguent des Mousses que par une réduction plus grande des organes végétatifs. Capsules sessiles ou enfoncées dans la fronde. Pas d’élatères. Tige frondacée........ enter Riceiacées: Capsules pédicellées. RSR EN TETE TE PSE fe Capsules pourvues d’une columelle sur : laquelle se développent les spores. Tige frondacée..... Anthocérothacées. Capsules sans columelle,....,.......... EEE | Capsnieisatatte". on EL ie ro nsinenises soi Ql 3 Capsules agrégées sur un réceptacle longuement pédonculé. Tige PDA ERA vie cas ee Mn ete Marchantiacées. Capsule s'ouyrant très irrégulièrement. Tige RARE A Ce on MTS pars cesse Targioniacées. Capsule s'ouvrant en 4 valves très ‘régulières. Tige presque toujours foliée, rarement frondacée. Jungermanniacées . Fame CXII. — JUNGERMANNIACÉES. Organes végétatifs constitués par une tige plus ou moins ra- mifiée, munie de feuilles. Capsule solitaire, portée par un long pédicelle, déhiscente par quatre valves régulières. Deux tribus : RARES IQ. 2700 descendent sd ten ….-.-... Jungermanniées, Plantes frondacées, sans feuilles........,..,..,...... Metzgériées. 012 Plantes feuillées. CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES Tribu I. Fructification terminant — JUNGERMANNIÉES. la tige ou un rameau latéral distinct. Capsule déhiscente par quatre valves régulières. Feuilles succubes avec ou sans amphigastres. Dix-sept genres : > Co LA] ec Qt (er) QU = bd es LD Co 4 LE Qt ù [er] 2) . . . . . . TT, Capsule déhiscente par quatre valves irrégulières, dentées "re." Capsule déhiscente per quatre valves régulières, CHIÉTES 20 de sc ioiesle vote ete ee ee sets ss 0 Valves n AO ant pas la moitié de la capsule., Valves atteignant la moitié de la capsule....,.. Elatères persistants. Périanthe contracté et denté au sommet ..,...... Elatères cadues. Périanthe bilabié. non contracté. Périanthe soudé à l’involucre jusque près du sommet ..,,...... .. ns Faux périanthe a de sacciforme.... Périanthe dressé......... ceci SOEUR Faux périanthe glabre......... M ll ol Do Faux périanthe \velues.. MÉLAIIARE EEE Elatéres persistants. ...:...1Ner APR AS SRREEe Htaterés Cadts. ss see coca TS Périanthe velu. Feuilles très profondément laci- ICO in ee GTS à ee ST ce nn ee Re 20 Périanthe glabre see Le fe 8 RTE ro AA NAT EE Périanthe comprimé, verdätre...... RMI CRE Périanthe non comprimé, hyalin..,........ KA Feuilles entières ou dentées, non bilobées....... Feuilles bilobées. ….,...,....... SE Ne TETE Ê Feuilles Ancubes. rte EE RE = - HeuillesssuBeuDes..r enr emennrrmetere Reco Feuilles incubes. Lobes des feuilles entiers..... Heutlles SUECUDes 24. in2.4225 Ne ORNE Mise molle, couchée. :..7....4 RC fige raide Ndressée: :2,: 3 semer certe Périanthe nel sais sors one plote ee ASS Périanthe naissant sur rameau ‘latéral, court, Périanthe à orifice rétréci............... Æ Périanthe à orifice non rétréci, trilobé, ‘lacinié.. Périanthe obovale, plus court que la coiffe ou pas -Dius 100 ET CCE PRE DATA Périanthe cylindrique, plus long que la coiffe. 0 Fossombronia. 2 3 4 Lejeunia. Madotheca. Sarcoscyphus. n 6 7 Saccogyna . Calypogeia. Frullania, 8 CR lea. 10 12 Plagiochila. 11 Radula . Scapania . 13 14 Lepidozia. Mastigobryum. 15 16 Jungermannia. Lophocolea. Chiloscyphus. Sphagnæcetis . JUNGERMANNIA L. — Capsule divisée jusqu'à la base en quatres valves régulières. Coiffe incluse. Involucre formé de feuilles plus grandes et plus dentées que les feuilles cauli- naires. Périanthe terminal, plus long que l'involucre, libre, à orifice plissé et contracté, lobé ou denté. Feuilles accompagnées ou non d’amphigastres. DE Pre JUNGERMANNIACÉES 513 Feuilles entières, accompagnées d’amphigas- tres. Tiges longues de 10-35 millim., en gazons vert tendre.............. RES . J. crenulata SM. Feuilles dentées ou lobées, ....... Lobes foliaires linéaires , sétacés, formés d'une seule série de cellules. Tige longue de 2 10-30 millim., couchée ou dressée au milieu ue des mannes, rameuse; touffes vert pâle ou JARRMENE Dei oc D rs tora J. trichophylla L. LU Lobes foliaires larges............. PASSER Feuilles à deux lobes larges... ........, itners % Feuilles obovées, plissées-ondulées, à 3-5 lobes 3.4 larges, entiers. Tige épaisse, robuste, longue de 15-80 millim., dichotome; en gazons rai- des, vert obscur ou jaune sale...... ..…..... J. barbata SCHRES. NU Fig, 621. — Jungermannia albicans. Fig. 622. — Jungermannia undulala. l'autre 223.2 : 5 Lobes foliaires inégaux, appliqués l’un contre 4, re tre LRPAUIE TOR Tate | Lobes foliaires égaux ou presque égaux..... 6 Feuilles paraissant nerviées par la présence de plusieurs séries de cellules allongées qui les parcourent dans toute leur longueur. Tige stoloniforme à la base, puis dressée, simple 5.4 ou bifurquée, longue de 10-40 millim,, verte ou jaunâtre......... RES PO EEE LEE J. albicans L. Feuilles ne paraissant pas nerviées. Tige cou- chée, longue de 8-15 millim., brune, rare- \ ment verle.,...... ARR 0 RARE EE RME CEA PAC J. exsecta SCHM. Pas de rameau fructifère spécial...... 2121. Périanthe terminant un rameau fructifère spé- 6 cial, plus court et plus gros que les rameaux stériles. Tige grèle, couchée, à rameaux re- dressés, molle, longue de 5-10 millim., vert blanchätre ou ferrugineux....,...,..,...... J, bicuspidata L, 29. 514 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES \ Tige couchée, redressée au sommet, longue de 10-30 millim,, vert foncé, en touffes peu sd compactes, Me tartes en UT ERE .. J. ventricosa DIcxs. Tige entièrement couchée, longue de 2-8 mil- ; lim., verte ou orangée.......... ess.ss.sss J. bicrenata LINDEND. PLAGIOCHILA Du». — Coiffe incluse dans le périanthe. Périanthe plus long que l’involucre, libre, lisse, à orifice sinué ou denté, non rétréci. Involucre formé de deux feuilles sem- blables aux feuilles caulinaires, mais plus grandes. Feuilles sans amphigastres. P. asplenioïides Dum. — Seule espèce. Tige longue de 15 à 100 millim., rhizomateuse et écailleuse à la base, ordinairement ramifiée, à feuilles découvertes, obovales. Périanthe à orifice cilié. Commun sur la terre, au pied des arbres, dans les haies, au bord des fossés. SCAPANIA Duum. — Coiïiffe incluse dans le périanthe. Pé- rianthe plus long que linvolucre, à orifice non rétréci, com- primé, courbé au-dessous de l'orifice. Involucre formé de deux feuilles indépendantes, semblables aux feuilles eaulinaires, mais un peu plus grandes. Feuilles bilobées, à lobes inférieurs plus grands, sans amphigastres. S. nemorosa Dum. — Seule espèce. Tige dressée, ramifiée, longue de 30-60 millim., en touffes compactes, vert brunâtre ou violet, sur la terre et les rochers, dans les bois. SPHAGNÆCETIS NEEs, — Fructifications portées par un ra- meau spécial, court, à feuilles petites, distinctes des autres. Feuilles caulinaires orbiculaires, entières. Périanthe sub-cylindri- que, trigone au sommet, à orifice denticulé. Amphigastres seule- Fig. 623. — Lophocolea bidentata, Ment au sommet des tiges. Portion de la tige. S. communis Nes. — Seule espèce. Tige simple ou ramifiée, flexueuse, pourvue de sto- lons, longue de 20-50 millim.; en touffes lâches, vert-jaunâtre ; parmi les Sphagnum. LOPHOCOLEA Dux. — Coiffe incluse dans la périanthe. Capsule ovale ou oblongue. Périanthe terminal, à orifice tri- | : | L | RS ASS SE NE AE PAT TRUE Re, ar 4 D JUNGERMANNIACÉES 515 lobé, les lobes étant dentés. Involucre formé de deux folioles plus grandes que les feuilles. Amphigastres plus grands que les feuilles caulinaires. Feuilles moyennes entières ou émarginées. Tige couchée, radicante, ramifiée, longue de 10-25 mil- lim. ; en touffes vert-jaunâtre....,.............. L. heterophylla Duv. Feuilles toutes nettement bilobées. Tige couchée, flexueuse, simple ou peu ramifiée, longue de 20-40 millim. ; en touffes très läches vert-pàle ou FO Lin PSS ARRAINE LINE RP OR ER EN .. ZL. bidentata Nees. CHILOSCYPHUS Corp. — Coïiffe longuement exserte, squa- muleuse à la surface. Périanthe court, bilabié ou trilobé, à lobes denticulés. Fructifications portées par un rameau fertile spécial qui naît sur la face inférieure de la tige et qui est” chargé de radicules et de petites folioles bilobées ou bifides. Feuilles insérées très obliquement, arrondies au sommet. Amphigastres ovales, bifides, fugaces. C. polyanthus Ners. — Seule espèce. Tige couchée, simple ou ramifiée dichotomiquement, longue de 20-50 millim.:; en tapis vert pâle ou obscur. SACCOGYNA Du. — Coiffe incluse, adhérente dans ses trois quarts inférieurs à un sac (périgyne) charnu et glabre qui remplace le périanthe et qui pend au-dessous de la tige. Feuilles succubes, entières, accompagnées d’amphigastres ovales-lancéolés, dentés. S. vitieulosa Duv. — Seule espèce. Tige couchée, radicante, ramifée, longue de 2-4 centim.; en larges touffes vert-jaunâtre. CALYPOGEIA Rappni. — Coiffe incluse, adhérente dans ses trois quarts inférieurs à un périgyne sacciforme, velu, enfoncé dans la terre. Capsule tordue, à valves contournées. Feuilles incubes, accompagnées de nombreux amphigastres. C. Trichomanis Cora. — Seule espèce. Tige couchée, ra- dicante, simple, un peu ramifiée, longue de 15-30 millim., vert pâle ou glauque. LEPIDOZIA Du. Fructifications portées par un rameau spécial, qui naît sur la face inférieure de la tige et qui est garni de folioles imbriquées formant l’involucre. Coïffe incluse, libre. Périanthe subcylindrique, allongé. Feuilles incubes, carrées, 2-4-lobées, accompagnées d’amphigastres lobés. L. reptans Duu. — Tige couchée, molle, pinnée ou bi-pin- née, lougue de 15-30 millim., en touffes vert-pâle ou jaunâtre, + 516 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES MASTIGOBRYUM Ners. — Fructifications portées par un rameau spécial, court, naissant à l’aisselle d’un amphigastre. Coiffe incluse, libre. Périanthe allongé, trigone, à orifice 3-lobé, fendu latéralement. Feuilles ovales, 2-3-dentées, accompagnées d’amphigastres larges, sinués-dentés. M. trilobatum N£ges. — Tige dressée, raide, ramifiée dicho- tomiquement, longue de 4-10 centim., stolonifère; en grandes touffes vertes. TRICHOCOLEA Du». — Fructifications terminales ou nais- sant dans l’angle d’une dichotomie. Coiffe non distincte. Périanthe nul, remplacé par un périgyne cylindrique formé par les folioles de l’involucre connées, hérissé de poils en dehors, irrégulièrement denté au niveau de l’orifice. Feuilles très pro- fondément laciniées. T. tomentella Dum. — Tige couchée ou dressée, bi-pinnée, longue de 4-10 centim.; en grosses touffes vertes ou jaunâtres, parmi les mousses. RADULA Du. — Fructifications portées par un rameau spécial, court. Coiffe incluse, libre. Périanthe tronqué, entier. Pédicelle de la capsule dépassant le périanthe. Feuil- les bilobées, à lobes inégaux. Pas d'amphi- gastres. R. complanata Duu. — Tige couchée. très ramifiée, longue de 15-40 millim.; en touffes aplaties vert-foncé ou jaunâtre. MADOTHECA Du. — Fructifications portées par un rameau spécial très court. 3 Périanthe ovale-renflé, bilabié. Pédicelle de Fig. 624, — Radula 1 ] lé t ] RE complanata. Coupe la Capsule ne dépassant pas le périanthe. du périanthe lais- UOiffe globuleuse, déchirée au-dessus du sant voir la coiffe, sommet. Feuilles bilobées, à lobes inégaux, accompagnées d’amphigastres nombreux. Feuilles et amphigastres dentés. Tige ramifée, longue de 5-10 centim.; en touffes vert-jaunâtre ou brunâtre, brillantes, :7:....4,.....,.......0% M. lævigata Du. - Feuilles et amphigastres entiers. Tige très ramifiée, longue de 4-8 centim. ; en touffes vertes ou jau- MATOS 210 «à ete ose PE ere ana Er MONET M. platyphylla Dum. » LEJEUNIA Liserr. — Involucre formé de deux feuilles JUNGERMANNIACÉES 517 différentes des feuilles caulinaires. Périanthe obovale ou arrondi. Coiffe incluse, libre. Capsule déhiscente en quatre valves qui se séparent seulement jusqu'au milieu et portent sur leurs extrémités les élatères persistants. Feuilles bilobées, à lobes inégaux, accompagnées d’amphigastres entiers ou bifides. L. serpyllifolia Liserr. — Tige très ramifiée, longue de 15-30 millim.; en touffes vert-pâle ou jaunûtres. FRULLANIA Rappr. — Involucre formé de deux feuilles différentes des feuilles caulinaires. Périanthe mucroné au sommet. Coiffe obovée, libre. Capsule subglobuleuse, divisée jusque près de la base en quatre valves portant sur leur partie moyenne les élatères persistants. Feuilles bilobées, à lobe très inégaux, accompagnées d’amphigastres bilobés. Amphigastres ovales, profondément bilobés, Tige grèle, couchée, très ramifiée, longue de 2-5 centim., en larges plaques rouge-brun, sur les arbres...... F, dilatata Don. Amphigastres ovales, carrés, émarginés, non bilobés. : Tige grêle, couchée, bipinnée, longue de 4-8 centim. ; en plaques vert-brun ou rouge, sur les souches et LÉSPEOCHBRASS LE ee RME UT 0 Er D CUS Le F. Tamarisci Dum. Fig. 625. — Frullania Tamarisci. Fig. 626. — Sarcoscyphus Funckü. FOSSOMBRONIA Rapni. — Périanthe terminal, campanulé, herbacé, à orifice dilaté et lobulé. Capsule globuleuse, déhis- cente en quatre valves irrégulières, corrodées au sommet. Anthéridies insérées sur la face supérieure de la tige. Feuilles molles, lobulées-ondulées. F. pusilla Dum. — Tige couchée, couverte de radicules {s — 518 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES pourpres, simple ou dichotome, longue de 8-15 millim., vert tendre, sur la terre fraiche. SARCOSCYPHUS Corpa. — Involucre formé de plusieurs feuilles imbriquées, les deux supérieures en partie connées. Périanthe plus court que linvolucre, conné avec lui dans toute son étendue, sauf dans le haut, où il est divisé en 5-7 lo- bes libres: Coiffe incluse. Capsule déhiscente en quatre valves nues, Feuilles succubes. S. Funchkii Nes. — Tige peu ramifiée, sans stolons, lon- gue de 5-15 millim., brune ou noirâtre, sur la terre et les rochers siliceux. Tribu II. — METZGÉRIÉES. Plante frondacée, c'est-à-dire formée d’une tige membraneuse divisée en lanières plus ou moins larges, sans feuilles dis- tinctes. Pas de périanthe ni d’involuere....................,. + "Blasia: Un périanthe et un involuere, ou bien l’un ou l’autre..... Fronde pourvue d’une nervure très distincte. Coiffe hé- DISAMBL e reie th ee PRET PU Tin Metzgeria. Fronde sans nervure ou à nervure peu distincte. Coiffe l glabre ou tuberculeuse.....,..................,:... | Coiffe ovale. Elatères persistant au centre de la capsule... Pellia. 3. 2 Coiffe sub-cylindrique, très exserte. Elatères persistant à l'extrémité des valves... ... sonner Aneura. MEXZGERIA Rannz. — Froude lobée, à lobes étroits, parcourue par une nervure qui se ramifie dans chaque lobe. Involucre disposé sur la face inférieure de la nervure, hérissé, bilobé. Périanthe nul. Coiffe saillante en dehors de l’involucre, hérissée de poils raides. Capsule ovale, déhiscente en quatre valves qui portent à leurs extrémités des élatères à un seul fil spiralé. : M. furcata Dum. — Fronde plusieurs fois bifurquée, à lobes tous nerviés, échancrés au sommet, longue de 20-40 mullim., ciliée en dessous, verte ou vert-jaunâtre; sur les troncs d’arbres et les rochers. PELLIA Ranni — Fronde large, ramifiée, à nervure peu distincte. Involucre monophylle, à orifice lacéré. Coiffe mem- braneuse. Pas de périanthe. Capsule globuleuse, déhiscente en quatre valves distinctes jusqu’à la base, et portant les éla- tères sur leur partie inférieure. Anthéridies insérées sur la face supérieure de la nervure. JUNGERMANNIACÉES 219 Coiffe dépassant l'involucre. Fronde lobulée, ondu- lée, large, ramifiée, couchée, longue de 4-7 centim., verte ; au bord des sources et sur les rochers hu- , RE EE Te a eeiee à hote ete es 0 ec 22 Pare P. epiphylla Corp. Coïffe ne dépassant pas l’involucre. Fronde plus étroite, dichotome, à nervure plus distincte, verte: dans les marécages et les lieux très humides..... P. calycina NEEs. Fig, 627. — Met:geria furcata. Fig. 628. — Pellia epiphylla. ANEURA Dum. — Fronde sans nervure. Involucre court, cupuliforme, lobulé ou lacinié. Périanthe nul. Coiffe charnue, très saillante en dehors de l’involucre. Capsule déhiscente en quatre valves distinctes jusqu’à la base, portant sur leurs extré- mités des élatères à un seul fil spi- ralé. Anthéridies insérées sur la face supérieure au bord des frondes. Coiffe lisse. Fronde lon- gue de 30-60 millim., large de 2-5 millim., di- chotome, à bords on- dulés-ovulés, redressée . A. pinguis Du. Coiffe tubercul. Fronde longue de 20-50 millim., étroite, raide, à rameaux rétrécis à la base...... A. multifida Du. BLASIA Mic. — Fronde molle, mince, sinuée, ferme, nerviée. Pas d'involucre. Coiffe incluse. Capsule exserte, longuement pédiculée, déhis- . … L x cente en quatre ou rarement six val- Fi8- 62%. — Blasia pusilla. ves, se développant au sommet et dans l’intérieur de la ner- vure. Elatères à 2 spires, 520 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES B. pusilla N£es. — Seule espèce, assez abondante dans les lieux frais. FamiLce CXIV. — MARCHANTIACÉES. Plantes frondacées, sans feuilles. Capsules agrégées sur un réceptacle situé à l’extrémité d’un long pédicelle porté par la nérvure de la fronde. Deux genres : Réceptacle femelle garni de rayons libres au sommet...... Marchantix. Réceptacle femelle non garni de rayons libres au sommet... Æegatella. Fig. 631. — Marchantia polymorpha. Femelle. MARCHANTIA L. — Réceptacle femelle convexe, entouré de 8-10 rayons allongés, indépendants au niveau de leurs ANTHOCÉROTACÉES o21 extrémités, porté par un long pédicule naissant dans une échan- crure de la fronde. Involucres insérés sur la face inférieure du réceptacle, laciniés, renfermant chacun plusieurs périanthes membraneux, #-5-lobés. Périanthes contenant chacun. une capsule bilobée, déhiscente par 6 dents. Coiffe bilobée. Récep- tacles mâles pédoneulés, peltés, portant plusieurs anthéries enfoncées dans le tissu de leur face inférieure. M. polymorpha L.— Frondes dioïques, couchées, dichoto- mes, à lobes courts et larges, ondulés, marquées d'un réseau losangique, et offrant très souvent des cavités arrondies dans lesquelles se forment des bulbilles; diamètre de la fronde 4-10 centim.; coloration vert-foncé. FEGATELLA Rappi — Réceptacle femelle conique, dé- pouvu de rayons. Périanthe nul. Réceptacle mâle sessile, dis- coïde. | F. coniea Corpa. — Fronde couchée, nerviée, ramifiée, longue de 4-8 centim., verte, parcourue de lignes losangiques plus claires. FAMILLE CXV. ANTHOCÉROTACÉES. Plantes frondacées, sans feuilles. Capsule solitaire, linéaire, très allon- gée, munie d’une columelle sur la- quelle naissent les spores, déhiscente en deux valves. Pas de périanthe. Pas de stomates. Elatères sans fil spiralé. ANTHOCEROS L. — Caractères de la famille. Fig. 632. — Anthoceros lævis. Fig. 633, — Targionia hypophylla. Fronde lisse en dessus. Spores jaunes. Fronde couchée, lobée, ondulée, crispée, longue de 10-20 millim....... A. lævis L. Fronde papilleuse. Spores noirâtres. Fronde couchée, lo- bée, ondulée, longue de 10-25 millim............ .…... À. punitatus L. 522 CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES FamiLze CXVI. — TARGIONIACÉES. Plantes frondacées, sans feuilles. Capsule solitaire, presque sessile, globuleuse, sans columelle, à déhiscence très irrégu- lière. Elatères à 2 fils spiralés. Involucre bivalve, sessile. Fronde pourvue de stomates. TARGIONIA Micu. — Caractères de la famille. T. hypophylla L. — Fronde étroite, longue de 5-10 millim., élargie au sommet, simple ou peu ramifiée, verte en dessus, pourpre ou noirâtre en dessous, écailleuse. Fame CXVII. — RICCIACÉES. Plantes frondacées, sans feuilles. Capsule sessile ou courte- ment pédicellée, à déhiscence irrégulière. Anthéridies enfon- cées dans la fronde. Périanthe nul, Pas d’élatères. Trois genres : Capsule enfoncée dans l'intérieur de la fronde. Pas 1 | J'IAPOMOTEMEL ES doser ess sen cents no reve see AICICUNS Un involuere distinct... 0 Mo noce Sn 00 das »s { Coiffe lisse, Involucres agglomérés ou sur deux rangs. Sphærocarpus. 7°} Coiffe hérissée. Involucre isolé............…... sien CC ONSIRIUE RICCIA Mic. — Frondes divisées en lobes rayonnants. Capsules enfoncées dans le tissu de la fronde. Pas d’involucre. Coiffe soudée avec la capsule. Pas de stomates. TT ET) 1.4 bifurqués, émarginés, couchée sur la terre, glau- CHARACÉES 523 Fronde garnie de longues lanières pourpres, den- tées, flottante, obcordée, large au sommet de 6-10 3 millim., verte en dessus, pourpre violet en des- Ah EL 5 ol RER A PR M GE PE R. natans L. Fronde dépourvue de lanières, verte sur les deux LP RSR MCE =: SERRE EEE GR SRE 3 Fronde linéaire, plusieurs fois bifurquée, flottante, longue de 2-5 centim. Capsules situées sous la 3.4 face inférieure des frondes................. . À. fluitans L. Fronde rayonnante, lobée ou dichotome. Capsules sur la face supérieure des frondes, Sur la vase. R, crystallina L. SPHÆROCARPUS Mic. — Frondes petites, orbiculaires, couchées sur la terre. Involucres distincts, agglomérés sur la face supérieure de la fronde, sessiles, piriformes. Coiffe lisse. S. terrestris Sm. — Fronde orbiculaire, lobée-ondulée, ayant 4-6 millim. de diamètre, jaune-clair. Involucres cou- vrant presque entièrement la face supérieure de la fronde. CORSINIA Rappi. — Capsules disposées, au nombre de 1-4, au centre de la fronde, dans une cavité orbiculaire, à bords soulevés, laciniés, formant un involucre. Coiffe hérissée. €. marchantioïdes Rappr. — Frondes ondulées, lobées, longues de 5-10 millim., vert-glauque en dessus, verte en dessous, formant des touffes dans lesquelles elles se recouvrent en partie. Fawizze CXVIIL — CHARACÉES. Caractères constants. — Les Characées sont des plantes aqua- tiques, submergées, fixées au sol, pourvues d’une tige ramifiée, de feuilles verticillées et de fibres radiculaires. La tige est formée d'une seule rangée de cellules cylindriques, extrème- ment longues, disposées bout à bout. De l'articulation la plus inférieure naissent des poils radiculaires qui s’enfoncent dans le sol. Les autres articulations donnent naissance à des verti- cilles de feuilles cylindriques, organisées comme la tige. Dans les Chara, les cellules hbasilaires de chaque feuille produisent des cellules qui montent et descendent le long des cellules axiles et leur forment un revêtement épidermique. Dans les Nilella, ce revêtement manque. La reproduction est asexuée et sexuée. Les organes reproducteurs asexués sont : ou bien des nœuds souterrains à verticilles foliaires très raccourcis, qui se détachent et constituent des sortes de tubercules qui développent de nouvelles plantes par poussée latérale; ou bien des rameaux qui se séparent de la plante qui leur a donné naissance et vont en former une nouvelle semblable ; ou bien encore des À. Fe D2% CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES PONT rameaux qui ressemblent tout à fait au protonéma dont nous allons parler plus bas et se comportent comme lui. Les organes sexuels mâles et femelles sont réunis sur le même individu et | produits, au niveau de chaque verticille, par la même branche foliaire. Les organes mâles ou anthéridies se présentent sous Fig. 636. — Chara fragilis. Fig. 637. — Chara fragilis. Protonéma émettant une plante feuillée. l'aspect de petits corps arrondis, rouges, à structure très re- marquable. La surface de l’anthéridie est limitée par une cou- che de huit cellules aplaties, quatre disposées autour du pôle de la sphère, triangulaires, quatre disposées autour de sa base, quadrangulaires, à face inférieure plus étroite. Ces huit cellules sont connues sous le nom d’écussons. Leurs membranes for- Se à "0 ment des plis rayonnants qui donnent aux cellules un aspect lobé. Chaque écusson porte, au niveau de sa face interne, une cellule cylindrique qui s'enfonce dans la profondeur de la sphère sous le nom de manubrium. À l'extrémité interne de chaque manubrium est une cellule arrondie, nommée téfe. Celle-ci porte six cellules également arrondies, nommées féles secondaires; enfin, chaque tête secondaire porte quatre longs filaments grêles, enroulés sur eux-mêmes (/owets) et divisés en un très grand nombre de petites cellules discoïdes qui produisent cha- cune un anthérozoïde. Les anthérozoïdes, mis en liberté par la rupture des parois de leurs cellules mères, sont allongés et ter- minés, au niveau de leur petite extrémité, par deux longs cils CHARACÉES Fig. 638. — Chara fragilis. Nœud Fig. 639. — Chara fragilis, A, un portant une anthéridie; a, une oogemme; D, tige; B, folioles stériles; B, B, autres folioles bien développées. manubrium. m, avec ses têtes et ses fouets. B, un fragment de fouet grossi, pour montrer qu'il est formé de cellules juxtaposées dans lesquelles se forment les an- thérozoïdes. vibratiles. Les organes femelles, ou oogemmes, parvenus à matu- rité, sont elliptiques et portés chacun par un pied court, uni- cellulaire. La paroi de l’oogemme est formée par cinq cellules tubuleuses, enroulées en spirale autour d'un axe formé par six cellules superposées. C’est la cellule terminale de ce petit axe qui constitue l'élément femelle ou oospore. Après ” - Ses D26 7: % CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES dation, les cellules de la paroi, qui étaient d'abord vertes, de- - viennent brunes et s’épaississent, puis l’oogemme tout entière se détache de la plante qui lui a donné naissance. En ger- mant, l’oospore donne naissance à un protonéma filamenteux, formé dun petit nombre de cellules disposées bout à bout. L’articulation inférieure produit des poils radiculaires ou rhi- zoïides, tandis que l’une des branches de l’articulation supé- rieure s’écarte des autres à angle droit et produit le premier article de la plante. Affinités. — Les Characées se distinguent des Mousses et des Hépatiques par l’état rudimentaire de leur organisation anato- mique et par la nature de leurs organes reproducteurs; elles s’en rapprochent par l'existence d’un protonéma. Elles sont très voisines des Algues, dont elles se distinguent par leur mode de ramification et par leurs organes reproducteurs sexuels. Deux genres : Tige à articles entourés d’une couche de cellules spiralées for- mant un revêtement épidermique…... 4.4. 0 #00 210 010 20e» elec os Chara. Tige à articles dépourvus de revêtement épidermique.. Mont . Nitella. CHARA L. — Tige formée de cellules cylindriques, disposées bout à bout, entourées d’une couche de cellules tubuleuses, plus étroites, disposées en lignes spiralées, leur formant une sorte de revêtement épidermique. Au-dessous de chaque verti- cille de feuilles se voient des papilles ou bractées, dites 2nvolu- crales, plus ou moins développées. Dans les espèces monoïques, les anthéridies sont placées au-dessous des sporanges. Plantes MONOIQUES: 4. de» 22 ser ue PE 2 Plantes dioïques. Tiges très grèles, hérissées de papilles qui deviennent très longues au niveau DEN CROIS 72. due een sas nee IDE C. aspera WiLp. Tige grosse, sillonnée-tordue, revètue d’une in- crustation calcaire ordinairement épaisse, munie, surtout vers l'extrémité, de longues papilles plus ou moins fasciculées. Verticilles foliaires accom- pagnés d'un involucre de 4-8 bractées grêles et HO éd Te A a nc . C. hispida L. Tige plus ou moins grêle, non sillonnée- tordue, SHARE, TEE HO RL PES PTT UT © PR Tige grèle, finement striée, peu incrustée, verte, sans papilles. Verticilles foliaires accompagnés d'un involucre de 4 bractées généralement plus courtes que les sporanges..................... C. fragilis DEsv. Tige plus ou moins grêle, grisâtre, ou blane-gri- sâtre, à incrustation ordinairement assez épaisse. Verlicilles foliaires accompagnés d'un involucre de 4 bractées obtuses dont les 2 intérieures plus longues et dépassant les sporanges....... C. fœtida A. Br. . 3. CUS Pi ès si 227 NITELLA AG. — Se distingue par l'absence de revêtement épidermique sur les tiges, par l'absence de bractées involu- crales au-dessous des verticilles foliaires et par les anthéridies placées au-dessus des sporanges dans les espèces monoïques. CHARAC ES Feuilles simples ou ne donnant naissance, au niveau de leurs articulations, qu'à des bractées plus courtes et plus grèles que 1.4 leurs extrémités et au nombre Ne de'e NE Rss 2 Feuilles nues ou plusieurs fois (2-7) ramifiées, sans bractées au | niveau de leurs articulations... 4 Plante dioiïque. Tiges à articula- tions inférieures et souterraines 2.4 présentant des bulbilles blancs, crustacés ......... lise N° stelligéra Coss. et G: STE Plantes monoïques............. 3 / Feuilles verticillées par 6-8. Ver- ticilles primaires ordinairement stériles, à feuilles formées de 3 articles, sans bractées. Verti- cilles fertiles rapprochés en tèles volumineuses, à feuilles présen- | tant au niveau de leurs articu- ”*"\ Jations inférieures 3-4 bractées. AN. glomerata Coss. et G. Sr, P. Feuilles verticillées par 6-14, pluri-articulées. Verticilles pri- maires ordinairement stériles , läches, à feuilles présentant au niveau d'une ou plusieurs de leurs articulalions 2-4 bractées, NV. intricata AG. _ Plantes-dioiïques.. 12,0% 62:54 19 Plantes monoïques...,,......... (e) Verticilles primaires à feuilles simples ou bifurquées sur les pieds mâles, ordinairement sim- ples sur les pieds femelles.... ZV. syncarpa CHEVALL, Verticilles primaires à feuilles bi-trifurquées sur les pieds mà- les et femelles. ........ Fe: N. opaca AG. 4 [ r Verticilles foliaires compacts, sub-globuleux, enduits de mu- 4 cilage. Tiges capillaires, vert foncé, transparentes .......... N. tenuissina Coss. et G. Sr, P. | Verticilles foliaires non enduits de mucilage 7. ..:2.:2...h.4:: 7 0, Sporanges réunis par 2-3 immé- diatement au-dessous des verti- cilles terminaux. Feuilles tier- 7 minées par 1-3 pointes aciculées, AN. (ranslucens AG. Sporanges solitaires au niveau de l'angle de division des feuil- RL. or ON EST 8 ; si | F, sù e F2 528 de CRYPTOGAMES NON VASCULAIRES - 4 Feuilles ordinairement bifur- + quées, rarement trifurquées, à 2 divisions simples. Tiges colo- rées en vert foncé ou brunâtre. AN. Brongnartiana. Coss. et G. Sr. P. Feuilles 3-5-furquées, à divi- sions 2-4-furquées............ 9 Divisions ultimes des feuilles 9 À _étalées, capillaires. 702 N. gracilis Ac. *) Divisions ultimes des feuilles dres- sées, non Capillaires........... N. mucronata Coss. et G. ST. P. ALGUES. Caractères constants. — Les Algues sont des Cryptoga- mes non vasculaires, toujours pourvues de chlorophylle, mais diversement colorées, à organes végétatifs non différenciés en tige, rameaux, feuilles et racines, formées uniquement de cellules ne différant les unes des autres que par la forme, ou | bien unicellulaires. Leurs organes reproducteurs sexuels mâles sont presque toujours mobiles (anthérozoïdes), tandis que les cellules femelles sont habituellement immobiles (oospores). Les plus simples ne paraissent pas avoir d'organes sexuels; d’au- tres se multiplient par conjugaison de tout le protoplasma de deux cellules appartenant soit à un même individu, soit à deux individus distincts. La reproduction asexuée s'effectue soit par simple sectionnement, soit par des cellules mobiles {zoospores ou gonidies). Affinités. — Les Algues se distinguent des Champignons par leur chlorophylle et de toutes les autres Cryptogames non vas- culaires vertes par la simplicité de leur organisation. Parmi les espèces très nombreuses d’Algues qui habitent les eaux douces du bassin parisien et que nous faisons figurer ici 1, nous pouvons établir les familles suivantes : « . . D | Algues unicellulaires, vivant isolées ou en fa- 1 MANLES: nee PLU tee: 21 CRE | Algues pluricellulaires..........2:2.:2922% 3 Algues unicellulaires non filamenteuses....... . Coccophycées, Algues unicellulaires allongées en filaments sim- ples ou plus ou moins ramifiés, souvent extré- d mement longs. Organes sexuels représentés par des anthéridies souvent en forme de corne et par des sporanges ovoïdes................... . Siphophycées. Reproduction à l'aide de zygospores produites par conjugaison ..... PR Be pe Z'ygophycées. ) Reproduction sexuée ne s'effectuant pas par CojUSEISON 6.7 en eee l'OS UOUES 4 1. Nous ne ferons pas figurer dans cet ouvrage les espèces microsco- piques qui vivent isolées, telles que les Desmidiacées, les Diatomacées. Nous nous bornerons pour ces deux familles à reproduire les listes des espèces qui ont été signalées comme existant dans notre Flore. — _… LÉ « ALGUES es v& Ÿ | Reproduction sexuée s'effectuant à l’aide de spo- rogones surmontés d'un trichogyne et d'anthé- rozoïdes dépourvus de cils. Algues formées d'un filament central revètu ou non d'une cou- 4 che corticale portant des branches nombreuses A sauvent-rerticillés:- 5... aussi .... Batrachospermées. Reproduction sexuée nulle ou ne s'effectuant ja- mais par des sporogones surmontés dun tri- chogyne. Algues non ramifiées ou peu rami- fiées et à rameaux non verticillées............ 5 Filaments moniliformes , formés de cellules sphériques, dont quelques-unes, de distance en distance, plus grosses que les autres. Fila- ments enveloppés chacun d'une gaine gélati- neuse et réunis en grand nombre en une masse gélatineuse de forme très variable............ Nostocées. Filaments formés de cellules en grande majorité cylindriques ou discoïdes, ou ‘allongées-cylin- dro-coniques ............................... 6 Filaments extrèmement grèles, formés de cel- lales diseoïdes très aplaties, toujours indépen- dants les uns des autres, souvent mobiles. .... Oscillariées. Filaments formés de cellules cylindriques, plus ou moins allongées, ou cylindro- -coniques-al- lonpéesi:.... de. RARE RP ARE EU ES : Filaments formés chacun d'une seule cellule arrondie et de cellules cylindriques-allongées, la terminale souvent en forme de poil. Fila- ments enveloppés d'une substance gélatineuse et formant des masses arrondies, gélatineuses D ER Ne Jos dar ueneun atome st a Rivulariées. Filaments formés de cellules cylindriques, ordi- nairement assez courtes, avec de distance en distance une cellule plus grande. Filaments enveloppés chacun d'une gaine épaisse, résis- iante, formée de eouches superposées souvent distinetes, colorés en vert brunâtre.......... Scytonémées. Non:Coloration’ vert elair.:-2..:0. 255.5 9 Filaments ramifiés dichotomiquement, agrégés en faisceaux ou en plaques plus ou moins arron- oies r:E.:1.5 ssstsise msn assens mas sunus es Chætophorées. Filamenis ramifiés ou non ramifiés, ne formant ni fuesnx, ni plaques. 7 Neue 10 Filaments non ramifiés, parfois accolés latérale- \ ment les uns aux autres. Cellules tontes sem- blables, les fructifères pas plus larges que les 10. autres ....... cms tn oem eme de denaanee sde Ulotrichées. Filaments ramifiés ou non ramifés, les frueti- fères toujours plus larges que les autres...... 11 ! Filaments à cellules courtes, quelques-unes ar- | rondies, ouvertes par un couverele, jouant le \ rôle d'organes femelles (oogones)............. Œdogoniacées. 11./ Filaments à cellules cylindriques, les fructifères plus ou moins renflées, produisant un nombre considérable de microgonidies ou de maerogo- \ _nidies....... SAT PES LUE ACHETÉ PE ARE) .... Confervacées. FLORE DE PARIS. 30 12 ©. 530 à | ALGUES A. — COCCOPHYCÉES. Algues unicellulaires vivant isolées ou en familles, non ra- mifiées, non filamenteuses, se reproduisant par segmentation seulement ou par segmentation et par zoospores asexuées se développant en nombre plus ou moins considérable aux dépens du protoplasma de la cellule et mises en liberté par la destruc- tion de la membrane de cette dernière. Nous en étudierons trois familles : Algues solitaires ou en familles non mobiles...... 2 Algues en familles (cænobies), mobiles, formées d'un nombre déterminé et limité de celiules, chaque cel- | Jule “étant munié/de deux cils... Se . Volvocinées. [ Reproduction par des zoospores ou gonidies d'une seule sorte, se développant chacune directement en ua’ individu nouveaë ns 4. Ut RRRAREENES Palmellacées. Reproduction par des zoospores ou gonidies de deux 2.4 sortes, les unes plus grandes (macrogonidies), se développant directement en un individu nouveau, les autres plus petites (microgonidies), d'abord mo- biles comme les premières, puis se transformant en spores immobiles (4ypnospores) ......,............ Protococcacées. Fanize CXIX. — PALMELLACÉES. Caractères constants. — Algues unicellulaires, immobiles, vivant isolées, ou en familles à individus en nombre variable, jamais mobiles. Reproduction par segmentation cellulaire ou par zoospores asexuées (gonidies) mobiles, à deux cils, repro- duisant directement chacune un individu nouveau. Coloration ordinairement verte, parfois rouge. Nous étudierons trois genres : Algues vivant en familles à individus très nombreux et formant des membranes (thalles) épaisses, éta- les plus Ou moins molles see 2 1./ Algues isolées ou en familles formées d’un nombre indéterminé d'individus, arrondies ou occupant sou- vent une grande surface, mais jamais en thalles | membraneux........sesesissesse se ee ei ot .….. Pleurococcus. o | Algues vertes... ie se swiss sauce sit JO Palmella. Alpues.TOUSES SK. . .u5 eo 0.0 ve oi smile eee ne à 010 9 80e Sr de Porphyridium. PLEUROCOCCUS MExec. — Cellules globuleuses ou irrégu- lièrement polygonales par pression réciproque, isolées, ou en petites familles globuleuses ou cubiques, souvent rapprochées elles-mêmes en couches très minces, étalées, non membra- neuses, formant une sorte de poussière à la surface des objets. Segmentation alternativement dans deux directions opposées. “ 3 PALMELLACÉES »31 P. vulgaris MExEG !. — Cellules larges de 4 à 7 millièmes de millim., isolées ou réunies par 2, 4 et jusqu'à 32 en petites familles qui forment à la surface des troncs d'arbres une couche poussiéreuse, colorée en vert clair. Très commun. PALMELLA Lyxcs. — Cellules globuleuses, ovales ou oblon- gues, entourées d'une membrane épaisse et réunies en un thalle membraneux, mou, épais, étalé, sans forme déterminée. Seg- mentation alternativement dans toutes les directions. e Thalle coloré en vert olivâtre, gélatineux. Cellules grandes, presque égales, finement granuleuses. Sur les pierres, dans les ruisseaux courants.......... P. mucosa KürTz. Thalle vert clair, gélatineux. Cellules très petites et pressées. Dans les eaux stagnantes........... .… P. hyalina Brés. PORPHYRIDIUM Nc. — Cellules globuleuses ou polygo- nales, se multipliant par segmentation alternativement dans toutes les directions. Thalle membraneux-gélatineux, un peu incrustant, très étendu. P. cruentum Nec. — Thalle gélatineux, coloré en rouge pourpre foncé, occupant souvent de très grandes surfaces. Sur les murs humides. Commun. FamiLze CXX. — PROTOCOCCACÉES. Caractères constants. — Algues unicellulaires, immobiles, vivant isolées ou en familles à individus en nombre variable ou au contraire en nombre limité et déterminé (cœnobiums). Mul- tiplication s’effectuant par des gonidies mobiles ou zoospores de deux sortes, les unes grandes (macrogonidies), oblongues, pro- longées antérieurement en un bec bicilié, arrondies et vertes en arrière, se développant chacune en un individu nouveau, les autres plus petites, mais semblables (microgonidies), entrant bientôt au repos et ne produisant que plus tard un individu nouveau. Cellules en cœnobiums discoïdes aplatis, ou en filet 9 1 SAONE TRE NE a 2e 0 OU MON NS dia et 2 ") Cellules isolées, en familles ou en cœnobiums allon- A sub n'entend re drole HE REIN rat ist A A > { Cellules en cœnobiums en forme de filet sacciforme, Aydrodictyées. 7"| Cellules en cœnobiums discoïdes, aplatis.......... . Pédiastrées. Cellules sphériques, isolées ou en petites familles 3 formant des couches ou des amas irréguliers..... Chlorococcées. *") Cellules elliptiques, oblongues ou cylindriques, dispo- sées en rangées simples, linéaires................ . Scénédesmées. 1. Le Protococcus viridis d'Agard et de Rabenhorst n’est probablement qu'un état de cette espèce. 532 ALGUES Tribu I. — CHLOROCOCCÉES. Cellules sphériques, tantôt simples et libres, tantôt en strates ou en petites masses. CHLOROCOCCUM Fries. — Cellules globuleuses, isolées, où en petits amas, formant souvent des couches étendues. C. humicolum RABExH. — Cellules globuleuses, souvent unies en familles enveloppées d’un tégument commun hyalin, for- mant une couche étalée, pulvérulente, vert foncé. Commun sur la terre nue. Tribu II. — SCÉNÉDESMÉES. Cellules elliptiques, oblongues ou cylindriques, à membrane très mince, ordinairement unies en rangées linéaires par 2, #, 16. SCENEDESMUS MEYex. — Cellules polymorphes, souvent prolongées en corne grêle aux extrémités, unies au nombre de 2 à 8 en familles linéaires. Habitent les eaux stagnantes ou peu courantes. Cellules terminales de chaque famille linéaire 1.{ armées aux extrémités d'une pointe aiguë.. S. quadricauda Turp. Cellules nontarmées Reed EE 2 os { Cellules à extrémités aiguës. .....:..,.:.. S. acutus MEYEN. 2.1 Cellules à extrémités obtuses............... S. obtusus MEYEN. Tribu III. — PÉDIASTRÉES. Cellules en cœnobiums aplatis. PÉDIASTRUM Mey. — Cellules polygonales, celles de la phériphérie des cœnobiums entières ou bilobées, à lobes en- tiers ou dentés, parfois prolongés en une corne. Cœnobiums plats, discoïdes ou étoilés, souvent munis de perforations entre les cellules, formés d'une ou deux couches de cellules. Cellules de la périphérie du cœnobium émar- ginées ou bilobées, à lobes entiers......... Cellules de la périphérie du cœnobium bilo- pées satiobes biides-4%2e APE Tera P. rotula Eur. > { Cœnobium perforé entre les cellules......... P. pertusum KüTz. 7’| Cœnobium non perforé entre les cellules.... P. angulosum Eurs. Tribu IV. — HYDRODICTYÉES. Cellules cylindriques, unies en cœnobiums en forme de filets sacciformes. VOLVOCINÉES 533 HYDRODICTYON RoTH. — Caractères de la tribu. Fig. 640. — A.B. Æydrodiclyon utriculatum. À, une moitié d'un réseau ; B, un fragment du même très grossi. C, Pediaslrum selenea entier. H. utriculatum Rotx. — Seule espèce. Cœnobiums volumi- neux, en forme de sac formé de mailles polygonales, atteignant souvent une grande taille. Faure CXXI. — VOLVOCINÉES. Caractères constants. — Algues unicellulaires, formant des cœnobiums mobiles, globuleux, sub-globuleux, ou quadran- gulaires et aplatis, chaque individu du cœnobium étant pourvu de deux cils et muni de deux vésicules contractiles. Enveloppe commune hyaline. Cellules pourvues de chlorophylle. La re- production asexuée s’effectue à l’aide de microgonidies et de macrogonidies produites par des segmentations répétées du contenu des cellules. Les macrogonidies sont en nombre défini (2,4,6,8, 16, etc.), rétrécies au niveau de l’une des extrémités, qui est hyaline, pourvue de deux cils et d’une tache colorée, et souvent de deux vésicules contractiles. Les microgonidies sont en nombre indéfini; elles sont beaucoup plus petites, co- lorées en vert pâle ou foncé, ou jaunâtres, munies de deux cils, souvent très mobiles dans la cellule mère. La reproduction sexuée s'effectue à l’aide d’anthéridies et d’oospores représen- tées par certaines cellules du cœnobium, les cellules mâles et les cellules femellesse montrant tantôt dans le même cœnobium, 30. 53% ALGUES tantôt dans des cœnobiums différents. La cellule mâle produit un nombre variable d'anthérozoïdes, tandis que la cellule femelle se transforme tout entière en une oospore immobile. Nous étudierons six genres. Cellules. unies én ,Cœnobiums Lure PRE ? Cellules ne formant pas de cœnobiums ou ne for- mant que des cœnobiums très fugaces........... 6) Cænobium:qadrangnlaire:.."°#. 2h eue et. Gonium. Cœnobium globuleux ou subglobuleux......... - Cœnobium formé de cellules en nombre exiromee ment grand (jusqu’à 10 et 12 mille) .........,.... Volvoz . Cœnobium formé d'un nombre peu considérable de cellules... Ra nr TR 4 Cœnobium composé de TR 32 ou 64 cellules..... .. Pandorina. Cœænobium composé de 8 cellules....... Pau . Stephanosphæra. Macrogonidies vertes, munies d’un noyau central DOUBS Mae RES US 26 1e 2 RES CICR Chlamydococcus . Macrogonidies vertes, sans noyau central rougeâtre. CAlamydomonas . CHLAMYDOCOCCUS À. Br. — Cellules globuleuses ou sub- globuleuses, munies de deux cils vibratiles et d’une membrane très ample formant d’abord, au nombre de 4-8, des cœnobiums de très courte durée, puis vivant libres, formées d'un proto- plasma granuleux, rougeâtre, devenant ensuite graduellement vert. Macrogonidies 2-4-8, arrondies, munies d’un noyau central rouge. Microgonidies très petites et très nombreuses, jaunâtres ou verdätre-sale. €. pluvialis A, Br. — Espèce très commune dans les cavités des pierres remplies d’eau de pluie. CHLAMYDOMONAS Enrs. — Cellules globuleuses, colorées en vert clair, munies de deux cils vibratiles et d’une membrane peu ample, ne formant pas de cœnobiums, mais se présentant souvent à l'état dit de glæocystes, c’est-à-dire au nombre de 2, 4,8 provenant de segmentations répétées et encore enve- loppées dans des membranes communes. Macrogonidies ovales ou oblongues-arrondies, vertes, sans tache rougeâtre. Microgo- nidies formées par la division répétée du cytioplasme des ma- crogonidies. Oospores dormantes globuleuses, rouges ou bru- pâtres. €. pulviseulus Enr. — Espèce très abondante dans les eaux stagnantes, qu'elle colore en vert, surtout en été et en automne après les orages. VOLVOX L. — Cellules globuleuses, très petites, vertes avec une tache rougeâtre, deux cils vibratiles et une membrane hya- VOLVOCINÉES 539 line très épaisse, réunies en très grand nombre pete à 12 000) en un cœnobium globu- leux, mobile, sans cesse en rotation. Reproduc- tion asexuée s’effectuant par la formation de cœæ- nobiums nouveaux à l’aide de la segmentation répétée de certaines cel- lules, jies cœnobiums nouveaux devenant en- suite libres.Reproduction sexuée par oospores et anthéridies. Las + e ——— Fig. 641. — Volvox globalor. a, colonie entière; b, deux individus isolés. Cœnobiums très grands (jusqu'à 1 millim. de diamètre). V. globator L. Cœnobiums plus petits et à cellules moins nombreuses., V. minor STEIN, PANDORINA Enrs.— Cellules ver- tes, globuleuses, de- venant polygonales par pression récipro- que, unies au nom- bre de 16-32 ou 64 en cœænobiums globu- leux ou subglobu- leux. P. Morum Enrs. —Espèce assez abon- dante dans les é- tangs. Fig.642.— Pandorina Morum. a, cænobium mobile; b, e, cellules isolées; 4, à, conjugaison de deux cellules; f, zygospore. STEPHANOSPHÆRA Conx. — Cellules globuleuses, ellip- tiques ou fusiformes, réunies au nombre de 8 seulement en un cœnobium arrondi. S. plurialis Cox, — Espèce assez rare dans les trous de rochers remplis d’eau de pluie, souvent associée au ÇChlamydo- coccus pluvialis. 536 ALGUES GONIUM Muzz. — Cellules polygonales, vert-elair, unies au nombre de 16, dont # centrales et 12 périphériques, en un cœænobium quadrangulaire, à angles arrondis, formé d’une seule couche de cellules. G. Pectorale Mu. — Espèce assez commune dans les eaux stagnantes. B. — ZYGOPHYCÉES. Algues pluricellulaires !, sans ramification véritable, à végé- tation terminale. Cellules pourvues de chlorophylle tantôt dif- fuse, tantôt disposée en bandes longitudinales ou spiralées. La multiplication asexuée s’effectue par division cellulaire dans une seule direction (transversale). La reproduction sexuée s’ef- fectue à l’aide de zygospores formées par la conjugaison de deux cellules appartenant soit à un même filament, soit à deux fila- ments distincts. Famizze CXXII. — ZYGNÉMACÉES. Caractères constants. — Algues pluricellulaires, à cellules cylindriques, très habituellement plus longues que larges, dis- posées bout à bout en un filament non ramifié. Chlorophylle dif- fuse ou bien disposée en bandes droites ou spiralées. Conju- gaison s’effectuant entre deux cellules d’un même filament, ou entre deux filaments distincts. Dans les deux cas, les cellules qui doivent se conjuguer produisent des prolongements qui vont à la rencontre l’un de l’autre, se mettent en contact par leurs extrémités, puis s'ouvrent l’un dans l’autre par destruc- tion de la cloison de séparation; le protoplasma de l’une des cellules qu'on peut considérer comme mâle se porte alors dans l’autre cellule (femelle), avec le protoplasma de laquelle il se fusionne. Nous étudions cinq genres : Chlorophylle disposée dans chaque cellule en bandes longitudinales droites ou spiralées........... At 2 1.4 Chlorophylle disposée dans chaque cellule en deux plaques étoilées, contenant chacune un grain d’ami- OBS net eme coute Re se ee D EEE . Zygnema Kürz. 9 POIDS An A EE EE RAS IE sise RS PASS 3 Chlorophylie disposée en une ou plusieurs bandes SPITA PSM NT RE M AL GR De 4e Spirogyra. 1. Je ne parle que des familles de ce groupe étudiées ici. On peut, en effet, faire rentrer dans l’ordre des Zygophycées deux grandes familles d algues unicellulaires, les Desmidiacées et les Diatomacées. ZYGNÉMACÉES S91 DR CRT nn ne sage qeneye ee Mec es ae Sirogoniuin. Chlorophylle disposée en une seule bande longitudi- DAC CR NE RE LE TARN Roc: x { Zygospores arrondies ou ellipliques................. Mesocarpus. sr Aysospores polyeonales:.." 2... .... us dues esse sen Staurospermum. & PE Il a CP 12 mt Fig, 643. — Spirogyra velata. Fig. 644. — Spirogyra Grevillea. ZYGNEMA KurTz. — Cellules cylindriques, à chlorophylle sou- vent diffuse au début, puis disposée en deux plaques plus ou 538 ALGUES moins étoilées, voisines du noyau de la cellule et contenant cha- cune un grain d’amidon. La conjugaiosn s’effectue d'ordinaire par des cellules appartenant à des filaments différents, plus ra- rement entre deux cellules d’un même filament. La zygospore se forme à mi-chemin des deux cellules conjuguées ou bien dans l’une des deux; elle est formée d’une seule cellule, et, au moment de la germination, elle se divise en une cellule basi- laire qui ne se divise pas et une cellule allongée qui se seg- mente pour produire le filament. Zygospores se formant dans le canal de conju- gaison, colorées en vert olive foncé.......... Z. pectinatum AG. Zygospores se formant dans l’une des cellules CORJUEUÉBS Lee see amener ee Ce RE Raul 5 | -ZYEOSpores SPhÉrIqUes. …. 44 ,.0h 25 +00 . Z. cruciatum VAUCH, Zygospores largement ovoides.........,....... Z. stellinum VAuUcH. SPIROGYRA Linx. — Cellules cylindriques, plus longues que larges, à parois transversales parfois repliées en anneau, à chlorophylle disposée ordinairement en une ou plusieurs bandes longitudinales spiralées parfois seulement obliques. Conjugaison se produisant d'ordinaire à l’aide de cellules appartenant à des filaments différents, parfois à l’aide de deux cellules voisines d'un même filament. Spores enveloppées de trois membranes dont la moyenne est parfois ponctuée 1. Membrane cellulaire repliée en anneau aux 1 deux extrémités de la cellule. ............. 2 ") Membrane cellulaire non repliée en anneau aux extrémités de la cellule........,...... 16° Une seule bande spiralée de chlorophylle (ra- 9 rement deux dans quelques cellules isolées). 3 Toujours deux ou plusieurs bandes spiralées de chlorophylle dans toutes les cellules..,. 10 3 { Zygospores à membrane moyenne ponctuée. S.. calospora CLÈVE. ‘| Zygospores à membrane moyenne lisse..... Æ Cellules zygosporifères à peine renflées ou ré- gulièrement vésiculeuses .................. 5 Cellules zygosporifères devenant presque rec- tangulaires par l’aplatissement de leur partie = TOO VER 2 2 Us 0 à MUR ces date este cie SOU S, quadrata Hass. Cellules zygosporifères à peine renflées ou pas 5 du tout redflées. Mate r ELIRERS ES MO *") Cellules zygosporifères régulièrement vésicu- INSEE EN ee eee CPR RER 1. Les espèces de ce genre habitant la région parisienne ont été très bien étudiées récemment par M. Paul Petit, auquel j'emprunte les carac- tères du tableau dichotomique destiné à permettre de les diagnostiquer et les figures qui accompagnent le texte. ZYGNÉMACÉES Fig. 645, — Spirogyra calospora. Zygospores ovales, non atténuées aux extré- mités. Cellules 6 à 16 fois plus longues que larges. Diamètre des filaments 22-27 u... Zygospores elliptiques, atténuées aux extré- mités, Cellules 4 à 7 fois plus longues que larges. Diamètre des filaments 30-33 y... | ne mt se ur Cane | | | Fig. 646, — Spirogyra Hassalü. S. Weberi KuTz. S. laza KuüTz. D39 ©: 40 ALGUES Fig. 647. — Spirogyra orthospira. Diamètre des filaments ayant toujours plus D PUR EE PORTA ONE MIRE Ci es. à 8 Diamètre des filaments ayant de 9 à 12 11. sure grôle et 1àcHe. "RS PONS S. tenuissima HAss, / Cellules zygosporifères contractées (plus cour- | tes que les autres). Zygospores elliptiques, g | 2 fois plus longues que larges. Cellules 3 à ‘) 8 fois plus longues que larges. Diamètre | des filaments 15 à AS Re LPS S. inflata VAucu. 9 \ FT Var) ZYGNÉMACÉES Cellules 10-25 fois plus longues que larges, Diamètre des filaments 18-21 1. Spire grèle, léthe/-tonjours-unique:... 062.0 Cellules 3-10 fois plus longues que larges. Diamètre des filaments 28-33 11. Spire large, ordinairement unique, parfois double dans TOC TN ASE CAMES RS EU Deux spires lâcnes et larges dans chaque cel- A EU dE que ef ne qua np d3 Trois spires très étroites dans chaque cel- RE NE Re venais nèse Une seule bande spiralée de chlorophylle.... Deux ou plusieurs bandes spiralées de chlo- FOYER SLA PUS AT ne Eee —. Membrane moyenne lisse................... Membrane moyenne scrobiculée............ Zygospore formée par la conjugaison des deux moitiés du protoplasma d'une même DO a Re nine are a Zygospore formée par la conjugaison du protoplasma de deux cellules distinctes, ap- partenant à un même filament, ou à deux Hlamebls diféredis....-0. ...... es. Due DE ne ARRa names vtesteres eau Cellules zygosporifères plus ou moins renflées ou irrégulières ....... Mt nes ends les 2e etre Diamètre des filaments ayant de 72 à 75 y. Cellules ? à 7 fois plus longues que larges, à parois très minces. Spires décrivant 4-8 tours plus ou moins serrés, Zygospores DURE, ASP ESS LS nur de ne ge ose Diamètre des filaments ne dépassant pas 50 11. Spire ne décrivant que 1/2 à 1 1/2 tour, grèle. Diamètre des filaments 48 à 54 11. Cellules pas plus longucs que larges. Zygospores el- MP EN NT n ne tae ce de ets te nano à 2 Spire décrivant au moins 1 1/2 tour, ordinai- rement plus. Cellules toujours plus longues Que AT ES ER de es eele male io ecoles Diamètre des filaments n'ayant pas plus de 20 à25 KL. Cellules 35 fois plus longues que larges. Spire grêle, lâche, décrivant 1 1/2 à 4 tours. Zygospores elliptiques, à extrémi- SES ie ol En 4 8 cutmeaie Diamètre des filaments ayant toujours plus de 25 11. Zygospores à extrémités arrondies. plus longues que larges, Diamètre des fila- ments 39-48 1. Zygospores ovales-globu- J'TE ES AREA MN RER SR PR PR Era Spire décrivant 2-5 tours. Cellules 2:10 fois plus longues que larges. Zygospores large- | Spire décrivant 3 à 4 tours. Cellules 2-6 fois * ment ovales, Diamètre des filaments 30-36 y. FLORE DE PARIS, 41 S. Spreeiana RABENH. S. Grevilleana H1ss. S. Hassallii P. PET. S. insignis Hass. 12 26 13 29 (#,) . mirabilis HAss. S. gallica P. PET. 16 S,. condensata VAUCHe 17 S. communis Hass. 18 S, porticalis MuLz. S. longata Vaucu. 31 542 ALGUES / Cellules zygosporifères irrégulières, ren- flées ou non. Zygospores polymorphes, 2-4 fois plus longues que larges. Dia- mètre des filaments 30-36 Y.. Spire den- 19.4 tée, décrivant 3-7 tours, colorée en vert Cellules zygosporifères nettement ren- flées, parfois seulement sur la face de L'CORTUÉSISONS ses 27 MS A RS Cellules renflées seulement sur la face 20.4 de conjugaisans:. 2: ..12N 0er tnt Cellules renflées sur toutes les faces... Diamètre des filaments 18-21 1. Cellules 3-5 fois plus longues que larges. Spire décrivant 1/2 à 3 1/2 tours. Zygospores (Fa Cle Me) ON On OU bed oc Diamètre des filaments 33-40 11. Cellules 2-3 fois plus longues que larges, souvent déformées. Spire décrivant 1/2 à 3 tours. Diamètre des filaments n'ayant que de 12 à 13 mr 26. Cellules 3-5 fois plus longues que larges. Spire vert-jaunâtre, décrivant 1-2 tours. Zygospores ovales, arrondies aux extrémités .......,..... Diamètre des filaments ayant au moins RU sas nf e eee dates Spire contenant des grains d’amidon plus larges qu'elle. Cellules zygospori- fères peu renflées. Zygospores ellipti- ques. Diamètre des filaments 24 à 26 [1. Cellules 2 1/2 à 5 fois plus longues que EVA NOT Te CO ORIO UT co Spire ne contenant pas de grains d'amidon plus larges qu'elle....... ie Spire dentée, assez large, décrivant 1 1/2 à 6 tours. Cellules 2 à 5 1/2 fois plus longues que larges. Cellules zygospori- fères renflées. Diamètre des filaments 24 A DT Diese ia «es Nantes ve ete Spire assez grèle, décrivant 1 à 3 1/2 tours, très souvent ne formant qu’un anneau, Cellules zygosporifères presque vésiculeuses. Diamètre des filaments CA ETS ON RES PREN ATE e : Diamètre des filaments 24-27 11. Cellules 6-12 fois plus longues que larges. Spire unique, grêle, décrivant 3 1/2 à 7 tours. Cellules zygosporifères renflées et très contraclées dans leur longueur. Tube copulateur émis par une seule cellule et allant s'appliquer contre la surface non renflée de l'autre cellule conjuguée... Diamètre des filaments £4 1. Cellules 3-4 fois plus longues que larges. Spire unique, grêle, décrivant 1 1/2 à 2 1/2 tours. Cellules zygosporifères pas ou peu rentlées cts metes- de ere es S. Lutetiana P. Pcr. 20 21 22 S, gracilis HAss. S, varians HAss. S. flavescens Hass. 23 S, Jurgensii KuTz. 24 S. catenæformis Hass. S. affinis Hass. S, punctata CLÈVE, S. velata NORDST. + 26. 32. 34, ZYGNÉMACÉES Zygosporés pvoides... 5e des Zygospores lenticulaires ou aplaties.... Cellules contenant 5 spirales chlorophy1- liennes, tantôt droites et parallèles, tantôt décrivant un seul tour. Diamètre des filaments 71 à 78 p. Cellules 1 1/2 à 3 fois plus longues que larges. Cel- lules fructifères pas ou peu renflées. Cellules contenant de 2 à 4 spires, jamais 5. Cellules végétatives renflées dans la par- tie médiane, où elles atteignent 114- 120 y, ayant 90 à 102 p de diamètre au niveau des cloisons. Trois à quatre spires, assez larges, finement dentées, vert pâle, décrivant 1-2 tours. Cellules zygosporifères semblables aux végétatives. Cellules végétatives non renflées au mileu., Cellules ayant toujours qualre spires... Cellules ayant toujours moins de quatre SPIPOS: ses. 180020 rc RO E SUR EE Cellules contenant toujours quatre spires, décrivant 1/2 à 1 tour. Diamètre des filaments 102-108 y. Cellules zygospori- fores mon renfées..#.:...... sas cas Cellules à 4 spires grèles, très päles, dé- crivant 1 1/2 à 2? 1/2 tours. Diamètre des filaments 36 u. Cellules 4-6 fois plus longues que larges-.2....1...... ses Cellules contenant toujours 3 spires étroi- tes, offrant une sorte denervure médiane Cellules contenant d'habitude deux spires, rarement trois, assez larges, décrivant 1-2 tours. Diamètre des filaments 34 à 40 11. Cellules 2-4 fois plus longues que larges.Celluleszygosporifèresnonrenflées. Cellules 2-5 fois plus longues que larges. Spires décrivant 1 à 2 1/2 tours. Dia- mètre des filaments 60-65 1. Cellules zygosporifères un peu renflées....... = Cellules 1 1/2 à 2 fois plus longues que larges, renflées au milieu. Spires décri- vant 1 1/2 à 2 tours. Cellules zygospori- fères contractées dans ia longueur et AUHvVEnt FERCES 54 7 ne suce Diamètre des filaments dépassant 130 11. Diamètre des filaments ne dépassant pas lules à peine plus longues que larges, parfois plus larges que longues. Six à sept spires étroites, pâles, très finement dentées, décrivant 1/2 à 3/4 de tour. Cellules zygosporifères non renflées..... Diamètre des filaments 150 à 156 11. Cel- lules 1 1/2 à 2 fois plus longues que larges, parfois à longueur et largeur égales. Spires nombreuses, inégalement écartées, grèles, décrivant 1/2 à 1 tour. Zygospores largement ovales, aplaties. 21 33 S. nitida Link. 28 S. jugalis KuTz. É jugalis KUTz 30 31 S. setiformis KUTz. S. fluviatilis HiLsE. 32 S. decrinina KuTz. S. neglecta KUTz. S. ternata Rre. 34 35 S. orbicularis KcTz. S. Crassa KurTz. 544 ALGUES Diamètre des filaments 60-66 11. Cellules ‘2-3 fois plus longues que larges. Spires 7-8, très délicates, vert pàle, ordinaire- ment droites et parallèles, parfois in- clinées ou décrivant 1/4 de tour. Cel- lules zygosporifères peu ou pas renflées. S, orthospira NÆGEL. 35.\ Diamètre des filaments 66-78 11. Cellules 1 1/2 à 3 fois plus longues que larges. Spires 5-6, étroites, presque droites ou décrivant 1/2 à 3/4 de tour. Cellules zygosporifères renflées ou contractées dans la longueur Fig. 648,— Sirogonium. Fig. 649. — Sirogonium. Deux cellules pendant la conjugaison. Deux cellules après la conjugaison. SIROGONIUM Kurz. — Filaments allongés, formés de cel- lules cylindriques plus longues que larges, à chlorophylle dis- posée sur des bandes multiples, étroites, non contournées en spirale, seulement un peu inclinées. Conjugaison s’effectuant directement par la jonction de deux cellules appartenant à des filaments différents, sans production de tubes copulateurs. Cel- lules conjugées inégales, la plus grande contenant la zygo- spore. S. Sticticum Kurz, — Diamètre des filaments 48-54 p. 3-4 bandes chlorophylliennes, parallèles ou un peu inclinées en spirale. Zygospores elliptiques. MESOCARPUS Hass. — Filaments très longs, formés de cellules cylindriques, plus longues que larges. Pigment chloro- phyllien d’abord diffus, puis disposé sur une bande longitudi- nale ordinairement droite et axile. Conjugaison s'’effectuant soit entre deux cellules appartenant à des filaments distincts, soit, plus rarement, entre deux cellules voisines d’un même filament. Zygospore se développant dans le canal de conju- ZYGNÉMACÉES ù 545 gaison, par séparation d’une portion de ce canal à l’aide de cloisons latérales. +2 Conjugaison s’effectuant entre des cellules appartenant à deux filaments distincts... 1.4 Conjugaison s'effectuant entré deux cellules voisines d'un même filament. Zygospores Wisubslobulenses, brnnes..,............ M. Pleurocarpus BAR. Zygospores à membrane scrobiculée ou ponctuée. Cellules 7-14 fois aussi longues que larges. Diamètre des filaments 15 11. A7. nummuloïdes. Zygospores à membrane lisse, Cellules 2-4 fois aussi longues que larges. Diamètre des filaments 34 11........... PE - .….. M, scalaris Hass. STAUROSPERMUM Kurz. — Filaments allongés, formés. de cellules cylindriques plus longues que larges. Pigment chlo- rophyllien diffus ou condensé sur une bande longitudinale droite ou irrégulière. Conjugaison s'’effectuant entre deux cel- lules appartenant à deux filaments di- stincts et qui s’accolent l’une à l'autre sans canal de copulation pour former une cellule quadrangulaire qui se sépare de celles qui lui ont donné naissance par des cloisons transversales. Zygospores toujours quadrangulaires, à faces déprimées, à an- gles arrondis. Fig. 650. Mesocarpus Pleurocarpus. Deux cellules conjuguées. Membrane de la zygospore lisse......,.. 2? 1.5 Membrane de la zygospore verruqueuse ! OMIDOTEUSO NT ER me Marais 3 Cellules 6-14 fois plus longues que larges. Filaments d'abord verts, puis bleuûtres, devenant pourpres par la dessiccation.. S. capucinum KuTz. Cellules 10-20 fois plus longues que larges. Filaments restant verts. .........ss.e «+ S. viride Kurz. Membrane de la zygospore poreuse. Cel- lules 10-20 fois plus longues que larges. 3 Filaments vert clair...... Sante she ebertre S. quadratum DE BAR. *) Membrane de la zygospore verruqueuse. Cellules 8-15 fois plus longues que larges. Filaments vert-jaunätre pâle ..,........ S. gracillimum Hass. LU) Famizce CXXIII, — VAUCHÉRIACÉES. Caractères constants. — Algues unicellulaires, ordinairement très développées et plus ou moins ramifiées. Pigment chloro- 546 ALGUES phyllien diffus. Reproduction asexuée s'effectuant à l’aide de zoospores qui se produisent dans un point du filament cellu- laire et sont mises en liberté par sa rupture. Reproduction sexuée s'effectuant par des anthérozoïdes mobiles et une oospore im- mobile. VAUCHERIA DC. — Algues unicellulaires, filamenteuses, très allongées, ramifiées. Reproduction asexuée s’effectuant à Fig. 651. — Vaucheria sessilis. Frag- ment d’un filament portant des orga- nes reproducteurs mäle et femelle. a, anthéridie émettant des anthéro- zoïdes ; 0, oogones ouverts, fécondation, l’oospore germe et l’aide d’un sporange terminal formé par le cloisonnement de l'extrémité d’une branche et la condensation du pro- toplasma de la cellule ainsi formée en une grosse Z00- epore ciliée, qui reproduit directement la plante. Repro- duction sexuée s’effectuant à l'aide d’une anthéridie en for- me de corne dans laquelle se produisent de nombreux an- thérozoïdes, et d’un oogone ovoïde dans lequel se forme une seule oospore. Après la produit une plante nouvelle. ! Anthéridies droites ou peu recourbées, isolées ou réunies par 2-4-6, dres- " | À | \ | sées, ovales, sub-claviformes ou aiguës, sur le même filament que les oogones ou sur un filament différent. Plante ro- buste, cespiteuse, vert foncé, parfois de- venant brunâtre, ramifiée dichotomique- ment. Oogones sessiles, globuleux... .., Anthéridies recourbées en forme de corne, situées sur des branches latérales courtes. Anthéridies et oogones formés par les deux branches d’un même rameau court, : l'une des branches étant ovale ou ovale- hémisphérique et formant l’oogone, l’au- tre se recourbant en corne et formant l’anthéridie. Plante aquatique ou terres- tre, à thalle rigide, à ramification éparse. Anthéridie et oogones non formés par les deux branches d'un même rameau...... Thalle à ramification dichotome, capil- laire, formant des touffes noires ou vert foncé. Oogones ordinairement réunis par deux, opposés, pédonculés, avec une an- théridie intermédiaire. ................. Thalle à ramification éparse........... . V, dichotoma Lys. 2 V. hamata. 3 V. geminata VAUCH. 4 ZYGNÉMACÉES 547 Thalle capillaire, lächement intriqué, co- loré en vert pâle ou plus souvent foncé. Oogones rapprochés par ?-3, rarement isolés, ovales ou oblongs-ov ales, rostrés, Anthéridies intermédiaires aux oogones, tantôt courtes et recourbées en hamecon, 4 tantôt droites et subulées, ou un peu ‘\ claviformes, parfois allongées et incur- vées, rarement CIrCINÉES ... ss... . V. sessilis Vaucu. Thalle dense, mince, vert émeraude bril- lant. Oogones ordinairement isolés, pé- donculés, fixés par une base aplatie au sommet de l’anthéridie, qui est courbée RCA... secs de . V. terrestris LyNes. Famizze CXXIV. — CONFERVACÉES. Caractères constants. — Algues multicellulaires, colorées en vert par la chlorophylle, filamenteuses, allongées, formées de cellules cylindriques, s'allongeant par l'extrémité, à l’aide de la segmentation de la cellule terminale. Pigment chlorophyl- lien diffus dans un protoplasma granuleux et contenant des grains d’amidon, ou parfois accumulé au centre de la cellule. Reproduction asexuée par zoogonidies. Reproduction sexuée nulle ou inconnue. Nous étudions deux genres : PR ON TARRIRES Lee. Lei. sameecen rc anna «dec Conferva. Filaments ramifiés............ Me AR ie de 2 eue de Cladophora. CONFER VA L. — Filaments allongés, non ramifiés, formés de cellules cylindriques. Pigment chlorophyllien épars dans tout le protoplasma, qui est granuleux et pourvu de grains d’amidon. Multiplication asexuée à l’aide de spores dormantes qui produisent des zoogonidies, Cellules 3 fois aussi longues que larges, oblongues- cylindriques , un peu rétrécies au niveau des cloisons, colorées en ver‘ jaunâtre ou vert...... C. bombicina Ac. Cellules 6-10 fois aussi longues que larges, un peu rétrécies près des cloisons. Filaments vert bril- OS RRL. Hoes sel use MS de Ce UNE IE . C. fontinalis BERK. CLADOPHORA Kurz. — Filaments allongés, diversement ramifiés, à cellules cylindriques pourvues d'une membrane ordinairement épaisse et formée de lamelles superposées visi- bles. Protoplasma appliqué contre les parois de la cellule. Multiplication asexuée par zoogonidies formées en assez grand nombre dans certaines cellules, mises en liberté par la déchi- UNE) 548 ALGUES rure de la cellule mère et germant sans fécondation en produi- sant une plante nouvelle. Filaments réunis en touffes ordinai- rement fixées. Membrane cellulaire finement plissée-striée. Filaments atteignant jusqu'à trente centi- mètres et plus de long, réunis en touffes 1 denses, d’un vert plus ou moins foncé , ‘)] parfois incolores. Rameaux et ramuscules écartés, Contenu cellulaire disposé en ban- delettes spiralées .............. FEAT À . C. crispata ROTH. Membrane cellulaire non plissée............ 2 Rameaux et ramuscules rapprochés en fais- ceaux. Contenu des plus grandes cellules for- mant un réseau ou des bandelettes spiralées. Cellules fructifères toujours terminales, En touffes vert clair, très lisses, mais non vis- PPS AUIBUAES More a Le ren anvine ee CNE C. glomerata KuTz. chotomiquement, à branches connées par la base, souvent fasciculées. Contenu cellu- laire formant une spirale très lâche. Touffes MÉTINELEE e decse socio esse CRC C. canalicularis Kurz. Famizce CXXV. — OEDOGONIACÉES. Caractères constants. — Algues pluricellulaires, filamen- teuses, ramifiées ou non ramifiées, à cellules cylindriques, ordinairement plus longues que larges. La multiplication asexuée s'effectue à l’aide de zoospores ovales ou globuleuses, transparentes à une extrémité, munies d’une couronne de cils, formées solitairement dans certaines cellules et donnant direc- tement naissance à un individu nouveau. Pour la reproduction sexuée, les organes femelles (oogones) sont des cellules arron- dies, isolées ou rapprochées par 3-5, contenant une seule oos- pore et s'ouvrant par un pore ou par leur séparation d’avec la cellule située au-dessus. Les organes mâles varient. Dans certaines espèces, dites monoïques, il existe au voisinage des oogones de petites cellules (anthéridies) produisant chacune un anthérozoïde. Dans d’autres espèces, dites dioïques, cer- taines cellules (androsporanges) produisent de petits corps ciliés, mobiles (androspores), qui vont se fixer au voisinage des oogones, se segmentent en produisant un filament mâle ru- dimentaire dont certaines cellules produisent des anthé- rozoïdes. Dans d'autres espèces dioïques, il .existe des fila- ments femelles ne produisant que des oogones et des filaments mâles semblables aux premiers, seulement plus grêles, dont certaines cellules produisent directement des anthérozoïdes. ZYGNÉMACÉES 549 Espèce monoïque, Diamètre des filaments 10-16 A. Cellules 4-6 fois aussi longues que 1 larges. Oogones isolés, ovoïdes ou globu- leux, déhiscents par un opercule........ Œ. vernale HaAss. Espèces dioïques avec ou sans andro- MPOICS=-orede nee Rs ao sc en Re Fig. 652, — Œdogonium. Cellules donnant naissance à des zoospores par rajeunisse- ment de leur protoplasma. Fig. 653. — Œdogonium ciliatum. À, filament portant des oogones eg et des anthéridies m; n, plantules issues des androspores ; B, oogones en voie de fécondation; C, filament mâle d'Œdogonium gemelliparum émet- tant des anthérozoïdes; D, zoospores produites dans une oospore de Bulbochætle. Espèces dioïques à filaments produisant des oogones et des androspores.. ...... 3 Espèces dioïques à filaments de deux sortes, les unes ne produisant que des oogones, les autres plus grêles, ne produisant que des anthérozoïdes, ou espèce dont les or- ganes de fructification ne sont qu'impar- faitement connus........,.... à Aisatad sie gt + 990 1 ee) : | | À \ ALGUES Diamètre des filaments 6-8 x. Cellules 3-8 fois plus longues que larges. Oogones isolés ou réunis par 2-6, globuleux ou globuleux-déprimés, s’ouvrant par un pore vers le milieu. Androsporanges 2-4 cellu- laires, subhypogynes. Filaments mâles uni- cellulaires, ovoides, fixés sur les oogones. Diamètre des filaments 15-17 g. Cellules à contours ondulés, 3-5 fois plus longues que larges. Oogones isolés ou réunis par ?, ellipsoïdes-globuleux , déhiscents par un pore au-dessous du milieu. Fila- ments mâles obconiques, fixés sur la cel- lule sous-jacente à l'oogone........,....,. Espèces à filaments de deux sortes, pro- duisant les uns des anthérozoïdes, les au- tres des QDBO0n6S.....,,.74 6e cesetiient Espèces à organes reproducteurs insuffisam- ment CONNUS ...,...srssesersssesese se Oogones à peine ou pas du tout renflés, cylindriques, déhiscents par un pore au- dessus du milieu, Diamètre des filaments 35-55 pu. Cellules à longueur et largeur égales, ou deux fois aussi longues que larges. Filaments mâles presque aussi gros que les femelles. Spermogonies 1-4 cellulaires, chaque cellule contenant deux spermatozoïdes..............,.......... Oogones manifestement renflés.,......... Diamètre des filaments femelles 18-25 , des mâles 15-18 u; cellules femelles 3-5 fois, les mâles 4 fois aussi longues que larges. Oogones isolés, ellipsoïdes, déhis- cents par un pore au-dessus du milieu, sper- mogonies 4-6 cellulaires, chaque cellule produisant deux anthérozoïdes .,.....,.. Diamètre des filaments femelles 45 x, des mâles 30-36 4. Cellules femelles 3-8 fois, les mâles 4 fois aussi longues que larges. Oogones isolés ou réunis par 2-7, ovoides, déhiscents par un pore au-dessus du mi- lieu. Spermogonies 3-9-cellulaires, chaque cellule contenant deux anthérozoïdes.... Oospores sub-elliptiques ou ovales........ Oospores globuleuses ou subglobuleuses., Diamètre des filaments 17-21 . Cellules 1 1/4 à 3 fois aussi longues que larges. Oogones ellipsoïdes - globuleux , isolés, déhiscents par un opereule............. Diamètre des filaments 25-35 u. Cellules 3-5 fois aussi longues que larges. Oogones ovales-elliptiques, près de deux fois aussi longs que larges........................ Diamètre des filaments ne dépassant pas 6 m. Cellules cylindriques, 3 fois aussi longues que larges. Oogones sub-globu- leux. Cellule basilaire fixée, à peine lobée à la base....:.:.....2..120 2200500 Diamètre des filaments ayant de 9 à 30 4. Œ. Œ, Qt 1 Rothii LECLERC. undulatum BRES. Œ. capillare L. 6 Œ, 8 S tumidulum KürTz. rivulare LECLERC. vesicatum LYNGB. grande KurTz. delicatulum KuTz. ULOTRICHACÉES 591 Diamètre des filaments n'ayant pas plus de 9-11 w. Cellules 4-8 fois aussi longues que larges, cylindriques ou claviformes. [ jaune orange. Cellule basilaire 2-3 fois 10./ Oogones très renflés. Oospores globuleuses lnbéerd'abard fees 8 2 D UN dE Œ. tenellum KuTz. Diamètre des filaments ayant de 11 à 30 m. 11 Oogones globuleux ou subglobuleux...... 12 Oogones largement elliptiques , souvent 11.4 réunis 2-4, déhiscents par un pore latéral. Diamètre des filaments 20-25 &, Cellules 1 1/2 à 3 fois aussi longues que large... (Œ!. capillaceum Kurz, Oogones subglobuleux. Oospore globu- leuse, brun-rouge, ne remplissant pas l'oogone. Diamètre des filaments 11-13 ka. Cellules 2-4 fois aussi longues que lar- ges. (Cellule basilaire bifurquée ; cel- 2.4 lule terminale souvent sétigère........... Œ. hexagonum Kvurz. "| Oogones sub-globuleux. Oospore globu- leuse, brun-rouge, remplissant presque l'oogone. Diamètre des filaments 28-30 x. Cellules 2 fois aussi longues que larges. Cellule basilaire bilobée ; cellule terminale LEURS ORPI ASRERCRRERTE E PR E Œ. fasciatum KuTz. BULBOCHÆTE AG. — Ce genre ne se distingue du pré- cédent que par ses filaments ramifiés, à cellules épaissies au niveau de l'extrémité supérieure et portant chacune une longue soie hyaline, incolore, renflée à la base. La reproduction s'ef- fectue comme dans les Œdogonium. Les oogones s'ouvrent toujours par un pore latéral au-dessus du milieu, et les oospores sont rouges à la maturité. Diamètre des filaments 17-20 4. Cellules 3-4 1/2 fois aussi longues que larges. Oogones obcordés- globuleux, tronqués en dessous, dressés, situés au-dessous des soies terminales ou des androspo- ARE EN SE Sin Je ee MU ee done a ben ad 2e de « B. Brebissonii Kurz. Diamètre des filaments 25-28 pu. Cellules 2 1/2 à 5 fois aussi longues que larges. Oogones dé- primés, légèrement quadrangulaires, situés au- dessus des soies terminales ou des androspo- ranges..... RER os ne ve sa ARTE B. seligera Ac. Fauizze CXXVI. — ULOTRICHACÉES. Caractères constants. — Algues filamenteuses, pluri-cellu- laires, non ramifiées, colorées en vert clair ou en vert jau- nâtre, à cellules cylindriques à peine plus longues que larges ou même parfois plus larges que longues. Pigment chloro- phyllien diffus. Multiplication asexuée seule connue s’effec- tuant à l’aide de gonidies de deux sortes, produisant un individu nouveau sans fécondation : des macrogonidies sphé- 552 ALGUES riques, arrondies à un pôle, aiguës à l’autre, munies de 2-4 cils vibratiles; des microgonidies plus petites, munies de deux cils. Filaments ‘toujours. isolés... 14.0 2 Filaments accolés par deux ou trois parallèle- 1.4 ment les uns aux autres ou formant des rubans à deux ou trois rangées de cellules par suite de la segmentation des cellules en deux directions. Schirogonium. Cellules à membranes épaisses, manifestement lamelleuses.. ......4.2. s'est ses RTS Hormiscia. Cellules à membranes minces et non lamelleuses. Ulothrix. ULOTHRIX Kurz. — Filaments simples, à cellules ordinairement plus larges que longues, à mem- branes minces, non lamelleuses. Fig. 655. = Ulelhrit. a, filament émettant des zoospores ; C, macrozoospore en voie de germination et de segmentation pour produire une jeune plante; d, microzoo- spore; e, filament émettant de jeunes plantes provenant de microzoospores qui ont germé dans leurs cellules mères ; f, microzoospore après la copulation de deux cellules; 9, zygospore au repos; k, zygo- spore en voie de segmentation pour pro- Fig.654.—Bulbochæleseligera. duire des zoospores, Espèces vivant dans l’eau ou dans les marais. ? 1. Espèces vivant sur le sol, les murs, les arbres humides. te, RE LL TRS RES - CHÆTOPHOR ACÉES 593 Cellules deux ou trois fois plus courtes que TL GRR CPS SR RE TE U. oscillarina Kurz. Filaments d’un vert gai ou d'un vert jau- nâtre, très grèles, non visqueux.. .......,. U. subtilis Kurz. Filaments d'un vert pâle, plus gros, vis- "| LE RENE ASE SRE RARE EE 2 U, tenerrima KuTz. Filaments formant une ‘eouche radicante, d’un Cellules à peu près aussi longues que larges, 3 vert jaunâtre, tomenteuse, rigide. Cellules à peu près aussi longues que larges, ou deux ou trois fois plus larges que longues....... U. radicans Kurz. Filaments/non radicants. :. :. ouate ds om exe 0 0 Cellules à peu près aussi longues que larges. Filaments en couche mince, souvent subara- chnoïdale,, vert jaunâtre::..:1.1.......... U. varia Kurz. Cellules deux, trois ou quatre fois plus larges quélonenes.. 3, ee vente didnes 6 Filaments floieus intriqués, d'un vert gai. Cellules deux fois plus larges que longues.. U, parietina KurTz. 6.< Filaments beaucoup plus épais, d'un vert gai. Cellules deux, trois et quatre fois plus larges FU SAR RP CPE RE TOR U. crassiuscula Ktvrz. HORMISCIA ArescH. — Se distingue des précédents par ses cellules à membranes toujours épaisses et manifestement la- melleuses. Cellules à peu près aussi longues que larges, d'un vert un peu jaunätre.......,......... H. æqualis KurTz. Cellules ordinairement deux ou trois fois plus courtes que larges, d'un vert obscur ou gai. A. zonata Wes. et M. SCHIZOGONIUM Kurz. — Se distingue des deux genres précédents par ses filaments accolés latéralement les uns aux autres au nombre de deux, trois ou quatre, soit parce qu’ils se développent en contact les uns des autres, soit parce que les cellules se cloisonnent dans deux directions opposées. Sur la terre ou les murs humides. Filaments souvent libres, parfois connés par deux, d’un vert obscur, formant une cou- ohovelonts molle.-.563..64 20.5... S. murale KuTz. Filaments très ordinairement unis par deux, d'un vert jaunâtre , formant des couches EI 2 NES VERETS BE AREA PERTE RTS HÉ A PERS .. S. Boryanum KüTz. Famizze CXXVIL — CHÆTOPHORACÉES. Caractères constants. — Algues pluri-cellulaires, vertes, souvent ramifiées dichotomiquement, à rameaux fréquemment fasciculés, noyés dans une substance mucilagineuse presque liquide ou ferme, parfois formant un thalle aplati, subfoliacé, formé d’une seule couche de cellules. La reproduction asexuée D04 ALGUES s'effectue à l’aide de zoospores naissant soit isolément, soit au nombre de 8-16 dans certaines cellules. La reproduction sexuée s'effectue à l’aide d’oospores formées isolément dans certaines cellules transformées en oogones, et d’anthérozoïdes produits par d’autres cellules jouant le rôle d'anthéridies. Rameaux dichotomes, accolés latéralemant les uns aux autres en un thalle discoïde, formé d’une seule 1.4 couche de cellules ou en un coussin.......... . Coleochæte. Rameaux dichotomes, ordinairement fasciculés, noyés dans une substance ’mucilagineuse ECRIRE St TS Filaments noyés dans une substance mucilaginieusé : ferme, figurée, gélatineuse ou coriace............ .. Chætophora. *:\ Filaments enveloppés d'une substance mucilagineuse liquide, désagréable au toucher..............:.... 3 Rameaux ordinairement épars.:.,....1.4t142. 000700 Stigeoclonium . Rameaux disposés en faisceaux denses, insérés sur un filament à cellules plus grandes et hyalines. ... Draparnaldia. STIGEOCLONIUM Kurz. — Filaments articulés, simplement ramifiés, à rameaux et ramuscules épars, ordinairement ter- minés par une pointe atténuée en poil incolore. Ramusecules terminés par un poil hyalin ....... 2è Ramuscules simplement subulés, Algues formant 1.4 une masse d'un centimètre environ, gluante, à filaments peu ramifiés, à rameaux “pere courts, dressés-étalés, subulés .........., ERP S. tenue KUTz. Algue formant une masse cespiteuse floconneuse, d'un centimètre à peine, d'un vert dilué, à fila- ments et à rameaux épais, à cellule terminale prolongée en une soie incolore........,...... . S, protensum KUTz. 2.4 Algue formant une masse cespiteuse, longue de quatre centimètres environ, d’un vert gai,très muci- lagineuse, à filaments et à rameaux dichotomes, à rameaux courts, rapprochés, étalés-dressés, tous terminés par un très long poil incolore articulé. S. fasciculare KuTz. DRAPARNALDIA AG. — Filaments articulés, ramifiés, formés de grandes cellules toujours stériles, en grande partie hyalines, contenant de larges plaques chlorophyllées. Ramus- cules disposés sur les filaments en faisceaux très ramifés, formés de petites cellules fertiles. Articles terminaux de tous les ramuscules stériles, incolores et prolongés en un poil hya- lin, plus ou moins allongé. Ramuscules formant des fascicules très ramifiés, denses, allongés, lancéolés-aigus, dressés-subapprimés..... . D. plumosa AG. Ramuscules formant des fascicules très ramifiés, denses, étalés, alternes ou opposés, subovales, obtus......... D. glomerata AG. CHÆTOPHORA Scar. — Algues formant un thalle globuleux ou subglobuleux, ou étalé et diversement lobé, constitué par des filaments et des rameaux primaires disposés en rayonnant, S- CHÆTOPHORACÉES. RES 29.» formé de cellules allongées, ornées de plaques chlorophyllées se divisant supérieurement en rameaux très nombreux, fas- x ciculés, à articles courts terminés ou non Thalle globuleux ou subglobuleux........... 4.) Thalle subaplati, diversement lobé , long *) d’un à deux centimètres ou plus, d’un vert gai ou obscur, très polymorphe.....,..,... Thalie subglobuleux, de la taille d’une cerise, 2.4 tuberculeux à la surface, .....,.... ed Thalle lisse à la surface........... 592605 R Thalle d’abord globuleux, puis confluent, mou; ramuscules tous terminés par un long poil in- 3.4 colore, articulé ..... A art fie : Ramuscules non pilifères ou en partie seulement DTÉBRESR ME ne nee RER EC ET re PRES Thalle globuleux, de la grosseur d'un pois, lisse, luisant, souvent plusieurs agrégés ou confluents. Ramuseules simplement subulés au sommet, non pilifères..... Fist ess ets Thalle globuleux, de la grosseur d'un pois ou d'une cerise, lisse, mou, élastique, parfois induré. Ramuscules courtement cuspidés , SDEVERMPIIÉETRES En eee soie eine «os oem ee) en poil. r- C. endiviæfolia Ac. C. tuberculosa AG. &: C. flagellifera Kurz. 4 C. pisiformis Ac. C. elejans AG. COLEOCHÆTE Brés. — Filaments courts, articulés, rami- fiés dichotomiquement, rapprochés en un disque aplati formé d'une seule couche de cellules ou en un coussinet; articles des filaments oblongs, plus ou moins dilatés au niveau de l’extré- \ milé antérieure, qui porte souvent une soie engainée à la base. Fig. 656. — Coleochæte pluvinata. a, anthéridie ; 0g, 0ogones en voie de formation; c, oogone autour duquel les cellules commencent à former un revêtement cortical; +, zoospores; II, fruit en voie de formation ; III, fruit formé, 556 ALGUES Filaments rapprochés en coussinets très pelits, orbiculaires, hauts d’une ligne à peine, muci- longues que largés... "SC . C. soluta PrixGs. Filaments connés ......... La ae Ra nes sie 4 Filaments partant d’un double centre, for- mant un disque orbiculaire. Cellules qua- drangulaires, à longueur égale à la largeur OÙ dOUbIE..: 56 sr mernmentiudsn eee C, scutata BRÉS. Filaments formant un disque orbiculaire à cellules oblongues quadrangulaires, devenant polygonales par pression réciproque, ordinai- rement deux fois aussi longues que larges.. C. orbicularis PRINGSH. TU MOITeNR idees eme SES EEE 2 Filaments rapprochés en un thalle déprimé, diselformer1 25.20 A PTE oo cn 3 Filaments diposés en rayonnant autour d’un 2.) centre celluleux commun ..,................ C. pulvinata A. Br. ‘) Filaments irrégulièrement divergents, sans centreVédmMUn À er rose) DR UNE C. divergens PriNcsH. partant tous d'un centre commun, formant 3.4 un disque orbiculaire. Cellules 2-3 fois plus 4 | Filaments très rapprochés, mais non connés, Fig, 657. — Coleochæte solula. Fig. 658. — Nosloc commune. FamLce CXXVIIL. — NOSTOCÉES. Caractères constants. — Algues pluri-cellulaires, filamen- teuses, colorées en vert bleuâtre ou brunâtre par l'addition de phycocyanine (matière colorante bleue dans la lumière trans- mise, rouge sang dans la lumière réfléchie) à la chlorophylle qui existe dans les autres Algues. Filaments tantôt isolés, tantôt réunis en nombre variable dans une substance géla- tineuse et formant ainsi des thalles de forme variable. Cel- lules tantôt toutes semblables, tantôt de deux sortes, les unes plus grandes, incolores, ne se segmentant pas, les autres NOSTOCÉES 557 vertes, se multipliant par segmentation pour produire d’au- tres filaments. Certains auteurs réunissent aux Nostocées, dans une famille des Nostoccacées, un certain nombre d’autres familles que nous n’étudierons pas ici : Oscillariées, Rivulariées, Scytoné- mées, Mérispopédées, Chroococcées. La tribu des Nostocées comprend seule des espèces d’assez grande taille pour que nous la fassions figurer ici. Cette tribu ne comprend que le genre Nostoc. NOSTOC Vaucx. — Algues formant un thalle gélatineux, ordinairement irrégulier, formé de filaments moniliformes, irrégulièrement disposés, flexueux, constitués par des cellules arrondies, les unes plus petites, vertes, les autres moins nom- breuses, plus grandes, incolores. Filaments tantôt pourvus tantôt dépourvus chacun d’une gaine distincte de la gelée commune. Algues vivant sur la terre, parmi les mousses ou dans l’eau. Thalle globuleux ou subglobuleux.,..... 2 Thalle irrégulièrement étalé...,....... : Filaments pourvus d'une gaine proRre plus ou moins distinete....... bee Sn Filaments dépourvus d'une gaine propre. 5 Espèce vivant dans l’eau des étangs et des fossés, Thalle pisiforme, brunâtre. Filaments entremèlés, bronzés, pourvus d’une gaine distincte, épaisse, jaunâtre, formés d'articles oblongs, deux fois aussi lengs que larges.....,............ N. tenuissimum Ku1z. Espèces vivant parmi les mousses ou sur-la terre-hnnmiide:::24 4222202 LPS LL Espèce vivant parmi les mousses humi- des, dans les rochers, Thalle petit, glo- buleux, vert olivâtre brunätre, à péri- derme souvent durci en une croûte irrégulière. Filaments lâchement entre- mèêlés, à articles oblongs-arrondis, d’abord écartés, puis rapprochés, entourés d’une gaine épaisse, souvent lamelleuse, inco- ñ lore, jaunâtre ou brunâtre......,..... Espèce vivant sur la terre nue, sablon- neuse dans les champs humides. Thalle subglobuleux ,; de la grosseur d’une graine de moutarde ou d’un pois, olivà- tre, brunâtre ou noirâtre. Filaments plus ou moins flexueux, bronzés päles, à articles globuleux, à gaines assez am- À piles JaunA(res. 248 care. sss.ses . N. granuiare KCTz. N. rupestre KUTz. ue) D CC SE CÉ | | | ALGUES Espèces vivant dans l'eau ou dans les plantes aquatiques en Re Espèce vivant sur la terre nue, sablon- neuse, argileuse, ou parmi les mousses et dans les fentes des rochers. Thalle ordinairement globuleux, parfois ovale ou oblong, dur, élastique, olivâtre-jau- nâtre, noircissant avec l'âge, de la gros- seur d'une graine de moutarde ou d’un pois. Filaments lâchement intriqués , parfois entremèêlés de filaments lepto- trichoides (semblables à des filaments de Leptothrixæ). Articles sphériques ou ellip- DIQUÉS ENS Eee Lesteet bee E Thalle globuleux, subpourpré, à péri- derme indistinct. Filaments à articles très globuleux.Sur les plantes aquatiques, surtout parmi les feuilles de Myriophyl- lum et des renoncules aquatiques..,.... Thalle très petit, solide, spongieux, fixé ou nageant librement, bleuâtre-bronzé, à périderme pellucide, incolore. Fila- ments très inégaux, les plus minces à articles elliptiques allongés ou cylin- droïdes, de plus gros à articles parfai- tement elliptiques, d'autres plus gros encore à articles globuleux-comprimés sub-quadrangulairesd. 7... eh, Filaments munis de gaines propres, sur- tout ceux de la périphérie ...., ..... Filaments dépourvus de gaine propre.. Thalle gélatineux, informe, brun-jau- nâtre. Filaments d'inégale grosseur , presque parallèles, à articles oblongs ou elliptiques, un peu distants; à gaines assez amples, brunätres. Parmi les pier- res et les mousses, dans les jardins après les pluies Tree -e-casmue ere ecst Thalle foliacé, sub-coriace, lobé-crispé, vert foncé, papilleux-tuberculeux. Fila- ments inégaux, courbés : les plus épais formés ordinairement, depuis la base jusqu’au milieu, de cellules bisériées, glo- buleuses ou globuleuses-comprimées , étroitement connexes; les plus grèles atténués vers le sommet avec les arti- cles inférieurs et médians oblongs très rapprochés, et les articles terminaux plus ou moins distants. Parmi les mousses, et sur la terre nue.......... Espèces vivant dans l’eau.............. Espèces vivant sur la terre nue,dans les pâturages, se développant surtout après les pluies. Thallé irrégulièrement étalé, ondulé-plissé, tremblant, gélatineux, presque aqueux en dedans, olivâtre. Filaments flexueux, égaux ou à peu près, à articles arrondis, parfois bisériés al Des Lee eo SE N. lichenoïdes Ac. N. glomeratum KuTz. N. cæruleum Lyncs. 8 9 N. margaritaceum KUTz. N. muscorum AG. 10 N. commune VAUCH. BATRACHOSPERMÉES =. 554 | Thalle fixé, épais de deux à trois cent., d'abord solide, gélatineux, puis vésicu- | leux, légèrement verruqueux, vert-bunà- tre. Filaments flexueux, de trois sortes : ceux du centre lächement intriqués, plus ou moins atténués au sommet, à articles oblongs, un peu écartés; ceux de la pé- riphérie plus pressés, à articles souvent 0 l bisériés à la base, globuleux. pressés; *\ ceux des extrémités subflagelliformes, à articles oblongs ou cylindriques écartés. Dans les ruisseaux..... sec CHE N. verrucosum VAUCH. Thalle fixé ou nageant librement, pourpré ou bleuûtre, d'abord gélatineux, puis creux, et enfin déchiqueté, membraneux. Filaments flexueux, plus pressés à la \ périphérie qu'au centre, à articles glo- buleux et elliptiques mélangés......... AN. rufescens AG. Fauizze CXXIX. — BATRACHOSPERMÉES. Caractères constants. — Algues pluri-cellulaires, ramifiées, colorées en vert brun ou en rouge, formant des thalles souvent très développés, filamenteux, à tronc et branches tantôt formés d’une seule rangée de cellules (Chantransia), tantôt formés d’une rangée axile de cellules recouvertes d'une couche corticale (Ba- trachospermum, Lemanea, Thorea). Reproduction asexuée par des spores qui se forment dans certaines cellules des filaments, parfois seulement dans des filaments primitifs qui jouent un rôle analogue au protonéma des mousses. Reproduction sexuée par des oogones et des anthéridies à structure complexe, la fécondation s’opérant par la fusion d’anthérozoïdes immobiles non pas directement avec l’oospore, mais avec le protoplasma d'un long filament (érichogyne) produit par l’'oogone. axiles. Thalle petit, AIR pulviné , pourpré OMVIOIACBS e sa mac us à Pole déteiare Mio oies PURE Le Chantransia. l Filaments formés d'une rangée axile de cellules | Filaments formés d’une seule rangée de cellules revêtues d’une ou plusieurs couches de cellules COMHCAlES TS EL RS ITA Te AE UE RS Te Cellules EP. revêtues d’une seule ecuéhe de cel- lules corticales PRpAquee directement contre re EE Le Elie pres ro Crete DK a RO RTS >«Ë Cellules axiles entourées, à distance, de plusieurs couches de cellules corticales CRE ET dtnacion ee «> LEMUNÈE: 2 Taille estndrique ss. 6 e:5 nnd en ve 2 AOT CES Thalle moniliforme.,........,..........,...... Batrachospermum. CHANTRANSIA Fr. — Thalle cespiteux-pulviné, de petite taille, pourpré ou violacé, filamenteux, à filaments articulés, formés d’une seule rangée de cellules. Articles cylindriques : ’ 560 ALGUES rameaux supérieurs divisés en bouquets de ramuscules, les inférieurs simples. Spores asexuées solitaires, Anthéridies se formant par petits bouquets à l'extrémité des filaments libres. Oogones situés au sommet de filaments libres, portant un tri- chogyne terminé par un long poil. | Thalle atteignant deux centimètres de diamètre, 1 blotétre rpm 020 OCR ELA TIC C. chalybea Lys. ") Thalle n'ayant pas plus de > ARAIQRRE millimètres de ‘diamètre... st ess SR RTE Ta TETE ET en: » { Thalle vert sale, épais d'uneiene 27720 sseses …C. pygmea -KüTz. Thalle rose pourpré, épais de trois lignes........ C. Hermanni Desy. BATRACHOSPERMUM Rorx. — Thalle formé primitive- ment d'une seule rangée de cellules appliquées contre le support; sur ces filaments simples et nus se développent, de distance en distance, les thalles définitifs qui devienent indé- pendants par destruction du protonéma. Thalles définitifs formés d’une rangée de cellules axiles, "cylindriques, et d’un revêtement cortical simple. Spores asexuées solitaires, se for- mant seulement sur le protonéma. Anthéridies se développant en petits bouquets à l’extrémité de filaments libres. Oogones situés sur le sommet de filaments libres, portant un tricho- gyne renflé en massue. halle long de deux, trois, cinqet rarement jusqu’à trente centimètres. Entre-nœuds ordinairement MN de Le hha 2h Pois le Lea niaioue de Sie gts ee CEE B. moniliforme Ro. Thalle plus petit, vert bronzé. Entrenœuds infé- rieurs couverts de ramuscules très nombreux, les supérieurs nus ou presque nus............ Z?. vagum ROTH. THOREA Bory. — Thalle filamenteux, cylindrique, ramifé, vert foncé, muqueux, couvert de ramuseules filiformes, qui le font paraître villeux. T. ramosissima Bory. — Thalle long de 15 à 30 centim. et parfois 60 centim., très rameux, vert-foncé devenant pourpre violacé en se desséchant. Ramuscules étalés, articulés. LEMANEA Bory. — Thalle naissant d’un protonéma ana- logue à celui des Batrachospermum, cespiteux-cétacé, formé de ilaments cylindriques, noueux, paraissant simples, constitués par une rangée de cellules axiles qu'enveloppent, à distance, plusieurs rangées de cellules corticales. Les anthéridies se dé- veloppent au sommet des ramuscules qui constituent la gaine; les oogones, au-dessous de la couche corticale. Thalle simple ou peu ramifié, dressé, long de huit à dix centimètres, à nœuds écartés,......... . L. fluviatilis Ac. Thalle simple, long de deux à trois centimètres, nœuds TAPBrOChES. 2.0" 22 re ANNEES L, torulosa ROTu. BASIDIOMYCÈTES 564 CHAMPIGNONS Végétaux toujours dépourvus de chlorophylle, vivant en parasites sur les végétaux et les animaux vivants ou morts, sur l’'humus produit par leur décomposition ou dans des liquides contenant des matières organiques. Organes végéta- tifs toujours uniquement cellulaires, à cellules souvent allon- gées (hyphas) ou courtes, sans qu’on puisse distinguer au- cune sorte de vaisseaux ni de tissus nettement différenciés. Formes extrèmement variables, sans distinction d’organes rappelant les feuilles, les tiges ou les racines des Phanéroga- mes et des Cry ptozames vasculaires. Organes de la reproduction très variables. Reproduclion asexuée effectuée par des spores. Reproduction sexuée s’effectuant presque toujours par une sorte de conjugaison. Trois classes seulement nous intéressent ici : Appareil végétatif formé de filaments (hyphas) allongés, cellulaires, plus ou moins entrecroisés ou feutrés (my- célium), produisant des organes souvent très développés (réceptacles fructifères) sur lesquels se forment les spores. Spores développées dans des sacs allongés (as- ques) qui en contiennent chacun quatre ou huit....... Ascomycètes. Appareil végétatif analogue. Spores développées à la sur- face de cellules claviformes (basides) au nombre de 2-4, portées chacune par un petit prolongement (stérigmate) : RCE nl EE er RS CS EN AT At LE QE Basidiomycètes.. Classe I. — BASIDIOMYCÉTES. Champignons à organes végétatifs formés d’un mycélium filandreux qui croît dans le sol riche en humus ou sur le bois mort, et d'un réceptacle fructifère aérien, très développé, de formes variables suivant les groupes. Spores se développant à la surface ou dans l’intérieur du réceptacle fructifère, sur une couche spéciale de cellules connues sous le nom d’hyménium. Les cellules de cette couche sont désignées sous le nom de 6a- sides; elles sont ovoïdes ou claviformes et portent chacune. deux ou trois prolongements grèles (stérigmates), terminés par- une spore ovoide diversement colorée. Spores toujours unicel- lulaires, reproduisant, par la germination, sans fécondation, un mycélium nouveau. Reproduction sexuée inconnue. Deux ordres : Hyménium recouvrant la face externe de certaines par- ties du réceptacle fructifère, qui est ordinairement très développé.........,........s.sssesssesesesse Hyménomycètes. Hyménium situé à l’intérieur ‘d'un réceptacle fructifère fermé ou a a, du moins au début, la forme sphé- rique... ses rocroas ere ei ceisisois esse vesese (GOSÉerOMyCELEs. 362 CHAMPIGNONS Ordre I. — HYMÉNOMYCÈTES. Mycélium filamenteux, se développant dans le sol riche en humus ou dans le bois pourri ou pourrissant. Réceptacle fruc- tifère très développé, en forme de croûtes, de coussinets, de disques, de coupes, de massues, de petits buissons, de para- pluies, etc., acaule ou porté par un pied, revêtu par l’hymé- nium sur toute sa surface ou seulement sur une partie de cette dernière. Hyménium formé d’une couche de basides très rap- prochées, claviformes, souvent entremêlées de basides stériles tantôt plus étroites (paraphyses), tantôt vésiculeuses (cystides). Six familles : Réceptacle fructifère gélatineux, ordinairement très irrégulièrement replié. Hyménium étendu sur toute la surface, ou du moins sur la plus 1.{ grande partie du réceptacle. Basides ÉTDRS ASDOTÉS Le maso ue Toute ele NE EE Trémellines. Réceptacle fructifère. charnu, pareheminé ou ie , gneux. Basides ne portant qu'une seule spore.. 2 , Hyménium recouvrant une partie plus ou moins grande du réceptacle fructifère, à surface unie, ridée ou munie de verrues indistinctes....,. 3 ?./ Hyménium recouvrant des parlies saillantes de la face inférieure du réceptacle fructifère, qui a la forme d'une ombrelle et qui est acaule ou pédiculé...... presses A DT Lee se SEGA Réceptacle fructifère dressé, claviforme, plus ou moins at souvent semblable à une branche 3 de corails. 4 en 4 NE RARES ER Clavariaces. e Réceptacle fructifère semblable à une croûte plissée, ou infundibuliforme et parcheminé, ou plus ou moins membraneux ou charnu.....,., Théléphorés. Hyménium recouvrant des excroissances en forme de piquants, de dents ou de verrues.........., Hydnacés. Hyménium recouvrant des excroissances en forme HeSTUBeS. te. A Lente co ET «une s'énteet OU DO TES: Hyménium recouvrant des lames..... scies AJGMCINES: FamiLzE CXXX. — AGARICINES. I Chapeau plus ou moins parcheminé.............. 1 . Chapeau charnu ou membraneux................ () 2 { Chapeau acaule............ HP 1 tartes ser TS 2. Chapeau porlé par un pied. RÉCENT RC TL: Lames réunies en arrière par des nervures {rans- 3 versales, à tranchant non fendu, aigu... sat DORE *£ Lames non réunies en arrière par des nervures transversales, à tranchant fendu suivant la lon- BUÜOUT A aa Tes nee a detente sue Ne CETTE Schisophyllum , n nn. latérale A bas Rand NES ss POMIS: Pied central. en cbate:mee so eee Seine ARE Lames à tranchant denté........... re sus» «eo ERCITUES, *).- Lames à tranchant entier.............. es... Marasmius. «1 | | | 10. 11! 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 27 20.À n.| 2! 23. 24. : AGARICINÉS Lames épaisses, cireuses. Spores blanches ou fla- vescentes ..... sHosmmesesesscsresse secte .…. Lames membraneuses, molles, tendres, à tranchant AQU cie s'oe sue vs » 0 ÉPICES CR FE 4 Champignons vivant en ER sur d’autres Aga- PICINÉS POUTTIS .... secs sees ee PRE Champignons vivant sur le sol où rarement sur LEUR TR ENP ER PP PET CRETE TRE nésst es Lames fausses en forme de plis, épaisses, dicho- ÉOMES.. 25 sise rem stelee se es sus a mes este Lames (véritables) foliacées, radiées, à tranchant aigu, peu ou pas ramifiées ..................... Lames habituellement toutes de même longueur, presque jamais décurrentes. Chapeau à couleurs IUT. NP TEE A Re U. Lames de longueur inégale, souvent décurrentes.. Lames laissant découler du latex quand on les CNT CR ET ES NT CL CP LC RP TE Lames ne laissant pas découler de latex quand on IE ESS cc r-cred- Pas de voile, d'anneau ni de volva............... Un voile éphémère, parfois un anneau...,.,.... . Spores blanches ou blanchäâtres.......... Spores roses à rougeûtres, ou jaune pâle ‘à can- nelle, ou pourpres à noires, ou jaunes à rouille et brun-jaunätre......... née Pietlaterak ou nul..:.5..3,.0. 22e LE Piéd central. 27-5705 ge D EC EE SO NE ARCS UDINNR SU EST SES Re Un anneau, ou un volva formant bourrelet à la base du pied................................... Pied cartilag'neux, ordinairement creux.......... Pied charnu ou fibreux, plein ou ne devenant creur'que- tardivement..........1............ Lames nettement décurrentes.................... Lames non déeurrentes........%....ses.s.essese Chapeau en forme de casque ou campanulé...... Chapeau plan ou simplement voüté............., CHAOS pee some + Chapeau filamenteux, floconneux ou soyeux...... Un anneau, Pas de volva formant bourrelet à la SRE PRE en re Un anneau. Un volva formant bourrelet à la base RES... LOT RE RE RS Et ON 7e Pied charnu, plein, se confondant avec le chapeau. Pied creux, bien distinct du chapeau............. Spores roses où rougeätres...................... Spores jaune- pâle à cannelle, ou pourpre à noir, ou jaune à rouille et brun-jaunätre............. Piedrnniiont Era nero cescppec ass Bed) CORRE Ds eee dessine demo eme Pied muni à la base d'un volva en forme de gaine MONDFAHONSE EE memes ememebiartes Seecs Pied sans volva....... RELEASES PT meta Pied coloré, cartilagineux................... dE Pied blanc ou blanchâtre, charnu ou fibreux.. 12 Nyctalis. 8 Cantharellus. 9 Russula. 10 Lactarius. 11 Hygrocybe. Limacium, 13 21 Pleurotus. 18 Omphalia. 17 Mycena. Collybia . Clitocybe. Tricholoma . 20 Amanita. Armillaria Lepiota. 22 27 Claudopus. 23 Volvaria. 24 25 26 FO (o’2) CHAMPIGNONS Chapeau filamenteux ou squamuleux...... PEL FC Chapeau nu“et/luisant..< ee CReee TRE Dereride Lames adhérentes ou décurrentes. Chapeau con- fondu avec le pied: Sur de sol... 2400 Lames tout à fait libres. Sur les troncs d'arbres où TES -prÈs d'ORX, :, 4: vomec co CE RE EEE Spores pourpres à noires. Lames se liquéfiant ou de- venant noires et humides..;:.,:../.144700 Spores jaune-pàle à cannelle, ou jaune- rouille à brun-jaunâtre. Lames ne se liquéfiant pas...... Chapeau ne se liquéfiant pas. Lames se liquéfiant plus ou moins, ou devenant humides et foncées. Chapeau et lames noircissant rapidement, puis se liquéfiant.,…, essence oors ER Chapeau ne se liquéfiant jamais. Lames se liqué- fantien partie MEET EUR CRE CPP RAM Chapeau ne se liquéfiant jamais. Lames devenant seulement noires et humides...,..... ARS UE Pied pourvu d'un anneau:....:4.20,e0t02 ttc Pied dépotrvu d'annéau. :.,,....0.. 20e Lames adhérentes au pied, qui se confond avec le chapeau... 24 SAN Lames libres. Pied nettement distinct du chapeau. Lames grises ou noires. Spores noires............ Lames jaunes, brunes, pourpres ou rougeûtres. spores pourpres, noirätres ou brun-noirâtre..... Chapeau strié. Lames entièrement noires.....,,... Chapeau non strié, Lames grises, tachées de MOÏD sale een e or e co enbee ae SE Pied blanc ou blanchätre.............. AS DC Hi0A COLOR as ra ne sde rare seen 0 DOS DORE Voile nul'outrès fupace..:.::... 66 0 CEE Voile en toile d'araignée, fixé au bord du cha- peau éphémère. use octo DR ET Spores jaune-pâle à cannelle........... BANC CAE Spores rouille à brun-jaunâtre................... Chapeau mucilagineux ou onctueux, au moins dans lgmeunesse...:2:1...:#16 RD Et Chapeau sec ou seulement moite................. Pibd pOISEUX ,.. , Jesus ve oc D RTE AM ESR CS pre re cpu na LPO TRE RER noce : Chapeau presque membraneux, moite....... Fe ide Ghapeau\charnu, sec. ...,.1... 1022000000 … Chapeau à chair mince. Voile très éphémère..... Chapeau à chair épaisse. Voile adhérent au bord du Chapeau 2.0.2... RS os à of Dames rames 2. .Lecroeccer-e CC ECREEE . ÉaméS simples: 0 te Ce cs Re « Chapeau visqueux. Pied souvent excentrique..... Chapeau non visqueux. Pied toujours central..... Pied-pourva: d'un "dnneatr.:1f.. OCR PRRCE Pied dépourvu d’aññeau.i. 2 Ait ET er te Pas de voile. Pied mince, cartilagineux....... Un voile filandreux, très fugace. Pied charnu ‘ou charnu fibreux.., Lames déeurrentés...5.. 2:25. NOR Lames non déeurrentes....,..,..,..... …..... ne Leptonia, Nolanea. Clitopilus. Pluteus. 28 36 29 Coprinus. Bolbitius. 30 31 32 Stropharia. Psalliota . 33 34 Psathyrella. Panæolus. Psathyra. 39 Psilocybe. Hypholoma. 37 42 38 39 Myxacium. Phlegmacium . Telemonia . A Dermocybe. Inoloma. 43 44 Pazxillus. Gomphidius. Pholiota. 45 46 48 Tubaria. 47 AGARICINÉS 365 46, { Chapeau membraneux, strié...................: . Galera. *| Chapeau charnu, non strié ou seulement au bord. MNaucaria. _- { Lames à bord entier. Sur le bois................. Flammula . a.) Lames à bord festonné. Sur le sol............... 49 Chapeau lisse, légèrement poisseux quand le temps 48.1 est humide..........................e...sssss Hebeloma. Chapeau squameux ou Crevassé, SeC......,.... .. Inocybe. LENZITES Fr — Pas de pied. Chapeau parche- miné ou subéreux - parche- miné. Lames simples ou ra- mifiées, réunies en arrière par des nervures transver- sales, à tranchant aigu, entier. Champignons vivant sur le bois (poutres, po- teaux, palissades, etc.) ou sur les vieux troncs d'arbres. L. flaceida Fr. — Cha- peau parcheminé, flasque, mince, hérissé, zoné, blan- châtre-pâle. Sur les vieux troncs d'arbres à feuilles. SCHIZOPHYLLUM Fr. — Pas de pied. Chapeau petit, parcheminé. Lames ra- mifiées en éventail, à tran- chant fendu longitudinalement. Champignons croissant sur les vieux troncs d'arbres à feuilles. Fig. 659. — Champignon de couche, Coupe longitudinale. S. commune FR. — Chapeau tomenteux, blanc ou gri- sâtre, large de 5 millim. à 2 centim. Lames d'abord gris-rose, puis brun-pourpre. PANUS Fr. — Pied latéral. Chapeau charnu-coriace, ne pourrissant pas et revenant à l’humidité. Lames parcheminées, coriaces, à tranchant entier, aigu. Spores presque cylindri- ques, blanches. Sur les troncs pourris. P. stiptieus Fr. — Chapeau large de 2-5 centim., réniforme, blanc-jaunâtre ou jaune-grisâtre-pâle, à sillons circulaires, à bords échancrés. Lames pressées, visqueuses, unies par un réseau de nervures. Pied latéral, court. Saveur douceâtre, puis astringente et âcre. FLORE DE PARIS. 3 (24 © S CHAMPIGNONS LENTINUS Fr. — Pied central. Chapeau charnu-coriace, ne pourrissant pas. Lames dentées. Spores blanches. L. tigrinus Fe. — Chapeau large de chäâtre, presque parcheminé, 2-5-9 centim., blan- mince, ombiliqué, couvert de squames noirâtres. Pied haut de 2-5 centim., mince, blan- châtre, squamuleux. Lames d’abord blanches, puis jaunâtres, laciniées. Solitaire ou en groupes sur les vieux troncs. MARASMIUS Fr. — Pied central. Chapeau charnu-coriace. x Lames assez espacées, à tranchant entier, aigu. Sur le sol, parmi les feuilles, ou sur les branches et les vieux troncs. Chapeau d’abord campanulé, puis étalé, large d'environ { centim., à bord droit........ : Chapeau voüté ou aplati, à bord infléchi... Pied et chapeau couverts de poils épars, DORTDrOS nr emabes eme se TN Pied“tres glabre, brillant...5..%%-.#2.#6t Chapeau plissé, blanc, Pied noirâtre. Lames unies en arrière par un anneau membra- neux qui forme un collier autour du pied. Chapeau brunâtre. Pied noir. Lames adnées AMIE Ces eee ice FN Chapeau large de 5 millim, à 1 centim. Pied haut de 1-5 centim...°........ Chapeau large de 5-7 centim. Pied haut de RU Ut SE D LE: à ; Pied très glabre dans le haut, brillant, rouge brunâtre, à base non tuberculeuse........ Pied velouté ou pruineux, sub-tuberculeux à 1 DST RER CNE: Chapeau discoïde, sub- “priibeux, à bord strié. Chapeau blanc, avec le disque brun-rou- geàtre, non pruineux, à bord non strié.... Pied à base laineuse ou floconneuse ou en- tièrement couvert d'une poussière blanche. Pied à base non laineuse ni floconneuse. Chapeau charnu, coriace, d’abord voûté, puis aplati, nu, brun päle, se décolorant. Odeur et saveur agréables. Comestible..., Odeur alliacée. Chapeau membraneux, par- cheminé, voüté-aplati, strié, jaune sale, Pied strié, rouge-brun. Lames distantes, fermes. Pas d'odeur alliacée. ... Saveur àcre. Saveur et odeur agréables ou 1 faibles rte 2 Chapeau rouge-brunâtre, scrobiculé, mem- braneux, parcheminé, à bord strié. Pied pâle, haut.de 5-7 centim /.. 5-4". Chapeau isabelle, lisse, puis un peu ridé, charnu, parcheminé. Pied blanchàtre, haut de 12 centimes UE ._...... ne mea essences . ss... .….. 2 Æ M. Hudsoni FR, Si M. Rotula Fr. M. androsaceus Fr, 6) ré M. calopus Pers. 6 : M. amadelphus Fr. M. ramealis Buzz, 8 M. oreades Bozr. M. porreus Fr. 9 10 11 M. peronatus BoLr. M. urens BULL. AGARICINÉS 567 Chapeau et pied rouge-pourpre, inodores. Pied sec, glabre dans le haut, laineux à ER PET PÈRE, CRE PEER D HenreneR .…... M. fusco-purpureus Fr. 11.4 Chapeau et pied lactescents, se décolorant. Chapeau d’abord globuleux, puis campanulé. Pied entièrement couvert d'une aie à © \ blanche ..... re see ele ae soss.s.sse M, globularis Qurr. NYCTALIS Fr. — Chapeau charnu. Pied central. Lames charnues, épaisses, inégales, à tranchant obtus. Croissant en parasites sur des Agaricinés pourris. N. asterophora Fr. — Chapeau brun-jaunâtre, floconneux, poudreux, d’abord conique, puis hémisphérique, large de 6-15 millim. Pied saupoudré de blane, tordu, haut de 1-2 centim. CANTHARELLUS Fr. — Pied s’élargissant vers le haut et se confondant tout à fait avec le chapeau. Lames ou plutôt fausses lames épaisses, en forme de plis, ramifiées dichotomi- quement. Spores blanches, sur le sol. 1.{ Pied et chapeau épais, pleins, charnus..... 2 Chapeau sub-membraneu x. Pied tubuleux.. 3 © Pied glabre. Chapeau, pied et lames jaune d'œuf en dehors, blancs en dedans. Odeur forte, agréable. Saveur forte, agréable. 2.4 Lames épaisses, distantes. Comestible..... €. cibarius FR. Pied sub-tomenteux, devenant noirâtre. Co- loration orange foncé en dehors, orange pàle en dedans. Lames pressées. Suspect.. C. aurantiacus WüLr, Chapeau brunätre, se décolorant, flosculent. Pied orangé-jaunätre. Lames AE ou gris de fumée.....,..... D 2 Aie amae C. tubæformis FR. 3. Chapeau gris de fumée- flavescent, flocon- neux, ridé. Pied jaune. La mes jaunes, puis gris-cendré, pruineuses.. ........:....... C. infundibuliformis Fe. , Chapeau et pied brun-vioiacé. Lames grises. C. cupulatus FR. RUSSULA PERS. — Pied central, de grosseur à peu près égale dans toute sa longueur, nu, plein, raide. Chapeau charnu ou charnu-membraneux, à bord jamais replié en de- dans, à couleurs ordinairement vives, fréquemment déprimé. Lames foliacées, radiées, pas ou peu ramifiées, à tranchant aigu, ordinairement toutes de même longueur, raides, cassan- tes, sans suc laiteux, presque jamais décurrentes. Spores arron- dies, blanches ou jaunâtres, souvent munies d’aiguillons. temps humides, à bord mince ou mem- braneux, puis strié. Pied blane, jrane | ou rougeûtre, puis gris... .......... 2 | Chapeau poisseux ou onctueux dans les Chapeau sec ou seulement humide, sou- vent à chair dure, à bord non strié.... 9 568 oo 2) 2 TT A TT ». CHAMPIGNONS Lames et spores jaune d’ocre. Chapeau jaune d'ocre sale, mou, d’abord plan, puis déprimé, à bord sillonné, large de 4-7 centim. Lames et pied de même couleur que le chapeau. Pied haut de 2-Æ CONIME RECU creer ei Lames et spores blanches ou blanchäires. Saveur âcre ou brülante. Odeur désagréa- Do eee ares ent ET eR SR Saveur agréable. Odeur agréable ou HUE PRES ROSE ER Pied violacé, farineux. Chapeau lisse, vio- let-noir, à bord pourpre-lilas. Lames plénrantes eee Re EEE Pied blanc, blanchâtre ou rougeûtre, non TOUR ete sance eee Chapeau jaune d'ocre ou brunâtre, large de 12 centim , à bord membraneux, sil- lonné. Pied blanchäâtre, d’abord plein, puis creux, haut de 6-9 centim. Lames très inégales, dichotomes, unies par des NERVUPOS AE TILL ER tn ter te ere Chapeau à coloration variable dans Ia même espèce du rouge au vert, brun ouvblanc. ee este De EUR Lames adhérentes . Chapeau charnu , mince, flasque, plat, visqueux, irrégu- lier, ordinairement rouge-sang-pâle, ou jaune-verdâtre ou blanchâtre, blanc au sommet, se décolorant, large de 3-5 cen- tim., à bord bosselé et strié. Pied lui- sant, d'abord plein, puis creux......... Lames libres, Chapeau plus épais, régu- lier, ordinairement rose, puis rouge-sang, parfois jaune-mat ou blanc, large de 5-9 centim., à chair rougeûtre sous l'épi- derme, blanche plus profondément . Pied plein spongieux, lisse, blanc ou DOUDOUS ere --emerbereree ads esse PICT MU TIS SO rune seen PIE re Pied réticulé, rugueux, plein. Chapeau couleur chair, plus foncé au centre, . veiné, ridé. Lames adnées, minces, blan- châtres. Odeur agréable. Chair blanche. Poestihler. ss nie er ARE Lames très étroites, très pressées, dicho- tomes, dimidiées. Chapeau charnu, lisse, plan, olivâtre, vert, lilas ou brunâtre, jamais rouge, large de 5-7 centim., à bord mince, finement strié. Pied plein.. Lames larges, arrondies, entremêlées d'autres plus courtes et dichotomes. Chapeau charnu, concave, puis infundi- buliforme, d’abord lilas ou pourpre, puis vert olivâtre. Chair rougeûtre sous la cu- HICULE RER ENCRES Eu ele ce Pied blanc, blanchâtre ou rouge....,.... Pied gris, noirâtre ou brun noiràtre, or- dinairement court et gros .........svese BR. ochracea Azs. et Scu 3 4 7 A: 5 AR. 6) Æ, l. (e) PUR AR. A. 10 14 Queletii Fr. fætens PERS. fragilis Pers. emetica HARZ,. vesca FR. heterophylla Fr. cyanozantha SCHÆFF. AGARICINÉS Lames (et spores) jaunes ou blanches et devenant jaunâtres, pressées, bifurquées en arrière, Chapeau rose pourpre, lisse 10 ou finement cannelé, large de 7-9 cen- tim. Pied plein, lisse, blanc ou rougeätre. Saveur agréable..... A DA I EN Lames et spores blanches et restant blanches........ 22 Sci CORRE UE iniihenbh as ! Saveur àâcre. Chapeau rouge-vermillon, se | décolorant ensuite, plus ‘pâle au milieu, à chair rougeàtre sous l’épiderme. Pied 11 blanc ou blanc taché de rouge, plein, ‘] dur. Lames adnées, obtuses, pressées, entremèlées d'autres plus petites et di- chotomes. Vénéneux............. a ÉSAVOUr/ ASréADIe.- 2 sea de denses Chapeau, pied et lames blancs. Chapeau nu, lisse, luisant, à bord roulé en de- dans, non strié. Pied fort. Lames dis- tantes, décurrentes, inégales, pleureuses au début. Comestible......... ........ Chapeau rouge, vert-grisätre ou jaunâtre. Chapeau rouge-sanguin, se décolorant, { blanc au centre, d'abord voûté, puis dé- primé, soyeux, crevassé, à bord obtus, non strié. Pied blanc ou rose, plein, lisse. Lames arrondies, assez pressées. CHMPSUMIESS Eee dt das 2e Chapeau grisâtre, verdâtre ou jaunâtre, floconneux ou couvert de papilles duve- tées, d’abord sphérique, puis étalé et ombiliqué. Pied blanchätre, spongieux. Lames libres, inégales, dichotomes, Co- LES IUT ARE REP ARE LS du mr mag ame Chapeau d'abord déprimé, puis infundibu- liforme, sec, jaune-cuir ou vert-olive, puis noirätre. Pied gris, puis brun-noi- râtre. Lames minces, pressées, décur- rentes, adnées, d’abord blanches, puis grises ou noirâtres. Vénéneux. ........ = Chapeau déprimé et ombiliqué, gris-oli- vâtre, souvent squamuleux, un peu onc- tueux à l’état jeune. Pied rouillé, noi- râtre à la fin. Suc rougeàtre, non lai- teux. Lames épaisses, espacées, devenant rouges quand on les presse. Suspect..., 14, R. zerampelina ScHæFF. 11 R. rubra,. 12 R. delica Fr. 13 R. lepida Fr. R. virescens SCHÆFF. BR. adusta PERS. R. nigricans BuLL. LACTARIUS Fer. — Pied central. Chapeau charnu. Lames foliacées, radiées, plus ou moins cireuses, souvent inégales et ramifiées, fréquemment décurrentes. Chapeau d'habitude plus ou moins déprimé à la maturité. Spores globuleuses, blan- ches, rarement flavescentes. Lames et chapeau laissant écouler, quand on les casse, un latex laiteux. 32e + (#2) CHAMPIGNONS Latex rouge sang. Chapeau d'abord voûté, ensuite plan, puis infundibuliforme, brique orangé-verdissant, pâlissant, zoné, glabre, large de 3-9 centim. Lames safran, pàlis- santes, se tachant de vert quand on les blesse, Pied d’abord plein, puis creux, gla- bre, cylindrique, de la même couleur que le chapeau, haut de 2-7 centim.; chair jaune rougeàtre ; odeur et saveur légèrement ré- sinpuses. Comestible::°04272. ere Latex toujours blanc quand il s'écoule, par- fois changeant ensuite de couleur.....,.... Lames blanches, ne changeant pas de cou- ‘leur, non saupoudrées de blanc. Latex à saveur âcre dès le début...... Re, Frot - Lames d'abord pâles, se colorant ensuite di- versement, et, à la fin, saupoudrées de blanc. Latex à saveur douceàtre persistante ou "devenant ‘ensuite, àcre.."+.75....-.1 Chapeau à bord nu......... aie de + detente Chapeau à bord tomenteux, velu ou fibreux. Chapeau sec ou seulement moite........... Chapeau onctueux ou poisseux dans les temps humides..... RP LE LL 7. eos... Chapeau, pied et lames blancs. Pied plein, Suc blanc. ...... consnssonresssssosssnesse Chapeau diversement coloré..,............. Lames pressées, étroiles, dichotomes, deve- nant souvent jaunâtres en vieillissant. Cha- peau d’abord ombiliqué, puis infundibulifor- me, irrégulier, non zoné, lisse, large de 7-15 centim. Pied dur, haut de 2-5 centim., large de 2 centim. Latex abondant, à odeur faible, pas désagréable. Saveur âcre, poivrée. SUSDEDLS Eee dettes LT RE AR Lames espacées, ‘plus larges, blanchâtres, sales. Chapeau non zoné, finement écailleux, surtout vers le bord, voûté-ombiliqué, à bord replié en dedans. Pied duveteux. Latex peu abondant. Odeur faible, un peu désagréable. Gemestible., ..:.... 4 AU CES és séee naar Lames plus ou moins pressées..,.....,...., Lames espacées, jaunàtres. Latex blanc, per- sistant, abondant, très àcre. Chapeau nu, lisse, glabre, à chair mince, plan ou déprimé, gris bleuâtre, large de 5-7 centim. Pied d'abord plein, puis ereux, aminei dans le bas, haut de 3 centim. Vénéneux.,........ { Latex blanc persistant. Chapeau d’abord couleur suie, puis brun noirâtre, d'abord voûté, puis infundibuliforme, large de 6-9 centim., à chair dure. Pied couleur suie päle. haut de 45 centim. Lames blanc aunatre ASUSDEOt..: 226006 - core CIO Latex d'abord blanc, puis rougeûtre. Chapeau gris cendré où suie, pas ou peu zoné, irré- gulier, infundibuliforme, large de 6-10 cen- tim. Pied d’abord plein, puis creux, aminei vers le bas, légèrement excentrique, court. Lames jaune-pâle, puis rougeâtres. Suspect . L, deliciosus Fr. 9 4 1© L. piperatus Scor. L. vellereus Fr. 8 L. pyrogalus Buzz, L. plumbeus Buzz. L. acris BOLT. AGARICINÉS Lames blanches ou pâles. Latex blane...... Lames et latex d'abord blanchâtres, puis lilas. Chapeau gris-rougeàtre pàle ou sale, non zoné, mince, d'ab ord voüûté, puis dé- | primé, large de 2-5 centim. Pied poisseux, pale, cCreuk, CONER SUSPECT... ee 8 ose es Chapeau vert-de-gris grisâtre souvent ta- cheté, non zoné, déprimé, à bord replié en dedans au début et duveté, large de 7-9 centim. Pied de mème couleur que le cha- peau, d’abord plein, puis creux, poisseux, 4 Lhaut dé 35 centimi. Suapeët....7 422... ae Chapeau jaunûtre, faiblement zoné, d’abord ombiliqué, puis infundibuliforme, large de 5-9 centim. Pied d'abord plein, puis creux, haut de 2-3 centim. Lames pâles, dichoto- mes. Chair faiblement zonée. Suspect...... Latex blanc ou blanchätre, invariable ....... Latex d'abord blanchätre, puis jaune-soufre. Chapeau jaune, pälissant par places, non zoné, déprimé, tomenteux sur le bord, large de 12-15 centim. Pied jaunâtre, tacheté, gros, court. Lames pressées, minces, blan- CRATONT Te -det areL ee EMe ÉMEL SENS | Chapeau d'abord ombiliqué, puis infundibu- | liforme, d'abord sub-floconneux, puis glabre, { blanc, zoné ou parsemé de taches incarnat, large de 10-15 centim., à bord souvent on- dulé, d'abord replié en dedans. Chair dure. Pied de la couleur du chapeau, atténué dans le bas, souvent un peu excentrique, atteignant 5 centim. de haut. Lames irès pressées, simples, d'abord blanches, puis légèrement \ rose-chair. Odeur pas désagréable. Saveur Aéro Domestibie.. ses tie sectes Chapeau non ombiliqué, couleur chair ou ocre-pâle, large de 3-7 centim , à bord cou- vert de poils feutrés très longs, plus pâle que le chapeau et replié en dedans. Pied d’abord plein, puis creux, de grosseur uni- | forme, haut de 3-7 centim. Saveur très âcre, VÉNUS, Rem DR es ane ose Chapeau sec ou seulement moite- sas ele sem ee Chapeau” pOISeuUx sense ame os alse Chapean. NSse,. QU ARS en 2 pi Chapeau rugueux, squamenx, floconneux ou AR OIRTE 4: 24e cave DONC St utee [ Chapeau jaune-orangé ou jaune-rougeûtre , d'abord voûté, puis déprimé, un peu ombi- liqué, nu, rarement plus de 3 centim. de large. Pied haut de 2-4 centim., fragile, de la couleur du chapeau ainsi que les lames. Latex blanc, laiteux, douceâtre, abondant. COMEDIE ER SR RARE RTE ane Chapeau bryn-rougeûtre, ne pàlissant pas, un peu ombiliqué, puis déprimé, large de 2-5 centim. Pied haut de 5 centim., de la même couleur que le chapeau, mais plus pâle. La- mes brun-rouille foncé, pälissant. Comestible. 971 10 L. uvidus Fr. L, blennius Fer. L. insulsus FR. 12 L, scrobiculatus Scor. L. controversus Pers, L, torminosus Scuxærr. 14 18 15 16 L., mitissimus Fr. L, subduleis Bcrx. 19, he (we) Re CHAMPIGNONS Sans odeur ou n'ayant qu'une odeur faible... Odeur douceûtre, particulière. Latex blanc, laiteux, à saveur d’abord douceàtre, puis àcre. Chapeau gris sale ou brunàlre, squamuleux, ombiliqué, puis aplati, large de 3-6 centim. Pied mince, duveté, haut de 3-5 centim.... Chapeau plan ou seulement déprimé, très sec, lisse, d’abord couvert d’une poussière couleur suie, puis nu, coloré en gris-cendré, large de 6-8 centim. Pied plein, de la cou- leur du chapeau, mais plus pâle, haut de 5-7 centim. Lames adnées, d’abord blanches, puis couleur cuir. Latex laiteux, blanc, devenant jaune-safran à l'air. Suspect............... Chapeau d’abord bombé, puis infundibuli- forme, d’abord floconneux, puis lisse et lui- sant, rouge-foncé ou brun-rougeûtre, large de 5-10 centim. Pied plein, brun-rougeûtre vif. haut de 3-6 centim. Lames pressées, rou- geätres ou jaunâtres, ou brun-rougeûtre. Latex blanc, laiteux, très âcre. Vénéneux.. Latex à saveur douceâtre, avec un arrière- DOUL ACTE sue 5- Mot Ne MAMIE Latex à saveur douceàtre, persistante........ Chapeau non ombiliqué, d'abord plat, puis Chapeau ombiliqué, d'abord presque bombé, puis aplati, et parfois infundibuliforme, d'abord couleur chair, puis jaune-rougeàtre ou gris, non zoné, presque soyeux, large de 3-12 centim. Pied d’abord plein, puis creux, fragile, jaune-rougeàtre. Lames blan- châtres. Latex d'abord blanc, puis gris. DUSDÉCL ee as eatots elle elle me en ONE Latex blanc. invariable. Chapeau orangé vif, non zoné, lisse, charnu, large de 3-5 centim. Pied plein, nu, de la couleur du chapeau. Lames d'abord jaunàâtres, puis ocre. Sus- DOCS terne she res eleerlrecee CET Latex d'abord blanc, puis jaune soufre. Cha- peau brun ou jaune-rougeàtre, lisse, nu, à chair mince, large de 3-5 centim. Pied d’abord plein, puis creux, lisse, de la cou- leur du chapeau, haut de 2-5 centim. La- mes d'abord päles, puis brun-rougeûtre. Odeur aromatique. Vénéneux........ ..... Chapeau déprimé, couleur chair, ou cannelle, ou brun-rougeûtre, avec le disque plus foncé, large de 6-7 centim. Pied spongieux, nu, rougeàtre ou rouge-brunâtre, haut de 5-7 centim. Lames presque dichotomes, d'abord blanches, puis rouge brique. Latex blanc, invariable. Suspéct..:.....:...2.% Chapeau voûté, ombiliqué, couleur cuir pâle ou incarnat-jaunâtre, pâle, à bord très replié en dedans, large de 7-8 centim. Pied d'abord plein, puis creux, pâle, haut de 6-7 centim. Lames pâles, saupoudrées, Suspect. 2 L. olyciosmus Fr. L. fuliginosus Fr. L. rufus Scor. 19 21 20 L. vietus FR, L. aurantiaeus FR, L. thejogalus BuLL. L. quietus Fr. L. pallidus PERS. AGARICINÉS HYGROCYBE Fr. — Pied central, creux, au moins dans la vieillesse. Chapeau charnu, plus ou moins épais, onctueux ou poisseux dans les temps humides, d'ordinaire vivement coloré. Lames de longueur inégale, sans suc laiteux. Pas de voile, d’anneau ni de volva. Lames adnées ou libres, ou peu décur- rentes. Lames entièrement libres ou seulement adhé- 1 TORTÉSE mére sean nn ia ns lie ets at do de 0/0 *) Lames adnées ou presque décurrentes, ‘dis- FARMER Se eos D'RRsse AR ee PA ic RTE dans les temps humides. Chapeau presque membraneux, conique, pointu, puis étalé, glabre , gluant , jaune ou rarement rouge. Pied à peu près de la couleur du chapeau. Lames blanc-jaunätre ou orangées......... . Chair ne devenant pas DOÏTATTE. «esse nes 2 _. | Chair devenant noirâtre quand on la presse ou Chapeau n'ayant pas plus de 2-3 centim. de large, mince, campanulé, étalé, jaune-ver- dâtre ou jaune-rouge-brique, d'abord couvert d’une couche mucilagineuse verdätre. Pied lisse, coriace, haut de 2 centim. Lames ver- dâtres ou jaunes eee ÉRoe Chapeau ayant 5-9 centim. de large. Marre Chapeau jaune- -d'or ou jaune-soufre, ne pälis- sant pas, luisant, conique, obtus, à peine gluant. Pied nu, jaune-rougeätre à la base, lisse. Lames jaune-rougeûtre...... L DE es Chapeau rouge vermillon ou rouge sang, pà- lissant surtout au centre, campanulé, échan- cré, lisse. Pied jaunâtre ou rougeàtre, blanc à la base, gros, ventru, strié. Lames jaunes, puis rougeûtres..... SEE TRE EE CS SES | Chapeauret pied FDHPOS: N'ueit. emocicine ie »: 3. 4, Chapeau et pied jaune-cire, ternes. Chapeau voüté-aplati, finement strié, large de ? cen- tim. Pied fistuleux, haut de 2-3 centim. , SOu- vent déformé. Lames jaunes, larges, distan- tes, adnées, presque décurrentes........... à Chapeau rouge-minium, peu gluant, lisse ou squamuleux, pälissant, d’abord voüté, puis ombiliqué, large de 2 centim. Pied de gros- seur uniforme, cylindrique, lisse, rouge écarlate, haut de 5 centim. Lames adnées, jaunes ou rouge-minium-jaunàtre........... Chapeau rouge vermillon, lisse, gluant, voüté, obtus, s’étalant, pâlissant et devenant jau- nâtre, large de 2-5 centim, Pied jaunûtre, rouge écarlate au sommet, haut de 5 cen- tim,, comprimé. Lames adnées, décurrentes par une dent, anastomosées, ordinairement vert-grisâtre sur le tranchant, jaunes au centre, pourpres au sommet................ Qt . Conica Scop, VE . psittacina SCHÆFF. a: À. obrussea Fr. . punicea FR. 7 à H. ceracea WcLr, H, miniata Fe, A, coccinea Fr. LIMACIUM Fr. — Pied central, ordinairement plein. Cha- peau plus ou moins plan, onctueux ou poisseux, à chair blan- 1 57% CHAMPIGNONS che et ferme. Voile tendre, éphémère. Pied avee ou sans anneau. Pas de volva. Lames décurrentes. Chapeau blanc, au moins au début.............. ? Chapeau brun- ombré, puis brun-suie, plus pâle 1 au bord, lisse, muqueux. Pied ventru, gluant, ÿ squamuleux au sommet, haut de 5-7 centim. Lames minces, adnées, décurrentes, gris-blan- châtre. es sauce SERRES . L. limacinum Scor. Chapeau d’abord blanc, puis rose-sanguin, lisse ou pointillé, voûté, aplati, large de 3-7 centim., à chair blanche, devenant rougeûtre. Pied sans RCE de grosseur uniforme, pointillé de rouge et couvert de fibres rouges. Lames blanches, ta- 2 éhées de Touré... 4-2: muse tes . L, erubescens FR. Chapeau, pied et lames blancs. Chapeau d'abord voûüté, puis plan, à bord duveté et replié en de- dans, puis nu, large de 2-5 centim., gluant. Pied d’abord plein, puis creux, de grosseur iné- gale, gluant, squamuleux dans le haut. Lames décurrentes, raides. Comésfible;-.#7 CR. L. eburreum Buzz. PLEUROTUS Fr. — Pied latéral ou nul. Chapeau ordinaire- ment conchiforme. Lames membraneuses. Spores blanches ou blanchâtres. Sur les troncs d’arbres. l'HPadcde voile :.., 2.42 A CR Voile en forme d'anneau. Chapeau ‘large ‘de 5-15 centim., gris blanchätre, devenant floconneux, 1 squameux. Lames anastomosées en arrière, blan- ches, assez distantes. Pied excentrique, haut de 25 centim., épais de 3 centim., filamenteux, muni d'un anneau membraneux, lacinié ........ P. corticatus Fr. _ Pas de pied. Chapeau sessile, charnu, réniforme, jaunâtre ou presque orangé, tomenteux, à bord roulé en dedans, large de 25 centim, Lames simples, larges, assez distantes, jaune orangé. HA STONES, Ts ina eee me denses De NÉS NS . P. nidulans PERS. Un pied distinct, excentrique . Chapeau soyeux, velu, charnu, mou, blanc. Lames as RARE EPS 2e Diese eee oioise Chapeau non soyeux, velu Lames longuement décurrentes.............. #Qpe Lames simplement adnées, non décurrentes, lar- . pinsitus FR, OUR ges, assez pressées, blanches. Chapeau à chair dure, blanc-grisätre, plombé, päle ou jaune d’ocre, souvent tacheté de bleuätre, voüté, aplati, large de 8-12 centim. Pied renflé dans le bas, plus ou moins excentrique, parfois central, haut de 5-7 centim., épais de Î-2 centim. Solitaires ou en ONE A RL Late PRET NES .… P. ulmarius Buzz. |! Chapeau blanc, irrégulier. Pied élastique, villeux, radicant...... AAA GRR EE AL en rs | P. PNA Chapeau d’abord noirâtre, puis brunâtre ou jau- 5 nâtre, conchiforme, charnu, mou, large de 3-10 *)] centim. Lames blanchàtres, glanduleuses ou non en dessous, finissant par disparaître. Pied court, dense, élastique, renflé dans le haut, velu dans \ le bas. En, SazOnS A8. AS LRU ...… P, ostreatus JACQ. AGARICINÉS 919 OMPHALIA Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, cartilagineux. Chapeau jamais mucilagineux ni poisseux, membraneux ou charnu-membraneux, légèrement ombiliqué, de très petite taille. Lames décurrentes. Spores blanches. Chapeau jaune-orangé, pälissant, d'abord cuculliforme, puis étalé, large de 1 centim. Pied de même couleur, d'abord plein, puis creux, haut de 2 centim. Lames blanchâtres, très décurrentes, non anastomosées.... O. Fibula BLcr. Chapeau blanchätre ou grisätre, strié, radié, étalé dès le début, à bord lacinié et replié en dedans. Pied presque fistuleux, velu à la base. Lames distantes, très larges en arrière, blanchâtres........ CARO EEE A O. umbellifera L. MYCENA Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, carti- lagineux, ordinairement creux. Chapeau presque membraneux; d'abord cuculliforme ou campanvulé, puis presque plan, à bord droit, jamais infléchi. Lames non décurrentes. Spores blanches ou blanchâtres, grèles. Lames à tranchant découpé en dents 1 noires. Chapeau pourpré-livide, blan- *) chissant. Lames violet-foncé........ M. pelianthina Fr. Lames sans dents noires............ 2 Chapeau large de 2-6 millim. au plus. Espèces croissant sur des feuilles, des nétioles, des rameaux en décom- position et sur de vieilles écorces... 3 Chapeau plus large. Espèces vivant sur le sol ou sur de vieux troncs ER in ne ntf est NA 4 Pied très mince, non bulbeux à la base, glabre, brun au sommet. Cha- peau rose, campanulé, puis ombili- qué, glabre. Lames roses, distantes, 324 FAREES Sn ee gros RSR RIRE .. M. capillaris Scaux. Pied discoïde à la base, grêle, élancé. Chapeau blanc-gris, d'abord conique, puis élalé, plissé, glabre. Lames distantes, gris-blanchâtre, adnées.,. I. Mucor Barscu. { Pied onctueux, poisseux ou émettant s du latex quand on le casse......,.. 5 Pied ni poisseux ni onctueux, ni n’émettant de latex quand on lecasse. 10 Pied onctueux ou poisseux, n’émet- tant pas de latex quand on le casse. 6 Pied sec, émettant du latex Sr on 16 CASE. se 2 TRS CE LE Chapeau ne dépassant pas 6 millim, de large, hémisphérique, étalé, slrié, jaune-citron. Pied mince, poisseux, tendre, jaune-citron, haut de 2centim. 7, citrinella Pers. Chapeau large de 1-5 centim...... 7 Chapeau large de 1 cent., d'abord voûté, puis “déprimé, poisseux, brun ou gris cendré , à ombilic plus foncé. Pied gris-cendré, fibreux à la base, coriace, haut de 2-6 cen- tim., filiforme. Lames minces, un peu décurrentes.. Chapeau large de 1-2 centim. : d'abord campanulé, puis étalé, strié, couvert d'une membrane poisseuse, sépara- ble, coloré en gris, jauvâtre, bru- nâtre ou rouge-brun ou blanchätre. Pied jaunâtre, glabre, haut de 5 centim. et plus. Lames décurrentes par une. dents. 248 | Latex blanc clair. Chapeau grisâtre CROP CCC ou noirätre, membraneux, campa- nulé, strié, parfois saupoudré. Pied de la même couleur, haut de 5 cen- tim., radicant. Lames blanchâtres ou grises-blanchätres, amincies, ad- Latex rouge..... Chapeau membraneux, campanulé, voüté, strié, rougeûtre, pâle, sans latex, large de 5 millim. à 1 centim. Pied de même couleur que le cha- peau, plus päle, glabre, mou, haut de 6-7 centim., à latex rouge clair. Lames adhérentes, rougeûtres, à tranchant pourpre-noiràtre., Chapeau plus charnu, lisse, dentelé au bord, d’abord blanchâtre, puis sans latex, large de 5 millim. à 1 centim. Pied haut de 9-7 centim., raide, rouge-brun, à latex rouge-sang foncé. Lames ad- nées, blanchâtres dans toute leur ftendue .....". Lames libres.. Lames adnées ou décurrentes.. Chapeau brunäâtre ou gris jaunâtre sale, rarement blanc, large de 8-12 CPC rougeûtre, nee ...... RENE EEE millim., campanulé, puis étalé. Pied mou, un peu fragile, glabre, filifor- me, radicant, velu à la base, haut de 7 centim. Lames pressées, blan- ChES SE Chapeau bleu- verdâtre- livide, glabre, sec. Pied tenace, velu, pulvérulent. Lames grises..... Lames simplement adnées........... Lames décurrentes par une dent, ré- ticulées, anastomosées, blanches ou roses. Chapeau gris ou brun, d’abord conique, puis étalé, large de 2 cen- tim. environ. Pied lisse, verni, gla- bre, tomenteux à la base, qui est ra- dicante, fusiforme, haut de 5 centim, 11. ot 12. CHAMPIGNONS M. vulgaris PERS, M, epipteryqia Scor, M, galopus PERS. 9 M. sanguinolenta As, et ScH. M. hæmatopus Pers. 11 12 filopes Buzz. amicta FR. M. galericulata Scop. AGARICINÉS 511 PAS ONE AR ets .e chere og Eratdle 14% Odeur de raifort. Chapeau un peu charnu, campanulé, étalé, glabre, 13 rose ou lilas, ou bleuâtre, ou jaune, ‘\ à bord strié, large de 2-7 centim, Pied lisse, presque nu, raide, frangé à la base, haut de 10 centim. Lames sinuées, adnées, très larges, pàles... 27. pura Prrs. 14 { Lames blanches....... RFA D ele RE 15 PE ames roses Ou iAS. es se 2: à mo otre. e 16 Chapeau jaunâtre, see, strié, ombili- qué, large de 2 centim. au plus. Pied glabre, jaunûtre, filiforme, lui- sant, haut de 2-5 centim. Lames 15. larges, blanches .......2./%2:..:2..: M, luteo-alba Borr. Chapeau glabre, strié au niveau de l'ombilie, jaunâtre au niveau du disque. Pied blanc. Lames larges, Hans. 5 ue ne Teese mie M. gypsea FR. Chapeau rouge vineux, clair. Pied tu- buleux, hyalin, pourpré, à base 16.4 blanche, hérissée. Lames lilas...... M. Seynii Que. Chapeau blanchätre, rosé. Pied filifor- me, blanc. Lames roses...,......... M. Adonis Buzz, COLLYBIA Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, sou- vent allongé en une sorte de racine, cartilagineux, ordinaire- ment creux. Chapeau plan ou voûté, jamais campanulé, un peu charnu, à bord replié en dedans au début. Lames non décurrentes. Pied glabre ou à peine velu à la base, i lisse, non strié ni sillonné .,........... 2 Pied tomenteux, floconneux, velu ou prui- neux, ou bien strié ou sillonné...,..... #3 / Chapeau hyalin, jaune d'ocre, puis blan- châtre, slrié sur le bord, large de ? cen- tim. environ. Pied nu, rouge-brunätre ou jaunätre, haut de 5 centim, Lames > } libres, arrondies, blanches.......... . C. aquosa BuLL. 4 Chapeau lisse, rouge-brunâtre, sub- “dépri- mé. Pied rouge, “brunâtre ou jaunûtre, haut de 2 centim. Lames blanchâtres, sinuées, adhérentes, presque décurrentes par one. pétiie dont. dat fuste C. dryophila Buzz. 3 { Pied strié où, Sloné 2, La. 4 ”*} Pied tomenteux, floconneux ou pruineux. 9 ; Lames étroites, pressées......... ,....., o Lames assez distantes, larges... FLORE DE PARIS, 22 D78 CHAMPIGNONS f Chapeau d’abord voûté, puis étalé, un peu charnu, mou, humide, brun, pâlissant, large de 5-7 centim. Pied presque co- nique, plus épais dans le bas, rouge-brun foncé, haut de 5-7 centim. Lames blan- - / ches, presque libres, finement dentées..… °"\ Chapeau charnu, consistant, plan-voüté, blanc, taché de rouge brunätre, large de 7-9 centim. Pied ventru, plus mince dans le bas, de la couleur du chapeau, haut de 7-9 centim. Lames libres, blan- ches. linéaires. sue Su Aer ARE nâtre, tachetées, d'abord adhérentes en anneau, puis libres. Chapeau voûüté-plan, charnu, coriace, rouge-brunâtre ou jau- nâtre, large de 2-12 centim. Pied gonflé, sillonné, à base très allongée, fusiforme, d’abord plein, puis creux, rouge-brunà- Fe Lames blanches... FRS Vs : Lames d’abord blanches, puis rouge-bru- 6 tre haut dew/-12%centim. #1." Sur les souches ou les vieux troncs, où ÉRÉS)DLES Eee sonde dec LEE Lier AVE TE Sur le sol. Chapeau charnu, mince, coni- que, étalé, bosselé, sec, gris-brun ou bru- nâtre, presque velouté, frangé, large de 6-10 centim. Pied haut de 10-12 centim., fusiforme et radiciforme à la base, sillon- né, plein. Lames blanches, arrondies... | Chapeau charnu, membraneux, fragile, | plan, humide, strié, fibreux, d’abord brun ou gris cendré, puis blanchâtre, large de . 7-9 centim. Pied de grosseur uniforme, nu, strié, pâle, plein, comme rongé à la base, haut de 7-9 centim. Lames très larges, blanches, adhérentes......,..... Chapeau charnu, mince, poisseux, voüté- plan, bosselé, ridé, gris-brun, olivâtre, jaunâtre ou blanchâtre, large de 3-12 centim. Pied mince, raide, longuement | radicant, haut de 10-15 centim., glabre, puis SIIONNÉ,.:.,.: ccm -he-cit Pied naissant d’une bulbe formant une sortesde sclétolibn 42: rune see ER Pied ne naissant pas d’une bulbe......... 9, ? FÉE voûté-plan, ombiliqué, blanc, glabre, lisse, large de 4-6 centim. Pied haut de 1-2 centim.., fistuleux, blanc, prui- neux. Lames blanches, adnées. Sur de grands agaricinés et des feuilles pour- 10. Chapeau papilleux, pruineux, grisâtre. Pied couvert de poils capités formant des sorlés de Brippes tr er er ect C. butyracea Buzz. C. macilata Azs. et Scu. 7 C. fusipes . Brik C'. longipes BuL. C. platyphylla Fr. C. radicata ReELu. 10 11 C. tuberosa Buzz. C. racemosa PERS. AGARICINÉS 579 / Chapeau irrégulier, un peu bosselé, pres- que plan, glabre, grisâtre, ou jaunâtre, ou blanchâtre, large de 1 centim. Pied cou- vert de poils durs, finement fistuleux, ra- 11.{ dicant. Lames très pressées, linéaires, päles. Sur les aiguilles et les cônes des D ie UE ae Ce PR DEEE fe C. conigena PERS. Chapeau blanc-rougeätre. Pied atténué À dans le haut, rougeûtre, laineux...... .. C. hariolorum DC. CLITOCYBE Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, fibreux, élastique, toujours plein au début, souvent creux plus tard. Chapeau ordinairement charnu et plan, devenant ensuite infundibuliforme. Lames décurrentes ou"adnées, jamais si- nuées. Spores blanches ou blanchâtres. Chapeau humide, à chair mince, molle, Te OS EE CE 2 Chapeau non humide, à chair ferme, BON aqueuse: 5 de. ru sn ee eù mue 4 Chapeau d’abord voûté, ensuite plan, un peu ombiliqué, d'abord lisse, en- suite squameux ou furfuracé, large de 1-3 centim., ordinairement couleur d'ocre ou gris päle, rarement violacé. Pied grêle, haut de 5-10 centim.., fi- breux, souvent courbé, d’abord plein, puis creux. Lames épaisses, ordinai- rement violettes ou rouge-chair, puis saupoudrées de blanc par les spores, adnées ...... RER TES UE Done C. laccata Score. Chapeau d’abord déprimé, La ‘plus ou moins infundibuliforme....,....... 19 nâtre, devenant argileux, blanchàtre quand il se dessèche, lisse, glabre, à bord étalé. Pied d'abord plein, puis creux, pâle, de grosseur uniforme, haut de 2-5 centim. Lames distantes, gris cendré-blanchätre............... C. expallens PERS. Chapeau infundibuliforme, brun noi- râtre, ou grisätre, ou jaunâtre, lisse, presque glabre, large de 2-6 centim., à bord lisse, longtemps recourbé en dedans. Pied plein, un peu aminci dans le haut, brunâtre, fibreux, réli- culé. Lames distantes, unies à la base, brundtress. és ARRTYAC ANRT HER € . C. cyathiformis Burr. . plan, infundibuliforme, bru- Chapeau infundibuliforme............ 5 4,{ Chapeau d’abord voüté, puis plan ou plus ou moins déprimé au centre..... 7 #? 580 9: Chapeau glabre, lisse ..... MP A An Chapeau fibreux ou soyeux, d’abord voûté, puis infundibuliforme, bosselé, rouge-brunâtre ou jaunätre, pälissant ensuite et devenant presque blanchä- tre, mou, large de 2-8 centim., à bord mince. Pied épaissi vers le bas, ayant jusqu'à 5 centim. de haut, spongieux, plein, élastique. Lames peu distantes, blanches. Odeur agréable. Chapeau n'ayant pas plus de 6 centim. de large, d'abord ombiliqué, puis in- fundibuliforme, rougeâtre, glabre, lisse, à bord recourbé en dedans. Pied d’abord spongieux, plein, puis creux, glabre. Lames simples, päles, puis rougeûtres, Chapeau large de 60 centim., d'abord voûté, puis infundibuliforme, humide, glabre, lisse. Pied charnu, plein, de- venant souvent creux. Lames très pres- sées, minces, étroites, ramifiées, d'abord päles, puis ocracées, comme la chair. Chapeau blanc ou verdâtre, pâlissant.. Chapeau gris, d’abord saupoudré de gris, puis nu, large de 5-12 centim. Pied plein, spongieux, ferme, élasti- que, fibreux, strié, gris-blanchätre, haut de 5-7 centim. Lames presque décurrentes, pressées, blanches, pà- lissantes. Odeur agréable, rappelant celle de l'oranger..,-:.#--e2t IST Odeur d’anis. Chapeau d’abord plan, puis déprimé, gris-verdàätre clair ou verdâtre sale, un peu plus foncé et ti- rant vers le brun au centre, large de 2-6 centim., coriace. Pied plein, élas- tique, glabre, jaunâtre-blanchâtre, sou- vent épaissi et tomenteux, blane à la base. Lames larges, non pressées,un peu décurrentes, blanchàtres ou verdàtres. Pas odeur d'amis... #. hsesss seu Chapeau verdätre-blanchätre, bientôt déprimé, lisse, ondulé, soyeux au bord, large de 5-7 centim. Pied d’abord plein, puis creux, spongieux, fibreux, haut de 5-7 centim, Lames d'abord blanches, ensuite presque jaunâtres, étroites, un peu distantes. Chapeau d’un blanc éblouissant, plan ou déprimé, lisse, soyeux, large de ? centim. environ. Pied fistuleux, lisse, cireux, luisant, haut de 2-5 cen- tim. Lames minces, pressées, adnées, puis décurrentes..... dass soncpenas C. infundibuliformis Scuxrr. C. inversa Scor. C, gilva Pers. 8 C,. nebularis BATscu. odora BELL. C. plyllophila Fr. C. candicans PErs. TRICHOLOMA Fr. — Pied central, plein, charnu, dur, sans anneau ni volva. Chapeau voûté, souvent filamenteux-flocon- # AGARICINÉS 581 neux, ou soyeux. Lames festonnées, adhérentes, échancrées près du pied. Champignons de moyenne ou de grande taille. un 2 SE) + Chapeau sec ou simplement humide... ‘| Chapeau onctueux ou poisseux....... Chapeau lisse et glabre, tout au plus soyeux ou floconneux dans la jeunesse. } Chapeau floconneux, suyeux ou tomen- teux pendant toute la durée. ..... ce Chapeau brun, brun-rougeàtre ou rou- D'OMBRE - à: sam ae eo mere ec : Chapeau blanc, ou blanchätre, ou blanc MARMITE ee eee esse es enseptide sue Chapeau jaune soufre pâle ou rouge brunäâtre, à chair jaune sale devenant rougeûtre, large de 5-7 centim., lisse. Pied plein, parfois creux dans la vieillesse, jaune-soufre, haut de 5-9 centim., strié. Lames jaune-soufre, assez épaisses, adhérentes, arquées, distantes. Odeur désagréable...... Se Chapeau d'abord violet-grisätre pâle ou violet-rouge-brunätre, plus tard rouge-brunätre, lisse. Pied épaissi à la base, haut de 5-10 centim., gris bleuâtre, ou bleu blanchätre, légère- ment furfuracé. Lames violettes, puis rouge brunâtre, étroites, décurrentes, arrondies. Odeur un peu acide....... Chapeau blanc-jaunâtre, tacheté, voûté- plan, unguliforme, ayant jusqu'à 15 centim. de large, d’abord floconneux au bord, vers la fin crevassé. Pied de grosseur uniforme, floconneux au sommet, haut de 2-7 centim. Lames adhérentes par une dent, ventrues, blanchâtres.Saveur faible. Comestible. Chapeau blanc-jaunätre-ocracé , non tacheté, nu au bord, vouüté-plan, moins larges Pied un peu ventru, fibreux. Lames linéaires, blanchätres, adhérentes... ......%: Si Re : Chapeau à chair mince et molle. d'abord campanulé, puis élalé, bosselé, gris souris, brunätre ou bleuàtre, flocon- neux-squameux, large de 5-7 centim. et plus, à bord souvent échancré,. Pied de grosseur uniforme, fibreux, blanchâtre, plein. Lames gris-blan- châtre, décurrentes par une petite dent, finement dentées. ............ Chapeau d’abord glabre, puis fibreux- soyeux, enfin crevassé , squameux, blanc pur, quelquefois taché de rou- geälre, d'abord ovoïde, puis étalé, large de 5-7 centim. Pied de gros- seur inégale, strié, un peu radicant, presque glabre, haut de 3-5 centim. Lames pressées, minces, à peine dentées, T, sulphureum BcLz. T. nudum BuULL. T. gambosum FR. T. Georgii CLus. T. terreum SCHÆFF. T. Columbella Fr. 82 CHAMPIGNONS Chapeau jaunâtre, strié ou pointillé de squamules brunes, large de 7-9 cent. et plus. Pied aminci dans le haut, jauvâtre. Lames blanches, à tranchant 1-4 ‘jaune, échancré .................. . T. coryphæum Fr. Chapeau blane, à disque jaunâtre, bril- lant à l'état see, à bord droit. Pied blanc. Lames blanches. Saveur douce. 7. resplendens. AMANETA Fr. — Pied central, pourvu à la base d’un volva en forme de bourrelet et habituellement d’un anneau vers le haut. Lames libres, ventrues. | IN IT =— fl Î = WU = d —— x Fe tr: ET NN — a : RNA NET Fig. 660. — Amanita muscaria (Fausse Oronge). Pied pourvu d’un anneau..,..,.... Pied sans anneau ou à anneau peu distinct. Chapeau d’abord campanulé, puis plan, à chair mince, gris ou plombé, parfois n rouge-jaunàätre ou blanchâtre, nu, mem- braneux et sillonné au bord, rarement couvert de débris blanes du volva, large de 5-10 centim. Lames blanches. Pied fis- tuleux, blanc, floconneux-squameux, en- touré à la base d’un volva membraneux, . 7 | haut de 8-18 centim....... LE de DATE . À. vaginata BULL. Chapeau verruqueux, squameux, flocon- LA TaneUx OU IUPIITAICE ce s-eEee eE 3 | Chapeau (nue Rene rec ERA EEE #: 29 | / 1 \ 8. AGARICINÉS Chapeau rouge-orangé, pàlissant un peu, couvert de verrues épaisses, irrégulières, larges, blanchätres ou jauntres, finement strié au bord, large de 7-18 centim. Pied floconneux en dedans, puis creux, haut de 7-15 centim., blanchâtre , squamuleux, à base bulbeuse-ovoïde, munie d’un volva adné, bordé, et d’un anneau large, blanc, farineux. Lames blanches, rarement jau- nâtres. Très ee dan. cer Chapeau d’une autre couleur....,........ Chair blanche, invariable....,.....,,...... Chair devenant rouge sous l’écorce du cha- peau et du pied. Chapeau brunätre, gris- brunâtre, brun-rougeàätre, ou rouge sale, couvert de nombreuses petites verrues blanchâtres, inégales, large de 7-12 cent. Pied plein, aminci-conique dans le haut, subsquameux, muni vers le haut d'un an- neau membraneux, haut de 5-10 centim. Lames blanches, décurrentes linéairement, Chapeau blanc ou blanchätre....... se. 00 Chapeau gris-brunètre ou brunâtre-noirätre. Chapeau blanc, légèrement sillonné au bord, couvert de verrues polygonales, irré- gulières , quelquefois floconneuses, non persistantes, large de 7-10 centim. Pied de grosseur uniforme, squameux dans le haut, émergeant d'un bulbe campanulé, radicant, bordé et muni d'un anneau lacinié, haut de 12-15 centim. Lames ré- trécies, adhérentes. Vénéneux........ Chapeau blanchâtre. Pied marqué dans le haut de sillons concentriques .,......... Ames thbres MM CR mes eee ae, Lames adhérentes, décurrentes linéairement le iong du pied. Chapeau brun d'ombre ou couleur suie, furfuracé ou couvert de pe- tites verrues adhérentes, lisse au bord, large de 4-8 centim. Pied aminci dans le haut, subsquameux, bulbeux à la base, muni d’un anneau à bord entier, haut de DT ÉCRIRE = se rue Chapeau brunâtre, légèrement strié au bord, large de 10-15 centim., rugueux, couvert de verrues furfuracées qui se dé- tachent facilement. Pied cylindrique , squameux dans le bas, à moelle flocon- neuse, haut de 10-15 centim., à bulbe non bordé, à anneau campanulé, strié. Lames ventrues, libres. Saveur agréable, NÉREREUE Lee -se e eme Ro ed male a'alète Chapeau brunâtre passant un peu au vert ou au bleu, strié au bord, onctueux dans les temps humides, couvert de nombreuses petites verrues furfuracées , blanchâtres. Pied haut de 7-12 centim., d'abord plein puis creux, presque glabre, entouré à la base d’un volva en forme de bourrelet sépa- rable. Anneau ordinairement placé à mi- hauteur, oblique. Lames libres, minces. Chair blanche sous l'écorce. Vénéneux.. 583 A. muscaria L. 4 5 A. rubescens Fr. 6 7 A. solitaria BuLz. A. strobiliformis Vitr. 8 A. spissa FR. A. excelsa Fr. A. pantherina DC. CHAMPIGNONS x Chapeau blanc, blanchätre, jaunätre, ver- dätre on brunâtre. 00e SERRE Chapeau rouge-orangé, ou jaune d’or foncé, ou orangé pâle...... FT ste ee RS . 4 Chaveau blanc, blanchätre, jaunätre ou VÉLO Le see de ee EE Eee 10 Chapeau brun ou brunâtre, violacé, d’ abord campanulé puis étalé, humide, mais jamais 10.€ poisseux, lisse au bord. Pied tantôt grand, bulbeux et plein, tantôt plus mince et fistuleux, muni d'un volva libre et couleur d'ocre et d’un anneau brunätre. Lames adhérentes ....... scie Mestre NÉTIMNRE . A. porphyria FR, | Chapeau blanc, jaune pâle ou vert pâle, d’abord campanulé ou oviforme, puis étalé, onctueux en temps humide, à bord lisse. Pied aminci et creux dans le haut, à peu 11.{ près glabre, haut de 10 centim., à volva en partie atrophié, à anneau membra- neux. Lames arrondies, ventrues. Odeur assez. forte 424525 MU PANNES . A. phalloïdes FR, 1. 4 \ Chapeau, pied et lames blancs. ........... A. ovoidea BuLr.. ! Chapeau rouge-orangé ou jaune d'or foncé, :_ nu ou parfois couvert de très larges lam- beaux blancs du volva qui se détachent très facilement, strié au bord, d’abord hémisphérique, puis étalé. Pied plein, à 12.{ moelle floconneuse , jaune , à anneau jaune pâle et à volva renflé, blanchätre, haut de 8-15 centim. Lames jaune pâle. Comestiblé ins. desc: RE ti CET À, cæsarea Scop. Chapeau orangé pâle, à bord strié. Anneau PURE RE danois ete PR ... À. junquillea Quez. ARMILLARIA Fr. — Pied central, charnu, plein, se con- fondant avec le chapeau, pourvu d’un anneau, sans volva. Lames larges, adnées, habituellement décurrentes. Lames à bord non festonné. Sur les vieux troncs ou à leur pied..:..2,.2; Re Lames à bord festonné. Sur le sol. Chapeau i rouge-brunätre, brun ou jaune-rougeûtre, large de 6-12 centim., glabre, fibreux au bord, qui est replié en dedans. Pied aminci dans le bas, radicant, haut de 5-7 centim. Earnes blanchâtres.:: us 4212-20 Re A. robusta ALB. et SCH. On trouve surtout dans les environs de Paris la var. verna BuüuLz., Fe le chapeau est d'abord oviforme, puis étalé et enfin déprimé et dont le pied, de grosseur uniforme, est floconneux. 1% AGARICINÉS Chapeau sans squames ni verrues, mince, mou, d'abord voüté, puis étalé, ridé, vis- queux, ordinairement blanc, large de 2-7 centim. Pied plein, raide, épaissi dans le bas, haut de 5-7 centim., à anneau re- tourné vers le haut. Lames blanches, dis- tantes, arrondies, décurrentes linéairement. Chapeau couvert de petites squames velues, se détachant assez facilement, coloré en jaune-brunâtre clair, large de 5-10 centim. Pied spongieux plein, jaune-brunâtre, à anneau rabattu, haut de 5-12 centim, La- mes décurrentes par une dent.......... + © A. mucida SCHRAD. A. mellea FL. DAN. Qc LEPIOTA Fr. — Pied central, creux, distinct du chapeau, muni d’un anneau, sans volva. Chapeau jamais poisseux. Lames libres ou presque libres. 4. Chapeau n'ayant pas plus de 3-5 centim. de large, blanchâtre, à écorce mince, se dé- tachant en squamules, d’abord ovoide, puis étalé. Pied haut de 7-10 centim., gla- bre, bulbeux à la base, puis graduellement aminci de bas en haut, blanc, à anneau complet. Lames päles, très distantes...... Chapeau ayant plus de 5 centim. de large . { Pied lisse, cylindrique, à peine bulbeux, : blanchâtre, à anneau membraneux, haut de 6-12 centim. Chapeau blanchâtre, à écorce se détachant en écailles, large de 5-12 centim. Lames peu distantes. Comes- Ep te der EMA pes Se Pied couvert de squames très adhérentes, bulbeux à la base, sans rebord, atteignant jusqu'à 20 cent. de haut, à anneau large, brun-grisätre. (Chapeau brun-grisâtre , d'abord ovoïde, puis plan, large de 7-25 centim., à écorce épaisse, se déchirant en squames larges. Lames blanches ou rare- ment jaunâtres, à bord souvent un peu noirâtre. Comestible.. stores. ... _....... ss... O leur à peu près nulle. Chapeau d’abord grèle, haut de 5-7 centim., subsquameux. Lames d'abord blanches, puis jaunûtres, DECESOS. reset L. mastoidea Fr. 3 L. excoriata SCHÆFF. L. procera Scop. L. amiantina Scor. 33. »86 CHAMPIGNONS Chapeau large de 2-4 centim., d’abord cam- [ panulé, puis plan, à écorce se déchirant vers la fin en squames granuleuses, brunes, blanches ou roses. Pied haut de 5 centim., mince , soyeux, fibreux. Lames libres, d’abord pressées, puis distantes. Odeur et saveur fortes, désagréables..... .,..,.,.... L., cristata Ars. et Scu. Chapeau brun de rouille, à chair molle, large de 7-9 centim., à écorce se déchirant en squames tomenteuses, très adhérentes. Pied creux, un peu bulbeux, squameux. Lames très pressées, ramifiées. Odeur forte. Z. Friesii Lascu. ot CLAUDOPUS Wortx. SmiT. — Pied latéral, sans anneau ni volva. Chapeau renversé, gris, gris-rougeñtre ou blanc, peu charnu. Lames distantes, larges. Spores roses ou rougeûtres. C. variabilis Pers. — Chapeau blanc, feutré, d’abord re- tourné, puis renversé. Pied court, tordu, velu. Lames larges, distantes, d’abord blanchâtres, puis rougeûtres. VOLVARIA Fr. — Pied central, entouré à la base d’un volva en forme de gaine membraneuse, sans anneau. Chapeau charnu. Lames libres, ventrues, d’abord blanches, puis rou- seâtres. Spores roses ou rougeâtres. Chapeau glabre, plus ou moins gluant......, ? Chapeau scarieux, filamenteux ou soyeux.... 4 Chapeau large de 5-12 centimètres. .... Je 010 3 | Chapeau n'ayant pas plus de 1-2 centim. de 2.) large, d'abord campanulé, puis aplati, d'abord visqueux, puis sec et soyeux, blanchâtre. Pied soyeux, presque fistuleux, de grosseur uniforme, haut de 2 centim. Lames rose chair. V. parvula WErNm. Chapeau large de 7-12 centim., blanchätre, gris au centre, à bord lisse, blanc. Pied plein, grèle, renflé dans le bas, velu, blanc, haut de 7-15 centim. Volva lâche, velu. Lames rose-Chair.. .., «es me AE PO ... ..V. speciosa FR. Chapeau brun-suie, à bord strié. Pied plein, glabre, brunâtre ou jaune-rougeätre. Volva AIT SAONE OCR s. did CEE V. glojocephala DC. Chapeau gris ou brun-suie, rayé de filaments noirs, pressés. Pied de grosseur uniforme, haut de 7-15 centim. Volva lâche... ............1 V. volvacea Bu. Chapeau blanc ou blanc-brunâtre, couvert de filaments soyeux, un peu bombé. Pied atté- nué. Volva très écarté.............e .... V. bombycina ScHærr. 4. LEPTONIA Fr. — Pied central, sans volva ni anneau. Cha- peau mince, se confondant avec le pied, ordinairement voûté, filamenteux ou squamuleux, à bord infléchi au début. Lames adhérentes ou libres. Spores roses ou rougeâtres. Petits cham- pignons élancés. AGARICINÉS 587 Lames blanchätres, noires sur le tranchant. 1 Chapeau fibrilleux, gris-noirâtre. Pied gris * } fumée... :.:52. ET RENE SP CE ere CES TRRRC FR: Lames bleues ou violettes...,...,...,......, 2 Chapeau voûté, squamuleux, violacé, Lames 2. ( violettes, à bord plus foncé............,.. . L. euchroa Pers. Chapeau campanulé, d’abord glabre, puis strié. 1 PAMESIDIOUER ES tee senndigmounacecessate nc Le UCEMMMNOERRE NOLANEA FR, — Pied central, sans volva ni anneau, car- tilagineux, toujours coloré. Chapeau mince, plus ou moins membraneux, se confondant avec le pied, campanulé, nu, sou- vent brillant comme de la soie, à bord primitivement droit et pressé contre le pied. Lames adhérentes ou libres. Spores roses ou rougeätres. Petits champignons élancés. Chapeau campanulé, conique, glabre, couvert de papil- les, strié, soyeux, couleur isabelle. Pied nu, lisse, luisant, dur, blanc-farineux au sommet, haut de 7-9 centim, Lames d'abord adhérentes, puis libres, assez pressées, d'abord grises, puis rougeûtres, Champi- gnon doué d’une odeur spéciale....,..............., NN, mammosa Fr, Chapeau conique-étalé, presque ombiliqué, glabre, strié, scarieux, luisant, lar ge de 1-4 centim., coloré en gris, brun noirätre ou gris Hate, Pied filamen- teux, soyeux, strié, gris, haut de 2-7 centim. Lames gris sale ou gris-rougetre, ventrues, pressées, presque HRPOSE SE SACS M EPA tete dre mais nus SUDeseseeeass IVe) HUSCURTPEUT CLITOPILUS F8. — Pied central, sans volva ni anneau, charnu ou fibreux. Chapeau plus ou moins charnu, de taille ordinairement assez grande, se confondant avec le pied. Lames non festonnées, décurrentes, ne se séparant pas du pied. Lames blanches ou blanchätres, devenant ensuite rouge chair, pressées. Chapeau blanc-jaunâtre, humide, presque visqueux, déprimé, plan, large de 2-7 centim., à chair blanche. Pied court, légèrement excentrique, renflé dans le haut, floconneux. Comestible........... C. orcella Buzz. Lames gris foncé, pressées. Chapeau gris, flasque, irré- gulier, large de 2-5 centim. Pied gris, haut de 25 centim., de grosseur uniforme. Odeur très prononcée de farine fraiche. Gornestiblens. AN. 28, «20 .... C. popinalis FR. PLUTEUS F8. — Pied central, sans volva ni anneau, charnu ou fibreux. Chapeau distinct du pied, plus ou moins charnu. Lames entièrement libres. Toujours sur des troncs d'arbres ou dans leur voisinage. Spores roses ou rougeâtres. 588 CHAMPIGNONS large de 3-7 centim. Pied plein, glabre, strié, Chapeau nu, glabre, strié au bord, jaune, jaunâtre, RP épaissi à la base. La- “\#mesrose-Jaunatre nn 0. DCE Chapeau fibrilleux où floconneux, ou prui- neux, pulvérulent::..22:5%% Ve DE RE » { Chapeau fibrilleux ou filamenteux..... AE 7‘| Chapeau pruineux, pulvérulent........ . Chapeau d’abord campanulé, puis étalé, bb un suie, se EE HT à la fin en fibrilles ou en écailles, large de 5-7 centim. Pied haut de 7-9 centim., plein, blanchâtre, couvert de 3.{ filaments noirs. Lames d'abord blanches, puis (TOSÉES. sex net RM Chapeau brun- ombré, d'abord villeux , puis lacuneux, rugueux, à bord cilié, fimbrié. La- mes brunes sur le tranchant. . PR OR ! Chapeau large de 2 centim., d'abord voüté, puis plat, brun- -suie, ridé, floconneux, prui- neux. Pied haut de 2-3 centim., plein, dur, *] strié, blanc. Lames rose-chair....... Chapeau blanc, pruineux, sillonné. Pied pu bescent, bulbeux à la base................ n D LUE P, P. P. P, . leoninus SCHÆFF. cervinus SCHÆFF,. umbrosus PERS. nanus PERS. semibulbosus LAscH. COPRINUS Pers. — Pied central, sans volva, avec ou sans anneau, blanc ou gris pâle. Chapeau d’abord blanc, gris, jau- nâtre ou brunâtre, puis noircissant et se dissolvant en un liquide noir; parfois les lames seules se liquéfient, le chapeau devenant seulement noir et humide, Spores noires, ellipsoïdes. Chapeau plissé, d'abord cylindrique, ovoïde, puis étalé et enfin déprimé, à peu près nu, d'abord brun, puis gris-cendré, bleuâtre, très délicat, large de 1-2 centim. Pied mince, sans anneau. Lames gris-noirâtre, se déta- _— echantiduspied......u, PR I 0 CE Chapeau non plissé.......... PRE dés sae > | Pied pourvu d’un anneau ..........,....... ÉHeP'ediEans anneau: 2. Lecce DRE à Pied muni d'un anneau mobile ou très fu ENT ET PS PUB EE SE ar er 5 Pied muni d'un anneau formant à sa base une sorte de gaine. Chapeau blanc, cireux, puis pulvérulent, rougeâtre, sillonné....... Chapeau mince, glabre, brunätre. Pied muni au début d'un anneau mince et très fugace. Chapeau d’abord cylindrique puis étalé, blanc rosé, se découpant en écailles larges , épaisses, déprimées. Pied muni d'un anneau CS MODE SN Re ee nee rech ste SN < Chapeau couvert d'écailles ou de squamules, ou floconneux, ou granuleux.......... ot on 2 Rs RL Chapeau lisse, luisant, strié-côtelé, globuleux au début. Lames adnées à l’ extrémité du pied ÉTAT se een svetRte ls TE os MST C. plicatilis Curr. C. oblectus Fr. C. Hendersonii BERKk. €. 6 C. comatus FR. velaris FR. Rae ae De honrte ee Sven PE 13 NP EME ae ne. Re 2 Lee ree ne Pied zoné, ferme, à voile fugace. Chapeau blanchâtre, cendré, rosé au sommet, maculé de petites écailles adhérentes, brunâtres. Lames libres, ventrues, d’abord blanches, puis brun-pourpre et noiràtres............. PRO MMS Te due due du sas à s route Chapeau biane, parsemé de larges écailles blanchâtres, ovoide-campanulé, ‘ayant jus- qu'à 5 centim. de large. Pied tuberculeux à la base, fragile, nu, haut de 1-2 centim. Lames libres, ventrues, gris-NOir.........4.e 8.4 Chapeau gris-cendré , Couvert de petites écailles floconneuses, d’abord claviforme, puis conique, ensuite déchiré, ayant jusqu'à 5 centim. de large. Pied renflé à la base, finement écailleux. Lames libres, d’abord lancéolées, puis linéaires, noires.......... = { Chapeau rouillé-brunätre, d'abord granuleux, puis nu, d’abord ovoïde, puis campanulé, finalement crevassé, sillonné, large de 59 centim. ou moins. Pied blanchâtre, soyeux, 9,{ haut de 7-12 centim. Lames adnées, d’abord blanchätres, puis noirâtres, lanceolées...... Chapeau ferrugineux, fendillé, squamuleux et granuleux, à “disque rose. Lames largement Fe C. 8 C. 289 atramentarius BuLL. picaceus BULL. C. fimetarius L. C. micaceus BULL. adnées, brun-cannelle, puis noirâtres. . C. tergiversans Fr. BOLBITIUS F8. — Pied central, tubuleux. Chapeau ne se liquéfiant jamais, moite, souvent onctueux. Lames se liquéfiant seulement en partie, simples. Spores ovoides, couleur rouille. Chapeau jaune, gluant, à bord sillonné....... Chapeau brun-châtain, ou roussätre, humide, scarieux, à bord un peu craquelé, d'abord 1.4 voûté, puis étalé, large de 5 centim, et au delà. Pied filamenteux, un peu farineux au sommeil. Voile parfois très fugace. Lames adhérentes, ventrues, pressées, brun-cannelle. ........ ; Chapeau jaunâtre, à disque plus sombre, d' abord | conique, puis étalé. Pied jaunâtre. Lames 9 presque adnées, d’abord jaunâtres, puis brunä- MePAfres-Ne:se liquéfie pas; se fane et se ratatine. Chapeau jaune-d'œuf. Pied à écailles blanchà- tres. Lames jaune-d’ocre, peu adhérentes... B. hydrophilus Buzz. B. Boltont Pers. B. vitellinus PERS. STROPHARIA Fr. — Pied central, muni d’un anneau dis- tinct, sans volva, se confondant avec le chapeau. Chapeau jau- nâtre ou verdâtre. Lames adhérentes. Chapeau ne se liquéfiant jamais, les lames un peu ou devenant humides. Spores noirâtres. Chapeau jaune... ... seu. ssevt sitrassee. 2 Chapeau vert-de-gris, couv ert d'une couche gélatineuse qui disparait en vieillissant, 1 charnu, voùté, Pied gluant, bleuàtre, écail- leux ou filamenteux au-dessous de l'anneau, haut de 5-7 centim. Lames adhérentes, molles, colorées en brun-pourpre..... .…. S. æruginosa CURT. 590 CHAMPIGNONS Chapeau jaune, presque visqueux, flocon- neux et muni d'écailles concentriques, charnu, mince, large de 2-7 centim. Pied > grèle, visqueux, canaliculé, brun rouille, E filamenteux, écailleux ou feutré, haut de 7-9 centimes RE . S. squamosa FR, Chapeau jaune, visqueux, ombiliqué. Pied fistuleux, lisse, ,. 4. se ie seance 0r M HCOMMIORS PR ADAN. PSALLIOTA Fr. — Pied central, pourvu d’un anneau dis- tinct, sans volva, distinct du chapeau. Chapeau ordinairement blanc ou blanchâtre. Lames libres. Pied DIQIR. dent mens concret dre Den A oo Pied creux, médulleux, ‘floconneux, muni d'un double anneau, haut de 12 centim Chapeau blanchäâtre, d'abord poudreux, floconneux, puis 1.4 nu, lisse ou cannelé, à chair blanche, ne changeant pas de couleur. Lames d’abord rougeàtres- blanchâtres, puis brunes, ne se liquéfiant pas. Odeur et saveur agréables. Co- TPS MHDIPE ER --cr ces done ee en se. P, arvensis SCHÆFF. Î Lames pointues en avant, Rien en arrière, | d'abord gris-cendré, puis brunes. Chapeau d'abord ovoide, puis étalé, lisse ou muni d'écailles fines, charnu, dur, large de 5 cen- lim., coloré en gris-cendré-blanchâtre. Pied renflé à la base, nu, haut de 2 centim., à an- neau caduc. Comestible .............. ss... P. pratensis SCHÆFF. Lames ventrues, d'abord couleur chair, puis brunes, se liquéfiant en partie, Chapeau d'abord voûté, puis aplati, soyeux, floconneux ou muni de fines écailles; chair blanche, rou- | gissant un peu. Pied lisse, blanc, avec un \ anneau déchiqueté. Comestible,.............. P. campestris L. 1. PSATHYRELLA Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, ferme. Chapeau membraneux, strié, à bord ne dépassant pas les lames. Lames noires. 1. On distingue dans cette espèce, qui est très répandue et que l’on cultive: sur une grande échelle sous le nom de Champignon de couche, les formes suivantes : @. P. alba Beck. — Chapeau soyeux, blanchâtre ou jaunâtre päle; pied court. B. P. praticola Vitrr. — Chapeau brun-rougeätre, écailleux, à chair de- venant brun-rougeûtre. y- P. rufescens Beck. — Chapeau brun-rouge, à écailles très fines. Pied allongé. à. P. umbrina Virr. — Chapeau brun-ombré, lisse. Pied très écailleux.. On distingue comme variété véritable le P. silvicola Virr., à chapeau lisse, luisant, blanc; à pied allongé, tubéreux ; à lames d’abord blanchâtres,. puis brunätres. AGARICINÉS ; 591 Pied flasque, déformé, d’abord argileux, puis nu, haut de ?-3 centim. Chapeau argileux, puis nu, jaunâtre, puis gris-cendré, strié, sillonné, plissé. Lames d'abord grisätres, puis noires......,..,.... P. disseminata PERS. Pied raide, droit, nu, velu dans le bas, haut de 7 centim. et plus. Chapeau brunâtre ou gris-plombé, devenant couleur cuir par la dessiceation, strié, campanulé, conique. Lames adhérentes, larges, assez distantes, gris-cendré-noirâtre...,.......... ÆP, gracilis PERS. PANÆOLUS Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, ferme. Chapeau conique, ne se liquéfiant jamais, un peu charnu, non strié, à bord dépassant les lames au début. Lames grises, tachetées de noir, devenant humides. Spores noirâtres. Chapeau rouge-noiràtre, devenant gris pale par la dessiccation, hémisphérique, large de 1-2 cen- tim., un peu luisant. Pied blanchätre, mince, blanc-farineux au sommet, haut de 7-9 ceniim. Lames adhérentes, d'abord gris-perle, puis noi- MS TROT En sr Sa 0 es Mat de de USE 08 . P. papilionaceus BULL. Chapeau brun ou rouge-brun, scarieux, un peu luisant, nu, campanulé, large de 2-3 centim. Pied rouge-brunâtre, strié et poudré de noir au sommet. Lames adhérentes, grises ou bariolées de noir, à tranchant souvent blanchätre.,...... P. campanulatus L. PSATHYRA Fr — Pied central, sans volva ni anneau, blanc ou blanchâtre, tubuleux, lisse, fragile. Chapeau ne se liquéfiant pas, d'abord pressé contre le pied, conique ou cam- panulé. Lames brunes. Spores pourprées. Champignon transpa- rent comme de l’eau. P. spadiceo-grisea ScHÆrr. — Chapeau large de 2-7 cen- tim., d’abord brun-châtain, puis gris. Pied blanc. Lames brunes. PSILOCYBE Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, coloré, coriace ou raide. Chapeau ne se liquéfiant pas, à bord infléchi au début. Lames brunes ou pourprées. Voile nul ou fugace. Spores pourprées. P. spadicea ScHxrr. — Chapeau large de 5-7 centim., un peu charnu, d’abord voüûté, puis plat, brun-jaunâtre ou brun châtain, à bords blanchâtres, charnus, craquelés. Pied haut de 2-7 centim., lisse, blanchâtre, un peu poudreux au sommet. Lames blanchâtres, puis brunâtres ou noirâtres, ventrues, pressées. HYPHOLOMA Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, coloré, coriace. Chapeau ne se liquéfiant pas. Lames de couleur foncée, adnées ou sinuées. Voile en toile d’araignée, fugace. { + ru À . F2 LA TS RS à 592 CHAMPIGNONS 1 { Chapeau humide.........,,............ 2 "C'Chapeau non humide eu LEE # ‘ Chapeau nu, lisse........ Oo Ep SE Chapeau écailleux, large ‘de 25 centim. ” d'abord blanc, puis brun-jaune, couvert de 9 petites écailles adhérentes, plus foncées, . ”‘} charnu, à chair blanchâtre, Pied blanchâtre, r écailleux, filamenteux. Voile blanc. Lames d’abord blanches, puis brun-pourpre, se li- quéfiant .. Madonna ce . À, lacrymabundum Fr. Chapeau d’ abord brun-châtain, puis jaune-rou- geàtre, d'abord ovoïde, puis étalé, ridé. Pied nu, haut de 8-9 centim, ., annelé au sommet, de grosseur uniforme, Lames presque adhé- rentes, d’abord blanchâtres, puis brun clair. 5.4 Sur'les troncs d'arbres. L,r. 4.000 H. appendiculatum Bu. Chapeau blanchâtre, avec le sommet jaune d'ocre, d'abord voüté, campanulé, puis étalé. Pied haut de 8-9 centim., renflé à la base, strié au sommet, Lames adhérentes, d’abord violettes, puis brun-cannelle. Sur le sol... 7, Candolleanum F8. Chapeau ordinairement jaunâtre, avec le centre brunâtre foncé. Pied jaune, fistuleux, mince, déformé, filamenteux. Lames d'abord jaune-soufre, puis verdâtres, se liquéfiant en partie, très pressées. Saveur amère..... H. fasciculare Hups. Chapeau rouge-brique, ou jaunâtre, à bord päle, nu, scarieux. Pied plein, filamenteux, ordinairement brun-rouille. Lames d’abord blanches, puis brun-olivätre, pressées. Sa- veur Un peu AMÊTE, . ss ee sons ee .…..…...... À, sublateritium SCHÆrr. MYXACIUM Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, pois- seux. Chapeau mucilagineux ou onctueux, au moins dans la jeunesse, charnu, assez mince. Lames adnées, décurrentes. Voile poisseux. Spores jaunâtres. Chapeau ni plissé ni ridé.....,..,......,......... 2 Chapeau plissé, jaune- brunâtre ou noir- -brunâtre, d'abord presque cylindrique, puis étalé, large de 1.4 5-9 centim. Pied haut de 10-12 centim., squameux ou soyeux, blanc, souvent teinté de violet, Lames très larges, unies par des nervures ou des plis, ad- nées, Éran-rouillé: ss: suc ce eee NS MW. elatius Fr. Chapeau charnu, d'abord voüté, puis ‘’aplati, jaune rougeàtre ou brunâtre, large de 2-9 centim, Pied cylindrique, mou, crevassé, “écailleux, haut de 5-10 centim. Lames adnées, d'abord jaunâtres, puis brun > / Cannelle... cos eee se 0 des ne eee matos ses . M. collinitum Fr. Chapeau aplati, jaune-rougeûtre, large de 7-9 cen- tim. Pied cylindrique, blanc- -jaunâtre, haut de 15-20 centim., soyeux, gluant, Lames adnées, décurrentes, larges, finement dentées, d'abord jaune- pauié, puis jaune- ous UE ere Ne ssocnsavenense. COTON. PHLEGMACIUM Fr. — Pied central, sans anneau, ferme sec, souvent renflé à la base et entouré d’un bourrelet. Voile en toile d’araignée. Chapeau charnu. Spores jaunâtres. : AGARICINÉS 593 P. fulgens ABB. et ScH — Chapeau jaune d’or, luisant, soyeux-fibreux, parfois squameux, à chair blanc-jaunâtre, spongieuse, un peu amère. Pied jaune vif, tomenteux-fibreux. Voile jaune. Lames colorées d’abord en jaune, puis brun- rouille. s TELAMONIA FR. — Pied central, sans volva, compact, ferme. Voile fibreux-floconneux, formant autour du pied une collerette tendre. Chapeau moite. Lames se desséchant, dura- bles. Spores jaune pâle ou cannelle. Chapeau ombiliqué, d’abord conique, glabre, luisant, d'abord brun, devenant jaunâtre en se desséchant, presque membraneux, large de 2 centim. Pied haut de 5 centim., päle, courbé, couvert d'écailles blan- ches, d’abord plein, puis creux, Lames minces, d'abord couleur rouille, puis cannelle. Odeur repoussante .... T. rigidu Scop. Chapeau large de 5-12 centim., ombiliqué, humide, jaune-rougeûtre, se déchirant et disparaissant, Pied de la même couleur, plein, haut de 5-7 centim. Lames assez distantes, brun-rougeätre. ..,............. .... T. helvola Fr. DERMOCYBE Fr. — Pied central, sans volva. Voile filan- dreux, très éphémère. Chapeau charnu, sec, d’abord soyeux, à chair mince. Lames durables, se desséchant et pâlissant en vieillissant. D. cinnamomea L. — Chapeau large de 2-7 centim., large- ment ombiliqué, brun cannelle, d’abord couvert de fibres ou de squames jaunâtres, puis glabre. Pied mince, d’abord plein, puis creux, jaunâtre. Lames larges, pressées, brun-jaunätre ou brun- rougeâtre-sang. INOLOMA FR. — Pied central, sans volva, souvent plus ou moins tubéreux à la base, ferme, charnu. Voile filamenteux, adhérent au bord du chapeau. Chapeau à chair épaisse, sec, d’abord soyeux. Chapeau faiblement ombiliqué , jaunâtre päle, muni d'écailles pressées, velues, colorées en jaune safran, large de 2-7 centim. Pied mince, de la couleur du chapeau, de grosseur à peu près uniforme. Lames pressées, presque décurrentes, couleur cannelle, BNAHRES 2 STR . Rreen Oae CR TODE Lrele I. bolare PERS. Chapeau violet foncé, velu-squameux, large de 7-14 centim. Pied tubéreux, velu, gris-violet, haut de 9 centim. Lames adhérentes, larges, violettes...... 1. violaceum L. PAXILEUS Fr. — Pied souvent excentrique, sans anneau ni volva. Chapeau visqueux, toujours replié en dedans. Lames nombreuses, plus ou moins ramifiées, décurrentes. Spores ellip- soides, couleur rouille. 39% CHAMPIGNONS duveté, puis glabre, visqueux jaune sale où blanchâtre, se contractant. Pied atéral, court. Lames décurrentes, pres- sées, ramifiées, crépues, jaunes........ P, pannoïides Fr. Chapeau non dimidié, d'abord voûté, puis ombiliqué ou infundibuliforme. . è Chapeau couleur rouille, d’abord fine- ment tomenteux, à bord mince, largé de 12 centim. et plus. Pied haut de -7 centim., tomenteux, brun-noirâtre, a ordinairement latéral. Lames : adnées, jaunàtres, rameuses à la baso., P. atro-tomentosus BATSCH. A che humide, brun-rouille ou brun ocre, large de G- 12 centim., à bord to- menteux, à chair jaunâtre. Pied haut de 4-7 centim., souvent tuberculeux à la base, glabre, jaune sale. Lames lar- ges, ramifiées, se tachetant quand on les ET PE ANR RER PAR PR AT P. involutus BATSCH. ee dimidié, conchiforme , d'abord GOMPHIDIUS Fr. — Pied central, sans volva. Voile muci- lagineux-membraneux. Chapeau à bord aigu, non infléchi. Lames distantes, plus ou moins ramifiées, décurrentes, adhé- rentes au chapeau. Spores noirâtres ou brunâtres. Chapeau d’abord voüûté, puis plan, brun-grisâtre ou pourpré, puis noirätre, onctueux, large de 3-12 centim. Pied plein, blanchàtre ou bru- nâtre, jaune vif à la base, atteignant 7 cen- timètres de haut. Lames d’abord blanchâtres, puis gris-cendré............. esse rscsees (fr. QUPROSUS SCHEFF. Chapeau voüté, avec le centre saillant, brun- rouge, large de 5-7 centim., visqueux. Pied brun-rougeûtre, atteignant 7 centim. de haut. Lames pourprées-noirâtres .....,..........., (. viscidus L PHOLIOTA Fr. — Pied central, sans volva, pourvu d’un anneau jaunâtre ou brunâtre, ordinairement écailleux. Chapeau ordinairement écailleux. Lames adhérentes ou adnées. Champignons croissant sur le sol......., 2 1. Champignons croissant sur les troncs d'ar- bres, les morceaux de bois.......,..... 6 Chapeau jaune ou blanc-jaunätre....... i «8 Chapeau brun-ferrugineux, strié au bord. Pied grèle, blanc. Anneau blanc. Lames arrondies, Hbres)2 re. ess ru P. blattaria FR. ! Chapeau blanc-jaunûtre, charnu, dur. Pied d’abord médulleux, puis creux ; cylindrique, finement velu , farineux , blanc, Anneau blane s caduc. Lames pressées, adhérentes, arrondies, d’abord blanches, puis brunâtres. Spores brun LOTCBL NC NME LP . _P, PprætomIPERS: Ghapéau jauné.i 9 ne Tiens ca à à me NS AGARICINÉS 595 Chapeau incrusté de flocons superficiels, blancs. Pied blane. Lames argileuses... P, caperata Pers. , *°) Chapeau nu. Pied à base épaissie. Lames DER RE AS mit ee. bte jh tele ee P. sphaleromorphus Brie. =. { Chapeau nu........,...............,... (0 RP RER CAPE LE seras ee ce gaistaie se PEL: Pied radiciforme, allongé, farineux, cou- vert d'’écailles concentriques. Chapeau 6.4 glabre, lisse, tacheté, large de 7-1? cent. Lames ventrues, libres. Odeur agréable, P. radicosa Buzz. PIEd NON TAIGMETIRE :.. . 0. eus smeuvee ee 7 | Pied dur, squarreux-écailleux , brun rouille, creux, fréquemment tordu, haut \ de 2-6 centim. Chapeau brun-cannelle. | Lames décurrentes-adnées, d’abord pâles, -} puis brun-cannelle, pressées........... P. mutabilis SCHÆFF. Pied mou, non écailleux. Chapeau hu- mide, strié au bord. Lames adhérentes, étroites, brun-cannelle ...... Seche NU. ROTUJMAIQ BATSCE: © Chapeau visqueux-adipeux, luisant, jaune, couvert d’écailles plus foncées, large de 15 centim. Pied jaune, écailleux, haut de 7-15 centim. Lames d'abord jaunes, ds D Dre rule ns. de mree P, adiposa BATSCH. Chapeau jaune, couvert d’ écailles plus päles, caduques. Pied floconneux au- \ dessus de l'anneau.......... s-suaé ones Pt plialerata Fr. TUBARIA Suiru. — Pied central, sans anneau ni volva, cartilagineux. Pas de voile. Chapeau presque membraneux. Lames décurrentes. Champignons de petite taille. T. furfuracea Pers. — Chapeau d’abord voûté, puis plat et ombiliqué, brun-cannelle clair, large de 2-3 centim., à bord écailleux-soyeux. Pied haut de 2-5 centim., argileux-flocon- neux, blanc et floconneux à la base, canaliculé. Lames assez distantes, brun-cannelle. GALERA Fr. — Pied central, sans anneau ni volva. Pas de voile. Chapeau membraneux, strié, à bord d'abord droit et pressé contre le pied. Lames non décurrentes. { Lames assez distantes, presque dentelées, adhérentes, d’abord brun-cannelle, puis jaune rougeâtre. Pied mince, flasque, déformé, 1.4 jaune ou jaune-rougeàtre. Chapeau jau- nâtre, papilleux, humide , large de 5-16 millimètres. ............ ET RER EC .…. G. hypnorum BATSCH. 2 Rames-presséessi 05e cle dore MEL D96 CHAMPIGNONS ; { Pied blanc, annelé de blanc, haut de 10 centim. Chapeau d’abord glandiforme, puis conique, lisse, d'abord jaune isabelle, puis jaune d’ocre, humide, large de 2 centim. Lames linéaires, brun-rouille-jaune, pres- 24 qe Mrs ru ati ment DEEE G. lateritia Fr. Pied jaune d’ocre, lisse, atteignant 7 centim. de haut, lisse. Chapeau campanulé-conique, humide, finement strié, large et haut de 1 centim., jaune d’ocre. Lames larges, brun Canne ne, eu sn see Nb At: . (G. tenera SCHÆFF. NAUCORIA Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, creux ou spongieux. Pas de voile. Chapeau plus ou moins charnu, non strié ou seulement au bord, à bord infléchi au début. Spores brun-rouille. Lames simples, durables. Chapeau jaune-cire ou jaune d'ocre, Pied nu, jaune, fenrugineux à la base... 541.0, A OT A N. cerodes Fr. Chapeau jaune, plan-convexe. Pied jaune, pruineux déns le hapt.....,::.. «es ae nes IR N PT N. melinoïides Fr. FLAMMULA Fr. — Pied central, sans volva ni anneau, fibreux-charnu. Voile très fugace, filandreux. Lames adhéren- tes, à bord entier, d'une seule couleur. Spores couleur rouille, ordinairement sur du bois. Chapeau ferrugineux, squamuleux. Lames lon- puémentdecurrentes.ee 2 esse ere F. gjymnopodia Buzz. Chapeau visqueux, blanc. Pied blanchâtre. La- mes blanchâtres-jaunâtres. ...........2.290. F, helomorphus Fr. HEBELOMA Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, charnu ou charnu-fibreux. Voile très fugace, filandreux ou nul. Chapeau lisse, un peu poisseux dans les temps humides. Lames festonnées, à tranchant plus clair, se liquéfiant parfois. Spores couleur rouille. Chapeau charnu, un peu visqueux, blanchâtre ou jaune päle, souvent plus foncé au centre, à bord se liquéfiant, à chair rougeûtre pâle, large de 2-7 centim. Pied un peu tubéreux à la base, haut de 7 centim. Lames étroites, finement dentées. Odeur de raifort.......... H. Crustuniliforme Buzz. Chapeau jaunâtre, plus foncé au centre. Pied atténué dans le haut, rougeàtre, fibrilleux- SÉRIE en reel ea s abs NE a die ae dE Le ARR H. capnocephalum BuLz. INOCYBE Fr. — Pied central, sans anneau ni volva, “harnu ou charnu-fibreux. Voile filandreux, très fugace. Cha- peau sec. Lames blanchâtres, se décolorant, d’une seule couleur, festonnées. Spores couleur rouille. 4.4 Pied blanc ou blanchätre, plein................. 2 Fiedpolofés 1er. A ARR NE cn 5 POLYPORÉS 097% blanc, haut de 2-5 centim. Chapeau blanchätre, lilas ou brunâtre, feutré-soyeux, filamenteux, d'abord conique, puis étalé, large de 1-2 centim. Lames d'abord blanches, puis terreuses, adhé- rentes. Odeur de terre ..... La ae de .. ZI. geophylla Sow. Pied filamenteux ou écailleux-floconneux ....... 3 Chapeau d'abord brun, puis jaunâtre, ordinaire- ment couvert d'écailles pressées, fendillé, large de 2-5 centim. Pied ferme, un peu tubéreux, farineux dans le haut. Lames ventrues, presque DRE Em in. Late ere 0e 1. rimosa BuLL. Chapeau fibrilleux, ombiliqué. Pied blanc, prui- M eur se ER Es tte OUR RATE CCR IR I. corydalina Mer. Chapeau gris-souris, floconneux-écailleux. Pied 4, nu au sommet. Lames entières, blanc-brunâtre. 7. plumosa Bozr. CeARUPER ES 20e nant: TADIUSS see à b) | Odeur de violette ou de rose. Chapeau écailleux- \ 2 …—. E Pied lisse, glabre, annelé et farineux au sommet, filamenteux, large de 2-5 centim Pied filamen- teux, annelé au sommet, rouge en dedans. Lames assez distantes, blanc sale ou brun-can- ROSE SE Lt 2 Le qu due Bi ZI. pyriodora Pers. Pas d'odeur marquée. Chapeau d'abord brun ombré, puis jaunätre, écailleux-floconneux, relevé au centre, qui est velu-écailleux, Pied effilé, plein, filamenteux-écailleux, blanc-farineux au sommet. Lames ventrues, dentelées ........... TZ, lanuginosa Burz. FAMILLE CXXXI. — POLYPORÉS. Caractères constants. — Mycélium filamenteux, vivant dans le sol riche en humus ou dans les écorces et le bois pourri. Ré- ceptacle fructifère de formes très variables, se présentant soit sous l’aspect de croûtes, soit sous celui de sabots, de para- pluies, de chapeaux, etc., sessile ou pédiculé, charnu ou subé- reux ou même ligueux. Hyménium tapissant des tubes ordinai- rement rapprochés en une couche continue, soit sur la face inférieure du réceptacle, soit dans des plis, soit dans des canaux contournés en labyrinthe, etc. Réceptacle fructifère en forme de parapluie, formé d'un chapeau et d'un pédicule. Tubes de l'hyménium formant une couche continue sur la face inférieure du chapeau. ‘) Tubes peu adhérents entre eux et avec le chapeau..... Boletus. Réceptacle fructifère en forme de langue charnue ou de omis ve coelles eie RTE CRT as meta Do ce 2 Réceptac le fructifère en forme de langue charnue, allon- gée, épaisse, rouge. Hyménium Lapissant des tubes d’abord PAROI INR MOTS CE ARE SAT non ne à 0m Ne . Fistulinæ, Réceptacle fructifère en forme de croûte, de coquille, ‘de sabot, plus ou moins épais, acaule ou pédiculé RTE 3 byménium recouvrant des canaux en labyrinthe. Récep- tacle fructifère subéreux, en forme de sabot......... ... Daædulea. Hyménium formant une couche continue très adhérente au chapeau, et distincte de lui par sa couleur. Tubes très adhérents entre eux. Chapeau charnu, subéreux, parche- miné ou ligneux, acaule ou pédiculé.............,....., Polyporus. J98 CHAMPIGNONS BOLETUS Dir. — Mycélium filandreux, se développaut dans le sol riche en humus, parmi les feuilles, dans les bois. Réceptacle fructifère en forme de parapluie, formé d’un cha- peau charnu, plus ou moins étalé, épais, et d’un pied très dis- tinct du chapeau. Hyménium formé d’une couche épaisse de tubes recouvrant toute la face inférieure du chapeau, peu adhé- rents entre eux, et faciles à Tubes d'abord blancs ou gris ou brun blanchätre.. 4.4 Tubes jaunes, souvent verdâtres dans la vieillesse, quelquefois rouges au niveau de florifice::.".11:4182% s Chapeau couvert de squames épaisses, flocculentes, imbriquées, coloré en brun noiràätre, large de 5-12 centim. Pied de grosseur égale, muni d’un voile. Tubes adhérents sur une grande partie de leur longueur , à orifices polygonaux, larges, “brun blanchätre. Chair devenant rougeàätre ou noirâtre quand on la casse, Spores presque globuleuses .;.,. 5902 PORN Chapeau dépourvu de squames imbri- UEDSr ere DE Doi RUE S\IE Pied muni de petites squames ou de fibres. Tubes allongés, à orifices pe- tits, colorés en blanc sale ou gris. Spores en forme de lancette, couleur de rouille. Chapeau rendu plus ou moins onctueux par l'humidité, lisse, large de 3-7 centim., à chair blanche un peu mollasse, devenant parfois vi- neuse quand on la casse. Pied haut de 7-15 centim., un peu aminei dans le haut, rendu rugueux par de petites squames noirâtres et des fibres blan- châtres, devenant bientôt gris ou noi- ratre-tComestible.s 1152230860 MARNE Trois variétés : 3,/ % Chapeau gris ou brun foncé...... ‘\ £- Chapeau rouge brunâtre, rouge ou (EL CEE SAGE nee Y. Chapeau brun noirälre.....,,.... Pied sans squames ni fibres, haut de 5-7 centim., veniru, spongieux, muni d'un voile éphémère, aranéeux, nu et blanchâtre au-dessus du voile, to- menteux et blanchätre ou jaunâtre en dessous, Chapeau d’abord blan- châtre ou jaune paille, puis un peu brunâtre, tomenteux ou flocculent, sec, large de 5-12 centim., à chair blanche se colorant, quand on la casse, en bleu de bluet foncé. Tubes d’abord blancs, puis flavescents, à orifices arrondis, Comestible rer KE séparer du chapeau. > 4 B. strobilaceus Scop. 3 B. scaber FR. B. fuligineo-cinereus FL. Dan. B. aurantiacus. B. fusco-niger. B. cyanescens BuLL. en 4 POLYPORÉS 599 Chapeau sec ou seulement moite,... Chapeau onctueux ou poisseux, au moins dans les temps humides. Tubes jamais rouges à l’oritice........... Tubes à orifice jaune ou verdàtre, FamaiS irons Li te anenés Tubes à orifice rouge de cinabre. Chair jaune ou jaunâtre, devenant bleuûtre, mais non rougeâtre quand on la casse. Chapeau convexe, d’abord subto- menteux, puis un peu visqueux dans les temps humides, épais, brun oli- vâtre où roux fuligineux. Pied haut de 10-12 centim., de grosseur à peu près égale ou un peu bulbeux, ferme, jaunûtre, réticulé ou ponctué de rouge ou même tout à fait rouge dans le bas, Odeur presque nulle. Saveur douce. Vénéneux..:........sse cs { Pied tuberculeux ou du moirs plus | gros à Ja base, brun pâle, avee un fin réseau de lignes blanchâtres vers le haut, d'abord court, gros, presque glo- buleux, puis allongé, cylindrique, renflé à la base. Chapeau épais, charnu, convexe,hémisphérique, brun plus ou moins foncé, parfois presque noirâtre, lisse, moite. Tubes allongés, d’abord blancs, puis jaunâtres ou ver- dàtres. Chair blanche, un peu rouge sous l'écorce du chapeau. Comestible. Pied strié, rouge cerise ou brun jau- nâtre. Chapeau brun rougeâtre ou presque jaune, floconneux-squameux, à chair jaunâtre, devenant rougeâtre sous l'épiderme, Tubes d’abord jaune d’or, puis verdätres, à orifices polygo- naux, assez grands, inégaux. Suspect, Pied sans anneau. Saveur poivrée. Cha- peau aplati, onctueux, jaune brunâtre ou jaune miel, à chair jaunâtre.Tubes décurrents, brun rouille, à orifices lar- ges, polygonaux. Pied jaune soufre en dedans. Suspeetut se. 0e. Pied pourvu d'un anneau. Saveur aci- dule , agréabie. Chapeau convexe, bosselé, onctueu:., brun, ou jaune brun, ou jaune brillant. Tubes adhé- rents, simples, jaunes, à orifices pe- tits, ronds, s'élargissant ensuite. Pied muni d'un anneau membraneux, sou- vent fugace, plein, jaunâtre, ponctué de granulations au-dessus de l'an- neau. Chair blanche ou blanc jau- nâtre, ne changeant pas de couleur. COMORES RS A ca B. luridus SCHÆFF. 1. B. edulis BuLz. B. chrysenteron BuLr. B. piperatus Buzz. B. luteus L. 1. Il en existe une variété à pied plus grêle, non bulbeux, squameux-poin- tillé, rougeätre en dedans, désigné par Persoon sous le nom de Boletus erythropus. 600 CHAMPIGNONS FISTULINA Buzz. — My célium filamenteux, se développant dans l'écorce des arbres. Réceptacle fructifère en forme de langue épaisse, charnue, fixée par une de ses extrémités, qui est ordinairement plus grosse que l’autre. Tubes d’ abord très petits et fermés, s'allongeant ensuite. Fig. 661. — Fislulina hepalica. F. hepatica Fr. — Seule espèce. Réceptacle long de 5-10- 20 centimètres, épais de 2-3-5 centimètres, charnu, moite, d’abord rouge sang, puis brun rougeûtre, parsemé de papilles, à chair succulente, jaunâtre, tachetée de rouge et striée de blanc, se laissant partager en gros filaments. Tubes blanchâtres ou jaunâtres, devenant rougeâtres par la pression. Odeur agréable. Saveur acidule. Comestible. POLYPORUS Fr. — Mycélium filamenteux, se développant d'ordinaire dans le bois et les écorces, parfois dans le sol riche en humus. Réceptacles fructifères en forme de croûte, de sa- bot, de coquille, parfois constitué presque uniquement par des tubes tapissés d’hyménium, très adhérents entre eux et ne se laissant pas séparer du chapeau quand il existe. Chapeau à couleur distincte de celle des tubes, sessile ou pédiculé, Réceptacles formant des croûtessouvent longues de 30 centim., sèches, minces, papyracées, blan- ches, d’abord velues au bord, puis glabres, en apparence sans pores. Pores blancs, arrondis, 1.{ droits ou obliques. Sur le bois d'arbres abattus. P. vulgaris Fr. Réceptacles fructifères formés d'un chapeau acaule fixé horizontalement, ou d'un chapeau atténué en pied ou pédiculé, offrant les pores sur Sa face inféneure. .. 1." 2004: See Rere 2 ‘% Chapeaux acaules, fixés horizontalement...... 3 Chapeaux se contractant en pied à la base ou bien pourvus de pédicules simples ourameux. 9 Champignons secs, fermes, parcheminés, plus ou moins tubéreux où ligneux,. 42.1. 12 MUR 4 3.4 Champignonscharnus, spongieux-aqueux ou co - riaces, non zonés extérieurement, prétnsee intérieurement des zones transversales. ...... ‘7 ) A A ET AT À < dns Te LE POLYPORÉS Champignons annuels ou bisan ls. Chapeau velouté, plat, semi orbiculaire, orbiculaire ou réniforme, parcheminé, pourvu extérieurement de zones de couleurs différentes, blanc inté- rieurement, brillant, ordinairement gris, jaune päle ou brun, avec des zones bleuäâtres, gris foncé, jaunàtres ou blanchâtres, ayant jusqu'à 12 cent. de diamètre, Pores petits, ronds, sou- vent déchirés-dentelés, d'abord blancs, puis fla- vescents. Ordinairement en groupes sur de vieux troncs-et des débris de’hbois:.:.::7...:...... Champignons vivant plusieurs années. Chapeaux en forme de sabot, avec autant de couches de pores que le champignon compte d'années... Chapeau blanc ou blanchàtre intérieurement, d'abord charnu, puis subéreux, en forme de sabot, atteignant 7 cent. de largeur et 1 cent. d'épaisseur, lisse, non zoné extérieurement, couvert d’une écorce brune ou brun rougeàtre, facile à détacher, oblique au sommet et porté par un pédicule court. Pores blancs, courts, petits, inégaux, se détachant à la fin. Sur les branches et les troncs pourris de bouleau... Chapeau jaunâtre ou brupâtre intérieurement, LTÉE TR EE A TE ER ME COPA Chapeau épais, à bord arrondi, d’abord presque sphérique, avec un épiderme fin, floconneux, blanc grisàtre, puis en forme de sabot, haut de 7-12 cent., large de 20 cent., à base brunûtre, puis brun noirâtre, terne, crevassé, dur, zoné. Pores très petits, couverts au début d’une pous- sière blanchâtre, puis colorés en brun cannelle. Sur des arbres, particulièrement sur les saules. Chapeau mince, aplati, subéreux, parcheminé, velouté, ayant jusqu'à 12 centim. de large, d'abord brun clair, puis brun foncé sale, inté- rieurement et sur les bords brun jaunûtre. Bord tranchant. Pores petits, non poussiéreux. En gazons imbriqués, au pied des vieux trones de’ grOSeNHNOESL RENE EN LR Jar Chapeau blanc et filandreux, intérieurement avec des zones plus foncées, coloré extérieurement en gris fumée, adné, aminci au bord, cou- vert de poils soyeux, à base élargie-adnée. Pores d’abord blanchäâtres, puis gris cendré, devenant plus foncés par la pression, Odeur agréable. Sur les vieux troncs de saules et de hèêtres.. Chapeau brunâtre ou brun jaunâtre intérieure- RON ET es en cs bless desc case se sise tiers Chapeau très mince, atteignant 12 centim, de large, aplati, brun grisâtre ou noirâtre, velu, tomenteux, à bord recourbé en dedans, inté- rieurement filamenteux, à filaments parallèles. Pores longs, d'abord päles, puis rouillés. Sur des débris de chênes et de hèêtres............ Chapeau brun jaunâtre, ocracé, rougeàtre ou jaunàtre, ou blarc, à chair molle, non zoné intérieurement, d'abord velu, puis nu. Pores polygonaux, allongés, inégaux, colorés en rouge brique sale ou jaunàtres. Sur des troncs de chénes'et de hetres.: seu... us de es FLORE DE PARIS. | 2 5 6 RTE PR AT ee LE : versicolor L. betulinus Buir.. P, igniarius L,. PF Ribis Scaum. fumosus PERS. P, culicularis Buzz. F. nidulans PERS. dE ENTER RES Se h sn. + z k 6902 CHAMPIGNONS 9 Pied ramifié, portant plusieurs chapeaux ..... 10 Pied non ramifié, ne portant qu’un seul chapeau. 11 Chapeaux jaune rougeàlre , ondulés, à peu près lisses. Pores larges, colorés en jaune sou- fre. Chair d’abord jaunâtre et sueculente, puis blanche, sèche et friable. Odeur el saveur agréables. Au pied des arbres fruitiers, des 10.4 chênes et des hêtres vieux. Comestible...... P. sulphureus Büurr, Chapeaux très nombreux, dimidiés, échancrés, lobés, incisés, ridés, larges de 2-5 centim. Pores minces, très petits, pointus, blanes. Chair blan- che. Odeur et saveur agréables. Au pied des vieux arbres, surtout des chènes. Comestible. P.frondosus Scux Av. 11,4 Pied excentrique...:...........4.. 1/0 Pied: central RAR SAR TRES LL TN UE Re Chapeau charnu-coriace, non zoné, jaune d'ocre pàle ou orangé, plan, large de 5-9 cent, Pores arrondis, blanch., puis jaun. Pied radiciforme, à base noirâtre .Sur les vieux troncs de hêtres. P. elegans Buzz. 12.4 Chapeau châtain, jaunâlre ou blanchätre, large de 2-12 centim., charnu, coriace. Pores décur- rents, inégaux, d'abord blanchàtres, puis brun cannelle. Pied court, pâle, gris noirâtre à la base. Sur les vieux troncs d’arbres........ ce D PDOMIUSARERS Chapeau plan, quelquefois infundibuliforme, velouté, zoné, parcheminé, mince, d’abord brun cannelle, puis châtain, large de 2-5 cen- timètres, Pores polygonaux, pointus, déchirés à la fin. Pied épaissi dans le bas, finement 13 poilu. Sur le 861,2... cosvenseenasetes ds DETENMES Le "| Chapeau spongieux-subéreux, épais, succulent, en forme de soucoupe, d’abord brun jaunâtre, puis châtain, souvent large de 30 centim. Pores grands, irréguliers, déchirés, jaunâtres, verdà- dâtres. Pied très court, gros ou presque nul, brun rouille. Sur les troncs et les racines.... ÆP. Schweinisü Fr. D'ÆDALEA Pers. — Réceptacle fructifère en forme de sa- bot, subéreux. Hyménium tapissant des conduits ou des plis contournés en labyrinthe, Chapeaux imbriqués, subéreux-parcheminés, gris cendré, zonés de même couleur, velus. Hyménium tapissant des plis en labyrinthe, enchevétrés, plus tard irrégulièrement dentelés, gris cendré ou brun FRE Re te sous DE RE PE den Eee essaie d De UIUICONOITER Chapeaux isolés ou entassés, subéreux, couleur de bois clair, non zonés, de même couleur en dedans, Hyménium tapissant des sinuosités irrégulièrement contournées, tantôt petites et arrondies, tantôt plus larges.et allongées.…...............encc 00 DOCIUIENRERE. FamiLze CXXXII. — HY DNACÉS. Caractères constants. — Mycélium filamenteux, vivant dans les vieux bois ou dans le sol humide et riche en humus. Récep- DROT PER SE, ie LIL NT CPS EE à 7 RTE es ts PR Re RS VUS APR 0 CT MONT re #7 = ’ x" Æ : x = +2 $ cs on % = HYDNACES 603 tacle fructifère en forme de croûte ou de parapluie, acaule ou pédiculé, rarement coralloïde, tantôt charnu, tantôt subé- reux ou parcheminé. Hyménium tlapissant des excroissances en forme de piquants, de dents ou de verrues. xéceptacle fructifère en forme de parapluie ouvert ou ren- versé, régulier ou irrégulier, acaule ou pédiculé, rarement coralloïde, muni de piquanis.................. Same .... Hydnum. kéceptacle fructifère en forme de croûte cireuse, muni de YerEums ou devparnlles 351.72. ms cest ne …... Grandinia. HYDNUM L. — Réceptacle en forme de parapluie ouvert ou renversé, pédiculé ou acaule, rarement en forme de croûte ou coralloïde. Hyménium recouvrant des piquants qui tapissent la face inférieure du réceptacle, qui est tantôt charnu, tantôt su- béreux ou parcheminé. [ Réceptacle en forme de parapluie ouvert ou ren- \ Er CET RARE CE OP ER il d'abord blanc, puis jaunàâtre, charnu, Piquants groupés aux extrémités des rameaux, longs de 5 à 20 millim., charnus, fragiles , en forme de \ poincons. Sur les vieux trones....... sens tes Chapeau renversé, avec les piquants tournés vers : ROMANE UNS A no du cire ele ed ©} Chapeau non renversé, avec les piquants tournés VéTSUIE ASS. Fe ee UE ee Sara isèss Chapeau renversé, avec les piquants tournés vers le haut, étalé irrégulièrement, mince, tomenteux, blanc. Piquants blancs, n'ayant pas plus d'un millimètre de long, dentelés (vus au microscope), pointus, inégaux. Sur les vieux troncs..,...... 3.4 Chapeau renversé, avec les piquants tournés vers le haut, d'abord orbiculaire, large de 1-2 cent., plus tard confluent, coloré en brun de rouille, muni au bord de flocons bleuâtres. Piquants brun fauve, puis noirâtres, courts, pointus, non den- telés, Sur'les-tronés DOUBS Le éme mat [ Champignons croissant sur les vieux troncs d’ar- bres ou les cônes de sapin tombés dansla mousse, Champignons eroissant sur le sol, en forme de parapluie pédiculé. Chapeau charnu, jaunâtre ou blanchätre. large de 5-10 centim. et plus, aplati ou irrégulièrement onduié, nu, mince au bord, fragile, portant sur sa face inférieure des pi- quants pressés, allongés, inégaux, irès faciles à détacher, blanc jaunàtre. Pied souvent latéral, haut de 2-5 centim., plein, dur, blanchâtre ou blanc jaunätre, un peu épaissi à la base. Comes- Ne... 5: ei sde ets srafs 8 à Qi area eu pie à 8 H, coralloïdes Score. Æ H. argutum. - H, fusco-atrum FR. — 2 Æ. repandum L. 604% CHAMPIGNONS { Chapeau cordiforme ou bilobé, d'abord blanc, puis jaunàtre, large de 10-15 centim., lacéré-filamen- teux en dessus, coriace. Piquants droits, égaux, flasques. Pied court, latéral, se confondant avec & le chapeau ou nul; sur les vieux troncs, Comes- d We RE SUR CURE RS CET AC EEE I. erinaceum BurL. 3.4 Chapeau réniforme, presque dimidié, large de 5-7 centim., brun foncé, tomenteux, mince, parche- miné-membraneux. Piquants bruns, coriaces. Pied latéral, bien distinct du chapeau, cylindri- que, long de 5-7 centim., élargi, membraneux | à la base, couleur du chapeau. Sur les cônes de % pin, dans la mousse......,.... nues re dote ste US M DISOU ANR) La GRANDINIA Fr. — Réceptacle en forme de croûte étalée irrégulièrement, floconneux-farineux, muni de papilles arron- dies ou hémisphériques qui portent l'hyménium. Réceptacle irrégulier, cireux, mince, lisse, couleur cuir blanchätre. Papilles arrondies, rapprochées, obtuses. Hans les prairies Lin cent 220 CR .…. GG. crustosa FR, Réceptacle irrégulier, cireux, très étalé, coloré en jaune cuir. Papilles hémisphériques, pressées, égales. Sur Jesrarbres.:....24t OPEN RER D .. G. granulosa Fr. FamiLze CXXXIII. — TÉLÉPHORÉS. Caractères constants. — Mycéiium filamenteux vivant dans le sol humide et riche en humus, ou plus souvent dans le bois et les écorces. Réceptacle fructifère en forme de croûte, d’éven- tail, de coquille, de massue, de calice, de trompette. Hyménium lisse, ne présentant, dans quelques genres, qu'un très petit nombre de basides fertiles et un grand nombre de paraphyses. Réceptacle fructifère en forme de calice , de trompette onde massue - 16.0 nltaties te UE FLE lys aie ‘} Réceptacle fructifère en forme de croûte, d'éventail ou de come. 4. USSR re à dre HSE SRE SE LE 3 Champignons de petite taille (1 centim. environ de haut), | vivantsur le bois ou les mousses. Réceptacle ordinairement 9 en forme de calice stipité, pendant ou penché......... Cyphella. 7") Champignons plus grands (5-7 centim. de haut), vivant sur le sol, Réceptacle tantôt claviforme et plein, tantôt en forme de trompette... 2.11. 04048 Me SNMP Craterellus. Champignons vivant sur le bois ou sur les écorces....... Æ Champignons vivant sur le sol, en forme de croûtes par- cheminées, souvent rétrécies à la base ou pédiculées... Thelephora. Hyménium séparé de la substance du champignon par une couche intermédiaire filamenteuse. Réceptacle dressé 4.4 verticalement, parcheminé ou ligneux............... .. Stereum. Hyménium non séparé de la substance du champignon par une couche particulièr2. ss. +mmces esse": OUNLICIUIM, < 2. “ à A _ J - : r< > LÀ PE RE ne FOR A Le SE M de ent D ES DES LS St 7 RSS EM TE MS CTP ee # PRE TAE x 4 ee TÉLÉPHORÉS 605 CRATERELLUS F8. — Réceptacle fructifère elaviforme et plein ou en forme de trompette, sans pied distinct, atteignant jusqu’à Tset 8 centim. de hauteur. Hyménium à côtes ou plissé. Sur le sol. Fig. €62. — Cralerellus cornucopioïdes. Le) Réceptacle claviforme, plein, charnu, d'abord tur- biné-tronqué, puis creusé en entonnoir, coloré extérieurement en rose chair ou bleuàtre, à bord replié en bourrelet au début, puis relevé, à pied rougeàtre violacé ou bistré. Chair blanche. Hy- ménium d’abord lisse, puis ridé. En gazons, au pied des vieux troncs. Comestible....,........ C. clavatus Fr. Réceptacle en forme de trompette, creux jusqu'à la base, coloré en brun noirâtre à bord replié- ondulé. Hyménium d'abord lisse, puis ridé-plissé, gris cendré. Chair brunâtre............. ...... C. cornucopioïdes PERS. CYPHELLA Fr. — Réceptacle en forme de calice plus ou moins creux, stipité ou presque sessile, pendant ou penché, n’ayant pas plus de 1 centim. de haut. Hyménium revêtant la face interne du calice. Sur des branches d'arbre ou de vieux bois. En forme de calice membraneux, à bord très lacéré, strié en dehors par des filaments noirs. Hyménium blanchäâtre........ C. laura Fr. Sur les mousses. D'abord en forme de calice penché, puis dimidié, en forme de casque, lisse, blanchätre, à bords entiers. Hyménium brun rouge..... RE PE a D .... C. galeata Fr. THELEPHORA Eurx. — Réceptacle parcheminé, en forme - de chapeau ou de croûte pédiculée ou rétrécie à la base. Sur le sol. 34. (1 606 CHAMPIGNONS Réceptacle étalé, en forme de croûte, recouvrant des mousses, des feuilles, des branches tombées et prenant des aspects très variés. Un peu coriace, brun pâle, terminé par des rameaux dressés avec des extrémités frangées. Hyménium sur la face’ supérieure, VErTUQUEUX ....ssesse RS D Re M 0 Réceptacle en forme de chapeau un peu parcheminé, brun, déprimé ou irrégulièrement infundibuli- forme, filamenteux-lacéré, Sur la terre gazonnée. 7, caryophyllea Pers. CORTICIUM Fr. — Réceplacle renversé, en forme d’écuelle, de croûte ou de pellicule, à bords libres ou adhérents. Hymé- nium cireux-charnu, ordinairement crevassé, lisse ou verru- queux. Sur du bois ou des écorces. Réceptacle en forme de croûte fixée par toute sa surface, au moins au début........ ÉNReoUe 1 Réceptacle d’abord en forme de calice fixé seu- ‘*) lement par le centre, puis élalé, rond, large de 2-6 millim., d’abord mou, ensuite floconneux. Hyménium roseChair foncé... .........e... C: sarcoides FR. Réceptacle nu à la circonférence.,..... en Réceptacle filandreux-floconneux à la circonfé- rence, qui est blanche, A l’état humide, cireux, boursouflé et transparent; à l’état sec, carti- lagineux, papyracé, blanc de lait, muni à la circonférence de longs poils radiés. Hyménium lisse, non crevassé. Sur les vieux troncs de \ADINS ASE. DRE ete SU CR SU OR 2 ae e cs... C. giganteum FR. Hyménium poussiéreux, garni de petites verrues. 4 Hyménium non poussiéreux, rose chair. Ré- ceptacle membraneux, cartilagineux, d’abord fixé, puis libre aux bords qui se roulent en dedans, noiràätre en dessous. Sur le bois et les écoreetdes ChèDeS.... eos C. quercinum Pers. Réceptacle grumeleux-cartilagineux. dur, coloré en rose chair foncé. Hyménium rouge, très poussiéreux. Sur les écorces de peuplier. .... C. polygonium Pers. Réceptacle cireux,un peu tacheté au bord. Hy- ménium rouge ou orangé. Sur les écorces et le LR RE sas manner Pose US ES C. incarnatum FR, STEREUM Pers. — Réceptacle dressé verticalement, parche- miné ou ligneux., Hyménium séparé de la substance fonda- mentale du réceptacle par une couche intermédiaire filamen- teuse. Réceptacle brun pâle, jaunâtre au bord, un peu zoné, muui de poils droits et durs. Hyménium lisse, jau- nâtre, ne changeant pas de couleur quand on le tou- Re Sn on So or Le Ar 0 À LL USE Réceptacle päle ou blanchätre, velu, tomeateux, par- cheminé, mou. Hyménium lilas ou brun rouge..... S. purpureum FR. a Dr D D PTE CRETE Par ins 0 “2 CE A: de 5) Po A CEE PT SORT AE PS EVE = t D TASR LIT Ep Te * BYE " Let _ L RSS a * 7 f - CLAVARIACÉS | 607 Fame CXXXIV. — CLAVARIACÉS. Caractères constants. — Mycélium filamenteux, croissant d'ordinaire dans le sol humide, plus rarement sur du bois ou des écorces, des branches vertes ou mortes, des feuilles pourris- santes. Réceptacle fructifère claviforme, à pédicule plus ou moins distinct de la tête, vertical, souvent ramifié, à surface lisse, recouverte par l’hyménium. Réceptacle fructifère filiforme, jamais ramifié, Sur des tiges mortes, des feuilles pourrissantes, ete., pas sur le sol.... Typhula. Réceptacle fructifère plus grand, souvent ramifié, charnu, à £ rameaux arrondis, dichotomes ou coralloïdes............ Clavaria. CLAVARIA L. — Ré- ceptacle fructifère clavi- forme, simple ou ramifié, charnu, assez grand et épais, à rameaux arron- dis, charnus, dichotomes ou coralloïdes. Fig. 663. — Clavaria Botrys. Réceptacle simple, solitaire ou seulement par deux, haut de 5-15 centim., claviforme, épais, charnu , jaune brunâtre rougeàtre , ou rosé, blanchâtre à la base, blanc en de- dans. Spores brunes, globuleuses. Sur le sol. C. pistillaris L. Réceptacles ramifiés ou unis par la base en F1 POMPES | x LE Sn Qt tes ES Réceptacles non ramifiés , mais unis par la base en gazons assez compacts, hauts de 7 centimètres, claviformes, d’abord pleins, puis creux, lisses, amincis vers le bas, jaunes, à la fin brunâtres au sommet. Sur les pelouses...... sédo tissée er - Gus fusions Sue \ Réceptacles ramifiés................ RSC ONEE | Spores jaune d’ocre ou brunes........,..... Æ Spores blanches... ss suisses es 7 Extrémités des rameaux pointues..,...,..... © | Extrémités des rameaux obtuses.,,,,....... 6 CHAMPIGNONS Réceptacle mince, flasque, haut de 2-5 cent., jaune d'ocre. Souche mince, très courte, lisse ; rameaux lisses, inégaux, recourbés en dedans... RIT SO Réceptacle raide, haut de 5-7 centim. , jaune d'ocre foncé. Souche tomenteuse blanche, presque tuberculeuse ; rameaux raides, dres- BÉS. SAVOUT AIDÔPE : : 204 à à de me moe se -uite le e | Souche épaisse, élastique, blanchàtre, s’éten- ss... Qt 0 dant souvent de 20 à 30 centim. Dans le sol. Rameaux dressés, allongés, très ra- meux, colorés en rose orangé, avec les ex- trémités jaunâtres, hautes de 9-10 centim. Saveur agréable. Comestible......... HT Souche pale, épaisse, élastique. Rameaux raides, robustes, arrondis, plusieurs fois bifurqués, à extrémités cour tes, jaunes. Saveur agréable. Comestible… Champignons violets, rougeàtres ou jaunes Champignons blanchâtres, gris ou brunâtres. Champignons violets ou rougeûtres.. Champignons jaunes. Souche mince, coriace, très ramifiée, haute à peine de 2 centim. Rameaux courts, coudés, étalés; ramus- cules à extrémités atténuées, jaunes ou bru- DAÉLES se masfe dieeie.e ee nieete eee tee Sr Ce . | Réceptacle à rameaux blanchätres, à ramus- rougeâtres ou brunätres surtout à cules l'extrémité, s'allongeant et devenant blan- châtres ou jaunâtres sous l'influence de Pl [er] + l'humidité. Rameaux gonflés, inégaux, plus ou moins rugueux.Saveur et odeur presque nulles: Comestible.... ...... Rameaux et ramuscules violets ou lilas, puis bruns, verticaux, atteignant 5 centimètres de haut, allongés, cylindriques, lisses. Co- MESUNOIESRSEERR RE ee ere ee see one c a or Réceptacle creux, assez fragile, d'abord blanc, puis gris, haut de 5-10 centim. Sou- che épaisse. Rameaux inégaux, élargis vers le haut, portant de nombreux ramuscules pointus.: Comestible,...:1..11.,.4 Réceptacle plein. Re ! Réceptacle d’abord blanc, puis brunâtre. Ramuscules élargis à l'extrémité et laciniées comme des crêtes. Hauteur 2-5 centim..., 11.4 Réceptacle gris cendré, fragile, très ramifié, haut de 5 centimètres. Souche épaisse, courte. Rameaux et ramuscules épais, de formes variées... de ss... 10. CR [laccida Fr. abietina Pers. formosa Pers. aurea SCHÆFF. C. fastigiata L. Botrys Pers. C. amethistina BuLL. C. coralloïides L, cristata PERS. C. cinerea Buzz. TYPHULA Fr. — Réceptacle fructifère non ramifié, clavi- forme, supporté par un pédicule filiforme ordinairement bul- beux à la base. T. placorrhiza Fr. — Pied brunâtre, haut de 5-8 centim., porté par un petit thalle bulbeux. Sur les feuilles mortes. TRÉMELLINÉS 609 Face CXXXV. — TRÉMELLINÉS. Caractères constants. — Mycélium filandreux, se développant d'habitude dans le bois mort, plus rarement dans le sol. Ré- ceptacles fructifères de petite ou de moyenne taille, affectant les formes les plus diverses, celle de coussinet, de disque, de ca- lice, de membranes étalées ou plissées, ou contournées, celle de massue ou même de parapluie, ordinairement mous et géla- tineux, devenant ensuite parfois cartilagineux. Hyménium re- couvrant la plus grande partie de la surface libre du récepta- cle; quand ce dernier a la forme d’un calice ou d’une écuelle, sa face supérieure seule est revêtue par l'hyménium. Basides portant d'ordinaire quatre cellules. Réceptacle fructifère dressé verticalement, pédiculé, { claviforme, simple ou ramifié, corné................. Calocera. ‘) Réceptacle fructifère plissé, contourné, en forme de coquille, d’écuelle ou de parapluie................... 2 Réceptacle cartilagineux ou parcheminé, un peu géla- 2.1 tineux seulement à l’état humide, poilu.............. Auricularia. Réceptacle gélatineux-tremblotant, non poilu ........ Réceptacle en forme de parapluie nettement pédieulé, couvert sur la face inférieure de piquants, tapissé par a LUTTE PSN RE PAT ES d'EPS ARE .. Tremellodon. Réceptacle non pédiculé ou à peine pédiculé, en form de coquille ou de lames aplaties ou contournées-plis- Réceptacle aplati ou creusé en coquille, acaule ou cour- tement pédiculé. Hyménium recouvrant une por- tion du réceptacle qui est verruqueuse (sporocarpe)... Æzridia. Réceptacle aplali ou plissé-contourné, ou cérébriforme. Hyménium recouvrant toute la face supérieure, qui est HER US 2 4 Ne ee SUre nr ere ve + is . Tremella. re é CALOCERA Fr. — Réceptacle fructifère dressé verticale- ment, pédiculé, simple ou ramifié, souvent claviforme, plus ou moins corné ou mou, entièrement recouvert par l’hyménium. Spores allongées et courbées. Réceptacle simple, atteignant 1 centim. de hauteur, pois- seux, lisse, orangé, radiciforme à ‘la base, terminé par uné petite massue...............eeseee NE Te C. cornea FR, Réceptacle ramifié comme un bois de cerf, haut de 2-5 centim., raide, coriace, lisse, devenant poisseux dans les temps humides..... et te RTS TT AT eme CU COS AURICULARIA Fr. — Réceptacle en forme d’assiette ou plissé, poilu, cartilagineux ou parcheminé, devenant un peu gélatineux sous l'influence de l'humidité. Basides filiformes, cloisonnées en une rangée de cellules dont chacune émet à son extrémité supérieure une pointe (stérigmate) portant une spore. 610 CHAMPIGNONS réceptacle concave, contourné, en forme de sou- coupe ou de coquille, veiné-plissé sur les deux faces, coloré en brun rougeàtre ou brun foncé, puis noirâtre, à face inférieure colorée en gris ver- dâtre et tomenteux, large de 3-10 centim. Spores jaunâtres, allongées, souvent recourbées. Odeur faible. En gazons sur les vieux troncs, particuliè- rement de sureau......…..,... L'EAU ENTER . À, sambucina MarT. Réceptacle fixé latéralement, large de 5-7 centim.., concave, d'abord renversé, puis replié, brun gri- sâtre ou jaunâtre ou vert jaunàtre, tomenteux, à bords entiers, munis de zones velues. Hyménium brun violacé, à nervures saillantes et divergentes. Spores globuleuses sur les vieux troncs......... A. mesenterica FR. EXIDIA Fr. — Réceptacle aplati ou creusé en coquille, acaule ou courtement pédiculé, gélatineux, tremblotant, non poilu. Hyménium étendu sur la face supérieure d’une portion verruqueuse (sporocarpe) du réceptacle. Basides sphériques, divisées par des cloisons perpendiculaires en # cellules dont chacune se prolonge en stérigmate et porte une spore. Réceptacle aplati et étalé, ondulé, large de 5-9 cent., couvert de petites papilles, noirâtre ou noir en dessus, gris cendré en dessous, un peu tomenteux. Sur les vieilles souches, surtout d’aunes...... …... Æ, glandulosa Fr. Réceptacle creusé en forme de coquille, mou, large de 1-2centim., muni d'un pied oblique, excentrique, coloré en brun ambré, couvert de nervures et de verrues. En colonies, sur le bois pourri, surtout de saulé el de peuphiér "ne CRC SES ÆE, recisa Fr. Fig. 664. — Tremella mesenterica. TREMELLA Dizz. — Réceptacle aplati ou plissé ou en masse cérébriforme, à face supérieure lisse, non verruqueuse, entièrement recouverte par l'hyménium. Basides sphériques, di- visées par des cloisons perpendiculaires en 4 cellules prolon- gées chacune en stérigmate. Réceptacle aplati, étalé, ondulé, un peu pois- seux, d’abord blanchâtre, puis hyalin. Sur 1; le ‘bois humide... 144040. sn + are .... T. viscosa BERK. Réceptacle en masses ondulées, plissées ou WAP ACErTeDTNIOEMeES. me Re ÉVALUE ST QE GASTÉROMYCÈTES 611 Réceptacle charnu-gélatineux, ondulé-plissé, contourné, jaune orangé, saupoudré d'une poussière blanche formée par les spores. Sur les branches mortes et humides. ..,.., . T. mesenterica RETZ. 2.{ Réceptacle cartilagineux-gélatineux , foliacé; lobé, flasque, nu, en gazons, plissé à la base, lisse, jaune, pälissant, à lobes contournés- plissés, presque frisés, atteignant 9-12 cent. de large. Sur les vieux trones de chène..... T. frondosa Fr. TREMELLODON Pers. — Réceptacle en forme de para- pluie, à chapeau dimidié, gris, blanchâtre, hyalin, presque transparent, puis brun pâle, gélatineux-tremblotant, rétréci en pied à la base, couvert sur la face inférieure de piquants tapissés par l’hyménium. T. gelatinosum Pers. — Chapeau atteignant 2-71 centim. de large. Sur les troncs pourris d'arbres résineux. Ordre II. — GASTÉROMYCÉÈTES. Mycélium filamenteux, se développant d'ordinaire dans le sol. Réceptacles fructifères plus ou moins globuleux, formés d’une couche externe (le péridium) elle-même subdivisée en deux couches superposées (péridium externe et péridium interne) et d’une substance interne, charnue au début, désignée sous le nom de gléba, divisée en un grand nombre de compartiments tapissés par l’hyménium. Basides portant ordinairement 2, d’autres fois 8 spores ou un nombre variable de 4 à 9. Deux familles de ce groupe seulemeut figureront ici : Réceptacle fructifère formé d'un péridium qui se déchire à la maturité et d'une gléba qui se dissocie alors en une poussière de spores et en une masse d'hyphas entre- CÉDISÉS a 2 ue ss MA Maeva er dec Nas ..….... Lycoperdacés. Réceptacle fructifère formé a un péridium qui se déchire à la maturité et d'une gléba qui s’allonge alors en un cham- pignon en forme de phallus portant Tes spores à son ex- trémité dans des cavités réticulées........ Dance LGIACCS. Fame CXXXVI. — LYCOPERDACÉES. Caractères constants. — Réceptacle fructifère sphérique, ordinairement acaule, parfois rétréci en un pied, rarement al- longé, ordinairement court et gros, se développant à la surface du sol. Péridium simple ou double, se déchirant à la maturité. Gléba d’abord charnue, se résolvant ensuite en une poussière noirâtre de spores et en une masse d’hyphas entrecroisés très irrégulièrement (capillitium). #, 612 CHAMPIGNONS Réceptacle porté par an pied allongé et grèle..,....,. Réceptacle sessile ou rétréci en un pied court et gros. Péridium extérieur se déchirant en cinq à six lobes profonds, étoilés, qui s'étalent d’abord, puis se replient 2.4 en dessous. Péridium interne s’ouvrant par un orifice irrégulier...... ones ee der GITE Tree Péridium se déchirant irrégulièrement LR Semi Péridium membraneux. Gléba charnue, molle......... Péridium RE dur, gui subéreux. Gléba ferme, AUTG seche eiis dat eee REPORT PRRE . Réceptaele rétréci dans le KE en un pied court et re distinct, à moelle du pied ne se dissociant pas en 53) LU 4.< spores et hyphas......….1.% eme Receptacle toujours nettement acaule, amoelle se ré solvant tout entière en spores et hyphas ÉR AEE Her Tulostomu . (0) Geaster. 3 4 Selerodermu. Lycoperdon . Bovista., TULOSTOMA Pers. — Réceptacle fructifère formé d’une tête arrondie, portée par un pied grêle et allongé. Péridium s’ouvrant au sommet de la tête par un orifice arrondi, à bords entiers. T. mammosum Fr. —!Tète du réceptacle de la groseur d'un pois ou d’une noisette, blanchâtre. Pied haut de squamuleux. 2-5 centim.. Fig. 665. — Geasler kygrometricus. GEASTER Mic. — Réceptacle fructifère sphérique, sans pied. Péridium double, l’externe coriace, épais, se déchirant à la maturité en lobes profonds, étoilés, qui se replient en des- sous. Péridium interne plus mince, s’ouvrant au sommet après la séparation de l’externe, parfois muni d’un pédicule qui le sépare, à la base, du péridium externe. GASTÉROMYCÈTES 613 Péridium interne sans pédieule 2 Péridium interne pourvu d’un pédicule, s'ouvrant 4. par un orifice allongé, conique, strié au bord. Lobes du péridium externe 4-5, se retournant de façon à soulever le péridium interne...... G. fornicatus Fr. Péridium externe s'’ouvrant en 7-20 lobes étoilés, bruns. Péridium interne brun rougeàûtre, ré- ticulé. mince, s'ouvrant par un orifice irrégu- lier, non cilié ni frangé. Spores granuleuses, brun LT ER E NESREr r-EN Eh . G.ygrometricus PERS. Péridium externe souple. s'ouvrant en 7-12 lobes. brun foncé. Péridium interne s'ouvrant par uu orifice cihé ou frangé. Spores lisses, brun pâle. G. fimbriatus FR. te SCLERODERMA Pers. — Réceptacle fructifère ordinaire- ment acaule, formé d’une gléba ferme, peu succulente et d'un péridium simple, épais, dur, presque subéreux, se déchirant irrégulièrement. S. aurantiaeum Buzz. — Réceptacle sphérique, parfois un peu plus large que haut, jaune citron à la base, et jaune pâle ou blanchâtre au sommet, ou brunâtre, ou jaune rougeâtre, offrant par places des papilles. Gléba dure, blanchâtre, puis noir-blanchäâtre. Péridium d’abord charnu-subéreux, puis co- riace. Spores brun de suie, Vénéneux. BOVISTA Fr. — Réceptacle fructifère toujours sessile, à péridium double, l'extérieur lisse, à gléba entièrement charnue- molle et se résolvant tout entier en spores et hyphas. B. plumbea Pers. — Réceptacle sphérique, ayant 2 centim. de diamètre. Péridium externe blanc, caduc. Péridium interne papyracé, d’abord blane, puis gris de plomb, s’ouvrant par un orifice étroit. Comestible à l'état jeune. LYCOPERDON T. — Réceptacle fructifère atténué à la base en un pied court. Gléba charnue-molle, à portion inférieure, qui répond au pied, ne se résolvant pas comme l'autre en spores et en capillilium. Péridium double, l’extérieur ordi- nairement papilleux, Partie stérile de la gléba séparée de la partie fertile par une ligne de démarcation distincte. Réceptacle obové ou turbiniforme, un peu aplali dans le haut, large de 5-12centim., d'abord blane, 1 puis gris jaune et enfin brun olivâtre. Péridium ‘| extérieur divisé par des rides profondes en squa- mes plates, irrégulièrement polygonales. Spores lisses, noirâtres. Capillitium läche, olivätre.. L, cælatum BuLz., Partie stérile de la gléba non séparée de la partie fertile par une ligne de démarcation distincte... 2 FLORE DE PARIS. 33 614 CHAMPIGNONS Pied peu distinct, très court ou presque nul. Ré- ceptacle à peu près sphérique, couvert d'un grand nombre de piquants longs, assez épais, diver- gents, ordinairement brunâtres, Capillitium et SDDFES NIDIBLS EEE +. OPA CRUE Co L, echinatum Pers. Réceptacle couvert de papilles coniques, sphéri- que, rétréci dans 1É bas en un pied cylindro-co- nique, haut de 3 à 7 centim., d'abord blane, puis 1 J Pied bien distinct rene eee CCR 3 Fi jaunàtre-rouillé. EE brun- ONvAfresent ee .. L.gemmatumBarTscs. A " .° le FE Dos c: € Fig. 666. — Lycoperdon gemmatum. Réceptacle couvert de petites écailles minces, ca- duques, piriforme, muni à la base de fibres ra- 4 dicales blanchâtres, assez dur et coriace, blanc *) d’abord, puis jaunâtre, brunâtre ou brun gris. Spores vert-jaunâtre, ordinairement en gazons DD Dee ri ovseres sue RC RL de cc L. piriforme Scuærr. Famizze CXXXVIL — PHALLACEÉS. Caractères constants. — Réceptacle fructifère ovoïde ou sphérique, pourvu à la base de fibres radicantes, ramifiées. Pé- ridium double. Péridium externe formé de deux lames concen- triques : l’une extérieure, coriace, blanchâtre, l’autre intérieure, molle, gélatineuse. Dans les Phallus, qui seuls représentent la famille dans notre flore, à la maturité, les deux péridiums se déchirent au sommet et la gléba s’allonge sous la forme d’un pied cylindrique, creux, renflé au sommet en une sorte de gland dont la surface est couverte d’une couche épaisse, molle, de spores vertes. PHALLUS L. — Caractères de la famille. ASCOMYCÈTES 615 P. impudieus L. — Réceptacle ovoiïde et de la grosseur d'un œuf de poule avant la maturité. Gléba développée haute de 10-15 centim., exhalant une odeur cadavéreuse très forte. CORDILE/Æ Fig. 667. — Phallus impudicus, avant l’éclosion. a, cavité du pied; d, paroi du pied; €, appareil prolifère, gléba; d, e, membrane interne du péridium; Fig. 668. — Phallus impudicus, JF, membrane externe du péridium. développé. Classe II. — ASCOMYCÈTES. Champignons formés d’un mycélium filamenteux, toujours pourvu de cloisons transversales et d’un réceptacle fructifère très variable, portant des cellules claviformes (asques) dans lesquelles se développent un nombre variable de spores. Nous ne parlerons ici que de deux familles de ce grand groupe. 616 CHAMPIGNONS Réceptacle fructifère membraneux-cartilagineux, cupuliforme ou urcéolé, à face concave tapissée par l'hyménium....... Pésisacés. Réceptacle fructifère charnu ou plus rarement gélatineux, toujours pédiculé, à chapeau claviforme, ou campanulé, ou cupuliforme. Hyménium recouvrant la surface du chapeau ou la partie supérieure claviforme ou ronde du réceptacle, AÆelvellaces. Famize CXXXVIIL. — HELVELLACES. Caractères constants. — Réceptacle fructifère de taille assez grande, toujours pédiculé, ordinairement charnu, plus rare- ment gélatineux, tantôt claviforme, à portion supérieure lisse. portant seule les asques, tantôt formé d’un pied et d’un chà- peau €campanulé, ou eupuliforme, ou convexe, Hyménium ee la surface, souvent irrégulière et creusée de fosset- es, du chapeau. Réceptacle fructifère formé d'un pied et d’un chapeau conique ou ovoiïde, ou campanulé ou cupuliforme, por- Ré btatle Huuiiiére claviforme, à extrémité supérieure | portant les spores et se confondant plus ou moins avec F4 le: pled..%42,%43 : imra mecs dseses ste RER 4 2 ( Chapeau convexe, à bord enroulé en dedans, gélatineux, Zeotia. 7} Chapeau campanülé. cupuliforme ou conique..... SE Chapeau campanulé ou cupuliforme, plus ou moins ra- 3 | battu et irrégulièrement lobé........................ Helvella. Chapeau conique ou ovoide, creusé de fossettes profon- | des, irrégulièrement polygonales d'a sie SRE A ce Morchella. Portion de la massue qui porte les asques ‘se confon- n daat tout à faif avec le pied :.....:.. 4 Se Geoglossum. ‘) Portioa de la massue qui porte les asques ovoïde, bour- soufée. is... ere: ect: cn EEE TR Mitrula. LEOTIA Hizz. — Réceptacle fructifère formé d’un pédicule cylindrique, allongé, et d’un chapeau convexe, de forme va- riable, non creusé de fossettes, lisse ou à peine scrobiculé, por- tant les asques. L. lubrica Pers. — Pied haut de 2-ù centim., jaune, creux. Chapeau gluant, vert-jaunâtre, large de 2 céatinr. creux, lisse, plus ou moins déformé. HELVELLA L. — Réceptacle fructifère formé d'un pied cylindrique et d’un chapeau membraneux-cartilagineux, irré- gulièrement cupuliforme, ondulé, souvent plissé, renversé. Chapeau brun, brun-noirâtre ou noirâtre........ 2 Chapeau gris clair en dessus, blanchätre en des- sous, parfois gris-noiràtre, large de 2-8 centim., 1 membraneux-cireux, élastique, bi ou trilobé, à ‘] lobes rabattus ou enroulés, saupoudrés. Pied haut de 3-6 centim., épais de 2-3 centim., arrondi ou plus ou moins anguleux, creux, gris clair. Co- MASDIDIE.. M RES EE sine FORCE H. lacunosa Arz. mc els a D a rie MAP à * Let CS VS RES dette) HELVELLACÉS 617 Pied fistuleux-creux, haut de 2-5 centim., lisse, blanc, d'abord cylindrique, puis comprimé. Cha- peau rabattu, lobé, lisse, ondulé-frisé, brun-noi- & ritre om noir. (Comestible....5..2:1.:. accus H. Monachella Fr. 7‘) Pied non fistuleux-creux, haut de 4-8 centim., Chapeau rabattu, en forme de selle, à 2-4 pointes, brun cannelle en dessus, blanchàtre ou incarnat CHASSE SHDIDMENTEUR ASE 2e cures ae en STE H. infula Scuzærr. Fig. 669, — Morchella esculenta. MORCHELLA Duc. — Réceptacle formé d’un pied eylindri- que, creux, à paroi celluleuse, et d’un chapeau conique ou ovoïde, creusé de fossettes profondes, irrégulièrement polygo- nales, séparées par des cloisons très saillantes. M. esculenta Pers. — Pied blanc ou blanchâtre. Chapeau ovoïde, gris-jaunâtre ou brun-jaunâtre. Odeur et saveur agréa- bles. Comestible. Deux variétés : 4. Fossettes à contours arrondis, séparées par des CO RE eds «anne dx map Dee à M. rotunda KroMBH. 2. Fossettes quadrilatères, séparées par des cloi- SONS) ÉPAIESES- 2e -r ee. e SR EDR te M. vulgaris KROMBH. MITRULA Fr. — Réceptacle fructifère haut de 3-5 centim., claviforme-allongé, à extrémité supérieure en tête ovoïde con- tinuant le pied, mais s’en distinguant par son renflement et sa coloration. 618 CHAMPIGNONS M. paludosa Fr. — Réceptacle haut de 3-5 centim. Pied blanchâtre, teinté de rose. Tête ovoïde, colorée en jaune vif. Dans les marais, sur les feuilles pourrissantes. GEOGLOSSUM Prrs. — Réceptacle claviforme, à tête se con- fondant avec le pied. G. glabrum Pers. — Réceptacle en forme de massue tron- quée ou terminée en pointe, coloré en brun noirâtre, glabre, avec le pied subsquameux, blanchâtre à la base, plein. En grou- pes, dans les gazons humides des lieux montagneux. Fame CXXXIX. — PÉZIZACÉS. Caractères constants. — Réceptacle fructifère cupuliforme ou urcéolé, sessile ou pédiculé, charnu, ou cireux, où gélati- neux, ou coriace. Hyménium tapissant la face concave du ré- ceptacle. Champignons vivant sur le bois ou les écorces, ou sur le sol, plus rarement sur les feuilles, parfois plus ou moins enfoncés dans le substratum. Nous ferons figurer ici trois genres : Champignons vivant sur le bois, les écorces, les tiges ver- tes, les feuilles. Réceptacle gélatineux ou presque gélati- AT HOUR. in à 2e ue © De ete 2800 CVS ENRRRREE . Bulgaria. Champignons vivant sur le sol ou sur le fumier. Réceptacle elreuUxX OU CHAT... eee RD ce ee Ar Hyménium déligéespente Spores violettes ou nd violet.. Ascobolus. Hyménium non déliquescent, Spores incolores............ Peziza. BULGARIA Fr. -— Réceptacle fructifère gélatineux ou pres- que gélatineux, à peine pédiculé, d’abord obové et fermé, puis ouvert, étalé, presque plan. Sur le bois mort. B. inquinans Fr. — Réceptacle large de 1-3 centim., brun noirâtre, à disque noir. En gazon, sur le bois mort de chêne et de hêtre. ASCOBOLUS Pers. — Réceptacle sessile, d’abord sphérique, puis presque plan, glabre, cireux. Hyménium déliquescent. Spores violettes ou brun-violet. A. furfuraceus Pers. — Réceptacle verdâtre, ou vert-brunä- tre, ou jaunâtre sale, large de 2-3 millim. Sur la bouse de vache. PEZIZA Dir. — Réceptacle fructifère sessile ou pédiculé, PÉZIZACÉS - 619 cupuliforme ou presque plan, charnu ou charnu-cireux, sans fibres radicantes. Hyménium non déliquescent. Spores incolores. Sur le sol ou sur le fumier. Réceptacle velu extérieurement, surtout au EE AE RERE APR PE PE PEER 2 1.4 Réceptacle non ‘velu extérieurement, tan- tôt nu et glabre, tantôt furfuracé, gra- nuleux ou tomenteux..,.,...... rime Réceptacle à face concave, disque rouge. 3 Réceptacle à disque jaunâtre sale, muni 2 extérieurement et surtout au bord de L poils noirs très fins, d’abord concave, rs puis aplati et déformé, en colonies ou pressé. Sur les anciens büchers......... P. melaloma Ars. et Scu. Réceptacle d'abord concave, puis aplati, large de 5-8 millim., rouge vermillon sur le disque, plus pàle en dehors et muni vers le bord de poils durs, bruns. Sur le sol et le boïs pourri ................. P. scutellata 1. Réceptacle grand, infundibuliforme , charnu, pubescent et jaunâtre en dehors, rouge et glabre en dedans, porté par un pédicule assez long. Sur les vieilles sou- ches et le. bois mort.........,.. “APE . P. epidendra BuLz. Fig. 670. — Peziza aurantia. Fig. 671. — Peziza onotica. | Réceptacle sessile ou presque sessile..... D Réceptacle nettement pédiculé.......... 12 Disque rouge, rougeàtre ou orangé...... 6 Disque blanchätre, gris ou jaunâtre, ou bien brun, brunâtre ou violet........... 7 10, 1. Le P. leporina Barsca n’est qu'une variété de cette espèce, à spores plus CHAMPIGNONS Réceptacle n'ayant pas plus de 5 millim., d'abord plan, à bord lasinié, puis voûté. Réceptacle ayant 46 centim., d’abord très concave, presque sphérique, puis étalé et plus ou moins deformé, cireux, à bord entier, rouge orangé vif en dedans, plus pale entdehOrS recentrer tre Disque blanchätre, gris ou jaunâtre..... Disque brun, brunätre ou violet......,.. Réceptacle à bord granuleux-dentelé, d'abord presque sphérique, puis hémi- sphérique ou campanulé, parfois déformé, jaune päle ou blanc sale en dehors, avec le disque plus foncé, large de 1-9 centim, Sur le sol riche en engrais. ............ Réceptacle à bord intact...,.,.......... Réceptacle allongé d'un côté en forme d'oreille, jaune d'ocre ou jaune rougeûtre rouille, large de 1-3 centim., muni d'un pied ordinairement très court...... .... Réceptacle concave, puis plan, flexueux, d'abord sessile, puis soulevé par un pied papilliforme, charnu, cireux, blanc...... Réceptacle laineux blanchâtre vers la base, furfuracé, large de 3-5 centim., brun can- nelle, courtement pédieulé, à bord intact. Réceptacle non laineux à la base. ........ Réceptacle bran, à disque cannelle, con- tourné irrégulier, partois lacinié, courte- ment stipité, à bord enroulé, large de 2-9 Cent eee recerreclee-c eee RER Réceptacle brun-châtain, sessile, d'aborc presque sphérique et à bord enroulé, puis étalé, déformé, large de 2-6 centim .... Réceptacle longuement pédiculé, en forme de coupe, coriace, d'abord gris fumée, puis blanchâtre, légèrement saupoudré, large de 2-3 centim. Pied dur, cannelé, RARE TOR CENTER. 5... 200 0. eee Réceptacle en forme de calebasse, brun päle en dehors, brun châtain en dedans, large de 3-5 centim. Pied blanc, cannelé etsotele. Comestible mere Re re grandes. + P, convexula PERS. P. aurantia OEner. 8 10 P. vesiculosa BüLL. 9 P. onotica PERrs. !. P. imberbis Buzz. P. abietina PERS. if P. cochleata Hcups. P. badia PERS. P. sulcata PErs. P. acctabulum L, MREL AR LUE D è Éd i dé, L1 d Nas? : CR tool F Le A Br UE, COURSE ., LR mi «. F Le x k "AICHENS 621 $ : LICHENS Les Lichens sont des végétaux symbiotiques, c’est-à-dire formés par l’association de deux sortes de plantes : une algue inférieure et un champignon ascomycète. L’algue est repré- sentée par des cellules vertes auxquelles on donne le nom de sonidies; le champignon, par des hyphas entremêlés et par les °0 © s À 0 nl I 629016 o oo so Fig. 672. — Cetraria islandica. Coupe transversale au niveau d'une apothécie. Fig. 673, — Spermogonies du Cefraria islandica. organes de reproduction propres aux Ascomycètes. L’assem- blage de ces deux êtres forme ordinairement un thalle de forme très variable, portant des organes repoducteurs asexués et sexués. Les organes reproducteurs les plus apparents ont reçu le nom d’apothécies, Ce sont, d'ordinaire, de petites plaques ou des corpuscules ayant presque toujours une couleur distincte 39. 622 LICHENS Fig. 674. — Coupe d'un thalle de Collema microphyllum. a, trychogyne dont la base pelotonnée est segmentée en nombreuses cellules, qui for- ment le carpogone; À, hyphas entremêlés de chapelets de gonidies. Fig. 675. — a, spores de Physcia parielina, germant sur le Prolococcus viridis. — b, filament de Synalissa symphorea aplatissant ses rameaux sur des cellules de Glæocapsa. — c, ramuscules de Cladonia furcata sur une cellule de Protococcus. — d, hyphas de Stereaucolon ramulosus sur des chapelets de cellules de Scytonema. (D'après BORNET.) * BYSSACÉS 623 de celle du thalle. Le thalle est formé d’un conceptacle ou cupule formée par l’enchevêtrement des hyphas contenant un Ayménium ou couche formée d’asques entremêlées de paraphyses stériles. Les asques contiennentun plus ou moins grand nombre de spores, de forme et de structure variables. On trouve encore dans les Lichens les spermogonies des Ascomycètes et leurs pycnides. On y trouve encore des sorédies ou corpuscules formés par lunion de quelques cellules vertes et de quelques hyphas. Ces corpus- cules devenus libres reproduisent le lichen. Les diverses formes d’apothécies utilisées pour la classification ont reçu les noms suivants : À, peltées, elles sont larges, sans rebord distinct formé par le thalle; À. lécanorines ou scutelles, elles sont orbiculaires, entourées d’un rebord formé par le thalle: À. lécidéines ou pa- telliformes, entourées d’un rebord formé non par le thalle, mais par le pourtour du conceptacle; À. lirellines, elles ont la même structure que les précédentes, mais avec des formes variables. 4. { Thalle byssacé .............,........,............... Byssacés. NRC ERA ROM bye Et OS NE «à » samusire 2 2.{ Thalle gélatineux.................................... Collémacés. ARPhalR HoMGGIUAOnx... 2. 2 04 den à Gosté » élue soie Lichénaceés. FAuILze CXL. — BYSSACÉS. Thalle bissoïde, c’est-à-dire formé de filaments très fins, plus ou moins ramifiés 1. EPHEBE Fr. — Thalle filiforme, ramifié, fruticuleux. Gra- nules gonimiques volumineux, disposés transversalement en petits tas de 2 ou 4 ou davantage. Apothécies endocarpoïdes, disposées sur des portions épaissies du thalle. Asques conte- nant 8 spores incolores. Spermaties droites cylindriques. E. pubescens Fr. — Thalle cespiteux, ramifié, grèle, un peu rugueux, coloré en brun noirâtre, croissant sur les ro- chers. Famizze CXLI. — COLLÉMACÉS. Thalle de forme très variable, constitué par une substance gélatineuse dans laquelle sont dispersés des granules goni- miques réunis en chapelets ou épars. Coloration du thalle ordinairement noire, brune, olivâtre, rarement cendrée ou glaucescente. Apothécies ordinairement rougeâtres en dehors, 1. Les lichénologues placent dans cette petite famille le genre Sirosiphon, que Kützing considère comme appartenant au groupe des Algues, et le genre Gonionema de M. Nylander. Ce dernier lichénologue y place aussi le genre Ephebe, le seul qu’il ail indiqué dans les environs de Paris. D’autres liché- nologues placent le genre Æphebe dans la famille des Collémacées. 624 LICHENS ° rarement noires, blanchâtres en dedans, rarement endocarpoï- des, ordinairement-scutelliformes et lécanorines. Deux genres : Thalle sans couche corticale distincte........ sureréaesees OUEN Thalle pourvu d’une couche corticale distincte, celluleuse.. Zeptogium. COLLEMA Acx. — Thalle de forme très variable, sans cou- che corticale distincte. Granules gonimiques disposés en cha- pelets. Apothécies rougeâtres, lécanorines. Asques contenant 8 spores à 3 divisions (dans nos espèces). Thalle foliacé, déconrbant. ..:..1........ Thalle en buisson, rameux, petit, sub-orbicu- laire, vert noir, coloré en rouge sang par 1.4 l'iode, à lobules ordinairement réunis en petites masses subpédicellées, dilatées à l'extrémité. Apothécies agrégées, un peu convexes, à bord mince, ondulé. Spores fusiformes........... C. conglomeratum L. Thalle orbiculaire, vert noir ou brun olive, lobé, à lobes sub-imbriqués, souvent plissés. Apothécies planes, à bord formé par le thalle, entier. Spores ovoides, souvent pourvues de 2 Xeloisons longitodinales-: 1112.22: JEN SET ENR C. pulposum Acuar. Thalle lobé ou à lobes petits, crénelés, olive foncé, ou noir brunâtre. Apothécies planes, à bord formé par le thalle granuleux, Spores eblongues-ellipsoïdes ..#. "1.2.2 20020 C. cheileum Ac. 1 LEPTOGAUM Acx. — Thalle de forme très variable, mince, pourvu d’une couche corticale distincte, celluleuse. Granules gonimiques en chapelets. Apothécies scutelliformes, lécano- rines. Mhalle foliacé ss seras sache Thalle en buisson, rameux, arrondi . olive foncé ou vert brunâtre foncé, épais, "petits, imbriqués, ramassés. Apothécies rouge-pâle, 1.{ petites, agrégées, concaves-urcéolées, à bord formé par le thalle, presque incolore, en- tier. Spores 8, ovoides, ellipsoides, à trois divisions. Hyménium gélatineux, coloré en bleu par l'iode......... PT RTE L. microphyllum Ac. | Thalle vert foncé noir, à laciniures diverse- | ment découpées, très étroites, allongées, lo- | bées, imbriquées. Apothécies rouge pâle, petites, concaves, d'apparence cireuse, à bord mince, entier. Spores 8, incolores, ovoides, à 3-5 divisions transversales avec des divi- Sons longitudinales ere an eee L. subtile ScHRAD. Thalle orbiculaire, membraneux, lobé, réti- culé, rugueux, à lobes pressés, arrondis, im- briqués, avec le bord entier ou crénelé. Apo- thécies brunes, éparses, petites, sessiles, con- caves, à bord élevé, entier, lisse. Spores oblongues, atténuées au sommet, à plusieurs divisions murales, irrégulières ...,....... …. L. sinuatum Hups, LV +. PRET Re er vo EN le Sn 7 nt tm 4 Lis BULLE RER PT NE PRESS RS CPP ET SAT CN ET UT 7 s Ca 4 RARE TS Van E : La" LAS fé * = - + ind le PRES re + = sd , 1 ; 2e \ : 2 S à AA à Fi Ve 1 Er : - > LICHÉNACÉS 625 Fame CXLII. — LICHÉNACEÉS. Thalle de forme et de coloration très variables, filamenteux, foliacé, squameux, crustacé, pulvérulent ou fugace, blanc, blanchâtre, cendré, jaune, rouge, brun, très rarement, noi- râtre. Couche gonidiale formée dans la plupart des espèces par des gonidies véritables, dans quelques-unes seulement par des sranules gonimiques. Apothécies stipitées, ou lécanorines, ou peltées, ou patelliformes, ou pyrénocarpées. Cinq tribus : 1.{ Apothécies pyrénocarpées......................... Pyrénocarpés. ‘| Apothéeies non pyrénoOcarpées ........ 4... see 2 Apothécies présentant à leur surface une masse de 9 spores nues (sporidies)..... DER RPER ENRERERpE Epiconiodes. 7") Apothécies ne présentant pas à leur surface une PRIE Ce SDOTIIORE TES. Lace bah dy donsans e 3 3 { Thalle foliacé, déprimé, lobé ou lacinié........... Plhyllodes. °‘} Thalle non foliacé..... SPRL RS CE Ta î Thalle couvert de petites écailles semblables à des z feuilles, affectant d’ailleurs des formes et une con- ASSIS LANCCLTESS HEVETSES. 6 rdnmdiang. dosaeess: Cladodes. Thalle non couvert de petites écailles semblables à ANR ces coma rrebenenaziee: Force D Thalle fruticuleux ou filamenteux...... HE cCone Une Ramalodes. Thalle crustacé, squameux, radié, granuleux, pulvé- TOORÉ CUP RERGe SE at msn ene ate nniatss rondes 00e PIRE Tribu I. — ÉPICONIODÉS. Apothécies présentant à leur surface une masse de sporidies nues. Asques contenant 8 spores. Quatre genres : Thalle toujours nul. Apothécies parasites sur les Per- 1.4 tusaria, globuleuses-turbinées ..........,.,... ...... Sphinctrina. Thalle développé ....... MR NET CES 00e 2 SUIS ARPERÉPIES DOFUS: : Tenue Leniailie Ne at à AUS dE 7" Apothécies jaunes ou päles, jamais noires.......... . Coniocybe. Apothécies pédiculées ou subsessiles.......,.,........ Calicium. Apothécies tout à fait sessiles, cupuliformes, ouvertes > (thalle parfois absent, les apothécies vivant alors en : parasites sur le thalle d’autres espèces, mais se distin- guant de celles des Sphinctrina, parce qu’elles sont CRDI ee es Rex conan s ses... Trachylia. SPHINCTRINA FR. — Pas de thalle. Apothécies parasites sur des Pertusaria globuleuses-turbinées, noires, sessiles ou brièvement pédiculées. Spores noirâtres, simples. RO EL Put Lt rh © Lt ORDRE at 2X7, 2 DE ee TN 74 LA 7e (ra Fe gts 626 LICHENS S. microcephala Nyz — Apothécies sessiles, brunâtres. Spores noirâtres, fusiformes-ellipsoïides, grandes, simples. CALICIUM Aca. — Thalle granuleux ou pulvérulent, parfois fugace. Apothécies noires, stipitées ou subsessiles. Disque ou capitule (portion qui termine le pédicule et l’apothécie) glo- buleux, turbiné ou cupuliforme. Spores brunes ou noirâtres. Spermaties courtes, oblongues. 1. { Spores simples.................. Ds ‘NSpores L=-clois0nnÉes Te; eeeenteelee ce D Thalle blanchâtre, granuleux. Apothécies 2 noires , portées par un pédicule noir. ")" MSperesbrimaires ni cer Then do ……........ C. melanophæum Acu. Thalle jaune ou jaunâtre cendré.......... LE Thalle jaune citrin ou jaune-vert, granuleux, verruqueux, Congloméré ou fugace. Apo- thécies noires, courtement stipitées ou al- longées. SporeS brunes, :..:..... 4, . C. chrysocephalum Acx. Thalle jaunätre cendré ou cendré...,...... 4 Thalle cendré pâle ou cendré jaunâtre foncé, finement granuleux. Apothécies suppor- tées par un pédicule grêle, noir ou brun. Capitules turbinés-lenticulaires, jaune-ver- dâtre, pruineux. Spores brunätres, ...... . C. phæocephalum. Thalle jaunâtre cendré ou cendré glauces- cent, finement granuleux-squamuleux. Apo- thécies noires, portées par un pédicule grêle. Capitules noirs, globuleux-lenticulaires , Cendrier RE C. trichiale Acu. Thalle membraneux, mince, blanc grisâtre. Apothécies petites, portées par un pédi- cule court, grêle. Capitules petits, subglo- buleux ou turbinés-lenticulaires. Spores oblongues ou ellipsoïdes, brunâtres....... C. subtile Pers. Thable éranulemenr A: SOU CAE L 6 Thalle cendré, mince, granuleux ou fugace. Apothécies noires. Capitule turbiné-globu- leux, brunâtre en dessous. Spores noirâtres, 6 grandes, ellipsoïdes ou oblongues......... C. trachelinum Acu. ‘\ Thalle blanc grisätre, granuleux ou léprosé ou fugace. Apothécies noires. Capitule tur- biné-lenticulaire, cendré-pruineux en des- sous. Spores noirâtres, petites, ellipsoïdes. C. quercinum PERS. LE CONIOCYBE Ac. — Thalle léprosé ou pulvérulent, diffus ou fugace. Apothécies jaunes ou pâles, jamais noires, stipitées, à disque très ouvert. Spores sphériques, incolores ou jau- nâtres, formant un capitule globuleux pulvérulent. C. furfuracea Acx. — Thalle jaune soufre ou verdâtre soufré. Apothécies saupoudrées de poussière jaune soufre, ou munies de pédicules allongés, nus, jaune-verdâtre. Masses sporidi- ques jaunes ou teintées d'ombre pâle. LICHÉNACÉS 627 TRACHYLIA Fr. — Thalle mince, granuleux, ou sublé- prosé, ou représenté par une autre espèce sur le thalle de laquelle les apothécies du Trachylia se développent en para- sites. Apothécies noires, sessiles, cupuliformes, ouvertes. Masse sporidique noire. Spores noirâtres ou noir-brunâtre, à une ou plusieurs cloisons. Spermaties oblongues ou ellipsoïdes. T. stigonella Fr. — Espèce parasite sur des Pertusaria. Apothécies peu proéminentes, noires, planes. Spores ellipsoïdes. brun-noirâtre, 1-cloisonnées. Tribu II. — CLADONÉS. Thalle ordinairement dressé, couvert d'écailles simulant des feuilles. Apothécies terminales, scutelliformes, ordinairement portées par des portions dressées du thalle désignées sous le nom de podéties. Spores 8, incolores, ordinairement oblongues et simples, rarement allongées et eloisonnées. Paraphyses dis- tinctes. Deux genres : Thalle crustacé, pulvérulent, granuleux ou squamuleux...... Bæomyces. Thalle tubuleux ou‘tubuleux-lacinié. ,:...................., Cladonia. Fig. 676. — Bæomyces cespililius. BÆOMYCES Pers. — Thalle crustacé, pulvérulent, granu- lëux ou squamuleux. Apothécies scutelliformes, lisses, sans bordure, sessiles ou stipitées. Stérigmates articulés. Spermaties cylindriques, droites. Apothécies à peine convexes, rouge chair. Thalle mince, diffus, finement granuleux ou squamuleux, blane ver- dâtre, ou blanchâtre glaucescent......., Hs, sde SERIE DCS Apothécies sub-globuleuses, rose chair, ou blanc rose chair. Thalle granuleux-crustacé, blanchâtre,,.,,.,., B. roseus PERS, 628 LICHENS CLADONIA Horr“. — Thalle tubuleux, ou tubüleux-laci- nié, ordinairement couvert de squamules à la base, parfois seu- lement granuleux-crustacé. Podéties ordinairement dilatées au sommet en cornet ou en coupe. Apothécies jamais noires. Spores petites, oblongues. PATES Ë ARR E CNE 4 < S Fig. 678. — Cladonia baccilaris. Podéties portant des coupes ou ramifiées, plus ou moins pulvérulentes ou squameuses. Apothé- cies terminales, brunes, ou pâles, ou rouges. 1.{ Podéties sans cupules, plusieurs fois ramifiées, cendrées, verruqueuses, scabres, subtomenteu- ses, à branches terminales formant une sorte de corymbe. Apothécies terminales, pâles... C, rangiferina Hrrs. 3 w Apathécies brunes ou pâles:....:.1"#40 | Apothéties rougé-vits Rent. OO 6 2 { Podéties une ou plusieurs fois ramifiées...... 4 * "A Podéties:nop, ramifées. sue 2e. RO 5 Thalle squamuleux, fugace, Podéties allongées, blanchâtre-päle ou vert-brunâtre, glabres, ramifiées, frutescentes, à branches atténuées, subulées, divergentes. Apothécies petites, BRUNET LE net rende eee OUT CEE C. furcata Hizr. Thalle squamuleux, Podéties cespiteuses, vert blanchäâtre, cylindriques, plusieurs fois rami- fiées, couvertes de petites dents ou munies sur les bords, de coupes petites et irrégu- lières, Apothécies brunes. .. ss... + C. squamosa HFFM. = FA PAR Per et PUR DT EN T'ON AD SONT SN DIN VI RSR TS CPS D PL SNA 0 Cr, 757 2 nl dar LE AR (LT > Pa Sy se PCR PARA “à sr ete RER EC LE A. “LINE F2". DC PRE PT pen Cu EURE | +: FCSR EL TRE ns RTE A à LS te a 7 A, LICHÉNACÉS 629 Thalle squamuleux, vert cendré. Podéties car- tilagineuses, cortiquées, verruqueuses ou gra- nuleuses. Cupules plus ou moins prolifères.. €. pyridata FR. 9.2 Thalle vert-cendré, pale ou brun-livide, muni à la base de folioles souvent fugaces. Podé- ties allongées, filiformes, subulées, cupulifères ou prolifères, glabres. Apothécies brunes. .,. €C. gracilis HorFrs. De DES CRE Fig. 679. — Cladonia gracilis. Fig.680. — Cladonia ne ! Thalle squamuleux, vert jaunâtre pâle, crenelé ou crénelé-incisé. Podéties granuleuses, ver- ruqueuses, simples, dilatées au sommet en cupules simples ou prolifères. Apothécies ses- siles ou pédicellées.....................,... C. cornucopioides FR. 6.4 Thalle foliacé à la base, muni de folioles pe- tites, lobées-crénelées, vert-päle en dessus, blanchâtres en dessous. Podéties recouvertes d'une poussière blanchätre. cylindriques, à cu- pules étroites, digitées, den‘ées sur les bords, ou dilatées et prolifères........,............ C. digitata HoFFM. Tribu III — RAMALODÉS. Thalle fruticuleux ou filamenteux, dressé ou pendant, cylin- drique ou comprimé-anguleux, sans squames, ni granules ni croûtes basilaires, avec une moelle creuse ou solide. Apothé- cies scutelliformes. 630 LICHENS Deux sous-tribus : Thalle ramifié, plus ou moins cylindrique, à axe médullaire. Apothécies terminales ou latérales..........,..,.......... . Ramalinés. Thalle comprimé, fruticuleux ou dilaté-membraneux. Apothé- cies marginales. ......441e108002 800 CRE . Cétrariés. Sous-tribu I. — RAMALINÉS. Thalle ramifié, dressé ou pendant, pourvu d’une moelle. Apothécies terminales ou latérales, concolores ou discolores, scutelliformes, à bord entier, formé par le thalle. ; Spores simples. Thalle flasque....4.,.,..2# Ni RC Evernia . Spores 1-cloisonnées. Thalle rigide Ramalina Fig. 681. — Evernia prunaslri. EVERNIA Ac. — Thalle flasque, dressé ou ascendant, ou bien couché ou pendant, aplati ou sub-cylindrique, lacinié ou très ramifié, sans rhizoïdes, laineux intérieurement. Apo- thécies latérales, lécanorines. Spores ellipsoïdes, petites, sim- ples. E. prunastri L, — Thalle blanchâtre, ou blanc pâle, ou jaune LICHÉNACÉS 631 blanchâtre, très lacinié, subeanaliculé et plus pâle en dessous, lacuneux-rugueux, à bords ordinairement couverts de sorédies blanches. Apothécies brun-rouge foncé, à réceptacle rugueux. Spores ellipsoïdes. Commun sur les arbres. Fig. 682. — Ramalina calicaris. Fig. 683. — Ramalina fastigiata. RAMALINA Acu. — Thalle comprimé, un peu rigide, dressé ou couché, rameux-lacinié, à laciniures libres, dressées, sem- blable sur les deux faces, blanchâtre ou pâle. Aphothécies éparses ou marginales, de la même couleur que le thalle. Spores oblongues, courbes, 1-cloisonnées. Laciniures du thalle courtes et dilatées, enflées 1 OU MANEEE NRC me pee 2 ‘) Laciniures du thalle linéaires et allongées, atté- nuées au sommet, dichotomes ,.......... AE 20 Thalle en buisson, cartilagineux, blanchâtre, ou . blanchätre-glaucescent, chargé de verrues soré- diales pulvérulentes. .......... LM RP SRE De R. pollinaria Ac. Thalle jaunâtre pâle, petit, cespiteux, dense, à laciniures dilatées et enflées supérieurement. Apothécies blanc-incarnat, subpeltées, portées par des portions divariquées des extrémités des laciniures ....... Pet shit se da A ae sets a de .. À. fastigiata Acx, 2 te dies blanches que portent les bords.....,...... A. farinacea L. Thalle gris-glauque. ou flavescent blanchâtre. Laciniures atténuées, non ondulées au sommet, longitudinalement lacuneuses-canaliculées....... À. calicaris Horru. TS + ETS et] [eu (2) (es En ni] [=] œ EE > — br («9 © S [oje] en 2 S Q © n Q © [= se re] Q De =] mie [= 3 œ© m © [= l 632 LICHENS Sous-tribu II. — CÉTRARIÉS. Thalle comprimé, fruticuleux, membraneux, lobé, à écorce supérieure souvent brillante, à moelle blanche, cotonneuse. Apothécies scutelliformes, marginales. Asques à 8 spores inco- lores, simples. Paraphyses non distinctes. Spermogonies mar- ginales, sur des mamelons apiculés ou sur des papilles noires. Drillant Peer ber sers RL OA TE dre Cetraria. Thalle membraneux-lacinié.,....... NET + AR PP ET Platysma. CETRARIA Acu. — Thalle rigide, dressé ou ascendant, laci- nié, brun clair brillant ou brun pâle. Apothécies noirâtres ou brun brillant. €. aculeata Fr. — Thalle brun clair brillant, cespiteux, fru- ticuleux, ramifié, à branches divariquées, fistuleux, cylindrique, ou comprimé, ou anguleux, rigide, dressé, plus ou moins cou- vert de petites épines noires. PLATYSMA Horrvx. — Thalle membraneux-dilaté, lacinié ou lacinié-lobé. Apothécies marginales ou sub-marginales. Spermogonies finement papilleuses ou tuberculeuses. P. glaucum L., — Thalle blanc-ivoire ou glaucescent. lisse ou légèrement lacuneux-rugueux, à bords sinués-crénelés. lacérés ou finement fimbriés, en dessous rugueux, brun-noirâtre ou pâle ou entièrement blanc. Apothécies rouge-brun brillant. Tribu IV. — PHYLLODÉS. Thalle foliacé, aplati, lobé, lacinié ou radié, à moelle coton- neuse. Apothécies lécanorines, lécidéines ou peltées. Sper- maties droites, plus étroites au milieu. Trois sous-tribus : Apothécies peltées: 2.6 tasmemuntodsetc APR ORRRERC ARRETE Peltigérés . Apothécies lécanorines...... ses eee 0 RER OS ESE se ParGieuts. Apothécies lécidéines, concentriquement..................... Gyrophorés. Sous-tribu I. — PELTIGÉRÉS. Thalle frondacé, dilaté, dépourvu de couche corticale sur la face inférieure. Apothécies peltées, arrondies, réniformes ou oblongues, tantôt marginales, adnées soil à la face supérieure LICHÉNACÉS 633 ou à la face inférieure. tantôt éparses sur la face supérieure du: thalle. Spores 8, incolores et fusiformes, dans lés apothécies marginales, brunes, ellipsoïdes et biloculaires dans les apothé-- cies éparses. Paraphyses épaisses, articulées. 1) ADOURÉCIES RP ITAIeS Es pre sie s PU EU IE NEN 2 ‘| Apothécies non marginales, enfoncées dans le thalle.., Solorinæ Apothécies marginales, adnées à la face supérieure du 9 thalle.”..# RÉ SE EE NPC RE AT .. «+ Peltigera. 7") Apothécies marginales, adnées à la face inférieure du thalle. . .…. ana et 222 te DE net .... Nephromiuin PELTIGERA Horru. — Thalle membraneux, lobé, fragile. à couche corticale non continue sur la face inférieure, qui est généralement nerviée et munie de rhizoïdes. Couche goni- diale formée seulement de granules gonimiques et non de véritables gonidies. Apothécies marginales, sur la face supé- rieure du thalle. Spores 8, incolores ou légèrenrent rouge-bru- nâtre, fusiformes, 3-5-7-cloisonnées. Fig. 683. — Pelligera canina, portion du thalle. FOX POREDIOS M PMASe PS LE messes. deu Sous dev ie o 2 Apothécies horizontales. ‘Thalle glauque-roux, arrondi, lobé, glabre, lisse ou légèrement im- 1.{ primé, brillant, à bords sinueux-crénelés et un peu ondulés; apothécies brunes ou brun noirätre, arrondies ou elliptiques, planes, ho- rizontales, à bords irrégulièrement crénelés... P, horisontalis . 634 LICHENS ruqueuses, déprimées, colorées en brun pâle, lui-même coloré en vert livide, largement membraneux, coriace, lisse. Apothécies rou- geâtres, arrondies, adnées à un lobe étroit, ascendant." Su Re AR RSR P, aphthosa L. | Thalle dépourvu de céphalodies.,........... SAT. [ Apothécies à bord presque entier. Thalle cen- dré-roux, arrondi, lobé, couvert sur la face \ inférieure d’un tomentum blanc, apprimé, et de nervures proéminentes, pâles, anastomo- sées, villeuses, tomenteuses, couvertes de » rHAZOÏdES. à. ss svt see sé a re a alain . P, canina L. | Apothécies à bord crénelé............ FERRÉ | Thalle à lobes digités, glaucescent, à lobes as- | cendants, glabre et brillant, lisse ou légère- Thalle couvert de céphalodies peltées ou ver- ment imprimé, muni en dessous de nervures épaisses, spongieuses, tomentleuses, brun-noi- râtre, anastomosées. Apothécies brunes ou brun-rougeûtre, à bord révoluté, irrégulière- ment crénelé......... sir tte At SRE P.polydactyla Horrs. Thalle à lobes arrondis, cendré-roussàtre, lisse, glabre, à face inférieure floconneuse ou réti- culée tomenteuse, avec des nervures noirâtres, portant au centre des touffes de rhizoïdes fon- | cées. Apothécies brunes ou brun-rougeûtre, à : bords crénelés..... Laye Masare 0h PMR EE ... +. P. rufescens HoFrM. NEPHROMIUM Nxz. — Thalle membraneux, fragile, glauces- cent ou brunâtre, à face inférieure sans nervures et couverte d'une couche corticale continue. Apothécies adnées à la face inférieure du bord du thalle. Spores 8, incolores ou brunâtres, 3-cloisonnées. Granules gonimiques moniliformes, colorés en vert-bleuâtre foncé. a D. 1. N. lævigatum Ac. — Thalle brunâtre-livide, orbiculaire, à lobes arrondis, à bords sinués-crénelés, un peu brillant en des- sus, pâle, glabre, lisse en dessus. Apothécies rouge-brunâtre. SOLORINA Acx — Thalle membraneux, fragile, à face inférieure n'offrant pas une couche corticale continue, plus ou moins nerviée. Apothécies arrondies ou oblongues, brun-clair rougeâtre ou noir-brunâtre, éparses sur la face supérieure du thalle, cimées. Spores brunes, 1-cloisonnées. Couche goni- diale colorée en vert brillant, formée de granules gonimiques et non de véritables gonidies. S. saceata L. — Thalle membraneux-papyracé, brun-pâle, vert-clair quand il est humide, orbiculaire, à lobes arrondis, à bords largement crénelés, couvert en dessus d’une sorte de pruine granuleuse blanche; plus pâle, spongieux, tomenteux et rhizoïdifère en dessous. Apothécies brunes ou brun-noirâtre, urcéolées. Spores #, brun-rougeûtre. LICHÉNACÉS 635 Sous-tribu 1I. — PARMÉLIÉS. Thalle frondacé-dilaté, ou lobé, ou lobé-lacinié, ou radié-laci- nié, rarement un peu cylindroïde et fruticuleux-imbriqué. Apothécies lécanorines. Stérigmates pluriarticulés. Spores simples. Paraphyses non distinctes. Thalle lacinié, ; lobé:72 TPE SR SR CR CR Pise l'Patmeltt. Spores 1-2-3-cloisonnées. Paraphyses distinetes.........,. © Thalle radié orbiculaire. Spores biloculaires...,........... Physcia . Thalle membrane1x, lobé, tomenteux et creusé de petites eupules.. Spores: 1-3-cloisonnées. #27 mie ee Stictina. PARMELIA Acx. — Thalle lacinié ou lobé-lacinié, étalé, un peu brillant, à moelle cotonneuse. Apothécies éparses. Para- physes non distinctes. Spores 8, petites, ellipsoïdes, simples. Spermogonies innées. 2 ( nil on NE el Le SE Nbre, LR 92] il il \ 7. REA 27 , VU) Te PSE [# AU { A \; ty ÿ) D) 1} RE F0 1 ni) RE nel WAR DE Jp Fig. 685. — Parmelia saxatilis. Moelle du thalle ne présentant aucun change- ment de coloration ni sous l'influence de l'hy- drate de potasse, ni sous celle de l'hypochlorite de Chaux. .-:.. su She Him doit LES 2 Moelle du thalle présentant un changement de coloration sous l'influence des réactifs ci-dessus diqués...,................ Sn ÉRE e -: just Æ Apothécies à bord EHEDE A ES ne ee eee 3: Apothécies à bord crénelé-pulvérulent. Thalle jaunâtre ou jaune paille, dilaté, lobé, incisé, rugueux, noir en dessus, plus pâle aux bords, à rhizoides noirs. Apothécies rougeâtres, à bord crénelé, pulvérulent ..........,... asves CHA Li. 6:36 LICHENS Thalle brun-olivâtre, orbiculaire ou subcrbicu-. laire, lacinié-lobé, à lobes apprimés, à face in- férieure de même couleur que la supérieure. _ Apothécies à bord entier, brunes ou brun-rou- 5 detre fontéli en sett. TN ET EeE SCT à Thalle blanchâtre, substellé, lacinié, à laciniures multifides, planes, glabres, lisses, imbriquées, à face supérieure nue, rugueuse, à extrémités renflées. Apothécies brun-clair ou brun-rou- gedtre/ à bord'entier "1.5." RP P. olivacea L. P. physodes L. Fig. 680. — Parmelia omphalodes. ! Moelle du thalle colorée en jaune par l’hydrate de potasse, sans réaction avec l'hypochlorite de chaux..... TOOL SAMU Jo De Me ne To er à Moelle du thalle colorée en Jaune, puis en rouge par l'hydrate de potasse..........,......... Moelle du thalle sans réaction avec l'hydrate de potasse, colorée en rouge par l’hypochlorite de chaux, qu'on fait agir ensuite (sans réaction à l'hypochl. de ch. seul). Thalle blanchäâlre-glau- 4, cescent, lacinié-lobé, à divisions divariquées, si- nuées-multifides ou sinuées-incisées, souvent sub-imbriquées, surface inférieure couverle de rhizoïdes noirs. Apothécies brunäâtres,..... or Moelle du thalle blanche, colorée en rouge par l'hypochlorite de chaux seul. Thalle brun-elair ombré, orbiculaire, lacinié-lobé, à lobes appri- | nés, plans, crénelés, fuligineux- furfuracés ou | couverls d'appendices corollins . Apothécies \ brunes, à bord épais, crenelé...... Mo ten 1. Nous avons surtout la variété prolira (A. prolira Acu.;, dans laquelle le thalle est vert olive foncé, lacimié, à laciniures étroites, multifides, nelées, incisées. P. lævigata Su. P. fuliginosa Dis. cre— LICHÉNACÉS 637 Thalle blanc, glaucescent, dilaté, lobé, à lobes arrondis, sub-imbriqués, à surface inférieure noire ou noir-brunâtre, päle vers les bords. Apothécies brun rougeâtre, à bord entier 1 ... P, perlata L. 5.{ Thalle blanchätre, orbiculaire, plan-apprimé. glabre, à divisions étroites, multifides, fine- ment perforées, dilatées à l'extrémité: surface inférieure noire et rugueuse. Apothécies rouges brunâtres, à bord entier.{.:.:.....,...... .... P. pertusata Scur. Fig. 687. — Parmelia levigata. DA IIC GEMION are re 5 dan nas des des Se NOT Thalle divariqué-lobé, jaunâtre, à divisions 6 étroites, sinuées-pinnatifides, à sinus circulai- *) res, dilatées à l'extrémité, à surface inférieure couverte de fibrilles noires. Apothécies bru- DES AI DO ONE 4. csssenseus ane te. SNUOO SM. Thalle réticulé-rugueux, couvert d'excroissances corollines, cendré ou blanchätre cendré, mem- braneux, étalé, orbiculaire, lacinié, à laciniures sinuées-multüfides ou sinuées-incisées, ou lo- 1.4 bées, à face inférieure noire et fistuleuse. Apo- thécies brun clair ou roux, à bord entier ou CPR 2 sr ten ne ces es ralilis 1: Thalle non réticulé-rugueux, dépourvu d’excrois- SANCES, COTDILIRES, 0 de date sie Prato ele date daleetns à 0 © 1. Dans la variété ciliata (P. ciliata DC.), les bords du thalle sont mu- nis de cils noirs. 2. Dans la variété sulcata (P. sulcata TayL.), le thalle n'est pas muni d’excroissances corollines; il est réticulé par des sorédies blanches et can- nelé. Sa coloration générale est blanchâtre. Dans la variété omphalodes (P. omphalodes L.), le thalle est brun ou noirâtre, brillant, lisse, réticulé- rugueux. FLORE DE PARIS. 36 638 LICHENS Thalle couleur ocre pâle, orbiculaire, lacinié, à divisions apprimées, contiguës ou imbriquées, à bords sinués, incisés ou crénelés, ondulés, à face inférieure noir brunàtre, couverte de fibril- les noires. Apothécies brunes ou brun clair, à : bord mince, infléchiee AIRE REC nEEER . P, conspersa EHRH. Thalle glauque-olivàtre ou olivätre foncé, mem- braneux, coriace, orbiculaire, inégal ou un peu rugueux, lobé, à lobes arrondis, flexueux ou imbriqués, à face inférieure mauve ou noirâtre. Apothécies rouge brun clair, à bord crénelé et rendu rugueux par des sorédies.............., P. acetabulum NEcx. STICTINA Nyz. — Thalle membraneux-lobé, à face infé- rieure rhizinifère et couverte de cupules ou cyphelles urcéo- lées (dans nos espèces). Couche gonidiale formée de granules gonimiques vert-bleu foncé. Apothécies à paraphyses distinc- tes. Spores fusiformes, 1-3 ou rarement pluri-cloisonnées. Apothécies velues-ciliées. Thalle roux ou brun cen- dré, scrobiculé, arrondi-lobé, couvert d'une efflo- rescence foncée, à face inférieure brun É to- menteuse. Apothécies rougeûtres..,.,......,.... S, fuliginosa Drcxs. Apothécies non velues-ciliées. Thalle roux où brun US lacinié-lobé, furfuracé sur la face supé- rieure. sine SSD. à Mere à De OL DIN ET ls. Sesylvatica. L, SE ee Re Fig. 689. — Physcia parielina. PHYSCIA Nyz. — Thalle lacinié, ordinairement orbiculairc- étoilé. Apothécies lécanorines, oranges, jaunes ou noirâtres. LICHÉNACÉS 639 Paraphyses distinctes. Spores incolores ou brunâtres, biloculai- res ou 1-cloisonnées. Stérigmates pluri-articulés. Spermaties oblongues-cylindriques, épaissies aux deux extrémités. æ) 690. — Physcia slellaris. Thalle jaunâtre, coloré en ea par l'hy- AP do hoiAs ep mA denses ss Same «à ne Thalle gris cendré, ‘non coloré en pourpre par l’hydrate de potasse.........,........ 3 Thalle jaune ou blanc jaunûtre, ou cendré Jaunâtre, rigide, étroitement lacinié, à laci- niures ascendantes, divariquées, multifides, fibrilleuses ou spinuleuses au sommet, blanchâtres en dessous. Apothécies oran- gées, à bord ordinairement fibrilleuxæ-cilié. P, chrysophthalina L. Thalle jaune, sub-orbiculaire, découpé en lobes arrondis, incisés, sub-imbriqués, ap- primés, plans” ou subconcaves, lisses, à bords crénelés, épaissis et relevés, à face in- férieure plus päle ou blanchâtre. Apothé- cies de même couleur que le thalle ou un peu orangées, à bord entier............... P. parietina L. Thalle n’offrant aucun changement de cou- leur sous l'influence de l'hydrate de po- tasse et de l'hypochlorite de chaux.. Æ Moelle colorée en jaune par l'hydrate ‘de potasse, sans changement ultérieur de co- loration avec l’hypochlorite de chaux. Thalle blanc ou blanc glaucescent, orbicu- laire, étroit, apprimé, à divisions multi- fides, contiguës, taché de blanc au-dessous de l'écorce : face inférieure blanchätre avec des fibrilles de mème couleur. Apothécies noires ou noir brunâtre, nues pruineuses.. P, stellaris L. Apothécies non pédicellées ee PR IC 5 Apothécies pédicellées, noir brunâtre, prui- neuses, ou rarement nues, à bord presque «, entier, infléchi. Thalle cendré blanchätre ou cendré brunâtre, lacinié, à laciniures linéaires, sub-ascendantes, multifides, im- briquées-intriquées, tomenteuses, canalicu- lées, à bords fibrilleux ciliés, à face infé- rieure blanchâtre.......... ere rs Pe CIS Le 6 0 LICHENS Thalle cendré pàle, ou cendré brunätre, ou | fauve olivâtre päle, mat, sub-orbiculaire, | étoilé, apprimé, ferme, à divisions multifi- des, planes, couvertes à l'extrémité d’une pruine granuleuse, blanchâtre: surface in- férieure à fibrilles noirâtres. Apothécies bru- nes, pruineuses, à bord entier, renflé, prui- 5 AC neue remuer Ne TR MT P. pulverulenta Scures Thalle brunätre ou verdâtre olivacé, sub- orbiculaire, étoilé, apprimé, à divisions étroites, incisées-lobées, planes, lisses, à surface inférieure couverte de fibriiles noi- râtres. Apothécies brun noirâtre, à bord entier. Pas de pruine granuleuse à la sur- face du thalle:.,3....04.0.. 0e P, obscura Eur. Sous-tribu III. — GYROPHORÉS. Thalle membraneux, monophylle, fixé par un ombilic. Apo- thécies lécidéines. Paraphyses distinctes. Stérigmates articu- lés. Spermaties minces, courtes, cylindriques, obtuses aux deux extrémités. UMBILICARIA Horr». — Caractères de la sous-tribu. Thalle mince, cendré verdâtre ou vert olive pâle, couvert de pustules noires, fibreuses; face inférieure bruvätre, fovéolée. Apothécies rares, petites, planes den sessunls 285 RME ser U. pustulata HoFFM. Thalle petit, gris souris, à face infé- rieure chagrinée. Apothécies petites, contournées en spirale............... U. grisea Sw. Tribu V. — PLACODÉS. Thalle crustacé, squameux, radié, granuleux, pulvérulent ou fugace. Apothécies lécanorines, lécidéines, biatorines, ou lirel- lines. Trois sous-tribus : Apothecies lécanorines...,}.=cs-e-cre- #0 RER RS SRE Lécanores. Apothécies lirellines.2- mere cree duo ao one e UT TIMOES. Apothécies biatorines, ou lécidéines, ou gyalectines.......... Lécidéinés. Sous-tribu I. — LÉCANORÉS. Apothécies lécanorines. Thalle variable. Apothécies endocarpoïdes, enfermées dans des verrues du 1 thalle avec où sans épithécium ouvert....,... CAE TA SRE 2 Apothécies .scutelliformes./#2* ete Et 1. Nous avons surtout la variété pityrea (P. pityrea Acn.), à divisions courtes, couvertes de sorédies sur les bords; à apothécies à bord crénelé. LICHÉNACÉS 6#1 Apothécies endocarpoïdes, enfermées dans des verrues du 2 thalle, avec un épithécium ouvert.........,........ …. 9 7") Apothécies endocarpoides, enfermées dans des verrues du thalle, sans épithécium ouvert................, Mec AS: 9 Apothécies NÉPPOOREMEN PE ee ce noces nt osent . Thelometra. RAD GE re CORRE eee essence sonde . Urceolaria. 3, Spores simples......., ei dia ee tas ..... Pertusaria. ‘1 Spores cloisonnées en MR PRES À Graf» mate Ne a le sex PME Couche gonidiale formée de gonidies véritables.......... 6 5.4 Couche gonidiale formée seulement de granules gonimi- ques ter De de Lee Et D le a tente so a Pannaria. g.\ Thalle RE FR D RS OT TR 2e PCR Re Amphiloma. ‘| Thalle non pulvérulent.......... TD ASS Ce Rec e Éd = NLRdHe Crüustacér gronuieux. PLU SN FRA Lecanora. LAN ON LI Sussex OR LAURE NUL ENNDÉ 8 Thalle radié ou radié-lacinié, Spores biloculaires....,... Placodium. 8.{ Thalle radié-lacinié ou cartilagineux-squameux, Spores toujours simples 12 -..#..dae FADEE CS. SHOT ses... Squamaria, PANNARIEA DEL. — Thalle lacinié-radié, squameux ou gra- nuleux. Couche gonidiale formée de granules gonimiques. Apothécies lécanorines ou biatorines. Spores 8, incolores, elli- psoïdes, simples ou 1-cloisonnées. Stérigmates pluri-articulés. Thalle brun cendré, squameux, orbiculaire ou irré- gulier, à squames membraneuses, laciniées-lobées, crénelées ; face inférieure bleu noiràtre Apothécies brunes ou brun rougeätre, à bord pâle.......... P. triptophylla Acx. Thalle cendré ou cendré bleuâtre foncé, granuleux- crustacé, Apothécies biatorines, rouges ou brun rougeàtre , petites, planes ou légèrement con- vexes et couronnées par le thalle........... ..... P. nebulosa HoFrM. Fig. 691. — Squamaria crassa. AMPHILOMA Nyz. — Thalle monophylle, lobé, sub-mem- braneux, non pulvérulent. Couche gonidiale formée de granules gonimiques. Apothécies scutelliformes, marginées par le thalle. 36. 642 LICHENS A. lanuginosum Ac. — Thalle blanchâtre ou brunâtre blanchâtre, adné, lobé, à lobes sub-imbriqués, à bords crénelés, granuleux-pulvérulent; face inférieure tomenteuse, bleu-noi- râtre. Apothécies inconnues. SQUAMARIA DC. — Thalle radié-lacinié ou cartilagineux- squameux. Apothéecies lécanorines. Spores incolores, ellipsoi- des, simples. Paraphyses distinctes. Spermaties allongées, cylindriques. S. crassa Hups. — Thalle jaune-pâle ou vert-blanchätre, squameux, à écailles cartilagineuses, imbriquées, lobées-créne- lées, à surface inférieure brune. Apothécies rougeâtres, planes, à bord entier. PLACODIUM DC. — Thalle radié ou lacinié-radié. Apothécies lécanorines. Asques à 8 spores incolores, ellipsoïdes, bilocu- laires (dans nos espèces). Paraphyses distinctes. Stérigmates articulés. Spermaties grêles, courtes, cylindriques. Thalle jaune clairs LT, RIM » Thalle cendré- glaucescent, ou cendré blanchâtre, 1 lisse ou pulvérulent , ‘orbiculaire- -squameux, ‘) adné, subaréolé et plan au centre, radié, plié, lobé à la périphérie. Apothécies apprimées, noir brunâtre, marginées par le thalle........ P. candicans Dicxs. Thalle non crustacé. vaste uses. ren DS Thalle crustacé, jaune, diffus, granuleux-lé- 2.4 prosé, fendillé, aréolé, Apothécies orange jaunàtre , planes, à bord presque entier, pul- VÉLUIENL EST Reerereececter CCE PTT RER P, citrinum Acu. Thalle jaune clair, orbiculaire- radié, adné, aréo- lé-fendillé, ou squameux-fendillé et blanchâtre au centre, plié-lacinié à la circonférence, à la- ciniures étroites. Apothécies orange foncé, à 3 bord entier, à disque finement granuleux..... P. murorum HoFFM. *\ Thalle jaune clair, orbiculaire-radié, adné, aréolé- fendillé et blanchâtre au centre, lobé-lacinié à la circonférence, à lobes larges. Apothécies orange clair, à disque lisse, à bord jaune clair, épais, flexueux ou subcrénelé.....:......... . P. callopismum Acu. LECANORA Acu. — Thalle crustacé, granuleux, lisse ou léprosé, Apothécies lécanorines. Paraphyses distinctes. Spores ordinairement simples, rarement cloisonnées, habituellement incolores, rarement brunes. Asques contenant huit spores.......... 2 Asques contenant plus de huit spores. Thalle 1.4 jaune verdâtre pâle, granuleux, diffus. Apo- thécies jaune fauve, à bord thallin, entier n où crénelé..8 ut on ob some senti ONCE PE LICHÉNACÉS Spores simples...,.... Mie. assis die fée Spores polari-biloculaires ou 1-3 pluri-cloi- Sonnées.., 25-5209: nt side «86. Dec Thalle coloré en jaune parl'hydrate de potasse. Thalle ne changeant de coloration ni sous l'influence de l’hydrate de potasse ni sous celle de l’hypochlorite de soude............ Thalle coloré en jaune par l'hydrate de po- tasse et par l'hypochlorite de soude....... Thalle coloré en jaune par l'hydrate de potasse, ne changeant pas de couleur sous l'influence de l'hypochlorite de soude, ou bien d’abord coloré en jaune par l’hydrale de potasse, puis en rouge par l’action consécutive de l'hypochlorite de soude. .... RP Re ve de Cyslococcus humicola. (D'après TREUB.) Disque devenant et restant jaune comme le thalle après l’action de l’hydrate de potasse et de l’hypochlorile de soude.............. Disque devenant jaune comme le thalle sous l'influence de l’hydrate de potasse, mais pas- sant au rouge sous l'action consécutive de l'hypochlorite de chaux, tandis que le thalle reste jaune, Thalle blanchâtre ou cendré blanchâtre , granuleux-rugueux ou verru- queux. Apothécies nombreuses, pressées, à disque plan, souvent verruqueux, à bord épais, souvent radié-crénelé. . ,..s...s.esse L, parella L. Fig. 692. — Lecanora subfusca. sp, spores germant dans une colonie 644 LICHENS / Thalle jaune verdâtre, granuleux, mince. ARRETE de même couleur ou jaune pâle ou verdâtre livide, à bord thallin, entier ou presque entier. 21. UC OS HO Thalle cendré ou blanc cendré, orbiculaire, verruqueux-aréolé au centre, radié-lacinié à la circonférence, à laciniures étroites. Apo- thécies innées, Suburcéolées ou planes, noir \ brunûâtre, à bord entier, «ax cut EE Thalle coloré en jaune par l’hydrate de po- tasse et restant jaune...,...........,...... Thalle coloré en jaune par l'hydrate de potasse, devenant ensuite rouge orangé, naturellement blanc jaunâtre, granulé- aréolé- crevassé, sub- radié à la circonférence. Apothécies couleur chair, fréquemment conglomérées-déformées, à bord épais, oHdulé see 0 NE Thalle cendré ou blanchâtre. Thalle mince, lisse, crevassé, granuleux, rugueux ou dif- fracté ; hypothalle blanc. Apothécies brunes ou brun pàle ou presque noires, souvent pruineuses, plan-convexes, à bord ‘entier ou crenelé. neue ste ete Ne CEE Thalle blanchätre ou blanc glauque, crevassé- aréolé. Apothécies livides ou noirâtres livi- des, innées ou subsessiles, pruineuses, à bord thallin entier Hesuenx-- Al -Rr TLC Thalie blanchàâtre, apprimé, un peu rugueux, subpulvérulent, lobé crénelé à la périphérie, Apothécies pressées vers le centre, brunätre- livide, plus ou moins couvertes de pruine blanche: abord'élevé. 5%. Hire teen Thalle brun olivâtre, ou brun foncé, ou cendré brunâtre, luisant, granuleux aréolé. Apo- thécies apprimées, souvent pressées, brun foncé foumoir brunalre ere Recette cre Spores 1-3 ou pluri-cloisonnées............. Spores polari-biloculaires.......,.......... Spores {-cloisonnées........ Se Gus etant ete Spores 3 ou pluri-cloisonnées...,..,.,..,.... granuleux aréolé, mince; hypothalle noirà- tre. Apothécies noir-brunâtre , planes, petites, souvent pressées et anguleuses, à Dot ieN OT... sise oem sue tetes OR Thalle cendré noirâtre, granuleux ou verru- queux-aréolé, lisse, à “hypothalle noir. Apo- {hécies d’abord innées, puis sessiles, planes, noires, à bord sub- BRÉIBE ee A CRE ! Spores 3-cloisonnées. Thalle blanc ou blanc glauque, mince, diffus. Apothécies roses ou rouge-chair, sub-pruineuses, concaves, nom- _br euses, à bord rugueux-crénelé....,....., Spores multi- cloisonnées. Thalle jaune sou- fre, ou jaune blanchâtre, pulvérulent, fari- neux, diffus. Apothécies écarlates, innées ou subsessiles, à bôrd épais: 25. 44480008 10.1 11.) | Thalle gris ou cendré brunâtre, granuleux ou | Lx L, L. L L. L. varia Exru. cireinata PERS, subcarnea ACH,. subfusea L. glaucoma HOFFM. galactina Acu. badia Ac. sophodes ACH.' atrocinerea DIcxs. rubra HOFFM. hæmatomma EHRH, | LICHÉNACÉS 645 Apothécies DIAOPIROS NT ESS. SUN MSMMEGNS 15 Apothécies lécanorines. Thalle cendré, mince, 14.4 inégal ou granuleux, à hypothalle bleuâtre noirâtre, Apothécies jaune cire pâle, pla- nes, à bord thallin, distinet, mince, entier.. Z, cerina Enru. Apothécies jaune orangé ou rouge orangé... 16 Apothécies rouge ferrugineux, planes, à bord 15.4 propre flexueux ou ondulé, plus pâle. Thalle blanchätre cendré ou cendré a de ou Merle nimes / 502 sida re. ‘ . L. ferruginea Hups. Apothécies rouge orangé, petites, marginées: devenant convexes. Thalle blanchâtre, plus = DU MOMIE DEALE . eee one se da FEES L. pyracea Acu. Apothécies jaune orange, cireuses, un peu convexes. Thalle jaune citron, diffus, gra- nuleux, globuleux, léprosé........ Luncesscet Es pMOoNiRE. Fig. 693. — Peltigera canina. Coupe d’une apothécie. PERTUSARIA DC. — Thalle crustacé, continu, verruqueux ou lisse. Apothécies enfermées dans des verrues du thalle, endo- carpoides ou lécanoroïdes ou variolarioïdes. Asques contenant 1, 2, 3, 4, 5, 6-8 spores incolores, ellipsoïdes, simples, larges. Spermaties aciculaires. Thalle coloré en jaune par l'hydrate de potasse, passant ensuite au rouge orangé.......... Thalle coloré en jaune par l'hydrate de potasse et par l'hypochlorite de soude, restant jaune. Thalle cendré blanchäâtre, membraneux-cartilagineux , lisse ou rugueux, verruqueux-aréolé, à verrues sub-globuleuses. Apothécies 1 ou davantage, à os- tiole petit, punctiforme, déprimé, noirâtre, Spores LE" 25 FATOMENL das Poeme tue se see SU :. Thalle coloré en jaune par l'hydrate de potasse, de- venant ensuite orangé rougeàtre par l'hypochlorite de chaux, blanc jaunâtre naturellement, ou cen- dré jaunâtre, cartilagineux-membraneux, lisse, plissé-rugueux ; verrues Re agrégées , æ P. communis DC. déformées, à ostiole noir brunâtre............. P, fallax Pers. Thallene changeant de coloration ni par l'hydrate de potasse, ni par l'hypochlorite de chaux... 3 / Thalle cendré, verruqueux-rugueux, mince, à | bord fibreux. Apothécies 1-2, ‘dans des verrues hémisphériques, à ostioles rendus blancs par sorédies. Spores 1, rarement 2............... P. multipunetata DC Thalle blanchätre ou cendré blanchâtre, cre- vassé. Apothécies dans des verrues globuleuses, pulvérulentes, éparses ou agrégées, à ostioles subdiscoïdes, brun päle; bord thallin irréguliè- \ rement lacéré. Spores 2.77%. FEU ESS 0 .. P. dealbata Acu. 646 LICHENS Verrues apothécifères hémisphériques........ 4 Verrues apothécifères globuleuses. Thalle grisà - 3.< tre, cartilagineux-membraneux, rugueux, cou- vert de sorédies blanchâtres, zoné et brun à la circonférenee.....:....: M -oreie rides .. P. globulifera Turn. Thalle gris ou grisätre olive, lisse, mince, con- tinu ou crevassé. Verrues apothécifères épar- ses, hémisphériques, petites, à ostiole poncti- forme, brun foncé, contenant plusieurs apo- Méiequrme Ne CA EE P, pustulata Acu. Thalle blanc glauque, où brun jaunâtre pâle, membraneux, lisse. Verrues apothécifères épar- ses, déprimées-hémisphériques , grandes, ne contenant que 1 apothécie. Ostioles ponctifor- | mes noir-Drun st. tue FO” COLE .. P, leioplaca Ac. 4, PHLYCTIS WazLr. — Thalle légèrement crustacé, continu ou pulvérulent. Apothécies irrégulièrement arrondies, sortant à travers la couche corticale, à bord thallin indistinct. Spores 1-2, incolores, eloisonnées en mur, grandes. Spermaties courtes, grèles, droites. P. agelæa Ac. — Thalle blanchâtre, mince, plus ou moins rugueux ou léprosé, délimité ou diffus. Apothécies éparses ou pressées, noirâtres. Spores 2, mucronées. THELOMETRA Ac. — Thalle légèrement crustacé, continu. Apothécies verruciformes, d’abord eloses, ensuite ouvertes; ostiole arrondi, muni de deux lèvres, l’une thalline externe, mince, l’autre interne ou propre, lacérée; disque urcéolé. Spo- res 8, incolores, fusiformes, cloisonnées en mur. T. lepadinum Acu. — Thalle blanchâtre ou jaune crème, sub-diffus, lisse ou légèrement rugueux. Apothécies hémi- sphériques, éparses. URCEOLARIM AcH. — Thalle crustacé. Apothécies urcéo- lées, semblables à celles du genre précédent. Spores 8, brunes, cloisonnées en mur. Spermaties cylindriques. U. scruposa L. — Thalle cendré-blanchâtre, verruqueux ou granuleux. Apothécies immergées, noires, plus ou moins prui- neuses-cendrées. Sous-tribu II, — LÉCIDÉINÉS. Apothécies ordinairement lécidéines, plus rarement biato- rines où gyalectines. LECIDEA Ac. — Thalle crusitacé, squameux, granuleux, aréolé, poussiéreux ou fugace. Apothécies tantôt lécidéines et noires, tantôt décolorées et biatorines, avec un bord propre LICHÉNACÉS 647 Ær. tantôt urcéolées et gyalectines. Spermaties aciculaires, droites ou crénelées, ou courtes et cylindriques, : | 3. Espèce parasite sur un autre lichen; pas de thalle propre. Apothécies parasites sur le thalle de Pertusariu communis et de Leca- nora “parella, noires, éparses Où agrégées, sessiles, à bord mince, élevé, entier, poli, à hypothécium brun rougeûtre foncé. Sporess, brunes, 3-cloisonnées........,... Espèces non parasites, ayant un thalle pro- 1121 ORNE NET SERRE RAR Tr pe en Spores vermiformes, contournées en spirale. Thalle noiràtre ou noir verdàtre, granuleux, léprosé, mince, diffus, souvent fugace, Apo- thécies noires, petites, à hypothécium inco- lôrée LS Han er Hot emilie S Spores non vermiformes ni contournées en SIEAIOS eee ARR e et trees ere Spores simples. ........ ER CAE EU DHDECHIC IG ONnREES Lis. sen fins ree _ Thalle habituellement non fugace.......... Thalletoujours fugace, blanc gr isâtre ou blanc, diffus. Apothécies petites, éparses, calcivores (s'enfoncant dans la pierre), noires, à bord mince, fugace, à hypothécium brunâtre. Thalle case 14 ou verruqueux squamu- OUR EE 2e SR T SR Er 0 Thalle granuleux ou aréolé . LT EL re Thalle jaune brunätre, MREAR Bar à squamules rigides, sub-orbiculaires, lisses, sinuées-lobées ; face inférieure blanche. Apo- thécies brun noir, adnées, à bord mince, flexueux, à hypothécium épais, brun noirâtre. Thalle cendré brunâtre, où brunâtre fauve, sub-squameux verruqueux, aréolé-diffracté. Apothécies noires, nombreuses, pressées, petites, innées-apprimées , planes, à bord mince, proéminent, flexueux, à hypothécium brun noir... SCORE Re Er rec Fhalles sranmuiee. in ee ta here Se PRale ATÉDIO M. in ave See à se à sion Hypothécium incolore ou de couleur elaire.. EYHOUHEBIOeNO IE SE EN RE eee . Hypothécium brun jaunâtre päle ou jaune TRS LE are OO RE NUL LUC TER Hypothécium incolore. Thalle verdätre ou cendré verdàtre, diffus, mince, granuleux (K jaune ou C rouge). Apothécies noires, planes, éparses, sessiles, à bord mince, fle- xueux, à hypothécium INCOIOTE. . see... L. parasitica Fix. 9 L. 4 L. umbrina Acu. 3 en ps [#1 L. calcivora Eurx. Her) L, lurida SWARTz. L. intumescens FLorT. 10 L. flexuosa Fr. 10. je 13. 16. LICHENS Thalle blanchätre, très mince, diffus, finement granuleux, ou léprosé- -pulvérulent , souvent fugace. Apothécies brun noiràtre, ou rouge brunâtre, légèrement pruineuses, petites, in- marginées, solitaires ou agrégées, sub-innées- sessiles, à hypothécium brun jaunätre pâle. Thalle jaunàtre ou jaunàâtre brun pâle. fine- ment granuleux-pulvérulent, diffus, mince, (K jaune, C rouge orangé). Apothécies brunes ou rouge brun, éparses, sub-immergées, im- marginées, à hypothécium jaune pâle...... Thalle cendré ou cendré verdàtre, mince ou sub-continu. Apothécies rouge noir sang, où noir brun, ou rouge brun, convexes, immargi- nées, noir brunätre en dedans, à hymé- nium pâle, à hypothécium épais brun foncé... Thalle blanchätre, cendré ou jaune gristre. souveit limité par une ligne noire, mince (K jaune, C orangé rougeàtre). Apothécies noi- res, petites, à bord mince, à hypothéeium DrUNANB ER EE De uses nee CEE Thalle aréolé, à aréoles convexes ou granu- leuSes ces seencéecoter CPE Thalle aréolé, cris souris ou cendré brunätre päle, aréolé diffracté, à aréoles planes, li- mitées par une ligne noire (K —- C). Apo- thécies noir brun, sessiles, à bord mince, pâle, flexueux, à hypothécium päle..... Hypothécium pâle ou incolore, Thalle bia chätre ou cendré, mince, aréolé granuleux (K jaune clair ou CG rouge:. Apothécies brunes, rouge-brunätre ou noiràtres, peli- tes, éparses, à hypothécium incolore.....,. Hypothécium noït brun:.%55. 5m ere Thalle cendré ou cendré brun., diffus, crevassé- aréolé, à" aréoles souvent verruciformes ou tuberculiformes ; hypothalle noir. Apothécies apprimées ou adnées, planes, à bord mince, proéminent, à hypothécium brun noir...... Thalle rouge ferrugineux clair, aréolé, à aréo- les verruqueuses-granuleuses (K — CC). Apothécies bleuâtre foncé ou noir violet, nombreuses, éparses ou agrégées, étroite- ment adnées sur ou entre les aréoles, à bord entier ou flexueux, à hypothécium noir bru- Spores 1-3-multi-cloisonnées, non murali-lo- CUIBITES asc eut Lereteretiiotn 0 Spores murali loculaires: : 021225303000 Thalle jaune citron on jaune clair, continu, aréolé-fendillé, limité par une ligne noire. Apothécies noires, planes, petites, innées entre ou sur les aréoles, à hypothécium noir. Thalle gris päle ou brunàtre cendré, ou cen- dré blanchàtre, aréolé ou granuleux-aréolé, à aréoles contiguës ou éparses, à hypothalle noir (K brunäâtre, C fauve pâle). Apothécies noires, petites, innées, sessiles, planes, mar- ginées, à hypothécium noir brun........... L, turgidula Fr. L. quernea Dicxs. L. sanquinoatra Acu. L. paresma Acu. 419 > L. rivulosa Acu. . coarctata SM. NE CS L. fusco-cinerea Nyx, L. silacea Acu. 16 17 L. geographica L. L, petræa Wurr. 1 + 19. 20. 21 ZE a | LICHÉNACÉS Spores {-cloisonnées.......... RS RC Spores 3 ou multi-cloisonnées,...,.... das Spores {-cloisonnées, brunes........,,...... Spores 1-cloisonnées, incolores....,....,.., Thalle non coloré par l'hydrate de potasse., Thalle coloré en jaune par l'hydrate de po- tasse, naturellement blanc jaunätre pâle, très mince, lisse, continu ou inégal ou fen- dillé aréolé, limité. Apothécies nombreuses, éparses, planes, marginées, noires, à hypo- PRO LE ne 2e uno maeme nos connecte Thalle cendré, mince, inégal ou sub-granu- leux, diffus ou fugace. Apothécies petites, noires, marginées, à hypothécium brun HER East set ae es PE Mere se Thalle cendré, finement granuleux, mince, indéterminé ou fugace. Apothécies petites, noires, à bord mince, à hypothécium brun OURTUTAIEE LS ee Te ee atecesedesese Hypothécium noir ou brun noir........,... Hypothécium incolore. Thalle verdätre, lé- prosé, très mince ou fugace (K—C—). Apo- thécies jaunerougeàtre päle, ou carnées blan- châtres, petites, nombreuses.éparses,concaves, presque urcéolées, à bord pâle, lisse, épais. Thalle brunâtre cendré ou noir plombé, finement craquelé (K — C —). Apothécies petites, superficielles, éparses, noires, planes, à bord entier, légèrement élevé, à hypothé- COR RAR MOIS LL aan es nee n sanaee Thalle cendré ou cendré verdâtre, ou blanc cendré, mince, continu ou fendillé, indéter- miné (K — C --). Apothécies larges, épar- ses, sessiles, planes, noires, à bord entier épais, à disque finement papilleux, à hypo- ÉD RIT LE sue de sos scogessdu eds Spores multi-cloisonnées. .......,.......... Spores 3-cloisonnées, brunes. Thalle blanc ou blanchätre, inégal, sub-farineux, diffus, parfois presque fugace (K — C +=): Apo- thécies noires, saupoudrées de blanc ou nues, petites, adnées, à hypothécium brun....... Apothécies rouges ou rougeàtres.,......... Apothécies noires, planes, à bord mince, fle- xueux, à hypothécium noir. Thalle cendré ou cendré verdätre, très mince, diffus (K —C —). Thalle blanchätre, fugace, Apothécies rouges ou rouge chair, petites, adnées, un peu con- caves ou sub- urcéolées, à bord épais, élevé, pâle, à hypothécium päle.. De eue Thalle jaunâtre ou vert grisätre, mince, dif- fus, finement granuleux-squamuleux. Apo- thécies rouge jaunätre ou rouge chair, nom- breuses, éparses ou agrégées, sessiles, planes ou convexes, à bord” mince, obtus, lisse, à hypothécium FRURC pale ses con encres FLORE DE PARIS, L. disciformis Fr. L. myriocarpa DC. L. nigritula Nyr. 22 L. diluta PERS. L. chalybeia Bonn. L. grossa Pers. 24 L. alboatra HorFu. 25 L. premnea Acu, L., carneola Ac. L. rubella Enr. 37 st 25 650 LICHENS Sous-tribu III. — GRAPHIDÉS. Thalle mince, peu visible ou étale sous l'écorce des arbres. 1,4 Paraphyses distinctes. Apothécies linéaires.....,...... .. Graphis. . Paraphyses nulles ou indistinetes.................. SET ° Apothécies innées-sessiles. ..,...-,.-27Muen 2 «ss. Arthonia. *l:Apothéctes’ superficiéhiess Rec RER ses Opegrapha. GRAPHIS Acx. — Thalle mince, situé au-dessus ou au- dessous de l'écorce des arbres. Apothécies lirellines, noires, linéaires, innées ou immergées seulement par la base. Péri- thécium noir, latéral ou entier. Spores incolores ou brunes, pluri-loculaires, colorées en bleu par liode. Hyménium gélati- neux, non coloré par l’iode. Paraphyses distinctes, grêles. Thalle jaune crème pâle ou blanc-grisätre, mince, mem- braneux, granuleux ou rugueux. Apothécies lirellines, proéminentes à la surface du thalle qu'elles déchirent # pour sortir, sessiles, oblongues ou linéaires allongées, simples, munies d’un bord propre épais, proéminent.... G, elegans Sum. Thalle jaune crème ou blanc-grisätre. Apothécies lirelli- nes, immergées, à bord propre étroit, élevé, crispé.... G. scripta Acx. PEGRAPHA Aca. — Thalle très mince ou à peine distinct. Apothécies lirellines, noires, superficielles , linéaires-lancéo- lées ou sub-arrondies, allongées ou flexueuses, ou ramifiées, munies d’un bord propre. Périthécium entier. Epithécium plan ou canaliculé. Spores 8, incolores ou brunâtres, 1 multi-eloi- sonnées. Spores 3-cloisonnées.........ss. sens dr ss TR Spores © ou 7-cloisonnées....... $ à simi #8S La PET AEV NL. Thalle olive foncé, mince, plus ou moins eraquelé ou rugueux, limité par une ligne brune (K rou- geâtre). Apothécies lirellines, petites, arrondies, ovales ou linéaires oblongues, simples ou ra- 2 mifiées, à disque canaliculé , à bord propre NES... ue oc mo ve restes dd SEC ET Thalle jaune pâle ou blanchâtre tacheté, très mince, lisse. Apothécies lirellines, très pressées vers le centre de la dépression thalline, sessiles, dépri- mées, linéaires, flexueuses........... ere demie let CITUMEERS: Spores 5-cloisonnées. Thalleblanc pulvérulent. Apo- thécies lirellines, proéminentes, sessiles, arrondies ou oblongues, elliptiques, atténuées aux deux extrémités, à épithécium canaliculé ou dilaté au milieu ou bien plan ou convexe, à bord propre 3.4 proéminent, infléchi,........... RÉ à . O, varia PERS. extrémité, simples, courbes, à épithécium plan, dilaté, pruineux, à bord propre élevé.......,.... ©, lyncea S. due. LICHÉNACÉS 651 ARTHONIA Ac. — Thalle mince ou situé sous l'écorce des arbres et fugace. Apothécies arrondies ou déformées, planes ou renflées, innées-sessiles, immarginées. Thalamium sub-gé- latineux, sans paraphyses. Spores 4-8, incolores ou, rare- ment, brunes, cloisonnées, à cellule supérieure plus large. { Spores 1-cloisonnées. Thalle brun rouge pâle, ” lisse, luisant, indéterminé. Apothécies noir- 1.4 brunâtre foncé, aplaties ou renflées, lisses, SOSSHES du » à 50 mepone me oo gosmessnsseseurs ‘A SPNCCD DEICAT: \ Spores 3- ou 4-cloisonnées.,,.....,.,........ 2 Spores 3-cloisonnées, Thalle cuivré !, mince, membraneux, lisse, brillant, indélerminé. 2.4 Apothécies ardellines, brun foncé, planes ou un peu convexes, sub-innées, éparses.....,.. A, punctiformis Acu. DDOLES Æ-CIGISOAREESS, ele ete silos dÉS eds 0 » à 0 Thalle grisätre, mince, déterminé, apothécies ardellines, pruineuses, ou saupoudrées de ver- millon clair, sessiles, déprimées.. TRE A.cinnabarina W ALLR. 3.{ Thalle blanchätre ou jaune pâle, mince, cra- quelé et un peu pulvérulent, indéterminé . Apothécies ardellines, brunätres, saupoudrées de blanc, imimerpées. 5... 24e le A, pruinosa ACH. Tribu VI. — PYRÉNOCARPÉS, Fructifications enfermées dans des réceptales clos. Thalle muqueux-gélatineux ou continu et lisse, ou aréolé-dif- fraclé ou pulvérulent, parfois fugace,..,.....,......,... Verrucaria. Thalle sh ou squamuleux, à squamules minces et ar- rondies.....,., RATE à col sssosssesessesessssses. INOPMANdINE. Thalle pelté ou squamiforme. ....s...m.sosess ses.sesessses ÆEndocarpon. VERRUCARIA Pers. — Thalle muqueux-gélatineux, tantôt continu et lisse, tantôt aréolé-diffracté, ou pulvérulent ou fugace. Apothécies pyrénodines, à périthécium noir, rarement pâle ou coloré. Spores 2-48 ou nombreuses, simples ou diver- sement clôisonnées. 1 Spores simples.......,.. M Cor sossesssosesse 2 Spores ‘éloisennées. 7. ei 2e SAS me Thalle fendillé-aréolé, brun foneére ou presque noir, assez épais, crustacé, s sub-déterminé. Apothécies noir foncé, grandes, plus ou moins nombreuses et ® agrégées, hémisphériques.......,....,,....... V, nigrescens PERS. *) Thalle aréolé-diffracté, olivâtre, épais, crustacé, à aréoles grandes, un peu rugueuses. Apothécies noi- res, assez larges, une ou plusieurs immergées dans chaque aré0le.. 1. nus déee mese sa anne sou osr00 VeRGCTOSL0NG DE. 3 Spôres ‘L-cloisonméesr ss, PO Sr se. 4 Spores 3-5 multi-cloisonnées, ...,........,.. 852210 1. Dans la variété galactina (A. galactina Acx.), le thalle est jaune päle ou crème. 02 LICHENS Périthécium dimidié........ TEST dires Pt Périthécium entier. Thalle blanchàätre ou cendré blanchâtre, mince, continu ou fendillé, légère- ment rugueux ou lisse, un peu pulvérulent, in- déterminé. Apothécies noires ou brun-noir, petites, nombreuses, à demi immergées, proéminentes ; (: ostiole hémisphérique..…. ss. css san se ee fe 001013, BORR. Thalle bfanc ou blanchätre, mince, continu, pres- que lisse, parfois fendillé. Apothécies noires, lar- ges, un peu immergées à la base, très proémi- nentes, bémisphériqués..…..,...sssesmscesessses Ve JOIE A CH. Thalle jaune pâle, très mince, lisse et luisant. Apothécies noires, petites, sub-innées, sessiles, CONDIdeS are aie Spores 3- ou 5-cloisonnées........,...... Spores murali-loculaires, brunes. Périthécium entier. Thalle brunâtre, crustacé, squamuleux, Apothécies petites, immergées, à ostiole proémi- MODE NO re 09 18 00 0.n emma munie dame nie aise eee OS CR TE | Spores toujours 3-cloisonnées, incolores. Périthé- | cium dimidié. Thalle brunâtre olivätre ou cen- eus . epidermidis ACH. 1 < dré, mince, continu, lisse, un peu vernis ou mu- queux- gélatineux. Apothécies noires, petites, sessiles, sub-hémisphériques, convexes, lisses... V, chlorotica Ac. Spores toujours3 cloisonnées, brunes. Périthécium 7.{ entier. Thalle jaune pâle ou olive, ou brun oli- vâtre, continu, lisse, plus ou moins poli, couvert de petites protubérances blanches, Apothécies noires, larges, immergées, à ostiole noir.......,. V, nitida WEiG. Spores 3-5-cloisonnées, Périthécium dimidié.Thalle très mince, jaune crème, membraneux, diffus, lisse, Apothécies noires, elliptiques, sessiles.... V,. albissima Acu. 6 4. 5: 6. NORMANDINA Nyz. — Thalle squameux ou squamuleux, à squamules minces, arrondies. Apothécies noires, immergées. Thalle vert gai, squamuleux, membraneux, à squamules orbiculaires, sinuées ou arron- dies-lobées, imbriquées, adnées. Apothé- bies IRCONQUES:.. .:..s.. 22 Sr . V.lætevirens TunN. ET BoRR. Thalle gris verdàtre ou glauque, membra- neux, squamuleux, à squamules orbicu- laires, concaves, à bord entier, adnées.... V, pulchella Born. ENDOCARPON Hepw. — Thalle pelté, ou squamiforme, ou aréolé. Pas de paraphyses. Spores 8, incolores, simples. E. hepaticum Acu. — Thalle rouge-brunâtre ou brun, squa- meux, à écailles rondes ou anguleuses, plus ou moins éparses, adnées, planes, à bord entier, élevé et noirâtre. TABLEAU DE TOUTES LES ESPÈCES DE PLANTES QUI FIGURENT DANS LA FLORE DE PARIS AVEC L'INDICATION DES NOMS VULGAIRES ET DES SYNONYMES LATINS, DE L'ÉPOQUE DE LA FLORAISON ET DE LA FRUCTIFICATION, DES LOCALITÉS, ETC. ARIS FLORE DE P DNS ro (ee) CHOVd ‘npuedoi S9iT CRC OR) ‘npuedoy "AOUDAOUNUNTE ‘sejn9 10 19 ‘5. 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