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KRITISCHE UBERSICHT
EUROPAISCHEN VOGEL.
REVUE CRITIQUE | OISEAUX D'EUROPE.
Cerrnr]
KRITISCHE UBERSICHT
DER
EUROPAISCHEN VOGEL
VON
D'. H. SCHLEGEL.
CONSERVATOR DES NIEDERLANDISCHEN REICHSMUSEUMS ; MITGLIED DER AKADEMIEN UND GELEHRTEN GESELLSCHAFTEN ZU TURIN, MOSKAU, HAARLEM, HALLE, FRANKFURT, BASEL, BATAVIA. U.S. W.
LEIDEN bei A. ARNZ u. COMP.
LEIPZIG — PARIS bei FR. FLEICHER. 1844. bei RORET.
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REVUE CRITIOUE
DES
OISEAUX D'EUROPE
PAR
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Mm. H. SCHLEGEL.
DOCTEUR EN PHILOSOPHIE, CONSERVATEUR DU MUSÉE DES PAYS-BAS, MEMBRE DES ACADÉMIES ET SCCIÉTÉS SAVANTES DE TURIN, DE MOSCOU, DE HARLEM, DE HALLE, DE FRANC- FORT, DE BALE, DE BATAVIA, ETC. ETC.
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LEIDE, chez A. ARNZ et COMP. LEIPSICK in PARIS
chez FR. FLEISCHER. 1844. chez RORET.
HERRN C. J. TEMMINCK,
DEM
VERFASSER DES MANUEL D’ORNITHOLOGIE
Gewidmet.
A M". 6.3. TEMMINCK,
A
L'AUTEUR DU MANUEL D’ORNITHOLOGIE
H. SCHLEGEL,
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VORWORT.
Da mir Herr Temminck die Bearbeitung des Textes zu Su- semihl's Abbildungen der Vögel Europa’s überlassen hat, so glaubte ich, um eine Übersicht des jetzigen Zustandes der Wis- senschaft möglich zu machen, jenem Werke ein kritisches Ver- zeichniss aller derjenigen Vögel, welche unsern W elttheil bewoh- nen, periodisch besuchen, oder sich bis jetzt in denselben ver- flogen haben, vorausschicken zu müssen. Auf diese Weise ent- stand vorliegendes Werkchen, . welches ich dem Publikum, als Grundlage meiner fernern Ar- beiten über die europäischen Vö- gel, zur Beurtheilung vorlege. Die Naturforscher werden mich mit einer wohlwollenden Kritik desselben, so wie durch die Mit-
AVANT-PROPOS.
Mr. Temminck ayant bien vou- lu me céder la rédaction du texte destiné a accompagner les plan- ches d'oiseaux d'Europe pu- bliées par M. M. Susemihl, à Darmstadt, j'ai jugé convena- ble, pour donner une idée de l'état actuel de la science, de faire précéder cet ouvrage d'un catalogue raisonné de toutes les espèces d'oiseaux dont l'exis- tence et l'apparition périodique ou accidentelle en Europe ont ete constatées d'une manière ex- acte. Voila l’origine de lopus- cule que je soumels au juge- ment du publie, et qui est des- Line à servir de base a mes re- cherches ullérieures sur les oi- seaux d'Europe. Il offrira aux naturalistes l'occasion de me Jaire part des observations qui
lheilung solcher Beobachtungen, die mir entgangen seyn mögen, verpflichten.
Ich habe in dieser Übersicht weder die in Europa eingeführ- ien Arten, noch die in unserem Welitheile lebenden Hausvögel aufgenommen. Aus leicht zu errathenden Ursachen habe ich auch Herrn Brehm’s Subspecies nicht aufgeführt. Endlich habe ich bei Feststellung der Grenzen unseres Welttheiles nur auf die natürlichen , nicht auf die poli- tischen Grenzen Rücksicht ge- nommen; es gilt dies besonders von Russland, dessen Grenzen im Osten am natürlichsten durch den Caucasus, den Ural und das Uralgebirge bestimmt werden.
Möchte das Publikum diese, in mehr als einer Hinsicht un- dankbare Arbeit, mit Nachsicht aufnehmen. |
_—
| auraient pu m’echapper et de
m’honorer de leur critique bien- vierllante.
Je n'ai pas compris dans cette énuméralion les espèces intro- duites en Europe ou vivant chez nous a l'état de domesticité. J'ai également passé sous si- lence, par des raisons faciles à deviner, le plus grand nom- bre des subspecies établies par le pasteur Brehm. Jai enfin préféré, en fixant le cadre géo- graphique de l'Europe, les li- mites nalurelles aux limites po- litiques ; cette distinction a par- ticulièrement rapport ala Rus-
: sie dont les limites naturelles
s'étendent du côté de l'Asie jus- qu’ a la chaine du Caucase, aux bords de l'Oural et aux monts Oural. | Que le public veuille accueil- lir avec indulgence ce travail ingrat sous plus d'un rapport.
ERSTE ABTHEILUNG.
PREMIÈRE PARTIE.
© RAUBVÔÜGEL OISEAUX DE PROIE, TAGRAURVOGEL, OISEAUX DE PROIE DIURIES,
FALKENARTIGE RAUBVOGEL. OISEAUX DE PROIE FALCONOIDES.
FALCO. FALHE. FAUCON.
a. Edelfalken. Faucons nobles. Falco candicans. Weisser Falke. Faucon blanc.
...Gmel. L.$., p.275 n°. 101. — Hierofalco groenlandicus , Brehm, Handbuch, p. 57. — Falco groenlandicus, Brehm, Isis, 1826 ,'p. 999; Hancock, Ann. of Nat. Hist., 1838, p. 24l sqq., PI.X, fig. E,F,G. — Le Gerfaut, Brisson, I, pl. 30, fig. 2, p. 370, (ad:). — Le Gerfaut blanc des pays du Nord, Buffon, PI. Enl. 446, (ad.). — Gould, Tab. 19. — Le faucon blanc, Schlegel et Verster, Traite de fauconnerie, (Mscpt.) , fig. fem. adult.
Grönland , Sibirien, nördlichstes Ame- Le Groenland, la Sibérie, l'Amérique rika. Im Winter bis Island, Schweden boréale, visite en hiver PIslande, la und England. Suède septentrionale et l'Angleterre.
Falco candicans islundicus (1). Isländischer Falke. Fau- con d'Islande.
Falco islandicus, Brehm, Lehrbuch, I, p. 44 — Hancock, Ann. of Nat. Hist., 1838, p. 241 sqq., PL 10, fig. A,B,D. — Falco gyrfalco, Keyserl. u. Blas., die Wirbelth. Europas, p. 28.— Schlegel u. Susemihl, die Vögel Europa’s, Tab. 7, fig. 1, (fem. ad.). — Le Faucon d’Islande, Schlegel et Verster , Traité de faucon- nerie, (Mscpt.), fig. mar. adult.
* Island. | LIslande,
il Falco gyrfalco (2). Gierfalke. Gerfaut.
Giervalk, Gierfalke, Gerfaut, Ierfalcon, Falconariorum. — Falco lanarius, Linne, Fauna suecica, p. 22, n°. 62. — Le Faucon d’Is- lande, Brisson, I, Pl. 31, p. 373. — Le Gerfaut de Norvège, Buffon, Pl. enl. 462. (jun.) ; Hist. Nat. des oiseaux, I, p. 241, PI. 13, (ad.). — Le Gerfaut, Schlegel et Verster, Traité de fau-
connerie, (Mscr.), fig, fem.- jun. et mar. adult.
Norwegen; die Jungen zuweilen im Habite la Norwege; les jeunes visitent Winter an den Küsten Norddeutschlands quelquefois, en hiver, l'Allemagne sep- und Hollands. tentrionale et la Hollande.
Falco sacer (3). Sakerfalke. Faucon sacre.
Saker Falconariorum. — Le sacre, Buffon, Hist. Nat. des oiseaux, p- 24, PL 14. — Falco lanarius, Temm. Man., I, p. 20, (excl. syn.). — Pallas Zoogr., I, p. 330, n°. 14, (exc. syn.). — Naumann, Tab. 23, fig. 1, (fem. ad.), fig. 2, (mas. jun.). — Gould, Pl. 20, (ad. et jun.). — Schlegel u. Susemihl, Tab. 7, (ad. et jun.). — Le sacre, Schlegel et Verster, Traité de Fauconnerie, (Mscpt.) fig. ad.
Tatarei, gemässigtes and warmes öst- La Tatarie, les regions tempérées et liches Europa. chaudes de l’Europe orientale.
Falco lanarius (4). Lannerfalke. Faucon lanier.
Klein , Ordo avium, p. 48, n°. 5. — Le Lanier, Belon, p. 123. — Le Lanier, Buffon, Hist. Nat. d. ois., I, p. 243. — Falco Fel- deggü, Schlegel, Abh. aus dem Gebiete der Zoologie etc., Tab. 10 et 11, (mas ad. et jun.) ; Schlegelu. Susemihl, Tab. (fem. ad.). — Le Lanier, Schlegel et Verster, Traité de fauconnerie, (Mscpt.), fig. fem. ad.
Dalmatien, Griechenland. | La Dalmatie, la Grèce.
Falco communis (5). Schlechtfalke. Faucon commun.
Gmel. Linn., I, p. 170, n°. 14. — Falco peregrinus, auctor. recent. — Falco gyrfalco, Linné, Fauna suecica, p. 23, n°
LIT
64. — Falco lanarius, Pennant, Brit. Zool., I, p. 221, (jun.). — Buffon, PI. enl. 430, (ad.), 421, (ad.), 469, (jun.). — Nau- mann, Tab. 24 et 25. — Gould, PI. 21. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 8. — Le Faucon, Schlegel et Verster, 1. c. fig. fem. ad. et mar. jun.
Europa. | L’ Europe.
es
Falco subbuteo. Baumfalke. Faucon hobereau.
Linn., p. 127, n°. 14. — Hypotriorchis subbuteo, Boie, Isis, 1828, p. 314 — Naumann, Tab. 26. — Gould, Pl. 22. — Schl. u. Susem., Tab. 10, fig. 1. |
Europa, Afrika, gemässigtes Asien. | L’Europe , l'Afrique , l'Asie temperee. Falco Eleonorue (6). Zeonorens Falke. Faucon Eleonore.
Gene , l’Institut, 1839, 7 Nov. — Memorie Academ. Torino , 1840, Tom. II, p. 41, Tab. 1 et , — Ch. Bonaparte, Iconogr. della Fauna italica, I, Tav. 24, (jun.).
Sardinien ,„ Griechenland , Syrien. | La Sardaigne, la Grèce, la Syrie,
Falco aesalon. Merlinfalke. Émérillon.
Falco aesalon, auct. recent. — Gmel. Linn. Syst., I, p. 284, n°. 218. (ex parte). — Falco lithofalco ibid., p. 278, n°. 105, (ex parte). — Falco lanarius, Brünn., Orn. bor., p. 1, n°. let 2: Mohr, Fors., p. 19, n°. 35. — Falco smirillus, Savigny, Égypte, Il edit., vol. 23, p. 279. — Naumann, Taf. 27. — Gould, PI. 24. — Schleg. u. Susem., Tab. 10, fig. 2 et 3. — l'Émérillon, Schleg. et Verster I. c., fig. mar. ad. et fem. jun.
Nördliches Europa und nördlichstes L'Europe septentrionale et l'Amérique Amerika ; im Winter über ganz Europa boréale; visite en hiver l’Europe tempé- bis Nord-Afrika. rée et méridionale ainsi que l'Afrique sep=
tentrionale,
IV
D. Räüttelfalken. Cresserelles.
Falco tinnunculus (7). Thurmfalke. Faucon cresserelle.
Linne, Syst. nat., XII, p.127, n°.16. — Cerchneis tinnunculus, Boie, Isis, 1828, p. 314. — Naumann, Taf. 30. — Gould, Pl. 26. — Schleg. u. Susem., Tab. 11.
Europa. | L'Europe. Falco cenchris (8). Rüthelfalke. Faucon cresserellette.
Naumann, I, p. 318, n°. 19, Tab. 29. — Tinnunculus faemina altera, Aldrovandi Orn., I, 6, p. 360 et 361, c. fig. — Cenchris, Frisch , Tab. 89. — Falco tinnunculus ruderum, Storia degli uccel- li, Tab. 52, fig. 67. — Falco xanthonyx, Natterer in litteris. — Falco tinnunculoides, Schinz in Temm. , Man. d’Ornith. , II éd., I, p- 31. — Falco tinnuncularius, Savi, Orn.Tosc.,I,p. 49. — Gould, Pl. 27. — Schleg. u. Susem., Tab. 12.
Südöstliches Europa „ westliches Asien ; Les contrées orientales du midi de
in Egypten und Nubien auf dem Zuge. l’Europe , ’Asie occidentale; visite PEgyp- te et la Nubie.
Falco rufipes. Rothfuss-Falke. Faucon Kobez.
Besecke, Vögel Kurlands, p. 13. — Falquet, d’Arcussia, Con- ference des Fauconniers, Paris, 1617, onzième journée, p. 41 et 42. — Falco vespertinus, Linn. , p. 129, no.23. — Naumann, Tab. 28. — Gould, Tab. 23. — Schleg. u. Susem. , Tab. 13.
Ostliches und südliches Europa, Si- L'Europe méridionale et orientale, la
birien. Siberie.
ASTUR. HABICHT. AUTOUR (9). a. Eigentliche Habichte. Autours proprement dits. Astur palumbarius (10). Taubenhabicht. Autour commun.
Cuvier , Règne an., Iled., I, p.33. — Falco palumbarius, Linn. , p. 133, n°. 30, (ad.). — Falco gentilis, Linn. , Fauna suec., p. 20,
V
n°. 58, (jun.). — Daedalion palumbarius, Savigny, Égypte ‚vol. 25, p- 267. — Naumann, Tab. 17 et 18. — Gould, Pl. 17. — Schleg. u. Susem., Tab. 28: —!’Autour, Schlegel et Verster I. c., fig. fem. ad. et mar. jun.
Europa, gemässigtes Asien. L’Europe, l’Asie temperee..
b. Sperber, Éperviers. Astur nisus (11). Finkenhabicht. Epervier commun.
Astur (Nisus) nisus ,Cuv., Règne an., II ed., I, p. 333. — Falco nisus, Linn. , p. 130, n°. 31. — Accipiter nisus, Pallas, Zoogr. I, p- 370, n°. 37. — Daedalion fringillarius, Savigny, Égypte mol. 23, p. 270. — Naumann, Taf. 19 et 20. — Gould, PI. 18. — Schleg. u. Susem., Tab. 29. — L’Epervier, Schlegel et Verster, 1. c., fig. mar. ad. et fem. jun.
Europa, Nordafrika , gemässigtes Asien, L’Europe , l'Afrique septentrionale et l'Asie tempérée.
Astur gabar (12). Gabar-Sperber. Épervier gabar.
. Astur (Nisus) gabar, Cuv., Regn. an., I, p. 333. — Falco gabar, Lath, Ind. orn., Suppl., p. X. — Épervier gabar, Daudin, II, p. 87. — Le gabar, Le Vaillant, Ois. d’Afr., I, p. 136, Pl. 33. — PI. col. 122 et 140. — Accipiter erythrorhyncus, Swains. , Birds: West. Afr. I, p. 121.
Griechenland , Afrika. | La Grèce, l’Afrique.
CIRCUS, WEIRE. BUSARD. Circus rufus. Rohrweihe. Busard harpaye.
Brisson, I, p. 404, no. 30. — Circus palustris, 1bid., p. 491, n°. 29. — Falco aeruginosus, Linn. ,.p. 130, n°. 29. — Falco rufus, Gmel. Linn. , p. 266, n°. 77. — Circus aeruginosus et rufus, Sa- vigny, Égypte, vol. 23, p. 263 et 264. — Gould, PI. 32. — Schleg. u. Susem., Tab. 36.
Europa. L'Europe,
VI Circus cyameus (13). Kornweihe. Busard St. Martin.
Bechstein, Orn. Taschenb,., p. 25, n°. 20. — Falco cyaneus, Linn. , p. 126, n°. 10. — Circus gallinarius, Savigny, L. c., p.264. — Nau- mann , Taf. 38 et 39. — Gould, PI. 33. — Schleg. u. Susem. , Tab. 37.
Europa, Sibirien, Nordafrika. L’Europe , la Sibérie, l'Afrique septen- trionale.
Circus cineraceus. Wiesenweihe. Busard Montagu.
Falco cineraceus, Montagu, Trans. Linn. Soc., IX, p. 188. — Falco pygargus, Linn. , p. 126, n°. 11, (diagn.). — Naumann, Taf. 40. — Gould, Pl. 35. — Schleg. u. Susem., Tab. 38.
Gemässigtes Europa. | L'Europe temperee.
Circus cineraceus pallidus (14). Blasse Weihe. Busard | blafard.
Circus pallidus, Sykes, Proceed. , 1832, April 10. — Falco dal- matinus, Rüppell, Mus. Senkenb., II, p. 177. — Circus Swainsonu,. Smith, Illustr. Zool. South-Africa, Birds Pl. 43, fig. 1, (mas ad.), fig. 2. (fem.), Pl. 44, (fem. jun.). — Gould, Pl. 34. — Schlegel u. Susem. , Tab. 39. |
Dalmatien, Griechenland, Cap, Dekan. ! La Dalmatie, la Grèce, le Cap de Bon- | ne Esperance, le Deccan.
ADLER. AIGLES.
a. Aquila. Rauchfussadler. Aigles proprement dits. Aquila fulca (15). Steinadler. Aigle commun.
Meyer u. Wolf, Taschenbuch, I, p. 14. — Falco fulvus et chry- saëtos, Linné, XII, p. 125, n°. 5 et 6.— Naumann, Tab.8, (mas ad.), Tab. 9, (mas jun.). — Gould, PI.6. — Schleg. u. Susem., Tab. 16, (jun.), Tab. 17, (ad.).
Europa , nôrdliches Asien, Nord-Ame- L'Europe, P’Asie septentrionale et ’Ame- rika. rique du Nord.
vir Aquila imperialis (16). Königsadler. Aigle impérial.
Cuv., Règne an., I, p. 325. — Falco imperialis, Bechstein, Orn. Tasch. , III, p. 55, n°. 8. — Aquila heliaca, Savigny, Égypte h vol. 23, p. 249, PI. 12. — Aquila chrysaëtos, Leisler, Wetterau. Annal., II, 1, p. 170. — Naumann, Tab. 6, (fem. ad.), Tab. 7, (mas jun.). — Gould, Pl. 5. — Schleg. u. Susem., Pl. 14, (ad.), Tab. 15, (jun.).
Südöstliches Europa, Nordafrika Mit- Les parties orientales du midi de PEu-- telasien. rope, PAsie centrale, PAfrique septen- trionale,
Aquila Bonellii (17). Bonellis Adler, Aigle Bonelk.
Ch. Bonap., List., p. 2. — Falco Bonelli, Temm., Pl. col. 288. — Marmora, Memor. Acad. Torin, Tom. XXXVII, p. 110, Pl. 1 et 2. — Aquila minima, Cetti, Uccelli di Sard., p. 28. — Gould, Pl. 7. — Schlegel u. Susem., Tab. 18, (ad.), Tab. 19, (jun.).
Südliches Europa, Nordafrika, Ne- Le midi de l’Europe, l'Afrique sep- paul. tentrionale, le Nepaul.
Aquila naevia (18). Schreiadler. Aigle criard.
Schwenckfeld , Av. Siles., p. 219. — Falco maculatus, Gmel, Linn. , I, p. 258, (jun.). — Aquila clanga, Pallas, Zoogr. , I, p. 851, -n°. 25. — Naumann, Tab. 10, (mas), Tab. 11, fig. 1, (fem. ad.), fig. 2, (fem. jun.). — Gould, Pl. 8. — Schleg. u. Susem., Tab. 20, (ad.), Tab. 21, (jun.).
Ostliches Europa, nördliches und mitt- L’Europe orientale, le centre et le leres Asien, Nordafrika. Nord de l’Asie, l'Afrique septentrionale.
Aquila pennata (19). Zwergadler. Aigle botté.
Brehm, Lehrbuch, I, p. 20.— Falco pennatus, Gmel. Syst. ,
VIII
p. 272, no. 90. — Temm., PL col. 33. — Gould, Pl.9. — Schleg. u. Susem., Tab. 22, (ad ), Tab. 23, (jun.).
Europa, Afrika, überall einzeln. L’Europe , l'Afrique, partout en très petit nombre.
b. Haliaötos (20). Seeadler. Aigle-pöcheur.
Haliaëtos albieilla (21). Gemeiner Seeadler. Aigle-pécheur pygargue.
Aquila albicilla, Brisson, I, p. 427, n°. 5. — Falco ossifragus, Linn., p. 124, ne. 4. — Haliaëtus nisus, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 255. — Naumann, Tab. 12, 13, 14 — Gould, PI. 10. — Schleg. u. Susem., Tab. 25 et 26.
Europa, Grönland, Nordafrika , Nörd- L’Europe, le Groenland, le nord de liches Asien. l’Afrique et PAsie septentrionale.
Haliaëtos leucoryphus (22). Pallasischer Seeadler. Aigle-pe- cheur Pallas.
Keyserl. u. Blasius, Wirbelth. Europa’s, p. XXX, n°. 81. — Aquila leucorypha , Pallas, Reise, I, Append. n°. 5; Zoogr., I, p- 352, n°. 26. |
Caspischer See. | La mer Caspienne.
Haliaëtos vocifer (23). Schrei-Seeadler. Aigle-pècheur voci- fère.
Cuv., Règne an., I, p. 326. — Falco vocifer, Lath. Ind. om. , Suppl. , p. VI. — Le vocifer, Le Vaillant, Afrique, I, pl. 4. Afrika, Griechenland. | L'Afrique, la Grèce.
Pandion. Flussadler. Balbusard.
Pandion haliaëtos (24). (Gemeiner Flussadler. Balbusard commun.
Falco haliaëtos, Linn., p. 129. n°. 26 -— Pandion fluvialis, Sa-
IX
vigny, Égypte, vol. 23, p. 272. — Naumann, Taf. 16, (mas.). — Gould, Pl. 12. — Schleg. u. Susem., Tab. 24. | + Europa. | L'Europe.
BUSSARDE. BUSES.
a. Buteo. Eigentliche Bussarde. Buses proprement dites.
Buteo vulgaris (25). Müuse-Bussard. Buse commune.
Willughby , Orn. , p. 38. — Falco buteo, Linn. p. 127, n°. 15. — Naumann, Taf. 32 et 33. — Gould, Pl. 14. — Schleg. u. Susem. , Tab. 33.
Europa , Klein-Asien, Nordafrika. L'Europe, lAsie mineure, lAfrique septentrionale.
Buteo lagopus (26). Rauchfuss-Bussard. Buse patue.
Cuv., Règne an., I, p. 336. — Falco lagopus, Brünnich, Orn. bor., p. 4, n°. 15. — Naumann, Taf. 34. — Gould, PI. 15. — Schleg. u. Susem. , Tab. 34.
Europa , Sibirien, Cap. L’Europe, la Siberie, le Cap de B.
Esperance. b. Pernis. Wespenbussard. Bondrée. Pernis apivorus. Gemeiner Wespenbussard. Bondrée commune.
Cuv., Regn. an., I, p. 335. — Falco apivorus, Linn., p. 130, n°.28. — Naumann, Taf. 35 et 36. — Gould, PI. 16. — Schleg. u. Susem. , Tab. 35. |
© Europa, gemässigtes Asien. | L’Europe , l'Asie tempérée. c. Circaëtos. Schlangenbussard. Circaete.
Circaëtos gallicus (27). Gemeiner Schlangenbussard. Circaète N Jean-le-blanc.
Cuv., Règne an., I, p. 328. — Falco gallicus, Gmel. Linn., I,
x
p. 259, n°. 52. — Aquila brachydactyla ‚ Meyer et Wolf, Ta- schenb. , I, p. 21. — Falco brachydactylus, Temm. M., I, p.46: — Naumann, Taf. 15. — Gould, Pl. 13. — Schleg. u. Susem., Tab. 35.
Südliches Europa. | L’Europe méridionale.
MILANE. MILANS. a. Milvus. Eigentliche Milane. Milans proprem. dits. Milvus regalis. Rother Milan. Milan commun.
Brisson, Orn., ['p. 414, n°.35.— Falco milvus, Linn., p. 126, n°. 12. — Milvus ictinus, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 259. — Accipiter regalis, Pallas, Zoogr. ross. as., I, p. 258, n°. 20. — Naumann, Taf. 31, fig. 1.— Gould, Pl. 28. — Schleg. u. Susem., Tab. 30, fig. 1.
Europa. | L'Europe.
Milvus aetolius. Schwarzer Milan. Milan noir.
Belon, p. 131. — Milvus niger, Brisson, I, p. 413, n°. 34. — Accipiter milvus, Pallas, Zoogr., I, p. 356, n°. 29. — Falco ater, Gmel. Linn., p. 262, n°: 62. — Naumann, Taf. 31, fig. 2. — Gould, Pl. 29. — Schleg. u. Susem., Tab. 30, fig. 1.
Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe, l’Asie tempérée. Milvus parasiticus (28). Schmarotzer-Milan. Milan parasites
Falco parasiticus, Lath., Ind., Suppl., p. V.— Le parasite, Le- vaill., Ois. d’Afr., I, p. 88, Pl. 22. — Falco Forskahlii, Gmel. Linn. , p. 263, n°. 121. — Falco, Forskal, Descript., p. 1, n°.1. — Falco aegyptius, Gmel. Linn., p. 261, n°. 61. — Milvus aetolius , Savigny, Ég., vol. 23, p. 260, PI. 3, fig. 1. — Schleg u. Susem, Tab. 31.
Dalmatien, Afrika, | La Dalmatie ; l'Afrique.
XI b. Nauclerus. Schwalben-Milane. Milans-hirondelles.
Nauclerus furcatus. Gemeiner Schwalben-Milan. Milan-hi- rondelle commun.
Vigors, Zool. Journ., II, p. 386. — Falco furcatus, Linn., p. 129, n°. 25. — Wilson, PI. 51, fig. 3. — Gould, PI. 30. — Schleg. u. Susem., Tab. 32, fig. 1.
"Amerika, zufällig in England. | L’Amerique , accidentellement en An- gleterre.
c. Elanus. Falken-milane. Élanions.
Elanus melamopterus (29). Gemeiner Falken-Milan. Er blac.
Leach, Zool. Misc., II, Tab. 122. — Elanus caesius, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 276, Tab. 2, fig. 2. — Falco melanopterus, Daudin, Orn., Il, p. 152. — Le Blac, Le Vaill., Ois. d’Afr., I, PI. 36 et 37. — Gould, Pl. 31. — Brehm, Vögel Deutschl., Taf. 46, fig. 3. — Schleg. u. Susem., Tab. 32, fig. 2.
Afrika, zufällig in Europa. | L'Afrique , accidentellement en Europe.
GEIERARTIGE RAUBVOGEL. OISEAUX DE PROIE VAUTOURINS. (VULTUR Livré.)
CATHARTES. AASGEIER. CATHARTE.
Cathartes percnopterus. (remeiner Aasgeier. Catharte ali-
moche. #;
Temm., Man., I, p. 8. — Vultur percnopterus, Linn., Syst. , XII ed. , p. 123, n°. 7. — Neophron percnopterus, Savigny, Descr. de l'Égypte, IL ed., vol. 23, p. 239. — Naumann, Tab. 3, fig. 1, (ad), fig. 2, (jun.). — Gould, Tab. 3. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 4.
Südliches Europa, Africa, Dekan. L'Europe méridionale, PAfrique, le
| Deccan,
XII
VULTUR. GEIER. VAUTOUR.
a. Eigentliche Geier. Vautours proprement dits. Vultur fulvus. Weissköpfiger Geier. Vautour griffon.
Brisson,, I, p. 462, n°. 7. — Vultur leucocephalus, Meyer u. Wolf, Taschenbuch, 1, p. 7. — Gyps vulgaris, Savigny, Ég., vol. 23, p. 232. — Naumann, Tab. 2. — Schlegel u. Susem., p. 12, Tab. 3, (jun.); Tab. 3a, (hornot.). — Gould, Tab. 1, (ad.).
Dalmatien, Griechenland. I La Dalmatie, la Grèce.
Vultur fulvus occidentalis (30). Westlicher weissköpfiger Geier. Vautour grifon occidental.
Schlegel u. Susemihl, p. 12, Tab. 2, (ad.).
Sardinien, Pyrenäen. | La Sardaisne, les Pyrénées. b. Adlerartige Geier. Aigles-Vautours. Pultur cinereus. Grauer Geier. Vautour arrian.
Gmel. Linn., I, p. 247, n°. 6, (partim). — Vultur monachus , Gmel. Linn., p. 246, no. 4. — Aegypius niger, Savigny ; Ég. + VOR. 23, p.237, Pl. 11. — Enl. 425. — Naumann, Tab. 1. — Gould, Tab. 2. — Schlegel u. Susemihl, Tab. 1, (mas ad.).
L'Europe méridionale, PÉgypte, l’'In- dostan.
Südliches Europa, Egypten, Hindustan.
Vultur auricularis (31). Ohrgeier. Vautour oricou.
Daudin Orn., vol. II, p. 10. — Vultur Aegypius, Temm. ‚Pl. col. 407, (Nubia). — V. nubicus, Griffith, Anim. Kingd., vol. V, Pl. 1, (Nubia). — Schlegel u. Susemihl, Tab. la, (Nubia).
Griechenland, Nubien. | La Grèce, la Nubie.
XIII
GYPAETOS. BARTGEIER. GYPAETE. Gypaëtos barbaius. Gemeiner Bartgeier. Gypaete ordinaire.
Cuvier, Règne an., I, p. 318. — Vultur barbatus, Linn. S., XII, p- 123, no. 6. — Phene ossifraga et gigantea, Savigny, Égypte, vol. 23, p. 243 et 245, Tab. 4 (ad), Tab. 5 (jun.). — Schlegel u. Susemihl, p. 19, Tab. 5 et 6. — PI. col. 431. — Gould., PI. 4.
Schweizer Alpen. | Les Alpes Suisses.
Rupeetos barbatus occidentalis (32). Westlicher Bartgeier. Gypaete occidental.
Schlegel u. Susemihl, p. 19. — Küster, Isis, 1835, p. 209.
Sardinien „ Pyrenäen. La Sardaisne, les Pvrenees. ? © 2 N — EAN 3e a da —
NACHTRAUBVÜGEL. OISEAUX DE PROIE NOCTURNES,
(STRIX, List).
A, OEUS. OHREULEN, HIBOUS,
a. Grosse Ohreulen oder Uhus, Hibous grands Ducs. Otus bubo (33). Gemeiner Uhu. Hibou grand-Duc commun.
Bubo maximus, Sibbald, Scot. illustr., IT, lib. 3, p. 15. — Strix bubo, Linn. , p. 131, n°. 1.— Naumann, Taf. 44. — Gould, Pl. 37.
Europa „ Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Otus Ascalaphus. Kurzöhriger Uhu. Hibou grand Duc à huppes courtes.
Cuv. Regn. an. , T.p. 341. — Bubo ascalaphus, Savigny , Egyp-
XIV
ie, vol. 23, p. 295, Tab. IE, fig. 2. — Strix ascalaphus, Temm. , Pl. col. 57. — Gould, PI. 38. ‘ Südliches Europa , Egypten , Nordafri- Le Sud de l'Europe , l'Égypte , PAfri-
ka, Persien. que septentrionale, la Perse. b. Mittlere Ohreulen. Hibous moyens Ducs.
Otus otus (34). Gemeine mittlere Ohreule. Hibou moyen Duc 3 commun.
. Cuv., Règne an., I., p. 341. — Strix Otus, Linn., p. 132, n°. A. — Otus vulgaris, Fleming, Phil. of Zool. , II, p. 236. — Bubo otus, Savigny , Égypte, vol. 23, p. 2933. — Naumann, Taf. 45, fig. 1. — Gould, Pl. 39.
Europa , Sibirien, Egypten. | L'Europe, la Sibérie, PEgypte. c. Kurzöhrige Ohreulen. Hibous à huppes courtes.
Otus brachyotus. Gemeine kurzöhr. Ohreule. Hibou à hup- pes courtes commun.
Cuv., Règne an., I, p. 341. — Strix brachyotos, Forster, Phil. Frans. LXIT, p. 284, n°. 2. — Brachyotus palustris, Gould, PI. 40. — Naumann, Taf. 45, fig. 2.
Europa, gemässigtes Asien, Nordafri- L'Europe, lPAsie temperee, l'Afrique ka, Amerika. septentrionale, l'Amérique.
d. Zwerg-Ohreulen. Hibous petits ducs.
Otus Scops (35). Gemeine Zwerg-Ohreule. Hibou petit Duc commun.
Scops Aldrovandıi, Ray, Av., p. 25, n°.8. nr Strix Scops, Linn. p- 152, n°. 5. — Scops ephialtes, Savigny, Egypte, vol. 23, p. 291. — Naumann, Taf. 43, fig. 3. — Gould, pl. 41.
Gemässigtes und südliches Europa , L’Europe tempérée et méridionale , ‚Afrika, l'Afrique,
XV
B. STRIX. HAUZE. CHOUVETTES.
a. Schleierkäuze. Effrayes.
Strix flammea wor Gemeiner Schleierkauz. Effraye commune.
ur Syst. p- 133, ne. a mn er m 47, f. 2. — Gould, T. 36. Europa. À 1e PA | : L'Europe.
b. Steinkäuze. Cheveches.
Strix nociua. Gemeiner Steinkauz. Cheveche commune.
Retzius, Fauna suec., p. 84, n°.35, (partim). — Strix passerina, Becht., Nat. Deutsch., II, p. 963. — Strix nudipes, Nilsson, Orn. suec., I, p. 68. — Athene passerina, Boie, Isis, 1822, p. 549. — Naumann, Taf. 48, fig. 1. — Gould, PI. 48.
Gemässigtes Europa, westliches Asien. | I’Europe tempérée, l’Asie occidentale.
Strix noctua meridionalis (37). Südlicher Steinkauz. Che- veche méridionale.
Strix noctua, Forskal, Descr., pag. 8, n°. 2. — Noctua glaux, Savigny, Descr. de l'Égypte, vol. 23, p. 287. — Strix (Noctua) passerina, Rüppell, Neue Wirbelthiere, Vögel, p. 45.
Spanien, Esypten. | L'Espagne, PEgypte.
€. Rauchfüssige Käuze. Cheveches à pieds emplumes.
Strix Tengmalmi. Gemeiner Rauchfusskauz. Cheveche à pieds emplumes commune.
_Gmel. Linn. , p. 291, n°. 44. — Strix funerea, Linn., Fauna suec., n°- 75. — Strix noctua, Tengmalm, Vet. Acad. Handl., 1793, p. 289. — Strix dasypus, Bechst., Naturg. Deutschl., IT, pe 972, n°. 13. — Naumann , Taf. 48, fig. 2 et 3. — Gould, PI. 49.
Nördliches Europa, Sibirien, | L'Europe septentrionale, la Sibérie.
XVI d. Sperlingskäuze, Chevechettes.
Strixæ passerina. (Gemeiner Sperlingskauz. Chevèchette com- | mune.
Linn., Fauna suecica , p. 26, n°. 79. — Strix pygmaea, Bechst. Nat. Deutsch. , II, p. 978. — Strix acadica , Temm. , Man. d’Ornith., I, p. 96. — Naumann, Taf. 43. — Gould, PI. 50.
Schweden, Schweiz, Russland. | La Suède, la Suisse, la Russie. e. Waldkäuze. Hulottes. Strix aluco (38). Gemeiner Waldkauz. Hulotte commune.
Lion. , p. 132, n°. 7. — Strix stridula, ibid., p.133, n°.9. — Syrnium ululans, Savigny, Egypte, vol. 25, p. 299. — Naumann, Taf. 46 et 47, fig. 1. — Gould, Pl. 47.
Europa. | T’Europe.
f. Kleinaug-Käuze. Chouettes micropes.
Strix lapponica. Lappländischer Kleinaug-Kauz. Chouette micrope de Laponie. |
Sparrman, Mus. Carlson., fasc. V, Tab. — Strix barbata, Pallas, Zoogr., I, p. 318,n°. 7.— Lapp-Ugla, Nilsson, Ill. Fig. , Häft 10, Pl. 71. — Syrnium cinereum, Ch. Bonap. List, p. 6. — Gould, PI. 42.
Skandinavien, Sibirien, nördlichstes La Scandinavie, la Sibérie, l’Ameri- Amerika. que boréale.
g. Grossschwanz-Käuze. Chouettes macroures.
Strix uralensis. Uralischer Langschwanz-Kaux. Chouette - macroure de l’oural.
Pallas, It.T, app. n°. 25. — Strix litturata, Retz., Fauna suec. p. 79, n°. 29, — Strix macroura, Natterer in Meyer und Wolf,
XYIT
Taschenbuch , I, p.84. — Naumann , Tab. 42, fig. 1, (fem. jun.). — Gould, PI. 44. Nôrdliches und nordôstliches Europa, Sibirien.
L'Est et le Nord-Est de l’Europe, la | Sibérie,
h. Schneekäuze. Chouettes-harfang.
Strix nytcea. Gemeiner Schneekauz.
Chouette- harfang commune.
FA Linné, Faun. Suec., p. 25, n°. 76. — Strix nivea, Thunberg, Vet. Acad. Handl. , 1798, p. 184. — Strix candida, Lath., Index, IL, p. 14, sp. 3. — Naumann, Taf. 41. — Gould, Pl. 43.
“ Norden Europa’s und Amerika’s. |
Le Nord de l’Europe et de l'Amérique. &. Sperberkäuze. Chouettes-éperviers.
Strix funerea.
Gemeiner Sperberkauz.
Chouette - epervier commune.
Lath., Ind. orn. ,I, p. 62. n°. 35. — Strix ulula, Linne, Fauna
suec. ; p. 26 , n°. 78. — Strix nisoria, Meyer, Vögel Liv- u. Esthl. , p- 31. — Naumann , Taf. 42, fig. 2. — Gould , Pl. A5.
Nördliches und östliches Europa, Si- L’Europe septentrionale et orientale, la birien, nördliches Amerika. Sibérie, l'Amérique boréale.
bo
XVIII
HOCKVÖGEL. PERCHEURS.
SCHWALBENARTIGE VOGEL. CHÉLIDONS.
HIRUNDO. SCHWALBE. HIRONDELLE.
a. Rauchsehwalben. Hirondelles de cheminée.
Hirundo rustica. Gemeine Rauchschwalbe. Hirondelle de cheminee commune. |
Linn., p. 343, no. 1. — Hirundo domestica, Plinius, X, ‚cap. 33. — Pallas, Zoogr., I, p. 528. — Cecropis rustica, Boie, Isis, 1826, p. 971. — Naumann, Taf. 145. — Gould, Pl. 54.
Europa, westliches Sibirien ,„ Nord- L'Europe, la Sibérie occidentale, l’Afri-
afrika, que septentrionale.
Hirundo rustica orientalis (39). Östliche Rauchschwalbe. Hirondelle de cheminee orientale.
Hirundo cahırica, Licht., Catal. , 1823, p. 58. — Hirundo Savig- nyi, Steph., Cont. Shaw, Zool., X, I, p. 90. — Cecropis Savignyi, Boie, Isis, 1828, p. 316. — Hirundo Riocouri, Audouin, Descr. de l'Égypte, vol. XXIII, p. 339, Pl. 4, fig. 4. — Hirundo Bois- sonneauti, Temm., Man., III, p. 652. — (Hirundo domestica var. Sibiriae orientalis, Pallas, Zoogr., I, p. 529 et 531, Nota 2?)
Macedonien, Egypten , (östliches Si- La Macedoine , PÉgypte, (la Sibérie
birien ?). orientale ?).
Hirundo rufula (40). Röthliche Schwalbe. Hirondelle rousse,
Temm., Man., III, p. 298, (excl. syn.).
Sicilien, | Ta Sicile.
XIX b. Hausschwalben. Hirondelles de fenêtre.
Hirundo urbica. Gemeine Hausschwalbe. Hirondelle de fe- nelre commune.
Linn., p. 344, n°. 3. — Hirundo lagopoda, Pall., Zoogr., I, p. 532, n°. 156. — Chelidon urbica, Boie, Isis, 1822, p. 550. — Naumann, Taf. 145. — Gould, Pl. 57.
Europa, Sibirien, Nordafrika. L’Europe , la Sibérie, PAfrique septen-
trionale. c. Uferschwalben. Hirondelles de rivage.
Hirundo riparia. Gemeine Uferschwalbe. Hirondelle de rı- vage commune.
Linn., p. 344, n°. 4. — Cotyle riparia, Boie, Isis, 1822, p. 550. — Naumann, Taf. 146. — Gould, Pl. 58.
Europa, Sibirien (Nordamerika?). L'Europe, la Sibérie , (PAmérique du Nord ?).
Hirundo rupestris. Felsenschwalbe. Hirondelle de rocher.
Scopoli, Ann., I, p. 167, n°. 253. — Naumann, Taf. 146. — Gould, PI, 56.
Süd-Europa, Nordafrika, westliches 1’Europe méridionale, lAfrique sep- Asien. tentrionale, PAsie occidentale.
CYPSELUS. SEGLER. MARTINET.
Cypselus apus. Mauersesler. Martinet de muraille.
Illiger, Prodromus, p. 230. — Hirundo apus, Linn., p. 344, n°. 6. — Micropus murarius, Meyer u. Wolf, Taschenb., I, p.
281. — Naumann, Taf. 147. — Gould, Pl. 53, fig. 1.
Europa, westliches Sibirien, ] L'Europe, la Sibéric occidentale.
XX
Cypselus melba. Felsensegler. Martinet & ventre blanc.
‚Illiger, Prodromus, p. 320. — Hirundo melba, Linn. , p-:345, n°. 11. — Naumann, Taf. 147. — Gould, Pl. 53, fig. 2. ;
Südliches Europa, Nordafrika, Klein- L’Europe méridionale PAfrique septen- asien. trionale „ ’Asie mineure.
CAPRIMULGUS (Al. ZIEGENMELHER. ENGOULEVENT.
Caprimulgus europaeus. (remeiner Ziegenmelker. Engou- levent ordinatre.
Linn. , p. 346, n°. 1. — Naumann , Taf. 148. — Gould, PI. 51. Europa, Sibirien. | L'Europe. la Sibérie. à
Caprimulgus ruficollis. Halsbandziegenmelker. Engoulevent a collier roux.
Temm., Man. d’Orn., I, p. 438. — Gould, PI. 52. Spanien , Nordafrika. | L'Espagne, l'Afrique septentrionale.
WÜRGERARTIGE VOGEL. PIE-GRIECHES. LANIUS. WURGER. PIE-GRIECHE.
Zanius excubitor (42). Grosser Würger. Pie-Grieche com- mune.
Linn., p. 135, n°. 11. — Naumann, Taf. 49. — Gould, PI. 66. Europa. | L'Europe.
Lanius meridionalis. Südlicher Würger. Pie-grieche meri- | dionale.
Temm., Man. d’Ornith., I, p. 143. — Gould, PI. 67. à
Südliches Europa, Nordafrika. Le Midi de l’Europe, lAfrique sep- tentrionale.
XXI Lanius minor. Grauer Würger. Pie-grieche a poitrine rose.
. Gmel. Linn., p. 308, n°. 49. — Naumann, Taf. 50. — Gould, PI. 68.
Mittleres und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale.
Lunius rufus (45). Rothköpfiger Würger. Pie-grieche rousse.
Brisson, II, p. 147, n°. 3. — Lanius rutilus, Lath., Ind., L, p- 70, sp. 12. — Lanius ruficeps, Bechst., Nat. Deutschl., II, p. 1327. — Naumann, Taf. 5l. — Gould, PI. 70.
Mittleres und südliches Europa. | L’Europe temperée et méridionale. Lanius collurio. Rothrückiger Würger. Pie-grieche ecorcheur.
Linn., p. 136, n°. 12. — Lanius spinitorquus, Bechst. Nat. Deutschl, II, p. 1335. — Enneoctonus collurio, Boie, Isis, 1826, p- 973. — Naumann, Taf. 52. — Gould, PI. 69.
Europa, gemässigtes Sibirien, Klein- L’Europe, la Sibérie tempérée, PAsie Asien, Egypten. mineur , PÉgypte.
Lanius personatus (44). Maskenwürger. Pie-grièche masquée.
Temm., PI. col. 256, fig. 2. — Lanius nubicus, Licht., Catalog., 1823, p. 47, no. 510.
Griechenland, Egypten, Nubien, Kor- L’Egypte , la Nubie, le Kordofan, dofan, Abyssinien , steiniges Arabien. PAbyssinie, l’Arabie pétrée.
Lonius tchagra (45). Tschagra-Würger. Pie-grièche tchagra.
Telophonus erythropterus, Swainson, in Natural. Library, Nat. Hist. of Birds. , vol, IT, p. 219. — Le Tchagra, Le Vaillant, Ois.
XXIT
d’Afr., II, Pl. 70. — Lanius erythropterus, Shaw, Gen. Zool. VIII, 2, p. 301, (ex parte). — Pomatorhynchus Tchagra, Boie, Isis, 1826, p. 973. — Lanius cucullatus, Temm. Man. , III, p.600.
Spanien, Cap. | L’Espagne, le Cap de B. Esperance, FLIEGENFANGER. GOBE-MOUCHES.
MUSCICAPA. FLIEGENFANGER. GOBE-MOUCHE.
Muscicapa grisola. Gefleckter Fliegenfänger. Gobe-mouche gris.
Linn. , p. 328, no. 20. — Butalis grisola, Boie, Isis, 1826 , p. 973. — Naumann, Taf. 64. — Gould, PI. 65.
Europa , Nordafrica, | L'Europe, PAfrique septentrionale,
m
Muscicapa atricapilla. Schwarzgrauer Fliegenfänger. Gobe- mouche bec-figue.
Linn., p. 326, no. 9. — Emberiza luctuosa, Scopoli, Ann., I, p- 146, no. 215. — Muscicapa luctuosa, Temm., Man., I, p- 155. — Naumann, Taf. 64. — Gould, Pl. 63, fig. 1.
Europa. | L’Europe.
Muscicapa albicollis. Weisshalsiger Fliegenfänger. Grobe- mouche a collier.
Temm., Man., I, p. 153. — Muscicapa collaris, Bechst. Nat. Deutschl., III, p. 427. — Naumann, Taf. 65. — Gould, PI. 63. fig. 2.
Süd- und Mittel-Europa , Arabien. L'Europe femperce et méridionale l'Arabie,
XXIIT
Muscicapa parva (46). Rothkehliser Fliegenfänger. Gobe-
mouche rouche-gorge.
Bechst., Nat. Deutschl., Ill, p. 442. — Erythrosterna parva, Ch. L. Bonap., List, p. 25. — Muscicapa erythaca et rubicola, Swainson, Natur. Library, Ornithol., vol. X, 1838, p. 220 et 221, PI. XXVII. — Naumann, Taf. 65. — Gould, Pl. 64.
Südöstliches Deutschland, Vorder-In- Le Sud-Est de PEurope, l'Inde en dien. deca du Gange.
SANGERARTIGE VOGEL. SYLVAINS. SYLVIA (47). GRASMUCHE. FAUVETTE.
Sylvia nisoria. Sperber-Grasmücke. Fauvelte rayée.
Bechst., Nat. Deutschl. , III, p. 547. — Nisoria undata, Ch. Bo- nap., List, p. 15. — Naumann, Taf. 76. — Gould, Pl. 128.
Östliches Europa. | L’Europe orientale.
Sylvia cinerea. Fahle Grasmücke. Fauvette grise.
Latham, Ind., I, p. 514. — Motacilla sylvia, Linn. , p. 330, n° 9. — Naumann, Taf. 78. — Gould, Pl. 125, fig. 1.
Europa, Kleinasien, Nordafrika, Ara- L'Europe, l'Asie mineure, l’Afrique
bien. septentrionale , l’Arabie, Sylvia conspicillata. Brillengrasmücke. Fauvette à lunettes.
Marmora in Temm., Man., 1, p. 210. — Pl. col. 6, fig. 1. — Gould, PI. 126.
Spanien, Sardinien , Italien. [| L'Espagne, la Sardaigne, l'Italie,
XXIV
Sylvia curruca. Müller-Grasmücke. . Fauvette babillarde.
Latham, Ind. orn., II, p. 509, sp. 9. — Naumann, Taf. 77. — Gould, Pl. 125, fig. 2. |
Europa, gemässigtes Sibirien, Klein- L'Europe, la Sibérie tetatféréeh. l'Asie asien, Nordafrika. mineure, l’Afrique septentrionale.
Par”
Sylvia subalpina. Südliche Grasmücke. Fauvette subalpine.
Bonelli in Temm., Man., I, p. 214. — Sylvia leucopogon, Meyer, Orn. Tasch., III, p. 91. — Sylvia passerina, Temm., Man., III, p. 138; Pl. col. 251, fig. 2 et 3 et PI. 6, fig. 2. — Sylvia mystacea, Ménétr., Catal., p. 34, n°.69 et Rectifications. — Gould , Pl. 124.
Süd-Europa , Nord-afrika. + . | L'Europe méridionale, P Afrique sep- | tentrionale.
—
Sylvia provincialis. Provencer Grasmücke. Fauvette pitte-chou.
Temm., Man., T,p. 211. — Motacilla provincialis, Gmel. Linn. : p- 958, n°. 67. — Sylvia dartfordiensis, Lath., Ind. orn., II, p. 517 , n°. 31. — Melizophilus provincialis, Leach., Mus. Brit; Selby, Brit. Orn., I, p. 219. — Gould, PI. 129.
England , südliches Europa. | L’Angleterre, l’Europe méridionale. : Sylvia sarda. Sardische Grasmücke. Fauvette sarde.
Marmora, in Temm. Man. d’Orn., I, p. 204; PI. col. 24, fig. we Gould, Pl. 127. Sardinien. | La Sardaigne.
! y
Sylvia meiamocephala, Schwarzköpfige Grasmücke. Fauvette mélanocéphale. MH
Lath., Ind. orn., II, p. 509, sp. 7. — Motacilla melanocephala, Gmel. Linn. , p. 970, n°, 104. — Gould, PI. 129.
Südliches Europa, Egypten, | L'Europe méridionale, l'Égypte.
XXV
Sylvia Rüppellii (48). Rüppells Grasmücke. Fauvette de : Rüppell.
Temm., Pl. col. 245, fig. 1. — Rüppell, Atlas, Tab. 19. — Sylvia capistrata, Rüppell, Mus. Senk., II, p. 181. — Gould,
PI. 122.
Griechenland. | La Grece. Sylvia orphea. Orpheus-Grasmücke. Fauvette-Orphee.
Temm., Man., I, p. 198. — Curruca orphaea, Brehm, Hand- buch, 423. — Naumann, Taf. 76. — Gould, PI. 119. “ Südliches Europa, Egypten, Arabien. L’Europe méridionale, l'Égypte, l’Ara- bie.
Sylvia atricapilla. Mönchs-Grasmücke. Fauvette a tele notre.
“ Lath., Ind. orn., II, p. 508, sp. 6. — Motacilla atricapilla Gmel. Linn., I, p. 970, sp. 18. — Curruca atricapilla, Brisson, III, p. 380, n°. 6. — Naumann, Taf. 77. — Gould, Pl. 120.
I Europa, Kleinasien , Arabien , Egypten, LEurope „ PAsie mineure, lArabie, Nubien. PEgypte, la Nubie,
Sylvia hortensis. Gartengrasmücke. Fauveite des jardins.
Bechst., Nat. Deutsch., III, p. 524. — Naumann, Taf. 78. — Gould, Pl. 121. Europa. | L'Europe.
FICEDULA. LAUBSANGER, BEC-FIN. Ficedula trochilus (49). Fitis-Laubsänger. Bec-fin poukllot.
Keiserl. u. Blas., p. LVI. — Motacilla trochilus, Linn., p. 338, n°. 49. — Ficedula fitis, Koch, Baier. Zool., I, p.159, n°.82. — Phyllopneuste trochilus, Ch. Bonap., List, p. 13. — Naumann, Taf. 80. — Gould, PI. 131, fig. 1.
Europa, Egypten, Nubien, | L’Europe , l'Égypte, la Nubie,
XXVI
| ax 7 r « ve ù y 2 b r 1 “pal AT Se | . Ficedula rufa. Weiden-Laubsänger. Bec-fin roux.
Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia rufa , Lath., Ind. Orn., II, p.516, n°. 27. — Sylvia hippolais, Penn., Brit. Zool., I, p. 508. — Gould, PI. 131, fig. 2. — Naumann, Taf. 80. |
Europa. | L’Europe.
Ficedula Bonellii. BonellÜs Laubsänger. Bec-fin Bonell.
Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia Bonelli, Vieillot, Eneyel. Méth, Orn., II, p. 468. — Sylvia Nattereri, Temm., Man. d’Orn., I, p- 227. — Gould, Pl. 134.
Südliches Europa. | L'Europe méridionale.
Ficedula sibilatrix. Grüner Laubsänger. Bec-fin siffleur.
Keys. u. Blas., p. LVI. — Sylvia sibilatrix , Bechst. Nat. Deutschl. III, p, 561. — Sylvia sylvicola, Lath., Ind. Orn., Suppl., II, p. 53. — Naumann, Taf. 80. — Gould, PI. 131, fig. 3.
Europa. | L'Europe.
Ficedula ambigua (50). Zweideutiger Laubsänger. Bec-fin ambigu.
Griechenland. | La Grece.
Ficedula hypolais. Garten-Laubsänger. Bec-fin grand-pouiller.
Keys. u. Blas., p. LVI. — Motacilla hippolais, Linn., p. 330. n°, 7. — Hippolais salicaria, Brehm, Handbuch, p. 434 — Naumann, Taf, 80. — Gould, Pl. 138. | |
Europa, { 1’Europe,
XXVIL
- + SALICARIA, BOHRSANGER. RIVERAIN, Salicaria turdina. Drossel-Rohrsänger. Riverain rousserolle.
Sylvia turdoides, Meyer, Vögel Livu. Esthl., p. 116. — Sylvia turdina, Gloger, Handb., p. 227, n°. 14. — Calamoherpe turdoi- des, Boie, Isis, 1822, p. 552. — Turdus arundinaceus, Brisson , II, p. 219, n°. 6, T. 22, fig. 1. — Junco, Gessner Av. 573. — Turdus junco, Pall. Zoogr., I, p. 458, n°. 99. — Naumann, Taf. 81. — Gould, PI. 106.
Gemässigtes und südliches Europa , L’Europe temperee et méridionale, Arabien. | l'Arabie,
———
Salicaria urundinacea. Teich-Rohrsänger. Riverain des ro- seaux.
Selby, Brit. Orn., I, p. 203. — Curruca arundinacea , Brisson , III, p.378, no. 5. — Sylvia arundinacea, Lath., Ind., II, p. 510, n°. 12. — Calamoherpe arundinacea, Boie, Isis, 1826, p. 972. — Naumann, Taf. 81. — Gould, PI. 109.
‘ Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe temperee et méridionale, Egypten, Nubien. PÉgypte, la Nubie.
Salicaria palustris (50 bis). Sumpf-Rohrsänger. Riverain verderolle.
Gould, Pl. 109. — Sylvia palustris, Bechst., Nat. Deutschl., III, p- 639. — Naumann, Taf. 81.
Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale.
Salicaria olivetorum (51). Oliven-Rohrsänger. Riverain des oliviers.
Gould , Birds of Europe, Pl. 109.
Griechenland, | La Grèce,
nn
XX VEII
_Salicaria phragmitis. Schilf-Rohrsänger. : Riverain phrag- mite.
Selby, Brit. Orn., I, p. 201. — Sylvia phragmitis , Bechst., Nat. Deutschl. , II, p. 635. — Naumann, Taf. 82. — Gould, PI. 110.
Europa, gemässigtes Sibirien, Syrien, L'Europe, la Sibérie tempérée , la Syrie, Egypten, Nubien. l'Égypte , la jubis,
Salicaria aquatica (52). Seggen-Rohrsänger. Riverain aqua- tique.
“ Gould, PL. 111, fig. 2. — Sylvia aquatica, Lath., Ind., IL, 'p«
510, n°. 11. — Naumann, Tab. 82, fig. 4et 5, (hib.). — Sylvia cariceti, Naumann, III, p. 668, Taf. 82, fig. 2 et 3, (aest.).
- Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe tempérée et méridionale.
Salicaria locustella. Heuschrecken - Rohrsänger. Riverain locustelle. er
Selby, Brit. Orn., I, p. 199. -— Sylvia locustella, Penn., Brit: Zool., I, p. 518. — Naumann, Taf. 83. — Locusiella Rayi, Gould, PL 103. ve
Europa. | L’Europe. Salicaria fluviatilis. Fluss-Rohrsänger. Riverain fluviatele.
‘ Sylvia fluviatialis, Meyer u. Wolf, Taschenbuch, I, p. 229. — Naumann , Taf. 13. — Gould, PI. 102.
Ufer der Donau. | Les bords du Danube.
Salicaria luscinoides. Nachtigallen - Rohrsänger. Riverain luscinoide.
Sylvia luscinoides, Savi, Orn. Tosc., I, p- 270. — Pseudo- _ Luscinia Savü, Ch. Bonap., List, p. 12. — Gould, Pl. 104.
Italien, Provence. ı L'Italie, la Provence. |
u
XXIX
Salicaria galactodes. Rostfarbiger Rohrsänger. Riverain rubigineux.
Sylvia galactodes , Temm., Man. , I, p. 182. — Turdus rubigi- nosus, Meyer, Orn. Tasch., III, p. 66. — Sylvia rubiginosa , Temm., Man., III, p. 129; PL col. 251, fig. 1. — Gould, PI. 112. — Aëdon galactodes, Boie, Isis, 1826, p. 972.
Spanien. | L’Espagne.
Salicaria familiaris (53). Ménétriés Rohrsänger. Riverain Menetries.
‚Sylvia familiaris, Ménétr. Cat., p. 32, n°, 60.
Griechenland, Ufer des Kur. | La Grèce, les bords du Kour.
Salicaria melanopogon. Schwarzbart-Rohrsänger.: Riverain a moustaches notres.
Sylvia melanopogen, Temm., PI. col. 245, fig. 2. — Gould, PI. 111, fig. 2. — Calamodyta melanopogon, Ch. Bonap., List, p- 12. — Gould, Pl. 111, fig. 1.
Südliches Europa. | L'Europe méridionale.
Salicaria Cettii (54). Cettis Rohrsänger. Riverain Cetti.
‘ Sylvia Cettii, Marmora, Mem. Acad. Tor., Vol. XXV, p. 254. — Sylvia sericea, Natterer in Temm., Man., I, p. 197. — Cettia al- tisonans et sericea, Ch. Bonap., List, p. 11 et 12. — Gould, PI. 114 et 115.
Südliches Europa, | L'Europe méridionale,
XXX
Salicaria lanceolata (55). Gestrichelter Rohrsänger. Rive- rain lancéolé.
Sylvia lanceolata, Temm., Man., III, p. 614. ] La Russie meridionale.
Südliches Russland.
Salicaria cisticola. ÜCisten-Rohrsänger. Riverain cisticole. Sylvia cisticola, Temm., Man., I, p. 228. — Sylvia (Cisticola) typus, Rüppell, Neue Wirb., Vögel, p. 113. — Cisticola schoeni- cola, Ch. Bonap., List, p. 12. — Gould, PI. 113. L’Europe meridionale, PEgypte, la Nubie,
Südliches Europa, Egypten, Nubien. |
Salicaria caligata (56). Gestiefelter Rohrsänger. Riverain — botté.
Sylvia caligata, Licht. in Eversman, Reise, p. 128. — Lusciola (Iduna) caligata, Keys. u. Blas,, p. LVIII, n°. 235. — Motacilla salicaria, Pallas, Zoogr., I, p. 492, n°. 127.
Russland , Sibirien. I La Russie, la Sibérie.
LUSCIOLA. ERDSANGER. HUMICOLE. a. Nachtigallen, Rossignols.
Eusciola philomela. Sprosser-Nachtigall. Rossignol philomèle.
Keys. u. Blas., p. LVIIE, n°.233. — Sylvia philomela, Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 507. — Luscinia major, Brisson , Orn., IT,
p- 400. a. — Naumann, Taf. 74. — Gould, Pl. 117. L’Europe orientale, lAsie occidenta-
Ostliches Europa, westliches Asien, le, l'Egypte.
Egypten,
XXXEI
Lusciola luscinia (57). Gemeine Nachtigall. Rossignol com- mun.
Keys. u. Blas., p. LVIII, no. 234. — Motacilla luscinia, Linn., p- 328, n°. 1.— Sylvia luscinia, Lath. Ind., II, p. 506, sp. 1. — Naumann, Taf. 74. -— Gould, PI. 116.
Europa, Klein-Asien „ Arabien , Egypten. ‚L’Europe , l'Asie mineure, PArabie ,
l'Egypte.
6. Bothschwänzchen. Rouge-queues,
Lausciola phoenicurus. Garten - Rothschwänzchen. Rouge- queue des murailles.
Keys. u. Blas., p. LVIIT, n°. 239. — Motac. phoenicurus, Linn., p. 335, n°. 34. — Sylvia phoenicura, Lath., Ind., II, p- 511, sp. 15. — Ruticilla phoenicura, Ch. Bon., List, p.15. — Naumann, Taf. 79. — Gould, PI. 95.
Europa, Sibirien, Egypten , Nubien. L’Europe, la Siberie, PEgypte, la
Nubie.
Lusciola erythrogastra (58). Güldenstädts Rothschwänzchen. Rouge-queue de Güldenstädt. Motacilla erythrogastra , Güldenstädt, Nov. Comment. Petr. , XIX, 1775, p. 469, Tab. 16 et 17. — Motacilla aurorea, var. Cerau- nia, Pallas, Zoogr., I, n°. 116, p. 478.
Kaukasus. | Le Caucase. Lusciola thitys. Haus-Rothschwänzchen. Rouge-queue noir.
Keys, u. Blas., p. LIX, n°. 240. — Sylvia tithys, Scopoli, Ann., I, p. 157, n°. 233. — Motacilla Erythacus, Linn., p. 335, n°. 35. — Naumann, Taf. 79. — Gould, Pl. 96.
« Europa ,„ Klein-Asien ,„ Nordafrika. L’Europe, lAsie mineure, PAfrique septentrionale,
XXXIT
c. Bothkehlchen. Rouge-gorges:
Eusciola rubecula. Gemeines Rothkehlchen. Rouge - gorge commun.
Keys. u. Blas., p. LVIII, n°.238. — Motacilla rubecula, Linn. , p- 337, n°. 45. — Sylvia rubecula, Lath., Ind., Il, p. 520, sp. 42. — Dandalus rubecula, Boie, Isis, 1826, p.972. — Naumann , Taf. 75. — Gould, PI. 98.
Europa , Klein-Asien, Nordafrika. L'Europe, . PAsie mineure, l’Afrique septentrionale.
d. Blaukehlichen. Gorge-bleues.
Lusciola cyanecula. (Gremeines Blaukehlchen. Gorge - bleue commune.
Sylvia cyanecula, Meyer u. Wolf, Taschenb., I, p. 240. — Lusciola suecica, Keys. u. Blas., p. LVIIT, n°. 237. — Mota- cilla suecica, Linn., p. 336, n°. 37. — Sylvia suecica, Lath., Ind., Il, p. 521, sp. 43. — Cyanecula suecica, Brehm, Handb., p. 350. — Naumann, Taf. 76. — Gould, PI. 97.
+ Europa. | L’Europe.
Lusciola cyanecula orientalis (59). Östliches Blaukehlchen. Gorge-bleue orientale. |
Motacilla coerulecula, Pallas, Zoogr., T, p.480, n°.118, (ex- cl. synon.).
Rusland, Sibirien. | La Russie, la Sibérie.
e. Feuerkehlchen. Gorges en feu.
Lusciola calliope. (Gremeines Feuerkehlchen. Gorge en feu calliope. |
Lusciola (Melodes) calliope, Keys. u. Blas., p. LVII, n°, 236. — Motacilla calliope, Pallas, Reise, IH, app. n°. 17. —
XXXIIT
Accentor calliope, Temm., Man., III, p. 173. — Calliope Latha- mu, Gould, Birds of Europe, Pl. 114.
Ostliches Sibirien, Japan, zufällig in La Sibérie orientale, le Japon, acci- Russland. dentellement en Russie.
STEINSCHMATZER. SAXICOLES. SAXICOLA. STEINSCHMATZER. SAXICOLE. a. Eigentliche Steinschmätzer. Saxicoles proprement dits.
Saxicola oenanthe. Grauer Steinschmätzer. Saxicole moteux.
Bechstein, Orn. Tasch., I, p. 217. — Naumann, Taf. 89. — Gould, Pl. 90.
Europa, Sibirien, Kleinasien , Nord- L’Europe, la Sibérie, l’Asie mineure, afrika. l'Afrique septentrionale.
Saæicola saltatriæ (60). Östlicher Steinschmätzer. Saxicole oriental.
Keys. u. Blas., p. LIX, n°. 245. — Saxicola saltator, Méne- tries, Catal., p. 30, n°. 56.
Ural, Ufer des Kaspischen Meeres, L’Oural , les bords de la Mer Caspien- Griechenland. ne, la Grèce.
Saæicola stapazina. Schwarzkehliger Steinschmätzer. Saxti- cole stapazin.
Temm., Man., I, p. 241. — Motacilla stapazına, Linn., p. 331, n°. 14 — Muscicapa melanoleuca, Güldenst., Nov. Comm. Petr., XIX, p.468, Tab. XV. — Naumann, Taf. 90, fig. 1 et 2. — Gould, Pl. 91.
Südliches Europa, steiniges Arabien , L'Europe méridionale , PArabie pe Egypten Nubien, trée, l'Egypte, la Nubie.
3
XXXIV
| Saæicola aurita (61). Schwarzohriger Steinschmätzer. Sa- xicole oreillard.
Temm. ) Man. , I, P- 241. FER Gould , PI. 92. Südliches Europa, Arabien, Egypten. L’Europe méridionale, l’Arabie, PE- gypte.
Saæicola leucomela (62). Elster - Steinschmätzer. Saxtecole leucomele.
Temm., Man., I, p. 243. — Motacilla leucomela, Pall., Nov. Comm. Peirop. , XIV, p. 584, n°. VI, Tab. 22, fig. 3.
Südliches Russland, Altai, Daourien. La Russie méridionale, PAltai, la Daourie.
Saxicola cachinnans. Weissschwänziger Steinschmätzer. Saxicole rieur.
Temm., Man., I, p. 256. — Turdus leucurus, Gmel. Linn., p. 820, n°. 66. — Saxicola leucura, Licht., Catal., p. 32. — Gould, PI, 88.
Südliches Europa, Arabien, Egypten, | L'Europe méridionale, l'Arabie , PÉgvp- Nubien. te, la Nubie.
b. Wiesenschmätzer. Traquets.
Saxicola rubetra. Braunkehliger Wiesenschmätzer. Traquet larter.
Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 684. — Pratincola rubetra, Koch, Baier. Zool., I, p. 191, n°. 112. — Motacilla rubetra, Linn., p. 332, n°. 16. — Naumann, Taf. 89. — Gould, PI, 93,
Europa, Arabien, Egypten. J LEurope, l'Arabie, PÉgypte,
XXXV
Saæicola rubicola. Schwarzkehliger Wiesenschmätzer. Tra- quet pdire.
- Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 694. — Motacilla rubicola, Linn., p. 332, n°. 17. — Naumann, Taf. 90, fig. 3. — Gould, PI. 94. Europa, Sibirien , Kleinasien , Egypten, L’Europe, la Sibérie, l’Asie mineure, Nubien, Abyssinien, Kap. PEgypte, la Nubie, lAbyssinie, le Cap de Bonne Espérance,
PIEPER. PIPITS.
ANTHUS. PIEPER. PIPIT. Anthus aquaticus. Wasserpieper. Pipit spioncelle.
Bechstein, Nat. Deutschl., III, p. 745. — Alauda spinoletta, Linn., p. 288, n°. 7. — Pl. enl. 661, fig. 2.
Mittleres und südliches Europa. | L'Europe temperee et méridionale,
Anthus rupestris, Uferpieper. Pipit rupestre.
Nilsson, Orn. suec., I, p. 245, Tab. 9. — Anthus httoralis, Brehm, Lehrbuch, I, p. 239. — Alauda obscura, Pennant, Brit. Zool., I, p. 482. — Gould, PI. 138.
Nördliches Europa. | L'Europe septentrionale,
Anthus pratensis. Wiesenpieper. Pipit farlouse.
Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 732. — Alauda pratensis, Linn. , p. 782, n°. 2. — Naumann, Taf. 84 et 85. — Gould, PI. 136.
Europa, Egypten, | L'Europe, l'Égypte,
XXXVT
Anthus pratensis rufigularis. Braunkehliger Wiesenpieper. Pipit farlouse a gorge rousse.
Anthus rufogularıs, Brehm, Vögel Deutschl., p. 320, n°.12. — Motacilla cervina, Pallas, Zoogr., I, p. 511, n°. 142. — Gould, PI. 140. |
Südliches Europa, “Sibirien, Nord- L'Europe méridionale ‚la Sibérie, l'Afri- afrika. que septentrionale.
——
Anthus Richardii. Richard’s Pieper. Pipit Richard.
Vieillot, Nouv. Dict. Deterville, vol. XXVI, p. 491. — Temm., PI. col. 101. — Anthus rupestris, Ménétr., Cat., p. 37, n°. 80. — Gould, PI. 135.
Europa , westliches Asien. | L'Europe, PAsie occidentale. Anthus campestris. Brachpieper. Pipit rousseline.
Bechst. , Nat. Deutschl., III, p, 722. — Anthus rufescens, Temm. , Man., I, p. 267. — Naumann, Taf. 84. — Gould, Pl. 137.
‘Gemässigtes und südliches Europa , nord- L'Europe tempérée et méridionale. les westliches Afrika. contrées occidentales de l'Afrique sep- tentrionale.
Anthus arboreus. Baumpieper. Pipif des bussons.
Bechst., Nat. Deutschl., IIT, p. 706. — Naumann, Taf. 84. — Gould, Pl. 139. Europa , Sibirien, Nordafrika. L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep» | tentrionale.
XXXVIT
BACHSTELZEN. HOCHEQUEUES. MOTACILLA. BACHSTELZE. HOCHEQUEUE.
Eigentliche Bachstelzen. Hochequeues proprement dits. Motacilla alba. Weisse Bachstelze. Hochequeue gris:
Linn. , p. 331, n°. 11. — Motacilla albeola, Pallas, Zoogr., F, p- 506, n°. 139. — Naumann, Taf. 86. — Gould, Pl. 143.
Europa ausser England, Sibirien , Nord- | L’Europe à l'exception de l’Angleter-.
afrika. re,.la Sibérie , l'Afrique septentrionale.
Motacilla alba lugubris (63). Trauer- Bachstelse. Hoche- queue lugubre.
‘ Motacilla lugubris, Temm., Man., 1, p. 253. — Mot. Yarrellii, Gould, Birds of Europe, PI. 141. England, auf dem Zuge im westlichen L’Angleterre, visite périodiquement Europa, einzeln im übrigen Europa. l’Europe occidentale, s’égare quelquefois dans les autres parties de l’Europe.
Motacilla boarula. Schwefelgelbe Bachstelze. Hochequeue jaune.
Penn., Brit. Zool., I, p. 492. — Motacilla sulphurea, Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 459. — Naumann, Taf. 87. — Gould, PI. 147.
Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale, Mittel- und Süd-Asien , Nordafrika. l’Asie centrale et méridionale, l'Afrique
septentrionale.
XXXVIIE b. Schafstelzen. Bergeronnettes.
Motacilla flava,. Gelbe Schafstelze. Bergeronnette de prin- lems.
Linn., p. 331, n°. 12. — Budytes flava, Cuv. k Règne an., I, p- 391. — Motacilla flaveola, Pallas, Zoogr., I, p. 501, n°. 136. — Motacilla neglecta, Gould, Pl. 146.
Europa ausser England. Brütet im ge- L’Europe à l’exception de l’Angleterre,
niche dans l’Europe tempérée,
mässigten Europa.
Motacilla flava Rayi (64). Gelbköpfige gelbe Schafstelze. Bergeronnette de printems a tête jaune.
Motacilla flava, Ray, Syn., p. 75. — Gould, Pl. 145. — Motac. flaveola, Temm., Man., III, p. 183. — Budytes Rayi, Ch. Bon., List, p. 18, n°. 156.
England, auf dem Zuge im westlichen L’Angleterre, passe, lors de l’époque Europa. de la migration, par l’Europe occidentale.
Motacilla flava cinereocapilla. Grauköpfige gelbe Schaf- stelze. Bergeronnette de printems à tete grise.
Motac. cinereocapilla, Savi, Orn. Tosc., III, p. 216. — Ch. Bonap., Icon. d. Fauna Ital., I, Tav. 31, fig. 2.
Brütet in Italien. | En été en Italie,
Motacilla flava melanocephala. Schwarzköpfige gelbe Schaf- stelze. Bergeronnette de printems a tete notre.
Licht. , in Eversman, Reise, app. , p. 129. — Ch. Bonap. , Ic.d. Fauna Ital., I, Tav.31, fig. 3.
Dalmatien, die Bucharei, Arabien, E- La Dalmatie, la Bocharie, l’Arabie gypten, Abyssinien, l'Egypte, PAbyssinie.
XXXIX
Motacilla citreola. Citronengelbe Schafstelze. Bergeronnetie citrine.
Pallas, Iter, III, app. n°. 14. — Motacilla citrinella, Pall., Zoogr., I, p. 503, n°. 137. — Gould, PI. 144.
Südöstliches Russland, Sibirien, die Bucharei, |
Les parties meridionales de la Russie orientale, la Siberie, la Bocharie,
DROSSELN. MERLES. TURDUS (65). DROSSEL. MERLE. a. Walddrosseln. Sylvains.
Turdus viscivorus. Misteldrossel. Merle draine..
Linn. , p. 291, n°. 1. — Naumann, Taf. 66. — Gould, Pl. 77. Europa. | L'Europe.
Turdus pilaris- Woachholderdrossel. Merle litorne.
Linne, p. 291, n°. 2. — Naumann , Taf. 67. — Gould, PI. 76.
Europa, Kleinasien. | L’Europe, l'Asie mineure. Turdus Naumannii. Naumann’s Drossel. Merle Naumann.
Temm., Man.,I, p. 170. — Turdus fuscatus, Pall., Zoogr., TI, p- 451,n°. 92, c. fig. — Turdus eunomus, Temm., Pl. col. 514, .(Japonia). — Naumann, Taf. 68, fig. 1, 2. — Gould, PI 79, (Japon.).
Japan, Sibirien, zufällig in Europa. Le Japon , la Sibérie, aceidentellement
en Europe.
Turdus migratorius. Wanderdrossel. Merle voyageur.
Linn. , p. 292, n°. 6. — Wilson, Pl. 2, fig. 2.— Brehm, Vôg. Deutsch., p. 388. — Merula migratoria, Gould, Pl. 74.
Nordamerika , zufällig in Europa. L’Amerique du Nord, accidentellement en Europe.
LA
XL _Turdus paliens. Blassdrossel. Merle blafard.
Pallas, Zoogr., I, p. 457, n°. 98. — Turdus pallidus, Gmel. Linn., p. 815, n°. 45? — Turdus iliacus pallidus, Naum., II, p. 279. — Turdus Seyffertitziü , Brehm, Vög. Deutschl., p. 387. — Turdus Werneri, Gene, Mem. Acad. Tor., XXXVII, p. 291, e. fig. — Turdus pallidus, Werner, Atlas du Manuel, fig. s. num.
Japan, Daourien, einzeln in Europa. Le Japon , la Daourie, accidentellement en Europe.
Turdus iliucus. Rothdrossel. Merle mauvts.
Linné, p. 292, n°. 3. — Turdus Illas, Gessner, Av., p. 760. — Naumann, Taf. 67. — Gould, Pl. 78, fig. 2.
Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Turdus musicus. Singdrossel. Merle grive.
Linne, p. 292, n°. 4. — Naumann, Taf. 66. — Gould, PI. 78, bo. 1. | Europa, Sibirien , Klein-Asien , Egypten. ‚L’Europe, la Sibérie, l'Asie mineure,
l'Egypte.
Turdus solitarius (66). Einsiedlerdrossel. Merle solitaire.
Wilson, vol. V, Pl. 43, fig. 2. — Merula solitaria, Swaimson, Fauna bor. am., Birds, p. 184, PI. 35. — Turdus minor, (Lath.), Naumann, Isis, 1826, p. 520.
Nordamerika , zufällig in Europa. L’Amerique septentrionale, accidentel- lement en Europe.
Turdus auroreus (67). Mondfleckige Drossel. Merle aurore.
Pallas, Zoogr., I, p. 448, n°. 87. — Rotermund, Isis, 1828
XET
p- 1036; Gloger , ibid. , p. 1041. — Gloger, Vögel Eur., p. 173. — Turdus Bechsteinii jun., Naumann, Il, p. 314, Taf. 69, fig. 2.
Zwei Exemplare in Deutschland beo- Observé plusieurs fois en Allemagne; bachtet ; bewohnt , nach Pallas, die In- habite, suivant Pallas, Pile de Kadiak, si- sel Kadiak an der Nordwestküste tuée sur la côte occidentale de l’Ameri- Amerikas. que du Nord.
Turdus atrigularis. Schwarzkehlige Drossel. Merle à gorge noire.
Gloger, Vög. Europ., p. 182. — Turdus atrogularis, Temm. , Man., I, p. 169. — Turdus Bechsteini, Naumann, II, p. 310, n°. 69, Taf. 69, fig. 1. — Merula atrogularis, Ch. Bon., List, p. 17. — Turdus ruficollis Pallas, Zoogr. , I, p. 452, n°. 93, c. fig. ? — Gould, PI. 75.
Sibirien, Nepaul, einzeln in Europa. La Siberie, le Nepaul, accidentelle- ment en Europe.
Turdus torquatus. Ringdrossel. Merle a plastron.
Linné, p. 296, n°. 23. — Merula torquata , Gessner, Av., p. 607. — Naumann, Taf. 70. — Gould, PI. 73.
Europa, Egypten. | L'Europe, Égypte. Turdus merula. Schwarzdrossel. Merle notr. Linné, p. 295, n°. 22. — Merula merula, Boie, Isis, 1826,
p- 972. — Naumann, Taf. 71. — Gould, Pl. 72. Europa. | L’Europe.
eg
Turdus Whitii Whites Drossel. Merle de White.
Eyton, Rarer Brit. Birds, p. 92. — Turdus varius, Pall., Zoogr., p. 449, n°. 88. — Yarrell, Brit. Birds, I, p. 184, ce.
XLII
fig. — Oreocincla Whitei, Gould, Proceed. Zool. Soc., 1837, pe 45. — Gould, Pl. 81. |
Japan, Sibirien, zufällig in Europa. Le Japon, la Sibérie, accidentellement en Europe.
Turdus varius (68). Bunte Drossel. Merle varié.
Horsf., Linn. Trans., XIII, p. 149; Zool. Res., Tab. s. num. — Yarrell, Brit. Birds, I, p. 186.
Java, Australien, zufällig in Europa. Java, PAustralie, accidentellement en Europe.
b. Steindrosseln. Merles de roche.
Turdus saxatilis. Gemeine Steindrossel. Merle de roche commun.
Linne, p. 294, n°. 14. — Petrocossyphus saxatilis, Boie, Isis, 1826, p. 972. — Naumann, Tab. 73. — Gould, PI. 86.
Südliches Europa, Westasien , Nord- L’Europe méridionale, l’Asie occiden- afrika. tale, l'Afrique septentrionale,
Turdus cyaneus. Blaue Steindrossel. Merle de roche bleu.
Linne, p. 296, n°. 24.— Naumann, Tab. 72. — Gould, Pl. 87. Südliches Europa, Egypten. | L’Europe meridionale , PEgypte.
HALBDROSSELN. TURDOIDES. IXOS. HALBDEOSSEL. TURDOIDE. Ixos obscurus. Dunkle Halbdrossel. Turdoide obscur.
Temm., Man., III, p. 608.
Andalusien , nordwestliches Afrika. L’Andalusie, les parties occidentales du Nord de PAfrique,
fr
XLITE
PIROLE. LORIOTS. ORIOLUS. PIROL. LORIOT.
Oriolus galbula. (Gremeiner Pirol. Loriot ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 160, n°. 1. — Naumann, Tab. 61. — Gould, Pl. 71. Europa. ne | L’Europe.
WASSERSCHWÄTZER. CINCLES. CINCLUS (69). WASSERSCHWATZER, CINCLE.
Cinclus aquaticus (70). Gemeiner Wasserschwätzer. Cincle plongeur.
Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 103. — Sturnus cinclus, Linne, Syst., XII, p. 290, n°. 5. — Merula aquatica, Brisson, V, p. 252, n°. 19. — Naumann, Tab. 91. — Gould, PI. 83 et 84.
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale.
FLUHVOGEL. ACCENTEURS. ACCENTOR. FLUHVOGEL. ACCENTEUR. Accentor alpinus. Alpen-Fluhvogel. Accenteur des Alpes.
Bechst., Nat. Deutschl., III, p. 700. — Motacilla alpina, Gmel. Linné , p. 957, n°. 65. — Naumann, Tab. 92. — Gould, PI. 99.
Schweizer Alpen, Gebirge Italiens, Les Alpes suisses, les montagnes de England. l'Italie, PAngleterre.
Accentor montanellus. Berg-F luhvogel. Accenteur montagnard.
Temm., Man, I, p. 251. — Motacilla montanella, Pall., It., Il, app., n°. 12. — Naumann, Tab. 92. — Gould, Pl. 101.
Sibirien, nach Ostereich verirrt, | La Sibérie, observé en Autriche.
XLIV
Accentor modularis. Braunellen-Fluhvogel. Accenteur mouchet.
Cuv., Regne an., I, p. 388. — Motacilla modularis, Linne, Syst., XII, p. 329, n°. 3. — Naumann, Tab. 92. — Gould, PI. 100.
Europa. | | L’Europe.
ZAUNKONIGE. TROGLODYTES. TROGLODYTES. ZAUNHONIG. TROGLODYTE.
Troglodytes troglodytes (71). Gemeiner Zaunkönig. Trog- lodyte ordinaire.
Cuvier, Règne an., I, p. 390. — Motacilla troglodytes, Linné, p. 337, n°. 46. — Naumann, Tab. 83. — Gould, Pl. 130.
Europe. | L'Europe.
GOLDHAHNCHEN. ROITELETS. REGULUS. GOLDHANCHEN. ROITELET.
Regulus cristatus. Gemeines Goldhähnchen. Rottelet ordinaire.
Willughby, Orn., p. 163. — Motacilla regulus, Linné, p. 338, n°. 48. — Naumann, Tab. 93. — Gould, Pl. 148, fig. 1. |
Europa , Kleinasien, | L'Europe, l'Asie mineure.
Regulus ignicapillus. Feuerköpfiges Goldhähnchen. Rortelet triple bandeau.
Naumann, III, p. 983, Tab. 93, fig. 4, 5, 6. — Sylvia igni- capilla, Brehm in Temm., Man, I, p. 231. — Regulus pyrace- phalus, Brehm, Beitr., II, p. 130. — Naumann, Tab. 93. —
Gould, Pl. 148, fig. 2. Europa. | L'Europe.
XLV Aeguius modestus. Bastard Goldhähnchen. Rottelet bâtard. Gould, Birds of Europe, PI. 149. — Motacilla proregulus, Pal- las, Zoogr., I, p. 499, n°. 133. — Regulus proregulus, Keys. u. Blas., p. LV.
Dalmatien, Daourien. | La Dalmatie, la Daourie.
MEISEN. MESANGES.
PARUS (72). MEISE. MESANGE.
a. Eigentliche Meisen. Mesanges proprement dites: Parus major. Kohlmeise. Mesange charbonniere.
Linne, p. 341, n°.3. — Naumann, Tab. 94. — Gould, Pl. 150.
Europa, Sibirien. | I’Europe „ la Sibérie. Parus lugubris (73). Trauermeise. Mésange lugubre.
Natterer im Temm. > Man. , I, p. 293. — Michahelles in Sturm, Deutschland’s Fauna, 2 Heft, Tab. 1. — Gould, Pl. 151, fig. 1.
Dalmatien, Umgegend von Triest, La Dalmatie, les environs de Trieste,
Ungarn. la Hongrie.
Parus palustris. Sumpfmeise. Mésange nonnette.
Linn., p. 341, n°. 8 — Naumann, Tab. 94. — Gould, PI. 155, fig. 2.
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Parus sibiricus. Sibirische Meise. Mésange de Sibérie.
Gmel. Linn., p. 1013, n°. 24 — PI, enl. 708, fig. 3 — Wright, Svensk. Fogl., Häft 26. — Nilsson Skandinav. Fauna,
XLVI
Fogl. , 1, p. 337. — Parus lugubris, Leuiersté; Resa 1 Lappm. , I, p. 249, Tab. 3. — Gould, PI. 151, fig. 2.
Sibirien, Skandinavien. | La Sibérie, la Scandinavie. ”
Parus ater. Tannenmeise. Mésange petite charbonnière.
Linn., p. 341, n°. 7. — Naumann, Tab. 94. — Gould, PI. 155, fig. 1.
Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Parus cristatus. Haubenmeise. Mésange huppee.
Linn., p. 340, n°. 2. — Naumann, Tab. 34. — Gould, PI. 156.
Gemässigtes Europa. | L'Europe temperee. Parus coeruleus. Blaumeise. Mésange bleue.
Linn. , p. 841, n°. 5. — Naumann, Tab. 95. — Gould, PI, 154. Europa. | L'Europe. R
Parus cyaneus. Lasurmeise. Mésange azurée.
Pallas, Nov. Comment. Petrop., XIV; p. 588. — Naumann, Tab. 95, fig. 3. — Gould, PI. 158. Sibirien, zufällig in Europa. | La Sibérie, accidentellement en Europe.
Pb, Schwanzmeisen. Mésanges à longue queue.
Parus caudatus. Gemeine Schwanzmeise. Mésange a longue queue ordinaire.
Linn., p. 342, n°. 11. — Mecistura caudata , Leach, Mus. Brit, et auct, angl. — Naumann, Tab. 95. — Gould, Pl. 157.
Europa , Sibirien, | L'Europe, la Sibérie,
XLVIT €. Bartmeisen. Mesanges barbues.
Parus biarmicus. Gemeine Bartmeise. Mésange barbue com- mune.
Linn., p. 342, n°. 12. — Parus barbatus, Brisson, Orn. , III, p. 567, no. 12. — Calamophilus biarmicus, Leach, Mus. Brit. et auct. anglic. — Calamophilus barbatus, Keys. u. Blas., p. XLIII. — Naumann, Taf. 96. — Gould , PI. 158.
Europa. | L’Europe. d. Beutelmeisen. Mesanges-remiz.
Parus pendulinus. Gemeine Beutelmeise. Mesange - remız ordinaire.
Linn. , p. 342, n°. 13. — Aegithalus pendulinus, Boie, Isis, 1822, p. 556. — Naumann, Tab. 97. — Pl. 159.
Östliches Europa, Sibirien. | L’Europe orientale, la Sibérie.
BAUMLÄUFER. GRIMPEREAUX.
CERTHIA (74. BAUMLAUFER. GRIMPEREAU,
Certhia familiaris. Gemeiner Baumläufer. Grimpereau com- mun.
Linn., Syst., XII, p. 184, n°. 1. — Naumann, Tab. 140. — Gould , Pl. 237.
Europa , Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. TICHODROMA, MAUERLAUFER. TICHODROME.
Tichodroma muraria. (remeiner Mauerläufer. Tichodrome échelette.
Hliger, Prodr., p. 211, — Certhia muraria, Linn., Syst., XIT,
XLVIII
p- 184, n°. 2. — Tichodroma phoenicoptera, Temm., Man., I, p. 412. — Naumann, Tab. 141. — Gould, PI. 239.
Gebirge des südlichen Europa’s bis Les montagnes de l’Europe méridio- Persien. nale jusqu’en Perse.
SPECHTMEISEN. SITELLES. SITTA, SPECHTMEISE. SITELLE.
Sitta europaea. (Gemeine Spechtmeise. sSitelle torchepot.
Linn., Syst., XII, p. 177, n°. 1. — Naumann, Tab. 139. — Gould, Pl. 234.
Europa. | L’Europe.
Sitta uralensis. Uralische Spechtmeise. Sitelle de l'Oural.
Lichtenst. in Gloger, Handb., I, p. 377 et 378, (nota). — Sitta europaea var. sibir., Pallas, Zoogr., I, p. 546 et 547. — Sitta. asiatica, Temm. in Gould, Pl. 236. — Sitta sericea, Temm., Man. , III, p. 645. |
Sibirien bis zum Ural. | La Sibérie jusqu’a l’Oural. Sitta syriaca. Syrische Spechtmeise. Sitelle de Syrie.
Ehrenberg, Symb. phys., pag. 0. — Sitta Neumayeri, Mi- chahelles, Isis, 1830, p. 814. — Sitta rufescens, Temm. in Gould, PI. 235. — Sitta rupestris, Cantr. in Temm., Man., III, p. 287. — Ch. Bonap., Icon. d. Faun. ital., I, Tav. 26, fig. 2.
Dalmatien , Syrien, | La Dalmatie , la Syrie.
XLIX
SPECHTE. PICS. PICUS. SPECHT. PIC: a. Schwarzspechte. Pics noirs.
Picus martius. Gemeiner Schwarzspecht. Pic noir ordinaire:
Linn., p. 173, n°. 1. — Dryocopus Martius, Boie, Isis, 1826, p- 977. — Naumann, Taf. 131. — Gould, PI. 225.
Gemässigtes und nördliches Europa , L’Europe septentrionale et temperee, la Sibirien. Siberie.
b, Grünspechie. Pics verts. Picus viridis. (Gemeiner Grünspecht. Pic vert ordinarre:
Linn., p. 175, n°. 12. — Gecinus viridis, Boie, Isis, 1828, p. 316. — Naumann, Taf. 132. — Gould, PI. 226.
Europa , westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. Picus canus. Grauer Grünspecht. Pic vert cendré.
Gmelin Linn., p. 434, n°. 45. — Naumann, Taf. 133. — Gould, PI. 227.
Mittleres und östliches gemässigtes Eu- Les parties temperees de l’Europe orien- ropa , Sibirien. tale et centrale, la Sibérie,
c. Buntspechte. Pics variés,
Picus leuconotos. Weissrückiger Buntspecht. Pic varié à dos blanc.
Wolf u. Meyer, Naturgesch., Heft II, (mas. et fem.) — Picus leucotus, Bechst., Orn. Tasch., I, p. 66, n°.6, cum fig. — Gould, PI. 228. \
Östliches Europa, Sibirien. | L'Europe orientale, la Sibérie.
4
E, Picus major, Grosser Buntspecht. Pic varié epeiche.
Linn., p.176, n°. 17. — Naumann, Taf.134.— Gould, PI. 229. Europa, Sibirien. | L’Europe, la Sibérie,
Picus medius. Mittlerer Buntspecht. Pic varié a tete rouge.
Linn. , p. 176, n°. 18. — Naumann, Taf. 136. — Gould, PI. 230. Europa. | L'Europe.
Picus minor. Kleiner Buntspecht. Pic varié epeichette.
Linn., p. 176, n°. 19. — Naumann, Taf. 136. — Gould, PI. 231.
Europa , Sibirien, | L'Europe, la Sibérie, d. Dreizehige Spechte. Pics tridactyles.
Picus tridactylus. (Gremeiner dreizehiger Specht. Pic iri- | dactyle ordinaire.
Linn., p. 177, n°. 21. — Apternus tridactylus; Swainson, in Rich., Fauna Bor. Amer., Birds, p. 301. — Naumann, Taf. 137. — Gould, PI. 232.
Gebirgswälder Mitteleuropa’s, nördli- Les forêts en montagne de l’Europe ches Europa, Sibirien. centrale, le nord de l’Europe, la Sibérie.
WENDEHALSE.. TORCOLS. YUNX. WENDEHALS. TORCOL. Yunz Ttorguilla. ces Wendehals. Torcol ordinaire. - ia, Syst., XIT, p. 172, n°. 1. — NT
Gould, PI. 235.
Europa, nördliches Asien. | L'Europe, l'Asie septentrionale,
Lt - KUCKUCKE. COUCOUS. ucvits. wrekvon. coUCor. a. Eigentliche Erekucke. Coucous proprement dits.
Cuculus canorus. Gemeiner Kuckuck. Coucou gris.
Linn., Syst., XII, p. 168, n°. 1.— Naumann, Taf. 127, 128, 129. — Gould, Pl. 240.
Europa, Afrika, nördliches Asien. | L’Europe,l Afrique, l'Asie septentrionale. © Pb. Strausskuckucke. Coucous à huppe.
Cuculus glandarius. (Gemeiner Strausskuckuck. Coucou à huppe ordinaire.
Linn., Syst., XII, p: 169, n°®. 5: — Oxylophus glandarius, Ch. Bon., List, p. 40. — Naumann, Taf. 130. — Gould, PI. 241.
Nordafrika, Syrien, zuweilen im süd- L’Afrique septentrionale, la Syrie, ac- lichen Europa. cidentellement en Europe.
% ©. Brillenkuckucke. Coucous à lunettes.
Cuculus americanus. Amerikanischer Brillenkuckuck. Cou- cou à lunettes d'Amérique.
Linn., Syst., XII, p. 170, n°. 10. — Cuculus carolinianus , Catesby, I, p. 9, F. 9. — Wilson, Pl: 28, fig. 1. — Cuculus cinerosus, Temm. Man., III, p. 277. — Erythrophrys americanus, Ch. ont Ep. 40. — Gould, PI. 242. | | “ Nordafsika, zufällig in Europa. | L'Amérique du Nord, accidentellement
en Europe:
LIT
. WIEDEHOPFE. HUPPES. UPUPA, WIEDEHOPF. HUPPE. Upupa epops. Europäischer Wiedehopf. Huppe d'Europe.
Linn., Syst., XII, p. 183, n°. 1. — Naumann, Taf. 142, — Gould, Pl. 238. |
Europa, nordwestliches Asien, Nord- | L'Europe, le nord de l’Asie occiden-
at tale, l’Afrique septentrionale.
EISVOGEL. MARTIN-PÉCHEURS. ALCEDO. EISVOGEL. MARTIN-PECHEUR, Alcedo ispida. Gemeiner Eisvogel. Martin-pecheur commun.
Linn., p. 179, n°. 3. — Naumann, Taf. 144. — Gould, PI. 61.
Europa, Asien, nördliches Afrika. | L'Europe, P’Asie,l’Afrique septentrionale. Alcedo rudis. Geschäckter Eisvogel. Martin-pecheur pie.
Hasselquist, It., p. 243, n°. 22. — Linn., p. 181, n’. 12. — Ceryle rudis, Boie, Isis, 1828, p. 316. — Gould, PI. 62.
Südôstliches Europa, Afrika. N Les parties chaudes de l’Europe orien- |. tale, l'Afrique.
BIENENFRESSER. GUEPIERS. MEROPS. BIENENFRESSER. GUÉPIER. Merops apiaster. Gemeiner Bienenfresser. Guepier vulgaire.
Linn., p. 182, n°. 1. — Naumann, Taf. 145. — Gould, PI. 59. Südliches Europa, Egypten. | L'Europe méridionale , l'Égypte.
LI Merops persica, Südlicher Bienenfresser. Guepier méridional. _ Pallas, It., II, app. n°. 16. — Merops aegyptius, Forskal, Descr. an., Aves, p. 1, sp. 2. — Guépier Savigny, Levaill., Hist. Nat. Promerops etc., Pl. 6 et Pl. 6 bis. — Merops Savignyi, Swainson, Birds of West. Afr., II, p. 77, Pl. 7. — Merops aegyptius, Ch. Bonap. , Fauna Ital., Tav. 25, fig. 1.
Nordafrika, kaspisches Meer, zuweilen L’Afrique septentrionale ; les bords de im südlichen Europa. la Mer Caspienne, accidentellement dans le midi de l’Europe.
KRAHENARTIGE VOGEL. CORACES. CORVUS. HRAHE. CORBEAU..
«. Eigentliche Krähen. Corbeaux proprement dits. Corvus corax. Rabe. Corbeau.
Linn., p. 155, n°. 2, — Naumann, Taf. 53. — Gould, PI. 220.
Europa , Sibirien, auf den Fär-Inseln | IEurope, la Sibérie ;. on observe sou- häufig eine weissgefleckte Abart: Corvus vent aux îles Fär une variété tapirée de varius, Brünnich , Orn. bor. , p. 8 , n°. 28; blanc du corbeau; c’est le Corvus varius, Corvus leucophaeus, Vieill., Galerie, I, Brünnich, Orn. bor., p. 8, n°. 28, PI. 100. et Corvus leucophaeus, Vieillot., Gal., I,
PI. 100.
Corvus corone (TAbis). Rabenkrähe. Cornerlle notre.
Gmel. , Latham, Index, I, p. 151, n°. 4 — Naumann, Tab. 53. — Gould, PI. 221. 4
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Liv Corvus cornia. Nebelkrähe. Corneille mantelée.
Linné, p. 156, n°, 5, — Naumann, Tab, 54. — Gould, PI, 222. Europa, Sibirien. - | L'Europe, la Sibérie,
Corvus frugilegus, Soalkrähe. Freux.
Linne, p. 156, n°. 4 — Corvus corone, Linné, Fauna suec., p. 29, n°. 86. — Naumann , Tab. 55. — Gould, PI. 224. Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale,
b. Dohlen. Choucas.
Corvus monedulu. Gemeine Dohle. Choucas commun.
Linné, p. 156, n°. 60, — Monedula turrium, Brehm , Handb. , p. 172. — Naumann, Tab. 56. — Gould , Pl. 223.
Europa, Sibirien, ; .| L'Europe, la Sibérie. Corvus monedula nigra (75). Schwarze Dohle. Choucas noir.
Gmel. Linn., p. 368, no. 6, à. — Monedula nigra; Sperma- legus s. frugilega, Frisch, Tab. 68. — Corvus spermologus , Vieillot, Nouv. Dict. Déterv., T. 8, p. 40.
Südliches Frankreich, soll in Spanien | La France méridionale ; commun, à ce, gemein seyn, | que Pon dit, en Espagne.
PICA, ELSTER, PIE. Pica vuriu. TWemeine Elster, Pie commune.
Gessner , Aves, fol. 965. — Corvus pica, Linne, p: 157, n° 13, — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 216.
Europa, Sibirien, | LEurope, la Sibérie,
+ re
Lv Pica cyanea. Blaue Elster. Pie bleue: > Wagler, Syst: Avium , sp. 6.— Corvus cyaneus, Pallas, It., II ; app- , p- 694, n°. 7. — Gould, PI 217. Spanien, Mongolei, Japan. | L'Espagne, la Mongolie , le Japon.
CARYOCATACTES. NUSSHNACHER. CASSENOIX.
Caryocatactes caryocatactes. Gemeiner Nussknacker. Casse- à | noix ordinaire.
Cuv., Règne an., I, p. 423. — Corvus caryocatactes, Linné, p- 157, n°. 10. — Naumann, Tab. 58 — Gould, PI. 213. “ Gebirgsgegenden des gemässigten und Contrees montagneuses de la Siberie et nördlichen Europas und Sibiriens. de l'Europe tempérée et septentrionale. -
GARRULUS. HEHER: GEAI. a. Eigentliche Heher. Geais proprement dits. Garrulus glandarius. Mussheher: (Gear glandivore.
Cuv., Règne an., I, p. 422. — Corvus glandarius, Linne, p. 156, n°. 7. — Naumann, Tab. 58. — Gould, PI. 215.
Gemässigtes Europa. Il L'Europe temperee.
Garrulus glandarius melanocephalus (76). Schwarzköpfiger Nussheher.. Great glandivore a calotte notre.
Garrulus melanocephalus, Gene, Mém. Ac. Turin, XXXVI, D: 298 , PI. 1.
Kaucasus, Syrien. | Le Caucase, la Syrie. \
LVI b, Meisenheher. Geais imitateurs.
Garrulus infaustus, (remeiner Meisenheher. Geai imitateur ordinaire.
Boie, Reise in Norwegen , Append. — Corvus infaustus, Linné,
Fauna suec., p. 32, n°. 93. — Dysornithia infausta, Swainson, Fauna Bor. Am., Birds, p. 495. — Gould, PL 215. Nördliches Europa und Asien. | Le nord de l'Europe et de PAsie.
PYRRHOCORAX. ALPENHRAHE. CHOCARD.
Pyrrhocorax pyrrhocorax. (remeine Alpenkrähe. Chocard des Alpes.
Cuvier, Règne an., I,p. 379. — Corvus pyrrhocorax, Linné, p. 158, n°. 17. — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 218.
Gebirge Südeuropa’s, | Les montagues de l’Europe méridionale.
FREGILUS. STEINHRAHE. CRAVE. Fregilus graculus. Gemeine Steinkrähe. Crave d'Europe. Cuv., Règne an., I, p. 458. — Corvus graculus, Linné, p- 158, n°. 18. — Naumann, Tab. 57. — Gould, PI. 219. |
Einige Felsenküsten Grossbritanniens, Les Alpes de la Suisse, du Caucase et Alpen , Kaukasus, sibirische Alpen. de la Siberie; se trouve aussi sur plu- sieurs points des cötes rocailleuses de la
| Grande Bretagne.
RACKEN. ROLLIERS. CORACIAS. RACHE. ROLLIER.
Coracias garrula. Blaue Racke. Rollier vulgaire.
Linne, Syst., XII, p. 159, n°. 1. — Naumann, Tab. 60. — Gould, PI. 60. | | Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe tempérée et méridionale , PA- Nordafrika, westliches Sibirien. frique septentrionale, la Sibérie occiden- tale.
EVII
SEIDENSCHWANZE. JASEURS. BOMBYCILLA. SEIDENSCHWANZ. JASEUR.
Bombyeilla garrula. Gemeiner Seidenschwanz. Grand Jaseur.
Vieill., Nouv. Dict., vol. 16, p. 523. — Bombycilla bohemica , Brisson, Orn., II, p. 333, n°. 63. — Lanius garrulus, Linne, Fauna suec., n°. 82. — Ampelis garrulus, Linné, Syst., XII, p- 297, no. 1. — Garrulus bohemicus, Gessner, Av., p. 703. — Bombycivora garrula, Temm., Man., I, p. 124. — Bombyciphora poliocoelia, Meyer, Vögel Liv. u. Esthl., p. 104. — Naumann, Tab. 59. — Gould, PI. 160.
Nördliches Asien, in gewissen Jahren L'Asie septentrionale, de temps à auf dem Zuge in Europa. temps de passage en Europe.
STAARE. ÉTOURNEAUX. STURNUS. STAAR. ÉTOURNEAU.
Sturnus vulgaris. Bunter Staar. Etourneau vulgaire.
Linne, Syst., XII, p. 290, n°, 1. — Naumann, Tab. Bar, Gould, Pl. 210. |
Europa, südwestliches Sibirien , Nord- L’Europe . les parties méridionales de la
afrika. | Sibérie occidentale , le nord de l’Afrique.
Sturnus vulgaris unicolor. KEinfarbiger Staar. Etourneau unticolore. -
Sturnus unicolor, Marmora in Temm., Man., I, p. 133 et Pl. col. 111. — Ch. Bon., Icon. d. Faun. ital., I, Tab. 33, fig. 1. — Gould, PI. 211.
Sardinien, Algerien. [| La Sardaigne, l'Algérie,
LVIIT PASTOR, FVIEHVOGEL. MARTIN. Pastor roseus. Rosenfarbiger Viehvogel. Martin roselin.
Temm., Man., I, p. 136. — Merula rosea, Aldrov., Orn., II, p- 626. — Turdus roseus, Linné, Syst., XII, p. 294, n°. 15. — Pastor roseus, Temm., Man., I, p. 136. — Acridotheres roseus, Ranzani, Elem. Zool., III, p. 177. — Ch. Bonap., Icon. Faun. ital., I, Tab..32. — Naumann, Tab. 63. — Gould, Pl. 212.
“ Südöstliches Europa, Afrika, westli- Les contrées chaudes de l'Europe orien- ches Asien. tale, l'Afrique, l'Asie occidentale.
LERCHEN. ALOUETTES. ALAUDA. LERCHE. ALOUVETTE.
a. Bogenschnäblige Lerchen. Alouettes a bee en faux.
Alauda bifasciata (77). Zweibindige Lerche. Alouette double- bande. he
Gould, Birds of Europe, Pl. 168. -—- Certhilauda bifasciata , Ch. Bon., List, p. 37. )
Andalusien. | L’Andalousie.
Alauda Dupontii (78). Dupont’s Lerche. Alouette Dupont.
Vieill., Faune franc., p. 173, Pl. 76, fig. 2. — Roux, Orn. prov., I, p. 285, Pl. 186. — Werner, Atlas du Manuel, Pi.
Nordafrika? zufällig im südlichen Eu- L’Afrique septentrionale ? accidentelle- ropa. | ment dans le midi de l'Europe.
LIX 5, Eigentliche Lerchen. Alouettes proprement dites. Alauda arvensis (79). Feldlerche. Alouettes des champs.
Linné , p. 287, n°. 1, — Naumann , Taf. 100. — Gould, PI. 166.
Europa, Sibirien, Kleinasien, Ara- ‘Europe, la Sibérie, l’Asie mineure, bien, Unteregypten. l'Arabie, la basse Égypte.
Alauda cristata. Haubenlerche. Alouette cochevis.
Linné, p. 288, n°. 6. — Naumann, Tab. 99. — Gould, PI. 165.
Gemässigtes und südliches Europa, Si-
L'Europe tempérée et méridionale, la birien, nordöstliches Afrika.
Sibérie, les parties septentrionales de PAfrique orientale.
Alauda arborea. Baumlerche. Alouette lulu.
Linne, p. 287, n°. 3, — Naumann, Tab. 100. — Gould, PI. 167.
Europa , Sibirien, Kleinasien, | L'Europe, la Sibérie, l'Asie mineure.
Alauda brachydactyla (80). Kurzzehige Lerche. Alouette calandrelle.
Leisler, Wetter. Ann., III, p. 357. — Melanocorypha arenaria, Ch. Bon., List., p. 38, n°. 256. — Naumann, Tab. 98. — Gould, PI. 163.
Südliches Europa, Egypten, Nubien, L’Europe meridionale, PÉgypte, la Abyssinien, Nubie, l’Abyssinie,
Lx _ Alauda isabellina. Isabellfarbige Lerche. Alouette isabelle.
Temm., PI. col. 244, fig. 2. — Alauda deserti, Lichtenst., Ca- talog., 1823, p. 28, n°. 286. — Temm., Manuel, III, p. 637.
Ober-Egypten, Griechenland. - | La haute Égypte, la Grèce.
Alauda alpestris (81). Berglerche. Alouette à hausse-col noir.
Linne , p.289 , n°. 10. — Phileremos alpestris, Brehm, Handb., | p. 313. — Naumann, Tab. 99. — Gould, PI. 164.
Nordôstliches Europa, nôrdliches Asien, Les parties orientales du nord de P’Eu- einzeln in Mittel-Europa. rope, l'Asie septentrionale, accidentel- lement dans l'Europe centrale.
ec. Dickschnäblige Lerchen. Alouettes à bec gros. Alauda tatarica. Steppenlerche. Alouelte nègre.
Pallas, It., II, app. n°. 15. — Alauda mutabilis, S. G. Gmel., Nov. “Comm. Petrop., XV, p. 479, Tab. 23, fig. 2. — Melano- corypha tatarica, Ch. Bon., List, p.38. — Gould, PI. 161.
Südliches Russland, Tatarei. | La Russie méridionale, la Tatarie.
Alauda calandra. Kalanderlerche. Alouette calandre.
Linné, p. 288, ne 9. — Melanocorypha calandra, Boie, Isis, 1828, p. 322. — Naumann, Tab. 98. — Gould, PI. 162.
Südliches Europa, Kleinasien, Nord- Le midi de l’Europe, l’Asie mineure, afrika. PAfrique septentrionale. |
Alauda sibirica. Sibirische Lerche. Alouette de Sibérie.
Gmel. Linné, p. 799, n°. 31. — Alauda calandrae affinis, Pallas, It. app., n°. 15. — Alauda leucoptera, Pallas, Zoogr., I, p. 518, n°. 147, Tab. XXXIIT, fig. 2.
Südliches Russland, Tatarei. | La Russie méridionale, la Tatarie.
LXI
FINKENARTIGE VÖGEL. FRINGILLOÏDES.
FRINGILLA. FINH. PINSON.
a. Eigentliche Finken. Pinsons proprement dits. Fringilla coelebs. Buchfink. Pinson ordinaire.
Linne, p. 318, n°. 3. — Naumann, Tab. 118. — Gould, Pl. 187. Europa, Sibirien, Nordafrika. L’Europe, la Sibérie, l’Afrique septen- | trionale.
Fringilla montifringilla. Bergfink. Pinson de montagne.
Linne, p. 318, n°. 4. — Naumann, Tab. 119. — Gould, PI. 188.
Europa, Kleinasien , Sibirien. | L'Europe, l’Asie mineure, la Sibérie. b. Schneefinken. Pinsons de neige.
Fringilla nivalis. Alpen-Schneefink. Pinson de neige des Alpes.
Brisson, Orn., III, p. 162, Tab. 15, fig. 1. — Montifringilla nivalis, Brehm, Handb, p. 269. — Naumann, Tab. 117. — Gould, PI. 189.
* Schweizer Alpen, Kaukasus. | Les Alpes Suisses, le Caucase, €. Grünlinge. Verdiers. Fringilla chloris. (Gemeiner Grünling. Verdier ordinaire.
Illiger, Prodr., p. 222. — Loxia chloris, Linné, p. 304, n°. 27. — Chlorospiza chloris, Ch. Bon., List, p. 30. — Naumann, Tab. 120. — Gould, PI. 200.
Europa. F L'Europe,
LXIT _Fringilla incerta. Bastard-Grünling. Verdier bätard.
Risso, Hist. nat. de l’Eur. mer., III, p. 52, n°. 135. — Roux, Orn. prov., I, Suppl. p. 378, PI. 78 bis (fem.). — Chlorospiza incerta, Ch. Bonap., List, p. 30, n°. 206; Fauna italica, I, Tab. 38 (mas. et fem.). |
Südliches Frankreich. | La France méridionale.
d. Citronenfinken. Venturons.
Fringilla citrinella. Gemeiner Citronenfink. Venturon ordi= naire.
Linné, p. 320, n°. 16. — Citrinella serinus, Ch. Bonap., List, p- 34 — Citrinella alpina, Ch. Bon. Cat., p. 48. — Naumann, Tab. 124.,— Gould, PI. 198.
Südliches Europa, | Le midi de l’Europe.
e. Hänflinge. - Linottes.
Fringilla cannabina. Bluthänfling: Linotte vulgaire.
Linné, p. 322, n°, 28. — Cannabina arbustorum, Brehm 5 Handb. , p. 277. — Naumann, Tab: 121: — Gould; PI. 191. Europa, Kleinasien, Abyssinien. | L’Europa, l’Asie mineure, PAbyssinie.
Fringilla flavirostris (82). Berghänfling: Linotte de montagne.
Linné, p. 322, n°. 27. — Fringilla montium, Gmel. Linné, p- 917, n°. 68. — Naumann, Taf. 122. — Gould, PI. 192.
“ Nôrdliches Europa, im Winter im Le nord de l'Europe, visite en hiver gemässigten u. südlichen Europa. té PEurope tempérée et méridionale.
LXITT
._ f. Leinfinken. Siserins. Fringilla linaria. Gemeiner Leinfink. Siserin ordinaire.
Linné, p. 322, n°0. 29. — Linaria rubra, Gessner, Aves, p. 591. — Naumann, Tab. 126. — Gould, PI. 194.
Nördliches Europa und Asien, im Win- Le nord de l'Europe et de l'Asie, vi-
ter im gemässigten Europa. site en hiver l'Europe temperee.
Fringilla canescens (83). Grauer Leinfink. Siserin grisätre.
De Selys Longchamps , Faune belge, I, p. 73. — Linaria ca- nescens, Gould, Pl. 193.
Nördlichstes Amerika, Japan, im Win- . L'Amérique du nord, le Japon, enhi- ter zufällig in Europa. ver accidentellement en Europe.
g:. Distelfinken. Chardonnerets.
Fringilla carduelis. Gemeiner Distelfink. Chardonneret ordi- naire.
Linné, p. 318, n°. 7. — Carduelis nobilis, Albert., Magn., De anim., Lib. XXIII, fol. 187. — Naumann, Tab. 124. — Gould, PI. 196. |
Europa, westliches Sibirien , Kleinasien. L’Europe , la Sibérie occidentale, l'Asie mineure.
h. Zeisige. Tarins.
Fringilla spinus. Erlenseisig. Tarin commun.
£
Linné, p.322, n°. 25. — Chrysomitris spinus, Boie, Isis, 1828, p- 322. — Naumann, Tab. 125. — Gould, PI. 197. Europa. | L'Europe,
LXIV
PASSER. SPERLING. MOINEAU.
Passer domesticus. Haussperling. Moineau domestique.
Gessner, Av., p. 643. — Fringilla domestica, Linne,, p. 323, n°, 36. — Naumann, Tab. 115. — Gould, PI. 184, fig. 1.
Gemässigtes und nördliches Europa. | L’Europe temperee et septentrionale,
Passer domesticus cisalpinus. Jlaliänischer Haussperling. Moineau cisalpin.
Fringilla cisalpina , Temm., Man., I, p. 351. — Fringilla Ita- liae, Vieill., Nouv. Dict. Deterv., XII, p. 199; Galer., I, PI 63, p. 76. — Gould, PI. 184, fig. 2.
Italien, Kärnthen. | L'Italie, la Carinthie,
Passer salicarius. Schwarzbrüstiger Sperling. Moineau à poitrine notre.
Passer domesticus salicarius, Keys. u. Blas., p. XL. — Fringilla hispaniolensis, Temm., Man., I, p. 353. — Gould , PI. 185, fig. 1
Inseln und Küsten des Mittelmeeres, Les îles ei.les côtes de la Méditerranée, Nordafrika, Bucharei. l'Afrique septentrionale, la Boukharie.
Passer montanus (63 bis). Feldsperling. Moineau friquet.
Aldrov. Orn., p. 560. — Fringilla montana, Linné, p. 324, n°. 37. — Naumann, Tab. 116. — Gould, PI. 184, fig. 2.
Europa, gemässigtes Asien. | L'Europe, l’Asie tempérée:
LXV
Passer petronia. Sleinsperling. Moineau soulcie.
Fringilla petronia, Linne, p. 322, n°. 30. — Petronia marina, Willughby, Orn., p. 195. — Naumann, Tab. 116. — Gould, PI. 186.
Südliches Europa. | 1’Europe méridionale.
Passer pusillus (84). Alpensperling. Moineau des Alpes.
Pallas, Zoogr., II, p. 28, n°. 196, c. fig.
Kaukasus. _ | Le Caucase.
COCCOTHRAUSTES. KHERNBEISSER. GROS-BEC. a. Eigentliche Kernbeisser. Gros-becs proprement dits.
Coccothraustes vulgaris. (remeiner Kernbeisser. Gros-bec commun.
Pallas, Zoogr., Il, p. 12, n°. 182. — Loxia coccothraustes, Linné, p. 299, n°. 2. — Naumann, Tab. 114. — Gould, PI. 199. Europa, Sibirien. | L’Europe, la Sibérie,
b. Finken-Kernbeisser. Gros-becs pinsons.
Coccothraustes caucasicus (85). Alpenkernbeisser. Gros- bec des Alpes.
Pallas, Zoogr., II, p. 13, n°. 183. — Loxia rubicilla, Gül- denst., Nov. Comm. Petr., XIX, p. 464, n°. 1, Tab. 12.
Kaukasus, | Le Caucase,
LXVI PYRRHULA. GINPEL. BO UVRE UIL. a. Eigentliche &impel. Bouvreuils proprement dits. Pyrrhula vulgaris (86). Gemeiner Gimpel. Bouvreuil commun.
Temm., Man., I, p. 338. — Loxia pyrrhula, Linné, p. 300, no. 4. — Naumann, Tab. 111. — Gould, PI. 209.
Europa, Sibirien. | L’Europe , la Sibérie. b. Grüngimpel. Serins. Pyrrhula serinus. (Gemeiner Grüngimpel. Serin cini.
Keys. u. Blas., p. XLI. — Fringilla serinus, Linne, p. 320, n°. 17. — Serinus meridionalis, Brehm, Handb., p. 255. — Nau- mann, Taf. 123. — Gould, PI. 195.
Südliches Europa, Nordafrika. Le midi de l'Europe, l’Afrique sep-
tentrionale.
Pyrrhula serinus islandica (87). Isländischer Grüngimpel. Serin d'Islande.
Fringilla islandica, Faber, Isis, 1826, p. 1053. — Loxia seri- nus , Faber, Prodromus d. isl..Orn, p. 14; Isis 1824, p. 792, n°. 1. Island. | L’Islande.
€. Rosengimpel. Bouvreuils-rose.
Pyrrhula githaginea (88). Egyptischer Rosengimpel. Bou- vreuil-rose githagine.
Temm. , Pl. col. 400, fig. 1 et 2. — Fringilla githaginea, Licht., Catal., p. 24, n°. 242. — Erythrospiza githaginea, Ch. Bonap., Osserv. Règne an., p. 80, sp. 3; Fauna italica, I, Tav. 35, fig. 3. — Gould, PI. 208.
Egypten, Nubien, einzeln im südlichen L’Egypte, la Nubie, en petit nombre
Europa. dans l'Europe méridionale.
LXVIL
Pyrrhula erythrina. Brand-Rosengimpel. Bouvreu:il-rose cramotst.
Temm., Man., I, p. 336. — Loxia erythrina, Pallas, Nov. Comment. Petrop., XIV, p. 587. — Erythrothorax rubrifrons , Brehm, Handb., p. 249. — Naumann, Tab. 113. — Gould, PI. 206.
Ostliches Europa, Sibirien. | L'Europe orientale, la Sibérie.
Pyrrhula rosea. Sibirischer Rosengimpel. Bouvreuil - rose Pallas.
Temm., Man., I, p. 335. — Fringilla rosea, Pallas, It., IIT, app., no. 26. — Naumann, Tab. 113. — Gould, PI. 207.
Östliches Sibirien, einzeln in Ungarn Les parties orientales de la Siberie, und Östreich beobachtet. observe en Hongrie et en Autriche.
d. Hackengimpel. Dur-becs.
Pyrrhula enucleator. (remeiner Hackengimpel. Dur - bec vulgaire.
Temm., Man., I, p. 333. — Loxia enucleator, Linn., p. 299, n°. 3. — Corythus enucleator, Cuv., Règne an., I, p. 415. — Naumann, Tab. 112. — Gould, PI. 204.
Norden beider Welten. | Les regions septentrionales des deux
mondes. LOXIA, HREUZSCHNABEL. BEC-CROISÉ.
Loxia pytiopsittacus. Kiefernkreuzschnabel. Bec - croisé perroquet.
Bechst., Orn. Taschenb., I, p. 106. — Naumann, Tab. 109. — Gould, PI. 201.
Nôrdliches und gemässigtes Europa. | L’Europe septentrionale et tempérée.
LXVIIT
_Loxia curvirostra. Fichtenkreuzschnabel. Bec- croisé des pins.
Linné, p. 299, n°. 1. — Naumann, Tab. 110. — Gould, PI. 202.
Gemässigtes und nôrdliches Europa. | L'Europe septentrionale et temperee, le nord de l'Asie.
Loxia bifascata (89). Zweibindiger Kreuzschnabel. Bec-croise double bande.
De Selys Longchamps, Faune belge, p. 76, n°. 68, PI. IV, fig. 2. — Crucirostra bifasciata, Brehm, Isis, 1827, p. 820; Or- nis, III, p. 85. — Loxia taenioptera, Gloger, Isis, 1828, p. 441; Handbuch, p. 354, n°. 1, (ex parte). — Loxia leucoptera, Nils- son, Skand. Fauna, Fogl., I, p. 440, n°. 3, (part.); Illum. , Fig. PI. 20.
Im Winter, auf dem Zuge, in vielen Observé en hiver, lors de l’époque de la Gegenden Europa’s beobachtet; bewohnt migration, dans plusieurs parties de l’Euro- wahrscheinlich das nördlichste Asien. pe; habite probablement l’Asie arctique,
AMMER. BRUANTS.
EMBERIZA (9). AMMER. BRUANT.
Emberiza citrinella. Goldammer. Bruant jaune.
Linné, p. 309, no. 5, — Naumann, Tab. 102. — Gould, PI. 173. Europa. | L'Europe.
Emberisza cèrlus. Zaunammer. Bruant de hate. Linné, p. 311, n°. 12. — Naumann, Tab. 102. — Gould, PI. 175.
Südliches und gemässigtes Europa, L'Europe méridionale et tempérée, ‚Kleinasien. l'Asie mineure. ,
LXIX
Emberiza chrysophrys (91). Gelbbrauiger Ammer: Bruant a sourcils jaunes.
Pallas, It., IIT, app., n°. 25; Zoogr., II, p. 46, n°. 210, c. fig. — De Selys Longchamps, Faune belge, I, p.81, n°. 77, PI. 4, fig. 1.
Daourien, zufällig in Europa. | La Daourie, accidentellement en Europe. Emberiza hortulana. Ortolan-Ammer. Bruant ortolan..
Linne, p. 309, n°. 4. — Naumann, Tab. 103. — Gould, PI. 176.
Gemässigtesund südliches Europa , west- L’Europe- tempérée et méridionale, la liches Sibirien, Kleinasien. Sibérie occidentale, l’Asie mineure.
Emberiza caesia. Grauköpfiger Ammer. Bruant cendrillard.
Emberiza caesia , Mus. Francof., Cretzschmar in Rüppell , Atlas, Vögel, p. 17, Tab. 10 B. — Roux, Orn., PI. 112 bis — Gould, PI. 181.
Südliches Europa, Egypten. | Le midi de PEurope, l'Égypte.
Emberiza cia. Zippammer. Bruant fou.
Linné , p. 301 , n°. 11. — Naumann. , Tab. 104. — Gould, PI. 179: Südliches Europa, | Le midi de l'Europe.
Emberiza striolata. (Gestreifter Ammer. Bruant striolé.
Emberiza striolata , Mus. Francof. , Gretzschm. in Rüppell, Reise, Atlas, p. 15, Tab. 10 A.
Nordafrika, Andalusien, zufällig- in L’Afrique septentrionale, l’Andalousie ,
Mitteleuropa. accidentellement dans PEurope centrale.
LXX
. Emberiza pithyornus. Fichtenammer. Bruant à couronne lactée.
Pallas, It., II, app., n°. 22. — Naumann, Tab. 104. — Gould, PI. 180.
Sibirien , zufällig im östlichen Europa. a Sibérie, accidentellement dans l’Eu-
rope occidentale.
Emberiza aureola (92). Kragenammer. Bruant aureole.
Pallas, It., II, app., no. 23.
Kaltes Sibirien vom Ural bis Kamt- Les regions froides de la Siberie de-
schatka. puis l’Oural jusqu'au Camtchatka.
Emberiza schoeniclus. Rohrammer. Bruant des roseaux.
Linné, p. 311, no. 17. — Naumann, Tab. 105. — Gould, PI. 183. Europa, warmes Sibirien. | L’Europe, les regions chaudes de la | Sibérie,
Emberiza palustris. Sumpfammer. Bruant des marais.
Savi, Orn. Tosc., II, p. 91, et III p. 225. — Emberiza pyrrhu- loides , Pallas, Zoogr., Il,p. 49, n°. 212. — Emb. caspia, Men., Catal., p. 41, n°. 101.— Ch. Bonap., Fauna ital., I, Tab. 34. — Gould, Pl. 184.
Südliches Europa. | Le midi de l'Europe,
Emberiza fucata (93). Grossfleckiger Ammer. Bruant peint.
Pallas, It., app. n°. 22; Zoogr., Il, p. 41, n°. 205, c. fig. — Le Gavoué de Provence, Buffon, PI. enl., 656, 1;
EXXI
Hist. nat. d. Ois., IV, p. 321. — Emberiza provincialis, Gmel. , Linné, I, p. 881, n°. 59. — Emberiza lesbia, Temm., Man., III, p. 235. — Emberiza lesbia, Gould, Pl. 178. — Emberiza Du- razzi, Ch. Bonap., Fauna Ital., 1, Tav. 35, fig. 2.
Daourien, Japan, einzeln im südli- | La Daourie, le Japon, en petit nom- chen Frankreich. bre dans le midi ‘de la France.
Emberiza rustica. Feldammer. Bruant rustique.
Pallas, It., II, app-., n°. 21; Zoogr., Il, p. 43, n°. 207, c. Tab. — Le Mitilene de Provence, Buffon, PI. enl. 656, 2; Hist. nat.d. Ois., IV, p. 322. — Emberiza lesbia, Gmel. Linné, I, p.882, n°. 60. — Emberiza borealis , Zetterst., Resa i Lappm., I, p. 107. — Emperiza lesbia, Temm., Man., I, p. 317; Calvi, Catal. d. Ornit. di Genova, p. 46; Savi, Orn. Tosc, III, p. 223. — Emberiza rustica, Temm.,Man., III, p. 229. — Emberiza Durazzi, Ch. Bonap., Fauna Ital., I, Tab. 35, fig. 1 (?). — Gould, PI. 177.
Östliches Sibirien, Kamtschatka, Ja-
pan, zufällig in Europa.
La Siberie orientale, le Camtchatka,
le Japon, accidentellement en Europe. Emberiza pusilla (94). Zwergammer. Bruant nain.
Pallas, It., III, app., n°. 20; Zoogr., II, p. 42, n°. 206.
Daourien , zufällig in Europa. | La Daourie , accidentellement en Europe,
Emberiza miliaria. Grauammer. Bruant proyer.
Linne, p. 308, n°. 3. — Naumann, T. 101. — Gould, Pl. 171. — Cynchramus miliaria, Ch. Bon., List, p. 35.
Europa , Kleinasien, Arabien. | L'Europe, PAsie mineure, l’Arabie,
LXXII
. Emberiza melanocephala. Schwarzköpfiger Ammer. Bruant crocote.
Scopoli, Ann., I, p. 142, n°. 208. — Tanagra melanictera , Gül- denst. , Nov. Comm. Petr., XIX ,p. 466. — Xanthornus caucasicus, Pallas, Zoogr., I, p. 428, n°. 74. — Euspiza melanocephala, Ch. Bonap., List, p. 32. — Emberiza granativora, Men., Catal., I, p. 40, n°. 99. — Naumann, Tab. 101. — Gould, PI. 172.
Südöstliches Europa, Kleinasien. Les parties chaudes de l’Europe orien- tale, l’Asie mineure.
PLECTROPHANES. SPORNAMMER. PLECTROPHANE.
Plectrophanes nivalis. Schnee-Spornammer. Plectrophane de neige.
Meyer, Taschenb., I, p. 187. — Emberiza nivalis, Linne, p. 308, n°. 1. — Naumann, Tab. 106 et 107. Gould, Pl. 170.
Arktischer Kreis, besucht im Winter Le cercle arctique, visite en hiver P’Eu-
das gemässigte Europa. rope temperee.
Plectrophanes calcaratus. Lerchen-Spornammer. Plectro- phane montain.
Meyer, Taschenb., III, p. 57. — Fringilla lapponica, Linne, p- 317, n°. 1. — Fringilla calcarata, Pallas, It., II, app., n°. 20. — Emberiza calcarata, Temm., Man., I, p. 322. — Nau- mann, Tab. 108. — Gould, PI. 169.
Arktischer Kreis, im Winter in gemäs- Le cercle arctique, visite en hiver les sigteren Strichen. | regions tempérées de l’Europe.
LXXIIL
HÜHNERARTIGE VÖGEL. GALLINACÉS.
TAUBENARTIGE VOGEL. COLOMBES. COLUMBA. TAUBE. PIGEON.
a. Eigentliche Tauben. Colombes.
Columba palumbus. Rıngeltaube. Colombe ramier.
Linne, p. 282, n°. 19. — Naumann, Tab. 149. — Gould, PI. 243.
Europa, einzeln in Sibirien, im Win- L’Europe, rare en Siberie, visite en ter in Nordafrika. hiver l'Afrique septentrionale.
Columba oenas. Holztaube. Colombe colombin.
Gmel. Linné, p. 769, no.2. — Naumann, Tab. 151. — Gould, Pl. 244.
Europa, westliches Sibirien, im Win- L’Europe, la Sibérie occidentale, visite ter in Nordafrika. en hiver le nord de PAfrique.
Columba livia. Feldtaube. Colombe biset.
Brisson, Orn., I, p. 82, n°. 3. — Naumann, Tab. 150. — Gould, PI. 245.
Felsige Küsten Südeuropa’s, Eng- Les côtes rocailleuses de l'Angleterre,
lands und des südlichen Norwegens; Ufer de la Norwege meridionale et du midi de des Kaspischen Meeres, Daourien , Nord- l’Europe ; les bords de la mer caspienne ,
afrika, la Daourie, l’Afrique septentrionale,
LXXIV
b. Turteltauben. Tourterelles.
Columba turtur. Gemeine Turteltaube. Tourterelle ordinaire.
Linné, p- 284, n°. 32. — Turtur auritus, Ray, Av., p. 61, n°. 2. — Naumann, Taf. 152. — Gould, PI. 246.
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale.
Columba aegyptiaca (95). Aegyptische Turteltaube. Tourte- relle d'Egypte.
Latham, Ind. Orn., Il, p. 607, n°. 49. — Temm., Pig. et Gall., in 8°, I, p. 370 et 461. — Columba cambayensis, Temm. , Pig. in fol., p. 100, Pl. 45.; Descr. de l'Égypte, Vol. XXI, P1.5, fig. 9. — Columba maculicollis, Wagler, Syst. Avıum, Co- lumba n°. 97.
Griechenland, Türkei, Kleinasien , La Grèce, la Turquie, P’Asie mineu- Aegypten. re, l'Égypte.
c. Wandertauben. Pigeons voyageurs.
Columba migratoria. (Gemeine Wandertaube. Pigeon voya- geur commun.
Linné, p. 285, n°. 36. — Ectopistes migratoria, Swainson, Fauna bor.-am., Birds, p. 363. — Wilson, Pl. 44, fig. 1. — Audubon, PI. 62.
Nordamerika, zufällig in Europa. L'Amérique du nord, accidentellement en Europe.
EIGENTLICHE HUHNERVOGEL. GALLINACÉS PROPREMENT DITS,
PHASIANUS. FASAN. FAISAR: Phasianus colchicus (96). Gemeiner Fasan. Faisan commun.
Linné, p. 271, n°. 3. — Naumann, Tab. 162. — Gould, Pl. 247.
Ufer des Kaspischen Meeres. | Bords de la mer caspienne.
ILXXV
TETRAO. WALDHUHN. TETRAS.
à. Eigentliche Waldhühner.
'
Tetrao urogallus. Auer-Waldhuhn. Tetras auerhan.
Linne, p. 273,n°. 1. — Naumann, Tab. 154 et 155. — Gould, Pl. 248.
Gemässigtes und nördliches Europa , L’Europe septentrionale et tempérée, Sibirien. la ‘Sibérie.
Tetrao tetrix. Birk-Waldhuhn. Tetras birkhan.
Linne, p. 274, n°. 2. — Lyrurus tetrix, Swains., in Fauna bor. amer., p. 497. — Naumann, Tab. 157. — Gould, Pl. 250.
Gemässigtes und nördliches Europa, L’Europa septentrionale et temperee, Sibirien. la Siberie.
b. Haselhühner. Gelinottes. Tetrao bonasia. (remeines Haselhuhn. Gelinotte commune.
Linne, p. 275, no. 9. — Bonasia sylvestris, Brehm, Vögel Deutschl. , p. 513. — Naumann, Tab. 158. — Gould, PI. 251.
Gemässigtes und nördliches Europa ,
L’Europe tempérée et septentrionale , Sibirien.
la Sibérie,
c. Schneehühner. Lagopedes. Tetrao saliceti (97). Morast-Schneehuhn. Lagopede des saules.
Temm., Man., IT, p. 471. — Tetrao albus, Gmel. Linné, p. 750, n°. 23. — Lagopus albus, Ch. Bonap., List, p. 44 — Naumann, Tab. 159. — Gould, PI 255.
Nordöstliches Europa, nördliches Asien, Les régions froides de l’Europe orien- nördliches Amerika. tale, le nord de l’Asie, l'Amérique sep-
tentrionale.
LXXVI
_ Tetrao saliceti scoticus (98). Schottisches Morast-Schneehuhn. Lagopede des saules d’Ecosse.
Tetrao scoticus, Latham , Ind. Orn. , p. 641, n°.15. — Gould, Pl. 252. Schottland, England. | L'Écosse, l'Angleterre.
Tetrao lagopus (99). Felsen - Schneehuhn. Lagopede ptar- migan.
Temm, Man., II, p. 468. — Naumann, Tab. 161 et 162. —
Gould, Pl. 253 et 254.
Alpen, Gebirge Skandinaviens und Schottlands, Nordamerika.
Les Alpes, les montagnes de la Scandina- vie et de l’Ecosse; l'Amérique du nord.
Tetrao lagopus islandicus (100). Isländisches Felsen-Schnee- huhn. Lagopede ptarmigan d'Islande. |
Tetrao islandorum, Faber, Prodr., p. 6, n°. 1. — Tetrao is- landicus, Brehm, Lehrb., p. 440. Island. | l'Islande,
TETRAOGALLUS. ALPENHUHN. TETRAOGALLE.
Tetraogallus caucasicus (101). Kaukasisches Alpenhuhn. Tetraogalle du Caucase. |
Tetrao caucasicus, Pallas, Zoogr., II, p. 76, n°. 225, c. Tab.
Kaukasus, | Le Caucase.
LXXVIL PERDIX. FELDHUHN. PERDRIX, a. Spornfeldhuhner. Francolins.
Perdix francolinus. Gemeines Spornfeldhuhn. Francolin à | collier roux.
Latham, Ind., II, p. 644, n°. 6. — Tetrao francolinus, Linné, p. 275, n°. 10. — Francolinus, Gessner, 228; Brisson, I, p.
245, n°. 13. — Francolinus francolinus, Cuv., Règne an., I, p. 484. — Gould, PI. 259.
Sicilien, Malta, Griechischer Archi- La Sicile, l’île de Malthe, l’Archipel pel, Nordafrika , warmes westliches Asien. de la Grece, le nord de l’Afrique, les
régions chaudes de l’Asie occidentale.
b. Rothhuhner. Bartavelles. Perdix rubra. Gemeines Rothhuhn. Bartavelle rouge.
Brisson, Orn., I, p. 236, n®. 10. — Tetrao rufus, Linne, p. 276, n°. 12. — Naumann, Tab. 165. — Gould, PI. 260.
Spanien, Frankreich, Italien. | L'Espagne, la France, l'Italie. Perdix graeca. Stein-Rothhuhn. Bartavelle grecque.
Brisson, Orn., I, p. 241, no. 12. — Perdix saxatilis, Meyer u. Wolf, Taschenb., I, p. 305. — Naumann, Tab. 164 — Gould, PI. 261, fig. 2.
Südliches Europa, warmes westliches Le midi de PEurope, les parties chau- Asien, des de PAsie occidentale.
Perdix petrosa. Klippen-Rothhuhn. Bartavelle gambra. Lath., Ind., II, p. 468, no. 14. — Gould, PI. 261, fig. 1.
Spanien, Sardinien, Sicilien , Cala- L’Espagne, la Sardaigne, la Sicile, la brien, Nordrand Afrika’s. ! Calabre, l’Afrique septentrionale.
LXXVIIT €. Eigentliche Feldhuhner. Perdrix proprement dites. Perdix cinerea. (remeines Feldhuhn. Perdrix grise.
Brisson, Orn., I, p. 219, n°. 1. — Tetrao perdix, Linné, p. 276, n°. 13. — Starna cinerea, Ch. Bon., List, p. 43. — Starna perdix, Ch. Bon., Catal., p. 55, n°. 312. — Naumann, Tab. 163. — Gould, PI. 262.
Europa, westliches gemässigtes Sibi- L'Europe, les parties tempérées de la rien, Nordafrika. Sibérie occidentale, le nord de l'Afrique.
COTURNIX. WACHTEL. CAILLE, Coturnix vulgaris. Gemeine Wachtel. Caille ordinaire.
Klein, Ordo Avium, p. 115, n°. 1. — Tetrao coturnix, Linné, p- 278, n°. 20. — Perdix coturnix, Lath., Ind, II, p. 651, n°. 28. — Naumann, Tab. 166. — Gould, PI. 263.
L’Europe, l’Asie occidentale, le Nord de PAfrique.
Europa, westliches Asien, Nordafrika.
HEMIPODIUS (102). LAUFHUHN. TURNIX.
Hemipodius tachydromus. Europäisches Laufhuhn. Turnix tachydrome.
Temm., Man., II, p. 494 — Turnix africanus, Desfont., Mém.
Acad., 1787, p. 500. — Tetrao andalusica , Gmel. Linné, p. 766, n°. 59. — Gould, PI. 264.
Spanien, Sicilien, Nordafrika. | L'Espagne, laSicile, le nord del’Afrique; PTEROCLES (103), FLUGHUHN. GANGA. Pterocles alchata (104). Chata-Flughuhn. . Ganga cata.
Steph. in Shaw, Zool., XI, II, p. 311. — Tetrao alchata,
LXXIX
Linne, p. 276, no. 11. — Pterocles setarius, Temm., Man., II, p- 478. — Gould, PI. 258.
Südliches Europa, warmes westliches Le midi de PEurope, les parties chau- | Asien. des de P’Asie occidentale,
Pterocles arenarius. Ringel-Flughuhn. Ganga unibande.
Temm., Man, II, p. 476. — Tetrao arenarius, Pallas, Nov. Comm. Petrop., XIX, p. 418, Tab. 8. — Naumann, Tab. 153. — Gould, Pl. 257. |
Südliches Europa, Nordafrika, warmes | Le midi de l’Europe, l’Afrique septen- westliches Asien. trionale, les parties chaudes de lAsie occidentale.
STELZENLAUFER, GRALLES,
TRAPPEN. OUTARDES. OTIS. TRAPPE. OUTARDE.
Otis tarda. Grosser Trappe. Outarde barbue.
Linné, p. 264, no. 1. — Naumann, Tab. 167 et 168. — Gould, PI, 267.
Gemässigte und warme Gegenden des Parties tempérées et chaudes de PEu- mitteln und östlichen Europa’s, Sibirien. rope centrale et occidentale, la Sibérie,
Otis tetrax. Kleiner Trappe. Outarde cannepetiere.
Linne, p. 264, n°. 3 — Naumann, Tab. 168. — Gould, PI. 269.
Südliches Europa, Tatarie, Nordafrika. | Le midi de l'Europe, la Tatarie, PAfri- que septentrionale.
LXXX . Otis Houabara. Kragentrappe. Outarde houabara.
Gmel. Linné , p. 725, n°. 6. — Naumann, Tab. 170. — Gould, PI. 268.
Nordafrika, Arabien , zufällig in Europa. L’Afrique septentrionale, l'Arabie, ac- cidentellement en Europe.
RENNVOGEL. COURES-VITE.
CURSORIUS. LAUFER. COURE-VITE.
Cursorius europaeus. Isabellfarbiger Läufer. Coure-vite isabelle.
Latham, Ind., II, p. 751, n°. 1. — Cursorius isabellinus, Meyer und Wolf, Taschenbuch, II, p. 328. — Naumann, Tab. 171. — Gould, Pl. 266. |
Nordafrika, Arabien; zufällig im süd- L’Afrique septentrionale, l'Arabie; ac- lichen und gemässigten Europa. cidentellement dans l’Europe méridionale
et centrale.
BRACHSCHWALBEN. GLARÉOLES.
GLAREOLA. BRACHSCHWALBE. GLAREOLE.
- Glareola pratincola. Gemeine Brachschwalbe. Glaréole pratincole.
Leach, Linn. Trans., vol. XIII, 1822, p. 131, PI 13. — Hirundo pratincola, Linné, Syst., XII, p. 345, n°. 12. — Pra- tincola, Kramer, Elench., p. 381, Tab. 1. — Glareola, Brisson, Orn., V, p. 141. — Glareola austriaca, Gmelin Linné, p. 69, n°. 1. — Naumann, Tab. 234 — Gould, PI. 265.
Südôstliches Europa, Nordafrika bis Les parties chaudes de l'Europe occi-
zum Senegal, dentale, l’Afrique septentrionale jusqu’au Senegal.
LXXXI
Glareola Pallasii (105). Pallasısche Brachschwalbe. Glaréole de Pallas.
Bruch in Mus. Mogunt. — Glareola pratincola, Pallas, Zoogr. , II, p. 150, n°. 269 (exl. syn.).
Wüsten der Tatarei von der Wolga bis Deserts de la Tatarie, depuis le Wol- zum Irtisch; auch in Griechenland er- ga jusqu’à PIrtisch ; observé en Grèce. legt.
REGENPFEIFER. PLUVIERS.
OEDICNEMUS. TRIEZ OEDICNEME-
Oedicnemus crepitans. Gemeiner Triel. Oedicnème criard.
Temm., Man., II, p. 521. — Charadrius oedienemus, Linné, Syst., XII, p. 255, no. 10. — Naumann , 172. — Gould, PI. 288.
Südliches und gemässigtes Europa, ni kes parties temperees et chaudes de Nordafrika, westliches Asien. Europe, PAsie occidentale, le nord de | PAfrique.
CHARADRIUS. REGENPFEIFER. PLUVIER.
a. Gold-Regenpfeifer. Pluviers dorés.
Charadrius pluviulis. (Gemeiner Goldregenpfeifer.
Pluvier dore commun.
Linne, p. 254, n°. 7. — Charadrius apricarius, ibid., p. 254, n°. 6. — Charadrius auratus, Suckow, Naturg., Il, p. 1592. — Pluvialis viridis, Wiliushb., Orn., p. 229. — Naumann, Tab. 173. — Gould, Pl. 294.
Europa, Asien, Nordafrika.
L’Europe, PAsie, l’Afrique septentrio- |:
nale.
6
LXXXII b. Morinell-Regenpfeifer. Guignards. :
Charadrius morinellus. (remeiner Morinell - Regenpfeifer. Guignard ordinaire.
Linné, S., XII, p. 254, no. 5. — Morinellus, Gessner, Aves, p- 615. — Eudromias morinellus, auct. recent. — Naumann, Tab. 174. — Gould, Pl. 295.
Nördliches Europa und Asien. Im Win- Le nord de l’Europe et de l’Asie. En ter, im gemässigten und südlichen Europa. hiver, dans Europe centrale et temperee.
Charadrius asiaticus. Asiatischer Morinell- Regenpfeifer. Guignard asiatique.
Pallas, It., II, app., n°. 32. — Charadrius caspius, Pallas, Zoogr., II, p.136, no. 258, c. fig. — Ch. jugularis, Wagler, Syst., Char. no. 39.
Kaspisches Meer, Tatarei, Vorgebirge der guten Hoffnung.
La mer caspienne, la Tatarie, le Cap
de Bonne Espérance. c. Eigentliche Regenpfeifer. Pluviers proprement dits.
Charadrius pyrrhothoraæx (106). Kragen-Regenpfeifer. Plu- vier à collier roux.
Temm., Man., IV, p. 355. — Gould, PI. 299.
Warmes Asien bis auf die Inseln Hin- | Les parties chaudes de PAsie jusque terindiens ; in Russland beobachtet. dans lArchipel des Indes; tué en Rus-
sie.
Charadrius cantianus, Weissstirniger Regenpfeifer. Pluvier a collier interrompu.
Latham, Ind., Suppl., II, p. 66. — Charadrius albifrons, Meyer und Wolf, Taschenbuch, Il, p. 323, ne. 5. — Aegialıtes can-
LXXXIIT
tianus, Boie, Isis, 1822, p. 774 — Naumann, Tab. 176. — Gould, PI. 298.
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Charadrius hiaticula. Buntschnäbliger Regenpfeifer. Grand pluvier a collier.
Linne, S., XII, p. 253, n°. 1. — Naumann, Tab. 175. — Gould, PI. 296.
Europa, Nordafrika. | L'Europe, PAfrique septentrionale.
Charadrius minor. Kleiner Regenpfeifer. Petit pluvier à collier.
Meyer und Wolf, Taschenb., IT, p. 324 — Charadrius curo- nicus, Besecke, Vögel Curlands, p. 66, n°. 134. — Charadrius fluviatilis, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 422.
Europa , Sibirien. | L’Europe, la Siberie. VANELLUS. HIEBIETZ, VANNEAU,
a. Eigentliche Kiebietze. Vanneaux proprement dits.
Vanellus eristatus. (remeiner Kiebielz. Vanneau huppé.
Meyer und Wolf, Vögel Deutschl. , Band I, Heft 10, c. Tab. — Tringa vanellus, Linne, Syst., XII, p. 248, n°. 2. — Naumann, Tab. 179. — Gould, PI. 291.
Europa, Sibirien, Nordafrika. | L’Europe, la Sibérie, Afrique septen-
trionale. b. KRegenpfeiferkiebietze. Vanneaux-pluviers.
Wanellus gregarius. Geselliger Regenpfeiferkiebielz. Vanneau- pluvier social.
Vieillot, Tabl. enc., Orn., III, p. 1078, no. 11. — Charadrius
LXXXIV
. gregarius, Pallas, It., I, app., n°. 9. — Tringa Keptuschka, Lepechin, Tageb., I, p. 229. — Vanellus Keptuschka , Temm., Man., III, p. 360; Ch. Bonap., Icon. Faun. Ital., Tav. 41. — Gould, PI. 292.
Südliches Sibirien, südliches Russland , Les parties chaudes de la Russie et de
zufällig im übrigen südlichen Europa. la Siberie, accidentellement dans le midi
de l’Europe. c. Spornkiebietze. Pluviers armés,
Charadrius spinosus. (remeiner Spornkiebietz. Pluvier arme commun.
Hasselquist, It., p. 260. — Linne, Syst, XII, p. 256, no. 12. — Hoplopterus spinosus, Ch. Bon., List, p. 46. — Gould, PI. 293.
Südöstliches Europa; warmes, westli- | Les parties chaudes de l'Europe orien- ches Asien; Nordafrika. tale et de l'Asie occidentale, le nord de l'Afrique.
d, Goldkiebietze. Vanneaux dorés.
Vanellus squatarola. (Gemeiner Goldkiebietz. Vanneau doré ordinaire.
Tringa squatarola, Gmel. Linn., p. 682, n°. 23, — Vanellus griseus et helveticus, Brisson, Orn., V, p. 100 et 106, no. 2 et 4. — Vanellus melanogaster, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 356. — Squatarola squatarola, G. Cuv., Regne an., I, p. 502. — Nau- mann, Tab. 178. — Gould , Pl. 290.
Nördliche Striche beider Welten „ im Régions septentrionales des deux mon-
Winter im gemässigten und südlichen des, visite en hiver l'Europe tempérée Europa. et méridionale.
LXXXV
STEINWALZER. TOURNE-PIERRES. STREPSILAS. STEIN WALZER. TOURNE-PIERRE:
Strepsilas interpres. Gemeiner Steinwälzer. Tourne-pierre a collier.
Illiger, Prodr., p. 263. — Tringa interpres, Linn. , Syst., XII, p. 248, m. 4. — Tringa morinella, ibid., p. 249, no. 6. — Strepsilas collaris, Temm., Man., II, p. 553. — Naumann, Tab. 180. — Gould, PI. 318.
Nördliche Länder beider Welten, im Regions septentrionales des deux mon- Winter im gemässigten und südlichen Eu- des, visite en hiver l’Europe tempérée ropa. i et méridionale.
AUSTERNFISCHER. HUITERIERS.
HAEMATOPUS. AUSTERNFISCHER. HUITERIER.
Haematopus ostralegus. Gemeiner Austernfischer. Huiterier pie. Linné , Syst, XII, p. 257, n°. 1. — Naumann, Tab. 181. — Gould, Pl. 300.
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale. SCHNEPFENARTIGE VOGEL. BÉCASSES. SCOLOPAX. SCHNEPFE. BECASSE. a. Waldschnepfen. Bécasses proprement dites.
Scolopax rusticola. Gemeine Waldschnepfe. Bécasse ordinarre.
Linne , Syst., XII, p. 243, n° 6. — Naumann, Tab. 211. — Gould, PI. 319. Nördliches Europa und Asien , im Win- Le nord de l’Europe et de l’Asie; fre-
ter im übrigen Europa und Nordafrika. quente en “hiver les autres parties de l'Europe et l'Afrique septentrionale,
LXXXVI
b. Sumpfschnepfen. Becassines.
Scolopax major (107). Grosse Sumpfschnepfe. Becassine double.
Gmel. Linne, p. 661, n°. 36. — Gallinago major, Ch. Bon., List, p. 52. — Naumann, Tab. 208. — Gould, PI. 320.
Nördliches Europa, Sibirien; im Win- Le nord de l’Europe, la Sibérie; vi- ter im gemässigten und südlichen Europa. site en hiver l’Europe tempérée et mé- ridionale.
Scolopax gallinago (108). Heers-Sumpfschnepfe. Becassine ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 244, no. 7. — Naumann, Tab. 290. — Gould, PI. 321, fig. 2.
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie. Scolopax gallinula. Moor-Sumpfschnepfe. Becassine sourde.
Linné, Syst., XII, p. 244, no. 8. — Naumann,. Tab. 210. — Gould, Pl. 322.
Europa, Sibirien. | L’Europe, la Siberie.
Scolopax Sabimii (109). Sabine's Sumpfschnepfe. Bécassine Sabine.
Vigors, Trans. Linn. Societ., XIV, p.556, Tab. 21. — Jard. and Selby, Zool. Illustr., Pl. 27. -— Gould, Pl. 321, fig. 1.
Vaterland unbekannt ; zufällig in Gross- Patrie inconnue; observée plusieurs fois
brittanien. en Angleterre.
€. Strandläuferschnepfen. Bécassines chevaliers.
Scolopax grisea. Graue Slrandläuferschnepfe. Bécassine chevalier ponctuee.
Gmelin Lim. , p. 658, no. 27; Scol. novaeboracensis, ibid., p.
LXXXVII
658, no. 28. — Macrorhamphus griseus, Steph., in Shaw, Zool., vol. XII, p. 61. — Wilson, Pl. 58, fig. 1. — Gould, Pl. 323.
Nordamerika, zufällig in Grossbritta- L’Amerique du nord, accidentellement nien. en Angleterre,
LIMOSA. PFUHISCHNEPFE. BARGE.
Limosa melanura. Schwarzchwänzige Pfuhlschnepfe. Barge. a queue notre.
Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., IT, p. 153. — Scolopax li- mosa, Linné, Syst., XII, p. 245, n°. 13; Scolopax aegocephala, ibid., p. 246, no. 16. — Limosa aegocephala, Ch. Bonap., List, p- 52. — Naumann, Tab. 212 et 213. — Gould, PI. 305.
Kalte und gemässigte Gegenden Euro- Les parties froides et tempérées de pas und Sibiriens; im Winter im südli- Europe et de la Sibérie; visite en hiver chen Europa und Nordafrika. l'Europe méridionale et le nord de l'Afrique.
Limosa rufa (110). Rostrothe Pfuhlschnepfe. Barge rousse.
Brisson, Orn., V, p. 281, no. 5. — Scolopax lapponica, Linné, Syst., XII, p. 246, no. 15. — Naumann, Tab. 215. — Gould, PI. 306.
Gemässigtes und nördliches Europa, Les parties froides et tempérées de Sibirien; im Winter bis in’s südliche l'Europe et de la Sibérie, fréquente en Europa. hiver le midi de l’Europe.
..
Limosa recurvirostra. Sübelschnäblige Pfuhlschnepfe. Barge terek.
Pallas, Zoogr., II, p. 181, no. 293. — Limosa terek, Temm. Man. , IT, p. 426. — Scolopax cinerea , Güldenstädt, Nov. Comm. Petr. XIX, p. 473, Tab. 19. — Scolopax terek, Lath. Ind. orn.,
LXXXVIII
an p. 724, n°0. 36. — Terekia javanica, Ch. ar 5 List, p- — Gould, Pl. 307.
Kaspisches Meer, zufällig im übrigen Les bords de la mer caspienne, acci- Europa, Asien. dentellement dans les autres parlies de l'Europe, l'Asie.
TRINGA (111) STRANDLAUFER. BECASSEAU. a. Eigentliche Strandläufer. Bécasseaux ordinaires. Tringa canutus. Canut-Strandläufer. Bécasseau canut.
Linn., Syst., XII, p. 251, ne. 15. — Tringa cinerea , Brün- nich, Orn. bor., n°. 179. — Tringa islandica, Gmel. Linn., p. 682, n°. 24. — Tringa ferruginea, Meyer und Wolf, Taschenb., Il, p. 395. — Naumann, Taf. 183. — Gould, PI. 324.
Nördliche Gegenden beider Welten; | Les régions septentrionales des deux im Winter im gemässigten und südlichen mondes; fréquente en hiver l'Europe tem- Europa. pérée et méridionale.
Tringa maritima. Meerstrandläufer. Bécasseau violet.
Brünnich, Orn. bor., n°. 182. — Naumann, Taf. 188. — Gould, PI. 344.
Nördliche Länder beider Welten, im Les contrées septentrionales des deux Winter bis in’s südliche Europa. mondes; passe en hiver jusque dans le midi de lEurope.
Tringa subarquata (112). Bogenschnäbliger Strandläufer. Bécasseau cocorlk.
Temm., Man., II, p. 609. — Scolopax subarquata, Güldenst, Nov. Comm. Petrop., XIX, p. 471, no. 5. — Naumann, Taf. 185. — Gould, PI. 328.
Nördliche Gegenden beider Welten; Les régions septentrionales des deux im Winter über ganz Europa Lis Nord- mondes; frequente en hiver les autres afrika. parties de l’Europe et de l’Afrique sep-
tentrionale.
LXXXIX
Tringa cinclus. Veränderlicher Strandläufer. Bécasseau va- riable.
Tringa cinclus et alpina, Linné, Syst., XII, p. 251, no. 18 et p- 249, no. 11. — Numenius variabilis, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 141. — Tringa varıabilis, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p- 397. — Naumann, Taf. 186. — Gould, PI. 329.
Nördliche und gemässigte Gegenden Les régions septentrionales et tempé- beider Welten; im Winter im südlichen rées de l'hémisphère boreal; visite en Europa bis Nordafrika. hiver le midi de PEurope et l’Afrique
septentrionale.
Tringa cinclus minor (113). Kleiner veränderlicher Strand- läufer. Petit Becasseau variable.
Tringa Schinzü, Brehm, Beiträge, III, p. 355. — Tringa pyg- maea Schinz, Cuvier, Regn. an., deutsche Übersetz., I, p. 782. — Naumann, III, p. 221, Taf. 187, fig. 1, 2, 3.
Europa. | L'Europe.
Tringa Bonapartei. Bonaparte's Sirandläufer. Bécasseau Bonaparte.
Tringa Schinzii, Ch. Bonap., Synops., n°. 249; Temm., Man. , II, p. 401; Gould, PI. 330.
Nordamerika ; zufällig in England. L’Amerique du nord; accidentellement
en Angleterre.
Tringa pectoralis. Brusifleckiger Strandläufer. Bécasseau pectoral.
Ch. Bonap., Syn., n°0. 250. — Gould, PI. 327.
Nordamerika, zufällig in England. | L'Amérique du nord, accidentellement
en Angleterre.
XC
Tringa minuta. Zwergstrandläufer. Bécasseau échasse.
Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., I, p. 74, no. 10. — Tringa pusilla, Meyer u. Wolf, Taschenb., Il, p. 391, n°. 7. — Nau- mann, Taf. 184. — Gould, PI. 332.
Nördliches Europa und Asien, im Win- Le nord de l'Europe et de PAsie, en ter im übrigen Europa bis Nordafrika. hiver dans les régions tempérées et mé-
ridionales de l’Europe et dans l'Afrique septentrionale.
Tringa Temminckii. Temminck's Strandläufer. Bécasseau Temmia.
Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., I, p. 64, no. 9. — Tringa pusilla, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 308. — Naumann, Taf. 189. — Gould, PI. 333.
Gemässigtes und südliches Europa, im Les parties temperees et chaudes de Winter bis Afrika; überall selten. PEurope , visite en hiver l’Afrique, par-
tout rare.
Bb. Sumpfläufer. Becasseaux limicoles.
Tringa platyrhyneha. Plattschnäbliger Sumpfläufer. Limi- cole platyrhynque.
Temm., Man., Il, p. 616. — Numenius pygmaeus, Lath. Ind., p- 713, no. 11. — Limicola pygmaea, Koch, Baier. Zool., I, p- 316, n°. 197. — Tringa pygmaea, Savi, Orn. Tosc., II, p. 291. — Naumann, Taf. 207. — Gould, PI. 331.
Einzeln im mittleren Europa beobachtet. Observé en petit nombre dans PEuro- Bengalen, Java. pe centrale ; le Bengale, Java.
c. Dreizchige Strandläufer. Becasseaux tridactyles.
Tringa arenaria. Gemeiner dreizehiger Strandläufer. Bécas- casseau tridactyle ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 251, n°. 16. — Charadrius calidris, 1bid.,
XCI
p- 255, n0. 9. — Arenaria grisea, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p- 368. — Calidris calidris, Illiger, Prodr., p. 249. — Calidris are- naria, Temm., Man., II, p. 524 — Naumann, Taf. 182. — Gould, PI 335.
Nördliches Europa, im Winter im ge- L’Europe septentrionale; frequente en mässigten bis ins südliche Europa, Nord- hiver l’Europe tempérée et méridionale. amerika, Asien. L'Amérique du Nord, l'Asie.
d. Kampfstrandlaufer. Combattans.
Tringa pugnax (114). Gemeiner Kampfstrandläufer. Com- battant variable.
Linne, Syst., XII, p. 247, n°. 1. — Machetes pugnax, Cuv., Regn. an., I, p. 527. — Naumann, Taf. 190, 191, 192, 193. — Gould, Pl. 328.
Nördliche und gemässigte Gegenden Parties septentrionales et tempérées de Europas und Asiens, Vorgebirge der gu- l'Europe et de l’Asie, le Cap de Bonne ten Hoffnung. Espérance.
ACTITIS. UFERLAUFER. ACTITIS,
Actitis hypoleucos. Trillernder Uferläufer. Actitis guignette.
Boie, Isis, 1822, p. 560. — Tringa hypoleucos, Linn., Syst., XI, p. 250, no. 14. — Totanus hypoleucos, Temm., Man., II, p- 657. — Naumann, Taf. 194. — Gould, PI. 318.
Europa, Asien, Nordafrika. | L’Europe, P’Asie, ’ Afrique septentrionale. Actitis macularia. (Grefleckter Uferläufer. Actitis perle.
Boie, Isis, 1826, p. 979. — Tringa macularia, Linne, Syst., XII, p. 249, n°. 7. — Totanus macularia, Temm., Man., II, p. 656. — Naumann, Tab. 195. — Gould, Pl. 317.
Amerika, zufällig in Europa. - | L'Amérique, accidentellement en Europe.
xcH | Actitis rufescens. Vieillols Uferläufer. Actitis Vieillot.
Tringa rufescens, Vieillot, Galerie, Il, p. 105, PI. 238. — Gould, PI. 326.
Nordamerika, zufällig in Europa. | L'Amérique septentrionale, accidentel- lement en Europe.
Actitis Bartrami. Bartrams Uferläufer. Actitis à longue queue.
Naumann, VII, p. 43, Tab. 196. — Tringa Bartramia, Wil- son, VII, p. 63, PL 59,.fig..2. — Tringa longicauda, Bechst., in Lath. Ind., deutsche Übersetzung , p. 453, n°. 46. — Totanus
Bartramia, Temm., Man., II, p. 650. — Actiturus Bartramius,
Ch. Bonap., List, p. 51. — Naumann , Tab. 196. — Gould, PI. 313.
Nordamerika, zufällig in Europa. L'Amérique du nord, accidentellement en Europe.
TOTANUS (115). WASSERLÄUFER. CHEVALIER.
Totanus fuscus. Schwarzbrauner Wasserläufer. Chevalier arlequin.
Leisler, Nachtr. zu Bechst., Nat., p. 47. — Limosa fusca, Brisson, Orn., V, p. 276, n°. 4 — Naumann, Tab. 200. — Gould, PI. 309.
Europa. | l’Europe.
Totanus glottis. Grünfüssiger Wasserläufer. Chevalier aboyeur.
Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 249, n°. 10. — Scolopax glot- tis, Linné, Syst., XII, p.245, no. 10. — Naumann, Tab. 201. — Gould, PI. 312.
Europa, nördliches Asien, Nordafrika. L'Europe, les regions froides de PAsie, l'Afrique septentrionale.
XCIII
Totaxus stagnatilis. Teich-W. asserläufer. Chevalier stagnatile.
Bechst., Orn. Taschenb., II, p. 292. — Scolopax totanus, Linne, Syst., XII, p. 245, ne. 12. — Naumann, Tab. 202. — Gould, PI. 314.
Europa, westliches Sibirien, Afrika. | L'Europe, la Sibérie occidentale, PAfri- que.
Totanis calidris. Rothfüssiger Wasserläufer. Chevalier gambette.
Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 216. — Scolopax calidris, Linne, Syst., XII, p. 245, no. 11. — Tringa gambetta, Gmel. Linne, p- 671, no. 3. — Naumann, Tab. 199. — Gould, PI. 310.
Europa, westliches Sibirien. | L'Europe, la Sibérie occidentale,
Totanus glareola. Wald-Wasserläufer. Chevalier sylvain.
Temm. , Man., II, p. 654. — Tringa glareola, Linne, Fauna suecica, p. 66, n°. 185; Tringa littoria, Linne, Syst. nat., XII, p- 251, n°. 17. — Naumann, Tab. 198. — Gould, PI. 315, fig. 2.
Europa, Sibirien, Nordafrika. | L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep- tentrionale.
Totanus ochropus. Getüpfelter Wasserläufer. Chevalier cul- blanc.
Temm., Man., II, p. 651. — Tringa ochropus, Linné, Syst., XII, p. 250, n°. 13. — Naumann, Tab. 197. — Gould, Pl. 315, fig. 1.
Europa „ Sibirien, Nordafrika. L’Europe, la Sibérie, l'Afrique sep- tentrionale.
XCIV
“Totanus semipalmatus. Schwimmfüssiger Wasserlüufer. Che- valier semi-palme.
Temm., Man., II, p. 637. — Scolopax semipalmata, Gmel. Linne, p. 659, n°. 33. — Catoptrophorus semipalmatus, Ch. Bo- nap., Syn., n°. 259. — Wilson, PI. 56, fig. 3. — Fauna bor. amer. , p. 388, Pl. 67. — Gould, PI. 311. |
Nordamerika, zufällig in Europa. L’Amerique du nord, accidentellement en Europe.
PHALAROPUS. WASSERTRETER.
Phalaropus cinereus. Schmalschnäbliger Wassertreter. Pha- larope hyperbore.
Brisson, Orn., VI, p. 15, n°. 2. — Tringa lobata, Linne, XII, p. 249, n°. 8. — Tringa hyperborea, ibid, p. 249, no. 9. — Phalaropus hyperboreus et fuscus Latham, Ind., II, p- 775, n°. 1 et 776, n°. 4 — Phalaropus ruficollis et cineras- cens, Pall., Zoogr., II, p. 203, no. 212 et n°. 213. — Phalaro- pus angustirostris, Naumann, VIII, p.240, no. 236, Tab. 205. — Gould, 336. — Lobipes hyperboreus, Cuv., Règne an., I, p. 532.
Nördliche Länder beider Welten, auf Les regions septentrionales des deux dem Zuge bis ins südliche Europa. mondes; visite, lors de l’epoque de la
migration , l’Europe tempérée et meridio- nale.
Phalaropus rufescens. Breilschnübliger Wassertreter. Pha- larope platyrhynque.
Brisson, Orn., VI, p. 20, n°. 4 — Tringa fulicaria, Linne, Syst., XII, p. 249, n°. 10. — Phalaropus rufus, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 381. — Phalaropus platyrhynchus, Temm.,
XCV
Man. , II, p. 712. — Phalaropus fulicarius, Ch. Bonap., Lyc. New York, IT, p. 159. — Naumann, Tab. 206. — Gould, PI. 337.
Norden beider Welten, auf dem Zuge | Les regions septentrionales des deux bis in das südliche Europa. mondes, visite en hiver l’Europe tempé-
rée et méridionale. NUMENIUS. BRACHVOGEL. COTUTRLIS. Numenius arquata. Grosser Brachvogel. Courlis cendre.
Latham, Ind., HI, p. 710, n°. 1: — Scolopax arquata, Linne, Syst., XII, p. 242, n°. 3. — Naumann, Tab. 216. — Gould, PI. 302.
Europa, Sibirien, auf dem Zuge bis L'Europe, la Sibérie, fréquente en hi- Nordafrika. ver l’Afrique septentrionale.
Numenius phaeopus. Regenbrachvogel. Courlis corlieu.
Latham, Ind., II, p. 711, no. 6. — Scolopax phaeopus, Linne,
Syst., XII, p. 243, n°. 3. — Numenius minor, Brisson, Orn., V, p. 317, n°. 2. — Naumann, Taf. 217. — Gould, PI. 308.
Europa, Sibirien, im Winter bis Nord- L'Europe, la Sibérie; visite en hiver afrika. PAfrique septentrionale.
Numenius tenuirostris. Dünnschnäbliger Brachvogel. Courlis a bec grele.
Vieill., Nouv. Diet. Deterv., VIII, p. 302. — Ch. Bonap., Icon. Fauna Ital., Tav. 42. — Naumann, Taf. 218. italien, Egypten. ' | L'Italie, PEgypte.
XCVI
SABELSCHNABLER. AVOCETTES.
RECURVIROSTRA. SABELSCHNABLER, AVOCETTE. |
BRecurvirostra avocetta. Gemeiner Säbelschnäbler. Avocette ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 256, n°. 1. — Naumann, Taf. 204. — Gould, PL 368. Europa, Nordafrika, Sibirien, Tatarei. L'Europe, PAfrique septentrionale, la Sibérie, la Tatarie.
STRANDREUTER. ÉCHASSES.
HIMANTOPUS. STRANDREUTER. ECHASSE.
Himantopus melanopterus. Europäischer Strandreuter. Echasse a manleau noir.
Ann. d. Weiter Gesellsch., III, I, p. 177. — Himantopus rufi- pes, Bechst. , Nat. Deutschl., IV, p. 446. — Charadrius himan- topus, Linne, Syst., XI, p. 255, n°. 11. — Hypsibates himan- topus, Nitzsch in Ersch und Gruber, Encycl., vol. XVI, 1827, p- 150. — Naumann, Taf. 203. — Gould, Pl. 289.
Gemässigtes und südliches Europa, 1! L’Europe tempérée et méridionale, Nordafrika , Sibirien, Tatarei. PAfrique septentrionale, la Sibérie, la Tatarie.
REIHERVÖGEL. HERONS. ARDEA (116. REIHER. HERON.
a. Eigentliche Reiher. Herons proprement dits.
Ardea einerea. Fischreiher. Heron cendre.
Linn., Syst., XII, p. 236, n°. 11. — Ardea cristata, Brisson,
XCVII
Orn., V, p. 396, n°. 2. — Ardea major, Gmel. Linn., p. 627, n°. 12. — Naumann, Tab. 220. — Gould, PI. 273.
Europa, Afrika, Asien. | L’Europe, l'Afrique , PAsie. Ardea purpurea. Purpurreiher. Héron pourpre.
Linn., Syst., XIL, p. 236, n°. 10. — Naumann, Tab. 221. — Gould , Pl. 274.
Gemässigtes und südliches Europa , l’Europe tempérée et méridionale, Asien, Afrika. PAsie, PAfrique.
b. Silberreiher. Aigrettes. Ardea alba (117). Grosser Silberreiher. Grande Aigrette.
Linne, Syst., XII, p. 239, no. 24. — Ardea candida, Brisson , Orn., V, p. 428. — Ardea egretta, Temm., Man., p. 572. — He- rodias egretta, Boie, Isis, 1822, p. 559. — Egretta alba, Ch. Bo- nap., Osserv., p. 98.— Naumann, Taf. 222. — Gould, PI. 276.
Südöstliches Europa „ Nordafrika. Les parties chaudes de l'est de l’Eurc- pe, l’Afrique septentrionale.
Ardea garzetta. Kleiner Silberreiher. Petite Aigrette.
Linné , Syst., XII, p. 237, n°. 13. — Naumann, Taf. 223. — Gould, Pl. 277.
Südliches Europa, westliches Asien. Le midi de l’Europe, l’Asie occiden- tale.
c. Rallenreïher. Herons-crabiers.
Ardea comata. Gemeiner Rallenreiher. Heron-crabier ordi- naire.
Pallas, It., II, app., n°. 12. — Ardea ralloides, Scopoli, Ann., I, p. 88, n°. 121. — Ardeola ralloides, Boie, Isis, 1822, p. 4
XCVIIT
. 559. — Buphus ralloides, Ch. Bonap., List, p. 48. — Naumann, Tab. 224. — Gould, Pl. 275.
Südôstliches Europa; westliches, war- Les parties chaudes de l’est de PEuro- mes Asien; Nordafrika. pe et de PAsie occidentale, l'Afrique septentrionale.
Ardea bubulcus (118). Afrikanischer Rallenreiher. Heron- crabier garde-boeuf.
Cuv., Mus. Par.; Audouin in Dosen de l'Égypte Ois., PL 8, fig. 1, vol. XXIII, p. 391. — Ardea Verany, Roux, Orn. prov., II, PL 136.
Nordafrika, Senegal, südôstliches Eu- L’Afrique septentrionale , le Senegal, ropa, zufällig im übrigen Europa. les contrées chaudes de Pest de PEurope ; accidentellement dans les autres parties
de PEurope.
..d. Nachtreiher. Bihoreaux. Ardea nycticorax. Gemeiner Nachtreiher. Bihoreau d'Europe.
Linné, Syst., XII, p. 235, ne. 9. — Ardea Gardeni, Gmel. Linné, p. 645, no. 81. — Nycticorax Gardeniü, Jardine in Wilson, 8°, 1832, vol. Ill, p. 5. — Nycticorax nycticorax, Boie, Isis, 1822, p. 560. — Naumann, Tab. 225. — Gould, PI. 279.
Europa, Asien, Afrika. | L’Europe, l’Asie, l'Afrique.
e. Rohrdommeln. Butors. _ Ardea stellaris. Gemeine Rohrdommel. Butor d'Europe.
Linné, Syst., XII, p. 239, no. 21. — Botaurus stellaris, Steph. in Shaw, Zool., XI, II, p. 593. — Naumann, Tab. 226. — Gould , PI. 280.
Europa, westliches Sibirien. | L’Europe, la Sibérie occidentale.
XCIX
Ardea lentiginosa. Nordamerikanische Rohrdommel. Butor d'Amérique.
Montagu, Orn. Dict., Suppl., ad voc. Heron frekled. — Ardea minor, Wilson, VIII, p. 35, PI. 65, fig. 3. — Ardea mocoho, Vieillot, N. Dict., vol. XIV, p. 440. — Gould, PI. 281.
Nordamerika, zufällig in England. L’Amerique du nord, accidentellement en Angleterre.
f. Zwergrohrdommeln. Butors nains.
Ardea minuta. Gemeine Zwergrohrdommel. Butor nain plon- gros.
Linné, Syst., XII, p. 240, n° 26. — Ardeola naevia, Brisson , Orn., V, p. 500, no. 47. — Naumann, Tab. 227. — Gould, PI. 282.
Europa, Asien, Afrika. | L'Europe, PAsie, l’Afrique.
CICONIA (119). STORCH. CICOGNE-
Ciconia alba. Weisser Storch. Cicogne blanche.
Brisson, Orn., V, p. 365, no. 2. — Ardea ciconia, Linné, Syst., XII, p. 235, no. 7.— Naumann, Tab. 228. — Gould, 283.
Europa , westliches warmes Asien, L’Europe,, les parties chaudes de PAsie Afrika. occidentale, l’Afrique.
Ciconia nigra. Schwarzer Storch. Cicogne notre.
Gessner , Av., p- 273. — Ardea nigra, Linn., Syst., XII, p. 235, n°. 8. — Ciconia fusca, Brisson , Orn., V, p.362, n°. 1. — Naumann, Tab. 229. — Gould, PI. 284.
Ostliches Europa, westliches warmes L'Europe orientale, les parties chau- Sibirien Afrika, des de la Sibérie occidentale, PAfrique.
C TANTALUS. NIMMERSAT. TANTALE.
Tantalus ibis. Afrikanischer Nimmersatt. Tantale d Afrique.
Linn., Syst., XII, p. 241, n°. 4 — PI. enl. 389. — Nume- nius ibis, Pallas, Zoogr., II, p. 165, n°. 280.
Senegal, Nordafrika; nach Pallas im Le Senegal, l'Afrique septentrionale ; üdlichen Russland. se trouve, suivant Pallas, dans le midi de la Russie.
IBIS. ZBIS. IBIS. This falcinellus. Europäischer Ibis. Ibis falcinelle.
Temm., Man., II, p- 598. — Tantalus falcinellus, Linn. , Syst., XII, p. 241, ne. 2. — Naumann, Tab. 219. — Gould, PI. 311.
Südliches Europa, warmes westliches Le midi de l’Europe, les parties chau- Asien, Nordafrika ; zufällig im gemässig- des de l’Asie occidentale, le nord de PAfri- ten und nördlichen Europa. que; accidentellement dans l'Europe tem-
pérée et septentrionale.
Ibis religiosa. Herliger Ibis. Ibis sacré.
G. Cuvier, Règne an., 1 édit., I, p. 483. — Numenius ibis, G. Cuv., Ann. d. Mus., 1804, IV, p. 134, PL 53; Savigny, Hist. nat. et mythologique de l’Ibis, 1805. — Descr. de l'Égypte, Ois. , PI. 7. — Abouhannes, Be, Yoy., V,'p. 172..P% 36. — Tan- talus aethiopicus, Lath., Ind., p. 305, no. 12.
Afrika; nach Temminck, Manuel, IV, L’Afrique ; observé, d’après Temminck, p- 392, in Griechenland beobachtet. Manuel, 1V, p. 392, en Grece.
GRUS (12). HRANICH. GRUE'
Grus cinerea. Grauer Kranich. (Grue commune.
Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 103. — Ardea grus, Linné, Syst., XII, p. 234, no. 4. — Grus vulgaris, Pallas, Zoogr., I, p. 106, no. 240. — Naumann, Tab. 231. — Gould, Pl. 270.
Europa, gemässigtes Asien, Nordafrika. L'Europe. PAsie tempérée, l'Afrique
septentrionale.
Ci Grus leucogeranos. Weisser Kranich. Grue leucogerane..
Pallas, It., IL, app. , n°. 30. — Gould, PL 271.
Kaspisches Meer, Sibirien, Japan, La mer Caspienne, la Sibérie, le Ja-
Bengalen. pon, le Bengale.
Grus virgo. Jungfern-Kranich. (Grue demorselle.
Pallas, Zoogr. ‚II, p. 108, n°. 241. — Ardea virgo, Linn., Syst., XII, p. 234, n°. 2. — PI. enl. 241. — Anthropoides virgo, Vieill., Nouv. Dict. Déter., IT, p. 163. — Naumann, Tab. 232.
Nordafrika, warmes westliches Asien, L'Afrique septentrionale, les parties südliches Russland ; zufällig im übrigen chaudes de lAsie occidentale, le midi Europa. de la Russie; accidentellement dans les
‘| autres parties de l’Europe.
PLATALEA. LOFFELREIHER. SPATULE. Platalea leucorodia. Gemeiner Löfelreiher. Spatule blanche.
Linne, Syst., XII, p. 231. — Naumann, Tab. 230. — Gould, PI. 286.
Gemässigtes und südliches Europa , war- L’Europe tempérée et méridionale, les mes westliches Asien, Nordafrika. parties chaudes de l'Asie occidentale, le
nord de lAfrique.
FLAMINGOS. FLAMANTS. PHOENICOPTERUS. FLAMINGO, FLAMANT.
Phoenicopterus antiquorum. Europäischer Flamingo. Flam- mant rose.
Temm., Man. d’Orn. , p. 587, remarque. — Phoenicopterus ruber, Linne, Syst., XIT, p. 230, no. 1 (ex parte). — Phoenicopterus
cn
_roseus, Pallas, Zoogr., II, p. 207, no. 315. — Naumamı, Tab. 233. — Gould, Pl. 287. |
Südliches Europa, warmes westliches Le midi de l’Europe, les parties chau- Asien, Nordafrika. des de l’Asie occidentale, le nord de
P Afrique. WASSERHUHNER. POULES D’EAU.
FULICA. BLESSHUHN. FOULQUE,
Fulica atra. (Gemeines Blesshuhn. Foulque morelle.
Linné, Syst., XIT, p. 257, n°. 2. — Fulica aterrima, ibid., p. 257, n°0. 3. — Naumann, Tab. 241. — Gould, PI. 338.
Europa, Asien „ Afrika. | L'Europe, l’Asie, l’Afrique. Fulica cristata. Kamm-Blesshuhn. Foulque à crête.
Gmel. Linné, p. 704, n°. 25. — Foulque de Madagascar, PI. enl. 797. — Foulque caronculée, Barthélemy in Guérin, Revue Zool. , 1841, p. 37. — Fulica cristata , Ch. Bonap., Icon. d. Faun. Ital., Ucelli, Introduzione, p. 1.
Afrika, gemein in Algier und Marocco ; L'Afrique, commune dans l’Algerie et in Spanien und bei Marseille beobachtet , au Marocco ; observee en Espagne et dans (Barthelemy). les environs de Marseille. , (Barthélemy).
PORPHYRIO. PURPURHUHN. TALÈVE.
Porphyrio hyacinthinus. Europäisches Purpurhuhn. Taleve porphyrion.
Temm., Man.,II, p. 698. — Porphyrio antiquorum, Ch. Bonap. Icon. d. Faun. Ital., I, Tav. 44. — Gould , Pl. 340.
Sardinien, Sicilien, Nordafrika, südii- La Sardaigne, la Sicile, l'Afrique sep- che Ufer des kaspischen Meeres. tentrionale, les bords meridionaux de la
mer caspienne.
cl '
GALLINULA. WASSERHUHN. POULE D'EAU:
a. Eigentliche Wasserhühner. Poules d’eau proprement dites.
Gallinula chioropus. (memeines Wasserhuhn. Poule d'eau ordinaire.
Aldrov., Orn., III, p. 449. — Fulica chloropus, Linne, Syst. , XI, p. 258, n°. 4 — Naumann, Tab. 240. — Gould, PI. 342.
Europa, westliches Sibirien, Nord- | L’Europe , la Sibérie occidentale, PAfri-
afrika. que septentrionale.
Bb. Sumpf-Wasserhühner. Poules d’eau marouettes.
Gallinula porzana. Geflecktes Sumpf-Wasserhuhn. Marouette ordinaire. |
Latham, Ind., Il, p. 772, no. 19. — Rallus porzana, Linné, Syst. XII, p. 262, n°. 2. — Ortygometra porzana, Steph., in Shaw, Zool. — ‚Naumann , Tab. 237.. — Gould, Pl. 343.
Europa, Sibirien, Nordafrika. | L’Europe, la Siberie, PAfrique septen-
trionale.
Gallinula pusilla. Kleines Sumpf-Wasserhuhn. Petite ma- rouelte.
Bechst. , Nat. Deutschl., IV, p. 484. — Rallus pusillus, Gmel. Linne, p. 719, n°. 30. — Rallus minutus, Pallas, Ît., Ill, app., no, 30. — Naumann, Tab. 238. — Gould, Pl. 345.
Gemässigtes und südliches Europa, Mit- L'Europe tempérée et méridionale, ’Asie telasien. centrale.
Gallinula Baillonii. Zwerg-Wasserhuhn. Marouette naine.
Temm., Man., Il, p. 692. — Rallus Bailloni, Vieillot, Nouv. Diet. Deterv. , vol. XXVIII, p. 548. — Crex pygmaea, Naumann, IX, p. 567, Tab. 239. — Gould, Pl. 344.
Gemässigtes und südliches Europa. | L'Europe temperee et méridionale.
CIV CREX. WACHTELHONIG. ROI DES CAILLES.
Crex pratensis. (Gemeiner Wachtelkönig. Roi des cailles commun.
Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 470. — Rallus crex, Linne, Syst., XII, p. 261, n°. 1. — Gallinula crex, Lath., Ind., II, p. 766. — Naumann, Tab. 236. — Gould, PI. 341.
Europa, westliches gemässigtes Sibi- L’Europe, les parties temperees de la rien. Siberie occidentale.
RALLUS. RALLE. RALE. Rallus aquaticus. Wasserralle. Rale d'eau. Linne, Syst., XII, p. 262, no. 2. — Naumann, Tab. 235. —
Gould, PI. 339.
Europa, westliches Sibirien. | L’Europe, la Siberie occidentale.
WASSERVÖGEL. OISEAUX AQUATIQUES, TAUCHVOGEL. PLONGEURS. PODICEPS (121) LAPPENTAUCHER. GREBE. Podiceps cristatus. Gehäubier Steissfuss. Grèbe huppé.
Latham , Ind., II, p. 780, n°. 1. — Cobymbus cristatus, Linné, Syst. , XII, p. 222, no. 7. — Colymbus coronatus, Brisson, Orn., VI, p. 45, no. 4. — Naumann, Tab. 242. — Gould, Pl. 388.
Europa, kaltes und gemässigtes Asien, | L’Europe, l’Asie boréale et tempérée, Nordamerika. PAmérique du nord.
CV
Podiceps rubricollis. Rothkehliger Steissfuss. Grèbe à joues grises.
Latham, Ind., II, p. 783, n°. 6. — Colymbus subcristatus, Jacquin, Beitr., Vögel, p. 37. — Naumann, Tab. 243. — Gould, PI. 389.
Europa, Sibirien, Nordamerika. L’Europe, la Sibérie, l'Amérique du
nord. Podiceps cornutus. Gehörnter Steissfuss. Grebe cornu.
Latham, Ind., II, p. 782, no. 5. — Naumann, Tab. 244. — Gould, PI. 390.
Gemässigtes Europa. | L'Europe tempérée.
Podiceps cornutus arcticus. Arktischer gehörnter Steissfuss. Grèbe cornu arctique.
Podiceps arcticus, Boie, Tagebuch, p. 308. — Colymbus auri- tus, Linné, Fauna suec., p. 54, n°. 152. — Naumann , Tab. 245.
Nördliches Europa, im Winter im ge- L'Europe boréale, fréquente en hiver
mässigten Europa. l'Europe tempérée.
Podiceps auritus. Ohren-Steissfuss. Grèbe orerllard.
Latham, Ind., II, p. 781, n°. 3. — Colymbus auritus, Brisson , Orn., VI, p. 50, n°. 6. — Naumann, Tab. 246. — Gould, PI. 391.
Europa, Sibirien, nördliches Amerika. | L'Europe, la Sibérie , PAmérique boréale,
Podiceps minor. Kleiner Steissfuss. Grèbe castagneux.
Latham, Ind., II, p. 784. — Sylbeocyclus minor, Ch. Bonap., List, p. 64. — Naumann, Tab. 247. — Gould, PI. 392.
Europa. | L’Europe.
CVI COLYMBUS. MEERTAUCHER. PLONGEON: Colymbus glacialis. Polar-Meertaucher. Plongeon imbrin.
Linne, Syst., XII, p. 221, no. 5. — Colymbus torquatus et immer, Brünnich, Orn. bor., n°. 134 et 129. — Gould, PI. 393.
Küsten der kalten und gemässigten | Cötes des pays froids et temperes de l
Länder des nördlichen Halbrundes. . ’hemisphere boréal.
Colymbus arcticus (122). Arktischer Meertaucher. Plongeon lumme.
Linné, Syst., XII, p. 221, n°. 4 — Gould, PI. 394.
Nôrdliches Europa und Amerika, im | Le nord de l’Europe et de ’Amerique, Winter im gemässigten und südlichen visite en hiver les autres parties de
Europa. l’Europe.
Colymbus septentrionalis. Nördlicher Meertaucher. Plongeon septentrional.
Linné, Syst., XII, p. 220, no. 3. — Colymbus lumme, Brün- nich, Orn. bor. , n°. 132. — Gould, PI. 395.
Kalte Gegenden der nördlichen Erd- Regions froides de l’hemisphere bo- hälfte, im Winter im gemässigten bis réal, fréquente en hiver l'Europe tem- in’s südliche Europa. pérée et méridionale.
URIA. LUMME GUILLEMOT.
&
Uria Brünmichii. Brünnich’s Lumme. Guillemot Brünnich.
Sabine, Trans. Linn. Society, XII, p. 538. — Uria troile, Brünnich , Orn. bor., n°. 109. — Gould, PI. 398.
Nördliche Gegenden beider Erdhälften. Régions septentrionales des deux mon-
des,
CVII
Uria troile. Troil’s Lumme. Guillemot Troil.
Temm., Man., II, p. 921. — Uria lomvia, Brünnich, Orn. bor., p. 27, n°. 108. — Gould, Pl. 396. Norden beider Welten. | Régions septentrionales des deux mondes.
Uria troile leucophthalmos. Weissgeringelte Lumme. Guil- lemot bride.
Uria leucophthalmos, Faber, Prodr., p. 42. — Uria hringvia , Brünnich, Orn. bor., p. 27, no. 111. — Uria lacrymans, Valenc. in Choris, Voyage, Pl. XXIII. — Gould, PI. 397.
Norden beider Welten. | Régions septentrionales des deux mondes.
—
Uria grylle (123). Grylllumme. Guillemot à miroir blanc.
Latham, Ind., II, p. 797, n°. 2. — Colymbus grylle, Linné, Syst., XII, p. 220, no. 1. — Cephus columba, Pall., Zoogr., II, p. 348, no. 404, (part... — Grylle columba, Ch. Bon., Catal., p. 82, n°. 531. | |
Norden beider Welten. | Pays froids des deux mondes.
Uria grylle Mandtii. Spitzbergische Grylllumme. Guillemot a miroir blanc du Spitzberg.
Uria Mandtii , Lichtenst., Catal., 1823, p. 88, n°. 926. Spitzbergen. | Le Spitzberg. ALCA, ALH. PINGOUIN. Alca impennis. Grosser Alk. Grand Pingouin.
Linne, Syst., XIT, p. 210, no. 3. — Gould, PI. 400.
Hoher Norden Europa’s und Amerika’s. Régions arctiques de l’Europe et de
l'Amérique.
GVIIT Alca torda. Nordischer Alk. Pingouin commun.
Linné, Syst., XII, p. 210, n°. 1. — Utamania torda, Leach, Mus. Britt. — Gould, PI. 401.
Norden beider Welten; im Winter im Regions septentrionales des deux mon- gemässigten bis in's südliche Europa. des, visite en hiver l'Europe tempérée et méridionale.
MERGULUS,. HRABBENTAUCHER. MERGULE.
Mergulus alle. Gemeiner Krabbentaucher. Mergule nain.
Boie, Isis, 1826, p. 980. — Mergulus melanoleucos, Ray, Av., p- 135, n°.5. — Alca alle, Linn., Syst., XII, p. 211, m. 5. — Alca alce, Gmel. Linn., p. 554, n°. 5. — Uria minor, Brisson, Orn., VI, p. 73, no. 2. — Gould, PI. 402. |
Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux
mondes.
MORMON. LARVENTAUCHER. MACAREUX.
Mormon arcticus. Nordischer Larventaucher. Macareux moine.
Illiger, Prodr., p. 283. — Alca arctica, Linn., Syst. XII, p. 211, no. 4. — Mormon fratercula, Temm., Man., Il, p. 933. — Gould, PI. 403.
Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux mondes.
Mormon glacialis. Arktischer Larventaucher. Macareux glacial.
Leach, Mus. Britt. et auct. rec. — Gould, PI. 404.
Norden beider Welten. en regions septentrionales des deux mondes.
CIX
ENTENARTIGE VÖGEL. LAMELLIROSTRES. ANSER (124). GANS. OIE. a. Schneegänse. Oies de neige.
Anser hyperboreus. (remeine Schneegans. Oie de neige ordinaire.
Pallas, Spic. Zool., fasc. VI, p.20. — Chen hyperborea, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 284. — Gould, PI. 346.
Hoher Norden beider Welten. | Le cercle arctique. LB, Eigentliche Gänse. Oies proprement dites. Anser cinereus. Graugans. Oie cendrée.
Meyer und Wolf, Taschenb., Il, p. 562. — Anser ferus, Gess- ner, Av., p. 152, (part.). — Anas anser, Linné, Syst. XII, p. 197, n°0. 9. — Naumann, Tab. 285. — Gould, PI. 347.
Norden der alten Welt, im Winter im Les régions septentrionales de l’ancien
gemässigten bis in’s südliche Europa. monde, visite en hiver l’Europe tempé- rée et méridionale.
Anser segetum. Saalgans. Oie vulgaire.
Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 883. — Anas segetum, Gmel., Linné, Syst., p. 512, n°. 68. — Temm., Man., Il, p. 820. — Anser arvensis, Brehm, Nat. all. Vög. Deutschl., p. 839. — Nau- mann, XI, p. 278, no. 315, Tab. 286. — PI. enl. 985.
Nördliches Europa, auf dem Zuge im L’Europe septentrionale, frequente en
übrigen Europa. hiver les autres parties de PEurope.
Ex Anser brachyrhynchus. Kurzschnäblige Gans. Oie à bec court.
Baillon, Catal., p. 26, n°. 248; Temm., Man., IV, p. 520 (jun.). — Anser phoenicopus, Bartlett, Proceed. Zool. Soc., 1839, p. 3. — Anser segetum, Naumann, XI, p. 303, no. 316, Tab. 287.
Nordöstliches Europa, im Winter im Les régions froides de l'Europe orien- gemässigten Europa. tale, visite en hiver l’Europe tempérée.
Anser albifroms (125). Blessgans. Oie rieuse.
Bechst., IV, p.898 n°. 272. — Anas albifrons, Gmel. Linné, p- 509, n°. 64. — Anas erythropus, Linné, Syst., XII, p. 197, no. 11. — Naumann, Taf. 289. — Gould, PI. 289.
Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux mondes.
Anser Temmincki. Zwerggans. Oie naine.
Boie, Isis, 1822, p. 882. — Anser minutus, Naumann, XI, p- 364, n°. 319, Taf. 291. — Anser medius, Temm. in Meyer, Taschenb., III, p. 231; Man. d’Orn., IV, p. 519. — Anser ci- neraceus, Brehm, Beitr., III, p. 875.
Auf dem Zuge im östlichen und mit- Observé, lors du tems de la migration, :
teln Europa. dans l'Europe centrale et orientale.
c. Seegänse. Bernaches.
Anser bernicla. Ringelgans. Bernache cravant.
Illiger, Prodr., p. 277. — Anas bernicla, Linn., Syst., XII, p. 198, n°. 13. — Anser torquatus, Frisch, II, Taf. 156. — An- ser brenta, Pallas, Zoogr., IT, p.229, no. 323. — Bernicla bren-
ec Ne RG
GXI
ta, Steph., Cont. Sh. Zool., XII, p. 46. — Bernicla torquata , Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 292. — Gould, PI. 351.
Norden beider Welten. Les regions septentrionales des deux mondes.
Anser leucopsis: Weisswangige Seegans. Bernache à joues blanches.
Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 921. — Anser bernicla, Pallas, Zoogr., II, p. 230, no. 324. — Naumann, Tab. 291. — Gould, PI. 350.
Norden beider Welten. Les régions septentrionales des deux mondes.
Anser ruficollis. Rothhalsige Seegans. Bernache à cou roux.
Pallas, Spic. Zool., VI, p. 21, Tab. 4. — Naumann, Tab. 293. — Gould, PI. 351.
Nôrdliches Asien, auf dem Zuge ein- | L’Asie septentrionale, accidentellement
zeln in Europa. en Europe.
d. Fuchsgänse. Oies-renards. Anser aegyptiacus. Gemeine Fuchsgans. Oie-renard d'Égypte.
Brisson, Orn., V1, p. 284, no. 9. — Anas aegyptiaca, Linné, Syst., XII, p. 197, no. 10. — Anas varia, Bechst. , Orn. Tasch., IT, p. 454, n°. 39. — Chelanopex aegyptiaca, Steph., Cont. of Shaw Zool. , XII, p. 43. — Naumann, Tab. 294. — Gould, Pl. 353.
Afrika, zufällig im Süden Europa’s. L’Afrique, accidentellement dans le
midi de PEurope. CYGNUS. SCHWAN, CYGNE. Cygnus olor. Höckerschwan. Cygne tuberculé.
Vieillot, Nouv. Diet. Det., vol. IX, p. 37. — Anas olor, Gmel.
CXIL
Linn., 1, p. 501, no. 47. — Cygnus mansuetus, Ray, Av., p. 136. — Cygnus gibbus, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p.815. — Naumann, Tab. 295. — Gould, PI. 354.
Norden Europa’s, Sibirien. Les régions froides de L'Europe, la Si- bérie,
Cygnus olor immutabilis. Blassfüssiger Höckerschwan. Cygne tuberculé a pieds livides.
Cygnus immutabilis, Yarrell, Proceed. Zool. Soc., 1838, p- 19; British Birds, III, p. 131, c. fig.
Auf dem Zuge in Grossbrittanien und De passage en Angleterre et en Hol- Holland beobachtet. lande.
Cygnus musicus. Singschwan. Cygne à bec jaune.
Bechst., Nat. Deutschl. , IV, p. 830. — Cygnus ferus, Brissou, Orn., VI, p. 292, n°. 12. — Anas cygnus, Gmel. Linn., p. 501, no, 1. — Cygnus olor, Pallas, Zoogr., II, p. 211, no. 316. — Cygnus melanorhynchus, Wolf u. Meyer, Taschenb. , II, p. 498. — Cygnus xanthorhinus, Naumann, XI, p. 478, Tab. 296. — Gould, PL 355.
Nôrdliches Europa, Sibirien ; im Win- L'Europe septentrionale, la Sibérie ; ter im gemässigten und südlichen Eu- visite en hiver l'Europe tempérée et mé- ropa. ridionale.
Cygnus musicus minor. Kleiner Singschwan. Petit Cygne à bec jaune.
Cygnus minor, Keyserl. u. Blasius, p. LXXXII. — Cygnus olor var. ß minor, Pallas, Zoogr., II, p. 214, n°. 316. — Cygnus Bewickü, Yarrell, Trans. Linn. Soc., XVI, p. 445; Jard. u. Selby, Zool. Illustr., Pl. 95. — Cygnus islandicus, Brehm, Na- turg., p. 832. — Cygnus melanorhinus, Naumann, XI, p. 497, Tab. 297. — Gould, PI. 356.
Island , Sibirien ;.auf dem Zuge in Gross- 1’Islande, la Sibérie; observé, lors de
brittanien, Frankreich und Deutschland. l’époque de la migration, en Angleter- re, en France et en Allemagne.
CXIII
ANAS (126). ENTE. CANARD, A. SCHWIMMENTEN. CANARDS NAGEURS. a. Stockenten. Canards ordinaires.
Anas boschas. (Gemeine Stockente. Canard ordinaire.
Linné, Syst., XII, p.205, no. 40. — Naumann, Tab. 300. — Gould , Pl. 361.
Kalte und gemässigte Zone des nörd- Les regions froides et temperees de lichen Halbrundes. Phemisphere boréal.
b. Krikenten. Sarcelles d’hiver. Anas crecca. (Gemeine Krikente. Sarcelle d'hiver ordinarre.
Linne, Syst., XII, p. 204, n°. 33. — Querquedula crecca, Steph. in Shaw, XII, p. 146. — Naumann, Tab. 304. — Gould, Pl. 362.
Europa, Nordafrika, kaltes und ge- L’Europe, lAfrique septentrionale, mässigtes Asien. |
l'Asie boréale et tempérée. Anas bimaculata. Zweifleckige Krikente. Sarcelle d'hiver double tache.
Pennant, Brit. Zool., II, p. 602, no. 287. — Anas glocitans, Gmel. Linn., p. 96. — Gould, PI. 363.
Nôrdliches Asien; einige Exemplare in | Le nord de l'Asie; observé en Angle- England beobachtet. | terre.
Anas angustirostris. Schmalschnäblige Krikente. Sarcelle d'hiver à bec étroit.
Ménétries, Catal., p. 58, no. 205. — Anas marmorata, Temm., Man. , IV, p. 544. — Anas (Fuligula) marmorata, Gould , Pl. 373. — 8
CXIV
. Dafıla marmorata, Eyton, Anat., p. 114, n°0. 4 — Querquedula angustirostris, Ch. Bonap., List, p. 57; Icon. Faun. Ital., Tav. 47, fig. 1 et 2.
Südliches Europa, Ufer des kaspischen Le midi de l'Europe, les bords de la Meeres, Nordafrika. mer caspienne, l’Afrique septentrionale. :
c. Knäkenten. Sarcelles d’ete. Anas querquedula. (remeine Knäckente. Sarcelle d'été ordinaire.
Linne , Syst., XII, p. 203, n°. 32. — Naumann, Tab. 303. — Cyanopterus circia, Eyton, Monogr. Anatid., p. 130, n°. 1. — Pterocyanea circia, Ch. Bonap., Catal., p. 71, n°. 438. — Gould, PI. 364.
Europa, Sibirien , Nordafrika. L'Europe, la Sibérie, l'Afrique sep-
tentrionale.
d. Pfeifenten. Canards siffleurs. Anus penelope. Gemeine Pfeifente. Canard siffleur ordinaire.
Linne , Syst., XII, p. 202, no. 27. — Anas fistularis, Gessner, Av., p. 117. — Mareca penelope, Ch. Bon., List, p. 65. — Mareca fistularis, Steph., Cont. of Shaw, XII, p. 131. — Naumann, Tab. 305. — Gould, PI. 359.
Europa, Sibirien. | L’Europe, la Sibérie.
Anas americana. Amerikanische Pfeifente. Canard siffleur d'Amérique.
Gmel. Linn. , Syst., p. 526, n°. 97. — Wilson , PI. 69, fig. 4. — Mareca americana, Steph., Cont. of Shaw, Zool., XII, p. 135.
Nordamerika, in England beobachtet. L’Amerique du nord, observé en An-
gleterre.
CXV
_e. Schnatterenten. Canards ridennes.
nas strepera. kemeine Schnatterente. Canard ridenne ordinaire.
Gessner, Aves, p. 117. — Linné, Syst., XII, p. 200, no. 20. — Chauliodus strepera, Swainson, Journ. Royal Instit., n°. IV, p. 19. — Chaulelasmus strepera , J. R. Gray, List, II ed., p. 94. — Naumann, Tab. 302. — Ktinorhynchus strepera, Eyton, Monogr. Anat., p. 137, n°. 1. — Gould, PI. 366.
Kalte und gemässigte Gegenden der Les régions froides et tempérées de nördlichen Erdhälfte. Phémisphère boréal.
f. Spiessenten. Canards pilets. nas acuta. Gemeine Spiessente. Canard pilet ordinaïre.
Linne, Syst., XII, p. 202, no. 28. — Anas caudacuta, Gess- ner, Av. p. 117. — Anas longicauda, Brisson, Orn. VI, p. 369, no. 16. — Dafila acuta, Ch. Bonap., List, p. 56. — Dafila cau- dacuta, Eyton, Mon. Anat., p. 114, n°0. 3. — Naumann, Tab. 301. — Gould, Pl. 365.
Europa, kaltes und gemässigtes Asien. | L’Europe, l’Asie tempérée et boréale. g. Löffelenten. Souchets.
Anas clypeata. Gemeine Löffelente. Souchet ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 200, n°0. 19. — Spathula clypeata, Boie, Isis, 1822, p. 564. — Rhynchaspis clypeata, Steph., Cont. of Shaw, XII, 115. — Naumann, Tab. 306. — Gould, PI 360.
Kalte und gemässigte Striche des nörd- Les régions froides et tempérées de lichen Haïbrundes. l'hémisphère boréal.
h. Hôhlenenten. Tadornes. Anas tadorna. Gemeine Höhlenente. Tadorne commun.
Linné , Syst., XII, p. 195, no. 4. — Tadorna tadorna, Flem-
CXVI
_ming, Phil. of Zool. II, p. 260. — Tadorna familiaris, Boie, Isis, 1822, p. 804. — Naumann, Tab. 298. — Vulpanser tadorna, Keys. u. Blas., p. LXXXIV. — Gould, Pl. 357. | i
Europa, Sibirien. | L'Europe, la Sibérie.
Anas rutila. Rothe Höhlenente. Tadorne kasarka.
Pallas, Nov. Comm., Petr., XIV, I, p.579, Tab. 22, fig. 1. — Anas casarca, Linne, Syst., XII, III, p. 224. — Casarca rutila, Ch. Bonap., List, p. 56. — Naumann, Tab. 299. — Gould, PI. 358.
Tatarie, südöstliches Europa, zufällig La Tatarie, ‘les contrées chaudes de ‘im übrigen Europa. Europe orientale, accidentellement dans les autres parties de l’Europe.
B. TAUCHENTEN. CANARDS PLONGEURS.
a. Biderenten. Eiders. Annas molissima. (Gemeine Eiderente. Eider commun. Linné, Syst., XII, p. 198, no. 15. — Anas Cutberti, Pallas,
'Zoogr., Il, p. 235, n°. 328. — Somateria molissima , Steph. in Shaw., Zool., XII, p. 224. — Gould, Pl. 374.
Arktische Gegenden beider Welten; Le cercle arctique, visite en hiver les im Winter bis in das gemässigte Europa. régions temperees de l’Europe.
Anas spectabilis. Prächtige Eiderente. Eider a tete grise.
Linne, Syst., XII, p. 195, no. 5. — Gould, PI. 375.
Arktischer Kreis. | Le cercle arctique.
Anas Stelleri. Abweichende Eiderente. Canard Jaux-erder.
Pallas, Spic. Zool. fasc., VI, p. 35, Tab. 5. — Anas dispar ,
CXVIT
Sparrm., Mus. Carls., Tab. 7 et 8. — Polysticta Stelleni, Eyton, Mon. Anat., p. 150. — Stelleria dispar, Ch. Bon., List, p- 57, no. 418. — Eniconetta Stelleri, J. R. Gray, List, p. 95. — Gould, PI. 372.
Kamtschatka, Kurillen, zufällig im nörd- Le Camtschatka, les îles Kourilles, ac- lichen Europa. cidentellement dans Europe septentrio- nale.
b. Trauerenten. Macreuses. Anas nigra. (remeine Trauerente. Macreuse commune.
Linné, Syst., XII, p. 196, no. 7. — Oidemia nigra, Flem., Phil. of Zool., II, p. 260. — Melanitta nigra, Boie, Isis, 1822, p. 564. — Gould, PI. 378.
Arktische Gegenden Europa’s, im Win- Les regions arctiques de PEurope, la ter bis in’s südliche Europa; Sibirien. Siberie; visite en ‚hiver les autres parties
de Europe. Anas fusca. Sammet-Trauerente. Double macreuse.
Linné, Syst., XII, p. 196, n°. 6. — Gould, Pl. 377.
Nördliche Gegenden beider Welten, | Les régions septentrionales des deux. im Winter bis in’s südliche Europa. mondes ; fréquente en hiver l’Europe | tempérée el méridionale.
Anas perspicillata. Brillen-Trauerente. Macreuse à large Lec.
Linné, Syst., XII, p. 195, n°. 5. — Gould, PI. 376.
Nördliches Amerika, zufällig in Eu- L’Amerique boreale, accidentellement
ropa. en Europe. Eisenten. Canards macroures.
Anas glacialis. Gemeine Eisente. Canard macroure commun.
Linné, Syst., p. 203, no. 30. — Anas hyemalis, ibid., p. 202,
CXVIE
n°. 9. — Harelda glacialis, Steph. in Shaw, XII, p. 175. — Gould, PI. 382. Nördliche Länder beider Welten; im Regions septentrionales des deux mon- Winter einzeln bis ins südliche Europa. des; s’egare en hiver jusque dans le midi de l’Europe.
Nymphenenten. Canards nymphes.
Anas mersa. Europäische Nymphenente. Canard nymphe d’ Europe.
Pallas, It., II, app., n°. 29. — Anas leucocephala, Scopoli, Ann., I, p.65, n°. 79. — Undina leucocephala, Gould, Pl. 383. — Erismatura leucocephala, Eyton, Mon., p. 170. — Erismatura mersa, Ch. Bon., List, p. 59. — Undina mersa, Keys. u. Blas., p- LXXXVI. — Gould, Pl. 383.
Südöstliches Europa. Les régions chaudes de l’Europe orien- tale.
Schellenten. Garrots.
nas clanyula. Gemeine Schellente. Garrot ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 201, n°. 23. — Anas glaucion, ibid., n°. 26. — Anas hyemalis, Pallas, Zoogr., II, p.270, no. 350. — Clangula clangula, Flemming, Phil. of Zool., p. 260. — Gould, PI. 379.
Norden der alten Welt; im Winter Les régions septentrionales des deux
bis in’s südliche Kuropa. mondes ; en hiver, jusque dans le midi
de PEurope.
Anus Barrowii. Arktische Schellente. Garrot arctique.
Temm., Man. , III, p. 551. — Clangula Barrovii, Richardson , Fauna bor. amer., Birds, p. 456, Pl. 70. — Glaucion islandicum , Keys. u. Blas., p. LXXXVI. — Gould, PI. 380.
Nôrdliches Amerika, Island. | L'Amérique boréale, l'Islande.
CXIX Anas albeola. Zwerg-Schellente.: Garrot nain.
Forster, Phil. Trans. , I, XII, p. 416, no. 47. — Wilson, VIII, p- 51, Pl. 67, fig. 2 et 3. — Anas bucephala, Penn. Arct. Zool., p. 559, no. 489.
Nordamerika, in England erlegt. | L’Amérique du nord, tué en Angle- terre.
Kragenenten. Canards histrions.
Anus histrionicu. (remeine Kragenente. Canard histrion commun.
Linne, Syst., XII, p. 204, n°. 35. — Gould, PI. 381.
Norden beider Welten. | Le cercle arctique. Reïherenten. Morillons. Anas fuligula. Gemeine Reiherente. Morillon commun.
Linn., Syst. XII, p 207, n0.45. — Fuligula cristata, Steph., in Shaw, Zool., XII, p. 190. — Gould, Pl. 370.
Norden der alten Welt, im Winter Les regions septentrionales de l’ancien bis in’s südliche Europa. monde; fréquente en hiver l’Europe
tempérée et méridionale, Anas rufitorques. Halsband-Reiherente. Morillon à collier.
Anas fuligula, Wilson, VII, p. 60, Pl. 67, fig. 5. — Fuli- gula rufitorques, Ch. Bonap., Syn., p. 393, no. 341.
Nordamerika, zufällig in England. L’Amerique du nord, accidentellement en Angleterre,
CXX Bergenten. Millouinans,
Anas marila. (remeine Bergente. Millouinan ordinaire.
Linné, Syst., XII, p. 196, no. 8. — Gould, PI. 371.
Norden der alten Welt, im Winter bis . Les contrées septentrionales de lP’an- in das südliche Europa. cien monde; visite en hiver l’Europe
| tempérée et méridionale.
Anas marila americana. Amerikanische Bergente. Milloui- nan d'Amérique.
Anas marila, Wilson, Pl. 69, fig. 3. — Anas mariloides, Yar- rell, Brit. Birds, III, p. 247, c. fig. — Fuligula affinis, Eyton, Monogr. , p. 157.
Nordamerika. | L’Amerique du nord. Tafelenten. Millouins.
Anas ferina. Gemeine Tafelente. Millouin commun.
Linne, Syst., XII, p. 203, no. 31. — Nyroca ferina , Flem. ; Phil. of Zool., II, p. 260. — Aythya ferina, Boie, Isis, 1822 ,
p. 564. Gould, PI. 367.
Nördliche und gemässigte Gegenden Les contrees septentrionales et tempe- der alten Welt, im Winter bis in’s süd- rees de lancien monde, passe en hiver liche Europa. jusque dans le midi de l'Europe.
Anas nyroca. Weıssäugige Ente. Millouin nyroca.
Güldenst., Nov. Comm. : Petr. XIV, 1, p. 403. — Anas leu- cophthalmos, Bechst., Nat. Deutschl., IV, p. 1009. — Gould, PI. 368.
Europa. | L’Europe.
CXXI Kolbenenten. Canards huppés. Anas rufina. Gemeine Kolbenente. Canard huppé ordinaire.
Pallas, It., II, app-, n°. 28. — Branta rufina, Boie, Isis, 1822, p. 564. — Callichen rufinus, Brehm, Vögel Deutschl. , p- 922. — Gould, Pl. 369.
Südöstliches Europa. Les regions chaudes de l’Europe orien-
i tale.
MERGUS. SAGER. HARLE. Mergus merganser. Gänsesäger. Grand Harle.
Linné, Syst., XII, p. 208, n°. 2. — Mergus castor, ibid., p. 109, no. 4. — Merganser Raï, Steph., in Shaw, Zool., XIT, p- 161. — Gould, Pl. 384. |
Norden der alten Welt, im Winter Les parties septentrionales de l’ancien bis in das südliche Europa. monde; de passage dans les autres par- ties de l’Europe.
Mergus serrator. Langschnäbliger Säger. Harle huppé.
Linné, Syst., XII, p. 208, n°. 3. — Gould , Pl. 385.
Norden beider Welten, im Winter bis Les régions septentrionales des deux in’s südliche Europa. mondes ; de passage, en hiver, dans les
autres parties de l’Europe.
Mergus cucullatus. Helmsäger. Harle couronne.
Linne, Syst., XII, p. 207, no. 1. — Gould, PI. 386.
Nordamerika, zufällig in Europa. L’Amerique du nord, accidentellement
en Europe.
GXXII Mergus albellus (127). Weisser Säger. Merle prette.
Linné, Syst. , XII, p. 209, n°. 5. — Gould, PI. 387.
Norden beider Welten, im Winter Les régions septentrionales des deux bis in das südliche Europa. mondes ; fréquente en hiver l’Europe j tempérée et méridionale.
PELIKANARTIGE VÖGEL (128). STÉGANOPODES. PELICANUS. PELIHAN. PELECAN.
Pelecanus crispus. Riesen-Pelikan. Pelecan frise.
Bruch, Isis, 1832, p. 1109. — Naumann , Tab. 283. — Gould, PI. 406.
Südöstliches Europa. | Les parties chaudes de l’Europe orien- tale.
Pelecanus onocrotalus (129). Gemeiner Pelikan. Pelecan | blanc.
Pelecanus onocrotalus orientalis (part.), Linné, Syst., XII, p- 215, no. 1. — Naumann, Tab. 282. — Gould, PI. 405. |
Südöstliches Europa, südliches und ge- Les parties chaudes de l’Europe orien- mässigtes Asien, Nordafrika. tale, lAsie tempérée et méridionale,
l'Afrique septentrionale. CARBO SCHARBE. CORMORAN.,
Carbo cormoranus (129 bis). Kormoranscharbe. Grand cormoran.
Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 576. — Pelecanus carbo, Linn. Syst., XII, p. 216, no. 3. — Phalacrocorax carbo, Guy. , Règne an., I, p. 562. — Halieus carbo, Iiliger , Prodr. , p. 279. — Naumann, Tab. 279. — Gould, PI. 407.
Europa, Asien, Nordamerika. | L’Europe, l'Asie, l'Amérique du nord.
CXXIIT Carbo graculus (130). Krähenscharbe. Comoran nigaud.
Pelecanus graculus, Linné , Syst., XIT, p.217, n°. 4. — Pelecanus cristatus, Fabr., Fauna groenl. , n°. 58. — Carbo cristatus, Temm.,
Man., II, p. 900. — Naumann, Tab. 280. — Gould, PI. 410.
Nördliches Europa. | L'Europe septentrionale.
Carbo graculus mediterraneus. Südliche Krähenscharbe. Cormoran nigaud méridional.
Carbo Desmarestü, Payraudeau, Ann. d. sc. nat., 1826, p. 460. — Naumann, Tab. 280, fig. 3. — Gould, PI. 411.
Mittelländisches Meer. | La Mediterranee. Carbo pygmaeus. Zwergscharbe. Cormoran pygmée.
Temm., Man., II, p. 901. — Pelecanus pygmaeus, Pallas, It., II, app. , n°. 26. — Naumann, Tab. 281. — Gould, PI. 409.
Südöstliches Europa. | Les parties chaudes de l’Europe orientale, SULA (131). TOLPEL. FOU.
Sula bassana. (Gremeiner Tülpel. Fou ordinaire.
Brisson, Orn., VI, p. 503, no. 5. — Pelecanus Bassanus, Linn., Syst., XII, p. 217, no. 5, — Sula alba, Meyer u. Wolf, Taschenb. , II, 582. — Naumann, Tab. 278. — Gould, PI. 412.
Norden der alten Welt. Les regions septentrionales de l’ancien
monde.
CXXIV
MOVENARTIGE VÖGEL (132). LONGIPENNES. :
LARUS. MOVE. MOUETTE.
a. Seemöven. Mouettes marines ou Goëlands. Larus marinus. Mantelmüve. Goeland à manteau noir.
Linne, Syst., XII, p. 225, n0. 6. — Naumann, Tab. 268. — Gould, Pl. 430. |
Norden beider Welten, Les régions sepientrionales des deux mondes.
Larus fuscus. Kleine Mantelmöve. Petit Goëland à manteau noir.
Linné, Syst., XII, p. 225, no. 6. — Larus flavipes, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 469. — Naumann, Taf. 267. — Gould, PI. 451. -
Nördliches Europa, im Winter bis in’s L’Europe septentrionale; visite en hiver
südliche Europa. l'Europe temperee et meridionale.
——
Larus argentatus (133). Silbermöve. Goëland à manteau gris.
Brünnich, Orn. bor., p. 44, no. 149. — Naumann, Tab. 266. — Gould, Pl. 434.
Norden der alten Welt. | Les parties septentrionales de Pancien
monde.
Larus cachinnans. Gelbfüssige Silbermöve. Goëland de Pallas.
Pallas, Zoogr., Il, p. 318, no. 177. — Larus Michahellesü , Bruch, Isis, 1832, p. 1107.
Südöstliches Europa, Sibirien. Les régions chaudes de l’Europe orien-
tale, la Siberie.
CXXV
Larus glaucus. Grosse weissschwingige Möve. Goëland bour- . gemestre.
‘ Brünnich, Orn. bor., p. 44, n°. 148. — Naumann, Taf. 264. — Gould, PI. 432. Norden beider Welten, im Winter im Le nord des deux mondes; visite en
gemässigten Europa. hiver l'Europe tempérée,
Larus leucopterus. Kleine weissschwingige Möve. Goeland leucoptere.
Faber, Prodr., p. 91, n°. 2. — Larus glaucoides, Temm. in Meyer u. Wolf, Taschenb., Zusätze III, p. 197. — Larus islan- “ dieus, Edmonston, Mem. Wern. Soc., IV, p. 506. — Larus arcti- cus, Mac Gillivray, ibid., V, p. 268. — Naumann, Taf. 265. — Gould, Pl. 433.
Nordamerika, Island. | L’Amerique du Nord, lIslande.
Larus canus. Sturmmöve. (roëland a pieds bleus.
Linne, Syst., XII, p. 224, n°. 3. — Larus cyanorhynchus, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 480. — Naumann, Taf. 261. — Gould, Pl. 437.
Europa, ausser Island. | L'Europe, a Pexception de lIslande.
Larus Audouinii. Buntschnäblige Möve. Goeland Audouin.
Payraudeau, Ann. des Sc. Nat., 1826, p. 460. — Pl. col. 480. — Gould, Pl. 438.
Mittelländisches Meer. | Les côtes de la Méditerranée.
GXXVI
Larus eburneus. Rathsherr-Möve. Goeland senateur.
Gmel. Linn., p. 596, n°. 14. — Gavia eburnea, Boie, Isis, 1822, p. 876. — Naumann, Taf. 263. — Gould, PI. 436. Arktische Meere beider Welten. | Les mers arctiques des deux mondes.
Larus tridactylus. Stummeldaum-Möve. Goeland à pouce imparfait.
Linné Syst., XII, p.224, n0.2. — Larus rissa, Brünnich, Orn. bor., n°. 140. — Rissa tridactyla, Leach, Mus. Britt. et auct. angl. — Naumann, Taf. 262. — Gould, Pl. 435.
Arktische Meere beider Welten, im Parages arctiques des deux mondes; Winter bis in das Mittelmeer. fréquente en hiver PEurope tempérée et méridionale.
Larus leucopthalmos. Weissäugige Move. Goeland à iris blanc.
Licht. in Temm., Pl. col. 366. — Temm. Man., III, p. 486.
Griechenland, rothes Meer. | La Grece, la mer rouge. b. Moormöven. Mouettes.
Larus ridibundus. Lachmöve. Mouette rieuse.
Linne Syst., XII, p. 225, no. 9. — Xema ridibundus, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Taf. 260. — Gould, Pl. 425.
Europa, ausser dem hohen Norden ; L’Europe, à lexception des régions Sibirien. arctiques; la Sibérie.
\
CXXVII
Larus ridibundus minor (134). Kleine. Lachmöve. Petite mouelte rieuse.
Larus capistratus, Temm., Man., II, p. 785. — Xema capis- tratum, Ch. Bonap., Icon. d. Fauna ital., I, Tav. 46, fig. 1. Europa, Africa. | L’Europe, PAfrique.
Larus atricilla (135). Bleigrauköpfige Möve. Mouette à ca- puchon plombé.
Linné, Syst., XII, p. 225, n°. 8. — Larus plumbiceps, Brehm, Lehrb., p. 722. — Gould, PI. 426.
Nordamerika, zufällig in Grossbritan- L'Amérique du nord, accidentellement
nien. en Angleterre. Larus gelastes. Dünnschnäblige Möve. Mouette a bec grêle.
Lichtenst., Mus. Berol. ; Thienemann, Fortpfl., V, p. 22, n°. 391. — Larus Genei, De Breme , in Guérin, Revue Zool., 1839, p- 821. — Larus tenuirostris, Temm. , Man., IV, p. 478. — Xema Lambruschini, Ch. Bonap., Ic. d. Fauna ital.,I, Tav. 45, fig. 1.
Mittelländisches Meer. | Les cötes de la Mediterranee.
Larus melanocephalus (135 bis). Schwarzköpfige Möve. Mou- elle a capuchon noir.
Natterer in Temm. Man., II, p. 777. — Naumann , Tab. 259. — Gould , Pl. 427.
Mittelländisches Meer, | Les cötes de la Mediterranee.
Larus minutus. Zwergmöve. Mouelte pygmée.
Pallas, It., III, app. , n°. 35. — Naumann, Tab. 258. — Gould, PI. 428.
Sibirien, ôstliches Europa, selten im La Sibérie, l’Europe orientale, rare- übrigcn Europa. ment dans les autres parties de l’Europe.
GXX VIII Larus ichthyaëtos. Fischmöve. Mouette vchthyaete.
Pallas, It., II, app. , n°. 27. — Gould, PI. 435.
Südöstliches Europa. Les parties chaudes de l’Europe orien- tale.
Larus Sabinii. Schwalbenschwanz-Möve. Mouette de Sabine.
I. Sabine, in Trans., Linn. Soc., XII, p. 520, PI. 29. — Xema Sabinüi, Leach in Ross, I voy., app., p. 57. — Gould, PI. 429.
Arktisches Amerika, zufällig in Gross- Les régions arctiques de l’Amerique , britannien. accidentellement en Angleterre.
Larus Rossii. Keilschwanz-Möve. Mouette de Ross.
Richardson, in Parry, II voy., app., 359. — Larus roseus, Jard. et Selby , Zool. Illustr., Pl. 14. — Rossia rosea, Ch. Bonap., List, p. 62. |
Arktisches Amerika, zufällig in Europa. Les regions arctiques de l’Amérique,
accidentellement en Europe.
STERNA (136). SEESCHWALBE. HIRONDELLE DE MER.
a. Echte Seeschwalben. Hirondelles de mer pro- prement dites.
Sterna caspia. Riesenseeschwalbe. Hirondelle de mer tsche- grava.
Pallas, Nov. Comm. Petrop., XIV ,I, p.583. — Sterna megar- hynchos, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 457. — Stylochelidon
CXXIX
caspia, Brehm, Handb., p. 770. — Naumann, Tab. 248. — Gould, PI. 414.
Gemässigtes und warmes Europa, sel- L'Europe tempérée et chaude, rare- ten im westlichen Europa; Asien, Afrika. ment dans l'Europe occidentale; l’Asie, l'Afrique.
Sterna cantiaca. Weissgraue Seeschwalbe. Hirondelle de mer caugek.
Gmel. Linné, p. 606, n°. 15. — Sterna striata, 1bid., p. 609, no. 24. — Sterna canescens, Meyer u. Wolf, Taschenb., II, p. 458. — Thalasseus cantiacus, F. Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann, Tab. 250. — Gould, PI. 415.
Europa, Afrika, Nordamerika. L'Europe, l’Afrique, l’Amérique du
nord.
Sterna affinis. Rüppell’s Seeschwalbe. Hirondelle de mer voyageuse.
Rüppell, Atlas, p. 23, Taf. 14. — Sterna media, Horsf. Linn., Trans., XIII, p. 199, n°. 3.
Griechenland, Afrika, indischer Ar- ı La Grèce, PAfrique, PArchipel indien. chipel.
Sterna hirundo. temeine Seeschwalbe. Hirondelle de mer Pierre Garin.
Linne, Syst., XII, p. 227, no. 2. — Naumann, Tab. 252. — Gould, PI. 417. Europa, Afrika, Sibirien, Nordameri- | L’Europe, P’Afrique, la Sibérie, ’Ame-
ka. rique du nord.
Sterna macrura. Langschwänzige Seeschwalbe. Hirondelle de mer macroure.
. Naumann, Isis, 1819, p. 1847. — Sterna arctica, Temm. Man., 9
CXXX
II, p. 742. — Sterna argentata, Brehm, Beitr., III, p- 692. — Naumann, Tab. 253. — Gould, PI. 419. Ä
Norden beider Welten, im Winter Les contrées septentrionales des deux. ‘einzeln im mittelländischen Meere; Vorge- mondes, visite en hiver en petit nombre birge der guten Hoffnung. les côtes de la Méditerranée; le Cap de
Bonne Espérance.
Sterna minuta. Zwergseeschwalbe. Petite hirondelle de mer. |
Linne, Syst., XII, p. 228, n°. 4. — Sternula minuta, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Naumann , Tab. 254. — Gould, Pl. 420.
Gemässigtes und südliches Europa, L'Europe temperee et méridionale, Asien. l'Asie.
‘Sterna paradisea. Brünnich's Seeschwalbe. Hirondelle de mer Brunnich.
Brünnich, Orn. bor., p. 46. — Sterna Dougallii, Montagu, Orn.
Dict., Suppl., ad voc. Tern roseate. — Naumann, Tab. 251. — Gould, PI. 418. ‘Europa ,„ Nordamerika. | L'Europe, l’Amerique du nord.
Sterna anglica. Lachseeschwalbe. Hirondelle de mer hansel.
Montagu, Orn. Dict., Suppl., ad voc. Tern gull-billed. — Gelo- chelidon anglica, Ch. Bonap., List, p. 61. — Naumann, Tab. 249. — Gould, Pl. 416.
Europa, Arabien, Afrika. | L’Europe, l’Arabie ; l'Afrique. b. Bastard-Seeschwalben. Hirondelles de mer bâtardes.
Sterna nigra. Schwarze Seeschwalbe. Hirondelle de mer epouvantall.
.Brisson, Orn., VI, p. 211, n°. 11. — Sterna naevia, ibid., p-
CXXXI
216, , no. 6. — Sterna fissipes, Linné, Syst., XII, p. 228, no. 7. — Hydrochelidon nigrum, Boie, Isis, 1822, p. 563. — Nau- mann, Tab. 256. — Gould, PI. 422.
Europa , gemässigtes Asien, Nordame- L'Europe, l'Asie tempérée, l’Améri-
rikası.) * que du nord.
Sterna leucoptera. Weissschwingige Seeschwalbe. Hirondelle de mer leucoptere. Meissner u. Schinz, Vögel der Schweiz, p. 264, no. 238. — Sterna nigra, Linn., Syst., XII, p. 227, no. 3. — Naumann, Tab. 257. — Gould, PI. 423.
Südliches Europa, Asien. | L'Europe méridionale, l'Asie.
Sterna leucopareia. Schnurrbärtige Seeschwalbe. Hirondelle. de mer moustac.
Natterer in Temm., Man., II, p. 746. — Sterna hybrida, Pal- las, Zoogr., II, p. 338, n°. 395. — Naumann, Tab. 255. — Gould, PI. 424.
Südliches Europa, Nordafrika, Asien. Le midi de l’Europe, l'Afrique sep-
tentrionale , l’Asie.
c. Noddis. Noddis. Sterna stolida. Gemeiner Noddi. Noddi commun.
Linne, Syst., XII, p. 227, no. 1. — Megalopterus stolidus, Boie, Isis, 1826, p. 980. — Gould, PI. 421.
Südliches Halbrund ; einzeln im mittel- l'hémisphère boréal; observé sur les
ländischen Meere und an den Küsten côtes de la Méditerranée et de lPAngle- Englands beobachtet. terre,
CXXXII PROCELLARIA. STURMVOGEL. PETREL c. Procellaria. Eigentliche Sturmvögel. Pétrels.
Procellaria glacialis. E a Petrel fulmar.
Linne, Syst., XII, p. 213, no. 3. — Gould, PI. 446.
Nördliches Europa. | L'Europe boréale, b. Puffine. Puffins. Puffinus.
Puffinus cinereus. Grauer Pufin. Puffin cendre.
Temm. , Man., III, p. 806 et IV, p. 506. — Gould, PI. 445,
fig. 1. Mittelmeer, bis an die Küsten Eng- | La méditerranée, jusqu’ aux côtes de lands. l'Angleterre.
Puffinus major. Grosser grauer Pufin. Pufin cendre arctique.
Faber, Prodr., p. 56, no. 2.
Arktische Gegenden Europa’s, Neu- Les régions arctiques. de l'Europe; la fundland. Terre-neuve.
Puffinus fuliginosus (137). Rauchgrauer Pufin. Pufin
Juligineux.
Strickland, Proceed. Zool. Soc., 1832, p. 129. — Puffinus
cinereus, fem., Gould, Pl. 445, fig. 2. — Puffinus major, fem. Temm., Man., IV, p. 508.
Neufundland,, zufällig in Grossbritan- La Terre-neuve, accidentellement en nien. Angleterre.
Puffinus arcticus (138). Arktischer Pufin. Puffin manks.
Faber, Prodr., p. 56, n°. 1. — Procellaria puffinus, Brünnich,
CXXXIIT
Orn. bor., p: 29. — Procellaria anglorum, Temm., Man., II, p- 806. — Naumann, Tab. 277. — Gould, PI. 443. Nördliches Europa, Nordamerika. | L'Europe boréale, l'Amérique du nord.
Puffinus obscurus. Dunkler Pufin. Pufin obscur.
Boie, Isis, 1826, p. 980. — Procellaria obscura, Gmel. Linne, p- 559, no. 7. — Gould, PI. 444.
Nôrdliches Europa. | L'Europe septentrionale.
THALASSIDROMA. SCHWALBENSTURMVOGEL. THALASSIDROME.
Thalassidroma pelagica. Gemeiner Schwalbensturmvogel. Thalassidrome tempete.
Vigors, et auct. recent. — Procellaria pelagica, Linne , Syst., XII, p. 212, n°. 1. — Hydrobates pelagica, Boie, Isis, 1822, p- 562. — Naumann, Tab. 275. — Gould, Pl. 477, fig. 2.
‘ Europa. | L’Europe.
Thalassidroma Leachii. Leach’s Schwalbensturmvogel. Tha- lassidrome de Leach.
Ch. Bon., List, p. 64. — Procellaria Leachii, Temm, Man., IT, p. 812. — Nes Tab. 275. — Gould, PI. 447, fig. 1.
Atlantischer Ocean, Küsten Frank- | L’Ocean atlantique. les côtes de la I
reichs und Englands. 'rance et de l’Angleterre.
Thalassidroma Wilsonii (139). Wilsons Schwalbensturmvogel. Thalassidrome de Wilson.
Ch. Bonap., Syn., p. 367. — Procellaria pelagica , Wilson , Tab. LX, fig. 6. — Proc. oceanica, Forst., Licht. , Catal., p.
GXXXIV
83, n°. 764, nota. — Oceanites Wilsonii , Keyserl. u.. Blas., p: XCIIT. |
Mexicanischer Meerbusen , zufällig an Le Golfe de Mexique. aceidentelle-
ment en Angleterre.
den englischen Küsten.
Thalassidroma Bulweri. Bulwers Schwalbensturmvogel. Thalassidrome de Bulwer.
Gould, Pl. 448. — Procellaria Bulweri, Jard. and Selby, Zool. Illust. , Pl. 65. | |
Azoren, Madeira, an den Küsten Eng- | Les Azores et Madère ; observé sur les
lands beobachtet. côtes de l’Angleterre.
LESTRIS. RAUBMOVE. STERCORAIRE.
Lestris catarractes. (Grosse Raubmüve. Slercoraire ca- tarracte.
Illiger, Prodr., p. 273. — Larus catarrhactes, Linn., Syst. nat. , XII, p. 226, no. 11. — Catharacta Skua, Brünn., Orn. bor., p- 33, n°. 125. — Naumann, Tab. 270. — Gould, PI. 439.
Nördliches Europa. | L'Europe septentrionale.
Lestris pomarina. Mittlere Raubmüve. Stercoraire pomarine
Temm., Man., II, p. 793. — Naumann, Tab. 271. — Gould, Pl. 440. | “Norden beider Welten, im Winter bis Les regions septentrionales des deux in das südliche Europa. mondes ; visite en hiver les autres par- ties de l'Europe.
CXXXV Lestris parasita. Schmarotzer-Raubmöve. Stercoraire parasite.
Boie, Reise, p. 129. — Catharacta parasita et coprotheres, Brünn., Orn. bor., p. 37, n°. 127 et p. 38, no. 128. — Lestris Richardsonii, Swainson , Fauna bor. amer., II, p. 433, Pl. 73. — Naumann , Tab. 272, 273. — Gould, PI. 441.
Nördliches Europa, auf dem Zuge bis L’Europe septentrionale, de passage R P P 2 passag
in das südliche Europa. en hiver dans les autres parties de PEu-
rope.
Lestris Buffonii (140). Buflon’s Raubmöve. Stercoraire de Buflon
Lestris Buffonüi , Boie, in Meyer, Taschenb., III, p. 212, n°. 3; Isis, 1822, p. 562 et 874 — Lestris crepidata, Brehm, Beitr., II, p. 861. — Catharacta cephus, Brünnich, Orn. bor., p. 36, n°. 126, c. fig. — Lestris parasiticus, Swains. , Faun. bor. amer. Birds, p. 430. — Naumann, Tab. 274. — Gould, PI. 442.
Nôrdliches Europa, auf dem Zuge im L'Europe septentrionale, visite en hi- gemässiglen Europa. ver l'Europe tempérée.
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ZWEITE ABTHEILUNG.
SECONDE PARTIE.
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(1) FALCO CANDICANS 1IS- LANDIOUS. Schon Horrebow , Descr. del’Islande, I, p.210, und nach ihm Faber, Prodr. p. 3, haben darauf aufmerksam ge- macht, dass die weissen Falken, wie sie in Grönland vorkommen, auf Island nicht brüten, sondern diese Insel nur im Winter besu- chen. Brehm, I. c., trennte im Jahre 1823 den isländischen Fal- ken vom grönländischen ; später thaten dies auch Hancock, !. c., und Keyserl. u. Blasius, l. ce. — Wir haben eine Menge, im Som- merın Grönland und Island erleg- te Individuen dieser beiden Fal- ken untersucht und gefunden, dass die von den erwähnten Na- turforschern angeführten Kenn- zeichen, wodurch sich der grön- ländische vom isländischen Falken unterscheiden soll, grösstentheils unstatthaft sind. Nach Brehm soll der Schnabel des grönländi- schen Falken mit einem doppel- ten Zahne, der des isländischen mit einem einfachen Zahne ver- sehen seyn; Hancock dagegen schreibt dem isländischen Falken einen Doppelzahn, dem grönlän- dischen einen einfachen Zahn zu: ein Widerspruch , der um so
2.
— rd —
(1) FALCO CANDICANS 1s- LANDICUS. JHorrebow, Descr. de l'Islande, T, p. 210, et après lui Faber, Prodr. p. 3, ont été les premiers à constater que les faucons blancs tels qu'ils se trou- vent ordinairement au Groenland, ne nichent pas en Islande, et qu'ils ne visitent cette ile qu’en hiver. Ce ne fût cependant qu’en 1823 que Brehm distinguät com- me espèce le faucon du Groenland de celui d'Islande, et’ il fut plus tard imité à cet égard par Han- cock, Keyserling et Blasius. Nousavons examiné un assez grand nombre de faucons de ces deux races, tués en été au Groenland et en Islande, et nous avons trou- vé que la plupart des caractères établis par ces savans pour dis- tinguer les deux races de faucon que nous venons de citer, sont loin d’être constants. Brehm veut que le bec du faucon du Groen- land soit pourvu d’un double fes- ton, tandis que le bec du faucon d'Islande n'offre qu'un seul fes- ton; Hancock dit au contraire que le bec du faucon d’Islande présente deux festons et celui du faucon d’Islande un simple feston : assertions contradictoires qu'il est
1
unerklärlicher ist, da beide Na- turforscher ganze Reihen Indivi- duen dieser Falken von Grönland und Island untersucht haben. — Hancock giebt ferner an, dass beim grönländischen Falken die Querflecke der beiden mitteln Steuerfedern einander gerade ge- genüberstehen, oder mit andern Worten, dass diese Flecke unab- gebrochene Querbinden bilden, während sie beim isländischen Falken abwechselnd stehen , und daher keine durchgehenden , son- dern abgebrochene Querbinden bilden. Auch diese Erscheinung ist nach meinen Beobachtungen zufällig; denn ich fand diese Querstreife beim weissen und is- ländischen Falken, wie bei den übrigen Arten, bald unabgebro- chen bald abwechselnd stehend, zuweilen bei einem und demsel-
ben Individuum , auf einer Feder.
abwechselnd, auf der andern durchgehend , oder sogar auf ei- ner und derselben Feder theil- weise abgebrochen, theilweise unabgebrochen. — Nach Han- cock soll ferner der Schwanz beim grônländischen Falken 2 Zoll, beim isländischen 11 Zoll über die Flügel hinausragen. Wä- re ein solcher Unterschied vor- handen , so müsste er doch wohl seine Ursache in verschiedenen gegenseitigen Längeverhältnissen der Flügel und des Schwanzes ha- ben: von diesen Verhältnissen schweigt aber Hancock und seine Nachfolger, und nach unsern Untersuchungen bestehen sie auch wirklich nicht. Keyserling und Blasius, 1. c., p. 135, geben endlich als Hauptkennzeichen
d’autant plus difficile de concilier que ces savans prétendent avoir
‘examiné un grand nombre d’in- dividus de chacune de ces deux
races de faucon. Hancock cons-
Late encore que les taches claires des deux pennes mitoyennes de
la queue forment , dans le faucon du Groenland, des bandes conti- nues, tandis qu’etant opposées dans le faucon d'Islande, elles se présentent, dans cette race, sous la forme de bandes transversales interrompues. Mes propres re-
cherches m'ont appris que ce ca-
ractère ainsi que celui tiré de la présence d’un double feston au bec est absolument dû à des va- riétés individuelles, les taches dont nous venons de parler étant dans les faucons du Groenland et d'Islande, comme dans plusieurs autres espèces, tantôt opposées, tantôt continues, quelquefois dans un seul individu sur l’une des pennes opposées, sur l’autre continues, ou même sur une seule penne en partie opposées, en partie continues. Hancock pré- tend encore que la queue dépasse les ailes de deux pouces dans le faucon du Groenland et d’un pou- ce et demi seulement dans celui d'Islande; mais il est évident que ce caractère, s’il existait, devrait naturellement dépendre de la di- versité des dimensions relatives de la queue et des ailes de ces deux races; mais Hancock ne fait nullement mention de ces diffé- rences qui, en effet, n'existent pas. Les traits distinctifs assignés au faucon du Groenland par MM. Keyserling et Blasius, p. 135, sont les suivans: »L’extremite
des grönländischen Falken an: |
»Die dritte Schwinge steht der »zweiten näher als der ersten, so » dass der Unterschied der zwei- »ten und dritten kleiner ist als » der ersten und dritten.” Beim isländischen Falken sollen da- gegen folgende Verhältnisse Statt finden: »Die dritte Schwinge »steht der ersten näher als der » zweiten, so dass der Unterschied »der zweiten und dritten grösser »ist als der ersten und dritten.” Wir können versichern, dass auch diese Kennzeichen nicht Stand halten, weil sie lediglich von der mehr oder weniger volkomme- nen Entwickelung der Schwung- federn abhängen. — Nach unsern Untersuchungen ist der isländische Falke vom grönländischen oder dem weissen Falken nur durch die Färbung, und zwar nur im Alter, zu unterscheiden; junge Vö- gel sind sich so vollkommen ähn- lich, dass auch nicht der: ge- ringste Unterschied Statt findet. Beim ausgetärbten grönländi- schen Falken sind Kopf, Hals, alle Untertheile, und oft auch die Steuerfedern , mit Ausnahme des mittelsten Paares , rein weiss; auf den Öbertheilen herrscht eben- falls die weisse Farbe vor, und die dunkle Farbe erscheint nur auf den Federn des Rückens und der Flügel, in der Gestalt von herz- förmigen Flecken oder unvoll- kommenen Querbinden. Der Schnabel ist oft ganz gelblich ; die Füsse dagegen sind gewöhn- lich blassgelb, oder behalten so- gar ihre blauliche Färbung , nach- dem der Vogel schon das weisse Kleid angelegt hat. Beim ausge-
»de la troisième rémige plus rap- »prochee de l’extremite de la » deuxième, d’où il résulte que la » distance comprise entre les ex- »tremites de la deuxième et de » la troisième rémige est moins » considérable que la distance » comprise entre les extrémités de » la première et de la troisième ré- » mige.” Le faucon d'Islande offre au contraire, selon ces savans , les traits distinctifs suivans: » L’ex- »tremite de la troisième rémige »est plus rapprochée de l’extré- » mité de la deuxième; la distance » comprise entre les extrémités de »la deuxième et de la troisième »remige est, par conséquent, » plus considérable que la distan- »ce comprise entre la premiere »et la troisième rémige.” Quant à ces caractères, nous avons ob- servé qu'ils dépendent du déve- loppement plus ou moins parfait des rémiges, et qu'ils sont loin d'offrir des traits distinctifs sûrs et constans. Nous ne sommes par- venus à distinguer le faucon d’Is- lande de celui du Groenland qu’au moyen des caractères empruntés aux couleurs, Les jeunes de l’année de ces races se ressemblent telle- ment qu'il est impossible de les distinguer, si leur origine n’a pas été préalablement constatée. Le faucon du Groenland est, lors- qu'il est revêtu de sa livrée par- faite, d’un blanc pur sur la tete, le cou, les parties inférieures et souvent aussi sur les pennes de la queue, à l'exception des deux mitoyennes; et les taches foncées, dont les parties supérieures de- puis le dos se trouvent couvertes, sont assez petites et se présentent
färbten isländischen Falken ıst der !
Schwanz mit abwechselnden hel- len und dunkeln Querflecken ver- sehen. Die Brust und die un- tern Schwanzdeckfedern sind mit kleinen dunkeln Strichen, der Bauch mit thränen- und herzför- migen Flecken versehen, die auf den Seiten als Querflecke erschei- nen. Die hellen Flecke der Ober- theile haben immer die Gestalt mehr oder weniger vollkommener Querbänder. Die hellen Quer- bänder der obern Schwanzdeck- federn sind bläulichweiss, und die der Seiten des Bürzels asch- grau. Kopf, Nacken, Hinterhals und Ohrgegend sind ebenfalls mit Strichflecken versehen, und die Zügelgegend, so wieder sehr klei- ne Backenbart ziehen insschwärz- liche. Der Schnabel ist nur an der Wurzel gelblich, und die Füsse sind ganz gelb, wenigstens an ge- trockneten-Exemplaren.
Die Falkeniere, weiche ‘die Falkenarten oft besser kennen als die Naturforscher, , unterscheiden den grönländischen Falken nicht vom isländischen. Sie begreifen beide unter dem gemeinschaft- lıcheu Namen Zsländer, und
sous la forme de taches en coeur ou de bandes transversales impar- faıtes. Le bec est souvent d’un jaunätre uniforme; les pıeds sont ordinairement d’un jaune päle ou offrent même encore la teinte bleuâtre, telle qu’elle se voit dans les jeunes de l’année. La queue du faucon d'Islande est pourvue , à l’âge adulte, c’est-à- dire, depuis la deuxième année, de bandes alternes claires et fon- cées. La poitrine et lescouvertures inférieures de la queue sont ornées de fines raies longitudinales, le ventre de petites taches en coeur ou en larmes, qui prennent sur les grandes plumes des flancs une forme transversale. Les taches claires des parties supérieures offrent toujours la forme de ban- des transversales plus ou moins parfaites. Les bandes des couver- tures supérieures de la queue sont d’un blanc bleuätre, et cel- les des côtés du croupion tirent sur le gris cendré. La tête, la nuque, les parties postérieures du cou et la région des oreilles sont pourvues de taches foncées étroi- tes; on voit du noirätre sur la région du frem et la tache en moustache est également noirätre, mais tres-petite. Le bec n'offre du jaune qu’à sa base ; les serres sont toujours d’un jaune unifor- me, du moins dans les individus empaillés.
Les fauconniers qui connais- sent les diverses espèces de fau- con souvent mieux que les natu- ralistes, ne distinguent pas le faucon d'Islande du faucon blanc; ils les comprennent tous les deux sous le nom de l’Islandais. Ces
alle behaupten einstimmig, dass beide einerlei Naturell haben, sehr leicht zu zähmen und hierin allen übrigen Falken vorzuziehen seyen.
Zu den Synonymen des islän- dischen Falken gehören noch: Buffon , Pl. ent. 210, le @erfaut d'Islande, (ad.); ferner Nau- mann, Naturgeschichte,, Neue Ausgabe, Tab.21, Fig.2, (ad.), und Falco islandicus, Wolf u. Meyer, Nat. Deutschl, (fig. mar. ad.). — Fig. 1, Taf. 21, des Naumann’schen Werkes stellt. den alten weissen Falken vor.
(2) FALCO GYRFALCO, Es ist fast räthselhaft, dass diese Art, die in Norwegen die Stelle des weissen und isländischen Falken vertritt, die seit den ältesten Zeiten ın bedeutender Anzahl von den Falkenieren geholt wird, und im Winter die Küsten Norddeutsch- lands und Hollands besucht, wo sie die Falkeniere fangen, bis jetzt von den Naturforschern nicht als selbstständig unterschieden wur- de, und dass sie selbst den skandi- navischen Naturforschern unbe- kannt blieb, oder von ihnen ver- kannt wurde. Buffon hat den jun- gen Vogel abgebildet, und auch brisson’s Faucon d’Islande ge- hört hierher. Zeinne’s Beschrei- bung seines Falco lanarius scheint nach einem jungen Vogel dieser Art gemacht zu seyn. Das von Nilsson, Fauna suec.. p.22, und Skandinav. Fauna , Foglar-
oiseaux ont, à leur avis , le même naturel doux; ils sont plus faciles a dompter que les autres fau-- cons, et par conséquent prefe- rables à toutes les autres espèces pour être dressés pour la chasse: au vol.
Il convient de ranger parmi les synonymes du faucon d'Islande, outre ceux déjà indiqués, les suivans: Buffon, Pl. ent. 210, le Gerfaut d'Islande, (ad.); puis Naumann, Histoire na- turelle des Otis. d’ Allem. , nouv. edition, PI. 21, fig. 2, (ad.), ef Falcoislandicus, Wolf u.Meyer,
Nat. Deutschl., (fig. du mâle
—
ad.). L'oiseau figuré dans. Naumann, PI 21, fig. 1, est le: faucon blanc adulte.
(2) FALCO GYRFALCO. Où. peut s’etonner à juste titre que: cette espèce qui remplace en. Norwége le faucon blanc et ce- lui d'Islande , que les fauconniers ont été chercher en Norwége depuis des siècles, qui visite en hiver les parties septentrionales de l'Allemagne et la Hollande ou les fauconniers la prennent de tems à tems, n'ait pas encore été distinguée par les ornithologistes, et qu'elle ait été complètement ignorée des naturalistes de la Scandinavie. Buffon a figuré un: jeune individu de cette espèce, et je suis porté à regarder comme le vieux du gerfaut l’im- dividu figuré par Brisson sous le. nom de faucon d'Islande. Je suppose également que la descrip- tion que Zinnaeus a donnée de son Falco lanarius a éié faite sur un Jeune mäle du gerfaut.
na, I, p. 15, als Falco lanari- us, jun., beschriebene Exemplar scheint ebenfalls als junges Männ- chen zu unserm Gierfalken , und nicht zum Saker (F. lanarius auct.), zu gehören, der im Norden noch nie beobachtet wurde. Es ist dies auch darum wahrscheinlich, weil Nilsson den Nacken als weiss- lich, und dierostfarbenen Ränder der Federn der Obertheile als un- deutlich beschreibt, da doch die- se Ränder beim Sakerfalken sehr breit sind und der Kopf immer in das rostfarbene zieht. Vielleicht hatteauch Naumann, bei Beschrei- bung seines, in der alten Ausgabe seines Werkes, Nachträge, p. 409 sgg., Tab.58, Fig.110, auf- . geführten Geierfalken, ein junges Weibchen des Gierfalken vor sich. Da aber der junge weibli- che Gierfalke von den jungen männlichen weissen und isländi- schen Falken nur durch Unter- suchung des Geschlechtes zu un- terscheiden ist, und Naumann den zufälligen Mangel des zwei- ten Zahnes im Schnabel für das Hauptkennzeichen des Gierfalken der Falkeniere hielt, und seine Art im ausgefärbten Kleide nicht kannte, so zog er seinen Geierfal- ken später, (siehe Veue Ausgabe, 1822, 1,».278, Tab.22, Frg, 2); als Art wieder ein.
Bis jezt ist der Gierfalke imSom- mer nur ın Skandinavien gefun-
L'oiseau décrit par Nilsson „ Fauna suecica, p. 22, et Skan- din. Fauna, Oiseaux, I, p. 15, sous le nom Falco lanarius, me parait n’etre qu’un jeune mâle du gerfaut, et ne pas appartenir au faucon sacre (Falco lanarius auct.) qui n’a pas encore été ob- servé dans le Nord. Ce savant con- state aussi que la nuque de son individu est blanchätre et qu’il of- fre des bords des plumes des par- ties supérieures assez étroites; on sait cependant que ces bords sont larges dans le sacre et que les parties postérieures de la tête ti- rent, dans cette espèce, tou- jours au brun ferrugineux. Il se peut enfin que Naumann, en établissant son gerfaut dans la première édition de son ouvra- ge, Suppl, p. 409 ef suiv., PI. 58, a en effet eu devant les yeux une jeune femelle du ger- faut. Cependant, comme il est impossible de distinguer la jeune femelle du gerfaut des jeunes mäles des faucons d’Islande et de ceux du faucon blanc, sans en avoir constaté le sexe par la dissection, Naumann ne connais- sant pas la livrée parfaite du gerfaut de Norwége et prenant pour trait essentiel de son ger- faut le défaut accidentel du fes- ton postérieur du bec, s’avisa, en publiant la nouvelle édition de son ouvrage, de rayer cette espèce du catalogue méthodique, ou plutôt il la confondit avec les faucons blancs et d’Islande : voir le vol. 7, p. 278, Pl. 22, fig. 2, de son ouvrage publié en 1822.
On n’a rencontré jusqü'à pré-
sent le gerfaut en été qu’en Nor-
den worden. Es fragt sich aber, | wege; mais ıl se pourrait bien ob die von Pallas auf dem Ural | que les faucons observés par Pal- und den Sibirischen Alpen beo- | /as sur l’oural et sur les alpes de bachteten grossen Falken, die | la Sibérie appartinssent à notre sich durch ihre dunklere Färbung | espèce. Ge voyageur, quoique vom weissen Falken unterschei- | constatant que les faucons de ces den, und von Pallas als Varietät | contrées se distinguent du faucon zu dieser Art, welche er Falco | blanc par leurs teintes foncées, gyrfalco nennt ‚gezogen werden,. | ne les regarde cependant que En auch zu unserm Gierfalken | comme variété de cetie espèce gehören, und vom weissen Fal- | qu’ilnomme Falcogyrfalco. Voi- ken verschieden sind. Damit jeder | ci ce qu'il en dit dans sa Fauna selbst urtheilen könne , setzen wir | rosso-aszatica , I ,.p. 325 et 326.. Pallas eigene Worte her. Er sagt in der Zoogr. ross. as., 1, Re 325 et 326.
'»Gyrfalco sat magna copia in excelsis rupibus Uralensis jugi,. » tractuumque Sibiriae alpestrium nidulatur , neque hyeme tempe-- » ratiores situs omnino relinquit. Gyrfalcones Uralenses et Altaici » praesertim foeminae et juniores colore et variegatione simillimi » Iconi in collectione Daubentoni tab. 462, accedunt ad F. lana- » rium vel F. peregrinum Juniorem, supra fusci, subtus albido et »nigricante densius variegati, cera livida, pedibus coerulescenti- » bus. Seniores magis albescunt, et notas nigricantes contrahunt, » rarissime ee nauhlor albi, eorum instar qui in Islandia et maxi- » me orientali Sibiria atque Gamschatka generantur.”
Wie dem auch sey, so kann ! Quoiqu'il en soit il est impos- nur eme genaue, wiederholte Un- | sible de déterminer au juste à tersuchung von Individuen, über | quelle espèce appartiennent ces deren Ursprung man volle Gewiss- | faucons décrits par Pallas, sans heit hat, Licht auf die genaue | avoir soigneusement comparé des Kenntniss der grossen Falkenar- | séries complètes d’invidus origi-- ten und ihre Verbreitung wer- | naires des régions d’où ce savant fen. Um diese Untersuchungen | tirait les siens. Nous donnerons, zu erleichtern, wollen wir hier | dans les lignes suivantes, afin die Eschen des norwegi- | de faciliter ces recherches, les schen Gierfalken angeben, von | notes caractéristiques du gerfaut dem wir, wie von allen übrigen | de Norwege, dont nous nous pro- europäischen Jagdfalken, in un- | posons de publier, ainsi que des serm grossen Falkenwerke, genaue | autres especes de faucon d’Eu- Abbildungen in Lebensgrösse ge- | rope dont on se sert pour la ben werden. chasse, dans notre Trarte de fau-
connerte, des figures faites sur le vivant et représentant les oiseaux . de grandeur naturelle.
Un sich einen Begriff von die- ser Art zu machen, muss man sich den weissen oder isländischen Falken in etwas verjüngtem Maass- stabe vorstellen, und sich diesen Vogel in der J ugend ganz wie die Jungen dieser beiden Racen, im Alter aber ungefähr wie (den Schlechtfalken "sefärbt denken, nur mit dem Unterschiede, dass der Backenstreif beim Gierfalken kleiner und nicht so dunkel ist, dass die Füsse, statt gelb, grün- lichgelb erscheinen, und dass die Flecke der Untertheilenur auf den Seiten des Körpers die Gestalt von Querbinden annehmen.
Es folgt aus diesen Angaben, dass junge nl Gier- falke vom jungen weissen und is- ländischen Falken leicht durch seine geringere Grösse zu unter- scheiden ist, dass dagegen der junge weibliche Gierfalke den jungen männlichen weissen und isländischen Falken in allen Stüc- ken vollkommen ähnlich ist. Im Alter kann der Gierfalke nicht mit den alten weissen und ıslän- dischen Falken verwechselt wer- den, da er in der Färbung durch- aus abweicht, und in dieser Hinsicht dem alten Schlecht- falken ähnelt. Von letzterem aber unterscheidet er sich leicht durch seine bedeutendere Grös- se, längeren Schwanz, verhält- nissmässig kürzere Zehen, wei- ter hinab befiederte Läufe, grös- sere weichere Federn der Unter- theile, und die oben angedeuteten Intesschhde ın der Farben theilung.
Il suffit, pour se faire une idée precise du gerfaut de Norwege, de le comparer au faucon blanc ou à celui d'Islande et de s’ima- giner qu'il est d’une taille un peu moins forte, qu’au jeune âge il ressemble parfaitement, par ses teintes, aux Jeunes de ces deux races, mais qu'il offre au con- traire, à l’âge adulte, de l’analogie avec le faucon commun dans sa livrée parfaite, à cette exception près que les pieds sont d’un jau- ne verdâtre au lieu de jaune, qu'il offre une tache en moustache moins apparente et que ce sont uniquement les plumes des flancs dont les taches se présentent sous la forme de raies transversales.
Il résulte de ces données que le jeune mâle du gerfaut se dis- tingue au premier abord des jeu- nes des faucons blancs et d'Islande par sa taille moins forte ; mais que la jeune femelle du gerfaut res- semble sous tous les rapports aux jeunes mâles des faucons blancs et d'Islande. Une fois revêtu de sa livrée parfaite, le gerfaut se distin- gue trop visiblement des vieux des faucons blancs et d'Islande pour qu’il soit possible de le confondre avec ces deux races. Il est inutile de constater qu’il se distingue du faucon commun par sa taille plus forte, par sa queue plus longue, par des doigts proportionnelle- ment plus courts, par des tarses un peu plus emplumés vers le bas, par des plumes plus grandes et moins raides des parties inféri- eures , ainsi que par.la différence dans la distribution des temtes dont nous avons parlé plus haut.
Folgendes sind die Maasse des Gierfalken :
Mas. Fem.
Ganze Länge . . . .
Länge der Flügel . . [135,115 » des Schwanzes | 77%,| 9 » derLäufe .. | 2%| 2%
» des vordern
nackten Theiles
derselben. . . | 123,| 1,% » der Mittelzehe ohne Nagel. . | 142 141
Die Falkeniere behaupten ein- stimmig, dass der Gierfalke em ganz anderes Naturell habe als der isländische und weisse Falke, da jener störrisch und tückisch ist, diese folgsam und sanft sind , wes- halb der Gierfalke auch schwerer zu zähmen und abzurichten sey, als der grönländische und isländı- sche Falke. Ich selbst bin wäh- rend der Reiherbeize Zeuge von vielen Fällen gewesen, welche die Richtigkeit dieser Aussage bestätigen.
(3) FALCO SACER. Da diese Art in allen Werken über die Falkenbeize, ferner von Gess- ner, Belon und selbst von Buf- Jon, unter obigem Namen aufge- führt wurde, und der Zanner- falke der Falkeniere und der Fal- kenbücher ein ganz anderer Vo- gel ist, so haben wir obiger Art ihren ursprünglichen Namen wieder gegeben. Diese Art fehlt noch in vielen Museen. In Eng- land soll sie sich in keiner Samm- lung finden. Die beiden Exem- plare des Berliner Museums wur- den von Hemprich und Ehrenberg
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Voici les dimensions d’individus des deux sexes du gerfaut:
_ Mâle. Fem.
181/21” | Longueurtotale . . 181” 2,
» desailes . . . 113,5, |15 9
» delaqueue. . | 7% 0) & » des tarses . .. | 2% 2 » dela partie an- térieure nue des 2 3 tarses .... 12; 1$; » du doigt de mi- lieu sans ongle] 119 |111
Les fauconniers s'accordent à dire que le gerfaut diffère beau- coup des faucons blancs et d’Is- lande par son caractère obstiné et quinteux, et que ces deux ra- ces se prêtent, par leur naturel doux et docile, plus facilement à l'affaitage que le gerfaut. J'ai été à portée de constater moi-même ces assertions en assistant au vol du gerfaut sur le héron.
(3) FALCO SACER. Cette es- pèce ayant été décrite sous le nom de sacre dans la plupart des ouvrages de fauconnerie ainsi que par Gessner, Belon et même par Buffon, et s’eloignant assez du lanıer des fauconniers, et des traités de fauconnerie , nous avons rétabli les noms anciennement reçus pour ces deux espèces. Le sacre, une des espèces de fau- con les plus rares, manque à la plupart des collections d'histoire naturelle. Il n'existe dans aucun des Musées de l'Angleterre. Les deux exemplaires qu’en possède
in der Gegend von Tor in Ara- bien gesammelt. Die in den übri- gen Sammlungen des Festlandes vorhandenen Exemplare scheinen alle aus dem Wiener Museum herzustammen ; so wenigstens die, welche Naumann, das Mainzer und unser Museum besitzen. Pal- las erwähnt zweier Varietäten des Sakerfalken, den er Falco lanarius nennt: eine grössere, welche das Uralgebirge bewoh- nen soll, und eine kleinere, die sehr häufig in der grossen Ta- tareı und im südlichen Russland gefunden wird.
Nach Pallas ziehen beide Va- rietäten im Winter südlich. Es sind daher wahrscheinlich die Sakerfalken, welche früher in Griechenland für die Falknereien gefangen wurden, so wie die, welche Ehrenberg aus Arabien mitbrachte, solche auf dem Zu- ge begriffene Vögel. Diese An- gaben über die Verbreitung des Sakerfalken machen es unwahr- scheinlich, dass sich derselbe bis in das nördliche oder westli- che Europa verfliegt, und wir sind auch aus diesen Gründen geneigt, das Vorkommen die- ser Art in Schweden zu bezwei- feln. Die Beschreibung welche Pallas von seinem F. lanarius giebt, ist nach der vonihm an- geführten kleineren Varietät ge- macht, die, allem Anscheine nach, mit unserm Falco sacer übereinstimmt.
In Nubien und Abyssinien lebt eine dem Sakerfalken verwandte Art. Sie wurde von Ehrenberg,
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le Muséum de Berlin ont été re- cueillis, par MM. Hemprich et Ehrenberg', près de Tor en Arabie. Il paraît que les individus con- servés dans les autres cabinets du continent de l’Europe, provien- nent tous du Musée de Vienne ; du moins ceux des Musées des Pays-Bas, de Mayence et de M. Naumann sont de ce nombre. Pallas fait mention de deux va- riétés du sacre qu'il appelle Falco lanarius; l'une à taille plus forte qui habite la chaine de l’oural, l’autre plus petite qui se trouve en grand nombre dans les déserts de la grande Tatarie et de la Russie méridionale. L'une et l’autre de ces variétés émigrent, en hiver, dans des contrées méridionales. Les sacres que les fauconniers allaient autre- fois chercher en Grèce, aimsi que ceux rapportés de l'Arabie par les voyageurs berlinois, étaient probablement des individus pris lors du passage. Ces données re- latives à la distribution géogra- phique du sacre ne s’accordant guère avec la supposition que cette espèce s’egare jusque dans l'Europe boréale et occidentale, nous supposons que les prétendus laniers pris en Suede n’appar- tiennent pas à cette espèce. La description que Pallas a donnée du soi-disant faucon lanier, est faite d’après la petite variété dont il fait mention et qui parait se rapporter au véritable sacre.
Il existe, en Nubie et en Abys- sinie, une espèce voisine du sa- cre. Elle a été recueillie en assez
Rüppell und dem Prinzen Paul von Würtemberg , in bedeutender Anzahl eingesammelt. Rüppell, Neue Wirbelthiere, Vögel, p. 44, hält sie mit Unrecht für ei- nerlei mit F. biarmicus, Temm., Falco cervicalis, Licht. Mus. Be- rol. Es ist dies aber eine neue Art, die ım Berliner Museum den Namen Falco tanypterus trägt. Eine Beschreibung und Abbil- dungen derselben sollen ehes- tens in unsern. Abhandlungen aus dem Gebiete der Zoologie etc. erscheinen. Sie ähnelt dem Sakerfalken in der Jugend aus- serordentlich, ist aber etwas kleiner, hat höhere, mit grösse- ren, rauheren Schildern bedeck- te Läufe, die schon beim jun- gen Vogel eine rein gelbe Farbe haben, und bietet auch, beson- ders im Alter, bedeutende Ab- weichungen in der Färbung des Gefieders.
(4) FALCO LaNarius. Es ist dies, wie wir in unserm grossen Werke über die Falkenbeize aus- führlicher darthun werden, der
„wahre Lannerfalke der Falken- bücher. Hier nur so viel, dass der Name /anarius von jeher auf sehr verschiedene Vögel angewendet wurde. So ist z. B. bei Albert dem Grossen und nach ihm bei den meisten Naturforschern bis Frisch , lanarius ein Gattungsna- me, und die Arten, die man un- ter dieser Gattung begriff, sind
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grand nombre, en Nubie et en Abyssinie, par Ehrenberg, Rüp- pell et le prince Paul de Würtem- berg. Rüppell, Neue Wirbel- thiere, Oiseaux, p. 44, rapporte à tort cette espèce à une autre qui habite le Cap de B. Espé- rance, savoir Falco biarmicus, Temm. ou Falco cervicalis, Lichtenstein, Musée de Berlin. Elle porte au Musée de Ber- lin le nom de Falco tanypterus. Nous nous proposons d’en pu- blier des figures et une descrip-
tion dans la troisième livraison de
notre ouvrage allemand intitulé : Mémoires pour servir à l'his- loire naturelle et à l'anatomie des animaux. Cette espèce res- semble , notamment au jeune âge, beaucoup au sacre, mais elle est d’une taille moins forte; ses tar- ses sont plus longs, couverts d’ecailles plus grandes et plus ru- des au toucher, et de couleur jaune, même au jeune âge; la distribution des teintes enfin présente, particulièrement dans les adultes, des disparités assez
marquantes. :
(4) FALCO LANARIUS. C'est le véritable lanier des fauconniers et des traités de fauconnerie, dont nous nous proposons de traiter amplement dans notre grand ou- vrage sur la fauconnerie. Il suffi- ra de constater ici que le nom de Lanier a été successivement donné à plusieurs oiseaux de proie assez divers les uns des autres. Albert le Grand par exemple, et après lui presque tous les naturalistes jusqu'à Frisch ont pris cette dé- nomination dans un sens generi-
die Bussarde, der Thurmfalke und die Weihen. Der Falco lanarius Linné's und Nelssons ist höchst- wahrscheinlich unser Gierfalke. Brünnich und Mohr haben den Merlin als Falco lanarius aufge- führt. Pennants Falco lanarius ist ein Junger Schlechtfalke. Vau- mann und Pallas, und nach ihnen alle spätere Naturforscher , haben endlich sehr unrichtig dem Sakerfalken den Namen Falco lanarius gegeben. Da der Lan- nerfalke seit dem Verfall der Fal- knerei nicht mehr gefangen wur- de, so blieb diese Art den neuern Naturforschern unbekannt, bis sie Herr von Feldegg im Jahre 1829 gleichsam auf’s Neue, und zwar in Dalmatien, entdeckte. Dieser Vogel wurde von Natterer für Falco peregrinoides, Tem- minck, gehalten, und durch diese Nachrichten irre geleitet, führte ich letztere Art in Susemihl’s Werke als europäisch auf. Als ich mir später die Original- exemplare zur Ansicht einschic- ken liess, fand es sich, dass es eine den Naturforschern unbe- kannte Art sei, dieich unter dem Namen Falco Feldeggii be- schrieb, ohne zu ahnen, dass diese Art den alten Falkenieren bekannt war , und schon von Be- lon sehr gut beschrieben wurde. Wir führen sie nun wieder un- ter dem Namen auf, der ihr mit Recht zukommt.
Ein junges Exemplar des Lan- nerfalken scheint auch bei Buf-
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que, et les espèces qu'ils ont ran- gées dans ce groupe sont les buses, la cresserelle et les busards. 4/- drovand décrit sous le nom de Lanarius albus la soubuse. Quant au lanier de Linne et de Nilsson, cette espece est, selon toutes les apparences, identique avec le gerfaut de Norwége. Brünnich et Mohr ont décrit l’emerillon sous le nom de Falco lanarius. Le lanarius de Pen- nant est un jeune faucon com- mun. Naumann et Pallasenfin ont assez mal à propos conféré le nom de lanier au sacre. Le lanier n’ay- ant plus été apporté au centre de l’Europe depuis le déclin de la fauconnerie, cette espèce demeu- rait ignorée de naturalistes et ce ne füt qu’en 1829 que Mr. de Feldegg en fit, pour ainsi dire de nouveau la découverte lors de son séjour en Dalmatie. Prise par feu Natterer pour le faucon pélérinoide, j'introduisis erro- nément cette espèce parmi les oiseaux d'Europe. Je reconnus ensuite, après avoir examiné les échantillons rapportés par Mr. de Feldegg qu'ils appartiennent à une espèce inconnue des natu- ralistes, que je publiais sous le nom de Falco Feldeggéé, sans me douter que cette espèce füt assez bien connue des fauconniers et que Belon l'avait déjà de- crite d’une maniere assez recon- naissable. Avant reconnu notre erreur, nous nous hatons d’in- troduire cette espece sous le seul nom qui lui convient à juste titre.
Je remarque encore que l’oi- seau représenté par Buffon, PE,
fon, Pl. ent. 470, unter dem Namen faucon sors, und ein Individuum in der Mauser im zweiten Herbste bei Naumann , alte Ausgabe, IV, Tafeln in Jolio, Taf. 14, fig. 22, als jun- ger Vogel des sogenannten Tan- nenfalken, (Falco abretinus , Bechst.) abgebildet zu seyn.
Wir haben kürzlich mehrere Exemplare dieser Art aus Grie- chenland erhalten. Ein jüngerer, bei Hanau geschossener Vogel steht im Mainzer Museum. Sie stimmt ın Grösse und Bau, so wie in den gegenseitigen Ver- hältnissen der Theile, durchaus mit Falco biarmicus Temm. , (Falco cervicalis, Licht. Mus. Berol.) vom Cap, überein, un- terscheidet sich aber standhaft, von dieser Art durch ihre Farbe. Auch scheint die erste Schwung- feder beim Lannerfalken ver- hältnissmässig etwas länger zu seyn. Unter den europäischen Falken hat sie höchstens , wegen gleicher Grösse, einige Ahnlich- keit mit Falco communis , ist aber leicht von dieser Art durch ihren verhältnissmässig länge- ren Schwanz, kürzere Zehen, schmalen Backenstreif, grössere, weichere Federn der Uniertheile , und durch die roströthliche Färbung des Nackeus zu unter- scheiden. Sie gehört daher zu der Gruppe der grösseren, lang- schwänzigen Edelfalken, Falco candicans, islandicus , gyrfalco sacer, lanypterus, cervicalis, etc., welche sich von den grös- seren kurzschwänzigen Arten, Falco peregrinus und dessen
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t
ent. 470, sous le nom de Faucon sors, paraît être un jeune lanier ; tandis que celui figuré par Nau- mann, 1” édit., Planches en in folio, Pl. 14, fig. 22, com- me le jeune du soi-disant faucon des sapins, (Falco abietinus Bechst.), est probablement un jeune individu du lanier en mue.
Nous venons d’en recevoir plu- sieurs individus recueillis en Gre- ce. J’en ai vu au Musée de May- ence un jeune individu tué près de Hanau. Cette espèce est tout- a-fait semblable, en ce qui con- cerne sa taille et les proportions relatives de ses parties, au Falco biarmicus, Temm., (ou F. cer- vicalis, Licht. Mus. de Berlin) du Cap de B. Espér., mais elle s’en distingue constamment par les teintes. Il paraît aussi que la premiere remige est, proportions gardées, un peu plus longue dans le lanier que dans l'espèce du Cap. Quant aux diverses espèces des faucons d'Europe, le lanier n'offre entre elles aucune ana- logie, si ce n’est qu'il ressem- ble par sa taille au faucon commun, dont ilse distingue ce- pendant facilement par sa queue plus longue, par des doigts plus courts, par la tache en moustache assez étroite, par les plumes des parties inférieures qui sont plus larges et plus molles, et par la couleur de la nuque qui tire sur le rougeätre. On voit par ces détails que cette espèce appartient au groupe des faucons nobles à longue queue: Falco candicans islandicus , gyrfalco, sacer, ta- nyplerus, cervicalis, etc., qui
Racen, und F, peregrinordes, durch einen längeren Schwanz, kürzere Zehen, schmäleren Bac- kenstreif, und. grössere weiche- re Federn der Untertheile, un- terscheiden.
(5). FALCO communis. Der Schlechtfalke scheint fast über alle Länder des Erdbodens ver- breitet zu seyn, aber je nach der Locahität mehr oder weniger abweichende Racen zu bilden. So sind z. B. die am Vorgebir- ge der guten Hoffnung lebenden Schlechtfalken den unsrigen in Bau und Färbung durchaus ähn- lich,. aber standhaft so viel klei- ner, dass das Weibchen des Gap’- schen Schlechtfalken die mittel- mässig grossen Männchen deseuro- päischen Schlechtfalken an Grös- se nicht übertrifft. Der Schlecht- falke von Nordamerika, (siehe Wilson Pl. 76 und Audubon P1.16), wird von Ch. Bonapar- te, List, p. 4, für eine eigene Art gehalten, welche er Falco anatum nennt, ohne die Art- kennzeichen derselben anzuge- ben. Es scheint in der That, als ob der nordamerikanische Schlecht- falke gewöhnlich in der Färbung etwas abweiche, indem auf den Obertheilen das Braun, auf den Untertheilen ein blasses Rostroth vorherrscht, und das Schwarz des Backenstreifes sich gewöhn-
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lich über die ganze Ohrgegend |
verbreitet. Indessen kommen ın Nordamerika auch Schlechtfal- ken vor, welke in der Färbung den unsrigen durchaus ähnlich sind: ein solches Individuum steht
se distinguent du faucon com- mun et des especes ou races voi- sines par une queue plus longue, des doigts plus courts, une tache
en moustache plus petite, et par
les plumes plus larges et plus molles des parties inférieures.
(5) FALCO communis. Il pa- rait que cette espèce est répartie dans presque toutes les parties du globe, mais qu’elle forme, suivant les contrées qu’elle ha- bite, des races plus ou moins disparates. Les faucons com- muns, par exemple, que produit l'Afrique méridionale, quoique tout-à-fait semblables au nôtre par leur organisation et leurs teintes, sont constamment d’une taille moins forte, la femelle du faucon commun du Cap ne sur- passant pas en grosseur le mâle de notre faucon d'Europe. Quant au faucon commun de l’Amérique du Nord, (voir Wilson, Pl. 76et Audubon, PT. 16), Ch. Bonapar- te, List, p. 4, le sépare du nôtre sous le nom de Falco anatum, tou- tefois sans motiver son opinion. Il parait en effet que ce faucon d'Amérique s'éloigne du nôtre par de légères différences dans la dis- tribution des teintes, en ce que ces teintes sont dans le premier, sur les parties supérieures, d’un brun foncé, sur le dessous d’un brun ferrugineux pale, et que le noir de la tache en mousta- che s'étend ordinairement sur toute la région des oreilles. Mais il existe également dans l’Amé- rique du Nord des faucons qui ressemblent parfaitement au nôtre par leurs teintes ; j’ai vu un pa-
im Berliner Museum. Die in Hinter- indien und in Neuholland leben- den Schlechtfalken scheinen nicht selten den nordamerikanischen in der Färbung zu ähneln, nur mit dem Unterschiede, dass bei denselben die Farbe der Ober- theile, statt ins Braune, in das Schwarze zieht: Falco melano- genys, Gould, Birds of Austra- lia, Tafel ohne Nummer. Von den sechs Individuen unsrer Sammlung sind jedoch nur zwei Weibchen so gefärbt; die übri- gen, beiderlei Geschlechtes, äh- neln unserm Schlechtfalken voll- kommen. Es scheint daher, dass man den nordamerikanischen und indischen oder neuholländischen Schlechtfalken mit eben so weni- gem Rechte als eigne Art anneh- men kann, als die schwarze Va- rietät des europäischen Schlecht- falken.
In Nubien kommt eine klei- nere, dem Schlechtfalken im Bau verwandte Art, mit braun- rothem Genicke und gelb-röth- lichem Anfluge auf den Unter- theilen vor: Es ist dies Falco pere- grinordes, Temm., Pl. col. 479, die wir, durch falsche Mittheilun- gen irre geleitet, als europäisch aufgeführt haben: siehe Schleg. u. Susem., Nat. d. Vögel Eur. p. 39, Pl.9, Fig..
(6) FALCO ELEONORAE. Die- se ausgezeichnete Art, welche zu
15
reil individu dans les galeries du Musée de Berlin. Les faucons communs qui viennent du grand Archipel des Indes et de la Nou- velle Hollande paraissent se rap- porter à ceux de l'Amérique du Nord, et n’en différer que par la teinte noirätre, souvent uni- forme des parties supérieures ; cette variété a été decrite et fi- gurée par Gould sous le nom de Falco melanogenys, dans son ouvrage sur les oiseaux de l’Au- stralie. Nous en possedons six individus dont deux femelles seu- lement offrent une distribution semblable à celle que nous ve- nons d'indiquer; les quatre au- tres, tant males que femelles, ressemblent parfaitement au fau- con commun d'Europe. Il me semble , d’après ce que je viens de dire qu’en érigeant au rang d'espèces les variétés dont nous venons de parler, il convient également de séparer de notre faucon la variété à joues noires, qui se trouve en Europe.
La Nubie nourrit une espèce voisine du faucon commun mais d’une taille beaucoup moins for- te, à nuque d’un brun rougeä- tre et à parties inférieures tirant sur le jaune rougeätre. C’est le Falco peregrinoides, Temm., Pl. col. 479, espèce que nous avons introduite à tort, mduits en erreur par des communications erronnées, parmi les oiseaux d'Europe: voir notre travail dans Susemihl, Hist. Nat. des ots. d'Europe, p. 39, Pl. 9, fig. 1.
(6) FALCO ELEONORAE. On ne peut nier que cette espèce
der Gruppe der langflügligen Edelfalken (Falco subbuteo, con- color, Aldrovandii u. s. gehört, hat zwar mit Falco con- color in der Färbung grosse Ähnlichkeit, ist aber viel grös- ser, und hat verhältnissmässig einen viel längeren Schwanz.
Folgendes die Maasse ei- nes alten weiblichen Vogels aus Griechenland.
Ganze Länge . . . . . 15” Länge der Flügel . . . 12 6!" » desSchwanzes. . 6” 10 » der Mittelzehe . . 1” Zu » des Nagels dersel- ben 61” » des So Delson Mundwinkel... 1” sides Lattes a LME Abstand von der Spitze der ersten zur Spit- ze der zweiten Schwinge . . . . » von der Spitze der dritten zur Spit- ze der zweıten Schwinge . . ..
iv 7
1710 6;
Das Weibchen von Falco con- color hat dagegen folgende Maasse :
Ganze Länge . . . . . 13”
Länge der Flügel . . . 10’ 6 des Schwanzes. . 5 2 des Laufes . . . . 1” 42 der Mittelzehe . . 1” des Nagels dersel-
Bean. de. Br » desSchnabels . . 10’”
III
Der Schwanz von Falco Eleo-
w.) |
aim
remarquable qui appartient au groupe des faucons nobles à lon- gues ailes (Falco subbuteo, con- color, Aldrovandii etc.) n'offre assez d’analogie, par rapport à ses teintes, avec le faucon concolore; mais elle est d’une taille plus considérable, et sa queue est beaucoup plus longue.
Voici les mesures prises sur une vieille femelle de cette es- pèce, tuée en Grèce.
Longueur totale . . . 15” » des ailes e els Me 12 6 » delaqueue ... 610 » dudoigtdemilieu. 1” 3 » desonongle ... 61 » du bec depuisl’an-
gle de la bouche . 1” » dutarse 1.5"
Distance de Vestéalits
de la première jus-
qu'à l'extrémité
de la deuxième ré-
mige . » entre les extrémi-
tés de la troisième
et de la deuxième
rémige . etre tie et
114 A
ım 6;
La femelle du faucon conco- lore offre au contraire les dimen- sions suivantes :
Longueur totale . . . 13”
» des ailes: LE} 10” 6 » de la'queues 7/45. BAER » dutarse 4311 » dudoigtdemilieu. 1” 23 » de son ongle . . . Be » u AU) bee an ae 10
La queue du faucon Eleonore
norae ist mit 14 bis 15, der von F. concolor nur mit 10 bis 11 Querbinden versehen. Der Schna- bel ist, bei ersterer Art, stärker seitlich zusammengedrückt. Die Füsse ziehen bei F. Eleonorae in das Grünlichgelbe, bei Falco concolor sind sie rein gelb. End- lich spielt die Färbung des Ge- fieders, bei F. Eleonorae, weni- ger in’s Aschgraue als bei F. con- color.
Wir wollen nun noch die Un- terscheidungskennzeichen dieser beiden Arten angeben.
Farco ErronoRAE. Männchen: Flügel 11”, Schwanz 6”. Weib- chen : Flügel 121”, Schwanz 63. Gestalt Suusserst schlank. Füs- se verhältnissmässig zart. Steuer- federn auf der ınnern Fahne mit 14 bis 15 Querbinden. Jung: dunkelbraun, die Brust- und Bauchfedern röthlichbraun ge- säumt. Stirn, Kehle, Vorderhals und Hosen, hell röthlichbraun ; erstere mit dunkeln Längsflec- ken, letztere mit dunkeln Quer- flecken. Backenstreif undeutlich. Alt: bis auf die hellen Querbin- den des Schwanzes, einfärbig schwärzlichbraun, mit grauem Anfluge.
In Sardinien, Griechenland und Syrien beobachtet.
Farco concorLor, Temm., Pl.
col. 330; Gould, Birds of Eu-.
rope, Pl.25,; Swainson , Birds
of Western Afrika I, Pl. 3.
Männchen: Flügel 104”, Schwanz 2.
F7
est orné de 14 à 15, celui du Faucon concolore seulement de 10 à 11 bandes transversales. Le bec est plus fortement dé- primé dans la premiére espèce. Les serres tirent au jaune ver- dätre dans cette espèce, elles sont d’un jaune pur dans le fau- con concolore. Les teintes du plumage de cette dernière espèce enfin tirent plus fortement sur le gris-cendré que dans le faucon Eleonore. |
On peut en consequence de ce que nous venons de dire, eta- blir les traits distinctifs de ces deux especes, comme suit:
Fazco ELreonorAr. Male: ailes 11”; queue 6”; Femelle: ailes 123”; queue 657. Formes élan- cées. Serres, par rapport à la taille de l’espèce, peu robustes. Pen- nes de la queue portant 14 à 15 bandes transversales sur la barbe interne. Jeune: d’un brun fon- cé, plumes de la poitrine et du ventre liserées de brun rougeà- tre. Front, gorge, der du cou et plumes des jambes, d’un brun-rougeätre clair, couvertes de taches longitudinales foncées, qui prennent la forme de taches transversales sur les plumes des jambes. Tache en moustache peu distincte. Adulte: à l'exception des bandes claires de la queue, d’un brun-noirätre uniforme ti- rant sur le gris.
Observé en Sardaigne, en Gre- ce et en Syrie.
Fazco concorLor, Temm., Pl. col. 330; Gould, Bere of Eu- rope, PI. 25 ; Sbainson, u of Western Afrika, L,.B2, Mâle, ailes 101”, queue 5”. À
2
5. Weibchen: Flügel 101%, ‚Schwanz 547. Gestalt des Baum- falken. Steuerfedern mit 10 bis 11 Querbinden auf der inneren .Fahne. Ubrigens fast einfärbig schwärzlich , ın’s bräunliche zie- hend und mit starkem asch- grauem Anfluge, besonders auf dem Rücken und auf den Schul- tern.
Auf der Insel Barakan im ro- then Meere, und ım westlichen Afrıka beobachtet.
Die Angaben, dass Falco con- color in Europa gefunden wird, beruhen, allem Anscheine nach, auf einer Verwechslung dieser Art mit Falco Eleonorae. Es muss daher Falco concolor wie- derum aus dem Verzeichnisse der europäischen Vögel gestrichen werden.
Falco Eleonorae ist übrigens eine schon seit Jahrhunderten bekannte Art. Arlalouche de Alagona , sicilischer Schriftstel- ler des funfzehnten Jahrhun- derts, erwähnt derselben, p. 89, unter dem Namen Saphir- falke. D’ Arcussia , p. 52 et 53, beschreibt sie unter dem Namen faucon tagarot. Huber, Obser- vations, p. 15, fig. 16, bildet sie selbst ab, aber unter dem falschen Namen Alethe, den d’ Arcussia eingeführt hat, um ei- nen Raubvogel von den Azoren zu bezeichnen.
Wir erhalten so eben, nach- dem unser Werk bis hierher ab- gedruckt war, die vortrefllichen Beiträge zur Ornithologie Grie- -chenlands von Heinrich Graf von der Mühle, Leipzig, Ernst
18
melle, ailes 101”, queue 5im, Port du hobereau. Pennes de la queue pourvues, à la bande in- terne, de dix à ouze bandes trans- versales. Plumage d’un brun-noi- rätre foncé, tirant fortement au gris, notamment sur le dos et sur les épaules. dos
Observé dans l’Afrique occi- dentale et à l'ile Baracan si- tuée dans la mer rouge.
En constatant que cette espè- ce se trouve en Europe, on l’a, se- lon toutes les apparences, confon- due avec le Faucon KEleonore. Il s'ensuit qu’il convient de rayer de la liste des oiseaux d'Europe le Faucon concolore.
Nous ajoutons ici que le Fau- con Eleonore est une espèce con- nue depuis des siècles. Aréalou- che de Alagona, auteur Sicilien du quinzième siècle, en parle, p.89, sous le nom de Faucon Sa- phir ; d’ Arcussia , p.52 et 53, la décrit sous le nom de Faucon ta- garot; Huber, Observations, p. 15, fig. 16, en donne même une figure, mais sous le faux nom d’Alethe, que d’Arcussia avait employé antérieurement pour dé- signer un autour originaire, à ce qu'il paraît, des iles Acores.
L’excellent ouvrage de Mr. von der Mühle, intitulé, Beiträ- ge zur Ornithologie Griechen- lands, Leipsick, E. Fleicher, 1844, 8°., nous étant parvenu avant de mettre sous presse les
Fleischer, 1844, 8°, und beei- len uns, in unsern Noten das Nö- thige aus diesem Werke nach- zutragen. Nach diesem Schrift- steller kommt der Schlechtfalke, {Falco peregrinus, p. 13), das ganze Jahr hindurch, einzeln ın Griechenland vor. Der, als Falco peregrinoides aufgeführte Vogel, dürfte wohl als ein altes Männ- chen unseres Falco lanarius zu betrachten seyn. Ob der Falco dantarius des Herrn von der Mühle, p.14, wirklich zu die- ser Art oder zu Falco sacer ge- hört, kann erst durch nähere Untersuchungen bestimmt wer- den. Falco concolor , ibid., ıst ohne Zweifel zu F. Eleonorae zu ziehen, da auch wir diese Art, und nicht die erstere, aus Griechenland erhielten.
(7) FALCO TINNUNCULUS. Sie- he über die ausländischen Ra- cen oder verwandten Arten des Thurmfalken, was wir in Suse- mihls, Vög. Eur., p. 45, Note, gesagt haben.
(8) FALCO CENCHRIS. Wir erhielten, aus Steiermark, junge Vögel dieser Art imNestkleide Sie scheint daher im südöstlichen Europa zu brüten. Sérickland, Proceed. Zool. Soc., 1836, p. 97, sagt, dass sie in Klein-Asien ihr Nest auf den Dächern der Häu- ser anlege. Nach von der Mühle, p- 16, brütet sie in Griechenland ebenfalls unter Hausdächern.
19
dernieres feuilles de notre revue, nous sommes à même d’en pro- fiter pour nos notes critiques. Quant au faucon commun, l’au- teur que nous venons de citer, affirme que cette espèce (Falco peregrinus, p. 13), se trouve, quoique en petit nombre, pen- dant toute l’année, en Grèce, L’oi- seau, pris par Mr. von der Mühle pour le Falco peregrinoides , ne paraît être qu’un vieux mäle de notre lanier; et les individus dont il fait mention en parlant du Falco lantarius, p. 14, pour- raient bien encore se rappor- ter au lanier et au sacre. L’oi- seau enfin, que Mr. von der Müh- le a indiqué sous le nom de F. concolor , est probablement iden- tique avec le F. Eleonorae, que nous avons également reçu de la Grèce sous le nom de Faucon concolore.
(7) FALCO TINNUNGULUS. On peut consulter, par rapport aux races exotiques où aux espèces voisines de la cresserelle, les in- dications que nous en avons four- nies dans l'ouvrage de Susemihl,
p. 45, note.
(8) FALCO CENCHRIS. Nous en venons de recevoir,de la Styrie, plusieurs jeunes mdividus, encore en partie couverts de duvet. On doit conclure par cela, que cette espèce niche dans les parties chaudes de l’Europe orientale. Suivant Sérickland, Proceed. Zool. Soc. , 1836, p. 97, elleéta- blit son aire, dans l’Asie mineu- re, sur les toits des habitations. Elle niche, suivant von der Müh-
(9) Jardıne und Selby, Zool. Tllustr., Pl. 66, haben unter dem Namen SPIZAETOS CRIS- TATELLUS, Zemm., einen Ad- lerhabicht, oder wenn man will, einen Rauchfusshabicht abgebil- det, der aber von Falco eris- tatellus, Temm., Pl. col. 282, verschieden ist, und wahrschein- lich als älterer Vogel zu einer der noch wenig bekannten, das Festland Indiens bewohnenden Adlerhabichte, gehôrt. Das von Jardine und Selby abgebildete Individuum wurde an den Küsten England’s erlegt. Das entfernte Vaterland dieser Art macht es wahrscheinlich, dass das fragliche Exemplar ein Entkommenes war. Wir führen daher diesen Vogel vor der Hand noch nicht als eu- ropäisch auf, um so mehr, da diese Gruppe erst gründlich stu- dirt zu werden verdient, ehe man sich schmeicheln darf, die Arten gehörig zu unterscheiden. Siehe, was wir über diese Gruppe in Susemihl’sV ögeln Europ. gesagt haben. Wir erwähnen hier nur noch, dass schon Ray, in Wil- lughby's Ornith., Cap. IX, Art. XII, p.48, eine Art dieser Gat- tung unter dem Namen Falco indicus cirratus beschrieben hat, welche Art aber von den neuern Naturforschern ganz übersehen wurde.
10) Der nordamerikamische Taubenhabicht, Falco atricapıl- lus, Wilson, PI.52, fig. 3; Falco regalis, Temm., Pl. col.
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le, p. 16, en Grèce, de la même maniere. |
(9) L’aigle-autour figuré par Sardine et Selby, sous le nom de SPIZAËTOS CRISTATELLUS, dif- fere, par l’espèce, de l'oiseau donné sous ce même nom par Mr. Temminck, voir Pl. col. 282. Cet individu tué sur les côtes de l'Angleterre appartient probable- ment à quelqu’une des espèces encore mal déterminées d’aigles- autours du continent de l’Inde, ce qui me fait penser qu'il s'était échappé d’une ménagerie. Les diverses espèces du genre des ai- gles-autours étant encore peu étu- diées, nous n’avons pas introduit parmi les oiseaux d'Europe celle dont MM. Jardine et Selby font mention. Nous avons donné quel- ques indications sur ce groupe dans l'ouvrage de Susemihl, et nous ajoutons ici que l’espece la plus anciennement connue de ce genre est celle que Ray a décrite dans Willougshby, Ornith., chap. IX, art. XII, p. 48 , sous le nom de Falco indicus cirratus, espèce totalement omise par les naturalis- tes modernes.
(10) L’autour commun de l’A- mérique du nord, Falco atrica-
pillus, Wilson, PI. 52, fig. 3;
Falco regalis, Temm. Pl. col.
495; F. palumbarius Audubon , Pl. 141 ; Fauna bor. am. Pl. 26 ; Jard. u. Selby, Zool. Ill., Pl. 121, bildet eine, unserm Tauben- habicht zwar verwandte, aber durch zahlreiche, feinere Wellen- Iinien der Untertheile abwei- chende Art. In Japan kommt em Taubenhabicht vor, der uns aber bloss aus Abbildungen bekannt ist.
(11) Der amerikanische gemei- ne Sperber, Falco velox et penn- sylvanicus, Wilson, PI. 45, Jig.1 (jun.) und Pl. 46, fig. 1 (ad.) *); Audubon, PI. 374; PI. col. 74 (jun.),, scheint sich von dem Unsrigen nur dadurch zu unterscheiden, dasser ein we- nig kleiner ıst, und dass im Ju- gendkleide die Zeichnung et- was abweicht , indem die Flecke der Untertheile eine thränenför- mige Gestalt haben.
Der südafrikanische, gemeine Sperber, Falco exilis, Temm., Pl. col. 496, scheint sich eben- falls von dem Unsrigen nur da- durch zu unterscheiden, dass die Untertheile im Alter eine rost- röthliche Grundfarbe haben, auf der die etwas dunkleren Flecke wie verwischt erscheinen.
(12) ASTUR GcaBar. Exem- plare dieser Art aus Griechenland ım Niederländischen und Mainzer Museum.
*) Aber nicht F. pennsylvanicus ‚ibid., Pl.54, fig.1, was, nach Bonap., List, p.3, ein Buteo ist.
495; Falco palumbarius, Au- dubon, Pl.141; Fauna bor. amer., P1.26; Jard. et Selby , Zool. Ill., Pl. 121, differe de celui d’Europe par ses parties inférieures couver- tes de raies transversales plus dé- licates et plus nombreuses. Le Japon produit une troisième es- pèce ou race semblable à celle d'Europe, mais qui ne nous est connue que par des figures.
(11) L’Epervier commun de l'Amérique du nord, Falco velox et pennsylvanicus, Wilson, Pl. 45, fig. 1 (jeune individu) et Pl. 46, fig. 1 (adulte) *); Audubon, PI. 374; Pl. col. 74 (jeune indiv.), ne me parait différer de celui d'Europe que parce qu’ilest d’une taille un peu moins forte, et par- ce que les taches des parties infe- rieures sont, dans les jeunes de l’année, en forme de larmes.
L’Epervier commun du Cap de Bonne Espérance, Falco exihs , Temm., Pl. col. 496, ne semble seloigner de celui d’Europe que par les teintes un peu diverses qu'offrent les parties inférieures à l’âge adulte; ces parties étant d’un rougeätre ferrugineux , rele- ve par des taches un peu plus foncees et assez indistinctes.
(12) asTur GaBar. Le mu- sée des Pays-Bas et celui de Ma- yence possèdent des individus de celte espèce; ıls ont été tués en Grèce.
*) Mais non pas le Falco pennsylva- nicus, ibid, Pl. 54, fig.1, qui appar- tient, selon Ch. Bonaparte, List, p.3, au genre Buteo.
(13) Die amerikanische Korn- weihe: Falco uliginosus, Wil- son, Pl. 51, fig. 1 (jun.); Ch. Bonap., ibid. Pl. 12 (altes Männ- chen; Varietät mit wellenförmi- gen, verwaschenen Flecken auf den Untertheilen); Falco cyaneus, Fauna boreali amer., Pl. 29, (altes Männchen mit punktarti- gen Flecken); Audubon, Pl. 896 , /ig. 1, (altes Männchen , mit ungefleckten Untertheilen) ; Falco histrionicus, Uranie, Zool., Pl. 16, (jun.), Pl. 15 (altes Männ- chen, mit Querbändern auf den Untertheilen), weicht von unse- rer Kornweihe durch etwas hö- here Läufe ab. Beim alten Männ- chen sind gewöhnlich alle Un- tertheile, von der Brust abwärts, mit zahlreichen rostbraunen Flec- ken oder Querbinden versehen. Richardson fand diese Weihe bis hinauf zum grossen Bärensee, Wilson und Audubon in vielen Theilen der vereinigten ‚Staaten Nordamerika’s, die französischen Reisenden brachten sie von den Falklandsinseln mit, und wir er- hielten sie von St. Domingo.
(14) CIRCUS CINERACEUS PAL- LIDUS. Dieser Vogel stimmt hin- sichtlich seines Baues, der Ver- hältnisse der Schwungfedern , und überhaupt in jeder Hinsicht, bis auf die etwas blässere Fär- bung, durchaus mit Circus cine- raceus überein, und bildet, wenn man will, eigentlich nur eine
22
(13) Le Busard St. Martin de l'Amérique a été décrit sous les noms suivans : Falco uliginosus, Wilson, PI. 51, fig. 1, (jeune ind.), Ch. Bonap., 1bid, PI. 12, (mâle adulte, variété à taches on- duleuses et obsolètes sur les par- ties inférieures; Falco cyaneus,
‚Fauna bor.amer., PI, 29, (mä-
le ad. à petites taches orbiculai- res); Audubon, PI. 356, fig. 1, (mâle adulte, à parties inférieu- res dépourvues de taches); Fal- co histrionicus, Uranie, Zool., PI.16, (jeuneind.), PJ. 15, (mâle adulte, aux parties inférieures transversalement rayées). Cette espèce se distingue , dans tous les ages, du busard St. Martin d'Eu- : rope, par des tarses plus élevés. Le vieux male a ordinairement toutes les parties inférieures, à parür de la poitrine, ornées de ta- ches nombreuses, soit orbiculai- res, soit transversales, d’un brun ferrugineux. Richardson a ren- contre cette espèce jusquesur les bords du grand lac aux ours; elle se trouve, suivant Wilson et Au- dubon, dans une grande partie des états-unis de l'Amérique du nord; les voyageurs français l’ont rapportée des iles Falkland, et notre musée en a recu des .indivi- dus tués à St. Domingue.
(14) CIRCUS CINERACEUS PAL- Lipus. Ce busard ne differe du busard Montagu que par ses tein- tes plus päles, et n’en forme, à proprement parler, qu’une variété locale de cette dernière espèce. C’est donc à tort qu’on l’a com- paré au Busard St. Martin, dont il s'éloigne par ses ailes plus
23
klimatische Varietät dieser Art. Man hat sie daher mit Unrecht bis jetzt immer mit der Kornwei- he verglichen, von der sie eben
so sehr abweicht als die Wie- Man vergleiche, was
senweihe. wir früher über diese Art im Susemihl's Werk gesagt haben.
(15) aquıLa ruLva. Nelsson ist der Meinung, dass es im Nor-
den eine zweite Art Steinadler
gebe, die sich vorzüglich durch
einen etwas kürzeren Schwanz vom gemeinen Steinadler unter- scheiden soll. Wir haben uns bıs jetzt noch nicht von dem Be- stehen dieser Art oder Nebenart überzeugen können. Es ist diess: Falco chrysaëtos, Nilsson, Il- lum., Figur., Haft 5, pl.16; Skandinavisk Fauna, Foglarna,
T,p. 44.
(16) Die von G@loger , Handb.
68, erwähnte vermeintliche Varietät der Aquila imperialıs vom Vorgebirge der guten Hoff- nung (? Falco obsoletus, Licht.) gehört, wie wir uns durch eigene Ansicht überzeugten, nicht hier- her, soudern zu Falco (Aquila) rapax, Temm., Pl. col. 455. — Nach von der Mühle, p. 21, Anmerkung, soll in en land nur Æquila fulva, nicht aber A. imperialis vorkommen.
(17) aquırLa Bonerru. Wir machen hier noch einmal darauf aufmerksam, dass das Haupt- kennzeichen dieser Art ın der bedeutenden Länge ihrer Zehen liegt. Siehe hierüber unsere An-
_rope ».
pointues, ainsi que par la longueur respective des grandes rémiges. On peut consulter ce que nous avons dit de cette espèce dans notre travail sur les oiseaux d’Eu- accompagnant l’ouvra-
ge iconographique publié par Mr.
. Susemthl.
(15) aguıza FuLvA. Nilsson suppose qu'il existe deux espèces d’aigles communs habitant le nord de l’Europe; il appelle l’une Fal- co chrysaëtos, l’autre Falco ful- vus, et prétend que la première se distingue de celle-ci par une queue moins longue. Nous n’a- vons pas été à même de vérifier les observations de Mr. Nilsson, qui a publié des descriptions et des figures de son Falco chry- saëlos dans ses Z{lum. Fig., 5me cahier, PI. 16, et dans le Skan-
_dénavisk Fauna , oiseaux, p.44.
(16) La prétendue variété de l’Aigle impérial, origmaire du Cap de Bonne Espérance, et in- troduite par G@loger, Handb., p. 68, sous le nom de Falco obso- letus Lichtenstein, appartient, comme je l’aipu constater par l'au-- iopsie, au Falco rapax, Temm. Pl. col. 455. — Mr. von der Müh- le, p. 21, remarque que c’est l'aigle commun et non pas l’aigle impérial qui se trouve en Grèce.
(17) AQUILA BONELLII. Cette espèce se reconnait facilement à la longueur de ses doigts; nous ren- voyons, pour de plus amples dé- tails sur cet oiseau, à la descrip- tion que nous en avons donnée
gaben in Susemihl, die Vögel Europa’s, p. 54 Nach von ‘der Muhle, p. 19, ist diese Art, nach dem Steinadler , die gemein- ste in Griechenland.
(18) aquiza naervıa. Man hält jetzt beinahe allgemein die, auf den Flügeln und Unterthei- len weıss oder bräunlichweiss gefleckten , Schreiadler (F. ma- culatus, Gmel.), für die jünge- ren, die einfärbig braunen, (F. naevius , (rmel.), für die alten Vögel; allen Brehm, Vögel Deutschlands, 1831, p. 27, führt letztere als eigne Art, 4quila pomarina, auf, welche auch Fr. Boie, Isis, 1835, p. 259, für selbständig hält. Ohne selbst standhafte Kennzeichen zur Un- terscheidung zweier Arten Schrei- adler angeben zu können, und ohne uns für die Meinung Brehm’s und Boie’s zu erklären, glau- ben wir doch darauf aufmerk- sam machen zu müssen, 1) dass es noch nicht durch direkte Beo- bachtungen bewiesen ist, dass die gefleckten Schreiadler mit dem Alter einfärbig braun wer- den; 2) dass einige gefleckte Schreiadler vom Harz, welche bei uns in der Gefangenschaft leben, ihr sogenanntes Iugend- kleid im vierten Jahre noch nicht abgelegt haben, und 3) dass in
1)
gewissen Gegenden, wie z. B.
in der Provence und in Italien‘, nach Temminck, Roux und CA. L. Bonaparte, nur gefleckte Schreiadier vorkommen, wäh- rend wir aus andern Gegenden, z. B. aus Ungarn, Abyssinien und Indien nur ungefleckte er-
4
dans Susemihl, p.54. Le comte von der Mühle, p. 19, rapporte que cette aigle est, en Grece, après l’aıgle commun, l’espece la plus abondante.
(18) aqguıra NAEvVIA. On sait que le plumage de l’aigle criard est tantôt tacheté de blanc ou de blanc brunätre, et tantôt d’un brun uniforme, et que l’on re- garde les individus tachetés, Fal- co maculalus, Gmelin, comme les jeunes de ceux à plumage uni- forme, Falco naevius, Gme- lin. Brehm cependant, Vôgel Deutschlands, p. 27 et Boie, Isis, 1835, p. 259, séparent de- rechef les individus & teintes uni- formes sous le nom de Aguzla pomarina. N'ayant pu réussir à découvrir des caractères con- stants servant à distinguer ces deux prétendues espèces, nous ne saurions entrer pour le moment dans les vues des savans que nous venons de citer; il faut cepen- dant convenir que l’on n’a pas encore prouvé par des observa- tions directes, que les individus tachetés deviennent avec l’âge d’un brun uniforme. Nous avons mé- me vu plusieurs individus enle- vés du nid sur les monts d’Hercy- nie, qui à l’âge de quatre ans, conservaient encore les taches claires que l’on croît être le trait distinctif des jeunes. D’ailleurs plusieurs naturalistes, tels que Temminck, Roux et Ch. Bona- parte s'accordent à dire que l’on n’observe en Italie et en Proven- ce, que des aigles criards tache- tés, tandis qu’il ne nous est venu d’autres contrées, comme par
hielten, und Pallas der gefleck- ten auch nur beiläufig und als blosse Varietät erwähnt. — Es ergiebt sich ausdiesen Thatsachen, dass die vorliegende Frage nur durch neue , an den Brüteplätzen dieser Vögel, angestellte Beo- bachtungen erörtert werden kann. Wir erwarten daher die baldige Entscheidung dieser Fra- ge durch wahrheitsliebende Na- turforscher.
Die neuerlich durch von der Mühle, p. 19, Anmerkung , mit- getheilten Andeutungen über zwei Arten Schreiadler in Europa, sind unzureichend , Licht auf diese schwierige Frage zu werfen.
(19) aquırLa pennara. Es bleibt dieser Adler, ungeachtet al- ler Forschungen , immer noch ei- ner der seltensten Vögel, dessen Brüteplatz noch nicht mit Gewiss- heit ermittelt ist, und der über- all, wo man ihn beobachtete, sowohl in Europa als in Afrika, nur zufällig angetroffen wurde. Dass dieser Vogel zuweilen mit dem Rauchfussbussard, Buteo la- gopus, verwechselt wurde, davon haben mich neuere Erfahrungen überzeugt. Wir empfehlen daher weniger Geübten, bei vorkom- menden Fällen , die bis jetzt über- sehenen Kennzeichen, welche wir für diese Art in Susemihl, Vögel Europa's, p. 57 aufgestellt haben, zu berücksichtigen, und in’s Besondere darauf acht zu geben, dassdie Läufe des Zwerg- adlers, wie die aller andren Ad- ler, rings herum dicht befiedert
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exemple de la Hongrie, de l’A- byssinie et des Indes, que desin- dividus à teintes unıformes; aussi Pallas ne parle-t-il qu’en pas- sant des individus tachetés qu'il regarde comme formant une sim- ple variété accidentelle. Il ré- sulte de l'exposé de ces faits, que l'histoire naturelle de l’espèce dont nous parlons, ne peut guère être éclaircie que par des obser- vations faites sur les lieux que fréquente cet aigle pendant l’épo- que de la propagation.
Les indications contenues dans l'ouvrage de Mr. von der Mühle, p. 19, sur l'existence de deux espèces voisines d’aigles criards sont insuflisantes pour éclaircir cette question difficile.
(19) aquiLa PENNATA. Cette espèce, dont on ignore jusqu’à présent la véritable patrie, ap- partient au nombre des plus rares et n’a été observée qu’ ac- cidentellement, soit en Europe, soit en Afrique. Ayant été quel- quefois confondue avec la buse patue, il est bon de remarquer qu'il existe un caractère assez facile à saisir et au moyen du- quel on peut distinguer ces deux oiseaux dans tous les âges. Il suf- fit, pour éviter des erreurs , d’exa- miner les tarses de ces oiseaux; ceux de l'aigle botié étant, com- me dans tous les aigles, revêtus de plumes de tous côtés, tandis que ceux de la buse patue sont pour- vus, tout le long de leur face pos- térieure, de plaques assez lar- ges. Nous renvoyons pour les autres traits distinctifs de cette espèce à la description que nous
sind, während, bei sorgfältiger Untersuchung, die Läufe des ‘Rauchfussbussardes, auf der gan- zen hintern Seite, mit grossen Schildern bedeckt erscheinen. Graf von der Mühle erhielt einige Exemplare dieses Adlers während seines Aufenthaltes in Griechenland ; zwei andre Exem- plare wurden in der Umgegend Münchens geschossen ; Berträge,
p. 19.
(20) Den weissköpfigen See- adler, FALCO LEUCOCEPHALUS, Linne, haben wir aus der Reihe der europäischen Vögel entfernt, weil es uns erwiesen scheint, dass diese Art ein ausschliessli- cher Bewohner Nordamerika’s ist, und kein sicherer Beweis vorhanden ist, dass sich je Exem- plare derselben nach Europa ver- flogen haben. Die Beweggründe, diesen Vogel als europäisch auf- . zuführen, waren, ausser der An- gabe Linne’s, dass er auch im Norden Europa’s vorkomme, fol- gende: 1.) dass die beiden, in der vormalıgen Bullockischen Samm- lung aufbewahrten weissköpfi- gen Seeadler, die in die Samm- lunger der abi) Temminck und Laugier übergingen, auf den He- briden geschossen worden seyn sollen; 2.) dass ein Exemplar dieser Art früher bei Zürich, ein anderes bei Stuttgart geschossen seyn sollte; 3.) dass Bore, Rer- se, p. 189, während seines Be- suches auf den Loffoden, Seead- ler mit weissem Kopfe fliegen sah, und sie für Falco leucoce- phalus hielt. — Was die erste Angabe betrifft, so wird diesel-
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en avons donnée dans Susemihl, Lie: lai Fat
Mr. le Comte von der Mühle a recueilli plusieurs individus de cet aigle en Grèce, et ce savant fait en outre mention de deux individus tués dans les environs de Munich; voyez p. 19 de son ouvrage.
(20) FALCO LEUCOCEPHALUS, Linné. Comme il n’a jamais été constaté d’une manière évidente, que cette espèce eüt été obser- vée dans la partie du monde que nous habitons, nous avons rayé de la liste des oiseaux d’Eu- rope cet aigle-pêcheur, qui parait habiter exclusivement l'Amérique du nord. Les naturalistes mo- dernes, en introduisant cette espèce comme habitant de l’Eu- rope, se sont d’une part appuyés sur le témoignage de Linné qui veut en effet que cette espèce habite le nord de l’Europe; d’au- tre part ils se laissaient guider par les motifs suivans 1.) qu'il existe deux individus de cette espèce, conservés autrefois dans la collection de Bullock, achetés depuis par MM. Temminck et Lau- gier et que l’on dit avoir été tués sur les îles Hébrides; 2.) qu’on prétend qu’autrefois on aurait tué un individu de cette espèce pres de Stuttgart et un autre près de Zurich; 8.) que Mr. Fr. Bote fait mention dans la rela- tion de son voyage, p. 189, d’ai-
les-pécheurs qu'il a observés sur les îles Loffodes et qui, vus à di-
be durch die vielfachen Unter- suchungen der brittischen Natur- forscher, nach welchen dieser Vogel nie auf den Hebriden vor- kommt, hinlänglich widerlegt. Die, angeblich bei Zürich und Stuttgart geschossenen Exempla- re sind nie von irgend einem Na- turforscher beschrieben worden, und es ist noch gar nicht ausge- macht, ob es nicht vielleicht ganz alte weissschwänzige See- adler waren, die man bekannt- lich in früheren Zeiten, als die Unterschiede beider Arten noch nicht auseinandergesetzt waren , oft für weissköpfige Seeadler hielt. Die Seeadler endlich, wel- che Herr Boie auf den Loffoden sah, waren offenbar alte weiss-
schwänzige Seeadler, deren Kopf und Hals im Sommer, durch das Ausbleichen und
Abreiben der Federn, eine fast weisse Farbe erhalten ; denn Nils- son sagt ausdrücklich, dass sich der weissköpfige Seeadler nie in Skandinavien findet, und zu- folge der Privatmittheilungen des Herrn Dr. Rasch in Christiania, der wiederholt und auf länge- re Zeit die Loffoden besuchte, kommt auf diesen Inseln nur der gemeine Seeadler vor. Übrigens ist es schon deshalb ungereimt, den weissköpfigen Seeadler zu einem Bewohner des Nordens Europa’s machen zu wollen, weil er, als Zugvogel, im Winter, wie der weissschwänzige Seeadler, das feste Land Europa’s besu- chen würde, was aber nicht der Fall ıst; denn die vermeintlichen Jungen Vögel dieser Art, welche man in Deutschland und Frank-
stance, paraissaient avoir la tete blanche. — Quant à la premiere assertion, il a été constaté par tous les naturalistes anglais, que Vaigle-pöcheur à tête blanche n’habite pas les iles Hébrides. Pour ce qui regarde les indivi- dus tués, à ce qu’on prétend, pres de Stuttgart et de Zurich, ces individus n’ont jamais été dé- criis par aucun naturaliste, ce qui me fait penser que ce n'étaient tout simplement que de très-vieux individus de l’aigle-pecheur com- mun, espèce que l’on a, com- me le sait tout le monde, long- temps confondue avec celle de l’A- mérique du nord. Je crois enfin que Mr. Boie s’est trompé en prenant pour des aigles à tête blanche, ceux qu’il a observés sur les iles Loflodes; car Mr. Nils- son dit expressément que cette espèce ne se trouve jamais en Scandinavie et le docteur Rasch de Christiania, qui a visité à plu- sieurs reprises ces îles et y a fait un séjour assez considérable, me mande que les aigles-pécheurs qui y habitent appartiennent à l'espèce commune. Mr. Boie au- ra probablement vu de très-vieux individus de cette dernière espè- ce, dont la tête et le cou avaient pris une teinte très-claire par l’action du jour , phénomène tres- apparent, avant la mue, dans la plupart des oiseaux. Quoiqu'il en soit, il y a encore d’autres motifs qui militent en faveur de notre opinion que l’aigle-pecheur à tête blanche n’habite pas l’Eu- rope septentrionale. S'il en était ainsi, cette espèce, qui appartient au nombre de celles qui émi-
reich angetroffen haben will, _ sind nie genau untersucht wor- den, und diese Angaben sind da- her nur als Vermuthungen zu betrachten. |
(21) Nilsson nimmt zwei Ar- ten grösser Seeadler aus dem Nor- den Europa’s an. Sein Falco ossi- fragus soll grösser seyn, und ei- nen längeren Schwanz haben, als F. albicilla. Die bis jetzt von Nilsson untersuchten Exemplare seines F. ossifragus hatten noch keinen weissen Schwanz ; nıchts- destoweniger vermuthet aber Herr Nilsson, dass auch F. oss?- fragus, wie F. albicrlla , im ho- hemAlter einen weissen Schwanz bekomme. Wir haben bis jetzt keine hinlänglichen Gründe ge- funden, diesen F. ossifragus als Art oder als Nebenart aufzuneh- men. Siehe über dieselbe: Nrls- son, Ornit. suecica, I, p. 14;
Skandın. Fauna , Fogl., 1, p.45.
(22) Es folgt hier die Beschrei- bung, welche Pallas von dieser Art in der Zoogr. rosso astat.,
I, p. 352, n°. 26, gegeben hat.
grent en hiver, visiterait perio- diquement le continent de l’Eu- rope; on nel’y voit cependant ja- mais. Îlest vrai quel’on prétend avoir tue, en Franceet en Alle- magne, de jeunes individus de cette espèce; mais ces individus n'ayant pas été soigneusement examinés, on ne peut attacher aucune valeur à ces assertions.
(21) Nilsson veut qu'il existe, dans le nord de l'Europe, deux espèces d’aigles-pécheurs de gran- de taille. Il distingue de l'espèce ordinaire, Falco albicilla, une espèce d’une taille plus forte et a queue plus longue, et qu'il appelle Falco ossifragus. Ce sa- vant croit que cette dernière espèce acquiert également avec l’âge une queue blanche, bien que pas un seul des individus qu'il a examinés ne presentät ce caractère. Nous n’avons pas cru devoir adopter pour le mo- ment cet oiseau, ni comme espè- ce, ni comme variété, et nous renvoyons pour de plus amples détails aux travaux de Nelsson: Ornith. Suecica, X, p. 14, et Skandın. Fauna, Oiseaux, 1,
p. 45.
(22) Pallas, Zoogr. ross. asiat., 1, p. 352, n°.26, a de- crit cette espèce dans les termes suivans :
AQUILA LEUCORYPHA.
A. tibiis nudis pallidis, cera livida, corpore fusco, macula ver-
tıcıs alba.
Nusquam nisi in australiore Rossia, circa Volgam et Rhymnum inferius, in vieinia maris Caspii, et ibi quoque rarius observatur ,
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ubi cum praecedente , Ossifraga et Haliaëto circa lacus regnat et in arboribus nidulatur. Distinctissima species et licet parva, omni- bus tamen notis ad Aquilas referenda, quas et habitu refert, im hoc genere cum praecedente minima.
Deser. Magnitudo paulo supra Clangam; pondus sex librarum. Habitus inter Chrysaëtum et Ossifragam medius. Rostrum basi rec- tiusculum, nigrum, margine maxillae superioris medio convexo. Ce- ra livido-cinerea, glabra, naribus amplis, ovatis, obliquis, concha delitescente. Rictus oris albidus; lingua integra, rotundata. Palpe- brae concolores, versus marginem plumoso-ciliatae; suggrundium supraciliare prominens, nudatum. Irides fusco-gryseae, circulo ni- gricante inclusae. Caput supra gryseo-fuscum, macula trianguları medii verticis, gulaque nivea; area per latera capitis sub oculis lon- gitudinalis subatra. Collum undique plumis acuminatis fuscis, apice gryseo-obsoletis jubatum. Dorsum et alae nigricant, plumis margi- ne exsoletis. Subtus color exsoletior quam in collo. Remiges 27. sex primores extremo angustatae, reliquae exteriore margine gryseae, interius versus basin albae. Subtus ala nigrescit, tectricibus basi al- bis. Ala secundaria quadripennis. Cauda longiuscula, alis compo- sitis 2/7. 6%. longior, aequalis, rigida, nigra, extima utrinque rec- trice lituris aliquot pallidis adspersa. Pedes pallido-albicantes, un- guibus nigris; tibiae vix ad tertiam partem plumosae; digiti parum divaricandi, plicis intercalaribus nullis. — Mensura ad uropygium 17.5.8". caudae 11/87. ulnae alarum 17. 8.9". expansarum 5.11” 6". Rostrum ad oris angulos 2. 3. tibiarum 3” 2”. digi- torum anticorum medius sine ungue 2’. 5. unguis 1”. 13”, exte- rior 1”. 72”. unguis 1”. interior 1”. 6”. unguis 1”. 33”. posticus 1". 4. unguis 1. 3.
Ein vonEversmann in derBucharei Mr. Eversmann a rapporté au
geschossener, im Berliner Museum aufbewahrter Seeadler , stimmt mit der Pallasischen Beschreibung durchaus überein, und weicht bloss durch den Mangel des weis- sen Nackenfleckes, dessen Pallas erwähnt, ab. Keyserling und Blasius, p.139, geben nach die- sem Exemplare, folgende Züge als Artkennzeichen für H. leuco- ryphus an: » Die Läufe vorn kaum »4 der Länge befiedert; die In- „nenfahne der grossen Schwin- „ gen nur bis zur 3ten ausgeschnit- „ten; die 2te bis 4te auf der Aus-
Musée de Berlin, de son voyage à Boukhara, un aigle-pécheur qui se rapporte parfaitement à l’espe- ce de Pallas, quoiqu'il n’offre pas le caractère tiré de la tache blan- che de la nuque. MM. Keyser- ling et Blasius, I. c., p. 139, ont emprunté à cet individu les traits distinctifs suivans: » Tarses » emplumés par devant à peine » d’un tiers de leur longueur. Les »trois premières rémiges rétré- » cies à leur barbe interne; la » deuxième jusqu’à la sixième ré- » mige rétrécies à la barbe exter-
» senfahne deutlich, die 5teschwä- » cher, die 6te nur sehr schwach _» verengt; der Schwanz schwarz, » gerade, mit dem Ende 21 Zoll » über die Flügel hinausragend, » der Schnabel schwarz.’— Nach demselben Exemplare habe ich folgende kurze Beschreibung ent- worfen : Ganze Länge 2’ 6”; Flü- gel 1’ 10”; Schwanz 11”; Läufe 31’. Mittelzehe ohne Nagel 2”. Habitus, Bau, Schnabel, Füsse und alle sonstige Verhältnisse wie bei H. Macei. Schnabel schwärz- lich. Hauptfarbe des Gefieders erdbraun, unten blässer. Die Fe- dern gegen ihre Ränder hin hel- ler, besonders die Flügeldeckfe- dern; die des Kopfes und Halses mit gelblichbraunen Rändern. Ohrgegend, und ein von da sich verlängernder und auf den Seiten des Halses sich verlierender Streif, schwärzlichbraun. Grosse Schwungfedern und Schwanz schwarz; letzterer auf der ersten Hälfte schwach weisslich gewäs- sert. Obere und untere Schwanz- deckfedern blassbraun, ein we- nig mit weisslich gemischt. Füsse gelblich. Nägel schwärzlich. Schwanz kaum merklich abge- rundet.
Es fragt sich, ob Haliae- tos lineatus, Gray, Ind. Zool., nicht als junger Vogel zu vorge- hender Art zu ziehen ıst. Wenn man die Gewissheit hätte, dass sowohl das Exemplar von Pallas als das des Berliner Museums, als männliche und jüngere Indivi- duen zu betrachten sind, so würde ich kein Bedenken tragen, H.leucoryphus als identisch mit H.Macei, Temm., Pl. col. 8, von
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»ne, mais de sorte que ce ca- » ractère est moins apparent sur » la cinquième rémige, et peu » sensible sur la sixième. Queue »noire, coupée carrément à l’ex- »trémité, dépassant les ailes de » deux pouces et demi. Bec » noir.” — J'ai pris sur ce même individu la note succincte suivan- te: Longueur totale % 6/’; ailes 1’ 10”; queue 11%; tarses 20 doigt de milieu, sans ongle 2”. Port, bec, pieds et organisation comme dans l’Aaliaëtos Macer. Bec noirätre. Teinte générale du plumage d’un brun de terre, plus pâle sur les parties inférieures. Plumes, particulièrement les couvertures des ailes, à bords clairs; celles de la tête et du cou liserées de brun jaunätre. Région des oreilles et une lar- ge raie qui se prolonge depuis cette région jusque sur les côtés du cou, d’un brun noirätre. Gran- des couvertures des ailes et queue noires; queue variée de blanc à la première moitié de sa longueur. Couvertures de la queue d’un brun pale, relevé par quelques ta- ches blanchätres. Pieds jaunätres. Ongles noirätres. Queue insen- siblement arrondie a l’extremite.
Il convient peut-être de re- garder comme le jeune de cette espèce l’oiseau figuré par Gray, dans l’Zndian Zoology, sous le nom de Haliaetos lineatus. Le sexe des individus observes par Pallas et Eversmann n’ayant pas été constatés par la dissection, c'est en hésitant que nous émet- tons l’opinion qu'ils pourraientr bien n’être que des mâles jeunes ou à l’âge moyen du grand aigle
Bengalen, ersteren als jungen, letzteren als alten Vogel, zu be- trachten.
(23) HALIAETOS VOCIFER. Exemplare dieser Art aus Grie- chenland im Mainzer Museum. Graf von der Mühle erwähnt der- selben nicht als griechischen Vo-
gel.
(24) PANDION HALIAËTUS. Der gemeine Flussadler scheint über die ganze Erde verbreitet zu seyn, und nach den verschie- denen Gegenden, in welchen er vorkommt , höchstens einige uner- _hebliche Unterschiede in Grösse und Färbung darzubieten. In wie fern der amerikanische Flussadler, Pandion carolinen- sis, Ch. Bonap. , von dem uns- rigen abweicht, können wir, da wir nur wenigelndividuen aus je- ner Gegend sahen, nicht angeben. Die Flussadler von Japan, Hinter- indien und Neuholland , Pandion leucocephalus, Gould,sind durch- gehends ein wenig kleiner, und haben etwas mehr weiss auf dem Kopfe. Siehe über die Varietäten dieser Art: Verhandel. Neder!. Querz. bezitt., Aves, Artikel: Falco (Pandion) humilis.
(25) BuTEo vurcarıs. Im «nördlichen Amerika findet sich ein Mäusebussard, den Rrchard- son und Swainson, Fauna bor.
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pêcheur du Bengale, connu sous lenom de Haliaëtos Macer, Temm.,
Pl. col. 8.
(23) HALIAETOS VOCIFER. J’ai vu au Musée de Mayence des individus de cette espece, tues en Grece. Mr. le Comte von der Mühle n’en fait pas mention dans son ouvrage sur les oiseaux de la Grèce.
(24) PANDION HALIAETUS, Il parait que le balbusard com- mun est repandu sur toutes les parties du globe, et qu’il ne for- me tout au plus, suivant les lo- calités, que de légères variétés dans la taille et les couleurs. N'ayant vu qu’un petit nombre d'individus du balbuzard d’Ame- rique, Pandion carolinensis, Ch. Bonap., nous ne nous croyons pas autorisés à émettre aucune opinion sur cette prétendue espè- ce. Mr. Gould a séparé le balbu- zard de la Nouvelle Hollande, sous le nom de Pandion leucocepha- lus ; ıl sen trouve de semblables au Japon et dans l’Archipel des Indes; ils sont constamment un peu plus petits que ceux d’Euro- pe, et la couleur blanche domi- ne sur le dessus de leur tête. Consultez par rapport aux varié- tés du bulbuzard notre mémoire sur le Falco (Pandion) humilis, inséré dans l’ouvrage hollandais intitulé : Verhandelingen over de Ned. Overzeesche bezittingen.
(25) BUTEO VULGARIS. L’a- merique du nord produit une buse, que M. M. Richardson, Swainson et dudubon regardent
am., Birds, PI.27, und Audu- bon, Pl. 372, für nicht ver- schieden von unserm Mäusebus- sard halten, und ıhm auch dem Namen Buteo vulgaris geben. Ch. Bonap. List, p. 3, führt ihn aber als eigene Art, unter dem Namen Buteo Swainsonit auf. Wir haben diesen Vogel in der Natur nicht gesehen.
(26) BUTEO LAGOPUS. So- wohl Zevaillant als neuerdings Smith, haben diese Art vom Vor- gebirge der guten Hoffnung mit- gebracht. Diese Erscheinung ist um so auffallender, da dieser Vogel selbst das südliche Europa nur in kalten Wintern besucht. — Der nordamerikanische Rauchfuss- bussard , Falco Sancti Johannis, Latham, unterscheidet sich von dem Unsrigen durch einen stär- kern, breiteren Schnabel , grös- sere, kräftigere Nägel, und et- was höhere Läufe, die weder so weit abwärts, noch so weit nach hinten befiedert, und auf der hintern Hälfte des Lau- fes, nach unten, mit grösseren Schildern bekleidet sind. Diese Art weicht individuell, in der Färbung, noch bedeutender ab als unser Rauchfussbussard. Es ist dies Falco spadiceus (Choco- late Falcon), Forst., Phil. Trans., LÄII, p.281; Pennant, Arct. Zool., II, p.201, Tab. 9 B; Falco Sancti Johannis, Gmelin, p.273, n°.92; St. John's Falcon, Arct. Zool. T.9a; Wilson, Taf. 33, Fig. 1; Falco lagopus et niger, Audubon , Pl. 422 und Pl. 166; Falco lagopus , Richards., Fau- na bor. amer., Birds, Pl. 28,
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comme identique avec la buse commune d’Europe; c’est le Bufeo vulgaris, Fauna bor.amer., PL. 27, Audubon, Pl! 372. 0 Bonaparte, List, p. 3, au con- traire veut que ce soit une espèce distincte qu'il appelle Buteo Swainsonii. Je n'ai pas vu cet oiseau.
(26) BUTEO Lacopus. Le- vaillant et Smith ont observé la buse patue dans la partie meri- dionale de l’Afrique, fait d’au- tant plus remarquable que cette espèce qui habite les regions froi- des de l’Europe et de l’Ase, n’etend guère ses migrations jus- qu'au delà des Alpes que pen- dant les hivers très-rigoureux. — La buse patue de l’Amérique sep- tentrionale, Falco Sancti Johan- nis, s'éloigne de l’espèce com- mune par son bec plus vigou- reux et plus large, par des on- gles plus forts et plus longs, ainsi que par des tarses un peu plus élevés,et dont les plumes ne s’avan- cent pas aussi loin vers le bas et vers le derrière que dans l’espè- ce commune; aussi les plaques dont la partie postérieure des tarses est revêtue vers le bas sont- elles d’une étendue plus considé- rable. Cette espèce américaine varie selon les individus, par rap- port aux teintes, d’une manière plus frappante encore que l’espe- ce d'Europe, ce qui a donné lieu à l'établissement de plusieurs espèces nominales. C’est Falco spadiceus ou Chocolate Falcon ; Forst. Phil. Trans., LXU, p. 281 ; Pennant Arct. Zool, I, p.
und F. ferrugineus, Lichtenst., Verh. d. Berlin. Acad., 1838, p. 428.
(27) Pallas, Zoogr. ross. asıat. I, p. 354, n’. 27, be-
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schreibt unter dem Namen ac.
CIPITER HYPOLEUCOS einen Schlangenbussard aus dem süd- lichen Russland, den Keys. u. Blasius, die Wirbelth. Euro- m4, 9. AAIX, n°. 20, Cir- caëtos hypoleucos, als eigene Art aufnehmen. Nach der von Pallas mitgetheilten Beschrei- bung, weicht aber dieser Vogel vom gemeinen Schlangenbussard nur durch die gelbe Farbe der Füsse, und durch pinselförmige Büschelchen, welche sich an den Spitzen der Nackenfedern befin- den, ab. Letztere sind offenbar Uberbleibsel des Dunenkleides, und die gelbe Farbe der Füsse ist wahrscheinlich durch das Trocknen entstanden, wie dies häufig Statt findet. Auch muss man berücksichtigen, dass Pal- las unsern gewöhnlichen Schlan- genbussard gar nicht aufführt, sondern die hierher gehörigen Citate, selbst Bufon’s Jean le Blanc, Pl. enl. 413, zu seinem Acc. hypoleucos zieht. Wir kön- nen, aus den angeführten Grün- den, diesen Vogel als Art nicht eher aufnehmen, bis er auf’s Neue untersucht und mit Circaëtus 2.
201, Pl.9, fig. B; Falco Sancti Johannis, Gmelin, p.273,n".92; SE. John's Falcon, Arct. Zool., T. 9 a; Wilson, PI. 33, fig. 1; Falco lagopus et niger, Audubon, Pl. 422 et PI. 166; Falco lago- pus, Richardson, Fauna bor. amer. , Birds, Pl. 28; et Falco Jerrugineus, Lichtenstein, Verh.
d. Berlin. Acad., 1838, p. 428.
(27) Pallas, Zoogr. ross.as., I, p. 354, n°. 27, a décrit, sous le nom d’ACCIPITER HYPOLEU- cos, un Circaëte de la Russie mé- ridionale, que M. M. Keyserling et Dlasius ont adopté comme espèce bien établie; c’est leur Circaëtos hypoleucos, p. XXTX, n°. 20. — À juger de la descrip- tion donnée par Pallas, cet oi- seau ne s'éloigne du Circaete commun que par la teinte jau- nätre des serres, ainsi que par la presence de petits appendices penicilliformes, dont les plumes de la nuque sont pourvues. Ces appendices sont évidemment les restes du duvet qui ne s’est usé qu'imparfaitement; quant à la couleur jaune des pieds, elle est probablement due au desseche- ment de ces parties. D’ailleurs Pal- las ne fait pas du tout mention du Circaëte commun, et il rapporte plusieurs synonymes de cette espé- ce à son Accipiter hypoleucos, en- tre autres même le Jean le Blanc de Buffon, Pl.en!.413. Avant d’é- tablir l'espèce décrite par Pallas, il sera nécessaire de l’examiner de nouveau, et de la comparer à l'espèce commune et au Circaëte pectoral, qui offre des pieds jau- nes dans tous les âges.
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gallicus und pectoralis, welcher letzterer in jedem Alter gelbe Füsse hat, verglichen wurde.
Damit Jeder selbst urtheilen |
kann, in wie fern die von Pal- las aufgeführte Art Berücksich- tigung verdient, lassen wir seine
. Quoi qu'il en soit, nous avons cru devoir reproduire ici la de- scription de Pallas, afin de met- tre nos lecteurs à portée de ju- ger eux-mêmes, s’il convient d’a- dopter pour le moment cette es- pece douteuse. |
Beschreibung hier folgen.
» Gera pedibusque flavis, corpore fusco subtus albo, plumis eir- » vicalibus penicilliferis.
»In Rossia australi, circa Tanaim et Volgam inferiorem, per » regiohes campestres non infrequens, frequentissimus (Gmelinis » testi) circa Astrachaniam hyeme, ubi Gallinis, aeque ac in Gal-. » lia infestus. Ad orientem Uralensis jugi nunquam observatus fuit ; » attamen in australibus Tatariae magnae forte non deest. |
» Descr. Maximus accipitrum, Aquilae Clangae fere aequalis, sed » habitus ab Aquilis alienus et plumae cervicis multo minus acutae. » Rostrum breviter aduncum. Gaput et cervix grysea, rhachibus » fuscis, subtus albidiora: piumae cervicis mediae fuscidiores, rha- »chi apice terminata plumula distincta singulari, penicilliformi , »quod in nulla ave observavi, et priores autores non adnotarunt. » Dorsum fuscum, plumis margine gryseo-exsoletis. Subtus avis al- »ba, jugulo, maculis pectoris et lunulis femoralium gryseo-lutes- » centibus. Remiges interius albae. Cauda longior, aequalis, fusca, » rectrices laterales interius albae, omnes nigro trifasciatae. Pedes
» longiusculi, nudi, flavi.”
Ichkenne, ausser unserer euro- päischen, nur noch zwei Arten dieser Gattung, nämlich: 1) Cire. pectoralis Smith, s. C. thora- cicus, Cuv., Mus. Par., von Afri- ka, derin der Jugend zwar dem C. gallicus täuschend ähnlich ist, aber ım Alter eine schwärz- liche Brust und gelbliche Füsse hat. Herr Müller hat einen ganz ähnlichen Vogel auf Timor er- legt.2) Circaetos cinereus Vreull., Gal., PI. XII, seu Circ. fune- reus, Rüppell, Neue Wirb., Vögel‘, T. 14, vom Senegal «nd Abyssinien.
(28) MILVUS PARASITICUS.
Je ne connais que deux espè- ces exotiques de ce genre, savoir 1) Circ. pectoralis, Smith ou Circ.thoracicus Cuv., Mus.Par., de l'Afrique, assez voisin du Cir- caete commun, mais à poitrine noirätre, à l’âge adulté, et à pieds jaunes. Mr. Müller a tué un oi- seau tout à fait semblable, à l’ile de Timor. 2) Circaetus cinereus, Vieillot, Gal., Pl. XII, ou Cire. funereus, Rüppell, Neue Wir- belthiere, Vogel, Tab. 14, du Sénégal et de l’Abyssinie.
(28) MILVUS PARASITIOUS.
Von Herrn von Feldegg im Dal- matien, und vom Grafen von der Mühle, p. 22, im Griechenland gesammelt. Vom schwarzen Mi- lan durch einen stärker gegabel- ten Schwanz und gelben Schna- bel abweichend. Unserem schwar- zen Milan ganz ähnliehe Vögel kommen vom Senegal, vom Fest- lande von Indien, (Milvus g0- vinda, Sykes, Proceed. 1832, p. Sl), vom indischen Archipel und Neuholland, (Melvus affints, Gould, Syn. Birds Austr., Ta- fel ohne Nummer). Ehe diese Vö- gel aber als eigene Arten aufge- nommen: werden können, müs- sen ihre Kennzeichen, gründli- cher als es bis jetzt geschah, aus- einandergesetzt werden. Ausser den angeführten drei europäi- schen Arten sind mir nur noch zwei bekannt, nämlich: 1) der schöne Milvus .isurus, Gould , Birds of Australia, Tafel ohne Nummer, von Neu-Holland und 2) eme neue Art von Japan, Tobi der Japaner , an Grösse dem Kö- nigsmilan gleichkommend, aber dunkel von Farbe, und mit äus- serstseicht gegabeltem Schwanze.
(29) Eranus. Die Kennzei- chen der Arten dieser Gruppe wurden bis jetzt sehr unvollstän- dig angegeben. E/anus melanop- ferus, der eigentlich in Afrika zu Hause ist, sich aber zuweilen nach Europa verfliegt, unter- scheidet sich von dem ihm in der Färbung, sehr verwandten
ET, axillaris, standhaft durch ı
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Cette espèce a été recueillie par Mr. de Feldegg en Dalmatie et par le comte von der Mühle, p. 22, en Grèce. Elle ne se distin- gue du Milan noir que par sa queue plus fortement fourchue, et par la couleur jaune de son
bec. Le continent de l'Inde pro-
duit un Milan en tout point sem- blable au Milan noir: c’est le Mil- vus govinda,Sykes, Proceedings, 1832, p.81; ilen existe également un à la Nouvelle Hollande : c’est le Milvus affinis, Gould, Syn. Birds Austr., (plauche sans nu- méro). Les caractères de ces oi- seaux n'ayant pas encore été ex- posés d’une manière satisfaisante, il ne convient pas de les admet- tre pour le moment comme espe- ces parfaitement établies. Outre les trois espèces de Milans qui se trouvent en Europe, je n’en con- nais que deux auires de ce gen- re, savoir 1) le Milvus isurus, Gould, Birds of Australia, (planche sans numéro), belle es- pèce dela Nouvelle Hollande, et 2) une nouvelle espèce du Ja- pou, appelée Tobr dans ce pays; elle est de la taille du Milan com- mun, mais elle offre des teintes assez foncées, et sa queue est tres-peu échancrée.
(29) ELcanus. Les traits dis- tinctifs des diverses espèces de ce genre n’ont été indiqués jusqu’à présent que d’une manière assez superficielle. L’Elanion blac, qui visite accidentellement l’Europe, quoique sa véritable patrie soit l'Afrique, se distingue constam- ment de l’£/anion axtillaire , par sa queue beaucoup plus cour-
einen weit kürzeren Schwanz. Die Unterseite der Flügel ist immer rein "weiss.
Elanus axillaris, Gould, Birds of Austral., Tafel ohne Nummer; Falco axillaris, La- tham , Ind. orn.; Circus axilla- ris, Vreillot, Encycl. meth., III, p. 1212; Elanus notatus, Gould, Proceed.,V , p.99, und p. 141, kommt vom indischen Archipel und Neuholland, hat einen län- geren Schwanz, und oft, aber nicht immer, schwärzliche gros- se untere Flügeldeckfedern. Es ist mir nicht gelungen, standhafte Kennzeichen aufzufinden, um von dieser Art den Falco dispar , Temm., Pl. col. 819. (junger Vo- gel); Ch. Bonap., Contin. of Wilson, Pl. 11, fig. 1; Audu- bon, Pl. 352; Elanus leucurus, Ch. Bon., List, p. 4, zu unter- scheiden. — Eine schöne, dritte Art mit winkeligem schwarzem Flecke auf der Unterseite der Flü- gel bildet der grössere Hlanus scriptus, Gould, Proceed. 1842; Birds of Australia, (Taf. ohne Nummer). Endlich ist als vierte Art zu dieser Gruppe zu zählen , Gampsonyx Swainsoni, Vi- gors, Zool. Journ., II,p. 69, seu Elanus torquatus Lesson, Traité d'Orn., p. 72 (jun) vom warmen Amerika; ausge- zeichnet durch seine geringe Grösse , und von den drei Vorher- gehenden durch seine schöne Färbung abweichend.
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te, et par la teinte blanche de la partie interne des ailes;. du reste ces deux espèces se ressemblent assez, par rapport au système de coloration. |
L'Elanus axillaris, Gould, B. of Austr.; Falco axillaris, Lath.; Circus axillaris, Vieillot, Ency- cl. meth., III, p. 1212; Elanus notatus, Gould, Proceed.,V ,p99 et p.141 , qui habite l’Archipel des Indes et la Nouvelle Hollande, s'éloigne du précédent parsa queue plus longue ainsi que par les gran- des couvertures internes des ailes qui sont le plus souvent d’une teinte noire. Je ne vois pas en quoi se distingue de cette espèce des Indes, celle qui habite I’ Amé- rique, et qui a été indiquée sous les noms suivans: Falco dispar, Temm., Pl. col. 319 (jeune de l’année); Ch. Bonap. Contin.of Wilson, Pl. 11, fig. 1; Audu- bon, Pl. 352; Elanus leucu- rus, Bonap., List, p. 4. — Une troisieme espece de ce groupe vient de la Nouvelle Hollande; elle est d’une taille plus forte que les deux précédentes et ses ailes sont ornées, à leur face in- terne, d’une large tache noire anguleuse; c’est l'£lanus scrip- tus, Gould, Proceed., 1842; Birds of Australia, planche sans nu- méro. Il convient de placer à la suite de ce groupe une belle espèce d'assez petite taille et à plumage orné de teintes tres-vi- ves; elle se trouve dans l’Améri- que intertropicale; c’est le Gamp-
| sonyx Swainsonit, Vigors, Zool. | Journ., II, p. 69, dont l’Ela-
nus torquatus de Lesson ne pa-
| rait pas différer; voir ZLesson,
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(30) vuLTuR rurvus. Siehe über diese und die übrigen, dem V. fulvus verwandien Arten oder Nebenarten, so wie über- haupt über die Synonymie und Charakteristik der Geierarten un- sere Arbeit über diese Gattung in Susemihl, Nat. Vög. Eur., p. 10 bis 12.
(31) VULTUR AURICULARIS. Die Mittheilungen Levaillants, dass dieser Geier gesellschaftlich lebt, sind nach Smith, Proceed. Zool. Soc., 1833, p. 45, falsch. Es
ehört daher diese Art, auch hin- sichtlich ihrer Lebensart, zu der Gruppe der adlerartigen Geier: siehe hierüber unsere Arbeit ın Susemihl, Nat. Vög. Eur., p. 6 sgg. — Graf von der Mühle, . 11, hat diesen Vogel nie in Griechenland gesehen; er wirft daher die Frage auf, ob die, an mehrere Sammlungen aus Grie- chenland geschickten Bälge die- ser Art, nicht vielleicht aus Ae- gypten stammen.
(32) GYPAËTOS BARBATUS. Siehe über die Verbreitung und die Nebenarten des Bartgeiers: Schleg. u. Susem., Nat. Vög. Eur., p. 18 u. 19.
(33) OTUS BUBO. Der gemei- ne Uhu artet in kalten Gegenden zuweilen in’s Weisse aus. Ein sol- ches Exemplar aus Sibirien be- findet sich ım Berliner Museum. Strix scandiaca , Linne, Fauna
Traité d’Ornith, p. 72 (descrip-
tion d’un jeune individu).
(30) vurrur FuLvus. Nous renvoyons pour les détails relatifs aux diverses espèces du genre Vautour et à leurs variétés, au travail que nous avons inséré dans l'ouvrage intitulé: Susemihl, Na- turgeschichle der Vögel Euro- pas, p. 10 ef suiv.
(31) VULTUR AURICULARIS. Smith, Proceed Zool. Soc., 1833, p- 45, a réfuté les assertions er- ronnées de Levaillant, qui dit que cette espèce vit en société comme les Vautours proprement dits. Elle appartient en consé- quence, sous tous les rapports, au groupe des aigles-vautours: voir notretravail inséré dans Susemrhl, Il. ce. p. 6 et suiv. — Mr. von der Mühle, p. 11, n'ayant pas ren- contre ce vautour en Grèce, il suppose que les Echantillons, a- dressés de ce pays à diverses col- lections, sont originaires de l'Egypte.
(32) GYPAËTOS BARBATUS. Consultez, quant aux diverses ra- ces du Gypacte et leur distribu- tion géographique, ce que nous en avons dit dans Susemkhl, l.e:,
p. 18 et 19.
(33) OTUS BUBoO, Les régions froides produisent quelquefois des variétés individuelles blanchätres de cette espèce. Nous avons vu, au Musée de Berlin, une variété semblable provenant de la Sibé-
suecica, n°. 70, aus Lappland, neuerdings von Temminck, Ma- nuel, III, p. 53, aufgeführt, scheint ebenfalls auf einem weiss- lichen Individuum des gemeinen Uhus zu beruhen. — Eine ähn- liche Erscheinung scheint beim nordamerikanischen Ubu , (Zd- wards, II, Tab.60,; Bubo vir- ginianus, Brisson, Orn., I, _p. 14l, n°. 2; Sirix virginiana, Gmel. Linn., p.287, n°. 13; Wilson, Pl. 50, fig. 1; Strix macrorhynchus, Temm., Pl. col. 62), Statt zu finden, der im ho- hen Norden ebenfalls zuweilen in’s weissliche ausartet. Wir hal- ten daher, mit Ch. Bonaparte, List, p. 6, den Sérix (Bubo) arctica, Swainson in Fauna bor. amer., Birds, Pl. 30, p. 86; Heliaptex arcticus, Swainson , Nat. Hist. of Birds, II, p. 217, für eme solche weissliche Varietät der Sirix virginiana.
' (34) orus orus. Nach C4.
Bonap. List, p. 7, ist die nord- amerikanische mittle Ohreule, Otus americanus, Ch. Bon.; Strix otus, Wilson, Pl.51, fig. 1; Audubon, Pl. 383 , verschie- den von der unserigen.
(35) oTus scops. Die in Afri- ka beobachteten, der gemeinen Zwergohreule ganz ähnlichen Vögel trennt Swainson, Birds oj West. Afr., I, p. 127, als eigene Art, unter dem Namen
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rie, et nous croyons qu'il faut également regarder comme telle le Sérix scandiaca de Linne, tué en Lapponie; voir Fauna suecica, n°. 70 et Temm., Man., III, p.53. — Le plumage du grand duc del’ Amerique du nord, (Edwards, IT, Tob. 60; :Bubo virginianus, Brisson, Orn., I, p- 141, n°. 2; Sirix virginia- na, (mel. Linn., p. 287, no. 13; Wilson, Pl. 50, fig. 1; Strix macrorhynchus, Temm., Pl. col. 62) , est également susceptible de subir, dans les régions boréales, un changement de couleur ana- logue à celui dont nous venons de parler. Nous sommes, par celte raison, portés à croire, avec Mr. Ch. Bonaparte, List, p.6, que la prétendue espèce décrite par Swainson, sous les noms de Strix (Bubo) arctica et d’He- liaptex arcticus, (voir Fauna dor. am., Birds, Pl. 30, p. 86, et Nat. Hist. of Birds, II, p. 217) n’est tout bonnement qu'une variété blanchätre du grand duc de l'Amérique du nord.
(34) orus orus. Ch. Bona- parte, List, p. 7, veut que le hi- bou moyen-duc de l'Amérique du nord diffère par l’espece du nôtre; c’est !’Ofus americanus, Ch. Bon.; Strix otus, Wilson, PI. 51, fig. 1; Audubon, Pl. 383.
(35) OTUS scops. Swainson, Birds of West. Afr., I, p.127, regarde le petit duc commun de l'Afrique comme formant une espèce diverse de celui d'Europe, il l'appelle Scops senegalensis.
Scops senegalensis. Wir haben die von Swainson angegebenen Kennzeichen nicht standhaft ge- funden.
(36) STRIX FLAMMEA. Dem gemeinen Schleierkautze mehr oder weniger ähnliche, oft nur durch eine etwas verschiedene Färbung des Gefieders abwei- chende Vögel, kommen fast in al- len Welttheilen vor; aber ihre Unterschiede sind bis jetzt noch nicht gehörig auseinandergesetzt worden.
(37) STRIX NOCTUA MERI- DIONALIS, Diese Abart unseres gemeinen Steinkautzes vertritt die Stelle desselben in Spanien und Aegypten. Exemplare, welche in diesen beiden Gegenden erlegt wurden, weichen von unserem Steinkautze nur durch ihre viel biässere Grundfarbe, so wie durch den bräunlich weissen Anflug, wel- chen die hellen Flecke annehmen, und der besonders auf den grossen Schwungfedern in das Auge fällt, ab. Ferner scheinen die hellen Flecke auf der Brust eine mehr längliche Gestalt zu haben. Die verwaschenen Querbinden auf der inneren Fahne der gros- sen Schwungfedern sind etwas deuthcher, und die hellen Fiecke der Steuerfedern, besonders der mitteln, sind schmäler , und bil- den daher weniger vollkommene Querbinden. Endlich scheint auch diese Abart durchgängig ein we- nig kleiner zu seyn als unser Steinkautz, was wir aber nicht mit Gewissheit bestimmen kôn-
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Nous n'avons pu retrouver, dans nos individus de l'Afrique, les ca- racteres qu'il assigne à cette pré- tendue espèce nouvelle.
(36) STRIX FLAMMEA. Il exis- ie, dans presque toutes les par- ties du monde, des effraies plus ou moins voisines de notre ef- fraie d’Europe, dont elles ne se distinguent souvent que par des nuances un. peu modifiées des teintes; mais les traits distinctifs de ces espèces ou variétés n’ont pas encore été. établis jusqu’à présent d’une manière précise.
(37) STRIX NOCTUA MERI- DIONALIS. Nous faisons connali- tre, sous ce nom , une variété de climat de la chevèche, observée en Espagne et en Egypte. Elle ne se distingue de la cheveche que par des teintes plus päles et en ce que les taches claires tirent sur le brunätre, principalement celles des pennes des ailes et de la queue. Les taches claires de la poitrine offrent en outre une for- me plus allongée que d'ordinaire; les bandes transversales de la bar- be interne des grandes rémiges sont plus prononcées et les ta- ches claires des pennes de la queue, notamment celles des pen- nes mitoyennes, sont plus étroi- tes et forment par conséquent des bandes transversales assez in- terrompues. Il paraît aussi que cette variété est constamment un peu plus petite que la chevé- che ordinaire; n’ayant cepen- dant examiné que deux indivi- dus de cetie variété, nous ne sommes pas à même de garan-
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men, da wir nur zwei Exempla- re unbestimmten Geschlechtes dieser südlichen Abart vor uns
haben.
Maasse eines Exemplares aus Spanien:
Ganze Länge . . . .. . 9” 6” dix des Flügels 1 5" 91 des ERNST EIN 38 » les Ihauıfesiaur int. IBM » der Mittelzehe . . gu
»
des Nagels dersel-
Henri Or aa 4 } azur » desSchnabels, vom
Mundwimkel ... 91. Rüppell ,l. c. sagt, dass diese
Abart in Aegypten sehr häufig ist, und auf Dattelbäumen lebt. Biellkicht gehört auch hierher die vom Grafen von der Mühle unter dem Namen Surnia noc- tua, var., I. c. p. 24 bis 26 be- schriebene Abart des Steinkautzes. STRIX MERIDIONALIS, 1550, Hist. nat. de l'Eur. mer. vol. JII, p. 32, n°. 32, aus der Ge- gend von Nizza, ist eine andere Art, von der man aber, der un- vollständigen Beschreibung we- gen, gar nicht einmal sagen kann, ob sie wirklich neu ist,
oder mit irgend einer der schon bekannten Arten zusammenfällt.
(35) STRIX NEBULOSA. For- ster, Phil. Trans., LXIT, p. 386 und 424; Wilson, Pl. AXAIIT, Fig. 2, ist mit Ge- wissheit Bis jetzt nur in Nord-
tir l’exactitude de cette dernière observation.
Voici les mesures d’un Re: du tué en Espagne: ® e gr 6,
Longueur totale . . . de l'aile. . . . 5’ gu,
> » de la queue . 3” " du tarse . . . 1730, » du doigt de miles Hernies DR » de l’ongle de ce doigt Wi. RN,
du bec 7970
» gi, Rüppell, 1. c., dit que cette cheveche est tres-commune en Égypte. où elle fréquente les dat- tiers. Nous présumons qu’il con- vient de ranger ici la variété indi- quée par Mr. von der Mühle, comme habitant la Grèce; Surnia noclua, var. , voir pag. 24 à 26 de son ouvrage. La chouette intro- duite par Res Hist. de l'Eu- rope mer., vol. IT, p. 32, n°. 32, sous le nom de STRIX ME- RIDIONALIS, est une espèce dif- férente de notre chevêche méri- dionale; mais la description don- née par Risso étant assez super- ficielle et incomplète, il est im- possible de fixer avec certitude à laquelle des chouettes connues il convient de rapporter cette prétendue espèce nouvelle.
(38) STRIX NEBULOSA. For- ster, Phil. Trans., LXIT, 386 er 424; Wilson, PIXXXIITZ, RE 2, espèce qui habite I!’ Ame- rique du nord, a été indiquée
‚amerika gefunden worden. Die Angaben, dass sie auch in Skan- dinavien vorkommt, beruhen auf älteren , unsicheren Nachrichten. Auch hat sie nie ein Naturfor- scher im Norden Europa’s beo- bachtet.
(39) HIRUNDO RUSTICA ORI- ENTALIS. Diese Schwalbe scheint sich von unserer gemeinen Rauch- schwalbe nur dadurch zu un- terscheiden, dass ihre Untertheile von der Brust abwärts, mit Ein- schluss der untern Schwanzdeck- federn, statt weisslich mit bräun- lichem Anfluge, einfärbig matt kastanienbraun sind. Die im Ma- nuel d’Ornithologie beschriebe- nen Exemplare, stammen, nach Boissonneau’s eigenen späleren Berichten aus Macedonien, und nicht aus Spanien, wo diese Schwalbe bis jetzt noch nicht beobachtet wurde. Herundo ja- vanica, Sparm., Pl col. 83,2, (Hirondelle orientale) ist eine unserer Hausschwalbe in der Fär- bung ähnliche, aber verschie- dene, viel kleinere Art.
Graf von der Mühle, p. 80, hat die östliche Rauchschwalbe nie ın Griechenland beobachtet.
(40) HIRUNDO RuruLa. Man hat mit Unrecht diese Art für einerleı mit Hirundo capensis , Linn. Gmel., p. 1019, n°. 19; Pl. enl. 723, 2; Levaill. Afr., 245, 1, gehalten, von der sie sich durch einen schwächeren Schnabel, schwächere Füsse, den
Al
comme se trouvant également en Scandinavie; mais comme elle n'y a pas été observée par au- cun des naturalistes du nord, nous n’hesitons pas de la rayer du catalogue des oiseaux d’Eu- rope.
(39) HIRUNDO RUSTICA ORI- ENTALIS. [l parait que cette hi- rondelle ne se distingue de l’hi- rondelle de cheminée ordinaire que par la couleur chätaine-pä- le dont le dessous du corps, de- puis la poitrine jusqu'aux cou- vertures inférieures de la queue, est orné. Les individus décrits dans le Manuel d’Ornithologie sont, suivant les indications ré- centes de Mr. Boissonneau mé- me, originaires de la Macédoine et non pas de l'Espagne, où cet- te hirondelle n’a pas encore été observée jusqu’à présent. Hirundo javanica, Pl. col. 83, 2, (Hi- rondelle orientale) est une espe- ce des Indes, qui ressemble à celle d'Europe par la distribu- tion générale des teintes, mais qui s’en éloigne par sa petite tail- le, ainsi que par d’autres carac- tères.
Le comte von der Mühle , p. 80, dit n'avoir jamais rencontré en Grèce l’hirondelle de cheminée orientale.
(40) HIRUNDO RUFULA. C’est à tort que l’on a identifié cette espèce avec celle du Cap, Hr- rundo capensis, Linn. Gmel., p. 1019, n°. 19; Pl. enl. 723,2; Le Vaill., Afr., 245, 1. Elle s’en distingue par un bec moins robuste, par des pieds plus fai-
%
:Mangel einer weissen Schwanz- “bmde, durch zärtere Schaft- striche' auf den Federn der Un- tertheile und den blass röthlich- braunen Anflug dieser Theile un- terscheidet. Hrrundo alpestris, Pallas, It., II, app. n°. 9; Zoogr. II, p. 534, Tab. XXX, fig. 2; Hir. dauurica, Linn. -Gmel., p. 1024, n°. 12, vom -Altai und Dauurien, würden wir ‘benfalls hierher gezogen haben, wenn nicht Pallas in seiner Be- schreibung gesagt hätte, dass die äusserste Schwanzfeder gewöhn- lich mit einem weissen länglichen Fleck versehen ist. Was Gould, Birds of Europe, Pl.55, als Hi- rundorufula abbildet,ist einesehr verschiedene, jedermann bekann- te Art von Westafrika nämlich: Hir.senegalensis, Brisson, Orn.
II,p.496 , n° 5, Tab. 45, fig. 1 ;
Pl. ent. 310; Swainson, Birds of
West. Afr., IT, Pl.6,p. 72. Sie ist viel grösser als Air. capensis und Aer. rufula , hat zwar einen schwarzen Schwanz wie letz- tere Art, weicht aber von beiden durch ihre einfärbigen, unge- fleckten Untertheile ab. In Java lebt eine, der Hier. capensis und rufula verwandte Art, Hirundo striolata, Temm. Mus. Leid. , deren Füsse und Schnabel noch kräftiger, die Schafifiecke der Un- tertheile noch grösser sind, als bei Hir. capensis, deren Schwanz aber einfärbig schwärzlich ist, wie bei Zir. rufula.
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bles, par l’absence de la ban- de blanche sur la queue, par des raies longitudinales plus étroi- tes sur les plumes des parties in- férieures, et par la teinte d’un brun-rougeätre pâle qui orne ces parties. Nous n’aurions .pas hé- sité de rapporter à notre Hiron- delle rousse le Hirundo alpes- tris de Pallas , voy., IT, app., n°.9; Zoogr., 1, p.534, Pl.30, fig. 2; ou Hirundo daaurica, Linn. Gmel., p. 1024, no. 12, originaire de l’Altai et de la Daourie, sı Pallas n’avait fait mention, dans sa description , que la penne externe de la queue est ordinairement pourvue d’une tache allongée blanchätre. L’hirondelle figurée par Gould, Birds of Europe, PI 55, sous le nom de Hirundo rufula, ap- partient à une espèce toute diffé- rente et connue de tout le monde: c’est Hir. senegalensis, Brisson, Orn., II, p. 496, n°.5, PI. 45, fig. 1; Pl. ent. 310; Swainson, Birds of West Africa, II, Pl. 6, p. 72. Elle habite le Senegal et elle est d’une taille beaucoup plus forte que les Hir. capensis et rufula, dont elle se distingue par la couleur uniforme de ses parties inférieures. Sa queue est d’un noir uniforme, sans ta- ches blanches. L’ile de Java produit une espece voisine des Hir. capensis et rufula, mais à pieds et à bec plus robustes et à taches longitudinales plus lar- ges que dans l’hirondelle du Cap; du reste sa queue est d’un noir- âtre uniforme comme dans l’'Hi- rundo rufula; c'est l'Hirundo striolata, Temm., Mus. de Leide.
. (41) CAPRIMULGUS CLIMA- CURUS, Vieillot , ist bloss nach folgender Angabe von Aoux , Orn. prov. I, p. 239 unter die europäischen V ögelaufgenommen worden:
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(41) CAPRIMULGUS CLIMACU- Rus. Vieillot. L'introduction de cette espèce africaine parmi les oiseaux d'Europe repose sur un passage de Roux, Orn. prov., I, p. 239, note. Get auteur en parle dans les termes suivans:
» Elle parait avoir été accidentellement vue en Provence; je tiens » ce témoignage d’une personne digne de foi; mais n'ayant point eu » moi-même sous les yeux celte espèce, je n’ai point osé me per- » mettre de la décrire parmi les oiseaux dont je fais l’histoire.”
Eine solche Angabe ist doch wohl unzureichend, dieser Art das Bürgerrecht als europäischen Vogel zu verschaffen.
(42) Pallas, Zoogr., IT, p. 401, n°. 55, beschreibt unter dem Namen LANIUS MAJOR, e1- nen Würger aus dem nördli- chen Russland und Sibirien, den er für standhaft verschieden von L. excubitor und minor (L. vigil., Pallas, l. c. p. 403, no. 57) hält, und den auch Keyser- ling und Blasius, Wirbelthiere, p- LX,n°.249, ohne den Vogel selbst gesehen zu haben, als eigene Art annehmen. Wir ahmen dieses Beispiel aus folgenden Gründen nicht nach: 1) weil die Maasse, welche Pallas angiebt, durchaus mit denen des Zanius excubilor übereinstimmen, 2) weil Pallas zu seinem Zanius major die Pie- grieche, Buflon, Pl. enl. 445 eitirt, welche Abbildung unseren L. excubitor vorstellt, 3) weil die Beschreibung des Lanius major durchaus auf das Weib- chen oder den jüngern Vogel des L. excubitor passt, 4) weil Pal- las das Weibchen und die jungen Vögel des Zan. excubitor nicht
Cette indication nous a paru insuflisante pour admettre cette espèce dans le catalogue des oi- seaux d'Europe.
(42) Pallas, Zoogr., I, p, 401, n°. 55 a décrit sous le nom de LANIUS MAJOR une pie-grie- che de la Sıbenie et de la Russie septentrionale, qu'il dit différer des Zanius excubilor et minor, (L. vigil, Pallas, I. c., p. 403, n°. 57). Keyserling et Blasius, Wirbelthiere, p. LX, no. 249, adoptent cette espèce sans l’avoir vue. Nous nous abstenons de suivre cet exemple par les raisons suivantes: 1) parce que les di- mensions assignées par Pallas à son Lanius major sont absolu- ment les mêmes que celles du Lanius excubitor, 2) parce que Pallas cite, comme appartenant à sa nouvelle espèce, la Pl. ent. 445 de Buffon, figure qui re- présente notre pie-grièche com- mune, 3) parce que la description du Lanius major se rapporte en tout point à la femelle ou au jeu- nes de la pie-grièche commune, 4) parce que Pallas, ne donnant de description n1 de la femelle ni des jeunes de l'espèce commune,
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gekannt zu haben scheint und . daher nicht beschreibt, 5) weil kein späterer Heisender dieser Art wieder erwähnt. — Sollte aber Z. major wirklich eine eigene Art bilden, so müsste er auf’s Neue mit Zanius excubritor, meridionalis und den nordame- rikanischen Arten, besonders mit Lantus borealis verglichen, und die Unterscheidungsmerkmale des- selben gründlich auseinanderge- setzt werden.
(43) LANIUS RUFUS. Diese Art scheint sich , ausser Europa, auch im grössten Theile von Afrika zu finden , oder auf ihrem Zuge über diesen Welttheil zu verbreiten. Rüppell, Neues Wirbelthiere , Vögel, p. 33, fand sie häufig in dem steinigen Arabien, in ganz Egypten, in Nubien, Kordofan und Abyssinien. Buffon, Pl. enl. 477, 2, bildete unter dem Namen Pie-grieche rousse du Senegal einen ganz ähnlichen Würger von Senegambien ab. Die Pie- grièche rousse des Levaillant, Oiseaux d'Afrique, IT, Pl.63, vom Cap, scheint ebenfalls unse- rem rothkôpfigen Würger durch- aus ähulich zu seyn. Swainson, Birds of Western Africa, I, p. 231, untersuchte zwei Individuen dieser Art vom Senegal, und fand sie den europäischen durchaus ähnlich; er zieht auch ZLevarl- lant’s Pie-grieche roussehierher. Wir erhielten vier Individuen der- selben in verschiedenen Kleidern vom Senegal. Alle plastischen Verhältnisse sind ganz wie bei den europäischen. Die am rein-
paraît avoir ignoré les différences des teintes qu’ils présentent com- parés avec les adultes; 5) parce que tous les voyageurs postérieurs à Pallas se taisent sur cette espe- ce. — Dans le cas que son exis- tence serait prouvée d’une manie- re indubitable , il serait, en l’eta- blissant , nécessaire de la com- parer derechef aux Lanius ex- cubitor et meridionalis, ainsi qu’aux espèces voisines de l’Amé- rique du nord, notamment au Lanius borealis.
(43) LANIUS RUFUS. Il pa- rait que cette espèce européenne habite également une grande par- tie de l'Afrique, ou qu’elle visite cette partie du monde lors de ses migrations. Rüppell, Neue Wir- belthiere, Oiseaux, p. 33, l'a rencontrée en grand nombre dans l'Arabie Pétrée, par toute !’Egyp- te, en Nubie, au Kordofan et en Abyssinie. Buffon, Pl. enl. 477,2, a figuré sous le nom de Pie-grieche rousse du Senegal, une pie-grieche tout-à-fait sem- blable provenant de la Senegam- bie. La pie-grieche rousse du Cap de Levaillant , Ois. d’Afr., Il, Pl. 63, ne parait pas diffe- rer non plus de celle d'Europe. Swainson, Birds of Western Africa, I, p. 231, en décrit deux individus originaires du Sé- négal, qu'il croit identiques avec ceux d'Europe, ainsi qu'avec la pie-grièche rousse du Cap, figu- rée par Levaillant. Notre Mu- sée possède quatre individus de différens âges de cette pie-grie- che, tous originaires de la Sé- négambie. Ils offrent absolument
sten Ausgefärbten unterscheiden sich nur durch etwas blässere Farben, und durch die hellen Ränder, mit welchen die Flü- geldeckfedern und Schwungie- dern zweiter Ordnung einge- säumt sind; weshalb sie den aus- gefärbten Weibchen unseres rothköpfigen Würgers sehr ähn- lich sind. Die Exemplare ım Übergange vom lugendkleide zum ausgefärbten Kleide sind noch blässer von Farbe, die Ränder der Flügelfedern sind sehr breit, und der Kopf ist ganz roth; je- doch fängt die weisse Farbe der Vorderstirne und die schwarze Stirnbinde an, sich hie und da zu zeigen. — (rmelin zieht den rothköpfigen Würger vom Sene- gal, den er auf Buffon’s Abbil- dung gründet, als Varietät zu Lanius collurio, den er nicht von Zanius rufus unterscheidet: siehe @mel. Linn., I, p. 301, n°. 12; Lanius collurio var. à, senegalensis. Latham führt ıhn als Varietät seines Lanius ruti- lus auf, der unser Lanius rufus ist: sehe Ind. orn., I, p. 71, sp. 12. Herr Temminck, Man., III, p, 601, trennt ihn vom euro- päischen unter dem Namen La- nius rutilans. Lichtenstein, Ca- talog, 1823, p. 47, n°. 509, beschreibt ein Exemplar im Uber- gangskleide unter dem Namen Lanius superciliosus. Lanius superciliosus Lath., Ind. orn., Suppl , p. ÄX, ist jedoch auf Levaillants Rousseau, Ois. d'Afr, Pl. 66, fig. 2, ge- gründet, der Java bewohnt, und eine eigene Art bildet. Obschon dies Herr Lichtenstein wusste,
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la même organisation et les mé- mes dimensions que ceux d’Euro- pe. Les individus en livree par- faite se distinguent cependant de ceux-ci par des teintes un peu plus pales et par les bordures claires dont les couvertures des ailes et les rémiges secondaires sont pour- vues; ce qui fait qu'ils se rap- prochent des femelles en livrée parfaite de notre pie-grièche rousse d'Europe. Les individus portant la livrée de passage of- frent des teintes beaucoup plus pales, les bords des plumes des ailes sont beaucoup plus larges, et la tête est partout d’un roux uniforme, quoiqu'on apercoive les traces des teintes blanches et noires qui ornent le front des adul- tes. Gmelin regarde la pie-grie- che rousse du Sénégal figurée par Buffon, comme variété de son Lanius collurio, qu'il ne sépare pas du Lanius rufus ; voir Syst. nat., I, p. 301, no. 12: Lanius collurio var. Ô se- negalensis. Latham en fait une variété de son Lanius rutilus, ' qui est notre Zanius rufus : voir Index ornith., 1, p. 71, esp. 12. Mr. Temminck, Manuel, UT, p. 601, sépare cette pie-grieche du Sénégal de celle d'Europe, et lui donne le nom de Zanius ru- tilans.Lichtenstein, Catal., 1893, p. 47, n°. 509, décrit un indi- vidu de la race du Sénégal sous le nom de Lanius superciliosus, Latham. Ge Lanius supercilio- sus, Latham, Ind. Orn. Suppl., p. XX, repose cependant sur le Rousssau de Levaillant, Ois. d’Afr., Pl. 66, fig. 2, espèce toute differente, de l’ile de Java.
citirt er dennoch Buffon’s Pze- _grièche rousse du Senegal, Pl. enl. 477, 2, zu Lan. superci- liosus. Um fernere Missbräuche zu vermeiden, wollen wir noch darauf aufmerksam machen, dass Swainson , Nat. Hist. of Birds, II, p. 219, als Lanius super- eiliosus , wieder eine andere Art, welche Gould, Cent. Him.Birds,, Pl. 12, fig. 2, unter dem Na- men Lanius erythronotus abge- bildet hatte, aufführt; dass Swainson, ibid. p. 221, einen Tephrodornis superciliosus, und Birds of Western Afrika, I, p. 239, einen Malaconotus super- ciliosus beschreibt, und dass Vieillot , Diet. Deterv., vol. 26, p. 153, aus Levaillant’s Pie-
rieche sourcil. roux , Ois. d’Afr., Pl. 76, seinen Lanius superciliaris macht; obgleich diese Arten alle, streng genom- men, in die Familie der Würger, oder in die Gattung Lanius im weiterem Sinne gehören. — Man übersehe auch nicht , dass Zanius rufus, Gmelin, auf Lan. mada- gascariensis rufus, Brisson, II, p. 178, T. 18, fig. 4, und Buffon's Pie-grieche rousse de Madagascar, Pl. enl. 298, fig. 2, gegründet, wiederum ein ganz anderer Vogel ist, welchen Herr Temminck, Pl. col., Tab. méth., p. 19, Lanius madagascariensis nennt.
(44) LANIUS PERSONATUS. Exemplare aus Griechenland im Mainzer und Niederländischen Mu-
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Tout en s’apercevant de cette dif- ference, Mr. Lichtenstein ajoute. cependant aux synonymes de ce Lanius superciliosus la figure PI, 477,2, de Buffon, laquelle re- présente la pie-grièche rousse du Senegal. À cette liste d'erreurs se joignent celles que l’on a com- mises en appliquant cette &pithe- te de sourcilleux à plusieurs espèces de pie-griechestres-diffe- rentes les unes des autres. Swain- son, Nat. Hist. of Birds, U, p. 219, nomme Lanius super- ciliosus une espèce figurée par Gould, Cent. Himal. Birds, Pl. 12, fıg. 2, sous le nom de ZLa- nius erythronotus ; ce même au- teur , ibid., p. 221, décrit une au- tre pie-grièche sous le nom de Ze- phrodornis superetliosus, et dans ses Birds of Western Afrika, L, p.239, encore une autre espèce de ce genre sous le. nom de Ma- laconotus superciliosus ; Vieillot enfin, Diet. Deterv., vol. 26, p. 153, forme de la Pie-grieche sourcil-roux de Levaillant , Ois. d’Afr., Pl. 76, son Lanius su- perciliarıs — Notez encore que. le Zanius rufus, Gmelin , basé sur le Zanius madagascariensis rufus de Brisson, IL, p. 178, PL. 18, fig. 4, et sur la pie-grie- che rousse de Madagascar. de Buffon, Pl. ent. 298, 2, est une espèce toute différente de notre pie-grièche rousse d'Europe; Mr. Temminck l'a nommée ZLanius madagascariensis ; voir Pl. col,
Tabl. méth., p. 19.
(44) LANIUS PERSONATUS, Le Musée de Mayence et celui des Pays-Bas possédent des indi-
seum. Es ist dies Lan. leucome- topon, von der Mühle, p. 78.
(45) LANIUS TCHAGRA. Die Exemplare von Spanien ähneln denen vom Vorgebirge der guten Hoffnung in allen Stücken. Da- gegen sind die vom Senegal durchgehends lichter gefärbt, und, wie es scheint, auch ein wenig kleiner: diese Lokalrasse ist abgebildet bei Buffon, Pl. enl. 479, fig. 1, unter dem Na- men Pie-grieche rousse du Se- negal.
Es findet hier also die nämliche Erscheinung wie bei Viverra ge- netta statt, die am Gap und im südwestlichen Europa durchaus dieselbe ist, während eine Varie- tät oder Localrasse, Viverra se- negalensis, ihre Stelle in Sene- gambien vertritt. Shaw, l. c., hat beide Localrassen obigen Vo- gels unter dem Namen Lanius erythropterus vereinigt. Swain- son, Birds of Western Africa, I, p.235, trennt, nach dem Bei- spiele Shaw’s, diese beiden Rassen nicht. Vierllof, Dictionnaire De- terville, vol. III, p. 317, ver- einigt sie ebenfalls, unter dem Namen Tamnophilus ichagra. Boie, L. c., bringt den Tchagra in.eine eigne Gattung, die er Po- matorhynchus nennt, aber fälsch- lich Herrn Horsjfield zuschreibt , der die Gattung Pomatorhinus nach einem drosselartigen Vogel von Java aufstellte, und densel- ben Pomat. montanus nannte. Lichtenstein, Catalog., p. 49, n°. 519, zieht zum Tchagra des Levaillant, Lanius senegalus,
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vidus de cette espèce, tués en Grece. C’est le Lanius leucome- topon, von der Mühle, p. 78.
(45) LANIUS TCHAGRA. Les individus de cette espèce, tues.en Espagne, sont en tout point sem-
‘blables à ceux du Cap de B.
Espérance. Ceux du Sénégal au contraire offrent des teintes plus pâles, et il parait également qu'ils sont d’une taille un peu moins forte: cette race locale est figurée par Buffon dans les Pl. ent. 479, fig. 1, sous le nom de Pie-grièche rousse du Sénégal.
La Genette, Viverra genetta, offre un phénomène analogue: les individus de l'Espagne et de la France méridionale présentent absolument les mêmes teintes que ceux du Cap de B. Espérance, tandis que ceux du Sénégal, Viverra senegalensis, Fr. Cuv., ne sen distinguent que par des teintes plus pales. Shaw, L. ce. a réuni les deux races de la pie- grieche dont nous traitons, sous le nom de Lanius erythropte- rus; et Swainson, Birds of West. Afr., I, p. 235, imite Shaw en ce point. Vieillot, Diet. Deterv., vol. IT, p. 317, les réunit également, mais en leur conférant le nom de Tamnophi- lus tchagra. Bote, l.c., forme du Tchagra un genre particulier qu'il nomme Pomatorhynchus ; mais ıl commet une erreur insi- gne, en attribuant l'invention de ce nom à Mr. Horsfield, le genre Pomatorhinus de ce sa- vant étant établi en faveur d’un oiseau tout différent de la famille des Turdoïdes, savoir le Po-
Linne. Diese kleinere und ver- ‚schiedene Art aber ist, Sysé. nat. XII, p. 137, no: 21, auf Bris- sons Lanius senegalensis ci- nereus, (Aves Il, p.167, Tab. 17, fig. 1), gegründet, zu wel- cher Gmelin Linné, XIII, I, p. 304, n°. 21, Bufon’s Pie- grièche grise du Sénégal, Pl. enl. 297, fig. 1 zieht. Herr Gould hat den Namen Lanius erythropterus auf eine von allen den erwähnten sehr verschiedene Art vom Himalajagebirge ange- wendet: siehe Century Himal. Birds, Tab. 11. Rüppel, N. Wir- belthiere, Vögel, p. 32, hält die von Buffon, 479, 1, abgebilde- te Pie-grieche rousse du Séné- gal für den wahren Lanius ery- ihropterus, zieht aber als Sy- nonym fälschlich L. senegalen- sis, Lin. Gmel., dazu, weil er glaubt, dass die Pie-grieche gri- se du Sénégal, Pl. enl. 297, fig. 1, ebenfalls als eine verfehlte Abbildung des Z. erythropterus zu betrachten sey. Endlich führt Herr Rüppell den Tchagra des Levaillant als eine sehr verschie- dene Artan; was daher kommt, weil er unter dem Namen Tcha- gra eine ganz andre Art, allem Anscheine nach, den Telopho- nus longirosiris, Swainson , Nat. Hist.of Birds, Il, p.219, fig. 200, g, beschreibt. — Ubri- gens sagt Rüppell von L. ery- thropterus. »Ich beobachtete »zwei durch climatischen Ein- » fluss veranlasste Varietäten; bei » dem in Kordofan und im Sen- »naar lebenden Vogel ıst Nac- » ken und Rückenmitte isabell- » farbig, und die ganze untere
mathorinus montanus qui habite l’île de Java. Lichtenstein, Ca- tal., p. 49, n°. 519, réunit au Tchagra de Levaillant, le Zanius senegalus de Linné, Syst. nat., XII edit., p. 137, n°. 21; mais cette espèce, différente et de taille moindre, repose sur le Lanius senegalensis de Brisson, Ois ‚ll, p. 167, PL 17, fig. 1, que Gme- lin, Syst. nat., XIII, 1, p. 304, n°. 21, réunit a la Pie-grieche rousse de Buflon, Pl. ent. 297, 1. Gould,Cent. Himal., Birds, Pl. 11, a conféré l’epithete d’ery- ihropterus à une pie-grieche des Indes, tres-diflerente de toutes celles dont nous venons de par- ler. Rüppell, Neue Wirbelthiere, Ois., p. 32, prend la pie-grie- che rousse du Sénégal, figurée Pl. enl. 479, 1, pour le vérita- ble Lanius erythropterus ; mais dans la supposition erronnée que la pie-grieche grise du Senegal de upon, Pl. enl. 297, fig. 1, appartient également au Lanius erylhropterus, il y réunit mal à propos le ZLanius senegalensis de Gmelin, qui repose sur cette figure de Buffon. Mr. Rüppell enfin parle du Tehagra de Levaillant comme d’une espèce tres-differente du Zanius ery- thropterus, parce qu'il prend pour le Tchagra, à ce qu'il pa- rait, une toute autre espèce, savoir le Telophophonus lon- girostris de Swainson, Nat. Hist. of Birds, Il, p. 219, fig. 200, g. Mr. Rüppel dit du Lanius erythropterus: » J'en »ai observé deux variétés , » produites par l'influence du » climat; dans celle qui habite
» Körperseite beinahe milchweiss, »auch sind die Füsse hellbraun; » diejenigen, welche an der abys- »sinischen Küste vorkommen , »haben den Nacken, die Seiten »des Halses und die Rücken- »mitte grünbraun, Brust und »Bauch blaugrau, und die Füsse » dunkelbraun ; sonst sind beide » Spielarten durch Statur, Schna- »belform und übrige Färbung „identisch. Zu bemerken ist, dass »zuweilen bei beiden der Unter- » schnabel gelblich ist.” Nach die- sen Beschreibungen zu urtheilen , scheint die Varietät vom Sen- naar und Kordofan mit der vom Senegal, (Zan. erythropterus) , die von der abyssinischen Küste mit der von Europa und dem Cap, Lan. tchagra, übereinzu- stimme.
Risso, Hist. nat. de l'Eur. mer., III, p.33, n°.38, führt unter dem Namen LANIUS CAS- TANEUS, @mel., Chesnut-backed Shrike, Lath., Syn., I, I, p. 159, n°. 3, einen Würger an, der sich das ganze Jahr hin- durch in der Gegend von Nizza aufhalten, und dort ziemlich ge- mein seyn soll. Es scheint fast, als ob hiermit unser Zantius ichagra gemeint sey. Risso’s Be- schreibungen sind aber zu un- vollständig, um sich mit Gewiss- heit aussprechen zu können.
2.
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»le Sennaar et le Kordofan, la » nuque et le milieu du dos sont » couleur isabelle, les parties in- » férieures du corps sont à peu » pres blanc de lait, et les pieds » sont d’un brun clair; dans la » variété qui habite les côtes de »l’Abyssinie, la nuque, les co- » tés du cou et le milieu’ du dos » sont d’un brun verdätre; la poi- » trine et le ventre sont d’un gris » bleuätre et les pieds d’un brun » foncé; du reste, ces deux va- »riétés sont absolument sembla- »bles par rapport à leur tail- »le, la forme du bec et la dis- » tribution générale des teintes. »Il est bon d’observer que la » mandibule inférieure de ces » deux variétés est quelquefois » teinte de jaunâtre.” A juger de ces descriptions, il parait que la variété du Sennaar et du Kor- dofan est identique avec celle du Sénégal, (Zanius erythropterus) et que celle de la côte de l’Abys- sinie ne diffère pas du Zanius tchagra , tel qu'il a été observé en Espagne et au Cap de Bonne Espérance.
Risso, Hist. nat. de l'Eur. mer., III, p. 33, n°. 38, de- crit, sous le nom LANIUS CASTA- NEUS, (Grmel., Chesnut-backed Shrike, Lath., Syn., I, I, p. 159, n°. 3, une pie-grieche, qui se trouve, pendant toute l’année et
| en abondance dans les environs
de Nice. Il se peut que Risso ait eu sous les yeux le Zanzus tcha- gra, mais ses descriptions étant assez superficielles, il est impos- sible d'émettre une opinion quel- conque sur cet oiseau de la Fran- ce méridionale.
4
(46) muscicapa Parva. Exem- plare dieser Art, aus Vorder In- dien, im Pariser und Niederlän- dischen Museum. Wie wenig die- se Art noch in Frankreich und England bekannt zu seyn scheint, beweisst dass sie Swainson, 1. ce. im Jahre 1838, nach einem Exem- plare im Pariser Museum, als ei- nen höchst merk würdigen, neuen, eine eigene Gattung bildenden Vo- gel beschrieb.
Schinz, Europäische Fauna, I, p. 156, führt die nordameri- kanische muSCICAPA (SETOPHA- GA) RUTICILLA, nach einer An- gabe in den Proceed. Zool. Soc. , 1834, p. 30, als europäisch auf. In dieser Schrift wird aber nicht die Muse. rutieilla , sondern die Phoenicura ruticilla, die nichts als unser Gartenrothschwänzchen ist, genannt, und von Thompson zuerst als irländischer Vogel auf- geführt.
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(46) muscıcapa parva. Les Musées de Paris et des Pays-Bas possedent des individus de cette espèce, recueillis au Decan. Al paraît qu’elle est encore peu con- nue en France et en Angleterre, Mr. Swainson, L. c., l'ayant in- troduite dans le système, en 1838, d’après un individu conservé au Musée de Paris, comme espèce absolument inconnue et assez re- marquable pour servir de type à un genre nouveau. |
Schinz, Europ. Fauna, I, pe 156, introduit, comme espèce eu- ropéenne, la MUSCICAPA (SETO- PHAGA) RUTICILLA de l’Ameri-
que du nord, d’après une indi-
(47) Risso, Hist. nat. del Eur.
mér., III, p. 42, n°. 85 führt unter dem Namen CURRUCA TORQUATA, /auvelle a collier, eine bei Nizza beobachtete Grass- mücke auf, die aber nach der sehr unvollständigen Beschrei- bung gar nicht zu bestimmen ist.
Derselbe Schriftsteller /. c., p. 43, n°. 43, erwähnt auch einer Fauvette a cils rouges, SYLVIA RUBRICILLA, Risso, die eben so wenig als die Vorhergehende zu
cation contenue dans les Pro- ceedings, 1834, p. 30. Cette in- dication cependant a été mal in- terprétée par Mr. Schinz; car Mr. Thompson, qui en est l’au- teur, y constate simplement que la Phoenicura ruticilla, qui est tout bonnement le rouge-queue des murailles, Zusciola phoeni- curus, à été observé par lui pour la première fois en Irlande.
(47) Risso, Hist. nat. de U Eur. mer., III, p. 42, no, 85, décrit sous le nom de fauvette a collier, CURRUCA TORQUATA, une fauveite observée par lui dans les environs de Nice; mais il est impossible de se former une idée précise de cette espèce, vu la description incomplète que Mr. Risso en a donnée. ir
Il en est de même de la Fau- vette à cils rouges, (SYLVIA RU- BRICILLA , Risso) , décrite par le même écrivain, 2.c., 9.43, no.
43. Schinz, Il. c., p. 187, en
bestimmen ist. Schenz, l. c., p.187, der diese Art aufnimmt, nennt sie fälschlich Sylvia ruticilla, Brisson; denn Brisson, Orn. III, p. 403, hat den Namen Syl- via ruticilla, Klein, zu seinem Rossignol de muraille gezogen, der unser Hausrothschwänzchen, Sylvia thytlis, ist.
| SYLVIA ICTEROPS , Menetr. Catal., p. 34, n°. 68, von Ch. Bonap., List, p. 14, n°. 105, als europäisch aufgeführt, wurde von Menetries nur auf den Bergen von Taliche, südlich vom Kur, beobachtet, und scheint, nach der Vermuthung von Keyserl. u. Blasius, p. LVT, zu Sylvia conspicillata zu gehören.
Schinz, Europ. Fauna, I, p. 188, führt SYLVIA ANTHOIDES, Vieillot; Motacilla novaebora- censis, Linn. @mel.; Selurus aquaticus, Swains., als euro- päisch, zufolge der Angabe auf, dass ein Exemplar dieser Art in Schweden geschossen wurde und in die Sammlung des Herrn Du- fresne in Paris kam. So lange wir nicht zuverlässigere Mittheilun- gen über dieses Exemplar erhal- ten, können wir diese Art nicht unter die europäischen Vögel aufnehmen.
Endlich führt auch Schinz , I. c., p. 194, eine SYLVIA BRUN- NEA, Forster, aus England auf,
die wahrscheinlich als Synonym
zum Weidensänger, Ficedula rufa, gezogen werden muss.
' (48) SYLVIA RÜPPELLH wur- de uns neuerlich, in mehreren
adoptant cette espece, lui don- ne mal à propos le nom de Syl- via ruticilla Brisson, car ce nom emprunté à Klein a été employé par Brisson, Orn., III, p. 403, pour désigner son Ros- signol de muraille, qui n'est autre chose que le rouge-queue noir, Sylvia thytis.
C’est a tort que Ch. Bonaparte, List, p. 14, n°. 105, a range parmi des oiseaux d’Europe la SYLVIA ICTEROPS, Ménétr.Cat.,
p.34, n°. 68, cette espèce n'ayant
été observée que sur les mon- tagnes de Talyche, au sud du fleuve Kour. D'ailleurs il parait, comme le présument M. M. Key- serling et Blasius, p. LVT, que cette fauvette ne diffère pas de la Sylvia conspicillata.
Schinz, Europ. Fauna, T, p. 188, a énuméré parmi les oiseaux d'Europe la SYLVIA ANTHOIDES, Vierllot, Motacilla novaebora- censis, Linn. Gmel., Seiurus aqualicus, Siwainson ; il prétend qu’un individu de cette espèce a été tué en Suède, et que cet individu se trouve dans la collec- tion de Mr. Dufresne à Paris. Ce témoignage indirect sur l’origine de cet individu nous parait in- suffisant pour admettre, pour le moment, cette espèce comme fai- sant partie de la Faune d'Europe.
Mr. Schinz enfin, {. c., p. 194, faıt mention d’un bec-fin d’An- gleterre, appelé par Forster SYLVIA BRUNNEA, mais il paraît que cette prétendue espèce ne diffère pas de la Ficedula rufa.
(48) SYLVIA RÜPPELLIL. Nous venons d'en recevoir plusieurs
Exemplaren, von Griechenland geschickt.
(49) SYLVIA ICTERINA , Vreil- lot, Nouv. Dict., XT, p. 194; Ch. Bon., Icon. Faun. Ital., I, Tav. 28, fig. 2; Gould, PI. 1382, unterscheidet sich, nach unseren Untersuchungen, in nichts von Ficed. trochilus. Das einzige im den Sammlungen bekannte Exem- plar dieser vermeintlichen Art, wurde von Herrn Cantraine im den Pontinischen Sümpfen erlegt, und an das Leidner Museum ge- schickt. Es hat die vordersten Stirnfedern verloren, was dem Vogel das Ansehen giebt, als habe er einen Schnabel wie Fc. trochilus. Die Abbildungen von Ch. Bonaparte und Gould wur- den nach diesem Exemplare ge- macht. Es fragt sich übrigens, ob Vieillot bei Beschreibung sei- ner Sylvia icterina wirklich denselben Vogel vor sich gehabt hat; denn er führt dieselbe gar nicht unter der Familie der Laub- sänger (Pouillots), sondern unter der der Grassmücken, (Fauvet- tes), auf, in welche er freilich auch die Schilfsänger und viele ausländische Arten begreift. Ubri- gens ist seine Arbeıt äusserst oberflächlich, und so verwirrt, dass es unmöglich ist, über seine Arten in das Reine zu kommen. So führt er z. B. die Sylvia fitis und Zrochilus als zwei verschie- dene Arten an: /. c., p. 237 und p. 241. Seine Sylvia 1icterina vergleicht er mit Fie. hypolais, und einer für ihn neuen in Frank- reich lebenden Art, die er S. flaveola nennt, die aber nichts
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individus tués en Grèce.
(49) Quant à la SYLVIA ICTE- RINA, Vieillot, Nouv. Dict., XI, p.194; Ch.Bon., Icon.Faun.Ital., I, Pl.28, fig. 2; Gould, Pl. 132, je ne vois pas en quoi differe cette prétendue espèce du Powl- lot, Ficedula trochilus. Il n’en existe dans les collections qu’un seul individu tué par Mr. Can- traine dans les marais pontins. Cet individu fait partie du Musée des Pays-Bas. Les plumes du front ayant été en partie enle- vées, cet individu a l’apparence d'offrir un bec beaucoup plus large à sa base que celui du Pouillot. Il a servi de modèle aux figures publiées par Gould et Ch. Bonaparte. Quant à l'in- dividu décrit par Vreëllot sous le nom de Sylvia icterina, il est difficile, sinon impossible, de con- stater à quelle espèce il.convient de le rapporter; car, selon ce savant, la Sylvia icterina n’ap- partient pas au groupe des Pouil- lots, mais à celui des Fauvettes, dans lequel il range également plusieurs riverains et un grand nombre d’espèces exotiques de la grande famille des becs-fins. Du reste, le travail que Vieillot a publié sur ces oiseaux, est assez superficiel et il y règne tant de confusion que je n’ai pu parve- nir à le débrouiller. En le con- sultant, on verra du premier abord qu'il a mal à propos sé- paré comme espèces diverses les Sylvia fitis et trochilus (p. 237 ei p. 241), qu'il compare sa Syl- via icterina à une prétendue
als Sal. arundinacea zu seyn scheint. Dabei hat er noch die traurige Sucht der Namenverän- derungen , wodurch die Verwir- rung noch grösser wird. So nennt erz. B. die F. hypolais: Sylvia polyglotta , p.200, weil er Mor. hypolais, Linn., für eine Varie- tät des is hält: p. 193; die F. rufa nennt er S. collybita , p. 235; S. trochilus : Sylv. fla- viventris, p. 241, u.s. w.
. ‘Zu welcher Art der vom Gra- fen von der Mühle, p. 69, als Sylvia icterina aus Griechenland aufgeführte Vogel gehört, ist mır unbekannt.
(50) FICEDULA AmBIGUA. Eine neue Art, von welcher wir 2 Exemplare aus Griechenland er- hielten.
Grösse und Aussehen der Fr- cedula hypolais, aber Flügel viel kürzer, Schnabel an der Wurzel schmäler, und Färbung blässer: oben graulich , unten schmutzig gelblichweiss.
Ganze Länge «1... .. 5 4"! Länge der Flügel . . .. 2 6 » des Schwanzes . . . 2 » desLaufes . , . . .. 10 » der Mittelzehe . . . . 41 » des Nagels derselben . 21 » der Hinterzehe 3
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nouvelle espèce, originaire de la France, qu'il nomme Sylvia fla- veola, quoiqu’a la vérité elle ne parait guère différer de la Syl- via arundinacea, etc. D'autre part, les innovations qu'il s’est permises en changeant arbitrai- rement les noms une fois recus des espèces connues, ne laissent de contribuer à rendre son tra- vail obscur. Il change par exem- ple le nom de Sylvia hypolais en celui de Sylvia polyglotta , parce qu'il prend la Mot. hypo- lais pour une variété de la Syl- via fitis, (p. 200 ei 193); il ap- pelle la Fre. rufa: Sylvia col- lybita (p.235), la Fic. trochilus: Sylvia flaviventris (p.241) etc.
J’ignore quelle peut être l’espe- ce recueillie en Grèce et indiquée par Mr. von der Mühle, p. 69, sous le nom de Sylvia icterina.
(50) FICEDULA AMBIGUA.Espe- ce nouvelle qui habite la Grèce, d’où nous venons d’en recevoir deux individus.
Elle a la taille et le port de la Ficedula hypolais; mais ses ailes sont plus courtes, le bec est moins large à la base, et ses teintes sont plus päles, savoir grisatre en dessus, et d’un blanc- jaunätre sale sur les parties in- férieures.
Longueur totale... .. 5 ae »oueles ailes de sl; 25,0 ».xdendaqueue:.: s.. .12 | 21 dd larse. ie, UE 10 » du doigt de milieu 4 » del’ongledecedoigt 24 » OLE... AN 3.
54
Länge des Nag. derselben 22 _. » desSchnabels . . 8 Breite desselben beim
Mundwinkel ..... 3.
Erste Schwinge um 12 bis 21 Li- nien länger als die längste ie gros- sen äusseren : Flügeldeckfedern. Zweite Schwinge eben so lang als die sechste, und um 2 Linien kürzer als die dritte. Vierte kaum merklich, fünfte ein wenig kür- zer als die dritte. Dritte bis fünfte Schwinge auf der Aussenfahne ein wenig verengt. Schwanz in der Mitte kaum merklich ausge- schnitten, nach den Seiten kaum merklich abgerundet. Läufe vorn mit vier grossen Schildern, von welchen das dritte, grösste, 21 Linien lang ist, und auf welche oben ein, unten drei kleine Schil- der folgen. Nägel spitzig und ziemlich gekrümmt. Füsse und Nägel blass hornfarben. Schna- bel ziemlich breit an der Wurzel, nach der Spitze hin gleichmässig verjüngt zulaufend. Oberschna- bel an der Spitze ein wenig ab- wärts gekrümmt, blassbräunlich hornfarben, mit hellen Rändern; Unterschnabel gelblich hornfar- ben. Am Mundwinkel und am Kinn einige schwarze Borsten- haare. Obertheile und Seiten des Halses blassbräunlich grau, mit olivenfarbigem Anfluge, beson- ders auf dem Hinterrücken. Flü- gel graulichbraun, alle Federn hell gesäumt. Flügel auf der Un- ir viel DE. die Schwung- federn auf der Innenfahne mit breitem , weisslichem Saume. In- nere Flügeldeckfedern weisslich. Steuerfedern graulichbraun , am
Longueur de l’ongle du pouce 2 » du bec Largeur du bec près de | l’angle de la bouche . 3.
e ee ee 8 ©
Premiere remige plus courte de 12 à 21 lignes que la plus longue des grandes couvertures extérieures des ailes; deuxième rémige de même longueur que la sixième, et plus courte de deux lignes que la troisième; quatrième rémige presque aussi longue que la troisième; cin- quième rémige un peu plus courte que la troisième. Troi- sième, quatrième et cinquième rémiges un peu rétrécies à la barbe extérieure. Queue tant soit peu échancrée au millieu, légèrement arrondie vers les côtés. Tarses garnis par-de- vant de quatre grandes plaques, dont la troisième, longue de 2 lignes et demie, surpasse les au- tres en étendue; elle est suivie en haut d’une seule, en bas de trois petites plaques. Ongles poin- tus, passablement courbés et, ainsi que les pieds, couleur de corne pâle. Bec assez large à la base, diminuant successivement en largeur vers sa pointe; man- dibule supérieure un peu cour- bee en bas, d’un brun pâle couleur de corne, et à bords as-
| sez clairs; mandibule inférieure
jaunâtre couleur de corne. On voit des soies noires clair-semées près de l’angle de la bouche et sur le menton. Parties supérieu- res de l’oiseau ainsi que les côtés du cou d’un gris brunätre päle, tirant sur l’olivätre , particuliere- ment vers le bas du dos. Ailes
Innenrande weisslich gesäumt. Alle Untertheile weisslich mit blass lehmgelblichem Anfluge , besonders auf der Vorderbrust ; an den Seiten des Rumpfes und auf der Ohrgegend in’s blass braun- gelblichgraue übergehend. Ein weisslicher Streif von den Na- senlöchern zum obern Rande der Augen. Schenkelfedern weiss, an. der Wurzel graubräunlich.
Ob der von von der Mühle, p. 65, unter dem Namen Sa/i- caria olivetorum (2) beschriebene Vogel aus Griechenland hierher, oder wirklich zu letztgenannter Art gehört, lässt sich vor der Hand nicht ausmachen.
(50 dis) SYLVIA NIGRIFRONS , Bechstein, III, p. 575, Tab. 27, von der bis jetzt nur zwei Paare, eins in Thüringen, (siehe Bechstein), und eins in Schlesien, (siehe @loger, Handb., p. 560) beobachtet wurden , und den die meisten Naturforscher für eine Varietät des Sumpfsängers hal- ten, wurde neuerlich von Ch. Bo- naparte, Catal., p.35, n°. 141, als selbständige Art, unter dem Namen Calamoherpe nigrifrons, angeführt.
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d’un brun grisätre, à plumes li- sérées d’une teinte claire; face interne des ailes beaucoup plus pâle que la face externe; bar- bes internes des pennes pourvues d’un liséré blanchätre assez lar- ge. Couvertures intérieures des ailes blanchätres. Pennes de la queue d’un brun grisätre,, à bar- bes internes bordées de blanc.
Toutes les parties inférieures de .
l’oiseau sont d’un blanchätre nuance , notamment sur le haut de la poitrine, de jaune de terre pà- le, et passant, sur les flancs et sur la région des oreilles, au gris jaunätre pâle tirant sur le brun. Il existe, entre les narınes et le bord supérieur des yeux, une raie blanchätre. Plumes des jam- bes blanchätres, mais d’un gris. brunätre à la base.
Il est, pour le moment, im- possible de constater si l’oiseau ,. décrit par le comte von der Müh- le, p. 65, sous le nom de Sa- licaria olivetorum(?), appartient en effet à cette espèce ou à no- tre Ficedula ambigua. |
(50 dis) On est assez générale- ment d'opinion que la SyLvia NIGRIFRONS, Bechstein , III, p.575, Pl.27, dont on n’a ob- serve jusqu’a present que deux couples, l’un en Thuringue, l’au- tre en Silésie, (voir Bechstein
Le., et @loger, Handb., p. 560),
ne forme qu’une variété de la Sal. palustris; Ch. Bonaparte cependant a introduit récemment cet oiseau comme espèce distincte sous le nom de Calamoherpe ni- grifrons : voir Catal,, p.35, n°.
141.
(51) SALICARIA OLIVETORUM. ‚Eine genaue Beschreibung dieser seltenen Art wird den Naturfor- schern hoffentlich willkommen seyn.
Im Bau und Aussehen am meis- ten mit Ficedula hypolais über- einstimmend; aber der ganze Vo- gel bedeutend grösser, obgleich die Flügel kann länger sind als bei Ficedula hypolais, der Schwanz abgerundet, und die Färbung g graulich, unten gelblich- weiss.
Ganze Länge ..... 6” 5 Länge der Flügel . .. 3" am » desSchwanzes. . . 2’ 6 » des Laufes , 102’ » der Mittelzehe . Bin » des Nagels derselben Ba » der Hinterzehe . . . 31/7 » des Nagels derselben an » des Schnabels vom
Mundwinkel .... ga Breite des Schnabels
beim Mundwinkel . . AMT,
Schnabel in der Hauptsache mit dem der Fic. hypolais über- einstimmend ; aber bedeutend grösser, und an der vordern Hälfte verhältnissmässig stärker seitlich zusammengedrückt. Oberschna- bel gegen die Spitze hin etwas abwärts gekrümmt, hinter der Spitze an den Seitenrändern zahn- förmig ausgeschnitten, blassbraun hornfarben, mit hellen Rändern. Unterschnabel gelblich. Am Kinn, an der Wurzel des Unterschna- ‚ bels, und besonders am Ober- schnabel zwischen den Nasen-
56
(51) SALICARIA OLIVETORUM. Nous esperons que la description détaillée que nous donnerons de cette espèce rare, sera accueillie avec intérêt des naturalistes.
Elle se rapproche, par son or- ganisation et son port, de la Fi- cedula hypolais ; mais ses ailes ne sont guere plus longues que dans cette espèce, quoiqu’ elle soit d’une taille considerablement plus forte; aussi sa queue est- elle arrondie à l'extrémité, et la couleur des parties supérieures grisätre, celle des parties infé- rieures d’un blanc-jaunätre.
Longueur totale . . . . 6” 5% » des ailes Hu. a » de la queue "ANNE » du tarse sf, SO en MIO » du doigt de milieu. 5‘. » de l’ongle de cedoigt 21m »’ durpouce ud. 31m » de l’ongle du pouce 3 » du bec depuis l’an- gle de la bouche . 92 Largeur du bec près de cet anglen mir 4gn
Bec en général comme dans la Fic. hypolais, mais plus grand et, proportions gardées, plus comprimé à sa partie antérieure. Mandibule supérieure un peu in- clinée vers la pointe, légèrement échancrée derrière la pointe, d’un brun pâle couleur de corne, à bords trés-clairs. Mandibule in- ferieure jaunâtre. On voit des soies noires sur le menton à la base du bec , particulièrement entre les narines et l’angle de la bouche. Tour des yeux garni de petites plumes blanches clair-
lôchern und dem Mundwinkel, schwarze Borstenhaare. Augen- kreis mit weissen Federchen ziemlich sparsam besetzt. Läufe vorn mit 9 sehr deutlichen Schil- dern, von welchen das dritte, vierte und fünfte die grössten sind, obschon die Länge eines ‚jeden etwa nur 2 Linien beträgt. Nägel sehr blass, gelblich horn- farben, spitzig, ziemlich ge- krümmt , besonders der der Hin- terzehe, der auch kräftiger ist als die übrigen. Füsse braun- schwärzlich horufarben. Erste Schwungfeder um 21 Linien kür- zer als die dritte, längste, der grossen äussern Flügeldeckfedern. Die dritte, längste, Schwungfe- der um 14 bis 11 Linie länger als die zweite und vierte, die gleich lang sind. Die dritte Schwungfeder deutlich, die vier- te kaum merkbar auf der Aus- senfahne verengt. Schwanz nach beiden Seiten gleichmässig abge- rundet, so dass die äussersten Schwungfedern 3 Linien kür- zer sind als die mittleren. Ober- theile des Vogels, Seiten des Kop- fes und Halses, bräunlichgrau in’s olivengrüne. Flügel braun mit graulichem Schimmer; die klei- nen Deckfedern mit breitem, grau- lichem Saume ; die Schwungfe- dern und die hintern grossen Flügeldeckfedern mit breitem, die übrigen Federn mit schmalem , weissemSaume. Flügel von innen blässer: die grossen innern Flü- geldeckfedern blass graulich, ge- gen die Spitze in’s weisse; die kleinen an der Wurzel dunkel- braun, an der Spitze weiss. Steuerfedern braun mit grauli-
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semées. Tarses munis par devant de neuf plaques assez distinctes, dont -la troisième, la quatrième et la cinquième sont plus gran- des que les autres, quoique la longueur de chacune d’elles n’ex- cède pas deux lignes. Ongles d’un jaunätre couleur de corne tres-päle, passablement courbés, notamment celui du pouce, qui surpasse du reste les autres ‚en force. Pieds d’un brun-noirätre couleur de corne. Premiere ré- mige plus courte de 2 lignes et demie que la troisième ou la plus longue des grandes couvertures extérieures des ailes. La troisie- me rémige est la plus grande de toutes; elle dépasse d’un quart ou d’une demie ligne la deuxie- me et la quatrième rémiges qui
sont d’egale longueur. Troisième
rémige sensiblement, quatrième tant soit peu rétrécie à la barbe extérieure, Queue assez arrondie à l'extrémité, les pennes exte- rieures étant de trois lignes plus courtes que les mitoyennes. Par- ties supérieures de l'oiseau, cö- tés de la tête et du cou, d’un gris-brunätre tirant sur l’olivätre. Ailes brunes à reflets grisätres; petites couvertures largement bor- dées de grisätre; les autres plu- mes des ailes, lisérées de blanc qui forme de larges bords sur les rémiges et sur les grandes cou- verlures postérieures. Parties in- férieures des ailes plus pales; les grandes couvertures intérieures d’un grisätre pale, passant au blanc vers la pointe; les petites couvertures d’un brun foncé à la base, et blanc vers la pointe. Pennes de la queue brun à re-
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chem Scheine, unten blässer ; . die drei oder vier äusseren Paare mit weissem Saume am Innenrand und an der Spitze; die äusserste am Aussenrande mit breitem , weissem Saume. Untere Schwanz- deckfedern weisslich, mit gros- sen, länglichspitzigen, bräunlich- grauen Schaftflecken. Federn der Füsse weis, an der Wurzel graubraun. Alle übrige Unter- theile des Vogels weisslich mit blass lehmgelblichem Anfluge, besonders auf Brust und Bauch. Seiten des Rumpfes gelblichgrau. Ein sehr schmaler, weisslicher Streif von den Nasenlöchern zum oberen Augenrande.
(52) SYLVIA CARICETI, Nau- mann, I. c.; Sylvia striata, brehm, Beitr., IT, p. 26, scheint mir nichts als Salicaria aqua- fica im Sommerkleide zu seyn. Es erklärt sich daher auch, war- um Sylvia aquatica, Naumann , bis jetzt noch nirgends brütend angetroflen wurde.
(53) SALICARIA FAMILIARIS ist zwar der Sal. galactodes aus- serordentlich verwandt, abernach Untersuchung mehrerer Exem- plare aus Griechenland und von den Uferu des Kur, standhaft verschieden. Sie unterscheidet sich von 8. galactodes durch folgende Merkmale. Ihr Schnabel ist auf der vordern Hälfte stär-
flets grisätres, plus päles sur le dessous; les trois ou quatre pai- res extérieures à barbes internes et à pointes lisérées de blanc; l’ex- térieure ornée à sa barbe exté- rieure d’un bord blanc très-lar- ge. Couvertures inférieures de la queue pourvues, le long du tuy- au, de larges taches allongées en pointe, d’un gris-brunätre. Plu- mes des pieds, blanc, qui passe au gris-brun à la base. Toutes les autres parties inférieures de l'oiseau, blanchätre , tirant au jaune dargile pâle, notamment sur la poitrine et sur le ventre. Flancs d’un gris-jaunätre. On voit une raie assez étroite et päle en- tre les narines et le bord supé- rieur des yeux. |
(52) J’ai lieu de croire que la SYLVIA CARICETI de Naumann, I. c., ou Sylvia striata, Brehm, Beitr., IT, p. 26, n’est établie que sur des individus en habit d'été de la Salicaria aquatica. Ce n’est qu’en admettant cette conjecture que l’on parvient à expliquer pourquoi la Sylvia aquatica de Naumann n’a pas encore été observée jusqu’à pré- sent lors de l’époque de la pro- pagation.
(53) SALICARIA FAMILIARIS. Cette espèce, quoique assez voi- sine de la Sal. salactodes, s'en éloigne cependant constamment. J’en ai examiné plusieurs individus tués en Grèce et sur les bords du Kour. Elle se distingue de la Sal. galactodes par les caracté- res suivans. Le bec est plus for- tement comprimé à la moitié an-
ker seitlich zusammengedrückt. Die Farbe der Obertheile ist ein schmutziges Graubraun, ohne Spuren vom rostbräunlichen An- fluge, der erst auf den obern Schwanzdeckfedern auftritt. Die schwarzen Flecke des Schwan- zessind grösser, nicht rund und isolirt, sondern sie bilden ein durchgehendes, breites schwar- zes Band. Die erste Schwin- ge, die bei Salie. galactodes um 5 Linien über die grossen äus- sern Flügeldeckfedern hinaus- reicht, überragt letztere Federn , bei Sal. familiaris, nur um eine Linie. Endlich ist bei Sal. ga- lactodes die zweite Schwinge kürzer als die fünfte, während diese beide Schwingen bei Sul. familiaris von gleicher Länge sind. | f
Es ist dies ohne Zweifel die Art, welche von der Mühle, p. 66, als Salicaria galactodes aufgeführt hat.
(54) Nach Herrn J. Natterer’s mündlichen Mittheilungen ist SAL. SERICEA nicht von Sal. C'ettii verschieden. Ich finde die- se Beobachtung an den, von Nat- terer in Spanien gesammelten Exemplaren, bestätigt.
SYLVIA CERTHIOLA, Temm. Man., I, p. 187, Motacilla certhiola, Pallas, Zoogr., I, p. 509, n°. 141; Gould, Pi. 105, bewohnt nach Pallas nur das östliche Sibirien. Das von Pallas aus der Krimm an Herrn Temminck geschickte Exemplar, welches jetzt noch im Leidner Museum vorhanden ist, gab An- lass, diese Art irriger Weise als
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térieure. Le plumage des par- ties supérieures est d’un brun grisätre sale, seulement nuancé de brun ferrugineux sur les cou- vertures supérieures de la queue. Les taches noires de la queue sont plus grandes et elles forment une large bande noire, au lieu d’être orbiculaires et isolées com- me dans la Sal. galactodes. La première rémige dépasse, dans cette espèce, les grandes couver- tures des ailes de cinq lignes; dans la Sal. familiaris au con- traire cette rémige ne dépasse les couvertures des ailes que d’une ligne. Enfin, la deuxième rémi- ge est, dans la Salic. galactodes , plus courte que la cinquième, tandis que ces deux rémiges sont d’egale longueur dans la Salic. Jamiliaris.
C'est sans doute l'espèce indi- quée par Mr. von der Mühle, p. 66, sous le nom de Salicaria galactodes.
(54) Je dois à feu Vatterer l’ob- servation que la SAL. SERICEA est identique avec la Sal. Cettir, assertion dont j’ai vérifié l’exac- tıtude par l'examen des individus recueillis en Espagne par Mr. Natterer même.
SYLVIA CERTHIOLA, Zemm. , Man., I, p. 187; Motacilla certhiola, Pallas, Zoogr., I, p. 509, n°0. 141; Gould, Pl. 105, n’a été observé par Pallas que dans la Sibérie orientale. L’individu envoyé par Pallas, lors de son séjour en Crimée, a Mr. Temminck , fait actu- ellement partie du Musee des Pays-Bas; il a donné lieu à la
europäisch aufzuführen.
(55) SALICARIA LANCEOLATA. Nach Mittheilungen des Herrn Bruch sind die beiden einzigen bekanuten Exemplare dieser Art im südlichen Russland , und nicht in Deutschland erlegt worden. Durrazzi, Degli Uccelli Liguri, Genova, 1840, p. 35, sagt, dass ein Exemplar dieser Art bei Ge- nua gefangen worden sey.
. (56) SALIACRIA CALIGATA. Im Berliner Museum befindet sich ein Exemplar dieser seltenen Art. Ich habe nach demselben eine Beschreibung entworfen, die aber durch einen Zufall theilweise vernichtet wurde. Ich kann da- her nur folgendes über diese Art mittheilen. EN Grösse der F\. érochilus. Fär- bung der der S. arundinacea sehr ähnlich. Flügel 2'* 4; Schwanz 2”; Läufe 91”. Mit- telzehe 5°. Nägel gross, der hin- tere stärker gekrümmt als die vordern. Schnabel mittelmässig , sehr stark seitlich zusammenge- drückt; daher fast höher als breit. Schwanz etwas abgerundet. Läufe vorn mit 4 Schildern , von denen das zweite zwei Drittel der ganzen Länge des Laufes einnimmt; das oberste und unter- ste klein; das dritte, doppelt so gross als letztere. Schmutzig blass olivenfarbig, unten in’s weissli- che. Schwung- und Steuerfedern graubräunlich ; letztere mit hel-
supposition erronnée que cette espèce habite la Russie méri- dionale. mw
(55) SALICARIA LANCEOLATA. Mr. Bruch me mande que c’est par erreur que l’on a assigné l'Allemagne comme patrie de cet- te espèce, les deux individus sur lesquels elle a été établie ayant été tués dans la Russie méridio- nale. Mr. Durazzi, Degli Uc- celli Liguri, Genova, 1840, p. 35, dit cependant qu’il en a re- cu un individu pris dans les en- virons de Gènes.
(56) SALICARIA CALIGATA. Je n'ai examiné qu’un seul indi- vidu de cette espèce bien rare; 1l existe au Muséum de Berlin. La description que j'en ai faite, ayant été en parte détruite, je regrette de ne pouvoir donner sur cette espèce d’autres détails que les suivans.
Taille de la F. trochilus. Tein- tes analogues à celles de la S. arundinacea. Ailes 2" 4’; queue 2’; tarse 91”; doigt de milieu 5”. Ongles grands, celui du pou- ce plus fortement courbé que les autres. Bec médiocre, très-com- primé, par conséquent presque plus haut que large. Queue un peu arrondie à l'extrémité. Tar- ses munis par-devant de 4 pla- ques, dont la deuxième occupe: deux tiers de la longueur totale du tarse; la supérieure et l’infé- rieure sont petites; la troisième est du double plus longue que cel- les-la. Teinte générale d’un oli- vätre pâle et sale, passant, sur les parties inferieures, au blan-
lerem Aussenrande und Spitze. Dritte bis sechste Schwungfeder auf der Aussenfahne verengt.
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chätre. Pennes des ailes et de la queue d’un gris brunätre ; celles- ci liserees de blanc à la barbe
extérieure et à la pointe. Troi- sième, quatrième, cinquième et sixième rémiges à barbes exté- rieures rétrécies.
M. M. Keyserling et Blasius, p. 190, assignent à cette espèce les caractères suivans: » Tou- »tes les pennes de la queue » arrondies: les mitoyennes un » peu plus courtes, d’un brun » grisätre, à lisere clair ; la pen- ne extérieure bordée des deux » côtés de blanchätre sale, la » suivante seulement bordée de » cette teinte à la barbe interne »et à l'extrémité. Barbes exter-
Keyserling und Blasius, p. 190, geben folgende Kennzeichen für diese Art an: »Schwanzfedern » alle abgerundet, die mittlern et- ».was verkürzt, graubraun , blass » gesäumt ; die erste ringsum , » die folgende innen und am Ende »trübweisslich gerandet; die Aus- » senfahne der 3te bis Gt Schwin- »ge deutlich verengt; Oberseite »fahl olivenbräunlichgrau; Un- »terseite weisslich; Gurgel reiner
»weiss; Zügel blassbräunlich- | »nes des 3”, 4me, 5me et 6e » weiss, über denselben keine | » rémiges rétrécies. Parties supé- »ausgezeichneten Augenbrau- | »rieures d’un gris-brunätre ti- »nen.” » rant sur l’olivätre; parties infé-
» rieures blanchätres; gorge d’un » blanc pur; région des freins » d’un blanc brunätre pale, sans » raies surcilieres apparentes.” Pallas enfin s'exprime sur cet- te espèce dans les termes suivans:
Pallas endlich sagt folgendes über dieselbe :
- » M. cinerea subtus alba, supercilüs albis, cauda rotundata.
» Rossis Talofka (salicaria), versus Jacutiam Pjewunetz (cantator). »In Rossia et Sibiria passim in salicetis circa fluvios occurrit , »suaviter cantillans, unde in borealibus ad Lenam, ubi aliae de- »sunt melodicae, rossicum nomen meruit. Observatur etiam ın » Dauuria et studiosus versus mare glaciale, quousque arbusta suppe- »tunt, eandem videt. Evolat in cacumen arboris, indeque ex ramo »in ramum desultans, productis et continuatis sonis amoenissime » cantillat, voce majore quam tantillae aviculae convenire diceres. — »Nidus in ramulo bifurcato, e graminibus implexis. Ovula 4 ad 5.
» Descr. Sylvia multo minor. Rostrum nigrum, basi maxillae »inferioris lutescente. Os, anguli oris et lingua bifida flavidissima. » Corpus supra gryseo-cinereum. Striga superciliaris a rostro ad »occiput, una cum palpebris, albo-pallida. Fasciola fusco obsoleta »a rostro per oculos. Subtus avicula cinerascente-alba, jugulo la-
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»teribusque magis cinerascentibus. Alae subtus et subcaudales pal- »lidae. Alae fuscescentes, remigibus 19. quarum prima 2 brevior, »3—5 exterius angustatae. Gauda obiter rotundata, tota fuscescens; »rectricibus subacutis limbo cinerascentibus. Femora inferius cine- »rascunt. Pedes longiusculi, corneolo-fuscescentes, digitis subtus »flavis; tibialia mtegra. Pondus drachmarum plus minus 21. Longi- »tudo vix 3”. caudae 1”. 11/7. alarum expansarum 6”. 6. ulnae »2. 217, rostri ad oris angulos 52, ad frontales plumas 31’. ti- » biarum 94”. digitus anticus medius (cum ungue 25.) 7%. postici
»(cum ungue 15/7.) 5147,
(57) Schinz, Europ. Fauna, I, p. 181, erwähnt einen neuen, der Nachtigall verwandten Sän- ger aus Griechenland, den er vor- schlägt SYLVIA SCHUCHH zu nen- nen. Da aber dieser Vogel nicht genau beschrieben ist, so kön- nen wir ihn vorläufig als Art noch nicht aufnehmen. Herr Schinz sagt bloss, dass er der Nachtigall sehr ähnlich ist, sich aber durch den stärkern Schna- bel, welcher schwarz ıst, durch etwas bedeutendere Grösse, auch durch eine etwas verschiedene Färbung unterscheidet.
(58) LUSCIOLA ERYTHRO- GASTRA. Alles was man bis jetzt von diesemV ogel weiss, beschränkt sich auf die von Güldenstädt ge- gebenen Abbildungen und Be- schreibung, welche letztere wir daher vollständig mittheilen:
(57) Schinz, Europ. Fauna, I, p. 181, fait mention d’un bec- fin inédit, voisin du rossignol et originaire de la Grèce. Il pro- pose de nommer cet oiseau SYL- vıa SCHUCHII, M. Schinz ayant négligé d’en donner une descrip- tion detaillee, nous ne le sau- rions pour le moment admettre comme espèce. Cet auteur se bor- ne à constater que le bec-fin dont nous venons de parler, res- semble beaucoup au rossignol, mais qu'il s'en éloigne par un bec plus robuste et de couleur noire, par une taille plus forte, et une nuance des teintes un peu diverse. | |
(58) LUSCIOLA ERYTHRO- GASTRA. Cet oiseau n’est con- nu, que nous sachions, que par la description et les figures qu’en a publiées Güldenstädt. Cet au- teur en parle dans les termes suivans:
»MOTACILLA ERYTHROGASTRA.
»Quanta de Muscicapa melanoleuca (Saxicola stapazina) et Mo- »tacilla leucomela aflinitas depraedicata , tanta etiam depraedicanda »de Motacilla erythrogastra nostra et Motacilla phoenicuro Linnaei. »Mares sat facile; sed feminas utriusque speciei, a suis maribus »toto coelo coloribus diversas et non nisi abdomine et cauda suba-
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»nalogas, difhicillime ex descriptione distmgues. Femina Motacillae »erythrogastrae coloribus etiam multum aemulatur Motacillam »oenanthem et cum eadem magnitudine convenit, qua Phoenicurum »nonnihil superat. Moribus et vitae genere Motacilla erythrogastra » aves congeneres imitatur: cursitat ad fluviorum ripas; arbusculis »insidens caudam motitat inquietissima, attamen non timida; volans »pipit more Motacillae albae; mas feminae strenuus custos et comes »fidelis; insectis victitat, pullosque, in nidis herbaceis inter Hippo- » phaës ramos, cujus baccas etiam appetit, tuto occultatos enutriunt. » Migratoria avis nostra per aestatem habitat cum Loxia rubicilla »ad alveos glareosos torrentium Gaucasicorum, quos, hyeme insec- »tis infesto superveniente, fine Octobris deserit, clima mitius, »insectis pro cibo abundans, austrum versus quaesitura. Figura »tabulae XVI. sistit marem et figura tabulae XVII. feminam Mota- »eillae erythrogastra magnitudine, figura et colore naturali. Ad » maris descriptionem accedam. |
» Rostrum triquetro-subulatum; apice subincurvo, integerrimo; »colore atro; a fronte quinque, a rictu octo linearum longitudine. » Vibrissae ad rietum detritae. In cavitate oris lutea lingua bifida. » Nares bäsilares, rotundae, perviae. Oculi fusci.
» Vertex usque in nucham et alarum speculum alba, fuliginoso- »sordida; capistrum, gula, genae et tempora, collum et inter- »scapulium aterrima; pectus et totum corpus subtus atque crissum » utrinque intense castanea.
» Alae complicatae ultra medietatem caudae vix procedentes, »aterrimae, speculo albo quadratico, quod remiges 3—10, quae »medio albae sunt, efficiunt.
»Gauda tres pollices et duas lineas longa, integra, rectricibus »duodecim uropygio concoloribus.
» Femora usque ad genu plumosa, abdominis colore tincta, sed »ipso genu atro; tibiae et digiti, quorum tres antici et inter se »liberi, quartus posticus nigri coloris; ungues incurvi, acuti, sub- »aequales, digitis concolores.
»Longitudo totius aviculae extensae a rostri apice ad caudae »extremum septem pollicum.
»De femina dicenda habeo sequentia ; rostrum et pedes atra, ut »in mare; crissum et cauda castanea ut in mare, sed dilutiora , »apicibus rectricum et intermediüs duobus rectricibus totis fusces- » centibus ; reliqua tota quanta avis cinerea, supra intensior, infra » dilutior et in abdomine cum aliqua ruffescentis mixtura; magnitudo »cum mare eadem.”
Wir entnehmen aus der Abbil- Nous avons emprunté de la fi- dung noch folgende Ausmessun- | gure de cette espèce, les mesures gen, die wir, wie Güldenstädt, | suivantes, exprimées, comme l’a
64
‚nach englischem Maasse angeben.
Länge des Flügels ....4 11 » » Laufes FOUT TRS RR >) » der Mittelzehe . . . O0 8 » » Hinterzehe . . O 5
_ Es erhellt aus obigen Angaben, dass dieser Vogel in mehr als einer Hinsicht von MOTACILLA AUREORA, Pallas, abweicht, welche bis jetzt bloss im östlichen Sibirien und Japan gefunden , und daher mit Unrecht unter die europäischen Vögel aufgenom- men wurde. Letztere Art unter- scheidet sich von Motacilla ery- throgastra, Güldenstädt , durch folgende drei Hauptpunkte: 1) die beiden mittelsten Steuerfe- dern sind schwarz und nicht braunröthlich; 2) der weisse Spiegel der Flügel ist auf die Schwungfedern zweiter Ordnung, also auf die zehnte bis achtzehnte beschränkt, während er bei M. erythrogastra die dritte bis zehnte Schwungfeder erster Ord- nung einnimmt; 3) ist M. aurorea bedeutend kleiner , wie folgende Ausmessungen, eines von Pallas aus dem östlichen Sibirien mit- ebrachten, in unserer Sammlung sich befindlichen Exemplares, zeigen.
| Engl. Maass. Ganze Länge . . . 6 Zoll. O Lin. Länge des Flügels . 3 » 1»
» des Schwanzes 2 » 8»
» des Laufes . . . 0 » 11 » -» der Mittelzehe . O0 » 6»
» der Hinterzehe. O0 » 3»
fait Güldenstädt, en pouces an- glais.
Pouces. Lign,
Longueur des ailes . . . . 4 11
» . dutarse tr) tte
» du doigt de milieu O0 8
» du pouce. . ... 0 5
On voit par les détails que nous venons de donner sur cet oiseau, . qu’il s’éloigne sous plusieurs rap- ports de la MOTACILLA AUREORA de Pallas, espèce seulement ob- servée jusqu’ à présent, dans la Sibérie orientale et au Japon, et que l’on a introduite à tort parmi les oiseaux d'Europe. Cette es- pèce se distingue facilement de la Motacilla erythrogastra par les caractères suivans ; 1) les deux pennes mitoyennes de la queue sont noires et non pas d’un brun- rougeätre; 2) le miroir blanc des ailes occupe les rémiges secon- daires, c’est-à-dire la dixième et les suivantes jusqu’ à la dix- huitième, tandis qu’il occupe dans la Mot. erythrogastra, la 3° et les suivantes jusqu’ à la 10me des rémiges primaires; 3) M. au- rorea est d’une taille beaucoup moins forte, comme on peut le voir par les mesures suivantes prises sur un individu cédé à Mr. Temminck par Pallas lui-même, qui l’a recueilli dans la Sibérie orientale. Ä |
Mes. angl. Longueur totale . ... 6" 0
» tdessailes . ETC RENNES
» de la queue :.1:002008:
». duitarse eis
» du doigt de milieu. 0 6
» dupouce .....0 3.
(59) LUSCIOLA COERULECULA,
scheint sich zwar von Z. cyane- cula nur durch den rothbraunen Mittelfleck der blauen Gurgel zu unterscheiden; da aber diese Fär- bung bei allen in Russland und Sibirien beobachteten Exempla- ren standhaft vorkommen soll, so müssen diese als eine Lokal- varietät bildend, betrachtet wer- den.
(60) SAXICOLA SALTATRIX. ‘Siehe die Kennzeichen dieser Art bei Ménétries, und Keyserling und Blasius. Sie scheint, wie Sax.oenanthe, individuell in der Grösse bedeutend abzuweichen. Folgende Beschreibung ist nach einem solchen kleineren Indivi- duum aus Griechenland gemacht.
Form des Schnabels und des Schwanzes, Füsse, gegenseitiges Verhältniss derSchwingen, wie bei Sax. Oenanthe; aber die Färbung verschieden, und die unteren Deckfedern. der Flügel weiss, ohne schwarze Schuppenflecke.
. 6" 6" 8 6
Ganze Lünge . . .. Länge der Flügel . . . des Schwanzes . .. des Laufes. . . . der Mittelzehe . . . des Nagels derselben der Hinterzehe ... des Nagels derselben des Schnabels . . . .
y
YO S NM VIA
Erste Schwinge so lang als die vierte der grossen äusseren Flügel-
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deckfedern; zweite ein wenig län-
ger als die fünfte Schwinge; dritte 2.
(59) LUSCIOLA COERULECULA , On dit que cette race qui rem- place le gorge-bleu ordinaire en Russie et en Sibérie, s’en dis- tingue constamment par sa gorge ornée au centre d’une tache d’un brun rougeätre. C’est en faveur de cette différence que nous l’a- vons introduite, dans notre ou- vrage, comme race locale.
(60) SAXICOLA SALTATRIX. Voyez pour les caractères de cet- te espèce, les ouvrages de Me- netries, et de Keyserling et Bla- sius. Sa taille parait varier in- dividuellement, comme cela a aussi lieu dans la Sax. oenanthe.. Nous avons emprunté la descrip- tion suivante à un individu de petite taille, originaire de la Grèce.
Formes du bec, pieds, pro- portions respectives des rémiges comme dans le traquet moteux; mais teintes du plumage differen- tes et couvertures inferieures des ailes, blanc sans bordures noires.
Longueur totale. . ..
» des ailes. . . .. de la/queiie 1.10 datanse Irma, du doigt de milieu de l’ongle de ce doigt du pouce . si LE de l’ongle du pouce du Lee À h
»
Première rémige d’egale lon- gueur que la quatrième des gran- des couvertures externes des ai- les; deuxième rémige un peu
5
am längsten, vierte kaum merk- lich kürzer als diese, beide auf der Aussenfahne deutlich verengt. Füsse kräftig. Nägel der Vorderzehen wenig gekrümmt, der der Hinterzehe gross und stärker gebogen. Füsse braun- schwarz. Schnabel schwärzlich hornfarben. Obertheile bis zum Bürzel graubräunlich mit isabell- farbenem Anfluge. Schwingen dunkler: die zweiter Ordnung und die beiden letzten erster Ord- nung mit weissgelblichem Aus- senrande und Spitzensaume; die Schwingen erster Ordnung, von der sechsten an, am Aussenrande weisslich gesäumt. Alle Schwin- gen am Innenrande mit breitem weissem Saume, der sich aber ge- gen die Spitzen der grossen ‚Schwingen verliert. : Schwingen auf der Unterseite viel blässer. Un- tere Flügeldeckfedern weiss; die ‘grossen mit einem blassgrauen Fleck inder Mitte. Steuerfedern an der Wurzelhälfte weiss, an der Endhälfte schwärzlich braun ; die beiden mittelsten bis zwei Drittel ihrer Länge schwärzlich braun. Alle Untertheile des Körpers aus- ser der Bauchmitte, die rein weissist, weiss, mit isabellfarbi- gemAnfluge; leztere Farbe nimmt, auf den Seiten des Rumpfes und zumal auf der Vorderbrust, den Seiten des Halses und auf der Ohrgegend, die Oberhand. Au- genkreis weiss. Ein weisslicher Streif zieht sich auf jeder Seite des Kopfes, von denNasenlöchern über das Auge, bis an das Ende der Ohrgegend hin.
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plus longue que la cinquième ; quatrième rémige, un peu plus courte que la troisième qui est la plus longue de toutes; toutes les deux rétrécies à la barbe externe. Pieds robustes; ongles des doigts antérieurs, faiblement courbés; celui du pouce, assez grand et plus fortement arqué. Pieds d’un brun noirâtre. Bec noirâtre couleur de corne. Par- ties supérieures jusque vers le croupion, d’un gris brunätre nuancé de couleur isabelle. Re- miges plus foncées; les rémiges secondaires ainsi que les deux der- nieres des primaires, bordées de blanc jaunätre à la barbe exté- rieure et à l’extrémité; rémiges primaires depuis la sixième, à barbe extérieure blanchätre. Les barbes internes de toutes les ré- miges, à bord blanc large qui se perd vers l'extrémité des pen- nes. Face inférieure des rémiges, beaucoup plus pâle que la su- périeure. Couvertures internes des ailes blanches; celles du pre-
mier ordre, ornées au centre d’une
tache d’un gris pâle. Moitie ba- sale de la queue, noire; l’au- tre moitié, brun noirätre; cette teinte foncée occupe deux tiers de la longueur des deux pen- nes mitoyennes. Parties inféri- eures du corps, blanc nuancé de couleur isabelle, particulière- ment sur les flancs, sur les par- ties supérieures de la poitrine, sur les côtés du cou, ainsi que sur la région des oreilles. Milieu de l’abdomen, d’un blanc pur. Tour des yeux blanc. Une raie blanchâtre s'étend de chaque côté de la tête, depuis les nari-
“ir.
(61) SAxICOLA AuRITA, von Keyserl. u. Blas., p. LIX, nach dem Beispiele Bonelli’s , Marmo- ra’s, Calvi’s und Savı’s , mit Sax. stapazina vereinigt, weicht von ‚dieser Art nicht allein durch eine verschiedene Färbung, son- dern auch durch kürzere Fuss- wurzeln ab. Selbst @loger, Handb., p. 194 hält diese beiden Arten für verschieden, und Du- razzi, Ucelli liguri, p. 41, hat sich neuerlich bestimmt für diese Meinung erklärt.
(62) SAXICOLA LUGENS, Zich- tenst., Catal., p. 33, no. 364, aus Nubien, im Manuel, III, p. 166, als Sax. leucomela beschrie- ben, weicht von Sax. leucomela, Pallas, aus Russland durch nichts als den kaum merklich stärke- ren rostfarbenen Anflug der un- tern Schwanzdeckfedern ab. Ein von Pallas selbst eingeschicktes Exemplar der Sax. leucomela wird jetzt noch im Leidner Mu- seum aufbewahrt. Nach von der Mühle, p. 76 u. 77, stimmen die in Griechenland geschossenen Elsternsteinschmätzer mit Sax. lugens überein, die daher ohne Zweifel als identisch mit Sax. leucomela zu betrachten ist.
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nes, au-dessus des yeux, jusqu’à l'extrémité de la région des oreil- les.
_(61) saxıcorA aurıra. M.M. Keyserling et Blasius, p. LIX, en imitant l’exemple de Calvr et de Savz, ont réuni cette espèce à la Saxicola stapazina; elle s’en distingue cependant non-seu- lement par des modifications dans la distribution des teintes, mais aussi par des tarses moins élevés. Gloger lui-même, Handb., p.194, sépare ces deux espèces, et Du- razzi s’est également prononcé en faveur de cette opinion dans son opuscule publié récemment, sous le titre de Catalogo degli Üe- celli liguri, p. Al.
(62) SAXICOLA LUGENS, Lich- tenst., Catal., p. 33, no. 364, de la Nubie, décrite dans le Ma- nuel, III, p.166, sous le nom de Saxzcola leucomela, Pallas, ne se distingue de cette derniere espece, qui habite la Russie, que par des couvertures inférieures de la queue un peu plus forte- ment nuancées de brun ferrugi- neux. Un individu du véritable Traquet leucomèle a été cédé autrefois à Mr. Temminck par le professeur Pallas; ıl fait actuel- lement partie du Musée des Pays- Bas. Les individus du Traquet leucomele, tués en Grèce par Mr. von der Mühle, (voyez p. 76 et 77 de son ouvage), ne se distinguant en rien de la Saxt- cola lugens, il est évident que cette soi-disant espèce est iden- tique avec le Traquet leucomèle.
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(63) MOTACILLA LUGUBRIS, Temm., Man., III, p. 175; Gould, Birds of Europe, Pl. 142; Motacilla albeola, var. Camtschatcae, Pallas, Zoogr. TI, p. 507 (Nota), ist eine durch ihre fast ganz weissen Schwin- gen ausgezeichnete Nebenart der weissen Bachstelze, die bis jetzt nur in Kamtschatka , auf den Ku- rilen und in Japan beobachtet, und also irriger Weise als euro- päischer Vogel aufgeführt wurde. Man kann dieser Nebenart den im Manuel, III, p. 620, vorge- schlagenen Namen, Mofacilla dugens, lassen.
(64) Keyserl. u. Blasius, p AXLIX, n°. 176, halten die MOTACILLA CAMPESTRIS, Pal- las, Zoogr., I, p. 504, n°. 138, für identisch mit der englischen gelben Bachstelze. Pallas be- schreibt aber offenbar unter die- sem Namen einen jungen Vogel mit dem Halskragen, weshalb seine Mof.campestris eben so gut zur gemeinen als zur englischen gelben Bachstelze gezogen wer- den kann. Sundevall, K. Vet. Acad. Hand., Stockh. 1842, p. 47, fügt zu den bekannten Va- rietäten der gelben Bachstelze, noch eine Mor. flava suecana und Hot. flava borealis e Lappo- nia. Nach Graf von der Mühle, p. 60, ist die grauköpfige gelbe Bachstelze, welche in Rumelien brütet und die Morea im Winter besucht, ausser einer etwas leb-
| nca. Mr. von der Mühle,
hafteren Färbung, ganz den in
(63) MOTACILLA LUGUBRIS, Temm. Man. , III, p. 175; Gould, Birds of Europe, P!.142; Mo- facilla albeola var. Camtschat- cae, Pallas, Zoogr., I, p.507 _ (note), forme une espèce ou ra- ce voisine de la Bergeronnette gri- se, mais qui s’en éloigne con- stamment par ses remiges pres- que entierement d’un blanc pur, et qui n’a été observée jusqu’à présent qu’au Gamtschatka, aux îles Kouriles et au Japon. Il résulle de ces données, que c'est à tort que l’on a énuméré cette race comme faisant partie de la faune d'Europe. M. Tem- minck, Manuel, III, p. 620, l’a désignée sous le nom de Mo- tacilla lugens.
(64) M.M. Keyserling et Bla- sius, p. ÂLIX, n°. 176, sont d’opinion que le MoTacıLLa CAMPESTRIS, Pallas, Zoogr., I, p. 504, n°. 138, est identi- que avec la Bergeronnette jaune d'Angleterre. Cependant, en con- sultant la description de Pallas, on voit à l'évidence qu’il a dé- crit, sous le nom de #of. cam- pestris, un jeune individu à col- lier foncé, que l’on ne peut rap- porter avec certitude à aucune des deux races de Bergeronnettes, dites à tête jaune et à tete grise. - Sundeval ajoute aux variétés dé- ja connues de la Bergeronnette jaune, deux autres variétés, l’une de la Suède, l’autre de la Laponie ; voir lesMém. del Ac.deStockholm, 1842, p. 47: Mot. flava suecana et Mot. flava borealis e Lappo- p.60, constate que la Bergeronnette de
Deutschland lebenden Individuen ähnlich. Ausser dieser Abart kommt noch in Griechenland die schwarzköpfige gelbe Bachstelze vor, die sich nach von der Mühle, standhaft, nicht nur durch die Färbung ihres Kopfes, sondern auch durch einen etwas gestreck- teren Körper, so wie einen länge- ren, stärkeren und ganz schwar- . zen Sehnabel,, unterscheidet.
(65) Riss, !.c.,p.36,n°.50, sagt, dass TURDUS BARBARICUS, Gmel., bei Nizza auf dem Zuge vorkomme. Da ich nicht enizif- fern kann, welcher Vogel damit gemeint ist, so sehe ich mich genöthigt, diese Angabe unbe- rücksichtigt zu lassen.
Schinz, Europ. Fauna, I, p. 163, sagt, dass TURDUS RU- FUS, Brisson, aus Nordamerika, in England geschossen worden seyn soll, ohne die Quelle anzu- geben, woher er diese Nachricht hat. Da auch uns diese Quelle unbekannt ist, so können wir auch diese Angabe nicht berück- sichtigen.
TURDUS SIBIRICUS, Pallas, It., II, app., n°. 10; Turdus leucocillus, Pallas, Zoogr., I, p- 450 , im Manuel, III, p. 398, nach einem, von Pallas aus der Krimm eingeschickten Exemplare, irrig als in Russland vorkommend, aufgeführt, findet sich, nach Pal- las eigenen Angaben, nur im öst- lichen Sibirien, und muss daher aus der Reihe der europäischen Vögel gestrichen werden. Diese
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printems à tête grise, niche en Ru- mélie, qu’elle visite en hiver la Mo- rée, et qu’elle ne se distingue des individus du centre de l’Europe que par des teintes plus vives. La Bergeronnette de printems à tête noire, qui habite également la Grèce, se distingue suivant Mr. von der Mühle, des races voisi- nes, non-seulement par les tein- tes de sa tête, mais aussi par des formes plus élancées ainsi que par un bec plus long, plus fort et teint d’un noir uniforme.
(65) TURDUS BARRARICUS, Gmel., fréquente, suivant Risso,, l. c.,p. 86, n°. 50, les environs de Nice lors de l’époque de la migration. Je passe sous silence cette espèce douteuse, dont je n’ai pu me former une idee pré- cise.
Schinz, L. c., p. 163, prétend que l’on a observé en Angleterre le TURDUS Rurus de Prisson, originaire de l'Amérique du nord. Comme il a négligé d'indiquer la source où il a puisé cette notice, je n'ai pas cru devoir adopter cet- te espèce parmi celles obser- vées en Europe.
TURDUS SIBIRICUS, Pallas, Voyage, II, app. n°. 10; Tur- dus leucocillus, Pallas, Zoogr., I, p. 450, introduit dans le Ma- nuel, Ill, p. 398, parmi les oiseaux d'Europe, d’après un in- dividu envoyé par le professeur Pallas lors de son séjour en Cri- mée, n’habite, selon les indica- tions de ce savant même, que la Sibérie orientale. Il convient, d’après ce que nous venons de
Art scheint übrigens im grössten
“ Theile des südlichen und ôstli-
chen Asiens häufig vorzukommen.
(66) TURDUS SOLITARIUS. Naumann, Il. c., führt diesen Vogel unter dem Namen Turdus minor, Lath., nach einem am 22 Dec. 1825 im Herzogthume Anhalt-Kôthen gefangenen Ex- emplare auf. Seiner Beschreibung zufolge gehört aber dieser Vogel nicht zu TZurdus minor, sondern zu Turdus solitarius, Wilson. Naumann erwähnt diesen Vogel auch in Wiegmann, Archiv. ,
1838, 7, p. 372.
(67) TURDUS AUROREUS. Glo- ger führt als zu dieser Art gehö- rig, eine in Schlesien erlegte Dros- sel auf, und zieht als jungen Vogel, Naumann’s Turdus Bech- steinit jun. dazu. Ob diese bei- den Vögel wirklich zu T. auro- reus, Pallas, gehören , den wir nicht in der Natur gesehen ha- ben, müssen fernere Untersu- chungen lehren. Jedenfalls wäre es wünschenswerth, dass eine gute Abbildung des ın Schlesien gefangenen alten Individuums be- kannt gemacht würde.
(68) TURDUS wuırn und T. varıus. Zwei in Färbung sich volkommen ähnliche, aber ın den Schnabel- und Flügel-Verhältnis- sen standhaft abweichende Arten.
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dire, de rayer du cataléguetdes
oiseaux d'Europe cette espèce, qui parait se trouver dans la plus grande partie de l’Asie mé-
ridionale et orientale. |
(66) TURDUS SOLITARIUS. L’individu de cette espèce, tué le 22 Décembre 1825 dans le du- ché d’Anhalt-Köthen, a été décrit par Mr. Naumann, [. e., sous le nom de Turdus minor, Latham. Mais en comparant cette derniere espèce à la description de Mr. Naumann, on voit à l’évidence que cet individu est identique avec le Turdus solitarius de Wilson. Naumann fait aussi mention de cet individu dans le journal pu- blié par Wiegmann, année 1838,
I, p. 372.
(67) TURDUS AUROREUS, @lo- ger rapporte comme appartenant à cette espèce un individu d’une grive tuée en Silésie; la grive décrite par Naumann comme le jeune du Turdus Bechsteinii, est selon Gloger, le jeune du Turdus auroreus. N’ayant pas vu en nature cette espece, nous adoptons les vues de Mr. Gloger, jusqu’à ce que de nouvelles re- cherches viennent prouver le con- traire. En tout cas, il serait à désirer que quelque naturaliste voulüt se charger de publier une figure exacte de l'individu tué en Silésie.
(68) TURDUS wırnu et T. vAarıUs. Ces deux espèces, quoi- que tout à fait semblables entre elles par leurs couleurs, se dis- tinguent cependant par les pro-
Turdus aureus, Holandre, von Schinz, l. c., p. 161, nach einem im Sept. 1788 bei Metz erlegten, und in der Sammlung dieser Stadt aufbewahrten Individuum aufge- führt , gehört offenbar zu einer der beiden erwähnten Arten; zu welcher jedoch , lässt sich nach der Beschreibung nicht ermitteln..
(69) Temm., I, p. 177 und III,p. 107; Gould, Pl. 85; Sturnus cinclus , var., I, p. 426, !. 10, kommt nach Pal- las nur am Baikal See, in Kamt- schatka und auf den benachbar- ten Inseln vor. Unsere Reisenden brachten diese einfärbig braun- schwarze Art von Japan mit. Sie muss daher aus dem Verzeich- nisse der europäischen Vögel ge- strichen werden.
(70) cıncLUS aquarTicus. Es ist bis jetzt noch nicht erwiesen , ob der schwarzbäuchige Was- serschwätzer, Cinclus ling:
aster, brehm , Lehrbuch, p. 289; Gould, PI. 84, als zufäl- lige, oder als standhaft nach der Localität verschiedene Varietät vom gemeinen Wasserschwätzer betrachtet werden muss. Wir können ihn daher vorläufig noch nicht als selbstständig aufführen.
(71) Ein von Herrn Cantraine
in den pontinischen Sümpfen ge- sehener, etwas grösserer und lebhafter gefärbter Zaunkönig
CINCLUS PALLASIEH ,.
Pallas, Zoogr. ,.
71
portions diverses du bec et des ailes. Il est évident que le Tur- dus auroreus, Holandre, intro- duit par Schinz, Lie.,1p. 16h,
d'après un indiyidu tue en 1788 pres de Metz et conservé au Mu- seum de cette ville, appartient à l’une des deux espèces dont nous venons de parler; mais il est impossible de constater à la- quelle de ces deux espèces ıl se rapporte, vu la description
incomplète que l’on en a donnée.
(69), ciNCLUS PALLASH, Temm., Man., I,p. 177 et IIT, p. 107; Gui, PI. 85; Sturnus eine var. Pallas, Zoogr. , À, p. 426, 4 10, ne se trouve, sul- vant les indications de Pallas, que sur les bords du lac Bakal, au Kamtschatka et sur les iles voi- sines. Nos voyageurs ont rencon- tré cette espèce au Japon. C’est donc à tort qu'on l’a indiquée comme faisant partie de la faune d'Europe. -
(70) CINCLUS AQUATICUS, On sait qu’il existe, en Europe, une variété de cette espèce, recon- naissable à son ventre noir; mais on ignore si cette variété ne se trouve qu'accidentellement ou si elle forme une race constante, propre à certaines localités. L’in- certitude qui règne à cet égard ne nous permet pas d'introduire cet oiseau sous une épithète par- ticulière,
(71) Mr. Cantraine, ayant vu lors de ses excursions dans les marais Pontins un Troglodyte, qui lui a paru étre de plus for-
pi 5
als die gemeine Art, hat An- ‚leitung zu der Frage gegeben, ob sich im südlichen Europa, eine zweite, dem TROGLOD. FUMIGATUS aus Japan ähnlı- che Art Zaunkönig finde. Siehe Manuel, III, p. 160. — Küs- ter, Isis, 1835, p. 225, be- schreibt dagegen den sardinischen Zaunkönig als dunkler von Farbe, als die Zaunkönige des übrigen Europa’s.
(71bis) REGULUS MODESTUS. Hancock, Ann. of Nat. Hist., 1838, p.310, erwähnt eines, am 26 Sept. 1838, an den Küsten Nord- humberlands geschossenen Gold- hähnchens, und betrachtet es, als zu dieser Art gehörig, die übri- gens in mehreren Hinsichten von den übrigen Arten abzuweichen scheint. Ich habe diesen Vogel nie gesehen.
(72) Die Angabe, dass PARUS BICOLOR, Linn., aus Nordame- rika, im Norden Europa’s vorkom- me, beruht auf älteren, unzuläs- sigen Mittheilungen. Gould sagt zwar von dieser Artin den Birds of Europe: »we have seen »specimens, which were un- » doubtetly killed in Russia” ; da aber weder Nilsson, noch Pal- las, noch irgend ein anderer nor- discher Naturforscher von dieser Art spricht, so glauben wir uns gerechtfertigt , wenn wir sie erst dann als europäisch auffüh- ren, wenn genügendere Nach- richten über ihr Vorkommen in unserem Welttheile vorliegen.
te taille et peint de teintes plus vives que le Troglodyte ordinai- re, on a supposé qu'il pourrait se trouver dans l’Europe méridio- nale, une seconde espèce de Troglodyte, voisine du TRO6LO- DYTES FUMIGATUS du Japon, décrit dans le Manuel, III, p. 160. — Küster, Isis, 1835, p. 225, pretend au contraire que les Troglodytes de la Sardaigne offrent des teintes plus foncées que ceux qui habitent les autres parties de l’Europe.
(71bis) REGULUS MODESTUS. Hancock, Ann. of Nat. Hist., 1838, p. 310, fait mention d’un roitelet tué le 26 Sept. 1838 sur la côte du Nordhumberland; il le regarde comme appartenant au Roitelet bâtard, qui paraît s’e- loigner sous plusieurs rapports, des autres espèces du genre. Nous n'avons pas vu cet oiseau ennature.
(72) PARUS BICOLOR, Linne. iln’existe pas d'indication authen- tique que cette espèce américai- ne ait été observée dans le nord de l'Europe. Il est vrai que Mr. Gould, en parlant de cette mé- sange dans son grand ouvrage sur les oiseaux d'Europe, prétend en avoir vu des individus tués en Russie; mais comme elle n’a été observée ni par Nilsson, ni par Pallas ou par les autres na- turalistes du nord, nous nous croyons autorisés d’omettre cet oiseau dans notre énumération, et d'attendre, avant de l’adopter comme espèce européenne, des indications plus directes.
DL
(73) PARUS LUGUBRIS. Key-
73
serling u. Blasius, p. XLIIT,
n°. 139 , Anmerk. , scheinen diese Art weder in der Natur noch nach den Abbildungen gekannt zu ha- ben; denn sonst würden diese genauen Untersucher sie gewiss nicht zu Parus sibiricus gezo- gen haben. Durch dieses Beispiel irre gemacht, hat auch Ch. Bo- naparte den Par. lugubris, der doch in mehreren Werken sehr gut abgebildet ist, in seinem C«- Zalogo nicht aufgeführt.
(73bis) De Selys Longchamps beschreibt im Bulletin de l' Acad. de Bruxelles, Tome X, n°. 7, unter dem Namen PARUS Bo- REALIS, eine Meise, welche sich von Par. sibiricus nur durch einen schwarzen Kopf und die weisse Farbe der Seiten des Kör- pers unterscheiden , ihre Stelle ın Island vertreten, aber auch in Norwegen vorkommen soll.
(74) Ch. Bonaparte, List, p. 11, n°. 73, führt unter dem Na- men CERTHIA NATTERERI, einen neuen Baumläufer aus Dalmatien auf, den er aber in seinem späler erschienenen Catalogo selbstnicht wieder aufnimmt.
_ (74bis) CORVUS CORORNE. Die- se Art nistet bekanntlich auf Bäu- men. Es ist dies auch der Fall in Holland, mit Ausnahme der- jenigen Individuen, welche die Seedünen bewohnen ‚,. und die, aller Regel zuwider ‚ihr Nest auf dem Boden anlegen.
(73) parus LUGUBRIS. M. M. Keyserling et Blasius, p.X LTIT, n°. 139, ont mal à propos réuni cette espèce au Parus sibiricus. Cette méprise de la part de ces naturalistes provient probable- ment de ce qu'ils n’ont pas vu l'espèce en nature, et qu’ils ont négligé de consulter les figures qu'on en trouve dans plusieurs ouvrages. Ch. Bonaparte, induit en erreur par cet exemple, n’a pas non plus adopté cette espèce dans son Catalogue.
(73 bis) De Selys Longchamps vient de décrire dans le Dulle- tin de l'Académie de Bruxelles, vol. X, n°. 7, sous le nom de PARUS BOREALIS, une mésan- ge de l'Islande, qui ne se distin- gue du Parus sibiricus que par sa calotte noire et la couleur elai- re des flancs. Elle doit se trou- ver egalement en Norwege.
(74) Ch. Bonaparte, List, p. 11, no. 73, fait mention d’une nouvelle espèce de grimpereau, originaire de la Dalmatie, et qu’il désigne sous le nom dé CERTHIA NATTERERI; mais il omet cet oiseau dans son Catalogue pu- blié récemment.
(74 bis) CORVUS CORORNE. On sait que cette espèce niche sur des arbres. Il en est de même en Hollande ; mais les individus qui fréquentent nos dunes, font con- stamment leur nid à terre.
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(75) CORVUS MONEDULA NI- GA. Wir haben diesen Vogel nicht in der Natur gesehen, und können daher nichts Näheres über denselben mittheilen.
(76) GARRULUS GLANDARIUS MELANOCEPHALUS scheint vom gemeinen Heher nur durch die grösseren schwarzen Flecke der Kopffedern -abzuweichen. Wir erhielten ein Exemplar von Pe- tersburg unter dem Namen Gar- rulus tliceti! vom Kaukasus. Graf von der Mühle, p. 52, traf in Griechenland nur den gemeinen Heher an.
(77) ALAUDA BIFASCIATA. Das von Gould abgebildete Exem- plar aus Spanien ist dunkler ge- färbt und ın allen Theilen etwas grösser als ein anderes Exemplar unserer Sammlung aus Nubien, welches in den Planches colo- riées 393 abgebildet wurde. Die Abbildung eines von ARäppell, Atlas, Tab. 5, p. 8, aus dem nordöstlichen Afrika emgeschick- ten Exemplares, stimmt in der Grösse mit dem Exemplare aus Spanien, in der Färbung mit dem aus Nubien überein. Die Exem- plare, welche Lichtenstein, Ver- zeichniss ‚1823, p.27, n0.285, beschreibt, wurden in Nubien erlegt, und scheinen die von Gould und Rüppell abgebildeten Exemplare an Grösse noch zu übertreffen. Es scheint daher die- se Art entweder in der Grösse individuell abzuändern, oder klı- matische Varietäten zu bilden.
(75) CORVUS MONEDULA NI- GRA. N’ayant pas vu cet oiseau en nature, nous ne sommes pas à même d’en fournir des parti- cularites. |
(76) GARRULUS GLANDARIUS MELANOCEPHALUS. Îl paraît que cet oiseau ne se distingue du geai ordinaire que par les taches noi- res plus grandes des plumes de la tete. Nous venons d’en rece- voir de la part du Musée de St. Petersbourg, sous le nom de Garrulus ileceti, un individu tué au Caucase. Mr. von der Mühle, p. 52, dit n’avoir ren- contre en Grèce que le geai or- dinaire.
(77) ALAUDA BIFASCIATA. L'in- dividu de cette espèce, figuré par Gould est originaire de l’Es- pagne; il offre des teintes plus foncées et une taille plus forte qu’un autre individu tué en Nu- bie et représenté dans les P/an- ches color., 393. L’individu figure dans l'Atlas de Rüpell, Pl.5, p. 8, est également originaire des parties orientales de l'Afrique sep- tentrionale; 1l est semblable par ses teintes à celui représenté dans les Planches color., mais sa taille est aussi forte que celle de l’in- dividu de l'Espagne. Mr. Zichten- tenstein a décrit, dans son C'a- talogue, 1823, p.27, n°. 285, des individus tués en Nubie, et qui paraissent même surpasser en grandeur ceux figures par Gould et Rüppell. Il parait résulter de ces données, ou que cette espèce est sujette à varier individuelle- ment, ou qu’elle présente, sui-
Im ersten Falle wäre auch Alau- da desertorum, Stanly in Salt, voy., app., p. LÄ, hierherzu- zıehen, und der Art letzterer Name beizulegen.
(78) ALAUDA DUPoNTIEL Wir haben diesen Vogel zwar nicht ın der Natur gesehen; indessen scheint derselbe doch eine eigene Art zu bilden, und nicht, wie Blas. u. Keyserling, p. AXXVI vermuthen, als monströse Ausar- tung zur gemeinen Feldlerche zu gehören. Man vergleiche mit die- ser Art Alauda ferruginea , von der Mühle, p. 35, Anmerkung , aus Griechenland.
(79) Ch. Bonaparte, List, p. 837,n0.249, und Icon. d. Fauna téal., Introd. all. Class.d. Ucelli, glaubt unter dem Namen ALAUDA CANTARELLA , eine kleinere Ne- benart der Feldlerche aus Italien unterscheiden zu müssen.
Von der Mühle, p. 36, erwähnt ausser der gemeinen Feldlerche noch zweier Abarten dieser Art, welche er aus Griechenland mit- brachte. Ohne genaue Untersu- chung und Vergleichung der Ori- ginalexemplare lässt sich nicht bestimmen, in wiefern alle diese verschiedenen Arten und Abarten der europäischen Lerchen, als selbstständig zu betrachten sind.
(80) azauDa KoLLyI, Tem- ninck , Pl. col. 305, fig. 1; Man. III, p.202, ist nur nach
75
vant les localités, des variétés de climat. Dans le premier cas, il conviendrait de retablir, pour designer cette espece, le nom d’Alauda desertorum , Stanley dans Salt, voyage, app. p. LX.
(78) ALAUDA DuUPonTm. Nous n'avons pas vu cet oiseau, qui parait former une espèce bien établie et ne pas appartenir, comme le prétendent Keyserling et Blasius, p. AXXVI, comme variété monstrueuse à l’alouette ordinaire. Comparez à cette espe- ce l’alouette de la Grèce, indi- quée par Mr. von der Mühle, p. 35, remarque, sousle nom d’ Alau- da ferruginea.
(79) Ch.Bonaparte, List, p.87,
n°. 249, et Zcon. d. Faun. ital. . :
Introd. à la classe des oiseaux, prétend qu'il existe en Italie une espèce voisine de l’alouette ordi- naire, mais qui s’en distingue par une taille moins forte; ıl la dé- signe sous le nom d’aLaupa GANTARELLA.
Mr. le comte von der Mühle, p. 36, fait mention, outre l’alou- ette ordinaire, de deux variétés de cette espèce recueillies par lui en Grèce. On voit par ces don- nées, que, sans avoir vu et soi- gneusement comparé les individus qui ont servi de type aux indi- cations sur les diverses espèces et races d’alouettes d'Europe, il est impossible de les admettre comme parfaitement établies.
(80) ALAUDA KoLLyı, Temm., Pl. col. 305, fig. 1; Man. III, ?. 202, espèce douteuse, établie
einem verstümmelten, bei Dyon ‚gefangenen Exemplare, aufge- führt, und scheint als Varietät zu Al. brachydactyla zu gehören.
ALAUDA PISPOLETTA, Pal- las, Zoogr., I, p. 526, no. 154, aus dem südlichen Russland , von Ch. Bonap., List, p. 37, als ei- gene Art aufgeführt, gehört nach den Untersuchungen von Keyserl. u. Blas., p. XXXVIT, zu Al. brachydactyla.
ALAUDA BIMACULATA, Me- nétr., Cat., p.37, n°. 82, von Ch. Bonap., List, .p. 37, no. 255: Melanocorypha bimacula- ta, unter die europäischen Vö- gel aufgenommen, wurde von Ménétries nur im Süden des Kau- kasus, an der persischen Grenze beobachtet.
Es scheint in Griechenland eine, der Alauda brachydactyla ver- wandte, neue Lerche vorzukom- men, die aber bis jetzt sehr un- vollkommen bekannt ist. Sie wur- de zuerst in der Expedition de Moree, III, p.52, als Abart der Alauda brachydactyla aufge- führt. Keyserling u. Blasius , p. AXXVII, vermutheten schon, dass sie eine neue Art bilde. Graf von der Mühle, p. 37, erwähnt derselben auf’s Neue, und schlägt, wenn sie sich als Art bestätigen sollte, vor, sie PHILEREMOS MOREATICA zu nennen.
(81) Ch. Bonap., List, p. 37, n°. 254, führt unter dem Namen PHILEREMOS SCRIBA, (rould,
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d’après un individu mutilé, pris dans les environs de Dyon, paraît appartenir à l'espèce connue sous le nom d’Alauda brachydactyla.
Il en est de même, suivant les observations de Keyserling et Bla- sius, p. XXAVII, de l’ALAUDA PISPOLETTA, Pallas, Zoogr.,1, p. 526, n°. 154, qui habite la Russie méridionale et qui a été indiquée comme espèce particu- lière par Ch. Bonaparte, List, p. 87.
ALAUDA BIMACULATA, Jé- nétr., Cat., p. 37, n°. 82, in- scrite par Ch. Bonaparte, List, p. 37, n°. 255, dans le Catalo- gue des oiseaux d'Europe, sous le nom de Melanocorypha bima- culata, n’a été observée par Mé- nétries qu’au Sud du Caucase, près des frontières perses.
Il paraît qu’il existe en Grèce, une alouette voisine mais différen- te del’. Alouette à doigts courts ; on n’en possède malheureusement jusqu’à présent, que des notions très-imparfaites. Elle a été indi- quee, dans l’ Expedition de Mo- ree, III, p. 52, comme variété de l'alouette à doigts courts. Key- serling et Blasius, p. XXX VIT, ont été les premiers à :supposer qu’elle pourrait bien former une espèce nouvelle. Le Comte von der Mühle, p. 37, en fait de nouveau mention, et propose de la désigner sous le nom de PHILEREMOS MOREATICA, Si son existence comme espèce a élé constatée d’une manière décisive.
(81) Ch. Bonaparte, List, p. 37, n°.254, introduit parmi les oiseaux d'Europe, sous le nom
eine neue Lerche auf. Man wird uns entschuldigen, wenn wir ei- nen Vogel, von dem nichts als der Name bekannt ist, nicht auf- nehmen.
(82) Schinz, I. c., p. 247, führt CANNABINA PALUSTRIS, Landbeck, als eigene Art auf, obgleich er sie selbst nicht für ver- schieden von Fring. flavirostris hält.
(83) FRINGILLA BOREALIS, Roux, Orn. prov., I, p. 165, Pl. 101 et 102; Vieillot, Faune francaise, p. 84, soll nach de Selys-Longchamps , Faune Bel- ge, p. 72, n°. 58, von Fringilla canescens, mit welcher sie bis jetzt für einerlei gehalten wurde, verschieden sein. De Selys-Long- champs sagt von Fr. borealis :
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de PHILEREMOS SCRIBA, Gould, une espèce d’alouette, que nous n’avons pas jugé convenable d’a- dopter, vu que l’on en ignore toutes les particularités, hormis le nom.
(82) CANNABINA PALUSTRIS, Landbeck, figure dans l'ouvrage de Schinz, l. c. p. 247, sous un nom particulier, quoique Schinz lui-même la croit indentique avec la Fring. flavirostris.
(83) De Selys-Longchamps , Faune Belge, p.72,n0.58, prétend que la FRINGILLA BOREALIS, Roux, Orn. prov., I, p. 165, Pl. 101 et 102; Vrerllot, Faune française, p.84 diffère par l’es- pece de la Frengilla canescens, avec laquelle on l’a cru identique jusqu'à present. Mr. de Selys- Longchamps s'exprime dans les termes suivaus sur la Fr. borealis.
»Ce n’est probablement qu’ une race un peu plus forte du Zi- »naria. Îl ne faut pas confondre cette race ou espèce avec la F. »canescens qui en différe constamment en ce qu’elle a tout le crou- »pion d'un blanc pur en-dessus, une taille encore plus forte, la » queue très-longue et le fond du plumage blanc flammé de brun.”
Ch. L. Bonaparte, List, p. 34,n°.226, erwähnt einer LINOTA BREVIROSTRIS, Gould, ohne etwas Näheres über dieselbe anzu-
geben.
(83 bis) PASSER MONTANUS. Die auf Java und mehreren Inseln des indischen Archipels vorkom- menden Sperlinge gehören nicht zu Passer salicarius, sondern zu P. montanus, von welcher Art
Ch. L. Bonaparte, List, p. 34, n°. 226, fait mention d’une espèce appelée par Gould, xx- NOTA BREVIROSTRIS, Sans y ajouter la moindre indication sur les caractères de cet oiseau.
(83 bis) PASSER MONTANUS, Les moineaux observés à Java et sur plusieurs autres iles de l’Ar- chipel des Indes forment une es- pece trés-distincte du Moineau a poitrine noire, mais que je ne
ich sie wenigstens nicht zu un- terscheiden vermag. Nach Herrn S. Müller’s Mittheilungen kommt aber dieser Vogel ursprünglich nicht wild in Indien vor , sondern es wurde derselbe, im vorigen Jahrhundert, auf Java, wahr- scheinlich von Japan aus, einge- führt.
(84) PASSER PUSILLUS. Die- ser merkwürdige Vogel ist uns nur nach der Abbildung und kur- zen Beschreibung , welche Pallas von demselben gegeben hat, be- kannt. Pallas macht darauf auf- merksam , dass derselbe mit Z:- narıa montana , Brisson , Orn., III, p. 145, n°. 33; Buffon, Orn., IV, p. 74; Mountain Lin- net, Will. Orn., p. 261. Zool. Brit., Tab. 59; Lath. Syn. III, p. 1307, n°. 76, zu vergleichen sey; allein ein Blick auf die Ab- bildung des Passer pusillus reicht hin, um sich zu überzeu- gen, dass dieser Vogel von allen europäischen und auch von den ausländischen bekannten finken- artigen Vögeln abweicht. Seine hohen, dünnen Läufe machen es wahrscheinlich, dass er sich mehr auf der Erde als auf Bäumen auf- hält. Welchen Gruppen der fin- kenartigen Vögel er sich am na- türlichsten anreiht, lässt sich, bei der unvollständigen Kennt- niss, die wir von dieser Art haben, nicht bestimmen. Wir ha- ben ihr daher den von Pallas vorgeschlagenen Gattungsnamen einstweilen gelassen.
Was Pallas, L. c. von dersel- ben sagt, beschränkt sich auf folgende Zeilen.
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sais distinguer du friguei. Sui- vant les communications de Mr. S. Müller, cette espèce ne se trouve pas originairement sur les îles que nous venons de citer, ayant été introduite, probable- ment du Japon, dans le siècle passé à l’ile de Java.
(84) PASSER PUSILLUS. Cet oiseau curieux ne nous est connu que par la figure et la descrip- tion qu’en a données Pallas. Se- lon ce voyageur, l’espèce doit être comparée au Zinaria montana Brisson, Orn., III, p. 145, no. 33; Buffon, IV, p. 74; Moun- tain Linnet, Will. Orn., p. 261; Zool. Brit., Tab. 59; Lath. Syn., III, p. 1307, no. 76; mais ıl suffit de jeter un coup d'œil sur la figure du Passer pusillus, pour se convaincre, que cet oiseau s'éloigne égale- ment de toutes les espèces euro- péennes et exotiques de la famille des Fringilloïdes. À en juger de ses tarses grêles et élevés, il paraït que cet oiseau se tient plutôt à terre que sur les arbres. Nos con- naissances de cette espèce étant assez incomplètes, il est impos- sible de constater les relations qui existent entre cet oiseau et les nombreuses espèces qui font par- tie de la famille des Fréngilloides. C'est en raison de l'incertitude qui règne à cet égard que nous n'avons pas changé le nom con- féré par Pallas à cette espèce.
Pallas, L. ec. la décrit dans
les termes suivans.
»P. gryseo nigroque vario, ventre albo, fronte testaceo rubra.
»Circa Caucasum et mare caspium frequens avis, aestate circa »nivalia juga cum P. alpicola (Fring. nivalis) et Mot. ceraunia (Lus- » ciola erythrogastra) versatur, hyeme in subalpinis Persiae.
» Deser. Linaria fere minor. Frons testaceo rubra, vertex nigricat. »Collum dorsumque plumis gryseis medio fuscis. Venter et subcau- » dales alba. Pedes nigri. Rostrum fuscum.”
Die Maasse dieser Art, so gut sich dieselben nach der, aller- dings sehr mittelmässigen Abbil- dung, angeben lassen, sind fol- gende:
Ganze Länge . . 2... . 8 9/7! Länge der Flügel . . . . . 1 10 . » des Schwanzes . . . 1 3 » des Laufes 0 » der Mittelzehe ohne Nagel. sf... 0.84 » der Hinterzehe . . . O 2.
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(85) COCCOTHRAUSTES CAU- casıcus. Güldenstädt scheint bis jetzt der einzige Naturforscher zu seyn, der diesen schönen Vo- gel untersucht hat. Wir theilen deswegen seine Beschreibung voll-
Nous avons emprunté a la fi- gure publiée de cet oiseau par Pallas, les mesures suivantes:
Longueur totale . . . . . 8 gm », ides ailes.....4etsaet Lult) ». de la/queur 13 stars een 10 (6 » du doigt de milieu
(sans son ongle) . . 0 3
2
2 UMROUCE ln 0lte Ah
7
4 1
DS
(85) COCCOTHRAUSTES CAU- casıcus. Il parait que Gülden- städt est le seul naturaliste qui ait examiné cette belle espèce. On lira par conséquent, avec in- térêt, la description que ce savant
ständig mit: en a donnée. La voici:
»LOXIA RUBICILLA.
» Avis, quam sub hoc nomine propono, magnitudine, habitu et » colore proxime ad Enucleatorem, rostro ad Goccothraustem acce- »dit, et inter hasce duas species congeneres quasi media. Colore »suavissimo coccineo , ’albido et cinerascente lepide variegato. Ru- » bicilla antecellit Enucleatorem, colore miniato fusco undulato ocu- »los minus afficientem. Rostri crassitie Goccothrausti cedit Rubicilla. »Avis nostra indigena alpinum caucasicarum aëre frigidiusculo pa- »riter ac Enucleator delectatur; praesertim ad alveos glareosos tor- »rentium in Gaucaso occurrentium degit et baccas Hippophaës » Rhamnoïdis, ad illos copiosissime crescentis, gulae indulgens avi- » dissime legit, eandemque disseminat, Familiae numerosissimae » Rubicillarum gregatim volitare et vocem Pyrrhulae imitare solent. » Sexus differentia vix ulla, nisi quod rubedo feminae minus speciosa
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»sit. Icon staturam et habitum magnitudine naturali exprimit , reli- » qua ex descriptione patent, quae nunc dabo.” Ait fs
» Rostrum incrassato-conicum; capite dimidio brevius, a fronte »sex, a rictu octo lineas longum; basi latissimum , diametro per- » perpendiculari sex, et transversali quinque linearum ; apice acu- » minatum ; mandibula superior fusca, apice recto vix ultra inferiorem »promineus; inferior albida, lateribus tantisper introrsum flexa. » Lingua integra, truncata. Nares basilares, capistro fusco tectae. » Oculi fusci.
»Caput supra, gula, collum subtus et pectus intense coccinea, »leucosticta, maculis acutis triquetris; abdomen et ani regio dilute »rosea, albido undulata; caudae tectrices inferiores roseo-fuscae. »Collum supra et dorsum canescens cum rosei tinctura; tectrices »caudae superiores fusco-rosea. Basis plumarum omnium, quae in »situ naturali obtecta et partem maximam totius plumae constituit, »intense cinerea.
» Alae complicatae quoad pollicem unum cauda breviores; remi- »gibus et tectricibus primartis fuscis, marginibus obsolete roseis, » tectricibus axillae dorso concoloribus.
» Cauda tres pollices et sex lineas longa, integra; rectricibus » duodecim, aeneo-nigris, extima utrinque exteriore margine albido, » reliquis margine roseo adumbratis.
»Femora ad genua usque plumosa, cana; tibiae et digiti, quo- »rum tres antici et unus posticus, nigri coloris; ungues digitorum »incurvi, acuminati, nigri, anteriorum subaequales, postici maximus.
» Longitudo aviculae extensae ab apice rostri ad caudae extremum »octo pollicum pedis londinensis duodecimalis.”
Folgende Maasse haben wir der, Güldenstädts Beschreibung beglei- tendten Zeichnung, entnommen:
Länge desFlügels . 4Zoll.9 Lin. » des Laufes. . . 1 » 1» » der Mittelzehe . O0 » 9 » » der Hinterzehe. OÖ » 5 »
(86) De Selys-Longchamps, Faune Belge, p. 79, n°. 71, führt eine zweite Art des gemer- nen Gimpels auf. Wir kennen diesen Vogel nicht, und können daher den folgenden Angaben des Herrn de Selys nichts hinzufügen:
Voici les mesures prises sur le dessin publié par Güldenstädt:
Longueur de l’aile 4pouc. 9 lign. »..! dutarse .:. 114 se » du doigt de milieu , .- 20023980
» dupouce .. 0 » 5 » (86) Mr. de Selys - Long-
champs fait mention, dans sa Faune Belge, p. 79, n°. 7, d’une espèce nouvelle mais très- voisine du Bouvreul commun. N'ayant pas vu cet oiseau en na- ture, nous renvoyons aux, obser- vations de Mr. de Selys, qui en parle dans les termes suivans:
81
» PYRRHULA COCCINEA, de Selys-Longch. BOUVREUIL PONCEAU. » Vulgairement grand bouvreuil.
» Cet oiseau n’est assez probablement qu’une race locale plus »grande du Bouvreuil commun. Il est de passage accidentel en » Belgique et par troupes à la fin de l’automne. II y a été très- » commun en décembre et en janvier 1831. Il m'a paru qu'il a » l’espace blanc du croupion plus étendu que chez le bouvreuil »commun. Il semble que son chant est plus varié et qu'il ne se
»mele pas avec le petit Bouvreuil commun.”
Cuvier, Regne animal, I, p. 414, hat schon dieser grösseren Race des Gimpels erwähnt.
Die vomGrafen von der Mühle, p. 45, unter dem Namen Pyrr- hula sinaica? Temminck, auf- geführte Art aus Griechenland scheint zu P. erythrina zu ge- hören. |
PYRRHULA LONGICAUDA, Tem- minck, Man., I, p. 340; Loxia sibirica, Pallas, It. Il, app., n0.24; Pyrrhula caudata, Pal- las, Zoogr., II, p.10, n°. 181, nach einem von Pallas aus der Krimm geschickten Exemplare als europäisch aufgeführt, kommt nach Pallas, nur auf dem Altaı und ım östlichen Sibirien vor, und ist dort überall Standvogel. Es ist mir auch kein Beispiel bekannt, dass dieser Vogel in Europa beo- bachtet worden wäre.
(87) PYRRHULA SERINUS IS- LANDICA. Ich habe zwar diesen Vogel nicht in der Natur gese- hen, jedoch auf Faber's Zeug- niss darf man ıhn wohl, wenn auch nur als Nebenart, aufneh- men.
(88) Ch. Bonaparte, List, p. 34, n°. 227, führt ERYTHROSPI- ZA PHOENICOPTERA, Linaria
2.
Cuvier, Règne animal, I, p. 414, a déjà indiqué cette race plus forte du Bouvreuil.
Le Bouvreuil de la Grèce indi- qué par Mr. von der Mühle, p. 45, sous le nom de Pyrrhula sinaica? Temminck, ne paraît pas différer de la P. erythrina.
PYRBHULA LONGICAUDA, Tem- minck, Man., I, p.340; Loxia sibirica Pallas, Voy., II, app., n°. 24; Pyrrhula caudata, Pal- las, Zoogr., IT, p. 10, no 181, indiqué comme espèce européen- ne, d’apres un individu envoyé par le professeur Pallas de Cri- mée , n’habite , selon ce voyageur, que l’Altai et la Sibérie orien- tale, où elle est sédentaire. À ce que je sache , il n’existe aucune donnée certaine que cet oiseau ait été tué en Europe.
(87) PYRRHULA SERINUS IS- LANDICA. Je n'ai pas vu cet oiseau en nature; mais 1l me sem- ble que le témoignage d'un na- turaliste, tel que feu Faber, suf- fit pour l’adopter au moins com- me race distincte.
(88) On ne peut guere se for- mer une idée définitive sur l’espé- ce, introduite parmi les oiseaux
6
phoenicoptera, Gould, als neue ‚europäische Art auf. Welche Art damit gemeint ist, lässt sich, da sienur dem Namen nach bekannt ist, nicht bestimmen.
(89) LOXIA LEUCOPTERA : Gmel. Linn, p. 844, n°. 12; Wilson, Pl. 31, fig.8; de Se- lys-Longchamps , Faune belge, PI. IV, fig. 3, aus Nordamerika, ist bedeutend kleiner und hat ei- nen viel schwächeren, stärker zu- sammengedrückten und mit län- geren Spitzen versehenen Schna- bel als L. dbifasciata. Sie ist bis jetzt noch nicht in Europa beo- bachtet worden.
(90) EMBERIZA HYEMALIS, Linn., Syst., XII, p.308, n°. 2; Fringilla hyemalis, Linn. , Syst., X, p. 183; Wilson, PI. 16, fig. 6; Struthus hyemalis, Ch. Bonap., List, p. 31, n°. 215; Gould, Pl. 190, aus Nordame- rika, wird im Manuel, III, p.234, als europäisch aufgeführt , weil sie aufihren Wanderungen zuwei- len in Island erscheinen soll. Die Nachrichten aber, auf welche diese Behauptung gestützt ist, sind von der nämlichen Person , welche sie mittheilte, widerrufen worden. Ch. Bonaparte, Catalogo, p. 45, n°. 235, erwähnt unter dem Namen EMBERIZA BONAPARTI, Barthelemy de la Pomm. einen mir ganz unbekannten Ammer, der im südlichen Frankreich als Verirrter beobachtet wurde. Fer- ner wird im Catalogo, p. 45, n°. 236, eine EMB. CINEREA,
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d'Europe par CA. Bonaparte, List, p.34, n°. 227, sous le nom d'ERYTHROSPIZA PHOENICOP- TERA, Linaria phoenicoptera, Gould, cette indication n'étant accompagnée d’aucune phrase descriptive.
(89) LOXIA LEUCOPTERA, Gmel. Linn., p. 844, n°. 12; Wilson, Pl. 31, fig. 3; de Se- lys-Longchamps, Faune belge, Pl. IV, fig.3, espèce qui habite l'Amérique du nord, diffère de la Loxia bifasciata par une taille moins forte et par un bec plus faible, plus comprimé et à poin- te assez déliée. Cette espèce n’a pas encore été observée en Eu- rope.
(90) EMBERIZA HYEMALIS, Linn. Syst., XII, p. 308, n°.2; Fringilla hyemalis , Linn. Syst., X,p.183; Wilson, PI. 16, fig.6; Struthus hyemalis, Ch. Bonap., List, p. 31, n°. 215; Gould, PL. 190, espèce de l'Amérique du nord, a été introduite dans le Manuel, III, p.234, parmi les oiseaux d’Europe, par suite de l'indication donnée par une per- sonne mal informée, que cette espèce visite, lors de ses migra- tions, de temps en temps l'Islande,
Ch. Bonaparte, Catalogo, p, 45, n°. 235, fait mention, sous le nom d’EMBERIZA BONAPAR- Tu, Barthélemy de la Pomm., d’un bruant, observé dans laFran-
‘ce méridionale, qu'il visite ac-
cidentellement. Il est fait men- tion dans le même opuscule, I. c., n°. 236, d’un bruant de
Strickland, aus dem östlichen Europa angeführt, von der ich ebenfalls nichts Näheres zu sagen weiss, da mir keine Beschreibung derselben bekannt ist.
(91) EMBERIZA CHRYSO- PHRYS. Das einzige, bis jetzt in Europa beobachtete Exemplar dieser Art wurde bei Lille gefan- gen : siehe de Selys-Longchamps, lc.
(92) EMBERIZA RUTILA. Pal- das, nach zwei aus der Krimm von Pallas geschickten Exempla- ren, im Manuel, III, p. 232, als Bewohner des südlichen Russ- lands aufgeführt, wurde von Pallas, Zoogr. ross. as., II, p. 53, n°.217, nur in Dauurien beobachtet.
(93) EMBERIZA FUCATA. Die- se Art unterscheidet sich leicht von Emb. rustica durch ihren gekrümmten Schnabel und grös- sere Füsse. Bei Emb. rustica ist der Schnabel, wie bei Emb. pu- silla, gerade und daher pfrie- menförmig. Im Tugend- und Win- terkleide sind sich Emb. fucata und rustica in der Färbung aus- serordentlich ähnlich.
Da ich meine Untersuchungen über diese beiden Arten aufzwei schlecht erhaltene Exemplare be- schränken muss, so bin ich nicht ım Stande, ıhre Kennzeichen
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l'Europe orientale, appelé Em: BERIZA CINEREA, Sirickland. Je ne connais ni l’une ni l’autre de ces deux espèces, dont on n’a pas même donné des descrip- tions, à ce que je sache.
(91) EMBERIZA CHRYSO- PuRrys. Cette espèce n’a été ob- servée, jusqu'à présent, qu’une seule fois en Europe, savoir dans les environs de Lille, où un individu fut pris au filet: voir de Selys-Longchamps, I. c.
(92) EMBERIZA RUTILA , Pal- las, n’habite, selon les données de ce voyageur, que la Daourie : voir Zoogr. ross.as., IT, p.53, n°. 217. C’est donc à tort que les deux individus de cette espe- ce, envoyés de la Crimée par le professeur Pallas, ont été regar- dés comme ayant été iués dans la Russie méridionale; voir le
Manuel, d’Ornit., III, p. 232.
(93) EMBERIZA FUCATA. Cette johe espèce differe de !’_Eimberiza rustica par un bec arqué et par des pieds plus robustes; le bec de la dernière espèce étant droit et par consequent en alene, ab- solument comme celui de I!’ Em- beriza pusilla. En hiver et au jeune äge, les deux especes dont nous venons de parler, savoir Emb. fucata et rustica, se res- semblent beaucoup sous le rap- port de leurs teintes.
N'ayant eu à ma disposition que quelques individus mal con- servés de ces deux espèces, je ne suis pas à même d’en établir, pour le moment, d'une manière
gründlich auseinanderzusetzen.
Der vom Grafen von der Mühle, p.42, unter dem Namen Embé riza cia aufgeführte Ammer scheint in der That zu dieser Art und nicht, wie es jener Orni- iholog vermuthet, zu Emberiza fucata zu gehören.
(94) EMBERIZA PUSILLA. Das am 18 November 1842, in der Umgegend von Leiden ne einem Tnkenbrende gefangene Weib- chen, scheint das erste Beispiel des Vorkommens dieser Art in Europa zu seyn. Es stimmt vollkommen mit der Beschreibung, welche Pallas von dieser Art gegeben hat, überein. Wir haben nach unserem Exemplare folgende Be- schreibung entworfen.
Gestalt des Schnabels, Füsse , «and überhaupt alle gegenseitigen Formenverhältnisse, so wie die Färbung, ganz wie bei Emberiza rustica im Winterkleide; der ‚ganze Vogel aber durchgehends kleiner, nn folgende Maasse zeigen:
‚Ganze Länge. . . .. 59,00 Länge der Flügel | re Pr A » des Schwanzes . . . 2 1 » des Laufes. 0:58 » der Mittelzehe . . . . O 5 » des Nagels FT PT O2 » der Hinterzehe 10 MS » des Nagels derselben. O 21 » des Schnabels vom Mundwinkel ....0 41 Breite des Schnabels beim Mundwinkel ....0 22.
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précise, les autres traits Geier üfs qu’elles offrent.
Le bruant indiqué par Mr. von der Mühle, p. 42, sous le nom TEnmbere cia, parait en effet se rapporter à cette espèce et non pas à l’Zmberiza fucata , comme le suppose l’ornithologiste que nous venons de citer.
(94) EMBERIZA PUSILLA. 1 parait que cette espèce n’a été observée en Europe par au- cun autre naturaliste. Nous en possédons un individu femelle, pris le 18 Novembre 1842 dans les environs de Leide. Cet indi- vidu, dont nous donnerons une description détaillée, se rapporte parfaitement à celle que Pallas a publiée de cette espèce.
Les formes du bec de cet oi- seau, les pieds et en général tou- tes les proportions relatives des parties du corps, ainsi que la distribution des teintes, sont com- me dans l’Æmberiza rustica en habit d'hiver; mais il est d’une taille beaucoup moins forte, com-
me il résulte par les mesures sui-
vantes: '
Longueur totale . . . . des diles 21.102 de la queue . . . du tarse du doigt de it ; de son ongle . . du pouce. . de son ongle . du bec, depuis l’an- gle de la bouche . . Largeur du bec, pres l’an-
gle de la bouche . .
»
Schnabel gerade, stark ver- jüngt zulaufend , daher pfrie- menförmig , mit scharfer; kaum merkbar abwärts gebogener Spit- ze; schwärzlich hornfarben, an den Ladenrändern, und an der untern Wurzel der Unterkinnlade in’s gelbliche. Kopf oben, in der Mitte, mit einem breiten sölhlieh rbinen Längestreifen , der auf jeder Seite von einem et- was schmäleren, schwärzlichen Streifen eingefasst wird. Zügel- gegend blass rostfarben; von da zieht sich ein !ichter, weisslich rostfarbener Streif über dem Auge und über der Ohrgegend hin. Ohrgegend röthlich rostfarben , von unten und hinten schwarz gesäumt. Kehle und Vorderhals gelblichweiss, von einem Kranze schwarzer Flecken eingefasst , der seinen Anfang an jeder Sei- te der Wurzel des Unterkiefers nimmt. Zwischen diesem schwar- zen Streif und der Ohrgegend ein weisslicher Streif, der schon an den Seiten der Wurzel des Unterkiefers entspringt, und, sich hinter der Ohrgegend umbie gend, bis an die Saiten des Chrtekks läuft, wo er allmählich ver- schwindet. Vorderbrust und Sei- ten des Körpers weisslich, mit bräunlichgelbem Anfluge; alle Federn dieser Theile mit ziemlich grossen, schwarzen, braunröth- lieh gesäumten Schaftflecken. Alle übrigen Untertheile des Körpers, mit Inbegriff der untern Schwanz- deckfedern weiss. Federn der Seiten des Halses, des Hinterhal- ses und des Bürzels bräunlich- grau mit olivenfarbenem Anfluge, und undeutlichen schwärzlich-
Bec droit, assez conique, par conséquent en alène, à pointe aiguë insensiblement ouibée en bas; d’un noirätre couleur de corne, tirant au jaunätre sur les bords des mandibules et sur le dessous de la base de la mandi- bule inférieure. Sommet de la tête orné au centre d’une raie longitudinale d’un brun couleur de rouille rougeätre; cette raie est bordée de chaque côté d’une raie noirälre un peu plus étroite. Freins couleur de rouille pâle; une raie plus claire et tirant au blanchätre s'étend depuis cette région, au dessus des yeux et de la région des oreilles, qui est couleur de rouille rougeätre , bor- dée en bas et par derrière de noir. Gorge et parties antérieures du cou d’un blanc jaunätre et entourées d’une rangée de ta- ches noires distribuées sur une bande en cercle qui s'étend de chaque côté jusqu’à la base de la mandibule inférieure. On voit, entre cette bande noire et entre la région des oreilles, une raie blanchätre qui naît, de chaque côté, à la base de la mandibule inférieure , pour se prolonger derrière É région des oreilles, en se recourbant en haut sur les côtés de la nuque, où elle disparaît. Parties supérieures de la poitrine et flancs blanchätres, nuancées de brunätre ; toutes les plumes de ces parties sont pour- vues de taches noires loncitudi- nales, assez grandes et bordées de brun rougeatre. Toutes les autres parties inférieures de l’oi- seau, y compris les couvertures inférieures de la queue, sont d’un
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braunen Schaftflecken. Obere Schwanzdeckfedern etwas dunk- ler und schmutziger, mit grös- seren aber undeutlicher begrenz- ten Mittelflecken. Federn des Rüc- kens, in der Mitte, mit einem gros- sen braunschwarzen Längsflec- ke, der nach den Seiten hın in’s röthlich rostfarbene, und gegen den Rand der Federn, in’s grün- lichgraue übergeht. Alle äussere Federn des Flügels braunschwarz: die Schwungfedern mit weissli- chem innerem Rande und rostfar- benen äusserem Rande, der auf den Schwungfedern erster Ord- nung schmäler und blässer als auf denen zweiter Ordnung ist; Schulterdeckfedern und grosse Flügeldeckfedern zweiter Ord- nung mit breitem röthlich rost- farbenem Saume. Mittle Flügel- deckfedern an der Spitze mit breitem weissem Saume.Schwanz stark gegabelt: das dritte Paar Steuerfedern am längsten, und um 3 Linien länger als das mit- telste Paar, deren innerer Rand bis über ein Drittel ihrer Länge schräge abgeschnitten ist, Steuer- federn schwärzlich , mit äusserst schmalem ‚blass rostfarbenemSau- me; das mittelste Paar in’s bräun- liche mit breiterem Saume. Aus- serstes Paar Steuerfedern mit einem breiten , weissen , schrägen Streifen , der auf der Aussenfahne, nahe an der Wurzel der Feder, seinen Ursprung nimmt, und die ganze Aussenfahne bis auf ıhr äusserstes Viertel einnimmt, auf der Innenfahne dagegen, nach der Spitze der Feder hin, immer breiter wird. Auf dem zweiten PaarSteuerfedern findet sich eben-
blanc pur. Les plumes des par- ties latérales et postérieures du cou ainsi que celles du croupion sont d’un gris brunätre nuancé d’olivätre, et elles offrent au cen- tre des taches peu sensibles d’un brun noirätre. Les couvertures supérieures de la queue présen- tent une teinte plus foncée et plus sale que les plumes du crou- pion , et leurs taches sont plus grandes,mais mal déterminées. Les plumes du dos sont pourvues au centre d’une grande tache lon- gitudinale d’un brun noir, pas- sant au brun couleur de rouille rougeätre, vers les côtés des plu- mes , et au gris verdätre sur les bords. Toutes les plumes des parties extérieures des ailes sont d’un brun noir: les rémiges sont bordées à la barbe interne de blanchätre; les barbes externes offrent des bords couleur de rouille, plus pâles et plus étroits sur les rémiges primaires que sur les secondaires; les couvertures des épaules et les grandes cou- vertures de la deuxième rangée présentent de larges bords couleur de rouille rougeätre; les couver- tures moyennes enfin sont ornées à l'extrémité d’un large bord blanc. La queue est fortement échancrée à l'extrémité: la troi- sième paire des pennes, sur- passant les autres en longueur , est plus longue de 3 lignes que la paire mitoyenne, dont la bar- be interne est découpée jusqu’au de là du deuxième tiers de leur longueur. Ges pennes de la queue sont noirätres, etornées d’un liséré étroit couleur de rouille pâle; la teinte du fond tire au brunätre sur
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falls ein weisser aber schmälerer | les pennes mitoyennes, dont le Streif, der erst auf der zweiten | bord est plus large que celui des Hälfte ihrer Länge auftritt , und | autres pennes. Paire externe des auf der Innenfahne längs dem | pennes de la queue ornée d'une Schafte der Feder hinläuft. Füs- | raieblanche assez large et oblique, se und Zehen zart, blass gelblich | qui naît près de la base de la hornfarben. Nägel spitzig , ziem- | penne sur la barbe externe, dont lich gekrümmt, blass schwärz- | elle occupe les trois premiers lich hornfarben. Erste Schwung- | quarts de sa longueur, et qui va feder von gleicher Länge als die | en s’elargissant sur la barbe in- vierte, und kaum um eine Li- | terne à mesure quelle se rap- nie kürzer als die zweite und | proche de l'extrémité dela penne. dritte. On voit uneraie semblable mais plus etroite sur la seconde pai- re des pennes de la queue, mais elle ne se montre que sur la deuxième moitié de la longueur de la penne, et elle s'étend sur la barbe interne le long du tu- yau de la penne. Pieds et doigts greles , d’un jaunätre pale cou- leur de corne. Ongles pointus, assez courbés, d’un noirätre pâle couleur de corne. Première ré- mige d’égale longueur avec la quatrième, et plus courte seule- ment d’une ligne que la deuxié- me et la troisième. Die Beschreibung, welche Pal- Pallas à décrit cette espèce las von dieser Art gegeben hat, | dans les termes suivans: | lautet wie folgt:
» Emberiza gryseo fuscoque liturata, capite nigro, fasciis quinis »testäceis, rectricibus 2 extimis fascia obliqua alba.
» In sylvis et salicetis regionum transbaicalensium et Sibiriae ori- »entalis frequens, migratoria; saepe a tardiva frigore adventans »enecatur. Victitat vere Tenebrionibus.
» Vix spino aequalis. Similitudo summa cum E. rustica , sed multo » minor. Rostrum fusco-corneolum. Caput supra lateribusque varie- »gatum fascus longitudinalibus quinis testaceis, interjectisque nigris »quatuor. Supercilia albidiora. Macula pone aures ferugineas nigra. » Gula pallida, tractu duplici fusco punctata. Lunula utrinque alba, »a gula versus cervicem. Jugulum pallidum, punctis crebris, sagit- »tahbus. Dorsum passerini coloris; subtus albida, lateribus longi- »tudinaliter lituratis. Rectrices utrinque extimae 2. fascia oblique
» longitudinali alba. Remiges 19. primariae margine exteriore palli- »dae, secundariae ferruginae, at interiore omnes albae, 2 ad 4. »extremo angustatae. Cervix et uropygium gryseo-cinerascunt, litu- » ris fuscis. Cauda magis bifurca , quam praecedentis (Emb. fucatae); » rectrices acutiores pallido marginatae, extimae 2. fascia oblique »longitudinali alba. Pondus drachmae sesquitertiae. Mensura corpo- »ris 3% 21, caudae 2” 1”. alarum expans. 8". compositarum 2/ 7/4, » Remiges intermediae aliquot obsoletissime emarginatae. Pedes car-
» neo-pallidi.”
(95) COLUMBA AEGYPTIACA. Schinz, erhielt diese Art aus Griechenland; von der Mühle, p. 83, traf sie ebenfalls daselbst an. Sirickland, Proceedings Zool. Soc., 1836, p. 100, beo- bachtete sie häufig auf den Cy- pressenbäumen der Todenäcker von Smyrna und Constantinopel, vermuthet aber, dass sıe daselbst eingeführt wurde.
Naumann, inWiegman, Ar-
chiv., III, I, p. 106, führt
eine Taube vom Balkan auf, die er, mit Lichtenstein, für eine Vä- rietät der Lachtaube hält, ob- gleich sie grösser und dunkler gefärbt ist. Herr von der Mühle macht darauf aufmerksam, dass diese Taube zu Col. aegyptiaca gehören könne.
(96) Die Angabe im Manuel, IV, p.316, dass der GOLDFASAN in Griechenland und am Kauka- sus wild vorkomme , bedarf wohl der näheren Bestätigung.
(97) TETRAO BRACHYDACTY- LUS, Temm. Man., IV, p.828,
(95) COLUMBA AEGYPTIACA. Schinz possède des individus de cette espèce tués en Grèce; vor der Mühle Va également obser- vée dans ce pays. Sérickland, Proceedings Zool. Soc., 1836, p. 100, dit qu’elle fréquente en grand nombre les cyprès dont les cimétières de Smyrne et de Constantinople sont plantés, mais il suppose que l'espèce a été in- troduite d’ailleurs dans ces con- irees.
Naumann, voir Wiegman , Archiv., III, T, p. 106, fait men- tion d’une tourterelle recueillie au Balcan et qu’il prend, avec le professeur Lichtenstein, pour une variété de la tourterelle rieuse, quoiqu’elle soit d’une tail- le plus forte et ornée de teintes plus foncées que cette espèce. Mr. von der Mühle observe qu'il se pourrait bien que cette tour- terelle appartint à la {ourterel- le d'Egypte.
(96) Nous n’avons trouvé nulle- part des renseignemens positifs tendant à prouver l'existence sup- posée du FAISAN DORÉ au Cau- case; voyez le Manuel, IV, p. 316.
(97) TETRAO BRACHYDACTY- Lus’ Temm, Man., IV, p. 328;
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Lagopus brachydactylus, Gould, Pl.256, weicht von Teirao sa- licet! nur durch die reiner weis- sen Schwingenschäfte, durch die stärker entwickelten Federn an den Seiten der Schnabelwurzel, und durch die kürzeren Zehen ab. Ich habe indessen Individuen von Zefrao saliceti aus Norwe- gen gesehen, deren Zehen die des T. brachydactylus an Länge nicht übertrafen. Auch ist es schwer, wegen der Befiederung der Zehen, die Maasse, zumal an Bälgen, ge- nau zu ermitteln. Nach Pallas, Zoogr., II, p. 67, werden die Schwingenschäfte der alten Männchen von Zefr. saliceti zu- weilen weiss. Sollte die mit dem Namen Teir. brachydactylus be- zeichnete Form in so bedeutender Anzahl beobachtet, und ihre Kennzeichen bei beiden Ge- schlechtern und in jedem Alter standhaft befunden werden, so werden wir keinen Anstand neh- men, sie in der Folge als Neben- art des Te/rao saliceli aufzu- führen.
. (98) TETRAO SALICETI SCO- Tıcus. Weicht von Teirao sali- cet nur dadurch ab, dass sie im Winter nicht weiss wird.
(99) TETRAO RUPESTRIS, Leach; Lagopus rupestris, Gould, Pl. 254, nur nach einem in England erlegten Exemplare be- kannt, . unterscheidet sich nach
der Abbildung und Beschreibung,
Lagopus brachydactylus, Gould, PI. 256, ne se distingue du Te- trao saliceli que par les tuyaux des rémiges teintes d’un blanc plus pur, par les plumes plus fortement développées à la base du bec, et par des doigts plus courts. J’aı cependant vu des in- dividus du Tetrao saliceti, ori- ginaires de la Norwége, et dont les doigts étaient aussi courts que dans le Tetr. brachydacty- le; aussi est-il souvent difficile de juger, chez ces oiseaux, de la longueur de leurs doigts, vu qu'ils sont presque entièrement cachés sous le plumage serré dont les pieds sont revêtus. Pal- las, Zoogr., IT, p. 67, parle de ce caractère tiré de la cou- leur blanche des tuyaux des ré- miges, comme étant exclusive- ment propre à de certains mä- les tres-vieux du Zagopede des saules. Je n’hésiterai pas d’adop- ter comme race particulière le Lagopede brachydactyle, dès que l’on en aura observé une série complete d'individus des deux sexes et de tous les âges, offrant tous les traits distinctifs assignés à cette prétendue espèce.
(98) TETRAO SALICETI SCO- TICUS. Cette race ne s'éloigne du Lagopede des saules que parce quelle ne prend pas de livrée blanche en hiver.
(99) TETRAO RUPESTRIS, Lagopus rupestris, Gould, Pl. 254, connu seulement d’apres un individu unique tué en Angleter- re, ne se distingue, à juger des figures et des descriptions que
in nichts vom Weibchen des 7. lagopus im Sommerkleide. Rz- chardson, Fauna Bor. amer. Birds , p.354, PI.64, sagt ge- radezu , dass der von ıhm, unter dem Namen Zagopus rupestris abgebildete Vogel aus dem ark- tischen Amerika, durchaus dersel- ben Art angehöre, wie das Al- pen-Schneehuhn , Teirao lago- pus, Europa’s.
(100) Das ISLANDISCHE AL- PENSCHNEEHUHN unterscheidet sich in jedem Alter vom Alpen- schneehuhn durch einen etwas kräftigeren Schnabel.
(101) Eine zweite, dem Te- traogallus caucasicus verwand- te Art, Tetraogallus Nigelli, Gray, Ind. Zool., Taf. ohne Nummer, bewohnt die Gebirge Nepauls, und unterscheidet sich durch höhere Läufe, einen stär- keren Schnabel und eine etwas verschiedene Färbung.
(102) HEMIPODIUS LUNATUS, Temm., Man., IT, p. 495, muss als Art gestrichen werden: siehe über dieselbe das Man. IV, p. 339, remarque.
(103) SYRRHAPTES PARA- Doxus, Illig., wird von Ch. Bo- naparte, List, p. 42, no. 281, als europäisch aufgeführt, ohne An- gabe der Quellen, auf welche sich diese Annahme stützt.
(104) Ch. Bonap., List, p. 42, no. 284, führt PTEROCLES
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l’on en a données, nullement de la femelle en habit d’été du Te- frao lagopus. Richardson, Fau- na bor. amer., p. 354, PI. 64, dit expressément, que l'espèce de l'Amérique boréale, figurée dans son ouvrage sous le nom de Lagopus rupestris , est abso- lument identique avec celle des Alpes d'Europe.
(100) Le LAGOPÈDE PTARMI- GAN D’ISLANDE se distingue dans tous les âges de l'espèce ordi- naire par son bec plus robuste.
(101) Il existe sur les mon- tagnes du Nepaul une deuxieme espèce du genre Téfraogalle ; quoique voisine du Téfraogalle du Caucase, elle s’en distingue par des tarses plus élevés, par un bec plus vigoureux et par des teintes diversement modifiées ; c'est Tetraogallus Nigelli, Gray, Ind. Zool., planche sans nu- méro.
(102) Il convient de rayer de la liste des espèces l’HEMIpo- DIUS LUNATUS, Temm.,Man.,II, p. 495; voir dbid., IV, p. 339,
remarque.
(103) SYRRHAPTES PARA- poxus. Nous ignorons les motifs qui ont pu guider Mr. Ch. Bona- parte, List, p. 42, n°. 281, à classer cet oiseau curieux par- mi les espèces européennes.
(104) Ch. Bonaparte, List, p. 42, n°. 284, ayant introduit
caspıus, ÂMénétr. Catal., p. 47, n°. 144, unter den europäi- schen Vögeln auf. Keyserl. u. Blasius, p. LÄIII, no. 270, (Anmerkung) sagen darüber: Sollte auch Pferocles caspius specifisch von Pter. alchata sein, was nach der Beschreibung nicht scheint : so darf dieser Vogel doch nicht zu den europäischen ge- zählt werden, indem er nur bei Baku beobachtet ist.
(105) GLAREOLA PALLASII. Diese Art unterscheidet sich sehr leicht von Glareola pratincola durch folgende Kennzeichen. Ihr Schnabel ist schwächer, nie- driger und weniger gewölbt ; ihre Läufe sind höher, die Zehen kür- zer; der Schwanz ist kürzer und das Schwarz auf die Endspitzen der langen Federn beschränkt ; die Kehle ist weiss, und die Flü- gel sind auf der Unterseite ein- färbig rauchschwarz, während bei @Glareola pratincola die grossen untern Flügeldeckfedern schön rothbraun erscheinen. Ubri- ge Färbung und allesonstigen Ver- hältnisse, wie bei Glar. pratin- cola. Sıe weicht daher von die- ser Art weit stärker ab, als G@la- reola orientalis, Leach, Linn. Trans., vol. XIII, p. 132, Pl. AIV, die auf Java gefunden wird, und, ausser den etwas kürzeren Schwanz, so vollkommen mit Glar. pratincola übereinstimmt , dass sie kaum als eigene Art be- trachtet zu werden verdient.
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parmi les oiseaux d’Europe le PTEROCLES CASPIUS de HMe- netries, Catal., p. 47, M. M. Keyserling et Blasius,p. LXTIT, n°. 270, remarque, observent qu’à juger de la description four- nie par Ménétries de son Pte- roeles casprius, cette espèce pa- rait identique avec le Pierocles aichata. Pourvu même qu’elle en diffère spécifiquement, elle ne peut être classée parmi les oi- seaux d'Europe, parcequ’ elle n’a été observée que dans les environs de Bakou.
(105) GLAREOLA PALLASII. Cette espèce est facile à distin- guer de la Glareola pratincola par les caractères suivans. Son bec est plus faible, moins élevé et moins courbé. Les tarses sont plus élevés et les doigts plus courts ; la queue est plus courte et ce ne sont que les extrémités des pennes alongées de la queue qui sont teintes de noir; la gorge est blanche et les ailes sont à leur face interne d’un noir enfumé unifor- me, tandis que les grandes cou- vertures inférieures des ailes sont, dans la @lareola pratincola, d'un brun rougeätre vif. Les autres parties offrent les mêmes teintes et les mêmes proportions que dans la Glareola pratincola. Elle s’éloig- ne par conséquent d’une manie- re beaucoup plus marquante de cette dernière espèce que la @la- reola orientalis, Linn. Trans., vol. XIII, p. 132, PI XIV, espèce de l’ile de Java, et, à l’ex- ception de sa queue qui est un peu plus courte, en tout point semblable à la Glareola pratin-
Ausser Glareola pratincola und Glar. Pallassii smd bis jetzt nur noch zwei Arten mit Gewiss- heit bekannt, nämlich:
GLAREOLA GRALLARIA , Zem- minck, Man., IT, p. 503; Gla- reola australis, Leach, Linn., Trans., XIIT, Pl. 1822, p. 131, Pl. XV, von Neuholland und GLAREOLA LACTEA, Temm. , Man., II, p. 593; Pl. col. 399, von Bengalen.
Das ım Mainzer Museum auf- bewahrte Exemplar der G@lareola Pallasii wurde in Griechenland erlegt, und ohne Bestimmung des Geschlechtes eingeschickt. Es ist ein Vogel im Winterkleide , der aussieht wie folgt:
Färbung und Farbenverthei- lung überhaupt, ganz wie bei Glareola pratincola. Die Federn des Genickes und Hinterhalses mit sehr deutlichen rostfarbenen Rändern. Kehlfleck schmutzig weiss, hie und da lehmfarbig angeflogen. Der Kranz, welcher den Kehlfleck umgiebt, sehr schmal, aus blass braunschwar- zen Flecken bestehend, hier und da unterbrochen. Vorderbrust et- was blässer als bei @lar. pratin- cola. Flügel auf der inneren Seite durchaus rauchschwarz. Gegen- seitiges Verhältniss der Schwung- federn wie bei Glar. pratincola. Schwanz wie gewöhnlich stark gegabelt; an der Spitze mit einem bräunlich schwarzen Bande, welches auf dem Schafte des äus- sersten Paares Steuerfedern 8 Li- nien, auf dem mittelsten Paare
cola, de sorte qu’elle ne mérite guere d’être considérée comme espèce particulière. |
Je ne connais que deux espe- ces exotiques de ce genre, sa- voir : |
GLAREOLA GRALLARIA, Tem- minck, Man. , II, p.503; Gla- reola australis , Leach. , Linn. , Trans., XIIT, 1822, p. 131, PI, 15; de la Nouvelle Hollan- de, et GLAREOLA LACTEA, Tem- minck, Man., II, p. 503; Pi. col. 399, du Bengale.
L’individu de la @lareola Pal- lasii, conservé au Musée de Ma- yence, a été tué en Grece. On ignore à quel sexe il appartient. ll porte la livrée d'hiver. Voiei la description que j'en ai faite.
Couleurs et leur distribution en général comme dans la @lareo- la pratincola. Plumes de la nu- que et des parties postérieures. du cou à bordures distinctes d’un brun ferrugineux. (Gorge d’un blanc sale, irregulierement nuan- cé de jaune de terre. Le cercle qui entoure la gorge est très-étroit, interrompu sur plusieurs points et composé de taches d’un brun noir pâle. Les parties supérieu- res de la poitrine sont un peu plus pales que dans la @lar. pra- Lincola. Parties inférieures des ailes d’un noir enfume. Propor- tions relatives des rémiges comme dans l’espèce commune. Queue assez fortement fourchue, pour- vue à l'extrémité d’une bande d’un noir brunätre, dont la lar- geur occupe huit lignes sur les tuyaux des pennes externes, et
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Steuerfedern 15 Linien breit ist. | 15 lignes sur les pennes mito- yennes.
Schnabel schwarz, gegen den Bec noir, passant au jatinäire Mundwinkel, und an den Seiten | vers l'angle de la bouche et sur der Wurzel des Unterkiefers gelb- | les côtés de la base de la man- lich; schwächer, weniger ge- | dibule inférieure; plus faible, bogen, und niedriger als bei Glar. | moins courbé et moins élevé que pratincola. Füsse schwärzlich | dans la &/. pratincola. Pieds noi- hornfarben. Läufe höher, vorn | rätre couleur de corne. Tarses mit 19 (bei Glar. pratincola | plus élevés que dans cette espe- mit 15) Schildern bekleidet. Ze- : ce, garnis par devant de 19 pla- hen und Nägel kürzer als bei @/. ques (dans la @l. pratincola on pratincola; letztere aber viel | n’en compte que 15); doigts et
breiter und kräftiger. ongles plus courts, ces deruiers beaucoup plus larges et plus vi- goureux. anne Tänge . . : .....,:96" |, Longueur totale „1... . 946 Länge der Flügel . . . . . 7 0 » des ailes... ... 70 » des äussersten Paares » des pennes externes Steuerfedern ....38 de la queue . . . . 88 . » des mittelsten Paares . 2 3 » des pennes mitoyen- Höhe des Laufes . . . . . 1 5 nes de la queue . . 2 3 Länge der Mittelzehe . . . 0 8 > rd; base het dial 1:5 » des Nagels derselben . 0 3 » du doigt de milieu 0 8 » des Schnabels, vom » de son ongle....03 Mundwinkel. . . . . O 10 » du bec, à partir de Höhe des Schnabels (bei- l'angle de la bouche O 10 der Kiefer) am vor- Hauteur des deux mandi- dern Ende der Na- bules près de l’angle an- senlöcher...1.... 021. térieur des narines. . . O0 21 Die Beschreibung, welche Pal- Voici la description donnée
las von dieser Art gegeben hat, | par Pallas de cette espéce: lautet wie folgt:
» Inomni deserto Tatarico a Volga usque fere ad Irtin, quousque » campestris et inhabitata regio patet, frequentissima, a fine Aprilis » ad autumnum, avis; ultra Irtin etin reliqua Sibiria nusquam appa- »ruit. Omnium copiosissime desertum laicense ad Samarum usque » frequentat, nec multo ulterius ad septentrionem evagatur. Dicitur, »instar Meropis, in cuniculis praeruptorum niduları; saltem nidum, »in tanta illarum multitudine obtinere nunquam potui. Semper subgre- » garia in desertis vagatur, post educatam prolem congregatur copio- »sius. Aquas nunquam frequentat, sed in aridissimis, praesertim sal-
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»suginosis, venatur Gryllos aliaque Insecta, maxime sub vesperam; >» vidi ad Samaram cum Turture congregatas Insecta legentes, et » Gryllorum praesertim copiam egregie minuunt. Currit instar Chara- »drii; hominem parum timet. Subvolat cum clamore (Tirék-tirik !) »fere Sternae, vel Vanellı, etiam volantıs sı terreatur. Volatus fere » Sternae. Tempestive ad austrum migrat.
» Magnitudo Turturis. Capitis forma, rostrum et rictus omnino » Cuculi. Rostrum convexo-compressum , subincurvum , nigrum , mar- » ginibus versus angulos oris fulvis; os tamen intus albet. Lingua » cartilaginea , triquetro-plana, acuta, integra. ÂVares ad basin »rostri imperviae, depressae, semiovales, membrana ultra dimidium » clausae, apertura lineari. /rides oculorum luteo-fuscae, palpebra » inferior alba), utriusque margines nudi, nigri. Vertex gryseo-fus- » cescens. Lora nigra, sub oculis continuata in annulum ovalem »nigrum, gulam sordide albam usque ad medium collum includen- »tem. Reliqua subfus cinerascunt; venter albidior. Supra avis tota » gryseo-fuscescens, Lusciniae fere colore. Alae longissimae, an- » gustae, caudam exsuperantes, subtus, nigrae ‚ praeter rhaches re- »migum albas; remiges 25: quarum extima longissima. Uropigii »latera alba. Cauda longiuscula, (proportione Sternae) , forcipata » rectricibus mediis latibseutis: dimidiato-albis, tribus utrinque exti- »mis gradatim longioribus, albis, apice angustissimo nigris. Pedes, »ut in Charadrüs, longi, (non rubri, ut Gessnerus et Brissonius) , »sed fusci, supra genua nudi, tetradactyli; dégéte breves, plica » tantum exterioris insigniore , postieus minutus, cum ungue incur- » vus; anteriorum vero wngues longiusculi, subuläti i ara me- » dius et interiore acie serratus. — Foeminae exsoletiores, circulo » gulae minus expresso, submaculosae. Pulli primo anno rostro paulo »breviore, corpore supra scolopaceo (plumis fuscis, margine gry- »seis); pectore fusco liturato, uropygio albo, tectricibus caudae »apice gryseis, litura fusca Hotels cauda Bra subforcipata , » omnibusque rectricibus rotundatis, pedibus livescentibus differunt. — » Adultorum pondus unciarum 2! ad 3 et ultra. Longitudo ad uro- » pygium 6”. 2/”. rectricum RE 3/,.9/7, mediarum 2, 3", »alarum compositarum 7.3”. expansarum 1’. 10‘. 0. rostri ad » frontem 72’. ad rictum 111”. femorum ad 51”. nudatorum 1. » 10”. tibiarum 1#. 6. digiti medn (c. u. 32‘”.) 17. postici (1.) „zu? /
Je vois par un mémoire de Mr. Nordmann, inséré dan le Bulle-
Ich finde so eben, dass Word-
mann diese Art unter dem Na-
men GLAREOLA MELANOPTERA unterschieden hat. Siehe Bullet. de Moscou, 1842, p. 314, PI. 2. Fischer, ibid., hat ıhr darauf den
lin de Moscou, 1842, p. 314, Pl. 2, que ce savant vient de decrire cette espece sous le nom de GLAREOLA MELANOPTERA ;
Namen GLAREOLA NORDMANNII beigelegt.
(106) CHARADRIUS PYRRHO- THORAX. Eine in ganz Indien bis auf die Inseln Hinter-Indiens ungemein häufige Art, welche in mehreren Sammlungen unter dem Namen Charadrius rufi- collis, Cuv., Mus. Par., auf- gestellt ist. Sie ist ohne Zwei- fel den Naturforschern schon längst bekannt gewesen , aber nie ausführlich beschrieben worden. Horsjfield scheint sie inseiner Auf- zählung der javanischen Vögel, Linn. Trans., XIII, p. 187, für Ch. asiaticus gehalten zu haben, und Wagler hat sie wahr- scheinlich mit einer ähnlichen , aber etwas grösseren Art ver- wechselt, welche er unter dem Namen Ch. Geoffroyt, (Syst. Av. Char., n°. 19), beschreibt.
(107) Ch. Bonap., List, p. 52, n°. 376, führt Scolopax ma- jor, Montagu , unter dem Namen SCOL. MONTAGUI, als verschie- den von Scolop. major, Gmelin auf; warum?, wird nicht gesagt.
(108) SCOLOPAX BREHMI, Kaup, Isis, 1823, p. 1147, s. Gallinago Brehmi, Ch. Bonap. lcon. d. Fauna ital. I, Tav. 43; TELMATIAS PEREGRINA,Brehm, Handb., p. 621; scoLOPAX DE- LAMOTTH und PYGMAEA , Pail- lon, Catal., p. 23, n0.200 u. 201, und andere von Brehm, Isis, 1835, p.116, syg. aufgestell- te, der Scol. gallinago verwand- te Subspecies, scheinen uns noch
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c’est aussi GLAR. NORDMANNI, Fischer, tbid.
(106) CHARADRIUS PYRRHO- THORAX. Cette espèce, très com- mune aux Indes orientales et dans les îles de ia Sonde, porte dans plusieurs collections le nom de Charadrius ruficollis, Cuv. Mus. Par. Nous ne doutons nullement qu’elle n’ait été depuis longtemps connue des naturalistes: mais elle n’a jamais été décrite d’une manière reconnaissable. Il pa- rait que Âorsfield l'a pris pour le Char. asiaticus,; (voyez son enumeration des oiseaux de Java dans les Linn., Trans., Vol. AIII, p.187); Wagler la con- fond probablement avec l’espece voisine qu'il décrit sous le nom de Ch. Geoffroyt, mais qui s’en distingue par une taille plus for- te: voir Wagler, Syst. av. Char., n°. 19.
(107) CA. Bonaparte, List, p.52, n°.876, fait, sans alléguer des raisons pour justifier cette distinction, du Scol. major de Montagu, une espèce nouvelle qu'il nomme SCcoL. MONTAGUI.
(108) scoLoPax BREHMU, Kaup, Isis, 1825, p. 1147, Gallinago Brehmit, Ch. Bonap., Icon. d. Fauna ital., I, PL. 43; TELMATIAS PEREGRINA, Brehm., Handb., p. 621; sco- LOPAX DELAMOTTII et PYG- MAEA, Baillon, Catal., p. 23, n°. 200 ef 201, ainsi que d’autres soi-disant espèces voisines de la bécassine ordinaire, établies par
Brehm, Isis, 1835, p. 116 et
so wenig begründet, dass wir uns selbst nicht einmal getrauen, ‘sie als Nebenarten oder locale Racen von Scol. gallinago auf- zuführen. Die Grösse dieser Schnepfen, die Zahl, Gestalt und Färbung ihrer Schwanzfedern , kurz alle von den erwähnten Na- turforschern angeführte Kennzei- chen haben wir so vielen indivi- duellen Abweichungen unterwor- fen gefunden, dass wir, trotz vielfältiger Untersuchungen und Vergleichungen , mit dem besten Willen , keine beständigen Kenn- zeichen für irgend eine der er- wähnten Formen herausfinden konnten.
Naumann, VIII, p 311, An- merkung , p. 316, beschreibt eine Sumpschnepfe aus Ostindien mit 26 Steuerfedern, und bildet den Schwanz derselben auf pag. 343 ab. Es ist dies aber keine Varıetät der gemeinen Sumpfschnepfe , sondern eine eigene, in Ostindien sehr häufige Art: Scolopax ste- noptera, Mus. Leid.
(109) Schinz , Le ,p.842, führt SCOLOPAX SATURATA, ange- blich nach einem in England ge- tödeten und in den Linn. Trans., Vol. XV, beschriebenen Exem- plare, als europäisch auf. Dieser Irrthum beruht offenbar auf einer Verwechselung mit Scol. Sabr- nii. Scol. saturata, Horsfield von Java, eine wahre Wald- schnepfe , ist übrigens in Band
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XIII, p. 191 der Linn. Trans. |
beschrieben, und in den Zool.
suiv., reposent sur des caractè= res tellement futiles que je n’ai pas même osé les admettre com- me races particulières. La taille de ces oiseaux, la forme , le nom- bre et la distribution des teintes des pennes de la queue, bref tous les caractères indiqués par les naturalistes que nous venons de citer, sont sujets à varier selon les individus, de sorte qu'il m'a été impossible de découvrir des caractères constans servant à reconnaître les prétendues espè- ces dont nous venons de faire mention. |
Naumann, vol. VIII, p.311, remarque, p. 316, décrit une bécassine des Indes dont la queue est pourvue de 26 pennes, et il donne une figure de la queue de cette espèce à la page 343; mais c'est à tort qu'il prend cette bé- cassine pour une simple variété de notre bécassine ordinaire; c’est une espèce parfaitement distine- te, tres-commune aux Indes, et qui porte au Musée de Leide le nom de Scolopax stenoptera.
(109) Schinz, L.e., p.342, a énuméré parmi les oiseaux d’Eu- rope la Bécasse de Java, Sco- LOPAX SATURATA, qu'il dit avoir été tuée en Angleterre et décrite dans le /ome XV des Trans., Linn. 1l est évident que Mr. Schinz a confondu cette espèce avec la Scolopax Sabéinii. Du reste, la Bécasse de Java est dé- crite dans le vol. XIII, p. 191 des Trans. Linn., et on en voit la figure dans les Zool. Resear-
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Researches, Tafel ohne Num- mer, abgebildet.
(110) Es ist uns eben so wenig als Keys. u. Blas., p. LXXIV, n°.339, Anmerk., gelungen, ı1- MOSA MEYERI, Leisler, Nachtr. zu Bechst. Nat., p. 172, durch sichere Kennzeichen von Limosa rufe zu unterscheiden. Man sehe über Limosa Meyeri: Naumann, VIII, p. 428 bis 445, und Horn- schuch, in Wiegman, Archiv ,
1838, I, p. 167 dis 190.
(111) EURYNORHYNCHUS PYG- MAEUS, Nilsson; Platalea pyg- maea, Linn., wird von Ch. Bo- nap., List, p. 49, no. 344, als europäischer Vogel aufgeführt. So viel ich weiss, bestehen von diesem Strandläufer nur zwei Exemplare in den Sammlungen: nämlich eins in Schweden, (das Originalexemplar, nach welchem die Art aufgestellt wurde), und eins in der Sammlung des Lord Derby. Letzteres wurde erst vor einigen Jahren an den Küsten Bengalen’s geschossen. Man hat daher wohl mit Unrecht früher, Surinam als Vaterland dieses sel- tenen Vogels angegeben.
TRINGA INCERTA, ARisso, L. C., p. 52, n°. 135, ist nicht zu bestimmen.
(112) Die, unter dem Namen FALCINELLUS aufgeführte Gat- tung, ist nach zwei Exemplaren eines Strandläufers aufgestellt ,
2.
ches de Horsfield, Planche sans
numero.
(110) De même que M. M. Key- serling et Blasius, (p. LXXIV, n°.339, remarque), je n’ai pu réussir à découvrir des caracte- res constans pour distinguer la barge de Meyer (LIMOSA MEYE- m1, Leisler, N.zu Bechst., IT, p. 172) de la barge rousse. On peut consulter sur cette barge de Meyer, l'ouvrage de Nau- mann, vol. VIII, p. 428 à 445, et une dissertation de Horn- schuch, insérée dans Wiegman ,
Archiv., 1838, I, p. 167 à 190.
(111) C’est à tort que M. C4. Bonap., List, p. 49, no. 344, a énuméré parmi les espèces eu- ropéennes l’EURYNORHYNCHUS PYGMAEUS, Nilsson; Platalea pygmaea, Linn. Il n'existe, que je sache, dans les col- lections que deux individus de ce becasseau, savoir: l’un en Suede , le même d’après lequel l'espèce a été établie; l’autre dans la belle collection de Lord Derby, tué il y a quelques an- nées, sur les côtes du Bengale. Il paraît donc que c’est à tort que l’on a indiqué autrefois cette espèce rare comme se trouvant à Surinam.
TRINGA INCERTA , Risso, [.c., p. 52, n°. 135, appartient au nombre des especes qui ne peu- vent être déterminées.
(112) Le genre établi sous le nom de FALCINELLE repose sur deux individus d’un bécasseau , provenant tous les deux de la
7
beide aus der Sammlung Levail-
lants stammend: das eine, im .
Pariser Museum, angeblich bei Neuilly in Frankreich, das an- dere im Leidner Museum, ange- blich in Südafrika erlegt. Wir haben diese beiden Exemplare wiederholt und genau untersucht, und gefunden, dass es grosse Exemplare der Tringa subar- quata im Winterkleide sind, de- nen die Hinterzehe abgeschnitten, und der Schnabel, durch Ol er- weicht, über der Lampe krumm gebogen wurde. Schon Bazllon, Uatal., p.21, note, und Bote, hatten eine ähnliche Bemerkung gemacht. Cuvier, Règne an., I ed., I, p. 486, Il ed., I, p. 527, hat diesen Vogel zuerst auf- geführt, und danach die Gattung Falcinellus aufgestellt. Tem- minck, Pl. col. 510: Falcinellus cursorius, und Vierllot, Galerie, IT, PU.232: Erolia varia, ha- ben ihn abgebildet. Ch. Bonap., List, p.50, nennt ıhn Faleinel- lus Cuvieri. Dass Cuvier fälsch- lich die Scolopax pygmaea , Gmel. Linn., p. 655, n°. 20, . hierher zog, hatschon Temminck, Man., II, p. 617, remarque, gerügt. Die Gattung Falcinellus muss daher wie die Gattung Spa- ractes , wie der Szerin, (Levail- lant, Ois.d’ Afr., Pl.82; Pyrr- hocorax hexanemus, Cuv. Règ- ne an., ],p.380,) aus dem Sys- tem gestrichen werden. Letzterer ist nach dem Originalexemplare des Leidner Museums, ein gemei- ner Pyrrhocorax, dem auf jeder Seite des Kopfes drei Palmenfä- den eingesteckt wurden.
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collection de Levaillant: l’un de ces individus se trouve au Mu- seum de Paris, l’autre fait par- tie du Musée de Pays-Bas; sui- vant les indications de Levail- lant, celui-là a été tué près de Neuilly en France, celui-ci dans l'Afrique méridionale. Après avoir plusieurs fois et soigneusement examiné ces deux échantillons, nous avons acquis la certitude que ce sont tout bonnement des individus du bécasseau cocorli, (Tringa subarquata), dont on a enlevé le pouce, et dont le bec a été courbé artificiellement, en l’exposant à une faible chaleur aprés l'avoir humecté d’huile. M. M. Baillon, Catalogue, p. 21 note, et Bore ont été les pre- miers à douter de l’existence de ce genre d'oiseau. Ïl a été in- troduit d’abord par Cuvier, Règne an. , éd. Z, p. 486; M. Temminck, Pl. col. 510, en a publié une fi- gure sous le nom de Falcinellus cursorius, Vieillot, Galerie, II, Pl. 232, sous celui d'£rolia va- ria. Ch. Bonaparte, List, p.50, a changé ces noms en celui de Falcinellus Cuvierii. Mr. Tem- minck, Man, IT, p.617, remar- que, a déjà relevé la méprise que @. Cuvier a commise, en citant comme synonyme de cet- te espèce imaginaire, la Scolo- pax pygmaea, (rmel. Linn., p. 655, n°. 20. Ces données suf- firont pour prouver qu'il con- vient de rayer du catalogue mé- thodique le Falcinelle qu ap- partient, comme le Sparacte et le Sicrin au nombre des oiseaux fa- briqués. Quant au Sicrin de Le- vaillant, Ois. d'Afrique, PI.82;
NUMENIUS PHAEOPUS. Mehr oder weniger zahlreiche Flüge dieser Art bringen die wärmere Jahreszeit in Holland zu, ohne zu brüten. Es scheint daher, als .ob diese Art erst im zweiten Jahre fortpflanzungsfähig ist.
Graf von der Mühle, p. 111, hat unter dem Namen NUMENIUS SYNGENICOS, einen neuen Brach- vogel nach einem, in Griechen- land getödeten Exemplare auf- gestellt. Da die Kennzeichen die- ses Vogels nicht mit der nöthigen Schärfe angegeben werden konn- ten, so beschränken wir uns, die Ornithologen auf denselben aufmerksam zu machen , und fü- gen nur noch die Frage hinzu, ob es nicht vielleicht ein Bastard zweier verwandier Arten, etwa des Numenius phaeopus und te- nuirostris seyn könnte.
(113) TRINGA CINCLUS MI- nor. Wir haben diesen Vogel als Nebenace der Tringa cinclus angenommen, weil er zur Brü- iezeit an gewissen Localitäten selbstständig auftritt. In Holland zZ. B., habe ich immer nur diese kleinere Race brütend, die grös- sere nur auf dem Durchzuge an- getroffen.
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Pyrrhocorax hexanemus, Cuv., Regne an.,I, p.380 , le Musée des Pays-Bas en posséde l'individu même qui a servi à l'établissement du genre; ce n’est autre chose qu’un chocard des alpes, à la tête duquel on a attaché, de cha- que côté, trois brins de palmier.
NUMENIUS PHAEOPUS. Des bandes plus au moins considéra- bles de cette espèce passent la belle saison en Hollande, sans y faire des nids. Il paraît résulter de cette observation que cette espèce n'est propre à la propa- gation qu'après avoir atteint l’âge de deux ans.
Mr. le Comte von der Mühle, p.111, a indiqué, sous le nom de NUMENIUS SYNGENICOS, une nouvelle espèce de Courlis, éta- blie d’après un seul individu tué en Grèce. Les caractères de cet individu n'ayant pas été consta- tés d’une manière rigoureuse, nous nous bornons à fixer l’at- tention des ornithologistes sur cet oiseau douteux, qui pourrait bien n'être qu’un métis produit par l’accouplement de deux espe- ces voisines, comme par exem- ple des Numenius phaeopus et denuirostres.
(113) TRINGA CINCLUS Mr. nor. Nous avons adopté cette race du Bécasseau variable, par- cequ'elle habite exclusivement certaines localités lors de l’épo- que de la propagation. En Hol- lande, par exemple, ce n’est que cette petite race qui y niche, tandis que la grande ne fréquen- te ce pays que durant l’époque de la migration.
100
(114) MACHETES ToRQUA- mus, Risso, I. c., p. 71, n°. 238 , ist als eine zufällige Farben- varietät des gemeinen Kampf- strandläufers zu betrachten.
(115) roranus Dupıa, Ärs- so, Il. c., p. 73, n°. 250, lässt sich nach der unvollkommenen Beschreibung gar nicht bestim- men.
(116) Zufolge einer Mitthei- lung des Herrn John Youell, welche in den Trans. of the Linn. soc., vol. XIV, p. 588, enthalten ist, soll am 24 Mai 1824, ein Exemplar der ARDEA CAYEN- NENSiS, Gmel., bei Yarmouth gefangen worden sein. Wenn die- ses Exemplar nicht etwa aus emer Menagerie entkommen ist, so wä- re jene schöne Art unter die eu- ropäischen Vögel aufzunehmen.
Schinz, I. c., p. 308, führt A. HERODIAS, Zinn., als euro- päisch auf, weil sie irgendwo ın dun gefangen worden seyn soll. Die Quelle, aus welcher jene Nachricht geschöpft wurde, ist nicht angegeben; .es kann diesel- be daher nicht berücksichtigt werden.
(117) Die GRÖSSEREN SIL- BERREIHER mit schwarzem Schnabel, hat man bis jetzt immer für alte Vögel , die kleineren mit gelbem Schnabel für die jüngeren Vögel gehalten. Rüppell, Mus. Senck., II, p.182, führt erstere unter dem Namen Ardea alba, letztere unter dem Namen Ardea egrelta auf. Letzteren Namen verwerfen Keyserl. u. Blas., p.
(114) MACHETES TORqUA- TUS, Risso, L. c., p.71, no. 238, ne forme qu’une variété acciden- telle du combattant ordinaire.
(115) Il est impossible de dé- terminer au juste le Toranus puB1A de Aisso, L. :c., p. 73, n°. 250.
(116) John Fouell fait mention dans les Trans. Linn.,t{omeXIP, p- 588, d'un individu d’ARDEA CAYENNENSIS, œmel., pris, le 24 Mai 1824, près de Yarmouth en Angleterre. Dans le cas qu'il serait prouvé que cet individu ne s'était échappé d’une ména- gérie , il conviendrait d'admettre cette belle espèce dans le cata- logue des oiseaux d'Europe.
Schinz, d c., p. 308, cite l’'ARDEA HERODIAS, Zinné, comme ayant été observé en An- gleterre, sans faire mention de la source d’où il a tiré cette in- dication , ce qui nous empêche d’énumérer cette espèce dans no- tre catalogue.
(117) La plupart des natura- listes sont d'avis que les GRARN- DES AIGRETTES de forte taille
et à bec noir, ne sont que les
adultes des individus de moindre taille et dont le bec est teint de jaune. M. Rüppell cependant, Mus. Senk., IT, p.182, appli- que aux premiers le nom d’Ar- dea alba, et aux derniers celui d’Ardea egretta. M. M. Keyser-
101
LXXXIX, mit Recht, weil der- selbe, (siehe @melin, Linn., p. 629, n°. 34) auf die amerikanı- sche Art zu beziehen ist. Keys. u. Blasius dagegen nennen den kleineren gelbschnäbligen Vogel, Ardea alba, den grösseren schwarzschnäbligen halten sie für identisch mit Ardea orien- Lalis, Gray, Ind. Zool.,I, Tab. 65, welche Abbildung aber eine kleine der Ardea garzeita sehr verwandte Art, und zwar Ar- dea nigripes, Temm. Man., IV, p. 376, Ardea melanopus, Wag- ler, Isis, 1829, p. 659 , vorzu- stellen scheint.
Ch. Bonap., List, p. 47, n°. 329 und 330, führt, ausser Zgret- ta alba und garzetta, noch zwei europäische weisse Reiher, EGRETTA NIGRIROSTRIS und EGR. ORIENTALIS, (Ardea xan- thodactyla, Gmel.), auf, ohne die Kennzeichen oder Verwandt- schaften derselben anzugeben. .
ARDEA EGRETTOIDES, (mel.; Temm., Man., II, p. 374; Ar- dea flavirostris, Wagl., Syst. av.; Ard.intermedia, (v. Has- selt, Mscpt.) Wagler, Isis, 1829, p. 659, ist eme von Ardea alba verschiedene , viel kleinere Art, die aber mit Gewissheit jetzt nur in Hinter-Indien gefunden wurde. Die beiden im Manuel, IV, p. 376, erwähnten, angeblich auf Sicilien getödeten Exemplare sind zu unsieherer Abkunft, als dass diese Angabe Glauben verdiene.
ling et Blasius, p. LXXAIX, observent judicieusement, qu'il convient de conférer l’épithète d'egretta à l'espèce de l’Améri- que, voir Gmelin, Linn.,p.629, n°. 34) ; ils désignent les indivi- dus de l’aigrette commune de taille moindre et à bec jaune sous le nom d’Ardea alba; et ils pren- nent ,„. comme appartenant aux individus de forte taille et à bec noir, l’Ardea orientalis de Gray, Ind. Zool., I, Pl.65, quoique cette dernière figure représente une espèce plus petite, voisine de la petite aigreite, et qui est pro- bablement identique avec l’Ar- dea nigripes, Temm., Man., IV, p.316, Ardea melanopus , Wa- gler , Isis, 1829, p. 659.
Ch. Bonaparte, List, p. 47, n°. 329 et 330, enumere, outre la grande et la petite aigrette, deux autres aigrettes d'Europe, SAVOIr: EGRETTA NIGRIROSTRIS et EGR. ORIENTALIS (Ardea xanthodactyla, Gmel.),. sans cependant indiquer leurs traits distinctifs.
ARDEA EGRETTOIDES, (rmel.; Temm., Man., Il, p. 374; Ardea Jlavirostris Wagler, Syst. av.; Ard. intermedia, (v. Hasselt., Mscpt.), Wagler, Isis, 1829, p.659, forme une espèce tres-dif- férente de la grande Aigrette; elle est d’une taille beaucoup plus petite, et n’a été observée jus- qu’à présent que dans l'archipel des Indes. L’indication contenue dans le Manuel, IV, p. 376, re- lative à deux individus de cette espèce, tués à ce que l’on pré- tend en Sicile, a besoin d’être
_eonfirmée par des observations
10
In emer späteren Arbeit des Ch. Bonaparte, Catalogo met., p.66, n°. 395 et 396, wird Ard. xzanthodactyla für einerlei mit Ardea egrettoides gehalten , und Ard. nigrirostris unter dem Na- men Egretta nivea, Bonap. , zu Rüppell's Ardea eg retta gezogen.
(118) ARDEA BUBULCVS. Die- ser Vogel vertritt im nördlichen Afrıka die Stelle der, ın ganz In- dien bis Hinterindien , gemeinen Ardea russata, Besen: Man. , II, p. 566. Beide sind andere ausserordentlich verwandt, un- terscheiden sich aber durch die Maasse und etwas verschiedene Färbung, wie man aus folgenden Angaben ersehen kann:
ARDEA BUBULCUS.
Ganze Lange . ...... Länge der, Blusel:.u.. ...,.9
» des Laufes ...... 3% » des nackten Theiles des Schienbeines ..... 11 » des Schwanzes . . . . 84 » der Mittelzehe. .. .. 22 » des Schnabels bis zur DD Le Le elles ceci 22
Füsse gelb. Gefieder weiss; beim alten Vogel, der Kopfoben und die Nackenfedern , die langen un- teren Halsfedern, und langen Rüc-
5)
Ari
basées sur des données Du cer- taines.
M. Ch. Bonaparte vient d’ ap- porter dans un de ses travaux ré- cents, Catalogo met., p.66, no. 395 et 396, les modifications sui- vantes à la synonymie des diver- ses espèces d’aigrettes d'Europe. Ardea xanthodactyla, Gmel., est, selon ce savant, identique avec Ard. egrettoides , Temm.; et il adopte l’espèce appellée par Rüp- pell Ardea egretta, sous le nom d’Egretta alba, à laquelle il ré- unit aussi lArdea nigrirostris.
(118) ARDEA BUBULCUS. Cet- te race remplace, dans l’Afrique septentrionale, l’espèce connue sous le nom d'Ardea russala , Temm., Man., II, p. 566, et qui se trouve en abondance aux In- des orientales. Ces deux hérons sont assez semblables; mais ilsse distinguent entre eux par des dif- férences dans la taille, et des modifications dans les teintes. Les indications suivantes sont desti- nées à prouver cette assertion.
ARDEA BUBULCUS.
Longueur totale . . . . . . 18% »...des Aules ...10-, . 2 » dutarse....... dig
» de la partie nue de la jambes. 2) » Ge la queue . L 2 » du doigt de milieu . » du bec depuis le front
RO ND CS ui Gay 1 ri Ones Net
Pieds jaunes. Plumage blane, nuancé, dans les adultes, sur le dessus de la tête, sur les plumes de la nuque, sur les longues plu-
103
kenfedern äusserst blass braun- röthlich, auf dem Kopfe ein we- nig in das Rostfarbene spielend.
ARDEA RUSSATA.
RPC Lange . ...... Länge der Flügel ..... 9j we Laufes 2... . . . 9} » des nackten Theilen des Schienbeines : . . .. » des Schwanzes .... 31 + der ilelzehe . . . . "21 » des Schnabels. . . .. 24
Füsse braun , auf den Zehen in’s Schwarze, auf dem Schienbeine in’s gelbliche. Gefieder weiss; bei alten Vögeln, Kopf und Hals, so wie die langen Rückenfedern schön feurig rostfarben ; letztere aber etwas blässer und in das Braunröthliche spielend.
Diese beiden Vögel sind fast immer mit einander verwechselt worden. Buffon’s Crabier de la côte de Coromandel, Pl. ent. 910, wird von Herrn Temminck, und wie es scheint, mit Recht, zu seiner Ardea russata gezogen. Nach dieser Abbildung stellt Ste- phens in Shaw Zool. AT, IT, p.577, seine Ardea coromande- lica auf. Lichtenstein’s Ardea coromandelica , Verzeichniss , 1823, p. 78, no. 796, ist dagegen , wie ich mich durch Ansicht der Originalexemplare im Berliner Museum überzeugt habe, nach mehreren in Cypern, Aegypten und Nubien erlegten Exemplaren der Ardea bubulcus aufgestellt. Lichtenstein citirt als zu seiner Ardea coromandelica gehörend ,
mes du cou et sur celles du dos, d’un rougeätre tres-päle, qui of- fre sur la tete une legere nuan- ce couleur de rouille.
ARDEA RUSSATA.
Longueur totale... . .. Ä » US Ailes . + ee NO
D AU TATSE à et cette » de la partie nue de lajambe. m. LEUR 2
» de la queue..... 3
» du doigt de milieu . 2%
» AU DECS - tete char
Pieds brun, tirant au noir sur les doigts, au jaunätre sur les
jambes. Plumage blanc, passant
dans les adultes, au brun cou- leur de rouille vive sur la tête, sur le cou et sur les plumes al-
longées du dos, qui sont cepen-
dant un peu plus päles et tirant an brun rougeätre.
Ces deux races de hérons ont été souvent confondues entre el- les. Il paraît que c’est à juste titre que Mr. Temminck a réuni à l’Ardea russata le Crabier de la côte de Coromandel, Pl. enl. 910. C’est d’après cette même figure que Stephens, Cont. of Shaw Zool, XT, IT, p. 577 a établi son Ardea coromandeli- ca; mais l’Ardea coromandelica de Zichtenstein, Verzeichniss , 1823, p. 73, n°. 796, repose sur des individus de l’Ardea bubul- cus, tués en Chypre, en Egyp- te et en Nubie, et qui font par- tie du Musée de Berlin, .ou je les ai examinés. Lichtenstein cite comme synonyme de son Ardea coromandelica , la figure du Cra- bier de la cote de Coromandel,
104
Buffons Crabier de la côte de Co- romandel, Pl. ent. 910, und die
Descr. de l'Egypte, Ois., Pl.8, fig. 1. — Wagler, Syst. av., Ar- dea russata, n°. 12, nota, macht schon die Bemerkung, dass die Exemplare aus Aegypten und Nu- bien kürzere Läufe als die aus Java haben.
Der von Montagu, Linn. , Trans., IX, p. 197, und Orn. Dict.,Suppl. advoc. Heron little, white, aufgeführte, in England erlegte Reiher, zu demer Ardea aequinoctialis, @mel. Linn. , p. 641, n°.25, zieht, gehört, wie aus der Beschreibung und den Maassen, (ganze Länge 20 engl. Zoll; Schnabel von der Stirne 2"; Läufe 31”; nackter Theil der Schienbeine 14”) hervorgeht, zu Ardea bubulcus, und nicht zu Ardea russata.
Diesen Untersuchungen zufolge muss Ardea russata wieder aus der Reihe der europäischen Vö- gel entfernt werden. Die beste Abbildung dieses Vogels findet sich übrigens in Gould, Birds of Europe, Pl. 278.
(119) cıconıA AMERICANA, Brisson, Orn., V , 369, n°.3; Vieillot, Galerie, Pl.254, Ar- dea maguari, G@mel. Linn., p. 623 ,'n0.22; Ciconia maguart, Temm. Man., II, p.563; Cico- nia jubura, Spix, Av. Bras., PI. 89, ist bis jetzt bloss in Süd- amerika gefunden worden. Ael- tern Nachrichten zufolge sollen früher in Frankreich einige Exem-
Pl. enl. 910, et celle qui se trou- ve, dans le grand ouvrage sur l'Egypte, Ois., Pl.8, fig. 1. — Wagler, Syst. av., Ardea rus- sata, n°. 12, a déjà observé que les individus, tués en Égypte et en Nubie, ont des tarses moins élevés que ceux de Java.
Le héron tué en Angleterre, et décrit par Montagu, (Trans. Linn., IX, p.197 et Orn. Diet. Suppl. ad voc. Heron, little white), appartient, comme il ré-
_sulie de la description des tein-
tes et de la taille de cet indivi- du, (longueur totale 20 pouces anglais, bec depuis le front 2 p., tarses 3 pouces et demie, partie nue de la jambe Ï p. et demi), à l’Ardea bubulcus et non pas à l’Ardea russata. Montagu lui- méme cite comme synonyme de son petit heron blanc l’Ardea aequinoctialis de Gmelin Linn., p. 641, no. 25.
Ces observations sufhiront pour prouver que c’est à tort que l’on a admis, parmi les espèces d’Eu- rope , l’Ardea russata, dont Mr. Gould, Birds of Europe, Pi. 278, a donné une figure excel- lente. |
(119) cicoNIA AMERICANA, Brisson, Orn., p. 369, n°.3; Vieillot, Galerie, Pl.254; Ar- dea Maguari, Gmel. Linn., p. 623, n9. 22; Ciconia Maguart,
Temm., Man. , II, p.563; Ci-
conia jubura, Spix, Av. Bras., PI. 89, n’a été observée jusqu’à présent que dans l’Amérique mé- ridionale. On prétend que cette espèce avait été autrefois tuée en
105
plare erlegt worden seyn. Diese Nachrichten sind aber keineswegs verbürgt und verdienen um so we- niger Berüksichtigung, da meh- rere französische Naturforscher diese Art nicht gehörig zu unter- scheiden wussten. Schon Vzezllot, MN. Dict. d’h.nat., VII, p.112, sagt: »On assure que cette ci- » gogne se montre quelquefois en » Europe etmême en France. Mais »ne l’aurait-on pas confondue » avec la nôtre ?’” Und @. Cuvier kannte im Jahr 1829 diese Art noch so wenig, dass er von ihr sagen konnte: » elle differe peu de »notre Cic. blanche, si ce n’est »par son bec cendré.” (Regn. an., I, p. 514, note).
(120) GRUS ANTIGONE, Pal- las; Ardea antigone, Linne, Syst. nat., AII, p.235, n°.6, der das wärmere Asien bewohnt, wird von Keyserling und Bla- sius, p. LXIX, nach Pallas Angaben, als europäisch aufge- führt. Pallas, Zoogr., IT, p. 102, sagt aber bloss:
France, mais cette indication n’a jamais été constatée d’une ma- nière authentique. Vrerllot, Nouv. Dict., VIT, p. 112, s'exprime à ce sujet de la manière suivante: » On assure que cette cicogne se » montre quelquefois en Europe »et même en France. Mais ne » l’aurait-on pas confondue avec » la nôtre?” Il paraït en effet que certains naturalistes français ont très peu connu cette espèce; @. Cuvier lui-même en parle en 1829, dans les termes suivans: »elle diffère peu de notre Ci- » cogne blanche, si ce n’est par » son bec cendré.”! Règne an., I, p. 514, note.
(120) M. M. Keyserling et Bla-
_sius , p.LXIX, ont introduit par-
mi les oiseaux d'Europe, d’après une indication contenue dans Pallas, Zoogr., II, p.102; le GRUS ANTIGONE, Pallas, Ar- dea antigone, Linn., Syst. nat., XII, p. 235, n°. 6, espèce qui habite les parties chaudes de l’A- sie. Pallas cependant se borne à dire de cette grue:
» Dicitur etiam interdum in deserto Astrachanensi apparere.”
Ch. Bonaparte, Catal., p.65, n°. 391 , führt auch GRUS PAVo- VINA als europäisch auf.
(121) Ch. Bonap., Icon. della Fauna ital., Uccelli, Introduz., p- 1, führt einen neuen Lappen- taucher aus Sardimien auf; er nennt ihn PODICEPS LONGIROS- TRIS. Er soll von der Grösse des Pod. cristatus seyn, in der Fär-
Ch. Bonaparte, Catal., p.65, n°. 391, fait mention du GRUS PAVONINA, comme se montrant quelquefois en Europe.
(121) Ch. Bonaparte, Icon. della Fauna italica, Uccelli, In- trodux., p.1, dit qu’il existe en Sardaigne une espèce nouvelle du genre grebe; il la désigne sous le nom de PODICEPS LON- GIROSTRIS, Elle est de la taille
106
bung dem Pod. rubricollis ähn- _eln, aber einen längeren, an der Spitze aufwärts gebogenen Schna- bel haben.
(122) Nach Hornschuch und Schilling soll es in Europa eine zweite, kleinere Race des COLYM- BUS arcrıcus geben, welche von jenen Naturforschern coLym- BUS BALTICUS genannt wird. Siehe über dieselbe, Keys. u. Blas., p. ACI.
(123) uRIA uNICOLOR, Faber, Isis , 1824, p. 981, von Island, scheint eine zufällige Varietät der Uria grylle zu seyn. Wir erhiel- ten ein ähnliches Exemplar aus
Grönland. Grylle carbo, Brandt, .
die Ch. Bonap. Catal., p. 82, no. 532 als europäisch auflührt, ge- hôrt wahrschemlich hierher.
(124) Von ANSER GAMBER- sis, Brisson, Orn. VI, p. 283, n°. 8, vom Senegal, Abyssinien und Egypten wurde bis jetzt nur ein Exemplar in Europa und zwar in England erlegt; es ist wahr- scheinlich, dass jenes Exemplar ein entkommenes war.
Dasselbe gilt vielleicht auch von ANSER CANADENSIS, neuerlich ebenfalls als europäisch aufge- führt.
(125) Naumann, AI, p. 340, n°. 317, Tab. 288, führt unter dem Namen ANSER INTERME- Dius eine Gans auf, welche et- was grösser als Anser albifrons
du grèbe huppé, mais son bec est legerement retroussé à la poin- te, et les teintes du plumage of- frent de l’analogie avec celles du grebe à joues grises.
(122) Hornschuch et Schilling prétendent qu’il existe en Europe une race du COLYMBUS ARCTI- cus, distinguée par sa petitetaille: ils la nomment COLYMRUS BAL- ricus. Conférez Keyserling et Blasius, p. XCI.
(123) urra UNICOLoR , Faber, Isis, 1824, p. 981, ne paraît former qu’une variete acciden- telle de l’Uria grylle. Nous ve- nons d’en recevoir un individu du Groenland. C’est probable- ment le Grylle carbo, Brandt, introduit parmi les oiseaux d’Eu- rope par Ch. Bonaparte, Catal., p. 82, n°. 532.
(124) ANSER GAMBENSIS, Brisson, Orn., VI, p.283, no. 8, qui habite le Sénégal, l’Abys- sinie et l'Egypte, n’a été obser- ve en Europe qu'une seule fois; mais on suppose que l'individu tué en Angleterre s'était échap-
f 9 D | pé d’une ménagérie.
La même incertitude règne à l'égard de l’ANSER CANADENSIS, espèce que l’on a également énu- mérée récemment comme faisant
: : partie de la Faune d’Europe.
(125) Naumann, XI, p. 340, n°, 317, Pl. 288, établit, sous le nom d’ANSER INTERMEDIUS, une nouvelle espèce d’oie, qu'il dit différer de l’Anser albifrons
107
seyn, und sich von ıhr besonders durch einen bei der Stirne und an den Ladenrändern schwarz gefärbten Schnabel unterscheiden solle Naumann hat nur zwei In- dividuen dieser Gans gesehen, und glaubt, dass sie die Stelle der weiss- stirnigen Gans in Island vertritt.
Pallas, Zoogr., II, p.226, dagegen beschreibt eine kleinere Varietät des Anser albifrons , mit einem an der Kuppe und auf der Firste schwarzen Schnabel , mit folgenden Worten:
par une taille un peu plus forte, ainsi que par un bec teint de noir à la base prés du front, et sur les bords de la mandibule supérieure. Naumann n’a exa- miné que deux individus de cet- te oie; il suppose qu’elle rem- place, en Islande, l’oie rieuse. Pallas, Zoogr., II, p. 226, decrit au contraire une variete de de l’oie rieuse, à taille moins for- te et à mandibule supérieure tein- te de noir sur le dessus et à la pointe. Voici ce qu'il en dit:
ȧ. Varietas vel junior, ni fallor, proles autumno simul adven-
»tat: simillima rostri ungue et carina nigra; capite colloque magis »fuscis; ventre immaculato, tantum cinereo-nebuloso; fronte con- »colore vel exiguo tantum margine albido rostrum cingente; pedi-
»bus obsoletissime sordideque e fusco-rubris diversa.
Alae huic
»tantıllo longiores , licet ipsa fere minor.”
(126) Keyserling und Blasi- us, p. LXÄXXIV, führen, nach Pallas , Zoogr., II, p. 258, no. 342 , die Bisamente, ANAS Mo- SCHATA, Linn., Syst., XII, TI, p- 199, n°. 116; Cairina mo- schata, Fleming, Phil. of Zool., II, p. 260, als europäisch auf. Pallas sagt von dieser Art fol- gendes:
(126) Ze canard musqué, ANAS MOSCHATA, Linn., Syst., XII, T, p. 199, n0. 116; Cairina moscha- ta, Fleming, Phil. of Zool, IT, p-260, vient d’être admis, d’après les données du professeur Pallas, Zoogr., IT, p.258, n°. 342, par Keyserl.et Blastus,,p.LXXXIV, comme espèce européenne. Pal- las en parle dans les termes sui-
vans:
» Spontanea circa mare Caspium, rariusque in australibus Volgae »regionibus et lacubus deserti caspici, praesertim Sarpae observa- »tur. Domestica praesertim Astrachaniae et in taurica Chersoneso, »e Persia et Turcia illata, Petropoli et Moscuae ex Europa, unde »in varias urbes interiores, maxime secundum Volgae tractum, »sparsa est. A Sinis quoque adfertur. Producit apud nos crebro »cum foemina Bochadis, sibi pennis et gressu, fereque magnitu- »dine, rostro et reliquo habitu, defectuque papillarum circa ros- »trum matri similiores. Sed haec hybrida non propagantur, obser- »vante jam Frischio. In Ornithothrophio quondam Procopi a De- »midof etiam cum À. aegyptiaca Brissonit hybrida produxit; mas »enim, incubante foemina ita libidinosus est, ut Gallopavonis fe-
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» mellas et Gallinas vi subigat, et posteriores plerumque pondere »suo enecet. Odor moschi praesertim masculis, et mirum haec _»effectum habere, qui de moscho notus est, easque reddere ma- »xime libidinosas , ita ut etiam Anatis moschatae marem, suae spe- » Ciel, tunc praeferant, semel passae.
» Nat. Spontanea mole fere Anseris, maximam partem nigro-aenea, » subtus et capite colloque albo maculata, speculo alari albo. Do-.
»mestica rarius tota alba, plerumque maculoso-varia.
Es ist aber eine Thatsache,, dass die Bisamente vor der Entdec- kung Amerika’s in Europa un- bekannt war, und dass sie Co- lumbus schon gezähmt in West- indien antraf. Fast alle spätere südamerikanische Reisende bis auf die neueste Zeit sprechen von ihr als von einer , in diesem Welt- theile häufigen, wild vorkom- menden Ente. Es sind daher of- fenbar die am kaspischen Meere lebenden Bisamenten, als verwil- dert zu betrachten.
ANAS PURPUREOVIRIDIS ,
Schinz, Neue Schweiz. Denk- schr.,.1,:p. 126; n°0: 41; Bur. Fauna, I, p. 421; de Selys Longchamps, Faune beige, p. 140, n°. 242, von der mehrere Exemplare in verschiedenen Ge- genden der Schweiz und in der Picardie beobachtet wurden, ist, wie Schinz selbst vermuthet und
wie es Pallas Beobachtungen über “ die Bastarde der Stockente wahr- scheinlich machen, nichts als ein Bastard der Bisam- und gemeinen Ente.
ANAS SPONSA, wird von neueren Schriftstellern als euro-
C'est cependant un fait avéré, que le canard musqué fut incon- nu en Europe avant la décou-- verte de l'Amérique, et que cette espèce existait, aux Indes occi- dentales, à l’état de domesticité lorsque Colomb aborda dans cette partie de monde. La plupart des voyageurs qui depuis ont par- couru l'Amérique méridionale, y ont rencontré ce canard à l’état sauvage. Il est clair d’après ce que nous venons de dire que les canards musqués qui habitent les bords de la mer caspienne, ap- partiennent à une race domesti- que retournée à l’état sauvage.
ANAS PURPUREOVIRIDIS, Schinz, Neue Schweiz. Denk- schr. , I, p.:126, 100, LE re Fauna, I, p. 421; de Selys Longchamps, Faune Belge, p. 140, n°. 242, dont on a obser- ve plusieurs individus en Suisse et dans la Picardie, ne parait pas former une espèce particu- hère. Il est évident, comme il résulte des observations que Pal- las a communiquées sur les mé- tıs du canard commun et comme le suppose lui-même Mr. Schenz , que cette prétendue espèce n’est qu'un métis produit du mélange des canards musqué et commun.
Plusieurs ornithologistes récents ont introduit parmi les espèces
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päisch aufgeführt, obschon es wahrscheinlich ist, dass die Exem- plare, auf welche sich diese Angabe gründet , aus Hühnerhö- fen oder Menagerien entkommen waren.
ANAS FORMOSA, aus dem nördlichen Asien, eine der Anas bimaculata verwandte, aber von ihr verschiedene Art, wird von Ch. Bonaparte, Catal., p. 71, n°.436, als europäisch aufgeführt. Die Quelle, woraus diese Angabe entlehnt ist, ist uns unbekannt.
(127) MERGUS ANATARIUS, Eimbeck, Isis, 1831, p. 299, c. fig, von welchen jetzt nur das eine, im Frühjahr 1825 bei Braunschweig erlegte Exemplar,
bekannt ist, halten wir, nach ge-
nauer Untersuchung dieses Exem- plares, mit Herrn Temminck, für einen Bastard von Anas clangula und Mergus albellus.
(128) TACHYPETES AqQUILA, wird von Meyer und Wolf, Ta- schenbuch, IT, p. 580 und von Schinz, Eur. Fauna, p. 370, als europäisch aufgeführt. Es soll nach Bechstein, Naturg., 1 Ausg., IIT, p. 756 , ein Exem- plar dieser Art im Januar 1792 auf der Weser erlegt worden seyn.
(129) Rüppell, Mus. Senk., IT, p. 185—187, trennt die klei- neren Exemplare des Pelec. ono- crotalus als eigene Art, welche er PEL. MINOR nennt. Die übri- gen Kennzeichen, welche Herr
européennes l’ANAS SPONSA de l'Amérique du nord; mais il pa- raît que les individus qui ont donné lieu à cette assertion , pro- viennent des basse-cours ou d’une ménagérie. |
ANAS FORMOSA , espéce parti- culière, quoique voisine de l’Anas bimaculata, et qui habite les parties septentrionales de l'Asie, a été introduite récemment, dans le catalogue méthodique des oi- seaux d'Europe, par Ch. Bona- parte, Catal., p. 71, n°. 436. Nous ignorons de quelle source est tirée cette assertion.
(127) MERGUS ANATARIUS, Eimbeck, Isis, 1831, p. 299, avec figure, n’est connu que d'après l’mdividu, tué au prin- temps de l’année 1825 près de Brunsvic ; cet individu nous ayant élé communiqué, nous le regar- dons, avec Mr. Temminck, com- me un métis provenant de l’Anas clangula et du Mergus albellus.
(128) Meyer et Wolf, Ta- schenbuch, p. 580 et Schinz, Eur. Fauna , p. 370, ont intro- duit parmi les oiseaux d’Europe, la frégatte, TACHYPETES AQUI- LA, un mdividu de cette espèce ayant été tué, à ce que rapporte Bechstein, Naturgeschichte, 1re édition, III, p. 756, en Jan- vier 1792, sur les bords du Weser.
(129) Rüppell, Mus. Senk., II, p. 185 à 187, sépare sous le nom de PELECANUS MINOR, comme espece distincte, les in- dividus de petite taille du Pelee. onocrotalus. Les autres caracte-
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Rüppell anführt, haben wir nicht _ standhaft gefunden. Da fast alle Pelekanarten in der Grösse aus- serordentlich abändern, so haben wir die erwähnte kleine Abän- derung des Pelec. onocrotalus vorläufignoch nicht als selbststän- dige Rage angenommen.
(129 bis) Nilsson Skandina- visk Fauna, Fogl., II, p. 478, führt eine, in Schweden vorkom- mende, kleinere Race der Cormo- ranscharbe auf, welche er PHA- LACROCORAX MEDIUS nennt.
(130) CARBO GRACULUS, Temm. Man., II, p. 897, IV, p. 565, nach zwei, wahrschein- lich aus einer Menagerie her- ‘stammenden Exemplaren aufge- stellt, ist eine, bis jetzt nur ım indischen Archipel beobachtete Art: Carbo sulcirostris, Brandt, Bullet. del’ Acad. de St. Petersb., LIT, p. 56. — Carbo graculus, Gould, Birds of Europe, PI. 408, ist eine amerikanische Art: Phal. brasiliensis, Ch. Bona- parte, List, p.60, n°. 403. Im nördlichen Europa werden daher nur zwei Arten Scharben ge- funden, die sich in jedem Al- ter leicht durch die Zahl der Schwanzfedern unterscheiden. Da schon Linné diese Kennzei- chen für seinen Pelecanus carbo und graculus angegeben hat, so kann über die Synonymik dieser Arten kein Zweifel entstehen.
res indiqués par Mr. Rüppell, m’ont paru trop variables, pour pouvoir servir comme traits di- stinctifs. Cette circonstance et le fait que presque toutes les espè- ces de pélécans sont assez sujet- tes à varier par rapport à leur taille, me font hésiter d'adopter pour le moment, comme race particulière, cette petite variété du pélécan commun, introduite par Rüppell. |
(129 dis) Il existe, selon Wefs- son, en Scandinavie, une race de moindre taille du grand Cormo- ran; C’est son PHALACROCORAX
MEDIUS, Skandinav. Fauna , Ois., p. 478.
(130) CARBO GRACULUS, Temm., Man., Il, p.897 et IV, p.565, établi d'après deux indi- vidus provenant probablement d’une ménagerie, appartient à l'espèce décrite par Brandt, Bul- let. de l’ Acad. de St. Petersb., III, p.56, sous le nom de Car- bo sulcirostris. Cette espèce n’a été observée, à l’état sauvage, que dans l’Archipel des Indes. — Gould, Birds of Europe, Pl. 408, a répresenté sous le nom de Carbo graculus une espece américaine: Phal. brasiliensis, Ch. Bonap., List, p. 60, no. 403. Il n'existe, dans l’Europe septentrionale, que deux espe- ces de cormorans, qu'il est aisé de distinguer, l’une de l’autre, dans tous les âges, par le nom- bre des pennes de la queue. Lin- naeus ayant admis ce caractère dans ses diagnoses des Pelecanus carbo et graculus, il est facile
(131) suLa MELANURA, Tem- minck, Man., IV, p. 569; Gould, P1.413, unterscheidet sich von Su- la bassana, wie wir schon frü- her an einem andern Orte bemerk- ten, durch ihren viel längeren, nackten Kehlstreif, und im Alter durch ihren schwarzen Schwanz. Sie vertritt die Stelle unseres Tölpels in Südafrika. Man will ein Exemplar dieser Art in Island erlegt haben.
(132) Ein Exemplar der p10- MEDEA EXULANS wurde, nach den Mittheilungen des Herrn Dra- piez in Brüssel, im September 1833, beiAntwerpen, vonFischern mit Rudern erschlagen: siehe Boie, Isis, 1835, p. 259. Im April 1837 wurden bei Kongsberg in Norwegen zwei Exemplare der DIOMEDEA CHLORORHYNCHUS gefangen : siehe Asmark in MNyt Magazın for Naturwidenska- berne , Christiania, vol. I, p. 256. Wahrscheinlich waren dies Vögel, die, wie es oft geschieht, von den Matrosen gefangen und nachher wieder frei gelassen wur- den. Indessen scheinen auch schon früher Vögel dieser Gattung in Europa beobachtet worden zu seyn. So sagt Brünnich, Orn. bor., p. 81 nota, » Diomedeae »exulantis ad Norvegiam, ut fer- »tur, occisi, caput et pedes mon- »strantur Hafniae in musaeo R. » Di. Volquartz.” Drei ähnliche Vögel, 18 bis 22 Pfund schwer, mit 41 Zolllangem Schnabel wur-
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d'établir avec justesse la synony- mie de ces deux espèces.
(131) suLa MELANURA , Tem- minck, Man., IV, p.569; Gould, Pl. 413, se distingue, comme nous l’avons remarqué ailleurs, de la Sula bassana, par l'étendue considérable de la membrane qui se prolonge sur la gorge, et par- ce que la queue des adultes est constamment d’un noir pur. . El- le remplace l’espece commune dans l'Afrique méridionale. On prétend avoir tué un individu de cette espèce en Islande.
(132) M. Bore, Isis, 1835, p. 259, rapporte, d’après une com- munication faite par M. Drapiez de Bruxelles, que l’on a tué à coups de rames, au mois de Sep- tembre 1833, pres d'Anvers, un individu de la DIOMEDEA EXU- LANS. On voit par une notice de Mr. Zsmark, insérée dans le Nyt Magazin for Naturwidens- kaberne, Christiania , vol. I,p. 256, qu’on a tué pres de Kongs- berg en Norwege, au mois d’A- vril 1837, deux individus de la DIOMEDEA CHLORORHYNCHUS., Les mätelots des batimens venant des contrées tropiques et s’amu- sant quelquefois à prendre ces oi- seaux et à leur rendre la liberté après les avoir gardés sur le pont pendant un espace de temps plus ou moins considérable, il se peut que les individus dont nous ve- nous de parler, aient été appor- tés de cette sorte dans des para- ges que ces oiseaux ne frequen- tent jamais spontanément. Il pa- rait d’ailleurs que les exemples,
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den im November 1758 bei Chau- mont erlegt: Siehe la Chasse au fusil, Paris 1788, p. 545; ferner v.Wildungen, Weidmanns Feier- abende, I, p. 15— 19, und Meyer, vbid., II, p. 123.
(133) Schinz, Eur. Fauna, I, p. 380, führt LARUS ARGEN- TATOIDES, Fauna bor. am., Birds, p. 417, als europäisch auf, und sagt, dass sechs alte Exem- plare dieser Möve in Irland ge- schossen wurden. Diese Nach- richt, offenbar den Proceed. Zool. Soc., 1835, p. 83, entlehnt , ist aber missverstanden, denn Thomp- son, der Verfasser des erwähn- ten Artikels, sagt bloss, dass er sechs in Irland erlegte Individuen des Larus argentatus, mit La- rus argentatoides, Rich. aus Nordamerika verglichen, und ge- funden habe, dass letztere Art auf zu unsicheren Kennzeichen beruhe, um als selbstständig be- trachtet zu werden.
que des especes de ce genre se sont égarées en Europe d’une maniere ou d’autre, ont eu lieu plus frequemment qu’on .ne le croit ordinairement. Brünnich par exemple rapporte dans son Ornith. borealis, p.31, note, la notice suivante: » Diomedeae exu- » lantis ad Norwegiam, ut fertur, » occisi , caput et pedes monstran- »tur Hafniae in museo R. Dni. » Volquartz.” Je trouve dans d’au- tres ouvrages, que trois indivi- dus d’une espèce analogue ont été tués en Novembre 1758 près de Chaumont; le poids de ces oiseaux était de 18 à 22 livres, et leur bec portait quatre pou- ces et demi en longueur; consul- tez l'ouvrage intitulé /a Chasse au fusil, Paris, 1788, p. 545; puis Wildungen, Weidmanns- Feierabende, I, p. 15 a 19; et Meyer, tibid., IT, p. 128.
(133) Schinz, Eur. Faun., I, p. 380 , a introduit parmi les oiseaux d'Europe le LARUS ARGENTA- TOIDES, Richardson, Fauna bor. amer. Birds, p. 417, con- statant que l’on a tué en Irlan- de six individus adultes de cette mouette d'Amérique. Il est évi- dent que cette indication est em- pruntée d’une notice insérée dans les Proceedings, 1835, p. 83, et que cette notice a été mal interpretee par Mr. Schinz, Mr. Thompson qui en est l’auteur, constatant simplement quil a compare six individus de Zarus argentatus, tués en Angleterre, avec le Larus argentatoides de Richardson, et que cet examen lui a appris, que les caractères
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Die Möve, welche Graf von der Mühle, p. 142, unter dem Namen Larus argentatus be- schrieben hat, gehört offenbar zu Larus cachinnans. Was dagegen derselbe Verfasser, p. 143, als Larus cachinnans beschreibt , ist eine andere Art, die ich nicht mit Gewissheit bestimmen konnte. Graf von der Mühle vermuthet, dass sein Larus cachinnans iden- tisch seyn könne mit einer neuen Möve vom rothen Meere, welche Naumann erwähnt: Larus leu- cophaeus, X, p. 382. Da die An- gaben über diese Möve unzurei- ehend sind um sich einen deutli- chen Begriff von derselben zu bilden, so haben wir vorläufig diesen zweifelhaften Vogel nicht als Art aufgenommen.
(134) LARUS RIDIBUNDUS MINOR, unterscheidet sich von La- rus ridibundus nur durch einen kleineren, schwächeren Schna- bel, etwas kürzere Läufe und Zehen, und kleinere Schwimm- häute. Herr Temminck erhielt sie zuerst vor vielen Jahren von ei- nem Wallfischfänger. Sie wurde von Lord, Proceed., 1830, p. 149, in Schottland angetroffen. Herr Bruch beobachtete sie meh- rere Jahre hinter einander auf ihrem Zuge auf dem Rheine, und meldet mir, dass sie früher an-
>
de cette dernière espèce sont de sorte à ne pouvoir servir comme traits distinctifs constans.
La Mouette indiquée par Mr: von der Mühle, p. 142, sous le nom de Zarus argentatus, est evidemment identique avec le Larus cachinnans, et celle que eet ornithologiste, p. 143, a dé- crite sous ce dernier nom, est une espèce très-diverse que je ı'ai pu rapporter avec certitude à aucune de celles indiquées jusqu’à présent comme se trouvant en Europe. Mr. von der Mühle sup- pose qu’elle pourrait appartenir à une espèce inédite de la mer rouge et dont on voit les dé- pouilies au Musée de Berlin; cette espèce a été indiquée par Nau- mann, À, p. 382, sous le nom de Zarus leucophaeus. Les ren- seignemens que l’on a donnés sur cet oiseau étant insuffisans pour s'en former une idée précise,
| nous n’avons pas cru devoir aug-
menter le catalogue des oiseaux
| d'Europe d’une espèce douteuse
de plus.
(134) LARUS RIDIBUNDUS MINOR, ne se distingue de la mouette rieuse que par un bec plus petit et plus faible, par des tarses et des doigts plus courts, ainsi que par des membranes na- tatoires moins étendues. M. Tem- minck en posséde depuis long- temps un individu rapporté par un baleinier. Zord, Proceed., 1830, p. 149, l’a rencontrée en Ecosse. M. Bruch l’a observée plusieurs années de suite, lors de l’époque de la migration, sur les bords du Rhin; il me mande
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kommt als die gemeine Lachmö- ve, und eine etwas verschiedene Stimme .hat: Der Marquis von Du- razzo erhielt ein Exemplar aus der Gegend von Genua, und Herr von Feldegg brachte sie aus Dal- matien mit. Herr Verreaux schick- te uns ein Exemplar vom Vor- gebirge der guten Hoffnung, und sie wurde auf dem Zuge bei Dün- kirchen, (de Selys, 9.152), und an den Küsten Hollands erlegt. Diese Beobachtungen bestimmen uns diese Möve als eigene Race der Lachmöve aufzuführen. Zuwei- len scheinen sich aber beide Ra- gen zu vermengen oder wenig- stens gesellschaftlich zu brüten ; denn ich erlegte im Sommer 1843, auf einem Moraste, wo nur 2 Paar Lachmöven brüteten, zwei davon, von welchen das Männchen zur grösseren, das Weibchen zur klei- neren Race gehörte. |
Die vom Grafen von der Mühle , p.141, unter dem Namen Larus atricilla aufgeführte Möve aus Griechenland kann, wegen ihrer geringen. Grösse, nicht zu dieser Art gezählt werden. Sie scheint sich nicht von der erwähnten kleinen Race des Larus ridi- bundus zu unterscheiden.
. (135) Im Manuel, IT, p. 779, Remarque, wird gesagt, dass Herr Natterer den Larus atri- cilla an den Süd-Küsten Spa- niens beobachtet habe. Nach Herrn Natterers Mittheilungen ge-
qu’elle y arrive avant la mouette rieuse , dont elle se distingue par sa voix un peu différente. Le marquis de Durazzo en a. recu un individu tué dans les envi- rons de Gènes, et Mr. de Feldegg Pa rapporté de la Dalmatie. Mr. Verreaux nous en a envoyé un individu du Gap de B. Esp. ,.et elle a été tuée près de Dunker- que, (de Selys, p. 152) , et sur les côtes de Hollande. Ces faits sem- blent militer en faveur de l’opi- nion que cetie mouette forme une race particulière, différente de la mouette rieuse. Il paraît cependant que ces deux races s’accouplent quelquefois l’une avec l’autre, ou qu'elles nichent en compagnie, vu que j'ai tué, : en été 1843, sur un lac dans les environs de Leide, de deux pai- res de mouettes rieuses qui y avaient leurs nids, deux indivi- dus dont le mâle offrait tous les caractères du véritable ridbun- dus, tandis que la femelle ap- partenait à la petite race de cette espèce.
La mouette rapportée de la Grèce et introduite par Mr. le comte von der Mühle, sous le nom de Zarus atricilla,.voir p:+ 141 de son ouvrage, me pa- rait, à cause de sa petite taille, plutôt appartenir à cette petite race du Larus ridibundus.
(135) La mouette, observée par Mr. Natterer sur les côtes méridionales de l'Espagne, et dont ıl est fait mention dans le Manuel, IT, p.779, sous le nom de Larus atricilla, n'appartient
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hört die von ihm an jenen Küs- ten beobachtete Möve nicht zu Larus atricilla , sondern zu La- rus Audouinti.
(135 bis) Die Möve, welche von der Mühle, p.138, als La- rus melanocephalus beschreibt , ist nicht neu, sondern gehört wirklich zu dieser Art.
Ch. Bonap., List, p. 62, no. 461 , führt einen LARUS PLUMI- cEPs, dem Namen nach, aus dem südlichen Europa auf. Wir wis- sen nicht, welche Art damit ge- meint ist.
(136) Neueren Nachrichten zu- folge, soll die im grössten Theile Afrıkas und Indiens gemeine STERNA VELOX, Aäüppell, im südöstlichen Europa vorkommen; siehe Ch. Bonap. , Catal., p. 77, n°. 485. Derselbe Schriftsteller , ibid., p. 484 führt auch die längst vergessene STERNA NITZ- scun, Kaup, wieder als selbst- ständig auf.
(137) PUFFINUS FULIGINOSUS, ist eine durch Färbung und Ge- stalt des Schnabels von Puf. cinereus und major standhaft abweichende Art.
(138) Bole, Isis, 1835, p. 257, stellt unter dem Namen PUFFINUS KUHLII, eine dem ?. arcticus sehr verwandte, aber durch einen etwas anders ge- stalteten Schnabel, und die gelbe
+
pas. à cette dernière espèce, mais au Larus Audouinii. (Ob- seryation communiquée par feu Natterer.)
(135 dis) La mouette décrite par M. von der Mühle, p. 138, sous le nom de Zarus melano- cephalus, ne forme pas une espèce nouvelle; c’est la vérita- ble mouette à tête noire.
Ch. Bonaparte, List, p. G2, n°. 461, fait mention, sous le nom de LARUS PLUMICEPS, d’une mouette de l’Europe méridiona- le. Nous ignorons si cette espèce est nouvelle ou si elle appartient à une de celles connues anté- rieurement.
(136) On dit que l’hirondelle de mer véloce, STERNA VELOX, Rüppell, espece commune aux Indes et dans une grande partie de l!’Afrique , fréquente également les parties chaudes de l’Europe méridionale; voir Ch. Bonap., Catal., p. 77, n°. 485. Ce sa- vant rétablit aussi, 20ëd., p. 484, l'espèce douteuse, décrite par Kaup, sous le nom de STERNA NITZS CHI.
(137) PUFFINUS FULIGINOSUS. Cette espèce est assez différente des Puff. major et cinereus, tant par ses teintes que par la forme de son bec.
(138) Bote, Isis, 1835, p. 257, etablit sous le nom de PUFFINUS KUHLIH, une espèce assez voisi- ne du P. arcticus, et qui le rem- place dans la Méditerranée. Elle doit s’en distinguer par un bec
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Farbe der Füsse und des Schna- - bels, abweichende Art auf, wel- che die Stelle des P. arcticus im Mittelmeere ersetzt. Es fehlt uns an hinlänglichen Beobachtungen, diesen Vogel, der höchstens eine Race des P. arcticus bilden kann, als selbstständig aufzufüh- ren.
Ein gleiches gilt vom PUFFINUS YELKOUAN, Bullet.des sc. nat., XVI, p. 463, der kaum von P. obscurus zu unterscheiden ist, und dessen Stelle im Mittelmeere vertreten soll: Siehe, Temm.,
Man., IV, p. 510.
(139) Thalassidroma oceani- ca, Schinz, Eur. Fauna, p. 397, gehört als Synonym zu Thal. Wilsonir; eben so Procell. oceanica, Forster, Licht., Ca- tal., 1823, p.83, n°. 764 nota. Dagegen ist Thal. oceanica, Ch. Bonap., Synops., n°. 309 nofa, identisch mit Procellaria gral- laria, Licht., !. c. Siehe hier- über, Ch. Bonap., Osservaziont,
1830, p. 135, nota.
(140) LESTRIS LESSONN, Degland, von Schinz, p. 391, aufgeführt, ist offenbar nach ei- nem jungen Exemplare der Les- tris crepidata aufgestellt.
d’une conformation un peu di- verse ainsi que par la couleur jaunätre des pieds et du bec. Nous nous abstenons pour le mo- ment, au defaut d’observations suffisantes, d’admettire, comme espèce, ce puflin qui doit, à ce qu'il paraît, tout au plus former une race ou une variété de cli- mat du Pufinus arcticus.
Nous ne pouvons non plus émettre aucune opinion sur le PUFFINUS YELKOUAN, Bullet. des sc. nat., XVT, p. 463, qui se distingue à peine du Puf. obscurus, qu’il remplace dans la Méditerranée; consult. Femm., Man., IV, p. 510.
(139) Il faut énumérer parmi les synonymes de la Thalassidro- ma Wilsonii, les Procellaria oceanica, (Forst.) Zieht, Catal., 1823, p.83, n°. 764, note et la Thal. oceanica de Schinz, Eur. Fauna, p. 397. Thal. oceani- ca, Ch. Bonap., Synops, n°. 309, nofe, est, au contraire iden- tique avec la Procellaria gral- laria, Licht., !. c. Consultez sur la synonymie de ces espèces CA. Bonap., Osservaziont, 1830, p. 135, note.
(140) LESTRIS LESSONH, Degland, dont on trouve une description dans Sehinz, !. c., p. 391, me parait établi d’après un jeune individu du Zesiris
Bufonii.
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cr et H.SCHLE- .
GEL. + Mammalia , Fasc. 1: a DI, à 151. 4 flor. d. Laye _ Pisces, Fase. À à ‘6, à fl. 15.#..4;4.. 90 0 1.
| Chaque livraison de cet ouvrage est compo- sée de 10 planches” coloriées et de 4 à 5
feuilles de texte en langue francaise; format petit et en folio. H. SCHLEGEL, Abhandlungen aus dem Ge- biete der Zoologie und vergleichenden Ana- tomie, 40. | Heft I, 1844; (6 Tafeln). ............. 5 Fa » »
Heft II, 1843, (2 Tafeln und 3 Doppel-
Papin Per Een EN, Le. 52 » » »
Unter der Presse. | Sous presse.
TRAITÉ DE FAUCONNERIE, par M. M. | H. SCHLEGEL et J. A. VERSTER DE WUL- ie eo | VERHORST. Ouvrage de luxe, dédié à AUS .
.Son Altesse Royale le Prince Alexan- dre des Pays-Bas, orné de 18 planches, ; dessinées par Mr. M. SONDERLAND, WOLF et autres artistes, et exécutées sous la di- rection de Mr. À. ARNZ. Cet ouvrage sera publié en 3 livraisons.
Prix de chaque livraison (format gr. royal) 32 » » >»
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