TRAITE DES ÉDIFICES, MEUBLES, HABITS, MACHINES ET USTENSILES DES CHINOIS, GRAFÉS sur les O ri g I NA U X DESSINÉS A LA CHINE, Par M. CHAMBERS, Architeéle Anglois. Compris une Description de leurs Temples , Maisons, Jardins, &c. A PARIS-, Chez le Sieur ie RougEj Ingénieur - Géographe du Roî ^ rue des( Grands Auguftins. M. D C C. L x: X V 1. iUk. T A B LE. ANCHE Payithn de Canton, Plan d‘ une maîfanChinoife, Grande Pagode de Canton, Planche II. Plan général de la grande Pagode de Canton, Elévation de la Pagode de Cochinchine. • Planche IIP, Tempks Chinois, Infcriptions Tartares. Planche IV., Pavillons d’une Pagode de Canton, Planche V. Tour près Canton, Plans de divers pavillons. Planche VL Pont d‘un jardin de Canton. Infcripiion Chinai^. Planche VIL Profil d’une maifàn Chinoife. Planche VIIL Vue intérieure d’un appariement Chinois. Planche IX. Autre. Planche X. Arc de triomphe. Maifon de campagne près de CantoTR. Planche XL Développement de la charpente Chinoife, Planche XI I. Meubles Chinois. Chaif es ^ tables, éc. Planche XII I. Idem. un Joufflet continuel. Planche XIV. Différens vafes Chinois. Planche XV. Autres vafes. Planche XV I. Bateaux Chinois. Planche XVI I. Machines & habillemens Chinois. 'Planche XVIII, XIX, XX, Habillemens Chiiîois, 5 ^ PRÉFACE. Louer trop ou trop peu , font deux excès qu’il eft également difficile d’éviter. On ne connoît point de bornes , quand on parle du favoir des Chinois, de leur politique j de leur habileté dans les Artsj & les éloges exceffifs qu’on leur donne , font voir avec quelle force la nouveauté nous entraîne , & combien il eft aifé de paffer de l’eftime à l’admiration. Je fuis bien éloigné de me joindre aux Panégyriftes outrés des Chinois.' Si je trouve chez eux de la grandeur 6c de la fagefle , c’eft lorfque je les compare avec les Peuples qui les environnent ; & je n’ai garde de les mettre en parallèle avec les Européens. On ne fauroit cependant dif- cohvenir que notre attention ne foit due à cette race d homme finguliere , qui demeurant dans un Pays que fa fituation fépare de toutes les Nations policées , a fu J fans le fecours de l’exemple , former fes mœurs & in- venter fes Arts. Tout ce qui a quelque rapport avec des Peuples Ci extraordinaires s droit à notre curiofité ; mais quoique nous foyons affez bien inftruits de la plupart des chofes qui les regardent , nous ne connoiflbns qu’impar*- faitement leur architeélure. Plufieurs des defcriptions qu’on nous a données jufqu’ici de leurs édifices , font inintelligibles ; les meilleures n’en donnent que de faibles idées , & aucun des deffins qu’on a publiés ne mérite la moindre attention. Ceux que j’offre afluellement au public , ont été faits fur des efquîffes! & fur des mefures que je pris à Canton il y a quelques années. Je ne me propofois que de fatisfaire ma propre curiofité. Mon deffein n’étok nullement de les publier , & ils ne paroîtroient pas à préfent , ü je ne voulois me prêter au defir de plufieurs Amateurs des beaux - arts. ïls les ont crus dignes de l’attention du public j. & ils ont jugé qu’ils pourroient fervir à arrêter le cours de ces produêtions extravagantes , qui paroiffent chaque jour j & qu’on appelle Chinoifes, quoique la plupart foient de purs ouvrages de fantaifie , & les autres des repréfentatfons eftropîées dé ce qffon voit fur les porcelaines & fur les tentures de papier. Ce qui eft véritablement Chinois , a du moins le mérite d’être ad- 4 P R É F A C E. ^ ginal. Rarement ce Peuple copie ou imite les Inventions des autres Nations. Nos relations les plus authentiques s’accordent fur ce point; on obferve dans toutes que le gouvernement des Chinois , leurs caraâeres , leurs habillemens , & prefque toutes les autres chofes qui leur font par- ticulières, fe font foutenus fans aucun changement parmi eux pendant des milliers d’années. Leur architeSure a d’ailleurs un rapport remarquable avec celle des anciens, & ceci ell d’autant plus furprenant, qu’il n^y a pas la moindre apparence que l’une ait été empruntée de l’autre. Dans l’architeélure Chinoife , de même que dans 1 antique , la forme générale de prefque toutes les compofitions tend a la pyramidale ; dans celle-ci comme dans celle-là les colonnes fervent d’appuis; ôc dans toutes les deux ces colonnes ont des diminutions & des bafes, qui à plu- fleurs égards fe reffemblent. Les entrelas , fl communs dans les édifices anciens , fe voient fréquemment dans ceux des Chinois. La difpofition obfervée dans le Ting * Chinois différé peu de celle du Périptere des Grecs. L’Atrium & les temples Monbptere 6c Proftyle offrent des formes approchantes de quelques - unes de celles que les Chinois adoptent, ôc la maniéré dont ils conftruifent leurs murailles ,' a le même principe que le Revinêlum ôc l’Empleôlon décrits par Vitruve. Il y a encore de grands rapports entre les uflenfiles des anciens ôc ceux des Chinois ; ôc les uns ôc les autres font çompofés de parties flmilaires combinées de la même maniéré. Qu’on ne croie pas que mon deffeinj en publiant un livre d’architec- ture Chinoife, foit de mettre en vogue un goût fi inférieur à l’antique, ôc fi peu convenable à notre climat. Mais l’architeêture d’un des Peuples les plus extraordinaires de l’univers , offre un phénomène intéreffant à un Amateur des beaux-arts , ôc un Architefte doit fe mettre au fait d’une maniéré aufli finguliere de bâtir. La connoiffance en eft du moins curieufe ; elle peut même être utile dans des occafions particulières. On demande quelquefois des compofitions Chinoifes , ôc dans de certains cas il eft ju- dicieux d’en faire. Car quoiqu’en général l’architeéture de la Chine ne convienne point à l’Europe , cependant dans les parcs ôc dans les jardins , r" li i -1 . . ■ . . . ^ ■ ■■ ■ ■■ ' * Le Ting eft la grande falle d’une maifon, la falle à manger, la cour où les Man- darins ont leurs Tribunaux. C’eft encore la principale piece d’^ng pagode ou d’u» temple. Voyej les plançhgs i » a §( dont PRÉFACE. îi dûnt l’étendue exige une grande variété, ou dans les vaftes palais qui contiennent des enfilades d’appartemens , je ne crois pas qu’il foit mal à propos de décorer quelques - unes des moindres pièces dans le goût Chinois. La variété ne manque jamais de plaire , ôc la nouveauté , qui n’a rien de défagréable ou de choquant , tient fouvent lieu de beauté. Dans le temps que l’architeaure Grecque dominoit le plus chez les Ro^ mains, l’hiftoire nous apprend qu’ Adrien, qui lui -même étoit architede^ fit faire à fa campagne de Tivoli certains bâtimens dans le goût des Egyptiens & de quelques autres Nations. La grandeur ni la richeffe des matériaux ne dillingue point les édifices Chinois. Mais il y a une fingularité dans leur maniéré , une juftelfe dans leur proportion, une fimplicité, quelquefois même une beauté dans leur forme ^ qui mérite notre attention. Je les regarde comme des colifichets en architedure, & fi la fingularité ^ la gentillelfe ou la propreté de 1 ouvrage donne une place aux colifichets dans les cabinets des curieux , on peut quelquefois auffi faire entrer des bâtimens Chinois parmi des compofitions • d’un meilleur genre. r • * Peut-être dira -t -on que les fauxbourgs dun port de mer ne fauroient mettre un homme en état de juger du goût d’une Nation. Mais cette obieaion perd beaucoup de fa force , lorfqu’on confidere que Canton eft une des villes les plus confidérables de l’Afie , & qu’à plufieurs éprds elle ne le cede à aucune de celles de la Chine. Si j’avois eu la liberté de parcourir ce vafte Empire, il neft pas douteux que je n’euffe pu groflir ce recueil d’un plus grand nombre de modèles. Leur forme ôc leur difpofition générale fe feroient trouvées fort relfemblantes a celles des deffins contenus dans cet ouvrage. Je me fuis d’ailleurs uniquement pro-, pofé de donner une idée de l’architeaure Chinoife ; des deffins de ba- timens particuliers n’entrent dans mon plan qu’autant qu ils ré^ndent a ce but. Ce feroit abufer de la patience du public que de lui offrir beau- coup de modèles , lorfqu un petit nombre bien choifi peut fuffire. J ai même omis la plus grande partie de ceux que j’ai trouvés a Canton, foit parce qu’ils ne contenoient que la répétition du même pian , foit parce qu’ils ne préfentoient rien de remarquable. Le P. du Halde obferve que les villes de la Chine fe reffemblent fi fort, qu’il fuffit prefque d’en voir une pour avoir une idée des autres. Cette remarque peut s’étendre aux édifices. Dans les peintures que j’ai vues de B PRÉFACE. ce Pays , aînfi que dans les defcriptions qui me font tombées fous les yeux , • je ne me rappelle pas d’avoir trouvé des formes de bâtimens fort diffé- rentes de celle dont je donne la repréfentation. J ai ajouté a mes delTins des édifices Chinois ceux de quelques - uns de leurs meubles , de leurs uftenfiles , de leurs machines & de leurs ha- bits. J ai fait ceux de leurs meubles fur les modèles qui m’ont paru les plus beaux & les mieux imaginés. Il y en a quelques - uns de jolis , 6e nos Ouvriers pourront en faire ufage. Les uflenfiles Chinois , quelque communs que puiffent être leurs ufages j, font dignes de notre curiofité. C’eft ce qui m’a déterminé à leur confacrer deux planches de ce recueil. On y trouvera des idées ingénieufes j des formes finiples ôc élégantes , des ornemens naturels ôc fagement appliqués. J ai déjà obfervé qu’ils paroiflent imaginés dans le goût de l’antique mais leurs contours n ont point cette grâce qu’on obferve dans quelques- uns des ouvrages de 1 Europe, tant anciens que modernes. Cela vient d& ce que les Chinois ont moins, d’habileté que nous dans la pratique du deflîn. Un accident m a mis hors d* état de donner des deffins d’un plus grand nombre de leurs machines. Mais nos connoiflances dans les méchaniques font fi fupérieures aux leurs , que cette perte efl de peu d’importance. On trouvera ici la repréfentation de divers bateaux de la Chine. Je n avois pas deflein de toucher à ce qui n’avoit pas un rapport avec ma profeffion. Mais comme j’avois des deffins des habillemens Chinois,, j’ai cru qu’il ne feroit point mal de les publier. C’efi, fi je ne me. trompe ^ ee qui a paru jufqu ’ici de plus exad en ce genre. Quelques-uns de ces habits font pittorefques , 6c l’on pourroit s’en fervir dans les mafcarades ou dans les peintures grotefques. Les Chinois excellent dans la difjpofition des jardins, 6c le bon goût qu on y remarque efl: celui qu on recherche depuis, quelque temps en Angleterre , fans y atteindre. J’ai tâché de donner des idées difiinâes fur ce fujet , ôc je me flatte que ce que j’ai dit pourra être utile à nos Jardiniers. Ce goût^ a paffé d’Angleterre en France , 6c l’on voit les plus grands Seigneurs s emprefler d en faire conflruire, pour jouir de la variété de la belle nature. TEMPLES DES CHINOIS. ON voit à Canton un grand nombre de Temples. Les Européens les appellent communément des Pagodes. Plufieurs de ces Temples font extrêmement petits , & ne confiftent qu’en une feule chambre. Quel- ques autres ont une cour environnée de galeries , au bout defquelles fe trouve un Ting , où font placés les Idoles. Il y en a enfin un petit nombre, qui font compofés de plufieurs cours entourées de galeries. Les Bonzes y ont des cellules ^ ôc les Idoles diverfes falles. Ce font proprement des Couvens ; ôC quelques - uns ont un grand nombre de Bonzes qui y font attachés par des vœux particuliers , & qui y vivent dans l’exaéle obfer- vance de certaines réglés. La plus confidérable de ces Pagodes eft celle de Ho - nang dans le fauxbourg méridional. La planche I & II en offre le plan. Elle occupe une grande étendue de terrein. Auffi renferme -t-elle , outre les Temples des Idoles , des appartemens pour deux cents Bonzes , des hôpitaux pour plufieurs animaux, un potager fpacieux Ôc un cimetiere. Les Prêtres & les animaux y font enterrés pèle - mêle , ôc honorés également par des monumens ôc par des épitaphes. Le premier objet qui fe préfente efi une cour très - étendue. Il trouve trois rangées d’arbres qui mènent à un veftibule ouvert A , Ton monte par un degré B. De ce premier veftibule vous paffez à urt fécond C , où il y a quatre figures coloffales de ffuc. Elles font affifes , ôc tiennent dans leurs mains divers emblèmes. De ce veftibule on paffe dans une autre grande cour D , environnée de colonnades E , & de loge® 8 Édifices des Chinois. pour les Bonzes F. Quatre pavillons G j y font placés fur des focles. Ces pavillons font les Temples; les deux étages dont ils font compofés font remplis d’idoles , ôc les Bonzes y font leur fervice religieux. Aux quatre coins de la cour fe trouvent quatre autres pavillons H , où les Bonzes fupérieurs ont leurs appartemens ; fous les colonnes j entre les loges, il y a quatre falles I , occupées par des Idoles. Des deux côtés de cette grande cour on en voit deux petites K , en- vironnées de bâtimens. L’une eft pour les cuifines L , 6c pour les réfec- toires M ; l’autre fert aux hôpitaux dont on vient de parler N. Je ne donne point l’élévation de la grande cour , parce quelle ne poulroit avoir les dimenfions convenables, fans occuper au moins trois planches, La planche II fuffit cependant pour en donner une idée. Les pavillons- font de diverfes formes ; mais aucune ne différé beaucoup de celle qu’on voit dans cette planche , ôc les proportions entre les colonnades ôc les pavillons font aulli à-peu-près les mêmes. Les loges des Bonzes font de maçonnerie ; elles font fort petites , ôc ne reçoivent de jour que par la porte. Les corps des pavillons font faits des mêmes matériaux f ôc les colonnes qui les environnent , aulfi bien que celles des colonnades j font de bois, ôc ont des bafes de marbre. Tous les bâtimens font cou- verts de tuiles, faites d’une efpece de porcelaine grofUere , peinte en vert ôc verniffée. La même difpofitîon s’obferve dans tous les Temples de ce genre ; ÔC fl l’on en détache les trois pavillons qui occupent le milieu de la grande cour, on pourra fe former une idée de la diftribution qui a lieu dans tous les édifices Chinois d’une grande étendue. Le Palais Impérial , ceux des Princes du fang , les Palais des Mandarins j ôc les Kong- Quaen' ou Colleges des Lettrés , font tous difpofés à peu près de la même maniéré , comme on le voit par les citations fuivantes , tirées du Pere du Halde * Pag. 17, tom. IL L’idée qu’on a donnée ( de ce Palais ) au commencement de cet ouvrage , fembleroit fuffire ; cependant je fuppléerai à ce qui y manque par une def- cription plus détaillée qu’en a faite un des Millionnaires , qui eurent l’honneur d'être admis en la préfence de l’Empereur , ôc de Jç faluer julqiies dans fon appariement. C’eft , dit - il , un amas étonnant de bâ- timens ; & une longue fuite de cours , de galeries ÔC de jardins , qui forment un tout véritablement magnifique. Comme la porte du midi ne s’ouvre que pour l’Empereur, nous entrâmes par celle qui regarde l’occident , ôc qui conduit à une vafle cour qui eft au midi, par rapport Ls Édifices DES Chinois, y. La différence confifte dans le nombre & dans l’étendue des cours. Les édifices, dont les Chinois fe fervent pour leur culte facré , n’ont au Palais. Cette cour a la figure d’une dou- ble équerre , à chaque extrémité de laquelle on voit un gros édifice ohlong à double toit , dont l’étage d’en - bas eft percé en trois en- droits en forme de porte de Ville. Cette cour a nord-fud plus de deux cents pas géométriques de long , & la croifée environ autant; elle eft pavée de grolTes briques pofées de champ , avec des allées de pierres plattes & larges. Avant que d’entrer dans une autre cour, il faut paffer un canal à demi fec , qui court eft-oiieft, & qui eft parallèle aux murs de cette fécondé cour. Nous paflames ce canal fur un des fix ponts de marbre blanc qui font vers le milieu , vis-à-vis de cinq portes voûtées & ouver- tes, fur lefquelles eft un gros édifice avec une plate - forme ou donjon à double toit , qui a plus de vingt pas géométriques d’épailTeur. A l’entrée & à la fortie du pont qui conduit à la porte du milieu , il y a deux grandes colonnes de marbre blanc , drelTées fur un large piedeftal entouré d’une baluftrade de marbre , avec deux gros lions qui ont fept ou huit pieds de haut fur leur bafe , lefquels femblent avoir été faits d’un même bloc. Les portes conduifent vers le nord dans la fécondé cour dont je parle , qui n’a guere que cent pas géométriques de longueur, & environ la moitié de largeur. A l’entrée de cette cour , on trouve deux autres co- lonnes de marbre blanc , ornées de dragons en relief, avec deux petites ailes un peu au-deflbus d’un chapiteau plat & fort large. De-làon paflé dans une troifieme, deux fois plus longue que la fécondé, & un peu plus large. On y entre par cinq portes fem- blables aux précédentes, fur lefquelles porte un gros édifice de même ftrufiure. Ces portes font épaiffes & couvertes de lames de fer , qui y font attachées par plufieurs rangs de clous de cuivre , dont la tête eft plus groffe que le poing. Tous les édifices du Palais font pofés fur un focle à hauteur d’homme , bâti de gros marbre d’un gris roulTâtre , mal poli 6c orné de moulures. Toutes les cours font entourées d’édifices fort bas ù couverts de tuiles jaunâtres. Au fond de cette troifieme cour on voit un a£'e[ long édifice , flanqué de deux pavillons qui tou- chent à deux ailes , lefquelles font terminées par deux autres pavillons Jemblables aux pre- miers, c’efl-à-dire qui font à double toit , & environnés de leurs galeries, de même que les ailes & le fond de cet édifice , qui eft éleve fur une plate - forme de brique avec fon pa- rapet & fes petites embrafures , laquelle a environ trente -cinq pieds de haut. Le bas de la plate-forme jufqu’à fix pieds hors du rez-de-chafiffée, eft bâti de marbre. Le fond eft percé de trois ouvertures voûtées , qui fe ferment par trois portes femblables aux précédentes, avec cette différence que les clous ôc les ferrures en font dorés , Scc. Après avoir paffé ces trois cours , qui n’ont rien de bien remarquable que leur étendue , nous entrâmes dans une quatrième, qui a environ quatre - vingts pas géométri- ques en quarré. Cette cour eft tout-à-fait riante : elle ejl environnée de galeries inter- rompues d’efpace en efpace par de petits fallons tout ouverts & plus exhaujfés , vis-à-vis def- quels il y a des efcaliers avec des rampes de marbre blanc qui régnent prefque tout au- tour. Cette cour eft coupée dans fa largeur par un petit canal revêtu de marbre blanc ; les bords font ornés de baluftrades de la même forme. On paffe ce canal fur quatre G 10. Édifices des Chinois, point , comme ceux de Anciens , des formes qui leur foîent proprelt L’efpece particulière de conftruâion qu’ils nomment Tins ou Kong , ou cinq ponts d’une feule arcade. Ces ponts font de marbre blanc , embelli de mou- lures de bas reliefs. Dans le fond de la cour ejl un grand & magnifique fallon fort propre , où f on monte par trois grands ef- caliers , avec leurs rampes ornées des mêmes balujlrades. Suit une cinquième cour à peu près de la même forme & de la même grandeur ; elle a néanmoins quelque chofe qui frappe da- vantage : on y voit un grand perron quarré à triple étage , & bordé à chaque étage de baluftrades de marbre blanc ; ce perron occupe près de la moitié de la longueur de la cour , & près de deux tiers de fa largeur. Il a environ dix -huit pieds de haut , & eft bâti fur un focle Siamois de marbre plus groffier , qui a plus de fix pieds de haut. On monte fur ce perron par trois efcaliers : celui du milieu eft le plus con- fidérable. Huit gros vafes ou ca'lïolettes de bronze , hautes d’environ fept pieds , or- nent le haut du perron, au bas duquel, proche du maître efcalier , il y a deux grolTes figures de lions de bronze. Ce per- ron eft vis-à-vis une grande & magnfique falle, &c. On palTe enfuite deux antres cours peu différentes de cette derniere. Lorfque nous eûmes traverfé la fécondé , on nous con- duilit par une porte qui eft à côté fur la droite , dans une autre cour longue d’envi- ron deux cents pas : c’eft une efpece d’hip- podrome , au bout duquel on entre à main gauche dans une grande falle ouverte. Nous y trouvâmes des gardes & nous y atten- dîmes quelque temps le Mandarin qui de- voir venir nous prendre , pour nous in- troduire dans l’appartement de l’Empereur. Enfin on vint nous chercher , Si l’on nous fit entrer dans une neuvième cour un peu plus petite , mais aufli magnifique. u4u fond fe voit un grand édifice de figure oblongue , à double toit , de même que les précédens, & couvert pareillement de tuiles verniffées de jaune. Un chemin ou levée haute de fix ou fept pieds, bordée de baluftrades de marbre blanc, & pavée de même , conduit à ce Palais oh eft l’appar- tement de l’Empereur, &e. Tom. I, pag. Il 8. Les Palais des enfàns de l’Empereur, & des autres Princes du Sang , font très - propres en dedans , fort vaftes & bâtis avec beaucoup de dépenfe: c’eft par-tout le même deflin dans le corps de l’ouvrage & dans les embelliffemens. Une fuite de cours ornées fur l'es aîks de bâ~ timens , & en face £une falle vernîffée & elevee fur une plate-forme haute de trois ou quatre pieds , bordée de quatre grands quar- tiers de pierre de taille , & pavée de larges carreaux de brique , &c. Tom. II , pag. J3. Ces Cong- quans font plus on moins grands r il y en a d’affez propres & d’affez commodes. Par celui de Canton , qui n’eft que du commun , on pourra juger des autres : il eft de médiocre grandeur •, il j a deux cours & deux princi- paux édifices , dont l’un , qui ejl au fond de la première cour, ejl un Ting , deji-à-dire , une grande falle ouverte , dejlinée à recevoir les vfites : l autre qui termine la fécondé cour -, ejl partagé en trois : le milieu fert de fallon ou tl antichambre à deux grandes chambres qui font des deux cotés, & qui ont chacune un cabinet derrière. Cette difpojition ejl ordinaire à la Chine dans , la plupart des maifons des perfonnes de quelque conjîdération , ôcc. ' Édifices des Chinois. xi iencre înâîff^remment dans toutes fortes d’édifices. On en voit dans prêt que tous les Temples , dans tous les Palais , fur les portes des Villes , & enfin dans tous les bâtimens où l’on a voulu montrer de la magni- ficence. d’al vu dans divers quartiers de Canton quatre différentes elpeces de Tings, Les trois premières fe trouvent dans des Temples , & la qua- trième dans plufieurs jardins. La forme la plus commune dans les Temples fe voit à la planche IL C’eft une copie exaéie du Ting de la Pagode de Cochinchine , dans le fauxbourg oriental. J’ai mefuré plufieurs bâtimens de cette efpece, mais j’ai trouvé tant de différence dans leurs proportions , que je fuis porté à croire quqjes Architeâes n’y fuivent aucune réglé fixe ^ mais que chacun varie les mefures à fon gré. Dans le deflin que j’ai donné , l’édifice eft , comme ils le font tous , élevé fur un foubaffement. On 5^ monte par trois efcaliers ; c’eft un quarré environné d’une colonnade de vingt colonnes , lefquelles foutiennent un toit furmonté d’une baluftrade de bois, qui renferme une galerie ou paf- fage , régnant tout autour du fécond étage. Le fécond étage a la même figure & les mêmes dimenfions que le premier. Il eft couvert d’un toit d’une conftruûion particulière aux Chi- nois ; les angles font enrichis d’ornemens de fculpture qui repréfentent des dragons. La largeur de l’édifice , à le raefurer de la furface extérieure des co- lonnes, eft égale à fa hauteur; & le diamètre du corps du bâtiment prend les deux tiers de la largeur. La hauteur de l’ordre fait les deux tiers du diamètre du corps , & la hauteur du fécond étage a les deux tiers de la hauteur du premier. Les colonnes ont en hauteur neuf de leur diamètre , les bafès en ont deux , & les poutres ôc confoles qui tiennent lieu de chapiteaux , n’en ont qu’un. C’eft auffi là l’élévation des entrelas qui font le tour de la colonnade fous le premier toit , & qui forment une efpece de frîfè, La fécondé efpece de Ting différé fî peu de celle qui vient d’être décrite, qu’il m’a paru peu néeeffaire d’en donner un deflin. Le premier étage eft le même , & toute la dift’érence du fécond, c’eft qu’il n’eû en- vironné ni de. galerie ni de baluftrade, & que le toit qui couvre la co- lonnade, vient aboutir à la muraille. DivMfei formes de Tingt, Autres fotf» mes de Tem- la Édifices des Chinois. La troifieme efpece eft repréfentée planche III, figure a. Ce deffin a été tiré de divers édifices de ce genre ; & fur-tout de l’un des pavil- lons de la Pagode de Ho-nang. Le premier étage différé peu de celui du premier Ting ; mais le fécond a fur deux de fes faces des colonnes qui s’avancent & forment des galeries couvertes. J’ai vu dans quelques- uns de ces bâtimens une colonnade continuée tout autour du fécond étage , mais la forme n’en étoit pas fi agréable à la vue que celle que j’ai repréfentée. Il y a très -peu de différence entre les proportions de ce deffin & celles de la planche II. Les colonnes du premier étage ont en hauteur huit de leur diamètre, & les bafes un. Toutes ces colonnes, à la referve de celles des angles , ont au haut de leurs fûts huit confoles , qui forment une ef- pece de chapiteaux très-groffiers. Cet ornement, très - commun dans les édifices Chinois j ne plaît nullement aux yeux. Les colonnes du fécond ordre ont les quatre cinquièmes de diamètre de celui du premier ; leur hauteur eft de fix diamètres & demi , & elles font fans bafe. Sous le fécond toit fe voit un entrelas tout autour , compofé de cercles & de quarrés. Les angles des deux toits font enrichis d’ornemens , qui repré- fentent des monftres & des feuillages; ôt le haut eft orné de deux dau- phins aux deux bouts, & le milieu d’un grand fleuron qui reffemble à une tulipe. Çes trois formes fe trouvent plus fréquemmnent que toute autre dans les Temples de la Chine, & fur-tout dans ceux qui ont beaucoup d’é- tendue. On fe fert fouvent pour les petits du deffin de la planche III , fig. I. Quelquefois, comme on le voit dans ce deffin , l’édifice eft fermé fur le devant de portes mobiles , ayant en avant quatre colonnes à la maniéré des Temples proftyles. Dans d’autres, le bâtiment eft tout ouvert de front , & a fimplement quatre colonnes qui foutiennent le toit. J’ai vu à Canton quelques autres figures de Temples ; mais aucun ne m’a femblé digne d’ètre deffiné , à la réferve de deux petits bâtimens de bois élevés dans les cours d’une des Pagodes du fauxbourg occidental. Les figures i 6c 2 de la planche IV en offrent les deffins, Ce font deux pavillons qui couvrent deux vafes de fer dont les Chinois fe fervent pour les façrifices de papier doré qu’ils font à leurs Idoles les jours de Fête. L’une 6c l’autre font oêlogones ôc compofées de huit colonnes, qui fou- tiçnnepî: up toip fiirmonté d’unç laqterng 6c d’autres ornemens que le deffin repréfente. Édifices des Chinois. 13 repréfente. La figure i eft un peu relevée 6c environnée de degrés. Les colonnes ont des bafes d’un profil peu différent de l’Attique. Une frife chargée d’infcriptions en grands caraûeres Chinois , fait le tour des entre- colonnes fous le toit. La lanterne eft de huit côtés. Elle eft couverte d’un toit fait en cimaife renverfée , ôc au haut fe voit un ornement compofé d’un petit globe environné de feuilles ôc de fleurs. La figure S de la planche V eft le plan de ce pavillon. La figure eft élevée fur un focle , ôc entourée d’un entrelas de «la- ^onnerie Il n’y a point d^ bafe aux colonnes, ôc fous le premier toit on voit un ornement compofé de lofànges entrelacés. La lanterne a huit petites colonnes, fans bafes ni chapiteaux, qui foutiennent un toit en forme de cône orné de huit dauphins , dont chacun repofe fur une des colonnes. Le fommet du bâtiment confifte en une boule percée , dont le deffus finit en fleurs. Le plan de ce pavillon fe voit figure 4 , planche V. DES TOURS. Les Chinois donnent le nom de Tua à leurs Tours, ôc les Européens les appellent auffi des Pagodes. Elles font fort communes à la Chine. Le P. du Halde dit que dans de certaines Provinces il s’en trouve dans chaqu'e Ville ôc même dans les gros Bourgs. Les plus confidérables de ces édifices font la fameufe Tour de porcelaine de Nang-King** ôc celle de * Les Chinois réviffiffent très -bien dans ces fortes d’ornemens. La planche VI en montre plulïeurs deffins. Ils font faits d’une terre glaife bien conditionnée, dans des moules de bois. Chaque figure d’une cer- taine grandeur eft coinpofce de plufieurs pièces , affemblées avec tant de propreté , qu’on n’apperçoit les jointures qu’avec peine. * *■ Du Halde , tom. I , pag. 12p. Cette Tour eft fans doute la plus haute 8c la plus belle de toutes celles qu’on volt à la Chine. Elle a huit faces, chacune de quinze pieds. Elle eft haute de vingt toifes Chinoifes , e’eft-à-dire, de deux cens pieds, 8c di- vifée en neuf étages par de fimples plan- chers en dedans , ôc en dehors par des corniches à la naiffance des voûtes , que foutiennent de petits toits couverts de tuiles de couleur verte verniffées. Tom. I, pag. 200. Tong-Tfchang-Foii n’eft pas moins célébré par fes édifices 8c fur- tout par une Tour de huit étages, élevée hors de fon enceinte : les dehors, qui font de porcelaine , font ornés de diverfes fi- gures ; le dedans eft revêtu de marbres très- polis 8c de différentes couleurs. On a pra- tiqué dans l’épaiffeiir du mur, un efcalier par lequel on monte à tons les étages , Sc de -là à de belles galeries de marbre , or- nées de grilles de fer dorées , qui embellif- fent les faillies dont la Tour eft environnée. Aux angles de ces galeries , on a fufpendu des petites cloches , lefquelies étant agitées par le vent , rendent un fon alTez agréable. Édifices des Chinois. Tong- Tschang-Fou y Tune 6c l’autre font d’une grande magnificence. La forme de ces Taas eft affez uniforme. Ce font des o£togones, di- vifés en fept, huit ôc quelquefois dix étages, qui de la bafe au fommet diminuent par degrés tant en hauteur qu’en largeur. Chaque étage a une eipece de corniche qui foutient un toit , aux angles duquel font fufpen- dues des clochettes de cuivre. Autour de chaque étage régné une galerie étroite , bordée d’une baluftrade. Ces édifices portent d’ordinaire au fom- met une longue perche, environnée de divers cercles de fer ^ foutenus par huit chaînes , attachées par un bout au haut^de la perche j ôc par l’autre aux angles du toit du dernier étage. La figure i , planche V, repréfente une de ces Tours, qui fe trouve au bord du Ta-Ho entre Canton 6c Hoang-Pou. On y monte par trois marches , ôc il y a fept étages. Le premier eft percé par quatre portes cein- trées ; il contient une chambre octogone , au milieu de laquelle eft l’ef- calier qui conduit au fécond , ôc qu’on voit dans le plan de la figure 2 , planche V. Les degrés des autres étages font placés de la même ma- niéré. Il n y a aucune différence dans les corniches qui couronnent chaque étage ; elles font compofées d’un filet Ôc d’un grand cavet enrichi de re- préfentations d’écailles de poilfons. Cet ornement eft commun dans les édi- fices de la Chine J comme il l’eft dans ceux des Anciens. Les toits re- levés aux angles, font ornés de feuillages ôc de clochettes. La perche du haut eft furmontée d’une boule j d’où defcendent des chaînes fixées aux angles du dernier toit , ôc autour defquelles font neuf cercles de fer. Je n ai pas fait entrer dans ce deflin les efcaliers des divers étages, pour éviter la confufion. AUTRES BATI ME NS DE LA CHINE. J’ai fait la defcription des trois efpeces de Tings que fai vues dans différens Temples de Canton. Il me refte à parler du quatrième, qui fe trouve dans les jardins de cette Ville. Ces édifices ne font généralement compofés que de douze colonnes, qui font élevées fur un focle, ôc qui fervent de fupport à un toit , tel que ceux qu’on voit planche II , ôc figure 2 , planche III. * C’eft- à-dire la grande riviere. On donne ce nom à la riviere qui coule près de Canton. Édifices des Chinois. Tty Le Bâtiment , qui m’a fervi de modèle , étoit placé au milieu d’un petit lac , dans un jardin de Canton; & c’eft fa fingularité qui m’a engagé à lui donner la préférence. Le foubaffement qui le foutient , efl: affez haut. Une balullrade l’envi- ronne. Les bafes des douze colonnes de ce pavillon ont un profil fort femblable a celui d’une bafe Tofcane de Palladio. Le toit qui repofe fur ces colonnes, eft couronné d’une lanterne. L’idée de l’ornement du haut efi: prife de celui qui fe trouve fur le fommet des tours. Le haut du fût des colonnes efl: percée par les poutres qui foutiennent le toit, & dont les extrémités font ornées de petits mafcarons & de clochettes. Une frife ornée d'entrelas régné tout autour dans les entrecolonnemens fous le toit. Les proportions des diverfes parties fe voient dans le deflin , & le plan eft repréfenté figure j , planche V. La planche contient encore le deflin d’un autre pavillon que j’ai trouvé dans un jardin de Canton. Le plan qui fe trouve figure 3, planche Vj eft le même que celui d’un Temple monoptere ; mais l’élévation eft dif- férente. Il eft compofé de dix colonnes , qui foutiennent un toit & une lanterne couverte en forme de cône ôc terminée par une boule. Ce que cet édifice a d’ailleurs de particulier fe voit dans la repréfentation exaûe du deflin. Le feul pont digne d’attention que j’aie vu à la Chine, eft repréfenté dans la planche YI. Les relations nous apprennent cependant qu’il y en a quelques - uns dans ce Pays *, d’une grande magnificence. Celui dont * Du Halde, tom. I , pag. 31. Les ponts de pierre font la plupart bâtis comme les nôtres , fur de grands maflifs de pierre ca- pables de rompre la force de l’eau , & dont la largeur & la hauteur de la voûte laiffent un paffage libre aux plus groffes barques. Ils font en très -grand nombre à la Chine ÿ l’Empereur n’épargne jamais la dépenfe , quand il en faut faire conftruire pour l’u- tilité du public. Il n’y en a guere de plus beau que celui qu’on voit à Foa-tcheou-foii , Capitale de la Province de Fokien. La riviere qui pafl’e auprès de cette Ville, eft large d’une demi- lieue : elle eft quelquefois divifée en petits bras, & quelquefois coupée par de petites Mes. De tout cela on a fait comme nn tout^ en joignant les Mes par des ponts , qui tous enfemble font huit ftades ou lits , & foi- xante - feize toifes Chinoifes. Un feul, qui eft le principal , a plus de cent arcades bâties de pierre blanche , & garnies fur les deux côtés de baluftrades en fculptiire , &c. Mais te plus beau de tous eft celui de Sucno-tcheoti-fou. Il eft bâti fui la pointe d’un bras de mer , qu’il faudroit fans ce fecours paffer en barque Si fouyent avec danger» Voyez te planche vi du IV®. ca- hier de mes jacdizu* Édifices DES Chinois. je donne le deffîn, fe trouvolt dans le Jardin d’un Marchand à Canton f & étoit tout de bois , à la réferve d’un garde - fou de brique ou terre cuite , & des piliers faits de pierres & couverts d’un enduit de plâtre ; & fuivant la coutume des Chinois bifarrement ornés de figures irrégu- lières , telles qu’on les voit dans le deffin. Les Pây - Leou ou arcs de triomphe font fort communs à la Chine. Il y en a plufieurs à Canton, mais je n’en ai point vu de beaux. Le plus paifable eft celui dont la planche X offre le deffin. MAISONS DES CHINOIS. L A dillribution de ces Maifons efl: parfaitement uniforme. Il feroit peu convenable, & même dangereux de fe fingularifer à ce égard. Le P. le Comte parle d’un Mandarin , qui , s’étant bâti une Maifon plus haute & plus belle que les autres, fut accufé devant l’Empereur, & craignant les conféquences de cette affaire , n’attendit pas quelle fût décidée pour abattre fa Maifon. Planche I, Les Chinois mettent en cours ôc en allées plus de la moitié du terreiti des Maifons. Celles des Marchands de Canton font toutes au bord de l’eau. Elles font étroites & fort longues. Il n’y a d’ailleurs aucune diffé- Plaudie I , condition qu’elles Joient , ttjfres que les Libraires ù- Imprimeurs, de vendre, débiter , faire afficher aucuns livres pour les vendre en leurs noms , foit qu’ils s’en difent les Auteurs ou autrement , ^dla charge de fournir à la fufdite . Exemplaires , preferits par l’article CI/HI du meme Réglement. A Paris, ce is No- vemlre 1776, SAILLANT, Sjndk. C. U wo . P . • . ■ . . ■ ■ - i À.- '-A tcv i 7?*^* 3é^ y.'* cnijLckîj^ ^ ^y. c.cJ.^l-0%. ^ . lo ((vt D^U^^àf .,V 4^. [♦Je ,N ut wt, JcoWlHu,' ,%{;^Ul ‘i C. , V-#- c' Labo/ficrc /a Kice ocaJc/italc’ i.\ft /a thcjhc ^ cWùf oidc cbi developpeiiiciif duTreilla t\n\V MOITIE du PLAN du Petit TREILLIAGE Septciiü-ioiial . MOITIE du PLAN du Grand TREILLIAGE Méridional, du Jai'di/i Je aT de la Bojiier TcrraJJc rlN tlcJ JardinA de M . le .narecheil J'>uc de Biro A PARIS . Che^tc Rouge Rue dei Crand'i Augujtino'^ d.o.f- Cx)ur t^KVLlXXJLt. «SI Æî.LLt.tLî.U.TXî.îXLt^'LLL'L.L'Lt^^ bbtrbbtfeirbbfebbfebfebbîiÇ frtddûr^ wb'brc> nXtuIle. . Renvoi tj.ûr : (Ju//umu’/io h .Allee i , TorniJ'd'o \c . Qtiûu'onc/iL’ m.o.Bn/iùui' /' . l -Boi'ijueld' s Toises ITaJJini '^‘Üaraîn Mclonicrt':^ ’^JUl Jardin- de. la Pompe WL \%JK 'U'fJL vts. e.î.ï. ^xx. UJU utl. Suite dee JarduU de M. le Mai'c'cJial Hue de Biron Hütel de Lauirec . S ,. . „ , li. ''/'■■ -*iiV.ft-,,- ■ ■ '■■■-T; • N CAbbe Pi^au horv ia Barîere cbePiuUi/ 'eau. le JarJin par le Notre '^1^— ’^etses iiussee o^a lia: d 'tianover Cûit^ d'Honneur iLirtiæ Æoj'tîe' ^^::'y.TAca'trsL- '- ■du Jttrdtp Porter A Boris chez le Hout/e -fim^ # I ■*<''.«t ^43*4}^'^ <4t {{iweât do' M^.Jjo^^xutce .Aj-t^iv- du Rj}i. 1(^ Plan de CaPv.OLSRUHE Re^ndem'e dÙAÎarQflrafikBAIlEl^ Labyrinthe iiAngvien Heiivoi /*.' J fi/i’-V Jour doUjiuJteL-Pnnoe G LP- Ecuries -i>oit-,Jons Ls 3'2.Roiites Jont- H. JLtulujo ç ^rmentles Rues Je lo fi/ic ■ K. Onuujertes OtJ/erie ï-' Gentilshommes AfoiAzé ehi ThéeUre^ de^PiRuirtn.- ' Trace^paz' lêRouge G e-iç^dujJitLieiA. . Environs de ChANTILLY kVascl& cJt£z. le Roik; e. me d(\y Cn-cmds Ainjustms iS^Fu'tnin \^in'te Jio)/ak die-Faroaiik^ Ae-des &enest S* Finum --Rs-dulrroj'. fantoirn^ ._Ründ£ ^ la 'f'HAWTlT.ÏV '•Jiesa'^ajT.. "yEt Pttïtd/'. F^iOmnf "•.aiS* lù-mie 2iifue jPLAN DES Villes, Chateau, Parc dp^ersailles, Triaî^on et la Menaoeme b/:* Rcuvoia 3f. .V, Sÿ.AreJe'. ^o.Jiajfuiù t/nf ^ irmn-ir .Anaïutùtf J taUen Tardi/i Ain? lois Pavillon de la qmhde Allee a CJiiaivick , £cu/’/&r i/’ûlir I i/t/^vntf ra oni/maicv Jardin de M. Poulin Pavillon du pont a Chis'WLck Fjahle l a Tai-A&j' itiz . J^oJ'fa'T'es l . J^osijuet ‘'j l Treillage llrcavoà’ CoZlTi c . Æénafjertc Juudllon du Gladiateur ^ . Belvedcrc h . çrand Jiod'ifi/i Z . daitenc k. Cahinets- de Treillage l . Serre chaude 771 . Belvedere n . Vbltere UIC071S ySarujard Jardiniei' tnier\ '' Toifùf Plan paràca/ïer du jardùi Jàilicn lie Æ. Boulin î-t. t.î. t. “L î_‘1^ t» a a f f ¥ li. iTctitCiS / •21 a le ChateaiL h £ciirieif. c Se/Te . '' d Mmatjerie. c Fcü^er. P Camv'dicr&-- q l'Jleniutaqe^- r Àmpliitèatrc d'Ormes. J le (qnuid Ovcdc . f Garde chasse . U Merlins Caoe. i Jidlo/i de la Friiicesse Maria . k. le Mont. I le Feî'inier 7n Bosquet de. dUcheinond. n Tare au Cerfs. O Granejes des C(^s Painlloji 'ves la Rivicj'c a Chiswick > Gardon \ Richemond Mmjoii üayale à. 3. Limej- t . ■ ■ ' r ' • — J.. . ny.(:i/ .\\ \ î" a l'ajiûloùe ’ M. le Prince de ûvu Retour de Zondree deeeinc par la a e07l jPctit Tr'e/îf Zu%eme et autre troii J'tatues et sert de point de •ime à une grande all\ gui s'étend sur la droite a iSo-T- Ce Bosgiiet contient 4 . Cabinets meubles de biinco et de Stztues. Ce Jardin g-eut avoir So T- de large ;fl est divise en t ois parties inégalés, la pliur laigge gin est celle du mi- lieu, a 2C T-, elle contient les 4 parterres ornes de ga- zon et de fleurs en foute oaison ■ La guiràe de la droite terme hivers Cabinets, et celle de la pjauehe a 2o-T. O- est un tRuineonee, dontle milieu estoeeupe' par unj.rl Tpis de fleurs - Pitié loin sont Irois Bospiets d-CgC ofyie's .le trois Clibinetir g^aisernes de^ffeurs gui mè- nent a un Cidneonce de 40 T. de lo/igj .Les tiges des Arbr-es eivtérieurs sontjggrnüs de Chevreféutl, ettontL Qiuneonee e.--t enveloppe d'une c/iaene de^guir-iandeo^ de ces rnernes^leuts ; eeei est nouveau ■ Détournant à droite pat h. vous a/'rivez sur une ’ Terr\isse gui séparé ce Jardin du Potager . Du p-omt i ■ 'VOic.-' deeoic vrez Icj/rarid Bassin , gui^ /ette . /z 2o . pieds de hauP il est entoure' de S- bancs sujoer -■ bernent o-eidpfes, et de cT .jproip'pcs de Figures - C esPai- terres sont'deeor'c's de fleurs, él'^lrbustes les plus ra- res et d'Orangers 'D'iei/ -vous passez a droite ou a gau- che, dans les Cabinets k. , gui vous rncneritg^ar urv'' g^etit-Bois en /, eten n; ou e.rt un Jardin gdanté- en Arbustes - Les grands sîrbrcs, gui i'entourent sontlies g’ar des guirlandes Je Chevre/êuil corne le Qrunconce jf -h- PI: 10. Le Potao'er peutetr'c rci/arde comme un lies g'kis eonigdets : rien n'j/ mangue -il a Co Toises de long sur 40 de large .Par la Alè/oniere vous g-assez dans le Jardin des Juligpes ; on s 'g croiroit iransgvrte dans les ehamgs de l'ancienne iCag'adoce ,dontPline fait mention g-artant de la même ^^eiir, Au milieu de Ce Jardm ej't un bouguet de 10 gneds de dianietr'c.d'oii partent S Baj/ons d'environ bo g^i- de lorur.parniit d'une inpnite de Tu/igpes doubles '- onj./ coing' te - à 00 Fliricte's . L'entredeua' de ces Rauons est occug'e p>ardee Iipme/s entourés, de /ilcts, denierne gue dans le Jar- din suii-ant. Enfin vous g' aso'cz datu' un Dtgger ou est la Pompe de “LiicotTe/ Uzgiielle fournit ’bo ni nids d'eau en une heure g- a/' le rnop/en d'un Cheval. Je la publirai dans an sin . Jniteiifin l'Or'angeric sablée et orne 'e d'ime variété — ^ H de^pL’iu's les g'iiis rar es en Drngduthédlr e ; le JLuftiO' lia gr-aridi flor e drt le Laurier- tulig'ier.j/ a^leiiri 2 années de suite ■ il ri'a voit rarnat.'- lleari d Paris gue chez AI- le Pr'inee de i.'’oubise et chez AI- le - Duc de Biro/i . 2oo Orariaer-s etzo ooo g-otr de^ajreriee^gar- rns de pliis de 2o differentes sortes de Reines rnar\/ue- rittes deéor’erit ce Jardin g’arseiné d'une guantite ■ de Laiiteuils et Canag'és artCternent caches sous des Toiles cirées. Louis Xt: Louis XVI- la Reine, les Priiiees erles Pi'ineesses' sont -venus voir ce Jardin ■■ PI'- 11' Jai'dni de APla M^*^dc J-iaiilrec . Ce Jarj'n de z25 T- de long siir po ■ de large sur les dessins de feu Ijaguépierh g're'sentr d'aborh un Par- terre a lAnglaise ine7e de^/azons et do^fem-s de op T de long sur o de largge ■ Juif une Idateformc or- née de'~^Caisses etdc p'otr, de laguellc v enis' descen- dez dans un petitBospcet défrbuslcs C ■ auivi d'une g'iecc de pgazon or-née de^fleui'-s -Tout eeei est aeeoni- g'agrie à droite et à gaucho d'une jllee de TdlcuL<' mêles de Roses g'r-mtaniei'es- ■ Pbus fr'avergez un autr-e Bosguet dArbustes en e etg'ossez g’ar un Boiditujrin t ■ aecorrig-ii^gne de 4 de- - rni-ltrnes' de gazon . Differ-enis' chemins a h-avens des- Arbustes- vous conduisent a la Tet-rass-c l - ornee de g'oà'- et de Caisses - A gauche l'ous voyez un guin - eonfe de Peupliers de la Caroline et du Clmada '- d' droite est un jp-and Perger ■ De cette Lerr-asse vous des-- -.cendez g'ar une plàte/orrno k . vers Tûranger'ie dans laguellc ilj/ a des pn/ramides de /lenr's r-iircs' ■ Pbus arrii-ez par le ‘tergger ou le Pohuger n ■ d ' la g'ieee du Af ont traversée et entourée de S ■ illlees de Tdleuls en berceau aeeorng'agnes de^/ruitiers de' differentes esg'ceeo- ■ Au cenh'c est une butte occugCe par un Pavillon chinois des- g'lics éle^jants- - Dans Lm- ■ ale s -est un g'elit Baldagutn en h-eillayre - La g-ature g. eo'tentouj'ee d’Ai-bt-es de Judée , uleacias- roses-, eu.' fleurs blanches , Cerisiers , ATerisiers , Pêchers à Aiu' doubles 3Cc. sfiitle Labyrinthe g' ■ gui est d'unejert jolie L'orng'osition- LEau d'At'ciicil fournit les Baleine PI;i2- La Foire Paie ail g'/ss la B an-iere de Rull y cstlngénieusenicnt Jistr-ibuée ■ LiAllee du milieu a//— dans un fond , tr-ois ra/ws de ATaronicrs s''élcvçnj~- en Jmgfilliéatre de chaguc côté ■ I^a Terrasse c/fan niveau du g'rcmier- Etage en 1res belle vue ■ Le Boulin ■■ arm of/r-e un petit Potaaer duguel -vous' remonte -z. ■ dans la grande Jllée ou vous découvre-, /oui Pans ■ T^c tout /iu ntc pivo-i'nUviu-nt un Ihuufuii ijui cr Thcalrco', nuuo'^orl biui. T>co- pana Je Charmillea, dea Staluea mclèea J'^à en forment IcO Jeeorafîon ■ Pl. i5. Bei’iiy à rAl)be de Gennain dea- Prc:~ - Ce JiuJin ae é>c>o- T. de lont^ inir 20o- eàt enhe la Route d'Orleana et la Riviere de Bàeore . Avant d'entrer on pasae par un ij/and ^)tunconee ■ Lea Roapieta août -tûn Jeteurs se trouve en J"' dioe/s Allées et Sentiers adAnqlai le reste'' du J^ûsquet ; il y en a autant dans se qwfaqent le l'auti'e moitié ■ Pl. 1^. CliauéiUv C'hdteqn mqqni/zque à pj. Lieues Word de Paris - Le prand et le petit Chdtecai sont entoures deaus vives- Le Parc a ■i-Lteiies de toia- an p compte 3b'. Bosquets' fous qdùs beaucc les uns que les aiià'es^ le Labyrinthe , les Piü'terrei.L)- d 'eau, le létaqer, le Canal, les Ecuries, la Ferest, mjin tout re- -pond à la grandeur du Prince qui l'habite - PI.18 ^ Vex'liüllcs ayant oj- T. de lonq sur 00- de larqc ■ On doit remwipier leleaic Pùjaniél a si bien décrit Jersaillcs et Cluvitil^y qii 'il est ‘ ^ ' T O ‘-t I r . .J. !. inulile d'en parler apré’s lui, la Reine ^àit aqrandir etchan ■qer lejardin du q>etit Trianon qui sera mapjni/ique - qmrtevre de qazon orné de flairs les plus rares en face,etle petits bois à droite et tz qauclie du Pavillon, coupes par iC Calnnets de differente composition an tour d'une Salle vei'te ipii a 20. T. de lonq sur iq ■ de larqe - Une petite ATenaijei'ie a. ^ qatiche du Èavillcn raid ce liai plus aqreablc encore •. Pl 16. C cli’ollrxillC •Résidence du ALaipjrave de Baden . Cis-a-ins de Landau une Lieue de l'autre coté du Rlian à l eslremité dune Forest de 12 . Liâtes de tour laquelle eo't entourée d'une Plaine aqréable et fertile . Rum de plus heiN'ciux que la dishibution des Allées et des Rues du Parc et de la Fille, sur les aires de Vents de la Boussole ■ Le Chateaii oiioert du càbé du Afidi par 2 - ailea '> dans le qcut d'un Théâtre est seqnzré. de la Ville par un '> Jardin iCo- T de Inuj sur 3oo- T de larqe, rien Ji'y man- que ■ La Jfénaqerie ipU eA preSentemmt m AA. est des plis Mnplettes . Il y a une Faisanderie en bb- im Potager en cc. et un Jardin Bohvuque en dd- les S preinierA viussifs des .niées de layauehe ee ■ sont actuellement percés p>ar des Sen- liers qui pbrmeat des Cabinets et des Lalirintles. l 'Esprit et Jardin de M. Boutin Rue de CHclu/. Ce Jardin peut eb'c mis au raïuj des plus beaiux qu V/ y ait- En enb'ant, le point de viie se présente du levant au cou chant et pieiit avoir iZi . T.- deux Jolis Parterres aa . meles de jleurs et de y a ecm ornent lajjfàyade de la maison - JAtO murs sont masptes à droite et à qauch^ar des ATarroniers^ fhV'mi les quels on trouve Jeyolies -voliaes ivnfcrmant cita cu/ie une ptaire de Fyeons rares, il y en a six de chaque ^ coté -A 3o-T- a (jauchc se présenté un BosquA b- contenant une Callc verte pu femme un très beau couvert. Le fjoint de l vué est G6. T- l'exlremite des deux Parterres est ornee d'un Bassin. A 3C T. de la maison , à droite et a qeniche sont 2. Cabinets de treillaqe cd h 12. T. l'un de l'aub'e ; d en fkee de deux Allées de loé. T du coté ehi Alidi ■ Celle de la droite^ conduit a la Aenaperie e. peu apres on h'ouve une fort belle Laiterie , au milieu Je la quelle un jet d'eau de 5- à C pi- de haut en ivtonihant lave une table Je marbre Areulaire ce qui fotme tout au tour une napqie d'Eau- On voit ens'mfe la Fa'clieîie et le Jivdin Anqlais-lAi cesse la SYnieb'te,on dcr : couvre joar des chemins détournés, une Riviere artificielle qui en serpentant forme deux Isles A une Cascade - Én paix'oûrant divers Bosquets irréquliAs, on rencontre des Buttes, des Ponts un. tombeau antigue aecompaqné de Cyprès, une Berqerie,pe dc^ l'iiwcnticni du J' Laurent -I)e hi on passe sur me platefrme elevée q- cpficc de la maism.d'ou Ton decatvre par dessus un tapis -vent, un prand Bassin quarré, un aiib'e Tapis va d, et les Parta res a a dont nous avons parlé ■ De ce Belvedere p. on passe au Jardin Italiai, ou sont des Bosquets rqquliers, de^ jolies plate ■ pfvrmes ifmées de lalusbmles_ et des terrasses très biatdes- -s{nées,etsyineh'isées- El decharpe du Bassin h farine une lonpue Cascade, pli fournit de Tenu de distance en Jishmce, et se jette dans un Bassin au bas du Botcujer . De là on passe piar les Serres chaudes dans la Jalle vale b- pu iximene dans le premuT Parterre ■ PL. 20- Italien dilJardin preccdent- J^a dishibuhon de ce Bûspiet est très ùipaiieuse. Le Sieur Cromer JarrlinÙT de l'Eotel des Ambassadair exbxiordinanxs . a su oceuffa' si adroitement le haut A le bas par des Ferrons des Plafes^ormes, des tapis perds, et des Allées , que le tout produit mille luniAes, qu 'on prendivit qiour Toiamiye de la Wn ■ hire, et qui sont epalement puvprcs à récréer la ■vue, et a diver- pfrer les promenades ■ Ce Bosquet est phinté en ArhuAcs ■ H 21- Jai'din de Kicliemoiid. Zt’ Château est situé qu milieu du Parc ; on y arrive du cÀé ■ du Word par luie avenue de 210.T delonp borjée de passai, on vAt a diAte au travers des Arbres d un Çuincimce , un Gmal de m - T. de. lonq a la tète duquel est Li Laiterie ■ A qauclie sont de pixinds Bosquets percés de Routes et Je Scntiei's- Rien n'est phis swple que la face duChdteau,le coté ihi Midi est plus décoré q au niiliai ' d 'une ficade de 20. T. est un avant- corps de S- croisées de ficc couronné d'un Jonton ; et aecompaqné de 2. arriérés -corps con- tenant 2. crois CCS, ce cwps de loqis est a Setaqes/ a. ailes Je 2. etaqes A de q . croisées de fkcii terminent le batiment ■ 2 hgns deioe-Tile lonq eoiuluiseiitii Tilllée de Richeinond_quia 200. T. de lonq et qui est qJantée en Afarvnniers- Le Potaper touche à ces 2. tnqns.Au Couchant de celte avenue est le Parc anxCerfs.- on eleve . des Faisans Ades Penlreaux du coté JuLcikinl . Au Midi estlcBos quel de Richemnd, orne d'une Calle dcTillculs, A perce de routes et- de sentiers-Leqnmd Bosquet diiWord -Est il b^o T Je lonq sur léo.de Ivgpe. il est percé par difércntesjviUcjihxntejetcoialK'pCteontiontJieers PaoilLms-TAi Tamise qui arrose cc Parc le rend encore phis aqveable • PI ^ Jardin de Cliilwick /.r ( '/ia/(’tc pr/senlc i/u colc ' c/e> //I l'i^ur A on /e ^n'emiroit plutôt pour nn Teni^i/i^ ipie p'' un PuIuiaS- ■ ti7i üu.s'tipie ’Urrmicu/c' wirl (/e Souhasxïeînent û c/itv Co- /onni’tr /^ompoj-ùej- /nrmant un T‘erf/.Pci Fczçade Ji- du cote'' du Jardin est d'un tjout p/us simp/e - 2 Croisées ctunc porte ae présentent lui premier Etape . / Tiacune de,r croisées art accompcujnec de 4. Colonnes dans un Ceintre pui touche a /Entaldement ■ Un autre Perron conduit aussi au premier Etape et est accompiapne a droite c/c 2 Pàtimcnts d'un autre ^ penre ■' • Le Jarc/m est pcu'Uipe en deiur pa/'ties , pmr une Pan *- ere arü/icie/le ; on passe de /'un a l'aiiti'e par 3 ponts- Un Tapis verd /orip de 33 ■ T. sert de point de Vue aJ> /a Façade B. ce ppcitton est accompapne' c/c o ranps dl-ir- hrcs.au /ravers de ce aie de /a cpauehe on decounre un- \ autre tapis c/e 7terdiire , une pnece d'Eau et /a Rivière I pin est a So'T du puant C ■ vis-a-ins du Batiment D. I est une prande silice de 2 00 T. de lonp dont /'extrémité i est ornc'c c/'iin^Jort po/i Pciod/oti ■ E Cl So T de /a mai- j son /appriuide Cillée^ /cirme une piatte c/'Ctipe avec deiicv' autres . Une Jtaiiie F dans une niche décorée d'un Rush - I - cpiic et d un fronton et distante de i6p ■ P sert de piouit de Vue Cl celte de la droite '■ si p^m edle distance pires la ■ Rioiere est un Pavillon é/epant G. ou se termine l'ct/lee de /appcitiehc' -On dccouurc du piamt au travers d'un, puinroncc ,/'Orcuiperie il -derrière lapiicl/e est le Potapei'. Ue la Façade l on découvre une prairie de.' So Taises de lonp et la RiinerC' ■ et c'oh' est un cptmconce iirecpi *- lier , apaiic/ie est un espiece de La/iyrùit/ic ■ Les Bôspuets du rote de la Rivtere simt les pdùs décores ■ ^Iii pnnnt K est un Tempde^^rrtpo/i donnant diin côté sur un Bassin Imrdé d'un (Imphitheatre de /leurs , et de /'autre sur la Riviere cpia a iTo pt 'de larpe • si 4S0 pu - de la Ritnere est une iftatue dans une Uerni-lune c/'oii partent ’b-Rou- tes ct 'è dentiers, la piremiere route mené cm pont .La hordée de Jcipnhs conc/idt auTmip/e Y^.La 3^ et les Jenti- ■ l’rs condiusc'nt vers le t'hci/eau ■ .^4 8 00. pi. du Pavillon G vers la Ihcpnc la Riviere a 2oo pi • de laipe ; un pieu . piliis las e/te en a 3oo '■ Ptrs le PanfiiV une puitte dôye divisr le Ic/rain ■ Tous les Rospuets sont mêlés d'clllées efroites, rourhes , dalles vertes , dentiers Torturucr , pnc’ces ée pâzon irrépuliercs et houltnprins . ^ lu punni N est un pictit pavillon sur le liord de l'Eau ■ Pt:2,8 {é/^dt/'2tftltO/hr ifiir /es Jardins ^Iiuplois. Rien de rude , cl'uru/orine ,ni de dyniétripue dans leur /ipiire Tout ip ecmcoiv't a ivpirésenter la tlature dans son ' pilùs heau^ pour- Pans tous les liospnets d'EverpréeneU ce sont de.r c/iampements de tfeene, tour a tour ppaiei , trirte , saiivape et ehamptéfre , et toujours varice par toutes les niumces possihles de ,verd ■ il n 'y apoi/iLde chemins dans' les Èoulit^ruts ■ Les dentiers ev/es pra/uls c hernins vapues son/~>^ d'un arazver lattu .etles Routes sont tris unies, l'Eve ' setp'ente dans un pazon énai/lé , tout le reste estimpa- zon tin comme celui yue nous empdoyoïis peur plapuer. "Les Campaatico' /arment- des pentes insensilles ou l'on a pdaùdr "a se coucher sur une herbe vaauee eton- duleé avec (joùt: ce pm /orme des pet/fy' ^Lni/hithéâti'cec ’ dont le tcuip’ d'Ooil esY-très apreable ; si l'on en eseepte..' ipuelpne^<- luths pin p'oialanty jettent de la vaméfe ,cu~- piii sont d'ailleurs en tout temps coimerhs de beaux Clic- imiix . tJioutzms, Pains iCe ■ pii'on hplsse toii/oars en plei- ne liberté'' ■ Les loul/és siviUtprmees de^/ort beaux ^Ir- bres plantes sur petites /ûiths de oaxcvi ; de p\nhtrs de hayes nahirellcs ; / de rolis sLbustvs ■ Les Bes- haiix sont puelcpiepoh.!' séparés par des ha ha /vnnant des parcs de élp/erents venls- C'est ce pue les shutlois appK’llentiine jerme ornee.' ■ fmcp ce pue. Hit M: GroLay dans ses obser-- votions SUT la Udle de Londres Tome 3^ C 'est lions les /vrests abandoimees et la ttahire , piu’ les sinploù vont iTu/aurd'hui chercher leurs modèles. Les prandes cllîe'es iJe leurs p>arcs les mieux temuf, semt des routes de /orets /omiees ml Ttazard d'drhres de toic tes especes et de àmtes eprandeurs ■ Les tlllees desùnees cl la peronienade imitent les petits denhers des /orets, eio pmr leurs dimiosités etpnzr la mmuere dont c /les se cou‘ paît ou se ccnmmancpuait- L'ûrtse montre- apeine. dans la cainpwsition des mas- -si/s puiles sep’arait et les masipuent -Tl pit dans lechmx des Jlrhres et sh/mstes put /rnTTUTit c^es 'inassds Des tnar- ppuentes des Pîolettes .jettéés cm appm'ence miEizard en ■ /vnnent la bordure a ces /leurs miixedent des Arlmstes' nains, tels pue Renias , Rfy rthes, (demets .IToiur , SCc- fjes ehupes iruivcvis sontrcmplis par des Cedres, des Fins de diverses piivUes de Ldme'ripue , et aub'es jdrbi'es ipa ■ . ne s'eleoent cjTu'aiuiè hauteurpyi'adueé au dontla croissan ce. est très tente ■■ les Jeriaas éhipes conihnscnt aux Ar-\ hres pli peia^ait /vi'/ner les tipes les pdùs hautes eto les — ^ ^ 7 ^ mieux pournies ■ siu moipen de cette disp'osihon , ces mas - où/s o//rent, dans lois leu/s apes , la /tvme pmramidoints de,.i 'Vue du é'haà'im ■ La grande j/lee pu pintlc prenuer p\unt de 2^ue , plante'e en Cyp-rres meles dVrnes et de tflonuniene pimeraires a Tilntipie , a hnit l'iitr d'un Léimetieie ■ Les Jardins pue. la Ftneesse de Lrizlles a Jivmes itUieiv reunissent tout ce pue le pout clnglois pioiiboit produù-e de pbis riche et de plus Parie' , dons un Bospuet estime cluv pielle pothipie put /orme un J'allon aussi poste pie singu • lier -Dans un autre , à la Uime d'une célhne paetice , s'ele • ve un tenple en rotonde, dans le pout le piÈis pmr c de l'-'Irchiteeture yjreepue ■ Un Bospuet de eommunieiition a peno' ornement un Porttil itntipie , ippniye’ sim des restes de maçonnerie , le tout en nimes ; l&r points des blocs et les crevasses de Li^naçormerie sont eliarpes de ces pùantes et de ces clrhustes - la îlative se pictit à cenamr Je veritahlecL Ruines ■ Le pnneiphil de ces Bospuets à une Tour octopones a Li chinoise sur 'boo pi -- d'eleoatuvi ,distrilme'e en j. e'tapes distingues par des Toits soilLms ornes de Sonnetteo^ , de Drapons St e ■ te milieu^ du Parc caitour duepuel sont dishilmés ceee Bospuets ^^porme loie Espémade unmense dont Je Terrem • inégalement taillé, est -.irrosé pmr une Rzinere pietice ■ ^-hi- delà de cette Rùnére , on â-ouve un piont de hois consùiai— au miheu de la pvairre , sems loctre nuson pie la -vcuieté ' du ccnpy d'ûtil . Linépattè' dit lêrrept n'o^e dmw toute s'on étendue pu'unjpac.cm continu: Le milieu /en nature de pmiura- je en est alhvulonne' à des tioupemix de Uze/ies, de Brebis et de liTievres ■ les luvdiires Je ce p’aùvape /ornient des dUées en .pazcm roiiléo. vonn T.Je lifft lif i/ai lé ifmv tiXM a te ai^raa lij/i/iyaÊta U: M4^„g.Jà7iàMa Jt imtptuv dtptrffidùu.ttdc Jâr {huif,,a.J!^taléée Jipârx m K^teàtfjfcsSr^/^i'ayuW' (5r mJAuAW, rf^ivfcr ééfaanAi^>&».'AMitifàlhaéf^ /mnut /ér Àfbé&lér Sevnte-a^ g?,, iaalufbatJé attêi/u/mi^ .naéneiti^ %ùt ArtiriM g t.^Cki^uH Avyv/A', ehtva a-i4 > /éafCv itEmrr«uv..i8^, Itère. cuÿeÂié, raai-^.ilm.Ji/riiniyé p jnfa^j^ 't/u’^^ Ji^iùnaiCifijù- f^arJafé^iéiunnf iï& J'jjv i ÀkntAéi'Ju. •JUmar. .)AU1’)1NS IlllOlS .jya,»n fUhaéfryù ui .s-*..iat..*.ii it^îCn jAiinixs ni’ ROI OK prtssk j)iEu Pan JSfota te Cahier à été led- ^rave isitj- \Desj-ihE COItTI . A Taris Choc. Le Rûiiqe Baie des qraudst Plan du Temple de la Solitude Auyustùus • Plan du Temple SeCONB Cahier le Jarlinj- An^lo-Chinoij- à la mole Æonument 'et Hennitaje PCcecute's d STO'W Piraniide Ecjiplienne Pont de Pocailles Temple dlt Ea-ecuté Plan du Temple de Pellone m petit ■!l Monitment qui Touiuste j-iir 1171 JLxccictc V/ZcW.l’t’ Phlk du . MonitIment #) Temple de la Coîtcommî L’I" de la J’tclrûdc ^ a Stow r Jlohindc a ifàiiv ^ n Augu s TE pTcec U g MOSQITEE JZcceciLtec a Jvt’iv Temple de' JCcw la ‘blAVlCTOIRE chc7^ de Cralles TorR DE Diogexe de là-J^ojytjuee Phzn dn Temple de la ^ctoij'e moilie du plan te pliùs- petitte proportion '1 Gothique 'Femple J^jccecute Pagode A Stovt Temple de ^ENrs principale Rnb'ee liu^ jaj'din t/tv Fleura 'a JCezv chez Æ la Pnnceaac DR CrALLES FÀcvàlion. de la ' Vbïiere a Keiv Plan de l'Fnù'CC la l'û'liere C/iin oza SS ■HiS -k » TEMPLE TEMPLE JJE BACHES TEMPLE iLxecitt^ Rocher Artificiel a Stew 'cU la Vertita Moderne a Sfow ancienne VertuA Fanténil tjiu nvmeuant- Ë9 1 s m ' .f AfX SI »» sn an «a mss msi ' ^9^ Pavillojv cil mois dxLjLvdin de^r Flcuiv a Ke'W CIicmM. la Pnnces^e de ÜAUÆS du Pavillon Chinois lanplc Chinois TEMPLE Cliinois a Keiv . RL'iHiÛon du Banc lioulanl' a TaB Ic'ttc.s' delà ^ Pag-ode FjCceciLte'e \x Kciv Laiterie de Milai-d - Ho ldenic<.^s chaumière Herimtage TARC et Jai'dins M.PELHAM, iiEcba Cointè de ^Siirry a 6- Limes de Londres 53c Tieds Anyltrùr. 11 "V i3: Serre chaude (£A.nana,s à ceiiirh'iùte en hcie, ïee dci maripièes A ^ccnit remp /iinuero' et de tannée , JtvY'dj' chaudes delà Triacesse de Galles à Ketv . A. Ti^cuLkC B Soiurpape C . Ai'ce' eaiu l&il D Taçe dee Tuyi K . Cerrxdor pourvoir la Serre par le htarii L . Tetite Couche / devant la Serre . f tsss [E Tour de la Couche [F Coi'ridcr I G- Couche deo Ananao [h Four I Cheminée Elévation deo Serveur pour mûrir le Bjiioin . Le Sep \ planté vero j le ISord ! paooant au I h'avero du I mur en B - Elan de la Serre à Techero . \ iotpeiie la' ] • ' Serre à Fecher>ri ^ Elévation de la fa< ^Cace -ria' (e onappwpe xana^ Aicfand Jco encatoeementp ma/fjiieo A ilv a Ircùrpnedo de^ fiimier et un piedde tannee par deooiut ce qui donne une chaleur ouffioante a la production et maturités deo Friiüir Serre d Ananas Fujureo man Architecte diuuc . • » Plan de la Laiterie de Chantilb/ Colpe de la Ijaifvrie deJd BûicLùiy/ T Table f milieu Plan de la Baileric de J)d. Boulin Tableffe feedTau Coupe de la lailerie de Chanlilh/ lo. ToI^CkF. — i A ]vf LA PRINCESSE DE AIONACO- la 3ariei'c GraicILe.- Nord, ■ s CHWETZIN GEN Detail PlancEe i" a. h' c. i{. ijtuitre PixrfpfTiV (i'Arhiu-tc^ a FleiU if . CliàteaiE Pajx-' ’h - ;,■ 5. Si' ,,■ ''■■ ■ ■«■■:; .K-. ::v'®’- ' I' .,‘rV^ - ■W "".. ■ ■ • ' •t'' ?1v^ ! -..v ( ' •■''•; i-. .vi,-t '• uy Jitfirmerte j « \chimèrv\ Chanihre Chambre C/iambrv WQiiart iu J^arten-e \ ^de ]îiyhfJx/\ • Maître d'Eofel laxm •in/er Uaer Ciciaùie Facelatemle d une de^Aikif^ JeRokfen/ ■ “ du cote ^lÉiiMâiii du fardin de Æad lOlM/ ..II, ... XVUiOai. Premier Eta c]!. C lizi/v ■ Boaquet M Cahanne Noia>eau JAJU')IN wicJRoùfsi/ LniLon ’Ms^ ’féàt^ >.v Coupe Sur la ligne A.B ■^^... ::w. Coupe la ligne C.D. de la (xroite et Tombeau d'Ernienonville du Pavdlon Bocàcje \d Eiineiwmnlle jilcove Portt '> dellb-mitc de l EenmtqiJ^ X 4./2>irrcÉ!^ Y Ccufaxÿ’" nocacjfc a Ennemvivillc I I Elcua/ion du Tc/?ip/c ru de laAdaiJon duJIarinie/-. Ele'vatio/i d')ctail dêir dcirdi/ice^ D'ERMENONVILLE Plan de la Alaij'o/e^ du JlarimcL’ , JVLaison «U Philosophe liims le t&rwf tl Ermeuoimllc Maùton du Pecheia 'Sÿi Ih'o/îl tic la Æaùo7i du Philûsop/ie Plan de la Æaücon du Philosophe Tiiee d'un petit-jardin Aiu7hïir par- Cramer J,irdinier Décorateur Chemin CliaAdUe Bcurite i/uifrau î» Vi I * T k '^\^y Chermn ' -'"i: ■:Vi?#^-*ÿ.i’ ■ v..^' ^ ,;;:-^K^‘ ™ PLin^éneral DES Jardins de Vf'àrutead a lùues de Jtondres Moitié de l'Elévation de WaTistead 1 CJicUsau. & 3Iemàufn 3 lEciined _p jFor^ca. 3 E^lùe 10 T^ne if. Lo^e U Serre cA S Cour 33 Séudznw, S VOmTtt^erie i3 Heoavm J ^nphidieatre Chcierc i5 Maditne lô Jntaidani- l'j PoÈ^er i8 Pmtroi^e ip Jardinier ■20 Jhde/ieî- 21 Jizioone&e 33 Æarà/i 3? Bojpueéf 3^ Eole' ■2 S Prcufsene üô FiiifSnderxe 37 ÆxifiizirL Pa/’ùjO^ Oct-idc/iàile \ •c&v Xirdim dg iSoo Tovfe^ ^^and ^4niphié/ieair^ DETxUI. de Wansteat. Serre- L'haïuie- La Monti^neJ da7hs l'SbztnL . PeM^énpfùleatre^ La ^VIofiùz^fuL % r- l‘)2Z V./ pl-3 GETfY CENTERI't" Plan du Bel -Et^e . JA1113JN S ANGl .O -CIllNO I S . Caliiei- prix CHATEAT" DE STOWE, Jii Gtà' Jes Jardins. ' À iiaïus i ^hez. la JLnuh^ , Klu' ,/iV' (rr'dmiù -^Jui/iàféùus' ■ Je Jdu£.m ji'e. lieds JeHûme ■ Un diir deu.v liiiitdens a /enhv du Pure . Hcnniàuje Æoitic du Plan de Vheriniàuje A.L Hermitages Hirdvhy jLyujïaw- Grottes et T»r l7il“ P' "rchttj : 5L.. ImêiP^ÊÊ^Ê^ J,4IiniNS Çt rince Je Ô'cssc CiisseLj iipf-m A CASSEL yL Ï^M-z.f c/icz le jRicc Vue du pont, du Temple de Venus dans les jaedins de WEST-yweoMP Comte de eucks CcJiUxitn lïpparfient- aù cÂevah'ct' Dizfcliivooii Comte de J^ttcAo '1* 1 1 H §1'! ■â e;,| t| 1 1 ti 'tt O '-H faOi-Q — ^ t»'.?^«>\ V ^ 9‘«i <^W ff'^y W e>9> “ «^ aj^ I W 1^ § f-tf I ' «<*' '3 û ^ Pi :1 1 j'iir j7. Plan achiel i daChatean de S Lomé ,Jiiblîo Sallon Çhanibre ’OUicX Concert ti mander Peins Dani&r CaiüoiLx. du Général l 'Arc Corùithicri •S’iOAX'F, S'iàhic ELjiiestre de Geon/e l. 'lam Lapitaine Gyniville Geortje Second Ruine de Kew iniè le Nojxl. ^ -J Hume Kciv JkfzWi f Coupe sur la longueur d'une partie de la Galerie des Antùjues dans les^/ardins de Kewi^ " Gale incine /'le Coupe siæ la larpeur de la ’V i V" '• *Æ%t:;v-i -t*;*) ‘■i > •H I ü ;' • t ■ W '^- •• ■t" '-.'• ■ -i X>''.-;‘it‘>. - ' i X X- .’*-/ië^*^Xi,X:■• ' V."" V:‘Sÿ -i'}' 'v^.! . ■ i v.i pH . ôtW CWÎÜi Ll: fr -;.^i.i: Ai® ;•' As:j^' '•■ . - .•^. ■ .,'%iL"‘ jy --A.r i Y^<0-''"' 4 — ^ ;Vr v ' , '^"^■''0-^- %^.’ T- ’■ V-V ^ -^'f^i •«.*. :.> - . ■*•** *^^ 4:*’ ,*j ; .-Ç-.-t - rt, ( r». - / : * -.VV" ■•'' r-,- ;:-: j; ' /?^ r.'N - '.!.• i" ''-• ►'’ ' ^ ■' 'K- - •'' •c^’T K ► “ • ’ ’ -c' ■-•■' '4 Canton TTITtrT 3 J !a7jf oz J--JI IX h W''' Svi -,î;.iv 4 ? |. ,':,4 Bateaux chinois. F1G,3 XVII X\1II Boivtx Reh “y leu^e l' Ririp-n^eur M-inuti'e d' R tat '^^ '\,K ' /V’» ->c4-“'«i*r ' -^ Sjxifmf. amiFji. SERRAIL ET JARDINS DU GRAND SEIGNEUR. .-Aec k Rim/e , Ruc- J.v . ^'tvee JhÙH&^e Ju Roi ûwiuJe r /a Oi'oÛï; , Parc Pc /Pf/u/j-o/ (Jmjid Pont sitr ùi Rioœre de pjynue. Parc de /Pi/idsoi' B' 'St - fessi::'. : ■ ?x#^v^ ■ ■ - -j V ^ ,:, ’o -''' a' ' ,. ■ ' , ^ ;'*-'.j^:' :;.:4"i$ft:';, .-s’ '.- .. vA'sYn'iï.Vv' \.-. ■ -- ^ , '■,-V'i' , . . ,' ’ -'' r- ‘ î' f >, ■ ■■,; ,,. ■ X': .- i ' '‘ ‘ ' ■ ■ .^4.^ -, , ,•• ;■ ,-„H^ . - •. ’,, , ■ ■ , ■ ',- , -' • - • ■ • ::.■ •'.: -. ':i . X •>.: i--A''i'i6vï', - . ^ ■ ■ . ” -■?■ X X ,-..x-, . ^.x - .1- ^■.: . ■ ■ •■' ■' ■' ' ^ H- ■■■'*'' ■' ■ ■■ ■• . ., . rf',' ■^'. ■ ■'%■ «■'’V*'' f ' '■*■ '* ■ ; i«4 ' X "‘'.vx i rv:v:*^^l-:'x''-':X's ’• ■' .’'*''''-;;^;;:X'::..'; .^;>«. :t,i ^ • ■V, , .:x ■rtiv’- ..J:- ' '. XX . , x ■ ;■ ;V ;-- .A'X.-, - >-;■■ •.^A- .V: -. ,. . . . '■X,: x.;:.; .••rn.-i,.:t- ;.-.,vi.< • -- *■>;>? X;,v., -.xXv.A ..■■ ■■ „:..-,,xx '.1 -a'.;,-,; ■ iVÆÎ Machine TlydraidicjueJ) da7is leif Jca^ddw de Kew iiii.Pmbp t <, ^ h. yis^e/ dArP’i^/ chunede CO, Ic' CaiMoiv ^ d. Ydnnc: &■ Jonction ^memle Ceci hent en Grotte^ de Cliijwick l’K- iî.ï:. . ■ .. ÜS^ - ■ - Sjj^gnmmr^ i -V: : :.>XV.vv.- • • ■■-■; •4?*.»-' imé-:-':- y- r , /r - . !•■. iv r- ■-'l'-.!- .; , . . . I ,_ ÿ \. ■ '■ ■'«.■-■. •■, ^ 'i- ■,■■•■■ i; ^ ..... ... ...^.' . .-- :. ■ 'i;. — 'S'^■ U -.. ■■■ .■■■- *., ‘-S! '. ' f I* .'r'^IS' '■•'i-' ■ i ~, , . <• ■ ■.! t-, V: ■,. ^7T-%r.-;r • ••- ‘ ■■■ '■ .P::":;-. -■■v:#^*‘':î.. •r-^'î ' -%4.^ ^ f ^ •'’io.t V/. • .... -■ -iV •• \ .v.-.r -.' • --•^ ;;:• . .’ i. ,ÿ^r. , , _ .•••'•• ’V * . '-‘.v.. ; -- "ï' ■* . ■*.. V ;V J ■- **»• •.'•*. -■- ii-'.. ' : J’.-..' •: • :. - ■ • u! •* -a •' • *••. , P. :;v P ■ ‘PP ■ ^ ‘'^ V. r . ..;v- ..— V,- ■ . ., ;-P;-:^,iv.- -•'^. ’ V^-dÊ'J :PP.. • . «4«. W! . • ■■ ■ i -r, ■ :::. :■,■ , . ‘ . 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Aùvrràa Semteure A doua: J'7««w Cneeocùc l'Océa/t 1 , , / y Lrarlmir Meaztemmee J eweetar Renvoi A AnÀ^ues G Groigw T Therrne X Restaure par 3a Apollon 4 33 Raixkur A ^ '3g, Rmt vasA! Je Rron7.e 3iî Flore . Franùi 3^ lAjJ' Bertrand 37 Pan U Zarran 38 GrouppeJeliilonshmttSn^, 3o l^lnme Sledx. gr VFau Xhùny Biüns dAgrij^iijlC Jeux r5«y Agripfnne A quaùv TUfCs . Jea.vlkvne.! A FaïusJne . A Zunwe nwJeme Aipkîtrite ^ JeuxfiDragoihf Bromes deux grouptes d'Erfims transi Bosquet de ilarlv 1 Faune ■ A a Bacchus et une FantAer 3 Baetdius. P liane. Flanien 6 Ténus etCufddon Fiih'ia A Fabius . A Hieah'e ad Silène A gg. BaCc/iUS X Gà’mdan ■ a 5 Jeux TBses deparpüre g6 Ceres . 37 Jeux J^es ■A Fai'is gg Bercer A E ."{l» Beux TSses . ùn-nar 1 3i Mercure . 7 Caton. . A S Cicéron . A (f Jjnplibite U Fauddice . . Coatwir du Ciateau Ramf e quatre TSses Mualùt, Fanphes FUmm % CkeoauX Coartaoï BapAne’J^ [faini Suit Groupes dlEnfimelronK Bsdt Sphinx bronzes Suit Groupes d'Fnfitns tram Svppomene . Gwnnr 1% JSeletufre / • /3 Apollon, A JGnerveA \le Cxur volant Bosquet de Lonreciene 1 ÂpolLin . A 3 Farcisse 3 Bacckgs P Bercule A 8 TPnas A |i7 Êrutus Piane ■ Flam deux TSscs Diane A tg Russie. ItSmtre ou Chevre et» enfaruSarrasin U lises de porjdtûe 1» Semele T. A. ■33 leABUait.TA. laf Siune ■ 35 Circe'e Vêruts CaÜipypa ■ Barrait \ v, U Temps rJeoe les- Arts Ijd Centaure . I Aüee de la RiTicre Salle des Xnses B Vrtuiie A 7 Calliopè A S Fuierpe A P Thtrpsicmv A 10 FaiaJes hromêe G , 11 Polihimnic A z-1 CUo A j3 Thalic A ip Frato A Faocoo/i^ SouÛes' &» P Gerbes Grand J et UieruP œ^ oïni c»^ O, ail »i' <=»^ afi }]dvj^ :>p Dpivsvj dinmouv^ j dp p, ■■MManmai Tient .nir C B. Nouveau ’lRrAXON Planh' I^OULS' Xf^. ■ ■ CuiJ-ine- PjvîJ/cn .^û2Z>ùr&r 35^ \j^ainllc Oom.'ièj'i/e PaviÜoiv f<7 Toi^ea- leve ^'üj' J^luUet'^Toniiiuir de Carcln'ulie eni’j'j^ Bosquet du Nouveau TiNnon plante par lozus xr en 77^4 du Llialcau Neuf Projets -pow' le Mouveait Jardin de Trzanon pa/' Riclmni^ /ilfja/xliniej' de lo-R-einc .. TJiéab'e Deco7'aào7i de la de7Te ItBehedere et les TiramideAf PlaivâTi Petit helvederedt m Limaçon Limaçon. iIlïiïiiliiïmliiiïi'iiim7MiuîiMÎ '«•.im.v- tCitSane Oieàsqiie L Plan Crénàxu des Pardins de M. le Ch', de Janseen \BeIveilere ioniaitenù' tt. ^ . ‘i. 'h. ,;^ . ■ ;7f 7.-;:'r . : ;ÎT'-*:! , iià'-"®,,"' ■ ■ .}i',‘-/j.^f^ ■''■■■'■ j ' ■■■ li .S'Jô- / .;‘— ;-,;'^'^«7'.'\ ; .,7'-' 7 ' i. i ■ Jl m f _‘v.-’>-,, i'.f', „ ■ ■ ■•’ ■ *■■•' >' • - J I . . "» -.7-1 'fo ;:7 7 ■' '.,- •d ■i... ’•■ . îi 7î'./ n>' ■ • ;'-.Vr':,’i ■'-î^ •;• , !'•'■■■ :- - ■■ a »<,). * • •-. «’v.-î ■ .fc '"«/■' '. ■■■ ■ ^ . . - ■- - .T' t l" ' V- • , 7* '• ,< •'* ■ 7-: .• ■ , ■;. . ■ | ^ . 'S- ^ , r;v y m.i7 ’U''- ■'■: ■^\àr ■ . yip^.7 • 1 ^ -te: ^ ^ ys.f(':,a:;v7 ": : -':4- t- , , dk- n '^7- :"te ;./tei77''-d.dy77;^i:7te^ ' Æ-àr-M :■ W ';i^- jS; rf- ::W:ymÊmÿM^ ' ,: " 7':$ '■■■.■ K ^.. ::77'' ';,-';7te ■- ■v.kry '^td'î'^-rt.vdte^^ '■:77 ' yd7-'^ • 7: te^^y '"’ ’ ’ '7 î ' bûiÿ ' '-!^ ■ '■■'"• ■''■, V ■ 7 '•'■’f,. K -'y'' ' ^k.--‘.: ft^..i;.:7: ;;.-!7. >77te'*'‘-7te‘*'à •- 7‘*'' - 'ÿr'y.:v;j-'>, , 7 - '■ •••.■• ’- ^î^ . 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Ecuri&r. (. P^rej-. U- SàzâiedeJ'h,àceailbrar de branzedare'de Sa. Pieelr de Aazd. X Temples * i. iojcjiLes 'ÀL‘Aji^LiA:^&^. arMewasB^il»^^ g.o-R"A--a£'Æ?afaS£ 7lw(ii' Jhn.r r/t':: le Rouàc rite i/e^' i/rii/uir^^îiurusfiihp. i'jj'j. B . i(i///e K‘rée /onuee par t/iW' ^irèoj'/rxr. KVBYIUNTHE 1)Y PAllC' D’ABOADAAT. ^7^7, 'o^eli£. ^41 .9J ■»» 4* «' »J -V flj -Jj f’ ' „ ; , Tableau ^ ale de toiuc lee' ^rl/wr, ^rln'^ro'eaaa’ et Soud'ai'lrisj-eaitæ e^cetante 7 , eut Lu/nej- e/l Ajiiphithcali'e pou/' de.rujnc/' la Hauteii/' de leu/' accroùre-e/ne/it /lahirel > Ç"T J de.Jùju/'e. de leu/'. Je /ailes , leu/'s co/de/U'S , Scavo/,' : T^/'d -do/ice, ‘,'^^'',.7 ^ ’ a/icÆe dcssouj-, les toipou/'s ue/'ds ) Ces diffe/'e/ih’s nua/tces so/it opposeect ^ a//ta,it- cjicil est- poss/lde . aussi les ja/'^luis ,node/'/ies de,na,ule/zt ils ejue touj soit va/'ie' e/l France cjui supportait • DEDIE ET PRESENTE a M. le Comte de la Billax-drie d^Aii(i'i-\dller Birectetw et Oi'do/iateiw Genetal des Badmeus du JRoi Jaj'dius eu-ts Académies et Æanniactiu'es RosAes par Rtc/iard ^/ariiinier de la Reine ce la Rûii^e TnJ (Tcoc/rctp/ic du Roi A PARIS Chez Le Roiujc me dcd jrandd diîiçuj-dm' Avec Pr/vi/eac du Roi llJp) Pi'J'U de In Plaiifndioii dej" Bodijueù'. Race dùB mcmcd Jiûj‘piei< ^ S PLUS GRANDS ARBRES ■ Pnms Jfariùiua Æajor ■ . Lelrnnui FinÆivi - lùn^ ■ Acer PïeuJc^’I&fojius Et\th/e Si/cciiiürii— ^ Fmnms Ju^lanJi Foda Z>. JuÛicTnc . in dernens- h adotu flet. Jlert Se^ . Pai'î.nù' . Frêne îi Feud/cs de -Veuer, i^uercus Riibra . Chene Æca/'/a/e . P mil s Ce drus Ced/'i du Liban ■ Acer CollmLojuamau Species Noy'et . Ær'al’le de Coflinson . J 'iglansBe^a S eroùaa Foi/er lû la Jt Tea/i Betula ^Allêa. . Bouleau orc/thàifC^. Fiaus S-trolus Fin de Aller', l Ji^/nordli. C arpikxis Betiilus Chtu'me 1 . .•1 ^■irei' T^eÿ'undo . de F'rent < Fr anus Tirg'iiuia,-. Cereeier à^raffes . de 7'ireince . 7^1 7111 s Ficea . . Supin ■ Acer FlatanaiJes . Erable plane ■ Julians Uigra Kci/er U /ricit notr et- l.vtj ■ Populas AÏba Peuplier llvic- Ypréau Pjjius Pjjiea. ■ * Fcn Cultive ■ Liriodendruiu Tulipi -, Fera . Tuhpuf 'Je. Vuytiue . Glediltin Triacanthos P'epier d'd/riercyue ou A'oeia ,i 3 Jipi/uies . Quei'cusFahpblœos. J. Chêne l^let ■ ou de Bou/yoï/rie . Finus SiIj'eiCris ■ Pm d'Ecajje.oa GeJi-eve . Fojiulus J^igra Feiif'lier Feù' eu de denil-ardie^t , Robiniti PreuiloRcacia Fuucc - Acre tu ■ Ujinus Aniericaiia.J, l ‘Orme d'Arnei ’t^ue eu, le beis dur ■ . P mus Abies Fesse- Ft'ced . Pla. taillis OriciilAis Platane d'Oruiif. Jiig-lasis Fligra Uci/e?' dont les /wûc ont 'a Pulpe blanehe et le boù' noa' ■ Fopidas HeteroplivllA et Erecta . Peuplie?' de TîTvêifuâ . lie Fo/'cà ■ Fjuus Jirejdfoha. J. êapi/iede bhzne/ie Telia Euivpæa • TiFetil ibo' Fois . Fricamis Americana Frene de (aroitne ■ Po£uIus Carolimara Feuille/' tû i'uvitm- ■ Finus SilT'eiins Fin. JFceese • Fét^iis Purpia'CH.J. Pitre Pciapre ŒTcuhisli^pocaÛamim yifai'cniei' d'Jnde ■ Tilia ylmericaaa Tilleul de Can.ida Pinus Strohus Pm deAilnd WanunilA . JjJmus Canadcnûs. F. O/'ine de t'anadt ■ Julans Nig'ra Frucùi Rrttimiû . R , Foyer dAme/npu a. . h'teit r'oiui . Platanas Occidentedis FhiAt/ie d ïh'cidenl . Fxiius CcJrus Cedre du F.iéan . Populas CajiRdeuùs.R. Fetif.■ \'j'nrtnnn Scofariiun ireihvl a At/at.r. /'x/tiirmiiii OpiiJiix- imier l. / Jeinans Recru AJi'nor l Pelile l'/iwa/ile Jreile , a /ettr (Jane/te ilJer.i/ile ■ 'l'ulii^e'us/èJie liicii/e. pine a /èin//e /uisa/tle Jpunmm /nnceitm ireinvl J'Es/un/ne '• en e/l /aJ Jes lèn/iv- ytilaJelplnix lèreiia . 'lUS . L' Jyrniaa • JnjJiaiy iilha ■ le Neyer Piuwner ■ .omeera XyîosCenm . (li/neeet'Mcr ■ ^ Jiwiperue' ceinuiiix. retterr/er ee/n/mut ,j Jett.v ^nJà'iJtu'- vrm^'n ï /iJo-ai'is a/lm- . fj/.is a /leur /•/anc/te '■ u [elpilus Jinelnn e/iier. t/tneAmcAjer Je ùuhiJa ■ ARBIU.^ sSBAUX. dicer LreticH. . Pni/’/d i/e û\’&’ Ih'iiiex iHahii . jjfuilac/uru’ ■ IlibûaLe TJHurn /i'utex. /itex xîr/’itreii. ./a/lttr du'llU' it^ /à’ttr l’inie/te . Pinv.v l'niiiiJe/isix Miiuwi/.w R. Pel/le .Capmelle noir- l'cex Jr/'evea piivpirrea- /./nusl’u'liis Frjiiis /‘/ânes. ^Kxiis baleai'ieiLt. R. le Rnis JeALi/ien ’• L bz'ùu'ia 21yrtild2ia ■ P.iJeu Preven-^ui- ’ Sx’iin^'xi Ri'Jieujalùtini- Ihhe. R. I.Jm- .le Petve a PeuJle ' .le Ja.etmn. Jmiij'eriis Üpwiinix- iK-nerrier J.vyeetlre '• Jaalmix . li'ata’^'us hmic/itasn ■ Epine 2'iiie/iel ■ Mxi'ica cei'üh'a . l't'rter JlJmeri.pte ■ jMe/pihis Cotinienfiei'. Lelenasler ■ iiipiutiea. 2 'upele a./ualùpte ■ rhpara^is aciiü/ahus- Asperae en Arl'n/Ieau. Lcmeei'a jpi'euau'n. l'Aeure /ènJ/e Jes Py- KIiux Toxù'O lien cïraxt • eJ^>re a LtPuee. pwe/i Qnercus L occiJera ■ ■ Kermee- ■ Sfii'ivn SalieiJ'ohii . Sf’iriVii • MclyUtts Tii'^inùma l Ne/her Je îTnî’inte l Ihixus Ax'hpi'esceti.'i Piii.r Je no.r Peu' . Uvssa niLmcana . Tnpe/e Je.fJfen/aijne.e Spira'a cliaiiiii’elvv Ihli n ■ Spô'tva it /etal/e Je ' PAavneJn/s JJ ex: . l/erie lerJ. Pilnmimn JenJn - litm û'iiein Jateo ■ /Verne it/riii/ Jaiene Sn1îxli.\yui.ir2mlelia . SaiJea/JiJ/eJeRein.irm libavaarn luius iiui^'Ui tiare ■ Laurier -lin a /b'itr.e ■ 1 cphnhmiàns occidxi talis . Hais a l'onten J'Jmeripte lihin'iiam /.entaa'a . fi'erne . FJivIhi'ea lAitiielia FiLvia n hri/e /imiUe eIiuvr'Jiilu.s' onaifH Jï.l- . '~J. ^ Jmd/tJier Jii Pexytml y/rjenle . - Stxvfa'On MnlacuJm JroiX . J'/a'iir/ta a Ire.r er.mJ Pleures ■ Que^’ctLS a/iiaàea ■ R CAenc Jpiali/nc ' ■ ihnJ'LralnJab n ■ m'In yr 9 Aimhn'a ■ Innae Jn Japan ■ n' Quei'i'iix nana . ihène jVain ■ - V - - — * t -- Arbrisseaux . sons ^ IjuuirssFAux. ' Tiitiih n ft / ir/y 1*77 r -A? *'/7»7«ï .ur n -A» > 7-»^, 7^ / ’-. 7- 7» - '/> - t't • ^ 'y^r* / 7 7 ! t n7 7. y?. T'. 7 77 / y'.., — ^ D ^ Diiphne Tjiaa'éoJn. l.LUtrCi'Ù .Kv7?y’Ar. EjyliCih'a mouosla - Æi/aV/^ tA’ //irt" . Cv(i-vns Aiistriaciz^T.. l& Cylz.r'cAulricAi'en . \'2>ii'oea Tomoniosa . Sfired il /hni/Ze JiAi/u/ie Jv^-ONiP, a^eur nyi/c ■ Aiuh'oiiu'Ja. CidvciL- faca. . '.inJrcmeJe A/pAf,A- - l-ue'fe <7 /?7U'^'tma . irenest yntryati/'eJerimt- EvoziymiUi'Aiuri'icii - imx . /i-A^/ùsut JAniertçite . ^ Liozdr A'ntetceax . Arrête -Boett/'enArluis seau . Aexlitbo Atiinill/lii 2110 - Seibx' JA/neriytte a. ' leuil/c très etreite >. 1 S'alix Aia, ei'2eHna Altdl’U - Saii/e JAmei'tyuiz ’ . Siiiwix I.imj'zlohu ■ Siiii/u.i' t^èuiJc Je/jiUi rsti'nülla Jmtico/a . ^J/yenù/ie e/i A/J’ruviuu 1 âeciiuiim iJax iJa’a eJireffe- a /ètJl/ex itrrvn - Jiee tz l’iiyej' iviit/e SarnxAuiX'ieimH ■ R lloiive/le esyeee JA/y- JjeJjtiu TüJiiuiriaz . JeAvm.Ii. T/ie Je iHi/triiJer a Bull A-s J- Be/iiarùi . RûJh ihwe pleuo Je - l'otiiio . Ritse //eiirtssiinl UAu - tantnes. Siiiù/ax TamiHilex. AmiAuv a /èeeJ/es Je > Ta/iinux ■ Fluazmax LizipJiTia . Ju/iJ'ier . lâeejjmmi O^^coems l'iznneAeri/a f - Coi'OJiAa - l'Espeee ytu stparte nos Byvers creit Jans les Pyrennees. UAvuiX^Jn^'idtiJoliii - Eii/mtii II ^fu//e e/rûià’ - ifui .<*»• Ci’m^'c /Ü’i/r.r AuiVfi-iïnlzix iiaaa Ri' 2'e jilimo li'àf AniTTiJicr ouJitmicr Je /es, e.iyeee Je Fe/j-t'/ierre - /èui//e . . bitzÿtez'as L imadeulis Oe/ii-t-r/iv Je tiutaJa- Rnîtnx Ot/yz'atitsllorc jyJauo . Renee eJen-a^tte a Jeul-t. ^ Eeur rvrti/e ^ . Vmea lua/ar. (iranJe perveue/ie- Vaceniituu . /Jire/le J' /Ame/'iyite ’ plus AArl-rissAiti yite teuteu' ter autres espeees- /rejAta l imJzeaizx ■ Irenest a /eui//às seyeu - y^ÎRin Asseaux gria r L.S . Four couorir des Tonnellen . j Ai-uùJi'clua AIiMTCiph\ \iIh . I) ■ . Wv*-. \.JriR,J,’c/t<' à oJ'^/èuîÙ / Airairme Ahima ■ JùM%ie J^A/ye,. Ih^Tioinit L'aj’i'et’Iaen . li /4/n eue h'uieure verfex LelaJJras Seaudms. Betireati .les. Ma- es . Il Teume ses Serments au leur et /‘et/'emAe ■ L lematù BAcarlca . B. JllSS- l lematik JeÆa/tûti ■ Il y en II Je ■ serfes ipJ/ieu - nssitit i'ffi/z'er ■ iJe/iiaùs Cirrhaxa . i'titniitite a /è/A/e JeBttrui l Irmaclx FJaiiumdii ('J émaux Orieiitalis. {'/i7iuJitr J'ih'ient- Cleauiùx Uro-i/izazia . l'h'maiife Je firytnie llenzatix ïiiaJha . T'ier/ie ou AerAe imirlftian PaM Flora casrulra. Chxnadilte eu Fleur Je la- Ba/toti. iVrtJannm Ththxuaara l^m Je- -Judee- ou Douce Fzbs mnaepw Jt'oha. Ftçne rie/pe Cleiiiaas lïiiceJla . l 'Lmaux I iüJcJla , AüX't' yll'JLü ■ lieniaàle Joui Je LHviiue Ijutelceiix ■ Æmcûà en ArArc ■ Aonieera BAeanea^ C/iepri\AA//e JeAfahm % l^onieeva ( aju/lû/m Chevre-/hàl/e J'/talie. Lûmeera i 'a^ÆJinm Chevre fiml/e ton/ ours VifJ.^ latmeera lUauea . LÏtevre ^ètâ/le Je/anaJa Inmù'era Periclyineiiau i yteore - fvuille des B oie Loiiîcei'a leaipei' fi - rejuv- CAevre^/kiillc Je fuyirn ou Periclymentan . zl/eeiif yez-ziium. Cana - dense . t Bfenispermum eu Liere Je iitnaJi ■ IA SiTUATJOX DB CK^ JAllDIX tint Co^'unc des plus heuretu^tjuijiÿ/e Thts.peiU'^ ■vrer a celle de Si Lloud eu de SlGennain Celle-eia u toije particulier ■ cuire tjue ftf iardin est situe te loiùt du Jdiin, .pd n 'en est séparé que par un quau de six Tbises, il se i mccrevlsavir VErnhcuchure du-Mein, ce qui .uipmente Idpre- ment des promenades qui sent distril'ue'es en umphithealrs.Ce /ardùi estai environ- ab Toises de la. porte neuve sur le haut - 'dhin. ilpeutaxvù- ^oo Toises de lonn sur jo Ti" de. latje. érstr Armé par une ^qrilU du Cote de%iUe. Thoie allées se presen.' iz droite, uns a .gauche le lonp de la grille, r de ho p.de Larpe, qui se présente de^/rvntvie- lii'is li cÂatéau, èsthordée de Jdarcmers Jusqu'à 77 Toi - - su milieu est uruprandt dalle eU férdure, de aS T. de- Tliametiv , dont 8 hartts et 4 Termes ornent le pourtvur du Centre,on ità droite U dation de.’ bains cemstruitsur un-Uriei/i^. ’ icheussé de sa, pif onp monte par deticc Rmqw qui entaurmt n b.tJsr/1 letdtdxeis en estcùeoré de eolomus, de poref- Xednès, d'oraemens en dtue, de jets d'-Easi, d'an l\u'sin ■ U. milieu., du même centre on veitapassche le Min \t •trille de T de loaa- amve'an bout ■VAllée 'parterre de sô T.ete liUpeiL ,'H JéoJiaore la pieee d'Jidu K. ^ on trouve ensuite 'apauche Tlircalicr l- qui ,lescvn.l vers Ll piece d'Eau etqui conduit aussi a la Oallene mm. comvrte f,ar uni Terrasse entourée d’une balsistsade, su/' la quelle on monte pu- les Esealieis V V. La Piiep est qarâtble. d'un — ’ cote c’est le £Ain qui se présenté en/àee. vers lepa'rdùt se. sont les qjct<- K. les q casanles i, en ouh't la Cascade li^ C'estencoio l'Knlevenuni c& proserpinne en s-c^^ures co- lossales lUj. Centre de 4 Colonnes, eucompqpnéos de^/'ele, de chandeliers, nappes et Ciscades. cette piece o’t la principale dupardin. c'cftau point X a Sj. T. du point V, qu'est un tios pliù beaux points Je Vue du Jardin-, ht ' stpe:-àe d'un Côté, de l'aub-e on voituneprande ptece ’ d'Eau au milieu tle laquelle s'élève u/te montqpne d'Fxui, plus loin TlélCe dîne une th-otte c dent un Bxrassl d'su simt une nappe d 'Eau . sur les cinq Terrassa..- .euioands siv Paril- bns s ’élevent de dùtttnce en dùtanee et /arment une belle perupeetéve ta-mine’e pir l'Oranqerie, batiment de 18 avi,m.f de face dont le Terre-plein est plus élevé de pie,l' que U i’errein.'yL.JEu.rp communiques par à Escalùiv de chaque Cote', cube sù- aubts qui se bvuvent «w fnoe, et entre les drav 'ranx/erùs. Cetqnq'hiiluàùe est chamutnteC l'onyjouét de Ll pltu belle td/e qu on puisse inutjister. le Pei.-. s.-a- •• .\wAv les Eeurits sont niasquea- /-ar l'Oratu/erte 7 quUfo e/l ,lesces\Janl pas-' la t-ampe .lerrtere les /Mvltton ■ Ll ilroite en pissànt pir L- bosquet p. et remontant sur L, Terrasse p. d'ou vous tvve- les cascades f .ef . h t, lesperivj k le Rhin et la belle Camppne au Je la de lapaderie ouïe, ' re di/is Ll date p.tlL-ric q gerbes qut retombent d,ins des coquilles poup tormer- de belles nappes d'Eau, dupointj. ott pusc pir LAtiee des Æuvniers pour voir le beau SalLm de porcelaine, morceau unique dans sonpenre. La promenade se termine en r^.iqs- nant lapri/le d Iratvrs le S.illon dos bains ou pu- l 'Allée ,les Xaronies-s I.e ehatrau quiasS Cn'is/é’ dt^/àce du Cote du jardin etsS du Côé du Rhin, contienC usie gaUerie, appir tementa gaurhe sur le Rhin, appirtemeni et Chapelle adroite Us cuisines et' offîept sont dùssous . lei Distribution ,ùs pivib Ions esta peu-pres la meme que celle de Ldas-^, C est tt ‘ dire chaque qxivillon estpour deuar Afaitres, l'ioi au Rez de Chaussé' l'autre au premier. ^Parû /^ar /c 6ETTV ttNTER U6: ' iSi k^ms*i la^: mi^m XjvemiedeTilleit^ 1 î-^-Uttittî-î-â b Cfe.'Ltllt.lll.tl ip 4.C 46. t ■8. f. «. 1. 1 î. t %. PreniLere.- Pla/ic/ie^ daf Jarc/im DU Prince ScHmiRTz a - Pienfii r:Lrr4;rr:As.--k. iitmttim Siciffe dit y7J'o/i/ ry - ■So ■ Züireà' du mdm- Jof'dzn-. 2^- PlûJic/ie Fe Jardim Prince de schîp.rtzenberg. ' a Pienn. ■vu/" O— dej JtarJmà de Cnammui, FI^ÎX G1DNJEIÎ.4L DES RniNS DF CRUAL\D4V . _L ŒD j ^*^"3 [ CÎOB: U % Viictic l'Aile gauche etde la moitié du Coijis de Loljis du chateau de ChrisluinF/rlang] et une pa/tic de SeO jarduiS APam chez h- Roture 0 Vue du Vont de Vois ed d’une partie du Cirque du Jardin de Moticéap appartenant A SON ALTE-SSE sÉrÉnIS SIME MOÎ^SKIGNEUR lÆ DUC DE CHARTRES. . Sur /at JtAflrevur deJ/T ùirnumieffe Projet d'un Janj^dnjdore/u/iaù /vue m pLirtu-atar. 'îîl^ *î!l' ■‘(SE ‘^îf f ^ f ^ I ^ t L I f ^ I ^ t jç*|J (Ç^J <^ç|J (fÇ|J «5g|J (rtfJ' îjg|J «5*1»-^ Renuaea 3 .Horuf 4, .'darvnonl S Queni e Jtt'Cde Qi Framerie MM Bouilour Kicilv ChaLeau J)cLaLL de BoLid.oiLr. Fortes et F ont de l’ Heitiütaeji r i ' f- i'ontailu Roiuye. 7>.du ^lanOéncral lof-emi Jji. Frù-to orne cie Terasses cù F/anàiüons Fue Ju F/tmc çtuii'/ie ,/it Chaieau. Flaiu: ^ Miche, c/ii ûia/caïc vu, du CvicMU de Frielo X Ota, ^’ouf /)L‘scri/’/u'/7 i/ taie/ j'oir t/i/.r.r/ /a P/aiir/u’ /'/•A iû/o/itr 2,0 . I*yriimt,A' >/<• -l/o/u-ii'iir'. - l'iY ,r<* ,/>/• ■ ifui J'e yirekfcn/t’ i/<’ /'au/r 7 , ,1/ j-7/uc- il ,.'.JjU’iuv au Siu7 -ea/ tfiiai / Su./ Ja Pans sur /a Pauere J'Ycri-Si en preru/ /es lôiàms Sans /a Pue Su Pas rs . i noif ou f ai a ou/ . .< .Vf. /uu,a li^o- Toui'os y>asso i/ia/anSre es/ un Po/oau, i>es-a -v/s Su pu’/ os/ une Pou/e uout>e//e Se ~'2o-T yut eonSui/ a J//'uuoi . - Le pu/S/e 1/ ai-rtve par /ay^'' Pou/e ptVcoia'tiîûoT-piSyu'a /a arenu Se Inw 7 . Se /oiy LorSee Sun Sou/Se rana SeTi7/eu/s Stks Setui’ eo/es e//e eenSui/ a /a/rrS/eP.ûu /ou se /rouvesur /a lune Su (o/am yui/èrme un Sipa-fe shnp/uSica/re i>cs-a-e>is /e St. /a Pn>te/ e a 2po7- au Las Se /,i /nS/o, Sou /on roi/ /e L7//aae, /es Jb/ai/a:\ /u P/aine , e/ /e p/us ne/ie pai/suoe ■ - La /oiipueui' Su ^/irSin seSwùe en /rois par/zes. Se meme tyiu' sa.f •/ ya'Z’P Susyu'a /a preni/ere a//ee /ransvcrsa//c -Pc la on eonp/e âo P''^ eptinS par p/iueieiirs er-emisses pra/tyuees.m/imr Su Pee/ier P'rmim/ Ss nappes Skm S’m^ ineSSe /uni/ su// b (aseaSeSu (en/re tpu se pree/ri/c ^ /i .a/uS C .oniomp/e bû-l-Sepuie leJPep/une ^ Ti . en ( .20. C/umSe/iers aeeompaaite/t/ ce//e (aseaSe en s'ecar/an/sur un p/an circu/urejyeruzs (.' . /usyu ’au pon/ on ennp/e yo. 'PPe/ Se /a o(i eouone/u'ci /e C/ia/eau en H jB. T.— De (7m/i’&rsins ile i ' ' ' ' si Toises. {il Pont , d un Moulin a Jlaii, c rkr le Cadran So Litre, dana le Jardin de Mouseigueiu’ le Duc de Ckarù es Sur les Bessins deM. de Cai-montelle . de Æ. le President Æole. \/h'cAilvcti: des Jarditis Cùiij Pro;etf JH. Barhier Hôtel Sûurciort. ''IMn o iNS -3^,- -«>•» Af^ei/àin. ^ih ■Fere : '.‘S?' W?" ■ I ■- ■ y ;'^; , V-^ - ■ •.- *-.i.r<. .v-Sj^.-.rT-!.. ./,*r. • * * fit . i'-'' •■ ■■.'■■:■■■,■' '.■ I'. • ■•■■.■ v? -■ .■'V m w. il >‘;iîc:' >’S':i * Si«æ t.^1 'J4» >h^"l •îfytr Ay; 11 liï AV- •^k y .wî ^rA' i.W: ■ii. ?5.‘ mi Êé. '**-/>'Vi. ?'i>;>'4 %k^’''k. '" .i*'- !<.îj.'j iV'*-: ': V'-'* '■''•-■■ ' . ■-■ ' ;Vi.'-‘ ' '^•V T* ‘ ^ .' ■ ! r ■ ■: .-1 l'. ■:.;'! ? ^ .y ‘-.' V i ' i. .^>!': -'S- ^ - ■' ••-'^v'; - ;v" >'■;»> •■■ K'’-'»-;. *■" ' ■/ -T' , . ■ ' ■ 'x- r - f ■ T*' .••• ■ ''•'■ •-•*'.■•!:• V:'' ■ "■ '!'*• v ’^^. V ' ' '• -. >''''’-'*'l> ' 'C /-, ^C‘K'’ ''■ ' ^ • '• ''■'*' ''"V'i’* • -'''■■ . ' ■“ •• ■'■.• • ■ ." ^ V'.- ‘ .<■ 'f' "■.^ " -"■■ .'i: ^^ ■'*:■■■ ■ ■■' :■. ..'-Â- J- . / . V ;. ‘ ■ 'V V. >- V'5 AnOLO - CHINOIS jaruins loP Caliier. C/U'^L L' lioiufe.Riie des- Ih-ands y^iasus-bsts- . jardins de la reine à 'E-iaxion Pavillon Chateaii Plais tlii JiU'cliii de Monreaii iipai'/eniHit A. S -A. S. MO’NSF.IGSF.VR Ly. Dl’C DK C’IIAKTHKS A VARIÜ t 'hs‘3. le Riiu/e Hue i/at ImiiuérAu^iulùu 17^2 Nota Lcr Lettres CttÙÈilef^feoléee, manquent Ue l'm adestiné lu Kies '/ut nmt^aravées da. teJders ,le foixtiue ileleSeuae. PLAN (ht Nouveau Berceau c) Hiver < JL ^ vajDf fif/ /io/W(=m/ Berceau ou • JARDIN d'hiver de S.A.SM. le Duc de ChaiHres h . J .aJitei'n£^ . K.,'SaJLon.’ liûjis Zej* Rodiûs^ ni, Soli^>ri'awti le^s-Cfueld on. onte-iul la lUiisujae doua- U S'alloiv K . I 1 ifififlBl Grmi()e J^acaJe c)e Neia//y CaMitel l'ofYz^Ie SW' 2a i ■ - V ' ^ r • c • ' * • * • ‘ . ■, i . - ••• 'T- 7- X. l^ouveMuv BaiilrarJs Cfuimhr'e CoucÂer Gran4;l la.6meé Jiemi.re Octane ^rervan^ Sa/le Æ rntm^er . réj'üiu/e f I tI'" 1 •• :! C'iia/niT'e a- | Jl -5‘J'My .’ \ ’i iaueiier J k: J / i Sa//afi lie Cvmpi^me-^ Salie (e a rrta/u?er Ru tiu ' J\{on^h7f'niz-S'yre PLAK l/e /iz Jî/tz/rûn lie Pi7/e ei i/e Cû/rzpi^ne t/e JJR' J/t??'e/ ^zziezir t/e /tz Rize t/zt/î/ün/~ paz'ntzsse, mezzie Rue • % lWE de pjotleon octogone f* de Roinaviville . - . Dej' Ruines du Temple de Mars prise du point Yj.pLmche af, "W •**»>«? *L. tm « SSf« Asî Ded'.rine d'ares llTiifure par U Jloiure élan.tau point A. )z a8 Tois&s Aford-Ûiieot dtij^amllon. %j/ez plaïu'he diLp‘. Cahùr la Rout.' de FontainehletVi l'catrcHiite LVininunti/itc VlfP s a a I ■□□1 rara InnlgD] toRli!::/, oaN^i^ \o02. V-l