nt DLL. Fi S Soda art promet > TE D qe ER an ER PORN D ROUES ETOTECE CTECRE DEEE RÉAL CDN ere augpnpn ape pes Tape ee DE ALLIE TES 70m 4 RAR AL ME nl TA ET TP A PT AL PU TT EL LUE LM SNS ET TEA ASP NP RE ACRES LT TL LT MANUEL £ É » pu “# e -- pe ? © Ë $ Cr h LE DE 1. pi éd è m1 £ Ë ÿ À 1e 6 À 4x F F« # f ?- : ! ü : ü ÿ É + < pan HBOUTETLLE PHARMACIEN, Auteur deifireathoso te du Daujhuiné. | hi. : | Let LE ï ‘6 Lonkeami LE. Las ès # £ | : | . … L Nu os < £ © LA COLLECTION COMPLETE ds OLSEAUX A AUPAINE LE ; $ | EP ë ; ee VC SSIEN. 14 Ë w È s 2 4 & = > — < f: Ë ; à — — nu RAA, À Le NÉ ÉLES de “ è h : hf CGRENGELLE. . fè ï F6 Ê k. f- CHE HSOUTELLLE GRAYP RLE, f É : Fr. | @ —- | he fé h ve { etchez les principauxl brai:2s, = É ii VA | ñ à LR / } M 8 { \ B rt h E | ti À 5 + ; a È | nt » V: E & | «4 À 5 (E ñ » nm de x Si à J * . s en Re LR ’ 2 à < 4 REX ° à Qt | si se TE AE dr : ms La ù nn NÉE a Dee are S Dar à D maman anmmr est SICROE TT EEE LES Si EC = Smithsonian Institution — fibraries Alexander Wetmore 1946 SaxthSecretary 1953 MANUEL DE L'ORNETHOLOGISTE PRÉPARATEUR. Par H. BOUTEILLE, PHARMAGIEN, Auteur de l'Ornithologie du Dauphiné, CONTENANT LA COLLECTION COMPLÈTES DES OISEAUX DU DAUPHIUÉ, DESSINÉS PAR V. CASSIEN. : = ST =D > GRENOBLE. CHEZ H. BOUTEILLE, GRAND'RUE, ET CHEZ LES PRINCIPAUX LIBRAIRES. 1845. # ñ Le GRENOBLE. — TYPOGRAPHIE Er . ALLIER, Grand'Rue, cour de Chaulnes. É MANUEL DE L'ORNITHOLOGISTE PRÉPARATEUR. ATOTIONS PRÉLIMIINAIRES. DÉFINITION. La classe des oiseaux est une des mieux caractérisées du règne animal ; en effet, les êtres qui la composent sont parfaitement dis- tincts des animaux des classes les plus voisines. Voici une définition qui démontre cette vérité : Les oiseaux sont des animaux vertébrés ovipares, à sang chaud comme les mammifères dont la circulation est double et complète; la respiration est aérienne et double, c'est-à-dire qu'au lieu de s'effectuer dans les poumons seulement, comme celle des mammifères et des reptiles, elle s'opère en même temps dans ces organes et dans la profondeur de toutes les parties du corps; enfin, leurs membres antérieurs ont la forme d'ailes et leur peau est garnie de plumes. 4 Cette définition ainsi que quelques-uns des détails anatomiques et physiologiques qui vont suivre ont été puisés dans l'excellent ouvrage de Milne-Edwars, sur la Zoologie. Il n’entre pas dans le cadre de ce livre de donner trop d’extension à ces détails; nous nous contenterons de faire connaître l’anatomie des parties qui servent plus particulièrement à la classification et à la préparation des oiseaux. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE. Sœqueleite (1). — La charpente osseuse des oiseaux se com- pose à peu près des mêmes éléments que celle des mammifères, avec les modifications, dans la forme et la disposition des os , néces- sitées par leur manière de vivre et de se mouvoir. La tête des oiseaux est petite, le crâne renferme les analogues des os frontaux, pariétaux, temporaux, etc., mais toutes ces parties se soudent de bonne heure, et le crâne forme bientôt qu’une boîte; à l'intérieur, cette boîte est äivisée en deux loges, l’'antérieure contient le cerveau et la postérieure le cervelet, les lobes optiques et la moëlie allongée. La face est formée par les mandibules, la supérieure contient les analogues des os maxilaires nazaux et palatins, elle s’unit au front par une articulation mobile ; l’inférieure, composée de deux os de grandeur différente, s'articule sur un os que les anatomistes ont appelé l'os carré; ces organes réunis ont recu le nom de bec. La forme du bec varie à l’infini, et comme nous le verrons plus tard, cette variété de formes est une des bases de la classification des oiseaux. La colonne vertébrale se compose des vertèbres cervicales, des vertèbres dorsales, du sacrum et des vertèbres coccygiennes; le Li (4) Voir, pour tout ce qui concerne le squelette et ses différéntes parties; PL 4, Figs de 5 6 nombre des vertèbres cervicales est très-variable (1) et paraît dé- pendre la plupart du temps de la longueur des jambes, car le bec étant le seul organe qui sert à l’oiseau pour prendre ses aliments à terre, le cou est d'autant plus long que l’oiseau est plus élevé sur ses pattes. Chez quelques oiseaux exceptés (l’autruche, par exemple) les vertèbres dorsales sont soudées entre elles, et il devait en être ainsi puisqu'elles soutiennent les côtes, et servent de point d'appui aux organes du vol. Le sacrum ne présente rien d’assez important pour que sa description trouve place ici, il en est de même des vertèbres coccygiennes dont la dernière, destinée à supporter les plumes de la queue , est relevée en une crête saillante. Pour donner plus de solidité au thorax, les côtes des oiseaux sont unies par un apophyse osseux qui va de l’une à l’autre; mais la portion la plus volumineuse du squelette est sans contredit le sternum qui forme un vaste bouclier recouvrant en partie l'abdomen ; il porte, à sa partie médiane et antérieure, une carène sur laquelle viennent s'insérer les muscles abaisseurs de l’aile, et qui donne plus de puissance au vol. La nature, qui, dans cette classe, semble avoir tout fait pour les organes de la locomotion, a donné une solidité vraiment surpre- nante aux os qui leur servent de support ; l’omoplate est très- allongée dans le sens des vertèbres dorsales; les clavicules, qui se soudent par leur extrémité antérieure, forment un V qui s’unit par sa base à la crête du sternum et par ses extrémités à deux os très- gros qui manquent aux mammifères, et appelés coracoïdiens, parce qu'on à cru y trouver un prolongement de l’apophyse coracoïde de lomoplate de ces animaux. Les membres antérieurs ou thoraciques viennent s’articuler à cet (4) Le moineau a neuf vertèbres cervicales, la mésange onze, le milan royal douze, l'aigle et le pigeon treize, le paon et le canard quatorze , l’oie quinze, la spatule dix-sept, le fiamant dix-huit, la cigogne dix-neuf, le cygne vingt-trois. DS] ä appareil solide ; ces membres nommés ailes ne servent ni à la marche ni à la préhension, mais à la locomotion aérienne. L'humérus, le cubitus et le radius ne présentent rien de parti- eulier, ils sont les analogues du bras et de l’avant-bras des mammi- fères. On a remarqué que le radius est d'autant plus long que l'oi- seau est meilleur voilier; deux os à peu près égaux forment le carpe, suivi du métacarpe composé de deux branches soudées par leur extrémité, un seul os représente le doigt médian, enfin un petit os placé au haut du carpe tient lieu de pouce. Les membres inférieurs des oiseaux servent seuls à la station, et dans quelques espèces (les oiseaux de rapine) à la préhension. Il fallait donc un bassin large et solidement fixé à la colonne vertébrale pour donner attache à ses membres, aussi les hanches sont très- développées et ne forment qu’une seule pièce avec les vertèbres sacro-lombaires. L'os de la cuisse est court, la jambe est plus ou moins longue et se compose d’un tibia et d’un péroné, ce dernier est à l’état rudi- mentaire et se confond par sa partie inférieure avec le tibia. A la suite de la jambe s’articulent le tarse et le métatarse, qui ne forment qu'un seul os que les ornithologistes appellent le tarse; viennent ensuite les doigts. Quelquefois le doigt postérieur manque, mais le plus souvent les oiseaux ont quatre doigts ; la forme, la longueur et la disposition du tarse, des doigts et des ongles servent comme celles du bec, de base à la classification des oiseaux. Des plumes (1). — Après avoir succinctement décrit le squelette des oiseaux, nous allons dire quelques mots des parties qui les couvrent et qui servent aussi à les connaître et à les classer. On distingue dans les plumes le tube , la tige et les barbes ; ces (4) Voir, pour l'intelligence de tout ce qui concerne les plumes, la PI. 1, Fig. 3. S appendices tégumentaires se forment dans un organe sécréteur appelé capsule. Chaque capsule se compose d’une gaine cylindrique revêtue à l'intérieur de deux tuniques et d’un bulbe central; c’est autour de ce bulbe que se dépose la substance de la plume qui en grandissant perce la capsule, se déroule et étale latéralement ses barbes. Mais lorsque le bulbe a rempli ses fonctions il se dessèche, tombe et meurt avec la plume pour faire place à une plume nou- velle. Ce renouvellement, qu’on appelle la mue, a lieu une ou deux fois par an suivant les espèces; pendant ce changement les oiseaux sont tristes, souffrants et cherchent à se cacher. La mue arrive toujours soit au printemps pour parer les oiseaux de brillantes robes de noces, soit en automne pour les couvrir de leurs manteaux d'hiver et de voyage. La forme des plumes varie beaucoup ; les unes ont leurs barbes raides et unies de façon à résister à Pair; d’autres, au contraire, ont leurs barbes divisées , longues et flexibles ; il en est encore qui ressemblent au duvet. Les plumes se teignent des couleurs les plus brillantes et les plus variées et peuvent surpasser la beauté des plus belles fleurs. En général, les femelles ont les couleurs moins riches que les mâles, et souvent le plumage d'été diffère du plumage d'hiver ; enfin, dans quelques espèces (les rapaces, par exemple), les jeunes ne revêtent le plumage parfait qu’à la troisième ou qua- trième mue et même plus tard. Nemenclalure des pluies. — Sans la connaissance de cette nomenclature il est impossible aux ornithologistes de pro- céder à la description des espèces et de comprendre la langue des manuels ; il est donc essentiel de bien la savoir. On désigne les plumes du front, du lorum (1), de la tête, de l'occiput, du dos, de la gorge, du cou, de la poitrine, des flancs et du ventre, en ajoutant au mot plumes celui des parties qu’on veut (4) Espace entre le bec et l'œil. 9 désigner. Ainsi on dit : les plumes du front, du lorum, de [æ tôte, etc., etc. Dans l’aile, en avançant du dehors au dedans, on rencontre : 1° Les rémiges bâtardes, petites plumes qui tiennent au pouce; 2 Les rémiges primaires ou grandes pennes de l'aile, qui adhèrent à la main et sont toujours au nombre de dix ; 3° Les rémiges secondaires ou pennes secondaires de l'aile, qui tiennent à l’avant-bras; 4° Les scapulaires insérées sur le bras ; d° Les tectrices ou couvertures alaires, plumes imbriquées qui couvrent la base des rémiges. Les plumes qui forment la queue se nomment rectrices ou pennes de la queue; leur base est cachée en dessus par les couvertures supé- rieures et en dessous par les couvertures inférieures de la queue. Le nombre des pennes caudales est ordinairement de douze, mais il n’est pas invariable comme celui des rémiges primaires. Mas vol. — On voit par ce qui précède que la puissance du vol dépend autant de la longueur des pennes que de la force muscu- laire de la poitrine , du bras et de l’avant-bras. Le mécanisme du vol s'explique par des faits physiques et phy- siologiques assez compliqués. Nous ne croyons pouvoir mieux faire que de rapporter textuellement ce qu’en dit le savant Milne-Edwars : « Chaque fois que l'oiseau veut frapper l'air, il élève l’humérus et « avec lui l’aile encore ployée, puis il la déploie en étendant l’avant- « bras et la main et l’abaisse subitement : l'air qui résiste à ce « mouvement lui fournit alors un point d'appui sur lequel il se sou- « lève; 1l se lance ainsi comme un projectile, et une fois l'impulsion « donnée à son corps, il reploie laile pour diminuer autant que « possible la résistance nouvelle que le fluide ambiant oppose à sa « course. Cette résistance et l'attraction terrestre qui tend à faire « tomber tous les corps vers le centre de la terre, diminuent gra- « duellement la vitesse que l’oiteau a acquise par cette percussion 10 de l'air, et s’il ne fait pas de nouveaux mouvements, il ne tardera pas à descendre ; mais si avant que la vitesse acquise par le pre- mier coup d’aile soit anéantie , il en donne un second, il ajoutera une vitesse nouvelle à celle qu’il avait encore et se déplacera par un mouvement accéléré; tel est le mécanisme du vol. « Pendant que l'oiseau est ainsi suspendu dans l'air, ce sont les ailes qui supportent tout le poids du corps, et pour qu'il puisse conserver dans cette position son équilibre, il faut que son centre de gravité soit placé sous les épaules et aussi bas que possible; c’est pour cela que pendant le vol il porte en général la tête en avant... De plus, les organes les plus pesants sont accumulés à la partie inférieure du thorax et abaissent d'autant le centre de gravité. « Il est évident que la résistance de l'air est d'autant plus grande que la masse de ce fluide, frappée à la fois par les ailes, est plus considérable, et par conséquent que plus les ailes seront étendues, pius aussi, toutes choses égales d’ailleurs, la vitesse acquise par l’abaissement de ces rames sera grande et le vol facile et sou- tenu... « Les pennes de la queue servent aux oiseaux pour les diriger dans leur vol, ils les étalent, les relèvent ou les abaissent comme un gouvernail pour augmenter ou diminuer l'obliquité de leur course et en les inclinant s’en aident aussi lorsqu'ils veulent changer leur direction. « Lorsque l'oiseau veut s'élever de terre, il prend son élan en sautant sur ses pied et en étendant les ailes, de façon à pouvoir frapper l'air avant que de retomber sur le sol; ceux qui ont les ailes très-longues ont besoin de plus d’espace pour les abaisser et il en résulte que si leurs pieds sont en même temps trop courts pour leur permettre de sauter très-haut, ils ne peuvent que diffi- cilement prendre leur essor. Les martinets sont dans ce cas. » Les membres supérieurs des oiseaux leur servent encore à l’at- taque et à la défense; lorsqu'un oiseau est menacé d’un coup, il If ouvre vivement l'aile et s’en sert comme d’un bouclier pour le parer; lorsque au contraire il attaque, il frappe son ennemi du poignet avec tant de force que souvent il l’assomme. On sait que le vau- tour se sert de ses pieds et de ses ailes pour tuer les jeunes animaux lorsque les cadavres lui manquent, et que le cygne parvient à se débarrasser par le même moyen des plus redoutables oiseaux de proie. Les membres inférieurs servent à la station et à la natation; cette dernière faculté est rendue très-facile aux oiseaux par leur pesan- teur spécifique qui, étant de beaucoup moindre que celle de l’eau, permet aux espèces aquatiques de flotter à sa surface et de sy diriger au moyen de leurs doigts unis par des palmures qui servent de rames. Dans la station, si l'oiseau a la tête petite et les doigts longs, il prend son centre de gravité sans s’écarter beaucoup de la ligne horizontale; mais s’il a la tête grosse, le cou court et les pieds mé- diocres, il sera obligé, pour avoir son équilibre, de se rapprocher de la perpendiculaire. Chez quelques oiseaux, comme la cigogne, la grue , etc., la station sur un pied est rendue très-commode par l’or- ganisation particulière du genou; l'extrémité inférieure du fémur présente un creux où s’emboite, pendant l'extension du membre, une saillie au tibia; la patte, une fois redressée par ce ressort, peut rester tendue sans aucun effort musculaire de l'oiseau. La station des oiseaux qui perchent est rendue facile par un mécanisme très- simple : les muscles fléchisseurs des doigts passent sur les articula- tions du genou et du talon, et lorsque ces articulations fléchissent, elles tirent les tendons fléchisseurs des doigts qui serrent la branche sans fatigue pour l'animal. Toutes les personnes qui ont fait fléchir les jambes d’un oiseau mort ont pu s’apercevoir de ce méca- nisme. Des sens. — Le système nerveux des oiseaux est bien moins développé que celui des mammifères; il n’entre pas dans notre plan 12 de faire connaître ce système. Nous dirons seulement quelques mots sur les sens des oiseaux. Le toucher est presque nul; les parties qui ne sont pas em- plumées sont cornées ou couvertes d’écailles et par conséquent peu propres à l’exercice de ce sens. Le sens du goût paraît aussi peu prononté, car la langue manque de papilles nerveuses, et la plupart des oiseaux avalent leurs ali- ments sans les déguster (1). Quoique l'appareil de l’ouie des oiseaux soit moins compliqué que celui des mammifères , ils paraissent cependant jouir de la faculté d'entendre à un degré assez élevé. Mais leur sens prééminent, c’est la vue; leurs yeux présentent une organisation particulière; la ré- tine est très-épaisse, il en part une membrane noire, plissée en éventail, qui s'avance vers le cristallin. Les physiologistes ne sont pas d'accord sur les fonctions de cet appendice qu’ils nomment peigne. Dans tous les cas, il paraît que c’est autant à cet organe qu'aux plis de la rétine que les oiseaux doivent la sûreté et l'étendue extraorüimaire de leur vue. Appareil digestif (2). — Le bec sert à la préhension et quelquefois à la mastication incomplète des aliments. La langue offre quelques différences; elle est sèche et cartilagineuse chez les grani- vores et charnue chez les carnassiers; dans d’autres espèces, chez les pies, par exemple, elle est arrondie, longue et peut être dardée très-loin sur les insectes dont elles se nourrissent. Dans ce cas, l'os hyoïde se prolonge derrière la tête en deux longues cornes qui donnent attache à des muscles de la mâchoire inférieure; lorsque ces muscles se contractent , les cornes de l'os hyoïde sont ramenées (1) Dans les exceptions on peut compter les toucans, les perroquets, les bouvreuils, etc. (2) Voir, pour les organes qui le composent, la PI. 1, Fig. 4. 13 ‘en avant, et la langue est chassée de la bouche comme nous l'avons dit plus haut. Dans le tube digestif des oiseaux on rencontre d’abord l’æsophage, renflé à sa partie médiane en une poche nommée jabot, où les ali- ments séjournent un certain temps. En dessous du jabot se trouve -un élargissement de l'œsophage , appelé ventricule succenturié, com- muniquant avec les follicules qui secrètent le suc gastrique; de ce ventricule les aliments passent dans le gésier pour y subir la chymi- fication. La structure du gésier varie suivant le régime de l'oiseau ; celui des carnassiers est membraneux et celui des granivores est garni de muscles assez puissants pour broyer les corps les plus durs. La portion äu tube intestinal qui fait suite à l'estomac est longue et se compose de l'intestin grèle et du gros intestin; entre eux on trouve deux appendices en cul de sac qu’on appelle cæcums ; les cœcums sont petits et presque nuls chez les oiseaux de proie et très- longs chez les omnivores et les granivores (1); enfin le résidu des différentes digestions, se rend dans le cloaque, où, mêlé à lurine, il est expulsé par l'anus. Nous disons que l'urine se mêle dans le cloaque aux excréments solides; en effet, après avoir été sécrétée par les rains, elle s’y rend directement par les urétères ; les oiseaux n'ont donc pas de vessie. Il existe encore dans l'appareil digestif le pancréas qui verse son suc dans le canal alimentaire et le foie très- volumineux et multilobé qui contient la vésicule du fiel et déverse la ble dans l'intestin par les canaux biliaires. Le résultat des produits nutritifs passe dans le torrent de la cir- culation par les vaisseaux lymphatiques. Le sang des oiseaux ne diffère pas sensiblement par ses propriétés chimiques de celui des mammifères ; on a cependant remarqué que ces globules, au lieu d’être ronds comme ceux du sang de ces derniers, sont elliptiques. Le (4) Quelquefois les cæcums manquent complètement , ou bien encore l’un est à l'état rudimentaire tandis que l’autre est très-prononcé. 14 Appareil respiratoire (1). — Comme nous l'avons dit en définissant cette classe d'êtres, l'air pénètre dans toutes les parties du corps des oiseaux , ce qui s'effectue au moyen de grandes cellules qui communiquent du poumon au tissu cellulaire. La trachée artère présente des différences de formes dont il est utile de tenir compte, car souvent ces différences servent à distin- guer des espèces qu’on pourrait croire identiques en n'ayant égard qu'aux caractères extérieurs, ainsi, la trachée du cygne sauvage se replie dans une cavité du sternum, disposition qu'on ne rencontre pas dans le cygne tuberculé, etc., etc. La trachée artère des oiseaux est composée d'anneaux cartilagi- neux : « Son ouverture, dit Milne-Edwars, a la forme d’une fente « dont les bords ne peuvent ni s'étendre, ni se relâcher, et il ne « sy trouve ni ventricules, ni cordes vocales, ni épiglotte. Mais à « l’extrémité inférieure de la trachée, il existe un second larynx « dont le jeu est très-remarquable, et dont la structure est d'autant « plus compliquée que l'oiseau module mieux son chant. Chez les « oiseaux chanteurs, ce petit appareil se compose d’une espèce de « tambour osseux dont l’intérieur est divisé inférieurement par « une traverse osseuse que surmonte une membrane fort mince de « forme semi-lunaire. Ce tambour communique inférieurement avec « deux glottes formées par la terminaison des bronches et pourvues « chacune de deux lèvres ou cordes vocales. » Enfin , des muscles plus ou moins nombreux , suivant les espèces, mettent en jeu cet appareil ; ces muscles n’existent pas dans les oiseaux qui sont privés de la faculté de chanter. Plus bas, la trachée artère se bifurque et forme les bronches qui plongent dans les poumons; ces organes ne sont pas comme ceux des mammifères divisés en lobes, 1ls sont accolés aux côtes et communiquent avec le tissu cellulaire, comme il a été ait plus haut. On conçoit qu'avec une organisation semblable la respiration des (4) Voir la PI. 1, Fig. 5. 45 oiseaux doit être très-activé, aussi consomment-ils bien plus d'oxi- gène que les mammifères et la température de leurs corps s'élève dé quarante-un à quarante-trois degrés, tandis que celle des mammi- fères n’est que de trente-deux. Génération. — Les oiseaux sont ovipares, c’est-à-dire que les germes ne tirent pas leur nourriture du sang de la mère comme chez les viviparés, mais se développent dans des œufs et hors du sein de celle-ci. Les femelles d'oiseaux n’ont qu'un ovaire fixé en dessous du paquet intestinal, contre la colonne vertébrale , et formé de petits sacs membraneux réunis en grappe ; ces sacs renferment les ovules. Après la fécondation, ces corps grossissent, fendent le sac ovairien et passent dans l’oviducte ; arrivé là, l'œuf n’est encore composé que du vitellus ou jaune, sur lequel on aperçoit un petit point blanc qui est l'embryon. À mesure que l’œuf avance dans l’oviducte, il se recouvre d’une matière glaireuse sécrétée par ce canal, c’est le blanc; enfin , plus bas encore, le tout est enveloppé d’une membrane épaisse qui s’encroûte d’un dépôt calcaire et constitue la coquille, alors l’œuf arrive dans le cloaque pour être pondu. La ponte a lieu une ou deux fois par an pour les oiseaux libres ; les oiseaux domestiques en raison de l'abondance de nourriture sont bien plus féconds. Le nombre des œufs pondus varie beaucoup suivant les espèces, et il est en général toujours plus considérable dans les petites que dans les grandes. Néds. — Pour abriter et couver leurs œufs, les oiseaux cons- truisent des nids dont quelques-uns sont des chefs-d'œuvre &art et d'adresse. Ce qu'il y a de plus admirable, c’est l'instinct merveilleux avec lequel des générations successives exécutent des nids semblables sans que les jeunes aient jamais pu prendre de leçons de leurs pa- rents. Après la ponte vient l’incubation ; dans quelques espèces ce soin est partagé par le mâle et par la femelle ; d’autres fois le mâle 16 se borne à pourvoir aux besoins de sa compagne; mais dans les polygames, comme les gallinacés, par exemple, la femelle seule couve les œufs, et ce n’est qu’à regret et poussée par la faim qu’elle quitte un instant son nid pour prendre sa nourriture. Nous avions l'intention d'indiquer ici quelques-uns des phéno- mènes qui se passent dans l'œuf pendant l’incubation, mais quel- ques personnes nous ayant fait apercevoir que nous sortions du plan de notre ouvrage, nous renvoyons nos lecteurs aux excellentes leçons de Zoologie de Milne-Edwars. Tout ce qui a rapport aux mœurs intéressantes des oiseaux, à leurs voyages, à leurs migra- tions à travers les mers et les continents, aux soins et au dé- voûment qu'ils ont pour leur progéniture, ayant été dit dans lin- troduction, nous allons nous occuper des moyens de conserver leurs dépouilles. TAXIDERMIE. Tout se tient dans les connaissances humaines; l’art d’empailler les animaux , que quelques personnes regardent comme un passe- temps bon à amuser les oisifs, a rendu les plus grands services à l’histoire des êtres qui peuplent la terre. Si nous n’avions pas aujourd’hui les riches collections qu'on doit aux naturalistes pré- parateurs, l'erreur, comme le dit Boitard, nous montrerait encore des licornes , des faunes, des tritons et des syrènes , où les savants de nos jours n’ont trouvé que des antilopes, des singes, des phoques et des dauphins. La Taxidermie est, à rigoureusement parler, l'art de préparer les peaux des animaux; mais par extension, on donne le même nom P1 à celui de les monter, de les préserver et de leur rendre une appa- rence de vie. Nous ne parlerons ici que de ce qui concerne les oiseaux. On se les procure soit en les chassant au fusil, au filet, à la pipée, etc., soit en les achetant sur les marchés, soit enfin en échangeant les peaux des oiseaux de notre pays contre celles des pays voisins et étrangers. Dans les deux premiers cas, le naturaliste doit être pourvu de bruxelles, de coton et de plâtre : sitôt qu'il possède un oiseau il s'assure, à l’inspection des pattes, des ailes, du bec et de l'abdomen, s’il peut être monté; ensuite , il recherche les blessures et les couvre de plâtre ; il met dans le bec un petit tampon de coton et tampone de même les narines, l'anus et les plaies faites par le plomb, si le plâtre ne suffit pas à étancher le sang ; il ramène alors les ailes et toutes les plumes à leur place, et glisse l'oiseau. la tête la première, dans un cornet de papier fort : en prenant toutes ces précautions les plumes peuvent conserver leur fraicheur, et le pré- parateur peut procéder à la mise en peau sans être obligé de Les laver. Enstruments (1). — Les instruments indispensables au na- turaliste réparateur sont : 4° Des scalpels; on doit en avoir de pointus, de convexes et à double tranchant; 2 Des bruxelles de différentes grandeurs ; 3 Des ciseaux à lames pointues, à lames arrondies et à lames recourbées sur tranchant ; 4 Des pinces plates de différentes grandeurs; 5° Des pinces coupantes; 6° Des tenailles; 7e Des limes de différentes grandeurs ; 8 Un triboulet en fer ou en bois pour faire les anneaux ; (4) Les dessins des différents instruments se trouvent sur la PIS 9% ? si 18 9 Des poinçons en acier pour percer les pattes et déplacer l'étoupe dans l'oiseau lorsqu'il est mal bourré ; | 10° Des vrilles de différentes grosseurs ; 41° Une scie à main ; 12 Un marteau et une petite enclume ; 13 Des aiguilles et du fil; 14° Des pinceaux à préservatif de grandeurs différentes ; 45° Un juchoir pour donner aux oiseaux les attitudes conve- nables. Enfin, des fils de fer de plusieurs numéros : l’usage apprend vite quels sont les numéros les plus propres aux différentes espèces. Voici toutefois comment nous les employons dans notre propre pratique : | N° f. Roitelet et toutes ses grosseurs. Nos 2 et 5. Moineaux, bruants, etc. N° 4 et 5. Proyer, caille, etc. N° Get 7. Grives, pies-grièches. N°: 8 et 9. Le coucou, le geai. N°s 10 et 11. Les perdrix, les pigeons. N° 12 et 15. Les mouettes, les petits canards. N° 14 et 15. Le corbeau, les grands canaräs et Ja buse. N°: 16 et 17. Les grands hérons. N°5 18 et 19. Les cigognes. N° 20 et 21. Le flamant, les aigles, etc. Ces numéros sont indiqués pour les pattes, il faut prendre deux ou trois numéros plus faibles pour la queue et pour le cou ; nous en donnerons plus tard la raison. Matières à bourrer. — Les matières à bourrer les plus employées sont le coton, l’étoupe ou filasse de chanvre, la mousse et le foin. Nous employons la première de ces substances pour bourrer la tête, le cou, et faire les jambes des oiseaux de petite et moyenne taille, nous bourrons ensuite le corps avec de l’étoupe 19 hachée menue; pour les oiseaux de grande taille nous employons l'étoupe seulement, excepté pour les orbites que nous bourrons avec du coton. Quelques préparateurs, pour rendre l’empaillage moins dispendieux, se servent pour les grands oiseaux de mousse ou de foin. On passe alors ces substances au four pour détruire les insectes qu’elles pourraient contenir ; dans tous les cas, il faut rigoureuse- ment exclure des matières à bourrer toutes les substances animales comme la bourre, la laine, etc., qui attirent les dermestes et com- promettent les collections. Préservatifs. — 1 existe un grand nombre de formules pour composer les préservatifs, mais nous nous contenterons d’in- diquer celles dont nous faisons usage et qui sont éprouvées par une longue expérience. En première ligne marche le savon arsenical de Bécœur, pharmacien à Metz ; il nous sert à enduire et préserver toutes les parties intérieures de l'oiseau; voici la manière de le préparer. Prenez : Arsenic blanc pulvérisé . . . . . . . 500 grammes. SAVORDIANER PUR PQ: 298 08 HSBO0 4 ; DOME MIE a deco ses à + LOU (e Chaux vive en poudre. . . . . . . . 100 cd. Camphre: :". 223006 00.0... 75 1d. ICO a me - à QUAULILÉ SUIITANTE. On coupe le savon par petits morceaux dans une casserole vernis- sée, ou même dans un poëêlon en cuivre contenant deux ou trois cents grammes d’eau ; on fait ramollir le savon à une chaleur mo- dérée en agitant avec un pilon en bois, jusqu’à ce que le tout soit parfaitement homogène; on ajoute ensuite le sel de tartre et la chaux en agitant toujours jusqu’à parfait mélange. Arrivé à cet état la composition est versée dans le vase où l'on doit la conserver ; ce vase doit être en porcelaine ou en verre, parce que les sels arse- 20 nicaux détachent le vernis des vases en terre et filtrent à travers; on ajoute alors l’arsenic par petites portions et on incorpore avec une spatule en bois qui doit rester dans le pot. Enfin, lorsque le mélange est complètement refroidi, on y dissout le camphre au moyen de l’alcool. Nous avons substitué ce mode de préparation à celui des manuels, parce qu’il dispense de souiller d’arsenic des vases qui par ce moyen peuvent encore servir à d’autres usages. Le savon arsenical se con- serve indéfiniment, seulement il faut avoir soin d’ajouter quelque- fois de l’eau pour le maintenir à une consistance convenable. Son emploi n’est pas sans danger à cause de la facilité avec laquelle larsenic est absorbé ; il est probable que cette absorption se fait plus particulièrement sous les ongles où le savon peut séjourner méme après qu'on s’est lavé les mains, dans ce cas il est prudent de se nettoyer le dessous des ongles avec une brosse chaque fois que l'on vient de préparer. Le préservatif de Bécœur est le seul qui nous serve à la préparation des oiseaux; quant à la liqueur de Smith dont nous allons donner la formule, nous l’employons pour imbiber les plumes lorsqu'elles sont attaquées par les teignes; pour cela on verse de cette liqueur sur les parties attaquées et sur les parties suspectes. Liqueur de Smith. Sublimé corrosif . . . . . . 10 grammes. Éamphrer" JOUE NX Abo" 95109 0 MOIS0 CA te Faites dissoudre. Des placards. — En général, les collections d'oiseaux sont faites pour être mises en vue, il faut aussi qu’elles soient à l'abri de la poussière et de l'air extérieur, ct qu’elles se trouvent dans 21 æm une atmosphère redoutée des animaux destructeurs ; c'est dans ce bui que sont construits les placards. Nous soumettons à nos lecteurs les fruits de l’expérience que nous avons acquise dans l'exécution de notre cabinet. La disposition du jour n’est pas indifférente ; les ornithologistes qui peuvent consacrer une pièce ad hoc, feront bien de s’éclairer par un ciel ouvert, car lorsque le jour vient de face, le miroïtement des vitres empêche de bien distinguer les oiseaux. Le plancher du placard doit être à 50 centimètres en dessus du plancher de la pièce où on le construit ; on peut mettre en dessous un certain nombre de tiroirs qui servent à redresser les peaux, le coton, les étoupes, les fils de fer, les pieds et les gros outils em- ployés à la préparation. On établit, au moyen de montants, une série de placards non séparés qui auront chacun 2 m. 30 cent. de hauteur et autant de largeur ; les ouvertures seront fermées par deux portes , divisées chacune en six carreaux par des baguettes en cuivre très-minces et disposées pour recevoir des vitres. Ces portes seront fixées aux montants par {rois fortes charnières et devront fermer de façon que le plancher supérieur rase les vitres d'en haut et le plancher inférieur les vitres d’en bas. Au moyen de rainures et baguettes bien employées sur les bords des portes , sur les tra- verses et sur les montants, un ouvrier habile peut mettre le pla- card à l’abri de la poussière et de l’air extérieur. A l'intérieur de tous les montants, on fixera des crémaillères à crans très-rapprochés pour recevoir les traverses qui doivent sup- porter les étagères ; lorsque le tout est fini, on passe dans l’intérieur du placard et sur les pièces en bois qu’il contient un vernis d’un gris très-clair. Quant à l’arrangement des oïseaux, l’usage seul peut apprendre à le faire convenablement. Nous avons dit plus haut que l'atmosphère &es placards devait être mortelle pour les insectes; dans ce but on y renferme différentes substances à odeur forte : le camphre, le vétivert, la lavande, les essences de serpolet , de théré- bentine , etc., sont employés avec succès; on a beaucoup préconisé 23 cd di le musc dans ces derniers temps, et je n'hésite pas à le conseiller sur ce que m'en ont dit plusieurs de mes correspondants. Malgré ces moyens il faut visiter, tous les six mois au moins, les sujets d’une collection les uns après les autres, et s'assurer, en les baitant avec la main, de leur état de conservation; s’il en tombe des plumes ayant le canon rongé , on ne doit remettre l'oiseau en place qu'après l'avoir passé au four (1) et drogué avec la liqueur de Smith comme il a été déjà dit. Mais si les oiseaux attaqués sont communs et faciles à remplacer, il vaut encore mieux les rejeter tout-à-fait. Nous conseillons aux amateurs de nids de ne jamais en mettre dans les placards qui renferment des oiseaux , sans les avoir préalablement plongés dans un solutum de sublimé. Les substances qui forment ces nids contiennent presque toujours les germes des plus grands enne- mis de nos collections. PRÉPARATION. Mfèse ex peau. — Si les plumes de l'oiseau qu’on va dé- pouiller sont propres et sans tache, on peut procéder de suite à cette opération; si elles sont au contraire ensanglantées et graisseuses, on les nettoie de la manière suivante : après avoir ramolli le sang avec de l’eau tiède, on lave avec de l’eau qui tient en dissolution un peu de savon, on fait à l'eau pure un second lavage qui est continué tant que l’eau est chargée de savon ou de sang, après quoi on plâtre rapidement et à plusieurs reprises jusqu’à ce que les plumes aient toute leur fraîcheur. On agit de même pour les plumes graisseuses, seulement le solutum de savon doit être plus concentré. Si on trouvait des oiseaux rares au nombre de ceux qui ont été (1) La chaleur du four doit étre de 80 à 90 degrés au plus. 23 pris à la glu et que leur robe fût tachée par cette substance, on com- mencerait par la dissoudre avec de l'huile d'olive ou du beurre, on lessiverait le tout avec un solutum de potasse, et l’on continuerait avec l’eau pure et le plâtre comme il a été dit ci-dessus. Quand le plumage est propre, le bec est tamponné et ses mandibules sont fortement réunies au moyen d’un fil passé dans les narines et noué sous la mâchoire inférieure. Ces précautions prises, on place (1) loi- seau devant soi sur le dos, la tête du côté de la main gauche et la queue du côté de la droite qui est armée d’un scalpel; on écarte ensuite les plumes du ventre pour mettre à nu la crète du sternum, sur toute l'étendue de laquelle une incision est pratiquée. Le prépa- rateur saisit les lèvres de la plaie avec de fortes bruxelles et détache la peau des muscles en se servant du manche du scalpel. Cette opé- ration est continuée tout autour de l’incision et aussi bas que possible, en retournant l'oiseau toutes les fois que le besoin l'exige. Pendant cette manœuvre, il ne faut pas négliger de plâtrer les parties mises à nu, sans cela les liquides qui s’en échappent souilleraient les plumes. Lorsque la peau est soulevée jusqu’à l’origine des. épaules , on fait saillir l'ure d'elles hors de l’incision et on casse l’humérus avec des ciseaux ou avec des tenailles si l'oiseau est de grande espèce. Lors- qu’on a opéré de même sur lautre aile, le haut de la poitrine est repoussé hors de l'ouverture et le cou désarticulé près de sa base- Arrivé là, le préparateur coupe les muscles de l'humérus, renverse la peau sur le dos, la détache des épaules et la fait glisser sur le sacrum avec l’ongle du pouce de la main droite. Il repousse ensuite la jambe en dedans pour faire saillir l'articulation fémoro-tibiale ; cette articulation est coupée pour ramener la cuisse sur le tronc et repousser la jambe dans la peau; ainsi pour l’autre jambe ; après quoi l'opération se continue en disséquant légèrement la peau de l'abdomen et en ayant soin de ne pas percer la membrane qui en- (4) Voir la PL 2, Fig. 1. 24 veloppe les intestins, car il en sortirait des liquides qui tacheraient les plumes. La peau est ainsi retournée jusqu’à insertion des pennes caudales et séparée du tronc en coupant les vertèbres coccygiennes entre les deux rangées. Il faut en outre enlever avec le scalpel toutes les parties rouges et les corps gras qui tiennent à la peau, et en- duire celle-ci d’une bonne couche de préservatif. Il reste à dépouiller les membres et la tête; la peau des jambes est refoulée sur les talons au moyen de l’ongle et du scalpel, les tendons sont coupés un peu en dessous de l'articulation et les muscles enlevés en raclant de bas en haut sur le tibia. On peut aussi enlever le péroné qui ne sert à rien pour monter l'oiseau. On enveloppe les tibias de coton, on passe du préservatif et on rentre les jambes en ayant soin de le faire dans le sens de la peau. Le nettoiement des ailes présente un peu plus de difficultés : lorsque la peau est renversée jusqu’à larticulation huméro-cubitale, on coupe les petites membranes qui unissent les tendons à la peau, afin de faire descendre celle-ci jusqu’à l'insertion des pennes secon- daires sur le cubitus; les pennes sont détachées avec l'ongle si loi- seau est de petite taille et avec le dos du scalpel si l’oiseau est de grande taille. On dépouilie ainsi jusqu’à l’articulation métacarpienne où les muscles de lavant-bras sont coupés et ramenés en haut pour être enlevés avec ceux du bras. Avant de remettre l'aile à sa place, il faut en préserver soigneusement toutes les parties, parce que dans l’empaillage elles ne doivent plus être retournées. Pour dépouiller la tête, le préparateur saisit le cou avec la main gauche et renverse la peau qu’il fait descendre avec le pouce jus- qu'aux oreilles. Si l'oiseau est de taille petite ou moyenne, on ar— rache facilement avec les doigts ou avec des bruxelles la peau qui les tapisse intérieurement; mais s’il est de grande taille, il faut la disséquer avec la pointe d’un scalpel. On dépouille ensuite la région de l'œil, en ayant soin de ne pas couper la paupière , ce qu’on évite facilement en disséquant toujours sur la conjonctive. Lorsque la peau est renversée jusqu’à la base du bec, on sort les veux de leurs 25 orbites, on coupe avec un scalpel la partie postérieure et inférieure du crâne pour extraire la cervelle et tous les organes qui forment le palais, la langue, etc. On nettoie enfin les mandibules en les raclant avec un scalpel, après quoi on enduit de préservatif toutes les parties de la tête et on la bourre de la manière suivante : on fait deux tampons allongés en coton, destinés à remplacer les muscles des joues et de grosseur convenable pour cela. Le préparateur prend un de ces tampons, place l’un de ses bouts dans le bord postérieur de l'orbite et rentre l’autre dans la partie postérieure du crâne, l’autre côté étant ainsi préparé on remplit le crâne et les orbites de coton ou d’étoupe hachée. Avant de retourner la tête, il faut couvrir de préservatif toute l'étendue du cou; la peau du crâne est ensuite ramenée à sa place au moyen de bruxelles , et celle du cou vivement engagée dans l'ouverture pectorale, afin de faire ressortir le bec ou le fil qui le tient attaché. Le bec ou le fil sont alors tirés tantôt à droite tantôt à gauche, jusqu’à ce que la tête soit entièrement retournée. Pour réparer le dérangement que les plumes ont éprouvé dans ces différentes manœuvres, on saisit l'oiseau par le bec, on le secoue doucement, et l'on remet en place, avec les bruxelles, les plumes récalcitrantes. Il faut avoir soin de ne pas allonger la peau du cou; car, si elle se dessèche dans cet état, il est impossible que l'oiseau monté ait la grâce et la souplesse convenables. Lorsqu'on a fini d’ar- ranger les plumes du corps, on ramène la peau de locciput sur le crâne, pour la faire descendre doucement avec la pointe d’une aiguille; enfin, on arrondit les paupières en ramenant en avant le coton des orbites. On remet ensuite l'oiseau dans la première position, on place les humérus au milieu du dos; on attache un bout de fil ou de ficelle, selon la grosseur de l'oiseau, à chaque cubitus, près de l'articulation humérale, et l’on noue ces deux fils ensemble, de facon à laisser un intervalle de deux ou trois lignes entre chaque humérus (1). L'inter- (4) Voir la PI, 2, Fig, 2, 26 valle entre les humérus doit être d'autant plus grand que l'oiseau est plus fort de taille. Si l'oiseau doit être laissé en peau, on en couvre l'intérieur de préservatif, on bourre le cou sans l’allonger, au moyen d’un seul tampon qui abouttit aux ailes ; on met sous celles-ci une couche légère d’étoupe hachée, on remplit convenablement toute la peau sans la distendre, après quoi, l’on fait quelques points de suture. Quelques préparateurs font sécher leurs peaux dans des cornets de papier fort; je préfère les faire sécher simplement sur une étagère , parce que, par le premier procédé, la tête est trop renversée et la gorge trop distendue. Pour monter l'oiseau. — On monte deux sortes de peaux , celles qu’on vient de faire et qui ont toute la souplesse con- venable, et celles qui sont desséchées et que le préparateur est obligé de ramollir. Voici les moyens les plus employés pour cela : on coupe avec un scalpel le fil qui tient réunis les bords de l’ouver- ture abdominale, on en sort toute l’étoupe ; si l’on craignait de casser le cou en enlevant le bourron qu'il contient, on pourrait le laisser et l’humecter en versant un peu d’eau dans le haut de la poitrine, et la faisant pénétrer peu à peu. De l’étoupe mouillée est remise dans toutes les parties du corps, et les pattes sont entourées de filasse trempée dans l’eau chaude. Si l'oiseau est de forte taille, on met ramollir les pieds quelques jours avant la peau, parce qu'il faut bien plus longtemps pour que l’humidité les pénètre. Ici les prépa- rateurs agissent de différentes manières, les uns enveloppent l’oi- seau d’un linge mouillé, d’autres le couvrent seulement d’étoupe, ceux-ci le mettent à la cave sous une cloche, ceux-là sur une grille, dans un vase fermé qui contient un peu d’eau au fond ; il en est enfin qui l’enterrent dans le sable mouillé. Tous ces procédés sont bons, et je les ai employés avec des avantages à peu près égaux. Il m'est arrivé encore de submerger entièrement les peaux pendant vingt- quatre heures sans qu’il en soit résulté le moindre inconvénient pour la peau ou pour les plumes; je n’hésite même pas à conseiller ON ce moyen pour faire revenir les peaux mal préparées et dont les plumes sont rebroussées dans tous les sens. Le ramollissement de la peau est d'autant plus long que l'oiseau est plus fort; il faut vingt-quatre heures pour les petites espèces, quarante-huit heures pour les moyennes et trois ou quatre jours pour les grandes. Sitôt que l’oiseau est ramolli ou dépouillé, le préparateur prend un fil de fer convenable et en coupe quatre longueurs. La première doit passer à traver le cou et sortir par le bec; la seconde atteindra au-delà de la moitié de la queue en se bifurquant un peu avant d'y arriver; les deux autres sont destinées aux pattes (1). Chacun de ces fils de fer porte à l’un de ces bouts un anneau qui doit le fixer au centre de l'oiseau, comme il sera dit plus bas. Ces dispositions étant prises, on dévide, autour du fil de fer destiné au cou, du coton cardé, depuis l'anneau jusqu’à la partie qui doit atteindre à la gorge. Lorsque cette poupée est de grosseur suflisante , on l’introduit dans le cou, et l’on fait sortir le fil de fer excédant par le bec. On met ensuite une bonne quantité d’étoupe hachée sous ce fil de fer, et surtout entre les humérus et la peau, afin qu’elle ne soit pas percée par ces os lorsque le préparateur la manipule. On retourne la queue pour recevoir le fil de fer qui doit la soutenir; on fait pénétrer les branches en dessous, entre les pennes et la peau, en ayant soin de ne pas entrer dans les plumes qui seraient, par ce seul fait, divisées et difficiles à mettre en place, Le croupion et le ventre sont de nouveau préservés et remplis d’étoupe, toujours en dessous äu fil de fer. On arrange les fils de fer du cou et de la queue de façon qu’étant superposés, leurs an- neaux occupent le centre de la cavité pectorale, on attache à chacun d'eux près de l’anneau un fil ou une ficelle qui sert à les réunir; on engage pour cela les bouts de cette ficelle dans les anneaux pour (4) Voir la PI. 2, Fig. 5. 28 les retirer en dehors et les nouer fortement contre la tige (4) ; ainsi pour le côté opposé. Il s’agit alors de préparer les pattes, on pousse la jambe en de- dans, on enlève le coton qui pourrait géner, et l’extrémité aiguisée du fil de fer est portée dans le talon et dirigée dans la partie posté- rieure de la peau du tarse jusqu’à ce qu’il sorte au milieu des doigts. Si l'oiseau n’était pas frais, il faudrait faire avec un poinçon le pas- sage à travers les tarses avant de placer les fils de fer. On entoure de coton le tibia et le fil de fer pour le réunir soliäement et la jambe est rentrée. On fait ensuite une courbure à angle droit près de l'anneau et dans le plan de celui-ci; la distance entre cette cour- bure et l'anneau doit être proportionnée à la taille de l'individu ; dans tous les cas, cette courbure et celle du côté opposé ne doivent jamais dépasser la longueur du diamètre transverse de la cavité pec- torale (2). Lorsque l’anneau du fil de fer a été attaché sur les autres, comme il a été dit ci-dessus. on prépare l’autre jambe de la même manière. Avant de bourrer l'oiseau, on fait avec des pinces plates un nouvel angle situé entre l’anneau et l’autre angle, et dont le plan est perpendiculaire à celui de l'anneau, ce qui ramène les jambes à la place qu’elles doivent occuper (3). Pour bourrer convenablement, le préparateur commence par ramener sous le fil de fer l'étoupe qui pourrait s’en être écartée , et en ajoute une nouvelle quantité s’il le faut ; il met ensuite par petites portions de la bourre entre la peau et le fil de fer des jambes, et successivement dans les flancs, dans l’abdomen, dans la poitrine, en bourrant toujours près de la peau jusqu'à ce que l'oiseau ait acquis les formes convenables. On fait de suite, et avant que les bords de la pean ne soient desséchés , la couture qui exige quelques précautions. L’aiguille doit (1) Voir la PL. 2, Fig. 2. (1) Voir la PI. 2, Fig. 2. (5, Voir la PL 2, Fig. 5 29 être assez grosse pour permettre au fil de passer après elle sans tirer et déchirer la peau : an la pique du dedans au dehors, au som- met de l’ouverture, un peu à gauche et l’on tire le fil dont le bout est arrêté par un gros nœud; on pique de même le côté opposé et un peu plus bas, de façon qu’arrivé à l’autre extrémité la couture soit disposée comme le lacet d’un corset. Il ne faut pas essayer de fermer l'ouverture après chaque point, il vaut mieux laisser d’abord la couture lâche et n’amener la réunion que peu à peu, et en pres— sant les flancs de l'oiseau. Quand cette réunion est opérée, on fait un nœud et le reste du fil est coupé. Pour donner aux jambes la longueur qu’elles doivent avoir, on les repousse sur le fil de fer vers les anneaux, après quoi on les relève en fléchissant d’abord la jambe, ensuite le tarse pour mettre l'oiseau sur pied. Cette opération exige que nous disions deux mots des habitudes des oiseaux en ce qui concerne la station, car il serait ridicule de percher des palmipèdes et de mettre à terre des oiseaux qui sont presque toujours perchés. En règle générale : Les rapaces perchent. Les omnivores perchent. Les insectivores perchent (quelques pipits exceptés). Les granivores perchent (les alouettes exceptées). Les grimpeurs perchent et grimpent. Les alcyons et chélidons perchent. Les gallinacés ne perchent pas. Les échassiers ne perchent pas. | Les palmipèdes ne perchent pas. Si l'oiseau qu'on vient de monter perche, on le pose sur un juchoir proportionné à sa taille, en faisant avec une vrille deux trous sur la traverse (ces trous doivent avoir entre eux la distance qui existe entre les deux pattes ); on y introduit les fils de fer qu’on tire en bas jusqu’à ce que les doigts touchent le support, et l'oiseau est fixé en enroulant les fils de fer en sens contraire sur ce aÙ support. Si l'oiseau ne perche pas, on engage les fils de fer des pattes dans les trous faits à une planchette ronde et creuse en des- sous où ils sont contournés et fixés au bois par leur p'inte. Avant de mettre l'oiseau dans la position qu’il doit conserver, il faut l’asseoir, lui donner son centre de gravité ; s’il tombait, soit en avant, soit en arrière, on chercherait en vain à lui rendre un semblant de vie, il aurait toujours l'air empaillé. Sitôt qu'il est d’aplomb , on ramène la tête sur le dos en relevant la base du cou ; on saisit ensuite le bec et le fil de fer en même temps et on les abaisse en tirant à soi. C’est alors au préparateur à donner l’atti- tude que son goût lui suggère ; ordinairement, pour que la tête ait plus d'expression on la tourne un peu de côté, soit à droite, soit à gauche. Pour mettre les yeux, on fait une place dans le coton avec une aiguille , et on y coule quelques gouttes d’un mélange de gomme fondue et de pommade arsenicale ; les yeux doivent être de grandeur et de couleur convenable : rien ne jure plus aux yeux du natura- liste que de voir à un oiseau des yeux à iris clairs, quand il les à naturellement bruns et vice versa. L’arrangement des paupières exige aussi tous les soins du préparateur, il vaut mieux les ramener légèrement sur le globe que de trop les écarter. Quand les yeux sont posés on finit de bourrer la tête avec du coton, on coupe le fil de fer dans le bec et on ferme celui-ci en passant dans les narines une ficelle qu’on noue sous la mandibule inférieure. On arrange ensuite les plumes, on soulève les manteaux et les couvertures pour effacer toutes les défectuosités qui pourraient se présenter à la base du cou et à l’origine des ailes; on varie la position de celles-ci suivant l'attitude de l'oiseau; on étale convenablement la queue au moyen d’un morceau de carton fixé dans les branches äu fil de fer; enfin on termine en appliquant les bandes nécessaires pour fixer les plumes pendant la dissécation (1). {1) Voir la PI. 2, Fig. 4. 91 De quelques difficultés. — Il arrive quelquefois que les “oiseaux ont la tête trop grosse pour passer dans la peau du cou, comme dans les pics , le flamant, les canards , etc. ; dans ces occa- sions on fait au sommet de la tête une incision qui se prolonge jusqu'aux premières vertèbres , on dissèque la tête par cette ouver- ture, et on la prépare comme il a été dit plus haut; on la fait en- suite rentrer et on coud l’incision de la même manière que l’ouver- ture abdominale. Si pendant cette opération les plumes de la tête étaient salies , il faudrait les nettoyer par le procédé indiqué au commencement de ces notions. Le bec et les pieds se décolorent souvent après la mort de l'oiseau, on peut alors leur rendre leurs couleurs premières en les peignant au vernis ; mais il faut être sobre de ce procédé parce que les vernis cachent les écailles du tarse et des doigts qui servent à la classification de quelques espèces. Dans un grand nombre d'oiseaux, dans les palmipèdes surtout, les doigts sont réunis par une membrane ; pour que cette mem- brane ne disparaisse pas dans la dessiccation , il faut avoir soin d’écarter les doigts et de les maintenir au moyen d’épingles im- plantées dans la planche. Quand on veut monter un oiseau les ailes étendues, on doit prendre quelques dispositions particulières dans leur arrangement : ainsi, au lieu de les attacher simplement avec un fil, on passe dans les humérus les deux extrémités d’un fil de fer de grosseur et de longueur convenables ; on les rive près des articulations humé- rocubitales et on les fixe sur les anneaux en les y attachant soli- dement. Par ce moyen, le préparateur peut ouvrir les ailes, les rentrer, les maintenir enfin dans la position qu’il veut leur donner. Re ant oung aivlouploce vis D -< et | 4 | eu) le ttuut À PTT UE to hé) NUITS RS à l M j : Ë - Fe P lue 4 dus ‘ aid rer ti! DR EURE, ce CRM e-HSV ETUI > Fes ü abus 1 vw | . à ve , PACE | ME CEE 10 dy set SU UE nb TT E ne" , hotes diée ur 06 mb oanpéealh en, et data # TUE | Ù sous il and: nt saurait + CRU HT ‘ft 10e au ‘ » | ( wé | er te oupx Ni dan ant #$ db etoietona"l fée À É À | et of nt eoumsky nof-motte faq atfan Linie 4 ME: " ES | [4 LE QT NES ml ver QUE IE. 7 DATE: È é À DUT LA [ 1 : | ë l “a hu Dex dM A0 L * k > 1 e - r du : ÿ L aû vous # ru a. Hibuslanée:.nn el \iq. él Mie el La aivtéé vie He LTLEZ Û ar Hé ‘tn 7 mé y, QE LL ETATS ri Lu Q L hi -111 : gutà ES fé ét Los + lu side. tp hit pe ss dl à "+ fi. , Li) | var : via CR ' r sc der rain sin. el vdi nn pe CRE ; éeri Les 9 sr téhesthimests rc ‘134 vivra une :SIsMQ : aies Vic hat lé, opitaioenés ni QU kg se rite ré sfr annee Eee sen puunn TA PT CURE |: spa, eia e 4 Fe Et nee ae Le Mob na sut anilil, ant red cu tes var. 09 'Anotmigesssc remel ot di shit: ROTH etapes sl alé sols ET" A DAME 100 1 LE du | dé torse ve 8 0 tb if out anottobusitse ds eng N- + be: téettrs ve ao déôs. Father À M 04 ME | ee M rie vof. LOU Vus shine a, sept 08 À di PAT ARTE ONLY: lag Arts eme vins [ | | en FI EM F 33 TABLE ALPHABÉTIQUE DES NOMNS D'ONEAUX DESSINÉES DANS LES PLANCHES, Planches. AÂCCENTEUR mouchet . :.. . . 97 Bec-riN locustelle Id. pégot ou des Alpes . . 2 9 =] Id. mélanocéphale . AIGLE balbuzard 8 Id. de muraille. Id. criard ; | Id. natterer . Id. Jean-le-Blanc . 7 Id. orphée Id. pygargue 8 Id. phragmite Id. royal. 6 Id. pitchou ALOUETTE calandre 50 Id. à poitrine jaune Id. calandrelle. 30 Id. pouillot . Id. des champs 29 Id. rouge-gorge. Id, cochevis 30 Id. rouge-queu . T0. lulu... 929 Id. rossignol. AUTOUR. + ne 9 Id. des roseaux . AVOCETTE à nuque noire. D2 Id. rousserole . BArGE à queue noire . d6 Id. siffleur NA DIESEL ST 5 Id. à tête noire. BarTAVELLE ( Voy. PERDRIx ). Id. verderolle BécassE ordinaire . . . . . . 6 BERGERONNETTE grise . Bécasseau brunette . . . . . 54 Id. jaune. a: 10. CHASSE 4. cn O4 Id. printanière . Id. COCO RES: + 2e 00 BIHOREAU à manteau noir Id. Mae The..: …. . est DA BOUvVREUIL commun . Id. ÉÉD Le 0 BruANT fou . PécAssiNE doublé. … à: +22, . Lu 00 Id. jaune Id. padeunen 0 0 4... ET Id. montain Id. SORA De 22" 07 Id. de neige BEC-CROISÉ commun . . . . . 95 Id. vcrtolan. Bec-FiN aquatique . . . . . 25 Id. proyer . Dar ns A: ne: 25 Id. de roseaux. Han bosrarle. “7 .: . . 74 11." nr - Id. fauvette . 25 BusarD harpaye Id. grisette 25 Id. montagu Id. gorge bleue . 25 Id. saint-martin . Id. ictérine . 26 Buse bondrée. Id. à lunettes 25 Id. commune Planches. 25 24 26 LO 19 19 19 19 19 QT '& Où OC SG Où Qi À © O1 CH He Go 19 +9 HO 1Q RO 1Q A9 19 RO 19 19 GO Où Le 7) CO QI C7 19 OI O1 QI RO QI QI 19 +9 t9 OI = ee 1 = QI QI OI CI D — 19 =» 19 —n _ ee) Rose pattue: Lee: + UTOR ( Voy. HERON). CAILLE commune . CANARD chipeau Id, double macreuse. . . Id. eider HE Gear 0e Ve LA US Id. macreuse Id. milouin Id. milouinan. Id. morillon Iron. I pilet. 7 s4NE Id. sarcelle d'été . Id. sarcelle d'hiver . . Id. sauvage . Id. sifleur. Id. sifleur huppé. . Id. souchet. . Id. tadorne CAssE-Noix ordinaire. . . CATHARTE alimoche CHARDONNERET ( Voy. GROS-BEC ). CHEVALIER aboyeur . . . Id. arlequin . . Id. cul-blanc . Id. gambette . Id. guignette . Id. stagnatile . . Id. sylvain. . CuouETtxE chevèche . Id. eñraie . Id. hulotte Id. tengmalm. . . . C160GxE blanche Id. noire . Cixcze plongeur Cocomse biset. Id. colombin Id, ramier . Id. tourterelle . ComBATTANT variable . CORBEAU noir 34 Planches. 40 69 66 Cr C7 x Cr SNS Nr) © . © Or Cr MROMOMOM CT © 19 19 [rss © me © => C7 à dd KO = © [SS CorMorax (grand ) . . . . CORNEILLE choucas Id. freux Id. mantelée Id. noire, Coucou gris. 2 COURE-VITE isabelle . CourLis à bec grêle IH. cendré I; ‘corliex :, PAM CYGXE sauvage . Id. : taberculé :. -. %! ÉCHASSE à manteau noir. ENGOULEVENT ordinaire . . . ÉPERVIER commun. . . . . ÉTOURNEAU vulgaire ." "= 200 Faisax ( Voy. Terras birkhan ). Faucox cresserelle . Id: émérillon 0 Id. holferean'. 7 Id. kobez 14: véléenn, : "1500 FAUVETTE ( Voy. BEC-FIN ). FLAMMANT rose. FourquE macroule . Gear garule "Ce GELINOTTE ( Voy. TETRAS ). GTARÉOfE à colliée . 770000 GoBE-MOUCHE bec-figue . Id. à collier Id. GPS ee 2 GOELAND à manteau bleu. Id. à pieds jaunes . GREBE castagneux . ID CORRE “NS, TE 14. HUPDE EN 4 RE Id." oretlard * ”: RES GRIMPEREAU familier . D Id. de muraille (Voy. Tr- CHODROME échelette ). Grive drame ‘: % 777, IL. More? 12€ Id. mauvis Planches. 70 15 15 14 14 Grive de vigne ou tourde Gros-BEC d’ardennes . Id, boréal Id. chardonneret . Id. cini . Id. commun Id. friquet . Id. linotte Id. moineau Id. niverolle Id. pinson . Id. sizerin. Id. soulcie Id. tarin. Id. venturon Id. verdier . GRUE cendrée . GoépPier vulgaire . GypPAETE barbu. HARLE (grand ). Id. huppé Id. piette. HEroN blongios Id. cendré. Id. crabier. Id. garzette Id. butor . Id. pourpré Hisou brachyote . Id. grand-duc . Id. moyen-duc. Id. scops ou petit-duc . HiRONDELLE de cheminée Id. de fenétre . Il. de rivage . Id. de rocher . HiIRONDELLE-DE-MER épouvantail 14. pierre-garin . Hurrrier pie Hupre commune . Isis falcinelle . JAsEUR (grand). Lacorëpe ( Voy. TErnas). 39 Planches, 20 54 QU O1 QI QI Qi QI QI O1 I Æ © & © À O1 & © 19 QI ©e 94 O1 © 35 60 LainoTTE ( Voy. GROS-BEC ). LorioT vulgaire . MARTINET de muraille . Id. à ventre blanc MARTIN-PÈCHEUR alcyon . Marti roselin. Merce bleu. Id. noir. Id. à plastron. Id. de rothe . MÉsANGE bleue Id. charbonnière . Id. petite charbonnière . Id. huppée . Id. longue queue . Id. moustache . Id. nonette . : Id. rémiz ou penduline . Mican noir. Id. royal : Moineau ( Voy. GROS-BEC ). MorELce (Voy. FOULQUE macroule). MouerrE à pieds bleus . Id. rieuse Id. tridactyle OEbICNÈME criard . OrE bernache . Id. cendrée. Id. cravant. Id. rieuse . Id. sauvage. OurarDE barbue . Id. canepetière. Perprix bartavelle . Id. grise . Id. rochassière . Id. rouge PÉTREL (Voy. THALASSIDROME). PxALaRoPE platyrhinque. Pic cendré . Id. épeiche. Id. épeichette . Id. noir. Planches. 17 59 O1 O1 QI =1 D © © 19 36 Planches. Planches} Picwert. -Msucsdatl-uu® Ceux 5 Raze rouge ( Voy Poure-D'EAt de Due (garrule) : ©" picetis 26 45 genêt ). PIE-GRIÈCHE écorcheur . . . . 18 RorrezET ordinaire … ls16d . 2627 Td:5 ‘grisé sole & 4164-28 Id triple bandeau . . . 27 Id. méridionale: sy. pt c 148 RozLiEr vulgaire . . . . 47 Id. à poitrine rose. . . 18 RossrG@xoLz (Voy. BEC-FIx ). Id. rousse . . . 18 SANDERLING variable . . . . . 44 PiGeox ( Voy. COLOMBE ). SITELLE torchepot. . . . . . 31 Pixsox ( Voy. GROS-BEC ). SPATULE blanche . 00e . 0 52 Prrr des buissons . . . . . . 29 STERCORAIRE richardson . . . . 61 dd. ‘farlouse.. : :."". suit 20 TaL&ve porphyrion . . . . . 58 dd: richard”: setaadtt: bre 2 \A 26 Tarix ( Voy. GROs-BEC). Hd. rousseline. dus, aipatlr 1129 Téreas auerhan :: . Auot AS 1... spioncelle.. © -Hhognt - TES Id. birkhan diués MALE PLONGEON cat-marin, . . + . . 71 Td. gélinotte . wornlasr . MIA Lab Eu -: SANTA 14. lagopède . "ie ‘EMA T4. um -onsnen -: 071 THALASSIDROME tempête . . . . (62 Pauvres doréitih en vins + 1145 TicuoproME échelette _. . . . 31 Id. guignard . . . . . . 45 Torcor ordinaire .. .. ct ar Id. à collier interrompu. . . 46 TourNE-PiERxE à collier . . . . 47 Id. grand à collier. . . . . 46 TourTERELLE ( Voy. COLOMBE). Id. petit collier Evo Eu 46 TRAQUET motteux. .. !/ + em ND Poure-D'EAU baillon . . . . . 58 Id. oreillard . . .. 4% 99 Id. de genêt . d7 Id. pâtre .. .. . 446000 NE Id. marouette. ., . . ‘O7 Id. rieur. . ..' AMC ONCE Id. ordinaire;valrs mer 058 Id. stapazin. .. ieite 22 Id. poussin. , . . sy Id. tarier = … ,-. 1000 29 Pouze sultane (V, TALÈVE porphy- TROGLODYTE ordinaire . . . . 27 rion ). VANNEAU huppé . .:1:,611 0146 PyrRHOCORAx choquard . . . . 16 Id, _pluvier … -.
© . AR . 4- ft = + à J # Loire TT LV … D" ( k. . k HS : 1-07 + 20 En... L " ‘à 2 Be à 4 x UV Ur Er" FINE ARR Co RAPACES DIURNES. «ildl RAPACES DIURNES. Viclur Cassien Lith de ( Péyeron N°1 FAUCON PÉLERIN (Falco perécrinus) N°3 FAUCON EMÉRILLON (Falco æsalon] N°2 FAUCON HOBEREAU [Falco subbuteo) N°4Æ FAUCON CRESSERELLE {Falco tinnuncul 4 le érandoeur naturelle | J "1100 + L à y ATEN ” L QE # | M oo - re ir L : : "tr ds ou RAPACES DIURNES. Victor Cassien uh.de ïé RAPACES DIURNES. NA "9 #8, UPS ui YIC(OÙ Lassic Ne AIGLE CRIARD [aquila nævial | N°9 AIGLE JEAN LE BLANC {aquila brachydactyla)] À \ RAPACES DIURNES. Victor Cassie N°1 AIGLE BALBUZARD {aquila hañælus V5 à NOo AIGLE PYGARCUE laguila aibiciila|. !6 4 ri CL Ca RAPACES DIURNES. Victor Cassien 1 AUTOUR Astur palumbarius ® EPERVIER [Astur misus 3 MILAN ROYAL (Milvus revalis } & MILAN NOIR (Milvus ater | L 5 decrandeurnalurelle 5 Re nasal fear haie h " } (f L RAPACES DIURNES. Lilh. de C. Pegeron | BUSE COMMUNE [Buteo variegalus || È BUSE PATUE | Buteo lagopus | 1/5 de pandeur RatUrelie 3 BUSE BONDRÉE [Buleo apivorus) | 2 4.4 (] MENT Ur . 1 pps pi, ñ CADET _ L = dep frs af : nt ae a RAPACES DIURNES. Victor Cassien LL RUSARD HARPAYE [Cirens vutus) Jeune mâle] | 9 BUSARD S° MARTIN (CGireu: ‘yaneus | lemelle, | T RAPACES NOCTURNES. Es CHOUETTE HULOTTE (Strix aluco) © CHOUETTE CHEVÉCHE [Strix passerina] 2 CHOUETTE FFFRAIE [Strix flammes] 4 HIBOU BRACHYOTE [Strix brachyotos.| urelle 115 de oran eur RAPACES NOCTURNES. L HIBOU GRAND-DUC, (Strix bubo) | 9 HIBOU MOYEN-DUC, (Strix otus| } V5 degranteur naturelle 3 HIROU SCOPS | Strix sc0p | OMNIVORES. ee Lith.de C. Pégeron Victér Cassien 1 CORBEAU NOIR [Corvus corax| 2 CORNEILLE NOIRE [Corvus corone) V5 de grandeur nat 3 CORNEILLE MANTELÉE |Corvus cornux] Ile OMNIVORES. l 1 | Victor Cassien Lith. de C.Péceror L CORNEILLE FREUX [Corvus frugileous) 9 .CORNEILLE CHOUCAS [Corvus monedula. + V/4 de prandeur naturelle GARRULE PIE (Garrulus picus.| OMNIVORES. PI. 1h Victor Cassien Lith de C. Pege | GEAI GLANDIVORE [Garrulus clandarius 3% P{RRHOCORAX CHOQUARD (Pyrrho orax pyrrhocarax] à CASSE-NOIX | Nucifraga caryocatactes.] Æ FREGILE CORACIAS (Fregilus gra: ilus.| 14 de grandeur naturelle, | j INSECTIVORES. te ictor Cassien. Lith. de C Pegeron | GRAND JASEUR [Bombycilla garrula & ETOURNEAU VULGAIRE |Sturnus vulgaris] à ROLLIER UULGAIRE DPacias garrula| 5 MARTIN ROSELIN | Pastor roseus 5 LORIOT VULGAIRE [Oriolus galbula 4 de grandeur naturelle. INSECTIVORES. Victor Cassien. Lith. de C Pégeron ] PIE-GRIÈCHE GRISE (Lans excubitor| & PIE-GRIECHE ROUSSE [Lanius rutilus ® PIE-GRIÈCHE MÉRIDIONALE [Larius meridionalis. 5 PIE-GRIÈCHE ECORCHEUR [Lanius collurio] 3 PIE-GRIÈCHE A POITRINE ROSE [Lanius minor | n nA s añabrionl ia / 3 de grandeur naturelle INSECTIVORES. P1.19 Que reaoeroitl Victor Cassien Lith.de C 1 COBE - MOUCHE GRIS [Muscicapa grisola 4 GRIVE DRAÎNE [Turdus wc 2 GOBE- MOUCHE A COLLIER Muscicapa albicollis 9 CRIVE LITORNE |] pila 2 GOBE - MOUCHE BEC FICUE [Muscicapa luctuosa Victor ‘Cassien | GRIVE Le UE ; | hd um UV [VE } DE VIGNE (Türdu MAUVIS [Turdus INSECTIVORES. È VAI musIcu J MER iliacus. 1/7, dé orande ilturelle INSECTIVORES. Niclsr Cass'on: Lith de C Pegeron 1 MERLE DE ROCHE [Merula Saxatilis) mäle 2 MERLE BLEU [Merula cyanea} mâle 1 Bis id id {id id }femelle. à CINCLE PLONGEUR | Cinclus aqualicus.| 1/3 de grandeur naturelle INSECTIVORES,. | Re tes di L A P].99. Victor Cassien Lith de C Pégeron D TRAQUET RIEUR [Saxicola cachinnans| mâle 4 TRAQUET OREILLARD [Saxicola aurita] male è 1d MOTTEUX [Saxicola œnanthe) male 5 1d TARIER | id rubetral 1 3 1 STAPAZIN L id stapa zina | id 6 id RUBICOLE | id rubicola] 1d 1 ; INSECTIVORES. DISare Victor Cassien. Lith de C Pegeron 1 BEC-FIN ROUSSEROLLE [Sylvia turdoides| 4 BEC-FIN PHRAGMITE [Sylvia phragmilis a... id. LOCUSTELLE [. id locustellal 5 HAS ROSEAUX | id. .arundinacea] 3 id. AQUATIQUE | id aquatica| 6 id. VERDEROLLE (id. palustris INSECTIVORES. DIRE Victor Cassien. Lit de C égeron 1 BEC-FIN BOUSCARLE [Sylvia cetti| & BEC-FIN TÊTE NOIRE [Sylvia atricapilla } 2 id... ROSSIGNOL | id luscinia) 5 id. MÉLANOCEPHALE [Sylvia melanocephala 5 id. ORPHÉE |.id.orphea) ”: ne fé LR tes Dont 7 NL" INSECTIVORES. FRS Victor Cassien. 1 BEC-FIN FAUVETTE | Sylvia hortensis) 5 BEC-FIN PITCHOU Sylria è id … GRISETTE id. cinerea| 6 id. . ROUGE-GORGE (51 | ; id BABILLARD| id. currucs 7 1 GORGE-BIEUE | id “suecicalmäle + 1d ALUNETTES MA Lith. de C. Pegeron proviIncialls | ! ORGE Cu INSECTIVORES. Victor Cassien. CH de C.Pegeron J BEC-FIN ROUGE-QUEUE [Sylvia Tithys male 5 BREC-FIN ICTÉRINE (Sylvia icterina} A id. DE MURAILLES( 1d phoœænicurus) id (f d POUILLOT id trochilus) 14... À POITRINE JAUNE (Sylvia hippolais] »4 id... NATTERER| id _ nat{ereri .) . id... SIFFLEU- (Sylvia sibilatrix.) 19 CN INSECTIVORES. - Mon lacuie Lin. de C. Pegeroi 1 ROITELET ORDINAIRE { Regulus vulparis ) 4 ACCENTEUR PEGOT { Accentor alpinus) ) 2 id... TRIPLE-BANDEAU à. tpnicapillus) ) id MOUCHET (id. modularts] 5 TROGLODYTE ORDINAIRE (Trogl odytes europeus| __——— 1] de prandeur naturelle te re LEA INSECTIVORES. PI. 26. PoRe BERGERONNETTE CRISE (Motacilla alba male # PIPI RICHARD ( Anthus Richardi] Boarula) male 5 PIPI SPIONCELLE ( Anthus aquaticus| id... JAUNE (id. id... PRINTANIERE (id. flava) à il2 de grandeur naturelle d A ere ° . U ni À $ : - ne 4 t | | À e. à D Al L : W NL VAR à: jé ' oi L ir M F: ‘ 1 ; - : ï : » » d U] i . 1 ” ’ ” dei % ‘ « L d (l ‘ ï LM ? Ù pe Ai L LR, + ] ÿ U LE 1 nd l =. “ # « Et Pr $ : à | ; À LAON d aus “ A ae EL APM INSECTIVORES RCE 1 ô | » [Pare of Nictor Cassien ch. di MEGENEN! L PiPI ROUSSELINE Anthu: rulescens) 4 ALOUETTE des CHAMPS lAlauda arvensis) 0 id FARLOUSE id pratensi:; 1 1 LULU [oil TDOTEA D dd des RUISSONS id it boreus lo il de arandeui elle CRANIVORES, PL50.2 Victor Cassien Lith de C. Péoeror b ALOUETTE COCHEND (Alauda cristata | & MESANGE CHARRONNIERE (Parus majo 4 id CALANDRELLE [Mauda brachydac lvl. | lylaj i( elite CHARBUNNIE RE 4 id CALANDRE ‘Alauda calandra CRANIVERES. Lith de C Péceron \ietor Cassien L MEÉSANGE BLEUE (Parus cœruleus & JESANGE a LONGUE QUEUE |Farus caudalus] è id HUPPÉE | id cristalus.) 5 id MOUDTACHE | oid harnicus| make 3 id NONNETTE id … palustris. 6 id …REMIZ Parus pendelinus |näke A [9 ae JT 4 BUT À l - CRANIVORES. Victor Cassien Lith de C Peceror — BRUANT JAUNE (Emberiza ctrinella me 4 BRUANT OR FOLAN Emberi2a hortulana }t ae. Û id PROYER id miNATIA i 5 id LL] icl CUS | \û 3 id deROSEAUX! :& choguclus| A b | l'O] yo de oravdour nalmeeus SE GRANIVORES. PL'25: L BRUANT de NEIGE [Emberiza nivalis | & BOL YREUIL COMMUN [Pyrchula vuloa d id... MONTAIN | id calcarala 5 GROS-BEC VULGAIRE (Fringilla coccothrau nl 19 À Le 3 BEC-CROISE desPINS (Loxia Curvirostra jm 6 JERDIER | CRANIVORES. PL5+. reoeron 1 GROSBEC SOULCIE [Frinoilla petronia | # GROS-BEC CINT |] DIR ERRIE d aid. MOINEAU( id domestic a }mar 5 id PINSON | id... cœleb 3 id FRIQUET | id montana). 6 | D'ARDENNES [Erinoulla 1 DNS ns L | L sou | DE Ce ES ET ne” Ta : u D CLR LS DORA) | GRANIVORES. nr C Péceron BGROS BEC NIVEROLLE [Fringilla nivalis 4 GROS-BEC TARIN [Frmodla 0 û id LINOTTE d alu iBiNA 5 Le SILERIN (ui Lili 5 id VENTURON id Hrinelle b id CHAPDONNERE 1 Frin la Carat n GRIMPEURS. a es 371 © Te RE res ER = FIL EL nt# è = > | 14 il VERT 7 …) orandeur de y 3 1/ L CRIMPEURS. PLST. Victor Cassien 1 TORCOL ORDINAIRE | Yanx torquilla | & TICHODROME ÉCHELETTE (" 2 SITELLE TORCHEPOT (Sifla europea) pa ep à GRIMPEREAU FAMILIER |Certhia Famiharis} 1 2 de grandeur naturelle Lith. de L. Fageron J ALCYONS. CHELIDONS. P1.38 Lith.de C. Pégeron Lo | Victor Cassien GUÉPIER VULGAIRE [Merops apiaster | 4 HIRONDELLE deFENÊTRE [Hirundo urbica ® MARTIN-PÉCHEURALCYON [Alcedo ispida 5 id. de RNAGE [Iirundo riparia HIRONDELLE de CHEMINÉE (Hirundo rustica) 6 1d de ROCHER id rupestris 12 de orandeur naturelle 3 LES CHELIDONS. DES Victor Cassien. Lith. de C.Pegeron L MARTINET A VENTRE BLANC (Cypselus alpinus | : DR: : 0 DE MURAILLE | id murarius 12 de grandeun nat° 3 ENGOULEVENT D'EUROPE (Caprimu QUS europous. | PICEONS. Victor Cassien. Lith.de C.Peoeron 1 COLOMBE RAMIER (Colurmba palumbus| 3% COLOMBE BISET [Columba liva. 2 id COLOMBIN( id … œnas & id TOURTERELLE (Coluinba tur | 5 de Grandeur naturelle CALLINACES. PLÆ1; Victor Cassten. Lith. de C. Péguron I TÉTRAS AUERHAN [Tetrao uropallus) ma “ARRET: BIRKHAN À id. tetrix } male Qu er ; V6 de érandeur naturelle ÉLINOTTE | id. bonasialmäe GALLINACES. PL. #2. Victor Cassien. Lith.de € Pegeron 1 TETRAS PTARMIGAN [Tetrao lagopus) male. $ PERDRIX ROUGE (Perdix rubra. 2 PERDRIX BARTAVELLE (Perdix saxatilis)mae 4 id GRIS | id cinerea V5 de érandeur naturelle ra gs | = 4 rs ) M | M DT ft ar [1 A | ME ù GALLINACES . COUREURS. FL Ra: Lith.de C .Pégeron. L CAILLE COMMUNE [Coturnix vulgaris ;) 1/4 de grandeur natl 2 GLAREDLE À COLLIER | Glareola orquata | V3'de érandeur naturelle 5 OUTARDE BARBUE (Otis tarda Femelle . 1/1 de grandeur naturelle COUREURS:-CRALL ES. PL? 4 Lin de L. leoeron Victor Cassien. | 1 OUTARDE CANEPETIÈRE | Otis létrax male 3 GDICNE ME CRI ge is crepila 2 COURE-VITE ISABELLE [Cursorius isabellinus) & SANDERLING VARIABLE [Calidris aronaria 1/4 de Grandeur naturelle CRALLES. PL45. re Lith. de C.Pegeron L) Victor Cassien. 1 ECHASSE AMANTEAU NOIR (Himantopus melanopterus ) 3 PLUVIER DORE Charadrius p es 2 HUITRIER PIE (Hoematopus ostraleGus)Pum. d'ête 4 jd .. GUIGNARD id... morinellus#/um.d'eté /& de érandeur naturelle l \D! | ivialis) Plum dniIve] NS | CRALLES. Victor Cassien. Lith. de C. Péferon D GRAND PLUVIER À COLLIER (Charadniushiaticula)P/ de 4 VANNEAU PLUVIER (Vanellu melanogaster Jaune male © PTIT PLUVIER À COLLIER (Charadrius minor) Plum d'été 5 VANNEAU HUPPE | Vanelluscristatus.) Plum. d'hiver 3 PLUVIER À COLLIER INTERROMPU id cantianus. 14 + 15 de érandour naturelle * L PPRNT, UT Re LE Ms, dé LOS R- “ss f La ns Los. te EPCRN Se RO ñ L -. CRALLES. Victor Cassien 9 TOURNE-PIERRE A COLLIER (Strepsilas collaris Plum. d'été, 3 à Lu ! - 22 LAVER TE 1 EN PE tee | 7 GRUE CENDREÉE (Grus cinerea) mae. /2 de grandeur nat CRALEES. PI48. lith de D! reneror en 1 ( | 14.) /7 de orandeur nalurelle 1 CIGOGNE BLANCHE (Ciconia’al A li NOIRE. .| id . nioral id id CRALLES, PER. GRALLES,. PL. 50. Er Léon ; Lith. de C.P 1 HERON GARZETIE (Ardva Garzetta) V5 de Grandeur naturelle #10 GRAND BUTOR| id stellaris.) 1/6 de érandeur naturelle, e id... CRABIER (Ardea ralloides) Ÿ5 de érandeur naturelle. — pr ñ ; « où { ri Ur su 1] 1e x ET Qu) CRALLES. Victor Cassien. 1 HERON BLONGIOS (Ardea minuta} Ÿ4 de grandeur naturelle ù Lith.de C Pegeron 2 BIHOREAU À MANTEAU NOIR (Nycticorax ardeola.) Ÿ5 de grandeur naturelle : 3 FLAMANT ROSE (Phœnicopterus antiquorum. 17 de Grandeur naturelle. ù CGRALLES. PL.52: | Victor Cassien . 7 Lith. de C. Pegeron 1 AVOCETTE A NUQUE NOIRE (Recurwrrostra avocetta) | | 9 SPATULE BLANCHE [Platalea leucorodia . > 1/5 de Grandeur naturelle 3 IBIS FALCINELLE (Ibis falcinellus ) \ | D CRALLES. PS, Victor Cassien. Lith. de C. Peéeron. 1 COURLIS CENDRE (Humenius arcuatus.) 3 COURLIS À BEC GRELE Numenius tenuirastris) Did. CORLIEU |. id. phœ opus) 4 BECASSEAU COCORLE (Tina subarcuata) 3 de érandeur naturelle : # L , % &: * di Ë + È LL st en + | æ *- NUE ue » FOTOS NN D ds A Ge hé) di ns 0 4 CRALLES, ETSE Victor Cassien. Lilh. de € Pogeron. L BÉCASSEAU BRUNETTE (rinba vartabilis. } BECASSEAU MAUBECHE (Tringa cinerea.| 2 id. TEMMIA (id. temmenckii) 5 COMBATTANT VARABLE [Machotes pugnax) 5 id ECHASSES 1d minuta) | GRALLES. PIS Victor Cassien. Lith. de C Peoeron ù L CHEVALIER ARLEQUIN , (Totanus fuseus)Pum ee 4 CHEVALIER CUL BLANC (Totanus ochropus/F\um.d ee 2 Lt GAMBETTE le 1d calidris) \ù \ 5 id SYLVAIN 1d glareola.) id _ù e id. .STAGNATILE (.. id. stagnatilis À. À. 6.1 GUIGNETTE |. id hypoleucos) d. id L] € V3 de grandeur nalurelle , ù GRALLES. Victor Cassien . Lith de C. Pegeron —_ | CHEVALIER ABOYEUR (Totanus Glottis Eur dé. 4 BECASSE ORDINAIRE (Scolopax rusticola | 2 BARGE À QUEUE NOIRE (Limosa melanura)id id 5 BECASSINE DOUBLE |. 1d Mayor | 3 id. ROUSSE (Limosa rufa | Pam. À ee 1/3 de orandeur naturelle { ù F7 CRALLES. .« AR Pégeron C Lith. de Nictor Cassien. ce \linula 0a ù 3 RALE D'EAU (Rallus aquaticu = T@ % = = mo e= œ s + 1) c à : Le / on CRALLES. PINNATIPÉDES. hs P1.58 Victor Cassien. Lith.de C Peÿeron FOULQUE MACROULE (Fulica afra..) PHALAROPE PLATYRHINQUE (Phalaropus platyrhineus) L POULE D EAU BAILLON (Gallnula baillonii) 4 2 id. ORDINARE( id. chloropus) 5 5 TALEVE PORPHYRION (Porphyrio hyacinthinus) V4 de grandeur naturelle ù Le - 's PINNATIPEDES. RIRE Victor Cassien. L_GREBE HUPPÉ (Podiceps crislatus) 2 id. JOUGRISÉ id... rubricollis) 3 id... CORNU OU ESCLAVON (Podicep eu d 15 de grandeur ÿ 4 9 N'alutefie æ w) LAlh. de C. Péberon E OREILLARD [Podiceps auritus ) ‘AÇm | | CASTAGNEUX | 14. minor. > . airs » Ê . 4 it - . * Ü L - . 1 * - ? à LL a “ °e “ * L 4%: “ + » é! . 24 . + i …. y n r 47 DS . : LE # h Te r . _ v .* nn à ‘ » - : + ü 0 L ‘ + ’ ‘ + Le “ Li . oh A Re Fa mu \ "TA A F ‘1 n = m4 ne UE AU LR E | LONCIPENNES. LE hp ts sn re … _ Ari Victor Cassien. Lith. de C. Peveron Lo 1 HIRONDELLE DE MER PIERRE-GARIN (Sterna hirundo)Pumäek. 3 MOUETTE A MANTEAU BLEU [Larus argentatus) A id. id. EPOUVANTAIL |. 1d rigra à... 4 id... À PIEDS JAUNES | 1d la de Grandeur naturelle, LONCIPENNES. 2 rt Victor Cassien. j Si Lith.. de C Paberon J 4 Ph { \N AtTIPMmMN 1m T [It n TUE 2 MOUETTE À PIEDS BLEUS (Larus canusNunth. & MOUETTE RIEUSE [Larus ridibundus )Pm date D ...1d._- TRIDACTYLE. | 1. tridactylushid. 5 STERCORAIRE RICHARDSON (Lestris richardsonii)Jeunâg V4 de orandeur naturelle LONGIPENNES. LAMELLIROSTRES. P1.62. Victor Cassien ù CIN D NACT MN Et fr | \ | Il 2 THALASSIDROME TEMPETE (Thalassidroma pelagica)/9 de orandeur nat! 3 OI CENDREE, (Anser ferus ] V7 de orandeur naturelle } # OIE SAUVAGE | 1d. sevetum) 1d d 1d LAMELLIROSTRES, S DENT ALTOT 18 DL DE #7 \t Car x] ) asSIeTr. Lilh.de C. Peoeron 1 OI RIEUSE OU A FRONT BLANC (Anser albifrons) 2 id. BERNACHE [Anser leucopsis % id. CRAVANT | id. bernicla V5 de orandeur naturelle ù . . die ! ’ 12 à . Le 124 ; À J PEL \ fh ’ Li " ‘ GX 1 ete % TT a we " c Le (NPA QE Fa N + LAMELLIROSTRES. PL6#. : À . | Victor Cassien.. Lith. de C. Peoeron. Li CnUs musicus ) | F “t 2 | \ ROULE | 14. olor.) { lle /8 de orandeut nat LAMELLIROSTRES. P1.65 ictor Cassien. Lith. de C. Peoeron. ù L CANARD TADORNE {nas , 2 id SAUVAGE iQ bo | | V5 de randeu natilé L » aid CHIPEAU (id. strepera) a tr Casio ; 1 CANARD 2:10 LAMELLIROSTRES. PILET (Anas acuta)make. 5 CA SIFFLEUR id penelope) À + 15 de grandeur naturelle NARD id PL166. Lith de C. Peseron. SARCELLE D'ETE (Anas querquedula ja 1d D'HNER( id. crecca)m LAMELLIROSTRES. PI.61. T7 Victor Cassien Lith.de C. leveron L CANARD SUUCHET (Anas clypeata)n 9 _ïd FIDER (id molli: \) . Ina) [3 de orandeurnal 1)91INC)} \ û ù J ne DOUBLE MACREUSE (A DUUDERE, MALI / ra LAMELLIROSTRES. P1.68. \ictor ns. vu | | Lith de C. Feoeron 1 CANARD MACREUSE (An as méra)mde. à | nas marilla ) mal | 9 jd SIFFLEUR HUPPE(Anas ruñna } Le LAMELLIROSTRES, P1.69. Victor Cassien, | Latl | CANARD NYROCA [Anas leucophtalmos }KNa ) LAN A GARRUT (} na! OUI A, WA A id. … MORILLON( id fulioula) male & GRAND HARLE [Merous meroanser }mak (OL: orandeur Naturelle « = ‘ » . ; =. ' " rs OUPS = £ ‘ Ts à ” + L n à : … « à LA ; LA Victor Cassien re — ss) GK ANT VU LAMELLIROSTRES. P1. 20 Les Ge] Lith. de C Peoeron ) PLONCEURS. RTE Victor ssien Lith de C. Peberon. 1 PLONGEON IMBRIM (Colymbus élaciahs)adulte 2 : jà… LUMME( id. arcticus)lene (75e franur rain J id... CAT-MARIN(.1d septentrionalis } \eune SUPPLÉMENT . FIRE Cassien. Lith, de C. Pecoron. ‘ il BUZARN MONTAGU (Circus cinereus }ndke V4 de grand.nal"* Æ PIC CENDRE (Picus canus)5 de érandeur naturelle 2 CHOUETTE TENGHALM trix lenûmali) id. 5 PERDRIK ROCHASSIERE (Pordix labalioi)/5 de grand matt 3 GROS-BEC BORÉAL (Fringlla areas) à end rats | ART: à PEN TURENURE OR E pe Ta 2 4. e eme E: { ss - £ k à : al - # . Er ex. pe" er PS = bas js pes. RS nn A re ER Re EE EE <<" Te - RS st SCI T S= - . . d G . PP A